au cinq des kalendes de novembre, ce jour où beaucoup des principaux
Romains
, moins pour sauver leur vie que pour déconcerter
est parce que je vivais encore. Alors il s’est trouvé deux chevaliers
romains
qui, pour te délivrer de cette préoccupation, t’o
ir ni par crainte de ta part, mais grâce à la bonne fortune du peuple
romain
? Cependant, ces premiers crimes, je n’y insiste
nd tu fais si peu de cas de leur vie, mais encore pour ces chevaliers
romains
, hommes honorables et vertueux, et pour tous ces
les ont frappés de mort. Les lois relatives au supplice des citoyens
romains
? mais jamais, dans cette ville, ceux qui se sont
la postérité ? ce serait témoigner une belle reconnaissance au peuple
romain
, qui, ne te connaissant que par toi-même, et sans
par d’éternels supplices. Deuxième discours contre Catilina aux
Romains
. Analyse. Se voyant découvert, et effrayé
té il prendra soin de tout le reste. [Discours] I. Enfin,
Romains
, enfin ce L. Catilina, qui, dans sa fureur audaci
ui, quelle affliction, quel désespoir ! Le voilà maintenant terrassé,
Romains
; il se sent frappé et renversé ; ses regards se
nous puissions craindre, de roi en état de faire la guerre au peuple
romain
. Au-dehors, la vertu d’un héros a, sur terre et s
t avec la débauche, la folie, le crime qu’il nous faut lutter. Voilà,
Romains
, la guerre pour laquelle je me déclare votre chef
endre aux châtiments qu’ils méritent. VI. Mais il y a des gens,
Romains
, qui prétendent que j’ai pris sur moi d’exiler Ca
Fésules, c’est en son propre nom qu’il a déclaré la guerre au peuple
romain
; cette armée, ce n’est pas Catilina qu’elle atte
in de zèle, mais comme le plus cruel des tyrans. Eh bien, je consens,
Romains
, à essuyer l’orage d’une aveugle et injuste préve
aille en exil. Mais, vous pouvez m’en croire, il n’ira pas. Pour moi,
Romains
, jamais je ne demanderai aux dieux immortels, pou
Rome, qui vivent au milieu de nous, n’en dirons-nous rien ? Ceux-là,
Romains
, je cherche bien moins à en tirer vengeance qu’à
espérer le retour des anciennes déprédations. Les uns et les autres,
Romains
, je les range dans la même classe ; ce sont des b
arde prétorienne, aura cette cohorte impudique ! Préparez maintenant,
Romains
, contre une milice si brillante, vos garnisons et
ui vous rend forts et qui lui manque à lui : le sénat, les chevaliers
romains
, le peuple, la ville, le trésor public, les reven
s sur tant de vices odieux ? XII. Dans de telles circonstances,
Romains
, multipliez autour de vos demeures, comme vous l’
s forfaits, des crimes avérés. XIII. Et tout cela s’accomplira,
Romains
, sans que les événements les plus graves provoque
aurai pas besoin de quitter la toge pour tout pacifier. Cette guerre,
Romains
, je la conduirai de telle sorte que, s’il est pos
s suffise pour vous sauver tous. Si je prends de pareils engagements,
Romains
, ce n’est pas sur mes lumières personnelles, ni s
de leur divine protection leurs temples et vos maisons. C’est à eux,
Romains
, que vous devez adresser vos prières, vos hommage
à leur divine protection. Troisième discours contre Catilina aux
Romains
. Analyse. Il ne restait plus aucun doute s
t acquise par sa prévoyance. [Discours] I. La république,
Romains
, et, avec elle, votre existence à tous, vos biens
e est sauvée, elle est rendue à la vie, vous le voyez. S’il est vrai,
Romains
, que le jour où nous échappons à la mort n’est po
une joie ineffable quand nous sommes arrachés au trépas. À ce titre,
Romains
, puisque, pour avoir été le fondateur de cette vi
e, déroulés, rendus manifestes par mes soins, il me reste maintenant,
Romains
, à vous les exposer à vous-mêmes en peu de mots.
as réserver au conseil public la connaissance tout entière. En effet,
Romains
, quand bien même on n’eût point trouvé dans les l
gus trouvait ce terme trop éloigné. V. Mais abrégeons ce récit,
Romains
. Je fais représenter les tablettes que l’on disai
finit par convenir de tout ce que lui imputent les Gaulois. Pour moi,
Romains
, si je trouvais des preuves certaines, des indice
VI Toutes les preuves étant ainsi exposées et mises au grand jour,
Romains
, je consulte le sénat sur ce qu’il juge convenabl
Gabinius. Et telle a été l’indulgence du sénat en cette circonstance,
Romains
, que, sur tant de conjurés, sur tant d’ennemis do
tulus : ce n’est plus qu’un citoyen ordinaire. VII. Maintenant,
Romains
, que les chefs impies de cette guerre sacrilège e
ement anéanties. Quand je le chassais de nos murs, je prévoyais bien,
Romains
, qu’une fois Catilina loin de nous, ni la somnole
jeter dans la vie des camps et des brigandages, sans quoi (je dirai,
Romains
, ce que je pense), il m’eût été bien difficile de
la tranquillité, le silence dont elle jouit. VIII. Et pourtant,
Romains
, dans toutes ces circonstances, c’est la volonté,
é par la voix prophétique des dieux immortels, il est certains faits,
Romains
, dont je dois vous entretenir, et qui ne sauraien
grand jour et ne sauraient échapper aux regards du sénat et du peuple
romain
. Les consuls de ce temps-là mirent en adjudicatio
ncendies, la ruine de la république, tout cela tramé par des citoyens
romains
; et ces forfaits, que leur énormité même rendait
monde qui puisse encore et paraisse vouloir faire la guerre au peuple
romain
, aient dédaigné l’empire et les magnifiques espér
hommes, non pas de combattre, mais de se taire. X. Ainsi donc,
Romains
, puisque il a été décrété que les actions de grâc
as quittée non plus, et vous êtes victorieux. Rappelez-vous en effet,
Romains
, toutes nos dissension domestiques, non seulement
ort, du moins celle des citoyens qui périrent avec lui. Et cependant,
Romains
, toutes ces dissensions n’allaient pas à renverse
auvés. Et, tandis que vos ennemis se flattaient qu’il ne resterait de
Romains
que ceux qui auraient pu échapper au massacre gén
es flammes n’auraient pu dévorer, j’ai déçu leur espoir ; Rome et les
Romains
, j’ai tout préservé de leur rage, tout sauvé.
un mot, que de moins dignes peuvent également obtenir. Votre mémoire,
Romains
, fera vivre mes services, vos entretiens les gran
isse ses ennemis ou morts ou soumis, et s’éloigne. C’est donc à vous,
Romains
, quand les autres recueillent le prix de leurs se
c’est à vous de me mettre moi-même à l’abri de leurs coups. Du reste,
Romains
, ces misérables sont désormais dans l’impuissance
ttaquer, ne saurait braver sans se dénoncer lui-même. Joignez à cela,
Romains
, que nous nous sentons le courage nécessaire, non
s, venaient à réunir tous leurs efforts contre moi, ce serait à vous,
Romains
, de montrer à quel sort doivent désormais s’atten
puisse avoir l’ambition de m’élever. Je ferai donc tous mes efforts,
Romains
, pour conserver et soutenir dignement dans la vie
ses actions furent l’ouvrage de la vertu et non du hasard. Pour vous,
Romains
, puisque la nuit est venue, adressez vos hommages
, et vous jouirez d’une paix inaltérable ; je vais prendre pour cela,
Romains
, toutes les mesures nécessaires. Quatrième d
c joie, pourvu que l’honneur et la conservation du sénat et du peuple
romain
soient le prix de mes travaux. Je suis, pères con
a noble mission de vous arracher, vous, pères conscrits, et le peuple
romain
, au plus horrible carnage ; vos femmes, vos enfan
es, vos enfants, vos biens ; défendez le nom et l’existence du peuple
romain
; mais cessez de me ménager et de vous inquiéter
un de nous ne doit survivre, même pour gémir sur l’extinction du nom
romain
et pour déplorer la chute d’un si puissant empire
ne si vaste et si menaçante conjuration eût pour auteurs des citoyens
romains
, voilà ce que jamais je n’aurais pensé. Maintenan
que des hommes, qui ont voulu nous égorger tous, exterminer le peuple
romain
, renverser l’empire, anéantir jusqu’au nom de Rom
at, sans doute pour n’avoir pas à se prononcer sur la vie de citoyens
romains
. Ce sont les mêmes hommes qui, il y a trois jours
sont les mêmes hommes qui, il y a trois jours, privaient des citoyens
romains
de leur liberté, les mêmes qui décrétaient des ac
ar, s’il sait que la loi Sempronia fut établie en faveur des citoyens
romains
, il sait aussi que l’homme qui se déclare l’ennem
é, avec tant de barbarie et de cruauté, le projet d’égorger le peuple
romain
et d’anéantir cette ville, revendiquer le titre d
ble, et de capter la faveur populaire en risquant de perdre le peuple
romain
. Il prononce, en outre, la confiscation des biens
xtrême vigilance et, bien plus encore, par la ferme volonté du peuple
romain
, qui est bien décidé à sauver son empire et la fo
a gloire et le salut de la république ! Parlerai-je de ces chevaliers
romains
qui reconnaissent volontiers votre prééminence et
Depuis que leur mérite leur a valu l’heureuse fortune d’être citoyens
romains
, ils regardent comme leur véritable patrie cette
soit tolérable, qui n’ait horreur d’un complot tramé par des citoyens
romains
, qui ne désire la conservation de cette républiqu
la proie des flammes ? Ainsi, pères conscrits, les secours du peuple
romain
ne vous manquent point : que le peuple romain à s
, les secours du peuple romain ne vous manquent point : que le peuple
romain
à son tour ne puisse pas croire que vous lui fait
bien rare ; vous avez tous les ordres, tous les individus, le peuple
romain
tout entier qui par une bonne fortune, dont voici
une force assez puissante pour que l’union du sénat et des chevaliers
romains
et cette formidable ligue de tous les honnêtes ge
entière. C’est donc votre existence, pères conscrits, celle du peuple
romain
, de vos femmes et de vos enfants, la conservation
liers, dans les villes même, chez les Siciliens comme chez le citoyen
romain
, en un mot, que dans la Sicile entière, il n’a ri
rable, ou tout au moins la plus célèbre ; elle est ouverte à tous les
Romains
, qui peuvent y jouir des droits de l’hospitalité.
nommait-il ? Vous m’interrogez fort à propos, c’était Polyclète. Nos
Romains
, aussitôt qu’ils arrivaient à Messine, allaient v
ner la place en honneur des dieux immortels, et pour la gloire du nom
romain
. Mais ce magistrat, hôte de la famille Héjus et d
asion pour venir, avec la confiance d’un ami et d’un fidèle allié des
Romains
, porter à vos pieds des plaintes que la modératio
ur laquelle, en présence de la multitude, il a fait élever un citoyen
romain
: attentat qu’il n’aurait osé commettre ailleurs
t-ce en vertu de celui que vous devez tenir ou du sénat, ou du peuple
romain
? Où trouver, je ne dis pas dans nos provinces, m
r enfin un roi qui n’accueille, qui n’invite, qui ne loge un sénateur
romain
? honneur qui ne se rend pas seulement à la perso
i ne se rend pas seulement à la personne, mais premièrement au peuple
romain
, puisque notre titre de sénateur est un de ses bi
hose ; mais en négligeant de rendre ce devoir à un sénateur du peuple
romain
, c’est moins à lui en particulier qu’au sénat mêm
z fait de votre part tout ce qui était nécessaire pour qu’un sénateur
romain
n’ait point trouvé d’asile chez vous, et qu’il ai
e vous seuls avez méprisé. Quoi ! vous osez paraître devant le peuple
romain
, sans avoir auparavant arraché du port de votre v
moins vous mépriser, en voyant tous les privilèges de la bourgeoisie
romaine
anéantis par ce supplice. XII. Mais revenon
ne pouvez produire ? XVII. C’est à M. Cœlius, jeune chevalier
romain
très distingué, que vous avez pris dans Lilybée l
l’obligeante entremise de Catulus, reçut de Sylla le titre de citoyen
romain
, ne l’avez-vous pas enlevée publiquement dans Lil
e et s’était éloigné de sa maison. Tous les Siciliens et les citoyens
romains
qui sont dans cette île, voyant jusqu’où Verrès s
euse cupidité leurs effets les plus précieux. Cn. Calidius, chevalier
romain
, vivant noblement et jouissant de la faveur du pe
témoins. Tous les autres préteurs ont laissé à C. Calidius, chevalier
romain
, sa belle argenterie ; il lui a été libre, toutes
n’avez-vous point aussi acheté l’encensoir de L. Papirius, chevalier
romain
, homme noble, riche et vertueux ? Il a dit, dans
Il fit ce que les Siciliens n’osaient faire ; comme il était citoyen
romain
, il crut qu’il le ferait sans risque : il mit sur
aminez quel respect il a eu pour vos jugements et pour ceux du peuple
romain
; pour les lois, pour la justice ; voyez s’il a c
cuté : on l’arrache du doigt de L. Titius, père de famille et citoyen
romain
. Et sa passion pour les ornements de lits, elle e
à la fois. On y voit les dieux offensés, la confiance dans le peuple
romain
et la dignité de ce nom auguste affaiblies et pre
’éloge et les admire ; le prince était charmé qu’un préteur du peuple
romain
eût trouvé agréable et de bon goût toute la dispo
ite de l’histoire. Elle n’est nouvelle ni pour vous ni pour le peuple
romain
, et elle s’est répandue chez les nations étrangèr
pas que plusieurs particuliers vissent ce candélabre avant le peuple
romain
. Notre préteur le prie et le conjure de le lui en
l’honneur de Jupiter, comme un présent qu’il voulait faire au peuple
romain
; il le presse cependant, il le conjure avec inst
ur y être un monument de son amitié et de son alliance avec le peuple
romain
, qu’il ne regrette ni les autres ouvrages d’or, n
ouvelle cette consécration en présence de cette assemblée de citoyens
romains
; je donne ce candélabre, je l’offre, je le dédie
le cortège et l’appareil d’un roi ; ce prince, ami et allié du peuple
romain
, fils d’un père très attaché à la république, don
vaste et florissant empire, est chassé précipitamment d’une province
romaine
! Quel jugement avez-vous cru que porteraient les
sulté à un roi, dépouillé son hôte, chassé l’allié et l’ami du peuple
romain
? Votre nom et celui du peuple romain, soyez-en s
assé l’allié et l’ami du peuple romain ? Votre nom et celui du peuple
romain
, soyez-en sûrs, ô juges, deviendront l’horreur et
pitole, comme l’exigent la majesté de ce temple et la grandeur du nom
romain
. Si vous montrez de la sévérité contre celui qui
ur que vous devez vous revêtir. Par un bienfait du sénat et du peuple
romain
, votre gloire réside dans ce temple ; votre nom,
mitié et de l’alliance qu’ils ont toujours entretenues avec le peuple
romain
. Cette ville, faisant la guerre aux Carthaginois
’Agrigente, dit que les Siciliens devaient comparer la domination des
Romains
au joug de leurs compatriotes, voir lequel des de
en temps le nom de Scipion, on lui dit que c’est un présent du peuple
romain
, et que la ville n’a aucun droit sur une chose do
tructeur de Carthage avait voulu faire le monument de la victoire des
Romains
. Verrès, loin de se relâcher, devient chaque jour
thage à Ségeste, avait annoncé, par son retour, la victoire du peuple
romain
. Que ce dernier jour leur paraissait différent de
araissait différent de ce temps heureux ! Alors un général de l’armée
romaine
, et l’un de nos plus illustres, leur renvoyait le
Écoutez le rapport des Ségestains, vos clients et les amis du peuple
romain
: ils vous disent qu’après la ruine de Carthage,
e cette illustre noblesse ne cesse de se plaindre de ce que le peuple
romain
confère encore aujourd’hui les honneurs à des hom
bre et d’infamie ! Les trophées du plus religieux et du plus sage des
Romains
, la statue de la chaste Diane, seront placés par
ment de droit, mais encore nécessaire, comme si le sénat et le peuple
romain
l’eussent ainsi décidé, il ordonna sur-le-champ d
ait ainsi, sans aucun sujet, un honnête homme, ami et allié du peuple
romain
? Il n’est pas si méchant ; il ne réunit pas en l
me de péculat : il a publiquement enlevé ce qui appartenait au peuple
romain
comme faisant partie des dépouilles de nos ennemi
notre empire : il n’a pas craint de fouler aux pieds la gloire du nom
romain
, de renverser les monuments de nos exploits et de
ors inouï contre un homme innocent, contre un ami, un allié du peuple
romain
. Mais quel nom donner à l’insulte faite à la stat
t le courage des Agrigentins, et l’intervention de plusieurs citoyens
romains
, gens honnêtes et pleins de bravoure, qui vivent
a valeur et celle de ses troupes, ne crut pas que la gloire du peuple
romain
dépendît de la ruine et de la destruction de ses
somme, je le demande, les habitants de Rhégium, aujourd’hui citoyens
romains
, exigeraient-ils pour laisser emporter leur belle
si généreux envers lui. Je ne voyais donc à Syracuse que des citoyens
romains
, je ne consultais que leurs registres, et j’y rem
registres de Carpinatius ; j’y faisais observer à quelques chevaliers
romains
, qui étaient l’élite des habitants de cette ville
comble d’éloge son sénat et lui témoigne sa gratitude ; les citoyens
romains
ne me quittent point : ma plus grande affaire ce
e leur demanderai. Ne doivent-ils point fournir un vaisseau au peuple
romain
: ils en conviendront. Ensuite, s’ils l’ont fourn
liens, il a fait battre de verges et frapper de la hache des citoyens
romains
. L’orateur s’étend surtout en termes pathétiques
e que, sur les dépositions de quelques Siciliens, on enlève au peuple
romain
un général de ce mérite, et qu’on efface par des
i lui couvrait la poitrine, il fit voir aux juges et à tout le peuple
romain
les cicatrices des blessures qu’il avait reçues,
it exposé, ne parût avoir été conservé moins pour la gloire du peuple
romain
que pour prouver la cruauté des juges. Les protec
ure à leur rendre la paix avantageuse : d’ailleurs, la domination des
Romains
leur est si chère, qu’ils craignent par-dessus to
la Sicile ? N’y a-t-il pas eu une conjuration ? Le sénat et le peuple
romain
n’ont entendu parler d’aucun trouble ; Verrès lui
cs, toute la ville de Lilybée, et une nombreuse assemblée de citoyens
romains
. Rien ne peut sauver les fugitifs ; on les amène
as de la mort et les délivrer ! Était-ce pour réserver à des citoyens
romains
, qui n’étaient pas condamnés, cette croix que vou
Vous avez encore tiré cent mille sesterces de C. Matrinius, chevalier
romain
, pour lors absent, puisqu’il était à Rome ; vous
a chambre, où se rendaient les magistrats siciliens et les chevaliers
romains
, comme vous l’avez appris par plusieurs dépositio
. Ce préteur austère et prudent, incapable d’obéir aux lois du peuple
romain
, était très exact observateur de celles que l’on
re lever Verrès, lui découvrir la poitrine, étaler aux yeux du peuple
romain
les cicatrices qu’ont laissées sur son corps les
s la conduite des hommes ? Puissiez-vous approuver, vous et le peuple
romain
, les sentiments que j’espère conserver toujours !
rs ! Oui, j’ai reçu les magistratures, dont jusqu’à présent le peuple
romain
m’a chargé, avec l’intime persuasion que c’était
se que, par la solennité d’autres jeux, je dois attirer sur le peuple
romain
la protection de la déesse Flore ; que les jeux l
e Flore ; que les jeux les plus anciens, et les premiers appelés jeux
romains
, doivent être consacrés avec autant de dignité qu
e si grands services, et qui leur était plus affectionné qu’au peuple
romain
? Mais, Verrès, si c’est une preuve que vous n’av
. Traités d’alliance des Mamertins et des Taurominiens avec le peuple
romain
… XX. Ainsi, par vos bons offices, comme vou
êt, avili la majesté de la république, affaibli les secours du peuple
romain
, diminué ses ressources, acquises par la valeur e
nts, avant que l’affaire fût consommée, et dans un temps où le peuple
romain
n’éprouvait nul embarras ; aujourd’hui, sans de n
affranchis de tout, sous sa préture, ils n’ont rien fourni au peuple
romain
, et ils ont tout accordé à Verrès. XXIII. M
; mais ce magnifique navire donné au préteur, et non fourni au peuple
romain
, ne vous laissait ni le pouvoir de le leur comman
és, pour les considérer. Pourquoi ce triomphe était-il pour le peuple
romain
le plus agréable de tous ? c’est qu’il n’y a rien
Il ne restait plus en effet, après la perte d’une magnifique escadre
romaine
, et après la désolation de toute la province, qu’
s par l’autorité publique. Comme Verrès y retenait plusieurs citoyens
romains
, et qu’il avait ordonné d’y conduire les autres p
e de ceux qu’il avait fait conduire, chez lui, substitua des citoyens
romains
qu’il avait mis en prison auparavant. Il disait q
s’étaient volontairement associés avec eux. Ainsi, parmi ces citoyens
romains
, les uns, dans la crainte qu’ils ne fussent connu
ontre la cruauté de Verrès et pour l’injuste mort de tant de citoyens
romains
, je m’expliquerai si énergiquement, que, dussent
onomie agréable et les artistes sont conduits chez lui ; des citoyens
romains
, substitués pour en remplir le nombre, sont livré
de M. Annius, homme des plus illustres, qui déclara que des citoyens
romains
, avaient eu la tête tranchée, mais que le chef de
s sa maison. Que la clémence, disons mieux, que la patience du peuple
romain
est admirable et rare ! Annius, chevalier romain,
a patience du peuple romain est admirable et rare ! Annius, chevalier
romain
, dépose qu’un citoyen a eu la tête tranchée, vous
ntend, à ce récit, des gémissements et des cris : cependant le peuple
romain
s’abstient de vous punir sur-le-champ ; il se ret
quoi, dis-je, après avoir fait sans délai couper la tête aux citoyens
romains
pris par les pirates, avez-vous laissé à ces même
y autorisait ? L’ennemi le plus déclaré, le plus pernicieux du peuple
romain
, ou plutôt l’ennemi commun de tous les peuples et
ous ai contraint d’avouer qu’après avoir fait supplicier des citoyens
romains
, vous aviez laissé vivre et gardiez dans votre ma
je, la veille il s’était échappé, s’il avait ramassé contre le peuple
romain
quelques troupes de gens armés, diriez-vous : Il
éable et bien éloigné des témoins. Ce fut là que le préteur du peuple
romain
, le conservateur et protecteur de la Sicile, pass
s vaisseaux dont son lieutenant avait été chargé. La flotte du peuple
romain
, sur l’ordre de Verrès, reçoit pour amiral un Syr
nt de distinctions honorables accordées par le sénat et par le peuple
romain
aux magistrats et aux lieutenants ? Où étaient vo
lieutenants ? Où étaient vos intendants, vos tribuns ? Si nul citoyen
romain
ne s’est trouvé digne de remplir ces fonctions, n
t, leur ancienneté, leur affinité même, partagent la gloire du peuple
romain
? Ô dieux immortels ! quoi ! en faisant commander
, il se montra pour lors un moment aux matelots. Ce préteur du peuple
romain
était sur le rivage en petites sandales, avec un
ndales, avec un manteau de pourpre et une longue tunique. Beaucoup de
Romains
et de Siciliens l’avaient déjà vu plusieurs fois
cendres, dès le commencement de la nuit, cette belle flotte du peuple
romain
, repoussée jusque sur le rivage. Ô temps fatal à
préteur brûlant des feux les plus impudiques, et la flotte du peuple
romain
dévorée par les flammes. Au milieu de cette nuit
tion de la ville, parce que Syracuse renferme une réunion de citoyens
romains
assez imposante pour mériter non seulement dans l
res, n’avaient jamais pu approcher : où la puissance navale du peuple
romain
, toujours victorieuse jusqu’à votre préture, aprè
ur de leur front des moissons assez abondantes pour nourrir le peuple
romain
et toute l’Italie ? Nés dans l’île de Cérès, où l
pectacle que de voir insulter à la gloire de Rome et au nom du peuple
romain
; de voir, au milieu d’un peuple nombreux, dans l
sauver Cléomène. » Il dit encore dans son apologie (et, si le peuple
romain
vous connaît bien, ce n’est pas sans fondement qu
main de ton bourreau Sestius, lorsque, dans une assemblée de citoyens
romains
, tu fis trancher la tête à leurs concitoyens. » E
élivre une somme pour n’être pas condamné ; c’est un usage. Le peuple
romain
ne veut point que l’on porte des accusations triv
ns, fournissent chaque année une si grande abondance de blé au peuple
romain
, élevés et nourris par leurs parents dans l’espér
es, nous avons toujours recherché la protection et l’amitié du peuple
romain
; nous lui avons toujours fourni tous les secours
la coutume, cela ne regarde point les sénateurs. Iront-ils au peuple
romain
? La raison de son refus est facile à deviner : i
que ces vols ne soient permis et autorisés aujourd’hui par le peuple
romain
; car depuis plusieurs années nous souffrons en s
in d’empêcher, par leurs services et par leur fidélité, que le peuple
romain
ne les en dépouillât par autorité publique. Alors
is d’un malheur une accusation, et un crime de la perte, de la flotte
romaine
, tandis que plusieurs braves généraux ont souvent
de racines de palmiers sauvages ; qu’un Sicilien a commandé la flotte
romaine
; qu’un Syracusain était à la tête de ceux qui fu
us aurait dit : « Vous, mon fils, préteur dans une province du peuple
romain
, lorsque vous aviez une guerre maritime à conduir
out le monde ; vous avez fait trancher la tête à des hommes, citoyens
romains
et connus pour tels. Vous avez eu l’audace d’emme
nce, chez les plus fidèles alliés, devant de très honorables citoyens
romains
, dans les alarmes et les périls de toute la provi
us avez ôté le commandement de l’armée navale au lieutenant du peuple
romain
et l’avez donné à un citoyen de Syracuse ; vos so
vres ; vos débauches et votre avarice ont causé la perte de la flotte
romaine
, brûlée par les pirates. Depuis la fondation de S
it point ici de l’intérêt de nos alliés, il est question des citoyens
romains
, c’est-à-dire de la sûreté et de la conservation
tait douteuse. Tout ce que je dirai touchant le supplice des citoyens
romains
, est si clair et si frappant, que je pourrais app
e, et il n’hésitait jamais de faire éprouver en public à des citoyens
romains
les supplices destinés aux esclaves convaincus de
Verrès fît un signe, tombait par habitude sur les corps des citoyens
romains
. LIV. Pouvez-vous nier, Verrès, que sur la
Lilybée, devant un concours nombreux du peuple, C. Servilius, citoyen
romain
, ancien négociant dans la ville de Palerme, ait é
témoin, la Sicile l’a entendu dire. Oui ; je soutiens que ce citoyen
romain
fut, en votre présence, accablé de coups par vos
qui donnât lieu d’en user de la sorte avec justice contre un citoyen
romain
, je demande quelle fut la cause de ce traitement
utôt en particulier qu’en général sur le supplice des autres citoyens
romains
? La prison que Denys, ce cruel tyran, fit constr
t, sous le gouvernement de Verrès, le domicile ordinaire des citoyens
romains
. Quiconque lui choquait la vue ou lui déplaisait
de jugements, l’autorité du sénat, l’opinion et l’affluence du peuple
romain
; mais en quelque endroit, chez quelque peuple qu
que endroit, chez quelque peuple que soit violé le droit des citoyens
romains
, vous jugez que cela intéresse la liberté et la g
ux ennemis que vous avez osé renfermer un si grand nombre de citoyens
romains
? Vous n’avez point songé à ce tribunal, à cette
sidère en ce moment avec indignation on ? Jamais la dignité du peuple
romain
, quoique absent, jamais l’image de cette multitud
nds, on faisait ce que vous avez entendu dire à L. Suétius, chevalier
romain
d’un rare mérite, et ce que d’autres confirmeront
utres confirmeront. On tranchait la tête inhumainement à ces citoyens
romains
dans la prison, en sorte que cette parole et cett
n, en sorte que cette parole et cette réclamation : « Je suis citoyen
romain
, » qui en a secouru et sauvé plusieurs chez les n
n exécution. Registre des Syracusains… Vous entendez que des citoyens
romains
ont été conduits par troupes dans les Carrières ;
res, si quelque peuple avait fait de semblables outrages à un citoyen
romain
, l’État ne s’en vengerait-il pas ? ne leur déclar
ont entrepris de guerres importantes sur le rapport que des citoyens
romains
avaient reçu quelque injure, que l’on avait reten
ns, je vous le passe encore ; mais qu’après avoir pris à des citoyens
romains
leurs vaisseaux, leurs esclaves, leurs marchandis
r la place publique, le détail de tous les tourments que des citoyens
romains
ont soufferts toucherait le cœur des barbares. No
cœur des barbares. Notre empire est si respecté, la vénération du nom
romain
si grande chez tous les peuples, qu’une pareille
par la sévérité des juges, arrêté par ce concours nombreux du peuple
romain
? Certes, si vous sortez par quelque moyen de ces
dans l’empire une telle autorité, que ceux à qui le sénat, le peuple
romain
et les magistrats permettaient de paraître dans l
Oui, j’aime mieux qu’on apporte devant ces juges et devant le peuple
romain
les preuves de votre défense que celles de mon ac
r supplice. Je ferai paraître encore, si vous le voulez, le chevalier
romain
L. Flavius, puisque, dans l’action précédente, vo
s ? Quoiqu’il y eût parmi le peuple de Syracuse plus de cent citoyens
romains
qui le connaissaient, et qui, les larmes aux yeux
a tête, non à quelque étranger ou à quelque ennemi, mais à ce citoyen
romain
connu de toute l’assemblée, connu de Syracuse ent
on des supplices. Il commença pour lors à faire conduire les citoyens
romains
la tête couverte ; néanmoins il les faisait mouri
du nombre des pirates. Était-ce là le sort que devait avoir le peuple
romain
sous votre préture ? était-ce le fruit qu’il deva
e en tout temps reçu de si bon cœur dans ses villes tous les citoyens
romains
, que pour être témoin de leur supplice ? Ces cito
paraître vraisemblable Contraint par les larmes de tous les citoyens
romain
qui font le commerce dans la Sicile, pressé par l
d’honneur, de tous les habitants de Rhégium, de plusieurs chevaliers
romains
, qui, par hasard, étaient alors à Messine, je fis
parfum des lois, commença à se plaindre dans Messine qu’étant citoyen
romain
, on l’eût mis en prison. Il ne dissimula point qu
Verrès arriva le même jour. On lui rapporte qu’ils avaient un citoyen
romain
qui se plaignait d’avoir été dans les Carrières à
ges. En vain ce malheureux criait-il à haute voix qu’il était citoyen
romain
, de la ville de Cosa ; qu’il avait servi sous les
; qu’il avait servi sous les ordres de L. Prétius, illustre chevalier
romain
, établi actuellement à Palerme et de qui Verrès p
s les licteurs de le saisir et de le battre avec violence. Un citoyen
romain
, juges, être battu de verges sur la place publiqu
issements ; il ne faisait que répéter ces paroles : « Je suis citoyen
romain
. » Il croyait, en rappelant un si beau titre, se
! puissance des tribuns si fort regrettée, et enfin rendue au peuple
romain
! tout cela est-il tombé au point de n’avoir pu e
tout cela est-il tombé au point de n’avoir pu empêcher qu’un citoyen
romain
, dans une province romaine, dans une ville de nos
point de n’avoir pu empêcher qu’un citoyen romain, dans une province
romaine
, dans une ville de nos alliés, ne fût lié et batt
sur la place publique, par ordre de celui qui ne tenait que du peuple
romain
les faisceaux et les haches ? Quoi ! Verrès, quan
uné ne vous retenaient pas, les pleurs, les gémissements des citoyens
romains
qui pour lors étaient présents ne pouvaient-ils r
r vous ? Vous avez osé mettre en croix un homme qui se disait citoyen
romain
! Je n’ai point voulu, juges, dans la première ac
on discours, et j’ai inspiré la même conduite à C. Numitor, chevalier
romain
, qui déposa le premier. J’approuvai la prudence d
juges, que ce Gavius que vous avez fait mettre en croix était citoyen
romain
, bourgeois de leur ville, et non un espion des dé
s jours passés, quand, effrayé par les cris et le transport du peuple
romain
, vous vous êtes levé, qu’avez-vous dit ? Que cet
rder son supplice, avait crié à diverses reprises qu’il était citoyen
romain
, mais que c’était un espion. Mes témoins sont don
l’avoir vu conduire au supplice, et entendu crier qu’il était citoyen
romain
. Vous dites la même chose, Verrès : vous avouez q
upçon : je vous accuse par vos propres paroles ; il se disait citoyen
romain
. Si, arrêté chez les Perses ou aux extrémités des
utre cri, Verrès, feriez-vous entendre que celui-ci : Je suis citoyen
romain
? Et quand, sans être connu chez des peuples sauv
ce pût être, quoiqu’il vous fût inconnu, dès qu’il se disait citoyen
romain
, ne devait-il pas à ce titre obtenir d’un préteur
s ; cependant, sur la confiance que leur inspire ce droit de citoyens
romains
, ils croient qu’ils seront en sûreté, non seuleme
l’opinion contient dans le devoir, non seulement auprès des citoyens
romains
, qui leur sont unis par le langage, par les lois
se promettre aucun avantage de cette déclaration : « Je suis citoyen
romain
; » et qu’un préteur ou tout autre puisse impuném
ordonner tel supplice qu’il voudra contre un homme qui se dit citoyen
romain
, sous prétexte qu’il ne sait pas s’il l’est vérit
cas adoucir son supplice ; s’il ne l’eût pas connu pour être citoyen
romain
, alors, si c’était votre bon plaisir, vous établi
ait inconnu et n’aurait pas un riche répondant serait, fût-il citoyen
romain
, condamné à périr sur la croix. LXVI. Mais
vous choisissiez ce lieu afin que celui qui se vantait d’être citoyen
romain
pût de cette croix voir l’Italie et regarder de l
ns les tourments, reconnût qu’un bras de mer fort étroit divisait les
Romains
libres d’avec les Romains esclaves, et que l’Ital
qu’un bras de mer fort étroit divisait les Romains libres d’avec les
Romains
esclaves, et que l’Italie pût voir un de ses enfa
ier supplice de l’esclavage. C’est un attentat d’enchaîner un citoyen
romain
; c’est un grand crime de le frapper de verges, c
II. Si je parlais de cet affreux spectacle, non pas à des citoyens
romains
, non à des amis de notre république, non à des ho
de notre république, non à des hommes qui connussent le nom du peuple
romain
, enfin non à des hommes, mais à des brutes ; oser
si barbare. Mais aujourd’hui que j’en parle à des sénateurs du peuple
romain
, protecteurs des lois et dispensateurs de la just
la justice, je suis persuadé que Verrès leur paraîtra le seul citoyen
romain
digne d’être attaché à cette croix, et tous les a
and il s’agit de notre propre sang ? car le sang de tous les citoyens
romains
doit être regardé comme mêlé et confondu, c’est u
la perte de leur cause, et s’en affligeront avec moi ; mais le peuple
romain
, m’ayant donné le pouvoir de plaider devant lui,
s m’échappait à ce premier jugement pour comparaître devant le peuple
romain
. C’est ici une cause éclatante, facile à soutenir
désigné consul : croyez-moi, les honneurs et les bienfaits du peuple
romain
n’exigent pas moins d’attention pour les conserve
ser en secret, ce qui vous touchait fort peu naguère ; mais le peuple
romain
s’en expliquerait par un jugement libre et courag
s et aux conjonctures des temps ; ce sera donc au moment où le peuple
romain
réclame, pour l’administration de la justice, un
elqu’un de vous fait ici quelque chose de répréhensible, ou le peuple
romain
deviendra juge d’un homme qu’auparavant il croyai
s alliés, la spoliation des dieux immortels, le supplice des citoyens
romains
expirant sur la croix, ne paraissent suivis que d
ion que ceux dont l’origine est noble, et que les bienfaits du peuple
romain
viennent chercher sans qu’ils y pensent. Je dois
me porter pour accusateur, quand j’aurai satisfait à ce que le peuple
romain
attend de moi, et que j’aurai rempli le devoir do
’ils s’attendent à me répondre de leur conduite au tribunal du peuple
romain
; et s’ils ont pu reconnaître en moi de l’ardeur,
ux dont j’aurai encouru la haine pour soutenir les intérêts du peuple
romain
trouveront en moi un accusateur bien plus sévère
es ; vous dont le culte emprunté des Grecs est conservé par le peuple
romain
, en particulier, en public, avec tant de religion
e n’ai eu d’autre objet que le salut des alliés, la dignité du peuple
romain
et la fidélité avec laquelle je devais remplir la
ce. Ces Gaulois qui, pendant tant de siècles, ont obéi malgré eux aux
Romains
, veulent nous résister, à nous qui avons triomphé
la guerre, si vous étendez jusqu’à l’Océan les frontières de l’empire
romain
, vous acquerrez pour vous une riche moisson de gl
ompée qu’elle ne connaît pas ? S’il existe quelques débris de légions
romaines
chez nos ennemis, ils ne sont composés que de sol
). XIX. Entrevue de Coriolan et de sa mère Véturie2. Les dames
romaines
se rendent auprès de Véturie, mère de Coriolan, e
s Marcius. Tatius, bien qu’il fût étranger et réellement l’ennemi des
Romains
, céda par respect aux prières que lui adressaient
ressaient des femmes, et Marcius repousse les supplications des dames
romaines
, de son épouse, de sa mère même ! Fasse le ciel q
commandé sans doute par le respect qu’inspirait la présence des dames
romaines
. Coriolan était assis sur son tribunal avec les a
son tribunal avec les autres chefs des Volsques. En voyant les femmes
romaines
qui s’approchaient, il fut d’abord surpris ; puis
e corps de ta mère. Non, je n’attendrai pas le jour où je verrais les
Romains
triompher de mon fils ou mon fils triompher des R
e verrais les Romains triompher de mon fils ou mon fils triompher des
Romains
. » Traduit de Plutarque (Vie de Coriolan). XX
lus favorables à notre cavalerie, si supérieure en nombre à celle des
Romains
; ensuite rendez grâces à nous, qui avons forcé n
quand vous n’aviez pas fait l’épreuve de vos forces contre celles des
Romains
: mais aujourd’hui que vous avez remporté trois v
ettra un terme à vos travaux, vous assurera la possession de l’empire
romain
, de ses trésors, et vous rendra maîtres de tout.
