r et actrice celui ou celle dont la profession est de représenter des
pièces
dramatiques. Le personnage est l’individu réel ou
airement plus élevé et garni de décorations, où les acteurs jouent la
pièce
. Le théâtre est le lieu d’où l’on peut voir la sc
er. L’amphithéâtre, au contraire, ne comprend que les spectateurs. La
pièce
que l’on joue prend souvent le nom d’action, d’ac
r comme il le montre, eu égard, bien entendu, aux préliminaires de la
pièce
. Ce n’est pas assez que l’action soit vraisemblab
use beaucoup de tourments aux poètes. C’est à eux de construire leurs
pièces
de manière à éviter les inconvénients, ou de pren
unités ; mais ce qui est certain, c’est qu’il n’y a pas une seule des
pièces
faites en dépit de ces règles qui ait eu un succè
saire ; les deux autres sont à désirer147. On appelle actes, dans une
pièce
de théâtre, les parties de la pièce après lesquel
er147. On appelle actes, dans une pièce de théâtre, les parties de la
pièce
après lesquelles le théâtre reste vide, et l’acti
parent les actes et qui déterminent le nombre de ceux qui forment une
pièce
. Il ne paraît pas que les Grecs aient connu la di
ou de la comédie en actes. C’était une règle du théâtre latin qu’une
pièce
de théâtre devait avoir cinq actes, ni plus, ni m
mais arbitrairement et sans succès, à déterminer quelle partie de la
pièce
chaque acte devait contenir. On a demandé, par ex
faire. Quelquefois c’est un acteur qui fait un prologue détaché de la
pièce
, ce qui ne demande aucun art et se faisait souven
r l’auteur, en se croisant et s’entremêlant, forment l’intrigue de la
pièce
. Les situations nouvelles que le jeu de ces incid
et ses nombreuses espèces. Parlons d’abord de la tragédie. C’est une
pièce
dramatique, dont les personnages sont des rois, d
divers sujets, et que l’on a jusqu’ici réservé le nom de tragédie aux
pièces
tristes dont les personnages sont de la plus haut
abord aux philosophes, et eut pour maître Anaxagore. Aussi toutes ses
pièces
sont-elles remplies de maximes excellentes pour l
e. Lorsqu’il parut, c’est-à-dire en 1625, puisqu’il donna sa première
pièce
à dix-neuf ans, la France n’avait pour théâtre qu
nous y serions encore si Corneille, par la force de son génie, et sa
pièce
du Cid, représentée en 1636, n’eût dissipé les nu
entées en 1821, furent pour lui l’occasion d’un vrai triomphe. Aucune
pièce
, à l’exception du Cid, n’avait été accueillie ave
toujours jusqu’au dénouement. Comme il ne s’agit, dans ces sortes de
pièces
, que de les charger d’incidents, les mœurs et les
on présente un caractère dominant qui fait proprement le sujet de la
pièce
. Telles sont les comédies de l’Avare, du Glorieux
es comédies de l’Avare, du Glorieux, du Menteur, etc., et ce sont ces
pièces
-là qu’on appelle exclusivement comédies de caract
aux et les caquets des lieux où tout le monde se connaît. Ce sont ces
pièces
qu’on appelle comédies de mœurs. Toutes choses d’
leur donner la réplique. Voilà en quoi consiste toute l’action de ces
pièces
: il n’y a, par conséquent, ni intrigue, ni dénou
de chasse de Henri IV par Collé, et dans le Pinto de Lemercier : ces
pièces
se nomment quelquefois comédies héroïques. Dans l
ons propres à exciter la sensibilité et à faire verser des larmes, la
pièce
reçoit le nom de comédie larmoyante ou tragédie b
eries les plus hasardées, aux mots triviaux, aux lazzi burlesques, la
pièce
prend le nom de farce, de folie, de parade, etc.
en plein vent, moyennant une petite rétribution. Ce n’est pas là une
pièce
dramatique ; et quand nos auteurs comiques écrive
y en a dans les parades réelles. Il faut donc entendre par ce mot une
pièce
de bas comique, c’est-à-dire encore une farce ou
phrases, aux discours d’un auteur168. Elle s’étend quelquefois à une
pièce
entière et devient ainsi une véritable comédie d’
la comédie latine aussi loin qu’elle ait jamais été, nous avons leurs
pièces
. Plaute, né comme Aristophane, avec un génie libr
urent avant nous la bonne comédie ; nous leur devons même la première
pièce
de caractère qui se soit soutenue, et qui se sout
même année 1635 qu’il donna au théâtre de Lyon l’Étourdi, sa première
pièce
, on donnait au théâtre des Paris les Rivales de Q
out par la franchise, l’esprit et l’originalité du dialogue. § 77.
Pièces
à musique, à danse, à spectacle. Il y aurait d
ne considérable si nous ne parlions, au moins en courant, de quelques
pièces
où le poète n’est plus seul, mais où il appelle à
angers à la littérature proprement dite. On a successivement mêlé aux
pièces
récitées, le chant, la musique instrumentale, la
machines et de décorations, tout ce qu’on trouve aujourd’hui dans les
pièces
fantastiques que nous appelons pièces-féeries. Ca
êtres surnaturels ; et, en termes de théâtre, on applique ce nom aux
pièces
dans lesquelles on exécute, à l’aide de machines,
âtre174 ; on imagina de le remplacer par le mot de tableau. Ainsi une
pièce
en quatre actes et en quinze tableaux signifie qu
a musique et la danse se sont introduites tout naturellement dans les
pièces
dramatiques. Ces deux arts étant depuis longtemps
cisément une comédie à couplets ou à ariettes : on donne ce nom à des
pièces
où le chant et la musique sont introduits pour le
t sur des airs connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la
pièce
, sous le nom de vaudeville final, une chanson don
couplet à tour de rôle. Depuis, on a jeté des couplets dans toute la
pièce
, sans aucune nécessité, mais seulement parce que
, en ce que, d’une part, la musique est faite spécialement pour cette
pièce
par un compositeur en titre ; ensuite, en ce que
première partie du mot (mélos) n’est pas le chant qui se mêle dans la
pièce
: c’est surtout la musique de l’orchestre qui se
. Les opéras se distinguent ensuite, selon le caractère général de la
pièce
et la condition des personnages, en tragédie lyri
faisait autrefois n’est presque plus usitée. La danse a été mêlée aux
pièces
comme la musique. On appelait autrefois comédie-b
ment mêlée à l’action, et enfin elle a exclu toute parole. Il y a des
pièces
où toute la suite des événements est exprimée par
et non mesuré, ou par le geste mesuré, c’est-à-dire par la danse. Ces
pièces
s’appellent des pantomimes lorsque c’est un acteu
ction. Ce que l’on appelle opéra dans le sens général du mot, est une
pièce
qui réunit toutes les séductions physiques dont n
ssent pas se répandre sur des œuvres voisines. Aussi, dans toutes les
pièces
dont nous venons de parler, la gloire du succès e
mairon, Comédie d’intrigue, comédie de caractère. 167. Domairon, des
Pièces
à scènes détachées. 168. Petit traité des figur
s-lui son titre et tachons de faire bien connaître successivement les
pièces
dont il parle. Nous commençons par les épigrammes
nifie inscription ; et dans son sens le plus général il veut dire des
pièces
de vers tellement courtes qu’on pourrait ou les i
t épigramme, dans son sens originel, s’applique tout simplement à une
pièce
de poésie très courte, comme de douze ou quinze v
de douze ou quinze vers au plus. Mais on a bientôt, parmi ces petites
pièces
, distingué des caractères assez différents pour l
ion ; et quoiqu’elle rentre dans cette catégorie générale des petites
pièces
, on ne la confond pas avec les autres. Le sixain
idèle : Avez-vous oublié que vous ne l’aimez plus ? Enfin dans cette
pièce
de Claude Mermet (poète du xvie siècle) : Les a
amis, mais qui ne méritent pas ce nom. Eh bien, c’est cette dernière
pièce
que nous appelons précisément une épigramme. Ains
à propos d’un retranchement pareil que de Cailly a fait cette petite
pièce
: De nos rentes, pour nos péchés, Si les quartie
mprévue et subite, qui excite le rire ou la moquerie. Telle est cette
pièce
de La Martinière : Un gros serpent mordit Aurèle
rs rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous, d’en bas, la
pièce
est écoutée ; Mais nous payons, utiles spectateur
ne rien faire. Enfin, on appelle souvent impromptu les mêmes petites
pièces
produites sur-le-champ ou sans préparation. On ci
amme. Ajoutons à ce que nous venons de dire sur toutes ces petites
pièces
, qu’on donne aussi très souvent, et assez impropr
t par leur objet, et même par la nature du talent qu’ils exigent, des
pièces
précédentes ; mais comme ils ont une forme et des
re est presque infini de ceux qui se sont distingués dans ces petites
pièces
par l’agrément de la pensée, la précision de l’ex
l’épigramme prise dans le sens le plus général deux ou trois petites
pièces
de poésie où l’on donne quelque chose à deviner,
à deviner, savoir, l’énigme, la charade et le logogriphe. Ces petites
pièces
ne sont pas nécessairement en vers ; mais le fond
ravages. § 46. Chanson. La chanson est, en général, une petite
pièce
de vers destinée à être chantée. Elle traite des
est pas toujours la même : sous Louis XIV, c’était souvent une petite
pièce
composée de vers inégaux, assemblés sans aucun or
eville à un divertissement en chanson qui termine souvent les petites
pièces
de théâtre, et de là le nom de vaudeville s’est é
tes pièces de théâtre, et de là le nom de vaudeville s’est étendu aux
pièces
entières. Il y a encore quelques chansons particu
Ainsi Racine n’a fait nul changement dans l’action d’Esther, et cette
pièce
n’en est que plus touchante. Il sort du fond de l
parts de la vie de Brutus, et non un seul péril de ce romain ; cette
pièce
, qui contient plusieurs mois, se compose de la mo
kespeare. Mais, en général, aucun homme de goût ne pourra admirer une
pièce
ou le héros, Enfant au premier acte, est barbon
ange pas le lieu de la scène, et que l’action qui fait le sujet de la
pièce
se passe, tout entière et jusqu’à la fin, dans le
’elles ont d’extrême. Racine, en particulier, a soin, dans toutes ses
pièces
, de faire entendre d’utiles leçons et de sages co
es leçons et de sages conseils. Notre théâtre renferme même plusieurs
pièces
qui se terminent par un trait lumineux et frappan
ène, leurs desseins, leurs intérêts et leur situation au moment où la
pièce
commence, ainsi que le lieu de la scène, le momen
ue est, comme l’indique son nom, un ouvrage qui sert de prélude à une
pièce
dramatique. Chez les anciens, le prologue était u
était guère mieux intriguée que la tragédie. On peut en juger par les
pièces
d’Aristophane, dont plusieurs, même parmi les plu
il fallait que le nœud en fût bien simple, puisque Térence, dont les
pièces
ne sont pas elles-mêmes fort intriguées, était ob
n événement particulier démêle le nœud, lorsqu’un incident termine la
pièce
. C’est la partie la plus difficile de la tragédie
s le drame sérieux que dans l’épopée. Un bon dénoûment peut sauver un
pièce
faible, et peut beaucoup pour le succès de la mei
in complet ou achevé. Le dénoûment tragique doit être la partie de la
pièce
où dominent par-dessus tout la passion et le sent
e l’autre succombe, comme dans Athalie et Héraclius. Dans la première
pièce
, Athalie, et dans la seconde, Phocas, périssent ;
ardés par plusieurs auteurs comme plus favorables à la réussite d’une
pièce
; et par le fait, les tragédies qui se terminent
it présider à chacun des actes, à chacune des scènes qui composent la
pièce
. 449. Qu’est-ce qu’un acte dans le drame ? Un ac
de scène en scène, comme on peut le voir par l’examen des meilleures
pièces
de notre théâtre, et en particulier de Polyeucte,
’acte ou intermède est l’intervalle qui, dans la représentation d’une
pièce
de théâtre, en sépare les actes, et donne du relâ
es acteurs occupés dans l’entr’acte ; et le poète, dans le plan de la
pièce
, en divisant son action, doit la distribuer de fa
ènes ? Horace a fixé à cinq le nombre des actes pour toute espèce de
pièce
dramatique. Neve minor, neu sit quinto productio
es de nos grands poètes sont en cinq actes. Nous avons aussi quelques
pièces
excellentes en trois actes, par exemple : Esther,
; et l’étendue de chacun se trouve ainsi proportionnée à celle de la
pièce
qui, chez nous, peut aller de douze à dix-huit ce
ond. Sans cette précaution, on serait surpris de voir, à la fin de la
pièce
, des personnages dont on n’aurait point entendu p
ialogue dramatique est un entretien entre plusieurs personnages d’une
pièce
de théâtre, ou la manière dont conversent les act
s l’art de dialoguer comme la nature ; on ne voit pas dans toutes ses
pièces
un seul exemple d’une réplique hors de propos. 46
agraphes suivants le caractère propre et distinctif de chacune de ces
pièces
. § I. — De la tragédie proprement dite. 467
échoue dans la peinture des passions, tout son mérite est perdu ; sa
pièce
nous laisse froids et mécontents. Les passions dr
igne du théâtre tragique, il faut qu’il soit le nœud nécessaire de la
pièce
, et non qu’il soit amené forcément pour en rempli
rop aimable. 500. Qu’est-ce que le mélodrame ? Le mélodrame est une
pièce
de théâtre à émotions fortes dont les scènes décl
à ce drame ; l’orchestre ne se fait entendre qu’au commencement de la
pièce
et à l’arrivée de chaque personnage sur le théâtr
Du reste, les trois genres peuvent se trouver ensemble dans une même
pièce
; et alors ils ne servent qu’à se donner réciproq
un caractère dominant dont la peinture fait le principal objet de la
pièce
. Les plus remarquables parmi les comédies de cara
par des danses, les acteurs s’expriment uniquement par des gestes, la
pièce
prend le nom de pantomime. On distingue encore la
évus, quoique préparés par l’auteur, qui arrivent subitement dans une
pièce
. Les coups de théâtre font un très bel effet dans
gaieté avec ou sans but moral, comprend la farce, la parodie, et les
pièces
à scènes détachées ou à tiroir. 524. Qu’est-ce qu
ière et chargée des ridicules et des vices de la société. Les petites
pièces
de ce genre ont été introduites sur la scène pour
d’une comédie, afin de délasser le spectateur du sérieux de la grande
pièce
. Cet usage, qui date du temps où le spectacle fra
chet, au xve siècle, qui a été retouché par Brueys, en 1706. A cette
pièce
nous ajouterons les Plaideurs, de Racine ; le Méd
action triviale à une action héroïque. La parodie dramatique est une
pièce
de théâtre d’un genre gai ou burlesque, faite pou
u burlesque, faite pour travestir, pour tourner en ridicule une autre
pièce
d’un genre noble ou pathétique. La parodie s’éten
pièce d’un genre noble ou pathétique. La parodie s’étend tantôt à la
pièce
entière, tantôt à la plus grande partie, tantôt e
rt qui nous cause une vive et agréable surprise. 528. Qu’appelle-t-on
pièces
à tiroir ? On appelle pièces à tiroir, à scènes
agréable surprise. 528. Qu’appelle-t-on pièces à tiroir ? On appelle
pièces
à tiroir, à scènes détachées ou comédies épisodiq
elle pièces à tiroir, à scènes détachées ou comédies épisodiques, les
pièces
dont les scènes n’ont aucune liaison nécessaire e
qui servent à dévoiler le sien en conversant avec lui. Cette sorte de
pièce
amuse par la ressemblance des figures avec les pe
onde. On n’y trouve ni unité d’action, ni intrigue, ni dénoûment. Les
pièces
à tiroir sont presque toujours suivies d’une dans
que 529. Qu’est-ce que l’opéra comique ? L’opéra comique est une
pièce
d’intrigue mêlée de chant, faite pour égayer le s
e parlé. L’opéra comique est assujéti aux mêmes règles que les autres
pièces
de théâtre ; mais il en a de particulières que no
en vaudevilles. 531. Qu’appelle-t-on opéra comique à ariettes ? Les
pièces
à ariettes sont celles qui sont mêlées de chants
le vaudeville final une chanson en plusieurs couplets qui termine les
pièces
de ce genre, et dont chaque personnage chante un
au spectacle. Il était chargé de faire ressortir le côté moral de la
pièce
, et de donner en toute occasion des leçons de ver
çons de vertu. Le chœur restait constamment sur le théâtre pendant la
pièce
: il remplissait par ses chants les intervalles d
a tragédie moderne n’a pas imité le chœur antique, sauf dans quelques
pièces
, telles que l’Esther et l’Athalie de Racine, le P
ule intrigue principale, de manière à ce que toutes les parties de la
pièce
aient un centre commun. L’observation de ces troi
in que possible la vraisemblance et l’imitation de la vie réelle. Les
pièces
grecques, qui se représentaient sans interruption
de nos jours. 3° Conduite de l’action. On doit trouver dans une
pièce
de théâtre. : l’exposition, le nœud, l’intrigue,
au, Art poét. L’exposition doit initier le spectateur au sujet de la
pièce
: elle se fait, en action, naturellement, par le
ges eux-mêmes ; elle doit contenir en germe tous les évènements de la
pièce
, mais en les couvrant du voile du mystère ; l’exp
rdu : quelques belles situations ne suffiront pas pour faire vivre la
pièce
. Si les incidents sont trop multipliés, l’intrigu
ement le spectateur ; elles contribuent puissamment à l’intérêt de la
pièce
: il ne faut pas en abuser en les multipliant. C’
he. Dans la comédie, c’est presque toujours un mariage qui termine la
pièce
. Actes et scènes. La pièce se compose de pl
e toujours un mariage qui termine la pièce. Actes et scènes. La
pièce
se compose de plusieurs parties qu’on nomme actes
a foire. Les trois genres de comique peuvent se trouver dans une même
pièce
, comme, par exemple, dans le Don Juan de Molière.
ence, et Nanine de Voltaire, en sont des exemples. Scribe a plusieurs
pièces
dans ce genre. 5° Règles de la comédie. La
ction varie suivant les espèces de comédie : elle est simple dans les
pièces
de mœurs, compliquée dans les pièces d’intrigue.
médie : elle est simple dans les pièces de mœurs, compliquée dans les
pièces
d’intrigue. L’action doit toujours marcher viveme
ns le Misanthrope sera encore neuf et vrai. Voilà pourquoi toutes les
pièces
d’actualité et de circonstance ne sont que des bl
qu’au dénouement : Là, c’est l’action qui est l’objet principal de la
pièce
; les caractères et les mœurs ne doivent pas y êt
Racine ; Scapin, Pourceaugnac, le Médecin malgré lui de Molière. Les
pièces
à tiroir ou à scènes détachées, dont les scènes s
duit des couplets : ce sont les chansons qui font donner le nom à ces
pièces
. Le mérite est d’amener à propos les couplets, et
ir une vérité proverbiale : le dénouement est comme la sentence de la
pièce
. Style de la comédie. Le style de la comédi
dehors de la scène. Du reste, le style varie suivant la nature de la
pièce
et la position des personnages : il s’abaisse ou
, Iffland, Kotzebue. — En italien : Ayelloni, Goldoni, Federici. 19.
Pièce
de Le Sage. 20. Principaux auteurs comiques : G
et nous avons maintenant à étudier, sous le nom de petits poèmes, des
pièces
qui ont en effet une valeur littéraire plus grand
ême, ornée seulement des grâces qu’elle peut recevoir. On a donné aux
pièces
pastorales le nom d’églogues, qui, en grec, signi
donné aux pièces pastorales le nom d’églogues, qui, en grec, signifie
pièces
choisies en quelque genre que ce soit. On a ensui
s que celles dont le style est un peu plus relevé que dans les autres
pièces
, comme les trois pastorales de Virgile, intitulée
ction est toujours fort légère et fort simple, on évitera les grandes
pièces
, parce qu’il est bien difficile d’intéresser cont
ent des bosquets, et ses fontaines des jets d’eau, à en juger par les
pièces
qui nous restent de lui. On y voit peu de bergers
t de style, mais l’action et la pensée manquent presque toujours ; la
pièce
se réduit alors à des lieux communs de morale ou
u premier ordre. On préfère à juste titre Segrais et Racan. La petite
pièce
des Deux ruisseaux fera connaître et sa manière e
rente chez les Grecs et chez les Romains. Chez les Grecs, c’était une
pièce
dramatique qui tenait une sorte de milieu entre l
ue chose de dramatique. Elle paraissait sur le théâtre avec la grande
pièce
. Si c’était au commencement, elle s’appelait isod
a grande pièce. Si c’était au commencement, elle s’appelait isode, ou
pièce
d’entrée ; si c’était au milieu, on la nommait em
e, ou pièce d’entrée ; si c’était au milieu, on la nommait embole, ou
pièce
d’entracte ; si c’était à la fin, on la désignait
tracte ; si c’était à la fin, on la désignait sous le nom d’exode, ou
pièce
de sortie. Elle reprit son nom sous Ennius et Pac
repos après le second ; et une élégie était avant tout, pour eux, une
pièce
de vers écrite en distiques. Ils jugeaient donc d
N’en défend point nos rois. Ce sont encore des élégies que plusieurs
pièces
de Bertaut, et celle, en particulier, où se trouv
n’ai-je, en te perdant, perdu le souvenir ! Maynard a fait aussi des
pièces
élégiaques, ainsi que plusieurs de nos vieux poèt
en France avec succès, et que nous avons eu à toutes les époques des
pièces
très remarquables dans le caractère triste et mél
cite avec raison de ce dernier, comme une élégie charmante, la petite
pièce
intitulée la Chute de feuilles, où l’on ne trouve
ui, signifiant un tombeau magnifique, fait un contresens. Voici cette
pièce
: De la dépouille de nos bois L’automne avait jo
ussi des odes où le poète ne s’astreint à aucune règle, et compose la
pièce
entière d’une suite de vers inégaux, divisés en s
ithyrambes, dont nous parlerons tout à l’heure. Les cantates sont des
pièces
destinées à être mises en musique, et la musique
inte de fatiguer l’auditeur ; ce qui arrive bien promptement dans les
pièces
musicales. Aussi, voyons-nous que la plupart des
lière des stances : quand cette égalité ne s’y trouve pas, on dit une
pièce
lyrique, un chant lyrique, etc. On donne à toutes
n dit une pièce lyrique, un chant lyrique, etc. On donne à toutes ces
pièces
des noms différents, et en particulier les suivan
t en particulier les suivants, selon leur objet : Le cantique est une
pièce
lyrique consacrée à Dieu, à la sainte Vierge, aux
ique de la Vierge, le cantique de saint Siméon. Le psaume est une des
pièces
lyriques contenues dans le livre des Psaumes de l
ien Testament. C’est aussi toute traduction ou imitation d’une de ces
pièces
. L’hymne a un sens plus général : c’est une pièce
ation d’une de ces pièces. L’hymne a un sens plus général : c’est une
pièce
lyrique adressée à une divinité, ou à ce qu’on re
ent comme tel : hymne à Mercure, hymne à la paix. On le dit aussi des
pièces
faites en l’honneur du vrai Dieu : les hymnes de
ui-ci affecte une grande exaltation d’idées, qui se manifeste dans la
pièce
entière par des écarts souvent incompréhensibles,
il ne nous reste rien d’authentique, et qui, d’après le caractère des
pièces
qui nous sont venues sous son nom, serait mieux r
sous son nom, serait mieux rangé parmi les chansonniers ou auteurs de
pièces
fugitives que parmi les lyriques. Horace, le prem
ie pastorale. 89. Batteux, de la Poésie pastorale. 90. Voyez cette
pièce
tout entière dans le § 54 du Petit traité des fig
vec le Cycle épique, t. I, p. 240. — Il reste deux fragments de cette
pièce
de Chérémon. L’Antigone.] Aristote se tromperait
sans que cet incident ait la moindre importance dans l’économie de la
pièce
. Peut-être Aristote pensait-il à l’Antigone d’Eur
ents. Ce qui est certain, c’est qu’il a formellement cité ailleurs la
pièce
de Sophocle : Rhétorique, I, 13 et 15 III, 16 et
d qui devait arrêter le bras de Mérope n’arrivât pas assez tôt. Cette
pièce
, qu’on jouait de son temps, et dont il nous reste
. de 1785. L’Hellé.] Comme on n’a aucun autre renseignement sur cette
pièce
, Valckenaër conjecture qu’il faut lire ici « l’An
cette pièce, Valckenaër conjecture qu’il faut lire ici « l’Antiope »,
pièce
d’Euripide dont il reste environ cinquante fragme
son secours et la sauvent. Résignons-nous à ignorer l’auteur de cette
pièce
d’Hellé, dont le sujet, du reste, tenait à ceux d
orsque vous me devez pour le moins des excuses. Je n’ai point fait la
pièce
que vous m’imputez et qui vous pique2 ; je l’ai r
. La modestie et la générosité que vous y témoignez leur semblent des
pièces
rares, et surtout votre procédé merveilleusement
pour m’imputer de mauvais exemples ; vous avez épluché les vers de ma
pièce
, jusqu’à en accuser un manque de césure : si vous
une passion trop chargée de faiblesse pour être la dominante dans une
pièce
héroïque ; j’aime qu’elle y serve d’ornement, et
Corneille ; ce qui apprêta beaucoup à rire, et donna lieu à plusieurs
pièces
qui parurent dans ce temps. (Édition de 1739.) 5
teur contemporain de Corneille et de Scudéri : il a composé plusieurs
pièces
, tant en vers qu’en prose, lesquelles n’ont point
eurs affectionnés à Claveret firent, dans ce même temps, de méchantes
pièces
, qui ne servirent qu’à faire éclater davantage le
eur. Corneille en voulait à Claveret, parce qu’il avait distribué une
pièce
intitulée l’Auteur du vrai Cid espagnol à son tra
eur de la tragédie du Cid avaient été pillés de l’espagnol ; et cette
pièce
, quoique mauvaise, avait causé beaucoup de chagri
t toujours une imperfection, et bien souvent un grand défaut dans une
pièce
de théâtre. Ainsi le poëte ne doit bâtir le plan
sivement toutes ces actions, je dirai que ce ne seroit plus alors une
pièce
de théâtre : ce seroit une histoire plus ou moins
ilà l’unité d’action. Il n’en est pas de même dans ls. Le héros de la
pièce
revenant vainqueur du combat contre les trois Cur
être diversement intéressés. Ils le sont toujours dans nos meilleures
pièces
de théâtre. Mais tous ces intérêts divers s’y rap
sait que le grand Condé étant à une représentation de cette dernière
pièce
, dit au sujet de ce personnage : et Antiochus, q
ieu de la scène à un espace limité, nous verrions en peu de temps des
pièces
telles que l’ancien Jules César des Anglois, où C
qu’il doit en avoir cinq ni plus ni moins. Nous avons de très-bonnes
pièces
de théâtre qui ont moins de cinq actes. Ainsi cel
ncés dans le premier ; ce qui ôte la surprise de voir, à la fin de la
pièce
, des personnages dont on n’auroit point entendu p
un peu plus précise et plus circonstanciée, le véritable sujet de la
pièce
, soit par un récit, soit par les discours des per
nstruise parfaitement le spectateur de tout ce qui se passera dans la
pièce
. Une telle exposition le priveroit du plaisir de
en action. Les autres expositions ne font qu’instruire du sujet de la
pièce
; celle-ci en est le nœud. Placez-la dans tel act
on qui fait que nous voyons vingt fois avec le même plaisir une bonne
pièce
de théâtre. Pour que le dénouement ne soit pas pr
s couleurs que les autres. C’est ce qu’on voit dans toutes les bonnes
pièces
de théâtre, soit des anciens, soit des modernes.
yriques fruit d’une imagination échauffée, sont totalement bannis dès
pièces
de théâtre, même de celles dont le sujet est gran
ation du personnage ; comme les maximes qu’on trouve éparses dans les
pièces
de Corneille, de Racine, de Molière, de Regnard.
