es vices. La Politique. Les Économiques. Mathématiques. — Problèmes.
Questions
mécaniques. Théophile Buhle, qui avait entrepri
se faire croire sur tout sujet. Le savant professeur avait touché la
question
examinée tout à l’heure et marqué la différence d
lle était aussi ignorée qu’importante. » (Étude, etc., p. 35.) Sur la
question
de l’élocution, nous ne pouvons mieux faire, pare
p. 56.) À quelle époque fut composée la Rhétorique d’Aristote ? Cette
question
, agitée déjà dans l’antiquité, n’est pas encore d
ique), la Poétique et la Politique. Leonhard Spengel place la date en
question
entre 336, année de la paix générale qui résulta
on après avoir lu le chapitre très complet où Ch. Thurot a examiné la
question
. (Étude, appendice 13.) Ce savant a cherché à dém
es parties qui la composent : nous traiterons pareillement des autres
questions
qui se rattachent au même art, et cela, en commen
formes, à la juger en elle-même ou par rapport à la scène, c’est une
question
traitée ailleurs14. XII. Ainsi donc, improvisatri
en vers, ce n’en serait pas moins une histoire, indépendamment de la
question
de vers ou de prose. Cette différence consiste en
ritique et à celui à qui incombe ce genre d’exécution95. Telle est la
question
de savoir qu’est-ce que le commandement, la prièr
s : ou le rapport de rôle joué, comme, par exemple, s’il s’agit d’une
question
ou d’une injonction. En effet, cette expression :
jusqu’à quel point la convenance est observée, il faut considérer la
question
dans les vers en faisant entrer les noms dans un
XXV Objections faites au style poétique. — Solutions. I. Sur la
question
des objections et de leurs solutions, du nombre e
teint) si, de cette façon, l’on rendait plus saisissante la partie en
question
ou quelque autre partie ; exemple, la poursuite d
et qu’il y eût une faute contre l’art dans lequel rentre la chose en
question
, ce ne serait pas bon ; car il faut, si c’est pos
lors, comme font encore aujourd’hui les Illyriens. XII. F. Quant à la
question
de savoir (si) la parole ou l’action d’un personn
server de combien de manières il peut être entendu dans le passage en
question
; par exemple, dans celui-ci : La lance d’airain
, existe, oui ou non, attendu que le législateur n’a pu prévoir cette
question
. IX. S’il en est ainsi, c’est, on le voit, traite
persuader que de voir l’état probable des choses par rapport à chaque
question
, ce qui a lieu pareillement dans les autres arts.
exemple. I. La rhétorique est la faculté de considérer, pour chaque
question
, ce qui peut être propre à persuader. Ceci n’est
s arts et de toutes les autres sciences. La rhétorique semble, sur la
question
donnée, pouvoir considérer, en quelque sorte, ce
lus volontiers et plus promptement aux hommes de bien, sur toutes les
questions
en général, mais, d’une manière absolue, dans les
ttre en délibération. XII. L’action de la rhétorique s’exerce sur des
questions
de nature à être discutées et qui ne comportent p
ut suivre des raisonnements tirés de loin, Or nous délibérons sur des
questions
qui comportent deux solutions diverses : car pers
écessaire que l’on ait recours à l’enthymème et à l’exemple, dans les
questions
susceptibles de solutions multiples et diverses ;
exemples de ce qu’est Denys, que l’on ne connaît pas encore, dans la
question
de savoir s’il a cette même visée en faisant la m
faisons des lieux. Ceux-ci sont, d’une manière générale, relatifs aux
questions
de droit, de physique, de politique et à diverses
ux questions de droit, de physique, de politique et à diverses autres
questions
spéciales. Tel est le lieu sur le plus ou le moin
urra pas moins en tirer un syllogisme qu’énoncer un enthymème sur les
questions
soit juridiques, soit physiques, ou sur n’importe
it physiques, ou sur n’importe quel sujet ; et, cependant, toutes ces
questions
diffèrent par l’espèce. Mais les enthymèmes parti
’en fourniront pas sur la physique. Il en est de même pour toutes les
questions
. Parmi ces enthymèmes, les uns ne rendront habile
que l’on soutienne une proposition, ou qu’on la combatte ; — pour une
question
judiciaire, c’est le passé, puisque c’est toujour
ci, tel que le juste ou l’injuste, le beau ou le laid moral. Pour les
questions
judiciaires, c’est le juste ou l’injuste ; et ici
ition que l’on soutient, ou de l’utilité de celle que l’on combat. La
question
de savoir s’il n’est pas injuste d’asservir des p
après la pratique de son propre pays qu’il convient d’envisager cette
question
; il faut aussi connaître l’expérience faite à l’
à l’étranger, pour en faire profiter la délibération ouverte sur ces
questions
. IX. Sur la paix et la guerre, il faut connaître
mènent, naturellement, des résultats analogues. X. Maintenant, sur la
question
de la défense du territoire, il ne faut pas ignor
ant aux moyens à employer pour exhorter ou dissuader sur cet ordre de
questions
et sur les autres, c’est le moment d’en parler.
que cette opinion est celle de personnes autorisées et connaissant la
question
. XXIX. Il y a un avantage tantôt dans tel bien pl
quels éléments nous devons emprunter les preuves, soit à propos d’une
question
d’intérêt, soit au sujet ; des mœurs et des insti
loue et à celui qui blâme : et il arrivera que, tout en traitant ces
questions
, nous ferons voir, en même temps, par quels moyen
cette vertu donnent sans réserve et ne font pas d’opposition dans les
questions
relatives aux richesses, que d’autres convoitent
iens et les maux énumérés précédemment en vue du bonheur. XIV. Sur la
question
de la vertu et du vice, considérée en général, et
lleurs, la force de ce paralogisme prendra sa source dans la cause en
question
. Car, si un tel brave le danger sans nécessité, à
ort à chacun des mobiles qui s’y rapportent. V. Du reste, toute cette
question
est facile à comprendre, soit d’après ce que nous
me s’il semble être malheureux ou heureux. Mais nous traiterons cette
question
plus tard254, et, pour le moment, nous aborderons
ce, le but de celui-ci étant de se donner une satisfaction. Quant aux
questions
relatives à l’irascibilité, elles seront claireme
mes, des paroles ou des actions. Mais nous avons traité séparément la
question
des choses plaisantes dans la Poétique 272. Voilà
t tort. Les gens discrets ; car ils n’aiment pas à guerroyer pour une
question
d’intérêt. XX. De même ceux qui ont supporté un p
uissions en dégager clairement le caractère de justice. X. Toutes ces
questions
reviennent à celle de savoir s’il a été accompli
là de quelle manière devront être déterminés les points relatifs à la
question
des choses équitables. Chapitre XIV Sur les
s hors de cause (οἱ ἄπωθεν, éloignés) sont les plus accrédités en ces
questions
. Du reste, les plus accrédités sont les témoins a
onne même du plaideur, ou celle de son contradicteur, ou l’affaire en
question
, ou le caractère moral des intéressés. Aussi comp
lairement de quelle façon il faut présenter les arguments dans chaque
question
de serment prise isolément, on voit aussi comment
e isolément, on voit aussi comment il faut les présenter lorsque deux
questions
sont accouplées ; par exemple, si l’on veut bien
et le déférer, et si l’on refuse l’un et l’autre. En effet, les deux
questions
, ainsi réunies, se composent nécessairement des p
ver qu’il ne donne pas les meilleurs conseils, tout en connaissant la
question
. Au-delà de ces divisions, il n’y a plus rien. Do
e contre ceux qui nuisent en paroles et manifestent du dédain sur les
questions
auxquelles on attache la plus sérieuse importance
celles que nous révérons, ou, enfin, vis-à-vis de nous-mêmes dans les
questions
qui nous font honte. Lorsqu’on nous rabaisse dans
II. Ajoutons-y ceux qui sont disposés à rendre service, soit dans une
question
d’argent, soit pour sauver quelqu’un. Voilà pourq
mment ne donnent pas un sentiment de crainte ; telle, par exemple, la
question
de savoir si l’on ne sera pas injuste ou inintell
oyens de salut dans cette expérience. XIX. De même lorsque le fait en
question
ne donne de crainte ni à nos pareils, ni à nos in
emploi des discours persuasifs a pour objet un jugement, car, sur une
question
connue et jugée, il n’y a plus besoin de discouri
bsolument parlant, un juge ; et il en est ainsi, soit qu’il y ait une
question
à débattre, ou un sujet à développer. En effet, i
mises en question dans les débats civils et politiques379 ; car toute
question
débattue porte soit sur une contestation, soit su
mpossible ; et ils ont à tâcher de montrer : les uns, que la chose en
question
aura lieu, les autres, qu elle a eu lieu. IV. Ce
aura lieu, les autres, qu elle a eu lieu. IV. Ce n’est pas tout : la
question
d’importance est un lieu commun à tous les genres
e des arguments contraires à ceux que l’on vient d’expliquer. XVI. La
question
de savoir si un fait a eu, ou n’a pas eu lieu, do
, si un fait s’est produit qui a lieu, naturellement avant le fait en
question
, ou à cause de, ce fait : par exemple, s’il a écl
t, si un fait s’est produit qui a lieu naturellement après le fait en
question
, ou à cause de ce fait, le fait antérieur a dû av
périorité, c’est parler pour ne rien dire ; car, lorsqu’on traite une
question
, les faits particuliers ont plus de poids que les
igne courbe, mais sur toutes choses relatives à des actions et sur la
question
de savoir le parti qu’il faut prendre, ou repouss
ne sont pas accompagnées d’épilogue. V. Parmi celles-ci, les unes, la
question
étant connue d’avance, n’ont, par une conséquence
s ; et sottise, mauvaise éducation à lancer des sentences à propos de
questions
que l’on ne possède pas, en voici une marque suff
ceux-là tirent leurs arguments de ce qu’ils savent et restent dans la
question
. Aussi faut-il parler non pas d’après les vraisem
écessaire de posséder dans tous ses détails, ou dans quelques-uns, la
question
qui s’y rapporte ; car, n’étant en possession d’a
guerres ils ont soutenues, dans quelles conditions, et tant d’autres
questions
analogues ? VI. Comment faire leur éloge, si nous
n sera de même à propos d’un sujet quelconque ; par exemple, dans une
question
de justice, (on examinera) si la chose est bonne
importe quel fait, mais de ceux qui se rattachent à chaque affaire en
question
, et cela avec le secours de la raison, attendu qu
le discours pour la Péparéthienne 424 où il était établi que, sur la
question
des enfants, les femmes, partout, déterminent la
ieu, c’est, lorsque l’on doit exhorter ou détourner au sujet des deux
questions
opposées, d’appliquer aux deux questions le lieu
détourner au sujet des deux questions opposées, d’appliquer aux deux
questions
le lieu dont on vient de parler. Il en diffère en
plus tard sur la meilleure conduite à tenir, tandis qu’auparavant la
question
était obscure. XXVII. Un autre lieu, c’est, au mo
diteur raisonne à faux sur l’existence ou la non-existence du fait en
question
, qui ne lui est pas démontré. V. Un autre lieu se
tique que survint la guerre473. IX. Un autre tient à l’omission de la
question
du moment et des conditions. Exemple : c’est à bo
III Chapitre premier De l’élocution. I. Comme il y a trois
questions
à traiter en ce qui concerne le discours : premiè
parence. III. D’abord donc on a recherché, suivant l’ordre naturel, —
question
qui occupe habituellement la première place — les
second lieu, la manière d’en disposer l’énonciation ; troisièmement,
question
de la plus haute portée, mais qui n’a pas été tra
, par suite de l’imperfection morale des auditeurs. VI. Ainsi donc la
question
de l’élocution a un côté quelque peu nécessaire e
. Quelques-uns ont entrepris de traiter en peu de mots cette dernière
question
(au point de vue oratoire) ; Thrasymaque498, par
le. X. On le voit donc, nous n’avons pas à étudier en détail toute la
question
de l’élocution, mais seulement l’élocution qui se
du que l’on voit de plus loin les choses et les personnes dont il est
question
. Mais, dans le discours pur et simple, ces élémen
me que des deux côtés il y a des demandes, c’est là faire la chose en
question
. Iphicrate disait que Callias était un μητραγύρτη
l’obscurité ; car, s’ils ont affaire à un auditoire au courant de la
question
, ils dissipent la notion claire en la couvrant de
. II. Il y aura juste proportion si l’on ne parle ni sans art sur des
questions
d’une haute importance, ni solennellement sur des
t sur des questions d’une haute importance, ni solennellement sur des
questions
secondaires, et pourvu que l’on n’adapte pas un t
u reste. IV. L’élocution appropriée à la circonstance rend le fait en
question
probable ; car notre âme se fait alors cette illu
; c’est comme si l’on établissait cette distinction que l’une est la
question
posée, et que l’autre en est la démonstration. II
i il faut inspirer l’idée que le discours va traiter de ces sortes de
questions
. Maintenant, si l’on veut détourner l’attention,
’un mauvais esprit et prêtant l’oreille à des paroles étrangères à la
question
. En effet, si l’auditeur n’est pas dans cette dis
, ou de ses contradicteurs, ou si les auditeurs ne supposent pas à la
question
le degré d’importance qu’on lui donne, mais un de
use, ou enfin que celle-ci n’était pas d’une grande portée, — car ces
questions
sont autant de matières à débat. Citons, par exem
en montrant combien elle est grave, en alléguant qu’elle déplace les
questions
, qu’elle ne se fie pas au fait690. Un lieu commun
e : or celle-ci consiste à dire tout ce qui rendra évident le fait en
question
, ou tout ce qui aura pour résultat d’en faire adm
ive. Mais les discours socratiques en ont, attendu qu’ils traitent de
questions
qui portent ce caractère. IX. Certaines considéra
que (l’adversaire) a dit le contraire, de façon que l’orateur faisant
questions
sur questions, il en résulte une absurdité. Exemp
ire) a dit le contraire, de façon que l’orateur faisant questions sur
questions
, il en résulte une absurdité. Exemple : Périclès
informant sur une première proposition, il ne faut pas que sa seconde
question
porte sur un point évident, mais qu’il énonce la
e rendre les armes. Il n’est pas possible de faire un grand nombre de
questions
, à cause de la faiblesse de l’auditeur. Aussi doi
dans sa réponse, avant que l’adversaire ait fait suivre une nouvelle
question
ou un nouveau raisonnement ; car il n’est pas dif
er. VI. Il faut donner des motifs en manière de conclusion lorsqu’une
question
implique elle-même une conclusion. Ainsi Sophocle
oi, non : j’ai agi suivant ma conscience. » Il ne faut donc poser de
question
ni après la conclusion ni comme conclusion, à moi
chose, afin de ne pas laisser ignorer à l’auditeur les détails de la
question
mise en cause ; tandis que, dans celle-ci, on doi
nouveau discours : « J’ai dit ; vous avez entendu, vous possédez (la
question
) ; prononcez722. » 1. Une tradition a régné
ion des passions ». Après avoir donné un historique succinct de cette
question
si controversée, il rapproche divers passages de
gation des passions » ; il cite Plotin (Sur le beau, ch. v), où cette
question
est abordée dans l’esprit néo-platonicien, et con
ence de la réalité. » M. Egger a de nouveau traité, en passant, cette
question
de la catharsis dans la 25e leçon du cours profes
s disons d’une proposition péremptoire : « c’est le dernier mot de la
question
». 201. Cp. Pr. Analyt., fin du livre II. 202.
