i qui voit ou celui qui s’éloigne ? On ne le sait pas. Quand tous les
rapports
des mots sont bien déterminés et réguliers, toute
ur bien composer ses phrases, il faut faire une extrême attention aux
rapports
des mots entr’eux et suivre un ordre naturel, à m
nq, etc., membres de la période qui contient deux, trois, cinq, etc.,
rapports
d’idées accessoires à l’idée principale. La pério
signifient en général ce qui est mauvais au suprême degré, et sous ce
rapport
on peut dire qu’ils sont synonymes. Mais si l’on
l’oreille, sans faire des périodes bien proportionnées sous tous les
rapports
; mais on n’est pur qu’à ces conditions. La puret
ntraire que dans toute expression figurée, l’imagination aperçoive un
rapport
clair et peu éloigné avec l’expression propre. En
gique et que tout le monde comprend, parce qu’on aperçoit de suite un
rapport
sensible et naturel, existant d’une part entre le
, et n’a pas besoin d’appeler à son aide la réflexion pour saisir les
rapports
des mots entre eux. C’est là le mérite de l’ellip
vous êtes ? —Tel que je suis j’irais. L’esprit découvre facilement ce
rapport
secret qu’il y a entre l’expression figurée, et l
se de nombre, quand les mots qui se rapportent à la pensée ne sont en
rapport
de nombres avec aucun des mots précédents. Tout
qu’avec beaucoup de circonspection. Il faut dans l’hyperbate que les
rapports
des mots et des pensées soient tellement unis, qu
veut donc dire ici apparences, mais l’esprit saisit sur-le-champ le
rapport
qui existe entre les couleurs et les apparences,
tés à rendre nos perceptions intellectuelles plus sensibles par leurs
rapports
avec les objets physiques : de là vient que presq
u sa fluidité. D’après ces paroles de La Harpe, toute métaphore a un
rapport
de comparaison. Si ce rapport apparaît de suite à
roles de La Harpe, toute métaphore a un rapport de comparaison. Si ce
rapport
apparaît de suite à l’esprit juste et régulier, l
; elle sera mauvaise si la comparaison est trop recherchée, et que le
rapport
soit si peu frappant qu’on s’étudie à le découvri
n. Fausse métaphore. Un lion n’a pas de foudre. Je ne puis établir un
rapport
de comparaison juste ; si le poète s’était arrêté
ée. Je sais bien qu’une chevelure peut être ondoyante, car je vois un
rapport
clair entre les petites vagues formées par l’eau,
mer les cheveux en bain où on peut tremper les mains, je n’ai plus de
rapport
de comparaison, et je ne vois qu’un mauvais jeu d
s, et de prêter du sentiment aux choses inanimées. Considérée sous ce
rapport
, on la trouve à chaque page non-seulement dans le
lui. (Boil.) Comment le chagrin peut-il aller à cheval ? — Où est le
rapport
de comparaison, base de la métaphore ? — Ce rappo
val ? — Où est le rapport de comparaison, base de la métaphore ? — Ce
rapport
n’est point dans l’action qu’on prête à la chose
e Boileau, le chagrin est dans l’âme de celui qui est à cheval, et ce
rapport
est facile à saisir. Il en est de même de ce vers
t il a été saisi lui-même à la vue d’un monstre marin. Quelquefois le
rapport
de comparaison est tout entier dans l’esprit du l
t point étonnées ; mais ce simple mot amène de suite dans l’esprit un
rapport
de comparaison entre le riche qui se sert de boug
st ainsi, au moyen d’une perception plus ou moins rapide et claire du
rapport
de comparaison, qu’on découvre la beauté ou le dé
on moins essentielle, pour le cas où la métaphore prend ses termes de
rapport
dans un ordre unique, c’est que la métaphore comp
quand on passe d’une idée à une autre, comme par degrés. Lorsque les
rapports
sont naturels et bien ménagés, cette figure est c
’ai vu de mes yeux, et fait un Pléonasme. La Syllepse aime mieux le
rapport
idéal Que le rapport du terme, et méprise Chapsal
t fait un Pléonasme. La Syllepse aime mieux le rapport idéal Que le
rapport
du terme, et méprise Chapsal. L’ Hyperbole à l’e
nent le sifflement. La plupart des autres consonnes ont également des
rapports
d’harmonie imitative. Mais il faut convenir que c
ment des rapports d’harmonie imitative. Mais il faut convenir que ces
rapports
changent par l’union d’autres consonnes ou d’autr
l faudra donc, le cas échéant, procéder par onomatopée, et voir quels
rapports
ont les syllabes avec les objets à dépeindre : br
étend à tout ce qui est simple et vrai en même temps. Sous ce dernier
rapport
, les paroles précédentes d’Andromaque renferment
— Il a lieu quand les idées comparées sont entr’elles sans aucun
rapport
, ou quand le style est d’une inégalité choquante.
lement : ce mot renferme tout. Le point capital est de bien saisir le
rapport
naturel qui se trouve entre le sujet et le style
t le syllogisme. Faire un syllogisme, c’est affirmer l’existence d’un
rapport
entre deux termes, au moyen d’un troisième. Vous
la Vertu. Aimer… vertu… sont les deux termes dont vous cherchez le
rapport
: heureux est le troisième terme au moyen duquel
épichérème qui étend et développe le moyen terme, jusqu’à ce que ses
rapports
avec les deux extrêmes soient surabondamment démo
e mensonge est répréhensible. — La comparaison. — Vous établissez des
rapports
entre deux idées, et de ces rapports vous conclue
mparaison. — Vous établissez des rapports entre deux idées, et de ces
rapports
vous concluez soit du plus au moins, soit du moin
dents et les conséquents. (Voir le même article.) — Quels étaient les
rapports
de l’accusé avec la victime avant le meurtre ? Ce
n autre chose que la faculté de saisir, de combiner et d’exprimer des
rapports
inaperçus par le grand nombre, et que ce qu’on no
utres hommes. » Or, pourquoi la faculté de saisir et de formuler les
rapports
, commune à divers degrés, organiquement ou accide
le du sens intellectuel. Lui aussi s’habitue par l’usage à saisir des
rapports
inappréciables pour les masses, à les combiner, à
exion. Une méthode qui aide à la perception et à la manifestation des
rapports
, ou, en d’autres termes, à la découverte et à l’e
expression, c’est-à-dire la perception et l’appréciation de certains
rapports
, de la même manière que le sens physique perçoit
orts, de la même manière que le sens physique perçoit et apprécie des
rapports
d’un autre ordre, il est évident que si l’observa
ouvent au même but que l’éloquence proprement dite, et, sous bien des
rapports
, le pouvoir de la presse a succédé à celui de la
ecter et de chérir les liens qui nous unissent à nos familles, et les
rapports
que nous avons avec les hommes. Elle nous fait so
toujours attribuer ces défauts de leur style : tant sont étroits les
rapports
des pensées avec les mots qui nous les représente
carrière qu’elles se sont ouverte. Elles s’emparent de tout ce qui a
rapport
à la beauté, à l’harmonie, à la grandeur et à l’é
tières spéculatives, découvre la vérité, et dans la pratique, juge du
rapport
des moyens au but qu’on se propose, je crois que
provenir d’un sens particulier que de notre intelligence, et c’est du
rapport
de ce sens avec un des sens externes qu’elle a em
age est habilement conduit, de ce que les parties ont entre elles des
rapports
vraisemblables, de ce que les caractères sont pri
l’on a eu pour but l’imitation de la nature, où se trouvent quelques
rapports
des parties avec le tout, et des moyens avec le b
t a surtout sa source dans la perfection que cette faculté doit à ses
rapports
avec notre intelligence. Un homme d’un goût pur e
èrent toutes, cependant toutes visent à un genre de beauté qui est en
rapport
avec la tournure particulière de leur esprit ; et
ent et l’expérience ; c’est parce qu’on s’aperçut qu’elles étaient en
rapport
avec notre raison et notre nature particulière, q
re de ceux qui trouvent leur source dans l’imagination, et qu’il a un
rapport
plus direct avec l’objet principal de ces Lecture
ce que le sublime se rencontre dans beaucoup d’objets qui n’ont aucun
rapport
avec l’espace : dans les sons, par exemple, le br
sublime ne sont que des modèles d’élégance, qui n’ont pas le moindre
rapport
avec le sublime : témoin la fameuse ode de Sapho,
s le pathétique ou l’expression énergique des passions) ont seules un
rapport
immédiat avec l’objet du livre ; les trois autres
e le courroux des flots et le tumulte du peuple, qui offrent assez de
rapports
pour que l’imagination les associe naturellement
e n’en produit pas du tout ; il est absolument dégradé si l’un de ces
rapports
sous lesquels il est présenté, est ridicule ou ba
g du dos. Il y a aussi dans Virgile une description qui, sous le même
rapport
, mérite quelque reproche de la part de la critiqu
grand nombre des autres plaisirs qui naissent du goût, n’ayant pas un
rapport
si direct avec le but de ces Lectures, il n’est p
de justice, de convenance et d’utilité, qui ont toujours bien plus de
rapports
avec la proportion et l’ordre qu’avec la confusio
élégance et d’une grâce parfaites ; si cependant elles n’ont point de
rapports
avec l’ensemble ou la destination de l’édifice, e
é, et conséquemment à examiner jusqu’à quel point les parties sont en
rapport
avec ce but. Lorsque nous saisissons nettement ce
es sont en rapport avec ce but. Lorsque nous saisissons nettement ces
rapports
, l’ouvrage alors nous semble avoir quelque beauté
; mais il nous en paraît immanquablement dépourvu, lorsque ces mêmes
rapports
n’existent point. Ce sentiment que nous avons des
nous cherchons toujours la convenance des moyens entre eux, et leurs
rapports
avec le but que nous soupçonnons l’auteur d’avoir
arties proportionnées à l’ensemble de l’ouvrage, si elles n’ont aucun
rapport
avec le sujet principal, elles perdent toute leur
r la beauté considérée dans l’art d’écrire ou de parler ; et, sous ce
rapport
, c’est encore une expression fréquemment employée
te qui, dans sa Poétique, a, le premier, envisagé l’éloquence sous ce
rapport
, et son opinion, depuis cette époque jusqu’à nous
s. L’imitation emploie des moyens qui ont avec l’objet imité quelques
rapports
de conformité ou de ressemblance, et qui la rende
J’aurai, dans la suite, occasion de montrer combien il existe peu de
rapports
directs entre nos pensées et les sons qui les exp
rects entre nos pensées et les sons qui les expriment. Mais comme ces
rapports
naturels n’existent jamais que relativement à la
de la vie sont devenues faciles et rapides ; mais encore les moindres
rapports
, les moindres différences entre ces objets sont m
ue rendait un objet extérieur, et de former un mot qui y eût quelques
rapports
. C’est ainsi que dans la plupart des langues nous
objets qui tombent sous les sens, et qui ont avec ces idées quelques
rapports
d’analogie. Quant aux objets que les yeux seuls p
le son de certaines lettres ou de certaines syllabes qui ont quelques
rapports
avec ces qualités dans les objets visibles, rappo
qui ont quelques rapports avec ces qualités dans les objets visibles,
rapports
fondés sur une ressemblance fort obscure que les
par allusion à ceux de ces objets sensibles qui y avaient le plus de
rapport
, et qui pouvaient, en quelque sorte, rendre leurs
vons un exemple frappant dans les langues américaines, qui, selon les
rapports
les plus authentiques, sont pleines d’images. Les
uent les cas des substantifs et les temps des verbes, et indiquent le
rapport
mutuel des mots d’une proposition, quelle que soi
ngage, changements dont les résultats sont tels, que, pour montrer le
rapport
étroit qui, dans une phrase, lie un mot à un autr
nte des mots rétablit l’ordre et met la plus grande clarté dans leurs
rapports
réciproques. Traduisons littéralement en anglais
et l’imagination. La marche progressive du langage ressemble, sous ce
rapport
, à celle de la vie. Dans la jeunesse, l’imaginati
cures, et n’exprimait que d’une manière très confuse la liaison et le
rapport
des choses entre elles, ce genre d’écriture devai
pèce parfaitement analogue aux caractères chinois ; elles n’ont aucun
rapport
avec les mots, et chaque figure représente un obj
ypte, le pays le plus anciennement civilisé sur lequel nous ayons des
rapports
authentiques, et qui, chez les anciens, passait p
qu’ils sont figurés sur les inscriptions les plus anciennes, ont des
rapports
de conformité très sensibles avec les caractères
nous avançons à leur égard ; d’autres mots encore qui font sentir les
rapports
des premiers entre eux : aussi les substantifs, l
propriétés ou les actions des premiers ; les connectifs font voir les
rapports
et les dépendances dans lesquels les uns et les a
ifs, qui sont des parties du discours très différentes sous plusieurs
rapports
, tandis qu’elle fait une classe à part des partic
comme la grosseur, la forme, cependant ils avaient aussi avec eux des
rapports
de ressemblance et quelques propriétés communes,
placés : comme templum [un temple] ; sedile [un siège]. Mais, sous ce
rapport
, le génie des langues française et italienne diff
ait d’une assez mince utilité, tant qu’ils ne purent pas indiquer les
rapports
que chacun de ces objets pouvait avoir avec les a
onnaître s’ils approchaient, s’éloignaient, se réunissaient, etc. Ces
rapports
des objets entre eux sont innombrables, à la véri
entir déjà la nécessité d’exprimer, d’une manière ou d’une autre, les
rapports
les plus importants, c’est-à-dire ceux sur lesque
des substantifs, ne sont autre chose que l’expression de l’état et du
rapport
d’un objet avec un autre, indiqués par une variat
la place de la variation des cas, ces langues modernes indiquent les
rapports
des objets au moyen de mots appelés prépositions,
ourquoi cet usage remonte à une si haute antiquité, Les idées sur les
rapports
des objets entre eux, rapports considérés en eux-
si haute antiquité, Les idées sur les rapports des objets entre eux,
rapports
considérés en eux-mêmes et isolés des qualités qu
ependant, lorsque avec le temps ils apprirent à discerner de nouveaux
rapports
que n’exprimait pas la déclinaison des noms, ils
par les déclinaisons et les conjugaisons, indiquaient suffisamment le
rapport
réciproque de tous les mots d’une phrase, et perm
la suite des autres, et dans l’ordre nécessairement indiqué par leurs
rapports
. Le sens d’une période, distribuée par membres et
ul coup d’œil. Les mots qui finissaient une période déterminaient les
rapports
des membres entre eux, et tout ce qui devait être
lques-uns de leurs pronoms, d’abord pour exprimer plus exactement les
rapports
des mots dont ils tiennent la place, et ensuite p
elle existe, et indépendamment de ses qualités ; ils ont bien plus de
rapports
avec les verbes, puisque, comme eux, ils rappelle
qu’à proprement parler, les genres, les nombres, les cas n’ont aucun
rapport
avec de simples qualités, comme « bon ou grand, d
s longtemps qu’il ne sera strictement nécessaire. Le verbe a quelques
rapports
avec l’adjectif, en ce que, comme lui, il exprime
e l’attribut ou la propriété d’une personne ou d’une chose ; mais ces
rapports
se bornent là, car tous les verbes de toutes les
et autres semblables. Les prépositions lient les mots en montrant le
rapport
qu’un nom substantif peut avoir avec un autre nom
e que la langue y abonde en particules connectives, qui expriment des
rapports
entre les objets, et des liaisons entre les pensé
a structure et de ses progrès ne peut que nous dévoiler tout ce qui a
rapport
aux progrès de nos pensées elles-mêmes, et aux op
parlaient les vainqueurs. Ainsi le français eut toujours beaucoup de
rapports
avec le latin, et un très grand nombre de mots or
eu de mots portent avec eux des signes suffisants pour indiquer leurs
rapports
mutuels, pour montrer ce qu’on appelle, en style
de noblesse, de force ou de douceur, semblent en former sous tous les
rapports
la plus accomplie de toutes les langues modernes
n des mots d’une phrase au moyen de laquelle le sens de chacun et ses
rapports
avec les autres deviennent parfaitement clairs et
anglais comme en latin l’adjectif doit, par sa position, indiquer son
rapport
avec le substantif, et le verbe s’accorder en per
erbes auxquels ils se rapportent soient mis au pluriel ; autrement le
rapport
commun qu’ils ont avec ces pronoms et ces verbes
st la nôtre, elle mérite nos soins et notre application, tant sous le
rapport
du choix des mots dont nous nous servons, que sou
omme se sert pour rendre ses idées peuvent être défectueux sous trois
rapports
différents. D’abord, en n’exprimant pas la pensée
ssemblance, il s’embarrasse et se trouble, et ne peut bien saisir les
rapports
par lesquels ils se lient ou diffèrent les uns de
plusieurs animaux de la même espèce, qui se ressemblent sous quelques
rapports
, mais diffèrent sous quelques autres, en sorte qu
appartement complet. « Tranquillité, paix, calme. » La tranquillité a
rapport
à une situation exempte de trouble et d’agitation
ans le temps présent, et indépendamment de toute relation ; la paix a
rapport
à cette situation relativement aux causes extérie
s’expose pas dans des chemins inconnus. « Assez, suffisant. » Assez a
rapport
à la quantité que nous voulons avoir, suffisant a
. » Assez a rapport à la quantité que nous voulons avoir, suffisant a
rapport
à la quantité que nous voulons employer. Assez em
un dessein prémédité. « Avec, par. » Ces deux particules expriment le
rapport
de l’instrument ou du moyen employé pour parvenir
’agent qui emploie cet instrument ou ce moyen ; mais avec, exprime un
rapport
plus étroit et plus immédiat, et par, un rapport
ais avec, exprime un rapport plus étroit et plus immédiat, et par, un
rapport
plus indirect ou plus éldigné. On tue un homme av
rivain, je discuterai cette matière à fond. Quoique la clarté soit le
rapport
général sous lequel je considère en ce moment le
membres peuvent être plus ou moins nombreux, ou liés ensemble par des
rapports
divers, la même pensée ou la même proposition peu
petit nombre de lignes, et qu’il est plus difficile d’apercevoir les
rapports
qui lient chaque partie, et d’en saisir tout l’en
anglais d’une manière ambiguë, sans blesser aucune de ses règles. Les
rapports
réciproques des mots ou des membres qui forment u
oyen des terminaisons. Chez nous, la position peut seule indiquer ces
rapports
; aussi est-ce un des premiers principes de notre
ranger les mots dans l’ordre le plus propre à indiquer clairement les
rapports
réciproques de chaque membre, et de faire surtout
antum in ipso fuit . Lorsque l’on parvient à marquer distinctement le
rapport
des mots et des membres d’une phrase entre eux f
quoique tous les objets réunis dans cette phrase aient entre eux des
rapports
suffisants, cette manière de les présenter, en ch
muler dans une même phrase des choses qui aient entre elles si peu de
rapports
, qu’il serait possible d’en faire le sujet de deu
un assemblage d’objets divers qui n’ont les uns avec les autres qu’un
rapport
assez éloigné, et que le lecteur ne peut que très
archer d’un pas plus lent et plus grave ; il faut qu’il sente bien le
rapport
de chaque objet avec l’objet qui le suit, et la c
ve le sens qu’à la fin, comme celle-ci de Pope. « Ainsi, sous quelque
rapport
que nous admirions Homère, ce qui nous frappe sur
assage suivant de lord Bolingbroke : « Cette décence, cette grâce, ce
rapport
des manières aux mœurs, sont tellement essentiels
lons plus facilement en lisant le second, et nous saisissons mieux le
rapport
qui existe entre tous les deux. Ainsi, dans cette
loyer que lorsque l’occasion s’en présente, et que l’opposition ou le
rapport
qui existent entre les objets les dicte naturelle
mine ce que j’avais à dire sur les phrases considérées sous les trois
rapports
de la clarté, de l’unité et de la force. J’ai bea
autres circonstances, la logique et la rhétorique ont entre elles les
rapports
les plus intimes, et l’on apprend à mettre de l’o
transmettre nos pensées, nos pensées et les sons seront liés par les
rapports
les plus étroits. Les idées les plus douces ne s’
sposé de manière à devenir l’expression du sens. C’est sous ce second
rapport
qu’il produit des beautés d’un ordre bien supérie
on des sons, le changement ou la variété des sons, enfin, les sons en
rapport
avec le sens. Chacun de ces points est traité ave
