istingué. Il se signala par sa bravoure, dans le fort de la mêlée, au
passage
du Rhin. Amour (l’) ou Cupidon, que les poètes f
arquis de), premier écuyer du roi, et colonel du régiment Dauphin. Au
passage
du Rhin, il se jeta dans le bateau du prince de C
Condé, parce que son cheval ne voulait pas passer. Il reçut, après le
passage
, un coup de mousquet dans la mamelle droite, et p
s logis de la maison du roi. Il donna de grandes preuves de valeur au
passage
du Rhin. Centaures, Monstres, suivant la fable,
Coislin (Armand de Cambout, duc de). Il fut blessé, dans la mêlée, au
passage
du Rhin, de plusieurs coups de mousquet. I. Condé
s bonnes grâces et toute sa confiance. C’est lui qui ouvrit l’avis du
passage
du Rhin ; entreprise glorieuse, à laquelle il eut
prince de), fils du grand Condé. Il se signala à côté de son père au
passage
du Rhin, et ensuite à la bataille de Senef. Il mo
du maréchal de). Il était lieutenant-général, et tenta le premier le
passage
du Rhin Chargé de reconnaître si le fleuve était
e Lesdiguière, pair de France, comte de Saux). Il se fit remarquer au
passage
du Rhin par son impétueuse valeur. Quoiqu’il eût
es fleuves et des fontaines. Nantouillet (le chevalier de). Après le
passage
du Rhin, il reçut deux coups dans son chapeau. N
rde-robe, et maréchal de camp des armées du roi. Il fut tué, après le
passage
du Rhin, d’un coup de mousquet à la tête. Nymphe
e de Broglie. Il reçut trois coups d’épée dans l’action qui suivit le
passage
du Rhin. Rhin (le), un des plus grands fleuves d
Salart, officier d’un grade distingué. Il se battit vigoureusement au
passage
du Rhin. Salle (le marquis de la), un des premie
er de Vendôme n’avait pas encore dix-sept ans, lorsqu’il se trouva au
passage
du Rhin. Il gagna sur l’ennemi un drapeau et un é
ères de France. Il montra la plus grande intrépidité dans l’action au
passage
du Rhin. Z. Zéphyrs (les). Les poètes, en person
. Les grenades dites vineuses.] Αἱ οἰνώδεις ῥοαί. L’explication de ce
passage
se trouve dans Théophraste, περὶ φυτῶν ἱστορίας,
oins sensible.] ᾜ pour ἢ m’a paru nécessaire pour donner un sens à ce
passage
. Produisent une impression distincte.] Θεωρεῖν et
ομεν, φανερὸν ὅτι ϰαὶ τὸ θεωρεῖν γρα- φὰς ἢ λόγους ἀσχήμονας. Dans ce
passage
, le mot λϐγους a paru suspect à Schneider, à Cora
ans la Notice de Vincent, p. 401 et suiv. Au reste le sens de tout ce
passage
est fort incertain. Chap. xx. — Si l’on change.]
été suggérée par M. Vincent, comme tout à fait nécessaire pour que ce
passage
ne contredise pas l’opinion expresse d’Aristote d
) L. Racine paraît avoir deviné ce qu’Aristote lui-même écrit dans un
passage
de ses Problèmes (XXIX, 11) où il appelle la femm
W. Schlegel, etc.), ont blâmé comme une inconséquence de caractère ce
passage
de la faiblesse à l’héroïsme. Malgré l’autorité d
nt, mais sans nécessité, de lire ici ἁπλότητος, et il compare avec ce
passage
la Rhétorique, I, 9, et le vers 926 (917, éd. Boi
e Racine.) C’est aussi le sens adopté par Dacier, qui rapproche de ce
passage
Horace, Art poétique, v. 179 et suiv. Résultant.]
radation de lumière qui, d’un objet à l’autre, conduit la vue par des
passages
imperceptibles. Les couleurs se mêlent sans se co
ussi irréprochables qu’élevés, mais, en même temps, il s’y trouve des
passages
, et, entre autres, une certaine dédicace à Maria
a fait bondir le cœur, et je pourrais citer dans M. Barbier plusieurs
passages
de ce genre, sans même parler de ceux où il pouss
évues les plus bouffonnes, en s’obstinant à ramener à l’allégorie les
passages
mêmes où l’écrivain, laissant là le double sens,
vie humaine, dont on peut rapprocher, le style de Bossuet à part, un
passage
ingénieux des Inductions morales et physiologique
verrez tous, prévenant son ravage, Guider dans l’Italie ou suivre mon
passage
. Évidemment le sens figuré me frappe à l’instant
e épargne le coupable… Eh bien ! analysez ces divers exemples et les
passages
analogues, et il vous sera aisé de voir qu’ils re
n fait historique, une fiction mythologique, une opinion en vogue, un
passage
connu de quelque écrivain, c’est ce qu’on appelle
en dire autant de Saint-Amand lorsqu’il peint un petit enfant qui, au
passage
de la mer Rouge, va, saute, revient : Et joyeux
erem fortem… (Prov., xxxi, 10-31). A ces morceaux nous ajouterons des
passages
plus ou moins nombreux d’Homère, de Démosthènes,
Buffon, Chateaubriand, Lamartine, V. Hugo, Alfred de Vigny. Voici un
passage
de ce dernier ; Moïse parle à Dieu sur le mont Né
; le sermon de Massillon sur le petit nombre des élus, et surtout ce
passage
: Je suppose que ce soit ici notre dernière heur
accablé de maux : Je ressemble, Seigneur, au globe de la nuit…, et ce
passage
du sermon de Massillon sur le petit nombre des él
nèbre de la reine d’Angleterre : Celui qui règne dans les cieux… ; un
passage
du sermon de Fénelon pour l’Épiphanie, relatif à
ntre les Romains : Oui, les Dieux à notre esclavage…, par Soumet ; un
passage
de la Prière, de Lamartine : L’univers est le tem
Bonald : Assis sur la base immuable. Nous terminerons par le célèbre
passage
du psaume 17, si souvent imité par nos poètes :
vres de nos bons écrivains ; laissons tomber notre choix sur le hardi
Passage
des Alpes par François et sur le Dévouement des r
en Gaillard, et le publiciste genevois Mallet du Pan. Lectures. — 1°
Passage
des Alpes. Vol. II, nº 70. — 2° Dévouement des Re
deux qualités sont-elles sœurs, et se trouvent-elles réunies dans le
passage
suivant, qui appartient l’un de nos estimables éc
yen de conserver cette qualité. C’est ce que l’on remarquera clans le
passage
suivant, dans lequel l’écrivain a pour but de nou
ent couvrir. Avec moi de ce pas venez vaincre ou mourir. Boileau, le
Passage
du Rhin, Ép. IV. Delille a défini avec grâce le
es II mourut à Saint-Germain-en-Laye, au sein de la religion. Dans le
passage
suivant, nous voyons le monarque frappé par la ma
procurera de douces jouissances. Nous signalons ici comme lecture un
passage
des Harmonies de la nature, que nous devons à Ber
que Vincent Voiture se plut à écrire à M. le duc d’Enghien, après le
passage
du Rhin par l’armée française. Nous la rapportons
s picards. » Pour avoir une idée nette de ce style, lisons les trois
passages
suivants. Le premier contient une réponse de Jupi
’a été la qualité caractéristique d’un bon cœur, Lecture. — Quelques
passages
de l’Énéide et du Télémaque travestis. Vol. II, n
auteurs, et lorsque la lecture était finie, à faire des extraits des
passages
les plus remarquables, avec les observations auxq
passages les plus remarquables, avec les observations auxquelles ces
passages
pouvaient donner lieu, observations qui portaient
rimer que deux sermons de circonstance, et une traduction en vers des
passages
de l’Écriture que l’on chantait le plus ordinaire
t d’écrire, l’étude attentive des vrais modèles et la comparaison des
passages
les plus brillants avec ceux où se laissent aperc
pui de ce que j’avance : on trouve dans leurs ouvrages admirables des
passages
d’une rudesse et d’une grossièreté que leur aurai
fond des forêts le voyageur s’égare. (Trad. de Delille.) Quoique ces
passages
soient de très beaux exemples d’un style élevé, c
ans une imposante obscurité. Nous en trouvons un exemple dans ce beau
passage
du Livre de Job (c. 4, v. 15 à 17) : In horrore
blime tout ce qui plaît dans une belle composition. Aussi beaucoup de
passages
qu’il cite comme des exemples de sublime ne sont
dées imposantes et sublimes sur l’apparition du Tout-Puissant dans ce
passage
du dix-septième psaume : In tribulatione mea inv
vient à l’appui des principes que nous avons précédemment établis. Le
passage
suivant du prophète Habacuc est du même genre :
On trouve une pensée du même genre supérieurement développée dans le
passage
suivant d’Isaïe : Hæc dicit Dominus redemptor tu
, fundaberis. (C. 44, v. 24, 27 et 28.) Il y a, dans le Psalmiste, un
passage
qui mérite aussi d’être cité : « Dieu apaise le c
noblesse à ces scènes gracieuses ; aussi Longin recommande surtout ce
passage
du quinzième livre, où Neptune, sur le point de s
crets des régions des morts ne se découvrent aux yeux des mortels. Le
passage
suivant mérite d’être rapporté : Αὐτὰρ ἐπεὶ μεθ᾽
este. (Trad. de Delille.) Mille sources de sublime s’offrent dans ce
passage
. Le principal objet est essentiellement grand ; c
nation. C’est ce que Virgile a fait d’une manière si heureuse dans le
passage
suivant : Ipse pater, media nimborum in nocte, c
ion frappée et animée de la grandeur du sujet. S’il se trouve dans ce
passage
une tache légère, c’est dans ce vers qui suit imm
sur cet appareil pénible que quelques écrivains introduisent dans un
passage
ou dans une description qu’ils veulent rendre sub
ire la censure de l’ouvrage de M. Addison, où se trouvent beaucoup de
passages
d’un très grand mérite ; la belle comparaison de
serait, il est vrai, plus aisé de tirer des exemples de traits ou de
passages
fautifs parmi les mauvais écrivains ; mais on y f
, l’auteur des Aventures de Télémaque. Virgile, quoique dans quelques
passages
il s’élève jusqu’au sublime, est surtout remarqua
t cette particularité, sont exposés à ne pas bien comprendre quelques
passages
des auteurs classiques dans lesquels il est quest
tion » de l’homme qu’elle veut louer. Cicéron, de qui j’ai traduit ce
passage
, établit un ordre directement opposé, en mettant
l peut se reposer, revenir sur ce qu’il a lu, et comparer à loisir un
passage
avec un autre ; tandis que la voix nous échappe e
iminel est garrotté avec une corde par le bourreau. On trouve dans un
passage
de l’Histoire d’Écosse, par Robertson, un exemple
ndantes les unes des autres, renferment un sens entier, comme dans ce
passage
de la préface de M. Pope : « Je l’avoue, ce fut l
’économiser le temps et le papier, ils écrivent, etc. » Dans un autre
passage
, le même auteur a laissé sa pensée douteuse, en d
fois, dans la même phrase, à des personnes différentes, comme dans ce
passage
de l’archevêque Tillotson (vol. i, serm. 42) : «
ouvelle : « qui nommèrent le docteur Tennison pour lui succéder. » Le
passage
suivant est extrait de la Vie de Cicéron, par Mid
ts essentiels sont placés au commencement de la phrase, comme dans ce
passage
de M. Addison : « Les plaisirs de l’imagination p
x à leur plus haut période. Tel est, dans son discours pro Milone, ce
passage
, où il est question du complot qu’avait formé Clo
entes omnes concidissent . Ce genre de beauté se trouve aussi dans le
passage
suivant de lord Bolingbroke : « Cette décence, ce
aise grâce la période dont il fait partie ; l’on en peut juger par ce
passage
de lord Bolingbroke, extrait d’une lettre sur l’é
un meilleur effet si elles étaient séparées l’une de l’autre. Dans ce
passage
des remarques sur l’Histoire d’Angleterre, par lo
t, et les gens sérieux pour ceux qui ont la raison de leur côté. » Le
passage
suivant, extrait de la préface de l’Homère de Pop
faire observer que nos traducteurs de la Bible ont, dans beaucoup de
passages
, adapté très heureusement la cadence de leur phra
er aquas. On trouve, et surtout dans les psaumes, une foule d’autres
passages
qu’on pourrait citer pour des modèles de construc
monious sound On golden hinges moving37. On a souvent admiré ce beau
passage
de la Jérusalem délivrée, à cause du rapport de l
qu’il est inutile de les reproduire ici. Je rapporterai seulement un
passage
anglais où l’harmonie imitative me semble fort he
la plus grande part, et que, suivant qu’un lecteur est affecté par un
passage
, il trouve entre les sons et le sens une ressembl
passer d’ornements étrangers. Aussi, chez les meilleurs auteurs, les
passages
les plus touchants, ceux qui ont fait l’admiratio
s elles sont fondées, et évitent avec soin de les employer dans : des
passages
où elles paraîtraient déplacées. On peut dire d’u
dre une autre manière de s’exprimer. Nous en avons un exemple dans ce
passage
du docteur Young : « Lorsque nous nous plongeons
i des métaphores. Mais avant de les faire connaître, je vais citer un
passage
où cette figure se montre dans tout son éclat ; j
e, combien d’objets incohérents Shakspeare a groupés ensemble dans ce
passage
d’une de ses pièces intitulée la Tempête ; il par
« qui éteint des semences ! » On trouve la même incorrection dans ce
passage
d’Horace : Urit enim fulgore suo qui prægravat a
dées métaphoriques. Il est également difficile de justifier cet autre
passage
: Ah ! quanta laboras in Charybdi, Digne pue
le que produisent les métaphores mixtes. Nous en pouvons juger par ce
passage
d’Horace : Motum ex Metello consule civicum,
s cineri doloso. (Carm. lib. I, ode 1.) Quelque poétique que soit ce
passage
, il y règne cependant une grande obscurité, qui n
extera tua : et super filium hominis, quem conftrmasti tibi. Dans ce
passage
, il n’est aucune circonstance (excepté celle-ci,
qui est plus qu’élégant, voilà qui est véritablement sublime. Tout ce
passage
est plein de vie, et la figure prend encore de l’
et même un grand nombre de sermons anglais, nous offrent une foule de
passages
semblables que nous eussions pu citer comme des e
sensibilité qu’elle lui prête. C’est ce que nous prouve ce magnifique
passage
de l’Été de Thomson, où, dans la description qu’i
» (Trad. de M. Deleuze.) Le même effet est remarquable dans ce beau
passage
de Milton : Par la main je la guide au berceau n
e si elle était animée, et c’est la raison qui me fait : condamner ce
passage
de la belle épître d’Héloïse à Abélard, par Pope
uentiæ candidatum, superstes parens tantum ad pœnas, amisi ? Dans ce
passage
, Quintilien déploie le génie d’un véritable orate
47, v. 6, 7.) Je ne veux pas omettre cette occasion de citer un autre
passage
dans lequel sont rassemblées un grand nombre d’id
ndamenta laci, quasi cadaver putridum. (C. 14, v. 4 et sqq.) Tout ce
passage
est sublime. Que d’objets divers y sont animés !
