ndez : Où sont-ils ? Que sont-ils devenus ? Les deux pensées du poète
sacré
sont : J’ai parlé, où sont-ils ? Toutes les autre
s ? On compte quatre espèces d’odes : dans le genre religieux, l’ode
sacrée
, à laquelle se rattache l’hymne et le cantique ;
eux, l’ode badine, qui comprend aussi l’ode anacréontique. I. — Ode
sacrée
. — Hymne. — Cantique. 192. Qu’est-ce que l’ode
. I. — Ode sacrée. — Hymne. — Cantique. 192. Qu’est-ce que l’ode
sacrée
? L’ode sacrée est celle qui célèbre les perfect
rée. — Hymne. — Cantique. 192. Qu’est-ce que l’ode sacrée ? L’ode
sacrée
est celle qui célèbre les perfections et les œuvr
agnifiques. 193. Ou pourrons-nous trouver une juste idée de la poésie
sacrée
? Ce sont les Livres Saints qui pourront nous do
urront nous donner une juste idée de la poésie religieuse ou de l’ode
sacrée
. Car, comme l’a fort bien dit M. de Fontanes, L’
ons et dirige ses chants. 194. D’où vient la supériorité de la poésie
sacrée
? Sans vouloir refuser toute inspiration aux aut
sublime ne se trouve à un degré aussi éminent que chez les écrivains
sacrés
. Si on cherche la raison de cette différence, on
hymne admirable sur la création, et 113, In exitu Israel. Ces poèmes
sacrés
et quelques autres ont été admirablement imités d
chant, un poème en l’honneur de la divinité, et diffère peu de l’ode
sacrée
et du cantique. Cependant, pour préciser davantag
préciser davantage, nous dirons que l’hymne, en général, est une ode
sacrée
renfermant l’expression solennelle de l’enthousia
-ce que le cantique ? Le cantique (canticum cantus) est, comme l’ode
sacrée
et comme l’hymne avec lesquelles il se confond, u
res et les vérités de la foi. Seulement ils s’élèvent moins que l’ode
sacrée
, n’ont pas d’écarts, et se rapprochent plus pour
es spirituels. 201. Citez, parmi les plus remarquables, quelques odes
sacrées
, hymnes et cantiques. Outre les poésies tirées d
demment, nous citerons quelques autres modèles choisis parmi les odes
sacrées
, les hymnes et les cantiques les plus remarquable
tre intitulé la Belle Étoile. Enfin, nous mentionnerons quelques odes
sacrées
empruntées aux littératures étrangères, comme une
sujet qui est grand et élevé, demande que l’ode héroïque, comme l’ode
sacrée
, ait pour caractère dominant la noblesse, l’éléva
oilà pourquoi elle se rapproche de l’ode héroïque et surtout de l’ode
sacrée
. 206. Quel doit être le caractère de l’ode morale
ait plaire à ce dieu que de lui ressembler. Le caractère de cette ode
sacrée
fut primitivement religieux, comme un chant consa
sa traduction de l’Écriture, lui adressa un dithyrambe sur la poésie
sacrée
, dans lequel il imite successivement le mouvement
al, de l’élégie, de la pastorale, de l’ode héroïque, et même de l’ode
sacrée
. De là, les chansons religieuses, les chansons na
èse. 245. Nommez les principaux poètes lyriques. Après les écrivains
sacrés
et surtout David qui, suivant saint Jérôme, peut
er cinq espèces d’éloquence : L’éloquence de la chaire, ou éloquence
sacrée
; L’éloquence de la tribune, ou éloquence politiq
mitation des apôtres et de Jésus-Christ lui-même. Revêtu du caractère
sacré
, le prêtre est l’envoyé du ciel ; il est investi
les grandes et sublimes questions sur lesquelles s’exerce l’éloquence
sacrée
. Est-il rien de plus important, de plus solennel
. Est-il rien de plus important, de plus solennel ? Aussi l’éloquence
sacrée
n’est-elle pas un art ordinaire ; elle n’a pas be
nd sa main bienfaisante pour la soutenir. C’est ainsi que l’éloquence
sacrée
touche et enseigne, et qu’elle porte à la fois la
le souffle de leur parole inspirée. Différentes sortes de discours
sacrés
. L’éloquence sacrée peut revêtir les formes su
ole inspirée. Différentes sortes de discours sacrés. L’éloquence
sacrée
peut revêtir les formes suivantes : le sermon, le
Pères de l’Église nous ont laissé beaucoup d’homélies. Le panégyrique
sacré
est l’éloge d’un saint ; il a pour objet de céléb
à pourquoi ces sortes de beautés sont plus fréquentes dans les poètes
sacrés
, qui, peignant des mœurs plus vraies et écrivant
be devant l’auguste simplicité de la version littérale. De l’Élégie
sacrée
. Les règles, dans tous les arts de l’imaginati
mporains ou de leurs devanciers. Eh bien ! ils existent ces monuments
sacrés
de l’antique et auguste douleur des premiers temp
manière antique, elle se reproduit si fréquemment dans les écrivains
sacrés
, qu’elle n’a point ici l’air étrangère, et qu’ell
y qu’un pas à faire, pour nous laisser le modèle accompli de l’élégie
sacrée
et héroïque ; et les tombes royales de Westminste
nte de mélancolie douce, mais profonde, premier caractère de l’élégie
sacrée
, qui nourrie tour à tour de sentiments tendres et
ers venus y trouveront encore de nouvelles richesses. De l’Églogue
sacrée
. Florian, qui a laissé très peu de vers, qui e
a plus heureuse de la candeur, de la simplicité sentimentale du style
sacré
, admirable partout, mais au-dessus de nos éloges
soirée, Un jeune enfant, docile aux soins de son aïeul, De nos fastes
sacrés
prenait le saint recueil, Mais non sans le baiser
le châlis, Ne se déguisant point son atteinte mortelle, Des ministres
sacrés
fait prévenir le zèle. ……………………………………………… Les lar
atine de cette sublime élégie, par le docteur Lowth, auquel la poésie
sacrée
a d’ailleurs tant d’autres obligations : Ergone
un homme utile à la société ; et que celui qui, du haut de la tribune
sacrée
, annonce au peuple les paroles de la sagesse, con
; et ce qui le prouve évidemment, c’est que l’on compte les orateurs
sacrés
qui se sont fait un nom justement célèbre. Il ne
ane emploie des armes presque toujours victorieuses, dont l’éloquence
sacrée
s’interdit sévèrement l’usage. Comme l’orateur du
in d’en triompher plus sûrement encore le moment d’après. L’éloquence
sacrée
se renferme dans des limites beaucoup plus étroit
40. Les témoignages de l’autorité divine appartiennent à l’éloquence
sacrée
: nous parlerons en son lieu de cette source d’ar
ence, et l’homme d’État qui veille aux intérêts publics, et l’orateur
sacré
dont la mission est de venger notre foi contre le
i fait le charme de leurs harangues et de leurs récits. Les écrivains
sacrés
et les Pères de l’Église vous offriront cependant
péciaux. Mais une classe de rhétorique n’est pas un cours d’éloquence
sacrée
, judiciaire ou politique, et il est évident que n
odernes distinguent aujourd’hui cinq genres d’éloquence : l’éloquence
sacrée
, l’éloquence politique, l’éloquence judiciaire, l
ion. Première section. De l’éloquence sacrée30. 300. L’éloquence
sacrée
ou éloquence de la chaire a pour objet la prédica
s sauver. 301. Par la définition qui précède, on voit que l’éloquence
sacrée
est entièrement supérieure à l’éloquence profane.
ce sacrée est entièrement supérieure à l’éloquence profane. L’orateur
sacré
l’emporte sur tout autre, et par la mission dont
la Parole de Dieu. 303. Par les matières qu’elle traite, l’éloquence
sacrée
est également supérieure à l’éloquence profane. I
rofane ne cherche que des avantages fragiles et incertains, l’orateur
sacré
ambitionne par-dessus tout la destruction du vice
l’écoutent. 306. Tous les préceptes qu’on peut donner sur l’éloquence
sacrée
se rapportent à la prédication en général ou aux
s générales de la prédication, 2º des différentes espèces de discours
sacrés
. Chapitre premier. Des règles générales de la p
isons rien. Il n’est pas question qu’on fasse tout. » 309. L’orateur
sacré
puisera la science dans la Bible, les Pères de l’
ence dans la Bible, les Pères de l’Église, la Théologie et l’Histoire
sacrée
et profane. 310. La première source de la science
llement fondue dans la sienne. 311. La deuxième source de l’éloquence
sacrée
, c’est l’étude des Pères de l’Église. Les Pères d
e ou ornements de la prédication. 314. C’est en vain que l’orateur
sacré
posséderait une science vaste et profonde, s’il n
érêt et dispose un auditoire à mieux profiter de sa parole. L’orateur
sacré
s’efforcera de plaire par le fond des choses, par
ble d’intéresser vivement les auditeurs. Maury conseille aux orateurs
sacrés
de choisir de préférence ces sujets vastes et vra
ale tout ce qui sent la raillerie et la satire. 317. Dans l’éloquence
sacrée
, l’orateur doit s’attacher avant tout à la clarté
r profane ; ce sont ceux qui touchent et convertissent. La rhétorique
sacrée
dédaigne ces artifices frivoles dont l’école exag
u onction du prédicateur. 320. Ce n’est point assez pour l’orateur
sacré
d’instruire et de plaire. Il faut que, par l’onct
es discours : sa parole va droit au cœur. 322. Rien ne rend l’orateur
sacré
propre à toucher son auditoire comme une ardente
encore aujourd’hui. 323. Pour attirer en lui cette onction, l’orateur
sacré
aura recours à la méditation et à la prière. S’il
r le nº xxii). Chapitre deuxième. Différentes espèces de discours
sacrés
. 324. Les principales espèces de discours sacr
pèces de discours sacrés. 324. Les principales espèces de discours
sacrés
sont l’homélie, le prône, le sermon, la conférenc
l’assemblée des fidèles, un texte des saintes Écritures, et l’orateur
sacré
commentait cette lecture et en tirait des instruc
héteurs sur l’usage des divisions. Le sermon est de tous les discours
sacrés
celui qui comporte le mieux une division régulièr
quatrième. De la conférence35. 338. La conférence est un discours
sacré
où l’orateur présente les preuves de la religion
nvenu de donner le nom de conférence à tous les discours où l’orateur
sacré
s’attache à défendre la religion contre ceux qui
ons pieux et solides. 342. Pour réussir dans la conférence, l’orateur
sacré
devra lire et méditer longuement les Pères de l’É
ice. C’est souvent entre ses mains que se trouvent remis les intérêts
sacrés
de la famille et de la société. Les faire valoir
Racine ont rencontré plus d’une fois cette éloquence. Mais les poètes
sacrés
, et surtout les prophètes, surpassent beaucoup to
s les vertus, tous les nobles sentiments qui conviennent à un orateur
sacré
s’y trouvent réunis. Massillon s’adresse au jeune
hargés du soin de son enfance, ou attachés de plus près à sa personne
sacrée
, répandent ici leurs cœurs en votre présence, afi
écieuse et sa dépouille mortelle. Au milieu des chants répétés de nos
sacrés
cantiques et du pompeux appareil de nos cérémonie
poètes. Poursuivons notre analyse. Le dessein véritable de l’orateur
sacré
en établissant ainsi l’excellence de l’homme n’es
cer le premier ; le troisième se tire de ce que la religion a de plus
sacré
: la foi des traités, l’hospitalité, la reconnais
eprendre une action qui vous fera violer ce que la religion a de plus
sacré
; Mineure. Or, l’action de tuer Annibal vous fer
’action de tuer Annibal vous fera violer ce que la religion a de plus
sacré
; Conclusion. Donc, vous ne devez-pas tuer Annib
’action de tuer Annibal vous fera violer ce que la religion a de plus
sacré
; Conséquent. Donc vous ne devez pas l’entrepren
ités confirmés par les serments et par les sacrifices ; 2º les droits
sacrés
de l’hospitalité ; 3º l’autorité d’un père sur so
la Restauration. Les impies de cette époque reprochaient aux orateurs
sacrés
de leur temps de n’avoir pas l’éloquence de leurs
as conserver avec un soin plus jaloux ces dernières étincelles du feu
sacré
qui vous restent, et qui menacent à tout moment d
une ardeur qui s’éteint. Bossuet. XX. Supériorité de l’éloquence
sacrée
. Le prédicateur est maître de son sujet, et c
qui meurt, un trône qui s’écroule, rien n’est étranger à l’éloquence
