dire qu’il ne suffit plus à notre goût littéraire ; car en lisant ces
pages
où apparaît comme un revenant habillé à la mode d
de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a été de signaler les
pages
où l’homme se montre sous l’écrivain, où le style
connaisseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos
pages
beaucoup de citations ou de remarques dont la nou
fervent gardien de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière
page
de sa belle histoire littéraire : « Les soixante
e la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le choix des
pages
que nous soumettons au jugement bienveillant de n
urs de notre recueil comprennent bien cette leçon écrite à toutes ses
pages
, à savoir que le goût et la conscience se confond
aine. Gustave Merlet. 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la
page
que voici, et que j’emprunte à un de nos maîtres
dire qu’il ne suffit plus à notre goût littéraire ; car en lisant ces
pages
, où apparaît comme un revenant habillé à la mode
de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a été de signaler les
pages
où l’homme se montre sous l’écrivain, où le style
connaisseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos
pages
beaucoup de citations ou de remarques dont la nou
fervent gardien de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière
page
de sa belle histoire littéraire ? « Les soixante
e la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le choix des
pages
que nous soumettons au jugement bienveillant de n
urs de notre recueil comprennent bien cette leçon écrite à toutes ses
pages
, à savoir que le goût et la conscience se confond
aine. Gustave Merlet. 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la
page
que voici, et que j’emprunte à un de nos maîtres
mme nous l’avions toujours fait, sous les yeux de nos enfant quelques
pages
de notre ancienne littérature, de la Chanson de R
jugement (cdlvi). La Fontaine (1621-1695) Pour la notice, voir
page
516. Une journée de voyage Lettre de la Fo
vaient prononcer une parole ; ses valets de chambre, ses laquais, ses
pages
, ses trompettes, tout était fondu en larmes et fa
, Xe entretien, 1, 2.) Racine (1639-1699) Pour la notice, voir
page
572, Lettres a son fils810 Au camp devant N
moins de peine à l’auteur, que celles qui remplissent les meilleures
pages
des Mémoires : c’est à ce titre qu’il faut garder
ui les complète, les Rêveries du promeneur solitaire. Les plus belles
pages
de Rousseau lui ont été inspirées par son amour a
ne sont pas également recommandables, mais où l’on rencontre quelques
pages
pleines de charme et d’intérêt. Souvenirs d’enf
t à ses amis 1495.) Lamartine (1790-1869) Pour la notice, voir
page
644. La mort de Wilberforce1496 On a pronon
t, chap. xi.) Alfred De Vigny (1797-1863) Pour la notice, voir
page
607. Prisonnier sur parole Jamais aucun homm
e du général Drouot.) Victor Hugo (1802-1885) Voir la notice,
page
677. Les enseignements de l’évêque Dans ces
pas très profondément étudiés et qu’on trouve dans ses œuvres peu de
pages
d’un style vraiment achevé1599. Un calligraphe
ent de Louis XIV s’était efforcé par des exécutions exemplaires (voir
page
105, note l), de détruire définitivement. — Le ré
chap. iii.) Alfred de Musset (1810-1857) Pour la Notice, voir
page
715. Oncle et neveu Van Buck, Valentin
couvertures étaient toujours en lambeaux, quelquefois il manquait des
pages
. Jacques1752 faisait bien de son mieux pour me le
Nous convînmes que nous commencerions le lendemain matin, malgré une
page
du De Viris 1792 que nous avions à apprendre. — T
andeur a de vains équipages, D’habillements de pourpre et de suite de
pages
, Quand le terme est échu n’allonge point nos jour
utre à ne rien faire. Molière (1622-1673) Pour la Notice, voir
page
55. Un fâcheux2218 Sous quel astre, bon Die
irs d’Andromaque Pyrrhus, répondant à la prière d’Andromaque (voir
pages
572-573), lui a, pour la dernière fois, demandé d
’épouser : c’est à cette condition seule qu’il sauvera Astyanax (voir
page
572, note l). Céphise, confidente d’Andromaque, l
eligion, chant Ier.) Voltaire (1694-1778) Pour la notice, voir
page
178. Discours de potier de Blancménil aux états
n 1755, mort à Sceaux en 1794, Jean-Pierre Claris de Florian, qui fut
page
, officier, puis gentilhomme ordinaire du duc de P
hymne de la nuit Fragment. O nuits, déroulez en silence Les
pages
du livre des cieux ; Astres, gravitez en cadence
chefs du parti victorieux, un général du parti des Montagnards (voir
page
752, note 4), vient d’entendre des muscadins (voi
fut éclatant (1870), et l’Absent (1873), quatre recueils de poésies,
Pages
intimes (1866), Poèmes populaires (1871), Pendant
Et fait passer dans mon jardin Comme un souffle de l’autre monde ! (
Pages
intimes, VIII.) La chanteuse La pauvre enfa
meurée comme participe et comme nom. 59. Vert. Voir la note 5 de la
page
468. 60. Il y a une pièce, un morceau, un interv
ns l’édition publiée par Aug. Longnon (Paris, 1892, in-8°). 64. Voir
page
557, note 1. 65. Ne. Dans les propositions néga
résentaient en avant une tête à pointes multiples. — Sur dedans, voir
page
496, note 5. 107. Davantaige, de plus. 108. O
opposé de à l’arrière. 136. Fut avisé, reçut avis. 137. Eudémon,
page
de Gargantua. 138. Voir la note 5 de la page 496
t avis. 137. Eudémon, page de Gargantua. 138. Voir la note 5 de la
page
496. 139. Des ennemis, qui avaient été défaits
es ennemis, qui avaient été défaits dans un récent combat. 140. Voir
page
3, note 16. 141. Je n’ai rien à dire. 142. Rib
a langue populaire sous la forme bâfrer. 162. Voir la note 10 de la
page
2. 163. Viande, qui vient d’un mot bas-latin (
it : s’évaporait. Fait de langage réciproque de celui qui est signalé
page
20, note 7. 167. D’une manière ou d’une autre.
l sujet est fréquente dans la langue du xvie siècle. Sur dedans, voir
page
496, note 5. 170. Il n’était pas obligé. 171.
e s’emploie plus aujourd’hui que comme un archaïsme voulu. 203. Voir
page
4, début de la note 6. 204. C’étaient les deux p
a rue de l’Arbre-Sec et de la rue Saint Honoré. Voyez la note 1 de la
page
49. 206. L’enseignait, enseignait où il se vend
Frayant, frottant. 234. [Ce] dont. — Sur le mélange des temps, voir
page
2, note 10. 235. Chère vient du mot de basse la
u’il faille le faire remonter à une quinzaine d’années plus tôt (voir
page
13, note 8). — On suivra avec le plus grand profi
251. Tâtonne. 252. Sur ces pièces. — Sur dessus, préposition, voir
page
496, note 5. 253. Y ayant fait une marque, pour
eintures, des majoliques italiennes » (Ernest Dupuy, Bernard Palissy,
page
79.) 257. Ores, alors même. 258. Aucunes fois
. Aucunes fois, quelquefois. 259. Combien que, quoique. 260. Voir
page
496, note 5. 261. Au hasard. 262. . De sorte qu
. Ce dernier point va se trouver expliqué par ce qui suit. 291. Voir
page
470, note 10. 292. Terre, entendez les travaux
ndez les travaux en terre, l’art du potier. 293. De plus. 294. Voir
page
21, note 4. 295. Au lieu de a prévalu. 296. P
s. 330. Voir p. 4, note 15. 331. Fussent fondus,… se portait. Voir
page
4, note 15. 332. Que tu y prennes garde. 333.
i est restée l’émail propre de Palissy. (Voir Ern. Dupuy, ouvr. cité,
pages
88-89, et Alb. Jacquemart, Hist. de la céramique,
une seule est restée, fondue eu un seul mot (auparavant). 373. Voir
page
512, note 4. 374. Entendez : même lorsque mes ém
pli et non en train de s’accomplir. Sur l’emploi de l’indicatif, voir
page
15, note 4. 389. Par, pendant. 390. Étroit, s
Au palais, au temple où se tenait le sénat, à la curie. 402. Voy.
page
43, note 4. 403. Estomac. Fréquent jusque dans
s œuvres, est né vers l’an 50 et mort vers 120 après J.-C. 419. Voir
page
27. 420. Récita, raconta. 421. Le duché de Gui
— dont. 438. Ainsi Guzman à Zamore, dans l’Alzire de Voltaire (voir
page
604). Des dieux que nous servons connais la diffé
ie siècle, n’est pas resté dans la langue. 449. Voir la note 7 de la
page
20. 450. Au moment où ils (maîtres et élèves) fo
icile (470), achevèrent d’assurer le triomphe de la Grèce. 462. Voir
page
32, note 4. 463. Estour, combat. Mot, d’origine
marchés extravagants, et l’on verra par un passage de La Bruyère cité
page
117 que la mode des tulipes était encore vivace à
On dit plus ordinairement aujourd’hui déborder. Voir la note 7 de la
page
20. 474. A la campagne, c’est-à-dire dans la ca
mes de sa terre de Balzac, près d’Angoulême. Voir notamment ici même,
pages
35-37. 479. . Ce sont les termes mêmes de Balzac
même, pages 35-37. 479. . Ce sont les termes mêmes de Balzac : voir
page
36, note 4. 480. Amsterdam. Descartes s’était fi
que nous appelons aujourd’hui le service de l’intendance. 488. Voir
page
xxvi et page 178. 489. Jean Ribaud, ou de Ribau
elons aujourd’hui le service de l’intendance. 488. Voir page xxvi et
page
178. 489. Jean Ribaud, ou de Ribault. – De la n
t dans la langue de la marine. 503. S’y campa. Voir la note 7 de la
page
20. 504. Qui. Ce relatif n’amène après lui aucu
s, un transfuge français. 506. Qu’il ait fait, qu’il ait paru. Voir
page
39, note 3. 507. De parole, de vive voix, verba
En. Nous disons plutôt : il lit voile pour la France. 518. Tome III,
pages
147 et 148 de l’édition de 1683 (Paris, in-folio)
us dirions aujourd’hui : commençaient à grossir. Voir la note 7 de la
page
20. 531. Barrière des Sergents. On appelait ain
e de Louis XIV. 540. Conseiller des enquêtes : voir la note 1 de la
page
47. 541. Lettres de cachet, lettres scellées du
res, occasions, événements fortuits. 552. Sur les Grands Jours, voir
page
105, note 1. Les Grands Jours se sont tenus à plu
elon, se plaignent du même scandale (voir le recueil du second cycle,
page
228, note 1) : la scène que nous citons, et dans
au morceau au célèbre passage du Menteur de Corneille que nous citons
page
512. — Don Juan est le « grand seigneur méchant h
ité : comparer harpie, harpon, harponner. 579. Voir la note 1 de la
page
545. 580. Remarquez la solennité de l’expression
n’a pas échappé. 583. Dame Claude sort. 584. Voir la note 4 de la
page
suivante. 585. Vous ressouvenez. Le xviie sièc
Dieu (parbleu ! morbleu !). 591. Bonne chère. Voir la note 5 de la
page
9. 592. Épée de chevet se dit d’une arme, d’un
d un objet, qu’on a toujours sous la main. 593. Voir la note 2 de la
page
82. 594. Factoton. On écrivait quelquefois ains
des raisons particulières de flatter ses manies. 597. Viandes. Voir
page
3, note 10. 598. D’un ancien. La maxime citée p
gloire. 620. Impertinents, dénués de bon sens. Voir la note 2 de la
page
82. 621. L’art s’exerce d’après des prescription
tainement souvenu dans cette scène du chapitre de Don Quichotte (voir
page
443, note 3), où Cervantès fait tenir à la femme
tous les gens du peuple, comme Sancho Pança, dans Don Quichotte (voir
page
444, note 1), comme Petit-Jean, dans les Plaideur
que Molière — ainsi que La Fontaine (voir, plus bas, la note 5 de la
page
76) — dirige contre elles suffirait à prouver qu’
de comment. 649. Commerce, relation, entente (voir la note 2 de la
page
28). 650. Dans la même disposition. Entendez :
un puits (II, xiii), que nous citons dans le recueil du second cycle,
page
853 : « En quoi, dit-il dans cette dernière, En q
personnes, qui ne lait pas ce qui conviendrait. Voir la note 5 de la
page
603. 677. Fat, homme à la fois dépourvu de juge
r Mme du Housset, nommée plus haut. 681. Sur Mme de la Fayette, voir
page
89, note 2. 682. Sur La Rochefoucauld, voir page
de la Fayette, voir page 89, note 2. 682. Sur La Rochefoucauld, voir
page
51. 683. Degré, escalier. 684. Votre pauvre p
promenade publique alors très fréquentée. 687. Voir la note 1 de la
page
87. 688. Des nouvelles sur ce qui se passe soit
, oncle de Mme de Sévigné, et de Philippe-Emmanuel de Coulanges (voir
page
87, note 1) était abbé ; aussi y fit-elle de fréq
l’un des plus célébres messieurs de Port-Royal (voir la note 1 de la
page
77). Arnauld d’Andilly était le frère du célèbre
a de la surprise, mais : me frappa d’admiration. Voir la note 2 de la
page
547. 694. Me convertir, délaisser les plaisirs
ne lettre ou des lettres confiées à la poste. 698. La Fontaine (voir
page
516) venait de faire paraître quelques poésies av
poésies avec huit fables nouvelles. 699. Sur La Rochefoucauld, voir
page
51. 700. Le Singe et le Chat, fable xvi du livr
après que je l’aurai été voir, elle viendra ici. Voir la note 1 de la
page
72. 715. Que les poètes ont célébrée. Nous ne s
hef-d’œuvre, la Princesse de Clèves (voir le recueil du second cycle,
page
196). 718. Tout son train, toute la maison de T
735. Chausses : entendez ici haut-de-chausses (voir la note 6 de la
page
62). 736. L’on n’oserait rien proposer. On n’os
et plus tard duc de Gramont (1672-1723), petit fils du maréchal (voir
page
82, note 1). 740. Être un peu de travers. Jeu d
On appelle ainsi ceux qui professent les doctrines de Descartes (voir
page
28). 803. Grand comme le Péloponnèse. C’était l
nture. 820. Théodecte et, plus bas, Euthydème. Voir la note 1 de la
page
116. 821. Au temps, aux circonstances. 822. A
it avoir du moins quelques égards. 826. A soi. Voir la note 1 de la
page
109. 827. Les viandes, les mets, la nourriture
, etc., noms de certaines variétés de tulipes. — Voir la note 3 de la
page
36. 830. Aussi est-elle, c’est qu’en effet elle
ses comédies. 838. Giton et, plus bas, Phédon. Voir la note 1 de la
page
116. 839. Pendantes, sous le poids de la graiss
istres, en faveur des ministres. 853. Sur soi. Voir la note 1 de la
page
109. 854. Ni salut ni compliment. Allusion au s
lier Philibert de Gramont, frère du maréchal Antoine de Gramont (voir
page
82, note 1), s’était lui-même distingué à la guer
France pour son élégante frivolité. 875. Que. Voir la note 6 de la
page
66. 876. Péri. Ce participe, qu’on n’emploie pl
itre, manger, apaiser sa faim. On a dit repaître et se repaître (voir
page
20, note 7) ; mais le pronominal a prévalu. 882.
her ? 893. Allusion à l’étrange récit de Termes, qu’on a vu rapporté
page
128. 894. Diable, substantif pris comme interje
e. 907. Étonne, frappe comme d’un coup de tonnerre, paralyse. (Voir
page
547, note 2.) 908. Succès est pris ici (voir la
r page 547, note 2.) 908. Succès est pris ici (voir la note 2 de la
page
précédente) dans le sens restreint de résultats h
la mythologie gréco-romaine. 923. Bonne chère. Voir la note 5 de la
page
9. 924. Ridiculement, de manière à faire rire.
