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1 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
. Première partie. Descriptions1. 1. Tableau du printemps. Plan . Vous commencez par dire que les rigueurs de l’hi
boureurs et par les promenades des jeunes élèves. 2. Le verger. Plan . Que d’autres vantent les magnifiques jardins qui
la ville pour venir y rêver. 3. Tableau de la fin de l’automne. Plan . Les beaux jours ne sont plus. Combien le spectac
oment de son plus grand éclat. 4. Tableau d’un incendie à Rome. Plan . Le feu prend pendant la nuit dans la place de Sa
1520. 5. Le repos des champs après les occupations de la ville. Plan . Il s’agit de peindre le plaisir qu’on éprouve à
e l’emploi de sa journée champêtre. 6. Visite au village natal. Plan . Après une longue absence, vous visitez le villag
bord les trois premiers alinéas, puis les autres. 7. La prière. Plan . Le soleil se couche, la lune paraît. C’est l’heu
la nature, et l’Éternel daigne m’écouter. 8. Le jardin anglais. Plan . On développera avec détail les particularités su
plus sensés que lui, cultivent du blé et des choux. 9. La nuit. Plan . Dans un beau soir d’été, je m’éloignai du villag
gne. Veille toujours sur ma famille. » 10. Amour du lieu natal. Plan . J’ai vu l’Italie, qui est si belle. Tableau, énu
Deuxième partie. Narrations. 11. Les deux pommiers. Sujet et plan . Un laboureur avait deux fils. À la naissance du
la culture et du travail. 12. Le pauvre et son chien. Sujet et plan . Vous êtes allé à la promenade avec quelques-uns
ite gaîment votre promenade. 13. Les fleurs favorites. Sujet et plan . Par une belle matinée du printemps, trois enfant
e la résolution d’imiter ces vertus. 14. Les diamants. Sujet et plan . Le calife Almanzor, continuellement flatté par t
gypte, et à Cordoue en Espagne. 15. Les deux lumières. Sujet et plan . Un jeune homme, après une longue absence, retour
17. Bonté envers les animaux récompensés par les hommes. Sujet et plan . 1re partie. Un jeune paysan, probe, intelligent,
ce, et finit par lui accorder sa demande. 18. Imogène. Sujet et plan . La jeune et tendre épouse de l’empereur Adolphe,
assiné par un de ses neveux. 19. Sympathie paternelle. Sujet et plan . Un vieillard, appartenant à la peuplade sauvage
des monts Alleghany. 20, 21 et 22. Gaston et Jacquot. Sujet et plan . 1re partie. Gaston de Florval, appartenant à des
d’assurer son avenir. 23. L’homme pris par un lièvre. Sujet et plan . Décrivez le débordement de la Seine. Dans une pe
incident qu’il vous plaira d’inventer. 24. L’adoption. Sujet et plan . Un homme riche et généreux se charge d’un jeune
olennellement pour son fils. 25. Le jeune orgueilleux. Sujet et plan . Sur un navire qui faisait voile pour les Indes s
ainsi dire, se correspondre. 26. Le choix d’un vizir. Sujet et plan . Le calife Yesid veut nommer un vizir4. On lui va
le caractère d’Abdallah. 27 et 28. Faute et repentir. Sujet et plan . 1re partie. Alexis, enfant très-heureusement éle
ils. Tableau de réconciliation. 29. Les deux souhaits. Sujet et plan . Une sécheresse affreuse désole une riante contré
ccomplissement même de ses désirs. 30. L’enfant perdu. Sujet et plan . Un habitant de Damas, nommé Hussein, avait un en
éloigné où le négociant l’avait acheté. 32. Anacréon. Sujet et plan . Pendant une belle soirée d’été, Anacréon était d
eur violent et injuste. 33. La discrétion à l’épreuve. Sujet et plan . Un diplomate danois, le comte Ericson, était all
homme, qui devint un diplomate distingué. 34. L’ennui. Sujet et plan . Un jeune homme riche et sans occupation s’ennuya
ix, la dernière victoire qui acheva la conquête de la Gaule. Sujet et plan . Au premier rang des braves qui défendent contre
tyle devra être élevé et poétique. 36. Les sortilèges. Sujet et plan . Dans un canton peu éloigné de Rome et habité par
qui a écrit sur l’agriculture. 37. La demeure maudite. Sujet et plan . Décrivez les ruines d’un vieux château, au milie
e nul n’osa plus habiter, tomba en ruines. 38. Le bal. Sujet et plan . L’intendant d’Amiens donnait un grand bal. Décri
fets actuels. 39. Vesins et Regnier. (26 août 1772.) Sujet et plan . Deux jeunes gens nés dans le Quercy, de deux fam
prince du sang royal de France, venait d’entrer en Piémont. Sujet et plan . Avant de partir pour aller combattre le comte d’
d’Enghien était frère du père de Henri IV. 41. Ézilda. Sujet et plan . Robert, en poursuivant les ennemis vaincus, vien
langue, celui d’Ézilda. 42. Leçon donnée par un père. Sujet et plan . Un homme riche avait un fils unique, nommé Eugèn
t le bienfaiteur de son canton. 43. Le joueur corrigé. Sujet et plan . Ariste apprend que le jeune Adolphe, fils d’un a
is entre les mains de Lycurgue, qui ordonnerait de son sort. Sujet et plan . Les envoyés du peuple amènent à Lycurgue Alcandr
s avant J.-C. 46. Clairval le fier et le bon Clairval. Sujet et plan . Deux frères, propriétaires dans le même village,
ammer sa charité et son zèle. Né en 1538, il mourut en 1584. Sujet et plan . Un jour, dans le cours de ses visites pastorales
a nage, et revint au château dans la nuit, apportant la tête du loup. Plan . La narration doit commencer au moment où le prin
st de Katt, et il força le malheureux Frédéric d’y assister. Sujet et plan . Frédéric est tiré de sa prison et conduit, devan
, le marchand rétablit complètement ses affaires, et se trouva riche. Plan . Deux scènes, intéressantes par elles-mêmes et pa
odestie et la piété même, et, chose rare en Espagne, fort savants. » Plan . Ce sujet peut être traité de plusieurs manières.
na. 52. Le lion. (Histoire du temps des croisades.) Sujet et plan . Un chevalier français, dans la Palestine, sauve
dans les flots. 53. Récit d’une bataille. (An 312.) Sujet et plan . Sous les murs de Rome et dans son enceinte même,
à Antioche, en 310, qu’eut lieu le martyre de saint Lucien. Sujet et plan . On conduisait Lucien au martyre. Décrivez sa sér
re sa mémoire le 7 janvier et le 15 octobre. 55. Soüs. Sujet et plan . Les Spartiates, enveloppés par les Arcadiens, va
ère chrétienne. 56. Amour filial, tendresse conjugale. Sujet et plan . Chélonide, fille de Léonidas, chef de Sparte, av
57. Le dîner offert et accepté. (Trait de Duguesclin.) Sujet et plan . Les troupes anglaises, commandées par le captal
urut en 1377. 58. Almanzor. (Narration allégorique.) Sujet et plan . Accablé de malheurs qu’il n’avait pas mérités, A
es biens et envoyé aussi en exil dans le désert de Bérésoff. Sujet et plan . Vous décrirez la triste vie que mène Menzikoff d
substituons le père au fils. 60. Léopold de Brunswick. Sujet et plan . Vers l’an 1775, la rivière d’Ocker9 déborde, à q
us vive sensation en Europe. 61. Les ennemis généreux. Sujet et plan . Ali, roi de Perse, assiège Khoreb, prince de Dam
t été souvent et sont même encore infestés par des brigands. Sujet et plan . Nommé gouverneur d’une forteresse dans les Apenn
es murs de sa forteresse. 63. Le songe du jeune élève. Sujet et plan . Un jeune élève, après une journée consacrée à l’
fait son choix. 64, 65 et 66. Le prisonnier de guerre. Sujet et plan . 1ère partie. Jules, officier français, âgé de vi
ntièrement détruite par le froid. 67. Trait de Pie IX. Sujet et plan . Un jeune prêtre, à Rome, voit passer un condamné
successeur fut Grégoire XVI, mort en 1846. 68. Keoven. Sujet et plan . L’empereur du Japon avait fait d’inutiles effort
pollonius. (Règne de Marc-Aurèle à Rome, de 161 à 180.) Sujet et plan . Malgré tous les obstacles qu’on lui oppose, le p
Sylla et Célius. (Épisode des guerres civiles de Rome.) Sujet et plan . L’impitoyable Sylla s’est emparé de Préneste, vi
parte de -469 à 427 avant J.-C. ; il eut pour fils Agésilas. Sujet et plan . Trois mois après la naissance d’Agésilas, les ép
fin, un soir, il cède et donne l’ordre de faire périr Osmin. Sujet et plan . Aussitôt après avoir donné l’ordre de faire péri
îtres du poste, il se retira à la hâte, sans oser combattre. Sujet et plan . Après la prise du poste et la retraite de Pescai
que le service de la France l’exigera. » 74. Ladislas. Sujet et plan . Les Hongrois, malgré l’habileté et la valeur de
par des guerres continuelles. 75. La dot de Fanchette. Sujet et plan . Quelques années avant la révolution de 1789, une
bienfaitrice en la retrouvant. 76. L’éclipse de lune. Sujet et plan . Christophe Colomb, à son quatrième voyage, est j
l’excellence du repentir, et combien il est agréable à Dieu. Sujet et plan . Un sylphe demande la faveur de visiter l’Éden, s
ttre un crime que de le justifier. » Le tyran, furieux, le fit périr. Plan . Le récit du meurtre de Géta ne doit pas entrer d
onnes de sa suite de dire que c’était le sanglier qui l’avait blessé. Plan . Description de la chasse. Vous peindrez Carloman
eau de Salvator Rosa représente une aventure de sa jeunesse. Sujet et plan . Plein d’enthousiasme pour les arts, et espérant
agea en Europe, grâce au courage persévérant de deux moines. Sujet et plan . Deux moines grecs, ayant pénétré jusqu’en Chine,
ur d’Orient Justinien régna de 527 à 565. 82. Owinsko. Sujet et plan . Le roi de Pologne Étienne, après un long siège,
exception en faveur d’Owinsko. 83. Henri de Lancastre. Sujet et plan . Henri de Lancastre, prince de Galles, fils du ro
enonça pour jamais au monde et fit don de sa principauté à la France. Plan . Cette narration se divise naturellement en deux
e duc de Guise, gouverneur de Provence, et le brave Crillon. Sujet et plan . Guise, avec l’étourderie de son âge, parie contr
ague dans le cœur. » 86. Le Wildgraf12. (Légende13.) Sujet et plan . Un seigneur farouche, la terreur de la contrée,
urtrier, et ordonna qu’on le laissât partir sans lui faire aucun mal. Plan . 1re partie. A la nouvelle de l’arrivée de Richar
ourdon fut lancée. 89 et 90. Le jeune berger. (1688) Sujet et plan . 1re partie. Dans la partie méridionale de l’Écos
demande, il exige leur grâce ; il l’obtient et rend le dernier soupir Plan . La narration commence au moment où les Vendéens,
, mais encore le plus pur et le plus dévoué de ses citoyens. Sujet et plan . Eschine est vaincu et déclaré calomniateur ; sa
r, sous sa conduite, l’étendard de l’indépendance nationale. Sujet et plan . Robert et Edmond14, seuls dans une barque, tâche
rez ce Français Delmance15, vous donnerez à son ami le nom de Flavio. Plan . Pendant que la conjuration se trame, Delmance es
auprès de la barque. Adieux des deux amis. 95. Flavio. Sujet et plan . Le lendemain de l’évasion de Delmance, Octavio,
ir, révèle la vérité et se livre à la juste vengeance du nouveau roi. Plan . Deux grandes scènes doivent remplir cette narrat
ul ce courage ; il plaida pour le jeune Roscius et le sauva. Sujet et plan . Accusé de parricide par le scélérat qui lui a ra
ur, le grand-duc fut solennellement présenté à la princesse. Sujet et plan . Vous décrirez l’entrevue du grand-duc et d’Hedwi
ne église ; un prêtre les entendit et révéla le complot à l’empereur. Plan . A quelque distance d’Aix-la-Chapelle, dans une v
est la suite de la précédente, qui suffit pour l’expliquer. Sujet et plan . Charlemagne a reçu les révélations d’Ilfrid. Déc
tilde avait fait en son nom, il se renferma dans un cloître. Sujet et plan . Nous supposons que quinze ans après le meurtre d
son gendre, voulut l’assassiner, afin de régner à sa place. Sujet et plan . Un soir, Maximien vient trouver sa fille Fausta.
