es, et de leur emploi, selon les différents genres et les différentes
parties
de ces genres. Il devait expliquer au long les ef
our avoir la meilleure forme : j’examinerai quelle est la nature- des
parties
et leur nombre ; enfin je parlerai de tout ce qui
mbes et les nomes les emploient tous trois ensemble dans toutes leurs
parties
, et que la tragédie et la comédie les emploient s
ragédie et la comédie les emploient séparément dans leurs différentes
parties
. Telles sont les différences des arts quant aux m
nt assez longtemps des farces satiriques, dont la tragédie tirait une
partie
de son origine. Le vers, de tétramètre qu’il étai
imple. Enfin on multiplia les épisodes, et on perfectionna toutes les
parties
les unes après les autres. C’en est assez sur cet
cèrent à y mettre une action (c’est donc à la Sicile qu’on doit cette
partie
), et que, chez les Athéniens, Cratès fut le premi
les commencements il en fût de même pour les tragédies. Quant à leurs
parties
, elles sont les mêmes, à quelques accessoires prè
. Chapitre VI. De la tragédie ; sa définition. De ses différentes
parties
: la fable, les mœurs, les paroles, les pensées,
un discours revêtu de divers agréments, accompagné dans ses diverses
parties
de formes dramatiques, et non par un simple récit
réments sont le rythme, le chant et le vers. Je dis dans ses diverses
parties
, parce qu’il y a des parties où il n’y a que le v
ant et le vers. Je dis dans ses diverses parties, parce qu’il y a des
parties
où il n’y a que le vers, et d’autres où il y a le
re premièrement que le spectacle, la mélopée, les paroles, soient des
parties
de la tragédie ; car c’est par ces trois moyens q
tion de l’action est la fable ; car j’appelle fable l’arrangement des
parties
dont est composée une action poétique. J’appelle
ste par la parole. Il y a donc nécessairement dans toute tragédie six
parties
: la fable, les mœurs, les paroles, les pensées,
mœurs, les paroles, les pensées, le spectacle, le chant ; deux de ces
parties
sont les moyens avec lesquels on imite ; une est
n’y a rien au-delà. Il n’y a point de tragique qui n’emploie ces six
parties
, et qui n’ait spectacle ou représentation, fable,
ou représentation, fable, mœurs, pensées, paroles, chant. Mais de ces
parties
, la plus importante est la composition de l’actio
comme des peintres. Zeuxis était fort inférieur à Polygnote en cette
partie
. Celui-ci excellait dans la peinture des mœurs :
chant dans la tragédie, les n connaissances, les péripéties, sont des
parties
de l’action. Aussi ceux qui commencent à composer
aire dire ce qui est dans le sujet ou ce qui convient au sujet. Cette
partie
se traite ou dans le genre simple et familier, ou
mots. Elle a le même effet, soit en vers, soit en prose. La cinquième
partie
est la mélopée. C’est des agréments de la tragédi
posée l’action de la tragédie. Après avoir défini les différentes
parties
de la tragédie et prouvé que l’action est la prin
arties de la tragédie et prouvé que l’action est la principale de ces
parties
, voyons comment doit être composée cette action.
imal, soit d’un autre genre, doit non seulement être ordonné dans ses
parties
, mais encore avoir une certaine étendue : car qui
petit ne peut être beau, parce qu’il faut le voir de près, et que les
parties
trop réunies se confondent. D’un autre côté, un o
un animal qui serait de dix mille stades, ne pourrait être vu que par
parties
, et alors on en perdrait l’ensemble. De même donc
re, si supérieur en tout aux autres poètes, l’a encore été dans cette
partie
, où il a jugé mieux qu’eux, soit par la science d
itation d’une seule action, que cette action soit entière, et que les
parties
en soient tellement liées entre elles, qu’une seu
tre dans un tout, ou n’y être pas, sans qu’il y paraisse, n’est point
partie
de ce tout. Chapitre IX. Différence du poète
nt les moins bonnes. J’entends par fables épisodiques celles dont les
parties
ne sont liées entre elles ni nécessairement ni vr
tragédie quant à son étendue. On a vu ci-devant quelles sont les
parties
de la tragédie qui la constituent dans ses espèce
pisode est ce qui est entre les chants du chœur. L’exode est toute la
partie
qui est après la sortie du chœur. Dans le chœur,
tion, lorsque le chœur gémit et se plaint avec les acteurs. Voilà les
parties
de la tragédie quant à leur nombre et à leur éten
ur Achille. Ces règles doivent s’observer ici, et outre cela dans les
parties
du spectacle qui dépendent nécessairement de la p
et un dénouement. Les obstacles antérieurs à l’action, et souvent une
partie
de ce qui se rencontre dans l’action, forment le
ulu représenter la ruine de Troie en entier, et non quelqu’une de ses
parties
, comme Euripide a fait dans sa Niobé et dans sa M
de l’élocution dans la tragédie. Jusqu’ici il a été question des
parties
constitutives de la tragédie12. Il ne reste plus
élocution même ? Il y a encore, par rapport à l’expression, une autre
partie
à considérer, c’est celle des figures ; mais elle
nace, on interroge, on répond, etc. Qu’un poète sache ou ignore cette
partie
, on ne peut pas lui en faire un crime. Qui peut r
hapitre XX. Des éléments grammaticaux du langage. Des mots, de leurs
parties
composantes, de leurs espèces. Dans ce qui co
st point une syllabe, avec α c’en est une, γρα. Les détails sur cette
partie
sont encore de l’art métrique. La conjonction est
m est un mot significatif, qui ne marque point les temps, et dont les
parties
séparées ne signifient rien ; car dans les noms d
ne signifient rien ; car dans les noms doubles on ne prend point les
parties
dans leur sens particulier : dans Θεόδωρον, δῶρον
n. Le verbe est un mot significatif qui marque les temps, et dont les
parties
séparées ne signifient pas plus que celle du nom
rbe. Le discours est une suite de sons significatifs16, dont quelques
parties
signifient par elles-mêmes quelque chose. Car tou
de l’homme : le discours peut être sans verbes ; mais chacune de ses
parties
a toujours sa signification particulière : dans C
de métaphore, en joignant au mot figuré une épithète qui lui ôte une
partie
de ce qu’il a au propre : comme si l’on disait qu
ous deux ont même visage). Le mot est changé quand on en conserve une
partie
et qu’on y en ajoute une autre, δεξιτερόν pour δε
t été trop chargé d’incidents. Qu’a-t-il fait ? Il n’en a pris qu’une
partie
, et a choisi dans le reste de quoi faire ses épis
est ou simple, ou implexe, ou morale, ou pathétique. Elle a les mêmes
parties
composantes, hors le chant et le spectacle ; elle
aîtrait pas. Il faut non seulement que les fables soient composées de
parties
toutes fondées en raison, mais que nulle part il
e frappant des jeux de théâtre dans les reconnaissances et les autres
parties
de l’action. Elle est moins longue que l’épopée,
ssi parfaits qu’ils peuvent l’être, par rapport à l’unité, il y a des
parties
qui ont chacune assez d’étendue pour en faire aut
e ; de la nature de l’une et de l’autre ; de leurs formes et de leurs
parties
; du nombre et des différences de ces parties : d
eurs formes et de leurs parties ; du nombre et des différences de ces
parties
: des beautés et des défauts de eux genres et de
ne disposition, qui sont : 1° L’unité du sujet ; 2° La séparation des
parties
; 3° La gradation. Nous avons déjà expliqué en qu
lan détermine la disposition générale et particulière des différentes
parties
d’un ouvrage. C’est par lui que nous devons comme
teur a bien médité son sujet, il en dispose avec soin les différentes
parties
d’après certaines règles que nous allons indiquer
du barreau, de la tribune politique, et les discours académiques. Les
parties
d’un discours peuvent se réduire à six principale
n ou la Preuve ; 5° la Réfutation ; 6° la Péroraison. Ces différentes
parties
ne se trouvent pas toujours toutes les six dans u
sujet est complexe, ce qui arrive presque toujours, on en sépare les
parties
principales, et l’on indique la marche que l’on s
compagne ordinairement la proposition. Ainsi Bossuet divise en quatre
parties
l’Oraison funèbre du prince de Condé. Première Pa
vise en quatre parties l’Oraison funèbre du prince de Condé. Première
Partie
. L’orateur se propose, dans cette première partie
de Condé. Première Partie. L’orateur se propose, dans cette première
partie
, de faire connaître les qualités du cœur du princ
, son repentir, sa dignité, sa générosité pendant la Fronde. Deuxième
Partie
. L’orateur nous y fait connaître son héros par le
on humanité, sa bonté, sa simplicité et sa grandeur morale. Troisième
Partie
. Bossuet y fait ressortir les qualités de l’espri
at du faubourg Saint-Antoine ; la bataille de Lens. — 3° La troisième
partie
se termine par un parallèle entre Condé et Turenn
partie se termine par un parallèle entre Condé et Turenne. Quatrième
Partie
. Dans la quatrième partie, Bossuet nous fait voir
parallèle entre Condé et Turenne. Quatrième Partie. Dans la quatrième
partie
, Bossuet nous fait voir : 1° La vanité de la gloi
ne manière uniforme ; ils peuvent très bien n’avoir que deux ou trois
parties
que l’on appelle quelquefois Points. Souvent un o
ent un orateur débute par l’exposition du sujet et la division de ses
partie
?, sans faire usage de l’exorde : c’est lorsque l
funèbres. § IV. Confirmation ou Preuve La Confirmation est la
partie
du discours où l’orateur prouve les faits qu’il a
uange ou de blâme, comme dans le genre démonstratif, la preuve est la
partie
importante du plaidoyer ou de l’oraison. C’est l’
es d’élite, capables d’assurer la victoire. » La confirmation est la
partie
la plus importante du discours, parce que c’est l
gligence qu’à sa valeur. § V. Réfutation La Réfutation est la
partie
du discours dans laquelle l’orateur combat et dét
nd que dans les plaidoyers l’avocat ait à combattre les raisons de la
partie
adverse ; mais dans le sermon, si l’orateur a des
donner. § VI. De la Péroraison La Péroraison est la dernière
partie
du discours. Il y a trois manières de finir : la
nce a de tours séduisants et de mouvements impétueux ; il anime cette
partie
de son discours de toute la chaleur, de tout le f
lon le besoin. Telle est la disposition générale du discours dont les
parties
principales qui le composent, sont : 1° l’Exorde
iette-Marie de France, reine d’Angleterre. (Remarquer les différentes
parties
qui la composent.) Vol. II, nº 159.
tre II. Les Oraisons ou discours prononcés. § 3. Rhétorique ; ses
parties
. — Invention. L’art de faire et de prononcer d
comme exercice d’esprit, et à cause de ses analogies avec les autres
parties
de la littérature, et par les applications qui lu
ent quant à la composition des discours, la rhétorique contient trois
parties
: l’invention, la disposition et l’élocution. Qua
rononcé, on est obligé d’ajouter, sous le nom d’action, une quatrième
partie
qui comprenait autrefois la mémoire et la prononc
en dire. Nous ne dirons rien non plus de l’élocution. Cette dernière
partie
n’est autre chose que l’art d’exprimer le mieux p
l’élocution, et il précède celui-ci. Nous pouvons donc regarder cette
partie
comme déjà vue, avec plus de détails même qu’on n
torique ordinaires, et nous passons à l’invention. L’invention est la
partie
qui nous apprend à trouver aisément les choses qu
ssions 3 : les preuves, les mœurs et les passions sont donc les trois
parties
de l’invention oratoire. § 4. Preuves. — Lieux
nutile de les parcourir tous) sont la définition et l’énumération des
parties
, la similitude et les contraires ; les causes et
ls ennemis. L’énumération consiste à séparer un tout en ses diverses
parties
, que l’on énumère successivement. Comme la défini
ommunément. Dans l’éloquence, lorsqu’on parle de mœurs, il s’agit, en
partie
, de celles de l’orateur. On veut qu’il soit homme
La disposition, dans l’art oratoire, consiste à arranger toutes les
parties
fournies par l’invention, selon la nature et l’in
sujet est assez étendu pour qu’il soit nécessaire d’en déterminer les
parties
. Enfin, la conclusion garde ce nom si l’on conclu
fecte une certaine élévation d’éloquence. On a assigné à ces diverses
parties
un objet particulier, par rapport aux trois devoi
truire ; enfin, la péroraison à toucher. Il est vrai que ces diverses
parties
produisent souvent cet effet ; mais il n’y a dans
ndus sans qu’on puisse les séparer. Reprenons maintenant ces diverses
parties
, et voyons ce que l’art prescrit à l’orateur par
les regards de tous les sénateurs, rien n’a pu t’ébranler ! § 8.
Parties
destinées à instruire. — Genres de causes. — Narr
Genres de causes. — Narration. Après l’exorde, il faut passer aux
parties
destinées à instruire l’auditeur, et d’abord à l’
plique les différences qui suivent et qui ont quelque importance. Les
parties
du discours destinées à instruire sont, avons-nou
’ont rien d’obligatoire. Cela dit, passons à l’examen de ces diverses
parties
qui suivent l’exorde ; et d’abord étudions la nar
mprises sous le nom collectif de la preuve. La confirmation est cette
partie
du discours dans laquelle l’orateur prouve le fai
ré avec tout l’univers, l’âme de ce vaste corps, et faisant comme une
partie
d’un monde qui tout entier est son ouvrage. Que s
gesse humaine. § 10. Péroraison. La péroraison est la dernière
partie
du discours, et n’est ni la moins importante ni l
tours séduisants et de mouvements impétueux ; enfin il animera cette
partie
de son discours de toute la chaleur, de tout le f
son et caractère de douceur. Loi souverainement raisonnable, première
partie
; loi souverainement aimable, deuxième partie. T
t raisonnable, première partie ; loi souverainement aimable, deuxième
partie
. Tout le monde est frappé, sans doute, de la net
sion. L’orateur va maintenant la poursuivre : il prouvera la première
partie
en montrant que la loi chrétienne est une loi sai
cation soit de l’Évangile qu’on venait de lire, soit de quelque autre
partie
de l’Écriture sainte. Les prédicateurs proportion
qu’étant né roi, il a fait servir sa dignité à sa sainteté : première
partie
. Saint Louis a été un grand roi, parce qu’il a su
, en devenant saint, faire servir sa sainteté à sa dignité : deuxième
partie
. La première partie va maintenant se décomposer,
faire servir sa sainteté à sa dignité : deuxième partie. La première
partie
va maintenant se décomposer, et nous montrer sain
icate, qui laisse à peine apercevoir qu’il prépare sa division. Cette
partie
est une des plus belles, mais des plus difficiles
Il y en a plusieurs autres, suivant la nature du sujet qui divise les
parties
contendantes : telles sont, par exemple, les conv
nce par contester le droit ou par nier le fait, soit en tout, soit en
partie
; il réfute ensuite les moyens de son adversaire,
les siens, et conclut enfin contradictoirement aux prétentions de la
partie
adverse. L’exorde est inutile dans les plaidoyers
t l’éloquence politique, dans laquelle les hommes chargés de quelques
parties
du gouvernement sont obligés de parler sur ces ma
nous présentent de nouveaux touts, dont il faut également trouver les
parties
constitutives. Les éléments connus, il faut dirig
, et donner les raisons de cette disposition. Mais puisque toutes ces
parties
forment un ensemble, puisqu’elles concourent tout
qui s’y trouvent ; leur appréciation par l’élève. (Invention.) 2° Ses
parties
principales et leurs divisions secondaires. (Disp
n présenter le compte rendu. 2e Exercice : Examen du morceau dans ses
parties
constitutives. — Quel est l’objet de ce morceau ?
que division principale ? — Ne remarquez-vous pas dans cette première
partie
, d’autres subdivisions ? (De même pour les autres
Exercice : Examen du morceau sous le rapport de la disposition de ses
parties
constitutives. — Maintenant que vous connaissez
n de ses parties constitutives. — Maintenant que vous connaissez les
parties
constitutives de ce morceau, examinez l’ordre dan
4e Exercice : Examen du morceau sous le rapport de la liaison de ses
parties
constitutives. — Toute composition est un ensembl
constitutives. — Toute composition est un ensemble formé de plusieurs
parties
; il importe donc que ces parties soient unies en
est un ensemble formé de plusieurs parties ; il importe donc que ces
parties
soient unies entre elles ; autrement l’œuvre sera
utrement l’œuvre serait décousue. L’auteur a dû s’attacher à unir ces
parties
de telle manière que le passage de l’une à l’autr
s. Cherchons donc par quelles transitions l’auteur a lié les diverses
parties
de son œuvre. 5e Exercice : Examen du morceau sou
uriant : Rassurez-vous, je ne suis pas blessé. On a oublié une grande
partie
des victoires de cet illustre empereur ; mais cet
Modèle d’analyse. Premier exercice. Examen du discours dans ses
parties
constitutives. Divisions principales. 1°
xercice. Examen du discours, sous le rapport de la disposition de ses
parties
constitutives. Les habitants d’Antioche se son
héodose lui-même, est fort habilement placé à la suite de la première
partie
du discours. Toutefois ce pardon généreux, qui fe
ème exercice. Examen du discours sous le rapport de la liaison de ses
parties
constitutives. Le premier moyen est lié au sec
l y a d’hommes sur la terre et qu’il y en aura jamais. » Toute cette
partie
du discours est figurée : l’auteur compare les se
n’a p porter atteinte à sa propre personne. « On a oublié une grande
partie
des victoires de cet illustre empereur ; mais cet
ement la rhétorique : « l’art de bien dire ; » il faut développer les
parties
de cette définition. La rhétorique est un art. Un
ées ; il y a un ordre plus ou moins convenable pour l’arrangement des
parties
; enfin, il y a des convenances relatives aux tem
’envisager sous toutes ses faces, le diviser exactement en toutes ses
parties
. Pour y réussir, il n’y a pas d’autres moyens que
force réelle des preuves. Il est aisé de voir que les preuves sont la
partie
essentielle, quoique le style et les grâces soien
t, etc., etc. Disposition. Disposition oratoire. — Dans quelle
partie
du discours les mœurs et les bienséances ont une
corps du discours. — Pour quel moment sont réservées les passions. —
Parties
essentielles du discours. — Exorde ; ses différen
La disposition oratoire est l’ordre, l’arrangement des différentes
parties
trouvées par l’invention. Dans le discours, comme
us marquée dès le commencement. Les preuves ou arguments, qui font la
partie
essentielle, formeront le corps du discours. Enfi
fin, où elles achèveront de déterminer l’auditeur. Ainsi voilà trois
parties
essentielles dans le discours ; on les a nommées
a nommées exorde, confirmation, péroraison ou conclusion. À ces trois
parties
il faut ajouter la narration, dans les causes qui
distincte de la confirmation. Quelques rhéteurs même regardent comme
partie
du discours la proposition, que d’autres rattache
lités ? Comment se lie-t-il au reste du discours ? L’exorde est cette
partie
importante dans laquelle l’orateur tâche de dispo
e, ou composée. Si elle est composée, on la divise en ses principales
parties
, et celles-ci en leurs différents membres. Si la
îtra encore, si l’orateur sait la semer d’ornements légers dont cette
partie
du discours ne doit pas être dépourvue. On lui pe
stances. Il doit donc y avoir un accord parfait entre les différentes
parties
de la narration et celles de la preuve ; c’est ce
pte d’une bonne narration. Confirmation. La confirmation est la
partie
du discours où l’orateur prouve la proposition qu
la proposition qu’il a établie à la fin de l’exorde. De là autant de
parties
qu’il y a de membres de division dans la proposit
ion, et que chaque membre a de sous-divisions. La confirmation est la
partie
essentielle ; c’est à elle que les autres se rapp
e discours, en outre, en a un qui convient à son sujet, enfin, chaque
partie
de la confirmation doit être traitée, l’une avec
e. Il peut être assez indifférent de regarder la réfutation comme une
partie
distincte, ou de la comprendre sous le nom généra
alors il la réfute avec plus d’avantage, et il ôte à l’adversaire une
partie
de ses moyens. Dans la réfutation, on emploie l’a
tre recueilli dans le reste du discours. La péroraison est donc cette
partie
intéressante et décisive où l’orateur fait les de
ause est longue et compliquée, on trouve souvent à la fin des grandes
parties
un résumé qui rappelle en gros les moyens qu’on a
Questions. Qu’est-ce que la disposition oratoire ? — Dans quelle
partie
du discours les mœurs et les bienséances doivent-
nt, dans le discours, les preuves, les arguments ? — Quelles sont les
parties
essentielles du discours ? — Quelles sont celles
’exige la disposition est à la portée de tous, et d’ailleurs ces deux
parties
se rapportent à l’utilité de la cause ; mais l’él
s sujets extrêmement variés, et dans chaque discours il y a plusieurs
parties
dont chacune a ses tableaux et ses pensées. L’élo
inante pour chaque genre, et de plus quelque chose de propre à chaque
partie
et à chaque pensée. Celui-là seul est éloquent, d
second lieu d’une liaison aisée et naturelle qui développe toutes les
parties
de la pensée et les présente dans un ordre que l’
pre, et pour les objets physiques, on nomme figure la disposition des
parties
extérieures d’un corps ; c’est par, elle que nous
onner et d’en faire une source abondante de beautés. L’art dans cette
partie
consiste à partager le discours en un certain nom
r là qu’il y a unité dans l’ensemble, distinction et variété dans les
parties
; de là il suit que pour bien entendre cette part
variété dans les parties ; de là il suit que pour bien entendre cette
partie
importante de l’élocution, ce n’est pas assez de
streint ou étend la signification, emploie le genre pour l’espèce, la
partie
pour le tout, la matière pour la chose7 ; 4° l’An
qui auraient quelque chose ou de trop dur ou de trop commun : « Une
partie
des esclaves fut massacrée ; les autres, voyant q
s l’esprit. Voilà la marche de la nature ; ici, comme dans les autres
parties
, l’art n’a fait que l’observer et la copier ; il
qu’ils n’y sont que comme moyens secondaires, tandis qu’ils font une
partie
essentielle de la poésie. Quant à l’harmonie, on
, et par conséquent il fallait présenter à l’auditeur ces différentes
parties
avec des repos, des intervalles qui lui donnassen
s la composition même, lorsque l’orateur trouve et dispose toutes les
parties
de son sujet. Mais ce n’est que par le nombre que
ts : Abrupta et præcisa undique oratio. Questions. Quelle
partie
de la Rhétorique constitue, à proprement parler,
ctères différents. 4. De l’art oratoire ou rhétorique. — Des diverses
parties
de la rhétorique. 5. Des diverses parties du disc
rhétorique. — Des diverses parties de la rhétorique. 5. Des diverses
parties
du discours. 6. Quelles sont, parmi les règles de
s, incapables de la vraie inspiration. Ainsi la versification est une
partie
considérable de l’art des vers. Ce n’est qu’un in
ile, brillant peut-être, comme Delille ; mais ce n’est que la moindre
partie
du poëte. Les innovations même et les hardiesses
vrai appliqué au jugement des arts. Chez les anciens, elle était une
partie
de la Rhétorique. La critique moderne a parlé, da
hateaubriand. IV. De l’art oratoire ou rhétorique. — Des diverses
parties
de la Rhétorique. I. De l’art oratoire.
t par intérêt, il faudrait accuser la Providence. II. Des diverses
parties
de la Rhétorique. 1° Division de la Rhétoriqu
la Rhétorique. — Tous les rhéteurs ont divisé la Rhétorique en trois
parties
qui correspondent au triple travail de l’intellig
L’action est la traduction du discours par la voix et le geste. Cette
partie
a perdu pour nous de son importance. L’action des
nsible à son influence. Elle est même, pour quelques privilégiés, une
partie
considérable du talent. « Que faut-il, dit Buffon
de la main et aux mouvements des doigts. La Mémoire était encore une
partie
accessoire de la Rhétorique, élevée au rang d’une
sous le nom de Mnémonique, d’études longues et minutieuses. Ces deux
parties
de la Rhétorique ancienne sont pour nous une curi
persuadent en communiquant les sentiments et les émotions. Première
partie
de l’Invention : Les Preuves. — Aristote renferma
, C’est ce qu’on nomme crime, et ce qu’il a puni. L’Énumération des
parties
. — L’Énumération, qui a quelque rapport avec la D
utes les faces du sujet, toutes les circonstances du fait, toutes les
parties
de l’idée, Fléchier, dans l’exorde de l’ Oraison
étien éclairé des lumières de la foi, etc. » (Or. fun. de Turenne, 1°
partie
.) 7° Les choses qui répugnent prouvent en montra
idées ou deux faits sont incompatibles. Ce lieu commun est aussi une
partie
de la justification d’Hippolyte. Seigneur, je cr
.... Utilité des lieux communs. — Nous nous sommes étendu sur cette
partie
de l’Invention, pour faire voir qu’elle n’est pas
s’acquiert pas dans les écoles, et s’apprend toute la vie. Deuxième
partie
de l’Invention. Les Mœurs. — Les preuves rendent
que oiseau. (La Fontaine, liv. IX., fable ii.) Ces qualités sont une
partie
considérable, sinon le fond même, du ton et des c
our l’éducation de l’intelligence et le progrès du talent. Troisième
partie
de l’Invention. Les Passions. — « On sait, dit
plus énergiques et des coups toujours plus rudes. V. Des diverses
parties
du discours. Deuxième partie de la Rhétoriqu
rs plus rudes. V. Des diverses parties du discours. Deuxième
partie
de la Rhétorique : disposition — La Disposition r
ience et aux nécessités du sujet. Les rhéteurs anciens comptaient six
parties
du discours : Exorde, Proposition et Division, Na
ons pas besoin d’une division si complète et si minutieuse. Aussi les
parties
du discours se réduisent-elles pour nous à trois
rde, la confirmation et la conclusion ou péroraison. Les trois autres
parties
, qui peuvent devenir utiles ou même nécessaires,
a son exposition. Si court et si simple qu’il soit, l’exorde est une
partie
essentielle. Lors même que l’orateur ou l’écrivai
rafraîchit leur attention, dit Quintilien, en leur montrant à chaque
partie
des repos déterminés ; de même que dans une longu
dessèchent et gênent le discours ; elles le coupent en deux ou trois
parties
qui interrompent l’action de l’orateur et l’effet
é de l’Église. Elle est belle et une dans son tout, c’est ma première
partie
, où nous verrons la beauté de tout le corps de l’
e corps de l’Église ; belle et une en chaque membre, c’est ma seconde
partie
, où nous verrons la beauté particulière de l’Égli
lle et une et d’une beauté et d’une unité durables, c’est ma dernière
partie
, où nous verrons dans le sein de l’unité catholiq
arration. — La Narration est le récit des faits. Elle n’est guère une
partie
nécessaire du discours que dans le genre judiciai
ours, la narration, qui devient un moyen de persuasion et presque une
partie
de la preuve, est soumise à certaines conditions,
par madame de La Fayette. 4° Confirmation. — La Confirmation est une
partie
essentielle du discours : elle en est le corps et
es cités plus haut, que les lieux communs, tels que l’énumération des
parties
, la définition, etc., sont des moyens d’amplifica
ste à détruire les arguments d’un adversaire, n’est en réalité qu’une
partie
de la confirmation. Réfuter la thèse contraire, c
s, on affirme la vérité d’une analyse, d’une énumération où certaines
parties
de la question ont été omises. Le brillant dilemm
répliques éloquentes. 6° Péroraison. — La Péroraison est la dernière
partie
du discours. La vérité est démontrée ; il faut co
incipaux, et entraîner par un dernier effort du sentiment. De là deux
parties
dans la Péroraison. 1° La Récapitulation ou Concl
re à l’art oratoire est l’ancienne division de la Rhétorique en trois
parties
. Cette division est commune à tous les arts, et e
attachée à ce nom, croira-t-on que la définition et l’énumération des
parties
conviennent uniquement aux brillants passages de
juge des événements, il ne discute ni ne plaide. Mais il est d’autres
parties
de l’art oratoire où il trouve son enseignement e
e que ces mœurs et ces passions classées dans la rhétorique comme une
partie
de la science. On nous répondra peut-être que le
ue se prouvent assez toutes seules. Élocution. — Reste une troisième
partie
de l’art oratoire, que nous n’avons pas traitée e
udierons les caractères et les principes, nous expliquerons à quelles
parties
de la littérature se rapportent ces règles de la
e style dont il convient de se servir en faisant un rapport. « Cette
partie
, dit-il, est d’un usage bien plus fréquent, puisq
u d’écrits : l’ ordre d’invention où le génie trouve et détermine les
parties
principales et les grandes vues du sujet ; où il
inanimés, et leur donne la couleur, le mouvement et la vie. C’est la
partie
de l’art oratoire qu’on appelle l’Élocution ou le
de l’art oratoire qu’on appelle l’Élocution ou le style, la troisième
partie
de la Rhétorique. L’Élocution, comme son nom l’i
lui de Corneille, de Racine, de Molière et de La Fontaine, il est des
parties
qui peuvent servir à l’usage même ordinaire de la
ypocrite raffiné autant qu’habile politique, etc. » Toute la première
partie
du Discours sur l’Histoire universelle est un mod
hoquantes ; celle des phrases, qui dispose et met en ordre toutes les
parties
de la pensée ; enfin, l’harmonie imitative, qui e
l aide lui-même à se tromper ? » (Sermon sur l’Impénitence finale, 2e
partie
). La Fontaine a dit : Ce chien-ci donc, étant d
court et sa mort fut affreuse. » (Disc. sur l’Hist. universelle, 1re
partie
, IIe époque.) Ainsi parlent Polyeucte et Néarque
à ses ennemis et à l’empire. » (Disc, sur l’Histoire universelle, Ire
partie
, Xe époque.) Mithridate peint les Romains enric
— comme le plus malheureux. » (Discours sur l’Hist. universelle, IIe
partie
, chap.1er.) « Restait cette redoutable infanter
ent de l’ampleur et du nombre. D’autres genres littéraires, certaines
parties
de l’éloquence elle-même, comme le récit, la disc
ne logique, d’une vigueur, d’un éclat si surprenant, ne furent qu’une
partie
de cette vie prodigieuse. Le Discours sur l’Histo
surtout grâce à la construction habile de la période, où la première
partie
de la pensée se développe à l’aise et par d’ample
dence que subissent fatalement toutes les grandeurs, il en perdit une
partie
. « Un pénétrant et judicieux écrivain, l’abbé Du
s principales figures de pensées et de mots. Les Figures sont une
partie
très-importante de l’Élocution, et ont beaucoup e
rophe, et l’Exclamation. 1° Interrogation. — Elle prend l’auditeur à
partie
par des questions vives et pressantes ; elle trad
nèbre de Henriette d’Angleterre. 17° Concession. — Elle accorde à la
partie
adverse ses assertions, mais pour en tirer avanta
coup à la beauté du style. L’Ellipse (ou retranchement) supprime une
partie
des mots, pour rendre l’expression plus vive. «
fausse image de liberté. » (Bossuet, Panégyrique de saint André, 1re
partie
.) Souvent l’allégorie sous-entend et laisse devi
on à ne nommer les choses que par les termes les plus généraux. La
partie
pour le tout, et quelquefois le tout pour la part
s généraux. La partie pour le tout, et quelquefois le tout pour la
partie
: trente voiles, cent feux, mille chevaux. « To
quelques-uns nous engageaient à donner plus d’étendue à notre seconde
partie
. Néanmoins nous avons été sobre de développements
égularité et de l’ensemble, et qui soit irréprochable dans toutes ses
parties
. L’expérience prouve que, sans la connaissance de
lles qui s’appliquent aux divers genres d’éloquence. Dans la première
partie
de ce Traité, nous parlerons des règles générales
es principes appliqués à chaque genre, on a donné quelquefois à cette
partie
le nom d’éloquence. Dans ce dernier cas, l’éloque
me un art, ou un recueil de préceptes. (Voir le nº ii.) Première
partie
. Règles générales de rhétorique 16. Les règles
ue 16. Les règles générales de rhétorique se divisent en autant de
parties
que l’orateur a d’opérations à faire. Or, quelque
quid dicat, et quo quidque loco, et quo modo (Orat. 43). De là trois
parties
dans la rhétorique : l’invention, la disposition
dus ordo. Nous allons parler, dans trois sections, de chacune de ces
parties
. Première section. De l’invention3. 18. L’in
Première section. De l’invention3. 18. L’invention oratoire est la
partie
de la rhétorique qui enseigne à trouver les matér
eur pour appuyer la vérité qu’il veut démontrer. 23. La preuve est la
partie
fondamentale du discours, et c’est par là que l’é
ntrinsèques sont au nombre de huit : la définition, l’énumération des
parties
, le genre et l’espèce, la cause et l’effet, la co
urs : ce qu’il aime est fragile ! (Lamartine.) 32. L’énumération des
parties
consiste à parcourir les différentes parties d’un
.) 32. L’énumération des parties consiste à parcourir les différentes
parties
d’un tout ou les principaux aspects d’une idée po
ilà l’idée générale ; en voici le développement par l’énumération des
parties
: Il donne aux fleurs leur aimable peinture
a définition, par la division du genre en ses espèces, du tout en ses
parties
, par les similitudes et les différences, par les
incomplète. Vous avez considéré dans un tout un certain nombre de ses
parties
, et vous en tirez une conclusion générale, mais v
circonstances et l’auditoire . 105. Rien de plus important que cette
partie
de l’art oratoire. La qualité la plus nécessaire,
e sujet est extrêmement vaste et s’étend pour ainsi dire à toutes les
parties
de la rhétorique. 106. S’il est difficile, dit Ci
ème faculté doit dominer dans l’orateur et se montrer dans toutes les
parties
du discours : elle donne à tout le reste son prix
uxième section. De la disposition15. 151. La disposition est cette
partie
de la rhétorique qui apprend à mettre dans un ord
x. Elle distribue d’abord une composition oratoire en ses principales
parties
, et en second lieu elle place convenablement les
ace convenablement les pensées qui doivent entrer dans chacune de ses
parties
. Cette dernière opération se rapporte à ce qu’on
u’on appelle plan du discours. Nous parlerons donc 1º des différentes
parties
du discours, 2º du plan du discours. Chapitre p
discours, 2º du plan du discours. Chapitre premier. Des différentes
parties
du discours. 154. Un discours peut renfermer j
s parties du discours. 154. Un discours peut renfermer jusqu’à six
parties
différentes : l’exorde, la proposition, la narrat
n, la confirmation, la réfutation et la péroraison. Cependant ces six
parties
ne se rencontrent pas dans tous les discours. La
. C’est la nature et la raison qui ont fixé le nombre et la place des
parties
du discours. En effet, dit Cicéron, la nature nou
sion convenable. Or, suivre cette marche, c’est employer les diverses
parties
dont nous venons de parler et dans l’ordre que no
er et dans l’ordre que nous venons de tracer. 156. La disposition des
parties
du discours est régulière ou irrégulière. On l’ap
son Plaidoyer pour Milon. Nous allons parler successivement de chaque
partie
du discours, en suivant l’ordre marqué par la dis
i tant de justes promesses, il est écrit : Ecouter également les deux
parties
; c’est-à-dire non seulement n’avoir rien préjugé
idicule de vouloir à tout prix morceler cette pensée en deux ou trois
parties
. D’un autre côté, il y a des matières où la liais
dans les causes judiciaires, et alors la narration fait vraiment une
partie
distincte qui a ses règles à part. C’est là propr
ance et l’intérêt. 188. La clarté, qui est nécessaire dans toutes les
parties
, l’est surtout dans la narration, parce que c’est
ticle quatrième. De la confirmation19. 192. La confirmation est la
partie
du discours où l’orateur prouve la vérité qu’il a
comme le corps et la substance de tout le discours. Toutes les autres
parties
lui sont subordonnées, et elles n’ont de prix qu’
médiaires dont on se sert pour passer d’une preuve à une autre, d’une
partie
du discours à une autre partie, s’appellent trans
passer d’une preuve à une autre, d’une partie du discours à une autre
partie
, s’appellent transitions. Les transitions sont co
t transitions. Les transitions sont comme le nœud qui sert à lier des
parties
différentes, ou plutôt elles ressemblent à un pon
temps l’avait infecté. 204. Voulez-vous lier étroitement toutes les
parties
d’un discours, méditez profondément votre sujet,
on ; elle la développe, la grossit, l’embellit, et en rend toutes les
parties
plus fortes et plus saillantes. Tandis que le phi
n outre, on amplifiera aussi par la définition, par l’énumération des
parties
, par les causes et les effets, par les rapprochem
Article cinquième. De la réfutation21. 221. La réfutation est la
partie
du discours où l’orateur détruit les raisons cont
l’adversaire. Dans tous les cas, il est certain qu’elle ne forme une
partie
distincte que dans les plaidoyers et les mémoires
est la conclusion ou le couronnement du discours. Dans cette dernière
partie
, l’orateur a d’ordinaire deux devoirs à remplir :
tation et la péroraison, voir non seulement l’ordre et la liaison des
parties
, mais encore les éléments que renferme chacune d’
sujet dans son ensemble, pour en découvrir d’un coup d’œil toutes les
parties
, les combiner, les comparer, les faire rentrer to
e, sans rester en deçà ni aller au-delà ; il est net quand toutes les
parties
sont claires, distinctes et sans confusion ; il e
244. Pour qu’il y ait proportion dans le plan, il faut que toutes les
parties
du discours soient en harmonie et qu’elles reçoiv
op resserrés. C’est aussi un défaut de s’étendre outre mesure sur une
partie
et de passer légèrement sur les autres. Dans ses
s cette irrégularité. 245. Il y a unité dans le plan quand toutes les
parties
, malgré leur multiplicité, tendent au même but et
connaître la solidité des preuves et des pensées qui composent chaque
partie
: il sera très utile aux élèves de décomposer ain
roisième section. De l’élocution. 248. L’élocution oratoire est la
partie
de la rhétorique qui apprend comment il faut expr
rsonne. À l’exemple de Cicéron, nous réunirons donc ensemble ces deux
parties
; et puisque l’orateur a deux moyens de communiqu
t l’a fait appeler Éloquence. 251. Nous nous arrêterons peu sur cette
partie
, parce qu’il est aujourd’hui d’usage de traiter d
art de vos preuves ; interrogez-le, attendez sa réponse ; prenez-le à
partie
, accusez-le, anéantissez ses excuses les plus séd
l n’est pas facile d’assigner le genre de style qui convient à chaque
partie
du discours. En général, le style simple s’emploi
its ; le style tempéré convient ordinairement à l’exorde, à certaines
parties
de la confirmation, et au discours tout entier da
métaphysique et abstrait. Si vous voulez toucher le cœur, parlez à la
partie
sensible de l’âme humaine, peignez les objets rée
le sens et de faire sentir la force et la beauté d’un discours. Cette
partie
de l’art oratoire, qui est sans contredit une des
ssion, dit Batteux, pas un mouvement de chaque passion, pas une seule
partie
de ce mouvement qui n’ait son geste et son ton pa
it plus que le discours même le plus éloquent. Mais il a lui-même une
partie
dominante : ce sont les yeux. Ardents et enflammé
précéder quelquefois et ne la suivre jamais. Puisque le geste est une
partie
du langage, il faut qu’il marche d’accord avec le
les rapports habituels qu’on a avec les autres hommes. Deuxième
partie
. Règles particulières de rhétorique ou éloquence.