a souvent admiré ce beau passage de la Jérusalem délivrée, à cause du
rapport
de l’harmonie au sujet : Chiama gli abitator del
doux, égaux ou inégaux, faciles ou pénibles. Quoiqu’il n’y ait aucun
rapport
naturel entre le son et le mouvement, notre imagi
maints endroits où l’on rencontre ce genre de beauté, produit par le
rapport
de l’harmonie aux idées, le travail de l’imaginat
a construction des phrases, que j’ai examinée successivement sous les
rapports
que j’avais indiqués ; savoir : la clarté, l’unit
nature du langage figuré. Nous venons de nous occuper de ce qui a
rapport
à la construction des phrases ; nous allons actue
al, et que l’on a substitués à consolation et adversité, à cause d’un
rapport
de ressemblance ou d’analogie que nous leur suppo
bjet, pourvu que l’imagination ou la nature eût mis entre eux quelque
rapport
d’analogie. La préposition in [dans], par exemple
temps qu’on n’avait pas de mot qui exprimât l’existence de l’homme en
rapport
avec certaines situations particulières de fortun
rit est toujours accompagné de certaines circonstances ou de certains
rapports
qui, en même temps, nous frappent aussi. Jamais i
es peuples, dans leur vie solitaire, se trouvaient le plus souvent en
rapport
. Lorsqu’un chef indien faisait à sa tribu une har
époques de la vie humaine et une des époques du jour, qui ont tant de
rapports
ensemble que l’imagination passe en se jouant de
vers la tête des vapeurs enivrantes. » Une image qui présente de tels
rapports
entre une idée physique et une idée morale, donne
illesse qui les produit ; « l’ombre » pour l’arbre qui la répand. Les
rapports
entre le contenant et le contenu sont encore si é
ciel, c’est la même chose qu’implorer l’assistance de la Divinité. Le
rapport
entre un signe convenu et la chose signifiée est
é le nom de métonymie à ces espèces de tropes qui sont fondés sur les
rapports
des causes aux effets, du contenant au contenu, d
nant au contenu, du signe à la chose. Quand le trope est fondé sur le
rapport
d’un antécédent au conséquent, ou de ce qui suit
nce met entre un objet et un autre objet ; aussi a-t-elle beaucoup de
rapports
avec la similitude ou la comparaison ; et, rigour
ôté par lequel elles se ressemblent, et de sentir l’analogie de leurs
rapports
. Ce léger travail est pour l’esprit un exercice q
n l’applique à toute expression figurée, quelle que soit la nature du
rapport
qui lie deux objets entre eux. Lorsque, par exemp
ue sa figure, et les deux membres de la phrase semblent n’avoir aucun
rapport
entre eux. Les ouvrages d’Ossian sont remplis de
; » le sens des mots lion et colonne s’interprète de lui-même par le
rapport
de ces mots à ceux d’Achille et de ministre ; au
nous cause cette espèce de style figuré vient de ce qu’il nous met en
rapport
avec la nature entière, et nous intéresse aux cho
x êtres les plus insensibles, surtout s’ils se trouvent avoir quelque
rapport
avec la cause qui a porté le trouble dans notre e
nifications ou prosopopées. L’apostrophe est une figure qui a tant de
rapports
avec la prosopopée, que nous n’en dirons que peu
ur une ressemblance entre deux objets, ou sur une analogie, ou sur un
rapport
quelconque qui existe entre eux, l’essentiel est
à propos. Le Caton de M. Addison mérite aussi d’être critiqué sous ce
rapport
. Lucia vient de dire adieu pour jamais à Porcius
l est bon d’observer qu’une comparaison entre deux objets qui ont des
rapports
suffisants de ressemblance, peut devenir obscure
s comparaisons sont en général poussées si loin et présentent tant de
rapports
différents entre deux choses diverses, qu’elles p
s exposerions tous deux au même jour. Leur ressemblance sous certains
rapports
ne fait que rendre plus évidentes les propriétés
les copies ou les signes de nos idées, il devait toujours exister un
rapport
très intime entre le style et la tournure général
eurs. C’est assurément une classe bien étendue que celle qui, sous le
rapport
du style, réunit Aristote et Platon. Cicéron et Q
eloppé ; Addison et sir William Temple en approchent beaucoup sous ce
rapport
. C’est la nature du sujet que nous traitons qui d
concis et développé. Il est vrai qu’ils se ressemblent sous plusieurs
rapports
. Les écrivains prolixes sont la plupart très faib
la pensée de l’écrivain. Il faut maintenant l’examiner sous un autre
rapport
, sous celui des ornements qu’il est plus ou moins
ncis et développé, nerveux et faible. Je l’ai aussi considéré sous le
rapport
des différents degrés d’ornement dont il est susc
quatrième acception, peut aussi s’appliquer au style, non pas sous le
rapport
des ornements dont il est susceptible, mais bien
différemment pour ou contre dans telle cause que ce pût être. Sous ce
rapport
, ils furent les premiers qui enseignèrent ces lie
e de sa vie privée et de son existence politique n’a presque point de
rapports
directs avec le sujet qui nous occupe. Nous ne de
t si fortement empreint dans tous leurs écrits, que, sous beaucoup de
rapports
, ce parallèle est très facile. Démosthène est gra
tribune politique, le barreau et la chaire. Cette division a quelques
rapports
avec celle des anciens. L’éloquence du barreau es
is elle est aussi sur un ton trop déclamatoire. La première a plus de
rapports
avec le genre adopté par le barreau moderne ; et
s légères excursions, pourvu cependant qu’il existe toujours assez de
rapports
entre ce que l’on introduit et le fond du sujet,
rmon à ce que l’on appelle l’application, ou à ce qui a immédiatement
rapport
à la pratique. Il est important de prendre en con
sir leur texte dans la leçon du jour où ils prêchent, en sorte que le
rapport
entre ce texte et le sujet du discours est presqu
upart des exordes, d’être formés de quelque lieu commun qui n’a aucun
rapport
direct avec le sujet principal, en sorte qu’ils p
air. Cicéron montre beaucoup de talent pour la narration, et, sous ce
rapport
, l’étude de ses harangues peut être de la plus gr
r la faiblesse des autres. Nos langues modernes peuvent être, sous ce
rapport
, comparées à l’art du charpentier dans ses premie
monter à l’origine des mots, et en établissant entre chacun d’eux les
rapports
les plus intimes. Le langage ainsi analysé devien
peinture vivante de nos idées ; notre esprit se plaît à en saisir les
rapports
, notre imagination les voit comme sur un tableau,
sous une forme sensible des objets spirituels avec lesquels il a des
rapports
de ressemblance. Ainsi, quand on dit ignis amoris
ctement les diverses significations d’un même mot, de bien saisir les
rapports
qui existent entre le sens primitif de ce mot et
e sens. 5. L'analogie (de ανα, par, entre, parmi, et λογοσ, raison,
rapport
) est le rapport, la ressemblance que deux ou plus
nalogie (de ανα, par, entre, parmi, et λογοσ, raison, rapport) est le
rapport
, la ressemblance que deux ou plusieurs choses ont
e sans certaines facultés innées qui nous font saisir et formuler les
rapports
dans le domaine intellectuel, comme les sens perç
le domaine intellectuel, comme les sens perçoivent et apprécient les
rapports
dans le domaine physique. Or, ces facultés existe
s ; Ètre fécond, c’est-à-dire susceptible de développements ; Ètre en
rapport
avec le talent et les forces de l’écrivain ; Prê
leur locale. L’auteur doit ajouter à cette étude celle de ses propres
rapports
avec ses auditeurs ou ses lecteurs, ce qui consti
ste proportion des parties de l’ouvrage, et entre elles, et dans leur
rapport
avec l’ensemble et la forme adoptée ; Épisodes e
é par l’adversaire ; Ni étranger au sujet, ou même disparate dans ses
rapports
avec le sujet. Chapitre XI. Après l’exorde,
dée, et l’harmonie spéciale ou imitative qui les considère dans leurs
rapports
avec les pensées et les sentiments exprimés. L’ha
style fleuri. Les écrivains ingénieux, qui perçoivent rapidement des
rapports
inaperçus par le vulgaire, ont pour qualités dist
stimable. S’il exprime la qualité d’un objet au plus haut degré, avec
rapport
à un autre objet, il est au superlatif relatif ;
considérés comme mis en œuvre, ils ont un pluriel ; et c’est sous ce
rapport
seulement qu’on dit, des fers, des plombs, etc. 2
ant un verbe, sont des pronoms qu’on nomme relatifs, parce qu’ils ont
rapport
à un nom qui les précède : = il faut aimer la ver
tres également des deux genres. On voit que ces pronoms ont chacun un
rapport
de propriété aux divers pronoms des trois personn
is absolument, c’est-à-dire, sans être précédé d’un nom auquel il ait
rapport
, est substantif : = que vous est-il arrivé ?= Je
?= Je ne sais que répondre. Il signifie ici quelle chose. Que, ayant
rapport
à un nom qui le précède, et pour lors pronom rela
tif, l’impératif, et le subjonctif. On exprime l’action avec tous ses
rapports
; et ces rapports forment les temps, les nombres,
et le subjonctif. On exprime l’action avec tous ses rapports ; et ces
rapports
forment les temps, les nombres, et les personnes.
sition. Les prépositions sont des mots, qui marquent les différens
rapports
, c’est-à-dire, l’espèce de liaison et de relation
parti : je considérerai le soleil, les arts, votre frère, sans aucun
rapport
avec d’autres objets. Mais si je dis : le soleil
i pour la campagne ; j’exprimerai, par ces mots, sur, chez, pour, les
rapports
qu’il y a entre le soleil et nos contrées, les ar
articulier, une chose, et qui sont, à, de et en. Il y a bien d’autres
rapports
qui peuvent être marqués par les prépositions ; e
n mot qui sert à modifier la signification d’un autre mot auquel il a
rapport
. Modifier, qui signifie, en général, donner une m
; 4°. les adverbes de temps, qui expriment quelques circonstances, ou
rapports
de temps ; comme, hier, autrefois, aujourd’hui, d
el, ou par un principe matériel. La préposition marque les différents
rapports
que les choses ont les unes avec les autres. L’ad
cles. ARTICLE I. de la disposition des mots considérés dans leurs
rapports
avec les idées. Il y a deux ordres à suivre da
ont complexes, les divers compléments doivent se succéder selon leurs
rapports
de dépendance. Ainsi, dans cette phrase : Cæsar i
ues, si l’on suivait constamment dans la parole ou dans l’écriture le
rapport
analytique des idées dont les mots ne sont que le
cipale. Telle doit être la disposition des mots considérés dans leurs
rapports
avec les idées. Si c’est le sujet qui renferme l’
de ne point bouleverser l’ordre naturel des idées, ni d’obscurcir les
rapports
grammaticaux qui unissent les mots entre eux ; ra
obscurcir les rapports grammaticaux qui unissent les mots entre eux ;
rapports
sans lesquels il n’y aurait plus de liaison dans
n dans le discours, et la parole ne serait plus qu’un vain bruit. Ces
rapports
étant nécessaires à l’intelligence de la phrase,
clarté ; mais que l’esprit puisse suivre toujours et sans effort les
rapports
grammaticaux et l’ordre analytique des idées. 8°
omme ceux qui ont de la supériorité sur les autres, doivent, dans les
rapports
qu’ils ont avec leurs amis, se mettre au niveau d
la phrase n’a pas trop d’étendue et qu’il est facile d’en saisir les
rapports
. exemples : Pythagoras Crotonam venit, ut populu
le, et que l’on fasse suivre les propositions complétives selon leurs
rapports
de dépendance. Ainsi, dans cette phrase de l’Orat
sorte d’harmonie, que l’on appelle imitative, et qui consiste dans le
rapport
des sons avec les objets qu’ils expriment. » Il
ue comitatu. Pro Mil, 10. Il est facile de remarquer, dans ce qui a
rapport
à Clodius, la rapidité du style produite par des
rpureus, qui commence le premier vers, est choisie avec goût ; elle a
rapport
au sang qui jaillit du cœur d’ Euryale. Ces mots
ésentent les objets nettement séparés ; ils lient les phrases par des
rapports
symétriques ; ils les font croître ou décroître s
avaient leur temps, leur degré, leur variation, leur inflexion, leurs
rapports
. 17. La période est une phrase composée de plus
ité, cette justesse que la raison exige, il faut saisir et marquer le
rapport
ou la disconvenance des idées dont elle est compo
lectuels. La terre est ronde, voilà une pensée vraie : elle marque le
rapport
et la convenance qu’il y a entre l’idée de terre
mpeuses, poétiques, elle s’appellera alors pensée magnifique. Sous ce
rapport
, elle appartiendra de droit au style magnifique d
juste de dire que Racine a été quelque fois égalé par Pradon sous le
rapport
des pensées, il l’est aussi de reconnaître combie
pièces de poésie. Section II. — Des Pensées, considérées dans les
rapports
qu’elles ont entre elles. De même que dans la
a faveur des ombres de la nuit, Etc. 3° Gradation Le troisième
rapport
à établir entre plusieurs idées réunies, c’est un
e troisième rapport à établir entre plusieurs idées réunies, c’est un
rapport
de gradation, un certain arrangement des pensées
lodius, est innocent. Si vous vous refusez à l’admettre, c’est que le
rapport
entre le sujet et l’attribut vous échappe, c’est-
, il m’apparait qu’elle est à l’égard de l’idée innocent dans le même
rapport
que le contenu à l’égard du contenant, et à l’éga
enant, et à l’égard de l’idée Milon meurtrier de Clodius dans le même
rapport
que le contenant à l’égard du contenu ; que la ca
ement du septième livre, développe minutieusement cette idée dans ses
rapports
avec l’éloquence du barreau. Les arguments choisi
gne et se confonde avec elle. Ces deux parties, en effet, ont tant de
rapports
ensemble, que plusieurs rhéteurs ne les ont point
ère de chacun de ces genres diffère de celui des autres sous certains
rapports
, cette différence n’est pas assez marquée pour qu
ec les mouvements propres à l’éloquence. La définition doit fixer les
rapports
le genre et la différence. — On détermine les rap
doit fixer les rapports le genre et la différence. — On détermine les
rapports
en détaillant les objets qu’embrasse le sujet déf
ai sur quoi elle est fondée et quel est son but, et je préciserai ses
rapports
. Ce ne sera pas sous une forme aride que je ferai
e. Souvent une définition sera parfaitement claire et précise par ses
rapports
seuls. quelquefois par son genre bien dessiné ; o
tion plus étendue. En résumé, la définition comprend dans le fond les
rapports
, le genre et la différence des objets ; dans la f
puissance divine indique d’abord la différence, viennent ensuite les
rapports
, c’est-à-dire l’objet de l’espérance, ses moyens
approcher chacun des traits de cette double physionomie, saisir leurs
rapports
et leurs différences, et dire ensuite quelle est
en scène que pour applaudir ou pour présenter des objections sous le
rapport
le plus favorable à la réfutation, il joue un rôl
e. L’allégorie, soit par la ressemblance, soit par la justesse de ses
rapports
, doit toujours laisser entrevoir la vérité qu’ell
vers ; et fait si bien qu’il déracine. Les pensées sont sous tous les
rapports
dignes de la circonstance et des personnages. Le
supérieure chercher de plus nobles images, s’empare de ces mystérieux
rapports
qui unissent le ciel et la terre, et nous fait re
parente qui laisse passer les splendeurs de la réalité qu’elle met en
rapport
avec nous ; mais il faut que cette forme soit bel
donne de la distinction aux choses ordinaires. 27. N’y a-t-il pas un
rapport
intime entre les pensées et le style ? Puisque l
tyle ? Puisque le style est l’homme même, il devra toujours avoir du
rapport
avec la manière de penser et de sentir de l’écriv
ux extérieurs, sans être absolument étrangers au sujet, n’y ont qu’un
rapport
indirect, et dépendent, en effet, de circonstance
rs actions n’allument-elles pas dans son cœur ! La similitude est un
rapport
de convenance qui se trouve entre deux ou plusieu
ondir les différents caractères des auditeurs. Or, les mœurs, sous ce
rapport
, varient suivant diverses conditions : le pays, l
mme la base de toutes les passions, parce qu’ils comprennent les deux
rapports
de notre âme avec le bien et le mal. C’est qu’il
du sermon sur la loi chrétienne, par Bourdaloue : Division. — Deux
rapports
, sous lesquels nous devons considérer la loi chré
ux rapports, sous lesquels nous devons considérer la loi chrétienne :
rapport
à l’esprit et rapport au cœur. Sous ces deux rapp
uels nous devons considérer la loi chrétienne : rapport à l’esprit et
rapport
au cœur. Sous ces deux rapports, ses ennemis ont
loi chrétienne : rapport à l’esprit et rapport au cœur. Sous ces deux
rapports
, ses ennemis ont voulu la rendre également mépris
prophétie, mes frères ? est-ce une histoire ? et par quelle suite de
rapports
a-t-il pu arriver que le siècle de Samuel ressemb
le de Marathon, vers 490 avant J.-C. Ce qu’on peut assurer d’après le
rapport
de Thucydide, c’est qu’on fit dans Athènes des ob
s se réduisent aux plaidoyers, aux consultations, aux mémoires et aux
rapports
de procès. Dans les plaidoyers, on demande ou l’o
être exactement mesuré, soit dans le style, soit dans les choses. Le
rapport
d’un procès est un discours fait par un des juges
ité ; les Réflexions sur la marche actuelle des sciences et sur leurs
rapports
avec la société, lues par Cuvier dans la première
renverser cet ordre, mais alors on doit le remplacer en indiquant les
rapports
par des inflexions ou désinences qui modifient le
, ne pouvant exprimer par des variétés de terminaisons la variété des
rapports
logiques qui lient ces mots entre eux, il a dû le
nalytiques ou analogues. Elle rend plus sensibles que toute autre les
rapports
mutuels des mots, image de la relation des idées
fertur Excepisse cavo, veterem vetus hospes amicum. Etudiez sous ce
rapport
Fléchier et la Bruyère. Historique, elle préfère
pport Fléchier et la Bruyère. Historique, elle préfère à l’ordre des
rapports
logiques la succession chronologique des choses e
ue, ils sont tombés dans tous les excès du ridicule. Le type, sous ce
rapport
, est l’auteur d’un roman fameux, il y a quelque t
ux écrite, même chez les auteurs contemporains, ce qui nous a paru en
rapport
avec leur jeune intelligence. Dans la disposition
présenter aux jeunes intelligences que des modèles accomplis sous le
rapport
moral ainsi que sous le rapport littéraire. Dans
ces que des modèles accomplis sous le rapport moral ainsi que sous le
rapport
littéraire. Dans les recueils destinés aux classe
ications. En effet, quand vous étudierez les mœurs de l’homme sous le
rapport
du climat, vous remarquerez que son influence opè
ude de l’homme, considéré géographiquement, en quelque sorte, sous le
rapport
du climat, des races, des localités, contribue à
ort et libertin de la cour de Louis XV. Il faut tenir compte, sous ce
rapport
, des moindres accidents ; et ici les arts du dess
e, le théâtre s’essaya à représenter ainsi, au lieu des passions, les
rapports
de famille ou de société. Le Père de famille, le
ur ou l’écrivain ne doit pas seulement apprécier les mœurs dans leurs
rapports
avec l’auditeur ou le lecteur, mais s’appliquer à
ance du cœur de l’homme. J’ai tâché de les imiter aussi sous un autre
rapport
. Ils ont donné aux études oratoires une direction
qnand on ne sait qu’elle seule. Les objets les plus éloignés ont des
rapports
réels qui souvent les rapprochent et les fondent
qu’emploie l’orateur de la chaire sont, les uns surnaturels, dans les
rapports
de l’homme à Dieu ; les autres humains, dans les
s, dans les rapports de l’homme à Dieu ; les autres humains, dans les
rapports
de l’homme à l’homme et dans ses retours sur lui-
par induction d’autres faits analogues, et ne se fondent que sur des
rapports
avec le point en question ; ce sont celles que le
défendre ou de les attaquer. Ils peuvent être contestés sous plusieus
rapports
: 1°. Sous celui des formes ; 2°. en ce qui conce
her au loin et d’employer des preuves hors-d’œuvre et qui n’ont aucun
rapport
au sujet ; enfin, elle réveille, elle excite leur
ours, on ne doit jamais perdre de vue le principe de l’analogie ou du
rapport
des choses entre elles. Ce principe est tout, pui
tout, puisque les choses dont on tire argument ne prouvent que par le
rapport
qu’elles ont avec le fait ou la vérité qu’il s’ag
