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1 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
r et actrice celui ou celle dont la profession est de représenter des pièces dramatiques. Le personnage est l’individu réel ou
airement plus élevé et garni de décorations, où les acteurs jouent la pièce . Le théâtre est le lieu d’où l’on peut voir la sc
er. L’amphithéâtre, au contraire, ne comprend que les spectateurs. La pièce que l’on joue prend souvent le nom d’action, d’ac
r comme il le montre, eu égard, bien entendu, aux préliminaires de la pièce . Ce n’est pas assez que l’action soit vraisemblab
use beaucoup de tourments aux poètes. C’est à eux de construire leurs pièces de manière à éviter les inconvénients, ou de pren
unités ; mais ce qui est certain, c’est qu’il n’y a pas une seule des pièces faites en dépit de ces règles qui ait eu un succè
saire ; les deux autres sont à désirer147. On appelle actes, dans une pièce de théâtre, les parties de la pièce après lesquel
er147. On appelle actes, dans une pièce de théâtre, les parties de la pièce après lesquelles le théâtre reste vide, et l’acti
parent les actes et qui déterminent le nombre de ceux qui forment une pièce . Il ne paraît pas que les Grecs aient connu la di
ou de la comédie en actes. C’était une règle du théâtre latin qu’une pièce de théâtre devait avoir cinq actes, ni plus, ni m
mais arbitrairement et sans succès, à déterminer quelle partie de la pièce chaque acte devait contenir. On a demandé, par ex
faire. Quelquefois c’est un acteur qui fait un prologue détaché de la pièce , ce qui ne demande aucun art et se faisait souven
r l’auteur, en se croisant et s’entremêlant, forment l’intrigue de la pièce . Les situations nouvelles que le jeu de ces incid
et ses nombreuses espèces. Parlons d’abord de la tragédie. C’est une pièce dramatique, dont les personnages sont des rois, d
divers sujets, et que l’on a jusqu’ici réservé le nom de tragédie aux pièces tristes dont les personnages sont de la plus haut
abord aux philosophes, et eut pour maître Anaxagore. Aussi toutes ses pièces sont-elles remplies de maximes excellentes pour l
e. Lorsqu’il parut, c’est-à-dire en 1625, puisqu’il donna sa première pièce à dix-neuf ans, la France n’avait pour théâtre qu
nous y serions encore si Corneille, par la force de son génie, et sa pièce du Cid, représentée en 1636, n’eût dissipé les nu
entées en 1821, furent pour lui l’occasion d’un vrai triomphe. Aucune pièce , à l’exception du Cid, n’avait été accueillie ave
toujours jusqu’au dénouement. Comme il ne s’agit, dans ces sortes de pièces , que de les charger d’incidents, les mœurs et les
on présente un caractère dominant qui fait proprement le sujet de la pièce . Telles sont les comédies de l’Avare, du Glorieux
es comédies de l’Avare, du Glorieux, du Menteur, etc., et ce sont ces pièces -là qu’on appelle exclusivement comédies de caract
aux et les caquets des lieux où tout le monde se connaît. Ce sont ces pièces qu’on appelle comédies de mœurs. Toutes choses d’
leur donner la réplique. Voilà en quoi consiste toute l’action de ces pièces  : il n’y a, par conséquent, ni intrigue, ni dénou
de chasse de Henri IV par Collé, et dans le Pinto de Lemercier : ces pièces se nomment quelquefois comédies héroïques. Dans l
ons propres à exciter la sensibilité et à faire verser des larmes, la pièce reçoit le nom de comédie larmoyante ou tragédie b
eries les plus hasardées, aux mots triviaux, aux lazzi burlesques, la pièce prend le nom de farce, de folie, de parade, etc.
en plein vent, moyennant une petite rétribution. Ce n’est pas là une pièce dramatique ; et quand nos auteurs comiques écrive
y en a dans les parades réelles. Il faut donc entendre par ce mot une pièce de bas comique, c’est-à-dire encore une farce ou
phrases, aux discours d’un auteur168. Elle s’étend quelquefois à une pièce entière et devient ainsi une véritable comédie d’
la comédie latine aussi loin qu’elle ait jamais été, nous avons leurs pièces . Plaute, né comme Aristophane, avec un génie libr
urent avant nous la bonne comédie ; nous leur devons même la première pièce de caractère qui se soit soutenue, et qui se sout
même année 1635 qu’il donna au théâtre de Lyon l’Étourdi, sa première pièce , on donnait au théâtre des Paris les Rivales de Q
out par la franchise, l’esprit et l’originalité du dialogue. § 77. Pièces à musique, à danse, à spectacle. Il y aurait d
ne considérable si nous ne parlions, au moins en courant, de quelques pièces où le poète n’est plus seul, mais où il appelle à
angers à la littérature proprement dite. On a successivement mêlé aux pièces récitées, le chant, la musique instrumentale, la
machines et de décorations, tout ce qu’on trouve aujourd’hui dans les pièces fantastiques que nous appelons pièces-féeries. Ca
êtres surnaturels ; et, en termes de théâtre, on applique ce nom aux pièces dans lesquelles on exécute, à l’aide de machines,
âtre174 ; on imagina de le remplacer par le mot de tableau. Ainsi une pièce en quatre actes et en quinze tableaux signifie qu
a musique et la danse se sont introduites tout naturellement dans les pièces dramatiques. Ces deux arts étant depuis longtemps
cisément une comédie à couplets ou à ariettes : on donne ce nom à des pièces où le chant et la musique sont introduits pour le
t sur des airs connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la pièce , sous le nom de vaudeville final, une chanson don
couplet à tour de rôle. Depuis, on a jeté des couplets dans toute la pièce , sans aucune nécessité, mais seulement parce que
, en ce que, d’une part, la musique est faite spécialement pour cette pièce par un compositeur en titre ; ensuite, en ce que
première partie du mot (mélos) n’est pas le chant qui se mêle dans la pièce  : c’est surtout la musique de l’orchestre qui se
. Les opéras se distinguent ensuite, selon le caractère général de la pièce et la condition des personnages, en tragédie lyri
faisait autrefois n’est presque plus usitée. La danse a été mêlée aux pièces comme la musique. On appelait autrefois comédie-b
ment mêlée à l’action, et enfin elle a exclu toute parole. Il y a des pièces où toute la suite des événements est exprimée par
et non mesuré, ou par le geste mesuré, c’est-à-dire par la danse. Ces pièces s’appellent des pantomimes lorsque c’est un acteu
ction. Ce que l’on appelle opéra dans le sens général du mot, est une pièce qui réunit toutes les séductions physiques dont n
ssent pas se répandre sur des œuvres voisines. Aussi, dans toutes les pièces dont nous venons de parler, la gloire du succès e
mairon, Comédie d’intrigue, comédie de caractère. 167. Domairon, des Pièces à scènes détachées. 168. Petit traité des figur
2 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »
s-lui son titre et tachons de faire bien connaître successivement les pièces dont il parle. Nous commençons par les épigrammes
nifie inscription ; et dans son sens le plus général il veut dire des pièces de vers tellement courtes qu’on pourrait ou les i
t épigramme, dans son sens originel, s’applique tout simplement à une pièce de poésie très courte, comme de douze ou quinze v
de douze ou quinze vers au plus. Mais on a bientôt, parmi ces petites pièces , distingué des caractères assez différents pour l
ion ; et quoiqu’elle rentre dans cette catégorie générale des petites pièces , on ne la confond pas avec les autres. Le sixain
idèle : Avez-vous oublié que vous ne l’aimez plus ? Enfin dans cette pièce de Claude Mermet (poète du xvie  siècle) : Les a
amis, mais qui ne méritent pas ce nom. Eh bien, c’est cette dernière pièce que nous appelons précisément une épigramme. Ains
à propos d’un retranchement pareil que de Cailly a fait cette petite pièce  : De nos rentes, pour nos péchés, Si les quartie
mprévue et subite, qui excite le rire ou la moquerie. Telle est cette pièce de La Martinière : Un gros serpent mordit Aurèle
rs rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous, d’en bas, la pièce est écoutée ; Mais nous payons, utiles spectateur
ne rien faire. Enfin, on appelle souvent impromptu les mêmes petites pièces produites sur-le-champ ou sans préparation. On ci
amme. Ajoutons à ce que nous venons de dire sur toutes ces petites pièces , qu’on donne aussi très souvent, et assez impropr
t par leur objet, et même par la nature du talent qu’ils exigent, des pièces précédentes ; mais comme ils ont une forme et des
re est presque infini de ceux qui se sont distingués dans ces petites pièces par l’agrément de la pensée, la précision de l’ex
l’épigramme prise dans le sens le plus général deux ou trois petites pièces de poésie où l’on donne quelque chose à deviner,
à deviner, savoir, l’énigme, la charade et le logogriphe. Ces petites pièces ne sont pas nécessairement en vers ; mais le fond
ravages. § 46. Chanson. La chanson est, en général, une petite pièce de vers destinée à être chantée. Elle traite des
est pas toujours la même : sous Louis XIV, c’était souvent une petite pièce composée de vers inégaux, assemblés sans aucun or
eville à un divertissement en chanson qui termine souvent les petites pièces de théâtre, et de là le nom de vaudeville s’est é
tes pièces de théâtre, et de là le nom de vaudeville s’est étendu aux pièces entières. Il y a encore quelques chansons particu
3 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
Ainsi Racine n’a fait nul changement dans l’action d’Esther, et cette pièce n’en est que plus touchante. Il sort du fond de l
parts de la vie de Brutus, et non un seul péril de ce romain ; cette pièce , qui contient plusieurs mois, se compose de la mo
kespeare. Mais, en général, aucun homme de goût ne pourra admirer une pièce ou le héros, Enfant au premier acte, est barbon
ange pas le lieu de la scène, et que l’action qui fait le sujet de la pièce se passe, tout entière et jusqu’à la fin, dans le
’elles ont d’extrême. Racine, en particulier, a soin, dans toutes ses pièces , de faire entendre d’utiles leçons et de sages co
es leçons et de sages conseils. Notre théâtre renferme même plusieurs pièces qui se terminent par un trait lumineux et frappan
ène, leurs desseins, leurs intérêts et leur situation au moment où la pièce commence, ainsi que le lieu de la scène, le momen
ue est, comme l’indique son nom, un ouvrage qui sert de prélude à une pièce dramatique. Chez les anciens, le prologue était u
était guère mieux intriguée que la tragédie. On peut en juger par les pièces d’Aristophane, dont plusieurs, même parmi les plu
il fallait que le nœud en fût bien simple, puisque Térence, dont les pièces ne sont pas elles-mêmes fort intriguées, était ob
n événement particulier démêle le nœud, lorsqu’un incident termine la pièce . C’est la partie la plus difficile de la tragédie
s le drame sérieux que dans l’épopée. Un bon dénoûment peut sauver un pièce faible, et peut beaucoup pour le succès de la mei
in complet ou achevé. Le dénoûment tragique doit être la partie de la pièce où dominent par-dessus tout la passion et le sent
e l’autre succombe, comme dans Athalie et Héraclius. Dans la première pièce , Athalie, et dans la seconde, Phocas, périssent ;
ardés par plusieurs auteurs comme plus favorables à la réussite d’une pièce  ; et par le fait, les tragédies qui se terminent
it présider à chacun des actes, à chacune des scènes qui composent la pièce . 449. Qu’est-ce qu’un acte dans le drame ? Un ac
de scène en scène, comme on peut le voir par l’examen des meilleures pièces de notre théâtre, et en particulier de Polyeucte,
’acte ou intermède est l’intervalle qui, dans la représentation d’une pièce de théâtre, en sépare les actes, et donne du relâ
es acteurs occupés dans l’entr’acte ; et le poète, dans le plan de la pièce , en divisant son action, doit la distribuer de fa
ènes ? Horace a fixé à cinq le nombre des actes pour toute espèce de pièce dramatique. Neve minor, neu sit quinto productio
es de nos grands poètes sont en cinq actes. Nous avons aussi quelques pièces excellentes en trois actes, par exemple : Esther,
 ; et l’étendue de chacun se trouve ainsi proportionnée à celle de la pièce qui, chez nous, peut aller de douze à dix-huit ce
ond. Sans cette précaution, on serait surpris de voir, à la fin de la pièce , des personnages dont on n’aurait point entendu p
ialogue dramatique est un entretien entre plusieurs personnages d’une pièce de théâtre, ou la manière dont conversent les act
s l’art de dialoguer comme la nature ; on ne voit pas dans toutes ses pièces un seul exemple d’une réplique hors de propos. 46
agraphes suivants le caractère propre et distinctif de chacune de ces pièces . § I. — De la tragédie proprement dite. 467
échoue dans la peinture des passions, tout son mérite est perdu ; sa pièce nous laisse froids et mécontents. Les passions dr
igne du théâtre tragique, il faut qu’il soit le nœud nécessaire de la pièce , et non qu’il soit amené forcément pour en rempli
rop aimable. 500. Qu’est-ce que le mélodrame ? Le mélodrame est une pièce de théâtre à émotions fortes dont les scènes décl
à ce drame ; l’orchestre ne se fait entendre qu’au commencement de la pièce et à l’arrivée de chaque personnage sur le théâtr
Du reste, les trois genres peuvent se trouver ensemble dans une même pièce  ; et alors ils ne servent qu’à se donner réciproq
un caractère dominant dont la peinture fait le principal objet de la pièce . Les plus remarquables parmi les comédies de cara
par des danses, les acteurs s’expriment uniquement par des gestes, la pièce prend le nom de pantomime. On distingue encore la
évus, quoique préparés par l’auteur, qui arrivent subitement dans une pièce . Les coups de théâtre font un très bel effet dans
gaieté avec ou sans but moral, comprend la farce, la parodie, et les pièces à scènes détachées ou à tiroir. 524. Qu’est-ce qu
ière et chargée des ridicules et des vices de la société. Les petites pièces de ce genre ont été introduites sur la scène pour
d’une comédie, afin de délasser le spectateur du sérieux de la grande pièce . Cet usage, qui date du temps où le spectacle fra
chet, au xve  siècle, qui a été retouché par Brueys, en 1706. A cette pièce nous ajouterons les Plaideurs, de Racine ; le Méd
action triviale à une action héroïque. La parodie dramatique est une pièce de théâtre d’un genre gai ou burlesque, faite pou
u burlesque, faite pour travestir, pour tourner en ridicule une autre pièce d’un genre noble ou pathétique. La parodie s’éten
pièce d’un genre noble ou pathétique. La parodie s’étend tantôt à la pièce entière, tantôt à la plus grande partie, tantôt e
rt qui nous cause une vive et agréable surprise. 528. Qu’appelle-t-on pièces à tiroir ? On appelle pièces à tiroir, à scènes
agréable surprise. 528. Qu’appelle-t-on pièces à tiroir ? On appelle pièces à tiroir, à scènes détachées ou comédies épisodiq
elle pièces à tiroir, à scènes détachées ou comédies épisodiques, les pièces dont les scènes n’ont aucune liaison nécessaire e
qui servent à dévoiler le sien en conversant avec lui. Cette sorte de pièce amuse par la ressemblance des figures avec les pe
onde. On n’y trouve ni unité d’action, ni intrigue, ni dénoûment. Les pièces à tiroir sont presque toujours suivies d’une dans
que 529. Qu’est-ce que l’opéra comique ? L’opéra comique est une pièce d’intrigue mêlée de chant, faite pour égayer le s
e parlé. L’opéra comique est assujéti aux mêmes règles que les autres pièces de théâtre ; mais il en a de particulières que no
en vaudevilles. 531. Qu’appelle-t-on opéra comique à ariettes ? Les pièces à ariettes sont celles qui sont mêlées de chants
le vaudeville final une chanson en plusieurs couplets qui termine les pièces de ce genre, et dont chaque personnage chante un
4 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
au spectacle. Il était chargé de faire ressortir le côté moral de la pièce , et de donner en toute occasion des leçons de ver
çons de vertu. Le chœur restait constamment sur le théâtre pendant la pièce  : il remplissait par ses chants les intervalles d
a tragédie moderne n’a pas imité le chœur antique, sauf dans quelques pièces , telles que l’Esther et l’Athalie de Racine, le P
ule intrigue principale, de manière à ce que toutes les parties de la pièce aient un centre commun. L’observation de ces troi
in que possible la vraisemblance et l’imitation de la vie réelle. Les pièces grecques, qui se représentaient sans interruption
de nos jours. 3° Conduite de l’action. On doit trouver dans une pièce de théâtre. : l’exposition, le nœud, l’intrigue,
au, Art poét. L’exposition doit initier le spectateur au sujet de la pièce  : elle se fait, en action, naturellement, par le
ges eux-mêmes ; elle doit contenir en germe tous les évènements de la pièce , mais en les couvrant du voile du mystère ; l’exp
rdu : quelques belles situations ne suffiront pas pour faire vivre la pièce . Si les incidents sont trop multipliés, l’intrigu
ement le spectateur ; elles contribuent puissamment à l’intérêt de la pièce  : il ne faut pas en abuser en les multipliant. C’
he. Dans la comédie, c’est presque toujours un mariage qui termine la pièce . Actes et scènes. La pièce se compose de pl
e toujours un mariage qui termine la pièce. Actes et scènes. La pièce se compose de plusieurs parties qu’on nomme actes
a foire. Les trois genres de comique peuvent se trouver dans une même pièce , comme, par exemple, dans le Don Juan de Molière.
ence, et Nanine de Voltaire, en sont des exemples. Scribe a plusieurs pièces dans ce genre. 5° Règles de la comédie. La
ction varie suivant les espèces de comédie : elle est simple dans les pièces de mœurs, compliquée dans les pièces d’intrigue.
médie : elle est simple dans les pièces de mœurs, compliquée dans les pièces d’intrigue. L’action doit toujours marcher viveme
ns le Misanthrope sera encore neuf et vrai. Voilà pourquoi toutes les pièces d’actualité et de circonstance ne sont que des bl
qu’au dénouement : Là, c’est l’action qui est l’objet principal de la pièce  ; les caractères et les mœurs ne doivent pas y êt
Racine ; Scapin, Pourceaugnac, le Médecin malgré lui de Molière. Les pièces à tiroir ou à scènes détachées, dont les scènes s
duit des couplets : ce sont les chansons qui font donner le nom à ces pièces . Le mérite est d’amener à propos les couplets, et
ir une vérité proverbiale : le dénouement est comme la sentence de la pièce . Style de la comédie. Le style de la comédi
dehors de la scène. Du reste, le style varie suivant la nature de la pièce et la position des personnages : il s’abaisse ou
, Iffland, Kotzebue. — En italien : Ayelloni, Goldoni, Federici. 19. Pièce de Le Sage. 20. Principaux auteurs comiques : G
5 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
et nous avons maintenant à étudier, sous le nom de petits poèmes, des pièces qui ont en effet une valeur littéraire plus grand
ême, ornée seulement des grâces qu’elle peut recevoir. On a donné aux pièces pastorales le nom d’églogues, qui, en grec, signi
donné aux pièces pastorales le nom d’églogues, qui, en grec, signifie pièces choisies en quelque genre que ce soit. On a ensui
s que celles dont le style est un peu plus relevé que dans les autres pièces , comme les trois pastorales de Virgile, intitulée
ction est toujours fort légère et fort simple, on évitera les grandes pièces , parce qu’il est bien difficile d’intéresser cont
ent des bosquets, et ses fontaines des jets d’eau, à en juger par les pièces qui nous restent de lui. On y voit peu de bergers
t de style, mais l’action et la pensée manquent presque toujours ; la pièce se réduit alors à des lieux communs de morale ou
u premier ordre. On préfère à juste titre Segrais et Racan. La petite pièce des Deux ruisseaux fera connaître et sa manière e
rente chez les Grecs et chez les Romains. Chez les Grecs, c’était une pièce dramatique qui tenait une sorte de milieu entre l
ue chose de dramatique. Elle paraissait sur le théâtre avec la grande pièce . Si c’était au commencement, elle s’appelait isod
a grande pièce. Si c’était au commencement, elle s’appelait isode, ou pièce d’entrée ; si c’était au milieu, on la nommait em
e, ou pièce d’entrée ; si c’était au milieu, on la nommait embole, ou pièce d’entracte ; si c’était à la fin, on la désignait
tracte ; si c’était à la fin, on la désignait sous le nom d’exode, ou pièce de sortie. Elle reprit son nom sous Ennius et Pac
repos après le second ; et une élégie était avant tout, pour eux, une pièce de vers écrite en distiques. Ils jugeaient donc d
N’en défend point nos rois. Ce sont encore des élégies que plusieurs pièces de Bertaut, et celle, en particulier, où se trouv
n’ai-je, en te perdant, perdu le souvenir ! Maynard a fait aussi des pièces élégiaques, ainsi que plusieurs de nos vieux poèt
en France avec succès, et que nous avons eu à toutes les époques des pièces très remarquables dans le caractère triste et mél
cite avec raison de ce dernier, comme une élégie charmante, la petite pièce intitulée la Chute de feuilles, où l’on ne trouve
ui, signifiant un tombeau magnifique, fait un contresens. Voici cette pièce  : De la dépouille de nos bois L’automne avait jo
ussi des odes où le poète ne s’astreint à aucune règle, et compose la pièce entière d’une suite de vers inégaux, divisés en s
ithyrambes, dont nous parlerons tout à l’heure. Les cantates sont des pièces destinées à être mises en musique, et la musique
inte de fatiguer l’auditeur ; ce qui arrive bien promptement dans les pièces musicales. Aussi, voyons-nous que la plupart des
lière des stances : quand cette égalité ne s’y trouve pas, on dit une pièce lyrique, un chant lyrique, etc. On donne à toutes
n dit une pièce lyrique, un chant lyrique, etc. On donne à toutes ces pièces des noms différents, et en particulier les suivan
t en particulier les suivants, selon leur objet : Le cantique est une pièce lyrique consacrée à Dieu, à la sainte Vierge, aux
ique de la Vierge, le cantique de saint Siméon. Le psaume est une des pièces lyriques contenues dans le livre des Psaumes de l
ien Testament. C’est aussi toute traduction ou imitation d’une de ces pièces . L’hymne a un sens plus général : c’est une pièce
ation d’une de ces pièces. L’hymne a un sens plus général : c’est une pièce lyrique adressée à une divinité, ou à ce qu’on re
ent comme tel : hymne à Mercure, hymne à la paix. On le dit aussi des pièces faites en l’honneur du vrai Dieu : les hymnes de
ui-ci affecte une grande exaltation d’idées, qui se manifeste dans la pièce entière par des écarts souvent incompréhensibles,
il ne nous reste rien d’authentique, et qui, d’après le caractère des pièces qui nous sont venues sous son nom, serait mieux r
sous son nom, serait mieux rangé parmi les chansonniers ou auteurs de pièces fugitives que parmi les lyriques. Horace, le prem
ie pastorale. 89. Batteux, de la Poésie pastorale. 90. Voyez cette pièce tout entière dans le § 54 du Petit traité des fig
6 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
vec le Cycle épique, t. I, p. 240. — Il reste deux fragments de cette pièce de Chérémon. L’Antigone.] Aristote se tromperait
sans que cet incident ait la moindre importance dans l’économie de la pièce . Peut-être Aristote pensait-il à l’Antigone d’Eur
ents. Ce qui est certain, c’est qu’il a formellement cité ailleurs la pièce de Sophocle : Rhétorique, I, 13 et 15  III, 16 et
d qui devait arrêter le bras de Mérope n’arrivât pas assez tôt. Cette pièce , qu’on jouait de son temps, et dont il nous reste
. de 1785. L’Hellé.] Comme on n’a aucun autre renseignement sur cette pièce , Valckenaër conjecture qu’il faut lire ici « l’An
cette pièce, Valckenaër conjecture qu’il faut lire ici « l’Antiope », pièce d’Euripide dont il reste environ cinquante fragme
son secours et la sauvent. Résignons-nous à ignorer l’auteur de cette pièce d’Hellé, dont le sujet, du reste, tenait à ceux d
7 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31
orsque vous me devez pour le moins des excuses. Je n’ai point fait la pièce que vous m’imputez et qui vous pique2 ; je l’ai r
. La modestie et la générosité que vous y témoignez leur semblent des pièces rares, et surtout votre procédé merveilleusement
pour m’imputer de mauvais exemples ; vous avez épluché les vers de ma pièce , jusqu’à en accuser un manque de césure : si vous
une passion trop chargée de faiblesse pour être la dominante dans une pièce héroïque ; j’aime qu’elle y serve d’ornement, et
Corneille ; ce qui apprêta beaucoup à rire, et donna lieu à plusieurs pièces qui parurent dans ce temps. (Édition de 1739.) 5
teur contemporain de Corneille et de Scudéri : il a composé plusieurs pièces , tant en vers qu’en prose, lesquelles n’ont point
eurs affectionnés à Claveret firent, dans ce même temps, de méchantes pièces , qui ne servirent qu’à faire éclater davantage le
eur. Corneille en voulait à Claveret, parce qu’il avait distribué une pièce intitulée l’Auteur du vrai Cid espagnol à son tra
eur de la tragédie du Cid avaient été pillés de l’espagnol ; et cette pièce , quoique mauvaise, avait causé beaucoup de chagri
8 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
t toujours une imperfection, et bien souvent un grand défaut dans une pièce de théâtre. Ainsi le poëte ne doit bâtir le plan
sivement toutes ces actions, je dirai que ce ne seroit plus alors une pièce de théâtre : ce seroit une histoire plus ou moins
ilà l’unité d’action. Il n’en est pas de même dans ls. Le héros de la pièce revenant vainqueur du combat contre les trois Cur
être diversement intéressés. Ils le sont toujours dans nos meilleures pièces de théâtre. Mais tous ces intérêts divers s’y rap
sait que le grand Condé étant à une représentation de cette dernière pièce , dit au sujet de ce personnage : et Antiochus, q
ieu de la scène à un espace limité, nous verrions en peu de temps des pièces telles que l’ancien Jules César des Anglois, où C
qu’il doit en avoir cinq ni plus ni moins. Nous avons de très-bonnes pièces de théâtre qui ont moins de cinq actes. Ainsi cel
ncés dans le premier ; ce qui ôte la surprise de voir, à la fin de la pièce , des personnages dont on n’auroit point entendu p
un peu plus précise et plus circonstanciée, le véritable sujet de la pièce , soit par un récit, soit par les discours des per
nstruise parfaitement le spectateur de tout ce qui se passera dans la pièce . Une telle exposition le priveroit du plaisir de
en action. Les autres expositions ne font qu’instruire du sujet de la pièce  ; celle-ci en est le nœud. Placez-la dans tel act
on qui fait que nous voyons vingt fois avec le même plaisir une bonne pièce de théâtre. Pour que le dénouement ne soit pas pr
s couleurs que les autres. C’est ce qu’on voit dans toutes les bonnes pièces de théâtre, soit des anciens, soit des modernes.
yriques fruit d’une imagination échauffée, sont totalement bannis dès pièces de théâtre, même de celles dont le sujet est gran
ation du personnage ; comme les maximes qu’on trouve éparses dans les pièces de Corneille, de Racine, de Molière, de Regnard.