(Doct. chr.). Ces trois devoirs s’accordent exactement avec les trois
parties
de l’invention dont nous avons parlé précédemment
mier. De l’homélie32. 325. L’homélie est une explication de chaque
partie
de l’Épître ou de l’Évangile, d’où l’on tire des
icateur doit observer les règles qui ont été données dans la première
partie
. Il se souviendra surtout que l’exorde d’un sermo
primé en deux ou trois mots. 334. Nous avons indiqué dans la première
partie
les diverses opinions des rhéteurs sur l’usage de
nnaître. 336. La péroraison d’un sermon peut renfermer jusqu’à quatre
parties
: une courte récapitulation des vérités contenues
x saints pour obtenir la grâce ou la vertu dont il s’agit. Ces quatre
parties
ne se rencontrent pas dans toutes les péroraisons
une morale puisée dans l’ensemble de la vie du héros, et, du moins en
partie
, appuyée sur son éloge. 350. Le premier devoir de
sible qu’utile au bonheur de la société. 355. Nous diviserons en deux
parties
les observations que nous allons faire sur l’éloq
il s’attachera ensuite à une spécialité, et saura la place que cette
partie
occupe dans l’ensemble. La statistique, l’histoir
à influencer ses collègues : mais il ne doit plaider pour aucune des
parties
, il n’est point avocat. 390. On appelle conclusio
ens de la cause et les arguments apportés pour et contre par les deux
parties
adverses. Ces résumés exigent beaucoup de clarté,
nt surtout cette noble impartialité qui présente les raisons des deux
parties
, sans omettre ni affaiblir celles qui lui paraiss
elle traverse les murs des palais » (Voir le nº xxxix). Troisième
partie
. Citations et modèles I. De la vraie éloquen
se sont rencontrés, et plus grands tous ensemble, si ce n’est chaque
partie
prise à part, que l’homme, l’éloquence, la gloire
ctions et de révoltes gagna le cœur de l’État et se répandit dans les
parties
les plus éloignées. Les passions ; que nos péchés
élégance dans cette distribution qui comprend en trois mots les trois
parties
du premier motif ! Fides, pour le traité ; religi
º elle est glorieuse ; 3º elle est nécessaire. Confirmation. Première
partie
. La religion chrétienne est raisonnable. Subdivi
ur le témoignage de la foi de l’univers entier. Conclusion de la 1re
partie
: Donc la religion chrétienne est raisonnable. De
la 1re partie : Donc la religion chrétienne est raisonnable. Deuxième
partie
. La religion chrétienne est glorieuse. Subdivisio
lorieuse carrière peut être ouverte devant lui ? Conclusion de la 2e
partie
: Donc la religion chrétienne est glorieuse. Troi
e la 2e partie : Donc la religion chrétienne est glorieuse. Troisième
partie
. La religion est nécessaire. Subdivision. 1º Parc
épendante des lieux, des temps, des hommes, etc. Conclusion de la 3e
partie
: Donc la religion chrétienne est nécessaire. Con
is de Sales, par la force de sa douceur, a triomphé de l’hérésie (1re
partie
). François de Sales, par l’onction de sa douceur,
es, par l’onction de sa douceur, a rétabli la piété dans l’Église (2e
partie
). Première partie. François de Sales, par la for
e sa douceur, a rétabli la piété dans l’Église (2e partie). Première
partie
. François de Sales, par la force de sa douceur, a
évères, soyons-le plus pour nous-mêmes que pour les autres. Deuxième
partie
. François de Sales, par l’onction de sa douceur,
Elle doit présider ensuite à l’ordre et à l’arrangement de toutes les
parties
du plaidoyer. Une méthode claire est de la plus g
e tranquille pour jamais. Songez qu’il était mort, et qu’il avait une
partie
du cœur emportée. On crie, on pleure ; M. d’Hamil
e ? 15. Comment se divisent les préceptes de rhétorique ? Première
partie
. Règles générales de rhétorique. 16. Comment s
la définition philosophique ? 32. En quoi consiste l’énumération des
parties
? 33. Que faut-il entendre par le genre et l’espè
e-t-elle pas deux objets principaux ? 154. Combien peut-il y avoir de
parties
dans un discours ? 155. Sur quoi se fondent le no
dans un discours ? 155. Sur quoi se fondent le nombre et la place des
parties
du discours ? 156. N’y a-t-il pas deux sortes de
-il difficile ? 204. Que faut-il faire pour bien enchaîner toutes les
parties
d’un discours ? 205. Où brille surtout le talent
21. Qu’est-ce que la réfutation ? 222. La réfutation forme-t-elle une
partie
distincte de la confirmation ? 223. Peut-on assig
Quel rapport y a-t-il entre les trois genres de style et les diverses
parties
du discours ? 259. Quel est l’avantage de la vari
? 295. Comment doit-on se former au geste et à l’action ? Deuxième
partie
. Éloquence. 296. Quelle est l’importance des p
observer sur le corps du discours dans le sermon ? 336. De combien de
parties
peut se composer la péroraison ? 337. De quelle m
2-176, Quintilien, Instit. orat., l. V, ch. x ; Crevier, Rhétor., 1re
partie
, ch. i, sect. 1 ; Batteux, Genre oratoire, ch. ii
P. de Boylesve, Éloquence, sect. II, ch. i ; Leclerc, Rhétorique, 1re
partie
, ch. ii. 5. Auteurs à consulter : Quintilien, In
tel, Élém. de littér., art. Preuves ; Crevier, Rhétor. française, 1re
partie
, ch. i, sect. iii ; Logique de Port-Royal, 3e par
. française, 1re partie, ch. i, sect. iii ; Logique de Port-Royal, 3e
partie
, ch. xvii. 6. Auteurs à consulter : Logique de P
partie, ch. xvii. 6. Auteurs à consulter : Logique de Port-Royal, 3e
partie
, ch. i, ii, iii, ix, x, xiv, xv et xvi ; Bossuet,
que, Invention I. 7. Auteurs à consulter : Logique de Port-Royal, 3e
partie
, ch. xix et xx ; Geruzez, Cours de littérature, a
et xx ; Geruzez, Cours de littérature, art. Éloquence. v. Leclerc, 2e
partie
, v. 8. Auteurs à consulter : Aristote, l. II, no
xiii ; Marmontel, Éléments de littérature, art. Mœurs ; Crevier, 1re
partie
, ch. iii; Boileau, Art poétique, 3e chant. 10. A
§ vii ; Crevier, 1re part., ch. iii ; Girard, ch. v ; v. Leclerc, 1re
partie
., ch. iii. 13. Auteurs à consulter : Cicéron, De
on, De Orat., l. II. 326-330 ; Quintilien, l. IV, c. ii ; Crevier, 2e
partie
, ch. I, art. ii ; Blair, 4e partie, leç. xxxi ; M
tilien, l. IV, c. ii ; Crevier, 2e partie, ch. I, art. ii ; Blair, 4e
partie
, leç. xxxi ; Marmontel, art. Narration ; Leclerc,
Blair, 4e partie, leç. xxxi ; Marmontel, art. Narration ; Leclerc, 2e
partie
, art. iii ; Lefranc, Rhétorique, ch. ii. 19. Aut
116-120 ; Quintilien, l. V, c i-xii ; Blair, leç. XXXI; Crevier. 2e
partie
, ch. i, art. iii ; Girard. l. II, ch. iv ; le P.
er : Quintilien, l. v, c. xiii ; Girard, l. II, ch. vii ; Leclerc, 2e
partie
, art. v ; le P. Broeckaert, 5e part., 2e sect., c
ce, Batteux, Genre orat., sect. iii ; Maury, ch. xxxv-l ; Crevier, 3e
partie
; Girard, Rhétorique, l. III. 25. Voir notre Cou
9 ; Maury, ch. lxxiii-lxxv ; Marmontel, art. Pathétique ; Crevier, 3e
partie
, ch. iv. 27. Auteurs à consulter : Cicéron, De O
l. XI, c. iii ; Batteux, sect. iv ; Blair, leç. xxxiii ; Crevier, 5e
partie
; Maury, lxxiv ; Lefranc, Rhétorique. ch. iv ; Pr
Rhétorique. ch. iv ; Principes de déclamation, par le P. Champeau, 2e
partie
Hamon. Traité de la prédication, 1 I, ch. ii. 29
eurs, l. I, ch. x ; Bautain, Étude sur l’art de parler en public, 1re
partie
, ch. iv ; Hamon, l. I, 2e partie ; Principes de d
e sur l’art de parler en public, 1re partie, ch. iv ; Hamon, l. I, 2e
partie
; Principes de déclamation, 3e partie. 30. Auteu
artie, ch. iv ; Hamon, l. I, 2e partie ; Principes de déclamation, 3e
partie
. 30. Auteurs à consulter : saint Augustin, De Do
mes sur le ministère de la chaire, 2e part., ch. i ; Hamon, l. II, 2e
partie
, ch. iii ; Audisio, Leçons d’éloquence sacrée, t.
loquence ; Besplas, Essai sur l’éloquence de la chaire ; Gaichiès, 2e
partie
, ch. i ; Audisio, t. II, leç. ii et iii ; Hamon,
iv ; l’abbé Mullois, ch. iv. 34. Auteurs à consulter : Gaichiès, 2e
partie
, ch. ii-xxi ; Maury, Essai, v-xii ; Pastoral de L
2e partie, ch. ii-xxi ; Maury, Essai, v-xii ; Pastoral de Limoges, 2e
partie
, ch. i-iv ; Hamon, l. II, 2e part., ch. i ; l’abb
ittérateur, 3e sect., ch. iv. 35. Auteurs à consulter : Gaichiès, 2e
partie
, ch. i, nºs 3 et 8 ; l’abbé Marcel, Chefs-d’œuvre
sthènes et Mirabeau ; Cormenin, Livre des orateurs, toute la première
partie
; Laurentie, De l’Étude et de l’enseignement des
Cours de littérature, l. II, ch. iii ; Amar, Cours de rhétorique, 1re
partie
; Cormenin, Livre des orateurs, 2e part. ; Villem
judiciaire. 42. Auteurs à consulter : Cormenin, Livre des orateurs,
partie
: Napoléon Bonaparte ; Lefranc, Éloquence écrite,
Chapitre V. De la disposition. La disposition est cette
partie
de la rhétorique qui apprend à mettre dans un ord
si vous ne savez les unir ? Dans le corps humain, si vous mettez une
partie
à la place d’une autre, quoique le reste demeure
an. On appelle plan l’ordre dans lequel on dispose les différentes
parties
d’un ouvrage ou d’une composition. Il n’y a pas d
comprend sans peine la marche des idées, voit avec plaisir toutes les
parties
s’enchaîner et se déployer sans confusion. Il con
nieux. La division a pour but d’éviter les redites, et d’empêcher les
parties
de se confondre et de rentrer les unes dans les a
les ouvrages même les moins importants, il y a un art de combiner les
parties
qu’il ne faut pas négliger : l’ode, l’élégie, l’é
t à l’employer dans toute son étendue. Un discours peut renfermer six
parties
; l’exorde, la proposition, la narration, la conf
aiter. Quand le sujet est compliqué, il faut le partager en plusieurs
parties
que l’on développe séparément ; c’est l’objet de
celui de pardonner. » 4° Confirmation. La confirmation est la
partie
où l’on prouve la vérité que l’on a annoncée dans
ennemie ; gagne dix batailles, en perd une, et la perd, parce qu’une
partie
de ses troupes disparaît au commencement de l’act
en faire l’analyse, examiner le plan, la marche, la distribution des
parties
: ce travail sera d’une grande utilité pour l’int
voulait aux moines. Ils étaient accusés de priver la population d’une
partie
de ce qui devait lui revenir, et, quoique cette a
nt que le moment où vous aurez prononcé l’arrêt fatal que mon adverse
partie
sollicite, pour entrer en campagne et venir s’éta
n parle des rats. » Colnet. 1. Nous indiquons, dans la seconde
partie
de l’ouvrage, le plan qui confient spécialement à
e ne convient guère qu’aux professeurs et à ceux qui s’occupent de la
partie
purement didactique de l’art. Un bon ouvrage sur
s du jour un nouveau degré de considération. Dans ce siècle où chaque
partie
des sciences reçoit une nouvelle impulsion, où l’
leurs bonnes et mauvaises qualités ; elle nous fait pénétrer dans la
partie
la plus précieuse de la philosophie, je veux dire
e convaincre de cette vérité, il suffit d’observer que la plus grande
partie
des productions du génie n’est qu’une imitation d
qui cependant se laisse aller quelquefois au torrent. Cette dernière
partie
du public se dégage la première de ces préjugés ;
ales, des cubes, des parallélogrammes proportionnés dans toutes leurs
parties
, et qui, à raison de leurs formes simples, sont p
source du beau est celle qui naît de la convenance ou du rapport des
parties
; si nous examinons une plante, nous remarquons u
nt entièrement de l’art admirable qui a dirigé vers un but unique des
parties
si diversifiées et si compliquées. C’est le même
nous dirige à l’aspect d’un portique, d’une colonnade dont toutes les
parties
sont bien proportionnées ; mais quels que fussent
i Aristote, dans sa Poétique, considère-t-il l’harmonie comme une des
parties
les plus essentielles de la tragédie. Il en est d
ns quelques circonstances le récitatif et la pantomime formaient deux
parties
distinctes, ce qui présenterait aujourd’hui un ét
ves à cet objet au moyen de quelques observations sur les différentes
parties
dont le langage ou le discours est composé. Le pr
scours est composé. Le premier objet à considérer est la division des
parties
du discours. Ces parties essentielles sont les mê
emier objet à considérer est la division des parties du discours. Ces
parties
essentielles sont les mêmes dans toutes les langu
. La division grammaticale la plus usitée est celle qui attribue huit
parties
au discours, le nom, le pronom, le verbe, le part
isqu’elle sépare du verbe le participe, qui n’est qu’un mode de cette
partie
du discours, elle est néanmoins la plus usitée, e
ue l’on est parvenu â ce but ; je veux dire, par l’invention de cette
partie
du discours nommée article. Nous avons en françai
pût considérer ces qualités abstractivement ; on a voulu en faire une
partie
, un accessoire des substantifs qu’ils servent à d
Condillac, chapitre v.) Parmi toutes les classes de mots qui dans les
parties
du discours désignent un attribut, la plus comple
es modes sont affirmatifs. C’est ce qui distingue le verbe des autres
parties
du discours. Il ne peut exister de phrase sans un
diverses époques de l’action ; si le verbe avait été divisé en trois
parties
seulement, le présent, le passé ou prétérit, et l
il, il en résulte ce que l’on appelle la conjugaison du verbe, cette
partie
si importante de la grammaire de toutes les langu
re de toutes les langues. J’ai suffisamment prouvé que, de toutes les
parties
du discours, le verbe est ce qu’il y a de plus co
et perdirent en vivacité ce qu’elles gagnèrent en clarté. Les autres
parties
du discours, qu’on appelle parties indéclinables,
es gagnèrent en clarté. Les autres parties du discours, qu’on appelle
parties
indéclinables, c’est-à-dire qui n’admettent pas d
conlocution composée de deux ou plusieurs mots appartenant aux autres
parties
du discours. Ils ont ordinairement la valeur d’un
ans ce lieu même. Les adverbes peuvent donc être considérés comme des
parties
moins nécessaires et d’une formation plus récente
onctions sont des mots plus essentiels au discours que la plus grande
partie
des adverbes. Elles forment cette classe de mots
fs, qui concourent aussi à ce même but, de lier ensemble les diverses
parties
du discours. C’est l’emploi plus ou moins heureux
lus de précision ; bien plus, dans une même composition, les diverses
parties
peuvent requérir des genres variés ; mais nous de
d’unité pour la rendre agréable, et si la liaison entre les diverses
parties
est toujours nécessaire, il est, d’autre part, in
t les liens et les supports de la phrase, et conséquemment une grande
partie
de sa force et de sa grâce dépend de l’emploi de
cs et les Latins avaient un avantage considérable sur nous dans cette
partie
du style. L’extrême liberté que leur langue leur
t le plus propre à terminer la période et à entrer dans quelque autre
partie
de la phrase, et ils laissaient beaucoup au jugem
est la chute ou la cadence de toute la période, parce que c’est cette
partie
qui affecte plus sensiblement l’oreille ; aussi Q
art des écrivains. J.-J. Rousseau me paraît être un modèle dans cette
partie
de l’art. Toutefois il ne faut pas qu’un amour dé
viendra jamais à tous les genres de composition, ni même aux diverses
parties
du même ouvrage. Il serait trop absurde d’écrire
me et pompeux, vif et pressé, coupé et syncopé, varié dans toutes ses
parties
, suivant la diversité des sentiments exprimés, de
riger le choix avec convenance. La deuxième, c’est que, quoique cette
partie
du style mérite notre attention et soit un objet
fuit Ilium et ingens gloria Dardanidum . Si le tout est mis pour la
partie
, ou la partie pour le tout, si le genre est pris
t ingens gloria Dardanidum . Si le tout est mis pour la partie, ou la
partie
pour le tout, si le genre est pris pour l’espèce,
s les autres ensemble, et la prose et les vers lui doivent une grande
partie
de leur élégance ; elle mérite donc un profond ex
le figuré, et ne construisez jamais une période de telle sorte qu’une
partie
soit métaphorique et l’autre littérale, ce qui pr
hercher à en former un tableau, et de considérer comment les diverses
parties
s’accommoderaient, et quelle espèce de figure le
est un de ces grands ornements qui ne peut trouver place que dans les
parties
les plus vives et les plus brûlantes de la compos
’un discours oratoire ; chacun aperçoit également que les différentes
parties
de la même composition requièrent de la variété d
un sermon, la péroraison, par exemple, demande plus de chaleur que la
partie
didactique. Ce que je veux faire observer, c’est
diffus en employant toujours des phrases courtes, si une très petite
partie
de sentiment est, pour ainsi dire, délayée dans c
tés du style. Trop d’attention à la force et de négligence aux autres
parties
donnent à l’auteur un caractère de rudesse, qui r
e la simplicité est le caractère que l’auteur affecte dans toutes les
parties
de sa composition, l’importance du sujet et une g
double sens, le mot simplicité, soit qu’on l’oppose à la variété des
parties
ou à l’affectation de la pensée, n’a plus de rapp
à chacun de ces genres, la distribution et l’ordonnance de toutes les
parties
d’un discours. Mais, avant d’entamer ce sujet, il
natale, et ses traits furent gravés sur la monnaie. Dans la dernière
partie
de sa vie, il alla s’établir à Athènes, où il véc
t ses principaux discours, et qui, sans contredit, doivent une grande
partie
de leur mérite à la noblesse du sujet, à l’honneu
de ses discours, et spécialement dans ceux composés dans la première
partie
de sa vie, il y a trop d’art ; il le pousse même
e a été si humble et si limitée dans ses efforts. D’abord, on peut en
partie
en attribuer la cause aux entraves que les mœurs
s Guadet, les Gensonné, les Rabaut-Saint-Étienne, qui gouvernaient la
partie
la moins fougueuse de l’assemblée, cette fameuse
e simples mémoires destinés à être mis sous les yeux des juges et des
parties
, et que ses plaidoyers étaient bien supérieurs à
il trouvait les principaux ressorts dans son âme, que l’action, cette
partie
si importante et si puissante de l’art oratoire,
hoisir ses positions. Mais dans le cours des discussions, lorsque les
parties
s’animent, des discours de cette espèce deviennen
l’argumentation en général, que celui qui s’arrête à la beauté d’une
partie
quelconque de la composition ; relativement au su
bientôt des règles, de la méthode et de la distribution des diverses
parties
d’un discours. Considérons maintenant le style et
partialité ; je me mets successivement à la place du défenseur, de la
partie
adverse, et du juge. » Il gourmande très sévèreme
ers tombe bientôt. Les spectateurs observent, les juges décident, les
parties
veillent ; et l’affluence des clients suivra touj
que nous nions, et où commence la ligne de division entre nous et la
partie
adverse. On doit ensuite retrouver cette clarté d
te retrouver cette clarté dans l’ordre et l’arrangement de toutes les
parties
du discours. Dans toute espèce d’oraison, une mét
parlerai par la suite avec quelques détails lorsque je traiterai des
parties
intégrantes d’un discours régulier. Je me bornera
il présente, et rend plus durable l’impression qu’il produit. Dans la
partie
argumentative, j’accorderais volontiers au barrea
oduire un avocat qui paraît si loyal et si pénétrant. Il n’y a pas de
partie
du discours où l’orateur puisse montrer une plus
age d’ornements, l’oubli de soi-même pour ne plus s’occuper que de sa
partie
, sont, en résumé, les qualités et les devoirs de
’établirai bientôt les règles relatives à la disposition des diverses
parties
du discours, et à leurs principes constituants ;
tte expression un point unique auquel doivent se rapporter toutes les
parties
du discours ; je permets de former un faisceau de
expression dans un sens trop étroit ; elle admet quelque variété, des
parties
secondaires et accessoires, pourvu que l’on conse
plication, ou ce qui a une relation immédiate à la pratique, avec les
parties
didactiques et doctrinales du sermon. Il est égal
ieux mon propre cœur. » Construction du discours dans toutes ses
parties
. Introduction, narration, explication. J’
C’est la nature elle-même qui semble nous indiquer cette marche. Les
parties
constituantes d’un discours régulier ou d’apparat
narration ou explication, l’argumentation pour établir ou réfuter, la
partie
pathétique, et la péroraison. Je ne prétends pas
hétique, et la péroraison. Je ne prétends pas dire que chacune de ces
parties
doive entrer dans tout discours public, ou qu’ell
et guindé. Un discours peut être excellent, quoique plusieurs de ces
parties
manquent entièrement ; l’orateur, par exemple, pe
haque côté de la question, et terminer immédiatement ; mais comme les
parties
que j’ai mentionnées sont les éléments naturels d
régulier, et que, dans toute espèce de discours, quelques-unes de ces
parties
existent nécessairement, il est indispensable de
tre puisés dans la situation particulière où se trouve l’avocat ou la
partie
, ou dans le caractère et la conduite de ses antag
t de l’exorde, je vais offrir quelques règles de composition de cette
partie
du discours. Elles sont d’autant plus nécessaires
ois ajouter qu’un bon exorde est souvent un travail difficile. Peu de
parties
du discours donnent à l’auteur plus de peine et d
cun rapport spécial avec le sujet qu’on traite. Elle paraît alors une
partie
détachée du discours ; tel est, en général, le vi
xité nécessaire avec le sujet. Cicéron, quoique très correct en cette
partie
, dans ses Oraisons, n’offre pas la même exactitud
s ; mais en même temps il faut éviter de mettre trop d’art dans cette
partie
, il serait plus facilement découvert que par la s
orateurs : ils promettent une grande véhémence dans toutes les autres
parties
du discours, et il est très difficile de remplir
il faut préparer la voie à celles que l’on veut faire naître dans les
parties
subséquentes du discours. L’orateur doit, en comm
s. Un autre principe de l’exorde est de ne pas anticiper sur quelques
parties
matérielles du sujet. Lorsque les moyens et argum
’agrément d’un jardin de plaisance. Le sens commun indique que chaque
partie
d’un discours doit être accommodée au ton et à l’
ots simples et peu nombreux, sans aucune affectation. À cette seconde
partie
du discours succède la division ou plan de l’orai
e que, dans tout discours, une division régulière, ou énonciation des
parties
, soit indispensable. Il y a mainte occasion où ce
ent et gênent le discours, dit-il ; elles le coupent en deux ou trois
parties
qui interrompent l’action de l’orateur et l’effet
er les règles matérielles qu’on y doit observer : 1º Que les diverses
parties
indiquées soient réellement distinctes ; c’est-à-
il se développe lui-même : dividere non frangere. 3º Que les diverses
parties
de la division embrassent tout le sujet ; autreme
se laissent plus affecter par les paroles de l’orateur. La quatrième
partie
du discours est la narration ou explication du su
de ses auditeurs. Dans les plaidoiries, la narration est souvent une
partie
très importante du discours, et exige un soin par
es divers chefs de la demande, d’établir avec clarté les qualités des
parties
, et de donner méthodiquement connaissance aux jug
elle l’évidence de son importance. La clarté appartient à toutes les
parties
du discours ; mais elle est surtout indispensable
’obscurité, mais elle fait disparaître le principal avantage de cette
partie
du discours, qui est de plaire et de persuader pa
de ces derniers donnèrent des preuves de courage et de fidélité. Une
partie
fut massacrée ; les autres, voyant que l’on comba
re correct et élégant plutôt que pompeusement orné. Argumentation.
Partie
pathétique ; péroraison. Le raisonnement, ou l
umentation. Partie pathétique ; péroraison. Le raisonnement, ou la
partie
argumentative du discours, va maintenant nous occ
up de ce vis et acumen qui doivent être le caractère distinctif de la
partie
argumentative de la raison. Il y a dans le raison
tive de la raison. Il y a dans le raisonnement, comme dans les autres
parties
du discours, une certaine tempérance qu’on ne doi
ticien qu’un homme éloquent. Je vais m’occuper maintenant d’une autre
partie
essentielle du discours que j’ai classée au cinqu
l’éloquence règne surtout dans toute sa puissance. En traitant cette
partie
de l’éloquence, les anciens font les mêmes effort
de l’éloquence, les anciens font les mêmes efforts qu’à l’égard de la
partie
argumentative ; pour former un système plus parfa
ativement aux passions. L’usage des règles et des préceptes sur cette
partie
de l’art oratoire ; ainsi que sur les autres, n’e
aminer soigneusement si le sujet en est susceptible, et quelle est la
partie
du discours où l’on peut le hasarder avec plus de
t saisir l’instant critique favorable à l’émotion, quelle que soit la
partie
du discours où il se présente ; et, après avoir s
seule. La cinquième : qu’il faut éviter de mêler rien d’étranger à la
partie
pathétique d’un discours. Gardez-vous de toute di
à un aussi éloquent orateur, nous devons déclarer que cette dernière
partie
est déclamatoire et non pathétique. C’est pousser
t de l’orateur. Prononciation et débit. Après avoir traité les
parties
principales de l’art oratoire, il me reste encore
. C’est l’oreille, c’est la nature qui doivent nous guider dans cette
partie
importante du débit. Il diffère essentiellement d
racieux dans leurs mouvements, et la rudesse dans les gestes peut, en
partie
au moins, être corrigée par l’application et le s
nce. Sans doute, c’est à ces vertus que leur éloquence dut une grande
partie
de ses effets ; et les discours de ces orateurs q
ion, il ne verra plus dans l’univers qu’un grand tout dont toutes les
parties
sont liées par des ressorts invisibles ; et, frap
Une attention scrupuleuse au style, à la composition et à toutes les
parties
de l’art oratoire peut seule aider l’orateur à dé
s même de l’audience, et avec le ton qui lui convient, s’exercer à la
partie
la plus importante de l’éloquence, l’action. C’es
s ; là, des critiques familières et réciproques indiquent à chacun la
partie
faible de son talent, ou les défauts qui l’obscur
a rhétorique ; il est lui-même un écrivain éloquent. Quoique quelques
parties
de ses ouvrages contiennent trop de ce système te
es et rebutantes, cependant j’engagerai à ne les point négliger ; ces
parties
techniques peuvent être utiles aux avocats. Peu d
ure et sur l’histoire de l’épigramme, nous allons faire connaître les
parties
dont elle se compose et les qualités qu’elle dema
se compose et les qualités qu’elle demande. 112. Combien y a-t-il de
parties
dans l’épigramme ? Il y a nécessairement deux pa
en y a-t-il de parties dans l’épigramme ? Il y a nécessairement deux
parties
dans l’épigramme : l’une qui est l’exposition du
c’est-à-dire ce qui pique le lecteur, ce qui l’intéresse. La première
partie
doit être simple, claire, aisée, et rejeter tout
plet est une stance de huit, de dix ou de douze vers, divisée en deux
parties
égales, c’est-à-dire qui présente un sens complet
ens complet au milieu. L’envoi, qui répond ordinairement à la seconde
partie
de la stance, n’est qu’un demi-couplet, de sorte
t, de sorte que la pièce entière se compose de 28, 35 ou 42 vers. Les
parties
correspondantes des trois couplets sont sur les m
uplets sont sur les mêmes rimes ; et l’envoi conserve les rimes de la
partie
à laquelle il répond. Ce petit poème a de la grâc
mot, γρῖφος, énigme, c’est-à-dire, énigme sur un mot, ou même sur les
parties
de ce mot, est une espèce d’énigme qui donne à de
urs énigmes, dont l’une porte sur le mot total, et les autres sur les
parties
de ce mot, c’est-à-dire sur les syllabes ou les l
ent arrangées. Le mot total du logogriphe est appelé le corps, et les
parties
que l’on sépare pour former d’autres mots se nomm
e ; la seconde, lis, nom d’une fleur ; la troisième , soir, nom d’une
partie
du jour, et le tout un instrument qui sert à poli
vance, il faut le méditer profondément, afin d’en pénétrer toutes les
parties
. Cette méditation, en échauffant l’imagination, m
naturellement : de cet ordre naît la clarté, et les transitions d’une
partie
à l’autre se présentent d’elles-mêmes. 3° L’élocu
d on a travaillé son sujet par la réflexion et qu’on en a disposé les
parties
avec ordre, le moment est venu de se livrer à l’é
est parfaite si elle ne possède l’unité, c’est-à-dire si les diverses
parties
ne forment un tout homogène, où rien ne soit disp
à la beauté. Pour qu’une composition soit une, il faut que toutes ses
parties
se rapportent à un centre commun, c’est-à-dire à
ragédie, et réciproquement. 2° L’ordre naît de l’unité. Si toutes les
parties
de la composition s’enchaînent et vont au même bu
son charme et ennuie le lecteur. Évitez aussi de développer certaines
parties
au détriment des autres, mais donnez à chacune un
qué par la nature elle-même. 1º De l’Exorde. C’est de toutes les
parties
du discours celle qui quelquefois doit le plus à
. La correction du style et la justesse de l’expression, sont une des
parties
qu’il faut le plus soigner dans l’exorde, et cett
nce et correction dans le style. Mais au barreau la narration est une
partie
essentielle du discours, et celle peut-être qui d
et pour affaiblir d’avance l’effet de celles qui pourraient servir la
partie
adverse. Mais en remplissant cette tâche délicate
e juge est tellement attentif, tellement sur ses gardes pendant cette
partie
du discours, que le moindre doute sur la sincérit
du plus grand des orateurs. Reprenons l’ordre et l’analyse des autres
parties
du discours. 3º De la Confirmation. L’ordre
vaincre l’esprit par leur solidité. De là l’argumentation, qui est la
partie
technique du raisonnement, ou, si l’on veut, le c
ou il est question de démontrer la fausseté des faits avancés par la
partie
adverse, et c’est ce qu’on appelle la réfutation.
partie adverse, et c’est ce qu’on appelle la réfutation. Toute cette
partie
de l’art oratoire appartient au raisonnement ; et
ut principal est d’intéresser et d’émouvoir, que la péroraison est la
partie
essentielle du discours. Elle est loin d’avoir au
Chapitre second. De la disposition. La Disposition est la seconde
partie
de la composition littéraire. C’est l’arrangement
nie, la troisième qualité de la disposition, est cet accord exact des
parties
par lequel elles forment un tout parfait et conco
ter. Sans elle la composition devient défectueuse et désagréable, les
parties
détachées de l’ensemble s’isolent et annulent la
une exposition, un nœud et un dénouement. On nomme exposition cette
partie
de la narration qui a pour but de préparer l’espr
elle doit sortir du sujet comme une fleur de sa tige. Le nœud est la
partie
intermédiaire de la narration où l’on voit les pe
l y a division, c’est-à-dire partage du discours en deux ou plusieurs
parties
. La division n’est pas absolument nécessaire ; el
de la subdivision, c’est-à-dire du partage en plusieurs points d’une
partie
de la division générale. Narration. La narr
ée, l’orateur présente ses preuves. C’est l’objet de la confirmation,
partie
la plus essentielle du discours ; car les mœurs e
de ses adversaires. Il y parvient par la Réfutation. En général cette
partie
se confond avec la confirmation. Lorsqu’on a étab
s aient développé le goût, et que l’analyse littéraire ait révélé une
partie
du secret des grands maîtres. Nous laisserons fai
6° Il met chacun à sa place les matériaux qui doivent servir à chaque
partie
du palais. — C’est l’ordre de la disposition. 7°
gâter le goût, et même quelquefois à fausser le jugement. Première
partie
. Descriptions1. 1. Tableau du printemps.
eut traiter ce sujet avec quelque étendue, on peut le diviser en deux
parties
, et traiter d’abord les trois premiers alinéas, p
a religion, et mon père celles de l’honneur. Développez. Deuxième
partie
. Narrations. 11. Les deux pommiers. Sujet
envers les animaux récompensés par les hommes. Sujet et plan. 1re
partie
. Un jeune paysan, probe, intelligent, laborieux,
al le jeune homme et lui refuse sa demande. Dialogue vif et animé. 2e
partie
. Le propriétaire, en repoussant brusquement le je
Alleghany. 20, 21 et 22. Gaston et Jacquot. Sujet et plan. 1re
partie
. Gaston de Florval, appartenant à des parents trè
repousse tous deux avec mépris. Racontez cette scène avec détails. 2e
partie
. Ce dernier trait ouvre les yeux à M. et Mme de F
ton, devenu Jacquot, à sa nourrice, qui l’emmène dans son village. 3e
partie
. Voilà Gaston devenu un pauvre petit paysan ; il
ère d’Abdallah. 27 et 28. Faute et repentir. Sujet et plan. 1re
partie
. Alexis, enfant très-heureusement élevé, donnait
exis, avec l’aide de son cousin, s’enfuit de la maison paternelle. 2e
partie
. Au bout de peu de temps, Alexis a honte de sa co
voir d’un enfant ; il lui recommande la plus grande discrétion. Cette
partie
de la narration doit être détaillée : dialogue. A
avec fureur. Cette scène de nuit doit être très-développée ; c’est la
partie
importante de la narration. Le lendemain, le comt
ernier souffle à ton dernier soupir. » Vous développerez les diverses
parties
de ce sujet. Vous inventerez des détails. Le styl
s de la mer Baltique, après avoir ravagé les Gaules et la plus grande
partie
de l’Espagne, s’étaient établis dans la partie mé
ules et la plus grande partie de l’Espagne, s’étaient établis dans la
partie
méridionale de l’Espagne, qui a conservé leur nom
années après, le proscrit rentra en France et recouvra la plus grande
partie
de sa fortune ; mais, vers la même époque, le mar
oix. 64, 65 et 66. Le prisonnier de guerre. Sujet et plan. 1ère
partie
. Jules, officier français, âgé de vingt-cinq ans,
teau, et demande si l’on veut y recevoir le blessé ; on y consent. 2e
partie
. Jules reçoit dans ce château tous les soins que
njuste haine, rentre tristement dans sa chambre et n’en sort plus. 3e
partie
. Quelques jours après, le comte vient le voir, la
’expliquer. On pourrait cependant faire une narration divisée en deux
parties
: la première partie serait consacrée au fait qui
t cependant faire une narration divisée en deux parties : la première
partie
serait consacrée au fait qui précède, la seconde
reçus d’elle : par le crédit de son mari, elle lui fait recouvrer une
partie
de ce qu’elle avait perdu. On peut suivre l’ordre
s faits tel qu’il est tracé plus haut, et couper la narration en deux
parties
, dont l’une sera le développement du premier alin
lvator sans exiger de rançon. Cette narration peut se diviser en deux
parties
: Salvator tombant au pouvoir des brigands ; Salv
discours de peu d’étendue. On peut aussi ne développer que la seconde
partie
, commencer le récit à l’instant fatal indiqué par
roi de Pologne, la reprit sur eux en 1579. Polotzk fait actuellement
partie
du gouvernement russe de Vitepsk. Ivan IV Wasilie
té à la France. Plan. Cette narration se divise naturellement en deux
parties
. Dans la première, on peindra la tendresse récipr
t ordonna qu’on le laissât partir sans lui faire aucun mal. Plan. 1re
partie
. A la nouvelle de l’arrivée de Richard et de ses
une flèche part ; Richard est atteint, on l’emporte sous sa tente. 2e
partie
. Richard, mortellement blessé, est étendu dans sa
lancée. 89 et 90. Le jeune berger. (1688) Sujet et plan. 1re
partie
. Dans la partie méridionale de l’Écosse, un enfan
t 90. Le jeune berger. (1688) Sujet et plan. 1re partie. Dans la
partie
méridionale de l’Écosse, un enfant de seize ans,
endant plus de deux mois sans que personne puisse rien soupçonner. 2e
partie
. Lord William est à peu près guéri ; il veut sort
(18 octobre 1793.) La Vendée (on désigne sous ce nom une grande
partie
du département de la Vendée, des Deux-Sèvres, de
circonstances au lecteur, afin de donner plus d’intérêt à la seconde
partie
. 2ème partie. Vous pouvez commencer cette seconde
s au lecteur, afin de donner plus d’intérêt à la seconde partie. 2ème
partie
. Vous pouvez commencer cette seconde partie en mo
à la seconde partie. 2ème partie. Vous pouvez commencer cette seconde
partie
en montrant Maximien occupé de consommé son crime
re romain16. 104 et 105. Roger de Sanguinet. Sujet et plan. 1re
partie
. Sous le règne de Charles d’Anjou, une armée arag
répond qu’il restera fidèle à ses devoirs de citoyen et de soldat. 2e
partie
. Don Jayme exécute son affreuse résolution. Il fa
située non loin de la mer, à peu de distance de Paola. Troisième
partie
. Dialogues. 106 et 107. Le jeune sourd-muet.
la composition de celui-ci, une excellente préparation. Quatrième
partie
. Discours. 109. Discours de Godefroi de Boui
cs Seldjoncides, vaincu une armée persane, pris Antioche, conquis une
partie
de l’Asie Mineure et de la Syrie. Ils avaient pri
e attaque les ennemis et remporte une victoire éclatante. La première
partie
de l’oracle est accomplie ; il tremble que la sec
t de douleur. Les Lombards firent de grandes conquêtes en Italie ; la
partie
septentrionale de la péninsule a gardé leur nom.
agnons d’infortune peuvent-ils ne pas frémir à cette seule idée ! lre
partie
: Rinaldi réfute les raisons du général napolitai
Gibelins et augmenterait l’ardeur et les forces de leurs ennemis. 2e
partie
: Il prouve que, quand même cette mesure serait u
age par leur poids, et à faciliter la circulation des voilures sur la
partie
la plus élevée, qui sert de route. C’est un admir
fant une récompense nationale. Plan. Le discours se composera de deux
parties
. La première contiendra un récit vif et animé de
entretien sur la conduite de son père. Tel est le plan de la première
partie
. Dans la seconde partie, supposant le fait prouvé
e de son père. Tel est le plan de la première partie. Dans la seconde
partie
, supposant le fait prouvé, vous ferez valoir prin
euvent rendre la patrie odieuse aux citoyens. Telles seront les trois
parties
successivement développées dans ce discours, qui
le jeune prince à cacher un glaive sous ses habits. Dans la première
partie
de sa confirmation il montrera combien l’accusati
son auteur un châtiment affreux, prompt, inévitable. Dans la seconde
partie
de sa confirmation, Eudoxe prouvera que cette acc
t surtout le fils le plus pieux et le plus tendre. Dans cette seconde
partie
, Eudoxe fera valoir toutes les raisons qui peuven
les Athéniens maîtres de la mer et arbitres de la Grèce. La première
partie
du discours d’Aristide doit être le développement
s du conseil, s’élève avec force contre cette proposition. La seconde
partie
doit être le développement de cet autre raisonnem
qui engage l’orateur à le défendre, mais la justice de sa cause. lre
partie
. Quand bien même les prétendues preuves alléguées
les dieux et lui sans la blâmable indiscrétion de son accusateur ? 2e
partie
. Mais la prière de Mélanthe n’avait rien que d’in
able et une courte narration, l’avocat de Flavianus, dans la première
partie
de sa confirmation établira les droits de son cli
exhérédation sans qu’elle ait été prononcée, devient nul. La seconde
partie
de la confirmation embrassera des considérations
dans cet événement le lieu, l’époque et les circonstances. Plan. lre
partie
: le lieu. Le Messie a voulu naître dans la Judée
les miracles de Jésus-Christ s’étaient passés loin de leurs yeux. 2e
partie
: l’époque. 1° Tout l’univers étant réuni sous la
lle devait être détruite allait naître sept ans après le Messie25. 3e
partie
: les circonstances. 1° Si le Christ s’était mont
est d’avoir cru à la sincérité de l’exécrable frère de sa mère. 1re
partie
: L’innocence de Gaston est prouvée par l’ignoran
sitions heureuses que l’enfant a toujours montrées pour la vertu. 2e
partie
: Si l’innocence de Gaston n’est pas regardée com
ttre en leur pouvoir prouve bien qu’il n’est pas un traître. Ces deux
parties
, la première surtout relative à la puissance de l
eligion ; son discours se trouvera ainsi naturellement divisé un deux
parties
. Alexandre III (dont le nom de famille était Orla
s il ne la montra pas à Rosamonde. Après avoir fait la conquête d’une
partie
de l’Italie34 un jour, à Vérone, dans un grand fe
exercice. 35. On nommait ainsi un vice-roi qui gouvernait une grande
partie
de l’Italie au nom de l’empereur d’Orient.
principaux avant de commencer la Rhétorique. Dans les trois premières
parties
de cette introduction, je n’ai fait souvent que t
ophie, l’histoire, la littérature et les sciences. Enfin, la dernière
partie
de l’ouvrage traite de la Rhétorique pratique, c’
tudes ; mais je me suis efforcé d’en améliorer l’exécution. Plusieurs
parties
ont été complétées, entre autres tout ce qui est
tif à la liaison des idées et à la construction des phrases. D’autres
parties
ont été refondues en entier, comme le chapitre de
science a découverts ou que l’imagination a créés ont été distingués
parties
tenues particuliers. Ce n’est pas tout : on a fai
le nom d’interjections, et qu’elle a placées après toutes les autres
parties
du discours, ont été probablement les premiers él
des progrès, elles devinrent plus abondantes, et se dépouillèrent en
partie
de ces expressions figurées. Lorsque les hommes c
cer que les faits matériels ; encore est-elle obligée d’en choisir la
partie
la plus saillante, et de renoncer à presque tous
terjections, qui ont dû former le premier langage du genre humain, la
partie
la plus ancienne du discours est cette classe de
ssifs, il conçut l’idée du temps, qu’il divisa naturellement en trois
parties
, le passé, le présent et le futur ; il appliqua c
aractérise le verbe, et ce qui le distingue principalement des autres
parties
du discours ; c’est elle qui lui donne toute sa f
sitions, et de ces adjectifs relatifs qui servent à lier les diverses
parties
d’une phrase. C’est l’usage bien ou mal entendu d
les conjonctions. L’analyse de ces espèces de mots forme la première
partie
de la grammaire générale. Dans cette nomenclature
ure, nous n’avons point placé l’article, parce que ce n’est point une
partie
essentielle sans laquelle une grammaire ne saurai
phrase pourrait rendre par deux ou trois termes, pris dans les autres
parties
du discours. Par exemple, ici équivaut à dans ce
participes : plusieurs grammaires ne les comptent point au nombre des
parties
fondamentales du discours, et leur nom indique as
la classe déjà si nombreuse des attributifs. Après avoir énuméré les
parties
du discours qui appartiennent à toutes les langue
doivent occuper dans la construction d’une phrase : c’est la seconde
partie
de la grammaire générale, celle qui constitue la
n 50 avant J. C.). L’autorité des empereurs s’établit dans toutes les
parties
de ce vaste pays, et les colonies romaines dont i
siécle, les peuples du nord de l’Europe s’emparèrent des différentes
parties
de l’empire, et les Francs s’établirent dans la G
omains furent maintenus, malgré la conquête, dans la possession d’une
partie
de leurs biens et de leurs droits civils. Les roi
rigines celtiques, latines et allemandes. Les mots qui signifient les
parties
du corps humain ou des choses d’un usage journali
et, vers le xvie siècle, on exprima par des termes grecs toutes les
parties
du corps humain, les maladies et leurs remèdes :
rence qui sépare notre langue de celle des Romains, dont elle tire en
partie
son origine, c’est l’introduction de l’article da
sur les connectifs français, les positions et les conjonctions ; ces
parties
du discours sont, à peu de chose près, les mêmes
magination qu’à fortifier l’âme et à éclairer la raison. Première
partie
. Principes de la rhétorique. Chapitre premie
ut ce que contient un sujet, en disposer avec méthode les différentes
parties
, puis trouver des mots qui les expriment et qui l
t qui les embellissent. De là, une division de la rhétorique en trois
parties
: l’invention, la disposition et l’élocution. À c
ois parties : l’invention, la disposition et l’élocution. À ces trois
parties
on en ajoute ordinairement une quatrième, qui en
e quatrième, qui en est comme le complément, l’action. Cette dernière
partie
enseigne à bien débiter un discours. C’est la for
le sujet que l’on va traiter, c’est-à-dire en avoir sondé toutes les
parties
, et connaître toutes les ressources qu’il peut of
pour embrasser un sujet tout entier, et n’en laisser échapper aucune
partie
essentielle. L’éloquence, dit Fénelon, se réduit
elle s’adresse. La troisième consiste à prouver ; elle s’adresse à la
partie
la plus noble de la nature humaine, à la raison.
e : Peuple caméléon, peuple singe du maître. De l’énumération des
parties
. Quand le sujet est simple, la définition peut
est complexe, il faut, pour en bien connaître l’étendue, énumérer les
parties
dont il se compose. Buffon, voulant donner une id
ver, se réservant à déclarer chaque année aux nations esclaves quelle
partie
de la terre aura l’honneur de te nourrir : que vo
e tranquille pour jamais. Songez qu’il était mort, et qu’il avait une
partie
du cœur emportée. On crie, on pleure : M. d’Hamil
st point toute l’éloquence, on ne peut nier qu’elle n’en soit une des
parties
essentielles ; et, dans le travail préparatoire q
du barreau se sert, dans l’intérêt de sa cause, de l’énumération des
parties
, des circonstances, des semblables, des contraire
per le syllogisme, l’abrége, et en supprime la première ou la seconde
partie
. Ainsi, dans la tragédie de Racine, Achille, voul
eurs et les logiciens ont appelé un c’est-à-dire un argument dont une
partie
est sous-entendue. De l’induction. Quand on
erminer l’ordre dans lequel on doit les présenter. La disposition des
parties
vient immédiatement après la conception du sujet.
tyle, une disposition sage et méthodique. Ouvrez l’Iliade, toutes les
parties
de cette vaste épopée vous paraîtront distinctes
e à son comble ; enfin le dénoument, qui décide et termine l’action :
parties
essentielles qui concourent toutes à développer u
ien médité son sujet, il doit en distribuer avec soin les différentes
parties
. Les parties d’un discours peuvent se réduire à q
n sujet, il doit en distribuer avec soin les différentes parties. Les
parties
d’un discours peuvent se réduire à quatre princip
st compliqué, après l’avoir exposé, on en fait entrevoir d’avance les
parties
principales, et l’on indique la marche que l’on s
faits qui se rattachent au sujet. Quelquefois, au Heu d’en faire une
partie
séparée, l’orateur juge plus utile de la distribu
e séparée, l’orateur juge plus utile de la distribuer dans les autres
parties
du discours. Nous citerons, comme un modèle de na
sujet, il est presque toujours susceptible d’être divisé en plusieurs
parties
. La première qualité de ces parties est de ne pas
ptible d’être divisé en plusieurs parties. La première qualité de ces
parties
est de ne pas s’écarter de l’idée principale, de
à une bonne disposition : 1° L’unité du sujet ; 2° La séparation des
parties
; 3° La gradation. Ces principes peuvent s’appliq
Dans les ouvrages les moins importants, il y a un art de combiner les
parties
, de manière à faire valoir l’ensemble : une élégi
on. Quand le sujet a été médité comme il devait l’être, et que les
parties
en sont disposées dans un ordre convenable, il fa
ion générale, bien conçu l’ensemble de son sujet ; il faut que chaque
partie
du tout soit clairement dessinée dans l’esprit, J
ssions : quand Rousseau n’a plus le bâton qui lui servait d’appui, la
partie
paralysée de son corps tombe, et entraîne dans sa
s ces idées sont unies ensemble par un lien commun ; comme toutes les
parties
de ce développement se rapportent à une seule pen
ds. Cette phrase, qui forme un ensemble si régulier, est elle-même la
partie
d’un ensemble plus grand où règne encore l’unité
tées à la nature. Des transitions. Les idées, considérées comme
parties
d’un tout, doivent s’accorder ensemble ; mais il
t s’accorder ensemble ; mais il faut un lien qui fasse adhérer chaque
partie
à celle qui la précède et à celle qui la suit ; i
y a de plus difficile dans l’art d’écrire : c’en est du moins une des
parties
les plus essentielles ; car rien ne donne de l’ag
même du sujet. Fléchier a divisé l’éloge de M. de Montausier en trois
parties
: il s’est proposé de célébrer trois vertus dans
de la justice et l’esprit de droiture. Après avoir achevé la première
partie
de son discours, l’orateur, qui travaille avec ta
ne va pas chercher bien loin une transition pour passer à la seconde
partie
; il se borne à dire : « Voilà quel était son amo
tait son zèle pour la justice. » Et de même pour passer de la seconde
partie
à la dernière : « Voilà sa justice, messieurs ; i
n repos réel, un intervalle de quelques minutes entre les différentes
parties
du discours. Mais le poëte, l’orateur académique,
ant jusqu’au ciel son vol ambitieux, etc. Pour lier ainsi toutes les
parties
d’un ouvrage sans que le lecteur aperçoive la cou
a couture, il faut avoir soin de placera côté les unes des autres les
parties
qui ont ensemble le plus d’analogie. Ainsi, dans
l’Épopée après la Tragédie. Il faut aussi rapprocher ces différentes
parties
par les points qui peuvent se loucher sans effort
longue alternative de peines et de plaisirs. La peinture consiste en
partie
dans l’art de disposer les jours et les ombres, e
ui ont expiré victimes de celle gloire, ou qui survivent encore à une
partie
d’eux-mêmes, les récompenses que leurs cendres ou
s’appelle communication. C’est à cet artifice qu’il faut rapporter en
partie
l’effet produit par le fameux sermon de Massillon
ment et une fin par elle-même, et une étendue facile à embrasser. Les
parties
qui composent la période sont de deux sortes, le
-même un certain sens, mais un sens imparfait et dépendant des autres
parties
de la période. La section est une partie du membr
ait et dépendant des autres parties de la période. La section est une
partie
du membre, qui renferme aussi un sens en elle-mêm
un membre si elle était seule, mais qui, associée à plusieurs autres
parties
aboutissant au même point, concourt avec elles à
emploi des conjonctions et des adjectifs qui en lient les différentes
parties
. Racine et Massillon offrent un grand nombre de p
ints. 8° On se sert, pour exprimer un sentiment, de l’organe ou de la
partie
du corps qui en est considérée comme le siége. Ai
préhension, il y a plusieurs espèces de synecdoques : 1° On prend une
partie
du tout pour le tout lui-même. Hippolyte dit à Th
ompter seize printemps pour seize années. 2° On prend le tout pour la
partie
, ce qui est fort rare, comme lorsqu’on dit un cas
i, tout-puissant par lui-même, a voulu, pour établir l’ordre, que les
parties
d’un si grand tout dépendissent les unes des autr
ction. On demandait un jour à Démosthènes quelle était la première
partie
de l’éloquence ? « C’est l’action. — Et la second
t vaincre les plus habiles. Démosthènes excellait lui-même dans cette
partie
de l’art oratoire, comme te prouve le mot célèbre
les orateurs qu’ils entendront. D’ailleurs, ici comme dans les autres
parties
de la rhétorique, on peut l’aire plus d’une appli
ue dans le style, d’être varié, et surtout d’être vrai. Deuxième
partie
. Des exercices de rhétorique. Chapitre premi
es incomplètes et superficielles. Un homme qui devrait la plus grande
partie
de ses idées à la conversation, serait assez semb
et la conversation, tous les objets qui nous environnent, toutes les
parties
de la nature sont autant de sources où nous pouvo
nt autant de sources où nous pouvons puiser des idées. Chacune de ces
parties
exigerait, je le sais, le sacrifice de la vie ent
qui en dépendent. Il ne s’agit point ici de la narration qui fait une
partie
essentielle du discours ; mais la narration consi
d’un modèle analogue à son sujet, il doit coordonner les différentes
parties
de sa narration. Ce second travail exige la plus
n même temps fort ennuyeuse. Il est un art de graduer les différentes
parties
d’un récit, de suspendre et d’accroître l’intérêt
ge. » (Bossuet, Oraison funèbre du prince de Condé.) Comme toutes les
parties
de ce récit sont heureusement disposées pour port
oujours. » Jeannot, confus et attendri, lui conta, en sanglotant, une
partie
de son histoire. « Viens dans l’hôtellerie où je
édité la question, l’avoir analysée avec soin, en avoir étudié chaque
partie
, et, après avoir exposé en bon ordre ses argument
e les soins que nous avons reçus d’une nourrice, d’un domestique âgé,
partie
si essentielle de la maison ; enfin ce sont les c
plus noble dans la nature humaine ; mais la sensibilité est aussi une
partie
de nous-mêmes, et il faut que l’orateur s’adresse
nt sacrés ; 2° le patriotisme : chacun doit être prêt à sacrifier une
partie
de son bien aux besoins de l’État ; 3° l’intérêt
ter sur le sujet qu’il va traiter, et d’en coordonner les différentes
parties
. Le plan une fois tracé, les idées se succéderont
, et où les préceptes sont en même temps des modèles. Troisième
partie
. Utilité pratique de la rhétorique. Chapitre
peuvent se faire, et à laquelle je vais répondre dans cette troisième
partie
. Je ne parle point ici des avantages de la Rhétor
. N’arrive-t-il pas aux hommes de tous les états de faire quelquefois
partie
du jury dans nos cours d’assises ? Si vous n’avez
et du Scamandre, l’interrompit en disant : « La cour observera que ma
partie
ne s’appelle pas Scamandre, mais Michaut. » Il ex
r amour-propre. Il faut laisser la parole à ceux qui ont traversé une
partie
de la vie, qui ont éprouvé la bonne et la mauvais
passages les plus éloquents. Nous avons laissé de côté la plus grande
partie
de la discussion, qui roule sur des faits aujourd
ration. De la longévité. Histoire naturelle. — Histoire des animaux.
