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1 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre V. De l’Éloquence politique chez les Français. »
Chapitre V. De l’Éloquence politique chez les Français. Jusqu’en 1789, la carrière
timables par leur objet que par le mérite de l’exécution. L’éloquence politique seule était et devait être nulle encore pour nous
ents, et quelques écrits éloquents où l’on discutait des questions de politique , nous n’avions absolument rien en ce genre. Mais
emps : il s’agit seulement de la marche et des progrès de l’éloquence politique , pendant cette période si brillante, et devenue e
gouverné un empire, il eût surpassé Richelieu en orgueil, Mazarin en politique . Grand comédien, son organe et son geste ajoutaie
ouverains ; jamais tout ce qui intéresse la religion, les mœurs et la politique n’avait été discuté, approfondi, avec cette éloqu
lle idée se fera la postérité, de ce prodigieux Mirabeau, de ce géant politique qui pesa un moment sur la France entière, et qui
ses, et obscurci, dès leur aurore, les beaux jours de notre éloquence politique  : mais la raison, du moins, élevait encore la voi
lque chose encore de ne pas rester infiniment au-dessous. L’éloquence politique devait trouver nécessairement son terme dans celu
2 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
oisif, l’amateur, par opposition à ϰριτής et à ἐϰϰλησιαστής. Dans la Politique , VII, 17, on lit : Еὔλογον οὖν ἀπελαύνειν ἀπὸ τῶν
on de la langue grecque, au moins du style d’Aristote  voy. encore la Politique , VIII, 6, § 5, et plus bas, chap. v. Ce sens du m
plaisirs de l’oreille et ceux des autres sens, on la retrouve dans la Politique , VII, 5. Chap. xxvii. — J’ai placé ce problème ap
e-même, etc.] Même observation dans la Poétique, chap. iv, et dans la Politique , VIII, 5. La variété du chant.] Sur le sens techn
igne d’un homme libre. Voy., en ce qui concerne la musique, Aristote, Politique , VIII, 5. Chap vi. — La paracataloge.] Comparez,
prédécesseurs. Un caractère tout dramatique.] Ἠθος πρακτιϰόν. Dans la Politique , VIII, 7, Aristote distingue entre les μέλη ἠθιϰά
grecs, éd. Wagner, p. 101. Majestueux et calme.] Mêmes éloges dans la Politique , VIII, 7  cf. Héraclide de Pont, cité par Athénée
ue ce passage ne contredise pas l’opinion expresse d’Aristote dans la Politique , VIII, 7, et des autres auteurs anciens. Voy. sa
3 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
Première partie L’éloquence politique I l’éloquence chez les peuples sauvages
é les dispositions des orateurs influents et des premiers personnages politiques . Ces précautions prises, il devra se retirer derr
te loi de la proportion, qu’ils veulent la retrouver partout, dans la politique de leurs chefs, dans le courage de leurs guerrier
ateur barbare peut n’être qu’un guerrier, l’orateur grec doit être un politique . Si vous voulez mieux comprendre encore en quoi c
ts, plus braves même que lui ; plusieurs l’égalent en éloquence et en politique . Les croisés n’ont qu’un Bohémond, vous en trouve
ressources de la ruse. L’épée n’est à ses yeux que le tranchant de la politique . Rappelez-vous Thémistocle donnant de faux avis à
cet avantage dangereux, A l’oligarchie guerrière a succédé l’égalité politique  ; à la discipline des camps, la liberté de la pla
traditions des ancêtres, avec l’honneur des citoyens et les principes politiques de l’État. C’est le langage d’un homme d’action à
ou douloureuses, selon les nécessités du moment et les besoins de sa politique . Il les meine et les manie dextrement avec deux t
, deviennent des instruments de ses desseins et des auxiliaires de sa politique . Il caresse ses auditeurs, il flatte leur orgueil
chef d’un peuple libre est dans ses discours ? Non, elle est dans sa politique et dans les mots vigoureux qui la résument. Cicér
ent pas de grands orateurs ? Croyez bien qu’il n’y a qu’une éloquence politique , celle qui se forme dans la pratique des affaires
accepter ou rejeter telle alliance ? absoudre ou condamner tel homme politique  ? Voilà les questions qu’ils posent à celui qui l
ous toutes les idées fausses que vous vous êtes faites de l’éloquence politique . Oubliez les harangues de Tite-Live, les lieux co
u’il dit ne soit pas éloquent. Qu’est-ce donc en résumé qu’un orateur politique  ? C’est tout simplement un homme qui aime sa patr
de sa décadence avaient éclaté après la mort de Périclès. Ce puissant politique fut en partie la cause du mal. D’abord obligé d’o
d’incomparables couleurs ? Frappés de ces maux, la plupart des hommes politiques en accusaient l’institution démocratique, et, soi
s philosophes et dans l’étude approfondie de Thucydide, son maître en politique , dévoré du désir de paraître, mais attendant l’he
mber les traits les plus perçants de son éloquence. Dès son entrée en politique il la combat, mais avec quelle réserve d’abord, a
échissons d’ailleurs. Cette contrainte imposée en Grèce à l’éloquence politique n’est-elle pas légitime ? Ne l’enferme-t-elle pas
’enferme-t-elle pas dans les vraies limites du genre ? Si l’éloquence politique , en effet, n’est, comme nous l’avons dit, que le
le plus parfait des orateurs d’Athènes, mais non l’idéal de l’orateur politique . Démosthène était un honnête homme. Entendez ce m
aux particuliers, à la vie publique comme à la vie privée, et que la politique la plus juste est non-seulement la seule bonne ma
is transiger, jamais recourir à des moyens que l’honneur réprouve. Sa politique fut toujours franche, avouable, intrépide. Le pou
ie, Eschine, sur un misérable prétexte, intenta un procès à son rival politique . Il lui reprocha son administration, il lui imput
anche de Chéronée. Ils condamnèrent l’accusateur, ils justifièrent la politique de Démosthène en lui accordant de nouveaux honneu
4 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
maintenant pourquoi je n’ai pas cherché à Rome l’idéal de l’éloquence politique . C’est que dans les assemblées délibérantes, où s
s ressorts des passions. L’argumentation est donc le nerf du discours politique , et la passion l’âme du plaidoyer. Et cependant,
vie ou son opinion, de faire punir un coupable ou condamner un rival politique , les moyens sont les mêmes dans les deux pays. On
tre de l’éloquence judiciaire, comme Athènes est celui de l’éloquence politique . Comment se fait-il cependant que le genre délibé
ans l’étude des mœurs et des institutions de sa patrie. Il apprend la politique avec Thucydide, la philosophie avec Platon, et ac
ur philosophie, leurs mœurs, leurs arts, leurs droits, leur situation politique dans le grand corps dont ils sont devenus les mem
lle et si richement ornée. Cicéron eut deux beaux moments dans sa vie politique , sa lutte contre Catilina, sa lutte plus courageu
ens pratique ! quel torrent de conviction ! Démosthène est un orateur politique , et Cicéron un avocat, mais le plus admirable des
rdus. » — Voilà le langage ferme d’un homme d’État. Mais si l’orateur politique prête le flanc aux critiques, l’avocat est au-des
rt. Vous savez sans doute que, dans sa vieillesse, las des agitations politiques et retiré sous ses ombrages de Tusculum, comme un
5 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
ns successives. J’entends par là que chaque race et chaque révolution politique a laissé dans notre vocabulaire la trace de son p
r devenir une province romaine. Par les violences ou l’habileté de sa politique , le vainqueur lui avait imposé sa langue avec ses
ns débiles de ses successeurs, et la conséquence de cette dissolution politique fut la confusion des langues ; ou plutôt, chaque
par le français moderne. Contemporain de notre unité territoriale et politique , il sera définitivement constitué vers le règne d
bstacle se dressa contre cette ambition altière : ce fut l’impérieuse politique de Philippe le Bel (1285-1314), prince avisé, jal
hilippe de Comines (1445-1509), esprit robuste qui devance les temps, politique sage comme l’expérience, moraliste trop accommoda
bruit des armes à l’éclat des tournois, des mascarades et des fêtes. Politique peu loyal, il éblouira les imaginations par les d
de ses agitations civiles une émotion sans trouble, et fort de sa foi politique , aura cette heureuse proportion, ce parfait équil
6 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
rincipal appui le témoignage d’Aristote lui-même, dans une page de sa Politique qu’on trouve ici réimprimée à la suite de la Poét
d’ouverture de M. Jules Girard sur la tragédie grecque, dans la Revue Politique et Littéraire du 9 mai 1874. Tandis que d’autres
e la Manière d’entendre les poëtes, chap. vi.) C’est l’affaire de la politique .] Ce passage est fort obscur. On serait tenté de
οί, et cf. XII, 1  Réfut. sophistiques, ch. :xiv : οἱ άρχαῖοι πἀντες  Politique , VIII, 3 : οἱ ὲξ ἀρχñς βΙ οἱ ἀρχαῖοι  etc. La cin
7 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIII. Genre oratoire, ou éloquence. »
chaire, ou éloquence sacrée ; L’éloquence de la tribune, ou éloquence politique  ; L’éloquence du barreau, ou éloquence judiciaire
e de la tribune. L’éloquence de la tribune, nommée aussi éloquence politique ou parlementaire, comprend les discours prononcés
ls elle s’adresse : au milieu d’un sénat, dans une-assemblée de sages politiques , elle sera grave, réfléchie, pleine de simplicité
rs remarquable sur le style : on a vu même de nos jours les questions politiques envahir les paisibles solennités de l’Académie. 2
us, Maccarthy, Cœur, Ravignan, Lacordaire. 30. Principaux orateurs politiques  : Grecs. Périclès, Eschine, Démosthène. Latins. C
8 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
Chapitre XIV. Dépend.] Politique , VII, 13 : Δεῖται χορηγίας τινὸς τὸ ζῆν ϰαλῶς. — 
’il eût dit : οὐδὲν ϰοινὸν. ou ὅμοιον τῇ τραγῳδίᾳ ἔχουσι. Cf. Platon, Politique , p. 304 A : ὅόη βασιλιϰῇ ϰοινωνοῦσα ῥητορεία  et
rtant des exemples de la même locution : Rhétorique, I, 2 fin, 4, 10  Politique , III, 9  IV, 12, 16  V, 2. (Düntzer, Défense de l
9 (1881) Rhétorique et genres littéraires
e publique absorbait la vie privée. Leurs mœurs et leurs institutions politiques avaient fait de l’éloquence l’art le plus élevé.
ir ton pays d’un pouvoir monarchique ? Si j’ai bien entendu tantôt ta politique , Son salut désormais dépend d’un souverain Qui, p
e la langue française, celle qui, jointe à des raisons historiques et politiques , en a fait la langue des relations internationale
Ils n’avaient pas la moitié du corps caché comme chez nous, l’orateur politique par la tribune, le prédicateur par la chaire l’av
un corps législatif dont il veut éclairer les délibérations (discours politique ). Tantôt c’est une armée à laquelle il adresse un
pétente d’un conseil, d’une compagnie, d’un tribunal, d’une assemblée politique , d’un gouvernement et même d’un pays tout entier.
raire. Éloge. Analyse littéraire. simple, critique Discours. politique , militaire, judiciaire, académique, religieux, et
e, Chanson, Rondeau, Ballade, Sonnet, etc. 1° Oratoire Éloquence : politique , militaire, judiciaire, sacrée, académique. 2°
ou dans les récits des temps héroïques, souvent aussi dans l’histoire politique des peuples. Son style doit avoir de la noblesse,
μη, bourg, ὠδή, chant), qu’Aristote en a donnée. Grâce à la situation politique et sociale d’Athènes, la comédie prit rapidement
ec Épicharme. qui inaugura ainsi la Comédie de mœurs et de caractère. Politique et personnelle avec Cratinus et Aristophane dans
ingue plusieurs espèces de satires ; la satire personnelle, la satire politique , la satire morale et la satire littéraire. La sat
la poésie pastorale renaît au seizième siècle, au milieu des guerres politiques et religieuses qui ensanglantent la plus grande p
ants saliens ont précédé les premiers essais d’éloquence militaire et politique (Caton, les Gracques), les livres des premiers hi
1° Genre oratoire. Le genre oratoire comprend : 1° l’éloquence politique ou de la tribune ; 2° militaire ; 3° judiciaire o
4° sacrée ou de la chaire ; 5° académique ou savante. 1° Éloquence politique L’éloquence politique ou de la tribune est cel
e ; 5° académique ou savante. 1° Éloquence politique L’éloquence politique ou de la tribune est celle qui a pour objet de di
s affaires d’une nation et les grands intérêts de l’État. L’éloquence politique appartient au genre délibératif. Elle comprend le
itique appartient au genre délibératif. Elle comprend les discours de politique générale, les discours d’affaires particulières o
e l’abbé Maury sur la constitution civile du clergé, etc. L’éloquence politique s’adresse à tout un pays ; elle met quelquefois e
modernes, c’est à la tribune du parlement que se produit l’éloquence politique . Les grandes discussions de nos assemblées depuis
car une plaidoirie ne s’adresse pas à tout un pays, comme un discours politique . L’éloquence judiciaire comprend les réquisitoire
éloge public des guerriers morts pour la patrie était une institution politique et nationale. Ex. celui de Démosthène pour les so
patrie. Ex. celui de Léonidas à Sparte, etc. D’autres éloges étaient politiques et historiques. Ex. le panégyrique d’Athènes, — l
événements remarquables qui constituent la vie sociale et religieuse, politique et militaire, littéraire et scientifique de l’hum
seule idée ». L’impartialité consiste donc à n’avoir aucun parti pris politique ou religieux, à juger s’il est possible les événe
appréciation. Lois, guerre, finances, institutions administratives et politiques , langues, chronologie et géographie, « ces deux y
erselles. Sans être tout à fait indispensable, l’expérience de la vie politique est aussi très nécessaire à l’historien ; elle al
n citer que quelques-uns, ont été mêlés à presque tous les événements politiques de leur temps. D’illustres historiens cependant,
r la surface du globe. L’histoire profane comprend l’histoire civile, politique et intellectuelle de tous les peuples. On la divi
; et pour la juger sérieusement. on est obligé de reconstituer l’état politique , social et religieux dans lequel elle a été produ
littérature, de jurisprudence, sur les arts, les sciences morales et politiques , etc., c’est-à-dire les ouvrages qui ne peuvent a
ion et la distribution des richesses. Leur science s’appelle économie politique  ; elle appartient aussi à l’ordre moral. Ex. Ques
, treizième et quinzième siècles accommodent la fiction à leur milieu politique et religieux ; leurs romans allégoriques et satir
res philosophiques traitent particulièrement des points de morale, de politique , d’histoire, ou des questions littéraires, artist
re. 2° Historique. 3° Didactique, etc. 4° Romanesque. Éloquence 1° Politique  : générale, particulière, Discussion des lois, et
10 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
se à l’humanité en général, dans toutes les questions philosophiques, politiques , littéraires, la clarté est impérieusement exigée
de toutes celles qu’ont agitées de violentes commotions religieuses, politiques ou littéraires. Chaque révolution, en effet, char
e sont-elles pas une fatalité qu’il faut subir, comme les révolutions politiques  ? Et la roideur conservatrice qui s’obstine à lut
bons esprits littéraires se fassent un devoir, comme les bons esprits politiques , dans les révolutions des Etats, de chercher à ré
empérances de langage de l’anglomanie aristocratique et de la tribune politique , car leurs aberrations auraient fini par être plu
11 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
à mortier (1716), placé dans un rang propice à son rôle d’observateur politique , il vendit sa charge (1726), pour se consacrer pl
est le premier qui chez nous ait appliqué le grand art d’écrire à la politique et à la législation. Il appartient à l’élite de c
aque partie de la matière tend à s’éloigner du centre, aussi le monde politique se soutient-il par le désir intérieur et inquiet
tain que la liberté n’y est pas. Ce qu’on appelle union dans un corps politique est une chose très-équivoque ; la vraie est une u
; tous les coups portèrent sur les tyrans, aucun sur la tyrannie. Les politiques grecs qui vivaient dans le gouvernement populaire
« Dans Montesquieu il y a des idées, mais il n’y a pas de sentiments politiques . Tous ses ouvrages ne sont que des considérations
ses ouvrages ne sont que des considérations. C’est par les sentiments politiques cependant que les États ont une âme et de la vie.