elle avoir des idées ; nous comparons deux idées pour en découvrir le
rapport
, et cette comparaison est un jugement ; nous rapp
sont pas isolées et détachées les unes des autres, mais elles ont des
rapports
ou des différences. Il y en a qui s’accordent et
rs oratoire s’appelle période. En considérant la proposition sous le
rapport
oratoire, on lui donne le nom de période 1, et al
s à nos adorations et à nos hommages. Je conclus donc qu’elles ont du
rapport
entre elles, et par conséquent, j’affirme que Die
me disjonctif en expliquant le dilemme avec lequel il a un très-grand
rapport
. Exemples du syllogisme copulatif. Le suivant e
ue les raisons, les faits, ou les exemples qu’on produit, ont quelque
rapport
avec ce que l’on veut conclure. Plus ces rapports
produit, ont quelque rapport avec ce que l’on veut conclure. Plus ces
rapports
seront sensibles, plus ils seront nombreux, plus
prouver ou persuader ; au lieu que l’induction se forme de plusieurs
rapports
plus ou moins prochains, de plusieurs faits réuni
lus connues, sans prétendre épuiser la matière ; car chaque espèce de
rapport
peut fournir une espèce de preuve, et chaque espè
Différence qu’il y a entre les uns et les autres. Mais unis sous ces
rapports
, les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir se
oses il aime ; et ensuite remarquer dans la chose dont il s’agit quel
rapport
elle a avec les principes avoués ou avec les obje
conduite de l’orateur et de son client ; qu’ils aient, sous les mêmes
rapports
, une opinion défavorable de ses adversaires ; enf
étrangères. Mais comment sentir vivement des choses qui n’ont qu’un
rapport
indirect avec nous, ou même qui nous sont puremen
aque cause ou chaque sujet peut présenter. L’orateur doit établir un
rapport
entre lui le sujet et ses auditeurs. La sympathi
e de la communication des émotions entre eux, c’est en établissant ce
rapport
entre lui, son sujet et ses auditeurs, que l’orat
iétaires blessés comme lui, ou qui peuvent l’être un jour, et que ces
rapports
de situation et d’intérêt disposent à sympathiser
ions, ou des choses qui sont hors de sa personne, et qui ont pourtant
rapport
à lui. » (L. VI, c. 3.) Deux sortes de ridicule
t de la sagacité de l’orateur. » (De Orat., l. II, n. 307.) L’une a
rapport
aux diverses parties du discours. La première or
et de l’éloignement, un autre objet qui l’intéresse, et qui, par ses
rapports
avec l’objet dont il s’agit, dispose d’abord les
on réfléchit, on pénètre les principes des choses, on en découvre les
rapports
. Peu à peu les idées naissent, se multiplient ; p
du demandeur. » (L. VII, c. i.) Il est indiqué ordinairement par le
rapport
naturel qui existe entre les choses. En général,
er contre son adversaire, ou ce qu’il ne nie pas, ou ce qui n’a aucun
rapport
avec la question débattue. La précaution à prendr
ivé avant l’effet, ou ce qui arrive en même temps, sans y avoir aucun
rapport
. Souvent après l’apparition d’une comète, la terr
e ou injuste, bon ou mauvais que dans certains cas, que sous certains
rapports
, on le donne pour tel absolument et simplement. L
t style pour signifier la manière de s’exprimer ; mais c’est sous des
rapports
différens : il ne serait pas exact de les employe
lement ; ce mot renferme tout. Le point capital est de bien saisir le
rapport
naturel qui se trouve entre le sujet et le style
elui-ci ; cœtera quùm vitentur, hoc petitur. (L. VIII, c. 3.) Sous ce
rapport
, c’est le pire de tous. Exemple. L’avocat Lemaî
. Sous ce point de vue, il produit des beautés d’un ordre supérieur.
Rapport
qu’il y a entre le son des mots, les idées et les
d’idées, de sentimens, d’images, et parle de près à notre âme par le
rapport
des sons avec les paroles. » (Traité du Sublime,
sceptible d’harmonie. Cependant, tout inférieure qu’elle est sous ce
rapport
aux langues anciennes, elle est susceptible de se
t des sentimens qu’il sert à exprimer. Ces choses ont entre elles des
rapports
si intimes, qu’on ne peut connaître l’une sans co
l’expression qui lui est propre. Elle doit être considérée sous deux
rapports
. Dans l’application du principe de la convenance
ui il parle, leur caractère, toutes les circonstances qui ont quelque
rapport
à la situation où ils se trouvent et au sujet qu’
ues, il faut que les mots qui doivent l’exprimer conservent les mêmes
rapports
, les mêmes liaisons entre eux ; et c’est ce qui f
la justice. D’employer plusieurs fois la même préposition avec des
rapports
differens. Il faut éviter de placer plusieurs fo
de placer plusieurs fois dans une phrase la même préposition avec des
rapports
différens : ainsi la phrase suivante est vicieuse
un assemblage d’objets divers qui n’ont les uns avec les autres qu’un
rapport
assez éloigné, et que le lecteur ne peut que très
ulière, quoique tous les objets qui y sont réunis aient entre eux des
rapports
suffisans. Cette manière de les présenter, en mul
du, n’en trouve le sens qu’à la fin. Exemple : « Ainsi, sous quelque
rapport
que nous admirions Homère, ce qui nous frappe sur
euse invention. » La passion qu’on éprouve quand on écrit change le
rapport
des idées. Dans une même phrase l’idée principale
autre juge de sang-froid. Le langage de celui-là est l’expression des
rapports
que les choses ont à sa manière de voir et de sen
re de voir et de sentir ; le langage de celui-ci est l’expression des
rapports
qu’elles ont entre elles. » (Art d’écrire, ch. 14
lons plus facilement en lisant le second, et nous saisissons mieux le
rapport
qui existe entre tous les deux. La simple phrase
le ; 1°. la conformité des choses avec leur propre nature ; 2°. leurs
rapports
avec notre nature. Ainsi, un corps qui n’est pas
r nos yeux et notre attention ? parce que l’artiste a saisi le double
rapport
de la pose de ses figures avec la nature et avec
s les ouvrages d’esprit. Ainsi, dans les ouvrages d’esprit, ces deux
rapports
doivent également se trouver. Le premier, celui d
qui arrivent dans la signification des mots, sont fondés sur quelque
rapport
de dépendance, de ressemblance ou d’opposition en
elles sont forcées, recherchées, affectées, prises de loin, et que le
rapport
n’est point assez naturel, ni la comparaison asse
La vapeur qu’élève un sang répandu est un effet physique qui n’a nul
rapport
avec les sentimens généreux d’un sujet qui regret
fausse. Il faut que l’esprit saisisse facilement et promptement les
rapports
qui se trouvent entre l’image et la pensée qui en
t naturel, lui permet de saisir d’un coup d’œil toute la justesse des
rapports
qu’on vient d’établir. Nous allons parler de quel
ablir ou prouver une vérité, il entre dans tous les détails qui y ont
rapport
, il réunit une foule de circonstances qui concour
principal ; 2°. qu’elles soient justes, c’est-à-dire qu’il y ait des
rapports
réels, ou du moins de l’analogie entre l’objet co
jet. Cet objet a une nature et des qualités qui lui sont propres, des
rapports
avec d’autres objets. Que fait l’esprit par la pe
nsée ? Il prononce sur la nature et les qualités de cet objet, sur le
rapport
ou l’opposition qu’il a avec d’autres. Que faut-i
onc à lier des idées qui se répugnent, ou à désunir celles qui ont du
rapport
. Le style pécherait par la base, s’il s’éloignait
présente dans un sens et qu’on laisse entendre dans un autre ; là, un
rapport
délicat entre deux idées peu communes : c’est une
eu de dire citer. Avoir trait à quelque chose, au lieu de dire, avoir
rapport
à quelque chose. Être strict, au lieu de dire êtr
eprésentations dramatiques. Des pièces répréhensibles, sous plus d’un
rapport
, obtiennent un grand succès par le jeu des acteur
prodige, si on examine de près, combien les mouvemens du corps ont du
rapport
avec ceux de l’âme, et sont propres à les faire é
entend de deux manières ce qu’on appelle l’état de la cause, l’une a
rapport
à l’instruction du procès ; en ce sens on dit :
atoires de Cicéron et de Quintilien. Nous y avons puisé tout ce qui a
rapport
à nos usages judiciaires. Preuves directes ou d’i
venable. Ce qui est propre à nous émouvoir. L’orateur doit établir un
rapport
entre lui le sujet et ses auditeurs. Moyen d’y pa
sition. Son importance. Deux manières d’ordonner le discours. L’une a
rapport
aux diverses parties du discours. L’autre, aux id
dépend du sujet que l’on traite. Il est indiqué ordinairement par le
rapport
naturel qui existe entre les choses. Arrangement
ouceur est nécessaire dans le discours parlé. Dans le discours écrit.
Rapport
qu’il y a entre le son des mots, les idées et les
te d’harmonie, qu’on appelle harmonie imitative, qui consiste dans le
rapport
des sons de la langue avec les objets qu’ils expr
doux, égaux ou inégaux, faciles ou pénibles. Quoiqu’il n’y ait aucun
rapport
naturel entre le son et le mouvement, notre imagi
gement ressemble au sens, ou lui correspond. Nous avons déjà parlé du
rapport
du son de la langue avec les idées. Exemples. U
e du style En quoi elle consiste. Elle doit être considérée sous deux
rapports
. (1). On appelle ton, le caractère de noblesse,
se principale. D’employer plusieurs fois la même préposition avec des
rapports
differens. Manière de plaire Qui, que, dont, etc.
oses, les embrasse, les compare, afin de porter un jugement sur leurs
rapports
. On voit que la pensée ne diffère guère de ce qu’
: Dieu est bon, on exprime une pensée vraie, parce qu’elle marque le
rapport
et la convenance qu’il y a entre l’idée de Dieu e
e : le méchant est heureux ; ou lorsqu’elle désunit celles qui ont du
rapport
, comme si l’on disait : Dieu n’est pas juste. Lor
, on a de la peine à s’arrêter où il faut, comme fait Cicéron qui, au
rapport
de Quintilien, ne prend jamais un vol trop haut.
nous que par adoption ; et, si les esprits n’y sont pas habitués, le
rapport
en sera difficile à saisir. Il arrive aussi que,
’objet physique qui sert de point de comparaison, cette exactitude de
rapport
et cette vérité sensible qui saisit au premier co
evant ou à des esprits versés dans la poésie orientale, d’exprimer le
rapport
de deux extrêmes par l’image du cèdre et de l’hys
aine dignité de ton, dans un certain choix, une certaine élégance, en
rapport
avec le sujet, le but et les circonstances. La co
trop souvent à notre époque. Notre langue est moins favorisée sous ce
rapport
que la langue latine et plusieurs autres. Ce sent
’y soit pas jetée au hasard, mais mise à la place que déterminent ses
rapports
avec tel ou tel membre en particulier ; que chaqu
esprit, qu’il n’est autre chose qu’une perception vive et soudaine de
rapports
inaperçus par le vulgaire. Si, dans l’expression
e de rapports inaperçus par le vulgaire. Si, dans l’expression de ces
rapports
, vous ne dites pas tout, si, sans affectation, vo
esses. En voici un exemple dans la Mère coquette de Quinault. De faux
rapports
de valets gagnés par la mère coquette ont commenc
tre plaisant ; la réputation de Cicéron était si bien établie sous ce
rapport
que Caton l’appelait le consul facétieux. Homère
tent doivent s’abstenir de toute plaisanterie. Ses préceptes, sous ce
rapport
, sont de tous les temps et de tous les lieux. Ecr
ifications diverses qu’ont pu leur donner les bons écrivains. Sous ce
rapport
, il manque encore à notre langue un bon dictionna
à l’idée première que dans les orientalismes cités plus haut. Sous ce
rapport
il y a progrès. Aussi lorsque le redoublement est
le satisfait si pleinement, qu’il n’imagine rien au delà. Elle est le
rapport
exact de la pensée et des mots, le juste milieu e
n réussit moins en se donnant plus de peine. J’ai observé que sous ce
rapport
les nations ressemblent aux individus. On nous a
rmon sur la loi chrétienne, par le père Bourdaloue. « Division. Deux
rapports
sous lesquels nous devons considérer la loi chrét
eux rapports sous lesquels nous devons considérer la loi chrétienne :
rapport
à l’esprit, et rapport au cœur sous ces deux rapp
els nous devons considérer la loi chrétienne : rapport à l’esprit, et
rapport
au cœur sous ces deux rapports, ses ennemis ont v
loi chrétienne : rapport à l’esprit, et rapport au cœur sous ces deux
rapports
, ses ennemis ont voulu la rendre également mépris
arathon, donnée l’an 490 avant Jésus-Christ. Ce qu’on peut assurer au
rapport
de Thucydide, qui a écrit l’histoire de la guerre
rdinairement aux plaidoyers et aux consultations, aux mémoires et aux
rapports
de procès. I. Des Plaidoyers et des Consultatio
susceptible de diverses interprétations. II. Des Mémoires, et des
Rapports
de Procès. Dans les affaires d’une bien grande
our instruire, plaire et toucher de la manière la plus convenable. Le
Rapport
d’un procès est un discours fait par un des juges
r l’administration de la justice, ou sur des objets qui y ont quelque
rapport
; les Mercuriales, discours dans lesquels le prem
ronologie, de critique qu’on éclaircit ; ou d’autres objets qui y ont
rapport
. Il est aisé de sentir que ces sortes de discours
peut conjecturer que les ministres mettent tout leur soin à faire des
rapports
exacts, à appuyer leur avis par des raisons forte
gique nous portent dans une sphère plus élevée, elles nous mettent en
rapport
avec des objets d’un genre plus sévère, c’est-à-d
t : elle suppose la possession d’organes délicats. La correction a un
rapport
plus direct avec la perfection que le goût reçoit
des vents, le bruit d’une cataracte ou celui des flots, quoique sans
rapport
avec l’étendue, sont cependant grands et sublimes
ns morales qui nous inspirent un haut degré d’admiration, n’ont aucun
rapport
avec le terrible, et cependant produisent en nous
est évident que, de ces sources, les deux premières seulement ont un
rapport
direct au sublime. Les autres constituent les bea
e genre de style. La vigueur d’une description naît, sous beaucoup de
rapports
, de la concision et de la simplicité ; mais elle
me sur une infinité d’exemples ingénieux. Le mouvement, qui n’a aucun
rapport
avec la forme, est aussi une nouvelle source du b
os amis des sentiments plus doux, plus agréables, qui ont beaucoup de
rapport
avec ceux que produit le beau. La peinture ornée
s. Une autre source du beau est celle qui naît de la convenance ou du
rapport
des parties ; si nous examinons une plante, nous
ertains sons articulés, ou modulations de la voix. Sans rechercher le
rapport
qu’il y a entre nos idées et les paroles qui serv
ispersés, occupés à paître leurs troupeaux, n’ayant entre eux que des
rapports
passagers, parvinrent-ils à former des collection
furent donc sans doute les premiers éléments des langues. Lorsque des
rapports
plus intimes devinrent nécessaires, nous devons p
l’objet décrit ; que les mots qui expriment des idées morales ont un
rapport
plus ou moins parfait avec les objets sensibles q
mme les objets avec lesquels ils se trouvaient le plus fréquemment en
rapport
étaient les choses physiques et naturelles qui le
r la place qu’ils occupent dans la phrase qu’on peut déterminer leurs
rapports
: c’est un changement important dont nous aurons
primer les relations que ces objets avaient entre eux, telles que les
rapports
de liaison, de contrariété, d’analogie, et autres
t-à-dire d’énoncer les différentes vues de l’esprit, et d’établir des
rapports
. Si l’on demande quelle est, de ces deux méthodes
aître d’autant plus étrange que les genres, les nombres, les cas, les
rapports
, sont entièrement inutiles pour exprimer de pures
es avoir et être, unis aux participes, remplacèrent, sous beaucoup de
rapports
, la diversité des terminaisons des temps et des m
objet. Il résulte de ce que j’ai dit qu’un auteur peut, sous certains
rapports
, être clair, quoiqu’il soit fort éloigné de la pr
’harmonie. Jusqu’ici nous avons considéré la phrase sous ces trois
rapports
principaux, la clarté, l’unité et la force, nous
ngage. Les hommes, voyant que leurs idées se multipliaient avec leurs
rapports
et leurs connaissances, et que les noms des objet
ller à ne pas en faire l’application d’une manière qui ne soit pas en
rapport
avec leur signification. Les figures sont d’un gr
qu’avec la certitude que les deux termes sont bien connus, et que le
rapport
en est juste et sensible. » Évitez aussi avec so
rme principal de cette espèce de style figuré ; nous nous trouvons en
rapport
avec toute la nature, notre intérêt est excité po
s ouvrages sont dignes d’être consultés à cet égard, et sous d’autres
rapports
, comme modèles de plusieurs ornements du style. «
ipale jouissance que nous procure la comparaison est de découvrir des
rapports
entre des objets qui ne paraissent pas en avoir a
essemblance trop frappante, il faut aussi éviter de l’établir sur des
rapports
trop éloignés ou trop difficiles à saisir, car, a
nombreuse sans doute, puisqu’elle comprend Platon et Aristote sous le
rapport
du style. Cicéron et Quintilien admettent une tri
ppose la concision à la prolixité. Chacun de ces genres a beaucoup de
rapport
avec ceux dont nous venons de parler. Les écrivai
à la variété des parties ou à l’affectation de la pensée, n’a plus de
rapports
avec le style. La troisième acception du mot simp
s que les anciens auteurs sont toujours les plus remarquables sous ce
rapport
. La raison en est facile : c’est qu’ils écrivaien
te première indication peut, au premier aspect, paraître avoir peu de
rapport
avec le style ; cependant ses relations avec lui
ous ce point de vue qu’elle est devenue l’objet de l’art, et, sous ce
rapport
, elle peut être définie l’art de la persuasion. C
t à l’enthousiasme, sources fécondes de la poésie. Mais, tant que les
rapports
des hommes entre eux furent rares, que la force e
classés avec convenance ; sa méthode est claire ; et, sous ce dernier
rapport
, il a quelque supériorité sur Démosthène. Nous tr
t marqués dans leurs écrits, que cette comparaison est, sous bien des
rapports
, évidente et facile. Le caractère de Démosthène e
complète. Des sujets fantastiques et imaginaires, qui n’avaient aucun
rapport
aux besoins de la vie ou aux affaires, étaient le
magination. Massillon a plus de grâce, de sentiment, et sous tous les
rapports
, dans mon opinion, plus de génie. Il montre une p
présenter. Toutes les fois que quelques-unes de ces règles auront un
rapport
plus spécial avec le barreau, la chaire ou les as
l a de l’éloignement, un autre objet qui l’intéresse, et qui, par ses
rapports
avec l’objet dont il s’agit, dispose d’abord les
e que de puiser l’introduction dans quelque lieu commun qui n’a aucun
rapport
spécial avec le sujet qu’on traite. Elle paraît a
eaucoup de profondeur et de subtilité la nature des passions. Sous le
rapport
philosophique, la lecture de ce traité peut être
de la loi, et de tout ce qui peut être utile à sa profession sous le
rapport
doctrinal ou expérimental, pour soutenir et conva
oix, la déclamation accompagnée de gestes, les travaux d’analyse, les
rapports
sur des questions philosophiques et littéraires,
ce politique ; et le genre judiciaire des anciens ne peut, sous aucun
rapport
, se comparer à l’état actuel du barreau moderne,
t du travail de ceux qui se destinaient à la profession d’avocats. Au
rapport
de Cicéron lui-même, trois mois suffisaient pour
us les faits, toutes les circonstances qui peuvent avoir avec elle le
rapport
le plus éloigné. C’est l’unique moyen de préparer
e peindre ce qui le frappe. S’il considère le monde physique dans ses
rapports
avec son âme et ses sentiments, la nature lui sem
quels on peut considérer les choses. On peut les envisager dans leurs
rapports
avec nos sens, avec notre être matériel, avec not
ar leurs qualités sensibles. On peut encore les considérer dans leurs
rapports
avec notre âme, nos idées, nos sentiments et nos
s sur les autres, et de chacune sur le tout ; saisir là multitude des
rapports
entre des intérêts qui semblent éloignés ; faire
ne à s’imaginer qu’il s’occupait avec plaisir de tout ce qui avait du
rapport
avec l’objet de son amour. Cet amour cependant n’
i unissent ensemble toutes les parties du monde, ne sont plus que des
rapports
de gravitation, des êtres purement mathématiques.