Parties
des animaux. De la démarche des animaux. Du souff
a composition de la phrase, que du mérite de l’expression. Dans cette
partie
de la rhétorique comme dans le reste, Aristote es
animaux ont donné lieu à des controverses sur la disposition de leurs
parties
. « Quant à la Rhétorique, les trois livres qui la
its brillants ; des divers genres de style ; de la disposition et des
parties
du discours : exorde, narration, confirmation, pé
poésie soit bonne ; puis quel est le nombre, quelle est la nature des
parties
qui la composent : nous traiterons pareillement d
e, la poésie dithyrambique, l’aulétique, la citharistique, en majeure
partie
se trouvent être toutes, en résumé, des imitation
ns notre nature (je ne parle pas des mètres qui sont, évidemment, des
parties
des rythmes), dès le principe, les hommes qui ava
acteurs et la mise en scène. XV. Quant à l’importance de la tragédie,
partie
de fables légères et d’un langage plaisant, vu le
quantité d’épisodes et des autres accessoires destinés à orner chaque
partie
. Ainsi donc voilà tout ce que nous avions à dire
genre de vice, mais plutôt une imitation de ce qui est laid, dont une
partie
est le ridicule. En effet, le ridicule a pour cau
n faisait pour les tragédies comme pour les poèmes épiques. VIII. Des
parties
qui les composent, les unes leur sont communes, l
pée. Chapitre VI Définition de la tragédie. — Détermination des
parties
dont elle se compose. — Importance relative de ce
nation des parties dont elle se compose. — Importance relative de ces
parties
. I. Nous parlerons plus tard de l’art d’imiter
ntée dans un langage rendu agréable et de telle sorte que chacune des
parties
qui la composent subsiste séparément, se développ
éunit le rythme, l’harmonie et le chant, et par les mots « que chaque
partie
subsiste séparément » j’entends que quelques-unes
t nécessairement que l’ordonnance du spectacle offert est la première
partie
de la tragédie ; vient ensuite la mélopée et, enf
l s’ensuit donc, nécessairement, que toute tragédie se compose de six
parties
qui déterminent son caractère ; ce sont : la fabl
angage, la pensée, l’appareil scénique et la mélopée. IX. Deux de ces
parties
concernent les moyens que l’on a d’imiter ; une,
qu’en traçant une figure déterminée au crayon. XVI. Ajoutons que les
parties
de la fable les plus propres à faire que la tragé
dire avec convenance ce qui est dans le sujet et ce qui s’y rapporte,
partie
qui, en fait d’éloquence, est l’affaire de la pol
s, ou de discours en prose. XXII. En cinquième lieu vient la mélopée,
partie
la plus importante au point de vue du plaisir à p
de vue du plaisir à produire. Quant à l’appareil scénique, c’est une
partie
qui, certes, entraîne les âmes, mais elle est ind
quelle doit être la constitution des faits, puisque c’est la première
partie
et la plus importante de la tragédie. II. Il est
ver à un seul une infinité d’aventures dont l’ensemble, dans quelques
parties
, ne constituerait nullement l’unité ; de même, le
on, soit celle d’une action une et entière, et que l’on constitue les
parties
des faits de telle sorte que le déplacement de qu
ue les parties des faits de telle sorte que le déplacement de quelque
partie
, ou sa suppression, entraîne une modification et
ou ce qu’on retranche, sans laisser une trace sensible, n’est pas une
partie
(intégrante) de cet ensemble. Chapitre IX C
encore une autre reconnaissance47. IX. Il y a donc, à cet égard, deux
parties
dans la fable : la péripétie et la reconnaissance
ties dans la fable : la péripétie et la reconnaissance. Une troisième
partie
, c’est l’événement pathétique48. X. Quant à la pé
I. Pour ce qui est de la qualité des formes que doivent employer les
parties
de la tragédie50, nous en avons parlé précédemmen
n distingue les suivantes : le prologue, l’épisode, le dénouement, la
partie
chorique et, dans cette partie, l’entrée (πάροδος
prologue, l’épisode, le dénouement, la partie chorique et, dans cette
partie
, l’entrée (πάροδος) et la station. II. Ces élémen
e la scène51 et les lamentations (κομμοί)52. III. Le prologue est une
partie
complète en elle-même de la tragédie, qui se plac
tragédie, qui se place avant l’entrée du chœur. IV. L’épisode est une
partie
complète en elle-même de la tragédie, placée entr
, placée entre les chants complets du chœur. V. Le dénouement est une
partie
complète en elle-même après laquelle il n’y a plu
elle-même après laquelle il n’y a plus de chant du chœur. VI. Dans la
partie
chorique, l’entrée est ce qui est dit en premier
hœur et aux acteurs en scène. VIII. Nous avons parlé précédemment des
parties
de la tragédie qu’il faut employer, et nous venon
ppelle nœud ce qui a lieu depuis le commencement jusqu’à la fin de la
partie
de laquelle il résulte que l’on passe du malheur
. Il y a quatre espèces de tragédies, c’est-à-dire un nombre égal aux
parties
dont une tragédie est composée85. L’une est compl
t les poètes. V. En effet, comme il y a eu de bons poètes dans chaque
partie
, on exige de chacun d’eux qu’il soit supérieur à
ujet toute l’Iliade. Dans ce cas87, l’étendue de l’œuvre fait que les
parties
reçoivent chacune leur grandeur convenable ; mais
e : ceux qui ont mis en action la ruine de Troie, et cela non pas par
parties
comme Euripide dans Hécube 88, ou comme Eschyle,
IX. Quant au chœur, il faut établir que c’est un des personnages, une
partie
intégrante de l’ensemble et le faire concourir à
d’Euripide, mais comme chez Sophocle. X. Pour les autres poètes, les
parties
chantées dans le cours de la pièce n’appartiennen
et de l’élocution. I. Nous nous sommes expliqué déjà sur les autres
parties
, et il ne nous reste plus à parler que de l’élocu
nt du ressort non de la poétique, mais d’un autre art. III. Voici les
parties
de toute élocution : l’élément97, la syllabe, la
t indivisibles, et cependant je n’appelle aucun d’eux élément. V. Les
parties
du son dont je parle sont la voyelle, la demi-voy
est un son composé, significatif indépendamment du temps, dont aucune
partie
n’est significative par elle-même ; car dans les
r elle-même ; car dans les noms doubles nous n’employons pas (une des
parties
) comme ayant une signification en propre : ainsi,
signification en propre : ainsi, dans le mot Θεόδωρος (Théodore), la
partie
correspondant à δῶρον (don) n’a pas de sens. XI.
son composé significatif, comportant une idée de temps et dont aucune
partie
n’est significative par elle-même, de même que da
étés. XIII. Le discours est un son composé significatif dont quelques
parties
ont une signification par elles-mêmes ; car toute
r sans qu’il y ait de verbe, et pourtant elle contiendra toujours une
partie
significative, comme, par exemple, Cléon, dans la
ne syllabe est intercalée ; d’autre part, si on lui retranche quelque
partie
. Exemple de nom allongé : πόλεος devenu πόληος ;
x ont une seule et même figure118. XII. Le nom est altéré lorsqu’une
partie
du mot énoncé est rejetée et une autre faite (arb
d’une façon quelconque, et la mesure doit être gardée dans toutes les
parties
; en effet, se servir des métaphores, des gloses
e trop chargée d’incidents variés. Au lieu de cela, il en détache une
partie
et recourt à plusieurs épisodes, tels que le cata
époque unique ; mais l’action unique qui en fait le fond se divise en
parties
nombreuses. Tels les poètes qui ont composé l’Épo
cessairement simple, complexe, morale ou pathétique. Elle a autant de
parties
, à part la mélopée et la mise en scène, car elle
eut représenter plusieurs actions dans le même moment, mais une seule
partie
à la fois est figurée sur la scène et par les act
ui seraient improbables, et ne pas constituer des fables composées de
parties
que la raison réprouve, et en somme n’admettre ri
surdité de cette situation. XIV. Il faut travailler le style dans les
parties
inertes, mais non pas dans celles qui se distingu
(était atteint) si, de cette façon, l’on rendait plus saisissante la
partie
en question ou quelque autre partie ; exemple, la
l’on rendait plus saisissante la partie en question ou quelque autre
partie
; exemple, la poursuite d’Hector. VII. Si pourtan
de plusieurs fables, comme l’Iliade, elle renferme un grand nombre de
parties
, ainsi que l’Odyssée, qui ont chacune leur étendu
s à dire sur la tragédie et sur l’épopée, sur leurs variétés et leurs
parties
, sur le nombre et la nature de leurs différences,
ii, §§ 1 et 7.) — Aristote lui-même vise, dans la Rhétorique, une des
parties
perdues : « Nous avons dit, dans les livres de la
ont on va lire la première traduction française et qui paraissent, en
partie
, extraits, ou du moins inspirés des pages où Aris
Fragmenta Aristolelis (collection Didot, Aristolelis opera, t. IV, 2e
partie
, p. 127-129), précédés d’une notice de l’éditeur
idicule, d’une étendue bien proportionnée, complète en chacune de ses
parties
prise isolément177… et opérant, par des récits, p
il appartient au juge lui-même de les connaître, et ce n’est pas des
parties
en cause qu’il doit les apprendre. VII. Il convie
pour les juges, de satisfaire pleinement au droit et à l’intérêt des
parties
. Enfin, et ceci est la principale raison, le juge
ce que doit contenir l’exorde, ou la narration, ou chacune des autres
parties
d’un discours ; car ces moyens ne tendent à autre
plaidoyers pour le plaisir qu’ils y trouvent, ils se livrent aux deux
parties
en cause, mais ils ne font pas office de juges. A
n à la dialectique, prise dans son ensemble ou dans quelqu’une de ses
parties
, d’examiner tout ce qui se rattache au syllogisme
fs humains188. La rhétorique, nous l’avons dit en commençant, est une
partie
de la dialectique et lui ressemble189. Ni l’une n
dans quel sens il faut l’entendre. Ce n’est pas dans le rapport de la
partie
au tout, ni du tout à la partie, ni du tout au to
e. Ce n’est pas dans le rapport de la partie au tout, ni du tout à la
partie
, ni du tout au tout, mais dans le rapport de la p
i du tout à la partie, ni du tout au tout, mais dans le rapport de la
partie
à la partie, et du semblable au semblable. Lorsqu
la partie, ni du tout au tout, mais dans le rapport de la partie à la
partie
, et du semblable au semblable. Lorsque sont donné
nous l’avons dit précédemment211, que la rhétorique se compose d’une
partie
de la science analytique et de la partie morale d
rhétorique se compose d’une partie de la science analytique et de la
partie
morale de la politique. Elle ressemble, par certa
epousse une détermination. Ce but, en résumé, c’est le bonheur et les
parties
qui le constituent. II. Considérons, à titre d’ex
e c’est, à proprement parler, que le bonheur et de quoi procèdent les
parties
qui le composent ; car c’est sur le bonheur, ains
l’on fasse les actions qui préparent le bonheur ou quelqu’une de ses
parties
, ou qui rendent celle-ci plus grande ; mais les c
. IV. Maintenant, si c’est là le bonheur, il aura nécessairement pour
parties
constitutives la noblesse, un grand nombre d’amis
renommée, l’honneur, la bonne fortune ; la vertu, ou bien encore ses
parties
, la prudence, le courage, la justice et la tempér
émoniens, ne possèdent guère que la moitié du bonheur. VII. Quant aux
parties
de la richesse, ce sont les monnaies, l’abondance
’empêche qu’une même chose, en certains cas, soit profitable aux deux
parties
adverses ; ce qui fait dire que le malheur réunit
ndes ou paraissant telles. Or les choses que l’on divise en plusieurs
parties
paraissent plus grandes, car la différence en plu
J’ai été mon propre maître235. XXXIV. Pareillement, la plus grande
partie
d’une chose qui est grande elle-même. Ainsi Péric
verne et celle qui prononce des jugements se composent toujours d’une
partie
ou de la totalité des citoyens237. IV. La démocra
es, importantes et de toute sorte et à tous les points de vue. V. Les
parties
(variétés) de la vertu sont : la justice, le cour
d’examiner la nature et le nombre des considérations qui dirigent la
partie
adverse d’entre celles auxquelles tout le monde o
poète271 : Il donne toute son application il consacre la plus grande
partie
de chaque jour à l’œuvre dans laquelle il se trou
lerons dans la suite274, car ces caractères sont communs à toutes les
parties
de la rhétorique275. II. Ceux-là sont dans la pos
e du fait en litige qu’il nous est favorable à nous et contraire à la
partie
adverse, il peut, du moins, au point de vue moral
Il y a, en outre, le cas où le serment a été prêté par telle des deux
parties
ou par l’autre. XXVIII. Pour ne pas le déférer (o
ne, que la provocation d’un impie, adressée à un homme pieux, rend la
partie
inégale, mais que c’est un cas semblable à celui
ire ; et, retournant le mot de Xénophane, c’est le cas de dire que la
partie
est égale, si l’impie défère le serment et que l’
t, les deux questions, ainsi réunies, se composent nécessairement des
parties
expliquées plus haut, de sorte que les raisons al
us sommes les supérieurs, les maîtres et les amis. X. Celles dont les
parties
peuvent exister le peuvent aussi, le plus souvent
nsemble. Celles dont l’ensemble est possible le sont aussi dans leurs
parties
: en effet, si l’empeigne, le contrefort et la ti
nt de deux sortes : l’exemple et l’enthymème, car la sentence est une
partie
de l’enthymème. II. Parlons donc, en premier lieu
s toujours. VI. Parmi les sentences avec épilogue, les unes sont une
partie
d’enthymème, comme celle-ci : Il ne faut jamais
du bon sens… D’autres tiennent de l’enthymème, mais ne sont pas une
partie
d’enthymème ; ce sont les plus recherchées. Telle
s apparents sont d’abord le lieu, qui consiste dans l’expression. Une
partie
de ce lieu, c’est, comme dans les arguments diale
âce à leur réunion, on voit un nouvel argument se produire. Une autre
partie
de ce premier lieu consiste dans l’homonymie, com
ouche à l’élocution ; en troisième lieu, comment il faut disposer les
parties
d’un discours, nous avons dit, au sujet des preuv
ar les dénominations sont des imitations, et la voix est chez nous la
partie
la plus apte de toutes à l’imitation : c’est ce q
c des repos commodes pour la respiration, établis non pas dans chaque
partie
comme pour la période précitée, mais dans sa tota
égaux, et antithèse avec similitude, lorsque chacun des membres a les
parties
extrêmes semblables. Or cela doit nécessairement
disposition. Chapitre XIII De la disposition. I. Il y a deux
parties
dans le discours ; car il faut nécessairement exp
i qui fait un exorde le fait en vue d’une démonstration. II. Ces deux
parties
sont donc : l’une, la proposition665, l’autre, la
tion, telle qu’ils l’entendent, soit ou bien ce que l’on objecte à la
partie
adverse, ou l’épilogue (la péroraison) des discou
eut alors la retrancher pour éviter la prolixité. IV. Ainsi donc, les
parties
essentielles sont la proposition et la preuve. Ce
donc, les parties essentielles sont la proposition et la preuve. Ces
parties
sont propres (au sujet). Les plus nombreuses qu’i
éveloppement des arguments favorables à l’orateur, et, par suite, une
partie
des preuves, car on fait une démonstration lorsqu
reuves, car on fait une démonstration lorsque l’on met en œuvre cette
partie
; mais il n’en est pas de même de l’exorde, ni de
de la pièce, sinon dès l’abord, comme Euripide, du moins dans quelque
partie
du prologue ; tel Sophocle : Mon père était Polyb
us, la nécessité de rendre l’auditoire attentif s’impose à toutes les
parties
(d’un discours), si elle existe677 ; car l’attent
t pas, ou qu’ils ne sont pas nuisibles, ou qu’ils ne le sont pas à la
partie
adverse, ou qu’ils n’ont pas l’importance qu’elle
ter l’accusation sur ce point. IX. Un autre moyen, c’est de prendre à
partie
l’imputation calomnieuse en montrant combien elle
qu’elle ne se fie pas au fait690. Un lieu communément utile aux deux (
parties
) consiste à produire des conjectures. Ainsi, dans
ifs, ne se développe pas tout d’un trait, mais à l’occasion de chaque
partie
; car il faut exposer les actes qui servent de te
tent721. IV. Reste le fait de rappeler les arguments avancés dans les
parties
précédentes. Or il convient de le faire de la mêm
uvent à la charge pour que les choses soient bien connues. Dans cette
partie
-là, il faut exposer la chose, afin de ne pas lais
arguments de l’adversaire. On rapprochera ou les choses que les deux
parties
ont dites sur le même point, ou celles qui n’ont
(Revue critique, xvii, 131.) 22. Voir les chap. xxiii et xxiv. 23.
Partie
perdue. Les éditions de Vahlen et de G. Christ do
te lui-même l’a dit (xiii, § 5). 59. L’auteur passe à la seconde des
parties
de la tragédie énumérées chap. vi, § 8. 60. Chap
oir, sur les Mysiens, la note de Buhle. 145. Si l’on retranchait les
parties
non vraisemblables ou non fondées en raison. 146
. Cp. chap. vi, § 2. 225. Il s’agit toujours de deux choses, de deux
parties
, de deux faits, bons l’un et l’autre, mis en para
cr., Évagoras, §§ 51 et suiv. 433. C’est-à-dire de l’émunération des
parties
. Cp. Topiques, ii, 4, 3. 434. Liv. II, chap. xix
ent préféré. 441. Fragment d’un discours perdu de Lysias rapporté en
partie
par Denys d’Halicarnasse (Vie de Lysias, § 32). I
§ 4. 497. L’hypocritique, ὑποκριτική, l’art du jeu scénique, une des
parties
de la musique d’après une classification que nous
120. 633. Le carré est une figure parfaite, limitée dans toutes ses
parties
. 634. Isocrate, Discours sur Philippe, § 10. 63
engel : « Sinon dès le prologue, comme Euripide, du moins, en quelque
partie
, comme Sophocle. » (Voir Spengel, notes, et Egger
., 1. VIII. 716. Mentionné déjà ci-dessus, l. I, ch. xiv, § 3. 717.
Partie
perdue. — Voir ci-dessus l’appendice de la Poétiq
t que l’on peut, dit Quintilien. — Rollin, de son côté, regarde cette
partie
des études littéraires comme la plus importante,
sont l’invention, la disposition, l’élocution. En examinant ces trois
parties
de toute composition, nous aurons occasion de fai
toutes les pensées essentielles au sujet, lorsqu’on aura distingué la
partie
principale de ce qui n’est que secondaire et ratt
xat et unum. Plus un ouvrage est un, c’est-à-dire, plus les diverses
parties
qui le composent vont directement au but que se p
la bonne disposition et dans l’assortiment convenable des différentes
parties
; s’il présente de la nouveauté dans le tour, de
sposition ? La disposition est l’arrangement convenable des diverses
parties
d’une œuvre littéraire, la coordination judicieus
s qu’il en a tirés. Il faut qu’il compare entre elles les différentes
parties
, qu’il les dispose de telle façon qu’on ne puisse
hose à ce qui précède. 334. Combien la disposition renferme-t-elle de
parties
? La disposition comprend trois parties : le com
sposition renferme-t-elle de parties ? La disposition comprend trois
parties
: le commencement, appelé, selon les genres, expo
pensée par la parole. Dans un sens particulier, l’élocution est cette
partie
de la littérature qui a pour objet les règles du
la dernière main à son œuvre et la retouche avec soin dans toutes ses
parties
. Il s’agit ici d’appliquer les préceptes du style
yons-nous les plus illustres écrivains attacher un grand prix à cette
partie
de la composition. Ainsi, Malherbe employait des
ités requises, si la réflexion a présidé à l’arrangement des diverses
parties
de la composition, et si les règles du style ont
47. Qu’avez-vous à dire sur l’unité ? L’unité demande que toutes les
parties
de la description se rapportent à une même fin. E
nt si difficile à trouver, à cause de la simultanéité des différentes
parties
du tableau : cette mobilité est celle que l’on re
rêt, et procure un moyen plus commode de passer en revue les diverses
parties
du tableau. Enfin, la description peut faire part
éral que se propose l’orateur, c’est-à-dire concourir dans toutes ses
parties
à produire l’effet qu’on espère du discours. Ce s
ales de la narration ; dans le second, nous parlerons des différentes
parties
qui la composent ; dans le troisième, nous ferons
gion et les usages des différents peuples. § II. — Des différentes
parties
de la narration. 403. Combien y a-t-il de part
Des différentes parties de la narration. 403. Combien y a-t-il de
parties
dans une narration ? On compte trois parties dan
03. Combien y a-t-il de parties dans une narration ? On compte trois
parties
dans toute narration : l’exposition, le nœud et l
ns toute narration : l’exposition, le nœud et le dénoûment. Ces trois
parties
forment ce qu’on appelle la disposition. I.
in l’exposition doit être brève ou rapide, parce qu’elle n’est qu’une
partie
accessoire de la narration. Ainsi, on n’y admettr
II. 411. Qu’est-ce que le nœud ? Le nœud ou corps du récit est la
partie
de la narration où sont mis en rapport les différ
le désir de connaître l’issue de l’action. Ainsi, le dénoûment est la
partie
de la narration où l’on fait connaître le résulta
on et aux promesses de l’auteur. Sans cela, le dénoûment, qui est une
partie
importante de la narration, n’est plus digne de c
ègle ; c’est lorsqu’il s’agit d’un dénoûment badin que le sérieux des
parties
qui précèdent fait mieux ressortir, comme l’avent
tagne gigantesque. 418. Le dénoûment doit-il être rapide ? Des trois
parties
de la narration, le dénoûment est celle qui deman
exposition, du nœud et du dénoûment, dans quelle proportion ces trois
parties
de la narration doivent être développées. Dans l’
aison si intime avec le sujet qu’ils paraissent en dépendre comme des
parties
subordonnées, enfin qu’ils soient traités assez b
ous livrez pas à votre penchant pour la raillerie. Le soin donné à la
partie
matérielle de la lettre, et l’observation des règ
oujours que le tout soit vraisemblable, c’est-à-dire que les diverses
parties
de l’action se succèdent de manière à ne heurter
ée ; et on ne croit pas que l’unité en soit détruite, si les diverses
parties
de l’action se passent dans des endroits assez vo
nt susceptible d’un long développement, on a dû y distinguer diverses
parties
, comme les scènes, les actes, l’exposition, le nœ
qui se trouvent en scène. Dans cette acception, la scène n’est qu’une
partie
de l’acte, et il y en a une nouvelle toutes les f
s sont à désirer147. On appelle actes, dans une pièce de théâtre, les
parties
de la pièce après lesquelles le théâtre reste vid
herché aussi, mais arbitrairement et sans succès, à déterminer quelle
partie
de la pièce chaque acte devait contenir. On a dem
ar exemple, que le premier acte fît connaître tous les acteurs et une
partie
de leurs caractères, ou que le nœud y fût commenc
portraits ou par un dialogue languissant. Le style dramatique est une
partie
de l’art bien importante. Il est évident qu’il do
, d’une façon aisée et prompte. Personne n’a été plus savant en cette
partie
que Corneille et Molière153. § 72. Distinction
résulter par rapport aux mœurs. Les beaux-arts perdraient une grande
partie
de leur valeur s’ils ne nous offraient que des pa
le personnage aurait dû en faire s’il parlait en vers : c’est là une
partie
des devoirs que tout auteur d’une tragédie doit r
e tentative fut approuvée ; et enfin le récit fut divisé en plusieurs
parties
pour couper plusieurs fois le chant, et augmenter
ter, comment on pouvait développer un sujet, le partager, en lier les
parties
, les combiner, les graduer, séparer les actes san
hefs-d’œuvre de notre théâtre. Empruntons à ses Enfants d’Édouard une
partie
du récit que fait le plus jeune de ces princes du
peuvent être de tous les rangs. On voit des rois, des princes dans la
Partie
de chasse de Henri IV par Collé, et dans le Pinto
and le poète présente dans tous le cours de l’action ou dans quelques
parties
seulement des situations propres à exciter la sen
nom de mélodrame comique. Ensuite, la musique qu’exprime la première
partie
du mot (mélos) n’est pas le chant qui se mêle dan
raison, et caractère de douceur : loi souverainement raisonnable, I.
Partie
: loi souverainement aimable, II. Partie. » I. Pa
uverainement raisonnable, I. Partie : loi souverainement aimable, II.
Partie
. » I. Partie. Loi chrétienne, loi souverainement
raisonnable, I. Partie : loi souverainement aimable, II. Partie. » I.
Partie
. Loi chrétienne, loi souverainement raisonnable.
t des plus puissants, pour que je m’attache à ma religion, etc. » II.
Partie
. Loi chrétienne, loi souverainement aimable. Jésu
ation, soit de l’évangile qu’on venait de lire, soit de quelque autre
partie
de l’écriture, dont l’orateur prenait un livre to
parce qu’étant né Roi, il a fait servir sa dignité à sa sainteté. I.
Partie
. Saint Louis a été un grand Roi, parce qu’il a su
l a su, en devenant Saint, faire servir sa sainteté à sa dignité, II.
Partie
. » I. Partie. Saint Louis a été un grand Saint, p
venant Saint, faire servir sa sainteté à sa dignité, II. Partie. » I.
Partie
. Saint Louis a été un grand Saint, parce qu’étant
ous empêcher, chacun dans notre état, de nous sanctifier ? etc. » II.
Partie
. Saint Louis a été un grand Roi, parce qu’il a su
icate, qui laisse à peine apercevoir qu’il prépare sa division. Cette
partie
est une des plus belles, mais des plus difficiles
cendant et du premier ordre, que Dieu lui avait donné pour toutes les
parties
de l’art militaire, et qui, dans les siècles où l
randeur du monde, c’est ce qui fera le sujet de votre admiration ; I.
Partie
. Un cœur dont la droiture s’est fait voir dans le
s opposés, c’est ce qui doit être le sujet de votre instruction ; II.
Partie
. Un cœur dont la religion et la piété ont éclaté
pourrez vous appliquer pour faire le sujet de votre imitation ; III.
Partie
». I. Partie. L’Orateur nous donne d’abord une id
appliquer pour faire le sujet de votre imitation ; III. Partie ». I.
Partie
. L’Orateur nous donne d’abord une idée du rare mé
Il y en a plusieurs autres, suivant la nature du sujet qui divise les
parties
contondantes. Tels sont, par exemple, les convent
ce par contester le droit, ou par nier le fait, soit en tout, soit en
partie
. Il réfute ensuite les moyens de son adversaire,
les siens, et conclut enfin contradictoirement aux prétentions de la
partie
adverse. L’exorde est inutile dans les plaidoyers
s plaidoyers. On doit y recueillir les raisons de l’une et de l’autre
partie
, les comparer, les balancer, et se déterminer sa
opinion, voilà les lieux oratoires extérieurs où il puise une grande
partie
de ses preuves. Quant au style, il suffit qu’il s
à l’avantage des lettres, et de ce corps dont vous faites maintenant
partie
: du moment que des esprits sublimes passant de b
and, empereur de Russie, qui, après avoir voyagé dans les différentes
parties
de l’Europe, pour s’instruire des lois, des mœurs
j’appelle politiques sont ceux que les hommes chargés des différentes
parties
du gouvernement sont obligés de faire de vive voi
a rhétorique est le complément des humanités. Elle se divise en trois
parties
corrélatives aux trois facultés principales de l’
licables à presque tous les sujets, et à l’ensemble aussi bien qu’aux
parties
. Ils sont au nombre de trois : 1° La définition,
tion du mot dont l’idée est le sens ; 3° L’analyse ou énumération des
parties
de l’idée, à laquelle on procéde de trois manière
internes applicables seulement à certains sujets et aussi plutôt aux
parties
qu’à l’ensemble du sujet. On peut les réduire aux
e qu’il ne soit ni trop vaste ni trop resserré ; Juste proportion des
parties
de l’ouvrage, et entre elles, et dans leur rappor
t à l’ensemble de l’ouvrage, il y en a de spéciales pour les diverses
parties
, pour le commencement, le milieu et la fin d’un é
e plus souvent possible aux généralités. On peut considérer comme une
partie
de la confirmation, la réfutation qui consiste à
de donner aussi le dernier mot des faits accessoires, on y ajoute une
partie
nommée achèvement. Le dénouement doit toujours êt
uditeurs et des lecteurs. Chapitre XV. La troisième et dernière
partie
de la rhétorique est l’élocution, qui s’occupe de
de ne point exprimer l’idée tout entière, et d’en laisser deviner une
partie
. D’autres auteurs se font remarquer par la naïvet
en un objet unique, le moins pour le plus, le plus pour le moins, une
partie
pour une autre ou pour le tout, l’abstrait pour l
(iie siècle av. J.-C.). III. Charles Martel aux Francs. Première
partie
. Avant de livrer bataille aux Sarrasins, entre
e rebus gestis Francorum). IV. Charles Martel aux Francs. Deuxième
partie
. « Parce qu’ils sont errants en masses consid
ême auteur. VI. Derniers conseils de Mentor à Télémaque. [Première
partie
.] Ce sujet a été donné à la Sorbonne le 29 juil
seils au jeune prince pénétré d’une respectueuse admiration. Première
partie
. Mentor engage Télémaque à faire sur le rivage u
Télémaque. VII. Derniers conseils de Mentor à Télémaque. Deuxième
partie
« Fuyez la mollesse, le faste, la profusion ;
e aux soldats avant de monter sur le trône (180 ap. J.-C.). [Première
partie
.] Le discours suivant aurait pu faire naître q
ils bien indigne de Marc-Aurèle. Il périt empoisonné en 192. Première
partie
. « Soldats, je suis intimement persuadé que la d
prince. » Traduit d’Hérodien. XII. Commode aux soldats. Deuxième
partie
« Si vous faites ces réflexions, chérissez-mo
tants de Rhodes à se défendre contre les Turcs (1522-1523). [Première
partie
.] Le maître de l’ordre des chevaliers, Philipp
les citoyens dans le prétoire, et leur parle en ces termes : Première
partie
. « Hommes de cœur, excellents citoyens, nous avo
rre de Rhodes). XVI. L’Isle Adam aux habitants de Rhodes. Deuxième
partie
« De notre côté se trouvent la nécessité de c
. J.-C. XX. Volumnie et Véturie dans le camp de Coriolan. Première
partie
. Quand la mère et l’épouse de Coriolan entrèr
olan). XXI. Volumnie et Véturie dans le camp de Coriolan. Deuxième
partie
. « Si je te demandais, mon fils, de sauver Ro
ue fait l’éloge des soldats morts à la bataille de Dorylée. [Première
partie
.] La première croisade eut lieu en 1095 : elle
Basse-Lorraine, commandait la grande armée. Après avoir traversé une
partie
de l’Asie Mineure, il livra une sanglante bataill
plaine de Dorylée en Phrygie, au nord-est de Konieh (1097). Première
partie
. « Chefs invincibles, vaillants soldats, jamais
aduit de Paulus Æmilius (De rebus gestis Francorum). XXV. Deuxième
partie
. « Permettez-moi maintenant de faire mention
er chef de l’expédition en faveur des Mèdes (555 av. J.-C.). Première
partie
. « Guerriers, mes amis, je vous ai choisis no
(La Cyropédie). XXVIII. Cyrus aux généraux de son armée. Deuxième
partie
. « Quant à nous, guerriers, amis, ne commetto
ns av. J.-C.). XXX. Discours de Pompée au peuple romain. [Première
partie
.] Aulus Gabinius, tribun du peuple, avait fait
ée suivant son habitude, et parle ainsi au peuple assemblé : Première
partie
. « Je me réjouis, Romains, du commandement que v
229 ap, J.-C.). XXXI Discours de Pompée au peuple romain. Deuxième
partie
. « Mais comme j’ai été accablé de soucis mult
vieillard Syracusain, en faveur des prisonniers Athéniens. [Première
partie
(exorde).] La guerre du Péloponnèse, écrite pa
urent condamnés aux carrières et enfermés dans les Latomies. Première
partie
(exorde). « Syracusains, j’ai moi-même eu ma par
à Rome, au siècle d’Auguste. XXXV. Discours de Nicolaüs. Deuxième
partie
. « Le peuple Athénien a payé d’abord aux Dieu
généreuse bienveillance. » XXXVI. Discours de Nicolaüs. Troisième
partie
(péroraison). « Vous tous, qui avez puisé que
e que nous. » XXXVII. Discours du Lacédémonien Gylippe. [Première
partie
.] Après le discours de Nicolaüs, qui avait exc
, implacable ennemi des Athéniens, s’exprime en ces termes : Première
partie
. « Syracusains, je ne puis trop m’étonner de voi
» Traduit du même auteur. XXXVIII. Discours de Gylippe. Deuxième
partie
. « Comment donc ne serait-il pas souveraineme
et de la liberté perdue ? » XXXIX. Discours de Gylippe. Troisième
partie
. « Qu’ils ne viennent donc pas, ces Athéniens
rces ne seront pas rétablies ; mais quand ils en auront recueilli une
partie
, ils chercheront de nouveau à conduire à bonne fi
dissout la nature de l’homme, on voit où s’en vont toutes les autres
parties
: elles retournent à la source d’où elles émanent
our en éviter de plus grands. C’est ainsi que les médecins, quand une
partie
du corps est atteinte, s’ils voient que le mal ga
ément de Quinte-Curce). XLV. Discours du roi Archidamus. [Première
partie
.] Il engage les Lacédémoniens à user de modéra
e décider à la guerre contre Athènes qu’après un mûr examen. Première
partie
. « Lacédémoniens, j’ai déjà l’expérience de bien
(Guerre du Péloponèse.) XLVI. Discours du roi Archidamus. Deuxième
partie
. « Commençons donc par nous procurer de l’arg
autre, comme étant trop cruel. Mais enfin, pour rabattre, au moins en
partie
, l’orgueil des Romains, et pour échapper aussi au
LVI. Alexandre à ses soldats qui refusent de le suivre. [Première
partie
.] Dans l’expédition des Indes, Alexandre s’ava
us loin. Alexandre rassemble les chefs et leur parle ainsi : Première
partie
. « Macédoniens, et vous, alliés, comme je vois q
Cappadoce et tant d’autres provinces Asiatiques ; si l’Égypte et une
partie
de l’Arabie ont été le fruit de nos efforts ; si
raduit d’Arrien. LVII Discours d’Alexandre à ses soldats. Deuxième
partie
« Là vous verrez qu’à cette mer se joint cell
la liberté. » LXVI. Entretien de Xerxès et de Démarate. Première
partie
. Ce sujet a été donné à la Sorbonne le 8 août 1
liberté, pour la défense de leurs autels et de leurs foyers. Première
partie
. Lorsque Xerxès déclara la guerre à la Grèce, ses
it d’Hérodote. LXVII. Entretien de Xerxès et de Démarate. Deuxième
partie
. « Mais que dis-tu là, Démarate ? répliqua Xe
’oracle contribuait à tes victoires : tu perdais ainsi la plus grande
partie
de ta gloire ; car tes actions paraissaient toujo
né d’entreprendre celui-ci, s’il avait reçu dans quelques-unes de ses
parties
, telles que l’invention et la disposition, tout l
re en ruine. Il m’a semblé qu’il était à propos, en traitant de cette
partie
du discours, d’exposer les faux raisonnemens où l
peuvent donner de fausses idées et induire en erreur. L’action, cette
partie
si importante de l’éloquence, ne doit pas être ou
rent dans la composition et le ton ; les moyens de l’éloquence et les
parties
oratoires y sont modifiées par la nature du sujet
a rhétorique. Les anciens reconnaissaient dans l’œuvre oratoire cinq
parties
distinctes ; savoir : l’invention, la dispositio
ion, la mémoire et l’action. (Cic., de inv. Rh., n°. 7.) De ces cinq
parties
, les deux dernières n’appartiennent qu’à l’éloque
omporte, c’est ce qu’on appelle l’invention ; il faut en disposer les
parties
dans un ordre naturel et judicieux, voilà la disp
r en public, il faut en outre fixer dans sa pensée les divisions, les
parties
, les transitions, se rappeler même les mouvemens
préceptes que les maîtres de l’art ont donnés sur chacune de ces cinq
parties
, et ce que l’orateur tire de chacune d’elles pour
de tout le discours, et par conséquent, comme s’exprime Rollin, « la
partie
la plus nécessaire et la plus indispensable, à la
ent. Comme preuve. Comme preuve, des jugemens déjà rendus entre les
parties
, avant qu’il fût statué sur le fond. On soutient
en ce qui concerne les termes, le sens des clauses et l’intention des
parties
; 3°. dans leur sincérité et leur réalité, comme
crivains d’une autorité grave (MM. de Port Royal, Art de penser ; 3e.
partie
, chap. 16), aient montré peu d’estime pour la mét
te et plus bel exemple que le plaidoyer pour Milon. Toute la première
partie
repose sur les inductions tirées du caractère, de
les moyens qui seraient plus nuisibles qu’utiles. Ainsi j’emploie une
partie
de mon temps à préparer la cause, et une autre à
sentant un sens parfait au dernier repos. Il en sera question dans la
partie
de cet ouvrage qui traitera du style. §. II. D
de. But de quiconque étudie la logique. C’est ici la principale
partie
et la véritable fin de la logique. Le but qu’on s
idoyer de Cicéron pour Milon roule sur trois syllogismes. La première
partie
se réduit à celui-ci : Il est permis à celui don
bien affermi, il en fait venir un autre ; c’est l’objet de la seconde
partie
. Après avoir prouvé, autant qu’il lui a été possi
dont les hommes expriment leurs raisonnemens. » (Art de penser, IIIe.
partie
, ch. 14.) On trouve quelquefois dans Cicéron l’e
ilemme est un argument dans lequel, après avoir divisé un tout en ses
parties
, on conclut du tout, ce qu’on a conclu de chacune
ses parties, on conclut du tout, ce qu’on a conclu de chacune de ses
parties
. Exemples. Si l’on veut prouver, par exemple, q
produit d’autant plus d’effet, qu’il vient d’en développer toutes les
parties
. L’exposition des caractères du coupable et de Ro
ns dît, sert à prouver une proposition générale par l’énumération des
parties
. Si l’on veut qu’elle soit concluante, l’énumérat
ivement à un ouvrage, à un discours, est la manière d’en disposer les
parties
dans un ordre clair, régulier, qui contribue au m
e et de la justesse dans ses pensées. Mais nous reviendrons sur cette
partie
importante de l’art d’écrire au livre second de c
Analyse. L’analyse se fait lorsqu’en parcourant successivement les
parties
, on parvient à la connaissance du tout. On l’appe
st indispensable pour connaître un sujet, pour en examiner toutes les
parties
. Quand il veut le traiter, la synthèse lui devien
ns le discours ; et c’est, selon Quintilien, une des plus importantes
parties
de l’invention. « Comme un trait, dit ce célèbre
varient ; les moindres accidents les changent. » (Ibid.) Plus cette
partie
de l’art est difficile, plus l’orateur doit s’app
moyens de plaire que lui fournit l’art de bien dire, dont toutes les
parties
concourent à disposer les auditeurs en faveur de
est celui qui fait les grands orateurs. « Pour ce qui est des autres
parties
de l’éloquence, un génie médiocre peut y suffire,
sion des juges. » (L. IV, c. i.) « Il doit même éviter d’inculper les
parties
sur des choses étrangères à la cause, les inculpa
honnête homme n’approuvera. C’est néanmoins ce qu’exigent souvent les
parties
, qui aiment mieux se venger que de se défendre. M
isposition. Définition de la disposition. La disposition est la
partie
de la rhétorique qui apprend à mettre dans un ord
si vous ne savez les unir ? Dans le corps humain, si vous mettez une
partie
à la place d’une autre, quoique le reste demeure
’orateur. » (De Orat., l. II, n. 307.) L’une a rapport aux diverses
parties
du discours. La première ordonnance consiste à m
sprit une image abrégée et distincte de tout le sujet, qui sépare les
parties
sans les isoler, et les assemble sans les confond
une infinité d’autres. L’unité du plan consiste à former un tout de
parties
qui soient d’accord entre elles et qui aillent di
ouvrage entier doit se rapporter. Combien ton discours doit avoir de
parties
. Ce précepte d’ensemble dans le tout et de propo
rties. Ce précepte d’ensemble dans le tout et de proportion dans les
parties
, est fondé sur la raison et enseigné par tous les
ure même, dit Cicéron, nous apprend combien un discours doit avoir de
parties
. C’est elle qui nous avertit de ne pas entrer bru
I, n. 307.) Il suit de là, que tout discours a nécessairement quatre
parties
: 1°. l’exorde qui prépare les esprits ; 2°. la p
son qui conclut2. Les discours du barreau et les plaidoyers ont deux
parties
de plus, savoir ; la narration qu’on place après
s placées selon le même ordre. Nous ne disons pas que chacune de ces
parties
doive nécessairement entrer dans un discours, ni
scours. Il y a d’excellens discours où manquent une ou plusieurs des
parties
dont nous avons parlé. Dans les uns, l’orateur ab
ine par une conclusion simple et précise. Cependant, comme toutes ces
parties
entrent naturellement dans la composition d’un di
ans le corps du discours au commencement de chaque point ou de chaque
partie
principale. Du plan. La proposition avec la div
les peuples est l’usage le plus délicieux de la grandeur. » Première
partie
: « L’humanité envers les peuples est le premier
ité renferme l’affabilité, la protection et les largesses. » Seconde
partie
: « L’humanité envers les peuples est l’usage le
irmation. Définition de la confirmation. La confirmation est la
partie
du discours où l’orateur prouve la vérité qu’il a
rité qu’il a annoncée dans la proposition. Son importance. C’est la
partie
essentielle du discours ; elle en est le fond et
ntielle du discours ; elle en est le fond et la substance. Les autres
parties
lui sont subornées et n’ont de prix qu’autant qu’
uent à la faire valoir. Son but. L’orateur doit employer dans cette
partie
tous les moyens propres à fixer et à soutenir l’a
maux qui s’ensuivent. Tout ce qui aura été prouvé dans cette première
partie
servira à faire connaître l’énormité du crime de
pas attendre la fin du discours pour les exécuter. « Dans les autres
parties
du discours, dit Quintilien, l’orateur traitera c
flammer les juges ou à les calmer. C’est là, plus que dans les autres
parties
du discours, que l’orateur doit déployer toutes l
ribune où il s’agit d’intéresser et d’émouvoir, la péroraison est une
partie
essentielle du discours ; c’est elle qui donne la
x encore, dit Cicéron, de récapituler en peu de mots les moyens de la
partie
adverse, et les raisons avec lesquelles on les au
mplement fait dans les plaidoyers et les mémoires. Ce n’en est pas la
partie
la moins importante, ni celle qui exige de l’orat
oc. cit.) Il y a certains artifices qui servent à dissimuler quelques
parties
d’une narration qui se prolonge, tels que la figu
quante. Il fait consister l’agrément dans une élégance propre à cette
partie
du discours, sans en exclure l’élévation et le pa
rivoles questions. Le besoin de la cause détermine souverainement les
parties
du discours, et l’ordre dans lequel il faut les p
en l’une et en l’autre. Moyens de réfuter. C’est surtout dans cette
partie
du discours que se fait sentir le besoin qu’a l’o
on puisse attribuer la pensée à l’homme, qu’il pense selon une de ses
parties
; mais il ne s’ensuit nullement qu’il pense selon
llent que les jeunes gens peuvent lire avec beaucoup de fruit. (IIIe.