12 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
x, brillant et fleuri. Voulez-vous démêler les secrets ressorts de la politique et des négociations ? Que votre style soit uni, g
er ses progrès et son accroissement ; démêler tous les ressorts de sa politique  ; donner une notion juste de son caractère, de so
araît s’être principalement proposé, dans son histoire, de former des politiques et des militaires. Dom Thuillier en a donné une t
iron l’an 53 de l’ère chrétienne, appelé avec saison le Bréviaire des politiques , a écrit des Annales, qui contenaient l’histoire
int en grand maître. Le règne de Tibère passe pour un chef-d’œuvre de politique , et la Vie d’Agricola pour un des plus beaux et d
les événements soient racontés en détail. C’est une histoire purement politique de la naissance et de la chute de la nation romai
écédèrent ce traité. Ces deux ouvrages contiennent l’exposé de l’état politique de l’Europe, depuis le commencement du dix-septiè
é fut signé. L’auteur y montre partout des talents supérieurs pour la politique , un discernement juste, un esprit pénétrant et un
. L’abbé du Bos, dans son Histoire de la ligue de Cambrai ; profonde, politique et bien écrite. Cette ligue fut formée en 1508 pa
13 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
e de Louis XIV l’attitude d’un frondeur qui boude sous sa tente, d’un politique méconnu et entêté de chimères. Très-lié, malgré s
remiers mouvements peints au naturel et pour lors affranchis de toute politique , quoique avec sagesse, par le trouble, l’agitatio
à remarquer que les sanglots. Les plus forts de ceux-là, ou les plus politiques , les yeux fichés à terre, et reclus en des coins,
e Berry était le troisième fils de Monseigneur. Il ne joua aucun rôle politique , et n’est connu que pour avoir épousé la fille du
mort enfin, sans qu’il ait put réaliser un seul de ses rêves moraux, politiques et religieux. »
14 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
suivi les affaires dès le principe, et raisonné avec justesse sur la politique et les projets de Philippe. Celui qui ne les aura
les qui auraient peut-être manqué d’à-propos dans une autre assemblée politique  ; Il n’y a plus rien de solide, plus rien de sûr
se de rhétorique n’est pas un cours d’éloquence sacrée, judiciaire ou politique , et il est évident que nous devons nous borner à
ouer ou de blâmer. Le genre délibératif a pour théâtre les assemblées politiques  ; le judiciaire embrasse toutes les causes qui, d
aujourd’hui cinq genres d’éloquence : l’éloquence sacrée, l’éloquence politique , l’éloquence judiciaire, l’éloquence militaire et
Deuxième section. De l’éloquence politique38. 353. L’éloquence politique ou éloquence de la tribune est celle où l’on disc
Berryer, est le champ de bataille des intelligences. 354. L’éloquence politique a une effroyable puissance pour le mal comme pour
n deux parties les observations que nous allons faire sur l’éloquence politique  : nous dirons 1º quelles qualités doit avoir l’or
hez les divers peuples. Chapitre premier. Des qualités de l’orateur politique . 356. Les principales qualités nécessaires à l
r politique. 356. Les principales qualités nécessaires à l’orateur politique sont la probité, le patriotisme, la science, la c
r et la pousser à des résolutions funestes. 358. Le véritable orateur politique , disait autrefois Démosthènes, doit sympathiser a
sont tout à fait indispensables pour lui. 360. Le style de l’orateur politique doit être toujours clair, souvent concis et énerg
du moment devant les hommes du moment. Pour être un véritable orateur politique , il faut donc posséder le talent de l’improvisati
(Voir le nº xxvii). Chapitre deuxième. Du caractère de l’éloquence politique chez les différents peuples39. 365. Les gouver
Grèce furent généralement favorables au développement de l’éloquence politique . Dans Athènes en particulier, les affaires import
ence à une haute perfection. 366. Le caractère général de l’éloquence politique chez les Grecs, c’est l’énergie de la pensée, la
que les plus beaux chefs-d’œuvre de Cicéron. 367. À Rome, l’éloquence politique se développa moins heureusement et moins vite que
l’éloquence. 368. Chez les Romains, comme chez les Grecs, l’éloquence politique fut inspirée par un ardent patriotisme, et dans l
, aucune discussion grave ne pouvait s’élever. En France, l’éloquence politique a commencé seulement à l’ouverture des états géné
sa silence à toutes les autres voix. Avec la Restauration, la tribune politique se retrouva debout, et plus d’une fois l’on vit b
nt à l’éloquence un théâtre aussi noble et aussi élevé que la tribune politique . On ne peut donc attendre ici cette élévation et
’auditoire et la nature des sujets. Sous le rapport du but, l’orateur politique tend à la persuasion ; il veut déterminer ceux qu
e à peu près exclusivement. Sous le rapport de l’auditoire, l’orateur politique s’adresse à une assemblée nombreuse et mélangée ;
en face d’une grande multitude. Sous le rapport des sujets, l’orateur politique examine les plus hautes questions de l’ordre soci
alents, et non seulement aux gens de guerre de leurs entreprises, aux politiques de leurs négociations, mais encore aux voyageurs
iste. Comme la tribune, la presse embrasse les questions religieuses, politiques , sociales, administratives ; elle a pour but de p
rer ainsi la facile soumission de l’Attique. Il était donc d’une sage politique d’entraver les desseins ambitieux de Philippe, et
le des hommes. Mais le sage revient aisément à soi, et il y a dans la politique , comme dans la religion, une espèce de pénitence
ne penser qu’à lui. (L’abbé Bautain.) XXVII. Devoirs de l’orateur politique . L’éloquence parlementaire ne doit pas s’aband
la vertu militaire, l’art de l’orateur et le sens profond et délié du politique . Ce n’est pas seulement un général qui parle, ce
ns de l’audace personnelle, de la souveraine puissance et des talents politiques et guerriers, à un plus haut degré qu’aucun autre
leur est, de tout point, incomparable. Mais c’est dans les harangues politiques que se révèle surtout Napoléon ; il s’improvisa o
de la persécution. À la fin, le bien l’emporte. Il concentre toute sa politique sur les moyens de raviver le pouvoir exécutif ; i
e pas des difficultés et des écueils ? 353. Qu’appelle-t-on éloquence politique ou éloquence de la tribune ? 354. L’éloquence pol
-on éloquence politique ou éloquence de la tribune ? 354. L’éloquence politique n’a-t-elle pas une double puissance ? 355. Commen
nce ? 355. Comment se divise ce que nous avons à dire sur l’éloquence politique  ? 356. Quelles sont les principales qualités de l
e politique ? 356. Quelles sont les principales qualités de l’orateur politique  ? 357. Qu’exige la probité dans l’orateur de trib
ns l’orateur de tribune ? 358. Qu’exige le patriotisme dans l’orateur politique  ? 359. Faut-il beaucoup de science à l’orateur po
ns l’orateur politique ? 359. Faut-il beaucoup de science à l’orateur politique  ? 360. Quel doit être le style des discours de tr
une ? 361. Le talent de l’improvisation est-il nécessaire à l’orateur politique  ? 362. L’improvisation exclut-elle la méditation
une ? 365. Quelles sont les causes qui ont fait prospérer l’éloquence politique chez les Grecs ? 366. Quel est le caractère génér
ue chez les Grecs ? 366. Quel est le caractère général de l’éloquence politique chez les Grecs ? 367. D’où vient que l’éloquence
’éloquence politique chez les Grecs ? 367. D’où vient que l’éloquence politique s’est développée si tard chez les Romains ? 368.
s’est développée si tard chez les Romains ? 368. En quoi l’éloquence politique des Romains diffère-t-elle de celle des Grecs ? 3
elle de celle des Grecs ? 369. À quelle époque a commencé l’éloquence politique chez les modernes ? 370. Qu’est devenue l’éloquen
oquence politique chez les modernes ? 370. Qu’est devenue l’éloquence politique pendant et après la révolution ? 371. La tribune
15 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre VI. D’Aguesseau et Séguier. »
supérieure. C’est dans le sein de la sagesse qu’il avait puisé cette politique hardie et généreuse, cette politique constante et
sagesse qu’il avait puisé cette politique hardie et généreuse, cette politique constante et intrépide, cet amour invincible de l
mi de toute dépendance, aspire à bouleverser toutes les constitutions politiques  ; et ses vœux ne seront remplis, que quand elle a
16 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VI. Des éloges funèbres. »
ait également donné l’exemple, et ce que la forme de nos institutions politiques ne nous a probablement pas permis d’imiter longte
hènes, de sa constitution, de ses lois, de ses avantages physiques et politiques , du caractère, des mœurs et de la conduite des At
llant hors-d’œuvre, entre parfaitement ici dans les vues de l’orateur politique , qui, en remettant sous les yeux du peuple qui l’
17 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
, les intérêts et le caractère des peuples, qu’il sache leur histoire politique , et particulièrement leur histoire militaire ; il
nos révolutions Je suis ici, je le sais, non devant une assemblée politique , mais devant une académie. Pour vous, messieurs,
t eut la ponctualité d’une montre bien réglée. 1. Pour M. Thiers, la politique a été l’école de l’historien. En cela, il rappell
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
ar la guerre, il fallut neuf ans ; pour fonder le gouvernement par la politique , dix ans. Les obstacles, les revers, les inimitié
 ; cependant il ne faut pas croire que tout fût erreur dans sa pensée politique  : bien des choses, et de très-importantes, le fra
équité, je ne veux pas dire la tolérance, envers la foi religieuse ou politique des autres, est venue prendre place et grandir à
erre voulait élever le drapeau de l’infaillibilité en fait d’opinions politiques , il n’y a, parmi les habitants de ce globe, pas u
19 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
n, étudié les lois et les constitutions des peuples, et acquis sur la politique , la religion, la philosophie, la littérature, les
ophie, la littérature, les arts, le commerce, l’industrie, l’économie politique , des notions générales et suffisantes. Car l’hist
re de la littérature est aussi un complément nécessaire de l’histoire politique  : si celle-ci présente le tableau des événements,
20 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
phie sceptique, l’imitation des littératures étrangères et la réforme politique . Rien de plus opposé, ajoute Villemain, dont nous
. L’histoire de ces salons tiendra de près à l’histoire littéraire et politique du siècle. Ils seront les vrais interprètes de ce
t diplomatique des puissances. Il fallut toute l’incohérence de notre politique pour laisser échapper une alliance qui nous eût a
le couvert d’une licencieuse ironie, trace le programme de la réforme politique . La seconde partie de cette première période, qui
it, une réaction. Les passions religieuses ou civiles, que nourrit la politique intérieure, n’ont rien de révolutionnaire ; les c
voir, entre à l’Académie française (1746), est chargé de négociations politiques , accepte le titre d’historiographe du roi. L’Espr
hes s’ajoute à l’opposition parlementaire et janséniste. Dans l’ordre politique , on pose avec audace des principes absolus. Rouss
hé moins les principes absolus que les moyens pratiques de la réforme politique , moins le modèle abstrait d’une législation parfa
ant et plus même que ceux dont il se sépare, porte dans les questions politiques cet esprit de pure logique et de déduction abstra
que de réconciliation. Les principes de justice sociale et de liberté politique sont proclamés par le tiers état et acceptés par
x-huitième siècle les classiques, les novateurs et les philosophes ou politiques . Sainte-Beuve a dit de Molière et de ses pareils 
on physique, proclamer sa dignité et ses droits, comme être social et politique  ? Au nom de quel principe flétrir et combattre un
ère, et de son aveu, il se forma deux sociétés de sciences morales et politiques , l’une, il est vrai, présidée par un jésuite, et
ndre et par supprimer, attestent l’esprit nouveau et le goût d’études politiques que rencontra Montesquieu, et dont il anima son g
eux sociétés sont, en effet, le point de départ du mouvement d’esprit politique qui remplira tout le siècle, et, parmi les précur
Boulainvilliers, esprit paradoxal, quelquefois profond, dont l’idéal politique est le gouvernement féodal, mais qui, l’un des pr
ance historique du dix-neuvième siècle23. Avec les éludes sociales et politiques , qui furent le goût dominant du dix-huitième sièc
ité, réformé la pénalité, créé la science sociale, préparé la liberté politique  : ce sont là ses gloires durables. D’ailleurs, ce