sait actuellement sous nos yeux ; nous en trouvons un exemple dans ce
passage
de la quatrième Catilinaire (ch. 6) : Videor eni
de produire un grand effet. On en cite ordinairement pour exemple ce
passage
remarquable de Cicéron, que tous les écoliers sav
es plus marquantes, ne dépendent point des tropes ni des figures. Les
passages
les plus sublimes et les plus pathétiques des aut
e, je ne puis qu’indiquer les auteurs dignes de servir de modèle. Des
passages
détachés, comme j’en ai cité jusqu’ici pour servi
teur ne peut, comme celui qui lit, s’arrêter à loisir et reprendre un
passage
qu’il n’a pas bien compris. Il ne faut jamais tro
ues auteurs latins, comme Térence, Lucrèce, Phèdre et Jules César. Ce
passage
de l’Andrienne de Térence est un bel exemple de l
s’aimaient depuis longtemps. » (Trad. de l’abbé Lemonnier.) Dans ce
passage
de l’auteur latin, chaque expression est heureuse
’exercice plus propre à former le style, que de lire attentivement un
passage
d’un bon auteur, et de l’écrire ensuite avec nos
nferme ; alors on met le livre de côté, et on essaye d’écrire ce même
passage
le mieux que l’on peut ; ensuite on ouvre le livr
nt de prendre des phrases connues d’un auteur, ou d’en transcrire des
passages
entiers ; car rien n’est plus funeste au succès d
Spectateur ; la xxive a pour objet un examen semblable du style d’un
passage
de Dean Swift. Nous n’avons pas cru devoir augmen
degré de perfection où elle puisse atteindre. Quatrièmement. Dans les
passages
les plus véhéments d’un discours prononcé à la tr
du territoire d’Albe, il leur adresse même plusieurs phrases ; et ces
passages
, chez ces deux orateurs, produisent un’effet magn
le du genre d’éloquence dont je viens de traiter, je citerai quelques
passages
de Démosthène. Malgré les désavantages d’une trad
e ne m’attacherai pas à suivre une seule harangue, et je réunirai les
passages
de deux ou trois d’entre elles, afin de montrer l
t à lui que l’orateur s’adresse, et considère avec impartialité quels
passages
lui semblent plus frappants, quels arguments lui
fondés sur le développement de quelque caractère particulier, ou d’un
passage
remarquable de l’histoire sacrée qui fournit l’oc
ue chose de plus solennel et de plus respectable. Les allusions à des
passages
ou à des expressions remarquables de ce beau livr
r de les imiter de trop près et surtout d’en transcrire de trop longs
passages
dans les sermons que l’on compose. C’est une mauv
plus favorable et le plus frappant. Voyez quelle lumière tels autres
passages
de l’Écriture pourraient jeter sur ce sujet ; exa
n moins d’observations que les rhéteurs et les critiques modernes. Le
passage
remarquable de Cicéron que nous allons citer prou
ETIUS, de Rerum nat., lib. I, v. 63.) 7. Nous rencontrons, dans le
passage
suivant du docteur Akenside, sur les plaisirs de
t vénérable. » (Fléchier, Oraison funèbre de M. de Turenne.) Ces deux
passages
sont plus brillants que sublimes : le premier man
le jamais ; qu’aucun de nous ne cherche à en détacher son bras. » Ces
passages
sont extraits de l’Histoire des cinq nations indi
lé, Et sur leurs vastes gonds, en grondant, ont roulé. Voici l’autre
passage
, il est un peu plus faible : Des cieux, sur leur
la navigation va être assurée par les armes de Louis. » Dans un autre
passage
de la même oraison, il apostrophe l’île des Faisa
12.) 55. Ses expressions sont infiniment belles et heureuses, et le
passage
mérite d’être cité ici tout entier. « Je ne crain
5 et 6.) Ici le sujet justifie la chaleur que Cicéron déploie dans ce
passage
éloquent. 64. Quuem esset egens, sumptuosus, a
t infiniment heureuse. Le docteur Seed aime à faire des allusions aux
passages
de l’Écriture ; mais elles sont trop souvent forc
es, la suivent pleines de joie et d’allégresse. » Il veut rappeler ce
passage
du psaume xlve , où il est parlé de jeunes vierge
dée de l’immensité remplie par un Dieu, est bien mieux rendue dans le
passage
suivant du psalmiste : « Si ascendero in cœlum,
ux, et qu’il n’y avait rien dans la nature qui ne fût en danger ». Ce
passage
d’Homère est en effet admirable, et nous l’avons
ne source imprévue qui s’échappe du sein d’un rocher, pour décrire le
passage
du malheur à la prospérité, etc. Voilà ce qu’offr
s agréments qu’il m’a ôtés, de me faire apercevoir des marques de son
passage
. Vous trouvez donc que vos comédiens ont bien de
C’était merveille de le voir. Merveille de l’ouïr : il faisait des
passages
, Plus content qu’aucun des sept sages.
t clans les écrits de Buffon, de Fénelon et de Chateaubriand. Dans le
passage
suivant tiré de Buffon, l’éclat des expressions d
ujours admirables. On pourra lire encore de M. Joseph de Maistre, un
passage
intitulé : Une Nuit d’été à Saint-Pétersbourg : i
les de mouvement et de suspension. Nous citerons ici de préférence le
Passage
des Alpes par Bonaparte. Pour frapper les grands
de, plus sauvage, plus désolant que celui de l’Arabie, et trouver des
passages
au travers de ces rocs entassés jusque dix mille
lime de style dans tous les quatre. Pour fixer notre attention sur un
passage
qui réunisse les différents caractères du sublime
la simplicité et la naïveté de ce style, on y trouve quelquefois des
passages
si éclatants, qu’ils entraînent avec eux la magni
l a pour sujet le miracle que Dieu fit en faveur des Hébreux, lors du
passage
de la mer Rouge. Le prophète s’y abandonne à des
que j’ai cru devoir ajouter ici, avant les extraits des Problèmes, le
passage
de la Politique, qui complète et commente si heur
urraient en résulter, nous avons indiqué par des astérisques tous les
passages
du texte grec qui sont visés dans le commentaire.
Ritter suppose être une glose marginale, est assez justifié par deux
passages
du chap. xxii et par deux autres de la Rhétorique
re ἐϰ τούτων ou ἐϰ τούτου ἀφώνων, ce qui augmente la difficulté de ce
passage
. Cf., sur les lettres doubles, le dernier chapitr
oro virgis cæderetur ? Rien de plus beau, rien de mieux écrit que ce
passage
. Les circonstances sont heureusement choisies pou
applicables, comme on est assez généralement tenté de le croire, aux
passages
les plus soignés ou les plus pathétiques du disco
ention que de talent pour donner aux morceaux les plus simples et aux
passages
les plus tranquilles le renforcement, les pauses,
ui indiquerait la fin d’une phrase ; mais on doit toujours marquer le
passage
d’un vers à l’autre par une suspension presque in
on et avec quelles inflexions de voix vous vous exprimeriez, dans ces
passages
surtout où vous chercheriez à captiver plus parti
t la raison. Dans mes précédentes Lectures, j’ai quelquefois cité des
passages
des auteurs classiques pour en faire sentir les b
ges, il est vrai, renferment des imperfections ; l’on y rencontre des
passages
évidemment vicieux. Eh ! quels ouvrages sortent p
faitement assorti aux mœurs pastorales. M. Pope, en voulant imiter ce
passage
, a cru l’embellir ; voici comme il développe sa p
ienne, et dont j’ai donné un exemple, en choisissant, il est vrai, le
passage
le plus médiocre de tout le poème, c’est générale
a marche est souvent obscure et incertaine. Cependant on y trouve des
passages
d’un grand sens et d’une critique judicieuse ; et
’Aristée, et l’épisode si touchant d’Orphée et d’Eurydice. Ainsi, les
passages
que l’on préfère dans Lucrèce, et qui seuls pouva
ression est éminemment énergique ; les trois premières renferment des
passages
très pathétiques, et dans toutes il a su placer à
homme qui périt au milieu des neiges ; mais j’aime mieux rapporter un
passage
d’un autre genre, pour montrer combien une seule
eux de circonstances dans un ouvrage descriptif. Je ne citerai que ce
passage
du Penseroso : I
l’air, le feu, l’onde, ou les entrailles de la terre. » Dans tout ce
passage
, point de termes généraux, point d’expressions in
donnant plus de force et d’étendue. C’est ce qu’a fait Milton dans ce
passage
: Who shall tempt with wandering feet Th
Trad. de Delille.) Il est évident que les épithètes employées dans ce
passage
donnent de la force à la description, et la rende
ations de Jérémie, presque tous les livres des prophètes, et quelques
passages
de chapitres historiques, portent tous les caract
dans lequel Job s’exprime lui-même, vous verrez comme est sensible ce
passage
de la prose à la poésie ; ce ne sont pas seulemen
ne des torrents qui ravageaient tout ce qu’ils rencontraient sur leur
passage
; et le Jourdain, la seule rivière un peu considé
uceur dans le vingt-deuxième psaume, et dans un grand nombre d’autres
passages
des saintes Écritures. Voilà pourquoi ils emprunt
le, l’intervention de la Divinité donne à une image champêtre dans ce
passage
d’Isaïe : — Sonabunt populi sicut sonitus aquaru
destruction de Sodome, l’apparition du Seigneur sur le mont Sinaï, le
passage
miraculeux des Israélites à travers la mer Rouge.
Telles sont les lamentations de David sur son ami Jonathan, quelques
passages
des livres des prophètes, et plusieurs psaumes co
et à la vie champêtre. On trouve dans l’Ancien Testament de nombreux
passages
de poésie lyrique, de cette poésie destinée à êtr
ux, agréable et tendre. On trouve dans ses psaumes un grand nombre de
passages
majestueux et sublimes ; mais il le cède à Job et
illent les sentiments généreux, plus ce poème est intéressant, et les
passages
qui les expriment sont toujours les plus goûtés d
ès souvent développés dans un dialogue. Nous citerons pour exemple ce
passage
du quarante-deuxième chapitre de la Genèse (v. 7,
s hommes, a presque toujours de la grandeur et de la noblesse, et les
passages
les plus sublimes de l’Iliade sont ceux où Neptun
ndresse et d’amour. Le même pathétique existe dans un grand nombre de
passages
de l’Énéide, et ces passages sont ceux que l’on r
athétique existe dans un grand nombre de passages de l’Énéide, et ces
passages
sont ceux que l’on relit avec le plus de plaisir.
