le monument. J’en épelais le premier signe ; Mais, déconcertant mes
regards
, Un lézard dormait sur la ligne Où brillait le no
ment ranimée, Empruntait de la vie à cette terre aimée, Parcourant du
regard
et le ciel et les lieux, Voyait tout son passé re
charmant ; Sur les murs décrépits ces deux vieilles gravures Dont les
regards
étaient toujours sur nos figures ; Et, près du vi
a mère évanouie, Dont cette émotion venait d’user la vie, Dérobés aux
regards
par le mur de jasmin, Je regagnai tremblant la po
abîmes. Les villageois, épars sur les meules de foin, Du geste et du
regard
me saluaient de loin. L’œil fixé sur mon toit san
; Son fuseau de sa main roula sur l’escalier ; Elle leva sur moi son
regard
sans mot dire ; Et, comme si son œil dans mon cœu
l aime ; Puis, sur mon sac poudreux à mes pieds étendu, Me couva d’un
regard
dans le mien suspendu1. Me pardonnerez-vous, vous
s qui n’avez sur terre Pas même cet ami du pauvre solitaire ? Mais ce
regard
si doux, si triste de mon chien, Fit monter de mo
aître ; Mais seul il sait aussi par quel secret rapport Tu vis de son
regard
, et tu meurs de sa mort, Et par quelle pitié pour
! Oui, nous nous aimerons comme nous nous aimâmes. Qu’importe à ses
regards
des instincts ou des âmes ? Partout où l’amitié c
ans l’étoile des nuits dont la splendeur ruisselle, Que dans l’humble
regard
de ce tendre épagneul, Qui conduisait l’aveugle e
raits de maître qui, dans les musées, semblent suivre les passants du
regard
. Il n’y a pas dans la nature, telle qu’il la sent
fant5, paraît, le cercle de famille Applaudit à grand cris ; son doux
regard
qui brille Fait briller tous les yeux ; Et les
je vous l’ai dit souvent, était un prêtre A l’accent calme et bon, au
regard
réchauffant4, Naïf comme un savant, malin comme u
stupide, Et l’infâme oiseleur, et son hideux lacet, Furieux ! — D’un
regard
ma mère m’apaisait5. La résignation chrétien
es villes en éveil, Monter des gerbes étoilées ? Porte ailleurs ton
regard
sur Dieu seul arrêté ! Rien ici-bas qui n’ait en
ous prodigue sa vie ; La vache, ô doux enfants, qui lui refuserait Un
regard
, un sourire, et qui ne l’aimerait ? Bonne bête au
Sequiturque patrem non passibus æquis. (Virgile.) 1. Voilà bien le
regard
des enfants. 2. Ces vers sont autant d’allusions
er le lieu d’où doit venir le secours : je ne puis encore tourner mes
regards
qu’autour de moi, je n’y vois plus cette personne
un esprit souple et commode, qui vient servilement sourire à tous vos
regards
, se récrier à toutes vos paroles, applaudir à tou
reux qui sait, comme toi, répandre des bienfaits et cacher sa vie aux
regards
des méchants ! Imité de Dubos. Guyet. N° 40.
sements malins, son silence criminel, ses gestes, ses mouvements, ses
regards
, tout, a son poison et le répand à sa manière. Ma
ième image. Les bonds du coursier qui s’élance au galop sont sous nos
regards
. Il creuse du pied la terre. Qui ne croit voir
silence lorsqu’on affecte dans ses manières, dans ses poses, dans ses
regards
, dans ses gestes, etc., une importance que l’on n
demi sa paupière, Sa voix ne s’unit pas au cantique éternel, Mais son
regard
plus tendre et presque maternel, Suit l’ homme qu
majestueuse. Son aspect inspirait la vénération la plus profonde. Ses
regards
étaient perçants, ses couleurs brillantes ; elle
taille commune ; tantôt son front touchait aux nues et se cachait aux
regards
des mortels. Ses vêtements étaient composés d’un
ourbé sous le poids des vertus. Alors le Créateur, jetant sur elle un
regard
d’amour, ordonne à l’un de ses messagers d’aller
du plus tendre amour. Ils fixaient sur elle leurs tristes et tendres
regards
; ils ne les détournèrent que lorsque sa dernière
chose… Je pleurais… Mais tout-à-coup des voix divines attirèrent mes
regards
vers les nuages ; dans ces nuages, je vis le chré
, et il était resplendissant comme eux… Je pleurais… En ce moment mes
regards
s’abaissèrent vers la tombe, et je reconnus ce qu
ure ; la défiance n’a pas rendu sa démarche arrêtée et suspendue, son
regard
inquiet, son coup d’œil fixe et sinistre ; son es
, des montagnes encore plus aride, sur lesquelles l’œil s’étend et le
regard
se perd, sans pouvoir s’arrêter sur aucun objet v
ble l’accroître encore ; nous voyons venir, d’aussi loin que porte le
regard
, des collines d’eau écumante derrière d’autres co
oin d’un sourire attentif qui l’encourage quand il fait bien, ou d’un
regard
sévère qui l’arrête quand il fait mal. Laisser un
Janin. N° 121. — Le Cimetière de campagne. Où suis-je ? A mes
regards
un humble cimetière Offre de l’homme éteint la de
sous ces nuées, s’avancent d’un vol lent et terrible. Leur formidable
regard
darde la flamme dévorante ; leur front menaçant a
leurs pieds d’airain le coteau funèbre : un instant ils fixent leurs
regards
sur l’auguste victime ; puis s’élevant, l’un vers
ierre où il s’agenouillait devant ces montagnes effrayantes, sous les
regards
de Dieu. J’ai visité toute la maison : j’ai vu le
sers, Céleste ami, qui seul me peuple ces déserts ; Qui, lorsque mon
regard
le visite à toute heure, Me dit ce que j’attends
au même instant. Le chien, en aboyant de joie, Frappe du voyageur les
regards
éperdus : La Mort laisse échapper sa proie, Et la
Le fils brillant du soleil, le radieux été règne à son tour ; ses
regards
majestueux et doux s’abaissent vers la terre, il
son front tristement laissé vers la terre qu’il glace de ses sombres
regards
. Une couronne de branches mortes, monument de son
peine si l’on remarque l’hyperbole, mille fanfares , la métaphore,
regards
brûlants et quelques autre expressions. Ceci nou
de son sauvage ennemi. Dès qu’il se fut levé, et qu’on put mesurer du
regard
sur le sable l’ombre que projetait sa taille colo
la colère. Les cris ayant redoublé cependant, il leva la tête, fit du
regard
le tour de l’assemblée, lui sourit dédaigneusemen
ent de nous parler par ta bouche ? » L’affreux géant jette sur moi un
regard
sinistre. Ses lèvres hideuses se séparent avec ef
rche pour exécuter ses funestes projets, lorsque le Très-Haut jeta un
regard
de pitié sur les chrétiens ; il résolut de ne poi
nt de larmes ! Les deux guerriers restent un moment immobiles, et les
regards
attachés l’un sur l’autre : enfin Tancrède rompt
har se mit en marche, et aussi longtemps qu’elle put le suivre de ses
regards
; puis elle disparut. Et que pouvait-elle faire s
e où était Claude le moment d’auparavant, et là, ne détachant pas son
regard
du seul objet qu’il y eût pour lui en ce moment,
nt y chercher le motif de l’ordre qu’il avait reçu. Ekber tenait ses
regards
baissés devant les yeux interrogateurs du vieilla
é ; j’aperçus auprès de moi un enfant ailé dont le sourire doux et le
regard
pur pénétrèrent mon cœur d’une joie inconnue. Son
encore à mon oreille, un de plus suffirait. Alors l’enfant me jeta un
regard
plein de tristesse, les monstres grincèrent les d
! horreur ! C’était une tête de mort ! un crâne nu avec ses yeux sans
regard
, son nez camard et sa bouche qui semble ricaner..
dait les bras à son enfant q’ une nourrice allaitait près d’elle. Les
regards
du capitaine et des matelots se portent sur les n
empereur prend entre ses mains la coupe d’or, jette autour de lui des
regards
où se peint l’allégresse, et s’écrie : « Mon cœur
ait exprimer par quels faits incroyables, Quels coups, accompagnés de
regards
effroyables, Son bras se signalant pour la derniè
en plutôt à me percer moi-même, De grands cris ont soudain attiré mes
regards
; J’ai vu, qui l’aurait cru ? j’ai vu de toutes p
ueur ; Et le Dieu de la guerre est la seule valeur. » Il dit, et d’un
regard
enflammé d’arrogance, Il voit de son rival la mod
nificence, Rome entière sortit de cet abîme immense. Depuis, loin des
regards
et du fer des tyrans, L’Église encore naissante y
rs de Fierbois, au pied des saints autels, Cacha depuis longtemps aux
regards
des mortels, Le glaive qui, remis aux mains d’une
.... Là, muette et pensive, à nos bois, à nos plaines, Par un dernier
regard
, j’adressais mes adieux : Et le toit paternel dis
éroïque enfant, se tournant du côté de son père, pour puiser dans son
regard
une force surhumaine, vide d’un seul trait la cou
Il tombe !… juste Dieu ! pour son frère il t’implore, Et son dernier
regard
lui pardonnait encore. Les traits du meurtrier se
stupeur ; Son bras sanglant frémit, ses terreurs le suffoquent ; Son
regard
reste fixe, et ses dents s’entre-choquent ; Et d’
e que venait d’ouvrir Charles XI ; ils marchaient la tête haute et le
regard
assuré. Derrière eux, un homme robuste, revêtu d’
uleurs, en Lorraine, une maison de modeste apparence qui n’attire les
regards
par aucun ornement extérieur, et qui ne se distin
amps de blé, tantôt d’immenses plaines de sables, dans lesquelles son
regard
se perdait. Des forets de bouleaux, quelques ruis
es, qui, placées aux frontières de l’Europe et de l’Asie, ont dans le
regard
et le maintien un singulier mélange d’indolence e
ardé avec attention ce corps qui allait être dérobé pour toujours aux
regards
de ses amis, il croit remarquer en lui quelque si
ans le solitaire parvis, un sourire divin passait sur son front ; son
regard
s’empreignait d’une douceur inexprimable, et il s
traits étaient pleins de calme et de sérénité, et il y avait dans son
regard
je ne sais quoi de divin et de consolant. Et elle
rs Rébecca d’un air irrésolu, puis il s’écria en lançant à Ivanhoé un
regard
farouche : — Chien de Saxon, oui, je te combattra
jour tombe.., Elle crie, inquiète, éperdue : « Mon fils !... » A ses
regards
il ne vint pas s’offrir. L’aurore la trouva sur l
s malheureux ; les coupables mêmes, ne tardaient point à sentir qu’un
regard
de miséricorde était tombé sur eux. Les visites d
r ; la scène du meurtre est reproduite ; la victime se meurt sous nos
regards
. Les exclamations, les apostrophes, les interroga
ous fait entrevoir de plus la science de l’autre vie. Placés ainsi en
regard
, la vie et la mort doivent être égales en tout, c
célébrer la vôtre : mais, si vous ne jetez plus sur Antioche que des
regards
de colère, je le jure devant vous, mon peuple ne
siez les flots d’une foule enivrée. Au lieu de ces longs cris, de ces
regards
joyeux, Qui frappaient votre oreille et qui suiva
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. Res
le plaisir de jouir et celui d’espérer ; voilà celle qui fixerait les
regards
et les complaisances du parterre, s’il était capa
ois réitérés, ont toujours le charme enchanteur de la nouveauté ; ces
regards
furtifs qui vont s’égarer à tout moment sur l’obj
lameurs orgueilleuses1 ! Dieu de bonté, auteur de tous les êtres, vos
regards
paternels embrassent tous les objets de la créati
s ; il a l’air de chercher à recueillir des suffrages, à captiver les
regards
; et il les captive en effet, soit que, voguant e
nous élevant avec elles, nous prenons un essor de l’âme plus haut, un
regard
plus profond, et ce n’est pas en vain que le poët
poindre le jour pur de l’immortalité, Et, dans la douce extase où ce
regard
la noie, Sur la terre en mourant elle exhale sa j
e” comme l’appelait Gibbon. On y devine quelque chose de doux dans le
regard
. Le front élevé n’a surtout rien de bombé, de pro
ongtemps les doux plaisirs que procurent à une âme jeune les premiers
regards
jetés sur la nature, et les consolations qu’éprou
avec Racine, l’examen du code moral de l’antiquité. « Le monde à mes
regards
n’offre rien que j’admire. » Libre d’ambition, de
omptés. » L’estime des mortels flatte peu mon envie : » J’évite leurs
regards
et leur cache ma vie. » Que mes jours, pleins de
tes erreurs, et se croit trop heureux, Quand lu laisses sur lui d’un
regard
dédaigneux S’échapper, au hasard, la faveur passa
age. Malheur à tout mortel que votre main soulage : Que vos plus doux
regards
sont encore rebutants, Et que vous vendez cher vo
s biens réels, pour le bonheur solide, Qu’une vue incertaine et qu’un
regard
stupide. (Prov. ch. 6. v. 9). Et cela est rigour
s ; il a l’air de chercher à recueillir des suffrages, à captiver les
regards
, et il les captive, en effet, soit que, voguant e
poindre le jour pur de l’immortalité, Et, dans la douce extase où ce
regard
la noie, Sur la terre en mourant elle exhale sa j
ui émeut, ou exprime les passions. 3. Dans le visage, il va droit an
regard
, parce que la lumière du sentiment et de la pensé
ans le val de Nievole, entre Lucques, Pistoïa et Florence, arrêta ses
regards
par la beauté et la variété de ses cultures. La v
nsées s’échangent, et, vainqueur de la nature, l’homme, reportant ses
regards
de sa demeure sur lui-même, aspire à découvrir, p
éveloppé leur esprit, et j’avais découvert quelques accents, quelques
regards
, quelques mots dits à voix basse, qui sortaient d
à ne pas me tourmenter à cet égard ; mais les insinuations, mais les
regards
à la dérobée, pendant que je parlais, mille petit
e se tut, et ses pas, en sortant du temple, étaient plus lents et ses
regards
plus rêveurs. Elle s’arrêta sous le portique. « L
glise des morts qui est sous nos pieds, et, en relevant les yeux, vos
regards
atteindront à peine au sommet de ta voûte. Ce dôm
ainsi rapprochés dans Rome à travers les siècles, et se montrent aux
regards
comme à la réflexion. Quand Oswald et Corinne fur
ècle, ni ses habitudes, ni ses relations ; il fait tomber à plomb son
regard
d’aigle sur les objets qu’il observe : s’il avait
e, que la bannière nationale-flotte dans les airs, et vous verrez des
regards
jadis si doux, si prêts à le redevenir à l’aspect
’eau murmure doucement à son oreille ; de beaux insectes occupent ses
regards
, et les naïades du ruisseau, pour mieux cacher ce
é des Crotanes et le temple de Diane Isora. Enfin, si l’on ramène ses
regards
au midi, on verra une terre inégale que soulèvent
par les souvenirs de Troie. Je me traînai sur le pont ; mes premiers
regards
tombèrent sur un haut promontoire couronné par ne
que l’on aperçoit de loin en passant sur la mer, et qui attirera les
regards
des générations présentes et des races futures105
nder et enchaîner nos aigles, eux qui n’ont jamais pu en soutenir les
regards
? Souffrirons-nous qu’ils héritent du fruit de no
leur cause ! Mais enfin il fallait ma présence, l’électricité de mon
regard
, mon accent, une parole de moi : j’allumais le fe
l passait, le corps un peu courbé avant l’âge par la maladie, mais le
regard
brillant et fier comme dans la jeunesse, la foule
d qu’il avait consenti au bill fatal. Quelque surprise parut dans les
regards
du comte, et pour toute réponse il leva il mains
il sortit à pied, précédant les gardes et promenant de tous côtés ses
regards
, comme s’il eût marché à la tête de ses soldats.