nements, l’art n’existe pas à part, les lettres se confondent avec la politique , elles sont une partie du drame lui-même. Le théâ
l ne faisait avant tout de son art un moyen de propagande et d’action politique . Joseph Chénier écrit dans la Préface de Fénelon
nt, naissent directement de la Révolution : l’éloquence et le journal politique . Non qu’il soit juste d’oublier les monuments de
on nationale. Mais quelle sera, au début, le caractère de l’éloquence politique  ? « Elle aura, répond Villemain27, un caractère s
plus systématique, de plus général, que toutes les autres éloquences politiques qui ont éclairé ou troublé le monde. » Les orateu
les problèmes leur ont été posés dans l’ordre religieux, dans l’ordre politique , dans l’ordre moral ! En portant au christianisme
seul, cet homme eût-il au front la marque du génie. Mais la question politique ne conduirait-elle pas bientôt à d’autres problèm
it-ce tout ? Et ne restait-il qu’à inscrire en tête des constitutions politiques un principe abstrait, en laissant au temps le soi
s, les questions sociales n’allaient-elles pas se mêler aux questions politiques , les étendre, les compliquer, les obscurcir ? Nou
ée aux questions de doctrine et de système, la prédominance de l’idée politique et sociale sur l’idée morale, une recherche inqui
qu’elle appelle si souvent, d’ailleurs, en témoignage, la littérature politique devait prendre dans notre temps une place considé
et se tempérer. Ce sujet se confond trop souvent avec notre histoire politique pour en être détaché sans perdre beaucoup de son
e, et sans craindre de faire éclater son cadre naturel, des questions politiques , morales et sociales. Est-il nécessaire ici de ci
on définitive des Mémoires tels qu’on les possède aujourd’hui. Sa vie politique eut beaucoup moins d’importance qu’il ne l’eût so
més de Louis XIV. Après une ambassade en Espagne, il abandonna la vie politique et mourut à quatre-vingts ans, en 1755. Chateaubr
son inimitable Discours sur l’Histoire universelle, et cette sublime Politique tirée de l’Écriture Sainte, qui est l’instruction
ints traités par Montesquieu : les origines de Rome, ses institutions politiques et religieuses, ont été plus approfondies ; mais
pas fléchi, et c’est encore lui qui nous apprend le mieux les causes politiques de la grandeur et surtout de la décadence romaine
gislations à un type idéal de la loi pour en faire sortir une théorie politique nouvelle, un système de réforme future, mais surt
s n’étaient pas égaux. » Montesquieu a vraiment ainsi créé la science politique en la fondant tout à la fois sur le principe de l
première est une explication donnée par Sylla lui-même de sa conduite politique  ; la seconde, malgré un peu de raideur dans l’exp
vaines que ces vertus. Nous avons dit que dans les premiers temps la politique des Romains fut de diviser toutes les puissances
; tous les coups portèrent sur les tyrans, aucun sur la tyrannie. Les politiques grecs qui vivaient dans le gouvernement populaire
âtre de Shakspeare, le système de Newton, le spectacle d’institutions politiques que la liberté affermissait au lieu d’ébranler, p
etite, celle de Sceaux, où la duchesse du Maine consolait sa disgrâce politique dans une société choisie de libres esprits. Le sé
à tout avec succès, s’occupe dans le même temps de, littérature et de politique , de ses tragédies et de ses affaires, de la cause
la franchise de Henri IV, qui, avec ses vivacités, était encore aussi politique que lui. Élisabeth acquit une grande réputation ;
des Confessions, et retourne brusquement en France. Son dernier écrit politique fut une dissertation sur le Gouvernement de la Po
ture à l’industrie ; tout n’est pas clair dans son rôle commercial et politique de la guerre d’Amérique, et nous savons que sa co
curiosité embrassait tout : langues anciennes et modernes, histoire, politique , science, dessin même et musique. Le marquis son
s sûr moyen de développer dans cette âme ardente la haine d’un régime politique où la liberté personnelle était si mal protégée c
montra le talent de Rivarol sous une forme nouvelle, celle d’écrivain politique . On a réédité naguères la série de ses articles p
On a réédité naguères la série de ses articles parus dans le journal politique national, depuis le 12 juillet 1789 jusqu’au 6 oc
1858, témoigne du soin avec lequel J. de Maistre suivit le mouvement politique de son temps, et ce qu’il est permis encore de co
absolue, il avait reconnu cependant comme légitimes toutes les formes politiques , pourvu que, plaçant en Dieu le principe de l’aut
deviendront dans notre pays les formes et les garanties de sa liberté politique . Anne-Louise-Germaine Necker, fille du ministre d
de Mme de Staël était de montrer que tout ce qui profite à la liberté politique d’un peuple profite au talent. On comprend qu’une
ard d’aigle sur les objets qu’il observe : s’il avait eu une carrière politique , si son âme s’était développée par les actions, s
a société chrétienne dans sa première innocence. A partir de 1815, la politique active entra pour une grande part dans la vie de
Restauration. Sous le pamphlétaire, il ne faut pas chercher un esprit politique . Courier, comme Sainte-Beuve le fait bien remarqu
ue. Courier, comme Sainte-Beuve le fait bien remarquer, entre dans la politique par le détail, en homme de parti et de passion. P
t intitulé : De la Religion considérée dans ses rapports avec l’ordre politique et moral (1825), où il soutenait sans tempérament
l’intérêt du drame qu’à retirer de l’étude des événements les leçons politiques et morales qu’ils renferment. Né à Nîmes, le 4 oc
l’homme d’État et l’orateur. Nous n’avons pas ici à juger la conduite politique de Guizot sous la monarchie de juillet. Qu’il nou
vif attrait de nouveauté, qu’ils rivalisèrent d’éclat avec la tribune politique , et virent se former et se maintenir autour de le
l’intelligence et le cœur de l’homme, la philosophie, l’histoire, la politique . Ce partage admis, et avec ces deux destinations
inue pour l’esprit d’un peuple : là où la philosophie, l’histoire, la politique , sont l’objet d’une libre étude, d’un véridique e
qui doit succéder à l’épuisement des grands sujets religieux, moraux, politiques . Dans cette voie, Buffon, arrivant le premier, av
uitième siècle, comme Rousseau en représentait avec énergie la pensée politique . Tableau de la Littérature française au dix-huit
ut l’histoire de sa pensée philosophique. Il se mêla peu au mouvement politique de notre époque : le goût de la méditation, de l’
des historiens de l’école philosophique. Engagé dans les mêmes voies politiques que Thiers, il prêta quelque temps au National un
n en Espagne (1833) fut presque le seul acte public de M. Mignet : la politique devait avoir peu d’attrait pour un esprit méditat
, en 1837, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales et politiques . L’un des devoirs de cette dignité est d’honorer
ances, prédestiné aux études historiques comme à l’activité de la vie politique . Aussi, dans les dernières années de la Restaurat
Saint-Marc Girardin.(1801-1873.) Professeur, journaliste, homme politique , dans toutes les directions qu’il lui a plu de su
cteur au journal des Débats, il mettait au service de ses préférences politiques une plume jeune, hardie, parfois provocante, et q
. Plus tard, en réunissant ces pages dans les Souvenirs et Réflexions politiques d’un journaliste (1859), il reconnaissait de bonn
on parti, disait-il, de n’être pas plus jeune que mon âge, et cela en politique , comme ailleurs. » S’il corrigea assez vite cette
militante, Saint-Marc Girardin continua à s’intéresser aux questions politiques de son temps, et de son œuvre de publiciste, sans
il occupa avec éclat la chaire de Notre-Dame, et quand des défiances politiques l’en firent descendre, il put exprimer la pensée
a force des magistrats assis sur le siège de la justice, la force des politiques qui gouvernent le monde, la force des écrivains q
Rome était déjà arrivée, par son énergie et son habileté, au pouvoir politique le plus étendu et à la maturité d’un grand État,
assant en elle et se combinant avec le sens ferme et judicieux de ces politiques et de ces vainqueurs, a produit, à la seconde où
fait la connaissance d’un journaliste, qui lui apprend à faire de la politique , et lui enseigne qu’on a toujours raison en criti
usements des muses allaient succéder les clameurs et les orages de la politique . Ce poète heureux vit sa réputation peu attaquée,
déroba â toutes les avances avec une fermeté polie653. Etranger à la politique , mais lié à la famille des Bourbons par les souve
écédèrent la convocation des Etats généraux, était devenu une tribune politique . Ne demandez plus aux poètes de cette époque la v
atant succès de Charles IX (1789) prit les proportions d’un événement politique  ; les retards opposés à la représentation ne fire
rme souvent ferme et éclatante, avait tous les défauts de la tragédie politique et philosophique. Si grande même fut l’exaltation
lecture, que Danton osait se promettre qu’elle accélérerait la crise politique . « Si Figaro a tué la noblesse, disait-il, Charle
il flétrissait dans sa tragédie de Fénelon les violences du fanatisme politique qui venait de l’égarer lui-même. Chénier allait b
plus utile de défendre la mémoire de Marie-Joseph. Les dissentiments politiques qui s’étaient élevés entre les deux frères n’avai
ation déclamatoire qu’il devait à ses habitudes d’orateur et de poète politique . Ce mérite d’une forme nouvelle, soutenue par une
piquant. Joseph Chénier s’était montré aussi hardi révolutionnaire en politique que disciple soumis de la tradition littéraire ;
siècles qui ont précédé le nôtre, appartiendrait plutôt à l’histoire politique . On a dit que l’ancienne monarchie était un gouve
ion (1821-1825-1828). Les vives et mordantes satires contre le régime politique de cette époque blessèrent le pouvoir, et deux co
augmentèrent la renommée. Après 1830, Béranger resta à l’écart de la politique , et ne publia qu’un petit nombre de chansons nouv
acas des événements, les délices du foyer et les préoccupations de la politique , le gigantesque et l’imperceptible, le rationnel
sous des formes bien différentes. Ici, elle se mêlait aux événements politiques  ; là, elle ne sortait pas de l’enceinte du foyer.
le de parler d’une époque si voisine de la nôtre sans glisser dans la politique , sans heurter ou froisser des opinions. Le poète,
t de 1762. Il n’est plus guère aujourd’hui que le synonyme d’écrivain politique . 21. Villemain, Tableau de la Littérature frança
e dans le Gorgias, ch. lxxiv. C’est qu’aux yeux de Platon il y a deux politiques comme deux rhétoriques : l’une a pour but l’agréa
chapitre sur Montesquieu dans Y Histoire de la Philosophie morale et politique dans l’antiquité et les temps modernes, par M. P.
religieuses du triomphe de la Révolution, et Montesquieu les raisons politiques qui expliquent pourquoi ce triomphe ne fut pas du
ébattue encore aujourd’hui, des rapports du luxe avec la morale et la politique , on peut lire le livre Ier intitulé : Théorie du
nce, cette nation s’élèvera à tous les genres de mérite. » Réflexions politiques sur quelques écrits du jour. Au premier vol., p. 
rits du jour. Au premier vol., p. 259, de l’ouvrage intitulé Mélanges politiques . 360. Un des premiers qui s’occupa de l’Allemagn
M. de Chateaubriand, sa Vie, ses Ecrits, son Influence littéraire et politique sur son temps. — Sainte-Beuve : Chateaubriand et
d exagère quand il appelle Tbiers et M. Mignet « les chefs de l’école politique fataliste, » et qu’il leur prête un système. Mais
y ajouta la fondation d’un journal, qu’il fit servir à l’enseignement politique et moral de ses compatriotes. Ce fut surtout dans
te. Gusman a été cruel, dans l’exercice de son pouvoir d’un jour, par politique plutôt que par nature ; rien n’empêche que les ap
Prévost-Paradol, dans un article piquant reproduit dans ses Essais de Politique et de Littérature (2e série, p. 317). — Les œuvre
21 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
ontemporains la taille d’un héros auquel manqua seulement ce bon sens politique qui sauva, par le génie d’Henri IV, la religion e
e  siècle autant par ses témérités littéraires que par ses incartades politiques . Et pourtant, malgré ses défauts, ce Juvénal enth
censeur qui ne désarme pas en face des défections intéressées. Si le politique se trompa, l’homme a donc droit à nos respects. N
22 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avertissement de la deuxième édition. » pp. -
evoir ajouter ici, avant les extraits des Problèmes, le passage de la Politique , qui complète et commente si heureusement la célè
onfrère a étudié avec le même soin les textes de la Rhétorique, de la Politique et des Météorologiques d’Aristote.