’art du dialogue, qui est une des parties les plus essentielles d’une pièce de théâtre, il faut joindre à ces règles générale
héâtre, il faut joindre à ces règles générales, la lecture des bonnes pièces de Corneille, celles de Racine et de Molière. On
e ce genre, je parlerai dans cet article, 1°. de la comédie ; 2°. des pièces de théâtre qui y ont rapport ; 3° de l’opéra comi
on présente un caractère dominant, qui fait proprement le sujet de la pièce . Telles sont les comédies de l’Avare, du Glorieux
cènes, de tous les traits qui font rire. C’est ce qu’on voit dans les pièces de Molière et de nos bons comiques. Tout s’y rapp
e dénouement venoit de se faire. Le Misanthrope de Molière termine la pièce par ces vers : Trahi de toutes parts, accablé d’
’Irrésolu de Destouches, après avoir balancé dans tout le cours de la pièce , entre Célimène et Julie, et s’être à la fin déci
d’épouser Célimène. Le Métromane de Piron, venant d’apprendre que sa pièce de théâtre est entièrement tombée par les efforts
nt les intrigues des bonnes comédies des anciens et des modernes. Une pièce de théâtre fondée sur des mœurs générales, est un
chez les autres nations de l’Europe. Il en sera de même de toutes les pièces de théâtre, où le poëte comique présentera un mir
sté que chez nous, et n’existe plus aujourd’hui. Voilà pourquoi cette pièce n’a été traduite dans aucune langue étrangère : e
r qu’à celui-là. Si ce comique de pensée faisoit seul le mérite d’une pièce de théâtre, le succès ne pourroit en être que mom
avec un art admirable, et généralement de la manière de conduire une pièce , nous n’avons qu’à ouvrir Molière. Je choisis pré
, qui ne présente une situation. Bret a bien raison de dire que cette pièce est le chef-d’œuvre du génie comique pour les vue
ons contre les femmes, et se retire comme un furieux. L’analyse d’une pièce de théâtre ne peut pas donner une parfaite idée d
e parfaite idée de la manière dont elle est conduite. Il faut lire la pièce même, pour bien voir et bien sentir l’art avec le
u comique grossier. Ces trois genres peuvent se trouver dans une même pièce , et ne servent qu’à se donner réciproquement une
r et la joie ; qu’enfin le nom de comédie ne convient nullement à des pièces de ce genre, parce que la comédie a toujours été
des Comédies-ballets qu’on joue sur le Théâtre Français. Ce sont des pièces , dont les intermèdes sont remplis par des pantomi
nde l’heure, et l’on bâille vingt fois, Qu’elle s’émeut autant qu’une pièce de bois. Acaste. Que vous semble d’Adraste ? Cé
que chacun dit. Il me tombe sous la main une autre scène de la même pièce , que je ne passerai point sous silence, parce qu’
as hier avec tant de fanfare. Gros-René. Tiens encor ton couteau, la pièce est riche et rare ; Il te coûta six blancs lorsqu
ul dont les ouvrages nous soient parvenus. On y trouve aussi quelques pièces de la comédie me. Ce poëte avoit un génie libre,
st contenté, dans son Théâtre des Grecs, de donner une analyse de ses pièces . Nulle plume, dit-il, fût-elle païenne et cynique
it pour modèle, et tomba dans un de ses excès. Il n’y a aucune de ses pièces , qui ne soit semée de bouffonneries, de turlupina
auparavant, Mélite. Mais ce ne fut que par l’heureuse imitation de la pièce espagnole, qu’il eut la gloire de réformer la scè
de Qt. Notre scène avoit même déjà vu la Mère coquette de ce dernier, pièce de caractère et d’intrigue, lorsque Molière y fit
lière. On lui reproche encore d’être descendu, dans la plupart de ses pièces , jusqu’au bas comique. Mais sans cela, il n’auroi
s avec netteté, avec force, avec concision. Dans quelques-unes de ses pièces en vers, il y a beaucoup de fautes : mais le styl
tre poëte comique n’étoit plus digne de le porter. Il montre dans ses pièces , soit de caractère, soit d’intrigue, un bon sens
gue est plein de feu. On a mis sa comédie du Joueur à côté des bonnes pièces de Molière. Voilà les deux poëtes qui, dans le si
inction. Molière lui-même eût ambitionné la gloire d’avoir fait cette pièce . Tels sont parmi nous les plus parfaits modèles q
édie. Mais nous avons encore une foule d’excellens comiques, dont les pièces constamment applaudies au théâtre par l’homme de
s s’attacher trop scrupuleusement aux règles de la bonne comédie. Ses pièces sont en effet très-réjouissantes, et offrent des
op souvent des pensées et des expressions licencieuses. De toutes les pièces de ce poëte, la Fille Capitaine, et la Femme juge
. Le Mercure galant ou la Comédie sans titre, par Boursault, est une pièce bien conduite, pleine des détails les plus agréab
deux qualités dans le Deuil, Crispin Médecin, et le Cocher supposé ; pièces qui reparoissent assez souvent sur notre théâtre.
haos. Brueys le rajeunit vers la fin du siècle dernier, et en fit une pièce charmante. Il donna encore deux fort bonnes coméd
et d’un vrai comique. On la place immédiatement après les meilleures pièces de Molière. Les uns disent que ces deux comédies
génie vraiment comique : le style et le dialogue de la plupart de ses pièces l’annoncent. Mais il écrivoit avec trop de facili
des saillies : il entend même l’art du dialogue. Mais en général ses pièces manquent de régularité, et la décence n’y est pas
lèbre Baron, comédien, fut aussi poëte comique. Il donna l’Andrienne, pièce imitée de Térence, la Coquette, et l’Homme à bonn
e ceux que la mort a enlevés à la république des lettres, et dont les pièces ont encore les suffrages des connoisseurs. La com
cision. Le théâtre lui doit aussi Crispin rival de son maître, petite pièce qui n’est pas indigne de son auteur. Fagan a fai
grand nombre de comédies ; mais il en a peu de bonnes. Celles de ses pièces qu’on voit et qu’on verra toujours avec plaisir,
ariété des plans, l’aisance et la correction du style. Ses meilleures pièces sont l’Homme du Jour, le Français à Londres, et l
tte corrigée, par Lanoue, est, malgré ses défauts, une des meilleures pièces de caractère qui aient été faites de nos jours. O
isserter sur le sentiment, et de courir après l’esprit. Celles de ses pièces qui sont restées au théâtre français, sont la Sur
par ce seul poëte comique. Poinsinet n’a fait que le Cercle, petite pièce , où le ridicule de certaines sociétés est bien pe
st restée au théâtre, ainsi que le Fat puni, et le Somnambule, petite pièce en un acte, qui est très-agréable. Les petites pi
mnambule, petite pièce en un acte, qui est très-agréable. Les petites pièces de théâtre de Saint-Foix sont d’un caractère qui
un badinage non moins naturel qu’ingénieux, caractérisent toutes ces pièces , parmi lesquelles néanmoins on distingue les Grac
r essai fut reçu, l’excitèrent à suivre cette carrière. Celles de ses pièces qu’on joue le plus souvent, sont le Préjugé à la
 IV, et Dupuis et Desronais ; Diderot, auteur du Père de famille. Les pièces qu’on appelle Héroïques, et qui sont les meilleur
i florissoit vers l’an 1640, sont les plus célèbres. Leurs meilleures pièces , ainsi que celles des autres bons auteurs, ont ét
s années qu’on a publié un Théâtre allemand ou Recueil des meilleures pièces dramatiques, tant anciennes que modernes, etc. Ma
tre : Nouveau Théâtre Allemand par MM. Friedel et de. II. Des Pièces de Théâtre qui ont rapport à la Comédie. De
vrages dramatiques qui se rapportent à la comédie, sont la Farce, les pièces à scènes détachées, et la Parodie. L’objet de la
es par les traits les plus chargés et les plus ridicules. Les petites pièces de ce genre ont été introduites sur la scène pour
ouvrages d’esprit. En un mot il ne faut pas oublier que ces sortes de pièces ne sont point faites pour la populace, mais pour
ière. La comédie des Plaideurs,par Racine, est encore une excellente pièce en ce genre. Des pièces à scènes détachées.
deurs,par Racine, est encore une excellente pièce en ce genre. Des pièces à scènes détachées. On nomme Scènes à tiroir o
nre. Des pièces à scènes détachées. On nomme Scènes à tiroir ou Pièces à scènes détachées, celles dont les scènes n’ont
u opposés. Voilà en quoi consiste ordinairement toute l’action de ces pièces  : elles n’ont par conséquent ni intrigue ni dénou
our réussir dans ces sortes d’ouvrages dramatiques. On peut faire des pièces à Scènes détachées de différentes espèces, quoiqu
espèces, quoique de la même nature ; sans action, comme la Nouveauté, pièce en un acte de le Grand ; ou avec une action, comm
La Parodie est en général un ouvrage en vers, composé sur quelque pièce de poésie connue, que l’on détourne à un autre su
s changemens. La parodie dramatique est celle qui a été faite sur une pièce de théâtre. L’abbé Sallier dans son discours sur
et que d’une ou de deux scènes de parodie. Il faut alors composer une pièce dans laquelle on jettera ces scènes en s’attachan
i la parodie est un genre d’ouvrage qui nous fait distinguer dans une pièce de théâtre le bon or du clinquant, qui par conséq
Parisau a donc eu raison de dire en terminant une de ses excellentes pièces en ce genre : Melpomène(a) à son tour doit m’acc
en passant. Elle est assujétie aux mêmes règles que toutes les autres pièces de théâtre. Mais elle en a de particulières qu’il
deux espèces d’opéra comique ; l’opéra comique en vaudevilles, et les pièces à ariettes. Le premier est tout entier, ou presqu
ées, et qui ne peuvent être qu’en dialogue. Le sujet de ces sortes de pièces doit être simple, exposé avec précision, et sagem
énible ; et vraisemblablement même y travailleroit-on sans succès. Pièces à ariettes. Les pièces à ariettes sont celles
ent même y travailleroit-on sans succès. Pièces à ariettes. Les pièces à ariettes sont celles qui sont mêlées de chants 
tc. Le dénouement d’un opéra comique doit être, comme dans toutes les pièces de théâtre, amené naturellement, et produit par u
mple changement de volonté ; ce qu’on ne voit que trop dans plusieurs pièces de ce genre. Si le poëte place un vaudeville à la
e héroïques, et par conséquent sont indignes de la tragédie. Delà ces pièces de théâtre qu’on appelle tragédies bourgeoises, e
nage tout-à-fait méchant, pourvu que celui-ci succombe à la fin de la pièce , comme Athalie et Cléopatre. Ce que je viens de d
ans quelques tragédies, soit des anciens, soit des modernes. Mais ces pièces ne sont pas d’un genre bien sublime et bien touch
de, de Guimont de la Touche, et Antenor dans Zelmire, par du Belloy ; pièces qui sont restées au théâtre. Mais nous ne pourrio
ctateur saisisse d’un coup-d’œil ce qui fait le véritable sujet de la pièce  : la seconde, qu’elle excite beaucoup de curiosit
ilà l’exposition du sujet : voilà le germe de tous les incidens de la pièce . Cependant le bruit se répand que Clitemnestre et
galanterie, n’impose point la nécessité de mêler de l’amour dans nos pièces tragiques, puisque cette même nation, ce même sex
igne du théâtre tragique, il faut qu’il soit le nœud nécessaire de la pièce et non qu’il soit amené par force, pour remplir l
Il faut, comme je l’ai déjà dit, qu’il lise sans cesse les meilleures pièces de Corneille, celles de Racine et de nos autres b
sublime, mais trop impétueux et souvent outré. On reconnoît dans ses pièces , comme le remarque le P. Brumoi, la rudesse antiq
d’excellentes maximes pour la conduite des mœurs. De cent vingt-deux pièces qu’il composa, il nous en est parvenu dix-neuf. L
nt regardée comme un chef-d’œuvre. Le P. Brumoi n’a traduit que trois pièces de Sophocle, et s’est contenté de donner le préci
ouvelle édition de ce théâtre, augmentée de la traduction entière des pièces grecques dont il n’existe que des extraits dans t
r. C’est ce qu’il fit d’abord, en 1636, par la représentation du Cid, pièce imitée, il est vrai, de l’espagnol de Lopez de Ve
ment mérité le titre de père de la tragédie françoise. C’est dans ces pièces qu’on voit déployées toute la profondeur, toute l
des autres. » Ces défauts, qu’on a remarqués même dans ses meilleures pièces , sont de vieux mots, des discours quelquefois emb
nimitable : mais il est inégal…. Dans quelques-unes de ses meilleures pièces , il y a des fautes inexcusables contre les mœurs,
toujours le même par-tout, soit pour le dessein et la conduite de ses pièces , qui sont justes, régulières, prises dans le bon
s ; et dans celui ci du goût et des sentimens. On est plus occupé aux pièces de Corneille : on est plus ébranlé et plus attend
voit fortement la tragédie, et qu’il avoit un genre à lui. Les bonnes pièces qu’il donna ensuite, lui méritèrent la gloire de
rible, mais bien moins que Crébillon. En admirant dans ses meilleures pièces , des détails d’une beauté frappante, des morceaux
direct ; que les maximes, les sentences sont trop prodiguées dans ses pièces  ; que les situations vraiment tragiques y sont qu
le Comte d’Essex l’ont fait placer à côté de nos bons tragiques. Ces pièces ne sont pas écrites avec une certaine force ; mai
eut-elle un succès prodigieux aux premières représentations. L’autre pièce est remarquable par la grandeur du sujet, la simp
oloris. Les comédiens, depuis assez longtemps ne jouent aucune de ses pièces . On peut cependant assurer que les amateurs de la
ce tragique est négligé, incorrect, obscur et ampoulé. Celles de ses pièces qui reparoissent le plus souvent, sont Zelmire, G
de la tragédie. Il y en a plusieurs autres à qui nous devons quelques pièces qui se soutiennent encore avec distinction sur no
ne parlarai que de ceux qui ne sont pas vivans. La Fosse a fait une pièce dans le genre de Corneille : c’est Ms. Il y a des
s, sur-tout dans le 4.me acte. Inès de Castro, par la Motte, est une pièce foible de poésie. Mais il y a de l’intérêt, et de
fait avantageusement connoître par son Philoctète et ses Troyennes ; pièces très-bien imitées des tragiques grecs. Dans la pr
t déjà pris naissance en Italie, lorsqu’on représentoit en France des pièces en machines. Corneille, dont le génie se plioit à
de toute la pompe dont il étoit susceptible, et fit tomber toutes les pièces de ce genre. Après les tragédies-lyriques de ce p
9 (1875) Poétique
point de tragédie : il peut y en avoir sans mœurs. La plupart de nos pièces modernes n’en ont point. C’est même le défaut ass
le dessein de celui qui agit : ainsi il n’y a point de mœurs dans les pièces où l’on ne pressent point ce que veut ou ne veut
que l’art ne peut la déterminer. Par exemple, s’il fallait jouer cent pièces en un jour, il faudrait bien alors prendre pour m
el temps. Mais si l’on considère la nature même de la chose, plus une pièce aura d’étendue, plus elle sera belle, pourvu qu’o
leur d’Agathon : car noms et sujet, tout y est de pure fiction, et la pièce n’en fait pas moins de plaisir. Ce n’est donc pas
que les histoires connues ne le sont que du petit nombre, et que les pièces font le même plaisir à tous. Il suit de là qu’un
l’art. C’est à tort qu’on blâme Euripide de ce que la plupart de ses pièces se terminent au malheur : il est dans les princip
ipide, quoiqu’il ne soit pas toujours heureux dans la conduite de ses pièces , est-il regardé comme le plus tragique des poètes
ets au second rang, quoique quelques-uns leur donnent le premier, les pièces qui ont une catastrophe double, comme l’Odyssée,
es Thébains nés de la terre, et l’étoile sur celui de Thyeste dans la pièce de Carcinus ; ou accidentels, soit inhérents au c
sortir, l’ignorait. On fut blessé de cette inattention du poète et sa pièce tomba. Il faut encore que le poète, autant qu’il
nouement. J’appelle nœud tout ce qui est depuis le commencement de la pièce jusqu’au point précis où la catastrophe commence 
seul ce qu’ont eu tous les autres ensemble. On ne doit pas dire d’une pièce qu’elle est ou n’est pas la même qu’une autre piè
it pas dire d’une pièce qu’elle est ou n’est pas la même qu’une autre pièce , quand le sujet est le même, mais quand c’est le
ns, comme si quelqu’un s’avisait de faire de toute l’Iliade une seule pièce . Dans l’épopée, l’étendue du poème permet de long
sa Niobé et dans sa Médée, ou comme Eschyle, ont-ils vu tomber leurs pièces et manqué le prix. C’est cela seul qui a fait tor
t manqué le prix. C’est cela seul qui a fait tort à Agathon. Dans les pièces où il y a péripétie seulement, et dans les simple
ction qu’à toute autre tragédie : ce sont des morceaux étrangers à la pièce . C’est Agathon qui a donné ce mauvais exemple. Ca
ar quelle différence y a-t-il de chanter des paroles étrangères à une pièce , ou d’insérer dans cette pièce des morceaux, ou m
e chanter des paroles étrangères à une pièce, ou d’insérer dans cette pièce des morceaux, ou même des actes entiers d’une aut
dans cette pièce des morceaux, ou même des actes entiers d’une autre pièce  ? Chapitre XIX. Des pensées et de l’élocution
où elles avaient été exposées. On ne connaît point le sujet de cette pièce . 8. C’est-à-dire qui rentre dans le fait particu
ués que cinq cents ans après la mort d’Oreste, et l’on disait dans la pièce qu’Oreste y avait été tué en tombant de son char.
10 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
ors qu’Albert le Grand aux fêtes la portait : Mais toujours recousant pièce à pièce nouvelle, Depuis trente ans c’est elle, e
lbert le Grand aux fêtes la portait : Mais toujours recousant pièce à pièce nouvelle, Depuis trente ans c’est elle, et si19 c
tait sur ses épaules, Qui traçait en arabe une carte des Gaules ; Les pièces et les trous semés de tous côtés Représentaient l
être, en composant, sur le voyage de Henri IV en Limousin, la fameuse pièce  : Ô Dieu dont les bontés de nos larmes touchées…
onc éternelle, écrites en 1599, attestent un nouveau progrès. Mais la pièce qui révéla décidément Malherbe comme un poète hor
n sent qu’une ère nouvelle s’est ouverte pour la poésie française. La pièce au duc de Bellegarde sera éternellement citée pou
l entreprit en rivalité de Malherbe plus encore que de Desportes. Les pièces du premier genre sont connues sous le titre de Be
e Pierre Corneille, cet homme étonnant et immortel qui, dans quelques pièces au moins, sut réunir les beautés de l’une et de l
critiques, encouragés par Richelieu, d’abord favorable à la nouvelle pièce , déclarèrent avec leur maître qu’elle devait être
où il l’a tué ; mais elle approuve ce qui est vraiment le sujet de la pièce , l’amour combattu. Lors de la composition du Cid,
ar son auteur tragédie comédie, à cause de l’heureux dénouement de la pièce et de la physionomie de plusieurs scènes et de ce
ités les factions du règne de Louis XIII. Le véritable objet de cette pièce est de peindre le fanatisme politique, et de mont
nt et elle inspire peu d’intérêt, bien qu’elle soit l’âme de toute la pièce et que son rôle soit plein de choses sublimes. Ce
maître de moi, comme de l’univers, etc. Et, répétons-le, dans cette pièce incomparable, tout est de l’invention du poète, t
l’auteur lui-même, les transports de l’amour humain font, dans cette pièce , un si agréable mélange avec la fermeté du divin,
st certainement Polyeucte ; et il a pu dire qu’il n’avait pas fait de pièce où l’ordre du théâtre fût plus beau et l’enchaîne
e tragique fécond répondit en donnant, une année après Polyeucte, une pièce où il y en a trop, la Mort de Pompée. Cet ouvrage
i de l’une, en étant reconnu pour frère de l’autre. Le style de cette pièce intéressante est souvent négligé ; mais le cinqui
e Corneille s’y est proposé, bien différent de celui de tant d’autres pièces , où il fait triompher la grandeur romaine, a été
, il se montre d’une héroïque générosité. Corneille a jeté dans cette pièce des morceaux sublimes et des traits d’héroïsme te
est en pleine décadence, et il baisse déjà singulièrement dans cette pièce . L’intrigue en est d’un froid désespérant, et tou
s des personnages vicieux. Les types qu’il a imaginés sont tout d’une pièce , tout à fait bons ou entièrement mauvais. Corneil
u’il s’est laissé toucher par sa beauté. Tout est amoureux dans cette pièce , Alexandre, Cléofile, Taxile, Porus, Axiane. La t
e rabaissé au profit de Porus. Puisque Alexandre était le héros de la pièce , il fallait le mettre au premier rang, et ne pas
Virgile, et l’on finit par reconnaître d’un accord unanime que cette pièce était une peinture admirablement Adèle de la cour
a inspiré à Euripide son chef-d’œuvre. Racine emprunta beaucoup à la pièce grecque ; mais les plus belles scènes d’Euripide
si c’est avec raison que Racine a pu dire qu’il n’avait point fait de pièce dans laquelle la vertu fût plus mise à jour que d
’y signaler. Une cabale odieuse traversa le succès de cette admirable pièce , et le noble poète, depuis ses débuts en proie à
pidité, ou paraissant l’être, qui firent le principal succès de cette pièce auprès des spectateurs privilégiés qui l’entendir
us originale, ce sont les rôles de femmes. Plus des deux tiers de ses pièces ont pour premier rôle une femme dont elles porten
vain n’est pas moins parfaite que le style proprement dit. Toutes ses pièces sont bien ourdies d’un bout à l’autre. Personne n
hode De ces sifflets qui sont tant à la mode. « Ce fut, dit l’un, aux pièces de Boyer. » Gens pour Pradon voulurent parier. « 
ion de la femme. Rien de plus piquant que l’intrigue de cette aimable pièce dégagée de tout moyen et de tout incident étrange
es, Molière, pressé par le temps et par les besoins, ne donna que des pièces en prose. Mais quatre ans après l’École des femme
, les portraits sont si vivants, les conversations qui remplissent la pièce sont si habilement tournées en scènes, enfin le s
ours cité parmi les merveilles du théâtre de Molière. Cependant cette pièce prête à des critiques sérieuses. Le sujet est dén
est essentiellement mondaine et profane. Le personnage comique de la pièce serait plutôt Philinte, cet homme à l’indulgence
ble empêcha-t-elle Louis XIV d’autoriser les représentations de cette pièce réputée très dangereuse. Molière, sentant bien qu
de Molière en créant ce personnage. Quant au mérite littéraire de la pièce , il n’y a ni partage ni controverse. Le plan est
ème grande comédie en vers. Par les Précieuses ridicules, sa première pièce en prose, jouée treize ans auparavant, il avait f
énuée d’intérêt et le dénouement de naturel. C’est d’ailleurs une des pièces que Molière a le plus soignées, et Boileau donna
s’était fait une habitude, une loi d’isoler sur le premier plan d’une pièce un travers plus ou moins bouffon, et de l’exposer
le Joueur nous met dans la confidence des chagrins que le héros de la pièce cause à sa fiancée, et les inquiétudes perpétuell
éloigner. Deux ans après le Joueur, Regnard donna le Distrait. Cette pièce ne peut être regardée comme une comédie de caract
lées par La Bruyère sous le même titre. La seule recommandation de la pièce , c’est d’être amusante, et d’offrir beaucoup d’ag
ament pendant qu’ils le croient à l’agonie. Tel est le sujet de cette pièce que La Harpe appelle le chef-d’œuvre de la gaîté
morale, de toute convenance, forcer même à rire celui qui vient à ses pièces pour les censurer, voilà le but et le triomphe de
. Hector.                                       Je vais le mettre en pièces . Valère. Lis donc. Hector lit.                
