328. Que comprend le genre épique ? Le genre épique (ἔπος, parole,
récit
, vers), considéré dans son extension la plus gran
it, vers), considéré dans son extension la plus grande, embrasse tout
récit
poétique qui forme une composition à part, une œu
omposition à part, une œuvre distincte. C’est donc la narration ou le
récit
qui forme le fondement et la base de cette espèce
épique des autres poèmes ? Le genre épique ayant la narration ou le
récit
pour base essentielle, se distingue par là des au
nt, du poème dramatique qui représente l’action au lieu d’en faire le
récit
, du poème didactique qui n’est qu’un tissu de pri
tibles de cette forme, depuis le poème épique proprement dit jusqu’au
récit
le plus ordinaire. Il y a donc, dans ce genre de
ement dit ? Le poème épique proprement dit, ou grande épopée, est le
récit
poétique et sublime d’une entreprise mémorable, h
rveilleuse. 333. Développez cette définition. Le poème épique est un
récit
poétique et sublime ; et par là il se distingue d
pique est un récit poétique et sublime ; et par là il se distingue du
récit
historique qui n’admet pas de fictions, et des ré
se distingue du récit historique qui n’admet pas de fictions, et des
récits
d’un genre inférieur qui ne prennent pas un ton s
ire. Comment, en effet, pourrait-on suivre avec plaisir et intérêt un
récit
aussi étendu que celui de l’épopée, si l’on n’y r
nité de héros ou de temps n’est pas suffisante ici. En effet, dans le
récit
d’une suite d’aventures héroïques, plusieurs fait
onsidérable. En effet, il serait impossible de supporter longtemps un
récit
égal et uniforme ; la variété, au contraire, rend
ne manière intime et presque nécessaire. Tels sont, dans l’Énéide, le
récit
de la prise et de la ruine de Troie, celui des je
ns la Henriade, il éprouve un autre inconvénient : c’est que, dans le
récit
d’événements très connus, la vérité et la fiction
Le mélange des dieux et des hommes, dans une action, sert à rendre le
récit
de cette action plus noble, à donner plus d’éclat
re, propose ce dont il s’agit. Le poète épique, avant de commencer le
récit
, doit donc exposer son sujet. C’est ce qu’on appe
dans l’épopée ? Le début terminé, le poète commence immédiatement le
récit
, qui forme ce qu’on appelle le nœud ou intrigue d
affreuse tempête. 389. N’y a-t-il pas plusieurs manières de faire le
récit
des faits ? Le développement du nœud se fait par
e faire le récit des faits ? Le développement du nœud se fait par le
récit
des faits. Ce récit peut se faire de deux manière
faits ? Le développement du nœud se fait par le récit des faits. Ce
récit
peut se faire de deux manières. La première consi
aîne des divers événements qui se succèdent durant le siège. Alors le
récit
se nomme simple ou direct. La seconde manière con
e dire ensuite à son héros ce qui a précédé l’événement par lequel le
récit
a été commencé. La fable alors se nomme composée
tage qui résulte de l’emploi d’un personnage pour faire une partie du
récit
, est de permettre au poète, s’il le juge convenab
vrée, le poète peut, sans inconvénient, faire lui-même la totalité du
récit
. 391. Comment se divise le récit dans l’épopée ?
nient, faire lui-même la totalité du récit. 391. Comment se divise le
récit
dans l’épopée ? Le récit épique devant nécessair
otalité du récit. 391. Comment se divise le récit dans l’épopée ? Le
récit
épique devant nécessairement être étendu, puisqu’
ralentir l’action, doivent céder la place à la nécessité des liens du
récit
qu’ils ont agréablement suspendu par intervalle,
cher au genre épique, parce qu’ils consistent essentiellement dans le
récit
, et que l’on comprend sous le nom d’épopées secon
i, comme on le voit, n’est que de l’histoire mise en vers, diffère du
récit
historique ordinaire par le ton et par le style.
te lui-même, soit qu’il fasse parler ses personnages. Il faut que son
récit
soit une vraie peinture qui frappe et qui attache
ouvement impétueux qui remue et qui entraîne : autrement ce serait le
récit
d’un simple historien. En un mot, le style de ces
iré. 403. Qu’est-ce que le poème narratif ? Le poème narratif est le
récit
d’un fait quelconque, par exemple, un combat, un
Qu’est-ce que le poème héroï-comique ? Le poème héroï-comique est le
récit
comique d’une action simple, commune et presque t
d furieux. 405. Qu’est-ce que le poème badin ? Le poème badin est le
récit
d’une action plaisante, fait sur un ton analogue
ion fidèle de la nature, la conformité de l’idée avec son objet, d’un
récit
avec un fait. La vérité est nécessaire à l’histor
saison, d’un lieu, d’une personne, etc. On la trouve aussi unie à un
récit
, et lui servant de cadre. C’est ce que l’on voit
tableaux vivants dans les bons auteurs, comme on peut le voir dans le
récit
du cortége funèbre de Germanicus. Parmi les quali
dicta…, (Énéide, I) ; et : Pendant que les matelots… (Télémaque). Le
récit
de la prise de Jérusalem, par Voltaire, et le com
l’œuvre de l’historien, de l’orateur ou du poète. Comme la clarté du
récit
demande souvent que les hommes qui exercent une g
ne jeune fille, par Chevalier ; et la description du monstre, dans le
récit
de Théramène : Cependant sur le dos de la plaine
l ? La narration (narratio, de narus pour gnarus) est l’exposé ou le
récit
détaillé d’un seul événement, véritable ou fabule
e, elle doit aussi être entière. Il faut donc que l’écrivain fasse un
récit
complet, sans rien omettre d’important. 397. En q
ne rien dire d’inutile, et à commencer et à finir où il convient. Un
récit
de deux pages est court, s’il ne contient que ce
deux pages est court, s’il ne contient que ce qui est nécessaire ; un
récit
de vingt lignes est trop long, s’il peut être ren
Fontaine est plus étendue, et cependant elle paraît moins longue. Le
récit
de la nuit affreuse que Molina passa dans la cave
dans l’élocution. Nous citerons comme modèles d’intérêt progressif le
récit
du sacrifice proposé à Eudore, la caverne des ser
narration. C’est là que l’écrivain, pour faciliter l’intelligence du
récit
et exciter la curiosité et l’intérêt, fait connaî
qu’il reste plus de choses à apprendre. Cette manière de commencer un
récit
demande beaucoup d’habileté et d’art, parce qu’el
te qu’il a excitée, en répandant un vif intérêt sur toute la suite du
récit
, ce qui ne pourrait avoir lieu dans un sujet ordi
tique. Nous trouvons un admirable modèle de début dramatique dans le
récit
de la mort de Jeanne d’Arc, par Casimir Delavigne
ans recherche et sans pompe ce qui est nécessaire à l’intelligence du
récit
, outre l’exposition pompeuse et l’exposition dram
: il est alors de nature à intéresser vivement ; mais il faut que le
récit
se maintienne ensuite à la même hauteur. Une règl
’adopter. II. 411. Qu’est-ce que le nœud ? Le nœud ou corps du
récit
est la partie de la narration où sont mis en rapp
uperflus et les circonstances inutiles qui ralentiraient la marche du
récit
, et surtout tenir les esprits vivement en suspens
sir de la surprise. L’écrivain, tout en évitant de laisser languir le
récit
, suivant ces paroles : Semper ad eventum festina
rconstances de temps, de lieux, de personnes, et de donner un lien au
récit
en mettant toujours en relief le personnage princ
en relief le personnage principal. 413. Citez un modèle de nœud. Le
récit
de la mort de Turenne, par Mme de Sévigné, nous o
cessation des difficultés et des complications qui, dans le corps du
récit
, ont vivement provoqué le désir de connaître l’is
. Dans ce cas, le narrateur le fera connaître très brièvement ; et le
récit
aura un complément qu’on appelle achèvement. 419.
énoûment. Chateaubriand a admirablement préparé le dénoûment dans le
récit
du sacrifice proposé à Eudore. Ce jeune martyr a
narration historique et la narration fabuleuse. A ces deux genres de
récits
se rattachent plusieurs autres espèces de narrati
tion légende. Nous dirons quelques mots de chacune de ces variétés du
récit
. i. 421. Qu’est-ce que la narration histori
Tobie, la Passion du Sauveur, nous mentionnerons, chez les Grecs, les
récits
d’Hérodote et de Thucydide ; chez les Latins, Sal
iques, et la mort d’Hippolyte, dans la tragédie de Phèdre. Ce dernier
récit
a été critiqué par Fénelon et par Marmontel qui l
t-ce que la narration mixte ? La narration mixte ou amplifiée est le
récit
d’un événement véritable, présenté avec des détai
un personnage sous un point de vue plutôt que sous un autre. Mais le
récit
historique ne peut jamais s’écarter de la vérité,
historique ne peut jamais s’écarter de la vérité, et d’autre part, le
récit
fabuleux demande trop de vigueur de conception. D
une imagination sage et fleurie, et qui seront de nature à rendre le
récit
intéressant et agréable. Participant de la narrat
dée de son héros, s’efforce le plus souvent de faire de chacun de ses
récits
autant de tableaux animés, brillants et pathétiqu
més, brillants et pathétiques. Ces qualités se font remarquer dans le
récit
de la bataille de Fribourg, et dans le passage de
lière, et ce que Marmontel appelle conte dans la conversation, est le
récit
bref et rapide de quelque chose de plaisant. Cett
t qui la termine doit être, comme un grain de sel, piquant et fin. Un
récit
de cette espèce qui n’a point de trait semblable,
et de ce qui la distingue de la narration historique, en comparant le
récit
du passage de la mer Rouge (Exode, xiv, 21-29) au
importance pour former un nœud, et pour anéantir le sujet général du
récit
, s’ils venaient à disparaître. Les épisodes bien
Les épisodes, si utiles pour donner de l’intérêt et de la variété au
récit
, doivent être soumis à certaines règles. On exige
’ils soient traités assez brièvement pour ne pas arrêter la marche du
récit
et pour ne pas faire oublier l’événement dont ils
. Chateaubriand a transgressé les règles des épisodes, en arrêtant le
récit
du combat entre les Romains et les Francs par de
trop souvent et soient exprimées en peu de mots afin que la marche du
récit
ne soit pas retardée. 443. Qu’avez-vous à dire su
e. 443. Qu’avez-vous à dire sur les discours et les dialogues dans le
récit
? La nature de la narration indique qu’il faut f
e discours direct et les petits dialogues contribuent à l’ornement du
récit
lorsque le sujet les comporte et qu’ils sont amen
ployées avec art et avec réserve, les petites descriptions rendent le
récit
plus animé et plus vivant. C’est ainsi que les po
aux faits. Mais un des développements les plus utiles pour rendre le
récit
intéressant, c’est la démonstration ou descriptio
s la narration ? L’amplification est un très bon moyen d’embellir un
récit
. Mais il faut bien se garder d’amplifier pour amp
n. 446. Quel est l’avantage des contrastes et des transitions dans un
récit
? Les contrastes, rapprochant deux objets ou deu
pposition est très frappante, sèment l’agrément et la variété dans le
récit
en faisant ressortir les objets. Les contrastes p
ariera suivant les objets, que sa diction participera de la nature du
récit
, et se pliera aux circonstances et aux événements
ration fabuleuse ou poétique, et à une narration badine. Dans le même
récit
, le style varie aussi suivant les différentes sit
, par Mme de Sévigné ; enfin, nous rangerons au nombre des plus beaux
récits
épistolaires les fameuses lettres de cette derniè
ières ; Mme de Sévigné, qui possède au plus haut degré l’animation du
récit
, la vivacité des tournures, la justesse des expre
Chapitre XVI. Genre du roman. Le roman est un
récit
d’aventures, ordinairement imaginaires, qui doit
les éléments variés et féconds où le roman puise ses peintures et ses
récits
. Le roman est donc à la fois fiction et vérité :
e. Il ne suffit pas, en effet, que le roman soit bien ordonné, que le
récit
en soit vif, intéressant, les peintures variées,
œuvres de l’imagination la forme de l’allégorie et du symbole. Leurs
récits
cachent toujours une leçon morale sous une forme
aient moins portés que les Asiatiques à faire et à entendre ces longs
récits
qui supposent les doux loisirs d’une vie somnolen
appelant les aventures des dieux, occupait les âmes curieuses par des
récits
qui ne laissaient point de place à d’autres étonn
descendu de ces belles fables, si bien chantées par les poètes, à des
récits
en prose qui n’auraient renfermé que des mensonge
Fables milésiennes, dues à un certain Aristide de Milet, étaient des
récits
libres et naïfs, assez semblables à nos fabliaux
i en brûla deux exemplaires. C’est le premier roman où l’on trouve un
récit
d’aventures supposées, mais vraisemblables, écrit
génie ! La chevalerie du moyen-âge a fait naître un nouveau genre de
récits
qui brillent d’un vif éclat, d’abord chez les tro
re des mœurs. Le roman de Renard est peut-être le premier type de ces
récits
où se trouve l’empreinte de l’analyse individuell
r de François Ier, devait imiter en France ; mais ces contes sont des
récits
d’aventures, et non des études de caractères et d
er d’un si vif éclat. Chaucer emprunte aux Italiens la matière de ses
récits
, mais il y déploie le génie original et analytiqu
tions générales et suffisantes. Car l’histoire n’est pas seulement le
récit
des faits qui sont les évolutions extérieures de
, et montrer partout l’expression d’une âme honnête et vertueuse ; le
récit
n’en devient que plus sympathique et plus intéres
néral que l’historien se rattachera pour grouper les membres épars du
récit
, et c’est ainsi qu’il trouvera l’unité. Polybe et
e ; mais on est parfois obligé de s’en écarter, pour ne pas couper un
récit
et disloquer l’enchaînement des faits. L’historie
elle dessine avec justesse et originalité les caractères, si dans un
récit
simple et clair elle mêle une certaine chaleur te
nsigner les noms, les faits et les dates, sans songer à les mettre en
récit
. À Rome, les annales étaient rédigées par les gra
légendes n’appartiennent qu’indirectement à l’histoire ; ce sont des
récits
naïfs et populaires, fondés souvent sur des faits
ectement ou indirectement ; plus il s’est trouvé haut placé, plus ses
récits
offrent d’importance et d’intérêt. Les mémoires n
te communication familière avec le lecteur donne un charme de plus au
récit
; mais les mémoires ne doivent pas dégénérer en b
Retz, de Saint-Simon, etc.) La philosophie de l’histoire n’est pas un
récit
chronologique et suivi des événements ; elle prés
la composition et même de la composition en prose. Ainsi, à propos du
récit
, par exemple, point de traité sur la manière d’éc
. C’est encore un axiome de Cicéron. La clarté dans la disposition du
récit
on de la thèse consiste à présenter les faits ou
m incredibile solertia efficit sœpe credibile esse, dit Scaliger. Les
récits
les plus étranges deviennent admissibles, dans l’
a fiction dans celles de la réalité. Boileau a dit encore à propos du
récit
: Soyez vif et presse dans vos narrations ; et
cre, on mit à la voile, nous partîmes. — Chaque phrase est courte, le
récit
est long. La précision consistait à dire tout sim
e n’intéresse pas. » Sachez intéresser, prenez-nous au cœur, et votre
récit
sera clair, précis, vraisemblable ; et l’on vous
i-même à l’antagonisme des forces contraires qui fait le nœud de tout
récit
; en ordonner l’action et la résistance avec l’ha
voir en vue un but, un objet principal. Il y a donc toujours, dans un
récit
ou dans une doctrine, un fait ou une idée dont to
voilà l’hommes de Quintilien ; que ne disait-il : Je m’embarquai ? Le
récit
de l’avocat de Milon manque de précision et d’int
e condamner Cicéron, demandez-vous quel est ici le point culminant du
récit
. Est-ce le départ de Milon ? Non, assurément. L’i
n de la Milonienne ; c’est un chef-d’œuvre. Passez ensuite à d’autres
récits
, à d’autres thèses, et appliquez-y ma règle ; ell
un jour défavorable pour nous ; en un mot, il faut souvent fondre le
récit
, soit dans la confirmation, soit dans la réfutati
ne jamais décrire pour décrire, mais pour ajouter soit à l’intérêt du
récit
, soit à la puissance des preuves. N’oubliez pas q
plus grands éloges. Mais sa mission n’est pas exempte de dangers. Le
récit
des désordres et la peinture des vices deviennent
limites trop étroites un genre qui peut s’étendre bien plus loin. Les
récits
sont déplacés dans ces sortes d’épîtres, à moins
e qui doit en faire le plus bel agrément. L’épître familière admet le
récit
des faits les plus ordinaires, les plus petits dé
La fable ou apologue, de ἀπολέγειν, déduire (un sens moral), est le
récit
d’une action attribuée à des personnages quelconq
rticle, nous traiterons successivement des qualités de l’action et du
récit
, des qualités de la moralité, et des qualités du
, et des qualités du style. § Ier. — Des qualités de l’action et du
récit
. 293. Quelles doivent être les qualités de l’a
Ainsi la justesse demande que la moralité se déduise naturellement du
récit
. C’est même là le principal mérite de ce genre de
l mérite de ce genre de composition. La fable, en effet, n’est pas un
récit
destiné seulement à plaire ; c’est surtout une fo
tout ce qui est de nature à nous faire douter de la bonne foi de son
récit
, en affaiblit l’intérêt. 301. Quelles sont les qu
son récit, en affaiblit l’intérêt. 301. Quelles sont les qualités du
récit
dans la fable ? Les qualités du récit dans l’apo
. Quelles sont les qualités du récit dans la fable ? Les qualités du
récit
dans l’apologue sont celles de la narration en gé
e réveiller subitement par la chute du pendu qui revient à la vie. Le
récit
sera clair si on place chaque chose en son lieu,
st-ce que la moralité ? La moralité ou vérité morale, qui résulte du
récit
allégorique de l’apologue, est une maxime général
aine placent indifféremment la moralité tantôt avant, tantôt après le
récit
, selon que le goût l’exige ou le permet. L’avanta
ement dans les descriptions que l’on jette de temps en temps dans les
récits
. Ainsi, dans la fable du Loup devenu berger : Il
es qui sont femmes. 312. Quels sont les ornements qui conviennent au
récit
dans l’apologue ? Outre les qualités dont nous a
dans l’apologue ? Outre les qualités dont nous avons déjà parlé, le
récit
dans l’apologue doit encore, s’il veut plaire, êt
pas pesons. 314.Citez quelques exemples de pensées qui relèvent le
récit
. Nous ne parlons ici que des pensées qui ont que
oins que l’on ne songe ? 315. Comment les allusions servent-elles au
récit
? Les allusions embellissent le récit lorsqu’on
les allusions servent-elles au récit ? Les allusions embellissent le
récit
lorsqu’on rapporte quelques traits qui figurent s
voir Ulysse en cette affaire. 216. Les tours peuvent-ils embellir le
récit
? Pour orner le récit, les tours doivent être vi
faire. 216. Les tours peuvent-ils embellir le récit ? Pour orner le
récit
, les tours doivent être vifs et piquants ; quelqu
e VI. Du conte 321. Qu’est-ce que le conte ? Le conte est le
récit
d’une action fabuleuse, d’aventures imaginaires e
ques, comme la tragédie, la comédie, l’épopée, la fable, etc. Mais un
récit
qui ne serait qu’un enchaînement d’aventures, san
Chapitre lII. § I. Genre épique. L’épopée est le
récit
d’une grande action, qui peut être à la fois héro
volité, qui se résument dans une satire et dans une chanson. Un grand
récit
en vers veut s’adresser à des imaginations encore
seulement, si la nation est rude et l’idiome grossier, on a ces longs
récits
en vers qui amusaient nos aïeux ; si, au contrair
onnent l’art et le goût, mais non cette naïveté primitive des anciens
récits
. Le siècle d’Auguste était trop raffiné pour être
e poème épique chante les passions ; il les montre en action dans son
récit
avec leurs bons ou leurs mauvais résultats : c’es
e carrière pour le génie du poète ! La foi religieuse, en animant ses
récits
, leur donne une consécration solennelle, et leur
entiments, passions qui s’y déploient ; au mouvement, à la variété du
récit
; enfin, aux mille ressources de l’imagination du
piration. Le poète fait ensuite l’exposition du sujet, et commence le
récit
, qui se déroule sans interruption jusqu’au dénoue
en chants, dont le nombre est abandonné à la volonté de l’auteur. Le
récit
épique se fait de deux manières : ou le poète par
ire plaisante et légère qui brille par la vivacité et l’enjouement du
récit
, par l’agrément des détails et la rapidité du sty
§ 23. Définition. — Division du chapitre. — Choix, arrangement et
récit
des faits ; digressions. L’histoire est le réc
x, arrangement et récit des faits ; digressions. L’histoire est le
récit
des actions, des événements, des choses passées,
tre que ce qui ne peut pas être révoqué en doute. L’histoire n’est le
récit
que des choses vraies ; l’historien s’annonce pou
’historien doit encore avoir soin de ne rien dire de superflu dans le
récit
des faits ; c’est le moyen de rendre la narration
sité du lecteur, l’intéresse et l’instruit souvent plus que le simple
récit
de leurs actions. Il aime qu’on lui montre le cœu
er eux-mêmes. Cependant, comme on a observé que quand ils parlent, le
récit
est plus vif et plus animé, les historiens ont em
oyé de temps en temps la forme dramatique pour égayer la monotonie du
récit
. C’était la coutume des anciens ; mais quand on p
par leur importance. Il faut surtout ne pas abuser du moyen ; car le
récit
s’en trouve toujours singulièrement ralenti, et c
supportable que celui qui néglige ou écarte les faits pour barder son
récit
de réflexions philosophiques ou de dissertations
, sans le secours artificiel de l’éloquence. Quelle sublimité dans le
récit
de la création de l’univers ! Mais quelle simplic
issance, comme les faits humains, montrent partout cette qualité. Les
récits
touchants sont traités avec la même simplicité qu
té. Les récits touchants sont traités avec la même simplicité que les
récits
sublimes. La narration du Nouveau Testament a le
it assez admirer, et dont nous extrayons, comme un morceau achevé, ce
récit
de la mort d’Alexandre : Alexandre fit son entré
histoires, faire quelque préambule pour introduire le lecteur dans le
récit
. Ainsi, il faut que l’historien nous mette d’abor
, plus noble, plus naturelle ; des transitions plus heureuses dans le
récit
et l’enchaînement des faits ; plus de sagesse, de
es à propos. Il évitera aussi le blâme ou la louange directe. Le seul
récit
des faits doit tenir lieu de censure ou d’éloge.
