ier ; les, au pluriel. Le se met devant un nom singulier masculin, le
père
; la se met devant un nom singulier féminin, la m
met devant tous les noms pluriels, soit masculins, soit féminins, les
pères
, les mères. Ainsi, l’on connaît qu’un nom est du
hange en aux. EXEMPLES. singulier masculin. le
Père
. Maison du Père, pour de le Père. Je plais au P
PLES. singulier masculin. le Père. Maison du
Père
, pour de le Père. Je plais au Père, pour à le Pèr
masculin. le Père. Maison du Père, pour de le
Père
. Je plais au Père, pour à le Père. pluriel mascu
le Père. Maison du Père, pour de le Père. Je plais au
Père
, pour à le Père. pluriel masculin.
Père. Maison du Père, pour de le Père. Je plais au Père, pour à le
Père
. pluriel masculin. les Pèr
au Père, pour à le Père. pluriel masculin. les
Pères
. Maisons des Pères, pour de les Pères. Je plais
re. pluriel masculin. les Pères. Maisons des
Pères
, pour de les Pères. Je plais aux Pères, pour à le
in. les Pères. Maisons des Pères, pour de les
Pères
. Je plais aux Pères, pour à les Pères. Au contrai
les Pères. Maisons des Pères, pour de les Pères. Je plais aux
Pères
, pour à les Pères. Au contraire, de et à devant l
Maisons des Pères, pour de les Pères. Je plais aux Pères, pour à les
Pères
. Au contraire, de et à devant la ne se changent j
d’un jardin agréable et modeste. À l’extrémité de cette terrasse, mon
père
, me montrant le spectacle du ciel et de la nature
ableau général de l’incendie. Ici, c’est un jeune homme qui sauve son
père
; là, une mère qui, du haut d’une terrasse, tend
rs de cet âge. Là ma mère m’a donné les leçons de la religion, et mon
père
celles de l’honneur. Développez. Deuxième par
er des outils, il donna à chacun d’eux un de ces pommiers. Paroles du
père
; recommandation. L’aîné donne des soins assidus
état était cet arbre négligé par son maître. L’enfant se plaint à son
père
. Il a été, dit-il, « moins favorisé que son frère
ère. Le pommier qui lui a été donné ne valait rien. » Sage réponse du
père
, qui fait comprendre à cet étourdi quels sont sur
bane et l’adopte. Mais il juge, d’après sa propre douleur, combien le
père
du jeune Anglais doit être malheureux de l’avoir
er les armes contre les Abenakis et lui rend la liberté, afin que son
père
cesse d’être malheureux. Ce fait est arrivé penda
nfant très-heureusement élevé, donnait beaucoup de satisfaction à son
père
. Il réussissait dans tout ce qu’on lui enseignait
ement dans le dessin, il fit lui-même son portrait, qu’il donna à son
père
. Malheureusement, à l’âge de dix-sept ans, il se
Peignez les progrès d’Alexis dans le mal et les vains efforts de son
père
pour le corriger. Vous entrerez à ce sujet dans q
ses craintes. Enfin il prend la résolution de retourner auprès de son
père
. Vous supposerez qu’il s’arrête un instant sur un
la crainte et l’espoir, il arrive dans un moment où il savait que son
père
était absent ; il entre dans la chambre où était
douleur et du repentir, puis il se cache dans une chambre voisine. Le
père
arrive : à la vue de ce dessin ainsi changé, il d
ore très-jeune, dont l’heureux naturel faisait tout le bonheur de son
père
. Donnez quelques détails. Un jour l’enfant se per
perd. Dites par quel hasard. Décrivez en peu de mots la désolation du
père
et ses perquisitions inutiles. Au bout de quelque
i a vendu il y a peu de temps ; il court le chercher et le rend à son
père
. Décrivez la reconnaissance du père et du fils, e
ourt le chercher et le rend à son père. Décrivez la reconnaissance du
père
et du fils, et la joie de l’honnête négociant, he
est Adolphe, fils du comte : « Tu sais, lui dit-il, un secret que mon
père
me cache ; il faut que tu me le confies. » André
Le lendemain, le comte envoie chercher André ; Adolphe, ainsi que son
père
, l’embrassent. La scène de la nuit n’était qu’une
d’argent au profit de ses soldats. Le comte d’Enghien était frère du
père
de Henri IV. 41. Ézilda. Sujet et plan. Rob
dicule dans notre langue, celui d’Ézilda. 42. Leçon donnée par un
père
. Sujet et plan. Un homme riche avait un fils u
ait un fils unique, nommé Eugène, qui, comptant sur la fortune de son
père
, s’abandonnait à une mollesse et à une dissipatio
ordonnée d’un jeune homme qui cependant n’est pas encore corrompu. Le
père
tremble pour l’avenir d’Eugène, que plus tard l’o
à coup il apprend à Eugène qu’une banqueroute l’a ruiné. Discours du
père
: il annonce à son fils qu’il va vendre sa maison
égociant. Décrivez sa nouvelle manière de vivre. Pendant trois ans le
père
eut le courage de faire durer cette épreuve. Enfi
es convenables à la situation. Le jeune homme qu’un ancien ami de son
père
corrigea de la passion du jeu par ce moyen aussi
Sujet et plan. Frédéric est tiré de sa prison et conduit, devant son
père
pour recevoir son arrêt. Le farouche Guillaume lu
t va mourir, et mourir sous ses yeux. Le prince supplie vainement son
père
d’épargner son ami, ou du moins de ne pas le rend
s de ne pas le rendre témoin de son supplice. Dialogue animé entre le
père
et le fils. Frédéric est traîné vers le lieu fata
lecteur, toujours excitée, ne soit satisfaite qu’à la fin. 51. Le
père
délivré par son fils. Sujet. On lit dans les M
essus tout ce qu’on pouvait lui dire, mais que le duc d’Escalona, son
père
, était depuis longtemps prisonnier des Autrichien
hiens et anglais ; qu’il était résolu à les prendre pour délivrer son
père
ou à mourir. Il donna dans la place avec le détac
es-uns de ces généraux, et immédiatement en obtint l’échange avec son
père
, qui avait été pris à Gaëte, étant vice-roi de Na
été pris à Gaëte, étant vice-roi de Naples, les armes à la main. « Ce
père
et ce fils illustres étaient, le père, surtout, l
ples, les armes à la main. « Ce père et ce fils illustres étaient, le
père
, surtout, la valeur, la vertu, la modestie et la
enu un sauf-conduit, arrive dans la prison pour délivrer lui-même son
père
et lui raconte ce qu’il a fait. On peut aussi sui
aussi honorablement que leurs compatriotes traitaient cruellement son
père
; puis on racontera en peu de mots l’échange des
on racontera en peu de mots l’échange des prisonniers et le retour du
père
auprès de son fils. Ce fait a eu lieu en 1710, le
lications de Chélonide : alors elle abandonna son époux et suivit son
père
en exil. Peu de temps après, Léonidas rentre vict
ec des soldats et veut l’immoler. Chélonide se jette aux pieds de son
père
et le supplie d’épargner Cléombrote et de se cont
de le bannir. Léonidas lui accorde cette faveur. Chélonide quitte son
père
et suit son mari dans l’exil. Il ne faut pas conf
Cléombrote ; et, de même, après 239, malgré les supplications de son
père
, elle ne voulut jamais quitter Cléombrote, qu’ell
nte, nous supposons qu’il vécut un an de plus, et nous substituons le
père
au fils. 60. Léopold de Brunswick. Sujet et
ier aux idoles. Keoven livre son fils. Adieux touchants du fils et du
père
. Le lendemain, Keoven reçoit l’ordre ou de sacrif
ttrez dans la réponse de Keoven la fermeté du chrétien, la douleur du
père
, et l’inébranlable dévouement à l’Empereur, dont
la naissance d’Agésilas, les éphores viennent examiner l’enfant. Son
père
, Archidamus, commandait alors l’armée, loin de La
meilleur ami. Ils avaient alors un frère aîné, qui mourut avant leur
père
. Mahomet III meurt ; Achmet lui succède. Ses vizi
Achmet, arrivée en 1617, son frère Mustapha lui succéda, et servit de
père
au fils d’Achmet, Othman II, qu’une révolution de
l avait banni quelques années auparavant dans un moment de colère. Le
père
serre dans ses bras le jeune héros et le baigne d
jeune héros et le baigne de ses larmes. Ranimé par les larmes de son
père
, Ladislas revient à la vie : ses blessures n’étai
revient à la vie : ses blessures n’étaient pas mortelles ; l’heureux
père
et l’heureux fils confondent leurs embrassements.
