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1 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
istingué. Il se signala par sa bravoure, dans le fort de la mêlée, au passage du Rhin. Amour (l’) ou Cupidon, que les poètes f
arquis de), premier écuyer du roi, et colonel du régiment Dauphin. Au passage du Rhin, il se jeta dans le bateau du prince de C
Condé, parce que son cheval ne voulait pas passer. Il reçut, après le passage , un coup de mousquet dans la mamelle droite, et p
s logis de la maison du roi. Il donna de grandes preuves de valeur au passage du Rhin. Centaures, Monstres, suivant la fable,
Coislin (Armand de Cambout, duc de). Il fut blessé, dans la mêlée, au passage du Rhin, de plusieurs coups de mousquet. I. Condé
s bonnes grâces et toute sa confiance. C’est lui qui ouvrit l’avis du passage du Rhin ; entreprise glorieuse, à laquelle il eut
prince de), fils du grand Condé. Il se signala à côté de son père au passage du Rhin, et ensuite à la bataille de Senef. Il mo
du maréchal de). Il était lieutenant-général, et tenta le premier le passage du Rhin Chargé de reconnaître si le fleuve était
e Lesdiguière, pair de France, comte de Saux). Il se fit remarquer au passage du Rhin par son impétueuse valeur. Quoiqu’il eût
es fleuves et des fontaines. Nantouillet (le chevalier de). Après le passage du Rhin, il reçut deux coups dans son chapeau. N
rde-robe, et maréchal de camp des armées du roi. Il fut tué, après le passage du Rhin, d’un coup de mousquet à la tête. Nymphe
e de Broglie. Il reçut trois coups d’épée dans l’action qui suivit le passage du Rhin. Rhin (le), un des plus grands fleuves d
Salart, officier d’un grade distingué. Il se battit vigoureusement au passage du Rhin. Salle (le marquis de la), un des premie
er de Vendôme n’avait pas encore dix-sept ans, lorsqu’il se trouva au passage du Rhin. Il gagna sur l’ennemi un drapeau et un é
ères de France. Il montra la plus grande intrépidité dans l’action au passage du Rhin. Z. Zéphyrs (les). Les poètes, en person
2 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
. Les grenades dites vineuses.] Αἱ οἰνώδεις ῥοαί. L’explication de ce passage se trouve dans Théophraste, περὶ φυτῶν ἱστορίας,
oins sensible.] ᾜ pour ἢ m’a paru nécessaire pour donner un sens à ce passage . Produisent une impression distincte.] Θεωρεῖν et
ομεν, φανερὸν ὅτι ϰαὶ τὸ θεωρεῖν γρα- φὰς ἢ λόγους ἀσχήμονας. Dans ce passage , le mot λϐγους a paru suspect à Schneider, à Cora
ans la Notice de Vincent, p. 401 et suiv. Au reste le sens de tout ce passage est fort incertain. Chap. xx. — Si l’on change.]
été suggérée par M. Vincent, comme tout à fait nécessaire pour que ce passage ne contredise pas l’opinion expresse d’Aristote d
3 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
) L. Racine paraît avoir deviné ce qu’Aristote lui-même écrit dans un passage de ses Problèmes (XXIX, 11) où il appelle la femm
W. Schlegel, etc.), ont blâmé comme une inconséquence de caractère ce passage de la faiblesse à l’héroïsme. Malgré l’autorité d
nt, mais sans nécessité, de lire ici ἁπλότητος, et il compare avec ce passage la Rhétorique, I, 9, et le vers 926 (917, éd. Boi
e Racine.) C’est aussi le sens adopté par Dacier, qui rapproche de ce passage Horace, Art poétique, v. 179 et suiv. Résultant.]
4 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
radation de lumière qui, d’un objet à l’autre, conduit la vue par des passages imperceptibles. Les couleurs se mêlent sans se co
ussi irréprochables qu’élevés, mais, en même temps, il s’y trouve des passages , et, entre autres, une certaine dédicace à Maria
a fait bondir le cœur, et je pourrais citer dans M. Barbier plusieurs passages de ce genre, sans même parler de ceux où il pouss
évues les plus bouffonnes, en s’obstinant à ramener à l’allégorie les passages mêmes où l’écrivain, laissant là le double sens,
vie humaine, dont on peut rapprocher, le style de Bossuet à part, un passage ingénieux des Inductions morales et physiologique
verrez tous, prévenant son ravage, Guider dans l’Italie ou suivre mon passage . Évidemment le sens figuré me frappe à l’instant
e épargne le coupable… Eh bien ! analysez ces divers exemples et les passages analogues, et il vous sera aisé de voir qu’ils re
n fait historique, une fiction mythologique, une opinion en vogue, un passage connu de quelque écrivain, c’est ce qu’on appelle
5 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
en dire autant de Saint-Amand lorsqu’il peint un petit enfant qui, au passage de la mer Rouge, va, saute, revient : Et joyeux
erem fortem… (Prov., xxxi, 10-31). A ces morceaux nous ajouterons des passages plus ou moins nombreux d’Homère, de Démosthènes,
Buffon, Chateaubriand, Lamartine, V. Hugo, Alfred de Vigny. Voici un passage de ce dernier ; Moïse parle à Dieu sur le mont Né
 ; le sermon de Massillon sur le petit nombre des élus, et surtout ce passage  : Je suppose que ce soit ici notre dernière heur
accablé de maux : Je ressemble, Seigneur, au globe de la nuit…, et ce passage du sermon de Massillon sur le petit nombre des él
nèbre de la reine d’Angleterre : Celui qui règne dans les cieux… ; un passage du sermon de Fénelon pour l’Épiphanie, relatif à
ntre les Romains : Oui, les Dieux à notre esclavage…, par Soumet ; un passage de la Prière, de Lamartine : L’univers est le tem
Bonald : Assis sur la base immuable. Nous terminerons par le célèbre passage du psaume 17, si souvent imité par nos poètes :
6 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
vres de nos bons écrivains ; laissons tomber notre choix sur le hardi Passage des Alpes par François et sur le Dévouement des r
en Gaillard, et le publiciste genevois Mallet du Pan. Lectures. — 1° Passage des Alpes. Vol. II, nº 70. — 2° Dévouement des Re
deux qualités sont-elles sœurs, et se trouvent-elles réunies dans le passage suivant, qui appartient l’un de nos estimables éc
yen de conserver cette qualité. C’est ce que l’on remarquera clans le passage suivant, dans lequel l’écrivain a pour but de nou
ent couvrir. Avec moi de ce pas venez vaincre ou mourir. Boileau, le Passage du Rhin, Ép. IV. Delille a défini avec grâce le
es II mourut à Saint-Germain-en-Laye, au sein de la religion. Dans le passage suivant, nous voyons le monarque frappé par la ma
procurera de douces jouissances. Nous signalons ici comme lecture un passage des Harmonies de la nature, que nous devons à Ber
que Vincent Voiture se plut à écrire à M. le duc d’Enghien, après le passage du Rhin par l’armée française. Nous la rapportons
s picards. » Pour avoir une idée nette de ce style, lisons les trois passages suivants. Le premier contient une réponse de Jupi
’a été la qualité caractéristique d’un bon cœur, Lecture. — Quelques passages de l’Énéide et du Télémaque travestis. Vol. II, n
7 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
auteurs, et lorsque la lecture était finie, à faire des extraits des passages les plus remarquables, avec les observations auxq
passages les plus remarquables, avec les observations auxquelles ces passages pouvaient donner lieu, observations qui portaient
rimer que deux sermons de circonstance, et une traduction en vers des passages de l’Écriture que l’on chantait le plus ordinaire
t d’écrire, l’étude attentive des vrais modèles et la comparaison des passages les plus brillants avec ceux où se laissent aperc
pui de ce que j’avance : on trouve dans leurs ouvrages admirables des passages d’une rudesse et d’une grossièreté que leur aurai
fond des forêts le voyageur s’égare. (Trad. de Delille.) Quoique ces passages soient de très beaux exemples d’un style élevé, c
ans une imposante obscurité. Nous en trouvons un exemple dans ce beau passage du Livre de Job (c. 4, v. 15 à 17) : In horrore
blime tout ce qui plaît dans une belle composition. Aussi beaucoup de passages qu’il cite comme des exemples de sublime ne sont
dées imposantes et sublimes sur l’apparition du Tout-Puissant dans ce passage du dix-septième psaume : In tribulatione mea inv
vient à l’appui des principes que nous avons précédemment établis. Le passage suivant du prophète Habacuc est du même genre :
On trouve une pensée du même genre supérieurement développée dans le passage suivant d’Isaïe : Hæc dicit Dominus redemptor tu
, fundaberis. (C. 44, v. 24, 27 et 28.) Il y a, dans le Psalmiste, un passage qui mérite aussi d’être cité : « Dieu apaise le c
noblesse à ces scènes gracieuses ; aussi Longin recommande surtout ce passage du quinzième livre, où Neptune, sur le point de s
crets des régions des morts ne se découvrent aux yeux des mortels. Le passage suivant mérite d’être rapporté : Αὐτὰρ ἐπεὶ μεθ᾽
este. (Trad. de Delille.) Mille sources de sublime s’offrent dans ce passage . Le principal objet est essentiellement grand ; c
nation. C’est ce que Virgile a fait d’une manière si heureuse dans le passage suivant : Ipse pater, media nimborum in nocte, c
ion frappée et animée de la grandeur du sujet. S’il se trouve dans ce passage une tache légère, c’est dans ce vers qui suit imm
sur cet appareil pénible que quelques écrivains introduisent dans un passage ou dans une description qu’ils veulent rendre sub
ire la censure de l’ouvrage de M. Addison, où se trouvent beaucoup de passages d’un très grand mérite ; la belle comparaison de
serait, il est vrai, plus aisé de tirer des exemples de traits ou de passages fautifs parmi les mauvais écrivains ; mais on y f
, l’auteur des Aventures de Télémaque. Virgile, quoique dans quelques passages il s’élève jusqu’au sublime, est surtout remarqua
t cette particularité, sont exposés à ne pas bien comprendre quelques passages des auteurs classiques dans lesquels il est quest
tion » de l’homme qu’elle veut louer. Cicéron, de qui j’ai traduit ce passage , établit un ordre directement opposé, en mettant
l peut se reposer, revenir sur ce qu’il a lu, et comparer à loisir un passage avec un autre ; tandis que la voix nous échappe e
iminel est garrotté avec une corde par le bourreau. On trouve dans un passage de l’Histoire d’Écosse, par Robertson, un exemple
ndantes les unes des autres, renferment un sens entier, comme dans ce passage de la préface de M. Pope : « Je l’avoue, ce fut l
’économiser le temps et le papier, ils écrivent, etc. » Dans un autre passage , le même auteur a laissé sa pensée douteuse, en d
fois, dans la même phrase, à des personnes différentes, comme dans ce passage de l’archevêque Tillotson (vol. i, serm. 42) : « 
ouvelle : « qui nommèrent le docteur Tennison pour lui succéder. » Le passage suivant est extrait de la Vie de Cicéron, par Mid
ts essentiels sont placés au commencement de la phrase, comme dans ce passage de M. Addison : « Les plaisirs de l’imagination p
x à leur plus haut période. Tel est, dans son discours pro Milone, ce passage , où il est question du complot qu’avait formé Clo
entes omnes concidissent . Ce genre de beauté se trouve aussi dans le passage suivant de lord Bolingbroke : « Cette décence, ce
aise grâce la période dont il fait partie ; l’on en peut juger par ce passage de lord Bolingbroke, extrait d’une lettre sur l’é
un meilleur effet si elles étaient séparées l’une de l’autre. Dans ce passage des remarques sur l’Histoire d’Angleterre, par lo
t, et les gens sérieux pour ceux qui ont la raison de leur côté. » Le passage suivant, extrait de la préface de l’Homère de Pop
faire observer que nos traducteurs de la Bible ont, dans beaucoup de passages , adapté très heureusement la cadence de leur phra
er aquas. On trouve, et surtout dans les psaumes, une foule d’autres passages qu’on pourrait citer pour des modèles de construc
monious sound On golden hinges moving37. On a souvent admiré ce beau passage de la Jérusalem délivrée, à cause du rapport de l
qu’il est inutile de les reproduire ici. Je rapporterai seulement un passage anglais où l’harmonie imitative me semble fort he
la plus grande part, et que, suivant qu’un lecteur est affecté par un passage , il trouve entre les sons et le sens une ressembl
passer d’ornements étrangers. Aussi, chez les meilleurs auteurs, les passages les plus touchants, ceux qui ont fait l’admiratio
s elles sont fondées, et évitent avec soin de les employer dans : des passages où elles paraîtraient déplacées. On peut dire d’u
dre une autre manière de s’exprimer. Nous en avons un exemple dans ce passage du docteur Young : « Lorsque nous nous plongeons
i des métaphores. Mais avant de les faire connaître, je vais citer un passage où cette figure se montre dans tout son éclat ; j
e, combien d’objets incohérents Shakspeare a groupés ensemble dans ce passage d’une de ses pièces intitulée la Tempête ; il par
« qui éteint des semences ! » On trouve la même incorrection dans ce passage d’Horace : Urit enim fulgore suo qui prægravat a
dées métaphoriques. Il est également difficile de justifier cet autre passage  :     Ah ! quanta laboras in Charybdi, Digne pue
le que produisent les métaphores mixtes. Nous en pouvons juger par ce passage d’Horace :     Motum ex Metello consule civicum,
s cineri doloso. (Carm. lib. I, ode 1.) Quelque poétique que soit ce passage , il y règne cependant une grande obscurité, qui n
extera tua : et super filium hominis, quem conftrmasti tibi. Dans ce passage , il n’est aucune circonstance (excepté celle-ci,
qui est plus qu’élégant, voilà qui est véritablement sublime. Tout ce passage est plein de vie, et la figure prend encore de l’
et même un grand nombre de sermons anglais, nous offrent une foule de passages semblables que nous eussions pu citer comme des e
sensibilité qu’elle lui prête. C’est ce que nous prouve ce magnifique passage de l’Été de Thomson, où, dans la description qu’i
 » (Trad. de M. Deleuze.) Le même effet est remarquable dans ce beau passage de Milton : Par la main je la guide au berceau n
e si elle était animée, et c’est la raison qui me fait : condamner ce passage de la belle épître d’Héloïse à Abélard, par Pope 
uentiæ candidatum, superstes parens tantum ad pœnas, amisi ? Dans ce passage , Quintilien déploie le génie d’un véritable orate
47, v. 6, 7.) Je ne veux pas omettre cette occasion de citer un autre passage dans lequel sont rassemblées un grand nombre d’id
ndamenta laci, quasi cadaver putridum. (C. 14, v. 4 et sqq.) Tout ce passage est sublime. Que d’objets divers y sont animés !