s’adresse particulièrement à l’élève de Fénelon (voir la note 1 de la
page
précédente). 927. Mercure, suivant la mythologi
ns le style familier, dramatique ou oratoire. 929. Domestique. Voir
page
xxviii, note 2. — Sur Commines, voir page xxvi. —
re. 929. Domestique. Voir page xxviii, note 2. — Sur Commines, voir
page
xxvi. — Les deux personnages sont supposés conver
s’oindre de cette huile. – Sur les derniers moments de Louis XI, voir
page
xxvi et page 661, note 1. 933. Barrette, espèce
ette huile. – Sur les derniers moments de Louis XI, voir page xxvi et
page
661, note 1. 933. Barrette, espèce de petit bon
our le jeune duc de Bourgogne (nous avons déjà dit, à la note 1 de la
page
139, la même chose des Fables), à qui Fénelon ens
repu. 996. Bonne chère. Voir, sur cette expression, la note 5 de la
page
9. 997. Baie, mystification qui fait bayer. — B
doit pas être confondu avec bâiller. 998. Je. Voir la note 3 de la
page
155. 999. Licencié, théologien pourvu du second
chère : second sens de ce mot, dont nous avons expliqué l’étymologie (
page
158 note 3). 1013. Voir la note 6 de la page pré
expliqué l’étymologie (page 158 note 3). 1013. Voir la note 6 de la
page
précédente. 1014. Spécifique, remède exactement
ement : pour qu’on pût, au lieu de pour pouvoir (voir la note 1 de la
page
72). 1021. Un garçon bleu. On appelait garçons
Suppôt, employé en sous-ordre. 1065. Mortier ; Voir la note 3 de la
page
49. 1066. Je. Montesquieu suppose que deux Pers
ariées des Parisiennes. 1068. Comparer avec le Bavard de La Bruyère,
page
116. 1069. Je. Voir la note 2 de la page précéd
c le Bavard de La Bruyère, page 116. 1069. Je. Voir la note 2 de la
page
précédente. 1070. Décisionnaire, mot hasardé pa
apitale est maintenant Téhéran. 1073. Me dit. Voir la note 2 de la
page
173. 1074. Produire, amener au grand jour, fai
roisième personne du singulier : il vêt, et non : il vêtit. Mais voir
page
648, note 2. 1152. Plus triste que l’ombre de l
causer dans les salons, dans les ruelles (sur le sens de ce mot, voir
page
168, note 3), et rien de plus. 1167. Cabinet, n
ollaborateur de Buffon. 1170. Chaise de poste. Voir la note 2 de la
page
189. 1171. Un jour, en 1765. — La Robaila (ou R
pour prendre les oiseaux. 1193. Voir l’expression du même sentiment
page
212, note 1. 1194. Sans le compter. Pour que la
levée des impôts (avec une nuance péjorative) : voir la note 4 de la
page
suivante. 1227. De lisières, formé de petites b
ue Marmontel avait composés pour l’Encyclopédie (voir la note 1 de la
page
220). 1244. Mauriac, aujourd’hui sous-préfectur
ion de forcer quelqu’un à payer un impôt. 1267. Voir la note 2 de la
page
suivante. 1268. L’usage qui veut que les plaide
Impliqueraient : impliqueraient contradiction : voir la note 3 de la
page
précédente. 1289. Aujourd’hui même. 1290. On se
ance. » — On sait que, d’une manière générale, La Rochefoucauld (voir
page
51) soutient que les actions qu’on regarde comme
Rousseau vivait en effet de métier de copiste de musique. 1323. Voir
page
219, note 2. 1324. J.-J. Rousseau, comme composi
aguère pour Mme de Pompadour. 1330. Sur Jean-Baptiste Rousseau, voir
page
590. 1331. Négligé, pour : ou d’un autre auteur.
s vulgaire du mot. 1347. Cette statue est l’œuvre de Falconet (voir
page
222, note 2). — Saint-Pétersbourg a été fondé par
Navarre espagnole, célèbre par l’histoire de la mort de Roland (voir
page
673, note 3). 1370. Le réal est une petite monn
aie d’argent espagnole, qui vaut 0 fr 23. 1371. Voir la note 2 de la
page
222. 1372. Homère est représenté, on le sait, so
e imaginaire, héroïne des Martyrs, comme Eudore en est le héros (voir
page
283, note 4 et page 287, note 4). 1405. Dictame
e des Martyrs, comme Eudore en est le héros (voir page 283, note 4 et
page
287, note 4). 1405. Dictame, plante aromatique.
-dire : je te parie une bouteille de vin. 1452. Voir la note 4 de la
page
8. 1453. Demoiselle se disait, sous l’ancien ré
nsées, édit. Brunschvicg, sect. vi, 353) Sur Pascal (1623-1662), voir
page
77. 1495. Hachette et Cie, éditeurs. 1496. Will
r Marie clandestinement. — Les Puritains sont des presbytériens (voir
page
317, note 2), qui affectent l’austérité la plus r
t par conséquent selon le rite catholique. — Sur l’anglicanisme, voir
page
317, note 2. 1528. Ce sont les psaumes LVI, LXX
bat d’aujourd’hui. » (Vers 386-405.) 1580. Sur la Marseillaise, voir
page
395. 1581. Flammarion, éditeur. 1582. Le livre
oire. 1597. Œuvres publiées chez Calmann Lévy, éditeur. 1598. Voir
page
677 la notice sur Victor Hugo. 1599. Alexandre D
(Commentaires, édition de la Société de l’Histoire de France, tome V,
page
305, tome III, pages 366-369) que les reîtres rav
on de la Société de l’Histoire de France, tome V, page 305, tome III,
pages
366-369) que les reîtres ravagèrent tout le pays,
revenants. 1656. Calmann Lévy, éditeur. 1657. Voir la note 1 de la
page
77. 1658. Puritanisme y doctrine des puritains
s : Molière les met aux prises dans une scène célèbre que nous citons
page
555. 1663. Précieuse. On appela d’abord précieu
t d’originalité dans l’expression. — Voir le recueil du second cycle,
page
990. 1668. Sur Casimir Delavigne, voir page 659.
recueil du second cycle, page 990. 1668. Sur Casimir Delavigne, voir
page
659. 1669. Journal des Débats, l’un des journau
Bouillotte, espèce de jeu de cartes. 1680. Lettres de change. Voir
page
225, note 5. 1681. Soixante louis, douze cents
. L’Église célèbre le 2 juin la fêle des « martyrs de Lyon ». — Voir,
page
282, un beau fragment des Martyrs, de Chateaubria
ce-Lorraine, sur la frontière même de la France. 1721. Dieuse. Voir
page
125, note 1. 1722. Sans songer que je me rendai
présentant le Passage de la Bérézina (sur cet épisode militaire, voir
page
350). 1790. Bouclier carré. 1791. Bouclier rond
— Le ris est la partie de voile qui est au-dessous de la vergue (voir
page
445, note 2). 1801. Cape, grande voile du grand
ci-après, p. 469. 1826. Sur Ronsard et les poètes de son école, voir
page
477, note 2, et page 481 et suivantes. 1827. Si
26. Sur Ronsard et les poètes de son école, voir page 477, note 2, et
page
481 et suivantes. 1827. Si, ainsi, aussi, c’est
n’était pas encore fort usuel. 1831. Oyez-vous, entendez-vous (voir
page
494, note 1). — La plaisanterie consiste ici dans
tre Champagne et du Hainaut, possession de Charles-Quint. 1841. Voir
page
468, note 5. 1842. Foudroyant. Le mot ne s’est c
, ne se trouve plus après les premières années du xviie . 1853. Voir
page
xxv, note 1. 1854. Gloire. Le mot parait aujourd
ec. 1863. Le composé remercier est resté dans la langue. 1864. Voir
page
468, note 5. 1865. Saillit, s’élança. — Sur deh
Voir page 468, note 5. 1865. Saillit, s’élança. — Sur dehors, voir
page
496, note 5. 1866. Siège, séjour. 1867. Dont,
st au nom du roi que procèdent (on les appelle les gens du roi : voir
page
398, note 1) les différents magistrats chargés d’
pourquoi, — Suppli, licence pour le vers. 1920. Voir la note 5 de la
page
468. 1921. Très humblement requérant. Marot aff
n dans la langue, n’a pas subsisté après le xvie siècle. 1923. Voir
page
21, note 4. 1924. La plaisanterie se comprend d’
qui sont à peu près tombées en désuétude. Voir encore la note 2 de la
page
492. 1935. Du Bellay avait passé plusieurs année
dant de son parent le cardinal du Bellay. 1955. Voir la note 2 de la
page
477. 1956. Odet de Coligny, cardinal de Châtill
et de Coligny, cardinal de Châtillon, frère de l’amiral Coligny (voir
page
387, note 3), l’un des protecteurs de Ronsard. 1
4 de la p. 21. | 1960. Pen-sé-es : trois syllabes. 1961. Voir
page
3, note 16. 1962. Chef, tête. 1963. Perruque,
une petite. 1993. Faut, manque, se trompe (de faillir). 1994. Voir
page
496, note 5. 1995. Le mot a admis les deux genre
e mot ne s’emploie plus qu’au sens moral et métaphorique. 1999. Voir
page
189, note 1. 2000. Entreprenez. 2001. Ce qui es
raiment forts ont gardé leur empire. 2003. François Ier. 2004. Voir
page
478, note 5. 2005. Entendez : qui jouit d’un ren
note 5. 2005. Entendez : qui jouit d’un renom immortel. 2006. Voir
page
468, note 5. 2007. Malveillants. 2008. Adjectif
oquerel, chanoine de Notre-Dame d’Amiens. 2015. Voir la note 2 de la
page
477. 2016. Imité d’une fable d’Esope, avec laque
t, dégoûtât, importunât. Sens jadis très fréquent du mot. 2021. Voir
page
492, note 2. 2022. Écharde droite, ses épines h
réciant. — Avecque est un souvenir de l’ancienne forme avecques (voir
page
478, note 5), que le dix-septième siècle n’a cons
sez souvent lui adresser le même reproche. 2036. Sur le Louvre, voir
page
499, note 4. 2037. Qui nous met en repos. Après
asser. 2040. Les soleils, les journées. 2041. Voir la note 5 de la
page
précédente. 2042. Repos, endroits où l’on se re
ment terminée. 2051. Passeront, surpasseront. — André Chénier (voir
page
450), tout jeunet encore, avait rédigé pour lui-m
c. Mais le xviie siècle n’a pas connu cette distinction. 2057. Voir
page
492, note 2. 2058. Exemplaire, modèle. Le mot n
processionnellement. 2069. Il y allait tenir les Grands Jours (voir
page
105, note 1), septembre 1605. 2070. La pastorale
ant la confection des gerbes. 2082. Et semble. Voir la note 6 de la
page
précédente. 2083. Il soupire (employé activemen
ue cas de cette éducation. 2098. En, d’Attale. Voir la note 9 de la
page
495. 2099. En : de ce rôle de roi qu’on lui des
lle appelle à tort Flaminius. 2106. . Discords. Voir la note 4 de la
page
497. 2107. En, de régner. 2108. Le fut bien d
tenant de son frère Lucius, alors consul. 2109. Voir la note 2 de la
page
précédente. 2110. Dessus. Voir la note 5 de la
la note 2 de la page précédente. 2110. Dessus. Voir la note 5 de la
page
496. 2111. Que, dans lequel. 2112. Elle, Rome
ce et jardin qui y était attenant. — Sur dedans, voir la note 5 de la
page
496. 2121. . Aux royaumes du Code, à la Faculté
Honnêtes gens, gens du monde, gens distingués. Voir la note 2 de la
page
157. 2125. S’y fait de mise, s’y fait accueilli
ille met ici dans la bouche de Géronte (voir, dans le présent volume,
page
59). 2139. Étant sorti ne se rapporte à aucun s
e voi. Voir la note précédente. 2142. Dedans. Voir la note 5 de la
page
496. 2143. Surpris, trompé par surprise ; car j
lui-même dans sa Vie de M. de Malherbe. — Sur Malherbe et Racan, voir
pages
491 et 498. 2186. Horace (65-8 av. J.-C.), illus
doit échapper, qui devez tout savoir. S’éclata. Voir la note 7 de la
page
20. 2188. Où buter, à quel but, à quelle fin j
notamment l’avaient racontée. 2191. S’éclata. Voir la note 7 de la
page
20. 2192. Connaît, reconnaît. 2193. Cure, sou
s spectateurs du parterre. 2222. Ouï, entendu. Voir la note 1 de la
page
494. 2223. Canons. On appelait ainsi des espèce
grand poète d’une familiarité un peu hautaine. — Sur Corneille, voir
page
. 502. 2233. Jusques à des vers… il me les récit
etc..., et ne s’emploie que dans le style familier. — Sur chère, voir
page
9, note 5. 2246. Sorte, rang, qualité. 2247.
des compliments, des cérémonies. 2248. Succès. Voir la note 2 de la
page
135. 2249. A me faire = capable de me faire. Tr
en français avec le même sens. 2266. Se campèrent : campèrent. Voir
page
20, note 7. 2267. Un haut, une hauteur. Le mot
: es-tu Sosie à présent ? 2281. A soi, à lui. Voir la note 1 de la
page
109. 2282. Quelque conte frivole [que tu me fas
ux exemples. 2287. Port Persique. Molière a emprunté à Plaute (voir
page
548, note 3) plusieurs détails de cette scène et
un peu. 2294. Action, les gestes. 2295. Voi. Voir la note 5 de la
page
512. 2296. Etonne. Ce verbe, qui signifie propr
tails : par exemple le dialogue si amusant de Sosie avec sa lanterne (
pages
535 et suiv.) est tout entier de son invention. —
’émeut ; terme familier (étymologie douteuse). 2309. Soi-même. Voir
page
109, note 1. 2310. Bénéfice, revenus attachés à
nesse à peindre les gens. 2313. Honnête homme. Voir la note 2 de la
page
157. 2314. Dont, ce dont. 2315. Guindé, élevé
onom personnel de lui-même, au lieu du réfléchi. Voir la note 1 de la
page
109. 2325. La chose alla. Entendez : j’allai ju
ent sa figure avant de l’avoir jamais vu. 2326. Voir la note 1 de la
page
suivante. 2327. Le Palais. La galerie du Palais
titulée la Galerie du Palais. 2328. Au Cours. Voir la note 8 de la
page
531. 2329. Aux ruelles. La ruelle du lit est le
g poème. (Art poétique, chant ii, 94.) 2338. Voir la note 1 de la
page
suivante. 2339. Le madrigal est une petite pièce
extension, pédant encrassé. 2347. Philaminte (voir la note 1 de la
page
553) assiste, avee sa fille Armande et sa belle-s
s une assez longue route. 2349. L’auteur des Satires. Boileau (voir
page
564. On sait que Boileau a plusieurs fois, dans s
poche. 2358. Je prévoi. Sur cette orthographe, voir la note 5 de la
page
512. 2359. Pour le marquis un tel, et non : pou
(1677). Il devint plus tard président à mortier (voir la note 3 de la
page
49) : il était l’ami de plusieurs des grands écri
ent le seigneur dont le poète va parler. 2386. Sur les Parques, voir
page
493, note 1. 2387. Construi. Sur cette manière
387. Construi. Sur cette manière d’écrire la première personne, voir
page
512, note 5. 2388. Appas. Dans le sens où Boile
nt du Mogol (Fables, livre XI, iv). 2392. Voi. Voir la note 5 de la
page
512. 2393. Arpent, ancienne mesure agraire de v
x donner : celui que tu me conseilles d’épouser (voir la note 1 de la
page
572). 2417. Andromaque s’est résolue à épouser P
417. Andromaque s’est résolue à épouser Pyrrhus (voir la note 1 de la
page
572) et à se tuer aussitôt après qu’elle lui aura
rien grec Appien (iie siècle après J.-C.). 2431. Se déborder. Voir
page
20, note 7. 2432. Allusion à la guerre sociale (
est un philosophe romain de l’école stoïcienne (voir la note 1 de la
page
635), dans les écrits duquel il est souvent quest
les rois, ils sont ce que nous sommes. 2470. Voir la note 1 de la
page
77. 2471. La première traduction du Paradis perd
puissance de Dieu révélée par les merveilles de l’astronomie, voyez,
page
653, un beau développement de Lamartine. 2475. C
extuellement le mot de François de Guise rapporté par Montaigne (voir
page
32, note 2). 2501. Cet agréable et satirique tab
e tend à prévaloir. La même observation s’applique au mot soupe (voir
page
604, note 3). — Le dîner, jusque dans les premièr
assion de l’argent. 2516. Soupé (substantif) : voir la note 2 de la
page
602. 2517. Du palais (de justice). Ce pédant es
erme très familier. 2519. Tailles. Sur ce mot, voir la note 1 de la
page
189. 2520. L’équivoque est ce qu’on a appelé de
re Convient à ma douleur et plait à mes regards, dit Lamartime. Voir
page
644 toute la pièce, qu’il y a lieu de comparer au
rrondi : c’est le jeu de billard que le poète décrit ici. 2537. Voir
page
602, fin de la note 2. 2538. Il n’est pas inutil
x-mêmes. 2543. Comparer la Méditation de Lamartine, l’Automne (voir
page
644). 2544. Aujourd’hui chef-lieu de canton du d
uite d’une épigramme (Épigr. descriptives, 122) de l’Anthologie (voir
page
629, note 6). Toutefois le vers 10 traduit un ver
m changée en rossignol). 2589. Dans ces lieux. Voir la note 2 de la
page
suivante. 2590. Déesse des bergers, prise ici po
du second cycle) et d’un passage de Louis Racine que nous avons cité
page
593. 2621. Enfants. Tout ce développement est m
énomène bien connu du mirage que le poète veut ici parler 2634. Voir
page
677 la notice sur Victor Hugo. 2635. Campéador,
traits des chroniqueurs français, publié par Gaston Paris et Jeanroy,
page
405, note 3.) 2639. Homme, Louis XI a été, comme
eprise touchant de la pièce d’André Chénier, la Jeune Tarentine (voir
page
629). Elle tombe, elle crie, elle est au sein des
aux vers, la doctrine même exposée par Bossuet dans ses Sermons (voir
page
96, note 1). 2683. Un général ancien. Le père d
1791, avait atteint en 1809 le grade de général (voir la note 3 de la
page
689). — Le poète place tout ce développement dans
sion à la fille et au fils ainés du poëte Léopoldine et Charles (voir
page
683, notes 1 et 5). 2685. Nue, dépouillée de to
; — Marceau sur le Rhin, 1795-1796. 2703. Sur la Marseillaise, voir
page
395, note 2. 2704. Kléber, à l’armée du nord, p
’homme, le pêcheur, le marin. 2717. Sur Roland, voir la note 3 de la
page
673. 2718. Destrier, voir la note 2 de la page
voir la note 3 de la page 673. 2718. Destrier, voir la note 2 de la
page
675. 2719. Léon, le royaume de Léon ou des Astu
eux éperons (afin de l’exciter). 2723. Roidit, voir la note 2 de la
page
300. — Sur paladin, voir la note 1 de la page 672
t, voir la note 2 de la page 300. — Sur paladin, voir la note 1 de la
page
672. 2724. Chanfrein, pièce d’armure qui couvra
). 2728. Du préfixe péjoratif mé..., et d’une forme dialectale (voir
page
104, note 2) du participe présent du verbe croire
s à la sûreté et prescrites par les règlements. 2752. Albion, voir
page
606, note 1. 2753. Laissant ne se rapporte pas
Et ramenons les bœufs chez nous. S’il me fallait, etc. 2756. Voir,
page
677, la notice sur Victor Hugo. 2757. Cette pièc
l aux dormeurs de la maison ? » 2784. Roidir. Voir la note 2 de la
page
300. 2785. Irus, personnage de fantaisie, comme
labes, contrairement à l’usage ordinaire. 2787. Voir la note 4 de la
page
556. 2788. Le duc Laërte a deux filles jumelles,
rc), bonnets de laine rouge à gland bleu. 2801. Voir la note 1 de la
page
précédente. 2802. Balbek (Héliopolis), ville de
ot « Des ailes » sert d’épigraphe au livre de Michelet l’Oiscau (voir
pages
366 et 368), 2809. Courtines, rideaux de lit.