fférence de cas, c’est que, avec le nom de personne, il y a plutôt un
rapport
d’attribution, et avec le nom de chose, un rappor
, il y a plutôt un rapport d’attribution, et avec le nom de chose, un
rapport
de tendance.) X Après les adjectifs ou les
uent plutôt une inclination de la volonté, une tendance morale, qu’un
rapport
d’attribution. Ainsi, au lieu de dire : Æquus omn
c., on omet ordinairement les prépositions à ou ab, è ou ex, quand le
rapport
de séparation est peu sensible ; ce qui a lieu su
tifs de talis, tot, tantus, etc., quand on veut mieux faire sentir le
rapport
de similitude. Ex. : Quantùm in bello fortis anim
n temps de guerre. La phrase a une grâce particulière quand il y a un
rapport
de supériorité entre les deux membres. Ex. : Quan
Le gérondif en do se met avec la préposition in, quand il exprime un
rapport
d’union et répond à la question en quoi. Ex. : Is
La préposition è ou ex, qui répond à la question undè, exprime un
rapport
d’extraction, de séparation, et désigne la sortie
préposition à ou ab, qui répond aussi à la question undè, exprime un
rapport
d’éloignement, et se dit également des personnes
e ; ad nutum, au moindre signe de tête ; nihil ad rem, cela n’a aucun
rapport
avec la chose ; nihil ad vos, cela ne vous regard
es, ou conjonctions de subordination. 1° Conjonctions exprimant des
rapports
de coordination. Les conjonctions latines expr
s rapports de coordination. Les conjonctions latines exprimant des
rapports
de coordination répondent généralement aux conjon
l’intention, le but, le motif de la première proposition. Il y a donc
rapport
de dépendance ou de subordination. 9. Si la prop
ents ? Il est clair que, s’ils ont entre eux quelque liaison, quelque
rapport
de cause à effet, celui-là devra passer d’abord d
urs sortes d’histoires : l’histoire des hommes, considérés dans leurs
rapports
avec la Divinité, ou l’Histoire de la religion ;
ité, ou l’Histoire de la religion ; l’histoire des hommes, dans leurs
rapports
entre eux, ou l’Histoire profane ; et l’Histoire
fie à mesure que des découvertes nouvelles font connaître de nouveaux
rapports
entre les êtres ; tandis que l’histoire, dans son
de l’ouvrage : tous les objets détaillés, mesurés, placés selon leurs
rapports
symétriques entre eux et avec le tout, y seraient
tat perpétuel de comparaison. Il faudrait présenter non seulement les
rapports
des causes et des effets qui occupent la scène du
s nôtres doivent contenir une multitude de détails et des milliers de
rapports
dont les anciens ne soupçonnaient pas l’existence
scurité du style naît le plus souvent de la confusion ou du vague des
rapports
entre eux ; et c’est de tous les vices du style l
uction des phrases et de l’enchaînement des idées. Considérée sous le
rapport
des mots et des phrases, elle exige pureté et pro
, l’oreille enfin qu’il ne doit jamais négliger ; et, sous ces divers
rapports
, il sera clair pour l’entendement, vif et animé p
e ses oraisons funèbres. Jusqu’ici nous avons parlé du style sous les
rapports
de l’expression de la pensée ; nous allons le con
suppose un esprit vif et une âme sensible : un esprit vif saisit les
rapports
, les ressemblances et les différences, et les pei
ns les arts, l’homme exprime l’idée qu’il en a conçue dans son double
rapport
avec Dieu et avec la nature. 3° Sentiment du b
ont elle nous donne une vague révélation. On voit par là qu’il y a un
rapport
immédiat entre le sublime et l’idéal. Impressio
ve plus dans notre nature, dans nos idées habituelles, aucun point de
rapport
, aucun point de comparaison. Le sublime s’élance
tie de la rhétorique. Quand le sujet a été trouvé et médité, ce qui a
rapport
à l’invention : quand les parties ont été disposé
phrases, imitative et des périodes ; 3° Le choix des pensées ; 4° Les
rapports
des pensées entre elles, qui sont : l’Unité, la T
pression des auteurs classiques, avait conseillé cet Ouvrage dans son
rapport
du 25 floréal an xi (15 mai 1803), rapport qui fu
eillé cet Ouvrage dans son rapport du 25 floréal an xi (15 mai 1803),
rapport
qui fut entièrement adopté par Sa Majesté Impéria
ls ont été désignés par des mots distincts ; mais encore les moindres
rapports
qui les unissent, les moindres différences qui le
le bois craque, que la rivière coule, et que le ruisseau murmure, le
rapport
entre ces mots et la chose qu’ils expriment est f
vons un exemple frappant dans les langues américaines, qui, selon les
rapports
les plus authentiques, fourmillent d’images et de
emps dérivés. Le verbe, comme nous l’avons vu précédemment, a quelque
rapport
avec l’adjectif : comme lui, il exprime l’attribu
me lui, il exprime l’attribut d’une personne ou d’une chose ; mais le
rapport
finit là : car, dans toutes les langues, les verb
tifs. C’était encore peu de lier les objets ensemble pour marquer les
rapports
qui pouvaient exister entre eux : il a fallu réun
ns toutes les langues, l’adjectif doit, par sa position, indiquer son
rapport
avec le substantif. Une fois que les substantifs
prépositions doivent être placées de manière à montrer clairement les
rapports
qu’elles expriment, et les conjonctions doivent t
rait bien incomplète, si elle ne possédait aucun moyen d’exprimer les
rapports
des objets entre eux. Mais ces rapports peuvent ê
it aucun moyen d’exprimer les rapports des objets entre eux. Mais ces
rapports
peuvent être innombrables, et l’esprit humain ne
ndant, lorsqu’avec le temps ils eurent appris à discerner de nouveaux
rapports
que n’exprimait pas la déclinaison des noms, ils
uent les cas des substantifs et les temps des verbes, et indiquent le
rapport
mutuel des mots d’une proposition, quelle que soi
grammaire de notre pays. Mais, si nous devons nous trouver souvent en
rapport
avec les autres hommes et agir sur leurs opinions
n présente dans un sens et qu’on laisse entendre dans un autre, là un
rapport
délicat entre deux idées peu communes ; c’est une
es qualités générales des pensées considérées en elles-mêmes ; 2° les
rapports
des pensées entre elles ; 3° la forme particulièr
s. La pensée est encore juste, quand elle établit entre deux faits un
rapport
réel, comme quand je dis : Le mensonge est un mal
n mal ; j’établis alors, entre l’idée de mal et celle de mensonge, un
rapport
que ma raison affirme être vrai. On ne saurait ex
lui paraîtrait froid et insuffisant ; il lui faut une illusion, et le
rapport
créé par le poëte lui semble juste, précisément p
’examen de sa propre raison. II. Des pensées considérées dans les
rapports
qu’elles ont entre elles. Il ne suffit pas que
sentielles, justesse et netteté ; il faut encore qu’il y ait certains
rapports
établis entre les idées accessoires qui se rattac
entretenir le reste. De la gradation des pensées. Un troisième
rapport
à établir entre plusieurs pensées réunies, c’est
troisième rapport à établir entre plusieurs pensées réunies, c’est un
rapport
de gradation. Les idées doivent être disposées de
is il existe entre le ait exprimé et un autre qu’on désigne à demi un
rapport
caché, qui donne à la pensée un tour plus piquant
certaine mesure que la raison doit indiquer : il faut qu’il y ait un
rapport
entre les deux idées, malgré la contradiction app
ée pour les pensées : l° les qualités générales de la phrase ; 2° les
rapports
des phrases entre elles ; 3° les formes particuli
arranger les mots de telle sorte, qu’on puisse saisir rapidement les
rapports
qu’ils ont entre eux. Ainsi, le verbe doit être p
tes qui les séparent. Buffon est particulièrement remarquable sous ce
rapport
; il est bien rare de trouver, dans ses ouvrages,
devenir l’expression du sens. L’harmonie, considérée sous ce dernier
rapport
, prend le nom d’harmonie imitative. L’harmonie i
lit de ne point la blesser. II. Des phrases considérées dans les
rapports
qu’elles ont entre elles. La liaison des phras
s’en servit plus tard pour exprimer l’existence morale de l’homme en
rapport
avec une situation quelconque de fortune ou d’esp
ivement à désigner un objet, puis appliqué à un second objet qui a du
rapport
avec le premier. Ainsi on dira ce lion, en parlan
té par lequel elles se ressemblent, et de saisir l’analogie lie leurs
rapports
: ce léger travail est pour l’esprit un exercice
de sa sagacité. « Il faut, dit La Harpe, que la métaphore exprime un
rapport
unique et fondé sur la nature des choses : rien n
emploie le nom d’un objet pour le nom d’un autre, lorsqu’il existe un
rapport
tel entre les deux objets, que l’esprit aille nat
ant les mots que les idées dont ils sont l’expression, et surtout les
rapports
qui unissent ces idées entre elles, afin que, si
flexions de la voix doivent être accompagnées de gestes qui soient en
rapport
avec elles. Le geste comprend le jeu de la physio
contenir de superflu ; mais elle ne doit rien omettre de ce qui a un
rapport
réel avec le sujet. Quand on nous raconte quelque
est rare encore qu’après bien des réflexions on en saisisse tous les
rapports
. On ne peut donc trop s’en occuper ; c’est même l
ions forcées ; qu’en un mot il y a tant d’ouvrages faits de pièces de
rapport
, et si peu qui soient fondus d’un seul jet. « Cep
ésente, foutes les beautés intellectuelles qui s’y trouvent, tous les
rapports
dont il est composé, sont autant de vérités aussi
premier âge. Tout ce que l’enseignement nous transmet, doit avoir un
rapport
direct avec les occupations qui nous attendent au
iellement dans la figure dont nous venons de parler. Mais de tous les
rapports
qui peuvent exister entre les choses et les mots,
et les mots, il n’en est aucun qui soit plus fécond en tropes, que le
rapport
de ressemblance ou de similitude. — De là, La Mét
tat comme une colonne, je fais une similitude, parce que j’établis un
rapport
sensible entre le ministre et la colonne. Si je v
etc., je fais une comparaison, parce que j’exprime tous les points de
rapport
des deux objets comparés. Mais si je dis simpleme
peine à saisir une idée principale, présentée à la fois sous tant de
rapports
différents36. C’est donc un point essentiel de n’
t naturel, lui permet de saisir d’un coup d’œil toute la justesse des
rapports
que l’on vient d’établir. Telle est celle que j’a
uere Deos. Tout le faux de cette pensée est facile à découvrir. Quel
rapport
entre les Dieux créant le monde, et les Belges op
ssent aux bois, aux rochers, etc., lors surtout que ces objets ont un
rapport
marqué avec ce qui les affecte. Ainsi le malheure
fatiguer son auditoire, en le forçant à chercher entre les choses des
rapports
éloignés ou imaginaires. N’oublions pas que la la
Et le poëte poursuit la comparaison jusqu’à ce qu’il ait épuisé les
rapports
. La catachrèse supplée à l’insuffisance de la la
Les enfants, dont l’imagination toujours en éveil saisit partout des
rapports
, font un grand usage de cette figure. Leur mémoir
aux détails familiers de la vie. Souvent aussi sa comparaison est un
rapport
brièvement exprimé, qui jette sur sa pensée comme
élémentaire, et obvier aux inconvénients que présentent sous quelques
rapports
les ouvrages du même genre. Vous appuyant d’auteu
n homme très compétent le volume intitulé : Poétique, etc. D’après le
rapport
qui m’en a été adressé, j’ai la satisfaction de v
ié l’examen aux professeurs de littérature de mon petit séminaire. Le
rapport
qu’ils me font de votre Cours loi est très favora
Tous les mots qui composent une phrase, ont nécessairement un certain
rapport
entre eux, et dépendent les uns des autres. Mais
ent les uns des autres. Mais il y en a toujours quelques-uns, dont le
rapport
et la dépendance sont plus marqués. Ce sont les m
e mot, dont il dépend (celui-ci est le régissant), a particulièrement
rapport
: = Le luxe entraîne presque toujours la corrupti
t le régime composé ou relatif. Le régime est simple, quand il y a un
rapport
direct entre le mot régi, et le mot régissant : i
nvenir qu’au verbe actif. Le régime est composé, quand il n’y a qu’un
rapport
indirect entre le mot régi et le régissant : il e
en a point avant le plus ingrats. Si l’adjectif superlatif exprime un
rapport
, une comparaison, le est article, et prend le gen
ral, aucune difficulté. On peut néanmoins les employer, quand ils ont
rapport
à des choses inanimées qu’on personnifie : = c’es
part et d’autre en désespérés. Il ne faut jamais répéter on avec deux
rapports
différents : = on croit n’être pas trompé ; et l’
rrait se l’imaginer. On n’a besoin, pour la bien saisir sous tous ses
rapports
, que d’une attention un peu suivie, mais en se ra
récédé d’une préposition exprimée ou sous-entendue. Les deux premiers
rapports
, sous lesquels je considère cette règle, sont ceu
sont ceux-ci. Règle du participe, considérée sous ses deux premiers
rapports
. 1°. Le participe est indéclinable, c’est-à-di
’ils ont établi. Règle du participe, considérée sous son troisième
rapport
. Dans les verbes actifs, et dans les verbes ré
e qualifier. Voici des exemples des mêmes mots employés sous ces deux
rapports
. = Les hommes bas vont toujours rampant devant le
ment celle qu’il compare et celle à laquelle il compare, et rende les
rapports
saisissables à première vue ; qu’il évite dans l’
supposée ; lumineuse, en sorte que cette vérité et cette justesse de
rapports
frappent l’esprit à l’instant, et n’y laissent ja
est d’être entendu. Nous pouvons nous permettre beaucoup plus sous ce
rapport
; n’allez point cependant amonceler dans un ouvra
transparence exigées, il pénètre bientôt plus avant et saisit chaque
rapport
entre la pensée et l’image. Au premier rang des a
concurrerent litterœ. On s’est fait une fausse idée du latin sous ce
rapport
. Parce que plusieurs modernes ont dit en latin de
ton, est la splendeur du vrai. En effet, le vrai montré dans tous ses
rapports
et sous toutes ses faces, le vrai montré à toutes
’écrire convenablement une lettre, de rédiger clairement un récit, un
rapport
, et de faire triompher partout le bon sens et le
e de grand, ou démontrer, par des conceptions originales, de nouveaux
rapports
entre les objets. 12. Le talent est une disposit
ent qu’à celui qui crée ou qui féconde avec originalité, découvre des
rapports
qu’on n’avait pas signalés, et trouve des moyens
ès, est cette sagacité d’intelligence qui saisit entre les objets des
rapports
délicats et cachés, et qui se manifeste dans le d
et qu’on affirme cette convenance, c’est le jugement qui aperçoit un
rapport
entre Dieu et la bonté. Puisque le vrai est le fo
est un acte par lequel l’intelligence compare deux idées et juge des
rapports
qu’elles ont entre elles. C’est à peu près ce que
on que l’esprit se forme des objets. La pensée est l’affirmation d’un
rapport
qu’on aperçoit entre deux idées par suite d’une c
disais : Tout homme est juste, la pensée serait fausse, parce que ce
rapport
de convenance n’existe plus. Voltaire a dit : Du
ste est celle qui est parfaitement conforme à son objet, sous quelque
rapport
qu’on la considère. La justesse dit donc plus que
justes, parce qu’elles ne conviennent pas à leur objet sous tous les
rapports
et dans toutes ses parties. La raison du plus for
. 78. La clarté et la vérité des images dépendent du plus ou moins de
rapports
qui existent entre un sentiment ou une idée et l’
choqué de cette image fausse et ridicule, parce que je ne vois aucun
rapport
entre l’idée du poète et l’objet auquel il la com
s de phrase qui ont entre eux une relation plus intime, afin que leur
rapport
soit clairement saisi par l’esprit du lecteur. Si
es particules, et bien voir d’avance si le lecteur en saisira le vrai
rapport
. Voici quelques phrases qui pèchent contre cette
est défectueuse quand elle est forcée, prise de trop loin, et que le
rapport
n’est point assez naturel et assez sensible. Une
aufrage, et les trois mots berceau, flotté, submergés sont en parfait
rapport
avec cette comparaison. 174. Il y a beaucoup de t
s, justes, nobles et sobrement ménagées. La comparaison a beaucoup de
rapports
avec la métaphore, et tout ce que nous avons dit
e sons qui plaisent à l’oreille par leur accord entre eux ou par leur
rapport
avec les choses qu’ils expriment. De là deux sort
mélodieux. Les ouvrages de philosophie et d’histoire exigent sous ce
rapport
beaucoup moins d’attention que la poésie et l’élo
a période est déterminée par les particules qui annoncent d’avance le
rapport
et la dépendance des propositions qui vont suivre
plus à la beauté de la période, c’est une marche progressive sous le
rapport
des mots et sous le rapport des idées. La progres
ode, c’est une marche progressive sous le rapport des mots et sous le
rapport
des idées. La progression des idées satisfait l’e
onie imitative. 243. L’harmonie imitative consiste dans le parfait
rapport
des sous avec les choses que les mots expriment.
