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1 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
es vices. La Politique. Les Économiques. Mathématiques. — Problèmes. Questions mécaniques.   Théophile Buhle, qui avait entrepri
se faire croire sur tout sujet. Le savant professeur avait touché la question examinée tout à l’heure et marqué la différence d
lle était aussi ignorée qu’importante. » (Étude, etc., p. 35.) Sur la question de l’élocution, nous ne pouvons mieux faire, pare
p. 56.) À quelle époque fut composée la Rhétorique d’Aristote ? Cette question , agitée déjà dans l’antiquité, n’est pas encore d
ique), la Poétique et la Politique. Leonhard Spengel place la date en question entre 336, année de la paix générale qui résulta
on après avoir lu le chapitre très complet où Ch. Thurot a examiné la question . (Étude, appendice 13.) Ce savant a cherché à dém
es parties qui la composent : nous traiterons pareillement des autres questions qui se rattachent au même art, et cela, en commen
formes, à la juger en elle-même ou par rapport à la scène, c’est une question traitée ailleurs14. XII. Ainsi donc, improvisatri
en vers, ce n’en serait pas moins une histoire, indépendamment de la question de vers ou de prose. Cette différence consiste en
ritique et à celui à qui incombe ce genre d’exécution95. Telle est la question de savoir qu’est-ce que le commandement, la prièr
s : ou le rapport de rôle joué, comme, par exemple, s’il s’agit d’une question ou d’une injonction. En effet, cette expression :
jusqu’à quel point la convenance est observée, il faut considérer la question dans les vers en faisant entrer les noms dans un
 XXV Objections faites au style poétique. — Solutions. I. Sur la question des objections et de leurs solutions, du nombre e
teint) si, de cette façon, l’on rendait plus saisissante la partie en question ou quelque autre partie ; exemple, la poursuite d
et qu’il y eût une faute contre l’art dans lequel rentre la chose en question , ce ne serait pas bon ; car il faut, si c’est pos
lors, comme font encore aujourd’hui les Illyriens. XII. F. Quant à la question de savoir (si) la parole ou l’action d’un personn
server de combien de manières il peut être entendu dans le passage en question  ; par exemple, dans celui-ci : La lance d’airain
, existe, oui ou non, attendu que le législateur n’a pu prévoir cette question . IX. S’il en est ainsi, c’est, on le voit, traite
persuader que de voir l’état probable des choses par rapport à chaque question , ce qui a lieu pareillement dans les autres arts.
exemple. I. La rhétorique est la faculté de considérer, pour chaque question , ce qui peut être propre à persuader. Ceci n’est
s arts et de toutes les autres sciences. La rhétorique semble, sur la question donnée, pouvoir considérer, en quelque sorte, ce
lus volontiers et plus promptement aux hommes de bien, sur toutes les questions en général, mais, d’une manière absolue, dans les
ttre en délibération. XII. L’action de la rhétorique s’exerce sur des questions de nature à être discutées et qui ne comportent p
ut suivre des raisonnements tirés de loin, Or nous délibérons sur des questions qui comportent deux solutions diverses : car pers
écessaire que l’on ait recours à l’enthymème et à l’exemple, dans les questions susceptibles de solutions multiples et diverses ;
exemples de ce qu’est Denys, que l’on ne connaît pas encore, dans la question de savoir s’il a cette même visée en faisant la m
faisons des lieux. Ceux-ci sont, d’une manière générale, relatifs aux questions de droit, de physique, de politique et à diverses
ux questions de droit, de physique, de politique et à diverses autres questions spéciales. Tel est le lieu sur le plus ou le moin
urra pas moins en tirer un syllogisme qu’énoncer un enthymème sur les questions soit juridiques, soit physiques, ou sur n’importe
it physiques, ou sur n’importe quel sujet ; et, cependant, toutes ces questions diffèrent par l’espèce. Mais les enthymèmes parti
’en fourniront pas sur la physique. Il en est de même pour toutes les questions . Parmi ces enthymèmes, les uns ne rendront habile
que l’on soutienne une proposition, ou qu’on la combatte ; — pour une question judiciaire, c’est le passé, puisque c’est toujour
ci, tel que le juste ou l’injuste, le beau ou le laid moral. Pour les questions judiciaires, c’est le juste ou l’injuste ; et ici
ition que l’on soutient, ou de l’utilité de celle que l’on combat. La question de savoir s’il n’est pas injuste d’asservir des p
après la pratique de son propre pays qu’il convient d’envisager cette question  ; il faut aussi connaître l’expérience faite à l’
à l’étranger, pour en faire profiter la délibération ouverte sur ces questions . IX. Sur la paix et la guerre, il faut connaître
mènent, naturellement, des résultats analogues. X. Maintenant, sur la question de la défense du territoire, il ne faut pas ignor
ant aux moyens à employer pour exhorter ou dissuader sur cet ordre de questions et sur les autres, c’est le moment d’en parler.
que cette opinion est celle de personnes autorisées et connaissant la question . XXIX. Il y a un avantage tantôt dans tel bien pl
quels éléments nous devons emprunter les preuves, soit à propos d’une question d’intérêt, soit au sujet ; des mœurs et des insti
loue et à celui qui blâme : et il arrivera que, tout en traitant ces questions , nous ferons voir, en même temps, par quels moyen
cette vertu donnent sans réserve et ne font pas d’opposition dans les questions relatives aux richesses, que d’autres convoitent
iens et les maux énumérés précédemment en vue du bonheur. XIV. Sur la question de la vertu et du vice, considérée en général, et
lleurs, la force de ce paralogisme prendra sa source dans la cause en question . Car, si un tel brave le danger sans nécessité, à
ort à chacun des mobiles qui s’y rapportent. V. Du reste, toute cette question est facile à comprendre, soit d’après ce que nous
me s’il semble être malheureux ou heureux. Mais nous traiterons cette question plus tard254, et, pour le moment, nous aborderons
ce, le but de celui-ci étant de se donner une satisfaction. Quant aux questions relatives à l’irascibilité, elles seront claireme
mes, des paroles ou des actions. Mais nous avons traité séparément la question des choses plaisantes dans la Poétique 272. Voilà
t tort. Les gens discrets ; car ils n’aiment pas à guerroyer pour une question d’intérêt. XX. De même ceux qui ont supporté un p
uissions en dégager clairement le caractère de justice. X. Toutes ces questions reviennent à celle de savoir s’il a été accompli
là de quelle manière devront être déterminés les points relatifs à la question des choses équitables. Chapitre XIV Sur les
s hors de cause (οἱ ἄπωθεν, éloignés) sont les plus accrédités en ces questions . Du reste, les plus accrédités sont les témoins a
onne même du plaideur, ou celle de son contradicteur, ou l’affaire en question , ou le caractère moral des intéressés. Aussi comp
lairement de quelle façon il faut présenter les arguments dans chaque question de serment prise isolément, on voit aussi comment
e isolément, on voit aussi comment il faut les présenter lorsque deux questions sont accouplées ; par exemple, si l’on veut bien
et le déférer, et si l’on refuse l’un et l’autre. En effet, les deux questions , ainsi réunies, se composent nécessairement des p
ver qu’il ne donne pas les meilleurs conseils, tout en connaissant la question . Au-delà de ces divisions, il n’y a plus rien. Do
e contre ceux qui nuisent en paroles et manifestent du dédain sur les questions auxquelles on attache la plus sérieuse importance
celles que nous révérons, ou, enfin, vis-à-vis de nous-mêmes dans les questions qui nous font honte. Lorsqu’on nous rabaisse dans
II. Ajoutons-y ceux qui sont disposés à rendre service, soit dans une question d’argent, soit pour sauver quelqu’un. Voilà pourq
mment ne donnent pas un sentiment de crainte ; telle, par exemple, la question de savoir si l’on ne sera pas injuste ou inintell
oyens de salut dans cette expérience. XIX. De même lorsque le fait en question ne donne de crainte ni à nos pareils, ni à nos in
emploi des discours persuasifs a pour objet un jugement, car, sur une question connue et jugée, il n’y a plus besoin de discouri
bsolument parlant, un juge ; et il en est ainsi, soit qu’il y ait une question à débattre, ou un sujet à développer. En effet, i
mises en question dans les débats civils et politiques379 ; car toute question débattue porte soit sur une contestation, soit su
mpossible ; et ils ont à tâcher de montrer : les uns, que la chose en question aura lieu, les autres, qu elle a eu lieu. IV. Ce
aura lieu, les autres, qu elle a eu lieu. IV. Ce n’est pas tout : la question d’importance est un lieu commun à tous les genres
e des arguments contraires à ceux que l’on vient d’expliquer. XVI. La question de savoir si un fait a eu, ou n’a pas eu lieu, do
, si un fait s’est produit qui a lieu, naturellement avant le fait en question , ou à cause de, ce fait : par exemple, s’il a écl
t, si un fait s’est produit qui a lieu naturellement après le fait en question , ou à cause de ce fait, le fait antérieur a dû av
périorité, c’est parler pour ne rien dire ; car, lorsqu’on traite une question , les faits particuliers ont plus de poids que les
igne courbe, mais sur toutes choses relatives à des actions et sur la question de savoir le parti qu’il faut prendre, ou repouss
ne sont pas accompagnées d’épilogue. V. Parmi celles-ci, les unes, la question étant connue d’avance, n’ont, par une conséquence
s ; et sottise, mauvaise éducation à lancer des sentences à propos de questions que l’on ne possède pas, en voici une marque suff
ceux-là tirent leurs arguments de ce qu’ils savent et restent dans la question . Aussi faut-il parler non pas d’après les vraisem
écessaire de posséder dans tous ses détails, ou dans quelques-uns, la question qui s’y rapporte ; car, n’étant en possession d’a
guerres ils ont soutenues, dans quelles conditions, et tant d’autres questions analogues ? VI. Comment faire leur éloge, si nous
n sera de même à propos d’un sujet quelconque ; par exemple, dans une question de justice, (on examinera) si la chose est bonne
importe quel fait, mais de ceux qui se rattachent à chaque affaire en question , et cela avec le secours de la raison, attendu qu
le discours pour la Péparéthienne 424 où il était établi que, sur la question des enfants, les femmes, partout, déterminent la
ieu, c’est, lorsque l’on doit exhorter ou détourner au sujet des deux questions opposées, d’appliquer aux deux questions le lieu
détourner au sujet des deux questions opposées, d’appliquer aux deux questions le lieu dont on vient de parler. Il en diffère en
plus tard sur la meilleure conduite à tenir, tandis qu’auparavant la question était obscure. XXVII. Un autre lieu, c’est, au mo
diteur raisonne à faux sur l’existence ou la non-existence du fait en question , qui ne lui est pas démontré. V. Un autre lieu se
tique que survint la guerre473. IX. Un autre tient à l’omission de la question du moment et des conditions. Exemple : c’est à bo
III Chapitre premier De l’élocution. I. Comme il y a trois questions à traiter en ce qui concerne le discours : premiè
parence. III. D’abord donc on a recherché, suivant l’ordre naturel, —  question qui occupe habituellement la première place — les
second lieu, la manière d’en disposer l’énonciation ; troisièmement, question de la plus haute portée, mais qui n’a pas été tra
, par suite de l’imperfection morale des auditeurs. VI. Ainsi donc la question de l’élocution a un côté quelque peu nécessaire e
. Quelques-uns ont entrepris de traiter en peu de mots cette dernière question (au point de vue oratoire) ; Thrasymaque498, par
le. X. On le voit donc, nous n’avons pas à étudier en détail toute la question de l’élocution, mais seulement l’élocution qui se
du que l’on voit de plus loin les choses et les personnes dont il est question . Mais, dans le discours pur et simple, ces élémen
me que des deux côtés il y a des demandes, c’est là faire la chose en question . Iphicrate disait que Callias était un μητραγύρτη
l’obscurité ; car, s’ils ont affaire à un auditoire au courant de la question , ils dissipent la notion claire en la couvrant de
. II. Il y aura juste proportion si l’on ne parle ni sans art sur des questions d’une haute importance, ni solennellement sur des
t sur des questions d’une haute importance, ni solennellement sur des questions secondaires, et pourvu que l’on n’adapte pas un t
u reste. IV. L’élocution appropriée à la circonstance rend le fait en question probable ; car notre âme se fait alors cette illu
 ; c’est comme si l’on établissait cette distinction que l’une est la question posée, et que l’autre en est la démonstration. II
i il faut inspirer l’idée que le discours va traiter de ces sortes de questions . Maintenant, si l’on veut détourner l’attention,
’un mauvais esprit et prêtant l’oreille à des paroles étrangères à la question . En effet, si l’auditeur n’est pas dans cette dis
, ou de ses contradicteurs, ou si les auditeurs ne supposent pas à la question le degré d’importance qu’on lui donne, mais un de
use, ou enfin que celle-ci n’était pas d’une grande portée, — car ces questions sont autant de matières à débat. Citons, par exem
en montrant combien elle est grave, en alléguant qu’elle déplace les questions , qu’elle ne se fie pas au fait690. Un lieu commun
e : or celle-ci consiste à dire tout ce qui rendra évident le fait en question , ou tout ce qui aura pour résultat d’en faire adm
ive. Mais les discours socratiques en ont, attendu qu’ils traitent de questions qui portent ce caractère. IX. Certaines considéra
que (l’adversaire) a dit le contraire, de façon que l’orateur faisant questions sur questions, il en résulte une absurdité. Exemp
ire) a dit le contraire, de façon que l’orateur faisant questions sur questions , il en résulte une absurdité. Exemple : Périclès
informant sur une première proposition, il ne faut pas que sa seconde question porte sur un point évident, mais qu’il énonce la
e rendre les armes. Il n’est pas possible de faire un grand nombre de questions , à cause de la faiblesse de l’auditeur. Aussi doi
dans sa réponse, avant que l’adversaire ait fait suivre une nouvelle question ou un nouveau raisonnement ; car il n’est pas dif
er. VI. Il faut donner des motifs en manière de conclusion lorsqu’une question implique elle-même une conclusion. Ainsi Sophocle
oi, non : j’ai agi suivant ma conscience. » Il ne faut donc poser de question ni après la conclusion ni comme conclusion, à moi
chose, afin de ne pas laisser ignorer à l’auditeur les détails de la question mise en cause ; tandis que, dans celle-ci, on doi
nouveau discours : « J’ai dit ; vous avez entendu, vous possédez (la question ) ; prononcez722. » 1. Une tradition a régné
ion des passions ». Après avoir donné un historique succinct de cette question si controversée, il rapproche divers passages de
gation des passions » ; il cite Plotin (Sur le beau, ch. v), où cette question est abordée dans l’esprit néo-platonicien, et con
ence de la réalité. » M. Egger a de nouveau traité, en passant, cette question de la catharsis dans la 25e leçon du cours profes
s disons d’une proposition péremptoire : « c’est le dernier mot de la question  ». 201. Cp. Pr. Analyt., fin du livre II. 202.