période de trente-trois ans, il ne lui donna pas moins de trente-deux pièces . Pendant dix ans il régna sans partage dans la tr
llut l’Andromaque de Racine pour faire comprendre la faiblesse de ses pièces , généralement empruntées aux romans de mademoisel
t de la féerie moderne brille de tout son prestige. La plupart de ces pièces sont trop remplies de fausses tendresses et de tr
facilité, noués et dénoués sans peine. En outre, dans chacune de ses pièces , la part de l’invention est grande. Écrivain pur
e second contient les cinq livres suivants, publiés en 1678, avec une pièce de vers en tête à la louange de madame de Montesp
smis, par tradition, comme des lois. Le genre satirique. Dans la pièce intitulée Épître à mon esprit, composée à la fin
x, Qui a temps a vie ; une satire, les Travaux d’Apollon, et quelques pièces fugitives ont placé Sénecé ou Séneçay parmi nos m
crivait de temps en temps et composait avec art de charmantes petites pièces dans le goût d’Horace et de Catulle, son unique b
phe marié fut de beaucoup dépassé par celui du Glorieux (1732). Cette pièce , comme l’a dit M. Saint-Marc Girardin, représente
ieux un véritable chef-d’œuvre, bien qu’on ne le joue plus. Parmi les pièces durables de Destouches nous nommerons encore le D
cond, décent ; il peint habilement les mœurs, sans que ses meilleures pièces , le Glorieux, le Philosophe marié, le Dissipateur
on ses propres expressions, forment quelquefois un livre à la fin des pièces . La diction n’est pas la partie la moins faible d
avec sens, sévère avec plaire, compassion avec prison, etc. Enfin ses pièces , dans lesquelles ses admirateurs osaient à peine
gée. Nous n’en prendrons, pour les juger rapidement ici, que quelques pièces d’un véritable mérite. Œdipe. — Voltaire n’avait
Voltaire n’avait que dix-huit ans et n’était encore connu que par des pièces fugitives, par quelques épîtres dans le genre de
prix à l’Académie française, lorsqu’il composa Œdipe, pour effacer la pièce de Corneille, du même nom, qu’il trouvait un fort
donner tort aux conseillers pessimistes. Zaïre. — Zaïre est la seule pièce où Voltaire ait essayé de peindre les combats et
u cinquième acte, c’est ce dernier acte qui fit le grand succès de la pièce , succès auquel contribuèrent grandement une actri
correction de Racine. Il ne serait pas nécessaire de soumettre cette pièce à un examen bien rigoureux, pour montrer qu’elle
vait composée en dix-huit jours. Néanmoins elle est restée une de ses pièces les plus incorrectes. Dans Alzire (1736), Voltair
à la foi un hommage franc et énergique. Le principal personnage de la pièce , Guzman, est le type du véritable chrétien. Aussi
, Guzman, est le type du véritable chrétien. Aussi Alzire est-elle la pièce réellement chrétienne de Voltaire. L’émotion y pé
ine ; c’est peut-être le chef-d’œuvre dramatique de Voltaire, une des pièces les plus remarquables par la versification qu’il
e révolte l’imagination et répugne au cœur. Le plus bel endroit de la pièce , la situation de Zopire embrassant son fils dans
philosophes pour sa tolérance. La malice d’Arouet n’aboutit pas ; sa pièce ne put être reprise qu’en 1751. Le grand acteur L
de La Harpe, il n’y a peut-être pas douze vers faibles dans toute la pièce … La Mort de César (1743), imitée de Shakspeare, q
hique de l’auteur devient celui de tous les personnages ; pas une des pièces de cette vieillesse tristement féconde où de long
es morceaux sérieux, philosophiques, moraux ou de sentiment, dont ces pièces sont remplies, les soutinrent longtemps au théâtr
le à la grâce brillante et abandonnée de quelques-unes de ces petites pièces qui lui échappaient sans effort sur toutes sortes
permettront de juger de sa manière. Pour pouvoir offrir au moins une pièce exquise, nous donnerons en entier l’Épître à Rosa
a plupart s’appliquer à toute autre comédie. Un autre défaut de cette pièce , c’est le manque de variété dans les personnages
e des vers que lui a fournis Damis ; la première représentation d’une pièce nouvelle, et des vers envoyés au Mercure, font le
ait pour un incomparable poète et pour un versificateur unique148. La pièce eut un grand succès et resta longtemps au théâtre
sont sacrifiés au rôle principal qui, à vrai dire, est le seul de la pièce . Après le théâtre, Lefranc voulut aborder un autr
Guillaume Tell, il est l’auteur de l’Épître à mon habit. Cette petite pièce , production de sa jeunesse, sera peut-être plus l
uen lui décerna quatre fois le prix de l’ode. Le sujet de la dernière pièce couronnée était le Soleil fixe au milieu des plan
fixe au milieu des planètes. Une admiration générale accueillit cette pièce que Marmontel inséra dans le Mercure de France. A
vec des changements essentiels. Le sentiment qui domine dans toute la pièce française et en constitue l’unité morale, c’est c
rds », selon une expression de M. Villemain155, mais l’ensemble de la pièce n’est pas à la hauteur du sujet ; aussi le succès
excuse, et qui, le crime fait, ne sait que pleurer et se lamenter. La pièce traîne et aurait pu être raccourcie de deux actes
tés par quelques éclairs de génie, il ne faut pas s’étonner que cette pièce sombre et fausse ait fait horreur au public franç
, ont soutenu Othello sur la scène plus longtemps qu’aucune autre des pièces de Ducis. Ce poète, qui n’avait jamais marché san
ussit au-delà de toute espérance, bien que l’incident principal de la pièce fût une méprise peu vraisemblable. L’invocation d
ues, ne cessaient de lui conseiller de simplifier l’ordonnance de ses pièces . Deuxièmement, elles ne sont pas écrites avec cor
au collège des Jésuites. Il vint ensuite à Paris où il débuta par des pièces fugitives dont le succès fut assez brillant. Nomm
comme partout, sa diction est un peu molle et terne. Quelques autres pièces méritent encore d’être citées, mais n’ont que des
(1803), Il veut tout faire, comédie épisodique en un acte. Toutes les pièces de Collin sont écrites en vers. Quoiqu’un peu vie
e plan est peu marqué. Ce poème, construit de morceaux détachés et de pièces de rapport réunis sous le même titre, est, suivan
sonne ; le poète n’a pas toujours senti ce qu’il a écrit ; plus d’une pièce nous donne, au lieu du poète lui-même, l’image fl
lieu, telle que nos poètes l’ont imaginée, fait à la plupart de leurs pièces , et qu’ils ont bien mal entendu leurs intérêts en
, fut tardive et inopportune. Plusieurs des petits poèmes ajoutés aux pièces anciennes témoignaient d’un rare talent. « Le Der
ne comédie Qui fut sifflée en paraissant209… Il composa plus de cent pièces de théâtre de toute espèce, comédies, opéras-comi
aussitôt salué poète national, poète de la patrie. Dans ces premières pièces , des épithètes pâles, des vers prosaïques, des pé
uère le louer davantage comme auteur comique, excepté pour une de ses pièces à laquelle nous avons emprunté quelques extraits.
on politique ni le jeu de Mlle Mars ne purent soutenir cette mauvaise pièce . La dernière grande comédie de Casimir Delavigne,
lecture pénible. Les œuvres de Casimir Delavigne se terminent par des pièces détachées et de petits poèmes qu’on a publiés sou
u d’autres sujets chrétiens qu’il aborde toujours avec prévention. La pièce intitulée les Limbes est peut-être ce que C. Dela
alogue à celui qu’avait obtenu le Génie du Christianisme. Les grandes pièces à Lord Byron, l’Immortalité, Dieu, respiraient le
n, de défauts ou de qualités237. Les Secondes Méditations offrent des pièces qui ne sont pas indignes des premières, le Crucif
Socrate, le Dernier chant du Pèlerinage de Childe-Harold, et la belle pièce intitulée : les Préludes, où il se montre à nous,
oxe dans les Harmonies poétiques et religieuses, qui, malgré quelques pièces admirables, comme le très chrétien Hymne au Chris
e sont pas assez variés. Ce recueil renferme cependant de très belles pièces  ; telle est l’admirable bucolique chrétienne inti
recueil lyrique de Lamartine, les Recueillements, renferme une grande pièce sur la mort de Mme de Broglie, dont cinq ou six s
ique par la forme et par la pensée. Le même mérite recommandait trois pièces que l’Académie couronna de 1819 à 1820. Le jeune
n’a pas faibli, mais ne s’est pas renouvelé. Excepté dans une ou deux pièces , comme Dieu est toujours là et la Cloche, il redi
e lecteur, pris de vertige, ne sait comment se débrouiller. Une seule pièce peut-être de ce recueil est exempte de ce galimat
seule pièce peut-être de ce recueil est exempte de ce galimatias, la pièce XVIII, Soirée en mer. On n’a pas seulement ici de
s de poésie, admirables surtout de sentiment, principalement dans les pièces où il pleure la mort de sa fille. La preuve que d
e mal par les titres ; mais ils n’ont aucune adhérence réelle. Chaque pièce est, comme le livre entier, « un commencement et
gende des siècles, et dont nous ne voulons signaler que le charme des pièces intimes ; le livre du Pape (1878), émané de l’ins
des Quatre vents de l’Esprit (1881), où sont enfermées de très belles pièces , pleines de vigueur et de spontanéité mais appart
Victor Hugo. On en trouve à peine quelques étincelles dans certaines pièces plus naturelles et plus faciles, par exemple dans
e la Cloche de Schiller et de la Fiancée de Corinthe de Goethe : deux pièces que Mme de Staël ne croyait pas qu’on pût faire p
angage poétique ». En écrivant sous l’impression du moment toutes ces pièces très variées, il laisse le lyrisme aux métaphores
aître plus de souplesse, de grâce et de facilité, même dans certaines pièces qui se ressentent encore du courant d’idées d’où
recueil, les Pensées d’août (1837), dont le titre tiré de la première pièce exprime la disposition d’où sont nés la plupart d
’août et les Notes et Sonnets qui les continuent renferment certaines pièces d’un sentiment vrai, profond, humain, et d’une ex
cette facture, ce serait parfait ; malheureusement de trop nombreuses pièces sont gâtées par une négligence voulue, ou par une
nade. Mais l’ironie aisée, la légèreté moqueuse qui animent plusieurs pièces , mais cette fantaisie originale qui ne ressemble
es ïambes, le mètre et la tradition d’André Chénier. Entre toutes les pièces de ce recueil inspiré par la Révolution de 1830,
nsi que tout mon cœur, il est à vous, ma mère. » Une des plus belles pièces du recueil, l’Évangile des champs, montre comment
charmes de la création, mais les domine et ne s’y arrête pas. Une des pièces les plus remarquables de ce recueil est la Sympho
poète, sauf, comme le remarque M. E. de Margerie278, dans une ou deux pièces , où le son d’une cornemuse, la rencontre d’un sai
juges en ces matières, celui de ses recueils qui contient le plus de pièces vraiment chrétiennes. Tout n’y est pas égal, mais
main, À tâtons, dans la nuit, je cherchais mon chemin… » et dans la pièce intitulée Jésus ; « Si la sagesse est Dieu, nul
uration littéraire. Quelques morceaux, tels que le commencement de la pièce et l’entrée des princes, traités avec une simplic
e part d’ailleurs le style de Ponsard n’est moins bon ; aucune de ses pièces n’offre une pareille abondance de vers détestable
mes de probité, de vertu, de désintéressement. Un personnage de cette pièce est excellent, c’est le personnage de Lucile, typ
dissertent, plaidoient, satirisent. Au demeurant, l’idée morale de la pièce qui fait valoir la supériorité de l’honneur sur l
iose démesuré, aux proportions surhumaines, et d’avoir, dans quelques pièces , aggloméré d’une façon excessive les couleurs et
exemptes de ces défauts. On doit regarder comme des chefs-d’œuvre des pièces telles que le Sommeil du condor, les Éléphants, l
comme toute angoisse, et la conviction n’est pas souple. » Dans les pièces sentimentales, ses accents sont émus et pénétrant
bien des fois celles de l’humanité. Si, dans un certain nombre de ses pièces , il s’abandonne trop aux rêveries alanguissantes,
une négligence. Ce verbe est d’ailleurs beaucoup trop employé dans la pièce . 65. Se seoir, pour s’asseoir, n’est plus guère
téraire de M. de Voltaire, t. II, p. 91. 134. Voltaire composa cette pièce en 1758, pour détourner de la carrière dangereuse
pologie. 153. On donnait le nom de palinods (on prononce palino) aux pièces de poésie couronnées tous les ans par les Académi
erge. Cette institution remontait au moyen âge. Pendant longtemps ces pièces durent rouler tout entières sur la gloire de la M
de M. Hippolyte Babou. 267. À V. Hugo, décembre 1829. 268. Voir la pièce  XVI. 269. Œuvres complètes de M. Sainte-Beuve,
11 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
s dans le Cid, de Corneille. (11 août 1882). • Que savez-vous sur les pièces romaines de Corneille ? (3 novembre 1883). • De l
, neuf cents ans environ avant notre ère, ait créé l’épopée de toutes pièces , et par les seules forces de son génie. L’Iliade
e, non un conseiller ou un simple témoin. Quand je t’aurai dit que la pièce se termine par un petit couplet anapestique, ἔξοδ
tragique tous les détails que ma mémoire me suggère. Mais venons à la pièce elle-même et aux personnages. Ces derniers sont g
a la tragédie à son plus haut degré de perfection dans les nombreuses pièces qu’il a faites et dont il ne nous reste que sept 
, ne témoignent pas moins d’une grande originalité et ont donné à ses pièces un intérêt particulier. Il nous reste de lui dix-
d à Saint-Maur, puis à l’hôpital de la Trinité, dont ils louèrent une pièce aux religieux Prémontrés, divers spectacles pieux
qu’il venait d’importer, et il se mit à l’œuvre pour créer de toutes pièces une langue épique, lyrique, dramatique. Mais c’es
les Annales de Tacite les données de sa tragédie de Britannicus, la «  pièce des connaisseurs. » Il avait apprécié, plus que p
inimitable, mais il le fit avec un art et une originalité tels que sa pièce est digne de figurer à côté de l’œuvre de Tacite.
higénie d’Euripide et celle de Racine, il faut juger chacune des deux pièces dans l’esprit du temps où elle a été composée.
de son temps, et la stricte équité exige qu’on juge chacune des deux pièces dans l’esprit de l’époque où elle a été composée.
grec, que nous défendrons en premier, lui ont reproché, comparant sa pièce avec celle de Racine, de nous présenter des perso
s semblables que certains critiques, admirateurs trop exclusifs de la pièce de Racine, ont adressés à celle d’Euripide, ne re
d’une même erreur, qui est l’oubli des temps et des lieux où les deux pièces furent écrites. [9] (3 novembre 1885) Esqui
éros tout faits pour ses tragédies ; il les a donc acceptés de toutes pièces , sans s’inquiéter vraisemblablement de savoir si
ational du moyen âge, si l’on eut fait un meilleur accueil à ces deux pièces , dont la première est pourtant restée un de ses c
ts et de leurs passions. Le rôle de Sabine est un rôle passif dans la pièce  ; elle ne fait guère que déplorer ses malheurs et
édies. Mais le rôle de Camille était, à part cela, nécessaire dans la pièce , pour opposer au fanatisme héroïque d’Horace un e
Mais cet amour et ses cruels malheurs ne sont qu’un épisode dans la pièce , et, au prix du destin de Rome et de ses fiers co
cond plan et n’est indispensable qu’au dénouement. Le caractère de la pièce veut que, l’enthousiasme domine en nous tout autr
et de Curiace dans Corneille. Développement. — Corneille, dans sa pièce , a voulu, non seulement suivre le récit de Tite-L
’unité d’intérêt soit compromise par le double péril d’Horace dans la pièce , quand il va combattre, puis quand il est mis en
ternie dans la suite par l’inaction. Le caractère de Curiace, dans la pièce , est vraiment l’antithèse de celui d’Horace. Corn
s deux rôles d’Horace et de Curiace, les deux plus intéressants de la pièce , ont été conçus par Corneille comme un parallèle
ide. Mais on doit remarquer que Racine, non content d’imiter les deux pièces d’Euripide intitulées Andromaque et les Troyennes
tés, être égalée au chef-d’œuvre que Racine en a tiré. Si à ces trois pièces , imitées directement du théâtre grec, l’on ajoute
a source grecque. À la littérature latine, il ne prit que deux de ses pièces . L’une, Britannicus (1669), qui est restée, selon
icus (1669), qui est restée, selon le mot consacré par Voltaire, « la pièce des connaisseurs », fut inspirée à Racine par la
profanes de Racine, il ne nous reste plus qu’à citer Bajazet (1672), pièce qui occupe une place à part dans les œuvres de no
ts. Cette douceur, toute grecque, qu’il a si bien reproduite dans les pièces imitées des poètes grecs, se retrouve également d
r. [24] (6 novembre 1884) Voltaire a dit : « Britannicus est la pièce des connaisseurs ; » prouver par l’analyse des ca
pièce des connaisseurs ; » prouver par l’analyse des caractères de la pièce , la justesse de cette appréciation. Développem
mant, même tragique ; mais ce n’est là qu’une partie accessoire de la pièce , quoiqu’elle soit indispensable à sa marche. L’an
peu tragique en lui-même, est pourtant un des plus remarquables de la pièce  ; ce personnage, qui nous inspire un mépris mêlé
n la justesse de l’appréciation de Voltaire : Britannicus est bien la pièce des connaisseurs. Avant lui, Boileau avait rendu
ingrate Célimène. Ce personnage, qui ne semble que secondaire dans la pièce , est donc une figure charmante qui contraste heur
es d’un trait pur et discret ; malgré ces qualités si précieuses, ses pièces laissent beaucoup à désirer au point de vue drama
nde partie du xvie  siècle sont des traductions ou des imitations des pièces italiennes : la farce du moyen âge, dont le fond
t resté dehors presque autant de monde qu’il en était entré. Enfin la pièce a commencé, et les applaudissements presque en mê
audir. La provocation du comte a été le moment le plus tragique de la pièce  : un frémissement général a manifesté combien l’a
récit de la bataille contre les Maures, qui est une des beautés de la pièce . Rodrigue, qui vient d’y conquérir le surnom de C
s attendent. » Mais je m’aperçois que je vais vous raconter toute la pièce , et vous priver ainsi d’une partie du plaisir que
e la règle des vingt-quatre heures presse trop les incidents de cette pièce  ; mais s’il est permis de se plaindre de l’incomm
fort embarrassante, soit qu’elles se soient faites avant la fin de la pièce , soit que le corps ait demeuré en présence dans s
à M. Corneille, je ne saurais pas, pour ma part, les trouver dans sa pièce  ; à moins, toutefois, que l’on n’appelle méchant
llem de Castro. « Il y a un abîme entre la valeur littéraire des deux pièces , qui diffèrent entièrement par la couleur général
l’expression de sentiments qui ne sont les mêmes qu’en apparence. La pièce espagnole embrasse une durée de six ans ; celle d
chose de plus d’avoir satisfait tout un royaume que d’avoir fait une pièce régulière… Il y a des beautés parfaites qui sont
te et Pylade, a excité le plus vif enthousiasme ; mais la suite de la pièce nous réservait des beautés qu’on n’imaginait pas,
comme il est fait dans ce drame. « Quatre personnages remplissent la pièce  : Oreste, Hermione, Pyrrhus, Andromaque. Oreste a
ste, pleine de dépit et de rancune… « C’est Andromaque qui conduit la pièce  ; on a souvent comparé l’âme à une balance. Rien
Mais je m’aperçois que je vous parle comme si vous aviez déjà vu la pièce , et que je vous prive à l’avance, en vous prévena
mparer à la sienne ? Quand il fit paraître sur la scène ses premières pièces , quels modèles trouva-t-il ? aucune comédie faite
ur de génie en interprétant lui-même tous les rôles difficiles de ses pièces . Mais souffrez, Monsieur, puisque je vous parle d
vec l’action, vous fût venue plus tôt, vous l’eussiez appliquée à vos pièces profanes, et notre tragédie n’aurait rien à envie
le feu commença, les deux villages et le bois étaient garnis de cent pièces de canon, et le terrain si resserré qu’on allait
ens, massés sur trois lignes, s’avancent stoïquement, précédés de six pièces de canon et en ayant six autres au milieu d’eux.
uvre. « Sans le Menteur, disait-il, j’aurais sans doute fait quelques pièces d’intrigues, mais peut-être n’aurais-je jamais fa
12 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. B. Rousseau. (1671-1741.) » pp. 254-266
rpe, un peu trop rigoureux, d’ailleurs, pour le commencement de cette pièce  ; « voilà du mouvement, des images : nous avons r
canto. 3. Ces mêmes idées se retrouvent au commencement d’une des pièces lyriques de Synésius, Hymne à son âme. 4. Expres
12e du liv. Ier, qui expriment des idées analogues à celles de cette pièce . Cf. aussi la 13e, ibid. 3. Cette pièce apparti
analogues à celles de cette pièce. Cf. aussi la 13e, ibid. 3. Cette pièce appartient aux Odes sacrées de Rousseau, que La H
9. 2. Couleurs et tours habilement contrastés avec le reste de cette pièce . Quelle harmonie différente de celle qui va suivr
érisés dans ces vers. » M. de Lamartine, dans quelques strophes de sa pièce intituléeJéhova ou l’idée de Dieu, a fort heureus
ute, des vers agréablement tournés : mais il faut regretter que cette pièce énergique soit finie par un de ces lieux communs,
iennes tragédies et dans les odes de Pindare… » « J’ai voulu, par ces pièces , ajoutait-il, réconcilier, à l’imitation des Grec
13 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
e qui prononce tout uniformément ou accentue à faux, qu’entre la même pièce de musique exécutée par un artiste habile, ou éco
a pas de raison pour que l’on n’y puisse introduire de même quelques pièces de vers sous le nom d’un personnage qui aurait ac
rs de suite, et l’on ne s’en sert ordinairement que pour terminer une pièce de longue haleine. And in the smooth description
ant que les poètes modernes aient donné à ce genre de poésie, et deux pièces italiennes, composées de cette manière, il Pastor
s sujets de poèmes ; et quoiqu’elles ne forment que bien rarement des pièces isolées et détachées, elles occupent une place si
r n’en former que des parties subordonnées, et ne paraître jamais des pièces étrangères et rapportées. L’épisode d’Olinde et d
e, la vertu peut paraître malheureuse, mais aucun poète ne termina sa pièce par le bonheur et le triomphe du vice. Si des méc
r ces dénouements auxquels Euripide eut recours dans plusieurs de ses pièces , et qui ne s’opèrent que par l’intervention d’une
d’introduire un personnage qui, de distance en distance, récitait une pièce de vers. L’on doit cette innovation à Thespis, qu
me un simple ornement, ou qu’ils contribuassent à la perfection de la pièce , c’est, à proprement parler, le dialogue que l’on
laisait le plus aux spectateurs, et qui donnait le plus de pompe à la pièce . Ensuite le chœur n’exprimait que des sentiments
pas être plus de quinze, se tenaient sur le théâtre pendant toute la pièce , conversaient avec les acteurs, prenaient part au
pour le succès des entreprises honorables qui étaient le sujet de la pièce , plaignaient les hommes vertueux aux prises avec
les paroles du chœur, et se mêlent au dialogue des personnages de la pièce , est encore une circonstance qui éloigne la repré
ou exécutaient une harmonie qui, sans faire précisément partie de la pièce , eussent cependant un certain rapport avec le suj
s, de prolonger les émotions, et de faire ressortir la moralité de la pièce , n’auraient plus l’inconvénient de ne former dans
se commettre un poète, c’est de faire marcher à la fois, dans la même pièce , deux actions indépendantes l’une de l’autre : il
rrivent ensemble à un même dénouement. L’unité est violée si, dans la pièce , il existe une action indépendante de l’action pr
sources, a cherché à y mettre de la variété en faisant entrer dans sa pièce l’histoire des amours de la famille de son héros 
tefois que tous ces incidents rentrent dans l’action principale de la pièce , et contribuent à en amener le dénouement. Tous l
is encore la simplicité d’intrigue, avec une telle rigueur, que leurs pièces nous semblent quelquefois trop dépourvues d’intér
il s’y refuse. Thésée, roi d’Athènes, lui offre sa protection, et la pièce finit avec la mort d’Œdipe. Dans le Philoctète du
dans sa tragédie, d’ailleurs estimable, de l’Épouse éplorée 34. Cette pièce peut être citée comme un exemple frappant du défa
retrouve dans chaque acte, et même dans chaque scène. La division des pièces de théâtre en cinq actes n’a d’autres fondements
en fixât jamais aucun, pour laisser la liberté de partager toutes les pièces en autant de parties ou d’intervalles que le suje
et venait chanter des hymnes ; mais ces chants ne partageaient pas la pièce en cinq parties comme nos actes, ainsi que quelqu
et irréguliers, déterminés seulement par le sujet, et partageaient la pièce , tantôt en trois, tantôt en sept, et même en huit
huit parties35. Puisque, sur notre théâtre, l’usage exige que chaque pièce soit divisée en cinq actes, et qu’à la fin de cha
. Il fera connaître les personnages qui doivent jouer un rôle dans la pièce  ; il donnera une idée de leurs projets, des motif
résentation, et donnait au spectateur une véritable explication de la pièce . C’est ainsi que commencent la plupart des tragéd
e n’est pas celle pour laquelle on l’a prise dans tout le cours de la pièce . Lorsqu’une semblable découverte est amenée avec
de Mérope, dans Voltaire, et de Douglas, dans M. Hume. Chacune de ces pièces est un chef-d’œuvre. Il n’est pas nécessaire que
ragédie soit toujours malheureux. Il peut y avoir dans le cours de la pièce assez de mouvement, les personnages peuvent y par
s grande latitude ; Athalie de Racine, presque toutes les plus belles pièces de Voltaire, comme Alzire, Mérope, l’Orphelin de
’ils conservent encore le souvenir de l’impression douloureuse qu’une pièce leur a faite, ils reviennent pour l’éprouver enco
, et les scènes paraissent tellement décousues, que la plupart de nos pièces pourraient être divisées en dix ou douze actes au
raire, la scène était toujours occupée soit par les personnages de la pièce , soit par les chœurs. Aussi l’imagination n’avait
ce publique, où il était vraisemblable que tous les personnages de la pièce se rencontrassent. Il s’ensuivait nécessairement
entation, sont des licences qui choquent l’imagination, donnent à une pièce quelque chose de romanesque et d’invraisemblable,
un égard à la division que les actes sont destinés à établir dans une pièce . La tragédie de Caton, par M. Addison, est sans c
ne pièce. La tragédie de Caton, par M. Addison, est sans contredit la pièce anglaise la plus régulière et la mieux conduite ;
nécessaire que la vertu se trouve toujours récompensée à la fin de la pièce , ou que les méchants soient confondus et punis ;
ripide, et plusieurs autres semblables. Le poète, dans le cours de la pièce , trouvait bien l’occasion d’exprimer quelques pré
en n’est plus capable de produire un mauvais effet et de dégrader une pièce , que le mélange d’une misérable intrigue amoureus
style, s’il échoue dans le pathétique, tout son mérite est perdu, sa pièce nous laisse froids et mécontents, et nous sortons
ssion ; chez lui l’art ne l’altère jamais, et on le retrouve dans ses pièces bien plus souvent que dans aucun poète tragique.