ait demandé qu’on l’enterrât à côté de son mari (voir la note 2 de la
page
651). 2821. Devant, avant. 2822. Leurs corps
le pièce de Sully Prudhomme, insérée dans le recueil du second cycle,
page
1150. Ce noble poète, lui aussi, ramène, dit-il,
ui s’était terminé par l’acquittement d’Eschyle (voir la note 2 de la
page
précédente) celui-ci avait été défendu par Sophoc
r la notice sur Jean-Jacques Rousseau et les extraits de cet écrivain
pages
203 et suivantes. 2858. Mon mari. Tarquin Colla
905. Gérald, fils du comte Amaury, aime Berthe, fille de Roland (voir
page
673, note 3), et il en est aimé. Justement il vie
3), et il en est aimé. Justement il vient de conquérir Durandal (voir
page
697, note 2), que les Sarrasins détenaient depuis
age est d’ailleurs inconnu. 2909. Messire, monseigneur. 2910. Voir
page
674, note 5. 2911. Taillé les marbres, fendu le
de la haute noblesse en Hongrie. 2940. Steppe. Voir la note 1 de la
page
757. 2941. Turquoise, pierre précieuses de coul
la côte (littéralement de cap en cap, cabo en espagnol). 2967. Voir
page
63, notre 1. 2968. Haut est ici pris substantiv
ris, 1839-1842), et dont Littré a donné l’analyse dans le tome XXIII (
page
216) de l’Histoire littéraire de la France. L’aut
. Tant qu’il n’a pas vu le jour, on peut, à son aise, revenir sur des
pages
inédites : une fois parti, le mot ne revient plus
chera point la peau, 1377si-ce-n’est gorgée de sang. Notes.
Page
2. — 1. Ars poetica. Ce sont les premiers éditeur
rendre intelligible. — 4. Species, — imagines, en grec εἴδη, idées.
Page
4. — 1. Qui pingitur. C’était un usage chez les a
fracta te in trabe pictum Ex humero portes…. (Sat. I, v. 86 et 87.)
Page
6. — 1. Potenter, κατὰ δύναμιν. — 2. Et prœsens
de notre préférence est celui que nous avons exposé en premier lieu.
Page
8. — 1. Catonis. C’est de Caton l’Ancien qu’il es
nte, le second à Rudies, près de Tarente, et le troisième à Brindes.
Page
10. — 1. Debemur morti, nos nostraque. Considérés
ar maculis, quas aut incuria fudit, Aut humana parum cavit natura….
Page
12. — 1. Chremes, dans la pièce de Térence, intit
nent plus bas : Tua me infortunia lædent, Telephe, vel Peleu, etc.
Page
14. — 1. Si vis me flere, dolendum est, primum ip
sensibles ; il y a les larmes comiques, et celles-là nous font rire.
Page
16. — 1. Honoratum si forte reponis Achillem…. Pa
dent exactement à l’idée abstraite et générale qu’on a du caractère.
Page
18. — 1. C’est le début de l’Odyssée dans Homère.
l’idée du verbe ἔγνω : Πολλῷν δ’ἀνθρώπων ἴὸευ ἄστεα καὶ νόον ἔγνω.
Page
20. — 1. Aulœa. On appelait ainsi la toile qui se
si rapide, et pourtant si philosophique, des quatre âges de la vie.
Page
22. — 1. Dilator, spe lentus, iners, pavidusque f
φοϐητικοί, dit Aristote, meticulosi et de omnibus futuris paventes.
Page
24. — 1. Intus digna geri. La scène représentait
par un sorcier, malgré le ciel, ne plaira jamais qu’à la populace. »
Page
26. — 1. Sortilegis non discrepuit sententia Delp
se piquait pas d’être bien fervent en fait de croyances religieuses.
Page
34. — 1. Hic et in Acci nobilibus trimetris. Hic
ire V du liv. i er, où se trouve la description du voyage à Brindes.
Page
36. — 1. Successit Vetus his Comœdia. Les grammai
les Calphurnii ou Calpurnii Pisones prétendaient tirer leur origine.
Page
38. — 1. Tribus Anticyris. Il y avait, en effet,
hie historique ancienne, par F. Ansart ; Grèce septentrionale, § 737,
page
238, 3e édition.) Malgré ce renseignement positif
nateur, et qui fut, à ce que l’on pense, exclu du sénat par Auguste.
Page
42. — 1. Poteras dixisse ? — Triens… C’est le tie
e tête et une poitrine de femme, terminée par le corps d’un serpent.
Page
44. — 1. Celsi Rhamnes. Les Chevaliers dédaigneux
ait le nom d’un des trois corps de chevaliers institués par Romulus.
Page
46. — 1. Qui mullum cessat, fit Chœrilus ille…. C
n lui le désir d’en avoir. (Livre XVIII, ode ii, au prince Eugène.)
Page
48. — 1. Sardo cum melle papaver. On mêlait avec
vers 57 : Si quadringentis sex, septem millia desunt. Plebs eris….
Page
50. — 1. In Metii descendat judicis aures…. Métiu
ère jeunesse, concurremment, sans doute, avec quelques odes latines.
Page
52. — 1. Nunc satis est dixisse. Au lieu de nunc,
e est parfaitement sensible. Nunc est dans les meilleurs manuscrits.
Page
54. — 1. Ut, qui conducti plorant in funere. Allu
France, mais il s’y était maintenu jusque dans les dernières années.
Page
56 — 1. Quintilio si quid recitares. Quintilius V
oins, on croit généralement qu’elle ne fut publiée qu’après sa mort.
Page
58. — 1. Morbus regius. Ce n’est pas l’épilepsie,
servari nolit), qui réagit sur la première partie de la proposition.
Page
60. — 1. An triste bidental moverit incestus. Bin
s, ou avec le premier du vers suivant. Nous en avons cité un exemple,
page
121. Rime fausse. — C’est celle qui est formée p
ouvent dans la préface du tome Ier de ma Rhétorique appliquée, et aux
pages
1 à 17, 32, 33 et 34 2. Développements, tome Ier
quée, et aux pages 1 à 17, 32, 33 et 34 2. Développements, tome Ier,
pages
20 à 25. 3. Développements, pages 26 à 31. 4. D
t 34 2. Développements, tome Ier, pages 20 à 25. 3. Développements,
pages
26 à 31. 4. Développements, pages 32 à 43. 5. D
pages 20 à 25. 3. Développements, pages 26 à 31. 4. Développements,
pages
32 à 43. 5. Développements, pages 44 à 52. 6. D
pages 26 à 31. 4. Développements, pages 32 à 43. 5. Développements,
pages
44 à 52. 6. Développements, pages 52 à 62. 7. D
pages 32 à 43. 5. Développements, pages 44 à 52. 6. Développements,
pages
52 à 62. 7. Développements, pages 62 à 72. 8. D
pages 44 à 52. 6. Développements, pages 52 à 62. 7. Développements,
pages
62 à 72. 8. Développements, pages 73 à 78. 9. D
pages 52 à 62. 7. Développements, pages 62 à 72. 8. Développements,
pages
73 à 78. 9. Développements, pages 78 à 86. 10.
pages 62 à 72. 8. Développements, pages 73 à 78. 9. Développements,
pages
78 à 86. 10. Développements, pages 86 à 98. 11.
ages 73 à 78. 9. Développements, pages 78 à 86. 10. Développements,
pages
86 à 98. 11. Développements, pages 99 à 109. 12
ges 78 à 86. 10. Développements, pages 86 à 98. 11. Développements,
pages
99 à 109. 12. Développements, pages 110 à 120.
es 86 à 98. 11. Développements, pages 99 à 109. 12. Développements,
pages
110 à 120. 13. Développements, pages 120 à 127.
99 à 109. 12. Développements, pages 110 à 120. 13. Développements,
pages
120 à 127. 14. Développements, pages 127 à 119.
110 à 120. 13. Développements, pages 120 à 127. 14. Développements,
pages
127 à 119. 15. Développements, pages 149 à 162.
120 à 127. 14. Développements, pages 127 à 119. 15. Développements,
pages
149 à 162. 16. Développements, pages 163 à 181.
127 à 119. 15. Développements, pages 149 à 162. 16. Développements,
pages
163 à 181. 17. Développements, pages 181 à 188.
149 à 162. 16. Développements, pages 163 à 181. 17. Développements,
pages
181 à 188. 18. Développements, pages 188 à 191.
163 à 181. 17. Développements, pages 181 à 188. 18. Développements,
pages
188 à 191. 19. Développements, pages 192 à 198.
181 à 188. 18. Développements, pages 188 à 191. 19. Développements,
pages
192 à 198. 20. Développements, pages 311 à 336.
188 à 191. 19. Développements, pages 192 à 198. 20. Développements,
pages
311 à 336. 21. Développements, pages 199 à 217.
192 à 198. 20. Développements, pages 311 à 336. 21. Développements,
pages
199 à 217. 22. Voir mon Cours de style épistolai
tolaire à l’usage des demoiselles. 2 vol. in-12. 23. Développements,
pages
208 à 217. 24. Développements, pages 218 à 231.
ol. in-12. 23. Développements, pages 208 à 217. 24. Développements,
pages
218 à 231. 25. Développements, pages 231 à 261.
208 à 217. 24. Développements, pages 218 à 231. 25. Développements,
pages
231 à 261. 26. Développements, pages 261 à 266.
218 à 231. 25. Développements, pages 231 à 261. 26. Développements,
pages
261 à 266. 27. Développements, pages 266 à 277.
231 à 261. 26. Développements, pages 261 à 266. 27. Développements,
pages
266 à 277. 28. Développements, pages 277 à 298.
261 à 266. 27. Développements, pages 266 à 277. 28. Développements,
pages
277 à 298. 29. Développements, pages 298 à 314.