e système de guerre : ce qu’il y a de plus urgent est d’interdire aux
Romains
les moyens de se procurer des fourrages et des vi
les se fait la guerre, sont disposées à vous venir en aide. Quant aux
Romains
, ou ils ne supporteront pas la disette, ou bien,
ent pas du service militaire, ou elles peuvent être utilisées par les
Romains
, pour y amasser des vivres et du butin. « Si mes
s Gracques, à son second fils Caïus Gracchus. Le sang d’un citoyen
romain
a coulé sur les degrés du Capitole. Tibérius Grac
nelius Nepos (60 ans av. J.-C.). XXX. Discours de Pompée au peuple
romain
. [Première partie.] Aulus Gabinius, tribun du
t parle ainsi au peuple assemblé : Première partie. « Je me réjouis,
Romains
, du commandement que vous me décernez : (car les
historien grec (229 ap, J.-C.). XXXI Discours de Pompée au peuple
romain
. Deuxième partie. « Mais comme j’ai été accab
é en justice, et s’il est heureux, à être l’objet de l’envie ? Ainsi,
Romains
, pour ces motifs, et pour d’autres encore, permet
tes : « Oui, dès que les années me le permettront, je poursuivrai les
Romains
sur la terre et sur les eaux : je renouvellerai p
Latin né vers l’an 25 de J.-C. XLI. Discours de Lentulus au Sénat
romain
assemblé en Épire (47 av. J.-C.). Les consuls
: « Sénateurs, si vous avez conservé une énergie digne du caractère
romain
et du sang de vos ancêtres, ne considérez pas en
on but ? est-ce de devenir empereur ? assurément, je plains le peuple
romain
, si pour t’emparer du trône, tu ne trouves d’autr
ont envahi le palais avec des projets de meurtre. Pertinax (empereur
romain
, successeur de Commode, 193 ap. J.-C.) marche au-
t en ces termes : « Dans les guerres extérieures entreprises par les
Romains
, Marseille a toujours voulu partager leur fortune
le père. Pontius Hérennius, général Samnite, ayant enfermé l’armée
Romaine
dans les défilés de Caudium (321 av. J.-C.), et n
. J.-C.), et ne sachant quelle conduite il devait tenir à l’égard des
Romains
, envoie chercher son père, pour lui demander son
ière victoire comme le trésor d’un bonheur suprême ; renvoie tous les
Romains
sains et saufs, ne leur fais subir aucun outrage,
leur enlève rien, afin que ta clémence soit entière et complète. Les
Romains
, à ce que j’ai entendu dire, sont très jaloux de
si tu n’y donnes pas ton assentiment, la seconde est nécessaire. Les
Romains
, si tu les humilies par un outrage, en tireront v
’approuve pas l’idée de les renvoyer tous sains et saufs, lorsque les
Romains
nous ont accablés de tant de maux et possèdent en
p cruel. Mais enfin, pour rabattre, au moins en partie, l’orgueil des
Romains
, et pour échapper aussi au blâme des Samnites, j’
e, et rempli les devoirs qu’impose l’humanité. Je pense aussi que les
Romains
seront satisfaits de mes procédés, si je me condu
« Si j’avais pu régler les destinées, j’aurais formé le vœu que les
Romains
ne convoitassent jamais ce qui est placé en dehor
ue, aveuglés par la fortune, nous en sommes arrivés au point que vous
Romains
, et nous Carthaginois, avons vu le sol de notre p
qui a été l’objet d’une contestation entre nous appartienne au peuple
romain
, à savoir la Sicile, la Sardaigne, l’Espagne : qu
les îles situées entre l’Italie et l’Afrique seront la propriété des
Romains
. Je pense que, grâce à ces conditions, la sécurit
itions, la sécurité de Carthage à l’avenir, ta gloire et celle du nom
romain
seront parfaitement sauvegardées. » Traduit de P
lybe. LIII. Réponse de Scipion. « Vous le savez, Annibal : les
Romains
n’ont pas été les auteurs de la guerre faite en S
us parlez aujourd’hui, si vous les aviez offertes avant le départ des
Romains
pour l’Afrique, en abandonnant vous-même l’Italie
s’est opéré ? « Des conditions de paix beaucoup plus avantageuses aux
Romains
avaient été stipulées ; les Carthaginois y avaien
euses, peut-être serait-il possible de consulter de nouveau le peuple
romain
sur la paix mais du moment que c’est Carthage qui
èches de l’Orient mes drapeaux triomphants. Je rapporterai les aigles
romains
, les enseignes qui nous ont été ravies, ou bien j
e, ou par un désir quelconque plus fort que cette espérance. Mais les
Romains
m’appellent : leurs cris redoublés me pressent de
rances frivoles et légères qui nous invitent à agir ; c’est le peuple
romain
, à qui les dieux ont accordé la souveraineté de t
nous ; notre souverain, notre patrie nous encouragent à triompher des
Romains
. Soyons vainqueurs, la liberté nous attend, et l’
t humaines ont été violées ! Tels sont les titres au nom desquels les
Romains
veulent se faire appeler les maîtres de l’univers
affaires des Parthes ? Nous sommes-nous jamais occupés de celles des
Romains
? Avons-nous quitté notre pays pour aller ravager
? Aspirons-nous à une domination universelle ? Avons-nous, comme les
Romains
, recueilli les dépouilles du monde pour les trans
t enfin arrivé. Ne vous laissez pas effrayer par le faux éclat du nom
romain
; leurs soldats ne sont pas comparables à nos gue
Il avait été proposé d’admettre les affranchis au nombre des citoyens
romains
: — une vive opposition se manifesta au Sénat. Le
moment de loisir, lui parla en ces termes : « Prince, on dit que les
Romains
sont très belliqueux et qu’ils commandent à un gr
, Cinéas, répliqua Pyrrhus, une chose qui est claire de soi-même. Les
Romains
une fois vaincus, aucune ville barbare, aucune vi
’Héraclée (279 av. J.-C.) Pyrrhus reçut publiquement les ambassadeurs
romains
; ensuite, il prit à part Fabricius et lui parla
il prit à part Fabricius et lui parla en ces termes : « De tous les
Romains
, celui que je désirerais le plus avoir pour ami,
roi dans le Conseil où se discutait le projet de la guerre contre les
Romains
, le général Carthaginois s’exprime en ces termes
quand l’Italie en offre un bien plus favorable. On ne peut battre les
Romains
qu’avec leurs propres armes et dompter l’Italie q
ir ravagé les campagnes, emporté d’assaut quelques villes ; quant aux
Romains
, si l’on a pu les prévenir ou les vaincre, il fau
jourd’hui en présence de vos amis, et je déclare formellement que les
Romains
, invincibles au dehors, sont faibles chez eux. Le
ils pas emparés de Rome autrefois ? Moi-même, n’ai-je pas anéanti les
Romains
presque complètement ? c’est seulement quand j’ai
is que des hommes, et des hommes tels que les soldats et les citoyens
romains
, étaient obligés à errer çà et là avec leurs femm
on de terre dont ils pussent faire leur habitation ; que les généraux
romains
avaient grand tort, lorsqu’ils les animaient à co
révoltes continuelles, le meurtre de Pertinax, la majesté de l’empire
romain
avilie, vendue à l’encan. Telles sont les victoir
r. » Extrait de Mézeray. XCVII. Imprécations d’Annibal contre les
Romains
. Sujet donné à la Sorbonne le 11 novembre 1871.
tre livré par Prusias, roi de Bithynie, à Flamininus, ambassadeur des
Romains
, entendant les ennemis s’approcher et sachant que
t prédit le sort qui l’attendait, connaissant la haine implacable des
Romains
et n’ayant d’ailleurs aucune confiance dans la pa
e. « Délivrons, s’écrie-t-il, de ses éternelles inquiétudes le peuple
romain
, puisqu’il n’a pas la patience d’attendre la mort
ennemi trahi et désarmé ! Ce jour seul prouvera combien les mœurs des
Romains
ont dégénéré. Autrefois leurs pères avertirent Py
tion de la matière. Il languit abandonné maintenant, cet art vraiment
romain
, que ne dédaignaient pas de cultiver les Fabriciu
des Sabins ; en voyant que tant d’autres généraux illustres parmi les
Romains
, se sont toujours imposé le double devoir de défe
é de l’exécution. » [Phrase traduite du Pro-Marcello.] « Croyez-moi,
Romains
: il n’est pas de génie assez fécond, pas d’éloqu
à l’envi des louanges méritées !. Pourtant, César a fait plus encore,
Romains
: les succès militaires peuvent avoir leurs détra
e L’éloquence du barreau I caractères généraux de l’éloquence
romaine
Quand la conquête macédonienne eut renversé la
s lois sévères, concentrer toutes ses forces dans la dialectique. Les
Romains
, race plus dure que les Grecs, sont moins artiste
Palatin, arrête la vue de l’orateur sur les monuments de la grandeur
romaine
et concentre sa pensée dans l’enceinte de la cité
e ! C’est que l’esprit de ce peuple est sociable autant que celui des
Romains
est personnel. Ces tribuns, ces consuls, qui n’on
tère de ces hommes (et notez bien que je ne vous parle pas encore des
Romains
civilisés par la Grèce, mais des vrais fils de la
thétique, » a dit Quintilien. C’est définir d’un seul mot l’éloquence
romaine
. Le pathétique est en effet son trait dominant, c
st satisfait, les oreilles sont charmées ; le cœur n’est pas ému. Les
Romains
trouvaient déjà l’atticisme de Lysias un peu maig
ce s’est formée aussi à l’école du pathétique, nous pensons comme les
Romains
. Et cependant c’est avec ces moyens, qui nous sem
l’enchaîner dans des règles absolues ! En passant d’Athènes au forum
romain
, on se croirait transporté des exercices élégants
forum des tribuns véhéments, vous ne voyez qu’un côté de l’existence
romaine
, le grand côté, qui n’est pas le plus vrai. Ces h
s acteurs rendent souvent l’émotion sans la ressentir, tandis que les
Romains
, la ressentant réellement, la jouaient souvent sa
, de juges interprètes scrupuleux et inflexibles de la loi. L’orateur
romain
plaide en plein air, dans le vaste forum, en prés
ppelle la gloire de l’accusé. Un brave paysan avait, dans la campagne
romaine
, une propriété d’un bon rapport, sur laquelle il
lume toutes ses foudres et lance tous ses éclairs. Sur ce vaste forum
romain
, les discours n’étaient pas, comme chez nous, des
ancêtres ? et à ce Brutus qui chassa les rois et donna la liberté aux
Romains
? que leur dira-t-elle de toi ? de tes actes, de
les Grecs ont appliqué au barreau les procédés de la tribune, et les
Romains
ceux du barreau à la tribune. Rome est le vrai th
semble le mettre au-dessus des lois. Tite-Live nous a gâté nos vieux
Romains
en embellissant leurs discours : il a, comme dit
ructueux de tous les arts. De grands orateurs illustrèrent le barreau
romain
, où n’avaient encore paru que des légistes : Galb
, devra embrasser dans son intelligence tout ce qu’embrasse le peuple
romain
dans sa domination. S’il n’était destiné qu’à déf
uite inutile, sa douloureuse agonie, et ne retrouve un peu de fermeté
romaine
qu’à son dernier moment. Démosthène n’avait pas p
Chapitre III. De l’Éloquence chez les
Romains
. Sans cesse occupés d’expéditions militaires,
chez les Romains. Sans cesse occupés d’expéditions militaires, les
Romains
négligèrent longtemps tous les arts : chez eux, t
ncus prissent le soin de polir et de former leurs vainqueurs ; et les
Romains
durent tous les arts du génie à ces mêmes Grecs,
larité et de perfection. Comme le gouvernement fut populaire chez les
Romains
, tout le temps de la république, il est probable
e parler avec pureté leur langue. Peut-être la facilité qu’eurent les
Romains
, de puiser chez les Grecs tout ce qui manquait au
sthène ». Le règne de la véritable éloquence fut très court chez les
Romains
; elle avait pris naissance avec Cicéron, elle ex
lui. Rien de moins surprenant : la liberté n’était plus, et l’empire
romain
devenait la proie d’une longue suite de tyrans, l
u’en embrasant. Abandonnée dès lors aux sophistes et aux déclamateurs
romains
, elle ne fut plus qu’un composé bizarre d’affecta
principales auxquelles il attribue la décadence totale de l’éloquence
romaine
. « Ce n’est point, dit-il, la disette de talents
ucation anciennes, rapprochées de l’éducation et des exemples que les
Romains
donnaient alors à leurs enfants. « Pénétrons, dit
cerceuil, le regarda tristement ; et tout à coup élevant sa voix : «
Romains
, dit-il, vous avez perdu un grand homme, et moi j
oujours été bon, juste, bienfaisant, généreux, pourquoi le plaindre ?
Romains
, la pompe funèbre de l’homme juste est le triomph
aractère de l’homme et offrir le ton du genre. Apollonius retrace aux
Romains
le plan entier de l’éducation de son héros. « To
arius et vos Pompées. Je vous rappelle cette partie de son éducation,
Romains
, parce que cette mâle institution commence à se p
nce ; et vos âmes se trouvent presque énervées avant de se connaître.
Romains
, on vous outrage en vous flattant ; c’est en vous
ibles de l’enthousiasme du bien. Apollonius poursuit : il apprend aux
Romains
que c’est à la philosophie seule que Marc-Aurèle
écuté avec fureur, que d’autres ont placé à côté d’eux sur le trône ?
Romains
, oserai-je louer la philosophie dans Rome, où tan
a philosophie serait-elle l’ennemi des hommes et le fléau des états ?
Romains
, croyez-en un vieillard qui, depuis quatre-vingts
es richesses, la vie, la mort ne sont rien, où la vertu existe seule.
Romains
, c’est cette philosophie qui vous a donné Caton e
hommages des trois parties du monde. Dans cette assemblée du peuple
romain
était une foule d’étrangers et de citoyens de tou
a réparé nos malheurs. Carthage a remercié une fois les dieux d’être
romaine
. — Il approcha, toucha la tombe, et dit : J’appor
laient adoucis dans ce moment par la douleur. Il s’avança, et dit : «
Romains
, la peste a désolé nos climats. On dit qu’elle av
procha, il ne fut point étonné. Je me sentais élevé par ses discours.
Romains
, le grand homme mourant a je ne sais quoi d’impos
en habit de guerrier, agita sa lance d’une manière terrible. Tous les
Romains
pâlirent. Apollonius fut frappé des malheurs qui
’Énéide de Virgile est-elle regardée comme un poème national chez les
Romains
? (14 novembre 1881). • Décrire le caractère d’Én
le Cid, de Corneille. (11 août 1882). • Que savez-vous sur les pièces
romaines
de Corneille ? (3 novembre 1883). • De la vérité
unté au théâtre grec ? (8 août 1883). • Que pensez-vous des tragédies
romaines
de Racine ? (3 novembre 1883). • Est-ce à bon dro
s et les mœurs de son temps sous des noms et dans des cadres grecs ou
romains
? (27 juillet 1883). • Des trois unités dans Brit
ec joie l’esquisse du poème futur qui sera le vrai poème national des
Romains
. (9 novembre 1883). • Lettre de Charles-Quint à s
onde, faire de cette œuvre artificielle un poème national et vraiment
romain
. Il est vrai que c’est là un exemple unique, et q
ux, enfin avec le fabuliste Babrius (iie siècle ap. J.-C.). Chez les
Romains
, nous ne trouvons aucun poème didactique avant Lu
ques, dans lesquelles il cherche à réhabiliter l’agriculture chez les
Romains
, puis Horace avec son épître aux Pisons (Art poét
s leurs caractères généraux, la littérature grecque et la littérature
romaine
. Développement. — Il est intéressant de compar
our les Latins même. II. — Ce qui caractérise en effet la littérature
romaine
, comparée à la littérature grecque, c’est une ori
re latine sont en grande partie empruntées, et l’on peut dire que les
Romains
doivent aux Grecs le meilleur de leur développeme
. Nous avons, dans ce vers de Virgile, la raison de l’infériorité des
Romains
dans les choses de l’esprit, avouée par ceux même
eul fonds. Il est très naturel que dans ces conditions la littérature
romaine
ait été bien moins féconde que celle de la Grèce
art assez grande, d’ailleurs, faite à l’imitation dans la littérature
romaine
, nous pouvons reconnaître qu’elle a apporté dans
araison s’impose entre cette époque littéraire et celle qui, chez les
Romains
, fut appelée le siècle d’Auguste. Après la Batail
ssala. L’imitation de la Grèce, qui venait d’être réduite en province
romaine
, fut sans doute d’un grand secours à la littératu
province romaine, fut sans doute d’un grand secours à la littérature
romaine
de ce temps ; mais cette imitation, pratiquée par
plus beaux titres de gloire, font défaut au siècle d’Auguste chez les
Romains
. [6] (27 octobre 1884) Montrer par des exem
ut un grand crédit auprès du peuple, et il entraîna par sa parole les
Romains
à la ruine de Carthage. Puis, après une mention d
Grèce, il fut le dernier orateur politique de Rome, car après lui les
Romains
dégénérés abdiquèrent leur liberté entre les main
fêtes des peuplades du Latium. — La naissance de la satire, chez les
Romains
, serait alors le drame primitif, qu’on appelait a
tre le genre correspond bien à une disposition naturelle du caractère
romain
, car on la retrouve à toutes les époques de l’his
ire est chez lui toute morale et en même temps pénétrée de sentiments
romains
; il écrit en effet à l’époque où Rome vient de v
eu à une imitation maladroite et lourde du dilettantisme grec, où les
Romains
, avec une prodigalité et une ostentation de parve
corruption profonde, irrémédiable, qui va commencer à ronger le monde
romain
, et il pousse un énergique cri d’alarme : sa verv
éraires du temps : res non verba, telle pourrait être sa devise ; les
Romains
prennent bien leur temps vraiment, de limer des v
) Dire en quoi l’Énéide de Virgile est un poème national et vraiment
romain
. Développement 8. — On peut dire que Virgile a
ue d’Auguste, qui était de remettre l’agriculture en honneur chez les
Romains
; c’était à la fois travailler pour son bienfaite
’influence de la Grèce était encore peu sensible ; or, la littérature
romaine
ne commença à produire des œuvres de génie qu’à p
majus nascitur Iliade. Le sujet du poème était donc bien national et
romain
; la façon dont Virgile l’a conçu et développé ne
e livre que Virgile a rassemblé tout ce qui pouvait flatter l’orgueil
romain
. Les prédictions d’Anchise à son fils sont un tab
Romane, memento. Comment l’Énéide n’aurait-elle pas enthousiasmé les
Romains
, et comment son auteur n’aurait-il pas été popula
[4] (10 novembre 1885) Marquer les principaux traits du caractère
romain
d’après la Grandeur et décadence des Romains, de
ipaux traits du caractère romain d’après la Grandeur et décadence des
Romains
, de Montesquieu. Plan 9. — Pour Montesquieu, l
u. Plan 9. — Pour Montesquieu, le trait principal du caractère des
Romains
est l’esprit guerrier qui les anima dès les premi
suite dériver toutes les autres vertus qu’on attribue d’ordinaire aux
Romains
: la valeur, la constance nécessaires à « une nat
» Tels sont, d’après Montesquieu, les principaux traits du caractère
romain
, et qui ont leur racine, selon lui, dans cet espr
e, de tourner la meule dans une pistrine, établissement qui, chez les
Romains
, réunissait le commerce du meunier et celui du bo
publique après la bataille de Pharsale ? César, le premier historien
romain
qui, dans l’ordre chronologique, ait laissé un mo
uvelle école littéraire, et se montre injuste envers les vieux poètes
romains
, surtout envers Plaute. L’Art poétique de Boileau
écier ce jugement de La Bruyère sur Corneille : « Corneille peint les
Romains
; ils sont plus grands et plus romains dans ses v
neille : « Corneille peint les Romains ; ils sont plus grands et plus
romains
dans ses vers que dans leur histoire. » Dével
dû être frappés de l’admiration enthousiaste dont Rome et les anciens
Romains
étaient l’objet à cette date. Nous n’avons pas à
re même des historiens latins, qui n’ont jamais inédit de Rome ni des
Romains
, et dont le xvie siècle, aveuglé par la passion
nt-Évremond, Bossuet, furent les complices de cette glorification des
Romains
, comme on l’a si justement appelée. Ils n’ont pas
Mais parmi ceux qui ont ainsi glorifié dans leurs œuvres le caractère
romain
, Corneille mérite, entre tous, d’attirer notre at
tre attention, et La Bruyère a pu dire de lui : « Corneille peint les
Romains
; ils sont plus grands et plus romains dans ses v
de lui : « Corneille peint les Romains ; ils sont plus grands et plus
romains
dans ses vers que dans leur histoire ; » ce qui v
que dans leur histoire ; » ce qui veut dire : Corneille ennoblit les
Romains
en leur donnait quelque chose de sa grande unie,
ces derniers, car il ne faudrait pas se méprendre sur le sens du mot
romain
dans le jugement qui précède. Par suite de la lég
écède. Par suite de la légende qui avait cours alors sur le caractère
romain
, le mot romain était devenu synonyme des plus hau
e de la légende qui avait cours alors sur le caractère romain, le mot
romain
était devenu synonyme des plus hautes vertus ; il
devoir et de l’honneur ; et La Bruyère a voulu dire, non pas que les
Romains
de Corneille étaient plus vrais que ceux de l’ant
ce qui serait un non-sens, mais qu’ils étaient plus conformes que les
Romains
véritables à l’idée qu’on se faisait d’eux au xvi
ome, et nous verrons se justifier le jugement de La Bruyère. Tous les
Romains
qu’il nous présente sont des types de vertu et d’
idéalisant. La Bruyère a donc raison de dire que Corneille peint les
Romains
, et qu’il les fait plus grands que nature, plus g
storique. Poète moraliste et né pour le sublime, il a trouvé dans les
Romains
, tels qu’on les concevait de son temps, des héros
. Mais il est permis de penser qu’il n’a pas d’idées arrêtées sur les
Romains
; la preuve en est que s’il rencontre ailleurs su
cho des haines que soulevait, chez les peuples conquis, la domination
romaine
. Il s’est donc servi, en poète, des idées qui ava
onc servi, en poète, des idées qui avaient cours de son temps sur les
Romains
; il les traite en opinions reçues qu’on exploite
cet engouement aveugle que le xviie siècle professait à l’égard des
Romains
. Et notre siècle leur a donné raison, car l’histo
cun parti ; mais ses plaintes sont souvent bien touchantes : Je suis
Romaine
, hélas ! puisqu’Horace est Romain ; J’en ai reçu
-Live dans ses données générales, mais bien mettre en relief l’esprit
romain
dans la famille et dans la cité. Après avoir esqu
race, il lui donne un fils, moins sympathique, il est vrai, mais plus
romain
encore. Le jeune Horace est courageux, mais viole
d’une part, pour bien faire ressortir la farouche vertu des premiers
Romains
, d’autre part, pour lui opposer une vertu plus hu
antiquité. Les orateurs anciens, notamment Ménénius Agrippa, chez les
Romains
, ont parfois usé de ce procédé pour mieux se fair
pour principaux représentants Ésope et Phèdre, chez les Grecs et les
Romains
. Horace aussi a quelquefois mêlé une fable à une
es grecs, se retrouve également dans les sujets qu’il a empruntés aux
Romains
, comme, en général dans toutes ses tragédies ; au
lyrique, l’autre la sensibilité, la grandeur et le culte de la patrie
romaine
; Horace représente l’esprit, le caractère vif, e
crit à un de ses amis. Il lui dit quelle est la période de l’histoire
romaine
qu’il se propose de raconter dans son nouvel ouvr
parler de notre misérable époque ; tandis qu’au-dehors la domination
romaine
est universelle, au-dedans l’esclavage, cette pla
’a accordé autant de considération aux orateurs, que les Grecs et les
Romains
. Il en devait être ainsi : on a pu voir, dans le
ution d’un peuple ; et qu’elle avait rencontré, chez les Grecs et les
Romains
, un concours de circonstances qu’il lui était imp
ver parmi les nations modernes. Les ruines, dont la chute de l’empire
romain
couvrit l’Europe entière, achevèrent d’étouffer l
rêter un moment. Comme on peut dire qu’il n’y eut plus de Grecs ni de
Romains
, dès l’instant qu’il ne fut plus permis, à Athène
dans toutes les parties de ce bel art, non seulement aux Grecs et aux
Romains
, mais même aux Français dans quelques parties. Da
t nous avons fait une étude particulière. Sans doute les Grecs et les
Romains
avaient plus de génie que nous ; mais nous avons
Voici un portrait de Jules César mis par Vertot dans ses Révolutions
romaines
, qui montrera comment on peut mêler à la peinture
nt J.-C, fut du nombre de ces mille Achéens qui, durant la guerre des
Romains
contre Persée, roi de Macédoine, furent emmenés à
prenait l’histoire des Syriens, des Mèdes, des Perses, des Grecs, des
Romains
et des Carthaginois. C’était le monde entier pour
ait le monde entier pour l’époque d’Auguste. Trogue-Pompée, historien
romain
, fit, vers le commencement de l’ère chrétienne, u
lus tard, fit la même chose à l’égard de Thucydide. De même, chez les
Romains
, Tacite, venant après Tite-Live, ne refit pas la
Tacite, venant après Tite-Live, ne refit pas la partie de l’histoire
romaine
que celui-ci avait traitée : il commença la sienn
pédition de Cyrus le Jeune, et la Retraite des Dix mille. 2º Chez les
Romains
, Salluste, né l’an 85 avant J.-C, avait fait une
s, Salluste, né l’an 85 avant J.-C, avait fait une Histoire du peuple
romain
depuis la mort de Sylla jusqu’à la conjuration de
ie après la mort de cet empereur. Il entreprit et acheva une Histoire
romaine
complète, depuis les temps les plus reculés jusqu
es Révolutions de Portugal, les Révolutions de Suède, les Révolutions
romaines
; Montesquieu, qui nous a donné les considération
s considérations sur les Causes de la grandeur et de la décadence des
Romains
. Extrayons de ce dernier ouvrage le parallèle ent
yons de ce dernier ouvrage le parallèle entre les Carthaginois et les
Romains
. Carthage, devenue riche plus tôt que Rome, avai
Carthage, qui faisait la guerre avec son opulence contre la pauvreté
romaine
, avait par cela même du désavantage : l’or et l’a
ertu, la constance, la force et la pauvreté ne s’épuisent jamais. Les
Romains
étaient ambitieux par orgueil, et les Carthaginoi
sants et les plus utiles qui nous soient parvenus de l’antiquité. Les
Romains
ont plusieurs biographes célèbres. Cornélius-Népo
rillante, mais qui, peut-être, est la plus difficile de toutes64. Les
Romains
ont un certain nombre d’historiens abréviateurs q
m de προϐούλευμα, et n’avait force de loi que pendant un an. Chez les
Romains
, les comices ou assemblées du peuple se tenaient
ce et le courage de Cicéron déjouèrent ses complots, et sauvèrent les
Romains
d’une ruine certaine. Des quatre discours que Cic
Cicéron monta à la tribune aux harangues pour rendre compte au peuple
romain
de tout ce qui s’était passé. C’est le sujet de l
au fidèle des forces des deux partis, et le contraste de la puissance
romaine
, et d’une armée de brigands ; 3º enfin il ranime
et d’une armée de brigands ; 3º enfin il ranime le courage du peuple
romain
, par de nouvelles protestations de son dévouement
ri esse voluerunt ». L’orateur termine, en ranimant la confiance des
Romains
, par l’idée consolante que les dieux ne peuvent a
ons actuellement, ce sont les discours fameux prononcés dans le sénat
romain
, par César et par Caton, au sujet des complices d
il jamais croire Que Rome eut un sénat et des législateurs, Quand les
Romains
n’ont plus ni lois, ni sénateurs ? Où retrouver e
(Sall., in Cat. c. 31). 58. Exorde. « Nous sommes enfin parvenus,
Romains
, à chasser, à éloigner, du moins, du milieu de vo
vous pussiez combattre un ennemi ouvertement déclaré ». 61. « Jugez,
Romains
, de l’effroi que m’inspire un pareil ennemi au-de
mple édit du préteur, ferait prendre la fuite ». 62. « Épuisez donc,
Romains
, épuisez toutes vos ressources, déployez toutes v
, et qui lui manquent : ne parlons point ici du sénat, des chevaliers
romains
, du peuple, du trésor public, des revenus de l’ét
tion des scélérats convaincus de leur crime ». 64. « Ce n’est point,
Romains
, sur la faiblesse de mes lumières, sur toutes les
t d’une protection spéciale et d’un secours assuré. Offrez-leur donc,
Romains
, vos prières, vos hommages, et conjurez-les de dé
Rhodes, qui devait son éclat et sa richesse à la faveur signalée des
Romains
, ne rougit point de se déclarer contre nous. Quan
r aujourd’hui si nos mœurs sont bonnes ou mauvaises, si la gloire des
Romains
égale leur puissance : il s’agit de savoir si nos
e ; ils appellent à leur secours les Gaulois, ennemis déclarés du nom
romain
; le chef des conjurés s’avance à la tête d’une a
uité ; né d’Amilcar-Barca, l’an 247 avant J.-C. Implacable ennemi des
Romains
, auxquels, dès l’âge de neuf ans, il avait voué u
sous ses ruines que de se rendre. De là, résolu d’aller attaquer les
Romains
dans Rome même, il passe les Pyrénées, traverse l
s du lac de Trasimène, dans l’Étrurie (ou Toscane). Fabius, dictateur
romain
, interrompit le cours de ses victoires, par une s
lorsque la situation de sa patrie, pressée de tous les côtés par les
Romains
, le fit retourner en Afrique, où il eut, sous les
, Annibal, honteux de l’opprobre de sa patrie, devenue tributaire des
Romains
; ne recevant d’ailleurs, pour prix de ses servic
empoisonna lui-même, âgé de 64 ans, pour ne pas tomber au pouvoir des
Romains
, qui exigeaient qu’on le leur livrât. Aonie, pet
Virgile appellent des foudres de guerre, y commandaient alors l’armée
romaine
. Il se livra une grande bataille, où les deux Sci
e carthaginoise fut taillée en pièces, et Asdrubal y périt. Le consul
romain
fit jeter sa tête encore toute sanglante dans le
e la Patrie. Depuis son avènement à l’Empire, Auguste fut l’idole des
Romains
. Il ne régna que par les lois ; prit soin de cons
e Flore, lorsque Zéphire la fit déesse des fleurs, en l’épousant. Les
Romains
célébraient tous les ans, au mois de mai, les Jeu
t prince des Juifs, Hyrcan II l’an 40 avant J.-C. À cette époque, les
Romains
, qui avaient assujetti les Juifs, leur ôtèrent le
les réunis ne formèrent plus que le royaume de Juda. Les Grecs et les
Romains
appelèrent cette contrée Palestine, du nom des Pa
Marc-Antoine réunis, et Brutus et Cassius, généraux de la république
Romaine
. La Macédoine d’aujourd’hui, beaucoup moins étend
à tout, il se contenta, jusqu’à la mort, du simple rang de chevalier
romain
, il ne cessa d’être le protecteur des sciences et
ou une tour avec un fanal. Elle était très considérable du temps des
Romains
, et ne le fut pas moins dans la suite sous les Fr
nneurs du triomphe, à l’âge de 24 ans, quoiqu’il fut simple chevalier
romain
. C’est alors qu’on lui donna le surnom de grand ;
ner, de lier, de garrotter, de frapper ou de mettre à mort un citoyen
romain
: elle permettait seulement de condamner à l’exil
fils de la vestale Rhéa Sylvia, fille de Numitor, roi d’Albe ; et les
Romains
lui donnaient pour père le Dieu Mars, par lequel
, sur un char traîné par des colombes ou des cygnes. Verrès, citoyen
romain
, qui exerça la charge de préteur en Sicile. Il fu
e qui n’a point varié depuis Cicéron, et qu’il adresse ici aux jeunes
Romains
qui l’environnent. 87« Vosque, adolescentes, et
t plus occupés d’eux-mêmes que des intérêts de la patrie. » En effet,
Romains
, sans qu’il soit nécessaire de vous rappeler ici
mer par vos décisions, par des arrêts surpris à votre équité. Et moi,
Romains
, cette même voix qui ne devait plus être désormai
heureusement travaillé à me la rendre à moi-même, à vous et au peuple
romain
». 82. « L’un (Gabinius) tout dégoûtant de par
ugié dans le tribunat comme dans un port. Il méprisait les chevaliers
romains
, menaçait les sénateurs, se vendait à la populace
arouche ! quel regard terrible ! On aurait cru voir un de ces anciens
Romains
, un de ces vieux républicains, un modèle des prem
es abominables brigands ; et s’étant présenté pour supplier le peuple
romain
de lui accorder mon retour, il fut précipité de l
Où est ici la matière de l’accusation, etc. » ? 85. « Qui de vous,
Romains
, ignore que, dans l’origine des choses, les homme
heureuse tranquillité ». 87. « C’est à vous que je m’adresse, jeunes
Romains
! Vous qui êtes nobles, je vous exciterai à imite
ertueux et honnête homme. — 7. Pompée, Scipion et Afranius, illustres
Romains
, périrent misérablement. — 8. On vante les Athéni
inondas. — 9. Eumène, roi de Pergame, et les Rhodiens secoururent les
Romains
. version 3. 1. Ego tuque sumus christiani.