s le tour des pensées morales que le poète a placées à propos dans sa pièce . J’ai eu occasion, dans cette Lecture et dans la
c laquelle son intrigue est conduite ; mais il ne s’ensuit pas que sa pièce soit tout à fait sans mérite, car la beauté et la
i de Thèbes, et de son infortunée famille, a fourni la matière de six pièces différentes ; dix-sept au moins sont tirées de la
ais il a plus de négligence et d’incorrection dans la conduite de ses pièces  ; ses expositions sont faites avec bien moins d’a
accorder d’avoir perfectionné ce bel art, en introduisant dans leurs pièces un plus grand nombre d’incidents, en y faisant jo
e force et de vérité dans le langage des passions. Il y a, dans leurs pièces , trop de conversations, et pas assez d’action. J’
i deux fois les plans tracés par Euripide ; Phèdre est une très belle pièce , et l’emporte, selon moi, sur Iphigénie, dans laq
oins déclamatoire que celui du théâtre français. Mais la brièveté des pièces , et le mélange, nécessaire il est vrai, de la poé
endant on doute encore si ses beautés ou ses défauts l’emportent. Ses pièces sont pleines de scènes et de passages admirables 
a marche, et l’amalgame étrange de sérieux et de comique dans la même pièce , on est à chaque instant offusqué par des pensées
r. Malgré ses nombreuses absurdités, il semble, quand nous lisons ses pièces , que nous sommes au milieu de nos semblables ; no
toute la force de son génie, ce sont Othello et Macbeth. Quant à ses pièces historiques, ce ne sont, à proprement parler, ni
; mais nous n’avons qu’un bien petit nombre d’auteurs dont toutes les pièces soient dignes d’une critique particulière, ou de
Le Théodose ou la Force de l’amour, par Lee, est la meilleure de ses pièces  ; et dans quelques-unes de ses scènes, il ne manq
nne et le style toujours pur et élégant. Mais, dans la plupart de ses pièces , il est trop froid, trop peu intéressant, et plut
elles ont toujours reçus. La Vengeance, par le docteur Young, est une pièce où l’on découvre de la chaleur et du génie, mais
ue, les caractères et les pensées, d’être placée parmi les meilleures pièces du théâtre anglais. Il n’entre point dans le plan
. Il n’entre point dans le plan que je me suis proposé, de parler des pièces modernes ni des auteurs vivants. En jetant un cou
ntèrent-ils d’imiter, quelquefois même de traduire littéralement, les pièces de Ménandre et de quelques autres poètes grecs. O
l’une, c’est l’intrigue ou l’action qui est le principal objet de la pièce  ; dans l’autre, l’auteur n’a eu en vue que l’expo
glais semblent donner la préférence à la comédie d’intrigue. Dans les pièces de Congrève, et, en général, dans toutes nos pièc
ntrigue. Dans les pièces de Congrève, et, en général, dans toutes nos pièces , il y a plus d’action, plus de mouvement, plus d’
nce sur le succès d’un ouvrage, consiste à conserver pendant toute la pièce un dialogue coulant, aisé, gracieux, sans roideur
qui n’ait au moins un des défauts dont je viens de parler. Les trois pièces dans lesquelles le dialogue me semble avoir plus
onnus que l’on mettait en scène sous leur propre nom. Telles sont les pièces d’Aristophane, dont onze nous restent encore, piè
Telles sont les pièces d’Aristophane, dont onze nous restent encore, pièces d’un genre tout particulier, et qui ne ressemblen
ssent, sur leur théâtre, l’objet de la risée publique. La plupart des pièces d’Aristophane étaient des satires politiques sur
uripide ; l’auteur était son ennemi particulier, et il a composé deux pièces uniquement pour le couvrir de ridicule. La vivaci
ne. Souvent il montre de la force et du génie ; mais, en général, ses pièces ne sont pas faites pour nous donner une haute opi
ait comme cet auteur traita Socrate dans sa comédie des Nuées ; cette pièce peut avoir contribué à noircir le philosophe dans
ible de les méconnaître. Il ne nous est resté aucune de ces sortes de pièces auxquelles la comédie nouvelle succéda bientôt. L
ce genre. Les imitations que Térence a faites de quelques-unes de ses pièces , et ce que nous en dit Plutarque, doivent nous fa
e. Il ne nous reste de la comédie nouvelle, chez les anciens, que les pièces de Plaute et de Térence, qui, tous deux, avaient
ouve chez lui les marques de l’imperfection de l’art. Il commence ses pièces par un prologue qui quelquefois développe le suje
ressemblance et d’uniformité dans les caractères et les sujets de ses pièces . Il a copié Ménandre, et l’on assure qu’il ne s’e
ur celle des deux autres, a écrit, à ce que l’on assure, plus de cent pièces de théâtre ; mais un tel nombre cessera de nous é
bre cessera de nous étonner lorsque nous connaîtrons la nature de ces pièces . Il paraît, s’il faut en croire M. Perron de Cast
e soumet à aucun des principes généralement établis. Souvent une même pièce renferme plusieurs années, renferme même la vie e
ligion chrétienne et la mythologie des païens. En un mot, ce sont des pièces qui ne ressemblent en rien à des compositions dra
îté et les plaisanteries, mais elles étaient toujours innocentes. Ses pièces en vers, comme le Misanthrope et le Tartufe, sont
st peint dans le style élégant et poli de la satire. Quoique dans ses pièces en prose il ait plus souvent employé le ridicule,
op longs. On lui a reproché d’être descendu jusqu’à la farce dans ses pièces en prose les plus comiques. Cependant il faut con
l’esprit dans son principe : car on ne peut accuser d’immoralité les pièces de Shakspeare ni celles de Johnson. Le noble cara
tères et des mœurs. Johnson est plus régulier dans la conduite de ses pièces , mais il a de la roideur, et quelquefois même de
de la comédie, et, à quelques exceptions près, le héros de toutes les pièces . On couvrait de ridicule, non pas le vice et l’ex
la résolution de vivre en honnête homme ; mais pendant le cours de la pièce , on le présentait comme un modèle des jeunes gens
laire, il peignait les mœurs de son temps, et prenait dans toutes ses pièces le ton licencieux et dissolu, alors à la mode. Il
bles et des traits d’esprit infiniment heureux. On est surpris qu’une pièce aussi décente soit sortie de la plume de deux aut
eurs comiques les plus immoraux. Son Épouse poussée à bout 48 est une pièce pleine de pensées et d’allusions si dégoûtantes,
isance et peut-être tout autant de force comique. Ses deux meilleures pièces , celles qui prêtent le moins à la censure, sont l
leurs il n’y en a presque que de deux espèces qui figurent dans leurs pièces , des femmes totalement dépravées, ou des femmes q
n. Mais les étrangers, et principalement les Français, habitués à des pièces plus régulières et surtout très décentes, ne peuv
indécent de quelques caractères dépravés ; et celles de nos dernières pièces qui ont eu le plus de succès sont purgées des scè
us ancienne. Si elles n’ont pas l’esprit, l’aisance et le comique des pièces de Congrève et de Farquhar, il faut du moins les
e nom de comédie larmoyante, n’est pas d’invention moderne. Plusieurs pièces de Térence, et particulièrement l’Andrienne, rent
disputons jamais sur les noms. Irai-je refuser le nom de comédie aux pièces de M. Congrève ou à celles de Calderon, parce qu’
e exactement la mesure ; que les vents jouent l’orgue, etc.” Toute la pièce est dans ce goût : j’avertis seulement les França
guère mieux alors ; que la Mort de saint Jean-Baptiste et cent autres pièces sont écrites dans ce style ; mais que nous n’avio
consacré cette apparition ; mais les introduire, comme dans quelques pièces anglaises, seulement pour faire marcher l’action,
n’a plus fait de progrès. Crébillon a laissé à peine au théâtre deux pièces dont la représentation soit supportable ; Voltair
rsonne n’a fait mieux que lui. Il s’applaudissait d’avoir, dans cette pièce , introduit un genre nouveau, en mettant sur la sc
toute la force de son génie, ce sont Othello et Macbeth. » Ces deux pièces , les plus connues du théâtre de Shakspeare, ont é
d’Hamlet, et cette censure pourrait presque s’appliquer à toutes les pièces de Shakspeare : « C’est une pièce grossière et b
presque s’appliquer à toutes les pièces de Shakspeare : « C’est une pièce grossière et barbare, qui ne serait pas supportée
in. La diction en est si naïve, si plaisante, tant de traits de cette pièce sont devenus proverbes, qu’il semble qu’on les gâ
ne seraient point si plaisants s’ils rimaient. Mais dans les grandes pièces remplies de portraits, de maximes, de récits, et
iques sous des noms bourgeois. On dit qu’il y a de l’intérêt dans ces pièces quand elles sont bien jouées ; cela peut être, je
s lire ; mais on prétend que les comédiens font quelque illusion. Ces pièces bâtardes ne sont ni tragédies ni comédies. Quand
notre jeune homme encore plus fat ; le marin revenait à la fin de la pièce , et mettait ordre à tout. « Une actrice de Paris,
son mari à l’aimer publiquement. Elle pressa l’auteur d’en faire une pièce régulière, noblement écrite ; mais ayant été refu
le style. Ce fut ce qui valut au public le Préjugé à la mode. « Cette pièce était bien froide après celles de Molière et de R
comédie fut ainsi défigurée, la tragédie le fut aussi : on donna des pièces barbares, et le théâtre tomba ; mais il peut se r
il se montre plus indulgent ; et, dans le préambule de son examen des pièces de La Chaussée, il donne ainsi les motifs de l’in
d’ouvrages, peut lui mériter le titre de fondateur. Le succès de ses pièces n’est pas contesté, il est encore le même après c
on que ce qui est d’un goût faux ; je n’en vois point dans les bonnes pièces de cet écrivain ; je n’y vois qu’un genre inférie
pensées ; de la naît un des inconvénients les plus fréquents dans les pièces de La Chaussée. Les effets tenant le plus souvent
les a oubliées presque toutes, et l’on pleure encore aujourd’hui aux pièces de La Chaussée. » 1. Quid enim aliud est
e jugement nous oblige à croire que M. Addison n’avait point lu cette pièce . Dans un dialogue entre Daphné, compagne de Sylvi
les ouvrages et le génie de Shakspeare, une défense excellente de ses pièces historiques, et des observations fort justes sur
tagem. 52. Consciours Loves. 53. « Il y a beaucoup de très bonnes pièces où il ne règne que de la gaîté ; d’autres toutes
ient chez lui trouvaient ses vers fort bons. » (Voltaire.) 55. Cette pièce était probablement de M. de Voltaire. On n’en a r
14 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »
Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. § 39. Triolet, rondeau ; lai. N
ener le premier ou les deux premiers vers au milieu et à la fin de la pièce  : seulement, au lieu de se borner à huit vers, on
de ce qu’il communique Pour te guérir. Le rondeau redoublé était une pièce bizarre plutôt qu’harmonieuse ou agréable, et d’a
ns fruit. § 40. La ballade, le chant royal. La ballade est une pièce de vers coupée en stances égales, et suivies d’un
est venu son nom. § 41. Sonnet. Le sonnet n’est pas, comme les pièces précédentes, soumis à l’emploi des refrains. Mais
ns nous arrêter à cette opinion bizarre qui ne veut pas qu’une petite pièce de poésie soit jamais parfaite qui a fait ses règ
15 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
oésies fugitives ? On donne le nom de poésies fugitives à de petites pièces de vers sur divers sujets, inspirées par une occa
circonstance quelconque, et qui n’ont entre elles aucune liaison. Ces pièces sont plutôt destinées à amuser et à plaire un mom
s aussi facile qu’on pourrait le croire de réussir dans ces sortes de pièces . Outre que chacune d’elles exige un talent partic
amme 110. Qu’est-ce que l’épigramme ? L’épigramme est une petite pièce de poésie qui présente, exprimée avec grâce et pr
econde partie de la stance, n’est qu’un demi-couplet, de sorte que la pièce entière se compose de 28, 35 ou 42 vers. Les part
s reviennent, en guise de refrain, après le sixième, pour terminer la pièce . L’idée qui forme le fond du triolet doit être ag
énigme, de αἴνιγμα, fait de αἴνος, proverbe, apologue, est une petite pièce où l’on donne à deviner une chose, en la décrivan
16 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
tère grave et majestueux, convient aux grands poèmes, et à toutes les pièces sérieuses et de longue haleine. On l’emploie sans
des odes ; mais aujourd’hui, on s’en sert volontiers dans les petites pièces de poésie et dans les chansons : Cher ami, ta fu
c. On peut s’en servir dans les contes, les fables et autres petites pièces , où il s’agit de peindre des choses agréables ave
qui comptent moins de six syllabes ne s’emploient guère que dans les pièces libres et badines, ou destinées à être mises en m
d’exception que dans des cas extrêmement rares, dans quelques petites pièces , comme une chanson, une épigramme. 81. Combien y
ur à la période poétique. 86. Qu’appelle-t-on rimes redoublées ? Les pièces à rimes redoublées sont celles qui présentent le
out le cours d’une période poétique. On se sert de ces rimes dans des pièces légères, pour rendre la narration plus rapide, et
celles des rimes masculines étant peu agréables. 87. Qu’entend-on par pièces monorimes ? On appelle ainsi de petits poèmes do
ve-t-on bien peu qui aient mérité de passer à la postérité. Voici une pièce monorime que Lefranc de Pompignan a composée sur
t irrégulière, quand on n’y rencontre aucune symétrie, comme dans les pièces en vers libres. 89. Qu’appelle-t-on pièces en ver
e symétrie, comme dans les pièces en vers libres. 89. Qu’appelle-t-on pièces en vers libres ? Les pièces en vers libres sont
èces en vers libres. 89. Qu’appelle-t-on pièces en vers libres ? Les pièces en vers libres sont celles qui présentent le méla
rire en vers libres tout morceau qui admet les rimes mêlées. Dans ces pièces , le poète conserve une très grande liberté pour e
17 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88
de l’archonte, pourvoyaient d’eux-mêmes à la représentation de leurs pièces . Le prologue.] Il est, je l’avoue, difficile d’im
l  c’est-à-dire qu’on n’en puisse détacher aucune partie, sans que la pièce tombe en ruine. Il ne faut pas s’embarrasser de l
1, et traduit un peu librement en français dans le recueil intitulé : Pièces fugitives d’histoire et de littérature, Paris, 17
es spectacles d’Allemagne, et vous assistez à la représentation d’une pièce de Shakespeare. Vous voyez là un public se pâmer
oyen de rendre la tragédie intéressante : au lieu de ce que, dans ces pièces anglaises, la scène dure un espace de quelques an
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55
ours, on doit bien faire la même grâce à la comédie, et approuver les pièces de théâtre où l’on verra régner l’instruction et
Le Marquis. Quoi ! chevalier, est-ce que tu prétends soutenir cette pièce  ? Dorante. Oui, je prétends la soutenir. Le M
âtre un de nos amis qui se rendit ridicule par là. Il écouta toute la pièce avec un sérieux le plus sombre du monde, et ce qu
de place déterminée ; que la différence du demi-louis d’or2 et de la pièce de quinze sous ne fait rien du tout au bon goût ;
qui le composent il y en a plusieurs qui sont capables de juger d’une pièce selon les règles, et que les autres en jugent par
i la grande règle de toutes les règles n’est pas de plaire, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n’a pas suivi un
oit s’arrêter peu à leurs disputes embarrassantes. Car, enfin, si les pièces qui sont selon les règles ne plaisent pas, et que
19 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
s moindres inégalités, les plus légers défauts. Il faut qu’une petite pièce de vers soit aussi parfaite qu’elle puisse l’être
t de la balade, du chant royal, du lai, du virelai, et autres petites pièces de vers, qui ne sont plus guère d’usage. Articl
poésie, et justifier en quelque sorte ce que l’on dit de ces petites pièces de vers ; que ce ne sont que des puérilités que l
iers rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous d’en-bas la pièce est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs
la pièce est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs ; Et si la pièce est mal représentée, Pour notre argent nous siffl
poètes offrent aussi dans leurs recueils de jolis épithalames ou des pièces , de vers, qui en portent le nom, sans en avoir pr
core le nom de vaudeville à un divertissement qui termine les petites pièces de théâtre. Il doit contenir le sens moral de la
e les petites pièces de théâtre. Il doit contenir le sens moral de la pièce . 155. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin
20 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
râce à l’amour. Parny. Lecture. — Voir la suite de cette charmante pièce de vers dans le vol. II, nº 5. Racan termine par
eureuse comparaison, relevée par une tournure pleine de précision. La pièce de vers suivante, intitulée la Prière, se fait re
les monts se déplie. Lamartine. Lecture. — Voir la suite de cette pièce de vers. Vol. II, nº 6. 14° Pensées fortes, fr
nt quelques exemples de pensées magnifiques. J.-B. Rousseau, dans une pièce de vers intitulée Aveuglement des hommes, demande
s d’une manière complète les idées analogues qui constituent ces deux pièces de poésie. Section II. — Des Pensées, considér
ce, nous voyons l’habile charpentier disposer d’abord les principales pièces de charpente destinées à former l’ensemble de l’h
estinées à former l’ensemble de l’habitation, puis pincer ensuite les pièces de bois secondaires destinées à la distribution i
21 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
ëte avait, dès l’âge de vingt-trois ans, placé sur la scène, dans une pièce intitulée Mélite, une aventure qui lui était pers
ais dans ses préfaces et les examens sincères qu’il a consacrés à ses pièces . Ce même recueil a montré Corneille dignement lou
d’un grand mérite et d’une vaste littérature. » Il fit quarante-deux pièces de théâtre, dont quelques-unes obtinrent un brill
des scènes touchantes et des vers fort heureux. Par malheur, dans les pièces de Thomas Corneille, le style n’est jamais assez
1. On sait que Corneille emprunta ce sujet et plusieurs détails à une pièce de l’Espagnol Guilhem de Castro, dont la traducti
et de Castille. La tragi-comédie du Cid (on donnait alors ce nom aux pièces tragiques dont le dénoûment était heureux), jouée
èvre (in-8°, 1824, collection des classiques français), où toutes les pièces du procès ont été soigneusement recueillies. Qu’i
-dessus de celle de tous les autres pays. 1. 1642. Le sujet de cette pièce , à laquelle, suivant Voltaire, « nous devons Moli
lle donna plus tard la Suite du Menteur ; mais, quoique cette seconde pièce ne manquât pas de détails agréables et de vers he
22 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVI » pp. 112-113
Le Tydée et les fils de Phinée.] On ne sait rien de plus sur ces deux pièces que ce que nous en apprend Aristote. Il existait
ces deux pièces que ce que nous en apprend Aristote. Il existait une pièce , probablement toute lyrique, de Timothée, sous le
ς (v. 47). L’Ulysse Faux-Messager.] On ne sait rien de plus sur cette pièce , dont l’auteur même est inconnu. Græfenhan suppos
23 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XI. Poésies fugitives. »
tits poèmes courts et légers destinés à plaire un moment. Ce sont des pièces de circonstance, des amusements de société, des j
e d’Anthologie. On peut ranger sous le titre de poésies fugitives les pièces suivantes : le sonnet, la ballade, le rondeau, le
sera la plus superbe. § VII. Épithalame. L’épithalame est une pièce de vers composée à l’occasion d’un mariage ; elle
      Bois-son. § XII. Acrostiche. L’acrostiche est une petite pièce où chaque vers commence par une des lettres d’un
24 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
me siècle. Sa célébrité bruyante grandit encore par le succès de deux pièces étincelantes de verve, de vivacité, de malice et
sieurs, malice, erreur ou distraction dans la manière dont on a lu la pièce  ; car il n’est pas dit dans l’écrit : « laquelle
spectacle : — Expliquez-moi donc, je vous prie, pourquoi, dans votre pièce , on trouve autant de phrases négligées qui ne son
ecret ; je ne me prête point à de pareilles fantaisies. J’ai donné ma pièce au public pour l’amuser et pour l’instruire, mais
vice et les honneurs de la vertu, telle est la pruderie du siècle. Ma pièce n’est point un ouvrage équivoque ; il faut l’avou
ttise de les défendre » 1. Il y a quelque chose de plus fou que ma pièce , dit Beaumarchais, c’est son succès. 2. Le mar
25 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
lis au hasard. Hector. Ouvre, et lis au hasard.Je vais le mettre en pièces . Valère. Lis donc. Hector lit. Lis donc.« Chap
vec son argent l’établissement qu’il désirait. Telle est la fin de la pièce de Regnard, morale dans sa conclusion, si elle ne
Sainte-Beuve. » 1. Décembre 1696. On a signalé justement dans cette pièce , où Regnard semble s’être surpassé, beaucoup de v
é d’observation. L’intrigue est habilement conduite ; l’intérêt de la pièce est souteunu jusqu’au bout. Le caractère principa
et au génie des auteurs, pour soupçonner Regnard d’avoir dérobé cette pièce à Dufresny. » 2. C’est-à-dire souples et élasti
26 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
revenir avec Diomède enlever le Palladium : tel est le sujet de cette pièce , dont l’Odyssée (IV, 252-264  cf. Euripide, Hécub
s l’enlèvement du Palladium. Sophocle avait composé sous ce titre une pièce dont il ne reste que trois courts fragments. La p
inutile de remarquer que l’auteur n’épuise pas ici l’énumération des pièces qui se rattachaient à la Petite Iliade  par exemp
27 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
e Parium. L’Oreste d’Euripide.] L’auteur de l’Argument grec sur cette pièce , la déclare δρᾶμα τῶν ἐπὶ σϰηνῆς εὐδοϰιμούντων, χ
de la Poétique. Dans la Médée.] L’auteur d’un argument grec de cette pièce , qui contient des observations intéressantes, cit
oisième fois que nous remarquons ces rapports entre les Arguments des pièces grecques et des textes d’Aristote  ils indiquent
28 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
s prêtent à leurs personnages n’ont jamais été tenus, que ce sont des pièces d’éloquence qu’ils ont composées eux-mêmes à l’oc
oute, comme l’a remarqué M. Ampère, des jeux d’esprit puérils, ou des pièces de placage, dont les hommes sérieux ne font pas g
t passage tiré de l’Éloge de Marivaux par d’Alembert. Il s’agit d’une pièce de cet auteur comique qui n’avait eu aucun succès
et bien naïve sa soumission pour le public, à l’occasion d’une de ses pièces qui avait pour titre : l’Île de la raison ou les
e par le parterre avec la rigueur la plus inexorable. L’idée de cette pièce était très singulière : c’étaient des hommes qui
se condamner de bonne grâce. « J’ai eu tort, dit-il, de donner cette pièce au théâtre, et le public en a fait justice ; ces
que ce mauvais jeu se répétait, le dégoût est venu avec raison, et la pièce est tombée. » § 31. Abrégés d’histoire. On
erchées. La nécessité d’économiser le temps a fait réunir ces petites pièces en très grande quantité dans des dictionnaires pl
29 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101
moignage d’Aristote est la seule trace qui reste aujourd’hui de cette pièce dans les écrits des anciens. — Lessing, dans sa D
ne prend pas assurément cette peine  il se laisse attendrir quand la pièce est touchante, et il ne s’avise pas de dire en vo
ui qui se rapproche le plus du sens d’Aristote : « Comme ils font des pièces qui doivent être représentées et disputer le prix
30 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
Que le début, la fin, répondent au milieu ; Que d'un art délicat les pièces assorties N'y fassent qu'un seul tout de diverses
La grâce et l'harmonie du style se font également remarquer dans la pièce suivante : Entre mes doigts guide ce lin docile
ittérateur de l'ancienne école, Hoffmann, a dit : « Si vous lisez une pièce de théâtre, des poésies ou un roman où se trouven
a pensée ; des expressions basses, à côté de mots gigantesques, cette pièce appartient à la nouvelle littérature, et telle es
pour titre Hernani. Les poëtes de cette école chantent, dans la même pièce , les démons et les anges, les spectres, les gnome
ppelle dramatique, quand il est mis en action et qu'il appartient aux pièces ordinaires de théâtre. Il faut faire parler les p
t, en quelque sorte, soumises à la même poétique ; ce sont de petites pièces où l'on fait ordinairement parler des bergers ; c
in désordre, qui semble naître de l'enthousiasme, règne dans toute la pièce , cette pièce prend le nom d'ode, et les stances c
qui semble naître de l'enthousiasme, règne dans toute la pièce, cette pièce prend le nom d'ode, et les stances celui de strop
exige un style plus élevé que celui de la chanson ; dans cette petite pièce , la période poétique n'est point assujettie à un
ade ; elle prescrit de couvrir le mot auquel s'appliquent ces petites pièces d'un tissu assez épais pour qu'un premier effort
ole des vieillards de C. Delavigne. Le drame. Le drame est une pièce d'un genre mixte ; il tient de la tragédie et de
'œuvre des morceaux qui ne tiennent pas au sujet que l'on traite. Les pièces où des pensées minces sont ornées de tours pompeu
it moins beau. Celui qui dominait la plaine et la colline. 1. Cette pièce appartient aussi à l'élégie.
31 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
i se peuist abstenir de plorer de droite pité, ne qui peuist en grant pièce parler. Li rois regarda sus yaus très ireusement,
ruina154 tout par terre. Par ce moyen furent tous rompus155 et mis en pièces ceux qui étaient en icelui156. (La vie de Gargan
ntendu, commanda au faquin qu’il lui tirât de son baudrier177 quelque pièce d’argent. Le faquin luy mit en main un tournois p
une vieille muraille un pot de fer auquel y avait grande quantité de pièces antiques de monnaie, les unes d’argent, les autre
j’achetais une quantité de pots de terre, et, après les avoir mis en pièces , je mettais des matières que j’avais broyées dess
ayant fait un fourneau à ma fantaisie255, je mettais cuire les dites pièces pour voir si mes drogues pourraient faire quelque
commettais une faute plus lourde que la susdite : car en mettant les pièces de mes épreuves dedans260 le fourneau, je les arr
achetai derechef plusieurs vaisseaux de terre, et les ayant rompus en pièces , comme de coutume, j’en265 couvris trois ou quatr
us en pièces, comme de coutume, j’en265 couvris trois ou quatre cents pièces d’émail, et les envoyai en une poterie distante d
avec le pinceau : mais il te faut entendre que de deux ou trois cents pièces , il n’y en avait que trois de chacune composition
ue trois de chacune composition277. Ayant ce fait, je pris toutes ces pièces et les portai à une verrerie, afin de voir si mes
du tous les vaisseaux que j’avais faits ; et, ayant couvert les dites pièces du dit émail, je les mis dans le fourneau, contin
e mes émaux se commençaient à liquéfier, se crevèrent335 en plusieurs pièces . Or, ainsi que336 les éclats des dits cailloux sa
créditeurs339 qu’ils seraient payés de l’argent qui proviendrait des pièces de la dite fournée, qui fut cause que plusieurs a
la dite besogne je ne recevais que bonté et confusion. Car toutes mes pièces étaient semées de petits morceaux de cailloux, qu
que c’eût été un décriement et rabaissement de mon honneur, je mis en pièces entièrement le total de la dite fournée341, et me
’il n’y avait rien plus qui me pût empêcher que je ne fisse de bonnes pièces  ; et me pris, comme auparavant, à travailler au d
nce de la flambe344 du feu avait porté quantité de cendres contre mes pièces , de sorte que, par tous les endroits où la dite c
e je fais encore à présent. Quand j’eus inventé le moyen de faire des pièces rustiques359, je fus en plus grande peine et en p
e et telle (qui étaient les tenants et aboutissants des plus secrètes pièces de cette menée) : ne faillez433, sur votre vie, à
e (1673). C’est pendant la quatrième représentation de cette dernière pièce qu’il fut saisi d’un violent accès du mal de poit
où il oublie de dîner ; aussi est-elle830 nuancée, bordée, huilée, à pièces emportées831 ; elle a un beau vase832 ou un beau
n procès-verbal ; ils condamnent les deux infortunés à être hachés en pièces  ; c’est un supplice usité à la Chine1098 et en Ta
te, marche ; je le suis presque en courant. Il arrive dans la seconde pièce de son bureau ; il s’assied dans son fauteuil, et
, malice1277, erreur, ou distraction clans la manière dont on a lu la pièce  ; car il n’est, pas dit dans l’écrit : « Laquelle
ché, une multitude de petites commodités, réunies dans quatre petites pièces dont deux étaient tapissées d’un joli papier, les
ttaquée d’une fièvre putride ; je fis débarrasser sa tête des petites pièces d’argent dont les paysannes albanaises ornent leu
près avoir bientôt épuisé ses modiques épargnes, il lui fallut vendre pièce à pièce ses meubles d’abord, puis quelques-uns mê
ir bientôt épuisé ses modiques épargnes, il lui fallut vendre pièce à pièce ses meubles d’abord, puis quelques-uns même de se
ontenir, avait été soulevée pendant la nuit par les lames, et mise en pièces contre les pointes des écueils qui devaient la pr
s mercenaires de les mener à Sicca1565, en donnant à chaque homme une pièce d’or pour les besoins les plus urgents. L’aveugle
de Henri III et sa cour, auquel succédèrent un grand nombre d’autres pièces , dont quelques-unes sont demeurées célèbres. Non
tte même place où M. Lemercier avait si bien fait valoir, en 1829, ma pièce de vers couronnée1671, je lus une étude approfond
rbe. Rien ne serait plus profitable que de comparer quelqu’une de ses pièces , d’une versification si douce et, en général, si
n en 1606, mort en 1684, Pierre Corneille fit représenter sa première pièce de théâtre, la comédie de Mélite, en 1629. Sa tra
uté du sujet, emprunté à l’espagnol, comme celui d’un grand nombre de pièces françaises à cette époque, du moins par le nature
out ému de colère. J’étais sur le théâtre2221, en humeur d’écouter La pièce , qu’à plusieurs j’avais ouï2222 vanter ; Les acte
on grand fracas surprenant l’assemblée, Dans le plus bel endroit a la pièce troublée2224. « Hé ! mon Dieu ! nos Français, si
Et Corneille2232 me vient lire tout ce qu’il fait. » Là-dessus de la pièce il m’a fait un sommaire, Scène à scène averti de
n’ont pu résister, madame, à notre effort ; Nous les avons taillés en pièces , Mis Ptérélas, leur chef, à mort, Pris Télèbe2264
ure, et l’on bâille vingt fois, Qu’elle grouille2308 aussi peu qu’une pièce de bois. Acaste. Que vous semble d’Adraste ? Cé
nachs. Valère. Ouvre et lis au hasard. Hector. Je vais le mettre en pièces . Valère. Lis donc. Hector lit. « Chapitre six.