sacrée
. Mais ce qui, pour le prédicateur est plus inépui
tures des douanes, les confiscations directes ou déguisées, l’orateur
sacré
descend de sa chaire et se dérobe, laissant à ses
re sentir, il excite encore trop souvent, et le ministre de la parole
sacrée
, qui doit s’inspirer de l’esprit d’en haut et rap
e plus de vengeur ? n’ai-je plus de fils ?… » Arrêtez, ombre chère et
sacrée
, arrêtez ! Oui, vous avez un fils, et il est touj
utation ? 228. La réfutation peut-elle trouver place dans le discours
sacré
? 229. Qu’est-ce que la péroraison, et combien d’
les divers genres d’éloquence ? 300. Quel est l’objet de l’éloquence
sacrée
, et en quoi consiste la prédication ? 301. L’éloq
oquence sacrée, et en quoi consiste la prédication ? 301. L’éloquence
sacrée
est-elle beaucoup supérieure à l’éloquence profan
moyens qu’il emploie ? 305. Quelle est la véritable fin de l’orateur
sacré
? 306. À quoi se rapportent les préceptes sur l’é
ateur sacré ? 306. À quoi se rapportent les préceptes sur l’éloquence
sacrée
? 307. Quels sont les trois devoirs du prédicateu
r de plaire, et par quels moyens plaira-t-il ? 316. Comment l’orateur
sacré
plaira-t-il par le fond des choses ? 317. Le préd
est-il obligé de toucher, et qu’est-ce que l’onction ? 321. L’orateur
sacré
doit-il avoir une conduite exemplaire ? 322. Quel
-il l’onction ? 324. Quelles sont les principales espèces de discours
sacrés
? 325. Qu’est-ce que l’homélie, et quelle est son
Cormenin, Livre des orateurs, l. II, ch. iii ; Dupanloup. Rhétorique
sacrée
. 31. Auteurs à consulter ; Presque tous ceux que
n, Traité de la prédication, l. I ; l’abbé Mullois, Cours d’éloquence
sacrée
, t. I. 32. Auteurs à consulter : saint Augustin,
h. i ; Hamon, l. II, 2e partie, ch. iii ; Audisio, Leçons d’éloquence
sacrée
, t. II, leç. xi, xii, xiii; l’abbé Mullois, Cours
sacrée, t. II, leç. xi, xii, xiii; l’abbé Mullois, Cours d’éloquence
sacrée
populaire, t. I, ch. vi. 33. Auteurs à consulter
, ch. i ; l’abbé Mullois, t. I, ch. iii ; Audisio, Leçons d’éloquence
sacrée
, leç. vii-xxiii ; le P. Broeckaert, Guide du jeun
Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains
sacrés
. Nous distinguerons d’abord, dans les écrivain
s écrivains sacrés. Nous distinguerons d’abord, dans les écrivains
sacrés
, l’emploi judicieux des figures qui contribuent l
qui se disputent l’empire des airs. Rien de tout cela dans les poètes
sacrés
. C’est sans efforts et sans étude qu’ils embellis
beautés d’ailleurs égales, il y aurait toujours, en faveur des poètes
sacrés
, une raison constante de supériorité que les autr
ui ont bien formellement résolu de ne rien admirer dans les écrivains
sacrés
, nous n’avons rien à leur opposer : nous nous bor
re qui les avait opprimés si longtemps160. Quel enthousiasme vraiment
sacré
vous saisit, vous transporte malgré vous, dès le
ue ne peut plus s’élever au-dessus de ces dernières images : le poète
sacré
va prouver le contraire, et de nouveaux personnag
eproduit avec un bonheur incomparable le mouvement lyrique des Livres
sacrés
: aussi n’avons-nous rien de plus beau dans notre
, suivant le caractère de l’inspiration et l’objet du chant. 1° Ode
sacrée
. L’ode sacrée, nommée particulièrement hymne o
ctère de l’inspiration et l’objet du chant. 1° Ode sacrée. L’ode
sacrée
, nommée particulièrement hymne ou cantique, chant
hi-King, recueil de chants rassemblés par Confucius. Inde. Les livres
sacrés
nommés Védas, Kalidasa. Perse, Arabie. Les chants
quence de la chaire demande une étude méditée et suivie des écrivains
sacrés
. Le champ qu’elle cultive est trop précieux, les
era sûr alors de toucher, de persuader et de convaincre. Où l’orateur
sacré
doit-il, en effet, allumer son génie si ce n’est
s fondateurs et les soutiens de l’église. C’est à eux que l’éloquence
sacrée
doit son origine et ses modèles en même temps : c
, et il se forma des écoles où l’on enseigna publiquement l’éloquence
sacrée
. Parmi les orateurs qui consacrèrent les premiers
e Tertullien retentit souvent dans la chaire ; il est peu de discours
sacrés
où l’orateur ne fortifie souvent ses raisonnement
si l’on veut remplir avec succès la carrière imposante de l’éloquence
sacrée
. Voilà à quelle école respectable s’étaient formé
prendre ailleurs que dans une Rhétorique les préceptes de l’éloquence
sacrée
; l'avocat, le tribun, l’académicien s’instruiron
funèbres, panégyriques religieux, qui sont du domaine de l’éloquence
sacrée
; les discours faits pour les assemblées délibéra
a étudier plus tard suivant la profession qu’il choisira. Eloquence
sacrée
. C’est sans doute une grande et belle institut
nité du présent par la justice de l’avenir, d’avoir armé les orateurs
sacrés
de toute la puissance de la parole pour combattre
ère évangélique ; il peut donner une idée des ressources de l’orateur
sacré
. Aussi le ministère de la parole n’a nulle part p
au poids à sa parole : sa voix retentit dans l’étendue d’une enceinte
sacrée
et dans le silence d’un recueillement universel ;
s Dieu. Ces réflexions sont communes à tous les genres de l’éloquence
sacrée
; mais l’oraison funèbre mérite une mention spéci
au-dessous du sujet, à égaler les paroles aux choses : ici l’orateur
sacré
, planant au-dessus de toutes les grandeurs, les v
genres qu’ils ont créés. Elle peut en effet paraître dans l’éloquence
sacrée
, au barreau, à la tribune politique et les assemb
pas lents je montais les degrés Encor jonchés de fleurs et de rameaux
sacrés
. Le peuple prosterné sous ces voûtes antiques Ava
je vais seulement les indiquer. La poésie lyrique comprend : L’ode
sacrée
(le cantique). L’ode héroïque. L’ode morale ou ph
naturelles à la poésie, recommandant à ceux qui n’ont pas reçu le feu
sacré
de s’occuper de prose. Pour encourager ceux-ci à
t aussi l’éloquence militaire, l’éloquence de la chaire, ou éloquence
sacrée
; et enfin l’éloquence académique ou scientifique
eur qui en donne des leçons si précieuses, par l’organe des écrivains
sacrés
, n’a pas voulu le bonheur seulement de telle ou t
genre à la doctrine philosophique des temps anciens, les philosophes
sacrés
le réunissent au plus haut degré, il faut bien qu
t et d’ombres qui nous échappent ? et quelle conclusion le philosophe
sacré
tirera-t-il de toutes les vérités qu’il vient d’é
? Où se trouverait donc l’utilité sublime des conseils de l’écrivain
sacré
, si, après nous avoir si pleinement convaincus du
nécessairement ici, entre les philosophes profanes et les philosophes
sacrés
, la différence que nous avons remarquée entre les
yeux ouverts, et tu ne les regardes Que comme une peinture ; ils sont
sacrés
pour toi. Ignores-tu de l’or et le prix et l’empl
t d’un Henri IV. § 26. Différentes sortes d’histoires. — Histoire
sacrée
, histoire ecclésiastique. On distingue plusieu
ois espèces énumérées ici se réduisent réellement à deux : l’histoire
sacrée
et l’histoire profane. L’Histoire de la religion
cette noblesse et de cette onction qu’on sent en lisant les histoires
sacrées
. Il parle des desseins de Dieu avec dignité, de s
torique. 49. Batteux, lieu cité. 50. Domairon, Rhét., de l’Histoire
sacrée
. 51. Batteux, Caractère de l’histoire sacrée. 5
n, Rhét., de l’Histoire sacrée. 51. Batteux, Caractère de l’histoire
sacrée
. 52. Domairon, Rhét, de l’Histoire sacrée. 53.
x, Caractère de l’histoire sacrée. 52. Domairon, Rhét, de l’Histoire
sacrée
. 53. Batteux, Caractère de l’histoire sacrée. 5
on, Rhét, de l’Histoire sacrée. 53. Batteux, Caractère de l’histoire
sacrée
. 54. Batteux, de l’Histoire profane. 55. Domair
ongue et très délicate du cœur humain, étude dont nos grands orateurs
sacrés
nous donnent à tout moment la preuve. L’exemple s
ternelle. § 11. Genres de discours chez les modernes. — Éloquence
sacrée
. Nous avons vu que les anciens distinguaient t
ois genres reconnus par les anciens. Prenons pour exemple l’éloquence
sacrée
, que les anciens ne connaissaient pas, et qui a p
l’autre, et nous comprenons tous ces discours sous le nom d’éloquence
sacrée
. Pareillement, à l’époque de la rentrée des tribu
nt tous les caractères. Examinons donc ici successivement l’éloquence
sacrée
, l’éloquence du barreau, l’éloquence académique e
’il est et ce qu’il doit être21. Il y a plusieurs espèces de discours
sacrés
; parlons d’abord du sermon. L’objet de l’orateur
actions. En ce sens, l’oraison funèbre n’appartient pas à l’éloquence
sacrée
; c’est l’epithaphios logos ou discours mortuaire
ts. Mais non : pendant qu’il implorait sans cesse ce titre auguste et
sacré
, une croix, oui, une croix, était préparée à cet
l’exemple d’un tel abus de pouvoir. Ô doux nom de liberté ! Ô droits
sacrés
du citoyen ! loi Porcia ! loi de Sempronius !… ét
. Domairon, Rhét, de la Péroraison. 21. Domairon, Rhét, des Discours
sacrés
. 22. L’abbé Fleury. 23. Domairon, Rhét, du Pané
me et au sujet, en plusieurs espèces. D’abord on distingue l’histoire
sacrée
et l’histoire profane. L’histoire sacrée raconte
bord on distingue l’histoire sacrée et l’histoire profane. L’histoire
sacrée
raconte les faits relatifs à la religion : on la
vènements religieux depuis Jésus-Christ jusqu’à nos jours. L’histoire
sacrée
est souvent mêlée à l’histoire profane dans les a
eler le Racine de la chaire. C’est le plus cicéronien de nos orateurs
sacrés
. La mort 1 Sur quoi vous rassurez-vous do
’est le hasard et l’occasion qui en décident d’ordinaire. Une dignité
sacrée
à laquelle on ne s’attendait point nous dépouille
e honneur dans le monde, on ne se met point en peine que des ténèbres
sacrées
cachent les chagrins, les dégoûts, les larmes, le
un peuple immense réuni en une seule personne ; voyez cette puissance
sacrée
, paternelle et absolue ; voyez la raison secrète
e pour celui de la chose qui en est faite : Le bronze tonne. L’airain
sacré
tremble et s’agite (C. Delavigne). L’ivoire pleur
, Dit Pompignan, votre dur cas me touche. Tenez, prenez mes cantiques
sacrés
, Sacrés ils sont, car personne n’y touche : Avec
mpignan, votre dur cas me touche. Tenez, prenez mes cantiques sacrés,
Sacrés
ils sont, car personne n’y touche : Avec le temps
Bossuet, Oraison funèbre de la reine d’Angleterre.) Un jour, dans le
sacré
vallon, Un serpent mordit Jean Fréron. Que croyez
ttérature du siècle d’Auguste, la littérature grecque, la littérature
sacrée
, la littérature légère. Ainsi entendue, la littér
l’honneur est à la probité : ses lois sont délicates, mystérieuses et
sacrées
. 22. Le goût est une faculté inhérente à l’esprit
usiasme du fils qui se croit capable de tout pour accomplir un devoir
sacré
; mais on sent que la chose n’est pas rigoureusem
sans pitié pour la faiblesse humaine ou pour les sentiments les plus
sacrés
de la nature. Il y a de la dureté dans les parole
nt qu’a vécu son père. Non, vous n’espérez plus de nous revoir encor,
Sacrés
murs que n’a pu conserver mon Hector. (Andromaqu
crits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours
sacrée
. En vain vous me frappez d’un son mélodieux, Si l
demande, Du vol de leurs oiseaux la vérité dépende ? Que sous un fer
sacré
des taureaux gémissants Dévoilent l’avenir à leur
ésentent en foule sous la plume des prophètes et des autres écrivains
sacrés
: Inebriabo sagittas meas sanguine, et gladius
ur la chose qui en est faite. Qu’entends-je ? Autour de moi l’airain
sacré
résonne. (Lamartine.) 181. On voit aisément que
(Ps. liv.) Ô rives du Jourdain ! ô champs aimés des cieux !