de, inconstante, incertaine, capricieuse. — 7. Caïus Marcius, général
romain
, prit la ville de Corioles, ce qui lui valut le s
blâmables. — 2. Toutes les terres et toutes les mers obéissaient aux
Romains
. — 3. La politesse et l’affabilité du langage gag
mmeil de l’ivresse, ou buvaient à moitié endormis. — 11. Trente mille
Romains
furent vaincus par quatre mille Numantins. — 12.
émoniens, puis les Athéniens, après eux les Macédoniens, et enfin les
Romains
. version 11. Romæ et Carthaginis origo.
ons le passé, dans notre indifférence pour le présent. — 12. Chez les
Romains
, l’époque de Papirius fut féconde en vertus. — 13
Scipion était insatiable de vertu et de vraie gloire. — 14. Chez les
Romains
, Scévola l’augure passa pour très-versé dans la s
ffaires de l’Etat. — 16. Eumène, roi de Pergame, fut très-attaché aux
Romains
. — 17. Marius fut toujours hostile à la noblesse.
Numides, comptant sur la multitude de ses soldats, livra bataille aux
Romains
. — 7. Cette vie est pleine de maux. — 8. La terre
os maux. — 9. La Gaule était remplie de marchands, pleine de citoyens
Romains
. — 10. La maison d’Antoine était pleine de joueur
euse que prudente : il vainquit les Carthaginois, et il sauva l’armée
Romaine
. § 133. Complément des superlatifs. ve
tus et Cassius, les meurtriers de César, ont été appelés les derniers
Romains
. — 8. Parmi les vices, aucun n’est plus fréquent
appetentissimus fuit. corrigé. Caractère des premiers empereurs
Romains
. Auguste fut un prince plein de douceur ; il a
onnier Syphax, il vainquit Annibal, et rendit Carthage tributaire des
Romains
. — 3. Les anciens surnommèrent l’Espagne Ibérie,
na le nom de philosophes aux hommes amoureux de la sagesse. — 11. Les
Romains
appelèrent sénat le conseil suprême de la Républi
mains appelèrent sénat le conseil suprême de la République. — 12. Les
Romains
donnèrent à leurs souverains les titres de Césars
ie rend plusieurs services à l’architecture. — 7. Clélie, jeune fille
Romaine
, donnée en otage à Porsenna, roi des Étrusques, t
Épaminondas. — 3. Les légions latines furent façonnées à la tactique
romaine
. — 4. Hipponiate apprit sous la discipline d’Anni
s Tarentins demandèrent à Pyrrhus, roi d’Épire, du secours contre les
Romains
. — 8. Je n’ai jamais demandé à Dieu la richesse,
conquête du royaume des Indes. — 9. Eumène, roi de Pergame, allié des
Romains
, se plaignit devant le sénat de Persée, roi de Ma
’autres connaissances. — 4. Hiéron, roi de Sicile, obtint la paix des
Romains
. — 5. Les envoyés de Darius demandèrent du secour
mides. C’était par l’avarice des chefs que jusqu’alors les forces des
Romains
avaient succombé en Numidie. Mais Métellus avait
n-seulement je regrette ma sottise, mais encore j’en rougis. — 4. Les
Romains
se lassèrent des rois. — 5. L’homme bon a pitié d
coutume de se repentir. — 9. Les Parthes écrasèrent Crassus, général
romain
; mais bientôt ils se repentirent de leur victoir
de leur victoire, et renvoyèrent d’eux-mêmes à Auguste les enseignes
romaines
, qu’ils avaient enlevées à Crassus vaincu. — 10.
corrigé. 1. La plus grande partie de l’Europe appartenait aux
Romains
; l’Asie tomba en leur pouvoir ; enfin toute la t
leva six mille talents à Ptolémée, roi d’Égypte. — 8. Verrès, préteur
romain
, enleva des temples les plus sacrés de la Sicile
na vers la religion les esprits farouches du peuple : il enseigna aux
Romains
les sacrifices, les cérémonies et tout ce qui con
tur esse propria libertas. corrigé. Sur les anciennes mœurs des
Romains
. Chez les Romains, la pauvreté et l’épargne fu
rtas. corrigé. Sur les anciennes mœurs des Romains. Chez les
Romains
, la pauvreté et l’épargne furent longtemps en hon
ir et non délibérer. — 10. Autrefois il n’était pas permis aux femmes
romaines
de boire du vin. — 11. Il importe à l’orateur d’i
e verser avec plaisir le sang humain. — 19. Autrefois les plus nobles
Romains
ne dédaignaient pas de cultiver eux-mêmes leurs t
nt assiéger sa patrie. — 2. Mithridate, méditant la guerre contre les
Romains
, envoya demander du secours aux Gallogrecs, aux S
au sénat pour se plaindre de l’avarice et de l’orgueil des magistrats
Romains
. — 4. Pacuvius avait donné sa fille en mariage à
érie, et le siége paraissait devoir durer longtemps ; mais le général
romain
dut à la fortune, ou plutôt à sa vertu, une victo
ndant le temps de la guerre, il mena un jour tous les enfants au camp
romain
à travers les postes ennemis, et les livra à Cami
ites, dans cette criminelle tentative, les plus nobles de la jeunesse
romaine
: un orage terrible menaçait la République. Aussi
général ; bientôt il se rendit maître de toute la Lusitanie. — 9. Les
Romains
enlevèrent des jeunes filles Sabines de bonne fam
q mille pas d’Épidaure. — 5. L’espèce de tuiles dont se servaient les
Romains
avait un pied de long, et un demi-pied de large.
les rhinocéros contre un rocher. — 5. Les Grecs ont été au-dessus des
Romains
par l’éloquence, les Gaulois par la gloire guerri
Parthes, détruisit le général Crassus avec son fils et toute l’armée
Romaine
. — 6. La fertilité de la terre rend la semence av
lé en Sicile une armée d’esclaves fugitifs, battit plusieurs généraux
Romains
. — 5. Tibère eut pour successeur Caïus César, sur
or. — 9. La victoire coûte bien du sang et bien des larmes. — 10. Les
Romains
rachetèrent leur ville des Gaulois à prix d’or. —
régna soixante ans, il en vécut soixante-douze ; il fit la guerre aux
Romains
pendant quarante-six ans avec des succès divers.
. Les fourmis amassent soigneusement du grain pour l’hiver. — 12. Les
Romains
ont fait la guerre en Espagne pendant près de deu
s, depuis les premiers Scipions jusqu’à César Auguste. — 13. Chez les
Romains
, la peinture fut de bonne heure en honneur : Fabi
et au dehors, est une tâche plus difficile qu’on ne croit. — 18. Les
Romains
ne prenaient aucune mesure d’intérêt public, ni e
pée et les consuls s’étaient réfugiés. — 6. Pompée est le premier des
Romains
qui ait soumis les Juifs et qui soit entré dans l
ertaines fautes dans Démosthène lui-même. — 13. Chez les plus anciens
Romains
, ni la naissance ni la fortune n’obtenaient une c
revenaient d’un repas, reconduits chez eux par les jeunes gens : les
Romains
paraissent avoir emprunté cet usage aux Lacédémon
nata, ad seditionem nata videbatur. corrigé. Sur les magistrats
Romains
. Les rois furent remplacés par les consuls, in
, imperiumque ad consules rediit. corrigé. Suite des magistrats
Romains
. L’an trois cent un après la fondation de Rome
ibant lictores cum fascibus bini. corrigé. Suite des magistrats
Romains
. L’an trois cent dix après la fondation de Rom
appartenait la surveillance des mœurs et le maintien de la discipline
romaine
. La préture commença environ quatre-vingts ans ap
écrie : « Voici Priam ! » — 15. Après la première guerre punique, les
Romains
eurent à peine quatre ans de repos ; et voilà aus
mmes et de la faveur des dieux ! — 4. Les Numantins, assiégés par les
Romains
et réduits à la famine, s’abandonnèrent au dernie
eliquit. corrigé. Succès de l’empereur Auguste. La puissance
romaine
ne fut jamais plus florissante, si l’on fait abst
dans lesquelles ce prince ne fut jamais vaincu. Il ajouta à l’empire
romain
l’Égypte, la Cantabrie et la Dalmatie, qui, déjà
i donnèrent des otages ; les Parthes lui rendirent même les enseignes
romaines
, qu’ils avaient enlevées à Crassus vaincu. Les Sc
nlevées à Crassus vaincu. Les Scythes et les Indiens, auxquels le nom
romain
avait été inconnu précédemment, lui envoyèrent de
ume, fut réduite en province sous son règne. Des rois, amis du peuple
romain
, fondèrent, en l’honneur d’Auguste, des villes qu
que l’avare ? A accroître son patrimoine. — 5. De quoi avons-nous les
Romains
étaient-ils avides ? De gloire. — 6. De quoi avon
fils du roi Eumène, laissa un testament ainsi conçu : « Que le peuple
romain
soit l’héritier de mes biens. » — 25. Il était éc
mer, qu’ils appelaient des noms de Vulcain, de Vesta, de Neptune. Les
Romains
adoraient une pierre brute et informe, qui s’appe
ssent du malheur d’autrui comme de leur propre bonheur. — 8. Chez les
Romains
, les couronnes d’or, quoique d’une valeur supérie
e que, si ce dernier fonda la ville de Rome, l’autre fonda la liberté
romaine
. — 4. Les disciples d’Aristote furent appelés pér
s encore plus grandes. — 7. A la bataille de l’Allia, si la fuite des
Romains
livra Rome aux ennemis, elle sauva l’armée. — 8.
colère. » — 8. On connaît ce mot de Manlius refusant le consulat : «
Romains
, dit-il, cherchez un autre consul ; car si vous m
. Hanc quoque fœdè violant : exhinc bellum. corrigé. Guerre des
Romains
contre Pyrrhus. Tarente, colonie Lacédémonienn
les Tarentins célébraient des jeux, ils voient du théâtre une flotte
romaine
s’avancer vers le rivage ; ils se précipitent, il
s laquelle les éléphants semèrent au loin le carnage et la fuite. Les
Romains
combattirent ensuite plus heureusement près d’Asc
sur son bouclier. La dernière bataille, livrée en Lucanie, donna aux
Romains
une victoire incontestable. Pyrrhus perdit son ca
ulois, une voix plus éclatante que celle d’un homme avait annoncé aux
Romains
que les Gaulois approchaient. version 147.
t virtutis gloriam sempiternam. corrigé. Exhortation aux jeunes
Romains
. Imitons les Brutus, les Camille, les Ahala, l
é qu’il serait appelé à l’empire. — 7. Tite-Live ne pense pas que les
Romains
eussent été vaincus par Alexandre, si ce prince,
artie de leur armée par les forces carthaginoises, aucun des généraux
Romains
n’osait partir pour rétablir les affaires dans ce
rer de toute la Gaule. — 12. Les Gaulois, ayant déclaré la guerre aux
Romains
, avaient juré de ne pas détacher leurs baudriers
9. Pyrrhus, roi d’Épire, rêvant l’empire du monde, et voyant que les
Romains
étaient puissants, consulta Apollon sur les chanc
ce double sens : « Descendant d’Éaque, je dis que tu peux vaincre les
Romains
, ou que les Romains peuvent te vaincre. » Ayant i
escendant d’Éaque, je dis que tu peux vaincre les Romains, ou que les
Romains
peuvent te vaincre. » Ayant interprété cette répo
à ses vœux, il vint au secours des Tarentins et déclara la guerre aux
Romains
. version 157. Diluvium. Deus, malitiâ ho
t ut populus Romanus unam cervicem haberet(3). corrigé. 1. Les
Romains
avertirent le roi Pyrrhus, un ennemi armé contre
thaginois, entreprit le siège de Sagonte, ville d’Espagne, alliée des
Romains
: les Romains lui signifièrent par ambassadeurs d
reprit le siège de Sagonte, ville d’Espagne, alliée des Romains : les
Romains
lui signifièrent par ambassadeurs de cesser les h
e pouvait souffrir qu’Athènes fût esclave des Lacédémoniens. — 5. Les
Romains
pensaient qu’il importait au salut général qu’il
plus mauvais citoyens. — 8. La loi Oppia ne permettait pas aux femmes
romaines
de se servir d’étoffes de diverses couleurs. — 9.
eur courage. — 13. Démétrius poussa Philippe à déclarer la guerre aux
Romains
. — 14. Le dictateur Sylla ne put par aucun moyen
Les Tusculans, par leurs fréquentes révoltes, avaient mérité que les
Romains
détruisissent de fond en comble la ville de Tuscu
reprocha à un historien d’avoir appelé Brutus et Cassius les derniers
Romains
. — 8. Epicure se vantait de n’avoir pas eu de maî
es la faveur des Macédoniens. — 12. Publicia et Licinia, nobles dames
Romaines
, furent accusées d’avoir empoisonné leurs maris.
n était en suspens, incertain si l’empire du monde appartiendrait aux
Romains
ou aux Carthaginois. — 4. Je ne sais si le temps
comme une épreuve, les dieux immortels voulant s’assurer si la vertu
romaine
méritait l’empire du monde. — 5. C’est une questi
uleur ou la mort. — 8. Capoue, qui avait fait défection et quitté les
Romains
pour Annibal, fut reprise par les consuls Quintus
, dans un État, tels princes, tels sujets. — 7. Telle était la nation
Romaine
, qu’elle ne savait pas rester sous le coup d’une
ent faits, de lourds hoyaux, des socs pesants, des bœufs bien repus. «
Romains
, dit-il ensuite, tels sont (ou voilà) mes sortilè
e par Scipion le même jour qu’elle avait été assiégée. — 15. Chez les
Romains
, les généraux cultivaient autrefois les champs de
rs. Aussi, pendant la guerre contre Numance, comme il fournissait aux
Romains
des secours de cavalerie et d’infanterie, il le m
es. Tullus Hostilius, après avoir admirablement exercé la jeunesse
Romaine
, osa attaquer les Albains, peuple redoutable. Il
et la constance, lors même qu’il n’y aurait aucun intérêt ? — 3. Les
Romains
adoraient certaines divinités ridicules ; qui ne
faire ? — 6. Après la défaite de Carthage, qui se fût attendu que les
Romains
auraient encore quelque guerre en Afrique ? — 7.
tel qu’on désire paraître. — 11. Caton écrit que souvent les légions
romaines
partirent avec une joyeuse ardeur pour des lieux
arquinius vocaretur. corrigé. De l’origine du consulat chez les
Romains
. Après l’expulsion de Tarquin, on créa deux co
gué l’Asie, tourné ses armes contre l’Europe et déclaré la guerre aux
Romains
, qui, dans mon opinion, ne lui étaient pas même c
nvincible Alexandre aurait eu affaire à des généraux invincibles. Les
Romains
auraient eu un grand nombre de chefs égaux à Alex
n fuite, près de Nole, l’armée d’Annibal, et le premier il rendit aux
Romains
, découragés par tant de défaites, une meilleure e
rrigé. 1. On rapporte que Pyrrhus, admirant le courage des soldats
Romains
, s’écria : « Oh ! que la conquête de l’empire du
ête de l’empire du monde eût été facile, ou pour moi avec des soldats
Romains
, ou pour les Romains avec Pyrrhus à leur tête ! »
nde eût été facile, ou pour moi avec des soldats Romains, ou pour les
Romains
avec Pyrrhus à leur tête ! » — 2. Songez combien
re ? — 3. Horace, vainqueur des trois Curiaces, fut accueilli par les
Romains
avec d’autant plus de joie que leurs affaires ava
psi(1). corrigé. 1. Si l’on voulait parler en détail des mœurs
romaines
, le temps ferait défaut plus tôt que la matière.
hilosophes. — 7. Sulpicius Gallus, tribun militaire, préserva l’armée
romaine
d’une grande inquiétude en prédisant une éclipse,
men(1) dejici. corrigé. Sur le supplice des parricides chez les
Romains
. C’est Solon qui a rédigé les lois que suivent
le cœur. — 5. Tout homme est pour lui-même un juge partial. — 6. Les
Romains
avaient le respect le plus religieux pour les tra
de Marathon cette bataille si fameuse dans les histoires grecques et
romaines
: cela se passa environ deux cent soixante ans ap
rtir. Il faut donc regarder comme un homicide ce prince de la sagesse
romaine
, ce Caton qui, avant de se donner la mort, lut, à
e, pour sauver un vieillard comme lui avec une poignée de prisonniers
Romains
, on rendît aux ennemis tant de milliers de captif
us leur avait offert de l’empoisonner. (2). A Pharsale, on combattit
Romains
contre Romains. (3). Afin de pouvoir le faire pé
ffert de l’empoisonner. (2). A Pharsale, on combattit Romains contre
Romains
. (3). Afin de pouvoir le faire périr d’un seul c
u bout d’un certain temps, habiter dans un autre corps. (1). L’armée
romaine
était assiégée dans son camp.
mi de Montaigne, et ces deux noms sont à jamais inséparables. Les
Romains
de la décadence Le menu populaire1, duquel le
ir les luisants images de livres illuminés12, apprennent à lire. Les
Romains
tyrans s’adviserent encores d’un aultre poinct, d
en dire que, après sa mort, aussi vilaine que sa vie, le noble peuple
romain
en receut tel desplaisir, se soubvenant de ses je
e, à la verité, ce fut ceste venimeuse doulceur qui, envers le peuple
romain
, sucra1 la servitude. Mais, après sa mort, ce peu
ceux qui l’avoient tué. Ils n’oublierent pas cela aussi les empereurs
romains
, de prendre communement le tiltre de tribun du pe
pour la statue de la Virginité endormie1 Tableau de la campagne
romaine
2 Rome, 10 janvier 1804. Figurez-vous quelque
litas et viduitas 1. Vous apercevez çà et là quelques bouts de voies
romaines
, dans des lieux où il ne passe plus personne ; qu
e le lit désert d’une onde orageuse qui s’est écoulée comme le peuple
romain
. À peine découvrez-vous quelques arbres, mais par
tels que les a laissés le soc de Cincinnatus, ou la dernière charrue
romaine
. Du milieu de ce terrain inculte que domine et qu
cette description, qu’il n’y a rien de plus affreux que les campagnes
romaines
? Vous vous tromperiez beaucoup ; elles ont une i
ement. Rien n’est comparable, pour la beauté, aux lignes de l’horizon
romain
, à la douce inclinaison des plans, aux contours s
les coteaux sont taillés en terrasses, comme si la main puissante des
Romains
avait remué toute cette terre. Une vapeur particu
les arcades des ruines, s’ouvraient des points de vue sur la campagne
romaine
. Des buissons de sureau remplissaient les salles
dans mon esprit : tantôt j’admirais, tantôt je détestais la grandeur
romaine
; je pensais tantôt aux vertus, tantôt aux vices
imitations d’autres monuments répandus dans les provinces de l’empire
romain
: le véritable temple de Sérapis à Alexandrie, la
dire, à la fin du quatrième siècle, époque de la division de l’empire
romain
, en empire d’orient et en empire d’occident. Il y
ire des Égyptiens, des Syriens, des Mèdes, des Perses, des Grecs, des
Romains
et des Carthaginois. Le style en est simple et gr
Christ, fut du nombre de ces mille Achéens, qui, durant la guerre des
Romains
contre Persée, roi de Macédoine, furent emmenés à
t produits. Les comparaisons que fait l’auteur de ces Grecs et de ces
Romains
, sont d’une justesse et d’une sagacité d’esprit a
pendant 25 ans, y composa en langue grecque l’Histoire des antiquités
romaines
, divisée en vingt livres. Il ne nous en reste que
time d’Auguste, dont il reçut des mémoires pour composer son Histoire
romaine
. Elle commence à la fondation de Rome, et finissa
arvenu qu’un fragment de l’ancienne Histoire grecque, avec l’Histoire
romaine
, depuis la défaite de Persée, dernier roi de Macé
et ouvrage d’ailleurs respire la vertu et la fait aimer. Son Histoire
romaine
depuis la fondation de Rome jusqu’à la bataille d
ontesquieu, dans ses Considérations sur les causes de la grandeur des
Romains
et de leur décadence. Le titre de cet ouvrage dit
stoire purement politique de la naissance et de la chute de la nation
romaine
, ou si l’on veut, le recueil des faits divers, da
qu’on ne peut lire avec fruit que quand on possédera bien l’histoire
romaine
, jusqu’à l’extinction de l’empire. C’est le moyen
que chose de mieux fait sur cette partie importante de l’histoire des
Romains
. Les tomes 21e et 22e n’ont paru qu’après la mort
. L’abbé de Vertot dans son Histoire des révolutions de la république
romaine
, un de nos meilleurs ouvrages historiques. On y a
u’il méditait. Les Considérations sur la grandeur et la décadence des
Romains
sont le plus classique de ses écrits. Le génie de
e s’étaient pas d’abord fort souciés du droit de bourgeoisie chez les
Romains
, et quelques-uns aimèrent mieux garder leurs usag
universelle, qu’on ne fut rien dans le monde si l’on n’était citoyen
romain
, et qu’avec ce titre on était tout, les peuples d
tre on était tout, les peuples d’Italie résolurent de périr ou d’être
Romains
: ne pouvant en venir à bout par leurs brigues et
s yeux, on n’eut plus le même amour pour la patrie, et les sentiments
romains
ne furent plus4. Les ambitieux firent venir à Rom
rats de piller la république, n’allèrent-ils pas l’accuser devant les
Romains
? Malheureux, qui voulaient être citoyens sans qu
« Ceux qui ont pu choisir ont préféré leurs lois au droit de la cité
romaine
, qui a été une peine nécessaire pour ceux qui n’o
s Considérations sur les causes de la grandeur et de la décadence des
Romains
, le plan tracé par Bossuet, et se charge de le re
randeur apparente dans la rapide esquisse de Bossuet, qui ne fait des
Romains
qu’un épisode de l’histoire du monde ; Rome se mo
niens s’y étant rendus pour une affaire particulière, tous les jeunes
Romains
qui les entendirent, furent ravis de leur éloquen
la douceur d’Anacréon, et fit oublier Lucile, qui avait été, chez les
Romains
, le père de la satire. Tibulle et Properce répand
re, le gigantesque, les jeux d’esprit, les faux brillants du tragique
romain
et du chantre de César, ne firent qu’en accélérer
s, firent revivre dans leurs belles productions la langue des anciens
Romains
. Érasme, le fléau du mauvais goût de son temps ;
enable. Elle prend son nom de celui de Rhéteurs, que les Grecs et les
Romains
donnaient à ceux qui professaient cette science e
’Africain, accusé de péculat, est cité à comparaître devant le peuple
romain
, pour expliquer ses comptes. Dédaignant de se jus
de se justifier, ce grand guerrier s’adresse au peuple et s’écrie :
Romains
, à pareil jour qu’aujourd’hui nous vainquîmes Ann
t se plaindre au sénat de l’avidité et de la tyrannie des gouverneurs
romains
; il le fait dans un discours plein de franchise
autorité si respectable : nous avons transcrit les rhéteurs grecs et
romains
avec une exactitude qu’il sera facile de vérifier
bératif. On prouve qu’il faut admettre Archias au nombre des citoyens
romains
; pourquoi ? parce qu’il a un génie qui fera honn
ccasion de louer ou de blâmer, d’exhorter ou de dissuader : l’orateur
romain
défend Milon, et il exhorte ses juges à le conser
’est là qu’on voit ces grandes idées : « Mettre aux fers un citoyen a
romain
, c’est un crime ; le battre de verges, c’est un a
ctions barbares : combien ne doivent-elles pas émouvoir des sénateurs
romains
, protecteurs des lois et de la liberté ?… » De Su
rmet pas de faire un aussi grand usage du pathétique que les orateurs
romains
. Du temps de la république, où il y avait peu de
ut45. Telle est la véritable éloquence, l’éloquence des passions. Les
Romains
, occupés des lois, de la guerre, de l’agriculture
rsonne de l’orateur et des juges eux-mêmes. Du temps de la république
romaine
, où l’avocat était quelquefois supérieur aux juge
raire, et dont la mémoire, par cette raison, était si chère au peuple
romain
; après s’être insinué peu à peu dans l’esprit de
de rendre ainsi la preuve plus capable de faire impression. L’orateur
romain
a excellé dans cette partie puissante de l’éloque
’il est vraisemblable qu’à la veille presque des assemblées du peuple
romain
où se devaient donner les charges, Milon, qui vou
es de Pacuvius, et malgré l’opposition de Magius, qui tenait pour les
Romains
, s’était rendue à Annibal, qui bientôt après y fi
e front terrible qui met en fuite les armées, qui épouvante le peuple
romain
, seul en braveras-tu la majesté96 ? » Quelle foul
rmées entières qui ne peuvent soutenir le visage d’Annibal, le peuple
romain
même que ses regards font trembler, et un faible
passions (commiseratio, indignatio), était d’un grand usage chez les
Romains
. « Réservez pour la péroraison, dit Quintilien (V
aire, était l’exil. Voici comme Cicéron le fait parler105 : « Que les
Romains
, dit-il, que mes concitoyens vivent heureux ! qu’
me affreux ai-je conçu, ou de quel forfait me suis-je rendu coupable,
Romains
, quand j’ai pressenti les complots tramés contre
au panégyrique. La cause de Rabirius intéressait la majesté du peuple
romain
: je m’y livrai à toute la chaleur des mouvements
rlant des figures, a quelquefois mal saisi les principes de l’orateur
romain
. On aurait tort certainement d’opposer le simple
, ou de parler en termes simples et familiers de la majesté du peuple
romain
. » Un orateur qui débuterait par un exorde pompeu
l y a aussi un faux éclat. L’historien Florus, parlant de ces soldats
romains
qu’on trouva morts sur leurs ennemis après la bat
caractère d’Annibal, la situation de l’univers, la grandeur du peuple
romain
, toutes ces idées sont exprimées ainsi par le mêm
: « Annibal fugitif cherchait par tout l’univers un ennemi au peuple
romain
. » Qui, profugus ex Africa, hostem populo romano
endants, » disait un barbare à ses compagnons, en marchant contre les
Romains
: Ituri in aciem, et majores et posteras cogitat
et, pourquoi le ciel devait-il faire l’honneur à Pompée de rendre les
Romains
esclaves après sa mort ? Le contraire serait plus
sage. L’idée de torrent, sous laquelle le poète désigne la puissance
romaine
, a amené les mots se déborder, entraîner, inonder
ur un nom propre, ou bien un nom propre pour un nom commun. L’orateur
romain
pour marquer Cicéron ; le destructeur le Carthage
à une époque même où il avait élevé si haut la gloire de l’éloquence
romaine
, attachait encore quelque prix à ces leçons des r
ouleurs. La principale beauté consiste à peindre un préteur du peuple
romain
dans l’attitude où le représente Cicéron, appuyé
d’un empereur ; Agrippine est la fille de Germanicus, tant chéri des
Romains
; et Néron n’est que le fils de Domitius Ænobarbu
on (in Verr., V, 66) : « C’est un crime de mettre aux fers un citoyen
romain
; c’est un attentat de le battre de verges ; c’es
sit alors que Philostrate, Aristide, et les épigrammes de Lucien. Les
Romains
, qui furent toujours bien moins amis que les Grec
it l’orateur Crassus209. Quelle était donc l’éducation de la jeunesse
romaine
qui prétendait aux charges et aux distinctions ?
apprenait à combattre. Il ne faut pas croire cependant que les jeunes
Romains
fussent absolument dépourvus de guides dans leurs
Si donc, malgré les soins de ce rhéteur, la décadence de l’éloquence
romaine
fut alors si rapide, ce n’est point l’usage des s
s dans tous les genres, avaient occupé aussi la jeunesse de l’orateur
romain
, comme on le voit évidemment par ses premiers ouv
les barbares, qui, dès lors menaçaient l’empire, insultait aux armes
romaines
par le honteux simulacre d’un triomphe, comme s’i
quer la dictature212 ; et celui qu’on eût autrefois appelé tyran, les
Romains
de son temps l’appelaient dieu. Toutes ces matièr
n peut se permettre quelques-uns des genres que repoussait la gravité
romaine
. Fables, narrations, discours mêlés de récits, le
’écrie Camille après la prise de Véies et l’incendie de Rome216, non,
Romains
, ne changez point de patrie ; n’allez pas habiter
utte sanglante de tant de principautés qui se disputent les provinces
romaines
, et par les longues révolutions qui fondèrent la
es dieux, en immolant les hommes qui sont leur ouvrage. Histoire
romaine
. Dion Chrysostome fait élire Nerva. Arg
admirèrent, et se fixa chez les Gètes, où campait une nombreuse armée
romaine
. Lorsque Domitien périt, Dion était en habit de m
Lorsque Domitien périt, Dion était en habit de mendiant dans le camp
romain
, inconnu à tout le monde, et occupé aux travaux l
sa patrie ; enfin il arriva aux bords du Tanaïs, où campait une armée
romaine
; il y fixa sa course errante, et retrouva dans l
aissez-vous mes malheurs ; j’ai vu le jour en Asie, mais mon cœur est
romain
; je viens parler pour Rome ; braves guerriers, c
rit pour n’avoir jamais flatté. « Vous marchez contre votre patrie, ô
Romains
! je ne vous reproche pas de vouloir venger votre
éral, Agricola, expier sa gloire et la vôtre par une mort prématurée.