roprement un procédé d’argumentation commun soit aux trois classes de
questions
dialectiques, soit aux trois genres de discours (
Callistrate (Hellen., liv. vi). 227. Pindare, Pyth., i, 1. 228. Aux
questions
autres que celles du bien, ou plutôt du mieux. 2
tyran de Léontium (Ol., ii). Le scoliaste d’Aristote nomme la cité en
question
; d’après lui, ce serait Géla. 281. Cp. Plutarqu
antias élevait des doutes sur sa naissance. 426. On ne sait s’il est
question
ici de Théodecte, orateur et poète tragique, disc
mère, Iliade, ii, 671. 665. Πρόθεσις, la position préliminaire de la
question
. 666. Littéralement : « Souffle d’un vent favora
oser sa morale divine et son autorité : voilà les grandes et sublimes
questions
sur lesquelles s’exerce l’éloquence sacrée. Est-i
forces. La parole de Dieu est un glaive qui tranche au vif toutes les
questions
; elle commande aux passions avec autorité ; elle
moyens de persuader, sa diction et son style. S’il s’agit de quelque
question
importante, d’une circonstance qui intéresse vive
nt d’un coupable ; 3° les mémoires, discours écrits pour éclairer les
questions
judiciaires ; 4° les rapports, résultats des enqu
Voltaire, le premier, imagina de secouer cet usage, et de traiter une
question
littéraire ; ce qu’il fit avec son talent habitue
un discours remarquable sur le style : on a vu même de nos jours les
questions
politiques envahir les paisibles solennités de l’
paisibles solennités de l’Académie. 2° Les éloges historiques et les
questions
de concours. Les académies proposent, pour le pri
- distingués, des grands hommes dont l’humanité s’honore, ou bien des
questions
philosophiques, morales, littéraires. C’est une h
voyé au Recueil de Modèles, surtout pour les grands genres. Certaines
questions
plus importantes ou plus controversées ont été l’
au poète, la versification, le merveilleux chrétien dans l’épopée, la
question
des trois unités, les effets des spectacles drama
us avons adopté le système aujourd’hui trop abandonné des demandes ou
questions
dans le texte, comme plus commode et plus avantag
oétique un peu étendue, nous ferons remarquer qu’un certain nombre de
questions
moins importantes peuvent être seulement lues ave
it dernièrement un savant et vénérable Prélat, que se résume toute la
question
de l’avenir. Nous aurons atteint le but que nous
pécial déterminé par des règles fixes ? Répondre complétement à cette
question
, ce serait donner la théorie de tous les genres.
ion ou la thèse prévient les objections, répond d’avance à toutes les
questions
, rend probables les rencontres les plus merveille
ræcipies, esto brevis… Je reviendrai sur la précision, quand il sera
question
du style. Une seule observation maintenant. Ne vo
tion se manifeste à première vue. En le suivant, vous n’avez que deux
questions
à vous faire : Tous les détails de la narration o
omis ? Si vous pouvez répondre d’une manière satisfaisante à ces deux
questions
, le but est atteint ; votre narration ne sera peu
, le tableau terrible du jugement dernier. Vous verrez, quand il sera
question
des figures, pourquoi de toutes ces formes la pro
qui prépare l’esprit des auditeurs : il établit ensuite l’état de la
question
, expose celui des faits, et les appuie de preuves
ours de Cicéron. Le grand point était d’en venir à l’objet même de la
question
: que de passions à faire taire, avant de mettre
eux communs qui n’ont pas le moindre rapport avec l’objet dont il est
question
. Quelque achevés que puissent être ces morceaux,
e sujet du discours, il faut lui indiquer positivement ce dont il est
question
, et lui faire l’exposé des faits sur lesquels il
dans l’opinion que nous lui avons déjà donnée de la cause ; ou il est
question
de démontrer la fausseté des faits avancés par la
rt instructifs. Ils nous disent que le discours a pour objet soit une
question
indéfinie, sans désignation des temps ni des pers
tion indéfinie, sans désignation des temps ni des personnes, soit une
question
déterminée par la considération des temps et des
concilier d’abord son auditoire, puis exposer les faits, préciser la
question
, fortifier ses preuves, réfuter celles de l’adver
rquoi encore avoir établi deux genres de causes : l’un comprenant les
questions
générales, l’autre les questions déterminées ? Ca
nres de causes : l’un comprenant les questions générales, l’autre les
questions
déterminées ? Car, comment ne pas voir que toutes
angues : la plume est la meilleure maîtresse de la parole. Prenez une
question
, non pas une de ces thèses bizarres qu’on donnait
rres qu’on donnait autrefois comme exercice dans les écoles, mais une
question
pratique, une de celles que les passions et les i
ît le prince et sait qu’à lui seul appartient le droit de trancher la
question
; aussi est-ce à lui seul qu’il s’adresse : « Si
s conflits des intérêts humains ; l’autre, que dans toute affaire les
questions
particulières peuvent se ramener à une propositio
me défense, et jusqu’où s’étendent les limites de ce droit ? Voilà la
question
générale dans laquelle peuvent rentrer tous les c
ame bien conduit : vrai drame, en effet, qui a pour unité d’action la
question
à débattre, pour personnages les idées, pour intr
les dispose dans un ordre si clair, il donne un tour si familier aux
questions
les plus abstraites, il met tant d’art à dissiper
gloire, imite la circonspection d’un juge, qui, avant de décider une
question
de droit, réfléchit longtemps et mûrement sur les
et raisonnable, et qui ne répandent jamais la moindre lumière sur la
question
agitée. Du dialogue oratoire. On peut donn
tien de deux ou de plusieurs personnes, dans lequel on expose, ou une
question
qu’on veut discuter et résoudre, ou une vérité qu
t. Il faut qu’ils ne disent rien, qui ne se rapporte entièrement à la
question
; par là, le dialogue sera direct : qu’ils ne fas
ritures et dans les ouvrages inspirés par le christianisme. Plusieurs
questions
qui, malgré leur importance, trouvent rarement pl
vons essayé de mettre de l’ordre et de l’exactitude dans l’importante
question
de l’harmonie mécanique, principalement dans les
et il est dégoûté du livre et de la science. — D’ailleurs, toutes les
questions
n’ont pas une égale importance ; et nous avons no
t : cette mince affaire de quelques louis devient par son adresse une
question
de liberté publique et d’intérêt général. Par des
fichée dans sa perruque ; en frémissant je m’évertue. Il s’élève une
question
sur la nature des richesses ; et, comme il n’est
prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est
question
. On me dit que, pendant ma retraite économique, i
tros montes ; contre Alonzo Calderon, jeune auteur dramatique. Il est
question
d’une comédie mort-née, que chacun désavoue et re
, j’y suis grec1 ; je l’extermine. Le comte. Comment juger pareille
question
? Bartholo. Pour la trancher, messieurs, et ne
itiers de Paris Duvernez, devint, grâce à son adresse, une importante
question
de liberté publique et d’intérêt général. Il y tr
fichée dans sa perruque ; en frémissant je m’évertue. Il s’élève une
question
sur la nature des richesses, et, comme il n’est p
prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est
question
. On me dit que, pendant ma retraite économique, i
qui nous donne les idées et leur expression, la nature ou l’art ? La
question
n’est pas d’hier. C’est la même que posait Horace
tilien, ou de tout autre, préface naturelle de tout ouvrage où il est
question
d’éloquence, et dont plusieurs pages semblent écr
à fond, demanderaient un autre livre tout entier, qu’il n’en est pas
question
dans celui-ci, et que cet ouvrage est plutôt l’ar
e lui demande plus seulement les règles nécessaires pour discuter les
questions
politiques, administratives et judiciaires, mais
s est magna tacere, Matho . Quant à l’espèce de verbosité dont il est
question
ici, les jeunes praticiens peuvent s’en garantir,
ce du barreau. C’est avec la plus grande clarté qu’il faut établir la
question
, fixer le point de la contestation, ce que l’on a
s’éclaircissent mutuellement, et concourent à présenter l’objet de la
question
sous un point de vue généralement accessible à to
rateur toutes les idées générales qui rentrent ordinairement dans les
questions
particulières. Car, toute cause, quoique d’un int
e est peu propre à l’éloquence sacrée. Ce n’est pas pour discuter une
question
obscure qu’il monte en chaire, ce n’est pas pour
bien mieux sur quelque point particulier et intéressant d’une grande
question
, vers lequel l’orateur dirige toute la force de s
endum et maximè spectandum ; car, dans une cause, il peut y avoir des
questions
accessoires et subordonnées, préalables et prépar
ne constituent pas le point principal de la cause2. Deux espèces de
questions
. L’état de la cause comprend les questions de fa
cause2. Deux espèces de questions. L’état de la cause comprend les
questions
de fait et les questions de droit. Question de f
questions. L’état de la cause comprend les questions de fait et les
questions
de droit. Question de fait. Un vol a été commis
e la cause comprend les questions de fait et les questions de droit.
Question
de fait. Un vol a été commis ; le particulier ac
; le particulier accusé de ce vol, l’a-t-il commis ou non ? Voilà une
question
de fait. Question de droit. Dans quelles circon
cusé de ce vol, l’a-t-il commis ou non ? Voilà une question de fait.
Question
de droit. Dans quelles circonstances la preuve p
témoins peut-elle être admise, ou doit-elle être rejetée ? C’est une
question
de droit. Il est bon de remarquer que le plus gra
lle est la nature des preuves qui se rattachent à chacune de ces deux
questions
. Deux espèces de preuves selon les anciens. Les
its analogues, et ne se fondent que sur des rapports avec le point en
question
; ce sont celles que les anciens nomment artifici
de preuves dans toutes les causes. Dans celles où le fait seul est en
question
, lorsqu’il est établi, la loi prononce. Elle n’es
’est alors appelée dans la discussion que comme conséquence. Dans les
questions
de droit, la loi vient en preuve lorsqu’il s’agit
it public et dans la morale ; c’est dans ces cas que sont les grandes
questions
. Des jugemens. Jugemens employés comme m
dans d’autres causes entre d’autres personnes et qui décident la même
question
. Ceux-ci sont des exemples qui ont plus ou moins
ve s’éloignent du fait contesté, moins elles ont de force, et plus la
question
reste conjecturale. Les preuves indirectes ne peu
sont dans les personnes ou dans les choses. Il ne se présente aucune
question
qui ne soit relative aux personnes ou aux choses.
s-mêmes et indépendamment des personnes, trois points peuvent être en
question
: La chose est-elle ? quelle est-elle ? de quelle
ontesté, à bien définir les termes, à bien appliquer le principe à la
question
, et les conséquences au principe ; à rompre les f
c cadence, et présentant un sens parfait au dernier repos. Il en sera
question
dans la partie de cet ouvrage qui traitera du sty
ra que c’est le chef de l’état. Écoutez l’orateur répondant à la même
question
: « Qu’est-ce qu’un roi ? c’est l’oint du Seigne
d’abord ce qu’on veut établir ou contester, et de fixer l’état de la
question
. De la division. Nous parlerons de la division
c. 2.) L’usage des passions est legitime. Ici il peut s’élever une
question
importante. Est-il permis à l’orateur qui doit êt
ura quelque chose d’agréable à raconter ; et du second, quand il sera
question
de lancer quelques traits vifs sur l’adversaire.
on, seulement il donne quelques explications sur l’un des côtés de la
question
, et puis il termine par une conclusion simple et
-dire, on le met à portée de s’instruire, en posant bien nettement la
question
dont il s’agit, et en présentant les diverses fac
ur assentiment. Moyens d’y arriver. Ces moyens sont la position des
questions
et leur division, l’ordre et la méthode, les repo
que l’art indique comme propre à répandre un plus grand jour sur les
questions
et à porter plus sûrement la conviction dans les
au sentiment de Quintilien qu’il faut s’en tenir, et que l’état de la
question
détermine seul la disposition des preuves et la m
oin de la cause. Il est cité par Quintilien en ces termes : « La même
question
ne se doit pas toujours traiter la première de pa
rent dans la cause de Ctésiphon. L’accusateur commence par traiter la
question
de droit, comme lui étant plus favorable ; le déf
ous les autres chefs ou presque tous, afin de préparer les juges à la
question
de droit qu’il réserve pour la fin. En effet, l’u
dre ne peut manquer d’être le plus concluant. Arrangement propre aux
questions
de droit. C’est aux questions de fait que ces do
lus concluant. Arrangement propre aux questions de droit. C’est aux
questions
de fait que ces documens conviennent particulière
lièrement, et aux preuves par les indices et les inductions. Dans les
questions
de droit, où la controverse est toute en doctrine
ue prescrit Cicéron : Thèse, hypothèse. Il distingue deux sortes de
questions
, l’une qu’il appelle thèse, ou proposition généra
constances. Il veut que l’orateur s’éloigne autant qu’il pourra de la
question
particulière, et qu’il remonte à la générale ; et
nt n’est pour rien, comme dans les affaires qui ne présentent que des
questions
de droit, des intérêts purement pécuniaires, la c
séquence d’un raisonnement, qu’elles commencent par la position de la
question
à juger. Les accusations capitales, devant un jur
Son importance. La narration judiciaire, la seule dont il soit ici
question
, est l’exposition du fait assorti à l’utilité de
r les faits. Hors ce cas, c’est selon leur relation avec l’état de la
question
qu’on doit les exposer1. Enfin, la clarté de la d
il peut, en quelque occasion, cesser d’être vrai. Pour prévenir cette
question
, nous dirons en premier lieu, avec un de nos poët
son objet, ajoute-il, par le nom et l’état des personnes ; s’il y est
question
d’un crime, d’un fait grave, d’un intérêt public,
ivre immédiatement l’exorde ? Ne nous arrêtons pas à d’aussi frivoles
questions
. Le besoin de la cause détermine souverainement l
agit purement de l’interprétation d’une clause ; si tout est dans une
question
de droit ; si le juge connaît déjà le fait par l’
éventions attaquent la cause, si des fins de non-reçevoir forment des
questions
préalables, et demandent un préliminaire, la narr
iste, nous dit Aristote : 1°. A prouver autre chose que ce qui est en
question
. Les exemples n’en sont que trop fréquens dans la
versaire, ou ce qu’il ne nie pas, ou ce qui n’a aucun rapport avec la
question
débattue. La précaution à prendre contre ce sophi
n à prendre contre ce sophisme, c’est de bien déterminer l’état de la
question
, en évitant l’équivoque dans les mots et dans le
oque dans les mots et dans le sens. 2°. A supposer vrai ce qui est en
question
. Un exemple très-simple fera sentir quel est le v
tc… ? non sans doute. C’est là poser la question en principe ; car la
question
est de savoir si la loi elle-même est juste ; et,
se, par nos preuves les plus fortes, ou par les plus faibles ; si une
question
veut être traitée sans préambule, ou si elle a be
ion, qui plaît sans étonner. Principales divisions de ce livre. Les
questions
suivantes renferment tout ce que nous avons à dir
s les plus ordinaires d’où résulte un mauvais style ? Telles sont les
questions
que nous allons traiter successivement ; elles no
re, aut circà stillicidia offici ? (Quint., l. VIII, c. 3.) Dans les
questions
d’état, dans les causes de mœurs, dans celles qui
ssoires qui peuvent ajouter à l’intérêt du récit. Si l’on discute une
question
, il est souvent nécessaire de présenter un raison
aire, Dict., phil., au mot force.) Mais elle a lieu surtout dans les
questions
problématiques, lorsqu’il s’agit de combattre un
s ; par exemple, si l’on disait : « Il n’a pas seulement compris la
question
, mais il l’a encore parfaitement bien discutée. »
croire qu’il signifie que celui dont on parle n’a pas même compris la
question
. Pour lever le doute, il faudrait dire : non-seu
our lever le doute, il faudrait dire : non-seulement il a compris la
question
, mais encore, etc. Les circonstances accessoire
atigue le moins. (Longin, c. 16). Nous pressons un adversaire par des
questions
entassées dont nous n’avons pas besoin d’attendre
ens propres à nous guider, lorsque nous sommes obligés de traiter des
questions
imprévues. En quoi consiste l’improvisation. Il
s les parties en sont bien liées, bien suivies ; surtout quand il est
question
d’un discours, dont souvent l’art se cache à dess
’est-à-dire, l’état de la cause. » (L. III, c. II.) Deux espèces de
questions
. Question de fait. Question de droit. Deux espèce
, l’état de la cause. » (L. III, c. II.) Deux espèces de questions.
