. Première partie. Descriptions1. 1. Tableau du printemps.
Plan
. Vous commencez par dire que les rigueurs de l’hi
boureurs et par les promenades des jeunes élèves. 2. Le verger.
Plan
. Que d’autres vantent les magnifiques jardins qui
la ville pour venir y rêver. 3. Tableau de la fin de l’automne.
Plan
. Les beaux jours ne sont plus. Combien le spectac
oment de son plus grand éclat. 4. Tableau d’un incendie à Rome.
Plan
. Le feu prend pendant la nuit dans la place de Sa
1520. 5. Le repos des champs après les occupations de la ville.
Plan
. Il s’agit de peindre le plaisir qu’on éprouve à
e l’emploi de sa journée champêtre. 6. Visite au village natal.
Plan
. Après une longue absence, vous visitez le villag
bord les trois premiers alinéas, puis les autres. 7. La prière.
Plan
. Le soleil se couche, la lune paraît. C’est l’heu
la nature, et l’Éternel daigne m’écouter. 8. Le jardin anglais.
Plan
. On développera avec détail les particularités su
plus sensés que lui, cultivent du blé et des choux. 9. La nuit.
Plan
. Dans un beau soir d’été, je m’éloignai du villag
gne. Veille toujours sur ma famille. » 10. Amour du lieu natal.
Plan
. J’ai vu l’Italie, qui est si belle. Tableau, énu
Deuxième partie. Narrations. 11. Les deux pommiers. Sujet et
plan
. Un laboureur avait deux fils. À la naissance du
la culture et du travail. 12. Le pauvre et son chien. Sujet et
plan
. Vous êtes allé à la promenade avec quelques-uns
ite gaîment votre promenade. 13. Les fleurs favorites. Sujet et
plan
. Par une belle matinée du printemps, trois enfant
e la résolution d’imiter ces vertus. 14. Les diamants. Sujet et
plan
. Le calife Almanzor, continuellement flatté par t
gypte, et à Cordoue en Espagne. 15. Les deux lumières. Sujet et
plan
. Un jeune homme, après une longue absence, retour
17. Bonté envers les animaux récompensés par les hommes. Sujet et
plan
. 1re partie. Un jeune paysan, probe, intelligent,
ce, et finit par lui accorder sa demande. 18. Imogène. Sujet et
plan
. La jeune et tendre épouse de l’empereur Adolphe,
assiné par un de ses neveux. 19. Sympathie paternelle. Sujet et
plan
. Un vieillard, appartenant à la peuplade sauvage
des monts Alleghany. 20, 21 et 22. Gaston et Jacquot. Sujet et
plan
. 1re partie. Gaston de Florval, appartenant à des
d’assurer son avenir. 23. L’homme pris par un lièvre. Sujet et
plan
. Décrivez le débordement de la Seine. Dans une pe
incident qu’il vous plaira d’inventer. 24. L’adoption. Sujet et
plan
. Un homme riche et généreux se charge d’un jeune
olennellement pour son fils. 25. Le jeune orgueilleux. Sujet et
plan
. Sur un navire qui faisait voile pour les Indes s
ainsi dire, se correspondre. 26. Le choix d’un vizir. Sujet et
plan
. Le calife Yesid veut nommer un vizir4. On lui va
le caractère d’Abdallah. 27 et 28. Faute et repentir. Sujet et
plan
. 1re partie. Alexis, enfant très-heureusement éle
ils. Tableau de réconciliation. 29. Les deux souhaits. Sujet et
plan
. Une sécheresse affreuse désole une riante contré
ccomplissement même de ses désirs. 30. L’enfant perdu. Sujet et
plan
. Un habitant de Damas, nommé Hussein, avait un en
éloigné où le négociant l’avait acheté. 32. Anacréon. Sujet et
plan
. Pendant une belle soirée d’été, Anacréon était d
eur violent et injuste. 33. La discrétion à l’épreuve. Sujet et
plan
. Un diplomate danois, le comte Ericson, était all
homme, qui devint un diplomate distingué. 34. L’ennui. Sujet et
plan
. Un jeune homme riche et sans occupation s’ennuya
ix, la dernière victoire qui acheva la conquête de la Gaule. Sujet et
plan
. Au premier rang des braves qui défendent contre
tyle devra être élevé et poétique. 36. Les sortilèges. Sujet et
plan
. Dans un canton peu éloigné de Rome et habité par
qui a écrit sur l’agriculture. 37. La demeure maudite. Sujet et
plan
. Décrivez les ruines d’un vieux château, au milie
e nul n’osa plus habiter, tomba en ruines. 38. Le bal. Sujet et
plan
. L’intendant d’Amiens donnait un grand bal. Décri
fets actuels. 39. Vesins et Regnier. (26 août 1772.) Sujet et
plan
. Deux jeunes gens nés dans le Quercy, de deux fam
prince du sang royal de France, venait d’entrer en Piémont. Sujet et
plan
. Avant de partir pour aller combattre le comte d’
d’Enghien était frère du père de Henri IV. 41. Ézilda. Sujet et
plan
. Robert, en poursuivant les ennemis vaincus, vien
langue, celui d’Ézilda. 42. Leçon donnée par un père. Sujet et
plan
. Un homme riche avait un fils unique, nommé Eugèn
t le bienfaiteur de son canton. 43. Le joueur corrigé. Sujet et
plan
. Ariste apprend que le jeune Adolphe, fils d’un a
is entre les mains de Lycurgue, qui ordonnerait de son sort. Sujet et
plan
. Les envoyés du peuple amènent à Lycurgue Alcandr
s avant J.-C. 46. Clairval le fier et le bon Clairval. Sujet et
plan
. Deux frères, propriétaires dans le même village,
ammer sa charité et son zèle. Né en 1538, il mourut en 1584. Sujet et
plan
. Un jour, dans le cours de ses visites pastorales
a nage, et revint au château dans la nuit, apportant la tête du loup.
Plan
. La narration doit commencer au moment où le prin
st de Katt, et il força le malheureux Frédéric d’y assister. Sujet et
plan
. Frédéric est tiré de sa prison et conduit, devan
, le marchand rétablit complètement ses affaires, et se trouva riche.
Plan
. Deux scènes, intéressantes par elles-mêmes et pa
odestie et la piété même, et, chose rare en Espagne, fort savants. »
Plan
. Ce sujet peut être traité de plusieurs manières.
na. 52. Le lion. (Histoire du temps des croisades.) Sujet et
plan
. Un chevalier français, dans la Palestine, sauve
dans les flots. 53. Récit d’une bataille. (An 312.) Sujet et
plan
. Sous les murs de Rome et dans son enceinte même,
à Antioche, en 310, qu’eut lieu le martyre de saint Lucien. Sujet et
plan
. On conduisait Lucien au martyre. Décrivez sa sér
re sa mémoire le 7 janvier et le 15 octobre. 55. Soüs. Sujet et
plan
. Les Spartiates, enveloppés par les Arcadiens, va
ère chrétienne. 56. Amour filial, tendresse conjugale. Sujet et
plan
. Chélonide, fille de Léonidas, chef de Sparte, av
57. Le dîner offert et accepté. (Trait de Duguesclin.) Sujet et
plan
. Les troupes anglaises, commandées par le captal
urut en 1377. 58. Almanzor. (Narration allégorique.) Sujet et
plan
. Accablé de malheurs qu’il n’avait pas mérités, A
es biens et envoyé aussi en exil dans le désert de Bérésoff. Sujet et
plan
. Vous décrirez la triste vie que mène Menzikoff d
substituons le père au fils. 60. Léopold de Brunswick. Sujet et
plan
. Vers l’an 1775, la rivière d’Ocker9 déborde, à q
us vive sensation en Europe. 61. Les ennemis généreux. Sujet et
plan
. Ali, roi de Perse, assiège Khoreb, prince de Dam
t été souvent et sont même encore infestés par des brigands. Sujet et
plan
. Nommé gouverneur d’une forteresse dans les Apenn
es murs de sa forteresse. 63. Le songe du jeune élève. Sujet et
plan
. Un jeune élève, après une journée consacrée à l’
fait son choix. 64, 65 et 66. Le prisonnier de guerre. Sujet et
plan
. 1ère partie. Jules, officier français, âgé de vi
ntièrement détruite par le froid. 67. Trait de Pie IX. Sujet et
plan
. Un jeune prêtre, à Rome, voit passer un condamné
successeur fut Grégoire XVI, mort en 1846. 68. Keoven. Sujet et
plan
. L’empereur du Japon avait fait d’inutiles effort
pollonius. (Règne de Marc-Aurèle à Rome, de 161 à 180.) Sujet et
plan
. Malgré tous les obstacles qu’on lui oppose, le p
Sylla et Célius. (Épisode des guerres civiles de Rome.) Sujet et
plan
. L’impitoyable Sylla s’est emparé de Préneste, vi
parte de -469 à 427 avant J.-C. ; il eut pour fils Agésilas. Sujet et
plan
. Trois mois après la naissance d’Agésilas, les ép
fin, un soir, il cède et donne l’ordre de faire périr Osmin. Sujet et
plan
. Aussitôt après avoir donné l’ordre de faire péri
îtres du poste, il se retira à la hâte, sans oser combattre. Sujet et
plan
. Après la prise du poste et la retraite de Pescai
que le service de la France l’exigera. » 74. Ladislas. Sujet et
plan
. Les Hongrois, malgré l’habileté et la valeur de
par des guerres continuelles. 75. La dot de Fanchette. Sujet et
plan
. Quelques années avant la révolution de 1789, une
bienfaitrice en la retrouvant. 76. L’éclipse de lune. Sujet et
plan
. Christophe Colomb, à son quatrième voyage, est j
l’excellence du repentir, et combien il est agréable à Dieu. Sujet et
plan
. Un sylphe demande la faveur de visiter l’Éden, s
ttre un crime que de le justifier. » Le tyran, furieux, le fit périr.
Plan
. Le récit du meurtre de Géta ne doit pas entrer d
onnes de sa suite de dire que c’était le sanglier qui l’avait blessé.
Plan
. Description de la chasse. Vous peindrez Carloman
eau de Salvator Rosa représente une aventure de sa jeunesse. Sujet et
plan
. Plein d’enthousiasme pour les arts, et espérant
agea en Europe, grâce au courage persévérant de deux moines. Sujet et
plan
. Deux moines grecs, ayant pénétré jusqu’en Chine,
ur d’Orient Justinien régna de 527 à 565. 82. Owinsko. Sujet et
plan
. Le roi de Pologne Étienne, après un long siège,
exception en faveur d’Owinsko. 83. Henri de Lancastre. Sujet et
plan
. Henri de Lancastre, prince de Galles, fils du ro
enonça pour jamais au monde et fit don de sa principauté à la France.
Plan
. Cette narration se divise naturellement en deux
e duc de Guise, gouverneur de Provence, et le brave Crillon. Sujet et
plan
. Guise, avec l’étourderie de son âge, parie contr
ague dans le cœur. » 86. Le Wildgraf12. (Légende13.) Sujet et
plan
. Un seigneur farouche, la terreur de la contrée,
urtrier, et ordonna qu’on le laissât partir sans lui faire aucun mal.
Plan
. 1re partie. A la nouvelle de l’arrivée de Richar
ourdon fut lancée. 89 et 90. Le jeune berger. (1688) Sujet et
plan
. 1re partie. Dans la partie méridionale de l’Écos
demande, il exige leur grâce ; il l’obtient et rend le dernier soupir
Plan
. La narration commence au moment où les Vendéens,
, mais encore le plus pur et le plus dévoué de ses citoyens. Sujet et
plan
. Eschine est vaincu et déclaré calomniateur ; sa
r, sous sa conduite, l’étendard de l’indépendance nationale. Sujet et
plan
. Robert et Edmond14, seuls dans une barque, tâche
rez ce Français Delmance15, vous donnerez à son ami le nom de Flavio.
Plan
. Pendant que la conjuration se trame, Delmance es
auprès de la barque. Adieux des deux amis. 95. Flavio. Sujet et
plan
. Le lendemain de l’évasion de Delmance, Octavio,
ir, révèle la vérité et se livre à la juste vengeance du nouveau roi.
Plan
. Deux grandes scènes doivent remplir cette narrat
ul ce courage ; il plaida pour le jeune Roscius et le sauva. Sujet et
plan
. Accusé de parricide par le scélérat qui lui a ra
ur, le grand-duc fut solennellement présenté à la princesse. Sujet et
plan
. Vous décrirez l’entrevue du grand-duc et d’Hedwi
ne église ; un prêtre les entendit et révéla le complot à l’empereur.
Plan
. A quelque distance d’Aix-la-Chapelle, dans une v
est la suite de la précédente, qui suffit pour l’expliquer. Sujet et
plan
. Charlemagne a reçu les révélations d’Ilfrid. Déc
tilde avait fait en son nom, il se renferma dans un cloître. Sujet et
plan
. Nous supposons que quinze ans après le meurtre d
son gendre, voulut l’assassiner, afin de régner à sa place. Sujet et
plan
. Un soir, Maximien vient trouver sa fille Fausta.
de l’empire romain16. 104 et 105. Roger de Sanguinet. Sujet et
plan
. 1re partie. Sous le règne de Charles d’Anjou, un
leur adresse un discours pour les animer à terminer leur entreprise.