Romains
, les dieux ont eu pitié de Rome ; vous êtes libre
ez jusqu’aux bornes du monde les frontières de l’empire éternel !…” «
Romains
, cet homme que vous demande la patrie, vous le co
mpire ; lui seul peut encore ramener dans Rome la vertu et les dieux.
Romains
, vous allez décider du sort de la terre ; ce sage
oulu faire oublier à Dion que la fortune lui enviait les hommages des
Romains
, ces peuples barbares, frappés de sa vie et de se
. Mais Dion se souvint que chez les Gètes campait une nombreuse armée
romaine
; à cette pensée il sentit l’amour de Rome se rév
de la misère. On se rappelle que depuis longtemps il vit dans le camp
romain
, inconnu à l’armée, occupé des travaux les plus p
ndues, dieux immortels ! enfin Dion peut faire entendre sa voix à des
Romains
: il n’est plus ce dieu, ce seigneur qui vous out
qui vous outrageait ; votre justice a délivré Rome et l’univers. Oui,
Romains
, c’est par la volonté des dieux que Domitien vien
le courage rendront au monde le bonheur, la paix, la liberté, au nom
romain
, cette puissance qui étonnait et soumettait les n
là celui que nous devons choisir pour réparer les maux de la patrie !
Romains
! c’est à vous de donner un maître au monde ; il
et Rome l’attend de vous seuls ! Jupiter lui-même vous désigne Nerva.
Romains
! saluez Nerva empereur, et les autres armées von
utel de Jupiter, et dont les yeux brillaient d’une flamme divine, les
Romains
crurent voir et entendre le dieu dont il venait d
leurs lances, proclamèrent Nerva empereur. Discours d’un sénateur
romain
contre le projet de transporter le siège de l’emp
le patriotisme qui fait la force des peuples. Sans doute la puissance
romaine
est attaquée jusque dans l’Italie ; mais c’est là
portes et jusque dans nos murs ; c’était quand trente armées, toutes
romaines
, nous apportaient trente tyrans à la fois, qu’il
un Phormion osait discourir de l’art de la guerre devant Annibal. Les
Romains
s’aperçurent bien vite de ce ridicule : moins art
re explique parfaitement comment il est arrivé que, chez les rhéteurs
romains
, chez Cicéron surtout et Quintilien, cet art, par
sont modifiées dans les âges modernes ; et même en obéissant à l’idée
romaine
, au principe d’utilité positive et pratique, il e
des rhéteurs ont en tort d’abandonner pour se borner, à l’exemple des
Romains
, aux règles de l’éloquence. Sans doute, la tribun
n, au débit et au geste, la haute importance qu’y mettait l’antiquité
romaine
. Et c’est pour cela, et aussi parce que ces trois
u’il méditait. Les considérations sur la grandeur et la décadence des
Romains
sont le plus classique de ses écrits ; il y appro
utes les pierres que les fourmis ont mises sur votre chemin1 Les
Romains
sous l’empire C’est ici qu’il faut se donner
esté 1 contre ceux qui commettaient quelque attentat contre le peuple
romain
. Tibère se saisit de cette loi, et l’appliqua non
. » Il termine ainsi son ouvrage sur la grandeur et la décadence des
Romains
: « Je n’ai pas le courage de parler des misères
é un tribunal pour connaître des entreprises tentées contre le peuple
romain
, son empire, sa dignité. Auguste le premier range
stoire. Longin 213 ? — 273 Rhétorique ; — Traité du sublime. 2°
Romains
(Imitateurs des Grecs.) Avant J.-C. Cicéron 1
tesquieu, dont les Considérations sur la grandeur et la décadence des
Romains
sont contenues dans quelques pages du Discours su
’Histoire universelle, Ire partie, xe époque.) Mithridate peint les
Romains
enrichis par la guerre : Des biens des nations r
x-ci possèdent plus d’écrivains que d’orateurs. Chez les Grecs et les
Romains
, elle était violente et passionnée. Ils n’avaient
le de Rome et de Carthage dans Montesquieu (Grandeur et décadence des
Romains
). Le parallèle procède aussi par deux tableaux sy
p. 136.) Poésie lyrique chez les Hébreux, chez les Grecs et les
Romains
, chez les modernes La poésie lyrique apparaît
mbe, elle a pour sujet les exploits de Bacchus et des Dieux. Chez les
Romains
, la poésie lyrique, en descendant des hauteurs où
e, … etc. Boileau montre ensuite la part de la mythologie grecque et
romaine
dans l’Énéide de Virgile ; il célèbre le merveill
émon et Ménandre dans la nouvelle. Poésie dramatique à Rome Les
Romains
, imitateurs des Grecs, ne nous offrent en fait de
er, comme dans Delille. Poésie didactique chez les Grecs, chez les
Romains
, en France Née avec le génie grec, la poésie d
Germanicus. La poésie didactique devait plaire au génie pratique des
Romains
; aussi leur premier chef-d’œuvre poétique est-il
omposition des œuvres littéraires (Art poétique). Après eux, chez les
Romains
comme chez les Grecs, la poésie didactique s’empa
r d’une inscription. L’épigramme n’est devenue satirique que chez les
Romains
, et plus tard chez les modernes. 6° Inscriptio
s 1 et suiv.) Poésie pastorale primitive, chez les Grecs, et les
Romains
, en France Les anciens ont souvent compris sou
fait de la nature avec Bion, Moschus et surtout Callimaque. Chez les
Romains
, Virgile, dans ses Bucoliques, fait subir à la po
εζὸς ou ψιλὸς, langage pédestre. Il est devenu le sermo pedestris des
Romains
, parce que ceux-ci comparaient sa marche à celle
lus grands poètes. Ex. Chez les Grecs, la prose de Platon ; chez les
Romains
, celle de Tite-Live ; en France, celle de Bossuet
e et littéraire ; abrégé historique de la prose chez les Grecs et les
Romains
, en France La prose de la science n’est pas to
généraux. Chez les Grecs, elle avait pour théâtre l’agora ; chez les
Romains
, le sénat et le forum. Chez les modernes, c’est à
immortel de Démosthène, d’Eschine chez les Grecs, de Cicéron chez les
Romains
, que bien des affaires et des procès d’un intérêt
nneur des soldats tués à la guerre de Samos (441 av. J.-C.). Chez les
Romains
, l’oraison funèbre était le privilège de la noble
uère que des sophistes qui défendaient le pour et le contre. Chez les
Romains
, ils le furent aussi, sauf Quintilien. Sous les e
Évagoras par Isocrate, — celui d’Agésilas par Xénophon, etc. Chez les
Romains
, l’usage des éloges en l’honneur des grandes acti
r intelligente recherche de la vérité. Les Grecs, comme plus tard les
Romains
, n’ont pas séparé l’histoire de l’éloquence ; ni
et à la postérité. Ex. chez les Grecs, Thucydide, Polybe ; — chez les
Romains
, Tacite ; — en France, Ph. de Commines, et la plu
igine des sociétés dans l’antique Orient jusqu’à la chute de l’empire
romain
, à la fin du quatrième siècle après Jésus-Christ.
près Jésus-Christ. 2° Histoire du moyen âge, depuis la ruine du monde
romain
jusqu’à la prise de Constantinople par les Turcs
que. Ex. Hérodote chez les Grecs, — les Annales des Pontifes chez les
Romains
, — les Chroniques de Saint-Denis, celles de Frois
sont des philosophes proprement dits. Ex. Chez les Grecs. Chez les
Romains
, imitateurs des Grecs. Au moyen âge. Chez les mod
ues de Platon et de Lucien chez les Grecs, — ceux de Cicéron chez les
Romains
, — en France, au xviiie siècle, ceux de Fénelon
tier, de Paul de Saint-Victor, etc. Le roman chez les Grecs et les
Romains
, en France Chez les Grecs, le roman fut élégan
ypes les plus éclatants sortis de l’imagination d’un peuple. Chez les
Romains
, peuple essentiellement pratique et ennemi de la
Âne d’or d’Apulée. Le roman, à peu près inconnu chez les Grecs et les
Romains
, à cause du rôle effacé de la femme dans les soci
e et polie tout à la fois. Genre épistolaire chez les Grecs et les
Romains
en France Chez les Grecs, on ne rencontre aucu
salon. On voyageait peu, et les relations sociales étaient rares. Les
Romains
sont plus riches dans le genre épistolaire. Les l
s satirique, didactique, épistolaire et même dramatique. Ex. chez les
Romains
, le Satyricon de Pétrone, — la Consolation de Boè
les des Antiques du Louvre fait mieux connaître les mœurs grecques et
romaines
que le dépouillement de vingt in-folio. Ce ne son
s complétement ; de chercher, par exemple, parmi les écrivains grecs,
romains
, français, anglais celui qui est le plus réelleme
qui est le plus réellement et le plus complétement anglais, français,
romain
ou grec. En se pénétrant bien de l’esprit de ce t
ités presque toujours matérielles, se montrent plus Espagnols ou plus
Romains
que les Romains et les Espagnols eux-mêmes. Evito
jours matérielles, se montrent plus Espagnols ou plus Romains que les
Romains
et les Espagnols eux-mêmes. Evitons ces excès rid
ine, Fables, IX, I. Les voyageurs étrangers insultent Rome, et les
Romains
, au lieu de s’indigner d’un affrout si sanglant,
chante encore au pied du Capitole ! A la place du fer, ce sceptre des
Romains
. La lyre et le pinceau chargent tes faibles mains
oup à vous dire contre les meurtriers de César, dit Antoine au peuple
romain
: ils prétendent que c’est pour servir l’Etat qu’
on sang. Mais César n’était coupable d’aucun crime qui pût forcer des
Romains
à ce coup détestable. En effet, il n’a jamais app
Comblés de ses bienfaits, ils sont teints de de sang. Pour forcer des
Romains
à ce coup detestable, Sans doute, il fallait bien
pour la statue de la Virginité endormie1 Tableau de la campagne
romaine
2 Rome, 10 janvier 1804. Figurez-vous quelque
ilitas et viduitas.3. Vous apercevez cà et là quelques bouts de voies
romaines
, dans des lieux où il ne passe plus personne ; qu
e le lit désert d’une onde orageuse qui s’est écoulée comme le peuple
romain
. A peine découvrez-vous quelques arbres, mais par
tels que les a laissés le soc de Cincinnatus, ou la dernière charrue
romaine
. La cataracte du niagara 1 Nous arrivâmes
à fanaux, des clochers de la Renaissance4, des vigies5, des ouvrages
romains
, des monuments druidiques, des ruines de châteaux
Périclès, l’orateur le plus éloquent alors, prononça leur éloge. Les
Romains
, suivant Polybe, ouvrirent cette carrière à l’élo
angues, fit un récit touchant des belles actions de sa vie. Le peuple
romain
comprit combien il serait utile à la république d
rence qu’il y a entre notre manière de rendre la justice et celle des
Romains
, ils peuvent servir de modèles à nos jeunes avoca
extraites du récit du supplice de Gavius. Ce Gavius était un citoyen
romain
qui s’était échappé de la prison où le préteur l’
ientôt compte de sa conduite, pour avoir mis dans les fers un citoyen
romain
. Le premier magistrat de Messine était une créatu
ontre toute loi, en dépit des privilèges attachés au titre de citoyen
romain
, il ordonne qu’il soit dépouillé, attaché et batt
coups de fouet, au milieu de la place publique de Messine, un citoyen
romain
. Cependant, aucun gémissement n’échappa de sa bou
des coups répétés, on entendait seulement ces mots : Je suis citoyen
romain
. En rappelant ce titre, il croyait écarter tous l
empronius !… étiez-vous donc abolies ? Et dans une province du peuple
romain
, dans une ville de nos alliés, devait-on voir un
euple romain, dans une ville de nos alliés, devait-on voir un citoyen
romain
attaché à l’infâme poteau, et battu de verges en
sans contredit le plus grand orateur qu’aient eu les Grecs. Chez les
Romains
, l’éloquence du barreau fut cultivée avec un soin
rs modèles admirables30. Mais ce sont surtout les historiens grecs et
romains
qui nous en donnent de nombreux exemples. Ces écr
stinés à figurer dans un recueil de morceaux choisis1. Une épouse
romaine
1 Acte premier LUCRÈCE, LA NOURRICE,
er l’ouvrage, à mériter ainsi Qu’on lût sur leur tombeau, digne d’une
Romaine
: « Elle vécut chez elle, et fila de la laine. »
e dans sa simplicité. Elle nous transporte au foyer même de la maison
romaine
, alors que planait sur elle le rude génie des pre
el parfum de cette religion domestique qui fut la mère du patriotisme
romain
. A une pareille figure, il fallait un pendant dig
st l’argument le plus persuasif ; elle l’a gardé pour la fin. 2. Les
Romains
avaient le culte de la tradition. 3. L’âme de Co
on tableau, il a représenté en elle la sévère honnêteté de la matrone
romaine
. 5. C’est le nom de Brutus francisé. On sait qu
i commande l’admiration du genre humain. Anciennement, chez le peuple
romain
, les récompenses publiques étaient rares et simpl
t ordinairement de son cheval (c’est-à-dire dégradaient) un chevalier
romain
qui était trop gras ; soit qu’ils fussent persuad
ar attelé de quatre chevaux blancs. Nous lisons que, chez les anciens
Romains
, le goût de l’agriculture était en honneur ; que
à ces odieux repas. Les défenseurs de la ville étaient épuisés ; les
Romains
montèrent à l’assaut. Le temps de la Pâque avait
l’univers : sa conservation serait un témoignage de la modération des
Romains
, et sa destruction un monument éternel de leur cr
oir sur l’amour de la patrie. Version XX. Des prodiges chez les
Romains
. 20. Les Romains, après une guerre longue et
patrie. Version XX. Des prodiges chez les Romains. 20. Les
Romains
, après une guerre longue et opiniâtre, avaient ré
t d’en inonder la campagne : ainsi Véïes tombera au pouvoir du peuple
romain
. Avant l’arrivée de cette nouvelle, un aruspice d
e de Véïes, pris par nos soldats et amené dans le camp (car aucun des
Romains
ne pouvait expliquer ce prodige), avait donné la
ilence à son égard, et que Sénèque ne compte aucun fabuliste chez les
Romains
. Version XXXIV. Henri IV. 34. L’histoir
on. Version XXXV. Aventure de Canius. 35. Canius, chevalier
romain
qui ne manquait ni d’agrément ni d’instruction, é
réprouvées. Ce n’est point seulement au passé, seulement à la nation
romaine
, que s’applique ce récit, où Cicéron a mis tant d
ndonna trois provinces de l’Asie, ajoutées par Trajan à la domination
romaine
. Jamais il ne suscita aucune guerre ; et celles q
facile d’écrire contre celui qui peut proscrire. » Curtius, chevalier
romain
qui vivait fort sensuellement, ayant pris à sa ta
ses fonctions de censeur. Il adressait une réprimande à un chevalier
romain
, en lui reprochant d’avoir diminué sa fortune. Ce
ne l’armée immense qu’il avait mise sur pied, pour aller attaquer les
Romains
. Il faisait manœuvrer ses troupes toutes resplend
puisse se mesurer avec l’ennemi, et qu’il y en ait assez là pour les
Romains
? » Le Carthaginois, se moquant de la lâcheté de
ui, certes, répondit-il, oui, je crois qu’il y en aura assez pour les
Romains
, quelle que soit leur avarice. » On ne peut faire
ses troupes et l’appréciation de leurs forces comparées à celles des
Romains
: Annibal, dans sa réponse, ne vit que le butin.
ours. Version LVIII. Première guerre Punique. 58. Le peuple
romain
, vainqueur de l’Italie, étant arrivé par terre au
on vint encore s’offrir d’elle-même : une ville de Sicile, alliée des
Romains
, Messine, se plaignait de la tyrannie des Carthag
uerrière saisit cette offre avidement, et s’empressa d’abandonner aux
Romains
tout son équipage : ainsi, grâce à l’habileté du
eaux. Cet homme, que les vicissitudes de la fortune et le caprice des
Romains
, qui changeaient si souvent de maîtres, élevèrent
n, ils demandèrent la vie. Jamais victoire ne coûta moins de sang aux
Romains
; jamais aussi nation ne leur fut plus fidèle dan
le dévouement à la liberté de la patrie. J’ai appris que les anciens
Romains
donnèrent le même exemple, dans un autre sens : i
expédié à sa rencontre. Il y consentit : et bientôt le plus grand des
Romains
fut égorgé, par le commandement et la volonté d’u
pur et serein eut succédé à cette obscurité si profonde, la jeunesse
romaine
, en voyant vide la place qu’occupait le roi, quoi
éditer. Proculus Julius s’étant présenté au milieu de l’assemblée : «
Romains
, dit-il, ce matin, au point du jour, le père de c
r, je demeurais immobile, quand il me dit : Va, Proculus, annonce aux
Romains
que ma Rome doit être la capitale du monde : ains
radition, que nulle force sur la terre ne peut résister aux armes des
Romains
. » Ainsi le regret qu’inspirait au peuple et à l’
éteur, consul, augure ; qu’elle a été unie aux plus nobles des jeunes
Romains
; qu’après avoir joui presque de tous les biens,
. Aussi quittais-je la Sicile en me perçant de l’espoir que le peuple
romain
allait tout m’offrir de lui-même. Cependant, le h
croulant autour d’elle ! Que dis-je ? sa durée triompha de la valeur
romaine
, qui avait fait trembler l’univers. Rome, sans do
Version XIV. Métellus rétablit l’ancienne discipline dans l’armée
romaine
, corrompue pendant son séjour en Afrique. 14.
a cupidité des magistrats qui avait ruiné en Numidie la puissance des
Romains
, et accru celle de l’ennemi. Métellus, à son arri
s, contraires à la majesté du prince. Version XX. Caractère des
Romains
sous le règne de Gallus. 20. Il y en a qui, s
a fille de Scipion reçut une dot tirée du trésor public : la noblesse
romaine
rougissait de voir se flétrir cette jeune fille p
vous mettez au-dessus de tous les biens. Mais si, ravi de affabilité
romaine
, vous réitérez le lendemain votre visite, il vous
si dire, prisonniers. Tous les habitants avaient quitté la ville. Les
Romains
se répandent dans son enceinte, et rasent jusqu’a
tus, réservé pour cette époque par les destins, afin d’affranchir les
Romains
du joug pesant de la servitude. Doué d’un esprit
er par son exemple. Ce fut comme le foyer qui alluma dans le cœur des
Romains
un si vif amour de la patrie, que, dans la suite,
bientôt ; ne cesse jamais de t’entretenir avec l’antiquité grecque et
romaine
. Passe en revue les capitaines des anciens temps
. 33. Quelle fut, selon vous, la cause pour laquelle la puissance
romaine
, ce colosse qui porta si longtemps et si loin la
me un grand capitaine. Version XLVII. Les quatre âges du peuple
romain
. 47. Le peuple romain a promené ses armes si
Version XLVII. Les quatre âges du peuple romain. 47. Le peuple
romain
a promené ses armes si loin dans l’univers, qu’en
oup d’œil l’ensemble de sa grandeur. Si donc l’on considère le peuple
romain
comme un seul homme, si, envisageant toute sa dur
des villes ; et l’on ne peut nier qu’après la fondation de Rome, les
Romains
ne soient toujours sortis de son sein pour faire
. Comment, après le siècle d’Auguste, l’éloquence déclina chez les
Romains
. 60. Après le siècle d’Auguste, on vit l’éloq
nre, de son caractère primitif. La source de cette décadence chez les
Romains
vint surtout de Sénèque, d’un écrivain illustre s
t nous sommes contraints de nous abstenir. Mais pour les Grecs et les
Romains
, non-seulement on ne nous fait point un crime de
traîtres qui avaient déjà le bras levé sur la république et le peuple
romain
; mais soit, que l’infortune ait été mon partage
eur, tant que subsistera cet ensemble, que seul peut-être d’entre les
Romains
il a pénétré par son esprit, embrassé par son gén
en bouche, et de se répandre aussi loin que s’est répandue la langue
romaine
. D’ailleurs, l’attente est grande, et dure depuis
nce, ou même de timidité. Version LXXXIV. État de la république
romaine
après la défaite de Carthage. 84. Les divisio
us tout. Car, avant la destruction de Carthage, le peuple et le sénat
romain
administraient la république avec un esprit de pa
uves pour l’obtenir, la victoire fait plus d’honneur. Aussi l’orateur
romain
a-t-il une élocution plus polie, plus douce, plus
même siècle vit la réunion d’une foule de talents supérieurs chez les
Romains
. 95. A moins qu’on ne se reporte à ces siècle
et grossiers, et qui n’ont que le mérite de l’invention, la tragédie
romaine
est renfermée dans Accius et ses contemporains ;
e sorte de pantomime, dont la gracieuse agilité fut pour les yeux des
Romains
une nouveauté pleine d’attraits. Et comme ces sor
r a semblé une injure suffisante. Si le noble défenseur de la liberté
romaine
, si Brutus, rendu pour quelque temps à la vie par
s le culte des Muses ; et les poëtes étaient toujours pour le général
romain
l’objet d’une vive sollicitude. La valeur, en eff
alem. 44 19. Sur le désir d’apprendre. 46 20. Des prodiges chez les
Romains
. 48 21. Les monuments des lettres l’emportent su
De la Musique. 200 14. Métellus rétablit la discipline dans l’armée
romaine
, corrompue par son séjour en Afrique. 202 15. Su
19. Quelques détails sur T. Flavius Domitien. 212 20. Caractère des
Romains
sous le règne de Gallus. 214 21. Siége de Salone
ille. 260 46. Portrait d’Annibal. 262 47. Les quatre âges du peuple
romain
. 264 48. Des Abeilles. 266 49. Suite du même su
60. Comment, après le siècle d’Auguste, l’éloquence déclina chez les
Romains
. 288 61. Pline loue Trajan d’avoir condamné la t
, pour l’engager à publier ses œuvres. 330 84. Etat de la république
romaine
après la défaite de Carthage. 332 85. Parallèle
même siècle vit la réunion d’une foule de talents supérieurs chez les
Romains
. 352 96. Institution des jeux Scéniques à Rome.
Antoine et Octave. Brutus et Cassius furent appelés les derniers des
Romains
. 9. § 296, 1°. 1. § 348. 2. §§ 236 et 228. 3.
paternel du premier Scipion avaient péri en Espagne avec deux armées
romaines
. Scipion fut envoyé à vingt-quatre ans dans cette
mune. Ce furent de l’un et de l’autre côté trois frères, les Horaces,
romains
, et les Curiaces, albains. Tite-Live décrivant ce
us, roi de Calédonie (aujourd’hui Écosse), prêt à livrer bataille aux
Romains
, qui voulaient conquérir ce pays, harangue ses tr
pour lui donner le plaisir de le découvrir tout à fait. Les empereurs
romains
prenaient le nom de père de la patrie, dès qu’ils
a toujours quelque chose de petit ou de moins élevé. Verrès, citoyen
romain
, exerçant en Sicile la préture, charge qui consis
ce Mithridate, qui disputa pendant trente ans l’empire de l’Asie aux
Romains
: il avait une grande taille ; sa pensée aurait é
hasd sut profiter de la conjoncture. Il renouvela l’alliance avec les
Romains
». Le style cesserait ici d’être coupé si de ces
as, qui sut profiter de la conjoncture, renouvela l’alliance avec les
Romains
. Le style périodique est composé d’un enchaînem
Oraison de Cicéron : « C’est un crime de mettre aux fers un citoyen
romain
; c’est une scélératesse de le faire battre de ve
es. » Sous l’image de ce vaisseau, le Poète représente la république
Romaine
, et sous celle des flots et des vents déchaînés,
our celui du peuple dont il arrose le pays ; comme le Tibre, pour les
Romains
; la Seine, pour les Français ; le Tage, pour les
ter. Le premier avait été député des villes de la Germaniea, vers les
Romains
, pour se plaindre des vexations des Préteurs qu’i
plein Sénat. Voici la harangue que La Fontaine met dans sa bouche :
Romains
, et vous, Sénat, assis pour m’écouter, Je supplie
e. Faute d’y recourir on viole leurs lois ; Témoins nous que punit la
romaine
avarice. Rome est par nos forfaits plus que par s
ue par ses exploits L’instrument de notre supplice. Craignez,
Romains
, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte
ont il était transporté contre les vexations tyranniques des Préteurs
romains
; et que Burrhus remplit l’âme de Néron du sentim
eur de Sicile, qui avait condamné au dernier supplice Gavius, citoyen
romain
. Voici, à peu près, le sens littéral de ce morcea
e morceau. « Au milieu de la place publique de Messine37, un citoyen
romain
était cruellement frappé de verges ; tandis que d
entendre d’autre plainte, d’autre cri que celui-ci : Je suis citoyen
romain
. Il croyait qu’en réclamant ce titre, il se verra
où sa voix gémissante répétait, sans interruption, le nom de citoyen
romain
, le supplice de la croix, oui de la croix, était
e des verges ou de la mort un citoyen de Rome, sans l’ordre du peuple
romain
, s’écrie pour faire sentir toute l’injustice de c
Ô puissance des Tribuns40 si désirée et quelquefois rendue au peuple
romain
! Tout s’est-il évanoui, jusque-là qu’un citoyen
due au peuple romain ! Tout s’est-il évanoui, jusque-là qu’un citoyen
romain
, dans une des provinces du peuple romain, dans un
oui, jusque-là qu’un citoyen romain, dans une des provinces du peuple
romain
, dans une ville de ses alliés, ait été publiqueme
liquement frappé de verges par l’ordre d’un homme, que ce même peuple
romain
avait gratuitement honoré des haches et des faisc
être touché des sanglots, des larmes et des gémissements de tous les
Romains
présents à ce barbare spectacle. Tu as osé faire
. Tu as osé faire attacher à une croix un homme qui se disait citoyen
romain
» ! L’orateur n’en reste pas là : il j’apporte u
ville, qui est près du détroit, afin que celui qui se disait citoyen
romain
, pût du haut de cette croix jeter ses derniers re
étiques. « Si j’adressais ces plaintes, je ne dis pas à des citoyens
romains
, je ne dis pas à quelques-uns de nos alliés, je n
puérile de la médiocrité, qui rappelle les insulteurs publics que les
Romains
plaçaient sur le chemin des triomphateurs, et qui
fils, c’est le maître du monde. J’en dois compte, madame, à l’empire
romain
, Qui croit voir son salut ou sa perte en ma main.