sait actuellement sous nos yeux ; nous en trouvons un exemple dans ce passage de la quatrième Catilinaire (ch. 6) : Videor eni
de produire un grand effet. On en cite ordinairement pour exemple ce passage remarquable de Cicéron, que tous les écoliers sav
es plus marquantes, ne dépendent point des tropes ni des figures. Les passages les plus sublimes et les plus pathétiques des aut
e, je ne puis qu’indiquer les auteurs dignes de servir de modèle. Des passages détachés, comme j’en ai cité jusqu’ici pour servi
teur ne peut, comme celui qui lit, s’arrêter à loisir et reprendre un passage qu’il n’a pas bien compris. Il ne faut jamais tro
ues auteurs latins, comme Térence, Lucrèce, Phèdre et Jules César. Ce passage de l’Andrienne de Térence est un bel exemple de l
s’aimaient depuis longtemps. » (Trad. de l’abbé Lemonnier.) Dans ce passage de l’auteur latin, chaque expression est heureuse
’exercice plus propre à former le style, que de lire attentivement un passage d’un bon auteur, et de l’écrire ensuite avec nos
nferme ; alors on met le livre de côté, et on essaye d’écrire ce même passage le mieux que l’on peut ; ensuite on ouvre le livr
nt de prendre des phrases connues d’un auteur, ou d’en transcrire des passages entiers ; car rien n’est plus funeste au succès d
Spectateur ; la xxive a pour objet un examen semblable du style d’un passage de Dean Swift. Nous n’avons pas cru devoir augmen
degré de perfection où elle puisse atteindre. Quatrièmement. Dans les passages les plus véhéments d’un discours prononcé à la tr
du territoire d’Albe, il leur adresse même plusieurs phrases ; et ces passages , chez ces deux orateurs, produisent un’effet magn
le du genre d’éloquence dont je viens de traiter, je citerai quelques passages de Démosthène. Malgré les désavantages d’une trad
e ne m’attacherai pas à suivre une seule harangue, et je réunirai les passages de deux ou trois d’entre elles, afin de montrer l
t à lui que l’orateur s’adresse, et considère avec impartialité quels passages lui semblent plus frappants, quels arguments lui
fondés sur le développement de quelque caractère particulier, ou d’un passage remarquable de l’histoire sacrée qui fournit l’oc
ue chose de plus solennel et de plus respectable. Les allusions à des passages ou à des expressions remarquables de ce beau livr
r de les imiter de trop près et surtout d’en transcrire de trop longs passages dans les sermons que l’on compose. C’est une mauv
plus favorable et le plus frappant. Voyez quelle lumière tels autres passages de l’Écriture pourraient jeter sur ce sujet ; exa
n moins d’observations que les rhéteurs et les critiques modernes. Le passage remarquable de Cicéron que nous allons citer prou
ETIUS, de Rerum nat., lib. I, v. 63.) 7. Nous rencontrons, dans le passage suivant du docteur Akenside, sur les plaisirs de
t vénérable. » (Fléchier, Oraison funèbre de M. de Turenne.) Ces deux passages sont plus brillants que sublimes : le premier man
le jamais ; qu’aucun de nous ne cherche à en détacher son bras. » Ces passages sont extraits de l’Histoire des cinq nations indi
lé, Et sur leurs vastes gonds, en grondant, ont roulé. Voici l’autre passage , il est un peu plus faible : Des cieux, sur leur
la navigation va être assurée par les armes de Louis. » Dans un autre passage de la même oraison, il apostrophe l’île des Faisa
 12.) 55. Ses expressions sont infiniment belles et heureuses, et le passage mérite d’être cité ici tout entier. « Je ne crain
5 et 6.) Ici le sujet justifie la chaleur que Cicéron déploie dans ce passage éloquent. 64. Quuem esset egens, sumptuosus, a
t infiniment heureuse. Le docteur Seed aime à faire des allusions aux passages de l’Écriture ; mais elles sont trop souvent forc
es, la suivent pleines de joie et d’allégresse. » Il veut rappeler ce passage du psaume xlve , où il est parlé de jeunes vierge
8 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre premier. Beautés de détail. »
dée de l’immensité remplie par un Dieu, est bien mieux rendue dans le passage suivant du psalmiste : « Si ascendero in cœlum,
ux, et qu’il n’y avait rien dans la nature qui ne fût en danger ». Ce passage d’Homère est en effet admirable, et nous l’avons
ne source imprévue qui s’échappe du sein d’un rocher, pour décrire le passage du malheur à la prospérité, etc. Voilà ce qu’offr
9 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
s agréments qu’il m’a ôtés, de me faire apercevoir des marques de son passage . Vous trouvez donc que vos comédiens ont bien de
   C’était merveille de le voir. Merveille de l’ouïr : il faisait des passages ,           Plus content qu’aucun des sept sages.
t clans les écrits de Buffon, de Fénelon et de Chateaubriand. Dans le passage suivant tiré de Buffon, l’éclat des expressions d
ujours admirables. On pourra lire encore de M. Joseph de Maistre, un passage intitulé : Une Nuit d’été à Saint-Pétersbourg : i
les de mouvement et de suspension. Nous citerons ici de préférence le Passage des Alpes par Bonaparte. Pour frapper les grands
de, plus sauvage, plus désolant que celui de l’Arabie, et trouver des passages au travers de ces rocs entassés jusque dix mille
lime de style dans tous les quatre. Pour fixer notre attention sur un passage qui réunisse les différents caractères du sublime
la simplicité et la naïveté de ce style, on y trouve quelquefois des passages si éclatants, qu’ils entraînent avec eux la magni
l a pour sujet le miracle que Dieu fit en faveur des Hébreux, lors du passage de la mer Rouge. Le prophète s’y abandonne à des
10 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avertissement de la deuxième édition. » pp. -
que j’ai cru devoir ajouter ici, avant les extraits des Problèmes, le passage de la Politique, qui complète et commente si heur
urraient en résulter, nous avons indiqué par des astérisques tous les passages du texte grec qui sont visés dans le commentaire.
11 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXI. » pp. 120-121
Ritter suppose être une glose marginale, est assez justifié par deux passages du chap. xxii et par deux autres de la Rhétorique
re ἐϰ τούτων ou ἐϰ τούτου ἀφώνων, ce qui augmente la difficulté de ce passage . Cf., sur les lettres doubles, le dernier chapitr
12 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
oro virgis cæderetur ? Rien de plus beau, rien de mieux écrit que ce passage . Les circonstances sont heureusement choisies pou
applicables, comme on est assez généralement tenté de le croire, aux passages les plus soignés ou les plus pathétiques du disco
ention que de talent pour donner aux morceaux les plus simples et aux passages les plus tranquilles le renforcement, les pauses,
ui indiquerait la fin d’une phrase ; mais on doit toujours marquer le passage d’un vers à l’autre par une suspension presque in
on et avec quelles inflexions de voix vous vous exprimeriez, dans ces passages surtout où vous chercheriez à captiver plus parti
t la raison. Dans mes précédentes Lectures, j’ai quelquefois cité des passages des auteurs classiques pour en faire sentir les b
ges, il est vrai, renferment des imperfections ; l’on y rencontre des passages évidemment vicieux. Eh ! quels ouvrages sortent p
faitement assorti aux mœurs pastorales. M. Pope, en voulant imiter ce passage , a cru l’embellir ; voici comme il développe sa p
ienne, et dont j’ai donné un exemple, en choisissant, il est vrai, le passage le plus médiocre de tout le poème, c’est générale
a marche est souvent obscure et incertaine. Cependant on y trouve des passages d’un grand sens et d’une critique judicieuse ; et
’Aristée, et l’épisode si touchant d’Orphée et d’Eurydice. Ainsi, les passages que l’on préfère dans Lucrèce, et qui seuls pouva
ression est éminemment énergique ; les trois premières renferment des passages très pathétiques, et dans toutes il a su placer à
homme qui périt au milieu des neiges ; mais j’aime mieux rapporter un passage d’un autre genre, pour montrer combien une seule
eux de circonstances dans un ouvrage descriptif. Je ne citerai que ce passage du Penseroso :                                I
l’air, le feu, l’onde, ou les entrailles de la terre. » Dans tout ce passage , point de termes généraux, point d’expressions in
donnant plus de force et d’étendue. C’est ce qu’a fait Milton dans ce passage  :         Who shall tempt with wandering feet Th
Trad. de Delille.) Il est évident que les épithètes employées dans ce passage donnent de la force à la description, et la rende
ations de Jérémie, presque tous les livres des prophètes, et quelques passages de chapitres historiques, portent tous les caract
dans lequel Job s’exprime lui-même, vous verrez comme est sensible ce passage de la prose à la poésie ; ce ne sont pas seulemen
ne des torrents qui ravageaient tout ce qu’ils rencontraient sur leur passage  ; et le Jourdain, la seule rivière un peu considé
uceur dans le vingt-deuxième psaume, et dans un grand nombre d’autres passages des saintes Écritures. Voilà pourquoi ils emprunt
le, l’intervention de la Divinité donne à une image champêtre dans ce passage d’Isaïe : —  Sonabunt populi sicut sonitus aquaru
destruction de Sodome, l’apparition du Seigneur sur le mont Sinaï, le passage miraculeux des Israélites à travers la mer Rouge.
Telles sont les lamentations de David sur son ami Jonathan, quelques passages des livres des prophètes, et plusieurs psaumes co
et à la vie champêtre. On trouve dans l’Ancien Testament de nombreux passages de poésie lyrique, de cette poésie destinée à êtr
ux, agréable et tendre. On trouve dans ses psaumes un grand nombre de passages majestueux et sublimes ; mais il le cède à Job et
illent les sentiments généreux, plus ce poème est intéressant, et les passages qui les expriment sont toujours les plus goûtés d
ès souvent développés dans un dialogue. Nous citerons pour exemple ce passage du quarante-deuxième chapitre de la Genèse (v. 7,
s hommes, a presque toujours de la grandeur et de la noblesse, et les passages les plus sublimes de l’Iliade sont ceux où Neptun
ndresse et d’amour. Le même pathétique existe dans un grand nombre de passages de l’Énéide, et ces passages sont ceux que l’on r
athétique existe dans un grand nombre de passages de l’Énéide, et ces passages sont ceux que l’on relit avec le plus de plaisir.