iate avec ceux qui dirigeaient l’État. Elles peuvent joindre alors au
récit
des événements publics et généraux, les particula
s sur l’histoire. 47. Batteux, Style de l’histoire. 48. Batteux, Du
récit
historique. 49. Batteux, lieu cité. 50. Domairo
n à toutes ces compositions de médiocre étendue, qui consistent en un
récit
plus ou moins vif et animé et qui n’admettent qu’
§ 6. Fables et Apologues. Préceptes du genre. La fable est le
récit
d’une action feinte, destinée à l’amusement et à
osophie égayée qui nous cache la sécheresse des préceptes. Comme tout
récit
, l’apologue doit avoir son exposition, son nœud e
ez, au moyen de l’hypotypose, d’augmenter le mouvement, de presser le
récit
. Vous parlerez plus à l’imagination qu’à l’oreill
ires. Nous ne parlons que de la narration historique, c’est-à-dire du
récit
particulier d’un fait puisé dans l’histoire ; or,
aisemblance impose au narateur de stricts devoirs. 1° Il faut que son
récit
soit tel qu’on puisse aisément le croire vrai. L’
on, et lui laisser même croire que l’on dit des choses vraies : 2° le
récit
fictif doit être plus intéressant que s’ il était
assions ! Mépris à celui qui nous promène d’horreurs en horreurs ! Le
récit
poétique reçoit tous les ornements du style. Il
on badine. Préceptes du genre. La narration badine ou conte est le
récit
d’un événement dont le but est d’instruire le lec
narration mixte, dit l’abbé Anastase Capot, occupe le milieu entre le
récit
historique et la fiction ; elle tient à la fois d
plus que ce genre n’exige pas une étude aussi sévère des faits que le
récit
historique, et qu’il présente en conséquence beau
point mise en doute. On arrange les détails de manière à embellir son
récit
, on met dans la bouche de ses héros les paroles q
§ 13. Narration Légende. Préceptes du genre. La légende est le
récit
d’un fait puisé dans l’histoire du moyen-âge, ou
tifier ici avec l’esprit de l’époque naïve à laquelle il emprunte son
récit
. On ne le verra pas s’armer des principes d’une c
, les flocons de laine, toutes ces idées douces mêlées à l’horreur du
récit
, viennent rendre plus sauvage la férocité du roi
’art, et c’est bien dommage que cette tache se montre dans un si beau
récit
. Mérovée est debout, une image saisissante le rep
r d’ornements brillants et poétiques, il est impossible de refuser au
récit
l’intérêt, la vraisemblance et l’unité. La dispos
que est digne de l’exposition. Réduit à sa plus simple expression, le
récit
se renfermerait dans ces deux phrases. « Mérovée
; il signifie littéralement introduction. L’épisode est, en effet, un
récit
, une action partielle qu’on introduit dans un poè
réceptes pouvait très bien se continuer sans être interrompue par des
récits
particuliers. Quelquefois, au lieu de raconter, c
sous l’abri secret des grottes reculées, Les muses, tour à tour, d’un
récit
enchanteur Trompent des longues nuits l’importune
que, si l’on veut se borner à trois chants, on n’a qu’à retrancher le
récit
d’Apollon ; que si l’on veut deux chants de plus,
ut raconter tous les faits indifféremment ; l’épopée est astreinte au
récit
d’une seule action, dont toutes les parties, parf
mais plus encore des causes surnaturelles. En un mot, l’épopée est le
récit
poétique d’une action héroïque et merveilleuse 12
t le récit poétique d’une action héroïque et merveilleuse 122. Or, le
récit
est ce qui la distingue de la tragédie et ce qu’e
istingue de la tragédie et ce qu’elle a de commun avec l’histoire. Le
récit
poétique est ce qui la distingue de celle-ci. L’a
établies les règles suivantes sur la forme de l’épopée. Avant que le
récit
de l’épopée commence, il y a ce qu’on appelle la
e n’était plus ce prince, etc. C’est là le début de la narration. Le
récit
épique parcourt alors les temps, les lieux, comme
Boileau : D’un air plus grand encor, la poésie épique, Dans le vaste
récit
d’une longue action, Se soutient par la fable et
Au reste, le plus parfait exemple que nous ayons dans notre langue du
récit
épique, c’est à Boileau que nous le devons. Ce n’
aïades craintives, Qui toutes, accourant vers leur humide roi, Par un
récit
affreux redoublent son effroi. Il apprend qu’un h
épique dans le sens étroit du mot : c’est l’Énéide de Virgile, ou le
récit
de l’établissement d’Énée et des Troyens dans l’I
xième guerre punique. Il suit pas à pas Tite-Live pour les détails du
récit
, et copie servilement les formes de l’Énéide ; c’
es passions douces et modérées qui peuvent produire des chansons, des
récits
intéressants, des combats de flûte ou de chant. L
onnement, un embarras qui fasse sentir leur simplicité au milieu d’un
récit
pompeux : Urbem quam dicunt Romani, Melibæe, put
atique ou la forme épique, c’est-à-dire qu’elle est en dialogue ou en
récit
; tandis que l’idylle ne renferme ordinairement q
renferme ordinairement que des images, des sentiments et rarement des
récits
. 162. Quelles sont les qualités que demande l’égl
Quelles sont les qualités que demande l’églogue ? L’églogue soit en
récit
, soit en dialogue, soit en récit et en dialogue e
mande l’églogue ? L’églogue soit en récit, soit en dialogue, soit en
récit
et en dialogue en même temps, doit être irréproch
rsque c’est un berger qui raconte, le ton et le style de l’églogue en
récit
ne diffèrent en rien du ton et du style de l’églo
action, et consiste en un tableau gracieux présentant des images, des
récits
, une réflexion ou un sentiment développé, ou enfi
rares où l’idylle possède une action, cette action doit être mise en
récit
. Si l’idylle exprime une passion, il faut que cet
ne narration vous mêlez une seule réflexion contraire au but de votre
récit
, vous péchez contre l’harmonie. Si dans une descr
rsonnages et explique tous les antécédents nécessaires à la clarté du
récit
. L’exposition sera simple et claire. Simple : il
mbler en un seul faisceau les faits partiels qui concourent au but du
récit
. Enfin, le dénouement est le point où se tranche
à quelques réflexions vives que l’on jette, comme en passant, dans le
récit
. Telle est celle-ci : la fourmi n’est pas prêteus
ranquille pour jamais. Vous voyez quelle différence il y a entre ce
récit
embelli de petites circonstances, et ces mots tro
s mouvements d’éloquence, mérite plutôt d’être défini : une action en
récit
, que récit d’une action. La narration oratoire n
s d’éloquence, mérite plutôt d’être défini : une action en récit, que
récit
d’une action. La narration oratoire n’est d’usag
tence courte et frappante, qu’il place au commencement ou à la fin du
récit
. Le plus souvent la moralité termine l’apologue,
èce de bonne foi ingénue et crédule avec laquelle l’auteur expose son
récit
. La simplicité et la naïveté n’excluent pas une l
gage le fit précipiter, à Delphes, du haut d’un rocher. Ses ingénieux
récits
restèrent dans la mémoire des hommes, et l’on en
inée, Philémon et Baucis. § III. Conte. Le conte en vers est un
récit
fabuleux, dont le but est d’amuser et d’instruire
raisons, d’écrire convenablement une lettre, de rédiger clairement un
récit
, un rapport, et de faire triompher partout le bon
ractère des lettres de Mme de Sévigné. Les confidences intimes et les
récits
inimitables qu’elle fait à sa fille n’ont pour no
spontané. 141. Le style simple convient aux entretiens familiers, aux
récits
de faits ordinaires, aux lettres, aux fables, et
rrefours. C’est le défaut de quelques écrivains de nos jours. Dans un
récit
d’ailleurs très émouvant, Alexandre Dumas dit, en
e quand elle est une espèce d’exclamation qui sert de conclusion à un
récit
ou à un raisonnement. Virgile dit après le tablea
etranchez tout ce qui lui est étranger. M. de Ségur commence ainsi le
récit
qu’il nous a laissé de l’incendie de Moscou : De
che la trompette, donne le droit d’attendre beaucoup pour la suite du
récit
, et, si cette attente est trompée, il est sûr de
enlève tous les esprits. 304. Le nœud de l’action est cette partie du
récit
où les intérêts se compliquent et les obstacles s
nt suspendu entre l’espérance et la crainte, l’attacher à la suite du
récit
, lui réserver pour le dénouement ou une agréable
point où aboutit et se résout le nœud de l’action. C’est l’endroit du
récit
où l’on déclare le sort des personnages et le rés
l’exposition. Chateaubriand a très bien préparé le dénouement dans le
récit
du sacrifice d’Eudore. Ce jeune chrétien a souffe
ois péché contre cette règle : dans la Laitière et le Pot au lait, le
récit
est fini et le lecteur n’attend plus rien après l
ipal et tendent à un seul but. L’unité n’est pas moins nécessaire aux
récits
les plus simples qu’aux compositions les plus éte
out son sujet, mettre de l’ordre dans les faits, et ne pas charger le
récit
de ces détails inutiles qui fatiguent le lecteur.
toujours croissant, et que le lecteur, à mesure qu’il avance dans un
récit
, sente un attrait plus puissant pour les choses q
iés à l’action principale, ne doivent pas nuire à l’unité générale du
récit
, et doivent être amenés avec art et placés avec g
courtes, naturelles, et qu’elles sont pour ainsi dire fondues dans le
récit
. Différentes espèces de narration. 314. Com
rancher, et s’attacher avant tout à l’exactitude et à la fidélité. Le
récit
de plusieurs événements qui embrassent toute une
u la vie d’une nation porte le nom d’histoire. L’histoire est donc le
récit
fidèle et authentique des événements passés. 316.
re, Virgile, Racine, Fénelon et Chateaubriand d’excellents modèles de
récits
poétiques. Quant aux narrations historiques, Héro
s qui puissent frapper l’esprit du lecteur sans retarder la marche du
récit
. L’orateur se permet plus de détails, mais il doi
ii.) 336. La démonstration est l’exposition d’un fait particulier, le
récit
d’un événement, tel qu’un combat, une tempête, pr
etour ou la continuation des mêmes rimes. On s’en sert pour donner au
récit
plus de rapidité, aux grands sentiments plus de f
e influence sur une nation ou sur le monde entier, votre œuvre est un
récit
merveilleux, c’est la parole par excellence (ἔπος
s la Divinité. 436. Pindare a toujours mêlé aux exploits des béros le
récit
des choses divines, parce qu’il professait une vé
’ode faite pour être mise en musique. On distingue dans la cantate le
récit
et l’air. Le récit précède et expose le sujet, l’
e mise en musique. On distingue dans la cantate le récit et l’air. Le
récit
précède et expose le sujet, l’air exprime le sent
demandent que la cantate soit toujours une allégorie exacte dont les
récits
puissent amener naturellement les réflexions mora
itre deuxième. Genre épique23. 446. Le genre épique (ἐπὸς, parole,
récit
), dans sa plus grande extension, embrasse tout ré
e (ἐπὸς, parole, récit), dans sa plus grande extension, embrasse tout
récit
poétique qui constitue un seul tout. Dans le genr
eptibles de cette forme, depuis la grande épopée jusqu’au plus simple
récit
. Nous allons nous occuper d’abord de l’épopée pro
ons nous occuper d’abord de l’épopée proprement dite, c’est-à-dire du
récit
poétique dont le genre est grand et sublime, et n
premier. De la grande épopée. 447. L’épopée ou poème épique est le
récit
poétique d’une action vraisemblable, héroïque et
d’une action vraisemblable, héroïque et merveilleuse. L’épopée est un
récit
, et en cela elle diffère du poème dramatique, qui
, qui ne raconte pas, mais qui met une action sous les yeux. C’est un
récit
poétique, et en cela elle diffère de l’histoire e
ble, héroïque et merveilleuse distinguent l’épopée de tous les autres
récits
poétiques. 448. Par action, on peut entendre ici
a vraisemblance morale. L’esprit du lecteur ne s’intéresse point à un
récit
qui choque les idées reçues et l’enseignement de
sfaire la curiosité du lecteur sur tous les personnages principaux du
récit
. 461. La grandeur exige que l’action ait assez d’
; égales, c’est-à-dire toujours constantes et telles dans la suite du
récit
qu’on les a montrées d’abord ; variées, c’est-à-d
et le dénouement. 469. Avant d’entrer en matière et de commencer son
récit
, le poète place ordinairement l’exposition du suj
ce céleste pour en obtenir qu’elle l’inspire et le soutienne dans son
récit
. Il a besoin de cet appui pour révéler les causes
es principaux et les circonstances nécessaires pour l’intelligence du
récit
; c’est ce qu’on appelle préparation. Il montre l
. Après cette préparation, le poète entre franchement dans le cœur du
récit
, et c’est là que commence le nœud ou la complicat
ui naît des divers obstacles. Le développement du nœud se fait par le
récit
des événements qui concourent à le resserrer, et
fait par le récit des événements qui concourent à le resserrer, et le
récit
se compose de chants. Ce récit peut se faire de d
s qui concourent à le resserrer, et le récit se compose de chants. Ce
récit
peut se faire de deux manières. La première consi
mère dans l’Odyssée et Virgile dans l’Énéide. Dans le premier cas, le
récit
est simple et direct ; dans le second, il est com
, héroï-comique, badin, et le roman. Tous ces poèmes ont pour base le
récit
d’une action et rentrent dans le genre épique. Ce
ue donc, avec quelques restrictions, à tout poème qui a pour objet le
récit
d’une action. Mais il nous paraît utile de dire u
de l’épopée, en ce que celle-ci procède par voie de description et de
récit
, tandis que dans le drame le poète disparaît et l
divers personnages, et bientôt après, sous Sophocle et Euripide, les
récits
dominèrent et les chœurs ne furent que l’accessoi
ardies qui conviennent à l’ode et à l’épopée. Les descriptions et les
récits
doivent être bien amenés et demandent beaucoup de
gile. De la fable ou apologue. 555. La fable ou apologue est le
récit
d’une action allégorique, d’où résulte une instru
vérité que l’on veut enseigner, une action qui cache cette vérité, un
récit
par lequel on fait connaître l’action et la vérit
rité qu’elle renferme. Ainsi l’apologue se compose d’une action, d’un
récit
et d’une moralité. 558. L’action de l’apologue do
mpossible. 559. La moralité de l’apologue se met quelquefois avant le
récit
, mais plus souvent à la fin. Placée au début, ell
assions modérées qui produisent des chants, des luttes poétiques, des
récits
intéressants. 562. On peut considérer les bergers
ans un grand repas qu’elle donne à Énée, elle le prie de lui faire le
récit
de la prise de Troie et celui de ses propres malh
fin, la perte qu’il fit de Créuse, son épouse. Livre III. Suivant le
récit
que continue Énée, il équipa une flotte, et, s’ét
ion de l’épopée ? 469. Que doit faire le poète avant de commencer son
récit
? 470. Que fait le poète dans la proposition ? 47
plaisirs ou des peines qui en résultent. Rien ne doit languir dans ce
récit
. Que l’action marche avec rapidité ; que le style
onnages étrangers à ce qui précède. Il est permis de rompre le fil du
récit
de la principale action par des incidents ou évén
eur nom. On vit naître à cette époque une multitude de légendes et de
récits
merveilleux qui, ensuite, ornés et fécondés par l
e, après qu’ils ont parlé, ce qu’il peut y avoir de piquant dans leur
récit
. L’art de raconter ces petits faits n’a jamais ét
compagnies. Donnons ici, comme un modèle de l’art de faire ces petits
récits
, la page que La Harpe consacre au mesmérisme dans
tre que ce qui ne peut pas être révoqué en doute. L’histoire n’est le
récit
que des choses vraies : l’historien s’annonce pou
seule source les principaux événements qu’il doit raconter. II. Du
récit
des Faits et de leurs circonstances. L’histori
s. L’historien doit avoir soin de ne rien dire de superflu dans le
récit
des faits : c’est le moyen de rendre la narration
ouvrir le fond, les causes et les principes. Ce n’est pas tant par le
récit
des actions des hommes, que par le détail des mot
mme honnête et éclairé. Mais tout cela doit se faire dans le corps du
récit
. Les réflexions particulières, les sentences figu
. Il ne prend la plume que pour instruire et éclairer l’esprit par le
récit
des faits. Il doit donc se borner à raconter avec
us orné que celui des autres histoires. Quand l’historien se borne au
récit
d’un seul événement important, il doit faire un p
ropos. Mais il ne se permettra jamais le blâme ni la louange. Le seul
récit
des faits doit tenir lieu de censure ou d’éloge.