roprement un procédé d’argumentation commun soit aux trois classes de questions dialectiques, soit aux trois genres de discours (
Callistrate (Hellen., liv. vi). 227. Pindare, Pyth., i, 1. 228. Aux questions autres que celles du bien, ou plutôt du mieux. 2
tyran de Léontium (Ol., ii). Le scoliaste d’Aristote nomme la cité en question  ; d’après lui, ce serait Géla. 281. Cp. Plutarqu
antias élevait des doutes sur sa naissance. 426. On ne sait s’il est question ici de Théodecte, orateur et poète tragique, disc
mère, Iliade, ii, 671. 665. Πρόθεσις, la position préliminaire de la question . 666. Littéralement : « Souffle d’un vent favora
2 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIII. Genre oratoire, ou éloquence. »
oser sa morale divine et son autorité : voilà les grandes et sublimes questions sur lesquelles s’exerce l’éloquence sacrée. Est-i
forces. La parole de Dieu est un glaive qui tranche au vif toutes les questions  ; elle commande aux passions avec autorité ; elle
moyens de persuader, sa diction et son style. S’il s’agit de quelque question importante, d’une circonstance qui intéresse vive
nt d’un coupable ; 3° les mémoires, discours écrits pour éclairer les questions judiciaires ; 4° les rapports, résultats des enqu
Voltaire, le premier, imagina de secouer cet usage, et de traiter une question littéraire ; ce qu’il fit avec son talent habitue
un discours remarquable sur le style : on a vu même de nos jours les questions politiques envahir les paisibles solennités de l’
paisibles solennités de l’Académie. 2° Les éloges historiques et les questions de concours. Les académies proposent, pour le pri
- distingués, des grands hommes dont l’humanité s’honore, ou bien des questions philosophiques, morales, littéraires. C’est une h
3 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
voyé au Recueil de Modèles, surtout pour les grands genres. Certaines questions plus importantes ou plus controversées ont été l’
au poète, la versification, le merveilleux chrétien dans l’épopée, la question des trois unités, les effets des spectacles drama
us avons adopté le système aujourd’hui trop abandonné des demandes ou questions dans le texte, comme plus commode et plus avantag
oétique un peu étendue, nous ferons remarquer qu’un certain nombre de questions moins importantes peuvent être seulement lues ave
it dernièrement un savant et vénérable Prélat, que se résume toute la question de l’avenir. Nous aurons atteint le but que nous
4 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
pécial déterminé par des règles fixes ? Répondre complétement à cette question , ce serait donner la théorie de tous les genres.
ion ou la thèse prévient les objections, répond d’avance à toutes les questions , rend probables les rencontres les plus merveille
ræcipies, esto brevis… Je reviendrai sur la précision, quand il sera question du style. Une seule observation maintenant. Ne vo
tion se manifeste à première vue. En le suivant, vous n’avez que deux questions à vous faire : Tous les détails de la narration o
omis ? Si vous pouvez répondre d’une manière satisfaisante à ces deux questions , le but est atteint ; votre narration ne sera peu
, le tableau terrible du jugement dernier. Vous verrez, quand il sera question des figures, pourquoi de toutes ces formes la pro
5 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
qui prépare l’esprit des auditeurs : il établit ensuite l’état de la question , expose celui des faits, et les appuie de preuves
ours de Cicéron. Le grand point était d’en venir à l’objet même de la question  : que de passions à faire taire, avant de mettre
eux communs qui n’ont pas le moindre rapport avec l’objet dont il est question . Quelque achevés que puissent être ces morceaux,
e sujet du discours, il faut lui indiquer positivement ce dont il est question , et lui faire l’exposé des faits sur lesquels il
dans l’opinion que nous lui avons déjà donnée de la cause ; ou il est question de démontrer la fausseté des faits avancés par la
6 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
rt instructifs. Ils nous disent que le discours a pour objet soit une question indéfinie, sans désignation des temps ni des pers
tion indéfinie, sans désignation des temps ni des personnes, soit une question déterminée par la considération des temps et des
concilier d’abord son auditoire, puis exposer les faits, préciser la question , fortifier ses preuves, réfuter celles de l’adver
rquoi encore avoir établi deux genres de causes : l’un comprenant les questions générales, l’autre les questions déterminées ? Ca
nres de causes : l’un comprenant les questions générales, l’autre les questions déterminées ? Car, comment ne pas voir que toutes
angues : la plume est la meilleure maîtresse de la parole. Prenez une question , non pas une de ces thèses bizarres qu’on donnait
rres qu’on donnait autrefois comme exercice dans les écoles, mais une question pratique, une de celles que les passions et les i
ît le prince et sait qu’à lui seul appartient le droit de trancher la question  ; aussi est-ce à lui seul qu’il s’adresse : « Si
s conflits des intérêts humains ; l’autre, que dans toute affaire les questions particulières peuvent se ramener à une propositio
me défense, et jusqu’où s’étendent les limites de ce droit ? Voilà la question générale dans laquelle peuvent rentrer tous les c
ame bien conduit : vrai drame, en effet, qui a pour unité d’action la question à débattre, pour personnages les idées, pour intr
les dispose dans un ordre si clair, il donne un tour si familier aux questions les plus abstraites, il met tant d’art à dissiper
7 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
gloire, imite la circonspection d’un juge, qui, avant de décider une question de droit, réfléchit longtemps et mûrement sur les
et raisonnable, et qui ne répandent jamais la moindre lumière sur la question agitée. Du dialogue oratoire. On peut donn
tien de deux ou de plusieurs personnes, dans lequel on expose, ou une question qu’on veut discuter et résoudre, ou une vérité qu
t. Il faut qu’ils ne disent rien, qui ne se rapporte entièrement à la question  ; par là, le dialogue sera direct : qu’ils ne fas
8 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
ritures et dans les ouvrages inspirés par le christianisme. Plusieurs questions qui, malgré leur importance, trouvent rarement pl
vons essayé de mettre de l’ordre et de l’exactitude dans l’importante question de l’harmonie mécanique, principalement dans les
et il est dégoûté du livre et de la science. — D’ailleurs, toutes les questions n’ont pas une égale importance ; et nous avons no
9 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
t : cette mince affaire de quelques louis devient par son adresse une question de liberté publique et d’intérêt général. Par des
fichée dans sa perruque ; en frémissant je m’évertue. Il s’élève une question sur la nature des richesses ; et, comme il n’est
prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question . On me dit que, pendant ma retraite économique, i
tros montes ; contre Alonzo Calderon, jeune auteur dramatique. Il est question d’une comédie mort-née, que chacun désavoue et re
, j’y suis grec1 ; je l’extermine. Le comte. Comment juger pareille question  ? Bartholo. Pour la trancher, messieurs, et ne
10 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Beaumarchais 1732-1799 » pp. 199-202
itiers de Paris Duvernez, devint, grâce à son adresse, une importante question de liberté publique et d’intérêt général. Il y tr
fichée dans sa perruque ; en frémissant je m’évertue. Il s’élève une question sur la nature des richesses, et, comme il n’est p
prison, je taille encore ma plume, et demande à chacun de quoi il est question . On me dit que, pendant ma retraite économique, i
11 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
qui nous donne les idées et leur expression, la nature ou l’art ? La question n’est pas d’hier. C’est la même que posait Horace
tilien, ou de tout autre, préface naturelle de tout ouvrage où il est question d’éloquence, et dont plusieurs pages semblent écr
à fond, demanderaient un autre livre tout entier, qu’il n’en est pas question dans celui-ci, et que cet ouvrage est plutôt l’ar
e lui demande plus seulement les règles nécessaires pour discuter les questions politiques, administratives et judiciaires, mais
12 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre premier. Objet du genre judiciaire. »
s est magna tacere, Matho . Quant à l’espèce de verbosité dont il est question ici, les jeunes praticiens peuvent s’en garantir,
ce du barreau. C’est avec la plus grande clarté qu’il faut établir la question , fixer le point de la contestation, ce que l’on a
s’éclaircissent mutuellement, et concourent à présenter l’objet de la question sous un point de vue généralement accessible à to
13 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
rateur toutes les idées générales qui rentrent ordinairement dans les questions particulières. Car, toute cause, quoique d’un int
e est peu propre à l’éloquence sacrée. Ce n’est pas pour discuter une question obscure qu’il monte en chaire, ce n’est pas pour
bien mieux sur quelque point particulier et intéressant d’une grande question , vers lequel l’orateur dirige toute la force de s
endum et maximè spectandum ; car, dans une cause, il peut y avoir des questions accessoires et subordonnées, préalables et prépar
ne constituent pas le point principal de la cause2. Deux espèces de questions . L’état de la cause comprend les questions de fa
cause2. Deux espèces de questions. L’état de la cause comprend les questions de fait et les questions de droit. Question de f
questions. L’état de la cause comprend les questions de fait et les questions de droit. Question de fait. Un vol a été commis
e la cause comprend les questions de fait et les questions de droit. Question de fait. Un vol a été commis ; le particulier ac
; le particulier accusé de ce vol, l’a-t-il commis ou non ? Voilà une question de fait. Question de droit. Dans quelles circon
cusé de ce vol, l’a-t-il commis ou non ? Voilà une question de fait. Question de droit. Dans quelles circonstances la preuve p
témoins peut-elle être admise, ou doit-elle être rejetée ? C’est une question de droit. Il est bon de remarquer que le plus gra
lle est la nature des preuves qui se rattachent à chacune de ces deux questions . Deux espèces de preuves selon les anciens. Les
its analogues, et ne se fondent que sur des rapports avec le point en question  ; ce sont celles que les anciens nomment artifici
de preuves dans toutes les causes. Dans celles où le fait seul est en question , lorsqu’il est établi, la loi prononce. Elle n’es
’est alors appelée dans la discussion que comme conséquence. Dans les questions de droit, la loi vient en preuve lorsqu’il s’agit
it public et dans la morale ; c’est dans ces cas que sont les grandes questions . Des jugemens. Jugemens employés comme m
dans d’autres causes entre d’autres personnes et qui décident la même question . Ceux-ci sont des exemples qui ont plus ou moins
ve s’éloignent du fait contesté, moins elles ont de force, et plus la question reste conjecturale. Les preuves indirectes ne peu
sont dans les personnes ou dans les choses. Il ne se présente aucune question qui ne soit relative aux personnes ou aux choses.
s-mêmes et indépendamment des personnes, trois points peuvent être en question  : La chose est-elle ? quelle est-elle ? de quelle
ontesté, à bien définir les termes, à bien appliquer le principe à la question , et les conséquences au principe ; à rompre les f
c cadence, et présentant un sens parfait au dernier repos. Il en sera question dans la partie de cet ouvrage qui traitera du sty
ra que c’est le chef de l’état. Écoutez l’orateur répondant à la même question  : « Qu’est-ce qu’un roi ? c’est l’oint du Seigne
d’abord ce qu’on veut établir ou contester, et de fixer l’état de la question . De la division. Nous parlerons de la division
c. 2.) L’usage des passions est legitime. Ici il peut s’élever une question importante. Est-il permis à l’orateur qui doit êt
ura quelque chose d’agréable à raconter ; et du second, quand il sera question de lancer quelques traits vifs sur l’adversaire. 