Plan
. Le travail des élèves se bornera à développer en
raitez-moi comme l’un des serviteurs qui sont à vos gages. » Sujet et
plan
. L’enfant prodigue, dans un monologue, développer
ouronne et s’avançant vers les députés, il leur adresse un discours :
Plan
. Xénophon débute par un court exorde convenable à
combats : enfin le repentir l’emporte, il va tout révéler à Cicéron.
Plan
. Faites exprimer par Sévérus, dans un monologue,
son fils unique ; il épanche dans son sein sa douleur et ses regrets.
Plan
. Il a voulu se venger d’un outrage ; mais, pour g
s d’Alphonse à Pélage. (Discours précédé d’un récit.19) Sujet et
plan
. Nous supposons qu’après la mort du comte Julien,
n fils de son dessein et de l’heureux succès qu’elle espère. Sujet et
plan
. Saisi d’effroi, d’indignation et de douleur, Sél
t adopter momentanément la croyance superstitieuse qui régnait alors.
Plan
. Eudoxe révèle son secret à ses compagnons : il l
les et compatissantes qui l’ont sauvée, et leur apprend qui elle est.
Plan
. Elle leur raconte son histoire et leur communiqu
d’impatience, supplient le roi de donner l’assaut. Henri leur répond.
Plan
. Le roi reconnaît qu’il serait facile, surtout à
surprennent au milieu des fêtes, et remportent une victoire complète.
Plan
. Alfred se nomme aux soldats ; on l’a cru mort ;
rs vertus, l’un périrait, l’autre serait à jamais déshonoré. Sujet et
plan
. Damon, grâce à la généreuse amitié de Pythias, e
d’Owinsko, supplie son père de l’épargner, ainsi que ses compagnons.
Plan
. Fédor, dans son exorde manifeste sa haine contre
chrétiennes, ou si elles seraient asservies aux Mahométans. Sujet et
plan
. Pendant la nuit qui précède la bataille, Eudes,
on riche voisin soit condamné à réparer le dommage qu’il lui a causé.
Plan
. Après un court exorde, vous racontez le fait en
et à la honte de terminer une vie héroïque par une trahison. Sujet et
plan
. Narsès écrit une seconde lettre au roi des Lomba
l’un des bannis qui venaient de rentrer triomphants, prit la parole.
Plan
. Exorde : Il ne s’étonne pas que les Napolitains
des états généraux demande pour cet enfant une récompense nationale.
Plan
. Le discours se composera de deux parties. La pre
evalier plein de loyauté et de bravoure, lui conseille de la refuser.
Plan
. On pourra commencer ce discours par un exorde ex
g et pénible. Enfin ses vivres sont épuisés : plus d’espoir. Sujet et
plan
. Gilimer délibère sur ce qu’il doit faire : « Mou
d’avoir enfreint les lois en faisant violence à un tribun du peuple.
Plan
. Pour défendre ce jeune homme vous commencerez pa
rant dans un secret entretien sur la conduite de son père. Tel est le
plan
de la première partie. Dans la seconde partie, su
int ses ordres. Un tribun militaire prend la parole pour le défendre.
Plan
. Il prouve 1° que l’action de Titus n’est pas un
un dédommagement qui leur fut refusé. Ils s’adressèrent à la justice.
Plan
. Il vous en coûte d’avoir recours aux tribunaux ;
tent devant le tribunal universitaire : on l’accuse ; il se justifie.
Plan
. Ce discours peut avoir pour base les motifs suiv
er contre l’ennemi cette fureur qui les animait contre leurs enfants.
Plan
. Dans son exode, l’orateur commence par protester
il va démasquer le traître ; il va démontrer l’innocence de son ami.
Plan
. Eudoxe commencera par un exorde tiré de l’incide
a rivière d’Allia, prirent la ville de Rome et la brûlèrent. Sujet et
plan
. Camille apprend dans sa retraite que Rome vient
e, tribunal d’Athènes célèbre par son impartialité et par sa sagesse.
Plan
. Discours contre Mélanthe. Exorde : C’est avec r
monument d’orgueil et de barbarie. L’avis de ce vieillard fut suivi.
Plan
. Exorde : Enfin la vérité peut se faire entendre
n à Labéon. Labéon refuse. L’affaire est portée devant les tribunaux.
Plan
. Après un exorde convenable et une courte narrati
onsidérer dans cet événement le lieu, l’époque et les circonstances.
Plan
. lre partie : le lieu. Le Messie a voulu naître d
t un monument en l’honneur du sage qui a péri victime de leur erreur.
Plan
. L’orateur déplore l’erreur dans laquelle les Ath
violée ; il demande que l’on marche sur-le-champ contre ces barbares.
Plan
. Vous mettrez dans la bouche de Raoul des paroles
ne comparut pas et n’envoya personne pour soutenir sa cause. Sujet et
plan
. Un des membres de la cour des pairs prend la par
ont et sa race et lui-même, s’il ne sort pas de cette fatale apathie.
Plan
. L’orateur, s’adressant à Clovis avec la sévérité
à sa communion, et leur propose d’aller avec lui venger leurs frères.
Plan
. Dominique de Gourgues retrace en peu de mots à s
pape et lui demande que le barigel soit puni d’une manière éclatante.
Plan
. L’ambassadeur, après un exorde convenable, racon
’est surtout au courage du jeune homme que le succès est dû. Sujet et
plan
. Le lendemain, Isadas est accusé devant le sénat
époque, il avait trente-six ans ; son père en avait soixante-quinze.)
Plan
. L’orateur laisse éclater l’indignation qu’il épr
lée du peuple et demande qu’il soit puni de mort. Coriolan se défend.
Plan
. Coriolan prouve aux Volsques qu’il ne les a poin
Charles d’Anjou en 1268 ; il fut vaincu et fait prisonnier. Sujet et
plan
. Conradin vient d’être vaincu et pris. Charles d’
III fut assassiné à son tour devant Paris, qu’il assiégeait. Sujet et
plan
. Le roi vient de communiquer sa résolution à ses
ns. 154. Discours d’un jeune helvétien aux magistrats. Sujet et
plan
. Cinquante jeunes gens, appartenant au canton d’U
t une mort glorieuse. 155. Discours de Vladimir Fédor. Sujet et
plan
. Ivan IV30, czar de Russie ou Moscovie, laissa de
156. Discours du pape Alexandre III au concile de Latran. Sujet et
plan
. Le pape Alexandre III a assemblé au palais de La
libre. 157. Discours de Fonteius dans le sénat romain. Sujet et
plan
. On vit sous le règne de Tibère les deux Vibius,
r qu’il est capable de se porter dans la suite aux plus cruels excès.
Plan
. Selon que cette action vous paraîtra ou très-gra
les sujets de description, à développer les pensées énoncées dans le
plan
. 2. On entend par lis des champs la fleur vulgai
our ce sujet et pour ceux qui suivent, nous ne faisons qu’indiquer le
plan
en très-peu de mots, ou même nous ne l’indiquons
rdre ; si cet ordre venait à se troubler, tout périrait. » § I. Du
plan
. On appelle plan l’ordre dans lequel on dispos
venait à se troubler, tout périrait. » § I. Du plan. On appelle
plan
l’ordre dans lequel on dispose les différentes pa
n’y a pas de règle absolue à établir sur la manière de construire un
plan
; il dépend toujours de la matière elle-même, du
atteindre. Tout ce que l’on peut dire, c’est qu’il faut se tracer un
plan
, et y introduire trois qualités essentielles : l’
: l’unité, la simplicité et la division. L’unité et la simplicité du
plan
ont pour but d’empêcher l’auteur de se perdre dan
anguissant. Chaque genre de littérature a ses règles, et nécessite un
plan
particulier : une ode ne se compose pas comme un
il ne faut pas croire qu’une lettre puisse être écrite sans ordre ni
plan
. Une lettre d’affaires doit être simple, méthodiq
urtant y distribuer les pensées avec un certain ordre : sans avoir un
plan
bien arrêté, le simple bon sens nous indiquera la
ion oratoire. La rhétorique explique ordinairement fort au long le
plan
que doit suivre un orateur dans la composition d’
on, Bossuet, Bourdaloue ou Massillon, en faire l’analyse, examiner le
plan
, la marche, la distribution des parties : ce trav
lnet. 1. Nous indiquons, dans la seconde partie de l’ouvrage, le
plan
qui confient spécialement à chaque genre d’ouvrag
e tout l’édifice. Pour réussir dans l’invention, il faut se tracer un
plan
où ne doivent entrer que les premières vues et le
s vues et les principales idées ; c’est en marquant leur place sur ce
plan
, qu’un sujet sera circonscrit et que l’on en conn
ion, plus il sera facile ensuite de les réaliser par l’expression. Ce
plan
une fois conçu dirigera la disposition, la soumet
s que parce que chacun d’eux est un tout, et qu’elle travaille sur un
plan
dont elle ne s’écarte jamais. L’esprit humain qui
il imite la nature dans sa marche lente et son travail continu sur un
plan
bien conçu et graduellement développé ; ce n’est
des fondements inébranlables, des monuments immortels. C’est faute de
plan
, c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son su
res, et il demeure dans la perplexité. Mais lorsqu’il se sera fait un
plan
, lorsqu’une fois il aura rassemblé toutes les pen
n cette phrase : Dans l’invention on cherche un sujet, on en jette le
plan
, et on le développe par la méditation. Pour s’aid
on le développe par la méditation. Pour s’aider dans la méditation du
plan
, on peut conseiller deux choses aux jeunes gens :
ercevoir un objet. Le second moyen pour s’aider dans la méditation du
plan
est de recourir aux lieux communs. Ils sont ou in
eindre. Aussi nous sommes nous bornés, pour nos développements ou nos
plans
, aux devoirs donnés par la Sorbonne pendant les d
tous les textes des sessions de 1881, 1882 et 1883 renvoyant pour les
plans
des compositions de ces trois années à l’excellen
. Lettres. • Lettre d’Auguste à Virgile qui lui avait envoyé le
plan
de l’Énéide. / I. — Il se félicite d’avoir exhort
ar Boileau. (29 novembre 1883). Seconde partie. Développements ou
plans
des compositions françaises données à la Sorbonne
t l’éloquence véhémente et passionnée déjoua pendant quatorze ans les
plans
de Philippe ; à part les disgrâces momentanées qu
blic passionné, cet étrange et sublime mystère de la Passion, dont le
plan
avait été tracé par saint Paul lui-même. La durée
tifiante et sur la grâce efficace ont été bientôt reléguées au second
plan
, et la défense n’a pas tardé à se changer en atta
paux ouvrages de critique littéraire, antérieurs au xixe siècle ?
Plan
. — La critique littéraire est l’art d’apprécier l
qu’un moraliste ? Quels sont les principaux moralistes français ?
Plan
. — Le titre de moraliste, entendu largo sensu, pe
[1] (13 août 1885) Analyser le caractère d’Achille dans Homère.
Plan
. — Les principaux traits du caractère de l’Achill
sar, divi genus, aurea condet Sæcula qui rursus Latio, etc. Ainsi le
plan
général de l’Énéide se réduit à ceci : Arrivée d’
main d’après la Grandeur et décadence des Romains, de Montesquieu.
Plan
9. — Pour Montesquieu, le trait principal du cara
sujet. Des puristes rigoureux ont attaqué son style et mis au second
plan
celui que Bossuet appelle le plus grave des histo
; il ne réclame pas d’ordre rigoureux, de disposition méthodique, de
plan
arrêté ; il admet une marche irrégulière, caprici
on entre l’Épître aux Pisons d’Horace et l’Art poétique de Boileau
Plan
11. — Caractère simple et familier de l’épître d’
préoccupe surtout de la peinture des caractères, et relègue au second
plan
la complication de l’intrigue. 2º De 1641 à 1653.
rces Corneille a-t-il puisé pour la composition de ses tragédies ?
Plan
.12 — Corneille, élevé dans l’admiration exclusive
ce et la justesse du dialogue au plus haut degré de perfection. »
Plan
. — Le prouver en citant et appréciant les dialogu
ue ; mais, eu égard aux autres rôles de la tragédie, il est au second
plan
et n’est indispensable qu’au dénouement. Le carac
[17] (14 novembre 1885) Du caractère de Sévère dans Polyeucte.
Plan
13. 1. — Le personnage de Sévère dans Polyeucte e
e. [21] (7 août 1884) De la théorie de Boileau sur l’épopée.
Plan
15. — Boileau, comme tout son siècle, a ignoré la
caractères d’Andromaque et d’Hermione dans l’Andromaque de Racine.