x apprêts, Ramener la terreur du fond de ses marais, Et, chassant les
Romains
de l’Asie étonnée, Renverser en un jour l’ouvrage
ffort redoublé : Il voit, plus que jamais, ses campagnes couvertes De
Romains
que la guerre enrichit de nos pertes. Des biens d
t, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez partout l’horreur du nom
romain
, Et la triste Italie encor toute fumante Des feux
ibal l’a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les
Romains
que dans Rome. Noyons-la dans son sang justement
saisie. Ne croyez point pourtant qu’éloigné de l’Asie J’en laisse les
Romains
tranquilles possesseurs : Je sais où je lui dois
nveloppée, Rome rappelle en vain le secours de Pompée. Le Parthe, des
Romains
comme moi la terreur, Consent de succéder à ma ju
gique, qu’elle y jette la fadeur et la langueur, que les Grecs et les
Romains
n’en ont point fait usage, qu’elle défigure et ra
d’émotions dont il est absurde de se priver ; que si les Grecs et les
Romains
n’y ont pas eu recours, c’est en grande partie pa
tragédies latines que celles qu’on attribue à Sénèque. Cependant les
Romains
en avaient fait un grand nombre, et quelques-unes
uit également l’imagination et l’esprit. Ainsi, cette énergie que les
Romains
appelaient la force comique, vis comica, est le r
la Touche. Dans Marianne on voit un Hérode jaloux, un Varus, préteur
romain
, amoureux de Marianne ; dans la parodie, c’est un
puniques. Livius Andronicus, Grec de naissance, montra la comédie aux
Romains
par des traductions du grec. Névius, Ennius polir
mains par des traductions du grec. Névius, Ennius polirent le théâtre
romain
de plus en plus, aussi bien que Pacuvius, Céciliu
égant, poli, gracieux, il ne lui manque que la force comique, que les
Romains
désiraient en effet chez lui171. La comédie a eu
me que nous parlons aujourd’hui. Or, nous savons qu’avant la conquête
romaine
, les Ibériens et les Celtes se partageaient le te
les deux âges suivants. Ce fut vers l’an 153 avant notre ère, que les
Romains
, appelés au secours de Marseille contre les Ligur
oute la Gaule avait cessé d’être une nation pour devenir une province
romaine
. Par les violences ou l’habileté de sa politique,
ait ouvert son propre palais, il eût restauré les traditions du monde
romain
, dont il se portait l’héritier, si la barbarie de
onsolés par l’accueil des cours, on vit Bessarion recevoir la pourpre
romaine
. Si la Renaissance avait eu ses signes avant-cour
seurs de tours) tenaient un rang inférieur. Originaires de la société
romaine
, ils composaient deux c’asses : les uns, simples
du barreau moderne, qui ne ressemble en rien à celui des Grecs et des
Romains
. Chez nous les particuliers ne sont point accusat
u, sans études préliminaires de la jurisprudence. Il y avait chez les
Romains
une classe d’hommes appelés Pragmatici, qui se ch
ersés dans la connaissance des lois, mais d’une assemblée de citoyens
romains
. De là, ces moyens de l’éloquence populaire, si s
ien soignés, et ses instruments d’agriculture parfaitement en état. «
Romains
, dit-il ensuite en montrant ses propres bras, ses
paresse. Ce fait a eu lieu dans les premiers siècles de la république
romaine
et est rapporté par Columelle, auteur qui a écrit
44. Dévouement de saint Paulin. Lors de la dissolution de l’empire
romain
, les Vandales, peuple barbare, originaire des côt
t par l’emporter, et devint maître absolu de Rome et de tout l’Empire
romain
, sous le titre de dictateur perpétuel, dignité qu
78. Papinien11 (214 après J.-C.) Septime Sévère, empereur des
Romains
(de 193 à 211), laissa, en mourant, l’empire à se
ocié par lui à l’empire en 292, et eut à gouverner la moitié du monde
romain
. Quand Dioctétien abdiqua, en 305, Maximien imita
onstance. 112. Monologue de Sévérus. Catllina était un sénateur
romain
perdu de vices et capable de tous les crimes. Il
porte dans son cœur ; il veut vivre et se rendre, à condition que les
Romains
combleront de récompenses et d’honneurs les compa
sonnel, conçut l’espérance de le perdre, et l’accusa devant le peuple
romain
. Il fit surtout valoir contre lui l’extrême rigue
rochable, d’autres griefs qu’une certaine difficulté à s’énoncer. Les
Romains
, irrités, paraissaient disposés à bannir ce père
ciers généraux. 130. Défense de Titus Torquatus. Sujet. L’armée
romaine
et l’armée ennemie sont en présence. Le consul Ma
ée ennemie sont en présence. Le consul Manlius Torquatus, général des
Romains
, a défendu tout combat avant la bataille générale
t. Les efforts du tribun militaire n’eurent aucun succès. Les anciens
Romains
poussaient le maintien de la discipline jusqu’à u
le rejeter. 136. Monologue de Camille. Camille était un général
romain
qui avait rendu les plus grands services à sa pat
e. Créé dictateur l’an 396 avant Jésus-Christ, il prit Véïes, que les
Romains
assiégeaient inutilement depuis dix ans ; il trio
ois senonais, sous la conduite de Brennus, battirent complètement les
Romains
près de la rivière d’Allia, prirent la ville de R
ue Rome vient d’être prise et incendiée, et que les restes de l’armée
romaine
se défendent avec peine dans le Capitole. Il expr
on considérable, abandonnèrent Rome et son territoire. Les historiens
romains
ont altéré la vérité relativement à ces faits, et
rillantes victoires, l’une sur les peuples d’Italie ligués contre les
Romains
, l’autre sur une nouvelle armée de Gaulois qui av
ve et animée. 140. Plaidoyer pour Flavianus. Sujet. Un sénateur
romain
, nommé Flavianus, avait un fils unique dont la te
e partie : l’époque. 1° Tout l’univers étant réuni sous la domination
romaine
, la prédication de l’Évangile devait être plus pr
151. Discours de Coriolan aux Volsques. Coriolan, jeune patricien
romain
, se rendit célèbre par ses exploits et par ses vi
s et par ses victoires sur les Volsques, mais devint odieux au peuple
romain
par son orgueil. Le peuple non seulement lui refu
ces aux Volsques. Il vint bientôt, à leur tête, ravager le territoire
romain
et assiéger Rome même. Les Romains, effrayés, lui
à leur tête, ravager le territoire romain et assiéger Rome même. Les
Romains
, effrayés, lui envoyèrent, pour le fléchir, le sé
ses murailles. Les Volsques étaient un peuple belliqueux, voisin des
Romains
et souvent en guerre avec eux. Leur ville princip
8 avant Jésus-Christ, les Volsques furent entièrement, soumis par les
Romains
. 152. Discours pour Conradin. Charles d’Anj
éric Barberousse ; il gouverna saintement l’église, se fit chérir des
Romains
et respecter de l’Europe entière. Sur sa proposit
tout chrétien était libre. 157. Discours de Fonteius dans le sénat
romain
. Sujet et plan. On vit sous le règne de Tibère
s en triomphe au trône de la terre, À ce trône souillé par d’indignes
Romains
, Mais lavé dans leur sang, et vengé par vos mains
de tendresse pour un fils qu’égare son admiration fanatique pour les
Romains
! Cette confusion de sentiments divers qui se pré
der, la honte de ramper sous des tyrans méprisables ». 75. « Ainsi,
Romains
! celui que vous venez de voir rentrer vainqueur
ble qui jette l’épouvante dans des armées entières ; ce front que les
Romains
eux-mêmes ne peuvent soutenir, tu en pourras brav
ls en font, aient jamais la gloire d’effacer la tache imprimée au nom
romain
, et d’humilier l’orgueil de la Germanie. » Âme du
i sa personne vous était plus chère que sa fortune. Montrez au peuple
romain
la petite-fille d’Auguste, la veuve de Germanicus
lle-même est dérivée d’un mot grec (stulos, petite colonne). Chez les
Romains
, le style ou stylet désignait un point ou une gro
cépède, dans le morceau intitulé : Causes de la décadence de l’empire
romain
, nous présente une page où sont réunies ces diffé
e avec la plus grande lucidité les causes de la décadence de l’empire
romain
. Il nous en montre le germe dans la jalousie des
uis enfin l’arrivée des Barbares. Causes de la Décadence de l’Empire
romain
À peine Rome était-elle née, qu’elle portait dans
est soumis à la force ; tout se fait par des soldats qui ne sont plus
Romains
, et qui se livrent à celui qui les paye le plus.
sanglantes guerres civiles, partout d’effroyables massacres. L’empire
romain
s’épuise, n’inspire ni respect, ni affection, ni
e, et par conséquent tout est asservi, opprimé, ravagé. La domination
romaine
devient en horreur. Lacépède. Lecture. — Le Pr
pouvoir irrésistible de cet art sur les âmes. Le premier des orateurs
romains
, Cicéron, compare le discours à une être molle, d
particulier ; et je travaille à mettre en madrigaux toute l’Histoire
romaine
. Madelon. Ah ! certes, cela sera du dernier bea
ns ses habits. Béziers, ville du Bas-Languedoc, appelée du temps des
Romains
Colonie des Septimances, c’est-à-dire de la septi
militaires, se ligua avec Pompée et Crassus pour donner des lois aux
Romains
(ligue qu’on appelle le premier Triumvirat), et p
plus grands généraux et des hommes les plus vertueux de la république
Romaine
. Il fut trois fois consul, et mérita plusieurs fo
son chapeau. Narbonne, ville du Bas-Languedoc, anciennement colonie
romaine
, et capitale de la Gaule Narbonnaise : les Romain
ciennement colonie romaine, et capitale de la Gaule Narbonnaise : les
Romains
l’appelaient même la sœur de Rome. Elle est situé
ils de Domitius Œnobarbus et d’Agrippine, adopté par Claude, empereur
romain
, dont il fut le successeur. Il souilla le trône d
e, nymphe du Latium, contrée de l’Italie. Elle était révérée chez les
Romains
comme la déesse des fruits et des jardins. On la
ome était alors maîtresse du monde entier ; mais ce trop vaste Empire
romain
fut divisé, l’an 396 de l’ère chrétienne, en Empi
e, sous le nom de Molière. La chaire, émule de l’Agora grec, du Forum
romain
, révèle, pour l’éloquence, pour l’ampleur du styl
quel titre ? parce qu’il a un génie qui doit faire honneur à l’empire
romain
(Cicer., pro Archiâ) ; voilà le judiciaire uni au
employer à sa défense. » Bien différente est la méthode de l’orateur
romain
. Il rompt l’ordre logique des propositions, et pu
arole du poète est généralement présumée un hommage rendu à l’orateur
romain
, à Cicéron. À la probité doit se joindre la modes
si vous teniez plus à sa personne qu’à sa fortune. Montrez au peuple
romain
la petite fille du divin Auguste, la veuve de Ger
e. Mais l’empereur a pour le défendre son imposante dignité, l’empire
romain
ses autres armées. Ma femme et mes enfants que je
Jules, d’un seul mot, comprima la sédition de son armée, en appelant
Romains
ceux qui se refusaient à leur serment. Le divin A
ffre, puissent s’attribuer le mérite, l’honneur d’avoir relevé le nom
romain
, ramené au devoir les peuples de Germanie ! Que t
était ému, consterné, terrifié. Soudain le coupable entre, l’orateur
romain
qui présidait ce jour-là, frémit d’indignation et
re vous faire voir, magistrats, que non seulement Archias est citoyen
romain
, mais que, s’il ne l’était pas, il mériterait de
t croit, en s’en référant au précepte que donne et pratique l’orateur
romain
, « qu’il suffit de l’enchaînement, de la progress
tratif. Voyons d’abord avec quel art, avec quelle habileté, l’orateur
romain
, dans son oraison pour Milon, fait le récit de la
’on lui reprochait, mais se contenta de dire : « C’est à pareil jour,
Romains
, que je triomphai d’Annibal : il ne convient pas
procha, il ne fut point étonné. Je me sentais élevé par ses discours.
Romains
! Le grand homme mourant a je ne sais quoi d’impo
e des légions armées ne peuvent soutenir, qui fait trembler le peuple
romain
, tu le soutiendras ? Et n’eût-il point d’autre dé
lle présente à l’esprit de grandes choses. Sénèque a dit de l’orateur
romain
qu’ « il fut le seul génie que Rome eût pareil à
fils, c’est le maître du monde. J’en dois compte, madame, à l’empire
romain
, Qui croit voir son salut ou sa perte en ma main…
contre Verrès, V, 66 : « C’est un crime de mettre aux fers un citoyen
romain
, c’est un attentat de le battre de verges ; c’est
… Tant dut coûter de peine Ce long enfantement de la grandeur
romaine
! Rien de plus ravissant que la réflexion suivan
tion et la vertu ? Quelle splendeur funeste a succédé à la simplicité
romaine
? Quel est ce langage étranger ? quelles sont ces
’Asie. Les dépouilles de Carthage sont la proie d’un joueur de flûte.
Romains
, hâtez-vous de renverser ces amphithéâtres, brise
rique où Horace, sous l’image d’un vaisseau, représente la république
romaine
et sous celle des flots et des vents déchaînés, l
nte, Le sceptre que je tiens pèse à ma main tremblante. Et l’orateur
romain
: « Cedant arma togae… » 6º Le possesseur pour l
tu ou, chez les Grecs, Ἀστύ, c’est la ville d’Athènes. Urbs, chez les
Romains
c’est la ville de Rome. Xerxes protinus accessit
t rapporter cette tournure si habilement ménagée qu’emploie l’orateur
romain
, lorsqu’au lieu de dire que les esclaves de Milon
à le sentiment de Cicéron. Pour n’être pas aussi explicite, l’orateur
romain
n’en définit pas moins l’action, le langage ou, s
a mort : tel est l’esprit des deux cultes11 ; mais notre catholicisme
romain
est moins sombre cependant que ne l’était celui d
escentius, Arnault de Brescia, Nicolas Rienzi, ces amis de la liberté
romaine
, qui ont pris si souvent Les souvenirs pour des e
isible magistrat qui porte à lui tout seul ce nom immense de sénateur
romain
, jadis l’objet des respects de l’univers. Ici nou
Non loin de ces lions, on voit une statue de Rome mutilée, que les
Romains
modernes ont placée là, sans songer qu’ils donnai
rius, puis deux colonnes milliaires qui servaient à mesurer l’univers
romain
, et la statue équestre de Marc-Aurèle, belle et c
ette épi gramme : Rome ne sera bien plus qu’un palais. Allez à Veies,
Romains
, si toutefois ce palais n’occupe pas déjà Veies m
s. Les yeux sont tout-puissants sur l’âme : après avoir vu les ruines
romaines
, on croit aux antiques Romains, comme si l’on ava
sur l’âme : après avoir vu les ruines romaines, on croit aux antiques
Romains
, comme si l’on avait vécu de leur temps. Les souv
des tombeaux. Ibid., IVe partie45, liv. I, ch. viii. Un camp
romain
Le jeune Grec Eudore, dont la famille est chré
s de l’armée. Tandis que je contemplais les feux réguliers des lignes
romaines
et les feux épars des hordes des Francs ; tandis
s se trouvèrent en présence. Les Martyrs, liv. VI. Combat des
Romains
contre les Francs50 Le soleil du matin, s’éc
ciel leurs naseaux brûlants, pour respirer les sons belliqueux51. Les
Romains
commencent le chant de Probus : « Quand nous auro
terre et se déballent dans les angoisses de la douleur. La cavalerie
romaine
s’ébranle pour enfoncer les barbares ; Clodion se
ée avec un sourire amer ; es-tu d’une race noble et antique ? Esclave
romain
, ne crains-tu point ma framée ? — Je ne crains qu
Il semblait que par cette mort l’empire des Gaules, en échappant aux
Romains
, passait aux Francs : ceux-ci, pleins de joie, en
n cavalier vêtu de blanc, armé d’une lance et d’un bouclier d’or. Les
Romains
qui fuyaient tournent le visage, l’espérance revi
approche des soldats du Christ, les barbares serrent leurs rangs, les
Romains
se rallient. Parvenue sur le champ de bataille, l
ares ; la clarté du jour pénètre au fond de cette forteresse vivante.
Romains
, Grecs et Gaulois, nous entrons tous à la suite d
a souri de cette supercherie ; et, de même, l’apothéose des empereurs
romains
n’a jamais été une chose sérieuse pour les Romain
éose des empereurs romains n’a jamais été une chose sérieuse pour les
Romains
. Mahomet et Confucius se sont donnés simplement p
t, les révolutions de la société en Gaule depuis la chute de l’empire
romain
, il a montré plus de profondeur dans l’analyse, p
sublime, qui semblait disparu du monde depuis qu’il n’y avait plus de
Romains
. Pour créer des orateurs, il ne fallait qu’un gra
lès n’apportait que des regrets et des larmes149. Si, comme l’orateur
romain
, il célèbre les guerriers de la légion de Mars to
plus mal employée que celle des citoyens qu’on a appelés les derniers
Romains
? Brutus, en tuant César, se perd lui-même, et re
tudesque ou germanique. Au moment où ils entrèrent en lutte avec les
Romains
, les Franks étendaient leur empire sur les côtes
nt selon les chances de la guerre. Les guerres des Franks contre les
Romains
, depuis le milieu du troisième siècle, ne furent
les chefs de leurs tribus, étaient cruellement punies, et les légions
romaines
venaient mettre à feu et à sang la rive germaniqu
faire une trouée et détruire les forteresses qui protégeaient la rive
romaine
. C’est à l’aide de pareilles tentatives, bien des
les dunes voisines de l’embouchure du Rhin. De ce côté, la frontière
romaine
n’était garantie par aucun obstacle naturel ; les
ter au pouvoir des Franks. Clodion lui-même fut battu par les légions
romaines
et obligé de ramener ses troupes en désordre vers
igemment à la manière des barbares, lorsqu’ils furent surpris par les
Romains
sous les ordres d’Aétius200. Au moment de l’attaq
garde du roi avait seule des chevaux et portait des lances du modèle
romain
; le reste des troupes était à pied, et leur armu
rélats, malgré l’emploi qu’il fit, dans ses diverses négociations, de
Romains
auxquels la tradition attribuait une finesse à to
tion est celle qui, brave et forte, secoua de sa tête le dur joug des
Romains
et qui, après avoir reconnu la sainteté du baptêm
t d’or et de pierres précieuses les corps des saints martyrs, que les
Romains
avaient brûlés par le feu, massacrés, mutilés par
x un entraînement irrésistible. Ils entraient dans le parti des serfs
romains
contre la noble race des Franks, Edil Frankono li
lles furent ralliées alors d’une manière uniforme et stable. La terre
romaine
s’unit à la terre franke par les liens de l’oblig
rtout les acclamations retentissaient en langue tudesque et en langue
romaine
. Des bords de la Seine à ceux de la Somme, les Ga
ccident et le nord de l’Europe. Ces hommes, qui ne ressemblent ni aux
Romains
, ni aux Grecs, ni aux Orientaux, qui ont d’autres
ion grecque ; la civilisation grecque est tombée sous la civilisation
romaine
; une nouvelle civilisation sortie des furets de
vilisation sortie des furets de la Germanie a détruit la civilisation
romaine
: que deviendra cette nouvelle civilisation ? Con
ans, creusés par les humains, Donnèrent leurs rochers aux palais des
Romains
. Avec ses monuments et sa magnificence, Rome enti
e défendre. Agrippine au sénat s’est-elle fait entendre ? Et déjà les
Romains
, par la haine animés, Sèment-ils contre moi des b
. CNÉIUS. Parle, ô mon cher Cnéius.Agrippine attendue Aux désirs des
Romains
n’est pas encor rendue. PISON. Ciel ! CNÉIUS. Ci
s de Tibère. Il y renferme un deuil dont la sincérité Trouve chez les
Romains
peu de crédulité : Pour lui Germanicus fut un obj
: Les regrets sont profonds ; l’éloge est unanime ; Et tous les vrais
Romains
ont accusé le sort350. PISON. C’est moi, Germanic
re ; On crut voir un Camille, et l’on s’était flatté Qu’il devait aux
Romains
rendre la liberté. Souvent je me suis dit, plein
ntique Avec lui s’exilant au sein des murs d’Utique ; Et ces derniers
Romains
qui vengèrent l’État, Quand César tout puissant,
irs, dont les coupables mains Se partageaient le monde et le sang des
Romains
, Octave, héritant seul d’une fureur utile354, Enc
s mots révérés, Vains hochets du vulgaire et fantômes sacrés, Et, des
Romains
séduits trompant l’obéissance, Du nom de liberté
ique A, jusque dans sa cour, effrayé l’oppresseur, Quand des derniers
Romains
et la veuve et la sœur, La nièce de Caton, cette
nd son voile épais, Des regrets importuns fatiguent son oreille ; Des
Romains
opprimés la douleur le réveille, Et leurs cris me
e ta race : Ô toi, dont les vertus consolent ma disgrâce, Exemple des
Romains
, modèle des bons fils, Seul appui, seul honneur d
t-être ; Mais, nés du sang d’Auguste, ils ont assez d’un maître : Les
Romains
de César reconnaissent la loi ; C’est à lui qu’es
out, mon empire et ma vie, Peut bien, ainsi que moi, sans blesser les
Romains
, Gouverner l’univers que m’ont donné ses mains ;
s369 ; Quand, privés de tombeaux aux forêts d’Hercynie, Les ossements
romains
couvraient la Germanie, Quand Varus expiait d’imp
lire Les ordres qu’en secret il osait me prescrire ; Et, dussent les
Romains
n’en être pas surpris, Ils sauront que Tibère a f
i nu, et portait une couronne de laurier. Il y avait dans chaque camp
romain
un autel auprès du tribunal de gazon où siégeait
ode de Thraséas, ermite du Vésuve (liv. V) ; la délibération du sénat
romain
sur le sort des chrétiens (liv. XV et XVI). 73.
oût français est sur ce point plus facile à inquiéter que le goût des
Romains
: Le latin, dans les mots, brave l’honnêteté, Ma
le mal que je fais. 188. Racine, imitant l’épître de saint Paul aux
Romains
, ch. vii, dit dans un de ses cantiques spirituels
entant de la société gallo-romaine du cinquième siècle. 200. Général
romain
et gouverneur des Gaules. L’empereur Valentinien
de foi chrétienne, une de ces natures délicates à qui la vue du monde
romain
gouverné par des barbares causait d’incroyables d
s Considérations sur les causes de la grandeur et de la décadence des
Romains
, par Montesquieu. 356. Tacite parle de ces bruit
quand Mithridate veut prouver que, s’opposant seul aux invasions des
Romains
, son salut est nécessaire à tous les peuples : I
me frappe à l’instant, et je ne puis distinguer ce torrent du peuple
romain
Mais pourquoi alors allégorisme ? N’est-ce pas là
t au figuré, dans une même phrase. Sertorius veut dire que les vertus
romaines
, l’esprit romain, la pensée puissante qui donne à
ne même phrase. Sertorius veut dire que les vertus romaines, l’esprit
romain
, la pensée puissante qui donne à Rome la vie et l
ne veut pas même développer ce point. Il est, selon lui, de la pudeur
romaine
, remarquez l’expression ! de ne recommander l’hon
onjonction. Cicéron, voulant faire comprendre que la gloire du peuple
romain
repose sur celle de Lucullus, dont les victoires
enim romanus, Lucullo imperante, sibi Pontum aperuit. C'est le peuple
romain
qui s’est ouvert le royaume du Pont, quand Lucull
attaché : Civis romanus sum, il énonce d’abord sa qualité de citoyen
romain
, celle qui peut lui être le plus utile dans le pé
donnant leurs suffrages, fait aussi un appel à la faveur des soldats
romains
qui entourent le tribunal : Vos, vos appello, for
anam condere gentem. Virg. Tant il était difficile de fonder l’empire
romain
. Tout le monde connaît ce sublime début de la pre
de dire, en parlant de la modération d’Agricola à l’égard des soldats
romains
dont on lui avait confié le commandement : Maluit
t de cette manière : Fils d’Eacide, je dis que tu pourras vaincre les
Romains
, tandis que le sens réel était que les Romains re
tu pourras vaincre les Romains, tandis que le sens réel était que les
Romains
remporteraient sur lui la victoire. Il faut donc
e discours. Rien, au dire de Cicéron, le plus harmonieux des orateurs
romains
, ne contribue autant à la beauté du langage que c
tes romani, qui te istâ curà liberarent. Il se trouva deux chevaliers
romains
qui devaient vous délivrer de cette inquiétude.
il avait conquis Rome par la force des armes, il ne régnerait sur les
Romains
que par la douceur et la bienveillance. Sans dout
cente d’Ostie, cette entreprise si honteuse, si infamante pour le nom
romain
, où une flotte, commandée par un consul en person
èvent si avantageusement le mérite d’un général, vous les connaissez,
Romains
, vous qui l’avez si souvent admiré à cette tribun
rillante réputation, et le bonheur le plus constant, balancerez-vous,
Romains
, à consacrer au salut et à l’agrandissement de la
gie. Les contemporains de Corneille le blâmaient d’avoir dit du sénat
romain
: Dont plus de la moitié piteusement étale Une i
d’Annibal, la situation de l’univers, et toute la grandeur du peuple
romain
, lorsqu’il dit : « Annibal fugitif cherchait au p
peuple romain, lorsqu’il dit : « Annibal fugitif cherchait au peuple
romain
un ennemi par tout l’univers ; qui, profugus ex A
du style de Pascal, de Montesquieu dans la Grandeur et décadence des
Romains
, de Tacite surtout. En appréciant le caractère de
s s’établit dans toutes les parties de ce vaste pays, et les colonies
romaines
dont il fut couvert devinrent autant d’écoles où
eurs vainqueurs. Un grand nombre de villes obtinrent le droit de Cité
romaine
, et plusieurs familles gauloises parvinrent aux p
ns presque toute la Gaule ; la plupart des habitants prirent des noms
romains
, et portèrent la toge ; des mariages nombreux rap
ges nombreux rapprochèrent les individus des deux nations ; les mœurs
romaines
dominèrent partout, et les grandes villes eurent
e Tours prescrivit à chaque évêque de traduire ses homélies en langue
romaine
rustique, afin qu’elles pussent être plus facilem
ais au commencement du xiie ; mais ce français tenait encore plus du
romain
rustique que du français d’aujourd’hui. Les fragm
quence. » La première différence qui sépare notre langue de celle des
Romains
, dont elle tire en partie son origine, c’est l’in
remarquerons cependant que notre langue est plus riche que celle des
Romains
pour exprimer les nuances du passé. Nous avons au
vinrent fonder leur puissance dans la Gaule, et mêler à la langue des
Romains
leur idiome barbare, ils supprimèrent les cas des
comme de soi-même. » (De l’Orateur, liv. II, chap. xxxiv.) L’orateur
romain
, qui savait si bien tracer les règles de art où i
composé de tous les peuples de la terre, et la marche de ces troupes
romaines
, gantoises, germaniques, grecques, africaines, ch
um l’antique chariot du Volsque ; l’équipage de chasse d’un chevalier
romain
embarrassait la voie Sacrée ; des prêtres couraie
pour servira construire d’autres édifices ! La grandeur de l’horizon
romain
se mariant aux grandes lignes de l’architecture r
r de l’horizon romain se mariant aux grandes lignes de l’architecture
romaine
; ces aqueducs qui, comme des rayons aboutissant
eurs citoyens distingués, battus de verges par l’ordre des magistrats
romains
. Voici comment il s’exprime à ce sujet : « Le co
es défendirent expressément de se rendre aux bains quand le magistrat
romain
serait dans la ville. Ce fut pour la même raison
sations de tous les jours. Mais écoutez Cicéron, lorsque des citoyens
romains
, des citoyens innocents, au mépris du droit des g
de verges, s’écrie-t-il, au milieu de la place de Messine, un citoyen
romain
. Ce malheureux, au milieu des souffrances qu’il e
endre d’autres cris, d’autres plaintes que celle-ci : Je suis citoyen
romain
. Il croyait, en rappelant ce titre, qu’il allait
e sur la tête de Verrès ! comme il voue ce monstre à l’exécration des
Romains
, lorsqu’il s’écrie : « O doux nom de la liberté !
’il s’écrie : « O doux nom de la liberté ! ô droits sacrés de la cité
romaine
! ô loi Porcin ! lois de Sempronius ! puissance t
ssance tribunitienne, si vivement regrettée et rendue enfin au peuple
romain
! O institutions sacrées, qu’êtes-vous devenues ?
e romain ! O institutions sacrées, qu’êtes-vous devenues ? Un citoyen
romain
, dans une province romaine, au sein d’une ville a
sacrées, qu’êtes-vous devenues ? Un citoyen romain, dans une province
romaine
, au sein d’une ville alliée, par les ordres « d’u
s haches et les faisceaux qu’il faisait porter devant lui, un citoyen
romain
était lié et battu de verges sur la place publiq
cris touchants de cet infortuné ne t’attendrissaient point, tous ces
Romains
qui étaient présents à son supplice, et qui pleur
omblés de ses bienfaits, ils sont teints de son sang. Pour forcer des
Romains
à ce coup détestable, Sans doute il fallait bien
C’est, dit Plutarque, une façon de parler dont usent quelquefois les
Romains
quand ils veulent éviter la dureté de cette rude
Assyriens anciens et nouveaux, les Mèdes, les Perses, les Grecs, les
Romains
, se présenter devant vous successivement, et tomb
fâme couteau Qui fait choir les méchants sous la main d’un bourreau ?
Romains
, souffrirez-vous qu’on vous immole un homme Sans
nt qu’à la parole libre et spontanée. Il y a dans la vie d’un orateur
romain
, Antoine, aïeul du triumvir, un trait bien propre
sentiment gagne en force, il le perd en étendue : quand la république
romaine
finissait au mont Aventin, ses enfants mouraient
re, madame de Sévigné elle-même, choisissaient parmi les Grecs ou les
Romains
, ceux qui avaient le plus d’analogie avec leur gé
fugiaient plus tout entiers dans les souvenirs et dans l’histoire des
Romains
, comme avaient fait autrefois quelques hommes sup
nes. Ils rapportaient de ce commerce avec les Hébreux, les Grecs, les
Romains
, quelque chose d’étranger, une grâce libre et fiè
s. Massillon était inspiré par l’élégance et la majesté de la diction
romaine
dans le siècle d’Auguste. Fléchier imitait l’art
musicale et animée subsista au plus haut degré chez les Grecs et les
Romains
; leur prosodie était bien plus étendue que celle
alité principale de l’orateur. Celle des orateurs et acteurs.grecs et
romains
était bien plus véhémente que celle des modernes.
Mais ce puissant effet que produisait l’harmonie sur les Grecs et les
Romains
serait difficilement obtenu chez des peuples sept
sont beaucoup moins harmonieuses. La doctrine des critiques grecs et
romains
sur ce point a égaré quelques esprits ; ils ont p
ainsi que nous disons : « c’est sous le règne d’Auguste que l’empire
romain
fut le plus florissant ; écouter la voix de sa co
son ravage, Guidés dans l’Italie et suivre mon passage. La puissance
romaine
est représentée sous la forme d’un torrent qui, s
parmi les Grecs plus de modèles d’une belle simplicité que parmi les
Romains
. Homère, Hésiode, Anacréon, Théocrite, Hérodote e
ite, Hérodote et Xénophon en offrent la preuve irrécusable. Parmi les
Romains
, nous trouvons aussi quelques écrivains de ce car
nous faire négliger la pensée. Curam verborum, dit le grand critique
romain
, rerum volo esse solicitudinem. Il est plus faci
es de ce nom. Continuation de l’histoire de l’éloquence. Éloquence
romaine
. Cicéron. Éloquence moderne. Après avoir trait
éloquence parmi les Grecs, nous allons examiner ses progrès parmi les
Romains
. Belliqueux et grossiers, les Romains furent long
examiner ses progrès parmi les Romains. Belliqueux et grossiers, les
Romains
furent longtemps étrangers aux arts, qui ne s’int
t, et artes Intulit agresti Latio. Hor. Epist. ad Aug., v. 156. Les
Romains
empruntèrent aux Grecs leur éloquence, leur poési
grecque. Si nous comparons les productions analogues des Grecs et des
Romains
, nous trouverons toujours plus de génie naturel d
e régularité dans ceux des seconds. Ce que les Grecs inventèrent, les
Romains
le perfectionnèrent. Le gouvernement des Romains
ecs inventèrent, les Romains le perfectionnèrent. Le gouvernement des
Romains
fut démocratique durant la république, et par con
avec plus de plaisir. Indépendamment de cette circonstance, l’orateur
romain
est sans contredit un plus agréable écrivain que
ours de Philippe… » Le règne de l’éloquence fut très court parmi les
Romains
. Après Cicéron elle languit, ou plutôt elle expir
la plus brutale : la Providence ayant, dans sa colère, livré l’empire
romain
à une suite de ces tyrans odieux qui sont le fléa
généré en subtilité et en sophismes ; dans les mains des déclamateurs
romains
, elle se changea en clinquant, en affectation, en
jeune, qui peut être considéré comme le dernier effort de l’éloquence
romaine
; et, quoique l’auteur fût un homme de génie, néa
r soutenir une élévation forcée. Au temps de la décadence de l’empire
romain
, l’introduction du christianisme fit naître un no
ut ce qui constitue les grands efforts de génie les anciens, Grecs et
Romains
, ne l’emportassent sur nous. Mais d’un autre côté
x, nous n’avions et ne pouvions rien avoir à opposer aux Grecs et aux
Romains
dans le genre qu’ils appelaient délibératif, et q
bon avocat sans jamais avoir étudié la loi ; car il y avait chez les
Romains
une classe d’hommes appelés pragmatici, dont l’of
comme cela se pratique aujourd’hui, mais à une assemblée de citoyens
romains
. De là tous ces artifices d’éloquence populaire q
romains. De là tous ces artifices d’éloquence populaire que l’orateur
romain
employait si fréquemment, et très probablement av
l’avocat qui paraîtrait au barreau vêtu de la toge d’un jurisconsulte
romain
. Avant de développer des instructions plus spécia
Verrès, alors gouverneur de Sicile, contre un certain Gavius, citoyen
romain
. Ce Gavius s’était échappé des prisons où il avai
rreaux ; et, contre la loi, contre les privilèges avérés d’un citoyen
romain
, le fait dépouiller et battre de verges de la man
osé aux côtes de l’Italie, « Afin que cet homme qui se disait citoyen
romain
pût, du haut de sa croix, apercevoir l’Italie et
; « ce n’était pas Gavius seul que Verrès insultait, c’était vous, ô
Romains
, c’était chaque citoyen qui m’écoute ; il vous br
ersonne de Gavius, et montrait quel mépris il avait conçu pour le nom
romain
et les libertés romaines. » Jusqu’à présent tout
ontrait quel mépris il avait conçu pour le nom romain et les libertés
romaines
. » Jusqu’à présent tout est beau, animé et pathé
Cicéron était non seulement le plus éloquent, mais le plus savant des
Romains
. C’est à l’étude de la philosophie qu’il devait c
ns), tous nous sont favorables ; et dans cette multitude nombreuse de
Romains
, dont les regards viennent de tous les points du
pour lui les siens, en pareille occasion ». 118. « J’ai tué ; oui,
Romains
, j’ai tué, non un Spurius Mélius, qui encourut le
it dans l’abattement, la république dans l’oppression, les chevaliers
romains
sans pouvoir, tous les bons citoyens sans espéran
Malheureux que je suis ! Eh quoi ! c’est par le secours de ces mêmes
Romains
, ô Milon, que tu as pu me rappeler dans Rome ; et
les beaux-arts, ont donné les premiers des traités de rhétorique. Les
Romains
, qui ont imité les Grecs, ont trouvé chez eux et
opprimée, je me dévouai tout entier au sénat expirant, aux chevaliers
romains
dénués de force et de pouvoir, aux gens de bien a
e peuvent soutenir les armées entières et qui fait trembler le peuple
romain
? et quand même tout autre secours lui manquerait
qu’on apprête les verges. Ce malheureux s’écriait qu’il était citoyen
romain
, habitant de la ville de Cosa ; qu’il avait servi
« Dans la place publique de Messine, on battait de verges un citoyen
romain
, et au milieu des coups qui l’accablaient, on n’e
nt, on n’entendait d’autre gémissement que ces mots : Je suis citoyen
romain
. Il pensait que cette réclamation seule éloignera
répétait sans cesse et faisait tristement retentir le nom de Citoyen
romain
, une croix infâme était dressée pour ce malheureu
! est-ce là votre pouvoir, et a-t-il été rétabli, pour qu’un citoyen
romain
, dans une ville de l’empire, dans une ville allié
s une ville alliée, par le magistrat même qui ne tenait que du peuple
romain
les haches et les faisceaux, fût, attaché à un po
ouvais-tu être insensible aux pleurs et aux gémissements des citoyens
romains
présents à cet affreux spectacle ? tu as osé, Ver
é, Verrès, tu as osé mettre en. Croix quelqu’un qui se disait citoyen
romain
! » Pour exemple d’éthopée, on cite celle de l’a
eds tout un peuple à la chaîne ; Tous deux sont revêtus de la pourpre
romaine
; Tous deux sont entourés de gardes, de soldats :
le opprimé jamais n’implore en vain : « Et j’ose t’y citer, ô pontife
romain
! « Encor quarante jours !… je t’y vois comparaît
tion et la vertu ? Quelle splendeur funeste a succédé à la simplicité
romaine
! Quel est ce langage étranger ? Quelles sont ces
’Asie. Les dépouilles de Carthage sont la proie d’un joueur de flûte.