266 à 277. 28. Développements, pages 277 à 298. 29. Développements,
pages
298 à 314. 30. Les rhéteurs disent que l’hémist
s sur Aristote avait rendues nécessaires. Comme on le verra plus bas,
page
58, c’est à titre d’éclaircissement que j’ai cru
oëmes didactiques d’Horace et de Boileau. Il y a dans la Poétique des
pages
qui ne peuvent être utilement discutées qu’entre
tre utilement discutées qu’entre les savants de profession mais, ces
pages
mises à part, combien il en reste d’excellentes p
e et précis. 3. Ces accents rappellent par leur simplicité certaines
pages
de Jocelyn. 4. Ces vers réjouissent l’œil. Un co
un poëte comme lui. 1. Béni soit le bouvreuil ! 2. Comparez cette
page
de Xavier de Maistre pleurant la mort d’un ami :
au brille et se détache, comme une vignette en miniature au bas d’une
page
de Buffon. On y sent la plainte secrète du Breton
te des ouvriers, M. Saint-René Taillandier, qui venait de citer cette
page
, ajoutait : « Quel est l’auteur de ces beaux vers
u’il est exposé. Guyet. Lettres → Préceptes du genre, tome 1er,
page
199. § I. Lettres de Compliments. → Précepte
§ I. Lettres de Compliments. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
203. Compositions. N° 11 Au nom d’une mère,
II. Lettres de Félicitations. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
205. N° 4. — Une mère à sa fille La mère fél
III. Lettres de Condoléances. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
207. N° 7. — A une dame veuve Une dame perdi
§ IV. Lettres de Demandes. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
208. N° 10. — A un ami. Un officier d’artill
§ V. Lettres de Remerciements. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
210. N° 15. — A M. le duc de Noailles. Je vi
. § VI. Lettres d’Excuses. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
211. N° 16. - Racine à sa cousine Il voulait
§ VII. Lettres de Nouvelles. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
212. N° 19. — A Mme de Grignan. Mandez-lui l
I. Lettres de Recommandations. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
213. N° 21. — Voiture à M. le président de Mais
ère. Lettres de Reproches. → Préceptes particuliers, tome 1er,
page
215. N° 27. — Saint Ambroise à l’empereur Théod
Reprochez-lui ses torts. Décompositions. → Modèles, tome 1er,
page
216. N° 30. — Voiture au prince de Condé. Mo
gue votre analyse. Définitions → Préceptes du genre, tome 1er
page
219. COMPOSITIONS. N° 34. — L’Esprit Qu’est-
x états de la société à faire. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome ler,
page
222. N° 42. — Le Héros. Est-on héros pour
laire. Portraits et caractères → Préceptes du genre, tome 1er,
page
223, COMPOSITIONS N° 44 — Le Coq. Le coq est
ous un peu de mauvaise humeur. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er,
page
226. N° 55. — Le Cheval. C’est Dieu qui pa
qualités du chien. Parallèles → Préceptes du genre, tome 1er,
page
229. COMPOSITIONS. N° 59. — Le Riche et le Pauv
chrétien que vous ferez parler, DÉCOMPOSITION. Le modèle, tome 1er,
page
230. N° 63. — Turenne et condé. Ç’a été, da
-il digne d’éloges ? Dialogues → Préceptes du genre, tome 1er,
page
251. COMPOSITIONS. N° 64 — Le connétable de Bou
nte de la part de M. Dimanche. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er,
page
255. N° 70. — Dieu et Abraham Note. Le Sei
et un dénouement ? Allégories → Préceptes du genre, tome 1er,
page
242. COMPOSITIONS. N° 72. — Le Tigre. Je va
agination. C’est la matière de plusieurs volumes. N’employez que deux
pages
. N° 75. — Le chasseur Un chasseur est renco
légorie. Cette cuve, c’est Paris. DÉCOMPOSITIONS → Modèles, tome 1er,
page
245. N° 85. L’Ange mystérieux Au milieu du
et simple. Fables et apologues → Précepte du genre, tome 1er,
page
246. COMPOSITIONS. N° 87. — La Goutte d’eau et
tieux et contiendra la morale. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er,
page
249. N° 98. — Les Animaux malades de la peste
gnes. Tableaux et descriptions → Préceptes du genre, tome 1er,
page
255. COMPOSITIONS. N° 100. — Le Déluge Tous
ouement. Narrations historiques. → Préceptes du genre, tome 1er,
page
261. COMPOSITIONS. NOTE. Les canevas des narratio
femme — … Narrations poétiques → Préceptes du genre, tome 1er,
page
265. COMPOSITIONS N°150. — L’Ange exilé Exp
diction — … Narrations badines → Préceptes du genre, tome 1er,
page
265. COMPOSITIONS Note. Les canevas des narratio
n pèlerinage. Narrations mixtes →Préceptes du genre, tome 1er,
page
266. COMPOSITIONS. N° 184. — L’hôpital Auffrédi
oésie. Narrations épistolaires → Préceptes du genre, tome 1er,
page
269. COMPOSITIONS N° 204. — L’Hospitalité Calab
ionné — … Narrations. Légendes → Préceptes du genre, tome 1er,
page
270. COMPOSITIONS N° 212. — La Couronne de Mari
ent au-dessus de l’échafaud. DÉCOMPOSITIONS. → Le modèle, tome 1er,
page
273. N° 222. — Mort de Polyphonte La victi
pe. Exhortations et harangues → Préceptes du genre, tome 1er,
page
298. COMPOSITIONS N° 224. — Fénelon au Duc de B
il doit voir une telle cruauté. DÉCOMPOSITIONS. →Le modèle, tome 1er,
page
502. N° 242. — Lusignan à sa Fille Lusignan
anecdote. Narrations oratoires → Préceptes du genre, tome 1er,
page
306. COMPOSITIONS N° 244. — Bataille de Rocroi
te ce grand prince. Plaidoyers → Préceptes du genre, tome 1er,
page
215. COMPOSITIONS Note. Une famille opulente viv
nne propre. Versification → Les préceptes du genre, tome 1er,
page
537. COMPOSITIONS N° 252. — Le Temple Quan
ié ! Passion du sage, idole d’un cœur juste, que ton nom couronne ces
pages
; il règne en souverain dans mon cœur, qu’il prés
ans déguisement. Pour moi, je pleurais de joie, lorsque je lisais ces
pages
; je ne passais point de nuit sans parler à Alcib
tion stérile, enlevé au seuil de la maturité, et déposant dans chaque
page
qu’il écrit sa protestation contre la fortune, il
3. Ceci est déjà du Rousseau. 4. Rapprochez de ces accents quelques
pages
des Confessions de J. J. Rousseau et des Mémoires
thique aux Ménalques ; voulez-vous voir son idéal secret, lisez cette
page
: « Quand je trouve dans un ouvrage une grande i
térieur qui s’appelle la conscience et la raison humaine. Aussi cette
page
paraît-elle une nouveauté piquante. Voilà pourquo
yage de vacances philosophiques. 4. Notons l’aveu. 5. Lisez cette
page
de Voltaire raconiant son voyage à Berlin : « Bie
de l’âme intérieure qui donne aux objets leur physionomie. 2. Cette
page
termine une lettre adressée à M. le prince de la
nature semble être une médiatrice entre l’âme et Dieu. Il y a là des
pages
qui rappellent Poussin et Lucrèce, mais un Lucrèc
ue. L’épisode auquel appartiennent ces vers est emprunté à une triste
page
de l’Histoire contemporaine, celle qui raconte le
1815, défendent leurs foyers et leurs familles contre l’étranger. Ces
pages
, vraiment patriotiques, sont de celles qui honore
’il sorte de lui-même, pour se distraire. 4. Il y a dans toute cette
page
une tristesse éloquente, celle d’un penseur qui c
bien il est plus vraisemblable que… 8. Il y a dans Pascal plus d’une
page
qu’on ne peut lire sans éprouver comme une sorte
é se ressemblent. 3. Comparez un passage de Fléchier. (Même recueil,
page
138.) 4. En peine de, c’est-à-dire embarrassés
ommerce, on la met le plus ordinairement en haut. Vers le quart de la
page
, à partir du haut, on écrit seuls sur la ligne le
le respect qu’on doit à la dignité. On doit aussi, au bas de la même
page
, laisser un intervalle convenable, et, au revers,
n peu au-dessous ; et puis, en descendant toujours vers le coin de la
page
, on met : Votre très humble et très obéissant ser
nt, et Leibniz, dès 1704, en résume presque toute l’histoire dans une
page
qui atteint à la clairvoyance d’une prophétie7. T
qu’avait éprouvée le génie simple et libre de notre langue19. » Cette
page
nous avertirait au besoin que dans ce tableau c’e
e Gueneau de Montbelliard, il suffit de rappeler que plusieurs de ses
pages
furent confondues par le public avec celles de so
champêtre, qui repose. Enfin, dans la critique littéraire, malgré les
pages
supérieures de Voltaire et de Vauvenargues, le di
is par la polémique, chacun vivant au jour le jour et improvisant des
pages
fugitives, que dictait la circonstance ou l’intér
hétiqne de Hégel, elle n’a pas laissé d’enrichir notre littérature de
pages
brillantes et fines : les noms de Raoul-Rochette,
t les lois qui ne sont que des faits généralisés. » M. Caro, dans une
page
pleine de gravité, a montré avec force ce que pro
1-1741.) Nous ne saurions mieux ouvrir ce recueil que par quelques
pages
empruntées à Rollin, au plus éclairé et au plus a
détachées de Montesquieu, il faut compter au nombre de ses meilleurs
pages
le Dialogue de Sylla et d’Eucrate et Lysimaque. L
table de ses œuvres que nous voulons nous arrêter, c’est-à-dire à ces
pages
de causeries qui ont véritablement, selon Sainte-
orrespondance inédite avec le marquis de Mirabeau ont ajouté quelques
pages
rares à l’œuvre littéraire de Vauvenargues. ‘ La
chis, Vauvenargues cependant a laissé, comme critique littéraire, des
pages
qui, on en jugera, méritent d’être placées à côté
n succès, d’autres causes en justifient la durée. Il y avait dans ces
pages
un sentiment vrai et profond de la nature, de ses
dans l’histoire littéraire. Il était resté cependant de lui quelques
pages
supérieures qui méritaient de survivre. Sainte-Be
liberté sereine du jugement fût déjà possible ; mais ce qui dans les
pages
du comte de Maistre avait frappé l’attention publ
l, tourmenté par la maudite ambition de mettre tout un livre dans une
page
, toute une page dans une phrase, et cette phrase
la maudite ambition de mettre tout un livre dans une page, toute une
page
dans une phrase, et cette phrase dans un mot, c’e
ensées, où il a atteint son but : « être ingénieux et sensé, » et ces
pages
trop rares ont suffi cependant pour lui assurer u
Syrie et de la Judée, les vues du désert et de la mer Morte, sont des
pages
qui vivront autant que la langue française. Dans
moi de quelque explication. « C’est, répondit-il, un écrit de peu de
pages
comme le vôtre, d’une feuille ou deux seulement.
12 septembre 1874, au Val-Richer, en dictant à sa fille les dernières
pages
du quatrième volume de l’Histoire de France racon
ésigner ainsi Guéneau de Montbéliard446, mort trop jeune, et dont les
pages
brillantes furent confondues par le public avec c
e plus que de la science, mais desquels il est facile de détacher des
pages
pleines de sensibilité, d’éclat ou de grâce513.
ans l’histoire de l’opposition libérale. Plus tard, en réunissant ces
pages
dans les Souvenirs et Réflexions politiques d’un
les œuvres d’un écrivain, il va droit à la citation expressive, à la
page
où l’homme s’est trahi et peint lui-même sans y p
s volumes de Mélanges historiques et littéraires, où il n’est pas une
page
, on peut le dire, qui ne soit lue sans plaisir et
premiers excès qui la souillèrent, il rompit le silence, et, dans des
pages
où parfois semble revivre la tristesse éloquente
morts avec leurs équipages ! L’ouragan de leur vie a pris toutes les
pages
, Et d’un souffle il a tout dispersé sur les flots
. Chez ceux, en effet, que nous présentons groupés dans ces dernières
pages
, c’est l’inspiration patriotique qui nous touche
Eugène Manuel, dans plusieurs recueils très justement remarqués, les
Pages
intimes, les Poèmes populaires, dans le drame des
23. Sainte-Beuve, Premiers Lundis, tome III : Origines de la Langue,
pages
105 et suivantes. 24. Villemain, Tableau de la L
ne a donné une édition des Œuvres de Rollin. On lira avec intérêt les
pages
que lui a consacrées M. Patin dans ses Mélanges d
on inextinguible de Saint-Simon. » Voir Causeries du lundi, tome III,
page
288. 104. Henri de Joyeuse, né en 1567, mort en
bâtards de Louis XIV à leur simple rang de pairs, il faut lire cette
page
étonnante et voir tous ces nuages d’un brun sombr
Faugère, à la fin du tome II des Écrits inédits de Saint-Simon. Voir
page
484 et suivantes. C’est une ébauche rapide, mais
r à ce sujet Bourdaloue, sa prédication et son temps, par A. Feugère,
page
492 et suivantes. 127. Familiarités particulièr
lus en penseur. » Voir Histoire de la Littérature française, tome IV,
page
71 et suivantes. 140. On peut appliquer ici à Mo
1 » de l’Histoire de la Littérature française de M. Nisard (tome IV,
page
78 et suivantes, et page 357 et suivantes). Saint
Littérature française de M. Nisard (tome IV, page 78 et suivantes, et
page
357 et suivantes). Sainte-Beuve a consacré à Volt
d’hui Dniéper. 176. A propos de ce chapitre, on pourra lire quelques
pages
piquantes de Sainte-Beuve sur « les vicissitudes
Saint-Simon et Saint-Simon lui-même. Voir particulièrement le tome I,
pages
184 et 224 de l’édition de Saint-Simon dans les G
avec le morceau de Rollin sur le même sujet et donné dans ce volume,
page
5. 189. Les réflexions fines et justes de Voltai
opéra comique et du vaudeville dramatique qui l’a précédé, » tome IX,
page
217. 197. Sainte-Beuve a repris à son compte que
e marcher à quatre pattes. » — Cet éloge des lettres rappelle une des
pages
les plus brillantes de Prévost-Paradol : « Salut,
ue vous avez trompé ! » 206. Discours sur les Révolutions du Globe,
page
17, édition Didot. 207. Essais, livre II, chapi
douter que Buffon n’ait ici en vue J. J. Rousseau. Nous avons donné,
page
83, une lettre de Voltaire qui touche à la même q
eint et corrige sa thèse. Voir sa réponse au roi de Pologne, tome XV,
page
181 (édit. de 1790). Saint-Marc Girardin a très b
, c’est tout un, et qu’il n’y a pas lieu de les distinguer. 220. Ces
pages
de Buffon offrent le modèle d’une discussion bien
du Discours sur le Style. Si l’on voulait renouveler l’intérêt de la
page
que nous détachons, on pourrait chercher à quels
ter la verve, exclure la peinture à fresque, aussi charmante dans les
pages
d’un livre que sur les murs d’une coupole. » 227
series du Lundi, de Sainte-Beuve, tomes II, III et XV. 230. Dans ces
pages
Rousseau s’est particulièrement inspiré de Montai
omi quem pertæsum est, subitoque revertit, etc. On relira aussi les
pages
célèbres de Pascal sur le Divertissement (Pensées
ot avait écrit sur Vernet dans le Salon de 1763 (éd. Assézat, tome X,
page
200). 263. L’édition la plus complète des œuvres
mais sa volonté perverse. Le tort de Vauuvenargues, dans cette belle
page
, est de paraître trop resserrer le libre arbitre,
ptième siècle. 268. Fénelon. 269. Rapprocher de ce morceau quelques
pages
de M. D. Nisard au tome Ier des Études sur les Po
Nisard au tome Ier des Études sur les Poètes latins de la décadence,
page
37 et suivantes, et particulièrement le développe
dans leur petitesse que les autres par leur étendue. » 300. « Cette
page
, dit Sainte-Beuve, est, à l’avance, du pur et du
divers rangs de broches.« (Dict. de l’Art épistolaire, par Dézobry,
page
999.) 314. Le service du gobelet du roi se compo
t étendu sur la place il le couche. 318. Hegel a, sur ce point, une
page
curieuse et fine que l’on peut lire dans son Esth
age curieuse et fine que l’on peut lire dans son Esthétique, tome II,
page
139 de la traduction française (2e édit.) de M. C
C’est là une de ces questions qui ne reçoivent jamais de solution. La
page
de Rivarol est spirituelle et contestable. Une re
is l’expression ne laisse pas d’être obscure. 321. Comparez à cette
page
de Rivarol les vers d’un écrivain contemporain (M
irrévocable de l’espèce humaine. » Voir Lettres et Opuscules, tome I,
page
54. 323. La principale objection faite à J. de M
es ou excessifs, il y a une leçon à recueillir de la lecture de cette
page
. C’est que les étrangers ont souvent mieux parlé
nversation de Gœthe, citée par Sainte-Beuve, Nouveaux Lundis, tome X,
page
14. 333. C’est là un mot remarquable, surtout qu
mpossible à rétablir que les murs de Babylone (Corr. Diplom., tome I,
page
230). Consulté en 1804 sur un projet d’adresse qu
un moment que nous sommes en 1804, l’ouvrage serait manqué. » (Ibid.,
page
129.) 334. J. de Maistre adresse ce discours à l
ne source, le goût a le droit d’être quelque peu surpris. 348. Cette
page
, au besoin, nous avertirait que Chateaubriand ava
ion entre Bernardin de Saint-Pierre et Chateaubriand, lire encore une
page
de Sainte-Beuve, au tome VI des Causeries du Lund
de rapprochements trop faciles et trop nombreux, relisez, après cette
page
de Mme de Staël, les fines observations de La Bru
aud. Voir le 2e et le 3e volume (1876). 438. On reconnaît dans cette
page
la pensée qui avait inspiré l’ouvrage de madame d
nus exstruxerit. » 444. Il serait intéressant de rapprocher de cette
page
ce que Villemain dit encore de Bossuet dans son E
s ses modes d’expression. 457. Sur ce même sujet, on pourra lire des
pages
fines et élevées dans le livre de M. Caro : Probl
élevées dans le livre de M. Caro : Problèmes de Morale sociale. Voir
page
391 et suivantes. 458. La 10e leçon du même ouvr
fait la nature Sur la foi de son Dieu. On pourra rapprocher de cette
page
le Discours prononcé par Jouffroy à la distributi
t de l’Empire, par la librairie L’heureux, en 20 vol. in-8°. 501. La
page
est essentielle à connaître : « C’est cette quali
u’il faut ici relever. On pourrait établir un rapprochement entre ces
pages
de l’historien français et le passage des Alpes p
frères ; les Lettres à des Jeunes gens, chez J. Gervais. 534. Cette
page
rappelle une des plus célèbres conversations de N
se chez Homère et chez Hésiode. » 540. Il faudra rapprocher de cette
page
un article de Sainte-Beuve intitulé : Qu’est-ce q
lemain dans le Tableau de l’Eloquence chrétienne au quatrième siècle,
page
155 et suiv. 542. Sainte-Beuve avait écrit un pr
Voyages de M. Nisard (1881). 548. Préface des Souvenirs de Voyages,
page
xlv. 549. Causeries du Lundi, tome XV. 550.