’art du dialogue, qui est une des parties les plus essentielles d’une
pièce
de théâtre, il faut joindre à ces règles générale
héâtre, il faut joindre à ces règles générales, la lecture des bonnes
pièces
de Corneille, celles de Racine et de Molière. On
e ce genre, je parlerai dans cet article, 1°. de la comédie ; 2°. des
pièces
de théâtre qui y ont rapport ; 3° de l’opéra comi
on présente un caractère dominant, qui fait proprement le sujet de la
pièce
. Telles sont les comédies de l’Avare, du Glorieux
cènes, de tous les traits qui font rire. C’est ce qu’on voit dans les
pièces
de Molière et de nos bons comiques. Tout s’y rapp
e dénouement venoit de se faire. Le Misanthrope de Molière termine la
pièce
par ces vers : Trahi de toutes parts, accablé d’
’Irrésolu de Destouches, après avoir balancé dans tout le cours de la
pièce
, entre Célimène et Julie, et s’être à la fin déci
d’épouser Célimène. Le Métromane de Piron, venant d’apprendre que sa
pièce
de théâtre est entièrement tombée par les efforts
nt les intrigues des bonnes comédies des anciens et des modernes. Une
pièce
de théâtre fondée sur des mœurs générales, est un
chez les autres nations de l’Europe. Il en sera de même de toutes les
pièces
de théâtre, où le poëte comique présentera un mir
sté que chez nous, et n’existe plus aujourd’hui. Voilà pourquoi cette
pièce
n’a été traduite dans aucune langue étrangère : e
r qu’à celui-là. Si ce comique de pensée faisoit seul le mérite d’une
pièce
de théâtre, le succès ne pourroit en être que mom
avec un art admirable, et généralement de la manière de conduire une
pièce
, nous n’avons qu’à ouvrir Molière. Je choisis pré
, qui ne présente une situation. Bret a bien raison de dire que cette
pièce
est le chef-d’œuvre du génie comique pour les vue
ons contre les femmes, et se retire comme un furieux. L’analyse d’une
pièce
de théâtre ne peut pas donner une parfaite idée d
e parfaite idée de la manière dont elle est conduite. Il faut lire la
pièce
même, pour bien voir et bien sentir l’art avec le
u comique grossier. Ces trois genres peuvent se trouver dans une même
pièce
, et ne servent qu’à se donner réciproquement une
r et la joie ; qu’enfin le nom de comédie ne convient nullement à des
pièces
de ce genre, parce que la comédie a toujours été
des Comédies-ballets qu’on joue sur le Théâtre Français. Ce sont des
pièces
, dont les intermèdes sont remplis par des pantomi
nde l’heure, et l’on bâille vingt fois, Qu’elle s’émeut autant qu’une
pièce
de bois. Acaste. Que vous semble d’Adraste ? Cé
que chacun dit. Il me tombe sous la main une autre scène de la même
pièce
, que je ne passerai point sous silence, parce qu’
as hier avec tant de fanfare. Gros-René. Tiens encor ton couteau, la
pièce
est riche et rare ; Il te coûta six blancs lorsqu
ul dont les ouvrages nous soient parvenus. On y trouve aussi quelques
pièces
de la comédie me. Ce poëte avoit un génie libre,
st contenté, dans son Théâtre des Grecs, de donner une analyse de ses
pièces
. Nulle plume, dit-il, fût-elle païenne et cynique
it pour modèle, et tomba dans un de ses excès. Il n’y a aucune de ses
pièces
, qui ne soit semée de bouffonneries, de turlupina
auparavant, Mélite. Mais ce ne fut que par l’heureuse imitation de la
pièce
espagnole, qu’il eut la gloire de réformer la scè
de Qt. Notre scène avoit même déjà vu la Mère coquette de ce dernier,
pièce
de caractère et d’intrigue, lorsque Molière y fit
lière. On lui reproche encore d’être descendu, dans la plupart de ses
pièces
, jusqu’au bas comique. Mais sans cela, il n’auroi
s avec netteté, avec force, avec concision. Dans quelques-unes de ses
pièces
en vers, il y a beaucoup de fautes : mais le styl
tre poëte comique n’étoit plus digne de le porter. Il montre dans ses
pièces
, soit de caractère, soit d’intrigue, un bon sens
gue est plein de feu. On a mis sa comédie du Joueur à côté des bonnes
pièces
de Molière. Voilà les deux poëtes qui, dans le si
inction. Molière lui-même eût ambitionné la gloire d’avoir fait cette
pièce
. Tels sont parmi nous les plus parfaits modèles q
édie. Mais nous avons encore une foule d’excellens comiques, dont les
pièces
constamment applaudies au théâtre par l’homme de
s s’attacher trop scrupuleusement aux règles de la bonne comédie. Ses
pièces
sont en effet très-réjouissantes, et offrent des
op souvent des pensées et des expressions licencieuses. De toutes les
pièces
de ce poëte, la Fille Capitaine, et la Femme juge
. Le Mercure galant ou la Comédie sans titre, par Boursault, est une
pièce
bien conduite, pleine des détails les plus agréab
deux qualités dans le Deuil, Crispin Médecin, et le Cocher supposé ;
pièces
qui reparoissent assez souvent sur notre théâtre.
haos. Brueys le rajeunit vers la fin du siècle dernier, et en fit une
pièce
charmante. Il donna encore deux fort bonnes coméd
et d’un vrai comique. On la place immédiatement après les meilleures
pièces
de Molière. Les uns disent que ces deux comédies
génie vraiment comique : le style et le dialogue de la plupart de ses
pièces
l’annoncent. Mais il écrivoit avec trop de facili
des saillies : il entend même l’art du dialogue. Mais en général ses
pièces
manquent de régularité, et la décence n’y est pas
lèbre Baron, comédien, fut aussi poëte comique. Il donna l’Andrienne,
pièce
imitée de Térence, la Coquette, et l’Homme à bonn
e ceux que la mort a enlevés à la république des lettres, et dont les
pièces
ont encore les suffrages des connoisseurs. La com
cision. Le théâtre lui doit aussi Crispin rival de son maître, petite
pièce
qui n’est pas indigne de son auteur. Fagan a fai
grand nombre de comédies ; mais il en a peu de bonnes. Celles de ses
pièces
qu’on voit et qu’on verra toujours avec plaisir,
ariété des plans, l’aisance et la correction du style. Ses meilleures
pièces
sont l’Homme du Jour, le Français à Londres, et l
tte corrigée, par Lanoue, est, malgré ses défauts, une des meilleures
pièces
de caractère qui aient été faites de nos jours. O
isserter sur le sentiment, et de courir après l’esprit. Celles de ses
pièces
qui sont restées au théâtre français, sont la Sur
par ce seul poëte comique. Poinsinet n’a fait que le Cercle, petite
pièce
, où le ridicule de certaines sociétés est bien pe
st restée au théâtre, ainsi que le Fat puni, et le Somnambule, petite
pièce
en un acte, qui est très-agréable. Les petites pi
mnambule, petite pièce en un acte, qui est très-agréable. Les petites
pièces
de théâtre de Saint-Foix sont d’un caractère qui
un badinage non moins naturel qu’ingénieux, caractérisent toutes ces
pièces
, parmi lesquelles néanmoins on distingue les Grac
r essai fut reçu, l’excitèrent à suivre cette carrière. Celles de ses
pièces
qu’on joue le plus souvent, sont le Préjugé à la
IV, et Dupuis et Desronais ; Diderot, auteur du Père de famille. Les
pièces
qu’on appelle Héroïques, et qui sont les meilleur
i florissoit vers l’an 1640, sont les plus célèbres. Leurs meilleures
pièces
, ainsi que celles des autres bons auteurs, ont ét
s années qu’on a publié un Théâtre allemand ou Recueil des meilleures
pièces
dramatiques, tant anciennes que modernes, etc. Ma
tre : Nouveau Théâtre Allemand par MM. Friedel et de. II. Des
Pièces
de Théâtre qui ont rapport à la Comédie. De
vrages dramatiques qui se rapportent à la comédie, sont la Farce, les
pièces
à scènes détachées, et la Parodie. L’objet de la
es par les traits les plus chargés et les plus ridicules. Les petites
pièces
de ce genre ont été introduites sur la scène pour
ouvrages d’esprit. En un mot il ne faut pas oublier que ces sortes de
pièces
ne sont point faites pour la populace, mais pour
ière. La comédie des Plaideurs,par Racine, est encore une excellente
pièce
en ce genre. Des pièces à scènes détachées.
deurs,par Racine, est encore une excellente pièce en ce genre. Des
pièces
à scènes détachées. On nomme Scènes à tiroir o
nre. Des pièces à scènes détachées. On nomme Scènes à tiroir ou
Pièces
à scènes détachées, celles dont les scènes n’ont
u opposés. Voilà en quoi consiste ordinairement toute l’action de ces
pièces
: elles n’ont par conséquent ni intrigue ni dénou
our réussir dans ces sortes d’ouvrages dramatiques. On peut faire des
pièces
à Scènes détachées de différentes espèces, quoiqu
espèces, quoique de la même nature ; sans action, comme la Nouveauté,
pièce
en un acte de le Grand ; ou avec une action, comm
La Parodie est en général un ouvrage en vers, composé sur quelque
pièce
de poésie connue, que l’on détourne à un autre su
s changemens. La parodie dramatique est celle qui a été faite sur une
pièce
de théâtre. L’abbé Sallier dans son discours sur
et que d’une ou de deux scènes de parodie. Il faut alors composer une
pièce
dans laquelle on jettera ces scènes en s’attachan
i la parodie est un genre d’ouvrage qui nous fait distinguer dans une
pièce
de théâtre le bon or du clinquant, qui par conséq
Parisau a donc eu raison de dire en terminant une de ses excellentes
pièces
en ce genre : Melpomène(a) à son tour doit m’acc
en passant. Elle est assujétie aux mêmes règles que toutes les autres
pièces
de théâtre. Mais elle en a de particulières qu’il
deux espèces d’opéra comique ; l’opéra comique en vaudevilles, et les
pièces
à ariettes. Le premier est tout entier, ou presqu
ées, et qui ne peuvent être qu’en dialogue. Le sujet de ces sortes de
pièces
doit être simple, exposé avec précision, et sagem
énible ; et vraisemblablement même y travailleroit-on sans succès.
Pièces
à ariettes. Les pièces à ariettes sont celles
ent même y travailleroit-on sans succès. Pièces à ariettes. Les
pièces
à ariettes sont celles qui sont mêlées de chants
tc. Le dénouement d’un opéra comique doit être, comme dans toutes les
pièces
de théâtre, amené naturellement, et produit par u
mple changement de volonté ; ce qu’on ne voit que trop dans plusieurs
pièces
de ce genre. Si le poëte place un vaudeville à la
e héroïques, et par conséquent sont indignes de la tragédie. Delà ces
pièces
de théâtre qu’on appelle tragédies bourgeoises, e
nage tout-à-fait méchant, pourvu que celui-ci succombe à la fin de la
pièce
, comme Athalie et Cléopatre. Ce que je viens de d
ans quelques tragédies, soit des anciens, soit des modernes. Mais ces
pièces
ne sont pas d’un genre bien sublime et bien touch
de, de Guimont de la Touche, et Antenor dans Zelmire, par du Belloy ;
pièces
qui sont restées au théâtre. Mais nous ne pourrio
ctateur saisisse d’un coup-d’œil ce qui fait le véritable sujet de la
pièce
: la seconde, qu’elle excite beaucoup de curiosit
ilà l’exposition du sujet : voilà le germe de tous les incidens de la
pièce
. Cependant le bruit se répand que Clitemnestre et
galanterie, n’impose point la nécessité de mêler de l’amour dans nos
pièces
tragiques, puisque cette même nation, ce même sex
igne du théâtre tragique, il faut qu’il soit le nœud nécessaire de la
pièce
et non qu’il soit amené par force, pour remplir l
Il faut, comme je l’ai déjà dit, qu’il lise sans cesse les meilleures
pièces
de Corneille, celles de Racine et de nos autres b
sublime, mais trop impétueux et souvent outré. On reconnoît dans ses
pièces
, comme le remarque le P. Brumoi, la rudesse antiq
d’excellentes maximes pour la conduite des mœurs. De cent vingt-deux
pièces
qu’il composa, il nous en est parvenu dix-neuf. L
nt regardée comme un chef-d’œuvre. Le P. Brumoi n’a traduit que trois
pièces
de Sophocle, et s’est contenté de donner le préci
ouvelle édition de ce théâtre, augmentée de la traduction entière des
pièces
grecques dont il n’existe que des extraits dans t
r. C’est ce qu’il fit d’abord, en 1636, par la représentation du Cid,
pièce
imitée, il est vrai, de l’espagnol de Lopez de Ve
ment mérité le titre de père de la tragédie françoise. C’est dans ces
pièces
qu’on voit déployées toute la profondeur, toute l
des autres. » Ces défauts, qu’on a remarqués même dans ses meilleures
pièces
, sont de vieux mots, des discours quelquefois emb
nimitable : mais il est inégal…. Dans quelques-unes de ses meilleures
pièces
, il y a des fautes inexcusables contre les mœurs,
toujours le même par-tout, soit pour le dessein et la conduite de ses
pièces
, qui sont justes, régulières, prises dans le bon
s ; et dans celui ci du goût et des sentimens. On est plus occupé aux
pièces
de Corneille : on est plus ébranlé et plus attend
voit fortement la tragédie, et qu’il avoit un genre à lui. Les bonnes
pièces
qu’il donna ensuite, lui méritèrent la gloire de
rible, mais bien moins que Crébillon. En admirant dans ses meilleures
pièces
, des détails d’une beauté frappante, des morceaux
direct ; que les maximes, les sentences sont trop prodiguées dans ses
pièces
; que les situations vraiment tragiques y sont qu
le Comte d’Essex l’ont fait placer à côté de nos bons tragiques. Ces
pièces
ne sont pas écrites avec une certaine force ; mai
eut-elle un succès prodigieux aux premières représentations. L’autre
pièce
est remarquable par la grandeur du sujet, la simp
oloris. Les comédiens, depuis assez longtemps ne jouent aucune de ses
pièces
. On peut cependant assurer que les amateurs de la
ce tragique est négligé, incorrect, obscur et ampoulé. Celles de ses
pièces
qui reparoissent le plus souvent, sont Zelmire, G
de la tragédie. Il y en a plusieurs autres à qui nous devons quelques
pièces
qui se soutiennent encore avec distinction sur no
ne parlarai que de ceux qui ne sont pas vivans. La Fosse a fait une
pièce
dans le genre de Corneille : c’est Ms. Il y a des
s, sur-tout dans le 4.me acte. Inès de Castro, par la Motte, est une
pièce
foible de poésie. Mais il y a de l’intérêt, et de
fait avantageusement connoître par son Philoctète et ses Troyennes ;
pièces
très-bien imitées des tragiques grecs. Dans la pr
t déjà pris naissance en Italie, lorsqu’on représentoit en France des
pièces
en machines. Corneille, dont le génie se plioit à
de toute la pompe dont il étoit susceptible, et fit tomber toutes les
pièces
de ce genre. Après les tragédies-lyriques de ce p
point de tragédie : il peut y en avoir sans mœurs. La plupart de nos
pièces
modernes n’en ont point. C’est même le défaut ass
le dessein de celui qui agit : ainsi il n’y a point de mœurs dans les
pièces
où l’on ne pressent point ce que veut ou ne veut
que l’art ne peut la déterminer. Par exemple, s’il fallait jouer cent
pièces
en un jour, il faudrait bien alors prendre pour m
el temps. Mais si l’on considère la nature même de la chose, plus une
pièce
aura d’étendue, plus elle sera belle, pourvu qu’o
leur d’Agathon : car noms et sujet, tout y est de pure fiction, et la
pièce
n’en fait pas moins de plaisir. Ce n’est donc pas
que les histoires connues ne le sont que du petit nombre, et que les
pièces
font le même plaisir à tous. Il suit de là qu’un
l’art. C’est à tort qu’on blâme Euripide de ce que la plupart de ses
pièces
se terminent au malheur : il est dans les princip
ipide, quoiqu’il ne soit pas toujours heureux dans la conduite de ses
pièces
, est-il regardé comme le plus tragique des poètes
ets au second rang, quoique quelques-uns leur donnent le premier, les
pièces
qui ont une catastrophe double, comme l’Odyssée,
es Thébains nés de la terre, et l’étoile sur celui de Thyeste dans la
pièce
de Carcinus ; ou accidentels, soit inhérents au c
sortir, l’ignorait. On fut blessé de cette inattention du poète et sa
pièce
tomba. Il faut encore que le poète, autant qu’il
nouement. J’appelle nœud tout ce qui est depuis le commencement de la
pièce
jusqu’au point précis où la catastrophe commence
seul ce qu’ont eu tous les autres ensemble. On ne doit pas dire d’une
pièce
qu’elle est ou n’est pas la même qu’une autre piè
it pas dire d’une pièce qu’elle est ou n’est pas la même qu’une autre
pièce
, quand le sujet est le même, mais quand c’est le
ns, comme si quelqu’un s’avisait de faire de toute l’Iliade une seule
pièce
. Dans l’épopée, l’étendue du poème permet de long
sa Niobé et dans sa Médée, ou comme Eschyle, ont-ils vu tomber leurs
pièces
et manqué le prix. C’est cela seul qui a fait tor
t manqué le prix. C’est cela seul qui a fait tort à Agathon. Dans les
pièces
où il y a péripétie seulement, et dans les simple
ction qu’à toute autre tragédie : ce sont des morceaux étrangers à la
pièce
. C’est Agathon qui a donné ce mauvais exemple. Ca
ar quelle différence y a-t-il de chanter des paroles étrangères à une
pièce
, ou d’insérer dans cette pièce des morceaux, ou m
e chanter des paroles étrangères à une pièce, ou d’insérer dans cette
pièce
des morceaux, ou même des actes entiers d’une aut
dans cette pièce des morceaux, ou même des actes entiers d’une autre
pièce
? Chapitre XIX. Des pensées et de l’élocution
où elles avaient été exposées. On ne connaît point le sujet de cette
pièce
. 8. C’est-à-dire qui rentre dans le fait particu
ués que cinq cents ans après la mort d’Oreste, et l’on disait dans la
pièce
qu’Oreste y avait été tué en tombant de son char.
ors qu’Albert le Grand aux fêtes la portait : Mais toujours recousant
pièce
à pièce nouvelle, Depuis trente ans c’est elle, e
lbert le Grand aux fêtes la portait : Mais toujours recousant pièce à
pièce
nouvelle, Depuis trente ans c’est elle, et si19 c
tait sur ses épaules, Qui traçait en arabe une carte des Gaules ; Les
pièces
et les trous semés de tous côtés Représentaient l
être, en composant, sur le voyage de Henri IV en Limousin, la fameuse
pièce
: Ô Dieu dont les bontés de nos larmes touchées…
onc éternelle, écrites en 1599, attestent un nouveau progrès. Mais la
pièce
qui révéla décidément Malherbe comme un poète hor
n sent qu’une ère nouvelle s’est ouverte pour la poésie française. La
pièce
au duc de Bellegarde sera éternellement citée pou
l entreprit en rivalité de Malherbe plus encore que de Desportes. Les
pièces
du premier genre sont connues sous le titre de Be
e Pierre Corneille, cet homme étonnant et immortel qui, dans quelques
pièces
au moins, sut réunir les beautés de l’une et de l
critiques, encouragés par Richelieu, d’abord favorable à la nouvelle
pièce
, déclarèrent avec leur maître qu’elle devait être
où il l’a tué ; mais elle approuve ce qui est vraiment le sujet de la
pièce
, l’amour combattu. Lors de la composition du Cid,
ar son auteur tragédie comédie, à cause de l’heureux dénouement de la
pièce
et de la physionomie de plusieurs scènes et de ce
ités les factions du règne de Louis XIII. Le véritable objet de cette
pièce
est de peindre le fanatisme politique, et de mont
nt et elle inspire peu d’intérêt, bien qu’elle soit l’âme de toute la
pièce
et que son rôle soit plein de choses sublimes. Ce
maître de moi, comme de l’univers, etc. Et, répétons-le, dans cette
pièce
incomparable, tout est de l’invention du poète, t
l’auteur lui-même, les transports de l’amour humain font, dans cette
pièce
, un si agréable mélange avec la fermeté du divin,
st certainement Polyeucte ; et il a pu dire qu’il n’avait pas fait de
pièce
où l’ordre du théâtre fût plus beau et l’enchaîne
e tragique fécond répondit en donnant, une année après Polyeucte, une
pièce
où il y en a trop, la Mort de Pompée. Cet ouvrage
i de l’une, en étant reconnu pour frère de l’autre. Le style de cette
pièce
intéressante est souvent négligé ; mais le cinqui
e Corneille s’y est proposé, bien différent de celui de tant d’autres
pièces
, où il fait triompher la grandeur romaine, a été
, il se montre d’une héroïque générosité. Corneille a jeté dans cette
pièce
des morceaux sublimes et des traits d’héroïsme te
est en pleine décadence, et il baisse déjà singulièrement dans cette
pièce
. L’intrigue en est d’un froid désespérant, et tou
s des personnages vicieux. Les types qu’il a imaginés sont tout d’une
pièce
, tout à fait bons ou entièrement mauvais. Corneil
u’il s’est laissé toucher par sa beauté. Tout est amoureux dans cette
pièce
, Alexandre, Cléofile, Taxile, Porus, Axiane. La t
e rabaissé au profit de Porus. Puisque Alexandre était le héros de la
pièce
, il fallait le mettre au premier rang, et ne pas
Virgile, et l’on finit par reconnaître d’un accord unanime que cette
pièce
était une peinture admirablement Adèle de la cour
a inspiré à Euripide son chef-d’œuvre. Racine emprunta beaucoup à la
pièce
grecque ; mais les plus belles scènes d’Euripide
si c’est avec raison que Racine a pu dire qu’il n’avait point fait de
pièce
dans laquelle la vertu fût plus mise à jour que d
’y signaler. Une cabale odieuse traversa le succès de cette admirable
pièce
, et le noble poète, depuis ses débuts en proie à
pidité, ou paraissant l’être, qui firent le principal succès de cette
pièce
auprès des spectateurs privilégiés qui l’entendir
us originale, ce sont les rôles de femmes. Plus des deux tiers de ses
pièces
ont pour premier rôle une femme dont elles porten
vain n’est pas moins parfaite que le style proprement dit. Toutes ses
pièces
sont bien ourdies d’un bout à l’autre. Personne n
hode De ces sifflets qui sont tant à la mode. « Ce fut, dit l’un, aux
pièces
de Boyer. » Gens pour Pradon voulurent parier. «
ion de la femme. Rien de plus piquant que l’intrigue de cette aimable
pièce
dégagée de tout moyen et de tout incident étrange
es, Molière, pressé par le temps et par les besoins, ne donna que des
pièces
en prose. Mais quatre ans après l’École des femme
, les portraits sont si vivants, les conversations qui remplissent la
pièce
sont si habilement tournées en scènes, enfin le s
ours cité parmi les merveilles du théâtre de Molière. Cependant cette
pièce
prête à des critiques sérieuses. Le sujet est dén
est essentiellement mondaine et profane. Le personnage comique de la
pièce
serait plutôt Philinte, cet homme à l’indulgence
ble empêcha-t-elle Louis XIV d’autoriser les représentations de cette
pièce
réputée très dangereuse. Molière, sentant bien qu
de Molière en créant ce personnage. Quant au mérite littéraire de la
pièce
, il n’y a ni partage ni controverse. Le plan est
ème grande comédie en vers. Par les Précieuses ridicules, sa première
pièce
en prose, jouée treize ans auparavant, il avait f
énuée d’intérêt et le dénouement de naturel. C’est d’ailleurs une des
pièces
que Molière a le plus soignées, et Boileau donna
s’était fait une habitude, une loi d’isoler sur le premier plan d’une
pièce
un travers plus ou moins bouffon, et de l’exposer
le Joueur nous met dans la confidence des chagrins que le héros de la
pièce
cause à sa fiancée, et les inquiétudes perpétuell
éloigner. Deux ans après le Joueur, Regnard donna le Distrait. Cette
pièce
ne peut être regardée comme une comédie de caract
lées par La Bruyère sous le même titre. La seule recommandation de la
pièce
, c’est d’être amusante, et d’offrir beaucoup d’ag
ament pendant qu’ils le croient à l’agonie. Tel est le sujet de cette
pièce
que La Harpe appelle le chef-d’œuvre de la gaîté
morale, de toute convenance, forcer même à rire celui qui vient à ses
pièces
pour les censurer, voilà le but et le triomphe de
. Hector. Je vais le mettre en
pièces
. Valère. Lis donc. Hector lit.