Romains
, hâtez-vous de renverser ces amphithéâtres, brise
que tantôt ils promissent à leur dieu de lui consacrer les armes des
Romains
et de lui présenter un carcan5 fait de leur butin
e grammairien13 n’est point si inhumaine que celle que recevaient les
Romains
à voir démembrer un homme par une bête sauvage. C
ruiner sa maison par ses conquêtes. Quand Brutus inspirait au peuple
romain
un amour immense de la liberté, il ne songeait pa
e 107, Ille partie, les Empires, chap. VIII. Causes de la grandeur
romaine
. Qui peut mettre dans l’esprit des peuples la
œur se dégrade lui-même et n’est plus digne de voir le jour. Tous les
Romains
étaient nourris dans ces sentiments, et le peuple
aux : on n’y entendait parler d’autre chose que de la grandeur du nom
romain
. Il fallait aller à la guerre quand la république
t été avant elle, ce n’a point été par hasard ; mais c’est que l’État
romain
, constitué de la manière que nous avons vue, étai
ble, et ne se croit jamais sans ressource : aussi voyons-nous que les
Romains
n’ont jamais désespéré de leurs affaires, ni quan
oir ruiné Lépide, se tournent l’un contre l’autre. Toute la puissance
romaine
se met sur la mer. César gagne la bataille actiaq
sar ; Alexandrie lui ouvre ses portes ; l’Égypte devient une province
romaine
; Cléopâtre, qui désespère de la pouvoir conserve
i renvoient les étendards pris sur Crassus, avec tous les prisonniers
romains
; les Indes recherchent son alliance ; ses armes
tout à elle. Regardez ces peuples barbares qui firent tomber l’empire
romain
. Dieu les a multipliés et tenus en réserve sous u
les hommes aujourd’hui le goût de l’élégance attique et de l’urbanité
romaine
. Ainsi se forment les grands hommes dans la répub
s Considérations sur les causes de la grandeur et de la décadence des
Romains
(1734) et l’Esprit des Lois. Souvent on a loué la
es de se réaliser par des applications pratiques312. Politique des
Romains
. Causes de leur agrandissement. Dans le cours
son souverain, ils lui accordaient d’abord le titre d’allié du peuple
romain
, et par là ils le rendaient sacré et inviolable :
aible. C’était, dit Denys d’Halicarnasse319, une ancienne coutume des
Romains
d’accorder toujours leur secours à quiconque vena
toujours leur secours à quiconque venait l’implorer. Ces coutumes des
Romains
n’étaient point quelques faits particuliers arriv
ns des plus riches citoyens : on faisait mille crimes pour donner aux
Romains
tout l’argent du monde. Mais rien ne servit mieux
e et dans les délices n’osaient jeter des regards fixes sur le peuple
romain
; et, perdant le courage, ils attendaient de leur
es dont ils étaient menacés. Remarquez, je vous prie, la conduite des
Romains
. Après la défaite d’Antiochus, ils étaient maître
de tout l’univers. Considérations sur les causes de la grandeur des
Romains
et de leur décadence 322, chap. vi. Lysimaque3
sultat de la justesse et de l’agrément. Mais la sévérité des premiers
Romains
donna à ce mot elegantia un sens odieux : ils reg
ni, ces mains, ces propres mains, Laveront dans son sang la honte des
Romains
. SABINE. Suivons-le promptement : la colère l’emp
remettrait pas en de mauvaises mains L’intérêt d’Émilie et celui des
Romains
. CINNA. Plût aux dieux que vous-même eussiez vu d
om d’homme à qui n’a rien d’humain, À ce tigre altéré de tout le sang
romain
. Combien pour le répandre a-t-il formé de brigues
ui donner un maître « Faisant aimer à tous l’infâme nom de traître, «
Romains
contre Romains, parents contre parents, « Combatt
ître « Faisant aimer à tous l’infâme nom de traître, « Romains contre
Romains
, parents contre parents, « Combattaient seulement
la liberté Rome s’en va renaître ; Et nous mériterons le nom de vrais
Romains
, Si le joug qui l’accable est brisé par nos mains
vec leurs grands desseins ? Ne les compte-t-on plus pour les derniers
Romains
? Leur mémoire dans Rome est encor précieuse Auta
-mêmes de sa peine ; Et, si Rome nous hait, triomphons de sa haine. Ô
Romains
! ô vengeance ! ô pouvoir absolu ! Ô rigoureux co
s après moi le plus considérable, Et que ce grand fardeau de l’empire
romain
Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en ta mai
fils, c’est le maître du monde. J’en dois compte, madame, à l’empire
romain
, Qui croit voir son salut ou sa perte en ma main.
Et serez-vous le seul que vous n’oserez croire ? Mais, seigneur, les
Romains
ne vous sont pas connus : Non, non, dans leurs di
qui est, à mon sens, fort belle : il me semble que je lis l’histoire
romaine
. Saint-Hilaire, lieutenant-général de l’artilleri
ut conserve cependant sa physionomie particulière : Égyptiens, Grecs,
Romains
, ont chacun leur altitude, et Dieu intervient san
at romana virisque. Parmi nous, avant notre siècle, ajoute l’orateur
romain
, la force des mœurs héréditaires appelait naturel
, en la généralisant, au commencement de la Grandeur et décadence des
Romains
. 109. Rapprochez de ce passage les Considératio
e les Considérations de Montesquieu sur les causes de la grandeur des
Romains
et de leur décadence, particulièrement le chap. I
e chap. IV ; en outre, les Réflexions sur les divers génies du peuple
romain
, ouvrage estimable de Saint-Évremond, que nous av
pleur et la richesse des développements. 162. Saint Paul, Épître aux
Romains
, I, 16. 163. VI. 14. 164. Saint Paul, Ire Épîtr
Rollin entreprit successivement son Histoire ancienne et son Histoire
romaine
: mais la mort l’arrêta dans la composition de ce
es Caudines est l’exemple le plus saillant de cette habileté du sénat
romain
à éluder les conditions d’un traité. Tite-Live, q
s), mais une simple convention (sponsio) (liv. IX, c. i et suiv.).Les
Romains
n’avaient guère le droit de parler de la foi puni
tragédie de Nicomède, a mis en action cette politique insidieuse des
Romains
et ce honteux abaissement des rois. On peut revoi
ogie latine (stupere). 322. Dans cette étude profonde de l’antiquité
romaine
(1734), chef-d’œuvre de raison et de style, a dit
t fait dire de Corneille « qu’il avait ajouté à l’idée de la grandeur
romaine
». L’ordonnance en est vicieuse, l’unité d’action
rande beauté de ce caractère du vieil Horace, c’est qu’au patriotisme
romain
, qui lui fait préférer le pays à ses enfants, il
ve M. Saint-Marc Girardin, devait donner à l’amour paternel, chez les
Romains
, un caractère particulier de dignité. » 489. Ce
cain lui-même. » 496. Les Bretons s’animant contre les procurateurs
romains
qui pillent leur pays disent aussi : « Æque disco
e éloquente expression par laquelle Tacite peint l’état des empereurs
romains
: pavebant terrebantque . Claudien a dit aussi,
r autorité ne s’étend pas jusque-là. L’on sait même que des empereurs
romains
échouèrent dans ce projet d’ajouter des lettres à
droits où l’auteur français a lutté contre les beautés de l’historien
romain
, qu’il s’est souvent appropriées, on recourra aux
que l’imagination se représente l’avenir peu éloigné où ces illustres
Romains
devaient expier par la proscription leur gloire e
ocher des intentions de Narcisse. 743. Pour exprimer la bassesse des
Romains
, celui-ci s’écriait souvent, au rapport de Tacite
on salut que je dois préférer à tout. Il fallait bien que les soldats
romains
, pour être incorporés dans la milice, fusent une
leur grossière fureur, eût appelé le Pape, l’Antéchrist, et l’Église
romaine
, la prostituée de Babylone. II. Du Panégyriqu
s politiques. Mais nous avons les Panégyriques de plusieurs Empereurs
Romains
, rassemblés en un recueil intitulé : Panegyrici v
lustre et le plus éloquent de la république, prononça leur éloge. Les
Romains
, suivant Polybe, ouvrirent cette carrière à l’élo
angues, fit un récit touchant des belles actions de sa vie. Le peuple
romain
comprit combien il serait utile à la république d
mi nous au degré d’élévation où on l’a vue chez les Grecs et chez les
Romains
. Cela n’est pas surprenant. Dans notre barreau, e
celui qui a le mieux exprimé le caractère de l’éloquence de l’orateur
romain
. L’abbé Auger nous a donné aussi une bonne traduc
lles sont fort bien traduites. On trouvera aussi dans les Révolutions
romaines
, par l’abbé de Vertot, de très beaux discours qu’
re à des juges, et non pas à des ennemis, ajouta-t-il, je vous dirai,
Romains
, que j’ai été fait consul avec Virginius dans un
utre de sang répandu ? Quelle divinité s’est engagée envers le peuple
romain
de lui faire remporter des victoires sans aucune
j’ai manqué contre les devoirs d’un bon général. Vertot, Révolutions
romaines
. Ulysse, pour déterminer Agamemnon à sacrifier s
i-même, et il s’écria dans sa colère : « Plût aux dieux que le peuple
romain
n’eût qu’une tête, je la ferais tomber ! » Je n’e
en habit de guerrier, agita sa lance d’une manière terrible, tous les
Romains
pâlirent. Apollonius fut frappé des malheurs qui
l’autre n’eût pas été enlevé par un assassinat, il eût accoutumé les
Romains
à sa domination, aussi bien qu’Auguste, et aurait
eds tout un peuple à la chaîne ; Tous deux sont revêtus de la pourpre
romaine
; Tous deux sont entourés de gardes, de soldats :
eaux de Saint-Denis. Vol. II, nº 71. — 2° Prosopopée de Fabricius aux
Romains
. Vol. II, nº 72. § IV. Imprécation L’Impréc
ce beau morceau, entendre Cicéron lui-même plaidant devant le peuple
romain
la cause de Milon ? « C’est un beau nom que la c
om que la chambre de justice ; mais le temple de la clémence, que les
Romains
élevèrent à cette vertu triomphante en la personn
souffrit que ces fatales plaines S’engraissassent du sang des légions
romaines
. Un jour le laboureur, dans ces mêmes sillons Où
ille, Verra de vieux tombeaux sous ses pas s’écrouler, Et des soldats
romains
les ossemens rouler. On a dû remarquer dans les
ient sillonner, et que sillonne aujourd’hui le fer de la charrue. Les
Romains
, maîtres de l’univers, ne voulant rien perdre du
oulant ravir à la France la gloire d’un si beau monument. Mais si les
Romains
vinrent à bout, par un travail opiniâtre et forcé
astes d’Ovide, quoiqu’ils ne soient autre chose que le calendrier des
Romains
. C’est un de ses meilleurs ouvrages. Le P. Kervil
de cinq actes. Ainsi celte loi, qui pouvoit être de rigueur chez les
Romains
, ne l’est point parmi nous. Il est indispensable
œurs générales sont les mœurs des différentes nations, des Grecs, des
Romains
, celles d’un peuple civilisé, celles d’un peuple
ie 2. L’air ni l’esprit français à l’antique Italie, Et sous des noms
romains
, faisant notre portrait, Peindre Caton(a) galant,
utres personnages. Dans la tragédie de Sertorius, on voit deux, héros
romains
, Sertorius et Pompée, qui, ont le vrai caractère,
t aux caractères, parce que nous n’y voyons que la peinture des mœurs
romaines
de ce temps-là, dont les mœurs d’aujourd’hui sont
s feuillette, qu’il les lise nuit et jour, comme le disoit Horace aux
Romains
, en parlant des excellens ouvrages de théâtre que
l’an 240 avant J. C. Très-peu de temps après cette époque, plusieurs
Romains
, parmi lesquels on distingue Ennius, s’exercèrent
a portèrent au plus haut point de perfection où on l’ait vue chez les
Romains
. Plaute, né à Sarsine dans le duché d’Urbin d’au
Carthage, vers l’an 193 avant Jésus-Christ, et affranchi du sénateur
romain
Terentius Lucanus, fut l’heureux imitateur de Me.
ie de Ve. Dans Mariane, on voit un Herode jaloux et un Varus, préteur
romain
, amoureux de Mariane : dans la parodie, c’est un
qui en cela, plus conformes à l’humanité que celles des Grecs et des
Romains
, ne veulent point que la scène soit ensanglantée
passion est donc nécessaire dans la tragédie. 2°. Si les Grecs et les
Romains
n’en ont point fait usage, c’est parce que ces ré
âme couteau, Qui fait cheoir les méchans sous la main d’un bourreau ?
Romains
souffrirez-vous qu’on vous immole un homme, Sans
s après moi le plus considérable, Et que ce grand fardeau de l’Empire
romain
Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en ta mai
st temps. Quelle noblesse ! quelle dignité dans ce ton de l’empereur
romain
! Tout est grand dans ce morceau ; tout y est d’u
isant part à ses enfans du dessein qu’il a formé d’aller attaquer les
Romains
dans Rome même, est également admirable par la gr
x apprêts, Ramener la terreur du fond de ses marais, Et, chassant les
Romains
de l’Asie étonnée, Renverser en un jour l’ouvrage
r effort redoublé. Il voit plus que jamais ses campagnes couvertes De
Romains
que la guerre enrichit de ses pertes. Des biens d
, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez par-tout l’horreur du nom
romain
, Et la triste Italie encore toute fumante Des feu
al(a) l’a prédit, croyons en ce grand homme, Jamais on se vaincra les
Romains
que dans Rome. Noyons-la dans son sang justement
he, qu’on croyoit mort après une longue absence, étoit souverain. Les
Romains
qui vouloient donner un roi à cette province, y a
ui formant au joug des peuples invincibles, Ai tant de fois bravé ces
Romains
si terribles ; Qui fais trembler encor ces fameux
encor ces fameux souverains, Ces Parthesd aujourd’hui la terreur des
Romains
? Ce peuple triomphant n’a point vu mes images A
in d’entrer dans l’Arménie(b), Non par de vains discours indignes des
Romains
, Quand je vais par le fer m’en ouvrir les chemins
e étoit celle de l’Enéide, qui intéressoit principalement les anciens
Romains
, puisque c’est la fondation de leur empire : ou s
en Italie, fait naître l’intérêt de religion par rapport aux anciens
Romains
; et Didon, victime de l’amour intéresse tous les
’intérêt de nation dans l’entreprise d’Enée, qui veut fonder l’empire
romain
; l’intérêt de l’humanité entière dans les effets
, qui lui fait connoître les héros les plus célèbres de la République
romaine
. Voltaire a fait, dans sa Henriade, l’imitation l
eds tout un peuple à la chaîne ; Tous deux sont revêtus de la pourpre
romaine
, Tous deux sont entourés de gardes, de soldats. I
glorieuse postérité, lui peint les plus fameux héros de la République
romaine
. VII. Livre. Enée arrive à l’embouchure du Tibre
des remarques, est la plus estimée. Il nous reste encore des anciens
Romains
quelques poëmes que virent paroître les siècles i
e jusqu’à la liberté de la voix et de la respiration : ou les pauvres
Romains
sont muets, ou ils n’ouvrent la bouche que pour f
guer dans l’orage17. Quand vous aurez vu le Tibre, au bord duquel les
Romains
ont fait l’apprentissage de leurs victoires et co
au nom que la Chambre de Justice, mais le temple de Clémence, que les
Romains
élevèrent à cette vertu triomphante en la personn
si libre, si forte, si florissante, si féconde. Que sont devenus ces
Romains
qui la persécutaient ? Ce peuple, qui se vantait
t toujours trouvé mêlé parmi les armes ? Pourquoi croyez-vous que les
Romains
fussent si jaloux de mettre leurs aigles et leurs
ù ils parurent plus pauvres et plus modestes. Corneille, cet officier
romain
, tout gentil qu’il est encore, se jette aux pieds
s Considérations sur les causes de la grandeur et de la décadence des
Romains
(1734) et l’Esprit des Lois. Souvent on a loué la
crifié à votre puissance ; vous vous êtes rendu redoutable à tous les
Romains
, vous avez exercé sans pitié les fonctions de la
able. Quelqu’un vous dit : “Sylla, jusqu’à quand répandras-tu le sang
romain
? veux-tu ne commander qu’à des murailles ?” Pour
e faire la plus grande de toutes mes actions. Si j’avais gouverné les
Romains
avec douceur, quelle merveille que l’ennui, que l
i ne crût que la dictature était mon seul asile. J’ai paru devant les
Romains
, citoyen au milieu de mes concitoyens ; et j’ai o
iendront me demander leur père, leur fils ou leur frère328.” Tous les
Romains
se sont tus devant moi329. » « Cette belle action
avez eu pour vous le nouvel étonnement dans lequel vous avez mis les
Romains
; mais comment osâtes-vous leur parler de vous ju
eur ni la vengeance. J’ai jugé sans haine, mais aussi sans pitié, les
Romains
étonnés. « Vous étiez libres, ai-je dit, et vous
llu usurper la dictature, comment avez-vous osé la rendre ? Le peuple
romain
, dites-vous, vous a vu désarmé, et n’a point atte
nom331, me dit-il, et il me suffit pour ma sûreté et celle du peuple
romain
. Ce nom arrête toutes les entreprises, et il n’y
. Sylla respire, et son génie est plus puissant que celui de tous les
Romains
. Sylla a autour de lui Chéronée, Orchomène et Sig
s lois ; mais elles ne seront pas effacées par des flots même de sang
romain
. Ne suis-je pas au milieu de Rome ? Vous trouvere
ec laquelle tu as signé l’ordre de faire mourir en un jour cent mille
Romains
.” Mithridate resta immobile ; et Marius, au milie
t comme vous, lorsque, couvert du sang de ses ennemis et de celui des
Romains
, il montrait cette audace que vous avez punie. Vo
op de miracles pour arracher à présent du cœur de tous les capitaines
romains
l’ambition de régner. Vous leur avez appris qu’il
liv. I, chap. 1399.) Polyeucte400. (Extraits.) Félix, sénateur
romain
et gouverneur de l’Arménie, a marié depuis peu sa
ue lave le Danube. Il n’était point d’asiles Où l’avarice des
Romains
Ne pénétrât alors et ne portât les mains. Le dépu
et ne portât les mains. Le député vint donc et fit cette harangue : «
Romains
, et vous, sénat, assis pour m’écouter, Je supplie
e : Faute d’y recourir, on viole leurs lois. Témoin nous que punit la
romaine
avarice : Rome est par nos forfaits, plus que par
e par ses exploits, L’instrument de notre supplice. Craignez,
Romains
, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte
572, L’air ni l’esprit français à l’antique Italie, Et, sous des noms
romains
faisant notre portrait, Peindre Caton galant et B
Ne vous souvient-il plus, cœur ingrat et sans foi, Plus que tous les
Romains
conjuré contre moi, De quel rang glorieux j’ai bi
ns son cœur une passion désormais sans objet. Il a vécu au milieu des
Romains
, qui l’ont arraché à ceux qui le poursuivaient :
sser sous les lois d’un nouveau maître, il s’est fait choisir par les
Romains
pour être leur ambassadeur en ce pays : il y revi
gardez-vous bien d’exciter sa vengeance. Alliée ou plutôt sujette des
Romains
, De leur choix l’Arménie attend des souverains. V
i, formant au joug des peuples invincibles, Ai tant de fois bravé ces
Romains
si terribles, Qui fais trembler encor ces fameux
r encor ces fameux souverains, Ces Parthes aujourd’hui la terreur des
Romains
? Ce peuple triomphant n’a point vu mes images À
soin d’entrer dans l’Arménie, Non par de vains discours, indignes des
Romains
, Quand je vais par le fer m’en ouvrir les chemins
enchaînées, D’oser avoir recours, dans la honte des fers, À ces mêmes
Romains
maîtres de l’univers ? En effet, quel emploi pour
n crime ? Me serais-je mépris au choix de la victime ? Ou le sang des
Romains
est-il si précieux Qu’on n’en puisse verser sans
quoi vengeais-tu la mort de Mithridate706 ? PHARASMANE. Ô mon fils, ô
Romains
? êtes-vous satisfaits ? (À Arsame.) Vous, que po
e tour figuré veut dire : qui est mêlé aux grandes affaires. 18. Les
Romains
disaient que les dieux avaient promis l’empire du
on : « Ils sont dans le même genre que plusieurs de ceux de l’orateur
romain
, un mélange d’affaires judiciaires et d’affaires
lon dans ses Entretiens sur la religion : « Malgré toute la puissance
romaine
, malgré les passions, les intérêts, les préjugés
particulièrement les chap. xi et xiii de la Grandeur et décadence des
Romains
. 326. Ce mot, au dix-huitième siècle, désignait
ujours prêts à le secourir ou à le venger » Grandeur et décadence des
Romains
, chap. xi. 332. Il serait plus correct de dire j
auline, aussi bien conçus que bien traités 401. C’était un chevalier
romain
, favori de l’empereur Dèce jadis il avait recherc
ne aussi d’être rapproché des considérations de Bossuet et de sur les
Romains
. Combien le domaine de la fable n’a-t-il donc pas
Paysan du Danube, attribué par Guevara au plus vertueux des empereurs
romains
, sans doute pour ajouter à l’autorité de la ficti
qui ont amené la décadence et ensuite la chute entière de l’éloquence
romaine
, il faut voir Tacite, Dialogue des orateurs, ch.
développées avec une plus grande autorité dans saint Paul, Épître aux
Romains
, c. 12. 501. Tour vif pour accommoder, plier son
la Chersonèse Taurique. Là, après avoir lutté si longtemps contre les
Romains
, le célèbre roi du Pont, sans être abattu par de
e, on peut redire avec Geoffroy : « Corneille avait peint la grandeur
romaine
; Racine voulut peindre le plus grand ennemi des
la grandeur romaine ; Racine voulut peindre le plus grand ennemi des
Romains
. Le charme particulier de la tragédie de Mithrida
aisé de montrer que Racine, qui connaissait si bien les Grecs et les
Romains
, n’avait nullement dédaigné l’étude de notre anci
re, d’après la manière de compter des anciens et particulièrement des
Romains
, répond pour nous à neuf heures du matin. 637.
Pauline de Corneille : Zénobie a la noblesse et la vertu de l’héroïne
romaine
. 694. Cette scène, si attachante, a le mérite d’
e les permirent pas seulement, mais même les favorisèrent : quand les
Romains
voulurent affaiblir la Macédoine, ils y établiren
rticulier de chaque nation et le premier citoyen de chaque ville. Les
Romains
conquirent tout pour tout détruire : il voulut to
à César : quand César voulut imiter les rois d’Asie, il désespéra les
Romains
pour une chose de pure ostentation ; quand Alexan
ages qu’on pouvait tirer pour l’avenir de la position des astres. Les
Romains
se sont élevés dans la poésie didactique à une ha
s didactiques. Ne nous arrêtons pas aux autres poètes didactiques des
Romains
, malgré leur mérite. Ne nommons pas même Horace,
être intéressé, comme dans l’entreprise de César contre la république
romaine
. En général, tout ouvrage où l’on voit l’action d
vant notre ère, et qui a chanté l’expédition des Argonautes. Chez les
Romains
nous ne reconnaissons qu’un seul poème épique dan
it Virgile, c’était son plus bel ouvrage. » Après Virgile, plusieurs
Romains
nous ont donné des poèmes du genre de l’épopée, m
s ôtages auprès des Séquanais, à ne pas implorer le secours du peuple
romain
, et à se soumettre pour toujours à leur dominatio
ost se suppriment devant les noms qui indiquent les divisions du mois
romain
. Ex. : Natus est Augustus nono calendas octobres.