de l’empire romain16. 104 et 105. Roger de Sanguinet. Sujet et plan . 1re partie. Sous le règne de Charles d’Anjou, un
leur adresse un discours pour les animer à terminer leur entreprise. Plan . Le travail des élèves se bornera à développer en
raitez-moi comme l’un des serviteurs qui sont à vos gages. » Sujet et plan . L’enfant prodigue, dans un monologue, développer
ouronne et s’avançant vers les députés, il leur adresse un discours : Plan . Xénophon débute par un court exorde convenable à
combats : enfin le repentir l’emporte, il va tout révéler à Cicéron. Plan . Faites exprimer par Sévérus, dans un monologue,
son fils unique ; il épanche dans son sein sa douleur et ses regrets. Plan . Il a voulu se venger d’un outrage ; mais, pour g
s d’Alphonse à Pélage. (Discours précédé d’un récit.19) Sujet et plan . Nous supposons qu’après la mort du comte Julien,
n fils de son dessein et de l’heureux succès qu’elle espère. Sujet et plan . Saisi d’effroi, d’indignation et de douleur, Sél
t adopter momentanément la croyance superstitieuse qui régnait alors. Plan . Eudoxe révèle son secret à ses compagnons : il l
les et compatissantes qui l’ont sauvée, et leur apprend qui elle est. Plan . Elle leur raconte son histoire et leur communiqu
d’impatience, supplient le roi de donner l’assaut. Henri leur répond. Plan . Le roi reconnaît qu’il serait facile, surtout à
surprennent au milieu des fêtes, et remportent une victoire complète. Plan . Alfred se nomme aux soldats ; on l’a cru mort ;
rs vertus, l’un périrait, l’autre serait à jamais déshonoré. Sujet et plan . Damon, grâce à la généreuse amitié de Pythias, e
d’Owinsko, supplie son père de l’épargner, ainsi que ses compagnons. Plan . Fédor, dans son exorde manifeste sa haine contre
chrétiennes, ou si elles seraient asservies aux Mahométans. Sujet et plan . Pendant la nuit qui précède la bataille, Eudes,
on riche voisin soit condamné à réparer le dommage qu’il lui a causé. Plan . Après un court exorde, vous racontez le fait en
et à la honte de terminer une vie héroïque par une trahison. Sujet et plan . Narsès écrit une seconde lettre au roi des Lomba
l’un des bannis qui venaient de rentrer triomphants, prit la parole. Plan . Exorde : Il ne s’étonne pas que les Napolitains
des états généraux demande pour cet enfant une récompense nationale. Plan . Le discours se composera de deux parties. La pre
evalier plein de loyauté et de bravoure, lui conseille de la refuser. Plan . On pourra commencer ce discours par un exorde ex
g et pénible. Enfin ses vivres sont épuisés : plus d’espoir. Sujet et plan . Gilimer délibère sur ce qu’il doit faire : « Mou
d’avoir enfreint les lois en faisant violence à un tribun du peuple. Plan . Pour défendre ce jeune homme vous commencerez pa
rant dans un secret entretien sur la conduite de son père. Tel est le plan de la première partie. Dans la seconde partie, su
int ses ordres. Un tribun militaire prend la parole pour le défendre. Plan . Il prouve 1° que l’action de Titus n’est pas un
un dédommagement qui leur fut refusé. Ils s’adressèrent à la justice. Plan . Il vous en coûte d’avoir recours aux tribunaux ;
tent devant le tribunal universitaire : on l’accuse ; il se justifie. Plan . Ce discours peut avoir pour base les motifs suiv
er contre l’ennemi cette fureur qui les animait contre leurs enfants. Plan . Dans son exode, l’orateur commence par protester
il va démasquer le traître ; il va démontrer l’innocence de son ami. Plan . Eudoxe commencera par un exorde tiré de l’incide
a rivière d’Allia, prirent la ville de Rome et la brûlèrent. Sujet et plan . Camille apprend dans sa retraite que Rome vient
e, tribunal d’Athènes célèbre par son impartialité et par sa sagesse. Plan . Discours contre Mélanthe. Exorde : C’est avec r
monument d’orgueil et de barbarie. L’avis de ce vieillard fut suivi. Plan . Exorde : Enfin la vérité peut se faire entendre
n à Labéon. Labéon refuse. L’affaire est portée devant les tribunaux. Plan . Après un exorde convenable et une courte narrati
onsidérer dans cet événement le lieu, l’époque et les circonstances. Plan . lre partie : le lieu. Le Messie a voulu naître d
t un monument en l’honneur du sage qui a péri victime de leur erreur. Plan . L’orateur déplore l’erreur dans laquelle les Ath
violée ; il demande que l’on marche sur-le-champ contre ces barbares. Plan . Vous mettrez dans la bouche de Raoul des paroles
ne comparut pas et n’envoya personne pour soutenir sa cause. Sujet et plan . Un des membres de la cour des pairs prend la par
ont et sa race et lui-même, s’il ne sort pas de cette fatale apathie. Plan . L’orateur, s’adressant à Clovis avec la sévérité
à sa communion, et leur propose d’aller avec lui venger leurs frères. Plan . Dominique de Gourgues retrace en peu de mots à s
pape et lui demande que le barigel soit puni d’une manière éclatante. Plan . L’ambassadeur, après un exorde convenable, racon
’est surtout au courage du jeune homme que le succès est dû. Sujet et plan . Le lendemain, Isadas est accusé devant le sénat 
époque, il avait trente-six ans ; son père en avait soixante-quinze.) Plan . L’orateur laisse éclater l’indignation qu’il épr
lée du peuple et demande qu’il soit puni de mort. Coriolan se défend. Plan . Coriolan prouve aux Volsques qu’il ne les a poin
Charles d’Anjou en 1268 ; il fut vaincu et fait prisonnier. Sujet et plan . Conradin vient d’être vaincu et pris. Charles d’
III fut assassiné à son tour devant Paris, qu’il assiégeait. Sujet et plan . Le roi vient de communiquer sa résolution à ses
ns. 154. Discours d’un jeune helvétien aux magistrats. Sujet et plan . Cinquante jeunes gens, appartenant au canton d’U
t une mort glorieuse. 155. Discours de Vladimir Fédor. Sujet et plan . Ivan IV30, czar de Russie ou Moscovie, laissa de
156. Discours du pape Alexandre III au concile de Latran. Sujet et plan . Le pape Alexandre III a assemblé au palais de La
libre. 157. Discours de Fonteius dans le sénat romain. Sujet et plan . On vit sous le règne de Tibère les deux Vibius,
r qu’il est capable de se porter dans la suite aux plus cruels excès. Plan . Selon que cette action vous paraîtra ou très-gra
les sujets de description, à développer les pensées énoncées dans le plan . 2. On entend par lis des champs la fleur vulgai
our ce sujet et pour ceux qui suivent, nous ne faisons qu’indiquer le plan en très-peu de mots, ou même nous ne l’indiquons
2 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre V. De la disposition. »
rdre ; si cet ordre venait à se troubler, tout périrait. » § I. Du plan . On appelle plan l’ordre dans lequel on dispos
venait à se troubler, tout périrait. » § I. Du plan. On appelle plan l’ordre dans lequel on dispose les différentes pa
n’y a pas de règle absolue à établir sur la manière de construire un plan  ; il dépend toujours de la matière elle-même, du
atteindre. Tout ce que l’on peut dire, c’est qu’il faut se tracer un plan , et y introduire trois qualités essentielles : l’
 : l’unité, la simplicité et la division. L’unité et la simplicité du plan ont pour but d’empêcher l’auteur de se perdre dan
anguissant. Chaque genre de littérature a ses règles, et nécessite un plan particulier : une ode ne se compose pas comme un
il ne faut pas croire qu’une lettre puisse être écrite sans ordre ni plan . Une lettre d’affaires doit être simple, méthodiq
urtant y distribuer les pensées avec un certain ordre : sans avoir un plan bien arrêté, le simple bon sens nous indiquera la
ion oratoire. La rhétorique explique ordinairement fort au long le plan que doit suivre un orateur dans la composition d’
on, Bossuet, Bourdaloue ou Massillon, en faire l’analyse, examiner le plan , la marche, la distribution des parties : ce trav
lnet. 1. Nous indiquons, dans la seconde partie de l’ouvrage, le plan qui confient spécialement à chaque genre d’ouvrag
3 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »
e tout l’édifice. Pour réussir dans l’invention, il faut se tracer un plan où ne doivent entrer que les premières vues et le
s vues et les principales idées ; c’est en marquant leur place sur ce plan , qu’un sujet sera circonscrit et que l’on en conn
ion, plus il sera facile ensuite de les réaliser par l’expression. Ce plan une fois conçu dirigera la disposition, la soumet
s que parce que chacun d’eux est un tout, et qu’elle travaille sur un plan dont elle ne s’écarte jamais. L’esprit humain qui
il imite la nature dans sa marche lente et son travail continu sur un plan bien conçu et graduellement développé ; ce n’est
des fondements inébranlables, des monuments immortels. C’est faute de plan , c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son su
res, et il demeure dans la perplexité. Mais lorsqu’il se sera fait un plan , lorsqu’une fois il aura rassemblé toutes les pen
n cette phrase : Dans l’invention on cherche un sujet, on en jette le plan , et on le développe par la méditation. Pour s’aid
on le développe par la méditation. Pour s’aider dans la méditation du plan , on peut conseiller deux choses aux jeunes gens :
ercevoir un objet. Le second moyen pour s’aider dans la méditation du plan est de recourir aux lieux communs. Ils sont ou in
4 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
eindre. Aussi nous sommes nous bornés, pour nos développements ou nos plans , aux devoirs donnés par la Sorbonne pendant les d
tous les textes des sessions de 1881, 1882 et 1883 renvoyant pour les plans des compositions de ces trois années à l’excellen
. Lettres. • Lettre d’Auguste à Virgile qui lui avait envoyé le plan de l’Énéide. / I. — Il se félicite d’avoir exhort
ar Boileau. (29 novembre 1883). Seconde partie. Développements ou plans des compositions françaises données à la Sorbonne
t l’éloquence véhémente et passionnée déjoua pendant quatorze ans les plans de Philippe ; à part les disgrâces momentanées qu
blic passionné, cet étrange et sublime mystère de la Passion, dont le plan avait été tracé par saint Paul lui-même. La durée
tifiante et sur la grâce efficace ont été bientôt reléguées au second plan , et la défense n’a pas tardé à se changer en atta
paux ouvrages de critique littéraire, antérieurs au xixe  siècle ? Plan . — La critique littéraire est l’art d’apprécier l
qu’un moraliste ? Quels sont les principaux moralistes français ? Plan . — Le titre de moraliste, entendu largo sensu, pe
[1] (13 août 1885) Analyser le caractère d’Achille dans Homère. Plan . — Les principaux traits du caractère de l’Achill
sar, divi genus, aurea condet Sæcula qui rursus Latio, etc. Ainsi le plan général de l’Énéide se réduit à ceci : Arrivée d’
main d’après la Grandeur et décadence des Romains, de Montesquieu. Plan 9. — Pour Montesquieu, le trait principal du cara
sujet. Des puristes rigoureux ont attaqué son style et mis au second plan celui que Bossuet appelle le plus grave des histo
 ; il ne réclame pas d’ordre rigoureux, de disposition méthodique, de plan arrêté ; il admet une marche irrégulière, caprici
on entre l’Épître aux Pisons d’Horace et l’Art poétique de Boileau Plan 11. — Caractère simple et familier de l’épître d’
préoccupe surtout de la peinture des caractères, et relègue au second plan la complication de l’intrigue. 2º De 1641 à 1653.