période de trente-trois ans, il ne lui donna pas moins de trente-deux
pièces
. Pendant dix ans il régna sans partage dans la tr
llut l’Andromaque de Racine pour faire comprendre la faiblesse de ses
pièces
, généralement empruntées aux romans de mademoisel
t de la féerie moderne brille de tout son prestige. La plupart de ces
pièces
sont trop remplies de fausses tendresses et de tr
facilité, noués et dénoués sans peine. En outre, dans chacune de ses
pièces
, la part de l’invention est grande. Écrivain pur
e second contient les cinq livres suivants, publiés en 1678, avec une
pièce
de vers en tête à la louange de madame de Montesp
smis, par tradition, comme des lois. Le genre satirique. Dans la
pièce
intitulée Épître à mon esprit, composée à la fin
x, Qui a temps a vie ; une satire, les Travaux d’Apollon, et quelques
pièces
fugitives ont placé Sénecé ou Séneçay parmi nos m
crivait de temps en temps et composait avec art de charmantes petites
pièces
dans le goût d’Horace et de Catulle, son unique b
phe marié fut de beaucoup dépassé par celui du Glorieux (1732). Cette
pièce
, comme l’a dit M. Saint-Marc Girardin, représente
ieux un véritable chef-d’œuvre, bien qu’on ne le joue plus. Parmi les
pièces
durables de Destouches nous nommerons encore le D
cond, décent ; il peint habilement les mœurs, sans que ses meilleures
pièces
, le Glorieux, le Philosophe marié, le Dissipateur
on ses propres expressions, forment quelquefois un livre à la fin des
pièces
. La diction n’est pas la partie la moins faible d
avec sens, sévère avec plaire, compassion avec prison, etc. Enfin ses
pièces
, dans lesquelles ses admirateurs osaient à peine
gée. Nous n’en prendrons, pour les juger rapidement ici, que quelques
pièces
d’un véritable mérite. Œdipe. — Voltaire n’avait
Voltaire n’avait que dix-huit ans et n’était encore connu que par des
pièces
fugitives, par quelques épîtres dans le genre de
prix à l’Académie française, lorsqu’il composa Œdipe, pour effacer la
pièce
de Corneille, du même nom, qu’il trouvait un fort
donner tort aux conseillers pessimistes. Zaïre. — Zaïre est la seule
pièce
où Voltaire ait essayé de peindre les combats et
u cinquième acte, c’est ce dernier acte qui fit le grand succès de la
pièce
, succès auquel contribuèrent grandement une actri
correction de Racine. Il ne serait pas nécessaire de soumettre cette
pièce
à un examen bien rigoureux, pour montrer qu’elle
vait composée en dix-huit jours. Néanmoins elle est restée une de ses
pièces
les plus incorrectes. Dans Alzire (1736), Voltair
à la foi un hommage franc et énergique. Le principal personnage de la
pièce
, Guzman, est le type du véritable chrétien. Aussi
, Guzman, est le type du véritable chrétien. Aussi Alzire est-elle la
pièce
réellement chrétienne de Voltaire. L’émotion y pé
ine ; c’est peut-être le chef-d’œuvre dramatique de Voltaire, une des
pièces
les plus remarquables par la versification qu’il
e révolte l’imagination et répugne au cœur. Le plus bel endroit de la
pièce
, la situation de Zopire embrassant son fils dans
philosophes pour sa tolérance. La malice d’Arouet n’aboutit pas ; sa
pièce
ne put être reprise qu’en 1751. Le grand acteur L
de La Harpe, il n’y a peut-être pas douze vers faibles dans toute la
pièce
… La Mort de César (1743), imitée de Shakspeare, q
hique de l’auteur devient celui de tous les personnages ; pas une des
pièces
de cette vieillesse tristement féconde où de long
es morceaux sérieux, philosophiques, moraux ou de sentiment, dont ces
pièces
sont remplies, les soutinrent longtemps au théâtr
le à la grâce brillante et abandonnée de quelques-unes de ces petites
pièces
qui lui échappaient sans effort sur toutes sortes
permettront de juger de sa manière. Pour pouvoir offrir au moins une
pièce
exquise, nous donnerons en entier l’Épître à Rosa
a plupart s’appliquer à toute autre comédie. Un autre défaut de cette
pièce
, c’est le manque de variété dans les personnages
e des vers que lui a fournis Damis ; la première représentation d’une
pièce
nouvelle, et des vers envoyés au Mercure, font le
ait pour un incomparable poète et pour un versificateur unique148. La
pièce
eut un grand succès et resta longtemps au théâtre
sont sacrifiés au rôle principal qui, à vrai dire, est le seul de la
pièce
. Après le théâtre, Lefranc voulut aborder un autr
Guillaume Tell, il est l’auteur de l’Épître à mon habit. Cette petite
pièce
, production de sa jeunesse, sera peut-être plus l
uen lui décerna quatre fois le prix de l’ode. Le sujet de la dernière
pièce
couronnée était le Soleil fixe au milieu des plan
fixe au milieu des planètes. Une admiration générale accueillit cette
pièce
que Marmontel inséra dans le Mercure de France. A
vec des changements essentiels. Le sentiment qui domine dans toute la
pièce
française et en constitue l’unité morale, c’est c
rds », selon une expression de M. Villemain155, mais l’ensemble de la
pièce
n’est pas à la hauteur du sujet ; aussi le succès
excuse, et qui, le crime fait, ne sait que pleurer et se lamenter. La
pièce
traîne et aurait pu être raccourcie de deux actes
tés par quelques éclairs de génie, il ne faut pas s’étonner que cette
pièce
sombre et fausse ait fait horreur au public franç
, ont soutenu Othello sur la scène plus longtemps qu’aucune autre des
pièces
de Ducis. Ce poète, qui n’avait jamais marché san
ussit au-delà de toute espérance, bien que l’incident principal de la
pièce
fût une méprise peu vraisemblable. L’invocation d
ues, ne cessaient de lui conseiller de simplifier l’ordonnance de ses
pièces
. Deuxièmement, elles ne sont pas écrites avec cor
au collège des Jésuites. Il vint ensuite à Paris où il débuta par des
pièces
fugitives dont le succès fut assez brillant. Nomm
comme partout, sa diction est un peu molle et terne. Quelques autres
pièces
méritent encore d’être citées, mais n’ont que des
(1803), Il veut tout faire, comédie épisodique en un acte. Toutes les
pièces
de Collin sont écrites en vers. Quoiqu’un peu vie
e plan est peu marqué. Ce poème, construit de morceaux détachés et de
pièces
de rapport réunis sous le même titre, est, suivan
sonne ; le poète n’a pas toujours senti ce qu’il a écrit ; plus d’une
pièce
nous donne, au lieu du poète lui-même, l’image fl
lieu, telle que nos poètes l’ont imaginée, fait à la plupart de leurs
pièces
, et qu’ils ont bien mal entendu leurs intérêts en
, fut tardive et inopportune. Plusieurs des petits poèmes ajoutés aux
pièces
anciennes témoignaient d’un rare talent. « Le Der
ne comédie Qui fut sifflée en paraissant209… Il composa plus de cent
pièces
de théâtre de toute espèce, comédies, opéras-comi
aussitôt salué poète national, poète de la patrie. Dans ces premières
pièces
, des épithètes pâles, des vers prosaïques, des pé
uère le louer davantage comme auteur comique, excepté pour une de ses
pièces
à laquelle nous avons emprunté quelques extraits.
on politique ni le jeu de Mlle Mars ne purent soutenir cette mauvaise
pièce
. La dernière grande comédie de Casimir Delavigne,
lecture pénible. Les œuvres de Casimir Delavigne se terminent par des
pièces
détachées et de petits poèmes qu’on a publiés sou
u d’autres sujets chrétiens qu’il aborde toujours avec prévention. La
pièce
intitulée les Limbes est peut-être ce que C. Dela
alogue à celui qu’avait obtenu le Génie du Christianisme. Les grandes
pièces
à Lord Byron, l’Immortalité, Dieu, respiraient le
n, de défauts ou de qualités237. Les Secondes Méditations offrent des
pièces
qui ne sont pas indignes des premières, le Crucif
Socrate, le Dernier chant du Pèlerinage de Childe-Harold, et la belle
pièce
intitulée : les Préludes, où il se montre à nous,
oxe dans les Harmonies poétiques et religieuses, qui, malgré quelques
pièces
admirables, comme le très chrétien Hymne au Chris
e sont pas assez variés. Ce recueil renferme cependant de très belles
pièces
; telle est l’admirable bucolique chrétienne inti
recueil lyrique de Lamartine, les Recueillements, renferme une grande
pièce
sur la mort de Mme de Broglie, dont cinq ou six s
ique par la forme et par la pensée. Le même mérite recommandait trois
pièces
que l’Académie couronna de 1819 à 1820. Le jeune
n’a pas faibli, mais ne s’est pas renouvelé. Excepté dans une ou deux
pièces
, comme Dieu est toujours là et la Cloche, il redi
e lecteur, pris de vertige, ne sait comment se débrouiller. Une seule
pièce
peut-être de ce recueil est exempte de ce galimat
seule pièce peut-être de ce recueil est exempte de ce galimatias, la
pièce
XVIII, Soirée en mer. On n’a pas seulement ici de
s de poésie, admirables surtout de sentiment, principalement dans les
pièces
où il pleure la mort de sa fille. La preuve que d
e mal par les titres ; mais ils n’ont aucune adhérence réelle. Chaque
pièce
est, comme le livre entier, « un commencement et
gende des siècles, et dont nous ne voulons signaler que le charme des
pièces
intimes ; le livre du Pape (1878), émané de l’ins
des Quatre vents de l’Esprit (1881), où sont enfermées de très belles
pièces
, pleines de vigueur et de spontanéité mais appart
Victor Hugo. On en trouve à peine quelques étincelles dans certaines
pièces
plus naturelles et plus faciles, par exemple dans
e la Cloche de Schiller et de la Fiancée de Corinthe de Goethe : deux
pièces
que Mme de Staël ne croyait pas qu’on pût faire p
angage poétique ». En écrivant sous l’impression du moment toutes ces
pièces
très variées, il laisse le lyrisme aux métaphores
aître plus de souplesse, de grâce et de facilité, même dans certaines
pièces
qui se ressentent encore du courant d’idées d’où
recueil, les Pensées d’août (1837), dont le titre tiré de la première
pièce
exprime la disposition d’où sont nés la plupart d
’août et les Notes et Sonnets qui les continuent renferment certaines
pièces
d’un sentiment vrai, profond, humain, et d’une ex
cette facture, ce serait parfait ; malheureusement de trop nombreuses
pièces
sont gâtées par une négligence voulue, ou par une
nade. Mais l’ironie aisée, la légèreté moqueuse qui animent plusieurs
pièces
, mais cette fantaisie originale qui ne ressemble
es ïambes, le mètre et la tradition d’André Chénier. Entre toutes les
pièces
de ce recueil inspiré par la Révolution de 1830,
nsi que tout mon cœur, il est à vous, ma mère. » Une des plus belles
pièces
du recueil, l’Évangile des champs, montre comment
charmes de la création, mais les domine et ne s’y arrête pas. Une des
pièces
les plus remarquables de ce recueil est la Sympho
poète, sauf, comme le remarque M. E. de Margerie278, dans une ou deux
pièces
, où le son d’une cornemuse, la rencontre d’un sai
juges en ces matières, celui de ses recueils qui contient le plus de
pièces
vraiment chrétiennes. Tout n’y est pas égal, mais
main, À tâtons, dans la nuit, je cherchais mon chemin… » et dans la
pièce
intitulée Jésus ; « Si la sagesse est Dieu, nul
uration littéraire. Quelques morceaux, tels que le commencement de la
pièce
et l’entrée des princes, traités avec une simplic
e part d’ailleurs le style de Ponsard n’est moins bon ; aucune de ses
pièces
n’offre une pareille abondance de vers détestable
mes de probité, de vertu, de désintéressement. Un personnage de cette
pièce
est excellent, c’est le personnage de Lucile, typ
dissertent, plaidoient, satirisent. Au demeurant, l’idée morale de la
pièce
qui fait valoir la supériorité de l’honneur sur l
iose démesuré, aux proportions surhumaines, et d’avoir, dans quelques
pièces
, aggloméré d’une façon excessive les couleurs et
exemptes de ces défauts. On doit regarder comme des chefs-d’œuvre des
pièces
telles que le Sommeil du condor, les Éléphants, l
comme toute angoisse, et la conviction n’est pas souple. » Dans les
pièces
sentimentales, ses accents sont émus et pénétrant
bien des fois celles de l’humanité. Si, dans un certain nombre de ses
pièces
, il s’abandonne trop aux rêveries alanguissantes,
une négligence. Ce verbe est d’ailleurs beaucoup trop employé dans la
pièce
. 65. Se seoir, pour s’asseoir, n’est plus guère
téraire de M. de Voltaire, t. II, p. 91. 134. Voltaire composa cette
pièce
en 1758, pour détourner de la carrière dangereuse
pologie. 153. On donnait le nom de palinods (on prononce palino) aux
pièces
de poésie couronnées tous les ans par les Académi
erge. Cette institution remontait au moyen âge. Pendant longtemps ces
pièces
durent rouler tout entières sur la gloire de la M
de M. Hippolyte Babou. 267. À V. Hugo, décembre 1829. 268. Voir la
pièce
XVI. 269. Œuvres complètes de M. Sainte-Beuve,
s dans le Cid, de Corneille. (11 août 1882). • Que savez-vous sur les
pièces
romaines de Corneille ? (3 novembre 1883). • De l
, neuf cents ans environ avant notre ère, ait créé l’épopée de toutes
pièces
, et par les seules forces de son génie. L’Iliade
e, non un conseiller ou un simple témoin. Quand je t’aurai dit que la
pièce
se termine par un petit couplet anapestique, ἔξοδ
tragique tous les détails que ma mémoire me suggère. Mais venons à la
pièce
elle-même et aux personnages. Ces derniers sont g
a la tragédie à son plus haut degré de perfection dans les nombreuses
pièces
qu’il a faites et dont il ne nous reste que sept
, ne témoignent pas moins d’une grande originalité et ont donné à ses
pièces
un intérêt particulier. Il nous reste de lui dix-
d à Saint-Maur, puis à l’hôpital de la Trinité, dont ils louèrent une
pièce
aux religieux Prémontrés, divers spectacles pieux
qu’il venait d’importer, et il se mit à l’œuvre pour créer de toutes
pièces
une langue épique, lyrique, dramatique. Mais c’es
les Annales de Tacite les données de sa tragédie de Britannicus, la «
pièce
des connaisseurs. » Il avait apprécié, plus que p
inimitable, mais il le fit avec un art et une originalité tels que sa
pièce
est digne de figurer à côté de l’œuvre de Tacite.
higénie d’Euripide et celle de Racine, il faut juger chacune des deux
pièces
dans l’esprit du temps où elle a été composée.
de son temps, et la stricte équité exige qu’on juge chacune des deux
pièces
dans l’esprit de l’époque où elle a été composée.
grec, que nous défendrons en premier, lui ont reproché, comparant sa
pièce
avec celle de Racine, de nous présenter des perso
s semblables que certains critiques, admirateurs trop exclusifs de la
pièce
de Racine, ont adressés à celle d’Euripide, ne re
d’une même erreur, qui est l’oubli des temps et des lieux où les deux
pièces
furent écrites. [9] (3 novembre 1885) Esqui
éros tout faits pour ses tragédies ; il les a donc acceptés de toutes
pièces
, sans s’inquiéter vraisemblablement de savoir si
ational du moyen âge, si l’on eut fait un meilleur accueil à ces deux
pièces
, dont la première est pourtant restée un de ses c
ts et de leurs passions. Le rôle de Sabine est un rôle passif dans la
pièce
; elle ne fait guère que déplorer ses malheurs et
édies. Mais le rôle de Camille était, à part cela, nécessaire dans la
pièce
, pour opposer au fanatisme héroïque d’Horace un e
Mais cet amour et ses cruels malheurs ne sont qu’un épisode dans la
pièce
, et, au prix du destin de Rome et de ses fiers co
cond plan et n’est indispensable qu’au dénouement. Le caractère de la
pièce
veut que, l’enthousiasme domine en nous tout autr
et de Curiace dans Corneille. Développement. — Corneille, dans sa
pièce
, a voulu, non seulement suivre le récit de Tite-L
’unité d’intérêt soit compromise par le double péril d’Horace dans la
pièce
, quand il va combattre, puis quand il est mis en
ternie dans la suite par l’inaction. Le caractère de Curiace, dans la
pièce
, est vraiment l’antithèse de celui d’Horace. Corn
s deux rôles d’Horace et de Curiace, les deux plus intéressants de la
pièce
, ont été conçus par Corneille comme un parallèle
ide. Mais on doit remarquer que Racine, non content d’imiter les deux
pièces
d’Euripide intitulées Andromaque et les Troyennes
tés, être égalée au chef-d’œuvre que Racine en a tiré. Si à ces trois
pièces
, imitées directement du théâtre grec, l’on ajoute
a source grecque. À la littérature latine, il ne prit que deux de ses
pièces
. L’une, Britannicus (1669), qui est restée, selon
icus (1669), qui est restée, selon le mot consacré par Voltaire, « la
pièce
des connaisseurs », fut inspirée à Racine par la
profanes de Racine, il ne nous reste plus qu’à citer Bajazet (1672),
pièce
qui occupe une place à part dans les œuvres de no
ts. Cette douceur, toute grecque, qu’il a si bien reproduite dans les
pièces
imitées des poètes grecs, se retrouve également d
r. [24] (6 novembre 1884) Voltaire a dit : « Britannicus est la
pièce
des connaisseurs ; » prouver par l’analyse des ca
pièce des connaisseurs ; » prouver par l’analyse des caractères de la
pièce
, la justesse de cette appréciation. Développem
mant, même tragique ; mais ce n’est là qu’une partie accessoire de la
pièce
, quoiqu’elle soit indispensable à sa marche. L’an
peu tragique en lui-même, est pourtant un des plus remarquables de la
pièce
; ce personnage, qui nous inspire un mépris mêlé
n la justesse de l’appréciation de Voltaire : Britannicus est bien la
pièce
des connaisseurs. Avant lui, Boileau avait rendu
ingrate Célimène. Ce personnage, qui ne semble que secondaire dans la
pièce
, est donc une figure charmante qui contraste heur
es d’un trait pur et discret ; malgré ces qualités si précieuses, ses
pièces
laissent beaucoup à désirer au point de vue drama
nde partie du xvie siècle sont des traductions ou des imitations des
pièces
italiennes : la farce du moyen âge, dont le fond
t resté dehors presque autant de monde qu’il en était entré. Enfin la
pièce
a commencé, et les applaudissements presque en mê
audir. La provocation du comte a été le moment le plus tragique de la
pièce
: un frémissement général a manifesté combien l’a
récit de la bataille contre les Maures, qui est une des beautés de la
pièce
. Rodrigue, qui vient d’y conquérir le surnom de C
s attendent. » Mais je m’aperçois que je vais vous raconter toute la
pièce
, et vous priver ainsi d’une partie du plaisir que
e la règle des vingt-quatre heures presse trop les incidents de cette
pièce
; mais s’il est permis de se plaindre de l’incomm
fort embarrassante, soit qu’elles se soient faites avant la fin de la
pièce
, soit que le corps ait demeuré en présence dans s
à M. Corneille, je ne saurais pas, pour ma part, les trouver dans sa
pièce
; à moins, toutefois, que l’on n’appelle méchant
llem de Castro. « Il y a un abîme entre la valeur littéraire des deux
pièces
, qui diffèrent entièrement par la couleur général
l’expression de sentiments qui ne sont les mêmes qu’en apparence. La
pièce
espagnole embrasse une durée de six ans ; celle d
chose de plus d’avoir satisfait tout un royaume que d’avoir fait une
pièce
régulière… Il y a des beautés parfaites qui sont
te et Pylade, a excité le plus vif enthousiasme ; mais la suite de la
pièce
nous réservait des beautés qu’on n’imaginait pas,
comme il est fait dans ce drame. « Quatre personnages remplissent la
pièce
: Oreste, Hermione, Pyrrhus, Andromaque. Oreste a
ste, pleine de dépit et de rancune… « C’est Andromaque qui conduit la
pièce
; on a souvent comparé l’âme à une balance. Rien
Mais je m’aperçois que je vous parle comme si vous aviez déjà vu la
pièce
, et que je vous prive à l’avance, en vous prévena
mparer à la sienne ? Quand il fit paraître sur la scène ses premières
pièces
, quels modèles trouva-t-il ? aucune comédie faite
ur de génie en interprétant lui-même tous les rôles difficiles de ses
pièces
. Mais souffrez, Monsieur, puisque je vous parle d
vec l’action, vous fût venue plus tôt, vous l’eussiez appliquée à vos
pièces
profanes, et notre tragédie n’aurait rien à envie
le feu commença, les deux villages et le bois étaient garnis de cent
pièces
de canon, et le terrain si resserré qu’on allait
ens, massés sur trois lignes, s’avancent stoïquement, précédés de six
pièces
de canon et en ayant six autres au milieu d’eux.
uvre. « Sans le Menteur, disait-il, j’aurais sans doute fait quelques
pièces
d’intrigues, mais peut-être n’aurais-je jamais fa
rpe, un peu trop rigoureux, d’ailleurs, pour le commencement de cette
pièce
; « voilà du mouvement, des images : nous avons r
canto. 3. Ces mêmes idées se retrouvent au commencement d’une des
pièces
lyriques de Synésius, Hymne à son âme. 4. Expres
12e du liv. Ier, qui expriment des idées analogues à celles de cette
pièce
. Cf. aussi la 13e, ibid. 3. Cette pièce apparti
analogues à celles de cette pièce. Cf. aussi la 13e, ibid. 3. Cette
pièce
appartient aux Odes sacrées de Rousseau, que La H
9. 2. Couleurs et tours habilement contrastés avec le reste de cette
pièce
. Quelle harmonie différente de celle qui va suivr
érisés dans ces vers. » M. de Lamartine, dans quelques strophes de sa
pièce
intituléeJéhova ou l’idée de Dieu, a fort heureus
ute, des vers agréablement tournés : mais il faut regretter que cette
pièce
énergique soit finie par un de ces lieux communs,
iennes tragédies et dans les odes de Pindare… » « J’ai voulu, par ces
pièces
, ajoutait-il, réconcilier, à l’imitation des Grec
e qui prononce tout uniformément ou accentue à faux, qu’entre la même
pièce
de musique exécutée par un artiste habile, ou éco
a pas de raison pour que l’on n’y puisse introduire de même quelques
pièces
de vers sous le nom d’un personnage qui aurait ac
rs de suite, et l’on ne s’en sert ordinairement que pour terminer une
pièce
de longue haleine. And in the smooth description
ant que les poètes modernes aient donné à ce genre de poésie, et deux
pièces
italiennes, composées de cette manière, il Pastor
s sujets de poèmes ; et quoiqu’elles ne forment que bien rarement des
pièces
isolées et détachées, elles occupent une place si
r n’en former que des parties subordonnées, et ne paraître jamais des
pièces
étrangères et rapportées. L’épisode d’Olinde et d
e, la vertu peut paraître malheureuse, mais aucun poète ne termina sa
pièce
par le bonheur et le triomphe du vice. Si des méc
r ces dénouements auxquels Euripide eut recours dans plusieurs de ses
pièces
, et qui ne s’opèrent que par l’intervention d’une
d’introduire un personnage qui, de distance en distance, récitait une
pièce
de vers. L’on doit cette innovation à Thespis, qu
me un simple ornement, ou qu’ils contribuassent à la perfection de la
pièce
, c’est, à proprement parler, le dialogue que l’on
laisait le plus aux spectateurs, et qui donnait le plus de pompe à la
pièce
. Ensuite le chœur n’exprimait que des sentiments
pas être plus de quinze, se tenaient sur le théâtre pendant toute la
pièce
, conversaient avec les acteurs, prenaient part au
pour le succès des entreprises honorables qui étaient le sujet de la
pièce
, plaignaient les hommes vertueux aux prises avec
les paroles du chœur, et se mêlent au dialogue des personnages de la
pièce
, est encore une circonstance qui éloigne la repré
ou exécutaient une harmonie qui, sans faire précisément partie de la
pièce
, eussent cependant un certain rapport avec le suj
s, de prolonger les émotions, et de faire ressortir la moralité de la
pièce
, n’auraient plus l’inconvénient de ne former dans
se commettre un poète, c’est de faire marcher à la fois, dans la même
pièce
, deux actions indépendantes l’une de l’autre : il
rrivent ensemble à un même dénouement. L’unité est violée si, dans la
pièce
, il existe une action indépendante de l’action pr
sources, a cherché à y mettre de la variété en faisant entrer dans sa
pièce
l’histoire des amours de la famille de son héros
tefois que tous ces incidents rentrent dans l’action principale de la
pièce
, et contribuent à en amener le dénouement. Tous l
is encore la simplicité d’intrigue, avec une telle rigueur, que leurs
pièces
nous semblent quelquefois trop dépourvues d’intér
il s’y refuse. Thésée, roi d’Athènes, lui offre sa protection, et la
pièce
finit avec la mort d’Œdipe. Dans le Philoctète du
dans sa tragédie, d’ailleurs estimable, de l’Épouse éplorée 34. Cette
pièce
peut être citée comme un exemple frappant du défa
retrouve dans chaque acte, et même dans chaque scène. La division des
pièces
de théâtre en cinq actes n’a d’autres fondements
en fixât jamais aucun, pour laisser la liberté de partager toutes les
pièces
en autant de parties ou d’intervalles que le suje
et venait chanter des hymnes ; mais ces chants ne partageaient pas la
pièce
en cinq parties comme nos actes, ainsi que quelqu
et irréguliers, déterminés seulement par le sujet, et partageaient la
pièce
, tantôt en trois, tantôt en sept, et même en huit
huit parties35. Puisque, sur notre théâtre, l’usage exige que chaque
pièce
soit divisée en cinq actes, et qu’à la fin de cha
. Il fera connaître les personnages qui doivent jouer un rôle dans la
pièce
; il donnera une idée de leurs projets, des motif
résentation, et donnait au spectateur une véritable explication de la
pièce
. C’est ainsi que commencent la plupart des tragéd
e n’est pas celle pour laquelle on l’a prise dans tout le cours de la
pièce
. Lorsqu’une semblable découverte est amenée avec
de Mérope, dans Voltaire, et de Douglas, dans M. Hume. Chacune de ces
pièces
est un chef-d’œuvre. Il n’est pas nécessaire que
ragédie soit toujours malheureux. Il peut y avoir dans le cours de la
pièce
assez de mouvement, les personnages peuvent y par
s grande latitude ; Athalie de Racine, presque toutes les plus belles
pièces
de Voltaire, comme Alzire, Mérope, l’Orphelin de
’ils conservent encore le souvenir de l’impression douloureuse qu’une
pièce
leur a faite, ils reviennent pour l’éprouver enco
, et les scènes paraissent tellement décousues, que la plupart de nos
pièces
pourraient être divisées en dix ou douze actes au
raire, la scène était toujours occupée soit par les personnages de la
pièce
, soit par les chœurs. Aussi l’imagination n’avait
ce publique, où il était vraisemblable que tous les personnages de la
pièce
se rencontrassent. Il s’ensuivait nécessairement
entation, sont des licences qui choquent l’imagination, donnent à une
pièce
quelque chose de romanesque et d’invraisemblable,
un égard à la division que les actes sont destinés à établir dans une
pièce
. La tragédie de Caton, par M. Addison, est sans c
ne pièce. La tragédie de Caton, par M. Addison, est sans contredit la
pièce
anglaise la plus régulière et la mieux conduite ;
nécessaire que la vertu se trouve toujours récompensée à la fin de la
pièce
, ou que les méchants soient confondus et punis ;
ripide, et plusieurs autres semblables. Le poète, dans le cours de la
pièce
, trouvait bien l’occasion d’exprimer quelques pré
en n’est plus capable de produire un mauvais effet et de dégrader une
pièce
, que le mélange d’une misérable intrigue amoureus
style, s’il échoue dans le pathétique, tout son mérite est perdu, sa
pièce
nous laisse froids et mécontents, et nous sortons
ssion ; chez lui l’art ne l’altère jamais, et on le retrouve dans ses
pièces
bien plus souvent que dans aucun poète tragique.