une magnifique allégorie : c’est l’ode où il représente la république
romaine
sous l’image d’un navire battu par la tempête :
pour tous les Grecs chez les poètes anciens. On dit le Tibre pour les
Romains
, le Nil pour les Egyptiens, la Seine pour les Fra
de l’Ecole, ils veulent parler de saint Thomas. Le mot Urbs, chez les
Romains
, désignait la ville de Rome. Romani ex agris in U
tollere ? In Verr., 66. C'est un crime de mettre aux fers un citoyen
romain
, c’est un attentat de le battre de verges, c’est
rs, manipulus, turma, caterva, phalanx. Legio, légion. La légion
romaine
était un corps de trois mille fantassins et de ce
e l’armure. Spolia opima, les dépouilles opimes, celles qu’un général
romain
avait enlevées au général ennemi qu’il avait tué
une action générale. Les combats livrés à Cannes entre Annibal et les
Romains
, à Pharsale entre César et Pompée, sont dits præl
les trois manières dont les peuples étrangers contractaient avec les
Romains
. Sponsio n’exigeait le consentement ni du sénat,
sentinelle. Disponere stationes. Cæs. — Vigilia, veille de nuit. Les
Romains
partageaient la nuit en quatre veilles, et chaque
e. — Lancea, lance, sorte de trait fort long. — Pilum, le javelot des
Romains
, dont la hampe était longue et la forme triangula
allium, sagum, chlamys. Toga (de tegere), toge, robe des anciens
Romains
en temps de paix. C'était un grand manteau qui se
près leur expulsion, celui des consuls, des augures et des chevaliers
romains
. — Pallium, longue robe ou manteau à l’usage des
n un mode de composition tout différent de celui que les Grecs et les
Romains
ont livré à notre admiration, et sur lequel nous
toute notre attention, c’est que, dans leur langue, les Grecs et les
Romains
avaient conservé beaucoup de cette prononciation
ons bien des raisons de croire que la prosodie, chez les Grecs et les
Romains
, était portée bien plus loin que chez nous, et qu
e accompagnées d’instruments de musique. S’il en était ainsi chez les
Romains
, à plus forte raison devait-il en être de même ch
Grecs, qui passent pour avoir été plus amateurs de la musique que les
Romains
, et pour avoir, en conséquence, donné plus de soi
avait ensuite maintenus si longtemps dans la langue des Grecs et des
Romains
. Le latin se perdit insensiblement dans leur idio
us animé, celui de la traduction est iilusclair et plus distinct. Les
Romains
, en général, plaçaient leurs mots suivant le rang
moyen que de les placer strictement à la suite l’un de l’autre ; les
Romains
, par exemple, pouvaient dire : Extinctum nymphæ
trace des lettres dont nous nous servons aujourd’hui. L’alphabet des
Romains
, qui nous sert encore, ainsi qu’à la plupart des
s sont disposées dans chacun des alphabets phénicien, hébreu, grec ou
romain
, ont tant d’analogie, qu’il est évident que tous
as qu’occasionnaient les différentes formes des déclinaisons ; et les
Romains
, comme on sait, n’en avaient pas moins que cinq,
t peut-être même des Espagnols, jusqu’à l’époque où les conquêtes des
Romains
, et ensuite les invasions des peuples du Nord, ay
ou du français, que nous a apporté Guillaume le Conquérant. Car, les
Romains
ayant été longtemps maîtres de toutes les Gaules,
ion d’une phrase, que les mots de la langue des Grecs ou de celle des
Romains
. Mais ces inconvénients d’une langue composée, s’
mots dans une phrase. Nous savons quelle importance les Grecs et les
Romains
attachaient au langage dans les temps les plus fl
rminés dans notre langue, qu’ils l’étaient chez les Grecs et chez les
Romains
par le moyen des terminaisons. Chez nous, la posi
e de Dean Swift, intitulé Vues sur les progrès de la religion : « Les
Romains
s’entendaient en liberté au moins aussi bien que
ignifient que si nous nous entendons en d’autres choses mieux que les
Romains
, la liberté au moins était une chose dans laquell
rendu sa pensée indépendante de la prononciation, en mettant : « Les
Romains
s’entendaient en liberté aussi bien, au moins, qu
lle-ci : « Dans ce gouffre se précipitèrent eux-mêmes trois sénateurs
romains
. » Il a traduit une phrase aussi simple que null
e donner de l’harmonie aux périodes. En second lieu, les Grecs et les
Romains
, mais les Grecs surtout, étaient des peuples mieu
. C’est un fait incontestable que, lorsque Caïus Gracchus parlait aux
Romains
assemblés, il avait un musicien derrière lui qui,
’application de ces accents nous est absolument inconnue. Quoique les
Romains
ne les employassent pas dans leur manière d’écrir
ore concludunt. Si l’harmonie du langage était chez les Grecs et les
Romains
un objet d’une bien plus haute importance que che
applaudissements aussi prodigieux que ceux qu’elle produisit sur les
Romains
, au témoignage de Cicéron. Nos oreilles septentri
rsonnes se sont imaginé que sur ce point la doctrine des Grecs et des
Romains
était applicable à notre langue, et que notre pro
s : « Le règne d’Auguste fut l’époque la plus florissante de l’empire
romain
. » — « Le chef d’une faction, » voilà une express
recs nous fournissent des modèles d’une plus belle simplicité que les
Romains
. Homère, Hésiode, Anacréon, Théocrite, Hérodote e
entiellement notre attention : Curam verborum, dit le grand critique
romain
, rerum volo esse sollicitudinem. Ce conseil est
urs. Lecture XXVI. Suite de l’histoire de l’éloquence. — Éloquence
romaine
. — Cicéron. — Éloquence moderne. Après avoir
et art porté à son plus haut point de splendeur et de perfection. Les
Romains
furent longtemps un peuple guerrier, absolument é
La Grèce vint dompter ses sauvages vainqueurs. (Trad. de Daru.) Les
Romains
empruntèrent donc aux Grecs leur éloquence, leur
du génie, tandis que l’art et la régularité caractérisent celles des
Romains
. Ce que ceux-là avaient inventé, ceux-ci le perfe
aux, qui même n’étaient quelquefois que des ébauches incorrectes, les
Romains
en faisaient des copies achevées. Tant que dura l
s dicendi . Ce ne fut que peu de temps avant Cicéron que les orateurs
romains
commencèrent à avoir quelque célébrité. Appius et
sa marche est un des avantages qu’il a sur Démosthène. Chez l’orateur
romain
, chaque chose est à sa place ; il ne cherche à ém
ne, contre Verrès, contre Catilina. Ces grandes qualités de l’orateur
romain
ne l’avaient pas préservé de quelques défauts sur
perdaient pas un mot du style concis et pressant de Démosthène ; les
Romains
, moins subtils et moins familiarisés avec les res
s moins familiers avec les antiquités grecques qu’avec les antiquités
romaines
. Nous lisons Cicéron avec plus de facilité et, pa
quence, quoique très belle, quoique parfaitement assortie au goût des
Romains
, approche cependant un peu trop de la déclamation
de Cicéron, et nous ne devons pas en être surpris. Non seulement les
Romains
perdirent leur liberté, mais ils sentirent bientô
ateurs dégénéra en subtilités et en sophismes ; avec les déclamateurs
romains
, l’éloquence devint délicate, affectée, pointille
morceau que l’on peut regarder comme le dernier effort de l’éloquence
romaine
. L’auteur fut un homme de génie ; mais on voit qu
à soutenir son élévation forcée. Au temps de la décadence de l’empire
romain
, l’introduction du christianisme fit naître un no
oratoire, et ne l’a cultivé avec autant de soins que les Grecs et les
Romains
. On n’y a point attaché la même gloire ; son infl
s genres d’éloquence, bien inférieurs, non seulement aux Grecs et aux
Romains
, mais encore aux Français. Nous avons des philoso
tous les lieux communs. J’ai déjà fait observer que les Grecs et les
Romains
aspiraient à un genre d’éloquence plus élevé que
peut presque pas douter que, dans les productions du seul génie, les
Romains
et les Grecs ne l’aient emporté sur nous ; mais i
de notre tempérament flegmatique. Car la sensibilité des Grecs et des
Romains
, surtout celle des premiers, était bien plus déve
versées dans la jurisprudence, mais devant une assemblée de citoyens
romains
. Aussi l’orateur employa-t-il avec succès toutes
principaux instruments avec lesquels on gagnait une cause ; aussi les
Romains
se servaient-ils souvent au barreau d’un genre de
au barreau moderne, que s’il s’y enveloppait de la toge d’un orateur
romain
. Avant d’entrer dans le détail des règles particu
habileté avec laquelle elle est conduite. Avitus Cluentius, chevalier
romain
, d’une famille illustre, et jouissant d’une grand
rrompu les juges d’Oppianicus, crime que, dans certains cas, les lois
romaines
punissaient de la peine capitale. Cicéron se prop
t plein de piété. Les deux orateurs les plus remarquables de l’Église
romaine
sont Bourdaloue et Massillon. L’on n’est pas d’ac
ir, s’il ne l’avait pas trouvée contraire aux véritables intérêts des
Romains
; mais que l’examen lui avait appris qu’elle étai
réfugiaient plus tout entiers dans les souvenirs et dans l’idiome des
Romains
, comme avaient fait autrefois quelques hommes sup
nes. Ils rapportaient de ce commerce avec les Hébreux, les Grecs, les
Romains
, quelque chose d’étrange, une grâce libre et fièr
s. Massillon était inspiré par l’élégance et la majesté de la diction
romaine
dans le siècle d’Auguste. Fléchier imitait l’art
es cruautés que ce gouverneur exerça en Sicile envers Gavius, citoyen
romain
. Gavius s’était échappé de la prison où l’avait j
, et de l’appeler à se justifier d’avoir mis dans les fers un citoyen
romain
. Le premier magistrat de Messine, dévoué à Verrès
t, au mépris des lois, au mépris des privilèges accordés aux citoyens
romains
, il le fait dépouiller, lier et frapper de verges
ément entassé dans un volumineux recueil tout ce que les Grecs et les
Romains
nous ont laissé de bon et de mauvais, suffirait p
te, Lysippe, Apelles, Phidias, Praxitèle. Le second siècle, celui des
Romains
, se borne aux jours de César et d’Auguste, et nou
naissances politiques plus étendues que n’en avaient les Grecs et les
Romains
. Nous apprécions mieux la nature du gouvernement,
tain temps une influence considérable sur les affaires publiques. Les
Romains
étaient principalement animés du désir d’étendre
uelles toutes les parties du monde sont tombées sous la puissance des
Romains
. « Cette action, dit-il, a son commencement disti
connaissances politiques, en examinant les causes de la grandeur des
Romains
, les avantages et les vices de leur gouvernement
u neuvième livre (ch. 5), son récit de la fameuse défaite de l’armée
romaine
par les Samnites, aux Fourches Caudines, est un d
ption fidèle de l’étroit défilé dans lequel l’ennemi avait attiré les
Romains
; ils sont pris, et il ne leur reste aucun espoir
tableau. Le matin, les consuls rentrent dans le camp et annoncent aux
Romains
qu’on ne leur laisse de parti à prendre que celui
et peuvent être regardées comme les derniers monuments de la liberté
romaine
, puisque la plupart furent écrites pendant cette
ues histoires fictives composées au temps de la décadence de l’empire
romain
, par Apulée, Achilles Tatius, Héliodore, et au qu
avons appelés rimes. La première méthode était celle des Grecs et des
Romains
; nous avons adopté la dernière, ainsi que presqu
ainsi que presque toutes les nations modernes. Chez les Grecs et les
Romains
, chaque syllabe, ou au moins la majeure partie, a
la même distinction à faire qu’entre la plupart des auteurs grecs et
romains
. Les Grecs ont ouvert la route, et, en suivant de
ivant de plus près la nature, ont montré plus de génie original ; les
Romains
, plus corrects et plus polis, ont mis plus d’art
lle : Verra de vieux tombeaux sous ses pas s’écrouler, Et des soldats
romains
les ossements rouler. (Trad. de Delille.) En ang
nné l’épithète de pedestris. La satire, à son origine, avait chez les
Romains
une forme différente de celle qu’elle a prise dep
différente, et même tout à fait opposée à la poésie des Grecs et des
Romains
. Indépendamment de sa forme particulière, la poés
une marche opposée. Le dénouement de l’un est la ruine de la liberté
romaine
, le dénouement de l’autre est l’expulsion de l’ho
épique ; d’un autre côté, rien n’était plus fait pour intéresser les
Romains
et flatter leur orgueil, que de rapporter l’origi
employer le même système de merveilleux, de rappeler les exploits des
Romains
et de décrire la fabuleuse Italie et l’antique te
te, ou qui croient que Virgile n’a voulu que rendre plus agréable aux
Romains
ce prince qu’il a représenté sous les traits d’Én
pelle toute la vivacité des Grecs ; l’autre la grandeur imposante des
Romains
. L’imagination d’Homère est plus riche, celle de
puisque le poète n’a célébré que le triomphe de César sur la liberté
romaine
. Il est vrai que, tel que nous le possédons aujou
surtout des guerres aussi cruelles et aussi sanglantes que celles des
Romains
, présentent des scènes hideuses que repousse la p
éprouvé les rigueurs du despotisme assis sur les ruines de la liberté
romaine
. En écrivant, il cédait aux inspirations ardentes
e le sujet en comporterait naturellement. Quel qu’ait été l’usage des
Romains
à cet égard, il est néanmoins évident que cette d
d’une tragédie dont le sujet était emprunté de l’histoire grecque ou
romaine
. On sait bien qu’il ne s’agit que d’une imitation
t nous toucher. Les représentations théâtrales, chez les Grecs et les
Romains
, étaient accompagnées de circonstances tout à fai
re XLVII. De la comédie en général, de la comédie chez les Grecs, les
Romains
, les Français et les Anglais. La comédie se d
temps où ils écrivaient, ce genre d’amusement était nouveau pour les
Romains
. Aussi ces deux auteurs se contentèrent-ils d’imi
avec la même exactitude. Plaute devait paraître plus vieilli pour les
Romains
du siècle d’Auguste qu’il ne le paraît aujourd’hu
mps de Ménandre et de Térence, faisaient les délices des Grecs et des
Romains
. Opinions des littérateurs français sur les P
mais ils ne passeront pas à la postérité comme ceux des Grecs et des
Romains
, parce qu’ils manquent de cet art et de ce charme
re bizarre Pour nous aujourd’hui plus avare Que pour les Grecs et les
Romains
? De nos aînés mère idolâtre, N’est-elle plus que
es Anglais et les Italiens diraient également, après les Grecs et les
Romains
: “Les pâles humains Minos aux enfers juge,” et e
là de l’historique. Je demanderai seulement pourquoi les Grecs et les
Romains
firent toutes leurs comédies en vers, et pourquoi
pour centre à son Histoire générale l’agrandissement de la puissance
romaine
; le second, dans son Histoire universelle, montr
upe pour en faire sortir un enseignement. Tite-Live dans son Histoire
romaine
, M. de Barante dans son Histoire des ducs de Bour
sait Rollin2 : le cadet, peu soigneux D’apprendre les hauts faits des
Romains
et des Parthes3 Employait tout son art, toutes s
rd’hui si délaissé de tous les âges ! 3. Il s’agissait de l’Histoire
romaine
, de Rollin. 4. Trait charmant de vérité. 5. Po
modérées par les lois tombent bientôt dans l’anarchie. La république
romaine
avait été anéantie par Jules César ; la puissance
dont ils firent leur proie, à l’abri de ces lois anéanties. L’empire
romain
mis à l’encan et celui des Ottomans exposé tous l
villes Que lave le Danube. Il n’était point d’asiles Où l’avarice des
Romains
Ne pénétrât alors, et ne portât les mains. Le dép
et ne portât les mains. Le député vint donc et fit cette harangue : «
Romains
, et vous sénat, assis pour m’écouter, Je supplie
e : Faute d’y recourir, on viole leurs lois. Témoin nous que punit la
romaine
avarice : Rome est, par nos forfaits, plus que pa
plus que par ses exploits, L’instrument de notre supplice. Craignez,
Romains
, craignez que le ciel quelque jour Ne transporte
’est-à-dire un temps qui ne viendra jamais ; car les calendes étaient
romaines
. 6. Son train de sénateur. Il se moque de la so
urèlc de Guevara, qui a cru devoir attribuer son récit à cet empereur
romain
. Mais, dans les œuvres qui nous restent de ce phi
acun comme la raison et la vérité le demandent. Dans le monde grec et
romain
, le discours était le plus puissant moyen de s’ad
Enfin Tite Live explique, à l’aide d’un dilemme, l’embarras du sénat
romain
sollicité par les Tarquins de leur restituer leur
er entre eux ces deux récits d’un même fait, le supplice d’un citoyen
romain
frappé de verges. Voici comment Caïus Gracchus le
és défendirent expressément de se rendre aux bains quand le magistrat
romain
serai dans la ville. Ce fut pour la même raison q
r Cicéron ! On frappait de verges sur la place de Messine un citoyen
romain
. Ce malheureux, au milieu des souffrances qu’il e
ndre ’d’autres cris, d’autres plaintes que celle-ci : Je suis citoyen
romain
. II croyait, en rappelant ce litre, qu’il allait
enne, ô institutions de la patrie, qu’êtes-vous devenues ? Un citoyen
romain
, dans une province romaine, au sein d’une ville a
patrie, qu’êtes-vous devenues ? Un citoyen romain, dans une province
romaine
, au sein d’une ville alliée, par les ordres d’un
n homme qui devait à Rome les faisceaux portés devant lui, un citoyen
romain
a été lié et battu de verges sur la place publiqu
i de ces moyens hardis qui faisaient le succès populaire des orateurs
romains
. A ce point de vue, le bon goût des Athéniens, le
seurs de la loi agraire et objets d’un culte passionné pour le peuple
romain
. Même après tant de précautions, flattant et inst
ye d’entraîner sans lumière au fond d’un souterrain. Enfin, l’orateur
romain
offre lui-même plus d’un exemple de divisions jus
— Telle est la ferme conclusion de la leçon morale infligée au sénat
romain
par le Paysan du Danube : ...Ce discours un peu
est le langage qui convient à l’honnête homme qui a fait entendre aux
Romains
de la décadence l’austère écho de la voix des Bru
r : La Grèce a triomphé de Rome triomphante, au lieu des Grecs et des
Romains
, De même Fléchier signale les écueils où l’ardeur
, effets. La prosopopée des guerriers morts à Marathon ; les citoyens
romains
attachés sur le gibet de Verrès ; la nuit, l’effr
e portrait que Cicéron trace de Verres : On vit un préteur du peuple
romain
, debout, chaussé de sandales, revêtu d’un manteau
occasion des ruses du renard : Je crois voir Annibal qui, pressé des
Romains
, Met leur chef en défaut ou leur donne le change,
ennent à l’expression vive de la vérité. — Ainsi Horace exhortant les
Romains
à la paix s’adresse à la République sous l’allégo
ome tomba vaincue et toute sanglante aux pieds des barbares, l’Église
romaine
recueillit l’esprit humain comme un pauvre enfant
tue le nom commun au nom propre ou réciproquement : Ainsi, l’ orateur
romain
pour Cicéron. Bossuet voulant désigner saint Pau
éron, à une époque où il avait élevé si haut la gloire de l’éloquence
romaine
, attachait encore quelque prix aux leçons des rhé
, voulant féliciter un cardinal, lui disait qu’en revêtant la pourpre
romaine
il venait de prendre h sceptre des rois et la liv
oups. La concision est souvent une condition de la force ; aussi les
Romains
en faisaient-ils grand cas et la nommaient-ils la
et, pourquoi le ciel devait-il faire l’honneur à Pompée de rendre les
Romains
esclaves après sa mort ? Le contraire serait plus
s : Que serait-ce donc si vous aviez entendu le lion lui-même ? Les
Romains
avaient le goût de l’éloquence des gestes et des
— 2. De la rhétorique chez les grecs. — 3. De la rhétorique chez les
romains
. — 4. De la rhétorique moderne. — 5. Règles relat
où il y a le plus de liberté de parler. 3. De la rhétorique chez les
Romains
. — Au lieu de considérer l’éloquence comme l’art
l’art universel de la parole appliquée à toutes sortes d’objets ; les
Romains
bornèrent le domaine de l’orateur à la tribune et
ct des lois, tel fut d’abord l’unique objet des études de la jeunesse
romaine
. Cependant vers 90 avant J. C., le Gaulois L. Pla
tait. Les exercices littéraires auxquels se livraient les jeunes gens
romains
étaient tout à fait semblables à ceux de nos clas
une narration historique. 6. Modèle de discours. Dion Chrysostome aux
Romains
. Sujet. — Dion Chrysostome, proscrit par Domitie
a Médie et la Thrace, et se fixa chez les Gètes, où campait une armée
romaine
. L’armée, qui venait d’apprendre le meurtre de l’
a patrie ; enfin il arriva aux bords du ‘fanais, où campait une armée
romaine
; il y fixa sa course errante, et retrouva dans l
aissez-vous mes malheurs ; j’ai vu le jour en Asie, mais mon cœur est
romain
. Je viens vous parler pour Rome ; braves guerrier
rit pour n’avoir jamais flatté. « Vous marchez contre votre patrie, ô
Romains
! Je ne vous reproche pas de vouloir venger votre
éral, Agricola, expier sa gloire et la vôtre par une mort.prématurée.
Romains
, les dieux ont eu pitié de Rome- : vous êtes libr
z jusqu’aux bornes du monde les frontières de l’empire éternel !… » «
Romains
, cet homme que vous demande la patrie, vous le co
mpire ; lui seul peut encore ramener dans Rome la vertu et les dieux.
Romains
, vous allez décider du sort de la terre ; ce sage
r vous convaincre, du moins ne récuserez-vous pas celles de l’orateur
romain
, dans une circonstance pareille » ? Et sur ee, le
pour servir à construire d’autres édifices ! La grandeur de l’horizon
romain
se mariant aux grandes lignes de l’architecture r
r de l’horizon romain se mariant aux grandes lignes de l’architecture
romaine
; ces aqueducs qui, comme des rayons aboutissant
is XIV. L’Histoire Ancienne en onze volumes (1730-1738) et l’Histoire
Romaine
, conduite jusqu’au neuvième volume, furent les de
s Considérations sur les Causes de la Grandeur et de la Décadence des
Romains
(1734). Cet ouvrage, le mieux composé de tous ceu
mieux les causes politiques de la grandeur et surtout de la décadence
romaine
, comme Bossuet les causes morales. Ce fut quatorz
autre139. Id. CXXVIII. Mithridate140. De tous les rois que les
Romains
attaquèrent, Mithridate seul se défendit avec cou
ons, dont la coutume commença dans ces temps-là, obligèrent plusieurs
Romains
de quitter leur patrie. Mithridate les reçut à br
Mithridate fit d’abord sentir à toute la terre qu’il était ennemi des
Romains
, et qu’il le serait toujours. Enfin les villes de
toujours. Enfin les villes de Grèce et d’Asie, voyant que le joug des
Romains
s’appesantissait tous les jours sur elles, mirent
ses enfants et de ses femmes ; enfin, s’il eut affaire à des généraux
romains
malhabiles, on envoya contre lui, en divers temps
Sylla, Lucullus et Pompée. Ce prince, après avoir battu les généraux
romains
, et fait la conquête de l’Asie, de la Macédoine e
uit, par un traité, à ses anciennes limites, fatigué par les généraux
romains
, devenu encore une fois leur vainqueur et le conq
des pays infinis : ce qui servit plus au spectacle de la magnificence
romaine
qu’à sa vraie puissance ; et, quoiqu’il parût par
ue plus exposée147. Considérations sur les Causes de la Grandeur des
Romains
et de leur Décadence, chap. vii. Attila et les
eur Décadence, chap. vii. Attila et les derniers jours de l’empire
romain
. Comme, dans le temps que l’empire s’affaiblis
té du ciel était différente de cette cité de la terre, où les anciens
Romains
, pour quelques vertus humaines, avaient reçu des
s vertus. Nous avons dit que dans les premiers temps la politique des
Romains
fut de diviser toutes les puissances qui leur fai
t pas croire que ce fût par modération qu’Attila laissa subsister les
Romains
; il suivait les mœurs de sa nation, qui le porta
l’histoire ait jamais parlé. On voyait à sa cour les ambassadeurs des
Romains
d’Orient et de ceux d’Occident, qui venaient rece
ôt il demandait qu’on lui rendît les Huns transfuges, ou les esclaves
romains
qui s’étaient évadés ; tantôt il voulait qu’on lu
cent livres d’or. Il recevait les appointements de général des armées
romaines
. Il envoyait à Constantinople ceux qu’il voulait
n les comblât de biens, faisant un trafic continuel de la frayeur des
Romains
. Il était craint de ses sujets, et il ne paraît p
Après sa mort, toutes les nations barbares se redivisèrent ; mais les
Romains
étaient si faibles qu’il n’y avait pas de si peti
issance, méditant de changer la face de la terre et d’anéantir le nom
romain
: concevez ce génie audacieux265, menaçant le mon
, il faut une facilité naturelle et une difficulté acquise. Ces fiers
Romains
avaient une oreille dure, et qu’il fallait caress
et opposé, dans des tableaux pleins d’éclat, la peinture de l’empire
romain
dans sa décadence, du monde barbare dans sa rudes
révolution de 1848, le 4 juillet de cette même année374. Combat des
Romains
contre les Francs375. Le soleil du matin, s’éc
iel leurs naseaux brûlants, pour respirer les sons belliqueux376. Les
Romains
commencent le chant de Probus : « Quand nous auro
terre et se débattent dans les angoisses de la douleur. La cavalerie
romaine
s’ébranle pour enfoncer les barbares ; Clodion se
donc disposer de l’une comme de l’autre389. Ibid., id. La campagne
romaine
. Figurez-vous quelque chose de la désolation d
as et viduitas 390. » Vous apercevez çà et là quelques bouts de voies
romaines
, dans des lieux où il ne passe plus personne, que
e le lit désert d’une onde orageuse qui s’est écoulée comme le peuple
romain
. A peine découvrez-vous quelques arbres, mais par
tels que les a laissés le soc de Cincinnatus, ou la dernière charrue
romaine
. C’est du milieu de ce terrain inculte, que s’élè
cette description, qu’il n’y a rien de plus affreux que les campagnes
romaines
? Vous vous tromperiez beaucoup ; elles ont une i
ement. Rien n’est comparable, pour la beauté, aux lignes de l’horizon
romain
, à la douce inclinaison des plans, aux contours s
les coteaux sont taillés en terrasses, comme si la main puissante des
Romains
avait remué toute cette terre. Une vapeur particu
enrées les plus nécessaires à la vie sont également inaccessibles aux
Romains
, tandis que plusieurs Français, non des plus hupp
ompra e menopaga 409. Cette épigramme ou cette rime fut faite par les
Romains
, le plus malin peuple du monde, contre le roi de
t, les révolutions de la société en Gaule depuis la chute de l’empire
romain
, il a montré plus de profondeur dans l’analyse, p
eut-être impossible. Même dans la civilisation imparfaite de l’empire
romain
, le souvenir de la liberté perdue, l’effort accid
sublime, qui semblait disparu du monde depuis qu’il n’y avait plus de
Romains
. Pour créer des orateurs, il ne fallait qu’un gra
lès n’apportait que des regrets et des larmes442. Si, comme l’orateur
romain
, il célèbre les guerriers de la légion de Mars to
plus mal employée que celle des citoyens qu’on a appelés les derniers
Romains
? Brutus, en tuant César, se perd lui-même, et re
ccident et le nord de l’Europe. Ces hommes, qui ne ressemblent ni aux
Romains
, ni aux Grecs, ni aux Orientaux, qui ont d’autres
ion grecque ; la civilisation grecque est tombée sous la civilisation
romaine
; une nouvelle civilisation, sortie des forêts de
lisation, sortie des forêts de la Germanie, a détruit la civilisation
romaine
: que deviendra cette nouvelle civilisation ? Con
, en 1827, un Précis de l’Histoire Moderne, et, en 1831, une Histoire
Romaine
, deux livres restés classiques, le premier surtou
es, a vu toutes les nations passer devant lui : Carthaginois, Celtes,
Romains
, Goths et Sarrasins. Nos jeunes antiquités lui fo
res de génie avaient été anéanties par la grandeur de la prédominance
romaine
, les races actuelles principales de l’Europe se s
niquement douée) sont ou ont été plus ou moins semblables en cela aux
Romains
, c’est-à-dire n’ayant par elles-mêmes, en fait de
osent le bel âge d’Auguste. Soit directement, soit dorénavant par les
Romains
, cette âme légère, cette étincelle (car il ne fau
té des doctrines littéraires et la vérité des peintures de la société
romaine
sous l’empire. Mais combien d’autres livres faudr
les autres qualités du langage réunies587. » Rhadamiste, au nom des
Romains
, défend à Pharasmane d’entrer en Arménie. Rhad
a première jeunesse ; mais il y vient avec le titre d’ambassadeur des
Romains
, qu’il doit aux services rendus par lui à Corbulo
gardez-vous bien d’exciter sa vengeance. Alliée ou plutôt sujette des
Romains
, De leur choix l’Arménie attend des souverains. V
i, formant au joug des peuples invincibles, Ai tant de fois bravé ces
Romains
si terribles, Qui fais trembler encor ces fameux
r encor ces fameux souverains, Ces Parthes aujourd’hui la terreur des
Romains
? Ce peuple triomphant n’a point vu mes images A
soin d’entrer dans l’Arménie, Non par de vains discours, indignes des
Romains
, Quand je vais par le fer m’en ouvrir les chemins
enchaînées, D’oser avoir recours, dans la honte des fers, A ces mêmes
Romains
maîtres de l’univers ? En effet, quel emploi pour
uoi vengeais-tu la mort de Mithridate604 ? PHARASMANE. O mon fils ! ô
Romains
! êtes-vous satisfaits ! (A Arsame). Vous, que po
ans, creusés par les humains, Donnèrent leurs rochers aux palais des
Romains
. Avec ses monuments et sa magnificence, Rome enti
aims, Vint, par une conquête en malheurs plus féconde, Venger sur les
Romains
l’esclavage du monde, De leurs affreux accents la
lire Les ordres qu’en secret il osait me prescrire : Et, dussent les
Romains
n’en être pas surpris, Ils sauront que Tibère a f
rreur me contemple ! Je veux avoir aussi mon temple, Puisque ces vils
Romains
n’ont point assez de dieux. J’ai détruit Rome, af
trice sur les points les plus essentiels. » Grandeur et Décadence des
Romains
, chapitre xx. 53. Pour ne pas fatiguer l’attenti
nt il succombe, le résultat enfin d’une victoire funeste à la liberté
romaine
: toutes les parties de ce vaste sujet sont forte
x ; au second, sa phalange ; au troisième, les auxiliaires armés à la
romaine
: « Mixtis fugitivis Jtaliæ, quorum pervicaciœ mu
Attila à soumettre encore les Perses. » (Montesquieu). 155. Empereur
romain
, qui régna de 251 à 253. Mais ce fut surtout sous
chef des Hérules. 156. Théodose Ier partagea avant sa mort l’empire
romain
entre ses deux fils. Arcadius fut le premier empe
tigabant. » Malgré Scipion l’Africain, qui trouvait indigne du peuple
romain
de servir les passions des ennemis d’Annibal (qui
ivederci (Au revoir). 406. Élevée à Trajan par le sénat et le peuple
romain
, l’an 112 de J. C. Les sculptures représentent le
le mal que je fais. 465. Racine, imitant l’Épître de saint Paul aux
Romains
, chap. vu, dit, dans un de ses Cantiques spiritue
années, de 219 à 201 av. J. C. Voir dans l’Histoire de la Littérature
romaine
par A. Pierron la conclusion dn chap. il : « Rome
; mais ce fut là le suprême effort des énergies littéraires du peuple
romain
laissé à lui-même. Quand les premiers rayons du g
. Les Souvenirs de Voyages de M. Nisard, les Quatre Grands Historiens
romains
et les Mélanges ont été édités chez Michel Lévy ;
eté sauvage. 590. L’attitude fière de Pharasmane devant l’envoyé des
Romains
fait penser à celle de Nicomède devant Flaminius.
est tracé, il est vrai, sur Mithridate ; il a la même haine pour les
Romains
, ce même orgueil indomptable, cette même dureté j
Pauline de Corneille : Zénobie a la noblesse et la vertu de l’héroïne
romaine
. 597. Déjà Racine, dans Phèdre, acte V, scène v
siècle ne ressemblent ni aux Athéniens du temps de Démosthène, ni aux
Romains
du temps de Cicéron. Par conséquent nos orateurs
chez nous une puissance, comme il l’était chez les Grecs et chez les
Romains
; s’il est secondé par des sentimens généreux, s’
cusé par les tribuns du peuple d’avoir vendu la paix au roi de Syrie.
Romains
, s’écrie-t-il, à pareil jour je vainquis Annibal
e l’homme civilisé, mais sans instruction ; ce fut celle des premiers
Romains
, qui n’eurent long-temps qu’un idiome rude et sév
s propositions de Pyrrhus triomphant, il releva le courage abattu des
Romains
, et empêcha les sénateurs d’accepter leur ignomin
s. 139 et 140.) C’est par cette éloquence que Cicéron amène le peuple
romain
à renoncer au partage des terres, que Démosthène
atif. On prouvait qu’il fallait mettre Archias au nombre des citoyens
romains
, parce qu’il avait un génie qui pouvait faire hon
rois, s’exprimer comme Cicéron voulait qu’on s’exprimât dans le sénat
romain
, avec une dignité simple, d’un ton grave et sente
investi sur-le-champ ; Or le poëte Archias est véritablement citoyen
romain
, et, s’il ne l’était pas, il mériterait d’être re
regardé comme tel ; Donc on ne saurait lui disputer le droit de cité
romaine
. Plaidoyer pour Milon. Le plaidoyer de Cicéron
de la guerre que Pompée. » Mais qu’il est loin de celui de l’orateur
romain
! Dans le premier, chaque trait donne au conséque
’est-à-dire, le plébiscite proposé par le tribun Manilius, engage les
Romains
, par un argument de cette sorte, à venger les mân
prenant par le même messager, la mort de tant de milliers de citoyens
romains
massacrés dans le même temps, de quels sentimens
t expirer sous les coups un homme consulaire, l’ambassadeur du peuple
romain
? Eux, ils ne purent supporter que la liberté des
ez-vous sans châtiment le corps sanglant d’un député de la république
romaine
, livré aux derniers supplices ? » Mithridate veu
es d’Itaie viendront se ranger sous ses étendards, pour combattre les
Romains
qui les oppriment : Ah ! s’ils ont pu choisir p
trouvent ces dernières. Telle est celle que donne Caton aux sénateurs
romains
pour les déterminer à punir sur-le-champ les comp
s, contre les premiers personnages de la république, devant le peuple
romain
. Dans nos tribunaux, dans nos mœurs, devant nos j
Cicéron, pour Milon, son ami, et dans la harangue d’Antoine au peuple
romain
, sur la mort de César, l’artifice victorieux de c
, et cet exposé simple de ses dernières volontés, en faveur du peuple
romain
, remplit ce peuple d’indignation et de fureur con
ulier qu’un magistrat qui affecterait de porter la toge des sénateurs
romains
. Livre second. De la disposition. Dé
rocèdent Hannon, lorsqu’il propose au sénat de Carthage de livrer aux
Romains
Annibal, violateur des traités ; Et Vibius Virius
poue à finir leur vie par le poison, pour échapper à la vengeance des
Romains
. (Tit.-Liv., l. XXI et XXVI.) De la division. L
que anéantie ; les nations barbares déchaînées contre elle ; l’empire
romain
en proie à ses ennemis. » C’est ainsi que pour d
n pour un nom propre, et un nom propre pour un nom commun. L’orateur
romain
, pour marquer Cicéron ; l’orateur athénien, pour
d’esprit et de sagacité. Les Campaniens demandant du secours au sénat
romain
contre les Samnites, non-seulement se plaignent d
e de Capoue. Ils veulent ou détruire ou posséder cette ville superbe.
Romains
, régnez-y par vos bienfaits et ne souffrez pas qu
profanés ; et, vous autels albains, aussi anciens que ceux du peuple
romain
, et associés à leur culte, vous que cet impie a r
ître, Que tes membres sanglans, dans la tribune épars, Des inconstans
Romains
repaissent les regards. Voilà ce qu’en partant, m
nt, les belles pensées qui terminent le discours par lequel l’orateur
romain
demandait à César la conservation de Ligarius :
gnes de Lagus ; il l’est encore moins que toute l’étendue de l’empire
romain
fût la mesure du tombeau de ce grand homme. Longi
opre à faire sentir qu’il était mécontent de lui-même. « Je devrais,
Romains
, apporter à sa cause cette intrépidité dont il do
la connaissance de l’antiquité, des usages du sénat, de la discipline
romaine
, des droits des alliés, des traités, des conventi
lleurs poëtes modernes ont imité les poëtes et les orateurs greces et
romains
. Les grands modèles nous inspirent, dit Longin (d
es de la vie de son héros. 1. Voyez avec quel art Cicéron excuse les
Romains
qui avaient suivi le parti de Pompée contre César
Dans le discours d’Aristène, préteur des Achéens, sur l’alliance des
Romains
: Cur excessit faucibus Epiri ? etc. (Tit. Liv.,
inductions. Par l’une, l’orateur prouve qu’il est juste que le peuple
romain
puisse élever les plébéiens au consulat ; par l’a
anité des grands.) A fortiori. 1. Caton, pour engager les sénateurs
romains
à sévir contre les conjurés, cite la fermeté de M
t les députés de Capoue s’y prennent pour gagner la bienveillance des
Romains
. Populus nos campanus, etc. (Tit.-Liv., l. VII, c
lègue pour recommandation les preuves de fidélité qu’il a données aux
Romains
. Perseverassem tacere, etc. (Tit-Liv., l. XXXVII,
ui de Memmius contre ceux qui ont trahi l’état dans la guerre que les
Romains
firent à Jugurtha. (Sall., de Bell. Jug., c. 31.)
tié. 1. Voyez le discours où Adherbal adresse ses plaintes au sénat
romain
. (Sall., de Bell. Jug., c. 14.) La péroraison du
ateurs par sa fierté à défendre les droits et les prérogatives du nom
romain
. (Tit-Liv, l. XXVI, e. 30 et seq.) Après la guerr
rave, Tout ce que des Toscans la voix fière et suave, Tout ce que les
Romains
, ces rois de l’univers, M’offraient d’or et de so
rs. (La Calomnie.) 2. Bavus, pour Bavius, misérable versificateur
romain
, qui poursuivit Horace et Virgile de ses traits j
conquêtes ; il abattra aux pieds du Sauveur la majesté des faisceaux
romains
en la personne d’un proconsul, et il fera tremble
nt français, joindre la délicatesse et la pureté attique à la majesté
romaine
. C’est ce qui fait que toute l’Europe apprend vos
erselle, rappelle les victoires remportées par le roi d’Epire sur les
Romains
: « Les éléphants de Pyrrhus les étonnèrent. »
iambe, et de l’iambique de six pieds. — 263. Négligence des écrivains
Romains
. — 275. Origine de la Tragédie et de la Comédie.