politiques d’une extrême violence. Ses autres œuvres comprennent des pièces antiques, où l’on retrouve tout le charme vivant
politiques. Le parti libéral accueillit avec enthousiasme ces petites pièces qui, grâce à la musique, s’imposaient à toutes le
la sincérité et l’élévation des sentiments qui en animent toutes les pièces , que par l’harmonieuse perfection des vers (1820)
re dans les Harmonies poétiques et religieuses (1830). La plupart des pièces qui composent les Recueillements poétiques (1839)
Jean-François-Casimir Delavigne se fit d’abord connaître par quelques pièces de poésie que lui inspirèrent les malheurs récent
mais on trouverait, dans ses différents recueils de poésies, quelques pièces touchantes, et, dans ses œuvres dramatiques, des
ns ses Poèmes antiques et modernes (1826), qu’il enrichit de quelques pièces dans l’édition définitive de 1837. Après sa mort
. Son œuvre poétique est donc de peu d’étendue : encore plusieurs des pièces qui le composent sont-elles assez médiocres. Mais
ps modernes, en France, n’a rien produit de comparable à la suite des pièces héroïques qui composent la Légende des siècles (1
endre son lit d’hôpital, cette fois pour ne plus le quitter. Quelques pièces d’un charme exquis ont fait vivre son nom. Outre
glée dans le recueil qu’il publia deux ans plus tard et dans les deux pièces , suivies du poème de Namouna, qui composent le Sp
laires (1871), Pendant la guerre (1872), En voyage (1882). Toutes les pièces qui les composent sont animées de ces tendres et
ire de Bigarreau (1884) sont de vrais chefs-d’œuvre, et plusieurs des pièces de ses recueils de vers, le Chemin des Bois (1867
es spéculations de la philosophie. Elle lui a inspiré, outre quelques pièces admirables et une traduction du premier livre de
et des faibles, mais aux lieux mêmes où leur vie s’écoule. Parmi ses pièces de théâtre mentionnons seulement, après le Passan
i (1883), les Jacobites (1885), Pour la couronne 2931 (1895). A une pièce d’or Fragment D’une somme hier dissipée I
pièce d’or Fragment D’une somme hier dissipée Il me reste une pièce encor. Elle est brillante et bien frappée ; C’est
r. Elle est brillante et bien frappée ; C’est un vieux napoléon d’or. Pièce d’or, reine des monnaies, Que tant de mains voudr
... Elle est à vil prix, la nature ; Le soleil couchant est gratuit ! Pièce d’or aux doigts du poète, Je sens, quand j’y réfl
qui, malgré d’étranges hardiesses, séduisit les lettrés par quelques pièces exquises et par l’effort souvent heureux qu’elle
même temps le poète, sous le nom de Mystères, donnait quatre petites pièces , Tobie (1887), Noël (1890), la Légende de Sainte
Tiretaine, étoffe grossière, moitié laine, moitié fil. 42. Coiffe, pièce d’étoffe qu’on portait sur la tête pour la garant
ues. Le recueil de ses œuvres se compose de plus de six cents petites pièces , ballades, rondeaux et chansons, plus gracieuses
rles d’Héricault (Paris, in-16, 1874). 51. Le rondeau est une petite pièce composée de trois couplets, le premier ou les deu
comme nom. 59. Vert. Voir la note 5 de la page 468. 60. Il y a une pièce , un morceau, un intervalle de temps : depuis quel
s’interdirent les poètes postérieurs. 82. Envoi, fin ordinaire des pièces envoyées ou qu’on était censé envoyer aux concour
77. Baudrier, ceinture de cuir. 178. Philippus, sou (littéralement pièce frappée à l’effigie d’un roi appelé Philippe) ; —
la langue. 250. Egard [à ce fait] que. 251. Tâtonne. 252. Sur ces pièces . — Sur dessus, préposition, voir page 496, note 5
rmi elles. Entendez : je couvris d’émail trois ou quatre cents de ces pièces . 266. N’est pas resté dans la langue. 267. [Et]
tion de ces épreuves rudimentaires mais aussi le caractère achevé des pièces qui plus tard sortirent des mains de Palissy… Che
ent des mains de Palissy… Chez lui, ni bouillonnures, ni écailles. La pièce que l’émail, par excès d’affinité, a trop pénétré
des Chambres des enquêtes. Ces Chambres jugeaient en appel, mais par pièces écrites et sans audiences ni plaidoiries, et conn
15, forment un important document historique. 674. Madrigal, petite pièce de vers à forme libre, d’un tour spirituel et gal
a page 36. 830. Aussi est-elle, c’est qu’en effet elle est. 831. A pièces emportées, découpée comme à l’emporte-pièce. 832
lle est ce que nous appelons aujourd’hui le salon ; le cabinet est la pièce où l’on travaille, où l’on cause. 836. Canaries
es. — Le sont-elles moins toutes déployées dans les boutiques et à la pièce  ? — Mais la broderie et les ornements y ajoutent
serré à la taille, et qui descendait jusqu’aux genoux. 887. Louis, pièce d’or d’une valeur de vingt-quatre francs, ainsi a
loses, qui étaient de vraies lettres du roi, cachetées de son sceau), pièces émanant du souverain et conférant certains droits
le avait le pouvoir. 1102. Expéditions, nom général qui désigne les pièces officielles, lettres dépêches, expédiées par un g
n, original d’après lequel on fait des transcriptions (littéralement, pièce écrite en caractères menus). 1112. Poudre, pou
robe. 1128. Les articles du contrat de mariage. 1129. Épithalame, pièce de vers composée à propos d’un mariage. 1130. F
d’oublies auquel le joueur a droit. 1185. Le liard était une petite pièce de cuivre qui valait le quart d’un sou. 1186. L
domaine du comte Almaviva. 1275. Le cordon est le bord façonné d’une pièce de monnaie. De là l’expression de piastre cordonn
. De là l’expression de piastre cordonnée. La piastre forte était une pièce espagnole d’une valeur d’environ cinq francs. 12
et Molière au xviie siècle, Voltaire au xviiie , par opposition aux pièces plus libres de l’anglais Shakespeare et du théâtr
t ; proue, l’avant, poupe, l’arrière ; cale, le fond ; mât, la longue pièce de bois qui porte les voiles ; membrure ou membru
de bois qui porte les voiles ; membrure ou membrures, l’ensemble des pièces assemblées qui forment les côtés. 1505. Radoube
evances. 1508. A l’extrémité est la presque’île du Cotentin. 1509. Pièce de bois qui porte la voile. 1510. Vêtement à man
isanthrope et à la colère d’Alceste, le principal personnage de cette pièce , contre ceux qui n’ont pas pour les méchants ...
0. Lady, mot anglais qui désigne « une dame de qualité ». 1671. Ma pièce de vers couronnée. Le sujet était l’Invention de
Nord, faites en peau de bête. 1769. Dentu, éditeur. 1770. Vergue, pièce de bois qu’on place en travers du mât pour souten
n premier vers et par son sens général, ce sonnet rappelle une petite pièce du poète latin Claudien (mort dans les premières
amour, l’amour qu’il éprouve pour toi. Le poète s’adresse à Dieu : la pièce , dont nous ne citons qu’une partie, est en effet
qu’il a plantés. Ce développement est imité d’un passage d’une petite pièce célèbre du poète latin Claudien, qui a vécu à la
la tragédie ; remarquons toutefois que la scène correspondante de la pièce espagnole d’où Corneille a tiré son Menteur (la V
farce. Farce, tel est le nom qu’on donnait, au moyen âge, à certaines pièces comiques. 2176. Battre la campagne. Locution pr
8. Minuter, c’est dresser la minute ou le brouillon (littéralement : pièces écrite en caractères menus) d’un acte, d’un contr
(sur Rotrou, voir le recueil du second cycle). — On remarquera que la pièce de Molière est en vers libres. 2300. Célimène es
irgile (69-19), le plus célèbre des poètes latins, a aussi laissé dix pièces pastorales ou églogues qu’on appelle les Bucoliqu
ogues qu’on appelle les Bucoliques. 2337. Le sonnet est une petite pièce de quatorze vers : les huit premiers, divisés en
Voir la note 1 de la page suivante. 2339. Le madrigal est une petite pièce de forme libre et d’un tour ingénieux et galant.
èce de forme libre et d’un tour ingénieux et galant. 2340. Ballade, pièce de poésie qui fut surtout en honneur en France au
re à peu près dédicace, au prince, ou président du concours auquel la pièce était ou était censée destinée. — Certains poètes
s le nom de ballades, à l’imitation des Anglais et des Allemands, des pièces de forme libre qui traitent en général de sujets
ui n’ont aucun rapport avec l’ancienne ballade. 2341. Bouts-rimés. Pièce de vers construite sur des rimes imposées à l’ava
vous sur le terrain pour un duel à l’épée. 2352. Le poète, par cette pièce ingénieuse, remerciait le roi, qui venait de lui
ouleur et plait à mes regards, dit Lamartime. Voir page 644 toute la pièce , qu’il y a lieu de comparer aux vers de Delille.
de s’embarquer). 2562. Nous suivons, pour les quatre premières des pièces suivantes, l’édition de M. Paul Dimoff (Ch. Delag
e construction qui a pour but d’avertir, d’éveiller un souvenir. — La pièce de Chénier est censée être une épitaphe gravée su
irée de divers passages de poètes antiques, et notamment d’une petite pièce de l’Anthologie (Epigrammes funéraires, 291), rec
ocné, qui fut, suivant la Fable, changée en hirondelle. — Cette jolie pièce est traduite d’une épigramme (Épigr. descriptives
est bien faite pour nous faire comprendre le sentiment qui inspire la pièce de Chénier, à savoir que la liberté est la mère d
e, il s’ajoute à elle, et qu’il la décrit en l’interprétant. La belle pièce que nous citons est, à ce point de vue, une des p
ansition unit ces deux parties ; une dernière strophe, à la fin de la pièce , les résume. 2603. Harmonieux, qui retentissent
eures, les douze signes du Zodiaque. 2615. On remarquera, dans cette pièce mélancolique, l’heureux effet des vers de sept sy
ec une discrétion savante. On peut comparer la reprise touchant de la pièce d’André Chénier, la Jeune Tarentine (voir page 62
a fleur et l’élégante et fugace inconstance du papillon. 2692. Cette pièce est consacrée au souvenir de Léopoldine Hugo, fil
e avait dix-neuf ans. Cette catastrophe a inspiré au poète toutes les pièces du quatrième livre des Contemplations. 2693. S
auteur d’un poème héroï comique, Roland furieux. 2698. Cette petite pièce estime des plus gracieuses dans lesquelles, par u
emarquer que les enjambements de ce genre, fréquents dans cette belle pièce , et qui, sans rien enlever à l’harmonie des vers,
300. — Sur paladin, voir la note 1 de la page 672. 2724. Chanfrein, pièce d’armure qui couvrait le devant de la tête du che
le devant de la tête du cheval. — Girel, mot espagnol qui désigne les pièces qui couvraient les épaules et le poitrail du chev
colique encore et le cri déchirant qu’Auguste Barbier, dans une autre pièce du même poème (la Lyre d’airain), prête aux enfan
aient souvent par une strophe ou une demi-strophe, appelée envoi, les pièces lyriques qu’ils envoyaient en effet aux divers co
s modernes ont terminé par une strophe d’envoi quelques-unes de leurs pièces légères. 2755. On peut rapprocher de cette joli
etc. 2756. Voir, page 677, la notice sur Victor Hugo. 2757. Cette pièce , adressée par le poète à l’un de ses plus intimes
égulier. — Même observation pour le fragment suivant, tiré de la même pièce . 2767. Et son troupeau tondu. Le poète fait ici
x de lit. 2810. On n’aura pas manqué de remarquer, dans cette petite pièce , une aimable affectation de simplicité ; le poète
armes à l’ennemi) ou mort (et porté sur ton bouclier) ». 2830. Cette pièce , dont nous citons la première moitié, a été lue à
patrie. « Depuis ces quarante ans, dit-il dans une autre partie de la pièce dont nous avons cité le début, Depuis ces quaran
bord, vengez-nous. On retrouvera les mêmes sentiments dans une belle pièce de Sully Prudhomme, insérée dans le recueil du se
n retirant son haleine parle nez (étymologie douteuse). 2886. Cette pièce est écrite, on le voit, en rimes tiercées, c’est-
la cuisine ou quelque besogne analogue). 2898. La fin de cette jolie pièce rappelle une courte et délicieuse idylle d’un poè
vait gagnée. 2901. Codicille, addition à un testament. 2902. Cette pièce a été écrite en 1880, dix ans après la guerre de
ont sa chère province eut tant à souffrir. Citons la conclusion d’une pièce dans laquelle l’auteur, se souvenant de son enfan
ect de ses maisons. 2959. Flammarion, éditeur. — La seconde des deux pièces que l’on vient de lire se trouve également inséré
pour un pays d’où l’on ne voit pas la mer prépare le dénouement de la pièce  : le vieux marin se réconciliera avec Jacquemin,
Jubinal, dans son Nouveau recueil de contes, dits fabliaux et autres pièces inédites des xiiie , xive et xve siècles (Paris
32 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
qui lui fut dérobée, nous dit-il dans l’avis au lecteur de la seconde pièce  ; puis vinrent, aussi applaudies que son début, l
ans les fonctions de lieutenant criminel. C’est de là publia les huit pièces qui en font le précurseur véritable de nos tragiq
reproduction constante qu’il a faite de Sénèque le Tragique, dont les pièces étaient des exercices d’éloquence destinés aux dé
eux livres, sous le nom de Foresteries, qui n’a pas fait fortune, des pièces de mètres et de strophes très variés, où l’entrai
oésies variorum Notices On ne lira pas sans intérêt quelques pièces ou quelques passages de poètes dont les noms ont
un improvisateur inépuisable, Alexandre Hardy (1560-1630), fournit de pièces de toute espèce (six cents, dit-on) les acteurs a
rgerac. Le faux goût, les fadeurs ou l’emphase gâtent le style de ces pièces , comme les invraisemblances et les gasconnades gâ
709), successeur de son frère à l’Académie en 1684, donne trente-huit pièces , tragédies, comédies, tragi-comédies. Deux de ses
Duche (1668-1704), continue à écrire pour la maison de Saint-Cyr des pièces bibliques, parmi lesquelles Absalon (1790) est la
u, donnant dans des recueils collectifs, ou seul, mais une à une, ses pièces diverses, odes, stances, paraphrases des Psaumes,
crit la seule pastorale dramatique qui soit restée de la profusion de pièces de ce genre qui inonda le siècle, Arténice ou les
Rotrou ; et bientôt le petit avocat normand, arrivé la veille avec sa pièce en poche, donna comédies sur comédies en cinq act
lui fut indiqué par Fouquet ; la Toison d’Or (1661), second essai de pièce « à machines », qui eut autant de succès que son
uta par un coup de maître, par les Précieuses Ridicules, mince petite pièce en un acte et en prose, qui est une révolution da
aison dit Virgile et la rime Quinault948. » — Justement. À mon gré la pièce est assez plate. Et puis blâmer Quinault ! Avez-v
trouvé. Son sujet est conduit d’une belle manière ; Et chaque, en sa pièce , est une pièce entière950. (Satires, III951.)
jet est conduit d’une belle manière ; Et chaque, en sa pièce, est une pièce entière950. (Satires, III951.) La verve de
esprits à nos ‘yeux rebutés. L’Ignorance et l’Erreur à ses naissantes pièces , En habits de marquis, en robes de comtesses, Ven
ent grands débats Sur le propos de leur Iphigénie. Coras lui dit : La pièce est de mon cru. Leclerc répond : Elle est mienne
Leclerc répond : Elle est mienne et non vôtre. Mais, aussitôt que la pièce eut paru, Plus n’ont voulu l’avoir lait l’un ni l
s satires, et se fit connaître en 1694 par des comédies en prose. Une pièce en cinq actes et en vers, le Joueur (1696), son p
rd. HECTOR.                                      Je vais le mettre en pièces . VALÈRE. Lis donc. HECTOR, lit.                C
oésie. Il chante la table en « goinfre » (c’est le titre d’une de ses pièces , et c’est le nom que se donnaient les compagnons
médiens de province, puis du théâtre du Marais à Paris, Des six cents pièces que, dit-on, il écrivit, quarante et une furent p
Sylvie (1621) et de sa tragédie de Sophonisbe (1629), deux des douze pièces qu’il donna au théâtre (Sylvanire, pastorale, Clé
nobie (1711) qui balance ses meilleures tragédies, à part Zaïre, « la pièce enchanteresse », comme l’appelle, après Rousseau,
et imitateur malheureux du théâtre de Voltaire, mais dont la première pièce , Warwick (1763), et dont le Philoctète attestent,
tragédie ne fut pas même reçue par les comédiens. Il continua, donna pièce sur pièce pendant douze ans ; puis, pendant près
ne fut pas même reçue par les comédiens. Il continua, donna pièce sur pièce pendant douze ans ; puis, pendant près de trente
ins Mahomet, Alzire même (voir plus bas une note d’une scène de cette pièce ), — mais non pas ce qu’il fut pour les grands tra
Paris De malotrus, soi-disant beaux esprits, Qui, dissertant sur les pièces nouvelles, En font encor de plus sifflables qu’el
ne heure, au milieu des hasards de cette vie changeante, à écrire des pièces en cinq actes et en vers, que leurs titres signif
i des traits, des éclairs et des foudres. Ainsi parle le héros de la pièce , fou de poésie, M. de l’Empyrée ; c’est l’image d
ros de la pièce, fou de poésie, M. de l’Empyrée ; c’est l’image de la pièce elle-même. Tout Piron n’est pas dans la Métromani
es décisions, le poids de ce qu’il dit ; Il faut l’entendre après une pièce nouvelle : Il règne, on l’environne ; il prononce
e l’indépendance, de la famille et de l’amitié, il écrivit épîtres et pièces diverses, toutes pénétrées de naïveté, de fraîche
’Épître, six d’Épigrammes (six cent trente-quatre en tout), nombre de pièces diverses prouvent qu’elle fut bien remplie. Son s
ses comédies de la Partie de Chasse de Henri IV, qui est sa meilleure pièce , et Dupuis et Desronais, terminé par ces deux ver
llai, le jour suivant, flatter un financier. Mercredi, je courus à la pièce nouvelle. Tout le monde étoit pour, et moi je fus
libéraux qu’il donnait dans son Cyrus (1804) au nouvel empereur : la pièce n’eut qu’une représentation ; Tibère, son chef- d
de François de Neufchateau, les mélodrames qui, parmi les cent vingt pièces de Guilbert de Pixérécourt (1773-1844), ont eu un
n à l’Empire plut moins que ne déplurent les conseils du libéral : la pièce n’eut qu’une représentation. Dès lors, c’est dans
té (1838), toutes en vers ; et, en prose, Don Juan d’Autriche (1835), pièce pseudo-historique, pleine d’esprit, comme l’est d
t un parent et séjourne, la poésie déborde déjà chez lui en nombre de pièces dont quelques-unes seulement, dit-il, sont restée
uit, et le dernier de ses recueils la resserre encore dans de petites pièces en strophes de quatre petits vers, qui suffisent
tal de la Charité, Hégésippe Moreau a laissé, avec un petit nombre de pièces , épîtres, chansons, élégies, fabliaux, etc., suiv
e, sous la nature radieuse, avec Eros, l’idéal divin. — Dans quelques pièces des. Odes et Poèmes (1844), le poète est encore e
quête et l’exercice, les libertés de temps et de lieu. Chacune de ses pièces nouvelles l’éloigne de son point de départ et le
855), ses Poèmes barbares (1859), dont le recueil reproduit plusieurs pièces des recueils antérieurs, nous rencontrons à chaqu
s des genres poétiques pratiqués par Marot et son école ; Ballade. —  Pièce de vers coupée en trois stances égales et suivie
Ronsard a pratiqué ce genre de l’ancienne poésie. Étrenne. — Petite pièce de vers offerte eh souhait de nouvel an et en étr
, en latin étrenne, Dixains, Huitains, Sixains, Quatrains. — Petites pièces de dix, huit, six et quatre vers. Mascarade. — V
), proprement : terminer un marché en payant. 27. Étymol. : solidum, pièce de monnaie pleine et de poids. D’où vient aussi s
ion la verve satirique. 103. Le mystère d’Abraham sacrifiant est une pièce courte, dont les scènes se suivent sans division
am, Sara, Isaac, Satan, un ange, une troupe de bergers. Le plan de la pièce comprend les adieux de la mère et du fils, les ap
Villanelle » : la Villanelle comporte un refrain (voyez p. 3). Petite pièce « toute chantante et ailes déployées, qui sent la
3. Ce que j’écris. 234. Comme on dit familièrement, la monnaie de sa pièce . 235. « Docte personnage, alors qu’il fut en pr
et mille sortes de petits oisillons. » 246. Voici la plus célèbre pièce de R. Belleau. Veut-on savoir comment elle est en
tym. : à valle, du fleuve qui descend la pente de la vallée. — Arbre, pièce principale d’une roue ou d’une machine. 272. Me
uilibrent bien, C’est comme l’esquisse d’une ode d’Horace ou de telle pièce de Properce. 295. Couronne. Le moyen âge dit aus
ontaine a imitées (Fables, I, 17 ; II, 5, 13 ; IV, 13, 16.) 305. La pièce fut jouée devant Henri II, sur un théâtre élevé d
voisin de celui de Jodelle. Cléopâtre a un rôle capital dans les deux pièces  ; mais celle de Garnier s’arrête au moment où com
. 309. Cf. Virgile, loc. cit., 380-392. — Jodelle a fait dans cette pièce tous les emprunts qu’il a pu au IVe livre de l’En
’hui soudard, soudart, pris en mauvais part. Étym. solde, de solidum, pièce de monnaie, qui a produit aussi sou. 328. On a
ré de Jean de la Taille. 445. Le IVe livre des Satyres contient dix pièces , épîtres bien plutôt que satires, adressées à cha
é bachique, — dernière discrète, et de pointe légère, — fait de cette pièce (La Divinité des Procés) un modelé du meilleur et
. Je l’ai séparé et éloigné des… 528. C’est une des trois ou quatre pièces que Malherbe trouve bonnes. 529. Voilà une strop
599. Draper, comme le peintre son modèle ; d’où habiller de toutes pièces rendre de tout point ridicule. Boileau, Sat. VI :
s ronds (godrons) aux fraises qui entourent le cou. 698. Cette jolie pièce , d’allure vive et ronde, à la bonhomie spirituell
r MM. Chassang et Marcou, 1 vol. chez Furne, Jouvet, et Cie. 707. La pièce de Malherbe le plus souvent citée sont les Stance
s, grotesques ou uses, avec force monologues, chansons ou chœurs, une pièce l’intéressante, souvent touchante ; tel est le pr
eprésentant le martyre d’Adrien, tragédie (tel est le titre), est une pièce dans une pièce. Dioclétien et sa Cour sont sous n
martyre d’Adrien, tragédie (tel est le titre), est une pièce dans une pièce . Dioclétien et sa Cour sont sous nos yeux spectat
ce à la scène 5e du IIe acte et finit à la scène 6e du IVe acte de la pièce de Rotrou. Dans le cours du rôle d’Adrien qu’il j
le, dont ces belles paroles d’Antigone, le plus célèbre passage de la pièce grecque (v. 458 sqq.) sont directement imitées. C
inconnu, qu’elle aime en secret — Carlos sera reconnu, à la fin de la pièce , pour Don Sanche, roi d’Aragon, et épousera la re
n souffle de galanterie et de fierté castillane respire dans toute la pièce . Ces péripéties ingénieuses et naturelles sont lo
e que pouvait encore Corneille déchu, nous choissons, dans une de ses pièces condamnées et oubliées (quatre vers immortels ont
ue le P. Tournemine allait jusqu’à préférer ce morceau « à toutes les pièces de Racine. » Il est vrai que le P. jésuite ne par
e sujet est pris aux Vies de Lysandre et d’Agésilas par Plutarque. La pièce est de 1666. On y remarquera la nouveauté des mèt
ement tuent frappantes. Les dix strophes que nous citons finissent la pièce , qui en compte 35. — Corneille consacra à la trad
ière contre le déchaînement d’hostilités que suscita contre lui cette pièce  ; ses ennemis abusérent de quelques libertés de l
ns les rendez-vous qu’il cherche ou qu’il a. Il en résulte une de ces pièces qu’on appelle « à tiroir ». Éraste nous raconte l
copié. » Dix jours après, à Fontainebleau, il vit une seconde fois la pièce  ; elle contenait le récit de la partie de chasse,
die par l’ambition avisée, hardie et froide du vizir Acomat. Toute la pièce est en eux. Bajazet, hautain avec Roxane, soupira
« Se servir, d’une prêteuse sur gages pour amener le dénouement d’une pièce qui s’appelle le Joueur, est d’un auteur qui a pa
ion, refrain de la scène capitale, où aboutissent tous les fils de la pièce . Éraste, aidé par son valet Grispin, n’a rien nég
1009. C’est la Journée des dupes en deux mots. 1010. C’est là la «  pièce vraiment belle de Maynard », dit Sainte-Beuve. Le
lict où ses pères sont morts. 1013. On voit l’enchaînement de ces pièces  : se soustraire aux vanités et aux déceptions de
cialibus aspera ventis », dont Virgile peint l’Hiver, Hyems. 1018. Pièce d’une fantaisie étrange, remarquable par la pléni
nsi finissent les imprécations de Camille dans Horace. Au début de la pièce , Syphax dit à Sophonisbe : Est-ce là cet amour q
duite, à part la réserve qu’exprimait spirituellement Chaulieu : « La pièce seroit très claire, n’étoit l’exposition. » L’his
atos ecquid agnoscis tuos ? — Agnosco fratrem. Atrée avait ouvert la pièce en disant Avec l’éclat du jour je vois enfin ren
ridicule, celui de Philoctète, supprima l’amour dans Mérope (1743),la pièce classique, à part le style, dans Oreste (1750), e
e Gusman fuit oublier bien des vers faibles. — Voyez ce que dit de la pièce et de cette scène Chateaubriand, Génie du Christ.