Partie
, ch. 19.) Appendice. Des Transitions. Né
) Appendice. Des Transitions. Nécessité de lier les diverses
parties
du discours. Nous avons construit toutes les par
er les diverses parties du discours. Nous avons construit toutes les
parties
du discours ; mais le travail reste imparfait tan
nt de l’enchaînement entre les différentes preuves et les différentes
parties
de l’oraison, qui, liées entr’elles, semblent s’a
ement et concourir toutes à démontrer une même vérité. Elles sont aux
parties
du discours, ce que les articulations et les join
va dire. Telle est celle par laquelle Massillon passe de la première
partie
de son discours sur l’humanité des grands, à la s
il est plus utile de débuter par nos propositions ou par celles de la
partie
adverse, par nos preuves les plus fortes, ou par
grands mouvemens pour la péroraison, ou les répandre dans toutes les
parties
du discours ; si nous devons insister d’abord sur
Opinion de Cicéron et de Quintilien à ce sujet. L’élocution est la
partie
essentielle de l’art oratoire, celle dont le méri
n’appartient qu’à l’orateur. (Orat. ad Brut., n. 44.) C’est aussi la
partie
la plus difficile, celle dont l’excellence est pl
iscours de récept : à l’ac. franc.) La pensée n’en est pas moins la
partie
essentielle du discours. Le style est donc une p
t pas moins la partie essentielle du discours. Le style est donc une
partie
très-importante ; il ne s’ensuit pas néanmoins qu
t en même temps qu’elle remue les cœurs. Ils rapportaient ensuite les
parties
du discours à chacun de ces trois genres de style
nt un de ces trois genres de style à chaque ouvrage, ou même à chaque
partie
d’un ouvrage quelconque, puisqu’on peut placer un
l’entend, et au but qu’il se propose. Cependant, pour donner à cette
partie
de la rhétorique tout le développement qu’elle ex
t bien. L’attention à bien prononcer est encore, suivant Cicéron, une
partie
essentielle du mérite de bien parler. (De Orat.,
emploie des nombres plus courts ; on se sert du style coupé dont les
parties
sont indépendantes et sans liaison réciproque. Ex
s, comme le grec et le latin. Aussi la doctrine des anciens sur cette
partie
de la composition, n’est-elle pas applicable à no
du discours. La raison qu’il en donne, c’est qu’un discours où cette
partie
accessoire paraîtrait évidemment trop travaillée,
s auteurs, ne gouverne pas seulement le sujet, mais encore toutes les
parties
du sujet : utetur ut res exiget omnibus non pro
t les nuances qui soient le mieux dans l’expression de chacune de ces
parties
, des sentimens et des pensées qui en sont les élé
oses mêmes qu’il doit exprimer. Soit qu’on ait : Quelle que soit la
partie
, ou l’endroit du discours qu’on veuille écrire, o
e plus nécessaire à la poésie qu’à l’éloquence, parce qu’elle est une
partie
de cette harmonie si nécessaire au vers. » (Volt.
. Non-seulement les sujets sont de nature différente ; mais entre les
parties
d’un même sujet, il y a des différences qui exige
itable pensée de l’écrivain, elle est fausse ; si elle ne rend qu’une
partie
de la pensée, elle est insuffisante ; si elle exp
ase, sont indiquées par la nature ; car la pensée porte avec elle ses
parties
, ses intervalles, ses suspensions et ses repos, e
lleurs qu’en observant avec soin les règles qui se rapportent à cette
partie
du style, que l’on peut parvenir à écrire avec cl
n sens figuré, il y a un trope. Ces expressions figurées sont nées en
partie
de la nécessité. On a imaginé de s’en servir à dé
ritage. de cent rois, c’est-à-dire d’un grand nombre de rois. 4°. La
partie
pour le tout, ou le tout pour la partie. Comme ce
grand nombre de rois. 4°. La partie pour le tout, ou le tout pour la
partie
. Comme cent voiles pour cent vaisseaux. Les chré
phrase le sens littéral au sens métaphorique. Il faut éviter qu’une
partie
de la même phrase doive être prise dans un sens l
de la même phrase doive être prise dans un sens littéral, et l’autre
partie
dans un sens métaphorique : il en résulterait une
ens. D’abord la périphrase ajouté quelquefois au sens et devient une
partie
essentielle de la pensée à laquelle elle sert de
une description ; on décompose une idée pour en présenter toutes les
parties
. Le nom seul passerait rapidement, ou ne ferait q
les effets et les conséquences de ce qu’on propose, etc…. Dans cette
partie
, plus que dans toute autre, l’orateur fait preuve
s sûrement le reste de sa cause. L’orateur semble se dépouiller d’une
partie
de ses armes et se livrer à ses ennemis ; mais c’
avocat ne profite pas de de tous ses avantages, et se relâche sur une
partie
de ce qu’il pourrait prétendre et soutenir. Perm
ue les yeux soient répandus par tout le corps, de peur que les autres
parties
ne fassent plus leurs fonctions. » (L. VIII, c. 5
fassent plus leurs fonctions. » (L. VIII, c. 5.) En effet, il est des
parties
du discours, des genres de sujets qui ne demanden
es lois. Un avocat, à propos d’un mur mitoyen, dit que le droit de sa
partie
est éclairé du flambeau des présomptions. Un hist
ons aux sentimens, nous verrons que l’enflure ne gâte pas moins cette
partie
de l’éloquence. Écoutez Hécube déplorant en terme
a pensée dans un beau jour ; c’est en laissant deviner sans peine une
partie
de sa pensée. C’est ce qu’on appelle finesse, dél
s, nous devons nous occuper de l’art de le prononcer en public. Cette
partie
de l’éloquence n’est ni la moins importante, ni c
uer les qualités, les propriétés, les causes, les effets, etc…. Cette
partie
de l’éloquence semble échapper aux règles de l’ar
apprendre d’abord l’ordre et la division du discours, les différentes
parties
et les preuves de chaques partie, en sorte qu’ell
vision du discours, les différentes parties et les preuves de chaques
partie
, en sorte qu’elles s’enchaînent dans notre esprit
re ; tandis qu’au contraire, s’il joint une mémoire aisée aux autres
parties
de l’action, il est sûr de plaire à tout le monde
elque chose d’admirable et de parfait. » (L. XI, c. 3.) Elle a deux
parties
, la voix et le geste. Cicéron appelle l’action
oquentia, quùm constet è voce atque motu. (Orat., n. 54.) De ces deux
parties
, l’une frappe les oreilles, et l’autre les yeux,
rganes ; de l’autre par la meilleure exécution possible de toutes les
parties
de la prononciation. Or ces parties sont au nombr
exécution possible de toutes les parties de la prononciation. Or ces
parties
sont au nombre de trois, l’intonation, l’articula
re et distincte, et les succès prodigieux qu’il obtint. Des diverses
parties
de la prononciation. Quand aux diverses parties
btint. Des diverses parties de la prononciation. Quand aux diverses
parties
de la prononciation, voici ce que les maîtres de
s syllabes qui composent les mots. Elle peut être considérée comme la
partie
principale de la prononciation. Elle doit être c
èses qui remplissent les trois dernières phrases.) Le ton de chaque
partie
du discours n’est pas le même. Selon Quintilien,
tie du discours n’est pas le même. Selon Quintilien, les différentes
parties
du discours, l’exorde, la narration, la preuve et
la tête, les bras et les mains. Mais avant d’examiner les différentes
parties
dans le mouvement, considérons l’ensemble dans le
s tous les instans où le discours ne comporte point de mouvement. Les
parties
du discours qui en demandent le moins sont l’exor
veut. Disons maintenant ce qui peut être particulier aux différentes
parties
du corps. Mouvement de la tête, « Comme la têt
Mouvement de la tête, « Comme la tête a le premier rang entre les
parties
du corps, elle l’a aussi dans l’action, dit Quint
confond. Du visage, « Mais ce qui domine principalement dans cette
partie
, dit encore Quintilien, c’est le visage. Il n’y a
« Mais le visage, c’est toujours Quintilien qui parle, a lui-même une
partie
dominante : Ce sont les yeux. (In ore autem ipso
. III, n. 222.) Défauts à éviter. Quintilien, décrivant toutes les
parties
du visage, leurs fonctions, leurs vertus et leurs
ceux des bras et des mains. Mouvemens des bras et des mains. Cette
partie
du corps par laquelle l’homme exécute toutes ses
, que les mains ne soient quelquefois jalouses d’exprimer. Les autres
parties
du corps aident et contribuent à la parole ; mais
c’est encore le principe d’où il faut partir pour donner à toutes les
parties
de l’action une beauté naturelle. Pénétrez-vous d
mprunte d’elle toute sa force. L’action, selon eux, est la principale
partie
de l’orateur ; elle est presque la seule nécessai
endre du maître. Dans les arts, les préceptes sont presque la moindre
partie
; tout ce qu’ils peuvent faire, c’est d’éclairer
lu un livre, il faut le reprendre de nouveau, pour voir si toutes les
parties
en sont bien liées, bien suivies ; surtout quand
ui doit suivre, il couvre sa marche, il ruse, il dit dans la première
partie
des choses qui n’auront peut-être leur utilité qu
trop sérieusement ; il faut l’analyser, l’examiner, pour ainsi dire,
partie
par partie, n’en rien laisser échapper. On ne doi
usement ; il faut l’analyser, l’examiner, pour ainsi dire, partie par
partie
, n’en rien laisser échapper. On ne doit pas crain
rateur, dit-il, qui connaît le point litigieux, les prétentions de la
partie
adverse, ses moyens, ceux que lui-même doit emplo
n amène par cette sorte de raisonnement, et qu’on recueille plusieurs
parties
pour en faire un tout. Première espèce d’inductio
e. Deux manières d’ordonner le discours. L’une a rapport aux diverses
parties
du discours. L’autre, aux idées principales. Ce q
plan. Moyen de mettre de l’unité. Combien ton discours doit avoir de
parties
. 1. Denique sit quod vis simplex dumtaxat et u
délicat les pièces assorties, N’y forment qu’un seul tout de diverses
parties
. (Boil., Art poét.) 2. Aristote enseigne que t
2. Aristote enseigne que tout discours, à la rigueur, n’a que deux
parties
. Il appelle l’une proposition et l’autre preuve.
argument captieux et de mauvaise foi. Nécessité de lier les diverses
parties
du discours. Ce qu’on entend par transition. Exem
et. Opinion de Voltaire et de Buffon. La pensée n’en est pas moins la
partie
essentielle du discours. Les anciens réduisaient
s délicates, on pourrait presque dire les plus minutieuses, sur cette
partie
de l’art qui consiste dans le nombre et l’harmoni
it aux infidélités de la mémoire. Importance de l’action. Elle a deux
parties
, la voix et le geste. La voix est le principal in
rriger la mauvaise disposition des organes de la parole. Des diverses
parties
de la prononciation. Intonation. Elle a trois ton
combiner ensemble dans le débit oratoire. Exemples. Le ton de chaque
partie
du discours n’est pas le même. Ton propre à l’exo
ossibles, tous les phénomènes de l’idée, l’essence, l’expression, les
parties
, les contraires, les semblables, les accessoires,
tio, et que l’on peut traduire par étymologie ; 3° l’ énumération des
parties
, que nous nommons aussi analyse. Cherchons mainte
andie et développée. Nous voici au troisième lieu, l’ énumération des
parties
. Ce topique se confond souvent avec le précédent,
dées, si hautement apprécié, si fréquemment recommandé par Condillac,
partie
inattaquable de sa doctrine, et qui a survécu à t
ir à la fois cette multitude d’objets différents, sans étudier chaque
partie
l’une après l’autre. On sent, comme le philosophe
nalyse des objets sensibles. On décompose de même ; on se retrace les
parties
de sa pensée dans un ordre successif pour les rét
nalyser n’est donc autre chose qu’exposer dans un ordre successif les
parties
dont se compose une idée, et leur rendre ensuite
er, se réservant de déclarer chaque année aux nations esclaves quelle
partie
de la terre aura l’honneur de le nourrir ; — Synt
descriptions, des tableaux, des portraits, des parallèles, une grande
partie
de la narration, de la confirmation et de la réfu
saut, mais on dit moins en disant le tout en gros qu’en énumérant les
parties
. » 12. Quintilien parle très-bien à ce propos
nimositas, animosité ; animare, souffler, animer, etc. — Du mot pars,
partie
, sont dérivés partiri, partager ; partitio, parti
o, partition, action de partager ; partitor, qui partage ; partim, en
partie
; particula, petite partie, parcelle ; particular
tager ; partitor, qui partage ; partim, en partie ; particula, petite
partie
, parcelle ; particularis, particulier ; particula
tite partie, parcelle ; particularis, particulier ; particulatim, par
parties
. — De l’oriental hur, feu, s’est formé le mot gre
bre. Le mot aile est pris dans le sens propre, quand il désigne cette
partie
du corps dont les oiseaux font usage pour voler.
mée. — Acies (du grec αϰη, pointe) désigne, dans son premier sens, la
partie
aiguë ou tranchante d’un instrument. Acies ferri,
du fer ; acies mucronis, la pointe d’une épée. Au figuré, il signifie
partie
fine, délicate, pénétrante. Acies oculorum, la pé
nstituer l’été suivant une classe de rhétorique qui ferait à l’avenir
partie
de leur établissement académique, et de lui en co
ien connues, non seulement en Angleterre, mais encore dans toutes les
parties
de l’Europe où l’on cultive les belles-lettres, p
tions aux personnes qui sollicitaient sa correspondance de toutes les
parties
du royaume. Pendant l’été qui précéda immédiateme
e ses réflexions sur chacun des sujets qu’il a traités, et la majeure
partie
de ce travail est tout à fait à lui. Il n’a adopt
l’orateur doit être un homme très instruit, et versé dans toutes les
parties
de la science. » [ Omnibus disciplinis et artibus
nnaissances qui les rendent capables de devenir bons juges dans cette
partie
de la littérature appelée belles-lettres. À l’éga
orde la perfection qu’à nos efforts. Les progrès que, dans toutes les
parties
de la littérature, on doit à l’étude sont si rema
sidérations générales. Les lectures suivantes seront divisées en cinq
parties
. La première contiendra une dissertation prélimin
consiste l’éloquence proprement dite, ou quelles sont les différentes
parties
de l’art de parler ; enfin, nous terminerons par
en critique des meilleurs ouvrages de prose ou de poésie. Première
partie
. Lecture II. Le goût. LE but de cet ouvra
rité. Cette inégalité de goût parmi les hommes est due, sans doute en
partie
, à la structure différente de leur individu, à de
été refusées à d’autres. Mais si c’est à la nature que nous sommes en
partie
redevables de ces avantages, il faut encore plus
ctère de l’ensemble, mais encore les beautés et les défauts de chaque
partie
, et sera bientôt capable d’assigner les motifs pa
e que j’avance, qu’il me soit permis de faire observer que la majeure
partie
des productions du génie ne sont que des imitatio
de ce que le plan de l’ouvrage est habilement conduit, de ce que les
parties
ont entre elles des rapports vraisemblables, de c
ur but l’imitation de la nature, où se trouvent quelques rapports des
parties
avec le tout, et des moyens avec le but que l’on
lques moyens de distinguer le vrai goût du goût dépravé. C’est ici la
partie
la plus difficile de la tâche que nous nous somme
Tel peut avoir un goût très exercé en poésie, en éloquence, en telle
partie
que ce soit des beaux-arts, qui est tout à fait d
oie ignorée jusque-là. Les progrès que l’on a faits depuis dans cette
partie
intéressante de la critique philosophique ne sont
’espace manque au développement de notre âme. L’exacte proportion des
parties
constitue presque toujours la beauté, le sublime
nous avons plus de motifs pour nous en occuper ici qu’en aucune autre
partie
de nos Lectures suivantes. Presque aucune des exp
s et de correction dans le style, une proportion plus exacte dans les
parties
, une narration plus savamment conduite ; c’est au
s détermine à recevoir avec plus de plaisir la sensation de certaines
parties
du rayon lumineux, et nous voyons, en conséquence
s paraît établie d’après certaines règles, et dans la disposition des
parties
de laquelle il n’y a ni incertitude ni confusion.
ent pour objet, serait pitoyable s’il y avait dans la’division de ses
parties
la même régularité que dans un bâtiment. M. Hogar
s pour parvenir à une fin ; ou encore de la proportion respective des
parties
qui doivent former un tout. Ainsi, en considérant
tructure d’un arbre ou d’une plante, nous remarquons comme toutes ses
parties
, les racines, la tige, l’écorce et les feuilles,
art admirable qui fait concourir à un seul but un si grand nombre de
parties
diverses et compliquées. Cette espèce de sentimen
effet fâcheux lorsqu’on les destine à soutenir, dans un bâtiment, la
partie
la plus massive, et qui semble exiger le support
’il s’est proposé, et conséquemment à examiner jusqu’à quel point les
parties
sont en rapport avec ce but. Lorsque nous saisiss
ent les figures, si elles sont déplacées, si elles ne forment pas des
parties
proportionnées à l’ensemble de l’ouvrage, si elle
isent pas sur l’esprit une impression moins différente15. Seconde
partie
. Lecture VI. Origine et progrès du langage.
ublic. Aristote, dans sa Poétique, considère la musique comme une des
parties
les plus essentielles de la tragédie. Il en était
’action comme le talent principal de celui qui parle en public. Cette
partie
de la déclamation était, chez les orateurs et les
s, et dont on se sert encore aujourd’hui en Éthiopie et dans quelques
parties
de l’Inde. Au moyen d’une marque ou signe particu
an, qu’elles y furent adoptées par les Phéniciens, qui habitaient une
partie
de cette contrée, et que ces derniers les transmi
t c’est à l’ignorance de la grammaire qu’il faut attribuer la majeure
partie
des fautes les plus graves du style. Très peu d’a
es sur les principes les plus essentiels ; en passant en revue chaque
partie
du discours, je ferai successivement remarquer le
le génie qui la caractérise. Il faut d’abord examiner la division des
parties
du discours. Ces parties essentielles sont les mê
se. Il faut d’abord examiner la division des parties du discours. Ces
parties
essentielles sont les mêmes dans toutes les langu
toutes les langues. La division la plus simple et la plus claire des
parties
du discours, est en substantifs22, en attributifs
les autres se trouvent placés. La division la plus ordinaire en huit
parties
du discours, savoir : les noms, pronoms, verbes,
ation générale de noms les adjectifs et les substantifs, qui sont des
parties
du discours très différentes sous plusieurs rappo
ammaire, et que l’on peut regarder comme formant la plus ancienne des
parties
du discours. Car, sans doute, lorsque les hommes
fiant l’objet individuel dont il était question par le moyen de cette
partie
du discours que nous nommons article. La propriét
r toutes les relations qu’ils découvraient ; ces mots formèrent cette
partie
du discours que nous appelons aujourd’hui préposi
leurs rapports. Le sens d’une période, distribuée par membres et par
parties
, se trouve ainsi régulièrement coupé ou divisé ;
t des verbes, présentait au lecteur le sens entremêlé dans toutes les
parties
de la phrase, et le laissait apercevoir, pour ain
ualités isolément ou abstractivement. Elles les regardaient comme des
parties
intégrantes de l’objet que ces qualités servaient
tifs, les plus complexes sont assurément les verbes. C’est dans cette
partie
du discours que la métaphysique profonde et subti
ation semble être ce qui distingue principalement le verbe des autres
parties
du discours ; elle lui donne toute sa force ; aus
ongue succession de temps qu’on est parvenu à construire toutes leurs
parties
avec l’exactitude qu’elles ont aujourd’hui. Il pa
il, s’appelle conjugaison, et, dans toutes les langues, constitue la
partie
la plus importante de la grammaire. Nous avons ac
ent la preuve de ce que j’ai avancé tout à l’heure, que de toutes les
parties
du discours le verbe était la plus complexe, et c
s, cette méthode s’établit d’elle-même dans la nouvelle formation des
parties
du discours. Ces mots am [suis], was [étais], hav
sur les verbes. Nous ne nous arrêterons pas longtemps sur les autres
parties
du discours que l’on appelle indéclinables, ou, p
cution on pourrait rendre par deux ou trois mots pris dans les autres
parties
du discours. Excessivement, par exemple, signifie
ions et de ces pronoms relatifs qui servent aussi à lier les diverses
parties
du discours ; c’est l’usage convenable ou maladro
ablement une des plus anciennes du monde, et se parlait dans toute la
partie
occidentale de l’Europe. Ce fut celle des Gaulois
lecte, mêlé d’un peu de danois, continua d’être parlé dans toutes les
parties
méridionales de l’île jusqu’au temps de Guillaume
ue d’indiquer comment cette révolution s’est opérée en Angleterre. La
partie
méridionale de l’Écosse fut-elle soumise aux Saxo
’Europe. De la jonction de tant de sources diverses, de la réunion de
parties
si dissemblables, il arriva naturellement que l’a
s pensées, délayées dans un plus grand nombre de mots, et divisées en
parties
distinctes, produisent une impression bien plus f
nglais comme à toutes les langues ; car, dans toutes les langues, les
parties
essentielles du discours, les substantifs, les ad
les particules connectives sont toujours les mêmes, et partout où ces
parties
du discours se retrouvent, il existe entre elles
nt se livre à l’étude la plus attentive de sa langue28. Troisième
partie
. Lecture X. Du style en général, de la clart
vec effort sur toutes ses faces, il dit : « L’homme se divise en deux
parties
; il s’adresse la parole, il entre en association
ée trop de latitude, car une phrase ou période se compose toujours de
parties
principales, que l’on nomme membres ; et comme ce
t qu’il est plus difficile d’apercevoir les rapports qui lient chaque
partie
, et d’en saisir tout l’ensemble d’un seul coup d’
lleurs qu’en observant avec soin les règles qui se rapportent à cette
partie
du style, que l’on peut acquérir l’habitude de s’
et toutes ces autres particules qui servent à joindre entre elles les
parties
du discours. Comme tous les raisonnements sont fo
genre qu’elle soit, a besoin d’être une pour être belle ; toutes ses
parties
doivent être liées par un seul principe ; un seul
e l’expression d’une proposition ; elle peut être formée de plusieurs
parties
, il est vrai, mais toutes ces parties doivent êtr
e peut être formée de plusieurs parties, il est vrai, mais toutes ces
parties
doivent être si bien liées, que toutes ensemble n
r Tennison, évêque de Lincoln, pour lui succéder. » Après la première
partie
de cette phrase, qui se serait attendu à la derni
que chose de plus ; car une phrase peut être parfaitement claire, ses
parties
peuvent être bien liées et ne former qu’un seul t
grecs et latins avaient sur nous un avantage considérable dans cette
partie
des qualités du style. Leur langue, qui permettai
elles sont plus fréquentes que chez M. Addison ; et c’est en majeure
partie
pourquoi le style du premier est plus fort, plus
lus gracieuse et plus claire que si l’on disait, en commençant par la
partie
la plus étendue de la proposition : « Lorsque nou
ils ne nuisent ni à la grâce ni à la clarté de la phrase. Ce sont des
parties
essentielles d’un édifice, des pierres brutes qu’
oke dit : « Les rieurs seront pour ceux qui ont le plus d’esprit ; la
partie
sérieuse du genre humain sera pour ceux qui ont l
teurs ; et, en même temps pour expliquer comment il se fait que cette
partie
de la composition, que l’on regardait autrefois c
l’espèce de pied qui convenait le mieux à la fin, ou dans telle autre
partie
de la phrase, et combien, après tout, ils laissai
ues égards, correspondent avec nos idées, et cette corrélation est en
partie
naturelle et en partie l’effet d’associations que
nt avec nos idées, et cette corrélation est en partie naturelle et en
partie
l’effet d’associations que l’art a établies. Voil
discours ? C’est qu’ils ont remarqué que c’était à elles, en majeure
partie
, que le langage empruntait sa force et sa beauté,
tre choix. La seconde observation que j’ai annoncée est que, si cette
partie
de l’art du style mérite notre attention, si l’on
action, » voilà une expression ordinaire ; mais, comme la tête est la
partie
principale du corps humain, et qu’elle est censée
e la gloire des Troyens n’existe plus. Quand le tout est pris pour la
partie
, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’espè
s Troyens n’existe plus. Quand le tout est pris pour la partie, ou la
partie
pour le tout ; le genre pour l’espèce, ou l’espèc
mots pris dans un sens figuré, comme lorsque le tout est mis pour la
partie
, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’espè
s un sens figuré, comme lorsque le tout est mis pour la partie, ou la
partie
pour le tout ; le genre pour l’espèce, ou l’espèc
er ensemble le style simple et le style figuré. Il faut éviter qu’une
partie
de la même phrase doive être prise dans un sens l
de la même phrase doive être prise dans un sens littéral, et l’autre
partie
dans un sens métaphorique ; car il en résulte une
st d’essayer d’en former un tableau, et d’examiner comment toutes les
parties
s’accorderaient entre elles, et quel effet produi
donné fréquemment dans cet excès, auquel il faut attribuer en majeure
partie
cet embarras et cette dureté que je lui ai déjà r
e complet de la métaphore et des règles qui s’y rapportent. C’est une
partie
si importante de l’art du style, qu’il était néce
nts à leurs empereurs, ont assez l’usage de leur demander dans quelle
partie
du ciel ils voudront fixer leur séjour lorsqu’ils
es yeux du centurion, qui se tenait au pied de la croix, elle vit une
partie
de cette scène, elle parla de sa bouche, et dit :
C’est un de ces grands ornements qui ne sont bien placés que dans les
parties
les plus vives et les plus animées d’une composit
t peu convenable à la dignité d’une passion de s’adresser à l’une des
parties
du corps comme si elle était animée, et c’est la
mes yeux ; effacez-le, mes larmes. » Ici plusieurs objets, plusieurs
parties
du corps sont personnifiées, et le poète leur adr
r pour lui dire : cache-le, mon cœur… Comme le cœur est la plus noble
partie
de l’organisation de l’homme, et que souvent on l
langage, et elles comprennent l’effet général produit par chacune des
parties
du style que nous avons précédemment examinées, c
aintenant considérer ce caractère du style, ce résultat de toutes ses
parties
. Des sujets divers exigent diverses sortes de sty
être écrit comme un discours oratoire ; chacun sent aussi que chaque
partie
d’un ouvrage veut un style et un caractère partic
r est plus libre de s’arrêter sur une description que sur telle autre
partie
de son ouvrage, et que, par un style nourri et dé
ans qu’en général leur style soit plus concis que celui de la majeure
partie
des écrivains anglais, dont les périodes sont plu
On dit une composition simple par opposition à la grande variété des
parties
qui pourraient y entrer. C’est à quoi se rapporte
rchées. Dans ces deux sens, soit dans son opposition à la variété des
parties
, soit dans son opposition au raffinement des pens
peu d’intérêt à des lecteurs étrangers à cette langue. Quatrième
partie
. De l’éloquence. Lecture XXV. Éloquence ou d
’éloquence, éloquence grecque, Démosthène. Après avoir terminé la
partie
de ce cours qui a pour objet le langage et le sty
qui convient à chacun, la distribution et l’arrangement de toutes les
parties
, et la prononciation ou manière de les débiter. M
nonçât ses harangues, ou du moins avant qu’il en prononçât la majeure
partie
. Rien n’est assurément plus puéril. Des orateurs
encore aux Français. Nous avons des philosophes qui, dans toutes les
parties
de la science, ont été d’une clarté et d’une prof
’attache autant aux ornements qu’au fond du sujet, et vient aussi, en
partie
, de la nature du gouvernement, qui, ne permettant
chez lui qu’un mérite secondaire ; il n’y consacre qu’une très petite
partie
de son temps et de son travail. Outre cela, l’élo
froides, à des discours sans passions, ceux qui se livrent à d’autres
parties
de l’art oratoire sont obligés de donner à peu pr
Les règles qui doivent nous diriger dans la composition de toutes les
parties
d’un discours appartiennent également à l’éloquen
s en plus hors de situation à mesure que le débat s’avance et que les
parties
s’échauffent. Il leur manque un air naturel, et l
ais être dépourvu de méthode, c’est-à-dire que chaque chose ou chaque
partie
doit être exactement à la place qui lui convient.
arrive à une bonne méthode, à une heureuse disposition de toutes les
parties
d’un discours. Voyons maintenant quel style, quel
itée froidement. Un ton tempéré et ordinaire convient dans la majeure
partie
des affaires, et celui qui met à tout propos de l
raisonnant froidement et en s’exprimant avec calme. Le pathétique, la
partie
sublime de l’art oratoire, exige une sensibilité
rer le caractère général du style de cet orateur dans les principales
parties
du sujet qu’il avait à traiter. Son but était d’e
constants. Il peut bien tromper une fois, et réaliser par hasard une
partie
de ses espérances ; mais bientôt il se démasque,
s et la santé se soutiennent, les anciennes fractures et les maux des
parties
affectées ne se font pas sentir ; mais, à la prem
t de la sienne, et que je vous visse déterminés à faire seulement une
partie
de ce que vous devez, je n’hésiterais point, je p
qui concernent particulièrement l’éloquence de la tribune. Une grande
partie
de ces règles peut s’appliquer également à l’éloq
chaque objection qu’il pouvait lui faire, et plaidait la cause de la
partie
adverse, pour savoir toute la vérité, et être pré
nnes qui devaient s’en occuper : lui-même, le juge, et l’avocat de la
partie
adverse. Cicéron blâmait sévèrement ceux de la mê
r donner du poids à des arguments subtils, et empêcher que la moindre
partie
d’une défense ne soit perdue pour ceux qui l’écou
clipse bientôt. Les spectateurs observent, les juges décident, et les
parties
surveillent et se déclarent. Celui qui donne les
Elle doit présider ensuite à l’ordre et à l’arrangement de toutes les
parties
du plaidoyer. Une méthode claire est de la plus g
ouvent lui est fatale. Lorsque plus tard je traiterai des différentes
parties
qui constituent un discours régulier, j’aurai occ
e, on veut jeter du ridicule sur quelques-unes des propositions de la
partie
adverse. Mais, quelque séduisante que puisse être
r faire remarquer que le discours de l’accusateur se divisait en deux
parties
: dans la première, on accusait son client d’avoi
ntius, mais bien contre Cluentius. Titus Atticus était l’avocat de la
partie
adverse ; Cicéron l’interpelle, et le défie de po
absoudre ; il pensait qu’un homme condamné n’oserait pas le prendre à
partie
, et qu’ainsi il serait moins exposé au danger d’u
r sur son adversaire. C’était ce que Cicéron voulait surtout. Mais la
partie
la plus difficile de sa tâche restait encore à fa
toute son adresse et tout son talent, je crois devoir rapporter cette
partie
de son plaidoyer (ch. 52-55) : Nunc, quoniam ad
raisonner, Cicéron est éloquent, solide, énergique. Dans la dernière
partie
de son discours, l’orateur s’occupe de l’autre ac
u premier procès. Aussi l’orateur ne s’arrête pas longtemps sur cette
partie
de la cause. Il prouve l’invraisemblance de tout
de traiter de la disposition générale d’un discours régulier, et des
parties
diverses qui le composent, j’ai voulu faire quelq
erai connaître les règles relatives à la distribution des différentes
parties
d’un sermon, c’est-à-dire l’introduction, la divi
s, quels arguments lui paraissent d’une plus grande évidence, quelles
parties
produisent sur son esprit une plus vive impressio
e qui parle à une multitude, c’est-à-dire en mêlant la doctrine ou la
partie
didactique du sermon à ce que l’on appelle l’appl
de l’histoire sacrée qui fournit l’occasion de mettre à découvert une
partie
des secrets du cœur humain. Les autres sujets ont
n pastorale. Comme les dissidents conservèrent dans leurs sermons une
partie
de l’ancienne méthode, l’église établie crut par
gulier, quel que soit le genre d’éloquence auquel il appartienne, les
parties
diverses qui le composent seront donc au nombre d
ion ; quatrièmement, les raisons ou les arguments ; cinquièmement, la
partie
pathétique ; sixièmement enfin, la conclusion. Je
; sixièmement enfin, la conclusion. Je ne dis pas que chacune de ces
parties
doive nécessairement entrer dans un discours, ni
y a d’excellents discours où manquent l’une ou l’autre de toutes ces
parties
, où l’orateur, par exemple, aborde son sujet dire
dans sa composition. Elles sont d’autant plus importantes, que cette
partie
du discours doit être traitée avec le plus grand
elquefois extrêmement difficile de faire un bon exorde. Il est peu de
parties
du discours qui exigent plus de travail, ou dont
e introduction ne doit pas anticiper sur le discours, en traitant une
partie
essentielle du sujet. Quand il s’y présente des c
celle d’un jardin. C’est le bon sens qui nous apprend que chacune des
parties
du discours doit être en harmonie avec le ton qui
que lieu commun, ou qui ne reposent que sur quelques idées vagues. La
partie
adverse ne manquera pas de triompher, si, par un
troduire des divisions dans tous les discours, ou d’en distribuer les
parties
diverses sous des titres différents. Il est maint
it, est toujours nécessaire dans un discours, c’est-à-dire que chaque
partie
doit être disposée de manière que ce qui précède
a roideur, et qu’une transition naturelle et presque insensible d’une
partie
à une autre soutiendrait mieux l’attention des au
plus facile à saisir et plus complet, en montrant comment toutes les
parties
du discours se lient l’une à l’autre et tendent a
ipales règles qu’il convient de suivre. Premièrement, il faut que les
parties
entre lesquelles on divise un sujet soient bien d
ere. Troisièmement, le sujet tout entier doit être distribué dans les
parties
formées par la division d’un discours. Autrement
ions trop multipliées, les chapitres ou les titres trop nombreux. Ces
parties
trop minutieuses, ces divisions et ces subdivisio
mémoire. Un sermon peut être distribué en trois, en cinq, ou même six
parties
; mais bien rarement davantage. Une division just
lever les passions. Dans les plaidoyers, la narration est souvent une
partie
fort importante du discours, et mérite une grande
it le sujet du discours ; voilà ce qui, à proprement parler, forme la
partie
didactique d’un sermon ; et c’est de la manière d
elles que j’ai extrait ce Précis de ma Rhétorique appliquée, en trois
parties
: préceptes, canevas et modèles. Ce dernier ouvra
esprit humain. 10. Les préceptes de la Rhétorique se divisent en deux
parties
: l’une renferme les préceptes généraux qui s’app
10. Comment se divisent les préceptes de la Rhétorique ? Première
partie
. Préceptes généraux de composition et de style.
présenter dans un style convenable. 2. La composition comprend trois
parties
, qui sont : l’invention, la disposition et l’éloc
la disposition et l’élocution ou le style. 3. L’on joint à ces trois
parties
, et comme complément d’un cours de Rhétorique, l’
jet. Tels sont : la définition, le genre, l’espèce, l’énumération des
parties
d’une chose, etc., etc. 10. Ils sont extrinsèques
té de son parfum, et je ferai, sans m’en douter, l’énumération de ses
parties
. Tels seront mes lieux intrinsèques. Je la compar
ez chacune par son terme classique. — 3. N’y a-t-il pas une quatrième
partie
à ajouter aux trois que vous venez de citer ? — 4
itre II. Disposition en général5. 1. La disposition est la seconde
partie
de la composition. C’est l’arrangement des pensée
dante ou toujours descendante. 6. L’harmonie est cet accord exact des
parties
par lequel elles forment un tout parfait. 7. Les
osition un nœud et un dénouement. 9. On entend par l’exposition cette
partie
de la narration qui a pour but de préparer l’espr
devra sortir du sujet comme une fleur de sa tige. 10. Le nœud est la
partie
de la narration où l’on voit les personnages à l’
rce l’objection qu’on veut réfuter. 13. La péroraison est la dernière
partie
du discours. C’est une récapitulation dans laquel
ire. 1. Quel est l’objet de la disposition oratoire ? — 2. Nommez les
parties
du discours que concerne la disposition oratoire.
ition ? — 8. Qu’est-ce que la narration oratoire ? — 9. Quelle est la
partie
du discours qui vient ensuite ? — 10. La confirma
in, l’élocution, c’est le style. 3. En rhétorique, l’élocution est la
partie
de la composition qui s’occupe du choix et de l’a
mple : Dieu est éternel. 5. La phrase est composée, quand elle a deux
parties
distinctes, l’une principale, l’autre incidente.