rces Corneille a-t-il puisé pour la composition de ses tragédies ? Plan .12 — Corneille, élevé dans l’admiration exclusive
ce et la justesse du dialogue au plus haut degré de perfection. » Plan . — Le prouver en citant et appréciant les dialogu
ue ; mais, eu égard aux autres rôles de la tragédie, il est au second plan et n’est indispensable qu’au dénouement. Le carac
[17] (14 novembre 1885) Du caractère de Sévère dans Polyeucte. Plan 13. 1. — Le personnage de Sévère dans Polyeucte e
e. [21] (7 août 1884) De la théorie de Boileau sur l’épopée. Plan 15. — Boileau, comme tout son siècle, a ignoré la
caractères d’Andromaque et d’Hermione dans l’Andromaque de Racine. Plan . — Andromaque est le type de l’amour conjugal et
uves de ce qu’il sera. Avec quelle placidité il déclare à Burrhus ses plans criminels, avec quel calme il commet ses perfidie
tre classique ; en particulier ceux de Maxime, Narcisse et Mathan. Plan . — S’il est vrai de dire en général que Racine es
lon dans la Lettre à l’Académie pour enrichir la langue française. Plan . — Fénelon, constatant que « notre langue manque
[29] (4 novembre 1885) Des opinions de Fénelon sur l’Éloquence. Plan . — Dans les théories qu’il a émises sur l’Éloquen
rceaux les plus remarquables du Siècle de Louis XIV, par Voltaire. Plan . — Le Siècle de Louis XIV peut se diviser en quat
ècle de Louis XIV, la méthode et le talent historique de Voltaire. Plan . — Il faut reconnaître, avant tout, à Voltaire l’
u Siècle de Louis XIV est relative à sa méthode, à sa composition. Le plan est trop analytique ; Voltaire raconte d’abord to
égant, peintre animé et sobre à la fois. [32] (9 novembre 1884) Plan et idée générale du Discours sur le style. Dév
ours sur le style. Développement. — Il n’est pas aisé de donner un plan net du Discours sur le style. Buffon s’étend sur
plan net du Discours sur le style. Buffon s’étend sur la nécessité du plan dans les ouvrages de l’esprit, et a pratiqué trop
l’ordre et du mouvement dans le style. 1º De l’Ordre. — Nécessité du plan . L’unité fait la perfection des œuvres de la natu
; elle doit faire aussi le prix des œuvres de l’homme. Il faut que le plan soit si fortement conçu que la pensée « puisse l’
’œil » ; il faut que l’ouvrage soit « fondu d’un seul jet ». Faute de plan , l’écrivain reste dans une pénible, et en est réd
Il résulte naturellement de l’ordre. Quand l’écrivain se sera fait un plan sévère, « il n’aura que du plaisir à écrire ; les
[1] (8 août 1885) Faire l’éloge du patriotisme de Démosthène. Plan . — Rappeler que dès l’âge de 25 ans, Démosthène e
a lecture publique de l’Iliade, un de ses disciples l’en remercie. Plan . I. — Merci, maître, de m’avoir initié à la grand
Christ, et dans laquelle Cicéron prononça la première Catilinaire. Plan . — I. — Curius ayant avisé Cicéron des projets de
dinal de Retz) pour l’engager à ne point prendre part à la Fronde. Plan . — 1º Il vient d’apprendre le projet du Coadjuteu
ontaine à Boileau après la lecture du IIe chant de l’Art poétique. Plan . — 1º Il remercie Boileau de lui avoir envoyé son
de la part de Louis XIV, le brevet d’Historiographe du roi (1677). Plan . — Sentiments que Colbert éprouve en faisant part
qu’il peut retirer de ce poste pour observer les mœurs de la Cour. Plan . — Bossuet éprouve un vif désir de tirer de sa si
s l’abandon et la misère. Composer la lettre de Boileau à Colbert. Plan . — Il vient se plaindre au ministre, non pour lui
le des Anciens, introduit des chœurs dans ses dernières tragédies. Plan . — Dans Esther et Athalie, vous avez fait revivre
Louis XIV pour lui conseiller de ne pas révoquer l’édit de Nantes. Plan . — Il s’excusera de la liberté qu’il prend de don
ésintéressé de toute gloire mondaine, prenant la plume pour tracer un plan d’occupations auxquelles il ne pourrait peut-être
ir bien donner une représentation en l’honneur de cette solennité. Plan . — La ville natale du grand Corneille se prépare
eur ès-lettres. La Composition française du baccalauréat, conseils et plans synoptiques pour traiter les principaux sujets pr
5 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
outenu tant de pensées et de préceptes divers. Chaque volume offre un plan harmonieux et complet, dans lequel l’estimable au
e tous enfin louent notre auteur « d’avoir mis de la netteté dans son plan , de la clarté dans sa méthode, de la justesse dan
otre Cours de littérature, j’ai tenu à le parcourir. J’y ai trouvé un plan net et précis, une méthode claire, des définition
et précises ? Il vous a suffi de décrire les lignes tracées sur votre plan . Dans l’exécution, vous avez observé vos propres
ude au point de vue des enseignements de la foi, même netteté dans le plan de l’ouvrage, même clarté dans la méthode, même j
à la nouvelle édition de votre Cours de littérature. La simplicité du plan , la logique de la méthode, la clarté des division
6 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »
s les rapports qu’elles ont entre elles]. Nous parlerons seulement du Plan général qui convient à toute composition sérieuse
énéral qui convient à toute composition sérieuse. Section II. — Du Plan Le Plan est le dessin d’ensemble des premiers
convient à toute composition sérieuse. Section II. — Du Plan Le Plan est le dessin d’ensemble des premiers rudiments d
ture : nous pouvons rappliquer également aux ouvrages de l’esprit. Le plan détermine la disposition générale et particulière
nsemble et de la régularité. » Si nous commençons par nous tracer un plan , nous appellerons à nous les idées ; elles se rév
ation, et nous pourrons ensuite les mettre en œuvre. « C’est faute de plan , dit Buffon, c’est pour n’avoir pas assez réfléch
: il demeure donc dans la perplexité. Mais, lorsqu’il se sera fait un plan , lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
7 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
es définitions manquent d’exactitude et de netteté ; souvent aussi le plan n’est ni assez logique, ni assez complet. — Nous
divisions aussi claires que naturelles, et pour renfermer dans notre plan tous les principes et toutes les règles des compo
nnu dans la presse religieuse. Après avoir pris connaissance de notre plan et de notre méthode, il nous écrivait dernièremen
et toute la conscience de ce livre. Tout en cherchant à améliorer le plan et la méthode, nous nous sommes bien gardé de per
8 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Règles pour les ouvrages de littérature »
ion de l’esprit est de choisir le sujet ; celle du génie, de créer le plan  ; celle du goût, de fournir les embellissements.
prit dans le choix du sujet, soutiennent le génie dans la création du plan , dirigent le goût dans la distribution des orneme
e flambeau, pour qu’on puisse voir si le sujet est bien choisi, si le plan est bien construit, si les ornements sont bien as
9 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-
de son raisonnement : — Nous perdons un temps précieux à discuter le plan de M. Necker. Or tout autre projet, même excellen
tion est urgente. Donc… —  Écoutez le développement : « Avons-nous un plan à substituer à celui que M. Necker nous propose ?
ns l’assemblée. Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas connu, qu’il faut du temps pour le déve
ple cité plus haut revient à un dilemme : — Ou vous avez de meilleurs plans à proposer, et il est trop tard ; ou vous n’en av
10 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mirabeau, 1749-1791 » pp. 368-376
jour, une heure, un instant pouvait le rendre mortel ? Avons-nous un plan à substituer à celui qu’il propose ? (Oui, s’écri
s l’Assemblée). Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas connu ; qu’il faut du temps pour le dév
qu’elle n’échut en partage à aucun mortel. Il faut donc en revenir au plan de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
ent décisif, acharner notre amour propre à changer quelque chose à un plan que nous n’avons pas même conçu, et diminuer, par
e serré, impénétrable ; il fait la revue de ses preuves, dispose leur plan d’attaque et les rauge en bataille. Couvert des a
11 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
le moyen et la facilité que nous publions ce livre. On y trouvera des plans , des développements, des devoirs d’élèves, et, po
Ils développeront ensuite les sujets dont nous ne leur offrons que le plan , et là encore ils auront la faculté de contrôler,
elon les candidats, mais les questions sont à peu près les mêmes. Les plans , les développements, les sujets s’adressent donc
e ne saurait aller au hasard et qu’elle a besoin de s’astreindre à un plan bien arrêté. Ici encore il convient de bien savoi
Lettre sur les occupations de l’Académie française, quels en sont le plan et l’esprit général, s’arrêter au chapitre sur l’
erez le rapport de Colbert au Roi ; vous y exposerez ses raisons, ses plans , ses espérances pour l’avenir et l’influence de c
la troupe, dans une réunion préparatoire, expose à ses compagnons le plan du voyage, les conditions qu’il exige, l’itinérai
historique ? – Faire d’après Voltaire un portrait de Charles XII. Plans Quelle a été l’influence personnelle de Lou
ation de Corneille, de l’invention plus grande qui se révèle dans ses plans . Boileau est d’avis que ceux de Racine sont plus
éros de Voltaire ont peu de relief et laissent peu de souvenirs ; ses plans sont romanesques ; il écrit d’une façon plus bril
e a la force avec la familiarité, l’ampleur avec la précision, et les plans de ses discours sont simples et lumineux. Il s’es
que de belles tragédies ; elle a dénoncé la combinaison faible de ses plans , l’arrangement factice de ses situations où se ré
sont perdues dans un ensemble défectueux et confus, une tragédie sans plan et sans caractères, un poème lourd et traînant, e
bordonner les unes aux autres selon leur degré d’importance, faire un plan , tracer des paragraphes sans développements oiseu
sentiments exprimés la démonstration de l’excellence de cette œuvre. PLAN Préambule. – Esquisser rapidement et discrètemen
et Molière a fondé celle de la vie civile. » (Section des Lettres.) PLAN Préambule. – Remarquer le double parallélisme qu
trouvent jamais leur compte à la campagne. » (Section des Lettres.) PLAN Préambule. – Sens exact de la pensée. Madame de
iquer cette supériorité de l’une sur l’autre ? (Section des Lettres.) PLAN La prose et la poésie au xviii e siècle. Préamb
Qu’entendez-vous par un écrivain classique ? (Section des Lettres.) PLAN Préambule. – Définir le sens exact du mot : clas
le nécessaire. » Qu’est-ce que le nécessaire en fait de lectures ? Plan développé Préambule. – Mme du Deffand, célèbr
pas d’une note sèche et brève, comme ils écrivent en quelque sorte un plan des devoirs, des leçons orales, il est nécessaire
ésentât le sujet. Les unes semblent ignorer complètement ce qu’est un plan , un ensemble, ce qu’on entend par ordre et méthod
ées qui contraste avec l’indécision et l’inexpérience de la forme. Le plan est souvent défectueux ; les développements, au l
par laquelle Buffon remercie le roi de cette faveur et lui expose les plans qu’il a conçus pour l’extension de cet établissem
es le sujet est surtout traité d’une façon vague et superficielle. Le plan a été tracé au hasard ; les digressions littérair
 ; quelques aspirantes ont su le dire. Trois copies ont bien tracé le plan du sujet, l’ont suivi fidèlement, l’ont développé
emmes pour auteurs, pour inspiratrices ou pour juges ». C’était là un plan tout fait. Comment donc s’expliquer que tant de c
toutes les parties de la grammaire. Le texte indiquait à peu près le plan , qui a été bien compris et bien suivi. Les faits
ts et développements d’histoire. Elles y trouveront des conseils, des plans , des copies d’élèves, des corrigés. Elles s’y hab
ensemble, une seconde fois pour saisir l’ordonnance, la régularité du plan , – une troisième fois, lentement, posément, par f
’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. » PLAN Préambule. – Définir le sens de la phrase. Le ch
des écoles normales, lui répond. Vous avez à composer cette réponse. PLAN Préambule. – La jeune fille s’excusera de plaide
haits. » (Philémon.) N’a-t-on rien de plus à souhaiter en ce monde ? PLAN Préambule. – Chacun poursuit ici-bas son idéal d
… Les écrivains, les moralistes surtout se sont appliqués à tracer un plan d’existence heureuse. Les Épicuriens mettent la f
re. Je voudrais qu’on en fit un recueil. Ce cours de littérature sans plan et sans dessein, cette poétique sans dissertation
lus à échanger des idées agréables qu’à se faire la leçon » (Nisard). PLAN DÉVELOPPE Préambule. – De toutes les lettres écr
es qu’il semble les semer comme par hasard et d’une main prodigue. Le plan , le dessin d’un ouvrage méthodique, d’un traité s
lusion. – L’exemple faisait passer le précepte avec lui. C’était sans plan et sans dessein et ce n’était pas sans utilité. L
t lui comme autant d’accusateurs ; une leçon mal faite, sans ordre ni plan  ; une exposition embarrassée et sans intérêt ; de
r Vaillant (Delaplane). Nous donnons quelques sujets. Nous traçons le plan de quelques devoirs – et nous renvoyons aux autre
quelles conditions peut-on utilement interroger à l’école primaire ? PLAN Préambule. – Utilité de l’interrogation, – pour
. Quelles sont les principales qualités nécessaires à un historien ? PLAN DÉVELOPPÉ Préambule. – L’historien doit raconter
ées par sa triple fonction. – En outre il faut que pour le choix d’un plan , pour le style, pour l’évocation du passé, l’hist
Montrer la légitimité et la nécessité de l’obligation scolaire. PLAN Préambule. – Il semble, tout d’abord, que la fam
des grands préceptes de la politique est de ne pas trop gouverner » PLAN Préambule. – Juste assimilation de la vie politi
« Il n’y a pas d’étude qui ne prête à la culture des sentiments. » PLAN Préambule. – Divorce apparent qu’il y a entre l’
« L’éducation qu’on donne aux autres profite toujours à soi-même. » PLAN Préambule. – La pensée a un tour piquant et orig
vrai que l’imagination n’ait aucun rôle à jouer dans la science ? PLAN Préambule. – Montrer en quelques lignes que nomb
e traités. Nous renvoyons aux écoles scientifiques pour les conseils, plans et développements. Concours de 18811. Pédag
n d’architecture, juillet 1886.) un étranger a anthènes CONSEILS ET PLAN Évitez avec soin de tomber dans une aride énuméra
s, des orateurs, des philosophes qu’il a le bonheur de fréquenter. Le plan s’impose… Quelques lignes d’introduction sur l’ar
e vers fameux : « Souvent un beau désordre est un effet de l’art. » PLAN Préambule. – Joie de l’arrivée… Étonnement mêlé
diques. (Section de peinture, février 1888.) le poecile. CONSEILS ET PLAN CONSEILS L’on a le choix entre trois scènes. Il c
end toujours les généraux et les soldats imitateurs de leur courage ? PLAN Préambule. – Le Poecile était orné de tableaux q
littérature des Grecs. (Section de peinture, juin 1891.) CONSEILS ET PLAN CONSEILS Le sujet est double. Il doit se diviser
une nomenclature, mais s’attacher à dégager des caractères généraux. PLAN Préambule. – Intérêt que présente l’étude de l’a
ls ont été les principaux protecteurs de la Renaissance ? CONSEILS ET PLANS CONSEILS Une définition très courte de la Renaiss
oduire. Il suffit de s’en tenir aux termes même de la question posée. PLAN Préambule : Définitions. 1er Paragraphe. – En It
qui était le fond du caractère de Duquesne. (Centre d’examen : Brest) PLAN Préambule. – Il a reçu la missive de son maître,
ant, en développant ses idées. (Centre d’examen : Paris.) CONSEILS ET PLAN CONSEILS Tout est à développer, mais dans une mes
qu’on trouvera des idées et des expressions vivantes, qui porteront… PLAN 1er Paragraphe. – Description très courte du gro
uête pacifique et chrétienne. (Centre d’examen : Rennes.) CONSEILS ET PLAN CONSEILS. Le sujet comporte une narration et un d
mmencer d’une façon vive qui mette la scène sous les yeux du lecteur. PLAN 1er Paragraphe. – Narration. – Décrire le groupe
nce et de son incrédulité. (Centre d’examen : Rochefort.) CONSEILS ET PLAN CONSEILS On remarquera que les premières lignes d
précis du travail qu’on aborde : récit, dissertation, discours, etc. PLAN 1er Paragraphe. – Joie du succès. On est à San-Sa
it pas capable de naviguer. (Centre d’examen : Toulouse.) CONSEILS ET PLAN CONSEILS Il serait extrêmement maladroit de début
e peu malaisé. Pourquoi ? C’est qu’il faut tout tirer de soi-même. Le plan n’est pas indiqué. Il faut faire œuvre de composi
, trop soumis, il ne sera pas écouté, il ne frappera pas l’attention. PLAN Début de la lettre… – Il espérait qu’on l’agréer
Artapherne au roi de Perse, sur leur expédition en Grèce. CONSEILS ET PLAN CONSEILS Les candidats se rendront compte que pou
colère des dieux, surtout pallier leurs fautes, leurs maladresses….. PLAN 1er Paragraphe. – Tout a été heureux, a réussi à
d’Asdrabal annonçant à Annibal son arrivée en Italie et indiquant son plan de campagne pour opérer avec lui sa jonction. CON
nt son plan de campagne pour opérer avec lui sa jonction. CONSEILS ET PLAN La connaissance de l’histoire est indispensable.