23 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
ation vous protégera contre les attaques de vos voisins ; son système politique sera uni au vôtre… Je vous quitte sous peu de jou
es conseils de Votre Majesté, et qui lui a fait commettre des erreurs politiques dont l’Europe est encore tout étonnée, et des err
era un homme désireux de ne faire que des guerres indispensables à la politique de ses peuples, et de ne point répandre le sang d
s qui n’ont avec moi aucune opposition d’industrie, de commerce et de politique . Je prie Votre Majesté de ne voir dans cette lett
e législation entière, qui embrasse à la fois la vie civile et la vie politique des peuples, au lendemain d’une révolution dévora
24 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
τιϰή. « Celle qui se fait avec le moins d’embarras. » (Racine.) — Cf. Politique , VIII, 5 : Ol μὲν φορτιϰωτέρας ἔχουσι τάς ϰινήσει
. Pirouettent.] Κυλίεσθαι pour ϰυλίνδεσθαι. Voyez d’autres exemples : Politique VI, 4  Histoire des Animaux, V, 19  Questions de
25 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
nseil des ministres, vers la fin de l’année 1710, expose la situation politique et militaire de la France, et déclare hautement s
par le témoignage de l’histoire, fut habilement maniée par les hommes politiques , et surtout par Périclès. On peut considérer comm
qui fut sans contredit le plus grand orateur de Rome ; il fut orateur politique , parce qu’il était homme d’État, et il eût certai
re de la patrie. Comme Démosthène en Grèce, il fut le dernier orateur politique de Rome, car après lui les Romains dégénérés abdi
vons dit que la satire dans Horace est surtout littéraire ; la satire politique ou morale n’est guère en effet son élément, et de
u morale n’est guère en effet son élément, et de même que ses satires politiques se changent toujours en flatteries à l’adresse d’
tosis (métamorphose de Claude en citrouille) : c’est une satire toute politique . Les Épigrammes de Martial, renferment dans les t
eur ; en effet, il composa ce poème en grande partie pour seconder la politique d’Auguste, qui était de remettre l’agriculture en
en effet, ce grand homme a réuni la triple gloire du génie militaire, politique et littéraire. Après avoir débuté assez brillamme
passé à la postérité. Mais nous possédons nombre de lettres d’hommes politiques ou de célèbres auteurs, dans lesquelles, indépend
les points de vue que la correspondance de Cicéron ? soit qu’il parle politique et porte sur les triumvirs des jugements mérités,
mme on l’a si justement appelée. Ils n’ont pas assez d’éloges pour la politique ferme et sage au-dehors, pour l’excellence de leu
la, portent les chaînes de quelque noble dame, et aux calculs de leur politique se mêlent les intérêts de leur amour… Quelques be
olitique se mêlent les intérêts de leur amour… Quelques belles scènes politiques , où le poète, rentrant dans sa nature et dans la
ont incapables d’émouvoir ; — dans Sophonisbe (1663), même mélange de politique et de douceurs alambiquées ; — Othon (1664) n’est
ne tout son orgueil et toutes ses illusions ; elle a les calculs d’un politique , mais elle les détruit par son impatience et par
is XIV peut se diviser en quatre parties ; 1º Histoire des événements politiques et militaires ; 2º Tableau du gouvernement intéri
ivisés, le patriotisme languissant, la vénalité corrompant les vertus politiques , la disette de bons généraux, les excès d’une dém
onge lentement. Dans Rome, règne la tyrannie, la délation, la terreur politique et la superstition la plus extravagante. Aussi, d
philosophique, je pencherai, je crois, vers le stoïcisme. En matière politique , je puis dire que je ne suis pas tout à fait répu
al éteintes des protestants, et les empêcher de reconstituer un parti politique  ; il saura aussi, son adresse m’en est garant, ma
Église, de s’unir aux chefs d’une faction qui n’est qu’une opposition politique . 3º Le Coadjuteur est jeune encore : il rêve de b
nos yeux sans interruption ; les Animaux malades de la peste, satire politique et sociale, le Coche et la Mouche, la Laitière et
l’accomplissement de cette tâche, tous les services que sa situation politique le met à même de fournir. Mais comment la moindre
26 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
Courier 1773-1825 [Notice] Helléniste et écrivain politique , Paul-Louis Courier fut avant 1815 un officier d’
perdu l’à-propos des circonstances, représentent avec verve les mœurs politiques d’une époque. Publiciste à courtes vues, quinteux
de s’en tenir aux trois cent cinquante caisses ; il n’est ni juste ni politique de trop multiplier les enlèvements de cette natur
27 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
a vérité et la vertu. (Caen, juillet 1888.) Qu’est-ce que l’éloquence politique  ? Sous quelle forme de gouvernement peut-elle se
ement de la réconciliation avec Charles VII ; car au nom de l’intérêt politique , n’est-il pas temps de faire la paix avec le roi
souvent avec Louis XIII d’importants entretiens où il lui exposait sa politique . On supposera un de ces entretiens, où l’on dével
let 1888.) Mettre en parallèle Condé et Turenne : apprécier leur rôle politique , leur génie militaire, leur caractère. (Grenoble,
es ? (Chambéry, juillet 1886.) Indiquer les principales erreurs de la politique extérieure des Bourbons sous Louis XIV et Louis X
russienne. (Poitiers, août 1891.) Résumer les principaux traits de la politique extérieure et les agrandissements territoriaux de
hâteau d’eau qui alimente quatre grands fleuves ; elles sont, pour la politique , une barrière ; pour l’économie rurale, un pâtura
rofiter de leurs voyages. (Lyon, juillet 1891.) morale. – économie politique . – Sciences. Pensées et maximes. La notion du
r cette pensée au point de vue de la morale et des lois de l’économie politique  ; à propos de cette phrase, apprécier le style de
st une fortune sans honneur. (Montpellier, avril 1890.) De l’économie politique . – Est-ce une science et quelle est sa méthode ? 
économiques et morales. (Besançon, avril 1891.) L’étude de l’économie politique est pour un citoyen instruit un devoir et presque
oût 1888.) Quelle est la part de la France dans les progrès sociaux, politiques et économiques accomplis au xix e siècle ? (Poiti
avec vous ? (Marseille, avril 1891.) Rechercher dans notre histoire politique et littéraire et dans les traits les plus saillan
elles sont les conditions nécessaires au développement de l’éloquence politique  ? Vous prendrez vos arguments dans l’histoire de
s l’histoire de France. (Paris, août 1881.) Qu’appelle-t-on éloquence politique  ? Quelles sont les qualités nécessaires à ce genr
tés nécessaires à ce genre d’éloquence ? A quels défauts les orateurs politiques peuvent-ils être exposés ? D’où vient l’influence
que et latine a-t-elle produit tant d’orateurs célèbres ? L’éloquence politique a-t-elle pu se faire jour sous l’ancienne monarch
ue de notre histoire nationale et dans quelles conditions l’éloquence politique a-t-elle inspiré le plus d’orateurs ? Donnez une
inspiré le plus d’orateurs ? Donnez une idée sommaire de l’éloquence politique à la fin du dernier siècle et appréciez brièvemen
e ? – En quoi l’éloquence de la chaire diffère-t-elle de l’éloquence politique et de l’éloquence judiciaire ? – Quelle idée peut
ers 1660 ? – Quelle a été l’influence personnelle de Louis XIV sur la politique de ses ministres ? – Quels sont les événements qu
ritime et coloniale de la France et de l’Angleterre sous Louis XV. –  Politique et conquêtes de Catherine II. – Apprécier le mini
e siècle les philosophes et les économistes ? – Parler de l’influence politique des lettres au xviii e siècle. – Quels progrès le
s livres, la presse et les salons. – Montrer que c’est à ses libertés politiques que l’Angleterre a dû son influence au xviii e si
ur les conversations polies et le bon ton ; elle rapprocha les hommes politiques des écrivains ; la langue et le goût ne pouvaient
au ; il ne saurait donc prendre intérèt aux luttes quotidiennes de la politique . Le xviii e siècle ayant aimé surtout la lutte, i
n presque générale aujourd’hui que Louis XIV a commis une grave faute politique en révoquant l’Édit de Nantes. Il a surtout servi
e, telle que l’antiquité l’avait comprise, était surtout une leçon de politique et de morale. Elle ne s’appliquait guère qu’à pei
e, avec les intrigues qui se nouent autour du sultan, le secret de sa politique sans suite et sans dessein. La vive intelligence
A quels travaux voulez-vous que se livre un ministre en disgrâce ? La politique m’est interdite ; j’assiste indigné aux sottises
de prospérité et ce sera pour le roi un grand honneur de reprendre la politique de Louis XIV et de Colbert. La marine français
ns compter, de nous créer des ennemis sur le continent. Déjouez cette politique , Sire ; tournez contre elle le meilleur des resso
ne bonne administration. Il convient d’initier le peuple à la liberté politique . Mon projet est de créer une représentation natio
inrent faire entendre sur la scène étonnée les plus profonds discours politiques dont ait jamais dépendu le sort d’un État. Nous é
des sublimes modèles qui nous étaient offerts. Auguste parlait de la politique comme Richelieu la faisait ; Condé prit le feu qu
iii e siècle. B. Les raisons du rôle joué par la prose sont à la fois politiques , sociales, scientifiques, etc. De là deux grandes
prématie : espoir et désir de réformes dans la société, – dans la vie politique , – découvertes scientifiques, – foi dans le progr
stoire était : Les Reines de France au XVIIe siècle : leur influence politique et littéraire.   « Sauf de rares exceptions, les
société française, voyait la poésie ressusciter du milieu des orages politiques et des lassitudes de la guerre, avec le spiritual
e, du domaine de la littérature dans celui de la philosophie et de la politique , revenant, au xix e siècle, sur le terrain des le
’ancien régime, réclamant des réformes au nom de la liberté civile et politique . Cette œuvre de destruction et de réédification,
s attendez-vous à y rencontrer ? Composition française. Remaniements politiques et territoriaux opérés en Europe de 1804 à 1815.
on, c’est de ne pas trop éduquer, comme un des grands préceptes de la politique est de ne pas trop gouverner » PLAN Préambule. 
pas trop gouverner » PLAN Préambule. – Juste assimilation de la vie politique et de la vie scolaire. Expliquer le sens exact de
. Vous direz qu’appelé en Italie par le vœu des populations et par la politique des principaux souverains, Charles VIII avait par
ndemain de Magenta et de Solférino, – sous l’empire de préoccupations politiques , dans l’ivresse de la victoire. Les examinateurs
abitants. Vous terminerez par quelques réflexions sur les nécessités politiques , qui durent contraindre le général romain à une e
rniers succès, son rappel en France, et pour l’engager à continuer la politique qu’il a inaugurée et qui lui a si bien réussi dan
il demande qu’on lui fasse justice. – Rechercher dans notre histoire politique et littéraire et dans les traits les plus saillan
de fonder Odessa. Elle lui expose ses vues commerciales, maritimes et politiques . Odessa sera le boulevard des nouvelles possessio
ommes qu’elles ont produits dans les sciences et les lettres, dans la politique , etc. (Paris). l’industrie. Merveilles de l’ind
udie lui-mème ; il se donne des lois. Organisation sociale. Religion. Politique . (Toulouse.) l’art de la guerre. Malgré les récl
ord les personnages venus de Rome à la suite de César, comme ses amis politiques , et qui n’avaient pas l’expérience de la guerre.
as, mais nous souffrons d’un mal qui lui était inconnu. Nos divisions politiques nous énervent, il faut qu’elles cèdent au sentime
de la science, par les applications de l’industrie, par les réformes politiques et sociales, c’est-à-dire, en un un mot, la philo
les bienfaits principaux que la France doit à la révolution de 1789. ( Politique , administration, justice, finances, armée, indust
i sont proposées. Elles sont empruntées non à l’histoire militaire ou politique , mais à l’histoire des sciences. Il est donc néce
de la science, par les applications de l’industrie, par les réformes politiques et sociales, c’est-à-dire, en un mot, la philosop
senter à la Diète, mais il ne prend que très peu de part aux affaires politiques , et n’assiste guère aux débats de la Chambre que
ent d’ailleurs elles ont été favorisées par de fâcheuses institutions politiques . Heureusement, de nouvelles dispositions commence
x de la campagne d’une promenade à la ville. – A la suite d’un procès politique , un prisonnier avait été enfermé dans un donjon ;
llicane, veut témoigner de son attachement au catholicisme. B. Causes politiques . – Unité de doctrines et de tendances dans l’État
chelieu, aussi jaloux du renom de poète que de la réputation de grand politique , avait fait dire à Corneille qu’il ne mettrait pa
les caractères généraux du xviie et du xviiie siècles au point de vue politique et économique. – Qu’entend-on par l’équilibre eur
nd-on par l’équilibre européen ? – Rôle de la France dans les progrès politiques , sociaux, intellectuels, économiques, au xixe siè
es, au xixe siècle. – En quel pays préféreriez-vous de voyager ? – La politique coloniale de la France au xixe siècle. – Histoire
n 1789. Vous revenez à la vie en 1889. Par quels changements sociaux, politiques , économiques, scientifiques êtes-vous frappé ? –
uable conférence faite en 1885 par M. Ch. Gide, professeur d’économie politique à la Faculté de droit de Montpellier, sous les au
âges les plus lointains, le nom, les idées, les mœurs religieuses et politiques , la pratique du self government, l’orgueil hérédi
ais aujourd’hui l’Europe n’est rien. Ce petit échiquier sur lequel la politique a si longtemps poussé ses pions et joué ses parti
ons avec une hâte et une ardeur qui ne peuvent prêter à rire qu’à des politiques à courte vue. Eh bien, quelle est, dans le reste
ord parait assuré. Sans doute ils ne sont pas nos concitoyens au sens politique de ce mot : ils appartiennent et ils appartiendro
re ramassés. Jadis on se battait dans l’ancien monde pour l’existence politique , on lutte maintenant de vitesse, dans les nouveau
. Les hommes de gouvernement comprennent en effet que se limiter à la politique en Europe, quand l’horizon s’élargit avec les déc
qu’une « expression géographique », essaie de modifier la géographie politique de la mer Rouge. C’est l’Amérique, qui, de coloni
s gouvernants se concentraient à l’intérieur du pays, sacrifiaient la politique coloniale à la politique dynastique de suprématie
aient à l’intérieur du pays, sacrifiaient la politique coloniale à la politique dynastique de suprématie européenne, préféraient
oquence 18 Histoire 19 Géographie. – Voyages 28 Morale. – Économie politique . – Sciences. – Pensées et maximes 30 Sujets don
auréat de l’Enseignement moderne sous la rubrique : Science, Économie politique , etc. Ils sont pratiques ; ils ont un côté utilit
28 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
ges des maîtres, des graves devoirs imposés à l’éloquence judiciaire, politique et scientifique21. Sans doute nous pourrons embra
its pour les assemblées délibérantes, qui appartiennent à l’éloquence politique  ; 3° les longs plaidoyers civils et criminels et
vines ; en un mot, ce sera Bossuet. (Maury et La Harpe.) Eloquence politique . Le genre délibératif des anciens répond à me
Le genre délibératif des anciens répond à merveille à l’éloquence politique dans la division des modernes. Il est autant en u
force, n’en a plus assez pour lui résister. Mais pour que l’éloquence politique acquière généralement cet empire, il faut suppose