Sacrés
monts, fertiles vallées, Par cent miracle
tione cum fratribus tuis te recipiam. Faut-il que je me jette à vos
sacrés
genoux ? Au nom du lieu si saint qui n’est ouvert
Tacite. Pourvu que le jeune élève étudie en même temps nos écrivains
sacrés
et nos auteurs chrétiens, les dieux et les héros
triers ? Pour qui ces torches qu’on excite ? L’airain
sacré
tremble et s’agite. D’où vient ce bruit lugubre ;
ntelligence et le résultat d’une excessive sensibilité. Les écrivains
sacrés
ont été seuls sous l’influence de la Divinité et
n a plus encore dans les livres des prophètes et des autres écrivains
sacrés
que nous ne connaissons pourtant que par une pâle
poésie est si vénérable et que sa première destination est sainte et
sacrée
, objet de la poésie doit être toujours honnête, t
es : Que les temps sont changés ! sitôt que de ce jour La trompette
sacrée
annonçait le retour, Du temple, orné partout de
erses espèces d’odes. 428. On distingue cinq espèces d’odes, l’ode
sacrée
, l’ode héroïque, l’ode morale ou philosophique, l
que, l’ode morale ou philosophique, l’ode badine et la cantate. Ode
sacrée
. 429. L’ode sacrée, qu’on appelle quelquefois
hilosophique, l’ode badine et la cantate. Ode sacrée. 429. L’ode
sacrée
, qu’on appelle quelquefois hymne ou cantique, a p
ertu des saints. Pour avoir une juste idée de la poésie religieuse et
sacrée
, il faut passer chez les Hébreux et chercher nos
nspiration et dans cette action de la divinité que consiste la poésie
sacrée
. 430. Les cantiques de Moïse et des prophètes, le
de David, les plaintes sublimes de Job sont presque toujours des odes
sacrées
, et la perfection de ces odes démontre leur céles
regis, le Veni Creator. 432. Les païens avaient peut-être des poèmes
sacrés
destinés à célébrer les fêtes de leurs dieux ; ma
s inconnus. Parmi les odes d’Horace, on peut considérer comme une ode
sacrée
le poème séculaire, Carmen seculare, puisque c’es
dieux. C’est ce qui donne à ses chants quelque chose d’imposant et de
sacré
. Horace ne puise d’inspiration que dans les impié
. Puisque l’épopée est un des genres les plus élevés, c’est un devoir
sacré
pour le poète de faire de ses fictions un noble e
t l’épopée. Les Hébreux, chez qui la poésie eut toujours un caractère
sacré
, ne connurent jamais ni drame ni théâtre. Chez le
é. 539. Tout le monde connaît ce que les saints Pères et nos orateurs
sacrés
ont pensé des œuvres dramatiques. Mais on ignore
cas, il ne faut point de prétentions ni de subtilités. 573. La poésie
sacrée
nous offre les plus parfaits modèles de poésie él
8. Combien distingue-t-on d’espèces d’odes ? 429. Qu’est-ce que l’ode
sacrée
? 430. Où se trouvent les plus belles odes sacrée
Qu’est-ce que l’ode sacrée ? 430. Où se trouvent les plus belles odes
sacrées
? 431. Les hymnes de l’église n’offrent-ils pas d
pas de grandes beautés ? 432. Les païens nous ont-ils laissé des odes
sacrées
? 433. Qu’était le dithyrambe chez les Grecs et q
érature, 1re et 2e part. ; Collombet, Cours de littérature profane et
sacrée
, ch. ier ; l’abbé Decœur, Essai sur la compositi
littérature, IIIe partie ; Collombet, Cours de littérature profane et
sacré
, ch. iii ; Ernest Hello, Le Style. 4. Auteurs à
Marmontel, Éléments de littérature, art. Lyrique, Ode ; Lowth, Poésie
sacrée
des Hébreux ; Laurentie, De l’étude des lettres,
nfermer. Je me contenterai de dire successivement un mot des discours
sacrés
, des discours du barreau, des discours académique
académiques, et des discours politiques. Article I. Des Discours
sacrés
. Il n’est point de théâtre plus brillant pour
est point de théâtre plus brillant pour l’éloquence, que les discours
sacrés
. C’est là qu’elle paraît dans toute sa pompe, dan
e propose ! Aux qualités brillantes et solides de l’esprit, l’orateur
sacré
doit joindre un grand nombre de connaissances, sa
qu’il est et ce qu’il doit être. Il y a plusieurs espèces de discours
sacrés
: ce sont les sermons, les panégyriques, les orai
rédicateur ». Prédicateurs modernes. La carrière de l’éloquence
sacrée
a été courue parmi nous avec les plus brillants s
cru que c’était le meilleur moyen de faire sentir aux jeunes Orateurs
sacrés
, qu’en louant les hommes illustres, ils ne doiven
age. Si donc la loi est pour lui, il représentera avec force qu’étant
sacrée
, ce serait un crime d’y rien changer, et que le j
dire cependant que nous l’avions prévenue : votre personne était déjà
sacrée
par le respect et par l’amour. C’est en elle que
d’Etat. Vous aurez beau vanter le roi dans vos ouvrages Et de ce nom
sacré
sanctifier vos pages : Qui méprise Cotin n’estime
apper ; Lui conte du prélat1 l’entreprise nouvelle : Au pied des murs
sacrés
d’une sainte chapelle, Elle a vu trois guerriers,
mots, regardant le hibou qui la suit, Elle perce les murs de la voûte
sacrée
: Jusqu’en la sacristie elle s’ouvre une entrée,
pendant passent la grande place ; Et, suivant de Bacchus les auspices
sacrés
, De l’auguste chapelle ils montent les degrés. Il
apprécier un ouvrage à sa juste valeur. Voltaire a dit, des Cantiques
sacrés
du marquis de Pompignan : Sacrés ils sont ; car
leur. Voltaire a dit, des Cantiques sacrés du marquis de Pompignan :
Sacrés
ils sont ; car personne n’y touche. Les esprits
le vrai connaisseur n’admire pas moins le plus grand nombre des Odes
sacrées
de l’auteur de Didon. Au reste, en disant que la
ports entre eux. De là deux espèces générales d’histoire ; l’histoire
sacrée
et l’histoire profane. I. De l’Histoire sacrée.
istoire ; l’histoire sacrée et l’histoire profane. I. De l’Histoire
sacrée
. L’histoire sacrée est en général l’histoire d
acrée et l’histoire profane. I. De l’Histoire sacrée. L’histoire
sacrée
est en général l’histoire de la religion depuis l
é répandue par toute la terre. C’est ce qui a fait diviser l’histoire
sacrée
en histoire sainte et en histoire ecclésiastique.
est point en ce genre d’aussi beaux, d’aussi parfaits. Les écrivains
sacrés
réunissent au plus haut degré toutes les qualités
asive. La simplicité du style fait le caractère propre des historiens
sacrés
: mais c’est une simplicité, tantôt majestueuse,
nt la jeune abeille Compose son cher trésor. Mais, sans tes clartés
sacrées
, Qui peut connaître, Seigneur, Les faiblesses éga
riques ». 1. Ici, comme dans beaucoup d’autres passages de ses Odes
sacrées
, Rousseau a tenté de s’approprier les beautés des
e pièce. Cf. aussi la 13e, ibid. 3. Cette pièce appartient aux Odes
sacrées
de Rousseau, que La Harpe plaçait au-dessus de se
e Marie d’Autriche.) Non, vous n’espérez plus de nous revoir encor,
Sacrés
murs que n’a pu conserver mon Hector. (J. Racine,
et, etc. 1° Oratoire Éloquence : politique, militaire, judiciaire,
sacrée
, académique. 2° Épique Épopée : Poème héroïq
grands et de petits vers, quelquefois aussi de vers libres, 1° l’ode
sacrée
, 2° l’ode héroïque, 3° l’ode morale, 4° l’ode bad
l’ode morale, 4° l’ode badine, 5° l’odelette, 6° la cantate. 1° Ode
sacrée
L’ode sacrée (hymne ou cantique) chante la Div
l’ode badine, 5° l’odelette, 6° la cantate. 1° Ode sacrée L’ode
sacrée
(hymne ou cantique) chante la Divinité. Ex. Cant
étien mourant, de Lamartine : Qu’entends-je ? autour de moi l’airain
sacré
résonne ! (Premières méditations, xxxiii) 4°
e 1° Lyrique. 2° Épique. 3° Dramatique. 4° Didactique. Ode :
sacrée
, héroïque, morale, badine. Odelette, Cantate. Pe
ue ou de la tribune ; 2° militaire ; 3° judiciaire ou du barreau ; 4°
sacrée
ou de la chaire ; 5° académique ou savante. 1°
nera le rang. Ex. Berryer, Dufaure, Jules Favre, etc. 4° Éloquence
sacrée
L’éloquence sacrée ou de la chaire est celle q
yer, Dufaure, Jules Favre, etc. 4° Éloquence sacrée L’éloquence
sacrée
ou de la chaire est celle qui a pour objet d’ense
lée d’érudition païenne et chrétienne au seizième siècle, l’éloquence
sacrée
n’a atteint chez nous la véritable perfection qu’
. Hyacinthe, le P. Monsabré, etc. Les différentes espèces de discours
sacré
sont : 1° le sermon, 2° le prône, 3° l’homélie, 4
ion. Outre les qualités générales qui conviennent à tous les discours
sacrés
, l’unité et la méthode semblent plus particulière
auditeurs les réflexions morales que lui suggère la lecture du texte
sacré
. Elles doivent être simples, car l’esprit et la r
s humaines et l’espoir dans une autre vie. C’est le genre de discours
sacré
qui demande le plus de génie et d’élévation. Ex.
à un événement spécial, à une province ou à une ville. 3° Histoire
sacrée
, profane Au point de vue des éléments qui cons
société, on a divisé l’histoire en deux grandes parties : l’histoire
sacrée
et l’histoire profane. L’histoire sacrée raconte
grandes parties : l’histoire sacrée et l’histoire profane. L’histoire
sacrée
raconte tous les faits relatifs à la religion dep
t à travers les siècles. On peut ajouter comme appendice à l’histoire
sacrée
celle de toutes les religions qui, sous différent
lletins. 3° Judiciaire : Réquisitoires, Plaidoyers, Mémoires, etc. 4°
Sacrée
: Sermon, Panégyrique, Oraison funèbre, etc. 5° A
ritique, philosophique. 2° universelle, générale, particulière. 3° 1°
Sacrée
: sainte, ecclésiastique. 2° Profane : ancienne,
et attendre les renforts qui lui devaient arriver, il mît sa personne
sacrée
en sûreté, et qu’il s’embarquât au plus tôt pour
e la vie. Et quand même il n’y aurait point d’autre sûreté pour votre
sacrée
personne que la fuite, je sais bien que vous aime
ses citations avait l’air de parler en son nom : il lisait les textes
sacrés
dans la mémoire de son cœur, dans sa conscience.