on, seulement il donne quelques explications sur l’un des côtés de la question , et puis il termine par une conclusion simple et
-dire, on le met à portée de s’instruire, en posant bien nettement la question dont il s’agit, et en présentant les diverses fac
ur assentiment. Moyens d’y arriver. Ces moyens sont la position des questions et leur division, l’ordre et la méthode, les repo
que l’art indique comme propre à répandre un plus grand jour sur les questions et à porter plus sûrement la conviction dans les
au sentiment de Quintilien qu’il faut s’en tenir, et que l’état de la question détermine seul la disposition des preuves et la m
oin de la cause. Il est cité par Quintilien en ces termes : « La même question ne se doit pas toujours traiter la première de pa
rent dans la cause de Ctésiphon. L’accusateur commence par traiter la question de droit, comme lui étant plus favorable ; le déf
ous les autres chefs ou presque tous, afin de préparer les juges à la question de droit qu’il réserve pour la fin. En effet, l’u
dre ne peut manquer d’être le plus concluant. Arrangement propre aux questions de droit. C’est aux questions de fait que ces do
lus concluant. Arrangement propre aux questions de droit. C’est aux questions de fait que ces documens conviennent particulière
lièrement, et aux preuves par les indices et les inductions. Dans les questions de droit, où la controverse est toute en doctrine
ue prescrit Cicéron : Thèse, hypothèse. Il distingue deux sortes de questions , l’une qu’il appelle thèse, ou proposition généra
constances. Il veut que l’orateur s’éloigne autant qu’il pourra de la question particulière, et qu’il remonte à la générale ; et
nt n’est pour rien, comme dans les affaires qui ne présentent que des questions de droit, des intérêts purement pécuniaires, la c
séquence d’un raisonnement, qu’elles commencent par la position de la question à juger. Les accusations capitales, devant un jur
Son importance. La narration judiciaire, la seule dont il soit ici question , est l’exposition du fait assorti à l’utilité de
r les faits. Hors ce cas, c’est selon leur relation avec l’état de la question qu’on doit les exposer1. Enfin, la clarté de la d
il peut, en quelque occasion, cesser d’être vrai. Pour prévenir cette question , nous dirons en premier lieu, avec un de nos poët
son objet, ajoute-il, par le nom et l’état des personnes ; s’il y est question d’un crime, d’un fait grave, d’un intérêt public,
ivre immédiatement l’exorde ? Ne nous arrêtons pas à d’aussi frivoles questions . Le besoin de la cause détermine souverainement l
agit purement de l’interprétation d’une clause ; si tout est dans une question de droit ; si le juge connaît déjà le fait par l’
éventions attaquent la cause, si des fins de non-reçevoir forment des questions préalables, et demandent un préliminaire, la narr
iste, nous dit Aristote : 1°. A prouver autre chose que ce qui est en question . Les exemples n’en sont que trop fréquens dans la
versaire, ou ce qu’il ne nie pas, ou ce qui n’a aucun rapport avec la question débattue. La précaution à prendre contre ce sophi
n à prendre contre ce sophisme, c’est de bien déterminer l’état de la question , en évitant l’équivoque dans les mots et dans le
oque dans les mots et dans le sens. 2°. A supposer vrai ce qui est en question . Un exemple très-simple fera sentir quel est le v
tc… ? non sans doute. C’est là poser la question en principe ; car la question est de savoir si la loi elle-même est juste ; et,
se, par nos preuves les plus fortes, ou par les plus faibles ; si une question veut être traitée sans préambule, ou si elle a be
ion, qui plaît sans étonner. Principales divisions de ce livre. Les questions suivantes renferment tout ce que nous avons à dir
s les plus ordinaires d’où résulte un mauvais style ? Telles sont les questions que nous allons traiter successivement ; elles no
re, aut circà stillicidia offici ? (Quint., l. VIII, c. 3.) Dans les questions d’état, dans les causes de mœurs, dans celles qui
ssoires qui peuvent ajouter à l’intérêt du récit. Si l’on discute une question , il est souvent nécessaire de présenter un raison
aire, Dict., phil., au mot force.) Mais elle a lieu surtout dans les questions problématiques, lorsqu’il s’agit de combattre un
s ; par exemple, si l’on disait : « Il n’a pas seulement compris la question , mais il l’a encore parfaitement bien discutée. »
croire qu’il signifie que celui dont on parle n’a pas même compris la question . Pour lever le doute, il faudrait dire : non-seu
our lever le doute, il faudrait dire : non-seulement il a compris la question , mais encore, etc. Les circonstances accessoire
atigue le moins. (Longin, c. 16). Nous pressons un adversaire par des questions entassées dont nous n’avons pas besoin d’attendre
ens propres à nous guider, lorsque nous sommes obligés de traiter des questions imprévues. En quoi consiste l’improvisation. Il
s les parties en sont bien liées, bien suivies ; surtout quand il est question d’un discours, dont souvent l’art se cache à dess
’est-à-dire, l’état de la cause. » (L. III, c. II.) Deux espèces de questions . Question de fait. Question de droit. Deux espèce
, l’état de la cause. » (L. III, c. II.) Deux espèces de questions. Question de fait. Question de droit. Deux espèces de preuv
se. » (L. III, c. II.) Deux espèces de questions. Question de fait. Question de droit. Deux espèces de preuves selon les ancie
r fait le grand orateur. L’usage des passions est legitime. 1. Cette question , qui tient à la morale plutôt qu’à la rhétorique,
e rapport naturel qui existe entre les choses. Arrangement propre aux questions de droit. Thèse, hypothèse. 1. Il est aisé de vo
14 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
rque atteste qu’on appliquait aussi le nom de ϰρούματα aux αὐλήματα. ( Questions symposiaques, II, 4  cf. Pollux, IV, 84.) Voilà p
l’action tragique sur le fond lyrique du dithyrambe. Voy. Plutarque, Questions symposiaques, I, 5  le scholiaste d’Aristophane s
concerne la différence des μέτρα et des μέλη dans la poésie grecque, question pleine d’intérêt, mais aussi de difficultés, sur
15 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
méthode. Nous recommandons aux candidats de s’exercer d’abord sur les questions dont le développement leur est donné par nous. Il
es examens ou proposés par nous, ils embrassent à peu près toutes les questions que les programmes peuvent suggérer aux examinate
. Il est inutile de dire qu’on ne deviendra apte à traiter toutes ces questions qu’à la condition expresse de bien posséder les m
candidats. Ils s’habitueront ainsi à démêler ce qui convient à chaque question , et par là même à réfléchir et à voir clair dans
ernement. On est plus ou moins exigeant selon les candidats, mais les questions sont à peu près les mêmes. Les plans, les dévelop
ssi à l’autre. Il suffit, pour n’en pas douter, de lire seulement les questions qui ont été traitées ici et là. Nous nous sommes
ls veulent bien en profiter ils ne seront pris au dépourvu sur aucune question . F.L — E. P. Baccalauréat de l’enseignement se
n ; on peut croire qu’il en sera de même au Baccalauréat Moderne. Les questions seront, sans doute, peu différentes ; elles porte
On ne saurait donc trop, avant d’écrire, peser tous les termes de la question  ; la réponse à faire y est souvent indiquée. Tout
es et de les disposer dans un ordre logique. On pose ordinairement la question dans un premier paragraphe, on la développe ensui
ractère ; le ton dépend et de l’orateur et de l’auditoire ; c’est une question de bon sens. L’exorde est simple ou solennel, imp
 La fin justifie les moyens. » (Poitiers, juillet 1891.) Discuter la question du duel. Examiner les arguments par lesquels on a
die cruelle, convoqua ses meilleurs amis, et délibéra avec eux sur la question de savoir s’il devait mettre fin à ses souffrance
édé à l’autre ? ou bien l’accord s’est-il fait ? C’est à ces diverses questions que vous répondrez d’une façon suivie, en ne cita
onder une doctrine morale. Vous insisterez sur le côté pratique de la question . La forme doit être vive et animée. (Paris, août 
reste-t-il d’eux et de leur passé ? Vous répondrez sommairement à ces questions sans faire aucun récit historique, en vous tenant
vient grave, élevée, sublime. Elle se plaît à traiter les plus hautes questions de morale et de religion. Bourdaloue et surtout B
ce qu’il gagne par an. – Le savetier s’étonne à bon droit d’une telle question , il ne compte point de cette manière ; Chaque jo
est compris à demi-mot et il passe. Il court de sujet en sujet ; les questions et les répliques l’entraînent souvent où il ne vo
er devant un argument solide. La discussion sera donc une étude de la question proposée, mais cette étude sera beaucoup plus fac
frappée. Si les idées se rencontrent tumultueusement, sans ordre, la question restera toujours dans l’obscurité. Cela arrive lo
par suite toute faculté de se mettre d’accord. Elles oublient même la question , ne pensant qu’à confondre un adversaire qui les
u pour effet que de faire naître la colère des deux adversaires et la question ne sera pas plus avancée qu’au début. En résumé,
e ou du moins avec réflexion et sans idée préconçue la solution d’une question . Dans la dispute, les deux parties se divisent, c
es, se montrer même éclectique, c’est donner son goût personnel et la question reste en suspens. La Bruyère ne semble pas avoir
nds de connaissances qui les mette à même de faire l’historique d’une question littéraire, de présenter une analyse d’auteur, d’
ntifiques, etc. De là deux grandes divisions – deux réponses aux deux questions posées. 1 er Paragraphe. – Mentionner rapidement
ent-elles de l’accuser, comme fait Fontenelle, de méchanceté ? La question est plus ambitieuse qu’elle ne paraît au premier
e idée ? où commence la méchanceté, où finit la franchise ? Voilà des questions qui pourraient donner lieu, avec un peu de bonne
qui ont subi les railleries de Boileau, sont trop intéressés dans la question pour n’être point partiaux. Faut-il donc rester n
xpliquer à Boileau quel tort il leur faisait. Que signifie donc cette question  ? Bien des fois dans son œuvre, Boileau revient s
Êtes-vous pour le Job ? » – « En tenez-vous pour Uranie ? » Voilà la question à la mode : de grâce, prenez garde à votre répons
une signification rigoureuse, leur servent trop souvent à étuder les questions qui leur sont faites. Trop souvent aussi les fait
des aspirantes s’en fient uniquement au sens commun pour répondre aux questions qui leur sont posées. Elles n’ont pas à leur disp
. Le point de vue littéraire a été généralement négligé, et, dans une question qui touchait de si près aux secrets les plus déli
rai corrigé que, sous forme de conseils, donne le maître :   « Cette question , pour être pleinement traitée, devait être prise
emier lieu, à le définir, et quoique cette partie philosophique de la question ait été tantôt trop vite effleurée et résolue à t
sur un des points de la morale pratique, soit qu’elle ait abordé les questions les plus essentielles de la morale générale ou th
valeur des deux opinions opposées, et sans donner elles-mêmes sur la question un avis formel et raisonné. Parmi celles qui ont
rir sa curiosité, ne vous pressez jamais de la satisfaire. Mettez les questions à sa portée et laissez-les lui résoudre. Qu’il ne
le moyen le mieux entendu. A la suite des citations que j’abrège, la question suivante, en trois points était posée : Que faut
’une façon plus piquante, l’inefficacité, la chimère. Sur la dernière question , la réponse aurait été plus catégorique et plus n
econde composition, celle de morale, était celui-ci : « Du danger…… » Question de morale et de pédagogie tout ensemble, question
i : « Du danger…… » Question de morale et de pédagogie tout ensemble, question ouverte à tous et de facile accès, mais qui n’en
aspirantes n’ont pas vu l’objet propre, ni observé les limites de la question  ; aucune même n’a bien sû s’y tenir. Il s’agissai
magination populaire et de concert avec elle. D’autre part, ce que la question visait, c’était ce genre d’archaïsme artificiel,
proché du sujet en venant à la dernière et à la plus intéressante des questions qu’il contient (de l’usage et de l’abus du néolog
contient (de l’usage et de l’abus du néologisme et de l’archaïsme) ; question difficile et délicate. Entre cet esprit de conser
a facilité. Il est vrai que la difficulté du style s’aggrave dans les questions de cette nature, dans ces études d’influences, d’
es hasardées. Seule, une élite trop peu nombreuse a su bien saisir la question , y répondre par des indications de grammaire géné
érature ou de la morale, le tour de celle-ci revenait cette année. La question proposée, si haute et sérieuse qu’elle fût, ne s’
ositions, ou s’est trop mêlé à l’étude directe et bien entendue de la question . Au lieu de s’appliquer uniquement à bien définir
mes qui n’ont pas donné dans ce travers et ont su mieux comprendre la question et s’y tenir, ne se sont pas distinguées autant q
liquer tout d’abord sur des vers de divers caractères le critérium en question , et de voir si, de cette opération, résultait à c
res savent, à l’égard de leurs élèves, en user à propos ; mais ici la question était d’un ordre beaucoup plus élevé : il fallait
evait porter sur la langue, non sur le style de La Fontaine. Les deux questions sont voisines, sans doute, mais différentes. Un c
temps, d’apprécier chez les concurrentes les vues générales, dans les questions de littérature, et les connaissances particulière
citer que ceux-là, – n’avaient pas existé, se sont égarées loin de la question , et n’ont pas vu la portée d’un sujet dont les ap
s déjà eu l’occasion, deux années de suite, de remarquer que, sur les questions de langue française, la préparation des aspirante
éclairer l’histoire de notre langue au xvi e et au xvii e siècle. La question a été bien comprise par la plupart des aspirantes
ment tout ce qu’elle suggère. Nous rappelons à nos aspirantes que les questions de langue et de grammaire veulent être traitées a
n une anecdote d’une authenticité plus que douteuse, à l’époque où la question des doublets venait d’être inscrite au programme
notre langue même, avec les traits essentiels de son vocabulaire. La question de langue française n’avait pas été jusqu’ici aus
anecdotes, sans portée ni conséquence. Ce n’était pas uniquement une question restreinte d’histoire littéraire et une lutte de
les aspirantes à l’agrégation sont beaucoup mieux préparées pour les questions de langue et de grammaire que pour la littérature
ucoup de recherches, qu’on a lu les meilleurs ouvrages concernant ces questions , ou reçu un enseignement très complet et très var
ouver la matière d’observations plus précises. 1° Composition sur une question de littérature. – Il serait aussi injuste qu’invr
rtie, ou l’on étend démesurément le champ qu’on veut parcourir, et la question du goût devient ici tout un cours de littérature.
vec soin l’énoncé, la plupart des aspirantes n’ont pas vu qu’il était question non seulement des auteurs et du goût dont ils fon
a concerne tout autant le public que l’auteur ou l’artiste ; les deux questions sont connexes, et lorsque nous donnons ce sujet à
ule de points, on ne s’arrête à aucun ; on passe parfois à côté de la question sans la voir. On n’avait ni à faire l’histoire de
ectures qu’il faut avoir faites pour bien connaître les alentours des questions littéraires, les biographies des écrivains, l’ana
anda si elle savait coudre. – Expliquer le sens et la portée de cette question . – Quelles qualités l’instruction développe-t-ell
après avoir pris conseil de quelques amis, ont délibéré sur une grave question  : savoir quelle carrière on lui ferait suivre. On
r ne pas être pris en défaut. B. Il faut faire un choix judicieux des questions  – ni trop difficiles, ni trop longues, ni trop pr
précipitées, ni trop nombreuses, etc… C. Il faut nettement poser les questions , bien les circonscrire, de façon à ce qu’elles ne
diquant leurs œuvres les plus célèbres. Il faut traiter une des deux questions d’histoire ancienne, une des deux questions d’his
faut traiter une des deux questions d’histoire ancienne, une des deux questions d’histoire moderne. Mettre au moins la date du si
ls ont aidé à produire. Il suffit de s’en tenir aux termes même de la question posée. PLAN Préambule : Définitions. 1er Paragra
s vivement l’attention. 2e Paragraphe. – Entrée de l’inspecteur. Ses questions . Ce n’est pas là le vrai sujet. Il n’est pas util
? de même que dans un discours il est indispensable de se poser cette question préliminaire : qui parle ? à qui parle-t-il ? De
posséder l’art de conduire un vaisseau au port, il avait envisagé la question sous un tout autre jour. En ce moment, ce n’est p
e barque. L’inexpérience de son conducteur le frappe. Il l’interroge. Questions et réponses. 2e Paragraphe. – Retour brusque de M
erne, sous la rubrique : sciences, etc. Il y a là tout un ensemble de questions qui se tiennent, qui sont intimement liées. Ce qu
mie, leurs mathématiques, fassent grande attention à l’historique des questions , à la cause, à l’occasion, aux circonstances des
e, Méchain, Arago, pour l’exécution. Concours de 1885. Développer la question suivante : L’ambition, qui est une vertu quand el
’un pays. Quand on aime la campagne, on s’intéresse naturellement aux questions multiples que soulève le difficile problème de l’
candidat pourra, au besoin, dire quelque mots sur l’historique de la question et sur l’état actuel des travaux. Concours de
. La solution s’éclaircissait, se simplifiait si l’on se posait cette question  : « Qui se livre au commerce maritime ? » L’impor
ut-il les approuver ? L’utilité des voyages. CONSEILS ET PLAN Quatre questions sont posées. Elles doivent former autant de parag
t. – Que répondriez-vous à un père de famille qui vous adresserait la question suivante : « Désirant que mon fils, qui est enco
non, il y a ici un intérêt vital. Il ne faut pas oublier que c’est la question des langues qui a créé la question des nationalit
l ne faut pas oublier que c’est la question des langues qui a créé la question des nationalités, et c’est le principe des nation
ais assuré. Où peut-on mieux le savoir que dans nos départements ? La question est maintenant nettement posée, je pense. D’une p
itiques élevées contre la colonisation. Les réfuter. Répondre à cette question  : « Le Français est-il colonisateur ? » EXTRA
16 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
isies, on donne à faire des dissertations écrites sur les principales questions que soulève un cours de rhétorique, nous sommes c
professeurs en indiquant les meilleurs auteurs à consulter sur chaque question traitée dans notre Cours élémentaire. Pour expliq
e, pour l’habituer à généraliser les idées, à voir de haut toutes les questions . Quand une fois on y a donné quelque attention, l
Pour ne pas tomber dans ce sophisme, il faut bien fixer l’état de la question et éviter toute équivoque dans le sens des mots.