n homme de bonne compagnie est peut-être la seule faute de goût de la pièce . 1118. Cet emploi neutre n’existait déjà plus au
ufière recherche Isabelle, fille d’un riche bourgeois, et réponse. La pièce , dont l’action se résume en ces mots, est consacr
dire à son tour : Mon fils est glorieux, mais il a le cœur bon. La pièce finit par un double mariage : ainsi devait finir
on. » (La Harpe.) 1124. « C’est encore une idée qui va au but de la pièce , que le père du Glorieux ait été ruiné par l’orgu
oilà, on l’avouera, un enthousiasme généreux. Sic itur ad astra. La pièce de Damis pourra tomber à plat, mais non l’auteur.
astra. La pièce de Damis pourra tomber à plat, mais non l’auteur. La pièce tombe en effet, mais Damis s’était déjà sacrifié
— On peut l’admirer, on ne le plaint pas. C’est le seul défaut de la pièce . 1132. Voilà tout Piron. Bien armé d’esprit et
la soubrette Lisette. C’est l’oncle Géronte qui tire la morale de la pièce dans les deux vers qui la terminent Malgré tous
— C’est ce qu’établit, à l’encontre de Valère, Ariste, le sage de la pièce , frère des Aristes de Molière. 1136. Bon nombre
que. 1301. À Sainte-Hélène, le 5 mai 1821. 1302. Nous donnons cette pièce (dirons-nous chanson ? le refrain seul le veut) c
tresse,   Ce mouchoir brodé épouvanta ceux qui entendirent d’abord la pièce . Ils me supplièrent à mains jointes de changer de
rations que comporte la perspective théâtrale, les faces diverses. La pièce , en se déroulant, nous le montrera tour à tour ou
près de Chambéry. (Voir Raphaël, pages de la vingtième année). Cette pièce , une des plus célèbres de Lamartine, doit sa popu
e). 1365. Deux mots par lesquels V. Hugo résume une des premières pièces des Feuilles d’Automne, Ce qu’on entend sur la mo
 ; tu ne me tueras pas ; c’est, là (série II), le poète qui, dans une pièce d’une incomparable grandeur, l’Abîme, monte d’éch
rêvés, qui font rêver le lecteur : voilà la substance de cette petite pièce célèbre. 1381. « Quand l’univers l’ècraseroit,
cles, première série, Le Régiment du baron Madruce.) — Comparez cette pièce de V. Hugo, et le Camp de Wallenstein de Schiller
s l’imagination. 1445. Ces plaintes du poète sont, dans la dernière pièce du recueil intitulé Lazare, comme sa conclusion.
et de son caractère. 1468. La mort trompa cette fois le poète. Cette pièce est de 1832. 1469. Une tradition, reconnue fauss
de la Charité, mais de l’Hôtel-Dieu. 1470. On remarquera dans cette pièce , pleine des souvenirs de Gilbert, quelques idées
e poète. Nous retrouvons ce chêne dans les Voix du Silence (1865). La pièce intitulée Sylva nova commence ainsi : Allons rev
quement et spirituellement raillé lui-même, comme on le verra dans la pièce suivante ; et il a donné à la jeunesse de son tem
villa de la plage du Prado. L’inspiration s’éparpille un peu dans des pièces de formes et de mètres très varies ; les vastes h
les arbres s’effeuillent (c’est la division du recueil), où, en des pièces de longueur et de mètres variés, il décrit et ren
bre et plus mâle langage, ni vigueur plus cornélienne, que dans cette pièce , son début. 1502. Où remplaçant le relatif pré
entre Brutus et Lucrèce est le lien des deux actions qui composent la pièce , la mort de Lucrèce et la liberté de Rome…, et un
pénétrée de lumière et de fraîcheur. Voyez le même caractère dans la pièce citée plus bas : Bords du Gange, soleil levant. —
33 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241
eurs, le grand poëte parvenu à sa maturité retoucha la plupart de ces pièces . 1. 1667. Sorti de l’école de Port-Royal, Racine
ine s’était déjà annoncé comme poëte distingué par ses deux premières pièces , la Thébaïde ou les Frères ennemis, et Alexandre,
théâtre français. — Voltaire n’a pas craint d’appeler admirable cette pièce dont le sujet est tiré du IIIe livre de l’Eneïde
n quelques passages l’Andromaque d’Euripide. Sur la comparaison de la pièce française avec la pièce grecque, on lira avec int
dromaque d’Euripide. Sur la comparaison de la pièce française avec la pièce grecque, on lira avec intérêt un chapitre des Etu
34 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
nts ; et la joie que quelques-uns ont eue à voir mettre mes écrits en pièces par un impitoyable grammairien13 n’est point si i
. LE MARQUIS. Quoi ! chevalier, est-ce que tu prétends soutenir cette pièce  ? DORANTE. Oui, je prétends la soutenir. LE MARQU
âtre un de mes amis qui se rendit ridicule par là. Il écouta toute la pièce avec un sérieux le plus sombre du monde ; et tout
terminée à la comédie ; que la différence du demi-louis d’or et de la pièce de quinze sous ne fait rien du tout au bon goût ;
qui le composent il y en a plusieurs qui sont capables de juger d’une pièce selon les règles, et que les autres en jugent par
i la grande règle de toutes les règles n’est pas de plaire, et si une pièce de théâtre qui a attrapé son but n’a pas suivi un
oit s’arrêter peu à leurs disputes embarrassantes. Car, enfin, si les pièces qui sont selon les règles ne plaisent pas, et que
’avenir du goût de quelqu’un qu’à proportion qu’il en aura pour cette pièce  » : phrases outrées, dégoûtantes, qui sentent la
qu’il ait pu tomber de si haut. Dans quelques-unes de ses meilleures pièces , il y a des fautes inexcusables contre les mœurs2
toujours le même partout, soit pour le dessein et la conduite de ces pièces , qui sont justes, régulières, prises dans le bon
et dans celui-ci du goût et des sentiments. L’on est plus occupé aux pièces de Corneille ; l’on est plus ébranlé et plus atte
s dès le jour même qu’ils sont en place. Qu’est-ce pourtant que cette pièce de terre ainsi disposée, et où tout l’art d’un ou
s figure, je ne suis plus guère en état d’en profiter. On va jouer la pièce  ; jacta est alea 358. 26 novembre 1733. À mad
e, parce que vous me paraissez faite pour leur ressembler. Il y a des pièces de madame Deshoulières qu’aucun auteur de nos jou
e, les cygnes étaient en possession de faire l’ornement de toutes les pièces d’eau : ils animaient, égayaient les tristes foss
ipide). À peine avaient-ils les yeux fermés, qu’Aristophane, dans une pièce jouée avec succès413, supposa que Bacchus, dégoût
’un et l’autre, armé des traits de la satire, relève le mérite de ses pièces et déprime celles de son rival. Bacchus doit pron
: la plupart des Athéniens furent moins blessés des atteintes que les pièces d’Euripide portaient aux idées reçues qu’entraîné
t sur celui du malheureux Télèphe, et l’auteur fut justifié. Dans les pièces d’Eschyle et de Sophocle, les passions, empressée
ter sans efforts à tous les besoins de l’âme. Quant à la conduite des pièces , la supériorité de Sophocle est généralement reco
s chœurs n’ont souvent qu’un rapport indirect avec l’action. Dans les pièces d’Eschyle et de Sophocle, un heureux artifice écl
aves ; tantôt, pour flatter le peuple, se livrer à des écarts dont sa pièce des Suppliantes offre un exemple frappant427. Esc
ui ont illustré la scène. D’où vient donc que, sur le grand nombre de pièces qu’ils présentèrent au concours, le premier ne fu
ète avait, dès l’âge de vingt-trois ans, placé sur la scène, dans une pièce intitulée Mélite, une aventure qui lui était pers
comédie qui obtint des applaudissements et les méritait, comparée aux pièces de l’époque. Il eut l’honneur d’exciter l’émulati
st vrai que l’on sue à souffrir ses discours : Elle y met Vaugelas en pièces tous les jours, Et les moindres défauts de ce gro
esprits à nos yeux rebutes. L’ignorance et l’erreur à ses naissantes pièces , En habits de marquis, en robes de comtesses, Ven
le début, la fin, répondent au milieu697 ; Que le début, délicat les pièces assorties Que d’un art délicat les pièces assorti
; Que le début, délicat les pièces assorties Que d’un art délicat les pièces assorties N’y forment qu’un seul tout de diverses
talent, et de n’en faire jamais qu’un usage avoué par la morale. Ses pièces se recommandent, en général, non pas tant par la
r. 148. Un poète contemporain (M. Victor Hugo), dans une fort belle pièce intitulée Pour les pauvres, a rencontré des image
partie des Classiques de Lefèvre, p. 250 et suiv. L’original de cette pièce curieuse, qui fut, comme on sait, rédigée par Cha
ittérature (article Mœurs). 205. Ce terme désignait alors toutes les pièces de théâtre : de là encore le nom de Comédie franç
ants a inspiré à M. de Lamartine une de ses plus belles créations, la pièce des Étoiles (Méditations poétiques) : Cependant
s. 244. Boileau. 245. Racine. 246. L’Œdipe de Corneille, l’une des pièces les plus faibles du grand poète, est de 1659. 24
ure. 268. On pourrait retrouver les idées de Fénelon dans une jolie pièce de Charles Nodier intitulée le Style naturel. Le
ce de l’expression. 338. On peut voir sur cette rapide conquête deux pièces du grand Corneille, l’une en vers français, l’aut
r : Nos pères tout grossiers l’avaient beaucoup meilleur… 361. La pièce de madame Deshoulières, souvent citée à cause de
s’éteint jette plus de clarté. De même encore André Chénier dans sa pièce intitulée Néère : Mais telle qu’à sa mort, pour
408. On peut rapprocher de ce passage les strophes suivantes de la pièce de M. de Lamartine, intitulée le Lac (c’est l’une
partir pour Troie, est retenue par le calme des vents. Le titre de la pièce de Racine a presque consacré ce léger contre-sens
ais dans ses préfaces et les examens sincères qu’il a consacrés à ses pièces . Déjà on a vu Corneille dignement loué par Racine
d’un grand mérite et d’une vaste littérature. » Il fit quarante-deux pièces de théâtre, dont quelques-unes obtinrent un brill
des scènes touchantes et des vers fort heureux. Par malheur, dans les pièces de Thomas Corneille, le style n’est jamais assez
maître et l’utilité du prochain ». 476. 1639. — La dédicace de cette pièce , adressée à Richelieu, atteste que le poète était
Examen de sa tragédie : « C’est une croyance assez générale que cette pièce pourrait passer pour la plus belle des miennes, s
1639. Suivant Voltaire, le pinceau de Corneille se montre dans cette pièce le même que dans Horace, et l’ordonnance du table
genre et dans aucune langue, de peinture plus vive de l’amitié. Cette pièce et quelques autres traits épars chez La Fontaine
à un récit qui n’a rien d’allégorique) : c’est pareillement l’une des pièces où Chamfort s’est le plus appliqué à mettre en re
agrément. Voici dans quels termes M. Gustave Planche a parlé de cette pièce , qui lui semble le plus parfait des ouvrages de M
t parlant tous les langages, en forme le charme principal. Dans cette pièce , Molière continuait la guerre qu’il avait faite p
ami de la vérité, lit jouer, lors des premières représentations de sa pièce , le rôle de Martine par sa propre servante, qui p
s l’on sera frappé de la perfection du tableau. Chaque trait de cette pièce est une peinture vivante de la société. » Partout
est adressée, III, 8. 663. On peut encore rapprocher de ces vers la pièce de Corneille, Sur les prétoires du roi, imitée de
ant ainsi le point juste que Boileau avait touché. Corneille, dans la pièce déjà citée : Tout à coup il (l’ennemi) se montre
p. 20, les mêmes faits rapportés par Pellisson. A la lecture de cette pièce , on se rappellera ce que nous dit ailleurs Boilea
. 705. 1669. Ce fut la quatrième tragédie de Racine et sa cinquième pièce , puisqu’elle fut précédée de l’excellente farce d
ter comme on médite Tacite. Aussi Voltaire a-t-il dit que c’était la pièce des connaisseurs . Boileau n’en avait pas moins c
ime, ouverte devant Néron, ne se refermera plus pour lui. Toute cette pièce a été supérieurement commentée par La Harpe : nou
citée de M. Villemain une comparaison piquante établie entre ces deux pièces . 758. Voy. Virgile, représentant, d’après l’Odys
rapelet, 1822, considérée même comme la meilleure, et un choix de ses pièces publié par Auger en 1810.   781. 1732. — On co
erra, renfermée dans plusieurs situations et dans l’ensemble de cette pièce , sans exclure en aucune façon l’agrément. M. Sain
uguste, ch. 99.) C’était le compliment adressé au public à la fin des pièces de théâtre. 807. Voltaire avait alors soixante-d
postérité comme une des tragédies les plus parfaites ». De toutes les pièces de Voltaire, c’est la composition qui passe, en e
empruntée non pas, comme on l’a dit, à l’Amasis de La Grange-Chancel, pièce jouée trente-sept ans auparavant, mais au Gustave
upés, véhéments, et tantôt remplis de violence, tantôt de hauteur. La pièce me serre le cœur dès le commencement et me mène j
r les yeux à la faiblesse du style, se succédèrent encore beaucoup de pièces dont le nom seul et quelques vers ont survécu. Il
hommage qui l’immortalise. Chénier lui avait encore adressé une autre pièce . 838. On remarquera avec quel art et quel bonheu
populaire un mérite qui jusqu’ici a passé inaperçu. Le germe de cette pièce , qui défie la louange et qui échappe à toute anal
35 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296
entra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie, l’une des pièces dont la réputation s’est maintenue au premier ran
ce ton de légèreté et de persifflage des salons à la mode, dont cette pièce est, comme l’a dit M. Villemain, une vivante méda
et n’avait que vingt-quatre ans quand il donna, après quelques autres pièces de poésie, ce modèle de plaisanterie légère et dé
36 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »
et avec une certaine symétrie qu’on voit régner ensuite dans toute la pièce . Les rimes mêlées sont celles qui se succèdent sa
énéralement, et d’ailleurs assez commode, qui met d’abord les petites pièces anciennes fondées sur une disposition particulièr
notre vieille langue. Il faut pourtant les connaître. 2º. Les petites pièces , comme les impromptu, épigrammes, madrigaux, chan
37 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
(Remerciement au roi, 1663). Les Fâcheux1. (Une scène de cette pièce .) Acte II, Scène VII. Un certain fâcheux,
r les murailles) par Mignard, dont on voit ensuite l’éloge. 1. Cette pièce est de 1661, et ce fut à Vaux, dans une fête que
r, pour laquelle il avait dès longtemps une vocation très-marquée. La pièce , à quelques jours de là, fut donnée à Fontaineble
38 (1881) Rhétorique et genres littéraires
un lion qui tient sa proie dans ses ongles, tout prêt à la mettre en pièces . » (Bossuet, Oraison funèbre d’Anne de Gonzague.)
on œuvre. Elle ajoute l’appréciation au résumé. Ex. les analyses des pièces du théâtre classique, par La Harpe ; — celle de l
s, de mesure égale ou inégale, qui entrent librement dans les petites pièces , s’enlacent symétriquement dans la poésie lyrique
escends des cieux, etc. 3° Madrigal Le madrigal est une petite pièce de poésie ingénieuse et galante. Elle consiste à
it. La brièveté n’est pas une condition essentielle de ces sortes de pièces . Marot et bien d’autres nous offrent des modèles
ue les refrains paraissent ramenés sans effort, pour l’agrément de la pièce et non par nécessité. Le triolet commence habitue
la nature et les montrer d’accord avec eux-mêmes jusqu’à la fin de la pièce . 3° Dans tout poème dramatique, le style doit êtr
ion du sujet ; 2° le nœud de l’action ; 3° le dénouement. 1° Dans les pièces importantes, le premier acte est consacré à l’exp
projet d’un Traité sur la tragédie, etc. Drame Le drame est une pièce dont les personnages sont empruntés à toutes les
funestes et les situations les plus émouvantes de la vie. Ce genre de pièces , sérieux par le fond, souvent familier par la for
la pantomime à l’aide de la musique. Tantôt il est l’accessoire d’une pièce , comme dans les opéras modernes, où il figure en
ient exclusivement réservés à la tragédie, et l’on donne ce nom à des pièces qui contiennent en même temps une action triste e
és en général sur des airs connus. Proverbe Le proverbe est une pièce où l’on développe et met en scène des dictons fam
La saynète (de l’espagnol sainete, assaisonnement) est une petite pièce faite à l’imitation du théâtre espagnol. Elle n’e
utre chose qu’un divertissement joué, en guise d’intermède, après une pièce principale. Féerie La féerie est une pièce
intermède, après une pièce principale. Féerie La féerie est une pièce mêlée de farce, de chant et de ballets, où l’acti
naire, etc.) Parodie La parodie est l’imitation burlesque d’une pièce sérieuse, souvent aussi le travestissement satiri
isant d’une œuvre littéraire quelconque. Revue La revue est une pièce dans laquelle défilent, sous une forme bouffonne,
s les farces, les sotties du moyen âge, mélange des deux, étaient des pièces étranges dont L’Avocat Patelin est resté le meill
rs rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous, d’en bas, la pièce est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs
imitive, il a passé à un sens plus étendu, et on l’a appliqué à toute pièce de vers, qui, comme celles de l’Anthologie grecqu
églogue (ἐκλογή, choix, de ἐκ parmi, λέγω, je choisis) est une petite pièce sur un sujet champêtre. Elle renferme ordinaireme
ieilles rimes Mentionnons seulement pour mémoire certaines petites pièces de vers qui ne sont souvent que des tours de forc
ré que peut atteindre cette étrange manie, il suffit de mentionner la pièce de vers qui se trouve dans Rabelais et dont la di
es, mémoires, correspondances, journaux, etc.). Il faut y joindre les pièces diplomatiques officielles ou secrètes, dont l’int
39 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
e applaudir même ce que vous ne disiez pas. Quelques-unes des petites pièces de Molière ne sont guère moins goûtées des connai
la contre-partie d’une idée de ce grand poëte vous a fourni toute une pièce nouvelle. Mais c’est dans notre temps surtout, da
t votre part dans ce travail commun ! C’est par là, Monsieur, que vos pièces , transplantées, ont amusé toute la France, et que
ce qui prouve que le costume et l’à-propos ne sont pas tout dans ces pièces si parisiennes, et qu’elles ont un grand fonds d’
40 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIII. » pp. 104-105
anciens et rejetée par Aristote. D’après la même théorie, toutes les pièces où le personnage intéressant fait son malheur lui
ne. L’auteur d’un argument sur l’Oreste d’Euripide remarque que cette pièce , ainsi que l’Alceste, a un dénoûment comique  il
41 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -
sins ; ces poussins deviendroient grands.. et vaudroyent cinq solz la pièce  ; ce seroit un escu et plus, dont elle achepteroi
et en seroient une douzaine d’autres, qu’elle vendroit vingt solz6 la pièce après les avoir nourriz quelque temps : ce seroye
42 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
es et les plus propres à nous faire bien juger du poème épique et des pièces de théâtre. Dans les œuvres de Lucien, né, vers l
qui ne mettrait sous les yeux du lecteur que les vers négligés d’une pièce de poésie, ou les morceaux peu saillants d’une pi
s négligés d’une pièce de poésie, ou les morceaux peu saillants d’une pièce d’éloquence, lui donnerait une bien fausse idée d
s Sentiments sur le Cid ; Corneille lui-même, dans ses examens de ses pièces  ; Boileau, dans ses Réflexions critiques ; Voltai
43 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
flatteur et de plus délicat dans la passion. L’on est plus occupé aux pièces de Corneille ; l’on est plus ébranlé et plus atte
issant vos lettres. Gardez-vous bien d’y toucher ; vous en feriez des pièces d’éloquence. Cette pure nature, dont vous parlez,
des vers se suivent sans aucune symétrie ; mixte lorsque dans la même pièce elle est tantôt régulière, tantôt irrégulière, co
olée quand le péril du principal personnage cesse dans le cours de la pièce . Tel est le défaut de la tragédie des Horaces. 49
lie et Mérope sont des chefs d’œuvre de deux grands tragiques, et ces pièces ne contiennent aucun rôle d’amour. Vouloir cette
œurs présente un caractère dominant, qui est le principal objet de la pièce , et plusieurs autres caractères qui contrastent e
caractères, et les caractères provoquent les situations. Ce sont les pièces les plus agréables. De la comédie populaire.
De la comédie populaire. 525. La comédie populaire est une petite pièce dont le but est de faire rire par une peinture fa
is était composé de moralités, il y avait presque toujours une petite pièce destinée à délasser le spectateur d’une pièce plu
que toujours une petite pièce destinée à délasser le spectateur d’une pièce plus sérieuse ; et quand l’art dramatique fut per
mêlée à l’action, et enfin elle a exclu toute parole. 527. Il y a des pièces où toute la suite des événements est exprimée par
lorsque l’acteur vient seulement gesticuler devant l’assistance, les pièces s’appellent des pantomimes ; elles portent le nom
t sur des airs connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la pièce , sous le nom de vaudeville final, une sorte de ch
couplet à tour de rôle. Depuis, on a jeté des couplets dans toute la pièce sans aucune nécessité, mais seulement parce que l
comédies pour ne point laisser de lacune dans notre cours ; mais ces pièces , presque toujours licencieuses et frivoles, n’off
ioste et Goldoni. Genre mixte. 531. Le genre mixte embrasse les pièces où la musique joue le principal rôle et qui sont
ue la simple parole y remplace le récitatif. Il y a dans ce genre des pièces gaies ; il y en a de tristes, comme Camille : il
aujourd’hui du vaudeville quant à la composition littéraire. Ces deux pièces diffèrent seulement en ce que les couplets du vau
hrase musicale exécutée par l’orchestre. Le chant ne se môle pas à la pièce comme dans l’opéra-comique et le vaudeville ; la
comique. 536. Pour ne rien omettre, nous devons mentionner enfin les pièces à scènes détachées. Ces pièces se composent d’une
ttre, nous devons mentionner enfin les pièces à scènes détachées. Ces pièces se composent d’une suite de portraits ou de table
ison et qui sont amenés par différents personnages. Il n’y a dans ces pièces ni unité d’action, ni intrigue, ni dénouement. Ai
pièces ni unité d’action, ni intrigue, ni dénouement. Ainsi, dans une pièce en quatre actes et quinze tableaux il y a quinze
e ces dangereux ouvrages. 538. Ce qui fait le péril du théâtre et des pièces dramatiques, c’est qu’un drame moderne semble imp
gédies qu’il avait composées dans sa jeunesse, Gresset, qui brûla des pièces destinées sans doute à accroître beaucoup sa reno
es anciens, ou idylle (εἰδύλλιον, petite image), ou églogue (ἐϰ λέγω, pièce de choix). Ce mélange indique que chez eux l’églo
poésies fugitives27. 576. On appelle poésies fugitives de petites pièces de vers qui ne demandent pas un long travail, et
ser un moment et à plaire qu’à produire de grands effets. Quoique ces pièces ne soient que de simples jeux d’esprit, il est di
e. (Piron.) Du sonnet et de la ballade. 583. Le sonnet est une pièce de quatorze vers dont les huit premiers, partagés
ns de parler. Du rondeau et du triolet. 585. Le rondeau est une pièce composée d-e treize vers, auxquels on ajoute deux
rodie ? 526. Qu’appelle-t-on comédie-ballet ? 527. N’y a-t-il pas des pièces où tout est exprimé par le geste ? 528. Qu’est-ce
que ? 535. Qu’est-ce que le mélodrame ? 536. Que faut-il entendre par pièces à scènes détachées ? 537. Les poètes dramatiques
s de leur talent ? 538. Qu’est-ce qui fait le péril du théâtre et des pièces dramatique ? 539. Quel fut le sentiment de plusie
44 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
qui ne mettrait sous les yeux du lecteur, que les vers négligés d’une pièce de poésie, ou les morceaux peu saillants, d’une p
négligés d’une pièce de poésie, ou les morceaux peu saillants, d’une pièce d’éloquence, lui donnerait une bien fausse idée d
es et les plus propres à nous faire bien juger du poème épique et des pièces de théâtre. Cassandre a traduit la rhétorique, et
45 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
reil spectacle me révolterait, sans me faire illusion. Donnez à votre pièce cinq actes, ni moins, ni plus, si vous voulez qu’
dèle, serviteur et nourricier de Bacchus. Je prendrais le sujet de ma pièce dans le domaine commun. Chacun aurait l’ambition
, promena sur un tombereau des acteurs qui chantaient et jouaient ses pièces , le visage barbouillé de lie. Eschyle, après lui,
eintre de la nature, faites poser la nature devant vous. Il y a telle pièce , où les caractères sont naturels, et les mœurs bi
it-pas-utile 555et ne se rattache pas étroitement 556au sujet de la pièce . 557Que lui (le Chœur), 558et favorise les bon
er de-là 910des expressions (des images) vives. 911Quelquefois, une pièce , 912remarquable par les idées 913et bien rendue
r 967soient très-ressemblantes 968aux choses vraies ; 969et qu’une pièce ne prétende pas 970pour-elle-même 971que tout c
dit, Aut humana parum cavit natura…. Page 12. — 1. Chremes, dans la pièce de Térence, intitulée l’Héautontimoruménos. — 2.