rsonnes à qui il désirait que le soin en fût confié, l’air serein, le
regard
brillant, le pas ferme, marchant même plus vite q
et masqués. Le roi arriva, la tête haute, promenant de tous côtés ses
regards
et cherchant le peuple pour lui parler : mais les
es êtres de la création, par-dessus tout le visage de l’homme, et son
regard
, ce vivant miroir de ce qui se passe dans l’âme.
nsée qui ne laisse échapper aucun son, qui ne se manifeste dans aucun
regard
, la pensée dans son vol le plus sublime, dans son
de signes d’émotion ; la reine au contraire, soupirant, promenant ses
regards
autour d’elle, et les fixant tantôt sur l’un, tan
pour Frédegonde ; elle se tourna vers le roi, et attachant sur lui un
regard
qui commandait l’attention, elle prononça les par
son de notre infirmité avec la grandeur de la nature, mais encore les
regards
jetés, soit sur l’histoire de notre espèce, soit
de relief. Au premier abord nul trait ne fait saillie et n’arrête le
regard
. C’est là, d’ailleurs, une conséquence de la méth
désintéressée dans son action, et l’accompagnaient à l’échafaud d’un
regard
de pitié et d’admiration266. Histoire de la Ré
ant sur mon chemin, Un diadème au front et le sceptre à la main : Son
regard
m’a troublé ; son air, son port terrible, M’ont s
ruire, Les forfaits ignorés, ceux que l’on doit punir. Et semble d’un
regard
dévorer l’avenir. On vient la consulter du fond d
nouveau serment s’armer tous contre toi ! Que la nature entière à tes
regards
perfides S’éclaire en pâlissant du feu des Euméni
à la faveur, grossissez vos richesses : Non, je ne vous vois pas d’un
regard
ennemi ; Je vous plains seulement, vous n’avez po
aieté, Ce n’est point la richesse et l’éclat de l’été Qui plaît à ses
regards
; non, c’est la pâle automne, D’une main languiss
telles, Toi qui bien au-dessus des sphères éternelles, Si loin de mes
regards
, sièges au haut des cieux ? Dans ce monde sensibl
er la balance ; Le sénat le contemple, et décrète en silence359 ; Les
regards
sont muets ; les lois n’osent parier ; Tibère à s
s lègue à Tibère. Ah ! je l’ai bien servi. Pour me récompenser, Qu’un
regard
paternel daigne les caresser. Tendre et fidèle ép
audace ; Tout est bien, tout est bon, tout est grand à sa place ; Aux
regards
de celui qui fit l’immensité L’insecte vaut un mo
ilé d’Éden. Lorsque Dieu l’eut banni du céleste jardin, Mesurant d’un
regard
les fatales limites, Il s’assit en pleurant aux p
rs. J’ai demandé sa fin à toute créature ; Dans l’abîme sans fond mon
regard
a plongé ; De l’atome au soleil j’ai tout interro
out mortel espère. Que dis-je ? suspendu sur le lit des mourants, Mes
regards
la cherchaient dans des yeux expirants. Sur ces s
re à toi ! J’ai crié, tu n’as pas répondu : J’ai jeté sur la terre un
regard
confondu, J’ai cherché dans le ciel le jour de ta
ort, J’ai vu lutter ensemble et l’amour et la mort ; J’ai vu dans ses
regards
la flamme de la vie. Sous la main du trépas par d
it expirer, Je voulais retenir l’âme qui s’évapore ; Dans son dernier
regard
je la cherchais encore ! Ce soupir, ô mon Dieu, d
acée ; Le souffle se taisait dans son sein endormi, Et sur l’œil sans
regard
la paupière affaissée Retombait à demi. Et moi,
éclaircir l’horreur de cet étroit passage, Pour relever vers Dieu son
regard
abattu, Divin consolateur, dont nous baisons l’im
serviteur ; Un ami, sire, on l’aime ; et n’eût-il pour salaire Qu’un
regard
attendri quand il a pu vous plaire, Qu’un mot sor
nfoncer plus avant le poignard, Le sort nous met ici tous les deux en
regard
: Moi, pauvre et ridicule ; elle, riche et parée.
epte d’Horace, d’éloigner de la scène ce qui est trop affreux pour le
regard
: Neu populo coram pueros Medea trucidet, était
vous, du malheur victimes passagères, Sur qui veillent d’un Dieu les
regards
paternels, Voyageurs d’un moment aux terres étran
t. poét.) : Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, À ses
regards
voilés je trouve plus d’attraits… 320. Dans l
retient qu’une idée, Et chérit son secret qui s’échappe à moitié. Sun
regard
triste et doux inspire la pitié ; Elle étouffe sa
nner leurs larmes en spectacle ; soit qu’ils craignissent que tant de
regards
, observant leurs visages, n’y lussent la fausseté
mes jeunes reliques Quelque bord fréquenté des pénates rustiques, Des
regards
d’un beau ciel doucement animé, Des fleurs et de
on effrayante clairvoyance fait tomber tous les masques, perce de ses
regards
toutes les physionomies, met l’homme à découvert.
seyait point mal, un port de tête galant, gracieux, majestueux, et le
regard
de même, le sourire le plus expressif, une taille
a tribune athénienne, dominant la ville et le golfe d’Egine, ouvre au
regard
et à l’imagination de vastes perspectives, le for
r ton enfant… Allons, mon père, tourne la tête vers moi, donne-moi un
regard
, un baiser ; j’emporterai au moins cela de toi en
sa voix et à son action une ampleur digne du théâtre qu’il domine du
regard
et du geste. Grâce à la perspective qui relève sa
e circonstance, et, penché sur la tribune, écrasant son adversaire du
regard
et du geste, d’une voix rapide et tonnante : « —
telles, Toi qui bien au-dessus des sphères éternelles, Si loin de mes
regards
, sièges au haut des cieux ? Dans ce monde sensibl
ocher, avide Conducteur des damnés sur ce marais livide, Éteignit ses
regards
comme la braise ardents. Or, les âmes des morts a
voilà sous les Pyramides, Le voici sur le Parthénon : Là, cachant aux
regards
de l’homme Les fondements du pouvoir, comme Ceux
oldat, sentinelle perdue, L’arme au bras, l’œil rêveur, embrassant du
regard
Les feux de l’ennemi dispersés au hasard, Songeai
ierre, — où s’incline peut-être La grand’mère tremblante, appelant du
regard
L’enfant qu’il faut bénir, et qui viendra trop ta
t eu de célébrité. Ce visage que les événements n’avaient pas ému, ce
regard
que la fortune n’avait pas troublé s’animaient lo
nsées s’échangent, et, vainqueur de la nature, l’homme, reportant ses
regards
de sa demeure sur lui-même, aspire à découvrir, p
uche lui sourire, Jamais, dans les revers qu’il ose déclarer, De doux
regards
sur lui s’attendrir et pleurer. Oh ! de se confie
ps, J’ai moi-même, à l’aspect des pleurs de l’infortune, Détourné mes
regards
distraits ; À mon tour aujourd’hui mon malheur im
La Muse de l’Histoire Muse, il n’est point de temps que tes
regards
n’embrassent ; Tu suis dans l’avenir leur cercle
nous élevant avec elles, nous prenons un essor de l’âme plus haut, un
regard
plus profond, et ce n’est pas en vain que le poèt
d avait aussi admiré ce spectacle, et peut-être du haut du Carmel son
regard
embrassait-il les espaces mouvants de la Méditerr
seul, sans but, au hasard ; D’un sourire, d’un mot, d’un soupir, d’un
regard
; Faire un travail exquis, plein de crainte et de
me la foi et la bonne foi de l’enfant, comme son cœur, sa voix et son
regard
; ce cœur si innocent et si passionné, qui veut t
ve, qui parle à l’homme comme il faudrait toujours parler à Dieu ; ce
regard
serein et doux, naïf et lumineux, qui plonge sans
ions. Ce n’est pas une décadence, gardez-vous de le croire ; après le
regard
de Dieu sur le monde, rien n’est plus beau que le
e ; après le regard de Dieu sur le monde, rien n’est plus beau que le
regard
du vieillard sur l’enfant, regard si pur, si tend
monde, rien n’est plus beau que le regard du vieillard sur l’enfant,
regard
si pur, si tendre, si désintéressé, et qui marque
érable ! Dieux cruels ! mal sacré ! Vénus impitoyable ! À son premier
regard
, avant qu’il eût parlé, Une stupeur muette au cœu
ris, Puis, après le courroux éveillant l’espérance, J’ai fait à leurs
regards
luire la délivrance, Et ne les ai quittés qu’en l
serviteur ; Un ami, sire, on l’aime ; et n’eût-il pour salaire Qu’un
regard
attendri quand il a pu vous plaire, Qu’un mot sor
ant vaincu, mon œil Du vide et de la nuit croit atteindre le seuil Au
regard
impuissant succède la pensée, Qui d’espace en esp
nds le philosophe et non l’homme d’État. J’ai peur qu’à dire vrai tes
regards
ne se noient Dans un fond vaporeux dont les ligne
es et fidèles que j’aurais dû plaindre et consoler. C’est ici, où mes
regards
ne tombent que sur des grands, sur des riches, su
à qui la dureté des impôts arrache la subsistance, est éloigné de vos
regards
, les objets de votre bienfaisance et de votre mag
u’à mes yeux couvrit son visage, il releva la tête et jeta sur moi un
regard
étonné. Je compris que la bataille était gagnée d
dans les recoins de son essence, et non pas telle qu’elle existe aux
regards
des inattentifs, qui ne considèrent que les surfa
mépris Accueillent aujourd’hui d’un front dur et sévère, Alors à vos
regards
auraient seuls droit de plaire. Alors, dans l’ave
t une impression qui lui est étrangère ; il modifie sa pensée par ses
regards
; il devient imitateur. Mais l’imitation des chef
r, son œil ne sera pas fixé sur son écriture, il retrouvera l’arme du
regard
; son esprit ne sera pas livré aux incertitudes d
étudient, avec puissance et avec amour, tout ce que Dieu a soumis aux
regards
et aux investigations de l’esprit humain, qui s’é
uère qui soit plus digne de ce grand esprit, qui savait pénétrer d’un
regard
si prompt dans le vif des choses : et la rappeler
au dernier degré de l’initiation, verra tout à coup apparaître à ses
regards
une beauté merveilleuse, celle, ô Socrate, qui es
es-tu qu’il eût à se plaindre de son partage celui qui, dirigeant ses
regards
sur un tel objet, s’attacherait à sa contemplatio
pensée qui ne laisse échapper aucun son, qui ne se manifeste à aucun
regard
, la pensée dans son vol le plus sublime, dans son
la protége de toutes ses forces, de tout son courage. Il déchire aux
regards
publics les sales enveloppes du vice : il le mont
ut s’incline ; elle efface cet éclat qui éblouit et enchante tous les
regards
; elle flétrit ces faiblesses que parent tant de
génie. Voilà les maîtres vers lesquels il faut sans cesse porter, ses
regards
, quand on a quelques sentiments de l’art véritabl
rer au sort Sont jetés dans une urne ; et le premier qui sort Est aux
regards
du peuple amené sur la place. À son nom, à sa vue
! vous hésitez ! » Oh ! comme avec justice Le dieu leur lancerait un
regard
furieux, En jurant désormais d’être sourd à leurs
hien, salissant ton portique, Peut déplaire à ton hôte et choquer ton
regard
, Malheureux ! te voilà tout pâle, tout hagard ? P
mme on affecte de le faire aujourd’hui, de telles scènes indignes des
regards
de la Divinité, on serait plutôt tenté d’imaginer
ents ; L’espace est son séjour ; l’éternité son âge ; Le jour est son
regard
; le monde est son image ; Tout l’univers subsist
e charmant. Je tressaille en songeant aux paisibles soirées, Sous les
regards
du maître, au devoir consacrées, Quand, devant le
tant aimée, Où la muse avec moi si souvent enfermée, Loin de tous les
regards
et loin de tous les bruits, Me livra tant de jour
e père. Ce sont des malheureux étouffés au berceau, Qu’un seul de tes
regards
tirerait du tombeau. On voit Sertorius, Œdipe et
Iphigénie. Vous vous cachez, seigneur, et semblez soupirer ; Tous vos
regards
sur moi ne tombent qu’avec peine : Avons-nous san
démon, gens hideux et hagards, Engeance qui portait la mort dans ses
regards
. La cohorte du saint est d’abord dispersée : Équi
dès qu’il avait vu entrer son père. C’est par respect, dit-il : Aux
regards
d’un valet dois-je exposer mon père ? Mais Lycan
plorent ; Et tu les nourris tous. Privés de tes
regards
célestes, Tous les êtres tombent détruits, Et von