n que nous ayons remarqué quelques inégalités dans l’Énéide, quelques
passages
où l’intérêt languit, cependant on trouve dans to
me toutes les fois qu’il le fait agir ou parler. La plupart des beaux
passages
, les endroits où Lucain a déployé le plus de gran
in que de vivre sous un tyran ; si cette vie n’est autre chose que le
passage
à une vie heureuse et durable ; s’il est quelque
orte perdre de vue la plupart de ses défauts. L’on pourrait citer des
passages
de la Pharsale que ne désavouerait aucun poète de
ractères de César et de Pompée ; rien n’est plus poétique que ce beau
passage
dans lequel il compare Pompée à un vieux chêne ru
et le discours de Satan ; néanmoins Milton, qui a évidemment imité ce
passage
du Tasse, peut se flatter d’avoir surpassé le poè
plus extravagante. Cependant ou retrouve dans Roland Furieux tant de
passages
que pourrait réclamer la muse épique, qu’il nous
au héros le secours éclatant qu’obtinrent autrefois les Israélites au
passage
de la mer Rouge, et l’apôtre saint Paul dans son
ouis est une fiction fort heureuse et très noble. L’un des plus beaux
passages
de la Henriade, je dirai même d’aucun poème, est
mposé un poème si rempli d’une multitude d’incidents divers. Quelques
passages
ont, il est vrai, de la sécheresse et de la duret
remarquable ; cependant l’on trouve dans son poème un grand nombre de
passages
dans lesquels il exprime d’une manière admirable
s ou ses défauts l’emportent. Ses pièces sont pleines de scènes et de
passages
admirables ; il y a des morceaux auxquels on ne p
e de Corneille et la Zaïre de Voltaire. La première est fondée sur un
passage
historique de l’Ancien Testament ; dans les deux
eur, et quelquefois même de la pédanterie. On rencontre de très beaux
passages
, et beaucoup d’imagination et d’invention dans le
r d’Édimbourg, et de citer ensuite, ou de rapporter textuellement les
passages
dans lesquels nos auteurs émettent d’autres princ
comme dans un morceau d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques
passages
de Longin, distinguer un sublime instantané, qui
insérant une longue note, dont la plus grande partie renferme un beau
passage
de Massillon. Mais pour n’en pas priver le lecteu
èce d’éloquence employée par les prédicateurs français, je citerai un
passage
de Massillon que Voltaire, dans l’article Éloquen
nt animé ; mais Voltaire nous apprend que, quand l’orateur en vint au
passage
que l’on va lire, “un transport de saisissement s
; Nostra sed impugnat ; nos nostraque lividus odit, etc. « J’ai vu ce
passage
imité ainsi en vers familiers : Rendons toujours
loureusement au spectacle des misères humaines. Il semblerait, par ce
passage
, qu’il en voudrait faire une critique sévère ; ce
de lire l’auteur qu’ils censuraient, je crois devoir rapporter ici le
passage
qui a donné lieu à mon observation. Voici donc ce
loient la flûte.] Tῆς αὐlhτɩᵡῆς ἡ πlɛίστh s’explique très-bien par un
passage
d’Athénée, XIV, p. 618, où sont énumérées quatorz
eur lâcheté. Les dialogues Socratiques.] Athénée, XI, p. 505, cite un
passage
du traité d’Aristote Sur les Poëtes, où l’auteur
remarque, en s’appuyant de l’autorité d’Aristote. Avait-il en vue ce
passage
de la Poétique, ou bien la Rhétorique, III, 2 ? (
e, ou bien la Rhétorique, III, 2 ? (cf. II, 21). Voyez ma note sur le
passage
cité de Longin. Par la composition des mots.] Ὀνο
nais, de Lamartine, sont des modèles de richesse ; un grand nombre de
passages
des prophètes, de Platon, de Buffon, de Mirabeau,
rica, hostem populo romano toto orbe quœrebat. » Voici maintenant un
passage
de Massillon qui peut, ce me semble, donner une i
une sainte alliance, Et donnez-vous la main. » Vous remarquez que le
passage
de Massillon, cité plus haut, réunit à la magnifi
suel, Longin cite, comme modèle de ce qu’il nomme sublime d’image, ce
passage
d’Euripide, où Phébus cherche à guider, dans son
ollonius Dyscole, ch. viii, § 1. Alexandre est réfuté au moins par le
passage
des Topiques, I, 15, où Aristote oppose comme ἐνα
retrouve dans le traité Du Langage, et que commente Ammonius dans un
passage
d’où Ritter conclut à tort contre l’authenticité
r son voyage à cause du rocher, essaya de le mouvoir pour se faire un
passage
, et il se fatigua beaucoup à ce travail, et tous
sur l’Indifférence (édition Garnier frères). Comparer à un très-beau
passage
de Balzac : Les victoires du Christianisme. (Voir
n jour si vif la physionomie de M. de Lamennais sera commentée par ce
passage
que j’emprunte à sa traduction des Évangiles : «
raie patrie, vers la maison de notre père. Mais à l’entrée, il y a un
passage
où deux ne sauraient marcher de front, et où l’on
n critique ancien, Magaclide, cité par le scholiaste de Venise sur ce
passage
de l’Iliade, en blâme aussi l’invraisemblance. —
ου. Comparez plus haut, chap. xvi. Si le premier fait est faux, etc.]
Passage
très-obscur le texte des mss. est évidemment cor
semble aussi qu’on lise son compatriote Montaigne 2. Voilà un de ces
passages
où Montesquieu à l’éloquence de Tacite, et parle
qu’un ruisseau lorsqu’il se perd dans l’Océan. » 1. Rapprochez ce
passage
de La Bruyère sur le Bibliomane : « Mais quand i
journaux sur tous les riens qui voltigent dans l’air. 1. Comparez ce
passage
au Nouvelliste, de La Bruyère 2. Rêverie. M. A
le roi actuel vienne donc à s’emparer de l’Égypte et il effectuera le
passage
de la mer : voilà pourquoi il faut en empêcher la
n parfait modèle des convenances que doit observer l’orateur, dans ce
passage
d’une harangue qu’il prononça, lors de la transla
e sens, pour laisser au lecteur le plaisir de le pénétrer. Tel est ce
passage
d’une épître de Boileau à Louis XIV : Je n’ose d
lante et célèbre bataille où périt Turenne. Non moins frappant est ce
passage
de l’éloge de Duguay-Trouin par Thomas, où il s’a
importance, on n’a, comme on vient de le faire, qu’à prendre quelques
passages
de nos meilleurs écrivains anciens ou modernes. P
plus de fracas, ἔπειτα πέδονδε κυλίνδετο λᾶας ἀναιδής. Opposons à ce
passage
les vers suivants, où le grand poète nous peint l
ivres saints offrent de nombreux exemples du vrai sublime. Tel est le
passage
suivant qui termine le psaume II où sont décrites
pinceau. Voir la 3e Méditation du 2e volume dont je ne citerai qu’un
passage
: c’est une dernière illusion, bientôt dissipée,
dit ingénieuse contradiction d’idées ou tour de paradoxe. Tel est ce
passage
du traité de Amicitiâ, où Cicéron dit : « Quocirc
on ne dit pas moins et avec plus de force et d’insistance. Tel est ce
passage
de la Henriade : Je ne vous peindrai point le tu
ῖμαξ) monte ou descend par degrés d’une idée à une autre : tel est ce
passage
du discours de Cicéron contre Verrès, V, 66 : « C
perdita, necdùm Laomedonteæ sentis perjuria gentis. Racine, dans le
passage
suivant, peint, à grands traits, l’irrésolution d
yens ! » D’une profonde douleur encore, comme nous le voyons dans ce
passage
tiré de l’oraison funèbre de la duchesse d’Orléan
oits ! » Virg, Egl. iv. À la vivacité du sentiment se joint, dans le
passage
suivant, l’onction de l’éloquence sacrée : « Vou
de Neptune aux vents déchaînés au 1er liv. de l’Énéide. Et cet autre
passage
du Britannicus de Racine : Et ce même Sénèque et
rtent plusieurs parties d’une phrase. Tel est le mot cessent, dans ce
passage
de La Fontaine : Ainsi dit, ainsi fait, les main
les jambes de marcher. Tels sont les mots faut-il vous rappeler ? du
passage
suivant de la tragédie d’Athalie de notre Racine
es termes ou locutions. Bourdaloue fait usage de cette figure dans le
passage
suivant : « Tout l’univers est rempli de l’espri
divers membres qui composent une période par le même tour. Tel est le
passage
suivant, extrait d’une Philippique de Cicéron :
fois plus de grâce et de force. De quel effet n’est-elle pas dans ce
passage
de la tragédie de Zaïre par Voltaire ! C’est Lusi
c’était là le triomphe du philosophe. Citons pour exemple d’ironie ce
passage
de la Milonienne de Cicéron : « Sed stulti sumus
s de la pensée, se conformant en cela aux préceptes de Boileau : Des
passages
divers décidez les nuances, Ponctuez les repos, o
ue la nature leur a donné des larmes, qui s’ouvrent impétueusement un
passage
dans la douleur et coulent doucement dans la joie
e s’embarrasse-t-elle au milieu du plus beau discours, au milieu d’un
passage
éloquent, l’orateur devient un tourment pour son
s de cette admirable comparaison. 2. Il est curieux de comparer à ce
passage
ce que dit Fénelon sur l’éloquence de saint Paul
efois beaucoup plus de force qu’aujourd’hui. On le voit encore par le
passage
où Bossuet, dans son Discours sur l’histoire univ
lleur langage dont jamais homme se soit servi. » 1. En signalant ce
passage
comme l’un des plus distingués du livre par la cl
moyen âge, le docteur infaillible. (Des Pensées de Pascal.) 2. De ce
passage
on peut rapprocher les graves considérations de B
r le langage propre et le langage figuré, comme l’a fait Pope dans le
passage
suivant de sa traduction de l’Odyssée : Je vois
vée, II. Nous citerons comme exemples d’allégories plus étendues, le
passage
du psaume 79 où le peuple d’Israël est représenté
utefois altérer la vérité. Nous indiquerons, comme exemples, les deux
passages
suivants de la fable Les animaux malades de la pe
nce un effet saisissant. Nous citerons comme modèle de supposition le
passage
suivant du sermon sur le Petit nombre des élus :
C’est un de ces hauts ornements, qui ne peuvent convenir que dans les
passages
les plus animés d’une composition ; et la même on
nt surmonté des difficultés de ce genre dans son Épître au roi sur le
passage
du Rhin. 5° L’accumulation de mots trop longs ou
ature. C’est de ce genre d’harmonie que Longin entend parler, dans le
passage
suivant : L’harmonie du discours ne frappe pas s
de Vida : Haud satis est illis… sonitu illætabilis ipso. Voici ces
passages
où l’on trouve à la fois, comme dans les deux poè
les qui donnent au style plus d’élégance et de dignité, comme dans ce
passage
de l’Oraison funèbre de Turenne : Combien de foi
elles. Ou plus de magnificence, d’éclat et d’harmonie, comme dans ce
passage
de Bossuet : Des colonnes qui semblent vouloir p
que celle d’Aristote : « la seule des constellations nommées dans ce
passage
d’Homère. » Δίδομεν δέ οί.] Même discussion dans
nt peu satisfaisantes. Zeuxis.] Sur son procédé d’imitation, voyez le
passage
classique de Cicéron, De l’Invention, II, 1, comm
lent : c’est le jugement et le bon sens. » 2. On peut rapprocher ce
passage
d’un morceau de La Rochefoucauld, intitulé « de l
analysé ce bel apologue « pour donner à la fois, dit-il, par un seul
passage
, une idée du grand talent de Bruyère et un exempl
u, dans l’édition citée, page 90, rapproche judicieusement ce célèbre
passage
de quelques lignes tirées de la Politique selon l
style de l’histoire, il n’y a peut-être rien de mieux que de citer un
passage
où se trouvent les défauts qui y sont les plus op
où se trouvent les défauts qui y sont les plus opposés. J’emprunte ce
passage
à l’Histoire philosophique, de l’abbé Raynal, his
lamateur, et presque toujours faux. Il l’est, en particulier, dans le
passage
que je cite ici, et dans l’appréciation qu’il fai
celle qu’il avait tenue, et dompta tous les pays qu’il trouva sur son
passage
. Il revint à Babylone craint et respecté, non pas
comme exemple du charme que peut offrir ce genre d’histoire, un court
passage
tiré de l’Éloge de Marivaux par d’Alembert. Il s’
rtis, et vous n’y trouvez que quelques plumes, seules marques de leur
passage
, et que le vent a déjà dispersées. Heureux le fav
t aurait été silence et repos, sans la chute de quelques feuilles, le
passage
d’un vent subit, le gémissement de la hulotte ; a
e. 1. M. de Lamartine dit : « Le poëte est semblable aux oiseaux de
passage
qui ne bâtissent point leurs nids sur le rivage,
de son langage, si on en rapproche la traduction française des mêmes
passages
faite en 1671 par de Norville (p. 24, 25 et 28).
entendre les poëtes, chap. vi.) C’est l’affaire de la politique.] Ce
passage
est fort obscur. On serait tenté de croire qu’Ari
ucilius, si spirituelles, si fortes, malgré l’exagération de quelques
passages
, et beaucoup moins entachées qu’on ne le dit de f
sions du moins n’ont rien que de noble et de généreux. Lisez quelques
passages
de Platon, de la République ou des Lois, des Lois
aire d’eux une société tendre et familière. » Je rencontre encore ce
passage
si vivement senti : « Honneur à ceux qui conserv
t eversas pugnæ certamine mensas. L’imitateur a mieux réussi dans le
passage
suivant : « Vultum ipsius Annibalis, quem armati
es soldats courent, les uns au-devant d’Agrippine, pour lui fermer le
passage
, et la conjurer de rester au milieu d’eux ; les a
uments de la philosophie des anciens. On y remarque, entre autres, un
passage
sur l’immortalité de l’âme, qui prouve que les be
t comme philosophe, a traduit du discours de Cyrus tout ce magnifique
passage
sur l’immortalité de l’âme. C’est Caton l’ancien
les deux rois1, avec vivacité. Il leur déroba des marches, occupa des
passages
avantageux, sacrifia quelque cavalerie pour donne
a nation gauloise au même degré que le génie de la guerre. » Quant au
passage
que nous avons choisi, il suffira de rappeler que
porte son nom, en conçut une basse jalousie contre Aristote ; mais un
passage
relevé par nous dans les Éléments harmoniques d’A
fameux Parallèle des anciens et des modernes (1688-1698), pour qui le
passage
relatif à la purgation des passions est « un gali
tion, nous ne pouvons mieux faire, pareillement, que de reproduire le
passage
suivant du même auteur : « Aristote nous apprend
isodote appelait les trières des moulins ornés. » L’explication de ce
passage
, à laquelle Spengel a renoncé (éd. de 1867, t. II
la lecture, la plume à la main, de cette traduction et rectifier les
passages
où nous avions remplacé, par un mot impropre, le
est sauvé. III. La reconnaissance, c’est, comme son nom l’indique, le
passage
de l’état d’ignorance à la connaissance, ou bien
nheur au malheur84 ; et dénouement, ce qui part du commencement de ce
passage
jusqu’à la fin de la pièce. Ainsi, dans le Lyncée
ence assez raisonnable, on peut y admettre même l’absurde, puisque le
passage
déraisonnable de l’Odyssée, relatif à l’expositio
diction, observer de combien de manières il peut être entendu dans le
passage
en question ; par exemple, dans celui-ci : La lan
ion avant de les secourir contre les Phocéens, ils auraient promis le
passage
; qu’il serait donc absurde à eux de ne point l’a
La lance traverse sa poitrine avec rage641. En effet, dans tous ces
passages
, les objets, par cela même qu’ils sont animés, ap
ce que je dis, ce que j’affirme. » Homère recherche cet effet dans ce
passage
. Nirée de Symé… Nirée, fils d’Aglaé… Nirée, le p
faut s’étendre sur les motifs. C’est ce que fait Sophocle. Citons ce
passage
de l’Antigone (où elle dit) qu’elle a plus de sol
tragédie, outre le mètre ïambique, a tous ceux des chœurs. « C’est un
passage
qui, comme tant d’autres de la Poétique, laisse e
rique succinct de cette question si controversée, il rapproche divers
passages
de la Morale à Nicomaque (vii, 15 ; ix, 11), de l
explication plus détaillée de ce qu’il entend par catharsis, mais le
passage
annoncé ne se retrouve pas dans ce qui nous reste
5. Cp. le chap. xiii, § 1. Voir le commentaire donné pat Buhle sur ce
passage
, qui pourrait bien résumer le contenu des chapitr
résumer le contenu des chapitres vii à xvi, plutôt que viser un autre
passage
de la Poétique. 86. Dans les Enfers. 87. Dans l
ol. sur la Poétique d’Aristote, Revue archéologique, 1863, ii), où ce
passage
a été interprété, pour la première fois, d’une fa
ers de la nuit ». (Egger.) — Eustathe trouve même un triple sens à ce
passage
. 164. Cp. Homère (Iliade, xx, 234, et le comment
66. Ici commence le § 20 de Buhle, qui se rattache par ce qui suit au
passage
d’Homère. 167. Pénélope était fille d’Icade. 16
hurot (l. c., 238) propose une modification du texte qui donnerait au
passage
ce sens général : Mieux on choisira les propositi
plus haut, chap. vii, § 32. 247. Rapportons ici, avec L. Spengel, ce
passage
des Morales à Nicomaque : « Nous béatifions les d
e Platon, p. 240 c ; voir le vers entier, dans les scoliastes, sur ce
passage
du Phèdre (Platon, éd. Didot, t. III, p. 316 b).