t en effet paraître dans l’éloquence sacrée, au barreau, à la tribune politique et les assemblées scientifiques, sous forme d’ins
quelle soit un discours spontané, une harangue libre. La harangue est politique , historique ou militaire. Nous ne dirons rien de
re côté un très petit nombre d’hommes sont appelés à devenir orateurs politiques , avocats, prédicateurs. Refuserez-vous à tous les
été supprimés et remplacés par l’éloquence de la tribune ou éloquence politique , comprenant aussi l’éloquence militaire, l’éloque
29 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
e curiosité embrassait tout, langues anciennes et modernes, histoire, politique , science, dessin même et musique. Le marquis son
s sûr moyen de développer dans cette âme ardente la haine d’un régime politique où la liberté personnelle était si mal protégée c
on militaire, comme on vous a proposé naguère des comités d’exécution politique  ; le roi ne serait plus que l’agent de ces comité
ple ne l’abandonne pas dans les opérations les plus importantes de la politique  ; et mes adversaires veulent que l’un des délégué
emple. Je ne crois pas qu’il soit plus conforme aux convenances de la politique qu’aux principes de la morale d’affiler le poigna
avait été le témoin. Malgré tout ce qui aurait pu déconcerter sa foi politique , elle ne renia aucune des généreuses aspirations
de l’empire des Césars nous n’avons presque jamais eu d’indépendance politique en Italie, on ne trouve point ici des hommes d’Ét
ard d’aigle sur les objets qu’il observe : s’il avait eu une carrière politique , si son âme s’était développée par les actions, s
lique disputa trop souvent M. de Chateaubriand à ses études. Son rôle politique ne fut pas d’ailleurs sans grandeur. Fidèlement a
rande dans le siècle qu’il inaugura par un chef-d’œuvre ; s’il fut en politique l’un des plus nobles défenseurs des idées libéral
ige qui anime ses conseils, et qui lui ont fait commettre des erreurs politiques dont l’Europe est encore tout étonnée, et des err
era un homme désireux de ne faire que des guerres indispensables à la politique de mes peuples, et de ne point répandre le sang d
s qui n’ont avec moi aucune opposition d’industrie, de commerce et de politique . Je prie Votre Majesté de ne voir dans cette lett
ociétés modernes ? Préoccupés de ces redoutables questions de l’ordre politique et social, le public et les écrivains de la resta
te époque. Il semblait que M. Guizot préludât par cet ouvrage au rôle politique qu’il allait jouer après 1830. L’historien avait
se et piquante nouveauté, qu’ils rivalisèrent d’éclat avec la tribune politique , et virent se former et se maintenir autour de le
ne et Notre-Dame formaient alors comme un triple foyer d’enseignement politique , moral et religieux ; les grandes questions de l’
la littérature française au dix-huitième siècle. Les hautes fonctions politiques que M. Villemain fut appelé à remplir après 1830
qui doit succéder à l’épuisement des grands sujets religieux, moraux, politiques . Dans cette voie, Buffon, arrivant le premier, av
célébrité bruyante du théâtre, devenu le tumultueux écho des passions politiques . Les lettres le conduisirent à la tribune. Poète
s202… … Parmi les rois franks de la première race, Clovis est l’homme politique . C’est lui qui, dans la vue de fonder un empire,
le conversion ait été soudaine et complète. D’abord il y eut scission politique entre les partisans du nouveau culte et ceux de l
e des Franks, ni même cette seconde conquête, opérée sous une couleur politique par les fondateurs de la dynastie Carolingienne21
rai, mais capable d’acquérir une grande force, quand la prépondérance politique viendrait s’ajouter chez le suzerain à la supréma
n toute puissance et en pleine liberté, devint le centre d’un système politique embrassant toutes les fractions de l’ancienne Gau
ur insu par des mouvements nationaux, une grande divergence d’opinion politique se laisse apercevoir entre les Franks vivant au m
combattirent sous les mêmes drapeaux pour le renversement du système politique fondé par Karl le Grand. Cette alliance formée en
que la guerre où ils étaient engagés de nouveau ne serait pas un jeu politique , les deux rois se jurèrent mutuellement de mainte
ut l’histoire de sa pensée philosophique. Il se mêla peu au mouvement politique de notre époque : le goût de la méditation, de l’
des historiens de l’école philosophique. Engagé dans les mêmes voies politiques que M. Thiers, il prêta quelque temps au National
n en Espagne (1833) fut presque le seul acte public de M. Mignet : la politique devait avoir peu d’attrait pour un esprit méditat
ances, prédestiné aux études historiques comme à l’activité de la vie politique . Aussi, dans les dernières années de la Restaurat
me public, et M. Thiers, au milieu même des luttes quotidiennes de la politique militante, poursuivait ses études avec la même ar
suprême et « tenir dans ses mains les balances de Dieu. » L’orateur politique , chez M. Thiers, touche par trop de côtés à l’his
nne moins, mais il séduit et persuade mieux que son ancien adversaire politique  ; l’un est plus grand orateur, l’autre est plus s
déroba à toutes les avances avec une fermeté polie274. Étranger à la politique , mais lié à la famille des Bourbons par les souve
écédèrent la convocation des états généraux, était devenu une tribune politique . Ne demandez plus aux poètes de cette époque la v
devoir avec la passion, c’est le développement d’une thèse sociale ou politique  ; les personnages ne sont plus, à le bien prendre
atant succès de Charles IX (1789) prit les proportions d’un événement politique  ; les retards opposés à la représentation ne fire
rme souvent ferme et éclatante, avait tous les défauts de la tragédie politique et philosophique. Telle fut même l’exaltation pro
écolorée, que Danton osait se promettre qu’elle accélérerait la crise politique , « Si Figaro a tué la noblesse, disait-il, Charle
il flétrissait dans sa tragédie de Fénelon les violences du fanatisme politique qui venait de l’égarer lui-même. Chénier allait b
plus utile de défendre la mémoire de Marie-Joseph ; Les dissentiments politiques qui s’étaient élevés entre les deux frères n’avai
ation déclamatoire qu’il devait à ses habitudes d’orateur et de poète politique . Ce mérite d’une forme nouvelle soutenue par une
tructif. Joseph Chénier s’était montré aussi hardi révolutionnaire en politique que disciple soumis de la tradition littéraire ;
siècles qui ont précédé le nôtre, appartiendrait plutôt à l’histoire politique . On a dit avec esprit que l’ancienne monarchie ét
a Restauration (1821-1823-1828). La vive et mordante satire du régime politique de cette époque, l’expression des regrets patriot
augmentèrent la renommée. Après 1830, Béranger resta à l’écart de la politique , et ne publia qu’un petit nombre de chansons nouv
s oiseaux voyageurs aussi. » Nous ne dirons ici qu’un mot de l’homme politique . Si à la chambre des députés, où il siégea pendan
le de parler d’une époque si voisine de la nôtre sans glisser dans la politique , sans heurter ou froisser des opinions. Le poète,
M. de Chateaubriand, sa vie, ses écrits, son influence littéraire et politique sur son temps. 39. Les œuvres de Chateaubriand o
137. Les Indépendants étaient la secte tout à la fois religieuse et politique qui acceptait la réforme jusque dans ses dernière
tème qui sacrifiait l’intérêt dramatique aux préoccupations de thèses politiques ou philosophiques. Les poètes de cette école qui
Chénier la haine des factieux. On peut lire sur André Chénier, homme politique , une causerie de M. Sainte-Beuve, tome IV. 169.
l ajouta la fondation d’un journal, qu’il fit servir à l’enseignement politique et moral de ses compatriotes. Ce fut surtout dans
30 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Henri IV, 1553-1610 » pp. -
démentent pas cet éloge. Dans sa correspondance à la fois militaire, politique , diplomatique et intime, nous voyons tour à tour
onné, Henry. (Lettres missives de Henri IV, tome II, p. 398.) Un politique A Monsieur de Batz 5 Monsieur de Batz, j’
31 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
et l’animation d’un causeur prompt à toutes les impressions. Sous le politique se cache un artiste digne de tout comprendre et d
ux, à peindre les hommes avec justesse, à éclaircir les secrets de la politique et de la guerre, à narrer avec un ordre lumineux,
nos révolutions Je suis ici, je le sais, non devant une assemblée politique , mais devant une académie. Pour vous, messieurs,
32 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
s, des discours du barreau, des discours académiques, et des discours politiques . Article I. Des Discours sacrés. Il n’est
ue nous a laissés Isocrate, parce que ce sont proprement des discours politiques . Mais nous avons les Panégyriques de plusieurs Em
e prononça quatre discours contre Philippe, roi de Macédoine, dont la politique sourde et raffinée ambitionnait la souveraineté d
a correction et l’élégance du style. Article IV. Des Discours politiques . Les discours que j’appelle politiques sont ce
Article IV. Des Discours politiques. Les discours que j’appelle politiques sont ceux que les hommes chargés des différentes
ires, des conventions, des traités qu’on dresse. Sujet des discours politiques . Le nombre des sujets de ces sortes de discour
t rhéteur dans les développements qu’il donne sur toutes ces matières politiques  : il suffira que je dise un mot de chacun de ces
’abbé de Vertot, de très beaux discours qu’on peut rapporter au genre politique . 90. S. Aug. de Doctr. Christ. L. 4. 91. Voy
33 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre IV. De l’Éloquence chez les modernes. »
ence, et le barreau s’en empara. Mais la vraie éloquence, l’éloquence politique , celle qui, dans les tribunes d’Athènes et de Rom
assemblées assez nombreuses pour offrir un champ libre à l’éloquence politique , qui y devait être naturellement encouragée par l
34 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de L’Hospital, 1505-1573 » pp. -
ais son patriotisme et son austérité évitèrent tout périlleux écueil. Politique habile et ferme, l’Hopital « brida » tout ensembl
ys dans les troubles civils. Il représente l’alliance trop rare de la politique et de la morale. — Aussi sa renommée juge-t-elle
35 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
xe, le tempérament, le pays, le siècle, la religion, les institutions politiques et sociales, les relations de famille, l’éducatio
les diverses humeurs. L’action de la religion et de la constitution politique rentre évidemment dans le titre Pays et siècle. E
caractère d’un peuple, modifié par l’opinion dominante, religieuse ou politique , de l’époque. A la veille d’une bataille, Marlbor
36 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre premier. Objet du genre judiciaire. »
nt de celui que se propose l’éloquence populaire. Dans les assemblées politiques , le but de l’orateur est surtout de déterminer se
et renfermée dans des bornes infiniment plus étroites que l’éloquence politique  ; et le genre judiciaire des anciens ne peut, sou
37 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »
peuples ne pouvaient donc avoir aucun de ces grands motifs d’utilité politique ou d’amélioration sociale, qui donnent tant de po
tre. Leur but était d’enflammer l’indignation des Athéniens contre la politique ambitieuse de Philippe, roi de Macédoine, l’ennem
38 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Molière. (1622-1673.) » pp. 29-34
s et le rabattrai sur vos gages. Maître Jacques (à part). Châtiment politique  ! Harpagon. Vous, Brindavoine, et vous, La Mer
les revers funestes dont les histoires sont remplies, les bévues des politiques , les manquements2 des grands capitaines, tout cel
39 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Retz 614-1679 » pp. 22-26
êque de Paris, Paul de Gondi avait plus de vocation pour les affaires politiques que pour un ministère ecclésiastique. Déterminé c
on état lui donnait sur le peuple, et faisant servir la religion à sa politique  ; cherchant quelquefois à se faire un mérite de c
40 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Sainte-Beuve 1804-1870 » pp. 291-295
lui. Ses œuvres sont une encyclopédie qui embrasse la philosophie, la politique , l’histoire, la poésie, l’éloquence et les arts,
aulieu, poëte gracieux, mais trop léger (1639-1720). 3. Garat, homme politique , assez médiocre, mais esprit alerte et vif, qui j
41 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre IV. Thomas. »
erne, etc. » Non ; ce n’est point à l’homme de lettres à se mêler de politique  : rarement il y entend quelque chose. C’est bien
art ? dans celui de d’Aguesseau, pour un diplomate profond ? pour un politique habile, dans celui de Sully ? et dans celui enfin
42 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Retz, 1614-1679 » pp. 38-42
êque de Paris, Paul de Gondi avait plus de vocation pour les affaires politiques que pour un ministère ecclésiastique. Déterminé c
on état lui donnait sur le peuple, et faisant servir la religion à sa politique  ; cherchant quelquefois à se faire un mérite de c
43 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
rapide, de s’abandonner à un sentiment, dans certaines questions même politiques ou judiciaires, il arrive quelquefois que les dév
iques et littéraires du pays et du siècle qu’il a choisis ; l’orateur politique , dans les fastes parlementaires, dans les records
e, de la fable, des traditions, inductions, précédents, si vivaces en politique et en législation, autorités, proverbes même12. A
44 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
pour rentrer un jour, avec des forces doublées, dans les institutions politiques  » (Michelet, Précis de l’Histoire moderne). — Voi
icistes, la transition est celle de la théorie juridique à la théorie politique . Bodin, d’Angers (1530-1596), d’abord professeur
son Contr’un (1548) le précurseur de J.-J. Rousseau. Les théoriciens politiques sèment pour l’avenir : les hommes d’État gouverne
hlétaires descendent dans l’arène des partis. — Un seul des pamphlets politiques du temps est resté comme une œuvre originale et d
les soumissions intéressées de quelques Ligueurs de marque. Comme la politique théorique a ses publicistes, et la politique acti
eurs de marque. Comme la politique théorique a ses publicistes, et la politique active ses orateurs et ses pamphlétaires, la reli
philosophie morale reste en dehors du conflit des partis religieux et politiques , assez occupés ailleurs. Aussi le scepticisme des
n des calamités publiques, d’un grand magistrat qui fut l’orateur des Politiques aux États de la Ligue (1593), Guillaume Du Vair (
l’asile où l’esprit se repose de toutes les luttes passionnées de la politique et de la religion. L’ardent et rude xvie  siècle,
s ses Mémoires ; Du Plessis-Mornay (1549-1623) dans sa correspondance politique  ; le président Jeannin (1540-1622) dans ses Négoc
sa fermentation bruyante et féconde il est sorti un ensemble d’idées politiques , sociales et religieuses qui ont attendu plus d’u
seulement regrettaient avec Fénelon. Quant au mouvement religieux et politique du xvie  siècle, arrêté complètement par la puiss
tolérance, au fanatisme, à la scolastique et à la pédanterie ; satire politique , judiciaire, ecclésiastique, — se trouve sous l’a
t son estude a ce que ie prouffictasse en toute perfection et sçavoir politique , et que mon labeur correspondist tresbien, voyre
sme, qui de 1541 à 1564 a exercé à Genève une dictature religieuse et politique , est un dialecticien serré, un écrivain clair, pr