Question
de fait. Question de droit. Deux espèces de preuv
se. » (L. III, c. II.) Deux espèces de questions. Question de fait.
Question
de droit. Deux espèces de preuves selon les ancie
r fait le grand orateur. L’usage des passions est legitime. 1. Cette
question
, qui tient à la morale plutôt qu’à la rhétorique,
e rapport naturel qui existe entre les choses. Arrangement propre aux
questions
de droit. Thèse, hypothèse. 1. Il est aisé de vo
rque atteste qu’on appliquait aussi le nom de ϰρούματα aux αὐλήματα. (
Questions
symposiaques, II, 4 cf. Pollux, IV, 84.) Voilà p
l’action tragique sur le fond lyrique du dithyrambe. Voy. Plutarque,
Questions
symposiaques, I, 5 le scholiaste d’Aristophane s
concerne la différence des μέτρα et des μέλη dans la poésie grecque,
question
pleine d’intérêt, mais aussi de difficultés, sur
méthode. Nous recommandons aux candidats de s’exercer d’abord sur les
questions
dont le développement leur est donné par nous. Il
es examens ou proposés par nous, ils embrassent à peu près toutes les
questions
que les programmes peuvent suggérer aux examinate
. Il est inutile de dire qu’on ne deviendra apte à traiter toutes ces
questions
qu’à la condition expresse de bien posséder les m
candidats. Ils s’habitueront ainsi à démêler ce qui convient à chaque
question
, et par là même à réfléchir et à voir clair dans
ernement. On est plus ou moins exigeant selon les candidats, mais les
questions
sont à peu près les mêmes. Les plans, les dévelop
ssi à l’autre. Il suffit, pour n’en pas douter, de lire seulement les
questions
qui ont été traitées ici et là. Nous nous sommes
ls veulent bien en profiter ils ne seront pris au dépourvu sur aucune
question
. F.L — E. P. Baccalauréat de l’enseignement se
n ; on peut croire qu’il en sera de même au Baccalauréat Moderne. Les
questions
seront, sans doute, peu différentes ; elles porte
On ne saurait donc trop, avant d’écrire, peser tous les termes de la
question
; la réponse à faire y est souvent indiquée. Tout
es et de les disposer dans un ordre logique. On pose ordinairement la
question
dans un premier paragraphe, on la développe ensui
ractère ; le ton dépend et de l’orateur et de l’auditoire ; c’est une
question
de bon sens. L’exorde est simple ou solennel, imp
La fin justifie les moyens. » (Poitiers, juillet 1891.) Discuter la
question
du duel. Examiner les arguments par lesquels on a
die cruelle, convoqua ses meilleurs amis, et délibéra avec eux sur la
question
de savoir s’il devait mettre fin à ses souffrance
édé à l’autre ? ou bien l’accord s’est-il fait ? C’est à ces diverses
questions
que vous répondrez d’une façon suivie, en ne cita
onder une doctrine morale. Vous insisterez sur le côté pratique de la
question
. La forme doit être vive et animée. (Paris, août
reste-t-il d’eux et de leur passé ? Vous répondrez sommairement à ces
questions
sans faire aucun récit historique, en vous tenant
vient grave, élevée, sublime. Elle se plaît à traiter les plus hautes
questions
de morale et de religion. Bourdaloue et surtout B
ce qu’il gagne par an. – Le savetier s’étonne à bon droit d’une telle
question
, il ne compte point de cette manière ; Chaque jo
est compris à demi-mot et il passe. Il court de sujet en sujet ; les
questions
et les répliques l’entraînent souvent où il ne vo
er devant un argument solide. La discussion sera donc une étude de la
question
proposée, mais cette étude sera beaucoup plus fac
frappée. Si les idées se rencontrent tumultueusement, sans ordre, la
question
restera toujours dans l’obscurité. Cela arrive lo
par suite toute faculté de se mettre d’accord. Elles oublient même la
question
, ne pensant qu’à confondre un adversaire qui les
u pour effet que de faire naître la colère des deux adversaires et la
question
ne sera pas plus avancée qu’au début. En résumé,
e ou du moins avec réflexion et sans idée préconçue la solution d’une
question
. Dans la dispute, les deux parties se divisent, c
es, se montrer même éclectique, c’est donner son goût personnel et la
question
reste en suspens. La Bruyère ne semble pas avoir
nds de connaissances qui les mette à même de faire l’historique d’une
question
littéraire, de présenter une analyse d’auteur, d’
ntifiques, etc. De là deux grandes divisions – deux réponses aux deux
questions
posées. 1 er Paragraphe. – Mentionner rapidement
ent-elles de l’accuser, comme fait Fontenelle, de méchanceté ? La
question
est plus ambitieuse qu’elle ne paraît au premier
e idée ? où commence la méchanceté, où finit la franchise ? Voilà des
questions
qui pourraient donner lieu, avec un peu de bonne
qui ont subi les railleries de Boileau, sont trop intéressés dans la
question
pour n’être point partiaux. Faut-il donc rester n
xpliquer à Boileau quel tort il leur faisait. Que signifie donc cette
question
? Bien des fois dans son œuvre, Boileau revient s
Êtes-vous pour le Job ? » – « En tenez-vous pour Uranie ? » Voilà la
question
à la mode : de grâce, prenez garde à votre répons
une signification rigoureuse, leur servent trop souvent à étuder les
questions
qui leur sont faites. Trop souvent aussi les fait
des aspirantes s’en fient uniquement au sens commun pour répondre aux
questions
qui leur sont posées. Elles n’ont pas à leur disp
. Le point de vue littéraire a été généralement négligé, et, dans une
question
qui touchait de si près aux secrets les plus déli
rai corrigé que, sous forme de conseils, donne le maître : « Cette
question
, pour être pleinement traitée, devait être prise
emier lieu, à le définir, et quoique cette partie philosophique de la
question
ait été tantôt trop vite effleurée et résolue à t
sur un des points de la morale pratique, soit qu’elle ait abordé les
questions
les plus essentielles de la morale générale ou th
valeur des deux opinions opposées, et sans donner elles-mêmes sur la
question
un avis formel et raisonné. Parmi celles qui ont
rir sa curiosité, ne vous pressez jamais de la satisfaire. Mettez les
questions
à sa portée et laissez-les lui résoudre. Qu’il ne
le moyen le mieux entendu. A la suite des citations que j’abrège, la
question
suivante, en trois points était posée : Que faut
’une façon plus piquante, l’inefficacité, la chimère. Sur la dernière
question
, la réponse aurait été plus catégorique et plus n
econde composition, celle de morale, était celui-ci : « Du danger…… »
Question
de morale et de pédagogie tout ensemble, question
i : « Du danger…… » Question de morale et de pédagogie tout ensemble,
question
ouverte à tous et de facile accès, mais qui n’en
aspirantes n’ont pas vu l’objet propre, ni observé les limites de la
question
; aucune même n’a bien sû s’y tenir. Il s’agissai
magination populaire et de concert avec elle. D’autre part, ce que la
question
visait, c’était ce genre d’archaïsme artificiel,
proché du sujet en venant à la dernière et à la plus intéressante des
questions
qu’il contient (de l’usage et de l’abus du néolog
contient (de l’usage et de l’abus du néologisme et de l’archaïsme) ;
question
difficile et délicate. Entre cet esprit de conser
a facilité. Il est vrai que la difficulté du style s’aggrave dans les
questions
de cette nature, dans ces études d’influences, d’
es hasardées. Seule, une élite trop peu nombreuse a su bien saisir la
question
, y répondre par des indications de grammaire géné
érature ou de la morale, le tour de celle-ci revenait cette année. La
question
proposée, si haute et sérieuse qu’elle fût, ne s’
ositions, ou s’est trop mêlé à l’étude directe et bien entendue de la
question
. Au lieu de s’appliquer uniquement à bien définir
mes qui n’ont pas donné dans ce travers et ont su mieux comprendre la
question
et s’y tenir, ne se sont pas distinguées autant q
liquer tout d’abord sur des vers de divers caractères le critérium en
question
, et de voir si, de cette opération, résultait à c
res savent, à l’égard de leurs élèves, en user à propos ; mais ici la
question
était d’un ordre beaucoup plus élevé : il fallait
evait porter sur la langue, non sur le style de La Fontaine. Les deux
questions
sont voisines, sans doute, mais différentes. Un c
temps, d’apprécier chez les concurrentes les vues générales, dans les
questions
de littérature, et les connaissances particulière
citer que ceux-là, – n’avaient pas existé, se sont égarées loin de la
question
, et n’ont pas vu la portée d’un sujet dont les ap
s déjà eu l’occasion, deux années de suite, de remarquer que, sur les
questions
de langue française, la préparation des aspirante
éclairer l’histoire de notre langue au xvi e et au xvii e siècle. La
question
a été bien comprise par la plupart des aspirantes
ment tout ce qu’elle suggère. Nous rappelons à nos aspirantes que les
questions
de langue et de grammaire veulent être traitées a
n une anecdote d’une authenticité plus que douteuse, à l’époque où la
question
des doublets venait d’être inscrite au programme
notre langue même, avec les traits essentiels de son vocabulaire. La
question
de langue française n’avait pas été jusqu’ici aus
anecdotes, sans portée ni conséquence. Ce n’était pas uniquement une
question
restreinte d’histoire littéraire et une lutte de
les aspirantes à l’agrégation sont beaucoup mieux préparées pour les
questions
de langue et de grammaire que pour la littérature
ucoup de recherches, qu’on a lu les meilleurs ouvrages concernant ces
questions
, ou reçu un enseignement très complet et très var
ouver la matière d’observations plus précises. 1° Composition sur une
question
de littérature. – Il serait aussi injuste qu’invr
rtie, ou l’on étend démesurément le champ qu’on veut parcourir, et la
question
du goût devient ici tout un cours de littérature.
vec soin l’énoncé, la plupart des aspirantes n’ont pas vu qu’il était
question
non seulement des auteurs et du goût dont ils fon
a concerne tout autant le public que l’auteur ou l’artiste ; les deux
questions
sont connexes, et lorsque nous donnons ce sujet à
ule de points, on ne s’arrête à aucun ; on passe parfois à côté de la
question
sans la voir. On n’avait ni à faire l’histoire de
ectures qu’il faut avoir faites pour bien connaître les alentours des
questions
littéraires, les biographies des écrivains, l’ana
anda si elle savait coudre. – Expliquer le sens et la portée de cette
question
. – Quelles qualités l’instruction développe-t-ell
après avoir pris conseil de quelques amis, ont délibéré sur une grave
question
: savoir quelle carrière on lui ferait suivre. On
r ne pas être pris en défaut. B. Il faut faire un choix judicieux des
questions
– ni trop difficiles, ni trop longues, ni trop pr
précipitées, ni trop nombreuses, etc… C. Il faut nettement poser les
questions
, bien les circonscrire, de façon à ce qu’elles ne
diquant leurs œuvres les plus célèbres. Il faut traiter une des deux
questions
d’histoire ancienne, une des deux questions d’his
faut traiter une des deux questions d’histoire ancienne, une des deux
questions
d’histoire moderne. Mettre au moins la date du si
ls ont aidé à produire. Il suffit de s’en tenir aux termes même de la
question
posée. PLAN Préambule : Définitions. 1er Paragra
s vivement l’attention. 2e Paragraphe. – Entrée de l’inspecteur. Ses
questions
. Ce n’est pas là le vrai sujet. Il n’est pas util
? de même que dans un discours il est indispensable de se poser cette
question
préliminaire : qui parle ? à qui parle-t-il ? De
posséder l’art de conduire un vaisseau au port, il avait envisagé la
question
sous un tout autre jour. En ce moment, ce n’est p
e barque. L’inexpérience de son conducteur le frappe. Il l’interroge.
Questions
et réponses. 2e Paragraphe. – Retour brusque de M
erne, sous la rubrique : sciences, etc. Il y a là tout un ensemble de
questions
qui se tiennent, qui sont intimement liées. Ce qu
mie, leurs mathématiques, fassent grande attention à l’historique des
questions
, à la cause, à l’occasion, aux circonstances des
e, Méchain, Arago, pour l’exécution. Concours de 1885. Développer la
question
suivante : L’ambition, qui est une vertu quand el
’un pays. Quand on aime la campagne, on s’intéresse naturellement aux
questions
multiples que soulève le difficile problème de l’
candidat pourra, au besoin, dire quelque mots sur l’historique de la
question
et sur l’état actuel des travaux. Concours de
. La solution s’éclaircissait, se simplifiait si l’on se posait cette
question
: « Qui se livre au commerce maritime ? » L’impor
ut-il les approuver ? L’utilité des voyages. CONSEILS ET PLAN Quatre
questions
sont posées. Elles doivent former autant de parag
t. – Que répondriez-vous à un père de famille qui vous adresserait la
question
suivante : « Désirant que mon fils, qui est enco
non, il y a ici un intérêt vital. Il ne faut pas oublier que c’est la
question
des langues qui a créé la question des nationalit
l ne faut pas oublier que c’est la question des langues qui a créé la
question
des nationalités, et c’est le principe des nation
ais assuré. Où peut-on mieux le savoir que dans nos départements ? La
question
est maintenant nettement posée, je pense. D’une p
itiques élevées contre la colonisation. Les réfuter. Répondre à cette
question
: « Le Français est-il colonisateur ? » EXTRA
isies, on donne à faire des dissertations écrites sur les principales
questions
que soulève un cours de rhétorique, nous sommes c
professeurs en indiquant les meilleurs auteurs à consulter sur chaque
question
traitée dans notre Cours élémentaire. Pour expliq
e, pour l’habituer à généraliser les idées, à voir de haut toutes les
questions
. Quand une fois on y a donné quelque attention, l
Pour ne pas tomber dans ce sophisme, il faut bien fixer l’état de la
question
et éviter toute équivoque dans le sens des mots.