teur d’un poème intitulé : Ὑποθῆκαι (préceptes). On ne connaît pas le
passage
auquel Aristote fait allusion. 303. Critias, un
. Voir, plus haut, § 5. 310. Voir le chapitre ii. 311. Voir, sur ce
passage
, une observation de Μ. E. Havet (Ét. sur la rhéto
ippolyte, v. 994-995. 401. Cette interprétation est justifiée par un
passage
qu’on lit plus loin (chap. xxiii, § 12). 402. On
n tragœdiis cum Teucer Ulyssem reum facit Ajacis occisi », etc. 416.
Passage
du discours perdu d’Iphicrate : περὶ προδοσὶας. Q
ὶ προδοσὶας. Quintilien (Instit. orat., iv, 12), qui rapporte le même
passage
, dit « la République » au lieu de « les vaisseau
as été énoncée. 437. Spengel propose de lire « Socrate », d’après un
passage
de l’Antidosis, § 173 ; mais peut-être ce passage
crate », d’après un passage de l’Antidosis, § 173 ; mais peut-être ce
passage
est-il une réminiscence et une application à sa p
lle de Théodecte (voir Buhle). 438. Le scoliaste cite à ce propos le
passage
d’un discours perdu de Démosthène, au sujet de la
emme qui a tué son époux. 468. Cp., dans Platon, Banquet, p. 388, un
passage
auquel Aristote fait évidemment allusion ici. Voi
p. xv. 531. Ἀκτὴ στενόπορος. La traduction littérale « un rivage au
passage
étroit » ne fait aucun sens. 532. Κατά τίνος εὐ
personne. Cp. Sophocle (Philoctète, vers 267). 656. Spengel, sur ce
passage
, renvoie à Mercurialis, Gymn. ii, 4. 657. Les Ca
s.) 669. Cp. Quintilien, Inst. orat., iii, 8, 8. 670. Fragment d’un
passage
de Chérile de Samos, qui a été rapporté par le sc
i, 20. 693. Dans le manuscrit de Paris (1741), on a reproduit ici le
passage
relatif à l’éloge, l. I, ch. ix, §§ 33-37 (p. 136
et la Pharsale de Lucain un curieux parallèle, est une suite de beaux
passages
plutôt qu’un beau poëme ; mais le style y est en
i de Prusse Frédéric. M. Naudet l’a éditée (1813), en recueillant les
passages
des écrivains anciens et modernes qui présentent
peu trop au genre de l’idylle. 2. Malgré la critique précédente, ce
passage
où Voltaire se montre touché des beautés de la na
maîtres de notre scène tragique, n’ont pas craint de ne citer que des
passages
médiocres de Corneille, d’y opposer les plus beau
leau, dans ses Réflexions critiques ; Voltaire, dans une multitude de
passages
et d’articles ; La Harpe, dans son Lycée ou Cours
our s’attirer immédiatement la bienveillance de tous les lecteurs. Ce
passage
est curieux et mérite d’être cité. Le livre de m
histoire touchante d’Orphée et d’Eurydice. De même, dans Lucrèce, les
passages
les plus beaux et les plus goûtés sont ses digres
eait le style le plus naturel, tandis que l’épître à Louis XIV sur le
passage
du Rhin, demandait le style le plus héroïque. 281
mesure de vers la plus propre et la plus agréable. Boileau a peint le
passage
du Rhin en vers dignes de l’épopée ; il a fait le
, sur quelque grande passion, ou sur quelque fait important, comme le
passage
du Rhin par l’armée française, dans la iv e Épîtr
exemple tiré de la fable : le Savetier et le Financier ; en lisant ce
passage
, on serait tenté de croire que le poète était pré
était perdu. On peut juger quelle terreur saisit tout le monde en ce
passage
si subit d’une sécurité entière à la plus désespé
r se jetèrent à genoux tout du long de la cour, des deux côtés sur le
passage
du roi, lui criant, avec des hurlements étranges,
fait plus : on m’impute un coup si plein d’horreur, Pour me faire un
passage
à vous percer le cœur. À Cléopâtre. Où fuirais-je
S’étant su lui-même avertir Du temps où l’on se doit résoudre à ce
passage
. Ce temps, hélas ! embrasse tous les temps ;
i, je rentre dans Paris, Qu’en tous lieux les chagrins m’attendent au
passage
. Un cousin, abusant d’un fâcheux parentage545, Ve
age indomptable, cherche à se frayer à travers les gardes un sanglant
passage
; il l’atteint et le frappe d’un coup mortel. Rev
avide, et longtemps envisage L’étranger. Puis enfin sa voix trouve un
passage
. — « Est-ce toi, Cléotas ? toi qu’ainsi je revoi
par lesquels il expiait ses crimes. » Tacite fait allusion au célèbre
passage
du Gorgias de Platon, où le juge des enfers Rhada
félicitations que Balzac lui adressait en 1631, lorsque rappelant ce
passage
des Géorgiques, Felix qui potuit rerum cognoscer
lièrement les c. 7 et 8. Il serait également curieux de comparer à ce
passage
un des plus remarquables chapitres de l’Esthétiqu
t accepter par… 71. Le terme d’habile homme, comme on le voit par ce
passage
, où il est opposé à celui d’imprudent, n’avait pa
ois par la logique et par la passion. » 87. On peut rapprocher de ce
passage
une lettre de madame de Sévigné où ces terribles
4. C’est-à-dire, de cet atome en raccourci ou imperceptible, comme ce
passage
était écrit dans les éditions antérieures, qui af
blement tirer aucune de ces conséquences. 106. On peut rapprocher ce
passage
de plusieurs considérations de Montesquieu, dans
jamais d’admirer le génie de pensée et d’expression empreint dans ce
passage
. 113. M. Havet, en rétablissant, d’après le text
nne. » — Cette belle personnification des lois rappelle un magnifique
passage
du Criton, où Platon les représente également ani
omme débarrassé d’un grand fardeau. 160. On rapprochera de ce mot le
passage
célèbre où Bossuet, imitant saint Basile (Hexamér
e développement est plein d’expression et de sentiment. 200. Dernier
passage
cité, v. 11 et 12. 201. Épître aux Hébreux, cha
avait assisté à cet acte public. 225. On rapprochera avec intérêt ce
passage
du morceau de Pascal intitulé : Contre les indiff
érite aussi d’être rappelée (1864). 239. On aimerait à penser que ce
passage
, d’un tour si délicat et d’une si fine observatio
ignifie carrefour. 253. De même Pascal, dans ses Pensées, au célèbre
passage
appelé la règle des paris : « Quel mal vous arriv
59. La pensée du Gorgias est tout entière résumée dans ce remarquable
passage
. Voy. particulièrement les chapitres 58 et suiv.
il est inutile de relever. 287. On sait que la foudre laisse sur son
passage
une odeur de soufre : l’image est donc juste et n
ées inédites jusqu’à ce jour, viennent d’être publiées. 308. Tout ce
passage
, comme les Mémoires de Saint-Simon en général, of
dont Fontenelle a laissé aussi un éloge, où l’on remarque en effet ce
passage
: « L’an 1664, Viviani reçut une pension d’un pri
l. On pourrait y joindre, en se reportant un peu en arrière, certains
passages
de Montaigne, notamment le chap. V du livre III d
e. — « Cela même est l’éloquence, remarque également M. Villemain, au
passage
cité : ainsi l’entendait Démosthène, ce sublime e
génie de Corneille porte des traces visibles de lassitude, plusieurs
passages
méritent d’être signalés, cependant, par la ferme
le grandeur d’âme dans Polyeucte, remarque Chateaubriand en citant ce
passage
; quel divin enthousiasme et quelle dignité ! La
e situation est des plus théâtrales, remarque également Voltaire à ce
passage
: elle ne permet pas aux spectateurs de respirer.