e seul dont il plaise au ciel de nous charger, il faut attiser ce feu
sacré
, en s’y chauffant de son mieux jusqu’à ce qu’on v
la seule lumière de l’homme, quoi qu’on die ; mais elle a des droits
sacrés
, imprescriptibles, ne l’oublions pas et n’arrêton
ce, qui embrassent les discours de toute nature, savoir : l’éloquence
sacrée
, l’éloquence politique, l’éloquence judiciaire et
quefois un cinquième genre, l’éloquence militaire. § I. — Éloquence
sacrée
. 3. Instruire les hommes de leurs devoirs reli
âges, faire l’éloge des hommes justes, tel est l’objet de l’éloquence
sacrée
. 4. Jamais mission plus sublime ne fut donnée à l
st la parole de Dieu qui sort de la bouche de l’homme. 5. L’éloquence
sacrée
a des ressources inconnues aux autres genres d’él
oraisons funèbres. § II. — Éloquence politique. 7. L’éloquence
sacrée
s’occupe des destinées éternelles des hommes, l’é
s droits et le bonheur de tous, a reçu une mission noble, importante,
sacrée
même : car sa personne est inviolable. 8. Pour êt
— 2. Qu’ont fait les modernes ? — 3. Quel est l’objet de l’éloquence
sacrée
? — 4. Est-il une mission plus sublime ? — 5. Que
ission plus sublime ? — 5. Quelles sont les ressources de l’éloquence
sacrée
? — 6. Que comprend-elle ? — 7. De quelles choses
pas lents je montais les degrés Encor jonchés de fleurs et de rameaux
sacrés
. Le peuple prosterné sous ces voûtes antiques, Av
t, je vais seulement les indiquer. La poésie lyrique comprend : L’ode
sacrée
(le cantique). L’ode héroïque. L’ode morale ou ph
naturelles à la poésie, recommandant à ceux qui n’ont pas reçu le feu
sacré
de s’occuper de prose. Pour encourager ceux-ci à
i l’art se fait trop sentir. C’est le plus cicéronien de nos orateurs
sacrés
. Le fond de ses sermons est emprunté à la morale
un peuple immense réuni en une seule personne ; voyez cette puissance
sacrée
, paternelle et absolue ; voyez la raison secrète
l eu religieux des belles-lettres. Jamais il ne perd de vue le devoir
sacré
qui lui est imposé, l’initiation de la jeunesse c
te, et un légitime hommage est rendu à la divine poésie de nos livres
sacrés
, si souvent dédaignée par les partisans ignares o
age. L’ode proprement dite se divise en trois espèces, qui sont l’ode
sacrée
, qu’on appelle particulièrement Hymne ou Cantique
u Cantique ; l’ode héroïque, et l’ode philosophique ou morale. Ode
sacrée
. Dans l’ode sacrée, le poète chante les perfec
oïque, et l’ode philosophique ou morale. Ode sacrée. Dans l’ode
sacrée
, le poète chante les perfections de l’Être suprêm
es Au son bruyant des tambours. Il y a des odes
sacrées
, qui sont dans le genre élégiaque, et où par cons
jours de Sion célébrer la mémoire ! De nos aïeux
sacré
berceau Sainte Jérusalem312, si jamais je t’oubli
s de Moïse, de Débora, de Judith, et ceux des Prophètes sont des odes
sacrées
, qui ont toute la perfection imaginable. Leurs au
des plus grands poètes, et des lyriques les plus célèbres. Dans l’ode
sacrée
, il soutient dignement le caractère de l’éloquenc
gracieux. Ses odes anacréontiques peuvent servir de modèle. Les odes
sacrées
du marquis de Pompignan étincellent de beautés vr
t de lui nuire ? Tu lui dois ta naissance, celle de ton père, le lien
sacré
qui a uni ton père à la femme qui t’a donné le jo
isons, sur le champ de bataille, partout les ordres de la patrie sont
sacrés
». De ces motifs généraux, les lois personnifiée
Sa main désespérée M’a fait boire la mort dans la coupe
sacrée
. (Marmontel). La mort, c’est-à-dire, le poison
ant de la famille des Capets : Tôt ou tard il faudra que de ce tronc
sacré
Les rameaux divisés et courbés par l’orage, Plus
ivante : Prométhée autrefois pénétra dans les cieux : Il prit le feu
sacré
qui n’appartient qu’aux dieux. Il en fit part à l
, mon fils, ces vierges révérées, Du père des humains sont les filles
sacrées
: Boiteuses, baissant l’œil, promptes à s’incline
ure ! où rien trouver qui en approche, si ce n’est dans les écrivains
sacrés
! car c’est toujours là qu’il en faut revenir, po
hommage rendu aux modèles parfaits que l’on trouve dans les écrivains
sacrés
. Je vous félicite donc, Monsieur le Professeur, d
et de placer sous leurs yeux les sublimes inspirations de l’éloquence
sacrée
. Pour lui, le beau ne peut jamais être que la spl
u vieillard, le bonheur d’avoir réussi, et d’avoir accompli un devoir
sacré
. Aux idées de cause et d’effet peuvent se joindre
ère que celui qui est écrit pour l’âge mûr. L’orateur, dans la chaire
sacrée
, n’a pas le même langage que l’orateur du barreau
martine a dit : Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses
sacrés
tombeaux Rome m’a vu descendre ; Des mânes les pl
giste. 1. « Chactas, qui raconte cette scène, se souvient du trépas
sacré
de Polyxène. Il a étudié le Primatice ; il est pe
pâle flambeau se lève et le rassure : Le ciel d’où tu me luis est le
sacré
vallon, Et je sens que Diane est la sœur d’Apollo
sprit philosophique n’éteigne, ou du moins n’amortisse en vous le feu
sacré
du génie. Sans cesse il vient accuser de témérité
, quand un esprit éclairé, séparant les opinions humaines des vérités
sacrées
de la religion, refuse de se prosterner devant le
talie, Apportaient à tes pieds cet or tant convoité, Cet or deux fois
sacré
qui payait ton génie, Et qu’à tes pieds souvent l
nie. Joubert. 2. Nous sommes prêtres de Vesta ; notre vie est le feu
sacré
que nous avons mission d’en retenir, jusqu’à ce q
s d’une noble cause ; ce sont eux qui désormais doivent garder le feu
sacré
, car de faibles femmes ne suffiraient plus comme
criptions, l’heureux mélange des souvenirs antiques et des traditions
sacrées
, fut accueilli avec plus de faveur que le poème d
is suspendent des reliques aux rameaux du plus beau rejeton d’un bois
sacré
. Quand de sa main droite Mérovée agitant un drape
er d’une javeline, et sent s’échapper de ce cœur les images chères et
sacrées
de la patrie ; l’autre a les deux bras brisés du
sions sur le Simoïs ; j’ai de plus le bonheur d’avoir salué une terre
sacrée
, d’avoir vu les flots qui la baignent et le solei
oits, plus intimes que ceux du sang ; par une union plus intime, plus
sacrée
, plus impérieuse que quelque union que ce soit. I
ne inexplicable, impossible à la raison et aux forces de l’homme, feu
sacré
donné à la terre par ce nouveau Prométhée, dont l
cité de mon regard, mon accent, une parole de moi : j’allumais le feu
sacré
dans les cœurs… Certes, je possède le secret de c
is, n’était l’intérêt de vos seigneuries, et aussi celui de ces gages
sacrés
que m’a laissés une sainte maintenant au ciel… (à
onvienne ; tout intérêt privé doit céder au bonheur de votre personne
sacrée
et de l’État ; je vous supplie d’écarter, en acce
médiate, qu’elle se prosterne devant cette idée, qu’elle la reconnaît
sacrée
et obligatoire pour elle, qu’elle l’adore comme s
r nous, qui sommes des êtres raisonnables, quelque chose de saint, de
sacré
, d’obligatoire, c’est nier l’une de ces deux chos
inctives par lesquelles chacune y aspire, un caractère respectable et
sacré
qu’elles n’avaient pas auparavant. Jusque-là nous
bien dût être en quelque chose et sous quelque rapport respectable et
sacré
pour nous, voilà ce que notre raison ne pouvait d
e, ce qui n’était pas visible apparaît, et le bien des autres devient
sacré
pour nous en même temps et au même titre que le n
ire comme élément égal d’une même chose, qui seule est respectable et
sacrée
en soi, l’ordre. Ainsi, du même coup, le caractèr
en soi, l’idée d’ordre. Supprimez cette idée : il n’y a plus rien de
sacré
en soi pour la raison, par conséquent plus rien d
s l’homme ; il y a une fin à tout et à chaque chose ; il y a un ordre
sacré
que toute créature raisonnable doit respecter et
notre raison n’aurait pas vu Dieu, que l’ordre n’en serait pas moins
sacré
pour elle ; car le rapport qu’il y a entre notre
le Duncan gouverne la vieillesse ? Je sais que, le roi mort, le droit
sacré
du sang L’appelle à la couronne et l’élève à son
ses augustes mains un sceptre révéré De ses prédictions est le garant
sacré
; Tantôt au bruit des vents, sous des pins solita
e flamme, Votre fils au berceau, ce nom de mon époux, Tous ces titres
sacrés
n’ont plus de droits sur vous. Seul vous entreten
e, Des hameaux d’alentour femmes, enfants, vieillards, Vers ces hôtes
sacrés
courront de toutes parts : La richesse y viendra
çait encor de ces mots révérés, Vains hochets du vulgaire et fantômes
sacrés
, Et, des Romains séduits trompant l’obéissance, D
Tibère, Agrippine. AGRIPPINE. J’ai suivi mon époux jusqu’aux tombes
sacrées
Où dorment des Césars les ombres révérées364. Je
guida mes yeux : Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses
sacrés
tombeaux Rome m’a vu descendre ; Des mânes les pl
es ailes, Et prenant vers le jour un lumineux essor, Parmi les chœurs
sacrés
tu t’essayais encor, Jamais, jamais l’écho de la
! Que de pleurs ont coulé sur tes pieds que j’adore, Depuis l’heure
sacrée
où, du sein d’un martyr, Dans mes tremblantes mai
divines, Dans cette nuit terrible où tu priais en vain, De l’olivier
sacré
baignèrent les racines Du soir jusqu’au matin. D
ange éploré, Une figure en deuil recueillir sur ma bouche L’héritage
sacré
! Soutiens ses derniers pas, charme sa dernière
utel ; debout sur les degrés, Il fait fumer l’encens, répond aux mots
sacrés
Et présente le vin durant le saint mystère415. L
ur, ô vous, braves guerriers pendant votre vie, et maintenant, ombres
sacrées
, je vous félicite encore : votre valeur ne pourra
re après la mort d’Édouard. Pour donner à cet engagement un caractère
sacré
, Guillaume avait fait répéter son serment à Harol
erin, bénéfice simple qui n’exigeait pas l’engagement dans les ordres
sacrés
: de là ce titre d’abbé que porta Delille. 306.
âce des condamnés déjà montés sur le bûcher et chantant des cantiques
sacrés
: ……………… Un peuple immense, Proclamant avec lui
l fait encor ; Jamais vos jeunes pas n’ont touché notre fange ; Tête
sacrée
! enfant aux cheveux blonds ! bel ange À l’auréol
Comparaisons, les Exemples, les Citations, les Témoignages. L’orateur
sacré
peut puiser ces lieux communs dans l’Écriture sai
ale et profonde du cœur humain. C’est en cela que nos grands orateurs
sacrés
se sont montrés si supérieurs aux autres hommes p
heur d’autrui. » Les passions ne s’arrêtent pas toujours à cette voix
sacrée
; souvent elles nous conseillent d’immoler à notr
enfants issus du même sang et nourris du même lait, l’amitié, contrat
sacré
qui nous lie pour la vie, la sainte indignation d
ture sainte, ce que nous avons à dire à ce sujet. Après les écrivains
sacrés
, Homère est de tous les poètes celui qui renferme
uelle que par les pamphlets et les sarcasmes de Voltaire. Ses Poésies
Sacrées
surtout, la partie la plus recommandable de ses Œ
une vive exaltation du sentiment et de l’intelligence ; c’est le feu
sacré
, le souffle de Dieu qui vient parfois électriser
nfond avec le musicien et le devin ; celui qui est atteint du souffle
sacré
de l’inspiration est considéré comme un être priv
us donnerons de tout cela. Mais nous jurons, par ce qu’il y a de plus
sacré
, que, si vous entrez dans nos terres comme ennemi
urs ; mon sang est glacé dans mes veines ; je vais bientôt revoir vos
sacrés
aïeux ; pourquoi voulez-vous que je les afflige,
lle à l’insolence d’une troupe de furieux, pour qui rien n’était plus
sacré
. Agrippine quitte donc l’armée de son époux, port
opprobre d’un pareil supplice » ! 76. « Mon fils, au nom des nœuds
sacrés
qui unissent les pères et les enfants, je l’en co
que nous avons touché la main d’Annibal, pour être admis à ce banquet
sacré
; et à peine sortis de cette conférence, nous nou
de pays occupé par les Anglais et le conduit jusqu’à Reims, où il est
sacré
. Delà, elle vole à Compiègne qu’assiégeoit le duc
coliques et amoureuses qu’il composa dans sa jeunesse, et les poésies
sacrées
qu’il entreprit en rivalité de Malherbe plus enco
style lyrique qu’il préférait Bertaut à Pindare, il traite la poésie
sacrée
en amateur tout mondain et il y apporte toutes le
st créé. Le génie de Corneille s’élève toujours, et, en 1640, la muse
sacrée
vient lui inspirer son plus incontestable chef-d’
plus d’honneur qu’aux sentiments de fils ; Rien n’en peut effacer le
sacré
caractère. De grâce, commandez qu’on me rende mon
’adore pas de vaines simagrées, N’a ni respect ni foi pour les choses
sacrées
. Allez, tous vos discours ne me font point de peu
ément et se joue à leur gré De ce qu’ont les mortels de plus saint et
sacré
. Ces gens qui, par une âme à l’intérêt soumise, F
passion, dont on leur sait bon gré, Veut nous assassiner avec un fer
sacré
. ……………………………………………………… Orgon. Monsieur, mon cher
oi qu’il pût lui en coûter, la moindre transaction avec ses principes
sacrés
. Si, en ridiculisant la bizarrerie et l’inconvena
du reste, un homme qui exerçait à la fois son talent dans des poésies
sacrées
et dans des chants ou des épigrammes obscènes, —