n que nous ayons remarqué quelques inégalités dans l’Énéide, quelques passages où l’intérêt languit, cependant on trouve dans to
me toutes les fois qu’il le fait agir ou parler. La plupart des beaux passages , les endroits où Lucain a déployé le plus de gran
in que de vivre sous un tyran ; si cette vie n’est autre chose que le passage à une vie heureuse et durable ; s’il est quelque
orte perdre de vue la plupart de ses défauts. L’on pourrait citer des passages de la Pharsale que ne désavouerait aucun poète de
ractères de César et de Pompée ; rien n’est plus poétique que ce beau passage dans lequel il compare Pompée à un vieux chêne ru
et le discours de Satan ; néanmoins Milton, qui a évidemment imité ce passage du Tasse, peut se flatter d’avoir surpassé le poè
plus extravagante. Cependant ou retrouve dans Roland Furieux tant de passages que pourrait réclamer la muse épique, qu’il nous
au héros le secours éclatant qu’obtinrent autrefois les Israélites au passage de la mer Rouge, et l’apôtre saint Paul dans son
ouis est une fiction fort heureuse et très noble. L’un des plus beaux passages de la Henriade, je dirai même d’aucun poème, est
mposé un poème si rempli d’une multitude d’incidents divers. Quelques passages ont, il est vrai, de la sécheresse et de la duret
remarquable ; cependant l’on trouve dans son poème un grand nombre de passages dans lesquels il exprime d’une manière admirable
s ou ses défauts l’emportent. Ses pièces sont pleines de scènes et de passages admirables ; il y a des morceaux auxquels on ne p
e de Corneille et la Zaïre de Voltaire. La première est fondée sur un passage historique de l’Ancien Testament ; dans les deux
eur, et quelquefois même de la pédanterie. On rencontre de très beaux passages , et beaucoup d’imagination et d’invention dans le
r d’Édimbourg, et de citer ensuite, ou de rapporter textuellement les passages dans lesquels nos auteurs émettent d’autres princ
comme dans un morceau d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques passages de Longin, distinguer un sublime instantané, qui
insérant une longue note, dont la plus grande partie renferme un beau passage de Massillon. Mais pour n’en pas priver le lecteu
èce d’éloquence employée par les prédicateurs français, je citerai un passage de Massillon que Voltaire, dans l’article Éloquen
nt animé ; mais Voltaire nous apprend que, quand l’orateur en vint au passage que l’on va lire, “un transport de saisissement s
; Nostra sed impugnat ; nos nostraque lividus odit, etc. « J’ai vu ce passage imité ainsi en vers familiers : Rendons toujours
loureusement au spectacle des misères humaines. Il semblerait, par ce passage , qu’il en voudrait faire une critique sévère ; ce
de lire l’auteur qu’ils censuraient, je crois devoir rapporter ici le passage qui a donné lieu à mon observation. Voici donc ce
13 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre I. » pp. 73-74
loient la flûte.] Tῆς αὐlhτɩᵡῆς ἡ πlɛίστh s’explique très-bien par un passage d’Athénée, XIV, p. 618, où sont énumérées quatorz
eur lâcheté. Les dialogues Socratiques.] Athénée, XI, p. 505, cite un passage du traité d’Aristote Sur les Poëtes, où l’auteur
14 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXII. » pp. 122-123
remarque, en s’appuyant de l’autorité d’Aristote. Avait-il en vue ce passage de la Poétique, ou bien la Rhétorique, III, 2 ? (
e, ou bien la Rhétorique, III, 2 ? (cf. II, 21). Voyez ma note sur le passage cité de Longin. Par la composition des mots.] Ὀνο
15 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
nais, de Lamartine, sont des modèles de richesse ; un grand nombre de passages des prophètes, de Platon, de Buffon, de Mirabeau,
rica, hostem populo romano toto orbe quœrebat. » Voici maintenant un passage de Massillon qui peut, ce me semble, donner une i
une sainte alliance, Et donnez-vous la main. » Vous remarquez que le passage de Massillon, cité plus haut, réunit à la magnifi
suel, Longin cite, comme modèle de ce qu’il nomme sublime d’image, ce passage d’Euripide, où Phébus cherche à guider, dans son
16 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XX. » pp. 117-119
ollonius Dyscole, ch. viii, § 1. Alexandre est réfuté au moins par le passage des Topiques, I, 15, où Aristote oppose comme ἐνα
retrouve dans le traité Du Langage, et que commente Ammonius dans un passage d’où Ritter conclut à tort contre l’authenticité
17 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
r son voyage à cause du rocher, essaya de le mouvoir pour se faire un passage , et il se fatigua beaucoup à ce travail, et tous
sur l’Indifférence (édition Garnier frères). Comparer à un très-beau passage de Balzac : Les victoires du Christianisme. (Voir
n jour si vif la physionomie de M. de Lamennais sera commentée par ce passage que j’emprunte à sa traduction des Évangiles : «
raie patrie, vers la maison de notre père. Mais à l’entrée, il y a un passage où deux ne sauraient marcher de front, et où l’on
18 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIV. » pp. 128-130
n critique ancien, Magaclide, cité par le scholiaste de Venise sur ce passage de l’Iliade, en blâme aussi l’invraisemblance. — 
ου. Comparez plus haut, chap. xvi. Si le premier fait est faux, etc.] Passage très-obscur  le texte des mss. est évidemment cor
19 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
semble aussi qu’on lise son compatriote Montaigne 2. Voilà un de ces passages où Montesquieu à l’éloquence de Tacite, et parle
qu’un ruisseau lorsqu’il se perd dans l’Océan. » 1. Rapprochez ce passage de La Bruyère sur le Bibliomane : « Mais quand i
journaux sur tous les riens qui voltigent dans l’air. 1. Comparez ce passage au Nouvelliste, de La Bruyère 2. Rêverie. M. A
20 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
le roi actuel vienne donc à s’emparer de l’Égypte et il effectuera le passage de la mer : voilà pourquoi il faut en empêcher la
n parfait modèle des convenances que doit observer l’orateur, dans ce passage d’une harangue qu’il prononça, lors de la transla
e sens, pour laisser au lecteur le plaisir de le pénétrer. Tel est ce passage d’une épître de Boileau à Louis XIV : Je n’ose d
lante et célèbre bataille où périt Turenne. Non moins frappant est ce passage de l’éloge de Duguay-Trouin par Thomas, où il s’a
importance, on n’a, comme on vient de le faire, qu’à prendre quelques passages de nos meilleurs écrivains anciens ou modernes. P
plus de fracas, ἔπειτα πέδονδε κυλίνδετο λᾶας ἀναιδής. Opposons à ce passage les vers suivants, où le grand poète nous peint l
ivres saints offrent de nombreux exemples du vrai sublime. Tel est le passage suivant qui termine le psaume II où sont décrites
pinceau. Voir la 3e Méditation du 2e volume dont je ne citerai qu’un passage  : c’est une dernière illusion, bientôt dissipée,
dit ingénieuse contradiction d’idées ou tour de paradoxe. Tel est ce passage du traité de Amicitiâ, où Cicéron dit : « Quocirc
on ne dit pas moins et avec plus de force et d’insistance. Tel est ce passage de la Henriade : Je ne vous peindrai point le tu
ῖμαξ) monte ou descend par degrés d’une idée à une autre : tel est ce passage du discours de Cicéron contre Verrès, V, 66 : « C
perdita, necdùm Laomedonteæ sentis perjuria gentis. Racine, dans le passage suivant, peint, à grands traits, l’irrésolution d
yens ! » D’une profonde douleur encore, comme nous le voyons dans ce passage tiré de l’oraison funèbre de la duchesse d’Orléan
oits ! » Virg, Egl. iv. À la vivacité du sentiment se joint, dans le passage suivant, l’onction de l’éloquence sacrée : « Vou
de Neptune aux vents déchaînés au 1er liv. de l’Énéide. Et cet autre passage du Britannicus de Racine : Et ce même Sénèque et
rtent plusieurs parties d’une phrase. Tel est le mot cessent, dans ce passage de La Fontaine : Ainsi dit, ainsi fait, les main
les jambes de marcher. Tels sont les mots faut-il vous rappeler ? du passage suivant de la tragédie d’Athalie de notre Racine 
es termes ou locutions. Bourdaloue fait usage de cette figure dans le passage suivant : « Tout l’univers est rempli de l’espri
divers membres qui composent une période par le même tour. Tel est le passage suivant, extrait d’une Philippique de Cicéron :
fois plus de grâce et de force. De quel effet n’est-elle pas dans ce passage de la tragédie de Zaïre par Voltaire ! C’est Lusi
c’était là le triomphe du philosophe. Citons pour exemple d’ironie ce passage de la Milonienne de Cicéron : « Sed stulti sumus
s de la pensée, se conformant en cela aux préceptes de Boileau : Des passages divers décidez les nuances, Ponctuez les repos, o
21 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre V. — De l’Action »
ue la nature leur a donné des larmes, qui s’ouvrent impétueusement un passage dans la douleur et coulent doucement dans la joie
e s’embarrasse-t-elle au milieu du plus beau discours, au milieu d’un passage éloquent, l’orateur devient un tourment pour son
22 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
s de cette admirable comparaison. 2. Il est curieux de comparer à ce passage ce que dit Fénelon sur l’éloquence de saint Paul
efois beaucoup plus de force qu’aujourd’hui. On le voit encore par le passage où Bossuet, dans son Discours sur l’histoire univ
lleur langage dont jamais homme se soit servi. » 1. En signalant ce passage comme l’un des plus distingués du livre par la cl
moyen âge, le docteur infaillible. (Des Pensées de Pascal.) 2. De ce passage on peut rapprocher les graves considérations de B
23 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
r le langage propre et le langage figuré, comme l’a fait Pope dans le passage suivant de sa traduction de l’Odyssée : Je vois
vée, II. Nous citerons comme exemples d’allégories plus étendues, le passage du psaume 79 où le peuple d’Israël est représenté
utefois altérer la vérité. Nous indiquerons, comme exemples, les deux passages suivants de la fable Les animaux malades de la pe
nce un effet saisissant. Nous citerons comme modèle de supposition le passage suivant du sermon sur le Petit nombre des élus :
C’est un de ces hauts ornements, qui ne peuvent convenir que dans les passages les plus animés d’une composition ; et la même on
nt surmonté des difficultés de ce genre dans son Épître au roi sur le passage du Rhin. 5° L’accumulation de mots trop longs ou
ature. C’est de ce genre d’harmonie que Longin entend parler, dans le passage suivant : L’harmonie du discours ne frappe pas s
de Vida : Haud satis est illis… sonitu illætabilis ipso. Voici ces passages où l’on trouve à la fois, comme dans les deux poè
les qui donnent au style plus d’élégance et de dignité, comme dans ce passage de l’Oraison funèbre de Turenne : Combien de foi
elles. Ou plus de magnificence, d’éclat et d’harmonie, comme dans ce passage de Bossuet : Des colonnes qui semblent vouloir p
24 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXV. » pp. 131-134
que celle d’Aristote : « la seule des constellations nommées dans ce passage d’Homère. » Δίδομεν δέ οί.] Même discussion dans
nt peu satisfaisantes. Zeuxis.] Sur son procédé d’imitation, voyez le passage classique de Cicéron, De l’Invention, II, 1, comm
25 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
lent : c’est le jugement et le bon sens. » 2. On peut rapprocher ce passage d’un morceau de La Rochefoucauld, intitulé « de l
analysé ce bel apologue « pour donner à la fois, dit-il, par un seul passage , une idée du grand talent de Bruyère et un exempl
u, dans l’édition citée, page 90, rapproche judicieusement ce célèbre passage de quelques lignes tirées de la Politique selon l
26 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
style de l’histoire, il n’y a peut-être rien de mieux que de citer un passage où se trouvent les défauts qui y sont les plus op
où se trouvent les défauts qui y sont les plus opposés. J’emprunte ce passage à l’Histoire philosophique, de l’abbé Raynal, his
lamateur, et presque toujours faux. Il l’est, en particulier, dans le passage que je cite ici, et dans l’appréciation qu’il fai
celle qu’il avait tenue, et dompta tous les pays qu’il trouva sur son passage . Il revint à Babylone craint et respecté, non pas
comme exemple du charme que peut offrir ce genre d’histoire, un court passage tiré de l’Éloge de Marivaux par d’Alembert. Il s’
27 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Chateaubriand 1768-1848 » pp. 222-233
rtis, et vous n’y trouvez que quelques plumes, seules marques de leur passage , et que le vent a déjà dispersées. Heureux le fav
t aurait été silence et repos, sans la chute de quelques feuilles, le passage d’un vent subit, le gémissement de la hulotte ; a
e. 1. M. de Lamartine dit : « Le poëte est semblable aux oiseaux de passage qui ne bâtissent point leurs nids sur le rivage,
28 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
de son langage, si on en rapproche la traduction française des mêmes passages faite en 1671 par de Norville (p. 24, 25 et 28).
entendre les poëtes, chap. vi.) C’est l’affaire de la politique.] Ce passage est fort obscur. On serait tenté de croire qu’Ari
29 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
ucilius, si spirituelles, si fortes, malgré l’exagération de quelques passages , et beaucoup moins entachées qu’on ne le dit de f
sions du moins n’ont rien que de noble et de généreux. Lisez quelques passages de Platon, de la République ou des Lois, des Lois
aire d’eux une société tendre et familière. » Je rencontre encore ce passage si vivement senti : « Honneur à ceux qui conserv
30 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
t eversas pugnæ certamine mensas. L’imitateur a mieux réussi dans le passage suivant : « Vultum ipsius Annibalis, quem armati
es soldats courent, les uns au-devant d’Agrippine, pour lui fermer le passage , et la conjurer de rester au milieu d’eux ; les a
uments de la philosophie des anciens. On y remarque, entre autres, un passage sur l’immortalité de l’âme, qui prouve que les be
t comme philosophe, a traduit du discours de Cyrus tout ce magnifique passage sur l’immortalité de l’âme. C’est Caton l’ancien
31 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
les deux rois1, avec vivacité. Il leur déroba des marches, occupa des passages avantageux, sacrifia quelque cavalerie pour donne
a nation gauloise au même degré que le génie de la guerre. » Quant au passage que nous avons choisi, il suffira de rappeler que
32 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
porte son nom, en conçut une basse jalousie contre Aristote ; mais un passage relevé par nous dans les Éléments harmoniques d’A
fameux Parallèle des anciens et des modernes (1688-1698), pour qui le passage relatif à la purgation des passions est « un gali
tion, nous ne pouvons mieux faire, pareillement, que de reproduire le passage suivant du même auteur : « Aristote nous apprend
isodote appelait les trières des moulins ornés. » L’explication de ce passage , à laquelle Spengel a renoncé (éd. de 1867, t. II
la lecture, la plume à la main, de cette traduction et rectifier les passages où nous avions remplacé, par un mot impropre, le
est sauvé. III. La reconnaissance, c’est, comme son nom l’indique, le passage de l’état d’ignorance à la connaissance, ou bien
nheur au malheur84 ; et dénouement, ce qui part du commencement de ce passage jusqu’à la fin de la pièce. Ainsi, dans le Lyncée
ence assez raisonnable, on peut y admettre même l’absurde, puisque le passage déraisonnable de l’Odyssée, relatif à l’expositio
diction, observer de combien de manières il peut être entendu dans le passage en question ; par exemple, dans celui-ci : La lan
ion avant de les secourir contre les Phocéens, ils auraient promis le passage  ; qu’il serait donc absurde à eux de ne point l’a
La lance traverse sa poitrine avec rage641. En effet, dans tous ces passages , les objets, par cela même qu’ils sont animés, ap
ce que je dis, ce que j’affirme. » Homère recherche cet effet dans ce passage . Nirée de Symé… Nirée, fils d’Aglaé… Nirée, le p
faut s’étendre sur les motifs. C’est ce que fait Sophocle. Citons ce passage de l’Antigone (où elle dit) qu’elle a plus de sol
tragédie, outre le mètre ïambique, a tous ceux des chœurs. « C’est un passage qui, comme tant d’autres de la Poétique, laisse e
rique succinct de cette question si controversée, il rapproche divers passages de la Morale à Nicomaque (vii, 15 ; ix, 11), de l
explication plus détaillée de ce qu’il entend par catharsis, mais le passage annoncé ne se retrouve pas dans ce qui nous reste
5. Cp. le chap. xiii, § 1. Voir le commentaire donné pat Buhle sur ce passage , qui pourrait bien résumer le contenu des chapitr
résumer le contenu des chapitres vii à xvi, plutôt que viser un autre passage de la Poétique. 86. Dans les Enfers. 87. Dans l
ol. sur la Poétique d’Aristote, Revue archéologique, 1863, ii), où ce passage a été interprété, pour la première fois, d’une fa
ers de la nuit ». (Egger.) — Eustathe trouve même un triple sens à ce passage . 164. Cp. Homère (Iliade, xx, 234, et le comment
66. Ici commence le § 20 de Buhle, qui se rattache par ce qui suit au passage d’Homère. 167. Pénélope était fille d’Icade. 16
hurot (l. c., 238) propose une modification du texte qui donnerait au passage ce sens général : Mieux on choisira les propositi
plus haut, chap. vii, § 32. 247. Rapportons ici, avec L. Spengel, ce passage des Morales à Nicomaque : « Nous béatifions les d
e Platon, p. 240 c ; voir le vers entier, dans les scoliastes, sur ce passage du Phèdre (Platon, éd. Didot, t. III, p. 316 b).
