aussi précieuse ? Pour nous instruire, avec une certaine méthode, des
principes
fondamentaux de la morale, nous devons nous consi
ous apprend à nous bien comporter dans le monde. Elle nous expose les
principes
qui doivent être la base de notre conduite ; prin
ous expose les principes qui doivent être la base de notre conduite ;
principes
qui constituent les vertus que nous appelons simp
judicieux et de plus solide. Tous les préceptes y sont fondés sur des
principes
sages et justes, sur des notions exactes de l’uti
le baron de Puffendorf me paroît être celui qui a le mieux établi les
principes
raisonnés de la morale dont je parle ici, dans se
yle maniéré et trop souvent antithétique. La morale en est pure ; les
principes
en sont exact ; et l’on peut y acquérir un grand
ode, y conforme même le sien autant qu’il le peut, sans s’écarter des
principes
de la sagesse. Cette manière de se conduire, dans
s les livres nous abrègent infiniment ce travail, en nous donnant des
principes
certains qui éclairent notre esprit, rectifient n
etteté et liaison des idées, instructions solides et appuyées sur des
principes
aussi sages que vrais, tout se trouve réuni dans
l’enseigner et de la pratiquer), donnèrent toute leur application aux
principes
de la morale. Mais privés du flambeau qui seul po
effrénée, et bien souvent la dégradation totale de l’homme, sont les
principes
ou les effets de leur morale. Socrate et son dis
la sagesse humaine. Envisagez-la cette morale de l’Evangile dans ses
principes
, dans ses motifs ; dans sa fin ; vous la trouvere
mpies, et nous mettre en état de découvrir toute l’absurdité de leurs
principes
, toute l’extravagance de leurs opinions, toutes l
sans cesse qu’il existe un être, seul éternel, seul indépendant, seul
principe
de tous les êtres, et dont ils se sentent forcés
es yeux, y est fidèlement exposé. En un mot, la nature de l’homme, le
principe
de ses vices et de ses vertus, les motifs qui peu
sirs. Il ne vous restera plus qu’à méditer bien sérieusement les bons
principes
contenus dans ces livres ; à vous les graver bien
ctiques, dans le genre littéraire, sont ceux où l’écrivain expose les
principes
et les règles d’un art. Il est aisé de sentir qu’
distribution et l’arrangement des matières. En remontant aux premiers
principes
, il les enchaînera tous les uns aux autres sans l
oit pas, dans un ouvrage didactique, passer sous silence les premiers
principes
, sous prétexte qu’ils sont connus. Cette supposit
u, la liaison des matières exige toujours que l’écrivain rappelle ces
principes
, et les trace du moins succinctement. Ils servent
aturellement à la connaissance d’un autre. Je sais que les différents
principes
d’un art se communiquent réciproquement de la lum
sse et toute l’étendue, il faut les posséder tous. Mais en général un
principe
doit être assez bien développé, pour qu’il puisse
ours. Il faut donc que la critique soit fondée sur des raisons et des
principes
solides. Un bon mot, quelque agréable et piquant
ait jeté dans la classe de ces hommes vicieux et méchants, autant par
principe
que par habitude. Si, en matière de religion, il
se. Nous avons d’Aristote une rhétorique, où sont développés tous les
principes
de l’art oratoire, et une poétique qui contient l
dans les ouvrages d’esprit (en dialogues), par le P. Bouhours, et les
Principes
de la littérature, par l’abbé Batteux. Je crois d
ittérature ? La Littérature est la science des règles, des lois, des
principes
, qui doivent régir la composition ou l’appréciati
tous les hommes ? Tous les hommes apportent en naissant les premiers
principes
du goût. Il n’y a rien dans notre nature de plus
r et de juger. 16. Le goût a-t-il besoin d’être dirigé ? Quoique les
principes
du goût soient inhérents à l’esprit humain, et qu
ai et conforme à la nature, cependant chez la plupart des hommes, ces
principes
sont peu développés, faute d’instruction et de ré
? Les préceptes ou règles littéraires consistent dans un ensemble de
principes
et d’observations capables de diriger l’écrivain
s sentiments et en perfectionnant toutes les facultés de l’homme. Les
principes
des sciences elles-mêmes seraient rebutants, si l
; ramener sans cesse l’admiration vers le beau ; considérer comme le
principe
vital de la littérature le sentiment religieux, o
les déterminées. Mais, outre ces deux formes de la pensée, il y a des
principes
généraux qui sont propres à toutes les production
fera ensuite connaître les règles spéciales. Enfin, on s’occupera des
principes
de la rhétorique ou de l’art de bien dire. De là,
singulier, non de raisonner avec plus de méthode, mais de trouver les
principes
même sur lesquels on raisonne ; non de compasser
rouver une seule idée nouvelle. » Au génie de réflexions, comme à son
principe
, doit se rapporter cette liberté et cette hardies
nous le règne de la véritable philosophie, et posa en même temps les
principes
sûrs qui doivent diriger l’esprit humain dans l’é
l’esprit philosophique. « Je le trouve dans le talent de saisir les
principes
généraux, et d’enchaîner les idées entre elles pa
ire sont toujours noyés dans les détails : incapables de remonter aux
principes
d’où l’on voit sortir les conséquences, comme une
fil de tous les labyrinthes. Nous le voyons, c’est un petit nombre de
principes
généraux et féconds qui a donné la clef de la nat
t vaste et profond, qui voit les choses dans leurs causes, dans leurs
principes
; un esprit naturellement fier et courageux, qui
ts sa manière de penser ordinaire : il voudrait encore ici marcher de
principe
en principe, et former de toute la religion une c
e de penser ordinaire : il voudrait encore ici marcher de principe en
principe
, et former de toute la religion une chaîne d’idée
aux de l’homme d’état : « Il doit gouverner comme la nature, par des
principes
invariables et simples ; bien organiser l’ensembl
a voulu se placer à la source de tout, se rendre maître des premiers
principes
, par quelques idées claires et fondamentales, pou
ommencé sa marche par s’appuyer sur les phénomènes, pour remonter aux
principes
inconnus, résolu de les admettre, quels que les p
qu’il voit, pour en trouver la cause, soit claire, soit obscure. Les
principes
évidents de l’un ne le conduisent pas toujours au
qu’ils sont ; les phénomènes ne conduisent pas toujours l’autre à des
principes
assez évidents. Les bornes qui, dans ces deux rou
uille dans son cabinet, calcule la marche des sphères d’après un seul
principe
, qui agit toujours d’une manière uniforme. Que la
spective ; et c’est ce qu’a fait Voltaire. Ainsi, quoiqu’il y ait des
principes
généraux, dont on ne saurait trop recommander l’o
dans la bonne société, s’il n’était pas initié à la connaissance des
principes
littéraires, s’il ignorait les règles relatives a
as des notions exactes sur la poésie et sur l’éloquence ? Ce sont ces
principes
et ces règles que nous nous sommes efforcé de réu
s du premier des arts agréables, nous exposerons, dans ce volume, les
principes
généraux de l’art d’écrire, principes qui sont co
exposerons, dans ce volume, les principes généraux de l’art d’écrire,
principes
qui sont communs à tous les genres de productions
autres volumes, on aura dans le Style et dans la Rhétorique tous les
principes
de l’art d’écrire et toutes les règles de l’éloqu
il consciencieux, qui non seulement ne contient rien de contraire aux
principes
de la saine doctrine en ce qui concerne la foi et
vres purement didactiques, sont des ouvrages où l’écrivain expose les
principes
et les règles d’un art ou d’une science. Il est a
distribution et l’arrangement des matières. En remontant aux premiers
principes
, il les enchaînera tous les uns aux autres sans l
oit pas, dans un ouvrage didactique, passer sous silence les premiers
principes
, sous prétexte qu’ils sont connus. Cette supposit
u, la liaison des matières exige toujours que l’écrivain rappelle ces
principes
et les trace du moins succinctement. Ils servent,
ent à la connaissance d’un autre. Toutefois, parce que les différents
principes
d’un art se communiquent réciproquement de la lum
ne peut cependant connaître en ce moment à fond. Mais, en général, un
principe
doit être assez bien développé pour qu’il puisse
e extrêmement remarquable, une rhétorique où sont développés tous les
principes
de l’art oratoire, et une poétique qui, bien qu’e
attention des lecteurs intelligents. § 21. Articles de critique. —
Principes
généraux. — Polémique. Les ouvrages de critiqu
sain. Il faut donc que la critique soit fondée sur des raisons et des
principes
solides. Un bon mot, quelque agréable et piquant
es, et a souvent parlé en orateur. On ne peut presque rien réduire en
principe
; je voudrais que M. Gibert eût le style et l’esp
ui-même devant ses juges. Obligé de parler de lui et de justifier ses
principes
, puisque c’est sur ses principes qu’on l’attaquai
de parler de lui et de justifier ses principes, puisque c’est sur ses
principes
qu’on l’attaquait, ce grand homme le fait avec ce
jaloux de s’y dérober ; mais défendant jusqu’aux derniers moments les
principes
qu’il avait professés, parce qu’il les croyait ut
s persécuteurs. « Ami, lui répond Socrate, mon sort est changé ; mes
principes
ne le sont pas. Voyons ; et, si nous n’en trouvon
il de l’espérance ? Sur quoi il se fonde quand il la regarde comme le
principe
pour lui d’une immense félicité ? Le grand nombre
’homme, que dans la connaissance de ce vrai : que Dieu seul en est le
principe
et la source, et que la connaissance n’en peut êt
Socrate, et de plus, quatre livres, sur l’esprit, le caractère et les
principes
de son maître : c’est un véritable éloge, éloge d
si claires que naturelles, et pour renfermer dans notre plan tous les
principes
et toutes les règles des compositions poétiques.
us les principes et toutes les règles des compositions poétiques. Ces
principes
, soit généraux, soit particuliers, nous les avons
rages attestent la vaste érudition, la pureté de goût et la sûreté de
principes
littéraires, nous a fourni de riches matériaux. C
gal, le sonnet, la pastorale, la fable, est tiré en grande partie des
Principes
Littéraires du savant distingué, dans lequel Deli
nous nous sommes proposé en faisant paraître ce travail qui, dans le
principe
, n’était nullement destiné à la publicité. A. P.
n confessant notre insuffisance, d’indiquer au moins sommairement les
principes
d’argumentation, et les principaux termes affecté
découle invinciblement. Vous ne pouvez vous tromper, parce qu’ici le
principe
étant en vous, vous en connaissez le résultat dan
, les propositions mathématiques. On peut même ranger parmi elles les
principes
fondamentaux de la métaphysique et de la morale.
ogique ; mais ce peu de mots peut suffire, ce me semble, à établir le
principe
et les modes les plus ordinaires de la logique fo
une discussion actuelle, rattacher son argumentation à quelque grand
principe
, à quelque vérité d’un ordre élevé, soit en moral
e les arguments de l’adversaire, à détruire ses objections contre nos
principes
, ses allégations contre notre personne. Que, selo
La réfutation est sérieuse ou ironique : sérieuse, elle repousse les
principes
de l’adversaire ou les conséquences qu’il en a ti
e pouvoir passer sous silence une division qu’Aristote établit dès le
principe
, et que tant de rhéteurs ont regardée comme capit
leurs hymnes funèbres, leurs harangues enfin, et leurs orateurs. Les
principes
généraux du goût sont donc profondément gravés da
cisément autant qu’il le doit être. Le goût n’est certainement pas un
principe
arbitraire, soumis à la fantaisie de chaque indiv
et qui agissent généralement avec autant d’uniformité que nos autres
principes
intellectuels. Lorsque ces sentiments ont été per
ularité de quelques figures et l’agréable variété des autres, sont le
principe
des beautés que nous y trouvons. Mais voulons-nou
s très imparfaites : la nature semble nous avoir fait de ces premiers
principes
du sens interne un mystère impénétrable. Mais si
poserait à s’égarer. Il faut que des connaissances préliminaires, des
principes
clairs et précis et des idées arrêtées nous accom
licarnasse.. Cicéron est bien plus clair, bien plus élémentaire : les
principes
qu’il nous a transmis, fruits d’une longue observ
puisse mettre entre les mains d’un jeune homme. On y trouve tous les
principes
de la saine critique. C’est une éloquente et méth
gréables, et de belles images viennent souvent orner et éclaircir les
principes
qu’il a tracés. Mais son plan est vaste et exécut
x qui se destinent à parler en public. Heureux si, en simplifiant les
principes
de l’art de parler, je puis contribuer à réveille
-là même à qui leur profession fait un devoir d’étudier avec soin les
principes
de l’art oratoire. J’aurais pu facilement, avec l
pas être imputés à l’art, mais aux maîtres qui, au lieu d’établir des
principes
clairs et puisés dans la nature, imbus qu’ils éta
hétorique sert à ajouter le poli. Quiconque ne possède pas à fond les
principes
de la rhétorique, n’arrivera que difficilement à
ornements de ceux dictés par la raison. Celui qui n’a pas étudié les
principes
de l’éloquence, qui n’a pas été façonné à goûter
ccordées. Une des grandes lois de la nature est que l’exercice est le
principe
qui vivifie et nourrit nos facultés morales aussi
t exquis, et dont la raison fût toujours saine et jamais errante, les
principes
qu’un tel homme donnerait sur le beau en seraient
is comme cet être surnaturel ne saurait exister, il faut chercher les
principes
du goût dans l’assentiment du grand nombre, et ét
ensations communes aux hommes doivent servir de titre pour fonder les
principes
du goût. Nous pouvons faire sur ces matières des
voulons tirer de ce qui précède, c’est que le goût est loin d’être un
principe
arbitraire soumis aux caprices individuels, et n’
les œuvres du génie, en remontant des applications particulières aux
principes
généraux. La critique n’a pour fondement que l’ex
r ses ouvrages : ils possèdent des beautés en harmonie avec les vrais
principes
, et la puissance de ces beautés a été si grande,
ces théories métaphysiques, nous n’avons pas encore sur ce sujet des
principes
bien fixes. Cet état d’imperfection peut être att
ur les beautés de diverses figures, mais si nous voulons appliquer ce
principe
à d’autres objets également beaux, mais d’une esp
u’ils soient variés jusqu’à la confusion. Cherchons donc ailleurs les
principes
du beau. Les couleurs nous présentent l’exemple l
s simple du beau ; là, ni la variété, ni l’uniformité, ni aucun autre
principe
, que je sache, ne peut être assigné comme le fond
rang comme la source du beau, mais une variété gracieuse est aussi un
principe
puissant du beau. La régularité plait peut-être,
de l’action. Quoique la couleur, la forme et le mouvement soient des
principes
distincts du beau, cependant ils se trouvent souv
sirs du goût, on a encore remarqué avec justesse que plusieurs autres
principes
y contribuent également. La nouveauté, par exempl
également. La nouveauté, par exemple, a été signalée comme un de ces
principes
; un objet qui n’a nulle autre qualité pour attir
t par une impulsion vive et agréable. L’imitation est aussi un de ces
principes
, donne naissance à ce que Addisson appelle les pl
les objets sensibles qui ont une analogie évidente avec eux. Mais ce
principe
d’analogie ne peut être appliqué aux langues que
était arrangée suivant la construction de notre langue. Cependant ce
principe
n’était pas tellement invariable qu’il dût toujou
plus profonde et plus exquise ait été mise en usage ; l’étude de ces
principes
est extrêmement utile ; c’est à leur ignorance qu
i paraît souvent le résultat du caprice, et ne dérivant d’aucun autre
principe
que de la construction arbitraire du langage. Les
de déclinaison avait nécessité une quantité innombrable de règles ou
principes
fondamentaux ; mais d’un autre côté ces mots para
l’âme, examiner sa construction et ses progrès, c’est développer les
principes
qui se rattachent à la nature et aux progrès de n
x sujets vifs et faciles. Cependant, dans presque tous les écrits, le
principe
général est que ces deux genres de style doivent
par mes amis, et accueilli de la manière la plus amicale. » Le second
principe
consiste à ne jamais entasser dans une seule phra
du temps elle produit un mauvais effet. Enfin, j’ajouterai un dernier
principe
pour l’unité de la période, c’est de la conduire
ententia, neu se Impediat verbis lassas onerantibus aures. Il est de
principe
que tout mot qui n’ajoute pas, quelque chose à la
ivains doivent nous servir de guide ; cependant j’indiquerai quelques
principes
dont l’observation a démontré l’utilité. Quoique
t une affectation désagréable. Cependant il faut toujours observer ce
principe
: ne decrescat oratio et ne fortiori subjungatur
les divers membres de la période. Je n’indiquerai plus qu’un dernier
principe
relatif à l’énergie de la phrase, c’est que dans
s sur ce point a égaré quelques esprits ; ils ont pensé que les mêmes
principes
étaient applicables à notre langue, et que notre
ait indiquer à cet égard seraient trop générales : cependant quelques
principes
peuvent être utiles pour former l’oreille à cette
’usage nous enseignent ces figures ; mais il n’en résulte pas que les
principes
soient inutiles, parce qu’ils naissent des observ
Or, connaître les règles qui doivent déterminer la préférence de tel
principe
sur tel autre, c’est apprendre à diriger le choix
es, et qu’ils ne doivent être ni au-dessus ni au-dessous du sujet. Ce
principe
s’applique à tous les genres de style figuré, et
u lieu d’éclairer la pensée elle la rend diffuse et obscure. Voici le
principe
qu’établit Cicéron à cet égard : Verecunda debet
ntionner quelques autres, qui seront facilement comprises d’après les
principes
que nous avons posés. La comparaison est fondée s
s font impression sur nous par voie de sympathie. La sympathie est un
principe
puissant et étendu de notre nature, qui nous disp
le de l’auteur qui préfère le brillant au solide. Les conseils et les
principes
des anciens auteurs à cet égard sont excellents,
montre alors bien plus puissante que l’art. C’est le fondement de ce
principe
si juste d’Horace : Si vis me flere, dolendum es
uste d’Horace : Si vis me flere, dolendum est primum ipsi tibi. Ce
principe
admis, il en résulte ces conséquences qui servent
aires, et toujours tenu en haleine par des révolutions fréquentes. Le
principe
du gouvernement était entièrement démocratique. L
utions chez les peuples que par le spectacle de notre bonheur… Si nos
principes
se propagent avec tant de lenteur chez les nation
proclamer par des cris de joie la fraternité universelle. » Mais les
principes
exagérés de ces orateurs paraissaient trop modéré
parlerai par la suite avec détails ; mais avant j’indiquerai quelques
principes
particuliers à l’éloquence populaire ; je traiter
r de leur caractère, et compromettre, pour un futile amusement, leurs
principes
et leur jugement. Les discussions devant les asse
sse découvrir la feinte. Le cœur seul peut répondre au cœur. Le grand
principe
en ce point, comme dans tous les autres cas, est
er au-delà de ce que l’oreille du public peut supporter. J’indique ce
principe
afin de mettre en garde contre une imitation peu
nion solennelle. Capus artis est decere , dit Quintilien. Le premier
principe
de l’art est de respecter les bienséances. Nul ne
rriver à ce but, il est de toute nécessité qu’il s’adresse à tous les
principes
d’action qui existent en nous, aux passions, aux
allez dire : les matières sont grandes, mais usées et triviales ; les
principes
sûrs, mais dont les auditeurs pénètrent les concl
influencer leurs habitudes, sans leur avoir préalablement offert des
principes
justes et capables d’éclairer leurs esprits, ne s
sur une très fausse idée, et s’éloigne prodigieusement des véritables
principes
de l’éloquence de la chaire. Sans doute un prédic
latives à la disposition des diverses parties du discours, et à leurs
principes
constituants ; je me bornerai à indiquer ici quel
ces de l’éloquence étaient nécessaires pour l’application directe des
principes
que je vais présenter. Toutes les fois que quelqu
ex fulgore, sed ex fumo dare lucem . (Hor.) C’est infailliblement un
principe
général qu’il ne faut pas d’abord déployer toute
t qu’il donne, pour ainsi dire, le ton du reste du discours. Un autre
principe
de l’exorde est de ne pas anticiper sur quelques
r un léger changement dans le tour de notre exorde, il montre que les
principes
que nous avons avancés en commençant notre attaqu
oratio, cujus initium nihil præparatum habuisse manifestum est. Ces
principes
ne sont pas applicables aux sermons. Il est diffi
t que les diverses classes d’arguments qui s’adressent aux différents
principes
de la nature humaine soient distincts et séparés.