on créateur se remarque dans ses odes pindariques comme dans ses odes
sacrées
. Donner une idée de la poésie de Pindare, dont to
pour votre gloire Que vous prolongez nos jours. Non, non, vos bontés
sacrées
Ne seront point célébrées Dans l’horreur des monu
gères ; J.-B. Rousseau, Lefranc de Pompignan, Lebrun, dans leurs odes
sacrées
ou profanes ; Gilbert, dans ses éloquentes satire
ions des Psaumes, de cantiques, de morceaux des prophètes et d’hymnes
sacrées
. Lefranc était digne de tenter, après tant d’autr
nnée, Produit des fleurs et des moissons. Je te salue, âme du monde,
Sacré
Soleil, astre de feu, De tous les biens source fé
on et de fleurs Déjà la main des sacrificateurs A présenté la génisse
sacrée
, Jeune, au front large, à la corne dorée ; Le bra
uguste, De mâle constance et d’honneur Quels exemples
sacrés
doux à l’âme du juste, Pour lui q
siècle impie, en ces temps abhorrés, Ouvrirent au malheur-des refuges
sacrés
? Déserts de l’Orient, sables, sommets arides, Ca
tous les cœurs affaibli par degré, Le culte des tombeaux cesse d’être
sacré
! Les morts ici du moins n’ont point reçu d’outra
uvre, il se proposa, nous dit-il, de regarder toujours comme un dépôt
sacré
cette langue belle et flexible, qu’ils nous ont l
utel ; debout sur les degrés, Il fait fumer l’encens, répond aux mots
sacrés
, Et présente le vin durant le saint mystère. Les
un tombeau ! Tombeau, cher entretien d’une douleur amère, Où le gazon
sacré
qui recouvre ma mère Grandit sous les p
ornement de l’ombre, Dans la voûte d’azur avec ordre semés, Sont les
sacrés
flambeaux pour ce temple allumés. Et ces nuages p
cette grande figure une et multiple, lugubre et rayonnante, fatale et
sacrée
: l’Homme ». Et il ne produisait là qu’un simple
s champs, J’ai souvent pensé dans mes veilles Que la nature au front
sacré
Dédiait tout bas ses merveilles À ceux qui l’hive
selon le vôtre, et vous avez pleuré En remuant des morts le souvenir
sacré
. Ô moi, si jusqu’ici j’ai tant gémi sur terre, Si
sandale et la pique ferrée, Elle est sur les grands monts, la liberté
sacrée
: C’est là qu’à chaque pas l’homme la voit venir,
s luira demain. En moi de la forêt le calme s’insinue, De ses arbres
sacrés
, dans l’ombre enseveli, J’apprends la patience au
eux. Plus d’autels, plus d’ombrage et de paix abritée, Plus de rites
sacrés
sous les grands dômes verts ! Nous léguons à nos
fallait, malgré vent et marée, Les mener jusqu’à Sein, jusqu’à l’île
sacrée
… Aujourd’hui sur la mer ils flottent tout meurtri
t jusques à la porte Par un effort suprême il parvint à tâtons. « Air
sacré
, jour sacré, lorsque nous vous goûtons, Nous igno
la porte Par un effort suprême il parvint à tâtons. « Air sacré, jour
sacré
, lorsque nous vous goûtons, Nous ignorons, dit-il
fit. Mais l’Agamemnon d’Homère, le roi des rois, le chef d’une guerre
sacrée
, le prince allié aux dieux de l’Olympe, peut parl
cte quelquefois la rime au meilleur des poètes. » (Lebrun.) Le texte
sacré
, partout beaucoup plus simple, mais par cela même
le furent les premiers poètes dans tous les pays, leur personne était
sacrée
; ils accompagnaient le chef ou le souverain, cél
s odes peuvent être divisées en quatre classes. Premièrement les odes
sacrées
, les hymnes adressées à la Divinité, ou dans lesq
ntaines ; Ici, tu foulerais le vert tapis des plaines ; Ici, des bois
sacrés
cacheraient nos amours : Que n’y puis-je avec toi
Hébreux. La poésie des Hébreux, ou autrement celle des Écritures
sacrées
, ne mérite pas moins notre attention qu’aucun des
ie. Il est incontestable que, dans l’origine, cette partie des livres
sacrés
fut écrite en vers, ou du moins en une espèce de
elques psaumes, qu’ils avaient aussi composé des hymnes et des poèmes
sacrés
. On trouve dans le chapitre 25 du livre ier des
s sur les institutions de David relatives à la musique et à la poésie
sacrée
, et aucune nation, peut-être, ne déploya plus de
ode poétique dans la manière dont les Hébreux chantaient leurs hymnes
sacrées
. La musique accompagnait leurs chants, et cette m
ent d’introduction au psaume, la procession s’avance vers la montagne
sacrée
, et l’un des deux chœurs fait cette question : Q
emps que, pour sentir toute la grâce et toute la richesse des poésies
sacrées
, et même de tous les poèmes en général, il faudra
majestueux et de solennel qui convenait parfaitement bien aux sujets
sacrés
; voilà pourquoi nous le retrouvons dans les livr
cs et des Romains. Indépendamment de sa forme particulière, la poésie
sacrée
est encore remarquable par la beauté, la force, l
s figures poétiques. Mais, pour apprécier ces figures chez les poètes
sacrés
, il ne faut pas perdre de vue qu’il en est un gra
sants et terribles, comme on en rencontre fréquemment dans les poètes
sacrés
, ils empruntaient des images à la violence des él
ommune ; mais il se montre, à cet égard, bien inférieur aux écrivains
sacrés
, qui, par la grandeur et la dignité des expressio
stume de leurs prêtres, et aux principaux événements de leur histoire
sacrée
: comme la destruction de Sodome, l’apparition du
e que nous venons de dire, on peut conclure que les images des poètes
sacrés
étaient essentiellement expressives et naturelles
ous des formes nouvelles. Les comparaisons dont se servent les poètes
sacrés
sont en général très courtes ; ils n’indiquent qu
s, c’était un usage reçu chez les Orientaux, d’envelopper les vérités
sacrées
de figures et de symboles mystérieux. Mais la fig
ardi, sublime, c’est la prosopopée ou personnification. Les écrivains
sacrés
ont déployé dans leurs prosopopées une grandeur e
e livre entier des Psaumes peut être regardé comme une recueil d’odes
sacrées
. Dans ce livre, l’ode revêt toutes les formes de
ositions poétiques. Il existe parmi les différents auteurs des livres
sacrés
une diversité bien évidente dans le ton et dans l
r beaucoup le fruit que l’on peut retirer de leur lecture. Les poètes
sacrés
les plus éminents sont Job, David et Isaïe. Comme
que celui d’aucun prophète. Si nous comparons Isaïe aux autres poètes
sacrés
, nous sommes d’abord frappés de la différence de
on n’y rencontre aucune allusion aux grands événements de l’histoire
sacrée
, aux cérémonies religieuses des Juifs, au mont Li
pte le Livre d’Isaïe. De même qu’Isaïe est le plus sublime des poètes
sacrés
, David le plus gracieux et le plus tendre, de mêm
ompeuse il s’élève entouré, Mais seul, près de sa chute, il est encor
sacré
. (Trad. de La Harpe.) En considérant l’exécution
e de la scène française. C’est une tragédie entièrement dans le genre
sacré
, qui doit presque toute sa dignité à la grandeur
fleuve errant dans ces contrées, Respirer la fraîcheur des fontaines
sacrées
; Et, tandis que du haut de ces rochers déserts,
assez si le cœur ne s’y ajoute, l’œuvre demeure imparfaite : le feu
sacré
n’y est pas. Suffisait-il à Corneille d’avoir lu
nts Ouvrages en prose ; du Discours oratoire en général, des Discours
sacrés
, des Discours du barreau, des Discours académique
e Troie, se rangea du parti des vainqueurs, viola les droits les plus
sacrés
, assassina Polydore, et s’empara du dépôt. Exécra
ire et plus juste, je vais rapporter la traduction littérale du texte
sacré
qui a fourni à Racine la matière des beaux vers q
après avoir parlé, fait un signe de ses noirs sourcils ; les cheveux
sacrés
du roi des Dieux se dressent et se relèvent sur s
urs feux, et leur main sanguinaire, La nuit, à la faveur des mystères
sacrés
, Dispersa dans les champs ses membres déchirés. L
e. Lui, dégouttant de sang, souillé de noirs poisons, Qui du bandeau
sacré
profanent les festons, Raidissant ses deux bras c
regards La puissante Vesta qui gardait nos remparts, Et ses bandeaux
sacrés
, et la flamme immortelle Qui veillait dans son te
La jeune Tarentine Élégie. Pleurez, doux alcyons ! ô vous oiseaux
sacrés
, Oiseaux chers à Thétys ; doux alcyons, pleurez !
s sorcières en lambeaux faisaient sortir de jeunes poulains d’un bois
sacré
, afin de découvrir par leur course à quel parti T
mités, Où je vis sous le joug de nos barbares maîtres Tomber ces murs
sacrés
conquis par nos ancêtres. Ciel ! si vous aviez vu
mps, Vois, vois ta patrie éplorée Payer à ton ombre
sacrée
L’honorable tribut de son long souvenir ; Souris
atterre, S’il n’implore ta merci. Malherbe. La Muse de la poésie
sacrée
Son front est couronne de palmes et d’étoiles
t ; » et je versais des pleurs. Mais du temple voisin quand la cloche
sacrée
Annonça qu’un mortel avait quitté le jour, Chaque
de Virgile, Étend toujours ses verts rameaux. En contemplant l’urne
sacrée
, Ses yeux de larmes sont couverts ; Et là, d’une
n quart d’heure de joie ! Puis, qu’elle prie et jette au ciel ce cri
sacré
, Plus fort, ô Dieu clément, que toutes vos colère
armonieux que modulait sa lyre Ont mouillé le rivage ; et de ses vers
sacrés
La flamme anime encor les échos inspirés. Saint-
epos acheté du jour, tantôt s’arrêter pour lire un verset des poésies
sacrées
, tantôt regarder le ciel ou l’horizon de la vallé
aux spectacles, aux fêtes, on accourt en grande hâte près du ministre
sacré
: un chrétien louche à ses derniers moments ; il
luira demain. En moi de la forêt le calme s’insinue ; De ses arbres
sacrés
, dans l’ombre enseveli, J’apprends la patience au
corbeilles qui, sous un voile éclatant, renfermaient des instruments
sacrés
, des gâteaux et tout ce qui peut servir aux sacri
e. Minerve. Voici le mont Nérite ; et cette grotte sombre Est l’asile
sacré
des Déesses des eaux. Là les Nymphes, teignant en
x Naïades des fleuves. Ulysse. Ô montagnes ! forêts ! rochers, antres
sacrés
! Je vous retrouve donc, vous que j’ai tant pleur
ien en repos dans cette profonde solitude. Le Moine. Je vous entends,
Sacrée
Majesté : quand vous vous êtes levé ici de bon ma
sse Pire, un petit moine de Saint-Just disait à Charles-Quint : «
Sacrée
Majesté, n’êtes-vous pas hisse d’avoir troublé le
e de Virgile Étend toujours ses verts rameaux. En contemplant l’urne
sacrée
, Ses yeux de larmes sont couverts ; Et là, d’une
e le lui présentant dans l’église, sanctifia ses mains par les livres
sacrés
qu’elle lui fit toucher. Ils avaient l’un et l’au
pose encor de vous tous entouré ! Hâtez-vous, que du ciel le ministre
sacré
Vienne entendre l’aveu des fautes de ma vie, Et d
: « Quitte encore cette autre ; donne-moi enfin ce que tu as de plus
sacré
ou de plus cher, il faut que j’atteigne le fond d
st pas dans la lice, disait Plutarque, que les vainqueurs de nos jeux
sacrés
sont couronnés, c’est après qu’ils l’ont parcouru
L’Ange gardien Oh ! qu’il est beau cet esprit immortel, Gardien
sacré
de notre destinée ! Des fleurs d’Éden sa tête est
au suivant, « À ce mot de philosophie, je m’arrête. Quel est ce nom,
sacré
dans certains siècles, et abhorré dans d’autres ;
d’où ils ont été bannis tant de fois ? C’est d’ici, c’est de ces murs
sacrés
, que nous avons été relégués sur des rochers et d
mes jours ! … Sa main désespérée M’a fait boire la mort dans la coupe
sacrée
; un grand pinceau, une plume exercée, un bon vi
me qui dirait les bienveillantes, pour les Furies. En français le mot
sacré
, dans le sens d’exécrable, détestable, est-il une
ecteur de l’instruction publique et des bonnes études, doit nous être
sacré
, puisqu’il est pour nous tous celui d’un bienfait
n ne put obtenir sa mort de la multitude qu’en le menant dans un bois
sacré
, d’où il ne pouvait plus montrer le Capitole aux
cer le premier ; un troisième se tire de ce que la religion a de plus
sacré
, la foi des traités, l’hospitalité, la reconnaiss
ive et touchante93 : « Ô mon fils, au nom de tous les droits les plus
sacrés
de la nature et du sang, je t’en prie, je t’en co
es traités confirmée par le serment et les sacrifices ; 2º les droits
sacrés
de l’hospitalité ; 3º l’autorité d’un père sur so
eoir avec deux Campaniens, les seuls qu’il ait admis : et cette table
sacrée
, tu veux l’arroser du sang de ton hôte ! Mes priè
rement s’offrir au zèle apostolique ; mais presque toujours l’orateur
sacré
, dans la péroraison, s’afflige ou s’effraye pour
crits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours
sacrée
. En vain vous me frappez d’un son mélodieux, Si l
e encore qu’une mère, un père, et tous les aïeux ; plus auguste, plus
sacrée
, et dans un rang plus sublime aux yeux des immort
gère et vaincue ; préférez vos ruines à l’exil. Contemplez ces ruines
sacrées
: là, sur l’Aventin, s’élève encore tout entier l
era jamais. Ô Mars, ô Quirinus, Rome abandonnerait-elle vos boucliers
sacrés
? et toi, Vesta, tes autels et tes prêtresses ? L
ans ses chants naïfs, célèbre les vainqueurs des tournois ; l’orateur
sacré
, dans un éloge funèbre, regrette Du Guesclin regr
ie, où il retrouve les sages maximes de son gouvernement, les devoirs
sacrés
qu’il remplit, et la mémoire éternellement chère
aisons funèbres et les panégyriques prononcés par nos grands orateurs
sacrés
. D’autres écrivains ont aussi connu l’art de répa