s le tour des pensées morales que le poète a placées à propos dans sa
pièce
. J’ai eu occasion, dans cette Lecture et dans la
c laquelle son intrigue est conduite ; mais il ne s’ensuit pas que sa
pièce
soit tout à fait sans mérite, car la beauté et la
i de Thèbes, et de son infortunée famille, a fourni la matière de six
pièces
différentes ; dix-sept au moins sont tirées de la
ais il a plus de négligence et d’incorrection dans la conduite de ses
pièces
; ses expositions sont faites avec bien moins d’a
accorder d’avoir perfectionné ce bel art, en introduisant dans leurs
pièces
un plus grand nombre d’incidents, en y faisant jo
e force et de vérité dans le langage des passions. Il y a, dans leurs
pièces
, trop de conversations, et pas assez d’action. J’
i deux fois les plans tracés par Euripide ; Phèdre est une très belle
pièce
, et l’emporte, selon moi, sur Iphigénie, dans laq
oins déclamatoire que celui du théâtre français. Mais la brièveté des
pièces
, et le mélange, nécessaire il est vrai, de la poé
endant on doute encore si ses beautés ou ses défauts l’emportent. Ses
pièces
sont pleines de scènes et de passages admirables
a marche, et l’amalgame étrange de sérieux et de comique dans la même
pièce
, on est à chaque instant offusqué par des pensées
r. Malgré ses nombreuses absurdités, il semble, quand nous lisons ses
pièces
, que nous sommes au milieu de nos semblables ; no
toute la force de son génie, ce sont Othello et Macbeth. Quant à ses
pièces
historiques, ce ne sont, à proprement parler, ni
; mais nous n’avons qu’un bien petit nombre d’auteurs dont toutes les
pièces
soient dignes d’une critique particulière, ou de
Le Théodose ou la Force de l’amour, par Lee, est la meilleure de ses
pièces
; et dans quelques-unes de ses scènes, il ne manq
nne et le style toujours pur et élégant. Mais, dans la plupart de ses
pièces
, il est trop froid, trop peu intéressant, et plut
elles ont toujours reçus. La Vengeance, par le docteur Young, est une
pièce
où l’on découvre de la chaleur et du génie, mais
ue, les caractères et les pensées, d’être placée parmi les meilleures
pièces
du théâtre anglais. Il n’entre point dans le plan
. Il n’entre point dans le plan que je me suis proposé, de parler des
pièces
modernes ni des auteurs vivants. En jetant un cou
ntèrent-ils d’imiter, quelquefois même de traduire littéralement, les
pièces
de Ménandre et de quelques autres poètes grecs. O
l’une, c’est l’intrigue ou l’action qui est le principal objet de la
pièce
; dans l’autre, l’auteur n’a eu en vue que l’expo
glais semblent donner la préférence à la comédie d’intrigue. Dans les
pièces
de Congrève, et, en général, dans toutes nos pièc
ntrigue. Dans les pièces de Congrève, et, en général, dans toutes nos
pièces
, il y a plus d’action, plus de mouvement, plus d’
nce sur le succès d’un ouvrage, consiste à conserver pendant toute la
pièce
un dialogue coulant, aisé, gracieux, sans roideur
qui n’ait au moins un des défauts dont je viens de parler. Les trois
pièces
dans lesquelles le dialogue me semble avoir plus
onnus que l’on mettait en scène sous leur propre nom. Telles sont les
pièces
d’Aristophane, dont onze nous restent encore, piè
Telles sont les pièces d’Aristophane, dont onze nous restent encore,
pièces
d’un genre tout particulier, et qui ne ressemblen
ssent, sur leur théâtre, l’objet de la risée publique. La plupart des
pièces
d’Aristophane étaient des satires politiques sur
uripide ; l’auteur était son ennemi particulier, et il a composé deux
pièces
uniquement pour le couvrir de ridicule. La vivaci
ne. Souvent il montre de la force et du génie ; mais, en général, ses
pièces
ne sont pas faites pour nous donner une haute opi
ait comme cet auteur traita Socrate dans sa comédie des Nuées ; cette
pièce
peut avoir contribué à noircir le philosophe dans
ible de les méconnaître. Il ne nous est resté aucune de ces sortes de
pièces
auxquelles la comédie nouvelle succéda bientôt. L
ce genre. Les imitations que Térence a faites de quelques-unes de ses
pièces
, et ce que nous en dit Plutarque, doivent nous fa
e. Il ne nous reste de la comédie nouvelle, chez les anciens, que les
pièces
de Plaute et de Térence, qui, tous deux, avaient
ouve chez lui les marques de l’imperfection de l’art. Il commence ses
pièces
par un prologue qui quelquefois développe le suje
ressemblance et d’uniformité dans les caractères et les sujets de ses
pièces
. Il a copié Ménandre, et l’on assure qu’il ne s’e
ur celle des deux autres, a écrit, à ce que l’on assure, plus de cent
pièces
de théâtre ; mais un tel nombre cessera de nous é
bre cessera de nous étonner lorsque nous connaîtrons la nature de ces
pièces
. Il paraît, s’il faut en croire M. Perron de Cast
e soumet à aucun des principes généralement établis. Souvent une même
pièce
renferme plusieurs années, renferme même la vie e
ligion chrétienne et la mythologie des païens. En un mot, ce sont des
pièces
qui ne ressemblent en rien à des compositions dra
îté et les plaisanteries, mais elles étaient toujours innocentes. Ses
pièces
en vers, comme le Misanthrope et le Tartufe, sont
st peint dans le style élégant et poli de la satire. Quoique dans ses
pièces
en prose il ait plus souvent employé le ridicule,
op longs. On lui a reproché d’être descendu jusqu’à la farce dans ses
pièces
en prose les plus comiques. Cependant il faut con
l’esprit dans son principe : car on ne peut accuser d’immoralité les
pièces
de Shakspeare ni celles de Johnson. Le noble cara
tères et des mœurs. Johnson est plus régulier dans la conduite de ses
pièces
, mais il a de la roideur, et quelquefois même de
de la comédie, et, à quelques exceptions près, le héros de toutes les
pièces
. On couvrait de ridicule, non pas le vice et l’ex
la résolution de vivre en honnête homme ; mais pendant le cours de la
pièce
, on le présentait comme un modèle des jeunes gens
laire, il peignait les mœurs de son temps, et prenait dans toutes ses
pièces
le ton licencieux et dissolu, alors à la mode. Il
bles et des traits d’esprit infiniment heureux. On est surpris qu’une
pièce
aussi décente soit sortie de la plume de deux aut
eurs comiques les plus immoraux. Son Épouse poussée à bout 48 est une
pièce
pleine de pensées et d’allusions si dégoûtantes,
isance et peut-être tout autant de force comique. Ses deux meilleures
pièces
, celles qui prêtent le moins à la censure, sont l
leurs il n’y en a presque que de deux espèces qui figurent dans leurs
pièces
, des femmes totalement dépravées, ou des femmes q
n. Mais les étrangers, et principalement les Français, habitués à des
pièces
plus régulières et surtout très décentes, ne peuv
indécent de quelques caractères dépravés ; et celles de nos dernières
pièces
qui ont eu le plus de succès sont purgées des scè
us ancienne. Si elles n’ont pas l’esprit, l’aisance et le comique des
pièces
de Congrève et de Farquhar, il faut du moins les
e nom de comédie larmoyante, n’est pas d’invention moderne. Plusieurs
pièces
de Térence, et particulièrement l’Andrienne, rent
disputons jamais sur les noms. Irai-je refuser le nom de comédie aux
pièces
de M. Congrève ou à celles de Calderon, parce qu’
e exactement la mesure ; que les vents jouent l’orgue, etc.” Toute la
pièce
est dans ce goût : j’avertis seulement les França
guère mieux alors ; que la Mort de saint Jean-Baptiste et cent autres
pièces
sont écrites dans ce style ; mais que nous n’avio
consacré cette apparition ; mais les introduire, comme dans quelques
pièces
anglaises, seulement pour faire marcher l’action,
n’a plus fait de progrès. Crébillon a laissé à peine au théâtre deux
pièces
dont la représentation soit supportable ; Voltair
rsonne n’a fait mieux que lui. Il s’applaudissait d’avoir, dans cette
pièce
, introduit un genre nouveau, en mettant sur la sc
toute la force de son génie, ce sont Othello et Macbeth. » Ces deux
pièces
, les plus connues du théâtre de Shakspeare, ont é
d’Hamlet, et cette censure pourrait presque s’appliquer à toutes les
pièces
de Shakspeare : « C’est une pièce grossière et b
presque s’appliquer à toutes les pièces de Shakspeare : « C’est une
pièce
grossière et barbare, qui ne serait pas supportée
in. La diction en est si naïve, si plaisante, tant de traits de cette
pièce
sont devenus proverbes, qu’il semble qu’on les gâ
ne seraient point si plaisants s’ils rimaient. Mais dans les grandes
pièces
remplies de portraits, de maximes, de récits, et
iques sous des noms bourgeois. On dit qu’il y a de l’intérêt dans ces
pièces
quand elles sont bien jouées ; cela peut être, je
s lire ; mais on prétend que les comédiens font quelque illusion. Ces
pièces
bâtardes ne sont ni tragédies ni comédies. Quand
notre jeune homme encore plus fat ; le marin revenait à la fin de la
pièce
, et mettait ordre à tout. « Une actrice de Paris,
son mari à l’aimer publiquement. Elle pressa l’auteur d’en faire une
pièce
régulière, noblement écrite ; mais ayant été refu
le style. Ce fut ce qui valut au public le Préjugé à la mode. « Cette
pièce
était bien froide après celles de Molière et de R
comédie fut ainsi défigurée, la tragédie le fut aussi : on donna des
pièces
barbares, et le théâtre tomba ; mais il peut se r
il se montre plus indulgent ; et, dans le préambule de son examen des
pièces
de La Chaussée, il donne ainsi les motifs de l’in
d’ouvrages, peut lui mériter le titre de fondateur. Le succès de ses
pièces
n’est pas contesté, il est encore le même après c
on que ce qui est d’un goût faux ; je n’en vois point dans les bonnes
pièces
de cet écrivain ; je n’y vois qu’un genre inférie
pensées ; de la naît un des inconvénients les plus fréquents dans les
pièces
de La Chaussée. Les effets tenant le plus souvent
les a oubliées presque toutes, et l’on pleure encore aujourd’hui aux
pièces
de La Chaussée. » 1. Quid enim aliud est
e jugement nous oblige à croire que M. Addison n’avait point lu cette
pièce
. Dans un dialogue entre Daphné, compagne de Sylvi
les ouvrages et le génie de Shakspeare, une défense excellente de ses
pièces
historiques, et des observations fort justes sur
tagem. 52. Consciours Loves. 53. « Il y a beaucoup de très bonnes
pièces
où il ne règne que de la gaîté ; d’autres toutes
ient chez lui trouvaient ses vers fort bons. » (Voltaire.) 55. Cette
pièce
était probablement de M. de Voltaire. On n’en a r
Chapitre VIII. Petites
pièces
anciennes. § 39. Triolet, rondeau ; lai. N
ener le premier ou les deux premiers vers au milieu et à la fin de la
pièce
: seulement, au lieu de se borner à huit vers, on
de ce qu’il communique Pour te guérir. Le rondeau redoublé était une
pièce
bizarre plutôt qu’harmonieuse ou agréable, et d’a
ns fruit. § 40. La ballade, le chant royal. La ballade est une
pièce
de vers coupée en stances égales, et suivies d’un
est venu son nom. § 41. Sonnet. Le sonnet n’est pas, comme les
pièces
précédentes, soumis à l’emploi des refrains. Mais
ns nous arrêter à cette opinion bizarre qui ne veut pas qu’une petite
pièce
de poésie soit jamais parfaite qui a fait ses règ
oésies fugitives ? On donne le nom de poésies fugitives à de petites
pièces
de vers sur divers sujets, inspirées par une occa
circonstance quelconque, et qui n’ont entre elles aucune liaison. Ces
pièces
sont plutôt destinées à amuser et à plaire un mom
s aussi facile qu’on pourrait le croire de réussir dans ces sortes de
pièces
. Outre que chacune d’elles exige un talent partic
amme 110. Qu’est-ce que l’épigramme ? L’épigramme est une petite
pièce
de poésie qui présente, exprimée avec grâce et pr
econde partie de la stance, n’est qu’un demi-couplet, de sorte que la
pièce
entière se compose de 28, 35 ou 42 vers. Les part
s reviennent, en guise de refrain, après le sixième, pour terminer la
pièce
. L’idée qui forme le fond du triolet doit être ag
énigme, de αἴνιγμα, fait de αἴνος, proverbe, apologue, est une petite
pièce
où l’on donne à deviner une chose, en la décrivan
tère grave et majestueux, convient aux grands poèmes, et à toutes les
pièces
sérieuses et de longue haleine. On l’emploie sans
des odes ; mais aujourd’hui, on s’en sert volontiers dans les petites
pièces
de poésie et dans les chansons : Cher ami, ta fu
c. On peut s’en servir dans les contes, les fables et autres petites
pièces
, où il s’agit de peindre des choses agréables ave
qui comptent moins de six syllabes ne s’emploient guère que dans les
pièces
libres et badines, ou destinées à être mises en m
d’exception que dans des cas extrêmement rares, dans quelques petites
pièces
, comme une chanson, une épigramme. 81. Combien y
ur à la période poétique. 86. Qu’appelle-t-on rimes redoublées ? Les
pièces
à rimes redoublées sont celles qui présentent le
out le cours d’une période poétique. On se sert de ces rimes dans des
pièces
légères, pour rendre la narration plus rapide, et
celles des rimes masculines étant peu agréables. 87. Qu’entend-on par
pièces
monorimes ? On appelle ainsi de petits poèmes do
ve-t-on bien peu qui aient mérité de passer à la postérité. Voici une
pièce
monorime que Lefranc de Pompignan a composée sur
t irrégulière, quand on n’y rencontre aucune symétrie, comme dans les
pièces
en vers libres. 89. Qu’appelle-t-on pièces en ver
e symétrie, comme dans les pièces en vers libres. 89. Qu’appelle-t-on
pièces
en vers libres ? Les pièces en vers libres sont
èces en vers libres. 89. Qu’appelle-t-on pièces en vers libres ? Les
pièces
en vers libres sont celles qui présentent le méla
rire en vers libres tout morceau qui admet les rimes mêlées. Dans ces
pièces
, le poète conserve une très grande liberté pour e
de l’archonte, pourvoyaient d’eux-mêmes à la représentation de leurs
pièces
. Le prologue.] Il est, je l’avoue, difficile d’im
l c’est-à-dire qu’on n’en puisse détacher aucune partie, sans que la
pièce
tombe en ruine. Il ne faut pas s’embarrasser de l
1, et traduit un peu librement en français dans le recueil intitulé :
Pièces
fugitives d’histoire et de littérature, Paris, 17
es spectacles d’Allemagne, et vous assistez à la représentation d’une
pièce
de Shakespeare. Vous voyez là un public se pâmer
oyen de rendre la tragédie intéressante : au lieu de ce que, dans ces
pièces
anglaises, la scène dure un espace de quelques an
ours, on doit bien faire la même grâce à la comédie, et approuver les
pièces
de théâtre où l’on verra régner l’instruction et
Le Marquis. Quoi ! chevalier, est-ce que tu prétends soutenir cette
pièce
? Dorante. Oui, je prétends la soutenir. Le M
âtre un de nos amis qui se rendit ridicule par là. Il écouta toute la
pièce
avec un sérieux le plus sombre du monde, et ce qu
de place déterminée ; que la différence du demi-louis d’or2 et de la
pièce
de quinze sous ne fait rien du tout au bon goût ;
qui le composent il y en a plusieurs qui sont capables de juger d’une
pièce
selon les règles, et que les autres en jugent par
i la grande règle de toutes les règles n’est pas de plaire, et si une
pièce
de théâtre qui a attrapé son but n’a pas suivi un
oit s’arrêter peu à leurs disputes embarrassantes. Car, enfin, si les
pièces
qui sont selon les règles ne plaisent pas, et que
s moindres inégalités, les plus légers défauts. Il faut qu’une petite
pièce
de vers soit aussi parfaite qu’elle puisse l’être
t de la balade, du chant royal, du lai, du virelai, et autres petites
pièces
de vers, qui ne sont plus guère d’usage. Articl
poésie, et justifier en quelque sorte ce que l’on dit de ces petites
pièces
de vers ; que ce ne sont que des puérilités que l
iers rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous d’en-bas la
pièce
est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs
la pièce est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs ; Et si la
pièce
est mal représentée, Pour notre argent nous siffl
poètes offrent aussi dans leurs recueils de jolis épithalames ou des
pièces
, de vers, qui en portent le nom, sans en avoir pr
core le nom de vaudeville à un divertissement qui termine les petites
pièces
de théâtre. Il doit contenir le sens moral de la
e les petites pièces de théâtre. Il doit contenir le sens moral de la
pièce
. 155. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin
râce à l’amour. Parny. Lecture. — Voir la suite de cette charmante
pièce
de vers dans le vol. II, nº 5. Racan termine par
eureuse comparaison, relevée par une tournure pleine de précision. La
pièce
de vers suivante, intitulée la Prière, se fait re
les monts se déplie. Lamartine. Lecture. — Voir la suite de cette
pièce
de vers. Vol. II, nº 6. 14° Pensées fortes, fr
nt quelques exemples de pensées magnifiques. J.-B. Rousseau, dans une
pièce
de vers intitulée Aveuglement des hommes, demande
s d’une manière complète les idées analogues qui constituent ces deux
pièces
de poésie. Section II. — Des Pensées, considér
ce, nous voyons l’habile charpentier disposer d’abord les principales
pièces
de charpente destinées à former l’ensemble de l’h
estinées à former l’ensemble de l’habitation, puis pincer ensuite les
pièces
de bois secondaires destinées à la distribution i
ëte avait, dès l’âge de vingt-trois ans, placé sur la scène, dans une
pièce
intitulée Mélite, une aventure qui lui était pers
ais dans ses préfaces et les examens sincères qu’il a consacrés à ses
pièces
. Ce même recueil a montré Corneille dignement lou
d’un grand mérite et d’une vaste littérature. » Il fit quarante-deux
pièces
de théâtre, dont quelques-unes obtinrent un brill
des scènes touchantes et des vers fort heureux. Par malheur, dans les
pièces
de Thomas Corneille, le style n’est jamais assez
1. On sait que Corneille emprunta ce sujet et plusieurs détails à une
pièce
de l’Espagnol Guilhem de Castro, dont la traducti
et de Castille. La tragi-comédie du Cid (on donnait alors ce nom aux
pièces
tragiques dont le dénoûment était heureux), jouée
èvre (in-8°, 1824, collection des classiques français), où toutes les
pièces
du procès ont été soigneusement recueillies. Qu’i
-dessus de celle de tous les autres pays. 1. 1642. Le sujet de cette
pièce
, à laquelle, suivant Voltaire, « nous devons Moli
lle donna plus tard la Suite du Menteur ; mais, quoique cette seconde
pièce
ne manquât pas de détails agréables et de vers he
Le Tydée et les fils de Phinée.] On ne sait rien de plus sur ces deux
pièces
que ce que nous en apprend Aristote. Il existait
ces deux pièces que ce que nous en apprend Aristote. Il existait une
pièce
, probablement toute lyrique, de Timothée, sous le
ς (v. 47). L’Ulysse Faux-Messager.] On ne sait rien de plus sur cette
pièce
, dont l’auteur même est inconnu. Græfenhan suppos
tits poèmes courts et légers destinés à plaire un moment. Ce sont des
pièces
de circonstance, des amusements de société, des j
e d’Anthologie. On peut ranger sous le titre de poésies fugitives les
pièces
suivantes : le sonnet, la ballade, le rondeau, le
sera la plus superbe. § VII. Épithalame. L’épithalame est une
pièce
de vers composée à l’occasion d’un mariage ; elle
Bois-son. § XII. Acrostiche. L’acrostiche est une petite
pièce
où chaque vers commence par une des lettres d’un
me siècle. Sa célébrité bruyante grandit encore par le succès de deux
pièces
étincelantes de verve, de vivacité, de malice et
sieurs, malice, erreur ou distraction dans la manière dont on a lu la
pièce
; car il n’est pas dit dans l’écrit : « laquelle
spectacle : — Expliquez-moi donc, je vous prie, pourquoi, dans votre
pièce
, on trouve autant de phrases négligées qui ne son
ecret ; je ne me prête point à de pareilles fantaisies. J’ai donné ma
pièce
au public pour l’amuser et pour l’instruire, mais
vice et les honneurs de la vertu, telle est la pruderie du siècle. Ma
pièce
n’est point un ouvrage équivoque ; il faut l’avou
ttise de les défendre » 1. Il y a quelque chose de plus fou que ma
pièce
, dit Beaumarchais, c’est son succès. 2. Le mar
lis au hasard. Hector. Ouvre, et lis au hasard.Je vais le mettre en
pièces
. Valère. Lis donc. Hector lit. Lis donc.« Chap
vec son argent l’établissement qu’il désirait. Telle est la fin de la
pièce
de Regnard, morale dans sa conclusion, si elle ne
Sainte-Beuve. » 1. Décembre 1696. On a signalé justement dans cette
pièce
, où Regnard semble s’être surpassé, beaucoup de v
é d’observation. L’intrigue est habilement conduite ; l’intérêt de la
pièce
est souteunu jusqu’au bout. Le caractère principa
et au génie des auteurs, pour soupçonner Regnard d’avoir dérobé cette
pièce
à Dufresny. » 2. C’est-à-dire souples et élasti
revenir avec Diomède enlever le Palladium : tel est le sujet de cette
pièce
, dont l’Odyssée (IV, 252-264 cf. Euripide, Hécub
s l’enlèvement du Palladium. Sophocle avait composé sous ce titre une
pièce
dont il ne reste que trois courts fragments. La p
inutile de remarquer que l’auteur n’épuise pas ici l’énumération des
pièces
qui se rattachaient à la Petite Iliade par exemp
e Parium. L’Oreste d’Euripide.] L’auteur de l’Argument grec sur cette
pièce
, la déclare δρᾶμα τῶν ἐπὶ σϰηνῆς εὐδοϰιμούντων, χ
de la Poétique. Dans la Médée.] L’auteur d’un argument grec de cette
pièce
, qui contient des observations intéressantes, cit
oisième fois que nous remarquons ces rapports entre les Arguments des
pièces
grecques et des textes d’Aristote ils indiquent
s prêtent à leurs personnages n’ont jamais été tenus, que ce sont des
pièces
d’éloquence qu’ils ont composées eux-mêmes à l’oc
oute, comme l’a remarqué M. Ampère, des jeux d’esprit puérils, ou des
pièces
de placage, dont les hommes sérieux ne font pas g
t passage tiré de l’Éloge de Marivaux par d’Alembert. Il s’agit d’une
pièce
de cet auteur comique qui n’avait eu aucun succès
et bien naïve sa soumission pour le public, à l’occasion d’une de ses
pièces
qui avait pour titre : l’Île de la raison ou les
e par le parterre avec la rigueur la plus inexorable. L’idée de cette
pièce
était très singulière : c’étaient des hommes qui
se condamner de bonne grâce. « J’ai eu tort, dit-il, de donner cette
pièce
au théâtre, et le public en a fait justice ; ces
que ce mauvais jeu se répétait, le dégoût est venu avec raison, et la
pièce
est tombée. » § 31. Abrégés d’histoire. On
erchées. La nécessité d’économiser le temps a fait réunir ces petites
pièces
en très grande quantité dans des dictionnaires pl
moignage d’Aristote est la seule trace qui reste aujourd’hui de cette
pièce
dans les écrits des anciens. — Lessing, dans sa D
ne prend pas assurément cette peine il se laisse attendrir quand la
pièce
est touchante, et il ne s’avise pas de dire en vo
ui qui se rapproche le plus du sens d’Aristote : « Comme ils font des
pièces
qui doivent être représentées et disputer le prix
Que le début, la fin, répondent au milieu ; Que d'un art délicat les
pièces
assorties N'y fassent qu'un seul tout de diverses
La grâce et l'harmonie du style se font également remarquer dans la
pièce
suivante : Entre mes doigts guide ce lin docile
ittérateur de l'ancienne école, Hoffmann, a dit : « Si vous lisez une
pièce
de théâtre, des poésies ou un roman où se trouven
a pensée ; des expressions basses, à côté de mots gigantesques, cette
pièce
appartient à la nouvelle littérature, et telle es
pour titre Hernani. Les poëtes de cette école chantent, dans la même
pièce
, les démons et les anges, les spectres, les gnome
ppelle dramatique, quand il est mis en action et qu'il appartient aux
pièces
ordinaires de théâtre. Il faut faire parler les p
t, en quelque sorte, soumises à la même poétique ; ce sont de petites
pièces
où l'on fait ordinairement parler des bergers ; c
in désordre, qui semble naître de l'enthousiasme, règne dans toute la
pièce
, cette pièce prend le nom d'ode, et les stances c
qui semble naître de l'enthousiasme, règne dans toute la pièce, cette
pièce
prend le nom d'ode, et les stances celui de strop
exige un style plus élevé que celui de la chanson ; dans cette petite
pièce
, la période poétique n'est point assujettie à un
ade ; elle prescrit de couvrir le mot auquel s'appliquent ces petites
pièces
d'un tissu assez épais pour qu'un premier effort
ole des vieillards de C. Delavigne. Le drame. Le drame est une
pièce
d'un genre mixte ; il tient de la tragédie et de
'œuvre des morceaux qui ne tiennent pas au sujet que l'on traite. Les
pièces
où des pensées minces sont ornées de tours pompeu
it moins beau. Celui qui dominait la plaine et la colline. 1. Cette
pièce
appartient aussi à l'élégie.
i se peuist abstenir de plorer de droite pité, ne qui peuist en grant
pièce
parler. Li rois regarda sus yaus très ireusement,
ruina154 tout par terre. Par ce moyen furent tous rompus155 et mis en
pièces
ceux qui étaient en icelui156. (La vie de Gargan
ntendu, commanda au faquin qu’il lui tirât de son baudrier177 quelque
pièce
d’argent. Le faquin luy mit en main un tournois p
une vieille muraille un pot de fer auquel y avait grande quantité de
pièces
antiques de monnaie, les unes d’argent, les autre
j’achetais une quantité de pots de terre, et, après les avoir mis en
pièces
, je mettais des matières que j’avais broyées dess
ayant fait un fourneau à ma fantaisie255, je mettais cuire les dites
pièces
pour voir si mes drogues pourraient faire quelque
commettais une faute plus lourde que la susdite : car en mettant les
pièces
de mes épreuves dedans260 le fourneau, je les arr
achetai derechef plusieurs vaisseaux de terre, et les ayant rompus en
pièces
, comme de coutume, j’en265 couvris trois ou quatr
us en pièces, comme de coutume, j’en265 couvris trois ou quatre cents
pièces
d’émail, et les envoyai en une poterie distante d
avec le pinceau : mais il te faut entendre que de deux ou trois cents
pièces
, il n’y en avait que trois de chacune composition
ue trois de chacune composition277. Ayant ce fait, je pris toutes ces
pièces
et les portai à une verrerie, afin de voir si mes
du tous les vaisseaux que j’avais faits ; et, ayant couvert les dites
pièces
du dit émail, je les mis dans le fourneau, contin
e mes émaux se commençaient à liquéfier, se crevèrent335 en plusieurs
pièces
. Or, ainsi que336 les éclats des dits cailloux sa
créditeurs339 qu’ils seraient payés de l’argent qui proviendrait des
pièces
de la dite fournée, qui fut cause que plusieurs a
la dite besogne je ne recevais que bonté et confusion. Car toutes mes
pièces
étaient semées de petits morceaux de cailloux, qu
que c’eût été un décriement et rabaissement de mon honneur, je mis en
pièces
entièrement le total de la dite fournée341, et me
’il n’y avait rien plus qui me pût empêcher que je ne fisse de bonnes
pièces
; et me pris, comme auparavant, à travailler au d
nce de la flambe344 du feu avait porté quantité de cendres contre mes
pièces
, de sorte que, par tous les endroits où la dite c
e je fais encore à présent. Quand j’eus inventé le moyen de faire des
pièces
rustiques359, je fus en plus grande peine et en p
e et telle (qui étaient les tenants et aboutissants des plus secrètes
pièces
de cette menée) : ne faillez433, sur votre vie, à
e (1673). C’est pendant la quatrième représentation de cette dernière
pièce
qu’il fut saisi d’un violent accès du mal de poit
où il oublie de dîner ; aussi est-elle830 nuancée, bordée, huilée, à
pièces
emportées831 ; elle a un beau vase832 ou un beau
n procès-verbal ; ils condamnent les deux infortunés à être hachés en
pièces
; c’est un supplice usité à la Chine1098 et en Ta
te, marche ; je le suis presque en courant. Il arrive dans la seconde
pièce
de son bureau ; il s’assied dans son fauteuil, et
, malice1277, erreur, ou distraction clans la manière dont on a lu la
pièce
; car il n’est, pas dit dans l’écrit : « Laquelle
ché, une multitude de petites commodités, réunies dans quatre petites
pièces
dont deux étaient tapissées d’un joli papier, les
ttaquée d’une fièvre putride ; je fis débarrasser sa tête des petites
pièces
d’argent dont les paysannes albanaises ornent leu
près avoir bientôt épuisé ses modiques épargnes, il lui fallut vendre
pièce
à pièce ses meubles d’abord, puis quelques-uns mê
ir bientôt épuisé ses modiques épargnes, il lui fallut vendre pièce à
pièce
ses meubles d’abord, puis quelques-uns même de se
ontenir, avait été soulevée pendant la nuit par les lames, et mise en
pièces
contre les pointes des écueils qui devaient la pr
s mercenaires de les mener à Sicca1565, en donnant à chaque homme une
pièce
d’or pour les besoins les plus urgents. L’aveugle
de Henri III et sa cour, auquel succédèrent un grand nombre d’autres
pièces
, dont quelques-unes sont demeurées célèbres. Non
tte même place où M. Lemercier avait si bien fait valoir, en 1829, ma
pièce
de vers couronnée1671, je lus une étude approfond
rbe. Rien ne serait plus profitable que de comparer quelqu’une de ses
pièces
, d’une versification si douce et, en général, si
n en 1606, mort en 1684, Pierre Corneille fit représenter sa première
pièce
de théâtre, la comédie de Mélite, en 1629. Sa tra
uté du sujet, emprunté à l’espagnol, comme celui d’un grand nombre de
pièces
françaises à cette époque, du moins par le nature
out ému de colère. J’étais sur le théâtre2221, en humeur d’écouter La
pièce
, qu’à plusieurs j’avais ouï2222 vanter ; Les acte
on grand fracas surprenant l’assemblée, Dans le plus bel endroit a la
pièce
troublée2224. « Hé ! mon Dieu ! nos Français, si
Et Corneille2232 me vient lire tout ce qu’il fait. » Là-dessus de la
pièce
il m’a fait un sommaire, Scène à scène averti de
n’ont pu résister, madame, à notre effort ; Nous les avons taillés en
pièces
, Mis Ptérélas, leur chef, à mort, Pris Télèbe2264
ure, et l’on bâille vingt fois, Qu’elle grouille2308 aussi peu qu’une
pièce
de bois. Acaste. Que vous semble d’Adraste ? Cé
nachs. Valère. Ouvre et lis au hasard. Hector. Je vais le mettre en
pièces
. Valère. Lis donc. Hector lit. « Chapitre six.
politiques d’une extrême violence. Ses autres œuvres comprennent des
pièces
antiques, où l’on retrouve tout le charme vivant
politiques. Le parti libéral accueillit avec enthousiasme ces petites
pièces
qui, grâce à la musique, s’imposaient à toutes le
la sincérité et l’élévation des sentiments qui en animent toutes les
pièces
, que par l’harmonieuse perfection des vers (1820)
re dans les Harmonies poétiques et religieuses (1830). La plupart des
pièces
qui composent les Recueillements poétiques (1839)
Jean-François-Casimir Delavigne se fit d’abord connaître par quelques
pièces
de poésie que lui inspirèrent les malheurs récent
mais on trouverait, dans ses différents recueils de poésies, quelques
pièces
touchantes, et, dans ses œuvres dramatiques, des
ns ses Poèmes antiques et modernes (1826), qu’il enrichit de quelques
pièces
dans l’édition définitive de 1837. Après sa mort
. Son œuvre poétique est donc de peu d’étendue : encore plusieurs des
pièces
qui le composent sont-elles assez médiocres. Mais
ps modernes, en France, n’a rien produit de comparable à la suite des
pièces
héroïques qui composent la Légende des siècles (1
endre son lit d’hôpital, cette fois pour ne plus le quitter. Quelques
pièces
d’un charme exquis ont fait vivre son nom. Outre
glée dans le recueil qu’il publia deux ans plus tard et dans les deux
pièces
, suivies du poème de Namouna, qui composent le Sp
laires (1871), Pendant la guerre (1872), En voyage (1882). Toutes les
pièces
qui les composent sont animées de ces tendres et
ire de Bigarreau (1884) sont de vrais chefs-d’œuvre, et plusieurs des
pièces
de ses recueils de vers, le Chemin des Bois (1867
es spéculations de la philosophie. Elle lui a inspiré, outre quelques
pièces
admirables et une traduction du premier livre de
et des faibles, mais aux lieux mêmes où leur vie s’écoule. Parmi ses
pièces
de théâtre mentionnons seulement, après le Passan
i (1883), les Jacobites (1885), Pour la couronne 2931 (1895). A une
pièce
d’or Fragment D’une somme hier dissipée I
pièce d’or Fragment D’une somme hier dissipée Il me reste une
pièce
encor. Elle est brillante et bien frappée ; C’est
r. Elle est brillante et bien frappée ; C’est un vieux napoléon d’or.