ant des finances en 1554, chancelier de France de 1560 à 1568. Sa vie politique , sa médiation entre les partis, le service qu’il
tire Ménippée (1593-1594) Notice La Satire Ménippée, pamphlet politique , a été le coup de grâce donné à la Ligue ; elle l
ques, la corruption de la royauté des Valois ; il maudit l’abjuration politique du sceptique Béarnais ; il poursuit de ses âpres
sateurs L’histoire littéraire du xviie  siècle, comme son histoire politique , se partage en deux périodes d’inégale étendue. L
eux retenir quelques billets délicats, et une admirable lettre sur la politique de Richelieu, où Voiture, devenu sérieux, a une f
suis votre, etc. (Éd. Ubicini, t. Ier, p. 395.) Apologie de la politique de Richelieu301 Lettre à M.  *** 302 . De
mystères, une Histoire des variations des Églises protestantes ; une Politique tirée de l’Écriture sainte ; philosophe cartésien
, et profiter de l’exemple des autres ; j’étudierai le défaut de leur politique et le foible de leur conduite, et c’est là que j’
en revint-il, sinon de connoître par expérience le foible des grands politiques , leurs volontés changeantes ou leurs paroles trom
moyens de nous résister409. (Ibid., p. 563). De la prévoyance politique En considérant combien il est vrai que tout l
politique En considérant combien il est vrai que tout l’art de la politique est de se servir des conjonctures, je viens à dou
oit si bien servi. Il ne fut pas seul à se ressentir de cette funeste politique  : le même esprit régnoit généralement en toutes c
l’épuisement de la France et sur la nécessité de nombreuses réformes politiques , d’écrire un traité De l’existence de Dieu (1713)
our les savants ce que Plutarque avait fait pour les guerriers et les politiques . Il les a montrés dans leur génie, dans leur cara
premiers mouvemens peints au naturel et pour lors affranchis de toute politique , quoique avec sagesse, par le trouble, l’agitatio
à remarquer que les sanglots. Les plus forts de ceux-là, ou les plus politiques , les yeux fichés à terre, et reclus en des coins,
tier comme La Fontaine était un sablier » (Sainte-Beuve), frondeur en politique , frondeur en littérature, ennemi déclaré du Phœbu
e fait dans les idées et dans les mœurs, avant de passer dans l’ordre politique en 1789. « Les États généraux, dit M. Michelet ap
èbre du siècle. C’est seulement dans une science nouvelle, l’économie politique , que la France, par les écrits de Boisguilbert, d
culi spatium », ouvrent à l’éloquence, par la fondation de la liberté politique et du régime parlementaire, une vaste carrière, r
oits d’un si grand capitaine, dans toutes les intrigues d’un si grand politique , si ce n’est autant de pas pour aller chercher ce
Ibid., les Quadrupèdes, Art. Chameau.) Comparaison de l’histoire politique et de l’histoire naturelle Comme, dans l’hist
on d’homme de lettres. Il écrivit des ouvrages de théorie ou d’utopie politique . Les Polonais avaient demandé a Rousseau une cons
sistible, il inaugura dans le régime nouveau de la France l’éloquence politique , et exerça un ascendant dû à ses talents plus qu’
été à trente-deux ans le chef et l’orateur le plus éclatant du groupe politique célèbre dans l’histoire de la Révolution sous le
. Il était avocat quand commença la Révolution. Il entra sur la scène politique le 12 juillet 1789, au Palais-Royal où il fut, un
déclamateur, quelquefois éloquent, dans son Histoire philosophique et politique des établissements et du commerce des Européens d
loquence du panégyriste chrétien dans la chaire et celle de l’orateur politique à la tribune. C’est son Essai qui nous a conservé
gieuses, elles formoient une grande nation, dont cependant aucun lien politique n’unissoit les portions diverses. Tout à coup s’é
eva au milieu d’elles un homme doué d’un ardent enthousiasme et d’une politique profonde, né avec les talens d’un poète et ceux d
e de chou qui nous suffisoit autrefois. Ce sont des lapins géomètres, politiques , philosophes ; que sais-je ! d’autres qui ne parl
téraire, la prose a eu la gloire de la commencer, comme la révolution politique , dès le xviiie  siècle, par un retour à la nature
e le problème d’une nouvelle organisation sociale sous une révolution politique (Essais sur l’histoire de France, 1823) et la mar
L’histoire, en notre siècle, n’est pas seulement une étude des faits politiques et sociaux, des gouvernements et des mœurs : elle
ons aux historiens et aux philosophes les moralistes, les publicistes politiques et religieux, les économistes, qu’associe la frat
istes, qu’associe la fraternité de l’Académie des sciences morales et politiques , création de la République, supprimée par l’Empir
e, philosophe et orateur, que rapproche la parenté de leurs doctrines politiques et religieuses : il faudrait leur adjoindre Lamen
ago. — L’éloquence du barreau ne dégénère pas et conduit à la tribune politique et même au fauteuil académique. — L’éloquence de
ité d’écrivain au journaliste. La presse, en devenant une institution politique , le troisième pouvoir de l’État, a-t-on dit, est
vec sagesse. Alexandre se montre tout à la fois grand guerrier, grand politique , grand législateur. Malheureusement, quand il att
rs et avant tout helléniste, épistolier et pamphlétaire littéraire et politique . À Naples, il s’occupait, plus que de faire son s
mie des inscriptions, après l’échec de sa candidature ; ses pamphlets politiques , publiés, à partir de 1816, sous des formes diver
ne, et ne me mêle point du tout de la conduite de ma vie. C’est là ma politique , et je m’en trouve bien, et je n’aperçois point q
incliner l’esprit de parti, et se courber en frémissant l’intolérance politique . Par moments, sur ce visage sévère et fier, et au
ns ses Essais sur l’histoire de France, il a éclairé la vie civile et politique de la société gallo-romaine et franque ; dans ses
trouvez dans les civilisations anciennes la liberté, c’est la liberté politique , la liberté du citoyen : ce n’est pas de sa liber
n pays, et peut-être est-ce à ses écrits encore plus qu’à sa carrière politique qu’il doit cette haute renommée. Son influence n’
par ses travaux et ses découvertes astronomiques et physiques. Homme politique , il fut membre de la Chambre des députés avant 18
a consolation de sa retraite jusqu’au jour où il reparut sur la scène politique pour y grandir (Histoire du Consulat et de l’Empi
ns celle de sa pleine maturité, les connaissances et la compétence du politique , du diplomate, de l’administrateur, du financier,
érieure, une grande connaissance des hommes, l’entente des événements politiques , et enfin le mobile tout-puissant des passions. L
pour aller se consumer en Vendée, il y avait rempli le plus beau rôle politique , et, à l’instant où il allait exécuter un grand p
devoirs de secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences morales et politiques depuis 1837, furent toute sa vie. Ses Éloges en f
, comme il en a possédé les divers et vastes États. L’esprit toujours politique et souvent astucieux de son grand’père, Ferdinand
discernement, il dirigea d’une manière supérieure et persévérante une politique toujours compliquée, des guerres sans cesse renai
ire romain, auquel l’ardeur religieuse de sa foi comme l’entraînement politique de son rôle interdisaient d’admettre le protestan
sentiments du chrétien. La retraite ne le changea point ; le profond politique se montra toujours dans le pieux solitaire, et l’
couvent que sur le trône. Espagnol intraitable par la croyance, ferme politique par le jugement, toujours égal en des situations
toire à laquelle il appartient. M. Sieyès était plus un métaphysicien politique qu’un homme d’État. Ses vues se tournaient contin
il ne se souvenait pas assez, en alignant les hommes sous son équerre politique , qu’ils sont les pierres animées d’un édifice mou
ophes, d’amis de la retraite et de la Muse, qui n’entendent rien à la politique ni à la pratique des affaires, et qui ont droit d
mme libre pourrait démêler dans les querelles des rois (rois ou chefs politiques de tout genre) le parti le plus juste, croyez-vou
din, de l’Académie française, député dans plusieurs de nos Assemblées politiques , professeur, critique, publiciste, a fait goûter
au commencement des sociétés les institutions, soit religieuses, soit politiques , maîtrisent l’homme jusqu’à étouffer ses affectio
aient d’une main et imprimaient de l’autre. Dans la société civile et politique , le même enthousiasme se manifestait par l’imitat
? Vous êtes poète, et vous n’avez jamais songé à être autre chose. La politique ne vous a point tenté… Le même bonheur qui vous a
litique ne vous a point tenté… Le même bonheur qui vous a gardé de la politique vous a gardé de l’esprit de parti en littérature.
écrivit sur les arts, les lettres, l’histoire, et prépara des hommes politiques aux années qui suivirent 1830. M. Vitet, député e
enfant de Mâcon ; il en a été le député pendant une partie de sa vie politique  ; il en reste la gloire. Poète des Méditations, d
remuée, de philologue, d’entomologiste, de poète, de romancier, où la politique eut même sa petite part, sous le Consulat, mourut
7 Marguerite, sous prétexte de prendre les eaux de Spa, fit un voyage politique pour gagner des partisans à son frère le duc d’Al
. 237. C’est ce que l’on a appelé depuis lettre de cachet. 238. Les Politiques étaient les partisans de la royauté légitime de H
e lui. Il comptoit l’argent pour rien. » (Bussy-Rabutin). 347. Parti politique qui exerça le pouvoir trois mois en 1643. 348. T
après. Dans sa retraite de Coppet, il écrivit sur les finances et la politique . 600. Proposition faite dans une assemblée popul
l’ennemi frauchit la frontière. Du 2 au 7 septembre, les prisonniers politiques furent massacrés dans les prisons à Paris. Le 20,
l’arrestation des Girondins (2 juin 1793), qui mit fin à l’existence politique de leur parti et laissa la place libre aux terror
et frappaient ceux qu’ils accusaient d’hostilité contre la révolution politique qui les avait faits maîtres de l’État. 609. Cf.
’ailleurs exempte de partialité, la persistante fermeté à soutenir sa politique par ses actes et à la défendre par sa plume dans
e princier qui, sollicitant une condamnation dans un procès de presse politique , lui disait : « Rendez-nous ce service. » — « La
que le Tiers-État ? Tout. Qu’a-t-il été jusqu’à présent dans l’ordre politique  ? Rien. Que demande-t-il ? À être quelque chose.
45 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »
onde existant, l’univers actuel renferme les faits physiques, moraux, politiques , religieux, etc., qui se passent sous nos regards
pas longtemps que certains journaux de la capitale ne trouvant pas la politique capable de défrayer seule l’avidité de leurs lect
ton du discours ; 6° enfin le lieu : dans un camp, dans une assemblée politique , à la cour, au barreau, à l’église, etc., le lang
46 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
à leur propre état, à leur tendance naturelle. Guizot. Esprit politique des Grecs À mon avis, le grand principe de la
il quitte la ville pour pourvoir dans les provinces aux besoins de sa politique , son confident, son conseiller en toutes choses,
ras venant de son peu de naissance, de bien, d’illustration civile et politique  ; avec une égale aisance il s’invite à la table s
onneurs de sa médiocrité. Il paye à la naissance, au rang, au pouvoir politique , au patronage littéraire ce qui lui est dû d’homm
chrétienne Les anciens n’ont connu que l’éloquence judiciaire et politique  : l’éloquence morale, c’est-à-dire l’éloquence de
es insulter ; elle console le pauvre, mais sans flatter ses vices. La politique et toutes les choses de la terre ne lui sont poin
emiers mouvements, peints au naturel et pour lors affranchis de toute politique , quoique avec sagesse, par le trouble, l’agitatio
à remarquer que les sanglots. Les plus forts de ceux-là, ou les plus politiques , les yeux fichés à terre, et reclus en des coins,
ar la guerre, il fallut neuf ans ; pour fonder le gouvernement par la politique , dix ans. Les obstacles, les revers, les inimitié
res et les arts fussent l’ornement de son trône ; il les associa à sa politique , et décora des plus hautes dignités les savants,
’au délire. Au milieu de son mal, l’avenir de son pays et de la bonne politique dans son pays était sa constante préoccupation. I
mme ressource, il s’habitua à subordonner la règle morale à l’utilité politique . Il se dirigea surtout d’après les calculs de son
ient pas les gouvernements qu’il servait, mais le pays, sous la forme politique qui, dans le moment, lui semblait convenir le mie
’intelligence des monuments littéraires de tous les âges. L’éloquence politique est née en France avec la politique. L’histoire,
res de tous les âges. L’éloquence politique est née en France avec la politique . L’histoire, qui ne pouvait guère citer que Bossu
l est enjoué, grand rieur, impatient, présomptueux, colère, libertin, politique , mystérieux sur les affaires du temps ; il se cro
icence descend jusques à son niveau, Et quitte les sommets, où vit la politique , Pour se ruer au sein du foyer domestique. Ces ab
ir ton pays d’un pouvoir monarchique ? Si j’ai bien entendu tantôt ta politique , Son salut désormais dépend d’un souverain, Qui p
nulle part un généreux accueil, Puisqu’on ne trouve ici, pour raison politique , Que fureur insensée ou chimère emphatique, Adieu
que je ne parle en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique , ni de la morale, ni des gens en place, ni des co
cours de plusieurs siècles. C’est dans la gloire seule, guerrière et politique à la fois, comme celle qui nous éblouit, que la t
t ou meurent, les voilà néant. P. L. Courier 77. L’Opposition politique Donc, mon brave, en dépit de feu Qu’en dira-t
é sur les devoirs, De Officiis, restera l’ouvrage de morale civile et politique le plus parfait qui soit sorti de la main des hom
s progrès du scepticisme en toutes choses, en religion, en morale, en politique , la lassitude, le découragement, le désespoir qui
le néant des choses humaines. Dans le silence profond de l’éloquence politique , une autre éloquence s’élève, plus fière et plus
ise que pour Jésus-Christ ; son aigle, qui croyait voler au gré de la politique du sénat, est forcée de reconnaître que son vol é
éterminé par une puissance qui nous dit rarement son secret. Le monde politique est aussi réglé que le monde physique ; mais comm
clination pour ou contre les Français ne doit point être écoutée ; la politique n’écoute que la raison. Votre Mémoire n’ébranle n
occupe, premièrement de son âme, de son éducation religieuse, morale, politique , de tout ce qui l’affranchit de ses passions et d
 : c’est plus qu’un crime, c’est une faute. Triste appréciation de la politique humaine ! On doit dire du duel qu’il est à la foi
dignité de l’action. Lorsque les calculs habiles ou malheureux de la politique , ou lorsque le simple mouvement des affaires huma
été possible d’atteindre. Qu’il s’agisse, en effet, des œuvres de la politique ou des plus humbles travaux de l’industrie, que l
éfaut. C’est exactement le même spectacle qu’offre à nos yeux le chef politique d’une nation, lorsque, appelant l’homme de guerre
e la guerre au minimum dans ses causes est donc le devoir et l’art du politique . Prévost-Paradol. La Vertu dans la Démocr
; tous les coups portèrent sur les tyrans, aucun sur la tyrannie. Les politiques grecs qui vivaient dans le gouvernement populaire
contemplative Si, entre les actions vertueuses, celles de la vie politique et militaire sont les plus belles et les plus con
ment la société pourrait-elle manquer de périr si, tandis que le lien politique se relâche, le lien moral ne se resserrait pas ?