lecteur aux préceptes que j’ai indiqués en traitant du style, et aux
principes
que j’établirai ci-après en parlant du débit et d
ans Cicéron un exemple qui me servira à démontrer quelques-uns de ces
principes
, et principalement le dernier. Je le prendrai dan
sont bornés à le copier sur ce sujet. Je ne crois pas que de pareils
principes
, présentés par écrit ou verbalement, puissent êtr
de sciences diverses, a recherché, avec beaucoup de pénétration, les
principes
de la rhétorique. Le premier, il arracha des main
ur que les Institutions de Quintilien. On y retrouve presque tous les
principes
de la saine critique. Il a classé dans un ordre e
dans un âge où la tête est vide, où la raison n’est point affermie en
principes
, où les éléments de nos pensées ne sont pas même
homme éloquent ; 3° que pour ces essais on préfère les causes dont le
principe
est contesté, non-seulement parce qu’elles donnen
nombre des plus belles causes sont des causes particulières, dont le
principe
est reconnu ; et c’est pour celles-ci que la méth
iter, aurait été de l’enseigner en masses : un petit nombre de grands
principes
, appuyés sur de grands exemples, aurait suffi, et
onc simplifier l’art le plus qu’il eut été possible, ne pas ériger en
principe
ce qui n’est juste et vrai que sous certains rapp
e, ou la magnificence ; si dans la preuve il lui faut insister sur le
principe
ou sur les conséquences ; si dans la réfutation i
s, le ciel aurait donné le don d’écrire éloquemment ! Un livre où les
principes
d’une saine philosophie, d’une politique morale,
d’abord pénétrer d’une vue et ne sont point accoutumés à chercher les
principes
. Et les autres, au contraire, qui sont accoutumés
pes. Et les autres, au contraire, qui sont accoutumés à raisonner par
principes
, ne comprennent rien aux choses de sentiment, y c
incipes, ne comprennent rien aux choses de sentiment, y cherchant des
principes
et ne pouvant voir d’une vue. XVI. En sachant la
nce entre l’esprit géométrique et l’esprit de finesse En l’un, les
principes
sont palpables, mais éloignés de l’usage commun ;
-là, manque d’habitude ; mais, pour peu qu’on s’y tourne, on voit les
principes
à plein ; et il faudrait avoir tout à fait l’espr
l faudrait avoir tout à fait l’esprit faux pour mal raisonner sur des
principes
si gros qu’il est presque impossible qu’ils échap
resque impossible qu’ils échappent. Mais dans l’esprit de finesse les
principes
sont dans l’usage commun et devant les yeux de to
question que d’avoir bonne vue ; mais il faut l’avoir bonne, car les
principes
sont si déliés et en si grand nombre qu’il est pr
e qu’il est presque impossible qu’il n’en échappe. Or l’omission d’un
principe
mène à l’erreur : ainsi il faut avoir la vue bien
à l’erreur : ainsi il faut avoir la vue bien nette pour voir tous les
principes
, et ensuite l’esprit juste pour ne pas raisonner
s, et ensuite l’esprit juste pour ne pas raisonner faussement sur des
principes
connus. Tous les géomètres seraient donc fins, s’
s, s’ils avaient la vue bonne, car ils ne raisonnent pas faux sur les
principes
qu’ils connaissent ; et les esprits fins seraient
rits fins seraient géomètres, s’ils pouvaient plier leur vue vers les
principes
inaccoutumés de géométrie. Ce qui fait donc que d
nt pas géomètres, c’est qu’ils ne peuvent du tout se tourner vers les
principes
de géométrie ; mais ce qui fait que des géomètres
u’ils ne voient pas ce qui est devant eux, et qu’étant accoutumés aux
principes
nets et grossiers de géométrie, et à ne raisonner
de géométrie, et à ne raisonner qu’après avoir bien vu et manié leurs
principes
, ils se perdent dans les choses de finesse, où le
ié leurs principes, ils se perdent dans les choses de finesse, où les
principes
ne se laissent pas ainsi manier. On les voit à pe
par ordre comme en géométrie, parce qu’on n’en possède pas ainsi les
principes
, et que ce serait une chose infinie que de l’entr
t ridicules, voulant commencer par les définitions et ensuite par les
principes
; ce qui n’est pas la manière d’agir en cette sor
nent rien et où pour entrer il faut passer par des définitions et des
principes
si stériles qu’ils n’ont point accoutumé de voir
mais pourvu qu’on leur explique bien toutes choses par définitions et
principes
: autrement ils sont faux et insupportables ; car
ils sont faux et insupportables ; car ils ne sont droits que sur les
principes
bien éclaircis. Et les fins qui ne sont que fins
ns ne peuvent avoir la patience de descendre jusque dans les premiers
principes
des choses spéculatives et d’imagination, qu’ils
s où ils extravaguent. Les uns tirent bien les conséquences de peu de
principes
, et c’est une droiture de sens. Les autres tirent
autres tirent bien les conséquences des choses où il y a beaucoup de
principes
. Par exemple, les uns comprennent bien les effets
les uns comprennent bien les effets de l’ eau, en quoi il y a peu de
principes
; mais les conséquences en sont si fines, qu’il n
grands géomètres, parce que la géométrie comprend un grand nombre de
principes
, et qu’une nature d’esprit peut être telle qu’ell
e nature d’esprit peut être telle qu’elle puisse bien pénétrer peu de
principes
jusqu’au fond, et qu’elle ne puisse pénétrer le m
ne puisse pénétrer le moins du monde les choses où il y a beaucoup de
principes
. Il y a donc deux sortes d’esprits : l’une, de pé
ts : l’une, de pénétrer vivement et profondément les conséquences des
principes
, et c’est là l’esprit de justesse ; l’autre, de c
t là l’esprit de justesse ; l’autre, de comprendre un grand nombre de
principes
sans les confondre, et c’est là l’esprit de géomé
té, sans le conseil du raisonnement. Ces puissances ont chacune leurs
principes
et les premiers moteurs de leurs actions. Ceux de
ien diverses. Les unes se tirent, par une conséquence nécessaire, des
principes
communs et des vérités avouées. Celles-là peuvent
blement persuadées : car en montrant le rapport qu’elles ont avec les
principes
accordés, il y a une nécessité inévitable de conv
e à qui on en veut, dont il faut connaître l’esprit et le cœur, quels
principes
il accorde, quelles choses il aime : et ensuite r
e remarquer dans la chose dont il s’agit quel rapport elle a avec les
principes
avoués ou avec les objets délicieux par les charm
es règles que de la première ; et encore au cas qu’on ait accordé les
principes
et qu’on demeure ferme à les avouer : autrement j
s lumières. La raison de cette extrême difficulté vient de ce que les
principes
du plaisir ne sont pas fermes et stables. Ils son
celui que je donne, pour faire voir la liaison des vérités avec leurs
principes
soit de vrai, soit de plaisir, pourvu que les pri
és avec leurs principes soit de vrai, soit de plaisir, pourvu que les
principes
qu’on a une fois avoués demeurent fermes et sans
meurent fermes et sans être jamais démentis. Mais comme il y a peu de
principes
de cette sorte et que hors de la géométrie, qui n
s dont on doit se servir par des définitions claires ; à proposer des
principes
ou axiomes évidents pour prouver la chose dont il
’il faut de même que la démonstration soit précédée de la demande des
principes
évidents qui y sont nécessaires, car si l’on n’as
endus et parfaitement exempts d’équivoque par les définitions, et les
principes
étant accordés, si dans la démonstration on subst
s, ou déjà expliqués. Règles pour les axiomes. I. N’omettre aucun des
principes
nécessaires sans avoir demandé si on l’accorde, q
en quoi consiste cet art de persuader, qui se renferme dans ces deux
principes
: définir tous les noms qu’on impose ; prouver to
chent également, si l’un le comprend en sorte qu’il en sache tous les
principes
, la force des conséquences, les réponses aux obje
jugé téméraire. Je voudrais demander à des personnes équitables si ce
principe
: la matière est dans une incapacité naturelle in
la distinction des natures matérielle et spirituelle, et en faire un
principe
ferme et soutenu d’une physique13 entière, comme
par le génie et par l’invention, ce qu’ils tiennent d’elle et de ses
principes
: ils sortent de l’art pour ennoblir, s’écartent
dans ses circonstances ; conciliez un auteur original43, ajustez ses
principes
, tirez vous-même les conclusions. Les premiers co
ssi correct dans sa langue que s’il l’avait apprise par régies et par
principes
, aussi élégant dans les langues étrangères que si
nt de ce que Socrate cherchait dans les hommes, c’est-à-dire de vrais
principes
de la morale et des règles d’un raisonnement exac
’est principalement de cet inconvénient dont parle Socrate ; mais les
principes
qu’il donne en cette occasion s’étendent plus loi
et de la jurisprudence : par la science des lois il comprend tous les
principes
de philosophie pour régler les sentiments et les
x philosophes qui abusent du raisonnement, et qui, manquant des vrais
principes
pour le bien public, tendent à leurs fins particu
Socrate doit nous faire honte. B. Je vois bien maintenant, selon vos
principes
, que les orateurs devraient être les défenseurs d
est de chercher l’art de persuader avant que d’avoir appris, par les
principes
de la philosophie, quelles sont les choses qu’il
de bien parler et de persuader, sans se mettre en peine de savoir par
principes
ce qu’on doit tâcher de persuader aux hommes : ai
s jugement. Non-seulement il veut une connaissance exacte de tous les
principes
de la morale, mais encore une étude particulière
nt point faits les uns pour les autres ; on ne montre point les vrais
principes
des choses : on se borne à des raisons superficie
e la pureté des langues et les livres poliment écrits ; ceux-là, sans
principes
solides de doctrine, avec leur politesse et leur
rtes de mouvements de mains à faire dans tout un sermon. A. Venons au
principe
. A quoi sert l’action du corps ? N’est-ce pas à e
pour vous montrer combien j’entre dans toutes les conséquences de vos
principes
. Vous voulez que l’orateur exprime par une action
ns talent s’en mêlent) ; un homme enfin qui médite fortement tous les
principes
du sujet qu’il doit traiter et dans toute leur ét
nt ; et vous savez ce que nous devons penser de cette perte selon les
principes
que nous avons déjà posés. D’un autre côté, que n
oup de facilité naturelle et acquise ; qu’il ait un fonds abondant de
principes
et d’érudition ; qu’il ait bien médité tout son s
t d’images et de comparaisons plus sensibles ; ou bien il remonte aux
principes
d’où dépendent des vérités qu’il veut persuader,
re : mais pour le reste, il faut une méditation sérieuse des premiers
principes
, une connaissance étendue des mœurs, la lecture d
sinuant, par un air de probité et de candeur ; ensuite on établit les
principes
, puis on pose les faits d’une manière simple, cla
yant sur les circonstances dont on devra se servir bientôt après. Des
principes
, des faits on tire les conséquences ; et il faut
ents est souvent admirable ; d’ailleurs il faut le lire pour certains
principes
sur la tradition, pour les faits d’histoire et po
t pas la précision du style du philosophe et de l’historien ; mais le
principe
en est le même, savoir d’aller droit à son but. O
e in delectatione esse diuturnam. Enfin n’a-t-il pas établi, comme un
principe
général, que dans un discours les ornements doive
leins de génie ? XXXV. Descartes a pu se tromper dans quelques-uns de
principes
, et ne se point tromper dans ses conséquences, si
er vos idées, les mettre sous un même point de vue, et les réduire en
principes
? Jetez-les d’abord sur le papier. Quand vous n’a
abord on ne sait penser : et on ne sait guère penser, si l’on n’a des
principes
fixes et puisés dans la vérité. Tout continue not
espeare pour entremêler des scènes amusantes à ses tragédies. Mais ce
principe
ne paraît pas applicable à la haute tragédie des
le retirer d’un sillon, pour le transporter dans un autre : c’est un
principe
important, mais difficile à observer, pour peu qu
en savoir où l’on va, voir nettement ce que l’on veut : voilà donc le
principe
. Sources, qualités, règles du début : c’est de là
ion à l’en faire jaillir. Voyons quelles conséquences découlent de ce
principe
. D’abord, le début de tout ouvrage doit être conf
nt à établir, il faut se demander aussi comment on parviendra, dès le
principe
, à se faire lire ou écouter. A cet effet, trois q
icate de l’orateur exige des explications, quand ses antécédents, ses
principes
, les idées admises, les préjugés universels ou na
isième point : de sorte que la première réflexion vous instruira d’un
principe
des plus fondamentaux de votre religion, la secon
incipe des plus fondamentaux de votre religion, la seconde d’un autre
principe
qui ne l’est pas moins, et la dernière réflexion
e l’est pas moins, et la dernière réflexion d’un troisième et dernier
principe
, le plus important de tous, qui est remis pourtan
isser jamais dominer par elle, et qu’il fondât chaque discours sur un
principe
indubitable, dont il tirerait les conséquences na
es naturelles. D’ordinaire un déclamateur fleuri ne connaît point les
principes
d’une saine philosophie. Il ne veut que des phras
a passion est comme l’âme de la parole. Il remonte d’abord au premier
principe
sur la matière qu’il veut débrouiller. Il met ce
au premier principe sur la matière qu’il veut débrouiller. Il met ce
principe
dans son vrai point de vue ; il le tourne et le r
e lui seul de tout. Il faut lui montrer souvent la conclusion dans le
principe
. De ce principe, comme du centre, se répand la lu
ut. Il faut lui montrer souvent la conclusion dans le principe. De ce
principe
, comme du centre, se répand la lumière sur toutes
à la Chine, au Japon, dans le Mexique et dans le Pérou, par les mêmes
principes
. Deux hommes qui ne se sont jamais vus, qui n’ont
tient unis par certaines règles invariables, qu’on nomme les premiers
principes
, malgré les variations infinies d’opinions qui na
qui le corrige malgré lui. En toutes choses nous trouvons comme deux
principes
au dedans de nous : l’un donne, l’autre reçoit ;
ouver aussi dans son propre fonds, en consultant au dedans de soi les
principes
de la raison, pour voir si ce qu’on lui dit y rép
ndances aux réformes chimériques. 2. Le goût doit pourtant avoir des
principes
. Il ne convient pas de le subordonner au caprice
relativement à ces deux grands genres, l’invention n’a pas les mêmes
principes
et ne se sert pas des mêmes moyens. Pour éviter t
, pour être utile, doit contenir une morale instructive, conforme aux
principes
des hommes vertueux. Comment voulez-vous que je m
amour et au respect de ses lecteurs ! Est-ce être conséquent avec vos
principes
, avec votre définition même de la Rhétorique, et
eux du monde entier d’un éternel déshonneur. C’était la voix des bons
principes
qui s’élevait contre celle des principes mauvais
ur. C’était la voix des bons principes qui s’élevait contre celle des
principes
mauvais ; c’était le cri de la Rhétorique alarmée
Il est évident que cette hypocrisie oratoire, cette contradiction des
principes
avec le langage, serait de courte durée : les hom
bilité. Pour arracher des pleurs, il faut pleurer soi-même. Il est de
principe
absolu qu’il est impossible de communiquer aux au
Des caractères essentiels de la poésie 11. Quel est le véritable
principe
de la poésie ? Il est facile de comprendre que l
véritable principe de la poésie ? Il est facile de comprendre que le
principe
de cet art sublime ne peut résider ni dans la mes
. Inutile de faire remarquer que la raison n’est pas non plus le vrai
principe
de la poésie ; car cette faculté, qui veut tout p
ives et du monde matériel pour fournir l’expression du beau idéal. Ce
principe
consiste dans les émotions mystérieuses qui s’emp
notre littérature, et qui s’est distingué surtout par une justesse de
principes
et une sûreté de goût, qui ont placé pour toujour
ts de M. de La Harpe, qui, sans fléchir jamais sur la sévérité de ses
principes
en matière de goût, sans jamais s’écarter de la r
nciens. Mais, rendu tout entier, sur la fin de sa vie, aux excellents
principes
que sa jeunesse avait reçus, il n’a pas craint de
Homère, les Pères, Virgile, le Tasse, Milton, etc. Il faut établir le