jardins, où une jeune femme était venue de bien loin pour soigner son
père
attaqué par la contagion ; elle a sauvé son père
oin pour soigner son père attaqué par la contagion ; elle a sauvé son
père
; mais, atteinte elle-même par le mal, elle rend
t à son frère, Caracalla s’adressa à Papinien, ancien ministre de son
père
, célèbre comme jurisconsulte et comme orateur : i
es sans rudesse. Le jeune prince, qui sent son tort et qui craint son
père
, obéit sur-le-champ. Quelques années plus tard, l
ur-le-champ. Quelques années plus tard, le prince, par la mort de son
père
, devient roi : il envoie chercher le président. I
ce de Galles. Ce jeune prince devenu roi porta le nom de Henri V. Son
père
, Henri IV, était le chef de la maison de Lancastr
es) se nommait William Gascoigne. 84. Imprudence et désespoir d’un
père
. (1343.) Sujet. Humbert, dauphin de Viennois
son fils André, le laissa tomber dans le Rhône, l’enfant se noya. Le
père
, désespéré, renonça pour jamais au monde et fit d
deux parties. Dans la première, on peindra la tendresse réciproque du
père
et du fils, et les jeux de l’enfant sur la terras
a terrasse le long du fleuve par une belle soirée d’été, jeux que son
père
encourage en s’y associant. A ces peintures riant
eaux d’une couleur sombre et funèbre ; l’accident fatal ; l’effroi du
père
et de tous les gens de sa maison ; les courses de
e Gourdon ; que Richard autrefois, dans un accès de fureur, a tué son
père
; qu’il a, lui, juré de venger son père ; qu’il a
un accès de fureur, a tué son père ; qu’il a, lui, juré de venger son
père
; qu’il a voulu tuer Richard et l’a tué loyalemen
ond étaient retenus captifs à Londres. Édouard il avait succédé à son
père
, et ne montrait ni la même fermeté ni les mêmes t
J.-C. Artaxerce 1er, fils de Xerxès, punit Artabane et succéda à son
père
. Sujet. Artabane, une épée sanglante à la main, s
. Il rencontre son fils Arbace, qui s’indigne du crime commis par son
père
, s’oppose à celui qu’il veut commettre, se saisit
e soupçonner la perfidie. Le jeune homme, ne voulant pas dénoncer son
père
, va se laisser condamner : Artabane, au désespoir
rappé de terreur. Deuxième scène : Impatient de venger la mort de son
père
, Artaxerce a ordonné qu’un traînât devant lui le
lus touchantes, mais il ne dit pas un mot qui puisse compromettre son
père
. Artaxerce indigné va prononcer son arrêt. Parole
son patrimoine. Chrysogonus imagina de lui imputer le meurtre de son
père
et de le poursuivre devant les tribunaux comme pa
edwige envers la patrie, envers la religion, envers la mémoire de son
père
; les malheurs d’une guerre civile que causerait
voir en partage que de vastes et riches domaines, conspira contre son
père
et contre eux. Les conjurés s’étaient réunis, pen
chève pas, car en entendant ces paroles menaçantes dirigées contre un
père
, Ilfrid n’a pu retenir un cri d’horreur. Stupéfac
lie, et Louis, roi d’Aquitaine. Charles et Pépin moururent avant leur
père
; Louis lui succéda, et est connu dans l’histoire
ble. Scène d’abord terrible, ensuite touchante et pathétique entre le
père
et le fils ; indulgence, pardon ; remords. La grâ
101. Clodoald. Un des fils de Clovis, qui, après la mort de leur
père
, avaient partagé entre eux l’empire des Francs, C
nfants, et craignant qu’elle ne redemandât pour eux les États de leur
père
, qu’ils s’étaient partagés, s’emparèrent des enfa
elle réfléchit et elle frémit de terreur. Sans croire précisément son
père
capable d’un crime, elle tremble pour son mari. E
cer ses deux fils à l’endroit le plus exposé. Douleur et agitation du
père
: il répond qu’il restera fidèle à ses devoirs de
Don Jayme était le second fils de Pierre III. Il devint roi après son
père
et son frère aîné, Alphonse, en 1291. Belvédère e
TS. La scène est dans le jardin. Édouard et Élisa accourent vers leur
père
, pour le prier d’admettre en sa présence un jeune
e peuvent croire à une si indigne conduite. Ils conviennent avec leur
père
qu’ils mettront le jeune garçon à l’épreuve ; que
re ruses à l’aide desquelles les deux enfants avec l’agrément de leur
père
, annoncent qu’ils s’assureront si le jeune garçon
e son bon naturel et de son repentir, Élisa et Édouard supplient leur
père
en sa faveur. M. Delville se charge de pourvoir à
d’accepter la moitié de sa fortune et de lui permettre de devenir le
père
de ses enfants. L’exquise bonté du cœur de madame
de l’Évangile18. « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son
père
: « Mon père, donnez-moi la part du bien qui doi
e18. « Un homme avait deux fils. Le plus jeune dit à son père : « Mon
père
, donnez-moi la part du bien qui doit me revenir.
« Mon père, donnez-moi la part du bien qui doit me revenir. » Et le
père
leur fit le partage de son bien. Peu de jours apr
ntrant en lui-même, il dit : « Les mercenaires, dans la maison de mon
père
, ont du pain en abondance ; et moi je meurs de fa
ont du pain en abondance ; et moi je meurs de faim ! J’irai vers mon
père
, et je lui dirai : Mon père, je suis coupable env
et moi je meurs de faim ! J’irai vers mon père, et je lui dirai : Mon
père
, je suis coupable envers le ciel et envers vous.
nne à son désespoir : plutôt que d’affronter le juste courroux de son
père
, il se résigne à la plus affreuse misère, aux hum
lques-uns des versets suivants : « Il partit donc et alla trouver son
père
. Comme il était encore bien loin, son père le vit
t donc et alla trouver son père. Comme il était encore bien loin, son
père
le vit, le reconnut et fut ému de compassion, et,
urant à lui, se jeta à son cou et l’embrassa. Le fils lui dit : « Mon
père
, j’ai péché contre le ciel et contre vous : je ne
contre vous : je ne suis plus digne d’être appelé votre fils. » Et le
père
dit à ses serviteurs : « Hâtez-vous, apportez les
pour son pays, s’est montré fidèle aux leçons et aux exemples de son
père
. La gloire et le souvenir du jeune héros seront l
e les musulmans, la tache qu’ont imprimée à son nom les crimes de son
père
. Après la bataille de Xérès, Pélage, avec quelque
d’un arbre. À la vue de celui qui, pendant trois ans, lui a servi de
père
, le jeune homme se ranime et recueille ses forces
ulien, que ses remords ont cruellement puni, et d’oublier le crime du
père
eu faveur des services du fils. 115. Discours
m. Déjà, par ses artifices, elle avait rendu Zéangir si suspect à son
père
, que ce monarque ombrageux et terrible était sur
les environs d’Amasie, ville de 1’Asie Mineure. Sélim régna après son
père
, sous le nom de Sélim III, depuis 1566 jusqu’en 1
Athènes, après sa victoire, il donnera involontairement la mort à son
père
. » Eudoxe attaque les ennemis et remporte une vic
ments dont le sien est agité, et les charge de faire ses adieux à son
père
et à son pays. 117. Discours de Zénobie à des
onge dans le fleuve. De là il regagne à toute bride le royaume de son
père
, Zénobie fut portée doucement vers le bord par le
retraite, dans ce hameau écarté où son existence restera ignorée. Son
père
, le soupçonnant avec raison de vouloir le détrône
rres civiles. Comment prouvera-t-il aux Français qu’il veut être leur
père
, s’il détruit la capitale de son empire ? Les ass
able et inutile résistance, ouvriront leurs portes à leur roi, à leur
père
. Dans le premier siège de Paris, en 1589, Henri I
nvoyer au supplice. Fédor, fils du czar et ami d’Owinsko, supplie son
père
de l’épargner, ainsi que ses compagnons. Plan. Fé
Ivan une telle conduite ! Fédor termine son discours en suppliant son
père
, non-seulement d’épargner une fidélité si rare, m
re lui-même sans retour ? Sont-ce là les leçons, les exemples que son
père
lui avait donnés ? Le repentir, la crainte, la fu
orze ans, passant au pied des digues pour retourner à la ferme de son
père
, s’aperçoit qu’un léger filet d’eau coule par une
à s’énoncer. Les Romains, irrités, paraissaient disposés à bannir ce
père
barbare. La veille du jour où l’affaire devait se
aire devait se juger, le jeune homme apprend le sort qui menaçait son
père
. Il se rend à Rome, chez le tribun du peuple, dem
ustice en l’éclairant dans un secret entretien sur la conduite de son
père
. Tel est le plan de la première partie. Dans la s
n ennemi ; il le tue, et, plein de joie, apporte ses dépouilles à son
père
. Le sévère consul repousse son fils, et veut le c
ût-il criminel, les lois sacrées de la nature ne permettent pas à son
père
de le condamner ; Enfin, 3°, si le consul persévè
demande, au nom de toute l’armée, au général la grâce du soldat et au
père
la grâce du fils. Ce fait a eu lieu l’an 340 avan
« Au mépris des ordres de ton général, au mépris de l’autorité de ton
père
, tu as combattu, malgré la défense. La discipline
incipal du collège à cet enfant, dont il était devenu comme le second
père
en l’admettant parmi ses disciples ; 3° le caract
t en 1550, au château de Rosny (Seine-et-Oise), qui appartenait à son
père
. Il porta successivement les titres de baron de R
que et se montrait le digne héritier des vertus et des talents de son
père
, avait deviné cet hypocrite, et laissait éclater
eux-mêmes sont soumis à cette loi. Je tremble pour les jours de votre
père
: votre devoir est de le défendre contre des enne
it son conseil, et la première fois qu’il sortit pour accompagner son
père
à la chasse, il cacha une épée sous ses habits. D
était flatté que Léon serait immolé sur-le-champ, ou que du moins son
père
, dans le premier accès de sa fureur, le priverait
que Santabarène lui avait conseillé de s’armer pour la défense de son
père
: il a vu ensuite Santabarène parler à l’oreille
fera valoir toutes les raisons qui peuvent persuader et attendrir un
père
: il lira le triomphe de la vérité dans les yeux
récipitation. Il courut à la prison chercher son fils ; le fils et le
père
confondirent leurs larmes. Santabarène, pendant l
issement fut la seule peine infligée au traître. Léon régna après son
père
, et mourut en 901. Il fut surnommé le Philosophe.