usqu’à l’harmonie la plus ravissante. Il faut étudier surtout sous ce
rapport
Cicéron, Bossuet, Massillon et Fléchier. Citons q
ions principales à prendre : s’interdire les livres dangereux sous le
rapport
moral, ne pas lire ceux qui pourraient altérer le
e. Pour cela, il faut en développer les circonstances, en montrer les
rapports
avec les actions, les temps, les lieux, les mœurs
qui se ressemblent, et qu’on les compare ensemble pour en montrer les
rapports
et les différences, ce rapprochement prend le nom
quement de la comparaison de deux écrivains qui ont entre eux quelque
rapport
de ressemblance. Ainsi Chateaubriand a comparé Vi
actères de ces personnages. Homère excelle dans cet art ; et, sous le
rapport
des caractères, il est bien supérieur à Virgile e
e exige qu’elle soit renfermée dans certaines limites, sous le triple
rapport
du sujet, de l’espace et de la durée. Il faut don
e faire sentir, entre les plus grandes choses et les plus petites, un
rapport
qui nous cause une vive surprise. Une excellente
u’il a créé des hommes ; et, s’il les groupe, leurs contrastes, leurs
rapports
, leur action, leur réaction mutuelle, sont encore
frappants qui jusqu’à lui nous avaient échappé, des accidents et des
rapports
sur lesquels nos regards ont glissé mille fois. L
ibuent-ils beaucoup ii faire valoir les pensées ? 85. Sous combien de
rapports
peut-on considérer les mots ? 86. Que faut-il obs
La poésie n’est-elle pas indépendante du langage mesure ? 382. Quels
rapports
y a-t-il entre la poésie, la peinture et la musiq
ssures de toute espèce. » (Études sur Aristote, p. 196.) Aristote, au
rapport
de Cicéron, avait écrit un livre dans lequel il e
composition dramatique peuvent arriver à une grande habileté sous le
rapport
du style et des mœurs, avant de savoir constituer
chent qu’elle est terrible, puis que, plus tard, ils reconnaissent le
rapport
d’amitié existant, comme l’Œdipe de Sophocle. Cel
ument mauvais61. IV. Le second point, c’est que (les mœurs) soient en
rapport
de convenance (avec le personnage). Ainsi la brav
re chose que de représenter un caractère honnête et (un caractère) en
rapport
de convenance (avec le personnage), comme on l’a
ces divers points et, en outre, ce qui s’adresse aux sens dans leurs
rapports
nécessaires avec la poésie, car on peut faire sou
aux spectateurs. III. Il faut mettre autant de faits qu’on le peut en
rapport
avec les rôles, car, en vertu de la nature même,
II. Le cas est ce qui, dans un nom ou dans un verbe, marque tantôt le
rapport
de possession ou de destination, ou tout autre an
t celui d’unité ou de pluralité, par exemple, homme ou hommes : ou le
rapport
de rôle joué, comme, par exemple, s’il s’agit d’u
t bien doué, vu que, bien placer une métaphore, c’est avoir égard aux
rapports
de ressemblance. XIII. Parmi les noms, ceux qui s
et dont chacun en particulier a, selon les hasards de la fortune, un
rapport
avec tous les autres. II. En effet, de même que,
les compositions étaient moins considérables que les anciennes et en
rapport
avec le nombre des tragédies données dans une rep
’il s’agit des réfutations oratoires, si une même chose a été mise en
rapport
avec la même chose et de la même façon, si le poè
μετρίαν) de terreur. II. Le rire est produit par l’élocution dans ses
rapports
avec l’homonymie, la synonymie, le babil, la paro
re178. La Rhétorique Livre premier Chapitre premier
Rapports
de la rhétorique et de la dialectique. — Utilité
ains faits existant réellement, quelque autre fait se produit dans un
rapport
quelconque avec ces faits, en raison de l’univers
uns, mais ce qui est, vis-à-vis des choses contingentes, dans le même
rapport
que le général est au particulier. XVI. Quant aux
ion et montré dans quel sens il faut l’entendre. Ce n’est pas dans le
rapport
de la partie au tout, ni du tout à la partie, ni
tie au tout, ni du tout à la partie, ni du tout au tout, mais dans le
rapport
de la partie à la partie, et du semblable au semb
côté des faits énoncés, considérés soit en eux-mêmes, soit dans leurs
rapports
entre eux, il s’ensuit, évidemment, que l’on devr
s, c’est qu’ils sont heureusement doués, tout ensemble sous le double
rapport
de la vigueur et de l’agilité. La beauté de l’hom
, d’une manière générale, prendre les éléments de ce débat dans leurs
rapports
avec le bien et l’utile. II. Le bien, ce sera la
u, car on nous en fait d’autant plus d’honneur. De même ce qui est en
rapport
de convenance avec nous-mêmes ; or de tels avanta
ets. Ce qui surpasse est grand ; ce qui est en défaut est petit. Même
rapport
entre beaucoup et peu. III. Donc, comme nous diso
emme. En effet, les différences en plus des espèces sont dans le même
rapport
que les plus grands individus qu’elles comprennen
mportantes et plus honorables sont, pour la même raison, dans le même
rapport
avec ces choses. XXI. Ce que jugeraient ou ce qu’
e pays où l’on parle. Les arguments seront produits sous une forme en
rapport
avec les mêmes (mœurs). En effet, les mœurs se ré
our quels motifs et par quels moyens nous pourrons avoir un succès en
rapport
avec la circonstance donnée, voilà autant de poin
ination, il faut s’efforcer de montrer son héros faisant des actes en
rapport
avec son dessein. Or il est utile qu’on le voie s
r de côté de telles distinctions, et s’appliquer plutôt à examiner le
rapport
de telle nature à telle action. En effet, que l’a
parente, ou éloignée. De même celui qui n’encourt pas une punition en
rapport
avec l’utilité de l’action commise, ce qui paraît
faut maintenant parler de la bienveillance et de l’amitié dans leurs
rapports
avec les passions. Or la passion, c’est ce qui, e
dépôt confié, car c’est là un effet de l’improbité. IV. Avoir eu des
rapports
d’une nature illicite au point de vue de la perso
e sentiment nous anime encore à l’égard de ceux qui ont avec nous des
rapports
d’âge, de caractère, de profession, d’opinions, d
’âge, de caractère, de profession, d’opinions, de naissance : car ces
rapports
nous font d’autant mieux voir que la même épreuve
orrélation et convenance (par exemple, la beauté des armes n’a pas de
rapport
de convenance avec le juste, mais avec le brave ;
s contraires et, généralement, le bonheur et le malheur. III. Sous le
rapport
des mœurs, les jeunes gens sont susceptibles de d
défient pas, non plus, de tout le monde, mais leurs jugements sont en
rapport
avec la vérité. Ils ne vivent pas rien que pour l
ui nous viennent de la fortune. Nous avons parlé des mœurs dans leurs
rapports
avec l’âge et avec la fortune. Les mœurs des gens
quelle manière et avec quels arguments nous mettrons les discours en
rapport
avec les mœurs. II. Mais, comme chaque genre de d
e plus, on a spécifié les arguments dont se composent les discours en
rapport
avec les mœurs, il nous reste à discourir sur les
aussi. XII. Si l’une des deux choses qui se trouvent naturellement en
rapport
est possible, l’autre l’est pareillement. Par exe
portent sur les éventualités admissibles et sur les faits le plus en
rapport
avec la circonstance. XI. Lorsqu’il s’agit d’inci
isième rythme et fait suite aux rythmes précités ; car il est dans le
rapport
de 3 à 2, et, des deux précédents, l’un est dans
t dans le rapport de 3 à 2, et, des deux précédents, l’un est dans le
rapport
de 1 à 1, et l’autre dans celui de 2 à 1. Vient a
le rapport de 1 à 1, et l’autre dans celui de 2 à 1. Vient après ces
rapports
l’hémiole (sesquialtère) ; or c’est celui du péan
; le poète les a placées au moyen de la métaphore par analogie, et le
rapport
du rocher à Sisyphe est celui de l’être sans hont
ite pour exemple l’exorde de l’Hélène, d’Isocrate. Car il n’y a aucun
rapport
entre les œuvres de controverse et l’Hélène 669.
x. 5. Ἁρμονία. C’est, ici, la musique, considérée uniquement sous le
rapport
des sons mélodiques. 6. Flûte de Pan. 7. Ou plu
ui, selon toute apparence, l’art du poète ne va pas plus loin sous ce
rapport
que l’art du musicien. L’un et l’autre épurent en
M. Norbert Bonafous rappelle, à cette occasion, d’après Dinarque, les
rapports
de Démosthène l’orateur avec Nicanor. 410. Euphr
hme sesquialtère, c’est-à-dire comportant cinq pieds disposés dans le
rapport
de trois à deux ou de deux à trois. (Aristoxène,
sse que la raison exige, il faut que l’écrivain saisisse et marque le
rapport
, ou la disconvenance des idées dont elle est comp
lectuels. La terre est ronde. Voilà une pensée vraie : elle marque le
rapport
et la convenance qu’il y a entre l’idée de terre
n emploie des termes équivoques, c’est-à-dire, susceptibles de divers
rapports
, de diverses interprétations. Dans cette phrase :
ers mots sont mal placés, et par-là deviennent susceptibles de divers
rapports
, puisqu’on pourrait les faire rapporter au verbe
de l’histoire, n’aurait-il pas bien de la peine à démêler les divers
rapports
du mot prince et du pronom il, employé tant de fo
ance de roi de Sainte-Margueriteb, il emmena avec lui son captif . Le
rapport
de ce pronom il, placé avant le verbe nommer, est
e servir d’un nom pour un autre, lorsqu’il y a entre ces deux noms un
rapport
de relation. Cette manière de s’exprimer se fait
anière particulière. Quant aux figures de pensées, il y a un si grand
rapport
entre elles et les différentes espèces de style,
le privilège de l’homme, le plus haut intérêt s’attache à l’étude des
rapports
entre la parole et la pensée ; cette étude est l’
l’éloquence. 1. De la rhétorique. — 2. De l’éloquence. — 3. Leurs
rapports
. — 4. Origine de la rhétorique. — 5. Utilité de l
que est à la poésie, ce que la logique est au raisonnement. 3. Leurs
rapports
. — Une conviction profonde, une passion ardente p
istoire, à la philosophie, h la morale, elles ont avec l’éloquence un
rapport
si étroit que personne ne contestera l’utilité de
nstratif. — 3. Du genre délibératif. — 4. Du genre judiciaire. — 5.
Rapports
entre les trois genres. 1. Des trois genres de
la parole. Elle s’accorde avec les lois logiques de la pensée par un
rapport
si étroit qu’elle doit précéder et préparer toute
des, des principes aussi solides, des caractères aussi distincts. 5.
Rapports
entre les trois genres. — Si exacte que soit cett
loyés, ces matériaux arrangés. Elle enseigne le plan du discours, les
rapports
et la progression des sentiments et des idées ; e
présente. dans un sens et qu’on laisse entendre dans un autre, là un
rapport
délicat et deux idées peu communes ; c’est une mé
ande, affermit et perfectionne toutes les vertus, établit de nouveaux
rapports
de bienfaisance sur de nouveaux liens d’humanité,
La comparaison. — La comparaison consiste à tirer une conclusion du
rapport
entre deux idées ou deux objets. Ce lieu commun n
onc le fond de toutes les autres, parce qu’elles comprennent les deux
rapports
de notre âme avec le bien et le mal. L’amour pren
ose au ridicule, le trop peu qui dégénère en sécheresse. Leçon X.
Rapports
entre les moyens d’action (mœurs, arguments et pa
morales manifestées par l’orateur ou l’écrivain, convient surtout aux
rapports
avec une certaine classe de lecteurs ; dans le mo
ère que les rhéteurs ont appelé les mœurs7. Ces qualités sont dans un
rapport
étroit avec l’effet de l’exorde. La bienveillance
rée en matière conforme aux observations qui précèdent et d’un ton en
rapport
avec la nature même du sujet qu’il s’agit de trai
de la narration. — 2. Caractère propre de la narration oratoire. — 3.
Rapports
avec la confirmation. — 4. Clarté de la narration
iption. — La première qualité d’une description, c’est d’être bien en
rapport
avec l’effet que l’écrivain ou l’orateur en atten
eçon XVII. De la confirmation. Emploi des arguments ou preuves. 1.
Rapport
de cette leçon avec la cinquième. — 2- objet de l
réfutation et des sophismes de mots. 1. De la réfutation. — 2. Son
rapport
avec la confirmation. — 3. Réfutation des argumen
par leur nature, par leur but et par l’usage que vous en faites. 2.
Rapport
de la réfutation avec la confirmation. — Par suit
nsiste à croire que deux événements qui se succèdent sont unis par le
rapport
de cause à effet. C’est ainsi que les guerres, le
elle persiste, surtout si elle a été vive et profonde. D’ailleurs le
rapport
est étroit entre l’exorde et la péroraison. L’ana
la fin d’un ouvrage doit faire souvenir de.son commencement. C’est ce
rapport
qui fait l’unité de l’œuvre et qui laisse le lect
traînant. Gœthe a marqué de’ même en traits vifs ; et saisissants le
rapport
entre le style et le caractère de l’écrivain ; c’
r varier ses expressions et mettre toutes les nuances de son style en
rapport
avec les nuances infinies de la pensée et du sent
rincipales, propositions subordonnées, et propositions incidentes. Le
rapport
entre les propositions principales qui se complèt
ds modèles et se rendre compte de la marche qu’ils ont suivie. V. Le
rapport
entre les propositions principales n’est souvent
nombre strict de mots nécessaires à manifester leurs jugements. Si le
rapport
entre les jugements était indiqué par des conjonc
tres. Dans ce cas, plus la chaîne est étendue, plus il importe que le
rapport
logique entre les jugements soit facile à saisir,
e qu’elle rapproche les idées sans les confondre et en marque bien le
rapport
. Elle a l’avantage d’être facile à saisir et de s
e entre les propositions. II. La période destinée à faire sentir les
rapports
plus multipliés entre les propositions doit être
t et plus touchant. Elle doit être juste, c’est-à-dire fondée sur un
rapport
réel entre les objets que l’esprit veut rapproche
délicate. Mais on doit bien se donner de garde de montrer à l’âme un
rapport
dans le bas ; car elle se-le serait caché si elle
raîtront déplacées. Pourquoi ? C’est qu’alors elles ne seront plus on
rapport
avec l’action attribuée à Dieu dans la fin de cha
rhythme. 6. De l’harmonie imitative. — L’ harmonie imitative est le
rapport
des sons avec les objets que les mots expriment.
ières qui mettent chaque genre de style en harmonie avec le sujet. Le
rapport
du style avec la nature et le caractère de l’homm
rs idées par un seul mot, à faire penser le lecteur ou l’auditeur aux
rapports
que ce mot embrasse, aux objets qu’il évoque deva
e liberté à l’imagination. 5. Règles relatives à l’action. — Sous ce
rapport
, peut-être y aurait-il promit aujourd’hui à se ra
travail. L’esprit bien fixé sur le genre de style qui est le mieux en
rapport
avec les idées qu’il s’agit de rendre, c’est-à-di
i son premier travail, on s’assure si toutes les parties sont bien en
rapport
avec le but qu’on se propose ; on retranche ce qu
ttéraires. Descriptions — Tableaux — Narrations — Fables — Lettres —
Rapports
— Discours — Dialogues. 2° Compositions philosoph
rale. Leçon XLVIII. Suite des compositions littéraires. — Lettres
rapports
. — Discours. — Dialogues. 1. De la lettre. — 2
e la lettre. — 2. Qualités essentielles au style épistolaire. — 3. Du
rapport
. — 4. Modèle de rapport. — 5. Du discours. — 6. M
és essentielles au style épistolaire. — 3. Du rapport. — 4. Modèle de
rapport
. — 5. Du discours. — 6. Modèle de discours. — 7.