principe
de ces fréquentes inégalités ; faire voir en quoi
pénible du talent qui imite ; cette lutte presque continuelle de deux
principes
évidemment opposés ; me semblerait assez bien car
s artifices de style sont sans doute très légitimes ; ils sont un des
principes
, ou plutôt un des secrets de l’art, et je ne sais
es : craignons d’adopter une poétique qui constituerait les fautes en
principes
, et qui poserait pour règle première la violation
entes leçons dans la société de Louis Racine ; partis enfin des mêmes
principes
, et près que du même point, ils ont suivi l’un et
llait une manière expéditive, et il la contracta. Il partit donc d’un
principe
tout opposé à celui qui avait si bien dirigé Raci
Origine et
principe
des beaux-arts Les arts en général ont été inve
le, de l’origine des beaux-arts, il est bien facile de reconnaître un
principe
qui leur est commun ; principe qui, comme l’ont d
, il est bien facile de reconnaître un principe qui leur est commun ;
principe
qui, comme l’ont dit tous les anciens et tous les
ussi élevé, aussi vertueux qu’il puisse l’être, et comme ayant été le
principe
des plus grandes et des plus brillantes actions q
elon la grammaire ; d’un côté les éléments matériels, de l’autre, les
principes
et les lois d’affinité d’après lesquels ils se li
qui les traversent pour aller plus loin. Il faut se former, et dès le
principe
, à la prononciation, à l’accentuation, à la ponct
te sur le précepte de Quintilien, qui demande qu’on s’adresse, dès le
principe
, aux auteurs de premier ordre, et qu’on relise so
s en grec ou en latin, et, si l’on s’en occupe, qu’on leur donne pour
principe
l’imitation et presque la reproduction littérale
nt point faits les uns pour les autres ; on ne montre point les vrais
principes
des choses ; on se borne à des raisons superficie
us pour la plupart de la Sicile, appliquèrent à l’éloquence ces beaux
principes
, et voici comment ils parlèrent aux Athéniens : —
ermillon de l’embonpoint. Puis il opposait à leurs procédés les vrais
principes
de l’éloquence. — L’éloquence, disait-il, ne méri
a vertu. » Mais où Socrate sortait de la mesure, où il exagérait son
principe
, où il tombait dans les subtilités qu’il reprocha
, en le sauvant, plus qu’en l’abandonnant au supplice. — Étendons ces
principes
à la politique, pour en montrer l’exagération. —
ésumer en celle-ci : plaire et toucher pour convaincre. Partant de ce
principe
que l’éloquence est une dialectique à l’usage du
Non, si l’on entend par art un ensemble de connaissances dérivant de
principes
absolus. Que l’éloquence ait pour but de persuade
ratoire sur l’improvisation. V l’orateur — Ainsi, d’après vos
principes
, l’art ne fait que polir l’orateur, et c’est la n
oquence n’est qu’un bruit harmonieux. Que ses mains soient pures, ses
principes
inflexibles, sa vie à l’abri du soupçon ; que son
cap, veulent le suivre sur le terrain. Notre rhétorique se borne aux
principes
généraux de l’éloquence et laisse à la pratique l
toutes vos pièces. IX l’argumentation Revenons toujours à nos
principes
. Prouver est le but de l’éloquence : plaire et to
renez du champ et courez bravement à l’attaque. Fidèle moi-même à ces
principes
, je bornerai là mes conseils. Car m’étendre plus
ne vous apprendra à raisonner juste, si vous avez l’esprit faux. Les
principes
du dessin peuvent s’apprendre dans les ateliers d
ant et forme un tout complet), intitulé le Style, l’auteur expose les
principes
généraux de l’art d’écrire, principes qui sont co
é le Style, l’auteur expose les principes généraux de l’art d’écrire,
principes
qui sont communs à tous les genres de composition
il consciencieux, qui non seulement ne contient rien de contraire aux
principes
de la saine doctrine en ce qui concerne la foi et
humanistes y trouveront dans un style clair et toujours élégant, des
principes
sûrs, des notions exactes, des appréciations just
s bien importantes et sur lesquelles il y avait, non pas peut-être en
principe
, au moins dans la pratique, des jugements opposés
l’objet qui nous occupe ici : l’un y a consacré trois volumes de ses
Principes
de littérature l’autre a écrit pour le même objet
itifs, cité à toutes les pages, garantirait d’ailleurs les excellents
principes
. Nous savons qu’un travail de ce genre a été fait
ont ou beaucoup trop relâchés, ou infiniment trop austères dans leurs
principes
: stoïques ou épicuriens, et toujours hors des li
sans cause et rejette sans examen tout ce qui contrarie, non pas ses
principes
, il n’en connaît qu’un, et c’est de n’en point av
portion qu’ils sont plus déréglés. « L’impie apporta en naissant les
principes
de religion naturelle communs à tous les hommes :
isonnements de cette espèce de philosophie sont en conséquence de ses
principes
: cela est naturel ; et en voici la preuve : « O
le sentiment de tous les hommes, une erreur populaire ; les premiers
principes
de la nature et de la raison, des préjugés de l’e
il faut tous les efforts du zèle le plus constant pour ramener à des
principes
si longtemps méconnus des cœurs emportés loin d’e
lorsque sa langue et son cœur ne sont point d’intelligence ; et si ce
principe
est rigoureusement vrai, par rapport aux genres d
lus forte raison ne doit-il pas l’être pour la prédication ? Plus les
principes
que l’orateur veut faire adopter sont vrais et im
age ne se recommandait d’ailleurs par la sagesse et la profondeur des
principes
qu’il renferme, par des vues nouvelles et ingénie
dicieuse ; elle est écrite avec beaucoup d’élégance et de clarté, les
principes
en sont dictés par un cœur droit et une âme vertu
es par la pureté du style, l’élégance de la diction et la sagesse des
principes
; mais il n’avait encore rien publié qui pût donn
e. Cette première lecture donna une si haute idée de l’excellence des
principes
littéraires du professeur, que les chefs de l’uni
anglaise pour admirer la distribution de l’ouvrage, et les excellents
principes
qu’il renferme. On en fit tant de cas en Allemagn
-lettres que nous possédons, aucun n’est plus complet, dans aucun les
principes
ne sont examinés avec plus de profondeur et de ju
garements, elle n’est point une vertu. Sans énergie pour défendre les
principes
les plus sacrés, elle ne sait que s’avilir par un
bonne foi, de la douceur et de l’humanité. Mais ce n’est point là le
principe
et le caractère de la douceur de l’homme de bien.
ondition et de nos devoirs ; elle est l’état naturel de l’âme que des
principes
sages élèvent et perfectionnent ; elle est le pen
ne analyse soignée de tous les genres de composition littéraire ; les
principes
y sont éclaircis de la manière la plus heureuse p
ude de l’art de parler et d’écrire, trouveront dans son livre plus de
principes
clairement développés que dans aucun autre ouvrag
Sans cette faculté, notre raison isolée serait, en quelque sorte, un
principe
inutile. La parole est pour les hommes un moyen m
eur perfectionnement. Mais il est certain que l’on peut appliquer les
principes
de la raison et du bon sens à cet art aussi bien
tituer à une rhétorique artificielle et pédante, l’application de ces
principes
; pour apprendre à bien connaître ce que de faux
occasion de parler ou d’écrire. Aussi, parmi les anciens, était-ce un
principe
fondamental et souvent répété, que « l’orateur do
ens inexpérimentés et les ignorants. Ceux qui n’ont jamais étudié les
principes
de l’éloquence, qui n’ont point été formés à appr
squ’ils ont besoin d’écrire ou de parler en public, ils ne suivent de
principes
que ceux qui les conduisent à plaire au vulgaire
à devenir à la mode, quelque faux et corrompus que puissent être ces
principes
. Cependant, comme beaucoup de personnes ne cherch
position, aideront celles-ci à en sentir et à en juger le mérite. Les
principes
qui rendent le génie capable d’exécuter, nous app
ique que notre intelligence retire le plus d’avantages. Appliquer les
principes
du bon sens à l’art d’écrire et de parler ; exami
nsuite ses fluctuations diverses, et je rechercherai s’il est quelque
principe
certain auquel se puissent rapporter les différen
e, leurs harangues et leurs orateurs. Nous en devons conclure que les
principes
du goût sont parfaitement inhérents à l’esprit hu
loppement dont il est susceptible. Arrêtons-nous d’abord sur ce grand
principe
qui s’applique également au physique et au moral
effet de la sensibilité ! Quoiqu’à la rigueur la sensibilité soit le
principe
du goût, cependant il ne faut pas seulement le re
bel extérieur n’en impose pas ; il a toujours présents à l’esprit les
principes
certains sur lesquels il appuie ses jugements. Il
aire ; qu’on ne pouvait s’appuyer sur aucun fondement, partir d’aucun
principe
, et que tout dépendait du caprice de l’imaginatio
ir ce que nous devons conclure d’exemples semblables : existe-t-il un
principe
certain auquel nous puissions nous en rapporter p
à sa discussion. Je commencerai par observer que s’il n’existe aucun
principe
en matière de goût, il s’ensuit nécessairement qu
mblables oppositions dégoûts, quelles sont les règles, quels sont les
principes
auxquels nous pouvons recourir ? Voilà ce qui nou
nous pouvons recourir ? Voilà ce qui nous reste encore à examiner. Un
principe
, proprement dit, est ce que nous pouvons prendre
rsque nous disons que la nature est le type du goût, nous émettons un
principe
vrai et juste, tant qu’on en peut faire l’applica
base sur laquelle nous puissions asseoir d’une manière plus sûre les
principes
du goût. Le goût, comme je l’ai expliqué ci-dessu
rite des ouvrages de prose ou de poésie ? Non, assurément. Il y a des
principes
établis sur la raison et le discernement, que l’o
ujours prêt à indiquer les motifs de son opinion ; il s’en réfère aux
principes
, et montre les règles sur lesquelles il se fonde.
jets corrigeront les caprices d’un goût peu exercé, et fourniront des
principes
d’après lesquels nous pourrons distinguer et appr
consultant le sentiment des autres, que nous pouvons nous former des
principes
dignes d’avoir quelque autorité en matière de goû
résentent, pour asseoir un jugement clair et précis. Trouverait-on un
principe
qui fût applicable à toutes les questions de logi
venons de dire, il nous suffira de conclure que le goût n’est pas un
principe
arbitraire soumis aux fantaisies de chacun, et n’
er du goût, je vais actuellement indiquer quels sont la nature et les
principes
de la critique. La véritable critique est l’appli
ition, est beau ou défectueux ; elle remonte des cas particuliers aux
principes
généraux, et, de cette manière, établit des règle
, se sont trouvés en opposition avec les règles établies. D’après les
principes
que nous avons adoptés dans notre précédente Lect
s on peut le rencontrer. Je désire avoir établi sur cette matière des
principes
assez sûrs pour qu’ils puissent nous guider dans
ment nécessaires, j’en vais rapporter qui prouveront l’importance des
principes
que je viens de poser. C’est, en général, chez le
employées ici pour augmenter l’effet du sublime, vient à l’appui des
principes
que nous avons précédemment établis. Le passage s
ous possèdent, qu’ils nous plaisent, mais à cause de la diversité des
principes
qui constituent la nature humaine. L’agréable sen
comme fondement de la beauté ni la variété, ni l’uniformité, ni aucun
principe
que je connaisse. Nous ne pouvons lui assigner d’
soit important de pousser plus loin cet examen. J’ai établi quelques
principes
généraux dont il est temps de faire l’application
elques détails sur la construction grammaticale du langage ou sur les
principes
de la grammaire générale, et je terminerai en app
ouvons une foule de mots qui évidemment ont été construits d’après ce
principe
. Une espèce d’oiseau s’appelle coucou d’après le
premiers inventeurs du langage, ou s’il existe dans la nature quelque
principe
d’après lequel on a pu être conduit à assigner ce
ère opinion avait pris faveur dans l’école de Platon18. Toutefois, ce
principe
qui établit une relation naturelle entre les mots
ation des mots, plus d’emphase et d’énergie. Aussi peut-on établir en
principe
, que la prononciation des premières langues fut a
mots certaines variations qu’il n’est pas facile de réduire à un seul
principe
. Le génie et le caractère de presque toutes les l
se ; mais, quoiqu’on cherche à en meubler notre mémoire avant que les
principes
en soient à notre portée, elle nous dédommage amp
ter, c’est qu’un bien petit nombre se soit proposé d’en appliquer les
principes
à la langue anglaise. Tandis que la langue frança
s je me propose d’entrer en quelques considérations générales sur les
principes
les plus essentiels ; en passant en revue chaque
s entrions, à son égard, dans une discussion plus étendue. Ayant pour
principe
la différence qui existe entre les deux sexes, il
es que M. Harris attribue, dans ses Recherches philosophiques sur les
principes
de la grammaire, à une certaine ressemblance, une
nalogues à celles des femmes qu’à celles des hommes. À l’appui de ces
principes
, il fournit les exemples suivants : le soleil, da
ne science difficile ; il était réduit en système ; on avait fixé des
principes
dont il était absolument impossible de s’écarter
que leur application soit à la fois heureuse et correcte d’après les
principes
que cet usage a établis ; enfin, elle rejette ces
ition peut seule indiquer ces rapports ; aussi est-ce un des premiers
principes
de notre syntaxe, que les mots ou les membres qui
e pour être belle ; toutes ses parties doivent être liées par un seul
principe
; un seul objet doit la remplir. L’unité, comme j
se compose de deux membres, il faut que le plus étendu la termine. Ce
principe
est fondé sur deux raisons : d’abord, c’est que l
lles, en se succédant, ne produisent pas d’hiatus. On peut établir en
principe
général qu’un son est d’autant plus désagréable à
et rapides, pompeuses et magnifiques, coupées et brusques. Tel est le
principe
qui doit nous diriger dans la composition, ou, po
ibles de perfectionnement que l’oreille et la voix ; et connaître les
principes
de ces beautés, apprécier les motifs qui rendent
nchant à prêter une vie aux objets inanimés. Que ce soit l’effet d’un
principe
inhérent à notre organisation, ou d’un secret pen
urbatus est in occursum adventus tui, suscitavit tibi gigantes. Omnes
principes
terræ surrexerunt de soliis suis, omnes principes
ibi gigantes. Omnes principes terræ surrexerunt de soliis suis, omnes
principes
nationum. — Universi respondebunt, et dicent tibi
nées du langage, agissent sur nous par sympathie. La sympathie est un
principe
bien puissant et bien étendu, qui nous dispose à
isonnements. L’on trouve à cet égard, dans les critiques anciens, des
principes
sûrs, pleins de sens, et dignes de la plus grande
on en tire certaines conséquences immédiates qui servent à fixer les
principes
fondamentaux de l’art. Il s’ensuit en effet que,
Pleurez, si vous voulez faire couler mes larmes. (Trad. de Daru.) Ce
principe
une fois admis, que la haute éloquence est le rés
en peut tirer des conséquences importantes qui viennent à l’appui du
principe
même dont elles dérivent. Telle est en effet la c
semblable que l’art de la parole, dans la main des chefs, fut, dès le
principe
, un des moyens de conduire le peuple, et d’acquér
ou une résolution dont le résultat est le bien commun. Nous posons en
principe
général que, pour persuader les hommes, il faut s
dont il voulait ne faire qu’un amusement sera pris pour un manque de
principe
ou un défaut de bon sens. La nature des débats, a
même, pour être constamment heureuse, une entreprise doit avoir pour
principe
et pour base la justice et la vérité : et c’est p
habileté, ne manque jamais de clients. Il faut, avant tout, poser en
principe
que l’éloquence du barreau, soit dans les plaidoy
tendrait diriger ou réprimer les passions des hommes sans émettre des
principes
sûrs, sans éclairer leur esprit, ne serait qu’un
orateur croie fermement aux vérités qu’il annonce et à la sagesse des
principes
qu’il veut inculquer aux autres ; ce n’est pas as
à l’appui de ce qu’un prédicateur avance, donnent de l’autorité à ses