mémoire. S’ils avaient été bons et justes, ils étaient proclamés les
pères
du peuple ; leur règne était béni et leur mémoire
usieurs témoins oculaires qui étaient venus de l’armée. Ce malheureux
père
tombe malade de chagrin et meurt peu de jours apr
ore sur le champ de bataille, lui avaient sauvé la vie. Il trouve son
père
mort et son bien entre les mains d’un étranger. A
ne doit jamais être présumé et ne peut être reconnu qu’autant que le
père
a déclaré cette exhérédation d’une manière authen
héniens. Socrate, illustre philosophe athénien, considéré comme le
père
de la philosophie grecque, répandait parmi les je
st un philtre merveilleux, et que, s’il la verse dans la coupe de son
père
, le comte reprendra tout son amour pour son épous
mais, au moment où il allait répandre la liqueur dans la coupe de son
père
, on l’aperçoit ; Gaston jette la liqueur dans un
et qui lui laisse l’espoir de recouvrer plus tard la tendresse de son
père
et l’estime publique. Charles d’Évreux, surnommé
rut en 1391. Le fils de Gaston Phœbus (il s’appelait Gaston comme son
père
, et si nous l’appelons Yvain, c’est pour éviter l
offroi mourut avant Richard. Jean (surnommé sans Terre, parce que son
père
, connaissant son naturel pervers, ne lui avait pa
à combattre les Maures. À cette époque, il avait trente-six ans ; son
père
en avait soixante-quinze.) Plan. L’orateur laisse
plonger son épée dans le sein d’Inès ? Le roi se souviendra qu’il est
père
et ne s’exposera pas à perdre pour jamais le cœur
écut dans un isolement profond, et ne voulut pas communiquer avec son
père
. Quinze mois après, Alphonse mourut. Don Pèdre, d
ovie, laissa deux fils, Fédor31 et Démétrius32. Fédor régna après son
père
(1581), et dans la crainte que Démétrius ne se fi
Sujet et plan. On vit sous le règne de Tibère les deux Vibius, le
père
et le fils, introduits ensemble dans le sénat, l’
emble dans le sénat, l’un comme accusé, l’autre comme accusateur ; le
père
, restant chargé de fers pendant le discours de so
ulter à l’affliction du vieillard : ce jeune monstre reprochait à son
père
d’avoir voulu attenter aux jours de l’empereur, e
et le témoin. Il n’y avait point d’autre preuve ; cependant Vibius le
père
fut condamné, parce que Tibère était son ennemi p
elle obéit ; mais, dans le fond de son cœur, elle jura de venger son
père
en immolant son époux. Elle promit à Elmige, chef
i (vu surtout qu’Alboin l’avait épousée par force après avoir tué son
père
) diminue assez l’horreur que ce crime doit inspir
r ardeur, se sont laissé prendre : il déclare qu’il va exiger de leur
père
de cesser de se défendre, sinon il exposera les d
que le fils aîné de veuve, Huc fut obligé de quitter la maison de son
père
et d’aller rejoindre son corps. Six semaines s’ét
ldat à commettre une faute que les lois punissent si sévèrement ? Son
père
presque septuagénaire, un frère aîné attaqué d’un
levé. Mais dès qu’il l’a eu mis à même de le remplacer auprès de leur
père
et de leur frère, et que l’enfant parvenu à l’âge
u. Pourquoi avez-vous déserté ? Le prévenu. J’avais laissé mon vieux
père
infirme, mon frère aîné atteint d’une violente ma
ans les auberges vendre mon gibier, dont il apportait le prix à notre
père
, que j’allais voir de temps en temps pendant la n
sublimes et divines beautés, comme disait Mme de Sévigné, qu’offre ce
père
de notre théâtre, qu’elles suffiront à jamais pou
du cœur ? D. Rodrigue. Rodrigue, as-tu du cœur ?Tout autre que mon
père
L’éprouverait sur l’heure. D. Diègue. L’éprouve
ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi. Montre-toi digne fils d’un
père
tel que moi. Accablé des malheurs où le destin me
ur ; Mais j’aurai trop de force, ayant assez de cœur. A qui venge son
père
il n’est rien d’impossible : Ton bras est invainc
n devoir, et le fils dégénère Qui survit un moment à l’honneur de son
père
. Chimène, fille du comte, vient demander au roi d
ue, qui a tué Gomès en combat singulier. Rodrigue est défendu par son
père
. Acte II, Scène VIII. Don Fernand, roi de
z l’insolence ; Il a de votre sceptre abattu le soutien, Il a tué mon
père
. D. Diègue. Il a tué mon père.Il a vengé le sie
eptre abattu le soutien, Il a tué mon père. D. Diègue. Il a tué mon
père
.Il a vengé le sien. Chimène. Au sang de ses suje
us parlerez après ; ne troublez point sa plainte. Chimène. Sire, mon
père
est mort ; mes yeux ont vu son sang Couler à gros
courage, ma fille, et sache qu’aujourd’hui Ton roi te veut servir de
père
au lieu de lui. Chimène. Sire, de trop d’honneur
us ravir Eteint, s’il n’est vengé, l’ardeur de vous servir. Enfin mon
père
est mort, j’en demande vengeance, Plus pour votre
a tête, il n’en est que le bras. Si Chimène se plaint qu’il a tué son
père
, Il ne l’eût jamais fait si je l’eusse pu faire.
! O de mes cheveux gris honte trop évidente ! Est-il dessous le ciel
père
plus malheureux ? Est-il affront plus grand pour
te, à part. Êtes-vous gentilhomme ?Ah ! rencontre fâcheuse ! (A son
père
.) Étant sorti de vous3, la chose est peu douteuse
i crainte. Va, je te désavoue. Dorante. Va, je te désavoue.Eh ! mon
père
, écoutez. Géronte. Quoi ? des contes en l’air et
Géronte. Dis vrai : je la connais, et ceux qui l’on fait naître ; Son
père
est mon ami. Dorante. Son père est mon ami.Mon
, et ceux qui l’on fait naître ; Son père est mon ami. Dorante. Son
père
est mon ami.Mon cœur en un moment Étant de ses re
à vous, De seconder mes vœux auprès de cette belle : Obtenez-la d’un
père
, et je l’obtiendrai d’elle. Géronte. Tu me fourb
de honte Qu’il faille que de lui je fasse plus de compte, Et que ton
père
même, en doute de ta foi, Donne plus de croyance
bon, et, malgré ma colère, Je veux encore un coup montrer un cœur de
père
; Je veux encore un coup pour toi me hasarder : J
du jour qui nous éclaire Que tu ne mourras point que de la main d’un
père
, Et que ton sang indigne, à mes pieds répandu, Re
lle et devrait l’être par tous les poëtes. » Il eût pu ajouter que le
père
de la tragédie en France ne l’avait nullement inv
même main qui peignit le vieil Horace et D. Diègue. Il n’est point de
père
qui ne doive faire lire cette belle scène à ses e
ion ordinaire : « L’honneur en est, pour ainsi parler, l’enfant et le
père
. » Esprit des Lois, V, 9. 1. On sait qu’il faut
nte des mensonges de Dorante, observe La Harpe, et la scène entre son
père
et lui, où le poëte a su être éloquent sans sorti
peu de travail, on n’a point de plaisir. Florian. * Prière. Notre
Père
des cieux, père de tout le monde, De vos petits e
on n’a point de plaisir. Florian. * Prière. Notre Père des cieux,
père
de tout le monde, De vos petits enfants c’est vou
umière, Le blé qui fait le pain, les fleurs qu’on aime à voir, Et mon
père
et ma mère, et ma famille entière ; Moi, je n’ai
Dieu, que la prière Que je vous dis matin et soir. Notre
Père
des cieux, bénissez ma jeunesse : Pour mes parent
iversaire. Hélas ! après dix ans je revois la journée Où l’âme de mon
père
aux cieux est retournée, L’heure sonne ; j’écoute
egrets ! ô douleurs ! Quand cette heure eut sonné, je n’avais plus de
père
: On retenait mes pas loin du lit funéraire ; On
ntait ma perte ; Quand la nuit dans les airs jeta son crêpe noir, Mon
père
à ses côtés ne me fit plus asseoir, Et j’attendis
ne l’ont point adouci : Je ne puis voir un fils dans les bras de son
père
, Sans dire en soupirant : J’avais un père aussi !