tais jamais ; Un rien aurait pu me confondre : Un
regard
, tout m’était fatal ; Je ne parlais que
oit à ses pieds le naufrage Des rois, des peuples et des temps. D’un
regard
sa justice éclaire L’abîme des cœurs insensés ! I
lheureuse, De trésors, de gloire amoureuse, Quel orgueil charmait tes
regards
, À l’aspect des forêts errantes Des mâts, dont le
………………………………… Lisbonne, quels objets funèbres Le jour dévoile à tes
regards
! Tes yeux regrettent les ténèbres ; Le soleil ch
e et son Élysée, Et son Olympe et ses héros, Et sa muse favorisée Des
regards
du dieu de Claros ! Mes amis, qu’Apollon nous ga
s de sang, se dressent sur leurs têtes. Sans s’arrêter, sans jeter un
regard
Sur mille enfants fuyant de toute part, Le couple
ai-je toujours, le front morne et sévère, Fixer, mon cher Hamlet, vos
regards
sur la terre ? De sinistres objets uniquement fra
moi-même, à l’aspect des pleurs de l’infortune, Détourné mes
regards
distraits ; À mon tour, aujourd’hui, mon malheur
irer au sort Sont jetés dans une urne, et le premier qui sort Est aux
regards
du peuple amené sur la place. À son nom, à sa vue
: heureux quand il a pu Montrer la vérité, faire aimer la vertu ! Ses
regards
, animés d’une flamme céleste, Relèvent de ses tra
x. Lorsque mon peuple souffre ou qu’il lui faut des lois, J’élève mes
regards
, votre esprit me visite. La terre alors chancelle
ublaient les foudres de l’orage, Et le feu des éclairs, aveuglant les
regards
, Enchaînait tous les fronts courbés de toutes par
coucher du soleil, tristement je m’assieds ; Je promène au hasard mes
regards
sur la plaine Dont le tableau changeant se déroul
te le sommeil ! Au sillon, au rocher, j’attachais ma paupière ; Et ce
regard
disait : À la brute, à la pierre, Au mo
rute, à la pierre, Au moins, que ne suis-je pareil ! Et ce
regard
, errant comme l’œil du pilote Qui demande sa rout
sière Dieu n’aurait pas créé cette immense lumière, Cette âme au long
regard
, à l’héroïque effort ! Sur cette froide pierre en
long regard, à l’héroïque effort ! Sur cette froide pierre en vain le
regard
tombe, Ô vertu ! ton aspect est plus fort que la
e, Prête, pour l’adorer, mon âme à la nature. Seul, invoquant ici son
regard
paternel, Je remplis le désert du nom de l’Éterne
. Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d’un
regard
l’immensité féconde. Âme de l’univers, Dieu, père
ore, Et sème sur les monts les perles de l’aurore, Pour moi c’est ton
regard
qui, du divin séjour, S’entrouvre sur le monde et
ence, Nourris mon corps de pain, mon âme d’espérance ; Réchauffe d’un
regard
de tes yeux tout-puissants Mon esprit éclipsé par
oment ranimée Empruntait de la vie à cette terre aimée, Parcourant du
regard
et le ciel et les lieux, Voyait tout son passé re
charmant : Sur les murs décrépits ces deux vieilles gravures Dont les
regards
étaient toujours sur nos figures, Et, près du vie
a mère évanouie, Dont cette émotion venait d’user la vie, Dérobés aux
regards
par le mur de jasmin, Je regagnai tremblant la po
ison de feu, C’est l’air tiède et la fraîche aurore ; L’été, c’est le
regard
de Dieu. L’été, la nuit bleue et profonde S’acco
ont hagard254. Il trouve l’étoile si belle, Qu’il s’endort à son doux
regard
! — Oh ! qu’en dormant rien ne t’oppresse ! Dieu
e. Que son bonjour était charmant ! Le ciel mettait en sa prunelle Ce
regard
qui jamais ne ment. Oh ! je l’avais si jeune enc
te-nous une histoire, dis ! » — Et je voyais rayonner d’aise Tous ces
regards
du paradis. Alors, prodiguant les carnages, J’in
Et toujours murmurant. Rodrigue les poursuit du
regard
; il ramasse D’une main une épée et de l’autre un
de commencée Et du grave travail, la veille interrompu, Détournant le
regard
comme un enfant repu, Caresse avec transport sa b
igle s’est-il lassé de planer dans les nues, Et de tenir toujours-son
regard
arrêté Sur l’astre tout-puissant d’où jaillit la
seul, sans but, au hasard ; D’un sourire, d’un mot, d’un soupir, d’un
regard
Faire un travail exquis plein de crainte et de ch
e faire la cour, veut s’y prendre d’avance ; Oui, tous, me saluant du
regard
le plus doux, Semblent dire : Monsieur, j’aurai b
brisés des glaives que leur rage Semble encore défier de ses derniers
regards
. Quel accompagnement sublime Pour les ch
bras ouverts, les yeux hagards, Courut vers le cortège, et comme ses
regards
Sous le linge mouillé n’entrevoyaient qu’à peine
is blessés par le jour, Un cercle maladif qui creuse leur contour, Un
regard
effronté qui provoque et défie L’horreur des gens
ope et d’Anacréon. À cette époque de sa vie il tourna quelquefois ses
regards
vers le ciel et demanda des inspirations à la har
ence Pour de nouveaux plaisirs donne de nouveaux sens : À ses
regards
impatients Le chaos fuit ; tout naît ; la lumière
son ordre Grammontc le premier dans les flots, S’avance, soutenu des
regards
du Héros. Son coursier écumant, sous un maître in
euse Tient un temps sur les eaux la fortune douteuse. Mais Louis d’un
regard
sait bientôt la fixer : Le destin à ses yeux n’os
rcule, s’entrelace : Ses yeux pleins d’ardeur et d’audace S’arment de
regards
foudroyants : Bientôt levant sa tête altière, Ver
d’eux dans une autre patrie. » Il dit, et dans ses bras emporte à mes
regards
La puissante Vesta qui gardait nos remparts, Et s
, et te rendre à ton père. » Elle dit, et dans l’ombre échappe à mes
regards
. Alors le voile tombe ; alors, de toutes parts, J
gloire immense, laisses du haut de la domination solitaire tomber tes
regards
comme le Dieu de ce nouvel univers ; toi devant q
a perçante, Et telle qu’il n’est point de flamme si puissante Que mon
regard
dès lors n’eût pu la soutenir. Et je vis un torr
fort épaisse ; Mais le voile provient surtout de ta faiblesse, Et ton
regard
n’est pas encore assez profond. » Tel, réveillé
r planer, pour ainsi dire, sur l’univers, lançant de toutes parts ses
regards
embrasés, recueillant les feux et les couleurs do
De ses chefs-d’œuvre enorgueillie, De l’univers encore a conquis les
regards
, Et par lui cette terre illustre et fortunée,
poésie sacrée Son front est couronne de palmes et d’étoiles, Son
regard
immortel, que rien ne peut ternir, Traversant tou
es ! Des vieillards ! des enfants ! quelques infortunés ! À peine mon
regard
voit, entre mille justes, S’élever deu
nt, Et Minerve, aux yeux bleus, le chérit, le protège D’un
regard
ferme et vigilant. Mais je ne t’ai ri
s Au pied de l’arbre funéraire. Que lui dirai-je ? hélas ! son
regard
attristé Se remplira des pleurs dont ici je t’arr
on Louvre est sous le toit, sur ma tête il s’abaisse, De ses premiers
regards
l’Orient le caresse. Lit, sièges, table y sont po
oyen de l’engager à étaler ses belles plumes, c’est de lui donner des
regards
d’attention et des louanges ; et qu’au contraire,
t toujours un prodige et non pas un problème, Aussi de nos savants le
regard
curieux Souvent pour une ruche abandonne les cieu
es gardes : Et vous peignant galamment, Portez de tous côtés vos
regards
brusquement ; Et ceux que vous pourrez conna
ments la regarder encore ; et l’infortuné qui meurt, jeter encore des
regards
mourants, qui vont s’éteindre sur un argent que l
eront le nom de Jésus, de Marie ou de quelque saint bien-aimé ; leurs
regards
monteront au ciel, ou, dans une église, leur cœur
les flots vont et viennent. Le dedans de la grotte est tel, que les
regards
, Incertains de leur choix, courent de toutes part
nes, et dont les traits, la taille et la démarche attiraient tous les
regards
. Leurs mains soutenaient sur leurs têtes des corb
i produis tout ; soleil, flambeau du ciel, Embrassant, l’univers d’un
regard
éternel. Voyez tous de quels maux les dieux, dans
Iphigénie. Vous vous cachez, seigneur, et semblez soupirer ; Tous vos
regards
sur moi ne tombent qu’avec peine : Avons-nous san
e soleil plongeait dans la mer éclatante, J’ai suivi longuement, d’un
regard
attendri, L’astre qui se couchait vers mon pays c
ieux. Mais, madame, du moins tournez vers moi les yeux ; Voyez si mes
regards
sont d’un juge sévère, S’ils sont d’un ennemi qui
nfoncer plus avant le poignard, Le sort nous met ici tous les deux en
regard
: Rodolphe. Venge-toi noblement, et qu’elle soit
ou le désespoir qui les a formés : il jette sur un Dieu crucifié des
regards
affreux ; il entre dans des saisissements où l’on
Le pauvre diable en perdait la cervelle, Lorsqu’en examinant d’un
regard
effaré Ce vieux groin si dur et si revê
tue un animal sociable. Que ferait-il, s’il en était autrement, de ce
regard
intelligent par lequel il interroge et répond ava
sée qui ne laisse échapper aucun son, qui ne se manifeste pas dans un
regard
, la pensée dans son vol le plus sublime, dans son
tre, et qui se prêtent des agréments par leurs attributs et par leurs
regards
. Les grâces de la diction, soit en éloquence, soi
cesse. Cette pensée calme ; elle fait qu’on tourne avec espérance ses
regards
vers l’occident, là où naît l’aurore du jour qui
Que j’y puisse combattre au moment du réveil ; Qu’il s’entr’ouvre aux
regards
de l’Orient vermeil ; Et, lorsque la saiso
Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d’un
regard
l’immensité féconde ; Âme de l’univers, Dieu, pèr
ence ; Nourris mon corps de pain, mon âme d’espérance, Réchauffe d’un
regard
de tes yeux tout-puissants Mon esprit éclipsé par
âge il nous guide au bonheur. L’Enfant. Dans cette vie obscure à mes
regards
voilée, Quel destin m’est promis ? à quoi suis-je
et célébrer la vôtre. Mais si vous ne jetez plus sur Antioche que des
regards
de colère, mon peuple ne sera plus mon peuple ; j
du bien à autrui. « Mais si vous ne jetez plus sur-Antioche que des
regards
de colère, mon peuple ne sera plus mon peuple ; j
ère, mon peuple ne sera plus mon peuple ; je ne le reverrai plus. »
Regards
de colère. C’est-à-dire, animés par un sentiment
ent où vous vous porterez à cet excès de fureur ? soutiendrez-vous le
regard
d’Annibal, ce regard redoutable que ne peuvent so
erez à cet excès de fureur ? soutiendrez-vous le regard d’Annibal, ce
regard
redoutable que ne peuvent soutenir les armées ent
harge de tribun à votre gré. Mais Sextus vient de me lancer un de ces
regards
qu’il lançait à tous lorsqu’il menaçait de tout d
ploie la topographie accompagnée de l’hypotypose : « Arrêtez ici vos
regards
. Il se prépare contre le prince quelque chose de
nt est rayonnant de gloire et d’espérance ; Il lève vers les cieux un
regard
assuré ; Il prie, et l’on croit voir un mortel in
ur, « Et le dieu de la guerre est la seule valeur. » Il dit ; et d’un
regard
enflammé d’arrogance, Il voit de son rival la mod
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. Res
de la ville, ni l’effroi répandu parmi le peuple, ni le visage et les
regards
irrités des sénateurs ne font aucune impression s
ntraire, y marque son passage. Gardez que votre époux, de son premier
regard
, Ne vous trouve moins belle au retour qu’au dépar
ds le philosophe, et non l’homme d’État. J’ai peur qu’à dire vrai tes
regards
ne se noient Dans un fond vaporeux dont les ligne
venus en apparence pour se mettre d’accord, ne font que se mesurer du
regard
pour la lutte à mort à laquelle ils sont préparés
le pompeux spectacle des merveilles que la nature offre à nos avides
regards
, voilà sur quels objets doit s’exercer incessamme
re ! Hélas ! sans ma révolte, assis au haut des cieux, Un seul de mes
regards
eût éclipsé tes feux, Et sur mon trône d’or, pres
Romains ceux qui se refusaient à leur serment. Le divin Auguste, d’un
regard
, d’un coup d’œil, épouvanta les légions d’Actium.