principes
, et prêtent à son discours quelque chose de plus
ns le sein de l’ombre, une flamme allumée. (Trad. de Daru.) C’est un
principe
généralement reçu qu’un orateur ne doit pas d’abo
gement, elle peut tourner contre nous et interpréter en sa faveur des
principes
que l’on a d’abord émis en l’attaquant. Quintilie
sur l’origine des connaissances humaines, par l’abbé de Condillac. —
Principes
de Grammaire, par Dumarsais. — Grammaire générale
les hommes, par J.-J. Rousseau. — Grammaire générale, par Beauzée. —
Principes
de la traduction, par Le Batteux. — Légation divi
se, par Warburton.— Sanctii Minerva, cum notis Perigonii. — Les vrais
principes
de la grammaire française, par l’abbé Girard. 17
allez dire ; les matières sont grandes, mais usées et triviales ; les
principes
sûrs, mais dont les auditeurs pénètrent les concl
tianisme a contribué aux progrès de la raison et au développement des
principes
de la religion naturelle, reproche aux incrédules
igne la personne ou la chose, qui, comme je l’ai dit ailleurs, est le
principe
de l’action exprimée par le verbe. Il est employé
pas confondre de particule, avec de préposition : voici pour cela un
principe
sûr. Quand un nom substantif, que de précède, peu
violateur de cette règle, fait usage de l’article : il dit, dans ses
Principes
de la langue française, tom. 2, pag. 22 : j’ai fa
pe : = nous devons toujours nous conduire suivant et conformément aux
principes
de l’honneur. Il faut dire : les rois sont soumis
evons toujours nous conduire suivant l’honneur, et conformément à ses
principes
. Il y a donc une faute dans cette phrase : ce sei
par le souverain, la vertu est toujours honorée par les grands ; les
principes
des bonnes mœurs sont respectés par ceux qui les
je me borne à nommer Duclos et l’Abbé d’Olivet. Voici le vrai sens du
principe
fixe qu’ils ont établi. Règle du participe, co
; c’est-à-dire, elle a laissé séduire, mener, battre elle. Tel est le
principe
simple et unique, mais fixe et invariable, qui ré
comme une des plus difficiles à éclaircir. Duclos dit qu’il exposa ce
principe
à l’Académie, et à quelques-uns de ceux qui aurai
ipe doit, dans toutes ces circonstances, être employé au masculin. Ce
principe
et cette conséquence sont également inadmissibles
pour ne pas m’appesantir davantage sur une question, qui, d’après le
principe
établi, et d’après la saine raison même, doit par
pas là une preuve bien claire, que l’Académie a pleinement adopté le
principe
de Duclos et de l’abbé d’Olivet. Participe pla
s pour de lui ; et c’est ce qui rend la phrase incorrecte. Suivant ce
principe
, il y a une faute dans ces beaux vers de Racine :
ales, qui l’a apporté : comme il a sonné la charge. C’est sur ce même
principe
, que l’Académie, dans son jugement sur la tragédi
int de mémoire d’un plus rude et d’un plus furieux combat. Suivant le
principe
établi, on ne le peut point. D’ailleurs l’Académi
n ne pourra pas dire : des conseils amicaux ; les pays austraux ; les
principes
grammaticaux ; des trésors idéaux. Mais on dira f
drilles (parties grossières qui restent au fond d’un vase) ; élémens (
principes
d’un art, d’une science) ; émondes (branches supe
alificatif au substantif tableau, dont il rappelle l’idée. Tel est le
principe
d’après lequel on jugera si un pronom est substan
xprime une action, soit intentionnelle, c’est-à-dire, produite par un
principe
spirituel ; soit réelle, c’est-à-dire, produite p
ar un principe spirituel ; soit réelle, c’est-à-dire, produite par un
principe
matériel, de quelque nature qu’il soit. On appell
ture qu’il soit. On appelle sujet, la personne ou la chose qui est le
principe
de cette action. On appelle objet, la personne ou
réelles. Nous, vous, limon, vers, sont sujets, parce qu’ils sont les
principes
de ces actions, puisqu’ils les produisent. Vertu,
s deux verbes, des actions qui passent hors des sujets qui en sont le
principe
, je ne pourrais cependant pas dire, tout le monde
de notre syntaxe. On doit donc regarder comme faux et inadmissible le
principe
, d’après lequel Wailly prétend que les verbes nui
ait éviter la répétition. Le verbe exprime une action produite par un
principe
spirituel, ou par un principe matériel. La prépos
erbe exprime une action produite par un principe spirituel, ou par un
principe
matériel. La préposition marque les différents ra
n va en juger. Nous avons, d’après Cicéron et Quintilien, établi pour
principe
la nécessité d’unir la philosophie à l’éloquence,
ts de l’empire de la parole sur la connaissance de l’homme et sur les
principes
de la morale. » En vain la nature, jalouse de sa
leurs antiques fondements ; et les nations, étonnées de trouver leurs
principes
anéantis, se sont demandé par quelle fatalité ell
é qu’un abrégé de préceptes précis, clair et méthodique, où les vrais
principes
de la composition seraient présentés avec simplic
fait comme parlaient ceux d’Athènes et de Rome. Il suit de là que les
principes
généraux de l’art, restant toujours les mêmes qua
tenant donner une idée du plan que j’ai adopté. Dans l’exposition des
principes
de la rhétorique, j’ai suivi l’ordre consacré par
’ai eu en vue que cette fin dans les applications que j’ai faites des
principes
du raisonnement. La première règle de l’éloquence
es vices ; mais cette manière est trop implicite ; quand il s’agit de
principes
, tout ce qu’on dit doit être clair et précis ; il
suffisent pas, il faut qu’il ait de plus une provision toute faite de
principes
, d’idées, de connaissances de tout genre. « Pour
ar, toute cause, quoique d’un intérêt privé, se réfère au genre et au
principe
commun des choses. (De Orat. l. II, n°. 138.) So
a raison. Elle admet les trois moyens de persuasion. Nous posons en
principe
général que pour persuader les hommes, il faut s’
u il s’agit de mener les hommes par le devoir, et alors c’est dans le
principe
de l’honnête et du juste que l’éloquence puise se
ts qu’elle fait mouvoir. L’honneur, la vertu, l’orgueil national, les
principes
d’équité, ceux du droit naturel surtout, peuvent
situation actuelle, ses relations, ses intérêts, ses ressources, ses
principes
de droit public ; de l’avenir, les précautions, l
ne. L’éloquence du barreau peut en certains cas être passionnée. Le
principe
de l’éloquence du barreau est donc que le juge a
it, par une méditation et un examen approfondi, se rendre familier le
principe
de chacune de ces preuves, pour les savoir traite
ue les actes subséquents qui ne sont que relatifs à cette société. Ce
principe
, applicable à tous les genres de preuves, doit ré
loi des argumens dans le discours, on ne doit jamais perdre de vue le
principe
de l’analogie ou du rapport des choses entre elle
ue le principe de l’analogie ou du rapport des choses entre elles. Ce
principe
est tout, puisque les choses dont on tire argumen
s les preuves c’est la plus absolue ; mais c’est aussi la plus rare.
Principe
qui doit nous diriger dans cette sorte de témoign
és sur les actions des hommes. Il importe alors d’être dirigé par des
principes
qui préservent autant que possible de l’erreur de
ion le point contesté, à bien définir les termes, à bien appliquer le
principe
à la question, et les conséquences au principe ;
s, à bien appliquer le principe à la question, et les conséquences au
principe
; à rompre les filets d’un sophisme dans lesquels
(Art Poét., ch. I.) Nous allons exposer en peu de mots les premiers
principes
de la logique. Ce que nous en dirons suffira pour
é, c’est l’imagination. Telles sont les actions différentes d’un même
principe
immatériel, pensant et libre. Les philosophes, po
sse voir que cette conclusion est contenue dans la majeure : voilà le
principe
fondamental. L’argumentation toute pure n’est pa
, plus ils seront nombreux, plus aussi l’induction sera puissante. Le
principe
de l’analogie est celui qu’il faut appliquer. Voy
portante. Pour qu’une preuve oratoire soit concluante, il faut que le
principe
auquel on remonte soit reconnu de ceux à qui l’on
de ceux à qui l’on parle ; mais il n’est point nécessaire que le même
principe
soit vrai : au contraire, il peut être faux, absu
ux sortes de moyens oratoires sous un même titre, parce qu’ils ont un
principe
, des élémens et un objet communs. Les moyens de
objet communs. Les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir ont un
principe
commun. En effet, toute émotion cause une impres
e à qui on en veut, dont il faut connaître l’esprit et le cœur, quels
principes
il accorde, quelles choses il aime ; et ensuite r
e remarquer dans la chose dont il s’agit quel rapport elle a avec les
principes
avoués ou avec les objets censés délicieux par le
Et la raison de cette extrême différence vient, dit-il, de ce que les
principes
du plaisir ne sont pas fermes et stables ; ils so
it Cicéron, que les juges conçoivent une bonne opinion des mœurs, des
principes
, des actions, de la conduite de l’orateur et de s
rt poét., ch. III.) Cicéron et Quintilien en ont fait avec raison un
principe
fondamental. « Je n’ai jamais essayé, dit le pre
nature a établie entre les hommes, étant, comme nous l’avons dit, le
principe
de la communication des émotions entre eux, c’est
) Toutes les fois qu’il s’agit simplement de raisonner, d’établir un
principe
, et d’en bien déduire les conséquences, d’interpr
z nous quelques modifications. Cependant, comme nous l’avons dit, ce
principe
a des exceptions. Il est des causes où il est per
de plaire. (L. I, c. 2, art. i er.) L’exorde doit sortir du sujet.
Principe
pour bien faire l’exorde. L’exorde d’un discours
ement, et la véhémence des mouvemens oratoires. » (Parag. VIII.) Ce
principe
est enseigné et pratiqué par Cicéron. Cette marc
le sujet qu’on veut traiter. A mesure qu’on réfléchit, on pénètre les
principes
des choses, on en découvre les rapports. Peu à pe
est à souhaiter que le discours aille toujours en croissant, selon ce
principe
: Semper augeatur et crescat oratio. L’ordre des
, il y a dans la déduction des preuves une marche naturelle qui a son
principe
dans la relation des choses et la génération des
t de son esprit, la preuve n’est qu’une argumentation établie sur des
principes
généraux. Alors la marche est à peu près uniforme
ppui d’une opinion, d’un raisonnement ; qu’il soit l’application d’un
principe
qu’on vient d’établir et de développer. On le pré
tes et plus impérieuses. Précepte fondamental. Nous finirons par un
principe
général, commun à toutes les péroraisons, de quel
e inv. Rh., loc. cit.) L’ordre que Cicéron recommande est le premier
principe
de la clarté ; mais qu’est-ce qui constitue la ba
rration judiciaire ; il est bon de savoir qu’on peut en appliquer les
principes
à toute sorte de narration oratoire. En général,
tilité, et par l’usage qu’on en fait. » (De Orat., n. 331.) Les mêmes
principes
gouvernent l’une et l’autre ; les argumens qu’on
le besoin qu’a l’orateur d’être bon logicien. En effet, détruire les
principes
sur lesquels l’adversaire a fondé ses preuves, ou
sur lesquels l’adversaire a fondé ses preuves, ou montrer que de bons
principes
il a tiré de fausses conséquences, ou opposer à s
aux lois, donc, etc… ? non sans doute. C’est là poser la question en
principe
; car la question est de savoir si la loi elle-mê
, ce qu’elle ordonne ne l’est pas. Ce sophisme est appelé pétition de
principe
. 3°. A prendre pour cause ce qui n’est point caus
oses. On ne doit jamais perdre de vue, dit Quintilien (loc. cit.), le
principe
que les mots sont pour les choses ; que les chose
ne conduit à aucun résultat essentiel…. Il faut en revenir à ce grand
principe
, qu’il n’y a à considérer dans l’éloquence que la
ent cet ordre, cette subordination, cette liaison. Par conséquent, le
principe
que vous devez vous faire en écrivant, est de vou
inction n’est pas toujours aisée à faire. Essayons de donner quelques
principes
sur ce choix. D’abord, il faut éviter d’employer
Elle doit être considérée sous deux rapports. Dans l’application du
principe
de la convenance du style, on doit avoir égard au
tes les situations de sa vie, la récompense, etc…. » Un des premiers
principes
de notre syntaxe est que les mots ou les membres
e qu’on dit et dans ce qu’on écrit, que Condillac la regarde comme le
principe
fondamental de l’art d’écrire. « Le principe que
llac la regarde comme le principe fondamental de l’art d’écrire. « Le
principe
que vous devez vous faire en écrivant, est, dit-i
ormer toujours à la plus grande liaison des idées….. Je ne sais si ce
principe
souffre des exceptions, mais je n’ai pu encore en
La tendresse n’est autre chose que la sensibilité, et celle-ci est le
principe
même de l’amour. Les muses sont des abeilles vol
conscience ; et bientôt on a dit : fort de ses intentions,fort de ses
principes
, fort de sa vertu. Un poëte s’est servi de ce tro
’être bien pénétré de son sujet : Sentir ce que l’on dit est le grand
principe
de la déclamation oratoire. Sous tous les points
ciation et les inflexions de la voix ; et il fait l’application de ce
principe
à la première phrase de la Milonienne. Voici ses
if. Et sentir ce qu’il dit. Sentir ce que l’on dit, c’est encore le
principe
d’où il faut partir pour donner à toutes les part
tion particulière. Définition des indices. Il y en a de deux espèces.
Principe
qui doit nous diriger dans cette sorte de témoign
e des personnes. Les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir ont un
principe
commun. Différence qu’il y a entre les uns et les
enveillance. L’attention. La docilité. L’exorde doit sortir du sujet.
Principe
pour bien faire l’exorde. Il y a plusieurs sortes
dre le sujet. Il doit être distribué selon une graduation marquée. Ce
principe
est enseigné et pratiqué par Cicéron. Nécessité d
on. La brièveté. La clarté. 1. M. Delamalle a très-bien développé ce
principe
dans son Essai d’institutions oratoires. (L. II,
s que des orateurs ou rhéteurs (ῥήτωρες) sont venus, en ont donné les
principes
et déterminé les règles. L’éloquence a donc précé
Buffon 1707 — 1788 Discours sur le style. Le Batteux 1713 — 1780
Principes
de littérature. Condillac 1715 — 1780 Cours d’é
éloquence, toutes les parties de la Rhétorique comprennent les grands
principes
de la composition. Ils sont les mêmes pour toutes
γισμὸς, raisonnement) est l’argument par excellence, celui qui est le
principe
de tous les autres. Il se compose de trois propos
mmuns Les arguments que nous venons d’énumérer se rapportent à des
principes
généraux, dont ils ne sont que des conséquences.
à des principes généraux, dont ils ne sont que des conséquences. Ces
principes
sont une autre forme de la preuve. Les anciens rh
et l’effet servent à louer ou à blâmer une action en considérant son
principe
ou ses conséquences. Ex. Lire dans Corneille le
es ou paralogismes sont : 1° l’ignorance du sujet ; 2° la pétition de
principe
; 3° le cercle vicieux ; 4° l’erreur sur la cause
, etc. » (Lettre à d’Alembert sur les spectacles.) 2° La pétition de
principe
consiste à définir un objet par le terme qui a be
ue de l’opium. 3° Le cercle vicieux est une variété de la pétition de
principe
. Il prouve une proposition par une autre qui s’ap
on. Sophismes et Paralogismes : 1° Ignorance du sujet, 2° Pétition de
principe
. 3° Cercle vicieux, 4° Erreur sur la cause, 5° Dé
et de l’enseignement des lettres, 2e édit. in-8, 1851 ; E. Talbot ;
Principes
de composition et de style, in-12, 1855 ; Hector
Hector Lemaire, La Rhétorique des classes, in-12, 1868 ; Pellissier,
Principes
de Rhétorique française, in-12, 1873 A. Henry, C
composition, 2e édit., in-12, 1874 ; Deltour, Littérature française (
Principes
de composition et de style), in-12, 1875 ; Brisb
’œuvre pour déterminer les genres poétiques et appliquer à chacun les
principes
dictés par le goût. Ce code s’appelle l’art poéti
les plus usités, excepté chez les poètes lyriques. On distingue deux
principes
dans la versification latine : 1° la césure (cæde
s, huit syllabes, sept syllabes, six syllabes, cinq syllabes, etc.
Principes
de versification Césure, Élision. Nature des sy
examètre, Pentamètre, Asclépiade, Saphique, Alcaïque, Ïambique, etc.