Plan
. — Andromaque est le type de l’amour conjugal et
uves de ce qu’il sera. Avec quelle placidité il déclare à Burrhus ses
plans
criminels, avec quel calme il commet ses perfidie
tre classique ; en particulier ceux de Maxime, Narcisse et Mathan.
Plan
. — S’il est vrai de dire en général que Racine es
lon dans la Lettre à l’Académie pour enrichir la langue française.
Plan
. — Fénelon, constatant que « notre langue manque
[29] (4 novembre 1885) Des opinions de Fénelon sur l’Éloquence.
Plan
. — Dans les théories qu’il a émises sur l’Éloquen
rceaux les plus remarquables du Siècle de Louis XIV, par Voltaire.
Plan
. — Le Siècle de Louis XIV peut se diviser en quat
ècle de Louis XIV, la méthode et le talent historique de Voltaire.
Plan
. — Il faut reconnaître, avant tout, à Voltaire l’
u Siècle de Louis XIV est relative à sa méthode, à sa composition. Le
plan
est trop analytique ; Voltaire raconte d’abord to
égant, peintre animé et sobre à la fois. [32] (9 novembre 1884)
Plan
et idée générale du Discours sur le style. Dév
ours sur le style. Développement. — Il n’est pas aisé de donner un
plan
net du Discours sur le style. Buffon s’étend sur
plan net du Discours sur le style. Buffon s’étend sur la nécessité du
plan
dans les ouvrages de l’esprit, et a pratiqué trop
l’ordre et du mouvement dans le style. 1º De l’Ordre. — Nécessité du
plan
. L’unité fait la perfection des œuvres de la natu
; elle doit faire aussi le prix des œuvres de l’homme. Il faut que le
plan
soit si fortement conçu que la pensée « puisse l’
’œil » ; il faut que l’ouvrage soit « fondu d’un seul jet ». Faute de
plan
, l’écrivain reste dans une pénible, et en est réd
Il résulte naturellement de l’ordre. Quand l’écrivain se sera fait un
plan
sévère, « il n’aura que du plaisir à écrire ; les
[1] (8 août 1885) Faire l’éloge du patriotisme de Démosthène.
Plan
. — Rappeler que dès l’âge de 25 ans, Démosthène e
a lecture publique de l’Iliade, un de ses disciples l’en remercie.
Plan
. I. — Merci, maître, de m’avoir initié à la grand
Christ, et dans laquelle Cicéron prononça la première Catilinaire.
Plan
. — I. — Curius ayant avisé Cicéron des projets de
dinal de Retz) pour l’engager à ne point prendre part à la Fronde.
Plan
. — 1º Il vient d’apprendre le projet du Coadjuteu
ontaine à Boileau après la lecture du IIe chant de l’Art poétique.
Plan
. — 1º Il remercie Boileau de lui avoir envoyé son
de la part de Louis XIV, le brevet d’Historiographe du roi (1677).
Plan
. — Sentiments que Colbert éprouve en faisant part
qu’il peut retirer de ce poste pour observer les mœurs de la Cour.
Plan
. — Bossuet éprouve un vif désir de tirer de sa si
s l’abandon et la misère. Composer la lettre de Boileau à Colbert.
Plan
. — Il vient se plaindre au ministre, non pour lui
le des Anciens, introduit des chœurs dans ses dernières tragédies.
Plan
. — Dans Esther et Athalie, vous avez fait revivre
Louis XIV pour lui conseiller de ne pas révoquer l’édit de Nantes.
Plan
. — Il s’excusera de la liberté qu’il prend de don
ésintéressé de toute gloire mondaine, prenant la plume pour tracer un
plan
d’occupations auxquelles il ne pourrait peut-être
ir bien donner une représentation en l’honneur de cette solennité.
Plan
. — La ville natale du grand Corneille se prépare
eur ès-lettres. La Composition française du baccalauréat, conseils et
plans
synoptiques pour traiter les principaux sujets pr
outenu tant de pensées et de préceptes divers. Chaque volume offre un
plan
harmonieux et complet, dans lequel l’estimable au
e tous enfin louent notre auteur « d’avoir mis de la netteté dans son
plan
, de la clarté dans sa méthode, de la justesse dan
otre Cours de littérature, j’ai tenu à le parcourir. J’y ai trouvé un
plan
net et précis, une méthode claire, des définition
et précises ? Il vous a suffi de décrire les lignes tracées sur votre
plan
. Dans l’exécution, vous avez observé vos propres
ude au point de vue des enseignements de la foi, même netteté dans le
plan
de l’ouvrage, même clarté dans la méthode, même j
à la nouvelle édition de votre Cours de littérature. La simplicité du
plan
, la logique de la méthode, la clarté des division
s les rapports qu’elles ont entre elles]. Nous parlerons seulement du
Plan
général qui convient à toute composition sérieuse
énéral qui convient à toute composition sérieuse. Section II. — Du
Plan
Le Plan est le dessin d’ensemble des premiers
convient à toute composition sérieuse. Section II. — Du Plan Le
Plan
est le dessin d’ensemble des premiers rudiments d
ture : nous pouvons rappliquer également aux ouvrages de l’esprit. Le
plan
détermine la disposition générale et particulière
nsemble et de la régularité. » Si nous commençons par nous tracer un
plan
, nous appellerons à nous les idées ; elles se rév
ation, et nous pourrons ensuite les mettre en œuvre. « C’est faute de
plan
, dit Buffon, c’est pour n’avoir pas assez réfléch
: il demeure donc dans la perplexité. Mais, lorsqu’il se sera fait un
plan
, lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
es définitions manquent d’exactitude et de netteté ; souvent aussi le
plan
n’est ni assez logique, ni assez complet. — Nous
divisions aussi claires que naturelles, et pour renfermer dans notre
plan
tous les principes et toutes les règles des compo
nnu dans la presse religieuse. Après avoir pris connaissance de notre
plan
et de notre méthode, il nous écrivait dernièremen
et toute la conscience de ce livre. Tout en cherchant à améliorer le
plan
et la méthode, nous nous sommes bien gardé de per
ion de l’esprit est de choisir le sujet ; celle du génie, de créer le
plan
; celle du goût, de fournir les embellissements.
prit dans le choix du sujet, soutiennent le génie dans la création du
plan
, dirigent le goût dans la distribution des orneme
e flambeau, pour qu’on puisse voir si le sujet est bien choisi, si le
plan
est bien construit, si les ornements sont bien as
de son raisonnement : — Nous perdons un temps précieux à discuter le
plan
de M. Necker. Or tout autre projet, même excellen
tion est urgente. Donc… — Écoutez le développement : « Avons-nous un
plan
à substituer à celui que M. Necker nous propose ?
ns l’assemblée. Je conjure celui qui répond oui de considérer que son
plan
n’est pas connu, qu’il faut du temps pour le déve
ple cité plus haut revient à un dilemme : — Ou vous avez de meilleurs
plans
à proposer, et il est trop tard ; ou vous n’en av
jour, une heure, un instant pouvait le rendre mortel ? Avons-nous un
plan
à substituer à celui qu’il propose ? (Oui, s’écri
s l’Assemblée). Je conjure celui qui répond oui de considérer que son
plan
n’est pas connu ; qu’il faut du temps pour le dév
qu’elle n’échut en partage à aucun mortel. Il faut donc en revenir au
plan
de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
ent décisif, acharner notre amour propre à changer quelque chose à un
plan
que nous n’avons pas même conçu, et diminuer, par
e serré, impénétrable ; il fait la revue de ses preuves, dispose leur
plan
d’attaque et les rauge en bataille. Couvert des a
le moyen et la facilité que nous publions ce livre. On y trouvera des
plans
, des développements, des devoirs d’élèves, et, po
Ils développeront ensuite les sujets dont nous ne leur offrons que le
plan
, et là encore ils auront la faculté de contrôler,
elon les candidats, mais les questions sont à peu près les mêmes. Les
plans
, les développements, les sujets s’adressent donc
e ne saurait aller au hasard et qu’elle a besoin de s’astreindre à un
plan
bien arrêté. Ici encore il convient de bien savoi
Lettre sur les occupations de l’Académie française, quels en sont le
plan
et l’esprit général, s’arrêter au chapitre sur l’
erez le rapport de Colbert au Roi ; vous y exposerez ses raisons, ses
plans
, ses espérances pour l’avenir et l’influence de c
la troupe, dans une réunion préparatoire, expose à ses compagnons le
plan
du voyage, les conditions qu’il exige, l’itinérai
historique ? – Faire d’après Voltaire un portrait de Charles XII.
Plans
Quelle a été l’influence personnelle de Lou
ation de Corneille, de l’invention plus grande qui se révèle dans ses
plans
. Boileau est d’avis que ceux de Racine sont plus
éros de Voltaire ont peu de relief et laissent peu de souvenirs ; ses
plans
sont romanesques ; il écrit d’une façon plus bril
e a la force avec la familiarité, l’ampleur avec la précision, et les
plans
de ses discours sont simples et lumineux. Il s’es
que de belles tragédies ; elle a dénoncé la combinaison faible de ses
plans
, l’arrangement factice de ses situations où se ré
sont perdues dans un ensemble défectueux et confus, une tragédie sans
plan
et sans caractères, un poème lourd et traînant, e
bordonner les unes aux autres selon leur degré d’importance, faire un
plan
, tracer des paragraphes sans développements oiseu
sentiments exprimés la démonstration de l’excellence de cette œuvre.
PLAN
Préambule. – Esquisser rapidement et discrètemen
et Molière a fondé celle de la vie civile. » (Section des Lettres.)
PLAN
Préambule. – Remarquer le double parallélisme qu
trouvent jamais leur compte à la campagne. » (Section des Lettres.)
PLAN
Préambule. – Sens exact de la pensée. Madame de
iquer cette supériorité de l’une sur l’autre ? (Section des Lettres.)
PLAN
La prose et la poésie au xviii e siècle. Préamb
Qu’entendez-vous par un écrivain classique ? (Section des Lettres.)
PLAN
Préambule. – Définir le sens exact du mot : clas
le nécessaire. » Qu’est-ce que le nécessaire en fait de lectures ?
Plan
développé Préambule. – Mme du Deffand, célèbr
pas d’une note sèche et brève, comme ils écrivent en quelque sorte un
plan
des devoirs, des leçons orales, il est nécessaire
ésentât le sujet. Les unes semblent ignorer complètement ce qu’est un
plan
, un ensemble, ce qu’on entend par ordre et méthod
ées qui contraste avec l’indécision et l’inexpérience de la forme. Le
plan
est souvent défectueux ; les développements, au l
par laquelle Buffon remercie le roi de cette faveur et lui expose les
plans
qu’il a conçus pour l’extension de cet établissem
es le sujet est surtout traité d’une façon vague et superficielle. Le
plan
a été tracé au hasard ; les digressions littérair
; quelques aspirantes ont su le dire. Trois copies ont bien tracé le
plan
du sujet, l’ont suivi fidèlement, l’ont développé
emmes pour auteurs, pour inspiratrices ou pour juges ». C’était là un
plan
tout fait. Comment donc s’expliquer que tant de c
toutes les parties de la grammaire. Le texte indiquait à peu près le
plan
, qui a été bien compris et bien suivi. Les faits
ts et développements d’histoire. Elles y trouveront des conseils, des
plans
, des copies d’élèves, des corrigés. Elles s’y hab
ensemble, une seconde fois pour saisir l’ordonnance, la régularité du
plan
, – une troisième fois, lentement, posément, par f
’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. »
PLAN
Préambule. – Définir le sens de la phrase. Le ch
des écoles normales, lui répond. Vous avez à composer cette réponse.
PLAN
Préambule. – La jeune fille s’excusera de plaide
haits. » (Philémon.) N’a-t-on rien de plus à souhaiter en ce monde ?
PLAN
Préambule. – Chacun poursuit ici-bas son idéal d
… Les écrivains, les moralistes surtout se sont appliqués à tracer un
plan
d’existence heureuse. Les Épicuriens mettent la f
re. Je voudrais qu’on en fit un recueil. Ce cours de littérature sans
plan
et sans dessein, cette poétique sans dissertation
lus à échanger des idées agréables qu’à se faire la leçon » (Nisard).
PLAN
DÉVELOPPE Préambule. – De toutes les lettres écr
es qu’il semble les semer comme par hasard et d’une main prodigue. Le
plan
, le dessin d’un ouvrage méthodique, d’un traité s
lusion. – L’exemple faisait passer le précepte avec lui. C’était sans
plan
et sans dessein et ce n’était pas sans utilité. L
t lui comme autant d’accusateurs ; une leçon mal faite, sans ordre ni
plan
; une exposition embarrassée et sans intérêt ; de
r Vaillant (Delaplane). Nous donnons quelques sujets. Nous traçons le
plan
de quelques devoirs – et nous renvoyons aux autre
quelles conditions peut-on utilement interroger à l’école primaire ?
PLAN
Préambule. – Utilité de l’interrogation, – pour
. Quelles sont les principales qualités nécessaires à un historien ?