a marche. Ce sont ces messages qu’il faut interpréter, développer….. PLAN Préambule. – Il exhorte Annibal à tenir bon, à n
jours, avec la connivence des alliés qui sont las du joug romain, le plan sera exécuté. Il a, en vérité, en face de lui, le
u’eux à découvrir le cadavre de celui qu’elle avait aimé. CONSEILS ET PLAN CONSEILS A supposer même que la bataille d’Hastin
is tableaux successifs, – trois moments de la crise. Quels sont-ils ? PLAN 1er Paragraphe. – Description rapide du champ de
et se dérobe brusquement à la reconnaissance de l’enfant. CONSEILS ET PLAN La réticence du début n’est pas à conserver. Le r
e dialogue doit alterner avec le récit. Le ton doit être preste, vif. PLAN 1er Paragraphe. – Montesquieu monte dans une barq
le roi Louis XI, contre les troupes du duc de Bourgogne. CONSEILS ET PLAN CONSEILS Il faut faire un effort d’imagination, s
e Hachette. C’est sa conduite qu’il s’agit de mettre en beau relief. PLAN Préambule. – Charles le Téméraire tente de s’emp
erain de ses acclamations. Vous décrirez cette cérémonie. CONSEILS ET PLAN CONSEILS Le danger qu’il fallait éviter, c’était
pouvoir et de lui-mème, par lassitude, il est vrai, mais par raison. PLAN 1er Paragraphe. – Inutile de décrire le palais d
ptembre de l’année 1800. Vous imaginerez cette cérémonie. CONSEILS ET PLAN Il ne s’agissait ni de dire pourquoi Bonaparte av
3 septembre était l’anniversaire de la proclamation de la République. PLAN Préambule. – Le 1er vendémiaire an IX (23 septem
s, et verse des larmes. – Colbert expose, dans un mémoire au roi, les plans pour la réorganisation de la marine militaire (16
Pierre le Grand propose au Régent l’alliance de la Russie en 1718. PLAN . 1er Paragraphe. – Les traités d’Utrecht ont cha
t à retourner en tous sens quelques-uns d’entre eux, à les réduire en plans très nets, très logiques. Ils auront intérêt à co
étallurgique sur la richesse et sur la puissance du pays. CONSEILS ET PLAN CONSEILS Il fallait réfléchir avec soin au sens d
ec des quatre paragraphes, grouper les divisions deux à deux. D’où le plan suivant. PLAN Préambule. – On prétend que le com
paragraphes, grouper les divisions deux à deux. D’où le plan suivant. PLAN Préambule. – On prétend que le commerce, que la
ême nature un empire proportionné à la science qu’il en a acquise. » PLAN Préambule.  – L’homme exerce une sorte de royaut
il vient d’effectuer en ballon, dans un but scientifique. CONSEILS ET PLAN Le ton doit être celui de la joie que cause le su
cause le succès d’une entreprise, mais aussi celui de la modestie. Le plan est à trouver tout entier. Le sujet aussi, car il
es deux professeurs à 4 kilomètres d’élévation, sur la descente, etc. PLAN 1° Nous voici de retour, et je vous envoie la rel
st-il vrai que la science et l’industrie doivent tuer la poésie ? PLAN Préambule. – Aujourd’hui, après les découvertes
r mystère des sciences deviendra facile. » Eloge du Progrès 1 PLAN 1° Il n’y a plus de distances. La vapeur les a su
Démontrer quelle serait l’utilité d’une histoire scientifique. PLAN 1° Elle mettrait les savants en garde contre les
tion Raconter une visite faite dans le cabinet d’un chimiste. PLAN 1° Le laboratoire – chalumeaux – fourneau – foyer
aux règles de la composition. Ils trouveront un choix de sujets et de plans littéraires dans la partie du volume relative au
opulaire : voir c’est savoir. Voir l’Utilité des voyages. Conseils et plans (écoles commerciales). Concours de 1890. 2e
ce qu’il a pu voir et observer. Voir : Les Deux Fermes ; conseils et plans (écoles vétérinaires). École du Grand-Jouan
e Du Belloi : « Plus je vis d’étrangers, plus j’aimai ma patrie. » PLAN ET CORRIGÉ Plan. – Préambule. – On a dit – c’est
lus je vis d’étrangers, plus j’aimai ma patrie. » PLAN ET CORRIGÉ Plan . – Préambule. – On a dit – c’est Sainte-Beuve – q
les cette vérité : « Mieux vaut douceur que violence. » CONSEILS ET PLAN CONSEILS Il convient d’abord de se demander d’où,
semblables : ce qui permettrait d’établir des divisions méthodiques. PLAN Préambule. – Sens du mot douceur. – Sens du mot
u la matière, après qu’on l’aura méditée et comprise, de se tracer un plan où, point par point, on se proposera de présenter
révocation pour le commerce et l’industrie de la France. CONSEILS ET PLAN CONSEILS La révocation en elle-même, les mesures
eule la réflexion pouvait suggérer pour la première partie du devoir. PLAN Préambule. – Date de la révocation (1685). Ce qu
ume sur cette pente qui amènera plus tard la banqueroute. CONSEILS ET PLAN C’est point par point, par une antithèse continue
nce au début des deux règnes, son état à la mort des deux souverains. PLAN Préambule. – Rôle considérable joué par les deux
orateurs sont les pionniers de la prospérité des nations. CONSEILS ET PLAN C’était surtout le rôle de la géographie au point
our chacune de leurs spécialités, un petit thème facile à présenter. PLAN Préambule. – La géographie n’est pas une science
té. Montrer la moralité de cette loi. La loi du travail. CONSEILS ET PLAN CONSEILS Le vrai sujet n’est pas l’inégalité des
l, son utilité, sa moralité. Ce sont là les trois idées à développer. PLAN Préambule. – Quelques mots très succincts sur l’
peuples ? Faut-il les approuver ? L’utilité des voyages. CONSEILS ET PLAN Quatre questions sont posées. Elles doivent forme
ésume l’idée. Il n’y a plus à craindre de vagabonder, de s’écarter du plan , d’aller à droite et à gauche, de s’exposer à voi
mots qu’il s’agit d’insister. Ce sont les clous qu’il faut enfoncer. PLAN Préambule. – Importance prise de notre temps par
Quels avantages présente sa fondation pour un pays ? CONSEILS ET PLAN CONSEILS Le sujet est nettement délimité. – Qu’en
péciales ne saurait nuire à l’élégance qui doit être soutenue, égale… PLAN Préambule. – Les nations commerçantes possèdent
ion et dans le pays et au dehors avec les cahiers des charges, devis, plans , modèles, les tarifs des transports, des prix de
consulaire sorti d’une école commerciale est-il appelé à rendre ? PLAN Préambule. – Importance toute particulière prise
roisième moderne 64 Programme de la classe de Quatrième moderne 66 Plans 69 Sujets traités 85 Devoirs d’élèves 131 EN
12 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
, l’une après l’autre, la thèse, l’antithèse et la synthèse. C’est le plan qu’ont adopté quelques philosophes et publicistes
uire, l’autre à apprendre. La clarté dépend alors de la conception du plan tout entier. Etudiez les grands maîtres, Racine s
la clarté. N’oubliez pas maintenant que la clarté résulte surtout du plan , de la disposition, et que la loi souveraine de c
te surtout du plan, de la disposition, et que la loi souveraine de ce plan lui-même est, comme pour l’ensemble de tout ouvra
la variété et l’originalité. « Dans une description, dit M. Wey, les plans comme les détails se présentent un à un à la pens
13 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre second. De la disposition. »
’une haute montagne ! À sa base, l’odeur des fleurs de la prairie, le plan incliné du gazon, le bruit du ruisseau qui fuit s
l’arrangement des moyens fournis par l’invention, et embrasse tout le plan du discours. Le plan élaboré par l’invention n’es
ens fournis par l’invention, et embrasse tout le plan du discours. Le plan élaboré par l’invention n’est autre chose que l’o
de l’invention, extraits de Buffon. L’orateur, après avoir conçu son plan à l’aide de ses moyens d’invention  le coordonne
écond, heureux. 2° Il fait un dessin général de son œuvre. — C’est le plan de la composition. 3° Il se procure des matériau
14 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre premier. De l’art de la composition en général. »
n ordre les idées fournies par l’invention, c’est-à-dire de tracer le plan général que l’on doit suivre, de manière que chaq
magination. Si l’écrivain a bien médité son sujet, s’il s’est fait un plan , « il s’apercevra aisément, dit Buffon, de l’inst
e et un corps maigre et fluet. Pour éviter cet écueil, tracez-vous un plan général, et entrez aussitôt dans le vif de la que
15 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
ses parties. Cette dernière opération se rapporte à ce qu’on appelle plan du discours. Nous parlerons donc 1º des différent
rs. Nous parlerons donc 1º des différentes parties du discours, 2º du plan du discours. Chapitre premier. Des différentes
ous deux une faveur égale, mais encore laisser à chaque combattant le plan et le genre de défense qu’a choisis sa volonté. V
la division en termes formels ; l’orateur néanmoins aura toujours un plan dans son esprit, mais il lui sera peut-être utile
Eschine n’ont presque jamais annoncé de division et ont cependant un plan bien déterminé. Cicéron ne divise pas toujours ;
tiques, Cicéron et Quintilien recommandent beaucoup le choix d’un bon plan . « Il faut regarder comme un Dieu, disait Platon,
difficiles pour l’orateur comme pour l’écrivain. Cependant, quand le plan qu’on a choisi est convenable et naturel, quand l
que toujours mécontents (Voir le nº xviii). Chapitre deuxième. Du plan du discours23. 237. Par le mot plan, en généra
ii). Chapitre deuxième. Du plan du discours23. 237. Par le mot plan , en général, on entend ces premiers linéaments qu
rchitecture et il s’applique à toutes les œuvres littéraires. 238. Le plan du discours est donc l’ordre et la distribution d
toutes les idées qui doivent entrer dans ce discours. 239. Tracer son plan , c’est se fixer sur la proposition, les divisions
e discours. 240. Il est très difficile pour l’orateur de se tracer un plan régulier et satisfaisant. On trouverait assez d’h
r Horace : Infelix operis summa, quia ponere totum Nesciet. 241. Un plan heureux ouvre à l’orateur une large et brillante
x ouvre à l’orateur une large et brillante carrière ; mais un mauvais plan suffit pour ôter à son discours toute espèce de f
ntérêt ; il équivaut à un mauvais choix de sujet. Maury cite comme un plan vaste et fécond celui du P. Le Chapelain, dans so
n attendre vous-même. Le discours est pour ainsi dire fait dès qu’un plan aussi net est trouvé. L’orateur qui ne saurait le
r qui ne saurait le remplir serait incapable de le concevoir. 242. Un plan , pour être bon, doit réunir la justesse, la nette
tteté, la simplicité, la fécondité, la proportion et l’unité. 243. Le plan est juste s’il embrasse le sujet dans toute son é
uvre une multitude d’objets. 244. Pour qu’il y ait proportion dans le plan , il faut que toutes les parties du discours soien
est souvent tombé dans cette irrégularité. 245. Il y a unité dans le plan quand toutes les parties, malgré leur multiplicit
. Un moyen infaillible de juger de la justesse et de la solidité d’un plan , c’est de réduire le discours en syllogisme. Tout
raison. Si votre composition oratoire ne peut subir cette épreuve, le plan repose quelque part sur le faux, et il pèche néce
nres d’éloquence et de sujets ne sont pas également susceptibles d’un plan régulier : il est des matières qui se divisent fa
an régulier : il est des matières qui se divisent facilement et où le plan est tout formé d’avance ; il en est d’autres où l
ocat est obligé d’accepter la cause telle qu’elle se présente, et son plan peut être déterminé par une foule d’incidents ; à
dents ; à la tribune on n’a pas le temps et les moyens de se faire un plan régulier, et il est souvent utile de cacher sa ma
de l’ordre dans la composition, et graver d’abord dans sa mémoire le plan , la division et les différentes preuves de ce dis
i précèdent, c’est qu’il exige nécessairement un texte, un exorde, un plan régulier et une péroraison. 332. Le texte doit re
plus frappant sur cette vérité. Alors seulement il pourra trouver un plan et une division ; alors il aura peut-être de véri
c elle, à la vertu, au bonheur, au ciel. (L’abbé Mullois.) XXIII. Plan du sermon de Massillon sur la vérité de la religi
r ici un fragment de sermon, nous aimons mieux donner pour exemple un plan de sermon vraiment complet et régulier : c’est ce
du génie et tout l’enthousiasme de la gloire. (De Ravignan.) XXV. Plan du panégyrique de saint François de Sales, par Bo