n fils dans les bras de son père, Sans dire en soupirant : J’avais un
père
aussi ! » Son image est toujours présente à ma te
à ma tendresse, Ah ! quand le pâle automne aura jauni les bois, Ô mon
père
, je veux promener ma tristesse Aux lieux où je te
ion. Ce roi, la terreur de ses voisins, l’étonnement de l’univers, le
père
des rois3, plus grand que tous ses ancêtres, plus
la vicissitude des choses humaines ? Sans remonter aux siècles de nos
pères
, quelles leçons Dieu n’a-t-il pas données au nôtr
dire par les lieux de religion qu’il éleva à la gloire du Dieu de ses
pères
. Ses trésors pouvaient à peine suffire à ses pieu
lus respectable ; réglant les intérêts des familles, réconciliant les
pères
avec les enfants, démêlant les passions de l’équi
ssurant les droits de la veuve et de l’orphelin, paraissant plutôt un
père
au milieu de sa famille qu’un roi à la tête de se
, il sort, comme un autre Abraham, de sa terre et de la maison de ses
pères
; il s’arrache à toutes les délices du trône, et,
les hommes, gémissez pourtant encore, malgré tous les efforts de nos
pères
, sous une dure servitude, pour servir sans doute
temps de votre délivrance n’était pas encore arrivé ; le crime de vos
pères
n’était pas encore expié ; et le Seigneur ne voul
Seigneur a demandé d’abord à ses serviteurs : avez-vous encore votre
père
et quelque autre frère ? Et nous avons répondu à
ue autre frère ? Et nous avons répondu à mon Seigneur : Nous avons un
père
fort âgé, et un jeune frère qui est né dans sa vi
frère qui est né de la même mère est mort : il est resté seul, et son
père
l’aime tendrement. Vous dîtes alors à vos servite
ir. Et nous dîmes à mon Seigneur : le jeune homme ne peut quitter son
père
; car s’il s’éloigne de lui, son père mourra. Et
jeune homme ne peut quitter son père ; car s’il s’éloigne de lui, son
père
mourra. Et vous dîtes à vos serviteurs : Si votre
s ne paraîtrez plus devant moi. Quand nous fûmes retournés vers notre
père
votre serviteur, nous lui rapportâmes ce que mon
rtâmes ce que mon Seigneur nous avait dit. Quelque temps après, notre
père
nous dit : Retournez en Égypte, et achetez-nous d
commande en Égypte, que notre jeune frère ne soit avec nous. Et notre
père
votre serviteur nous dit : Vous savez que Rachela
n qui la conduira au tombeau. Maintenant donc si je retourne vers mon
père
votre serviteur, et que ce jeune homme n’y soit p
e mettra au tombeau. C’est moi qui ai répondu de ce jeune homme à mon
père
, en disant : Si je ne vous le ramène, je consens
sans lui, pour être témoin de l’extrême affliction qui accablera mon
père
? » II. Du Genre fleuri. Le genre fleu
mouvements de son cœur et les vues de son esprit, les tendresses d’un
père
et les projets d’un roi. Oh ! si du moins il pouv
arie.) Voilà mon fils. Athalie, à Joas. Et vous, quel est donc votre
père
? Jeune enfant, répondez. Josabeth. Le Ciel jusq
Comment vous nommez-vous ? Joas. J’ai nom Éliacin1. Athalie. Votre
père
? Joas. Je suis, dit-on, un orphélin2 Entre les
1, A vengé mes parents sur ma postérité. J’aurais vu massacrer et mon
père
et mon frère, Du haut de son palais précipiter ma
nomma pour l’objet de ses vœux. Il m’aime ; il obéit à l’empereur son
père
, Et j’ose dire encore, à vous, à votre mère : Vos
3. (Dandin, endormi, se laisse tomber.) Léandre. Quelle chute ! mon
père
? petit-jean. Aïe, monsieur ! Comme il dort ! L
mon père ? petit-jean. Aïe, monsieur ! Comme il dort ! Léandre. Mon
père
, éveillez-vous. Petit-jean. Monsieur, êtes-vous
éveillez-vous. Petit-jean. Monsieur, êtes-vous mort ? Léandre. Mon
père
! Dandin. Hé bien ! hé bien ! Quoi ? qu’est-ce ?
homme ! Certes, je n’ai jamais dormi d’un si bon somme. Léandre. Mon
père
, il faut juger. Dandin. Aux galères. Léandre. U
ous voyez ici notre misère : Nous sommes orphelins, rendez-nous notre
père
, Notre père, par qui nous fûmes engendrés, Notre
i notre misère : Nous sommes orphelins, rendez-nous notre père, Notre
père
, par qui nous fûmes engendrés, Notre père qui nou
ndez-nous notre père, Notre père, par qui nous fûmes engendrés, Notre
père
qui nous…1 Dandin. Tirez, tirez, tirez. L’inti
Notre père qui nous…1 Dandin. Tirez, tirez, tirez. L’intimé. Notre
père
, messieurs… Dandin. Tirez donc. Quels vacarmes !
. Dit-on. Il ne ment pas, et est très-fin dans sa candeur. 3. « Mon
père
et ma mère m’ont abandonné. » (Ps. xxvi, v. 10.)
pitié. Quelle grâce et quelle délicatesse dans ces traits ! 7. Son
père
. Il aime apparemment par obéissance filiale ! c’e
s. 2. Le mot n’est pas poli ; mais ne soyons pas plus prudes que nos
pères
, qui riaient ici de bon cœur. 1. Où le pathétiqu
nom pour marquer la qualité d’une personne ou d’une chose, comme bon
père
, bonne mère ; beau livre, belle image : ces mots
ces mots bon, bonne, beau, belle, sont des adjectifs joints aux noms
père
, mère, etc. On connaît qu’un mot est adjectif, qu
et du même nombre que le nom auquel il se rapporte. Exemples. Le bon
père
, la bonne mère : bon est au masculin et au singul
père, la bonne mère : bon est au masculin et au singulier, parce que
père
est du masculin et au singulier ; bonne est au fé
nt de genres différents, on met l’adjectif au masculin. Exemple. Mon
père
et ma mère sont contents : (et non pas contentes.
de récompense, content de son sort, utile à l’homme, semblable à son
père
, propre à la guerre. Récompense est le régime de
ce, il ne se heurte contre des écueils. Soyez donc pour lui autant de
pères
, à la place d’un seul qu’il avait, en lui inspira
sans réserve les sentiments que j’éprouve. En effet, du vivant de mon
père
, je n’ai jamais voulu me placer au-dessus de vous
on droit les appeler mes compagnons, mes associés dans les armes. Mon
père
nous aimait tous également et nous inspirait les
mes principes de vertu. Maintenant la destinée, après la perte de mon
père
, vous a donné en moi, soldats, un souverain non p
, non pas comme si je vous étais imposé, mais comme né pour vous. Mon
père
, admis déjà aux demeures célestes, vit dans la so
une riche moisson de gloire, et vous témoignerez à la mémoire de mon
père
la reconnaissance qui lui est due. Pensez qu’il e
é menées à bonne fin, c’est à la sagesse, à l’habile direction de mon
père
qu’il faut les attribuer ; mais celles que vous a
e la nécessité, mais par l’effet de ma volonté, puisqu’il a plu à ton
père
de mourir avant le temps fixé, pour devancer le b
, et marchez au secours des Mèdes. Quant à moi, je vais retrouver mon
père
, pour faire, d’après ses instructions, tous les p
faible assurément) dans les malheurs que la guerre actuelle a causés.