PLAN
DÉVELOPPÉ Préambule. – L’historien doit raconter
ées par sa triple fonction. – En outre il faut que pour le choix d’un
plan
, pour le style, pour l’évocation du passé, l’hist
Montrer la légitimité et la nécessité de l’obligation scolaire.
PLAN
Préambule. – Il semble, tout d’abord, que la fam
des grands préceptes de la politique est de ne pas trop gouverner »
PLAN
Préambule. – Juste assimilation de la vie politi
« Il n’y a pas d’étude qui ne prête à la culture des sentiments. »
PLAN
Préambule. – Divorce apparent qu’il y a entre l’
« L’éducation qu’on donne aux autres profite toujours à soi-même. »
PLAN
Préambule. – La pensée a un tour piquant et orig
vrai que l’imagination n’ait aucun rôle à jouer dans la science ?
PLAN
Préambule. – Montrer en quelques lignes que nomb
e traités. Nous renvoyons aux écoles scientifiques pour les conseils,
plans
et développements. Concours de 18811. Pédag
n d’architecture, juillet 1886.) un étranger a anthènes CONSEILS ET
PLAN
Évitez avec soin de tomber dans une aride énuméra
s, des orateurs, des philosophes qu’il a le bonheur de fréquenter. Le
plan
s’impose… Quelques lignes d’introduction sur l’ar
e vers fameux : « Souvent un beau désordre est un effet de l’art. »
PLAN
Préambule. – Joie de l’arrivée… Étonnement mêlé
diques. (Section de peinture, février 1888.) le poecile. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS L’on a le choix entre trois scènes. Il c
end toujours les généraux et les soldats imitateurs de leur courage ?
PLAN
Préambule. – Le Poecile était orné de tableaux q
littérature des Grecs. (Section de peinture, juin 1891.) CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Le sujet est double. Il doit se diviser
une nomenclature, mais s’attacher à dégager des caractères généraux.
PLAN
Préambule. – Intérêt que présente l’étude de l’a
ls ont été les principaux protecteurs de la Renaissance ? CONSEILS ET
PLANS
CONSEILS Une définition très courte de la Renaiss
oduire. Il suffit de s’en tenir aux termes même de la question posée.
PLAN
Préambule : Définitions. 1er Paragraphe. – En It
qui était le fond du caractère de Duquesne. (Centre d’examen : Brest)
PLAN
Préambule. – Il a reçu la missive de son maître,
ant, en développant ses idées. (Centre d’examen : Paris.) CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Tout est à développer, mais dans une mes
qu’on trouvera des idées et des expressions vivantes, qui porteront…
PLAN
1er Paragraphe. – Description très courte du gro
uête pacifique et chrétienne. (Centre d’examen : Rennes.) CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS. Le sujet comporte une narration et un d
mmencer d’une façon vive qui mette la scène sous les yeux du lecteur.
PLAN
1er Paragraphe. – Narration. – Décrire le groupe
nce et de son incrédulité. (Centre d’examen : Rochefort.) CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS On remarquera que les premières lignes d
précis du travail qu’on aborde : récit, dissertation, discours, etc.
PLAN
1er Paragraphe. – Joie du succès. On est à San-Sa
it pas capable de naviguer. (Centre d’examen : Toulouse.) CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Il serait extrêmement maladroit de début
e peu malaisé. Pourquoi ? C’est qu’il faut tout tirer de soi-même. Le
plan
n’est pas indiqué. Il faut faire œuvre de composi
, trop soumis, il ne sera pas écouté, il ne frappera pas l’attention.
PLAN
Début de la lettre… – Il espérait qu’on l’agréer
Artapherne au roi de Perse, sur leur expédition en Grèce. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Les candidats se rendront compte que pou
colère des dieux, surtout pallier leurs fautes, leurs maladresses…..
PLAN
1er Paragraphe. – Tout a été heureux, a réussi à
d’Asdrabal annonçant à Annibal son arrivée en Italie et indiquant son
plan
de campagne pour opérer avec lui sa jonction. CON
nt son plan de campagne pour opérer avec lui sa jonction. CONSEILS ET
PLAN
La connaissance de l’histoire est indispensable.
a marche. Ce sont ces messages qu’il faut interpréter, développer…..
PLAN
Préambule. – Il exhorte Annibal à tenir bon, à n
jours, avec la connivence des alliés qui sont las du joug romain, le
plan
sera exécuté. Il a, en vérité, en face de lui, le
u’eux à découvrir le cadavre de celui qu’elle avait aimé. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS A supposer même que la bataille d’Hastin
is tableaux successifs, – trois moments de la crise. Quels sont-ils ?
PLAN
1er Paragraphe. – Description rapide du champ de
et se dérobe brusquement à la reconnaissance de l’enfant. CONSEILS ET
PLAN
La réticence du début n’est pas à conserver. Le r
e dialogue doit alterner avec le récit. Le ton doit être preste, vif.
PLAN
1er Paragraphe. – Montesquieu monte dans une barq
le roi Louis XI, contre les troupes du duc de Bourgogne. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Il faut faire un effort d’imagination, s
e Hachette. C’est sa conduite qu’il s’agit de mettre en beau relief.
PLAN
Préambule. – Charles le Téméraire tente de s’emp
erain de ses acclamations. Vous décrirez cette cérémonie. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Le danger qu’il fallait éviter, c’était
pouvoir et de lui-mème, par lassitude, il est vrai, mais par raison.
PLAN
1er Paragraphe. – Inutile de décrire le palais d
ptembre de l’année 1800. Vous imaginerez cette cérémonie. CONSEILS ET
PLAN
Il ne s’agissait ni de dire pourquoi Bonaparte av
3 septembre était l’anniversaire de la proclamation de la République.
PLAN
Préambule. – Le 1er vendémiaire an IX (23 septem
s, et verse des larmes. – Colbert expose, dans un mémoire au roi, les
plans
pour la réorganisation de la marine militaire (16
Pierre le Grand propose au Régent l’alliance de la Russie en 1718.
PLAN
. 1er Paragraphe. – Les traités d’Utrecht ont cha
t à retourner en tous sens quelques-uns d’entre eux, à les réduire en
plans
très nets, très logiques. Ils auront intérêt à co
étallurgique sur la richesse et sur la puissance du pays. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Il fallait réfléchir avec soin au sens d
ec des quatre paragraphes, grouper les divisions deux à deux. D’où le
plan
suivant. PLAN Préambule. – On prétend que le com
paragraphes, grouper les divisions deux à deux. D’où le plan suivant.
PLAN
Préambule. – On prétend que le commerce, que la
ême nature un empire proportionné à la science qu’il en a acquise. »
PLAN
Préambule. – L’homme exerce une sorte de royaut
il vient d’effectuer en ballon, dans un but scientifique. CONSEILS ET
PLAN
Le ton doit être celui de la joie que cause le su
cause le succès d’une entreprise, mais aussi celui de la modestie. Le
plan
est à trouver tout entier. Le sujet aussi, car il
es deux professeurs à 4 kilomètres d’élévation, sur la descente, etc.
PLAN
1° Nous voici de retour, et je vous envoie la rel
st-il vrai que la science et l’industrie doivent tuer la poésie ?
PLAN
Préambule. – Aujourd’hui, après les découvertes
r mystère des sciences deviendra facile. » Eloge du Progrès 1
PLAN
1° Il n’y a plus de distances. La vapeur les a su
Démontrer quelle serait l’utilité d’une histoire scientifique.
PLAN
1° Elle mettrait les savants en garde contre les
tion Raconter une visite faite dans le cabinet d’un chimiste.
PLAN
1° Le laboratoire – chalumeaux – fourneau – foyer
aux règles de la composition. Ils trouveront un choix de sujets et de
plans
littéraires dans la partie du volume relative au
opulaire : voir c’est savoir. Voir l’Utilité des voyages. Conseils et
plans
(écoles commerciales). Concours de 1890. 2e
ce qu’il a pu voir et observer. Voir : Les Deux Fermes ; conseils et
plans
(écoles vétérinaires). École du Grand-Jouan
e Du Belloi : « Plus je vis d’étrangers, plus j’aimai ma patrie. »
PLAN
ET CORRIGÉ Plan. – Préambule. – On a dit – c’est
lus je vis d’étrangers, plus j’aimai ma patrie. » PLAN ET CORRIGÉ
Plan
. – Préambule. – On a dit – c’est Sainte-Beuve – q
les cette vérité : « Mieux vaut douceur que violence. » CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Il convient d’abord de se demander d’où,
semblables : ce qui permettrait d’établir des divisions méthodiques.
PLAN
Préambule. – Sens du mot douceur. – Sens du mot
u la matière, après qu’on l’aura méditée et comprise, de se tracer un
plan
où, point par point, on se proposera de présenter
révocation pour le commerce et l’industrie de la France. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS La révocation en elle-même, les mesures
eule la réflexion pouvait suggérer pour la première partie du devoir.
PLAN
Préambule. – Date de la révocation (1685). Ce qu
ume sur cette pente qui amènera plus tard la banqueroute. CONSEILS ET
PLAN
C’est point par point, par une antithèse continue
nce au début des deux règnes, son état à la mort des deux souverains.
PLAN
Préambule. – Rôle considérable joué par les deux
orateurs sont les pionniers de la prospérité des nations. CONSEILS ET
PLAN
C’était surtout le rôle de la géographie au point
our chacune de leurs spécialités, un petit thème facile à présenter.
PLAN
Préambule. – La géographie n’est pas une science
té. Montrer la moralité de cette loi. La loi du travail. CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Le vrai sujet n’est pas l’inégalité des
l, son utilité, sa moralité. Ce sont là les trois idées à développer.
PLAN
Préambule. – Quelques mots très succincts sur l’
peuples ? Faut-il les approuver ? L’utilité des voyages. CONSEILS ET
PLAN
Quatre questions sont posées. Elles doivent forme
ésume l’idée. Il n’y a plus à craindre de vagabonder, de s’écarter du
plan
, d’aller à droite et à gauche, de s’exposer à voi
mots qu’il s’agit d’insister. Ce sont les clous qu’il faut enfoncer.
PLAN
Préambule. – Importance prise de notre temps par
Quels avantages présente sa fondation pour un pays ? CONSEILS ET
PLAN
CONSEILS Le sujet est nettement délimité. – Qu’en
péciales ne saurait nuire à l’élégance qui doit être soutenue, égale…
PLAN
Préambule. – Les nations commerçantes possèdent
ion et dans le pays et au dehors avec les cahiers des charges, devis,
plans
, modèles, les tarifs des transports, des prix de
consulaire sorti d’une école commerciale est-il appelé à rendre ?