nifiée. Ex. : par l’épée la profession militaire. 6° Enfin, quand les
parties
du corps qui sont regardées comme le siège des se
e ; 3° du nombre : l’Européen pour les Européens ; 4° du tout pour la
partie
: mon castor pour mon chapeau fait de poil de cas
artie : mon castor pour mon chapeau fait de poil de castor ; 5° de la
partie
pour le tout : cent voiles pour cent vaisseaux, l
rance. 5. La communication dans les paroles a lieu lorsqu’on prend en
partie
pour soi ce qu’on dit à un autre, soit qu’il s’ag
mer aussi décomposition, a pour objet l’examen attentif de toutes les
parties
constitutives d’une œuvre littéraire. 2. Toutes l
ves d’une œuvre littéraire. 2. Toutes les œuvres littéraires ont deux
parties
bien distinctes : 1° le fond, qui comprend l’inve
estionnaire. 1. Quel est l’objet de l’analyse ? — 2. Quelles sont les
parties
constitutives des œuvres littéraires ? — 5. Par o
oix ? — 11. Quand la déclamation est-elle bienséante ? — 12. À quelle
partie
du corps s’adresse le geste ? — 13. Quels mouveme
umant tous les préceptes précédents. (22e Leçon) — Deuxième
partie
. Préceptes des genres21. 1. Les divers genres
e l’espèce. 12. Tout apologue doit contenir une action avec ses trois
parties
, et une moralité, ou exprimée ou sous-entendue ;
règles de l’unité la plus parfaite. La disposition veut que les trois
parties
de l’action soient saillantes et bien dessinées ;
ncontre quelquefois dans la prose. Ainsi le rythme n’embrasse que les
parties
d’une proposition proportionnant exactement d’apr
et de la césure. 1. Les vers de douze syllabes sont coupés en deux
parties
égales. Chacune de ces parties se nomme hémistich
de douze syllabes sont coupés en deux parties égales. Chacune de ces
parties
se nomme hémistiche 30. Les vers de dix syllabes
nt, lorsque le sens commencé dans un vers ne se complète que dans une
partie
du vers suivant. Notre poésie rejette les enjambe
ns se complète dans tout le second vers et non pas seulement dans une
partie
. Il n’en est pas de même dans l’exemple suivant :
t : l’ordre dans la grandeur. Si donc la disposition forme la seconde
partie
de la rhétorique, ce n’est, pour ainsi parler, qu
e ce principe, comme du centre, se répandra la lumière sur toutes les
parties
de l’ouvrage, de même qu’un peintre place dans so
tableau le jour, en sorte que d’un seul endroit il distribue à chaque
partie
son degré de lumière. Tout discours est un, il se
ire universelle semble avoir été fondu d’un seul jet, tant toutes les
parties
sont étroitement liées. Et observez que cette fus
n. Je n’exige pas non plus que, dans le travail spécial des diverses
parties
, il s’assujettisse à suivre à la rigueur l’ordre
le plan bien arrêté, il n’y a pas d’inconvénient à traiter tantôt une
partie
, tantôt l’autre, selon la fantaisie et l’attrait
erté de se livrer à toute sa vivacité. Cependant la subordination des
parties
fixe des points de vue qui préviennent ou corrige
mettra mieux cette doctrine en tout son jour. Je choisis la première
partie
d’un des sermons de Massillon, dans le Petit Carê
éprouvent point d’obstacles, ce qu’il développe par l’énumération des
parties
, une analyse entre deux synthèses 27, et par les
2 et celle des grands33, traitée des deux côtés par l’énumération des
parties
. Mais n’oubliant pas qu’il s’adresse spécialement
, que Buffon comparait aux feuilles du métal battu, il arrive que les
parties
d’un écrit sont gauchement jointes entre elles, l
Troisième
partie
la rhétorique I les sophistes Tandis q
s et des personnes. Ils divisent le travail de la composition en cinq
parties
: trouver ses idées, les disposer dans le meilleu
ndant et de se défendre en attaquant, ne s’ensuit-il pas que ces deux
parties
sont liées si étroitement l’une à l’autre que, si
ur ce point qu’elle doit être claire et vraisemblable ; mais à quelle
partie
du discours ne s’appliquent pas ces qualités, et
; récitez-les pour vous exercer l’oreille et la mémoire ; écrivez les
parties
principales de vos harangues : la plume est la me
tonation, il n’y a pas d’ensemble, pas d’harmonie. Étudiez toutes ces
parties
. Démosthène prenait des leçons du comédien Satyro
e toute composition. J’entends par unité la concordance de toutes les
parties
d’une œuvre avec le but qu’on se propose en y tra
la péroraison les confirment. Si on a divisé le discours en plusieurs
parties
, c’est pour la commodité de l’analyse : car, à pr
ateur se présente donc avec son sujet bien étudié et distribué en ses
parties
. Qu’il expose ses preuves dans l’ordre le plus lo
nt l’homme et les autres animaux, leur forme, leur structure. Pas une
partie
de leur corps qui ne soit un organe nécessaire, e
tout se mariera à l’utile ; et de la savante ordonnance de toutes les
parties
concourant au même but naîtra la proportion, sans
on de la nature. C’est dans l’exorde, plus encore que dans les autres
parties
du discours, qu’il faut chercher les moyens d’int
de tracer, non pas les règles, mais les caractères généraux de cette
partie
du discours. Nous opposerons un historien à un or
e l’évidence. Ne cherchons pas plus loin les qualités propres à cette
partie
du discours. Grouper les faits et les enchaîner a
es moyens. L’argumentation est donc le corps du discours : les autres
parties
en sont les membres. L’orateur par excellence est
é vos preuves, mettez les plus fortes en lumière, et répandez sur les
parties
faibles de la cause une ombre savante : tâchez de
passion n’est qu’un moyen oratoire qui doit circuler dans toutes les
parties
du discours, comme le sang circule dans les veine
— Qui a porté la loi ? Rullus. Qui a privé des suffrages la majeure
partie
du peuple ? Rullus. Qui a trié les tribus à son c
ie hellénique n’est qu’un vaste recueil de métaphores. Étudiez cette
partie
de la rhétorique qui traite de l’élocution : elle
miroir le visage et pour interprètes les yeux. Les yeux sont la seule
partie
du corps assez mobile pour marquer, par des expre
Suite de la quatrième
partie
. Lecture XXXII. De la composition d’un disco
— Du pathétique. — De la péroraison. Depuis que nous traitons des
parties
diverses qui entrent dans la composition d’un dis
ient les auditeurs, quel que soit le sujet sur lequel on parle, cette
partie
est toujours fort importante. Car le but que l’on
ts jusqu’à ce qu’il ait réussi à convaincre ses auditeurs. Dans cette
partie
du discours, appelée argumentation, il faut d’abo
et endroit ils sont moins en vue qu’au commencement ou à la fin de la
partie
du discours consacrée à leur développement. Trois
m’occuperai de la prononciation ou du débit. Je passe maintenant à la
partie
pathétique. C’est ici le règne de l’éloquence, c’
eur rhétorique, avaient essayé d’établir un système complet sur cette
partie
de l’éloquence, comme ils l’avaient tenté pour l’
n’être jamais qu’un froid orateur. Ici, comme dans toutes les autres
parties
de l’éloquence, les règles n’ont pas pour but de
ils que je crois le plus à propos de suivre dans la composition de la
partie
pathétique d’un discours. Premièrement. Examinez
ceptible de pathétique, et, dans le cas de l’affirmative, dans quelle
partie
du discours vous devez le déployer. C’est au seul
mble l’ouvrage de la nature. Sixièmement. Évitez d’introduire dans la
partie
pathétique d’un discours des expressions froides
s’agit que d’émouvoir fortement. Enfin n’essayez pas de prolonger la
partie
pathétique d’un discours. Il n’est pas possible d
de tout ce qui la précède. Il est quelquefois à propos d’y placer la
partie
pathétique ; quelquefois encore, quand le discour
ence ou l’art de parler en public, il nous reste à nous occuper d’une
partie
distincte, mais bien importante de cet art : je v
ent des orateurs. On lui demandait un jour quelle était la principale
partie
de l’art oratoire ; il répondit : Le débit. — La
ipaux moyens on y réussit. Pour être facilement entendu de toutes les
parties
d’un auditoire, il faut, 1º une intensité de voix
ucoup de son agrément et de son expression. Je passe maintenant à ces
parties
essentielles du débit auxquelles l’orateur s’appl
dans le désir de donner à ce qu’il dit plus de force et de grâce. Ces
parties
sont : le renforcement occasionnel de la voix, le
même prudent de les marquer par un trait de plume, au moins dans les
parties
les plus touchantes du discours, afin de les grav
t affecté. Quoique la nature doive être le principal guide dans cette
partie
du débit oratoire, l’art et l’étude peuvent cepen
it, autant que ses occupations le lui permettent, cultiver toutes les
parties
de la littérature. L’étude de la poésie pourra co
ains du dernier âge, des critiques très judicieux sur les différentes
parties
de l’art d’écrire ; mais un bien petit nombre se
ses écrits sont en même temps des modèles d’éloquence. Dans quelques
parties
de son livre, il a peut-être trop sacrifié à ce s
ois ennuyeux. Cependant je crois qu’il faut le lire tout entier ; ces
parties
mêmes ne seront pas sans utilité pour l’avocat. I
rt oratoire plus de goût et de jugement que Quintilien. Cinquième
partie
. Lecture XXXV. Du mérite comparé des anciens
aré des anciens et des modernes. — Des historiens. J’ai terminé la
partie
de ce cours qui avait directement pour objet l’ar
Il me serait facile de donner un long développement à cette dernière
partie
de mon travail ; mais je sais que les dissertatio
s les genres de composition. Les modernes nous offrent, dans quelques
parties
de la philosophie, des idées plus exactes et des
itique juste et loyale, qui, en nous montrant les défauts de quelques
parties
de leurs ouvrages, ne nous empêche pas d’en admir
, s’attacher à l’unité, c’est-à-dire qu’il ne doit pas le composer de
parties
séparées qui n’aient les unes aux autres qu’un ra
pris dans son ensemble, forme un tout complet, cependant chacune des
parties
qui le composent forme par elle-même un tout subo
un seul grand spectacle, celui des causes pour lesquelles toutes les
parties
du monde sont tombées sous la puissance des Romai
s qu’il est utile de jeter, avant tout, un coup d’œil général sur les
parties
différentes qui forment ce vaste ensemble. » Dans
storique qui permette de rassembler sous un seul point de vue tant de
parties
diverses. Avant l’époque d’où il commence, les af
euples avaient un but commun, et pouvaient être considérées comme les
parties
d’un seul système. Là-dessus, il ajoute quelques
ui se passe partout à la fois. Nous y trouvons une grande quantité de
parties
disjointes, de membres séparés, dont on ne peut q
foule d’événements divers, arrivés en même temps dans les différentes
parties
du monde, et que rien ne lie l’un à l’autre. C’es
œil, et saisir l’enchaînement et la dépendance mutuelle de toutes les
parties
, afin de mettre chaque chose à sa place, afin de
n qu’il doit suivre, il sait passer naturellement et avec grâce d’une
partie
de son sujet à une autre, et que, sans avoir reco
us ces faits douteux et longtemps débattus qui font le sujet de cette
partie
de son travail, il est impossible de le défendre
u paladins, lorsqu’ils chassèrent les Sarrasins de la France et d’une
partie
de l’Espagne. Ce sujet est le même que prit l’Ari
es Anglais, il faut l’avouer, sont inférieurs aux Français dans cette
partie
de la littérature. Nous ne savons ni raconter ave
ils ressemblaient beaucoup aux Proverbes de Salomon, dont une grande
partie
du livre n’est composée que de phrases poétiques
t, et il est probable que l’on chercha dans quelques occasions où une
partie
du peuple se rassemblait, à représenter ces mêmes
hui ; bien plus, on n’établissait aucune distinction entre toutes ces
parties
diverses qui forment ce que nous appelons la litt
ompagnée depuis sa naissance, en fut presque entièrement séparée. Les
parties
diverses de la littérature, en se détachant les u
Chez les Grecs et les Romains, chaque syllabe, ou au moins la majeure
partie
, avait une quantité déterminée et invariable, et
c’est incontestablement un défaut qui fait perdre au vers une grande
partie
de la noblesse et de la liberté que réclame la po
ntes dans toute leur rusticité. La Ballade de M. Shenstone, en quatre
parties
, peut, je crois, être mise au nombre des poèmes l
l ouvrage que ce soit, doit-il y avoir un sujet, un ensemble formé de
parties
diverses, et une liaison entre chacune de ces par
semble formé de parties diverses, et une liaison entre chacune de ces
parties
. Les transitions d’une idée à une autre seront au
t, c’est dans cet ouvrage qu’il a surtout négligé d’établir entre les
parties
une liaison et des rapports suffisants. Il écrit
au sujet principal quelques épisodes agréables. Ce sont toujours les
parties
les mieux connues de l’ouvrage, celles qui contri
eux le bon effet de la rime dans les vers anglais, qu’en lisant cette
partie
des ouvrages de Pope ; nous voyons combien elle a
s compositions en prose. Si d’un côté les chapitres que renferment la
partie
historique du peuple de Dieu et la législation de
inctifs de la poésie. Il est incontestable que, dans l’origine, cette
partie
des livres sacrés fut écrite en vers, ou du moins
on, peut-être, ne déploya plus de pompe et de magnificence dans cette
partie
du culte public. La poésie hébraïque est original
es phrases, de manière que cette correspondance alternative de chaque
partie
est restée assez sensible à l’oreille pour faire
regnavit, exsultet terra , l’autre continuait en chantant la seconde
partie
du verset : Lœtentur insulæ multæ . Le premier r
re qui se rapportent à quelque effet particulier de la nature dans la
partie
du globe qu’ils habitaient. Ainsi, pendant l’été,
s dont la pompe frappait leurs sens, et se trouvait liée à toutes les
parties
de l’établissement et de l’histoire de leur natio
esté plus imposante et plus constamment soutenue que celle des autres
parties
de l’Ancien Testament. Les conceptions, aussi bie
Isaïe à Homère, Jérémie à Simonide, et Ézéchiel à Eschyle. La majeure
partie
du livre d’Isaïe est tout à fait poétique, et à p
s ni les mœurs des Juifs ou des Hébreux. La scène se passe dans cette
partie
d’Arabie appelée la terre de Hus ou l’Idumée ; le
siste dans l’impression que produisent sur l’esprit du lecteur chaque
partie
du poème prise isolément, aussi bien que le poème
té doit exister dans le sujet même, et résulte de la manière dont les
parties
sont combinées pour former un seul tout. L’unité
jet est constamment sous nos yeux, et embrasse étroitement toutes les
parties
de l’ouvrage. L’unité de l’Odyssée est à peu près
uffisamment liés au sujet principal du poème pour n’en former que des
parties
subordonnées, et ne paraître jamais des pièces ét
as, à proprement parler, des épisodes. On peut les regarder comme des
parties
constituantes de l’ouvrage, qui forment une porti
ces sortes de caractères que le génie se déploie, et c’est dans cette
partie
importante et difficile de la composition que les
de ce qu’on appelle le merveilleux dans un poème épique, et c’est la
partie
la plus délicate et la plus difficile à toucher.
nne un récit régulier d’une action héroïque, bien lié dans toutes ses
parties
, orné de caractères bien dessinés, et dans lequel
sée, et le Tasse celui de l’Iliade. Le poète, en faisant raconter une
partie
de l’action par un de ses personnages, peut chois
on ; il trouve encore la facilité de s’étendre davantage sur quelques
parties
de son sujet, et de passer rapidement sur les aut
qu’il lui plaît à l’exposition, à l’invocation et à toutes les autres
parties
de l’introduction, qu’il serait bien superflu de
l est vrai, qu’un espace de quarante-sept jours ; mais ils forment la
partie
la plus intéressante de cette guerre. Par ce moye
rouve conduit naturellement à parler des divinités d’Homère, de cette
partie
que l’on appelle le merveilleux du poème. Les die
vir d’excuse aux vices que le sujet semble présenter dans la dernière
partie
du poème. Les guerres avec les Latins n’ont plus
rgile semble avoir déployé toute la puissance de son génie dans cette
partie
de son sujet, qui présentait une grande variété d
es passages où l’intérêt languit, cependant on trouve dans toutes les
parties
du poème des choses admirables ; partout elles s’
’y présentent en grand nombre, même dans les six derniers livres. Les
parties
les plus travaillées sont les premier, second, qu
intéressent et délassent tour à tour le lecteur. Cependant toutes les
parties
du poème sont liées avec beaucoup d’art ; leur va
un poète, excepté Homère. Il a prodigué le merveilleux, et dans cette
partie
son mérite est plus contesté. Ses êtres célestes
es moyens de les lui dissimuler, en détachant les unes des autres les
parties
de son poème, et en coupant toujours la narration
s détails sur l’Europe, sur l’histoire du Portugal, et lui raconte la
partie
de son voyage qui a précédé son arrivée à Mélinde
on attitude glaçait d’effroi. C’était le génie ou le gardien de cette
partie
de l’Océan inconnue jusque-là. Il parle, et, d’un
res, dans lesquels Télémaque raconte ses aventures à Calypso, sont la
partie
de l’ouvrage la mieux exécutée. La narration en e
e dans Lucain, est aussi d’une date trop récente, et appartient à une
partie
trop bien connue de l’histoire. Pour remédier à c
té. Il faut avouer que le poète ne s’est pas soutenu dans la dernière
partie
de son ouvrage ; il semble qu’après la chute de n
re, y mêle toujours quelques circonstances imaginaires, et la majeure
partie
des lecteurs ne sait ni ne cherche à savoir ce qu
nts, c’est la conduite de l’action et la liaison intime de toutes ses
parties
. C’est pour diriger la marche des événements dans
tantôt par les prêtres et le peuple ensemble, tantôt par différentes
parties
de l’assemblée ses strophes et ses antistrophes.
emps à la rendre plus instructive et plus morale. C’était toujours la
partie
de l’ouvrage où l’auteur faisait le plus d’effort
des paroles, ou exécutaient une harmonie qui, sans faire précisément
partie
de la pièce, eussent cependant un certain rapport
ce, n’auraient plus l’inconvénient de ne former dans l’ouvrage qu’une
partie
incohérente, et de mêler des personnages inutiles
nés dans un récit, afin d’en former un tout parfaitement lié dans ses
parties
. Cette unité d’action ou de sujet est encore plus
n, pour laisser la liberté de partager toutes les pièces en autant de
parties
ou d’intervalles que le sujet en comporterait nat
ritique définit cependant, avec la plus grande exactitude, toutes les
parties
du drame, qu’il borne à trois, savoir : le commen
ter des hymnes ; mais ces chants ne partageaient pas la pièce en cinq
parties
comme nos actes, ainsi que quelques commentateurs
turellement s’arrêter, ou bien encore lorsqu’il est nécessaire qu’une
partie
de l’action soit dérobée aux yeux du spectateur,
une impression pénible, parce que la sympathie nous fait éprouver une
partie
des maux dont nous sommes témoins ; mais cette im
e les actes a nécessairement apporté de grands changements dans cette
partie
de l’art ; cet usage, en donnant plus de latitude
on sympathique. Sophocle et Euripide réussirent bien mieux dans cette
partie
de la composition. On ne trouve dans leurs scènes
art des scènes les plus intéressantes. Après avoir examiné toutes les
parties
de l’art tragique, nous terminerons ce sujet en j
ses Réflexions savantes et curieuses sur la Poésie et la Peinture, la
partie
dialoguée était soumise à des modulations particu
cru découvrir qu’à Rome, la prononciation et le geste formaient deux
parties
distinctes, c’est-à-dire qu’un acteur parlait tan
lement la voix de l’acteur, afin qu’il pût être entendu de toutes les
parties
d’aussi vastes théâtres ; la figure était peinte,
arlaient en plein air ; placés à une très grande distance, la majeure
partie
des spectateurs ne pouvait les voir qu’imparfaite
ses efforts pour que son action soit animée et naturelle ; mais cette
partie
de l’ouvrage est bien moins essentielle, bien moi
us vivons, parce que les changements que les mœurs opèrent dans cette
partie
de la littérature sont plus sensibles et plus fra
il n’y a point de précision, comme l’entend Lamotte, dans la dernière
partie
de la Milonienne. » Langue anglaise. Tome
peuple en colère contre sa femme. « Presque tout est figuré dans la
partie
morale et métaphysique des langues ; et comme le
de l’auteur anglais en insérant une longue note, dont la plus grande
partie
renferme un beau passage de Massillon. Mais pour
lorsque je ne sais quel ange a coupé je ne sais quel diable, les deux
parties
du diable se réunissent dans le moment. « Ils ont
était venue faire la grande dame dans la capitale, manger une grande
partie
du bien acquis par son mari, et marier son fils à
’ont porté au dernier excès. « Tant de désavantages sont compensés en
partie
par un mérite précieux, que les plus ardents détr
ensé d’en examiner le rapport, et de se faire un plan dont toutes les
parties
se prêtassent mutuellement des beautés. Il n’y au
mple, quelles règles peuvent déterminer l’étendue d’un ouvrage et des
parties
qui le composent. La nature vous les indiquera. L
également en sens opposé36. La seconde règle, c’est que les diverses
parties
d’un écrit aient entre elles une juste proportion
outrée cependant pour tout ce qui tient aux proportions des diverses
parties
. Défendre à l’écrivain cette liberté d’allure, ce
st de disposer si bien sa matière, d’en ordonner si naturellement les
parties
, qu’elles se suivent l’une l’autre, sans se ratta
de puissance l’ensemble de votre sujet et les relations des diverses
parties
, ou bien encore que vous vous occupez trop de l’i
emble de l’ouvrage. Il est temps d’entrer dans le détail des diverses
parties
. L’œuvre commence : début, exorde, exposition, pr
: épilogue, conclusion, dénoûment, péroraison. Donnez à ces diverses
parties
, suivant les divers genres, le nom que vous voudr
s’impatienta et l’arrêta. 37. « Les longueurs, dit M. Wey, sont des
parties
disproportionnées avec l’ensemble du plan d’un ou
Enfin, il est des cas où l’on peut supprimer l’une ou l’autre de ces
parties
, comme parfois on supprime l’exorde. Mais le plus
ur établit les faits de la cause. De là l’extrême importance de cette
partie
; c’est d’elle que relève tout le reste : omnis o
nces, des temps, des lieux, des personnes, un tableau dont toutes les
parties
soient saisissables d’un coup d’œil et à première
arration ou d’une thèse est d’une aussi puissante influence sur cette
partie
de l’ouvrage, que l’est sur l’ensemble la parfait
e de l’éloquence judiciaire. Tantôt il faut prémunir l’une ou l’antre
partie
de la narration par une discussion préalable, ou
guments spéciaux ; tantôt reprendre, en le combattant, l’exposé de la
partie
adverse et rétablir à notre avantage les faits qu
est un moyen et non un but, un détail dans l’ensemble, et non une des
parties
constitutives de l’ensemble. La conséquence de ce
de M. Francis Wey, un des rhéteurs qui, à mon sens, a considéré cette
partie
sous le point de vue le plus pratique, le plus ut
e toute l’adresse et la force de l’éloquence judiciaire, d’une grande
partie
du genre délibératif, de la polémique, de la plup
fond, et la logique la forme de l’argumentation. Pour cette dernière
partie
nous pourrions donc renvoyer aux traités ex profe
rmation, souvent même l’accompagne et se confonde avec elle. Ces deux
parties
, en effet, ont tant de rapports ensemble, que plu
re. « Comme vous ne pouvez, dit Cicéron, réfuter les objections de la
partie
adverse, sans confirmer vos arguments, ni confirm
vos arguments, ni confirmer ceux-ci, sans réfuter celles-là, ces deux
parties
du discours s’unissent par leur nature, leur but,
l’équivoque des ambigus ; tournez à votre avantage ceux que les deux
parties
peuvent utiliser également ; dédaignez ceux qui s
epuis l’iambe d’Archiloque, jusqu’à celui de M. Barbier, la meilleure
partie
de la Satire Ménippée, qui donna plus d’adhérents
que, admettre comme fondamentale une division dont l’influence sur la
partie
didactique me paraît si faible. Faut-il absolumen
rammatical consiste à disposer chaque terme d’une proposition, chaque
partie
d’une phrase, selon les règles établies au début
ux, nous nous proposons un seul objet qui est le centre de toutes les
parties
de l’action. C'est cet objet qui nous préoccupe p
l’idée principale, de manière à former un seul tout dont les diverses
parties
soient parfaitement coordonnées. Quelques exemple
ndirect et un complément circonstanciel. Or, nous disons que ces cinq
parties
doivent se coordonner entre elles de telle sorte,
orteraient sur lui la victoire. Il faut donc, dans l’arrangement des
parties
qui composent une phrase, éviter avec le plus gra
s complétifs ou circonstanciels, et qu’ils réservaient pour la fin la
partie
du discours qui excite plus vivement l’attention
e. D'ailleurs, cette disposition ramasse, pour ainsi dire, toutes les
parties
de la proposition, tous les membres de la période
rééminence du génie, de la fortune ou de la dignité. Dans la première
partie
de cette phrase, le sujet de la proposition princ
irect, et enfin du verbe debent, qui termine agréablement la première
partie
de la phrase. La seconde partie est disposée d’un
qui termine agréablement la première partie de la phrase. La seconde
partie
est disposée d’une manière analogue. Dans la prem
l’un des termes de la proposition principale, et l’on renvoie l’autre
partie
tout à la fin, comme dans cette période de Cicéro
encore de la texture, de la coupe et de l’arrangement des différentes
parties
qui forment une phrase, des différents membres qu
servira de base à toutes les autres. Ce ton se modifiera, dans chaque
partie
, selon les sentiments dont nous serons pénétrés,
solu, de juger de la bonne ou de la mauvaise disposition des diverses
parties
qui composent le discours. ARTICLE I. de la d
omnis divisa in tres partes. Cæs. Toute la Gaule est divisée en trois
parties
. C'est au goût juste et aux oreilles délicates de
n a fait la guerre en Sicile, il n’est pas même arrivé que la moindre
partie
de cette guerre se fût communiquée à l’Italie.
après, avec sa suite quem unicè… cui me… justa petenti. Et toutes ces
parties
, qui expriment les motifs de l’action principale,
II Ce n’est pas assez qu’un discours soit beau dans chacune de ses
parties
prises séparément ; il faut encore qu’il soit bea
le même ton. III Quelle que soit la place que l’on assigne aux
parties
principales d’une phrase, il est essentiel que ce
ssigne aux parties principales d’une phrase, il est essentiel que ces
parties
ne soient point confondues parmi des incidents, d
oi. C'est qu’en effet, dans une grande frayeur, le sang s’éloigne des
parties
extrêmes, et se concentre vers le cœur. …….. Ill
— Mémoires, — Éloquence du barreau. Division de la Rhétorique (4
parties
) Dans tout sujet, l’orateur a trois conditions
moire. Excepté l’action qui n’appartient qu’à l’éloquence, toutes les
parties
de la Rhétorique comprennent les grands principes
discours ou d’écrits : ordre d’invention où l’écrivain détermine les
parties
principales de sujet (plan) ; — égalité du style
mmuns intrinsèques. 1° Intrinsèques Définition, Énumération des
parties
, Genre et Espèce, Comparaison, Contraires, Choses
puni. (P. Corneille, Horace, acte V, scène iii.) Énumération des
parties
L’énumération des parties expose toutes les fa
acte V, scène iii.) Énumération des parties L’énumération des
parties
expose toutes les faces d’un sujet, toutes les ci
les faces d’un sujet, toutes les circonstances d’un fait, toutes les
parties
d’une idée. Ex. Énumération des miracles et des
parvient qu’avec l’art de plaire « cet art qui, selon Pascal, est la
partie
la plus subtile, la plus difficile, la plus utile
.) Bienséances Aux mœurs se rattachent les bienséances, une des
parties
les plus essentielles et les plus difficiles de l
ersonnel (ad hominem). 1° Intrinsèques, Définition, Énumération des
parties
, Genre et espèce, Comparaison, Contraires, Choses
prit humain, aux règles de l’expérience et aux nécessites du sujet.
Parties
du discours Les rhéteurs anciens distinguaient
jet. Parties du discours Les rhéteurs anciens distinguaient sept
parties
dans un discours : 1° l’exorde ; 2° la propositio
ainsi composé est un type complet et régulier. Cependant, toutes ces
parties
n’y entrent pas toujours nécessairement ; on doit
L’exorde (en latin exordium, du verbe exordiri, commencer) est la
partie
du discours par laquelle l’orateur entre en matiè
s annoncés dans la proposition et exposés dans la narration. C’est la
partie
la plus essentielle du discours, elle en est le c
fait voir un objet sous toutes ses faces, soit par l’énumération des
parties
, soit par le redoublement de la pensée. Ex. Exor
arfait, on affirme la vérité d’une énumération où l’on a omis quelque
partie
de la question. Ex. Le dilemme du vieil Horace d
e IV, scène iii.) 7° Péroraison La péroraison est la dernière
partie
du discours. Après avoir prouvé, il faut conclure
role. Prise dans une acception plus restreinte, l’élocution est cette
partie
de la rhétorique qui traite du style. Le mot styl
nues dans quelques pages du Discours sur l’histoire universelle (IIIe
partie
, chap. vi et vii.) 5° Correction La correct
es ennemis et à l’empire. » (Discours sur l’Histoire universelle, Ire
partie
, xe époque.) Mithridate peint les Romains enric
, et quelquefois des tours de phrase servant à relier les différentes
parties
du discours ; 7° Les figures, que le rhéteur Long
uraï pour auræ. Tmèse La tmèse (τμῆσις je coupe) sépare en deux
parties
un mot composé. Ex. Septem subjecta trioni , po
al chassé du paternel logis, (pour le lapin.) (Livre VII, 16.) 2° la
partie
pour le tout, et réciproquement : trente voiles,
ceptes relatifs à l’action s’appelle art de la déclamation. C’est une
partie
dont l’orateur et le comédien doivent faire une é
mportance. On demandait un jour à Démosthène quelle était la première
partie
de l’éloquence : « C’est l’action, répondit-il ;
le mouvement dramatique. Il ne s’agit point ici de la narration comme
partie
essentielle du discours. Nous avons déjà dit dans
par Mérimée, etc. Comme tout drame, la narration se compose de trois,
parties
essentielles : 1° l’exposition, 2° le nœud, 3° le
des principaux points de son sujet. Oh ne peut pas établir entre les
parties
d’une lettre une proportion qui permette de la dé
me d’un pays tout entier. Ce genre de composition comporte donc trois
parties
: 1° l’exorde, dans lequel on expose l’origine, l
Toutefois, la versification n’est pas la poésie ; elle en est une
partie
considérable, mais ce n’est qu’un outil merveille
césure est le repos plus ou moins sensible qui coupe le vers en deux
parties
, dont chacune est un hémistiche, au milieu desque
re lorsque le sens commence dans un vers et s’achève dans la première
partie
du vers suivant, quelquefois au-delà. P
relai nouveau. Pour faire un virelai ancien on continuait la première
partie
du lai et on prenait la rime du petit vers pour e
lle, de Tibulle, de Properce et d’Ovide. Religieuse et morale dans la
partie
officielle de celles d’Horace, elle chante aussi
dans la tragédie, familier sans trivialité dans la comédie. Trois
parties
dans le poème dramatique Quelles que soient se
Quelles que soient ses règles, le poème dramatique comprend trois
parties
: 1° l’exposition du sujet ; 2° le nœud de l’acti
môle ordinairement le merveilleux. Dans tout opéra on distingue deux
parties
: le chant et le récitatif ou dialogue. Ex. Guill
conque ; c’est alors un simple divertissement. Tantôt la danse est la
partie
principale autour de laquelle une petite action e
ucoup de comédies en prose. Ex. L’Avare de Molière, et la plus grande
partie
des comédies de nos jours. Voir les règles et car
-comique L’opéra-comique est une comédie d’un genre léger, dont la
partie
chantée est entremêlée de dialogue. Dans l’opéra-
Euripide. Venue après la tragédie, la comédie eut la même origine. La
partie
grave et liturgique des fêtes de Bacchus était su
le pas semblé digne d’être remarquée. On distingue dans la fable deux
parties
: 1° l’action, ou le récit allégorique, dans lequ
es guerres politiques et religieuses qui ensanglantent la plus grande
partie
de l’Europe. Sous la double influence de l’Espagn
ts qui constituent la société, on a divisé l’histoire en deux grandes
parties
: l’histoire sacrée et l’histoire profane. L’hist
le commencement du monde jusqu’à nos jours. Elle se subdivise en deux
parties
: 1° Histoire sainte, ou récit d’après les Sainte
nces et des arts. La vie des écrivains, artistes, savants, fait aussi
partie
de son domaine. Elle prend le nom de critique lit
se sont occupés seulement de la forme. La critique a été pour eux une
partie
de la rhétorique. À ce point de vue elle se ratta
s humaines. Ce genre renferme donc l’inventaire raisonné d’une grande
partie
des richesses intellectuelles de l’humanité. Il é
moral. Elle touche par quelques points à la théodicée et à la seconde
partie
de la psychologie. On l’appelle aussi ontologie (
vains qui ont exposé l’ensemble de leurs théories sur ces différentes
parties
de la philosophie ou même ceux qui ont traité que
d’Alexandre le Grand, dans l’abbé Barthélemy (Voyage d’Anacharsis 2e
partie
, chap. lxxxii). — On peut y ajouter la descriptio
publiés par le même, ibid., t. III, p. 334 et suiv., et réimprimés en
partie
par Meineke, à la suite des Fragments de la Coméd
vant entrer, à propos de ce texte, dans une longue discussion sur les
parties
d’étendue de la tragédie grecque, je me borne à q
borne à quelques rapprochements, et je renvoie, pour chacune des six
parties
, à des exemples pris dans l’Œdipe roi, celle de t
au est donc contenu dans le deuxième épisode, d’où il résulte que les
parties
en question ne sont pas précisément juxtaposées d
ser au second, que le premier soit connu tout entier, ou au moins par
parties
assez distinctes pour offrir à l’esprit du lecteu
étendue, pour se faire un plan vaste, exact, bien lié dans toutes ses
parties
, et dont la seule exposition annonce son dessein.
rillantes, conviennent plus à un rhéteur qui veut attirer sur lui une
partie
de l’attention due seulement au sujet. Tout appar
et finissait à celle de Macédoine. Il ne nous en reste qu’une petite
partie
. Diodore de Sicile, né environ 60 ans avant J.-C,
me, chez les Romains, Tacite, venant après Tite-Live, ne refit pas la
partie
de l’histoire romaine que celui-ci avait traitée
a, la Révolution de Portugal, etc. Ce sont encore là, en réalité, des
parties
d’histoire nationale, et elles en ont les caractè
tha. Tite-Live, né à Padoue l’an 59 avant notre ère, passa une grande
partie
de sa vie à Rome, à la cour d’Auguste, et retourn
ous le nom d’Annales et d’Histoire, deux ouvrages qui nous restent en
partie
seulement, et qui, ensemble, s’étendaient de la m
ition qui ont écrit des histoires nationales dans leur totalité ou en
partie
. Mais si l’on ne veut compter que ceux qui y ont
sars ; Tacite, celle d’Agricola, son beau-père, qui avait conquis une
partie
de la Grande-Bretagne ; Quinte-Curce, celle d’Ale
l’Histoire des littérateurs, des savants et des artistes, est une des
parties
de l’histoire qui ont pris le plus de développeme
t ceux de ses membres qui se sont le -plus distingués. Cette dernière
partie
comprend les notices biographiques, ou éloges des
t les plus intéressants des progrès de l’esprit humain. C’est une des
parties
de notre histoire littéraire qui se font lire ave
et au poème épique qui sont assez longs pour se diviser en plusieurs
parties
qu’on appelle chants ou livres, et qu’à cause de
ctique est donc celui qui a pour objet d’enseigner une science ou une
partie
de science, sans donner à son instruction une for
blâmer. En général, quand on néglige l’ordre, c’est dans les petites
parties
qu’il est permis de le faire ; les grandes partie
t dans les petites parties qu’il est permis de le faire ; les grandes
parties
, les parties essentielles, doivent sortir du même
tites parties qu’il est permis de le faire ; les grandes parties, les
parties
essentielles, doivent sortir du même fond, se rap
nre. L’art de composer un ouvrage, d’en assortir si bien les diverses
parties
qu’il forme un tout indivisible, manquait à ce po
tout indivisible, manquait à ce poète. Il n’avait pas non plus cette
partie
du talent poétique qui s’adresse au cœur du lecte
férieur où le plan est si peu combiné qu’on peut en retirer plusieurs
parties
sans que l’ensemble soit détruit. On le nomme mêm
; l’épopée est astreinte au récit d’une seule action, dont toutes les
parties
, parfaitement liées, fassent un tout entier et pr
ne, si elle est indépendante de toute autre action, et que toutes ses
parties
soient liées naturellement entre elles124. L’acti
oit l’employer que dans les entreprises importantes, et même dans les
parties
les plus importantes de ces entreprises, et lorsq
ésulte en grande partie la moralité de l’épopée. Ce n’est pas une des
parties
les moins importantes de ce genre d’ouvrages. C’e
du récit épique, c’est à Boileau que nous le devons. Ce n’est qu’une
partie
d’une de ses épîtres, et peut-être est-il heureux
circonstances qui en dépendent. On distingue ordinairement plusieurs
parties
dans une narration ; les unes sont essentielles,
nes sont essentielles, et constituent le fond du sujet : on les nomme
Parties
principales ; les autres, que nous regardons comm
emières, leur sont subordonnées et en dépendent : elles sont appelées
Parties
accessoires ou Détails. Les Parties principales s
n dépendent : elles sont appelées Parties accessoires ou Détails. Les
Parties
principales se nomment encore argument ou sommair
détails est entièrement abandonnée à l’écrivain. Nous donnons ici les
Parties
principales ou le sommaire d’une composition sur
et l’on pourra juger facilement de la différence qui existe entre les
Parties
principales et les Détails. Le Tour du Monde impr
onde impromptu. Vol. II, nº 114. Indépendamment de la distinction des
Parties
principales et des Détails qui entrent dans une n
n second lieu nous remarquons que cette narration se compose de trois
parties
bien distinctes, renfermant les faits accessoires
détails qui se rattachent au fait principal Nous nommerons ces trois
parties
: Exposition, Nœud et Dénouement. PREMIÈRE PARTIE
ommerons ces trois parties : Exposition, Nœud et Dénouement. PREMIÈRE
PARTIE
. L’Exposition. L’exposition fait connaître : 1° L
court ; 5° Quelques mots sur le caractère de M. de Boncourt. DEUXIÈME
PARTIE
. Le Nœud. 1° Bougainville propose à son ami de ve
nd à Brest. 6° Résignation de Boncourt. 7° Arrivée à Brest. TROISIÈME
PARTIE
. Le Dénouement. 1° Visite des deux amis à bord du
apaise son ami, qui rentre en France au bout de trois ans. Ces trois
parties
constituent un tout régulier, et appliquées à tou
ux tableaux. 1er Tableau : Le matin. Pour caractériser cette première
partie
de la journée, on peindra le lever du soleil, la
e la plume ; dans d’autres le plaisir, le sentiment le mettront de la
partie
, et se confondront inévitablement avec le devoir.
onestate et munditia. » Plus bas, voici comment sont résumées les six
parties
constitutives de la tragédie : « Oportet ut tragœ
urs, un style composé pour le plaisir, de telle sorte que chacune des
parties
qui la composent subsiste et agisse séparément et
M. Ch. Lévêque, dans La Science du Beau (2e édition Paris, 1872), IVe
partie
, chap. II et M. Barthélemy Saint-Hilaire, dans s
ες Politique, VIII, 3 : οἱ ὲξ ἀρχñς βΙ οἱ ἀρχαῖοι etc. La cinquième
partie
.] Les mss. donnent πέντε où on attend τὸ πέµπτον.
nom ordinal : en effet, après ce qui précède, il ne restait pas cinq
parties
, mais deux seulement à énumérer. Il est étranger
son génie. Il faut donc reporter sur les règles de l’art d’écrire une
partie
de ce respect qu’inspirent les grands écrivains ;
de la rhétorique se partagent en trois groupes qui forment les trois
parties
de l’art de parler et d’écrire. Ces parties trait
pes qui forment les trois parties de l’art de parler et d’écrire. Ces
parties
traitent : 1° de l’invention ; 2° de la dispositi
est la forme qui peut ajouter à la puissance de ces moyens. Les trois
parties
essentielles de l’art d’écrire prennent donc le n
tte règle générale : qu’il h faut concevoir un sujet, en disposer les
parties
, les traiter dans le style qui leur convient ; ob
gueur, plus d’éclat ou plus de charme. 7. De l’action. — A ces trois
parties
de l’art oratoire Cicéron et après lui les rhéteu
sujet le ton et le style qui lui conviennent te mieux. Première
partie
de la rhétorique. De l’invention. Leçon IV.
es mœurs oratoires. 1. Objet de l’invention. — 2. Utilité de cette
partie
. — 3. Règles générales. — 4. Division de cette pa
tilité de cette partie. — 3. Règles générales. — 4. Division de cette
partie
. — 5. Des mœurs. — 6. De la probité. — 7. De la
mœurs. — 13. Règles relatives aux mœurs. 1. De l’Invention. — Cette
partie
de l’art d’écrire a pour objet de découvrir les m
inions dans l’âme des auditeurs ou des lecteurs. 2. Utilité de cette
partie
. — Si l’écrivain ou l’orateur néglige ce travail
’ensemble et forme un tout régulier et complet. 4. Division de cette
partie
. — L’homme qui écrit ou qui parle se propose touj
re est l’essentiel, plaire est un agrément, toucher c’est vaincre. La
partie
la plus nécessaire de l’art, celle qui en est com
parfaite harmonie entre l’étude des moyens oratoires et l’analyse des
parties
du discours, entre l’invention et la disposition,
rs, arguments et passions ; en effet cet ordre correspondra aux trois
parties
essentielles du discours fixées par la dispositio
s de preuves, c’est l’office le plus nécessaire de l’art oratoire, la
partie
à laquelle toutes les autres se rapportent ; car
. Des lieux intrinsèques. — 3. La. Définition. — 4. L’énumération des
parties
. — 5. Le genre et l’espéce. 1. Des lieux commu
espèces : 1° La définition à laquelle se rattachent l’énumération des
parties
, — le genre et l’espèce. 2° La comparaison qui c
erme dans sa définition connue de l’orateur. 4. De l’énumération des
parties
. — Ce n’est souvent qu’une définition développée
’une définition développée ; elle consiste à indiquer les différentes
parties
d’un tout, à montrer les différentes faces d’un s
pris sur les ennemis, qu’il est dangereux que la vanité n’étouffe une
partie
de la reconnaissance et qu’on ne retienne au moin
’arrive-t-il, messieurs ? On vient. Comment vient-on ? On poursuit ma
partie
; on force une maison. Quelle maison ? Maison de
t à la péroraison, le pathétique n’est pas exclu pour cela des autres
parties
de la composition littéraire. Si vous aviez trait
ta juste mesure hors de laquelle il n’y a que le faux. Deuxième
partie
. Disposition. Leçon XI. De la disposition. —
espèces. 1. Objet de la disposition. — 2. Unité du sujet. — 3. Des
parties
du discours. — 4. Ordre de ces parties. — 5. Util
— 2. Unité du sujet. — 3. Des parties du discours. — 4. Ordre de ces
parties
. — 5. Utilité de la disposition. — 6- régles de l
a disposition. 1. Objet de la disposition. — La disposition est la
partie
de l’art d’écrire qui donne les règles pour range
délicat les pièces assorties, N’y forment qu’un seul tout de diverses
parties
. Boileau. Dans le plus grand nombre de cas
ble l’objet de la composition. En effet, dans toute œuvre il y a deux
parties
essentielles : d’abord annoncer le sujet, puis en
œuvres littéraires tout comme pour les travaux scientifiques. 3. Des
parties
du discours. — C’est en s’inspirant de cette pens
à la pratique des grands orateurs la distribution du discours en six
parties
. Personne ne prétend dire par là que ces parties
n du discours en six parties. Personne ne prétend dire par là que ces
parties
doivent entrer toutes et toujours dans toute comp
devoir de discerner ce qui convient en propre à son sujet, et quelles
parties
du discours peuvent être supprimées. Les six part
ujet, et quelles parties du discours peuvent être supprimées. Les six
parties
reconnues par la rhétorique sont l’exorde, la pro
on, la confirmation, la réfutation et la péroraison. Ces différentes
parties
sont bien dans la nature ; elles se succèdent si
; 2° elle est glorieuse ; 3° elle est nécessaire. Confirmation. 1re
Partie
. La religion chrétienne est raisonnable : En ce q
ants, les plus propres à soumettre les esprits les moins crédules. 2e
Partie
. La religion chrétienne est glorieuse : 1° Par le
ésent ; 3° par les grands modèles qu’elle lui propose à imiter. 3e
Partie
. La religion chrétienne est nécessaire : 1° Parce
renfermera peut-être la narration et la réfutation ; mais, ces trois
parties
sont indispensables, 4. Ordre de ces parties. —
ation ; mais, ces trois parties sont indispensables, 4. Ordre de ces
parties
. — La même liberté peut être réclamée et par l’or
t par l’écrivain, à propos de l’ordre à suivre dans l’arrangement des
parties
du discours. Ce n’est pas que l’ordre assigné par
Expliquer aussi vite que possible son sujet et son but. IV. Les six
parties
essentielles d’un discours complet sont l’exorde,
ion et la péroraison. V. Réduire pour les sujets moins importants ces
parties
à trois : l’exorde ou l’introduction, ta confirma
uve, la péroraison ou conclusion. VI. Bien que l’ordre entre les six
parties
du discours soit fondé en logique, les circonstan
énieuse de Cicéron renouvelée par Pascal que l’exorde est la dernière
partie
dont il faut s’occuper, il dit sagement : Ce qu’
a fait paraître toute l’étendue de sa puissance : ce sera la première
partie
. Le monde jusqu’à présent n’a regardé ce mystère
ue Dieu a fait éclater plus hautement sa sagesse : ce sera la seconde
partie
. Le goût peut reprocher à ce texte et à cette di
t la royauté, c’est la sainteté. Puis il divise son discours en deux
parties
: Louis fut un grand saint, il fut un grand roi.