Principes
de versification Césure, Hémistiche, Élision,
ure et l’homme, renferme des vérités morales, des règles de goût, les
principes
du beau dans des vers expressifs, qui deviennent
e poème philosophique De rerum natura, où Lucrèce « a pu connaître le
principe
des choses et mettre sous ses pieds toutes les te
. Ex. Bossuet, Discours sur l’histoire universelle, — l’italien Vico,
Principes
d’une science nouvelle, — Montesquieu, Esprit des
c dans celui qu’il a composé sur la Tragédie, l’abbé Batteux dans ses
Principes
de littérature, se sont occupés seulement de la f
bibliographie particulière a pour objet d’étudier, d’après les mêmes
principes
, les textes manuscrits ou imprimés d’un écrivain,
e traités des ouvrages purement didactiques, où l’écrivain expose les
principes
d’un art ou d’une science. C’est le répertoire de
tion faite des diverses formes qu’il peut revêtir. Elle recherche les
principes
qui dominent à la fois le monde physique et le mo
phie, et qui se sont occupés des sciences auxquelles elle donne leurs
principes
et leurs méthodes (philosophie des sciences mathé
ns leurs œuvres ou leur articles, les lois générales des peuples, les
principes
du droit public et les règles du gouvernement des
auteurs de traités purement didactiques, recherchent et exposent les
principes
et les règles des beaux-arts, des belles-lettres,
dix-huitième siècle, ne renferme plus de vues justes et fécondes, de
principes
vrais et lumineux, et plus de ces pensées efficac
ls étaient si méchants et si féroces, qu’il n’y avait parmi eux aucun
principe
d’équité ni de justice. Ils avaient un roi d’une
tion du monde la plus industrieuse, et qui travaillait les terres par
principe
de religion, fertile et abondant en toutes choses
mes leur marine, dans laquelle ils étaient supérieurs. Tyr était, par
principe
, attachée aux Perses, qui ne pouvaient se passer
iale et Royale, visitant le Prytanée de Paris, ordonna l’usage de ces
Principes
Généraux des Belles-Lettres, pour les Écoliers de
ron, l’un des Membres de la Commission, se chargea d’extraire, de ses
Principes
Généraux des Belles-Lettres, une Rhétorique et un
proportions, digressions, transitions, variété Les règles ont pour
principe
notre organisation, pour but la satisfaction de n
l’unité de l’ensemble et l’enchaînement rationnel des idées. Le même
principe
nous guidera dans les autres détails de la dispos
s crient, si ses jours papillotent, c’est qu’il a violé ou ignoré les
principes
de son art. Le génie de Beethoven et le talent de
sphère, il prétendit les mêler et les croiser sans cesse. Partant du
principe
que le sublime sur le sublime produit malaisément
énérales et règles particulières. Les règles générales embrassent les
principes
communs à toutes sortes de discours ; les règles
mme ces règles particulières ont un but plus pratique et montrent les
principes
appliqués à chaque genre, on a donné quelquefois
haïr le mensonge. On a souvent recours à cet argument, parce que les
principes
généraux sont toujours plus sensibles que les con
, outre l’autorité divine fondée sur la révélation, il y a encore des
principes
de justice qui sont gravés dans toutes les consci
ble le nom de prémisses. 61. Dans tout syllogisme, on pose d’abord un
principe
certain et reconnu pour tel de ceux à qui l’on s’
te que la vérité particulière qu’on veut prouver est contenue dans ce
principe
, et on en conclut la certitude de cette vérité. L
er. Nous mentionnerons seulement l’ignorance du sujet, la pétition de
principe
, l’erreur sur la cause, le dénombrement imparfait
n et éviter toute équivoque dans le sens des mots. 80. La pétition de
principe
suppose comme certain et déjà prouvé ce qui est e
-à-dire en supposant pour vrai ce qui est en question. La pétition de
principe
prend le nom de cercle vicieux lorsque, pour prou
critures. Dans le cercle vicieux, on fait donc une double pétition de
principe
. 81. L’erreur sur la cause consiste à donner pour
identiques et ne se prêtent aucune lumière, comme dans la pétition de
principe
; ou bien enfin l’argument n’a aucun rapport à la
lement riche et dévoué, mais qui eût encore suivi les affaires dès le
principe
, et raisonné avec justesse sur la politique et le
eloquentiæ fundamentum sapientia . Nous donnerons toutefois quelques
principes
généraux qui feront éviter les fautes les plus gr
it, au contraire, unir et rapprocher ceux qui sont fondés sur le même
principe
et ont entre eux une étroite affinité. Ainsi, en
. 225. Quand la réfutation tombe sur un raisonnement, examinez si les
principes
sur lesquels s’appuie l’objection sont vrais ou f
rais ou faux, et si les conséquences sont bien ou mal déduites. Si le
principe
est faux, on doit le démontrer par les absurdités
trer par les absurdités qui en découlent, ou en lui opposant d’autres
principes
dont la vérité est évidente. Le principe détruit,
ou en lui opposant d’autres principes dont la vérité est évidente. Le
principe
détruit, toutes les conséquences que l’adversaire
et bien dirigés. Néanmoins, nous croyons utile de poser ici quelques
principes
généraux consacrés par l’usage. 1º Les mains tour
croiser les bras, mais mollement et sans presser la poitrine. 294. Un
principe
général dans les gestes des bras et des mains, c’
tas moveat. Dans un autre endroit, ce grand docteur rappelle le même
principe
en termes équivalents : Prædicator laboret ut in
ours commence d’ordinaire par une sorte d’introduction ou d’exposé de
principes
qui amène les subdivisions. Cette introduction se
que, dans ses discours, les conséquences se lient si étroitement aux
principes
que l’auditeur soit obligé de se rendre à l’éclat
, leur montrer la cause sous son vrai point de vue, et bien fixer les
principes
qui régleront leur décision. Or, sans un jugement
scours académiques défendent les saines traditions littéraires et les
principes
du bon goût contre les innovations téméraires qui
s savant, le plus profond de tous les arts… Un petit nombre de grands
principes
appuyés sur de grands exemples, voilà qui doit su
ut donc simplifier l’art le plus qu’il est possible, ne pas ériger en
principe
ce qui n’est juste et vrai que sous certains rapp
s qui l’obscurcissent, à bien définir les termes, à bien appliquer le
principe
à la question et les conséquences au principe, à
es, à bien appliquer le principe à la question et les conséquences au
principe
, à rompre les filets d’un sophisme, dans lequel s
être développés chacun à son endroit. Dans le syllogisme, lorsque le
principe
est évident, l’essentiel est de prouver la mineur
qui affirme sans prouver, ni ce qui veut trop prouver. Jetez donc vos
principes
d’une manière nette et incisive, et puis avec une
ées les seules dignes de Dieu et de l’homme, les seules conformes aux
principes
de l’équité, de l’honnêteté, de la société, de la
quoi consiste l’ignorance du sujet ? 80. Qu’est-ce que la pétition de
principe
, et quand s’appelle-t-elle cercle vicieux ? 81. Q
omment faut-il placer les divers genres de repos ? 284. D’après quels
principes
doit-on varier le ton du discours ? 285. Où faut-
de sortes de gestes faits avec la main ? 291. Peut-on donner quelques
principes
généraux pour les gestes des mains ? 292. Quelles
e, 4e part., leçon xxxi ; Maury, xi et xii ; le P. Marin de Boylesve,
Principes
de rhétorique, art. Proposition. 18. Auteurs à c
-362 ; Quintilien, l. XI, ch. ii ; Maury, lxxxii ; le P. de Boylesve,
Principes
de rhétorique, art. Mémoire ; Principes de déclam
, lxxxii ; le P. de Boylesve, Principes de rhétorique, art. Mémoire ;
Principes
de déclamation, par le P. Champeau. Appendice. 2
i ; Crevier, 5e partie ; Maury, lxxiv ; Lefranc, Rhétorique. ch. iv ;
Principes
de déclamation, par le P. Champeau, 2e partie Ham
rt de parler en public, 1re partie, ch. iv ; Hamon, l. I, 2e partie ;
Principes
de déclamation, 3e partie. 30. Auteurs à consult
querelle ait perdu son à-propos, la verve d’une ironie éloquente, des
principes
d’éternelle morale, la dialectique d’un bon sens
de l’homicide. (Quatorzième Provinciale, sur l’homicide.) Sur le
principe
d’autorité 2 Le respect que l’on porte à l’an
lligence multiplient continuellement ; et, comme elles sont les seuls
principes
de la physique, les conséquences multiplient à pr
iniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur
principe
sont pour lui invinciblement cachés dans un secre
e nous ne saurions remplir. Travaillons donc à bien penser : voilà le
principe
de la morale. L’homme est visiblement fait pour p
n’est pas permis à l’homme du monde d’ignorer. J’ai commencé par les
Principes
de l’Art d’écrire ; principes que je fais consist
monde d’ignorer. J’ai commencé par les Principes de l’Art d’écrire ;
principes
que je fais consister dans la correction, dans le
). Ce que les philosophes grammairiens ont dit de la formation et des
principes
physiques du langage, doit faire sentir que chaqu
breux ; mais tous demandent un style satisfaisant pour l’oreille. Ces
principes
d’harmonie sont donc essentiellement dans la natu
n’a pour but, et ne saurait avoir d’autre mérite, que de défendre les
principes
éternels du goût et de la raison.
Introduction Le style est l’art d’exprimer ses pensées. Les
principes
que contient cet ouvrage ont pour but de former l
truction, et répandre peut-être quelque intérêt dans cet ouvrage. Ces
principes
sont rédigés spécialement pour les personnes qui
est le complément du premier : il renferme des lectures conformes aux
principes
expliqués dans le premier livre ; il lui vient en
ondée sur une pareille base, et qui a tellement perfectionné ce grand
principe
, qu’il semble impossible, même à la bonté toute-p
r la diversité des conséquences que l’on peut tirer d’un seul et même
principe
, diversement envisagé. Il s’agit de Rufin, l’un d
de la démonstration d’une seule vérité, qui, il est vrai, devient le
principe
de beaucoup d’autres. Ici, au contraire, c’est le
contrent-ils fréquemment. Mais c’est aux conséquences déduites de ces
principes
, que l’on va remarquer la différence de l’esprit
a nature, parce qu’il en attache toutes les parties d’un seul et même
principe
, la présence et l’action d’un Dieu, que cet heure
i, c’est l’éducation qu’il a puisée dans les bons auteurs et dans les
principes
d’un bon maître ; mais c’est surtout l’expression
un philosophe ; donc Gassendi était un petit philosophe. Pétition de
principe
. C’est reproduire en termes différents la questio
a une vertu dormitive. Le cercle vicieux rentre dans la pétition de
principe
; il donne pour preuve le fait même qui est à pro
Principes
généraux des Belles-Lettres. Ce n’est pas sans
aire, de la Rhétorique et de la Poétique, c’est-à-dire, à l’étude des
principes
nécessaires pour bien écrire en notre langue, et
, dans sa construction comme dans sa syntaxe. On est d’accord sur les
principes
de la syntaxe, on l’est moins sur ceux de la cons
uer facilement d’après ce que j’ai dit, et elles ne détruisent pas le
principe
. Une objection pourtant se présente. Si réellemen
i que l’obligation de s’y conformer partout et toujours blesserait le
principe
de l’harmonie et celui de la variété ; et que la
tres, et qui ont voulu aller plus loin. Mais ignorant à la fois et le
principe
de la construction et le génie de la langue, ils
pectable sous tous les rapports ; Quintilien établit partout comme un
principe
incontestable, que le talent de bien parler exige
très funeste. Nous allons justifier maintenant, par des exemples, les
principes
que nous venons d’établir ; et nous commencerons
tre le seul maître en fait d’éducation. Tout art, toute science a des
principes
, des règles dont on ne peut s’écarter impunément
elle est bien faite, suppose toujours une connaissance suffisante des
principes
de l’art d’écrire, et des genres tant en vers qu’
s dans toute son étendue, embrasse les productions des écrivains, les
principes
du bon goût, le talent de la critique et celui de
age. 26. Les règles ou préceptes de littérature sont un recueil de
principes
et d’observations propres à diriger dans la compo
Les œuvres littéraires se partagent en divers genres, mais il est des
principes
communs à tous. Concevoir, coordonner et exprime
iser une découverte, démoraliser une armée, s’élever à la hauteur des
principes
, être fort de ses intentions, sont des locutions
ce des règles, l’étude des modèles, l’exercice de la composition. Les
principes
que nous avons exposés jusqu’ici sur les éléments
es détails d’une action. Fixez-vous bien sur l’idée dominante, sur le
principe
ou la vérité que vous voulez établir ; écartez to
tre plusieurs objets ; et, en se partageant, l’intérêt s’évanouit. Ce
principe
s’applique à toutes les œuvres littéraires, mais
ration se modifie suivant la diversité des sujets à traiter ; mais le
principe
de Boileau est toujours vrai : Soyez vif et pres
eligieuse ou littéraire, où l’on a pour but d’instruire, d’établir un
principe
ou d’en montrer l’application. Lorsqu’on donne un
à tout homme qui compose un ouvrage élémentaire et veut enseigner les
principes
des sciences et des arts à ceux qui sont censés l
adversaire, il faut relever ses méprises, montrer la fausseté de ses
principes
ou des faits qu’il avance, ou bien des conséquenc
és blessantes pour un écrivain. 363. Les jeunes gens qui étudient les
principes
de littérature ne sont pas encore capables de bie
l’on propose. 366. La dissertation philosophique doit reposer sur des
principes
vrais et sur des conséquences bien déduites. Mais
’est pas toujours capable d’approfondir et d’expliquer exactement les
principes
de l’art et d’en faire l’application aux grands é
héros célèbres par leurs vertus ; l’épopée à nous rappeler les grands
principes
de la morale et du gouvernement des hommes ; la t
l’ode philosophique, tous les sentiments doivent être purs, tous les
principes
irréprochables. Quelquefois ce qui a porté le poè
ecteur. La grandeur d’une entreprise se mesure d’après l’élévation du
principe
et du motif qui la déterminent, d’après l’étendue
donne plus d’intérêt à l’entreprise. C’est le héros qui est l’âme, le
principe
, le mobile de tout ce qu’on entreprend. Sa présen
passions les plus tragiques, parce qu’elles paraissent fondées sur un
principe
de grandeur et de générosité. Mais la tragédie ne
me l’indique son nom, a pour but d’instruire et d’exposer en vers les
principes
d’une science ou d’un art. Dans les autres genres
itique et que faut-il pour bien juger un ouvrage ? 32. Quels sont les
principes
communs à toute composition ? 33. Comment se divi
l’étude et de l’enseignement des lettres, ch. i, ii, iii ; Pérennès,
Principes
de littérature, 1re et 2e part. ; Collombet, Cour
ratore, III, 38-13 ; Ouintilien, Inst. orat., liv. VIII ; Le Batteux,
Principes
de littérature, Construction oratoire ; l’abbé Gi
0. Auteurs à consulter : Le Batteux, Les beaux-arts réduits à un même
principe
, 3e partie ; Blair, Lecture xxxviii ; Rollin, Tra
de la versification française. 22. Auteurs à consulter : Le Batteux,
Principes
de littérature, 6e traité ; Marmontel, Éléments d
ires sur les pactes bibliques. 23. Auteurs à consulter : Le Batteux,
Principes
de littérature, 4e traité ; Rollin, Traité des ét
briand, Génie du christianisme, 3e partie, liv. III et IV ; Pérennès,
Principes
de littérature, 2e part., ch. v. 24. Auteurs à c
littérature, 2e part., ch. v. 24. Auteurs à consulter : Le Batteux,
Principes
de littérature, 5e traité ; Blair, leç. xlv, xlvi
rdin, Littérature dramatique. 25. Auteurs à consulter : Le Batteux,
Principes
de littérature, 7e traité ; Blair, Leçons de rhét
De l’étude des lettres, ch. x. 27. Auteurs à consulter : Le Batteux,
Principes
de littérature, 8e traité ; Marmontel, Éléments d
e de règles nées des chefs-d’œuvre, où le goût a essayé de réduire en
principes
les élans et les inspirations du génie. 3° Genres
e d’un accusé. Son plaidoyer est fondé sur l’idée du juste et sur les
principes
du droit ; il appartient au genre judiciaire. — D
igine des révolutions. Elle recherche les causes dans les effets, les
principes
dans les conséquences : on l’appelle la Philosoph
, comme Montesquieu, ont étudié les lois générales des peuples et les
principes
du droit ; à plus forte raison les moralistes com
s avantages qu’il a reçus de la nature. Ces préceptes, fondés sur les
principes
du bon sens et de la droite raison, ne sont autre
arguments que nous venons de passer en revue se rapportent à certains
principes
généraux dont ils ne sont que les conséquences. L
ertains principes généraux dont ils ne sont que les conséquences. Les
principes
sont une autre forme de la preuve : la Rhétorique
emble : « Comme il est nécessaire que chaque chose soit réunie à son
principe
, et que c’est pour cette raison, dit l’Ecclésiast
l’Église : « Écoutez, voici le mystère de l’unité catholique, et le
principe
immortel de la beauté de l’Église. Elle est belle
s personnes, (Molière, les Femmes savantes, IV, iii.) 2° Pétition de
principes
ou cercle vicieux. C’est un paralogisme fréquent
scène ii.) Le cercle vicieux n’est qu’une variété de la pétition de
principes
. On prouve une proposition par une autre qui s’ap
it pas rire ; il ferait horreur. » (Lettres sur les spectacles.) Ces
principes
sont communs à la dialectique et à l’éloquence, a
oratoire, celles qui s’appliquent à toute composition. Les grands
principes
de la composition sont les mêmes pour tous les ge
s : c’est l’élocution. Quand nous en étudierons les caractères et les
principes
, nous expliquerons à quelles parties de la littér
ne correspondance, rédiger un rapport, il soit bon d’avoir étudié les
principes
de l’art oratoire. Cependant, si l’on fait tous l
rique, Buffon termine en appliquant aux divers genres littéraires les
principes
qu’il vient de poser. « Le sublime, dit-il, ne p
e la critique dans les Dialogues et la Lettre sur l’Éloquence, où les
principes
éternels du goût sont exprimés avec l’exquise jus
s’agit de conduire les hommes par le devoir, et c’est alors dans les
principes
du juste et de l’injuste qu’elle puise ses forces
andes vertus. L’honneur, la gloire, la vertu, l’orgueil national, les
principes
de l’équité peuvent beaucoup sans doute sur l’esp
la raison pour l’éclairer. C’est un tissu de préceptes, une suite de
principes
revêtus de l’expression et de l’harmonie de la po
ou littéraire, grave, important et utile. C’est un exposé poétique de
principes
, soit de morale, soit de métaphysique, ou bien de
a plus vive lumière et la plus forte conviction dans les esprits. Les
principes
doivent y être exposés avec tant de netteté et de
enre de poésie consiste dans la justesse des pensées, la solidité des
principes
, la convenance et la clarté des explications et d
velopper les vérités métaphysiques ? Quand le poète vent établir des
principes
de morale ou de physique, il doit, sans manquer e
quer sans amertume et sans partialité les ouvrages d’esprit, les faux
principes
et les sophismes, pour venger le goût, sans jamai
ou de la singularité. Habile à déduire des conséquence rigoureuses de
principes
erronés qu’il formule avec l’aplomb d’un oracle,
r à Montmorcency. Vous n’avez pas besoin d’aller si loin chercher des
principes
de la morale ; rentrez dans votre cœur, et vous l
r de l’être par la nature et par vertu. » Les Sophiste, n’ayant aucun
principe
, discutaient à la fois le pour et le contre. Socr
ndance, leur déduction, leur génération successive ; qui descend d’un
principe
à ses dernières conséquences ; qui prépare, appui
molem. « L’écrivain, dit Fénelon, doit remonter d’abord à un premier
principe
… De ce principe, comme du centre, se répandra la
vain, dit Fénelon, doit remonter d’abord à un premier principe… De ce
principe
, comme du centre, se répandra la lumière sur tout
tout dégénère entre les mains de l’homme. » Mais, d’autre part, de ce
principe
une fois bien posé découle l’idée unique qui circ
onfondent en une seule par leur rencontre et leur choc. Tels sont les
principes
qui, à première vue, nous permettent de reconnaît
s le récit et l’appréciation des faits qu’il est moins sévère sur les
principes
, et confond trop volontiers le juste avec l’utile
contre la persécution ou l’envie. Les souverains pontifes, comme les
principes
, étaient pour eux des Mécènes éclairés et généreu
ule qui était une élite. Elle dure encore la renommée de ces éditions
principes
que publièrent alors les Junte et les Manuce. Ce
is. On y admire une intelligence perçante, qui convertit les faits en
principes
. Ses pensées éclairent de vastes horizons. S’il n
vivais. Avec mes enfants, j’ai vécu comme avec mes amis. J’ai eu pour
principe
de ne jamais faire par autrui ce que je pouvais p
savais rien, et que vous m’aviez tout dit1. La vertu doit être le
principe
du gouvernement populaire Il ne faut pas beau
je ne faisais rien qui vaille. Il y a vingt ans que je découvris mes
principes
: ils sont très-simples ; un autre qui aurait aut
s, non pas de gens sans aveu, mais de citoyens qui se nourrissent des
principes
de la république, et soient immédiatement attaché
éressée à l’indépendance et à la liberté des mers. La destruction des
principes
révolutionnaires ? Si Votre Majesté veut se rendr
orps auquel il appartient, tantôt en professant hautement l’athéisme,
principe
destructeur de toute organisation sociale, qui ôt
plus encore que le mécontentement des peuples, semèrent en Europe des
principes
nouveaux. 2. Il donne à réfléchir, sans menacer.