47 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
use y fait défaut ; mais des portraits, des caractères, des sentences politiques , des vers heureux nous y dissimulent les faibless
la gloire, pour la guerre et pour la vengeance, l’empêcha d’être bon politique , qualité sans laquelle on n’a jamais vu de conqué
ur les gens de lettres, la plus mauvaise des armes ; l’on se croit un politique , et on n’est que méchant. Point de politique en l
armes ; l’on se croit un politique, et on n’est que méchant. Point de politique en littérature. Il faut avoir raison, dire la vér
1. Frédéric II 1. Célèbre érudit français (1674-1755), s’occupa de politique , d’histoire et de littérature. 2. Tyrconnel, env
48 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
45-344 à Mitylène. On croit que c’est à cette époque qu’il composa la Politique . En 343, Philippe lui confia l’éducation de son f
insécables. Métaphysique. — Les Métaphysiques. Sciences morales et politiques . — Morale à Nicomaque, en 10 livres. Grandes Mora
d’Eudème, en 7 livres. Traité des vertus. Des vertus et des vices. La Politique . Les Économiques. Mathématiques. — Problèmes. Qu
tateur de la Rhétorique (1548). Il a fait un travail semblable sur la Politique (1552) et la Morale à Nicomaque (1584). De nos jo
uisse faire ; c’est une dialectique du vraisemblable, une dialectique politique . Ainsi le raisonnement en fait le fond, et ce rai
inventaire des observations et des principes que la science morale et politique fournit à l’orateur, et qui sont les vraies sourc
où règne l’ordre le plus lucide. Il rappelle que la Métaphysique, la Politique , la Poétique même, l’Histoire des animaux ont don
mme Schmidt, que c’est là une œuvre aristotélique), la Poétique et la Politique . Leonhard Spengel place la date en question entre
ui s’y rapporte, partie qui, en fait d’éloquence, est l’affaire de la politique et de la rhétorique. En effet, les personnages qu
s personnages que les anciens mettaient en scène parlaient un langage politique , et ceux d’aujourd’hui parlent un langage oratoir
la correction n’est pas de la même nature pour la poétique et pour la politique , ni même pour n’importe quel autre art et pour la
judiciaire, et que l’éloquence de la tribune soit plus belle et plus politique que celle qui s’occupe des contrats, ils ne disen
de la dialectique et de l’étude morale qui mérite la dénomination de politique . Voilà pourquoi la rhétorique revêt la forme de l
ation de politique. Voilà pourquoi la rhétorique revêt la forme de la politique et qu’en font autant ceux qui s’en arrogent la pr
ne manière générale, relatifs aux questions de droit, de physique, de politique et à diverses autres questions spéciales. Tel est
se d’une partie de la science analytique et de la partie morale de la politique . Elle ressemble, par certains côtés, à la dialect
out ce qu’il est à propos de distinguer ici, en laissant à la science politique les spéculations qui lui sont propres, nous l’aff
st un moyen de connaître les lois des peuples. Pour les délibérations politiques , il est utile de connaître les écrits des histori
onnaître les écrits des historiens ; mais tout cela est le fait de la politique , plutôt que de la rhétorique. Voilà ce que nous a
ait à dire, car c’est le sujet d’une explication approfondie dans les Politiques 240. Chapitre IX De la vertu et du vice. Du
int sur lequel on doit parler et argumenter au moyen d’un syllogisme, politique ou de toute autre nature, il est nécessaire de po
employé surtout dans les affaires d’État. Ainsi Démade voyait dans la politique de Démosthène la cause de tous les maux, car c’es
cause de tous les maux, car c’est aussitôt après le triomphe de cette politique que survint la guerre473. IX. Un autre tient à l’
ortent actuellement sur les poètes, il en est de même dans les débats politiques , par suite de l’imperfection des gouvernements496
he divers passages de la Morale à Nicomaque (vii, 15 ; ix, 11), de la Politique (viii, 5), des Problèmes (xix, 27 et 29) ; il exa
a soulage avec un plaisir sans danger » (p. 188). Au livre viii de la Politique (p. 1341 b), Aristote dit qu’il donnera, dans la
u’il donne de la catharsis : « On le voit, dans la pensée d’Aristote ( Politique , viii, § 5), la musique purifie comme la tragédie
après correction conjecturale : La rhétorique est une portion (de la politique ) et est semblable à la dialectique (ou plutôt à l
suader. 217. Sur la différence de ποιητικαί et de πρακτικαί, voir la Politique d’Aristote, éd. Bekker, p. 1254 a. 218. Hom., Il
39. Nous, les orateurs. (Note de M. Barthélemy Saint-Hilaire.) 240. Politique , liv. III et suiv. 241. En d’autres termes, auta
II, chap. ii. 286. Chap. x, § 12. 287. § 2. 288. Sur l’antagonisme politique de Callistrate et de Mélanopus, voir Plutarque, D
378. On a lu ὅμως. 379. ΙΙολιτικός a le double sens de civil et de politique . 380. Liv. I, chap. viii. 381. Liv. I, chap. ix
éphèbes étaient le printemps du peuple ». 615. Cp. Plut., Préceptes politiques , ch. vi. — (Voir l’éd. Spengel.) 616. C’est l’or
49 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
riorité à ce dernier : Guillaume III laissa la réputation d’un grand politique , quoiqu’il n’eût point été populaire, et d’un gén
roi, ils furent négligés en Angleterre, où l’on ne connut plus qu’une politique dure et inquiète, conforme au génie du prince. Ce
de chaque historien, les faits font naître des réflexions morales ou politiques  ; alors, il faut prendre garde d’ennuyer le lecte
uer ses progrès et son accroissement, démêler tous les ressorts de sa politique , donner une notion juste de son caractère, de son
50 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
dans le conseil suprême d’une nation, ou faire partie d’une assemblée politique , doit être versé dans le genre d’affaires qui se
déclame en public, que d’un homme qui écrit un livre. Ses traités de politique (car ce sont les seuls dont je veuille parler ici
, il n’est aucune nation de l’Europe qui ne possède des connaissances politiques plus étendues que n’en avaient les Grecs et les R
hoses : une connaissance parfaite du cœur humain, et la science de la politique ou du gouvernement. La première est nécessaire po
econde, pour suivre les révolutions des empires, et indiquer la cause politique des opérations du gouvernement. Toutes deux conco
ructif. Les anciens n’avaient pas, pour acquérir des connaissances en politique , les mêmes avantages que les modernes ; aussi som
nt été si peu attentifs à nous transmettre ce qu’ils savaient de leur politique intérieure, dont nous serions aujourd’hui si curi
État, l’influence des chefs était moins bien appréciée, et les causes politiques moins bien connues que dans nos temps modernes. U
té, ne nous laissent presque jamais apercevoir l’influence des causes politiques sur les affaires générales. La lecture attentive
son histoire, avait une belle occasion de déployer ses connaissances politiques , en examinant les causes de la grandeur des Romai
l’histoire d’une conspiration, histoire qui devait être tout entière politique , s’est bien plus appliqué à raconter avec grâce,
historiens de l’antiquité de ne nous donner aucune instruction sur la politique , car il n’en est pas de plus instructifs, à cet é
mesures adoptées. Polybe est remarquable par la sagacité de ses vues politiques , par sa pénétration dans les systèmes les plus va
s pas dire que, pour exposer librement ses réflexions ou ses opinions politiques , il interrompe à tout moment le cours de son réci
s leurs récits une heureuse diversité ; elles avaient un but moral et politique  ; et, par le développement des raisons opposées,
oint un parti entre les bons et les méchants, préférer l’astuce et la politique à la franchise, c’est déroger à l’austérité de l’
la réflexion, remarquable par la sagesse et la profondeur de ses vues politiques , et appliqué dans tous les temps à la culture des
uichardin, ont mêlé leurs récits de harangues. Leurs connaissances en politique sont peut-être plus profondes et plus éclairées q
rsonnages comme toujours déterminés dans leurs actions par un intérêt politique . Mais, quelque critique qu’on ait pu faire de ces
ir sacrifié l’exactitude à l’élégance. Accoutumé à former ses notions politiques d’après le plan des gouvernements anciens, il sem
e de la constitution écossaise, il s’ensuit que sa manière de voir en politique est imparfaite et inexacte. Lorsqu’il arrive aux
uctifs, et d’apprendre surtout à connaître le cœur humain. Quoique sa politique soit souvent trop subtile, cependant les mémoires
à l’histoire ou à l’étude du cœur humain. Les sujets de morale et de politique présentent souvent l’occasion de faire ces citati
les premiers âges du monde. Leur théologie, leur philosophie et leur politique s’enveloppaient de fables et de paraboles. Les In
re les événements passés. Les hommes livrés désormais à l’étude de la politique et au perfectionnement des arts utiles, ne se con
e ou de curiosité. Sa vie est constamment uniforme. On conçoit que la politique ou l’intrigue ne sont pour rien dans son ambition
gés souvent de se réunir contre l’ennemi commun. Dans cette situation politique , l’instruction la plus utile qu’il pût leur donne
l ne me paraît pas vraisemblable qu’il ait conçu son plan dans un but politique . Comme poète, il suffisait, pour déterminer son c
déré comme poème épique, a porté sur ces minutieux détails d’une sage politique dans lesquels l’auteur entre quelquefois, et sur
que, puisqu’il se compose d’êtres allégoriques, comme la Discorde, la Politique , l’Amour ; tous trois, revêtus d’une forme humain
sée publique. La plupart des pièces d’Aristophane étaient des satires politiques sur le gouvernement et la conduite des généraux e
ge 381. Hume et Blair s’étonnent de ce que l’éloquence de la tribune politique avait fait si peu de progrès dans leur patrie, où
e nous ne souffrons point dans notre poésie, et que de longs discours politiques et économiques ne plairaient assurément pas en ve
51 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
e conduite et de sagesse. On y rattache même la satire personnelle et politique , comme celle de Juvénal, dont la mordante hyperbo
. Un accusé à poursuivre ou à défendre devant un tribunal, une mesure politique à soutenir ou à combattre dans les conseils, une
cipes du droit ; il appartient au genre judiciaire. — Dans un conseil politique , ou devant une assemblée délibérante, l’orateur c
i poursuivent ce résultat positif, caractère essentiel de l’éloquence politique et judiciaire ? La foi et la piété eussent-elles
philosophe et du savant plutôt que celle de l’avocat ou de l’orateur politique . Il expose sa méthode et ses secrets personnels p
cours dans la preuve. Les hommes d’affaires et de science, les hommes politiques répètent, sans le savoir, le précepte d’Aristote,
ir ton pays d’un pouvoir monarchique ? Si j’ai bien entendu tantôt ta politique , Son salut désormais dépend d’un souverain Oui, p
jures. Dans la Mort de Pompée, les conseillers de Ptolomée, avec leur politique froidement immorale, entraînent leur maître, mais
lants passages de Fléchier que nous avons cités ? L’avocat, l’orateur politique , le philosophe, le publiciste, le savant, l’homme
en… — Avocat, il s’agit d’un chapon, Et non point d’Aristote et de sa Politique , etc. Racine, les Plaideurs, acte II, scène iii.
ne profondeur d’esprit incroyable, hypocrite raffiné autant qu’habile politique , etc. » Toute la première partie du Discours sur
dicieux écrivain, l’abbé Dubos, qui déjà s’était occupé de recherches politiques et de théories étrangères au siècle précédent, éc
52 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
ites d’hier, tant il y a de rapprochements entre notre état social et politique actuel et celui de Rome aux derniers temps de la
nde plus seulement les règles nécessaires pour discuter les questions politiques , administratives et judiciaires, mais les précept
53 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
peuples détruits, tant de grandes actions, tant de triomphes, tant de politique , de sagesse, de prudence, de constance, de courag
pour travailler, a par extension le sens de secrets de cour, mystères politiques . 5. L’expression est hardie, et fait image. 6.
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-10
n lui qu’un habile rhéteur, sans accorder aucun emploi à son ambition politique  ; mais ce ressentiment ne fit explosion qu’après
s c’est trop moraliser pour un villageois, et trop s’enfoncer dans la politique pour un infirme qui se laisse conduire dans le va
55 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
vains ambitieux de l’enrichir ou de le fixer. Ici, comme dans l’ordre politique , nous voyons agir cet esprit d’inquiétude et d’in
lianisé, pamphlet où l’épigramme littéraire est aiguisée par la haine politique . Il y représente, sous les traits de Philausone,
nc ce que sa bonne volonté ne pouvait empêcher. En grammaire comme en politique , les partis extrêmes sont vaincus d’avance. Leurs
naugurés parmi nous les vœux de tolérance et les instincts de réforme politique ou civile qui devaient tôt ou tard triompher de t
56 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIX. »
τὰς λέξεις. L’ordonnateur de cette partie du spectacle.] Voy. dans la Politique , III, 11, et VII, 3, des exemples du mot ἀρχιτεϰτ
57 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « [6] » p. 