ns de bien, ni cette enceinte si redoutable où siège le sénat, ni ces
regards
, ces yeux n’ont pu t’émouvoir ? Tu ne sens pas qu
les et fidèles que j’aurais dû plaindre et consoler. C’est ici où mes
regards
ne tombent que sur des grands, sur des riches, su
Et comme il ne pouvait maîtriser sa colère, dit le poète, il fixa un
regard
farouche sur le rivage de Sigée, sur la flotte qu
jure de ne point commettre, de ne point t’exposer à souffrir, sous le
regard
d’un père, tout ce qu’il y a de plus inouï. Il y
nibal ! Et tout ce cortège d’hommes libres et d’esclaves, et tous ces
regards
fixés sur lui seul, et tous ces bras, s’engourdir
et lui a porté le coup mortel. De la hauteur de sa joie, son auguste
regard
pénètre comme dans l’infini et s’étend bien au-de
Pour de nouveaux plaisirs, donne de nouveaux sens. À ses
regards
impatients. Le chaos fuit, tout naît, la lumière
trident ébranle la terre, ne la brisât, que sa demeure n’apparût aux
regards
des mortels et des immortels, hideuse, infecte et
terre ébranlée Ne fasse voir du Styx la rive désolée, Ne découvre aux
regards
cet empire odieux, Abhorré des mortels et craint
e description, décrit les lieux. Elle est comme un paysage soumis aux
regards
. C’est tantôt un temple, un palais, un monument,
que ma colère… Que vois-je dans ces mains ? La tête de ma mère. Quels
regards
! Où fuirai-je ? Ah ! monstre furieux ! Quel spec
Ainsi l’on dira, en passant du sens propre au sens figuré, le feu du
regard
, la clarté du langage, une lueur ou un rayon d’es
aits de feu et avec la rapidité de l’éclair. Pour que l’expression du
regard
réponde à l’expression du sentiment et se conform
ieillesse cassée, tu verses des larmes de joie ; lorsque tournant tes
regards
vers le ciel, tu me donnes ta bénédiction d’un ai
blanchis dans la joie. Campagnes chéries, soyez bénies à jamais ! Mes
regards
obscurcis n’ont pas encore longtemps à vous parco
s, Des bois, des lointains azurés : Sur ce mélange de spectacles, Ses
regards
volent sans obstacles, Agréablement égarés. Ces
roître vos ondes ; Et que Lanqueil enflé ravage les trésors, Dont les
regards
de Flore264 ont embelli ces bords. On ne blâmera
ces moments heureux pour le génie : toute la nature se découvre à ses
regards
; il va en épuiser les richesses, et répandre sur
eur. Dieu se lève : tombez, roi, temple, autel, idole. Au feu de ses
regards
, au son de sa parole, Les Ph
La pompe de sa victoire Frappe leurs derniers
regards
. Nos chefs, enflammés de zèl
omme nous, Marqueté, longue queue9, une humble contenance, Un modeste
regard
, et pourtant l’œil luisant. Je le crois fort sy
is un ours mal léché1. Sous un sourcil épais il avait l’œil caché, Le
regard
de travers, nez tortu, grosse lèvre. Portait sayo
tels Elle-même en est offensée. Car, sachez que les immortels Ont les
regards
sur nous. Grâces à vos exemples, Ils n’ont devant
attentif. Tout à coup le nom d’un parent, d’un ami, vient frapper nos
regards
: alors nous nous écrions ; alors le fait général
montagne, le soleil dans la vallée : tout cela charme un instant mes
regards
. Mais il y a là, dans les plaines de la Beauce ou
use, vous le prendriez pour le dieu mugissant du fleuve, qui jette un
regard
satisfait sur la grandeur de ses ondes et la sauv
sent ensemble, montent dans les airs à des hauteurs qui fatiguent les
regards
. Les vignes sauvages, les bignonias, les coloquin
s, Mille arbres différents, dans ces riches campagnes, Charmeront tes
regards
; sur leurs dômes épais, Le beau magnolia, noble
i elle-même dépend de la liberté venue de Dieu et assistée de lui. Ce
regard
jeté à la fois sur notre excellence et sur sa cau
sommet du sanctuaire élevé de leurs mains, ils y jetaient un dernier
regard
, et, prenant leurs enfants et leurs souvenirs, il
prise et d’enthousiasme, sa hauteur de caractère, digne en un mot des
regards
de la postérité. 1. Correspondance de madame Swe
de l’émotion pour en produire l’effet : ainsi, il y a l’éloquence du
regard
, l’éloquence du geste, l’éloquence des larmes, et
la passion ; elle emprunte plus de puissance à la voix, au geste, au
regard
, aux images, qu’à l’enchaînement des mots et des
rs, que sont-ils à côté du véritable enthousiasme ? En contemplant le
regard
de Niobé4, de cette douleur calme et terrible qui
le jeune souverain qui avait visité Paris et ne pouvait détacher ses
regards
de cette capitale du plaisir et des arts. 2. La
s eaux la teinte de leurs couleurs ! Allez à la campagne, tournez vos
regards
vers la voûte des cieux, observez alors sa physio
’abandonner à sa rêverie. Alors sa bouche se serait entr’ouverte, ses
regards
distraits se seraient portés au loin, le travail
o parle ainsi de l’Histoire : Muse, il n’est point de temps que tes
regards
n’embrassent ; Tu suis dans l’avenir leur cercle
it face à face avec son peuple ; quand il était là debout ; quand son
regard
sardonique et lumineux, fixé, du haut de cette tr
e aux éléments auxquels elles appartiennent : l’âme seule échappe aux
regards
, soit lorsqu’elle anime le corps, soit lorsqu’ell
! As-tu donc oublié ces esclaves nombreux qui l’environnent, tous ces
regards
fixés sur lui seul ; ton audace aveugle désarmera
oltaient contre leur serment. La présence d’Auguste et un seul de ses
regards
suffirent pour ramener à l’obeissance les légions
er le lieu d’où doit venir le secours ; je ne puis encore tourner mes
regards
autour de moi ; je n’y vois plus cette personne q
l’arène ; Son coursier bondissant, qui sent flotter la rêne, Lance un
regard
oblique à son maître expirant, Revient, penche sa
rien que ses chers étendards, Et les suit en mourant de ses derniers
regards
. La mort vole au-hasard dans l’horrible carrière
du carnage ; Et son pâle rayon, sur la terre glissant, Découvre à nos
regards
de longs ruisseaux de sang, Des coursiers et des
rire. Et que des pleurs de joie, à nos derniers adieux, À ton dernier
regard
, brilleront dans mes yeux. Vain espoir, s’écrira
ner, qui le tourmente jour et nuit. Elle s’annonce tellement dans ses
regards
, dans son maintien, dans ses paroles et ses moind
des montagnes encore plus arides, sur lesquelles l’œil s’étend et le
regard
se perd, sans pouvoir s’arrêter sur aucun objet v
corrige sa pensée par les suivantes : Que dis-je ? Si j’en crois mes
regards
indécis, C’est la barque d’Hermès ou la conque d’
d’opales, annonce, par un coup d’œil, qu’il daigne se manifester aux
regards
de ses peuples ; la foule des courtisans se préci
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. Bo
e Français à demi vaincu, porter partout la terreur et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. »
ltipliant sur le champ de bataille, frappant l’ennemi de l’épée et du
regard
et décidant seul le succès de la journée. Voltair
n de son sujet, si la vue du tribunal, la présence de son client, les
regards
de la foule attachés sur lui le laissaient froid
sson, où nous étudions avec anxiété jusqu’aux physionomies, jusqu’aux
regards
de la foule ! » Retranchez un membre à cette phr
st leur ôter cette faculté. Quelqu’un disait d’un acteur qui avait le
regard
fixe et concentré qu’il tournait le dos au public
ent. Ils ne croient pas à la durée de cette idylle. Ils portent leurs
regards
au-delà, et, d’un œil anxieux, cherchent à percer
a ni effort ni étude ; une seule parole, un sourire gracieux, un seul
regard
suffit. Le peuple leur compte tout ; leur rang do
gent ouvrit la bouche sur cette affaire, M. le Duc109 m’avait jeté un
regard
triomphant, qui pensa démonter tout mon sérieux,
age, à des artistes en tous genres, qu’il encourageait souvent de ses
regards
comme par des récompenses. Il est enfin le vrai f
xcellence toutes les qualités intérieures qui peuvent lui attirer les
regards
de l’homme. Un naturel ardent, colère, même féroc
père : elle est penchée vers lui ; elle semble chercher ses derniers
regards
; elle soulève un de ses bras, et sa bouche entr’
s eaux la teinte de leurs couleurs ! Allez à la campagne, tournez vos
regards
vers la voûte des cieux, observez bien les phénom
maîtres277. Les feux de l’aurore ne sont pas si doux que les premiers
regards
de la gloire. Les paresseux ont toujours envie de
glise des morts qui est sous nos pieds, et, en relevant les yeux, vos
regards
atteindront à peine au sommet de la voûte. Ce dôm
ècle, ni ses habitudes, ni ses relations ; il fait tomber à plomb son
regard
d’aigle sur les objets qu’il observe : s’il avait
ifester son esprit dans toutes les nuances par l’accent, le geste, le
regard
, enfin de produire à volonté comme une sorte d’él
e, que la bannière nationale flotte dans les airs, et vous verrez des
regards
jadis si doux, si prêts à le redevenir à l’aspect
l passait, le corps un peu courbé avant l’âge par la maladie, mais le
regard
brillant et fier comme dans la jeunesse, la foule
d qu’il avait consenti au bill fatal. Quelque surprise parut dans les
regards
du comte, et pour toute réponse il leva les mains
il sortit à pied, précédant les gardes et promenant de tous côtés ses
regards
, comme s’il eût marché à la tête de ses soldats.
es êtres de la création, par-dessus tout le visage de l’homme, et son
regard
, ce vivant miroir de ce qui se passe dans l’âme.
nsée qui ne laisse échapper aucun son, qui ne se manifeste dans aucun
regard
, la pensée dans son vol le plus sublime, dans son
e signes d’émotion ; la reine, au contraire, soupirant, promenant ses
regards
autour d’elle, et les fixant tantôt sur l’un, tan
our Frédégonde ; elle se tourna vers le roi, et, attachant sur lui un
regard
qui commandait l’attention, elle prononça les par
on de. notre infirmité avec la grandeur de la nature, mais encore les
regards
jetés, soit sur l’histoire de notre espèce, soit
de relief. Au premier abord nul trait ne fait saillie et n’arrête le
regard
. C’est là, d’ailleurs, une conséquence de la méth
te limite des deux mondes, où vous pourriez voir à votre choix, si le
regard
était assez perçant, Toulouse ou Saragosse. Cette
es du moi, ils languissent. Il en est d’autres, au contraire, dont le
regard
crée ce qu’ils observent, si bien que sous leur c
Impatient du dieu dont le souffle invincible Agite tous ses sens, Le
regard
furieux, la tète échevelée, Du temple fait mugir
et tranquille, Verser sur tous les jours que votre main nous file Un
regard
amoureux582 ! Et puissent les mortels, amis de l’
sous un fer sacré des taureaux gémissants Dévoilent l’avenir à leurs
regards
perçants, Et que de leurs festons ces victimes or
nouveau serment s’armer tous contre toi ! Que la nature entière à tes
regards
perfides S’éclaire en pâlissant du feu des Euméni
aieté, Ce n’est point la richesse et l’éclat de l’été Qui plaît à ses
regards
; non, c’est la pâle automne, D’une main languiss
gnificence, Rome entière sortit de cet abîme immense. Depuis, loin du
regard
et du fer des tyrans, L’Église encor naissante y
rte votre empreinte, il sortit de vos mains Pour vous représenter aux
regards
des humains. Veillez sur Cléotas ! Qu’une fleur é
audace ; Tout est bien, tout est bon, tout est grand à sa place ; Aux
regards
de Celui qui fit l’immensité L’insecte vaut un mo
ilé d’Éden. Lorsque Dieu l’eut banni du céleste jardin, Mesurant d’un
regard
les fatales limites, Il s’assit en pleurant aux p
re, J’ai demandé sa fin à toute créature ; Dans l’abîme sans fond mon
regard
a plongé ; De l’atome au soleil j’ai tout interro
out mortel espère. Que dis-je ? suspendu sur le lit des mourants, Mes
regards
la cherchaient dans des yeux expirants. Sur ces s
re à toi ! J’ai crié, tu n’as pas répondu ; J’ai jeté sur la terre un
regard
confondu ; J’ai cherché dans le ciel le jour de t
ort, J’ai vu lutter ensemble et l’amour et la mort ; J’ai vu dans ses
regards
la flamme de la vie, Sous la main du trépas par d
it expirer, Je voulais retenir l’âme qui s’évapore ; Dans son dernier
regard
je la cherchais encore ! Ce soupir, ô mon Dieu, d
acée ; Le souffle se taisait dans son sein endormi, Et sur l’œil sans
regard
la paupière affaissée Retombait à demi. Et moi, d
éclaircir l’horreur de cet étroit passage, Pour relever vers Dieu son
regard
abattu, Divin consolateur, dont nous baisons l’im
vez la tache avec du vin de Crète ; L’aspect du sang n’est doux qu’au
regard
des méchants. Couvrons un jeu cruel de voluptés s
s yeux le plus saint de la terre : Aussi, quand l’œil du jour, de ses
regards
cuisants, Brûle le front doré des superbes Pisans
ein nos maisons. O justice du Ciel, si c’étaient des Saxons ! » Leurs
regards
avaient vu clair dans le sombre espace. Voici qu’
t’abaisser, Tu fuis en souriant, mélancolique amie, Et ton tremblant
regard
est près de s’effacer. Étoile qui descend sur la
tement voltiger sur ces tombes. Et, pour bénir nos morts de son divin
regard
, Le soleil un instant perça l’épais brouillard.
moments laisse entrevoir la couche, Quel étrange spectacle attire mes
regards
! A travers le linceul des ondes immobiles, J’ai
ds le philosophe, et non l’homme d’État. J’ai peur qu’à dire vrai tes
regards
ne se noient Dans un fond vaporeux dont les ligne
nfoncer plus avant le poignard, Le sort nous met ici tous les deux en
regard
: Moi, pauvre et ridicule ; elle, riche et parée,
la fuite fatale ; La mort a déjà cerné son front pâle ; Ses yeux sans
regards
sont à demi-clos. L’enfant est tombé, frappé d’un
in le canon mugit et bombarde ; Levant doucement sa tête hagarde, Son
regard
mourant s’anime soudain. Et le grand Arabe est là
n a plus de moelleux et de grâce. Je lance aux plats fumants de longs
regards
amis ; On comprend, et voilà que mon couvert est
s unes aux autres. Les premières, naturellement, frappent d’abord les
regards
. Tous les traits vifs, simples et colorés ont été
ent pour moi. Mais enfin il fallait ma présence, l’électricité de mon
regard
, mon accent, une parole de moi Maintenant, je sui
epte d’Horace, d’éloigner de la scène ce qui est trop affreux pour le
regard
: Neu populo coram pueros Medea trucidet, avait f
vous, du malheur victimes passagères, Sur qui veillent d’un Dieu les
regards
paternels, Voyageurs d’un moment aux terres étran
oétiques) : Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, A ses
regards
voilés je trouve plus d’attraits… 686. Dans l
etient qu’une idée, Et chérit son secret, qui s’échappe à moitié. Son
regard
triste et doux inspire la pitié ; Elle étouffe sa
venus en apparence pour se mettre d’accord, ne font que se mesurer du
regard
pour la lutte à mort à laquelle ils se préparent.