ite privée. Si l’on écrit la vie de ce général, on doit y joindre, au
récit
circonstancié de tous ses faits d’armes, celui de
faires, ou qui en ont été les témoins oculaires. Elles y joignent, au
récit
des événements publics et généraux, les particula
e, plus noble, plus naturelle, des transitions plus heureuses dans le
récit
et l’enchaînement des faits ; plus de sagesse, de
humaine. Cependant on ne peut pas donner le nom d’histoire à tous les
récits
, bien que les faits en soient de la plus exacte v
nt de la plus exacte vérité. Ce nom n’appartient véritablement qu’aux
récits
qui nous mettent à même d’appliquer à notre instr
d’un royaume, comme celle de Tite-Live ; ou ils ne renferment que le
récit
d’un événement majeur, ou l’histoire d’une certai
es guerres civiles d’Angleterre, par Clarendon. L’historien, dans son
récit
, doit, avant tout, s’attacher à l’unité, c’est-à-
toire d’une nation, peuvent si facilement conserver l’unité dans leur
récit
, qu’ils sont inexcusables d’y manquer. Les Guerre
ns cesse coupée ; son histoire se divise par étés et par hivers ; les
récits
ne sont pas toujours terminés ; le lecteur y est
la coïncidence des faits ; mais il n’est pas obligé d’interrompre un
récit
pour nous apprendre ce qui se passait dans un aut
’un à l’autre les événements qu’il raconte, de manière à en former un
récit
suivi. Il fatiguera bientôt son lecteur, s’il se
ages historiques. L’histoire doit être regardée, en général, comme un
récit
d’événements certains, dont l’objet principal est
ses sur ces importants objets. C’est l’écrivain le plus élégant ; ses
récits
sont de la plus grande beauté, mais il ne se dist
ses opinions politiques, il interrompe à tout moment le cours de son
récit
. Il doit nous donner les instructions nécessaires
lier qu’il s’est formé d’avance. L’histoire nous instruit plus par le
récit
exact et judicieux des événements, que par des le
tés distinctives de certains caractères, il faut les lier avec art au
récit
principal ; car alors elles produiront un bien me
lui donner la forme d’une réflexion morale ; elle se présente dans le
récit
comme une explication de l’inquiétude que ressent
e et plus forte. Cet historien avait surtout le talent de mêler à son
récit
des sentiments profonds et des observations d’une
a plus grande importance, puisque l’histoire n’est autre chose que le
récit
d’événements passés. La différence que nous obser
s à la même hauteur ; il faut que, pour mettre de la variété dans son
récit
, il sache à propos changer de ton ; autrement, sa
e. Deux choses concourent essentiellement à jeter de l’intérêt sur un
récit
. La première, c’est de tenir, en racontant, un ju
sement choisies qui intéressent et attachent le lecteur, donnent à un
récit
du corps, de la vie, de la couleur, et nous font
upart des historiens anciens ont excellé dans l’art de donner à leurs
récits
toutes les qualités dont nous venons de parler, e
les temps, regardé comme un écrivain très agréable, qui met dans ses
récits
cette naïveté qui toujours attache le lecteur. Qu
r, néanmoins, dans les occasions importantes, comme lorsqu’il fait le
récit
de la peste d’Athènes, du siège de Platée, de la
s pleins de beauté. Les circonstances y sont choisies avec art, et le
récit
facile et intéressant ; mais ses Helléniques, ou
e narration parfaite. Au commencement du neuvième livre (ch. 5), son
récit
de la fameuse défaite de l’armée romaine par les
los. Primi consules prope seminudi sub jugum missi, etc. Le reste du
récit
; que nous ne pouvons rapporter tout entier, est
bouche de leurs principaux personnages. Elles produisaient dans leurs
récits
une heureuse diversité ; elles avaient un but mor
vérité. Ces harangues peuvent jeter beaucoup d’agrément dans un long
récit
; mais il n’y a pas de raison pour que l’on n’y p
hommes, la morale y doit régner partout. Dans ses portraits, dans ses
récits
, l’auteur doit toujours se ranger du côté de la v
et quelques-uns même, comme Bentivoglio et Guichardin, ont mêlé leurs
récits
de harangues. Leurs connaissances en politique so
outenue ; il peut parler librement de lui-même, et descendre jusqu’au
récit
des anecdotes les plus familières. Mais on exige
mble, comme c’est la méthode de Platon ; ou l’auteur fait lui-même le
récit
d’une conversation, et raconte ce qui s’est passé
génie de l’auteur. Les dialogues de Cicéron ou, pour mieux dire, ces
récits
de conversations qu’il a introduits dans la plupa
l’esprit. Il nous faut quelque chose au-delà ; nous sommes avides du
récit
des actions plus éclatantes, des événements plus
forme, et de simples contes ou nouvelles familières remplacèrent des
récits
pompeux d’héroïsme. Pendant les siècles de Louis
tères, saillants et naturels, sont tracés avec un pinceau hardi ; ses
récits
sont faits pour inspirer l’humanité et les affect
mérique nous a appris à connaître l’homme dans l’état de sauvage. Les
récits
des voyageurs s’accordent à dire que, dans toutes
a poésie élégiaque ou plaintive ; le poème épique dut son origine aux
récits
des exploits des héros, mais un simple récit ne p
que dut son origine aux récits des exploits des héros, mais un simple
récit
ne parut pas toujours suffisant, et il est probab
sonnaient sur les affaires de la vie, et, rejetant ce que les anciens
récits
avaient de fabuleux, ils n’y cherchèrent que ce q
criptions que comporte cette espèce de poésie un plus grand nombre de
récits
, auxquels une douce sensibilité donnerait de la c
ence que les autres genres de poésie sont plus souvent employés à des
récits
d’action, et que l’ode est presque toujours desti
rdies et plus passionnées que celles que pourrait supporter un simple
récit
. Tel est, en effet, le caractère essentiel de l’o
produite, en poésie, par des moyens indirects, comme les fables, les
récits
, les peintures de caractères ; mais la poésie did
sions où l’auteur a déployé toute la force de son génie. Tels sont le
récit
des prodiges qui accompagnèrent la mort de César,
dans laquelle le poète n’ait uniquement voulu que décrire, sans qu’un
récit
, une action ou un sentiment forme le sujet princi
inir d’une manière plus simple le poème épique en disant que c’est le
récit
poétique d’une entreprise illustre. Cette définit
ile, tous sont incontestablement des poèmes épiques, c’est-à-dire des
récits
poétiques d’actions illustres, seule définition q
dmiration pour tous les hommes, ce but ne peut être rempli que par le
récit
d’une action héroïque, ou la peinture d’un caract
nous ait laissées sur ce genre de poésie. Il est évident que, dans un
récit
d’aventures héroïques, des faits détachés et indé
par épisodes certaines actions, certains incidents introduits dans un
récit
et liés à l’action principale, mais qui cependant
changeant le lieu de la scène. Au milieu des combats, par exemple, le
récit
d’une aventure guerrière ne serait pas à sa place
commence le poème, soit en introduisant un personnage qui en fait le
récit
. Il doit satisfaire notre curiosité sur tous les
tre attention, et justifier le pompeux appareil que le poète donne au
récit
qu’il en fait. Cette qualité est si évidemment né
e des temps ou de l’éloignement du lieu de la scène pour embellir son
récit
de tous les charmes de la fiction. La troisième q
que l’action en soit intéressante. La grandeur ne suffit pas, car le
récit
des plus hauts faits peut quelquefois être fort e
ts faits pour nous toucher. Qu’il évite de nous éblouir sans cesse du
récit
éclatant des exploits de ses héros ; car il n’est
ugle pour Homère et Virgile. Ces poètes durent faire entrer dans leur
récit
les traditions populaires et superstitieuses des
et il est incontestable que toutes les fois qu’un poète nous donne un
récit
régulier d’une action héroïque, bien lié dans tou
ictions et de réalités qui détruirait entièrement la vraisemblance du
récit
. La narration est le dernier objet qui nous reste
nous reste à examiner. Il importe peu que le poète fasse lui-même le
récit
de l’action tout entière, ou que l’un de ses pers
on sujet plus d’unité qu’il n’eût pu le faire s’il avait entrepris le
récit
d’une longue suite de batailles ; il a encore tro
s, au lieu que l’Iliade n’est consacrée presque tout entière qu’à des
récits
de combats. C’est avec raison que l’on paya dans
ants ; les anecdotes historiques qui accompagnent presque toujours le
récit
de la mort des guerriers, décèlent une invention
ves nombreuses. Les sujets les plus ordinaires, au lieu d’être mis en
récit
, sont très souvent développés dans un dialogue. N
lus élégant que le poète ou l’historien donnassent eux-mêmes, dans un
récit
fort court, la substance de ces sortes de convers
dans cette guerre passaient pour avoir une origine divine ; aussi les
récits
que la tradition avait conservés sur ces héros et
lusieurs années, le poète en a fort judicieusement mis une portion en
récit
. Les épisodes se trouvent suffisamment liés au su
ablement mis au nombre des poètes épiques. L’épopée doit renfermer le
récit
régulier d’une entreprise héroïque ; bien qu’il y
n d’un incident par un autre incident, sans attendre, pour entamer un
récit
, que le récit qui précède soit conduit à sa fin.
t par un autre incident, sans attendre, pour entamer un récit, que le
récit
qui précède soit conduit à sa fin. On dirait que
conte la partie de son voyage qui a précédé son arrivée à Mélinde. Ce
récit
occupe trois livres entiers ; il est bien conçu ;
la plus noble conception du poète se trouve au sixième livre, dans le
récit
que Vasco fait au roi de Mélinde des merveilles q
les excuser, parce que son objet est de nous instruire plutôt par le
récit
des actions, la peinture des caractères et l’expr
mêlé la fiction à la vérité. C’est ainsi que le poème commence par le
récit
d’un voyage de Henri en Angleterre, et d’une entr
pisode pour trouver une occasion de mettre dans la bouche de Henri le
récit
des premiers événements de la guerre civile, comm
ons des hommes. Dans une épopée, le poète peint les caractères par un
récit
ou par une description ; mais, dans la tragédie,
même que dans la poésie épique ce beau privilège n’appartient qu’aux
récits
de faits glorieux ou d’entreprises honorables. Le
ragédie. Le poète épique se propose d’exciter notre admiration par le
récit
d’une aventure héroïque ; mais la vraisemblance n
ort avec les fêtes de Bacchus, et se trouvèrent liés à l’action ou au
récit
des personnages introduits sur la scène. Le drame
oncourir vers un seul et même but les incidents divers amenés dans un
récit
, afin d’en former un tout parfaitement lié dans s
xpression. Mais c’est surtout dans l’art de décrire qu’il excelle. Le
récit
de la mort d’Œdipe, dans Œdipe à Colone ; ceux de
ad una madre, « Dans un voyage de Pinto, je me souviens d’avoir lu ce
récit
terrible d’un naufrage : “Au milieu d’une nuit or
t nos soldats trahis ne l’ont point achevé ! « Camille, présente à ce
récit
, donne des larmes à ses frères : HORACE. Tout b
L’épopée. Tome II, page 185. Blair définit le poème épique, « le
récit
poétique d’une entreprise illustre. » La Harpe le
récit poétique d’une entreprise illustre. » La Harpe le définit, « le
récit
en vers d’une action vraisemblable, héroïque et i
héroïque et intéressante. » Suivant Marmontel, « c’est l’imitation en
récit
d’une action intéressante et mémorable. » Voltair
le. » Voltaire nous en donne une définition plus concise : « c’est un
récit
en vers d’aventures héroïques. » Mais il développ
t. Mais dans les grandes pièces remplies de portraits, de maximes, de
récits
, et dont les personnages ont des caractères forte
éron contre Antoine ; — les reproches qu’Énée adresse à Sinon dans le
récit
de la chute de Troie (Virgile, Énéide, chant II,
ble et intéressante. Cicéron donne dans le Pro Milone un exemple d’un
récit
à la fois court et plein d’intérêt lorsqu’il décr
’est permis sous aucun prétexte d’atténuer la vérité ou d’embellir le
récit
. Elle doit être aujourd’hui plus que jamais soumi
e de la narration oratoire et de la narration historique en lisant le
récit
de la bataille de Rocroy par Bossuet (Oraison fun
sujet (Siècle de Louis XIV, chap. iii). La narration poétique orne le
récit
, l’enrichit de traits et d’images qui frappent l’
e. (Cf. le combat de Rodrigue contre les Maures dans Corneille, — les
récits
de la mort d’Hippolyte, de celle de Britannicus d
e nom d’épiphonème à l’exclamation, quand elle termine un tableau, un
récit
, un raisonnement par une réflexion. Elle se rédui
édit. Lemerre, t. I, p. 185.) Lorsque l’allégorie est sous forme de
récit
et qu’elle contient une vérité importante, on l’a
nt le nom d’anecdote (de ἄν privatif, et ἔκδοτος livré, = inédit), au
récit
court et piquant d’un petit fait. Ex. les anecdot
eunier sans souci, par Andrieux ; — les Fables de La Fontaine ; — les
récits
du Télémaque de Fénelon ; — ceux des Martyrs de C
Le vers de dix syllabes, vif et rapide, est employé surtout dans les
récits
familiers et enjoués : l’épître, la satire, l’épi
storiques, érotiques, satiriques, etc. Lorsque la chanson contient le
récit
d’une aventure touchante ou exprime un sentiment
ourgues, Traité de la poésie française.) Au moyen âge, le lai fut un
récit
chanté, une sorte de roman abrégé ou de fabliau m
poème épique ou épopée (ποιέω, je fais, ἔπος, vers, et par extension
récit
) est, suivant la définition de Voltaire, « le réc
et par extension récit) est, suivant la définition de Voltaire, « le
récit
en vers d’aventures héroïques ». Les héros sont à
du sujet : D’un air plus grand encor la poésie épique, Dans le vaste
récit
d’une longue action, Se soutient par la fable, et
épisodes et un dénouement. L’épisode (ἐπεισόδιον, digression) est le
récit
d’une petite action subordonnée à l’action princi
atique ne peut produire sur la scène, sont censés s’accomplir. Ex. le
récit
de la mort d’Hippolyte dans Phèdre de Racine. La
le sujet est imaginaire ; il est pris dans la mythologie ou dans les
récits
des temps héroïques, souvent aussi dans l’histoir
Épitaphe. 1° Fable La fable ou apologue (ἀπόλογος, conte) est un
récit
allégorique qui contient une vérité morale, sous
marquée. On distingue dans la fable deux parties : 1° l’action, ou le
récit
allégorique, dans lequel on expose tout ce qui se
féremment au commencement ou à la fin. 2° Conte Le conte est un
récit
vrai ou imaginaire dont le but est en général d’a
orme dramatique ou épique, c’est-à-dire qu’elle est en dialogue ou en
récit
. L’églogue se compose quelquefois de chants alter
osophique). Elle plaît par le charme des fictions romanesques, par le
récit
d’aventures réelles ou imaginaires, par la peintu
historique ou histoire (ἵστορία, information, recherche) embrasse le
récit
et l’appréciation des événements remarquables qui
e les composer même s’ils n’existaient pas, en les appropriant à leur
récit
avec un sentiment plus ou moins exact de la vrais
t de l’érudition est avant tout une œuvre de science. Elle appuie ses
récits
sur des documents originaux et authentiques, et n
nimer tous ces matériaux par une peinture vivante, et de donner à ses
récits
l’intérêt d’une action, sans altérer la vérité.