PLAN
Préambule. – Importance toute particulière prise
roisième moderne 64 Programme de la classe de Quatrième moderne 66
Plans
69 Sujets traités 85 Devoirs d’élèves 131 EN
, l’une après l’autre, la thèse, l’antithèse et la synthèse. C’est le
plan
qu’ont adopté quelques philosophes et publicistes
uire, l’autre à apprendre. La clarté dépend alors de la conception du
plan
tout entier. Etudiez les grands maîtres, Racine s
la clarté. N’oubliez pas maintenant que la clarté résulte surtout du
plan
, de la disposition, et que la loi souveraine de c
te surtout du plan, de la disposition, et que la loi souveraine de ce
plan
lui-même est, comme pour l’ensemble de tout ouvra
la variété et l’originalité. « Dans une description, dit M. Wey, les
plans
comme les détails se présentent un à un à la pens
’une haute montagne ! À sa base, l’odeur des fleurs de la prairie, le
plan
incliné du gazon, le bruit du ruisseau qui fuit s
l’arrangement des moyens fournis par l’invention, et embrasse tout le
plan
du discours. Le plan élaboré par l’invention n’es
ens fournis par l’invention, et embrasse tout le plan du discours. Le
plan
élaboré par l’invention n’est autre chose que l’o
de l’invention, extraits de Buffon. L’orateur, après avoir conçu son
plan
à l’aide de ses moyens d’invention le coordonne
écond, heureux. 2° Il fait un dessin général de son œuvre. — C’est le
plan
de la composition. 3° Il se procure des matériau
n ordre les idées fournies par l’invention, c’est-à-dire de tracer le
plan
général que l’on doit suivre, de manière que chaq
magination. Si l’écrivain a bien médité son sujet, s’il s’est fait un
plan
, « il s’apercevra aisément, dit Buffon, de l’inst
e et un corps maigre et fluet. Pour éviter cet écueil, tracez-vous un
plan
général, et entrez aussitôt dans le vif de la que
ses parties. Cette dernière opération se rapporte à ce qu’on appelle
plan
du discours. Nous parlerons donc 1º des différent
rs. Nous parlerons donc 1º des différentes parties du discours, 2º du
plan
du discours. Chapitre premier. Des différentes
ous deux une faveur égale, mais encore laisser à chaque combattant le
plan
et le genre de défense qu’a choisis sa volonté. V
la division en termes formels ; l’orateur néanmoins aura toujours un
plan
dans son esprit, mais il lui sera peut-être utile
Eschine n’ont presque jamais annoncé de division et ont cependant un
plan
bien déterminé. Cicéron ne divise pas toujours ;
tiques, Cicéron et Quintilien recommandent beaucoup le choix d’un bon
plan
. « Il faut regarder comme un Dieu, disait Platon,
difficiles pour l’orateur comme pour l’écrivain. Cependant, quand le
plan
qu’on a choisi est convenable et naturel, quand l
que toujours mécontents (Voir le nº xviii). Chapitre deuxième. Du
plan
du discours23. 237. Par le mot plan, en généra
ii). Chapitre deuxième. Du plan du discours23. 237. Par le mot
plan
, en général, on entend ces premiers linéaments qu
rchitecture et il s’applique à toutes les œuvres littéraires. 238. Le
plan
du discours est donc l’ordre et la distribution d
toutes les idées qui doivent entrer dans ce discours. 239. Tracer son
plan
, c’est se fixer sur la proposition, les divisions
e discours. 240. Il est très difficile pour l’orateur de se tracer un
plan
régulier et satisfaisant. On trouverait assez d’h
r Horace : Infelix operis summa, quia ponere totum Nesciet. 241. Un
plan
heureux ouvre à l’orateur une large et brillante
x ouvre à l’orateur une large et brillante carrière ; mais un mauvais
plan
suffit pour ôter à son discours toute espèce de f
ntérêt ; il équivaut à un mauvais choix de sujet. Maury cite comme un
plan
vaste et fécond celui du P. Le Chapelain, dans so
n attendre vous-même. Le discours est pour ainsi dire fait dès qu’un
plan
aussi net est trouvé. L’orateur qui ne saurait le
r qui ne saurait le remplir serait incapable de le concevoir. 242. Un
plan
, pour être bon, doit réunir la justesse, la nette
tteté, la simplicité, la fécondité, la proportion et l’unité. 243. Le
plan
est juste s’il embrasse le sujet dans toute son é
uvre une multitude d’objets. 244. Pour qu’il y ait proportion dans le
plan
, il faut que toutes les parties du discours soien
est souvent tombé dans cette irrégularité. 245. Il y a unité dans le
plan
quand toutes les parties, malgré leur multiplicit
. Un moyen infaillible de juger de la justesse et de la solidité d’un
plan
, c’est de réduire le discours en syllogisme. Tout
raison. Si votre composition oratoire ne peut subir cette épreuve, le
plan
repose quelque part sur le faux, et il pèche néce
nres d’éloquence et de sujets ne sont pas également susceptibles d’un
plan
régulier : il est des matières qui se divisent fa
an régulier : il est des matières qui se divisent facilement et où le
plan
est tout formé d’avance ; il en est d’autres où l
ocat est obligé d’accepter la cause telle qu’elle se présente, et son
plan
peut être déterminé par une foule d’incidents ; à
dents ; à la tribune on n’a pas le temps et les moyens de se faire un
plan
régulier, et il est souvent utile de cacher sa ma
de l’ordre dans la composition, et graver d’abord dans sa mémoire le
plan
, la division et les différentes preuves de ce dis
i précèdent, c’est qu’il exige nécessairement un texte, un exorde, un
plan
régulier et une péroraison. 332. Le texte doit re
plus frappant sur cette vérité. Alors seulement il pourra trouver un
plan
et une division ; alors il aura peut-être de véri
c elle, à la vertu, au bonheur, au ciel. (L’abbé Mullois.) XXIII.
Plan
du sermon de Massillon sur la vérité de la religi
r ici un fragment de sermon, nous aimons mieux donner pour exemple un
plan
de sermon vraiment complet et régulier : c’est ce
du génie et tout l’enthousiasme de la gloire. (De Ravignan.) XXV.
Plan
du panégyrique de saint François de Sales, par Bo
our, une heure, un instant pouvaient le rendre mortel ? Avons-nous un
plan
à substituer à celui de M. Necker ? Oui ! a crié
ns l’assemblée. Je conjure celui qui répond oui de considérer que son
plan
n’est pas connu, qu’il faut du temps pour le déve
i critique, d’opposer les miens aux siens. Il faut donc en revenir au
plan
de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
au barreau. Aussi l’on ne saurait donner une trop grande attention au
plan
que l’on se propose de suivre. La confusion et le
e sais. Sais-tu qui en a posé les limités ? Sais-tu qui en a tracé le
plan
? Qu’étais-tu lorsque les astres du matin vinrent
our réussir dans la péroraison ? 237. Que faut-il entendre par le mot
plan
en général ? 238. Qu’est-ce que le plan d’un disc
e faut-il entendre par le mot plan en général ? 238. Qu’est-ce que le
plan
d’un discours ? 239. Qu’est-ce que tracer son pla
. Qu’est-ce que le plan d’un discours ? 239. Qu’est-ce que tracer son
plan
? 240. Est-il facile de trouver un bon plan ? 241
Qu’est-ce que tracer son plan ? 240. Est-il facile de trouver un bon
plan
? 241. Quel est l’avantage d’un plan bien choisi
Est-il facile de trouver un bon plan ? 241. Quel est l’avantage d’un
plan
bien choisi ? 242. Quelles sont les principales q
lan bien choisi ? 242. Quelles sont les principales qualités d’un bon
plan
? 243. En quoi consistent la justesse, la netteté
t la fécondité ? 244. Que faut-il pour qu’il y ait proportion dans le
plan
? 245. Que faut-il pour qu’il y ait unité dans le
ortion dans le plan ? 245. Que faut-il pour qu’il y ait unité dans le
plan
, et comment peut-on faire des digressions ? 246.
-on faire des digressions ? 246. Quel est le moyen de connaître si le
plan
est juste et solide ? 247. Tous les genres d’éloq
solide ? 247. Tous les genres d’éloquence sont-ils susceptibles d’un
plan
régulier ? 248. Qu’est-ce que l’élocution, et qu’
ns ses vastes et dramatiques tableaux, il sait à la fois embrasser un
plan
général, et descendre aux moindres détails, avec
Discours à l’Académie.) 1. Par exemple aussi, le lavis, le lever des
plans
. 1. Cette page m’en rappelle une autre du princ
ne rêvez pas vie militaire, si vous ne dévorez pas les livres et les
plans
de la guerre, si vous ne baisez pas les pas des v
uple d’Athènes, et attaqué avec acharnement par Eschine, qui basa son
plan
d’accusation sur trois infractions formelles fait
eur égale, mais permettre à chacune d’elles d’adopter et de suivre le
plan
de défense qu’elle aura jugé le plus favorable à
la nécessité urgente de s’opposer à ses desseins et de contrarier son
plan
d’invasion. Il entre ensuite dans le détail des s
, et la partie faible de Démosthène, qui, trop adroit pour adopter le
plan
de défense que lui traçait son adversaire, commen
il tenait avant tout à l’enchaînement du discours, et à l’ordre d’un
plan
suivi. Il affectionne le mot noble, comme Bossuet
on, plus il sera facile ensuite de les réaliser par l’expression3. Ce
plan
n’est pas encore le style, mais il en est la base
4 ? C’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un
plan
éternel dont elle ne s’écarte jamais ; elle prépa
des fondements inébranlables des monuments immortels1. C’est faute de
plan
, c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
il demeure donc dans la perplexité ; mais, lorsqu’il se sera fait un
plan
, lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
nt un édifice dont lui seul et la postérité concevront le gigantesque
plan
; dédaignant les détails techniques, les division
e, par conséquent, il ne saurait trop s’attacher à la construction du
plan
de son discours ; plan qui ne doit rien laisser à
e saurait trop s’attacher à la construction du plan de son discours ;
plan
qui ne doit rien laisser à désirer pour la clarté
en images et en sentiments. On admire dans ceux du P. Chapelain, des
plans
heureux, et très bien remplis, une marche libre,
quelque vertu dominante, qui paraît avoir animé toutes les autres. Le
plan
d’un Panégyrique est une des choses essentielles,
il peut le concevoir, il suffira d’en citer un bon exemple : c’est le
plan
du Panégyrique de Saint Louis par le P. Bourdalou
ces ornements avec profusion et sans choix ; de ne point négliger le
plan
et la conduite du discours, l’ordre et la liaison
rois qu’il ne sera pas inutile de leur tracer ici, en peu de mots, le
plan
admirable de l’Oraison funèbre du grand Condé, pa
ent sublimes. Il n’est peut-être pas de discours en ce genre, dont le
plan
seul fasse connaître autant que celui-là, l’homme
ements ; c’est la raison avec tout son empire et toute sa dignité. Le
plan
, la suite, l’économie de ses discours est admirab
s ? C’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un
plan
éternel dont elle ne s’écarte jamais. Elle prépar
s fondements inébranlables, des monuments immortels. » C’est faute de
plan
, c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
; il demeure donc dans la perplexité. Mais lorsqu’il se sera fait un
plan
, lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
nte à la tribune, de l’écrivain qui prend la plume. « C’est faute de
plan
, dit Buffon, c’est pour n’avoir pas assez réfléch
sées essentielles à son sujet, lorsque, en un mot, il se sera fait un
plan
, cette perplexité cessera ; car la place du premi
é cessera ; car la place du premier mot se trouvera déterminée sur ce
plan
comme celle des autres, et par celle des autres ;
fois ; enfin, pour reprendre et abréger cette division, et former un
plan
… — Encore, dites-vous ; et quelles préparations p
i sint his simillimi, judicare1. Quintilien, Inst. orat., X, 1. Les
plans
d’études les plus récents de l’enseignement secon
a mémoire. Ce choix appartient au bon goût du professeur. C’est là le
plan
que nous avons cru devoir suivre, en ne négligean
la pensée de l’auteur, et qu’on peut, d’un coup d’œil sûr, saisir le
plan
, la marche, le but, l’ensemble de son œuvre, déco
es propres écrits leurs pensées, leurs sentiments, leurs images, leur
plan
, mais avec une certaine liberté, c’est-à-dire en
les exposer ici, par la raison bien simple qu’il n’entre pas dans le
plan
d’un traité de littérature d’enseigner à traduire
éteurs qui vinrent après, éblouis par ce système, l’établirent sur un
plan
si régulier, que l’on eût dit qu’ils s’étaient pr
tion, on sera toujours flatté de voir se développer successivement un
plan
vaste ou une seule série d’événements ; on aime à
. C’est ce que l’on doit conclure de l’exposition qu’il nous donne du
plan
de son ouvrage au commencement de son troisième l
icieuses sur l’utilité d’adopter dans les compositions historiques un
plan
général ; il compare la faible instruction que l’
que celui des dates. Quoique l’Histoire d’Hérodote soit conçue sur un
plan
bien plus vaste que celle de Thucydide, et renfer
s qu’il raconte, et à discuter les avantages et les inconvénients des
plans
proposés et des mesures adoptées. Polybe est rema
istorien ne peut y parvenir qu’en observant scrupuleusement, dans son
plan
général et dans le détail de son sujet, cette uni
loyer. L’historien fait preuve d’un grand talent, lorsque, certain du
plan
qu’il doit suivre, il sait passer naturellement e
de à l’élégance. Accoutumé à former ses notions politiques d’après le
plan
des gouvernements anciens, il semble que le systè
ècle de Louis XIV fut une des premières productions esquissées sur un
plan
si judicieux ; il fixa bientôt l’attention de tou
r, le critique ne manque pas d’établir un parallèle régulier entre le
plan
des fables d’Ésope et celui de l’Iliade. L’auteur
éros qui conviennent le mieux aux rôles qu’il veut distribuer, et son
plan
se trouve achevé. Mais voici l’idée la plus pauvr
générale. Pour donner plus de force à son instruction, il imagina ce
plan
d’histoire : plusieurs princes formèrent une conf
e ; la défaite complète des ennemis fut le fruit de cette réunion. Ce
plan
général une fois formé, dit toujours notre critiq
pas être doué pour se persuader qu’Homère avait travaillé sur un tel
plan
! On peut affirmer avec confiance que le poète qu
du poème. Le poète, en effet, ne songe pas à établir en philosophe le
plan
d’un traité moral ; son génie s’enflamme à l’idée
ode, dans une épopée, Aristote entendit l’extension de la fable ou du
plan
du poème à toutes les circonstances qui dépendent
oème à toutes les circonstances qui dépendent de cette fable et de ce
plan
, et qui s’y rapportent. Son idée, il est vrai, ne
s points, nous conduire jusqu’à la fin de l’action dont il a tracé le
plan
, et s’arrêter. La seconde des qualités que doit r
c’est l’art que déploie l’auteur dans le maniement de son sujet. Son
plan
doit être établi de manière à pouvoir embrasser p
aturel et de vraisemblance, nous conduisent au dénouement. Tel est le
plan
que doit suivre l’auteur qui veut que son poème m
ui qui paraît triomphant à la fin du poème. Milton a travaillé sur un
plan
tout à fait différent, et a donné un dénouement t
solennelles de la religion ; tous deux l’aident encore à donner à son
plan
plus d’étendue et de variété, en y faisant entrer
méthodes dans l’Iliade, et l’autre dans l’Odyssée. Virgile suivit le
plan
de l’Odyssée, et le Tasse celui de l’Iliade. Le p
endres, les expressions les plus vives et les plus hardies. Aussi, le
plan
d’un auteur fût-il exempt de tout reproche, son a
peuples de l’Europe. Cette admiration que commande un ouvrage dont le
plan
est si différent de celui qu’un poète moderne ser
tte guerre mémorable. Ce fut d’après ces traditions qu’Homère jeta le
plan
de son poème ; et, bien qu’il ne vécût, selon l’o
u’Homère fut moins heureux que Virgile dans le choix de son sujet. Le
plan
de l’Énéide embrasse un plus grand espace de temp
jeune homme plein de goût et d’élégance ; il avait tracé lui-même le
plan
de son palais ; au sixième livre, Hector le surpr
e-même très brillante, elle donnait au poète la facilité d’élever son
plan
sur les anciennes traditions historiques de sa pa
dulation ; mais il ne me paraît pas vraisemblable qu’il ait conçu son
plan
dans un but politique. Comme poète, il suffisait,
rre, tue l’amant de la princesse, et cause la mort de sa mère. Un tel
plan
n’est pas fait pour nous disposer en faveur du hé
ar la seule raison que l’auteur ne s’est pas conformé strictement aux
plans
adoptés par Homère et Virgile. Le sujet de la Pha
nt liées avec beaucoup d’art ; leur variété n’altère point l’unité du
plan
. La conquête de Jérusalem est l’objet auquel tout
e héroïque ; bien qu’il y ait une sorte d’unité et de liaison dans le
plan
du Roland Furieux, au lieu de les rendre sensible
t conduit à sa fin. On dirait que ce poète affecta de n’adopter aucun
plan
régulier, pour donner un plus libre essor à l’ima
sent le reste du poème. L’ouvrage, dans son ensemble, est conforme au
plan
d’une composition épique. Le sujet et les inciden
lévation dont la langue française est susceptible, même en poésie. Le
plan
de l’ouvrage est en général très bien conçu, le s
le de la nature et de la vérité. Le poète, dans la disposition de son
plan
, a mille obstacles à surmonter pour que, sans tro
ès bien observer la règle de l’unité. Néanmoins il faut que, dans son
plan
, il ne s’éloigne pas trop de la simplicité ; car
nintelligible. L’unité d’action ne doit pas seulement exister dans le
plan
et dans l’intrigue, il faut encore qu’elle se ret
nte et moins intéressante qu’Andromaque. Racine a suivi deux fois les
plans
tracés par Euripide ; Phèdre est une très belle p
s de ses scènes, il ne manque ni de feu ni de sensibilité, quoique le
plan
en soit romanesque et les pensées extravagantes.