Père
de deux fils, je n’ai pas hésité à les exposer au
licitas le sacerdoce, laissant de côté bien des concurrents, dont les
pères
avaient servi sous moi, je te donnai la préférenc
mbinés. Ainsi, ne renonçons pas aux principes que nous ont légués nos
pères
et qui nous ont toujours été favorables ; ne déci
refusaient de s’associer à vos destinées, quel fils, à la vue de son
père
, n’abaisserait pas son glaive ? quel frère songer
Traduit de Lucain (Pharsale). L. Discours de Pontius Hérennius, le
père
. Pontius Hérennius, général Samnite, ayant enf
e conduite il devait tenir à l’égard des Romains, envoie chercher son
père
, pour lui demander son avis. Le vieillard, traîné
-Live, livre IX, chap III). LI. Réponse de Pontius Hérennius à son
père
. « Je ne m’étonne pas, mon père, que vous aye
éponse de Pontius Hérennius à son père. « Je ne m’étonne pas, mon
père
, que vous ayez énoncé deux opinions absolument op
ne sottise. Mais, sans parler de moi, je vous prie de considérer, mon
père
, que les Samnites, dont les fils, les pères, les
us prie de considérer, mon père, que les Samnites, dont les fils, les
pères
, les frères ont succombé dans les guerres contre
unir les Athéniens de tout le mal qu’ils ont fait aux Perses et à mon
père
. Déjà vous avez vu Darius préparer une expédition
rmes, c’est en vain que nous aurons rétabli Orode sur le trône de ses
pères
par nos efforts et notre dévouement ; c’est en va
urs cadavres, le fils de Crassus percé de traits sous les yeux de son
père
; lorsque vous aurez rapporté à notre souverain l
être mes dispositions envers eux qui m’ont dépouillé des biens de mes
pères
, qui m’ont chassé de mes foyers, de ma patrie, ta
pères, qui m’ont chassé de mes foyers, de ma patrie, tandis que votre
père
m’a offert l’hospitalité la plus bienveillante. P
ortuné s’écrie : « Achille, semblable aux dieux, souviens-toi de ton
père
; comme moi, il est chargé d’années et arrivé au
ts. Achille, je t’en conjure, respecte les dieux, souviens-toi de ton
père
et prends pitié de moi. Hélas ! je suis mille foi
lors que Philoctète lui adresse la prière suivante : « Au nom de ton
père
, ô mon fils, au nom de ta mère, par tout ce que t
pas longue pour gagner le mont Trachine, et m’offrir aux regards d’un
père
chéri. Hélas ! je crains bien, depuis tant d’anné
de réclamer un vaisseau pour me ramener dans son palais : mais ou mon
père
n’est plus, ou ceux à qui je me suis adressé ont
on me désarme ! Eh bien ! noble fils, pourquoi n’enchaînes-tu pas ton
père
? Pourquoi ne pas lui lier les mains derrière le
er à leurs barbaries ; armons-nous sur terre pour la défense de notre
père
céleste ; allons répandre notre sang pour ce bon
ccombé ? Je n’aurai plus que des larmes à verser. Je n’ai plus ni mon
père
, ni ma vénérable mère. Le terrible Achille a immo
bientôt la cruelle Diane la perça de ses traits dans le palais de mon
père
. Hector, tu es pour moi un père, une mère, un frè
a de ses traits dans le palais de mon père. Hector, tu es pour moi un
père
, une mère, un frère ; tu es bien plus encore, tu
ier rang avec nos guerriers, pour soutenir la gloire éclatante de mon
père
et la mienne. Je le sais pourtant, et mon âme en
ent dans l’ignorance totale du lieu qui couvrait les cendres de leurs
pères
. » « On vous appelle, ajouta-t-il, les maîtres de
Croit-on que le seul nom de roi ait fait cette grande aversion de nos
pères
? C’est bien plutôt cette disproportion de biens,
s. L’artisan laborieux me voit partager ses travaux ; je suis pour le
père
de famille la gardienne fidèle de sa maison, une
été celui d’Ammon, tu ne serais pas mort. ALEXANDRE. Assurément, mon
père
, je n’ignorais pas que Philippe, fils d’Amyntas,
lis et efféminés, sont-ce là des guerriers ? ALEXANDRE. Pourtant, mon
père
, les Scythes, les Indiens avec leurs éléphants, n
adorer par les Macédoniens, hommes libres. ALEXANDRE. Mais enfin, mon
père
, vous ne louez donc pas mon intrépidité à braver
auras construit. Le passé peut nous instruire à cet égard. Quand ton
père
établit un pont sur l’Ister, les Scythes firent l
prouvera combien les mœurs des Romains ont dégénéré. Autrefois leurs
pères
avertirent Pyrrhus, dont les armées avaient envah
ius, les Cincinnatus et tant d’autres citoyens distingués. — Tous les
pères
de famille ont laissé de côté la faux et la charr
ause de notre amour du luxe et de notre délicatesse. Aujourd’hui, les
pères
de famille sont venus se fixer dans l’intérieur d
vous gentilhomme5 ? dorante, à part. Ah ! rencontre fâcheuse ! A son
père
. Étant sorti de vous, la chose est peu douteuse.
D. Diègue. Rodrigue, as-tu du cœur1 ? Rodrigue. Tout autre que mon
père
L’éprouverait sur l’heure. D. Diègue. Agréable c
ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi. Montre-toi digne fils d’un
père
tel que moi. Accablé des malheurs où le destin me
tête, il n’en est que le bras1 Si Chimène se plaint qu’il a tué son
père
, Il ne l’eût jamais fait, si je l’eusse pu faire.
ment : laissez partir Sévère, Et donnez lieu d’agir aux bontés de mon
père
. Polyeucte. Les bontés de mon Dieu sont bien plu
hir la nature ou l’amour ? Et n’obtiendrai-je rien d’un époux ni d’un
père
? Félix. Parlez à votre époux2. polyeucte. Vive
t ses aimables traits Imprimés dans le sang ne s’effacent jamais ; Un
père
est toujours père, et sur cette assurance J’ose a
its Imprimés dans le sang ne s’effacent jamais ; Un père est toujours
père
, et sur cette assurance J’ose appuyer encore un r
el vous regardez mes pleurs. Félix. Oui, ma fille, il est vrai qu’un
père
est toujours père7 : Rien n’en peut effacer le s
e une richesse vaine. — Quel livre portes-tu ? — Les lois de Dieu mon
Père
, Où de ses Testaments est compris le mystère. — P
, sous le coup de l’affront, son fils allait oublier qu’il parle à un
père
. 1. Nous dirions aujourd’hui dans le sang. 2.
use, et je n’aurais pu supporter une heure l’idée d’être mal avec mon
père
. Albert, vous préparez une vie bien déplorable ;
honte trop évidente ! 1. Dans le Cid de Diamante, Rodigue voit son
père
qui tient d’une main son épée, et de l’autre un m
s. 2. Insolent. Il veut pousser à bout Félix, et en finir. 3. Mon
père
. Pauline voit bien qu’elle n’a plus d’autre recou
de raison. 6. Déchire. Jamais la foi conjugale n’a mieux dit. 7.
Père
. Félix est un peu vulgaire, mais bonhomme au fond
tous les cœurs. Mais écoutez, dans Euripide, Iphigénie suppliant son
père
: « Mon père, ne me fais pas mourir avant l’âge,
rs. Mais écoutez, dans Euripide, Iphigénie suppliant son père : « Mon
père
, ne me fais pas mourir avant l’âge, ne me condamn
ujourd’hui je touche en suppliante, je te répondais : « — Et toi, mon
père
, quand tu seras vieux, aurai-je le bonheur de t’a
is toi tu les as oubliées, et tu veux égorger ton enfant… Allons, mon
père
, tourne la tête vers moi, donne-moi un regard, un
es encore bien petit pour me défendre ; viens cependant, et prie ton
père
avec tes larmes, fléchis-le pour que ta sœur ne m
-mêmes ont le sentiment des maux qu’ils voient souffrir. Regarde, mon
père
, il te prie en silence. Allons, ne repousse pas t
tiochus ; ce sont les enfants de Persée traînés en triomphe avec leur
père
et tendant au peuple leurs mains suppliantes ; c’
Brutus ? Tu vois cette morte vénérée ; que veux-tu qu’elle dise à ton
père
? et à ces grands hommes dont tu vois passer les
rien, tu as mangé tout ton patrimoine. Que tu cultives le droit ? Ton
père
t’en a donné l’exemple ; mais hélas ! il faudra b
ses élégantes, mais de braves soldats et de lois sages et utiles. Nos
pères
préféraient le soleil du champ de Mars à l’ombre
se plaire au milieu des troubles, comme l’aigle dans la tempête. Son
père
lui donna une excellente éducation. Il lui fit d’
vie ; Et sur tous leurs dangers, et sur tous leurs besoins, Tel qu’un
père
attentif, il étendait ses soins1… Zaïre2. (
mps sa fille dans Zaïre, qui, tombée au pouvoir de l’ennemi comme son
père
et toute sa famille, avait été dès sa plus tendre
? c’est vous que je revois ! Martyr, ainsi que moi, de la foi de nos
pères
, Le Dieu que nous servons finit-il nos misères ?
s, chargé de fers, ne les put secourir. Lusignan. Hélas ! et j’étais
père
, et je ne pus mourir ! Veillez du haut des cieux,
înes réservés, Par de barbares mains pour servir conservés, Loin d’un
père
accablé, furent portés ensemble Dans ce même séra
une fille, elle est ton ennemie ! Je suis bien malheureux… C’est ton
père
, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta
pas, sans y trouver ton Dieu ; Et tu n’y peux rester sans renier ton
père
, Ton honneur qui te parle et ton Dieu qui t’éclai
!… et son âme… Zaïre. Je revois donc ma sœur !… et son âme…Ah ! mon
père
, Cher auteur de mes jours, parlez, que dois-je fa
s’était rendu justice en refusant la dédicace d’un ouvrage où un roi
père
de ses sujets et un grand homme était célébré. Pr
oile à tous les artifices Des enfers conjurés. Règne, ô
Père
éternel, Fils, sagesse incréée ; Espr
s fondent leurs délices Sur tes seules bontés. Règne, ô
Père
éternel, Fils, sagesse incréée, Espri
os vainqueurs en colère, Qui ne se souvient plus qu’Achille était son
père
, Qui dément ses exploits et les rend superflus ?