teur d’un poème intitulé : Ὑποθῆκαι (préceptes). On ne connaît pas le passage auquel Aristote fait allusion. 303. Critias, un
. Voir, plus haut, § 5. 310. Voir le chapitre ii. 311. Voir, sur ce passage , une observation de Μ. E. Havet (Ét. sur la rhéto
ippolyte, v. 994-995. 401. Cette interprétation est justifiée par un passage qu’on lit plus loin (chap. xxiii, § 12). 402. On
n tragœdiis cum Teucer Ulyssem reum facit Ajacis occisi », etc. 416. Passage du discours perdu d’Iphicrate : περὶ προδοσὶας. Q
ὶ προδοσὶας. Quintilien (Instit. orat., iv, 12), qui rapporte le même passage , dit  « la République » au lieu de « les vaisseau
as été énoncée. 437. Spengel propose de lire « Socrate », d’après un passage de l’Antidosis, § 173 ; mais peut-être ce passage
crate », d’après un passage de l’Antidosis, § 173 ; mais peut-être ce passage est-il une réminiscence et une application à sa p
lle de Théodecte (voir Buhle). 438. Le scoliaste cite à ce propos le passage d’un discours perdu de Démosthène, au sujet de la
emme qui a tué son époux. 468. Cp., dans Platon, Banquet, p. 388, un passage auquel Aristote fait évidemment allusion ici. Voi
p. xv. 531. Ἀκτὴ στενόπορος. La traduction littérale « un rivage au passage étroit » ne fait aucun sens. 532. Κατά τίνος εὐ
personne. Cp. Sophocle (Philoctète, vers 267). 656. Spengel, sur ce passage , renvoie à Mercurialis, Gymn. ii, 4. 657. Les Ca
s.) 669. Cp. Quintilien, Inst. orat., iii, 8, 8. 670. Fragment d’un passage de Chérile de Samos, qui a été rapporté par le sc
i, 20. 693. Dans le manuscrit de Paris (1741), on a reproduit ici le passage relatif à l’éloge, l. I, ch. ix, §§ 33-37 (p. 136
33 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
et la Pharsale de Lucain un curieux parallèle, est une suite de beaux passages plutôt qu’un beau poëme ; mais le style y est en
i de Prusse Frédéric. M. Naudet l’a éditée (1813), en recueillant les passages des écrivains anciens et modernes qui présentent
peu trop au genre de l’idylle. 2. Malgré la critique précédente, ce passage où Voltaire se montre touché des beautés de la na
34 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
maîtres de notre scène tragique, n’ont pas craint de ne citer que des passages médiocres de Corneille, d’y opposer les plus beau
leau, dans ses Réflexions critiques ; Voltaire, dans une multitude de passages et d’articles ; La Harpe, dans son Lycée ou Cours
our s’attirer immédiatement la bienveillance de tous les lecteurs. Ce passage est curieux et mérite d’être cité. Le livre de m
35 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
histoire touchante d’Orphée et d’Eurydice. De même, dans Lucrèce, les passages les plus beaux et les plus goûtés sont ses digres
eait le style le plus naturel, tandis que l’épître à Louis XIV sur le passage du Rhin, demandait le style le plus héroïque. 281
mesure de vers la plus propre et la plus agréable. Boileau a peint le passage du Rhin en vers dignes de l’épopée ; il a fait le
, sur quelque grande passion, ou sur quelque fait important, comme le passage du Rhin par l’armée française, dans la iv e Épîtr
exemple tiré de la fable : le Savetier et le Financier ; en lisant ce passage , on serait tenté de croire que le poète était pré
36 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
était perdu. On peut juger quelle terreur saisit tout le monde en ce passage si subit d’une sécurité entière à la plus désespé
r se jetèrent à genoux tout du long de la cour, des deux côtés sur le passage du roi, lui criant, avec des hurlements étranges,
fait plus : on m’impute un coup si plein d’horreur, Pour me faire un passage à vous percer le cœur. À Cléopâtre. Où fuirais-je
   S’étant su lui-même avertir Du temps où l’on se doit résoudre à ce passage .     Ce temps, hélas ! embrasse tous les temps ;
i, je rentre dans Paris, Qu’en tous lieux les chagrins m’attendent au passage . Un cousin, abusant d’un fâcheux parentage545, Ve
age indomptable, cherche à se frayer à travers les gardes un sanglant passage  ; il l’atteint et le frappe d’un coup mortel. Rev
avide, et longtemps envisage L’étranger. Puis enfin sa voix trouve un passage . — « Est-ce toi, Cléotas ? toi qu’ainsi je revoi 
par lesquels il expiait ses crimes. » Tacite fait allusion au célèbre passage du Gorgias de Platon, où le juge des enfers Rhada
félicitations que Balzac lui adressait en 1631, lorsque rappelant ce passage des Géorgiques, Felix qui potuit rerum cognoscer
lièrement les c. 7 et 8. Il serait également curieux de comparer à ce passage un des plus remarquables chapitres de l’Esthétiqu
t accepter par… 71. Le terme d’habile homme, comme on le voit par ce passage , où il est opposé à celui d’imprudent, n’avait pa
ois par la logique et par la passion. » 87. On peut rapprocher de ce passage une lettre de madame de Sévigné où ces terribles
4. C’est-à-dire, de cet atome en raccourci ou imperceptible, comme ce passage était écrit dans les éditions antérieures, qui af
blement tirer aucune de ces conséquences. 106. On peut rapprocher ce passage de plusieurs considérations de Montesquieu, dans
jamais d’admirer le génie de pensée et d’expression empreint dans ce passage . 113. M. Havet, en rétablissant, d’après le text
nne. » — Cette belle personnification des lois rappelle un magnifique passage du Criton, où Platon les représente également ani
omme débarrassé d’un grand fardeau. 160. On rapprochera de ce mot le passage célèbre où Bossuet, imitant saint Basile (Hexamér
e développement est plein d’expression et de sentiment. 200. Dernier passage cité, v. 11 et 12. 201. Épître aux Hébreux, cha
avait assisté à cet acte public. 225. On rapprochera avec intérêt ce passage du morceau de Pascal intitulé : Contre les indiff
érite aussi d’être rappelée (1864). 239. On aimerait à penser que ce passage , d’un tour si délicat et d’une si fine observatio
ignifie carrefour. 253. De même Pascal, dans ses Pensées, au célèbre passage appelé la règle des paris : « Quel mal vous arriv
59. La pensée du Gorgias est tout entière résumée dans ce remarquable passage . Voy. particulièrement les chapitres 58 et suiv.
il est inutile de relever. 287. On sait que la foudre laisse sur son passage une odeur de soufre : l’image est donc juste et n
ées inédites jusqu’à ce jour, viennent d’être publiées. 308. Tout ce passage , comme les Mémoires de Saint-Simon en général, of
dont Fontenelle a laissé aussi un éloge, où l’on remarque en effet ce passage  : « L’an 1664, Viviani reçut une pension d’un pri
l. On pourrait y joindre, en se reportant un peu en arrière, certains passages de Montaigne, notamment le chap. V du livre III d
e. — « Cela même est l’éloquence, remarque également M. Villemain, au passage cité : ainsi l’entendait Démosthène, ce sublime e
génie de Corneille porte des traces visibles de lassitude, plusieurs passages méritent d’être signalés, cependant, par la ferme
le grandeur d’âme dans Polyeucte, remarque Chateaubriand en citant ce passage  ; quel divin enthousiasme et quelle dignité ! La
e situation est des plus théâtrales, remarque également Voltaire à ce passage  : elle ne permet pas aux spectateurs de respirer.