nt sur les fleuves de Babylone, les prophètes qui suspendent la harpe
sacrée
aux arbres des rives étrangères, les Lévites qui
» Récit221. Filles de Sion, suspendez un moment vos cantiques
sacrés
, écoutez les malheurs de vos pères : les souvenir
Juda et de Benjamin se levèrent ; les prophètes reprirent les harpes
sacrées
; les jeunes vierges chantèrent les cantiques de
est élevé, appuyé sur cent colonnes d’airain ; il retentit des hymnes
sacrés
; l’encens fume toujours sur ses autels, mais ce
atrie ? Ô Rome, ville chérie, il faudra donc abandonner tes murailles
sacrées
! il faudra dire un éternel adieu à tous ces pieu
le vrai Dieu, ils m’ont maudit ; ils ont méconnu les titres les plus
sacrés
, et le légitime descendant de saint Louis ne leur
roisième partie dans l’ouvrage entier. Telle est la dernière des odes
sacrées
de Rousseau, qui est partagée en quatre parties d
atre parties de rythmes différents. Tels sont plusieurs des cantiques
sacrés
de Lefranc de Pompignan. Quelquefois aussi, l’aut
a sainte Vierge, aux anges ou aux saints, ou contenue dans nos livres
sacrés
: le cantique de Moïse, le cantique de la Vierge,
s lyriques, hymnes, dithyrambes, lamentations, chants pour les danses
sacrées
, odes en l’honneur des athlètes vainqueurs. Ces d
voulu. A l’honneur qu’il m’a fait ajoutez-en un autre : Joignons d’un
sacré
nœud ma maison à la vôtre. Vous n’avez qu’une fil
ables idées1, Vous remplissez un cœur qui vous peut recevoir ; De vos
sacrés
attraits les âmes possédées Ne conçoivent plus ri
l est vrai qu’un père est toujours père7 : Rien n’en peut effacer le
sacré
caractère ; Je porte un cœur sensible, et vous l’
est de même, ce me semble, mais pour un autre motif, dans l’éloquence
sacrée
. Le ministre de Dieu, paraissant dans la chaire d
ans l’éloquence de la chaire, je suppose, bien entendu, que l’orateur
sacré
s’adresse à des croyants. Dans le cas contraire,
barreau et à la tribune que la réfutation est importante : l’orateur
sacré
en a aussi souvent besoin pour combattre les pass
siècle, une croisade contre d’innocentes victimes qui ont des droits
sacrés
à notre reconnaissance ; et c’est de l’amour du b
ur liberté que j’ai défendue, leurs lois que j’ai rétablies, le génie
sacré
de nos législateurs, les vertus de nos ancêtres,
Jamais on ne le vit en braver avec autant d’audace les loix les plus
sacrées
, et réunir toutes ses forces avec autant d’adress
nécessité, que Voltaire a si bien exprimée dans ces vers : C’est le
sacré
lien de la société, Le premier fondement de la sa
on ne peut faire sortir de sa torpeur habituelle. Nos grands orateurs
sacrés
avaient peut-être cette conviction : car il n’est
présentent dans cet ordre, il est vrai de dire que, dans l’éloquence
sacrée
, dans les grands débats parlementaires, l’ordre c
crits la langue révérée Dans vos plus grands excès vous soit toujours
sacrée
. En vain vous me frappez d’un son mélodieux, Si l
ge : Sa fierté l’abandonne, il tremble, il cède, il fuit. Le long des
sacrés
murs sa brigade le suit : Tout s’écarte à l’insta
seul, en un coin prudemment retiré, Se croyait à couvert de l’insulte
sacré
Mais le prélat vers lui fait une marche adroite :
t de cœur. Il eut l’intelligence plutôt que le sentiment de la poésie
sacrée
, et l’âme des prophètes ne l’échauffa guère. Il e
’autorité du Sénat, méconnu les égards dus à l’ennemi, les privilèges
sacrés
des ambassadeurs, violé le droit des gens. Le div
oyez encore celle de l’oraison funèbre de Condé. De tous les orateurs
sacrés
, Massillon est, du reste, celui qui, dans ses pér
cer son père lui-même ; le troisième, de ce que la religion a de plus
sacré
, à savoir la foi des traités, l’hospitalité et la
le puis pour Annibal auprès de mon fils ? Mais, qu’il n’y ait rien de
sacré
, ni foi, ni religion, ni piété, osons-le, cet aff
its la langue révérée, Dans vos plus grands excès, vous soit toujours
sacrée
. Il ne faut pas confondre avec la pureté du lang
au d’Homère ou de Virgile, si elle n’était une inspiration des livres
sacrés
: J’ai vu l’impie adoré sur la terre ; Pareil au
tas, ajoute à l’effrui de sa position. Il voit souillée la bandelette
sacrée
et c’est un grand-prêtre. La victime agrandit à n
ent de se plonger. Misérable ! et je vis, et je soutiens la vue De ce
sacré
soleil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul l
et s’empare de son or. À quoi ne pousses tu pas le cœur des humains,
sacrée
soif de l’or ? » … Tantaene animis cœlestibus iræ
sentiment se joint, dans le passage suivant, l’onction de l’éloquence
sacrée
: « Vous êtes, Sire, le seul héritier du trône d
r, mais manger pour vivre. » C’est par réversion encore qu’un orateur
sacré
a pu dire : « Nous ne devons pas juger des règles
eur sur le bon grain comme sur la paille, sur le profane comme sur le
sacré
; qui ne laisse partout où il a passé que la ruin
le aux spectacles, aux fêtes, accourt en grande hâte près du ministre
sacré
: un chrétien touche à ses derniers moments, il v
pagne un reste de lumière. La peur, l’airain sonnant dans les temples
sacrés
Font entrer à grands îlots les peuples égarés. Gr
er dans ces vastes mers dont je suis l’éternel gardien, dans ces mers
sacrées
qu’une nef étrangère ne profana jamais, et dont l
e tes coups ; mais aie pitié de mon âme. Que tes prières, qu’une onde
sacrée
versée par tes mains, lui rendent le calme et l’i
ée une vie immortelle pour celle qu’il lui a ôtée. Au son des paroles
sacrées
qu’il prononce, Clorinde se ranime, elle sourit
t, au milieu de mon palais, et l’eunuque chargé de garder ma personne
sacrée
attisait le feu de la cassolette remplie d’encens
de soi Dieu. Alors le chevalier, afin de l’aider à remplir un devoir
sacré
, lui offre sa monture, et lui met entre les mains
t son bien-aimé, La terre se revêt d’un voile parfumé, Qui de tes pas
sacrés
garde et chérit l’empreinte, Il aperçoit Caïn, et
de la vallée ce chaste et pieux tribut d’amour. Et, non loin du toit
sacré
, il y avait un autre toit, et, sous ce toit, une
poser sa main sur le front du jeune enfant ; puis elle prit le signe
sacré
, le saint rosaire suspendu à ses doigts d’albâtre
arrousé ce sainct estable, baisant et rebaisant cent fois cette terre
sacrée
, et leschant la poussière sur laquelle la premièr
ds aux disciples, et leur distribuant par après son divin corps en la
sacrée
Eucharistie. il passe le torrent de Cédron et va
sselle de tous les endroits de son divin corps. Il regarde la pauvre
sacrée
Vierge toute transpercée du glaive de douleur : p
s ardentes paroles il lança quant et quant son âme au ciel, comme une
sacrée
sagette, que comme divin archer il tira au blanc
ir son jugement, il le voulut ouvrir, et trouva ce brave cœur avec ce
sacré
mot gravé au-dedans d’iceluy : Jésus mon amour !
rration a un caractère sévère et grandiose. Il s’agit d’une cérémonie
sacrée
, d’un mariage ; mais accompli malgré l’épouse, ce
ns à la première hypotypose le commencement du nœud. Dans l’enceinte
sacrée
en ce moment s’avance, Un jeune homme, un héros s
t de la gradation. L’exposition se termine au vers : Dans l’enceinte
sacrée
en ce moment s’avance. Le nœud se serre à la ten
u chemin maudit, le rocher menaçant, le torrent tumultueux, la source
sacrée
, et les chênes accusateurs, il entend encore la t
et quand même il n‘y aurait point d’autre sûreté pour votre personne
sacrée
que la fuite, je sais bien que vous aimeriez mieu
vant son tribunal citer votre mémoire. Vous frémissez. Je tombe à vos
sacrés
genoux : Si ce n’est pour Stuart, grâce, grâce po
testant notre mort unanime. Au bruit de nos serments, sur ces rochers
sacrés
, Réveillez-vous alors, ombres qui m’entourez ! Vo
arvenue ; Et, quand de Sparte enfin l’heure sera venue, De ses débris
sacrés
, qui ne se tairont pas, Les tyrans effrayés détou
e à cette énergique répétition : c’est le sang , que c’est une chose
sacrée
qui ne peut souffrir de profanation. Elle est iss
e peuvent être produites que par la plus haute éloquence, l’éloquence
sacrée
. _ Guyet. Narrations oratoires. - Modè
s mes pas mesurés ; Du sanctuaire enfin j’ai franchi les degrés. Murs
sacrés
! saints autels ! je suis seul, et mon âme Peut v
ves3 ; Je les ferai veiller jusqu’au chant de l’oiseau De qui la voix
sacrée
annonce un jour nouveau. Mais vous, ma chère enfa
nourrice, a manqué de prudence2. La maison d’une épouse est un temple
sacré
, Où les yeux du soupçon n’ont jamais pénétré ; Et
un du peuple, tant pour ce que cest office estoit tenu pour sainct et
sacré
, que aussi qu’il estoit establi pour la deffense
t si son souffle allait le réveiller. Près du chevet du lit, selon le
sacré
rite, Un rameau de buis sec trempait dans l’eau b
epos acheté du jour, tantôt s’arrêter pour lire un verset des poésies
sacrées
, tantôt regarder le ciel ou l’horizon de la vallé
ns ses derniers retranchements. Ses Pensées sont inspirées par le feu
sacré
d’une âme éprise du vrai et dévouée au bien de l’
ui m’y a véritablement porté est l’union que je trouve en sa personne
sacrée
de deux choses qui me comblent également d’admira
moins, laisser à la médisance et à l’envie, pour qui il n’y a rien de
sacré
, un prétexte de murmurer en secret, si elle ne l’
de désordres, qui ne prêchent que sévérité et que rigueur. Ministres
sacrés
de la justice, ou pour mieux dire juges et magist
t le ciel et la terre, les hommes et les anges, proférer de sa bouche
sacrée
ces belles et magnifiques paroles, dignes d’être
ien entendu ni de plus respectueux et de plus tendre pour sa personne
sacrée
, ni de plus fort pour célébrer ses vertus royales
e les autres peuples affectassent de prendre ce qu’il y’avait de plus
sacré
dans leurs superstitions, et en traçassent les fi
leurs entreprises contre les infidèles, allassent recevoir l’étendard
sacré
au pied des autels ; et qu’enfin encore aujourd’h
uverner sa maison315. On voit dans ses capitulaires la source pure et
sacrée
d’où il tira ses richesses. Je ne dirai plus qu’u
ns votre sein paternel ; vous faites briller à leurs yeux le flambeau
sacré
de la foi ; l’envie n’entre pas dans leur cœur ;
é contre moi Dans mon âme troublée a dû jeter d’effroi ; Sur ce trône
sacré
qu’environne la foudre, J’ai cru vous voir tout p
t tiré. Liban, dépouille-toi de tes cèdres antiques : Prêtres
sacrés
, préparez vos cantiques. UNE AUTRE. Dieu descend
onnée. Que les temps sont changés ! Sitôt que de ce jour La trompette
sacrée
annonçait le retour, Du temple, orné partout de f
che ? on va les savoir par elle-même : dans le vestibule de l’édifice
sacré
, où elle s’est arrêtée, elle en instruit Abner et
reste-t-il que vous et vos saintes cohortes ? AZARIAS. De ses parvis
sacrés
j’ai deux fois fait le tour. Tout a fui, tous se
és au plus saint de leurs rois663, En ce temple où tu fais ta demeure
sacrée
, Et qui doit du soleil égaler la durée. Mais d’où
sauveur. JOAD. Préparez, Josabeth, le riche diadème Que sur son front
sacré
David porta lui-même. (Aux lévites.) Et vous, pou
e ce ministre d’Apollon, Vous à qui ses conseils utiles Ont ouvert le
sacré
vallon, Accourez, troupe désolée ! Déposez sur so
une mort douce et d’amis entourée Recevra sans douleur sa vieillesse
sacrée
, Qu’il laisse avec ses biens ses vertus pour appu
tion d’une mort si précieuse : ce don était réservé à une bouche plus
sacrée
et plus éloquente que la mienne. L’illustre préla
clame sa foi nouvelle et convie ceux qui l’entourent à recueillir les
sacrés
corps des martyrs, à …… Les baiser, les mettre e
s graves ? 481. « Le poète, dit Platon, est chose légère, ailée et
sacrée
» : Κοῦφον γὰρ χρῆμα ποιητής ἐστι καὶ πτηνὸν καὶ
ux irrités abaisse la hauteur ; le second, dans la VIIIe de ses Odes
sacrées
: Lève ton bras, lance ta flamme, Abaisse la hau
que l’instrument. 629. J.-B. Rousseau a dit, en puisant aux sources
sacrées
dont s’est inspiré Racine, Od., 1, II : Que m’im
de son jeune âge, mûri comme on le suppose, par la lecture des livres
sacrés
. Le rapport sensible de ses paroles avec sa propr
i des hommes, le père de l’orateur. 739. . Une partie de ses Poésies
sacrées
parut en 1751 et l’autre en 1755 : elles furent r
u’on y joignit plusieurs passages « de sa Didon et de ses belles odes
sacrées
». 741. Voy sur la mort d’Orphée, Ovide, Métamor
ux. Bourdaloue, Bossuet, Massillon, Fléchier, donnèrent à l’éloquence
sacrée
autant de force, d’agréments et de majesté, que D
rits la langue révérée, Dans vos plus grands excès vous soit toujours
sacrée
. En vain vous me frappez d’un son mélodieux, Si l
ornement de l’ombre, Dans la voûte d’azur avec ordre semés, Sont les
sacrés
flambeaux pour ce temple allumés ; Et ces nuages
ttache son souvenir : Non, vous n’espérez plus de nous revoir encor,
Sacrés
murs que n’a pu conserver mon Hector ! Racine.
as avec charmée, brisée, consolée, etc., et ne pourront rimer qu’avec
sacrée
, frappée, enchantée, ou autres mots semblables. L
ée ! Ô rives du Jourdain149 ! ô champs aimés des cieux !