Pièce
d’or, reine des monnaies, Que tant de mains voudr
... Elle est à vil prix, la nature ; Le soleil couchant est gratuit !
Pièce
d’or aux doigts du poète, Je sens, quand j’y réfl
qui, malgré d’étranges hardiesses, séduisit les lettrés par quelques
pièces
exquises et par l’effort souvent heureux qu’elle
même temps le poète, sous le nom de Mystères, donnait quatre petites
pièces
, Tobie (1887), Noël (1890), la Légende de Sainte
Tiretaine, étoffe grossière, moitié laine, moitié fil. 42. Coiffe,
pièce
d’étoffe qu’on portait sur la tête pour la garant
ues. Le recueil de ses œuvres se compose de plus de six cents petites
pièces
, ballades, rondeaux et chansons, plus gracieuses
rles d’Héricault (Paris, in-16, 1874). 51. Le rondeau est une petite
pièce
composée de trois couplets, le premier ou les deu
comme nom. 59. Vert. Voir la note 5 de la page 468. 60. Il y a une
pièce
, un morceau, un intervalle de temps : depuis quel
s’interdirent les poètes postérieurs. 82. Envoi, fin ordinaire des
pièces
envoyées ou qu’on était censé envoyer aux concour
77. Baudrier, ceinture de cuir. 178. Philippus, sou (littéralement
pièce
frappée à l’effigie d’un roi appelé Philippe) ; —
la langue. 250. Egard [à ce fait] que. 251. Tâtonne. 252. Sur ces
pièces
. — Sur dessus, préposition, voir page 496, note 5
rmi elles. Entendez : je couvris d’émail trois ou quatre cents de ces
pièces
. 266. N’est pas resté dans la langue. 267. [Et]
tion de ces épreuves rudimentaires mais aussi le caractère achevé des
pièces
qui plus tard sortirent des mains de Palissy… Che
ent des mains de Palissy… Chez lui, ni bouillonnures, ni écailles. La
pièce
que l’émail, par excès d’affinité, a trop pénétré
des Chambres des enquêtes. Ces Chambres jugeaient en appel, mais par
pièces
écrites et sans audiences ni plaidoiries, et conn
15, forment un important document historique. 674. Madrigal, petite
pièce
de vers à forme libre, d’un tour spirituel et gal
a page 36. 830. Aussi est-elle, c’est qu’en effet elle est. 831. A
pièces
emportées, découpée comme à l’emporte-pièce. 832
lle est ce que nous appelons aujourd’hui le salon ; le cabinet est la
pièce
où l’on travaille, où l’on cause. 836. Canaries
es. — Le sont-elles moins toutes déployées dans les boutiques et à la
pièce
? — Mais la broderie et les ornements y ajoutent
serré à la taille, et qui descendait jusqu’aux genoux. 887. Louis,
pièce
d’or d’une valeur de vingt-quatre francs, ainsi a
loses, qui étaient de vraies lettres du roi, cachetées de son sceau),
pièces
émanant du souverain et conférant certains droits
le avait le pouvoir. 1102. Expéditions, nom général qui désigne les
pièces
officielles, lettres dépêches, expédiées par un g
n, original d’après lequel on fait des transcriptions (littéralement,
pièce
écrite en caractères menus). 1112. Poudre, pou
robe. 1128. Les articles du contrat de mariage. 1129. Épithalame,
pièce
de vers composée à propos d’un mariage. 1130. F
d’oublies auquel le joueur a droit. 1185. Le liard était une petite
pièce
de cuivre qui valait le quart d’un sou. 1186. L
domaine du comte Almaviva. 1275. Le cordon est le bord façonné d’une
pièce
de monnaie. De là l’expression de piastre cordonn
. De là l’expression de piastre cordonnée. La piastre forte était une
pièce
espagnole d’une valeur d’environ cinq francs. 12
et Molière au xviie siècle, Voltaire au xviiie , par opposition aux
pièces
plus libres de l’anglais Shakespeare et du théâtr
t ; proue, l’avant, poupe, l’arrière ; cale, le fond ; mât, la longue
pièce
de bois qui porte les voiles ; membrure ou membru
de bois qui porte les voiles ; membrure ou membrures, l’ensemble des
pièces
assemblées qui forment les côtés. 1505. Radoube
evances. 1508. A l’extrémité est la presque’île du Cotentin. 1509.
Pièce
de bois qui porte la voile. 1510. Vêtement à man
isanthrope et à la colère d’Alceste, le principal personnage de cette
pièce
, contre ceux qui n’ont pas pour les méchants ...
0. Lady, mot anglais qui désigne « une dame de qualité ». 1671. Ma
pièce
de vers couronnée. Le sujet était l’Invention de
Nord, faites en peau de bête. 1769. Dentu, éditeur. 1770. Vergue,
pièce
de bois qu’on place en travers du mât pour souten
n premier vers et par son sens général, ce sonnet rappelle une petite
pièce
du poète latin Claudien (mort dans les premières
amour, l’amour qu’il éprouve pour toi. Le poète s’adresse à Dieu : la
pièce
, dont nous ne citons qu’une partie, est en effet
qu’il a plantés. Ce développement est imité d’un passage d’une petite
pièce
célèbre du poète latin Claudien, qui a vécu à la
la tragédie ; remarquons toutefois que la scène correspondante de la
pièce
espagnole d’où Corneille a tiré son Menteur (la V
farce. Farce, tel est le nom qu’on donnait, au moyen âge, à certaines
pièces
comiques. 2176. Battre la campagne. Locution pr
8. Minuter, c’est dresser la minute ou le brouillon (littéralement :
pièces
écrite en caractères menus) d’un acte, d’un contr
(sur Rotrou, voir le recueil du second cycle). — On remarquera que la
pièce
de Molière est en vers libres. 2300. Célimène es
irgile (69-19), le plus célèbre des poètes latins, a aussi laissé dix
pièces
pastorales ou églogues qu’on appelle les Bucoliqu
ogues qu’on appelle les Bucoliques. 2337. Le sonnet est une petite
pièce
de quatorze vers : les huit premiers, divisés en
Voir la note 1 de la page suivante. 2339. Le madrigal est une petite
pièce
de forme libre et d’un tour ingénieux et galant.
èce de forme libre et d’un tour ingénieux et galant. 2340. Ballade,
pièce
de poésie qui fut surtout en honneur en France au
re à peu près dédicace, au prince, ou président du concours auquel la
pièce
était ou était censée destinée. — Certains poètes
s le nom de ballades, à l’imitation des Anglais et des Allemands, des
pièces
de forme libre qui traitent en général de sujets
ui n’ont aucun rapport avec l’ancienne ballade. 2341. Bouts-rimés.
Pièce
de vers construite sur des rimes imposées à l’ava
vous sur le terrain pour un duel à l’épée. 2352. Le poète, par cette
pièce
ingénieuse, remerciait le roi, qui venait de lui
ouleur et plait à mes regards, dit Lamartime. Voir page 644 toute la
pièce
, qu’il y a lieu de comparer aux vers de Delille.
de s’embarquer). 2562. Nous suivons, pour les quatre premières des
pièces
suivantes, l’édition de M. Paul Dimoff (Ch. Delag
e construction qui a pour but d’avertir, d’éveiller un souvenir. — La
pièce
de Chénier est censée être une épitaphe gravée su
irée de divers passages de poètes antiques, et notamment d’une petite
pièce
de l’Anthologie (Epigrammes funéraires, 291), rec
ocné, qui fut, suivant la Fable, changée en hirondelle. — Cette jolie
pièce
est traduite d’une épigramme (Épigr. descriptives
est bien faite pour nous faire comprendre le sentiment qui inspire la
pièce
de Chénier, à savoir que la liberté est la mère d
e, il s’ajoute à elle, et qu’il la décrit en l’interprétant. La belle
pièce
que nous citons est, à ce point de vue, une des p
ansition unit ces deux parties ; une dernière strophe, à la fin de la
pièce
, les résume. 2603. Harmonieux, qui retentissent
eures, les douze signes du Zodiaque. 2615. On remarquera, dans cette
pièce
mélancolique, l’heureux effet des vers de sept sy
ec une discrétion savante. On peut comparer la reprise touchant de la
pièce
d’André Chénier, la Jeune Tarentine (voir page 62
a fleur et l’élégante et fugace inconstance du papillon. 2692. Cette
pièce
est consacrée au souvenir de Léopoldine Hugo, fil
e avait dix-neuf ans. Cette catastrophe a inspiré au poète toutes les
pièces
du quatrième livre des Contemplations. 2693. S
auteur d’un poème héroï comique, Roland furieux. 2698. Cette petite
pièce
estime des plus gracieuses dans lesquelles, par u
emarquer que les enjambements de ce genre, fréquents dans cette belle
pièce
, et qui, sans rien enlever à l’harmonie des vers,
300. — Sur paladin, voir la note 1 de la page 672. 2724. Chanfrein,
pièce
d’armure qui couvrait le devant de la tête du che
le devant de la tête du cheval. — Girel, mot espagnol qui désigne les
pièces
qui couvraient les épaules et le poitrail du chev
colique encore et le cri déchirant qu’Auguste Barbier, dans une autre
pièce
du même poème (la Lyre d’airain), prête aux enfan
aient souvent par une strophe ou une demi-strophe, appelée envoi, les
pièces
lyriques qu’ils envoyaient en effet aux divers co
s modernes ont terminé par une strophe d’envoi quelques-unes de leurs
pièces
légères. 2755. On peut rapprocher de cette joli
etc. 2756. Voir, page 677, la notice sur Victor Hugo. 2757. Cette
pièce
, adressée par le poète à l’un de ses plus intimes
égulier. — Même observation pour le fragment suivant, tiré de la même
pièce
. 2767. Et son troupeau tondu. Le poète fait ici
x de lit. 2810. On n’aura pas manqué de remarquer, dans cette petite
pièce
, une aimable affectation de simplicité ; le poète
armes à l’ennemi) ou mort (et porté sur ton bouclier) ». 2830. Cette
pièce
, dont nous citons la première moitié, a été lue à
patrie. « Depuis ces quarante ans, dit-il dans une autre partie de la
pièce
dont nous avons cité le début, Depuis ces quaran
bord, vengez-nous. On retrouvera les mêmes sentiments dans une belle
pièce
de Sully Prudhomme, insérée dans le recueil du se
n retirant son haleine parle nez (étymologie douteuse). 2886. Cette
pièce
est écrite, on le voit, en rimes tiercées, c’est-
la cuisine ou quelque besogne analogue). 2898. La fin de cette jolie
pièce
rappelle une courte et délicieuse idylle d’un poè
vait gagnée. 2901. Codicille, addition à un testament. 2902. Cette
pièce
a été écrite en 1880, dix ans après la guerre de
ont sa chère province eut tant à souffrir. Citons la conclusion d’une
pièce
dans laquelle l’auteur, se souvenant de son enfan
ect de ses maisons. 2959. Flammarion, éditeur. — La seconde des deux
pièces
que l’on vient de lire se trouve également inséré
pour un pays d’où l’on ne voit pas la mer prépare le dénouement de la
pièce
: le vieux marin se réconciliera avec Jacquemin,
Jubinal, dans son Nouveau recueil de contes, dits fabliaux et autres
pièces
inédites des xiiie , xive et xve siècles (Paris
qui lui fut dérobée, nous dit-il dans l’avis au lecteur de la seconde
pièce
; puis vinrent, aussi applaudies que son début, l
ans les fonctions de lieutenant criminel. C’est de là publia les huit
pièces
qui en font le précurseur véritable de nos tragiq
reproduction constante qu’il a faite de Sénèque le Tragique, dont les
pièces
étaient des exercices d’éloquence destinés aux dé
eux livres, sous le nom de Foresteries, qui n’a pas fait fortune, des
pièces
de mètres et de strophes très variés, où l’entrai
oésies variorum Notices On ne lira pas sans intérêt quelques
pièces
ou quelques passages de poètes dont les noms ont
un improvisateur inépuisable, Alexandre Hardy (1560-1630), fournit de
pièces
de toute espèce (six cents, dit-on) les acteurs a
rgerac. Le faux goût, les fadeurs ou l’emphase gâtent le style de ces
pièces
, comme les invraisemblances et les gasconnades gâ
709), successeur de son frère à l’Académie en 1684, donne trente-huit
pièces
, tragédies, comédies, tragi-comédies. Deux de ses
Duche (1668-1704), continue à écrire pour la maison de Saint-Cyr des
pièces
bibliques, parmi lesquelles Absalon (1790) est la
u, donnant dans des recueils collectifs, ou seul, mais une à une, ses
pièces
diverses, odes, stances, paraphrases des Psaumes,
crit la seule pastorale dramatique qui soit restée de la profusion de
pièces
de ce genre qui inonda le siècle, Arténice ou les
Rotrou ; et bientôt le petit avocat normand, arrivé la veille avec sa
pièce
en poche, donna comédies sur comédies en cinq act
lui fut indiqué par Fouquet ; la Toison d’Or (1661), second essai de
pièce
« à machines », qui eut autant de succès que son
uta par un coup de maître, par les Précieuses Ridicules, mince petite
pièce
en un acte et en prose, qui est une révolution da
aison dit Virgile et la rime Quinault948. » — Justement. À mon gré la
pièce
est assez plate. Et puis blâmer Quinault ! Avez-v
trouvé. Son sujet est conduit d’une belle manière ; Et chaque, en sa
pièce
, est une pièce entière950. (Satires, III951.)
jet est conduit d’une belle manière ; Et chaque, en sa pièce, est une
pièce
entière950. (Satires, III951.) La verve de
esprits à nos ‘yeux rebutés. L’Ignorance et l’Erreur à ses naissantes
pièces
, En habits de marquis, en robes de comtesses, Ven
ent grands débats Sur le propos de leur Iphigénie. Coras lui dit : La
pièce
est de mon cru. Leclerc répond : Elle est mienne
Leclerc répond : Elle est mienne et non vôtre. Mais, aussitôt que la
pièce
eut paru, Plus n’ont voulu l’avoir lait l’un ni l
s satires, et se fit connaître en 1694 par des comédies en prose. Une
pièce
en cinq actes et en vers, le Joueur (1696), son p
rd. HECTOR. Je vais le mettre en
pièces
. VALÈRE. Lis donc. HECTOR, lit. C
oésie. Il chante la table en « goinfre » (c’est le titre d’une de ses
pièces
, et c’est le nom que se donnaient les compagnons
médiens de province, puis du théâtre du Marais à Paris, Des six cents
pièces
que, dit-on, il écrivit, quarante et une furent p
Sylvie (1621) et de sa tragédie de Sophonisbe (1629), deux des douze
pièces
qu’il donna au théâtre (Sylvanire, pastorale, Clé
nobie (1711) qui balance ses meilleures tragédies, à part Zaïre, « la
pièce
enchanteresse », comme l’appelle, après Rousseau,
et imitateur malheureux du théâtre de Voltaire, mais dont la première
pièce
, Warwick (1763), et dont le Philoctète attestent,
tragédie ne fut pas même reçue par les comédiens. Il continua, donna
pièce
sur pièce pendant douze ans ; puis, pendant près
ne fut pas même reçue par les comédiens. Il continua, donna pièce sur
pièce
pendant douze ans ; puis, pendant près de trente
ins Mahomet, Alzire même (voir plus bas une note d’une scène de cette
pièce
), — mais non pas ce qu’il fut pour les grands tra
Paris De malotrus, soi-disant beaux esprits, Qui, dissertant sur les
pièces
nouvelles, En font encor de plus sifflables qu’el
ne heure, au milieu des hasards de cette vie changeante, à écrire des
pièces
en cinq actes et en vers, que leurs titres signif
i des traits, des éclairs et des foudres. Ainsi parle le héros de la
pièce
, fou de poésie, M. de l’Empyrée ; c’est l’image d
ros de la pièce, fou de poésie, M. de l’Empyrée ; c’est l’image de la
pièce
elle-même. Tout Piron n’est pas dans la Métromani
es décisions, le poids de ce qu’il dit ; Il faut l’entendre après une
pièce
nouvelle : Il règne, on l’environne ; il prononce
e l’indépendance, de la famille et de l’amitié, il écrivit épîtres et
pièces
diverses, toutes pénétrées de naïveté, de fraîche
’Épître, six d’Épigrammes (six cent trente-quatre en tout), nombre de
pièces
diverses prouvent qu’elle fut bien remplie. Son s
ses comédies de la Partie de Chasse de Henri IV, qui est sa meilleure
pièce
, et Dupuis et Desronais, terminé par ces deux ver
llai, le jour suivant, flatter un financier. Mercredi, je courus à la
pièce
nouvelle. Tout le monde étoit pour, et moi je fus
libéraux qu’il donnait dans son Cyrus (1804) au nouvel empereur : la
pièce
n’eut qu’une représentation ; Tibère, son chef- d
de François de Neufchateau, les mélodrames qui, parmi les cent vingt
pièces
de Guilbert de Pixérécourt (1773-1844), ont eu un
n à l’Empire plut moins que ne déplurent les conseils du libéral : la
pièce
n’eut qu’une représentation. Dès lors, c’est dans
té (1838), toutes en vers ; et, en prose, Don Juan d’Autriche (1835),
pièce
pseudo-historique, pleine d’esprit, comme l’est d
t un parent et séjourne, la poésie déborde déjà chez lui en nombre de
pièces
dont quelques-unes seulement, dit-il, sont restée
uit, et le dernier de ses recueils la resserre encore dans de petites
pièces
en strophes de quatre petits vers, qui suffisent
tal de la Charité, Hégésippe Moreau a laissé, avec un petit nombre de
pièces
, épîtres, chansons, élégies, fabliaux, etc., suiv
e, sous la nature radieuse, avec Eros, l’idéal divin. — Dans quelques
pièces
des. Odes et Poèmes (1844), le poète est encore e
quête et l’exercice, les libertés de temps et de lieu. Chacune de ses
pièces
nouvelles l’éloigne de son point de départ et le
855), ses Poèmes barbares (1859), dont le recueil reproduit plusieurs
pièces
des recueils antérieurs, nous rencontrons à chaqu
s des genres poétiques pratiqués par Marot et son école ; Ballade. —
Pièce
de vers coupée en trois stances égales et suivie
Ronsard a pratiqué ce genre de l’ancienne poésie. Étrenne. — Petite
pièce
de vers offerte eh souhait de nouvel an et en étr
, en latin étrenne, Dixains, Huitains, Sixains, Quatrains. — Petites
pièces
de dix, huit, six et quatre vers. Mascarade. — V
), proprement : terminer un marché en payant. 27. Étymol. : solidum,
pièce
de monnaie pleine et de poids. D’où vient aussi s
ion la verve satirique. 103. Le mystère d’Abraham sacrifiant est une
pièce
courte, dont les scènes se suivent sans division
am, Sara, Isaac, Satan, un ange, une troupe de bergers. Le plan de la
pièce
comprend les adieux de la mère et du fils, les ap
Villanelle » : la Villanelle comporte un refrain (voyez p. 3). Petite
pièce
« toute chantante et ailes déployées, qui sent la
3. Ce que j’écris. 234. Comme on dit familièrement, la monnaie de sa
pièce
. 235. « Docte personnage, alors qu’il fut en pr
et mille sortes de petits oisillons. » 246. Voici la plus célèbre
pièce
de R. Belleau. Veut-on savoir comment elle est en
tym. : à valle, du fleuve qui descend la pente de la vallée. — Arbre,
pièce
principale d’une roue ou d’une machine. 272. Me
uilibrent bien, C’est comme l’esquisse d’une ode d’Horace ou de telle
pièce
de Properce. 295. Couronne. Le moyen âge dit aus
ontaine a imitées (Fables, I, 17 ; II, 5, 13 ; IV, 13, 16.) 305. La
pièce
fut jouée devant Henri II, sur un théâtre élevé d
voisin de celui de Jodelle. Cléopâtre a un rôle capital dans les deux
pièces
; mais celle de Garnier s’arrête au moment où com
. 309. Cf. Virgile, loc. cit., 380-392. — Jodelle a fait dans cette
pièce
tous les emprunts qu’il a pu au IVe livre de l’En
’hui soudard, soudart, pris en mauvais part. Étym. solde, de solidum,
pièce
de monnaie, qui a produit aussi sou. 328. On a
ré de Jean de la Taille. 445. Le IVe livre des Satyres contient dix
pièces
, épîtres bien plutôt que satires, adressées à cha
é bachique, — dernière discrète, et de pointe légère, — fait de cette
pièce
(La Divinité des Procés) un modelé du meilleur et
. Je l’ai séparé et éloigné des… 528. C’est une des trois ou quatre
pièces
que Malherbe trouve bonnes. 529. Voilà une strop
599. Draper, comme le peintre son modèle ; d’où habiller de toutes
pièces
rendre de tout point ridicule. Boileau, Sat. VI :
s ronds (godrons) aux fraises qui entourent le cou. 698. Cette jolie
pièce
, d’allure vive et ronde, à la bonhomie spirituell
r MM. Chassang et Marcou, 1 vol. chez Furne, Jouvet, et Cie. 707. La
pièce
de Malherbe le plus souvent citée sont les Stance
s, grotesques ou uses, avec force monologues, chansons ou chœurs, une
pièce
l’intéressante, souvent touchante ; tel est le pr
eprésentant le martyre d’Adrien, tragédie (tel est le titre), est une
pièce
dans une pièce. Dioclétien et sa Cour sont sous n
martyre d’Adrien, tragédie (tel est le titre), est une pièce dans une
pièce
. Dioclétien et sa Cour sont sous nos yeux spectat
ce à la scène 5e du IIe acte et finit à la scène 6e du IVe acte de la
pièce
de Rotrou. Dans le cours du rôle d’Adrien qu’il j
le, dont ces belles paroles d’Antigone, le plus célèbre passage de la
pièce
grecque (v. 458 sqq.) sont directement imitées. C
inconnu, qu’elle aime en secret — Carlos sera reconnu, à la fin de la
pièce
, pour Don Sanche, roi d’Aragon, et épousera la re
n souffle de galanterie et de fierté castillane respire dans toute la
pièce
. Ces péripéties ingénieuses et naturelles sont lo
e que pouvait encore Corneille déchu, nous choissons, dans une de ses
pièces
condamnées et oubliées (quatre vers immortels ont
ue le P. Tournemine allait jusqu’à préférer ce morceau « à toutes les
pièces
de Racine. » Il est vrai que le P. jésuite ne par
e sujet est pris aux Vies de Lysandre et d’Agésilas par Plutarque. La
pièce
est de 1666. On y remarquera la nouveauté des mèt
ement tuent frappantes. Les dix strophes que nous citons finissent la
pièce
, qui en compte 35. — Corneille consacra à la trad
ière contre le déchaînement d’hostilités que suscita contre lui cette
pièce
; ses ennemis abusérent de quelques libertés de l
ns les rendez-vous qu’il cherche ou qu’il a. Il en résulte une de ces
pièces
qu’on appelle « à tiroir ». Éraste nous raconte l
copié. » Dix jours après, à Fontainebleau, il vit une seconde fois la
pièce
; elle contenait le récit de la partie de chasse,
die par l’ambition avisée, hardie et froide du vizir Acomat. Toute la
pièce
est en eux. Bajazet, hautain avec Roxane, soupira
« Se servir, d’une prêteuse sur gages pour amener le dénouement d’une
pièce
qui s’appelle le Joueur, est d’un auteur qui a pa
ion, refrain de la scène capitale, où aboutissent tous les fils de la
pièce
. Éraste, aidé par son valet Grispin, n’a rien nég
1009. C’est la Journée des dupes en deux mots. 1010. C’est là la «
pièce
vraiment belle de Maynard », dit Sainte-Beuve. Le
lict où ses pères sont morts. 1013. On voit l’enchaînement de ces
pièces
: se soustraire aux vanités et aux déceptions de
cialibus aspera ventis », dont Virgile peint l’Hiver, Hyems. 1018.