narration dans l’art oratoire. Dans la thèse, l’écrivain établit les
principes
de la doctrine que la suite est destinée à dévelo
osition du récit on de la thèse consiste à présenter les faits ou les
principes
sans ambages, sans équivoque, sans épisode ; à fo
non une des parties constitutives de l’ensemble. La conséquence de ce
principe
, c’est que les descriptions ne doivent pas être m
ment, les arranger dans l’ordre qu’on jugera le meilleur, suivant les
principes
de gradation précédemment exposés, et en un leur
vra faire usage de la logique, en montrant, s’il y a lieu, ou que les
principes
sont faux et qu’ on ne peut en tirer des conséque
t faux et qu’ on ne peut en tirer des conséquences vraies, ou que les
principes
étant vrais, on en a tiré de fausses conséquences
és par Goujet, Bibliothèque française, tome III, p. 180-240 Batteux,
Principes
de la Littérature, Ve traité et l’article Tragéd
le de M. Léon Dumont, où la théorie de la purgation est rattachée aux
principes
de la psychologie d’Aristote, dans la Revue Scien
sont toujours intéressants, et tirés naturellement de l’évangile. Les
principes
qu’il établit, sont toujours bien liés et bien dé
nce ; dans le récit même des actions extraordinaires, qui ont eu pour
principe
un zèle très ardent, une charité des plus fervent
ison funèbre du grand Condé 92, par le P. Bourdaloue. « J’appelle le
principe
de tant d’héroïques actions, ce génie transcendan
vait d’avantage au-dessus de ceux qui s’y distinguaient. J’appelle le
principe
de ces grands exploits, cette ardeur martiale, qu
ls, et dans le sanctuaire de la divinité que la religion doit être le
principe
et la fin de tous leurs éloges ; et que s’ils reh
, de s’en écarter même dans leurs jugements, en suivant néanmoins les
principes
de la raison et de l’équité. Dans la péroraison,
sieurs articles, et de s’attacher, en la discutant, à la solidité des
principes
, à la justesse des pensées, plutôt qu’à la pompe
x ou sublimes que les objets nous flattent ; ils empruntent, d’autres
principes
encore, l’heureuse faculté de nous charmer. M. Ad
s venons de dire sur les plaisirs du goût. Nous avons établi quelques
principes
généraux ; il est temps d’en faire l’application
ui cependant a tenté et opéré de si grandes choses ? quel est donc le
principe
qui l’anime ? le ressort puissant qui la meut ? B
et prouvé partout, par l’exemple des grands maîtres, la solidité des
principes
que nous avions établis ; voilà pourquoi nous n’a
, ou se guérir de ses scrupules5 ; qu’il essaye, pour ainsi dire, les
principes
sur une grande variété d’objets ; il en connaîtra
t enlevé les suffrages ; elles ne plaisent point par la violation des
principes
, mais en dépit de cette violation ; et c’est, au
eu de rattacher, comme l’avait fait Bourdaloue, leurs portraits à des
principes
, ils firent de l’accessoire le principal, et d’un
ait. Ces règles, vous les savez d’avance, car elles découlent du même
principe
. Vous pressentez, par exemple, que le dialogue na
, surtout dans la Pluralité des mondes, ne manque pourtant point à ce
principe
. Une dernière règle enfin. Si vous introduisez da
onc son origine dans l’amour du beau. Tous les hommes le possèdent en
principe
, mais il a besoin d’être formé par l’étude et par
de cette diversité ? Serons-nous obligé d’avouer qu’il n’existe aucun
principe
en matière de goût ? Non, sans doute. Nous dirons
hode ; l’élève ne peut pas tout deviner ; il faut l’aider par de bons
principes
. L’art du maître consiste à faire marcher simulta
mps, pour ne pas exciter le zèle de ceux qui, fidèles encore aux bons
principes
, et admirateurs constants des grands modèles, ne
ses yeux. Il en conclut donc que, pour ramener les esprits aux vrais
principes
et pour faire renaître les beaux jours de l’éloqu
t brûlant comme le soleil qui éclaira son berceau, sa tête remplie de
principes
justes et sains ; homme étonnant, qui mieux que l
utre s’efforçait en vain de la ramener à des idées plus saines, à des
principes
plus judicieux. Jamais et chez aucun peuple, il f
lia son Discours de la Méthode (1637), ses Méditations (1641), et les
Principes
de la philosophie (1644). Des tempêtes théologiqu
s sur la Méthode ne parut qu’en 1637 ; les Méditations en 1641 et les
Principes
de philosophie en 1644. Descartes désigne sans do
oprement parler, que la nature mise en pratique et le bon sens mis en
principe
. » (Réflexions sur l’éloquence, la poétique, l’hi
de sa méthode, qui est de raisonner sur chaque objet conformément aux
principes
qui sont propres à cet objet. Absorber la rhétori
Mais, pour une éthique oratoire un inventaire des observations et des
principes
que la science morale et politique fournit à l’or
ait fait du raisonnement, il en a recherché les lois générales et les
principes
essentiels. » (P. 93.) Au commencement du livre I
t en propositions spéciales, qu’Aristote semble établir sur les mêmes
principes
, en dialectique et en rhétorique, repose, en réal
incipes, en dialectique et en rhétorique, repose, en réalité, sur des
principes
tout différents dans les deux arts. Il y a là, da
pas des mètres qui sont, évidemment, des parties des rythmes), dès le
principe
, les hommes qui avaient le plus d’aptitude nature
e la comédie le sont, parce qu’on n’y a pas prêté d’attention dans le
principe
. En effet, ce n’est que tardivement que l’archont
par le temps, ce qui fait une nouvelle différence. Toutefois, dans le
principe
, on faisait pour les tragédies comme pour les poè
i est arrivé à presque tous les premiers poètes. XVIII. Ainsi donc le
principe
, et comme l’âme de la tragédie, c’est la fable. L
la fable serait détruite145 serait ridicule ; car il ne faut pas, en
principe
, constituer des fables sur une telle donnée ; mai
cerf n’a pas de cornes149 que s’il ne l’a pas représentée suivant les
principes
de l’imitation. IX. C. Outre cela, si l’on reproc
sical et, par suite, c’est dans l’art musical qu’il faudra puiser les
principes
convenables. XI. La comédie est l’imitation d’une
t que nous nous sommes proposé. Reprenons-en donc la définition à son
principe
; après quoi, nous nous occuperons de tout le res
e que la dialectique et la rhétorique204 ; car, si l’on rencontre des
principes
, ce ne sera plus de la dialectique, ni de la rhét
ctique, ni de la rhétorique, mais bien la science dont on possède les
principes
. XXII. La plupart des enthymèmes se rapportent à
voit qu’elle est un plus grand bien. XII. Lorsque telle chose est un
principe
et que l’autre n’est pas un principe ; lorsque l’
XII. Lorsque telle chose est un principe et que l’autre n’est pas un
principe
; lorsque l’une est une cause et que l’autre n’es
ause, il est impossible qu’une chose existe ou se produise ; et, deux
principes
étant donnés, c’est la chose dont le principe est
se produise ; et, deux principes étant donnés, c’est la chose dont le
principe
est supérieur qui est supérieure ; pareillement,
vient de la cause supérieure qui est supérieure. Réciproquement, deux
principes
étant donnés, le principe de la plus grande chose
e qui est supérieure. Réciproquement, deux principes étant donnés, le
principe
de la plus grande chose est supérieur ; et deux c
rande de l’une et de l’autre manière. En effet, si telle chose est un
principe
et que l’autre ne soit pas un principe, la premiè
n effet, si telle chose est un principe et que l’autre ne soit pas un
principe
, la première semblera supérieure ; et si telle ch
ipe, la première semblera supérieure ; et si telle chose n’est pas un
principe
, tandis que l’autre est un principe (elle sembler
; et si telle chose n’est pas un principe, tandis que l’autre est un
principe
(elle semblera encore supérieure), car la fin est
pe (elle semblera encore supérieure), car la fin est supérieure et le
principe
ne l’est pas. C’est ainsi que Léodamas226, voulan
grandes elles-mêmes, puisque les effets sont comme les causes ou les
principes
, et que les causes et les principes sont comme le
fets sont comme les causes ou les principes, et que les causes et les
principes
sont comme leurs effets. XVIII. De même les chose
une amplification sensible, et par cet autre motif qu’on trouve là le
principe
et la source de grands effets. XXXII. Comme ce qu
apport avec les mêmes (mœurs). En effet, les mœurs se révèlent par le
principe
d’action ; or le principe d’action se rapporte à
rs). En effet, les mœurs se révèlent par le principe d’action ; or le
principe
d’action se rapporte à la fin (de chaque gouverne
délibérations possèdent une forme commune, car ce que tu établiras en
principe
dans la délibération, transporté dans le discours
iscours, tous leurs écrits, toutes leurs actions à l’être aimé, et le
principe
de l’amour est pour tous (les amoureux) d’aimer n
e, on en pourra détruire le caractère véridique en plaidant contre le
principe
même de la torture. Les gens contraints par la to
dire, nous avons rempli tout le programme que nous avons tracé dès le
principe
. Parmi les lieux communs, celui qui sert à l’ampl
a loi sert de texte aux discours judiciaires ; or, quand on part d’un
principe
, il est facile de concevoir une démonstration, et
odieux. Précepte fondé en raison, car il rentre parfaitement dans le
principe
formulé plus haut : Toute règle est l’expression
’il fatigue en quoi que ce soit l’organe appelé à l’émettre. Voilà le
principe
de toutes les lois de l’harmonie générale en litt
mission des deux voyelles extrêmes que dans celle des médiales. Si ce
principe
est vrai, l’a serait la plus euphonique, comme el
é le devoir périlleux de représenter le respect des traditions et des
principes
qui sauvegardent l’intégrité du génie français, à
de la morale des fables. Oui, la morale a dans le monde, non pas deux
principes
, mais deux procédés différents. Tantôt elle procè
r la définition du point, de la ligne, de la surface, et par d’autres
principes
très-familiers, nous parvenons à des connaissance
ieu d’en faire le récit, du poème didactique qui n’est qu’un tissu de
principes
et de préceptes, et des fastes en vers qui ne son
rincipal, comme à un centre commun. Le héros est l’âme, le mobile, le
principe
de l’entreprise. Sa présence met tout en mouvemen
u’il triomphe de la passion, qu’une âme élevée et peu commune soit le
principe
de ses défauts. Ce héros, doit toujours avoir une
as un héros d’Homère qui soit méchant ou vicieux par caractère ou par
principe
; cependant il n’y en a pas un qui n’ait quelque
la source des beautés les plus sublimes. En effet, puisque, dans les
principes
de toute religion, il est incontestable que la di
Pour que la conclusion fût rigoureuse, il faudrait qu’elle dérivât de
principes
évidents par eux-mêmes. Mais presque toujours les
rches plus subtiles et un goût plus fin ont réduit l’art de plaire en
principes
, il règne dans nos mœurs une vile et trompeuse un
isfaction de vous dire que ce livre ne contient rien de contraire aux
principes
de la saine doctrine en ce qui concerne la foi et
s conceptions se tiennent et s’enchaînent par la connexité logique du
principe
et des conséquences ; voilà pourquoi tout votre o
s l’esprit des auditeurs une impression vive et durable. Car c’est un
principe
naturel, c’est un principe commun à toutes les co
e impression vive et durable. Car c’est un principe naturel, c’est un
principe
commun à toutes les conclusions, qu’elles doivent
. Un grand nombre de personnes se trompent à cet égard, en suivant un
principe
opposé. Elles s’arrêtent sur chaque syllabe, elle
pplée à l’invention ; bien plus, ils s’imaginent qu’au moyen de leurs
principes
ils formeront mécaniquement un orateur comme on f
sciences, mit la plus grande pénétration dans la recherche des vrais
principes
de la rhétorique. Il paraît avoir le premier reti
ccus, et hæreret nigro fuligo Maroni. (Sat. VII, v. 226.) D’après ce
principe
général, lorsque la réputation des grands écrivai
une admiration universelle et trop aveugle pour les anciens. C’est un
principe
général que j’ai posé ; son application nous mène
on est donc l’objet essentiel, la fin principale de l’histoire, et ce
principe
nous indique les règles que l’on y doit suivre. S
ent un plan vaste ou une seule série d’événements ; on aime à voir le
principe
ou le centre auquel se rapportent tous les faits
t les mêmes, mais c’est un même genre de composition soumis aux mêmes
principes
. Un dialogue sur un sujet de philosophie, de mora
r tout seul, en écartant les objections que l’on pourrait faire à ses
principes
, qu’on n’en aura en voyant paraître tour à tour,
e des arts, n’appartiennent qu’aux nations civilisées. Elles ont leur
principe
dans la nature de l’homme, et sont de tous les te
be longue en valait précisément deux brèves pour la durée. D’après ce
principe
, le nombre de syllabes renfermées dans leur vers
as déterminée par l’harmonie, mais seulement par le sens. Je crois ce
principe
démenti et par les lois de notre prosodie, et par
rent la campagne et le bonheur des champs. Je ne doute pas que dès le
principe
, ils n’aient emprunté des images et des allusions
consiste dans la justesse des pensées, la clarté et l’exactitude des
principes
et des explications. Le poète doit chercher à ins
des et de tous les ornements du langage. Une série non interrompue de
principes
instructifs nous fatigue bientôt, surtout dans un
outenus par les instruments, s’écrient à la fois : Attollite portas,
principes
, vestras, et elevamini, portæ æternales ; et intr
oésie épique. Nous emploierons cette Lecture à en faire connaître les
principes
généraux ; nous examinerons ensuite le caractère
mposition poétique dont nous nous occupons, aient nécessairement pour
principe
quelque sentiment moral ou quelque impression ver
nité. Cette décision, qui n’est fondée sur aucune raison ni sur aucun
principe
, semble uniquement dictée par un respect aveugle
çait à exciter, et fait manquer à la tragédie son effet principal. Ce
principe
, fondé sur l’évidence, exclut de la tragédie tout
ils ne s’y fussent jamais introduits si le dialogue eût formé, dès le
principe
, la base de la tragédie. Cependant je suis porté
ion de manière que l’acte semblerait entièrement fini ; car il est de
principe
que toutes les fois que la scène est vide, l’acte
e spectateur. Rien ne paraît si gauche, rien n’est plus contraire aux
principes
de l’art, que l’entrée d’un acteur qu’aucune rais
il se passe plus de temps que celui de la durée de cet acte. C’est un
principe
que les poètes français suivent rigoureusement, e
mps nous inspirent d’utiles réflexions sur notre conduite privée. Ces
principes
posés, il m’a paru toujours surprenant que la plu
s tragédies françaises défectueuses si nous les examinons d’après ces
principes
, qui semblent évidemment fondés sur la nature. Qu
lles sont les observations principales que présente l’application des
principes
généraux de l’art dramatique à la comédie. Pour a
glige la règle des trois unités, mais encore ne se soumet à aucun des
principes
généralement établis. Souvent une même pièce renf
siècle d’Aristophane. Tel n’en était cependant pas l’esprit dans son
principe
: car on ne peut accuser d’immoralité les pièces
Grecs et des Romains. Opinions des littérateurs français sur les
Principes
de littérature discutées par h. Blair. Nous av
extuellement les passages dans lesquels nos auteurs émettent d’autres
principes
, ou présentent la question sous un autre point de
, c’est le vice capital de leur prononciation, qui semble heurter les
principes
de l’articulation humaine. Celle-ci doit toujours
la raison en est évidente ; cependant Blair, tout en convenant de ce
principe
, pense que les ombres des morts y peuvent apparaî
sez grande importance, puisqu’elle peut contribuer à bien établir les
principes
de deux genres essentiels de composition ; cette
ement ; néanmoins ce qu’il dit à ce sujet est fort instructif, et les
principes
qu’il établit pourraient servir de base à une dis
’adopte assez volontiers. Voyez aussi les Essais de lord Kaim sur les
principes
de la morale, essai premier ; et l’Essai sur la t
a appliqué aux belles-lettres la méthode philosophique, et analysé es
principes
du style avec une rare sagacité. Après l’introduc
plupart des langues nous offrent des mots évidemment créés d’après ce
principe
. Dans la nôtre, par exemple, le mot tourterelle e
e qu’il tenait à la nature même de l’esprit humain. L’ensemble de ces
principes
invariables forme ce qu’on appelle la grammaire g
irent quelques lames d’airain, où sont gravés éloquemment d’immortels
principes
. Et quand le sol fut raffermi et la violence calm
font couler le sang humain. Sans doute la raison exacte qui forme le
principe
essentiel de notre langue, fait qu’elle est moins
on qu’à fortifier l’âme et à éclairer la raison. Première partie.