tition de principe suppose comme certain et déjà prouvé ce qui est en question . À ce sophisme se rapportent une foule de raisonn
le centre du monde, c’est-à-dire en supposant pour vrai ce qui est en question . La pétition de principe prend le nom de cercle v
us prenons une autre chose qui se prouve par celle-là même qui est en question . Ce serait un cercle vicieux que de prouver uniqu
étition de principe ; ou bien enfin l’argument n’a aucun rapport à la question , comme dans l’ignorance du sujet. Ainsi, tantôt o
ans l’ignorance du sujet. Ainsi, tantôt on prouve ce qui n’est pas en question , tantôt on ne prouve rien, tantôt on prouve mal c
uestion, tantôt on ne prouve rien, tantôt on prouve mal ce qui est en question . Puisque l’orateur doit être habile dialecticien,
ette même enceinte, par mon père ; et la conviction que c’est ici une question de vie ou de mort pour la majorité des Français ;
a rouie. Abordez franchement votre sujet et allez droit au cœur de la question . § III. Divers genres d’exorde. 170. Comme
toires. Évitons, dit Quintilien, de vouloir tout dire sur le sujet en question . Celui qui ne veut rien perdre fait croire qu’il
e avant d’initier les jeunes gens à l’étude de l’art oratoire, et ces questions ont été développées dans notre Cours de littératu
bien parler du mystère de la Trinité, n’en disons rien. Il n’est pas question qu’on fasse tout. » 309. L’orateur sacré puisera
eux, la conférence suppose deux interlocuteurs, dont l’un propose des questions ou des doutes sur un sujet dogmatique ou moral, e
yrique36. 343. Le panégyrique chrétien, dont il est ici uniquement question , est un discours exclusivement consacré à la loua
paration du discours. Parler sans avoir fait une étude sérieuse de la question qu’on veut traiter, c’est se condamner à des paro
en de la cause. L’orateur doit connaître tous les points de vue de la question , le fort et le faible des moyens qu’il veut emplo
nt à l’ouverture des états généraux. Alors presque toutes les grandes questions sociales furent agitées : mais les esprits n’étai
guerre d’Amérique et la révolution française soulevèrent une foule de questions de conquête, de justice, d’humanité, et ces quest
nt une foule de questions de conquête, de justice, d’humanité, et ces questions trouvèrent chez nos voisins des orateurs dignes d
us le rapport des sujets, l’orateur politique examine les plus hautes questions de l’ordre social ; l’histoire et la morale lui p
doyers sont les discours que les avocats prononcent pour ou contre la question de droit ou de fait portée devant un tribunal. C’
t le même caractère que chez les Grecs. Souvent même on y souleva des questions plus graves, parce que la puissance de Rome surpa
t parler à l’âme et captiver l’imagination. 407. Les mémoires sur les questions de science, d’art, de littérature, de philosophie
and ! 416. Quand on parle de l’éloquence des historiens, il n’est pas question des discours qu’ils ont insérés dans leurs écrits
ns soudaines du journaliste. Comme la tribune, la presse embrasse les questions religieuses, politiques, sociales, administrative
on ou l’opposition des idées, à marquer avec précision le point d’une question débattue, à démêler avec sagacité les erreurs plu
cissent, à bien définir les termes, à bien appliquer le principe à la question et les conséquences au principe, à rompre les fil
t eu trop à faire depuis qu’il était au monde pour s’occuper de cette question . « Quoi ! reprit douloureusement l’interlocuteur,
ilippe, quel autre que les Athéniens devait le faire ? Cette dernière question , si glorieuse pour Athènes, ne devait-elle pas ac
faut-il pas que l’on passe quelque chose aux malades ? Après tout la question n’est pas de savoir s’il a tort ou s’il a raison.
tout la question n’est pas de savoir s’il a tort ou s’il a raison. La question est de le sauver, par conséquent de se faire écou
, il s’exprime ainsi : « Je ne dirai qu’un mot du rationalisme sur la question qui nous occupe : je n’ai jamais ouï parler d’un
au cœur, il faut avoir soi-même un cœur et s’en servir. Or, c’est une question aujourd’hui de savoir si beaucoup de prédicateurs
-je donc pas ramener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
de vérifier ses calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes questions , des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
rononcé au barreau. On doit en mettre d’abord dans l’exposition de la question , lorsqu’on place en évidence le point qui fait l’
un discours de quelque genre qu’il soit, mais elle fait tout dans ces questions si embrouillées et si épineuses qui s’agitent au
s autres. Le premier qui fut en état de parler répondit à nos tristes questions  : nous nous fîmes raconter sa mort. Il voulait se
17 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
l’Europe. Doué d’une sensibilité irritable qui prenait feu sur toute question , d’une intelligence merveilleuse, mais rapide et
passez point des mois entiers sans leur écrire un mot. Il n’est point question d’écrire des lettres pensées et réfléchies avec s
fléchies avec soin, qui peuvent un peu coûter à la paresse ; il n’est question que de deux ou trois mots d’amitié, et quelques n
les hommes (1753). Ce discours avait été précédé d’un autre sur cette question  : Le progrès des sciences et des arts a-t-il cont
arguments sont très-bons ; mais ils ont trop l’air de n’envisager la question que sous le rapport de l’utile. Or, disons bien h
18 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VIII. » pp. 96-97
Iliade, II, 761) publié par Cramer, Anecdota Oxon., I, p. 278. Sur la question que soulève cette assertion d’Aristote, voy. la n
se préoccupe de l’unité épique et de l’autorité d’Aristote sur cette question . C’est quelque chose de fort semblable aux scrupu
19 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88
 256.) — Nos critiques français sont bien autrement scrupuleux sur la question des unités, et il est curieux de voir comment la
p. 111)  un peu plus haut, il discute sérieusement s’il ne serait pas question dans Aristote d’un jour polaire. La traduction de
ur l’esprit du spectateur. Corneille, qui s’est tant préoccupé de ces questions , est, au témoignage de d’Aubignac, le premier poë
20 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47
s jeunes gens dont elle flatte les caprices et l’irréflexion. Non, la question du choix du sujet n’est pas interdite à la critiq
mot ? Comment finira tout cela ? par quels moyens s’en tireront-ils ? Questions secondaires dans les œuvres de l’intelligence, pa
ous ne manquez pas de talent, mais vous n’êtes pas à la hauteur de la question que vous avez traitée. Un sujet moins élevé eût é
21 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
avons essayé de résumer en un petit nombre de pages les réponses aux questions du programme officiel ci-dessous, où rentrent tou
pouvait, malgré le mérite des travaux antérieurs, traiter encore ces questions si difficiles et si importantes pour l’éducation
ingt ans d’enseignement de la Rhétorique, en ramenant constamment ces questions sous nos yeux, nous ont montré combien nos élèves
ent l’élève aux leçons des maîtres et aux études de la classe. A. D. Questions du programme du 30 août 1852, paragraphe xx, Noti
élémentaires de littérature, qu’il résumera à la fin du cours par les questions suivantes : 1. En quoi la poésie diffère de la ve
t un tribunal, l’avocat prouve le juste et l’injuste ; il discute une question de droit ; il poursuit la punition d’un crime : i
vention oratoire ; nous retrouverons la Disposition dans la cinquième question du programme, et l’Élocution dans la septième. 2°
ition. — La définition est tirée du sujet même ; car elle explique la question tout entière, et persuade en déterminant le sens
ppelle ainsi la preuve tirée de la comparaison du sujet ou du fait en question avec la personne, le lieu, le temps, les motifs,
ni. La lecture des grands maîtres est le meilleur développement d’une question aussi vaste. Essayerons-nous de choisir dans les
ourdaloue, Massillon : l’orateur se proposa d’instruire, et, dans des questions de dogme ou de morale, il a besoin de s’assurer c
sujet (qui pro quo). Ce sophisme ou paralogisme consiste à fausser la question en démontrant ce qui n’est pas contesté, ou ce qu
surtout et l’esprit et la science. Clitandre y répond en divisant la question . Cette vérité veut quelque adoucissement ; Je m’e
monde et dans la conversation. Il consiste à donner pour solution la question elle-même, à définir un objet par le terme qui a
la vérité d’une analyse, d’une énumération où certaines parties de la question ont été omises. Le brillant dilemme du vieil Hora
ffaires. Buffon, dans son Discours sur le style, avait déjà résolu la question qui nous occupe. Salué avec admiration par ses co
es antiques d’où elle est sortie. Par une controverse assidue sur des questions de métaphysique, ces pieux solitaires firent entr
lamation. 1° Interrogation. — Elle prend l’auditeur à partie par des questions vives et pressantes ; elle traduit et communique
rogation se rattache la Subjection, par laquelle l’orateur se fait la question à lui-même, et se charge d’y répondre. « Que res
22 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
cer un tableau rapide, de s’abandonner à un sentiment, dans certaines questions même politiques ou judiciaires, il arrive quelque
èces du procès, puis dans les livres où sont traitées ex professo les questions de droit qui se rattachent à sa cause, et dans le
autorités, proverbes même12. A la chambre comme au barreau, dans les questions philosophiques ou dans la critique littéraire, eu
Comparez à ce morceau celui où Voltaire, dans Brutus, traite la même question par la bouche du courtisan Aruns. Rien de plus ut
23 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
e les dispositions à inspirer aux auditeurs ou aux lecteurs. Dans les questions variées, difficiles, que l’on ne peut résoudre sa
roposition dans la Milonienne, où il fixe bien nettement l’état de la question . Il ne dédaigne pas la division dans les discours
intéressante, l’auditeur bien disposé et impatient de voir aborder la question  ; dans l’un et l’autre cas, Cicéron supprime l’ex
l’avocat, dans le De Oratore : « Si vous poursuivez trop vivement une question , ayez l’air d’agir à regret et par devoir ; que t
24 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE II. Du choix et de la délicatesse des expressions. » pp. 9-77
istributifs. Ceux-ci servent à unir ou à distribuer, et répondent aux questions combien à la fois, combien à chacun ; ils se trad
prosperè tibi successerit. X Ces locutions françaises : il est question de, il s’agit de, se rendent bien en latin de la
y rétablir sa santé. Le gérondif en do figure comme ablatif : 1° A la question undè, avec les prépositions à ou ab, è ou ex. Ex.
Cic. La vieillesse empêche l’homme de vaquer à ses affaires. 2° A la question ubi, le gérondif en do se met à l’ab'atif sans pr
la préposition in, quand il exprime un rapport d’union et répond à la question en quoi. Ex. : Is fuit mediocris in dicendo, doct
épositions les plus usitées sont celles qui répondent directement aux questions de lieu. Il importe donc de bien saisir le sens d
ne manière convenable. I La préposition è ou ex, qui répond à la question undè, exprime un rapport d’extraction, de séparat
à l’improviste. V La préposition à ou ab, qui répond aussi à la question undè, exprime un rapport d’éloignement, et se dit
l’accusatif, tantôt avec l’ablatif. In avec l’accusatif répond à la question quò, et désigne physiquement le lieu où l’on va,
ttendre d’heure en heure, etc. X In avec l’ablatif répond à la question ubi, et sert à désigner le lieu où l’on est, l’ét
int de prendre la ville. XII La préposition ad, qui répond à la question quò, exprime un mouvement, une tendance vers, qu’
25 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIV. » pp. 128-130
te si nous le comprenons si difficilement aujourd’hui. Voyez, sur les questions que soulève ce texte, les auteurs cités plus haut
connaissance d’Ulysse par Euryclée, supposait qu’il pouvait bien être question d’une pièce de Sophocle, intitulée aussi Νίπτρα. 
26 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
ture. Cf. Plutarque, De la Manière d’entendre les poëtes, ch. III, et Questions symposiaques, V, 1. Qu’à un faible degré.] Έπì βρ
ique, p. 177. — « Aristote ne juge point à propos d’entrer dans cette question , que peut-être il traitait dans ce que nous avons
27 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXV. » pp. 131-134
s.] Cf. Iliade, X, 84 et le scholiaste. Verse du vin.] Cf. Plutarque, Questions symposiaques, V, 4. Tous est ici par métaphore.]