mi les meilleures pièces du théâtre anglais. Il n’entre point dans le
plan
que je me suis proposé, de parler des pièces mode
iolence et leurs suites funestes ; mais elles reposent souvent sur un
plan
irrégulier ; elles abondent en action et produise
n genre de composition très moral et très utile, dans la nature et le
plan
général de laquelle la censure n’a rien à reprend
die, la sphère de ses idées s’élargissait à mesure qu’il pensait. Son
plan
devint immense sous sa plume ; et enfin, au lieu
il se tiendrait dispensé d’en examiner le rapport, et de se faire un
plan
dont toutes les parties se prêtassent mutuellemen
ie pas l’entreprise, ce ne sera pas faute d’avoir exactement suivi le
plan
indiqué par un grand maître pour faire un bon ouv
l’ont distingué des autres compilations du même genre, c’est que mon
plan
ne leur a point échappé ; c’est qu’ils ont retrou
Préface. Le
plan
d’études arrêté par le ministre de l’Instruction
ue, et pour lesquelles nous avons rédigé le présent ouvragé. Voici le
plan
et le contenu du livre. Après un coup d’œil génér
e Style comme dans le reste du Cours, nous nous efforçons d’offrir un
plan
complet, de suivre une marche logique, de présent
tés de nos jours ; de nous louer d’avoir mis de la netteté dans notre
plan
, de la clarté dans notre méthode, de la justesse
vance quel sera le produit de toutes ces opérations de l’esprit… « Ce
plan
n’est pas encore le style, mais il en est la base
vre à la rigueur l’ordre qu’il s’est tracé primitivement. Une fois le
plan
bien arrêté, il n’y a pas d’inconvénient à traite
on, en dernier lieu par l’ambition. Cette triple tentation formera le
plan
naturel du discours et le subdivisera en trois pa
blouissante et harmonieuse poésie, et eût gagné comme logique, si son
plan
eût été à peu près celui-ci : Il est des génies p
la beauté, aux lignes de l’horizon romain, à la douce inclinaison des
plans
, aux contours suaves et fuyants des montagnes qui
ombinaisons, en petit et en grand, quand elle s’épanche sur de larges
plans
ou se brise dans les accidents les plus variés, s
ête villageoise, la vie, le bruit et le mouvement sont sur le premier
plan
; la paix et la grandeur sont au fond du paysage,
yait rien de Rome que le ciel sous lequel elle avait été assise et le
plan
de son gîte ; que cette science qu’il en avait ét
plaisir que nous font ces beaux poèmes, est fondée sur la sagesse du
plan
et sur la conduite de l’ouvrage ; sur l’enchaînem
us la raison nous rend capables de découvrir le mérite d’un semblable
plan
, plus nous trouvons de plaisir à la lecture de l’
onner un édifice, dont il a eu à peine le loisir de tracer le premier
plan
. Mais, bien loin de se laisser éblouir par l’heur
çait au roi, à la France, à l’Europe entière ; en exposait le but, le
plan
, les moyens, les auteurs, de manière à ne pas lai
Chapitre VII. Fontenelle. Fidèles à notre
plan
, qui est de mettre le plus qu’il est possible nos
. Il multiplie à tous propos les masses, les calculs, les forces, les
plans
, les ressorts, etc. ; c’est à tout moment la chaî
ltat, l’auteur, après avoir approfondi son sujet, doit t se tracer un
plan
, et lui donner pour caractère essentiel l’unité.
l’histoire. Les détails de l’histoire doivent être subordonnés au
plan
que l’on adopte : dans une histoire abrégée, on n
t le développement indispensable était commandé par la nature même du
plan
de l’auteur. On est fâché, par exemple, que l’art
dans son ouvrage un rang distingué, et rédigé le tout sur un meilleur
plan
. C’est le vœu que formait Quintilien à l’égard de
christianisme étonna par la grandeur de son objet et la richesse d’un
plan
qui embrassait sans effort une prodigieuse variét
sidé constamment à la distribution des richesses que la nature de son
plan
mettait à sa disposition, il eût mérité, sans dou
ux passions. En attendant, elle continuera toujours de suivre le même
plan
, et d’armer, pour la vérité, ce qu’il-y a de prin
e, par conséquent, il ne saurait trop s’attacher à la construction du
plan
de son discours, plan qui ne doit rien laisser à
ne saurait trop s’attacher à la construction du plan de son discours,
plan
qui ne doit rien laisser à désirer pour la clarté
isser à désirer pour la clarté, la justesse et l’exactitude. Voici un
plan
qui peut assurément servir de modèle, et dont l’e
quelque vertu dominante qui paraît avoir animé toutes les autres. Le
plan
du panégyrique est une des choses essentielles au
r d’étaler ces ornements avec profusion et sans choix, de négliger le
plan
et la conduite du discours, l’ordre et la liaison
faction indépendante du succès. Je dois maintenant donner une idée du
plan
que j’ai adopté. Dans l’exposition des principes
l’éloquence. Je n’ai pas cru devoir donner, comme quelques autres, au
plan
d’une rhétorique, une tournure neuve et extraordi
ut étudier dans les immortels chefs-d’œuvre de ces orateurs, c’est le
plan
, l’économie du discours, l’art de donner au raiso
scrivent les maîtres de l’art. Cet ensemble ne peut résulter que d’un
plan
méthodique, et ce plan méthodique sera à son tour
l’art. Cet ensemble ne peut résulter que d’un plan méthodique, et ce
plan
méthodique sera à son tour le résultat de la synt
n. C’est cet ordre qu’on entend quand on parle du Ce qu’on entend par
plan
. plan du discours ; car, lorsqu’on demande quel p
st cet ordre qu’on entend quand on parle du Ce qu’on entend par plan.
plan
du discours ; car, lorsqu’on demande quel plan un
qu’on entend par plan. plan du discours ; car, lorsqu’on demande quel
plan
un tel orateur a suivi dans son discours, on ne v
nvient qu’il est très-difficile de former sur un sujet quelconque, un
plan
régulier et satisfaisant ; c’est, dit-on, l’ouvra
é de l’orateur. » (De Orat., l. II, n. 308.) Moyen de former un bon
plan
. Il est bien difficile de donner sur cette distr
au moins nous en indiquerons les qualités essentielles. Qualités du
plan
. Le plan d’un discours doit réunir la justesse,
nous en indiquerons les qualités essentielles. Qualités du plan. Le
plan
d’un discours doit réunir la justesse, la netteté
r la justesse, la netteté, la simplicité, la fécondité et l’unité. Un
plan
qui a de la justesse, est celui qui embrasse le s
s toute son étendue, sans y rien ajouter, sans en rien retrancher. Un
plan
qui a de la netteté, est celui qui offre à l’espr
e les parties sans les isoler, et les assemble sans les confondre. Un
plan
qui a de la simplicité, est celui qui réduit tout
pensées ou de propositions générales qui le dominent tout entier. Un
plan
qui a de la fécondité, est celui dont chaque pens
tés dans lesquelles on en aperçoit une infinité d’autres. L’unité du
plan
consiste à former un tout de parties qui soient d
s au commencement de chaque point ou de chaque partie principale. Du
plan
. La proposition avec la division et la subdivisi
position avec la division et la subdivision forme ce qu’on appelle le
plan
du discours. Il ne doit pas trop restreindre le
doit pas trop restreindre le sujet. Nous avons parlé des qualités du
plan
dans le chapitre préliminaire de ce livre ; mais
e ce livre ; mais nous devons ajouter ici que le plus grand défaut du
plan
d’un discours, c’est de trop restreindre le sujet
éfaut du plan d’un discours, c’est de trop restreindre le sujet. « Le
plan
, dit l’abbé Maury, doit ouvrir un champ vaste et
ordinairement ses victimes. Il ne faut qu’une erreur pareille dans le
plan
, erreur qui est l’équivalent d’un mauvais choix d
. « Il importe, dit-il plus bas, d’observer dans la distribution du
plan
une graduation marquée, pour assurer ou plutôt po
déduit. » (N. 29.) Nécessité de méditer le sujet pour faire un bon
plan
. Pour tracer un bon plan, il faut avoir approfon
ssité de méditer le sujet pour faire un bon plan. Pour tracer un bon
plan
, il faut avoir approfondi le sujet qu’on veut tra
. La division du discours, qui n’est autre chose que l’expression du
plan
, doit avoir trois qualités qui sont la brièveté,
la simplicité. Exemple. On peut facilement appliquer ces règles au
plan
suivant ; c’est celui du sermon de Massillon sur
juge aussitôt de l’ordre qu’on doit observer ; si l’on doit suivre le
plan
tracé par l’adversaire, et répondre successivemen
permettra donc de ne pas les suivre, et de traiter la matière sur un
plan
tout différent. Ce qu’on entend par convenance d
r établir une contradiction, ou faire une concession qui coupât votre
plan
; si les juges désiraient que vous donnassiez plu
tion, d’arrêter de tête dans le moment et de fixer dans la mémoire un
plan
qu’il puisse suivre en parlant ; car il marcherai
aveugle s’il ne savait où il doit aller et par où. De marquer dans ce
plan
la place qui convient le mieux à chacune des idée
e à la main ; d’en faire une analyse qui contienne la substance et le
plan
de l’ouvrage ; d’examiner l’enchaînement et la pr
le-Vayer.) Tabl. Pages. Préface. Dessein de l’auteur. —
Plan
de l’ouvrage. j Notions préliminaires 1 Livre p
ties du discours. L’autre, aux idées principales. Ce qu’on entend par
plan
. Moyen de former un bon plan. Qualités du plan. M
x idées principales. Ce qu’on entend par plan. Moyen de former un bon
plan
. Qualités du plan. Moyen de mettre de l’unité. Co
s. Ce qu’on entend par plan. Moyen de former un bon plan. Qualités du
plan
. Moyen de mettre de l’unité. Combien ton discours
la proposition. De la division. Sa définition. De la subdivision. Du
plan
. Il ne doit pas trop restreindre le sujet. Il doi
pratiqué par Cicéron. Nécessité de méditer le sujet pour faire un bon
plan
. Règles de la division. Brièveté. Intégrité. Simp
s. Ce mot, en effet, exprime ces ouvrages d’un mérite inférieur où le
plan
est si peu combiné qu’on peut en retirer plusieur
achevé, un poème intitulé les Veillées du Parnasse, dont il expose le
plan
dans les premiers vers que voici : « Pendant l’hi
a le Paradis perdu. Le sujet est la chute de nos premiers parents. Le
plan
est beau, le style noble, sublime, quelquefois du
; que le sentiment y est étouffé par les descriptions ; enfin, que le
plan
est défectueux143. Le succès prodigieux qu’a eu l
la nature se distingue par des pensées sublimes et profondes, par des
plans
d’une ordonnance surprenante, par des caractères
prit dans le choix du sujet, soutiennent le génie dans la création du
plan
, le guident dans sa marche, lui indiquent le but
nous voulons produire une œuvre de style. La nature travaille sur un
plan
éternel, avec une sage lenteur, et sait ainsi don
ts ? c’est que chaque ouvrage et un tout, et qu’elle travaille sur un
plan
éternel dont elle ne s’écarte jamais. Elle prépar
ts immortels. Il nous parle ensuite de la nécessité de nous faire un
plan
, précaution sans laquelle un homme d’esprit si tr
, et que son style deviendra intéressant et lumineux. C’est faute de
plan
, c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
s, il demeure donc dans la perplexité. Mais lorsqu’il se sera fait un
plan
, lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
voir ce que l’art a fait pour diriger vers un but vraiment utile, un
plan
si positivement indiqué par la nature elle-même.