dans plusieurs éditions. 448. Il faut rapprocher de cette fable un
passage
du IIIe livre de Lucrèce, v. 944 au v. 992, et un
3, édit. de Deux-Ponts. « La misanthropie, dira-t-on en traduisant ce
passage
, vient de ce qu’après s’être, sans aucune connais
de mourir. » 514. Mal propre, que sur la scène on remplace dans ce
passage
par peu propre, offrait alors une nuance différen
. Racine a tiré le sujet de cette tragédie, qu’il donna en 1673, d’un
passage
de la Vie de Lucullus par Plutarque, où cet auteu
la poésie. Aussi Voltaire s’écriait-il, dans son enthousiasme pour ce
passage
sublime : « On a honte de faire des vers quand on
soldats plus fidèles ? 607. Ici encore se trouve rappelé le même
passage
de Corneille ; mais celui-ci a résumé dans un ver
lmiste auquel cette strophe est empruntée (XXXVI, 35 et 36) — Le même
passage
a été encore reproduit dans notre langue par Mass
des paroles et l’harmonie de l’expression. » — On a signalé, dans ce
passage
, une imitation très perfectionnée de quelques ver
ui veut tout pouvoir doit oser tout enfreindre, etc. 650. Voici le
passage
touchant où l’on peut retrouver quelques traces d
sujet. 665. La prophétie qu’on va lire, « composée, dit Geoffroy, de
passages
de l’Écriture très bien liés ensemble, est peut-ê
rencontre assez souvent chez Voltaire. On souhaiterait aussi dans ce
passage
éloquent une versification plus variée : les vers
works From law sublimely simple… 729. Ces vers rappellent un beau
passage
échappé par mégarde à l’auteur de la Pucelle, à C
efois, La Harpe eût voulu, non sans raison, qu’on y joignit plusieurs
passages
« de sa Didon et de ses belles odes sacrées ». 7
tout entier est promis au trépas ? Chacun veut de la vie embellir le
passage
: L’homme le plus heureux est aussi le plus sage…
Rousseau, Od., iii, 6. 1. L’imitation de Boileau perce dans tout ce
passage
. Cf. la satire IX : A mon esprit : Bienheureux S
onne ou qu’il reçoive, il se prépare un tombeau où nul n’accusera son
passage
d’avoir été un malheur. Ah ! messieurs, je suis c
ie est un temple vide, qui n’attend rien de nous que le silence et le
passage
, il se crée une oisiveté formidable, où la force
t d’un autre ; et, dans son cours, Sur ma tête blanchie imprimant son
passage
, Le temps n’a pas changé seulement mon visage. (É
livre où, selon l’usage, Chacun ici laisse après soi Une trace de son
passage
. Le roi Louis est un vrai sage, Et du trône qu’
é. Persuadés qu’il n’y a pas la moindre comparaison à faire entre des
passages
isolés, quelque bien choisis qu’ils puissent être
sages isolés, quelque bien choisis qu’ils puissent être, et ces mêmes
passages
placés dans leur cadre naturel, nous avons mieux
consul, sans sauver son ami. C’est ce qui lui inspira, sans doute, le
passage
, suivant, où l’on remarque autant d’art que de dé
se présentent ensemble et se heurtent en quelque sorte pour se faire
passage
, la fougue, l’impatience, le délire de la passion
si j’appelle épiphonème les vers imprimés en caractère italique de ce
passage
de la Fontaine, dans sa belle élégie aux Nymphes
rat, jam inania et ingenti solitudine vasta, fugiebat. » Opposez à ce
passage
une construction toute différente de Justin, pour
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un
passage
, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage
ïde de Virgile (v. 301-332), et où l’auteur a imité aussi en quelques
passages
l’Andromaque d’Euripide. Sur la comparaison de la
er aras Sanguine fœdantem, quos ipse sacraverat, ignes. Dans tout ce
passage
, on sent, comme le remarque La Harpe, que Virgile
me de Grignan venait d’être fort malade. 1. Son mari s’était noyé au
passage
du Rhin : on peut consulter les lettres de madame
é des 17 et 19 juin 1672. 2. Le grand Condé. Il fut, dans ce célèbre
passage
, blessé à la main : on peut voir les lettres préc
l’ouvrage ». 1. Terme de vénerie, comme il y en a beaucoup dans ce
passage
. « On appelle cors les cornes qui sortent des pe
t duplex agitur per lumbos spina ; … Il faut voir, au reste, dans ce
passage
la description d’un beau cheval, pour la rapproch
en les remuant. Un petit effort, un mouvement même sans violence, le
passage
d’un lit à un autre5, est quelquefois mortel à ce
ieu, il met le pied sur le cou des grands et des superbes. » 4. Ce
passage
est tiré d’une lettre au cardinal de la Valette,
ôté mille petits agréments qui ne laissent que trop de marques de son
passage
. Vous trouvez donc que vos comédiens ont bien de
ont gagné les avenues les plus proches et épuisé les libéralités à un
passage
plus secret. Expliquons-nous nettement : je parle
que ce profond et adorable mystère. Car voilà le sens littéral de ce
passage
tout divin que j’ai choisi pour mon texte : Judæi
u jusqu’au-dessus du genou, la tête entre les jambes, pour guetter au
passage
une grenouille, un poisson ; mais, réduit à atten
re au besoin les tons les plus divers651. Épître IV (fragment). Le
passage
du Rhin652 Au pied du mont Adule653, entre m
r la taille et le visage656 ; Et, depuis ce Romain657 dont l’insolent
passage
Sur un pont en deux jours trompa tous tes efforts
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon
passage
. » Tels étaient vos plaisirs. Quel changement, ô
entôt n’est plus…» 44. Rom., XIII, 4. 45. Rom., XIII, 3. 46. Ce
passage
se trouve dans les Lettres de saint Augustin Epis
avec admiration sur la puissance de dialectique qui se montre dans ce
passage
: voy. Mélanges littéraires, discours d’ouverture
ment de la Grandeur et décadence des Romains. 109. Rapprochez de ce
passage
les Considérations de Montesquieu sur les causes
Digitus Dei est hic. Exod., VIII, 19. 122. On pourra rapprocher ce
passage
de Bossuet du liv. II, ch. 12, de la Rhétorique d
n orateur plein de nerf et de verve. Il ne rapporte pas sèchement des
passages
, mais il présente des traits qui forment des tabl
lu de Dieu, un objet de sa miséricorde. 177. Saint Matthieu, Évang.,
passage
cité. 178. Auquel, écrirait-on aujourd’hui. 17
uvernements ; au contraire, ce sont ces modifications qu’il saisit au
passage
, en traçant des images fidèles des mœurs et des f
é infinie de tours et ces rencontres piquantes d’expressions, dont ce
passage
offre plusieurs exemples. En relevant celles de t
s avons emprunté quelques-unes des observations qui sont jointes à ce
passage
, donne à ses arguments la forme d’une conversatio
ne majesté. » 227. Le diamètre apparent de la lune, observé lors du
passage
au méridien, varie de 29 minutes 1/3 à 33 1/2 ; c
uirait plus aujourd’hui avec un infinitif. 237. M. Babinet rapporte (
passage
cité) les calculs suivants : « D’après Argelander
r vers une acception moins favorable. Remarquons en outre que tout ce
passage
de Fénelon, écrit avec cette gracieuse simplicité
, qui avait beaucoup lu Massillon et qui l’a souvent imité, a cité ce
passage
dans un article sur l’éloquence, comme propre à e
e l’imagination ait inventées ». 311. Il faudrait rapprocher de ce
passage
l’admirable image de la vie humaine tracée par Bo
it des lois, xxx, 2. 315. On peut revoir sur la conduite du sénat un
passage
de Bossuet cité dans les Morceaux choisis de la c
a fermeté qui caractérisent le style de cet auteur, nul n’a joint, ce
passage
suffirait à le prouver, plus de ces grands traits
la scène française avant l’apparition de Corneille. On peut revoir ce
passage
dans les Morceaux choisis de la classe de troisiè
lût au ciel qu’il ne pût l’éteindre… 381. Ici, comme en beaucoup de
passages
, il serait curieux de rapprocher Aristote et Plin
…… Servetur ad imum Qualis ab incepto processerit. 384. Ce
passage
suffirait pour démontrer combien Buffon excelle d
r, lui a rendu néanmoins justice à plusieurs égards. On citera un des
passages
recueillis de ses brillantes conversations, et qu
du Christianisme, part. Ire, liv. V, chap. 7. Buffon, un peu avant ce
passage
, a dit : « Le cygne est l’emblème de la grâce, pr
rès qu’ils ont combattu et vaincu. » 395. Consulter, à ce sujet, un
passage
de La Bruyère sur l’action de la justice divine,
peut rapprocher de ces hautes idées sur la sublimité de l’Évangile le
passage
où Fénelon, que Rousseau admirait à tel point qu’
d’un paradoxe, Rousseau est aussi éloquent que vrai. Plusieurs de ses
passages
semblaient à Rivarol, en dépit d’un peu de rouill
Tota virtus in actione consistit. » 408. On peut rapprocher de ce
passage
les strophes suivantes de la pièce de M. de Lamar
voir, à ce sujet, la première scène de l’acte II, l’un des plus beaux
passages
de la tragédie dans laquelle Cinna, consulté par
Cosse, Crasse ou Brute, admis au temps de Corneille. 521. Voilà le
passage
qui faisait verser des larmes au grand Condé ; la
me, pour réussir. 535. (Servus) esclaves… 536. Caprice a, dans ce
passage
, le sens de fougue. Quant à mon, ce pronom est pr
même de s’en occuper. Aucun écrivain, dit un critique au sujet de ce
passage
, n’a fait parler le bon sens avec cette verve, ce
leur. » Ch. V, de la Société et de la Conversation. Plusieurs autres
passages
de ce chapitre peuvent encore être rapprochés de
652. L’arc de triomphe de la porte Saint-Denis est un monument de ce
passage
(12 juin 1672), « le prodige de la vie du grand r
niquité du temps. 679. Nous renvoyons pour les noms cités dans ce
passage
aux éditions spéciales de Boileau. Le mouvement e
eintre de l’antiquité », liv. XII-XIV, que se trouvent la plupart des
passages
imités. 706. Quelques grammairiens trop scrupul
, debui, etc., pour potuissem, debuissem. 709. On se rappelle ici un
passage
célèbre de Virgile (Én., I, 50) : ce poète sera e
es un nouveau degré de force et d’élévation, comme on le voit dans un
passage
de l’ode Qualem ministrum : Quid debeas, ô Roma,
sublime de la reconnaissance et de l’admiration des Hébreux, après le
passage
de la mer Rouge ; l’autre, Audite, cœli quæ loquo
te, d’étonnement et de respect. Tel est le cantique de Moïse après le
passage
de la mer Rouge ; tel est encore le cantique de s
les tableaux gracieux. Quoi de plus vivant, de plus délicieux que le
passage
suivant des Livres Saints : Vous bénirez nos cham
s de 1793, dans lequel on remarque des vers très énergiques, comme le
passage
commençant par ces mots : Oui, vous qui de l’Oly
rofusion d’images qui excitent pleinement l’admiration. Tels sont les
passages
suivants : L’enfer s’émeut au bruit de Neptune e
’il était près de mourir sous le poignard d’Athalie. Boileau, dans le
Passage
du Rhin, fait allusion à Jules César, lorsqu’il d
Jupiter la taille et le visage ; Et, depuis ce Romain dont l’insolent
passage
Sur un pont en deux jours trompa tous les efforts
dans les bras de son père ! Racine, Esther, acte I, sc. v. Dans ce
passage
d’un sermon de Massillon, la répétition de la con
rend le style plus rapide, plus animé. Tel est cet épisode, arrivé au
Passage
du Rhin par l’armée française, sous les yeux de L
hoses sur lesquelles cependant on insiste même avec force. Tel est ce
passage
, où Condillac annonce qu’il ne parlera ni des cru
94d’une-manière-équivoque ; 1295il indiquera-par-une-marque 1296les
passages
à-changer : 1297il se fera Aristarque. 1298 Et
taine ces travaux gigantesques, si noblement célébrés par Virgile. Ce
passage
fournirait, s’il en était besoin, une nouvelle pr
à la première, en maintenant néanmoins le changement de et en aut. Le
passage
ainsi modifié nous paraît avoir le triple avantag
. Voici la paraphrase pleine de justesse que Du Marsais a faite de ce
passage
: « Si vous osez mettre sur la scène un sujet nou
s, s’appelait exostra. — 2. Reddere qui voces jam scit puer, etc. Ce
passage
a été imité par notre vieux poëte Régnier, voyez
mots iners et avidus, il semble qu’il y aurait opposition ; enfin, le
passage
d’Aristote, que le poëte avait certainement en vu
ace. » Page 26. — 1. Sortilegis non discrepuit sententia Delphis. Ce
passage
, assez obscur pour qui voudrait ne l’expliquer qu
ptos, regale nomisma, Philippos. J.-B. Rousseau a fait allusion à ce
passage
, dans les vers suivants : C’est ainsi qu’au mili
lui a inspiré les vers que nous citons plus haut, et qui ont, avec le
passage
de l’Art poétique, objet de cette note, une analo
a pour sa sépulture. Le même défaut est encore plus sensible dans le
passage
suivant de Malherbe, où il s’agit de la pénitence
de Millevoye ; le Cimetière de campagne, de Thomas Gray ; beaucoup de
passages
de Chateaubriand, et plusieurs élégies des poètes
s. Voici comment s’exprime Moïse dans son magnifique cantique sur le
passage
de la mer Rouge : Misisti (Domine) iram tuam, qu
e : J’arrivai au port, j’aperçus un navire, je m’informai du prix du
passage
, je fis mon marché ; je m’embarque, on lève l’anc
nthèses donnent à la pensée un air de vivacité qui la fait briller au
passage
; mais, le plus souvent, elles embarrassent et ob
blié par MM. Hachette, est très-utile à pratiquer.) 3. Allusion à ce
passage
de l’Énéide, où le héros du poëme retrouve aux En
ritiques allemands passionnés pour l’antique. 2. Allusion au célèbre
passage
du chant V de l’Iliade, où Diomède blesse à la ma
e n’a déployé plus de souplesse. 1. Empruntons à madame de Staël ce
passage
sur l’Enthousiasme : « On peut le dire avec co
contraste a une simplicité dramatique et touchante. Rapprochons ce
passage
d’Eugénie de Guérin : « Notre Cayla est bien ch
l’Odyssée. Comparez les deux poëtes. 2. Cette larme me rappelle ce
passage
: « Depuis cette leçon, un chagrin. Mon cher pe
t-à-dire des mots différents signifiant exactement la même chose ? Le
passage
de la Bruyère cité plus haut prouve que cet écriv
Orient et du Nord, œuvres de peuples jeunes qui s’essayent. Plusieurs
passages
portent sans doute l’empreinte d’une parfaite naï
t nous espérons toujours. Mais pauvre, et n’ayant rien pour payer mon
passage
, Ils m’ont, je ne sais où, jeté sur le rivage. —H
d. 2. La composition de l’hymne à la France, comme on le voit par ce
passage
, se rapporte au temps où éclatèrent les premiers
ls d’un fait à un point culminant, lorsqu’on aura relu, au besoin, un
passage
analogue dans un modèle sûr, lorsqu’on aura chois
mi les narrations historiques les plus remarquables, nous citerons le
passage
de la mer Rouge, au chapitre xive de l’Exode ; l
t des Curiaces, par Tite-Live ; la mort de Vitellius, par Tacite ; le
passage
des Alpes par François Ier, de Gaillard ; les der
e font remarquer dans le récit de la bataille de Fribourg, et dans le
passage
de l’Oraison funèbre de Louis XIV où Massillon ra
qui la distingue de la narration historique, en comparant le récit du
passage
de la mer Rouge (Exode, xiv, 21-29) au cantique d
pressent les unes contre les autres/ — Il en est de même de certains
passages
de la lettre de Mme de Sévigné sur la mort de Lou
où elle raconte l’aventure de l’archevêque de Reims à Nanterre, et le
passage
du Rhin par le comte de Guiche et le chevalier de
veiller pour être Gros-Jean comme devant. » Comparez à cette fable ce
passage
des Châteaux en Espagne, par Collin d’Harleville
…………… Je serai riche, riche, et je ferai l’aumône. Tout bas, sur mon
passage
, on se dira : « Voilà Ce bon monsieur Victor ! »
(La Fontaine et les fabulistes, éd. Michel Lévy.) 1. Résoudre à ce
passage
. La Fontaine ne veut pas, comme Bossuet, nous eff
mais il ne songe qu’à nous accoutumer à cette idée, à nous adoucir le
passage
. 2. Lire l’Oraison funèbre de la duchesse d’Orlé
verbe au singulier avec un sujet pluriel ressemble à une anomalie. —
Passages
, roulades ou fioritures qu’on ajoute à un trait d
verrez tous, prévenant son ravage, Guider dans l’Italie et suivre mon
passage
. C’est là qu’en arrivant, plus qu’en tout le chem
) 7°. Enfin, dans un genre léger, on peut remarquer différents
passages
des Plaideurs, entre autres : la tirade de Dandin
, ici quelques taches dans les œuvres de Boileau lui-même. Ainsi, les
passages
défectueux de ce maître en versification tournero
ureuses lois, ( Voltaire, le Temple du Goût.) 18. Voici un de ces
passages
curieux où Boileau parle lui-même avec tant de co
ts les ennemis ne purent, dans une occasion si pressante, se faire un
passage
pour y jeter le moindre secours. Il n’a point fai
, qui s’empressa d’envoyer deux cents louis à ce grand homme. 1. Ce
passage
a été dignement apprécié par ce vers de Voltaire
rtir du commun, pas assez pour être de l’élite… » (M. Nisard.) 1. Ce
passage
est extrait du remarquable ouvrage de M. Geffroy
ater ses sentiments. 2. Pour commenter ces tristesses, rappelons ce
passage
de la lettre que madame de Staël adressait à l’em
. Il nous suffira de rappeler que, si nous avons réduit le nombre des
passages
empruntés aux maîtres de la poésie française du x
Que devions-nous faire pour Boileau ? Réduire notre choix à quelques
passages
qui pussent, entre l’une et l’autre de ces deux c
le plus souvent indispensable à l’intelligence et à l’appréciation du
passage
qui en est tiré. Aussi avons-nous ajouté aux note
actères, I), et même l’éloquence mâle et nerveuse qui dans maint beau
passage
, surtout de ses Élégies et de ses Discours, se dé
Notices On ne lira pas sans intérêt quelques pièces ou quelques
passages
de poètes dont les noms ont trouvé place dans not
tier d’une charge de maître des eaux et forêts, fut un séminariste de
passage
, un mari de hasard, un forestier de nom. Il fut a
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon
passage
! » Tels étoient vos plaisirs. Quel changement, ô
fort qu’on peut faire N’est qu’un vain effort. Est-on sage De fuir ce
passage
? C’est un orage Qui mène au port. Chacun vient i
enfin dans des gouffres sans fonds. L’éclat du jour ne s’ouvre aucun
passage
Pour pénétrer les royaumes profonds Qui me sont é
ccesseurs et des héros de la France, jusques et y compris Turenne. Un
passage
que nous citons a sauvé l’auteur de l’oubli. Jean
plètes, où l’on ne va guère le chercher que pour en détacher quelques
passages
brillants. Le poème morcelé ne se tient plus, il
ut que l’on doit à la mort ? Non, non, tout doit franchir ce terrible
passage
: Le riche et l’indigent, l’imprudent et le sage,
un lion plein de rage, Le mal a brisé mes os ; Le tombeau m’ouvre un
passage
Dans ses lugubres cachots. Victime foible et trem
le moins respecté. Le théâtre, en effet, où il a cependant marqué son
passage
par des réformes heureuses et nécessaires, où il
ale, que ne peuvent dissimuler ni compenser de brillants et éloquents
passages
, et qui semble aujourd’hui une monnaie effacée. O
Voltaire. La liberté Dans le cours de nos ans, étroit et court
passage
, Si le bonheur qu’on cherche est le prix du vrai
avec moi combien l’est davantage Un méchant affiché dont on craint le
passage
, Qui traînant avec lui les rapports, les horreurs
nous espérons toujours. « Mais pauvre, et n’ayant rien pour payer mon
passage
, « Ils m’ont, je ne sais où, jeté sur le rivage.