Pièce
d’une fantaisie étrange, remarquable par la pléni
nsi finissent les imprécations de Camille dans Horace. Au début de la
pièce
, Syphax dit à Sophonisbe : Est-ce là cet amour q
duite, à part la réserve qu’exprimait spirituellement Chaulieu : « La
pièce
seroit très claire, n’étoit l’exposition. » L’his
atos ecquid agnoscis tuos ? — Agnosco fratrem. Atrée avait ouvert la
pièce
en disant Avec l’éclat du jour je vois enfin ren
ridicule, celui de Philoctète, supprima l’amour dans Mérope (1743),la
pièce
classique, à part le style, dans Oreste (1750), e
e Gusman fuit oublier bien des vers faibles. — Voyez ce que dit de la
pièce
et de cette scène Chateaubriand, Génie du Christ.
n homme de bonne compagnie est peut-être la seule faute de goût de la
pièce
. 1118. Cet emploi neutre n’existait déjà plus au
ufière recherche Isabelle, fille d’un riche bourgeois, et réponse. La
pièce
, dont l’action se résume en ces mots, est consacr
dire à son tour : Mon fils est glorieux, mais il a le cœur bon. La
pièce
finit par un double mariage : ainsi devait finir
on. » (La Harpe.) 1124. « C’est encore une idée qui va au but de la
pièce
, que le père du Glorieux ait été ruiné par l’orgu
oilà, on l’avouera, un enthousiasme généreux. Sic itur ad astra. La
pièce
de Damis pourra tomber à plat, mais non l’auteur.
astra. La pièce de Damis pourra tomber à plat, mais non l’auteur. La
pièce
tombe en effet, mais Damis s’était déjà sacrifié
— On peut l’admirer, on ne le plaint pas. C’est le seul défaut de la
pièce
. 1132. Voilà tout Piron. Bien armé d’esprit et
la soubrette Lisette. C’est l’oncle Géronte qui tire la morale de la
pièce
dans les deux vers qui la terminent Malgré tous
— C’est ce qu’établit, à l’encontre de Valère, Ariste, le sage de la
pièce
, frère des Aristes de Molière. 1136. Bon nombre
que. 1301. À Sainte-Hélène, le 5 mai 1821. 1302. Nous donnons cette
pièce
(dirons-nous chanson ? le refrain seul le veut) c
tresse, Ce mouchoir brodé épouvanta ceux qui entendirent d’abord la
pièce
. Ils me supplièrent à mains jointes de changer de
rations que comporte la perspective théâtrale, les faces diverses. La
pièce
, en se déroulant, nous le montrera tour à tour ou
près de Chambéry. (Voir Raphaël, pages de la vingtième année). Cette
pièce
, une des plus célèbres de Lamartine, doit sa popu
e). 1365. Deux mots par lesquels V. Hugo résume une des premières
pièces
des Feuilles d’Automne, Ce qu’on entend sur la mo
; tu ne me tueras pas ; c’est, là (série II), le poète qui, dans une
pièce
d’une incomparable grandeur, l’Abîme, monte d’éch
rêvés, qui font rêver le lecteur : voilà la substance de cette petite
pièce
célèbre. 1381. « Quand l’univers l’ècraseroit,
cles, première série, Le Régiment du baron Madruce.) — Comparez cette
pièce
de V. Hugo, et le Camp de Wallenstein de Schiller
s l’imagination. 1445. Ces plaintes du poète sont, dans la dernière
pièce
du recueil intitulé Lazare, comme sa conclusion.
et de son caractère. 1468. La mort trompa cette fois le poète. Cette
pièce
est de 1832. 1469. Une tradition, reconnue fauss
de la Charité, mais de l’Hôtel-Dieu. 1470. On remarquera dans cette
pièce
, pleine des souvenirs de Gilbert, quelques idées
e poète. Nous retrouvons ce chêne dans les Voix du Silence (1865). La
pièce
intitulée Sylva nova commence ainsi : Allons rev
quement et spirituellement raillé lui-même, comme on le verra dans la
pièce
suivante ; et il a donné à la jeunesse de son tem
villa de la plage du Prado. L’inspiration s’éparpille un peu dans des
pièces
de formes et de mètres très varies ; les vastes h
les arbres s’effeuillent (c’est la division du recueil), où, en des
pièces
de longueur et de mètres variés, il décrit et ren
bre et plus mâle langage, ni vigueur plus cornélienne, que dans cette
pièce
, son début. 1502. Où remplaçant le relatif pré
entre Brutus et Lucrèce est le lien des deux actions qui composent la
pièce
, la mort de Lucrèce et la liberté de Rome…, et un
pénétrée de lumière et de fraîcheur. Voyez le même caractère dans la
pièce
citée plus bas : Bords du Gange, soleil levant. —
eurs, le grand poëte parvenu à sa maturité retoucha la plupart de ces
pièces
. 1. 1667. Sorti de l’école de Port-Royal, Racine
ine s’était déjà annoncé comme poëte distingué par ses deux premières
pièces
, la Thébaïde ou les Frères ennemis, et Alexandre,
théâtre français. — Voltaire n’a pas craint d’appeler admirable cette
pièce
dont le sujet est tiré du IIIe livre de l’Eneïde
n quelques passages l’Andromaque d’Euripide. Sur la comparaison de la
pièce
française avec la pièce grecque, on lira avec int
dromaque d’Euripide. Sur la comparaison de la pièce française avec la
pièce
grecque, on lira avec intérêt un chapitre des Etu
nts ; et la joie que quelques-uns ont eue à voir mettre mes écrits en
pièces
par un impitoyable grammairien13 n’est point si i
. LE MARQUIS. Quoi ! chevalier, est-ce que tu prétends soutenir cette
pièce
? DORANTE. Oui, je prétends la soutenir. LE MARQU
âtre un de mes amis qui se rendit ridicule par là. Il écouta toute la
pièce
avec un sérieux le plus sombre du monde ; et tout
terminée à la comédie ; que la différence du demi-louis d’or et de la
pièce
de quinze sous ne fait rien du tout au bon goût ;
qui le composent il y en a plusieurs qui sont capables de juger d’une
pièce
selon les règles, et que les autres en jugent par
i la grande règle de toutes les règles n’est pas de plaire, et si une
pièce
de théâtre qui a attrapé son but n’a pas suivi un
oit s’arrêter peu à leurs disputes embarrassantes. Car, enfin, si les
pièces
qui sont selon les règles ne plaisent pas, et que
’avenir du goût de quelqu’un qu’à proportion qu’il en aura pour cette
pièce
» : phrases outrées, dégoûtantes, qui sentent la
qu’il ait pu tomber de si haut. Dans quelques-unes de ses meilleures
pièces
, il y a des fautes inexcusables contre les mœurs2
toujours le même partout, soit pour le dessein et la conduite de ces
pièces
, qui sont justes, régulières, prises dans le bon
et dans celui-ci du goût et des sentiments. L’on est plus occupé aux
pièces
de Corneille ; l’on est plus ébranlé et plus atte
s dès le jour même qu’ils sont en place. Qu’est-ce pourtant que cette
pièce
de terre ainsi disposée, et où tout l’art d’un ou
s figure, je ne suis plus guère en état d’en profiter. On va jouer la
pièce
; jacta est alea 358. 26 novembre 1733. À mad
e, parce que vous me paraissez faite pour leur ressembler. Il y a des
pièces
de madame Deshoulières qu’aucun auteur de nos jou
e, les cygnes étaient en possession de faire l’ornement de toutes les
pièces
d’eau : ils animaient, égayaient les tristes foss
ipide). À peine avaient-ils les yeux fermés, qu’Aristophane, dans une
pièce
jouée avec succès413, supposa que Bacchus, dégoût
’un et l’autre, armé des traits de la satire, relève le mérite de ses
pièces
et déprime celles de son rival. Bacchus doit pron
: la plupart des Athéniens furent moins blessés des atteintes que les
pièces
d’Euripide portaient aux idées reçues qu’entraîné
t sur celui du malheureux Télèphe, et l’auteur fut justifié. Dans les
pièces
d’Eschyle et de Sophocle, les passions, empressée
ter sans efforts à tous les besoins de l’âme. Quant à la conduite des
pièces
, la supériorité de Sophocle est généralement reco
s chœurs n’ont souvent qu’un rapport indirect avec l’action. Dans les
pièces
d’Eschyle et de Sophocle, un heureux artifice écl
aves ; tantôt, pour flatter le peuple, se livrer à des écarts dont sa
pièce
des Suppliantes offre un exemple frappant427. Esc
ui ont illustré la scène. D’où vient donc que, sur le grand nombre de
pièces
qu’ils présentèrent au concours, le premier ne fu
ète avait, dès l’âge de vingt-trois ans, placé sur la scène, dans une
pièce
intitulée Mélite, une aventure qui lui était pers
comédie qui obtint des applaudissements et les méritait, comparée aux
pièces
de l’époque. Il eut l’honneur d’exciter l’émulati
st vrai que l’on sue à souffrir ses discours : Elle y met Vaugelas en
pièces
tous les jours, Et les moindres défauts de ce gro
esprits à nos yeux rebutes. L’ignorance et l’erreur à ses naissantes
pièces
, En habits de marquis, en robes de comtesses, Ven
le début, la fin, répondent au milieu697 ; Que le début, délicat les
pièces
assorties Que d’un art délicat les pièces assorti
; Que le début, délicat les pièces assorties Que d’un art délicat les
pièces
assorties N’y forment qu’un seul tout de diverses
talent, et de n’en faire jamais qu’un usage avoué par la morale. Ses
pièces
se recommandent, en général, non pas tant par la
r. 148. Un poète contemporain (M. Victor Hugo), dans une fort belle
pièce
intitulée Pour les pauvres, a rencontré des image
partie des Classiques de Lefèvre, p. 250 et suiv. L’original de cette
pièce
curieuse, qui fut, comme on sait, rédigée par Cha
ittérature (article Mœurs). 205. Ce terme désignait alors toutes les
pièces
de théâtre : de là encore le nom de Comédie franç
ants a inspiré à M. de Lamartine une de ses plus belles créations, la
pièce
des Étoiles (Méditations poétiques) : Cependant
s. 244. Boileau. 245. Racine. 246. L’Œdipe de Corneille, l’une des
pièces
les plus faibles du grand poète, est de 1659. 24
ure. 268. On pourrait retrouver les idées de Fénelon dans une jolie
pièce
de Charles Nodier intitulée le Style naturel. Le
ce de l’expression. 338. On peut voir sur cette rapide conquête deux
pièces
du grand Corneille, l’une en vers français, l’aut
r : Nos pères tout grossiers l’avaient beaucoup meilleur… 361. La
pièce
de madame Deshoulières, souvent citée à cause de
s’éteint jette plus de clarté. De même encore André Chénier dans sa
pièce
intitulée Néère : Mais telle qu’à sa mort, pour
408. On peut rapprocher de ce passage les strophes suivantes de la
pièce
de M. de Lamartine, intitulée le Lac (c’est l’une
partir pour Troie, est retenue par le calme des vents. Le titre de la
pièce
de Racine a presque consacré ce léger contre-sens
ais dans ses préfaces et les examens sincères qu’il a consacrés à ses
pièces
. Déjà on a vu Corneille dignement loué par Racine
d’un grand mérite et d’une vaste littérature. » Il fit quarante-deux
pièces
de théâtre, dont quelques-unes obtinrent un brill
des scènes touchantes et des vers fort heureux. Par malheur, dans les
pièces
de Thomas Corneille, le style n’est jamais assez
maître et l’utilité du prochain ». 476. 1639. — La dédicace de cette
pièce
, adressée à Richelieu, atteste que le poète était
Examen de sa tragédie : « C’est une croyance assez générale que cette
pièce
pourrait passer pour la plus belle des miennes, s
1639. Suivant Voltaire, le pinceau de Corneille se montre dans cette
pièce
le même que dans Horace, et l’ordonnance du table
genre et dans aucune langue, de peinture plus vive de l’amitié. Cette
pièce
et quelques autres traits épars chez La Fontaine
à un récit qui n’a rien d’allégorique) : c’est pareillement l’une des
pièces
où Chamfort s’est le plus appliqué à mettre en re
agrément. Voici dans quels termes M. Gustave Planche a parlé de cette
pièce
, qui lui semble le plus parfait des ouvrages de M
t parlant tous les langages, en forme le charme principal. Dans cette
pièce
, Molière continuait la guerre qu’il avait faite p
ami de la vérité, lit jouer, lors des premières représentations de sa
pièce
, le rôle de Martine par sa propre servante, qui p
s l’on sera frappé de la perfection du tableau. Chaque trait de cette
pièce
est une peinture vivante de la société. » Partout
est adressée, III, 8. 663. On peut encore rapprocher de ces vers la
pièce
de Corneille, Sur les prétoires du roi, imitée de
ant ainsi le point juste que Boileau avait touché. Corneille, dans la
pièce
déjà citée : Tout à coup il (l’ennemi) se montre
p. 20, les mêmes faits rapportés par Pellisson. A la lecture de cette
pièce
, on se rappellera ce que nous dit ailleurs Boilea
. 705. 1669. Ce fut la quatrième tragédie de Racine et sa cinquième
pièce
, puisqu’elle fut précédée de l’excellente farce d
ter comme on médite Tacite. Aussi Voltaire a-t-il dit que c’était la
pièce
des connaisseurs . Boileau n’en avait pas moins c
ime, ouverte devant Néron, ne se refermera plus pour lui. Toute cette
pièce
a été supérieurement commentée par La Harpe : nou
citée de M. Villemain une comparaison piquante établie entre ces deux
pièces
. 758. Voy. Virgile, représentant, d’après l’Odys
rapelet, 1822, considérée même comme la meilleure, et un choix de ses
pièces
publié par Auger en 1810. 781. 1732. — On co
erra, renfermée dans plusieurs situations et dans l’ensemble de cette
pièce
, sans exclure en aucune façon l’agrément. M. Sain
uguste, ch. 99.) C’était le compliment adressé au public à la fin des
pièces
de théâtre. 807. Voltaire avait alors soixante-d
postérité comme une des tragédies les plus parfaites ». De toutes les
pièces
de Voltaire, c’est la composition qui passe, en e
empruntée non pas, comme on l’a dit, à l’Amasis de La Grange-Chancel,
pièce
jouée trente-sept ans auparavant, mais au Gustave
upés, véhéments, et tantôt remplis de violence, tantôt de hauteur. La
pièce
me serre le cœur dès le commencement et me mène j
r les yeux à la faiblesse du style, se succédèrent encore beaucoup de
pièces
dont le nom seul et quelques vers ont survécu. Il
hommage qui l’immortalise. Chénier lui avait encore adressé une autre
pièce
. 838. On remarquera avec quel art et quel bonheu
populaire un mérite qui jusqu’ici a passé inaperçu. Le germe de cette
pièce
, qui défie la louange et qui échappe à toute anal
entra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie, l’une des
pièces
dont la réputation s’est maintenue au premier ran
ce ton de légèreté et de persifflage des salons à la mode, dont cette
pièce
est, comme l’a dit M. Villemain, une vivante méda
et n’avait que vingt-quatre ans quand il donna, après quelques autres
pièces
de poésie, ce modèle de plaisanterie légère et dé
et avec une certaine symétrie qu’on voit régner ensuite dans toute la
pièce
. Les rimes mêlées sont celles qui se succèdent sa
énéralement, et d’ailleurs assez commode, qui met d’abord les petites
pièces
anciennes fondées sur une disposition particulièr
notre vieille langue. Il faut pourtant les connaître. 2º. Les petites
pièces
, comme les impromptu, épigrammes, madrigaux, chan
(Remerciement au roi, 1663). Les Fâcheux1. (Une scène de cette
pièce
.) Acte II, Scène VII. Un certain fâcheux,
r les murailles) par Mignard, dont on voit ensuite l’éloge. 1. Cette
pièce
est de 1661, et ce fut à Vaux, dans une fête que
r, pour laquelle il avait dès longtemps une vocation très-marquée. La
pièce
, à quelques jours de là, fut donnée à Fontaineble
un lion qui tient sa proie dans ses ongles, tout prêt à la mettre en
pièces
. » (Bossuet, Oraison funèbre d’Anne de Gonzague.)
on œuvre. Elle ajoute l’appréciation au résumé. Ex. les analyses des
pièces
du théâtre classique, par La Harpe ; — celle de l
s, de mesure égale ou inégale, qui entrent librement dans les petites
pièces
, s’enlacent symétriquement dans la poésie lyrique
escends des cieux, etc. 3° Madrigal Le madrigal est une petite
pièce
de poésie ingénieuse et galante. Elle consiste à
it. La brièveté n’est pas une condition essentielle de ces sortes de
pièces
. Marot et bien d’autres nous offrent des modèles
ue les refrains paraissent ramenés sans effort, pour l’agrément de la
pièce
et non par nécessité. Le triolet commence habitue
la nature et les montrer d’accord avec eux-mêmes jusqu’à la fin de la
pièce
. 3° Dans tout poème dramatique, le style doit êtr
ion du sujet ; 2° le nœud de l’action ; 3° le dénouement. 1° Dans les
pièces
importantes, le premier acte est consacré à l’exp
projet d’un Traité sur la tragédie, etc. Drame Le drame est une
pièce
dont les personnages sont empruntés à toutes les
funestes et les situations les plus émouvantes de la vie. Ce genre de
pièces
, sérieux par le fond, souvent familier par la for
la pantomime à l’aide de la musique. Tantôt il est l’accessoire d’une
pièce
, comme dans les opéras modernes, où il figure en
ient exclusivement réservés à la tragédie, et l’on donne ce nom à des
pièces
qui contiennent en même temps une action triste e
és en général sur des airs connus. Proverbe Le proverbe est une
pièce
où l’on développe et met en scène des dictons fam
La saynète (de l’espagnol sainete, assaisonnement) est une petite
pièce
faite à l’imitation du théâtre espagnol. Elle n’e
utre chose qu’un divertissement joué, en guise d’intermède, après une
pièce
principale. Féerie La féerie est une pièce
intermède, après une pièce principale. Féerie La féerie est une
pièce
mêlée de farce, de chant et de ballets, où l’acti
naire, etc.) Parodie La parodie est l’imitation burlesque d’une
pièce
sérieuse, souvent aussi le travestissement satiri
isant d’une œuvre littéraire quelconque. Revue La revue est une
pièce
dans laquelle défilent, sous une forme bouffonne,
s les farces, les sotties du moyen âge, mélange des deux, étaient des
pièces
étranges dont L’Avocat Patelin est resté le meill
rs rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous, d’en bas, la
pièce
est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs
imitive, il a passé à un sens plus étendu, et on l’a appliqué à toute
pièce
de vers, qui, comme celles de l’Anthologie grecqu
églogue (ἐκλογή, choix, de ἐκ parmi, λέγω, je choisis) est une petite
pièce
sur un sujet champêtre. Elle renferme ordinaireme
ieilles rimes Mentionnons seulement pour mémoire certaines petites
pièces
de vers qui ne sont souvent que des tours de forc
ré que peut atteindre cette étrange manie, il suffit de mentionner la
pièce
de vers qui se trouve dans Rabelais et dont la di
es, mémoires, correspondances, journaux, etc.). Il faut y joindre les
pièces
diplomatiques officielles ou secrètes, dont l’int
e applaudir même ce que vous ne disiez pas. Quelques-unes des petites
pièces
de Molière ne sont guère moins goûtées des connai
la contre-partie d’une idée de ce grand poëte vous a fourni toute une
pièce
nouvelle. Mais c’est dans notre temps surtout, da
t votre part dans ce travail commun ! C’est par là, Monsieur, que vos
pièces
, transplantées, ont amusé toute la France, et que
ce qui prouve que le costume et l’à-propos ne sont pas tout dans ces
pièces
si parisiennes, et qu’elles ont un grand fonds d’
anciens et rejetée par Aristote. D’après la même théorie, toutes les
pièces
où le personnage intéressant fait son malheur lui
ne. L’auteur d’un argument sur l’Oreste d’Euripide remarque que cette
pièce
, ainsi que l’Alceste, a un dénoûment comique il
sins ; ces poussins deviendroient grands.. et vaudroyent cinq solz la
pièce
; ce seroit un escu et plus, dont elle achepteroi
et en seroient une douzaine d’autres, qu’elle vendroit vingt solz6 la
pièce
après les avoir nourriz quelque temps : ce seroye
es et les plus propres à nous faire bien juger du poème épique et des
pièces
de théâtre. Dans les œuvres de Lucien, né, vers l
qui ne mettrait sous les yeux du lecteur que les vers négligés d’une
pièce
de poésie, ou les morceaux peu saillants d’une pi
s négligés d’une pièce de poésie, ou les morceaux peu saillants d’une
pièce
d’éloquence, lui donnerait une bien fausse idée d
s Sentiments sur le Cid ; Corneille lui-même, dans ses examens de ses
pièces
; Boileau, dans ses Réflexions critiques ; Voltai
flatteur et de plus délicat dans la passion. L’on est plus occupé aux
pièces
de Corneille ; l’on est plus ébranlé et plus atte
issant vos lettres. Gardez-vous bien d’y toucher ; vous en feriez des
pièces
d’éloquence. Cette pure nature, dont vous parlez,
des vers se suivent sans aucune symétrie ; mixte lorsque dans la même
pièce
elle est tantôt régulière, tantôt irrégulière, co
olée quand le péril du principal personnage cesse dans le cours de la
pièce
. Tel est le défaut de la tragédie des Horaces. 49
lie et Mérope sont des chefs d’œuvre de deux grands tragiques, et ces
pièces
ne contiennent aucun rôle d’amour. Vouloir cette
œurs présente un caractère dominant, qui est le principal objet de la
pièce
, et plusieurs autres caractères qui contrastent e
caractères, et les caractères provoquent les situations. Ce sont les
pièces
les plus agréables. De la comédie populaire.
De la comédie populaire. 525. La comédie populaire est une petite
pièce
dont le but est de faire rire par une peinture fa
is était composé de moralités, il y avait presque toujours une petite
pièce
destinée à délasser le spectateur d’une pièce plu
que toujours une petite pièce destinée à délasser le spectateur d’une
pièce
plus sérieuse ; et quand l’art dramatique fut per
mêlée à l’action, et enfin elle a exclu toute parole. 527. Il y a des
pièces
où toute la suite des événements est exprimée par
lorsque l’acteur vient seulement gesticuler devant l’assistance, les
pièces
s’appellent des pantomimes ; elles portent le nom
t sur des airs connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la
pièce
, sous le nom de vaudeville final, une sorte de ch
couplet à tour de rôle. Depuis, on a jeté des couplets dans toute la
pièce
sans aucune nécessité, mais seulement parce que l
comédies pour ne point laisser de lacune dans notre cours ; mais ces
pièces
, presque toujours licencieuses et frivoles, n’off
ioste et Goldoni. Genre mixte. 531. Le genre mixte embrasse les
pièces
où la musique joue le principal rôle et qui sont
ue la simple parole y remplace le récitatif. Il y a dans ce genre des
pièces
gaies ; il y en a de tristes, comme Camille : il
aujourd’hui du vaudeville quant à la composition littéraire. Ces deux
pièces
diffèrent seulement en ce que les couplets du vau
hrase musicale exécutée par l’orchestre. Le chant ne se môle pas à la
pièce
comme dans l’opéra-comique et le vaudeville ; la
comique. 536. Pour ne rien omettre, nous devons mentionner enfin les
pièces
à scènes détachées. Ces pièces se composent d’une
ttre, nous devons mentionner enfin les pièces à scènes détachées. Ces
pièces
se composent d’une suite de portraits ou de table
ison et qui sont amenés par différents personnages. Il n’y a dans ces
pièces
ni unité d’action, ni intrigue, ni dénouement. Ai
pièces ni unité d’action, ni intrigue, ni dénouement. Ainsi, dans une
pièce
en quatre actes et quinze tableaux il y a quinze
e ces dangereux ouvrages. 538. Ce qui fait le péril du théâtre et des
pièces
dramatiques, c’est qu’un drame moderne semble imp
gédies qu’il avait composées dans sa jeunesse, Gresset, qui brûla des
pièces
destinées sans doute à accroître beaucoup sa reno
es anciens, ou idylle (εἰδύλλιον, petite image), ou églogue (ἐϰ λέγω,
pièce
de choix). Ce mélange indique que chez eux l’églo
poésies fugitives27. 576. On appelle poésies fugitives de petites
pièces
de vers qui ne demandent pas un long travail, et
ser un moment et à plaire qu’à produire de grands effets. Quoique ces
pièces
ne soient que de simples jeux d’esprit, il est di
e. (Piron.) Du sonnet et de la ballade. 583. Le sonnet est une
pièce
de quatorze vers dont les huit premiers, partagés
ns de parler. Du rondeau et du triolet. 585. Le rondeau est une
pièce
composée d-e treize vers, auxquels on ajoute deux
rodie ? 526. Qu’appelle-t-on comédie-ballet ? 527. N’y a-t-il pas des
pièces
où tout est exprimé par le geste ? 528. Qu’est-ce
que ? 535. Qu’est-ce que le mélodrame ? 536. Que faut-il entendre par
pièces
à scènes détachées ? 537. Les poètes dramatiques
s de leur talent ? 538. Qu’est-ce qui fait le péril du théâtre et des
pièces
dramatique ? 539. Quel fut le sentiment de plusie
qui ne mettrait sous les yeux du lecteur, que les vers négligés d’une
pièce
de poésie, ou les morceaux peu saillants, d’une p
négligés d’une pièce de poésie, ou les morceaux peu saillants, d’une
pièce
d’éloquence, lui donnerait une bien fausse idée d
es et les plus propres à nous faire bien juger du poème épique et des
pièces
de théâtre. Cassandre a traduit la rhétorique, et
reil spectacle me révolterait, sans me faire illusion. Donnez à votre
pièce
cinq actes, ni moins, ni plus, si vous voulez qu’
dèle, serviteur et nourricier de Bacchus. Je prendrais le sujet de ma
pièce
dans le domaine commun. Chacun aurait l’ambition
, promena sur un tombereau des acteurs qui chantaient et jouaient ses
pièces
, le visage barbouillé de lie. Eschyle, après lui,
eintre de la nature, faites poser la nature devant vous. Il y a telle
pièce
, où les caractères sont naturels, et les mœurs bi
it-pas-utile 555et ne se rattache pas étroitement 556au sujet de la
pièce
. 557Que lui (le Chœur), 558et favorise les bon
er de-là 910des expressions (des images) vives. 911Quelquefois, une
pièce
, 912remarquable par les idées 913et bien rendue
r 967soient très-ressemblantes 968aux choses vraies ; 969et qu’une
pièce
ne prétende pas 970pour-elle-même 971que tout c
dit, Aut humana parum cavit natura…. Page 12. — 1. Chremes, dans la
pièce
de Térence, intitulée l’Héautontimoruménos. — 2.
n caractère ; qu’il ne se démente point, et que, jusqu’à la fin de la
pièce
, il soit tel qu’il aura paru au commencement. Mai
us a peint un caractère général, communia ; et, par la conduite de sa
pièce
, par tout ce qu’il fait dire et faire à son Harpa
toile, au lieu descendre du plafond, comme chez nous, à la fin d’une
pièce
, s’élevait au contraire de bas en haut. La machin
ine qui la faisait descendre au commencement et remonter à la fin des
pièces
, s’appelait exostra. — 2. Reddere qui voces jam
’Art d’écrire. On remarquera facilement que, dans aucune de ces trois
pièces
, Horace n’a voulu astreindre à un plan systématiq
lique comprend l’idylle et l’églogue : le mot idylle veut dire petite
pièce
, petit tableau ; et le mot églogue, pièce de choi
mot idylle veut dire petite pièce, petit tableau ; et le mot églogue,
pièce
de choix. La différence entre ces deux genres est
employer douze figures ; il enflait sa matière de lieux communs et de
pièces
cent fois rejouées. Pour éviter la pauvreté, il s
ieu est le poëte, et les hommes ne sont que les acteurs : ces grandes
pièces
qui se jouent sur la terre ont été composées dans
quin 1 ; c’est quelque chose de pis : ou plutôt ce sont les premières
pièces
d’un procès criminel intenté par le genre humain
ut-être veut-il parler de la manière dont Médée traitait Égée dans la
pièce
d’Euripide qui portait ce dernier nom. Voy. Welck
t ce dernier nom. Voy. Welcker, livre cité, p. 729. Le sujet de cette
pièce
est exposé dans : Apollodore, Bibliothèque, I, 9,
ois ; il part avec sa trompette chérie et une ceinture garnie de cent
pièces
d’or, fruit honorable et précieux de ses économie
n air guerrier que son père aimait beaucoup, puis il s’écrie : « Cent
pièces
d’or sont contenues dans ma ceinture ; j’en donne
e à celui qui repêchera mon corps et qui portera les cinquante autres
pièces
à mon père » À peine eut-il achevé ces mots qu’un
lques jours après. On apporta au père de cet infortuné, non cinquante
pièces
d’or, mais les cent qui étaient dans la ceinture…
boré, le grand Saint-Bernard vaincu !… Le premier consul a promis par
pièce
1000 francs aux soldais qui se sont voués à cette
lle et incisive épître qu’il a composée contre les romantiques. Cette
pièce
de vers a trop d’étendue pour que nous la rapport
’il n’en est aucun de comparable dans toute l’antiquité. Dans la même
pièce
, un des Curiaces dit à Camille, sa fiancée, qui v
er de pareils ornements. Ce langage, qui serait même déplacé dans une
pièce
profane, est quelque chose de plus dans un morcea
esprit qu’ils ne peuvent toucher le cœur. Il n’en est pas ainsi de la
pièce
suivante, la seule qui m’ait paru digne par son o
g particulier : la postérité le lui assignera. Il y a dans toutes ses
pièces
des traits qui décèlent le grand poète ; des stro
nutricis ac gerulæ fungebatur officio. (Ch. 4. v. 16). 175. Cette
pièce
qui renferme, au milieu de ses incorrections, des
de MM. les vaudevillistes en général. « A la représentation de cette
pièce
(Trois Rois et trois Dames) on éprouvait, dit le
le Sommeil, etc. Souvent l’allégorie remplit à elle seule une petite
pièce
tout entière de prose ou de poésie. Ainsi les jol
opié MM. Ciceri, Philastre et Cambon ! « Assimiler les prairies à des
pièces
d’étoffe, les cieux à du velours épinglé, les mon
un buisson un bonnet de quelque couleur qu’il soit. 104. Centons.