tition de principe suppose comme certain et déjà prouvé ce qui est en
question
. À ce sophisme se rapportent une foule de raisonn
le centre du monde, c’est-à-dire en supposant pour vrai ce qui est en
question
. La pétition de principe prend le nom de cercle v
us prenons une autre chose qui se prouve par celle-là même qui est en
question
. Ce serait un cercle vicieux que de prouver uniqu
étition de principe ; ou bien enfin l’argument n’a aucun rapport à la
question
, comme dans l’ignorance du sujet. Ainsi, tantôt o
ans l’ignorance du sujet. Ainsi, tantôt on prouve ce qui n’est pas en
question
, tantôt on ne prouve rien, tantôt on prouve mal c
uestion, tantôt on ne prouve rien, tantôt on prouve mal ce qui est en
question
. Puisque l’orateur doit être habile dialecticien,
ette même enceinte, par mon père ; et la conviction que c’est ici une
question
de vie ou de mort pour la majorité des Français ;
a rouie. Abordez franchement votre sujet et allez droit au cœur de la
question
. § III. Divers genres d’exorde. 170. Comme
toires. Évitons, dit Quintilien, de vouloir tout dire sur le sujet en
question
. Celui qui ne veut rien perdre fait croire qu’il
e avant d’initier les jeunes gens à l’étude de l’art oratoire, et ces
questions
ont été développées dans notre Cours de littératu
bien parler du mystère de la Trinité, n’en disons rien. Il n’est pas
question
qu’on fasse tout. » 309. L’orateur sacré puisera
eux, la conférence suppose deux interlocuteurs, dont l’un propose des
questions
ou des doutes sur un sujet dogmatique ou moral, e
yrique36. 343. Le panégyrique chrétien, dont il est ici uniquement
question
, est un discours exclusivement consacré à la loua
paration du discours. Parler sans avoir fait une étude sérieuse de la
question
qu’on veut traiter, c’est se condamner à des paro
en de la cause. L’orateur doit connaître tous les points de vue de la
question
, le fort et le faible des moyens qu’il veut emplo
nt à l’ouverture des états généraux. Alors presque toutes les grandes
questions
sociales furent agitées : mais les esprits n’étai
guerre d’Amérique et la révolution française soulevèrent une foule de
questions
de conquête, de justice, d’humanité, et ces quest
nt une foule de questions de conquête, de justice, d’humanité, et ces
questions
trouvèrent chez nos voisins des orateurs dignes d
us le rapport des sujets, l’orateur politique examine les plus hautes
questions
de l’ordre social ; l’histoire et la morale lui p
doyers sont les discours que les avocats prononcent pour ou contre la
question
de droit ou de fait portée devant un tribunal. C’
t le même caractère que chez les Grecs. Souvent même on y souleva des
questions
plus graves, parce que la puissance de Rome surpa
t parler à l’âme et captiver l’imagination. 407. Les mémoires sur les
questions
de science, d’art, de littérature, de philosophie
and ! 416. Quand on parle de l’éloquence des historiens, il n’est pas
question
des discours qu’ils ont insérés dans leurs écrits
ns soudaines du journaliste. Comme la tribune, la presse embrasse les
questions
religieuses, politiques, sociales, administrative
on ou l’opposition des idées, à marquer avec précision le point d’une
question
débattue, à démêler avec sagacité les erreurs plu
cissent, à bien définir les termes, à bien appliquer le principe à la
question
et les conséquences au principe, à rompre les fil
t eu trop à faire depuis qu’il était au monde pour s’occuper de cette
question
. « Quoi ! reprit douloureusement l’interlocuteur,
ilippe, quel autre que les Athéniens devait le faire ? Cette dernière
question
, si glorieuse pour Athènes, ne devait-elle pas ac
faut-il pas que l’on passe quelque chose aux malades ? Après tout la
question
n’est pas de savoir s’il a tort ou s’il a raison.
tout la question n’est pas de savoir s’il a tort ou s’il a raison. La
question
est de le sauver, par conséquent de se faire écou
, il s’exprime ainsi : « Je ne dirai qu’un mot du rationalisme sur la
question
qui nous occupe : je n’ai jamais ouï parler d’un
au cœur, il faut avoir soi-même un cœur et s’en servir. Or, c’est une
question
aujourd’hui de savoir si beaucoup de prédicateurs
-je donc pas ramener à la délibération du jour par un petit nombre de
questions
bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
de vérifier ses calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes
questions
, des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
rononcé au barreau. On doit en mettre d’abord dans l’exposition de la
question
, lorsqu’on place en évidence le point qui fait l’
un discours de quelque genre qu’il soit, mais elle fait tout dans ces
questions
si embrouillées et si épineuses qui s’agitent au
s autres. Le premier qui fut en état de parler répondit à nos tristes
questions
: nous nous fîmes raconter sa mort. Il voulait se
l’Europe. Doué d’une sensibilité irritable qui prenait feu sur toute
question
, d’une intelligence merveilleuse, mais rapide et
passez point des mois entiers sans leur écrire un mot. Il n’est point
question
d’écrire des lettres pensées et réfléchies avec s
fléchies avec soin, qui peuvent un peu coûter à la paresse ; il n’est
question
que de deux ou trois mots d’amitié, et quelques n
les hommes (1753). Ce discours avait été précédé d’un autre sur cette
question
: Le progrès des sciences et des arts a-t-il cont
arguments sont très-bons ; mais ils ont trop l’air de n’envisager la
question
que sous le rapport de l’utile. Or, disons bien h
Iliade, II, 761) publié par Cramer, Anecdota Oxon., I, p. 278. Sur la
question
que soulève cette assertion d’Aristote, voy. la n
se préoccupe de l’unité épique et de l’autorité d’Aristote sur cette
question
. C’est quelque chose de fort semblable aux scrupu
256.) — Nos critiques français sont bien autrement scrupuleux sur la
question
des unités, et il est curieux de voir comment la
p. 111) un peu plus haut, il discute sérieusement s’il ne serait pas
question
dans Aristote d’un jour polaire. La traduction de
ur l’esprit du spectateur. Corneille, qui s’est tant préoccupé de ces
questions
, est, au témoignage de d’Aubignac, le premier poë
s jeunes gens dont elle flatte les caprices et l’irréflexion. Non, la
question
du choix du sujet n’est pas interdite à la critiq
mot ? Comment finira tout cela ? par quels moyens s’en tireront-ils ?
Questions
secondaires dans les œuvres de l’intelligence, pa
ous ne manquez pas de talent, mais vous n’êtes pas à la hauteur de la
question
que vous avez traitée. Un sujet moins élevé eût é
avons essayé de résumer en un petit nombre de pages les réponses aux
questions
du programme officiel ci-dessous, où rentrent tou
pouvait, malgré le mérite des travaux antérieurs, traiter encore ces
questions
si difficiles et si importantes pour l’éducation
ingt ans d’enseignement de la Rhétorique, en ramenant constamment ces
questions
sous nos yeux, nous ont montré combien nos élèves
ent l’élève aux leçons des maîtres et aux études de la classe. A. D.
Questions
du programme du 30 août 1852, paragraphe xx, Noti
élémentaires de littérature, qu’il résumera à la fin du cours par les
questions
suivantes : 1. En quoi la poésie diffère de la ve
t un tribunal, l’avocat prouve le juste et l’injuste ; il discute une
question
de droit ; il poursuit la punition d’un crime : i
vention oratoire ; nous retrouverons la Disposition dans la cinquième
question
du programme, et l’Élocution dans la septième. 2°
ition. — La définition est tirée du sujet même ; car elle explique la
question
tout entière, et persuade en déterminant le sens
ppelle ainsi la preuve tirée de la comparaison du sujet ou du fait en
question
avec la personne, le lieu, le temps, les motifs,
ni. La lecture des grands maîtres est le meilleur développement d’une
question
aussi vaste. Essayerons-nous de choisir dans les
ourdaloue, Massillon : l’orateur se proposa d’instruire, et, dans des
questions
de dogme ou de morale, il a besoin de s’assurer c
sujet (qui pro quo). Ce sophisme ou paralogisme consiste à fausser la
question
en démontrant ce qui n’est pas contesté, ou ce qu
surtout et l’esprit et la science. Clitandre y répond en divisant la
question
. Cette vérité veut quelque adoucissement ; Je m’e
monde et dans la conversation. Il consiste à donner pour solution la
question
elle-même, à définir un objet par le terme qui a
la vérité d’une analyse, d’une énumération où certaines parties de la
question
ont été omises. Le brillant dilemme du vieil Hora
ffaires. Buffon, dans son Discours sur le style, avait déjà résolu la
question
qui nous occupe. Salué avec admiration par ses co
es antiques d’où elle est sortie. Par une controverse assidue sur des
questions
de métaphysique, ces pieux solitaires firent entr
lamation. 1° Interrogation. — Elle prend l’auditeur à partie par des
questions
vives et pressantes ; elle traduit et communique
rogation se rattache la Subjection, par laquelle l’orateur se fait la
question
à lui-même, et se charge d’y répondre. « Que res
cer un tableau rapide, de s’abandonner à un sentiment, dans certaines
questions
même politiques ou judiciaires, il arrive quelque
èces du procès, puis dans les livres où sont traitées ex professo les
questions
de droit qui se rattachent à sa cause, et dans le
autorités, proverbes même12. A la chambre comme au barreau, dans les
questions
philosophiques ou dans la critique littéraire, eu
Comparez à ce morceau celui où Voltaire, dans Brutus, traite la même
question
par la bouche du courtisan Aruns. Rien de plus ut
e les dispositions à inspirer aux auditeurs ou aux lecteurs. Dans les
questions
variées, difficiles, que l’on ne peut résoudre sa
roposition dans la Milonienne, où il fixe bien nettement l’état de la
question
. Il ne dédaigne pas la division dans les discours
intéressante, l’auditeur bien disposé et impatient de voir aborder la
question
; dans l’un et l’autre cas, Cicéron supprime l’ex
l’avocat, dans le De Oratore : « Si vous poursuivez trop vivement une
question
, ayez l’air d’agir à regret et par devoir ; que t
istributifs. Ceux-ci servent à unir ou à distribuer, et répondent aux
questions
combien à la fois, combien à chacun ; ils se trad
prosperè tibi successerit. X Ces locutions françaises : il est
question
de, il s’agit de, se rendent bien en latin de la
y rétablir sa santé. Le gérondif en do figure comme ablatif : 1° A la
question
undè, avec les prépositions à ou ab, è ou ex. Ex.
Cic. La vieillesse empêche l’homme de vaquer à ses affaires. 2° A la
question
ubi, le gérondif en do se met à l’ab'atif sans pr
la préposition in, quand il exprime un rapport d’union et répond à la
question
en quoi. Ex. : Is fuit mediocris in dicendo, doct
épositions les plus usitées sont celles qui répondent directement aux
questions
de lieu. Il importe donc de bien saisir le sens d
ne manière convenable. I La préposition è ou ex, qui répond à la
question
undè, exprime un rapport d’extraction, de séparat
à l’improviste. V La préposition à ou ab, qui répond aussi à la
question
undè, exprime un rapport d’éloignement, et se dit
l’accusatif, tantôt avec l’ablatif. In avec l’accusatif répond à la
question
quò, et désigne physiquement le lieu où l’on va,
ttendre d’heure en heure, etc. X In avec l’ablatif répond à la
question
ubi, et sert à désigner le lieu où l’on est, l’ét
int de prendre la ville. XII La préposition ad, qui répond à la
question
quò, exprime un mouvement, une tendance vers, qu’
te si nous le comprenons si difficilement aujourd’hui. Voyez, sur les
questions
que soulève ce texte, les auteurs cités plus haut
connaissance d’Ulysse par Euryclée, supposait qu’il pouvait bien être
question
d’une pièce de Sophocle, intitulée aussi Νίπτρα.
ture. Cf. Plutarque, De la Manière d’entendre les poëtes, ch. III, et
Questions
symposiaques, V, 1. Qu’à un faible degré.] Έπì βρ
ique, p. 177. — « Aristote ne juge point à propos d’entrer dans cette
question
, que peut-être il traitait dans ce que nous avons
s.] Cf. Iliade, X, 84 et le scholiaste. Verse du vin.] Cf. Plutarque,
Questions
symposiaques, V, 4. Tous est ici par métaphore.]