; Et chargeant mes bras de liens, Me traîner, amassant en foule à mon
passage
, Mes tristes compagnons reclus, Qui me connaissai
pas effacé l’éclat, dans les œuvres d’un genre moins sévère quelques
passages
où l’on trouve la facilité spirituelle qui est un
ez fait sage parmi les sages ! Mon doigt du peuple errant a guidé les
passages
; J’ai fait pleuvoir le feu sur la tête des rois
é (Nouvelles Méditations, V) : Le poète est semblable aux oiseaux de
passage
Qui ne bâtissent point leurs nids sut le rivage,
dit les Latins. 152. Il est facile de reconnaître, dans de nombreux
passages
de cette satire spirituelle et mordante, écrite p
Trente. 227. Des troupeaux commis à votre garde. 228. Il y a en ce
passage
, du trop plein des longueurs, des redites, mais d
développement qu’elle avait déjà pris vingt-quatre ans après, dans le
passage
de la tragi-comédie de Bradamante de Robert Garni
nt de la période et l’accent du dernier vers ne rappellent-ils pas le
passage
célèbre d’Esther (III, 4) ? Ce Dieu, maître abso
. Vous est régime. Vous sujet est supprimé par ellipse. 349. Cf. un
passage
de la Trésorière de Grévin, et la note 4, p. 81.
Cf. un passage de la Trésorière de Grévin, et la note 4, p. 81. — Ce
passage
montre ce que Garnier aurait pu faire dans la com
. Despériers, et la note. 352. Émerveillement, admiration. 353. Ce
passage
suffirait pour montrer ce que Montchrestien savai
ue bizarres qui arrêtent le lecteur à chaque page dans la lecture des
passages
de Du Bartas, où le ton est le plus élevé, comme
erve ou de gaieté mélancolique les rappellent et Th. Gautier en maint
passage
et Gérard de Nerval en sa Bohème galante ! — Tahu
407. Or, maintenant. Voyez le morceau suivant. 408. Cf. infra deux
passages
de Jean de la Taille et de Pibrac, et Racan, Stan
le morceau précédent, note 4me. 410. Sic. On a souvent reproduit ce
passage
en écrivant autel. Le poète se comparerait à un D
ntionné avec Pibrac dans l’Art Poétique de Vauquelin. — Voir infra un
passage
de Rapin, et un passage du Courtisan retiré de Je
l’Art Poétique de Vauquelin. — Voir infra un passage de Rapin, et un
passage
du Courtisan retiré de Jean de la Taille. 445.
tine, et n’y a-t-il pas parente entre les vers de Bertaut et bien des
passages
de Lamartine, par exemple, ceux-ci, du Vallon (pr
Malherbe. La stance suivante a devancé le Chêne et le Roseau, dont un
passage
la rappelle. On sait que La Fontaine proclamait R
s au pluriel déchéent, que Bossuet a encore employé. 790. « Dans ce
passage
, Voiture fait un emprunt à Montaigne, qui avait d
Esther, III, 4 (Ce Dieu, maître absolu, etc.). — Ce n’est pas le seul
passage
du Saint-Genest qui offre des similitudes avec Po
gone de Sophocle, dont ces belles paroles d’Antigone, le plus célèbre
passage
de la pièce grecque (v. 458 sqq.) sont directemen
s ne faisons que mettre le lecteur sur la voie. 840. Les soldats de
passage
, qu’il fallait loger ; — la corvée (corrogata [op
bats de l’animal. Le vers a la force et la grandeur épique dans maint
passage
. Voyez l’Astrologue (II, 13), le Songe (XI, 4) ci
a ? La Fontaine goûtait autant Virgile et Homère qu’Horace. Voici un
passage
où l’un est nommé, et tous deux imités ; L’herbe
ches lambris », ou l’équivalent et le développement, dans le début du
passage
de Virgile, 460 sqq., et dans un passage célèbre
eloppement, dans le début du passage de Virgile, 460 sqq., et dans un
passage
célèbre de Lucrèce, dont plusieurs images et plus
n Rhétorique, notre recueil ne doit, par le choix restreint de courts
passages
, que fixer les points principaux du jugement qu’o
r votre état !… 972. On peut reconnaître déjà ici le souvenir d’un
passage
d’Homère (Iliade, 154 sqq.), dont on trouvera une
iscebant operi flammisque soquacibus iras. 999. Le contraste de ce
passage
avec le morceau précédent peut faire apprécier la
entiments et des pensées, oratoire et psychologique. Il faut noter ce
passage
des Églogues spirituelles de Godeau. Transplanté
pas user de toute sa justice. 1017. On voit dans ces deux derniers
passages
qu’au sentiment pittoresque de la nature se mêle
particulièrement ce dernier vers. — Il pouvait goûter aussi, dans ce
passage
, à part quelques expressions faibles ou banales,
rt rappelle le indomitæ morti d’Horace (Od. II, 14) ; le « terrible
passage
», le irremeabilis unda de Virgile, et dans Hor
rée et nerveuse d’Horace (I, 35), mais consacrée par le souvenir d’un
passage
devenu proverbe ; c’est la fin de la strophe douz
ste a une couleur sombre et sauvage, que nous retrouverons dans maint
passage
de Ducis. Il finit ainsi ; Le flambeau s’est éte
ls de l’orage, En roulant du sommet des monts, S’il rencontre sur son
passage
Un chêne, l’orgueil des vallons ; Il s’irrite, il
prêtés par le poète à Tibère dans ce monologue sont justifiés par les
passages
suivants des Annales. Libertatem metuebat, adulat
. Comparez les vers de Juvénal sur le remords, cités ibidem, avec les
passages
du présent morceau, qui ont avec eux des rapports
itant nos emprunts, nous avons cru devoir, au lieu de les morceler en
passages
écourtés, atteindre en partie les bornes qui nous
s larges et précis, un tableau que l’imagination du lecteur saisit au
passage
et achève. 1417. La souffrance est la loi de l’
, quodcumque est ! Ainsi parle aussi Platon, qui rassemble plusieurs
passages
d’Homère en ce sens (Axiochus). Heureusement, Le
ue le père veut armer ses enfants pour la lutte dont il parle dans le
passage
suivant. Il avait déjà dit dans les Poèmes civiqu
, II, 9.) Dans cet ordre de sujets et de poésie rustique, voici deux
passages
, de formes très diverses, auxquels la précision d
t. Voilà l’art de peindre sans décrire. Les couleurs et l’harmonie du
passage
suivant, qui a quelques images communes avec celu
fréquemment imité que traduit. J’ai ajouté à ces extraits de nouveaux
passages
de Cicéron, de Quintilien, de Longin et autres au
fait qu’avec réserve, et après de mûres réflexions. Dans les nombreux
passages
de Cicéron que j’ai cités, lorsque je n’ai pas ra
e suivant : « Dieu dit, Que la lumière soit ; et la lumière fut. » Ce
passage
est vraiment sublime, et la forte impression qu’i
r exprimer une même idée est très bien décrite par Quintilien dans le
passage
suivant : Est in quibusdam turba inanium verboru
dans ce mot de César : veni, vidi, vici . Il en est de même dans le
passage
suivant des Commentaires de César : Nostri, emis
e sens, l’imagination joue un grand rôle, et l’impression que fait le
passage
sur le lecteur détermine souvent la ressemblance
runt, incendio aut ruina finiunt. Horace est donc incorrect dans les
passages
suivants : Urit enim fulgore suo, qui prægravat
la même espèce que la métaphore mêlée ; nous en pouvons juger par le
passage
suivant d’Horace : Motum ex Metello consule civi
pus aleæ, Tractas, et incedis per ignes Suppositos cineri doloso. Ce
passage
, quoique très poétique, est cependant difficile e
verrez tous, prévenant son ravage, Guidés dans l’Italie et suivre mon
passage
. La puissance romaine est représentée sous la fo
torrent qui, s’il n’est arrêté, se débordera et inondera tout sur son
passage
. Cette allégorie est noble et imposante. L’allégo
descendante. L’exemple le plus fameux de gradation ascendante est le
passage
suivant de Cicéron : Facinus est vincire civem r
te d’en être privé. En effet, quoi de plus digne de compassion que le
passage
soudain du bonheur à l’infortune ? Quel tableau p
urs ne dépendent de l’usage des tropes et des figures. La plupart des
passages
les plus sublimes et les plus pathétiques des mei
ractère, particulièrement Térence, Lucrèce, Phèdre et Jules César. Le
passage
suivant de l’Andrienne de Térence offre un bel ex
des nuances si imperceptibles qu’il n’est pas possible de marquer le
passage
des uns aux autres : alors il n’y a pas de règles
s sacrés des Albains, et leur adresse une longue invocation. Ces deux
passages
produisent un heureux effet ; mais peu d’orateurs
on discours plus solennel et plus vénérable. Les allusions à quelques
passages
ou expressions remarquables des écritures, lorsqu
oquent orateur que les temps modernes aient produit. Voltaire cite le
passage
suivant comme un chef-d’œuvre égal à tout ce que
la propre défense, et que Milon fut l’agresseur. Voici cet admirable
passage
: je l’extrais de la traduction de M. Géroult. «
ans dessein, d’un simple voyage à la campagne. Quelle adresse dans le
passage
qui termine la narration. Les esclaves de Milon f
, virgis cœderetur ? Rien de plus beau, rien de mieux conduit que ce
passage
. Toutes les circonstances sont parfaitement chois
stingua dans toutes les batailles de la manière la plus éclatante. Au
passage
de la rivière de Garillan, dans le royaume de Nap
représenté. Quelle magnifique réunion d’idées sublimes, dans ce beau
passage
du psaume 11, où les prodiges de la création sont
foule de traits et d’images sublimes. Nous citerons, entre autres, te
passage
du commencement du 20e livre de l’Iliade. C’est l
ir le goût excellent et sûr de l’auteur français. 1. Le charme de ce
passage
de Fénelon suffirait déjà pour montrer que Saint-
eut voir, à ce sujet, Quintilien, Inst. or., X, 4. 1. Dans plusieurs
passages
de ses Jugements sur les orateurs, ouvrage dont M
nt qu’il assemblait des armées innombrables dans un autre univers. Le
passage
du Granique fit qu’Alexandre se rendit maître des
» 1. Peu d’hommes, on le remarquera ici, comme en beaucoup d’autres
passages
, ont été dans leur style aussi grands peintres qu
tée en poésie. » — Sur les nids des oiseaux, on peut lire un charmant
passage
dans le Génie du Christianisme de Châteaubriand,
ure, etc. » 2. La Harpe cite les dix-huit vers qui suivent parmi les
passages
les plus beaux du poëme de la Religion : il avait
l’échafaud, en le voyant ne baisser la tête que pour recevoir sur son
passage
la bénédiction d’un vieil ami de prison, j’aurais
es. 2. M. Guizot était alors ministre de l’instruction publique : ce
passage
est extrait d’un discours prononcé à la distribut
e de la Critique, p. 180 et suiv. Batteux, qui a traduit deux fois ce
passage
d’Aristote, s’est d’abord conformé pour le mot en
développe d’excellents principes de littérature ; Boileau raconte le
passage
du Rhin sur le ton de l’épopée ; Gresset déroule
le culte de la douleur, le christianisme, contient le vrai secret du
passage
de l’homme sur la terre. » Corinne interrompit la
rtis, et vous n’y trouvez que quelques plumes, seules marques de leur
passage
, que le vent a déjà dispersées : heureux le favor
fait prier de se trouver à la fenêtre et de le bénir au moment de son
passage
: « Mylord, dit-il en élevant la tête, votre béné
pagnies d’infanterie l’y attendaient, formant une double haie sur son
passage
; un détachement de hallebardiers marchait avant,
la rive germanique du Rhin ; mais, dès que le fleuve était gelé, les
passages
et l’agression recommençaient. S’il arrivait que
e. Il avait posté des corps de troupes pour arrêter les confédérés au
passage
de la Moselle ; mais à l’approche de l’armée enne
ça. Guillaume se jeta lui-même au-devant des fuyards et leur barra le
passage
, les menaçant et les frappant de sa lance ; puis
sa femme et ses trois enfants restaient pour attendre son retour. Le
passage
de Sighebert à travers le royaume qui allait lui
’admiration266. Histoire de la Révolution française, chap. X.