e d’une époque en observant la couleur locale. Ex. Augustin Thierry :
Récits
mérovingiens. 3° Un ton simple et grave dans le s
ur ad narrandum non ad probandum. 2° L’histoire critique, ajoute au
récit
exact des faits la recherche de leurs causes et l
nos jours. Elle se subdivise en deux parties : 1° Histoire sainte, ou
récit
d’après les Saintes Écritures des faits antérieur
nnales ou chroniques, qui consistent ; le plus souvent dans un simple
récit
, quelquefois même dans l’énumération des faits sa
e et la plus pénétrante. 3° Biographie On appelle biographie le
récit
de la vie d’un seul homme ; c’est l’histoire indi
romanesque est l’ensemble des œuvres en prose qui nous intéressent au
récit
d’aventures et de passions tantôt imaginaires, ta
es, les descriptions et les peintures ; mouvement et rapidité dans le
récit
; décence et dignité dans le style. De plus, tout
t du goût que tous les peuples ont pour les fictions, le roman est un
récit
comme l’épopée. À l’origine de notre littératu
au ; — Adolphe de Benjamin Constant, etc. Conte Le conte est le
récit
d’un événement imaginaire ou demi-historique dont
Jérusalem). On peut en trouver d’excellents modèles dans les nombreux
récits
de voyages du Tour du monde. L’histoire est quel
lle et Bachaumont, — quelques lettres de La Fontaine, entre autres le
Récit
de son voyage en Limousin, — Le Temple du goût pa
gaillard. » Veut-on maintenant juger du cœur de cet écrivain dans un
récit
touchant, où elle avait à peindre la plus grande
. » Chateaubriand. § IV. De la narration. La narration est le
récit
d’un fait, accompagné de toutes les circonstances
idées que l’on n’avait pas d’abord, et elle prépare l’enchaînement du
récit
, qui est la première qualité d’une bonne narratio
eur grave dans l’esprit du lecteur. Mais quelle que soit la nature du
récit
, réel ou inventé, il y a une certaine vérité géné
ir à l’intérêt général ; il doit donner du charme et de la variété au
récit
. Il n’est pas défendu de semer les réflexions dan
ariété au récit. Il n’est pas défendu de semer les réflexions dans un
récit
, mais il faut en user sobrement : toute réflexion
de ces généralités banales par lesquelles ils commencent souvent leur
récit
: il vaut mieux aborder le sujet sans détours et
ve. La clarté, loi suprême de toute composition, doit exister dans un
récit
où l’on recherche surtout des faits bien enchaîné
ions déplacées. Une telle narration manque aussi de brièveté ; car un
récit
est bref, non quand il est court, mais quand il n
. 2° Vraie ou vraisemblable. La vérité est la première condition d’un
récit
historique. Si la narration est fictive en tout o
a vraisemblance tient souvent à l’art du narrateur : s’il dispose son
récit
d’une manière naturelle, en donnant aux événement
e : elle peut être simple, animée, dramatique. Le nœud est le lien du
récit
; il nous montre les personnages et les évènement
eindre l’écrivain : malheur à lui, s’il ne parvient qu’à ennuyer ! Un
récit
est intéressant, ou par le fond même du sujet, ou
ent toucher et plaire. Il met partout de la variété en entremêlant au
récit
de courtes descriptions, des sentiments, des réfl
t-être quelques règles de disposition pour le dialogue, comme pour le
récit
, la description et le portrait. Ces règles, vous
taines vérités, sur lesquels on ne peut assez appuyer, comme, dans un
récit
, certains faits qu’il faut agrandir, ou au contra
ophe. Plusieurs critiques, Fénelon à leur tête, ont vivement blâmé le
récit
de Théramène dans Phèdre. Théramène, disent-ils,
lles jaunissantes ; soit, et j’accorde que Racine ail oublié, dans ce
récit
, sa sobriété habituelle ; mais, d’une autre part,
as le courage d’achever ; il reste muet dans sa douleur, il attend ce
récit
fatal ; le public l’attend de même. Théramène doi
nnaître, il faut profiler de ce moyen naturel et préférer l’action au
récit
descriptif. Cette forme dramatique, en effet, est
ds jours d’Auvergne 1 sont une gazette où il jette des fleurs sur les
récits
les plus tragiques. Fléchier peint par lui-mê
mplirais-je vos esprits, et quelle impression ferait sur vos cœurs le
récit
de tant d’actions édifiantes et glorieuses !…
l’univers les accidents extrordinaires, va remplir toute l’Europe du
récit
glorieux de la vie de ce prince et du triste regr
12 juin 1699. (Fléchier, Lettres choisies, lettre 84.) 1. C’est le
récit
des assises tenues à Clermont par le parlement qu
érêt général, on n’était sensible qu’à la perte de ce grand homme. Le
récit
de ce funeste accident tira des plaintes de toute
arler. On distingue dans l’apologue deux parties, l’action même ou le
récit
; dans lequel on expose tout ce dont on veut dédu
ce morale, et la moralité, c’est-à-dire la proposition qui résulte du
récit
allégorique de l’apologue. Cette moralité doit êt
la deviner ; dans le premier, celui de comparer les divers traits du
récit
avec le résultat. Quelquefois on l’omet, lorsqu’e
a marche ni sur la valeur de l’apologue. C’est surtout l’action ou le
récit
de l’apologue qui le constitue ce qu’il est, et q
espèce des imitateurs est celle des auteurs. Comment peut-on aller du
récit
à la conclusion ? L’action doit être naturelle ou
excuser à son mari, En grand danger d’être battue. Le
récit
en farce en fut fait ; On l’appela le Pot
on et de mouvement ; l’idylle peut ne contenir que des peintures, des
récits
, des sentiments, la comparaison de notre vie avec
uvent produire des plaintes, des chansons, des combats poétiques, des
récits
intéressants. Mais il faut faire un choix de ce q
. Les formes générales de la poésie pastorales sont le dialogue et le
récit
, ou un mélange des deux87 ; c’est plutôt par la s
i. On y voit peu de bergers ; ce sont des allégories ingénieuses, des
récits
ornés et qui paraissent travaillés. Il en est de
coûté, voilà ce qui doit en faire le plus bel agrément. Elle admet le
récit
des faits les plus ordinaires, les plus petits dé
de mots la situation et les motifs qui le font parler ou écrire. Les
récits
ne doivent venir que quand ils sont essentiels, o
c une erreur et une bien funeste erreur de croire que le roman est un
récit
de diverses aventures, imaginées seulement pour a
rentes circonstances de la vie. Il faut que rien ne languisse dans le
récit
de ces événements ; que l’action marche avec rapi
t tiré du seul fond des événements. Il est permis de rompre le fil du
récit
de la principale action par des incidents, qui ne
rt (1851), et de Charles Quint (1854), nous admirons l’austérité d’un
récit
simple et pourtant dramatique, une belle ordonnan
même qu’il ne réussit pas à produire l’évidence, il nous dégoûte des
récits
superficiels. Mais le souci de l’art fait valoir
ouronnés de succès infaillibles ; c’est par là qu’elle élève l’âme au
récit
des choses mémorables, qu’elle fait servir les gr
ndamment des grandes règles du goût. « L’épopée, dit Voltaire, est un
récit
en vers d’aventures héroïques. » En effet, elle r
e épique. D’un air plus grand encor, la poésie épique, Dans le vaste
récit
d’une longue action, Se sourient par la fable et
ain, lorsqu’il laisse échapper ses sentiments et ses émotions dans le
récit
des merveilles de la nature, dans la description
s colère , et d’éclairer la postérité par ses jugements comme par ses
récits
. 2. — Au genre de l’histoire appartiennent les Mé
iographie est encore une des divisions du genre historique : c’est le
récit
de la vie d’un homme : mais ce récit, dans la bou
s du genre historique : c’est le récit de la vie d’un homme : mais ce
récit
, dans la bouche d’un narrateur de génie, prend le
Nous citerons seulement pour mémoire le roman, qui nous intéresse au
récit
d’aventures et de passions imaginaires, genre sec
er la victoire. Mais que de fois se fait-elle jour, au début, dans le
récit
, dans la discussion, dans l’attaque et dans la dé
nts de division et de trouble. » 3° Narration. — La Narration est le
récit
des faits. Elle n’est guère une partie nécessaire
s le genre judiciaire ; quand les faits sont connus, il n’y a plus de
récit
. Dans le discours, la narration, qui devient un m
ois cette fidélité rigoureuse n’exclut pas l’art et la délicatesse du
récit
, ni l’éloquence et l’énergie des tableaux. Il suf
t la physionomie qui doivent plaire ou persuader. Ils embellissent le
récit
, chacun à sa manière ; ils l’enrichissent de trai
: combat de Rodrigue contre les Maures, des Horaces et des Curiaces,
récit
de la mort de Mithridate, du sacrifice d’Ériphile
it valoir, elle met en relief et en lumière les détails favorables du
récit
, qui servent à convaincre et à persuader. En un m
oire change de caractère. Il ne s’agit pas de gagner les juges par le
récit
habile et insinuant des faits. L’orateur n’a plus
ant des faits. L’orateur n’a plus qu’à intéresser et à toucher par le
récit
de la vérité, avec plus de passion que l’historie
passion que l’historien, moins d’imagination que le poëte. Tel est le
récit
de la bataille de Rocroy, où l’exactitude de l’hi
narration historique et de la narration oratoire, si l’on compare ce
récit
de Bossuet à celui de Voltaire, qui, dans le Sièc
uet à la simplicité de l’histoire. On peut faire la même étude sur le
récit
de la mort de la duchesse d’Orléans par Bossuet e
suet raconte à un auditoire curieux, disposé peut-être à sourire d’un
récit
familier et populaire, les rêves et les songes d’
res littéraires, certaines parties de l’éloquence elle-même, comme le
récit
, la discussion, l’attaque, la défense, demandent
teur le plus vif de notre langue, emploie la période pour conclure le
récit
qu’on vient de lire. « Le style périodique, dit
qui saisissent, de mots impérissables, de portraits, de peintures, de
récits
vivants. Son style est incorrect, mêlé de latinis
épiphonême, quand elle exprime une réflexion et termine un tableau un
récit
, un raisonnement. ’ « Notre siècle a vu un roi s
Il faut rattacher à l’hypotypose les portraits, les descriptions, les
récits
, etc. On devine combien les orateurs et surtout l
ver, etc. (1 er août 1883). Narrations et sujets historiques. •
Récit
de la première croisade. (10 août 1881). • Faire
iques. • Récit de la première croisade. (10 août 1881). • Faire le
récit
des croisades ; insister sur la première et la de
sades ; insister sur la première et la dernière. (28 octobre 1881). •
Récit
de la Saint-Barthélemy (24 août 1572). (5 août 18
andiose auquel je viens d’assister, et je m’empresse de t’adresser un
récit
fidèle de toutes les merveilles dont j’ai été tém
t’expliquer ce que c’est que le chœur, et, pour cela, je poursuis mon
récit
. Lors donc que, le rideau fut baissé, un héraut p
lus de vie et de mouvement : c’est ainsi qu’on remplaçait parfois les
récits
de l’évangile par des dialogues entre deux ou plu
es et dans celle des fous. Bientôt, non content de dialoguer certains
récits
appartenant aux offices, on composa, sur la matiè
ins récits appartenant aux offices, on composa, sur la matière de ces
récits
, des entretiens versifiés, qui furent d’abord cha
glé par la passion de l’antiquité, accueillit sur parole les vaniteux
récits
. Quoi qu’il en soit, tous les écrivains du grand
ppement. — Corneille, dans sa pièce, a voulu, non seulement suivre le
récit
de Tite-Live dans ses données générales, mais bie
bre de transformations successives, nous offre généralement de courts
récits
, des dialogues maigres et secs, que termine une m
tant de petites scènes dramatiques, autrement vivantes que les froids
récits
de ses modèles. La Fontaine s’est rendu justice l
é métamorphosé par lui en une petite scène où le dialogue remplace un
récit
sec et nu. Il est vrai que ce sont des morceaux d
erronée. Non, l’épopée n’est pas un jeu d’esprit, qui Dans le vaste
récit
d’une longue action, Se soutient par la fable et
ersonnel de Louis XIV, — voici les morceaux qu’il convient de citer :
récit
de la bataille de Rocroy, à comparer avec la narr
de Villars (chap. XVIII) ; défaite d’Hochstedt (chap. XIX) ; poignant
récit
des négociations infructueuses de Torcy (chap. XX
précèdent, il faut noter : la description des fêtes (chap. XXV) ; le
récit
de la faveur de Mme de Maintenon (chap. XXVII) ;
bles de l’histoire intérieure et extérieure. On a appelé Histoires un
récit
plus détaillé, orné de réflexions et mêlé de disc
cation de ces deux mots. De notre temps, on donne le nom d’Annales au
récit
des faits qui se sont passés avant l’époque où l’
ur d’un combat dont Chimène est le prix. Mais il faut vous parler du
récit
de la bataille contre les Maures, qui est une des
Rodrigue, qui vient d’y conquérir le surnom de Cid, fait lui-même ce
récit
avec une modestie et en même temps un enthousiasm
otre langue, m’embarrassera en beaucoup d’endroits, et bannira de ces
récits
la brièveté, qu’on peut appeler l’âme du conte, p
, un troisième larron saisit et emmène le baudet ; lequel de ces deux
récits
le frappera davantage ? ne trouvera-t-il pas plus
uns, ne se proposant qu’une leçon de morale, n’ont garde de songer au
récit
, de peindre, d’animer leurs créatures ; les autre
nt peu de la morale qu’on peut tirer de leurs fables, se bornent à un
récit
anecdotique, mais sec et comme résumé à plaisir ;
e, que se déclare cette indépendance qui fait de l’apologue tantôt un
récit
, tantôt un petit drame, tantôt une épigramme, ou
taphores qu’il emploie pour en tracer la figure. Puis il nous fait le
récit
fidèle et grandiose de la première victoire du pr
récit fidèle et grandiose de la première victoire du prince. Dans ce
récit
, Bossuet a fait un admirable mélange de détails p
Saint-Antoine, la victoire de Lens, et termine ce long et magnifique
récit
par un parallèle entre Turenne et Condé, où il la
raphe de France, et vous allez inaugurer votre nouvelle charge par le
récit
d’une victoire. Il y a trois cents ans que les ro
ou la Fable n’est donc autre chose qu’une action qu’on raconte, et du
récit
de laquelle résulte une instruction utile pour le
La nécessité gâta tout. C’est ainsi que La Motte termine son
récit
. Assurément il veut faire entendre que deux cœurs
e maxime ? Il est indifférent de placer la moralité avant ou après le
récit
. Lorsqu’elle est placée au commencement de la fab
dramatique ou la forme épique, c’est-à-dire, être en dialogue, ou en
récit
. J’ai dit le plus ordinairement, parce que nous a
on, ou n’en pas avoir. Si elle en a une, il faut qu’elle soit mise en
récit
. Mais bien souvent elle n’en a point, et ne peint
a terre aux cieux. Cette même espèce d’épître admet non seulement le
récit
des faits historiques, mais encore les fictions q
coûté, voilà ce qui doit en faire le plus bel agrément. Elle admet le
récit
des faits les plus ordinaires, les plus petits dé
ots la situation du personnage, et les motifs qui le font parler. Les
récits
sont déplacés dans ces sortes d’épîtres, à moins
mise en musique ; c’est la cantate. On y distingue deux parties ; les
récits
qui ordinairement n’excèdent pas le nombre de tro
ent n’excèdent pas le nombre de trois, et les airs dont chacun de ces
récits
est suivi. Dans le récit, le poète présente l’obj
re de trois, et les airs dont chacun de ces récits est suivi. Dans le
récit
, le poète présente l’objet : dans l’air, il expri
u la réflexion qu’a dû faire naître la vue de cet objet. Les vers des
récits
peuvent être de huit, de dix, de douze syllabes,
6 qui en a été parmi nous l’inventeur, une allégorie exacte, dont les
récits
soient le corps, et les airs, l’âme et l’applicat
art et la sagesse qu’il faut pour soutenir une allégorie. Le style du
récit
doit avoir plus d’énergie et d’élévation que celu
’avisa d’interrompre les chœurs, pour introduire un acteur faisant un
récit
. Ce récit s’appela épisode (ἐπεισοδιον), c’est-à-
nterrompre les chœurs, pour introduire un acteur faisant un récit. Ce
récit
s’appela épisode (ἐπεισοδιον), c’est-à-dire entr’
ce dieu, et cette tentative fut approuvée du grand nombre. Enfin, ce
récit
fut divisé en plusieurs parties, pour couper plus
Thespis, ajouta un second acteur, créa le dialogue, et introduisit le
récit
dramatique d’une action. Il imagina la robe flott
es caractères, des mœurs, une élocution pleine de majesté. C’était le
récit
mis en spectacle. Cette innovation eut tant de su
Qu’est ce qui caractérise la poésie dramatique ? Tandis que c’est le
récit
qui distingue le genre épique, la poésie dramatiq
rsonnages qui n’imiteraient pas. En un mot, l’épopée consiste dans le
récit
de l’action, res acta refertur, et le drame, dans
é par ses chevaux. Les choses de ce genre doivent être connues par le
récit
. 419. En quoi consiste l’intégrité de l’action ?
ouvent assez insignifiants, qui sont communément chargés de faire les
récits
. Employés pour faire l’exposition, ils ne peuvent
ui l’exposition doit-elle être faite ? Puisque les monologues et les
récits
des confidents sont, en général, peu propres à do
onice à Timagène, qui sont tous deux des personnages subalternes ; ce
récit
est de plus interrompu par l’arrivée d’Antiochus
e monologue ne doit pas être, comme chez les Grecs et les Romains, le
récit
d’un événement ou l’annonce de ce qui doit arrive
ant sur la scène avec toute la pompe du merveilleux, ce qui, dans les
récits
, ne se peint qu’en idée. Elle demande pour varier
que les raisonnements, les discussions, les développements, les longs
récits
, sont incompatibles avec la poésie lyrique et ave
r grandiose ; et ce goût d’ambitieuses aventures éclate déjà dans son
récit
de la conjuration de Fiesque. La mort de Richelie
traits bien vivants qui nous parlent. Ses discours ont grand air. Son
récit
intéresse comme une comédie. Il eut l’éloquence d
poindre. 6. Ces petites circonstances ajoutent à la vraisemblance du
récit
. 1. Retz maniait mieux l’épée que son bréviaire
s qui intéressent les hommes. Bien que la situation semble rejeter le
récit
que fait Théramène de la mort d'Hippolyte, parce
eter le récit que fait Théramène de la mort d'Hippolyte, parce que ce
récit
est trop long et peut-être trop beau, nous avons
ncipe de toute littérature) ne devait pas non plus présenter dans ses
récits
ou dans ses livres les objets de la même manière
ses récits ou dans ses livres les objets de la même manière ; et les
récits
d'Ossian ne devaient pas ressembler à ceux d'Homè
ujet et les personnages. La fable. La fable ou apologue est le
récit
d'une action vraisemblable, et qui renferme une i
st l'image de nos jours. V. Jubien. Le conte. Le conte est le
récit
d'un événement réel ou imaginé ; il a des traits
ois en scène ; et, comme lui, à l'aide de la fiction, il embellit son
récit
. Le conte demande un ton gai et naïf ; et l'espri
tites pièces où l'on fait ordinairement parler des bergers ; c'est le
récit
de leurs jeux, de leurs amours, de leurs querelle
tre. L'églogue veut plus d'action et de mouvement ; l'idylle, plus de
récits
et de tableaux : l'églogue met en scène ses berge
es règles de la versification.) L'histoire. L'histoire est le
récit
des événements qui intéressent les hommes. Elle s
d'étendue. Le poëme épique. Le poëme épique, ou épopée, est le
récit
en vers d'une action héroïque, vraisemblable et i
entière. Le dessein doit être formé dès le commencement du poëme : le
récit
des obstacles que le héros franchit ne doit point
s parle, raconte ses aventures ; l'autre où le poëte fait lui-même le
récit
de ce qui arrive ensuite à son héros. L'épopée do
été battu. » Démosthène l’avait piqué à dessein pour lui arracher le
récit
animé de son insulte. Vous ne serez jamais un vér
au capital de leur plaidoyer, le joyau de leur éloquence ; c’est leur
récit
de Théramène. Pour les vieux praticiens dont la r
s ; trois fois, etc. » Pourquoi cette différence de ton dans un même
récit
? C’est que les deux narrateurs ne poursuivent pa
son début, est déjà un grand capitaine ; il faut que chaque détail du
récit
tourne à la gloire de son personnage. Que Condé s
son imagination. L’un nous fait penser, l’autre nous émeut. Ce que le
récit
historique met en réflexions, l’oraison funèbre l
-je, mais sans avoir l’air de prouver. Car plus l’ordonnance de votre
récit
est savante, plus vous avez intérêt à la dissimul
nts et souvent prévenus, a besoin de plus d’artifice. Il faut que son
récit
soit comme une chaîne qui les enveloppe, avant qu
rs attiques, et surtout Lysias, excellent à dissimuler l’art de leurs
récits
sous un air de candeur et de désintéressement qui
sérieusement aux malheurs imaginaires d’un héros de roman ? Et si le
récit
d’une injustice qui ne vous touche en rien vous t
ne doit être dans le discours que la note dominante. La simplicité du
récit
et la vivacité de la réfutation s’accommoderaient
i-même un grand danger ; mais je n’en sais rien2. Voilà, Monsieur, le
récit
de mon naufrage. Si l’on vous annonce que je suis
l’univers les accidents extraordinaires, va remplir toute l’Europe du
récit
glorieux de la vie de ce prince et du triste regr