’y ait quelque circonstance dominante et qui appelle tout d’abord les
regards
, distribuer le tout par groupes, le ciel, le terr
u’on voyait venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides
regards
… Dans le sac de Troie, Andromaque ne voit que Py
yens, ni l’appareil redoutable de ce lieu auguste, ni le visage et le
regard
irrité des sénateurs, ne font aucune impression s
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. Res
e. Son effrayante clairvoyance arrache tous les masques, perce de ses
regards
toutes les physionomies, met l’homme à découvert.
rsa la chambre, les yeux à peine mouillés, mais trahie par de curieux
regards
lancés de part et d’autre à la dérobée, et, suivi
dans les recoins de son essence, et non pas telle qu’elle existe aux
regards
des inattentifs, qui ne considèrent que les surfa
ait absolument. L’absence mystérieuse a rajeuni ses traits, épuré son
regard
, adouci sa parole, élevé son âme. Il se rappelle
laidée par vous. Voilà la première victime sur laquelle j’appelle vos
regards
et votre intérêt. » L’exclamation. — Quand la p
pris un foulard qu’elle y avait pendu… » Et il continue, dardant son
regard
sur l’accusé, accompagnant d’un geste terrible ch
teusmes tous deux, attendant la sentence De Raison, qui vers nous son
regard
adressa : Vostre débat, dist-elle, est de chose s
père ; Ce sont des malheureux étouffés au berceau, Qu’un seul de tes
regards
tireroit du tombeau. On voit Sertorius, Œdipe et
tre vos ondes, Et que l’Anqueuil863 enflé ravage les trésors Dont les
regards
de Flore ont embelli ses bords. On ne blâmera pas
; conduisez- la dans la chambre prochaine. Mais au moins observez ses
regards
, ses discours, Tout ce qui convaincra leurs perfi
montrer bientôt pâle et mort devant elle ! De voir sur cet objet ses
regards
arrêtés Me payer les plaisirs que je leur ai prêt
s que Jupiter lance du haut des Cieux N’ont rien de si terrible Qu’un
regard
de mes yeux. Les plus grands dieux du ciel, de la
aussitôt, vous n’avez qu’à choisir ; Et si Pan1030 le défend de tout
regard
funeste, Aux yeux des enchanteurs j’abandonne le
Impatient du dieu dont le souffle invincible Agite tous ses sens, Le
regard
furieux, la tête échevelée, Du temple fait mugir
« Dit-elle. Mais tandis que la montre décide, Phébus, de ces ardens
regards
Chassant nuages et brouillards, Regarde le cadran
passa les jardins vantés par Épicure ; Je crois Ferney plus beau. Les
regards
étonnés, Sur cent vallons fleuris doucement prome
ndra ma mémoire. On dira que Titus, descendant chez les morts, Eut un
regard
de vous pour prix de ses remords ; Que vous l’aim
I. Abufar à sa fille Saléma Pourquoi dans le désert, avec un
regard
sombre, Seule, et le front baissé, vas-tu cherche
ns de pleurs leurs rapides clartés ; Ta main presser ton cœur, et ton
regard
austère Du ciel avec lenteur retomber sur la terr
u trône des arts, Longtemps d’une gloire impunie Blesseroit de jaloux
regards
? Non, non, tu dois payer la gloire1180 ; Tu dois
rs verts, Dont la pâleur s’unit au sombre azur des mers, J’égarai mes
regards
sur ce théâtre immense ! Combien je jouissois ! s
oi des vers doux, sonores, liquides. Des vers, s’ouvrant en foule aux
regards
du soleil, Sont ce peuple de fleurs au calice ver
odies. Les trois enfants, émus à son auguste aspect, Admiraient, d’un
regard
de joie et de respect, De sa bouche abonder les p
coucher du soleil, tristement je m’assieds ; Je promène au hasard mes
regards
sur la plaine, Dont le tableau changeant se dérou
x jours ; le deuil de la nature Convient à la douleur, et plaît à mes
regards
. Je suis d’un pas rêveur le sentier solitaire ;
é des bois. Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, À ses
regards
voilés je trouve plus d’attraits : C’est l’adieu
t de mes longs jours l’espoir évanoui, Je me retourne encore, et d’un
regard
d’envie Te contemple ses biens dont je n’ai pas j
d de mon tombeau. L’air est si parfumé ! la lumière est si pure ! Aux
regards
d’un mourant le soleil est si beau1328 ! Je voud
eu rouvre toutes les pages ! Sur le dernier sommet des monts, d’où le
regard
Dans un double horizon se répand au hasard, Je m’
les guérets, Et plus loin, où la plage en croissant se reploie, Où le
regard
confus dans les vapeurs se noie, Un golfe de la m
agnifique repos, Où tout est majesté, crépuscule, silence, Et dont le
regard
seul atteste l’existence, Que l’on contemple en s
comme une onde Où le cygne s’abat dans un cercle mouvant ; Quand mon
regard
se plonge au rayonnant abîme Où luisent ces tréso
carte du monde, Tout son génie et tout son cœur ! Le soir, quand son
regard
se perdait dans l’alcôve, Ce qui se remuait dans
Phasga, que des figuiers entourent ; Puis, au-delà des monts que ses
regards
parcourent, S’étend tout Galaad, Ephraïm, Manassé
. Lorsque mon peuple souffre, ou qu’il lui faut des lois, J’élève mes
regards
, votre esprit me visite ; La terre alors chancell
ublaient les foudres de l’orage, Et le feu des éclairs, aveuglant les
regards
, Enchaînait tous les fronts courbés de toutes par
ason de Champagne, De la mousse de Reims son col vert est jauni. D’un
regard
, le marin en soi-même rappelle Quel jour il assem
ces trois cents, il n’en reste que dix ! Le capitaine encor jette un
regard
au pôle Dont il vient d’explorer les détroits inc
’abaisser ; Tu fuis en souriant, mélancolique amie, Et ton tremblant,
regard
est près de s’effacer. Étoile qui descends sur l
l’un vers l’autre se tendent. — Tels, et se renvoyant de plus sombres
regards
, Les deux rivaux, penchés sur le bord dès rempart
me, au bord du ciel Un rayon d’or qui scintille, Elle brille Comme un
regard
d’Ariel1432, Traversant, près des charmilles, Le
en Arvor (poésies en langue celtique avec une traduction française en
regard
, 1844), destiné à raviver la pensée et la poésie
aternels, frémit comme sur vous !… « Aussi mon âme est triste et mon
regard
est sombre ; Destructeur des forêts, je me suis o
de l’eau ? Non, l’œil ne connaît pas de plus charmant spectacle ! Au
regard
, qui descend sous le flot sans obstacle, Se révèl
is ; Puis, après le courroux éveillant l’espérance, J’ai fait à leurs
regards
luire la délivrance, Et ne les ai quittés qu’en l
nt vaincu, mon œil Du vide et de la nuit croit atteindre le seuil, Au
regard
impuissant succède la pensée, Qui, d’espace en es
combats, À peine fait courber l’herbe Sous la trace de ses pas ; Son
regard
semble farouche : Prêt au moindre mouvement, Il f
urdie ! Combien à les ouïr je lais de languissans !… Mes plus simples
regards
sont, des meurtres visibles… Et, quand Genest, s
(IV, 22). Ici, il s’arrête et se fixe en une image qui cloue notre
regard
: Jetant des doux côtés la griffe en même temps.
arts ?… (Od., II, 11.) Est-ce une ilusion soudaine Qui trompe mes
regards
surpris ?… (Ib., III, 2.) Où courez-vous, cru
homme de cœur et de goût : Mais ne détournons point nos mains et nos
regards
Ni des autres emplois, ni surtout des beaux arts.
d le bruit de la vague qui nous dit que nous passons et l’on jette un
regard
sur la scène variée du rivage qui s’enfuit. »
Il voltige de cime en cime, Puis il accourt, et meurt victime Du doux
regard
qui l’a séduit. Ou, s’il voit luire en fin l’aur
ers et des chars, Jaillir la poussière olympique Qui les dérobe à nos
regards
? Dans sa course ainsi le génie Par les nuages de
de lait trente vases d’argile, Crains la génisse pourpre, au farouche
regard
, Qui marche toujours seule et qui paît à l’écart.
mble y revenir ; Une secrète voix y parle au souvenir ; Et partout le
regard
rencontre quelque place Qui des temps écoulés lui
r la crête d’une vague ou la bordure d’une feuille, accroche aussi le
regard
à l’angle d’une corniche ou à l’arête d’une ogive
e, lui tendant le doux sein qu’il épuise, L’embrasse tout entier d’un
regard
triomphant ! On baptise, on absout, et le temple
otes, le feu des épaves sur ses grèves, et, comme V. Hugo, plonge ses
regards
et sa pensée dans l’abîme pour y voir et y enter
useau blanc, Le pied sur l’escabeau, la ménagère file, Surveillant du
regard
cette scène tranquille. Seul, perché sur un toit,
ideur son œuvre littéraire, et en prenant dans sa succession, sous le
regard
défiant de Malherbe, la langue française enrichie
rands et divers effects de la Providence de Dieu en cecy. Car pour le
regard
des uns, pour ce que le premier et principal frui
ctor lui rebailloit son petit enfant : mais elle avoit les yeux et le
regard
tousiours fichez sur lui. La conformité de cette
nos douleurs, les soupirs qui nous échappent malgré nous, les simples
regards
devenoient funestes. La naïveté du discours expri
ou le désespoir qui les a formées ; il jette sur un Dieu crucifié des
regards
affreux ; il entre dans des saisissemens où l’on
el, trouvé, créé. Il voit toute scène avec une étendue prodigieuse de
regard
, il lit sur toute physionomie avec une profondeur
. Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai pas de percer de mes
regards
clandestins chaque visage, chaque maintien, chaqu
rsa la chambre, les yeux à peine mouillés, mais trahie par de curieux
regards
lancés de part et d’autre à la dérobée, et suivie
plus librement toute cette nombreuse compagnie et de la percer de mes
regards
à la dérobée. Il faut avouer que, pour qui est bi
président : je l’accablai donc à cent reprises dans la séance de mes
regards
assénés et forlongés avec persévérance. L’insulte
qu’en ses moëlles ; souvent il baissoit la vue quand il attrapoit mes
regards
. Uue fois ou ou deux il fixa le sien sur moi, et
mnée à un éternel silence ; ces yeux étincelans, dont les formidables
regards
étoient la terreur de l’univers, couverts d’une s
arbare et par les gens du monde toujours légers, attirent souvent les
regards
du dieu. On nous fit voir ensuite la bibliothèque
, et suspendit pour un temps le charmant effet des sons. Je fixai mes
regards
sur mille objets divers ; je m’aperçus bientôt qu
, de l’Homme.) Le lion562 Le lion a la figure imposante, le
regard
assuré, la démarche fière, la voix terrible ; sa
des montagnes encore plus arides, sur lesquelles l’œil s’étend et le
regard
se perd, sans pouvoir s’arrêter sur aucun objet v
ver, en se rendant utile à l’État, à cette gloire dont « les premiers
regards
» sont « plus doux que les premiers feux de l’aur
a trempe, et le globe amolli578 va s’attacher à tes pieds. Tourne tes
regards
vers le sommet des montagnes. Les voilà qui comme
père : elle est penchée vers lui ; elle semble chercher ses derniers
regards
; elle soulève un de ses bras, et sa bouche entr’
il n’y eut plus qu’un pas à faire pour changer en crimes les simples
regards
, la tristesse, la compassion, les soupirs, le sil
s et fidèles que j’aurois dû plaindre et consoler ! C’est ici, où mes
regards
ne tombent que sur des grands, sur des riches, su
ge de Henri IV ; la simple gravité de ses discours, la majesté de ses
regards
; le siège plus élevé qui le distinguoit au milie
ux ; à l’instant le pontife est environné dans les airs de cent mille
regards
en larmes, et de vingt mille bras en prière. Le p
prière. Comment rendre un tableau qui s’est offert en ce moment à mes
regards
! Sur une des marches de l’église, seule, isolée,
quelques chacals… L’ombre croissoit, et déjà, dans le crépuscule, mes
regards
ne distinguoient plus que les fantômes blanchâtre
appuyé sur le genou, la tête soutenue sur la main, tantôt portant mes
regards
sur le désert, tantôt les fixant sur les ruines,
nneur aux peuples courageux et libres, puisqu’ils captivent ainsi les
regards
de la postérité653 ! (Corinne, IV, 4.) De
ifester son esprit dans toutes les nuances par l’accent, le geste, le
regard
, enfin de produire à volonté comme une sorte d’él
d’un morne flanqué de couches de neige, c’est tout ce qui s’offre aux
regards
. Le vent circule dans les ruines, et leurs innomb
on n’entendait que le premier son. Il aperçut un officier russe : le
regard
qu’il lui lança ne peut se dire. Quand la voiture
le besoin de sa conservation l’agite, et promenant sur elle-même ses
regards
, elle semble chercher un homme qui puisse la sauv
ue j’aurai cet espoir, ne croyez pas, madame, que je tourne jamais un
regard
en arrière, vers les lieux où vous habitez, quoiq
temps. Il avait le tempérament et les dons de l’orateur, l’éclair du
regard
, le timbre chaud et vibrant de la voix, l’élévati
rétexte d’une certaine dignité de la parole, j’avais tenu hors de vos
regards
ces premiers pas de votre concitoyen dans la vie
rs, soit qu’elle se pose sur quelque rocher, porter de tous côtés ses
regards
perçants et tomber si sûrement sur sa proie, qu’o
peut éviter ses ongles non plus que ses yeux ; aussi vifs étaient les
regards
, aussi vite et impétueuse était l’attaque, aussi
rofil ouvert et martial, et surtout le feu incessamment mobile de ses
regards
, portait en lui une sorte de fascination, de sédu
et que, s’il regardait aussi le public et la postérité, c’était d’un
regard
détourné et lointain, tandis que La Rochefoucauld
n doit avoir mauvaise opinion de ceux qui n’ont pas, en » mourant, un
regard
à jeter en arrière. » Le dernier regard de Bailly
i n’ont pas, en » mourant, un regard à jeter en arrière. » Le dernier
regard
de Bailly fut pour sa femme. Un gendarme de l’esc