Pièce
de poésie, plus ou moins longue, composée de vers
asquin7, c’est quelque chose de pis ; ou plutôt ce sont les premières
pièces
d’un procès criminel intenté par le genre humain,
n’y a pas tant de perfection dans les ouvrages composés de plusieurs
pièces
et faits de la main de divers maîtres qu’en ceux
est produit par la liaison des scènes. Du nœud et du dénouement de la
pièce
. Réflexions sur les récits d’événements qui ont p
ntièrement hors de propos, n’ayant aucun fondement sur le reste de la
pièce
, et fait un dénouement vicieux39. Mais je trouve
rticuliers enfermés dans l’enclos de ses murailles45. Beaucoup de mes
pièces
manqueront de l’unité de lieu si l’on ne veut poi
foule, le spectacle confus de cette nuit si rassemblée. Les premières
pièces
offraient les mugissements contenus des valets, d
vait représenter ; il répondit qu’il y avait tant d’esprit dans cette
pièce
qu’il doutait de son succès. Quoi ! dira-t-on, es
s transitions forcées ; qu’en un mot, il y a tant d’ouvrages faits de
pièces
de rapport, et si peu qui soient fondus d’un seul
te avait, dès l’âge de vingt-trois ans, placé sur la scène ; dans une
pièce
intitulée Mélite, une aventure qui lui était pers
des loups pleins de rage506. ALCESTE. Je me verrai trahir, mettre en
pièces
, voler, Sans que je sois. Morbleu ! je ne veux po
rer le protecteur des Juifs. Tel est le sujet du chœur final : car la
pièce
d’Esther n’a que trois actes. Acte III, scène
entra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie, l’une des
pièces
dont la réputation s’est maintenue au premier ran
s chercher, parmi toutes les autres sortes de vérités qui rendent ces
pièces
immortelles. » 34. « Corneille, remarque Voltair
leut par tout pays de cette sorte d’insectes. Un bon plaisant est une
pièce
rare : à un homme qui est né tel, il est encore f
Cf., dans les Premières méditations poétiques de M. de Lamartine, la
pièce
intitulée l’Homme : L’homme est un Dieu tombé qu
ais dans ses préfaces et les examens sincères qu’il a consacrés à ses
pièces
. Déjà on a vu Corneille dignement loué par Racine
d’un grand mérite et d’une vaste littérature. » Il fit quarante-deux
pièces
de théâtre, dont quelques-unes obtinrent un brill
des scènes touchantes et des vers fort heureux. Par malheur, dans les
pièces
de Thomas Corneille, le style n’est jamais assez
Harpe a fait remarquer avec raison que la principale beauté de cette
pièce
résidait dans le caractère de Polyeucte et celui
c raison la préférence au dernier, parce qu’il est le nœud même de la
pièce
: le songe de Pauline, au contraire, n’est pas né
vers, dit Voltaire, est dans le Cid, et est à sa place dans les deux
pièces
. 419. « Ce mot, deux fois répété, dit Chateaub
erres de Syrie, et de Justin. On assure que Corneille préférait cette
pièce
à toutes ses autres compositions. Il est certain
acine contre les dégoûts dont l’abreuvaient ses ennemis. 484. Cette
pièce
, qui est de 1666, fut l’un des premiers modèles e
attirant et de son influence bienfaitrice. La conclusion morale de la
pièce
est celle-ci : la vertu véritable consiste non se
urd’hui, dans le plus philosophe de tous les siècles… ? » 494. Cette
pièce
en vers et en trois actes, si remarquable par le
ont été plus en cause que les idées. 519. On a dit que cette petite
pièce
était de Benserade. Quoi qu’il en soit, le parter
aractère, et non dans sa vertu, que l’auteur a placé le ressort de sa
pièce
. 531. Méchant, dans notre ancienne langue, sign
a période et ses phrases comme la musique ; et Mithridate est une des
pièces
où Racine a répandu avec le plus de profusion ces
en la trompant si indignement. » — Quant au jugement à porter sur la
pièce
entière, on peut redire avec Geoffroy : « Corneil
ons dramatiques et l’intérêt sont du reste loin de manquer dans cette
pièce
, comme l’ont prétendu quelques-uns. Admise à la f
le et en apparence le plus stérile. Aussi la parfaite beauté de cette
pièce
, qui à sa naissance ne fut pas représentée (quelq
de la conduite, des caractères, du style et de la versification d’une
pièce
. 618. Forme poétique, pour Sinaï. 619. Virgil
n des points de l’histoire juive qui servent à fonder l’intérêt de la
pièce
n’y a été omis. Quant aux imitations des livres s
me de savoir tout ce qu’il faut pour s’intéresser aux incidents de la
pièce
et les saisir avec facilité. Il lui a fait connaî
intitulée la Guisiade. En réalité ces vers appartiennent à une autre
pièce
, le Triomphe de la Ligue, qui est d’un certain Né
guerre, etc. 628. À la différence des autres personnages de cette
pièce
, celui d’Abner, dont ces vers donnent une si hono
u même degré nécessaire, ou, du moins, inhérent à la contexture de la
pièce
. — Voy. la comparaison qu’a faite Chateaubriand d
où l’on peut retrouver quelques traces de l’Ion d’Euripide, l’une des
pièces
de cet auteur qui attestent le mieux la fécondité
êtres. Et là, suivant la remarque de Geoffroy, est tout le fond de la
pièce
; le faible armé de sa confiance en Dieu lutte co
qu’alors opprimé. On a pu leur répondre que l’intérêt principal de la
pièce
ne portait point sur Joas, mais sur l’accomplisse
Boileau, qui se fit lire, dans sa dernière maladie, le début de cette
pièce
, ne l’entendit qu’avec une extrême défaveur : on
ant la réflexion de La Harpe, « depuis ce moment jusqu’à la fin de la
pièce
, les situations, la conduite, les caractères, l’e
a pièce, les situations, la conduite, les caractères, l’entente de la
pièce
, tout est dans les vrais principes, tout respire
in tout le dénouement, ne sont pas moins tragiques que le reste de la
pièce
. — De là ce jugement si favorable de Montesquieu
justice par Geoffroy, admirée à l’excès peut-être par La Harpe, cette
pièce
demeurera sans contredit l’une des créations de V
oint. Ce mariage d’Alzire, continue le même critique, au milieu de la
pièce
, avec un homme qu’elle abhorre, était une nouveau
s’accomplit en vingt-six mille neuf cents ans ou environ. 736. Cette
pièce
, écrite par Voltaire en 1736, n’a paru qu’en 1738
est aussi le premier qu’ait donné une version française de toutes les
pièces
d’Eschyle ; et, entre autres morceaux de l’antiqu
ce ton de légèreté et de persiflage des salons à la mode, dont cette
pièce
est, comme l’a dit M. Villemain, une vivante méda
iration, le Mendiant, la Liberté et l’Aveugle. Le charme de ces trois
pièces
est si étroitement uni à l’élégance continue de l
quinze jours six victoires, pris vingt et un drapeaux, cinquante-cinq
pièces
de canon, plusieurs places fortes, et conquis la
e drapeaux, les étendards de la garde impériale de Russie, cent vingt
pièces
de canon, vingt généraux, plus de trente mille pr
r ces lions endormis, car ils pourraient un jour vous mettre aussi en
pièces
, vous et vos enfants. Quant à moi, pauvre créatur
ce des passions nouvelles : c’est Charles IX, Henri III ; ce sont des
pièces
qui, flétrissant d’un légitime opprobre les vieux
our sur elle-même, Frédegonde se trouvait un jour avec le roi dans la
pièce
où leurs deux fils étaient couchés, en proie à l’
-même qu’il « lut, relut et annota de sa propre main les innombrables
pièces
contenues dans les archives de l’État, les trente
caissons avaient été démontés et placés sur des mulets. Restaient les
pièces
de canon elles-mêmes, dont on ne pouvait pas rédu
ne pouvait pas réduire le poids par la division du fardeau. Pour les
pièces
de douze surtout, et pour les obusiers, la diffic
sapins, de les creuser, d’envelopper avec deux de ces demi-troncs une
pièce
d’artillerie, et de la traîner ainsi enveloppée l
furent attelés à ce singulier fardeau, et servirent à élever quelques
pièces
jusqu’au sommet du col. Mais la descente était pl
as, et en courant des dangers infinis, parce qu’il fallait retenir la
pièce
et l’empêcher, en la retenant, de rouler dans les
s moyens. On offrit aux paysans des environs jusqu’à mille francs par
pièce
de canon qu’ils consentiraient à traîner de Saint
aines de paysans se présentèrent, et transportèrent en effet quelques
pièces
de canon, conduits par les artilleurs qui les dir
honneur pour une troupe de sauver ses canons, et ils se saisirent des
pièces
abandonnées. Des troupes de cent hommes, sorties
r s’en emparer, Lannes, qui avait déjà sa division réunie et quelques
pièces
de quatre prêtes à rouler. Il lui ordonna de s’av
pourvu que l’infanterie et la cavalerie pussent passer avec quelques
pièces
de quatre, elles se porteraient à Ivrée, à l’entr
vrai, il résolut de faire passer son infanterie, sa cavalerie et les
pièces
de quatre par le sentier d’Albaredo, ce qui était
acle, mais il répondait sur sa tête qu’elle arriverait sans une seule
pièce
de canon. Pendant ce temps notre artillerie faisa
faisait une tentative des plus hardies : c’était de faire passer une
pièce
sous le feu même du fort, à la faveur de la nuit.
ctiles. Sur treize canonniers qui s’étaient aventurés à traîner cette
pièce
de canon, sept furent ou tués ou blessés. Il y av
rit la rue de paille et de fumier ; on disposa des étoupes autour des
pièces
, de manière à empêcher le moindre retentissement
tait à cette époque l’illusion et la timidité du goût public, que les
pièces
de Ducis réussirent par leurs défauts mêmes ; on
avaient puisé. Ducis ne s’adressa pas à ce seul modèle ; mais dans la
pièce
d’Œdipe chez Admète, des morceaux brillants et pa
dans l’Œdipe à Colone de Sophocle. La tragédie d’Abufar est la seule
pièce
originale du théâtre de Ducis ; elle a mérité de
itique et philosophique. Telle fut même l’exaltation produite par une
pièce
qui paraît à la lecture froide et décolorée, que
une légitime durée. La malveillance s’empressa de signaler dans cette
pièce
, que la censure ne laissa pas représenter, des al
gne. Un dithyrambe sur la naissance du roi de Rome et quelques autres
pièces
d’un tour facile révélèrent chez lui une heureuse
uant de donner ainsi la comédie aux dépens de ceux qui la jouent : la
pièce
d’ailleurs méritait de plaire. Des traits d’un co
une requête à Charles X pour faire rejeter du Théâtre français toute
pièce
soupçonnée de romantisme409, où le pacifique Leme
de bonne heure dès 1817 l’Académie française donnait une mention à sa
pièce
de vers sur les Avantages de l’étude, et trois an
entionnel restera l’une de ses plus heureuses créations. Une dernière
pièce
, Galilée (1866), composée dans les intervalles d’
ntes466. L’Honneur et l’Argent. (Extrait) Au commencement de la
pièce
, alors qu’il était riche et heureux, George a déc
dans le xiiie chap. de la 2e partie de l’Allemagne ; les principales
pièces
de Goethe (Goetz de Berlichingen, le comte d’Egmo
ur les hommes de génie taciturnes ? 29. On pourra lire à ce sujet la
pièce
de Goethe intitulée : le Triomphe de la sensibili
e parler de ce dernier avec plus de détail. 167. Dans cette célèbre
pièce
adressée au peintre Louis David, le poète, inspir
ion devant laquelle Pascal n’avait pas reculé. 246. Voir la xviie
pièce
des Feuilles d’automne de M. Victor Hugo : Où do
. » 276. Confident du roi qui ne joue d’ailleurs aucun rôle dans la
pièce
. 277. Quand revoyant..,, lorsque je crus,… légè
une force surnaturelle à devenir son complice. On pourra voir dans la
pièce
de Shakespeare la scène V de l’acte Ier, où le po
ice la promesse et le gage du triomphe de sa haine. 287. Cf. dans la
pièce
de Sophocle les imprécations d’Œdipe (vers 1337 à
urs. 318. On peut comparer de beaux vers de M. de Lamartine dans la
pièce
de la Semaine sainte à la Roche-Guyon (Médit. poé
paix n’est pas la mort. 319. C’est le même sentiment que dans la
pièce
de l’Automne de M. de Lamartine (Médit. poét.) :
322. Situé dans la Limagne d’Auvergne. 323. Ces vers rappellent la
pièce
de M. de Lamartine sur Milly, sa terre natale (Ha
uve en présence de son fils. Cette rencontre forme l’exposition de la
pièce
. 347. Germanicus, fils de Drusus et d’Antonia, n
eau avaient déjà employé ce rythme. 406. On peut rapprocher de cette
pièce
, si parfaite de sentiment et d’expression, les be
ion grecque. On peut voir aussi dans les Orientales de M. V. Hugo les
pièces
intitulées Canaris et Navarin. 413. Les crins mo
ée de recueillir en un vol. in-12, intitulé : Les Enfants, toutes les
pièces
de M. V. Hugo sur l’enfance : c’est la perle la p
441. On rapprocherait avec intérêt des vers de M. V. Hugo plusieurs
pièces
inspirées à des poètes contemporains par le grand
Lamartine, la 7e des Nouvelles méditations poétiques. Chacune de ces
pièces
a un caractère particulier qu’il faudrait relever
443. La piété filiale a aussi inspiré à M. de Lamartine l’une de ses
pièces
les plus parfaites de sentiment et d’expression,
’expérience, quelque ironie et beaucoup de cœur. C’est l’Ariste de la
pièce
, un Ariste jeune, animé, chaleureux, et qui repré
l’Europe. Sa célébrité bruyante grandit encore par le succès de deux
pièces
étincelantes de verve, de vivacité, de malice et
tise de les défendre. » 1. Il y a quelque chose de plus fou que ma
pièce
, dit Beaumarchais, c’est son succès. 2. Très-dou
us contenterons de signaler à l’attention des jeunes littérateurs les
pièces
suivantes : la Villanelle d’un batteur de blé aux
que dans la Mort de Daphnis, par Virgile ; et celle de l’ode, dans la
pièce
adressée à Virgile, par Horace, sur la mort de Qu
tilius Varus, leur ami. La poésie dramatique elle-même nous offre des
pièces
élégiaques, par exemple, le monologue si beau et
ère pleine de chaleur, de simplicité et d’onction, a inspiré quelques
pièces
remarquables en ce genre. Nous ne mentionnerons q
tial de Paris sur la mort de Charles VII : Mieux vaut la liesse ; une
pièce
de Christine de Pisan sur son veuvage, qui se rec
et de mérite. 11 doit contenir le résumé frappant du sentiment de la
pièce
, l’idée principale de la chanson ; et cette idée
est un jeu sérieux, mélancolique, qui applique : il faut arranger ses
pièces
et ses batteries, avoir un dessein, le suivre, pa
fes : le sont-elles moins toutes déployées dans les boutiques et à la
pièce
? Mais la broderie et les ornements y ajoutent en
de sa charge, de sa dignité : il ramasse, pour ainsi dire, toutes ses
pièces
, s’en enveloppe3 pour se faire valoir ; il dit :
nce déjà sur le théâtre d’autres hommes qui vont jouers dans une même
pièce
les mêmes rôles : ils s’évanouiront à leur tour ;
elisez avec soin la plupart des ouvrages qui ont paru de 1750 à 1760,
pièces
de théâtre, romans, écrits philosophiques, discou
tion et la passion. Ces deux facultés-là étaient comme les maîtresses
pièces
, les deux grands mobiles, les ailes même du génie
euxis que les oiseaux venaient becqueter. Le comble de l’art pour une
pièce
de théâtre serait de vous persuader que vous êtes
Le Batteux : là, vous verriez comment on démonte une à une toutes les
pièces
de l’éloquence et comment on les remet ensuite à
me luttant par un travail acharné contre l’hydre de l’usure et jetant
pièce
à pièce son pauvre patrimoine dans la gueule du m
nt par un travail acharné contre l’hydre de l’usure et jetant pièce à
pièce
son pauvre patrimoine dans la gueule du monstre,
t ses préoccupations philosophiques ont altéré, dans plusieurs de ses
pièces
, la vérité humaine et historique. Auprès de Volta
ermer le 3 septembre 1793 le théâtre de la Nation, où a été jouée une
pièce
suspecte de modérantisme (Paméla, de François de
e, etc.) n’ont rien ajouté à sa renommée, non plus que les nombreuses
pièces
qu’il se réduisit à faire pendant plus de vingt a
maître, qui me dit avec un souris forcé : « Monsieur Gil Blas, cette
pièce
n’est donc pas de votre goût ? — Je ne dis pas ce
sont comme ces monnaies de cuivre qui ont bien la même valeur qu’une
pièce
d’or, et même sont d’un plus grand usage pour le
orps de réserve de trois mille hommes, il l’enveloppa et le tailla en
pièces
. Si Menzikoff fit cette manœuvre de lui-même, la
il en fit atteler deux autres ; une seconde volée mit le brancard en
pièces
et renversa le roi ; de vingt-quatre drabans172 q
ous, me haïr, me persécuter, parce que j’aurai fait un bon poème, une
pièce
de théâtre applaudie, ou écrit une histoire avec
première sentence ; ils vous jugent ; ils se chargent enfin de votre
pièce
: il ne faut plus qu’un mauvais plaisant dans le
io piquant et gai ; là, un esprit d’opposition hardie ; dans les deux
pièces
, un personnage très vivant, celui de Figaro, plei
i ne produit que des applaudissements sourds ; et d’honneur, avant la
pièce
, le café m’avait paru dans les meilleures disposi
sures. Que serait-ce si on interrompait la musique, pour lire quelque
pièce
justificative à l’appui de chaque air ? Écrivain
herchent encore dans les haillons d’un peuple mourant de faim quelque
pièce
échappée à tant d’extorsions et de rapines. Les d
r ces lions endormis, car ils pourraient un jour vous mettre aussi en
pièces
, vous et vos enfants. Quant à moi, pauvre créatur
our sur elle-même, Frédégonde se trouvait un jour avec le roi dans la
pièce
où leurs deux fils étaient couchés, en proie à l’
-même qu’il « lut, relut et annota de sa propre main les innombrables
pièces
contenues dans les archives de l’Etat, les trente
caissons avaient été démontés et placés sur des mulets. Restaient les
pièces
de canon elles-mêmes, dont on ne pouvait pas rédu
ne pouvait pas réduire le poids par la division du fardeau. Pour les
pièces
de douze surtout, et pour les obusiers, la diffic
saplus, de les creuser, d’envelopper avec deux de ces demi-troncs une
pièce
d’artillerie, et de la traîner ainsi enveloppée l
furent attelés à ce singulier fardeau, et servirent à élever quelques
pièces
jusqu’au sommet du col. Mais la descente était pl
as, et en courant des dangers infinis, parce qu’il fallait retenir la
pièce
et l’empêcher, en la retenant, de rouler dans les
s moyens. On offrit aux paysans des environs jusqu’à mille francs par
pièce
de canon qu’ils consentiraient à traîner de Saint
nes de paysans se présentèrent, et transportèrent, en effet, quelques
pièces
de canon, conduits par les artilleurs qui les dir
honneur pour une troupe de sauver ses canons, et ils se saisirent des
pièces
abandonnées. Des troupes de cent hommes, sorties
Mais cette peur-là est encore une manière d’hommage : Figaro dans la
pièce
, comme Beaumarchais dans le monde, donne prise à
e la nature. Voyez dans les Feuilles d’automne, de M. Victor Hugo, la
pièce
intitulée : Ce qu’on entend sur la montagne. Il y
Alzire (1736), Mérope (1743). A cette période se rattachent aussi les
pièces
dans lesquelles Voltaire imite Shakespeare, qu’il
ntra ensuite dans le monde, et, par une excellente comédie, l’une des
pièces
dont la réputation s’est maintenue au premier ran
ant esprit aux dépens de ceux qui le reçoivent. Ariste, le sage de la
pièce
, montre au jeune homme qu’il est la dupe de ce fa
es décisions, le poids de ce qu’il dit ; Il faut l’entendre après une
pièce
nouvelle : Il règne, on l’environne ; il prononce
ello. Telle était, à cette époque, l’illusion du goût public, que les
pièces
de Ducis réussirent par leurs défauts mêmes : on
avaient puisé. Ducis ne s’adressa pas à ce seul modéle ; mais dans la
pièce
d’Œdipe chez Admète, des morceaux brillants et pa
dans l’Œdipe à Colone de Sophocle. La tragédie d’Abufar est la seule
pièce
originale du théâtre de Ducis ; elle a mérité de
ue et philosophique. Si grande même fut l’exaltation produite par une
pièce
qui paraît froide à la lecture, que Danton osait
une légitime durée. La malveillance s’empressa de signaler dans cette
pièce
, que la censure ne laissa pas représenter, des al
gne. Un dithyrambe sur la naissance du roi de Rome et quelques autres
pièces
d’un tour facile révélèrent chez lui une heureuse
uant de donner ainsi la comédie aux dépens de ceux qui la jouent : la
pièce
, d’ailleurs, méritait de plaire. Des traits d’un
une requête à Charles X pour faire rejeter du Théâtre français toute
pièce
soupçonnée de romantisme767, où le pacifique Leme
ompu. Après sa mort parurent, sous le titre des Destinées (1864), les
pièces
inédites de ses dernières années. Plusieurs mérit
te, d’un père soldat et d’une mère vendéenne, a dit le poète dans une
pièce
célèbre. Son instinct poétique s’éveilla de bonne
bonne heure : dés 1817 l’Académie française donnait une mention à sa
pièce
de vers sur les Avantages de l’Étude, et trois an
aru en 1830, un mois à peine après la révolution de juillet. D’autres
pièces
, non moins célèbres, lui succédèrent : La Liberté
os, le poète publia les Rimes légères et enfin les Silves, recueil de
pièces
intimes, d’élégies, d’idylles, d’une haleine cour
55, et Villemain, après en avoir rappelé quelques-unes des meilleures
pièces
(les Pêcheurs, les Écoliers de Vannes, les Moisso
, dans le récit, par exemple, du siège de Milianah, et dans plusieurs
pièces
détachées, postérieures à 1870, des accents fiers
nventionnel restera une de ses plus heureuses créations. Une dernière
pièce
, Galilée (1866), composée dans les intervalles d’
et reproches de Rodolphe à George, son ami. Au commencement de la
pièce
, alors qu’il était riche et heureux, George a déc
le Mémoire sur les Légitimés, le Mémoire sur la Renonciation, et des
Pièces
diverses. (2 vol. in-8°, Hachette.) Lire, sur Sai
mière scène : « Quel plus vif et plus engageant début que celui de la
pièce
, quand le comte et Figaro se retrouvent et se ren
ël dans le xiii chap. de la 2e partie de l’Allemagne, les principales
pièces
de Gœthe (Gœtz de Berlichingen, le comte d’Egmont
r les hommes de génie taciturnes ? 367. On pourra lire à ce sujet la
pièce
de Gœthe intitulée : le Triomphe de la Sensibilit
sion devant laquelle Pascal n’avait pas reculé. 484. Voir la xviie
pièce
des Feuilles d’Automne de M. Victor Hugo : Où don
es mon élastique existence. J’étais l’acteur, j’étais le théâtre ; la
pièce
se jouait par moi et en moi. » 512. Dans son cou
ines nautiques. On a enfin rappelé qu’il avait été joué, en 1712, une
pièce
de J. B. Viallanes intitulée: Les Aventures de Fi
on citée de Villemain une comparaison piquante établie entre ces deux
pièces
. 572. Voyez Virgile, représentant, d’après l’Ody
ton général, par la note mélancolique qui la termine, les meilleures
pièces
de Madame Deshoulières. C’est ici une des rares o
n ‘tout le dénouement, ne sont pas moins tragiques que le reste de la
pièce
. 601. Ce tour manque de netteté : heureux semble
justice par Geoffroy, admirée à l’excès peut-être par La Harpe, cette
pièce
demeurera sans contredit l’une des créations de V
ve dans le Cours de Littérature de La Harpe une analyse étendue de la
pièce
d’Alzire (tome VI, page 79 et suiv.) Le critique
loi générale, qui ordonne qu’un caractère soit le même à la fin de la
pièce
, qu’il était au commencement. » 623. Isaac Newt
ce ton de légèreté et de persiflage des salons à la mode, dont cette
pièce
est, comme l’a dit Villemain, une vivante médaill
et n’avait que vingt-quatre ans quand il donna, après quelques autres
pièces
de poésie, ce modèle de plaisanterie légère et dé
parle ainsi. La comédie de Gresset donna naissance à plusieurs autres
pièces
où était présenté le même type. Sur ces imitation
ice la promesse et le gage du triomphe de sa haine. 657. Cf. dans la
pièce
de Sophocle les imprécations d’Œdipe (vers 1337 à
sa pensée ainsi traduite. 685. C’est le même sentiment que dans la
pièce
de l’Automne de Lamartine (.Méditations poétiques
certs. » 697. Quand André Chénier mourut, il n’avait publié que deux
pièces
de vers, le Jeu de Paume, en 1791, et l’Hymne aux
ique et commentés avec la finesse ordinaire de son goût. 730. Cette
pièce
célèbre, dans les éditions antérieures à celles d
t pas ainsi, et, dût-on regretter la légende, la vérité est que cette
pièce
continue bien au-delà du quinzième vers. De plus,
en présence de son fils, et cette rencontre forme l’exposition de la
pièce
(Voir acte I, scène i). D’ailleurs Cnéius, le fil
lumière, on avait changé d’Olympe : c’était une révélation. Comme ces
pièces
premières de Lamartine n’ont aucun dessin, aucune
eau avaient déjà employé ce rythme. 764. On peut rapprocher de cette
pièce
, si parfaite de sentiment et d’expression, les be
ion grecque. On peut voir aussi dans les Orientales de M. V. Hugo les
pièces
intitulées Canaris et Navarin. 771. L’idée est
suivait silencieux le rivage de la mer retentissante. » 777. Quatre
pièces
du second livre des Messéniennes sont consacrées
ngère, Aux Ruines de la Grèce païenne, et Tyrtée aux Grecs. Plusieurs
pièces
célèbres des Orientales de M. Victor Hugo pourrai
s délicates sur la manière dont il convient de le lire. 789. Voir la
pièce
de l’Esprit pur dans le recueil posthume Les Dest
, publié par M. Louis Ratisbonne. 790. Voir les derniers vers de la
pièce
de l’Esprit pur : Flots d’amis renaissants ! pui
II, chapitre lxii.) 796. Dans le sens de dépassée. 797. Comparez la
pièce
sur Navarin, dans les Orientales de M. V. Hugo.