dans plusieurs éditions. 448. Il faut rapprocher de cette fable un passage du IIIe livre de Lucrèce, v. 944 au v. 992, et un
3, édit. de Deux-Ponts. « La misanthropie, dira-t-on en traduisant ce passage , vient de ce qu’après s’être, sans aucune connais
de mourir. » 514. Mal propre, que sur la scène on remplace dans ce passage par peu propre, offrait alors une nuance différen
. Racine a tiré le sujet de cette tragédie, qu’il donna en 1673, d’un passage de la Vie de Lucullus par Plutarque, où cet auteu
la poésie. Aussi Voltaire s’écriait-il, dans son enthousiasme pour ce passage sublime : « On a honte de faire des vers quand on
soldats plus fidèles ? 607. Ici encore se trouve rappelé le même passage de Corneille ; mais celui-ci a résumé dans un ver
lmiste auquel cette strophe est empruntée (XXXVI, 35 et 36) — Le même passage a été encore reproduit dans notre langue par Mass
des paroles et l’harmonie de l’expression. » — On a signalé, dans ce passage , une imitation très perfectionnée de quelques ver
ui veut tout pouvoir doit oser tout enfreindre, etc. 650. Voici le passage touchant où l’on peut retrouver quelques traces d
sujet. 665. La prophétie qu’on va lire, « composée, dit Geoffroy, de passages de l’Écriture très bien liés ensemble, est peut-ê
rencontre assez souvent chez Voltaire. On souhaiterait aussi dans ce passage éloquent une versification plus variée : les vers
works From law sublimely simple… 729. Ces vers rappellent un beau passage échappé par mégarde à l’auteur de la Pucelle, à C
efois, La Harpe eût voulu, non sans raison, qu’on y joignit plusieurs passages « de sa Didon et de ses belles odes sacrées ». 7
37 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303
tout entier est promis au trépas ? Chacun veut de la vie embellir le passage  : L’homme le plus heureux est aussi le plus sage…
Rousseau, Od., iii, 6. 1. L’imitation de Boileau perce dans tout ce passage . Cf. la satire IX : A mon esprit : Bienheureux S
38 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
onne ou qu’il reçoive, il se prépare un tombeau où nul n’accusera son passage d’avoir été un malheur. Ah ! messieurs, je suis c
ie est un temple vide, qui n’attend rien de nous que le silence et le passage , il se crée une oisiveté formidable, où la force
39 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
t d’un autre ; et, dans son cours, Sur ma tête blanchie imprimant son passage , Le temps n’a pas changé seulement mon visage. (É
livre où, selon l’usage, Chacun ici laisse après soi Une trace de son passage . Le roi Louis est un vrai sage, Et du trône qu’
40 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
é. Persuadés qu’il n’y a pas la moindre comparaison à faire entre des passages isolés, quelque bien choisis qu’ils puissent être
sages isolés, quelque bien choisis qu’ils puissent être, et ces mêmes passages placés dans leur cadre naturel, nous avons mieux
consul, sans sauver son ami. C’est ce qui lui inspira, sans doute, le passage , suivant, où l’on remarque autant d’art que de dé
41 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
se présentent ensemble et se heurtent en quelque sorte pour se faire passage , la fougue, l’impatience, le délire de la passion
si j’appelle épiphonème les vers imprimés en caractère italique de ce passage de la Fontaine, dans sa belle élégie aux Nymphes
rat, jam inania et ingenti solitudine vasta, fugiebat. » Opposez à ce passage une construction toute différente de Justin, pour
42 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage , Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage 
ïde de Virgile (v. 301-332), et où l’auteur a imité aussi en quelques passages l’Andromaque d’Euripide. Sur la comparaison de la
er aras Sanguine fœdantem, quos ipse sacraverat, ignes. Dans tout ce passage , on sent, comme le remarque La Harpe, que Virgile
43 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
me de Grignan venait d’être fort malade. 1. Son mari s’était noyé au passage du Rhin : on peut consulter les lettres de madame
é des 17 et 19 juin 1672. 2. Le grand Condé. Il fut, dans ce célèbre passage , blessé à la main : on peut voir les lettres préc
44 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
l’ouvrage ». 1. Terme de vénerie, comme il y en a beaucoup dans ce passage . « On appelle cors les cornes qui sortent des pe
t duplex agitur per lumbos spina ; … Il faut voir, au reste, dans ce passage la description d’un beau cheval, pour la rapproch
45 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-8
en les remuant. Un petit effort, un mouvement même sans violence, le passage d’un lit à un autre5, est quelquefois mortel à ce
ieu, il met le pied sur le cou des grands et des superbes. » 4. Ce passage est tiré d’une lettre au cardinal de la Valette,
46 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
ôté mille petits agréments qui ne laissent que trop de marques de son passage . Vous trouvez donc que vos comédiens ont bien de
ont gagné les avenues les plus proches et épuisé les libéralités à un passage plus secret. Expliquons-nous nettement : je parle
que ce profond et adorable mystère. Car voilà le sens littéral de ce passage tout divin que j’ai choisi pour mon texte : Judæi
u jusqu’au-dessus du genou, la tête entre les jambes, pour guetter au passage une grenouille, un poisson ; mais, réduit à atten
re au besoin les tons les plus divers651. Épître IV (fragment). Le passage du Rhin652 Au pied du mont Adule653, entre m
r la taille et le visage656 ; Et, depuis ce Romain657 dont l’insolent passage Sur un pont en deux jours trompa tous tes efforts
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon passage . » Tels étaient vos plaisirs. Quel changement, ô
entôt n’est plus…» 44. Rom., XIII, 4. 45. Rom., XIII, 3. 46. Ce passage se trouve dans les Lettres de saint Augustin Epis
avec admiration sur la puissance de dialectique qui se montre dans ce passage  : voy. Mélanges littéraires, discours d’ouverture
ment de la Grandeur et décadence des Romains. 109. Rapprochez de ce passage les Considérations de Montesquieu sur les causes
Digitus Dei est hic. Exod., VIII, 19. 122. On pourra rapprocher ce passage de Bossuet du liv. II, ch. 12, de la Rhétorique d
n orateur plein de nerf et de verve. Il ne rapporte pas sèchement des passages , mais il présente des traits qui forment des tabl
lu de Dieu, un objet de sa miséricorde. 177. Saint Matthieu, Évang., passage cité. 178. Auquel, écrirait-on aujourd’hui. 17
uvernements ; au contraire, ce sont ces modifications qu’il saisit au passage , en traçant des images fidèles des mœurs et des f
é infinie de tours et ces rencontres piquantes d’expressions, dont ce passage offre plusieurs exemples. En relevant celles de t
s avons emprunté quelques-unes des observations qui sont jointes à ce passage , donne à ses arguments la forme d’une conversatio
ne majesté. » 227. Le diamètre apparent de la lune, observé lors du passage au méridien, varie de 29 minutes 1/3 à 33 1/2 ; c
uirait plus aujourd’hui avec un infinitif. 237. M. Babinet rapporte ( passage cité) les calculs suivants : « D’après Argelander
r vers une acception moins favorable. Remarquons en outre que tout ce passage de Fénelon, écrit avec cette gracieuse simplicité
, qui avait beaucoup lu Massillon et qui l’a souvent imité, a cité ce passage dans un article sur l’éloquence, comme propre à e
e l’imagination ait inventées ». 311. Il faudrait rapprocher de ce passage l’admirable image de la vie humaine tracée par Bo
it des lois, xxx, 2. 315. On peut revoir sur la conduite du sénat un passage de Bossuet cité dans les Morceaux choisis de la c
a fermeté qui caractérisent le style de cet auteur, nul n’a joint, ce passage suffirait à le prouver, plus de ces grands traits
la scène française avant l’apparition de Corneille. On peut revoir ce passage dans les Morceaux choisis de la classe de troisiè
lût au ciel qu’il ne pût l’éteindre… 381. Ici, comme en beaucoup de passages , il serait curieux de rapprocher Aristote et Plin
        …… Servetur ad imum Qualis ab incepto processerit. 384. Ce passage suffirait pour démontrer combien Buffon excelle d
r, lui a rendu néanmoins justice à plusieurs égards. On citera un des passages recueillis de ses brillantes conversations, et qu
du Christianisme, part. Ire, liv. V, chap. 7. Buffon, un peu avant ce passage , a dit : « Le cygne est l’emblème de la grâce, pr
rès qu’ils ont combattu et vaincu. » 395. Consulter, à ce sujet, un passage de La Bruyère sur l’action de la justice divine,
peut rapprocher de ces hautes idées sur la sublimité de l’Évangile le passage où Fénelon, que Rousseau admirait à tel point qu’
d’un paradoxe, Rousseau est aussi éloquent que vrai. Plusieurs de ses passages semblaient à Rivarol, en dépit d’un peu de rouill
 Tota virtus in actione consistit. » 408. On peut rapprocher de ce passage les strophes suivantes de la pièce de M. de Lamar
voir, à ce sujet, la première scène de l’acte II, l’un des plus beaux passages de la tragédie dans laquelle Cinna, consulté par
Cosse, Crasse ou Brute, admis au temps de Corneille. 521. Voilà le passage qui faisait verser des larmes au grand Condé ; la
me, pour réussir. 535. (Servus) esclaves… 536. Caprice a, dans ce passage , le sens de fougue. Quant à mon, ce pronom est pr
même de s’en occuper. Aucun écrivain, dit un critique au sujet de ce passage , n’a fait parler le bon sens avec cette verve, ce
leur. » Ch. V, de la Société et de la Conversation. Plusieurs autres passages de ce chapitre peuvent encore être rapprochés de
652. L’arc de triomphe de la porte Saint-Denis est un monument de ce passage (12 juin 1672), « le prodige de la vie du grand r
niquité du temps. 679. Nous renvoyons pour les noms cités dans ce passage aux éditions spéciales de Boileau. Le mouvement e
eintre de l’antiquité », liv. XII-XIV, que se trouvent la plupart des passages imités. 706. Quelques grammairiens trop scrupul
, debui, etc., pour potuissem, debuissem. 709. On se rappelle ici un passage célèbre de Virgile (Én., I, 50) : ce poète sera e
47 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
es un nouveau degré de force et d’élévation, comme on le voit dans un passage de l’ode Qualem ministrum : Quid debeas, ô Roma,
sublime de la reconnaissance et de l’admiration des Hébreux, après le passage de la mer Rouge ; l’autre, Audite, cœli quæ loquo
te, d’étonnement et de respect. Tel est le cantique de Moïse après le passage de la mer Rouge ; tel est encore le cantique de s
les tableaux gracieux. Quoi de plus vivant, de plus délicieux que le passage suivant des Livres Saints : Vous bénirez nos cham
s de 1793, dans lequel on remarque des vers très énergiques, comme le passage commençant par ces mots : Oui, vous qui de l’Oly
48 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
rofusion d’images qui excitent pleinement l’admiration. Tels sont les passages suivants : L’enfer s’émeut au bruit de Neptune e
’il était près de mourir sous le poignard d’Athalie. Boileau, dans le Passage du Rhin, fait allusion à Jules César, lorsqu’il d
Jupiter la taille et le visage ; Et, depuis ce Romain dont l’insolent passage Sur un pont en deux jours trompa tous les efforts
dans les bras de son père ! Racine, Esther, acte I, sc. v. Dans ce passage d’un sermon de Massillon, la répétition de la con
rend le style plus rapide, plus animé. Tel est cet épisode, arrivé au Passage du Rhin par l’armée française, sous les yeux de L
hoses sur lesquelles cependant on insiste même avec force. Tel est ce passage , où Condillac annonce qu’il ne parlera ni des cru
49 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
94d’une-manière-équivoque ; 1295il indiquera-par-une-marque 1296les passages à-changer : 1297il se fera Aristarque. 1298 Et
taine ces travaux gigantesques, si noblement célébrés par Virgile. Ce passage fournirait, s’il en était besoin, une nouvelle pr
à la première, en maintenant néanmoins le changement de et en aut. Le passage ainsi modifié nous paraît avoir le triple avantag
. Voici la paraphrase pleine de justesse que Du Marsais a faite de ce passage  : « Si vous osez mettre sur la scène un sujet nou
s, s’appelait exostra. — 2. Reddere qui voces jam scit puer, etc. Ce passage a été imité par notre vieux poëte Régnier, voyez
mots iners et avidus, il semble qu’il y aurait opposition ; enfin, le passage d’Aristote, que le poëte avait certainement en vu
ace. » Page 26. — 1. Sortilegis non discrepuit sententia Delphis. Ce passage , assez obscur pour qui voudrait ne l’expliquer qu
ptos, regale nomisma, Philippos. J.-B. Rousseau a fait allusion à ce passage , dans les vers suivants : C’est ainsi qu’au mili
lui a inspiré les vers que nous citons plus haut, et qui ont, avec le passage de l’Art poétique, objet de cette note, une analo
50 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
a pour sa sépulture. Le même défaut est encore plus sensible dans le passage suivant de Malherbe, où il s’agit de la pénitence
de Millevoye ; le Cimetière de campagne, de Thomas Gray ; beaucoup de passages de Chateaubriand, et plusieurs élégies des poètes
s. Voici comment s’exprime Moïse dans son magnifique cantique sur le passage de la mer Rouge : Misisti (Domine) iram tuam, qu
e : J’arrivai au port, j’aperçus un navire, je m’informai du prix du passage , je fis mon marché ; je m’embarque, on lève l’anc
nthèses donnent à la pensée un air de vivacité qui la fait briller au passage  ; mais, le plus souvent, elles embarrassent et ob
51 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
blié par MM. Hachette, est très-utile à pratiquer.) 3. Allusion à ce passage de l’Énéide, où le héros du poëme retrouve aux En
ritiques allemands passionnés pour l’antique. 2. Allusion au célèbre passage du chant V de l’Iliade, où Diomède blesse à la ma
52 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lamartine 1790-1869 » pp. 506-523
e n’a déployé plus de souplesse. 1. Empruntons à madame de Staël ce passage sur l’Enthousiasme :   « On peut le dire avec co
contraste a une simplicité dramatique et touchante.   Rapprochons ce passage d’Eugénie de Guérin :   « Notre Cayla est bien ch
l’Odyssée. Comparez les deux poëtes. 2. Cette larme me rappelle ce passage  :   « Depuis cette leçon, un chagrin. Mon cher pe
53 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239
t-à-dire des mots différents signifiant exactement la même chose ? Le passage de la Bruyère cité plus haut prouve que cet écriv
Orient et du Nord, œuvres de peuples jeunes qui s’essayent. Plusieurs passages portent sans doute l’empreinte d’une parfaite naï
54 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
t nous espérons toujours. Mais pauvre, et n’ayant rien pour payer mon passage , Ils m’ont, je ne sais où, jeté sur le rivage. —H
d. 2. La composition de l’hymne à la France, comme on le voit par ce passage , se rapporte au temps où éclatèrent les premiers
55 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
ls d’un fait à un point culminant, lorsqu’on aura relu, au besoin, un passage analogue dans un modèle sûr, lorsqu’on aura chois
mi les narrations historiques les plus remarquables, nous citerons le passage de la mer Rouge, au chapitre xive de l’Exode ; l
t des Curiaces, par Tite-Live ; la mort de Vitellius, par Tacite ; le passage des Alpes par François Ier, de Gaillard ; les der
e font remarquer dans le récit de la bataille de Fribourg, et dans le passage de l’Oraison funèbre de Louis XIV où Massillon ra
qui la distingue de la narration historique, en comparant le récit du passage de la mer Rouge (Exode, xiv, 21-29) au cantique d
pressent les unes contre les autres/  — Il en est de même de certains passages de la lettre de Mme de Sévigné sur la mort de Lou
où elle raconte l’aventure de l’archevêque de Reims à Nanterre, et le passage du Rhin par le comte de Guiche et le chevalier de
56 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
veiller pour être Gros-Jean comme devant. » Comparez à cette fable ce passage des Châteaux en Espagne, par Collin d’Harleville 
…………… Je serai riche, riche, et je ferai l’aumône. Tout bas, sur mon passage , on se dira : « Voilà Ce bon monsieur Victor ! »
(La Fontaine et les fabulistes, éd. Michel Lévy.) 1. Résoudre à ce passage . La Fontaine ne veut pas, comme Bossuet, nous eff
mais il ne songe qu’à nous accoutumer à cette idée, à nous adoucir le passage . 2. Lire l’Oraison funèbre de la duchesse d’Orlé
verbe au singulier avec un sujet pluriel ressemble à une anomalie. —  Passages , roulades ou fioritures qu’on ajoute à un trait d
57 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
verrez tous, prévenant son ravage, Guider dans l’Italie et suivre mon passage . C’est là qu’en arrivant, plus qu’en tout le chem
) 7°. Enfin, dans un genre léger, on peut remarquer différents passages des Plaideurs, entre autres : la tirade de Dandin
, ici quelques taches dans les œuvres de Boileau lui-même. Ainsi, les passages défectueux de ce maître en versification tournero
ureuses lois, ( Voltaire, le Temple du Goût.) 18. Voici un de ces passages curieux où Boileau parle lui-même avec tant de co
58 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
ts les ennemis ne purent, dans une occasion si pressante, se faire un passage pour y jeter le moindre secours. Il n’a point fai
, qui s’empressa d’envoyer deux cents louis à ce grand homme. 1. Ce passage a été dignement apprécié par ce vers de Voltaire
59 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
rtir du commun, pas assez pour être de l’élite… » (M. Nisard.) 1. Ce passage est extrait du remarquable ouvrage de M. Geffroy
ater ses sentiments. 2. Pour commenter ces tristesses, rappelons ce passage de la lettre que madame de Staël adressait à l’em
60 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
. Il nous suffira de rappeler que, si nous avons réduit le nombre des passages empruntés aux maîtres de la poésie française du x
Que devions-nous faire pour Boileau ? Réduire notre choix à quelques passages qui pussent, entre l’une et l’autre de ces deux c
le plus souvent indispensable à l’intelligence et à l’appréciation du passage qui en est tiré. Aussi avons-nous ajouté aux note
actères, I), et même l’éloquence mâle et nerveuse qui dans maint beau passage , surtout de ses Élégies et de ses Discours, se dé
Notices On ne lira pas sans intérêt quelques pièces ou quelques passages de poètes dont les noms ont trouvé place dans not
tier d’une charge de maître des eaux et forêts, fut un séminariste de passage , un mari de hasard, un forestier de nom. Il fut a
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon passage  ! » Tels étoient vos plaisirs. Quel changement, ô
fort qu’on peut faire N’est qu’un vain effort. Est-on sage De fuir ce passage  ? C’est un orage Qui mène au port. Chacun vient i
enfin dans des gouffres sans fonds. L’éclat du jour ne s’ouvre aucun passage Pour pénétrer les royaumes profonds Qui me sont é
ccesseurs et des héros de la France, jusques et y compris Turenne. Un passage que nous citons a sauvé l’auteur de l’oubli. Jean
plètes, où l’on ne va guère le chercher que pour en détacher quelques passages brillants. Le poème morcelé ne se tient plus, il
ut que l’on doit à la mort ? Non, non, tout doit franchir ce terrible passage  : Le riche et l’indigent, l’imprudent et le sage,
un lion plein de rage, Le mal a brisé mes os ; Le tombeau m’ouvre un passage Dans ses lugubres cachots. Victime foible et trem
le moins respecté. Le théâtre, en effet, où il a cependant marqué son passage par des réformes heureuses et nécessaires, où il
ale, que ne peuvent dissimuler ni compenser de brillants et éloquents passages , et qui semble aujourd’hui une monnaie effacée. O
Voltaire. La liberté Dans le cours de nos ans, étroit et court passage , Si le bonheur qu’on cherche est le prix du vrai
avec moi combien l’est davantage Un méchant affiché dont on craint le passage , Qui traînant avec lui les rapports, les horreurs
nous espérons toujours. « Mais pauvre, et n’ayant rien pour payer mon passage , « Ils m’ont, je ne sais où, jeté sur le rivage.