’obvier à un semblable inconvénient, c’est de subordonner l’exorde au
plan
général du discours, et de ne s’en occuper qu’en
rit, et la langue de l’intelligence4. Le style C’est faute de
plan
, c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
il demeure donc dans la perplexité ; mais, lorsqu’il se sera fait un
plan
, lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
dans ses vastes et dramatiques tableaux, sait à la fois embrasser un
plan
général, et descendre aux moindres détails, avec
détruire à la bataille de Borghetto. Là il saisit d’un coup d’œil le
plan
de ses opérations futures : c’est sur l’Adige qu’
ni la matière d’un troisième volume. Je n’ai cependant rien changé au
plan
, à l’ordre, à la méthode : je n’ai même rien corr
orme à la nature et à la raison. Notre but n’étant pas le même, notre
plan
a dû se modifier. C’est pour cela d’abord que nou
italien, dont il tire toute l’histoire passée de l’Italie et le seul
plan
raisonnable qui ait jamais été tracé pour sa gran
Fiesque. Considérez le dénoûment que lui donnait l’histoire. Tout le
plan
de l’entreprise est définitivement arrêté, tous l
nies. Pour y parvenir, il faut d’abord se tracer par la méditation un
plan
qui embrasse l’ensemble et les détails de l’œuvre
récit et en dialogue en même temps, doit être irréprochable dans son
plan
, c’est-à-dire ne rien laisser à désirer dans son
ylle, comme l’églogue, constitue un poème ; or, tout poème demande un
plan
; il faut ici une image, une pensée, un sentiment
qui les rendent faciles à distinguer1. On sent que, pour exécuter ce
plan
, il faut connaître les enfants. Appliqué, pendant
même ; c’est de son goût, de son jugement que dépendent la forme, le
plan
et le style convenables. Ce que nous avons dit su
s. Telle est la marche que j’ai suivie dans mes leçons, et tel est le
plan
de cet ouvrage. On a jugé qu’un des moyens d’accé
l’homme et offrir le ton du genre. Apollonius retrace aux Romains le
plan
entier de l’éducation de son héros. « Tout conco
r n’abuse-t-il pas quelquefois des facilités même que lui donnait son
plan
à cet égard ; et n’y trouve-t-on pas encore sur l
s, et cela se conçoit. Quand un auteur, avant même de s’être tracé un
plan
, et n’ayant parfois que quelques idées premières,
urs. « Chaque fois, dit M. Wey, qu’à l’aide d’un incident rattaché au
plan
général, on peut dépeindre un personnage, le cara
s qui s’offrent à l’esprit ; on fera ensuite un choix, on tracera son
plan
d’après ce canevas improvisé ; et l’on se mettra
eautés ; votre goût se formera rapidement. Appliquez-vous à saisir le
plan
, la marche de l’auteur, le but qu’il veut atteind
dans son ensemble et dans toutes ses parties ; qui ne pèche ni par le
plan
ni par le style ? Non sans doute : il est impossi
l’Orateur, est une connaissance profonde des règles qui concernent le
plan
, l’ordonnance, l’économie et le style du discours
dans Bourdaloue, dit M. Maury, c’est la fécondité inépuisable de ses
plans
, qui ne se ressemblent jamais ; c’est cette abond
mire dans le poëme de la Religion, par Racine le fils. Il conduit son
plan
, comme il le dit lui - même, sur cette pensée de
le du Poëme didactique. Ces deux ouvrages dont on vient de voir le
plan
, sont chacun dans son genre, la preuve et l’exemp
leau efface ceux d’Horace et de Va. Tous les objets renfermés dans un
plan
général, y sont divisés en quatre chants, dont ch
ns un plan général, y sont divisés en quatre chants, dont chacun a un
plan
particulier. Le mérite de l’ordre est encore rele
uite ; ouvrage vraiment digne du siècle de Virgile, par l’économie du
plan
, l’élégance et les grâces du style, le choix des
Avril, de la même compagnie. Racine le fils a chanté ln. On a vu le
plan
de ce poëme, non moins admirable par une suite de
and défaut dans une pièce de théâtre. Ainsi le poëte ne doit bâtir le
plan
de son ouvrage, et conduire l’action jusqu’à sa f
donc de courir après l’esprit, il ne doit s’attacher qu’à dresser son
plan
et à conduire son action, de manière que ses pers
l’a dignement remplacé, quoiqu’il ne l’ait pas tout-à-fait égalé. Les
plans
de ses comédies sont tracés avec intelligence. El
s passagers, de nos modes nouvelles, par la sagesse et la variété des
plans
, l’aisance et la correction du style. Ses meilleu
feu d’une imagination riche et lumineuse : c’est là qu’on admire des
plans
hardis, des intrigues fortement nouées et habilem
i, il est plus sage, plus soutenu, et toujours guidé par le goût. Ses
plans
sont toujours exacts ; ses intrigues sagement con
es, un spectacle majestueux et imposant ; on trouve qu’en général ses
plans
ne sont pas neufs, ou qu’ils manquent d’une certa
st un tragique du second ordre, qui mérite bien d’être distingué. Les
plans
de ses tragédies sont en général réguliers, l’int
s le récit de son action. C’est ce que je vais faire en présentant le
plan
de l’Enéïde. Je tâcherai de ne donner à cette ana
damment d’un génie hardi, mais sage, qui est nécessaire pour créer un
plan
vaste et régulier ; indépendamment d’une imaginat
caractères, et le second plus d’invention, plus de régularité dans le
plan
, plus de variété dans les événemens. Ce poëte sub
plus d’art, plus de jugement, et sait bien mieux orner la raison. Son
plan
est exact, sa narration rapide et jamais interrom
talie délivrée des Goths par Belisaire, sous l’empereur Justinien. Le
plan
en est sage et régulier ; mais il n’y a presque p
; que le sentiment y est étouffé par les descriptions ; enfin que le
plan
est défectueux. Mais ils y ont admiré de très-bea
uvement, et en dialogue. On sait d’ailleurs que l’idée première et le
plan
dramatique de l’éloge de Marc-Aurèle, furent four
tout l’éclat qu’elles peuvent recevoir. Cette phrase contient tout le
plan
de cet ouvrage, que je devise en deux parties, re
n’est pas moins indispensable que l’invention. On se fait d’abord un
plan
général dans lequel n’entrent que les premières v
vues et les pensées principales. La qualité essentielle à donner à ce
plan
c’est l’unité. On distingue plusieurs espèces d’u
(IV, 252-264 cf. Euripide, Hécube, v. 239) pouvait aussi fournir le
plan
. On ne sait pas par quel auteur elle avait été tr
à l’influence des partis contraires, et vivant au jour le jour, sans
plan
fixe, sans marche assurée, il a donné la mesure d
e. Tous les ambitieux ont eu cette méthode1 ; Le matérialisme à leurs
plans
est commode ; Corrompus, corrupteurs, ils avaient
ngrat ? Et Marat n’est donc plus ce maniaque acerbe Qui compromet les
plans
de Danton le superbe ! Regardant Robespierre. Reg
effet, la méditation qui féconde l’esprit, dit Buffon. C’est faute de
plan
, c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son ob
ne sait auxquelles on doit s’arrêter. Mais lorsqu’on se sera fait un
plan
, lorsqu’on aura rassemblé et mis en ordre toutes
ntéressant et lumineux. 331. Quelles sont les qualités nécessaires au
plan
de toute production littéraire ? Les qualités fo
tivement si le sujet a été fécondé par une sérieuse méditation, si le
plan
a les qualités requises, si la réflexion a présid
struction du lecteur, et qui dépendent en grande partie de l’unité de
plan
et de composition, ainsi que de l’art important d
détourner du dessein qu’elle a pris, il faut que l’utilité du nouveau
plan
frappe tous les esprits, pour entraîner tous les
iscours public, le style épistolaire et la conversation. Tel était le
plan
de cet ouvrage, à l’époque où parut la première é
uent qu’à la disposition oratoire ; mais nous n’aurions pas rempli le
plan
que nous nous sommes proposé dans cet ouvrage, si
me, avant de prendre la plume, on n’aurait pas encore arrêté tout son
plan
, on doit au moins disposer ses idées à mesure qu’
uable, et j’aime Que l’on serve à la fois la patrie et soi-même. A ce
plan
dès longtemps vous avez dû penser ; Par où donc,
ces vaines études. Si un jour il a besoin d’un géomètre pour lever le
plan
de ses terres, il les fera arpenter pour son arge
rtel. Bossuet avait entrevu dans saint Augustin et dans Paul Orose le
plan
, la suite, la vaste ordonnance de son Histoire Un
haque citoyen. Un grand nombre de députés voulaient qu’on examinât le
plan
du ministre dans le plus grand détail. Mirabeau m
t remède, et qu’aucun député n’est en mesure de substituer un nouveau
plan
à celui du ministre. Il prouve que si l’on rejett
jour, une heure, un instant pouvait le rendre mortel ? Avons-nous un
plan
à substituer à celui qu’il propose ? (Oui, s’écri
ria quelqu’un.) Je conjure celui qui répond oui de considérer que son
plan
n’est pas connu : qu’il faut du temps pour le dév
’elle n’échut en partage à aucun mortel. « Il faut donc en revenir au
plan
de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
ujet qu’il va traiter, et d’en coordonner les différentes parties. Le
plan
une fois tracé, les idées se succéderont aisément
n, plus il sera facile ensuite de les réaliser par l’expression. « Ce
plan
n’est pas encore le style, mais il en est la base
s ? c’est que chaque ouvrage est un tout, et qu’elle travaille sur un
plan
éternel dont elle ne s’écarte jamais ; elle prépa
es fondements inébranlables des monuments immortels. « C’est faute de
plan
, c’est pour n’avoir pas assez réfléchi sur son su
; il demeure donc dans la perplexité : mais lorsqu’il se sera fait un
plan
, lorsqu’une fois il aura rassemblé et mis en ordr
va suivre. Il saura le détacher avec art, le produire sur le premier
plan
. 1. Traduction du psaume xlv Le narrateur par
ure. 57. Plaine, n. f. campagne plate. Pleine, adj. f. de Plein. 58.