n lit οὐ, négation. Empédocle.] Voy. Athénée, x, p. 424 A  Plutarque, Questions symposiaques, V, 4  Simplicius, sur Aristote, Du
28 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mirabeau, 1749-1791 » pp. 368-376
je donc vous ramener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
’en vérifier les calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes questions , des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
nt : « Dès qu’il aborde le débat, dès qu’il entre dans le cœur de la question , il est substantiel, nerveux, logicien autant que
29 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
s et obligatione legis naturæ. Cette thèse renferme, sur cette grande question , une discussion profonde et très judicieuse ; ell
e anglaise, l’habitude de traiter avec méthode et avec simplicité les questions les plus difficiles de la philosophie et de la li
ittérateurs de son temps, quelle que fût leur manière de voir dans la question qu’il traitait. Cette dissertation lui fit beauco
a émises sur tant d’auteurs différents, sur un aussi grand nombre de questions littéraires. Les goûts et les sentiments doivent
ts d’éducation libérale. Cependant je n’ignore pas que, lorsqu’il est question de l’art de parler et d’écrire, des préjugés sont
réable impression des beautés de la nature et de l’art. » La première question qui se présente est de savoir si le goût doit êtr
, juge du rapport des moyens au but qu’on se propose, je crois que la question sera facile à résoudre ; car il est évident que l
bien haut les compositions dramatiques de Suckling et d’Etheridge. La question consiste à savoir ce que nous devons conclure d’e
a seule raison que cela plaît ? Tel est véritablement l’état de cette question à la fois délicate et subtile : nous allons passe
amner les autres. Il n’en est pas, en matière de goût, comme dans les questions de pur raisonnement, où il n’y a qu’un parti à pr
ce qui peut seul nous faire connaître le beau dans les arts, il n’est question que des hommes placés dans une situation favorabl
et précis. Trouverait-on un principe qui fût applicable à toutes les questions de logique et de philosophie sur lesquelles les h
e les objets qui la produisent soient bien différents. Ici s’élève la question de savoir s’il nous est donné de découvrir, dans
être considérées comme la base du sublime, que tout ce dont il a été question jusqu’ici. J’ai toujours remarqué que dans tout c
tre point dans notre sujet d’examiner, et ce n’est pas d’ailleurs une question facile à résoudre. Il est certain et reconnu que
demandait à quelle classe des plaisirs du goût, dont il vient d’être question , appartient le plaisir que nous procurent la poés
héâtrale, et jamais il ne nous viendrait à l’esprit qu’il puisse être question des descriptions de l’Iliade. Je conviens néanmoi
anciens philosophes stoïciens et platoniciens agitaient souvent cette question  : Utrum nomina rerum sint natura an impositione 
prendre quelques passages des auteurs classiques dans lesquels il est question des harangues publiques, ou de l’exercice de l’ar
cienne que la prose. Je trouverai l’occasion de discuter à fond cette question , lorsque je traiterai de la nature et de l’origin
ots, le premier qu’il prononcera sans doute sera le nom de l’objet en question . Il ne dira pas, selon la construction de notre l
i ingénieuse qu’utile, en spécifiant l’objet individuel dont il était question par le moyen de cette partie du discours que nous
Êtes-vous un roi ?] Are you the king ? [Êtes-vous le roi ?] sont des questions bien éloignées d’être identiques, et qui cependan
ingue les substantifs en singuliers et en pluriels, suivant qu’il est question d’un ou de plusieurs individus ; division établie
quelque analogie avec la déclinaison dans les langues anciennes. Deux questions se présentent à ce sujet. D’abord, laquelle de ce
énieuse dissertation sur la formation des langues. Quant à la seconde question , qui consiste à savoir laquelle des deux méthodes
ère les personnes dont on a parlé précédemment, et dont il n’est plus question . Tous les idiomes sont susceptibles d’offrir des
période. Tel est, dans son discours pro Milone, ce passage, où il est question du complot qu’avait formé Clodius pour assassiner
de sa tragédie de Henri V, en renferment une bien choquante : il est question d’un fumier ; le poète tire une métaphore de la v
able, qui a des qualités analogues à celui dont il était premièrement question , et auquel on l’associe ; en sorte que, sans cett
t très souvent servi avec beaucoup de succès de celle dont il est ici question . Ainsi dans son petit poème de la Boucle de cheve
L’interrogation, littéralement parlant, ne consiste qu’à adresser une question  ; mais lorsque les hommes sont animés par quelque
» Tout ceci, sans interrogation, n’eût produit aucun effet ; mais ces questions rapides et pressantes réveillent les auditeurs et
sorte de sujets. Une lettre familière, un mémoire à consulter sur la question la plus aride, peuvent être écrits en style poli
nous offre le modèle. (Trad. de Daru.) La simplicité dont il est ici question , est, par exemple, celle du plan d’une tragédie,
us fréquent des beautés du langage. Cette simplicité, dont il est ici question , n’est pas opposée aux ornements, mais à l’affect
donner une idée plus juste de l’espèce de simplicité dont il est ici question . Il est à remarquer que c’est dans les auteurs le
e son auditoire à entendre toute la vérité, et aborde sur-le-champ la question . La supériorité de Démosthène est surtout évident
et bien précise du caractère qui lui est propre. Laissons de côté la question de savoir lequel de ces trois genres d’éloquence
qu’on ne le croit ; et dans maintes affaires, un homme qui discute la question simplement et sans art sera généralement bien plu
ns, je le sais, pour s’habituer à manier la parole, prennent dans une question le côté qui leur semble le plus faible, pour voir
t il leur ferait beaucoup plus d’honneur de choisir toujours dans une question le côté vers lequel ils penchent davantage, et de
pposé à leur conviction. Dans ces sociétés où l’on ne s’occupe que de questions imaginaires, quelque importante ou quelque futile
es, quelque importante ou quelque futile que puisse être l’une de ces questions , un jeune homme en les traitant a toujours beauco
e s’écarter ; elles remettent sans cesse sous les yeux le sujet de la question , et sont d’un grand secours pour donner aux pensé
ridicules que de mettre une grande véhémence dans la discussion d’une question peu importante, ou qui, par sa nature, doit être
et non pour un vain déclamateur. L’on ne discutera que le côté de la question qu’on aura jugé le meilleur, et l’on n’exprimera
ns plus étourdis de mille propos frivoles. Car enfin il n’est pas ici question de deviner ce qui peut-être arrivera, mais de vou
qui ne convient qu’à la tribune. Enfin, la nature et la conduite des questions discutées au barreau exigent une espèce d’éloquen
ention des auditeurs ; au lieu que la sécheresse et la difficulté des questions qui se discutent au barreau exigent tous les effo
rononcé au barreau. On doit en mettre d’abord dans l’exposition de la question , lorsqu’on place en évidence le point qui fait l’
discours, de quelque genre qu’il soit ; mais elle fait tout dans ces questions si embrouillées et si épineuses qui s’agitent au
e plus de développement que partout ailleurs. Car à la tribune, où la question discutée est le plus souvent très simple, les arg
ont d’autant plus forts qu’ils sont plus concis. Mais l’obscurité des questions de droit exige presque toujours que pour être bie
endre des causes évidemment odieuses et injustes. S’ils défendent une question douteuse, ils la soutiendront de tous les raisonn
aient prononcé la condamnation de son client. Enfin Cicéron aborde la question de droit. Avoir corrompu des juges était un crime
l doivent tendre tous ses efforts. Ce n’est pas pour discuter quelque question obscure qu’il monte en chaire, ce n’est pas pour
bien mieux sur quelque point particulier et intéressant d’une grande question , vers lequel l’orateur dirige toute la force de s
de briller, et en même temps annoncent un esprit stérile. Quant à la question de savoir si l’on doit écrire un sermon tout enti
mais seulement donner quelques explications sur l’un des côtés de la question , et puis terminer. Cependant, comme toutes entren
de division convient le mieux sont les sermons ; mais l’on a agité la question de savoir si la méthode de présenter d’avance les
événements, par des aventures inouïes ; il ne s’exerce point sur les questions douteuses ; il ne fait point valoir les violentes
30 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
cipe sûr. Quand un nom substantif, que de précède, peut répondre à la question qui ? ou quoi ? il est en régime simple ; et de e
ple ; et de est alors particule. Quand ce même nom peut répondre à la question de qui ? ou de quoi ? il est en régime composé ;
s la nouvelle édition de sa Grammaire (1786), touche légèrement cette question , pag. 123 ; et il tranche la difficulté, en disan
ors mettre ces noms au singulier, ou au pluriel ? Pour résoudre cette question , j’adopterai bien volontiers la distinction que f
e plus ingrats. On voit ici que l’ingratitude des hommes, dont il est question , n’est point comparée à celle de quelques autres
s plus habiles politiques ont établi la balance de l’Europe. Il n’est question ici que d’un seul de ces personnages, chacun dans
effet, demander, que cherche l’impie ? la paix ? Il n’en est pas ici question  ; il s’agit de nulle paix. L’impie cherche donc,
invariable, qui répand la plus vive et la plus pure lumière sur cette question de notre grammaire, qu’on regardait autrefois com
e genre ni le nombre. Mais pour ne pas m’appesantir davantage sur une question , qui, d’après le principe établi, et d’après la s
es phrases suivantes sont correctes. = Les savants ayant décidé cette question , il serait hors de propos de s’y arrêter davantag
31 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440
tre, est la tante de Joas. 1. Pour rassurez-vous. 2. Elle répète la question , pour se donner le temps de réfléchir, dans le tr
ma mère m’ont abandonné. » (Ps. xxvi, v. 10.) 4. Athalie conduit ses questions avec une habileté très-sûre. Elle serait un excel
de la simplicité et de l’innocence contre la perfidie et la ruse des questions insidieuses que déjone de cet enfant. 5. Le char
politesse ont-ils mieux couvert les emportements du despotisme ? 3. Question sinistre. 4. Il sait tout, il voit tout. 5. C’e
32 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
nyme les Lettres Persanes (1721) où il se jouait autour d’importantes questions , et le Temple de Gnide (1725), erreur d’un génie
et si je sens que je suis écouté, il me semble dès lors que toute la question s’évanouit devant moi ; plusieurs traces se révei
ngère, et je n’y connais personne. Bien des gens me font de pareilles questions  ; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tou
s un homme bien content de lui. Dans un quart d’heure il décida trois questions de morale, quatre problèmes historiques, et cinq
33 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
pour la vertu, châtiment pour le crime, ut bono bene, malo male sit. Question oiseuse, ce me semble. Que le dénoûment soit heur
cette grande circonstance, l’homme excitait aussi puissamment que la question même l’attention et les sympathies de l’assemblée
tracées par la raison et les rhéteurs. 60. Aristote a traité celle question dans la Poétique. 61. Remarques sur le discours
34 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
lent d’effroi de se voir accouplés. Les figures dont il vient d’être question expriment, comme vous voyez, une opposition réell
r l’interrogation. Mais quand plus tard Clytemnestre le presse de ces questions redoublées : Pourquoi feindre à nos yeux une fau
mps couverts de morts, et qu’il n’y a point de réponse possible à ses questions . Il y a figure quand Massillon, dans le Sermon su
35 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
t on devient orateur. » Mais comment le devient-on ? IV Cette question est si importante que, ne me sentant pas les forc
: des discussions sur des points de droit, des improvisations sur des questions générales ayant trait à la politique, à la morale
ur si les occasions vous manquent et si vous n’avez à plaider que des questions de mur mitoyen ; mais, quand vous aurez acquis un
36 (1839) Manuel pratique de rhétorique
l clair ? est-il pur ?   Ici c’est au professeur à provoquer, par ses questions , de la part de son élève, l’examen de la propriét
oquence est dans l’âme ; mais il ne le sera qu’un instant. Mais si la question à traiter est difficile ; si les esprits des audi
et le blâme ou la louange ; le délibératif, dans lequel on traite des questions d’intérêt public ; le genre judiciaire, qui compr
nt facilement aux deux autres, sauf quelques légères modifications. Questions . Par quoi tout Traité doit-il commencer ? — Qu
rconstances. Elle a lieu surtout dans le genre judiciaire, lorsque la question roule sur un fait. Un fait n’existe qu’avec des c
la manière de conduire les passions avec discernement et justesse. Questions . Qu’est-ce que l’Invention ? — Par quoi l’audi
tenue. Mais la meilleure manière est d’établir nettement l’état de la question . Par là même qu’on aura excité la bienveillance e
personne agréable et son sujet intéressant. D’après cela, la deuxième question n’est pas difficile à résoudre. L’exorde est-il n
t il faut les présenter dans leur plus beau jour. Mais il est surtout question de la narration judiciaire, qui est la plus diffi
enre ; elle est presque autant en récapitulation qu’en mouvements. Questions . Qu’est-ce que la disposition oratoire ? — Dan
la forme d’interrogations suivies de réponses. Ainsi rapprochée de la question la réponse a quelque chose de plus pressant. Cicé
ar le droit. » Ici la subjection a pour but de préciser l’état de la question en écartant ce qui est étranger. La seconde fois
actérisées en deux mots : Abrupta et præcisa undique oratio. Questions . Quelle partie de la Rhétorique constitue, à p
37 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
élibératif s'occupe des discours qui ont pour objet la décision d'une question importante : l'orateur conseille ou dissuade ; il
rs de la tribune politique, etc. Le genre judiciaire a pour objet les questions de fait ou de droit portées devant les tribunaux 
ux arguments dont il tire des conséquences pour prouver ce qui est en question . Ces arguments sont : le syllogisme, l'enthymème,
sont des sources où l'orateur peut puiser pour prouver ce qui est en question . Il y a deux sortes de lieux communs : les lieux
de principe, qui consiste à répondre la même chose que ce qui est en question , mais en termes différents. La confusion de la ca
tre principales : 1° L'interrogation, par laquelle l'orateur fait des questions à son adversaire, non pour le porter à y répondre
nterroge lui-même ou interroge ses auditeurs, et répond à ses propres questions . Cicéron, dans la cause de Gracchus, dit : Miséra
rphelin. La construction grammaticale demandait lui, parce qu'il est question du peuple ; mais, plein de son idée, le poëte n'a
res et le discours familier peuvent se passer de gestes. Série de questions Pour les examens. Qu'est-ce que la rhéto
38 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
espèces principales : la loi, les titres, la renommée, le serment, la question 9, les témoins, tous moyens placés hors de la cau
’un frein et d’une règle qui la fixe. Que de vaines disputes, que de questions sans fin, que d’opinions différentes ont partagé
nés qu’à amuser le loisir des écoles et la vanité des sophistes ; des questions oiseuses où l’on ne s’intéressait pas pour le fon
s, on demande ou l’on défend. L’avocat qui demande établit d’abord la question , ou constate le fait selon la nature de la cause.
mencement de ce discours ; elles établissent nettement le point de la question et expriment d’ailleurs des pensées dont la vérit
jets indiqués par les académies ont aujourd’hui pour objet tantôt des questions philosophiques ou littéraires, tantôt l’éloge des
gures, lieu cité. 8. Petit traité des figures, § 33, p. 114. 9. La question consistait dans les tortures que l’on faisait sub
39 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
oints généraux de législation. Dans les républiques anciennes, où les questions civiles et politiques se traitaient devant le peu
du barreau, discute le juste et l’injuste, et a pour objet toutes les questions de fait, de droit ou de nom, portées devant les t
m, portées devant les tribunaux. Milon a-t-il tué Clodius ? Voilà une question de fait ; il faut l’éclaircir. Milon avoue qu’il
vait défendre autrement ses jours attaqués par son ennemi : c’est une question de droit. Telle démarche d’un soldat est-elle dés
marche d’un soldat est-elle désertion ? ne l’est-elle pas ? c’est une question de nom7. Il s’agit toujours ici d’un tort, ou rée
. La division des trois genres de causes, et celle des trois états de question dans le genre judiciaire, ont été combattues par
rités écrites), la renommée, le serment, les témoins, et autrefois la question . Le serment, les aveux tirés par les tourments da
de parjure. (Cicer., pro Rabirio Postumo, c. 13.) L’aveu tiré par la question est l’aveu de la douleur plutôt que celui de la c
, de la vertu. Soit qu’il défende les accusés, qu’il délibère sur les questions importantes, ou qu’il célèbre les grands hommes,
nts ; ils sont le plus souvent étrangers à la cause et au point de la question qu’on veut connaître avant tout. Mais, une fois q
er son esprit, et de lui présenter sous un jour lumineux l’état de la question . « L’auditeur, dit Cicéron55, trouvera de la faci
dessein du discours65. Il faut donc tirer l’exorde du fond même de la question , puisqu’il est fait pour y préparer ; autrement,