; Et chargeant mes bras de liens, Me traîner, amassant en foule à mon passage , Mes tristes compagnons reclus, Qui me connaissai
pas effacé l’éclat, dans les œuvres d’un genre moins sévère quelques passages où l’on trouve la facilité spirituelle qui est un
ez fait sage parmi les sages ! Mon doigt du peuple errant a guidé les passages  ; J’ai fait pleuvoir le feu sur la tête des rois 
é (Nouvelles Méditations, V) : Le poète est semblable aux oiseaux de passage Qui ne bâtissent point leurs nids sut le rivage,
dit les Latins. 152. Il est facile de reconnaître, dans de nombreux passages de cette satire spirituelle et mordante, écrite p
Trente. 227. Des troupeaux commis à votre garde. 228. Il y a en ce passage , du trop plein des longueurs, des redites, mais d
développement qu’elle avait déjà pris vingt-quatre ans après, dans le passage de la tragi-comédie de Bradamante de Robert Garni
nt de la période et l’accent du dernier vers ne rappellent-ils pas le passage célèbre d’Esther (III, 4) ? Ce Dieu, maître abso
. Vous est régime. Vous sujet est supprimé par ellipse. 349. Cf. un passage de la Trésorière de Grévin, et la note 4, p. 81.
Cf. un passage de la Trésorière de Grévin, et la note 4, p. 81. — Ce passage montre ce que Garnier aurait pu faire dans la com
. Despériers, et la note. 352. Émerveillement, admiration. 353. Ce passage suffirait pour montrer ce que Montchrestien savai
ue bizarres qui arrêtent le lecteur à chaque page dans la lecture des passages de Du Bartas, où le ton est le plus élevé, comme
erve ou de gaieté mélancolique les rappellent et Th. Gautier en maint passage et Gérard de Nerval en sa Bohème galante ! — Tahu
407. Or, maintenant. Voyez le morceau suivant. 408. Cf. infra deux passages de Jean de la Taille et de Pibrac, et Racan, Stan
le morceau précédent, note 4me. 410. Sic. On a souvent reproduit ce passage en écrivant autel. Le poète se comparerait à un D
ntionné avec Pibrac dans l’Art Poétique de Vauquelin. — Voir infra un passage de Rapin, et un passage du Courtisan retiré de Je
l’Art Poétique de Vauquelin. — Voir infra un passage de Rapin, et un passage du Courtisan retiré de Jean de la Taille. 445.
tine, et n’y a-t-il pas parente entre les vers de Bertaut et bien des passages de Lamartine, par exemple, ceux-ci, du Vallon (pr
Malherbe. La stance suivante a devancé le Chêne et le Roseau, dont un passage la rappelle. On sait que La Fontaine proclamait R
s au pluriel déchéent, que Bossuet a encore employé. 790. « Dans ce passage , Voiture fait un emprunt à Montaigne, qui avait d
Esther, III, 4 (Ce Dieu, maître absolu, etc.). — Ce n’est pas le seul passage du Saint-Genest qui offre des similitudes avec Po
gone de Sophocle, dont ces belles paroles d’Antigone, le plus célèbre passage de la pièce grecque (v. 458 sqq.) sont directemen
s ne faisons que mettre le lecteur sur la voie. 840. Les soldats de passage , qu’il fallait loger ; — la corvée (corrogata [op
bats de l’animal. Le vers a la force et la grandeur épique dans maint passage . Voyez l’Astrologue (II, 13), le Songe (XI, 4) ci
a ? La Fontaine goûtait autant Virgile et Homère qu’Horace. Voici un passage où l’un est nommé, et tous deux imités ; L’herbe
ches lambris », ou l’équivalent et le développement, dans le début du passage de Virgile, 460 sqq., et dans un passage célèbre
eloppement, dans le début du passage de Virgile, 460 sqq., et dans un passage célèbre de Lucrèce, dont plusieurs images et plus
n Rhétorique, notre recueil ne doit, par le choix restreint de courts passages , que fixer les points principaux du jugement qu’o
r votre état !… 972. On peut reconnaître déjà ici le souvenir d’un passage d’Homère (Iliade, 154 sqq.), dont on trouvera une
iscebant operi flammisque soquacibus iras. 999. Le contraste de ce passage avec le morceau précédent peut faire apprécier la
entiments et des pensées, oratoire et psychologique. Il faut noter ce passage des Églogues spirituelles de Godeau. Transplanté
pas user de toute sa justice. 1017. On voit dans ces deux derniers passages qu’au sentiment pittoresque de la nature se mêle
particulièrement ce dernier vers. — Il pouvait goûter aussi, dans ce passage , à part quelques expressions faibles ou banales,
rt rappelle le indomitæ morti d’Horace (Od. II, 14) ; le « terrible passage  », le irremeabilis unda de Virgile, et dans Hor
rée et nerveuse d’Horace (I, 35), mais consacrée par le souvenir d’un passage devenu proverbe ; c’est la fin de la strophe douz
ste a une couleur sombre et sauvage, que nous retrouverons dans maint passage de Ducis. Il finit ainsi ; Le flambeau s’est éte
ls de l’orage, En roulant du sommet des monts, S’il rencontre sur son passage Un chêne, l’orgueil des vallons ; Il s’irrite, il
prêtés par le poète à Tibère dans ce monologue sont justifiés par les passages suivants des Annales. Libertatem metuebat, adulat
. Comparez les vers de Juvénal sur le remords, cités ibidem, avec les passages du présent morceau, qui ont avec eux des rapports
itant nos emprunts, nous avons cru devoir, au lieu de les morceler en passages écourtés, atteindre en partie les bornes qui nous
s larges et précis, un tableau que l’imagination du lecteur saisit au passage et achève. 1417. La souffrance est la loi de l’
, quodcumque est ! Ainsi parle aussi Platon, qui rassemble plusieurs passages d’Homère en ce sens (Axiochus). Heureusement, Le
ue le père veut armer ses enfants pour la lutte dont il parle dans le passage suivant. Il avait déjà dit dans les Poèmes civiqu
, II, 9.) Dans cet ordre de sujets et de poésie rustique, voici deux passages , de formes très diverses, auxquels la précision d
t. Voilà l’art de peindre sans décrire. Les couleurs et l’harmonie du passage suivant, qui a quelques images communes avec celu
61 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
fréquemment imité que traduit. J’ai ajouté à ces extraits de nouveaux passages de Cicéron, de Quintilien, de Longin et autres au
fait qu’avec réserve, et après de mûres réflexions. Dans les nombreux passages de Cicéron que j’ai cités, lorsque je n’ai pas ra
e suivant : « Dieu dit, Que la lumière soit ; et la lumière fut. » Ce passage est vraiment sublime, et la forte impression qu’i
r exprimer une même idée est très bien décrite par Quintilien dans le passage suivant : Est in quibusdam turba inanium verboru
dans ce mot de César : veni, vidi, vici . Il en est de même dans le passage suivant des Commentaires de César : Nostri, emis
e sens, l’imagination joue un grand rôle, et l’impression que fait le passage sur le lecteur détermine souvent la ressemblance
runt, incendio aut ruina finiunt. Horace est donc incorrect dans les passages suivants : Urit enim fulgore suo, qui prægravat
la même espèce que la métaphore mêlée ; nous en pouvons juger par le passage suivant d’Horace : Motum ex Metello consule civi
pus aleæ, Tractas, et incedis per ignes Suppositos cineri doloso. Ce passage , quoique très poétique, est cependant difficile e
verrez tous, prévenant son ravage, Guidés dans l’Italie et suivre mon passage . La puissance romaine est représentée sous la fo
torrent qui, s’il n’est arrêté, se débordera et inondera tout sur son passage . Cette allégorie est noble et imposante. L’allégo
descendante. L’exemple le plus fameux de gradation ascendante est le passage suivant de Cicéron : Facinus est vincire civem r
te d’en être privé. En effet, quoi de plus digne de compassion que le passage soudain du bonheur à l’infortune ? Quel tableau p
urs ne dépendent de l’usage des tropes et des figures. La plupart des passages les plus sublimes et les plus pathétiques des mei
ractère, particulièrement Térence, Lucrèce, Phèdre et Jules César. Le passage suivant de l’Andrienne de Térence offre un bel ex
des nuances si imperceptibles qu’il n’est pas possible de marquer le passage des uns aux autres : alors il n’y a pas de règles
s sacrés des Albains, et leur adresse une longue invocation. Ces deux passages produisent un heureux effet ; mais peu d’orateurs
on discours plus solennel et plus vénérable. Les allusions à quelques passages ou expressions remarquables des écritures, lorsqu
oquent orateur que les temps modernes aient produit. Voltaire cite le passage suivant comme un chef-d’œuvre égal à tout ce que
la propre défense, et que Milon fut l’agresseur. Voici cet admirable passage  : je l’extrais de la traduction de M. Géroult. «
ans dessein, d’un simple voyage à la campagne. Quelle adresse dans le passage qui termine la narration. Les esclaves de Milon f
, virgis cœderetur ? Rien de plus beau, rien de mieux conduit que ce passage . Toutes les circonstances sont parfaitement chois
62 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article » p. 404
stingua dans toutes les batailles de la manière la plus éclatante. Au passage de la rivière de Garillan, dans le royaume de Nap
63 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre III. Du Sublime dans les Compositions littéraires. »
représenté. Quelle magnifique réunion d’idées sublimes, dans ce beau passage du psaume 11, où les prodiges de la création sont
foule de traits et d’images sublimes. Nous citerons, entre autres, te passage du commencement du 20e livre de l’Iliade. C’est l
64 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109
ir le goût excellent et sûr de l’auteur français. 1. Le charme de ce passage de Fénelon suffirait déjà pour montrer que Saint-
eut voir, à ce sujet, Quintilien, Inst. or., X, 4. 1. Dans plusieurs passages de ses Jugements sur les orateurs, ouvrage dont M
65 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
nt qu’il assemblait des armées innombrables dans un autre univers. Le passage du Granique fit qu’Alexandre se rendit maître des
» 1. Peu d’hommes, on le remarquera ici, comme en beaucoup d’autres passages , ont été dans leur style aussi grands peintres qu
66 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
tée en poésie. » — Sur les nids des oiseaux, on peut lire un charmant passage dans le Génie du Christianisme de Châteaubriand,
ure, etc. » 2. La Harpe cite les dix-huit vers qui suivent parmi les passages les plus beaux du poëme de la Religion : il avait
67 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
l’échafaud, en le voyant ne baisser la tête que pour recevoir sur son passage la bénédiction d’un vieil ami de prison, j’aurais
es. 2. M. Guizot était alors ministre de l’instruction publique : ce passage est extrait d’un discours prononcé à la distribut
68 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « [6] » p. 