t, on détournait la tête en marchant, pour jeter un triste et dernier
regard
sur ce vaste tombeau de tant de compagnons d’arme
de bataille, il reviendra sur ses pas, il le fixera longtemps, de ses
regards
curieux, il en gravera les moindres accidents dan
passionné ou charmé ses auditeurs et ses lecteurs. Historien, il a le
regard
pénétrant pour découvrir la vérité ; il la fait j
e l’ai vu par derrière. » Ils diront : « Le voici… Cette lueur est le
regard
de Dieu. » Quand on lui demanda, à cette fille je
’un un peu plus que l’autre ; qui ont de l’expression et n’ont pas de
regard
; qui ne sont que ournés vers vous, et qui pourta
de Sorbonne, mais dont l’œil noir lançait, sous un épais sourcil, un
regard
plein de poésie et de jeunesse. Sa façon de vivre
si dans une sorte d’isolement ; ils écoutent à peine Léonard, et leur
regard
étonné semble dire qu’ils ne peuvent s’accoutumer
désormais réunies toutes les espérances de la peinture française : ce
regard
du Poussin sur notre école, regard paternel, mais
nces de la peinture française : ce regard du Poussin sur notre école,
regard
paternel, mais sévère, est en quelque sorte le ré
une statue ne diraient pas que le divin poète ne voit plus qu’avec le
regard
de l’âme les merveilles de la création qu’il a re
’un manteau vert de mer, ne se montrant que de profil, sondant de son
regard
l’infini des horizons et s’appuyant sur la rame d
ent où il aurait besoin de se recueillir. Son front était serein, son
regard
assuré, sa bouche grave et un peu triste ; les pe
nait de l’admirer et de le respecter dès qu’il y montait. Son premier
regard
, son premier mot mettait une distance immense ent
ée et brodée de l’église, le grand, le petit, le massif, l’aérien. Le
regard
se perdait longtemps à toute profondeur dans ce l
isparaissait sous les ponts, les ponts sous les maisons. Et, quand le
regard
passait ces ponts, dont les toits verdissaient à
ie934, maisonnette isolée et mal vue. Mais ce qui attirait surtout le
regard
, et le fixait longtemps sur ce point, c’était l’A
de métal s’ébranlait lentement. Quasi modo, palpitant, la suivait du
regard
. Le premier choc du battant et de la paroi d’aira
seau au soleil. Tout à coup la frénésie de la cloche le gagnait ; son
regard
devenait extraordinaire ; il attendait le bourdon
qui inonde ainsi l’Orient de lumière ne l’a point fait briller à mes
regards
pour me plonger bientôt dans la nuit du néant ; c
, indécises ; la tristesse repose dans mon cœur sans l’accabler ; mes
regards
errent sur cette campagne et sur les rochers qui
à le voir. Lorsque le jour tombe, assis dans mon jardin, je fixe mes
regards
sur cet ermitage solitaire, et mon imagination s’
de la colline, caché entre les broussailles comme une bête fauve, mes
regards
se portent sur la ville d’Aoste. Je vois de loin,
? dit-il avec une feinte brusquerie en traversant par le rayon de son
regard
la tête de Laurence. Vous ne craignez donc pas de
— Eh bien ? répondit-il d’une voix colère en se croyant bravé par ce
regard
. — Ne comprenez-vous donc pas ? je suis la comtes
Malin. L’empereur releva gracieusement la suppliante en lui jetant un
regard
fin et lui dit : — Serez-vous sage enfin ? Compre
vité, reprenait tout à coup la sérénité des âmes simples et jetait un
regard
de contentement paternel sur son enfant, qui se r
forêts. Chacun de ces recoins formait un magnifique paysage, quand le
regard
et la pensée s’y arrêtaient un instant ; mais, si
apporta la philosophie tout entière aux mœurs. D’abord il promena ses
regards
sur les différentes sectes qui étaient autour de
es lieux de son empire fussent rassemblés, en un seul point, sous son
regard
. Il faudrait que son oreille pût être frappée à l
e ne doit pas s’enfoncer dans le désespoir, mais elle doit élever son
regard
vers le ciel et aspirer à Dieu. Lamartine a bien
e attacher, arrêter, établir : fixer un clou à la muraille, fixer ses
regards
sur quelqu’un. 3. Fortuné, signifie qui est heu
Qu’on me pardonne d’essayer la traduction : Il tourne vers Sigéc un
regard
menaçant, Et le bras étendu, de rage frémissant :
ord !… » ……………….. Il est debout ; baissé vers la terre un instant Son
regard
se leva sur les princes du camp ; Puis, lorsqu’il
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. Res
utant que pittoresque, si tous les Mémoires du temps n’attestaient ce
regard
d’aigle du grand Condé, et l’espèce d’éblouisseme
des montagnes encore plus arides, sur lesquelles l’œil s’étend et le
regard
se perd, sans pouvoir s’arrêter sur aucun objet v
traîne autour des tombeaux, et cependant il a peur des tombeaux. Son
regard
est inquiet et mobile ; il n’ose fixer le mur de
embaumée. » De l’antithèse. Il arrive fréquemment de mettre en
regard
deux objets opposés ; c’est ce qu’on nomme l’anti
cette phrase de Bossuet sur le grand Condé : « Aussi vifs étaient les
regards
, aussi vive et impétueuse était l’attaque, aussi
’elle se pose sur le haut de quelque rocher, porter de tous côtés des
regards
perçants, et tomber si sûrement sur sa proie, qu’
, Ouvrirent un moment ses yeux appesantis ; Mais du jour importun ses
regards
éblouis Ne distinguèrent point, au fort de la tem
ec elles. Le geste comprend le jeu de la physionomie, l’expression du
regard
, les attitudes du corps, et les mouvements de la
nuellement fixés sur un seul. Théophraste disait qu’un acteur dont le
regard
était toujours immobile et fixe, ne produisait pa
dos aux spectateurs en débitant son rôle. Après la physionomie et le
regard
, viennent les attitudes et les mouvements du corp
îner l’Assemblée Constituante par l’éloquence de ses gestes et de son
regard
, autant que par la puissance de ses paroles. Un j
resté silencieux sur son banc, se lève et demande la parole. Tous les
regards
se tournent vers lui : alors, profitant de l’atte
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. « R
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants ceux qui échappaient à ses coups. Déj
erce attire à Ancône, exprimaient leur effroi par la stupeur de leurs
regards
. Les marchands, à l’aspect de leurs magasins en f
ld, animé par le danger qu’il venait de courir, les cheveux épars, le
regard
fier et doux, frappa d’admiration et presque de f
t une impression qui lui est étrangère ; il modifie sa pensée par ses
regards
; il devient imitateur. Mais l’imitation des chef
de l’esprit à leurs moindres propos. On voit, dans la malice de leurs
regards
, et dans la finesse permanente de leur sourire, t
fester son esprit dans toutes les nuances, par l’accent, le geste, le
regard
; c’est encore un exercice profitable pour la rai
-ce que le flatteur ? C’est un esprit servile, qui loue en public vos
regards
, vos paroles, vos actions, vos penchants, vos lia
les objets, et en prend la couleur : sublime, quand il déploie a nos
regards
l’immensité des êtres et les richesses de la créa
oup apparaît une femme majestueuse, son aspect était vénérable. — Ses
regards
vifs. — Quoique vieille elle paraissait -jeune. —
us le poids de sa tête fleurie. Alors le Créateur, jetant sur elle un
regard
d’amour, ordonne à l’un de ses messagers de cueil
ent la fleur bien aimée, et, fixant sur elle leurs tristes et tendres
regards
, ils ne les détournèrent nue lorsque sa dernière
be — … Je pleurais ; mais tout-à-coup des voix divines attirèrent mes
regards
vers les nuages ; dans ces nuages je vis le chrét
spectateurs il s’arrête inquiet et troublé ; ses naseaux fument, ses
regards
brûlants errent sur les amphithéâtres ; il semble
l’arène ; Son coursier bondissant qui sent flotter la rêne, Lance un
regard
oblique à son maître expirant, Revient, penche sa
rien que ses chers étendards, Et les suit en mourant de ses derniers
regards
…. La mort vole au hasard dans l’horrible carrière
e du carnage, Et son pâle rayon sur la terre glissant, Découvre à nos
regards
de longs ruisseaux de sang, Des coursiers et des
u moins par tout ce que je souffre dans cet instant. Laisse tomber un
regard
sur mon Antigone. Elle est innocente et elle impl
corrompre les autres villes, les habitants d’Antioche présentent aux
regards
des peu plies un spectacle trop effrayant. Une se
que fois que l’aviron fend les flots, — Les bois mêmes, — offrent aux
regards
— de volantes étoiles, quand la nuit est noire, q
usqu’ici m’intimide malgré moi ; de quelque côté que se promènent mes
regards
, ils ne rencontrent de toutes parts qu’un apparei
t favorables ; et dans cette multitude nombreuse de Romains, dont les
regards
viennent de tous les points du Forum se fixer sur
e image : Ab increpatione vultûs tui peribunt : ils périront par les
regards
menaçants de voire visage . Voici comme s’exprime
rayonnant de joie, Du haut de tes superbes tours, Ton
regard
au loin se déploie, Et de ta plaine immense embra
ysiques, moraux, politiques, religieux, etc., qui se passent sous nos
regards
. 2. Le monde historique contient les grands ensei
vreté qui m’attend, de mes enfants réduits à la misère, je mettrai en
regard
l’opulence de mon adversaire, et si je parviens p
cesse. Cette pensée calme ; elle fait qu’on tourne avec espérance ses
regards
vers l’occident, là où naît l’aurore du jour qui
laisse point de trace dans les airs. Et quand après cela j’arrête mes
regards
sur cette immense éternité, fixe, immobile, vaste
susceptible d’ajouter à l’utilité de la lecture, en plaçant sous les
regards
, avec la marche insensible de notre idiome parven
Le plus souvent une injuste censure, Ou, tout au plus, quelque léger
regard
D’un courtisan qui vous loue au hasard, Et qui pe
ise. L’éclat et la pompe de son éloquence tournèrent sûr lui tous les
regards
de l’occident, et le firent admirer comme un prod
le besoin de la conservation l’agite, et, promenant sur elle-même ses
regards
, elle semble chercher un homme qui puisse la sauv
l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner1 de ses
regards
étincelants2 ceux qui échappaient à ses coups. Re
nnèrent. » 2. Ce trait est parfaitement historique : Condé avait le
regard
si vif et si perçant, comme l’attestent les conte
d’un lieu fortifié pour y réunir cette assemblée, ni l’aspect, ni les
regards
de ceux qui la composent, rien n’a pu t’ébranler
t’empêcher de faire un mouvement contre la république. Partout mille
regards
, mille oreilles, sans que tu t’en aperçoives, con
ormais à espérer, si les ténèbres de la nuit ne peuvent dérober à nos
regards
tes assemblées criminelles, si les murs d’une mai
amie de ta vie privée ? As-tu jamais fait grâce d’une souillure à tes
regards
, d’un crime à tes mains, d’une impureté à toute t
j’aimerais mieux me priver de leur vue, que de rencontrer partout des
regards
irrités. Mais toi, ta conscience criminelle te di
aspect blesse également l’esprit et les sens, tu hésites à fuir leurs
regards
et leur présence ? Si ceux qui t’ont donné le jou
là maintenant terrassé, Romains ; il se sent frappé et renversé ; ses
regards
se retournent de voir échapper à sa rage, et qui
vres et leurs intrigues ne pussent échapper à ma pénétration et à mes
regards
. En présence d’un forfait si monstrueux, je devai
ir moi-même toute la trame du complot, mais encore de l’exposer à vos
regards
et à ceux du sénat. Hier donc, j’appelai chez moi
e. À voir leur consternation, leurs fronts baissés vers la terre, les
regards
que, de temps à autre, ils échangeaient à la déro
de l’empire, éclateraient au grand jour et ne sauraient échapper aux
regards
du sénat et du peuple romain. Les consuls de ce t
’intelligence pour ne pas reconnaître que cet univers, qui frappe nos
regards
, et cette ville plus encore que le reste, c’est l
était dressée sur sa base ? À peine y était-elle placée, à peine ses
regards
se tournaient-ils sur vous et vers le sénat, que
Discours] I. Je vois, pères conscrits, que les visages et les
regards
de vous tous sont dirigés vers moi. Je vois que c
que dans la Sicile entière, il n’a rien laissé de ce qui a frappé ses
regards
et excité ses désirs, que ce fût une chose partic
jamais vu, vous avez voulu posséder ce qui n’avait jamais frappé vos
regards
. C’est sur des on-dit que vous avez conçu une si
aisse point de trace dans les airs ; et quand après cela j’arrête mes
regards
sur cette immense éternité, fixe, immobile, vaste
sions Exercices préliminaires. Partout où nous tournerons les
regards
, nous rencontrerons Dieu ; car il remplit son ouv
a puissance, ils sont présentés aussi bien à notre imitation qu’à nos
regards
. Qu’ils se souviennent que, plus leur condition e
s de Lycurgue, la république de Sparte tint pendant quelque temps les
regards
de ses citoyens détournés du spectacle de l’Asie,
peut dire que la même chose arrive d’ordinaire à ceux qui portent des
regards
trop curieux au fond de l’âme des rois. Les secre
sion. Il répandit donc le bruit de leur mort, et les cacha à tous les
regards
. Bientôt les esclaves délibèrent sur le sort de l
réunis dès le milieu de la nuit dans une même plaine, fixaient leurs
regards
sur l’orient, lui seul les dirigeait vers l’occid
rre, enveloppe le roi d’un nuage si épais, qu’il le dérobe à tous les
regards
. Dès ce moment, Romulus disparut à jamais de la t
de Rome ; ils le supplient de leur être propice, de jeter sur eux des
regards
favorables, et de protéger toujours ses enfants.