e est précisément ce qui est beau et ce qui plaît uniquement. 3. Du
rapport
ou compte rendu. — Le rapport n’est qu’une lettre
eau et ce qui plaît uniquement. 3. Du rapport ou compte rendu. — Le
rapport
n’est qu’une lettre d’affaire d’une nature déterm
ièvement, tel est le programme que doit se proposer le rédacteur d’un
rapport
ou d’un compte rendu 4. Modèle de rapport. Dévoue
proposer le rédacteur d’un rapport ou d’un compte rendu 4. Modèle de
rapport
. Dévouement d’André Thillet. Sujet. — L’an 1811,
candaliser. Fénelon. — Vous le voulez, il faut vous obéir. Sur votre
rapport
même, je conclus que c’était un méchant sermon.
ngeais la cendre comme mon pain, devait-il se contenter de trouver un
rapport
de mots entre le texte et la cérémonie d’aujourd’
à se nourrir d’un pain de cendres et d’une eau mêlée de larmes. Quel
rapport
des plaintes de David, renversé de son trône et p
claire et naturelle. Elle exclut l’ emphase et la trivialité. II. Le
rapport
réclame la clarté et la sobriété. III. Le discour
l’étude des manifestations de la volonté libre dans l’homme ou de ses
rapports
avec Dieu. D’une manière générale, ces compositio
ses caractères généraux, dans ses qualités particulières et dans son
rapport
avec les idées et les sentiments que l’auteur a v
ions forcées ; qu’en un mot il y a tant d’ouvrages faits de pièces de
rapport
, et si peu qui soient fondus d’un seul jet. » Le
’une méditation constante et profonde. La méditation, en révélant les
rapports
des choses et des êtres entre eux, a grandement c
eux, a grandement contribué à l’invention des idées ; en révélant les
rapports
des idées entre elles, elle contribue également à
est rare encore qu’après bien des réflexions, on en saisisse tous les
rapports
. On ne peut donc trop s’en occuper ; c’est même l
enchainement des idées, et je doute qu’aucun écrivain l’égale sous ce
rapport
. On pourrait encore analyser en ce sens quelques
ns que les phénomènes, et nos jugements ne sont que l’affirmation des
rapports
qui existent entre eux. Or ces rapports sont mult
ne sont que l’affirmation des rapports qui existent entre eux. Or ces
rapports
sont multiples, changeants et passagers comme la
tant qui passe modifie et l’observateur et les objets observés et les
rapports
entre ces objets. Le rapport que j’ai saisi n’exi
servateur et les objets observés et les rapports entre ces objets. Le
rapport
que j’ai saisi n’existe plus au moment où je veux
embrasser ces connaissances dans tous leurs détails (aujourd’hui les
rapports
entre les hommes et les choses sont devenus si co
conçoit des abstractions, l’orateur voit sa pensée. A-t-il saisi des
rapports
entre deux idées, son esprit impatient supprime l
cien aura besoin de toute une série de raisonnements pour établir les
rapports
qui peuvent exister entre ces deux termes éloigné
ination est plus vive, imitera l’artiste égyptien : il supprimera les
rapports
, et, rapprochant les deux termes, il dira : La vi
fs et ignorants. Leur imagination, jeune encore, découvre partout des
rapports
qu’ils expriment vivement parce que leur sensibil
on, Tableau, Portrait, Parallèle, Éloge, Discours, Allégorie, Lettre,
Rapport
, Dialogue, Dissertation, Analyse littéraire.
araison et dissemblance La comparaison établit entre deux idées un
rapport
qui amène une conclusion. Par-là, elle est le lie
as clair n’est pas français. 2° Propriété La propriété est le
rapport
parfait du mot et de la pensée ; elle est une con
L’hypallage (ὑπαλλαγή, ὑπὸ-ἀλλάσσω, je mets à la place) transpose le
rapport
naturel des idées sans en modifier le sens. Ex.
gne pour donner plus de vivacité au style. Pour faire mieux saisir le
rapport
et la différence de la comparaison et de la métap
5° Parallèle, 6° Éloge, 7° Discours, 8° Allégorie, 9° Lettre, 10°
Rapport
, 11° Dialogue, 12° Dissertation, 13° Analyse litt
non, de Voltaire, de P.-L. Courier, d’Eugénie de Guérin ; etc. 10°
Rapport
Le rapport n’est qu’une lettre d’affaire d’une
re, de P.-L. Courier, d’Eugénie de Guérin ; etc. 10° Rapport Le
rapport
n’est qu’une lettre d’affaire d’une nature partic
du rapporteur. Cf. Rollin, Traité des études, livre V, chap. i. Ex.
Rapport
sur les inondations de l’Allier et de la Loire pa
etc. Description. scientifique, littéraire. Lettre. Tableau.
Rapport
. Portrait. Dialogue. moral, philosophique, l
ble. L’esprit est cette qualité par laquelle on saisit facilement les
rapports
plus ou moins éloignés des choses, et qui permet
qu’à l’origine le mot ἔλεγος ; ait eu aussi le sens de plainte, sans
rapport
déterminé avec mie forme métrique. Bien qu’elle s
udiciaire comprend les réquisitoires, les plaidoyers, les mémoires et
rapports
sur les procès, les mercuriales, les discours de
i perdues. Mais ces éloges, sans caractère religieux, n’avaient qu’un
rapport
purement nominal avec notre oraison funèbre. On p
nd : 1° les discours de réception ; 2° les éloges historiques, 3° les
rapports
sur les prix de vertu et les concours littéraires
ert, — ceux de Saint-Évremond et de J.-J. Rousseau par Gidel, etc.
Rapports
On doit aussi classer dans l’éloquence académi
Rapports On doit aussi classer dans l’éloquence académique les
rapports
annuels faits à l’Académie française, lors de la
de la distribution des prix de vertu établis par M. de Montyon ; les
rapports
littéraires faits par le secrétaire perpétuel, où
gnes d’une récompense (grand prix Gobert, prix Bordin, etc.). Ex. les
Rapports
de Villemain, etc. Harangues Les harangues
1° L’art de grouper les événements, afin d’en marquer la suite et les
rapports
mutuels, de séparer les causes des effets, les fa
roprement dite, c’est-à-dire l’étude de l’homme en lui-même, dans ses
rapports
avec le monde et avec Dieu. À l’origine, la philo
étude rationnelle de Dieu, de son existence, de ses attributs, de ses
rapports
avec l’homme et avec le monde. On peut y ajouter,
es les écrivains qui ont exposé des théories, des doctrines ayant des
rapports
généraux ou particuliers avec la philosophie, et
unèbre, etc. 5° Académique : Discours de réception, Éloge historique,
Rapport
littéraire, Compliments, Mémoires sur les lettres
nt une particule a besoin d’y être remarquée, méditée, à cause de ses
rapports
essentiels au sens : tout y est nerf et substance
s genres, ils sont traités avec tant d’adresse et tant d’art, que les
rapports
des idées et même leurs contrastes, deviennent de
ture- des parties et leur nombre ; enfin je parlerai de tout ce qui a
rapport
à cet art, en commençant, selon l’ordre naturel,
’autre le passé. Le cas appartient au nom et au verbe : il marque les
rapports
, de, à, etc., les nombres, un ou plusieurs, l’hom
C’est la production du génie, le coup d’œil d’un esprit qui voit les
rapports
. Les mots doubles conviennent spécialement au dit
lques épithètes. En voilà assez sur la tragédie, et sur tout ce qui a
rapport
à l’imitation dramatique. Chapitre XXIII. Dif
thaginois en Sicile, qui se rencontrent dans le même temps, n’ont nul
rapport
entre elles ; de même, dans les événements conséc
jonction n’est point significative, parce qu’elle ne signifie que les
rapports
des idées et non les idées mêmes. 16. Dans toute
t l’étude attentive et complète de tous les objets extérieurs qui ont
rapport
au sujet, et la lecture de tous les livres qui pe
s, de bien voir si elles sont adéquates, c’est-à-dire parfaitement en
rapport
avec l’objet défini tout entier et avec lui seul.
er de toute autre, l’embrasser dans son ensemble. Les modèles sous ce
rapport
se trouvent dans les ouvrages scientifiques. Mais
fait cette décomposition et cette recomposition en se conformant aux
rapports
qui sont entre les choses, comme principales et c
t équivoques, quand les phrases sont embarrassées, longues, quand les
rapports
sont louches. La langue française est reconnue co
longues, entortillées de qui et de que, embarrassées par les doubles
rapports
des pronoms et des adjectifs il, elle, eux, son,
l’affectation et la contrainte. Il existe dans toutes les langues un
rapport
sensible entre le son et l’idée ; les pensées gra
impétueuse s’expriment par des mots rapides, légers et brillants. Ce
rapport
particulier des sons avec les objets se nomme har
3° Syllepse. La syllepse fait accorder un mot, non pas avec son
rapport
grammatical, mais avec l’idée de ce rapport. Je
un mot, non pas avec son rapport grammatical, mais avec l’idée de ce
rapport
. Je ne vois pas le peuple à mon nom s’alarmer :
tion a des charmes non moins persuasifs que celui de la raison. 2°
Rapport
des pensées entre elles. Il ne suffit pas de p
erdre de vue les personnes auxquelles on s’adresse : de l’état de nos
rapports
avec elles dépendent en partie le ton, le plan, l
ctère, leur nation, etc. Un modèle qu’on ne peut trop étudier sous le
rapport
des mœurs et des convenances, c’est Racine : l’ar
de raisonnement fréquemment employé ; il consiste à conclure par des
rapports
de ressemblance ou d’opposition. Ainsi : votre pè
entaux de la morale, nous devons nous considérer nous-mêmes sous deux
rapports
; comme hommes, et comme chrétiens. Comme hommes,
s sont la base et la substance. L’homme y apprend à combiner tous les
rapports
qui le lient à la société, et à déduire de ces ra
iner tous les rapports qui le lient à la société, et à déduire de ces
rapports
tous les devoirs auxquels il est assujéti ; à se
univers. Tous ces faits sont authentiques : ils ne peuvent sous aucun
rapport
être contestés : l’histoire n’en offre point d’au
s avons justifiés par des exemples soigneusement choisis tant sous le
rapport
moral que sous le rapport littéraire, mais pour l
exemples soigneusement choisis tant sous le rapport moral que sous le
rapport
littéraire, mais pour lequel nous avons souvent r
autant de rameaux à leur tige, mille vérités particulières ; dont les
rapports
m’étaient inconnus : il me semble alors que mon e
le, comme le vrai philosophe, par ces grandes vues qui embrassent les
rapports
éloignés, et décident à la fois une infinité de q
, et qu’il se soit réduit à une ébauche, en appliquant uniquement les
rapports
de l’esprit philosophique à la religion, à l’éloq
e fleur ou d’un présent, il fait une comparaison, forme un souhait en
rapport
avec l’objet offert. Tout cela distrait de la mon
ceptes particuliers. Les lettres de félicitations ressemblent sous le
rapport
principal aux lettres de compliments ; elles en d
onnu. Quand la personne recommandée nous est connue sous d’excellents
rapports
, on appuie près du tiers sur son mérite, on expos
r mériter cet honneur, un livre doit être irréprochable, tant sous le
rapport
moral que sous le rapport littéraire. 306. Montre
livre doit être irréprochable, tant sous le rapport moral que sous le
rapport
littéraire. 306. Montrez qu’il faut rejeter les m
cœur, on peut avancer qu’ils n’offrent guère plus de garantie sous le
rapport
purement littéraire, qu’on les considère au point
tirent du fond même du sujet, et extérieurs lorsqu’ils n’y ont qu’un
rapport
indirect, lorsqu’ils en dépendent par quelque cir
enablement, séparer, énumérer les parties dont il se compose. Sous ce
rapport
, la description et l’énumération des parties peuv
ploie pour rendre une chose plus sensible en faisant mieux saisir les
rapports
qu’elle a avec une autre. Un de nos poètes nous f
m d’Exemple à un argument qui, s’appuyant sur l’analogie, exprime des
rapports
de parité, d’opposition ou de supériorité. Le pre
, et conformer nos idées aux bienséances qui leur conviennent sons le
rapport
des temps, des lieux, des personnes. Le Jugement
sont la base de toutes nos passions parce qu’ils comprennent les deux
rapports
de notre âme avec le bien et le mal. Ils nous aff
la personne dans les sociétés humaines. – Le fondement du droit – ses
rapports
avec le devoir. (Lyon, octobre 1888.) Qu’est-ce q
uis XIV l’établissement d’une Académie des Sciences. » Vous ferez le
rapport
de Colbert au Roi ; vous y exposerez ses raisons,
longueur invariable et susceptible d’être aisément retrouvée ; 3° Un
rapport
simple devra exister entre les unités de longueur
ris dans la morale individuelle. (Clermont, octobre 1878) Montrez les
rapports
et les différences des lois positives et de la lo
is XIV ? Donner une idée générale de la grandeur de ce siècle sous le
rapport
des armes, des institutions et des lettres.(Paris
autre école. Il y a corrélation entre eux. Connaître les extraits de
rapports
qui s’appliquent par exemple à l’agrégation des j
re un bon effet tout d’abord. Après le Préambule qui sera toujours en
rapport
direct avec le sujet, après les divisions qu’on n
u (Picard et Kaan). Les aspirantes liront avec fruit les extraits des
Rapports
officiels insérés au Certificat d’aptitude et à l
Qu’est-ce que la justice ? Qu’est-ce que la charité ? Quels sont les
rapports
de la charité et de la justice ? (Section des Let
xviii e siècle par son salon, par ses relations littéraires, par ses
rapports
avec le président Hénault et Horace Walpole, par
Fontenay-aux-Roses. Nous signalons d’une façon toute particulière les
rapports
et extraits de rapports qui suivent les sujets de
signalons d’une façon toute particulière les rapports et extraits de
rapports
qui suivent les sujets de composition. Ils en for
nt passer. Au vrai, c’est tout un traité du style que les auteurs des
rapports
offrent au public. Nous sommes certains qu’on nou
uinet d’avoir bien voulu nous autoriser à publier les extraits de ces
rapports
, qui sont de véritables études sur l’instruction
jettir à une autorité sèche et absolue. » Nous donnons un extrait du
rapport
présenté par M. Gidel, président du jury. C’est u
rfaits, il y aurait deux langues dans une même langue. » – Extrait du
rapport
de M. Eugène Manuel, inspecteur général, présiden
pondance de Mme de Sévigné, pour l’histoire de son temps ? Extrait du
rapport
de M. Eugène Manuel : « Si un certain nombre des
roposée par certains grammairiens et que Bossuet condamne. Extrait du
rapport
de M. Jacquinet1, inspecteur général de l’instruc
voirs de patriotisme ? Comment peuvent-elles les remplir ? Extrait du
rapport
de M. Jacquinet. « Bien qu’un grand nombre d’asp
ait preuve d’un jeune talent bien inspiré. » Examen oral. Extrait du
rapport
de M. Jacquinet. C’est, sur les leçons des aspira
lumières qu’elles pouvaient tirer de ce supplément d’études. » Le
rapport
se termine sur une page charmante que nous nous r
pensez-vous de ces opinions de Voltaire et de Villemain ? Extrait du
rapport
de M. Jacquinet. Il y a là des critiques dont il
, en ce genre d’écrivains, de notre littérature classique. Extrait du
rapport
de M. Jacquinet : « Composition de littérature.
dans le choix des lectures qu’elle conseille à ses élèves. Extrait du
rapport
de M. Jacquinet, président du jury : « Compositi
euse ? De quels travers d’esprit doivent-elles se garder ? Extrait du
rapport
du président du jury, M. Jacquinet. « 1° Langue
iences extérieures. » Pensées, Art. VI, 41, édit. Havet. Extrait du
rapport
sur le concours de 1888 présenté par M. Jacquinet
juste de la langue poétique, de la nôtre en particulier ? Extrait du
rapport
de M. Jacquinet, président du jury : « Compositi
des unités. Celui qui voudrait porter la rigueur géométrique dans les
rapports
sociaux, ne ferait que des sottises ou des cruaut
lligence et affine la sensibilité. « L’esprit de finesse » saisit des
rapports
plus intimes, plus profonds, plus délicats que ce
règnent, son esprit vit dans une région sereine et calme. Il voit les
rapports
de l’homme avec l’univers, et il se met à sa vrai
iasme du public, et insiste sur la nouveauté de l’ouvrage. Extrait du
rapport
de M. Legouvé1. « Je n’entrerai pas dans le déta
ncipaux et les différences à chacune de ces trois époques. Extrait du
rapport
de M. Eugène Manuel1, président du jury : 1° Comp
nt l’érudition contemporaine ne se fait pas faute, et qui n’ont qu’un
rapport
éloigné avec l’art de professer, fait de clarté e
rtificiel et le triomphe du mécanisme. Déjà, Monsieur le Ministre, le
rapport
de l’an passé signalait, d’une façon générale, un
es caractères de la langue de La Fontaine dans ses fables. Extrait du
rapport
de M. Eugène Manuel, président du jury : Le sujet
Lettre sur les occupations de l’Académie française, 1714.) Extrait du
rapport
de M. Eugène Manuel, président du jury : Littéra
aise, de leur origine, de leur synonymie, de leur utilité. Extrait du
rapport
présenté par M. Eugène Manuel, président du jury
s toujours demandé, – on ne les étudie peut-être pas assez dans leurs
rapports
entre eux et avec la société. Les connaissances s
cette prédominance des procédés analytiques en français ? Extrait du
rapport
présenté par M. Eugène Manuel, président du jury
eproche qu’on a souvent adressé aux études grammaticales ? Extrait du
rapport
de M. Eugène Manuel, président du jury : « …. D’
ans utilité, des connaissances qui n’ont avec le sujet qu’un lointain
rapport
. Une première erreur a été commise. Faute d’avoir
duit d’une culture spéciale de l’esprit et même de la sensibilité, en
rapport
intime avec le sens moral, fondé sur un ensemble
es les parties d’un sujet, jusqu’aux plus petits détails, selon leurs
rapports
essentiels. » (Éloge de Lacépède). Vous expliquer
scientifique, mais en général dans la conduite de la vie. Extrait du
rapport
de M. le président du jury1 : « Un petit nombre
e premier, dans ses comédies, a mis cette réelle gaîté de style, sans
rapport
avec le burlesque, que nous retrouverons chez La
e, donnent d’excellentes pages empruntées à des comptes-rendus, à des
rapports
, à des mémoires. Les aspirantes auront tout intér
ruction primaire. – Développer cette pensée de La Bruyère : « Quelle
rapport
qui paraisse de la jalousie à l’émulation, il y a
omb, en insistant particulièrement sur la circonstance qui l’a mis en
rapport
d’intimité avec ce grand homme au moment solennel
sujet de la composition est la lettre du roi. Concours de 1872.