e de la Critique, p. 180 et suiv. Batteux, qui a traduit deux fois ce passage d’Aristote, s’est d’abord conformé pour le mot en
69 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VIII. Épître. »
développe d’excellents principes de littérature ; Boileau raconte le passage du Rhin sur le ton de l’épopée ; Gresset déroule
70 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
le culte de la douleur, le christianisme, contient le vrai secret du passage de l’homme sur la terre. » Corinne interrompit la
rtis, et vous n’y trouvez que quelques plumes, seules marques de leur passage , que le vent a déjà dispersées : heureux le favor
fait prier de se trouver à la fenêtre et de le bénir au moment de son passage  : « Mylord, dit-il en élevant la tête, votre béné
pagnies d’infanterie l’y attendaient, formant une double haie sur son passage  ; un détachement de hallebardiers marchait avant,
la rive germanique du Rhin ; mais, dès que le fleuve était gelé, les passages et l’agression recommençaient. S’il arrivait que
e. Il avait posté des corps de troupes pour arrêter les confédérés au passage de la Moselle ; mais à l’approche de l’armée enne
ça. Guillaume se jeta lui-même au-devant des fuyards et leur barra le passage , les menaçant et les frappant de sa lance ; puis
sa femme et ses trois enfants restaient pour attendre son retour. Le passage de Sighebert à travers le royaume qui allait lui
’admiration266. Histoire de la Révolution française, chap. X. Passage du Saint-Bernard par l’armée française267 (1800)
r268. Rassuré sur cet objet important, il fit donner enfin l’ordre du passage . Quant à lui, il resta de ce côté-ci du Saint-Ber
ient cl lacune à son tour. La musique jouait des airs animés dans les passages difficiles et les encourageait à surmonter ces ob
il a toujours portée, conduit par un guide du pays, montrant dans les passages difficile la distraction d’un esprit occupé aille
fié à son courage. La force donc pouvait seule nous rendre maîtres du passage . On tenta une escalade sur la première enceinte d
rêter leur marche : et il mandait à M. de Mélas qu’il était témoin du passage de toute une armée, infanterie et cavalerie, sans
effacé, Conduit pieds nus, pendant l’orage, Quêtant pour lui sur son passage , Dans son casque ou sa faible main, Avec les grâc
rdins (1782), qu’il donna bientôt après, lui avait été inspiré par un passage des Géorgiques 306 : il voulut faire le tableau d
onie, Comme un dernier ami ; Pour éclaircir l’horreur de cet étroit passage , Pour relever vers Dieu son regard abattu, Divin
t le monde se tourner contre lui. M. de Chateaubriand, en écrivant ce passage , se rappelait sa vie de privation et de solitude
héroïsme, la tendresse, la crainte, la majesté calme. Dans différents passages des symphonies de Beethoven on trouverait une exp
anks saliens. On trouve même dans les documents du sixième siècle des passages où il paraît désigner la masse entière des tribus
On sera frappé de l’analogie que présente ce morceau avec différents passages de Pascal, dont il sera facile de le rapprocher.
ma verba dans les Méditations poétiques de M. de Lamartine. 247. Ce passage rappelle, sans l’égaler, le célèbre morceau de Pa
n curieux rapprochement entre ces pages de l’historien français et le passage des Alpes par Annibal dans le livre XXI, ch. xxx
s que le Premier Consul avait ordonné de faire descendre par d’autres passages des détachements de l’armée française. Nos troupe
’armée française. Nos troupes descendaient ainsi les Alpes par quatre passages à la fois, le Saint-Gothard, le grand et le petit
78. Ce récit, où l’on reconnaîtra facilement le souvenir d’un célèbre passage de Racine (Athalie, acte I, sc. 2), n’est pas exe
ique. 283. La différence entre Ducis et son modèle s’accuse dans ce passage . Les infernales visions de Shakespeare ne sont pl
efois la facture de ses vers un peu molle. 293. On reconnaît dans ce passage d’un souffle cornélien le souvenir des célèbres i
ans le Songe de Scipion (liv. VI de la République de Cicéron) un beau passage sur la marche et l’harmonie des sphères célestes.
ssage sur la marche et l’harmonie des sphères célestes. 341. Tout ce passage est traduit avec une élégante exactitude. 342.
la hauteur naturelle de son caractère ( indomitum animum ). 366. Ce passage est d’une couleur toute moderne et qui ne convien
ons poétiques. 407. Le poète avait choisi ce titre par allusion à un passage éloquent du Voyage d’Anacharsis (ch. XL), dans le
e (Κάμειρον ἀργινόεντα), située à l’ouest de l’île de Rhodes. Tout ce passage du poète français est, comme on le voit, très exa
71 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
’il faut soigneusement éviter dans l’emploi de cette figure, c’est le passage trop brusque d’une métaphore à d’autres, qui n’on
ositos cineri doloso. (Lib. ii. Ode i). Quelque poétique que soit ce passage , dit le docteur Blair, il offre quelque chose d’o
, mes coursiers ? (M. E. Aignan 42). Le trait le plus frappant de ce passage appartient, comme on voit, exclusivement à Racine
ous, à la faveur de la sensibilité qu’il leur accorde. Témoin ce beau passage de Milton ; c’est Adam qui parle : Sa docile pud
72 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
       Fait, un vacarme de démon, Siffle, souffle, tempête. Voici un passage de Châteaubriand dont la riche harmonie est sensi
l’Athalie de Racine. Partout où le génie se manifeste, il marque son passage de l’empreinte du sublime. § V. Style figuré.
la composition littéraire. 3° Transition. La transition est le passage d’un sujet à un autre, le lien qui unit les parti
rases à peu près incompréhensibles et dépourvues de sens ; tel est ce passage de Balzac : « La gloire n’est pas tant une lumiè
73 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre III. » p. 77
re célébrées au temps et à l’occasion des vendanges. Comparez avec ce passage une addition à la Vie d’Euripide, publiée par Wel
74 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
, marquant le lieu, non le temps, font la principale difficulté de ce passage . On trouve cependant un exemple d’ἄλλοτε pris en
75 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
on à la variété, poussa jusqu’aux dernières limites de l’hyperbole le passage du grave au doux et du plaisant au sévère. M. Vic
l’imprévu, qui doit nous réveiller par intervalles, qu’en général le passage d’un sentiment à un autre, d’un ordre d’idées à u
76 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
le port, dit Quintilien, j’aperçus un navire, je demandai le prix du passage , je fis marché, je montai, on leva l’ancre, on mi
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage , Et de sang tout couvert, échauffant le carnage.
77 (1873) Principes de rhétorique française
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon passage  ! Celui qui exprime si bien de tels sentiments f
e très-propre à former le jugement que d’analyser ainsi les meilleurs passages des grands écrivains et d’en dégager les syllogis
u militaire : conduites d’armées, sièges de places, prises de villes, passages de rivières, attaques hardies, retraites honorabl
é des lumières de la foi. Il a puisé encore à la même source dans le passage suivant : M. le Tellier ne ressembla pas à ces â
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage , Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage 
use à l’enchaînement de ces expressions diverses d’une même idée ; le passage de Molière en offre un scellent modèle12. L’appo
de de développement. La Fontaine en offre un charmant exemple dans ce passage de la fable : Le Savetier et le Financier : Eh b
ies ; c’est le moyen d’amplification dont Bossuet s’est servi dans le passage cité plus haut de l’oraison funèbre de la reine d
   Massillon. La règle la plus importante à cet égard c’est que le passage de la proposition principale à la proposition sub
ctif et le tour impératif sont associés avec une grande force dans ce passage de Bossuet : Jetez les yeux de toutes parts ; vo
r leur accumulation. II. Eviter les figures de pur ornement dans les passages pathétiques. III. Toute figure qui manque de nat
vant ses pas, Il faisait trembler les campagnes. Il rencontra sur son passage Une rivière, dont le cours, Image d’un sommeil do
ts ou de deux personnes forme ce qu’on nomme un parallèle. Tel est ce passage de la Henriade : Richelieu, grand, sublime, im
armi les allusions dont ses fables abondent on peut citer ce charmant passage de la fable : Les deux Coqs : Deux coqs vivaient
a passion. Molière donne des exemples charmants d’atténuation dans le passage de sa traduction de Lucrèce qu’il a intercalé dan
cette figure. La Fontaine a réuni l’atténuation et l’astéisme dans ce passage d’une lettre où il raconte sa vie oisive à la cam
pléter une idée dont le sens est déjà indiqué. Cette interruption, ce passage subit a une idée nouvelle, a pour effet et pour b
e même Burrhus Qui depuis… Rome alors estimait leurs vertus. Dans ce passage du Télémaque, la réticence double la force de l’i
ans l’habitude est puissante ! Dans le Lutrin, Boileau rappelant un passage de Virgile : Tant de fiel entre-t-il dans l’âme
ière fois. Lamartine a fait un heureux usage de l’apostrophe dans ce passage du Lac : O lac, rochers muets, grotte, forêt obs
u le public. Un des plus frappants exemples de dialogisme est ce beau passage d’une des Philippiques de Démosthène : Athéniens
les de dialogismes. Andrieux en offre une charmante imitation dans ce passage de Sans-Souci : Des bâtiments royaux l’ordinaire
le lecteur ne me comprendra pas très-bien, je retranche simplement du passage obscur toute expression superflue : ce qui reste
De même, Sénèque le tragique s’est paré d’une fausse richesse dans ce passage ridicule : Priam, père de tant de rois, est priv
rgique simplicité ou de la richesse de l’amplification. Ce magnifique passage de Psalmiste : J’ai vu l’impie élevé et exalté c
clat du langage poétique ; Bossuet et Massillon présentent dans mille passages de leurs compositions oratoires des modèles d’une
ridicule, mais sans éclat et sans bouffonnerie ; ménagez avec art ce passage du discours sérieux à un badinage honnête et déli
e plus ingénieux pour le jour des Cendres ? Il a montré que, selon ce passage , la cendre doit être aujourd’hui la nourriture de
78 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
e manquent jamais d’y ravir le spectateur. » 2. On sait que ce beau passage a été parodié par Furetière, avec le concours de
Se faire un beau rempart de mille funérailles… On lit encore dans un passage d’Attila, où Corneille retrouve un instant son an
hographe. 2. Cf. Molière, le Festin de Pierre, IV, 6. On trouvera ce passage dans les Morceaux choisis pour la classe de sixiè
79 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVI » pp. 112-113
, d’après d’anciennes éditions, lit οὺϰ ἄτεχνοι, en s’appuyant sur un passage de la Rhétorique, 1, 2, qui ne me paraît rien pro
80 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
mpulsion dont elle manque, c’est de lire, avant de composer, quelques passages d’un bon auteur, analogues au sujet que l’on doit
arriver à la fin du volume : relisez plusieurs fois les livres ou les passages qui vous auront frappé ; vous en comprendrez mieu
81 (1854) Éléments de rhétorique française
lui donna tout, il fit aussi tout pour se procurer la victoire.... Le passage du Granique fit qu’ Alexandre se rendit maître de
ir toute l’importance des passions dans le discours, nous citerons un passage d’un auteur ancien, d’Aulu-Gelle, qui contient un
t porter dans une litière : un bouvier de Vénusium se trouva sur son   passage , et, ignorant qui l’on conduisait ainsi, demanda
plaintives et de lamentations. Tel est l’effet que produit sur moi le passage suivant ; je l’ai écrit comme je l’ai pu pour le
e accumulation. Montaigne raconte que les Thraces, trouvant sur leur passage une rivière gelée, lâchent devant eux un renard p
du discours. Nous citerons, comme un modèle de narration oratoire, un passage de Bossuet où se trouve racontée, d’un style simp
que partie à celle qui la précède et à celle qui la suit ; il faut un passage pour aller naturellement de l’une à l’autre : c’e
ssage pour aller naturellement de l’une à l’autre : c’est ce lien, ce passage que les rhéteurs ont appelé transition. Boileau a
ntendre sonner la diane et assister au réveil d’un camp, en lisant ce passage des Martyrs ? « Je n’ai jamais entendu, sans une
t, dit-il, d’énoncer simplement les choses pour les faire admirer. Le passage du Rhin dit beaucoup plus que le merveilleux pas
voir des caractères funestes. » Ces derniers mots font allusion à un passage bien connu de l’Ancien-Testament. Quelquefois l’a
ce des larmes qui ne peuvent couler. Nous en avons un exemple dans ce passage admirable du rôle d’Oreste, lorsque, après avoir
s doivent se suivre et s’enchaîner les unes aux autres, comme dans ce passage de Bossuet : « Les Égyptiens sont les premiers o
santes, embarrassées, comme celles que Pellisson a accumulées dans le passage suivant : « Les blessures étaient plus mortelles
s biens : une vie malheureuse vaut mieux que la plus belle mort. » Ce passage , rapproché de celui de Racine,  fait parfaitement
t. Le style spirituel, soit qu’il s’applique aux idées, comme dans le passage de Fontenelle, soit qu’il s’applique aux sentimen
nter. Une troisième ressource reste encore : c’est de se rappeler les passages des meilleurs auteurs qui se rapportent directeme
pentes ; elles en enlèvent quelques parcelles, et y tracent par leur passage des sillons légers. Bientôt ces filets se réuniss
toute cette belle défense de Foucquet ; nous n’en avons cité que les passages les plus éloquents. Nous avons laissé de côté la
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre II. Études du Prédicateur. »
un discours entier a dû son mérite et son succès au choix heureux du passage qui lui sert de texte. Bossuet avait à déplorer l
83 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PRÉAMBULE. » pp. -
ons aux jeunes élèves de porter principalement leur attention sur les passages les plus saillants des modèles qu’ils auront sous
84 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
s, l’affectation est mise à l’écart, tout coule de source. Tel est le passage d’un écrivain de nos jours. Heureux l’homme qui
e principale, au lieu de la fortifier. Si Fléchier eut ajouté dans le passage précédent : défaites habilement réparées, il eut
is encore, tout le inonde se récria d’admiration. Et pourtant ce beau passage est dû il une simple antithèse de mots, tant est
Rois funeste avant-coureur. (Rac.) Il y a deux imprécations dans ce passage , et une seule déprécation. Le passage entier est
l y a deux imprécations dans ce passage, et une seule déprécation. Le passage entier est une obsécration. XXIV. Optation.