érêt général, on n’était sensible qu’à la perte de ce grand homme. Le
récit
de ce funeste accident tira des plaintes de toute
s effort. Sa morale est douce et humaine. Il sait conter et animer un
récit
par des traits agréables. On y voudrait plus de n
énieuse ou même épigrammatique, dont cette moralité est amenée par le
récit
. « Florian n’est pas un satirique mordant ou un m
jamais prêcher en famille ; mais ce vers amène aussi le dénoûment du
récit
. 7. Voilà le plus efficace des sermons. 1. Ils
es personnages, et explique tout ce qui est nécessaire à la clarté du
récit
. Elle sera simple et claire, et devra sortir du s
ion toutes ces compositions de médiocre étendue, qui consistent en un
récit
plus ou moins vif et animé, et qui n’admettent qu
e l’allégorie. § VI. — Fables et Apologues. 10. La fable est le
récit
d’une action feinte destinée à l’amusement et à l
feinte destinée à l’amusement et à l’instruction ; l’apologue est un
récit
vrai ou fabuleux qui a le même but. 11. L’apologu
qui le font ressortir. 18. Le tableau ne s’obtient qu’en pressant le
récit
, et en donnant au style une très grande rapidité
. § I. — Narration historique. 2. La narration historique est le
récit
d’un fait puisé dans l’histoire. 3. L’histoire, à
méritent, l’éloge ou le blâme ; elle sera une, si tous les détails du
récit
, toutes les circonstances indiquées, se rapporten
naturelle qu’on soit porté à croire vrai le fait exposé ; de plus le
récit
fictif doit être plus intéressant que le récit hi
it exposé ; de plus le récit fictif doit être plus intéressant que le
récit
historique, et être conforme aux règles de l’unit
qu’on adopte de préférence dans les compositions dramatiques. 10. Le
récit
poétique reçoit tous les ornements du style ; il
§ III. — Narration badine. 11. La narration badine ou conte est le
récit
d’un événement propre à instruire le lecteur, tou
tement les règles de la disposition ? — 10. Quels ornements reçoit le
récit
poétique ? — 11. Qu’est-ce que la narration badin
§ V. — Narration épistolaire. 4. La narration épistolaire est le
récit
d’un événement exposé dans une lettre. Elle se di
ion, ce mot prend un sens plus restreint, et s’applique seulement aux
récits
religieux qui se dénouent par un miracle, admis v
) Ce vers est gracieux et léger. C’est celui qui convient le mieux au
récit
. Son rythme est doux et agréable à l’oreille. Ver
assez fréquemment dans nos bons poètes, lorsqu’ils veulent presser un
récit
ou exprimer un grand sentiment, trois ou quatre r
ssoit avoir perdu de vue, et comment il intéresse les agriculteurs au
récit
des grands événemens qu’il vient de décrire. Le P
ontre point sur la scène, et dont nous ne sommes instruits que par le
récit
qu’un acteur, en fait à un autre acteur. Alors l’
s’il les voyoit, et qu’il croira sans peine, lorsqu’il en entendra le
récit
, parce que l’oreille est à cet égard moins rigour
use et plus crédule que les yeux. Ce qu’on ne doit point voir, qu’un
récit
nous l’expose : Les yeux en le voyant saisiroient
s antérieurs à l’action, et qu’elle suppose nécessairement, ou par le
récit
même de ces événemens. Dans la seconde, on dévelo
e et plus circonstanciée, le véritable sujet de la pièce, soit par un
récit
, soit par les discours des personnages. On nomme
rs des personnages. On nomme protatiques les personnages qui font ces
récits
, par lesquels l’action est préparée, et le sujet
onice à Timagène, qui sont tous deux des personnages subalternes : ce
récit
est de plus interrompu par l’arrivée d’Antiochus,
la conjuration, dit à Emilie que tous les conjurés animés par le long
récit
qu’il leur a fait des proscriptions d’Auguste, on
u d’autres acteurs) le feront connoître par leurs discours ou par des
récits
dont il soit l’objet. Mais quand le nœud est comm
e délicatesse et nos yeux, se passe derrière la scène, et soit mis en
récit
. Les actions de cette nature, sont principalement
omise, vouloit la revoir et partir son époux. Tel est en substance le
récit
que, dans la première scène, Agamemnon fait à Arc
n des personnages. Il n’est personne qui n’admire dans Phèdre le beau
récit
de la mort d’Hippolite : c’est un chef-d’œuvre de
un personnage accablé de douleur, et qui fond en larmes en faisant ce
récit
. On sent qu’Horace doit parler d’une manière plus
Ainsi les raisonnemens, les discussions, les développemens, les longs
récits
ne peuvent trouver place dans l’opéra. Rien de pl
Le nom d’épopée est composé de deux mots grecs ἕπος, qui signifie
récit
, et πωεῖω, qui signifie faire, feindre, créer. Ai
, et πωεῖω, qui signifie faire, feindre, créer. Ainsi l’épopée est le
récit
poétique d’une action héroïque et merveilleuse. L
popée est le récit poétique d’une action héroïque et merveilleuse. Le
récit
est ce qui la distingue de la tragédie, et ce qu’
tingue de la tragédie, et ce qu’elle a de commun avec l’histoire : le
récit
poétique, c’est-à-dire, ornés de fictions, est ce
ce mélange des dieux et des hommes dans une action, sert à rendre le
récit
de cette action plus noble et plus intéressant ;
ant à son père pour racheter le genre humain ; nous fait entendre les
récits
prophétiques de Raphaël, qui trace à Adam l’histo
. Il est quelquefois nécessaire de faire suivre le dénouement, par le
récit
de quelques événemens qui tiennent essentiellemen
i la vie entière d’un héros, comme l’Achilléide de Se. Il se borne au
récit
d’une seule action héroïque, pour la faire admire
ouve faisant un sacrifice ; et ce prince lui en raconte l’origine. Ce
récit
amené comme on le voit, bien naturellement, n’éto
avorable de la part de Didon, reine de ce pays, à laquelle il fait le
récit
de la prise de Troie, et des revers qu’il a essuy
ges et préceptes utiles, qui seront, pour ainsi parler, incorporés au
récit
. Mais observons que le poëte ne doit point en gén
but dans le poëme épique. Il est naturel qu’avant de commencer son
récit
, le poëte expose son sujet. C’est ce qu’on appell
vie dans le sein même de son erreur ». De la forme et du style du
récit
dans le Poëme épique. Le poëte se supposant ex
t dans le Poëme épique. Le poëte se supposant exaucé, commence son
récit
: il peut le faire de deux manières. La première
ou faire dire à son héros ce qui a précédé l’événement par lequel le
récit
a été commencé ; comme Virgile, qui représente to
ur les côtes de Carthage, et qui met ensuite dans la bouche d’Enée le
récit
de la destruction de Troie, et celui de tous les
. On doit juger de là que la poésie a deux formes différentes dans le
récit
épique ; celle où le poëte se montre et parle en
toute la chaleur et toute la sensibilité de son âme passent dans son
récit
, et le rendent agréable, enjoué, terrible, ou tou
re du sujet. Voyez le sentiment et l’expression dont Virgile anime le
récit
de la mort de Nisus et d’Euryale, tendres amis, q
aussi quel feu, quelle énergie, quels traits pittoresques animent ce
récit
d’un combat du ceste, dans le même poëte. « A ce
vomissant ses dents brisées, avec des flots de sang épais ». Après ce
récit
, je puis hardiment en citer un autre qui est à-pe
s le même genre, et qu’on ne lira pas avec moins de plaisir. C’est le
récit
du combat de Tancrède et d’Argant, dans la Jérusa
à-dire, par la voie de l’analyse, la marche que suit le poëte dans le
récit
de son action. C’est ce que je vais faire en prés
ans un grand repas qu’elle donne à Enée, elle le prie de lui faire le
récit
de la prise de Troie, et celui de ses propres mal
nfin la perte qu’il fit de Créüse son épouse. III. Livre. Suivant le
récit
que continue Enée, il équipa une flotte, et s’éta
tiennent à ce genre, en ce qu’ils consistent essentiellement dans le
récit
. Les uns ont des acteurs semblables à ceux de l’é
te la chaleur de son âme, pour exciter les passions : il faut que son
récit
soit une vraie peinture qui frappe et qui attache
ouvement impétueux qui remue et qui entraîne : autrement ce seroit le
récit
d’un simple historien. En un mot, le style de ces
s, la noblesse des comparaisons, une foule de traits sublimes dans ce
récit
d’une action si commune, donnent à ce charmant ou
des appendices monstrueux. L’exorde d’un discours, l’exposition d’un
récit
ou d’un drame doivent être dans un juste rapport
oduite subsidiairement doit être en proportion avec les dimensions du
récit
. C’est une règle qu’oublient plusieurs des romanc
mps soutenue et suspendent l’intérêt sans le détruire. Quel charme le
récit
des malheurs d’Orphée n’ajoute-t-il pas à la desc
été…. C’est ainsi que les historiens nons plaisent par la variété des
récits
, les romans par la variété des prodiges, les pièc
§ III. Narration Après la division, vient la Narration qui est le
récit
des faits. Dans l’Oraison funèbre du prince de Co
ns l’Oraison funèbre du prince de Condé la narration comprend tout le
récit
de la vie du prince. On pourrait en extraire quel
d tout le récit de la vie du prince. On pourrait en extraire quelques
récits
partiels, tels que celui de la bataille de Rocroi
e de Rocroi, et celui de la bataille de Senef. Nous rapportons ici le
récit
de la bataille de Rocroi : Bataille de Rocroi À
c, dans le discours oratoire, un exorde ou début ; ensuite viendra un
récit
ou une proposition, avec les preuves à l’appui ;
st fini15. Le début d’un discours s’appelle ordinairement exorde ; le
récit
se nomme narration ; la proposition garde son nom
tation et la division, quand il y a lieu. Mais la narration, étant un
récit
, ne convient qu’aux choses passées ; ainsi, ce n’
vent l’exorde ; et d’abord étudions la narration. La narration est un
récit
par lequel on fait connaître à l’auditeur le fond
ès du roi : mais le succès n’en fut pas semblable. Je tremble au seul
récit
de la tempête furieuse dont sa flotte fut battue
r. Il ne peut remplir ce double objet qu’en joignant l’instruction au
récit
de ces vertus. Un juste mélange des éloges et de
la, son collègue, qui, étant monté à la tribune aux harangues, fit un
récit
touchant des belles actions de sa vie. Le peuple
mplirais-je vos esprits, et quelle impression ferait sur vos cœurs le
récit
de tant d’actions édifiantes et glorieuses !
du sujet. On lira du moins avec plaisir quelques lignes extraites du
récit
du supplice de Gavius. Ce Gavius était un citoyen
conclueraient différemment sont entraînés par l’intérêt austère d’un
récit
mâle et simple d’où se détachent des portraits ha
même qu’il ne réussit pas à produire l’évidence, il nous dégoûte des
récits
superficiels. Cette profonde érudition, le souci
ouronnés de succès infaillibles ; c’est par là qu’elle élève l’âme au
récit
des choses mémorables, qu’elle fait servir les gr
sentiellement différent dans les deux auteurs. Au commencement de son
récit
, Racine nous montre le héros grec, monté sur son
ers pointus qui lui percent le flanc … Reconnaissons cependant que le
récit
de Pradon se recommande par de belles pensées qu’
lus riche que celle de Pradon. Il nous semble légitime de dire que le
récit
de Racine brille de toutes les couleurs de la poé
’il ressentit a la mort de sa mère Jeanne d’Albret, il passe de là au
récit
de la mort de Coligny ; il amène ce sanglant épis
squels se révèlent des tendances fatalistes, il faut admirer dans les
récits
consacrés au Consulat et à l’Empire (1845-1862) l
d on est arrivé ainsi à s’emparer des nombreux éléments dont un vaste
récit
doit se composer, l’ordre dans lequel il faut les
ue l’espèce d’épilogue qui termine le huitième volume, et couronne le
récit
des victoires toutes républicaines de la première
itys.] L’anecdote est copiée presque mot à mot dans la compilation de
Récits
merveilleux qui figure parmi les ouvrages d’Arist
certain que θƐωρƐīν a souvent le sens d’assister à une fête. Voy. les
Récits
merveilleux, § 31, et Aristote, De la Mémoire, ch
être soi-même pénétré. Voulez-vous, dit Horace33, m’attendrir par le
récit
de vos malheurs, et me tirer des larmes, commence
de tous les excès du pouvoir tyrannique ». Enfin Cicéron termine ce
récit
passionné, et bien capable d’allumer toute l’indi
désert, ces êtres muets, inanimés et insensibles seraient touchés du
récit
d’une action si indigne et si atroce. Que doit ce
louange languit auprès des grands noms ; et la seule simplicité d’un
récit
fidèle, pourrait soutenir la gloire du Prince de
qu’il a dessein d’employer. La narration oratoire considérée comme le
récit
d’un fait, ou comme l’exposition d’un sujet quelc
taira jamais sur vos louanges. Mais lorsqu’on lit, ou qu’on entend le
récit
des guerres et des batailles, il arrive, je ne sa
des soldats, et par le son éclatant des trompettes. Au contraire, le
récit
d’une action où paraissent la clémence, la douceu
lexions, et dans la victoire, naturellement superbe et insolente ; le
récit
, dis-je, de cette action, même dans des histoires
crois qui la manderont en Macédoine84. On ne me voit pas non plus, au
récit
des événements heureux pour Athènes85, trembler,
on, il est un autre point de vue d’après lequel on peut considérer un
récit
, et qui peut contribuer puissamment à en facilite
es couleurs de la vraisemblance. On y parviendra par la simplicité du
récit
, par le soin qu’on prendra de ne rien faire entre
les expressions dit-il, répondit-il, reprit-il, etc., pour donner au
récit
plus de vivacité et de précision. C’est ce que l’
unter les descriptions et les formes des discours qui entrent dans le
récit
, de la nature du climat et des habitudes du peupl
secours le style le plus agréable que vous possédiez, et ornez votre
récit
de tout l’agrément que vous êtes capable d’y répa
’agrément que vous êtes capable d’y répandre. Prenons pour exemple le
récit
de l’aventure arrivée au maréchal de Grammont et
la seule différence qui existe, c’est que, dans les autres poèmes, le
récit
des actions est plus fréquent, taudis que dans l’
ux, faite pour être mise en musique, et composée de deux parties : le
Récit
ou Récitatif, et l’Air ou Chant. 228. Quelles son
plus doux, plus simple ; l’air est plus vif, plus animé. Les vers des
récits
doivent être d’une mesure inégale, parce qu’ainsi
réflexions morales que le poète tire de ce qui fait la matière de ses
récits
, admettent des vers de toute mesure, à l’exceptio
oème doit être, suivant J.-B. Rousseau, une allégorie exacte dont les
récits
soient le corps, et les airs l’âme et l’applicati
art et la sagesse qu’il faut pour soutenir une allégorie. Le style du
récit
doit avoir plus d’énergie et d’élévation que celu
Corneille et de Racine, qui disaient : Ici je mettrai un songe, là un
récit
, ailleurs un monologue. Un discours n’est pas un
Lally-Tolendal, plaidant la réhabilitation de son père, interrompt le
récit
de l’injuste condamnation du vieillard pour s’écr
d sur l’accusé, accompagnant d’un geste terrible chaque détail de son
récit
imaginaire. Arrivé à la scène du meurtre, il pein
ne vous flatte point ; c’est votre figure qui nuirait à l’effet de ce
récit
. Moi, sans me vanter, j’ai la mine qu’il faut pou
merveilleux sont ses ressources habituelles. 3. Il veut dire que son
récit
est sombre. 4. Calabre. Province de l’Italie mér
. Il ne peut remplir ce double objet, qu’en joignant l’instruction au
récit
de ces vertus : un juste mélange des éloges et de
étail des actions. Celles qu’on fait entrer finement dans le corps du
récit
, de manière qu’elles paraissent essentielles au r
ans le corps du récit, de manière qu’elles paraissent essentielles au
récit
même, y font un meilleur effet que partout ailleu
e développées avec chaleur, d’être exprimées avec véhémence ; dans le
récit
même des actions extraordinaires, qui ont eu pour
ue vous devez aux saints mystères, par un stérile, quoique magnifique
récit
de ses éclatantes actions. Persuadé, plus que jam
onne d’abord une idée du rare mérite de son Héros, en nous faisant le
récit
de ses victoires, et en indiquant les vastes conn
ola, son collègue, qui étant monté à la tribune aux harangues, fit un
récit
touchant des belles actions de sa vie. Le peuple
d’indulgence pour les partis qui triomphent, il faut admirer dans les
récits
consacrés au Consulat et à l’Empire (1845-1862),
us ne baisez pas les pas des vieux soldats, si vous ne pleurez pas au
récit
de leurs combats, si vous n’êtes pas mort presque
our faire bien ce que l’on fait : traité scientifique, pièce de vers,
récit
historique, lettre même. En effet, quelque matièr
e louange languit auprès des grands noms, et la seule simplicité d’un
récit
fidèle pourrait soutenir leur gloire. II. Eviter
louange languit auprès des grands noms ; et la seule simplicité d’un
récit
fidèle pourrait soutenir la gloire du prince de C
ensibilité ; on sort d’une représentation, le cœur encore tout ému du
récit
de l’infortune d’un héros fabuleux : et votre frè
la puissance du pathétique, il suffit de comparer entre eux ces deux
récits
d’un même fait, le supplice d’un citoyen romain f
sous son impression que j’ai conçu le projet de réunir en un corps de
récit
les faits qui marquent à travers les siècles le d
favorable à leur cause. Un exemple fera bien sentir la différence du
récit
historique et de la narration oratoire : l’histor
faits et des temps, c’est d’ordinaire le meilleur moyen de donner au
récit
beaucoup de clarté. Là surtout, il convient de te
très peu de paroles, il s’agit de ne rien dire qui soit superflu. Un
récit
de deux pages est court, s’il ne contient que ce
deux pages est court, s’il ne contient que ce qui est nécessaire ; un
récit
de vingt lignes est long, s’il contient des détai
ails inutiles. Les Plaideurs offrent encore un excellent exemple d’un
récit
trop long, bien que formé de propositions très-co
arler ; je parle ; j’ai parlé ! L’Intimé fait trop précipitamment un
récit
trop long. C’est une confusion commune de croire
es, et comme la concision du langage est différente de la brièveté du
récit
! Mais Quintilien ajoute avec raison que pour êt
re privée d’ornements ; autrement elle serait sans art. L’agrément du
récit
est une séduction qu’il ne faut pas négliger ; ce
es panégyriques, les éloges académiques ne sont guère qu’une suite de
récits
. La monotonie est donc à craindre, et la variété
ariété et les ornements sont nécessaires dans les compositions où les
récits
s’enchaînent les uns aux autres. Leçon XVI. De
st d’agréable humeur, Et la muette garde une honnête pudeur. Dans le
récit
du supplice des Templiers, au lieu de dire : les
ace traçant le tableau de l’histoire de l’astronomie conclut ainsi le
récit
de la condamnation de Galilée : Quel spectacle q
réflexion profonde condensée en peu de mots. C’est la conclusion d’un
récit
, d’une exposition, d’un raisonnement. Ainsi dans
ls a-t-il justifié en poëte et en critique de goût ce vers célèbre du
récit
de la mort d’Hippolyte37 : Le flot qui l’apporta
reste. Racine. Molière fait un heureux emploi de l’ellipse dans le
récit
de Sosie se plaignant des exigences des grands :
e présent au passé pour mieux rendre la rapidité d’une action dans le
récit
: Turenne meurt : tout se confond, la fortune ch
pour passer du tableau des grandes espérances que donnait Turenne au
récit
de sa mort, Hélas ! nous savions tout ce que nous
er ce qu’il a dit, dans cette phrase où il fait passer le lecteur, du
récit
du combat au tableau de la victoire : Mais la vi
par le même moyen ; un des plus heureux exemples se rencontre dans le
récit
de Burrhus ; il juge les courtisans de Néron : Q
la remuer et lui plaire. Lisez les lettres de Mme de Sévigné ; que de
récits
, ou plutôt que de tableaux ; l’écrivain nous fait
iculier de la prosopopée ; il consiste à ne pas se contenter, dans un
récit
, de rapporter les paroles d’un personnage, mais à
t reviens près de moi. Cicéron avait employé le même procédé dans le
récit
de la mort de Tiberius Gracchus ; le discours dir
épistolaire est l’expression des sentiments de la vie privée, le
récit
des événements journaliers. Une lettre est une co
sentiments et de toutes les pensées de l’âme humaine. Le Roman est le
récit
d’aventures et de passions imaginaires. C’est un
u de déclamer, quand on expose ses raisons. Tout ce qui est preuve ou
récit
, tout ce qui est de pur raisonnement demande surt
e à tous les tons et à tous les genres de pensée et de style. Fables,
récits
, descriptions, portraits, parallèles, développeme
dations domine la brièveté, condition essentielle d’intérêt pour tout
récit
. Soyez vif et pressé dans vos narrations. C’est p
u leur feras mordre la poussière. 6. De la fable. — La fable est le
récit
d’une action imaginée comme preuve à l’appui d’un
l’intérêt. Le dialogue est le moyen le plus sur de donner la vie à ce
récit
; c’est une forme dramatique qui met l’action sou
ce que vous avez retenu. L’abbé. — Je défigurerais ce sermon par mon
récit
; ce sont cent beautés qui échappent ; il faudrai
re l’agréable dans un sujet si effrayant, et amuser l’auditeur par le
récit
profane de la douleur d’Artémise, lorsqu’il faudr