rties : Louis fut un grand saint, il fut un grand roi. Chacune de ces
parties
se subdivise elle-même : Il a été un grand saint
ar le goût. 5.Qualités d’une bonne division. — Cette séparation des
parties
ayant pour objet de rendre plus facile et plus ‘s
ient les rhéteurs que la division soit opposée. La suite même de ces
parties
et l’arrangement dans lequel elles sont présentée
n ordre satisfaisant pour la raison, le goût et l’imagination, si les
parties
sont disposées de telle sorte que le premier poin
este, enfin,.une division qui fasse voir la valeur du sujet et de ses
parties
. Fénelon s’est amusé à donner l’exemple d’une div
n V, page 23.) 2. Objet de la confirmation. — La Confirmation est la
partie
de la composition littéraire qui prouve la vérité
e fis prisonnier, pour te combler de biens ! 4° L’énumération des
parties
; c’est le moyen d’amplification dont Bossuet s’e
les extrémités des choses humaines. C’est encore par énumeration des
parties
, que dans la satire Ménippée l’orateur du tiers é
nces de moyen, de manière, de temps, de lieu, de cause ; énumérer les
parties
. Leçon XIX. De la réfutation et des sophismes
Des sophismes de mots. 1. De laréfutation. — La réfutation est la
partie
du discours qui détruit les arguments contraires
ur emploi dans tout le cours de la composition ; mais il n’est aucune
partie
du discours ni de l’ouvrage à propos de laquelle
. — Emploi des passions. 1. Objet de la péroraison. — 2. Des deux
parties
de la péroraison : récapitulation. — 3. Emploi de
ainsi se complète l’œuvre de l’écrivain ou de l’orateur. 2. Des deux
parties
de la péroraison. — Pour atteindre ce double but,
n. — Pour atteindre ce double but, la péroraison doit comprendre deux
parties
distinctes, l’une qui se rapporte aux arguments e
ne qui se rapporte aux arguments et l’autre aux passions. La première
partie
ou récapitulation est bonne en tout sujet et en t
, vous ne le recommencez pas. 3. Emploi des passions, — La deuxième
partie
de la péroraison se rapporte aux passions qu’il s
ressions, les tours et les figures les plus passionnés. Troisième
partie
. Élocution. Leçon XXII. Du style. 1. De l
se et très-délicate doit être partagée d’une façon régulière en trois
parties
qui contiennent : l° Des observations générales s
nterrogatif est plus vif et plus dramatique encore, puisqu’il prend à
partie
et provoque à répondre un interlocuteur réel ou i
enne garde, il anime tout et fait passer dans ceux qui l’écoutent une
partie
de son enthousiasme Voltaire. 2. Usage et
y dut quelque chose de sa gloire à Henri IV, et que Louis XIV dut une
partie
de la sienne à Colbert. 5. De l’allusion. — L’
Adieux de Fontainebleau contiennent une réticence intéressante : Une
partie
de l’armée a trahi ses devoirs ; et la France ell
onne un crédit qui entraîne les esprits, en affaiblissant d’autant la
partie
adverse. A propos d’un juge prévaricateur, Beauma
core par une communication, c’est-à-dire en prenant pour lui-même une
partie
de la leçon, qu’Achille peut sans offense gourman
rsaire pourrait opposer. IV. La communication, en associant les deux
parties
adverses, fait accepter des observations difficil
on adversaire ; entrer en délibération avec les juges et même avec sa
partie
; décrire les mœurs des personnes et raconter leu
En son Louvre il les invita ; Quel Louvre ! un vrai charnier. 2° La
partie
pour le tout. — Ainsi, au lieu d’une seule person
se rencontrent au tempérament naturel des femmes, étant cause que la
partie
brutale veut toujours prendre empire sur la sensi
t du Scamandre l’interrompit par ces mots : La cour remarquera que ma
partie
ne s’appelle pas Scamandre, mais Michaud. Jou
non-seulement lorsqu’on change de sujet, mais aussi dans les diverses
parties
d’un même ouvrage ; il s’y présente des différenc
s le ton, Cicéron assignait ainsi des caractères propres aux diverses
parties
de la composition : un style simple pour plaire d
n sujet, s’en » être tracé un plan bien arrêté dans lequel toutes les
parties
, se trouvent à leur place ; alors les transitions
s, car elles sortiront du sujet et de la relation naturelle entre ses
parties
. Cicéron a dit : « les pierres bien taillées s’un
ce qui va être dit et développé maintenant, une proposition dont une
partie
rappelle le passé et l’autre annonce l’avenir. Ta
sive l’un des trois genres de style à chaque ouvrage ou même à chaque
partie
d’un ouvrage quelF conque ; on peut, on doit même
aisonné de ce moyen, elle parle avec ré-. serve et laisse deviner une
partie
de la pensée. C’est un plaisir d’esprit et une sa
e roman comportent tous les tons et tous les styles. Quatrième
partie
. Action. Leçon XLIV. De l’action. — De la vo
que l’orateur ; cette étude n’a aucun intérêt pour l’écrivain. Cette
partie
de la rhétorique jouissait d’une grande importanc
plus modéré. Le visage, après la voix, aie plus de pouvoir dans cette
partie
de l’éloquence : quelle dignité, quelle grâce n’y
udiciaires, sinon pour toute une composition, au moins pour certaines
parties
importantes ou difficiles comme l’exorde et la pé
pour s’élever par degrés aux plus composés et aux plus difficiles. La
partie
de la composition qui contient le développement d
osition qui contient le développement des moyens de persuasion est la
partie
la plus importante de la composition ; il faut y
partie la plus importante de la composition ; il faut y ajouter deux
parties
accessoires, une introduction ou exorde et une co
it de différence que dans l’étendue et le caractère de chacune de ces
parties
. Enfin l’ensemble même de la composition doit tou
er. En renvoyant ainsi son premier travail, on s’assure si toutes les
parties
sont bien en rapport avec le but qu’on se propose
on croissante, rapportant tous lès éléments de la composition à trois
parties
, un exorde ou introduction, une confirmation ou d
mais n’en discerne et n’en connaît bien réellement qu’une très-petite
partie
; la qualité la plus importante dans une descript
de s’attacher. L’application du lieu commun appelé l’énumération des
parties
est ici toute naturelle, mais elle doit être fait
vous qu’il vous soit plus présent, parcourez des yeux de l’esprit les
parties
qui le composent : dans l’air, dans les eaux, dan
oument. Il importe donc de commencer par reconnaître et discerner ces
parties
par l’analyse raisonnée de son sujet. La clarté e
te ; enfin une division qui fasse voir la grandeur du sujet et de ses
parties
. Tout au contraire, vous voyez ici un homme qui e
e ; il reste seul et tombe. De son œuvre il ne survit que la première
partie
. Développement. — Il y a dans l’activité d’un g
eul et il tombe, et tout ce qu’il avait pensé et voulu seul, toute la
partie
purement personnelle et arbitraire de scs œuvres
ppement. — La critique est inséparable des lettres ; elle en fait une
partie
essentielle. Non seulement elle examine les œuvre
sions, ses tours forment un accord parfait avec le sujet ; toutes les
parties
en sont, assorties et liées par la suite et l’ord
ppe placée au pied de son trône, à laquelle se rendent, de toutes les
parties
de la terre, les vœux et les sacrifices des morte
d, dans le de Oratore, que lorsqu’il compose un discours, la première
partie
est toujours la dernière qui l’occupe. Et l’on vo
orateur ne s’en occupe qu’après avoir étudié soigneusement toutes les
parties
de la cause, nisi totis causæ partibus diligenter
, c’est-à-dire qu’il n’y manque aucun des membres qui font réellement
partie
de l’idée, et d’un autre côté, que ceux-ci ne soi
. Lui-même, dans les livres de Rhétorique, conseille d’attirer sur la
partie
adverse, politique ou civile, l’envie, la haine,
les de vos attentions ; ils prouvent une telle chose dans la première
partie
de leur discours, cette autre dans la seconde par
dans la première partie de leur discours, cette autre dans la seconde
partie
, et cette autre encore dans la troisième. Ainsi v
te ; enfin une division qui fasse voir le grandeur du sujet et de ses
parties
. » Enfin Condillac, venant à l’appui de tout ce q
se encore son attention au moyen des limites qu’elle assigne à chaque
partie
à peu près comme ces pierres qui servant à masque
1. Division de la rhétorique. La rhétorique se divise en trois
parties
: l'invention, la disposition et l'élocution. A c
ois parties : l'invention, la disposition et l'élocution. A ces trois
parties
de l'art oratoire on en ajoute une quatrième, l'a
e, l'action, qui renferme la prononciation et le geste. Première
partie
. L'invention. L'invention est l'art de tro
uction est un argument par lequel l'orateur tire de l'énumération des
parties
une conclusion générale ou principale. Exemple :
ux lieux communs intrinsèques sont : la définition, l'énumération des
parties
, le genre et l'espèce, la comparaison, les contra
la définition des différentes espèces de mots.) 2° L'énumération des
parties
est un dénombrement, ou une idée principale dével
, loin de faire pleurer, il ferait rire infailliblement. Seconde
partie
. La disposition. La disposition est l'art
délicat les pièces assorties N'y fassent qu'un seul tout de diverses
parties
. (Boileau.) Le discours oratoire peut avoir six
de diverses parties. (Boileau.) Le discours oratoire peut avoir six
parties
, qui sont : l'exorde, la proposition, la narratio
ion, la confirmation, la réfutation et la péroraison. Mais toutes ces
parties
ne se trouvent que dans les grands sujets ; dans
à répondre aux arguments de son adversaire. L'exorde est la première
partie
du discours oratoire, et il en est comme le somma
ortes que l'orateur a développées dans la confirmation. Troisième
partie
. L'élocution. L'élocution est l'expression
Vous le pleurez à présent qu'il n'est plus ! La synecdoche prend la
partie
pour le tout, et le tout pour la partie ; le nom
lus ! La synecdoche prend la partie pour le tout, et le tout pour la
partie
; le nom de la matière pour la chose qui en est f
ain est sourd quand on ne lui plaît pas. (Boufleur.) Quatrième
partie
. L'action. L'action renferme la prononciati
le genre judiciaire ? Division de la rhétorique. En combien de
parties
se divise la rhétorique ? L'invention. Qu'
doit convenir la définition logique ? Qu'est-ce que l'énumération des
parties
? Que prouve l'argument que constituent le genre
ce que la disposition ? Combien le discours oratoire peut-il avoir de
parties
? Qu'est-ce que l'exorde ? Dans quelle partie du
toire peut-il avoir de parties ? Qu'est-ce que l'exorde ? Dans quelle
partie
du discours oratoire peut être renfermée la propo
ur. L'heureux enchaînement de l'exorde, de la narration et des autres
parties
du discours oratoire ; la pureté, l'harmonie et l
A l'éloquence religieuse se rattache la morale. La morale est une
partie
essentielle de la philosophie ; elle a sa source
faits du héros dans d'autres temps. Le poëte divise sa fable en deux
parties
: l'une où son héros parle, raconte ses aventures
fable relative à la divinité dont on célébrait la fête, faisaient une
partie
essentielle du culte public. C’est ainsi qu’Hérod
ut approuvée du grand nombre. Enfin, ce récit fut divisé en plusieurs
parties
, pour couper plusieurs fois le chant et augmenter
? Nous diviserons tout ce qui concerne le genre dramatique en trois
parties
: dans un premier article, nous ferons connaître
l tout. L’unité d’action existe donc dans le drame lorsque toutes les
parties
ont un même principe et aboutissent à un centre c
ition, consiste dans un commencement, un milieu et une fin. Ces trois
parties
de l’action prennent le nom d’exposition, de nœud
nt cette règle n’est pas observée dans la comédie), il faut que cette
partie
du drame soit faite par des personnages important
nne la forme d’un petit discours qui ne fait pas, comme l’exposition,
partie
intégrante du drame, et qui, comme autrefois, le
ous rendus nécessaires ou vraisemblables, et a répandu sur toutes les
parties
de son poème la plus vive lumière. Dans Athalie,
dents sortent du fond du sujet et s’y rapportent. C’est ainsi que les
parties
de l’action seront bien liées, se presseront mutu
iculier démêle le nœud, lorsqu’un incident termine la pièce. C’est la
partie
la plus difficile de la tragédie : elle demande p
e, moral, enfin complet ou achevé. Le dénoûment tragique doit être la
partie
de la pièce où dominent par-dessus tout la passio
comme son nom l’indique, est un degré, un pas de l’action. C’est une
partie
du drame renfermant une action subordonnée qui se
ent, un milieu et une fin. L’acte doit donc être composé de plusieurs
parties
; et ces parties portent le nom de scènes. Chaque
une fin. L’acte doit donc être composé de plusieurs parties ; et ces
parties
portent le nom de scènes. Chaque scène est caract
tés. Dans la tragédie proprement dite, chaque acte ne contient qu’une
partie
de l’action ; .ici, chaque acte peut contenir une
ui amène une fête et un divertissement de danse, car la danse est une
partie
essentielle de ce poème. Le lieu de la scène y ch
stant il s’élève dans l’âme un mouvement subit et nouveau. Pour cette
partie
de la scène où règne une passion tumultueuse et v
genre tragique ou sérieux, le genre comique peut se diviser en trois
parties
: la comédie proprement dite, la comédie populair
connaissances sont des coups de théâtre. Molière excelle · dans cette
partie
. Ainsi, dans l’Avare, au moment où le père usurie
La parodie s’étend tantôt à la pièce entière, tantôt à la plus grande
partie
, tantôt enfin à quelques parties seulement. La pa
ièce entière, tantôt à la plus grande partie, tantôt enfin à quelques
parties
seulement. La parodie d’Inès de Castro, de Lamott
aison nécessaire entre elles. Ce n’est point un ensemble lié dans ses
parties
; c’est une continuité de portraits détachés, se
a douleur de voir les désordres scandaleux qui signalèrent la seconde
partie
de son règne. Depuis longtemps, au reste, le véné
-Christ outragée par des barbares, qui foulaient encore aux pieds une
partie
des lieux saints de la Palestine et menaçaient d’
otre ignominie. Panégyrique de saint Louis 1 (Extrait de la première
partie
). 2. L’éloge de Massillon a été composé par d’
unes de ses censures. Cf. Châteaubriand, Génie du Christianisme, IIIe
partie
, livre IV, chap. 3. 1. Parmi les oraisons funèbr
gardant le cercueil de Louis-le-Grand », Génie du Christianisme, IIIe
partie
, l. IV, ch. iii. 3. Cette expression biblique ra
en forme de coquille. Cette déesse de la mer est représentée ayant la
partie
supérieure du corps semblable à celle de la femme
On en voit encore quelques ruines à trois lieues de Tunis, dans cette
partie
de l’Afrique qu’on appelle aujourd’hui Barbarie.
), et passa dans les Gaules, dont il fit la conquête, ainsi que d’une
partie
de la Germanie et de la Grande-Bretagne, comme il
n, fille de Bélus, roi de Tyr, dans la Phénicie, qui fait aujourd’hui
partie
de la Sourie, dans la Turquie d’Asie. Elle avait
lieu, d’une épaisse forêt qui environne toute la montagne, et dans la
partie
supérieure, d’une si grande quantité de neige et
ile, l’île de Malte, et presque la moitié de l’Italie. Cette dernière
partie
s’étend jusqu’au sommet de la montagne, où est la
rapport ; de manière que l’armée fut obligée de traverser une grande
partie
du Rhin à la nage. I. Ida, montagne très é
du temple de Jérusalem. Loire, fleuve qui partage la France en deux
parties
presque égales. Il prend sa source au mont Gerbie
, le Bourbonnais, le Nivernais, l’Orléanais, la Touraine, l’Anjou, la
partie
méridionale de la Bretagne ; et se jette dans l’O
yant sur sa poitrine une peau de chevreuil, parsemée d’étoiles, et la
partie
inférieure du corps semblable à celle d’un bouc.
, dans le pays des Grisons ; traverse le lac de Constance ; baigne la
partie
orientale de l’Alsace ; passe dans les électorats
d’Autriche. Sous son ministère, la France acquit le Roussillon et une
partie
de la Catalogne. Il mourut en 1642. Rome, ville
e la Champagne, l’Île-de-France, la Normandie, et se jette dans cette
partie
de l’Océan qu’on appelle la Manche, près du Hâvre
élèbre et capitale de la Troade dans la Phrygie, qui fait aujourd’hui
partie
de la Natolie propre dans la Turquie d’Asie. Elle
essairement inventer ou choisir le sujet, en arranger les différentes
parties
, et l’embellir de tous les ornements dont il est
inutile de les parcourir tous) sont la définition, l’énumération des
parties
, la similitude les contraires et les circonstance
éfinition sèche et entièrement dénuée d’ornements. Énumération des
parties
. L’Énumération des parties consiste à diviser
dénuée d’ornements. Énumération des parties. L’Énumération des
parties
consiste à diviser un tout en ses parties. L’orat
rties. L’Énumération des parties consiste à diviser un tout en ses
parties
. L’orateur en fait usage, lorsque pour établir ou
’est encore notre Racine qui imite Euripide. Je ne rapporterai qu’une
partie
de ce morceau. Dans le poète grec, Phèdre se repr
ctif, aussi prompt à s’éteindre qu’à s’allumer. Les passions dont une
partie
les a quittés, et l’autre est amortie par les gla
he à l’envie. » La grandeur et la puissance32 produisent des mœurs en
partie
semblables à celles des riches, et en partie meil
produisent des mœurs en partie semblables à celles des riches, et en
partie
meilleures car ceux qui sont élevés en dignité, s
soin. Voilà donc la disposition générale du discours. Les principales
parties
qui le composent, sont l’exorde, la narration, la
et, s’il m’est permis de l’avouer, par l’inutilité du travail. Quelle
partie
du monde habitable n’a pas ouï les victoires du P
oucher ». À la fin de l’exorde, l’orateur distribue son sujet en ses
parties
; c’est-à-dire, qu’il en tire plusieurs propositi
e ; enfin une division, qui fasse voir la grandeur du sujet et de ses
parties
. Bourdaloue traitant le Mystère de la Passion sur
ute l’étendue de sa grandeur et de sa puissance : ce sera la première
partie
. Le monde jusqu’à présent n’a regardé ce mystère,
ue Dieu a fait éclater plus hautement sa sagesse : ce sera la seconde
partie
». II. De la Narration. Après l’exorde, vi
le trône ». III. De la Confirmation. La confirmation est cette
partie
du discours, dans laquelle l’Orateur prouve le fa
fortune, surtout, se croit en droit de s’en attribuer la plus grande
partie
, et se regarde presque comme la seule et unique c
ictorieuse. IV. De la Péroraison. La péroraison est la dernière
partie
du discours, et n’est ni la moins importante, ni
tours séduisants et de mouvements impétueux ; enfin il animera cette
partie
de son discours de toute la chaleur, de tout le f
ouange dans la bouche d’un rival ! Nos bons orateurs ont traité cette
partie
du discours oratoire avec un succès distingué. Il
airement contre lui. Inculpé dans toutes ses actions, dans toutes les
parties
de son administration, il se trouvait réduit à la
nt un des premiers articles est qu’il faut également écouter les deux
parties
, ce qui signifie bien positivement que vous devez
ici non seulement de toute espèce de prévention, et accorder aux deux
parties
une faveur égale, mais permettre à chacune d’elle
tifs, si généralement connus, qu’il lui suffit de les rappeler. Cette
partie
de son discours est traitée avec la supériorité d
tions prétendues faites à la loi : c’était le fort de sa cause, et la
partie
faible de Démosthène, qui, trop adroit pour adopt
t avant moi, je me fais un honneur de pouvoir affirmer que dans cette
partie
des fonctions publiques, qui m’a été confiée, j’a
sage loi d’Athènes voulait que l’accusateur eût au moins la cinquième
partie
des suffrages, sans quoi il était condamné au ban
épilogue, conclusion, catastrophe, dénoûment, péroraison, est une des
parties
les plus importantes, qui préoccupe et doit préoc
rsit, nisi dignus vindice nodus. Molière, si admirable en toutes les
parties
de l’art, n’excelle point dans le dénoûment. Il e
de la Convention, ces formidables joutes de la paroles, où, à chaque
partie
, chacun mettait sa tête pour enjeu, abondent en p
e laisse respectueusement passer. » Il était impossible qu’une grande
partie
de cette suprême allocution de lord Chatham, et l
ce rapport, de la péroraison de saint Vincent de Paul, que la seconde
partie
du beau sermon en faveur de la fondation d’un hos
sposition enseigne les justes proportions à observer entre toutes les
parties
d’un ouvrage, l’artifice de la gradation, des tra
transitions, des préparations oratoires. Passant ensuite aux diverses
parties
, elle trace les règles du début, montre comment i
ux et un côté comique : c’est de ce dernier que naquit la comédie. La
partie
sérieuse du dithyrambe s’ennoblit peu à peu, se d
lit peu à peu, se dégagea de la farce et pénétra dans les villes ; la
partie
bouffonne resta longtemps encore à la campagne po
t les aventures de Bacchus ; le chœur, lié à l’action, ne fut plus la
partie
principale : la tragédie grecque atteignit sa per
chœur prenait part au dialogue, c’était par l’organe de son chef ; la
partie
lyrique du chœur était chantée par tous les membr
l fait, une seule intrigue principale, de manière à ce que toutes les
parties
de la pièce aient un centre commun. L’observation
ine la pièce. Actes et scènes. La pièce se compose de plusieurs
parties
qu’on nomme actes : le nombre des actes varie de
ples dans ses chefs-d’œuvre. Le système ancien enlevait à l’homme une
partie
de sa liberté ; la lutte n’était pas égale entre
nnent à l’action et sont amenées par le sentiment. Le dialogue est la
partie
importante du drame ; c’est par là surtout que la
ion et leur éducation. Enfin, le drame romantique emprunte une grande
partie
de son effet au mouvement physique de la scène, a
s pour nous reconnaître dans un portrait qui représente en tout ou en
partie
notre ridicule moral. Nous y découvrons plutôt no
s et les talons rouges, pour les démagogues et les aristocrates ; les
parties
du corps, pour le sens ou le sentiment dont elles
suppose l’emploi du plus pour le moins, du moins pour le plus, d’une
partie
pour une autre, dans un objet unique. Tantôt la p
le plus, d’une partie pour une autre, dans un objet unique. Tantôt la
partie
est prise pour le tout : La tête, pour l’homme en
toute l’année : il compte quinze printemps, etc. Ou le tout pour la
partie
: lorsqu’on désigne, par exemple, un instrument o
ns, malgré la personnification, l’emploi du moins pour le plus, d’une
partie
pour le tout, et par conséquent une synecdoque. Q
substantifs abstraits, ni employer non plus à tout propos le nom des
parties
du corps ou des qualités morales au lieu du sujet
par la pensée dans cette atmosphère de sang, assistez à ces terribles
parties
où chacun avait sa tête, pour enjeu, mettez-vous
ce poème sur la vertu résulte de l’impression que fait chacune de ses
parties
considérée séparément, et de celle qui est produi
unité soit dans le sujet, et qu’elle résulte de la liaison intime des
parties
qui se rapportent toutes à un seul événement mémo
ue le génie se déploie et montre toute sa puissance. C’est dans cette
partie
importante et difficile de la composition que tro
il s’empare de tout ce qui est excellent, et le fait entrer ou comme
partie
, ou comme embellissement dans l’édifice qu’il con
ion. La disposition ou plan du poème épique doit donc renfermer trois
parties
distinctes : le début, le nœud et le dénoûment.
position n’est que le titre du poème plus développé. C’est dans cette
partie
que le poète annonce le héros qu’il va célébrer,
vocation, vient la préparation ou avant-scène. On appelle ainsi cette
partie
de l’exposition dans laquelle le poète, se suppos
cipal avantage qui résulte de l’emploi d’un personnage pour faire une
partie
du récit, est de permettre au poète, s’il le juge
. Il en résulte aussi qu’il peut plus aisément s’étendre sur quelques
parties
du sujet qu’il expose directement, et abréger cel
ace une longue et glorieuse entreprise, doit être divisé en plusieurs
parties
qu’on appelle livres ou chants. Les épopées d’Hom
t à l’exécution de l’entreprise. On peut citer comme modèles de cette
partie
importante de l’épopée la lutte d’Ulysse contre l
épopée en prose avec imagination et intérêt, laisserait à désirer une
partie
qui n’est pas à dédaigner, surtout dans notre lan
ui-ci, il est une harmonie générale du style, qui embrasse toutes les
parties
du discours ; qui ne s’attache pas à telle ou tel
tous les écrivains peut-être qui a donné le plus d’attention à cette
partie
essentielle du style. Cicéron veut, donc que le j
ne pourrait subsister un moment sans l’accord admirable de toutes ses
parties
. Ses écarts apparents ne sont eux-mêmes que d’heu
ἄῤῥυθμον. Et la raison qu’il en donne, c’est qu’un discours où cette
partie
accessoire paraîtrait évidemment trop travaillée,
ve. 17. Qui cependant a plus accordé que ce grand écrivain, à cette
partie
de l’art ? qui s’est complu davantage dans le lux
Chapitre IV. — De l’Élocution L’Élocution est la troisième
partie
de la rhétorique. Quand le sujet a été trouvé et
et a été trouvé et médité, ce qui a rapport à l’invention : quand les
parties
ont été disposées dans un ordre convenable, ce qu
qu’à s’occuper du travail de l’Élocution ou du Style. Cette dernière
partie
comprend : 1° Les qualités générales et les défau
’est réunie à celle de la nature, et s’est étendue sur la plus grande
partie
de la terre : les trésors de sa fécondité jusqu’a
vec une grande taille, a le plus de proportion et d’élégance dans les
parties
de son corps : car, en lui comparant les animaux
de de la tête et du cou contribue plus que celle de toutes les autres
parties
du corps à donner au cheval un noble maintien. H
encore consulter sur lui Châteaubriand, Génie du Christianisme, IIIe
partie
, liv. iv, c. 5 ; M. Villemain, Tableau de la litt
, 103e jour ; le second, dans l’Itinéraire de Paris à Jérusalem, IIIe
partie
. 2. Voy. la peinture du cheval dans Virgile, Géo
Nous avons donné, à l’exemple de Cicéron, plus de développement à la
partie
de l’Élocution ; ce n’était plus ici le logicien
les mettre en ordre ; la troisième, de les exprimer. De là les trois
parties
de la Rhétorique : Invention, Disposition, Élocut
et quo quidque loco, et quo mod o (Cic., Orat., c. 14). À ces trois
parties
de l’art oratoire on en ajoute une quatrième, l’A
et Quintilien y ont consacré peu de place dans leurs ouvrages. Cette
partie
, quoique nécessaire à l’orateur, est indépendante
e, malgré les limites que les anciens ont voulu tracer à ces diverses
parties
de l’art, elles rentrent souvent les unes dans le
en est pas ainsi de la classification qu’ils avaient adoptée pour les
parties
de la composition : dans tous les temps, chez tou
es ; les moyens de succès qu’il peut offrir ; en disposer ensuite les
parties
dans un ordre naturel et judicieux ; savoir enfin
Nous suivrons cet ordre dans nos préceptes de Rhétorique. Première
partie
. De l’invention. Un poète dessine d’abord l’or
œurs, on touche par les Passions. I. Des arguments. C’est ici la
partie
de l’art oratoire la plus nécessaire, la plus ind
ire, c’est l’enthymème qui en occupe la place16 ; ou, s’il y est, ses
parties
sont arrangées autrement que dans la forme philos
. L’induction est un argument par lequel on tire de l’énumération des
parties
la conclusion du tout. Si je voulais prouver que
principaux lieux intrinsèques sont : la définition, l’énumération des
parties
, le genre et l’espèce, la comparaison, les contra
la vertu. » (Lettre à l’Académie française.) 2º. L’énumération des
parties
consiste à parcourir les différentes parties d’un
2º. L’énumération des parties consiste à parcourir les différentes
parties
d’un tout, les principales subdivisions d’une idé
s qu’on en doit faire : ils servent à réduire sous certains chefs les
parties
d’un discours. Les disciples de l’éloquence, dit
ssir, il faut que, sans prendre ni les passions ni les erreurs de ses
parties
, il se transforme, pour ainsi dire, en elles-même
’arrive-t-il, messieurs ? On vient. Comment vient-on ? On poursuit ma
partie
; on force une maison. Quelle maison ? Maison de
par intervalles dans un discours de quelque étendue, il n’est aucune
partie
du discours qui ne doive être animée par une heur
si des paroles brûlantes ne pénétraient dans son âme. » Seconde
partie
. De la disposition. La Disposition, dans l’art
sposition, dans l’art oratoire, consiste à mettre en ordre toutes les
parties
fournies par l’Invention, selon la nature et l’in
eine, et le style sera naturel et facile52. Les rhéteurs comptent six
parties
du discours oratoire ; non qu’elles y entrent tou
aits, d’établir solidement leurs moyens et de répondre à ceux de leur
partie
adverse. Les exordes et les péroraisons n’ont lie
allons maintenant examiner, dans leur ordre habituel, les différentes
parties
de la Disposition. I. De l’exorde. L’exorde
ties de la Disposition. I. De l’exorde. L’exorde est la première
partie
du discours, qui prépare l’auditeur à entendre la
donc travailler l’exorde avec beaucoup de soin et de scrupule : cette
partie
étant écoutée la première, est celle que la criti
s proche parent du défunt. » Les propositions composées ont plusieurs
parties
, comme lorsqu’on expose les différents chefs d’un
a fait paraître toute l’étendue de sa puissance : ce sera la première
partie
. Le monde, jusqu’à présent, n’a regardé ce mystèr
ue Dieu a fait éclater plus hautement sa sagesse : ce sera la seconde
partie
. » La justesse des plans généraux est un des cara
simplement fait dans les plaidoyers et les mémoires ; ce n’est pas la
partie
la moins importante, ni celle qui exige de l’orat
s’appuie, à prouver la vérité annoncée dans la proposition. C’est la
partie
la plus essentielle du discours : toute l’adresse
us capable de faire impression. L’orateur romain a excellé dans cette
partie
puissante de l’éloquence. À plusieurs preuves qui
st le devoir de l’Élocution. Voyons comment Tite-Live a traité chaque
partie
. L’entrée, qui tient lieu d’exorde, est courte, m
élégance dans cette distribution qui reprend en trois mots les trois
parties
du premier motif ? fides, pour le traité ; religi
de guérir une blessure que de la faire ; et, pour bien traiter cette
partie
, on a besoin d’une logique exercée. La réfutation
her ensemble, et quelques rhéteurs, avec raison, n’en font point deux
parties
distinctes. « Vous ne pouvez, dit Cicéron99, ni d
ribuer en général la pensée à l’homme, qu’il pense selon l’une de ses
parties
; mais il ne s’ensuit nullement qu’il pense selon
ble. » Vous trouverez aussi un modèle de réfutation dans la première
partie
de la seconde Philippique de Cicéron. L’endroit s
toire. VI. De la péroraison. La péroraison, qui est la dernière
partie
du discours, a deux objets à remplir. Elle doit a
nt laisser quelque confusion et quelque embarras dans l’esprit. Cette
partie
demande alors beaucoup de précision, d’adresse et
car vous résumez le discours, vous ne le recommencez pas. » L’autre
partie
, qui se rapporte aux mœurs et aux passions (commi
e beauté oratoire que les anciens ne connaissaient pas. Troisième
partie
. De l’élocution. Presque toujours les choses q
parole. Dans un sens plus restreint, l’élocution se prend pour cette
partie
de la Rhétorique qui traite du style. Elle est à
rd les principaux traits du tableau ; son jugement met ensuite chaque
partie
, à sa place ; mais lu coloris lui est nécessaire
e de la vivacité dans l’harmonie, on se sert du style coupé, dont les
parties
sont indépendantes et sans liaison réciproque : «
l y a tant de sujets qui demandent à être ainsi traités en tout ou en
partie
, un homme qui, sans avoir préparé les esprits, s’
et du Scamandre, l’interrompit en disant : La Cour observera que ma
partie
ne s’appelle pas Scamandre, mais Michaut. Non
ment136. L’élégance d’un discours n’est pas l’éloquence, c’en est une
partie
; ce n’est pas la seule harmonie, le seul nombre
Orat., III, 26.) La finesse consiste à laisser deviner sans peine une
partie
de sa pensée ; et cette manière, lorsqu’elle est
nts. Non seulement les sujets sont de nature diverse ; mais entre les
parties
d’un même sujet, il y a des différences qui exige
st pas possible de lui en donner une autre, sans lui faire perdre une
partie
de sa force156. Lorsque Longepierre, dans sa Médé
ephyris agitata Tempe. (Horat., Carm., III, 1, 21.) 2º En prenant la
partie
pour le tout, et le tout pour la partie. Cent voi
III, 1, 21.) 2º En prenant la partie pour le tout, et le tout pour la
partie
. Cent voiles pour cent vaisseaux, une tête si chè
aisseaux, une tête si chère pour une personne si précieuse ; c’est la
partie
pour le tout. Les peuples qui boivent la Seine ;
our le tout. Les peuples qui boivent la Seine ; c’est le tout pour la
partie
. Summa placidum caput extulit unda. (Æneid., I,
re, … cum muliere colloquens, cet excellent tableau perdra une grande
partie
de sa vivacité et de ses couleurs. La principale
s l’hypotypose, peut se rapporter au lieu commun de l’énumération des
parties
et à celui des circonstances. L’ironie (ou contre
n adversaire ; entrer en délibération avec les juges, et même avec sa
partie
; décrire les mœurs des personnes et raconter leu
; sed neque oculos esse toto corpore velim (VIII, 5). Quatrième
partie
. De l’action. Nous avons dit que cette partie,
, 5). Quatrième partie. De l’action. Nous avons dit que cette
partie
, quoique nécessaire à l’orateur, est indépendante
uve frappante de l’attention qu’il mit de bonne heure à étendre cette
partie
de l’art : les règles alors connues ne lui suffis
s, les figures et les couleurs du discours203. Dans le geste, seconde
partie
de l’action, il faut craindre bien plus le trop q
lus modéré. Le visage, après la voix, a le plus de pouvoir dans cette
partie
de l’éloquence : quelle dignité, quelle grâce n’y
re et l’expérience. La mémoire peut être regardée comme une troisième
partie
de l’action, quoique les anciens en fassent très
e l’action, quoique les anciens en fassent très souvent une cinquième
partie
de l’art oratoire. Cicéron n’en parle pas dans l’
lus puissants secours. Il nous suffira donc d’observer que, par cette
partie
de l’art, les anciens n’entendaient presque jamai
t des grands poètes. On le voit aisément : ici, comme dans les autres
parties
de l’action, la culture et l’exercice en apprendr
, vel tenuissimus ingenii fructus. 102. Marmontel. 103. Extraits en
partie
de la Logique de Port-Royal. 104. Chap. 72, tra
. en bon état, salubre. Saint, adj. béatifié, consacré. Sein, n. m.
partie
du corps, centre, etc. Seing, n. m. signature. 1
er du Christ avec les apôtres. Saine, adj. f. de sain. Scène, n. f.
partie
d’un théâtre, d’une pièce. Seine, n. f. fleuve.
. Chaux, n. f. à bâtir. 22. Chœur, n. m. chant, troupe de chanteurs,
partie
de l’église. Cœur, n. m. principal organe de la
ps, n. m. de l’homme, des animaux, portion de matière. 27. Cou, n. m.
partie
entre la tète et le corps, goulot. Coup, n. m. c
rd les principaux traits du tableau ; son jugement met ensuite chaque
partie
à sa place ; mais le coloris lui est nécessaire p
eut s’entendre du style dans tous les genres de littérature. C’est la
partie
importante, essentielle de toute œuvre littéraire
fin. La finesse est une certaine vivacité d’esprit qui se voile en
partie
pour briller davantage, car elle laisse au lecteu
Style sublime. Nous parlons du sublime en général dans la seconde
partie
de cet ouvrage (page 165 [2e partie, chapitre pre
ublime en général dans la seconde partie de cet ouvrage (page 165 [2e
partie
, chapitre premier, § IX]) ; il ne s’agit ici que
e moins, ou le moins pour le plus. C’est ainsi que l’on prend : 1° La
partie
pour le tout, ou le tout pour la partie : Il a vé
ainsi que l’on prend : 1° La partie pour le tout, ou le tout pour la
partie
: Il a vécu quatorze printemps, soixante hivers,
entielles, la netteté et la justesse. Une pensée est nette, quand les
parties
qui la composent, présentent à l’esprit un ensemb
’elle est, sans exagération, sans altération de la vérité, comme : la
partie
est moins grande que le tout. Mais outre cette ju
ensée générale. Il faut que la composition ait de l’ordre, et que les
parties
forment un tout convenable. Cette concordance des
intre : tout se tient et concourt à l’effet général ; les différentes
parties
se rapprochent sans confusion ; elles sont liées
transition est le passage d’un sujet à un autre, le lien qui unit les
parties
d’une composition ; elle consiste en un mot, un t
ntion consiste à créer un sujet et ses accessoires. C’est la première
partie
de la composition, la base de tout l’édifice. Pou
jet. Tels sont : la définition, le genre, l’espèce, l’énumération des
parties
d’une chose, etc. Ils sont extrinsèques quand ils
lles-ci des définitions d’espèces ; de là est venue l’énumération des
parties
, qui a fourni encore de nouvelles définitions et
i parlera mal de choses morales, non-seulement aux yeux de la majeure
partie
des contemporains, mais encore aux yeux de la pos
de tracer en maître les caractères des personnages. Aussi toute cette
partie
de l’invention est abandonnée au talent. 2. I
nissant ce paragraphe. Doit-on se servir dans tout discours des trois
parties
de l’invention, les preuves, les mœurs et les pas
a fois : si je suis père de famille et dans une position gênée, si ma
partie
est puissante, si mes preuves sont faibles, si me
e corps d’un homme a neuf têtes en hauteur : divisez la tête en trois
parties
: la première pour le front, la seconde pour le n
es cheveux en dehors de la mesure du nez, divisez de nouveau en trois
parties
la longueur entre le nez et la barbe, etc., etc.