, si, dérivés du grec, ils se latinisent sans effort. Mais quoi ? les
Romains
accorderaient-ils à Cécilius et à Plaute un droit
; aussi les Grecs ne soupiraient que pour la gloire. Mais nos jeunes
Romains
, que font-ils ? des calculs à n’en plus finir, po
la fortune (la position) 318de celui qui les dit, 319les chevaliers
Romains
320et les piétons (les plébéiens) 321pousseront
Satyres impudents 665un-peu rougissante-de-honte, 666comme une dame
romaine
667obligée de danser 668aux jours de fête. 66
s ; 756et une indulgence non-méritée 757a été accordée à des poëtes
Romains
. 758Est-ce que, pour-cette-raison, 759je m’écar
s avides d’aucune chose 927excepté de gloire. 928 Mais les enfants
Romains
929apprennent par de longs calculs 930à diviser
nt tout vivant 975du ventre d’une Lamie repue. 976Les centuries des
Romains
plus âgés 977poursuivent de leur improbation 9
avi signifie donc, tout simplement, les gens d’autrefois, les anciens
Romains
, nos devanciers. — 3. Ne dicam stulte… La postéri
enrées les plus nécessaires à la vie sont également inaccessibles aux
Romains
, tandis que plusieurs Français, non des plus hupp
ummius à Corinthe, il eût été de cœur pour les Corinthiens contre les
Romains
. 1. Voltaire disait : « Ce qui fait le grand m
, dans les débats de la société. Mais pour fléchir César ou le peuple
romain
, pour réveiller l’indolence d’Athènes, et la soul
de l’éloquence, qui fut réellement celui de la langue et du cœur, les
Romains
ne laissèrent pas de s’adonner à l’étude de l’élo
nce, adopté, agrandi, et, à ce qu’il me semble, perfectionné chez les
Romains
, cet art qui faisait l’étude la plus assidue et l
lui donner plus de force et plus de souplesse, on exerçait les jeunes
Romains
au combat de la lutte, sans vouloir en faire des
l’Iliade ; Virgile, l’Énéide ; Tite-Live, ses Décades ; et l’Orateur
romain
, ses Oraisons. Il y a dans l’art un point de perf
pour leur enseigner la vertu ; mais l’éloquence du barreau, chez les
Romains
, n’allait pas jusque-là. A. C’était sans doute s
at. Aussi voyons-nous que la plaidoirie se tournait souvent, chez les
Romains
, en déclamation fastueuse. Mais, après tout, il f
ulement quelques remarques que j’ai faites. L’action des Grecs et des
Romains
était bien plus violente que la nôtre ; nous le v
est trop léger, et on ne conçoit pas assez fortement les choses. Les
Romains
, et encore plus les Grecs étaient admirables en c
ert beaucoup à y réussir. Je dis des anciens ; car les Grecs, que les
Romains
méprisaient tant avec raison, et qu’ils appelaien
le de la mort de son frère Satyre ! Nous avons même dans le Bréviaire
romain
un discours de lui sur la tête de saint Jean, qu’
en compreniez bientôt la raison. Les barbares qui inondèrent l'empire
romain
mirent partout l’ignorance et le mauvais goût. No
e Est le premier des traducteurs ; Jamais dans sa froide élégance Des
Romains
il n’a peint les mœurs : Tu fus le peintre de la
sse, à une figure trop roide et mal terminée. La sévérité des anciens
Romains
donne à ce mot elegantia un sens odieux. Ils rega
parmi nous. Ce terme est consacré en français, comme chez les anciens
Romains
, à la sculpture, à la peinture, à l’éloquence, et
mais ils ne passeront pas à la postérité comme ceux des Grecs et des
Romains
, parce qu’ils manquent de cet art et de ce charme
à portée de démêler leurs imperfections. Ainsi Lucilius fut chéri des
Romains
avant qu’Horace l’eût fait oublier ; Régnier fut
leur ait dessillé les yeux, comme il s’est trouvé un Horace chez les
Romains
, un Boileau chez les Français. On dit qu’il ne fa
nviennent qu’ils n’en ont aucun. Quintilien reconnaît que le goût des
Romains
commençait à se corrompre de son temps. Nous avon
les pour barbares, en comparaison des Grecs et de leurs disciples les
Romains
, qui seuls ont connu la vraie prosodie. Il faut s
les, tant qu’il a eu à parler des anciens Egyptiens, des Grecs et des
Romains
; mais, dès qu’il est venu aux temps plus connus,
sur les eaux, aux aquilons mutins, Le destin de la terre et celui des
Romains
, Défiant à la fois et Pompée et Neptune, César à
dont vous me parlez. On a négligé le petit livre de la Décadence des
Romains
, du même auteur ; cependant je vois que tous les
de souplesse : je n’ai pas besoin de nommer les Grecs. La langue des
Romains
, pour devenir presque aussi susceptible des métam
nt du discours de Sabine, dans le premier acte des Horaces) : Je suis
Romaine
, hélas ! Puisqu’Horace est Romain, il n’y a point
ns ce discours imité de Tite-Live, l’auteur français est au-dessus du
romain
, plus nerveux, plus touchant ; et quand on songe
rasse, et veuve de Pompée, Fille de Scipion, et pour dire encor plus,
Romaine
, mon courage est encore au-dessus. Je te l’ai déj
mon courage est encore au-dessus. Je te l’ai déjà dit, César, je suis
Romaine
: Et quoique ta captive, un cœur comme le mien, D
e i) Il me paraît, dit encore Fénelon99, qu’on a donné son vent aux
Romains
un discours trop fastueux… Je ne trouve point de
Live, dans Plutarque, dans Cicéron, dans Suétone, nous représente les
Romains
comme des hommes hautains dans leurs sentiments,
it s’y prendre. Shakespeare même va plus loin encore ; et fait de ses
Romains
des Anglais, et en cela il a encore raison, car a
e. 33. Coeffeteau, né en 1574, mort en 1623 ; auteur d’une histoire
romaine
et d’une traduction de Florus. 34. Le Mercure g
t le colisée 2 Un jour, seul dans le Colisée, Ruine de l’orgueil
romain
, Sur l’herbe de sang arrosée, Je m’assis, Tacite3
tre, déféré par le Sénat à Octave, fut depuis porté par les empereurs
romains
, ses successeurs. 4. Césars. Nom consacré à Jul
inces qui, héritiers de sa puissance, gouvernèrent après lui l’Empire
romain
. 5. Collines. Rome ancienne était bâtie sur sep
s XIV. (Paris, octobre 1873.) Montesquieu : Grandeur et décadence des
Romains
. (Clermont, août 1880.) Voltaire : Siècle de Loui
lles causes Montesquieu explique-t-il la grandeur et la décadence des
Romains
? (Paris, août 1877). La poudre à canon, la bouss
mont, août 1877.) Que savez-vous d’essentiel sur les Grecs et sur les
Romains
? A qui ces deux peuples doivent-ils surtout la p
» – Que faut-il penser du jugement que Bossuet a porté sur le sénat
romain
? – Quels étaient les défauts littéraires qu’Alce
es sont d’après Montesquieu les causes principales de la grandeur des
Romains
? – Apprécier le rôle du Sénat romain d’après Bos
principales de la grandeur des Romains ? – Apprécier le rôle du Sénat
romain
d’après Bossuet et Montesquieu. – Donner, d’après
, d’après Bossuet et d’après Montesquieu, une idée du patriotisme des
Romains
. – Quelles différences essentielles remarquez-vou
in, il les amplifia, il leur donna plus de force et une gravité toute
romaine
. L’apologue, vous le voyez, Monsieur, a de belles
n’a qu’à se régler sur le sien pour surpasser le véritable souverain
romain
, car la grande âme de Corneille a buriné ses héro
réellement. Le vrai Romain ce n’est pas Horace, c’est Corneille. Les
Romains
ne sont grands que parce qu’avant de nous être pr
fils du roi, accourt pour épouser Monime qui hait en lui l’allié des
Romains
, ennemis de sa famille ; elle le repousse avec én
, arrache par ruse le secret de Monime ; il va se venger, lorsque les
Romains
débarqués l’obligent à courir aux armes. Blessé m
. Certes, c’est un nom glorieux entre tous que celui de citoyen ; les
Romains
s’en sont montrés justement avares, au moins pend
e Histoire grecque, de M. Victor Duruy (Hachette) ; – pour l’Histoire
romaine
, le Précis, de M. A. Guiraud et Lacour-Gayet (Alc
ations sur l’état de la Gaule ancienne et la conquête du pays par les
Romains
. Histoire moderne. I. – Quelles sont les dynasti
s dynasties qui se sont succédé en France depuis la chute de l’empire
romain
jusqu’au xiv e siècle ? Indiquer pour chacune de
ion d’architecture, mars 1891.) Comparer l’art et la littérature des
Romains
à l’art et à la littérature des Grecs. (Section d
nt deux subdivisions qui s’imposent : 1° Chez les Grecs ; 2° Chez les
Romains
. C’est donc un développement antithétique répété
formes et des couleurs au climat, etc… Ex. : Le Parthénon. B. L’art
romain
imite, reproduit l’art grec. Il vise à la solidit
antes, pleine d’une imagination vive et spontanée. B. La littérature
romaine
est imitée de la littérature grecque. Elle pèche
s mœurs, les monuments des Égyptiens, des Assyriens, des Grecs et des
Romains
. – Que savez-vous sur les héros et demi-dieux lég
nins ? – Quels sont les grands monuments historiques qui sont dus aux
Romains
dans le Sud de la France ? – Attila et sainte Gen
glorieuse qu’une victoire. Concours de 1866. combat naval des
romains
et des venètes sous les yeux de jules césar. L’an
es Venètes, peuple du littoral armoricain, s’étaient saisis d’envoyés
romains
, qui leur demandaient des subsistances pour des l
on, sort de son mouillage et vient se placer en face de la flotte des
Romains
. Le combat a lieu sous les yeux de César, campé s
campé sur les hauteurs de la côte. Vous décrirez la lutte des navires
romains
, manœuvrés par d’agiles rameurs, avec ceux des Ve
ter aux éperons et difficilement saisissables aux grappins. Enfin les
Romains
s’avisent de désemparer les vaisseaux gaulois, à
z l’effet terrible de cet incident imprévu, qui donne la victoire aux
Romains
. Les Gaulois se rendent corps et biens. Jules Cés
ions sur les nécessités politiques, qui durent contraindre le général
romain
à une exécution si contraire à ses habitudes et à
liciens. (67 avant J.-C.) Des pirates, profitant de ce que les armées
romaines
sont occupées contre Mithridate, se réunissent, e
ne la relâchent que pour une forte rançon, et insultent des citoyens
romains
, qu’ils ont la barbarie de noyer dans les flots.
, aguerries ; elles savent endurer la fatigue. Elles détestent le nom
romain
. Elles ont hâte de se placer sous le drapeau de c
mène, à Cannes. 2e Paragraphe. – Il convient d’occuper, d’amuser les
Romains
dans le sud, pour que les opérations puissent s’a
qu’en huit jours, avec la connivence des alliés qui sont las du joug
romain
, le plan sera exécuté. Il a, en vérité, en face d
ments détruits avec un vandalisme qu’on a comparé à celui des soldats
romains
de Mummius lors de la prise de Corinthe. Conco
u’il éprouva un échec considérable. Suétone avoue sans détour que les
Romains
furent repoussés avec des pertes énormes. Conc
epoussés avec des pertes énormes. Concours de 1879. combat des
romains
et des francs (Vers 300 après J.-C.) 1° Les deux
x armées sont en présence, le combat s’engage. Les Gaulois alliés des
Romains
, s’élancent contre les Francs et sont repoussés ;
ngs des barbares sont rompus et s’ouvrent à la légion chrétienne, aux
Romains
, aux Gaulois et aux Grecs ; on combat presque cor
ps. 5° Les Francs se retirent à la nuit derrière leurs chariots ; les
Romains
passent la nuit sous les armes et dans l’attente
e, et se débattent dans les angoisses de la douleur. II. La cavalerie
romaine
s’ébranle pour enfoncer les barbares ; le chef de
ares ; la clarté du jour pénètre au fond de cette forteresse vivante.
Romains
, Grecs et Gaulois, nous entrons tous dans l’encei
Nous n’osions ni quitter nos armes, ni allumer des feux. Les soldats
romains
frémissaient, se cherchaient dans les ténèbres ;
homérique ; 2° un combat entre la phalange macédonienne et la légion
romaine
; 3° une mèlée au moyen âge ; 4° un combat dans l
us les peuples agriculteurs ont été des peuples belliqueux. Voyez les
Romains
, les Français, etc. L’agriculture donne aux peupl
parvient à satisfaire à ses besoins ? (Strasbourg.) un duel chez les
romains
. César, dans ses mémoires sur la guerre des Gaule
avancement. Les Gaulois pressaient en grand nombre le rempart du camp
romain
. Pulsion, montrant à son adversaire la partie la
ité ont été les plus savants dans l’art de la guerre ; les Grecs, les
Romains
. – Les grands hommes dont le nom est le plus célè
us raconterez que, pendant la première guerre punique, en Sicile, les
Romains
se trouvèrent un jour engagés dans un défilé où i
es morts, criblé de blessures dont il guérit. Pendant ce temps l’armé
romaine
s’était mise en mouvement et avait opéré heureuse
notre goût. (Paris. — 3e et 4e séries.) une sédition dans une armée
romaine
. Tacite raconte qu’à la nouvelle de la mort d’Aug
ésolu de consacrer le reste de ma vie à écrire l’histoire de l’empire
romain
depuis la mort d’Auguste jusqu’au règne du prince
s’élancer à la conquète de l’Italie, qui plus tard, détruite par les
Romains
, vit Marius fugitif s’asseoir sur ses ruines, qui
état ancien aux époques de la prospérité de Carthage, de la conquête
romaine
et de la puissance des Arabes. – Difficultés spéc
t le monde ; la vôtre est un beau et inutile spectacle. Le stoïcisme
romain
a vécu et est mort les bras croisés : c’est là so
t au stoïcisme dans son ouvrage intitulé Les Moralistes sous l’empire
romain
. (Hachette.) 1. Voltaire écrivait dans une lett
rties une conclusion générale ou principale. Exemple : Néron chez les
Romains
, et Robespierre chez les Français, aussi bien que
ifférents : Il faut parler Esther. Je suis Romain ; et toi, l'est-tu,
Romaine
? Ma reine, il faut partir. Les imparfaits du sub
preuves, pour les réfuter avant qu'on les ait présentées. Brutus aux
Romains
, après l'assassinat de César : Qui est assez lâch
de. On dit : Rome désapprouva la conduite des consuls, pour dire les
Romains
désapprouvèrent. A la métonymie se rattache la m
scène : Shakspeare s'identifie avec ses héros, et il n'en fait ni des
Romains
d'une vertu inaccessible, comme Corneille ; ni de
ait ni des Romains d'une vertu inaccessible, comme Corneille ; ni des
Romains
philosophes, comme Voltaire. La passion chez les
ésar, l'acteur étant demeuré court après ce vers : Du plus grand des
Romains
voilà ce qui nous reste, un des spectateurs dit
Juvénal, pour exprimer ces parures à différents étages dont les dames
romaines
ornaient leurs têtes, s’exprime ainsi : Tot prem
re, fatiguer son corps. Salluste, décrivant l’acharnement des soldats
romains
contre les vaincus, s’exprime ainsi : Igitur hi m
us, parte victoriæ fruitur. T. L. (Eques pour equites.) Les cavaliers
romains
ayant atteint en rase campagne les Volsques qui f
est (sous-ent. possessio). L'Asie est devenue la possession du peuple
romain
. ARTICLE II. du choix et de l’élégance des
nos. T. L. Hannon se repentait d’avoir entrepris la guerre contre les
Romains
. VI Au lieu d’un substantif, il est plus él
n Germanicum favor. Tac. La mémoire de Drusus était grande auprès des
Romains
; de là leur affection pour Germanicus. Sensit mi
ni parabant, jam Saguntum summâ vi oppugnabatur. T. L. Tandis que les
Romains
faisaient leurs préparatifs, Sagonte était déjà a
fait dire au prince des philosophes que le vin enivre, et à l’orateur
romain
que l’eau le tempère. S’il se jette dans la moral
e. 2. Le Digeste contenait les décisions de tous les jurisconsultes
romains
, depuis Auguste jusqu’à Justinien. Publié en 530
ur et la misère de l’Homme, par Pascal, et l’Épître de saint Paul aux
Romains
, ch. vii. 3. La grâce est le secours que l’homme
es pages du Discours sur l’Histoire universelle et de la Grandeur des
Romains
, quand les élèves de troisième les ont entre leur
’appela François Ier, et continua en Italie l’école nouvelle du droit
romain
, qu’illustra le Toulousain Cujas (1522-1590) dans
t dont sortirent les Pasquier et les Pithou : elle éclairait le droit
romain
par l’histoire et la littérature antique. La scie
ferez aux conionctions des planetes maleficques, aux abuz de la court
romaine
, ou tyrannie des roys et princes terriens, a l’im
z solennelle et religieuse adiuration, commandement de persecuter les
Romains
tant qu’il vivroyt ; ainsi ay ie de feu mon pere
la chambre de Charles IX ; à Rome, en 1581, il reçut celui de citoyen
romain
. Il fut élu pendant cette dernière absence, puis
n et préférence de Terence, faict beaucoup que le pere de l’éloquence
romaine
l’a si souvent en la bouche, seul de son reng ; e
che, seul de son reng ; et la sentence que le premier juge des poètes
romains
donne de son compaignon133. Ie veois que les bons
istre environ mesme siecle ; touts deux precepteurs de deux empereurs
romains
; touts deux venus de païs estrangiers ; touts de
on Traité des trois Vérités (1594) sont d’un orthodoxe, catholique et
romain
; son Traité de la Sagesse est d’un sceptique. Ch
e de nos majeurs, qui ayans (comme dit quelqu’un, parlant des anciens
Romains
) en plus grande recommandation le bien faire que
ler) des plumes d’autruy. Mais qui voudroit dire que la Grecque et la
Romaine
eussent tousjours esté en l’excellence qu’on les
t ombre, l’ont laissee envieillir et quasi mourir. Que si les anciens
Romains
eussent esté aussi negligens à la culture de leur
ice, toute langue a coutume de produire. Doncques si les Grecs et les
Romains
, plus diligens à la culture de leurs langues que
lle hauteur et grosseur, qu’elle se pourra egaler aux mesmes Grecs et
Romains
, produisant comme eux des Homeres, Demosthenes, V
la Muse Françoise, d’un lut bien accordé au son de la Lyre Grecque et
Romaine
: et qu’il n’y ait vers où n’apparoisse quelque v
duction des Vies de Plutarque (Les Vies des hommes illustres grecs et
romains
, comparées l’une avec l’autre, par Plutarque de C
laisser en oisiveté. Quand vous aurez vu le Tibre, au bord duquel les
Romains
ont fait l’apprentissage de leurs victoires et co
andus Spectator 324. et, si je ne me trompe, c’étoit aussi celle des
Romains
: Nec minimum meruere decus, vestigia græca Aus
nt françois, joindre la délicatesse et la pureté attique à la majesté
romaine
. C’est ce qui fait que toute l’Europe apprend vos
conquêtes ; il abattra aux pieds du Sauveur la majesté des faisceaux
romains
en la personne d’un proconsul, et il fera tremble
au nom que la Chambre de Justice, mais le temple de Clémence, que les
Romains
élevèrent à cette vertu triomphante en la personn
us étendu de ses ouvrages, Réflexions sur les divers génies du peuple
romain
, rappelle Bossuet (Disc. sur l’hist. univ., 3e pa
c. sur l’hist. univ., 3e partie) et annonce Montesquieu (Grandeur des
Romains
). Comme Bussy-Rabutin, il servit avec beaucoup de
César a exécuté les plus grandes choses et s’est fait le premier des
Romains
. Alexandre étoit naturellement au dessus des homm
mais qui méritoit de commander. Il périt, ce Germanicus, si cher aux
Romains
, dans une armée où il eut moins à craindre les en
plus hautes connoissances, et l’atticisme des Grecs et l’urbanité des
Romains
; l’on ne feint447 point de leur dire que ce sont
tout à elle. Regardez ces peuples barbares qui firent tomber l’empire
romain
. Dieu les a multipliés et tenus en réserve sous u
tes et mieux venues que son Histoire des révolutions de la République
romaine
(1719), À laquelle il travailla quand ses fonctio
livres de génie » (Villemain), une Histoire ancienne et une Histoire
romaine
, œuvres de morale plus que d’érudition. Voltaire
que l’on a à composer, il n est point question d’histoire grecque ou
romaine
, de philosophie, de mathématique ; cependant l’ét
e Est le premier des traducteurs ; Jamais dans sa froide élégance Des
Romains
il n’a peint les mœurs ; Tu tus le peintre de la
aison de celles qu’ont parlées nos premiers maîtres, les Grecs et les
Romains
. Nous ne sommes que des violons de village. Comme
fond petit livre des Considérations sur les causes de la grandeur des
Romains
et de leur décadence, qui complète Machiavel, Bos
e les permirent pas seulement, mais même les favorisèrent : quand les
Romains
voulurent affaiblir la Macédoine, ils y établiren
rticulier de chaque nation et le premier citoyen de chaque ville. Les
Romains
conquirent tout pour tout détruire : il voulut to
à César : quand César voulut imiter les rois d’Asie, il désespéra les
Romains
pour une chose de pure ostentation ; quand Alexan
ec laquelle tu as signé l’ordre de faire mourir en un jour cent mille
Romains
. » Mithridate resta immobile ; et Marius, au mili
t comme vous, lorsque, couvert du sang de ses ennemis et de celui des
Romains
, il montroit cette audace que vous avez punie. Vo
op de miracles pour arracher à présent du cœur de tous les capitaines
romains
l’ambition de régner. Vous leur avez appris qu’il
rt, présente à la guerre, ébranloit son âme. Un nombre innombrable de
Romains
qui n’avoient jamais craint la mort dans les bata
il eut la foiblesse de l’abandonner avec toutes les forces du peuple
romain
, faute de cette égalité de force et de sentiment,
inistré les affaires ou les deniers publics ; si la majesté du peuple
romain
avait été avilie. Les empereurs n’eurent besoin q
te Crémutius Cordus d’avoir appelé Cassius et Brutus les derniers des
Romains
; crime de contre-révolution à un descendant de C
; chez l’abbé Mably (1709-1785), admirateur exclusif des Grecs et des
Romains
, mais historien pénétrant, éclairé des textes et
t après, Rome et l’univers le perdirent. » À ces mots, tout le peuple
romain
demeura morne et immobile. Apollonius se tut, ses
en habit de guerrier, agita sa lance d’une manière terrible. Tous les
Romains
pâlirent ; Apollonius fut frappé des malheurs qui
n courage, avoit échappé aux conquêtes des Perses, d’Alexandre et des
Romains
. De ses nombreuses tribus, les unes devoient leur
reurs, Constantin, Julien l’Apostat et Théodose (L’Église et l’Empire
romain
au ive siècle) ; C. Rousset, une Histoire de Lou
s. Les yeux sont tout-puissants sur l’âme : après avoir vu les ruines
romaines
, on croit aux antiques Romains comme si l’on avai
sur l’âme : après avoir vu les ruines romaines, on croit aux antiques
Romains
comme si l’on avait vécu de leur temps. Les souve
les adulations d’amitiés fidèles, des Études historiques sur l’empire
romain
, une traduction en prose du Paradis perdu, une Vi
as et viduitas 660. » Vous apercevez çà et là quelques bouts de voies
romaines
, dans des lieux où il ne passe plus personne, que
le lit désert d’une onde, orageuse qui s’est écoulée comme le peuple
romain
. À peine découvrez-vous quelques arbres, mais par
tels que les a laissés le soc de Cincinnatus, ou la dernière charrue
romaine
. C’est du milieu de ce terrain inculte, que domin
cette description, qu’il n’y a rien de plus affreux que les campagnes
romaines
? Vous vous tromperiez beaucoup ; elles ont une i
uvrent. Rien n’est comparable, pour la beauté aux lignes de l’horizon
romain
, à la douce inclinaison des plans, aux contours s
les coteaux sont taillés en terrasses, comme si la main puissante des
Romains
avait remué toute cette terre. Une vapeur particu
ous les arcs où ils passaient autrefois pour conduire le triomphateur
romain
à ce Capitole que Cicéron appelle le conseil publ
ée. Le voila ! ah ! oui, le voilà ! C’est bien celui que le proconsul
romain
montrait au peuple, il y a dix-huit siècles, les
sublime, qui semblait disparu du monde depuis qu’il n’y avait plus de
Romains
. Pour créer des orateurs, il ne fallait qu’un gra
introduit dans la civilisation européenne ; il était inconnu au monde
romain
, inconnu à l’Église chrétienne, inconnu à presque
ncien poste, en dépit du temps et des hommes. Après la domination des
Romains
vainqueurs est venue la domination des vainqueurs
que espagnol, le dominateur italien, le chef couronné du Saint-Empire
romain
, auquel l’ardeur religieuse de sa foi comme l’ent
de la cour de Napoléon, et qui dut à ses écrits historiques (Histoire
romaine
, Histoire ancienne, Histoire de France) un fauteu
a à Daunou en 1838 ; des ouvrages historiques considérables (Histoire
romaine
, Histoire de France, Histoire de la Révolution fr
t par ce mot d’urbanité. Selon l’abbé Gédoyn, l’urbanité, ce mot tout
romain
, qui dans l’origine ne signifiait que la douceur
et, de ce côté, l’antiquité juive ressemble à l’antiquité grecque et
romaine
. Abraham va chercher dans le désert le lieu marqu
des choses antiques. François Ier songeait à faire renaître la légion
romaine
. Déjà les piques formidables de la phalange macéd
un rôle dans les batailles. On s’habillait à la mode des Grecs et des
Romains
, on leur empruntait les usages de la vie ; et, ch
eds sont assises deux jeunes femmes, images de l’art grec et de l’art
romain
; debout sur le devant des degrés, deux autres fe
t découronné la tour il y a quelques années. Près de Cluny, ce palais
romain
, à belles arches cintrées, c’étaient les Thermes
s de France, il a écrit des études d’art et d’archéologie. L’histoire
romaine
et l’histoire de Russie lui ont fourni le sujet d
nn., I,7). 441. Comparer Montesquieu, Des causes de la grandeur des
Romains
et de leur décadence, XIV, et C. Desmoulins, Extr
té lui eussent ait honneur dans les plus beaux jours de la république
romaine
. » 723. Monseigneur Menjaud, évêque de Nancy et
Pacôme (292-318), né dans la Thébaïde, d’abord soldat dans les armées
romaines
, réunit dans son monastère de la Thébaïde 500 chr
e aurum). 882. Tuniques blanches, bordées de pourpre portées par les
Romains
sous l’empire elles leur venaient de Dalmatie. El
riminel exposé. 921. Appelé longtemps Palais de la Cité. Remonte aux
Romains
. Le roi Eudes s’y établit le premier. Saint Louis
Corbulon, général
romain
sous les empereurs Claude et Néron. Il remporta d
sseurs furent nommés As. Ils soutinrent pendant long-temps contre les
Romains
, de grandes guerres dans lesquelles ils furent so
osse armée composée d’esclaves fugitifs, avec laquelle il attaqua les
Romains
. Il les battit dans plusieurs actions, et porta l
l’empire par Nerva, après la mort duquel il fut proclamé empereur des
Romains
, l’an 98 de J. C. Trajan immortalisa son règne pa
talier pour toutes les nouveautés étrangères. 1. Allusion aux vertus
romaines
: l’insensibilité, pour le premier Brutus, qui fa
rutus, qui fait mettre ses fils à mort ; l’orgueil, pour une foule de
Romains
illustres ; le désespoir, pour Caton, qui se tua
un nouvel empire des Latins, qui fut le berceau de celui de Rome. Les
Romains
en effet regardoient Enée comme un des ancêtres d
Corneille l’a vu d’un lac de Trasimène Menacer devant lui l’arrogance
romaine
, Enivré de ses vers, Corneille, en l’admirant, A
e jusqu’à la liberté de la voix et de la respiration : ou les pauvres
Romains
sont muets, ou ils n’ouvrent la bouche que pour f
ntier en apparence aux douceurs de la vie privée, un simple chevalier
romain
, qui joue dans l’État un bien grand rôle : c’est
r nos chants. Tu le peux, désormais sois fière De mon renom chez les
Romains
; Triomphe, ô Muse, et que tes mains Du laurier d
port d’Alexandrie, ainsi que la plupart des phares construits par les
Romains
, s’élevaient bien au-dessus des tours modernes le
ucun doute, autant de clarté que les larges feux qu’entretenaient les
Romains
à si grands frais sur les tours élevées d’Alexand
x ; Mais, si je m’en rapporte aux esprits soupçonneux, Vous aidez aux
Romains
à faire essai d’un maître, Sous ce flatteur espoi
au : Mais pour revivre ailleurs dans sa première force. Avec les faux
Romains
elle a fait plein divorce ; Et comme autour de mo
st le fruit de votre illustre peine. Et vous pensez avoir l’âme toute
romaine
! Vous avez hérité ce nom de vos aïeux ; Mais s’i
s après moi le plus considérable, Et que ce grand fardeau de l’empire
romain
Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en ta mai
apprêts, Ramener la terreur au fond de ses marais ; Et, chassant les
Romains
de l’Asie étonnée, Renverser en un jour l’ouvrage
effort redoublé ; Il voit plus que jamais ses campagnes couvertes De
Romains
que la guerre enrichit de nos pertes. Des biens d
t, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez partout l’horreur du nom
romain
, Et la triste Italie encor toute fumante Des feux
ibal l’a prédit, croyons-en ce grand homme : Jamais on ne vaincra les
Romains
que dans Rome. Noyons-la dans son sang justement
saisie. Ne croyez point pourtant qu’éloigné de l’Asie J’en laisse les
Romains
tranquilles possesseurs. Je sais où je lui dois t
nveloppée, Rome rappelle en vain le secours de Pompée. Le Parthe, des
Romains
comme moi la terreur, Consent de succéder à ma ju
Et serez-vous le seul que vous n’oserez croire ? Mais, seigneur, les
Romains
ne vous sont pas connus : Non, non, dans leurs di
des prix indignes de ses mains, À se donner lui-même en spectacle aux
Romains
, À venir prodiguer sa voix sur un théâtre, À réci
un homme et penser au grand jour. Au tribunal de Mars, sur la pourpre
romaine
, Là, du grand Cicéron la vertueuse haine Écrase C
fugiaient plus tout entiers dans les souvenirs et dans l’histoire des
Romains
, comme avaient fait autrefois quelques hommes sup
nes. Ils rapportaient de ce commerce avec les Hébreux, les Grecs, les
Romains
, quelque chose d’étranger, une grâce libre et fiè
s. Massillon était inspiré par l’élégance et la majesté de la diction
romaine
dans le siècle d’Auguste. Fléchier imitait l’art
acteur qui joue le rôle de Brutus le costume que porta jadis le héros
romain
, le poignard même dont il frappa César, cela touc
cy 80. Les Satiriques latins Comment se fait-il donc que les
Romains
, ayant à peu près la même religion que les Grecs,
ttaqua point ces vices dangereux qui venaient de renverser la liberté
romaine
et devaient finir par renverser l’empire. Il étai
conquêtes ; il abattra aux pieds du Sauveur la majesté des faisceaux
romains
en la personne d’un proconsul, et il fera tremble
re et tous ses trophées, va se perdre dans le gouffre de la puissance
romaine
. Marche, marche ! dit-il à Rome elle- même ; et c
e Est le premier des traducteurs ; Jamais dans sa froide élégance Des
Romains
il n’a peint les mœurs. Tu fus le peintre de la F
u de telles rencontres s’appelle la civilisation grecque, la grandeur
romaine
ou la Révolution française, loin de trouver, comm
rats de piller la république, n’allèrent-ils pas l’accuser devant les
Romains
? Malheureux, qui voulaient être citoyens sans qu
Tarquinius, fils du tyran, il arracha lui-même du sein de cette dame
romaine
, le poignard dont elle venoit de se percer, en pr
ur Bérénice, reine de Palestine, qu’il devoit épouser, déplaisoit aux
Romains
; et il la renvoya malgré lui et malgré elle. Il
icarnasse et Longin, chez les Grecs ; Cicéron et Quintilien, chez les
Romains
. Mais celui de tous qui a le mieux connu son suje
çons du comédien Satyros et les répétait devant un miroir. Le préjugé
romain
n’empêchait pas Cicéron de consulter le grand act
Je vous ai dit que, chez les Grecs, elle était un simple résumé. Les
Romains
lui donnaient plus d’étendue et plus d’importance
flamment les soldats de 93 avec les mots de patrie et de liberté. Les
Romains
ont été surpris et enfermés dans un défilé. Un tr
Dandin : Ce que c’est qu’à propos toucher la passion ! Le barreau
romain
, qui abusait des péroraisons pathétiques autant q
tion et la vertu ? Quelle splendeur funeste a succédé à la simplicité
Romaine
? Quel est ce langage étranger ? Quelles sont ces
ie ! Les dépouilles de Carthagea sont la proie d’un joueur de flûte !
Romains
, hâtez-vous de renverser ces amphithéâtres ; bris
ail, peut vaincre la nature : Vieux palais ruinés, chef-d’œuvre des
Romains
, Et les derniers efforts de leur architecture, Co
ἐν ᾍδου (περιείληφε). Cf. Polybe, VI, 56, à propos de la religion des
Romains
. La prise de Troie.] Ἰλίου πέρỡις, tel est le tit
ers suivants : Lucile, le premier, osa la faire voir ; Aux vices des
Romains
présenta le miroir, Vengea l’humble vertu de la r
ichel Lévy.) 1. Le mot classique, pris en ce sens, parait chez les
Romains
, où il signifiait les citoyens de la première cla
aison de celles qu’ont parlées nos premiers maîtres, les Grecs et les
Romains
. Nous ne sommes que des violons de village. Comme
on. Sa nature stoïcienne le portait par une affinité secrète vers les
Romains
et les Espagnols. Il trouvait chez eux l’idéal de
aïeux de Décie on vante la mémoire ; Et ce nom, précieux encore à vos
Romains
, Au bout de six cent ans lui met l’empire aux mai
g. Pauline a la tête forte, elle raisonne serré. Il y a en elle de la
Romaine
. Elle a des principes. 2. Meurt pour son Dieu.
et des génisses ? Un ânier, son sceptre à la main, Menait en empereur
romain
Deux coursiers à longues oreilles. 129. Quel es
e Justum et tenacem ; le discours que le paysan du Danube adresse aux
Romains
, par La Fontaine, et ces paroles si véhémentes de
de Norma aux Gaulois pour les exciter à prendre les armes contre les
Romains
: Oui, les Dieux à notre esclavage…, par Soumet ;
le. Aussi gasconne que latine et gauloise, sa langue allie la vigueur
romaine
à la gaillardise du patois périgourdin. Les poète
’un soleil poignant8 ; car les ombrelles9, dequoy, depuis les anciens
Romains
, l’Italie se sert, chargent plus les bras qu’ils
l. On y trouve principalement les règles du genre dramatique chez les
Romains
. Vida. Longtemps après parut une autre Poétique
ntre les mots pour en faire mieux jaillir l’opposition des pensées :
Romains
contre Romains, parents contre parents, Combattai
our en faire mieux jaillir l’opposition des pensées : Romains contre
Romains
, parents contre parents, Combattaient follement p
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