Plan
, n. m. surface plane, dessin, projet, etc. Plant
la pénitence. Nous admirons en lui un accent convaincu, la beauté des
plans
, une exposition sévère, le tissu serré des dévelo
un vrai poème, peint fort bien l’intérêt, l’unité et la régularité de
plan
des fables de Lafontaine. Le vrai nom blesse moi
arration historique. Préceptes du genre. Il n’entre point dans mon
plan
de tracer ici les graves devoirs d’un historien.
armée entière occupe le fond et les côtés. Au milieu, sur le deuxième
plan
, est un char vide attelé de taureaux, deux guerri
Pourquoi ce parfait écrivain n’a-t-il pas mis à exécution un si beau
plan
, et s’est-il contenté de nous en offrir une ébauc
ité et l’excellence de son jugement, a modelé un beau monument sur un
plan
à peu près semblable, mais plus vaste. En s’entou
ent souvent orner et éclaircir les principes qu’il a tracés. Mais son
plan
est vaste et exécuté avec abondance. D’ailleurs,
tion, si elle est déplacée, si elle est n’est pas en harmonie avec le
plan
général, la beauté se convertit immédiatement en
duire naturellement. Si toutes nos phrases étaient construites sur un
plan
uniforme, il en résulterait une monotonie choquan
s simplex duntaxat et unum. A. P. v. 15. C’est la simplicité dans le
plan
d’une tragédie où il n’y a une double action, ni
ombre de gouvernements démocratiques, presque tous tracés sur le même
plan
, animés du même désir de liberté, jaloux et rivau
rté. Pisistrate, qui fut contemporain de Solon, et qui bouleversa son
plan
de gouvernement, fut, suivant Plutarque, le premi
ps après lui, à composer ses Éléments de Rhétorique formés d’après un
plan
très différent de celui d’Isocrate et des rhéteur
l ne se borne point à conseiller des mesures vigoureuses, il trace le
plan
qu’on doit suivre ; il entre dans les détails, et
où peut tomber à chaque instant celui qui n’a pas dans son esprit le
plan
distinct de ce qu’il veut à l’égard des auditeurs
ntion à cette étude. S’il y a du désordre ou de l’embarras dans notre
plan
, nous ne pouvons parvenir à convaincre, et toute
facile, je crois qu’une bonne règle à suivre serait de n’en former le
plan
qu’après avoir médité la substance de son discour
ffectation. À cette seconde partie du discours succède la division ou
plan
de l’oraison : plusieurs observations sont ici né
ommuns ; les rhéteurs qui leur succédèrent, éblouis par l’éclat de ce
plan
, travaillèrent à le réduire en un système si comp
ropre langage, et lui plaire par le discernement des convenances. Ses
plans
sont des modèles de dextérité. L’intérêt s’anime
èrent une multitude de gouvernements démocratiques, basés sur le même
plan
, animés du même esprit de gloire et de liberté, m
la pénitence. Nous admirons en lui un accent convaincu, la beauté des
plans
, une exposition sévère, le tissu serré des dévelo
icus obtiennent justice. Un autre morceau du même genre, mais dont le
plan
et l’exécution devaient offrir des différences ma
mitié. » J’ai précédemment exposé à chacun de vous en particulier mon
plan
et mes moyens d’exécution : chaque jour, chaque i
oncernent l’homme public et le philosophe, n’entrent point dans notre
plan
: il ne s’agit ici que de l’orateur, et nous allo
. Dans les Vœux d’un solitaire, Bernardin de Saint-Pierre traçait les
plans
de ses réformes, sans doute aussi peu praticables
l’intérêt du sujet qu’on traite. Cet ordre forme ce qu’on appelle le
plan
et l’ensemble l’unité. Ce défaut de plan ou d’uni
re forme ce qu’on appelle le plan et l’ensemble l’unité. Ce défaut de
plan
ou d’unité fait que l’écrivain, dès le début, se
position, la division et les subdivisions forment ce qu’on appelle le
plan
du discours. Ce terme, emprunté de l’architecture
es les parties qui doivent concourir à former un tout. Qualités du
plan
. Il résulte de là que la première qualité du p
. Qualités du plan. Il résulte de là que la première qualité du
plan
est l’unité. Il doit, de plus, être juste, c’est-
rendre la plume, l’orateur, avant de prendre la parole, de méditer le
plan
qui convient le mieux au sujet : c’est là une néc
e pour la fin ce qu’il y a de plus frappant, de plus décisif et qu’il
plan
; dans le milieu les preuves les moins fortes ; c
t qu’il plan ; dans le milieu les preuves les moins fortes ; c’est le
plan
dit homérique. Mais il peut se trouver des circon
traduction, avec tout son mérite, rend mal l’original. Sur le premier
plan
apparaît, dans le latin, le père des humains. L’i
ie latin, dont il aime la rigueur et l’autorité. Il inaugure enfin le
plan
harmonieux d’une vaste conception. Il substitue u
es voies à Henri IV. Il organisa la conspiration littéraire, traça le
plan
de la grande parade, et, faisant promettre le sec
à la nouvelle édition de votre Cours de littérature. La simplicité du
plan
, la logique de la méthode, la clarté des division
temps et de lieu des beautés d’un ordre supérieur dans l’exécution du
plan
dramatique, ou certaines situations pathétiques q
te ou la marche de l’action n’est autre chose que le développement du
plan
. Or le développement de l’action dramatique prése
, soit dans la tragédie, soit dans la comédie, lorsqu’il en médite le
plan
. Les actes sont séparés les uns des autres par un
’on croie les acteurs occupés dans l’entr’acte ; et le poète, dans le
plan
de la pièce, en divisant son action, doit la dist
être considérés comme des modèles, où chacun a le loisir d’étudier le
plan
, d’approfondir l’ensemble des idées, pour en tire
commandement. Aussitôt il rassemble ses troupes pour leur exposer son
plan
et son but. « Soldats, vous qui avez été associé
ssiner : veux-tu que je t’indique le lieu, les complices, le jour, le
plan
du complot, le meurtrier qui doit porter le premi
x mesures prudentes ; nous ne critiquons pas en phrases pompeuses les
plans
de nos ennemis, sans nous inquiéter si nos action
ansporter la guerre en Afrique. Pas un des soldats ne connaissait les
plans
du général. À peine débarqué, il dévoile ses dess
s vous avouer sincèrement que je ne puis approuver les projets et les
plans
qui paraissent devoir être adoptés. Non, ce n’est
t substitua le prestige de l’éloignement du lieu à celui du temps. Le
plan
de cette tragédie est des plus vicieux, et le nœu
té. Ce caractère de Phèdre suffirait pour couvrir tous les défauts de
plan
et de conduite qu’il serait facile d’y signaler.
mérite littéraire de la pièce, il n’y a ni partage ni controverse. Le
plan
est conçu et conduit de manière à exciter l’intér
ant lui ne s’était fait une habitude, une loi d’isoler sur le premier
plan
d’une pièce un travers plus ou moins bouffon, et
est ce qu’il a composé de plus parlait, de plus irréprochable dans le
plan
. Assurément ce n’est pas une de ses tragédies les
y ; c’est là, et sous ses inspirations, que le jeune Arouet conçut le
plan
de la Henriade, dont le sujet, dit l’auteur lui-m
sait d’être l’auteur, qu’il fit le second chant dont il avait déjà le
plan
dans sa tête et le seul, remarque La Harpe, où il
e faut pas perdre son temps à la chercher131. Ces discours offrent un
plan
moins régulier que les épîtres de Pope sur le mêm
sez faible. Pour qu’elles pussent être nommées poèmes, il faudrait un
plan
général mieux combiné, une marche plus suivie, un
ée d’un talent lyrique hors ligne, Lebrun est incorrect, inégal ; ses
plans
sont incohérents ; il abandonne fréquemment son s
ix syllabes, Narcisse dans l’île de Vénus, médiocre d’invention et de
plan
, mais qui renferme assez de beautés de détail pou
me il l’aurait fallu pour l’intérêt et la vraisemblance. Les vices du
plan
, l’exagération d’une sentimentalité factice, l’in
à leur durée. Premièrement, le poète ne sait pas composer et mûrir un
plan
, et il fut toujours indocile aux remontrances de
té d’objet et par une série continue d’idées et de développements. Le
plan
est peu marqué. Ce poème, construit de morceaux d
pas leurs nombreuses familles ! Partout le grand artiste a varié son
plan
: Ici c’est un étui, là se montre un cadran ; L’u
i appartient à tous les habitants des campagnes. Aspirant à suivie le
plan
de Virgile, il essaya de tracer, non les parcs de
, du poète et du sage. Son poème de l’Astronomie est plus mesquin de
plan
, mais recommandable par de brillants morceaux. Vi
ais qui n’avaient point voulu de ses Vêpres. La composition manque de
plan
. Ce n’est qu’une succession de scènes épisodiques
s avoir besoin de détails épisodiques et d’inventions romanesques. Le
plan
de la Divine Odyssée a une grandeur incontestable
: de l’état de nos rapports avec elles dépendent en partie le ton, le
plan
, la manière que nous devons adopter. On n’écrit p
n que le principal. Ses lointains sont aussi étudiés que ses premiers
plans
. Aussi a-t-il besoin de travailler sur une matièr
l’action, l’heure à laquelle elle commence ; qu’il détaille tout son
plan
, caractérise ses acteurs, et le tout en agissant.
s défauts, et devint le plus parfait modèle des poètes tragiques. Ses
plans
sont toujours exacts, ses intrigues sagement cond
et je vous marque cette circonstance pour avoir lieu de vous faire le
plan
de l’état où les choses se trouvèrent à la mort d
ant toute sa liberté d’action, et le lui dire. Tel sera entre amis le
plan
à suivre, et l’on fera bien d’y conformer son sty
s préceptes. Ainsi, la solidité et l’intérêt du fond, l’ordre dans le
plan
, l’agrément de la forme, telles sont les qualités
me descriptif, qui implique plutôt une suite d’études poétiques qu’un
plan
correct et complet, doit plaire par la richesse d
et du merveilleux ; ensuite de la disposition, de l’ordonnance ou du
plan
; enfin de l’élocution ou du style. § Ier — De
une fin, l’épopée devra présenter la même division. La disposition ou
plan
du poème épique doit donc renfermer trois parties
e voulut imiter les rois d’Asie, il fit une chose qui entrait dans le
plan
de sa conquête. Esprit des lois 1, X, 13 et 14.
montrer ensuite qu’elle est vraie, et enfin qu’elle est aimable. » Le
plan
, dit La Harpe, est parfaitement tracé ; les preuv
doit d’abord occuper la pensée ; lorsqu’il est choisi, on en jette le
plan
et on le développe par la méditation. 6. Pour s’a
le développe par la méditation. 6. Pour s’aider dans la méditation du
plan
, il faut mettre d’abord à profit tout le mécanism
z le sujet. — 6. Que faut-il faire pour s’aider dans la méditation du
plan
? 7. Que faut-il faire ensuite ? — 8. Qu’entend-o
on oratoire est l’arrangement des moyens fournis par la méditation du
plan
. 2. Les règles de la disposition oratoire concern
rs, dit M. Wey, sont des parties disproportionnées avec l’ensemble du
plan
d’un ouvrage, ou mal distribuées dans l’ordonnanc
à emprunté à Mirabeau un bel exemple de subjection : « Avons-nous un
plan
à substituer à celui qu’on nous propose ? Oui ! a
ts et la progression des idées et des sentiments, les divisions et le
plan
du discours. L’Élocution ou le style traduit par
comme le poète, détermine en idée les personnages, les épisodes, les
plans
de son tableau ; il les dispose et en arrête l’or
e le plus d’impression et d’effet. Elle divise le discours d’après un
plan
méthodique et raisonné, conforme à l’instinct nat
faut toujours satisfaire à cette triple condition de l’invention, du
plan
et de l’élocution. Il n’y a de différence que dan
aise. I. Lorsque la Disposition a déterminé le dessein et le
plan
des idées, il reste à les traduire, ou, comme dit
conduite qu’à un général habile, et le choix de ce général ; voilà le
plan
et la division naturelle de ce discours, l’un des
rchais est l’auteur dramatique qui a mis le plus d’invention dans ses
plans
. Talent souple et fertile qui suffit à tout avec
tel. Bossuet avait entrevu dans saint Augustin et dans Paul Orose1 le
plan
, la suite, la vaste ordonnance de son Histoire un
ibi Ecclesia. S. Ambroise. La première de ces épigraphes indique le
plan
de l’ouvrage ; la seconde, l’esprit. Article I
tre populaire ! On vantait la patriotique opposition des notables aux
plans
du contrôleur général Calonne, sans remarquer que
Que nous taillons à peine au fond de leurs carrières ! Qui donnera le
plan
, la forme, le dessin ? Quel effort convulsif cont
Est d’aller jusqu’au bout. Mieux j’ai mûri mon
plan
, plus je dois être ferme À ne le pas risquer, en
nseigne, Dans le cercle d’un an bornât leur double règne. Tel est mon
plan
, Valère, et je tiens pour certain Qu’il prépare a
Mais je le cherche en vain, cet esprit ferme et sûr Qui pourra de mes
plans
récolter le fruit mûr, Et j’aurai la douleur de v
d’appui Sur lequel l’ouvrier, même le plus novice, Pourra d’après vos
plans
achever l’édifice. RICHELIEU. Pour moi, je ne con
ins. Tous les ambitieux ont eu cette méthode. Le matérialisme à leurs
plans
est commode. Corrompus, corrupteurs, ils avaient
ngrat ? Et Marat n’est donc plus ce maniaque acerbe Qui compromet les
plans
de Danton le superbe ? Je ne suis ni cafard, ni f
jour, une heure, un instant pouvait le rendre mortel ? Avons-nous un
plan
à substituer à celui qu’il propose ? (Oui, s’écri
s l’Assemblée.) Je conjure celui qui répond oui de considérer que son
plan
n’est pas connu ; qu’il faut du temps pour le dév
qu’elle n’échut en partage à aucun mortel. Il faut donc en revenir au
plan
de M. Necker. Mais avons-nous le temps de l’exami
ent décisif, acharner notre amour propre à changer quelque chose à un
plan
que nous n’avons pas même conçu, et diminuer, par
rtel. Bossuet avait entrevu dans saint Augustin et dans Paul Orose le
plan
, la suite, la vaste ordonnance de son Histoire un
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