Principes
de la rhétorique. Chapitre premier. Définiti
if et l’éloquence la plus entraînante. Pour appuyer par un exemple le
principe
que nous venons d’établir, pour faire sentir tout
s parties, des circonstances, des semblables, des contraires, etc. Le
principe
du raisonnement une fois posé, on établit une sec
t, à l’aide de cette seconde proposition, on en tire une troisième du
principe
que l’on avait posé. Voulez-vous, par exemple, ar
ue l’homme doit rechercher la science ; vous commencerez par poser ce
principe
: l’homme doit rechercher ce qui lui est utile ;
quel qu’il soit, n’est bon qu’à deux conditions : la première, que le
principe
d’où l’on part soit fondé en raison ; la seconde,
erez de la vérité. D’un autre côté, quelle que soit la bonté de votre
principe
, si vous ne savez pas en déduire exactement ce qu
règles de la disposition applicables à toute espèce de sujets. Les
principes
que nous venons d’établir ne s’appliquent qu’à la
’unité du sujet ; 2° La séparation des parties ; 3° La gradation. Ces
principes
peuvent s’appliquer à quelque genre que ce soit.
le moins noble a pourtant sa noblesse. Il ne faut point exagérer ce
principe
, mais il faut l’admettre. Une phrase ne doit pas
ue. Si l’on peut, sans les distraire de leurs études, les initier aux
principes
des arts, ou du moins leur en faire admirer les m
ves, que de les habituer à développer eux-mêmes des idées justes, des
principes
solides dont ils puissent un jour se servir, et d
nt (Ire part., chap. ii), déduire rigoureusement les conséquences des
principes
que l’on a posés. 3° Complète. Si une bonne discu
Nous allons, comme pour la narration, confirmer par des exemples les
principes
que nous avons établis. Nous choisirons quatre di
er, tous les esprits ne le sont pas de raisonner et de connaître. Ces
principes
posés, nous offrirons à nos lecteurs trois modèle
rrégularité de la procédure commencée contre Foucquet. Il rappelle le
principe
fondamental pose par les anciennes lois française
quer étant hommes. Dans cet ouvrage, j’ai tâché de poser les premiers
principes
de l’art de bien dire : j’ai montré comment on po
s générales de l’art d’écrire. Mais il serait difficile de donner les
principes
particuliers du style épistolaire ; car la qualit
être soi, et laisser parler son âme sans imiter personne ? Le premier
principe
, en fait de style épistolaire, se réduit donc à c
e ce que l’on va dire : notre paresse naturelle s’arrange assez de ce
principe
, et un grand nombre de gens le mettent en pratiqu
le privilège et comme le dédommagement d’un âge avancé. Si le premier
principe
est de se taire, le second est d’écouter, et il f
bre (Préface de Cromwell), a dit en parlant du grotesque : « Voilà un
principe
étranger à l’antiquité, un type nouveau introduit
éfinition en la développant : « La malice naturelle aux hommes est le
principe
de la comédie. Nous voyons les défauts de nos sem
le passé. Peu de classifications ont des racines aussi profondes, des
principes
aussi solides, des caractères aussi distincts. 5
ontraire, les conseillers de Ptolémée révoltent le spectateur par ces
principes
odieux et ignobles ; La justice n’est pas une ve
utres noms, quand on considère la source à laquelle ils puisent leurs
principes
. A ce point de vue on les appelle exemple, induct
logue n’est que le développement d’un exemple imaginé pour appuyer un
principe
moral. 9. De l’induction. — C’est un raisonnemen
er d’abord la conséquence, puis de la justifier eu la rattachant à un
principe
. Ainsi La Fontaine a dit : Il ne se faut jamais
propos de tout fait élémentaire, de toute vérité générale ; c’est un
principe
rebattu. Rebattu, oui, rebattu comme tout ce qui
n forme : Comme il est nécessaire que chaque chose soit réunie à son
principe
et que c’est pour cette raison, dit l’Ecclésiaste
des difficultés du doigté. Les lieux communs, dit Cicéron, sont des
principes
généraux d’où ! se tirent les raisonnements pour
ées les seules dignes de Dieu et de l’homme, les seules conformes aux
principes
de l’équité, de l’honnêteté, de la société, de la
; Cette cendre, dit-il, quoiqu’elle soit un signe de pénitence est un
principe
de félicité ; quoiqu’elle semble nous humilier, e
ou général, puis dans un sens divisé ou particulier. Par exemple à ce
principe
de sens commun : La lecture forme l’esprit et le
Les mauvais raisonnements peuvent avoir leur point de départ dans un
principe
faux ; ce sont alors des sophismes de pensée et i
; ce sont alors des sophismes de pensée et il importe de découvrir ce
principe
, pour de mettre en lumière. Le sophisme de pensée
e en lumière. Le sophisme de pensée par excellence est la pétition de
principe
. La pétition de principe consiste à proposer comm
de pensée par excellence est la pétition de principe. La pétition de
principe
consiste à proposer comme preuve à l’appui d’une
lui contestait. Le lion de La Fontaine fait une suite de pétitions de
principes
dans son petit discours à ses associés, et il pos
rait à prouver que tout ce qui plaît à Oronte est bon. La pétition de
principe
peut avoir sa source dans l’ignorance du sujet, c
les réparer loyalement. C’est encore à l’aide d’une vraie pétition de
principe
par ignorance du sujet qu’on pourrait chercher à
u. Le cercle vicieux est une espèce toute particulière de pétition de
principe
; il consiste à prendre pour preuve une propositi
, il faut reconnaître une construction littéraire qui se fonde sur un
principe
tout différent. En effet, l’écrivain doit se préo
— En résumé, toutes les remarques et tous les exemples cités sont le
principe
de cinq règles élémentaires : I. Les tours les pl
e force pénétrante, quelle énergie dramatique la morale sociale et le
principe
de la soumission aux lois empruntent à cette bell
ement libre. 8. De la philosophie. — La philosophie est l’exposé des
principes
premiers conçus par la réflexion,, comme propres
Voltaire, attentifs à chercher les lois des faits historiques et les
principes
les plus généraux du droit ; enfin les critiques
mer, pour que l’éloquence du corps suivit comme une conséquence de ce
principe
. Mais l’émotion trop vive peut dégénérer en une s
les ou par la réflexion des critiques constituent l’art d’écrire. Les
principes
essentiels de cet art peuvent être appliqués soit
t imputer toute aux mœurs publiques : la honte du contraste entre les
principes
de la justice et l’organisation sociale ne peut r
l’exemple au précepte, ce sera montrer la mise en pratique à côté des
principes
posés. Ces différents genres peuvent être ramenés
Cette cendre, dit-il, quoiqu’elle soit un signe de pénitence, est un
principe
de félicité ; quoiqu’elle semble nous humilier, e
és qui intéressent la conscience ou le goût ; telle est l’analyse des
principes
de la vertu, des caractères du beau en littératur
ent au penseur une ample matière d’études et de réflexions. Parmi les
principes
littéraires, il en est d’assez simples pour servi
Une des applications les plus régulières et les plus heureuses de ces
principes
élémentaires de la bonne critique se rencontre da
il, mais seulement il lui fait sentir qu’il en avait examiné et vu le
principe
; c’était au Chêne à comprendre ce discours. Tout
a philosophie. Il est un grand nombre de vérités morales qui sont des
principes
de sens commun, à propos desquelles l’argumentati
sujets peuvent être résumées dans les cinq règles suivantes comme les
principes
de la critique littéraire et morale. I. Le dévelo
ent Colbert et Turgot, à des époques différentes et en s’inspirant de
principes
opposés, ont-ils voulu développer la richesse et
de Provence. (Marseille, novembre 1889.) Définir ce qu’on entend par
Principes
de 1789. Montrer comment l’introduction de ces pr
n entend par Principes de 1789. Montrer comment l’introduction de ces
principes
dans les sociétés modernes en a modifié le caract
s en a modifié le caractère. (Poitiers, avril 1890.) Qu’entend-on par
principes
de 89 ? – Montrer comment l’introduction de ces p
tend-on par principes de 89 ? – Montrer comment l’introduction de ces
principes
dans la société française en a profondément modif
de là que sortirent plus tard les découvertes sur la lumière, sur le
principe
de la gravitation, l’aberration des étoiles fixes
aires ? Pourquoi cette querelle a-t-elle pris fin ? Et quels sont les
principes
de goût qui ont survécu ? Quelle est aujourd’hui
nt les principales règles de la versification française, et sur quels
principes
reposent-elles ? Quelles sont les diverses espèce
(1886.) Faire connaître l’origine, les motifs et les applications du
principe
de la Séparation des pouvoirs. (1887.) I. La soci
omposant ses salires ? Contre qui combattait-il et en faveur de quels
principes
? – Qu’est-ce que la poésie didactique ? Quelles
omposant ses Satires ? Contre qui combattait-il et en faveur de quels
principes
? Boileau a composé des satires morales et de
s poètes. (Voir Satire II à Molière et Satire IX, A mon Esprit.) Les
principes
qu’il soutenait étaient ceux qu’avaient soutenus
nsporte d’un quartier à un autre de la même ville. Cette règle a pour
principe
la vraisemblance, il faut que le spectateur puiss
homme et il tient à faire son devoir. Agrippine n’obéit pas aux mêmes
principes
. Elle est ambitieuse, elle veut régner sous le no
triomphe d’Athalie. C’est contre la moquerie, dont l’ignorance est le
principe
, que La Bruyère s’est justement élevé. Elle ne ma
Corneille seul, serait presque juste. Bien que le poète, d’accord en
principe
avec Fénelon, ait réclamé pour la Tragédie des pa
d’hui l’art de la morale. Donc une définition du médiocre d’après les
principes
dont La Bruyère semblait si sûr, ne serait pas ac
sidération personnelle. C’est ce que nous allons tenter de faire. Les
principes
esthétiques opposés s’accordent plutôt sur le méd
e et d’Armande. (Section des Lettres.) Morale. De l’universalité des
principes
de la loi morale. (Section des Lettres.) Littéra
ience. » (Section des Lettres.) Dans la préface de la traduction des
Principes
mathématiques de Newton par Mme du Châtelet (édit
positions équivoques, douteuses. Il semble que l’habileté ait été le
principe
de sa vie, et ce n’est pas là un principe de mora
e que l’habileté ait été le principe de sa vie, et ce n’est pas là un
principe
de morale. Un esprit soucieux de justice, qui étu
ce que c’est le meilleur moyen d’être considérée ; elle leur donne le
principe
qu’elle a observé, et qui explique pourquoi sa co
ui explique pourquoi sa correspondance nous la fait connaître si peu,
principe
qui consiste « à ne rien laisser voir, même à ses
nt d’égards, a été une institutrice remarquable, n’a pas connu un des
principes
de la morale, qui est de respecter l’enfance, et
fois, dans son œuvre, il semble faire exception à son habitude, à son
principe
de ne jamais toucher à la vie privée des poètes,
ent traitée, devait être prise sous deux aspects, au point de vue des
principes
et au point de vue de l’histoire. Ce qui tout d’a
s questions les plus essentielles de la morale générale ou théorique (
principe
du devoir, fondement et caractères de l’obligatio
gismes ? Morale. Des dangers des lectures mal choisies. Indiquer les
principes
que doit suivre une maîtresse dans le choix des l
3.) Expliquer les motifs de ce choix. – Tout en s’inspirant des mêmes
principes
, mais en tenant compte de la différence des temps
s avec lui. Je ne sais trop qui de nous essaierait de vivre selon les
principes
qu’il nous donne ; cela est un tort, sans doute ;
s que dans ces souffrances et ces sacrifices, qui sont le devoir. Ces
principes
, les jeunes filles, comme les hommes, peuvent les
’après ses observations. Peut-être est-il moins fortement attaché aux
principes
, mais il tient grand compte des conséquences. Voi
l’histoire de la langue, ils sont tenus aujourd’hui de connaître les
principes
essentiels qui en fécondent l’étude et en éclairc
était d’un ordre beaucoup plus élevé : il fallait appliquer un grand
principe
de critique à un problème d’éducation. 2° Le suje
’abord pénétrer d’une vue, et ne sont point accoutumés à chercher les
principes
. Et les autres, au contraire, qui sont accoutumés
pes. Et les autres, au contraire, qui sont accoutumés à raisonner par
principes
, ne comprennent rien aux choses de sentiment, y c
incipes, ne comprennent rien aux choses de sentiment, y cherchant des
principes
, et ne pouvant voir d’une vue. » (Pensées, édit.
quelquefois pernicieusement, que de savoir superficiellement et sans
principes
. Il est vrai que la plupart des hommes ne sont gu
ndre compte de la valeur d’une œuvre d’art, et déterminer selon quels
principes
elle a été faite. Sentir, aimer le point de perfe
lques aspirantes qui ont mis en doute qu’il y eût même un goût et des
principes
de goût, et qui ont proclamé la liberté sans limi
en dehors de la pensée de l’écrivain, nous ne la découvrions pas. En
principe
, d’ailleurs, cette découverte n’est pas à désirer
édie de Racine. – Des dangers des lectures mal choisies. Indiquer les
principes
que doit suivre une maitresse dans le choix des l
te réflexion de Rousseau ne vous semble-t-elle pas pouvoir devenir un
principe
d’éducation et fournir au maître habile de précie
la plus douce récompense de la vertu. L’amour de la gloire prend son
principe
dans l’un des sentiments les plus nécessaires au
comprendre la portée, les comparer entre elles. Il faut remonter aux
principes
, s’en pénétrer, les mettre en présence les uns de
xistent entre la science, les beaux-arts et l’industrie d’après leurs
principes
, leurs moyens et leurs fins ? Concours de 1886
des poids et mesures, déclarée urgente par les Cahiers, fut décidée.
Principe
du système. – On adopta comme base du nouveau sys
s à nos savants : Borda, Lagrange, Laplace, Monge, Lavoisier, pour le
principe
; Delambre, Méchain, Arago, pour l’exécution. Co
re chimique et développe l’utilité d’un semblable essai fondé sur des
principes
scientifiques. Concours de 1890. Lettre de Réaum
e. 4° Elle prouverait que toutes les inventions découlent de quelques
principes
généraux. CORRIGÉ 1° L’histoire scientifique cont
s les inventions qui nous éblouissent dérivent d’un certain nombre de
principes
généraux, en ramenant sans cesse la pensée vers l
tion des langues qui a créé la question des nationalités, et c’est le
principe
des nationalités qui a déjà changé et qui pourra
pouvait s’écrier à la tribune : « Périssent les colonies plutôt qu’un
principe
! » Certes, il convient de maintenir les principe
lonies plutôt qu’un principe ! » Certes, il convient de maintenir les
principes
dans leur intégrité ; cultivons les, appliquons-l
ivons les, appliquons-les, mais n’oublions pas que, non moins que les
principes
et bien plus que des utopies dangereuses et que d
t et désigne les fonctions dans le discours, se propose de tirer, des
principes
mêmes de ceux à qui l’on parle, l’aveu des vérité
s derniers temps l’avait infectée ; il recevait avec ce beau sang des
principes
d’erreur et de mensonge et parmi ses exemples dom
ux lettres et même aux luttes de la politique. En soutenant les sages
principes
qui ont été la conquête de la révolution de 1789,
chansons vagabondes, Il enchaînait de tout les semences fécondes, Les
principes
du feu, les eaux, la terre et l’air, Les fleuves
e la véritable religion nous enseigne qu’il y a en ceci quelque grand
principe
de grandeur et en même temps quelque grand princi
eci quelque grand principe de grandeur et en même temps quelque grand
principe
de misère. » (Pascal. Pensées.) 1. Nous lisons
e, prennent un rang nouveau dans la société. La monarchie, absolue en
principe
, les ménage, leur sait gré de leur docilité, s’ef
a ce double caractère, d’être d’abord une ardente réaction contre les
principes
et les idées du dix-septième siècle, et d’essayer
ntaire et janséniste. Dans l’ordre politique, on pose avec audace des
principes
absolus. Rousseau et Diderot deviennent célèbres.