int que est à juger (τὸ κρινόμενον), ou ce qui détermine l’état de la question . Ainsi : « Je ne vous dirai point, juges, que la
les rhéteurs ; mais il faut avouer qu’une connaissance profonde de la question , et surtout le bon droit, seront toujours des moy
e fausses conséquences. S’il a prouvé autre chose que ce qui était en question , s’il a abusé de l’ambiguïté des termes, s’il a t
les, ou incroyables, ou contradictoires, où étrangères à l’état de la question . Dans la preuve, quand on veut faire valoir de fa
son adversaire, ou ce qu’il ne nie point, ou ce qui est étranger à la question . Les exemples n’en sont que trop fréquents dans l
n à prendre contre ce sophisme, c’est de bien déterminer l’état de la question en évitant l’équivoque dans les mots et dans le s
. C’est répondre en termes différents la même chose que ce qui est en question . Molière fait demander à son Malade, qui aspire a
e de pétition de principe, lorsque, pour prouver une chose qui est en question , nous nous servons d’une autre chose dont la preu
s d’une autre chose dont la preuve dépend de celle-là même qui est en question . À ce sophisme on peut rapporter aussi tous les r
ation (ἀνακεφαλαίωσις, enumeratio) est indispensable dans les grandes questions , qui, par l’étendue et la diversité des objets et
e contraire, et c’est toujours lui qu’il faut croire dans ces grandes questions d’éloquence et de goût ; car les autres rhéteurs
ens ; faire parler les choses inanimées ; distraire les esprits de la question  ; exciter souvent la gaieté et le rire ; aller au
ait et de chaque détail : avez-vous à raconter quelques discours, des questions , des réponses, des exclamations, exprimez par vot
es thèses générales, et agitèrent le pour et le contre sur toutes les questions  ; ils embrassèrent ainsi tous les objets sur lesq
, c’est à nous, oui, c’est à nous qu’appartiennent toutes ces grandes questions que des spéculateurs oisifs, nous voyant distrait
éteurs grecs, fiers de ce titre, se remirent à parler de tout, et les questions les plus difficiles et les plus austères furent q
nnu à l’armée, occupé des travaux les plus pénibles, et se dérobe aux questions et à la curiosité des soldats. Il semble animé d’
r la Rhétorique à Herennius. 6. Fénelon. 7. Sur les trois sortes de questions , qu’on nomme aussi conjecturale, légale et juridi
diteur à portée de s’instruire, éclairer son esprit en établissant la question , le préparer à tous les développements qui doiven
40 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre V. De l’Éloquence politique chez les Français. »
divers parlements, et quelques écrits éloquents où l’on discutait des questions de politique, nous n’avions absolument rien en ce
il avait été plus longtemps comprimé. On sent bien qu’il ne peut être question ici d’opinions jugées, ni d’hommes mis à leur pla
41 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
proche de pédantisme, affectent le langage badin dans les plus graves questions , croient de bon ton de traiter toutes choses d’un
t les Verrines, de nos grands orateurs parlementaires dans les hautes questions politiques et surtout personnelles, les trois der
raîner un homme de génie. Il est vrai que le ministre dont il est ici question ressemblait à l’Alidor de Boileau : Je l’ai conn
42 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
xvie  siècle, elle a produit, dans tous les genres et sur toutes les questions , des discussions on ne peut plus remarquables. Po
elle dialogue philosophique ou oratoire, dans lequel on expose ou une question qu’on veut discuter et résoudre, ou une vérité qu
nt. Il faut qu’ils ne disent rien qui ne se rapporte directement à la question  : par là, le dialogue sera direct ; qu’ils ne fas
43 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
sseau, autant et plus même que ceux dont il se sépare, porte dans les questions politiques cet esprit de pure logique et de déduc
u, de l’âme qu’elle agitait. Descartes s’était fort peu préoccupé des questions de l’ordre moral et social. Ses disciples ou succ
’achève au début de notre siècle. L’application de la philosophie aux questions de droit public est donc, on peut le dire, le gén
ment féodal, mais qui, l’un des premiers, tente d’éclaircir l’obscure question des origines de la monarchie française ; l’abbé D
me siècle, que, contradicteur violent du dix septième siècle dans les questions religieuses et morales, il en reste souvent le fi
nte et les pressentiments qu’elle inspire ; le second, par toutes les questions qu’elle soulève, et dont elle saisit la conscienc
 ? Sa philosophie avait-elle résolu ou simplement supprimé les hautes questions qui sont le tourment de l’âme humaine et le signe
ains d’un seul, cet homme eût-il au front la marque du génie. Mais la question politique ne conduirait-elle pas bientôt à d’autr
besoin de logique absolue qui est un trait de l’esprit français, les questions sociales n’allaient-elles pas se mêler aux questi
it français, les questions sociales n’allaient-elles pas se mêler aux questions politiques, les étendre, les compliquer, les obsc
littérature au dix-neuvième siècle : la place considérable donnée aux questions de doctrine et de système, la prédominance de l’i
e l’ordre spéculatif et de l’ordre pratique. Elle reprend les grandes questions métaphysiques que le dix-huitième siècle avait la
a philosophie allemande. D’autre part, si elle n’abandonne aucune des questions sociales que le dix-huitième siècle avait soulevé
avec audace, et sans craindre de faire éclater son cadre naturel, des questions politiques, morales et sociales. Est-il nécessair
ire quelques-uns des principaux rapports que l’étude découvrirait, la question morale réservée, entre le talent de Balzac et ses
is on ne s’est pas expliqué34. » On s’est même si peu expliqué que la question du romantisme s’est éteinte, et que ce romantisme
ligne de partage justifiée par de réelles oppositions ? C’est là une question délicate, et qu’il est prudent de réserver. « Les
qu’il ne faut point disputer des goûts, et on a raison quand il n’est question que du goût sensuel, de la répugnance qu’on a pou
e passez pas des mois entiers sans leur écrire un mot. Il n’est point question d’écrire des lettres pensées et réfléchies avec s
fléchies avec soin, qui peuvent un peu coûter à la paresse ; il n’est question que de deux ou trois mots d’amitié ; et quelques
Paris à Vincennes, il prend le Mercure de France, et tombe sur cette question proposée par l’Académie de Dijon : a Si le progrè
. Quelques années plus tard (1753), Rousseau répondait à une nouvelle question proposée par l’Académie de Dijon sur l’Origine de
inévitables dans tout système dont l’homme fait partie ; et alors la question n’est point pourquoi l’homme n’est pas parfaiteme
s à quelque instant particulier de sa durée, ce qui montre combien la question de la Providence tient à celle de l’immortalité d
immortalité de l’âme, que j’ai le bonheur de croire. Si je ramène ces questions diverses à leur principe commun, il me semble qu’
rrais-je oublier la noblesse et le charme de ta parole, lorsqu’il est question d’éloquence ? Né pour cultiver la sagesse et l’hu
de la justice, a l’art enfin de transformer une affaire privée en une question de liberté publique. En 1787 Beaumarchais eut enc
-je donc pas ramener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
de vérifier ses calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes questions , des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
ns. On dirait qu’on ne peut, sans crime, avoir deux avis dans une des questions les plus délicates et les plus difficiles de l’or
la Langue française. L’Académie de Berlin avait mis au concours cette question  : « Qu’est-ce qui a rendu la langue française uni
visible sur la terre ? Le livre du Pape (1819) est la réponse à cette question , Le sujet traité dans les Soirées de Saint-Péters
es esprits ou à les corrompre ? fera-t-il du bien ou du mal ? Grandes questions que se faisaient nos devanciers ! Nous demandons 
e lumière qui éclaire à la fois dans toute chose les deux côtés de la question . Quand il s’agit de penser, rien ne l’arrête : ni
à comme il me consolait. « Monsieur, lui dis-je, de grâce, encore une question . — Deux, me dit-il, et plus, et tant qu’il vous p
quatre heures et demie, qui, je crois, vont sonner. — Bien, voici ma question . Si, au lieu de ce pamphlet sur la souscription d
un temps, en aucun pays, la raison humaine n’a varié sur l’importante question de l’existence d’un premier Être. Les plus forts
ment légal. Avant que ses conseils prissent la parole pour traiter la question de droit, Strafford résuma sa défense ; il parla
oint les conseils de Strafford, et tel était l’emportement, qu’il fut question de mander à la barre et do punir « ces avocats in
élation et l’éternité ; et, comme il n’y avait jamais eu de pareilles questions agitées dans la tribune antique, jamais on n’avai
s actions, soit des individus soit des sociétés ? Il s’agit ici d’une question de fait : voyons donc ce qui se passe dans la con
Lettre sur l’Histoire de France qu’il posa nettement les termes de la question . Pourquoi entre les diverses classes de la sociét
ures ? Les historiens des deux derniers siècles qui avaient étudié la question des origines françaises n’avaient montré, selon A
lus encore que résolu dans ses Lettres sur l’Histoire de France cette question des origines, à laquelle il devait revenir dans l
lle rencontre, au triomphe de l’ordre universel. Très réservé sur les questions de métaphysique, Jouffroy abordait cependant avec
ons de métaphysique, Jouffroy abordait cependant avec prédilection la question de la spiritualité de l’âme, et lui donnait une s
croyances les plus intimes, s’élève inévitablement cette mélancolique question  : Pourquoi donc l’homme a-t-il été mis en ce mond
eurs de la vie que de celle de ses misères. Ce sont là deux cas où la question se pose ; ce ne sont pas les seuls. Dans le sein
onheurs, qui aboutissent invariablement au dégoût ; et alors aussi la question de savoir ce qu’il est et ce qu’il fait ici-bas l
ée à une fin ignorée : et de cette manière encore se pose pour lui la question de sa destinée. Enfin, un motif de se la poser, p
es de la diplomatie ; il sait intéresser l’esprit le plus rebelle aux questions de finances, d’administration, de tactique milita
tte allure militante, Saint-Marc Girardin continua à s’intéresser aux questions politiques de son temps, et de son œuvre de publi
aux Conférences de Lacordaire leur unité. C’était bien là l’ordre de questions qui devait particulièrement intéresser des esprit
onel Mure, dans son Histoire de la littérature grecque, se pose cette question  : « Si la nation grecque n’avait jamais existé, o
eussent été touchées par le souffle hellénique ? » — Grande et belle question , et de celles qui font le plus penser et rêver !
rtain nombre d’années sur ces sujets, et l’on s’est adressé plusieurs questions . Ces sujets traités par Perrault, et dont il a fi
on veut savoir à quoi s’en tenir, M. Édélestand du Méril, répond à la question en des termes que je résumerai ainsi : Il est auj
ansporté sur la scène fut pour le poète un véritable triomphe, et, la question historique réservée, on doit rendre justice à l’i
tude de l’œuvre lyrique de M. Victor Hugo dépasserait de beaucoup des questions de formes, de nombre et de couleur. Il faudrait,
l’harmonie ? Le théâtre même de M. Victor Hugo soulève de plus graves questions , « Tout ce qui est dans la nature, a dit l’auteur
ait à désigner le fils aîné du prince de Condé. Celui dont il est ici question était l’arrière-petit-fils du grand Condé. Né en
i expliquent pourquoi ce triomphe ne fut pas durable. 161. Sur cette question intéressante, et si vivement débattue encore aujo
it de toutes nos connaissances des sensations transformées. Sur cette question , si agitée au dix-huitième siècle, Buffon n’a pas
ous avons donné, page 83, une lettre de Voltaire qui touche à la même question . Le rapprochement ne manquera pas d’intérêt. Le t
, pour juger de son mérite, de la ramener à ses points essentiels. La question est celle-ci : Est-il vrai que l’homme ait été l’
’Assemblée nationale, au mois de mai 1790, avait miis à l’ordre cette question  : La nation doit-elle déléguer au Roi l’exercie d
la parole, et, repoussant l’alternative établie par les termes de la question , développa un contre-projet dans lequel il préten
Notre prose est-elle supérieure à notre poésie ? C’est là une de ces questions qui ne reçoivent jamais de solution. La page de R
oit la la conséquences de ses doctrines : « A ceux qui m’adressent la question  : Qu’est-ce qui arrêtera le pape ? je répondrai :
ques, où paraissent trois interlocuteurs : le Chevalier, qui pose les questions  ; le Sénateur, qui y répond au nom du christianis
é grecque sous sa forme la plus sévère et la plus pure. » Ch. Bénard, Questions de Philosophie, p. 313. 409. « Qui voit tout, ac
chitecture méritait aussi une place dans cette classification. Sur la question de la musique, Cousin se trouve en opposition ave
inquiète pensée : ce n’est pas que Jouffroy se complût à agiter cette question sans la résoudre ; tout au contraire, dans les le
bal indiquent tout d’abord que l’historien latin n’a pas résolu cette question . Tite-Live est surtout frappé du côté dramatique
tement le bras et lui dit : « Général, aimez-vous la chasse ? » Cette question inattendue laisse le général embarrassé. « Eh bie
rade a aussi publié un livre composé d’études détachées et intitulé : Questions d’Art et de Morale. Il a surtout à cœur d’y établ
44 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
arrêterai point à combattre les scrupules de ceux qui ont élevé cette question  : si un orateur ne déroge point à la noblesse de
hant à émouvoir les passions de ceux qui l’écoutent ? Ce n’est qu’une question de mots, que le simple bon sens peut résoudre. Da
le, nous allons prouver que la phrase la plus ordinaire, cette simple question , « Allez-vous à cheval à la ville aujourd’hui ? »
indique assez, et force en quelque sorte à l’observer. L’on a posé en question si, dans les vers blancs, où l’on a une plus gran
porte à exprimer le sentiment qui remplit votre cœur. Supposez qu’une question importante est débattue entre des hommes raisonna
eur donnais dans une de mes précédentes Lectures, de choisir dans une question le côté vers lequel ils inclinent davantage, celu
ous mettront à même de prendre un parti raisonnable dans cette grande question . Si quelqu’un, de nos jours, au dix-huitième sièc
rticulière que l’esprit de l’auteur répandait malheureusement sur les questions religieuses, cependant il renferme des vues si pr
ée des arguments que l’on peut avancer en faveur des deux côtés de la question . Elle amuse comme une conversation polie où se pe
liment qu’il adresse à l’évêque Atterbury ! « Bien qu’il ne soit plus question des affaires publiques, et que les discussions jo
. Il n’est pas si facile qu’on pourrait le croire de répondre à cette question . Les critiques ont été d’avis différents, et se s
à ces écrivains médiocres toujours prêts à prendre la plume dans les questions les plus frivoles. Ce que je vais dire sur l’orig
obscur et forcé. Les épîtres en vers, lorsqu’elles ont pour objet des questions de morale ou de critique, s’élèvent rarement au-d
s’avance vers la montagne sacrée, et l’un des deux chœurs fait cette question  : Quis ascendet in montem Domini ? aut quis stab
endroits où Lucain a déployé le plus de grandeur, sont ceux où il est question de Caton. On doit surtout remarquer le discours q
son âme, prononça ces paroles dignes de l’antre prophétique : Quelles questions veux-tu, Labiénus, que j’adresse à l’oracle ? Lui
a suivant dans ses progrès, nous aurons occasion d’éclaircir quelques questions liées avec celle qui va nous occuper. La tragédie
die a-t-elle perdu ou gagné par la suppression des chœurs ? C’est une question que les partisans des anciens et les défenseurs d
nité qu’il a dans l’histoire ; mais les scènes dans lesquelles il est question de l’amour des deux fils de Caton pour Lucia, et
e spectacle de la vertu persécutée. Ici se présente naturellement une question intimement liée avec le sujet qui nous occupe, et
’une pièce leur a faite, ils reviennent pour l’éprouver encore. Cette question n’est pas sans difficulté, et plusieurs personnes
ez les anciens, elle était presque entièrement inconnue ; il n’en est question que dans un bien petit nombre de leurs tragédies,
se fonde-t-on pour le ranger parmi les compositions dramatiques ? Ces questions étaient fort oiseuses, et appuyées sur des mots e
s français de celles du célèbre critique anglais, sur les principales questions traitées dans ces Leçons de Rhétorique et de Bell
ns lesquels nos auteurs émettent d’autres principes, ou présentent la question sous un autre point de vue. Le goût. Tome I,
Fiat lux de la Genèse ; encore n’est-on pas d’accord sur l’importante question , si tel ou tel de ces traits est sublime. Laisson
es modernes. Tome II, page 51. Voltaire a traité trois fois cette question curieuse. D’abord, il en a fait l’objet d’un dial
les sont pleines de raison, et parce qu’elles rappellent, sur la même question , l’opinion de Fontenelle, l’un de nos plus judici
nt et ingénieux Fontenelle s’exprime ainsi sur ce sujet : « “Toute la question sur la prééminence entre les anciens et les moder
ion de cet illustre académicien, ce n’est pas là du tout l’état de la question . Il ne s’agit pas de savoir si la nature a pu pro
elle54, Hélas ! qu’elle a peu de bonté ! « Cette dispute est donc une question de fait. L’antiquité a-t-elle été plus féconde en
onner un extrait véritablement utile et véritablement intéressant. La question de savoir ce que c’est que la poésie, et en quoi
lle arrivée chez nous à son plus haut point de perfection ? c’est une question que je ne veux ni discuter ni décider ; mais ce q
ains de tout le monde, nous transcririons ici sa dissertation sur une question que l’auteur anglais que nous venons de traduire