tte ville, Romulus, descendu des cieux, s’est montré subitement à mes
regards
. Pénétré d’une sainte horreur, je demeurais immob
’oubli, vaincu par son amour, il se retourna pour voir Eurydice….. Ce
regard
lui ravit tout le fruit de sa peine ; le pacte de
s par la finesse de l’odorat, les aigles, par l’éclat perçant de leur
regard
, les corbeaux, par la durée de leur vie, beaucoup
ouvrages : il connaissait par expérience l’énergique vivacité de ses
regards
, la terrible majesté de son visage, le ton de sa
qu’un décret rendu dans un festin ? La nature les a emportés loin des
regards
humains, avant que la renommée les plaçât dans le
envoyé en Espagne, n’y fut pas plutôt arrivé, qu’il fixa sur lui les
regards
de toute l’armée. Les vieux soldats s’imaginaient
r le spectacle de leurs larmes, soit qu’ils craignissent que tous les
regards
, observant leurs visages, n’y lussent la fausseté
évitassent ce qui pourrait les blesser, et portassent aisément leurs
regards
où ils voudraient. Et ce point même où réside la
’elle. On admire tous ces guerriers, mais surtout Alcibiade. Tous les
regards
, tous les visages sont tendus avidement vers lui
les délateurs, le cou renversé est la tête en arrière, exposés à nos
regards
. nous reconnaissions leurs traits, nous jouission
sionné, des mouvements rapides, l’ardente expression du visage et des
regards
, lui donnent une brûlante énergie. C’est que, dès
corde à donner à Auguste le titre d’heureux. Mais si nous portions un
regard
attentif sur toute sa vie, nous y verrions de gra
tomberait dans un lâche engourdissement. Un ennemi vous assiége ; ses
regards
malveillants explorent toutes vos actions ; il to
et d’une vive sollicitude. La valeur, en effet, aime à s’entourer des
regards
des neuf sœurs ; les chants plaisent à qui fait d
l’effroi du peuple, ni le concours de tous les bons citoyens, ni les
regards
, ni les visages de ceux qui t’entourent, n’ont pu
vaste prairie émaillée de mille fleurs qui charment d’autant plus les
regards
que les couleurs en sont plus variées. « L'harmo
menses sinuosités, le mugissement de la mer ; c’est l’ardeur de leurs
regards
pleins de feu et de sang, la vibration rapide de
quelle harmonie dans ces expressions ! Il semble voir l’ardeur de ces
regards
pleins de feu et de sang, la vibration rapide de
idité. La figure de Mme de Staël a été fort discutée. Mais un superbe
regard
, un sourire doux, une expression habituelle de bi
ils, à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés ! Je ne jette mes
regards
sur personne qui ne me donne des soupçons, et tou
apparus un jour, et je meurs. Et Bossuet : « Aussi vifs étaient les
regards
, aussi vive et impétueuse était l’attaque, aussi
traine autour des tombeaux, et cependant il a peur des tombeaux. Son
regard
est inquiet et mobile ; il n’ose regarder le mur
traduisant certaines nuances dont la délicatesse peut échapper à des
regards
trop rapides, se défiant également d’une admirati
ligée de tout ce qu’elle a reçu d’applaudissement ; et les favorables
regards
dont il vous plut fortifier la faiblesse de sa na
fille, et à moi aussi ;..210 Que de gens assemblés ! Je ne jette mes
regards
sur personne qui ne me donne des soupçons, et tou
découvertes précoces prouvèrent qu’en tout ordre de connaissances son
regard
avait une intuition divinatrice. Il lui était plu
e l’Espagnol victorieux, porter partout la terreur, et étonner de ses
regards
étincelants569 ceux qui échappaient à ses coups.
ements malins, son silence criminel ; ses gestes, ses mouvements, ses
regards
, tout a son poison, et le répand à sa manière910.
ou le repentir qui les a formées ; il jette sur un Dieu crucifié des
regards
affreux, et qui laissent douter si c’est la crain
animée des travers ou des vices que la ville et la cour offraient aux
regards
d’un observateur clairvoyant. Son chef-d’œuvre fu
on effrayante clairvoyance fait tomber tous les masques, perce de ses
regards
toutes les physionomies, met l’homme à découvert.
seyait point mal, un port de tête galant, gracieux, majestueux et le
regard
de même, le sourire le plus expressif, une taille
is qui vivaient dans le faste et dans les délices n’osaient jeter des
regards
fixes1031 sur le peuple romain ; et, perdant le c
sse et grande crinière qui couvre ses épaules et ombrage sa face, son
regard
assuré, sa démarche grave, tout semble annoncer s
xcellence toutes les qualités intérieures qui peuvent lui attirer les
regards
de l’homme. Un naturel ardent, colère, même féroc
traîne autour des tombeaux, et cependant il a peur des tombeaux. Son
regard
est mobile et inquiet ; il n’ose regarder le mur
assagers inconnus. Quoique ses yeux soient couverts d’un bandeau, ses
regards
pénètrent l’avenir. Quelquefois elle tient des fl
le besoin de la conservation l’agite, et, promenant sur elle-même ses
regards
, elle semble chercher un homme qui puisse la sauv
et masqués. Le roi arriva, la tête haute, promenant de tous côtés ses
regards
, et cherchant le peuple pour lui parler ; mais le
in de la surface au fond de l’âme ; une vraie et longue intimité, des
regards
d’affection, des paroles de confiance, l’abandon,
d’un vaisseau s’avançant vers la côte, à force de rames, frappa leurs
regards
. La voile latine1662, à demi pliée autour du mât,
ans le val de Nievole, entre Lucques, Pistoïa et Florence, arrêta ses
regards
par la beauté et la variété de ses cultures. La v
la société européenne, de produire un homme qui attirerait autant les
regards
que Charlemagne, César, Annibal et Alexandre. A c
ment au haut des cieux et éclairait le visage mourant du héros et les
regards
attendris des spectateurs. « Salamine, sol sacré
me sont venues aux yeux en pensant qu’ailleurs j’aurais rencontré des
regards
amis ! Londres a de magnifiques parties ; mais, p
lard voûté, au teint bilieux, cachant mal sous des lunettes vertes un
regard
timide et inquiet. Il avait un habit noir trop la
pressèrent autour de l’improvisatrice ; plusieurs hommes jetaient des
regards
farouches sur le maire et ses fils ; quelques vie
er le lieu d’où doit venir le secours ; je ne puis encore tourner les
regards
qu’autour de moi, et je n’y vois plus cette perso
s oublier leur patrie, N’approchent pas encor du fortuné séjour Où le
regard
de Dieu donne aux âmes le jour ; Où jamais dans l
ncher la balance ; Le sénat le contemple, et décrète en silence ; Les
regards
sont muets, les lois n’osent parler ; Tibère à se
émeut, ou exprime les passions. 1194. Dans le visage, il va droit au
regard
, parce que la lumière du sentiment et de la pensé
’il aime ; Puis sur mon sac poudreux à mes pieds étendu Me couva d’un
regard
dans le mien suspendu, Me pardonnerez-vous, vous
s qui n’avez sur terre Pas même cet ami du pauvre solitaire ? Mais ce
regard
si doux, si triste de mon chien, Fit monter de mo
té. La figure de Madame de Staël a été fort discutée. Mais un superbe
regard
, un sourire doux, une expression habituelle de bi
ville brillante de lumière et de couleur ! – présentant noblement aux
regards
ses murs intacts et crénelés, sa mosquée bleue av
e, Prête, pour l’adorer, mon âme à la nature. Seul, invoquant ici son
regard
paternel, Je remplis le désert du nom de l’Éterne
laisse pas de trace dans les airs. Et quand, après cela, j’arrête mes
regards
sur cette immense éternité, fixe, immobile, vaste
et les Dieux en des temps si funestes, N’ont fait que le montrer aux
regards
des mortels. Soumettons-nous. Allons porter ces t
artout le fiel et le poison. Tous les objets que le poète offre à nos
regards
, portent l’empreinte d’une imagination brûlante,
nt daigné quelquefois expliquer ses désirs. Il n’a point détourné ses
regards
d’une fille, Seul reste du débris d’une illustre
e : Vous n’aurez point pour moi de langages secrets ; J’entendrai des
regards
que vous croirez muets ; Et sa perte sera l’infai
traduisant certaines nuances dont la délicatesse peut échapper à des
regards
trop rapides, se défiant également d’une admirati
animée des travers ou des vices que la ville et la cour offraient aux
regards
d’un observateur clairvoyant. Son chef-d’œuvre fu
traduisant certaines nuances dont la délicatesse peut échapper à des
regards
trop rapides, se défiant également d’une admirati
té des bois. Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, A ses
regards
voilés je trouve plus d’attraits ; C’est l’adieu
semblables ? » Sur quelque contrée de la Grèce que vous tourniez vos
regards
, vous trouverez peu d’hommes au niveau de leur re
, celle de Fribourg14. Voici ce morceau frappant : « Arrêtez ici vos
regards
. Il se prépare contre le Prince quelque chose de
ns fleuris, Orne la vérité des attraits de la fable, Et l’offre à nos
regards
plus belle et plus aimable. Voltaire, imitant c
disait citoyen romain, pût du haut de cette croix jeter ses derniers
regards
sur l’Italie et sur sa propre maison. Oui, pères
délibérations de ce corps vénérable ; il jette sur chacun de nous des
regards
sanguinaires ; il marque de l’œil la place où il
sur le front des rois. Le bleu qui se montre à sa suite, offre à nos
regards
cette même couleur qui règne sur la plaine d’une
uvieux. Qui pourroit, ô Soleil ! t’accuser d’imposture ? Tes immenses
regards
embrassent la nature. C’est toi qui nous prédis c
e ; à moins que vous ne trouviez ici-bas un objet qui flatte plus vos
regards
, dans cet aimable enfant à qui sa respectable mèr
roux des Dieux. Trop aveugle Persés, ouvre tes foibles yeux : A leurs
regards
troublés deux chemins se présentent. L’un n’est p
oître ? Et que me veulent dire et ces soupirs poussés, Et ces sombres
regards
que sur moi vous lancez ? Alceste. Que toutes le
u’on voyoit venir de toutes parts Confondre sur lui seul leurs avides
regards
; Ce port majestueux, cette douce présence….. Cie
voie ; Et l’aspect de ces lieux où vous la retenez, N’a rien dont mes
regards
doivent être étonnés. Néron. Et que vous montre
prisonnemens, le rapt et le divorce ? Néron. Rome ne porte point ses
regards
curieux Jusques dans des secrets que je cache à s
des abîmes ces esprits infernaux ; un céleste guerrier s’offrant aux
regards
de Godefroi, au moment où il escalade les murs de
mbattent à pied. Chacun de la main suit la main de son ennemi, de ses
regards
cherche ses regards, mesure ses pas sur ses pas,
cun de la main suit la main de son ennemi, de ses regards cherche ses
regards
, mesure ses pas sur ses pas, varie l’attaque et l
partagé entre la crainte et l’espérance, il en attend la fin : leurs
regards
suivent les mouvemens des guerriers : parmi tant
errés pressent de toutes parts Le roi dont ils n’osoient soutenir les
regards
. Sur le mur avec eux la discorde(b) cruelle Se ba
se sur les poumons qu’il devoit rafraîchir ». Nous allons porter nos
regards
vers des objets qui sont au-dessus de nos têtes,
la France amènes les beauxarts : Sur toi, tout l’avenir va porter ses
regards
; Les Muses(b) à jamais y fixent leur empire ; La
la mémoire. Dès lors, ces grands débats fixèrent sur l’assemblée les
regards
de l’Europe incertaine, qui voyait son sort prése
6). Irai-je pour te fuir jusqu’au plus haut des airs ? À mes
regards
le ciel te montre. Descendrai-je dans les
tais heureux ! oh ! que j’étais candide ! À l’accent calme et bon, au
regard
réchauffant, Naïf comme un savant, malin comme un
ement par la sérénité de son visage, par le feu et la vivacité de ses
regards
, mais encore par certaines attitudes et certains
susceptible d’ajouter à l’utilité de la lecture, en plaçant sous les
regards
, avec la marche insensible de notre idiome parven
: Restabat magna miseria et magna misericordia. Il restait le secret
regard
d’une providence miséricordieuse, qui la voulait
is qui vivaient dans le faste et dans les délices n’osaient jeter des
regards
fixes sur le peuple romain ; et, perdant le coura
tre, et qui se prêtent des agréments par leurs attributs et par leurs
regards
. Les grâces de la diction, soit en éloquence, soi
lameurs orgueilleuses ! Dieu de bonté ! auteur de tous les êtres, vos
regards
paternels embrassent tous les objets de la créati
sse et grande crinière qui couvre ses épaules et ombrage sa face, son
regard
assuré, sa démarche grave, tout semble annoncer s
s : il a l’air de chercher à recueillir des suffrages, à captiver les
regards
; et il les captive en effet, soit que, voguant e
qui inspirait l’amour des devoirs et de la vertu, et qui, portant ses
regards
plus loin, annonçait hautement qu’on ne doit pas
tre vos ondes, Et que l’Anqueuil572 enflé ravage les trésors Dont les
regards
de Flore ont embelli ses bords. On ne blâmera pas
ar son ordre Grammont le premier dans les flots S’avance, soutenu des
regards
du héros : Son coursier, écumant sous son maître
e - Tient un temps sur les eaux la fortune douteuse ; Mais Louis d’un
regard
sait bientôt la fixer : Le destin à ses yeux n’os
e et les orages : Un roi sage, ennemi du langage menteur, Écarte d’un
regard
le perfide imposteur. UNE AUTRE. J’admire
u dieu dont le souffle invincible Agite tous ses sens, Le
regard
furieux, la tête échevelée, Du temple fait mugir
le, Verser sur tous les jours que votre main nous file Un
regard
amoureux768 ! Et puissent les mortels, amis de l’
urquoi Marquez-vous tant d’ardeur à l’éloigner de moi ? LE COMTE. Aux
regards
d’un valet dois-je exposer mon père ? LYCANDRE. V
Ô ciel ! que faites-vous ? POLYPHONTE. Quoi ! vos
regards
sur lui se tournent sans courroux ? Vous tremblez
mes jeunes reliques Quelque bord fréquenté des pénates rustiques, Des
regards
d’un beau ciel doucement animé, Des fleurs et de
es : « Nul n’a mieux pénétré l’homme tout entier d’un vaste et triste
regard
. » De Pascal considéré comme écrivain et comme mo
e défendre d’une émotion douloureuse, a dit M. Cousin, en portant ses
regards
sur ce grand in-folio, où la main défaillante de
mes, il aperçoit tous les lieux et tous les temps rassemblés sous son
regard