NOTE SUR L’EXTRAIT DE LA POLITIQUE . De chants qui jettent l’âme dans un religieux dé
58 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
sacrée, l’éloquence du barreau, l’éloquence académique et l’éloquence politique . Ce sont les principales divisions admises aujour
els on délibère sur ce que l’on fera. Au premier rang est l’éloquence politique , dans laquelle les hommes chargés de quelques par
stant, à des délibérations moins élevées, sans doute, que l’éloquence politique , qui demandent cependant de la part des orateurs
gens qui se livrent à l’étude de l’éloquence. Chez nous, l’éloquence politique ne s’est montrée avec tout l’éclat qu’elle peut a
Sabatier, Dictionnaire de littérature. 30. Domairon, Rhét, Discours politiques . 31. Petit traité des figures et des formes de
59 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
, plus qu’en l’abandonnant au supplice. — Étendons ces principes à la politique , pour en montrer l’exagération. — Si le peuple a
es rhéteurs, et votre amour de la logique ? Oubliez-vous que la saine politique consiste à faire tout ce qui peut rendre un peupl
ions des particuliers : droit des gens, traités, commerce, industrie, politique , histoire, morale, lois, usages, que rien ne lui
bruit de clairon, l’emportera sur les raisonnements des sages et des politiques . Conclusion. Ce n’est pas des cahiers des rhéteur
il a la fougue du tribun ; il a la raison calme et froide de l’homme politique  ; il a tout, excepté un organe agréable. Sa respi
60 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article » p. 417
e lire dans l’avenir n’étoit pas une chimère pour les hommes vraiment politiques . Un des principaux articles étoit le mariage de L
61 (1852) Précis de rhétorique
es discours de toute nature, savoir : l’éloquence sacrée, l’éloquence politique , l’éloquence judiciaire et l’éloquence académique
panégyriques religieux et les oraisons funèbres. § II. — Éloquence politique . 7. L’éloquence sacrée s’occupe des destinées
ence sacrée s’occupe des destinées éternelles des hommes, l’éloquence politique traite des destinées temporelles des peuples. L’o
ne est inviolable. 8. Pour être à la hauteur de son mandat, l’orateur politique devrait paraître dans l’enceinte législative dépo
énergique, quelquefois véhément, est celui qui convient à l’éloquence politique  : § III. — Éloquence judiciaire. 10. L’éloq
 ? — 6. Que comprend-elle ? — 7. De quelles choses traite l’éloquence politique  ? — 8. Quels sont les devoirs de l’orateur politi
aite l’éloquence politique ? — 8. Quels sont les devoirs de l’orateur politique  ? — 9. Quel genre de style convient à l’éloquence
l’orateur politique ? — 9. Quel genre de style convient à l’éloquence politique  ? — 10. L’éloquence judiciaire est-elle aussi gra
62 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
hysique, IV, 1  Du Langage, chap. vii. N’est beau que, etc.] Comparez Politique , VII, 4. Un animal très-petit, etc.] Comparez le
63 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »
rateurs, que la nature même du débat qui allait dévoiler les ressorts politiques qui avaient dirigé la Grèce dans des circonstance
ui ont résulté de l’alliance avec les Thébains, ce chef-d’œuvre de la politique de Démosthène. Il parvient enfin à la journée fat
64 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
principe, à quelque vérité d’un ordre élevé, soit en morale, soit en politique , on lui donne une gravité, une autorité, une abon
cet égard, et certains journaux de petit format, enfants perdus de la politique , ont amplement profité de la permission. Mais c’e
65 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
nous un arbre immense qui couvre tout de son ombre, mœurs, histoire, politique , sciences, arts, et qui menace d’absorber tous le
roit, des improvisations sur des questions générales ayant trait à la politique , à la morale, à la science, à la philosophie, son
66 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Préface de la première édition. » pp. -
crés, des Discours du barreau, des Discours académiques, des Discours politiques , du genre historique, des Ouvrages didactiques, d
67 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
éterminé par une puissance qui nous dit rarement son sécret. Le monde politique est aussi réglé que le monde physique ; mais comm
nclination pour ou contre les Français ne doit point être écoutée. Le politique n’écoute que la raison. Votre mémoire n’ébranle n
68 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
ernelles ; un Aristote embrassant dans sa vaste science la morale, la politique , tous les secrets de l’art et de la nature ; un C
é sur les devoirs, De Officiis, restera l’ouvrage de morale civile et politique le plus parfait qui soit sorti de la main des hom
69 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
elle pour trouver des appuis contre elle-même ; car écoutez parler ce politique habile et entendu : la fortune l’a élevé bien hau
r et profiter de l’exemple des autres ; j’étudierai le défaut de leur politique et le faible de leur conduite, et c’est là que j’
ise que pour Jésus-Christ ; son aigle, qui croyait voler au gré de la politique du sénat, est forcé de reconnaître que son vol ét
rer l’influence du génie du christianisme sur le génie de l’histoire. Politique comme Thucydide, moral comme Xénophon, éloquent c
70 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
es des enfers : Le Fanatisme affreux, la Discorde farouche, La sombre Politique , au cœur faux, à l’œil louche, Le Démon des comba
e au combat ils s’apprêtent, etc. Ici, le Fanatisme, la Discorde, la Politique , prennent en quelque sorte une existence réelle,
oire de l’épopée. La poésie où l’on rappelle les grands événements politiques et les exploits des guerriers a, de tout temps, e
71 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
que sorte de lui-même au-devant de l’écrivain et du prêtre, l’orateur politique et l’avocat ne peuvent dominer leur auditoire qu’
les livres de Rhétorique, conseille d’attirer sur la partie adverse, politique ou civile, l’envie, la haine, le mépris, en expos
72 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
ines de la société, tous les ouvrages didactiques, religieux, moraux, politiques , historiques, exigent la gravité du ton, la digni
ines, de nos grands orateurs parlementaires dans les hautes questions politiques et surtout personnelles, les trois dernières scèn
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
y conduit les prêtres des idoles ; l’orgueil y amène les sages, et la politique , les empereurs. Alors commence une guerre effroya
avec tant de travail et un travail si vain. Pour moi, voici toute ma politique  : — Je crois en Dieu, en sa Providence, et j’esp
74 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
é de l’homme dans le mariage. Voy. encore : Hist. des Animaux, IX, 1  Politique , 1, 2 et 6  Économique, 1, 3  Rhétorique, II, 23.
75 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
clamer la république. Ils eurent plus de talent oratoire que d’esprit politique , et furent victimes du parti démagogique dont les
1. Outre son journal l’Ami du Peuple, Marat avait composé des écrits politiques , entre autres sa Profession de foi aux Français,
76 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
raîner avec elle. A ce genre appartiennent les discours de la tribune politique , etc. Le genre judiciaire a pour objet les questi
e profondeur d'esprit incroyable ; hypocrite raffiné autant qu'habile politique  ; capable de tout entreprendre et de tout cacher 
e n'est que dans les grandes assemblées, dans la chaire, à la tribune politique , au Palais, sur la scène, que l'on fait des geste
lle. Château-briand a dit : « Les anciens n'ont connu que l'éloquence politique et l'éloquence judiciaire : la morale, c'est-à-di
rois sans les avilir, et console le pauvre sans flatter ses vices. La politique et toutes les choses de la terre ne lui sont poin
77 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
ble degré.] Έπì βραχὺ ϰοɩνωνοῦσɩν. Expression tout aristotélique. Cf. Politique , VIII, 5  De l’Ame, II, 4  Morale Nicom., III, 13
78 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — De Maistre 1753-1821 » pp. 210-213
éterminé par une puissance qui nous dit rarement son secret. Le monde politique est aussi réglé que le monde physique ; mais comm
79 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Joubert 1754-1824 » pp. 214-217
use de la Révolution, sans avoir jamais subi l’influence des passions politiques . Ses croyances résistèrent aussi à toute contagio
80 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre V. Panégyrique de Louis XV, par Voltaire. »
nts de la grande éloquence, et avec l’action impétueuse de la tribune politique , M. le cardinal a dû moins goûter l’éloquence tra
81 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
équité, je ne veux pas dire la tolérance, envers la foi religieuse ou politique des autres, est venue prendre place et grandir à
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre premier. Objet de l’Éloquence de la chaire. »
erte devant l’orateur ! Il ne s’agit plus ici, comme dans l’éloquence politique , de quelques discussions à établir sur des points
83 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Simon 1625-1695 » pp. 144-147
petites, il eut, pendant tout le règne de Louis XIV, l’attitude d’un politique mécontent, méconnu et entêté de chimères. Très-li
84 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Beaumarchais 1732-1799 » pp. 199-202
que je ne parle en mes écrits ni de l’autorité, ni du culte, ni de la politique , ni de la morale, ni des gens en place, ni des co
85 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
a remporté cette victoire mémorable : = c’est un de nos plus habiles politiques , qui a établi la balance de l’Europe. Il est bien
us grands généraux ont remporté cette victoire ; que nos plus habiles politiques ont établi la balance de l’Europe. Il n’est quest
à l’article, est sous-entendu avant le substantif maux : = il agit en politique qui sait bien gouverner ; c’est-à-dire, comme un
il agit en politique qui sait bien gouverner ; c’est-à-dire, comme un politique  : = ce sont gens habiles qui m’ont dit cela ; c’e
de Voltaire : Vaincu, mais plein d’espoir, et maître de Paris, Sa politique habile, au fond de sa retraite, Aux ligueurs ince
86 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Précis des quatre âges de la Littérature. »
par les foudres de son éloquence, la liberté de sa patrie, contre la politique et les armes de Philippe. Platon, Aristote, et mi
87 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
nt des arts, fut le premier qui mit au rang des épopées ce beau roman politique , apparemment pour se ménager à lui-même le droit
88 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Louis XIV, 1638-1715 » pp. 146-149
nt qu’il aime sa propre vie et sa propre tranquillité1. Testament politique Fragment Les rois sont souvent obligés à
89 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117
est enjoué, grand rieur, impatient, présomptueux, colère, libertin1, politique , mystérieux sur les affaires du temps : il se cro
x qui ne savent rien. Ils parlent de guerre à un homme de robe, et de politique à un financier ; ils savent l’histoire avec les f
90 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Malherbe. (1555-1628.) » pp. 160-164
e, fonder l’unité de la langue dans un pays qui avait conquis l’unité politique , et il réussit à l’établir. 2. On peut rapproche
91 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Courier 1773-1825 » pp. 238-242
perdu l’à-propos des circonstances, représentent avec verve les mœurs politiques de la Restauration. Publiciste à courtes vues, Co
92 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123
Une sage économie ne déroba rien à sa libéralité. Il sut accorder une politique profonde avec une justice exacte ; et peut-être e
93 (1873) Principes de rhétorique française
prendre tel on tel parti ; c’est à l’auditeur de décider. La tribune politique est le théâtre le plus brillant ouvert au genre d
t l’issue semblait désespérée d’avance. — C’est à propos de l’orateur politique que le vieux Caton donnait cette définition admir
e : un homme de bien, habite à parler. Plus que tout autre, l’orateur politique doit se rappeler les belles paroles de Fénelon :
le panégyriste du pouvoir impérial : Si j’ai bien entendu tantôt ta politique , Son salut désormais dépend d’un souverain Qui, p
e nation que de ne pas leur adresser d’autres discours ; les orateurs politiques , des pays libres, de l’Angleterre et des États-Un
. Ainsi M.Thiers a condensé tous les longs développements militaires, politiques , moraux et religieux des vingt volumes de l’Histo
e répondit : j’ai mérité d’être nourri aux frais de la république. La politique moderne offre quelques exemples d’incroyables abu
ne plainte un peu trop sincère. Voilà la conclusion philosophique et politique par excellence ; tel est le langage qui convient
tte justice, s’il peut y avoir quelque chose de supérieur à elle, une politique élevée et clairvoyante qui entre les arrêts des t
orales de cette nature extraordinaire, et résumant ainsi toute la vie politique et morale de cet homme unique dans l’histoire :
olbert : Tous deux eurent le courage et la vigueur de l’âme, mais la politique de l’un se sentit de l’austérité de ses mœurs ; c
le vivacité dans cette scène dramatique, et comme la leçon de sagesse politique est admirablement mise en action ! Les fables de
ents se soulèvent, il est submergé.  De même Voltaire à propos de la politique du hasard : Sur le vaisseau public ce pilote éga
rne exposera de plus en plus les hommes les moins ambitieux d’un rôle politique , à la nécessité de parler devant un auditoire agi
rature. Personne n’a mieux dit que Cicéron les avantages oratoires et politiques de l’action ; il faut l’écouter parler sur ce suj
par cœur : c’est un procédé assez usité parmi les orateurs religieux, politiques et même judiciaires, sinon pour toute une composi
èrent le domaine de l’orateur à la tribune et au barreau. L’éloquence politique et judiciaire animée par l’amour de la patrie et
une vérité morale, analyses littéraires, éloges, plaidoyers, discours politiques , tous les genres forment une excellente gymnastiq
e. Enfin, le trait particulier de ce personnage extraordinaire, grand politique , grand orateur, grand guerrier, grand débauché su
Guizot où l’élévation du style est digne de l’élévation de la pensée politique et morale : Des grands hommes. Sujet. — La vie d
94 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6
I ses devoirs et célèbre Richelieu son protecteur ; ses Dissertations politiques et critiques ; Aristippe ou la Cour, et la Relati
95 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
signalèrent le pouvoir de d’Aguesseau ; et malgré quelques faiblesses politiques , qui attestent que son caractère était plus droit
96 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479
deux moralités que j’ai indiquées, la moralité privée et la moralité politique , faisant dans l’une la leçon aux individus, comme
97 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
e. Dans la tragédie de Polyeucte, Sévère parle des chrétiens en homme politique  ; il est précis : Ils font des vœux pour nous qu
t. Toutes les institutions périssent ; la royauté s’en va ; le monde politique s’agite dans des convulsions de mort ; au milieu
rque sur la terre le triomphe de l’égalité des races et de la liberté politique . Et ces cérémonies de la semaine sainte, qui ont
98 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »
e des hommes. Mais le sage revient aisément à soi ; et il y a dans la politique , comme dans la religion, une espèce de pénitence
99 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre V. Beautés oratoires. »
Chapitre V. Beautés oratoires. Les grands traits de sagesse et de politique qui brillent dans la conduite de Moïse avec les H
100 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
et bilieux qui ne connut jamais ni le sourire, ni les larmes. Dans le politique vertueux à faire peur qui créa sa république aust
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