Sacrés
monts ! fertiles vallées, Par cent mi
voit par là que l’Église dut expliquer en langue vulgaire les textes
sacrés
, devenus alors inintelligibles pour des génératio
testines, elle avait du moins le privilège d’être voisine des sources
sacrées
. De beaux génies y puisèrent l’inspiration. Dante
à la maison de Sorrèze dont il avait la direction. Parmi les orateurs
sacrés
de notre temps, il se distingue par la hardiesse
orts, vos veilles, votre dévouement de toutes les heures aux intérêts
sacrés
dont vous êtes les dépositaires, j’étonnerais cer
es vengeresses de l’indignation publique ? » XII. À ces paroles
sacrées
de la patrie, aux secrètes pensées de ceux qui le
le sénat et rapprochés de lui : mais ce jour mémorable et cette cause
sacrée
vont les unir à vous bien plus étroitement encore
s, portaient sur la tête, comme les vierges d’Athènes, certains vases
sacrés
. On les appelait Canéphores. Mais quel en était l
oser demander, enlever, toucher rien de ce qui appartenait à ce lieu
sacré
. Et Verrès se saisira de tout ce qu’il y a de plu
res belles choses qu’il a héritées d’une Chélidon ! Qu’y aura-t-il de
sacré
, ou qu’y a-t-il eu de respectable, pour un homme
dépens ? Coupable d’un si grand crime, il n’a plus rien trouvé ni de
sacré
ni de respectable dans toute la Sicile ; et penda
la droite une torche allumée. À peine cet ennemi de toutes les choses
sacrées
, ce ravisseur de tout ce que la religion rend res
ipion protège celui qui les a détruits ? Nos anciens ont fait une loi
sacrée
à chacun de défendre et de conserver les monument
oprier ; crime contre la religion : il a profané ce qu’elle a de plus
sacré
; crime contre l’humanité : il a inventé un suppl
et comme inaccessible. Cette ville est environnée de lacs et de bois
sacrés
, et l’on y voit en tout temps les fleurs les plus
danger. Il a donc épargné tous les édifices publics et particuliers,
sacrés
et profanes, comme s’il avait mené son armée à Sy
cu que Verrès a pillé ouvertement tout ce que la Sicile renfermait de
sacré
et de profane, soit chez les particuliers, soit d
euple romain m’a chargé, avec l’intime persuasion que c’était un lien
sacré
qui m’attachait étroitement à tous les devoirs. Q
je repasse dans mon esprit les devoirs dont je suis chargé ; les jeux
sacrés
que je dois faire célébrer avec pompe à l’honneur
de larcins pour cet impie. Divinités que l’on porte sur des chariots
sacrés
pour annoncer les fêtes et les assemblées des jeu
gés. Adieu, champs où fut Troie ! adieu, terre chérie ! Adieu, mânes
sacrés
des héros et des rois ! Doux sommets de l’Ida, be
ymnes troyens Ne retentiront pas sur la rive étrangère. Adieu, mânes
sacrés
des héros et des rois ! Adieu, terre chérie ! Dou
eux philosophes, grâce au spiritualisme, un sens nouveau, légitime et
sacré
, conciliable avec l’amour de l’ordre et le respec
eunesse ! Sous ses drapeaux la Muse enrôla de tout temps Le bataillon
sacré
des âmes de vingt ans... Tous, alors, adoptant no
la sandale et la pique ferrée : Elle est là sur les monts, la liberté
sacrée
. C’est là qu’à chaque pas l’homme la voit venir,
s, simul ipsa silentia terrent, mêlant ainsi les grandes traditions
sacrées
aux traditions profanes, image de la double éduca
e : l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante ; un bois
sacré
l’ombrage du côté du couchant ; les dieux de Syri
ntrer l’œil bleu d’un Celte, J’arrivai, plein des feux de leur volcan
sacré
, Mûri par leur soleil, de leurs arts enivré ; Mai
nger. Il demande mon père… il entre… Ô misérable ! Dieux cruels ! mal
sacré
! Vénus impitoyable ! À son premier regard, avant
en offrande… Ô ma mère ! Patrie !… amis !… parents !… êtres chers et
sacrés
, Voyez, voyez mon sort, et vous pardonnerez !
e répandre. » Furieuse, elle vole, et, sur l’autel prochain, Prend le
sacré
couteau, le plonge dans son sein. À peine son san
e où tout va s’engloutir ? Sans l’effroi qu’il inspire, et la terreur
sacrée
Qui défend son passage et siége à son entrée, Com
ommencement de l’œuvre expiatoire. La vertu me paraît comme un temple
sacré
: Si la porte par où l’on sort n’a qu’un degré, C
onarchiques, quelque chose de bien plus attendrissant et de bien plus
sacré
que les infortunes des autres hommes, sans doute
criture, son inspiration se manifeste. On pourrait dire des écrivains
sacrés
ce que disaient de Jésus-Christ les émissaires de
our de la joie de son cœur. » Ravis au-dessus du temps, les écrivains
sacrés
semblent le discerner à peine dans l’éternité que
rait avec eux à des entretiens d’un grand charme et d’un enchantement
sacré
: son doux visage serait éclairé de rayons et col
brochures ! Arracher un homme à sa patrie par les promesses les plus
sacrées
, et le maltraiter avec la malice la plus noire !
que la force n’est pas tout, et qu’il y a des droits invisibles, mais
sacrés
, que le fort lui-même doit respecter dans le faib
omme sur le tapis d’une table de jeu, toutes les choses admirables et
sacrées
que le nom de patrie représente, quel est l’être
ble et grand spectacle ? Ce sont, à bon droit, des noms vénérables et
sacrés
dans la mémoire des hommes que ceux des Thermopyl
nt qu’a vécu son père. Non, vous n’espérez plus de nous revoir encor,
Sacrés
murs, que n’a pu conserver mon Hector. 63. Qu’es
après avoir parlé, fait un signe de ses noirs sourcils ; les cheveux
sacrés
du Roi des dieux s’agitent sur sa tête immortelle
rits la langue révérée. Dans vos plus grands excès vous soit toujours
sacrée
. En vain vous me frappez d’un son mélodieux, Si l
eu de vos murs s’élèvent encore et subsisteront toujours des édifices
sacrés
, les fruits immortels de sa charité et de son amo
ands hommes savent enrichir si à propos leur diction. Mais les poètes
sacrés
sont des peintres bien autrement sublimes ! C’est
; » et je versais des pleurs. Mais du temple voisin, quand la cloche
sacrée
Annonça qu’un mortel avait quitté le jour, Chaque
l’abeille le poëte, qui est, selon lui, « une chose légère, ailée et
sacrée
», Κοῦφον γὰρ χρῆμα μοιητής ἐστι καὶ πτηνὸν καὶ ἱ
s nuages sont l’encens. Mais ce temple est muet. Qui chantera l’hymne
sacrée
? C’est moi. Mon intelligence s’élève à Dieu et d
berté. « O ma patrie ! je meurs pour toi, hélas ! et avec toi ; l’âme
sacrée
qui animait les chants du barde mêle son dernier
tout ce qu’il possédait, les ornements des églises et même les vases
sacrés
. Sujet. Au moment où les Barbares, emmenant ceux
croyance aux oracles. On appelait ainsi des temples, ou autres lieux
sacrés
, où l’on venait interroger la Divinité sur l’aven
e soutenir les intérêts du peuple. Leur personne était inviolables et
sacrée
tant qu’ils étaient en charge et qu’ils ne s’éloi
affreux châtiment ; 2°. Que le jeune homme, fût-il criminel, les lois
sacrées
de la nature ne permettent pas à son père de le c
e le second père en l’admettant parmi ses disciples ; 3° le caractère
sacré
dont lui-même était revêtu, et qui faisait de lui
més les pères du peuple ; leur règne était béni et leur mémoire était
sacrée
; leurs restes étaient ensevelis dans un magnifiq
t tout entier, puis les prêtres, portant entre leurs mains les choses
sacrées
. Il fut sourd à toutes les prières. Il allait emp
rité, l’orateur quitte le ton suppliant, et se rappelant le caractère
sacré
dont il est revêtu, il presse, il commande au nom
on fils, je vous prie et je vous conjure par tous les droits les plus
sacrés
de la nature et du sang, de ne point entreprendre
ls Campaniens partagent avec vous, vous ne la quitteriez, cette table
sacrée
r que pour la souiller un moment après du sang de
« Mais ne respectons rien, j’y consens, de tout ce qu’il y a de plus
sacré
parmi les hommes ; violons tout ensemble la foi,
eurs le bord des précipices : « Près de leurs passions rien ne me fut
sacré
; « De mesure, et de poids je changeais à leur gr
avigne. ……… Sa main désespérée M’a fait boire la mort dans la coupe
sacrée
. Arrêtez… cette coupe était empoisonnée. Marmo
à l’étude des mathématiques et de la théologie. Derrière le bataillon
sacré
viennent de tous les points de la France les volo
eau, repris plus tard par l’évêque Godeau et l’abbé Cotin, associe le
sacré
au profane et donne le nom de « Nymphettes » aux
prodigués dans la fluidité harmonieuse et molle de ses huit Églogues
sacrées
, tirées du Cantique des Cantiques (1556), détonne
rustique S’appreste pour couper de ceste plante unique, De ce rameau
sacré
le raisin pourprissant : C’estoit en la saison qu
ct son devoir, puisqu’elle a massacré Celuy qui mesprisoit l’aruspice
sacré
… DÉCIME BRUTE. Puissent pour tout jamais ainsi pe
: Hippolyte (1573), la Troade (1579), Antigone (1580) ; une tragédie
sacrée
: Sédécie ou les Juifves (1583), dont le second t
est sa cour, sa faveur et son roy517. Je vous rends grâce, ô deïtez
sacrées
Des monts, des eaux, des forests et des prées. Qu
Ainsi vivant, rien n’est qui ne m’agrée : J’oy des oiseaux la musique
sacrée
, Quand au matin ils benissent les cieux, Et le do
les baisant, devidoit son fuseau. Le temps s’y mesnageoit comme chose
sacrée
; Jamais l’oisiveté n’avoit chez moy d’entrée. Au
nts, Poèmes chrétiens, Paraphrases des psaumes de David, des Églogues
sacrées
, où, après R. Belleau et avant l’abbé Cotin, il i
cieuses, il appartient à l’âge suivant. Ses odes politiques, ses odes
sacrées
imitées des psaumes, qu’on a seules retenues, don
-même. De là sont nés ces écrits bigarrés. Fous, sérieux, profanes et
sacrés
… (Épître Ire .) De ses poésies diverses la Ca
souveraine, Tandis qu’il fréquentoit les bords de l’Hippocrène Et les
sacrés
vallons. Mais ce n’est plus le temps, depuis que
our la dernière fois1176 ! Ah ! puissent voir longtemps votre beauté
sacrée
Tant d’amis sourds à mes adieux ! Qu’ils meurent
neuf Sœurs. Jusques à quand de vils Procrustes1181 Viendront-ils au
sacré
Vallon, Bravant les droits les plus augustes, Mut
es sons de leur voix éthérée. 0 lac, fils des torrents ! ô Thun, onde
sacrée
! Salut, monts chevelus, verts et sombres rempart
e soldats les remparts entourés, Les victimes tombant dans les parvis
sacrés
, Et les assauts, mortels aux épouses plaintives,
es de David (1751) et des Prophéties et Cantiques (Ί755). Ses Poésies
sacrées
ont été un peu vengées par La Harpe des épigramme
armonieux que modulait sa lyre Ont mouillé le rivage ; et de ces vers
sacrés
La flamme anime encor les échos inspirés… Mais S
rt, » et je versais des pleurs. Mais du temple voisin quand la cloche
sacrée
Annonça qu’un mortel avait quitté le jour, Chaque
sens quelqu’un de grand qui m’écoute et qui m’aime ! Aussi, taillis
sacrés
où Dieu même apparaît, Arbres religieux, chênes,
ntemplations, I, 3, 24.) Pan1360 …………………………………………… Ô poètes
sacrés
, échevelés sublimes1361, Allez, et répandez vos â
ombre du parfum par le soleil doré, Chantèrent d’une voix le cantique
sacré
. Et, debout devant Dieu, Moïse ayant pris place,
vire y passait majestueusement ; Il a vu la bouteille aux gens de mer
sacrée
; Il couvre de signaux sa flamme diaprée, Lance u
nts. Ces reliques du cœur ont aussi leur poussière ; Sur leurs restes
sacrés
ne portons pas les mains. Pourquoi, dans ce récit
ntrer l’œil bleu d’un Celte, J’arrivai, plein des feux de leur volcan
sacré
, Mûri par leur soleil, de leurs arts, enivré ; Ma
hos, et, pris d’un noir délire, J’ai brisé mon luth, puis de l’ivoire
sacré
J’ai jeté les débris au vent… et j’ai pleuré ! Po
entouré des cimes argentées, Cueillant le noir myrtil, buvant au flot
sacré
, Goûtant sous les sapins les ombres souhaitées, L
ers aux pieds du Créateur. Science, amour du vrai, flamme pure et
sacrée
, Sublime passion par Dieu même inspirée, Contre t
delet, corail vermeillet, lèvres mollettes, Nymphetes de Sion (Églog.