’histoire, à la raison des faits accomplis, d’avoir cherché moins les
principes
absolus que les moyens pratiques de la réforme po
semble, en effet, que l’on touche à une époque de réconciliation. Les
principes
de justice sociale et de liberté politique sont p
tième siècle, c’est qu’il y a une contradiction perpétuelle entre son
principe
et la solution qu’elle donne aux problèmes de l’o
solution qu’elle donne aux problèmes de l’ordre moral et social. Son
principe
est matérialiste, ses solutions spiritualistes. C
ie, qu’elle répand sous toutes les formes, ne peuvent emprunter qu’au
principe
spiritualiste leur raison d’être et leur vérité.
ignité et ses droits, comme être social et politique ? Au nom de quel
principe
flétrir et combattre un despotisme qui n’est pas
s d’Argenson qui soutient en même temps plus qu’il ne les concilie le
principe
de la monarchie absolue et celui de la liberté de
doctrines de leurs maîtres ; ils ont le goût des idées générales, des
principes
abstraits, des formules philosophiques, et l’on n
t ne restait-il qu’à inscrire en tête des constitutions politiques un
principe
abstrait, en laissant au temps le soin d’en décou
s historiques, qui sont diverses et parfois opposées ; mais il est un
principe
qui chez toutes est également reconnu : c’est que
s de l’inspiration personnelle. Mais, à leur tour, ils forcèrent leur
principe
et provoquèrent une réaction. La Préface de Cromw
y prend garde, des vérités acquises : le fait élevé à la hauteur d’un
principe
, la force primant le droit (quel que soit d’aille
e de Platon, qui établit en plusieurs endroits de ses écrits ce grand
principe
, que le but de l’éducation et de l’instruction de
esant, vicieux, ombrageux44. Il est aisé de faire l’application de ce
principe
à l’étude des belles lettres et des sciences. Il
re, du faux brillant, des pointes. Ce goût, simple et unique dans son
principe
, se varie et se multiplie en une infinité de mani
En effet, tous les hommes apportent avec eux en naissant les premiers
principes
du goût, aussi bien que ceux de la rhétorique et
parlons ici. Presque tous les hommes en ont en eux-mêmes les premiers
principes
, quoique dans la plupart ils soient peu développé
t ainsi créé la science politique en la fondant tout à la fois sur le
principe
de la justice éternelle et sur la comparaison app
sa tout à coup sous Arcadius et Honorius156. Ibid., chap. xix. Du
principe
de la démocratie. Il ne faut pas beaucoup de p
j’ai le bonheur de croire. Si je ramène ces questions diverses à leur
principe
commun, il me semble qu’elles se rapportent toute
ir à Montmorency. Vous n’avez pas besoin d’aller chercher si loin les
principes
de la morale : rentrez dans votre cœur, et vous l
ueurs pesantes de la maladie. Guidé par le sentiment plus que par des
principes
d’art réfléchis, Vauvenargues cependant a laissé,
ditions, leur origine, leurs rapports, leurs fortunes diverses et les
principes
de toutes ces choses, le goût lui en viendra, et
Ainsi, à mesure que l’homme s’approche des éléments de la nature, les
principes
de la science s’évanouissent. Études de la Natur
égitimes toutes les formes politiques, pourvu que, plaçant en Dieu le
principe
de l’autorité, elles garantissent les droits et l
ces qui reviennent au christianisme, et, en même temps, dégageant des
principes
de 1789 leurs conclusions naturelles, ils prépare
uoique contestable, est ingénieuse. A ses yeux, l’architecture est le
principe
et l’origine de tous les arts, et le type de l’ar
vée, prudemment hardie et ferme, et préoccupée de ne pas sacrifier le
principe
d’autorité au principe de liberté. Les ouvrages d
et ferme, et préoccupée de ne pas sacrifier le principe d’autorité au
principe
de liberté. Les ouvrages de Guizot sur les origin
e les formes mobiles de l’art justifient, loin de les contredire, les
principes
éternels du beau. L’histoire littéraire, grâce à
toire même des aberrations de l’esprit humain, pose, au contraire, en
principe
que toute grande doctrine qui a vécu contient en
nit pas seulement les règles générales des arts, elle donne encore le
principe
qui permet de les classer. En effet, toute classi
qui permet de les classer. En effet, toute classification suppose un
principe
qui serve de mesure commune. Cette mesure n’est a
ntre une pareille qualification : il profite du résultat, il blâme le
principe
; il honore le dévouement même stérile, même fune
ir plus fortement sur ses lecteurs, et cette idée est même devenue un
principe
de composition dans certaines écoles romantiques.
alembert, il voulut fonder la liberté de l’enseignement, avant que le
principe
en fût inscrit dans nos lois. Rédacteur de l’Aven
force de la raison, et la force de celle-ci tient à la ferme vue des
principes
de la vie humaine. Là où l’entendement ne discern
nviction manque, que reste-t-il pour appuyer la volonté ? Ce sont les
principes
qui fortifient, parce qu’ils éclairent ; en dehor
parce que l’homme est un esprit. Or, dès que l’esprit monte vers les
principes
, dès qu’il n’est plus sensation et imagination, i
e empoisonnée. Sainte-Beuve avait fini par dire : « J’en suis venu au
principe
plus approfondi que tout revient au même. » Il fa
ord et en harmonie avec leur époque, avec leur cadre social, avec les
principes
et les pouvoirs dirigeants de la société ; conten
es, dans leur voie, non déclassées, non troublantes, n’ayant pas pour
principe
le malaise, qui n’a jamais été un principe de bea
ublantes, n’ayant pas pour principe le malaise, qui n’a jamais été un
principe
de beauté. Ce n’est pas moi qui médirai des litté
va jusqu’à la timidité : cet esprit d’innovation qui ébranle tous les
principes
de l’ordre social n’ose porter la plus légère att
suivit même dans cette ville les cours d’une école établie selon les
principes
de Rousseau, et qui portait le nom solennel d’Ins
or Hugo. Au théâtre surtout, il eut l’ambition de faire triompher les
principes
de l’école romantique, dont il traça le manifeste
s sont leurs arguments et leur autorité ? L’un me montre ici-bas deux
principes
en guerre, Qui, vaincus tour à tour, sont tous de
s faquins, place ! Je suis des vôtres. Vous, monsieur, vous n’avez ni
principe
ni foi, Et votre avancement est votre seule loi ;
étoriques : l’une a pour but l’agréable, l’autre le bien. Et c’est ce
principe
qu’il applique aux grands hommes d’Athènes avec u
mment concilier cette limite imposée à la liberté de l’enfant avec le
principe
de l’Émile ? Il y a là une contradiction manifest
stingue en ces termes l’optimisme de Leibniz de celui de Pope : « Les
principes
de Leibniz ne sont point ceux de Pope. Celui-ci n
r par la raison et par nos émotions. L’un n’exclut pas l’autre. 355.
Principe
très juste, et qu’on opposerait avec avantage aux
, écrivait cette phrase, qui jure étrangement, on l’avouera, avec son
principe
: « Quiconque voudra interdire le genre humain ne
de Lamennais, on le voit ici, esc de faire du consentement général le
principe
de toute certitude. Or cet argument n’a sa force
la matière, plus il aura de difficulté à exprimer l’idée. C’est là le
principe
qui permet d’établir la classification des arts.
Cousin se trouve en opposition avec Hegel. Celui-ci, partant du même
principe
, donne à la musique un rang supérieur à la sculpt
donc le plaisir et l’intérêt. Helvétius, entraîné par ces monstrueux
principes
, livre au ridicule toute vertu et toute religion,
y un article intéressant sur Bossuet, Vico et Herder, qui, partant de
principes
opposés, ont donné à ce problème des solutions co
’est ce que Voltaire rappelle dans cette admirable exposition. Par ce
principe
unique, il expliqua à la fois le mouvement des pl
ius homo mortales tollere contra… 827. « Manichéisme. » — Ces deux
principes
sont le bien et le mal. Mais le manichéisme est u
philosophie pratique, en fondant la nécessité de son existence sur le
principe
de la loi morale. 833. Ville de Thessalie. Voir
ésidence du prévôt des marchands. 858. Ce fut Marat qui fit voter le
principe
du comité de salut public et supprimer la commiss
a à parcourir chaque phrase d’un œil sévère, à l’examiner d’après les
principes
concernant la régularité des constructions, le no
donnerons dans les deux autres volumes les règles de la poésie et les
principes
de l’éloquence. Nous nous bornerons ici aux petit
ts ; la lettre, qui sert à converser par écrit. L’exposé détaillé des
principes
de ces diverses compositions fera le sujet des tr
un beau paysage sans quelque figure humaine qui anime le tableau. Le
principe
essentiel ici, dit excellemment M. Mazure, c’est
ntrez la nécessité de l’unité dans la narration. L’unité, qui est le
principe
fondamental de toute composition littéraire et ar
’expressions ce qui peut être renfermé dans quelques mots, d’après ce
principe
: Soyez vif et pressé dans vos narrations. 398.
nte ce qu’on désirerait lui faire connaître de vive voix. C’est de ce
principe
qu’il faut partir pour établir les règles relativ
tacle. Cette innovation eut tant de succès, que le chœur qui, dans le
principe
, avait été la base du spectacle, n’en fut plus qu
tion existe donc dans le drame lorsque toutes les parties ont un même
principe
et aboutissent à un centre commun. On doit s’y pr
tance à la règle des trois unités, c’est que cette règle constitue un
principe
de perfection dramatique, principe appuyé de l’au
c’est que cette règle constitue un principe de perfection dramatique,
principe
appuyé de l’autorité des législateurs du théâtre,
s comme les plus théâtrales, parce qu’elles paraissent fondées sur un
principe
de générosité et de grandeur : la vengeance sur l
’il est chaste et légitime, est intéressant dans sa cause et dans son
principe
, et dont on doit montrer les suites funestes lors
essentiellement mauvais, mais qu’il est bon, utile et moral dans son
principe
. Mais cette poésie, bonne dans son essence, prése
gnité d’une nation entière, en parlant devant elle et pour elle ; les
principes
éternels de toute justice sont là dans toute leur
t surtout y jeter une grande variété. Cicéron insiste beaucoup sur ce
principe
, comme sur une des règles de l’éloquence les plus
que, des odeurs, des liqueurs, des viandes ; et après avoir établi ce
principe
, que le dégoût et le rassasiement suivent de près
de deux rimes de même consonnance à la suite l’une de l’autre. 2. Ce
principe
, généralement adopté, n’est pourtant pas sans exc
sse, au fouet. (Rac.) Ce dernier hiatus n’est point absolument et en
principe
regardé comme vicieux. Il est pourtant sec et rud
ou qu’ils font une métonymie barbare, qui n’est justifiée ni par les
principes
qui régissent ce trope, ni par l’usage. 25. Plu
iante et puérile. » Nous avouons avec Blair, et nous l’avons posé en
principe
, que la méthode d’invention la plus féconde est l
la cause dans les éminentes qualités de son héros : « J’appelle le
principe
de ces grands exploits, cette ardeur martiale, qu
tre proposée pour modèle, doit être combattue, comme tout ce qui a un
principe
vicieux et funeste. Le vice inspire mal l’orateur
e l’art de parler et d’écrire ; seulement, au lieu de restreindre ces
principes
, comme on le fait trop souvent, à l’éloquence et
is. On y admire une intelligence perçante, qui convertit les faits en
principes
. Ses pensées éclairent de vastes horizons. S’il n
s de crimes commis dans un État ou règne la piété filiale 1. Oui, le
principe
de toute autorité est dans la famille. Les premiè
la composition, nous comprenons, outre l’étude et la connaissance des
principes
littéraires, la lecture des modèles, l’imitation
ongum iter per præcepta, breve et efficax per exempla. A l’étude des
principes
littéraires, il faut donc joindre la connaissance
Principes
généraux des belles-lettres. Suite de la sect
Ainsi le poëme didactique est un tissu de préceptes, ou une suite de
principes
, revêtus de l’expression et de l’harmonie de la p
a plus vive lumière et la plus forte conviction dans les esprits. Les
principes
doivent y être exposés avec tant de netteté et de
ns il du Poëme didactique. Le poëte didactique veut-il établir des
principes
de morale ou de physique ? doit sans manquer en a
a rien dans ce poëme, dont la piété chrétienne puisse s’alarmer. Les
principes
généraux de la morale y sont établis d’une manièr
ons qui la composent, qui en précèdent l’accomplissement, ont un même
principe
, et aboutissent à un centre commun. On doit s’y p
s, l’intérêt seroit double, et l’action le seroit aussi. C’est sur ce
principe
que quelques critiques trouvent une duplicité d’a
e développer successivement, il s’apperçoive qu’ils partent tous d’un
principe
, qui est toujours le même malgré la variété des i
ximes dans la bouche de ce personnage. Ce sont, en quelque façon, des
principes
qu’il s’applique à lui-même, et dont il tire des
principal personnage. Pour bien traiter ce caractère, qui seul est le
principe
de l’action, il est bon d’en imaginer et d’en pré
i brillent à-peu-près également, un ou deux de ces caractères sont le
principe
de l’action. Le poëte les a choisis à cette fin,
s, N’admet point dans ses vers de tragiques douleurs2. Fondés sur ce
principe
, ils prétendent, avec juste raison, que le théâtr
en n’est plus désolant que de ne pouvoir être impunément ridicule. Ce
principe
posé, il faut renoncer à l’art charmant des Téren
ique par méchanceté, le libertin par corruption de mœurs, l’impie par
principe
. Aussi le P. Brumoi s’est contenté, dans son Théâ
nt aux sentimens, à la situation des personnages. La connoissance des
principes
de la musique, et des règles de la prosodie, est
ne action héroïque et malheureuse. Cette action est héroïque dans son
principe
, dans son objet, et par l’état des acteurs. Héroï
durables. Dans le second, il est clair que cette crainte, qui est le
principe
de la pitié, ne peut que nous être salutaire, en
ougueux, violent, jaloux, aveugle et cruel, n’est que trop souvent le
principe
de ces dangers et de ces malheurs qui nous effrai
foibles et trop sensibles. C’est au poëte à ne jamais s’écarter de ce
principe
, et à faire toujours céder l’intérêt de sa propre
t toujours porter l’empreinte de la passion et du sentiment. C’est un
principe
que le poëte ne doit jamais perdre de vue, même q
ujours dans l’ivresse et dans l’extase ; qui avec nos passions et nos
principes
, nous seroient cependant supérieurs par la suptil
e entreprise faite avec dessein ; qu’elle est héroïque, soit dans son
principe
, lorsqu’elle part d’une âme courageuse, et élevée
ntiment le plus général est qu’on le peut. En effet, puisque dans les
principes
de toute religion, il est incontestable que la Di
’il triomphe de sa passion ; qu’une âme élevée et peu commune soit le
principe
de ses défauts. Voulez-vous long-temps plaire et
ves, Voici une nouvelle Édition de l’ouvrage, où vous avez appris les
principes
de notre langue et de notre littérature. Vous la
nationales, et vint troubler par sa turbulence la belle économie des
principes
auxquels obéissait le développement spontané de l
nt prolongé de leur formation primitive. C’est ainsi qu’obéissant aux
principes
étymologiques, ils n’admettaient pas l’s à la pre
gnorance des uns ou à la prétendue science des autres, à l’absence de
principes
communs, s’ajoutaient les incertitudes ou les bév
t-elles les maladresses qui rendent le discours pénible ou obscur. Ce
principe
sera pour nous une lumière : il est plus infailli
à concevoir avec netteté, et familiarisez-vous en même temps avec le
principe
de la plus grande liaison des idées. » On a sout
cet ouvrage, je n’ai pas eu la patience d’être plus clair. Si, dès le
principe
, l’auteur a soin, quand ses conceptions sont abso
lia son Discours de la Méthode (1637), ses Méditations (1641), et les
Principes
de la philosophie (1644). Malgré son respect pour
e. Puis, pour les autres sciences, d’autant qu’elles empruntent leurs
principes
de la philosophie, je jugeais qu’on ne pouvait av
p. 234) la seconde fois (De la Poésie dramatique, II, 4, t. III des
Principes
de la Littérature), il s’est dispensé de le tradu
peines. Il serait donc indispensable de se pénétrer, avant tout, des
principes
de la rhétorique, de consulter sérieusement de bo
res, à la place d’un seul qu’il avait, en lui inspirant les meilleurs
principes
. En effet, ni l’abondance des richesses ne peut a
rmes. Mon père nous aimait tous également et nous inspirait les mêmes
principes
de vertu. Maintenant la destinée, après la perte
rce que j’ai reconnu que depuis l’enfance vous cultivez avec soin les
principes
qui sont regardés chez nous comme honnêtes, et qu
rtelle, participent à toutes les vertus. « Fils d’Israël, la base, le
principe
du bonheur pour tous est le Dieu propice. Lui seu
ui qui procure tous les autres en abondance. Vous serez fidèles à ces
principes
, si vous suivez les lois que je vous ai données,
nos calculs personnels sagement combinés. Ainsi, ne renonçons pas aux
principes
que nous ont légués nos pères et qui nous ont tou
e pas essayer de me convaincre ? Pourquoi ne pas me faire oublier les
principes
dans lesquels j’ai vécu jusqu’à ce jour, afin que
supériorité, et dans cette patrie, une origine, une famille, de bons
principes
, une fortune digne de ton rang. En échange de si
re pour la prééminence et à s’exposer aux dangers pour l’honneur. Ces
principes
vous paraissent si louables, si bien en rapport a
on domaine. Horace, dans une épitre à Auguste, développe d’excellents
principes
de littérature ; Boileau raconte le passage du Rh
gne pas les bienséances, c’est le bon usage qui les apprend ; mais le
principe
en est toujours dans un cœur droit et vertueux ;
l’argumentation oratoire. L’argumentation logique prouve en posant un
principe
qui est d’une vérité évidente ou avouée, dont ell
dont elle tire une conclusion qui est implicitement renfermée dans le
principe
. Il y a plusieurs formes d’argumentations dont il
e : « On a droit de tuer un injuste agresseur (voilà la majeure ou le
principe
) ; or, Clodius était injuste agresseur (voilà l’a
incipe) ; or, Clodius était injuste agresseur (voilà l’application du
principe
à un fait particulier) ; donc il a été permis à M
é Milon, donc il était permis à ce dernier de le tuer. » Ici c’est le
principe
qui est sous-entendu. 3° Le dilemme est aussi une
correction grammaticale, qui consiste à se conformer strictement aux
principes
, de la langue ; 2° de la connaissance du bon usag
es derniers temps l’avait infectée. Il recevait avec ce beau sang des
principes
d’erreur et de mensonge, etc. » Communication
me qui en a inspiré aux hommes le sentiment et suggéré l’emploi. Sans
principe
et sans règle, on choisit des mots plus doux, des
Cette poésie a été appelée lyrique (λύρα, lyre), parce que, dans le
principe
, elle était non-seulement chantée, mais composée
les préceptes de la morale la plus pure, et à notre intelligence les
principes
de la philosophie la plus saine, en nous excitant
x ou malheureux ; et alors elle comprend toutes les odes qui ont pour
principe
et pour base l’amour de la patrie. 203. Quel est
omme on le voit dans l’Hymne au Christ, de Lamartine. Avant tout, ses
principes
doivent être solides, et ses sentiments nobles et
in de l’infini et l’immortalité de l’âme Toute chose a sa fin. Ce
principe
est aussi absolu que celui qui rapporte tout évén
soin de l’infini est le grand mobile de la curiosité scientifique, le
principe
de toutes les découvertes. L’amour aussi ne s’arr
es la longueur entre le nez et la barbe, etc., etc. » A l’aide de ces
principes
et d’un compas, on fait un bonhomme, on arrive mê
a jeunesse a ce défaut (ou si l’on veut cette qualité) de pousser les
principes
à leurs extrêmes conséquences. Je vous vois déjà
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