Passage
du Saint-Bernard par l’armée française267 (1800)
r268. Rassuré sur cet objet important, il fit donner enfin l’ordre du
passage
. Quant à lui, il resta de ce côté-ci du Saint-Ber
ient cl lacune à son tour. La musique jouait des airs animés dans les
passages
difficiles et les encourageait à surmonter ces ob
il a toujours portée, conduit par un guide du pays, montrant dans les
passages
difficile la distraction d’un esprit occupé aille
fié à son courage. La force donc pouvait seule nous rendre maîtres du
passage
. On tenta une escalade sur la première enceinte d
rêter leur marche : et il mandait à M. de Mélas qu’il était témoin du
passage
de toute une armée, infanterie et cavalerie, sans
effacé, Conduit pieds nus, pendant l’orage, Quêtant pour lui sur son
passage
, Dans son casque ou sa faible main, Avec les grâc
rdins (1782), qu’il donna bientôt après, lui avait été inspiré par un
passage
des Géorgiques 306 : il voulut faire le tableau d
onie, Comme un dernier ami ; Pour éclaircir l’horreur de cet étroit
passage
, Pour relever vers Dieu son regard abattu, Divin
t le monde se tourner contre lui. M. de Chateaubriand, en écrivant ce
passage
, se rappelait sa vie de privation et de solitude
héroïsme, la tendresse, la crainte, la majesté calme. Dans différents
passages
des symphonies de Beethoven on trouverait une exp
anks saliens. On trouve même dans les documents du sixième siècle des
passages
où il paraît désigner la masse entière des tribus
On sera frappé de l’analogie que présente ce morceau avec différents
passages
de Pascal, dont il sera facile de le rapprocher.
ma verba dans les Méditations poétiques de M. de Lamartine. 247. Ce
passage
rappelle, sans l’égaler, le célèbre morceau de Pa
n curieux rapprochement entre ces pages de l’historien français et le
passage
des Alpes par Annibal dans le livre XXI, ch. xxx
s que le Premier Consul avait ordonné de faire descendre par d’autres
passages
des détachements de l’armée française. Nos troupe
’armée française. Nos troupes descendaient ainsi les Alpes par quatre
passages
à la fois, le Saint-Gothard, le grand et le petit
78. Ce récit, où l’on reconnaîtra facilement le souvenir d’un célèbre
passage
de Racine (Athalie, acte I, sc. 2), n’est pas exe
ique. 283. La différence entre Ducis et son modèle s’accuse dans ce
passage
. Les infernales visions de Shakespeare ne sont pl
efois la facture de ses vers un peu molle. 293. On reconnaît dans ce
passage
d’un souffle cornélien le souvenir des célèbres i
ans le Songe de Scipion (liv. VI de la République de Cicéron) un beau
passage
sur la marche et l’harmonie des sphères célestes.
ssage sur la marche et l’harmonie des sphères célestes. 341. Tout ce
passage
est traduit avec une élégante exactitude. 342.
la hauteur naturelle de son caractère ( indomitum animum ). 366. Ce
passage
est d’une couleur toute moderne et qui ne convien
ons poétiques. 407. Le poète avait choisi ce titre par allusion à un
passage
éloquent du Voyage d’Anacharsis (ch. XL), dans le
e (Κάμειρον ἀργινόεντα), située à l’ouest de l’île de Rhodes. Tout ce
passage
du poète français est, comme on le voit, très exa
’il faut soigneusement éviter dans l’emploi de cette figure, c’est le
passage
trop brusque d’une métaphore à d’autres, qui n’on
ositos cineri doloso. (Lib. ii. Ode i). Quelque poétique que soit ce
passage
, dit le docteur Blair, il offre quelque chose d’o
, mes coursiers ? (M. E. Aignan 42). Le trait le plus frappant de ce
passage
appartient, comme on voit, exclusivement à Racine
ous, à la faveur de la sensibilité qu’il leur accorde. Témoin ce beau
passage
de Milton ; c’est Adam qui parle : Sa docile pud
Fait, un vacarme de démon, Siffle, souffle, tempête. Voici un
passage
de Châteaubriand dont la riche harmonie est sensi
l’Athalie de Racine. Partout où le génie se manifeste, il marque son
passage
de l’empreinte du sublime. § V. Style figuré.
la composition littéraire. 3° Transition. La transition est le
passage
d’un sujet à un autre, le lien qui unit les parti
rases à peu près incompréhensibles et dépourvues de sens ; tel est ce
passage
de Balzac : « La gloire n’est pas tant une lumiè
re célébrées au temps et à l’occasion des vendanges. Comparez avec ce
passage
une addition à la Vie d’Euripide, publiée par Wel
, marquant le lieu, non le temps, font la principale difficulté de ce
passage
. On trouve cependant un exemple d’ἄλλοτε pris en
on à la variété, poussa jusqu’aux dernières limites de l’hyperbole le
passage
du grave au doux et du plaisant au sévère. M. Vic
l’imprévu, qui doit nous réveiller par intervalles, qu’en général le
passage
d’un sentiment à un autre, d’un ordre d’idées à u
le port, dit Quintilien, j’aperçus un navire, je demandai le prix du
passage
, je fis marché, je montai, on leva l’ancre, on mi
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un
passage
, Et de sang tout couvert, échauffant le carnage.
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon
passage
! Celui qui exprime si bien de tels sentiments f
e très-propre à former le jugement que d’analyser ainsi les meilleurs
passages
des grands écrivains et d’en dégager les syllogis
u militaire : conduites d’armées, sièges de places, prises de villes,
passages
de rivières, attaques hardies, retraites honorabl
é des lumières de la foi. Il a puisé encore à la même source dans le
passage
suivant : M. le Tellier ne ressembla pas à ces â
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un
passage
, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage
use à l’enchaînement de ces expressions diverses d’une même idée ; le
passage
de Molière en offre un scellent modèle12. L’appo
de de développement. La Fontaine en offre un charmant exemple dans ce
passage
de la fable : Le Savetier et le Financier : Eh b
ies ; c’est le moyen d’amplification dont Bossuet s’est servi dans le
passage
cité plus haut de l’oraison funèbre de la reine d
Massillon. La règle la plus importante à cet égard c’est que le
passage
de la proposition principale à la proposition sub
ctif et le tour impératif sont associés avec une grande force dans ce
passage
de Bossuet : Jetez les yeux de toutes parts ; vo
r leur accumulation. II. Eviter les figures de pur ornement dans les
passages
pathétiques. III. Toute figure qui manque de nat
vant ses pas, Il faisait trembler les campagnes. Il rencontra sur son
passage
Une rivière, dont le cours, Image d’un sommeil do
ts ou de deux personnes forme ce qu’on nomme un parallèle. Tel est ce
passage
de la Henriade : Richelieu, grand, sublime, im
armi les allusions dont ses fables abondent on peut citer ce charmant
passage
de la fable : Les deux Coqs : Deux coqs vivaient
a passion. Molière donne des exemples charmants d’atténuation dans le
passage
de sa traduction de Lucrèce qu’il a intercalé dan
cette figure. La Fontaine a réuni l’atténuation et l’astéisme dans ce
passage
d’une lettre où il raconte sa vie oisive à la cam
pléter une idée dont le sens est déjà indiqué. Cette interruption, ce
passage
subit a une idée nouvelle, a pour effet et pour b
e même Burrhus Qui depuis… Rome alors estimait leurs vertus. Dans ce
passage
du Télémaque, la réticence double la force de l’i
ans l’habitude est puissante ! Dans le Lutrin, Boileau rappelant un
passage
de Virgile : Tant de fiel entre-t-il dans l’âme
ière fois. Lamartine a fait un heureux usage de l’apostrophe dans ce
passage
du Lac : O lac, rochers muets, grotte, forêt obs
u le public. Un des plus frappants exemples de dialogisme est ce beau
passage
d’une des Philippiques de Démosthène : Athéniens
les de dialogismes. Andrieux en offre une charmante imitation dans ce
passage
de Sans-Souci : Des bâtiments royaux l’ordinaire
le lecteur ne me comprendra pas très-bien, je retranche simplement du
passage
obscur toute expression superflue : ce qui reste
De même, Sénèque le tragique s’est paré d’une fausse richesse dans ce
passage
ridicule : Priam, père de tant de rois, est priv
rgique simplicité ou de la richesse de l’amplification. Ce magnifique
passage
de Psalmiste : J’ai vu l’impie élevé et exalté c
clat du langage poétique ; Bossuet et Massillon présentent dans mille
passages
de leurs compositions oratoires des modèles d’une
ridicule, mais sans éclat et sans bouffonnerie ; ménagez avec art ce
passage
du discours sérieux à un badinage honnête et déli
e plus ingénieux pour le jour des Cendres ? Il a montré que, selon ce
passage
, la cendre doit être aujourd’hui la nourriture de
e manquent jamais d’y ravir le spectateur. » 2. On sait que ce beau
passage
a été parodié par Furetière, avec le concours de
Se faire un beau rempart de mille funérailles… On lit encore dans un
passage
d’Attila, où Corneille retrouve un instant son an
hographe. 2. Cf. Molière, le Festin de Pierre, IV, 6. On trouvera ce
passage
dans les Morceaux choisis pour la classe de sixiè
, d’après d’anciennes éditions, lit οὺϰ ἄτεχνοι, en s’appuyant sur un
passage
de la Rhétorique, 1, 2, qui ne me paraît rien pro
mpulsion dont elle manque, c’est de lire, avant de composer, quelques
passages
d’un bon auteur, analogues au sujet que l’on doit
arriver à la fin du volume : relisez plusieurs fois les livres ou les
passages
qui vous auront frappé ; vous en comprendrez mieu
lui donna tout, il fit aussi tout pour se procurer la victoire.... Le
passage
du Granique fit qu’ Alexandre se rendit maître de
ir toute l’importance des passions dans le discours, nous citerons un
passage
d’un auteur ancien, d’Aulu-Gelle, qui contient un
t porter dans une litière : un bouvier de Vénusium se trouva sur son
passage
, et, ignorant qui l’on conduisait ainsi, demanda
plaintives et de lamentations. Tel est l’effet que produit sur moi le
passage
suivant ; je l’ai écrit comme je l’ai pu pour le
e accumulation. Montaigne raconte que les Thraces, trouvant sur leur
passage
une rivière gelée, lâchent devant eux un renard p
du discours. Nous citerons, comme un modèle de narration oratoire, un
passage
de Bossuet où se trouve racontée, d’un style simp
que partie à celle qui la précède et à celle qui la suit ; il faut un
passage
pour aller naturellement de l’une à l’autre : c’e
ssage pour aller naturellement de l’une à l’autre : c’est ce lien, ce
passage
que les rhéteurs ont appelé transition. Boileau a
ntendre sonner la diane et assister au réveil d’un camp, en lisant ce
passage
des Martyrs ? « Je n’ai jamais entendu, sans une
t, dit-il, d’énoncer simplement les choses pour les faire admirer. Le
passage
du Rhin dit beaucoup plus que le merveilleux pas
voir des caractères funestes. » Ces derniers mots font allusion à un
passage
bien connu de l’Ancien-Testament. Quelquefois l’a
ce des larmes qui ne peuvent couler. Nous en avons un exemple dans ce
passage
admirable du rôle d’Oreste, lorsque, après avoir
s doivent se suivre et s’enchaîner les unes aux autres, comme dans ce
passage
de Bossuet : « Les Égyptiens sont les premiers o
santes, embarrassées, comme celles que Pellisson a accumulées dans le
passage
suivant : « Les blessures étaient plus mortelles
s biens : une vie malheureuse vaut mieux que la plus belle mort. » Ce
passage
, rapproché de celui de Racine, fait parfaitement
t. Le style spirituel, soit qu’il s’applique aux idées, comme dans le
passage
de Fontenelle, soit qu’il s’applique aux sentimen
nter. Une troisième ressource reste encore : c’est de se rappeler les
passages
des meilleurs auteurs qui se rapportent directeme
pentes ; elles en enlèvent quelques parcelles, et y tracent par leur
passage
des sillons légers. Bientôt ces filets se réuniss
toute cette belle défense de Foucquet ; nous n’en avons cité que les
passages
les plus éloquents. Nous avons laissé de côté la
un discours entier a dû son mérite et son succès au choix heureux du
passage
qui lui sert de texte. Bossuet avait à déplorer l
ons aux jeunes élèves de porter principalement leur attention sur les
passages
les plus saillants des modèles qu’ils auront sous
s, l’affectation est mise à l’écart, tout coule de source. Tel est le
passage
d’un écrivain de nos jours. Heureux l’homme qui
e principale, au lieu de la fortifier. Si Fléchier eut ajouté dans le
passage
précédent : défaites habilement réparées, il eut
is encore, tout le inonde se récria d’admiration. Et pourtant ce beau
passage
est dû il une simple antithèse de mots, tant est
Rois funeste avant-coureur. (Rac.) Il y a deux imprécations dans ce
passage
, et une seule déprécation. Le passage entier est
l y a deux imprécations dans ce passage, et une seule déprécation. Le
passage
entier est une obsécration. XXIV. Optation.