Sacrées
), l’aile brunette de la Nuit, etc. 256. Apette,
clair que l’Orient, Fit voir une lumiere et plus vive et plus belle.
Sacré
flambeau du jour, n’en soyez point jaloux, Vous p
ons et les accents les plus forts ou les plus touchants à l’éloquence
sacrée
ou profane, à la philosophie et à la poésie, à Sé
ieux, scientifiques, politiques : Sur l’existence de Dieu : C’est le
sacré
lien de la société, Le premier fondement de la sa
et le roi, Divisés d’intérêts, réunis par la loi ; Tous trois membres
sacrés
de ce corps invincible, Dangereux à lui-même, à s
8), n’a pas épargné l’homme de lettres : Tenez, prenez mes Cantiques
sacrés
; Sacrés ils sont, car personne n’y touche. (Le
as épargné l’homme de lettres : Tenez, prenez mes Cantiques sacrés ;
Sacrés
ils sont, car personne n’y touche. (Le Pauvre D
ième vers bien frappé, compensent le remplissage du troisième et le «
sacré
vallon ». 1182. « Avec ses enfans il (Louis XIV
arvis. Et c’est ainsi que l’homme apprit à cultiver Le brin d’herbe
sacré
qui nous donne le pain. (A. de Musset, Nuit d’A
end à Dieu de solennelles actions de grâces, et qu’on tend aux voûtes
sacrées
de ses temples les drapeaux déchirés et sanglants
glorieux qui m’est proposé, pour remplir jusqu’à la fin le ministère
sacré
de la parole divine. Adieu, vous ne me reverrez p
ut pour la dernière fois ! Ah! puissent voir longtemps votre beauté
sacrée
Tant d’amis sourds à mes adieux ! Qu’ils
ut à la maison de Sorrèze dont il était directeur. Parmi les orateurs
sacrés
de notre temps, il se distingue par l’essor, la n
: Sitôt que de ce jour La trompette
sacrée
annonçait le retour, Du temple, orné partout de f
que le fer a lui. Delille. Qu’entends-je ? Autour de moi l’airain
sacré
résonne. Lamartine. 222. Qu’est-ce que la métal
nides ou bienveillantes ; et que les Latins employaient le mot sacer,
sacré
, dans le sens d’execrabilis : Auri sacra fames .
’un roi terrible apaiser le courroux : Sauvez Aman, qui tremble à vos
sacrés
genoux. Philoctète adresse à Néoptolème cette to
ue qu’il entendît. Le prêtre exposait la parole divine dans la langue
sacrée
; puis il la développait dans l’idiome vulgaire q
que ; l’équipage de chasse d’un chevalier romain embarrassait la voie
Sacrée
; des prêtres couraient encenser leurs dieux, et
paraisons, les exemples, les citations, les témoignages que l’orateur
sacré
puise dans l’Écriture sainte, dans les décrets de
a loi du devoir. Les passions ne s’arrêtent pas toujours à cette voix
sacrée
; souvent elles nous conseillent d’immoler à notr
enfants issus du même sang et nourris du même lait, l’amitié, contrat
sacré
qui nous lie pour la vie, la sainte indignation d
es Romains, lorsqu’il s’écrie : « O doux nom de la liberté ! ô droits
sacrés
de la cité romaine ! ô loi Porcin ! lois de Sempr
vivement regrettée et rendue enfin au peuple romain ! O institutions
sacrées
, qu’êtes-vous devenues ? Un citoyen romain, dans
et, quand même il n’y aurait point d’autre sûreté pour votre personne
sacrée
que la fuite, je sais bien que vous aimeriez mieu
atir à ses douleurs : Non, vous n’espérez plus de nous revoir encor,
Sacrés
murs, que n’a pu conserver mon Hector. « Glaive
e ; l’air y est sain et tempéré, la situation en est riante : un bois
sacré
l’ombrage du côté du couchant ; les dieux de Syri
il Horace défend son fils, dans la tragédie de Corneille : Lauriers,
sacrés
rameaux qu’on veut réduire en pondre. Vous qui me
nt. Il invoque 1° l’honneur national : les engagements de l’État sont
sacrés
; 2° le patriotisme : chacun doit être prêt à sac
t le ciel et la terre, les hommes et les anges, proférer de sa bouche
sacrée
ces belles et magnifiques paroles, dignes d’être
plus abondantes et plus variées que les nôtres ! Nos grands orateurs
sacrés
, Bossuet et Fléchier, offrent un grand nombre d’e
raison ». 3. C’est-à-dire, du monde : acception propre à l’éloquence
sacrée
. 1. Saint Paul, IIe Epît. aux Corinth., ii, 17.
a malheureuse Rome ! Les lois sont étouffées par la force, les droits
sacrés
sont anéantis, la liberté gémit accablée sous des
uction, à tous les hommes. Et vous, qui avez été initiés aux mystères
sacrés
des Dieux, conservez la vie à ceux qui vous y ont
ès, ils nous préparent des chaînes honteuses, eux pour qui rien n’est
sacré
. Égorger, piller, s’emparer du bien d’autrui, por
s ! le cruel pressentiment, un jour viendra qui verra tomber les murs
sacrés
d’Ilion, jour où doit périr Priam, et le peuple d
i avez violé vos serments et assassiné un empereur dont la tête était
sacrée
, ma clémence vous laissera la vie sauve. Seulemen
o répondit tant de fois à mes cris de douleur, adieu ! adieu, sources
sacrées
, eaux limpides, je vous quitte, vous que j’avais
itudes farouches ; l’amour de l’humanité, quoique gravé en caractères
sacrés
, effacé dans les cœurs ; l’homme enfin sans éduca
La jeune tarentine Pleurez, doux alcyons ! ô vous, oiseaux
sacrés
! Oiseaux chers à Téthys ; doux alcyons ! pleurez
tes livres, tes habits, à peine j’ose les toucher ; quelque chose de
sacré
est répandu sur toi et tout ce qui fut de toi. »
taire sur ses triomphes profanes, pour ne parler que de ses victoires
sacrées
». Je ne puis me résoudre à terminer ce qui rega
aines poésies indiennes, scandinaves, américaines, de certains livres
sacrés
et profanes de l’Orient et du Nord, œuvres de peu
ture espagnole, la littérature du siècle de Louis XIV, la littérature
sacrée
, la littérature morale, etc. 2. Que faut-il enten
u franchir les bornes légitimes Veut violer enfin les droits les plus
sacrés
. Ainsi que la vertu, le crime a ses degrés.... Él
région plus sublime, au-delà des orages de la terre, notre éloquence
sacrée
n’en offre-t-elle pas des modèles au-dessus de l’
e d’aimer sitôt qu’on en jouit, etc. (Acte II, scène i.) L’éloquence
sacrée
, où l’idée du beau domine dans son expression la
d’une comparaison, d’un souvenir, d’un accident. L’emploi des textes
sacrés
a souvent inspiré aux prédicateurs des exordes si
a magnificence, la hardiesse, le sublime des Psaumes et des Cantiques
sacrés
, celui de Fénelon a la naïveté et la grâce inimit
sée ! » (Bossuet, Oraison funèbre de Henriette de France.) Lauriers,
sacrés
lauriers qu’on veut réduire en poudre, Et qui met
qualités d’élévation et d’harmonie, on ne reviendra pas aux cantiques
sacrés
de Le Franc de Pompignan. Sans doute, avant la fi
1742.) A entendre La Bruyère et Fénelon, il semble que l’éloquence
sacrée
, à la fin du dix-septième siècle, soit en pleine
i, nous nous sommes persuadé, indépendamment de l’autorité des Livres
sacrés
, que l’homme a été créé le dernier, et qu’il n’es
l’honneur est à la probité : ses lois sont délicates, mystérieuses et
sacrées
. L’honneur est tendre et se blesse de peu : tel e
is, n’était l’intérêt de vos seigneuries, et aussi celui de ces gages
sacrés
que m’a laissés une sainte maintenant au ciel… (à
onvienne ; tout intérêt privé doit céder au bonheur de votre personne
sacrée
et de l’Etat ; je vous supplie d’écarter, en acce
t le monde, la force des écrivains qui lui parlent, et cette autre et
sacrée
force, la plus nécessaire de toutes, la force de
nes, y ont fermenté et ont produit, à une certaine heure de printemps
sacré
, cette flore populaire universelle, comme au fond
, un titre pour le moins embarrassant à rappeler. Ses livres des Odes
sacrées
, des Odes profanes et celui des Cantates, c’est l
dont la jeune abeille Compose son cher trésor. Mais sans tes clartés
sacrées
, Qui peut connaître, Seigneur, Les faiblesses éga
souveraine, Tandis qu’il fréquentait les bords de l’Hippocrène Et les
sacrés
vallons : Mais ce n’est plus le temps, depuis que
r demande Du vol de leurs oiseaux la vérité dépende ? Que sous un fer
sacré
des taureaux gémissants Dévoilent l’avenir à leur
une mort douce et d’amis entourée Recevra sans douleur sa vieillesse
sacrée
, Qu’il laisse avec ses biens ses vertus pour appu
s. La jeune Tarentine. Pleurez, doux alcyons ! ô vous, oiseaux
sacrés
! Oiseaux chers à Thétis ; doux alcyons pleurez71
guida mes yeux ; Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses
sacrés
tombeaux Rome m’a vu descendre ; Des mânes les pl
s ailes, Et, prenant vers le jour un lumineux essor, Parmi les chœurs
sacrés
tu t’asseyais encor, Jamais, jamais l’écho de la
u ! Que de pleurs ont coulé sur tes pieds que j’adore, Depuis l’heure
sacrée
où, du sein d’un martyr, Dans mes tremblantes mai
divines, Dans cette nuit terrible où tu priais en vain, De l’olivier
sacré
baignèrent les racines Du soir jusqu’au matin. De
ange éploré, Une figure en deuil recueillir sur ma bouche L’héritage
sacré
! Soutiens ses derniers pas, charme sa dernière h
utel ; debout sur les degrés, Il fait fumer l’encens, répond aux mots
sacrés
Et présente le vin durant le saint mystère772. Le
r sur lui-même est tout à fait conforme aux traditions de l’éloquence
sacrée
. L’auditeur est touché en entendant celui qui l’i
re après la mort d’Édouard. Pour donner à cet engagement un caractère
sacré
, Guillaume avait fait répéter son serment à Harol
les aime toutes, puisque dans toutes il voit se refléter cette image
sacrée
de lui-même que Dieu a jetée dans l’homme seuleme
roits, plus intimes que ceux du sang, par une union plus intime, plus
sacrée
, plus impérieuse que quelque union que ce soit. I
dans le sens du mot de Platon : « Le poète est chose légère, ailée et
sacrée
. » 560. M. Victor Hugo. 561. « J’ai appris la m
conjoncture, on ne cherche pas à en imposer aux hommes. » 562. Odes
sacrées
, livre IV, ode X. 563. Voir la curieuse lettre a
ovum… 568. Ici, comme dans beaucoup d’autres passages de ses Odes
sacrées
, Rousseau a tenté de s’approprier les beautés des
l’abeille le poète, qui est, selon lui, « une chose légère, ailée et
sacrée
, » Κουφον γαρ χρημα ποιητης εστι και πτηνον και ι
erin, bénéfice simple qui n’exigeait pas l’engagement dans les ordres
sacrés
: de là ce titre d’abbé que porta Delille. 676.
75, et Boileau (Satires, ix) : Et ne savez-vous pas que, sur ce mont
sacré
, Qui ne vole au sommet tombe au plus bas degré, E
ce des condamnés, déjà montés sur le bûcher et chantant des cantiques
sacrés
: ……..Un peuple immense, Proclamant avec l
al fait encor ; Jamais vos jeunes pas n’ont touché notre fange ; Tête
sacrée
! enfant aux cheveux blonds ! bel ange A l’auréol
▲