ueux dans la période carrée que j’ai citée page 80. Tel est encore ce passage de David : « Il a incliné les cieux et il est des
ransitions la muse toujours sage, Sait cacher au lecteur le moment du passage . Moyens de découvrir les secrets du style ou
ire malgré Minerve. Prenez un livre de votre goût, lisez quelque beau passage  ; cela éveillera votre talent qui sommeille et vo
85 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
d’insérer, en pensant aux élèves de sixième ou de cinquième, certains passages célèbres et aisés à comprendre d’ouvrages inscrit
phales d’Eudore1421. Une seule était restée, et elle se trouva sur le passage du martyr ; un soldat, ému de ce singulier hasard
tais enfin dans le carré ! — Depuis la mort du colonel Savary, tué au passage de l’Ukra1474, le 14e était commandé par un chef
Lisette, ruant et mordant, renversé tout ce qu’elle rencontre sur son passage  ! L’officier ennemi, qui avait si souvent essayé
urs livres qu’on jugea dangereux, non sans raison, mais dont quelques passages , qui affectent la forme des paraboles évangélique
pagnies d’infanterie l’y attendaient, formant une double haie sur son passage  : un détachement de hallebardiers marchait en ava
atin, on y laissa une compagnie pour faire les trompeurs apprêts d’un passage au-dessous de cette ville, et on s’engagea ensuit
eine. A six heures du matin1556, ce second accident fut réparé, et le passage du matériel d’artillerie put recommencer. II l
rience ; on s’éloigna de la scène d’horreur que présentait le lieu du passage , afin, disait-on, de céder le pas aux plus impati
orter tout son monde et son matériel sur la droite de la Bérézina. Le passage opéré, il mit son artillerie en batterie afin de
éral Eblé, au maréchal Victor, d’employer tous les moyens de hâter le passage de ces malheureux. Le général Eblé se rendit lui-
journée pris un peu de repos, il était là, s’efforçant d’accélérer le passage , et envoyant dire à ceux qui étaient en retard qu
ait capable d’enthousiasme en regardant des tableaux de batailles. Le Passage de la Bérézina 1789 lui donnait de l’émotion. La
supercherie, Le tourne, le retourne, approche son museau ; Flaire aux passages de l’haleine2163. « C’est, dit-il, un cadavre ; ô
utes les approches, Prenez le parti doucement D’attendre le prince au passage  : Il connaîtra votre visage Malgré votre déguisem
lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes frères morts se faisant un passage , Et, de sang tout couvert, échauffant le carnage.
itié ne fuit point mon visage ; Je vois voler partout les cœurs à mon passage  ! » Tels étaient vos plaisirs. Quel changement, ô
verrez tous, prévenant son ravage, Guider dans l’Italie et suivre mon passage . C’est là qu’en arrivant, plus qu’en tout le chem
ut que l’on doit à la mort ! Non, non, tout doit franchir ce terrible passage . Le riche et l’indigent, l’imprudent et le sage,
s dit ? lit Roland. Qu’on soit sage. Reprit-il ; renoncez à forcer le passage  ; Si l’un de vous, bravant Durandal à mon poing,
d’un gué. De peur que derrière eux leur trace découverte N’indique le passage au bourreau qui les suit, Et qu’ainsi leur salut
eau, Quand tu salis un frais corsage, Qui répare le mal que tu fis au passage  ? C’est l’Eau, mon compère : c’est l’Eau ! Le vin
ésent volume, sans jamais manquer cependant d’indiquer exactement les passages auxquels sont empruntés les morceaux que nous cit
er. 300. Failli, fait défaut. 301. Etape, étai. Littré signale ce passage de Palissy comme un exemple unique du mot pris da
venu plus rare dans la langue d’aujourd’hui. 443. Efféminé. 444. Le passage qui commence avec cet alinéa a en effet été rédig
elles donnaient lieu à des marchés extravagants, et l’on verra par un passage de La Bruyère cité page 117 que la mode des tulip
omme un homme du monde. 570. On comparera ce beau morceau au célèbre passage du Menteur de Corneille que nous citons page 512.
uin ! La peste soit fait l’homme ! » dit encore Molière dans d’autres passages . 628. . Diantre, mot qu’on a forgé pour remplace
auvais riche, que Bossuet fait ainsi parler, traduisant d’ailleurs un passage du prophète lsaïe (XLVII, 10). 745. Comme on pa
lement que cela peut arriver. — Voici la suite des idées dans tout ce passage  : quand je dis que vous vous trouverez vous-même
amour de la patrie. Bossuet semble confondre quelque peu dans tout ce passage , d’ailleurs si remarquable, et qui respire une si
ilémon, autre original peint par La Bruyère (Du mérite personnel). Le passage est célèbre : « L’or éclate, dites-vous, sur les
s il importe de comprendre que le défaut dont il est question dans le passage qu’on va lire est l’indifférence, le manque de go
. Reposter. Le mot n’est pas français et n’a été employé que dans ce passage . 1030. Pris leur parti sur ce que…, s’étaient d
d de la vérité. On sent assez, au reste, que Voltaire a, dans tout ce passage , le dessein de rendre son bel esprit ridicule. Vo
e. 1278. Cette exclamation veut dire qu’il vient enfin de trouver le passage dont il est question. 1279. Plaisant rapprocheme
accompli quelque bonne action. 1342. Au sénat romain. Allusion à un passage célèbre (lu poète Juvénal (fin du ier siècle aprè
a gloire, devait assurer le même résultat. 1354. Allusion au célèbre passage de la Genèse, I, 26. 1355. Allusion à la période
Eudore, fils de Lasthénès, personnage imaginaire, héros [...] d’où ce passage est tiré. 1412. Cyrille, personnage imaginaire,
martine et ses amis étaient objet. Le discours dont nous extrayons le passage ci-dessus est de 1842 ; c’est en 1848 que fut pro
Il était arrivé le matin même du 26 pour surveiller les travaux et le passage . 1553. Equarrir (littéralement rendre carré), t
dialectale de grammaire. 1789. Entendez une gravure représentant le Passage de la Bérézina (sur cet épisode militaire, voir p
ar le moyen duquel. 1984. Catherine de Médicis. 1985. Souvenir d’un passage où Virgile (Egl., IV, 62) s’adresse, lui aussi, à
et à celui des bois qu’il a plantés. Ce développement est imité d’un passage d’une petite pièce célèbre du poète latin Claudie
e. 2087. Au, fréquent comme équivalent de en le. 2088. Imité d’un passage célèbre du second livre des Géorgiques de Virgile
et intérêts. 2162. Tient son vent, retient son souffle. 2163. Aux passages de l’haleine, au nez et à la bouche. 2164. Car
le vers suivant. — Cette explication, tout à fait satisfaisante, d’un passage longtemps controversé, a été donnée par M. Jules
a note 8 de la page 531. 2329. Aux ruelles. La ruelle du lit est le passage qui reste libre entre le lit et la muraille. Par
ojets si vagues. Allusion aux gens dont Boileau a parlé dans un autre passage de la même épître et qui sont toujours « entraîné
it rue des Bons-Enfants. 2391. Boileau s’est ici souvenu de quelques passages d’Horace, qui souhaite aussi de vivre à la campag
Sénèque, dans son traité de la Clémence, dont Racine a imité quelques passages dans les vers qui précèdent. 2423. Mithridate, q
richesses et des biens matériels : inutile d’ailleurs de dire que le passage que va lire Hector ne se trouve pas littéralement
se, mais traditionnelle dans notre théâtre comique. 2463. Voici les passages du psaume XLVIII que Rousseau a imités dans cette
phe gravée sur le tombeau même de Myrto : elle est inspirée de divers passages de poètes antiques, et notamment d’une petite piè
simplement : grandir, grossir. 2579. Tout ce fragment est imité d’un passage célèbre du livre II des Géorgiques de Virgile (ve
logue du Galilée de Ponsard (voir le recueil du second cycle) et d’un passage de Louis Racine que nous avons cité page 593. 26
e qui n’a qu’une touffe de cheveux, par laquelle il faut la saisir au passage , si l’on veut l’arrêter dans sa course. 2777. L
ux trois cents Spartiates qui, commandés par Léonidas, défendirent le passage des Thermopyles contre l’armée du roi de Perse Xe
86 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
les jours. Il doit être gracieux dans les descriptions comme dans ce passage du même auteur : Qu’en ses plus beaux habits l’A
voir de plus vif, de plus ingénieux, de mieux écrit, surtout, que ce passage  : « Pourquoi ces éléphants, ces armes, ce bagage
aussi sérieux, une forme un peu plus légère. On peut en juger par ce passage de l’Épître à sa muse, où Gresset représente le t
z ; l’on rend hommage À l’illusion qui vous suit. Mais ce triomphe de passage , Effet rapide de l’usage, Par un autre usage est
87 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IX. De l’élégie. »
ortent jusqu’au sublime l’émotion religieuse de la douleur. Plusieurs passages de Job et d’Ézéchiel peuvent aussi être regardés
88 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
Jupiter la taille et le visage ; Et, depuis ce Romain dont l’insolent passage Sur un pont, en deux jours, trompa tous tes effor
e, ainsi que la Dunciade de Pope et celle de Palissot. Voici un court passage de ce dernier poème. Palissot feint qu’il a reçu
que, ch. 15, 16 et 17. 140. Voyez la suite dans l’épître IV, sur le Passage du Rhin. 141. Domairon, Poét., du Poème héroïque
89 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
de leurs écrits. Nous ne citerons ici pour exemple que ce magnifique passage du second livre de l’Enéide, où le grand poëte dé
aux maîtres le soin de faire remarquer les principales beautés de ce passage , que la meilleure traduction ne saurait reproduir
’ajouter au sujet de nouvelles beautés. On en a vu un exemple dans le passage cité plus haut, où Virgile, avec une pensée plein
90 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
x, les savants conseillers cherchent dans tout Cicéron le merveilleux passage qui leur avait échappé ; ils le cherchèrent fort
ou seulement originale, d’indisposer ou d’effaroucher le lecteur. Le passage cité de Rousseau vient à l’appui de cette remarqu
91 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
eaux achevés et de vers immortels. » — Quelques-uns des traits que ce passage renferme ont été imités par Voltaire, chant IX de
dressa quatre années après. Andrieux fait remarquer, l’occasion de ce passage , combien Boileau savait relever par un tour noble
92 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Définition et division. »
n, qui envisageait surtout la rhétorique comme art de bien parler. Ce passage seul peut faire comprendre combien la science de
93 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Vauvenargues 1715-1747 » pp. 196-198
. Vauvenargues avait fait campagne dans ces contrées. 3. Comparez au passage des martyrs, le réveil au camp, I. vi. Vous verre
94 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
dans certains mots, ou certaines parties de phrases, qui marquent le passage de ce qu’on a dit à ce qu’on va dire. Ces transit
egré de force ou de faiblesse. Il y a un exemple de gradation dans ce passage de l’Oraison funèbre de Turenne, lorsque Fléchier
95 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
pouvant connaître rien de ce qui est entre le jour et eux, que par le passage des ombres projetées sur la paroi à demi éclairée
Démosthène, qui est dans le Ier Dialogue sur l’Éloquence, et un beau passage sur les Discours de Cicéron, au commencement du I
tions païennes qui déshonoraient la raison. 2. Il faut comparer à ce passage le sermon de Bossuet sur l’unité de l’Église. 3.
96 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de L’Hospital, 1505-1573 » pp. -
onze heures ; on ne revenait pour discuter les textes ou vérifier les passages  ; et la récréation était de lire Aristophane, les
97 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
cles s’aplanissent devant lui, et tout un grand peuple volant sur son passage semble dire : « Le voilà ! »1 Bonaparte a l’
98 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
t des dieux la jeunesse, on est sage De fêter cette hôtesse au rapide passage . Quelle prise y voit-on à la malignité ? Et qu’es
tretient la beauté du visage ; L’insomnie, au contraire, y marque son passage . Gardez que votre époux, de son premier regard, N
99 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
rité que ces translations soudaines d’un pays en un autre, et que ces passages subits d’un héros en des lieux éloignés de ceux o
dans l’incertitude sur le sort des principaux personnages. De là, ces passages de la crainte à l’espérance, de la joie à la doul
suspendue entre la crainte et l’espérance. Le dénoûment doit être le passage d’un état certain à un état déterminé. La fortune
qu’exigent l’étendue et la durée de l’action. L’épopée demande que le passage d’un état de fortune à l’autre, ou, si l’on veut,
nvenablement adapté à son rôle. Un bon modèle du style comique est le passage des Femmes savantes où le bourgeois Chrysale se p
100 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
de Viger, p. 788, 4e éd. De Hermann. Maintenant la tragédie, etc.] Ce passage a beaucoup tourmenté les interprètes. M. Forchham
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