our, une heure, un instant pouvaient le rendre mortel ? Avons-nous un plan à substituer à celui de M. Necker ? Oui ! a crié
ns l’assemblée. Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas connu, qu’il faut du temps pour le déve
i critique, d’opposer les miens aux siens. Il faut donc en revenir au plan de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
au barreau. Aussi l’on ne saurait donner une trop grande attention au plan que l’on se propose de suivre. La confusion et le
e sais. Sais-tu qui en a posé les limités ? Sais-tu qui en a tracé le plan  ? Qu’étais-tu lorsque les astres du matin vinrent
our réussir dans la péroraison ? 237. Que faut-il entendre par le mot plan en général ? 238. Qu’est-ce que le plan d’un disc
e faut-il entendre par le mot plan en général ? 238. Qu’est-ce que le plan d’un discours ? 239. Qu’est-ce que tracer son pla
. Qu’est-ce que le plan d’un discours ? 239. Qu’est-ce que tracer son plan  ? 240. Est-il facile de trouver un bon plan ? 241
Qu’est-ce que tracer son plan ? 240. Est-il facile de trouver un bon plan  ? 241. Quel est l’avantage d’un plan bien choisi 
Est-il facile de trouver un bon plan ? 241. Quel est l’avantage d’un plan bien choisi ? 242. Quelles sont les principales q
lan bien choisi ? 242. Quelles sont les principales qualités d’un bon plan  ? 243. En quoi consistent la justesse, la netteté
t la fécondité ? 244. Que faut-il pour qu’il y ait proportion dans le plan  ? 245. Que faut-il pour qu’il y ait unité dans le
ortion dans le plan ? 245. Que faut-il pour qu’il y ait unité dans le plan , et comment peut-on faire des digressions ? 246.
-on faire des digressions ? 246. Quel est le moyen de connaître si le plan est juste et solide ? 247. Tous les genres d’éloq
solide ? 247. Tous les genres d’éloquence sont-ils susceptibles d’un plan régulier ? 248. Qu’est-ce que l’élocution, et qu’
16 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
ns ses vastes et dramatiques tableaux, il sait à la fois embrasser un plan général, et descendre aux moindres détails, avec
Discours à l’Académie.) 1. Par exemple aussi, le lavis, le lever des plans . 1. Cette page m’en rappelle une autre du princ
ne rêvez pas vie militaire, si vous ne dévorez pas les livres et les plans de la guerre, si vous ne baisez pas les pas des v
17 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »
uple d’Athènes, et attaqué avec acharnement par Eschine, qui basa son plan d’accusation sur trois infractions formelles fait
eur égale, mais permettre à chacune d’elles d’adopter et de suivre le plan de défense qu’elle aura jugé le plus favorable à
la nécessité urgente de s’opposer à ses desseins et de contrarier son plan d’invasion. Il entre ensuite dans le détail des s
, et la partie faible de Démosthène, qui, trop adroit pour adopter le plan de défense que lui traçait son adversaire, commen
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
il tenait avant tout à l’enchaînement du discours, et à l’ordre d’un plan suivi. Il affectionne le mot noble, comme Bossuet
on, plus il sera facile ensuite de les réaliser par l’expression3. Ce plan n’est pas encore le style, mais il en est la base
4 ? C’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un plan éternel dont elle ne s’écarte jamais ; elle prépa
des fondements inébranlables des monuments immortels1. C’est faute de plan , c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
il demeure donc dans la perplexité ; mais, lorsqu’il se sera fait un plan , lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
nt un édifice dont lui seul et la postérité concevront le gigantesque plan  ; dédaignant les détails techniques, les division
19 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
e, par conséquent, il ne saurait trop s’attacher à la construction du plan de son discours ; plan qui ne doit rien laisser à
e saurait trop s’attacher à la construction du plan de son discours ; plan qui ne doit rien laisser à désirer pour la clarté
en images et en sentiments. On admire dans ceux du P. Chapelain, des plans heureux, et très bien remplis, une marche libre,
quelque vertu dominante, qui paraît avoir animé toutes les autres. Le plan d’un Panégyrique est une des choses essentielles,
il peut le concevoir, il suffira d’en citer un bon exemple : c’est le plan du Panégyrique de Saint Louis par le P. Bourdalou
ces ornements avec profusion et sans choix ; de ne point négliger le plan et la conduite du discours, l’ordre et la liaison
rois qu’il ne sera pas inutile de leur tracer ici, en peu de mots, le plan admirable de l’Oraison funèbre du grand Condé, pa
ent sublimes. Il n’est peut-être pas de discours en ce genre, dont le plan seul fasse connaître autant que celui-là, l’homme
ements ; c’est la raison avec tout son empire et toute sa dignité. Le plan , la suite, l’économie de ses discours est admirab
20 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
s ? C’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un plan éternel dont elle ne s’écarte jamais. Elle prépar
s fondements inébranlables, des monuments immortels. » C’est faute de plan , c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
 ; il demeure donc dans la perplexité. Mais lorsqu’il se sera fait un plan , lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
21 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
nte à la tribune, de l’écrivain qui prend la plume. « C’est faute de plan , dit Buffon, c’est pour n’avoir pas assez réfléch
sées essentielles à son sujet, lorsque, en un mot, il se sera fait un plan , cette perplexité cessera ; car la place du premi
é cessera ; car la place du premier mot se trouvera déterminée sur ce plan comme celle des autres, et par celle des autres ;
fois ; enfin, pour reprendre et abréger cette division, et former un plan … — Encore, dites-vous ; et quelles préparations p
22 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
i sint his simillimi, judicare1. Quintilien, Inst. orat., X, 1. Les plans d’études les plus récents de l’enseignement secon
a mémoire. Ce choix appartient au bon goût du professeur. C’est là le plan que nous avons cru devoir suivre, en ne négligean
23 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
la pensée de l’auteur, et qu’on peut, d’un coup d’œil sûr, saisir le plan , la marche, le but, l’ensemble de son œuvre, déco
es propres écrits leurs pensées, leurs sentiments, leurs images, leur plan , mais avec une certaine liberté, c’est-à-dire en
les exposer ici, par la raison bien simple qu’il n’entre pas dans le plan d’un traité de littérature d’enseigner à traduire
24 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
éteurs qui vinrent après, éblouis par ce système, l’établirent sur un plan si régulier, que l’on eût dit qu’ils s’étaient pr
tion, on sera toujours flatté de voir se développer successivement un plan vaste ou une seule série d’événements ; on aime à
. C’est ce que l’on doit conclure de l’exposition qu’il nous donne du plan de son ouvrage au commencement de son troisième l
icieuses sur l’utilité d’adopter dans les compositions historiques un plan général ; il compare la faible instruction que l’
que celui des dates. Quoique l’Histoire d’Hérodote soit conçue sur un plan bien plus vaste que celle de Thucydide, et renfer
s qu’il raconte, et à discuter les avantages et les inconvénients des plans proposés et des mesures adoptées. Polybe est rema
istorien ne peut y parvenir qu’en observant scrupuleusement, dans son plan général et dans le détail de son sujet, cette uni
loyer. L’historien fait preuve d’un grand talent, lorsque, certain du plan qu’il doit suivre, il sait passer naturellement e
de à l’élégance. Accoutumé à former ses notions politiques d’après le plan des gouvernements anciens, il semble que le systè
ècle de Louis XIV fut une des premières productions esquissées sur un plan si judicieux ; il fixa bientôt l’attention de tou
r, le critique ne manque pas d’établir un parallèle régulier entre le plan des fables d’Ésope et celui de l’Iliade. L’auteur
éros qui conviennent le mieux aux rôles qu’il veut distribuer, et son plan se trouve achevé. Mais voici l’idée la plus pauvr
générale. Pour donner plus de force à son instruction, il imagina ce plan d’histoire : plusieurs princes formèrent une conf
e ; la défaite complète des ennemis fut le fruit de cette réunion. Ce plan général une fois formé, dit toujours notre critiq
pas être doué pour se persuader qu’Homère avait travaillé sur un tel plan  ! On peut affirmer avec confiance que le poète qu
du poème. Le poète, en effet, ne songe pas à établir en philosophe le plan d’un traité moral ; son génie s’enflamme à l’idée
ode, dans une épopée, Aristote entendit l’extension de la fable ou du plan du poème à toutes les circonstances qui dépendent
oème à toutes les circonstances qui dépendent de cette fable et de ce plan , et qui s’y rapportent. Son idée, il est vrai, ne
s points, nous conduire jusqu’à la fin de l’action dont il a tracé le plan , et s’arrêter. La seconde des qualités que doit r
c’est l’art que déploie l’auteur dans le maniement de son sujet. Son plan doit être établi de manière à pouvoir embrasser p
aturel et de vraisemblance, nous conduisent au dénouement. Tel est le plan que doit suivre l’auteur qui veut que son poème m
ui qui paraît triomphant à la fin du poème. Milton a travaillé sur un plan tout à fait différent, et a donné un dénouement t
solennelles de la religion ; tous deux l’aident encore à donner à son plan plus d’étendue et de variété, en y faisant entrer
méthodes dans l’Iliade, et l’autre dans l’Odyssée. Virgile suivit le plan de l’Odyssée, et le Tasse celui de l’Iliade. Le p
endres, les expressions les plus vives et les plus hardies. Aussi, le plan d’un auteur fût-il exempt de tout reproche, son a
peuples de l’Europe. Cette admiration que commande un ouvrage dont le plan est si différent de celui qu’un poète moderne ser
tte guerre mémorable. Ce fut d’après ces traditions qu’Homère jeta le plan de son poème ; et, bien qu’il ne vécût, selon l’o
u’Homère fut moins heureux que Virgile dans le choix de son sujet. Le plan de l’Énéide embrasse un plus grand espace de temp
jeune homme plein de goût et d’élégance ; il avait tracé lui-même le plan de son palais ; au sixième livre, Hector le surpr
e-même très brillante, elle donnait au poète la facilité d’élever son plan sur les anciennes traditions historiques de sa pa
dulation ; mais il ne me paraît pas vraisemblable qu’il ait conçu son plan dans un but politique. Comme poète, il suffisait,
rre, tue l’amant de la princesse, et cause la mort de sa mère. Un tel plan n’est pas fait pour nous disposer en faveur du hé
ar la seule raison que l’auteur ne s’est pas conformé strictement aux plans adoptés par Homère et Virgile. Le sujet de la Pha
nt liées avec beaucoup d’art ; leur variété n’altère point l’unité du plan . La conquête de Jérusalem est l’objet auquel tout
e héroïque ; bien qu’il y ait une sorte d’unité et de liaison dans le plan du Roland Furieux, au lieu de les rendre sensible
t conduit à sa fin. On dirait que ce poète affecta de n’adopter aucun plan régulier, pour donner un plus libre essor à l’ima
sent le reste du poème. L’ouvrage, dans son ensemble, est conforme au plan d’une composition épique. Le sujet et les inciden
lévation dont la langue française est susceptible, même en poésie. Le plan de l’ouvrage est en général très bien conçu, le s
le de la nature et de la vérité. Le poète, dans la disposition de son plan , a mille obstacles à surmonter pour que, sans tro
ès bien observer la règle de l’unité. Néanmoins il faut que, dans son plan , il ne s’éloigne pas trop de la simplicité ; car
nintelligible. L’unité d’action ne doit pas seulement exister dans le plan et dans l’intrigue, il faut encore qu’elle se ret
nte et moins intéressante qu’Andromaque. Racine a suivi deux fois les plans tracés par Euripide ; Phèdre est une très belle p
s de ses scènes, il ne manque ni de feu ni de sensibilité, quoique le plan en soit romanesque et les pensées extravagantes.