e, le style tempéré et le style sublime. De même encore, il y a trois
parties
dans le discours : l’Invention qui en trouve les
l’Élocution qui les fait valoir. Enfin, en décomposant chacune de ces
parties
, on trouve six éléments (six, entendez-vous bien
t à les présenter sous le jour le plus favorable à l’accusé. C’est la
partie
aride et ingrate de ces sortes de causes : l’insp
sition et la confirmation, il fallait au contraire insister sur cette
partie
, reprendre un à un les détails de l’acte d’accusa
ns de les fortifier et de les rendre inaccessibles aux attaques de la
partie
adverse. Malgré la différence que nous venons d’é
ce que l’on admet, ce que l’on récuse, et où commence, entre les deux
parties
, la ligne de démarcation qui les sépare : cette m
clarté doit présider encore à l’ordre, à l’arrangement de toutes les
parties
du plaidoyer. Cette qualité précieuse est nécessa
céron est un modèle parfait en ce genre, comme dans toutes les autres
parties
de l’art oratoire. Il n’a pas un seul plaidoyer,
du si difficile est le parti qu’il a pris d’entendre ici par μέρη les
parties
de quantité d’une tragédie, et par εἴδη les parti
ici par μέρη les parties de quantité d’une tragédie, et par εἴδη les
parties
de qualité, ce qui effectivement n’est guère inte
fectivement n’est guère intelligible…. Μἐρος signifie quelquefois les
parties
du genre ou l’espèce : Métaphysique, IV, 25 : τὰ
actère, des mœurs et de la conduite des Athéniens remplit la première
partie
de ce beau discours ; et ce qui ne nous semblerai
x qui n’ont pas craint de mourir pour une si belle cause. Deuxième
Partie
. « C’est donc avec raison que nos guerriers o
, sans avoir même senti pencher la balance du destin ». Troisième
Partie
. « C’est ainsi qu’il convenait à de tels homm
éveloppé les idées que les circonstances exigeaient de l’orateur. Une
partie
de la dette publique est déjà réellement acquitté
s. 2º. L’ordre : il consiste dans la disposition et l’arrangement des
parties
qui doivent former l’ensemble d’un ouvrage. 3º. L
elle consiste dans l’assortiment convenable et l’accord mutuel de ces
parties
. 4º. L’agrément : il consiste dans le judicieux e
ble, que lui cause la lecture d’un bel ouvrage. Je vais diviser cette
Partie
en deux Sections. Dans la première, seront exposé
où Bossuet, Fléchier et d’autres orateurs venaient d’en faire une des
parties
les plus brillantes de notre littérature. Cette e
il relève les destinées et les espérances de l’homme, que la première
partie
de ce bel exorde venait d’accabler de l’idée de s
étienne que philosophique, qu’est fondé tout le discours. La première
partie
, destinée tout entière à prouver le néant de tout
é pour nous ? etc. » Cette transition amène naturellement la seconde
partie
, où l’orateur développe les motifs qui doivent no
ais usage que nous faisons de ces termes, etc. » Toute cette seconde
partie
n’est qu’une suite de raisonnements toujours fort
qui ait possédé à la fois tant de grands talents, tant d’excellentes
parties
, l’art, la force, le jugement, l’esprit ? Quelle
vantage des lettres et de ce corps fameux dont vous faites maintenant
partie
, du moment que des esprits sublimes, passant de b
sieur, comme la postérité parlera de votre illustre frère ; voilà une
partie
des excellentes qualités qui l’ont fait connaître
par la prise d’Aire, il s’ouvrit le chemin à Saint-Omer ; et c’est en
partie
à la conquête de Saint-Guillain qu’il doit la con
formées et perfectionnées, a choisi pour objet d’étude la plus grande
partie
de ce morceau. 1. Il n’y avait été admis toutefo
ses audiences d’une foule de gens, du menu peuple pour la plus grande
partie
, peu instruits même de ce qui les amenait, viveme
9 et 17101, le peuple, injuste parce qu’il souffrait, s’en prenait en
partie
à M. d’Argenson, qui cependant tâchait par toutes
t se fit suivre des plus braves, et l’incendie fut arrêté. Il eut une
partie
de ses habits brûlés, et fut plus de vingt heures
er ». L’usage en était fort ancien et subsista jusque dans la seconde
partie
du dix-septième siècle. Nous avons de Fléchier un
ces fonctionnaires venait de ce qu’ils rapportaient les requêtes des
parties
dans le conseil du roi, ce que les personnes revê
ondément sur les qualités qui constituent la nature du sujet, sur les
parties
qui le composent, sur les circonstances qui le fo
de l’amplification prennent les noms de définition, d’énumération des
parties
, de circonstances, de causes et d’effets, de cont
ousseau. 319. Faites connaître l’amplification par l’énumération des
parties
. L’amplification par l’énumération des parties a
par l’énumération des parties. L’amplification par l’énumération des
parties
a lieu lorsqu’on divise l’objet, et qu’on remplac
jet, et qu’on remplace l’idée simple par l’énumération successive des
parties
qui le composent. Nous indiquerons comme modèles
ime, il fera éternellement le désespoir des prédicateurs. La première
partie
de sa fameuse Passion, dans laquelle il prouve qu
vre de l’éloquence chrétienne. Rien ne tient à côté de cette première
partie
, pas même la seconde, qui serait belle partout ai
ion assez généralement reçue, que Bossuet, qui devait à la chaire une
partie
de sa célébrité, effrayé de la grande réputation
nigme sur une chose, et le second, énigme sur un mot, et même sur les
parties
de ce mot. L’énigme peut être en prose : mais ell
, comme je l’ai déjà dit, signifie énigme sur un mot, et même sur les
parties
de ce mot, est en effet l’assemblage de plusieurs
ieurs énigmes, dont une porte sur le mot total, et les autres sur les
parties
de ce mot, c’est-à-dire, sur les syllabes ou les
nt arrangées. Le mot total du logogriphe est appelé le corps ; et les
parties
que l’on sépare pour former d’autres mots, sont a
e ; la seconde ; lis, nom d’une fleur ; la troisième, soir, nom d’une
partie
du jour, et le tout, un instrument. Dans les mots
le milieu du premier siècle de l’ère chrétienne, passa la plus grande
partie
de sa vie à Rome. Le premier a plus de sentiment,
nuptial, est un petit poème fait à l’occasion d’un mariage. Il a deux
parties
essentielles : l’une comprend les louanges qu’on
pe, elle associe et l’Égypte et la Grèce et l’Asie Mineure, les trois
parties
principales du monde connu. Elle crée par Musée,
un mot, que réclament le sujet, le lieu et l’auditoire. De-là quatre
parties
ou divisions de la rhétorique : Invention, Dispos
rhétorique : Invention, Disposition, Élocution, Action. Première
partie
. Invention. L’invention oratoire consiste à dé
principaux lieux intrinsèques sont : la définition, l’énumération des
parties
, le genre et l’espèce, la cause et l’effet, la si
é de Quintilien, de l’importance de la preuve : « Les preuves sont la
partie
de l’art oratoire la plus nécessaire, la plus ind
t comme l’ombre, Que l’œil suit et voit échapper. Énumération des
parties
. L’énumération consiste à détailler les divers
ation des parties. L’énumération consiste à détailler les diverses
parties
d’un tout pour juger de l’ensemble et en tirer un
c. 3 ; pour Cœlius, c. 26) ; si le serment qu’il prête, qu’a prêté la
partie
adverse, n’est pas un parjure (Cic., pour Rabiriu
in l’argument dit personnel ou ad hominem. Il consiste à opposer à la
partie
adverse ce qu’elle a dit ou fait elle-même : c’es
la forme. Ceux-ci se peuvent comparer à un squelette dont toutes les
parties
se produisent à nu, exactement liées et fidèlemen
’objet, d’abord de la Disposition, puis de l’Élocution. Deuxième
partie
. Disposition. La disposition, dans l’art orato
dans l’art oratoire, consiste à mettre, chacune dans leur ordre, les
parties
fournies par l’invention, selon la nature et l’in
éfute les raisons dont se prévaut l’adversaire. Observons que les six
parties
du discours oratoire qui viennent d’être dénommée
ns ou oraisons de la chaire. Nous allons passer en revue les diverses
parties
dont se compose la Disposition ou si l’on veut le
Chapitre Ier. De l’exorde. L’exorde (du latin exordium) est cette
partie
du discours qui prépare les esprits à recevoir fa
chitecture, indique le dessin, le rapport, la connexité de toutes les
parties
qui doivent concourir à former un tout. Qualit
a suite. De ceux-ci les plus fidèles, les plus dévoués furent tués en
partie
. Le reste, voyant la bataille engagée autour de l
s la proposition ou les faits racontés dans la narration. Elle est la
partie
la plus importante du discours, celle qui est com
vérité en l’appuyant sur la preuve et sur le raisonnement. Les autres
parties
n’en sont guère que l’accessoire. La confirmation
réfutation, non moins que la confirmation, non moins que telle autre
partie
du discours, veut être traitée avec un art infini
tre d’abord ses raisons, sauf à prévenir ensuite les objections de la
partie
adverse , comme le dit Aristote. Ibid. D’autre p
tre ; et certains rhéteurs, avec quelque raison, n’en font point deux
parties
distinctes. « Comme les objections ne peuvent êtr
, sq. Mais combien l’imitation est loin de l’original ! Troisième
partie
. Élocution. Après que l’orateur a trouvé les m
sion de la pensée par la parole ; en terme didactique, elle est cette
partie
de la rhétorique qui traite de la diction ou du l
dans la pensée, lorsque l’objet qu’elle représente ne se peint qu’en
partie
, de manière pourtant qu’on devine aisément le res
de ce qui précède ou de ce qui suit. Par incises on entend certaines
parties
de la période qui, d’elles-mêmes, n’ont pas assez
la délicatesse de l’esprit, consiste à laisser deviner sans peine une
partie
de sa pensée, lorsque la pudeur ou le respect fai
st opposée à l’autre moitié. C’est le corps du serpent divisé en deux
parties
, l’une roide de vigueur, de force, d’énergie, je
ois le mot ou les mots auxquels s’unissent ou se rapportent plusieurs
parties
d’une phrase. Tel est le mot cessent, dans ce pas
disjonction (en grec τὸ ἀσύνδετον ou διάλυτον), disjoint les diverses
parties
d’une phrase en supprimant les particules conjonc
ces trois derniers en parlant d’une lame de sabre et de draps. 8º Les
parties
du corps regardées comme le siège des passions po
it d’un prophète. C’est faire une synecdoque encore que de prendre la
partie
pour le tout ou le tout pour la partie. Nous diso
doque encore que de prendre la partie pour le tout ou le tout pour la
partie
. Nous disons cent voiles pour cent vaisseaux. Dan
le même poète on trouve elephantus mis pour l’ivoire qui n’est qu’une
partie
de l’éléphant. Nous disons un castor pour dire un
efuge de l’erreur, de l’ignorance et de l’obscurité. Quatrième
partie
. Action ou débit. Son importance. On dema
l’accent et le ton de la voix. C’est là ce qui constitue la quatrième
partie
de l’art oratoire. 1. Ἑκαταῖος Μιλήσιος ὧδε
ne suffit donc pas de la voir toute à la fois. Il en faut voir chaque
partie
l’une après l’autre, et, au lieu de tout embrasse
t, consiste à dire ce qu’il y a dans cet ouvrage, quelles en sont les
parties
, et dans quel rapport elles sont entre elles. C’e
s prévention fait le départ du bon et du mauvais, et assigne à chaque
partie
sa qualité, quelle que soit celle de la partie vo
s, et assigne à chaque partie sa qualité, quelle que soit celle de la
partie
voisine. Pour juger sans passion, il faut princip
ité des études, de M. Rollin ? Cet auteur me paraît exceller dans les
parties
qui manquent à M. Gibert ; il peint agréablement
z d’attention ; mais je l’avertis que ce n’en est pas là la trentième
partie
, et que quand elles ne choqueraient pas par le dé
généraux des belles-lettres. Suite de la section II de la seconde
partie
. Chapitre III. Des grands Poëmes. I
certain point ; mais ce n’est que dans les détails, dans les petites
parties
de son poëme. Les grandes parties, les parties es
dans les détails, dans les petites parties de son poëme. Les grandes
parties
, les parties essentielles doivent sortir du même
ails, dans les petites parties de son poëme. Les grandes parties, les
parties
essentielles doivent sortir du même fond, se rapp
poëme par une exposition claire de son sujet, qu’il divise en quatre
parties
. Ce sont, 1°. la culture des terres par rapport a
cette division, le poëte latin ne confond jamais l’une de ces quatre
parties
avec une autre, et ne parle que des objets qui on
une autre, et ne parle que des objets qui ont un rapport direct à la
partie
qu’il traite. Dans la première, il fait voir les
; les conséquences si directes et si bien déduites ; enfin toutes les
parties
si bien rapprochées et si bien liées, que le lect
re naître des fleurs dans ce fonds aride et semé d’épines. Toutes les
parties
de son ouvrage réuniront l’agréable et le solide,
téresser particulièrement les Français. C’est la description de cette
partie
du canal de Languedoc, qui coule sous une montagn
; et alors en peignant ces objets qui ne tiennent qu’aux principales
parties
de son ouvrage, il trace une suite raisonnée de p
français, par Watelet, offre un heureux enchaînement dans toutes ses
parties
, et des descriptions de la plus grande beauté. Il
st un poëme qui honore la nation autant qu’il peut être utile. Aucune
partie
de l’économie rurale n’y a été oubliée. La poésie
des règles communes à l’une et à l’autre : elles conviennent aussi en
partie
au poëme épique. Ces règles générales peuvent êtr
Quand le poëte dramatique feint une action, soit en tout, soit en
partie
, il doit, suivant le précepte d’Aristote 2, et de
oursuivent et achèvent leur entreprise. Cette action a donc plusieurs
parties
, ou, si l’on veut, renferme d’autres petites acti
s qui là composent, et qui en précèdent l’accomplissement. Toutes ces
parties
ou actions doivent être vraisemblables : mais tou
puisqu’elle est une suite essentielle de son refus. J’ai dit que ces
parties
ou petites actions peuvent être nécessaires, parc
nsite cette unité d’action. Unité de l’action prise du rapport des
parties
. L’action dramatique est une, quand toutes ses
rapport des parties. L’action dramatique est une, quand toutes ses
parties
, ou toutes les petites actions qui la composent,
Actes et scènes. Un ouvrage dramatique est composé de plusieurs
parties
, qu’on appelle Actes, qui sont séparés les uns de
que dure l’action. Voilà par quel moyen le poëte écarte de scène les
parties
de l’action, qui ne peuvent ou qui ne doivent pas
ent, un milieu et une fin. L’acte doit donc être composé de plusieurs
parties
. Ces parties, ou scènes, sont caractérisées par l
u et une fin. L’acte doit donc être composé de plusieurs parties. Ces
parties
, ou scènes, sont caractérisées par l’entrée, on p
ipaux qui doivent concourir à l’action, et qu’on y fasse connoître en
partie
leur caractère. Il faut donc que ces personnages
ous rendus nécessaires ou vraisemblables, et a répandu sur toutes les
parties
de son poëme la plus vive lumière. Nul autre que
iscours des personnages, tout doit s’y rapporter. C’est ainsi que les
parties
de l’action seront bien liées, se presseront mutu
end à son but. Pour bien connoître l’art du dialogue, qui est une des
parties
les plus essentielles d’une pièce de théâtre, il
à le faire connoître et à le développer. Il faut donc que toutes les
parties
de cette action se rapportent à lui ; que tous le
Le poëte y présente, dans tout le cours de l’action, ou dans quelques
parties
seulement, des situations propres à exciter les p
citer les passions et à faire verser des larmes. Je dis dans quelques
parties
seulement, parce que bien souvent on y passe du c
Boivin ses Oiseaux. Poinsinet de Sivry a traduit toutes ses comédies,
partie
en vers, partie en prose ; mais il a été obligé d
ux. Poinsinet de Sivry a traduit toutes ses comédies, partie en vers,
partie
en prose ; mais il a été obligé de laisser des ac
outes les pièces de ce poëte, la Fille Capitaine, et la Femme juge et
partie
sont les seules qu’on joue encore de temps en tem
és en entier ; la seconde, des originaux parodiés dans la plus grande
partie
, et la troisième, des originaux parodiés dans que
s grande partie, et la troisième, des originaux parodiés dans quelque
partie
seulement. Dans les parodies de la première espèc
fficiles à faire, c’est que le poëte doit y conserver dans toutes ses
parties
l’action et la conduite de l’original, et resserr
de parodie, qui est celle des originaux parodiés dans la plus grande
partie
, n’offre pas autant de difficultés. Le poëte y co
e difficultés. Le poëte y conserve l’action de l’original et quelques
parties
du dialogue. Mais il change avec le titre de la f
e espèce de parodie, qui est celle des originaux parodiés en quelques
parties
seulement, on fait usage d’un incident singulier,
des paroles, qui expriment un sentiment ou une passion. De toutes les
parties
d’une comédie de cette espèce, c’est la plus diff
roche en tremblant…. Hélas ! c’étoit mon fils….. Le dialogue est une
partie
du poème dramatique, sans la perfection de laquel
esse. Le poëte ne doit donc se permettre aucune négligence dans cette
partie
. Il faut, comme je l’ai déjà dit, qu’il lise sans
le personnage auroit dû en faire s’il parloit en vers ; c’est-là une
partie
des devoirs que tout auteur d’une tragédie doit r
e qui ait possédé à-la-fois tant de grands talens, tant d’excellentes
parties
, l’art, la force, le jugement, l’esprit ? Quelle
nsé. Dans la tragédie proprement dite, chaque acte ne contient qu’une
partie
de l’action : ici chaque acte contient souvent un
ntière qui amène une fête et un divertissement ; car la danse est une
partie
essentielle de ce poëme. La scène y change aussi
pser les acteurs subalternes. Ils ne doivent s’y montrer que dans les
parties
les plus importantes de l’entreprise, et lorsque
oient se blesser ; ce démon qui a été coupé en deux, et dont les deux
parties
se réunissent dans le moment : mais dans la Jérus
age un peu forcé. L’épopée est le pays des fictions. C’est dans cette
partie
que le poëte peut et doit déployer toutes les res
froid. J’ai dit enfin que l’unité d’action se prend du rapport de ses
parties
, de l’unité d’intérêt, et de l’unité de péril ou
omplissement de l’action ; 3°. ceux qui contribuent à l’intérêt d’une
partie
importante de l’action ; 4°. ceux qui étant emplo
moins vivement. Voilà donc un épisode qui contribue à l’intérêt d’une
partie
importante de l’action. 4°. Dans la Jérusalem dél
noit adoucir mes peines. Transporté d’amour et de joie ; il prend une
partie
de ses armes, monte à cheval, vole, et suit les t
couronnée par le succès de l’entreprise. La morale n’est pas une des
parties
les moins importantes de l’épopée. C’est dans ce
ette analyse que l’étendue qu’il faut, pour qu’on saisisse toutes les
parties
essentielles de ce poëme, et qu’on puisse en même
née, docile à ces ordres, fonde en Sicile une ville, où il laisse une
partie
de sa suite, et s’embarque. VI. Livre. Enée abor
délices de l’homme de goût, par le génie qui y éclate dans toutes les
parties
, et les délices des àmes vertueuses par l’excelle
bataille d’Ivri, l’esquisse du siècle de Louis XIV, et la plus grande
partie
de ce septième chant. Le Vert Vert de Gresset est
bes, la césure tombe sur la sixième, et partage ainsi le vers en deux
parties
égales ou moitiés qu’on nomme hémistiches, comme
assent non seulement la syllabe consonante tout entière, mais tout ou
partie
de la syllabe précédente, comme auteur et hauteur
s, se ressemblent en ce point qu’ils ne sont pas divisés en plusieurs
parties
. 4º Les poèmes proprement dits, ou grands poèmes,
est assez longue pour qu’on ait été porté à les diviser en plusieurs
parties
appelées chants ou livres. 5º. Les poèmes dramati
mbrière. » Selon Quintilien, en effet, le style figuré, et surtout la
partie
de ce style qui se rattache à la similitude, nous
aises histoires, et si lord Byron eût vécu plus longtemps, la seconde
partie
de ses œuvres se composerait sans doute de discou
eaucoup plus loin, et rangeaient parmi les figures presque toutes les
partie
; du discours, ou plutôt le discours tout entier,
servent même dans le langage scientifique. » De Humboldt, Cosmos, 1re
partie
. 99. Le dernier écrivain qui s’est occupé des f
mots proprement dites, les premières n’affectant que quelques mots ou
parties
de phrase, les secondes, embrassant l’énonciation
pales sortes de synecdoque. La synecdoque emploie 1° le tout pour la
partie
, ou la partie pour le tout : Aut Ararim Parthus
e synecdoque. La synecdoque emploie 1° le tout pour la partie, ou la
partie
pour le tout : Aut Ararim Parthus bibet, aut Ger
vient de perdre ; mais les adresser à ses habits, ou aux différentes
parties
du corps, comme si ces objets avaient une vie sép
viter dans l’arrangement des mots, et que nous avons déjà indiqués en
partie
, sont : 1° L’hiatus ou bâillement, qui a lieu qua
e le nom de phrase simple à celle qui ne peut se diviser en plusieurs
parties
, c’est-à-dire qui ne renferme qu’une proposition.
en renferme plusieurs. La phrase complexe conserve ce nom lorsque les
parties
qui la composent peuvent être facilement détachée
e manière à former autant de phrases simples. Mais lorsque toutes ces
parties
ou propositions sont intimement liées ensemble, e
ode. 272. Qu’appelle-t-on membre ? incise ? On appelle membre chaque
partie
notable de la période dont la liaison avec les au
e chaque partie notable de la période dont la liaison avec les autres
parties
est marquée par des conjonctions ou par le sens,
se inintelligible. Le membre à son tour peut subir des divisions. Ces
parties
du membre sont des propositions complémentaires q
nsées que l’écrivain emploie pour passer d’un objet à un autre, d’une
partie
de la composition à une autre partie, et qui serv
ser d’un objet à un autre, d’une partie de la composition à une autre
partie
, et qui servent de liaison à l’ensemble. 288. Les
e entière indiquant que l’on passe d’un objet à un autre objet, d’une
partie
à une autre partie : Sed nimis multa de nugis :
que l’on passe d’un objet à un autre objet, d’une partie à une autre
partie
: Sed nimis multa de nugis : ad majora veniamus.
s deux genres de transitions. Cet orateur, pour passer de la première
partie
de son sermon sur l’humanité des grands à la seco
discours sur la grandeur de Jésus-Christ, il sait joindre la seconde
partie
à la première au moyen de cette admirable transit
contestable supériorité, a laissé un art poétique, en prose, dont une
partie
est perdue. Dans les vingt-cinq chapitres qui nou
’épopée, parce qu’il se réservait d’en parler plus longuement dans la
partie
de son ouvrage qui a disparu. Horace. Horace, cé
et genres secondaires. Par conséquent, ce traité se divisera en deux
parties
: dans la première, nous parlerons de la poésie e
ature du moyen âge, xi e leçon, et Littérature du xviii e siècle, Ire
partie
, viii e leçon Sainte-Beuve, Portraits contempora
le sujet. Les Lacédémoniennes.] Ce n’était peut-être que la dernière
partie
de l’épisode précédent, où les servantes de la su
pporter aussi bien à l’Ἰλίου πέρσις d’Arctinus, qui faisait également
partie
du Cycle. Il n’est pas inutile de remarquer que l
d’avantages, les Anglais sont restés très inférieurs dans toutes les
parties
de ce bel art, non seulement aux Grecs et aux Rom
lement aux Grecs et aux Romains, mais même aux Français dans quelques
parties
. Dans toutes les sciences, l’Angleterre a compté
ès de l’éloquence et en diminuer les effets, on peut les attribuer en
partie
à la correction du raisonnement, dont nous avons
Le livre que nous présentons aujourd’hui à la jeunesse renferme deux
parties
distinctes qui peuvent s’étudier simultanément :
de composition le plus difficile. Nous avons voulu, dans la première
partie
, généraliser l’enseignement de l’art d’écrire. No
comme un excellent moyen de former le goût et le jugement. La seconde
partie
, qui contient l’étude des genres, est précédée d’
er un discours d’une manière agréable et persuasive. L’action a trois
parties
: la Prononciation, le Geste et la Mémoire. § I
nace ou la prière, l’enthousiasme ou l’indignation. Les Yeux La
partie
dominante dans la physionomie, ce sont les Yeux.
e exhorte, elle confond. Mais ce qui domine principalement dans cette
partie
, c’est le Visage. Tout vient s’y peindre. Il mena
fique21. Sans doute nous pourrons embrasser dans nos canevas quelques
parties
du discours ; mais ce sera toujours une compositi
ul genre l'exhortation et la harangue. Mais pour ne pas laisser cette
partie
incomplète, nous allons donner, avant de traiter
a. Au fond, on examinera si l’invention a fourni quelques-unes de ses
parties
à l’exhortation ou à la harangue. On ne dira que
s avons dit en traitant de l’invention oratoire. On peut revoir cette
partie
qui contient notre code tout entier ; nous allons
lus éloquente que toute une argumentation. On saura assigner à chaque
partie
de la disposition sa place naturelle et l’étendue
tes les règles de l’art, telles qu’elles sont exposées dans les trois
parties
du premier livre. A la suite de chaque canevas no
contre quelquefois dans la prose. Ainsi le rhythme n’embrasse que les
parties
d’une proposition, en les proportionnant exacteme
et de la césure. 1. Les vers de douze syllabes sont coupés en deux
parties
égales. Chacune de ces parties se nomme hémistich
de douze syllabes sont coupés en deux parties égales. Chacune de ces
parties
se nomme hémistiche 24. Les vers de dix syllabes
nt, lorsque le sens commencé dans un vers ne se complète que dans une
partie
du vers suivant. Notre poésie rejette les enjambe
ns se complète dans tout le second vers et non pas seulement dans une
partie
. Il n’en est pas de même dans l’exemple suivant.
. 20. Les rhéteurs donnent spécialement le nom de rhétorique à la
partie
des règles de cette science qui embrasse l’art de
’élude de ce que vous appelez la rhétorique ? Vous prendriez alors la
partie
pour le tout, et cette synecdoque ne serait du go
font encore celui de lui causer de l’éloignement. La délicatesse des
parties
, quoiqu’elle aille à une finesse inconcevable, s’
; les artères vont, le sang circule, les esprits coulent, toutes les
parties
s’incorporent leur nourriture sans troubler notre
orps organique sont les plus parfaites et les plus palpables. Tant de
parties
si bien arrangées, et si propres aux usages pour
es valvules, le battement du cœur et des artères ; la délicatesse des
parties
du cerveau, et la variété de ses mouvements, d’où
autre machine est grossière en comparaison. A rechercher de près les
parties
, on y voit de toute sorte de tissus ; rien n’est
is : Je n’ai rien à faire, quand l’ouvrage du salut des hommes est en
partie
entre tes mains ! N’y a-t-il point d’ennemis à ré
bstrait pour le terme concret. Ararim, Tigrim ; c’est le tout pour la
partie
.) Regali conspectus in auro nuper et austro.
un fréquent usage de la synecdoche ; ainsi, ils emploient souvent la
partie
pour le tout, le genre pour l’espèce, le singulie
, le terme abstrait pour le terme concret, le genre pour l’espèce, la
partie
pour le tout, etc. ; que l’on peut et que l’on do
nt. Les principales sources de développement sont : l’énumération des
parties
, la description, la comparaison, la répétition.
escription, la comparaison, la répétition. 1° De l’énumération des
parties
. L'énumération consiste à mettre sous les yeu
rties. L'énumération consiste à mettre sous les yeux les diverses
parties
d’un tout, les principales circonstances d’une ac
Il faut éviter, comme contraire à la cadence : 1° De faire rimer une
partie
d’un vers avec une autre partie, ou la fin d’un v
à la cadence : 1° De faire rimer une partie d’un vers avec une autre
partie
, ou la fin d’un vers avec le suivant. 2° De donne
on ou le style, c’est-à-dire la forme même de l’expression. Ces trois
parties
de la Rhétorique sont d’une absolue nécessité pou
s cette triple opération, l’invention oratoire comprend trois grandes
parties
: 1° les Faits ; 2° le Raisonnement ; 3° les Pass
ndis qu’il serait facile de prendre la plume pour rendre compte d’une
partie
de chasse ou d’une audience au palais. Cependant
ns sont : 1° la Définition ; 2° la Description ; 3° l’Énumération des
parties
; 4° la Similitude ; 5° les Contraires ; 6° les C
de Job. Lecture. — Pompeïa. Vol. II, nº 162. 3° Énumération des
parties
Quand le sujet est simple, la définition suffi
xe, il faut, pour le développer convenablement, séparer, énumérer les
parties
dont il se compose. Sous ce rapport, la descripti
t il se compose. Sous ce rapport, la description et l’énumération des
parties
peuvent se confondre, surtout lorsque rémunératio
est vicieux dans sa forme. Le voici : L’Europe est la plus belle
partie
du monde ; La France est le plus beau royaume
ns monotonie ; tout cela ne forme-t-il pas un concert, un ensemble de
parties
dont vous ne pouvez détacher une seule sans rompr
sont devenues des arrêts dont le temps a déjà confirmé la plus grande
partie
. Tout ce que La Harpe a dit de Voltaire poète, li
ercés vos Scipions, vos Marius et vos Pompées. Je vous rappelle cette
partie
de son éducation, Romains, parce que cette mâle i
e, quand Dieu te met à la tête du genre humain, il t’associe pour une
partie
au gouvernement du monde. Pour bien gouverner, tu
tent successivement à la cendre de Marc-Aurèle les hommages des trois
parties
du monde. Dans cette assemblée du peuple romain
euple romain était une foule d’étrangers et de citoyens de toutes les
parties
de l’empire. Les uns se trouvaient depuis longtem
Quand il s’agit de ce qu’il aime. 2° L’énumération des
parties
. La définition suffit pour donner une idée d’u
nt, on peut le détailler et en faire un tableau par l’énumération des
parties
qui le composent. Racine, voulant peindre la bont
liqué peut faire un excellent effet. L’orateur de la chaire puise une
partie
de son autorité dans les Livres saints et dans le
lles on s’adresse : de l’état de nos rapports avec elles dépendent en
partie
le ton, le plan, la manière que nous devons adopt
chose que le beau littéraire. On entend donc par belles-lettres cette
partie
des lettres où le beau se révèle, dont le beau es
aux, parce que cette rectitude de la raison est utile dans toutes les
parties
et dans tous les emplois de la vie. Cette qualité
ctère général de l’ouvrage, mais les beautés et les défauts de chaque
partie
; il voit des qualités distinctes, il connaît ce
u de l’art de bien dire. De là, la division du Cours en trois grandes
parties
qui feront autant de volumes, et que nous désigne
rons que le plan, et là encore ils auront la faculté de contrôler, en
partie
, leur travail. Quant aux sujets recueillis dans l
s deux ou trois autres, puis on indique la conclusion. Cette dernière
partie
n’est souvent qu’un résumé très succinct des idée
leurs nationaux qui viennent d’explorer sous leurs couleurs quelques
parties
de l’Afrique ? (Bordeaux, novembre 1890) Un jeune
le que le même système de poids et mesures fût adopté dans toutes les
parties
de la France et même dans tous les pays civilisés
celles qui se pratiquent en celui-ci ». (Discours de la méthode, 1re
Partie
.) (Clermont, octobre 1884.) Développer cette pens
° Énumérer les principaux écrivains français en prose, de la première
partie
du xvii e siècle, en rappelant leurs ouvrages. 2°
aventuriers comme lui, pour y faire le commerce des pelleteries, les
parties
les plus reculées du Canada, tantôt allant à la d
anthrope, le Médecin malgré lui, Tartufe. Vous imaginerez toute cette
partie
de son récit, comme un fragment détaché du reste
Parler des tentatives de réforme qui eurent lieu pendant la première
partie
du xviii e siècle. – Expliquer le système de Law
e. Or, le Siècle de Louis XIV, Charles XII, l’Essai sur les mœurs, la
partie
critique du Dictionnaire, la correspondance, les
sans le savoir. De nos jours la théorie de Diderot a été appliquée en
partie
par les meilleurs écrivains dramatiques. Ils ont
ut aux règles de l’art asservir son génie. Chemin faisant il prend à
partie
Pelletier et ce Scudéri Dont la fertile plume Pe
igence de son lecteur, et il lui laisse beaucoup à deviner. C’est, en
partie
, le secret de son excellence. Caractériser pa
ans une tanière où il vit de pain noir, d’eau et de racine. Voilà une
partie
de ce que La Bruyère a vu, ce que lui a prêté son
mie est formée n’appartiennent tous à personne, mais se remarquent en
partie
chez plusieurs. L’écrivain les a vus, ils les a c
a l’air d’autrui, ils se sont montrés tels qu’ils étaient ; c’est, en
partie
, le secret de leur perfection. Il n’y a qu’à se l
ue chose ; le travail et l’habitude mènent à la facilité et c’est une
partie
de l’aisance. La vivacité, elle aussi, est un don
és le soin d’accabler l’ennemi, qu’elle porte aux colonies une faible
partie
seulement de ses soldats et le succès est assuré.
ragiques. Fénelon considère la Tragédie en général, ou plutôt prend à
partie
quelques défauts propres à la Tragédie française,
pas plus avancée qu’au début. En résumé, dans la discussion les deux
parties
s’associent pour rechercher avec calme ou du moin
idée préconçue la solution d’une question. Dans la dispute, les deux
parties
se divisent, chacune veut triompher de l’avis de
Écoles spéciales Nous avons tenu à rédiger pour cette seconde
partie
qui a trait aux Écoles spéciales un Manuel pratiq
ments oiseux, trouver des liaisons suffisamment dissimulées, unir les
parties
en un tout harmonieux. Il en est d’une compositio
la Littérature française de Gazier (Armand Colin), et aussi, pour la
partie
philosophique, la Morale de Marion (A. Colin), de
trésor que l’honnête homme ne peut se passer de posséder au moins en
partie
sous peine de confesser sa misère intellectuelle.
uvent avoir dans le monde. » (Lectures tirées d’auteurs modernes, 3e
partie
: sciences.) Copies d’élèves La morale
dans ses œuvres et ses amitiés littéraires, il est à la fois juge et
partie
, et que, pour voir clair dans un procès, ce n’est
toriques sont suffisantes et exactes, le style est correct, certaines
parties
du sujet sont traitées avec justesse et avec inté
t invitées à le faire en premier lieu, à le définir, et quoique cette
partie
philosophique de la question ait été tantôt trop
devoirs de patriotisme ? Comment peuvent-elles les remplir ? » Cette
partie
du sujet a été traitée plus d’une fois d’une mani
beauté. Trop peu d’aspirantes ont su se tirer à leur honneur de cette
partie
délicate, il est vrai, de l’épreuve. Plus d’une,
delà, soit en deçà. Beaucoup d’aspirantes, tout en apportant à cette
partie
de l’épreuve, avec une grande bonne volonté, des
ne saurait être donnée, d’une manière intéressante et féconde, cette
partie
capitale de l’enseignement. Dans cette première é
eureux – et sincère : …. « En ces nombreuses épreuves de la seconde
partie
du concours où elles ont eu à prendre, à garder q
prement dit, c’est Montaigne, c’est Pascal (du moins dans la première
partie
des Pensées), c’est La Rochefoucauld, etc. L’espè
’il avait hâte de mettre à l’aise et d’enrichir ! Sur les deux autres
parties
du sujet on a moins hésité, on a aussi moins erré
istincte, où le sujet imparfaitement médité, trop peu scruté dans ses
parties
essentielles, tourne plus ou moins à la dissertat
ombre, ont été jugées les meilleures, n’ont elles-mêmes échappé qu’en
partie
à ces défauts. Du moins, on s’est rapproché du su
facile à comprendre, n’a été convenablement traité dans ses diverses
parties
que par un assez petit nombre d’aspirantes. « Ce
urd’hui aux femmes d’autres études que celles-là, notamment certaines
parties
des sciences ? Sujets proposés1 – Dévelo
e tempérament qui les distinguent soient même indiquées, sans que les
parties
les plus éclatantes de leurs chefs-d’œuvre lyriqu
taxe ont été signalés avec des exemples variés et bien choisis. Cette
partie
du travail, où la grammaire proprement dite et le
ais toutes n’ont pas su classer dans un ordre logique les différentes
parties
qu’elle comportait. Ces défauts de la langue au x
me de Sévigné que pour Mme de Maintenon, c’était ne voir que quelques
parties
du sujet, sans le pénétrer bien avant. Il ne s’ag
osées qu’enchaînées et coordonnées. On sait assez bien telle ou telle
partie
de notre littérature ; mais ce sont des points is
e la science. C’est à la puissance de l’imagination que sont dues, en
partie
, les hypothèses fécondes, les grandes découvertes
arée, et, en tout cas, un savoir assez étendu pour presque toutes les
parties
de la grammaire. Le texte indiquait à peu près le
de la prolixité et de l’excès, dans les moins bonnes du verbiage. La
partie
du travail qui touche à la transformation des mot
rompés. Pour tout ce qui concerne la suite des faits, c’est-à-dire la
partie
plus spécialement historique et militaire, plusie
c’est la parfaite intelligence du sujet. Ou l’on n’en aperçoit qu’une
partie
, ou l’on étend démesurément le champ qu’on veut p
e que l’habitude de distribuer, dès le premier coup d’œil, toutes les
parties
d’un sujet, jusqu’aux plus petits détails, selon
eu du xix e siècle. Copies d’élèves Balzac, dans la première
partie
du XVIIe siècle, écrivait :« Il y a une certaine
i, communique au style la galté, une galté qui fait, pour ainsi dire,
partie
intégrante d’un ensemble gai. Si maintenant nous
e dans l’ensemble de l’œuvre, un ordre rigoureux dans ses différentes
parties
, une harmonie étroite entre les mots et les idées
De l’importance des récréations, du rôle de l’institutrice dans cette
partie
du service scolaire. – Une jeune fille qui sort d
ntifiques de M. Jules Gay, les Lectures tirées d’auteurs modernes, 3e
partie
(sciences), de E. Petit (Quantin, Picard et Kaan)
son tour, devant le professeur, qui rectifie et compléte les diverses
parties
du cours, préparées à l’aide d’un ou plusieurs li
aire, vous vous intéressez à l’histoire de France et quelles sont les
parties
de l’histoire auxquelles vous vous êtes le plus a
re et nombreuse où la mère est obligée de se décharger sur elle d’une
partie
de ses soins et de ses devoirs. On pourra se serv
ce). Vous promettez, quand vous serez institutrice, de donner à cette
partie
de l’enseignement tout le soin et tout le temps q
affirmation est absolue. Elle est vraie en apparence, en général (1re
partie
). Elle n’est pas fondée en raison dans la réalité
artie). Elle n’est pas fondée en raison dans la réalité des faits (2e
partie
). 1er Paragraphe. – Il est evident qu’à faire une
r et apprécier cette pensée de Locke : « L’instruction est la moindre
partie
de l’éducation : chez les enfants dont les dispos
ILS Le sujet est double. Il doit se diviser nettement en deux grandes
parties
: 1° L’art ; 2° la littérature. Et dans chacune d
ndes parties : 1° L’art ; 2° la littérature. Et dans chacune des deux
parties
se placent deux subdivisions qui s’imposent : 1°
it saluer le soleil, à son apparition, par des cris d’allégresse. Une
partie
de cette narration doit être faite en dialogue et
faire pendre comme un coquin. Vous direz la réponse du batelier. Une
partie
de cette narration est dialoguée. (Centre d’exame
nt, dans une localité voisine de l’embouchure de la Seine, une grande
partie
de la population, attiree, comme toujours, sur le
EILS Tout est à développer, mais dans une mesure inégale. La première
partie
, très courte, est narrative ; la seconde, donnée
mporte une narration et un discours. Il doit donc être divisé en deux
parties
, mais d’inégale longueur. Le développement de la
aux six petites divisions indiquées par le correcteur. La 4e et la 5e
parties
sont les plus importantes. Elles devront avoir un
nomènes météorologiques permet de prévoir la marche et de conjurer en
partie
le danger menaçant des grands bouleversements de
iger ce rapport, il était nécessaire de connaître à fond, même en ses
parties
anecdotiques, le cours d’histoire inscrit au prog
La mère de Harold supplie Guillaume. (Court dialogue.) – La première
partie
comporte une page environ. 2e Paragraphe. – Deux
urs deviennent plus déchirantes et plus plaintives. Tantôt une grande
partie
des blessés, expirant à la fois, laisse régner un
on divine. 5° Dispersion des Pastoureaux ; ils sont pourchassés et en
partie
massacrés, y compris leur chef, par ceux mêmes qu
és d’Utrecht ont changé l’équilibre des États : la France a perdu une
partie
de sa puissance en Europe ; elle a dû céder l’emp
nt….. C’est un jour de repos pour l’équipage….. Les gens du quart, en
partie
étendus sur le pont, ou fouillent leurs vieux sou
répandent dans toutes les classes de la société. L’industrie est une
partie
considérable de la civilisation ; mais il faut bi
bre le rempart du camp romain. Pulsion, montrant à son adversaire la
partie
la plus serrée des rangs ennemis, lui dit : Ce jo
, les yeux fixés sur nous….. Si ces infidèles qui ont déjà ravagé une
partie
de l’Europe pouvaient triompher de votre courage,
Mes calculs m’ont démontré que ce monde existe….. Que la plus grande
partie
du globe nous est encore inconnue….. J’ai vu, des
l mourût seul et ignoré. Il suscita Antoine qui menait dans une autre
partie
du désert la vie de cénobite. Averti par un songe
’arène des hommes et des femmes du plus haut rang, remplit la seconde
partie
du jour. Ailleurs, pour varier les jouissances et
rte les tables, où sont réunis des mets rares, empruntés à toutes les
parties
du monde. Les navires sont enrichis d’or et d’ivo
Christophe Colomb s’est aventuré depuis trente-cinq jours dans cette
partie
de l’Océan où nul navigateur n’avait pénétré avan
1867. Développer cette pensée : « L’homme doit passer la première
partie
de sa vie avec les morts, la seconde avec les viv
pensée de La Bruyère : « La plupart des hommes emploient la première
partie
de leur vie à rendre l’autre misérable. » Cherche
urs de la chimie moderne ? – Gutenberg avait sacrifié déjà une grande
partie
de son patrimoine à la découverte de la typograph
elle-même qu’à ses rapports avec le temps et les hommes : c’est cette
partie
de leur tâche que les historiens des sciences ont
on. Ils trouveront un choix de sujets et de plans littéraires dans la
partie
du volume relative au baccalauréat de l’enseignem
viez interrompre. – Si l’on vous proposait de faire un voyage, quelle
partie
de la France visiteriez-vous ? Indiquez les motif
teurs modernes, par Edouard Petit (Quantin-Picard), dont la troisième
partie
sera étudiée avec fruit. Pour la rédaction de la
sent été montrées à l’état d’ordre et de désordre, et ainsi de chaque
partie
de l’ensemble. Les détails oiseux étaient à écart
ce, qu’il convenait de dégager. Corrigé. – Le corrigé de la première
partie
a été, par un hasard heureux, rédigé par Voltaire
ces vers précieux qui ne sont pas moins utiles que les abeilles. Une
partie
de cette vaste enceinte est formée par un rempart
r la réponse que seule la réflexion pouvait suggérer pour la première
partie
du devoir. PLAN Préambule. – Date de la révocati
e de la révocation (1685). Ce qu’elle a été (cinq ou six lignes). 1re
Partie
. – A. Causes religieuses. – Louis XIV, en lutte a
ar le roi : Mme de Maintenon – Louvois – le confesseur royal, etc. 2°
Partie
. – A.Conséquences pour le commerce. – Tout un peu
t esquisser, mais il n’était pas interdit dans une première et courte
partie
de montrer ou tout au moins d’énumérer les servic
oire, à la géologie, à l’histoire naturelle, à la stratégie, etc. 2°
Partie
. – 1 er Paragraphe. – Surtout, elle est indispens
même le modèle du genre. Paris est à la veille d’avoir son musée. 1er
Partie
. – Ce que doit être un musée commercial. – Il doi
ommerçants qui doivent trafiquer sur un point quelconque du globe. 2°
Partie
. – Son utilité. C’est une agence gratuite de rens
n et sur les champs de bataille que les peuples jouent leurs suprêmes
parties
, cependant c’est dans cette lutte obscure et igno
isses de langue française, les provinces belges de race Wallonne, une
partie
de la Lorraine, les îles Anglo-normandes. C’est c
r sur lequel la politique a si longtemps poussé ses pions et joué ses
parties
, est désormais trop étroit pour les combinaisons
iron quatre fois la France – et le jour où nous le voudrons, toute la
partie
nord-occidentale de l’Afrique, de l’Atlas au Nige
et de guerre, comme la constitution le lui a attribué dans toutes les
parties
déjà fixées de notre système social… Mes adversai
’Aurélien, qui servent encore aujourd’hui d’enceinte à la plus grande
partie
de Rome. Corinne rappela les vers de Tibulle et d
ans tous les genres, l’examen de ses ouvrages remplira la plus grande
partie
des chapitres suivants27 ; mais la connaissance p
entiment habituel de l’harmonie divine dont nous et la nature taisons
partie
. Il n’est aucun devoir, aucun plaisir, aucun sent
ns vraie originalité ; mais, malgré ces réserves, il faut admirer les
parties
supérieures du poème, la beauté de la pensée géné
ent les Études historiques, rapides ébauches dont quelques brillantes
parties
ne sauraient racheter la faiblesse générale ; la
plus l’exil : il y a dans la religion toute une patrie. Tandis qu’une
partie
de la création publie chaque jour aux mêmes lieux
ublie chaque jour aux mêmes lieux les louanges du Créateur, une autre
partie
voyage pour raconter ses merveilles. Des courrier
urs deviennent plus déchirantes et plus plaintives. Tantôt une grande
partie
des blessés, expirant à la fois, laisse régner un
les débris et le long mur que j’avais passés plus bas faisaient donc
partie
de la tribu des Cynosures, puisque cette tribu ét
ette colline : c’est ce théâtre que Leroy78 a examiné. Des décombres,
partie
ensevelis sous terre, partie élevés au-dessus du
re que Leroy78 a examiné. Des décombres, partie ensevelis sous terre,
partie
élevés au-dessus du sol, annoncent, vers le milie
ment par le Pirée ou par la route de Négrepont. Ils perdent alors une
partie
du spectacle, car on n’aperçoit que la citadelle
cette grenouille qui imite les mugissements du taureau. De toutes les
parties
de la forêt, les chauves-souris accrochées aux fe
u milieu de l’aridité de faits purement techniques et militaires, des
parties
largement tracées, d’un coloris vigoureux et écla
inquante-cinq pièces de canon, plusieurs places fortes, et conquis la
partie
la plus riche du Piémont ; vous avez fait quinze
la civilisation. Grâce à cette direction nouvelle et plus élevée, des
parties
entières de l’histoire ancienne et moderne ont ét
tion européenne et l’Histoire de la civilisation française sont trois
parties
du même tout, trois phases successives du même tr
le dix-septième siècle, ce fut la religion. C’était en touchant cette
partie
sensible et féconde du cœur humain que l’éloquenc
ours du cœur humain, toutes les vicissitudes des émotions, toutes les
parties
sensibles de l’âme, non pour exciter ces émotions
a dans son beau livre Du vrai, du beau et du bien ce qui lui parut la
partie
la plus solide de son enseignement, et les loisir
ence193. » Conquête des Gaules par les Franks Dans le première
partie
de la VIe lettre sur l’histoire de France 194, M.
la dynastie Carolingienne210, ne purent opérer entre les différentes
parties
de la Gaule, surtout entre le nord et le midi, un
vasion des Franks, une monarchie à la façon moderne s’établit dans la
partie
de la Gaule où ils fixèrent leur habitation, ce s
ement comme aux simples domaines privés, établissait entre toutes les
parties
du territoire un lien d’une nature indécise, il e
se chargea de consommer cet odieux fratricide. Sighebert envoya une
partie
de ses troupes investir la place de Tournay et en
ux portait à la ceinture n’excita pas le moindre soupçon, c’était une
partie
du costume germanique. Pendant que le roi les éco
e ; à Lyon, beaucoup de maisons furent détruites par les eaux, et une
partie
des murs de la ville s’écroula. Dans l’été, un or
r de donner une forme définitive et personnelle qu’aux deux premières
parties
de ce cours ; les dernières leçons recueillies pa
rivain et de penseur. Plusieurs fragments de ces Mélanges marquent la
partie
supérieure de M Jouffroy, son talent d’analyse ps
Du problème de la destinée humaine. (Extrait) Dans la première
partie
de ce discours, M. Jouffroy a démontré que, seul
cherche avant tout à découvrir, ce qu’il excelle à démêler, c’est la
partie
fixe de l’histoire, les influences supérieures qu
, et le bourreau s’approcha d’elle pour l’aider à se dépouiller d’une
partie
de ses vêtements ; mais elle l’écarta et dit en s
a méthode rappelle celle de Polybe : il ne laisse dans l’ombre aucune
partie
de son sujet, il excelle à porter tour à tour sur
re. Là, rien ne pouvait calmer sa dévorante activité ; il passait une
partie
du jour dans son bain, entouré de plumes et de pa
aient. On fit d’abord voyager les vivres et les munitions. Pour cette
partie
du matériel, qu’on pouvait diviser, placer sur le
qu’il n’eut assisté de ses propres yeux à l’expédition des dernières
parties
du matériel. Cette annonce d’un obstacle jugé ins
grande école du dix-septième siècle il ne s’est plus conservé que la
partie
extérieure, Je cadre artificiel. Mais, par un sin
idée que d’avoir réuni en un seul volume la meilleure et la plus pure
partie
des chansons de Béranger : c’est tout à la fois h
mettre une auréole jusque sur le front de Robespierre, Mais dans les
parties
au l’histoire se rapproche de la poésie, quand d’
sentiments, non pas comme dans la poésie dramatique, qui nous prend à
partie
et nous met en scène, mais le dirais-je ? comme e
ler des réserves sévères à l’admiration que nous inspirent les hautes
parties
de ce prodigieux et redoutable talent. Il est dif
on voulait faire entendre par là qu’il manquait à Ponsard les hautes
parties
du talent dramatique, la vigueur originale des co
u. (Mme de Staël.) 13. Cf. dans l’Allemagne le ch. X de la quatrième
partie
. « L’enthousiasme, c’est l’amour du beau, l’éléva
des pensées de Corinne (liv. XVI, ch. v). On peut reconnaître que la
partie
romanesque du livre de Mme de Staël a un peu viei
égies, sont appréciées par Mme de Staël dans le xiiie chap. de la 2e
partie
de l’Allemagne ; les principales pièces de Goethe
ine, Guillaume Tell), voir les chap. xvii, xviii, xix et xx de la IIe
partie
. 33. On pourra lire de belles pages de Schiller
la dignité des situations et du style tragique. » De l’Allemagne, IIe
partie
, chap. xv. 36. Nous ne saurions trop recommander
ns trop recommander la lecture des derniers chapitres de la quatrième
partie
, dont nous n’offrons ici qu’une trop courte citat
rons à une lecture particulière et attentive les cinq livres de la 2e
partie
, dans lesquels M. de Chateaubriand a jeté des vue
, selon le milieu social dans lequel elles se produisent, est une des
parties
supérieures de l’ouvrage. 46. La marque du grad
é l’affranchissement de ce pays. On peut lire à la fin de la première
partie
de l’Itinéraire un tableau du despotisme cruel et
5. Odyssée, livre XXIV. 106. On pourra lire au début de la deuxième
partie
de l’Itinéraire ces contrariétés de voyage. 107.