n lit οὐ, négation. Empédocle.] Voy. Athénée, x, p. 424 A Plutarque,
Questions
symposiaques, V, 4 Simplicius, sur Aristote, Du
je donc vous ramener à la délibération du jour par un petit nombre de
questions
bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
’en vérifier les calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes
questions
, des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
nt : « Dès qu’il aborde le débat, dès qu’il entre dans le cœur de la
question
, il est substantiel, nerveux, logicien autant que
s et obligatione legis naturæ. Cette thèse renferme, sur cette grande
question
, une discussion profonde et très judicieuse ; ell
e anglaise, l’habitude de traiter avec méthode et avec simplicité les
questions
les plus difficiles de la philosophie et de la li
ittérateurs de son temps, quelle que fût leur manière de voir dans la
question
qu’il traitait. Cette dissertation lui fit beauco
a émises sur tant d’auteurs différents, sur un aussi grand nombre de
questions
littéraires. Les goûts et les sentiments doivent
ts d’éducation libérale. Cependant je n’ignore pas que, lorsqu’il est
question
de l’art de parler et d’écrire, des préjugés sont
réable impression des beautés de la nature et de l’art. » La première
question
qui se présente est de savoir si le goût doit êtr
, juge du rapport des moyens au but qu’on se propose, je crois que la
question
sera facile à résoudre ; car il est évident que l
bien haut les compositions dramatiques de Suckling et d’Etheridge. La
question
consiste à savoir ce que nous devons conclure d’e
a seule raison que cela plaît ? Tel est véritablement l’état de cette
question
à la fois délicate et subtile : nous allons passe
amner les autres. Il n’en est pas, en matière de goût, comme dans les
questions
de pur raisonnement, où il n’y a qu’un parti à pr
ce qui peut seul nous faire connaître le beau dans les arts, il n’est
question
que des hommes placés dans une situation favorabl
et précis. Trouverait-on un principe qui fût applicable à toutes les
questions
de logique et de philosophie sur lesquelles les h
e les objets qui la produisent soient bien différents. Ici s’élève la
question
de savoir s’il nous est donné de découvrir, dans
être considérées comme la base du sublime, que tout ce dont il a été
question
jusqu’ici. J’ai toujours remarqué que dans tout c
tre point dans notre sujet d’examiner, et ce n’est pas d’ailleurs une
question
facile à résoudre. Il est certain et reconnu que
demandait à quelle classe des plaisirs du goût, dont il vient d’être
question
, appartient le plaisir que nous procurent la poés
héâtrale, et jamais il ne nous viendrait à l’esprit qu’il puisse être
question
des descriptions de l’Iliade. Je conviens néanmoi
anciens philosophes stoïciens et platoniciens agitaient souvent cette
question
: Utrum nomina rerum sint natura an impositione
prendre quelques passages des auteurs classiques dans lesquels il est
question
des harangues publiques, ou de l’exercice de l’ar
cienne que la prose. Je trouverai l’occasion de discuter à fond cette
question
, lorsque je traiterai de la nature et de l’origin
ots, le premier qu’il prononcera sans doute sera le nom de l’objet en
question
. Il ne dira pas, selon la construction de notre l
i ingénieuse qu’utile, en spécifiant l’objet individuel dont il était
question
par le moyen de cette partie du discours que nous
Êtes-vous un roi ?] Are you the king ? [Êtes-vous le roi ?] sont des
questions
bien éloignées d’être identiques, et qui cependan
ingue les substantifs en singuliers et en pluriels, suivant qu’il est
question
d’un ou de plusieurs individus ; division établie
quelque analogie avec la déclinaison dans les langues anciennes. Deux
questions
se présentent à ce sujet. D’abord, laquelle de ce
énieuse dissertation sur la formation des langues. Quant à la seconde
question
, qui consiste à savoir laquelle des deux méthodes
ère les personnes dont on a parlé précédemment, et dont il n’est plus
question
. Tous les idiomes sont susceptibles d’offrir des
période. Tel est, dans son discours pro Milone, ce passage, où il est
question
du complot qu’avait formé Clodius pour assassiner
de sa tragédie de Henri V, en renferment une bien choquante : il est
question
d’un fumier ; le poète tire une métaphore de la v
able, qui a des qualités analogues à celui dont il était premièrement
question
, et auquel on l’associe ; en sorte que, sans cett
t très souvent servi avec beaucoup de succès de celle dont il est ici
question
. Ainsi dans son petit poème de la Boucle de cheve
L’interrogation, littéralement parlant, ne consiste qu’à adresser une
question
; mais lorsque les hommes sont animés par quelque
» Tout ceci, sans interrogation, n’eût produit aucun effet ; mais ces
questions
rapides et pressantes réveillent les auditeurs et
sorte de sujets. Une lettre familière, un mémoire à consulter sur la
question
la plus aride, peuvent être écrits en style poli
nous offre le modèle. (Trad. de Daru.) La simplicité dont il est ici
question
, est, par exemple, celle du plan d’une tragédie,
us fréquent des beautés du langage. Cette simplicité, dont il est ici
question
, n’est pas opposée aux ornements, mais à l’affect
donner une idée plus juste de l’espèce de simplicité dont il est ici
question
. Il est à remarquer que c’est dans les auteurs le
e son auditoire à entendre toute la vérité, et aborde sur-le-champ la
question
. La supériorité de Démosthène est surtout évident
et bien précise du caractère qui lui est propre. Laissons de côté la
question
de savoir lequel de ces trois genres d’éloquence
qu’on ne le croit ; et dans maintes affaires, un homme qui discute la
question
simplement et sans art sera généralement bien plu
ns, je le sais, pour s’habituer à manier la parole, prennent dans une
question
le côté qui leur semble le plus faible, pour voir
t il leur ferait beaucoup plus d’honneur de choisir toujours dans une
question
le côté vers lequel ils penchent davantage, et de
pposé à leur conviction. Dans ces sociétés où l’on ne s’occupe que de
questions
imaginaires, quelque importante ou quelque futile
es, quelque importante ou quelque futile que puisse être l’une de ces
questions
, un jeune homme en les traitant a toujours beauco
e s’écarter ; elles remettent sans cesse sous les yeux le sujet de la
question
, et sont d’un grand secours pour donner aux pensé
ridicules que de mettre une grande véhémence dans la discussion d’une
question
peu importante, ou qui, par sa nature, doit être
et non pour un vain déclamateur. L’on ne discutera que le côté de la
question
qu’on aura jugé le meilleur, et l’on n’exprimera
ns plus étourdis de mille propos frivoles. Car enfin il n’est pas ici
question
de deviner ce qui peut-être arrivera, mais de vou
qui ne convient qu’à la tribune. Enfin, la nature et la conduite des
questions
discutées au barreau exigent une espèce d’éloquen
ention des auditeurs ; au lieu que la sécheresse et la difficulté des
questions
qui se discutent au barreau exigent tous les effo
rononcé au barreau. On doit en mettre d’abord dans l’exposition de la
question
, lorsqu’on place en évidence le point qui fait l’
discours, de quelque genre qu’il soit ; mais elle fait tout dans ces
questions
si embrouillées et si épineuses qui s’agitent au
e plus de développement que partout ailleurs. Car à la tribune, où la
question
discutée est le plus souvent très simple, les arg
ont d’autant plus forts qu’ils sont plus concis. Mais l’obscurité des
questions
de droit exige presque toujours que pour être bie
endre des causes évidemment odieuses et injustes. S’ils défendent une
question
douteuse, ils la soutiendront de tous les raisonn
aient prononcé la condamnation de son client. Enfin Cicéron aborde la
question
de droit. Avoir corrompu des juges était un crime
l doivent tendre tous ses efforts. Ce n’est pas pour discuter quelque
question
obscure qu’il monte en chaire, ce n’est pas pour
bien mieux sur quelque point particulier et intéressant d’une grande
question
, vers lequel l’orateur dirige toute la force de s
de briller, et en même temps annoncent un esprit stérile. Quant à la
question
de savoir si l’on doit écrire un sermon tout enti
mais seulement donner quelques explications sur l’un des côtés de la
question
, et puis terminer. Cependant, comme toutes entren
de division convient le mieux sont les sermons ; mais l’on a agité la
question
de savoir si la méthode de présenter d’avance les
événements, par des aventures inouïes ; il ne s’exerce point sur les
questions
douteuses ; il ne fait point valoir les violentes
cipe sûr. Quand un nom substantif, que de précède, peut répondre à la
question
qui ? ou quoi ? il est en régime simple ; et de e
ple ; et de est alors particule. Quand ce même nom peut répondre à la
question
de qui ? ou de quoi ? il est en régime composé ;
s la nouvelle édition de sa Grammaire (1786), touche légèrement cette
question
, pag. 123 ; et il tranche la difficulté, en disan
ors mettre ces noms au singulier, ou au pluriel ? Pour résoudre cette
question
, j’adopterai bien volontiers la distinction que f
e plus ingrats. On voit ici que l’ingratitude des hommes, dont il est
question
, n’est point comparée à celle de quelques autres
s plus habiles politiques ont établi la balance de l’Europe. Il n’est
question
ici que d’un seul de ces personnages, chacun dans
effet, demander, que cherche l’impie ? la paix ? Il n’en est pas ici
question
; il s’agit de nulle paix. L’impie cherche donc,
invariable, qui répand la plus vive et la plus pure lumière sur cette
question
de notre grammaire, qu’on regardait autrefois com
e genre ni le nombre. Mais pour ne pas m’appesantir davantage sur une
question
, qui, d’après le principe établi, et d’après la s
es phrases suivantes sont correctes. = Les savants ayant décidé cette
question
, il serait hors de propos de s’y arrêter davantag
tre, est la tante de Joas. 1. Pour rassurez-vous. 2. Elle répète la
question
, pour se donner le temps de réfléchir, dans le tr
ma mère m’ont abandonné. » (Ps. xxvi, v. 10.) 4. Athalie conduit ses
questions
avec une habileté très-sûre. Elle serait un excel
de la simplicité et de l’innocence contre la perfidie et la ruse des
questions
insidieuses que déjone de cet enfant. 5. Le char
politesse ont-ils mieux couvert les emportements du despotisme ? 3.
Question
sinistre. 4. Il sait tout, il voit tout. 5. C’e
nyme les Lettres Persanes (1721) où il se jouait autour d’importantes
questions
, et le Temple de Gnide (1725), erreur d’un génie
et si je sens que je suis écouté, il me semble dès lors que toute la
question
s’évanouit devant moi ; plusieurs traces se révei
ngère, et je n’y connais personne. Bien des gens me font de pareilles
questions
; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tou
s un homme bien content de lui. Dans un quart d’heure il décida trois
questions
de morale, quatre problèmes historiques, et cinq
pour la vertu, châtiment pour le crime, ut bono bene, malo male sit.
Question
oiseuse, ce me semble. Que le dénoûment soit heur
cette grande circonstance, l’homme excitait aussi puissamment que la
question
même l’attention et les sympathies de l’assemblée
tracées par la raison et les rhéteurs. 60. Aristote a traité celle
question
dans la Poétique. 61. Remarques sur le discours
lent d’effroi de se voir accouplés. Les figures dont il vient d’être
question
expriment, comme vous voyez, une opposition réell
r l’interrogation. Mais quand plus tard Clytemnestre le presse de ces
questions
redoublées : Pourquoi feindre à nos yeux une fau
mps couverts de morts, et qu’il n’y a point de réponse possible à ses
questions
. Il y a figure quand Massillon, dans le Sermon su
t on devient orateur. » Mais comment le devient-on ? IV Cette
question
est si importante que, ne me sentant pas les forc
: des discussions sur des points de droit, des improvisations sur des
questions
générales ayant trait à la politique, à la morale
ur si les occasions vous manquent et si vous n’avez à plaider que des
questions
de mur mitoyen ; mais, quand vous aurez acquis un
l clair ? est-il pur ? Ici c’est au professeur à provoquer, par ses
questions
, de la part de son élève, l’examen de la propriét
oquence est dans l’âme ; mais il ne le sera qu’un instant. Mais si la
question
à traiter est difficile ; si les esprits des audi
et le blâme ou la louange ; le délibératif, dans lequel on traite des
questions
d’intérêt public ; le genre judiciaire, qui compr
nt facilement aux deux autres, sauf quelques légères modifications.
Questions
. Par quoi tout Traité doit-il commencer ? — Qu
rconstances. Elle a lieu surtout dans le genre judiciaire, lorsque la
question
roule sur un fait. Un fait n’existe qu’avec des c
la manière de conduire les passions avec discernement et justesse.
Questions
. Qu’est-ce que l’Invention ? — Par quoi l’audi
tenue. Mais la meilleure manière est d’établir nettement l’état de la
question
. Par là même qu’on aura excité la bienveillance e
personne agréable et son sujet intéressant. D’après cela, la deuxième
question
n’est pas difficile à résoudre. L’exorde est-il n
t il faut les présenter dans leur plus beau jour. Mais il est surtout
question
de la narration judiciaire, qui est la plus diffi
enre ; elle est presque autant en récapitulation qu’en mouvements.
Questions
. Qu’est-ce que la disposition oratoire ? — Dan
la forme d’interrogations suivies de réponses. Ainsi rapprochée de la
question
la réponse a quelque chose de plus pressant. Cicé
ar le droit. » Ici la subjection a pour but de préciser l’état de la
question
en écartant ce qui est étranger. La seconde fois
actérisées en deux mots : Abrupta et præcisa undique oratio.
Questions
. Quelle partie de la Rhétorique constitue, à p
élibératif s'occupe des discours qui ont pour objet la décision d'une
question
importante : l'orateur conseille ou dissuade ; il
rs de la tribune politique, etc. Le genre judiciaire a pour objet les
questions
de fait ou de droit portées devant les tribunaux
ux arguments dont il tire des conséquences pour prouver ce qui est en
question
. Ces arguments sont : le syllogisme, l'enthymème,
sont des sources où l'orateur peut puiser pour prouver ce qui est en
question
. Il y a deux sortes de lieux communs : les lieux
de principe, qui consiste à répondre la même chose que ce qui est en
question
, mais en termes différents. La confusion de la ca
tre principales : 1° L'interrogation, par laquelle l'orateur fait des
questions
à son adversaire, non pour le porter à y répondre
nterroge lui-même ou interroge ses auditeurs, et répond à ses propres
questions
. Cicéron, dans la cause de Gracchus, dit : Miséra
rphelin. La construction grammaticale demandait lui, parce qu'il est
question
du peuple ; mais, plein de son idée, le poëte n'a
res et le discours familier peuvent se passer de gestes. Série de
questions
Pour les examens. Qu'est-ce que la rhéto
espèces principales : la loi, les titres, la renommée, le serment, la
question
9, les témoins, tous moyens placés hors de la cau
’un frein et d’une règle qui la fixe. Que de vaines disputes, que de
questions
sans fin, que d’opinions différentes ont partagé
nés qu’à amuser le loisir des écoles et la vanité des sophistes ; des
questions
oiseuses où l’on ne s’intéressait pas pour le fon
s, on demande ou l’on défend. L’avocat qui demande établit d’abord la
question
, ou constate le fait selon la nature de la cause.