mi les meilleures pièces du théâtre anglais. Il n’entre point dans le plan que je me suis proposé, de parler des pièces mode
iolence et leurs suites funestes ; mais elles reposent souvent sur un plan irrégulier ; elles abondent en action et produise
n genre de composition très moral et très utile, dans la nature et le plan général de laquelle la censure n’a rien à reprend
die, la sphère de ses idées s’élargissait à mesure qu’il pensait. Son plan devint immense sous sa plume ; et enfin, au lieu
il se tiendrait dispensé d’en examiner le rapport, et de se faire un plan dont toutes les parties se prêtassent mutuellemen
25 (1811) Cours complet de rhétorique « Préface. »
ie pas l’entreprise, ce ne sera pas faute d’avoir exactement suivi le plan indiqué par un grand maître pour faire un bon ouv
l’ont distingué des autres compilations du même genre, c’est que mon plan ne leur a point échappé ; c’est qu’ils ont retrou
26 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
Préface. Le plan d’études arrêté par le ministre de l’Instruction
ue, et pour lesquelles nous avons rédigé le présent ouvragé. Voici le plan et le contenu du livre. Après un coup d’œil génér
27 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
e Style comme dans le reste du Cours, nous nous efforçons d’offrir un plan complet, de suivre une marche logique, de présent
tés de nos jours ; de nous louer d’avoir mis de la netteté dans notre plan , de la clarté dans notre méthode, de la justesse
28 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117
vance quel sera le produit de toutes ces opérations de l’esprit… « Ce plan n’est pas encore le style, mais il en est la base
vre à la rigueur l’ordre qu’il s’est tracé primitivement. Une fois le plan bien arrêté, il n’y a pas d’inconvénient à traite
on, en dernier lieu par l’ambition. Cette triple tentation formera le plan naturel du discours et le subdivisera en trois pa
blouissante et harmonieuse poésie, et eût gagné comme logique, si son plan eût été à peu près celui-ci : Il est des génies p
29 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427
la beauté, aux lignes de l’horizon romain, à la douce inclinaison des plans , aux contours suaves et fuyants des montagnes qui
ombinaisons, en petit et en grand, quand elle s’épanche sur de larges plans ou se brise dans les accidents les plus variés, s
ête villageoise, la vie, le bruit et le mouvement sont sur le premier plan  ; la paix et la grandeur sont au fond du paysage,
yait rien de Rome que le ciel sous lequel elle avait été assise et le plan de son gîte ; que cette science qu’il en avait ét
30 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre premier. Du Goût. »
plaisir que nous font ces beaux poèmes, est fondée sur la sagesse du plan et sur la conduite de l’ouvrage ; sur l’enchaînem
us la raison nous rend capables de découvrir le mérite d’un semblable plan , plus nous trouvons de plaisir à la lecture de l’
31 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre VI. D’Aguesseau et Séguier. »
onner un édifice, dont il a eu à peine le loisir de tracer le premier plan . Mais, bien loin de se laisser éblouir par l’heur
çait au roi, à la France, à l’Europe entière ; en exposait le but, le plan , les moyens, les auteurs, de manière à ne pas lai
32 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
Chapitre VII. Fontenelle. Fidèles à notre plan , qui est de mettre le plus qu’il est possible nos
. Il multiplie à tous propos les masses, les calculs, les forces, les plans , les ressorts, etc. ; c’est à tout moment la chaî
33 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
ltat, l’auteur, après avoir approfondi son sujet, doit t se tracer un plan , et lui donner pour caractère essentiel l’unité.
l’histoire. Les détails de l’histoire doivent être subordonnés au plan que l’on adopte : dans une histoire abrégée, on n
34 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
t le développement indispensable était commandé par la nature même du plan de l’auteur. On est fâché, par exemple, que l’art
dans son ouvrage un rang distingué, et rédigé le tout sur un meilleur plan . C’est le vœu que formait Quintilien à l’égard de
christianisme étonna par la grandeur de son objet et la richesse d’un plan qui embrassait sans effort une prodigieuse variét
sidé constamment à la distribution des richesses que la nature de son plan mettait à sa disposition, il eût mérité, sans dou
35 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
ux passions. En attendant, elle continuera toujours de suivre le même plan , et d’armer, pour la vérité, ce qu’il-y a de prin
e, par conséquent, il ne saurait trop s’attacher à la construction du plan de son discours, plan qui ne doit rien laisser à
ne saurait trop s’attacher à la construction du plan de son discours, plan qui ne doit rien laisser à désirer pour la clarté
isser à désirer pour la clarté, la justesse et l’exactitude. Voici un plan qui peut assurément servir de modèle, et dont l’e
quelque vertu dominante qui paraît avoir animé toutes les autres. Le plan du panégyrique est une des choses essentielles au
r d’étaler ces ornements avec profusion et sans choix, de négliger le plan et la conduite du discours, l’ordre et la liaison
36 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
faction indépendante du succès. Je dois maintenant donner une idée du plan que j’ai adopté. Dans l’exposition des principes
l’éloquence. Je n’ai pas cru devoir donner, comme quelques autres, au plan d’une rhétorique, une tournure neuve et extraordi
ut étudier dans les immortels chefs-d’œuvre de ces orateurs, c’est le plan , l’économie du discours, l’art de donner au raiso
scrivent les maîtres de l’art. Cet ensemble ne peut résulter que d’un plan méthodique, et ce plan méthodique sera à son tour
l’art. Cet ensemble ne peut résulter que d’un plan méthodique, et ce plan méthodique sera à son tour le résultat de la synt
n. C’est cet ordre qu’on entend quand on parle du Ce qu’on entend par plan . plan du discours ; car, lorsqu’on demande quel p
st cet ordre qu’on entend quand on parle du Ce qu’on entend par plan. plan du discours ; car, lorsqu’on demande quel plan un
qu’on entend par plan. plan du discours ; car, lorsqu’on demande quel plan un tel orateur a suivi dans son discours, on ne v
nvient qu’il est très-difficile de former sur un sujet quelconque, un plan régulier et satisfaisant ; c’est, dit-on, l’ouvra
é de l’orateur. » (De Orat., l. II, n. 308.) Moyen de former un bon plan . Il est bien difficile de donner sur cette distr
au moins nous en indiquerons les qualités essentielles. Qualités du plan . Le plan d’un discours doit réunir la justesse,
nous en indiquerons les qualités essentielles. Qualités du plan. Le plan d’un discours doit réunir la justesse, la netteté
r la justesse, la netteté, la simplicité, la fécondité et l’unité. Un plan qui a de la justesse, est celui qui embrasse le s
s toute son étendue, sans y rien ajouter, sans en rien retrancher. Un plan qui a de la netteté, est celui qui offre à l’espr
e les parties sans les isoler, et les assemble sans les confondre. Un plan qui a de la simplicité, est celui qui réduit tout
pensées ou de propositions générales qui le dominent tout entier. Un plan qui a de la fécondité, est celui dont chaque pens
tés dans lesquelles on en aperçoit une infinité d’autres. L’unité du plan consiste à former un tout de parties qui soient d
s au commencement de chaque point ou de chaque partie principale. Du plan . La proposition avec la division et la subdivisi
position avec la division et la subdivision forme ce qu’on appelle le plan du discours. Il ne doit pas trop restreindre le
doit pas trop restreindre le sujet. Nous avons parlé des qualités du plan dans le chapitre préliminaire de ce livre ; mais
e ce livre ; mais nous devons ajouter ici que le plus grand défaut du plan d’un discours, c’est de trop restreindre le sujet
éfaut du plan d’un discours, c’est de trop restreindre le sujet. « Le plan , dit l’abbé Maury, doit ouvrir un champ vaste et
ordinairement ses victimes. Il ne faut qu’une erreur pareille dans le plan , erreur qui est l’équivalent d’un mauvais choix d
. « Il importe, dit-il plus bas, d’observer dans la distribution du plan une graduation marquée, pour assurer ou plutôt po
déduit. » (N. 29.) Nécessité de méditer le sujet pour faire un bon plan . Pour tracer un bon plan, il faut avoir approfon
ssité de méditer le sujet pour faire un bon plan. Pour tracer un bon plan , il faut avoir approfondi le sujet qu’on veut tra
. La division du discours, qui n’est autre chose que l’expression du plan , doit avoir trois qualités qui sont la brièveté,
la simplicité. Exemple. On peut facilement appliquer ces règles au plan suivant ; c’est celui du sermon de Massillon sur
juge aussitôt de l’ordre qu’on doit observer ; si l’on doit suivre le plan tracé par l’adversaire, et répondre successivemen
permettra donc de ne pas les suivre, et de traiter la matière sur un plan tout différent. Ce qu’on entend par convenance d
r établir une contradiction, ou faire une concession qui coupât votre plan  ; si les juges désiraient que vous donnassiez plu
tion, d’arrêter de tête dans le moment et de fixer dans la mémoire un plan qu’il puisse suivre en parlant ; car il marcherai
aveugle s’il ne savait où il doit aller et par où. De marquer dans ce plan la place qui convient le mieux à chacune des idée
e à la main ; d’en faire une analyse qui contienne la substance et le plan de l’ouvrage ; d’examiner l’enchaînement et la pr
le-Vayer.) Tabl. Pages. Préface. Dessein de l’auteur. —  Plan de l’ouvrage. j Notions préliminaires 1 Livre p
ties du discours. L’autre, aux idées principales. Ce qu’on entend par plan . Moyen de former un bon plan. Qualités du plan. M
x idées principales. Ce qu’on entend par plan. Moyen de former un bon plan . Qualités du plan. Moyen de mettre de l’unité. Co
s. Ce qu’on entend par plan. Moyen de former un bon plan. Qualités du plan . Moyen de mettre de l’unité. Combien ton discours
la proposition. De la division. Sa définition. De la subdivision. Du plan . Il ne doit pas trop restreindre le sujet. Il doi
pratiqué par Cicéron. Nécessité de méditer le sujet pour faire un bon plan . Règles de la division. Brièveté. Intégrité. Simp
37 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
s. Ce mot, en effet, exprime ces ouvrages d’un mérite inférieur où le plan est si peu combiné qu’on peut en retirer plusieur
achevé, un poème intitulé les Veillées du Parnasse, dont il expose le plan dans les premiers vers que voici : « Pendant l’hi
a le Paradis perdu. Le sujet est la chute de nos premiers parents. Le plan est beau, le style noble, sublime, quelquefois du
; que le sentiment y est étouffé par les descriptions ; enfin, que le plan est défectueux143. Le succès prodigieux qu’a eu l
38 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
la nature se distingue par des pensées sublimes et profondes, par des plans d’une ordonnance surprenante, par des caractères
prit dans le choix du sujet, soutiennent le génie dans la création du plan , le guident dans sa marche, lui indiquent le but
39 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
nous voulons produire une œuvre de style. La nature travaille sur un plan éternel, avec une sage lenteur, et sait ainsi don
ts ? c’est que chaque ouvrage et un tout, et qu’elle travaille sur un plan éternel dont elle ne s’écarte jamais. Elle prépar
ts immortels. Il nous parle ensuite de la nécessité de nous faire un plan , précaution sans laquelle un homme d’esprit si tr
, et que son style deviendra intéressant et lumineux. C’est faute de plan , c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
s, il demeure donc dans la perplexité. Mais lorsqu’il se sera fait un plan , lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
40 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
voir ce que l’art a fait pour diriger vers un but vraiment utile, un plan si positivement indiqué par la nature elle-même.