érature française, chez Firmin Didot. 552. Il y aurait bien d’autres
pages
charmantes à détacher de ces Souvenirs de Voyages
éclat d’expressions, une poésie même d’imagination, qui donnent à ces
pages
un véritable caractère de beauté durable. 553.
bler quand Le Kain le prononçait : tout se réunit pour donner à cette
page
une grande beauté dramatique. Ajoutons que la ver
rature de La Harpe une analyse étendue de la pièce d’Alzire (tome VI,
page
79 et suiv.) Le critique a défendu le dénouement
n Essai sur les Moralistes français, Prévost-Paradol a écrit quelques
pages
remarquables sur le sentiment de la tristesse. No
e M. Saint-René Taillandier intitulé Études littéraires (Pion. 1881),
page
279 et suivantes. La lettre de Voltaire et les be
s l’Éden leur chemin solitaire. » 757. Revoir, dans le même volume,
page
288, le morceau de Jouffroy sur le problème de la
cité dans le livre de M. Legouvé : La Lecture en action. On trouvera,
page
259 et suivantes, des réflexions délicates sur la
le que Shakespeare lui donne dans le’ Songe d’une Nuit d’Été quelques
pages
de M. A. Mézières dans le livre : Shakespeare, se
A. Mézières dans le livre : Shakespeare, ses Œuvres et ses Critiques,
page
524 et suivantes (3e édit., 1882). 795. « Bonapa
mots, l’essaim blanc des idées… 800. Doudan (Pensées et Fragments,
page
14) écrivait : « L’amour maternel dans Notre-Dame
m. 813. Études littéraires, La Renaissance de la Poésie provençale,
page
202. 814. Les œuvres de Brizeux ont été éditées
stoire de la Réunion de la Bretagne à la France, par M. Dupuy (1880),
pages
353 et suivantes, d’intéressants détails sur cett
abandonné par tous les passagers. « Que s’il y peut demeurer un seul
page
, et, que plus est, le chien, chat ou coq du navir
ge de la mort se présente souvent dans les poèmes de Brizeux. Une des
pages
les plus citées est celle où le poète accompagne
a prière ? 839. On ne saurait citer dans la poésie contemporaine une
page
plus belle-Quelle souplesse, et en même temps que
a peinture des choses et l’expression des sentiments humains. Voir la
page
de Saint-Marc Girardin citée dans ce même volume,
er Morte. Les vers d’Autran paraissent lui avoir été inspirés par les
pages
de Chateaubriand. 851. « Le flot chargé de sel r
ues-unes de leurs opinions sont rapportées par Chateaubriand dans les
pages
citées plus haut. 853. « Strabon parle de treize
aroles, il s’agit de ne rien dire qui soit superflu. Un récit de deux
pages
est court, s’il ne contient que ce qui est nécess
orrespond à la cinquième leçon relative aux arguments. (Voir leçon V,
page
23.) 2. Objet de la confirmation. — La Confirmat
que se place d’une façon profitable l’emploi des lieux communs. (Voir
page
32.) De même qu’il faut un apprentissage, une étu
ites toujours fixes et déterminées. Telle fable de La Fontaine, telle
page
de Bossuet ou de Racine nous les présente tous le
is. 2. Modèle de développement historique. — Voici, par exemple, une
page
de M. Guizot où l’élévation du style est digne de
QUE. 1. Voir Morceaux choisis des Classiques français, 3e année,
page
465. 2. Voir Morceaux choisis des Classiques fra
élémentaire, 3e édition, p.164. 5. Voir Morceaux choisis, 2e année,
page
94. 6. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 474
eaux choisis, 2e année, page 94. 6. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
474. 7. Voir ive leçon, page 17. 8. Voir Morce
. 6. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 474. 7. Voir ive leçon,
page
17. 8. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 103
4. 7. Voir ive leçon, page 17. 8. Voir Morceaux choisis, 2e année,
page
103. 9. Voir page 77. 10. Voir page 164. 11. V
çon, page 17. 8. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 103. 9. Voir
page
77. 10. Voir page 164. 11. VoirMorceaux choisis
oir Morceaux choisis, 2e année, page 103. 9. Voir page 77. 10. Voir
page
164. 11. VoirMorceaux choisis, 2e année, page 5.
oir page 77. 10. Voir page 164. 11. VoirMorceaux choisis, 2e année,
page
5. 12. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 32.
eaux choisis, 2e année, page 5. 12. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
32. 13. Voir mon Précis de Philosophie élémentai
, 3e année, page 32. 13. Voir mon Précis de Philosophie élémentaire,
page
207. 14. Voir mon Précis de philosophie élémenta
émentaire, page 207. 14. Voir mon Précis de philosophie élémentaire,
page
282. 15. V. Morceaux choisis, 3e année, page 169
hilosophie élémentaire, page 282. 15. V. Morceaux choisis, 3e année,
page
169. 16. Voir Leçon XXXV, page 239. 17. Voir Mo
. 15. V. Morceaux choisis, 3e année, page 169. 16. Voir Leçon XXXV,
page
239. 17. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 2
16. Voir Leçon XXXV, page 239. 17. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
23. 18. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 30
aux choisis, 3e année, page 23. 18. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
300. 19. V. Morceaux choisis, 2e année, p. 103.
nnée, page 300. 19. V. Morceaux choisis, 2e année, p. 103. 20. Voir
page
75. 21. Voir Morceaux choisis3e année page 210
année, p. 103. 20. Voir page 75. 21. Voir Morceaux choisis3e année
page
210 22. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 28
rceaux choisis3e année page 210 22. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
287. 23. Voir page 49. 24. Voir Morceaux choisi
ée page 210 22. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 287. 23. Voir
page
49. 24. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 26
e, page 287. 23. Voir page 49. 24. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
267. 25. Voir page 104. 26. Voir page 89. 27.
ir page 49. 24. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 267. 25. Voir
page
104. 26. Voir page 89. 27. Voir Morceaux choisi
r Morceaux choisis, 3e année, page 267. 25. Voir page 104. 26. Voir
page
89. 27. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 2
ir page 104. 26. Voir page 89. 27. Voir Morceaux choisis, 2e année,
pages
27 et suiv. ; 3e année, pages 33 et suiv. 28. Co
. 27. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 27 et suiv. ; 3e année,
pages
33 et suiv. 28. Comparez un beau portrait tracé
portrait tracé par M. de Sainte-Autaire. Morceaux choisis, 3e année,
page
208. 29. Voir pages 104, 164 et Morceaux choisis
M. de Sainte-Autaire. Morceaux choisis, 3e année, page 208. 29. Voir
pages
104, 164 et Morceaux choisis, 3e année, page 327.
ée, page 208. 29. Voir pages 104, 164 et Morceaux choisis, 3e année,
page
327. 30. Voir 7e leçon, page 37, et 18e leçon, p
104, 164 et Morceaux choisis, 3e année, page 327. 30. Voir 7e leçon,
page
37, et 18e leçon, page 104. 31. Voir Morceaux ch
oisis, 3e année, page 327. 30. Voir 7e leçon, page 37, et 18e leçon,
page
104. 31. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 2
age 37, et 18e leçon, page 104. 31. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
233. 32. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 2
ux choisis, 3e année, page 233. 32. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
243. 33. Voir Morceaux choisis, 3e année., page
x choisis, 3e année, page 243. 33. Voir Morceaux choisis, 3e année.,
page
23. 34. Voir plus haut, leçon XXVI, page 151. 3
orceaux choisis, 3e année., page 23. 34. Voir plus haut, leçon XXVI,
page
151. 35. Voyez Morceaux choisis, 2e année, page
us haut, leçon XXVI, page 151. 35. Voyez Morceaux choisis, 2e année,
page
101. 36. Voyez Morceaux choisis, 3e année, p.143
sis, 3e année, p.143, 145, 150. 37. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
3. 38. Voir Leçon XXIV, page 137. 39. Voyez Mor
. 37. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 3. 38. Voir Leçon XXIV,
page
137. 39. Voyez Morceaux choisis. 6e année, pages
38. Voir Leçon XXIV, page 137. 39. Voyez Morceaux choisis. 6e année,
pages
38, 128. 3e année, page 223. 40. Voir Morceaux c
137. 39. Voyez Morceaux choisis. 6e année, pages 38, 128. 3e année,
page
223. 40. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages
es 38, 128. 3e année, page 223. 40. Voir Morceaux choisis, 2e année,
pages
13, 14, 17. – 3e année, page 23 et suivantes. 4
. 40. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 13, 14, 17. – 3e année,
page
23 et suivantes. 41. Voir Leçon IX, page 50. 4
es 13, 14, 17. – 3e année, page 23 et suivantes. 41. Voir Leçon IX,
page
50. 42. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 25
. 41. Voir Leçon IX, page 50. 42. Voir Morceaux choisis, 3e année,
page
253 et suiv. 43. Voir Leçon XVI, page 92. 44. V
ir Morceaux choisis, 3e année, page 253 et suiv. 43. Voir Leçon XVI,
page
92. 44. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 10
. 43. Voir Leçon XVI, page 92. 44. Voir Morceaux choisis, 2e année,
page
106 ; 3° année, page 191
, page 92. 44. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 106 ; 3° année,
page
191
, on la place ordinairement au haut de la lettre. Vers le quart de la
page
, à commencer en haut, on écrit le mot Monseigneur
u’on appelle donner la ligne. On doit laisser aussi au bas de la même
page
un espace un peu considérable, et, au revers, com
t avoir soin de le répéter le plutôt qu’on peut, quand on a tourné la
page
. On finit tout uniment une lettre par ces mots qu
us ; et puis, en s’écartant et descendant toujours vers le coin de la
page
, on met, votre très humble et très obéissant serv
et spirituel. 1. On peut comparer Bossuet (Même recueil), et cette
page
de M. Jouffroy : « Qu’importe aux autres et à no
e des conseils donnés sous forme de causerie. 2. L’éloquence de ces
pages
est une sorte de mépris irrité contre le vice que
ins, il fut effrayé de son naturel bouillant et rebelle : toute cette
page
est un portrait du jeune prince, dont il devait d
2. Il y a du sourire dans ces rudes vérités. Fénelon fit lire cette
page
à son élève ; c’était lui présenter un miroir. 3
ment rappelés ici ; mais des yeux exercés les y retrouveront à chaque
page
, et c’est surtout ce que je me suis proposé. Voil
eur a point échappé ; c’est qu’ils ont retrouvé, sans doute, à chaque
page
, à chaque ligne de ce Cours, l’intention bien pro
, et cependant si plein de minutieux détails, qu’il faudrait bien des
pages
pour le commenter, si je ne me bornais aux explic
dans les écoles grecques depuis Aristote, et qu’on retrouve à chaque
page
des commentaires Alexandrins extraits par le scho
tulé « de la Conversation », et que nous avons donné dans ce recueil,
page
16. 1. Cette reine de Palmyre, veuve d’Odénat, s
des contrastes dans le style ». 2. M. Helleu, dans l’édition citée,
page
90, rapproche judicieusement ce célèbre passage d
y dans ce volume le morceau de Retz, intitulé : Une sédition à Paris,
page
25. 4. Pour coalition. 5. Ou le Diable. Fils d
omme ce maître de notre théâtre, il nous a laissé aussi d’excellentes
pages
de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le
u les exemplaires qu’il en avait ; ils sont notés de sa main à chaque
page
, et j’ai pris garde que la plupart de ses notes é
pitre de Boileau (Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième,
page
135). 4. C’est-à-dire le roi de Perse, aujourd’h
minuit à Londres, le dernier jour du dix-huitième siècle. — Dernière
page
du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand
e page du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand.) 3. Cette
page
fut écrite à l’époque où une crise morale le rame
mer la cantate en romance, est une pure invention du poëte. Voici une
page
de M. Michelet sur le Rossignol : (L’Oiseau.) Ar
é même. On peut affirmer qu’il collabora indirectement aux meilleures
pages
du Génie du christianisme. (M. Sainte-Beuve.) 2.
. » 1. Joubert n’aurait-il pas fait son oraison funèbre dans cette
page
que je détache de ses pensées ? « Il est des esp
écrit avec une simplicité touchante par son parent M. de Raynal. Ces
pages
qui donnent du prix aux moindres détails nous fon
on a pour principal appui le témoignage d’Aristote lui-même, dans une
page
de sa Politique qu’on trouve ici réimprimée à la
e de même Mme Dacier, dans la Préface de sa traduction de l’Odyssée,
page
28, éd. de 1716. Mais Aristote fait précisément h
ervira d’avoir tant écrit dans ce livre, d’en avoir rempli toutes les
pages
de beaux caractères, puisqu’enfin une seule ratur
de l’éloquence, que l’orateur qui aurait profondément senti une seule
page
de ces discours. Peut-être le zèle pour la gloire
pour l’esprit peu étendu, mais sage de sir Arthur Wellesley1. Une
page
de nos révolutions Je suis ici, je le sais, n
mie.) 1. Par exemple aussi, le lavis, le lever des plans. 1. Cette
page
m’en rappelle une autre du prince de Ligne, sur l
t profonde raison que le titre de dieu des armées brille à toutes les
pages
de l’Écriture sainte. Coupables mortels, et malhe
e de Balzac, L’homme s’agite et Dieu le mène, p. 9 de ce recueil. Ces
pages
écrites en 1794, au milieu de l’anarchie et des r
. 3. Rapprochons de ce témoignage rendu par un étranger cette belle
page
de M. Victor Hugo sur le rôle de la France dans l
assez dire qu’il y a en lui l’étoffe d’un moraliste. Plusieurs de ses
pages
ont l’onction de Fénelon ou la gravité de Nicole.
fraîcheur, au contentement qui pénètre l’âme à la lecture des divines
pages
de Platon. Les Lois de Platon ! je les ai relues
ucoup d’urbanité dans cette réserve. 2. Peut-être est poli. 1. Ces
pages
sont tirées du Discours préliminaire qui ouvre av
ui a été dit sur la clarté de la phrase, dans les leçons précédentes,
page
1 [Première partie, chapitre I, section I]. La cl
ticle intitulé : Précision, dans les qualités générales de la phrase,
page
14 de ce volume. Caractère des sept Rois de Rome.