n caractère ; qu’il ne se démente point, et que, jusqu’à la fin de la pièce , il soit tel qu’il aura paru au commencement. Mai
us a peint un caractère général, communia ; et, par la conduite de sa pièce , par tout ce qu’il fait dire et faire à son Harpa
toile, au lieu descendre du plafond, comme chez nous, à la fin d’une pièce , s’élevait au contraire de bas en haut. La machin
ine qui la faisait descendre au commencement et remonter à la fin des pièces , s’appelait exostra. — 2. Reddere qui voces jam
’Art d’écrire. On remarquera facilement que, dans aucune de ces trois pièces , Horace n’a voulu astreindre à un plan systématiq
46 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre X. Genre pastoral. »
lique comprend l’idylle et l’églogue : le mot idylle veut dire petite pièce , petit tableau ; et le mot églogue, pièce de choi
mot idylle veut dire petite pièce, petit tableau ; et le mot églogue, pièce de choix. La différence entre ces deux genres est
47 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-10
employer douze figures ; il enflait sa matière de lieux communs et de pièces cent fois rejouées. Pour éviter la pauvreté, il s
ieu est le poëte, et les hommes ne sont que les acteurs : ces grandes pièces qui se jouent sur la terre ont été composées dans
quin 1 ; c’est quelque chose de pis : ou plutôt ce sont les premières pièces d’un procès criminel intenté par le genre humain
48 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXV. » pp. 131-134
ut-être veut-il parler de la manière dont Médée traitait Égée dans la pièce d’Euripide qui portait ce dernier nom. Voy. Welck
t ce dernier nom. Voy. Welcker, livre cité, p. 729. Le sujet de cette pièce est exposé dans : Apollodore, Bibliothèque, I, 9,
49 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
ois ; il part avec sa trompette chérie et une ceinture garnie de cent pièces d’or, fruit honorable et précieux de ses économie
n air guerrier que son père aimait beaucoup, puis il s’écrie : « Cent pièces d’or sont contenues dans ma ceinture ; j’en donne
e à celui qui repêchera mon corps et qui portera les cinquante autres pièces à mon père » À peine eut-il achevé ces mots qu’un
lques jours après. On apporta au père de cet infortuné, non cinquante pièces d’or, mais les cent qui étaient dans la ceinture…
boré, le grand Saint-Bernard vaincu !… Le premier consul a promis par pièce 1000 francs aux soldais qui se sont voués à cette
lle et incisive épître qu’il a composée contre les romantiques. Cette pièce de vers a trop d’étendue pour que nous la rapport
’il n’en est aucun de comparable dans toute l’antiquité. Dans la même pièce , un des Curiaces dit à Camille, sa fiancée, qui v
50 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
er de pareils ornements. Ce langage, qui serait même déplacé dans une pièce profane, est quelque chose de plus dans un morcea
esprit qu’ils ne peuvent toucher le cœur. Il n’en est pas ainsi de la pièce suivante, la seule qui m’ait paru digne par son o
g particulier : la postérité le lui assignera. Il y a dans toutes ses pièces des traits qui décèlent le grand poète ; des stro
nutricis ac gerulæ fungebatur officio. (Ch. 4. v. 16). 175. Cette pièce qui renferme, au milieu de ses incorrections, des
51 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
de MM. les vaudevillistes en général. « A la représentation de cette pièce (Trois Rois et trois Dames) on éprouvait, dit le
le Sommeil, etc. Souvent l’allégorie remplit à elle seule une petite pièce tout entière de prose ou de poésie. Ainsi les jol
opié MM. Ciceri, Philastre et Cambon ! « Assimiler les prairies à des pièces d’étoffe, les cieux à du velours épinglé, les mon
un buisson un bonnet de quelque couleur qu’il soit. 104. Centons. Pièce de poésie, plus ou moins longue, composée de vers
52 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
asquin7, c’est quelque chose de pis ; ou plutôt ce sont les premières pièces d’un procès criminel intenté par le genre humain,
n’y a pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs pièces et faits de la main de divers maîtres qu’en ceux
est produit par la liaison des scènes. Du nœud et du dénouement de la pièce . Réflexions sur les récits d’événements qui ont p
ntièrement hors de propos, n’ayant aucun fondement sur le reste de la pièce , et fait un dénouement vicieux39. Mais je trouve
rticuliers enfermés dans l’enclos de ses murailles45. Beaucoup de mes pièces manqueront de l’unité de lieu si l’on ne veut poi
foule, le spectacle confus de cette nuit si rassemblée. Les premières pièces offraient les mugissements contenus des valets, d
vait représenter ; il répondit qu’il y avait tant d’esprit dans cette pièce qu’il doutait de son succès. Quoi ! dira-t-on, es
s transitions forcées ; qu’en un mot, il y a tant d’ouvrages faits de pièces de rapport, et si peu qui soient fondus d’un seul
te avait, dès l’âge de vingt-trois ans, placé sur la scène ; dans une pièce intitulée Mélite, une aventure qui lui était pers
des loups pleins de rage506. ALCESTE. Je me verrai trahir, mettre en pièces , voler, Sans que je sois. Morbleu ! je ne veux po
rer le protecteur des Juifs. Tel est le sujet du chœur final : car la pièce d’Esther n’a que trois actes. Acte III, scène
entra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie, l’une des pièces dont la réputation s’est maintenue au premier ran
s chercher, parmi toutes les autres sortes de vérités qui rendent ces pièces immortelles. » 34. « Corneille, remarque Voltair
leut par tout pays de cette sorte d’insectes. Un bon plaisant est une pièce rare : à un homme qui est né tel, il est encore f
Cf., dans les Premières méditations poétiques de M. de Lamartine, la pièce intitulée l’Homme : L’homme est un Dieu tombé qu
ais dans ses préfaces et les examens sincères qu’il a consacrés à ses pièces . Déjà on a vu Corneille dignement loué par Racine
d’un grand mérite et d’une vaste littérature. » Il fit quarante-deux pièces de théâtre, dont quelques-unes obtinrent un brill
des scènes touchantes et des vers fort heureux. Par malheur, dans les pièces de Thomas Corneille, le style n’est jamais assez
 Harpe a fait remarquer avec raison que la principale beauté de cette pièce résidait dans le caractère de Polyeucte et celui
c raison la préférence au dernier, parce qu’il est le nœud même de la pièce  : le songe de Pauline, au contraire, n’est pas né
vers, dit Voltaire, est dans le Cid, et est à sa place dans les deux pièces . 419. « Ce mot, deux fois répété, dit Chateaub
erres de Syrie, et de Justin. On assure que Corneille préférait cette pièce à toutes ses autres compositions. Il est certain
acine contre les dégoûts dont l’abreuvaient ses ennemis. 484. Cette pièce , qui est de 1666, fut l’un des premiers modèles e
attirant et de son influence bienfaitrice. La conclusion morale de la pièce est celle-ci : la vertu véritable consiste non se
urd’hui, dans le plus philosophe de tous les siècles… ? » 494. Cette pièce en vers et en trois actes, si remarquable par le
ont été plus en cause que les idées. 519. On a dit que cette petite pièce était de Benserade. Quoi qu’il en soit, le parter
aractère, et non dans sa vertu, que l’auteur a placé le ressort de sa pièce . 531. Méchant, dans notre ancienne langue, sign
a période et ses phrases comme la musique ; et Mithridate est une des pièces où Racine a répandu avec le plus de profusion ces
en la trompant si indignement. » — Quant au jugement à porter sur la pièce entière, on peut redire avec Geoffroy : « Corneil
ons dramatiques et l’intérêt sont du reste loin de manquer dans cette pièce , comme l’ont prétendu quelques-uns. Admise à la f
le et en apparence le plus stérile. Aussi la parfaite beauté de cette pièce , qui à sa naissance ne fut pas représentée (quelq
de la conduite, des caractères, du style et de la versification d’une pièce . 618. Forme poétique, pour Sinaï. 619. Virgil
n des points de l’histoire juive qui servent à fonder l’intérêt de la pièce n’y a été omis. Quant aux imitations des livres s
me de savoir tout ce qu’il faut pour s’intéresser aux incidents de la pièce et les saisir avec facilité. Il lui a fait connaî
intitulée la Guisiade. En réalité ces vers appartiennent à une autre pièce , le Triomphe de la Ligue, qui est d’un certain Né
guerre, etc. 628. À la différence des autres personnages de cette pièce , celui d’Abner, dont ces vers donnent une si hono
u même degré nécessaire, ou, du moins, inhérent à la contexture de la pièce . — Voy. la comparaison qu’a faite Chateaubriand d
où l’on peut retrouver quelques traces de l’Ion d’Euripide, l’une des pièces de cet auteur qui attestent le mieux la fécondité
êtres. Et là, suivant la remarque de Geoffroy, est tout le fond de la pièce  ; le faible armé de sa confiance en Dieu lutte co
qu’alors opprimé. On a pu leur répondre que l’intérêt principal de la pièce ne portait point sur Joas, mais sur l’accomplisse
Boileau, qui se fit lire, dans sa dernière maladie, le début de cette pièce , ne l’entendit qu’avec une extrême défaveur : on
ant la réflexion de La Harpe, « depuis ce moment jusqu’à la fin de la pièce , les situations, la conduite, les caractères, l’e
a pièce, les situations, la conduite, les caractères, l’entente de la pièce , tout est dans les vrais principes, tout respire
in tout le dénouement, ne sont pas moins tragiques que le reste de la pièce . — De là ce jugement si favorable de Montesquieu 
justice par Geoffroy, admirée à l’excès peut-être par La Harpe, cette pièce demeurera sans contredit l’une des créations de V
oint. Ce mariage d’Alzire, continue le même critique, au milieu de la pièce , avec un homme qu’elle abhorre, était une nouveau
s’accomplit en vingt-six mille neuf cents ans ou environ. 736. Cette pièce , écrite par Voltaire en 1736, n’a paru qu’en 1738
est aussi le premier qu’ait donné une version française de toutes les pièces d’Eschyle ; et, entre autres morceaux de l’antiqu
ce ton de légèreté et de persiflage des salons à la mode, dont cette pièce est, comme l’a dit M. Villemain, une vivante méda
iration, le Mendiant, la Liberté et l’Aveugle. Le charme de ces trois pièces est si étroitement uni à l’élégance continue de l
53 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
quinze jours six victoires, pris vingt et un drapeaux, cinquante-cinq pièces de canon, plusieurs places fortes, et conquis la
e drapeaux, les étendards de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canon, vingt généraux, plus de trente mille pr
r ces lions endormis, car ils pourraient un jour vous mettre aussi en pièces , vous et vos enfants. Quant à moi, pauvre créatur
ce des passions nouvelles : c’est Charles IX, Henri III ; ce sont des pièces qui, flétrissant d’un légitime opprobre les vieux
our sur elle-même, Frédegonde se trouvait un jour avec le roi dans la pièce où leurs deux fils étaient couchés, en proie à l’
-même qu’il « lut, relut et annota de sa propre main les innombrables pièces contenues dans les archives de l’État, les trente
caissons avaient été démontés et placés sur des mulets. Restaient les pièces de canon elles-mêmes, dont on ne pouvait pas rédu
ne pouvait pas réduire le poids par la division du fardeau. Pour les pièces de douze surtout, et pour les obusiers, la diffic
sapins, de les creuser, d’envelopper avec deux de ces demi-troncs une pièce d’artillerie, et de la traîner ainsi enveloppée l
furent attelés à ce singulier fardeau, et servirent à élever quelques pièces jusqu’au sommet du col. Mais la descente était pl
as, et en courant des dangers infinis, parce qu’il fallait retenir la pièce et l’empêcher, en la retenant, de rouler dans les
s moyens. On offrit aux paysans des environs jusqu’à mille francs par pièce de canon qu’ils consentiraient à traîner de Saint
aines de paysans se présentèrent, et transportèrent en effet quelques pièces de canon, conduits par les artilleurs qui les dir
honneur pour une troupe de sauver ses canons, et ils se saisirent des pièces abandonnées. Des troupes de cent hommes, sorties
r s’en emparer, Lannes, qui avait déjà sa division réunie et quelques pièces de quatre prêtes à rouler. Il lui ordonna de s’av
pourvu que l’infanterie et la cavalerie pussent passer avec quelques pièces de quatre, elles se porteraient à Ivrée, à l’entr
vrai, il résolut de faire passer son infanterie, sa cavalerie et les pièces de quatre par le sentier d’Albaredo, ce qui était
acle, mais il répondait sur sa tête qu’elle arriverait sans une seule pièce de canon. Pendant ce temps notre artillerie faisa
faisait une tentative des plus hardies : c’était de faire passer une pièce sous le feu même du fort, à la faveur de la nuit.
ctiles. Sur treize canonniers qui s’étaient aventurés à traîner cette pièce de canon, sept furent ou tués ou blessés. Il y av
rit la rue de paille et de fumier ; on disposa des étoupes autour des pièces , de manière à empêcher le moindre retentissement
tait à cette époque l’illusion et la timidité du goût public, que les pièces de Ducis réussirent par leurs défauts mêmes ; on
avaient puisé. Ducis ne s’adressa pas à ce seul modèle ; mais dans la pièce d’Œdipe chez Admète, des morceaux brillants et pa
dans l’Œdipe à Colone de Sophocle. La tragédie d’Abufar est la seule pièce originale du théâtre de Ducis ; elle a mérité de
itique et philosophique. Telle fut même l’exaltation produite par une pièce qui paraît à la lecture froide et décolorée, que
une légitime durée. La malveillance s’empressa de signaler dans cette pièce , que la censure ne laissa pas représenter, des al
gne. Un dithyrambe sur la naissance du roi de Rome et quelques autres pièces d’un tour facile révélèrent chez lui une heureuse
uant de donner ainsi la comédie aux dépens de ceux qui la jouent : la pièce d’ailleurs méritait de plaire. Des traits d’un co
une requête à Charles  X pour faire rejeter du Théâtre français toute pièce soupçonnée de romantisme409, où le pacifique Leme
de bonne heure dès 1817 l’Académie française donnait une mention à sa pièce de vers sur les Avantages de l’étude, et trois an
entionnel restera l’une de ses plus heureuses créations. Une dernière pièce , Galilée (1866), composée dans les intervalles d’
ntes466. L’Honneur et l’Argent. (Extrait) Au commencement de la pièce , alors qu’il était riche et heureux, George a déc
dans le xiiie chap. de la 2e partie de l’Allemagne ; les principales pièces de Goethe (Goetz de Berlichingen, le comte d’Egmo
ur les hommes de génie taciturnes ? 29. On pourra lire à ce sujet la pièce de Goethe intitulée : le Triomphe de la sensibili
e parler de ce dernier avec plus de détail. 167. Dans cette célèbre pièce adressée au peintre Louis David, le poète, inspir
ion devant laquelle Pascal n’avait pas reculé. 246. Voir la xviie pièce des Feuilles d’automne de M. Victor Hugo : Où do
. » 276. Confident du roi qui ne joue d’ailleurs aucun rôle dans la pièce . 277. Quand revoyant..,, lorsque je crus,… légè
une force surnaturelle à devenir son complice. On pourra voir dans la pièce de Shakespeare la scène V de l’acte Ier, où le po
ice la promesse et le gage du triomphe de sa haine. 287. Cf. dans la pièce de Sophocle les imprécations d’Œdipe (vers 1337 à
urs. 318. On peut comparer de beaux vers de M. de Lamartine dans la pièce de la Semaine sainte à la Roche-Guyon (Médit. poé
paix n’est pas la mort. 319. C’est le même sentiment que dans la pièce de l’Automne de M. de Lamartine (Médit. poét.) :
322. Situé dans la Limagne d’Auvergne. 323. Ces vers rappellent la pièce de M. de Lamartine sur Milly, sa terre natale (Ha
uve en présence de son fils. Cette rencontre forme l’exposition de la pièce . 347. Germanicus, fils de Drusus et d’Antonia, n
eau avaient déjà employé ce rythme. 406. On peut rapprocher de cette pièce , si parfaite de sentiment et d’expression, les be
ion grecque. On peut voir aussi dans les Orientales de M. V. Hugo les pièces intitulées Canaris et Navarin. 413. Les crins mo
ée de recueillir en un vol. in-12, intitulé : Les Enfants, toutes les pièces de M. V. Hugo sur l’enfance : c’est la perle la p
441. On rapprocherait avec intérêt des vers de M. V. Hugo plusieurs pièces inspirées à des poètes contemporains par le grand
Lamartine, la 7e des Nouvelles méditations poétiques. Chacune de ces pièces a un caractère particulier qu’il faudrait relever
443. La piété filiale a aussi inspiré à M. de Lamartine l’une de ses pièces les plus parfaites de sentiment et d’expression,
’expérience, quelque ironie et beaucoup de cœur. C’est l’Ariste de la pièce , un Ariste jeune, animé, chaleureux, et qui repré
54 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Beaumarchais 1732-1799 » pp. 199-202
l’Europe. Sa célébrité bruyante grandit encore par le succès de deux pièces étincelantes de verve, de vivacité, de malice et
tise de les défendre. » 1. Il y a quelque chose de plus fou que ma pièce , dit Beaumarchais, c’est son succès. 2. Très-dou
55 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
us contenterons de signaler à l’attention des jeunes littérateurs les pièces suivantes : la Villanelle d’un batteur de blé aux
que dans la Mort de Daphnis, par Virgile ; et celle de l’ode, dans la pièce adressée à Virgile, par Horace, sur la mort de Qu
tilius Varus, leur ami. La poésie dramatique elle-même nous offre des pièces élégiaques, par exemple, le monologue si beau et
ère pleine de chaleur, de simplicité et d’onction, a inspiré quelques pièces remarquables en ce genre. Nous ne mentionnerons q
tial de Paris sur la mort de Charles VII : Mieux vaut la liesse ; une pièce de Christine de Pisan sur son veuvage, qui se rec
et de mérite. 11 doit contenir le résumé frappant du sentiment de la pièce , l’idée principale de la chanson ; et cette idée
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117
est un jeu sérieux, mélancolique, qui applique : il faut arranger ses pièces et ses batteries, avoir un dessein, le suivre, pa
fes : le sont-elles moins toutes déployées dans les boutiques et à la pièce  ? Mais la broderie et les ornements y ajoutent en
de sa charge, de sa dignité : il ramasse, pour ainsi dire, toutes ses pièces , s’en enveloppe3 pour se faire valoir ; il dit :
nce déjà sur le théâtre d’autres hommes qui vont jouers dans une même pièce les mêmes rôles : ils s’évanouiront à leur tour ;
57 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
elisez avec soin la plupart des ouvrages qui ont paru de 1750 à 1760, pièces de théâtre, romans, écrits philosophiques, discou
tion et la passion. Ces deux facultés-là étaient comme les maîtresses pièces , les deux grands mobiles, les ailes même du génie
euxis que les oiseaux venaient becqueter. Le comble de l’art pour une pièce de théâtre serait de vous persuader que vous êtes
58 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
Le Batteux : là, vous verriez comment on démonte une à une toutes les pièces de l’éloquence et comment on les remet ensuite à
me luttant par un travail acharné contre l’hydre de l’usure et jetant pièce à pièce son pauvre patrimoine dans la gueule du m
nt par un travail acharné contre l’hydre de l’usure et jetant pièce à pièce son pauvre patrimoine dans la gueule du monstre,
59 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
t ses préoccupations philosophiques ont altéré, dans plusieurs de ses pièces , la vérité humaine et historique. Auprès de Volta
ermer le 3 septembre 1793 le théâtre de la Nation, où a été jouée une pièce suspecte de modérantisme (Paméla, de François de
e, etc.) n’ont rien ajouté à sa renommée, non plus que les nombreuses pièces qu’il se réduisit à faire pendant plus de vingt a
maître, qui me dit avec un souris forcé : « Monsieur Gil Blas, cette pièce n’est donc pas de votre goût ? — Je ne dis pas ce
sont comme ces monnaies de cuivre qui ont bien la même valeur qu’une pièce d’or, et même sont d’un plus grand usage pour le
orps de réserve de trois mille hommes, il l’enveloppa et le tailla en pièces . Si Menzikoff fit cette manœuvre de lui-même, la
il en fit atteler deux autres ; une seconde volée mit le brancard en pièces et renversa le roi ; de vingt-quatre drabans172 q
ous, me haïr, me persécuter, parce que j’aurai fait un bon poème, une pièce de théâtre applaudie, ou écrit une histoire avec
première sentence ; ils vous jugent ; ils se chargent enfin de votre pièce  : il ne faut plus qu’un mauvais plaisant dans le
io piquant et gai ; là, un esprit d’opposition hardie ; dans les deux pièces , un personnage très vivant, celui de Figaro, plei
i ne produit que des applaudissements sourds ; et d’honneur, avant la pièce , le café m’avait paru dans les meilleures disposi
sures. Que serait-ce si on interrompait la musique, pour lire quelque pièce justificative à l’appui de chaque air ? Écrivain
herchent encore dans les haillons d’un peuple mourant de faim quelque pièce échappée à tant d’extorsions et de rapines. Les d
r ces lions endormis, car ils pourraient un jour vous mettre aussi en pièces , vous et vos enfants. Quant à moi, pauvre créatur
our sur elle-même, Frédégonde se trouvait un jour avec le roi dans la pièce où leurs deux fils étaient couchés, en proie à l’
-même qu’il « lut, relut et annota de sa propre main les innombrables pièces contenues dans les archives de l’Etat, les trente
caissons avaient été démontés et placés sur des mulets. Restaient les pièces de canon elles-mêmes, dont on ne pouvait pas rédu
ne pouvait pas réduire le poids par la division du fardeau. Pour les pièces de douze surtout, et pour les obusiers, la diffic
saplus, de les creuser, d’envelopper avec deux de ces demi-troncs une pièce d’artillerie, et de la traîner ainsi enveloppée l
furent attelés à ce singulier fardeau, et servirent à élever quelques pièces jusqu’au sommet du col. Mais la descente était pl
as, et en courant des dangers infinis, parce qu’il fallait retenir la pièce et l’empêcher, en la retenant, de rouler dans les
s moyens. On offrit aux paysans des environs jusqu’à mille francs par pièce de canon qu’ils consentiraient à traîner de Saint
nes de paysans se présentèrent, et transportèrent, en effet, quelques pièces de canon, conduits par les artilleurs qui les dir
honneur pour une troupe de sauver ses canons, et ils se saisirent des pièces abandonnées. Des troupes de cent hommes, sorties
Mais cette peur-là est encore une manière d’hommage : Figaro dans la pièce , comme Beaumarchais dans le monde, donne prise à
e la nature. Voyez dans les Feuilles d’automne, de M. Victor Hugo, la pièce intitulée : Ce qu’on entend sur la montagne. Il y
Alzire (1736), Mérope (1743). A cette période se rattachent aussi les pièces dans lesquelles Voltaire imite Shakespeare, qu’il
ntra ensuite dans le monde, et, par une excellente comédie, l’une des pièces dont la réputation s’est maintenue au premier ran
ant esprit aux dépens de ceux qui le reçoivent. Ariste, le sage de la pièce , montre au jeune homme qu’il est la dupe de ce fa
es décisions, le poids de ce qu’il dit ; Il faut l’entendre après une pièce nouvelle : Il règne, on l’environne ; il prononce
ello. Telle était, à cette époque, l’illusion du goût public, que les pièces de Ducis réussirent par leurs défauts mêmes : on
avaient puisé. Ducis ne s’adressa pas à ce seul modéle ; mais dans la pièce d’Œdipe chez Admète, des morceaux brillants et pa
dans l’Œdipe à Colone de Sophocle. La tragédie d’Abufar est la seule pièce originale du théâtre de Ducis ; elle a mérité de
ue et philosophique. Si grande même fut l’exaltation produite par une pièce qui paraît froide à la lecture, que Danton osait
une légitime durée. La malveillance s’empressa de signaler dans cette pièce , que la censure ne laissa pas représenter, des al
gne. Un dithyrambe sur la naissance du roi de Rome et quelques autres pièces d’un tour facile révélèrent chez lui une heureuse
uant de donner ainsi la comédie aux dépens de ceux qui la jouent : la pièce , d’ailleurs, méritait de plaire. Des traits d’un
une requête à Charles X pour faire rejeter du Théâtre français toute pièce soupçonnée de romantisme767, où le pacifique Leme
ompu. Après sa mort parurent, sous le titre des Destinées (1864), les pièces inédites de ses dernières années. Plusieurs mérit
te, d’un père soldat et d’une mère vendéenne, a dit le poète dans une pièce célèbre. Son instinct poétique s’éveilla de bonne
bonne heure : dés 1817 l’Académie française donnait une mention à sa pièce de vers sur les Avantages de l’Étude, et trois an
aru en 1830, un mois à peine après la révolution de juillet. D’autres pièces , non moins célèbres, lui succédèrent : La Liberté
os, le poète publia les Rimes légères et enfin les Silves, recueil de pièces intimes, d’élégies, d’idylles, d’une haleine cour
55, et Villemain, après en avoir rappelé quelques-unes des meilleures pièces (les Pêcheurs, les Écoliers de Vannes, les Moisso
, dans le récit, par exemple, du siège de Milianah, et dans plusieurs pièces détachées, postérieures à 1870, des accents fiers
nventionnel restera une de ses plus heureuses créations. Une dernière pièce , Galilée (1866), composée dans les intervalles d’
et reproches de Rodolphe à George, son ami. Au commencement de la pièce , alors qu’il était riche et heureux, George a déc
le Mémoire sur les Légitimés, le Mémoire sur la Renonciation, et des Pièces diverses. (2 vol. in-8°, Hachette.) Lire, sur Sai
mière scène : « Quel plus vif et plus engageant début que celui de la pièce , quand le comte et Figaro se retrouvent et se ren
ël dans le xiii chap. de la 2e partie de l’Allemagne, les principales pièces de Gœthe (Gœtz de Berlichingen, le comte d’Egmont
r les hommes de génie taciturnes ? 367. On pourra lire à ce sujet la pièce de Gœthe intitulée : le Triomphe de la Sensibilit
sion devant laquelle Pascal n’avait pas reculé. 484. Voir la xviie pièce des Feuilles d’Automne de M. Victor Hugo : Où don
es mon élastique existence. J’étais l’acteur, j’étais le théâtre ; la pièce se jouait par moi et en moi. » 512. Dans son cou
ines nautiques. On a enfin rappelé qu’il avait été joué, en 1712, une pièce de J. B. Viallanes intitulée: Les Aventures de Fi
on citée de Villemain une comparaison piquante établie entre ces deux pièces . 572. Voyez Virgile, représentant, d’après l’Ody
ton général, par la note mélancolique qui la termine, les meilleures pièces de Madame Deshoulières. C’est ici une des rares o
n ‘tout le dénouement, ne sont pas moins tragiques que le reste de la pièce . 601. Ce tour manque de netteté : heureux semble
justice par Geoffroy, admirée à l’excès peut-être par La Harpe, cette pièce demeurera sans contredit l’une des créations de V
ve dans le Cours de Littérature de La Harpe une analyse étendue de la pièce d’Alzire (tome VI, page 79 et suiv.) Le critique
loi générale, qui ordonne qu’un caractère soit le même à la fin de la pièce , qu’il était au commencement. » 623. Isaac Newt
ce ton de légèreté et de persiflage des salons à la mode, dont cette pièce est, comme l’a dit Villemain, une vivante médaill
et n’avait que vingt-quatre ans quand il donna, après quelques autres pièces de poésie, ce modèle de plaisanterie légère et dé
parle ainsi. La comédie de Gresset donna naissance à plusieurs autres pièces où était présenté le même type. Sur ces imitation
ice la promesse et le gage du triomphe de sa haine. 657. Cf. dans la pièce de Sophocle les imprécations d’Œdipe (vers 1337 à
sa pensée ainsi traduite. 685. C’est le même sentiment que dans la pièce de l’Automne de Lamartine (.Méditations poétiques
certs. » 697. Quand André Chénier mourut, il n’avait publié que deux pièces de vers, le Jeu de Paume, en 1791, et l’Hymne aux
ique et commentés avec la finesse ordinaire de son goût. 730. Cette pièce célèbre, dans les éditions antérieures à celles d
t pas ainsi, et, dût-on regretter la légende, la vérité est que cette pièce continue bien au-delà du quinzième vers. De plus,
en présence de son fils, et cette rencontre forme l’exposition de la pièce (Voir acte I, scène i). D’ailleurs Cnéius, le fil
lumière, on avait changé d’Olympe : c’était une révélation. Comme ces pièces premières de Lamartine n’ont aucun dessin, aucune
eau avaient déjà employé ce rythme. 764. On peut rapprocher de cette pièce , si parfaite de sentiment et d’expression, les be
ion grecque. On peut voir aussi dans les Orientales de M. V. Hugo les pièces intitulées Canaris et Navarin. 771. L’idée est
suivait silencieux le rivage de la mer retentissante. » 777. Quatre pièces du second livre des Messéniennes sont consacrées
ngère, Aux Ruines de la Grèce païenne, et Tyrtée aux Grecs. Plusieurs pièces célèbres des Orientales de M. Victor Hugo pourrai
s délicates sur la manière dont il convient de le lire. 789. Voir la pièce de l’Esprit pur dans le recueil posthume Les Dest
, publié par M. Louis Ratisbonne. 790. Voir les derniers vers de la pièce de l’Esprit pur : Flots d’amis renaissants ! pui
II, chapitre lxii.) 796. Dans le sens de dépassée. 797. Comparez la pièce sur Navarin, dans les Orientales de M. V. Hugo.