’obvier à un semblable inconvénient, c’est de subordonner l’exorde au plan général du discours, et de ne s’en occuper qu’en
41 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184
rit, et la langue de l’intelligence4. Le style C’est faute de plan , c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
il demeure donc dans la perplexité ; mais, lorsqu’il se sera fait un plan , lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
42 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Thiers. Né en 1797. » pp. 513-521
dans ses vastes et dramatiques tableaux, sait à la fois embrasser un plan général, et descendre aux moindres détails, avec
détruire à la bataille de Borghetto. Là il saisit d’un coup d’œil le plan de ses opérations futures : c’est sur l’Adige qu’
43 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avertissement de l’auteur sur la seconde édition. » pp. -
ni la matière d’un troisième volume. Je n’ai cependant rien changé au plan , à l’ordre, à la méthode : je n’ai même rien corr
44 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
orme à la nature et à la raison. Notre but n’étant pas le même, notre plan a dû se modifier. C’est pour cela d’abord que nou
italien, dont il tire toute l’histoire passée de l’Italie et le seul plan raisonnable qui ait jamais été tracé pour sa gran
45 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
Fiesque. Considérez le dénoûment que lui donnait l’histoire. Tout le plan de l’entreprise est définitivement arrêté, tous l
nies. Pour y parvenir, il faut d’abord se tracer par la méditation un plan qui embrasse l’ensemble et les détails de l’œuvre
46 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — Chapitre II. Du genre pastoral » pp. 96-112
récit et en dialogue en même temps, doit être irréprochable dans son plan , c’est-à-dire ne rien laisser à désirer dans son
ylle, comme l’églogue, constitue un poème ; or, tout poème demande un plan  ; il faut ici une image, une pensée, un sentiment
47 (1853) Éléments de la grammaire française « Préface. » p. 2
qui les rendent faciles à distinguer1. On sent que, pour exécuter ce plan , il faut connaître les enfants. Appliqué, pendant
48 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XV. Genre didactique en prose. »
même ; c’est de son goût, de son jugement que dépendent la forme, le plan et le style convenables. Ce que nous avons dit su
49 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Préface de la première édition. » pp. -
s. Telle est la marche que j’ai suivie dans mes leçons, et tel est le plan de cet ouvrage. On a jugé qu’un des moyens d’accé
50 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
l’homme et offrir le ton du genre. Apollonius retrace aux Romains le plan entier de l’éducation de son héros. « Tout conco
r n’abuse-t-il pas quelquefois des facilités même que lui donnait son plan à cet égard ; et n’y trouve-t-on pas encore sur l
51 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
s, et cela se conçoit. Quand un auteur, avant même de s’être tracé un plan , et n’ayant parfois que quelques idées premières,
urs. « Chaque fois, dit M. Wey, qu’à l’aide d’un incident rattaché au plan général, on peut dépeindre un personnage, le cara
52 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
s qui s’offrent à l’esprit ; on fera ensuite un choix, on tracera son plan d’après ce canevas improvisé ; et l’on se mettra
eautés ; votre goût se formera rapidement. Appliquez-vous à saisir le plan , la marche de l’auteur, le but qu’il veut atteind
53 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
dans son ensemble et dans toutes ses parties ; qui ne pèche ni par le plan ni par le style ? Non sans doute : il est impossi
l’Orateur, est une connaissance profonde des règles qui concernent le plan , l’ordonnance, l’économie et le style du discours
54 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre IV. Prédicateurs français. »
dans Bourdaloue, dit M. Maury, c’est la fécondité inépuisable de ses plans , qui ne se ressemblent jamais ; c’est cette abond
55 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
mire dans le poëme de la Religion, par Racine le fils. Il conduit son plan , comme il le dit lui - même, sur cette pensée de
le du Poëme didactique. Ces deux ouvrages dont on vient de voir le plan , sont chacun dans son genre, la preuve et l’exemp
leau efface ceux d’Horace et de Va. Tous les objets renfermés dans un plan général, y sont divisés en quatre chants, dont ch
ns un plan général, y sont divisés en quatre chants, dont chacun a un plan particulier. Le mérite de l’ordre est encore rele
uite ; ouvrage vraiment digne du siècle de Virgile, par l’économie du plan , l’élégance et les grâces du style, le choix des
Avril, de la même compagnie. Racine le fils a chanté ln. On a vu le plan de ce poëme, non moins admirable par une suite de
and défaut dans une pièce de théâtre. Ainsi le poëte ne doit bâtir le plan de son ouvrage, et conduire l’action jusqu’à sa f
donc de courir après l’esprit, il ne doit s’attacher qu’à dresser son plan et à conduire son action, de manière que ses pers
l’a dignement remplacé, quoiqu’il ne l’ait pas tout-à-fait égalé. Les plans de ses comédies sont tracés avec intelligence. El
s passagers, de nos modes nouvelles, par la sagesse et la variété des plans , l’aisance et la correction du style. Ses meilleu
feu d’une imagination riche et lumineuse : c’est là qu’on admire des plans hardis, des intrigues fortement nouées et habilem
i, il est plus sage, plus soutenu, et toujours guidé par le goût. Ses plans sont toujours exacts ; ses intrigues sagement con
es, un spectacle majestueux et imposant ; on trouve qu’en général ses plans ne sont pas neufs, ou qu’ils manquent d’une certa
st un tragique du second ordre, qui mérite bien d’être distingué. Les plans de ses tragédies sont en général réguliers, l’int
s le récit de son action. C’est ce que je vais faire en présentant le plan de l’Enéïde. Je tâcherai de ne donner à cette ana
damment d’un génie hardi, mais sage, qui est nécessaire pour créer un plan vaste et régulier ; indépendamment d’une imaginat
caractères, et le second plus d’invention, plus de régularité dans le plan , plus de variété dans les événemens. Ce poëte sub
plus d’art, plus de jugement, et sait bien mieux orner la raison. Son plan est exact, sa narration rapide et jamais interrom
talie délivrée des Goths par Belisaire, sous l’empereur Justinien. Le plan en est sage et régulier ; mais il n’y a presque p
 ; que le sentiment y est étouffé par les descriptions ; enfin que le plan est défectueux. Mais ils y ont admiré de très-bea
56 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre II. Éloge de Démosthène par Lucien. »
uvement, et en dialogue. On sait d’ailleurs que l’idée première et le plan dramatique de l’éloge de Marc-Aurèle, furent four
57 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Définition et division. »
tout l’éclat qu’elles peuvent recevoir. Cette phrase contient tout le plan de cet ouvrage, que je devise en deux parties, re
58 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
n’est pas moins indispensable que l’invention. On se fait d’abord un plan général dans lequel n’entrent que les premières v
vues et les pensées principales. La qualité essentielle à donner à ce plan c’est l’unité. On distingue plusieurs espèces d’u
59 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
(IV, 252-264  cf. Euripide, Hécube, v. 239) pouvait aussi fournir le plan . On ne sait pas par quel auteur elle avait été tr
60 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
à l’influence des partis contraires, et vivant au jour le jour, sans plan fixe, sans marche assurée, il a donné la mesure d
61 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
e. Tous les ambitieux ont eu cette méthode1 ; Le matérialisme à leurs plans est commode ; Corrompus, corrupteurs, ils avaient
ngrat ? Et Marat n’est donc plus ce maniaque acerbe Qui compromet les plans de Danton le superbe ! Regardant Robespierre. Reg
62 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
effet, la méditation qui féconde l’esprit, dit Buffon. C’est faute de plan , c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
ne sait auxquelles on doit s’arrêter. Mais lorsqu’on se sera fait un plan , lorsqu’on aura rassemblé et mis en ordre toutes
ntéressant et lumineux. 331. Quelles sont les qualités nécessaires au plan de toute production littéraire ? Les qualités fo
tivement si le sujet a été fécondé par une sérieuse méditation, si le plan a les qualités requises, si la réflexion a présid
struction du lecteur, et qui dépendent en grande partie de l’unité de plan et de composition, ainsi que de l’art important d
63 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre premier. »
détourner du dessein qu’elle a pris, il faut que l’utilité du nouveau plan frappe tous les esprits, pour entraîner tous les
64 (1854) Éléments de rhétorique française
iscours public, le style épistolaire et la conversation. Tel était le plan de cet ouvrage, à l’époque où parut la première é
uent qu’à la disposition oratoire ; mais nous n’aurions pas rempli le plan que nous nous sommes proposé dans cet ouvrage, si
me, avant de prendre la plume, on n’aurait pas encore arrêté tout son plan , on doit au moins disposer ses idées à mesure qu’
uable, et j’aime Que l’on serve à la fois la patrie et soi-même. A ce plan dès longtemps vous avez dû penser ; Par où donc,
ces vaines études. Si un jour il a besoin d’un géomètre pour lever le plan de ses terres, il les fera arpenter pour son arge
rtel. Bossuet avait entrevu dans saint Augustin et dans Paul Orose le plan , la suite, la vaste ordonnance de son Histoire Un
haque citoyen. Un grand nombre de députés voulaient qu’on examinât le plan du ministre dans le plus grand détail. Mirabeau m
t remède, et qu’aucun député n’est en mesure de substituer un nouveau plan à celui du ministre. Il prouve que si l’on rejett
jour, une heure, un instant pouvait le rendre mortel ? Avons-nous un plan à substituer à celui qu’il propose ? (Oui, s’écri
ria quelqu’un.) Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas connu : qu’il faut du temps pour le dév
’elle n’échut en partage à aucun mortel. « Il faut donc en revenir au plan de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
ujet qu’il va traiter, et d’en coordonner les différentes parties. Le plan une fois tracé, les idées se succéderont aisément
n, plus il sera facile ensuite de les réaliser par l’expression. « Ce plan n’est pas encore le style, mais il en est la base
s ? c’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un plan éternel dont elle ne s’écarte jamais ; elle prépa
es fondements inébranlables des monuments immortels. « C’est faute de plan , c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son su
; il demeure donc dans la perplexité : mais lorsqu’il se sera fait un plan , lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
65 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Marc Girardin Né en 1801 » pp. 275-278
va suivre. Il saura le détacher avec art, le produire sur le premier plan . 1. Traduction du psaume xlv Le narrateur par
66 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Principaux homonymes. » pp. 63-65
ure. 57. Plaine, n. f. campagne plate. Pleine, adj. f. de Plein. 58.  Plan , n. m. surface plane, dessin, projet, etc. Plant
67 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bourdaloue 1632-1704 » pp. 89-93
la pénitence. Nous admirons en lui un accent convaincu, la beauté des plans , une exposition sévère, le tissu serré des dévelo
68 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
un vrai poème, peint fort bien l’intérêt, l’unité et la régularité de plan des fables de Lafontaine. Le vrai nom blesse moi
arration historique. Préceptes du genre. Il n’entre point dans mon plan de tracer ici les graves devoirs d’un historien.