. Avec quelle rapidité il les parcourt. L’espace s
sens, celui de hasard, tout ce que l’univers offre d’admirable à nos
regards
. 244. Boileau. 245. Racine. 246. L’Œdipe de Co
ïciens peignent leur sage idéal, le montre « avec une mine sévère, un
regard
farouche, des cheveux hérissés, le front ridé et
renfermaient de germes précieux, que fallait-il toutefois ? quelques
regards
amis, quelques témoignages d’une sympathie vérita
rvet, le savant qui soupçonna le premier la circulation du sang ? Son
regard
inquisiteur pénétra jusqu’aux secrets du foyer, j
me sont venues aux yeux en pensant qu’ailleurs j’aurais rencontré des
regards
amis ! (Lettres du révérend Père Lacordaire à des
monde nouveau ; Et baigné des vapeurs d’un sommeil qui s’achève, Son
regard
luit pourtant, comme après un doux rêve. La terre
i. Dorante. Son père est mon ami.Mon cœur en un moment Étant de ses
regards
charmé si puissamment, Le choix que vos bontés av
tiques : Tout est bien, tout est bon, tout est grand à sa place, Aux
regards
de celui qui est l’immensité L’insecte vaut un mo
aque page ; son intelligence et sa mémoire sont aidées par le premier
regard
qu’il jette sur son livre, et il distingue sur-le
e à la parole. Elle peut être dans un tableau, dans le geste, dans le
regard
, dans l’attitude extérieure de l’homme, et jusque
mains étant bien allongées dans le sens de l’objet qui se déroule aux
regards
. 293. Voici les observations les plus importantes
es manières gracieuses, un air ouvert et obligeant, une expression de
regard
qui indique le désir d’accueillir tout le monde a
a vineam istam quam plantavit dextera tua. Jetez sur elle vos anciens
regards
de miséricorde, et si nos crimes vous forcent enc
que méchants : le spectacle des vices n’a point encore souillé leurs
regards
; ils sont crédules : de nombreuses perfidies ne
sont pour lui comme des livres abrégés, il échappe à tout moment aux
regards
de la foule et s’envole fièrement dans les région
ne peuvent soutenir l’aspect d’Annibal, le peuple romain même que ses
regards
font trembler, et un faible particulier, tu ! Tro
nger, il faut si peu de chose, une parole, un souvenir, une larme, un
regard
, un soupir ; et nous avons négligé ce puissant mo
ibune, et que vous les tiendrez sous la magnétique puissance de votre
regard
, alors ne les ménagez pas, car elles sont à vous,
vez réclamer ce titre auprès de vos juges, que vous devez fixer leurs
regards
, appeler leur intérêt sur cet enfant que le ciel
; ils ne peuvent soutenir ces brèves paroles qui les interrogent, ce
regard
qui les perce, cette volonté qui les subjugue. Il
s abruptes et les rocs escarpés ! De là il considère sa proie, et son
regard
perce l’infini. Il abreuve ses aiglons de sang, e
leurer de juste pitié, ni qui pût de longtemps parler. Le roi jeta un
regard
sur eux tout à fait en colère, car il avait le cœ
des montagnes encore plus arides, sur lesquelles l’œil s’étend et le
regard
se perd sans pouvoir s’arrêter sur aucun objet vi
’ont laissé de si fortes impressions, que je vois encore son air, son
regard
, son attitude ; je me souviens de ses petits prop
bon P. Malosse1252dont j’ai eu tant à me louer : il y avait dans son
regard
, dans le son de sa voix, dans sa physionomie, un
, animé par les dangers qu’il venait de courir, les cheveux épars, le
regard
fier et doux, frappa d’admiration et presque de f
sent ensemble, montent dans les airs à des hauteurs qui fatiguent les
regards
. Les vignes sauvages, les bignonias, les coloquin
à mourir avec lui. » Le confesseur calmait d’un mot, d‘un geste, d’un
regard
, ces élans de la vertu, et ne paraissait occupé q
e grande joie, et cependant tout le monde pleura. Il n’y avait pas un
regard
qui ne cherchât la Bichonne. Brisquet enterra la
rsonnes à qui il désirait que le soin en fut confié, l’air serein, le
regard
brillant, le pas ferme, marchant même plus vite q
et masqués. Le roi arriva, la tête haute, promenant de tous côtés ses
regards
et cherchant le peuple pour lui parler : mais les
peut-être elle-même à ce moment décisif. Tous deux, j’en suis sûr, du
regard
plus d’une fois mesurent l’abîme et regardent le
is dire les espérances. Tant de fois elles avaient été déçues !… D’un
regard
profond elle pénétrait l’avenir. Je faisais d’abo
était l’emportait beaucoup sur ce qu’il avait fait. Sa personne, ses
regards
, sa conversation, respiraient je ne sais quelle a
ment, fut Jésus pour eux : dans les moments d’atroces souffrances, un
regard
jeté vers leur sœur en croix les remplissait de j
e de six chevaux n’entame pas toujours sans peine ; j’encourageais du
regard
les jeunes houblonnières, nouvel espoir de nos pa
es gardes2356 Et, vous peignant galamment, Portez de tous côtés vos
regards
brusquement ; Et ceux que vous pourrez connaître,
.... Isménie. O ciel ! que faites-vous2490 ? Polyphonie. Quoi ! vos
regards
sur lui se tournent sans courroux ? Vous tremblez
n automne A travers des vapeurs un jour plus doux rayonne : Viens, le
regard
pensif, le front calme, et les yeux Tout prêts à
e plein de boue ; Et là, tandis qu’il se secoue, Jetant à ses amis un
regard
de dédain : « Apprenez, leur dit-il, comme on fai
ux, oui, tu veux me l’apprendre Oui, ton front est plus beau2580, ton
regard
est plus tendre Le Chevrier. Quoi ! tu sors de ce
té des bois. Oui, dans ces jours d’automne où la nature expire, A ses
regards
voilés je trouve plus d’attraits ; C’est l’adieu
t de mes longs jours l’espoir évanoui, Je me retourne encore, et d’un
regard
d’envie Je contemple ces biens dont je n’ai pas j
de mon tombeau ! L’air est si parfumé ! La lumière est si pure ! Aux
regards
d’un mourant le soleil est si beau ! Je voudrais
e Son cœur les rappelle à soi ; Des pleurs voilent son sourire Et son
regard
semble dire : « Vous aime-t-on comme moi ? » C’es
s enfants assoupis : Gédar soudain se lève ; Il promène d’en haut ses
regards
sur la grève. Trois fois d’une voix forte il appe
revenir cent fois sur son Chemin2633, Voyait dans les vapeurs, de son
regard
de mère, Surgir à l’horizon chimère sur chimère.
D’où naissent vos retards ? Je ne vois que vos pleurs et non pas vos
regards
. « Je n’ai point oublié l’encens du sacrifice : J
onte-nous une histoire, dis ! » Et je voyais rayonner d’aise Tous ces
regards
du paradis. Alors, prodiguant les carnages, J’inv
e terrible ; Une femme immobile et renversée, ayant Les pieds nus, le
regard
obscur, l’air effrayant ; Un cadavre ; — autrefoi
endorment le soir au doux chant des oiseaux : Ils ont reçu du ciel un
regard
favorable. Ils sont nés, ces mortels, sous une ét
pour épouser un de mes chers enfants2788. Jetez, au nom de Dieu, vos
regards
triomphants Sur un autre que lui2789 ; ne cherche
uple gazon, Ils rêvent en silence, et laissent leurs yeux vagues D’un
regard
nonchalant se perdre à l’horizon. A quoi songent
qu’un fantôme, Quelque chose de moins. De mes concitoyens J’évite les
regards
; — je voudrais fuir les miens. D’un si honteux r
in L’humble rosier, fils de la tombe ! Parmi les autres confondu, Nul
regard
ne peut le connaître : Dans la corbeille il est p
dre à ce cercueil Sonnant sous la terre qui tombe. C’est aux premiers
regards
portés En famille, autour de la table, Sur les si
Pavé sombre et murs noirs, rien n’avait de tendresse. Je tournais mes
regards
vers le Midi sans cesse, Mais la pluie à longs tr
illes). 1574. Qu’il croie sa mère, que, sans se fier à ses propres
regards
, sans écouter ses propres craintes, il ajoute foi
.........Le deuil de la nature Convient à ma douleur et plait à mes
regards
, dit Lamartime. Voir page 644 toute la pièce, qu
601. Œuvres publiées par Hachette et Cie, Jouvet et Cie. 2602. A mes
regards
. Nul poète, plus que Lamartine, n’a cherché dans
doute : ne le choisissez pas parmi tous pour lui faire sentir par vos
regards
, votre attitude, combien vous vous croyez supérie
immense nature, en tout lieu rajeunie, Semble n’avoir pour moi qu’un
regard
d’ironie ; Le luxe universel qu’étale ce printemp
rdes : Et vous peignant galamment, Portez de tous côtés vos
regards
brusquement ; Et ceux que vous pourrez co
que le sommeil te ferme la paupière], Sur les œuvres du jour jette un
regard
sévère ; ou la principale renfermant la subordon
partie fine, délicate, pénétrante. Acies oculorum, la pénétration des
regards
; acies ingenii, la vivacité de l’esprit. Il s’em
mention des braves guerriers qui ont succombé, et qui, dérobés à nos
regards
, jouissent d’une bienheureuse immortalité. Je doi
oute ne sera pas longue pour gagner le mont Trachine, et m’offrir aux
regards
d’un père chéri. Hélas ! je crains bien, depuis t
nfortune. L’homme qui est loin de l’adversité doit toujours fixer ses
regards
sur les événements funestes, et prendre garde, lo
ttenter à ses jours. Mais Caton se levant avec vivacité et jetant des
regards
menaçants sur son fils et sur les amis qui l’ento
sur son sein leur jeune fils, Astyanax. Le guerrier jette sur lui un
regard
caressant et garde le silence. — Andromaque, les
er par une porte de derrière, qu’il pensait être à l’abri de tous les
regards
. Mais la trouvant surveillée et occupée par des s
découvertes précoces prouvèrent qu’en tout ordre de connaissances son
regard
avait une intuition divinatrice. Il lui était plu
ps J’ai moi-même, à l’aspect des pleurs de l’infortune, Détourné mes
regards
distraits ; A mon tour, aujourd’hui, mon malheur
animée des travers ou des vices que la ville et la cour offraient aux
regards
d’un observateur dont la malice devance les Lettr
peint le vieux Protée, Qui, pour tromper les efforts d’Aristée, À ses
regards
devenait, tour à tour, Arbre ou rocher, quadrupèd
ait, tour à tour, Arbre ou rocher, quadrupède ou reptile ; Telle, aux
regards
de la stupide cour, La déité plaisamment versatil
e J’ose appuyer encore un reste d’espérance. Jetez sur votre fille un
regard
paternel : Ma mort suivra la mort de ce cher crim
es, Qui ne savent que c’est de voir et de parler ; Et leurs plus vifs
regards
sont bénins ou farouches, Comme il vous plaît l
mmes pour qui toute chaude affaire était une fête. Lui aussi, sous le
regard
du prince, il eût « changé prés et vignes en chev
ue j’aurai cet espoir, ne croyez pas, madame, que je tourne jamais un
regard
en arrière, vers les lieux que vous habitez, quoi
susceptible d’ajouter à l’utilité de la lecture, en plaçant sous les
regards
, avec la marche insensible de notre idiome parven
elles sont soutenues du charme de l’action, de la voix, du geste, des
regards
et des mouvements du visage, mais incapables d’im
nde, et tous ses biens étant au-delà de cette vie ? Mais tournons nos
regards
vers l’Église, que Rome païenne, cette Babylone e
. Enfoncé de la sorte en moi-même, je ne laissai pas de percer de mes
regards
clandestins chaque visage, chaque maintien, chaqu
; il eut de la faveur, quelquefois la familiarité d’un maître dont un
regard
était un bienfait. Il était, en 1688 et 1689, de
père ; Ce sont des malheureux étouffés au berceau, Qu’un seul de tes
regards
tirerait du tombeau. On voit Sertorius, Œdipe et
un ours mal léché468 : Sous un sourcil épais il avait l’œil caché, Le
regard
de travers, nez tortu, grosse lèvre, Portait sayo
e-même en est offensée ; Car sachez que les immortels Ont les
regards
sur nous. Grâces à vos exemples, Ils n’ont devant
vant qui tout fléchit et baise la poussière, Jette sur son esclave un
regard
si serein Et m’offre sur son cœur un pouvoir souv
l’observais hier, et je voyais ses yeux Lancer sur le lieu saint des
regards
furieux : Comme si, dans le fond de ce vaste édif
int de l’immoler, et cette image n’a plus cessé d’être présente à ses
regards
: les regrets ont rallumé dans son cœur une passi
, quand un étranger suppliant, vêtu de haillons, s’est présenté à ses
regards
. L’enfant, émue de pitié, lui a promis de le fair
rte votre empreinte, il sortit de vos mains Pour vous représenter aux
regards
des humains. Veillez sur Cléotas ! Qu’une fleur é
mains avec toi promené, Ne sillonnera plus les prés et le rivage. Tes
regards
, ton murmure, obscur et doux langage, N’inquiéter
encher la balance ; Le sénat le contemple et décrète en silence ; Les
regards
sont muets, les lois n’osent parler Tibère à ses
e défendre d’une émotion douloureuse, a dit M. Cousin, en portant ses
regards
sur ce grand in-folio, où la main défaillante de
obles ambitions aux rivalités mesquines de courtisans se disputant un
regard
du maître ; et les faiblesses ou les fautes, que
t plein : « Les feux de l’aurore ne sont pas si doux que les premiers
regards
de la gloire. » 395. Pectus est quod disertos
moment beaucoup trop relâchée, et il convient de protester contre ce
regard
indifférent jeté sur le mal, considéré comme un s
rs. Jeune postérité d’un vivant qui vous aime ! Mes traits dans vos
regards
ne sont pas effacés ; Je peux en ce miroir me con
achées : « Les feux de l’aurore ne sont pas si doux que les premiers
regards
de la gloire. » « Les orages de la jeunesse son
nsées s’échangent, et, vainqueur de la nature, l’homme, reportant ses
regards
de sa demeure sur lui-même, aspire à découvrir, p
toire. MATIÈRE. Récit de la bataille de Fribourg. Arrêtez-ici vos
regards
: il se prépare contre le prince quelque chose d
s devant son vainqueur.(Bossuet.) ANALYSE. Forme. — Arrêtez-ici vos
regards
. C’est Bossuet qui parle, il s’agit sans doute d’
nime et semble épouvanté ; il voit donc quelque chose qui effraie les
regards
de l’homme, et nous ne sommes pas bien loin de no
traîne autour des tombeaux, et cependant il a peur des tombeaux. Son
regard
est inquiet et mobile ; il n’ose fixer le mur de
à notre porte, il s’assied au foyer désert ou rempli, et d’un de ses
regards
jeté sur notre cœur, il en tire cette larme uniqu
sont pour lui comme des livres abrégés, il échappe à tout moment aux
regards
de la foule, et s’envole fièrement dans les régio
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