dont nous recommandons la lecture, nous citerons : dans la troisième
partie
, l’arrivée en Terre-Sainte, Bethléem, la mer Mort
l’arrivée en Terre-Sainte, Bethléem, la mer Morte ; dans la quatrième
partie
, la description de Jérusalem ; dans la dernière p
s la quatrième partie, la description de Jérusalem ; dans la dernière
partie
, la campagne de Carthage. 109. Nous conserverons
paru, se composeront de quatre volumes. Après avoir dans une première
partie
étudie l’essence de la religion chrétienne et les
x problèmes fondamentaux de l’humanité, M. Guizot consacre la seconde
partie
à retracer le réveil chrétien au dix-neuvième siè
vement antichrétien que le premier a bientôt amené. Dans la troisième
partie
, M. Guizot présentera l’histoire du christianisme
n second monument aussi glorieux pour sa mémoire. C’est de la seconde
partie
que nous détachons un fragment. 141. L’abbé de L
volume de son Essai sur l’indifférence en matière de religion. Cette
partie
s’adressait surtout à ceux qui nient l’importance
tage désormais irrévocable, avez heureusement traversé la plus grande
partie
de votre vie, songez que le reste sera court, et
la tribune anglaise au dix-huitième siècle resteront aussi l’une des
parties
les plus neuves et les plus attachantes de cet ou
es. 194. Les cinq premières lettres sur l’histoire de France sont la
partie
critique de l’ouvrage. M. Augustin Thierry passe
empire devint ainsi définitif par le traité de Verdun (843). Toute la
partie
de la Gaule à l’ouest de l’Escaut, de la Meuse, d
jusqu’au Rhin et aux Alpes. Enfin Lothaire réunit à l’Italie toute la
partie
orientale de la Gaule, comprise, au sud, entre le
place publique, à divers genres de tortures. On peut voir la première
partie
du septième récit. 238. On en trouve une foule
’il raconte ; il prête son éloquence au général carthaginois, mais la
partie
critique est faible. M. Thiers s’efface derrière
et gracieux, sont dignes de l’original. Delille excelle à rendre les
parties
descriptives de son modèle, et l’on sacrifierait
’est l’abus du genre descriptif qui, en donnant trop d’importance aux
parties
secondaires d’un tableau, en affaiblit les grande
tary way. « Eux alors, regardant en arrière, contemplèrent toute la
partie
orientale du paradis, naguère leur heureux séjour
; il se fatigue ensuite autour de l’idée et il la gâte. Cette seconde
partie
n’a pas à beaucoup près le jet hardi, l’explosion
ait si le génie N’est pas une de vos vertus ?… 442. Cette première
partie
est pleine de grâce et de fraîcheur ; nulle faute
t au moins ici une réserve à établir. S’il est vrai que Kant, dans la
partie
spéculative de son système, prétend infirmer tout
ompris dans l’une de ces huit espèces : voilà pourquoi on les appelle
parties
de l’oraison. Article I. Des trois premièr
s appelle parties de l’oraison. Article I. Des trois premières
parties
de l’oraison. I. Du Nom. Tous les êt
que je viens de citer), et ceux qui renferment seulement l’idée d’une
partie
de quelque tout, comme la plupart, une troupe de,
ins, conserves (lunettes) ; décombres, ébats, échasses, effondrilles (
parties
grossières qui restent au fond d’un vase) ; éléme
e son étendue ; ou restreinte, c’est-à-dire, prise seulement dans une
partie
de son étendue ; on se sert de l’article, pour dé
sont mortels ; soit que l’on ne veuille désigner qu’une ou plusieurs
parties
, un ou plusieurs individus de cette espèce ; comm
nd de la différence qui se trouve dans les terminaisons de toutes les
parties
des verbes, et principalement dans celle de l’inf
l’usage est ici le meilleur maître. Article III. Des autres
parties
de l’Oraison. I. De la Préposition. L
ns sont des mots qui servent à lier d’autres mots, ou les différentes
parties
du discours. J’en vais citer des exemples, en fai
ances, comme on aura occasion de le voir. Récapitulation des huit
parties
de l’oraison. Telles sont les huit espèces de
pagne ce mot. La conjonction sert à lier les mots, ou les différentes
parties
du discours. L’interjection exprime un mouvement
s défauts, la littérature classe et étudie les ouvrages où toutes ces
parties
déjà connues doivent se retrouver. Cette étude fa
re. 2º. L’ordre. Il consiste dans la disposition et l’arrangement des
parties
qui doivent former l’ensemble d’un ouvrage. 5º. L
ion. C’est surtout l’assortiment convenable et l’accord mutuel de ces
parties
. 4º. L’agrément. Il consiste, pour la composition
tement contraire à cet abus ? Et quand il serait vrai que Citron3, ma
partie
, Aurait mangé, messieurs, le tout ou bien partie
vrai que Citron3, ma partie, Aurait mangé, messieurs, le tout ou bien
partie
Dudit chapon : qu’on mette en compensation Ce que
en compensation Ce que nous avons fait avant cette action4. Quand ma
partie
a-t-elle été réprimandée ? Par qui votre maison a
n du sang de la victime, on la découpait, et on jetait du sel sur les
parties
qu’on posait sur l’autel. 1. Elle prend un ton c
ir battu la campagne, il court la poste. 2. C’est-à-dire la première
partie
du plaidoyer. 3. Mon client. 1. Il dit nous, pa
Mon client. 1. Il dit nous, parce que l’avocat ne fait qu’un avec sa
partie
. 2. Le Digeste contenait les décisions de tous
Chapitre V. des topiques ou lieux. — lieux applicables aux
parties
du sujet On conçoit quel parti l’on peut tirer
tout, il faut que chacun pense ce qu’il dit, que les avocats des deux
parties
ont l’un et l’autre l’intime conviction que la ra
sagers qu’elle occasionnera ne doit pas les en détourner. La première
partie
de la proposition est développée et démontrée par
e se borne pas son influence sur l’invention. Après l’énumération des
parties
même du sujet, c’est sur celle des circonstances
littérature ou d’histoire, parmi les épreuves écrites de la première
partie
du Baccalauréat ès lettres. Le développement de t
ces trois années à l’excellent ouvrage de M. Condamin1. Première
partie
. Textes des compositions françaises données à la
3). • Des ouvrages historiques de Voltaire. (21 novembre 1882). • Des
parties
de la rhétorique : leur nature, leur importance.
ez le caractère esquissé par Boileau. (29 novembre 1883). Seconde
partie
. Développements ou plans des compositions françai
et quelque grandeur à la tenter et à l’accomplir. C’est, du reste, la
partie
de son œuvre qui lui a survécu ; la poésie frança
çaise, comme le firent les poètes de la Pléiade. Aussi cette deuxième
partie
de la Réforme littéraire, opérée par Ronsard, ne
ir du langage tout mot qui cessait d’être employé « par la plus saine
partie
de la Cour, » et par « la plus saine partie des a
ployé « par la plus saine partie de la Cour, » et par « la plus saine
partie
des auteurs du temps », et il déploya tant de tac
e glorieux que Racine lui a donné. Un critique a comparé une certaine
partie
de cet ouvrage à un poème épique, tant pour la na
nal et puissant. Malheureusement, l’orgueil en a dicté la plus grande
partie
, et la sincérité en est souvent absente. [8]
teurs, les mœurs rudes et naïves de l’antiquité, et il a dû prêter en
partie
à ses personnages la dignité et la délicatesse de
d’autre modèle, d’autre source de sujets que l’antiquité grecque. La
partie
critique de l’Épître aux Pisons est peu de chose
ème chant est consacré à la tragédie, à la comédie, et à l’épopée. La
partie
critique de l’Art poétique de Boileau est assez c
ont la scène est l’univers ». Il est vrai qu’il est à la fois juge et
partie
en cette question, et qu’il se juge lui-même en h
ment du théâtre grec, l’on ajoute Mithridate (1673) qui fut conçue en
partie
d’après Plutarque, nous avons énuméré toutes les
soit pathétique et charmant, même tragique ; mais ce n’est là qu’une
partie
accessoire de la pièce, quoiqu’elle soit indispen
fils de l’helléniste, Les Mécontents). Les comédies de cette seconde
partie
du xvie siècle sont des traductions ou des imita
Voltaire. Plan. — Le Siècle de Louis XIV peut se diviser en quatre
parties
; 1º Histoire des événements politiques et milita
res, sciences et arts ; 4º Affaires ecclésiastiques. Dans la première
partie
, qui comprend vingt-trois chapitres sur trente-ne
orcy (chap. XXI) ; victoire de Denain (chap. XXIII). Dans la deuxième
partie
, qui comprend deux chapitres, auxquels il convien
formes de Colbert et de Louvois (chap. XXIX). Enfin dans la troisième
partie
, on mentionnera le chapitre XXXII, où Voltaire fa
ans un sens général, que le précepte de Ronsard est juste. La seconde
partie
de ce précepte, relative à l’invention, n’est sus
semblée ; mais les sénateurs, fuyant son approche, laissèrent vide la
partie
de l’enceinte où il avait pris place, et Cicéron,
que je vais vous raconter toute la pièce, et vous priver ainsi d’une
partie
du plaisir que vous aurez à la voir jouer. J’espè
ièce, et que je vous prive à l’avance, en vous prévenant ainsi, d’une
partie
du plaisir que vous aurez à écouter Andromaque. I
y, qui succombe enfin à Nordlingen. L’orateur, cependant, arrive à la
partie
délicate et ingrate de son sujet ; il va y montre
de maître ; combien l’exemple est joint au précepte dans toute cette
partie
où vous exposez les conditions de la vraie éloque
r débloquer la ville, une armée de 55 000 hommes, composée en majeure
partie
d’Anglais, que commandait le jeune et ardent duc
ace de l’édition d’Andromaque de M. G. Larroumet. 25. Cette première
partie
est presque entièrement tirée de la préface de La
cieuse ironie, trace le programme de la réforme politique. La seconde
partie
de cette première période, qui correspond à peu p
t Discours sur l’Homme, il y prépare le Siècle de Louis XIV. C’est la
partie
la moins militante de sa vie. Il se réconcilie mê
incipal caractère d’être un essai de rapprochement entre les diverses
parties
de la société française. La victoire de l’esprit
eaux reflets tragiques et ne devait Abufar qu’à lui-même ; enfin, une
partie
du théâtre de Marie-Joseph Chénier, et non la mei
ait mêlé d’agréables anecdotes et de fines réflexions. Rulhière a des
parties
d’éclat dans son Histoire de Pologne. L’érudition
e. Le dix-huitième siècle offre de regrettables lacunes et de grandes
parties
. Il a été souvent frivole, corrompu ; il n’a eu n
s à part, les lettres se confondent avec la politique, elles sont une
partie
du drame lui-même. Le théâtre, par exemple, ne fe
t techniques et militaires, ses mémoires publiés en 1823, offrent des
parties
largement tracées, d’un coloris vigoureux et écla
uent avec l’étranger, la critique est devenue une des plus brillantes
parties
de notre littérature. Historique avec Villemain,
and concert de musique, il doit se mettre en état de bien soutenir sa
partie
, pour rendre l’harmonie parfaite. Mais dans cette
st ainsi de la musique et de la peinture. Un concert, dont toutes les
parties
sont bien composées et bien exécutées, tant pour
aisse, n’obligera pas sa justice de l’abréger, et d’en retrancher une
partie
? Que d’accidents imprévus peuvent nous arrêter a
nt leur vie ! Grand Dieu ! Voilà déjà la plus grande et la plus belle
partie
de ma vie passée et toute perdue75, il n’y a pas
is avec d’autant plus de confiance, que j’ai eu soin de consulter les
parties
intéressées, qui y veulent bien donner les mains,
du siècle, et plus tard seulement se dégagea ce qui est la meilleure
partie
de l’ouvrage, c’est-à-dire l’expression déjà préc
ques et religieuses, ont été plus approfondies ; mais dans ses hautes
parties
, dans ses idées générales, l’œuvre de Montesquieu
Si, par la longue durée de sa vie, Voltaire remplit la plus grande
partie
du dix-huitième siècle, il en est aussi la plus é
ait la marche, porté sur un brancard à la tête de son infanterie. Une
partie
de la cavalerie s’avança par son ordre pour attaq
le celui de Louis XIV. Le Poussin égala Raphaël d’Urbin dans quelques
parties
de la peinture. La sculpture fut bientôt perfecti
nsible, mais sans aucune connaissance, ne distingue point d’abord les
parties
d’un grand chœur de musique ; ses yeux ne disting
vous avez un procès par écrit devant le public, qui condamne les deux
parties
au ridicule. C’est bien pis si vous composez pour
on temps, apportant à l’étude cette suite patiente qu’il estimait une
partie
au moins du génie, Buffon commença l’œuvre immens
x, l’étude comparée des espèces et leur classification méthodique. La
partie
de ses ouvrages demeurée avec raison la plus popu
me seul, c’est-à-dire son espèce, se trouve également dans toutes les
parties
froides ou chaudes de la surface de la terre : ca
depuis la publication de ses manuscrits inédits. Mais ici c’est à la
partie
la moins contestable de ses œuvres que nous voulo
jouté quelques pages rares à l’œuvre littéraire de Vauvenargues. ‘ La
partie
morale est celle qui se recommande surtout à notr
e exclamation j’ai bien jugé que vous vous rappeliez subitement cette
partie
de votre leçon ; mais vous auriez pu l’appliquer
confrontation avec elle fut close à l’instant287. Mémoires, Première
Partie
. Beaumarchais à ses ennemis. Lâches ennemis
que je suis un malhonnête homme289 : car je jure que je le prendrai à
partie
, si je puis le découvrir, et le forçerai, par la
olument, faites au moins qu’on puisse vous croire290. Ibid., Seconde
Partie
. Bernardin de Saint-Pierre.(1737-1814.) Né
, s’ils avaient accepté ses plans de réforme universelle. La première
partie
de la vie de Bernardin de Saint-Pierre fut pleine
dans un mouvement perpétuel, tandis que d’autres ne remuaient que la
partie
postérieure de leur corps. Il y en avait beaucoup
’un coup d’œil, dans mon fraisier, une distribution et un ensemble de
parties
que je ne pouvais observer au microscope que sépa
glandes, façonnées en soleils, des liqueurs d’or et d’argent. Chaque
partie
des fleurs doit leur offrir des spectacles dont n
ur incommensurable ; les nectaires, des fleuves de sucre ; les autres
parties
de la floraison, des coupes, des urnes, des pavil
rincipes de la science s’évanouissent. Études de la Nature, Première
Partie
. La fiancée normande. Il n’y a que la relig
ns les terres ; puis, venant à se retirer, elle découvrait une grande
partie
du lit du rivage, dont elle roulait les cailloux
araissaient immobiles comme de grands rochers. On n’apercevait aucune
partie
azurée du firmament ; une lueur olivâtre et blafa
era en état d’exercer sa place avec honneur, et à la satisfaction des
parties
contractantes. Enfin je passai la moitié de la nu
t-il à présumer qu’elle la conserve ? » Rivarol remporta le prix. Les
parties
faibles du discours de Rivarol sont celles qui po
une composition lâche, d’une métaphysique obscure, mais dans quelques
parties
d’un singulier éclat d’éloquence et de colère con
x humaine ; ce qui devait être ainsi, la prédication étant devenue la
partie
principale du culte, et presque tout le culte dan
ans tous les genres, l’examen de ses ouvrages remplira la plus grande
partie
des chapitres suivants365 ; mais la connaissance
raignent assez pour l’aimer de cette manière369. De l’Allemagne, IIe
partie
, chap. vii. Le plaisir de la conversation.
ucun autre toutes les forces de l’âme dans le même foyer. Ibid., IVe
partie
, ch. xii. Chateaubriand.(1768-1848.) Franç
nt les Études historiques, rapides ébauches, dont quelques brillantes
parties
ne sauraient racheter la faiblesse générale ; la
agnifique éloge de cette cité ! Itinéraire de Paris à Jérusalem, Ire
partie
. Athènes sous la domination des Turcs. Ce n
cette grenouille qui imite les mugissements du taureau. De toutes les
parties
de la forêt, les chauves-souris accrochées aux fe
montre l’homme sous ses plus tristes côtés, elle en éclaire aussi les
parties
élevées et généreuses, elle est pour lui l’école
elle est pour lui l’école du courage et du dévouement. Les meilleures
parties
des lettres de Courier sont celles où il parle de
t la fatigante manie des prédictions funèbres remplissent la dernière
partie
de sa correspondance. Il mourut en 1854. Dans son
l mourut en 1854. Dans son Esquisse d’une Philosophie (1841-1846), la
partie
consacrée à l’esthétique a été justement remarqué
compose que de lambeaux. Non seulement le tout leur échappe, mais ses
parties
les plus voisines d’eux ne se laissent qu’à peine
rai Dieu. Essai sur l’Indifférence en matière de religion, Troisième
Partie
, ch.ii. La Providence. Deux hommes étaient
tion européenne et L’Histoire de la Civilisation française sont trois
parties
du même tout, trois phases successives du même tr
ns le dix-septième siècle, fut la religion. C’était en touchant cette
partie
sensible et féconde du cœur humain que l’éloquenc
ours du cœur humain, toutes les vicissitudes des émotions, toutes les
parties
sensibles de l’âme, non pour exciter ces émotions
ndensa dans son livre Du Vrai, du Beau et du Bien ce qui lui parut la
partie
la plus solide de son enseignement ; dans l’inter
e ; à Lyon, beaucoup de maisons furent détruites par les eaux, et une
partie
des murs de la ville s’écroula. Dans l’été, un or
r de donner une forme définitive et personnelle qu’aux deux premières
parties
de ce cours : les dernières leçons, recueillies p
. Du problème de la destinée humaine.(extrait.) Dans la première
partie
de ce discours, Jouffroy a démontré que, seul de
cherche avant tout à découvrir, ce qu’il excelle à démêler, c’est la
partie
fixe de l’histoire, les influences supérieures qu
, et le bourreau s’approcha d’elle pour l’aider à se dépouiller d’une
partie
de ses vêtements ; mais elle l’écarta et dit en s
ette définition que Thiers lui-même. Il ne laisse dans l’ombre aucune
partie
de son sujet ; il excelle à porter tour à tour su
aient. On fit d’abord voyager les vivres et les munitions. Pour cette
partie
du matériel, qu’on pouvait diviser, placer sur le
nes jusqu’à la mort de Louis XI, et c’est là, au jugement de tous, la
partie
la plus durable et la plus précieuse de l’œuvre d
es, Michelet la reprit et l’acheva de 1855 à 1867. Mais cette seconde
partie
marquait chez l’historien des dispositions d’espr
eux ombragé, couvert de belles prairies, fournit à l’autre une grande
partie
des bestiaux dont il a besoin. Barcelone vit de n
té du foyer. Elle y tient tellement que la maison réparée, démolie en
partie
, longtemps troublée par les maçons, n’en est pas
ans parler de bien des articles d’une ironie légère et pénétrante, la
partie
peut-être la plus précieuse est celle qui est con
le, forment une sorte de trilogie comique, de roman dialogué en trois
parties
, dont Figaro est le héros principal. Examinons do
: Beaumarchais s’en chargea. Dans ses drames, il avait sacrifié à une
partie
du goût de son siècle : il avait pris un ton décl
’âne, mise en vers d’abord, puis retraduite en prose, n’en fait point
partie
, et mon admiration, je l’avoue, la laisse un peu
placer les noms qui y correspondent. La première, celle de Villemain,
partie
nouvelle et essentielle de l’histoire générale, s
it pas. Elle devina sans peine que, pour éviter l’odieux de prendre à
partie
des hommes dont j’avais salué la venue, j’étais a
ons qui sont nées d’une idée, d’un dessein médité, et dont toutes les
parties
unies et conjointes, en parfait rapport entre ell
ileté de style, enfin une forme originale de la critique549. » De ces
parties
si bien liées, quelques-unes, celle en particulie
rdu. » Cet enfer, où il se flattait de régner, il le chercha dans les
parties
les plus sombres du théâtre grec, dans l’histoire
s et glacée par de froides allégories. Mais l’intérêt que présente la
partie
morale n’a pas suffi à porter le poème de Voltair
ré le froid épisode des amours de Jocaste et de Philoctéte, plusieurs
parties
de la tragédie, le quatrième acte surtout, sont a
ls Gusman. Celui-ci aime Alzire, la fille de Montèze, souverain d’une
partie
du Potose, qui s’est soumis à l’autorité des Espa
en Turquie, et d’une Grecque célèbre par sa beauté et son esprit. Une
partie
de sa jeunesse s’écoula dans le Languedoc. Il ach
e en est au poète, et non à la langue. On hésite, devant les diverses
parties
de l’œuvre d’André Chénier, à marquer une préfére
grande école du dix-septième siècle il ne s’est plus conservé que la
partie
extérieure, le cadre artificiel. Mais, par un sin
idée que d’avoir réuni en un seul volume la meilleure et la plus pure
partie
des chansons de Béranger : on ne pouvait mieux ho
mettre une auréole jusque sur le front de Robespierre. Mais dans les
parties
où l’histoire se rapproche de la poésie, quand d’
s l’histoire littéraire de notre siècle. Et ce n’est là encore qu’une
partie
de l’œuvre de M. Victor Hugo. Au théâtre surtout,
on voulait faire entendre par là qu’il manquait à Ponsard les hautes
parties
du talent dramatique, la vigueur originale des co
ble. 82. Collusion signifie au propre l’accord de deux ou plusieurs
parties
au détriment d’une autre. – Convenir, se mettre d
r 1880 à la disposition du public. M, Édouard Drumont en a publié une
partie
sous ce titre : Papiers inédits du duc de Saint-S
modernes, par M. P. Janet (liv. IV, section ii, chap. i), et pour la
partie
biographique. : La Vie et les Œuvres de Montesqui
sultat enfin d’une victoire funeste à la liberté romaine : toutes les
parties
de ce vaste sujet sont fortement touchées dans un
e dans le sens de selle; celui sur qui les autres se déchargent d’une
partie
de leur tâche. Plusieurs éditions de Buffon porte
comme on l’en accuse, de la propriété des termes. 228. Confessions,
partie
II, livre III. 229. Lire, sur J. J. Rousseau : J
Littérature française au dix-huitième siècle ; le chap. XI de la IVe
partie
de l’Histoire de la Littérature française de M. N
leaux. 258. Vue du Port de Dieppe (au Louvre, n° 606). — Les quatre
Parties
du Jour. — Deux Vues de Nogent-sur-Seine. — Deux
ils ont déclaré. 284. C’est une demande d’explications adressée à la
partie
adverse. 285. C’était le nom de fille de madame
e Beaumarchais, de son talent à profiter de toutes les réponses de la
partie
adverse, de l’avantage qu’il garde sur madame Goë
u Parlement, attendue avec une extrême curiosité, donna tort aux deux
parties
. Par arrêt du 26 février 1774, madame Goëzmann fu
u’un ciron lui offre (à l’homme), dans la petitesse de son corps, des
parties
incomparablement plus petites, des jambes avec de
ans, architecte de la basilique de Saint-Pierre. Il modifia quelques
parties
du plan primitif, et ce fut lui qui arrêta la for
élégies, sont appréciées par Mme de Staël dans le xiii chap. de la 2e
partie
de l’Allemagne, les principales pièces de Gœthe (
ns trop recommander la lecture des derniers chapitres de la quatrième
partie
de l’Allemagne, dont nous n’offrons ici qu’une tr
Sparte et d’Athènes dans le Discours sur l’Histoire universelle, IIIe
partie
, chap. V. 388. Lord Byron, dans son poème intitu
dont nous recommandons la lecture, nous citerons : dans la troisième
partie
: l’arrivée en Terre Sainte, Béthléem, la mer Mor
l’arrivée en Terre Sainte, Béthléem, la mer Morte ; dans la quatrième
partie
: la Description de Jérusalem ; dans la dernière
la quatrième partie : la Description de Jérusalem ; dans la dernière
partie
: la Campagne de Carthage. 390. Isaïe. 391. Vi
tage désormais irrévocable, avez heureusement traversé la plus grande
partie
de votre vie, songez que le reste sera court, et
à divers genres de tortures. On peut voir sur cet épisode la première
partie
du septième récit. 474. On en trouve une foule d
il raconte ; il prête son éloquence au général carthaginois ; mais la
partie
critique est faible. Thiers s’efface derrière son
grâce, pour le dogme et pour la morale ? qu’il recueille çà et là les
parties
afin de reconstruire l’ensemble, et qu’il les hon
aussi estoit-il plus grant que prisonnniers communs. » 525. Voir la
partie
intitulée Poétique du Christianisme. Les caractèr
de la mort de Laïus, qui commence au vers suivant, est la plus belle
partie
peut-être de cette scène d’Œdipe. Traits de carac
ut une certaine complaisance pour accepter comme gouverneurs de cette
partie
du nouveau monde, à la place du nom célèbre des P
ème intitulé Cartouche, ou le Vice puni, dans lequel il parodiait une
partie
de la Henriade. 632. Lucain fait dire à César
et me fecisse nocentem. Cf. ce que dit Fénelon au chap.II de la Ire
partie
du Traité de l’Existence de Dieu : « Otez cette l
ntaine : Le Théâtre et la Philosophie au dix-huitième siècle. Voir 2e
partie
, § iv. 652. Tableau historique de l’État et des
et gracieux, sont dignes de l’original. Delille excelle à rendre les
parties
descriptives de son modèle, et l’on sacrifierait
’est l’abus du genre descriptif qui, en donnant trop d’importance aux
parties
secondaires d’un tableau, en affaiblit les grande
itary way. « Eux alors, regardant en arrière, contemplèrent toute la
partie
orientale du paradis, naguère leur heureux séjour
la Langue et de la Littérature françaises au moyen âge, tome Ier, 2e
partie
, § iii. 792. Cheval de parade. « On distinguait
t au moins ici une réserve à établir. S’il est vrai que Kant, dans la
partie
spéculative de son système, prétend infirmer tout
e. 850. Sur la mer Morte, voir l’Itinéraire de Paris à Jérusalem, 3e
partie
, au chapitre intitulé : Voyage de Rhodes, de Jaff
sort, regarder la machine entière, calculer l’influence de toutes les
parties
les unes sur les autres, et de chacune sur le tou
at, reconnaissent dans Fontenelle l’homme versé dans chacune de leurs
parties
, comme s’il eût consacré sa vie à l’étudier. Veut
ces, plus de frottements ; les liens qui unissent ensemble toutes les
parties
du monde, ne sont plus que des rapports de gravit
i bien arrangées, les conséquences si bien déduites, enfin toutes les
parties
si bien rapprochées et si bien liées, que le lect
ues épisodes agréables propres à donner plus d’éclat à l’ouvrage. Ces
parties
du poème sont toujours celles que l’on connaît le
ire naître des fleurs dans ce fond aride et semé d’épines. Toutes les
parties
de son ouvrage réuniront l’agréable et le solide,
toute composition sérieuse, doit former un ensemble, un tout dont les
parties
soient liées, dont le milieu réponde an commencem
peut faire une rude guerre au mauvais goût, et réprimer, au moins en
partie
, les scandales littéraires ; sans doute elle peut
ns ces sortes d’épîtres, à moins qu’ils ne constituent la plus grande
partie
de l’intérêt, et qu’ils n’offrent des tableaux to
ndez-vous par l’unité d’action ? L’action est une lorsque toutes les
parties
, tous les détails vont aboutir à un point unique,
s suffise de dire que personne ne le dispute à La Fontaine dans cette
partie
de la fable : il était né avec ce goût, et il l’a
mblables et pour les rendre meilleurs. Après un livre frivole, où des
parties
sérieuses portaient l’empreinte des on génie, il
s : il bâtit une infinité de villes, et il cimenta si bien toutes les
parties
de ce nouvel empire, qu’après sa mort, dans le tr
Montesquieu, on signalera Châteaubriand, Génie du Christianisme, IIIe
partie
, l. IV, chap. 5 ; M. Villemain dans l’Eloge qu’il
rope, en sorte que l’ouvrage qu’il leur a consacré fut l’emploi d’une
partie
importante de sa vie. « Dans le cours de vingt an
e Tibère avaient offensé. Au nom de toute la terre, un roi se déclare
partie
et prend la parole contre un empereur. Après lui
mosthène. La souveraine éloquence gouverna longtemps la plus fine
partie
du genre humain et présida aux affaires de la Grè
en défaire28. Discours de la Méthode 29, extraits des 1re, 2e et 3e
parties
. À un de ses amis, qui venait de faire une per
sujet doit avoir un commencement, un milieu et une fin ; et ces trois
parties
non seulement sont autant d’actions qui aboutisse
du poème dramatique doive avoir son unité, il y faut considérer deux
parties
, le nœud et le dénouement. « Le nœud est composé,
, le nœud et le dénouement. « Le nœud est composé, selon Aristote, en
partie
de ce qui s’est passé hors du théâtre avant le co
rs du théâtre avant le commencement de l’action qu’on y décrit, et en
partie
de ce qui s’y passe ; le reste appartient au déno
Le changement d’une fortune en l’autre fait la séparation de ces deux
parties
. Tout ce qui le précède est de la première ; et c
st l’exactitude de la raison, parce qu’elle est utile dans toutes les
parties
de la vie. Nos études doivent tendre à développer
mais l’exactitude de la raison est généralement utile dans toutes les
parties
et dans tous les emplois de la vie. Ce n’est pas
act qu’il peut l’être ; et c’est à quoi devrait tendre la plus grande
partie
de nos études. On se sert de la raison comme d’un
e sont pas capables de connaître. Il est vrai néanmoins qu’une grande
partie
des faux jugements des hommes ne vient pas de ce
une terre, un soleil et une lune, ni si le tout est plus grand que sa
partie
. On peut bien faire dire extérieurement à sa bouc
agnifiques. Si on veut les en croire, ils nous fournissent dans cette
partie
qu’ils destinent à cet effet, et qu’ils appellent
e que ces philosophes en font, et dans la logique, et dans les autres
parties
de la philosophie, on aura beaucoup de sujet de s
e sais ce que c’est que mon corps, que mes sens, que mon âme et cette
partie
même de moi qui pense ce que je dis, qui fait réf
Puissance de l’imagination sur l’homme. L’imagination est cette
partie
décevante dans l’homme, cette maîtresse d’erreur
s délicates. Qu’un ciron lui offre dans la petitesse de son corps des
parties
incomparablement plus petites, des jambes avec de
ense du surintendant Fouquet125, adressée à Louis XIV. Première
Partie
(extraits). Après un exorde plein d’une respec
ions de M. Fouquet, où consiste la principale et la plus considérable
partie
de ce que je dois représenter à Votre Majesté, qu
e je vais désormais plaider sa cause. Pellisson consacre la première
partie
de son plaidoyer à défendre le surintendant contr
Dauphin, dès qu’il serait né, sa belle propriété de Vaux. Seconde
Partie
(extraits). La première partie de la défense d
elle propriété de Vaux. Seconde Partie (extraits). La première
partie
de la défense de Fouquet, publiée contre le gré d
estimées, et c’est dans ces choses que Dieu a renfermé la plus grande
partie
de vos devoirs, selon que nous l’apprenons par ce
rant ce grand corps par un coin d’où il ne puisse en découvrir qu’une
partie
; et il n’est pas moins transporté, parce qu’il v
une partie ; et il n’est pas moins transporté, parce qu’il voit cette
partie
dans le tout, avec toute la convenance et toute l
mblée, vous n’entriez dans de pareils sentiments. Une des plus belles
parties
de l’Église universelle se présente à vous C’est
e la disposition de sa machine préparée par le divers arrangement des
parties
de la matière255, je puis au moins acquiescer à c
e dans tous les autres hommes, n’est qu’un effet de l’arrangement des
parties
de la matière, qui a mis dans le monde toute autr
imples ; mais ils périssent, parce qu’ils ne laissent pas d’avoir des
parties
selon lesquelles ils peuvent être divisés. Ce qui
car qui peut corrompre ou séparer un être simple, et qui n’a point de
parties
? L’âme voit la couleur par l’organe de l’œil, et
De ce principe, comme du centre, se répand la lumière sur toutes les
parties
de cet ouvrage ; de même qu’un peintre place dans
if. Il n’a un véritable ordre que quand on ne peut en déplacer aucune
partie
sans affaiblir, sans obscurcir, sans déranger le
mais le centre du royaume de Jésus-Christ275. Extrait de la première
partie
. Massillon (1663-1742.) [Notice.] Auc
a douleur de voir les désordres scandaleux qui signalèrent la seconde
partie
de son règne. Depuis longtemps, au reste, le véné
mblables et pour les rendre meilleurs. Après un livre frivole, où des
parties
sérieuses portaient l’empreinte de son génie, il
l fit plus, il les fit exécuter. Son génie se répandit sur toutes les
parties
de l’empire. On voit dans les lois de ce prince u
gestes de quelques nations, c’est-à-dire les actes d’une très petite
partie
du genre humain : tout le reste des hommes est de
PHILINTE. Ma foi, vous ferez bien de garder le silence. Contre votre
partie
éclatez un peu moins, Et donnez au procès une par
ne remuerai point. PHILINTE. Votre
partie
est forte, Et peut, par sa cabale, entraîner… ALC
Et qui de quelque somme, amassée au bon temps, Vivait encor chez eux,
partie
à ses dépens. Sa vue embarrassait ; il fallut s’e
lise (amie d’Esther) ; Thamar (personnage de la suite d’Esther) ; une
partie
du chœur (il est composé de jeunes Israélites). (
ée. Mais Atrée et Thyeste, Électre, Catilina, offrent de remarquables
parties
; et, dans Rhadamiste principalement, Crébillon s
culiers où la scène se passe, sans nuire à l’unité de lieu : ici, une
partie
d’un temple ; là, le vestibule d’un palais, une p
dans cette apologie du christianisme dont il nous reste seulement des
parties
éparses, ne laisser sans réponse aucun des doutes
espèce d’infini qui l’étonné et qui le surmonte. Il y a, dans chaque
partie
de ces atomes vivants, des muscles, des nerfs, de
Tellier) les trois illustres captifs. On peut voir, à ce sujet, deux
parties
des Mémoires de La Rochefoucauld, qui ont pour ti
riel à partir de ces mots : vous qui voulez pénétrer, Bossuet prend à
partie
un incrédule, et le pousse vivement et en tout se
-unes de ses censures Cf. Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe
partie
, livre IV, chap. 3. 278. Nicolas de Catinat naqu
oupe plus instructif ni plus curieux. » — Ces Mémoires renferment une
partie
du règne de Louis XIV, les vingt et une années qu
Montesquieu, on signalera Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe
partie
, liv. IV, chap. v ; M. Villemain, dans l’Éloge qu
ois, Elle obtint pour son fils Charles un apanage composé de quelques
parties
de l’Allemagne sur le haut Rhin, d’une partie de
ge composé de quelques parties de l’Allemagne sur le haut Rhin, d’une
partie
de la Bourgogne et du pays des Suisses et des Gri
us, au sujet de Voltaire, Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe
partie
, liv. III, chap. vi ; M. Villemain, Tableau de la
Il faut encore consulter Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe
partie
, liv. IV, chap. v ; M. Villemain, Tableau de la l
ous opposés aux tu de la païenne Pauline. » Génie du Christianisme,
partie
II, livre III, c. viii. 417. Ici il faut compa
Le crime était adoré, etc. » Discours sur l’histoire universelle, IIe
partie
. 418. Ce vers, dit Voltaire, est dans le Cid, et
oire de la littérature française), etc. Il est de plus resté, mais en
partie
seulement, un commentaire de cet auteur par Chamf
lé de lui, et toujours avec une singulière admiration, dans plusieurs
parties
de ses ouvrages. De nos jours aussi, sa vie et se
s se sont divertis à faire leurs Lois et leurs Politiques, c’était la
partie
la moins philosophe et la moins sérieuse de leur
, traduit par Fontanes dans l’Éneide, Génie du Christianisme, seconde
partie
, liv. V, ch. 11. 641. « C’est là, dit Chateaubri
faisant parler la sibylle de Cumes, et ce morceau de Racine : seconde
partie
, liv. II, ch. 10. 666. Cf. le début d’une des o
nt être consultés sur lui, nous signalerons La Harpe dans différentes
parties
de son Cours de littérature ; Ducis, discours de
clat des vers. 709. Alzire est la fille de Montèze, souverain d’une
partie
du Potoze, qui s’est soumis à l’autorité des Espa
ut une certaine complaisance pour accepter comme gouverneurs de cette
partie
du nouveau monde, à la place du nom célèbre des P
e la physique. Voltaire a célébré encore Newton dans plusieurs autres
parties
de ses ouvrages. 728. . Isaac Newton, le plus g
quis de Mirabeau, l’ami des hommes, le père de l’orateur. 739. . Une
partie
de ses Poésies sacrées parut en 1751 et l’autre e
réserverons pour le second la rhétorique et l’éloquence. Première
partie
. Du style3. 34. Le mot style, qui vient du gre
t, il n’y aura pas assez de liaison entre les phrases et les diverses
parties
de sa composition. 37. Cette union entre le carac
s de le former. De là quatre chapitres différents dans cette première
partie
. Chapitre premier. Éléments du style. 40. Bi
onviennent pas à leur objet sous tous les rapports et dans toutes ses
parties
. La raison du plus fort est toujours la meilleure
pour de jeunes humanistes. 85. Pour aider les commençants dans cette
partie
essentielle de l’art d’écrire, nous allons donner
à son point le plus net et le plus saillant. C’est l’arrangement des
parties
, dit Le Batteux, qui fait la beauté d’un tableau,
lus important se place au commencement de la phrase. Quant aux autres
parties
qui ne servent qu’à modifier ou à compléter l’idé
dit la vallée de Tempé pour toute vallée agréable. 2º Le tout pour la
partie
ou la partie pour le tout : Aut Ararim Perthus b
de Tempé pour toute vallée agréable. 2º Le tout pour la partie ou la
partie
pour le tout : Aut Ararim Perthus bibet, aut Ger
; mais elle a toujours pour but principal d’examiner l’ensemble, les
parties
, les pensées et les expressions d’une composition
action, et le dénouement. Il nous suffira de dire un mot de ces trois
parties
pour indiquer les règles essentielles à toute nar
étonne et enlève tous les esprits. 304. Le nœud de l’action est cette
partie
du récit où les intérêts se compliquent et les ob
. La convenance exige encore que l’on donne une grande attention à la
partie
matérielle d’une lettre et aux formules introduit
ne homme de véritables succès pour un âge plus avancé. Deuxième
partie
. De la poétique. 371. La poétique ou art poéti
tiche diffère de la césure en ce qu’il coupe toujours le vers en deux
parties
; il ne se rencontre que dans les vers de dix ou
vec choix et dessein. Elle doit être une, c’est-à-dire que toutes les
parties
et les actions secondaires doivent tendre au même
nité soit dans le sujet et résulte de la liaison intime de toutes les
parties
. Dans tous les grands poèmes épiques, l’unité d’a
trouvera le héros ; il fixe autant que possible la position des deux
parties
; et, insensiblement, le nœud se trouve formé. Ai
théâtre rempli. 493. L’action est une par le fait lorsque toutes les
parties
aboutissent au même point, et que le principal pe
ouement. 500. Toute action dramatique se compose de plusieurs grandes
parties
qu’on appelle actes. L’acte est une partie du dra
pose de plusieurs grandes parties qu’on appelle actes. L’acte est une
partie
du drame qui contient une action subordonnée et e
livré entre les Romains et les Albains. 502. Les actes se divisent en
parties
secondaires qui portent le nom de scènes. Les scè
lus, le musicien domine et modifie à son gré le travail du poète. Une
partie
de l’opéra s’appelle récitatif, et l’autre est un
La Bruyère, qui condamne le théâtre, Racine, qui regretta une grande
partie
de sa vie les tragédies qu’il avait composées dan
raison ni du goût, car toute composition doit former un tout dont les
parties
soient bien liées et tendent vers un but sérieux
58. L’action de l’apologue doit être une, c’est-à-dire que toutes les
parties
doivent aboutir à ce même point qu’on appelle mor
eçons font l’orgueil de l’humaine raison. — (Platon.) Troisième
partie
. Citations et modèles I. Le talent et le gén
Énée, docile à ses ordres, fonde en Sicile une ville où il laisse une
partie
de sa suite, et s’embarque. Livre VI. Énée abord
est tué avec son fils Lausus par le héros troyen. Livre XI. Les deux
parties
conviennent d’une suspension d’armes pour enterre
me chant a pour objet l’éducation des troupeaux. Il se divise en deux
parties
, dont l’une traite des grands troupeaux et l’autr
sition ? 33. Comment se divisent les œuvres littéraires ? Première
partie
. Du style. 34. Quel a été le sens primitif du
tions littéraires ? 298. Qu’est-ce que la narration ? 299. Combien de
parties
comprend une narration quelconque ? 300. Quel est
s’attacher avant tout dans les dissertations littéraires Deuxième
partie
. De la poétique. 371. Qu’est-ce que la poétiqu
scours de réception à l’Académie ; Blair, Leçons de littérature, IIIe
partie
; Collombet, Cours de littérature profane et sacr
orat., liv. VIII, ch. i, ii, iii : Blair, Leçons de littérature, IIIe
partie
; Rollin, Traité des études, liv. III, ch. iii ;
é des études, liv. III, ch. iii ; Crevier, Rhétorique française, IIIe
partie
; Collombet, Cours de littérature, section Ire, c
consulter : Le Batteux, Les beaux-arts réduits à un même principe, 3e
partie
; Blair, Lecture xxxviii ; Rollin, Traité des étu
littérature, art. Épopée ; Chateaubriand, Génie du christianisme, 3e
partie
, liv. III et IV ; Pérennès, Principes de littérat
’eau et se perdit. Je viens d’apprendre qu’on l’a pêché, et retiré en
partie
, le train encore entier, et les places mêmes inta
in mouvement d’esprits6 qui s’épuisent et qui se dissipent ; c’est la
partie
la plus vive et la plus subtile de l’âme qui s’ap
délicate et plus épurée. Si nous le considérons selon Dieu, c’est une
partie
de nous-mêmes, plus curieuse que savante, qui s’é
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