actions des sept premiers rois de Rome. On remarquera que dans cette
page
, il n’y a ni expression ni phrase inutile : chaqu
n que l’auteur met en scène avec Maître Jacques. On pourra lire cette
page
dans le deuxième volume. Lecture. — Maître Jacqu
titulé : Causes de la décadence de l’empire romain, nous présente une
page
où sont réunies ces différentes qualités. C’est u
onie, l’une des plus agréables qualités du style, nous renvoyons à la
page
17 [Première partie, chapitre I, section IV]. Nou
un fat s’applaudir d’un ouvrage Où la droite raison trébuche à chaque
page
, Ne s’écrie aussitôt : L’impertinent auteur ! L’e
eau vanter le roi dans vos ouvrages Et de ce nom sacré sanctifier vos
pages
: Qui méprise Cotin n’estime point son roi, Et n’
— Il est seulement fâcheux que cette expression soit répétée dans la
page
suivante. 4. Ici on signalera, pour parler la la
la popularité va de préférence aux œuvres de théâtre ; car ses autres
pages
ne sont pas moins dignes d’attention. Il rappelle
ns parfois, de nous-même étonnés, Que, d’instant en instant, quelques
pages
froissées ; Ou l’insensible bruit des plumes empr
ou de plaisir qu’il en peut tirer. Peintre d’animaux, il a tracé des
pages
accomplies. Marqués dans toute sa personne, l’élé
vante essayé par Camper et Blumenbach, accompli par Cuvier. 1. Cette
page
justifie par son air grandiose ce mot appliqué à
eaux qu’il n’a pas vus. 1. Le même sentiment se retrouve dans cette
page
de Lacordaire : « Souvent, dans ma jeunesse, j’a
ne ses pensées est trop voyant et trop fastueux. 2. Voici une belle
page
contre la guerre écrite par Jean Bodin (1530-1596
une fois la lecture commencée, on ne pût la quitter qu’à la dernière
page
. Distribuaient-ils leur récit en feuilletons, une
a composition littéraire, M. Francis Wey, a consacré plus de soixante
pages
de son livre aux préceptes sur le choix du sujet,
locuteurs opposés de sentiment comme d’intérêts ; le romancier, d’une
page
à l’autre, peint avec une égale énergie deux pass
onnables sont excellentes ici. Parcourez de ce point de vue certaines
pages
de la Fontaine, de madame de Sévigné, de J. J. Ro
plus longues ; le roman ne se dit que de celles-ci. Un conte de trois
pages
ne s’appellera jamais un roman ; tandis qu’un rom
Donnons ici, comme un modèle de l’art de faire ces petits récits, la
page
que La Harpe consacre au mesmérisme dans sa Corre
ndeur a de vains équipages, D’habillements de pourpre, et de suite de
pages
, Quand le terme est échu, n’allonge point nos jou
ngés des vers. 6. Nos affections, nos amitiés. 1. Comparez cette
page
de Xavier de Maistre : « J’avais un ami ; la mort
dire qu’il ne suffit plus à notre goût littéraire ; car en lisant ces
pages
, où apparaît comme un revenant habillé à la mode
de rhéteur. En revanche, notre plus vif plaisir a été de signaler les
pages
où l’homme se montre sous l’écrivain, où le style
connaisseur. Et pourtant, quoique nous ayons disséminé au bas de nos
pages
beaucoup de citations ou de remarques dont la nou
fervent gardien de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière
page
de sa belle histoire littéraire : « Les soixante
e la circonspection qui nous a constamment inspiré, dans le choix des
pages
que nous soumettons au jugement bienveillant de n
urs de notre recueil comprennent bien cette leçon écrite à toutes ses
pages
, à savoir que le goût et la conscience se confond
Henri IV 1853-1610 Il nous paraît intéressant d’ajouter à ces
pages
où parle Louis XIV quelques extraits empruntés au
la société qu’il éblouit sans la rendre meilleure. En condamnant les
pages
où il fit de son génie un emploi pernicieux, nous
mière indienne (1791) et les Harmonies de la nature (1796) mêlent aux
pages
les plus riantes la fadeur d’un ton trop sentimen
is, tes occupations et tes désirs ; avec cela, on peut remplir quatre
pages
. Pour moi, il me suffit de quatre mots, en suivan
’elles viennent fermer pour moi le livre de la Poésie et m’ouvrir les
pages
de l’histoire. J’ai consacré l’âge des illusions
s mots faits pour électriser la valeur française. Dans ces glorieuses
pages
de notre histoire, il a toujours l’à-propos grand
st à ce titre qu’il a prononcé de nombreux éloges, qui sont autant de
pages
accomplies. L’histoire est chez lui une science e
ttendre et désirer leurs œuvres, les polir à loisir, et compter leurs
pages
, comme d’autres comptent leurs volumes. Il est le
usqu’à la curiosité, et s’il entrevoit du coin de l’œil, à côté de la
page
prescrite parle programme, quelque chose dont la
a tracé le plan, lié les parties, pesé les mots, ce ne sont plus des
pages
, c’est quelqu’un que je vois ; je ferais son port
u lycée Bonaparte.) 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la
page
que voici, et que j’emprunte à un de nos maîtres
C’est le proverbe bien connu, Larmes de crocodile. 149. Dans cette
page
que nous avons abrégée, pour la rendre moins somb
e forme est un latinisme. Illud… quoa… 325. Il y a dans toute cette
page
une tristesse éloquente, celle d’un penseur qui c
n il est plus vraisemblable que… 335. Il y a dans Pascal plus d’une
page
qu’on ne peut lire sans éprouver comme une sorte
va courant partout, et attrapant de tous côtés ! » 417. Comparer la
page
où la Bruyère nous représente Irène qui va consul
s signifie dans cette phrase desseins prudents. 498. Comparez à une
page
de Louis XIV sur la royauté. (Recueil de prose, c
st d’une impayable naïveté. 631. On peut comparer l’ironie de cette
page
à une lettre où Fénélon s’amuse aux dépens des or
cipliné, qui n’obéit pas aux lois, à la règle. 635. Voyez une belle
page
de M. Thiers sur les aptitudes d’un général eu ch
e de costume ou de perruque. 705. Il est impossible de voir dans ces
pages
autre chose qu’une charmante description physique
me satisfais d’aucunes conjectures. (Corneille.) 762. Comparez une
page
de madame de Staël (même recueil). 763. Le poëte
On peut comparer Bossuet (Recueil des classes supérieures), et cette
page
de M. Jouffroy : « Qu’importe aux autres et à no
ns, il fut effrayé de son naturel bouillant et rebelle : toute cette
page
est un portrait du jeune prince, dont il devait d
9. Il y a du badinage dans ces rudes vérités : Fénelon fit lire cette
page
à son élève ; c’était lui présenter un miroir. 8
t mouraient avec les arbres d’où dépendait leur destinée. 854. Cette
page
est comme détachée d’un poëme antique. 855. Ce
pensée brille dans les yeux. 1195. Il convient de lire après cette
page
celle de Bossuet que voici : « L’homme a presqu
t flamme sur tout sujet. 1291. Il était trop exalté. De là, bien des
pages
déclamatoires. 1292. Ces grands mots sont ironiq
tion stérile, enlevé au seuil de la maturité, et déposant dans chaque
page
qu’il écrit sa protestation contre la fortune, il
. Pourquoi ne pas dire Dieu ? 1406. Vauvenargues se peint dans cette
page
. On dirait un miroir où se reflète sa physionomie
XII.) 1493. Cette description nous offre l’occasion de citer cette
page
de Voltaire sur la fondation de Saint-Pétersbourg
ssion de la sensation vive, et de l’émotion immédiate. Comparez cette
page
de M. de Lamartine : « Au-delà des deux mosquées
rmer la cantate en romance, est une pure invention du poëte. Voici un
page
de M. Michelet sur le Rossignol : (L’Oiseau) « A
mêle à cette scène des souvenirs personnels. 1573. Il écrivit cette
page
au lendemain de nos grands désastres. 1574. Allu
up de minuit à Londres, le dernier jour du xviiie siècle. – Dernière
page
du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand
age du Génie du Christianisme. (Note de Chateaubriand). 1584. Cette
page
fut écrite à l’époque où une crise morale le rame
1657. Didier. — Méditations et Études morales, p. 312. Comparez aux
pages
de la Rochefoucauld sur l’amour-propre. M. Guizot
signalé l’influence littéraire des idées religieuses dans cette autre
page
: « Sans doute, à quelque époque et en quelque p
térieur qui s’appelle la conscience et la raison humaine. Aussi cette
page
parait-elle une nouveauté piquante. Voilà pourquo
e vacances philosophiques. 1691. Notons l’aveu. 1692. Lisez cette
page
de Voltaire racontant son voyage à Berlin : « Bi
aisir des grandes études. 1699. Le 18 février 1587. Comparez à cette
page
le 6e acte du drame de Schiller. Aux prises avec
1710. Par exemple aussi, le lavis, le lever des plans. 1711. Cette
page
m’en rappelle une antre du prince de Ligne, sur l
e bien réglée. 1718. C’est-à-dire chaque jour. 1719. Allusion à une
page
célèbre de Pline l’ancien. 1720. Qu’il se vêtis
onter plus haut. » 1729. Profitons de l’occasion pour citer cette
page
de Mme Sand sur ses lectures d’enfance. « Je sui
se perdait dans l’éloignement ? Oh ! que la nuit tombait vite sur ces
pages
divines ! que le crépuscule faisait cruellement f
ux hurlement de regret et de gourmandise ! » 1730. Comparez cette
page
du bibliophile Jacob, (Paul Lacroix) : « Le bibl
de l’honneur, du devoir, de la responsabilité. 1754. Comparez cette
page
tirée des actes des apôtres : « Pendant quelques
trahissent par leur style. 1786. Fogelberg. 1787. Lisez les belles
pages
que lui consacre M. Nisard. (Recueil des classes
compagnie. 1836. Me fruor. 1837. Meque Deoque fruor. 1838. Ces
pages
furent prononcées en 1856 devant les élèves du ly
rent d’être présidées par M. Nisard. Nous sommes heureux de citer une
page
dont l’éloquence est comme la voix même de l’Univ
par les lycées, et dans nos maisons par nos enfants. » 1841. Cette
page
est animée par l’accent d’une conviction, d’une f
apable d’en sentir le prix. (M. de Sacy.) 1. Il faut lire les belles
pages
que M. Martha consacre à Perse et au stoïcisme da
rend l’esprit souple, délié, modeste, et maniable. » 1. Comparer les
pages
écrites par M. Nisard sur l’Art d’écrire. (Même r
ois genres ; ils se mêlent souvent et se trouvent réunis dans la même
page
: les fables de La Fontaine nous en offrent plus
a concision, et surtout la simplicité. Nous citerons pour exemple une
page
de La Bruyère, prise dans son chapitre : De la mo
iodique ou développé Pour l’explication du style périodique, voyez
page
23 de ce volume [Première partie, chapitre I, sec
eu ses causes dans les siècles précédents. On lira avec intérêt une
page
de Chateaubriand, intitulée : Les Forêts de l’Amé
, des Rousseau, etc. Toutes ces qualités se trouvent réunies dans une
page
des plus éloquentes qui nous devons à la plume de
te ébauche imparfaite d’un grand ouvrage, n’en contient pas moins des
pages
achevées, que le cri seul de l’admiration peut lo
lectique, et l’éloquente énergie de la diction, ce sont les dernières
pages
de ce même discours. Elles rappellent les écrits
olume du Consulat et de l’Empire 1. Édition Lheureux et Cie.) Une
page
de nos révolutions Je suis ici, je le sais, n
et né dans les rangs nouveaux, n’a pas senti un jour, en lisant cette
page
, un battement de cœur et une larme. » (Sainte-Beu
sser d’un livre à l’autre sans raison, et que l’on évite de courir de
page
en page et de sauter du commencement à la fin d’u
n livre à l’autre sans raison, et que l’on évite de courir de page en
page
et de sauter du commencement à la fin d’une compo
mière indienne (1791) et les Harmonies de la nature (1796) mêlent aux
pages
les plus riantes des rêves chimériques et la fade
franche un ouragan à l’île Bourbon. (T. Ier, p. 79.) Voici encore une
page
qu’on peut rapprocher de celle qui précède ; elle
fois par M. Bernays dans sa dissertation sur ce sujet (voy. plus bas,
page
88). On le trouvera reproduit à la suite des Extr
; nous avons traité cette matière au complet dans la première partie (
page
108 [1re partie, chapitre VII, § II]).
à la gloire de Pascal comme écrivain. L’empreinte du génie marque ces
pages
inachevées ; dans ces pierres d’attente, dans ces
rages : jamais il n’écrivit que pour remplir un devoir. Entre tant de
pages
, également inspirées par la vertu et le génie, no
ésies diverses et sa traduction de l’Imitation offrent de très belles
pages
que la postérité a retenues ; et tel est le nombr
t excellent juge des ouvrages d’esprit, lisait chaque soir, après une
page
de Tacite, quelque lettre de Mme de Sévigné. Cont
ains. (Voy. les morceaux choisis à l’usage de la classe de troisième,
page
4.) 107. « On a souvent nommé Bossuet, dit M. P
es de l’homme, dans les morceaux choisis pour la classe de quatrième,
page
81. 123. Régulière, calme… 124. Saint Augustin,
cinquième, p. 45. On rapprocherait aussi avec intérêt quelques belles
pages
de S. Jean Chrysostome sur l’aumône, et traduites
cène de la Critique de l’École des Femmes citée dans le même recueil,
page
20. 192. Ellipse heureuse, pour : qui sentent, a
e fut anéantie pour des siècles. Voir l’ouvrage cité de M. Villemain,
page
496, in-12, 1854. 280. C’est ainsi que Bossuet,
ont été donnés dans les Morceaux choisis pour la classe de quatrième,
pages
68 et 69. 300. C’est-à-dire vous vous préparez :
de Bossuet cité dans les Morceaux choisis de la classe de quatrième,
page
32. 316. L’histoire des Fourches Caudines est l’
. On peut revoir dans les Morceaux choisis de la classe de quatrième,
page
94, les extraits que nous avons donnés de cette t
n de Reiske : Dionysii Halicarnassensis Opera, Lipsiæ, 1773, tom. IV,
page
2331. 320. Florus, III, 9. 321. Consternés, in
e, et que nous avons donné dans le recueil de la classe de troisième,
page
135. 325. Rapprochez de ces paroles le discours
que Voltaire aurait pu jouer… » 331. Vauvenargues a écrit une belle
page
sur Voltaire, où il le célèbre « comme ayant port
er les ennemis des portes de la capitale. » 335. « Torstenson était
page
de Gustave-Adolphe en 1624. Le roi, prêt d’attaqu
j’ai donné un ordre contraire.” Le roi ne dit mot ; mais le soir, ce
page
servant à table, il le fit souper à côté de lui e
Rocroy fait par Bossuet (Morceaux choisis de la classe de troisième,
page
59), l’orateur parle aussi du profond sommeil de
l’autre en vers latins : tom. XI de ses Œuvres, édit. Lefèvre, 1824,
pages
167 et 372. Relativement à la Franche-Comté, on t
ve de la force. On peut lire notamment, dans le troisième volume, les
pages
12, 19, 26. 344. C’est ce qui arriva en 1661, co
on intitulé : De la perfection du goût, et donné dans le même volume,
page
97. 359. « Exemplis brevius iter quam per præce
ature dramatique de M. Saint-Marc Girardin (tom. III, ch. l) quelques
pages
pleines d’intérêt sur madame Deshoulières. 362.
evoir ce passage dans les Morceaux choisis de la classe de troisième,
page
81. 365. Maxime aussi équitable que sensée, très
Natura, lib. V, v. 1366 et suiv. 374. C’est là une des plus belles
pages
que l’on puisse emprunter à Buffon : avec quelle
t plus admise dans le style noble. 483. Revoir sur ce mot la note 1,
page
179 des Morceaux choisis de la classe de troisièm
538. Un exemple de cette inversion, autrefois très usitée, a été vu
page
188, note 4. 539. Créance est ici synonyme de c
d’hui, il ne faut que fermer les yeux sur la rouille qui recouvre ces
pages
un peu surannées. De là vint à Marmontel, au mili
omme ce maitre de notre théâtre, il nous a laissé aussi d’excellentes
pages
de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le
propre et dans le principe, dire d’un jeune homme qu’il était hors de
page
, c’était marquer qu’il avait accompli le temps de
c’était marquer qu’il avait accompli le temps de son service dans les
pages
et qu’il était par conséquent maître de lui. 645
let commentaire de la satire de Boileau. 670. Revoir la note 1 de la
page
171 du même recueil. 671. Célèbre comédienne.