ueux dans la période carrée que j’ai citée page 80. Tel est encore ce
passage
de David : « Il a incliné les cieux et il est des
ransitions la muse toujours sage, Sait cacher au lecteur le moment du
passage
. Moyens de découvrir les secrets du style ou
ire malgré Minerve. Prenez un livre de votre goût, lisez quelque beau
passage
; cela éveillera votre talent qui sommeille et vo
d’insérer, en pensant aux élèves de sixième ou de cinquième, certains
passages
célèbres et aisés à comprendre d’ouvrages inscrit
phales d’Eudore1421. Une seule était restée, et elle se trouva sur le
passage
du martyr ; un soldat, ému de ce singulier hasard
tais enfin dans le carré ! — Depuis la mort du colonel Savary, tué au
passage
de l’Ukra1474, le 14e était commandé par un chef
Lisette, ruant et mordant, renversé tout ce qu’elle rencontre sur son
passage
! L’officier ennemi, qui avait si souvent essayé
urs livres qu’on jugea dangereux, non sans raison, mais dont quelques
passages
, qui affectent la forme des paraboles évangélique
pagnies d’infanterie l’y attendaient, formant une double haie sur son
passage
: un détachement de hallebardiers marchait en ava
atin, on y laissa une compagnie pour faire les trompeurs apprêts d’un
passage
au-dessous de cette ville, et on s’engagea ensuit
eine. A six heures du matin1556, ce second accident fut réparé, et le
passage
du matériel d’artillerie put recommencer. II l
rience ; on s’éloigna de la scène d’horreur que présentait le lieu du
passage
, afin, disait-on, de céder le pas aux plus impati
orter tout son monde et son matériel sur la droite de la Bérézina. Le
passage
opéré, il mit son artillerie en batterie afin de
éral Eblé, au maréchal Victor, d’employer tous les moyens de hâter le
passage
de ces malheureux. Le général Eblé se rendit lui-
journée pris un peu de repos, il était là, s’efforçant d’accélérer le
passage
, et envoyant dire à ceux qui étaient en retard qu
ait capable d’enthousiasme en regardant des tableaux de batailles. Le
Passage
de la Bérézina 1789 lui donnait de l’émotion. La
supercherie, Le tourne, le retourne, approche son museau ; Flaire aux
passages
de l’haleine2163. « C’est, dit-il, un cadavre ; ô
utes les approches, Prenez le parti doucement D’attendre le prince au
passage
: Il connaîtra votre visage Malgré votre déguisem
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un
passage
, Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage.
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon
passage
! » Tels étaient vos plaisirs. Quel changement, ô
verrez tous, prévenant son ravage, Guider dans l’Italie et suivre mon
passage
. C’est là qu’en arrivant, plus qu’en tout le chem
ut que l’on doit à la mort ! Non, non, tout doit franchir ce terrible
passage
. Le riche et l’indigent, l’imprudent et le sage,
s dit ? lit Roland. Qu’on soit sage. Reprit-il ; renoncez à forcer le
passage
; Si l’un de vous, bravant Durandal à mon poing,
d’un gué. De peur que derrière eux leur trace découverte N’indique le
passage
au bourreau qui les suit, Et qu’ainsi leur salut
eau, Quand tu salis un frais corsage, Qui répare le mal que tu fis au
passage
? C’est l’Eau, mon compère : c’est l’Eau ! Le vin
ésent volume, sans jamais manquer cependant d’indiquer exactement les
passages
auxquels sont empruntés les morceaux que nous cit
er. 300. Failli, fait défaut. 301. Etape, étai. Littré signale ce
passage
de Palissy comme un exemple unique du mot pris da
venu plus rare dans la langue d’aujourd’hui. 443. Efféminé. 444. Le
passage
qui commence avec cet alinéa a en effet été rédig
elles donnaient lieu à des marchés extravagants, et l’on verra par un
passage
de La Bruyère cité page 117 que la mode des tulip
omme un homme du monde. 570. On comparera ce beau morceau au célèbre
passage
du Menteur de Corneille que nous citons page 512.
uin ! La peste soit fait l’homme ! » dit encore Molière dans d’autres
passages
. 628. . Diantre, mot qu’on a forgé pour remplace
auvais riche, que Bossuet fait ainsi parler, traduisant d’ailleurs un
passage
du prophète lsaïe (XLVII, 10). 745. Comme on pa
lement que cela peut arriver. — Voici la suite des idées dans tout ce
passage
: quand je dis que vous vous trouverez vous-même
amour de la patrie. Bossuet semble confondre quelque peu dans tout ce
passage
, d’ailleurs si remarquable, et qui respire une si
ilémon, autre original peint par La Bruyère (Du mérite personnel). Le
passage
est célèbre : « L’or éclate, dites-vous, sur les
s il importe de comprendre que le défaut dont il est question dans le
passage
qu’on va lire est l’indifférence, le manque de go
. Reposter. Le mot n’est pas français et n’a été employé que dans ce
passage
. 1030. Pris leur parti sur ce que…, s’étaient d
d de la vérité. On sent assez, au reste, que Voltaire a, dans tout ce
passage
, le dessein de rendre son bel esprit ridicule. Vo
e. 1278. Cette exclamation veut dire qu’il vient enfin de trouver le
passage
dont il est question. 1279. Plaisant rapprocheme
accompli quelque bonne action. 1342. Au sénat romain. Allusion à un
passage
célèbre (lu poète Juvénal (fin du ier siècle aprè
a gloire, devait assurer le même résultat. 1354. Allusion au célèbre
passage
de la Genèse, I, 26. 1355. Allusion à la période
Eudore, fils de Lasthénès, personnage imaginaire, héros [...] d’où ce
passage
est tiré. 1412. Cyrille, personnage imaginaire,
martine et ses amis étaient objet. Le discours dont nous extrayons le
passage
ci-dessus est de 1842 ; c’est en 1848 que fut pro
Il était arrivé le matin même du 26 pour surveiller les travaux et le
passage
. 1553. Equarrir (littéralement rendre carré), t
dialectale de grammaire. 1789. Entendez une gravure représentant le
Passage
de la Bérézina (sur cet épisode militaire, voir p
ar le moyen duquel. 1984. Catherine de Médicis. 1985. Souvenir d’un
passage
où Virgile (Egl., IV, 62) s’adresse, lui aussi, à
et à celui des bois qu’il a plantés. Ce développement est imité d’un
passage
d’une petite pièce célèbre du poète latin Claudie
e. 2087. Au, fréquent comme équivalent de en le. 2088. Imité d’un
passage
célèbre du second livre des Géorgiques de Virgile
et intérêts. 2162. Tient son vent, retient son souffle. 2163. Aux
passages
de l’haleine, au nez et à la bouche. 2164. Car
le vers suivant. — Cette explication, tout à fait satisfaisante, d’un
passage
longtemps controversé, a été donnée par M. Jules
a note 8 de la page 531. 2329. Aux ruelles. La ruelle du lit est le
passage
qui reste libre entre le lit et la muraille. Par
ojets si vagues. Allusion aux gens dont Boileau a parlé dans un autre
passage
de la même épître et qui sont toujours « entraîné
it rue des Bons-Enfants. 2391. Boileau s’est ici souvenu de quelques
passages
d’Horace, qui souhaite aussi de vivre à la campag
Sénèque, dans son traité de la Clémence, dont Racine a imité quelques
passages
dans les vers qui précèdent. 2423. Mithridate, q
richesses et des biens matériels : inutile d’ailleurs de dire que le
passage
que va lire Hector ne se trouve pas littéralement
se, mais traditionnelle dans notre théâtre comique. 2463. Voici les
passages
du psaume XLVIII que Rousseau a imités dans cette
phe gravée sur le tombeau même de Myrto : elle est inspirée de divers
passages
de poètes antiques, et notamment d’une petite piè
simplement : grandir, grossir. 2579. Tout ce fragment est imité d’un
passage
célèbre du livre II des Géorgiques de Virgile (ve
logue du Galilée de Ponsard (voir le recueil du second cycle) et d’un
passage
de Louis Racine que nous avons cité page 593. 26
e qui n’a qu’une touffe de cheveux, par laquelle il faut la saisir au
passage
, si l’on veut l’arrêter dans sa course. 2777. L
ux trois cents Spartiates qui, commandés par Léonidas, défendirent le
passage
des Thermopyles contre l’armée du roi de Perse Xe
les jours. Il doit être gracieux dans les descriptions comme dans ce
passage
du même auteur : Qu’en ses plus beaux habits l’A
voir de plus vif, de plus ingénieux, de mieux écrit, surtout, que ce
passage
: « Pourquoi ces éléphants, ces armes, ce bagage
aussi sérieux, une forme un peu plus légère. On peut en juger par ce
passage
de l’Épître à sa muse, où Gresset représente le t
z ; l’on rend hommage À l’illusion qui vous suit. Mais ce triomphe de
passage
, Effet rapide de l’usage, Par un autre usage est
ortent jusqu’au sublime l’émotion religieuse de la douleur. Plusieurs
passages
de Job et d’Ézéchiel peuvent aussi être regardés
Jupiter la taille et le visage ; Et, depuis ce Romain dont l’insolent
passage
Sur un pont, en deux jours, trompa tous tes effor
e, ainsi que la Dunciade de Pope et celle de Palissot. Voici un court
passage
de ce dernier poème. Palissot feint qu’il a reçu
que, ch. 15, 16 et 17. 140. Voyez la suite dans l’épître IV, sur le
Passage
du Rhin. 141. Domairon, Poét., du Poème héroïque
de leurs écrits. Nous ne citerons ici pour exemple que ce magnifique
passage
du second livre de l’Enéide, où le grand poëte dé
aux maîtres le soin de faire remarquer les principales beautés de ce
passage
, que la meilleure traduction ne saurait reproduir
’ajouter au sujet de nouvelles beautés. On en a vu un exemple dans le
passage
cité plus haut, où Virgile, avec une pensée plein
x, les savants conseillers cherchent dans tout Cicéron le merveilleux
passage
qui leur avait échappé ; ils le cherchèrent fort
ou seulement originale, d’indisposer ou d’effaroucher le lecteur. Le
passage
cité de Rousseau vient à l’appui de cette remarqu
eaux achevés et de vers immortels. » — Quelques-uns des traits que ce
passage
renferme ont été imités par Voltaire, chant IX de
dressa quatre années après. Andrieux fait remarquer, l’occasion de ce
passage
, combien Boileau savait relever par un tour noble
n, qui envisageait surtout la rhétorique comme art de bien parler. Ce
passage
seul peut faire comprendre combien la science de
. Vauvenargues avait fait campagne dans ces contrées. 3. Comparez au
passage
des martyrs, le réveil au camp, I. vi. Vous verre
dans certains mots, ou certaines parties de phrases, qui marquent le
passage
de ce qu’on a dit à ce qu’on va dire. Ces transit
egré de force ou de faiblesse. Il y a un exemple de gradation dans ce
passage
de l’Oraison funèbre de Turenne, lorsque Fléchier
pouvant connaître rien de ce qui est entre le jour et eux, que par le
passage
des ombres projetées sur la paroi à demi éclairée
Démosthène, qui est dans le Ier Dialogue sur l’Éloquence, et un beau
passage
sur les Discours de Cicéron, au commencement du I
tions païennes qui déshonoraient la raison. 2. Il faut comparer à ce
passage
le sermon de Bossuet sur l’unité de l’Église. 3.
onze heures ; on ne revenait pour discuter les textes ou vérifier les
passages
; et la récréation était de lire Aristophane, les
cles s’aplanissent devant lui, et tout un grand peuple volant sur son
passage
semble dire : « Le voilà ! »1 Bonaparte a l’
t des dieux la jeunesse, on est sage De fêter cette hôtesse au rapide
passage
. Quelle prise y voit-on à la malignité ? Et qu’es
tretient la beauté du visage ; L’insomnie, au contraire, y marque son
passage
. Gardez que votre époux, de son premier regard, N
rité que ces translations soudaines d’un pays en un autre, et que ces
passages
subits d’un héros en des lieux éloignés de ceux o
dans l’incertitude sur le sort des principaux personnages. De là, ces
passages
de la crainte à l’espérance, de la joie à la doul
suspendue entre la crainte et l’espérance. Le dénoûment doit être le
passage
d’un état certain à un état déterminé. La fortune
qu’exigent l’étendue et la durée de l’action. L’épopée demande que le
passage
d’un état de fortune à l’autre, ou, si l’on veut,
nvenablement adapté à son rôle. Un bon modèle du style comique est le
passage
des Femmes savantes où le bourgeois Chrysale se p
de Viger, p. 788, 4e éd. De Hermann. Maintenant la tragédie, etc.] Ce
passage
a beaucoup tourmenté les interprètes. M. Forchham
▲