e et en action la révolution tentée par M. V. Hugo, il faut relire la
pièce
intitulée Réponse à une accusation (Contemplation
de recueillir en un volume in-12, intitulé : Les Enfants, toutes les
pièces
de M. V. Hugo sur l’enfance. 801. Relire, sur l’
t. » 803. La piété filiale a aussi inspiré à Lamartine l’une de ses
pièces
les plus parfaites de sentiment et d’expression,
ns lumineux ? 806. Dans les Poèmes de la Mer, de J. Autran, voir la
pièce
intitulée : Les Naufragès. C’est la plainte des n
sa monture. — On rapprochera avec intérêt de ces vers les principales
pièces
inspirées aux poètes contemporains par le souveni
a dédié ses premiers chants, et de laquelle il dit, dans la première
pièce
qui porte son nom : Celle pour qui j’écris avec
’expérience, quelque ironie et beaucoup de cœur. C’est 1’Ariste de la
pièce
, un Ariste jeune, animé, chaleureux, et qui repré
r ont été publiées chez Dentu. L’extrait donné ici invitera à lire la
pièce
tout entière. Berthe, la fille de Roland, est sau
de l’esprit. Sa réputation comme poëte ne lui a guère survécu, et ses
pièces
si vantées ne nous offrent aujourd’hui presque au
, et à qui le prince d’Orange n’avait jamais osé toucher ; pris seize
pièces
de canon qui appartenaient à un prince qui est on
vais pas été enlevé », faut-il sous-entendre. Le début manque à cette
pièce
, qui est de 1604 : elle n’a pas été achevée. — On
ntrepris contre le duc de Bouillon, en 1606. Racan témoigne que cette
pièce
était une de celles dont Malherbe était le plus s
. 12. C’est pourquoi. 13. Blessât (de vasiare). 14. Arcs-boutants,
pièce
de bois, pour soutenir le berceau. 15. Affûtés,
assemblés. Affûté vient d’affût, composé d’à et de fût, qui signifie
pièce
de bois (fustem). 16. On les lève, entre les tou
s psaumes. Vitulos est dans un verset du Miserere. 11. Muette. Cette
pièce
, jouée à Montpellier par Rabelais et ses amis, es
ositum nec me qui fleat erit. 3. On peut aussi rapprocher de cette
pièce
, en éloignant d’ailleurs toutes idée de comparais
n Apologie, parut en 1778. La Harpe lui-même, fort maltraité dans ces
pièces
, n’a pu s’empêcher de rendre un juste hommage au
, indiquons du moins l’idée mère qui en est le motif. — Le fond de la
pièce
est la tenue des États, dernier espoir du parti p
it la voix du Tiers-État dans le discours de d’Aubray, l’Ariste de la
pièce
, le chef des politiques, ce vrai patriote qui, ré
mier trait de l’ébauchement d’un si grand dessin2 jusqu’à la dernière
pièce
de sa fabrique. Cet enfant fit taire les oracles,
Les réformateurs. N’est-il pas vrai que dans les États il y a des
pièces
si caduques4 et si ébranlées qui, si on les touch
rpentier. Nous le remercions d’avoir autorisé nos emprunts. 2. Cette
pièce
est comme une idylle de Théocrite retrouvée dans
eune Malade, du Mendiant et de l’Oarystis. Les fragments, les petites
pièces
inachevées surtout, semblables à des ébauches de
aurait aller nulle part où l’on ne vous entende accommoder1 de toutes
pièces
. Vous êtes la fable et la risée de tout le monde,
n’y faites reconnaître les gens de votre siècle. En un mot, dans les
pièces
sérieuses, il suffit, pour n’être point blâmé, de
eur qui parlent ici. 2. L’amour de Cléonte et de Lucile sert dans la
pièce
à développer le ridicule de M. Jourdain. 3. Mada
de sa charge, de sa dignité : il ramasse, pour ainsi dire, toutes ses
pièces
, s’en enveloppe1 pour se faire valoir ; il dit :
in de leur industrie6 et de leurs lumières ; qu’ils fussent comme une
pièce
nécessaire à tout son édifice, et qu’elle se trou
t d’une cour orageuse, pleine de mouvements et d’intrigues, comme une
pièce
comique ou même tragique, dont les sages ne serai
fes : le sont-elles moins toutes déployées dans les boutiques et à la
pièce
? Mais la broderie et les ornements y ajoutent en
herchent encore dans les haillons d’un peuple mourant de faim quelque
pièce
échappée à tant d’extorsions et de rapines. Les d
es hommes et les choses de son temps, et il va marcher armé de toutes
pièces
. Ce n’est plus un villageois discourant savamment
ng devant la croix de mon Sauveur ; je veux la briser et la mettre en
pièces
, et en faire un sacrifice à Jésus-Christ crucifié
la cause de ce mélange, répondra qu’elle s’est jouée en unissant deux
pièces
qui n’ont nul rapport, et ainsi, que par une espè
si ce divin architecte, qui a entrepris de te réparer, laisse tomber
pièce
à pièce ce vieux bâtiment de ton corps, c’est qu’
ivin architecte, qui a entrepris de te réparer, laisse tomber pièce à
pièce
ce vieux bâtiment de ton corps, c’est qu’il veut
oyé que pour faire nombre ; encore n’avait-on que faire de moi, et la
pièce
n’en aurait pas été moins jouée, quand je serais
grotte, qui donnait vers le nord. L’ermite les avait roulés dans une
pièce
de lin d’Europe, filé par sa mère ; c’était le se
te, c’est être bien près de savoir ce qu’on vaut » Comparez aussi la
pièce
de M. Victor Hugo, À un Voyageur (Feuilles d’Auto
sa longue domination, avait premièrement brisé et fracassé toutes les
pièces
de ce corps admirable, et parce qu’encore tout mo
nt plus de succès, on peut dire qu’à l’exception d’un petit nombre de
pièces
légères ils ne le méritaient pas davantage : Font
et n’agit pas comme un seul (car, au lieu de mettre tous les Grecs en
pièces
, il s’amuse à s’aller plaindre de sa blessure à J
« Ne polissez pas vos lettres, dit Mme de Sévigné, vous en feriez des
pièces
d’éloquence. La pure nature est ce qui est beau e
le style brillant pour les descriptions et ne pas songer à faire une
pièce
d’éloquence. Ce n’est pas qu’il soit nécessaire d
. Ville du Puy-de-Dôme, au sud de Clermont-Ferrand. 1. Comparez à la
pièce
de M. Lebrun, le Bonheur de l’étude, t. II. 2. L
ée qui fuit derrière les saules, non sans désirer être vue. 1. Cette
pièce
est le chef-d’œuvre et la condamnation du genre,
avenir du goût, de quelqu’un qu’à proportion qu’il en aura pour cette
pièce
: phrases outrées, dégoûtantes, qui sentent la pe
qu’il ait pu tomber de si haut. Dans quelques-unes de ses meilleures
pièces
, il y a des fautes inexcusables contre les mœurs3
toujours le même partout, soit pour le dessein et la conduite de ses
pièces
, qui sont justes, régulières, prises dans le bon
et dans celui-ci, du goût et des sentiments. L’on est plus occupé aux
pièces
de Corneille ; l’on est plus ébranlé et plus atte
dire avec force, on n’est sûr de rien ; tout a un air d’emprunt et de
pièces
Apportées ; rien ne coule de source ; on se fait
ue le cœur n’en est point ému. A. Il faut distinguer, Monsieur : les
pièces
de Cicéron encore jeune, où il ne s’intéresse que
anterie, sont élégants. Le mélange des dieux et des hommes dans cette
pièce
unique en son genre, et les vers irréguliers qui
parlerai point ici de quelques auteurs anglais qui, ayant traduit des
pièces
de Molière, l’ont insulté dans leurs préfaces, ni
ut répondu à la dignité de son style, il aurait réformé sa nation. Sa
pièce
, étant une affaire de parti, eut un succès prodig
mpée. Nous savons que Corneille, qui a mis de l’amour dans toutes ses
pièces
, n’a jamais traité convenablement cette passion,
re scène de Rodogune. Si l’amour est insipide dans presque toutes ses
pièces
, nous sommes les premiers à le dire : nous conven
isonneurs dans ses quinze ou seize derniers ouvrages. Les vers de ces
pièces
sont durs, obscurs, sans harmonie, sans grâce. Ma
e dans Corneille, et les tragédies touchantes de Racine, et le peu de
pièces
bien écrites qu’on peut avoir eues depuis cet élé
ruptures, des raccommodements, forment le titre de la plupart de nos
pièces
de théâtre, et surtout de celles de Racine, fondé
termes bas et nobles, surannés et modernes ; on entend dans quelques
pièces
de morale les sons du sifflet de Rabelais parmi c
e Garasse. Il y a plus de distance de la moindre de nos tragédies aux
pièces
de Jodelle67, que de l’Athalie de Racine aux Mach
traduction ne l’aurait pas inspiré. Tout ce qui n’est pas, dans cette
pièce
, air détaché, composé sur les canevas du musicien
: elle a été imprimée à son insu par ceux qui recherchent toutes les
pièces
manuscrites, et qui, dans leur empressement de le
uand j’ai dit que les satires de Boileau n’étaient pas ses meilleures
pièces
, je n’ai pas prétendu pour cela qu’elles lussent
s jours, et ne se relèvera point : il n’a que trois ou quatre petites
pièces
de vers par où il subsiste. La prose est digne du
harangues qu’on voit dans la Mort de César, ni enfin de tant d’autres
pièces
, toutes différentes, qui font admirer le génie et
de violence, tantôt de hauteur. Je ne suis pas assez tranquille à une
pièce
qui produit de si grands mouvements, pour examine
si les règles et les vraisemblances sévères n’y sont pas blessées. La
pièce
me serre le cœur dès le commencement, et me mène
de Voltaire n’est pas heureux dans la fiction ou dans le tissu de ses
pièces
; sans entrer dans cette question, trop longue à
nt on accuse M. de Voltaire a été reproché très-justement à plusieurs
pièces
excellentes, sans leur faire tort. Les dénouement
’on me permette d’en citer la fin, quoiqu’on pût trouver dans la même
pièce
de plus beaux endroits. Un vain désir de gloire
ngénue et la simplicité la plus touchante. J’estime plus deux petites
pièces
faites de génie, comme celles-ci, et qui ne respi
s transitions forcées ; qu’en un mot, il y a tant d’ouvrages faits de
pièces
de rapport, et si peu qui soient fondus d’en seul
a jeunesse ait déjà laissé derrière elle l’époque rudimentaire où ces
pièces
furent composées (Les Brigands, Fiesco, de Schill
dans lequel on évite le retour d’un son qui vient d’être entendu. Les
pièces
de théâtre, notamment les tragédies, dans lesquel
remplacé l’autre ? (Bordeaux, avril 1888.) Dites quelle est celle des
pièces
du théâtre classique que vous préférez, et faites
e. (Toulouse, octobre 1889.) Montrer, en prenant les preuves dans les
pièces
du programme de l’enseignement spécial, que les t
e du poète ? Les candidats chercheront leurs arguments dans celle des
pièces
de Racine qu’ils ont spécialement étudiée. (Poiti
en attaques violentes contre le poète et il ne tint pas à eux que la
pièce
ne fût arrêtée en plein succès. On supposera que
te et permise. C’est ce que démontrerait une analyse impartiale de sa
pièce
où les fausses précieuses seules sont visées. 2°
l’auteur, vous communiquez vos impressions à un ami : A-t-il lu cette
pièce
? S’il ne l’a pas fait encore, qu’il se hâte : le
z que ces critiques sont peu fondées, en prenant vos preuves dans les
pièces
du programme. (Dijon, juillet 1888.) En son chapi
crit à un de ses amis de Rouen, pour lui rendre compte de la nouvelle
pièce
et lui faire connaître le succès éclatant qu’elle
s n’explique-t-elle pas que les esprits devaient s’intéresser à cette
pièce
? – Apprécier le caractère d’Andromaque dans la t
re de Racine. « Louis XIV, dit M. Nisard, est dans presque toutes les
pièces
de Racine. Ses passions, sa grandeur, sa gloire,
mot, remplissent cet admirable théâtre. » Racine écrit ses premières
pièces
pour la jeunesse du roi, et ses dernières, Esther
doit se passer dans un seul lieu. Cela ne veut pas dire que toute la
pièce
doive être jouée dans le même appartement. Il suf
ult : Son sujet est conduit de la belle manière Et chaque acte en sa
pièce
est une pièce entière. Toute œuvre dramatique es
et est conduit de la belle manière Et chaque acte en sa pièce est une
pièce
entière. Toute œuvre dramatique est astreinte à
tout entière à Corneille. L’action. – Analyser très sommairement la
pièce
en quinze ou vingt lignes au plus. Dire ce qu’on
ue pour obéir à Hermione, qu’il aime, il nous apparaît à la fin de la
pièce
en proie aux Furies. Hermione elle-même l’accable
Racine est inférieur à Corneille. Mme de Sévigné convient que cette
pièce
est belle, mais il lui semble que Corneille s’est
derot avait eu pour précurseur Nivelle de la Chaussée. Les meilleures
pièces
de cet auteur, le Préjugé à la Mode et Mélanide f
tout, dans le Misanthrope, appartient donc à la haute comédie. Cette
pièce
, avec toutes ces qualités, en est-elle le chef-d’
’est à la légende et à l’histoire que Racine emprunte le sujet de ses
pièces
, comme Corneille lui-même l’avait fait, mais tous
e. Elle avait encore l’avantage de donner plus de vraisemblance à une
pièce
que des règles, alors universellement suivies, en
e. Voltaire a connu tous les ressorts dramatiques ; il a su faire une
pièce
, frapper l’imagination et les yeux, mais il n’a p
vre ses personnages. Il a écrit de belles scènes plutôt que de belles
pièces
. Zaïre, Mérope, Alzire et Tancrède sont au premie
lé d’épithètes oiseuses. Elle a osé dire aux rimeurs qui mettaient en
pièces
les hémistiches du poète, que sa versification ét
me un prodige ; action, dialogue, sentiments, tout fut créé de toutes
pièces
. Alors se déroula une suite de chefs-d’œuvre où l
it Monime avant ses fiançailles, et était aimé d’elle. Au début de la
pièce
, le bruit court, de la mort de Mithridate. Pharna
héritiers dissiper les trésors amassés par ta folle passion ; chaque
pièce
d’or sortie de tes coffres sonnera douloureusemen
: il est bon et fait de main d’ouvrier. » Appliquer cette règle à la
pièce
du Cid et chercher dans les sentiments exprimés l
passion. (A développer.) B. Montrer – par des exemples empruntés aux
pièces
de Corneille – la vérité de la définition. La gra
arler comme le vulgaire, ils n’ont qu’un souci, remplir leurs petites
pièces
de pointes, de concetti, d’expressions rares et m
ien maître Ménage sur la représentation d’Andromaque. Elle analyse la
pièce
, explique l’enthousiasme du public, et insiste su
qui demandent de la simplicité, comme les lettres, les pamphlets, les
pièces
comiques, les discours familiers ? La Bruyère a c
agogiques). Littérature. Faire connaître le Cid. Importance de cette
pièce
dans l’histoire de la poésie française. Concou
cine de lui avoir dédié Andromaque. 1° Elle accepte la dédicace de la
pièce
et se tient pour fort honorée d’un si précieux ho
se tient pour fort honorée d’un si précieux hommage ; 2° Éloge de la
pièce
; 3° Les amateurs du théâtre pourront se consoler
ce de Mme de Sévigné et de Voltaire. – Caractères des femmes dans les
pièces
de Corneille. Indiquer les avantages que l’étude
d’une polissure admirable, et d’un travail fort recherché ; c’est une
pièce
de cabinet que l’on montre aux curieux, qui n’est
eur d’éloges, se cachait la note moqueuse. Tragédies, comédies, odes,
pièces
légères, petits vers badins, il analyse tout, il
ncours de 1891. Littérature. Qu’entend-on par exposition dans une
pièce
de théâtre ? Quelle est l’utilité de l’exposition
us décrirez une fête à Versailles, vers 1680, le château, le parc, la
pièce
jouée, les assistants… (Section de sculpture, jui
’un bord à l’autre… Les charges des canons ont pris du jeu dans leurs
pièces
et mèlent leurs bruits sourds aux craquements de
il est si bien fait. Le cerf revient, et cette fois le lion le met en
pièces
. Mais, comme il comptait les morceaux, il se plai
ine trop durement maintenue par les centurions. Ceux-ci furent mis en
pièces
, jetés dans le Rhin. Aucun commandement n’était p
son entrée dans Orléans, montée sur un cheval blanc, armée de toutes
pièces
, tenant en main son étendard, et suivie d’un grou
parvenu à inventer son bateau à vapeur, il a vu mettre sa machine en
pièces
, à Minden, par les mariniers du Wéser, qui l’ont
’introduction ; il reconnaîtra par divers ustensiles dans la première
pièce
qu’elle fait partie d’un laboratoire de chimie. S
ntant des ouvertures pour des tubes, des cornues, etc. Dans la grande
pièce
, le premier objet qui se fait remarquer est une c
tions qu’elle présente n’y ont pas peu contribué… 2°… Autour de cette
pièce
sont placés, dans des tiroirs ou dans des armoire
ait. Vous tournez ensuite à gauche, et vous apercevez, dans une autre
pièce
, celui que vous aviez cherché en vain dans les de
ns encore un assez beau domaine, un peu dispersé il est vrai, fait de
pièces
et de morceaux, une soixantaine de millions d’hec
s le droit de cité. Ceux-là enrichissent véritablement la langue. Dix
pièces
d’or sont un trésor plus grand que cent pièces de
blement la langue. Dix pièces d’or sont un trésor plus grand que cent
pièces
de plomb. En admettant donc la justification acci
Chapitre XI. Le Lyncée.] C’est une
pièce
de Théodecte, comme on le voit plus bas, au chap.
us. Ma chère enfant, je veux que vous vous fassiez homme pour lire ma
pièce
. Envoyez prier l’abbé d’Olivet de vous prêter son
ous, me haïr, me persécuter, parce que j’aurai fait un bon poëme, une
pièce
de théâtre applaudie, ou écrit une histoire avec
première sentence ; ils vous jugent ; ils se chargent enfin de votre
pièce
: il ne faut plus qu’un mauvais plaisant dans le
je ne l’ai jamais lu, et j’en dis autant sur toutes les impertinentes
pièces
que des écrivains inconnus font courir sous mon n
ment très-favorables à Shakespeare et aux auteurs qui ont composé des
pièces
de théâtre romantiques car on ne peut leur repro
usu ; il semble composé non de membres joints l’un à l’autre, mais de
pièces
et de morceaux, e singulis non membres, sed frust
ar la variété des récits, les romans par la variété des prodiges, les
pièces
de théâtre par la variété des passions, et que ce
astique sérieuse, car j’aurais trop à citer dans le plaisant, est une
pièce
de Corneille, que je regarde comme une des plus é
s étonnantes productions de son génie, Nicomède. Quand on relit cette
pièce
, on ne s’étonne pas que Mlle Clairon ait toujours
illements d’horreur. Ardent, fiévreux, inventif, son style emporte la
pièce
. « Il écrit à la diable pour l’immortalité » a di
foule, le spectacle confus de cette nuit si rassemblée. Les premières
pièces
offraient les mugissements contenus des valets, d
esures. Que serait-ce si on interrompait la musique pour lire quelque
pièce
justificative à l’appui de chaque air ? Écrivain
uelette, dit, dans l’Intrigue et l’amour de Schiller, l’héroïne de la
pièce
, Louise, se préparant au suicide et l’excusant d’
t été appelées églogues. Le mot églogue, ἐκλογή, ecloga, signifie une
pièce
de choix ou un recueil de pièces choisies dans qu
églogue, ἐκλογή, ecloga, signifie une pièce de choix ou un recueil de
pièces
choisies dans quelque genre que ce soit. On a don
orneille dans ses Discours sur la Tragédie et dans les Examens de ses
pièces
.
tés ensuite par Aristote, qu’il rangeait dans son quatrième genre les
pièces
dont les personnages et l’action ont quelque chos
es, aux descriptions champêtres des saisons, des jardins, à certaines
pièces
de pur agrément. Voltaire donne pour modèle du st
distance qu’un Michel-Ange ou un Rubens. Quand Marivaux fit jouer ses
pièces
, leur finesse, fatigante d’ailleurs, parce qu’ell
heure qu’il est, dessert la démocratie universelle. Nos romans et nos
pièces
de théâtre forment le goût et le cœur1 des dames
, le consommateur exigeant ; il lit, il ne relit pas. Le succès d’une
pièce
nouvelle a promptement besoin d’être rajeuni par
d’applaudisseurs à gages, à qui l’on a, pour ainsi dire, noté, sur la
pièce
, les endroits qu’ils doivent applaudir ; là, poin
ns une assemblée où il survint tout à coup un grand orage, fut mis en
pièces
par les sénateurs, qui le trouvaient trop impérie
ière qui nous a promis d’amener ici tous ces messieurs du Recueil des
pièces
choisies. Cathos. Et certains autres qu’on nous
se et de vers. On sait à point nommé : un tel a composé la plus jolie
pièce
du monde sur un tel sujet ; une telle a fait des
pasquin, c’est quelque chose de pis ; ou plutôt ce sont les premières
pièces
d’un procès criminel intenté par le genre humain,
foule, le spectacle confus de cette nuit si rassemblée. Les premières
pièces
offraient les mugissements contenus des valets, d
Je m’arrêtai donc un peu à considérer le spectacle de ces différentes
pièces
de ce vaste et tumultueux appartement. Cette sort
aurait-elle pas été moins mauvaise, s’il n’avait pas fallu l’arracher
pièce
à pièce aux irrésolutions de Louis XVI, et surtou
lle pas été moins mauvaise, s’il n’avait pas fallu l’arracher pièce à
pièce
aux irrésolutions de Louis XVI, et surtout prendr
en mille sectes contradictoires, qui livrent le christianisme mis en
pièces
aux mépris de l’incrédulité. La philosophie reven
vait représenter ; il répondit qu’il y avait tant d’esprit dans cette
pièce
qu’il doutait de son succès. Quoi ! dira-t-on, es
l’heure, et l’on bâille vingt fois, Qu’elle grouille aussi peu qu’une
pièce
de bois. ACASTE. Que vous semble d’Adraste ? CÉLI
surveillance se sont déjà concertés ; mais il y a un grand nombre de
pièces
à examiner. Le rapport ne pourra être fait que de
France. Il sait bien que la postérité recueillera un jour toutes les
pièces
de cette grande discussion qui s’est élevée entre
pu à peine y jeter les yeux ; il nous a fallu employer à classer les
pièces
que la commission nous a opposées, les moments qu
ls sont nombreux. La vérité est moins facile à y trouver que dans les
pièces
faites au moment même où les événements se passen
x dont ils émanent n’ont pas songé à paraître, mais à agir. Aussi les
pièces
écrites avant, pendant et après l’action, en donn
re. Mais sur ce théâtre, il faut que quelqu’un paraisse pour jouer la
pièce
; ce quelqu’un, c’est l’humanité, c’est-à-dire le
euxis que les oiseaux venaient becqueter. Le comble de l’art pour une
pièce
de théâtre serait de vous persuader que vous êtes
démontent et se déconcertent, une machine qui se dissout et se met en
pièces
, alors, du sein de cette ruine et de cette cendre
orsque vous me devez pour le moins des excuses. Je n’ai point fait la
pièce
que vous m’imputez et qui vous pique95 ; je l’ai
. La modestie et la générosité que vous y témoignez leur semblent des
pièces
rares, et surtout votre procédé merveilleusement
pour m’imputer de mauvais exemples ; vous avez épluché les vers de ma
pièce
, jusqu’à en accuser un de manquer de césure : si
toutes les dames. Je ne puis vous dire l’excès de l’agrément de cette
pièce
: c’est une chose qui n’est pas aisée à représent
et on n’a point d’autre peine que celle de voir finir une si aimable
pièce
; tout y est simple, tout y est innocent, tout y
ient pas sans larmes : la mesure de l’approbation qu’on donne à cette
pièce
, c’est celle du goût et de l’attention. J’en fus
souffle le modèle idéal de l’édifice que, plus tard, il faudra bâtir
pièce
par pièce, lentement et laborieusement. En promen
e modèle idéal de l’édifice que, plus tard, il faudra bâtir pièce par
pièce
, lentement et laborieusement. En promenant ma pen
pas le garder un quart d’heure. Il revint donc, m’emmena dans l’autre
pièce
, et me demanda si j’avais du temps à perdre ; il
sième remplissait les fonctions de lieutenant et commandait ; dans la
pièce
à côté, mon ami Montfort était au piano ; ses cam
e attentif, il étendait ses soins1… Zaïre2. (Une scène de cette
pièce
.) Acte II, scène iii. Lusignan, prince du s
imitation de l’Othello de Shakspeare, elle appartient au genre de ces
pièces
dites romanesques, où le poëte puise dans son ima
gue montrèrent que les craintes de Montaigne étaient légitimes. 11.
Pièce
, c.-à-d. partie (de petium, pièce de terre). 12.
Montaigne étaient légitimes. 11. Pièce, c.-à-d. partie (de petium,
pièce
de terre). 12. Métaphore tirée du cerf forcé par
e est parfois d’une négligence qui n’est pas à imiter. 4. Les douze
pièces
de Racine forment un total de 18, 900 vers : d’où
t un total de 18, 900 vers : d’où, en moyenne, 18900/12 = 1575 v. par
pièce
, et 1575/5 = 325 v. par acte. — Plus exactement,
par pièce, et 1575/5 = 325 v. par acte. — Plus exactement, comme deux
pièces
(les Plaideurs et Esther) n’ont que trois actes,
rupule. Si, dans le cours de l’affaire, un examen plus approfondi des
pièces
lui démontre que la cause qu’il croyait bonne est
Ulysse par Euryclée, supposait qu’il pouvait bien être question d’une
pièce
de Sophocle, intitulée aussi Νίπτρα. — Sur ἐϰ τῶν
rs rangs, Troupe futile et des grands rebutée, Par nous, d’en bas, la
pièce
est écoutée. Mais nous payons, utiles spectateurs
le contraignant à s’observer un peu, elle nous valut quelques belles
pièces
qui ont fait vivre son nom. Il a surtout réussi e
. Ils étaient 150,000 hommes ; j’ai fait 20,000 prisonniers, pris 100
pièces
de canon et des drapeaux. J’étais en présence et
heureuse : jouée en 1848, au milieu du frémissement populaire, cette
pièce
, où le drame se mêle à l’idylle, réussit par des
n’hésite pas à préférer la Lucrèce de M. Ponsard à toutes les autres
pièces
faites sur le même sujet, parce que M. Ponsard a
▲