Rapport
des généraux Datis et Artapherne au roi de Perse,
ET PLAN CONSEILS Les candidats se rendront compte que pour rédiger ce
rapport
, il était nécessaire de connaître à fond, même en
fait mainte citation empruntée aux éloges des savants, aux mémoires,
rapports
et comptes rendus de l’Académie des sciences. «
ues vérités importantes, n’aperçurent pas dans leur entier les grands
rapports
qui les unissent toutes, ni les conséquences infi
euvent découler de chacune. » Concours de 1885. Quels sont les
rapports
et les différences qui existent entre la science,
r des analyses et des exemples les différences qui distinguent et les
rapports
intimes qui unissent l’agriculture, l’industrie e
e dans une mine. – Décrire une mine en pleine activité. – Montrer les
rapports
du travail manuel et du travail intellectuel. – D
oint de vue moral ; 2° et surtout au point de vue scientifique. – Les
rapports
entre les patrons et les ouvriers. Appréciez cett
), centi(centième), milli(millième)… rappellent très simplement leur
rapport
avec cette unité. Anciennes mesures. – Les unité
t indéfinies, variables avec le lieu, le temps, les peuples, etc. Les
rapports
entre les différentes mesures, quand ils existaie
nibles calculs pour les moindres opérations. Le plus souvent même les
rapports
entre les mesures variaient avec la région : la s
électricité. 1° Idée préconçue, hypothèse logique de Franklin sur les
rapports
de la foudre et de l’électricité… Il fabrique un
ndustrie des savons, à la fabrication du verre, etc… – Quels sont les
rapports
qui existent entre la science pure et la science
enfaits seront apportés par elle dans la vie des peuples modernes ! –
Rapport
de Lakanal à la Convention. – Il vient de préside
un autre qui tient moins aux objets de la science elle-même qu’à ses
rapports
avec le temps et les hommes : c’est cette partie
r quelque chose qui correspondit à sa grande célébrité. Rien, sous ce
rapport
, ne le distingue du reste des hommes ; il n’affic
es progrès, des découvertes effectuées par l’agriculture, de lire des
rapports
, des discours prononcés dans des comices, des rec
ordes à son arc » ne sont contradictoires qu’en apparence, l’un ayant
rapport
au but à atteindre et l’autre aux moyens à employ
icieux d’exemples. Pour être complet, on pourrait les emprunter à nos
rapports
avec les animaux, à nos rapports avec nos semblab
let, on pourrait les emprunter à nos rapports avec les animaux, à nos
rapports
avec nos semblables : ce qui permettrait d’établi
de départ des paquebots ; les cours de change, les statistiques, les
rapports
consulaires, des missions spéciales, etc., etc… ;
rticulière prise par le commerce au xixe siècle. Échanges multipliés.
Rapports
de plus en plus étroits, grâce aux chemins de fer
vite des ressources locales. Ils pourraient et devraient adresser des
rapports
détaillés dont les maisons d’exportation tireraie
uel de nous avoir autorisés à reproduire des extraits de ses lumineux
rapports
, qui bientôt seront réunis en volume. 1. Il n’y
ui ont leur portée et qui auront leur efficacité. Nous mentionnons ce
rapport
, car il est un point de départ. Depuis lors, les
liorées et les progrès ont été rapides. 1. Tout est à lire dans les
rapports
de M. Eugène Manuel. Nous engageons les aspirante
de naissance. J’ai recommandé l’étude de nos anciens auteurs, sous le
rapport
du style, plus encore que de l’idée. Je prise for
l’Empire, les mœurs anglo-constitutionnelles qui lui ont succédé, les
rapports
beaucoup plus fréquents avec les nations étrangèr
rrive un moment où une langue semble avoir atteint son apogée sous le
rapport
du style, et où l’on court grand risque d’innover
partie déterminés par ce penchant à l’imitation, à l’observation des
rapports
et des similitudes, qu’Aristote proclame le père
e l’homme a découvert un plus grand nombre d’objets, à mesure que des
rapports
plus multipliés avec ses semblables ou avec ces o
iation d’idées, imagination, passion, etc. ; leurs avantages, sous ce
rapport
, sont incontestables. Réveiller une idée principa
es deux nombres : on l’appelle pronom réfléchi, parce qu’il marque le
rapport
d’une personne à elle-même. De soi. Se, pour à s
éloignées. 43. — Il y a des pronoms relatifs, c’est-à-dire, qui ont
rapport
à un nom qui est devant, comme quand je dis : Die
et le tableau fidèle de l’éloquence de la chaire, considérée sous les
rapports
de la sublimité de ses motifs. (Marmontel). Mais
le triomphe de l’orateur. 2º Humaine par ses moyens. Sous ce dernier
rapport
, l’éloquence de la chaire est un art, et un art p
ion détermine l’ordre de ces moyens et l’emploi de ces matériaux, les
rapports
et la progression des idées et des sentiments, le
l a puni. L’Énumération des parties. — L’Énumération, qui a quelque
rapport
avec la Définition, expose toutes les faces du su
gure de pensée qui porte le même nom, établit, comme cette figure, un
rapport
entre deux idées : mais ce rapport ne sert pas se
m, établit, comme cette figure, un rapport entre deux idées : mais ce
rapport
ne sert pas seulement à éclairer la pensée et à e
eur sur la cause. Ici l’erreur tient à une induction vicieuse. Sur un
rapport
apparent, sur une analogie, une coïncidence dues
sont pas moins générales que celles de l’invention. Une lettre et un
rapport
ont une exposition, un développement et une concl
, que pour écrire une lettre, soutenir une correspondance, rédiger un
rapport
, il soit bon d’avoir étudié les principes de l’ar
arque aux élèves le style dont il convient de se servir en faisant un
rapport
. « Cette partie, dit-il, est d’un usage bien plu
is qui a un air aisé, simple, naturel, est la seule qui convienne aux
rapports
, et elle n’est pas si facile qu’on se l’imagine…
aucoup aux jeunes gens, pour les former à la manière de bien faire un
rapport
. » (Traité des Études, liv. IV, chap. i, 1, vi).
tude des vrais modèles. 2° Propriété. — La Propriété consiste dans le
rapport
parfait du mot et de la pensée. Elle est une cond
l est difficile à définir par sa simplicité même. Il consiste dans le
rapport
parfait des pensées et des sentiments, des images
eucte, acte II, scène vi. Mais cette extrême simplicité de forme, ce
rapport
presque invariable des trois termes, sujet, verbe
e tout langage humain ; et l’esprit de l’homme n’y renonce jamais. Ce
rapport
du son à l’objet n’est point borné à quelques cas
du grec ou du latin, que nous avons fait le mot frémir ; c’est par le
rapport
du son avec l’émotion exprimée. Horreur, terreur,
es menteurs la foule confondue. Racine, Athalie, acte I, sc. i. Du
rapport
d’un troupeau, dont il vivait sans soins, Se cont
mains. 2° Syllepse du nombre ; c’est celle où les mots ne sont pas en
rapport
de nombre. Ex. : Entre le pauvre et vous, vous pr
? La force seule des expressions devrait nous l’indiquer. Quoique les
rapports
de comparaison soient tirés dans les deux cas de
J’ai vu de mes yeux, et fait un pléonasme. La Syllepse aime mieux le
rapport
idéal Que le rapport du terme, et méprise Chapsal
et fait un pléonasme. La Syllepse aime mieux le rapport idéal Que le
rapport
du terme, et méprise Chapsal. L’Hyperbate à l’esp
a disparate, quand les idées, comparées entre elles, sont sans aucun
rapport
, ou quand le style est d’une inégalité choquante.
est ou telle qu’elle doit être. 4. La définition doit déterminer les
rapports
, le genre et la différence : les rapports, en dét
inition doit déterminer les rapports, le genre et la différence : les
rapports
, en détaillant les objets qu’embrasse la chose dé
les deux autres. 7. Dans la décomposition, on recherchera au fond les
rapports
, le genre et la différence, et dans la forme la c
ité qu’elle enveloppe, ou par la ressemblance, ou par la justesse des
rapports
. 8. Une allégorie trop prolongée devient froide ;
d les plaidoyers civils et criminels, les réquisitoires, mercuriales,
rapports
et autres discours en usage au barreau. § IV.
st le retour du même son à la fin de deux ou de plusieurs vers mis en
rapport
. La rime est la première condition de la poésie f
ans un cœur. (Rac. [Racine]) Les autres dénominations de rimes n’ont
rapport
qu’à l’ancienne poésie française. 5. De la di
de son Essai sur le goût. Toute règle qui ne peut se justifier par un
rapport
direct avec notre nature est chose de convention
urs, l’exposition d’un récit ou d’un drame doivent être dans un juste
rapport
d’étendue avec l’argumentation et le corps de l’o
ces transitions subtiles presque toujours uniquement fondées sur des
rapports
entre les mots, sur une liaison apparente entre l
ement réuni toutes les idées qui doivent entrer dans un discours, les
rapports
qui existent entre ces idées se présenteront d’eu
ctuellement un objet, c’est avoir une idée ; affirmer qu’il existe un
rapport
entre l’objet et son attribut, c’est former un ju
t entre l’objet et son attribut, c’est former un jugement ; saisir le
rapport
qui existe entre deux jugements que l’on compare,
a magique éloquence de Cicéron terrassa l’accusateur, et fit même, au
rapport
de Plutarque, tomber la sentence de condamnation
iste à donner pour cause à un effet quelconque un fait qui n’a aucun,
rapport
avec lui. Après l’apparition d’une comète, la ter
l’ambiguïté des mots ; ou les prémisses et la conclusion n’ont pas de
rapport
entre elles, comme il arrive dans l’erreur sur la
mme dans la pétition de principe ; ou bien enfin l’argument n’a aucun
rapport
à la question, comme dans l’ignorance du sujet. A
rs lui-même, Nous allons les considérer successivement sous ces trois
rapports
. Article premier. Des mœurs considérées dans l’
t. Virgile, qui l’avait pris pour modèle, est aussi admirable sous ce
rapport
. Les historiens célèbres, Tite-Live, Tacite et pl
celle d’un jardin ? L’étendue et le style de l’exorde seront donc en
rapport
avec le corps du discours, et jamais il n’anticip
t saisi le vrai caractère de ce précepte, et nous ont laissé, sous ce
rapport
, les meilleurs modèles à suivre. Dans beaucoup de
ns auteurs, et n’admettez jamais une preuve dont vous ne voyez pas le
rapport
avec le sujet. 196. Les preuves doivent être prop
qui peut vous y conduire. C’est alors que vous découvrirez les vrais
rapports
entre les idées, et qu’elles s’enchaîneront facil
r les conséquences qu’on prétend. Examinez donc le fait dans tous ses
rapports
et tous ses aspects, parce que vous ne connaîtrez
présentent le sujet sous une face nouvelle et dont on saisit bien le
rapport
; il est fécond quand chaque pensée principale év
de s’y exercer, sans que cela paraisse, dans les conversations et les
rapports
habituels qu’on a avec les autres hommes. D
a doctrine chrétienne, qu’il en embrasse tous les détails et tous les
rapports
, qu’il expose largement et amplement la vérité, e
et le barreau : le but, l’auditoire et la nature des sujets. Sous le
rapport
du but, l’orateur politique tend à la persuasion
véhémence qui ne convient qu’en face d’une grande multitude. Sous le
rapport
des sujets, l’orateur politique examine les plus
ui trop négligé. Il est plus utile qu’on ne pense de savoir les vrais
rapports
de l’Église et de l’État, et de chercher dans les
diciaire sont les réquisitoires, les plaidoyers, les mercuriales, les
rapports
, les conclusions, les consultations les mémoires.
ent les désordres commis dans l’administration de la justice. 389. Le
rapport
d’un procès est l’exposé d’une cause, rédigé par
l’homme, si la littérature est l’expression de la société, il y a un
rapport
intime entre le bon goût et les bonnes mœurs, et
i éloquent, et que tout ce qui est éloquent est poétique sous quelque
rapport
. Lorsque le génie du poète produit des tableaux q
e pas ériger en principe ce qui n’est juste et vrai que sous certains
rapports
, n’enseigner que le difficile, ne prescrire que l
itions sans embarras, et que la discussion les amène. Soyez, dans vos
rapports
, clair, exact, précis, impartial. Ne cherchez pas
gliger les preuves pour s’adresser aux passions ? 25. Sous combien de
rapports
peut-on considérer les preuves dans l’art oratoir
pour l’orateur ? 251. À quoi bornerons-nous nos observations sous le
rapport
du style oratoire ? 252. La clarté est-elle néces
e ne se rapportent-ils pas aux trois devoirs de l’orateur ? 258. Quel
rapport
y a-t-il entre les trois genres de style et les d
re ? 388. Que faut-il entendre par mercuriales ? 389. Qu’appelle-t-on
rapport
? 390. Qu’appelle-t-on conclusion ou résumé ? 391
4° Il faut éviter les métaphores recherchées, prises de loin, dont le
rapport
n’est pas assez naturel, ni la comparaison assez
i consiste à substituer un mot à un autre, lorsqu’il y a entre eux un
rapport
de relation. Ce trope, prenant un mot pour un aut
llusion. L’allusion est une figure qui fait sentir la convenance, le
rapport
que deux personnes ou deux choses ont l’une avec
n’as pas fait un pas pour reculer. Racine. La permission a quelque
rapport
avec la concession : elle est dans les figures de
es phrases, c’est l’harmonie mécanique ; l’autre qui consiste dans le
rapport
de ce choix, de cet arrangement avec les pensées,
d’idées, de sentiments, d’images, et parle de près à notre âme par le
rapport
des sons avec les pensées. Cette espèce d’harmon
nquent de la justesse et de la pénétration nécessaire pour saisir les
rapports
qui unissent les pensées. De là, tant de Maisons
t que de peindre la personne ou la chose d’une manière générale, sans
rapport
spécial avec la circonstance présente. Ils disaie
nt. Aspirer indique une tendance à l’élévation, et par là même est en
rapport
d’opposition avec descendre ; l’énergie saisissan
on, et si les règles du style ont été bien observées. Sous ce dernier
rapport
, on aura à parcourir chaque phrase d’un œil sévèr
tion considérée d’après la place qu’elle occupe ? Considérée sous ce
rapport
, la description forme un morceau à part, une comp
l’on met en regard et que l’on rapproche afin de faire ressortir les
rapports
de similitude ou de dissimilitude qui se rencontr
s cette composition ; mais le plus souvent on entremêle les points de
rapport
dans tout le cours du morceau. Cet exercice, agré
pprochements peu naturels ou qui viennent de trop loin, ainsi que les
rapports
faibles, vagues et peu prononcés. C’est l’écueil
e deux personnes ou deux choses, considérées au point de vue de leurs
rapports
ou de leurs ressemblances. Dans la Henriade, Volt
e nœud ou corps du récit est la partie de la narration où sont mis en
rapport
les différents personnages qui y jouent un rôle,
s, et leur donner bonne opinion de soi, il faut se surveiller sous le
rapport
des convenances, ne pas réserver les attentions u
e sagacité d’intelligence qui saisit promptement entre les objets des
rapports
délicats et cachés, et qui se manifeste dans le d
ans les différents termes de la définition, une certaine ambiguïté de
rapport
qui donne le change à l’esprit : cela rend l’énig
’énigme à la fois plus embarrassante et plus piquante ; cependant ces
rapports
doivent paraître justes aussitôt qu’on connaît la
l’ensemble des faits. Salluste et Tacite restent les maîtres sous ce
rapport
. Les Mémoires, par leur caractère plus privé, plu
duire le plus d’effet. Certains maîtres seuls sont admirables sous ce
rapport
. Ne quittons pas le dialogue sans dire un mot du
fond. Voici un portrait littéraire de Mme de Maintenon, qui, sous ce
rapport
, est exquis à mon goût. Il est de M. Vinet. « Mme
ns l’étude de la nature, dans les livres, dans- les voyages, dans nos
rapports
avec le monde : Quiconque a beaucoup vu Peut avo
nt chaque jour le domaine de la science, et tendent à transformer les
rapports
des hommes entre eux ; visitons les ateliers, les
ue éclairée et impartiale. Nulle étude n’est plus avantageuse sous ce
rapport
que l’histoire de la littérature, sous la directi
la haute idée qu’il en avait, ni des efforts longs et pénibles qu’au
rapport
des anciens, il fit pour acquérir ce que la natur
incertains du sens de ce qu’il leur aurait dit. Il existe, enfin, un
rapport
si intime entre quelques-uns des sentiments que l
oratorem esse, nisi virum bonum . On ne peut que voir avec plaisir ce
rapport
étroit entre la vertu et le plus noble des arts l
nes d’être proposés comme des modèles à suivre. Les Français, sous ce
rapport
, sont bien plus riches que nous. Saurin, Bourdalo
soient toujours sérieux et utiles, et que toujours ils aient quelques
rapports
soit à l’objet des études, soit à la morale, soit
sances a dû agir d’une manière sensible. Le monde peut, sous certains
rapports
, être considéré comme un individu qui gagne toujo
s longue vie. Elle a pour objet de nous montrer l’homme dans tous ses
rapports
, et de nous apprendre à bien juger dans toutes le
le composer de parties séparées qui n’aient les unes aux autres qu’un
rapport
incertain ou indirect ; il faut que, liées ensemb
chronologiquement une multitude de faits qui n’ont entre eux d’autres
rapports
que celui des dates. Quoique l’Histoire d’Hérodot
revenus, de la situation intérieure du gouvernement, ainsi que de ses
rapports
d’intérêt avec les nations voisines. Il faut qu’i
bstrait, et donnent plus de force à ses spéculations, en montrant ses
rapports
immédiats avec les objets réels et les événements
ins. Cependant, comme des lettres d’un ami à un ami ont infiniment de
rapports
avec une conversation, nous devons nous attendre
èbres que celles de Pline, ont cependant plus de mérite sous quelques
rapports
, et c’est peut-être la meilleure collection de le
. Dans la première, les phrases ou les vers n’avaient entre eux aucun
rapport
, et toute leur beauté consistait dans l’élégance
proverbes ou apophtegmes, renfermés dans ces sortes de vers. Sous ce
rapport
, ils ressemblaient beaucoup aux Proverbes de Salo
ffrir. La séparation de la musique et de la poésie fut, sous quelques
rapports
, défavorable à celle-ci ; mais elle eut sur l’aut
ndant, a conservé chez tous les peuples quelque chose de ses premiers
rapports
avec la musique. Comme dans l’origine on chantait
fabuleuses qui n’ont entre elles, et avec le sujet principal, que les
rapports
les plus difficiles à saisir. Les anciens l’admir
u’il a surtout négligé d’établir entre les parties une liaison et des
rapports
suffisants. Il écrit toujours avec aisance et ave
ent s’élever à cette hauteur feront bien de chercher à imiter sous ce
rapport
le style de l’Ancien Testament. Car, et j’ai déjà
n où il se trouvait lui-même. En examinant les poètes hébreux sous ce
rapport
, nous trouverons que leurs métaphores et leurs co
tre considéré comme un très beau morceau de poésie pastorale. Sous le
rapport
du sens spirituel, c’est indubitablement une allé
’à nous. Ce qui est fort remarquable, c’est que cet ouvrage n’a aucun
rapport
avec les affaires ni les mœurs des Juifs ou des H
lication des règles de la critique, nous allons l’examiner sous trois
rapports
différents. D’abord, le sujet ou l’action, ensuit
sont toujours les plus goûtés du public. Je ne crois pas que, sous ce
rapport
, aucun poète ait égalé Virgile et le Tasse. L’int
ient le premier rang parmi les ouvrages poétiques, et mérite, sous ce
rapport
, une attention plus particulière. Après avoir fai
e trouve presque aucun caractère bien prononcé dans l’Énéide. Sous ce
rapport
, elle pourrait même paraître insipide si on la co
es événements qu’elle ignorait, ou qu’elle n’avait appris que sur des
rapports
imparfaits ; mais peut-on supposer que la reine É
poésie dramatique comme un amusement raisonnable, utile ; et, sous ce
rapport
, elle est digne d’être ici l’objet d’une discussi
nommait épisode. Les chants du chœur finirent par n’avoir plus aucun
rapport
avec les fêtes de Bacchus, et se trouvèrent liés
ns faire précisément partie de la pièce, eussent cependant un certain
rapport
avec le sujet de l’acte qui vient de finir, et av
i de Juba pour leur sœur, sont de véritables épisodes qui n’ont aucun
rapport
avec l’action principale, et ne contribuent en ri
s des chœurs, quoique très beaux de poésie, ont généralement moins de
rapports
avec l’action principale, que dans Sophocle. Tout
qui l’ont précédé dans la carrière ; il les a même surpassés sous un
rapport
bien essentiel, celui des situations, qu’il a su
y contribue ; mais ce n’est que par accident, et en vertu de nouveaux
rapports
, ou d’un caractère singulier et frappant que l’im
pos. » Du style. Tome I, page 320. Il doit toujours exister un
rapport
très intime entre le style et la tournure général
constitue cet art si difficile de la poésie ; art qui n’a pas plus de
rapport
avec la prose, que la musique n’en a avec le ton
Paradis perdu. Le titre seul révoltait, et tout ce qui avait quelque
rapport
à la religion était alors hors de mode. Enfin, Th
e que dans la comédie ; les sujets étant ordinairement fondés sur des
rapports
de devoir, de délicatesse, d’humanité, ils tenden
iendraient successivement ; il se tiendrait dispensé d’en examiner le
rapport
, et de se faire un plan dont toutes les parties s
pour qu’ils plaisent à notre esprit ; voilà le beau ; qu’ils aient un
rapport
intime avec nous, pour qu’ils intéressent notre c
r ou guérir les maux de l’humanité souffrante. Voilà le bon, qui a un
rapport
intime avec nous, qui intéresse notre cœur. On vo
nt, et l’harmonie spéciale ou imitative, qui les considère dans leurs
rapports
avec les pensées et les sentiments qu’ils exprime
n suffira pour échelonner en quelque sorte les langues sous ce double
rapport
. Il est évident que plus un idiome abonde en voye
à peine imaginer les exquises jouissances que la perfection, sous ce
rapport
, faisait éprouver aux auditeurs et aux lecteurs.