mencement de ce discours ; elles établissent nettement le point de la
question
et expriment d’ailleurs des pensées dont la vérit
jets indiqués par les académies ont aujourd’hui pour objet tantôt des
questions
philosophiques ou littéraires, tantôt l’éloge des
gures, lieu cité. 8. Petit traité des figures, § 33, p. 114. 9. La
question
consistait dans les tortures que l’on faisait sub
oints généraux de législation. Dans les républiques anciennes, où les
questions
civiles et politiques se traitaient devant le peu
du barreau, discute le juste et l’injuste, et a pour objet toutes les
questions
de fait, de droit ou de nom, portées devant les t
m, portées devant les tribunaux. Milon a-t-il tué Clodius ? Voilà une
question
de fait ; il faut l’éclaircir. Milon avoue qu’il
vait défendre autrement ses jours attaqués par son ennemi : c’est une
question
de droit. Telle démarche d’un soldat est-elle dés
marche d’un soldat est-elle désertion ? ne l’est-elle pas ? c’est une
question
de nom7. Il s’agit toujours ici d’un tort, ou rée
. La division des trois genres de causes, et celle des trois états de
question
dans le genre judiciaire, ont été combattues par
rités écrites), la renommée, le serment, les témoins, et autrefois la
question
. Le serment, les aveux tirés par les tourments da
de parjure. (Cicer., pro Rabirio Postumo, c. 13.) L’aveu tiré par la
question
est l’aveu de la douleur plutôt que celui de la c
, de la vertu. Soit qu’il défende les accusés, qu’il délibère sur les
questions
importantes, ou qu’il célèbre les grands hommes,
nts ; ils sont le plus souvent étrangers à la cause et au point de la
question
qu’on veut connaître avant tout. Mais, une fois q
er son esprit, et de lui présenter sous un jour lumineux l’état de la
question
. « L’auditeur, dit Cicéron55, trouvera de la faci
dessein du discours65. Il faut donc tirer l’exorde du fond même de la
question
, puisqu’il est fait pour y préparer ; autrement,
int que est à juger (τὸ κρινόμενον), ou ce qui détermine l’état de la
question
. Ainsi : « Je ne vous dirai point, juges, que la
les rhéteurs ; mais il faut avouer qu’une connaissance profonde de la
question
, et surtout le bon droit, seront toujours des moy
e fausses conséquences. S’il a prouvé autre chose que ce qui était en
question
, s’il a abusé de l’ambiguïté des termes, s’il a t
les, ou incroyables, ou contradictoires, où étrangères à l’état de la
question
. Dans la preuve, quand on veut faire valoir de fa
son adversaire, ou ce qu’il ne nie point, ou ce qui est étranger à la
question
. Les exemples n’en sont que trop fréquents dans l
n à prendre contre ce sophisme, c’est de bien déterminer l’état de la
question
en évitant l’équivoque dans les mots et dans le s
. C’est répondre en termes différents la même chose que ce qui est en
question
. Molière fait demander à son Malade, qui aspire a
e de pétition de principe, lorsque, pour prouver une chose qui est en
question
, nous nous servons d’une autre chose dont la preu
s d’une autre chose dont la preuve dépend de celle-là même qui est en
question
. À ce sophisme on peut rapporter aussi tous les r
ation (ἀνακεφαλαίωσις, enumeratio) est indispensable dans les grandes
questions
, qui, par l’étendue et la diversité des objets et
e contraire, et c’est toujours lui qu’il faut croire dans ces grandes
questions
d’éloquence et de goût ; car les autres rhéteurs
ens ; faire parler les choses inanimées ; distraire les esprits de la
question
; exciter souvent la gaieté et le rire ; aller au
ait et de chaque détail : avez-vous à raconter quelques discours, des
questions
, des réponses, des exclamations, exprimez par vot
es thèses générales, et agitèrent le pour et le contre sur toutes les
questions
; ils embrassèrent ainsi tous les objets sur lesq
, c’est à nous, oui, c’est à nous qu’appartiennent toutes ces grandes
questions
que des spéculateurs oisifs, nous voyant distrait
éteurs grecs, fiers de ce titre, se remirent à parler de tout, et les
questions
les plus difficiles et les plus austères furent q
nnu à l’armée, occupé des travaux les plus pénibles, et se dérobe aux
questions
et à la curiosité des soldats. Il semble animé d’
r la Rhétorique à Herennius. 6. Fénelon. 7. Sur les trois sortes de
questions
, qu’on nomme aussi conjecturale, légale et juridi
diteur à portée de s’instruire, éclairer son esprit en établissant la
question
, le préparer à tous les développements qui doiven
divers parlements, et quelques écrits éloquents où l’on discutait des
questions
de politique, nous n’avions absolument rien en ce
il avait été plus longtemps comprimé. On sent bien qu’il ne peut être
question
ici d’opinions jugées, ni d’hommes mis à leur pla
proche de pédantisme, affectent le langage badin dans les plus graves
questions
, croient de bon ton de traiter toutes choses d’un
t les Verrines, de nos grands orateurs parlementaires dans les hautes
questions
politiques et surtout personnelles, les trois der
raîner un homme de génie. Il est vrai que le ministre dont il est ici
question
ressemblait à l’Alidor de Boileau : Je l’ai conn
xvie siècle, elle a produit, dans tous les genres et sur toutes les
questions
, des discussions on ne peut plus remarquables. Po
elle dialogue philosophique ou oratoire, dans lequel on expose ou une
question
qu’on veut discuter et résoudre, ou une vérité qu
nt. Il faut qu’ils ne disent rien qui ne se rapporte directement à la
question
: par là, le dialogue sera direct ; qu’ils ne fas
sseau, autant et plus même que ceux dont il se sépare, porte dans les
questions
politiques cet esprit de pure logique et de déduc
u, de l’âme qu’elle agitait. Descartes s’était fort peu préoccupé des
questions
de l’ordre moral et social. Ses disciples ou succ
’achève au début de notre siècle. L’application de la philosophie aux
questions
de droit public est donc, on peut le dire, le gén
ment féodal, mais qui, l’un des premiers, tente d’éclaircir l’obscure
question
des origines de la monarchie française ; l’abbé D
me siècle, que, contradicteur violent du dix septième siècle dans les
questions
religieuses et morales, il en reste souvent le fi
nte et les pressentiments qu’elle inspire ; le second, par toutes les
questions
qu’elle soulève, et dont elle saisit la conscienc
? Sa philosophie avait-elle résolu ou simplement supprimé les hautes
questions
qui sont le tourment de l’âme humaine et le signe
ains d’un seul, cet homme eût-il au front la marque du génie. Mais la
question
politique ne conduirait-elle pas bientôt à d’autr
besoin de logique absolue qui est un trait de l’esprit français, les
questions
sociales n’allaient-elles pas se mêler aux questi
it français, les questions sociales n’allaient-elles pas se mêler aux
questions
politiques, les étendre, les compliquer, les obsc
littérature au dix-neuvième siècle : la place considérable donnée aux
questions
de doctrine et de système, la prédominance de l’i
e l’ordre spéculatif et de l’ordre pratique. Elle reprend les grandes
questions
métaphysiques que le dix-huitième siècle avait la
a philosophie allemande. D’autre part, si elle n’abandonne aucune des
questions
sociales que le dix-huitième siècle avait soulevé
avec audace, et sans craindre de faire éclater son cadre naturel, des
questions
politiques, morales et sociales. Est-il nécessair
ire quelques-uns des principaux rapports que l’étude découvrirait, la
question
morale réservée, entre le talent de Balzac et ses
is on ne s’est pas expliqué34. » On s’est même si peu expliqué que la
question
du romantisme s’est éteinte, et que ce romantisme
ligne de partage justifiée par de réelles oppositions ? C’est là une
question
délicate, et qu’il est prudent de réserver. « Les
qu’il ne faut point disputer des goûts, et on a raison quand il n’est
question
que du goût sensuel, de la répugnance qu’on a pou
e passez pas des mois entiers sans leur écrire un mot. Il n’est point
question
d’écrire des lettres pensées et réfléchies avec s
fléchies avec soin, qui peuvent un peu coûter à la paresse ; il n’est
question
que de deux ou trois mots d’amitié ; et quelques
Paris à Vincennes, il prend le Mercure de France, et tombe sur cette
question
proposée par l’Académie de Dijon : a Si le progrè
. Quelques années plus tard (1753), Rousseau répondait à une nouvelle
question
proposée par l’Académie de Dijon sur l’Origine de
inévitables dans tout système dont l’homme fait partie ; et alors la
question
n’est point pourquoi l’homme n’est pas parfaiteme
s à quelque instant particulier de sa durée, ce qui montre combien la
question
de la Providence tient à celle de l’immortalité d
immortalité de l’âme, que j’ai le bonheur de croire. Si je ramène ces
questions
diverses à leur principe commun, il me semble qu’
rrais-je oublier la noblesse et le charme de ta parole, lorsqu’il est
question
d’éloquence ? Né pour cultiver la sagesse et l’hu
de la justice, a l’art enfin de transformer une affaire privée en une
question
de liberté publique. En 1787 Beaumarchais eut enc
-je donc pas ramener à la délibération du jour par un petit nombre de
questions
bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
de vérifier ses calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes
questions
, des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
ns. On dirait qu’on ne peut, sans crime, avoir deux avis dans une des
questions
les plus délicates et les plus difficiles de l’or
la Langue française. L’Académie de Berlin avait mis au concours cette
question
: « Qu’est-ce qui a rendu la langue française uni
visible sur la terre ? Le livre du Pape (1819) est la réponse à cette
question
, Le sujet traité dans les Soirées de Saint-Péters
es esprits ou à les corrompre ? fera-t-il du bien ou du mal ? Grandes
questions
que se faisaient nos devanciers ! Nous demandons
e lumière qui éclaire à la fois dans toute chose les deux côtés de la
question
. Quand il s’agit de penser, rien ne l’arrête : ni
à comme il me consolait. « Monsieur, lui dis-je, de grâce, encore une
question
. — Deux, me dit-il, et plus, et tant qu’il vous p
quatre heures et demie, qui, je crois, vont sonner. — Bien, voici ma
question
. Si, au lieu de ce pamphlet sur la souscription d
un temps, en aucun pays, la raison humaine n’a varié sur l’importante
question
de l’existence d’un premier Être. Les plus forts
ment légal. Avant que ses conseils prissent la parole pour traiter la
question
de droit, Strafford résuma sa défense ; il parla
oint les conseils de Strafford, et tel était l’emportement, qu’il fut
question
de mander à la barre et do punir « ces avocats in
élation et l’éternité ; et, comme il n’y avait jamais eu de pareilles
questions
agitées dans la tribune antique, jamais on n’avai
s actions, soit des individus soit des sociétés ? Il s’agit ici d’une
question
de fait : voyons donc ce qui se passe dans la con
Lettre sur l’Histoire de France qu’il posa nettement les termes de la
question
. Pourquoi entre les diverses classes de la sociét
ures ? Les historiens des deux derniers siècles qui avaient étudié la
question
des origines françaises n’avaient montré, selon A
lus encore que résolu dans ses Lettres sur l’Histoire de France cette
question
des origines, à laquelle il devait revenir dans l
lle rencontre, au triomphe de l’ordre universel. Très réservé sur les
questions
de métaphysique, Jouffroy abordait cependant avec
ons de métaphysique, Jouffroy abordait cependant avec prédilection la
question
de la spiritualité de l’âme, et lui donnait une s
croyances les plus intimes, s’élève inévitablement cette mélancolique
question
: Pourquoi donc l’homme a-t-il été mis en ce mond
eurs de la vie que de celle de ses misères. Ce sont là deux cas où la
question
se pose ; ce ne sont pas les seuls. Dans le sein
onheurs, qui aboutissent invariablement au dégoût ; et alors aussi la
question
de savoir ce qu’il est et ce qu’il fait ici-bas l
ée à une fin ignorée : et de cette manière encore se pose pour lui la
question
de sa destinée. Enfin, un motif de se la poser, p
es de la diplomatie ; il sait intéresser l’esprit le plus rebelle aux
questions
de finances, d’administration, de tactique milita
tte allure militante, Saint-Marc Girardin continua à s’intéresser aux
questions
politiques de son temps, et de son œuvre de publi
aux Conférences de Lacordaire leur unité. C’était bien là l’ordre de
questions
qui devait particulièrement intéresser des esprit
onel Mure, dans son Histoire de la littérature grecque, se pose cette
question
: « Si la nation grecque n’avait jamais existé, o
eussent été touchées par le souffle hellénique ? » — Grande et belle
question
, et de celles qui font le plus penser et rêver !
rtain nombre d’années sur ces sujets, et l’on s’est adressé plusieurs
questions
. Ces sujets traités par Perrault, et dont il a fi
on veut savoir à quoi s’en tenir, M. Édélestand du Méril, répond à la
question
en des termes que je résumerai ainsi : Il est auj
ansporté sur la scène fut pour le poète un véritable triomphe, et, la
question
historique réservée, on doit rendre justice à l’i
tude de l’œuvre lyrique de M. Victor Hugo dépasserait de beaucoup des
questions
de formes, de nombre et de couleur. Il faudrait,
l’harmonie ? Le théâtre même de M. Victor Hugo soulève de plus graves
questions
, « Tout ce qui est dans la nature, a dit l’auteur
ait à désigner le fils aîné du prince de Condé. Celui dont il est ici
question
était l’arrière-petit-fils du grand Condé. Né en
i expliquent pourquoi ce triomphe ne fut pas durable. 161. Sur cette
question
intéressante, et si vivement débattue encore aujo
it de toutes nos connaissances des sensations transformées. Sur cette
question
, si agitée au dix-huitième siècle, Buffon n’a pas
ous avons donné, page 83, une lettre de Voltaire qui touche à la même
question
. Le rapprochement ne manquera pas d’intérêt. Le t
, pour juger de son mérite, de la ramener à ses points essentiels. La
question
est celle-ci : Est-il vrai que l’homme ait été l’
’Assemblée nationale, au mois de mai 1790, avait miis à l’ordre cette
question
: La nation doit-elle déléguer au Roi l’exercie d
la parole, et, repoussant l’alternative établie par les termes de la
question
, développa un contre-projet dans lequel il préten
Notre prose est-elle supérieure à notre poésie ? C’est là une de ces
questions
qui ne reçoivent jamais de solution. La page de R
oit la la conséquences de ses doctrines : « A ceux qui m’adressent la
question
: Qu’est-ce qui arrêtera le pape ? je répondrai :
ques, où paraissent trois interlocuteurs : le Chevalier, qui pose les
questions
; le Sénateur, qui y répond au nom du christianis
é grecque sous sa forme la plus sévère et la plus pure. » Ch. Bénard,
Questions
de Philosophie, p. 313. 409. « Qui voit tout, ac
chitecture méritait aussi une place dans cette classification. Sur la
question
de la musique, Cousin se trouve en opposition ave
inquiète pensée : ce n’est pas que Jouffroy se complût à agiter cette
question
sans la résoudre ; tout au contraire, dans les le
bal indiquent tout d’abord que l’historien latin n’a pas résolu cette
question
. Tite-Live est surtout frappé du côté dramatique
tement le bras et lui dit : « Général, aimez-vous la chasse ? » Cette
question
inattendue laisse le général embarrassé. « Eh bie
rade a aussi publié un livre composé d’études détachées et intitulé :
Questions
d’Art et de Morale. Il a surtout à cœur d’y établ
arrêterai point à combattre les scrupules de ceux qui ont élevé cette
question
: si un orateur ne déroge point à la noblesse de
hant à émouvoir les passions de ceux qui l’écoutent ? Ce n’est qu’une
question
de mots, que le simple bon sens peut résoudre. Da
le, nous allons prouver que la phrase la plus ordinaire, cette simple
question
, « Allez-vous à cheval à la ville aujourd’hui ? »
indique assez, et force en quelque sorte à l’observer. L’on a posé en
question
si, dans les vers blancs, où l’on a une plus gran
porte à exprimer le sentiment qui remplit votre cœur. Supposez qu’une
question
importante est débattue entre des hommes raisonna
eur donnais dans une de mes précédentes Lectures, de choisir dans une
question
le côté vers lequel ils inclinent davantage, celu
ous mettront à même de prendre un parti raisonnable dans cette grande
question
. Si quelqu’un, de nos jours, au dix-huitième sièc
rticulière que l’esprit de l’auteur répandait malheureusement sur les
questions
religieuses, cependant il renferme des vues si pr
ée des arguments que l’on peut avancer en faveur des deux côtés de la
question
. Elle amuse comme une conversation polie où se pe
liment qu’il adresse à l’évêque Atterbury ! « Bien qu’il ne soit plus
question
des affaires publiques, et que les discussions jo
. Il n’est pas si facile qu’on pourrait le croire de répondre à cette
question
. Les critiques ont été d’avis différents, et se s
à ces écrivains médiocres toujours prêts à prendre la plume dans les
questions
les plus frivoles. Ce que je vais dire sur l’orig
obscur et forcé. Les épîtres en vers, lorsqu’elles ont pour objet des
questions
de morale ou de critique, s’élèvent rarement au-d
s’avance vers la montagne sacrée, et l’un des deux chœurs fait cette
question
: Quis ascendet in montem Domini ? aut quis stab
endroits où Lucain a déployé le plus de grandeur, sont ceux où il est
question
de Caton. On doit surtout remarquer le discours q
son âme, prononça ces paroles dignes de l’antre prophétique : Quelles
questions
veux-tu, Labiénus, que j’adresse à l’oracle ? Lui
a suivant dans ses progrès, nous aurons occasion d’éclaircir quelques
questions
liées avec celle qui va nous occuper. La tragédie
die a-t-elle perdu ou gagné par la suppression des chœurs ? C’est une
question
que les partisans des anciens et les défenseurs d
nité qu’il a dans l’histoire ; mais les scènes dans lesquelles il est
question
de l’amour des deux fils de Caton pour Lucia, et
e spectacle de la vertu persécutée. Ici se présente naturellement une
question
intimement liée avec le sujet qui nous occupe, et
’une pièce leur a faite, ils reviennent pour l’éprouver encore. Cette
question
n’est pas sans difficulté, et plusieurs personnes
ez les anciens, elle était presque entièrement inconnue ; il n’en est
question
que dans un bien petit nombre de leurs tragédies,
se fonde-t-on pour le ranger parmi les compositions dramatiques ? Ces
questions
étaient fort oiseuses, et appuyées sur des mots e