armée entière occupe le fond et les côtés. Au milieu, sur le deuxième plan , est un char vide attelé de taureaux, deux guerri
69 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
Pourquoi ce parfait écrivain n’a-t-il pas mis à exécution un si beau plan , et s’est-il contenté de nous en offrir une ébauc
ité et l’excellence de son jugement, a modelé un beau monument sur un plan à peu près semblable, mais plus vaste. En s’entou
ent souvent orner et éclaircir les principes qu’il a tracés. Mais son plan est vaste et exécuté avec abondance. D’ailleurs,
tion, si elle est déplacée, si elle est n’est pas en harmonie avec le plan général, la beauté se convertit immédiatement en
duire naturellement. Si toutes nos phrases étaient construites sur un plan uniforme, il en résulterait une monotonie choquan
s simplex duntaxat et unum. A. P. v. 15. C’est la simplicité dans le plan d’une tragédie où il n’y a une double action, ni
ombre de gouvernements démocratiques, presque tous tracés sur le même plan , animés du même désir de liberté, jaloux et rivau
rté. Pisistrate, qui fut contemporain de Solon, et qui bouleversa son plan de gouvernement, fut, suivant Plutarque, le premi
ps après lui, à composer ses Éléments de Rhétorique formés d’après un plan très différent de celui d’Isocrate et des rhéteur
l ne se borne point à conseiller des mesures vigoureuses, il trace le plan qu’on doit suivre ; il entre dans les détails, et
où peut tomber à chaque instant celui qui n’a pas dans son esprit le plan distinct de ce qu’il veut à l’égard des auditeurs
ntion à cette étude. S’il y a du désordre ou de l’embarras dans notre plan , nous ne pouvons parvenir à convaincre, et toute
facile, je crois qu’une bonne règle à suivre serait de n’en former le plan qu’après avoir médité la substance de son discour
ffectation. À cette seconde partie du discours succède la division ou plan de l’oraison : plusieurs observations sont ici né
ommuns ; les rhéteurs qui leur succédèrent, éblouis par l’éclat de ce plan , travaillèrent à le réduire en un système si comp
70 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
ropre langage, et lui plaire par le discernement des convenances. Ses plans sont des modèles de dextérité. L’intérêt s’anime
71 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »
èrent une multitude de gouvernements démocratiques, basés sur le même plan , animés du même esprit de gloire et de liberté, m
72 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bourdaloue, 1632-1704 » pp. 133-137
la pénitence. Nous admirons en lui un accent convaincu, la beauté des plans , une exposition sévère, le tissu serré des dévelo
73 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
icus obtiennent justice. Un autre morceau du même genre, mais dont le plan et l’exécution devaient offrir des différences ma
mitié. » J’ai précédemment exposé à chacun de vous en particulier mon plan et mes moyens d’exécution : chaque jour, chaque i
74 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre III. De l’Éloquence chez les Romains. »
oncernent l’homme public et le philosophe, n’entrent point dans notre plan  : il ne s’agit ici que de l’orateur, et nous allo
75 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
. Dans les Vœux d’un solitaire, Bernardin de Saint-Pierre traçait les plans de ses réformes, sans doute aussi peu praticables
76 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
l’intérêt du sujet qu’on traite. Cet ordre forme ce qu’on appelle le plan et l’ensemble l’unité. Ce défaut de plan ou d’uni
re forme ce qu’on appelle le plan et l’ensemble l’unité. Ce défaut de plan ou d’unité fait que l’écrivain, dès le début, se
position, la division et les subdivisions forment ce qu’on appelle le plan du discours. Ce terme, emprunté de l’architecture
es les parties qui doivent concourir à former un tout. Qualités du plan . Il résulte de là que la première qualité du p
. Qualités du plan. Il résulte de là que la première qualité du plan est l’unité. Il doit, de plus, être juste, c’est-
rendre la plume, l’orateur, avant de prendre la parole, de méditer le plan qui convient le mieux au sujet : c’est là une néc
e pour la fin ce qu’il y a de plus frappant, de plus décisif et qu’il plan  ; dans le milieu les preuves les moins fortes ; c
t qu’il plan ; dans le milieu les preuves les moins fortes ; c’est le plan dit homérique. Mais il peut se trouver des circon
traduction, avec tout son mérite, rend mal l’original. Sur le premier plan apparaît, dans le latin, le père des humains. L’i
77 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
ie latin, dont il aime la rigueur et l’autorité. Il inaugure enfin le plan harmonieux d’une vaste conception. Il substitue u
78 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -
es voies à Henri IV. Il organisa la conspiration littéraire, traça le plan de la grande parade, et, faisant promettre le sec
79 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
à la nouvelle édition de votre Cours de littérature. La simplicité du plan , la logique de la méthode, la clarté des division
80 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
temps et de lieu des beautés d’un ordre supérieur dans l’exécution du plan dramatique, ou certaines situations pathétiques q
te ou la marche de l’action n’est autre chose que le développement du plan . Or le développement de l’action dramatique prése
, soit dans la tragédie, soit dans la comédie, lorsqu’il en médite le plan . Les actes sont séparés les uns des autres par un
’on croie les acteurs occupés dans l’entr’acte ; et le poète, dans le plan de la pièce, en divisant son action, doit la dist
81 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
être considérés comme des modèles, où chacun a le loisir d’étudier le plan , d’approfondir l’ensemble des idées, pour en tire
commandement. Aussitôt il rassemble ses troupes pour leur exposer son plan et son but. « Soldats, vous qui avez été associé
ssiner : veux-tu que je t’indique le lieu, les complices, le jour, le plan du complot, le meurtrier qui doit porter le premi
x mesures prudentes ; nous ne critiquons pas en phrases pompeuses les plans de nos ennemis, sans nous inquiéter si nos action
ansporter la guerre en Afrique. Pas un des soldats ne connaissait les plans du général. À peine débarqué, il dévoile ses dess
s vous avouer sincèrement que je ne puis approuver les projets et les plans qui paraissent devoir être adoptés. Non, ce n’est
82 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
t substitua le prestige de l’éloignement du lieu à celui du temps. Le plan de cette tragédie est des plus vicieux, et le nœu
té. Ce caractère de Phèdre suffirait pour couvrir tous les défauts de plan et de conduite qu’il serait facile d’y signaler.
mérite littéraire de la pièce, il n’y a ni partage ni controverse. Le plan est conçu et conduit de manière à exciter l’intér
ant lui ne s’était fait une habitude, une loi d’isoler sur le premier plan d’une pièce un travers plus ou moins bouffon, et
est ce qu’il a composé de plus parlait, de plus irréprochable dans le plan . Assurément ce n’est pas une de ses tragédies les
y ; c’est là, et sous ses inspirations, que le jeune Arouet conçut le plan de la Henriade, dont le sujet, dit l’auteur lui-m
sait d’être l’auteur, qu’il fit le second chant dont il avait déjà le plan dans sa tête et le seul, remarque La Harpe, où il
e faut pas perdre son temps à la chercher131. Ces discours offrent un plan moins régulier que les épîtres de Pope sur le mêm
sez faible. Pour qu’elles pussent être nommées poèmes, il faudrait un plan général mieux combiné, une marche plus suivie, un
ée d’un talent lyrique hors ligne, Lebrun est incorrect, inégal ; ses plans sont incohérents ; il abandonne fréquemment son s
ix syllabes, Narcisse dans l’île de Vénus, médiocre d’invention et de plan , mais qui renferme assez de beautés de détail pou
me il l’aurait fallu pour l’intérêt et la vraisemblance. Les vices du plan , l’exagération d’une sentimentalité factice, l’in
à leur durée. Premièrement, le poète ne sait pas composer et mûrir un plan , et il fut toujours indocile aux remontrances de
té d’objet et par une série continue d’idées et de développements. Le plan est peu marqué. Ce poème, construit de morceaux d
pas leurs nombreuses familles ! Partout le grand artiste a varié son plan  : Ici c’est un étui, là se montre un cadran ; L’u
i appartient à tous les habitants des campagnes. Aspirant à suivie le plan de Virgile, il essaya de tracer, non les parcs de
, du poète et du sage. Son poème de l’Astronomie est plus mesquin de plan , mais recommandable par de brillants morceaux. Vi
ais qui n’avaient point voulu de ses Vêpres. La composition manque de plan . Ce n’est qu’une succession de scènes épisodiques
s avoir besoin de détails épisodiques et d’inventions romanesques. Le plan de la Divine Odyssée a une grandeur incontestable
83 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
: de l’état de nos rapports avec elles dépendent en partie le ton, le plan , la manière que nous devons adopter. On n’écrit p
84 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
n que le principal. Ses lointains sont aussi étudiés que ses premiers plans . Aussi a-t-il besoin de travailler sur une matièr
85 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
l’action, l’heure à laquelle elle commence ; qu’il détaille tout son plan , caractérise ses acteurs, et le tout en agissant.
s défauts, et devint le plus parfait modèle des poètes tragiques. Ses plans sont toujours exacts, ses intrigues sagement cond
86 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
et je vous marque cette circonstance pour avoir lieu de vous faire le plan de l’état où les choses se trouvèrent à la mort d
87 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
ant toute sa liberté d’action, et le lui dire. Tel sera entre amis le plan à suivre, et l’on fera bien d’y conformer son sty
88 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
s préceptes. Ainsi, la solidité et l’intérêt du fond, l’ordre dans le plan , l’agrément de la forme, telles sont les qualités
me descriptif, qui implique plutôt une suite d’études poétiques qu’un plan correct et complet, doit plaire par la richesse d
89 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
et du merveilleux ; ensuite de la disposition, de l’ordonnance ou du plan  ; enfin de l’élocution ou du style. § Ier — De
une fin, l’épopée devra présenter la même division. La disposition ou plan du poème épique doit donc renfermer trois parties
90 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
e voulut imiter les rois d’Asie, il fit une chose qui entrait dans le plan de sa conquête. Esprit des lois 1, X, 13 et 14.
91 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
montrer ensuite qu’elle est vraie, et enfin qu’elle est aimable. » Le plan , dit La Harpe, est parfaitement tracé ; les preuv
92 (1852) Précis de rhétorique
doit d’abord occuper la pensée ; lorsqu’il est choisi, on en jette le plan et on le développe par la méditation. 6. Pour s’a
le développe par la méditation. 6. Pour s’aider dans la méditation du plan , il faut mettre d’abord à profit tout le mécanism
z le sujet. — 6. Que faut-il faire pour s’aider dans la méditation du plan  ? 7. Que faut-il faire ensuite ? — 8. Qu’entend-o
on oratoire est l’arrangement des moyens fournis par la méditation du plan . 2. Les règles de la disposition oratoire concern
93 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
rs, dit M. Wey, sont des parties disproportionnées avec l’ensemble du plan d’un ouvrage, ou mal distribuées dans l’ordonnanc
94 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des figures » pp. 324-354
à emprunté à Mirabeau un bel exemple de subjection : « Avons-nous un plan à substituer à celui qu’on nous propose ? Oui ! a
95 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
ts et la progression des idées et des sentiments, les divisions et le plan du discours. L’Élocution ou le style traduit par
comme le poète, détermine en idée les personnages, les épisodes, les plans de son tableau ; il les dispose et en arrête l’or
e le plus d’impression et d’effet. Elle divise le discours d’après un plan méthodique et raisonné, conforme à l’instinct nat
faut toujours satisfaire à cette triple condition de l’invention, du plan et de l’élocution. Il n’y a de différence que dan
aise. I. Lorsque la Disposition a déterminé le dessein et le plan des idées, il reste à les traduire, ou, comme dit
96 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
conduite qu’à un général habile, et le choix de ce général ; voilà le plan et la division naturelle de ce discours, l’un des
97 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
rchais est l’auteur dramatique qui a mis le plus d’invention dans ses plans . Talent souple et fertile qui suffit à tout avec
98 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
tel. Bossuet avait entrevu dans saint Augustin et dans Paul Orose1 le plan , la suite, la vaste ordonnance de son Histoire un
99 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
ibi Ecclesia. S. Ambroise. La première de ces épigraphes indique le plan de l’ouvrage ; la seconde, l’esprit. Article I
100 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
tre populaire ! On vantait la patriotique opposition des notables aux plans du contrôleur général Calonne, sans remarquer que
Que nous taillons à peine au fond de leurs carrières ! Qui donnera le plan , la forme, le dessin ? Quel effort convulsif cont
                       Est d’aller jusqu’au bout. Mieux j’ai mûri mon plan , plus je dois être ferme À ne le pas risquer, en
nseigne, Dans le cercle d’un an bornât leur double règne. Tel est mon plan , Valère, et je tiens pour certain Qu’il prépare a
Mais je le cherche en vain, cet esprit ferme et sûr Qui pourra de mes plans récolter le fruit mûr, Et j’aurai la douleur de v
d’appui Sur lequel l’ouvrier, même le plus novice, Pourra d’après vos plans achever l’édifice. RICHELIEU. Pour moi, je ne con
ins. Tous les ambitieux ont eu cette méthode. Le matérialisme à leurs plans est commode. Corrompus, corrupteurs, ils avaient
ngrat ? Et Marat n’est donc plus ce maniaque acerbe Qui compromet les plans de Danton le superbe ? Je ne suis ni cafard, ni f
jour, une heure, un instant pouvait le rendre mortel ? Avons-nous un plan à substituer à celui qu’il propose ? (Oui, s’écri
s l’Assemblée.) Je conjure celui qui répond oui de considérer que son plan n’est pas connu ; qu’il faut du temps pour le dév
qu’elle n’échut en partage à aucun mortel. Il faut donc en revenir au plan de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
ent décisif, acharner notre amour propre à changer quelque chose à un plan que nous n’avons pas même conçu, et diminuer, par
rtel. Bossuet avait entrevu dans saint Augustin et dans Paul Orose le plan , la suite, la vaste ordonnance de son Histoire un
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