Et traîné sans honneur autour de nos murailles ? Dois-je oublier son
père
à mes pieds renversé, Ensanglantant l’autel qu’il
ttre est-elle encore à moi ? O cendres d’un époux ! ô Troyens ! ô mon
père
! O mon fils, que tes jours coûtent cher à ta mèr
n’attendait qu’un mot pour vous le rendre. Croyez-en ses transports :
père
, sceptre, alliés, Content de votre cœur, il met t
le courroux des Grecs je m’en repose encor ; Leur haine va donner un
père
au fils d’Hector. Je vais donc, puisqu’il faut qu
it que ce qu’ils ont été : Parle-lui tous les jours des vertus de son
père
, Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère. Mais
ue, régnez sur l’Epire et sur moi. Je voue à votre fils une amitié de
père
; J’en atteste les dieux, je le jure à sa mère :
abeilles, La maison sans enfants2 ! Après la bataille Mon
père
, ce héros au sourire si doux1, Suivi d’un seul ho
lus qu’à moitié, Et qui disait : « A boire, à boire par pitié ! » Mon
père
, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de r
ure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon
père
en criant : « Caramba2 ! » Le coup passa si près
sait5. La résignation chrétienne Je viens à vous, Seigneur,
père
auquel il faut croire ; Je vous porte, apaisé,
le terme Est le commencement3. Je conviens à genoux que vous seul,
Père
auguste, Possédez l’infini, le réel, l’absolu ; J
Disant à la même heure une même prière, Demandent pour nous grâce au
Père
universel ! Et puis, ils dormiront. — Alors, épar
pour toute prière : — Seigneur, Seigneur, mon Dieu ! vous êtes notre
père
, Grâce, vous êtes bon ! grâce, vous êtes grand !
s, comme deux blanches ailes, S’ouvrent pour m’embrasser ! 1. Le
père
du poëte fut le comte Hugo, général de division s
lime, et les vers du poëte sont aussi beaux que la magnanimité de son
père
. Je me suis laissé raconter une anecdote, dont je
-Marguerite de Montmorenci. Élevé chez les Jésuites à Bourges, où son
père
faisait sa résidence la plus ordinaire, il montra
en, puis prince de), fils du grand Condé. Il se signala à côté de son
père
au passage du Rhin, et ensuite à la bataille de S
eu, l’an 1063 avant J.-C., pendant qu’il gardait les troupeaux de son
père
, par le prophète Samuel, qui en avait reçu l’ordr
usus et de la vertueuse Antonia, nièce d’Auguste. Digne fils d’un tel
père
et d’une telle mère, il s’acquit beaucoup de gloi
e souvent au peuple de Dieu, comme étant celui du célèbre patriarche,
père
des chefs des douze tribus qui formaient le corps
t l’an 890 avant Jésus-Christ, très peu de temps avant la mort de son
père
. À cette époque, Athalie, sa grand-mère, s’étant
le pays de Canaan, appelé par la suite Judée. La prédilection que son
père
avait pour lui, et sa supériorité sur ses frères,
ls trempèrent dans le sang d’un chevreau, et qu’ils envoyèrent à leur
père
, en lui faisant dire qu’une bête féroce l’avait d
’an 1636 avant Jésus-Christ, après avoir fait venir auprès de lui son
père
et ses frères, à qui le roi donna la grande terre
a Terre. Aussitôt qu’il fut parvenu à l’âge de régner, il détrôna son
père
, et partagea avec ses frères, Neptune et Pluton,
tions à celui-ci, que les païens honoraient comme le Dieu suprême, le
père
des Dieux, et le roi des hommes. On le représente
dans une prison de Niort, où étaient enfermés Constant d’Aubigné, son
père
, et Anne de Cardillac, sa mère, fille du gouverne
t feint qu’il était fils d’Apollon et de la muse Calliope, et que son
père
lui fit présent d’une lyre dont il jouait si bien
igure de Mentor, son gouverneur, il courut les mers pour chercher son
père
, qui errait en divers pays depuis la prise de Tro
struction, il arriva dans sa patrie, où il eut le bonheur de voir son
père
. L’île d’Ogygie est aujourd’hui suivant quelques
impunément qu’il parut sur la scène, obéré de dettes, maudit par son
père
, voué à une sorte de réprobation qui l’empêcha de
e ; il obéira à la moindre inflexion de votre main ou de celle de mon
père
. Écrivez-moi, mon oncle, daignez m’écrire, et dit
qui, rencontrant dès sa naissance tous les despotismes, celui de son
père
, du gouvernement et des tribunaux, employa sa jeu
ois ans, son neveu le supplie d’intercéder en sa faveur auprès de son
père
. Mirabeau, âgé de trente et un ans, était détenu
prisons d’État. Il avait cherché vainement à fléchir la colère de son
père
, qui le haïssait, et ne répondait pas même à ses
neveu, et ne lui répondait qu’après avoir pris les inspirations de ce
père
si dur, qui se parait du titre fastueux d’Ami des
se avec une logique ausi simple que naturelle et persuasive. Mais son
père
, l’ami des hommes, demeura impitoyable. 2. Il d
ous savez l’estime et l’amitié que j’ai pour lui ; vous savez que son
père
est l’un de mes plus anciens amis ; vous savez vo
ers et des juges, des frères dans nos ennemis, dans l’Etre suprême un
père
; la religion du cœur, la vertu en action, le plu
r et à le décourager à ses propres yeux. Heureux le jeune homme qu’un
père
prévoyant et sage prémunit, par des observations
défenseur de quiconque est privé de défense, l’appui de la veuve, le
père
de l’orphelin, le réparateur de tous les désordre
crépit à soixante. Le bonheur du foyer ne se voit nulle part. Pour un
père
on n’a plus de respect ni d’égard. On ne sait ce
de dire la vérité. Fénélon N° 65. — Hamlet et le spectre de son
père
. HAMLET. Anges et ministres du salut, protége
que j’ai besoin de t’interroger. Je t’appellerai Hamlet, mon roi, mon
père
, prince du Danemarck. Oh ! réponds-moi ; ne me la
entendu ! HAMLET. Venger, qui ? LE SPECTRE. Je suis l’ombre de ton
père
, condamnée, pour un certain temps à errer la nuit
oute seulement, écoute ce que je puis te dire, si jamais tu aimas ton
père
... HAMLET. Grand Dieu !.... LE SPECTRE. Venge un
apprends, noble jeune homme, que le serpent qui arracha la vie à ton
père
, porte aujourd’hui sa couronne. HAMLET. O soupçon
t de ne pas voir Géronte. O ciel ! ô disgrâce imprévue ! ô misérable
père
! pauvre Géronte, que feras-tu ? GÉRONTE, à part.
manques à être racheté, il n’en faut accuser que le peu d’amitié d’un
père
. GÉRONTE. Attends, Scapin, je m’en vais quérir ce
a jeunesse, les exemples édifiants qu’il avait donnés comme épouse et
père
de famille, avaient fait longtemps l’admiration d
e mystérieux accourt près de la jeune fille, et trouve ses sœurs, son
père
, sa mère surtout, qui l’environnaient des soins d
t venu se perdre le sien, indique moins le ministre du temple, que le
père
laborieux du troupeau. Il sort de sa retraite, bâ
la mère de tous les petits pauvres de son hameau. Tous les matins, le
père
qui va travailler aux champs tout le jour, la mèr
onte les belles histoires qu’elle a apprises. Pendant ce temps-là, le
père
et la mère, tranquilles sur le sort de leur enfan
nnais ; c’est celui que ma mère Colla dans l’agonie aux lèvres de mon
père
; C’est celui que plus tard moi-même en un grand
ldat, l’autre se fît marin ; restait une jeune fille qui disparut. Le
père
mourut de douleur ; la mère n’eut plus qu’à pleur
gres, avides et dressées à chasse. Après avoir couru peu de temps, le
père
de ses petits me parurent fatigues, et je crus vo
nt, eux ; et mon petit Anselme me dit : « Comme tu nous regardes, mon
père
! qu’as-tu ? » Je ne pleurai point encore ; je ne
étais poussé par la faim, levèrent tout-à-coup, et me dirent : « Mon
père
nous souffrirons beaucoup moins, si tu veux nourr
quatrième jour, Gaddo se jeta étendu à mes pieds, en me disant : mon
père
, que ne viens-tu me secourir 7 ? et il mourut : e
, Elle mourut hier en nous donnant son pain : Elle dort où dort notre
père
, Venez, nous avons froid, nous expirons de faim.