s français de celles du célèbre critique anglais, sur les principales
questions
traitées dans ces Leçons de Rhétorique et de Bell
ns lesquels nos auteurs émettent d’autres principes, ou présentent la
question
sous un autre point de vue. Le goût. Tome I,
Fiat lux de la Genèse ; encore n’est-on pas d’accord sur l’importante
question
, si tel ou tel de ces traits est sublime. Laisson
es modernes. Tome II, page 51. Voltaire a traité trois fois cette
question
curieuse. D’abord, il en a fait l’objet d’un dial
les sont pleines de raison, et parce qu’elles rappellent, sur la même
question
, l’opinion de Fontenelle, l’un de nos plus judici
nt et ingénieux Fontenelle s’exprime ainsi sur ce sujet : « “Toute la
question
sur la prééminence entre les anciens et les moder
ion de cet illustre académicien, ce n’est pas là du tout l’état de la
question
. Il ne s’agit pas de savoir si la nature a pu pro
elle54, Hélas ! qu’elle a peu de bonté ! « Cette dispute est donc une
question
de fait. L’antiquité a-t-elle été plus féconde en
onner un extrait véritablement utile et véritablement intéressant. La
question
de savoir ce que c’est que la poésie, et en quoi
lle arrivée chez nous à son plus haut point de perfection ? c’est une
question
que je ne veux ni discuter ni décider ; mais ce q
ains de tout le monde, nous transcririons ici sa dissertation sur une
question
que l’auteur anglais que nous venons de traduire
tablir les principes de deux genres essentiels de composition ; cette
question
est de savoir « si l’art de la comédie est plus d
alogue moins de naturel et de vérité. Nous devons regretter que cette
question
n’ait pas été approfondie par quelques-uns des pl
sa mort à Atticus (liv. xvi, lett. 5) ; il lui dit, en réponse à une
question
qu’on lui avait faite à ce sujet, qu’il n’avait p
l’Europe. Doué d’une sensibilité irritable qui prenait feu sur toute
question
; d’une intelligence vive, rapide et capricieuse
passez point des mois entiers sans leur écrire un mot. Il n’est point
question
d’écrire des lettres pensées et réfléchies avec s
fléchies avec soin, qui peuvent un peu coûter à la paresse ; il n’est
question
que de deux ou trois mots d’amitié, et quelques n
mier impudent qui oserait écrire contre l’homme vénérable dont il est
question
. Lorsqu’on imprime que je me suis vanté mal à pro
les hommes (1753). Ce discours avait été précédé d’un autre sur cette
question
: Le progrès des sciences et des arts a-t-il cont
à laquelle on veut faire penser. Ainsi lorsque Athalie adresse cette
question
au jeune Joas : Où dit-on que le sort vous a fai
II, nº 31. § V. Interrogation L’Interrogation parle en forme de
questions
, presse les auditeurs de questions vives et multi
L’Interrogation parle en forme de questions, presse les auditeurs de
questions
vives et multipliées, non pour obtenir une répons
son poème de la Religion. Il emploie la même figure dans une suite de
questions
pleines de noblesse et de majesté. Lecture. — Ex
te figure dans son discours. Cette figure consiste encore à faire des
questions
avec art, ou à y répondre de manière à amener à s
oge ses adversaires ou ses auditeurs et répond lui-même à ses propres
questions
. Le but de cette figure est souvent de réfuter d’
nécessaires pour un ouvrage classique. Un rapprochement soulèvera une
question
intéressante ; une objection, un doute proposé av
-je donc pas ramener à la délibération du jour par un petit nombre de
questions
bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
de vérifier ses calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes
questions
, des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
L’assemblée nationale, au mois de mai 1790, avait mis à l’ordre cette
question
: La nation doit-elle déléguer au roi l’exercice
t la parole, et repoussant l’alternative établie par les termes de la
question
, développa un contre-projet dans lequel il préten
ns. On dirait qu’on ne peut, sans crime, avoir deux avis dans une des
questions
les plus délicates et les plus difficiles de l’or
nté ; donc c’est au corps législatif à l’exprimer. J’ai sur cela deux
questions
à vous faire, dont chacune embrasse deux cas diff
ons à vous faire, dont chacune embrasse deux cas différents. Première
question
. Entendez-vous que la déclaration de guerre soit
dans et dehors de cette salle, M. Barnave n’a point du tout abordé la
question
. Ce serait un triomphe trop facile maintenant que
ondent. Voilà la ligne qui nous sépare. On vous a proposé de juger la
question
par le parallèle de ceux qui soutiennent l’affirm
devenir. Tous les quarts d’heure il s’élevait une voix qui faisait la
question
la plus insipide, pour obtenir la réponse la plus
e lumière qui éclaire à la fois dans toute chose les deux côtés de la
question
. Quand il s’agit de penser, rien ne l’arrête, ni
re à la dignité des sociétés modernes ? Préoccupés de ces redoutables
questions
de l’ordre politique et social, le public et les
ment légal. Avant que ses conseils prissent la parole pour traiter la
question
de droit, Strafford résuma sa défense ; il parla
oint les conseils de Strafford, et tel était l’emportement, qu’il fut
question
de mander à la barre et de punir « ces avocats in
cisme, de l’impiété réfléchie, aussi bien que d’un grossier oubli des
questions
supérieures qui travaillent l’esprit humain. L’in
ain. L’insouciance, aujourd’hui commune, ne pense seulement pas à ces
questions
, n’imagine pas qu’il y ait lieu d’y penser : là o
iple foyer d’enseignement politique, moral et religieux ; les grandes
questions
de l’ordre spéculatif et pratique s’y débattaient
vélation et l’éternité ; et comme il n’y avait jamais eu de pareilles
questions
agitées dans la tribune antique, jamais on n’avai
ence, la perfection du style. En général, un grand écrivain, dans les
questions
de goût, a pour type involontaire son propre tale
actions, soit des individus, soit des sociétés ? Il s’agit ici d’une
question
de fait : voyons donc ce qui se passe dans la con
lettre sur l’histoire de France qu’il posa nettement les termes de la
question
. Pourquoi entre les diverses classes de la sociét
ures ? Les historiens des deux derniers siècles qui avaient étudié la
question
des origines françaises n’avaient montré, selon M
lus encore que résolu dans ses Lettres sur l’histoire de France cette
question
des origines à laquelle il devait revenir dans la
es s’attachèrent davantage au second, qui n’était que roi. Bientôt la
question
de la prééminence de l’empire sur les royaumes se
lle rencontre, au triomphe de l’ordre universel. Très-réservé sur les
questions
de métaphysique, M. Jouffroy abordait cependant a
de métaphysique, M. Jouffroy abordait cependant avec prédilection la
question
de la spiritualité de l’âme, et lui donnait une s
e des règles de la conduite humaine, M. Jouffroy examine une première
question
: Y a-t-il réellement un droit naturel ? en d’aut
croyances les plus intimes, s’élève inévitablement cette mélancolique
question
: Pourquoi donc l’homme a-t-il été mis en ce mond
eurs de la vie que de celle de ses misères. Ce sont là deux cas où la
question
se pose ; ce ne sont pas les seuls. Dans le sein
bonheurs qui aboutissent invariablement au dégoût ; et alors aussi la
question
de savoir ce qu’il est et ce qu’il fait ici-bas l
ée à une fin ignorée : et de cette manière encore se pose pour lui la
question
de sa destinée. Enfin, un motif de se la poser, p
les plus opposés des connaissances humaines, agitait avec talent les
questions
d’art et approfondissait les problèmes de la scie
es de la diplomatie ; il sait intéresser l’esprit le plus rebelle aux
questions
de finances, d’administration, de lactique milita
C’est la même méthode de large exposition qui embrasse l’ensemble des
questions
, remonte aux origines, et suit tous les replis du
chitecture méritait aussi une place dans cette classification. Sur la
question
de la musique, M. Cousin se trouve en opposition
es Essais sur l’Histoire de France, a porté une grande lumière sur la
question
de l’état des terres si étroitement lié à l’état
uiète pensée ; ce n’est pas que M. Jouffroy se complût à agiter cette
question
sans la résoudre ; tout au contraire, dans les le
bal indiquent tout d’abord que l’historien latin n’a pas résolu cette
question
. Tite-Live est surtout frappé du côté dramatique
ortement le bras et lui dit : “Général, aimez-vous la chasse ?” Cette
question
inattendue laisse le général embarrassé. “Eh bien
. MM. les Professeurs n’ont rien vu d’aussi bien, et il est fortement
question
de l’adopter comme ouvrage classique dans mon pet
es idées. Ordre, distribution des matières, développements, exemples,
questions
bien posées, style varié : tout me plaît beaucoup
exemples : Ignorance du sujet. C’est quand on ne s’entend pas sur la
question
même, et qu’on veut prouver ce qui n’a pas besoin
ophe. Pétition de principe. C’est reproduire en termes différents la
question
elle-même. Tel est ce sophisme dans Molière : Po
mes une impression vive et durable. Les modernes ont souvent agité la
question
de savoir si le merveilleux chrétien peut être em
, il a composé son beau poème des Martyrs. Mais il nous semble que la
question
avait déjà été résolue par les épopées chrétienne
a moralité. Ne pouvant développer ici plus au long cette intéressante
question
, nous indiquerons les principaux auteurs qui l’on
cours complet de littérature ? Cette division, déjà indiquée dans la
question
précédente, peut se réduire à trois points fondam
, le fond exige toujours le même ordre et la même méthode ; c’est une
question
de goût et de bon sens. Depuis les conceptions le
nition La définition est tirée du sujet lui-même. Elle explique la
question
tout entière, et persuade en déterminant le sens
qui est étranger au sujet. Ce sophisme dénature aussi quelquefois la
question
en prêtant à l’adversaire une opinion qu’il n’a p
firme la vérité d’une énumération où l’on a omis quelque partie de la
question
. Ex. Le dilemme du vieil Horace défendant son fi
es mots est un abus des acceptions diverses d’un mot pour déplacer la
question
. Ex. Un sot savant est sot plus qu’un sot ignora
terrogation L’interrogation oratoire présente l’idée sous forme de
question
ou de doute, afin de provoquer l’attention de l’a
ache la subjection. Par cette figure, l’orateur se fait à lui-même la
question
et la réponse ( rem sibi subjicere ). Il s’adress
ffaire d’une nature particulière. C’est l’exposé clair et sobre d’une
question
sur laquelle il faut appeler l’attention d’une ou
lequel on expose l’origine, la nature, la portée et les limites de la
question
; 2° l’argumentation, c’est-à-dire l’historique c
ue clair et net, la discussion méthodique des principaux points de la
question
; 3° la péroraison ou conclusion brève du rapport
loquence politique s’adresse à tout un pays ; elle met quelquefois en
question
les destinées et l’existence d’un peuple. Chez le
notre temps, le domaine de la critique littéraire est plus vaste. Les
questions
de forme sont secondaires ; on étudie plutôt ce q
deux ou de plusieurs personnes, dans lequel on expose et discute une
question
qu’on veut résoudre, ou une vérité qu’on veut dém
ques. Les lettres familières roulent sur Les sujets dont il peut être
question
dans l’usage ordinaire de la vie ¡ lettres d’affa
rticulièrement des points de morale, de politique, d’histoire, ou des
questions
littéraires, artistiques, scientifiques, etc. Ex.
l’art de composer. — Nous allons étudier avec soin cette intéressante
question
. 326. Qu’est-ce que la composition ? La composit
de la composition ? La définition de la composition nous fournit les
questions
que nous aurons à traiter dans cet article, et qu
; 3° d’après la nature des objets à décrire. L’examen de ces diverses
questions
fera le sujet de ce paragraphe. I. 365. Qu’a
: Soyez vif et pressé dans vos narrations. 398. Éclaircissez cette
question
par des exemples. Le moyen de paraître court, mê
et facile. C’est ce qui a lieu dans le plaidoyer où l’on discute une
question
d’intérêt, et parfois dans l’oraison funèbre. Cep
ilières et libres qui ne roulent que sur les sujets dont il peut être
question
dans l’usage ordinaire de la vie, et qui ne sont
du P. Brumoi au cardinal de Gesvres peut servir de modèle : Il n’est
question
ici, Monseigneur, que de votre nouvelle dignité :
délicatesse. Après ce peu de mots, il aborde directement l’état de la
question
. « Athéniens ! la situation de nos affaires est
upériorité. On agitait dans le sénat, convoqué par Cicéron, la grande
question
du sort qu’il fallait faire subir aux complices d
iers dans nos villes municipales les plus fortes ; qu’il ne soit plus
question
d’eux ni dans le sénat ni auprès du peuple, sous
ait ses propres forces à votre coupable indolence. Mais il n’est plus
question
de savoir aujourd’hui si nos mœurs sont bonnes ou
e-Dame de Paris, 1849. Édition de Mme Ve Poussielgue-Rusand.) Une
question
de dignité Lettre 1 Vendières, 12 novembre
rait tout entière sur lui2. Enfin, je puis bien aussi m’occuper de la
question
en ce qui m’est personnel. Le caractère est ce qu
rvir à une prudence qui me glacerait. Être ou n’être pas, c’est là la
question
. J’ai payé ma dette dans la parole ; pourquoi ref
ngère, et je n’y connais personne. Bien des gens me font de pareilles
questions
; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tou
un homme bien content de lui. Dans un quart d’heure, il décida trois
questions
de morale, quatre problèmes historiques, et cinq
tion d’une sensibilité clairvoyante. Si elle ne résout pas toutes les
questions
qu’elle soulève, elle ouvre des horizons, elle do
e occasion de se faire connaître, et répondaient bien au long à cette
question
; mais d’autres aussi montraient du respect sans
que les arrêts de la postérité. Egal aux plus grands sujets comme aux
questions
les plus épineuses, géographe, stratégiste, diplo
es les plus compliquées, parcourir sans s’égarer tous les détours des
questions
les plus vastes, répandre sur les plus obscures l
sé, il a pour objet Je juste. L’orateur du barreau discute toutes les
questions
de fait et de droit portées devant les tribunaux
enre judiciaire où l’avocat cherche à prouver que l’espèce qui est en
question
se rattache au genre déterminé par la loi. Bossue
avoir en réserve ; ils viendront aussitôt se présenter à nous pour la
question
que nous avons à traiter comme les lettres pour l
éambules étrangers au sujet. V. Tirer l’exorde du fond même de la
question
évitant de déflorer son sujet et d’anticiper sur
position est le sommaire du sujet ; elle indique le point à juger, la
question
à résoudre ; elle résume eu quelques mots ce qui
oivent, et pour cela exposer les pensées et les faits à l’appui de la
question
sans prévenir l’auditeur de l’idée première qui r
être envisagé sous des, points de vue différents ; il renferme des
questions
secondaires. Il n’y a donc guère de sujet qui ne
osition du fait sur lequel porte le discours. C’est ce qu’on nomme la
question
de fait, au Palais le fait, c’est-à-dire l’acte p
faire comprendre l’utilité des lieux communs. Ce sont comme autant de
questions
que l’esprit se pose à propos d son sujet, se dem
une impression plus vive, en augmentant l’idée de la chose qui est en
question
. Dire tout ce qu’on doit, tout ce qu’on peut dire
amplification fait voir un objet sous toutes ses faces, envisager une
question
sous tous les points de vue favorables au jugemen
dans l’ignorance du sujet, c’est-à-dire peut consister à déplacer la
question
, à traiter un point tout différent de celui qui e
e réfuter ce sophisme, c’est de ramener constamment l’adversaire à la
question
, de fixer et de maintenir le terrain et l’objet p
ne proposition, un jugement qui se prouve lui-même par le jugement en
question
; l’esprit décrit alors un cercle d’où il ne peut
es esprits ; mais elle est tout à fait indispensable dans les grandes
questions
où les matières discutées sont trop nombreuses et
ume ou incendie. Ce départ est, du reste, très-délicat ; c’est là une
question
de goût que la réflexion, l’expérience, l’exercic
ortillés dans les queues. Du milieu de tout cela, il sortait quelques
questions
de votre santé, à quoi ne m’étant pas assez press
de la dignité, une vraie noblesse morale ; elle étend l’intérêt de la
question
en la généralisant ; enfin elle plaît à celui qui
ens ; faire parler les choses inanimées ; distraire les esprits de la
question
; exciter souvent la gaieté elle rire ; aller au-
ppelait du galimatias double : Monsieur, c’est une grande et sublime
question
entre les docteurs de savoir si les femmes sont p
ualités générales du style. — En cette matière, comme dans toutes les
questions
de goût, la lecture, la méditation, la comparaiso
la familiarité triviale de ces expressions de Fontenelle traitant des
questions
de physique, qu’il n’y a de vide que dans la bour
n’en omettre aucune circonstance essentielle.... Si l’on discute une
question
, il est souvent nécessaire de présenter le raison
rature proprement dite comprend toutes les compositions relatives aux
questions
du monde moral. Elles peuvent se classer en quatr
r la place publique ou dans des assemblées qui discutaient toutes les
questions
et donnaient la victoire à l’orateur le p us puis
ait et de chaque détail : avez-vous à raconter quelques discours, des
questions
, des réponses, des exclamations, exprimez par vot
près avoir traité devant eux, pour leur servir de modèles, toutes les
questions
générales qui leur étaient accessibles, ils leur
raux et factices propres à les préparer à parler sur toutes sortes de
questions
. Cet art parut dangereux aux magistrats, et l’ora
sion de l’intérêt qui doit se renouveler à chaque face nouvelle de la
question
. Ce mode de composition ne convient qu’à des ques
nouvelle de la question. Ce mode de composition ne convient qu’à des
questions
oui prêtent réellement an doute et à la controver
simples pour servir même de thèses aux développements scolaires. Ces
questions
délicates peuvent et doivent attirer et retenir l
précision, l’autorité qui domine un sujet et juge de haut toutes les
questions
: tels sont les mérites éminents de ce grand espr
ne, d’exactitude et d’activité dans le service ; au gouverneur, si la
question
porte sur la solde des troupes, sur les approvisi
eux fois ce passage d’Aristote, s’est d’abord conformé pour le mot en
question
au latin de Budé (Les quatre Poétiques, t. I, p.