tablir les principes de deux genres essentiels de composition ; cette question est de savoir « si l’art de la comédie est plus d
alogue moins de naturel et de vérité. Nous devons regretter que cette question n’ait pas été approfondie par quelques-uns des pl
sa mort à Atticus (liv. xvi, lett. 5) ; il lui dit, en réponse à une question qu’on lui avait faite à ce sujet, qu’il n’avait p
45 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
l’Europe. Doué d’une sensibilité irritable qui prenait feu sur toute question  ; d’une intelligence vive, rapide et capricieuse
passez point des mois entiers sans leur écrire un mot. Il n’est point question d’écrire des lettres pensées et réfléchies avec s
fléchies avec soin, qui peuvent un peu coûter à la paresse ; il n’est question que de deux ou trois mots d’amitié, et quelques n
mier impudent qui oserait écrire contre l’homme vénérable dont il est question . Lorsqu’on imprime que je me suis vanté mal à pro
les hommes (1753). Ce discours avait été précédé d’un autre sur cette question  : Le progrès des sciences et des arts a-t-il cont
46 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
à laquelle on veut faire penser. Ainsi lorsque Athalie adresse cette question au jeune Joas : Où dit-on que le sort vous a fai
II, nº 31. § V. Interrogation L’Interrogation parle en forme de questions , presse les auditeurs de questions vives et multi
L’Interrogation parle en forme de questions, presse les auditeurs de questions vives et multipliées, non pour obtenir une répons
son poème de la Religion. Il emploie la même figure dans une suite de questions pleines de noblesse et de majesté. Lecture. — Ex
te figure dans son discours. Cette figure consiste encore à faire des questions avec art, ou à y répondre de manière à amener à s
oge ses adversaires ou ses auditeurs et répond lui-même à ses propres questions . Le but de cette figure est souvent de réfuter d’
47 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
nécessaires pour un ouvrage classique. Un rapprochement soulèvera une question intéressante ; une objection, un doute proposé av
-je donc pas ramener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
de vérifier ses calculs ? Non, non, mille fois non. D’insignifiantes questions , des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
L’assemblée nationale, au mois de mai 1790, avait mis à l’ordre cette question  : La nation doit-elle déléguer au roi l’exercice
t la parole, et repoussant l’alternative établie par les termes de la question , développa un contre-projet dans lequel il préten
ns. On dirait qu’on ne peut, sans crime, avoir deux avis dans une des questions les plus délicates et les plus difficiles de l’or
nté ; donc c’est au corps législatif à l’exprimer. J’ai sur cela deux questions à vous faire, dont chacune embrasse deux cas diff
ons à vous faire, dont chacune embrasse deux cas différents. Première question . Entendez-vous que la déclaration de guerre soit
dans et dehors de cette salle, M. Barnave n’a point du tout abordé la question . Ce serait un triomphe trop facile maintenant que
ondent. Voilà la ligne qui nous sépare. On vous a proposé de juger la question par le parallèle de ceux qui soutiennent l’affirm
devenir. Tous les quarts d’heure il s’élevait une voix qui faisait la question la plus insipide, pour obtenir la réponse la plus
e lumière qui éclaire à la fois dans toute chose les deux côtés de la question . Quand il s’agit de penser, rien ne l’arrête, ni
re à la dignité des sociétés modernes ? Préoccupés de ces redoutables questions de l’ordre politique et social, le public et les
ment légal. Avant que ses conseils prissent la parole pour traiter la question de droit, Strafford résuma sa défense ; il parla
oint les conseils de Strafford, et tel était l’emportement, qu’il fut question de mander à la barre et de punir « ces avocats in
cisme, de l’impiété réfléchie, aussi bien que d’un grossier oubli des questions supérieures qui travaillent l’esprit humain. L’in
ain. L’insouciance, aujourd’hui commune, ne pense seulement pas à ces questions , n’imagine pas qu’il y ait lieu d’y penser : là o
iple foyer d’enseignement politique, moral et religieux ; les grandes questions de l’ordre spéculatif et pratique s’y débattaient
vélation et l’éternité ; et comme il n’y avait jamais eu de pareilles questions agitées dans la tribune antique, jamais on n’avai
ence, la perfection du style. En général, un grand écrivain, dans les questions de goût, a pour type involontaire son propre tale
actions, soit des individus, soit des sociétés ? Il s’agit ici d’une question de fait : voyons donc ce qui se passe dans la con
lettre sur l’histoire de France qu’il posa nettement les termes de la question . Pourquoi entre les diverses classes de la sociét
ures ? Les historiens des deux derniers siècles qui avaient étudié la question des origines françaises n’avaient montré, selon M
lus encore que résolu dans ses Lettres sur l’histoire de France cette question des origines à laquelle il devait revenir dans la
es s’attachèrent davantage au second, qui n’était que roi. Bientôt la question de la prééminence de l’empire sur les royaumes se
lle rencontre, au triomphe de l’ordre universel. Très-réservé sur les questions de métaphysique, M. Jouffroy abordait cependant a
de métaphysique, M. Jouffroy abordait cependant avec prédilection la question de la spiritualité de l’âme, et lui donnait une s
e des règles de la conduite humaine, M. Jouffroy examine une première question  : Y a-t-il réellement un droit naturel ? en d’aut
croyances les plus intimes, s’élève inévitablement cette mélancolique question  : Pourquoi donc l’homme a-t-il été mis en ce mond
eurs de la vie que de celle de ses misères. Ce sont là deux cas où la question se pose ; ce ne sont pas les seuls. Dans le sein
bonheurs qui aboutissent invariablement au dégoût ; et alors aussi la question de savoir ce qu’il est et ce qu’il fait ici-bas l
ée à une fin ignorée : et de cette manière encore se pose pour lui la question de sa destinée. Enfin, un motif de se la poser, p
les plus opposés des connaissances humaines, agitait avec talent les questions d’art et approfondissait les problèmes de la scie
es de la diplomatie ; il sait intéresser l’esprit le plus rebelle aux questions de finances, d’administration, de lactique milita
C’est la même méthode de large exposition qui embrasse l’ensemble des questions , remonte aux origines, et suit tous les replis du
chitecture méritait aussi une place dans cette classification. Sur la question de la musique, M. Cousin se trouve en opposition
es Essais sur l’Histoire de France, a porté une grande lumière sur la question de l’état des terres si étroitement lié à l’état
uiète pensée ; ce n’est pas que M. Jouffroy se complût à agiter cette question sans la résoudre ; tout au contraire, dans les le
bal indiquent tout d’abord que l’historien latin n’a pas résolu cette question . Tite-Live est surtout frappé du côté dramatique
ortement le bras et lui dit : “Général, aimez-vous la chasse ?” Cette question inattendue laisse le général embarrassé. “Eh bien
48 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
. MM. les Professeurs n’ont rien vu d’aussi bien, et il est fortement question de l’adopter comme ouvrage classique dans mon pet
es idées. Ordre, distribution des matières, développements, exemples, questions bien posées, style varié : tout me plaît beaucoup
49 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
exemples : Ignorance du sujet. C’est quand on ne s’entend pas sur la question même, et qu’on veut prouver ce qui n’a pas besoin
ophe. Pétition de principe. C’est reproduire en termes différents la question elle-même. Tel est ce sophisme dans Molière : Po
50 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre lII. »
mes une impression vive et durable. Les modernes ont souvent agité la question de savoir si le merveilleux chrétien peut être em
, il a composé son beau poème des Martyrs. Mais il nous semble que la question avait déjà été résolue par les épopées chrétienne
51 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
a moralité. Ne pouvant développer ici plus au long cette intéressante question , nous indiquerons les principaux auteurs qui l’on
cours complet de littérature ? Cette division, déjà indiquée dans la question précédente, peut se réduire à trois points fondam
52 (1881) Rhétorique et genres littéraires
, le fond exige toujours le même ordre et la même méthode ; c’est une question de goût et de bon sens. Depuis les conceptions le
nition La définition est tirée du sujet lui-même. Elle explique la question tout entière, et persuade en déterminant le sens
qui est étranger au sujet. Ce sophisme dénature aussi quelquefois la question en prêtant à l’adversaire une opinion qu’il n’a p
firme la vérité d’une énumération où l’on a omis quelque partie de la question . Ex. Le dilemme du vieil Horace défendant son fi
es mots est un abus des acceptions diverses d’un mot pour déplacer la question . Ex. Un sot savant est sot plus qu’un sot ignora
terrogation L’interrogation oratoire présente l’idée sous forme de question ou de doute, afin de provoquer l’attention de l’a
ache la subjection. Par cette figure, l’orateur se fait à lui-même la question et la réponse ( rem sibi subjicere ). Il s’adress
ffaire d’une nature particulière. C’est l’exposé clair et sobre d’une question sur laquelle il faut appeler l’attention d’une ou
lequel on expose l’origine, la nature, la portée et les limites de la question  ; 2° l’argumentation, c’est-à-dire l’historique c
ue clair et net, la discussion méthodique des principaux points de la question  ; 3° la péroraison ou conclusion brève du rapport
loquence politique s’adresse à tout un pays ; elle met quelquefois en question les destinées et l’existence d’un peuple. Chez le
notre temps, le domaine de la critique littéraire est plus vaste. Les questions de forme sont secondaires ; on étudie plutôt ce q
deux ou de plusieurs personnes, dans lequel on expose et discute une question qu’on veut résoudre, ou une vérité qu’on veut dém
ques. Les lettres familières roulent sur Les sujets dont il peut être question dans l’usage ordinaire de la vie ¡ lettres d’affa
rticulièrement des points de morale, de politique, d’histoire, ou des questions littéraires, artistiques, scientifiques, etc. Ex.
53 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
l’art de composer. — Nous allons étudier avec soin cette intéressante question . 326. Qu’est-ce que la composition ? La composit
de la composition ? La définition de la composition nous fournit les questions que nous aurons à traiter dans cet article, et qu
; 3° d’après la nature des objets à décrire. L’examen de ces diverses questions fera le sujet de ce paragraphe. I. 365. Qu’a
 : Soyez vif et pressé dans vos narrations. 398. Éclaircissez cette question par des exemples. Le moyen de paraître court, mê
et facile. C’est ce qui a lieu dans le plaidoyer où l’on discute une question d’intérêt, et parfois dans l’oraison funèbre. Cep
ilières et libres qui ne roulent que sur les sujets dont il peut être question dans l’usage ordinaire de la vie, et qui ne sont
du P. Brumoi au cardinal de Gesvres peut servir de modèle : Il n’est question ici, Monseigneur, que de votre nouvelle dignité :
54 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre II. Application des principes à la première Philippique de Démosthène, et à la seconde Catilinaire de Cicéron. »
délicatesse. Après ce peu de mots, il aborde directement l’état de la question . « Athéniens ! la situation de nos affaires est
upériorité. On agitait dans le sénat, convoqué par Cicéron, la grande question du sort qu’il fallait faire subir aux complices d
iers dans nos villes municipales les plus fortes ; qu’il ne soit plus question d’eux ni dans le sénat ni auprès du peuple, sous
ait ses propres forces à votre coupable indolence. Mais il n’est plus question de savoir aujourd’hui si nos mœurs sont bonnes ou
55 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
e-Dame de Paris, 1849. Édition de Mme Ve Poussielgue-Rusand.) Une question de dignité Lettre 1 Vendières, 12 novembre
rait tout entière sur lui2. Enfin, je puis bien aussi m’occuper de la question en ce qui m’est personnel. Le caractère est ce qu
rvir à une prudence qui me glacerait. Être ou n’être pas, c’est là la question . J’ai payé ma dette dans la parole ; pourquoi ref
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
ngère, et je n’y connais personne. Bien des gens me font de pareilles questions  ; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tou
un homme bien content de lui. Dans un quart d’heure, il décida trois questions de morale, quatre problèmes historiques, et cinq
57 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
tion d’une sensibilité clairvoyante. Si elle ne résout pas toutes les questions qu’elle soulève, elle ouvre des horizons, elle do
e occasion de se faire connaître, et répondaient bien au long à cette question  ; mais d’autres aussi montraient du respect sans
58 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
que les arrêts de la postérité. Egal aux plus grands sujets comme aux questions les plus épineuses, géographe, stratégiste, diplo
es les plus compliquées, parcourir sans s’égarer tous les détours des questions les plus vastes, répandre sur les plus obscures l
59 (1873) Principes de rhétorique française
sé, il a pour objet Je juste. L’orateur du barreau discute toutes les questions de fait et de droit portées devant les tribunaux 
enre judiciaire où l’avocat cherche à prouver que l’espèce qui est en question se rattache au genre déterminé par la loi. Bossue
avoir en réserve ; ils viendront aussitôt se présenter à nous pour la question que nous avons à traiter comme les lettres pour l
éambules étrangers au sujet. V.    Tirer l’exorde du fond même de la question évitant de déflorer son sujet et d’anticiper sur
position est le sommaire du sujet ; elle indique le point à juger, la question à résoudre ; elle résume eu quelques mots ce qui
oivent, et pour cela exposer les pensées et les faits à l’appui de la question sans prévenir l’auditeur de l’idée première qui r
être envisagé sous des,    points de vue différents ; il renferme des questions secondaires. Il n’y a donc guère de sujet qui ne
osition du fait sur lequel porte le discours. C’est ce qu’on nomme la question de fait, au Palais le fait, c’est-à-dire l’acte p
faire comprendre l’utilité des lieux communs. Ce sont comme autant de questions que l’esprit se pose à propos d son sujet, se dem
une impression plus vive, en augmentant l’idée de la chose qui est en question . Dire tout ce qu’on doit, tout ce qu’on peut dire
amplification fait voir un objet sous toutes ses faces, envisager une question sous tous les points de vue favorables au jugemen
dans l’ignorance du sujet, c’est-à-dire peut consister à déplacer la question , à traiter un point tout différent de celui qui e
e réfuter ce sophisme, c’est de ramener constamment l’adversaire à la question , de fixer et de maintenir le terrain et l’objet p
ne proposition, un jugement qui se prouve lui-même par le jugement en question  ; l’esprit décrit alors un cercle d’où il ne peut
es esprits ; mais elle est tout à fait indispensable dans les grandes questions où les matières discutées sont trop nombreuses et
ume ou incendie. Ce départ est, du reste, très-délicat ; c’est là une question de goût que la réflexion, l’expérience, l’exercic
ortillés dans les queues. Du milieu de tout cela, il sortait quelques questions de votre santé, à quoi ne m’étant pas assez press
de la dignité, une vraie noblesse morale ; elle étend l’intérêt de la question en la généralisant ; enfin elle plaît à celui qui
ens ; faire parler les choses inanimées ; distraire les esprits de la question  ; exciter souvent la gaieté elle rire ; aller au-
ppelait du galimatias double : Monsieur, c’est une grande et sublime question entre les docteurs de savoir si les femmes sont p
ualités générales du style. — En cette matière, comme dans toutes les questions de goût, la lecture, la méditation, la comparaiso
la familiarité triviale de ces expressions de Fontenelle traitant des questions de physique, qu’il n’y a de vide que dans la bour
n’en omettre aucune circonstance essentielle.... Si l’on discute une question , il est souvent nécessaire de présenter le raison
rature proprement dite comprend toutes les compositions relatives aux questions du monde moral. Elles peuvent se classer en quatr
r la place publique ou dans des assemblées qui discutaient toutes les questions et donnaient la victoire à l’orateur le p us puis
ait et de chaque détail : avez-vous à raconter quelques discours, des questions , des réponses, des exclamations, exprimez par vot
près avoir traité devant eux, pour leur servir de modèles, toutes les questions générales qui leur étaient accessibles, ils leur
raux et factices propres à les préparer à parler sur toutes sortes de questions . Cet art parut dangereux aux magistrats, et l’ora
sion de l’intérêt qui doit se renouveler à chaque face nouvelle de la question . Ce mode de composition ne convient qu’à des ques
nouvelle de la question. Ce mode de composition ne convient qu’à des questions oui prêtent réellement an doute et à la controver
simples pour servir même de thèses aux développements scolaires. Ces questions délicates peuvent et doivent attirer et retenir l
60 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
précision, l’autorité qui domine un sujet et juge de haut toutes les questions  : tels sont les mérites éminents de ce grand espr
ne, d’exactitude et d’activité dans le service ; au gouverneur, si la question porte sur la solde des troupes, sur les approvisi
61 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « [6] » p. 
eux fois ce passage d’Aristote, s’est d’abord conformé pour le mot en question au latin de Budé (Les quatre Poétiques, t. I, p. 