us de développement à la pensée, en la rendant sensible sous tous les
rapports
, ou de répandre seulement plus d’agrément et de v
es à une meute de chiens : sûr de la justesse de la comparaison et du
rapport
vrai des idées, il ne restait plus qu’à ennoblir
une prosopopée plus heureuse, plus noble et plus belle, sous tous les
rapports
, que celle de la Sagesse, personnifiée par Salomo
est rare encore qu’après bien des réflexions on en saisisse tous les
rapports
. Ou ne peut donc trop s’en occuper ; c’est même l
rodigieuse rapidité ; et souvent une pensée se trouve formée avec ses
rapports
principaux presqu’au moment où l’idée vient d’ape
e le sujet est entièrement d’imagination, on a toute latitude sous le
rapport
des faits, des personnages et de leurs caractères
réussi dans le cadre plus vaste du roman. Enfin le sujet doit être en
rapport
avec le talent de l’écrivain. Tout le monde conna
cher par l’importance des choses et des personnes. Si le style est en
rapport
avec le sujet, il est sec et mesquin ; ambitieux
cet ouvrage, elle a parfois de soudaines illuminations, et révèle des
rapports
inaperçus dans l’état normal. Je soutiens seuleme
s plus indifférents, peu à peu cette animation fictive, sous certains
rapports
, échauffe réellement ; on s’enthousiasme pour son
ivement impressionnable, il est important de ne la fausser sous aucun
rapport
. Leur âme ne doit recevoir que les inspirations b
Olympiques pour entendre Hérodote lire son histoire. « Sous d’autres
rapports
, cette forme de société fournissait peu à l’imita
donner à avibus une autre épithète que mutis, je les envisage sous le
rapport
moral, et je me demande : Pourquoi ces oiseaux ne
art des circonstances, même dans celles qui ne paraissent avoir aucun
rapport
avec l’idée que l’on veut exprimer. Ainsi, ce qui
raison consiste à mettre en regard deux idées qui ont entre elles des
rapports
de similitude, et à rendre la première plus vive,
s s’appliquent. Si cet objet est grand et noble, il faut que tous les
rapports
de similitude concourent à en soutenir la dignité
tude suffirait pour remplir la vie du plus savant naturaliste par les
rapports
de cette plante avec tous les règnes de la nature
te avec tous les règnes de la nature. Mon ami, je suis ce fraisier en
rapport
avec la terre, avec l’air, avec le ciel, avec les
créer ; c’est cette puissance d’intelligence qui découvre de nouveaux
rapports
entre les objets. Les hommes de génie devancent l
qu’ils conçoivent plus vivement et plus parfaitement les choses. Les
rapports
que trouve le génie doivent être justes et nature
server la cause et les effets ; de saisir surtout et de faire voir le
rapport
qu’ils ont eu ou qu’ils ont aujourd’hui avec le b
entes Espèces d’Histoire. On peut considérer les hommes dans leurs
rapports
avec la divinité, et dans leurs rapports entre eu
idérer les hommes dans leurs rapports avec la divinité, et dans leurs
rapports
entre eux. De là deux espèces générales d’histoir
dans les empires. L’objet de l’orateur historien est de faire voir le
rapport
des grandes révolutions avec l’établissement de l
oésie, le morceau le plus philosophique, et le plus précieux, sous ce
rapport
, de toute l’antiquité. Il est fâcheux seulement q
orace possédait dans un degré supérieur. Aussi est-il, sous plus d’un
rapport
, l’homme le plus étonnant peut-être de toute l’an
tion ces belles descriptions qui nous enchantent, où trouvera-t-on le
rapport
moral et religieux qui fait un tout si sublime du
e la destinée qui lui est promise. « Il faut donc penser qu’outre le
rapport
que nous avons, du côté du corps, avec la nature
avec la nature changeante et mortelle, nous avons d’un autre côté un
rapport
intime avec Dieu, parce que Dieu même a mis quelq
d nombre d’idées spéciales et individuelles ; étudiez-la donc sous le
rapport
du genre, sous le rapport de l’espèce. Revenons,
a vie des grands…, etc. » On voit que ce lieu rentre, sous plusieurs
rapports
, dans l’énumération. C’est une observation que vo
on ne pense qu’aux espaces qui sont auprès de lui, ou qui ont quelque
rapport
à ses besoins : il ne regarde la terre entière qu
goût d’un peuple magnifique et délicat sur toutes les choses qui ont
rapport
à la politesse. Homère semble avoir oublié le lec
as sans doute, si tout ce que l’on apprend dans les collèges avait un
rapport
direct avec les soins et les relations qui nous a
elque genre qu’elle appartienne, peut toujours être observée sous les
rapports
suivants : 1° Objet de la composition. Faits qu’e
iverses parties de son œuvre. 5e Exercice : Examen du morceau sous le
rapport
du style. — Quelle opinion avez-vous du style en
ième et le dernier. Quatrième exercice. Examen du discours sous le
rapport
des pensées et des sentiments. L’exemple des h
onge et l’adresse ? Cinquième exercice. Examen du discours sous le
rapport
du style. Premier moyen. — Antioche a mérit
nt le récit. Il y a vraisemblance dans la narration, lorsqu’il y a un
rapport
aisé à apercevoir entre les causes et les effets,
ensemble, un tableau. Dans le discours, les idées étant liées par des
rapports
, il était nécessaire que les propositions fussent
es repos, des intervalles qui lui donnassent le moyen d’en saisir les
rapports
. D’un autre côté, la longueur de ces propositions
s ? — Quel est l’homme éloquent, suivant Cicéron ? — Sous quel triple
rapport
peut-on considérer l’élocution ? — Qu’est-ce que
la langue maternelle et des langues anciennes, s’exerce à saisir les
rapports
des choses à lui et des choses entre elles ; qu’i
ne peut que se les rappeler, les juger, les combiner, et que, sous ce
rapport
, les résultats de l’activité intellectuelle sont
ns avec cette pensée première, et de grouper ensuite, selon les mêmes
rapports
, les idées accessoires autour des idées principal
scription sont d’abord J. J. Rousseau, véritable chef d’école sous ce
rapport
, puis Bernardin de Saint-Pierre, Chateaubriand, W
s la moitié du livre, ne présente plus ni intérêt, ni originalité, ni
rapport
avec l’idée fondamentale ; et quand enfin l’auteu
ne des résultats aussi positifs. On ne peut guère rapprocher, sous ce
rapport
, de la péroraison de saint Vincent de Paul, que l
t les hommes, le juste, l’honnête, l’utile, et le vrai dans ces trois
rapports
, mais le vrai qui n’est pas connu ou qui n’est pa
e pas ériger en principe ce qui n’est juste et vrai que sous certains
rapports
, n’enseigner que le difficile, ne prescrire que l
dans quel dessein, à qui ou devant qui l’on parle, et, dans tous ces
rapports
, dire ce qui convient, et le dire comme il convie
connaissance de la chose publique, dans ses détails et dans tous ses
rapports
; sans compter, pour l’orateur chrétien, la lectu
un certain modèle d’agrément et de beauté qui consiste en un certain
rapport
entre notre nature faible ou forte, telle qu’elle
sur ce modèle déplaît à ceux qui ont le bon goût. Et comme il y a un
rapport
parfait entre une chanson et une maison qui sont
ce modèle unique, quoique chacune selon son genre, il y a de même un
rapport
parfait entre les choses faites sur le mauvais mo
ble. De l’art de persuader (1657-1658.) L’art de persuader a un
rapport
nécessaire à la manière dont les hommes consenten
elles-là peuvent être infailliblement persuadées : car en montrant le
rapport
qu’elles ont avec les principes accordés, il y a
ui le soit davantage dans la nature. Comme au contraire ce qui n’a de
rapport
ni à nos créances ni à nos plaisirs nous est impo
oses il aime : et ensuite remarquer dans la chose dont il s’agit quel
rapport
elle a avec les principes avoués ou avec les obje
ti avec Succès : admirable surtout par l’extrême variété et le peu de
rapport
qui se trouve pour le dessein entre un si grand n
e raison, qui prévient les équivoques, suit la racine des mots, et le
rapport
qu’ils ont avec les langues originaires dont ils
ticulière. Il faut connaître les lois et les coutumes de son pays, le
rapport
qu’elles ont avec le tempérament des peuples, les
de l’histoire ; surtout il exige l’étude des portes, à cause du grand
rapport
qu’il y a entre les figures de la poésie et celle
et de la peinture. De là vient qu’un peintre et un poète ont tant de
rapport
: l’un peint pour les yeux, l’autre pour les orei
ginale, et dont nous avons tant perdu le goût, ce poëte a beaucoup de
rapport
avec l’Ecriture ; mais l’Ecriture le surpasse aut
st pas celui que l’on considère ; elle roule presque toujours sur des
rapports
faux, sur des équivoques : de là vient que les pl
ne source pure répand une eau limpide ; un esprit juste en saisit les
rapports
, les circonscrit et les met à leur place ; un esp
condité ; un esprit élevé ne daigne apercevoir dans son objet que les
rapports
qui l’agrandissent : ses conceptions ressemblent
y contribue ; mais ce n’est que par accident et en vertu de nouveaux
rapports
, ou d’un caractère singulier et frappant que l’im
ormer un corps de raison. C’est le propre des inventeurs de saisir le
rapport
des choses, et de savoir les rassembler ; et les
est rare encore qu’après bien des réflexions on en saisisse tous les
rapports
. On ne peut donc trop s’en occuper ; c’est même l
ons forcées ; qu’en un mot, il y a tant d’ouvrages faits de pièces de
rapport
, et si peu qui soient fondus d’en seul jet. Cepen
ésente. Toutes les beautés intellectuelles qui s’y trouvent, tous les
rapports
dont il est composé, sont autant de vérités aussi
d’autres encore qui se cramponnent à la réalité et qui sont, sous ce
rapport
, d’une exigence méticuleuse, parce qu’ils sont co
donné une autre, celle des agroupements. Pour la transition, un seul
rapport
suffit ; mais, pour l’agrégation, il en faut mill
est rare encore qu’après bien des réflexions on en saisisse tous les
rapports
. On ne peut donc trop s’en occuper ; c’est même l
ions forcées ; qu’en un mot il y a tant d’ouvrages faits de pièces de
rapport
, et si peu qui soient fondus d’un seul jet. Cepen
n’existe nulle part à l’état de nature : on voit bien qu’il a quelque
rapport
avec l’ivraie, avec les gramens et quelques autre
utre doive arriver aussi mais il a employé tout ce qui pouvoit avoir
rapport
à une seule et même action, comme est celle de l’
écède ; par exemple, quand je dis : le fruit de l’arbre, de marque le
rapport
qu’il y a entre fruit et arbre ; quand je dis : u
l’enthymème. Dans toute espèce de syllogisme, il s’agit de montrer le
rapport
de deux termes entre eux par le rapport qu’ils on
isme, il s’agit de montrer le rapport de deux termes entre eux par le
rapport
qu’ils ont, chacun de son côté, avec un moyen ter
Or souvent il arrive que ce milieu n’a pas avec les deux extrêmes un
rapport
aussi évident, aussi étroit d’un côté que de l’au
conduite de l’orateur et de son client ; qu’ils aient, sous les mêmes
rapports
, une opinion défavorable de l’adversaire ; enfin
ont le fond de toutes les autres, parce qu’elles comprennent les deux
rapports
de notre âme avec le bien et le mal36. Pour excit
. « Entre ces deux genres, la douceur et la véhémence, il existe des
rapports
intimes, difficiles à saisir. La douceur, qui gag
s moyens que la cause fournit n’ont pas entre eux cette liaison et ce
rapport
qui doivent régner entre les membres d’une divisi
es judiciaires, où l’on s’efforce souvent de prouver ce qui n’a aucun
rapport
avec l’affaire débattue. La précaution à prendre
ivé avant l’effet, ou ce qui arrive en même temps, sans y avoir aucun
rapport
. C’est ce qu’on appelle, post hoc, ergo propter h
délicate. Mais il faut bien se donner de garde de montrer à l’âme un
rapport
dans le bas ; car elle se le serait caché si elle
tre sorte d’harmonie qu’on appelle imitative, et qui consiste dans le
rapport
des sons avec les objets qu’ils expriment. Les ve
ues de l’antiquité. Nos bons poètes ont saisi, comme les anciens, les
rapports
des sons avec les pensées et les images. L’imitat
e consiste dans le nombre des idées qu’un seul mot réveille, dans les
rapports
qu’il embrasse, dans l’importance des objets qu’i
r ses modèles. 2º Quand elles sont forcées, prises de loin, et que le
rapport
n’est point assez naturel, ni la comparaison asse
leur174. On doit s’étonner que Quintilien, qui paraît avoir saisi ces
rapports
, vienne dire ensuite (IX, 1) que les figures sont
tre lui-même et l’accusateur ; supposition oratoire qui a beaucoup de
rapport
avec la subjection : « Roscius a voulu déshériter
ls qui me ressemble ! (Corneille, Rodogune.) Il suffit d’indiquer le
rapport
de ces deux figures avec l’optation qui exprime u
qui se fait dans l’esprit, et par laquelle on dit une chose qui a du
rapport
à une autre, sans faire une mention expresse de c
potissimum velles ? (Cic., pro C. Rabirio, c. 8.) Il y a beaucoup de
rapport
entre cette figure et la permission, par laquelle
moire, dit-il, est comme la sœur de l’écriture, et elle a de nombreux
rapports
avec elle. L’écriture est gravée sur des tablette
s, développements d’un mot célèbre ou, d’une vérité morale, requêtes,
rapports
, analyses critiques, éloges, plaidoyers, tous ces
es bornes des convenances, sans blesser le goût ni la pudeur. Sous ce
rapport
, Boileau, dans ses satires, est un modèle de bon
ont tirées du Discours préliminaire qui ouvre avec tant d’autorité le
Rapport
sur les progrès des lettres, publié à l’occasion
récieuses pour l’histoire, plus précieuses encore, selon moi, par les
rapports
qu’elles établissent entre l’âme de celui qui les
on. La proposition est affirmative ou négative, selon qu’on énonce un
rapport
de convenance ou de disconvenance entre l’objet d
autres se sous-entendent fréquemment, quand il est facile de voir le
rapport
qui existe entre la première et la seconde propos
hanger le sens propre d’un mot en un autre sens, avec lequel il a des
rapports
de ressemblance, et dont il réveille naturellemen
ive de la nature. 2° Quand elles sont forcées, prises de loin, que le
rapport
n’est point assez naturel, ni la comparaison asse
ions, pour exprimer certaines idées avec lesquelles ils n’ont que des
rapports
éloignés. Ainsi, nous disons qu’un cheval est fer
παλλαγη, changement) est une figure mixte21 qui consiste à changer le
rapport
naturel des idées et des mots. Elle a lieu : 1° Q
trajecisse. CXII. — Invitus, coactus. Invitus (non volens) a
rapport
à la volonté de celui qui exécute, malgré sa volo
quête. Ille me de nostrâ republicâ percontatus est. Cic. Il a plus de
rapport
aux nouvelles publiques, aux bruits qui courent.
uits qui courent. — Interrogare (rogare inter), interroger, a plus de
rapport
au sentiment, à l’opinion de celui qu’on interrog
ez délicate entre quicumque, quivis et quilibet : quicumque a plus de
rapport
à la nature, aux qualités des personnes ou des ch
ur a-t-il pas d’obligations, à ne le considérer même ici que sous les
rapports
humains ? Combien de traits de sentiment, de pens
ots qui forment une phrase, de leurs formes grammaticales et de leurs
rapports
. Modèle d’analyse grammaticale Phrase à analys
le livre de Welcker, sur les Tragédies grecques considérées dans leur
rapport
avec le Cycle épique, t. I, p. 240. — Il reste de
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