n se bornât, pour l’apprécier, à ces mots placés au bas de toutes les
pages
, « beau, pathétique, harmonieux, admirable, subli
de la lettre citée plus haut. 790. Élision dure, déjà condamnée à la
page
218, 791. « La Harpe, qui a été souvent sévère p
en est de même des ouvrages de littérature ; il suffit d’entendre une
page
d’Homère, de Tacite, de Pascal, de Molière ou de
on. Buffon, ce grand maître en l’art d’écrire, nous en offre à chaque
page
des modèles. Relisez cette belle description du c
ncore en voir un exemple remarquable dans le fragment cité plus haut,
page
52, du plaidoyer de Lally-Tollendal [chapitre V,
parlons du sublime en général dans la seconde partie de cet ouvrage (
page
165 [2e partie, chapitre premier, § IX]) ; il ne
(’) qu’on appelle apostrophe. (Voyez chapitre XI, au mot Orthographe,
page
52. Deuxième remarque. Pour joindre un nom à un
t fait la règle. A leur dernière ligne, vous êtes tenté de tourner la
page
pour chercher la suite ; l’esprit est dérouté, dé
ls l’étude des modèles et six mois de pratique valent mieux que vingt
pages
de préceptes, je dirai : La péroraison, comme l’e
e aujourd’hui. Pardonnons beaucoup à celui qui a écrit tant de belles
pages
sur la liberté, sur la vertu et sur Dieu ; mais r
ux caractères de son talent, la grandeur et la passion. » 2. Cette
page
termine une lettre adressée à M. le prince de la
Fléchier, Massillon, M. Villemain, Casimir Delavigne, dans ses bonnes
pages
, sont les meilleurs modèles de l’élégance du styl
s Vauvenargues, dans MMmes de Sévigné et de la Fayette, dans quelques
pages
de Bernardin de Saint-Pierre, de Florian, de Coll
st dans la jeunesse qu’il faut apprendre à lire les Anciens. Alors la
page
de l’esprit est toute blanche, et la mémoire boit
lassiques ont tué la foi par la superstition ! 2. Il est une belle
page
du docteur Arnold que je veux soumettre à la réfl
tit alcaïque (deux dactyles et deux trochées). Voir strophe alcaïque,
page
334. Vides ut altâ stet nive candidum Soracte ;
a de son épée dans un accès de désespoir. Sauvons de l’oubli quelques
pages
agréables qui représentent un genre tout à fait g
ux ni continu : l’ostentation déplaît, l’uniformité fatigue. Quelques
pages
de Cicéron, de Florus, de Fléchier, de Bernardin
sidera testor : Tantum infelicem nimium dilexit amicum87. Plusieurs
pages
de Démosthène dans les Philippiques et le Pro Cor
e d’observation et d’expérience, son livre, ouvert à n’importe quelle
page
, nous offre partout et toujours des pensées profo
e. Pour goûter la saveur de son style, il suffira de lire la première
page
venue : car il n’est aucun sujet qu’il n’égaye et
tion stérile, enlevé au seuil de la maturité, et déposant dans chaque
page
qu’il écrit sa protestation contre la fortune, il
n se bornàt, pour l’apprécier, à ces mots placés au bas de toutes les
pages
, « beau, pathétique, harmonieux, admirable, subli
ile (liv. III). 1. Pour ce mot, déjà rencontré, voir la note 2 de la
page
221. Ainsi, d’après l’ancienne prononciation, ang
e de la gracieuse autorisation qui nous a permis d’emprunter quelques
pages
à ses œuvres. 1. Si, par impossible, des puriste
cabinet. 1. Ce paysage a une mélancolie éloquente. Rapprochez les
pages
où Xavier de Maistre pleure la mort d’un ami ; el
écrits que j’ai publiés jusqu’à ce jour. Mais, monsieur, comparez ces
pages
avec celles qui datent de ma solitude : ou je sui
est imprimé en nos âmes.” » 1. C’est le lieu de citer cette belle
page
de Lacordaire sur la conscience du genre humain :
quand il croit n’être plus homme. » On nous saura gré de citer cette
page
de Lacordaire. (Ed. Poussielgue.) « La félicité,
se, sont comme des caractères italiques dont on couvrirait toutes les
pages
d’un livre ; ces caractères, à force de beaucoup
ils soient intitulés Lettres à un ami, l’ami disparaît après quelques
pages
d’introduction, et l’on voit que l’écrivain ne s’
tent en campagne pour redresser tous les torts, mais ce sont à chaque
page
des magiciens, des dragons, des géants, des homme
çons de Rhétorique et de Belles-Lettres. Nous avons consacré quelques
pages
à ce rapprochement. Il eût été trop long, et l’on
sentent la question sous un autre point de vue. Le goût. Tome I,
page
29. « Le goût est la faculté de recevoir une agr
et du vrai, le sentiment des convenances . Le sublime. Tome I,
pages
55 et suiv. Blair, avant de passer au sublime da
a dernière partie de la Milonienne. » Langue anglaise. Tome I,
page
161. Il est assez curieux de placer à côté de l’
ion, et Milton le plus d’énergie. » Du langage figuré. Tome I,
page
241. Marmontel a donné, dans ses Éléments de lit
e et prudence, et de s’en servir à propos. » Du style. Tome I,
page
320. Il doit toujours exister un rapport très int
ent admiré dans tous les temps. » Démosthène, Cicéron. Tome I,
page
375. « Les critiques ont fait du parallèle entre
qui aimera beaucoup Cicéron. » De l’éloquence moderne. Tome I,
page
381. Hume et Blair s’étonnent de ce que l’éloque
sceau de l’immortalité aux bons ouvrages. » Massillon. Tome l,
page
447. Nous n’avons pas cru devoir couper le texte
iv.) » Du mérite comparé des anciens et des modernes. Tome II,
page
51. Voltaire a traité trois fois cette question
anciens, du moins en philosophie. Nous allons rapporter les premières
pages
de cet article, parce qu’elles sont pleines de ra
; mais dix vers du Tasse valent mieux. » De la rime. Tome II,
page
120. On sait que la plupart des poètes anglais,
que le mérite de la difficulté surmontée. » L’épopée. Tome II,
page
185. Blair définit le poème épique, « le récit p
et que qui a vu Versailles a tout vu. » Télémaque . Tome II,
pages
188 et 253. Blair, d’après la définition qu’il d
donner aux esclaves des habits gris-brun…” » Milton. Tome II,
page
239. Nous croyons devoir transcrire ici le jugem
e jugement de Voltaire sur Milton : pourrait-on lire sans intérêt les
pages
que l’auteur de la Henriade a consacrées à ce gra
heter les défauts. » Du merveilleux dans la tragédie. Tome II,
page
248. La tragédie ne saurait admettre le merveill
réclame parmi nous. Origine et progrès de la tragédie. Tome II,
page
249. La tragédie est-elle arrivée chez nous à so
ceptions près, qu’un très médiocre succès. Shakspeare. Tome II,
page
286. « Ses deux chefs-d’œuvre, dit Blair, les de
voir de plus bas et de plus détestable. » La comédie. Tome II,
page
390. Si le Cours de Littérature de La Harpe n’éta
me d’une plus rapide secousse.” » Comédie larmoyante. Tome II,
page
307. C’est, je crois, Voltaire qui a le premier d
é et le charme naïf, Racan, né en 1589 à la Roche-Racan, en Touraine,
page
dès sa plus tendre jeunesse et qui porta les arme
ile de faire un cours de Rhétorique c’est-à-dire un volume de 3 à 400
pages
; mais quand on aura composé un nouvel ouvrage, a
s mots faits pour électriser la valeur française. Dans ces glorieuses
pages
de notre histoire, il a toujours l’à-propos grand
grande abondance. Celui qui sur un sujet difficile écrit sept ou huit
pages
en trois heures, montre plus de facilité que de j
e lui-même Cloué sur un ouvrage, Retouchant un endroit, effaçant une
page
, Enfin passant sa vie en ce triste métier, car l
mais plus heureux que dans ses heures d’enthousiasme, et la meilleure
page
d’un bon livre est, le plus souvent, celle qui a
du xviie siècle et la description des plaines de la Pologne sont des
pages
vraiment nouvelles. Il ne nous laisse ignorer rie
le poète à la mode. Chateaubriand lui-même à qui nous devons maintes
pages
de forte critique, fut séduit comme les autres ;
des premiers parm nos critiques littéraires. Quand on a lu certaines
pages
exquises du Dictionnaire où il traite des sujets
disparate en apparence. Les sujets et développements insérés dans les
pages
consacrées à un concours déterminé peuvent être u
é avec intelligence de solides lectures. Le meilleur esprit anime les
pages
où réponse est donnée sur ces points intéressants
, le mot de valeur (comme on dit) à dégager dans la phrase ou dans la
page
, ait été trop faiblement accusé et laissé dans l’
t tirer de ce supplément d’études. » Le rapport se termine sur une
page
charmante que nous nous reprocherions de ne pas o
la connaissance des règles peut suffire ; mais l’analyse d’une belle
page
classique demande ou suppose une étude un peu app
observer, bien raisonner et bien conclure, qu’il s’agisse de quelques
pages
ou d’un livre entier, c’est là le travail toujour
ire, bien que l’on puisse rarement détacher de leurs compositions une
page
entière vraiment écrite ; mais embrasser un sujet
phrases, des mots heureux, des vues ingénieuses ; presque jamais une
page
entière, ni même un paragraphe entier, à citer, à
à la pensée, c’est elle ; impossible de ne pas la reconnaître ! Cette
page
parfaite est doublée d’une parfaite grammaire. »
ore, cette galté de style ; il faut renoncer à citer, on citerait des
pages
entières. Tel est, je crois, le véritable sens de
r des observations personnelles. Ne reproduisez pas sur le papier les
pages
d’un cours. Montrez que vous avez regardé autour
heval de manège, quoique le mieux instruit du monde. » Portez sur la
page
que vous venez de lire, tirée d’un de nos classiq
lié les joies de l’âme, les plaisirs moraux. Tracer rapidement en une
page
la contre-partie de la maxime émise par Philémon.
e correspondant assez peu au contenu du volume, donnent d’excellentes
pages
empruntées à des comptes-rendus, à des rapports,
e de l’intérêt qu’elles présentent. La copie peut ne pas dépasser une
page
ou une page et demie, mais elle doit être très so
êt qu’elles présentent. La copie peut ne pas dépasser une page ou une
page
et demie, mais elle doit être très soigneusement
ve à laquelle l’événement se passait. La copie doit être courte, une
page
ou une page et demie au plus. Il ne s’agit pas de
e l’événement se passait. La copie doit être courte, une page ou une
page
et demie au plus. Il ne s’agit pas de citer tous
heure et demie pour composer et que la copie ne saurait dépasser deux
pages
, il est impossible de dire quels artistes, quelle
n la haine fratricide… pierre guttierez a sa mère. Pierre Guttierez,
page
de la reine Isabelle, était auprès de Christophe
solennel… Le héros pleure… Paroles échangées entre Colomb et le jeune
page
de la reine… Tout à coup la vigie confirme l’hypo
s-nous sur un vaisseau armé en course, d’un Adonis plus propre à être
page
à la cour qu’à supporter les fatigues de la mer ?
ssance de l’histoire est indispensable. Il faut tirer trois ou quatre
pages
d’une matière qui est très laconique. Il faut se
upplie Guillaume. (Court dialogue.) – La première partie comporte une
page
environ. 2e Paragraphe. – Deux moines saxons, Osg
de mer français ? Citer leurs principaux exploits. – Quelles sont les
pages
les plus brillantes de nos annales maritimes ? –
time (1852). On trouvera des sujets de littérature et de morale de la
page
44 à la page 56. Nous engageons les candidats à t
On trouvera des sujets de littérature et de morale de la page 44 à la
page
56. Nous engageons les candidats à traiter quelqu
exemples empruntés à diverses professions. Lecture. Cuvier, dans la
page
suivante, a rendu avec force l’idée exprimée par
olution française 1790.) Concours de 1888. Écrire une lettre de deux
pages
dans laquelle le candidat racontera, à son choix,
ls agréments et quels profits me procurerait ce voyage. Lire la jolie
page
si connue sur les voyages à pied, par J.-J. Rouss
la vous a un aspect tout à fait propret et engageant. Nous donnons la
page
comme modèle du genre. La contre-partie serait ét
s et au mouvement des idées dans le monde ? Traiter ce sujet en trois
pages
au plus. DEUXIÈME SESSION Expédition d’égypte pa
re. Il s’éleva hautement contre le matérialisme de son siècle, et ces
pages
qui honorent son talent doivent nous rendre plus
. » Puisque le sujet nous y invite, citons, chemin faisant, une belle
page
du général Foy sur l’armée française : « Demandez
servation dans les Problèmes, XXX, 6. Cf Problèmes, XVIII, 3 XIX, 5,
page
65 de cette édition, et la note, p. 138 Rhétoriq
ttre de Balzac, l’Homme s’agite et Dieu le mène, dans ce recueil. Ces
pages
écrites en 1494, au milieu de l’anarchie et des r
st à ce titre qu’il a prononcé de nombreux éloges, qui sont autant de
pages
accomplies. L’histoire est chez lui une science e
d’essentiel, et dont le nom des auteurs primitifs, cité à toutes les
pages
, garantirait d’ailleurs les excellents principes.
fut exécuté Charles Ier. Sa statue s’y trouve aujourd’hui. 1. Cette
page
me rappelle ces réflexions élevées de M. Prévost-
d a cru les y voir. (Sainte-Beuve.) 1. Contraste prémédité. 2. Ces
pages
sont le prologue d’Atala. M. de Chateaubriand pei
s mots faits pour électriser la valeur française. Dans ces glorieuses
pages
de notre histoire, il a toujours l’à-propos grand
la discussion, à la vérité, à la raison. » Citons en terminant cette
page
de M. de Salvandy : « Napoléon Bonaparte, le hér
e la peine à fleurir. 1. Je lis dans M. Saint-Marc Girardin cette
page
spirituelle sur la gloire humaine ; je la cite, p
lante. — Si l’on vent en lire la contre-partie, on devra comparer une
page
de Massillon, tirée des Paraphrases des Psaumes,
recueilli les souvenirs de ses luttes oratoires. On peut dire que les
pages
qu’il nous a laissées sur ce sujet sont les mémoi
ont les mémoires de l’éloquence. Nous allons lire ensemble ces belles
pages
, et, si nous sommes assez heureux pour en bien co
urd’hui presque aucun charme ; mais, comme prosateur, il a laissé des
pages
dignes encore d’être relues. « Je ne sais, a dit
andeur a de vains équipages, D’habillements de pourpre et de suite de
pages
, Quand le terme est échu, n’allonge point nos jou
ttendre et désirer leurs œuvres, les polir à loisir, et compter leurs
pages
, comme d’autres comptent leurs volumes. Il est le
1. Rappelez-vous le portrait de la Jeunesse, par Bossuet. 1. Cette
page
est animée par l’accent d’une conviction, d’une f
e, et fait peut-être mieux connaître ce hardi conspirateur, que vingt
pages
de l’histoire la plus scrupuleusement fidèle. Mai
. x). Cet éloge est grand, sans doute ; mais il est justifié à chaque
page
. Voyez, entre autres, le beau discours de Pacuviu
donnent de l’obscurité à la phrase. Prenons pour modèle de clarté une
page
de M. le comte de Ségur ; elle est intitulée : l’
eux mélange de ces deux styles dans le Combat du Taureau. Cette belle
page
, dont le style est soutenu périodique et noble, n
t gloire veut dire le ciel entr’ouvert. 4. Je lis dans Balzac cette
page
piquante : « Toutefois, puisque je vous l’ai prom
les a faits, et celui qui les a inspirés. Citons, en terminant, cette
page
de M. de Lamennais : « Pendant que Corneille et R
, par instants, sous les fermoirs de cuivre, Frissonner vaguement les
pages
du vieux livre ! Le devoir fait, légers comme de
à la gloire de Pascal comme écrivain. L’empreinte du génie marque ces
pages
inachevées ; dans ces pierres d’attente, dans ces
nnaissance. Lettres, mars 1739. 1. Vauvenargues a écrit une belle
page
sur Voltaire, où il le célèbre « comme ayant port
. » 1. Bernardin de Saint-Pierre parle de l’ouvrage même dont cette
page
est la préface éloquente. C’était une noble récla
discipline, qui n’obeit pas aux lois, à la règle. 4. Voyez une belle
page
de M. Thiers sur les aptitudes d’un général en ch
Florian 1755-1794 [Notice]
Page
chez le duc de Penthièvre, officier de dragons, l
à la gloire de Pascal comme écrivain. L’empreinte du génie marque ces
pages
inachevées ; dans ces pierres d’attente, dans ces
rages : jamais il n’écrivit que pour remplir un devoir. Entre tant de
pages
, également inspirées par la vertu et le génie, no
e par les paroles que j’ai récitées, après en avoir rempli toutes les
pages
du mépris des choses humaines, veut enfin montrer
est un grand charme, l’homme dans l’écrivain ; on reconnaît, dans les
pages
qu’il a laissées, l’accent d’une belle âme, qui s
ésies diverses et sa traduction de l’Imitation offrent de très belles
pages
que la postérité a retenues ; et tel est le nombr
deux siècles. » (Petit traité de la dissertation, par M. Ch. Bénard,
page
180.) 59. Madame de Sévigné a souvent parlé de
ynonyme de raison. 103. Ces pensées ont inspiré à Diderot une belle
page
, dans laquelle il prouve avec une éloquence lumin
t excellent juge des ouvrages d’esprit, lisait chaque soir, après une
page
de Tacite, quelques lettres de madame de Sévigné.
t de périssable (voy. l’Histoire de Bossuet, par M. de Bausset, t. I,
pages
24 et 141) : il devait, quarante ans après, répét
ceau de Pascal intitulé : Contre les indifférents et l’impie, et cité
page
46 du même volume. 226. Libertin était alors sy
Église. 284. Sur eux-mêmes. 285. On peut lire à ce sujet de belles
pages
de Fénelon dans ses Entretiens sur la religion :
ffort, un sacrifice. 333. On peut lire sur Mithridate une fort belle
page
de Montesquieu dans l’Esprit des Lois, liv. XXI,
que Voltaire aurait pu jouer… » 338. Vauvenargues a écrit une belle
page
sur Voltaire, où il le célèbre « comme ayant port
première faveur. 345. Formé par ces modèles, Louis XIV a laissé des
pages
supérieurement écrites dans notre langue : c’est
ien Alfieri. 358. On pourra comparer ce morceau du Voltaire avec les
pages
excellentes de Fénelon sur la perfection du goût.