1. Du développement historique. — L’histoire n’est pas seulement le
récit
des faits qui intéressent les individus ou les na
donnée par le seul titre du sujet ; nous serions choqués si, dans le
récit
du poëte, elle se trouvait renversée de manière q
. Les acteurs n’ont plus rien à se dire ; c’est au poëte à achever le
récit
. Il prend le ton de la matière ; il peint un orag
le sujet présente naturellement ; c’est ce qui fait la vérité de son
récit
. Mais il a su revêtir ce fond de tous les ornemen
rt de la Belle Aude, La Fiancée de Roland Au moment où commence le
récit
qu’on va lire, Charlemagne revient de battre les
adre, comme celui de beaucoup d œuvres poétiques du moyen âge, est le
récit
d’un songe. Quant au sujet du poème c’est la conq
re, et notamment la dernière partie de cette histoire, remplie par le
récit
des guerres de religion. Aussi peut-on le regarde
e de ceux des Mille et une Nuits, et quelques poésies, il a publié le
récit
des aventures, souvent plus divertissantes qu’hon
nt un cercle autour du chevalier de Gramont ; il poursuivit ainsi son
récit
: « Il y a deux jours que ce coquin devrait être
» « Voilà, sire, poursuivit le chevalier de Gramont, l’aventure et le
récit
que m’en a fait cet honnête homme. » Le maître de
hommes qu’ils doivent ménager le sang des hommes. Je voudrais que le
récit
de toutes les injustices retentît sans cesse à to
qualité de capitaine-ingénieur. A son retour en France, il écrivit le
récit
de son voyage (1773) et publia ensuite tour à tou
e l’Empire. Rentrée en France en 1815, elle y composa son intéressant
récit
Dix Années d’exil et son œuvre la plus fortement
les opérations de sauvetage dont on va lire le dernier épisode. — Ce
récit
est une espèce d’introduction au roman de Corinne
de René (1802), auxquels viendra s’ajouter plus tard le chevaleresque
récit
des Aventures du dernier Abencérage (1826), et la
ne vous flatte point, c’est votre figure qui nuirait à l’effet de ce
récit
. Moi, sans me vanter, j’ai la mine qu’il faut pou
sait, dans le xxviie chapitre de l’Évangile selon saint Matthieu, le
récit
de la passion de Jésus-Christ : « Milord, lui dem
t le surpasse par l’éclat du coloris et le souci de l’exactitude. Les
Récits
des temps mérovingiens (1840), écrits selon le mê
mme une matière molle, et la lampe s’y enfoncer à demi. De semblables
récits
peuvent nous faire sourire, nous qui les lisons d
on devenait pensif, et l’on pleurait en les entendant raconter1516. (
Récits
des temps mérovingiens, Premier Récit.) Migne
les entendant raconter1516. (Récits des temps mérovingiens, Premier
Récit
.) Mignet (1796-1884) Né à Aix en 1796, mor
ouvrages historiques moins remarquables peut-être par la vivacité du
récit
que par la justesse de leur pensée qui s’applique
lomba (1840), Mateo Falcone, la Prise de la Redoute, et tant d’autres
récits
d’étendue variée, mais d’un égal intérêt, sont de
e. Mérimée a laissé aussi quelques études d’art et d’archéologie, des
récits
historiques, exacts et même colorés, mais un peu
ues-uns de ses romans sont des chefs-d’œuvre ; citons notamment trois
récits
champêtres aussi simples que touchants : François
exemplaires (voir page 105, note l), de détruire définitivement. — Le
récit
qu’on va lire est placé, de longues années après
il ferma les yeux et s’endormit1652. (La Mare au Diable, IX.) Les
récits
du broyeur de chanvre C’est à la fin de septem
broyés en mouvement, dont la percussion impitoyable, interrompant le
récit
du chanvreur à l’endroit le plus terrible, nous f
souvenirs, enfin (1886-1887), tout remplis d’anecdotes piquantes, de
récits
vivants, de jugements précis et motivés. Les da
st dans la région rhénane que se passe l’action de presque tous leurs
récits
. Ils en ont peint les mœurs avec beaucoup de natu
-1853). Il en rapporta, outre un mémoire sur l'Ile d’Egine (1854), un
récit
de voyage spirituel et à demi satirique, dont le
r une charge à la baïonnette. Mon imagination d’enfant s’allumait aux
récits
de la délivrance nationale. J’étais bien trop tim
n-Quichotte et le Tartarin-Sancho ! Tartarin-Quichotte s’exaltant aux
récits
de Gustave Aimard1766 et criant : « Je pars ! » T
850, il a d’abord, par son talent très personnel, renouvelé, dans des
récits
dont l’action se passe en Orient, l’art de la des
répandue, Va s’excuser à son mari, En grand danger d’être battue. Le
récit
en farce en fut fait2175 ; On l’appela le Pot au
tenter. » Malherbe là-dessus : « Contenter tout le monde ! Écoutez ce
récit
avant que je réponde. J’ai lu dans quelque endroi
rouvé de mes péchés le rude châtiment. Il faut que je te2220 fasse un
récit
de l’affaire, Car je m’en sens encor tout ému de
et de taille2260, Comme oculaire témoin. Combien de gens font-ils des
récits
de bataille Dont ils se sont tenus loin ? Pour jo
sa femme ? Ne lui2285 dois-je pas faire, en lui vantant sa flamme, Un
récit
de ses faits contre nos ennemis ? Ne suis-je pas
683, et fut même quelque temps esclave à Alger. Il a laissé, outre le
récit
de ses voyages et des poésies diverses, des coméd
ou d’un historien scrupuleux, les Confidences (1847) et les aimables
récits
de Geneviève (1850) et du Tailleur de pierres de
ore de lui un roman historique, Cinq-Mars (1826), et deux recueils de
récits
dominés par une idée morale sur le rôle et le car
)2648. La frégate « La Sérieuse » à la bataille d’Aboukir2649
Récit
du capitaine. Trois vaisseaux de haut bord com
. Victor Hugo a aussi écrit plusieurs ouvrages en prose, notamment un
récit
de voyage, le Rhin (1842), et des romans, dont le
e mémoire ! Plus d’auguste vieillesse à couronner de gloire ! Plus de
récits
guerriers ! plus de beaux cheveux blancs A faire
Henri-Auguste Barbier a publié plusieurs recueils de vers et quelques
récits
en prose. Mais on peut dire qu’il doit toute sa r
teur, Gautier a laissé plusieurs recueils d’articles de critique, des
récits
de voyages en Espagne, en Russie, en Italie, en O
es sont-elles et resteront-elles plus populaires que tant d’émouvants
récits
, le Rosier, la Robe, la Chanteuse, la Visite au f
s, aux péripéties aussi simples que douloureuses. Quelques-uns de ces
récits
en prose, les Souffrances de Claude Blouet (1870)
ramasser ? » Le vieillard répondit : « Il fallait se baisser. » (Les
Récits
et les Elégies.) François Fabié (né en 1846)
veillées, Si, tout en arrosant de vin bleu nos marrons, Tu faisais un
récit
émaillé de jurons, Les rires éclatants s’élevaien
re, avec de gais murmures, Pans le verre des braves gens ! (Poèmes et
récits
, d’après de vieilles chansons de France 2982.)
in et de Joinville, et surtout par l’animation vivante et colorée des
récits
qui les composent. — Froissart a écrit aussi de g
nt. — Froissart a écrit aussi de gracieuses poésies lyriques. 44. Ce
récit
célèbre est en grande partie emprunté par Froissa
u messire Philippe de Commynes. Cette publication ne contenait que le
récit
du règne de Louis XI. Une édition publiée en 1528
récit du règne de Louis XI. Une édition publiée en 1528 y joignit le
récit
du règne de Charles VIII. C’est en 1552 seulement
… et l’atteint. Nos anciens écrivains mélangeaient librement, dans le
récit
, le présent et le passé. On en trouverait des exe
us grand profit le commentaire que M. Ernest Dupuy a donné de tout ce
récit
dans son Bernard Palissy (Paris, 1894), deuxième
paroles qu’il traduit ici. 755. Genèse, L, 24 et 25. — C’est sur le
récit
de la mort de Joseph que la Genèse se termine. 7
e son séjour en Angleterre que se place l’aventure dont on va lire le
récit
. 862. La reine d’Angleterre, Catherine de Braga
squés et costumés, et ordinairement accompagnée, au xviie siècle, de
récits
envers déclamés ou chantés. 864. Charles II. 86
r de Gramont, quelque temps après l’aventure dont on vient de lire le
récit
, a été rappelé en France. On va lire un épisode d
est-à-dire : y a-t-il) de quoi se fâcher ? 893. Allusion à l’étrange
récit
de Termes, qu’on a vu rapporté page 128. 894. D
e, qui parle. Gil Blas et les autres personnages qui figurent dans ce
récit
et dans le suivant sont d’ailleurs purement imagi
et Chardin (1643-1713), célèbres voyageurs français qui ont laissé le
récit
, l’un, de ses Voyages en Turquie, en Perse et aux
lation, était offrande. 1181. La petite aventure dont on va lire le
récit
s’est passée dans les nernières années de la vie
même sujet dans une tragédie-bal et demeurée célèbre. — Quant au joli
récit
de Courier, il est difficile de démêler la part d
cis fournis par un paysan que Courier a lui-même écrit le remarquable
récit
qu’on va lire. 1444. Cosser avec, se heurter co
ose de familier. 1458. Lions. Tous les lieux qui sont nommés dansée
récit
sont situés dans le département de l’Eure et l’ar
ous lequel, après la mort de Nodier, ses éditeurs ont réuni plusieurs
récits
composés à des dates différentes. 1468. Plon et
, au lieu de les (les aigles). 1477. C’est à propos de cet émouvant
récit
que Cuvillier-Fleury (1802-1887), ancien précepte
qu’il mettait d’esprit, de verve, d’originalité et de couleur dans le
récit
des événements militaires auxquels il avait pris
ène) : c’est là qu’ils ont passé la nuit. La scène dont on va lire le
récit
se passe le lendemain matin. 1503. Beppo, Grazi
, la célèbre Fredegonde, qu’on retrouvera bientôt dans la suite de ce
récit
. 1513. Tous les détails de ce récit si pathétiqu
vera bientôt dans la suite de ce récit. 1513. Tous les détails de ce
récit
si pathétique et si coloré sont empruntés aux aut
de Clotaire Ier, qu’Augustin Thierry met en scène dans son Cinquième
Récit
. A l’une et à l’autre s’oppose la tragique Fredeg
on retrouvera au premier plan, dans un admirable fragment du Septième
Récit
, que nous citons dans le recueil du Deuxième cycl
nous saura pas mauvais gré de reproduire ici un fragment du touchant
récit
de l’historien Brantôme (vers 1540-1614), dépeign
st surtout de Polybe (204-125) qu’il se sert dans tout le cours de ce
récit
. 1565. Sicca, dans l’intérieur ; aujourd’hui El
e trace ici Michelet fait songer, en l’égalant presque, à l’admirable
récit
de la tragédie des Perses, où le poète grec Eschy
s le cours du morceau sont situées dans ce diocèse. 1595. Parabole,
récit
qui, en mettant en scène des personnages et des a
ivil et militaire de la province. – Les événements dont on va lire le
récit
se sont passés à Lyon en 177, sous Marc-Aurèle.
laise : « O chez nous, doux chez nous ! » 1725. Nous traversons. Ce
récit
a été écrit en septembre 1871. 1726. Kehl, vill
Dialogues des morts. 1766. Gustave Aimard (1818-1883) a publié des
récits
dont l’action se passe chez les peuplades sauvage
elle, éditeur. 1777. Le narrateur, qui est en même temps le héros du
récit
, est un certain Pierre Nozière, personnage imagin
e déluge). 1797. Nom du bâtiment sur lequel est monté l’auteur de ce
récit
. 1798. Leur montait dessus, façon de parler tou
erpentant. 2136. Il vient d’apprendre que son fils l’a trompé par un
récit
mensonger. 2137. Géronte. Ce nom vient d’un mot
priétaire. 2174. Marri, triste, fâché. Le mot a vieilli. 2175. Le
récit
en farce en fat fait. On en fit une farce. Farce,
os de la comédie de Molière, celui dans la bouche duquel est placé le
récit
qu’on va lire, est sans cesse importuné par les f
s représentations dans l’après-midi. 2220. Le personnage qui fait ce
récit
s’adresse à son valet. 2221. Sur le théâtre. De
rs, je suis esclave. 2410. Voir dans l’Iliade (ch. xxiv) l’admirable
récit
de l’entrevue d’Achille et de Priam, et le discou
’en prendre qu’à lui de son vœu imprudent, ne se trouvent pas dans le
récit
biblique, d’où l’auteur a tiré le sujet de ce pet
Sa sœur, Mlle Adèle Hugo, née en 1830. 2694. Le poète interrompt son
récit
pour ouvrir une espèce de parenthèse (connaissez-
s...), qui en amène elle-même une autre (pénètre, mon cœur...), et le
récit
reprend ensuite (je l’entendais sous ma fenêtre).
ur grandiose, et ce goût d’ambitieuses aventures éclate déjà dans son
récit
de la conjuration de Fiesque. La mort de Richelie
traits bien vivants qui nous parlent. Ses discours ont grand air. Son
récit
intéresse comme une comédie. Il eut l’éloquence d
it de développer, sans beaucoup d’étendue, les divers incidents de ce
récit
. Style simple, mais animé. Outre le sens littéral
et pourquoi il avait apporté jusqu’au château ce pauvre petit animal.
Récit
propre à toucher le cœur du vieux marin. Le vieux
e lièvre s’en va en bateau, et l’homme reste pris. Vous terminerez ce
récit
amusant par l’incident qu’il vous plaira d’invent
s prairies, entraîne sa maison, et l’entraîne lui-même. Le sens de ce
récit
allégorique est facile à saisir : nous devons ne
trait de reconnaissance sans l’expliquer formellement, et conduire le
récit
avec assez d’art pour que ni curiosité du lecteur
raconte ce qu’il a fait. On peut aussi suivre l’ordre indiqué par le
récit
de Saint-Simon : préparatifs de l’assaut ; conver
s la mer, suit le vaisseau à la nage, et périt dans les flots. 53.
Récit
d’une bataille. (An 312.) Sujet et plan. Sou
le colonel dont Jules avait été le sauveur. Les divers détails de ce
récit
sont susceptibles des développements les plus int
nouvelle du danger que son fils a couru. Apollonius lui fait un court
récit
de l’événement, dont le hasard l’a rendu témoin.
re les faits antérieurs par des détails habilement intercalés dans le
récit
. En devenant puissant et riche, le mari de Fanche
, et les salamandres dans les flammes. Cette croyance sert de base au
récit
suivant, dont l’objet est de faire voir quelle es
rime que de le justifier. » Le tyran, furieux, le fit périr. Plan. Le
récit
du meurtre de Géta ne doit pas entrer dans la nar
ndue. On peut aussi ne développer que la seconde partie, commencer le
récit
à l’instant fatal indiqué par les menaces du brig
se. Faites connaître par un monologue, de temps en temps coupé par le
récit
, les pensées qui l’agitent. Son isolement l’affli
, et s’écrie : « L’empire est à moi ! » Vous pouvez aussi réserver ce
récit
pour le mettre dans la bouche de Constantin, lors
n 739. 114. Discours d’Alphonse à Pélage. (Discours précédé d’un
récit
.19) Sujet et plan. Nous supposons qu’après la
. Le discours se composera de deux parties. La première contiendra un
récit
vif et animé de ce qu’a fait et de ce qu’a souffe
ans ses habitudes. 13. Le mot légende, pris en ce sens, signifie un
récit
populaire qui, dans certaines contrées, se transm
répandue, Va s’excuser à son mari, En grand danger d’être battue. Le
récit
en farce en fut fait8 ; On l’appela le Pot au lai
tte fantaisie. 3. Cet infinitif de narration donne de la vivacité au
récit
. 4. Les se rapports aux monts. 5. Le Blésois e
uxième volume de l’Histoire littéraire de la France, un fabliau ou un
récit
qui raille l’exagération des voyageurs. C’est un
l est singulier que La Fontaine réduise à cette moralité si simple un
récit
qui se prête à des conclusions si importantes, et
s’agit ici du Marc-Aurèlc de Guevara, qui a cru devoir attribuer son
récit
à cet empereur romain. Mais, dans les œuvres qui
tée dans endormir, enfuir, enflammer. 1. Il faut lire dans Horace le
récit
de la scène entre l’avocat Philippe et Vulteius M
iquée ; dans les études sur les hommes ou les choses ; dans les longs
récits
, vrais ou fictifs ; dans l’éloquence qui conseill
rs d’Ulysse… » Un témoignage d’en haut doit confirmer ces merveilleux
récits
d’une vérité si invraisemblable : … Venez à moi,
intéressera vite à vos inventions. Il est donc maladroit d’entamer un
récit
par un point qui rende nécessaire un grand nombre
z le reste en vous. Le style des lettres dans lesquelles on fait des
récits
ou des descriptions, peut être soigné, fleuri, av
te. Mais qu’il y ait toujours de la chaleur et de la rapidité dans le
récit
: c’est le moyen de flatter l’esprit et l’imagina
ups dans son chapeau, et revient gaillard. » Tout fait image dans ce
récit
; et tout y est naturel. Quelle légèreté ! quel e
Montesquieu. Contemporain de la vieillesse chagrine de Louis XIV, ce
récit
frondeur sans amertume fait pressentir le voisina
de son temps, et le classe parmi les émules de Molière. L’agilité du
récit
, des mots vifs et piquants, nulle prétention, l’h
ements heureux. Voici comment Bossuet a réussi à faire passer dans le
récit
d’un songe de la princesse Palatine, les mots pou
tyle simple s’emploie généralement dans les ouvrages didactiques, les
récits
de faits ordinaires, les entretiens familiers, le
naïveté, qu’on nommerait mieux ingénuité, est celle qui convient aux
récits
destinés à l’enfance. C’est de cette qualité que
ur le tombeau de son enfant, par Alexandre Soumet. Voici la fin de ce
récit
que distingue la délicatesse la plus gracieuse et
ale pour celui dont la bonté attentive semble n’avoir cherché dans le
récit
même des faits de l’histoire qu’une occasion de s
la manière la plus vive et la plus passionnée, mais il entremêle son
récit
de traits vifs et pathétiques. C’est là qu’on voi
e, il vaudra mieux se dispenser de l’exorde, et placer dès l’abord le
récit
des faits, ou quelque argument victorieux. Ensuit
cause. Il ne lui est pas permis, sans doute, d’être infidèle dans son
récit
; il se nuirait à lui-même, et perdrait toute con
ue le développement. L’orateur doit arranger les circonstances de son
récit
de manière qu’elles conduisent elles-mêmes l’espr
dit quelque temps que sa femme fut prête, comme c’est l’usage73. » Ce
récit
n’annonce aucun art, il en a pourtant beaucoup. T
jet. Ne perdons jamais de vue les règles de la brièveté ; car plus le
récit
est rapide, plus il est clair et facile à suivre7
se renfermer dans peu de paroles, mais à ne rien dire de superflu. Un
récit
de deux pages est court, s’il ne contient que ce
est court, s’il ne contient que ce qui est nécessaire ; au lieu qu’un
récit
de vingt lignes est long, si moins de mots suffis
met à la voile, nous partons. Il est difficile de faire un plus long
récit
plus rapidement ; il suffirait de dire : Je m’emb
ion. Si votre cause est médiocre, vous donnerez de l’agrément à votre
récit
par l’élégance et la variété du style, par des or
, IV, 2.) La narration milonienne nous donnera encore un exemple d’un
récit
également court et intéressant. Cicéron décrit ai
ut échauffer l’imagination de l’auditeur, ni exciter ses passions. Un
récit
simple ne peut émouvoir ; il faut non seulement i
qu’il n’est pas possible de les embrasser tous dans un même corps de
récit
. Alors, pour mettre de l’ordre dans les faits, et
t les oraisons funèbres, les panégyriques. Il n’est point de sorte de
récit
où les ornements soient mieux placés. La loi du g
les sont loin de nos mœurs. On voit, dans de longs discours mêlés aux
récits
de Diodore de Sicile (XIII, 20-33), Nicolas et Gy
e défend d’avoir été complice de la mort de César, est admirable. Les
récits
animés, les raisonnements solides, l’adresse à to
e plus, il devient froid. (V. l’Électre de Crébillon, act. II, sc. 1,
récit
de Tydée.) La plupart de ceux qui veulent faire d
ne sorte d’exclamation sentencieuse qui termine un raisonnement ou un
récit
, comme : … Tantæne animis cœlestibus iræ ! (Æne
u de déclamer, quand on expose ses raisons. Tout ce qui est preuve ou
récit
, tout ce qui est de pur raisonnement, demande sur
repoussait la gravité romaine. Fables, narrations, discours mêlés de
récits
, lettres, portraits, parallèles, dialogues, dével
française paye un tribut religieux à la cendre des héros. Le goût des
récits
et du merveilleux, l’enthousiasme du courage, l’a
t avouer que les auteurs français ont moins réussi qu’eux à donner au
récit
des faits la vie, le mouvement, la variété. Cepen
nos funérailles sanglantes, de nos sacrifices humains ; à ces tristes
récits
, je les voyais saisis d’horreur et de pitié. Héla
maigreur affreuse, et la mortelle pâleur de leur visage ; écoutez les
récits
de ces Français, et les déplorables détails de le
quem magnus Danais successit Achilles ? Dans les premiers vers de ce
récit
, le poète semble déjà mettre en action les précep
r. Il ne peut remplir ce double objet qu’en joignant l’instruction au
récit
de ces vertus. La morale doit naître de la narrat
nir que ce ne sont pas de froids détails, de longues analyses, ni des
récits
inanimés que demande l’académie ; mais des tablea
es règne presque seule ; et le plus souvent dans les poëmes, dans les
récits
, dans les discours, il s’agit plus de mettre les
es besoins, dans ses passions, dans ses plaisirs, dans ses peines. Au
récit
d’un événement heureux ou malheureux, agréable ou
ble ou douloureux, l’âme de l’auditeur est saisie par l’impression du
récit
sur son imagination. Aussitôt, par un retour sur
e de traiter le ridicule par la chose, est celle qui consiste dans le
récit
, la peinture, le détail de l’objet risible ; elle
hante, ou digne d’exciter l’indignation, il se garde bien de mêler au
récit
qu’il en fait les mouvemens qu’il veut produire.