la clarté, la brièveté, la précision ; on doit y parler de l’objet en
question
et en bannir toute phraséologie, tout détail inut
; j’ai eu la fièvre, J’ai chargé M. Dubois de vous le mander. Il est
question
, ma belle, qu’il ne faut point que vous passiez l
essis au comte de Bussy, 1672. Je suis fort paresseuse quand il n’est
question
que de faire compliment à des amis, ou de les ass
ous les mande comme je le pense. Il n’en est pas de même quand il est
question
du service de quelqu’un que j’aime autant que vou
le monde la suivit en riant ; et la malade, ayant su de quoi il était
question
, se mit à rire plus fort que les autres. . Volta
ef de l’expédition. Le voilà forcé de dénouer lui-même avec l’épée la
question
qu’il a nouée avec la parole. Ceux qui étaient hi
elle alliance ? absoudre ou condamner tel homme politique ? Voilà les
questions
qu’ils posent à celui qui les harangue, et dont i
, et les détours ingénieux, qui n’éloignent un moment la pensée de la
question
que pour l’y ramener plus sûrement. Mais où il ex
s détours et quelles précautions ! On le voit tourner autour de cette
question
dangereuse ; il l’effleure de ses allusions timid
ot. 7. On prétend qu’il disputait un jour avec Protagoras sur cette
question
: Un homme a été blessé dans un jeu de tir. Quel
te et les plus célèbres auteurs, soit anciens, soit modernes, sur des
questions
d’histoire ou de critique littéraire. Le lecteur
ui présente, autant que possible, le pour et le contre, surtout si la
question
a été traitée par deux rivaux dignes l’un de l’au
les-ci plus rarement, discussions parlementaires ou judiciaires d’une
question
réelle ou supposée, etc. : voilà les exercices qu
git pas de donner dans le lieu commun, mais de dégager l’esprit de la
question
spéciale, lorsqu’il tend à s’y resserrer, pour le
; dédaignez ceux qui sont trop évidemment frivoles ou étrangers à la
question
; méfiez vous des similitudes, et appuyez sur le
es sujets qu’il traite. Il est orateur, même quand il se réduit à des
questions
d’érudition et de philologie. Son style a grand a
ésentait par les traits suivants la physionomie de M. Cousin : « Les
questions
les plus graves, les plus hautes revenaient aussi
ai coupable est arrêté. Il proteste de son innocence, et à toutes les
questions
qu’on lui adresse, répond invariablement : « Non,
ont pas discutés, pour avoir le droit de lui refuser celui qui est en
question
: Qu’on vante en lui la foi, l’honneur, la probi
contenu dans le deuxième épisode, d’où il résulte que les parties en
question
ne sont pas précisément juxtaposées dans une trag
t. II, leçon xii e.) Polyidus.] C’est le sophiste poëte dont il a été
question
au chap. précédent. Diodore de Sicile, XIV, 46, l
uivre dans l’emploi des métaphores ? Nous développerons un peu cette
question
, non seulement parce que la métaphore est le plus
dans une série de propositions, on répond coup sur coup à ses propres
questions
. Placée à propos, cette figure est très pressante
ogation ? L’interrogation est une figure par laquelle on adresse des
questions
, non pour en obtenir la solution, mais pour press
que j’abhorre en Attila ? J.-B. Rousseau. Lorsque la réponse suit la
question
, on donne à la figure le nom de subjection. Nous
par le seul lien de sa logique, et rapproche ainsi sans confusion les
questions
les plus abstraites et les plus disparates . Mass
rs de Virgile : Accipiens sonitum saxi de vertice pastor, où il est
question
d’un berger qui, sur la cime d’un rocher prête un
historien les faits relatifs à l’époque ou aux évènements dont il est
question
. Si c’est un discours, il faut se mettre en espri
ce sera un bon juge, mais non infaillible. 2° Examinons si l’objet en
question
est conforme à la nature, type de tout art d’imit
tortillés dans les queues ; du milieu de tout cela, il sortit quelque
question
de notre société, à quoi ne m’étant pas assez pre
s autres. Le premier qui fut en état de parler répondit à nos tristes
questions
: nous fîmes raconter sa mort. Il voulait se conf
très-rares dans la Poétique, aux auteurs qui avaient traité les mêmes
questions
avant Aristote. Alcméon.] Sujet traité par Sophoc
yez d’autres exemples : Politique VI, 4 Histoire des Animaux, V, 19
Questions
de mécanique, chap. viii. La Scylla.] Voyez plus
tions ont dû être tirés. Nous lui conseillons également de réduire en
questions
les parties les plus intéressantes d’un sujet déj
été le jouet de la mode, et chaque siècle a eu son goût dominant. La
question
importante est donc celle-ci : Y a-t-il quelque c
. Il n’en est pas dans les matières relatives au goût, comme dans les
questions
que la raison seule juge, où il n’y a qu’une conc
que superficiellement. Mais ce n’est pas ici le lieu d’examiner cette
question
. En parlant des caractères généraux du style, il
ours le plus sublime. Dans leur sens direct elles servent à faire une
question
, mais lorsque les hommes sont excités par la pass
le talent qu’ont développé les avocats appelés à soutenir les hautes
questions
politiques qui ont été soulevées devant les cours
xercices oratoires, imaginent qu’il est utile d’adopter le côté de la
question
que l’on débat qui leur paraît le plus faible, et
leur tâche avec plus d’honneur en choisissant toujours le côté de la
question
vers lequel leur propre jugement les portera, et
Ces notes les habitueront à une logique plus puissante sur l’objet en
question
, et les serviront merveilleusement dans la classi
alement de deux choses : d’abord, de la position bien distincte de la
question
, et de l’établissement clair du point litigieux ;
s assemblées populaires, où le sujet des débats est ordinairement une
question
simple, les arguments puisés dans des sujets conn
ts événements, par des aventures inouïes ; il ne s’exerce pas sur les
questions
douteuses ; il ne fait pas valoir les violentes c
dénoterait un amour de briller et un esprit peu inventif. Quant à la
question
, s’il est plus avantageux d’écrire entièrement se
es plus éminents prédicateurs sont Bourdaloue et Massillon. C’est une
question
très débattue par les critiques français de savoi
peut se borner à quelques raisonnements simples sur chaque côté de la
question
, et terminer immédiatement ; mais comme les parti
er les préjugés qui peuvent s’élever contre la cause ou le côté de la
question
que l’on embrasse. Tout exorde doit donc tendre à
Cicéron et Quintilien rapportent que Démosthène, interrogé sur cette
question
: quelle est la principale qualité de l’orateur,
euses, si l’on ne se bornait pas y discuter des points de doctrine ou
questions
de droit ; ou mieux encore, si à ces conférences
on accompagnée de gestes, les travaux d’analyse, les rapports sur des
questions
philosophiques et littéraires, etc., suppléeraien
ée. Si Milon et Clodius n’eussent été que de simples particuliers, la
question
se réduisait aux termes ordinaires, et les tribun
ingendam ». L’orateur expose ensuite le véritable point de vue de la
question
, et il la réduit aux termes les plus clairs et le
, que je suis plus que vous. Vous comprenez assez qu’il n’est pas ici
question
de la naissance3. Vous regarderiez comme un insen
rien qu’est-il devenu ? il est perdu dans la mêlée ; il n’en est plus
question
: il ne sait plus ce qui l’a fâché ; il sait seul
nstantinople, à Téhéran, à Bénarès, que seraient pour nous toutes les
questions
qui remuent si vivement notre Europe passionnée ?
es, l’espèce de rage qui armait les frères contre les frères pour des
questions
aujourd’hui pacifiées ? Ces pleurs, ce sang, pour
outefois, son imagination subtile lui tendit quelques piéges. Dans la
question
du quiétisme, il alarma un instant la haute raiso
ce qu’un charlatan fait de ses remèdes. Je prends pour juges de cette
question
les païens mêmes. Platon ne permet dans sa Républ
rd plus qu’elle ne gagne par les rimes. » Nous surprenons là dans une
question
littéraire son inquiétude d’esprit et ses tendanc
continuel et de l’irrésistible impétuosité de ses eaux. Dès qu’il est
question
d’espace, une sorte d’excès de son étendue, dans
mples analogues de synchronisme dans : Hérodote, VII, 166 Plutarque,
Questions
symposiaques, VIII, 1 Diodore, XI, 24, et le fra
t-Royal contre les Jésuites dans la querelle du Jansénisme ; mais les
questions
de dogme sur la grâce sanctifiante et sur la grâc
és auteurs qu’on puisse remarquer dans le genre. Il traite toutes les
questions
littéraires ou philosophiques avec la même facili
ents de Racine, ni à Racine de penser et de sentir comme Euripide. La
question
oiseuse et puérile de la supériorité de l’imitati
e épique ; il n’en fut rien ; le merveilleux changea, voilà tout ; la
question
traitée par Boileau dans son Art poétique, à savo
l’univers ». Il est vrai qu’il est à la fois juge et partie en cette
question
, et qu’il se juge lui-même en homme qui se défie
aste, ou moins vaste qu’il n’est ; dans le premier cas, on sort de la
question
, dans le second, on est incomplet. En se privant
as exclusivement la conduite de la vie, elles ont souvent trait à des
questions
littéraires. Il a imité la nature sans s’y attach
aissances et de réflexions fécondes, que vous venez de consacrer à la
question
toute profane qui vous était soumise. Qu’il est l
ulté. Le projet d’achever le Dictionnaire vient en premier, comme une
question
résolue en principe sur laquelle on revient pour
éloquence ! Vous abordez la poésie pour traiter une grave et délicate
question
, celle de la rime ; vous faites avec raison le pr
s la littérature ancienne et moderne par un jugement magistral sur la
question
, si controversée, qui divise encore notre compagn
s utile que ce qui existait longtemps avant nous ? Pour décider cette
question
, il suffit de comparer nos traités de Rhétorique
personnages qui concourent à cette action. Nous examinerons ces trois
questions
dans les trois paragraphes suivants. § I. Des q
rdonne, c’est la fin. 420. En quoi consiste l’unité dramatique ? Une
question
littéraire, qui a été l’objet de nombreuses et vi
du beau idéal en poésie dramatique. 426. Que faut-il penser de cette
question
? Les diverses opinions que nous venons d’expose
les critiques les plus classiques et les plus purs admettent, dans la
question
des unités de lieu et de temps, ainsi que dans pl
il faut prendre garde de passer les bornes de la nature. Quand il est
question
de ridicule, rien de plus difficile sans doute qu
e si l’art fait plus pour l’éloquence que la nature ; et il résout la
question
par une comparaison aussi ingénieuse que décisive
il, tracez-vous un plan général, et entrez aussitôt dans le vif de la
question
. Le sujet n’est jamais assez tôt expliqué. Boi
nité ou le merveilleux. Nous allons examiner en détail chacune de ces
questions
. I — Entreprise épique 339. Quelles sont les
s lieu de se plaindre. 372. Donnez de nouveaux développements à cette
question
? Les auteurs sacrés, les grands écrivains chrét
absolument essentielle de la poésie, nous fournissent la réponse à la
question
posée plus haut. Nous v dirons donc qu’il est inf
c’est une découverte utile, puisqu’en spécifiant l’objet dont il est
question
, en l’isolant des autres objets semblables, comme
ingue les substantifs en singuliers et en pluriels, suivant qu’il est
question
d’un ou de plusieurs objets. cettedivision se ret
ots. Le premier qu’il prononcera sera sans doute le nom de l’objet en
question
; il ne dira pas, selon ta construction de notre
mence par se demander : Qu’est-ce que l’esprit ? et il répond à cette
question
de la manière du monde la plus spirituelle : Ce
nt si c’était un mort que l’on portait. Le jeune homme entendit cette
question
; il arrêta sa litière, et fit frapper le bouvier
ntrefaisait l’ignorant devant les sophistes de son temps, et, par des
questions
captieuses, il les faisait tomber dans des contra
ation. L’orateur presse souvent son adversaire ou ses auditeurs de
questions
vives et multipliées ; et il sait d’avance les ré
i de Navarre, consultant les principaux seigneurs de son parti sur la
question
de savoir s il faut reprendre les armes contre la
despens de ma vie, arresté les ennemiz ; Troisième membre mais estant
question
de la conservation ou de la ruine de toutes les é
ngage, et quelquefois même la physionomie des personnages dont il est
question
; nous voulons encore pénétrer dans leur âme, et
ire et la réflexion leur fourniraient des matériaux pour résoudre ces
questions
; d’ailleurs, le maître qui les guide de son expé
jet. Pour être complet, il faut, avant d’écrire, avoir bien médité la
question
, l’avoir analysée avec soin, en avoir étudié chaq
je donc vous ramener à la délibération du jour par un petit nombre de
questions
bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
’en vérifier les calculs ? Non, non, mille Fois non. D’insignifiantes
questions
, des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
rière qui les attend, et à toutes les époques de leur vie ? C’est une
question
qu’ils peuvent se faire, et à laquelle je vais ré
ous empêcher de parler, et d’adresser à l’accusé quelques-unes de ces
questions
qui jettent sur la cause une lumière inattendue.
ntaires de rhétorique et de littérature. Cette seule ligne décide des
questions
bien importantes et sur lesquelles il y avait, no
précision, l’autorité qui domine un sujet, et juge de haut toutes les
questions
: tels sont les mérites éminents de ce grand espr
squ’à Dieu. En vain voudrait-on nous détourner de ces recherches. Les
questions
qu’elles embrassent nous intéressent trop. Tant q
se les siennes pour recueillir sans en rien perdre la réponse à cette
question
profonde et délicate : Monseigneur, qu’est-ce qui
en plusieurs endroits de ses ouvrages. La Harpe a traité en détail la
question
des poèmes en prose, et, comme son maître, il les
evenir1. Tous les quarts d’heure il s’élevait une voix qui faisait la
question
la plus insipide, pour obtenir la réponse la plus
es sujets qu’il traite. Il est orateur, même quand il se réduit à des
questions
d’érudition et de philologie. Son style a grand a
er les disputes sur les choses indifférentes, leur faire rarement des
questions
et ne leur laisser jamais croire qu’on prétend av
sa prononciation dans les noms où il est précédé d’une s ou d’un x :
question
, indigestion, mixtion ; autrement, il se prononce
ffet, et en se faisant par lui-même une idée distincte de l’auteur en
question
. On ne peut tout dire sans doute de chaque auteur
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