62 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
la clarté, la brièveté, la précision ; on doit y parler de l’objet en question et en bannir toute phraséologie, tout détail inut
 ; j’ai eu la fièvre, J’ai chargé M. Dubois de vous le mander. Il est question , ma belle, qu’il ne faut point que vous passiez l
essis au comte de Bussy, 1672. Je suis fort paresseuse quand il n’est question que de faire compliment à des amis, ou de les ass
ous les mande comme je le pense. Il n’en est pas de même quand il est question du service de quelqu’un que j’aime autant que vou
le monde la suivit en riant ; et la malade, ayant su de quoi il était question , se mit à rire plus fort que les autres. . Volta
63 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
ef de l’expédition. Le voilà forcé de dénouer lui-même avec l’épée la question qu’il a nouée avec la parole. Ceux qui étaient hi
elle alliance ? absoudre ou condamner tel homme politique ? Voilà les questions qu’ils posent à celui qui les harangue, et dont i
, et les détours ingénieux, qui n’éloignent un moment la pensée de la question que pour l’y ramener plus sûrement. Mais où il ex
s détours et quelles précautions ! On le voit tourner autour de cette question dangereuse ; il l’effleure de ses allusions timid
ot. 7. On prétend qu’il disputait un jour avec Protagoras sur cette question  : Un homme a été blessé dans un jeu de tir. Quel
64 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avant-propos de la première édition. » pp. -
te et les plus célèbres auteurs, soit anciens, soit modernes, sur des questions d’histoire ou de critique littéraire. Le lecteur
65 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
ui présente, autant que possible, le pour et le contre, surtout si la question a été traitée par deux rivaux dignes l’un de l’au
les-ci plus rarement, discussions parlementaires ou judiciaires d’une question réelle ou supposée, etc. : voilà les exercices qu
66 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
git pas de donner dans le lieu commun, mais de dégager l’esprit de la question spéciale, lorsqu’il tend à s’y resserrer, pour le
 ; dédaignez ceux qui sont trop évidemment frivoles ou étrangers à la question  ; méfiez vous des similitudes, et appuyez sur le
67 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
es sujets qu’il traite. Il est orateur, même quand il se réduit à des questions d’érudition et de philologie. Son style a grand a
ésentait par les traits suivants la physionomie de M. Cousin : « Les questions les plus graves, les plus hautes revenaient aussi
68 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des figures » pp. 324-354
ai coupable est arrêté. Il proteste de son innocence, et à toutes les questions qu’on lui adresse, répond invariablement : « Non,
ont pas discutés, pour avoir le droit de lui refuser celui qui est en question  : Qu’on vante en lui la foi, l’honneur, la probi
69 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XII. » p. 103
contenu dans le deuxième épisode, d’où il résulte que les parties en question ne sont pas précisément juxtaposées dans une trag
70 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVII. » p. 114
t. II, leçon xii e.) Polyidus.] C’est le sophiste poëte dont il a été question au chap. précédent. Diodore de Sicile, XIV, 46, l
71 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
uivre dans l’emploi des métaphores ? Nous développerons un peu cette question , non seulement parce que la métaphore est le plus
dans une série de propositions, on répond coup sur coup à ses propres questions . Placée à propos, cette figure est très pressante
ogation ? L’interrogation est une figure par laquelle on adresse des questions , non pour en obtenir la solution, mais pour press
que j’abhorre en Attila ? J.-B. Rousseau. Lorsque la réponse suit la question , on donne à la figure le nom de subjection. Nous
par le seul lien de sa logique, et rapproche ainsi sans confusion les questions les plus abstraites et les plus disparates . Mass
rs de Virgile : Accipiens sonitum saxi de vertice pastor, où il est question d’un berger qui, sur la cime d’un rocher prête un
72 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
historien les faits relatifs à l’époque ou aux évènements dont il est question . Si c’est un discours, il faut se mettre en espri
ce sera un bon juge, mais non infaillible. 2° Examinons si l’objet en question est conforme à la nature, type de tout art d’imit
73 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
tortillés dans les queues ; du milieu de tout cela, il sortit quelque question de notre société, à quoi ne m’étant pas assez pre
s autres. Le premier qui fut en état de parler répondit à nos tristes questions  : nous fîmes raconter sa mort. Il voulait se conf
74 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
très-rares dans la Poétique, aux auteurs qui avaient traité les mêmes questions avant Aristote. Alcméon.] Sujet traité par Sophoc
75 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
yez d’autres exemples : Politique VI, 4  Histoire des Animaux, V, 19  Questions de mécanique, chap. viii. La Scylla.] Voyez plus
76 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PRÉAMBULE. » pp. -
tions ont dû être tirés. Nous lui conseillons également de réduire en questions les parties les plus intéressantes d’un sujet déj
77 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
été le jouet de la mode, et chaque siècle a eu son goût dominant. La question importante est donc celle-ci : Y a-t-il quelque c
. Il n’en est pas dans les matières relatives au goût, comme dans les questions que la raison seule juge, où il n’y a qu’une conc
que superficiellement. Mais ce n’est pas ici le lieu d’examiner cette question . En parlant des caractères généraux du style, il
ours le plus sublime. Dans leur sens direct elles servent à faire une question , mais lorsque les hommes sont excités par la pass
le talent qu’ont développé les avocats appelés à soutenir les hautes questions politiques qui ont été soulevées devant les cours
xercices oratoires, imaginent qu’il est utile d’adopter le côté de la question que l’on débat qui leur paraît le plus faible, et
leur tâche avec plus d’honneur en choisissant toujours le côté de la question vers lequel leur propre jugement les portera, et
Ces notes les habitueront à une logique plus puissante sur l’objet en question , et les serviront merveilleusement dans la classi
alement de deux choses : d’abord, de la position bien distincte de la question , et de l’établissement clair du point litigieux ;
s assemblées populaires, où le sujet des débats est ordinairement une question simple, les arguments puisés dans des sujets conn
ts événements, par des aventures inouïes ; il ne s’exerce pas sur les questions douteuses ; il ne fait pas valoir les violentes c
dénoterait un amour de briller et un esprit peu inventif. Quant à la question , s’il est plus avantageux d’écrire entièrement se
es plus éminents prédicateurs sont Bourdaloue et Massillon. C’est une question très débattue par les critiques français de savoi
peut se borner à quelques raisonnements simples sur chaque côté de la question , et terminer immédiatement ; mais comme les parti
er les préjugés qui peuvent s’élever contre la cause ou le côté de la question que l’on embrasse. Tout exorde doit donc tendre à
Cicéron et Quintilien rapportent que Démosthène, interrogé sur cette question  : quelle est la principale qualité de l’orateur,
euses, si l’on ne se bornait pas y discuter des points de doctrine ou questions de droit ; ou mieux encore, si à ces conférences
on accompagnée de gestes, les travaux d’analyse, les rapports sur des questions philosophiques et littéraires, etc., suppléeraien
78 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
ée. Si Milon et Clodius n’eussent été que de simples particuliers, la question se réduisait aux termes ordinaires, et les tribun
ingendam ». L’orateur expose ensuite le véritable point de vue de la question , et il la réduit aux termes les plus clairs et le
79 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
, que je suis plus que vous. Vous comprenez assez qu’il n’est pas ici question de la naissance3. Vous regarderiez comme un insen
rien qu’est-il devenu ? il est perdu dans la mêlée ; il n’en est plus question  : il ne sait plus ce qui l’a fâché ; il sait seul
80 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
nstantinople, à Téhéran, à Bénarès, que seraient pour nous toutes les questions qui remuent si vivement notre Europe passionnée ?
es, l’espèce de rage qui armait les frères contre les frères pour des questions aujourd’hui pacifiées ? Ces pleurs, ce sang, pour
81 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
outefois, son imagination subtile lui tendit quelques piéges. Dans la question du quiétisme, il alarma un instant la haute raiso
ce qu’un charlatan fait de ses remèdes. Je prends pour juges de cette question les païens mêmes. Platon ne permet dans sa Républ
rd plus qu’elle ne gagne par les rimes. » Nous surprenons là dans une question littéraire son inquiétude d’esprit et ses tendanc
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre II. Du Sublime dans les Choses. »
continuel et de l’irrésistible impétuosité de ses eaux. Dès qu’il est question d’espace, une sorte d’excès de son étendue, dans
83 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
mples analogues de synchronisme dans : Hérodote, VII, 166  Plutarque, Questions symposiaques, VIII, 1  Diodore, XI, 24, et le fra
84 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
t-Royal contre les Jésuites dans la querelle du Jansénisme ; mais les questions de dogme sur la grâce sanctifiante et sur la grâc
és auteurs qu’on puisse remarquer dans le genre. Il traite toutes les questions littéraires ou philosophiques avec la même facili
ents de Racine, ni à Racine de penser et de sentir comme Euripide. La question oiseuse et puérile de la supériorité de l’imitati
e épique ; il n’en fut rien ; le merveilleux changea, voilà tout ; la question traitée par Boileau dans son Art poétique, à savo
l’univers ». Il est vrai qu’il est à la fois juge et partie en cette question , et qu’il se juge lui-même en homme qui se défie
aste, ou moins vaste qu’il n’est ; dans le premier cas, on sort de la question , dans le second, on est incomplet. En se privant
as exclusivement la conduite de la vie, elles ont souvent trait à des questions littéraires. Il a imité la nature sans s’y attach
aissances et de réflexions fécondes, que vous venez de consacrer à la question toute profane qui vous était soumise. Qu’il est l
ulté. Le projet d’achever le Dictionnaire vient en premier, comme une question résolue en principe sur laquelle on revient pour
éloquence ! Vous abordez la poésie pour traiter une grave et délicate question , celle de la rime ; vous faites avec raison le pr
s la littérature ancienne et moderne par un jugement magistral sur la question , si controversée, qui divise encore notre compagn
85 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Préface. »
s utile que ce qui existait longtemps avant nous ? Pour décider cette question , il suffit de comparer nos traités de Rhétorique
86 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
personnages qui concourent à cette action. Nous examinerons ces trois questions dans les trois paragraphes suivants. § I. Des q
rdonne, c’est la fin. 420. En quoi consiste l’unité dramatique ? Une question littéraire, qui a été l’objet de nombreuses et vi
du beau idéal en poésie dramatique. 426. Que faut-il penser de cette question  ? Les diverses opinions que nous venons d’expose
les critiques les plus classiques et les plus purs admettent, dans la question des unités de lieu et de temps, ainsi que dans pl
il faut prendre garde de passer les bornes de la nature. Quand il est question de ridicule, rien de plus difficile sans doute qu
87 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre premier. Idée générale de l’Éloquence. »
e si l’art fait plus pour l’éloquence que la nature ; et il résout la question par une comparaison aussi ingénieuse que décisive
88 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre premier. De l’art de la composition en général. »
il, tracez-vous un plan général, et entrez aussitôt dans le vif de la question . Le sujet n’est jamais assez tôt expliqué. Boi
89 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
nité ou le merveilleux. Nous allons examiner en détail chacune de ces questions . I — Entreprise épique 339. Quelles sont les
s lieu de se plaindre. 372. Donnez de nouveaux développements à cette question  ? Les auteurs sacrés, les grands écrivains chrét
absolument essentielle de la poésie, nous fournissent la réponse à la question posée plus haut. Nous v dirons donc qu’il est inf
90 (1854) Éléments de rhétorique française
c’est une découverte utile, puisqu’en spécifiant l’objet dont il est question , en l’isolant des autres objets semblables, comme
ingue les substantifs en singuliers et en pluriels, suivant qu’il est question d’un ou de plusieurs objets. cettedivision se ret
ots. Le premier qu’il prononcera sera sans doute le nom de l’objet en question  ; il ne dira pas, selon ta construction de notre
mence par se demander : Qu’est-ce que l’esprit ? et il répond à cette question de la manière du monde la plus spirituelle : Ce
nt si c’était un mort que l’on portait. Le jeune homme entendit cette question  ; il arrêta sa litière, et fit frapper le bouvier
ntrefaisait l’ignorant devant les sophistes de son temps, et, par des questions captieuses, il les faisait tomber dans des contra
ation. L’orateur presse souvent son adversaire ou ses auditeurs de questions vives et multipliées ; et il sait d’avance les ré
i de Navarre, consultant les principaux seigneurs de son parti sur la question de savoir s il faut reprendre les armes contre la
despens de ma vie, arresté les ennemiz ; Troisième membre mais estant question de la conservation ou de la ruine de toutes les é
ngage, et quelquefois même la physionomie des personnages dont il est question  ; nous voulons encore pénétrer dans leur âme, et
ire et la réflexion leur fourniraient des matériaux pour résoudre ces questions  ; d’ailleurs, le maître qui les guide de son expé
jet. Pour être complet, il faut, avant d’écrire, avoir bien médité la question , l’avoir analysée avec soin, en avoir étudié chaq
je donc vous ramener à la délibération du jour par un petit nombre de questions bien simples ? Daignez, messieurs, daignez me rép
’en vérifier les calculs ? Non, non, mille Fois non. D’insignifiantes questions , des conjectures hasardées, des tâtonnements infi
rière qui les attend, et à toutes les époques de leur vie ? C’est une question qu’ils peuvent se faire, et à laquelle je vais ré
ous empêcher de parler, et d’adresser à l’accusé quelques-unes de ces questions qui jettent sur la cause une lumière inattendue.
91 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
ntaires de rhétorique et de littérature. Cette seule ligne décide des questions bien importantes et sur lesquelles il y avait, no
92 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
précision, l’autorité qui domine un sujet, et juge de haut toutes les questions  : tels sont les mérites éminents de ce grand espr
93 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Silvestre de Sacy Né en 1804 » pp. 271-274
squ’à Dieu. En vain voudrait-on nous détourner de ces recherches. Les questions qu’elles embrassent nous intéressent trop. Tant q
94 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lamennais 1782-1854 » pp. 243-246
se les siennes pour recueillir sans en rien perdre la réponse à cette question profonde et délicate : Monseigneur, qu’est-ce qui
95 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
en plusieurs endroits de ses ouvrages. La Harpe a traité en détail la question des poèmes en prose, et, comme son maître, il les
96 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Staël 1766-1817 » pp. 218-221
evenir1. Tous les quarts d’heure il s’élevait une voix qui faisait la question la plus insipide, pour obtenir la réponse la plus
97 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Cousin 1792-1867 » pp. 257-260
es sujets qu’il traite. Il est orateur, même quand il se réduit à des questions d’érudition et de philologie. Son style a grand a
98 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Rochefoucauld. (1613-1680.) » pp. 15-19
er les disputes sur les choses indifférentes, leur faire rarement des questions et ne leur laisser jamais croire qu’on prétend av
99 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre XI. De l’orthographe. » pp. 53-58
sa prononciation dans les noms où il est précédé d’une s ou d’un x : question , indigestion, mixtion ; autrement, il se prononce
100 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
ffet, et en se faisant par lui-même une idée distincte de l’auteur en question . On ne peut tout dire sans doute de chaque auteur
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