pas à se renfermer en peu de mots, mais à ne rien dire d’inutile. Un
récit
de deux pages est court, s’il ne contient que ce
est court, s’il ne contient que ce qui est nécessaire ; au lieu qu’un
récit
de vingt lignes est long, s’il peut être renfermé
e sentiment dont la cause a besoin, ne nuisent point à la brièveté du
récit
. Voulez-vous paraître court, même dans les narrat
iellement à la narration. La vraisemblance. 3°. Quand on dit que le
récit
doit être vraisemblable, on pourrait demander s’i
aractère, aux mœurs, à la qualité des personnes ; à faire accorder le
récit
avec les circonstances du lieu, de l’heure où l’a
e persuader que d’instruire. » Il y a deux sources d’intérêt dans le
récit
: le fait en lui-même, et la manière de le racont
ont de plus frappant pour échauffer les preuves qui doivent suivre le
récit
, et pour animer la péroraison. » (Loc. cit.) Il f
e la narration ; une certaine adresse à arranger les circonstances du
récit
, de manière qu’elles conduisent elles-mêmes l’esp
elque temps que sa femme fût prête, comme c’est l’usage (n. 28.) » Ce
récit
n’annonce aucun art ; il en a pourtant beaucoup.
truire le juge. Une cause trop chargée doit se partager en plusieurs
récits
. Il est des causes chargées d’une telle multitud
qu’il n’est pas possible de les embrasser tous dans un même corps de
récit
; alors, pour les exposer avec ordre et soulager
simple. Le style simple est celui des discussions, des mémoires, des
récits
, etc… Dans quels le style relevé. Le style rele
propose en le traitant. L’élocution ne sera donc pas la même dans les
récits
, dans les matières de discussion, dans les sujets
ns les sujets pathétiques et dans les sujets agréables. 1°.Style du
récit
. Quand l’écrivain expose, raconte, il faut qu
ut que son style soit uni, facile, rapide. Qualités du style dans le
récit
. Le style est uni, quand il n’a qu’une couleur e
oint négliger même les accessoires qui peuvent ajouter à l’intérêt du
récit
. Si l’on discute une question, il est souvent néc
s, variées, brillantes. Dans les Lettres de madame de Sévigné, que de
récits
, ou, pour mieux dire, que de tableaux nous font v
aire entrer le nom de Wurtz, capitaine hollandais, dans son admirable
récit
du passage du Rhin. Le même poëte a dit : Fuyez
pes de Sarrasins, etc…. » (Panég. de Saint Louis.) Le présent rend le
récit
plus vif, et met la chose, pour ainsi dire, sous
gures poétiques, et l’on place des métaphores outrées jusque dans les
récits
les plus simples. Le lecteur est tenté à tout mom
pas, produit une impression vague et prompte à disparaître. Le simple
récit
d’un grand carnage nous causerait moins d’horreur
rappent que l’oreille, ou lorsqu’un juge croit simplement entendre un
récit
, et non pas voir de ses propres yeux le fait dont
comme le résultat et la dernière conséquence tirée avec vivacité d’un
récit
ou d’une preuve qui précède. Est epiphonema rei
ur leur faire des reproches, etc…. Exemples. Fléchier interrompt le
récit
et l’éloge des vertus chrétiennes de la reine Mar
ent à la poésie, qui est un langage exalté. Le Menteur, en faisant le
récit
d’une fête qu’il n’a pas donnée, n’y épargne pas
n reproche encore au même Théramène de s’être éloigné du vrai dans le
récit
qu’il fait à Thésée de la mort d’Hippolyte. La do
atoire s’élève quelquefois jusqu’à la hauteur de la poésie. Un simple
récit
n’admet point ces phrases ambitieuses. Les Anglai
franc, sincère et naïf. Plus l’orateur mettrait d’affectation dans un
récit
, plus il le rendrait suspect, et plus il s’écarte
239 Art. II. Des qualités particulières du style 242 1°. Style du
récit
243 2°. Style des matières de discussion ibid.
me le défenseur. Une cause trop chargée doit se partager en plusieurs
récits
. La narration est-elle nécessaire ? Doit-elle sui
toutes les qualités particulières du style. Qualités du style dans le
récit
. Qualités du style dans la discussion. Précision.
e raconter, avec toutes les circonstances qui donnent de l’intérêt au
récit
. C’est aussi ce qui fait le charme des Récits des
donnent de l’intérêt au récit. C’est aussi ce qui fait le charme des
Récits
des temps mérovingiens, de M. A. Thierry, du Gil
ratives. Modèle de décomposition de narration oratoire. MATIÈRE.
Récit
de la bataille de Fribourg. Arrêtez-ici vos rega
s toutes celles qui précèdent ! C’est faire accorder admirablement le
récit
avec l’action. Mais, comme un autre Machabée , et
t successivement occupé notre âme, et nous sommes arrivés à la fin du
récit
aussi éclairés et satisfaits que si l’action s’ét
rai que dans le premier cas le narrateur doit joindre la pantomime au
récit
, et que dans le second les intonations, les infle
Ce vers est gracieux et léger. C’est celui qui convient le mieux au
récit
. Son rhythme est doux et agréable à l’oreille.
assez fréquemment dans nos bons poètes, lorsqu’ils veulent presser un
récit
ou exprimer un grand sentiment, trois ou quatre r
u beau par le discours. Mais elle en diffère par la forme, qui est le
récit
; par le vers, qui est toujours le même ; et enfi
dans ses diverses parties de formes dramatiques, et non par un simple
récit
, qui, en excitant la terreur et la pitié, admet c
hoix du sujet et la durée des événements. Quant aux imitations en
récit
et en vers hexamètres, il est évident que dans ce
la scène par les acteurs qu’on voit. L’épopée, au contraire, étant en
récit
, peut peindre tout ce qui est d’un même moment, e
et de l’autre Achille leur faisant signe de s’arrêter ; mais, dans un
récit
, cela ne s’aperçoit point. Or ce qui est merveill
l convient surtout à la proposition, à la division d’un discours, aux
récits
où l’orateur ne cherche qu’à instruire, et aux pa
s. C’est le style qui plaît aux écrivains lorsqu’ils nous offrent des
récits
de voyage, tels que M. de Lamartine, dans son Voy
ujets badins, dans une table, dans un conte, dans une lettre, dans le
récit
d’une aventure plaisante, etc. Il admet les pensé
’arrivée soudaine d’un chevalier ou d’un pèlerin puis assistaient aux
récits
merveilleux de leurs aventures. Indépendamment de
eu a voulu ainsi apprendre aux hommes qu’il n’a point besoin, pour le
récit
des grandes choses qu’il a faites, de recourir à
colonel. 1. C’est-à-dire, la mort de Louis XIII. 2. On peut voir le
récit
de cette bataille dans le même volume, page 59.
tin insequi, est aujourd’hui de peu d’usage. 1. On peut lire le même
récit
, non moins animé et non moins dramatique, dans le
’univers les accidents extraordinaires, va remplir toute l’Europe des
récits
glorieux de la vie de ce prince et du triste regr
avons dit précédemment que l’on instruit et que l’on intéresse par le
récit
des faits ; qu’on persuade par le raisonnement ;
inspire le malheur, et cet enthousiasme qui fait battre notre cœur au
récit
d’un grand sacrifice ou d’une action héroïque. Al
e profonde satisfaction, mêlée d’étonnement, excitée par la vue ou le
récit
d’une action grande et sublime. Tel est le sentim
s’en référer au premier fragment d’Hécatée par lequel il commence son
récit
, il ne nous est pas facile, non plus, d’asseoir u
emblance. » La preuve peut n’être qu’oratoire : c’est alors le simple
récit
, l’exposé ou le développement des faits qu’on veu
qui sert à l’établir, est dite dialectique, bien différente du simple
récit
des faits, de l’exposé du droit ou de l’opinion.
pitre III. De la narration. La narration, dans le discours, est le
récit
ou l’exposé du fait ou des faits, mais présentés
aspect le plus favorable à la cause. C’est en cela qu’elle diffère du
récit
purement historique. L’historien, uniquement préo
nt contraires. Un autre soin qui lui incombe, c’est qu’il arrange son
récit
de manière qu’il offre le germe de tous les moyen
elle habileté, l’orateur romain, dans son oraison pour Milon, fait le
récit
de la rencontre fortuite de son client avec Clodi
un eût voulu que ses esclaves fissent en pareille circonstance. » Ce
récit
, comme on voit, du genre judiciaire, ne laisse ri
modèle du genre démonstratif, nous citerons, à son tour, le touchant
récit
que fait Massillon des malheurs de Louis XIV dans
e l’élocution. Qu’on ait à faire le discours que Pacuvius, suivant le
récit
deTite-Live, adressa à Pérolla, son fils, à l’occ
n paysage, une bataille ou un incendie ; on ne fait pas, non plus, le
récit
d’un événement triste, comme d’une aventure gaie,
ernelle ! et qui suffit pour la vraisemblance, pour la vérité même du
récit
. Voyez-les encore, ces deux serpents, dans leur a
ier ensemble et à la hâte, et ce prodige effrayant vient confirmer le
récit
du perfide Sinon. Le poète, ainsi qu’il a dû insi
L’épiphonème est une réflexion courte et vive jetée à la fin d’un
récit
. C’est là ce qui la distingue de la sentence, qui
e avait inventé quelque chose de plus précieux. Il employait dans son
récit
les formes contemporaines, même les plus avancées
s aient poussé le fétichisme de la couleur locale jusqu’à salir leurs
récits
de ce hideux jargon ; qu’à la suite d’un homme d’
de la grâce adolescente et avec le charme de l’innocence. Le fond du
récit
nous offre des paysages enchanteurs, et idéalisés
es convulsions et l’agonie de la nature. » On devra étudier aussi le
récit
d’une tempête que subit Bernardin aux environs de
toc et de taille, Comme oculaire témoin. Combien de gens font-ils des
récits
de bataille Dont ils se sont tenus loin3 ! Pour j
uise. 4. On a noté ici un anachronisme. Mais qu’importe la vérité du
récit
? 5. Télèbe, capitale de quelques îles de la me
à-dire comment. 4. Plaute, devant les Romains, s’est bien gardé d’un
récit
comique. Sa bataille a le ton d’une épopée. 5.
s deux dates, et particulièrement l’incendie de Moscou. Il mêle à son
récit
les réflexions qu’une lettre comporte à cette épo
res peuples ? Faut-il les approuver ? (Paris, août 1877.) Imaginez un
récit
vif et animé dans lequel vous appliquerez à deux
édecin malgré lui, Tartufe. Vous imaginerez toute cette partie de son
récit
, comme un fragment détaché du reste ; vous direz
passé ? Vous répondrez sommairement à ces questions sans faire aucun
récit
historique, en vous tenant à ce qu’il y a de plus
é proscrite par Auguste. Nous n’entendons rien au premier acte que le
récit
des crimes par lesquels ce prince a fondé son pou
plus une leçon de morale, un peu moins sèche qu’une autre, puisque le
récit
la fait passer, c’est un genre littéraire et l’un
la rapidité, l’agrément, l’abondance sans superflu qui font les bons
récits
. Il sait mettre en relief le principal et démèler
aient avec complaisance et ils n’y voyaient que matière à d’agréables
récits
; Voltaire les rejette. Il exige d’abord de l’his
ême chez les Juifs, le précepte moral est la conclusion d’un charmant
récit
exposé dans cette poésie étincelante et avec cett
s pâles sont les fables d’Ésope. Dans son œuvre, plus de complaisants
récits
, plus de rapides et de brillantes images ; le réc
de complaisants récits, plus de rapides et de brillantes images ; le
récit
qui forme l’action de la fable est court et sente
progrès sont plus sensibles dans les fables de Phèdre ; avec lui, le
récit
s’allonge et prend de la couleur, l’action se des
n âge, la fable change de caractère, elle devient encyclopédique ; le
récit
s’allonge outre mesure, l’auteur n’oublie pas un
ritent de passer à la postérité grâce au charme et à la fraîcheur des
récits
, à la justesse et à la puissance de l’observation
nt écrites ne convenait pas à la fable. Il restait à proportionner le
récit
, à choisir entre les traits qui peignent un carac
gique et la même vérité. La Fontaine emploie tous les tons, tantôt le
récit
a la forme sombre du drame comme dans les Animaux
yre dans la main ; tombant à genoux devant les juges, il leur fait le
récit
touchant de son infortune en l’accompagnant des a
ve déserte et méconnaissable où fut Carthage, nous voudrions, dans le
récit
de ces grandes luttes, une expression plus intens
de composer. Trop court, le travail n’a plus rien d’attachant, et le
récit
ne laisse qu’une impression vite effacée ; trop l
e qu’elle admire surtout dans La Fontaine, c’est le bel agencement du
récit
, la simplicité charmante des peintures, la précis
isis et préférés par vous. Vous pouvez traiter ce sujet sous forme de
récit
ou sous forme de lettre. – Quel est le rôle des f
ce qui lui fasse distinguer les épisodes des actes à retenir pour son
récit
. 2 e Paragraphe. – « La recherche des faits sans
sûr discernement, l’expérience de la vie active. 3e Paragraphe. – Le
récit
des événements, l’explication raisonnée des cause
et qui pouvait être traité sur chacun d’eux. Il sera bon d’ajouter au
récit
une description, telle que celle du costume ou de
des descriptions de Bernardin de Saint-Pierre, de Châteaubriand, des
récits
de voyage un peu pittoresques, un ou deux volumes
evant les félicitations de ses amis et de la population attendrie. Ce
récit
pourra être animé de paroles prononcées par la fo
ière seront utilisés par l’orateur mais ne serviront pas de début. Le
récit
doit commencer d’une façon vive qui mette la scèn
s espérances. Vous supposerez que Pierre Guttierez écrit à sa mère le
récit
de la traversée qu’il a faite avec Christophe Col
nguer avant tout, c’est le caractère précis du travail qu’on aborde :
récit
, dissertation, discours, etc. PLAN 1er Paragraphe
t point encore perdue. CONSEILS ET CORRIGÉ CONSEILS Remarquons que ce
récit
a été donné aux candidats en 1859, au lendemain d
jetés en côte dans les parages de la Manche. Le roi Louis XVI, ému du
récit
des exploits de Bouzard, avait formé le dessein d
on père, et vous terminerez par quelques réflexions sur l’ensemble du
récit
. Concours de 1863. un épisode de la vie de
à Brest, en se frayant passage à travers l’ennemi. Vous terminerez le
récit
par quelques réflexions sur cette lutte, où six d
on doit être fort embarrassé quand on se trouve en présence, non d’un
récit
imaginaire, mais d’une narration qui repose sur d
RIGÉ La matière a été calquée, point par point, sur un des plus beaux
récits
de Châteaubriand. Chaque paragraphe du canevas co
ant. CONSEILS ET PLAN La réticence du début n’est pas à conserver. Le
récit
doit être tenu pour vrai et être rendu vraisembla
nce que Montesquieu fuit bien vite. Le dialogue doit alterner avec le
récit
. Le ton doit être preste, vif. PLAN 1er Paragraph
, par le choix ingénieux des détails, par leur agencement. Le début :
récit
du siège, ne saurait être long. Tout l’intérêt se
, en Indo-Chine. – Exposer sous forme de dissertation de lettre ou de
récit
, et apprécier les avantages que l’éducation naval
çaise, préservée d’une surprise, gagnait le lendemain la bataille. –
Récit
et réflexions. Un homme à la mer. CORRIGÉ
l’appelle Vendredi du jour où il l’avait rencontré. On pourra dans ce
récit
faire parler Robinson lui-même comme dans le roma
re ; elle est devenue l’arme la plus puissante de la civilisation. Le
récit
de ces étonnantes transformations doit nécessaire
rrigé à M. de Loménie (Galerie des contemporains illustres). C’est le
récit
d’une visite faite au chimiste suédois Berzélius
tincelles n’effraient pas les fils des forgerons. » – Développer le
récit
suivant : « Un laboureur de l’ancien temps obte
outon. – L’âne et le cheval se racontent leurs misères, se faisant le
récit
d’une de leurs journées, qui se ressemblent toute
der, c’est la loi de nature. » Qui a dit cela ? Si vous connaissez le
récit
qui suit, racontez-le. En tout cas, dites-nous co
tière. N’est-il pas possible, en quatre ou cinq lignes, de résumer le
récit
du fabuliste ? Ou bien préfère-t-on définir : la
men : Besançon.) 1. Les candidats feront bien de consulter pour les
récits
militaires les Biographies d’hommes illustres (ho
es de l’événement qui dénoue l’intrigue. Le sujet de l’Odyssée est le
récit
des erreurs et des souffrances d’Ulysse sur terre
n réalité, la moitié du poëme, et pourtant il n’y a rien de trop ; le
récit
n’est et ne peut être complétement terminé qu’à l
s et son grand couteau ne vous faisait plus peur. Il vous fallait des
récits
de combats et d’aventures : Bayard et Robinson ét
raconter les exploits merveilleux des ancêtres. C’est l’ère des longs
récits
, des grandes épopées, des Achille et des Roland.
mission, et le travail commencé des Martyrs, le désir de donner à ses
récits
leur vraie couleur locale, lui inspirèrent la pen
armée de Constance, campée sur les bords du Rhin. Il fait lui-même le
récit
de cette campagne. Après quelques jours de march
éditée des historiens ; les harangues dont ils aimaient à orner leurs
récits
n’étaient que des cadres ingénieux et artificiels
s nous ont imposés ; ils sont les ennemis de votre gloire, puisque le
récit
de tant d’actions héroïques qui ont illustré le p
lisait dans le xxviie chapitre de l’Évangile selon saint Matthieu le
récit
de la Passion de Jésus-Christ ; « Mylord, lui dem
au lieu d’une narration suivie, il choisit la méthode plus libre des
récits
détachés. De 1833 à 1837, la Revue des deux Monde
fragments qui composent l’ouvrage parurent sous leur nom définitif :
Récits
des temps mérovingiens. C’est peut-être l’œuvre l
s bandes de jeunes fanatiques dont l’imagination s’était enflammée au
récit
des exploits d’Odin et des plaisirs qui attendaie
, soit dans les paroles. Cet accent de barbarie, si frappant dans les
récits
de Grégoire de Tours205, se retrouve çà et là dan
e de son but par le plaisir de raconter et de peindre. De là dans ses
récits
une certaine uniformité de teintes : si le dessin
l’air », comme on l’a appelé heureusement. On comprend par là que le
récit
d’un fait ne convient pas à la chanson : le coupl
nt pas à la chanson : le couplet ne fera plus que morceler l’unité du
récit
, et le refrain arrêtera l’attention au lieu de la
Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille ; « Par des
récits
d’autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien ; d
e lutte de chaque jour, ce qui charme et exalte leur esprit, c’est le
récit
des fortes actions, c’est la vie merveilleuse de
r de la critique faite à M. de Lamartine d’avoir mêlé une thèse à son
récit
, on lui reprochait de ne pas rester fidèle à lui-
ge offensante pour le goût. 70. M. de Chateaubriand a imité dans ce
récit
la réserve des grands poètes anciens dans l’expre
Henriette, et oppose M Guizot à l’historien anglais Lingard, dont le
récit
est impartial. 133. Le 12 mai 1641. 134. Un tab
169. On trouvera dans un roman de M. A. de Vigny, intitulé Stello, un
récit
émouvant et pathétique de la mort d’André Chénier
n sur la morale de l’intérêt dans le vrai, le beau et le bien. 191.