éfigura ses traits. 387. Nous opposerons avec confiance cette belle
page
de Vauvenargues à l’allégation de Suard qui, dans
risent ! » 388. Ce livre, incomplet sans doute, offre de nombreuses
pages
où se retrouvent également le style et la morale
Tour inusité : aux yeux de, pour, faudrait-il dire ici, comme dans la
page
suivante. 390. C’est-à-dire les désordres causés
omme ce maître de notre théâtre, il nous a laissé aussi d’excellentes
pages
de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le
e de la marine. 550. Molière est de l’école de Boileau. Revoir à la
page
218 : Ce style figuré, dont on fait vanité Sort
ut lire le discours de Corneille sur les unités, dans le même volume,
page
16. 569. Définition parfaite de ce qu’Aristote a
n se bornât, pour l’apprécier, à ces mots placés au bas de toutes les
pages
, « beau, pathétique, harmonieux, admirable, subli
ard était secrétaire de Lazare de Baïf, son père, puis précepteur des
pages
du roi ; — Du Bellay, mort en 1560, à trente-six
able dans : Sitôt que m’apparut le chef-d’œuvre des cieux. À chaque
page
de Desportes il souligne des cacophonies. Hélas
ts qu’il a ridiculisés, puis était successivement clerc de procureur,
page
chez M. de Villeroy, valet de chambre de la sœur
ent Marot : « C’est Villon à la cour, valet de chambre d’une reine et
page
d’un roi. Sorti du peuple, le service de la cour
et l’esprit, les qualités de mâle énergie qui nous frappent à chaque
page
des Antiquités et des Regrets. Voir l’édition de
ns le Vendômois, d’une famille originaire de Hongrie, après avoir été
page
de cour auprès du duc d’Orléans, troisième fils d
outes diaprées de vives couleurs, ne le portent pas si haut. A chaque
page
les épithètes jolies, les diminutifs mignards qu’
re L’admirable artifice on lit en grosse lettre. Chaque œuvre est une
page
, et d’elle chaque effet Est un beau caractere en
esquipage, Ses piqueurs, ses veneurs, ses limiers, ses valets, Et ses
pages
montez pour se mettre aux relais ; Une belle nobl
élève, Mmede Sévigné : le P. Lemoyne (1602-1671), que sauve une belle
page
de son Saint Louis (1653-1657) ; Desmarets de Sai
sin et tuteur le duc de Bellegarde le fit entrer à seize ans dans les
pages
du roi ; qu’il fut brave capitaine, et, dit Talle
t peut- être rabattre, mais ne l’entendons que du style ; lisons deux
pages
des Bergeries, et nous comprendrons que Boileau a
t sur ses brodequins ne put plus se tenir. (Épîtres, VII.) Une
page
d’histoire littéraire par Boileau960. Villon, Mar
son avis et son mot sur tout, jugeant, critiquant, réhabilitant. Ces
pages
vives et charmantes, véritables petits poèmes de
déguisa en berger blanc et rose pour réciter des vers à Mlle Clairon.
Page
du duc de Penthièvre à seize ans, puis capitaine
de mille odeurs divines, et tout ce qu’on trouvera dans la première
page
venue de Chénier, et tout ce qui nous charme aujo
t pourtant à d’autres genres moins cultivés qu’elle doit les quelques
pages
qui se lisent encore. La plus vivace de ces renom
firmament, dépouillé de nuages, De ce livre de feu rouvre toutes les
pages
! Sur le dernier sommet des monts, d’où le regard
omme tant d’autres en ce siècle, écrit au hasard de l’inspiration des
pages
isolées sur quelque coin de la nature ou quelques
à n’y pas fermer obstinément les yeux, Rien qu’à toucher du doigt les
pages
de ce livre, En écoutant le maître1489 avec le cœ
t plusieurs pièces des recueils antérieurs, nous rencontrons à chaque
page
, gravés et peints, des tableaux saisissants de la
yer son seing privé, billet. Étymol. : schedula, de scheda, feuillet,
page
, venant de σχίδη, σχίζειν. 46. Laus. 47. On di
de France, de sa Response aux calomnies des prédicans, etc., bien des
pages
d’un mouvement entraînant, d’une contexture ferme
de ces étrangetés plus que bizarres qui arrêtent le lecteur à chaque
page
dans la lecture des passages de Du Bartas, où le
n petit livret des Quatrains de Pibrac, dont on nous donnoit quelques
pages
à apprendre par jour. » Il écrivit aussi les Plai
piller Horace et Juvénal. Et de fait, il les imite tous deux en cette
page
. Cf. Juvénal, Sat. I, 1 sqq. Semper ego auditer
nt un air de simplicité et de sincérité. Rarement La Harpe, qui a des
pages
brillantes et judicieuses, et des analyses parfai
on, jugeant, riant, grondant ; et l’on trouve épars, presque à chaque
page
de ses poésies, ce qu’il a rassemblé une fois dan
leau (Sat. IX) sur Chapelain : « Mais que pour un modèle, etc. » Voir
page
263. 1169. Qu’est-ce qui a trouvé grâce devant
Dieux ! que je suis aise ! Oui, c’est la bonne édition : Voilà bien,
pages
neuf et seize, Les deux fautes d’impression Qui n
1. Altière n’est-il pas pour la rime ? 1312. À peu près synonyme de
page
. Même étymologie que valet (primitivement vaslet)
re vie. Le Lac est celui du Bourget, près de Chambéry. (Voir Raphaël,
pages
de la vingtième année). Cette pièce, une des plus
l’harmonie des tableaux de la nature et des œuvres de l’art. À chaque
page
, la lumière qui se joue sur la crête d’une vague
366. Les premiers vers ont inspiré à un peintre, M. Cormon, la grande
page
qu’il a exposée au salon de 1880. (La voir au Mus
etient sont indiqués, avec sens, précision, force et finesse. — Voyez
page
579, note 1. 1484. Voilà des idées qui ont un c
cette dernière partie du poème des rapports frappants avec plusieurs
pages
de Jocelyn. Dans ce roman M. de Laprade a donné u
ir en Afrique. 1496. Expression roide et terne, qui détonne en cette
page
, émue et colorée. 1497. Cette terminaison frança
compas, Après avoir passé, ne repasseront pas. Du firmament entier la
page
intarissable Ne renfermerait pas le chiffre incal
notre recueil est destiné. Pourquoi, par exemple, y faire entrer des
pages
du Discours sur l’Histoire universelle et de la G
ttés à mon occasion, commençant dés mes premiers ans que je sortis de
page
, pour monstrer à ceux que je laisse aprés moy, qu
chercher la vérité dans les sciences, son œuvre capitale, écrit de 40
pages
, qui fonda la philosophie spiritualiste moderne,
et le beau style de Calvin est souillé de toutes ces ordures à chaque
page
: Catholiques et Luthériens, rien n’est épargné.
es plus pures d’Homère, de Virgile, de Démosthène, de Térence sur les
pages
improvisées de ce chef-d’œuvre court et exquis. I
ncent la leur ; Chateaubriand revient d’Amérique avec les trois mille
pages
de manuscrit dont il tirera plus d’un tableau pou
s forêts ; mais la Critique, ayant lu par malheur pour lui quelques
pages
de son Enéide en vers français, le renvoya assez
feuillets. Voiture et Sarrasin n’ont pas à eux deux plus de soixante
pages
. Enfin on nous fit passer dans l’intérieur du san
dans cette sorte d’hallucination maladive, il écrivit les admirables
pages
de ses Rêveries d’un promeneur solitaire. Musicie
et majestueuse régularité de la nature même qui était son objet, ces
pages
d’un style noble, élevé, nombreux, riche sans cli
ans déguisement. Pour moi, je pleurois de joie, lorsque je lisois ces
pages
; je ne passois point de nuit sans parler à Alcib
mâles injures ; vous nous argumentez dans cinquante-quatre mortelles
pages
, comme un docteur ès-lois, sans vous soucier plus
, etc., etc., etc. ; je l’aurai déjà resserré d’une bonne douzaine de
pages
. En faisant évanouir par une seule remarque cette
aux choses qu’il entend prouver, etc. Alors, il nous restera quelques
pages
, au plus, sur l’affaire, et qui, loin de résoudre
terreur déchaînée, il essaya de l’arrêter ; c’est le temps des belles
pages
de son Vieux Cordelier où il s’élève jusqu’à l’él
quelquefois au duc de Marlborough tombé en enfance et jouant avec ses
pages
; et un jour qu’un de ses portraits, devant leque
s déserts de l’exil, au fond des prisons, à la veille de périr, telle
page
d’un auteur sensible652 a relevé peut-être une âm
ux, moi qui vous fais, pour quelques lignes que vous m’écrivez, trois
pages
de cette taille ? Vous vous piquerez d’honneur, j
moi de quelque explication. « C’est, répondit-il, un écrit de peu de
pages
comme le vôtre, d’une feuille715 ou deux seulemen
à grand déshonneur d’avoir dit vrai dans un écrit de quinze ou seize
pages
; car tout est mal dans ce peu. Seize pages, vous
écrit de quinze ou seize pages ; car tout est mal dans ce peu. Seize
pages
, vous êtes pamphlétaire, et gare Sainte-Pélagie.
arce qu’il y faut plus de prévision et de foi. Quand je lis une belle
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de l’antiquité, j’admire ce que peut l’homme si l
ette physionomie de l’âme, rapproche tellement ces deux hommes qu’une
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de l’évêque de Meaux est le plus fidèle crayon du
à que nous avions tracé avec le fer et le sang l’une des plus grandes
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de notre histoire ; quelques débris le disaient e
r cette terre des anges : on ne voudrait plus en sortir. » Dans ces
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de Ducis, on sent comme la saveur de la solitude
i-lien et les Gédoyn, et voilà ce qu’on vérifie en lisant les simples
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de Mme de Caylus, (Causeries du Lundi, t. III :
là le prix que la nature impitoyable lui fait payer ce peu de belles
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qu’il écrit dans les courtes trêves de ses souffr
rtes trêves de ses souffrances. C’est un dur marché que celui-là, une
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pour une heure d’angoisses ! Mais la crise passe
i-là, une page pour une heure d’angoisses ! Mais la crise passe et la
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reste ; il sait cela ; il y a foi, et il ne se pl
le. Debout à ses côtés, Antonio de Messine semble faire l’office d’un
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soumis et docile ; on voit que depuis longtemps l
groupes fastueux de sénateurs, d’hommes d’armes, de patriciens et de
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, personnel ordinaire des tableaux vénitiens. Dans
, avec des guerriers pour valets et des vieillards à barbe grise pour
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; puis je considérai assez tristement la tenue du
re-Dame de Paris (1831) est une résurrection du moyen âge ; certaines
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des Misérables, pour ne citer que ces deux romans
e dans l’armée russe. Comme son frère aîné, il écrivit, mais quelques
pages
. Fines et délicates, avec une pointe de sel, de f
ayer un passage jusqu’à une vaste antichambre remplie d’écuyers et de
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, qui, bien qu’ils n’eussent d’autres armes que le
Cf. Juvénal. VII, 52, 99. 186. Cf. Montaigne, supra, p. 45. 187. «
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célèbre et qui rassemble, dans un exemple sensibl
é d’office et lui avait gagné cent pistoles » (Géruzez). 301. « Ces
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égalent sur ce grand sujet ce qu’on a pu dire de
3. Cf. Pascal, Pensées, article I, dans le présent recueil. 374. Cf.
page
125, note 1. 375. I ad Cor. vii, 31. 376. Fille
t en hébreu, puis en latin. La Fontaine l’a cité et imité. 519. Voir
page
14, note 4. 520. Officier de police en Espagne.
nive candidum Soracte… 591. Pharsale, 1, 399, 199. 592. « Cette
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est, à l’avance, du plus pur et du meilleur Chate
714. Procureur du roi, qui avait requis contre lui. 715. Nombre de
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d’imprimerie, déterminé selon la différence du fo
erie, déterminé selon la différence du format. La feuille, in-12 a 24
pages
. 716. Prison. 717. Pétition à la Chambre des D
e tour biblique et évangélique que Lamennais donne à son style en ces
pages
. 720. Cf. Chateaubriand, Génie du Christian., p.
à la fin du xve siècle. — L’auteur a conservé à la rédaction de ces
pages
d’un cours public leur caractère d’improvisation.
sages de la chevalerie : avoir accompli son temps de service dans les
pages
. De là, métaphoriquement, être affranchi de toute
e du pittoresque, et un juge difficile, aisément mécontent ; voici la
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que je choisirais » (Sainte-Beuve). 875. Chaîne
d et Sainte-Beuve et des publications posthumes de leurs trop courtes
pages
; par Rodolphe Töpffer (1799-1846), le Charles No
’ingénieuse raillerie et la morale austère. » Il faut comparer à ces
pages
le chapitre de La Bruyère sur la Société et la Co
res1. La tâche délicate de choisir chez des auteurs contemporains les
pages
les plus dignes d’être placées sous les yeux de l
s aussi apporté une extrême réserve dans les notes placées au bas des
pages
. Mais il nous est impossible de partager les prév
t leur prix, si quelques notes explicatives ne viennent rattacher ces
pages
à l’ensemble dont on les a détachées ? Un tel tra
ésigner ainsi Guéneau de Montbéliard153, mort trop jeune, et dont les
pages
brillantes furent confondues par le public avec c
femme belle et spirituelle, d’une Grecque164. Il est resté d’elle des
pages
élégantes, ingénieuses, où le goût français, qu’e
nçaise depuis 1789, on reste surpris de lire signées d’un tel nom des
pages
empreintes d’une modération équitable et bienveil
rop de poésie. Son Histoire des Girondins (1847), malgré d’admirables
pages
, offre plutôt le charme et les émotions d’un roma
ns les régions plus sereines de la poésie et citons, en terminant, la
page
qu’un éminent critique écrivait naguère sur M. de
regret que nous terminons ici nos extraits de Corinne. Que de belles
pages
à détacher encore ! que d’admirables tableaux bie
vii, xviii, xix et xx de la IIe partie. 33. On pourra lire de belles
pages
de Schiller sur la vocation du poète et de l’arti
. Chap. XLI. 88. On peut lire sur cette poétique tradition une belle
page
de Buffon dans les Morceaux choisis à l’usage des
s les Morceaux choisis à l’usage des classes supérieures (16e édit.),
page
411. C’est dans le Phédon de Platon que se trouve
monument. » 151. Il serait intéressant de rapprocher de cette belle
page
ce que M. Villemain dit encore de Bossuet dans so
s français (Prose) pour les classes supérieures, par M. Léon Feugère,
page
vi. 220. Voir Nithard, Histoire, livre III, chap
ls donnèrent les traits… On pourra aussi rapprocher avec intérêt les
pages
consacrées à Charlotte Corday dans l’Histoire des
t ici relever. On pourrait établir un curieux rapprochement entre ces
pages
de l’historien français et le passage des Alpes p
ssai sur les moralistes français, M. Prévost-Paradol a écrit quelques
pages
remarquables sur le sentiment de la tristesse. No
stoire : on lira avec intérêt sur la mort de Germanicus les dernières
pages
du chapitre Ier. Peut-être oserait-on reprocher à
litaire. » 400. Revoir dans le même volume le morceau de Jouffroy (
page
166) sur le problème de la destinée humaine. 401
a prière ? 464. On ne saurait citer dans la poésie contemporaine une
page
plus belle. Quelle souplesse, et en même temps qu
465. Mélanges d’histoire et de littérature (première série), 1868,
page
353. 466. Les œuvres dramatiques de M. Ponsard o
e la chose allait d’elle-même. Il fait pourtant, à cet égard, quelque
pages
plus haut, un aveu curieux à recueillir. « Mais u
t excellent juge des ouvrages d’esprit, lisait chaque soir, après une
page
de Tacite, quelque lettre de madame de Sévigné. C
mière indienne (1791) et les Harmonies de la nature (1796) mêlent aux
pages
les plus riantes la fadeur d’un ton trop sentimen
x lu dans ce grand livre, et qui en a traduit avec tant de succès les
pages
les plus intéressantes pour nous. Nous en demando
les Fâcheux, II, 7. Ce dernier passage se trouve dans le même volume,
page
208. 1. Ce monument, auquel Buffon consacra envi
le est une morale triste et profondément sceptique : on sent à chaque
page
des Maximes un honnête homme désabusé, devenu mis
r, moins d’anxiété, moins de ces tortures intimes empreintes à chaque
page
des Pensées, et qui en font un drame vivant ! Enf
it prince a des ambassadeurs, Tout marquis veut avoir des
pages
. La Laitière et le pot au lait, sujet traité av
celles qui sont d’ordinaire les moins recherchées et qu’on laisse aux
pages
et gens du même bord n’étaient occupées que par d
ace de oiseux et venger, pagine, plague, perfect, peregrin au lieu de
page
, plaie, parfait, pèlerin ? N’étaient-ce pas là de
s d’avance ; aux plus mauvaises même, fréquentées d’ordinaire par les
pages
, j’ai aperçu plus d’un courtisan. Quant à nous, n
osés par les Facultés en 1881, 1882 et 1883. 1 fort vol. in-8º de 604
pages
, Paris, librairie Croville-Morant et Foucart, 6 f
V. Précis d’un cours de Littérature, p. Ch. Urbain, chap. I, art. 4,
page
156. Paris, Croville-Morant et Foucart, 20, rue d
llis ; fractus membra labore. (Voir, dans le Traité d’élégance, à la
page
156, l’article concernant les hellénismes.) 2
la description poétique ; il suffit, pour en juger, de lire quelques
pages
de leurs écrits. Nous ne citerons ici pour exempl
it dans toute l’Europe. Il est regrettable qu’il y ait aussi d’autres
pages
dans sa vie. Lorsqu’en 1362, Catherine de Médicis
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