e et en action la révolution tentée par M. V. Hugo, il faut relire la pièce intitulée Réponse à une accusation (Contemplation
de recueillir en un volume in-12, intitulé : Les Enfants, toutes les pièces de M. V. Hugo sur l’enfance. 801. Relire, sur l’
t. » 803. La piété filiale a aussi inspiré à Lamartine l’une de ses pièces les plus parfaites de sentiment et d’expression,
ns lumineux ? 806. Dans les Poèmes de la Mer, de J. Autran, voir la pièce intitulée : Les Naufragès. C’est la plainte des n
sa monture. — On rapprochera avec intérêt de ces vers les principales pièces inspirées aux poètes contemporains par le souveni
a dédié ses premiers chants, et de laquelle il dit, dans la première pièce qui porte son nom : Celle pour qui j’écris avec
’expérience, quelque ironie et beaucoup de cœur. C’est 1’Ariste de la pièce , un Ariste jeune, animé, chaleureux, et qui repré
r ont été publiées chez Dentu. L’extrait donné ici invitera à lire la pièce tout entière. Berthe, la fille de Roland, est sau
60 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. —  Voiture. (1598-1648.) » pp. 7-11
de l’esprit. Sa réputation comme poëte ne lui a guère survécu, et ses pièces si vantées ne nous offrent aujourd’hui presque au
, et à qui le prince d’Orange n’avait jamais osé toucher ; pris seize pièces de canon qui appartenaient à un prince qui est on
61 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Malherbe. (1555-1628.) » pp. 160-164
vais pas été enlevé », faut-il sous-entendre. Le début manque à cette pièce , qui est de 1604 : elle n’a pas été achevée. — On
ntrepris contre le duc de Bouillon, en 1606. Racan témoigne que cette pièce était une de celles dont Malherbe était le plus s
62 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
. 12. C’est pourquoi. 13. Blessât (de vasiare). 14. Arcs-boutants, pièce de bois, pour soutenir le berceau. 15. Affûtés,
assemblés. Affûté vient d’affût, composé d’à et de fût, qui signifie pièce de bois (fustem). 16. On les lève, entre les tou
s psaumes. Vitulos est dans un verset du Miserere. 11. Muette. Cette pièce , jouée à Montpellier par Rabelais et ses amis, es
63 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303
ositum nec me qui fleat erit. 3. On peut aussi rapprocher de cette pièce , en éloignant d’ailleurs toutes idée de comparais
n Apologie, parut en 1778. La Harpe lui-même, fort maltraité dans ces pièces , n’a pu s’empêcher de rendre un juste hommage au
64 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -
, indiquons du moins l’idée mère qui en est le motif. — Le fond de la pièce est la tenue des États, dernier espoir du parti p
it la voix du Tiers-État dans le discours de d’Aubray, l’Ariste de la pièce , le chef des politiques, ce vrai patriote qui, ré
65 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-8
mier trait de l’ébauchement d’un si grand dessin2 jusqu’à la dernière pièce de sa fabrique. Cet enfant fit taire les oracles,
Les réformateurs. N’est-il pas vrai que dans les États il y a des pièces si caduques4 et si ébranlées qui, si on les touch
66 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — André de Chénier 1762-1794 » pp. 480-487
rpentier. Nous le remercions d’avoir autorisé nos emprunts. 2. Cette pièce est comme une idylle de Théocrite retrouvée dans
eune Malade, du Mendiant et de l’Oarystis. Les fragments, les petites pièces inachevées surtout, semblables à des ébauches de
67 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43
aurait aller nulle part où l’on ne vous entende accommoder1 de toutes pièces . Vous êtes la fable et la risée de tout le monde,
n’y faites reconnaître les gens de votre siècle. En un mot, dans les pièces sérieuses, il suffit, pour n’être point blâmé, de
eur qui parlent ici. 2. L’amour de Cléonte et de Lucile sert dans la pièce à développer le ridicule de M. Jourdain. 3. Mada
68 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177
de sa charge, de sa dignité : il ramasse, pour ainsi dire, toutes ses pièces , s’en enveloppe1 pour se faire valoir ; il dit :
in de leur industrie6 et de leurs lumières ; qu’ils fussent comme une pièce nécessaire à tout son édifice, et qu’elle se trou
t d’une cour orageuse, pleine de mouvements et d’intrigues, comme une pièce comique ou même tragique, dont les sages ne serai
fes : le sont-elles moins toutes déployées dans les boutiques et à la pièce  ? Mais la broderie et les ornements y ajoutent en
69 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
herchent encore dans les haillons d’un peuple mourant de faim quelque pièce échappée à tant d’extorsions et de rapines. Les d
es hommes et les choses de son temps, et il va marcher armé de toutes pièces . Ce n’est plus un villageois discourant savamment
70 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
ng devant la croix de mon Sauveur ; je veux la briser et la mettre en pièces , et en faire un sacrifice à Jésus-Christ crucifié
la cause de ce mélange, répondra qu’elle s’est jouée en unissant deux pièces qui n’ont nul rapport, et ainsi, que par une espè
si ce divin architecte, qui a entrepris de te réparer, laisse tomber pièce à pièce ce vieux bâtiment de ton corps, c’est qu’
ivin architecte, qui a entrepris de te réparer, laisse tomber pièce à pièce ce vieux bâtiment de ton corps, c’est qu’il veut
oyé que pour faire nombre ; encore n’avait-on que faire de moi, et la pièce n’en aurait pas été moins jouée, quand je serais
71 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427
grotte, qui donnait vers le nord. L’ermite les avait roulés dans une pièce de lin d’Europe, filé par sa mère ; c’était le se
te, c’est être bien près de savoir ce qu’on vaut » Comparez aussi la pièce de M. Victor Hugo, À un Voyageur (Feuilles d’Auto
sa longue domination, avait premièrement brisé et fracassé toutes les pièces de ce corps admirable, et parce qu’encore tout mo
72 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fontenelle. (1657-1757). » pp. 110-119
nt plus de succès, on peut dire qu’à l’exception d’un petit nombre de pièces légères ils ne le méritaient pas davantage : Font
et n’agit pas comme un seul (car, au lieu de mettre tous les Grecs en pièces , il s’amuse à s’aller plaindre de sa blessure à J
73 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
« Ne polissez pas vos lettres, dit Mme de Sévigné, vous en feriez des pièces d’éloquence. La pure nature est ce qui est beau e
le style brillant pour les descriptions et ne pas songer à faire une pièce d’éloquence. Ce n’est pas qu’il soit nécessaire d
74 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Delille 1738-1813 » pp. 464-472
. Ville du Puy-de-Dôme, au sud de Clermont-Ferrand. 1. Comparez à la pièce de M. Lebrun, le Bonheur de l’étude, t. II. 2. L
ée qui fuit derrière les saules, non sans désirer être vue. 1. Cette pièce est le chef-d’œuvre et la condamnation du genre,
75 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
avenir du goût, de quelqu’un qu’à proportion qu’il en aura pour cette pièce  : phrases outrées, dégoûtantes, qui sentent la pe
qu’il ait pu tomber de si haut. Dans quelques-unes de ses meilleures pièces , il y a des fautes inexcusables contre les mœurs3
toujours le même partout, soit pour le dessein et la conduite de ses pièces , qui sont justes, régulières, prises dans le bon
et dans celui-ci, du goût et des sentiments. L’on est plus occupé aux pièces de Corneille ; l’on est plus ébranlé et plus atte
dire avec force, on n’est sûr de rien ; tout a un air d’emprunt et de pièces Apportées ; rien ne coule de source ; on se fait
ue le cœur n’en est point ému. A. Il faut distinguer, Monsieur : les pièces de Cicéron encore jeune, où il ne s’intéresse que
anterie, sont élégants. Le mélange des dieux et des hommes dans cette pièce unique en son genre, et les vers irréguliers qui
parlerai point ici de quelques auteurs anglais qui, ayant traduit des pièces de Molière, l’ont insulté dans leurs préfaces, ni
ut répondu à la dignité de son style, il aurait réformé sa nation. Sa pièce , étant une affaire de parti, eut un succès prodig
mpée. Nous savons que Corneille, qui a mis de l’amour dans toutes ses pièces , n’a jamais traité convenablement cette passion,
re scène de Rodogune. Si l’amour est insipide dans presque toutes ses pièces , nous sommes les premiers à le dire : nous conven
isonneurs dans ses quinze ou seize derniers ouvrages. Les vers de ces pièces sont durs, obscurs, sans harmonie, sans grâce. Ma
e dans Corneille, et les tragédies touchantes de Racine, et le peu de pièces bien écrites qu’on peut avoir eues depuis cet élé
ruptures, des raccommodements, forment le titre de la plupart de nos pièces de théâtre, et surtout de celles de Racine, fondé
termes bas et nobles, surannés et modernes ; on entend dans quelques pièces de morale les sons du sifflet de Rabelais parmi c
e Garasse. Il y a plus de distance de la moindre de nos tragédies aux pièces de Jodelle67, que de l’Athalie de Racine aux Mach
traduction ne l’aurait pas inspiré. Tout ce qui n’est pas, dans cette pièce , air détaché, composé sur les canevas du musicien
 : elle a été imprimée à son insu par ceux qui recherchent toutes les pièces manuscrites, et qui, dans leur empressement de le
uand j’ai dit que les satires de Boileau n’étaient pas ses meilleures pièces , je n’ai pas prétendu pour cela qu’elles lussent
s jours, et ne se relèvera point : il n’a que trois ou quatre petites pièces de vers par où il subsiste. La prose est digne du
harangues qu’on voit dans la Mort de César, ni enfin de tant d’autres pièces , toutes différentes, qui font admirer le génie et
de violence, tantôt de hauteur. Je ne suis pas assez tranquille à une pièce qui produit de si grands mouvements, pour examine
si les règles et les vraisemblances sévères n’y sont pas blessées. La pièce me serre le cœur dès le commencement, et me mène
de Voltaire n’est pas heureux dans la fiction ou dans le tissu de ses pièces  ; sans entrer dans cette question, trop longue à
nt on accuse M. de Voltaire a été reproché très-justement à plusieurs pièces excellentes, sans leur faire tort. Les dénouement
’on me permette d’en citer la fin, quoiqu’on pût trouver dans la même pièce de plus beaux endroits. Un vain désir de gloire
ngénue et la simplicité la plus touchante. J’estime plus deux petites pièces faites de génie, comme celles-ci, et qui ne respi
s transitions forcées ; qu’en un mot, il y a tant d’ouvrages faits de pièces de rapport, et si peu qui soient fondus d’en seul
a jeunesse ait déjà laissé derrière elle l’époque rudimentaire où ces pièces furent composées (Les Brigands, Fiesco, de Schill
dans lequel on évite le retour d’un son qui vient d’être entendu. Les pièces de théâtre, notamment les tragédies, dans lesquel
76 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
remplacé l’autre ? (Bordeaux, avril 1888.) Dites quelle est celle des pièces du théâtre classique que vous préférez, et faites
e. (Toulouse, octobre 1889.) Montrer, en prenant les preuves dans les pièces du programme de l’enseignement spécial, que les t
e du poète ? Les candidats chercheront leurs arguments dans celle des pièces de Racine qu’ils ont spécialement étudiée. (Poiti
en attaques violentes contre le poète et il ne tint pas à eux que la pièce ne fût arrêtée en plein succès. On supposera que
te et permise. C’est ce que démontrerait une analyse impartiale de sa pièce où les fausses précieuses seules sont visées. 2°
l’auteur, vous communiquez vos impressions à un ami : A-t-il lu cette pièce  ? S’il ne l’a pas fait encore, qu’il se hâte : le
z que ces critiques sont peu fondées, en prenant vos preuves dans les pièces du programme. (Dijon, juillet 1888.) En son chapi
crit à un de ses amis de Rouen, pour lui rendre compte de la nouvelle pièce et lui faire connaître le succès éclatant qu’elle
s n’explique-t-elle pas que les esprits devaient s’intéresser à cette pièce  ? – Apprécier le caractère d’Andromaque dans la t
re de Racine. « Louis XIV, dit M. Nisard, est dans presque toutes les pièces de Racine. Ses passions, sa grandeur, sa gloire,
mot, remplissent cet admirable théâtre. » Racine écrit ses premières pièces pour la jeunesse du roi, et ses dernières, Esther
doit se passer dans un seul lieu. Cela ne veut pas dire que toute la pièce doive être jouée dans le même appartement. Il suf
ult : Son sujet est conduit de la belle manière Et chaque acte en sa pièce est une pièce entière. Toute œuvre dramatique es
et est conduit de la belle manière Et chaque acte en sa pièce est une pièce entière. Toute œuvre dramatique est astreinte à
tout entière à Corneille. L’action. – Analyser très sommairement la pièce en quinze ou vingt lignes au plus. Dire ce qu’on
ue pour obéir à Hermione, qu’il aime, il nous apparaît à la fin de la pièce en proie aux Furies. Hermione elle-même l’accable
Racine est inférieur à Corneille. Mme de Sévigné convient que cette pièce est belle, mais il lui semble que Corneille s’est
derot avait eu pour précurseur Nivelle de la Chaussée. Les meilleures pièces de cet auteur, le Préjugé à la Mode et Mélanide f
tout, dans le Misanthrope, appartient donc à la haute comédie. Cette pièce , avec toutes ces qualités, en est-elle le chef-d’
’est à la légende et à l’histoire que Racine emprunte le sujet de ses pièces , comme Corneille lui-même l’avait fait, mais tous
e. Elle avait encore l’avantage de donner plus de vraisemblance à une pièce que des règles, alors universellement suivies, en
e. Voltaire a connu tous les ressorts dramatiques ; il a su faire une pièce , frapper l’imagination et les yeux, mais il n’a p
vre ses personnages. Il a écrit de belles scènes plutôt que de belles pièces . Zaïre, Mérope, Alzire et Tancrède sont au premie
lé d’épithètes oiseuses. Elle a osé dire aux rimeurs qui mettaient en pièces les hémistiches du poète, que sa versification ét
me un prodige ; action, dialogue, sentiments, tout fut créé de toutes pièces . Alors se déroula une suite de chefs-d’œuvre où l
it Monime avant ses fiançailles, et était aimé d’elle. Au début de la pièce , le bruit court, de la mort de Mithridate. Pharna
héritiers dissiper les trésors amassés par ta folle passion ; chaque pièce d’or sortie de tes coffres sonnera douloureusemen
: il est bon et fait de main d’ouvrier. » Appliquer cette règle à la pièce du Cid et chercher dans les sentiments exprimés l
passion. (A développer.) B. Montrer – par des exemples empruntés aux pièces de Corneille – la vérité de la définition. La gra
arler comme le vulgaire, ils n’ont qu’un souci, remplir leurs petites pièces de pointes, de concetti, d’expressions rares et m
ien maître Ménage sur la représentation d’Andromaque. Elle analyse la pièce , explique l’enthousiasme du public, et insiste su
qui demandent de la simplicité, comme les lettres, les pamphlets, les pièces comiques, les discours familiers ? La Bruyère a c
agogiques). Littérature. Faire connaître le Cid. Importance de cette pièce dans l’histoire de la poésie française. Concou
cine de lui avoir dédié Andromaque. 1° Elle accepte la dédicace de la pièce et se tient pour fort honorée d’un si précieux ho
se tient pour fort honorée d’un si précieux hommage ; 2° Éloge de la pièce  ; 3° Les amateurs du théâtre pourront se consoler
ce de Mme de Sévigné et de Voltaire. – Caractères des femmes dans les pièces de Corneille. Indiquer les avantages que l’étude
d’une polissure admirable, et d’un travail fort recherché ; c’est une pièce de cabinet que l’on montre aux curieux, qui n’est
eur d’éloges, se cachait la note moqueuse. Tragédies, comédies, odes, pièces légères, petits vers badins, il analyse tout, il
ncours de 1891. Littérature. Qu’entend-on par exposition dans une pièce de théâtre ? Quelle est l’utilité de l’exposition
us décrirez une fête à Versailles, vers 1680, le château, le parc, la pièce jouée, les assistants… (Section de sculpture, jui
’un bord à l’autre… Les charges des canons ont pris du jeu dans leurs pièces et mèlent leurs bruits sourds aux craquements de
il est si bien fait. Le cerf revient, et cette fois le lion le met en pièces . Mais, comme il comptait les morceaux, il se plai
ine trop durement maintenue par les centurions. Ceux-ci furent mis en pièces , jetés dans le Rhin. Aucun commandement n’était p
son entrée dans Orléans, montée sur un cheval blanc, armée de toutes pièces , tenant en main son étendard, et suivie d’un grou
parvenu à inventer son bateau à vapeur, il a vu mettre sa machine en pièces , à Minden, par les mariniers du Wéser, qui l’ont
’introduction ; il reconnaîtra par divers ustensiles dans la première pièce qu’elle fait partie d’un laboratoire de chimie. S
ntant des ouvertures pour des tubes, des cornues, etc. Dans la grande pièce , le premier objet qui se fait remarquer est une c
tions qu’elle présente n’y ont pas peu contribué… 2°… Autour de cette pièce sont placés, dans des tiroirs ou dans des armoire
ait. Vous tournez ensuite à gauche, et vous apercevez, dans une autre pièce , celui que vous aviez cherché en vain dans les de
ns encore un assez beau domaine, un peu dispersé il est vrai, fait de pièces et de morceaux, une soixantaine de millions d’hec
77 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
s le droit de cité. Ceux-là enrichissent véritablement la langue. Dix pièces d’or sont un trésor plus grand que cent pièces de
blement la langue. Dix pièces d’or sont un trésor plus grand que cent pièces de plomb. En admettant donc la justification acci
78 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XI. » p. 102
Chapitre XI. Le Lyncée.] C’est une pièce de Théodecte, comme on le voit plus bas, au chap.
79 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
us. Ma chère enfant, je veux que vous vous fassiez homme pour lire ma pièce . Envoyez prier l’abbé d’Olivet de vous prêter son
ous, me haïr, me persécuter, parce que j’aurai fait un bon poëme, une pièce de théâtre applaudie, ou écrit une histoire avec
première sentence ; ils vous jugent ; ils se chargent enfin de votre pièce  : il ne faut plus qu’un mauvais plaisant dans le
je ne l’ai jamais lu, et j’en dis autant sur toutes les impertinentes pièces que des écrivains inconnus font courir sous mon n
80 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
ment très-favorables à Shakespeare et aux auteurs qui ont composé des pièces de théâtre romantiques  car on ne peut leur repro
81 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
usu ; il semble composé non de membres joints l’un à l’autre, mais de pièces et de morceaux, e singulis non membres, sed frust
ar la variété des récits, les romans par la variété des prodiges, les pièces de théâtre par la variété des passions, et que ce
82 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
astique sérieuse, car j’aurais trop à citer dans le plaisant, est une pièce de Corneille, que je regarde comme une des plus é
s étonnantes productions de son génie, Nicomède. Quand on relit cette pièce , on ne s’étonne pas que Mlle Clairon ait toujours
83 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
illements d’horreur. Ardent, fiévreux, inventif, son style emporte la pièce . « Il écrit à la diable pour l’immortalité » a di
foule, le spectacle confus de cette nuit si rassemblée. Les premières pièces offraient les mugissements contenus des valets, d
84 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398
esures. Que serait-ce si on interrompait la musique pour lire quelque pièce justificative à l’appui de chaque air ? Écrivain
uelette, dit, dans l’Intrigue et l’amour de Schiller, l’héroïne de la pièce , Louise, se préparant au suicide et l’excusant d’
85 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — Chapitre II. Du genre pastoral » pp. 96-112
t été appelées églogues. Le mot églogue, ἐκλογή, ecloga, signifie une pièce de choix ou un recueil de pièces choisies dans qu
églogue, ἐκλογή, ecloga, signifie une pièce de choix ou un recueil de pièces choisies dans quelque genre que ce soit. On a don
86 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VIII. » pp. 96-97
orneille dans ses Discours sur la Tragédie et dans les Examens de ses pièces .
87 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVIII. » pp. 115-116
tés ensuite par Aristote, qu’il rangeait dans son quatrième genre les pièces dont les personnages et l’action ont quelque chos
88 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
es, aux descriptions champêtres des saisons, des jardins, à certaines pièces de pur agrément. Voltaire donne pour modèle du st
distance qu’un Michel-Ange ou un Rubens. Quand Marivaux fit jouer ses pièces , leur finesse, fatigante d’ailleurs, parce qu’ell
89 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
heure qu’il est, dessert la démocratie universelle. Nos romans et nos pièces de théâtre forment le goût et le cœur1 des dames
, le consommateur exigeant ; il lit, il ne relit pas. Le succès d’une pièce nouvelle a promptement besoin d’être rajeuni par
90 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
d’applaudisseurs à gages, à qui l’on a, pour ainsi dire, noté, sur la pièce , les endroits qu’ils doivent applaudir ; là, poin
ns une assemblée où il survint tout à coup un grand orage, fut mis en pièces par les sénateurs, qui le trouvaient trop impérie
ière qui nous a promis d’amener ici tous ces messieurs du Recueil des pièces choisies.   Cathos. Et certains autres qu’on nous
se et de vers. On sait à point nommé : un tel a composé la plus jolie pièce du monde sur un tel sujet ; une telle a fait des
91 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
pasquin, c’est quelque chose de pis ; ou plutôt ce sont les premières pièces d’un procès criminel intenté par le genre humain,
foule, le spectacle confus de cette nuit si rassemblée. Les premières pièces offraient les mugissements contenus des valets, d
Je m’arrêtai donc un peu à considérer le spectacle de ces différentes pièces de ce vaste et tumultueux appartement. Cette sort
aurait-elle pas été moins mauvaise, s’il n’avait pas fallu l’arracher pièce à pièce aux irrésolutions de Louis XVI, et surtou
lle pas été moins mauvaise, s’il n’avait pas fallu l’arracher pièce à pièce aux irrésolutions de Louis XVI, et surtout prendr
en mille sectes contradictoires, qui livrent le christianisme mis en pièces aux mépris de l’incrédulité. La philosophie reven
vait représenter ; il répondit qu’il y avait tant d’esprit dans cette pièce qu’il doutait de son succès. Quoi ! dira-t-on, es
l’heure, et l’on bâille vingt fois, Qu’elle grouille aussi peu qu’une pièce de bois. ACASTE. Que vous semble d’Adraste ? CÉLI
surveillance se sont déjà concertés ; mais il y a un grand nombre de pièces à examiner. Le rapport ne pourra être fait que de
France. Il sait bien que la postérité recueillera un jour toutes les pièces de cette grande discussion qui s’est élevée entre
pu à peine y jeter les yeux ; il nous a fallu employer à classer les pièces que la commission nous a opposées, les moments qu
ls sont nombreux. La vérité est moins facile à y trouver que dans les pièces faites au moment même où les événements se passen
x dont ils émanent n’ont pas songé à paraître, mais à agir. Aussi les pièces écrites avant, pendant et après l’action, en donn
re. Mais sur ce théâtre, il faut que quelqu’un paraisse pour jouer la pièce  ; ce quelqu’un, c’est l’humanité, c’est-à-dire le
euxis que les oiseaux venaient becqueter. Le comble de l’art pour une pièce de théâtre serait de vous persuader que vous êtes
démontent et se déconcertent, une machine qui se dissout et se met en pièces , alors, du sein de cette ruine et de cette cendre
orsque vous me devez pour le moins des excuses. Je n’ai point fait la pièce que vous m’imputez et qui vous pique95 ; je l’ai
. La modestie et la générosité que vous y témoignez leur semblent des pièces rares, et surtout votre procédé merveilleusement
pour m’imputer de mauvais exemples ; vous avez épluché les vers de ma pièce , jusqu’à en accuser un de manquer de césure : si
toutes les dames. Je ne puis vous dire l’excès de l’agrément de cette pièce  : c’est une chose qui n’est pas aisée à représent
et on n’a point d’autre peine que celle de voir finir une si aimable pièce  ; tout y est simple, tout y est innocent, tout y
ient pas sans larmes : la mesure de l’approbation qu’on donne à cette pièce , c’est celle du goût et de l’attention. J’en fus
souffle le modèle idéal de l’édifice que, plus tard, il faudra bâtir pièce par pièce, lentement et laborieusement. En promen
e modèle idéal de l’édifice que, plus tard, il faudra bâtir pièce par pièce , lentement et laborieusement. En promenant ma pen
pas le garder un quart d’heure. Il revint donc, m’emmena dans l’autre pièce , et me demanda si j’avais du temps à perdre ; il
sième remplissait les fonctions de lieutenant et commandait ; dans la pièce à côté, mon ami Montfort était au piano ; ses cam
92 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
e attentif, il étendait ses soins1… Zaïre2. (Une scène de cette pièce .) Acte II, scène iii. Lusignan, prince du s
imitation de l’Othello de Shakspeare, elle appartient au genre de ces pièces dites romanesques, où le poëte puise dans son ima
93 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
gue montrèrent que les craintes de Montaigne étaient légitimes. 11. Pièce , c.-à-d. partie (de petium, pièce de terre). 12.
Montaigne étaient légitimes. 11. Pièce, c.-à-d. partie (de petium, pièce de terre). 12. Métaphore tirée du cerf forcé par
94 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
e est parfois d’une négligence qui n’est pas à imiter. 4. Les douze pièces de Racine forment un total de 18, 900 vers : d’où
t un total de 18, 900 vers : d’où, en moyenne, 18900/12 = 1575 v. par pièce , et 1575/5 = 325 v. par acte. — Plus exactement,
par pièce, et 1575/5 = 325 v. par acte. — Plus exactement, comme deux pièces (les Plaideurs et Esther) n’ont que trois actes,
95 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre II. Qualités et devoirs de l’Orateur du Barreau. »
rupule. Si, dans le cours de l’affaire, un examen plus approfondi des pièces lui démontre que la cause qu’il croyait bonne est
96 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIV. » pp. 128-130
Ulysse par Euryclée, supposait qu’il pouvait bien être question d’une pièce de Sophocle, intitulée aussi Νίπτρα. — Sur ἐϰ τῶν
97 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Jean-Baptiste Rousseau 1670-1741 » pp. 441-444
rs rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous, d’en bas, la pièce est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs
98 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168
le contraignant à s’observer un peu, elle nous valut quelques belles pièces qui ont fait vivre son nom. Il a surtout réussi e
99 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
. Ils étaient 150,000 hommes ; j’ai fait 20,000 prisonniers, pris 100  pièces de canon et des drapeaux. J’étais en présence et
100 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
heureuse : jouée en 1848, au milieu du frémissement populaire, cette pièce , où le drame se mêle à l’idylle, réussit par des
n’hésite pas à préférer la Lucrèce de M. Ponsard à toutes les autres pièces faites sur le même sujet, parce que M. Ponsard a
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