dirai l’histoire qu’autrefois, En revenant de la cité prochaine, Mon
père
, un soir, me conta dans les bois : (O mes amis, q
un soir, me conta dans les bois : (O mes amis, que Dieu vous garde un
père
! Le mien n’est plus.) — De la terre étrangère, S
Loïs partage avec son enfant et son époux le gâteau et le baiser. Le
père
, ravi, cultive un champ, sème le blé. Bientôt la
e fois une jeune personne bien gaie, bien vive et bien jolie, que son
père
aimait beaucoup. Ce père n’était jamais si heureu
bien gaie, bien vive et bien jolie, que son père aimait beaucoup. Ce
père
n’était jamais si heureux que lorsque sa fille ét
a eu le matin, sa conscience timorée s’en effraie… Elle appelle. Son
père
arrive : lui aussi voit sauter, bondir et rebondi
ais, et lui dit d’un ton mêlé de tendresse et de douleur : « As-tu un
père
? — Il vivait encore, dit le jeune homme, lorsque
e. Et, après un moment de silence, il ajouta : « Sais-tu que j’ai été
père
?… je ne le suis plus. J’ai vu mon fils tomber da
Et il ajouta tout de suite : « Pars, va dans ton pays, afin que ton
père
ait encore du plaisir à voir le soleil qui se lèv
— Les Balances. Conte Mogol. Le sultan Ekber avait succédé à son
père
, le pacifique Humaioun, septième descendant du gr
e, le jeune sultan oublia les sages conseils que lui avait donnés son
père
mourant. De jeunes omras remplacèrent les vieux m
. » Le fakir avait écouté Ekber avec attention : il était vieux, sans
père
et sans enfants, il n’avait plus rien à craindre,
ire à Dieu et à Mahomet, son prophète ! Ekber, fils du sage Humaioun,
père
de ses sujets, tu es devenu leur tyran et leur bo
puissant tout à la fois, Ekber, le fils des fléaux, obtint le nom de
père
du peuple, et ce nom glorieux donné par des sujet
euve se refusa seule, par pieux scrupule, à aliéner l’héritage de ses
pères
, et repoussa toutes les offres qu’on lui fit à ce
eur qu’une famille fait éclater, quand elle accompagne au vaisseau un
père
ou un fils chéri qui s’embarque d’un port de l’Eu
de mouvement ; tu prieras Dieu, mon fils, de protéger ton malheureux
père
. Ah ! ne le prie que pour toi ; que mon idée ne v
eux vous regarder, je ne verrai point la flèche, je ne verrai que mon
père
. — Ah ! mon cher fils, s’écrie Tell, ne me parle
ue, il invoque le Tout-Puissant, qui, du haut du ciel, veille sur les
pères
; et, raidissant son bras qui tremble, il force,
ste, A travers mille morts, ardent, victorieux, S’était fuit vers son
père
un chemin glorieux. Jugez de quelle horreur cette
la jeune fille priait pour sa mère, le fils alarmé pour la vie de son
père
allait recueillir dans la rue les fruits de la fu
par l’amour filial elle écarte les bourreaux, se jette au cou de son
père
, mouille de larmes ses cheveux blancs, et baise a
ssassins veulent arracher le vieillard de ses bras : « Mais c’est mon
père
, dit-elle, je veux sa vie, je veux sa liberté. N
z sucé le lait. Eh bien ! achevez votre horrible tâche ; massacrez le
père
et la fille, et l’histoire portera avec terreur v
ependant un mouvement d’horreur. « Et si je bois, s’écrie-t-elle, mon
père
aura la vie et la liberté ? » Les monstres secoue
nalement la main. Alors l’héroïque enfant, se tournant du côté de son
père
, pour puiser dans son regard une force surhumaine
du jeune bourreau qui prend cet acte pour un remercîment, saisit son
père
par le bras, et l’entraîne, loin de ces lieux exé
dam qui nous fit malheureux. — Misérable, tais-toi, tu blasphèmes ton
père
!... — Traître ! toi m’insulter, tiens, ressens m
ollevault. N° 195 à 198. — Vision de Charles XI. Charles XI,
père
du fameux Charles XII, était l’un des monarques l
aines, voilà la chambre où couchait Jeanne d’Arc ; voici celle de son
père
, celle de ses sœurs. C’est par cette porte qu’ell
t du palais où je passai mon enfance, dépossédée de l’héritage de mes
pères
, je me vois réduite à la condition d’esclave ! Fi
n’êtes plus faits pour la fille d’Agamemnon. Ah ! chère ombre de mon
père
, j’implore ton secours : vois l’état où la coupab
dis sur l’escalier quelqu’un, et, par la fente de la porte, je vis le
père
, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses g
t le jeune enfant se pressait contre le vieillard, et il disait : Mon
père
! mon père !..... Puis, tout-à-coup ? levant les
nfant se pressait contre le vieillard, et il disait : Mon père ! mon
père
!..... Puis, tout-à-coup ? levant les yeux vers l
e se tut un peu de temps, ensuite elle reprit : Quand je perdis votre
père
, ce fut une douleur que je crus sans consolation
les cieux encore ouverts, d’où, celuy sembloit, descendoit la voix du
Père
éternel, disant : C’estuy-ci est mon fils bien-ai
rs, ô toi l’unique espoir ! C’est parmi ces glaciers qu’a disparu ton
père
! Je crains de ne pas te revoir. » Ainsi de Val-R
Kœpf la fit demander en mariage : il fut refusé et de la fille et du
père
. Ce n’était pas pour les raccommoder. Ils devinre
Mais Mathilde, voyant qu’il y allait de l’honneur et de la vie de son
père
, entreprit de le sauver, et par un étrange moyen.
urtant ce qui est arrivé. C’est ce que fit Mathilde pour défendre son
père
. Elle alla donc devant le juge, et, suivant l’us
: « Je me plains de ce que Pierre de Kœpf a féloneusement accusé mon
père
, et je suis prête à le lui prouver par le jugemen
emandèrent d’abord à Mathilde ses noms de baptême, si elle croyait au
Père
, au Fils et au Saint-Esprit, et si elle tenait à
e Mathilde, je sais qu’il est faux que j’aie féloneusement accusé ton
père
. » Mathilde reprit aussitôt, toujours de sa voix
urquoi ce fléau tourmente notre pays, voici l’histoire, telle que nos
pères
l’ont apprise de leurs pères et nous l’ont racont
re pays, voici l’histoire, telle que nos pères l’ont apprise de leurs
pères
et nous l’ont racontée. Apprenez donc que lorsque
imprécation annonce les remords d’OEdipe. Ses regrets d’avoir tué son
père
se montrent sous les formes oratoires les plus én
e à la lumière du soleil. Antigone confirme les pressentiments de son
père
; il est facile d’admirer comment, dans sa bouche
vénérable est un morceau touchant. Qui ne serait attendri de voir un
père
se mettre sous la protection de sa fille, et ne s
plus rien d’Œdipe . On aimerait à voir Antigone à la recherche de son
père
pendant quelques instants ; cela soutiendrait l‘i
erre sans complication jusqu’à l’instant où Antigone s’éloigne de son
père
. Ici se prépare le dénoument, et le nœud finit à
gent la conscience du roi qui croit voir sur un rocher l’ombre de son
père
. Il sent que son heure dernière est venue ; il fa
s tout ce que vous avez à reprocher aux empereurs, vos maîtres et mes
pères
. Eh bien ! ce qui semble être une raison pour que
ter aux bêtes, eux ; et cependant c’étaient des braves, c’étaient vos
pères
. Vous me direz peut-être que plus forts en nombre
l deviendra d’airain, la terre sera de fer ; et la main vengeresse du
père
, que vous aurez offensé, vous saisira pour vous l
on fils de ne point s’éloigner d’elle. Mon enfant, les vertus de ton
père
n’ont pas fait longtemps mon bonheur : Dieu le vo
former de nouveaux liens, à ouvrir à un second époux la maison de ton
père
. J’étais si jeune encore, j’avais à redouter tant
n corps dans le sein de la terre, et mêlé mes ossements à ceux de ton
père
, entreprends de longs voyages, traverse les mers
a part : Si vous ne remettez les offenses commises contre vous, notre
Père
céleste ne vous remettra pas les vôtres. Représen
bon et tout puissant, qui préside au Capitole ; par les mânes de ton
père
et de tes ancêtres. Si mes prières et mes larmes
rquoi veut-on nous priver de la consolation d’être ensevelis avec nos
pères
? Pourquoi nous défend-on de mêler nos cendre
Non, mes frères, vous ne mêlerez pas vos cendres à celles de vos
pères
; mais vous les mêlerez à celles de vos enfants,
e, je lui rendrai compte du troupeau qu’il m’a confié ; et moi, votre
père
, votre frère, votre ami par la charité, moi mi
vos enfants, leur dit-il, sont suspendus à vos mamelles, et que leur
père
les caresse et vous sourit avec amour, combien ne
it pas cruel celui qui viendrait dans vos bras déchirer le fils et le
père
, comme vous m’allez déchirer ! La nature vous a d
risonniers athéniens dont le peuple demandait la mort. Vous voyez un
père
infortuné, qui a senti plus qu’aucun autre syracu
ents d’amour et d’indignation qui devaient se combattre dans l’âme du
père
et du chrétien. Son discours à sa fille est un pe
vie, puisqu’il est encore digne de lui. Que doit faire maintenant ce
père
infortuné ? Il compte peu sur ses forces pour ram
que c’est lui qui est la cause du changement de sa fille. C’est ton
père
, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta
pour faire entendre à Zaïre qu’elle n‘est pas seule coupable, que son
père
sait faire la part des circonstances malheureuses
a même force d’expression : car ce n’est pas seulement le Dieu de son
père
, c’est le sien, elle ne peut le renier, il est, s
éjouisse à cette lecture de la soumission de la fille, du triomphe du
père
et du talent du poète. Fond. Il est facile de vo
a conséquence est qu’elle doit s’empresser de revenir à la foi de ses
pères
. Toutes ces preuves se résument dans le syllogism