Récits
des temps mérovingiens, préface. 192. Expression
les. C’est le livre que M. Augustin Thierry a pris pour base dans ses
Récits
mérovingiens. 206. Gast, dans les dialectes ac
e la paix ; M. Augustin Thierry en cite des extraits dans le deuxième
récit
. 228. Tant de l’Ostrasie que de la Neustrie. 22
storique : aucune circonstance inutile ne vient ralentir la marche du
récit
, et cependant aucun trait ne manque au tableau, t
ivers genres de tortures. On peut voir la première partie du septième
récit
. 238. On en trouve une foule d’exemples dans le
la pitié. Ce ne fut d’ailleurs qu’un éclair, et la suite du septième
récit
nous montre Frédegonde reprise de « sa fièvre de
harlotte Corday dans l’Histoire des Girondins par M. de Lamartine. Le
récit
de son enfance passée d’abord au couvent de l’Abb
, mais la partie critique est faible. M. Thiers s’efface derrière son
récit
, et ne cherche l’effet dramatique que dans la rep
e crus,… légère négligence de style. Lorsque paraît inutile. 278. Ce
récit
, où l’on reconnaîtra facilement le souvenir d’un
un songe la scène magique qui ouvre l’exposition du drame anglais. Le
récit
, d’ailleurs, est rempli de beaux traits et fortem
les œuvres complètes de Casimir Delavigne, en 4 vol. in-12. 412. Ce
récit
, dont le fond est véritable, avait été raconté pa
dépôt précieux… 423. Le célèbre barbier de Louis XI. 424. Voir le
récit
de Commines sur la mort de Louis XI, cité dans l’
alme, la sérénité de François de Paule, et bientôt son indignation au
récit
des crimes du roi, tempérée par un sentiment de p
à la main ; mais il a entendu la terrible confession de Louis XI, le
récit
de ses terreurs : il est assez vengé, il le laiss
rdinaire des bons écrivains, dans le style tempéré et surtout dans le
récit
historique, est de mettre le sujet au commencemen
, sortis de Ténédos, par une mer tranquille (je frémis d’horreur à ce
récit
), deux énormes serpents déroulent sur les eaux le
des ennemis. D'ailleurs cette circonstance favorise admirablement le
récit
de Sinon et le stratagème des Grecs. Tranquilla
nt du tableau, produisent un grand effet ; à la vue et même au simple
récit
d’un spectacle si affreux, la frayeur doit vous s
ures. Il est bon de remarquer ici que le poète n’embarrasse point son
récit
dans de menus détails ; il expose hardiment les c
’entrerai de ma vie Qu’auparavant je ne sache nager. » Le sel de ces
récits
consiste en ce que l’esprit suit paisiblement le
Le sel de ces récits consiste en ce que l’esprit suit paisiblement le
récit
, croyant arriver à quelque suite, naturelle en pa
inspire le malheur, et cet enthousiasme qui fait battre notre cœur au
récit
d’un grand sacrifice ou d’une action héroïque. Al
ja d’un si grand effet et répandent un tel effroi, que c’est moins un
récit
qu’on entend, qu’un spectacle auquel on assiste.
té de l’ exposition se place également la narration, c’est-à-dire, le
récit
des faits qui se rattachent au sujet. Quelquefois
ès du rot ; mais le succès n’en fut pas semblable. Je tremble au seul
récit
de la tempête furieuse dont sa flotte fut battue
onfirmation et de la réfutation. Après l’exposition du sujet et le
récit
des faits qui en dépendent, vient la confirmation
de tons et de sujets, mais jamais on n’y remarque de confusion ; ses
récits
les plus simples nous attachent ou nous amusent,
rdement se répondent. C’est un admirable exemple d’hypotypose que le
récit
de Josabeth, dans la tragédie d’Athalie : De pri
rs : M. de Chateaubriand (Natchez, livre X) s’interrompt au milieu du
récit
des combats, et, pour reposer son lecteur à qui i
s événements et les hommes qui les ont précédés sur la terre. Que des
récits
choisis, qui réunissent l’exactitude à la précisi
aits, à en saisir l’ensemble et les détails, à les reproduire dans un
récit
clair et intéressant. Un autre exercice qui n’est
disposition que dépendent en grande partie la clarté et l’intérêt du
récit
. L’ordre une fois bien déterminé, on peut prendre
isfasse notre curiosité sur tons ces points ; mais, en ajoutant à son
récit
tant de détails divers, qu’il prenne garde de tom
fort ennuyeuse. Il est un art de graduer les différentes parties d’un
récit
, de suspendre et d’accroître l’intérêt, de réveil
auteurs a su ajouter au fond du sujet, nous ferons précéder les trois
récits
d’arguments qui présenteront en peu de mots l’ana
, Oraison funèbre du prince de Condé.) Comme toutes les parties de ce
récit
sont heureusement disposées pour porter l’intérêt
ensées et les sentiments que l’orateur tire de son âme, et mêle à son
récit
: A la veille d’un si grand jour, et dès la premi
guerrière est maîtresse du corps qu’elle anime. Tel est cet immortel
récit
où Bossuet s’est en quelque sorte montré poëte et
j’appellerai l’attention sur une narration d’un genre opposé, sur un
récit
aussi triste, aussi touchant que celui-ci était a
ans la bouche de ses acteurs ; au lieu que, sans fatiguer les gens du
récit
de mes ouvrages, dont je ne leur parle jamais, je
prier les mœurs à chacun des âges de la vie. — 179. De l’action et du
récit
. — 193. Du Chœur. — 202. De la licence qui s’est
fait jaillir une flamme éclatante ; puis sa muse vamous prodiguer les
récits
merveilleux : Antiphate et Seylla, et Charybde et
ysionomie de chaque âge. Un fait s’accomplit sur la scène, ou bien un
récit
nous l’expose. Mais le récit ne s’adresse qu’à l’
ait s’accomplit sur la scène, ou bien un récit nous l’expose. Mais le
récit
ne s’adresse qu’à l’oreille, et il agit moins viv
érobez à ses regards certaines catastrophes que lui redira bientôt un
récit
dramatique. Que Médée ne vienne pas égorger ses e
au-dedans ; 521et tu éloigneras des yeux 522bien des choses, qu’un
récit
523rendant-les-objets-présents 524racontera bie
ent ne la rendaient parfaitement claire. Facundia prœsens signifie le
récit
épisodique ou final, dans lequel une péripétie qu
’Euripide dont il reste environ cinquante fragments. Mais, d’après le
récit
d’Hygin, Fable 8, ce n’est pas un fils d’Antiope
de 1709, Humanité de Fénelon, Toutes les expressions qui composent ce
récit
sont parfaitement choisies, les idées s’enchaînen
à coup un corps durable, un songe réalisé. Alfred de Vigny. Dans le
récit
intéressant que nous indiquons ici, et qui est in
ertaines compositions. Mort de Bayard. 30 avril 1524. xvie siècle. Ce
récit
de la mort du premier capitaine de François Ier,
se en Orient : les Arabes, la caravane, les noms qui figurent dans ce
récit
, l’amour de l’Arabe pour son coursier, le lait du
ux que tous les préceptes. Je choisis encore dans Bossuet l’admirable
récit
de la bataille de Rocroi. « A la nuit qu’il fall
, etc. » Mettons de côté pour un moment la suite et la convenance du
récit
, la couleur et l’énergie de l’expression ; n’exam
on se place ordinairement à côté de la proposition : elle contient le
récit
des faits qui se rattachent au sujet ; mais ce ré
elle contient le récit des faits qui se rattachent au sujet ; mais ce
récit
peut se placer ailleurs, si on le juge à propos.
e lui communiquer un ouvrage que lui seul possède, et qui renferme le
récit
des exploits d’Antipater, et les derniers moments
re cette origine trop loin, et si l’on a besoin de faire précéder son
récit
de quelques circonstances antérieures nécessaires
rnal qui le contient ne doit pas vous présenter plus tard la suite du
récit
, vous n’en commencez pas la lecture. Le fait étan
x danseurs de se reposer. Cette tentative fut approuvée ; et enfin le
récit
fut divisé en plusieurs parties pour couper plusi
eurs au lieu d’un. Il leur fit entreprendre une action, et c’était le
récit
mis en spectacle. Il donna à ses acteurs des cara
re de notre théâtre. Empruntons à ses Enfants d’Édouard une partie du
récit
que fait le plus jeune de ces princes du songe qu
Beauharnais, et en secondes noces (1796) au général Bonaparte. 4. Ce
récit
est d’une simplicité aussi touchante que grandios
ème à une sentence vive et profonde qui termine un raisonnement ou un
récit
. Ordinairement, cette figure s’énonce par une exc
st de donner plus de grâce et d’éclat au discours, plus de variété au
récit
, plus de clarté aux pensées, ou plus de force au
on, c’est de l’avoir faite reine malheureuse. Auguste, après un long
récit
des bienfaits dont il a comblé Cinna, annonce l’a
style coupé est plus léger, plus vif, plus brillant. Il convient aux
récits
, aux raisonnements pressants, aux mouvements pass
précède. Bossuet passe des blasphèmes de Luther contre le Sauveur au
récit
des désordres excités par de telles prédications
ant de la gloire du Prince de Condé dit que la seule simplicité d’un
récit
fidèle pourrait la soutenir. C’est donner en peu
ieux ridicule. L’affectation de pensées est contraire à la clarté du
récit
; l’affectation de mots à la clarté du style.
t, l’hyperbate est mauvaise. Elle est surtout employée pour donner an
récit
de la rapidité, de la grâce, comme dans l’exemple
vant au dialogue : comme dit-il, reprit-il, etc., on obtient ainsi un
récit
animé, concis, rapide. Regardez bien, ma
a réunion de belles hypotyposes qu’on fait une description rapide. Le
récit
de la mort d’Hyppolite offre une longue suite d’h
passé et l’imparfait, et vous verrez l’image disparaître, de plus, le
récit
sera affecté et languissant. Virgile a dit : « O
s généraux, écarter toutes idées accessoires qui pourraient rendre un
récit
intéressant, c’est être sec dans la pensée. Qu
moindre doute ? On s’était proposé un panégyrique, on n’a fait qu’un
récit
simple. Ô force de la vérité ! les éloges ne peuv
25. Compte, n. m. Calcul. Comte, n. m. titre, dignité. Conte, n. m.
récit
, histoire. 26. Cor, n. m. instrument. Cor, n. m.
ades135 craintives, Qui toutes accourant vers leur humide roi, Par un
récit
affreux redoublent son effroi. On ne considère p
nt toujours dans son essor. La poésie didactique renferme souvent des
récits
intéressants, des sentiments exprimés avec feu, e
le Conquérant et de ses successeurs devient le principal foyer de ces
récits
empruntés, pour la plupart, aux légendes bretonne
périence, moraliste trop accommodant, mais d’autant plus vrai dans le
récit
et l’appréciation des faits qu’il est moins sévèr
qu’humaine ? Quelle est la source de tant de prodiges, dont le simple
récit
fait encore, après tant de siècles, l’objet de no
iste et agisse séparément et distinctement. Elle ne se fait point par
récit
, mais par une représentation vive, qui, excitant
mporter la victoire de Rocroy. On verra plus loin, dans ce volume, le
récit
de cette bataille fait par Bossuet. 3. Plus régu
que, une ironie tempérée de belle humeur et de bonhomie, l’agilité du
récit
, des mots vifs et piquants, nulle prétention, l’h
successeurs. Il avait débuté par une exposition, mêlé à l’action les
récits
, donné à ses personnages une dignité royale, à se
e plus souvent même, quand elle se présente sous 1a forme d’un simple
récit
, elle est, au fond, la défense d’un système, une
re ni emprunter aux anciens leurs savante composition, ni à nos vieux
récits
leur naturel. « On laissait chez nos anciens chro
gne, attache par la vérité des peintures et la distribution habile du
récit
; Augustin Thierry, avec des matériaux barbares,
de mise en scène, son dialogue spirituel et toujours en mouvement, ce
récit
léger qui court sans cesse, et qui sait enlever l
et pleine de verve, une singulière connaissance de l’homme, le don du
récit
et de la mise en scène. Deux ans après (1709), Le
de l’être, et qui regardent une bonne action comme un prodige dont le
récit
doit surprendre. Si la modestie est une vertu néc
a bravoure le chef d’une nation où les enfants entraient en fureur au
récit
des beaux faits d’armes de leurs pères, et où les
ux, c’est l’ensemble, la manière dont la tradition, l’observation, le
récit
, la critique, sont réunis et mêlés. » Buffon, en
au lieu d’une narration suivie, il choisit la méthode plus libre des
récits
détachés. De 1833 à 1837, la Revue des Deux-Monde
fragments qui composent l’ouvrage parurent sous leur nom définitif :
Récit
des Temps mérovingiens. C’est peut-être l’œuvre l
en accompagnant ce convoi, mener le deuil de toutes les familles476.
Récits
des Temps mérovingiens (7e Récit). Bataille d’
e deuil de toutes les familles476. Récits des Temps mérovingiens (7e
Récit
). Bataille d’Hastings (1066). Le roi Edouar
e de son but par le plaisir de raconter et de peindre. De là dans ses
récits
une certaine uniformité de teintes : si le dessin
: elle en prenait aussi le ton violent, le tour heurté et saccadé. Le
récit
était de plus en plus sacrifié. L’historien faisa
dont rien n’égare le pinceau528. Tacite n’est jamais en jeu dans ses
récits
: il reste étranger comme un miroir à ce qu’il re
u bois dormant, de Petits-Poucets aux bottes de sept lieues, tous ces
récits
d‘un attrait si vif et d’une terreur charmante au
is des fils à mon fils malheureux. Vous vous troublez, seigneur, à ce
récit
funeste ; Vous craignez de m’entendre et d’écoute
dictaient les plus jeunes professes, L’illustre oiseau commençait son
récit
: A chaque instant de nouvelles finesses, Des cha
l’air, » comme on l’a appelé heureusement. On comprend par là que le
récit
d’un fait ne convient pas à la chanson : le coupl
nt pas à la chanson : le couplet ne fera plus que morceler l’unité du
récit
, et le refrain arrêtera l’attention au lieu de la
Là viendront les villageois Dire alors à quelque vieille : « Par des
récits
d’autrefois, Mère, abrégez notre veille. Bien, di
e lutte de chaque jour, ce qui charme et exalte leur esprit, c’est le
récit
des fortes actions, c’est la vie merveilleuse de
du moins, sauvez la harpe de Merlin ! Lui-même a écrit en breton des
récits
familiers et des chansons de fête pour les Pardon
es épines blanches, Oh ! Les longs entretiens sur nos chères amours !
Récits
toujours pareils, pleins de charme toujours ! Il
uil, lorsqu’à ses pieds assis, Devant l’âtre flambant, j’écoutais ses
récits
. Quand Pierre et le bonheur partirent d’ici-bas,
e genre, d’une touche facile, d’un frais coloris. Autre part, dans le
récit
, par exemple, du siège de Milianah, et dans plusi
utres devoirs me sont imposés : j’ai mon fils ! RADBERT. Comte, votre
récit
n’a rien dont je m’effraie : Ainsi plus d’une foi
Ce n’est pas là un trait banal. Les mémoires du temps sont remplis du
récit
de morts subites qui parurent souvent le résultat
sur la morale de l’intérêt dans le Vrai, le Beau et le Bien. 468.
Récits
des Temps mérovingiens, Préface. 469. Expression
tortures. On peut voir sur cet épisode la première partie du septième
récit
. 474. On en trouve une foule d’exemples dans les
a pitié. Ce ne fut, d’ailleurs, qu’un éclair, et la suite du septième
récit
nous montre Frédégonde reprise de « sa fièvre de
d on est arrivé ainsi à s’emparer des nombreux éléments dont un vaste
récit
doit se composer, l’ordre dans lequel il faut les
is ; mais la partie critique est faible. Thiers s’efface derrière son
récit
, et ne cherche l’effet dramatique que dans la rep
ir les voyageurs égarés ou surpris par les neiges. 505. Cf. dans le
récit
de Tite-Live au chap. xxxiii : « Equi maxime in
ne est celle de Bodin. Voir République, livre III, § iv. 524. Cf. le
récit
de la mort de Louis XI dans les Mémoires de Comin
l’horizon au premier instant de la naissance d’une personne. 613. Le
récit
de la mort de Laïus, qui commence au vers suivant
un songe la scène magique qui ouvre l’exposition du drame anglais. Le
récit
, d’ailleurs est rempli de beaux traits et forteme
orgiques I, 399). 720. Ville de Sicile. 721. Cf. Lucrèce, dans le
récit
de la mort d’Iphigénire (De Natura Rerum, I, 96)
es complètes de Casimir Delavigne, en 4 vol. in-12 et in-8°. 770. Ce
récit
, dont le fond est véritable, avait été raconté pa
alme, la sérénité de François de Paule, et bientôt son indignation au
récit
des crimes du roi, tempérée par un sentiment de p
à la main ; mais il a entendu la terrible confession de Louis XI, le
récit
de ses terreurs : il est assez vengé, il le laiss
u’il se croit au niveau des belles actions qu’il entend raconter ; le
récit
qu’on en fait l’a-t-il convaincu de sa faiblesse
tique, qui, sous une forme presque lyrique, contient ordinairement un
récit
merveilleux, une légende tragique, un rêve, une t
appée de ces pertes. Par elles, dit Saint-Simon, qui nous a laissé un
récit
touchant de ces catastrophes, « s’éclipsèrent joi
▲