s commis un crime abominable, car tu as souillé ton sang, outragé ton
père
, ta mère, et renié ton Dieu là où il mourut pour
er dans le sein de la religion chrétienne. Quoique un vieillard et un
père
n’aient guère besoin des mœurs pour parier à sa f
enchaînement de moyens doux et touchants, imaginez l’emportement d’un
père
qui maudirait sa fille ; croyez-vous qu’il la déc
rte qu’ils ont faite, et non pas aux blessures qu’ils ont reçues. Les
pères
mourants envoient leurs fils pleurer sur leur gén
ne homme de vingt cinq ans. Callidore est un homme de quarante ans et
père
de famille. La somme destinée à leur délivrance n
esses qu’on a pour un fils aîné. C’est à votre cœur que j’en appelle,
pères
et mères, qui voyez croître sous vos yeux vos pre
et l’abus ? est-ce un instinct purement aveugle ? Non, Messieurs : un
père
voit avec complaisance dans l’aîné de ses fils l’
ncipe d’immortalité qui doit la garantir de l’injure des temps. Qu’un
père
de famille vienne à manquer, c’est une perte sans
grande ressource dans les besoins de la patrie : mais après tout, ce
père
de famille, quelque zélé qu’on le suppose, est né
rête aux besoins publics, on se livre aux besoins personnels ; on est
père
de famille, et on est tout entier ; on est citoye
aut-il avoir beaucoup d’usage de la vie, pour savoir que c’est sur le
père
de famille que roulent tout l’intérêt et toute la
i dirige au milieu des écueils la nacelle flottante ? n’est-ce pas le
père
de famille qui tient en main le gouvernail ; qui
douloureux. Des enfants s’élevaient à l’ombre et sous les ailes d’un
père
de famille, ils s’approchaient insensiblement du
’approchaient insensiblement du point fixe de leur établissement : le
père
est frappé tout-à-coup, il touche à son dernier m
i couvre son nom d‘un opprobre éternel, et fait rougir l’ombre de ses
pères
par un établissement honteux dont la passion a ti
le produit tardif des années et des siècles. Je sais qu’au défaut du
père
de famille, une mère peut quelquefois enchaîner,
resse capable de l’intéresser à leur délivrance : il est fils, il est
père
tout-à-la-fois ; l’amour filial, la tendresse pat
la raison, il a gardé le silence et n’a rien dit qui pût accuser son
père
, mais au moment où les forces de ce malheureux en
s’égare, et, par ce mouvement naturel à tout enfant qui attend de son
père
protection et secours, Gaddo s’écrie : « Mon père
t qui attend de son père protection et secours, Gaddo s’écrie : « Mon
père
, est-ce que tu nous laisses ainsi mourir de faim
ques projets séditieux, Caïus Gracchus, malgré toute la gloire de son
père
, de son aïeul, de ses ancêtres ; déjà l’on avait
s, non pour abjurer ton audace, mais pour t’y fortifier. Je voudrais,
pères
conscrits, pouvoir être clément ; je vaudrais aus
ernement est le nôtre ? dans quelle cité vivons-nous ? Ici, ici même,
pères
conscrits, dans ce conseil auguste et vénérable,
r une attaque de brigands ; une guerre, jamais. XI. Maintenant,
pères
conscrits, il est un reproche que la patrie pourr
pensées de ceux qui les approuvent, je répondrai en peu de mots. Oui,
pères
conscrits, si j’avais cru que le meilleur parti à
emence de tous les fléaux. XIII. Voilà bien longtemps en effet,
pères
conscrits, que cette conjuration nous fait vivre
issons vivre les autres coupables, et s’aggravera encore. Ainsi donc,
pères
conscrits, que les méchants se retirent ; qu’ils
sur son front les sentiments qui l’animent. Alors je vous le promets,
pères
conscrits, telle sera notre vigilance, à nous, co
oquai le sénat dans le temple de Jupiter Stator : je révélai tout aux
pères
conscrits. Lorsque Catilina vint à paraître, quel
qu’il réclame pour son dévouement. [Discours] I. Je vois,
pères
conscrits, que les visages et les regards de vous
du sénat et du peuple romain soient le prix de mes travaux. Je suis,
pères
conscrits, le consul pour lequel ni le Forum, ce
és par les dieux immortels à la noble mission de vous arracher, vous,
pères
conscrits, et le peuple romain, au plus horrible
talement attachée la conservation de la république ? II. Ainsi,
pères
conscrits, veillez sur vous-mêmes, songez à la pa
t que de les laisser périr avec nous, avec la république. Ainsi donc,
pères
conscrits, mettez-vous à l’œuvre pour sauver l’Ét
vous avez expressément désignés comme devant être détenus. Cependant,
pères
conscrits, j’ai voulu en référer à vous, comme si
ques hommes seulement y ont trempé, vous êtes dans une grande erreur,
pères
conscrits. Le mal est plus étendu qu’on ne pense
, la mort elle-même cesserait d’être redoutable. V. Maintenant,
pères
conscrits, je vois de quel côté se trouve mon int
nt qu’il propose est encore de beaucoup le moins rigoureux. Au reste,
pères
conscrits, quand il s’agit de punir un forfait au
issent mériter toute ma sévérité. En effet, je vous le demande, si un
père
de famille, voyant ses enfants tués par un esclav
issement à sa propre douleur, à ses propres tourments. Et nous aussi,
pères
conscrits, nous sommes en présence d’hommes qui o
us, malgré son extrême jeunesse, malgré la mission pacifique dont son
père
l’avait chargé, avait été mis à mort dans sa pris
bler excessive envers nos plus mortels ennemis. VII. Cependant,
pères
conscrits, j’entends autour de moi des paroles su
xécuter le décret que vous allez porter aujourd’hui. Eh bien, sachez,
pères
conscrits, que tout a été prévu, préparé, arrêté
les plus délicieuses ? VIII. Je ne crois pas non plus inutile,
pères
conscrits, de vous faire connaître l’ardeur qui a
ue sera-ce le jour où elles deviendront la proie des flammes ? Ainsi,
pères
conscrits, les secours du peuple romain ne vous m
ce devoir consulaire que ne je veux pas manquer. X. Maintenant,
pères
conscrits, avant de revenir à l’objet de la délib
oir contre la majesté du sénat et de la république, jamais cependant,
pères
conscrits, je ne regretterai ce que j’ai fait et
ndre un instant d’être affaiblies ou ébranlées. XI. Ainsi donc,
pères
conscrits, pour me tenir lieu du pouvoir militair
au danger, a sauvé la république entière. C’est donc votre existence,
pères
conscrits, celle du peuple romain, de vos femmes
e chapelle, monument antique et respectable qu’il avait hérité de ses
pères
. On y voyait quatre statues d’un travail exquis,
n’examinez point ses actions par les principes et la conduite de nos
pères
. Passez-lui tous ces achats, pourvu qu’il les ait
il fût obligé de dépouiller sa chapelle et de vendre les dieux de ses
pères
. Mais je vois qu’il n’a jamais fait de vente semb
l regrette le plus. Il ne vous demande que les objets du culte de ses
pères
et les dieux de sa maison. Où sont, Verrès, la pu
fort triste d’avoir perdu cet ornement de sa maison, héritage de ses
pères
, dont il se servait aux jours de fête et à l’arri
et ses amis et leur détaille à tous son malheur. Verrès reçoit de son
père
une lettre pressante ; ses amis lui écrivent sur
attention, cette affaire seule le perdra. Verrès alors regardait son
père
comme un homme, s’il ne le regardait pas comme l’
out temps ont été dans leur famille, et qu’elles ont hérités de leurs
pères
! XXII. N’attendez pas qu’entrant dans le d
as fort ancien. Il y en a beaucoup parmi vous qui ont connu L. Pison,
père
de celui qui fut préteur. Lorsqu’il exerçait la p
cet anneau. L’ordre est exécuté : on l’arrache du doigt de L. Titius,
père
de famille et citoyen romain. Et sa passion pour
pareil d’un roi ; ce prince, ami et allié du peuple romain, fils d’un
père
très attaché à la république, dont l’aïeul et les
ine, et l’un de nos plus illustres, leur renvoyait les dieux de leurs
pères
, qu’il venait d’enlever à leurs anciens ennemis,
vous disent qu’après la ruine de Carthage, P. Scipion rendit à leurs
pères
cette statue de Diane, et qu’elle fut remise en p
ance et trouvé l’art et l’usage des moissons ? Aussi, du temps de nos
pères
, dans ces jours de trouble et d’orage, lorsqu’apr
public contre lui, suivant les maximes qu’ils avaient reçues de leurs
pères
; mais qu’il leur était enjoint, en cas de refus,
’il s’agit d’un culte commun à tous les peuples, d’une déesse que nos
pères
ont été eux-mêmes chercher chez les étrangers, d’
arcellus, et vous conviendrez que celui qui a pris Syracuse en est le
père
, tandis que celui qui l’a reçue pacifiée n’a fait
iel l’obligation d’honorer et de conserver les dieux qu’adoraient ses
pères
: d’ailleurs, cette magnificence, ces ouvrages, c
une modique somme a pu les engager à vendre et à aliéner ce que leurs
pères
leur avaient laissé. L’attachement des Grecs pour
re conseil ; ces esclaves livrés pour le supplice selon la loi de nos
pères
, attachés au poteau, vous osez les arracher des b
aiment tyranniques fermèrent tout accès auprès de ce malheureux à son
père
chargé d’années, à son fils à peine sorti de l’en
u’Hortensius dira pour votre défense. Il avouera que la vieillesse du
père
, la jeunesse du fils, les larmes de l’un et de l’
re chargé de chaînes, d’être renfermé, d’être soustrait à la vue d’un
père
et d’un fils, privé de la lumière et de l’air don
société de cette nature l’aurait contraint à imiter les mœurs de son
père
, quand même la nature lui aurait accordé les incl
inué ses ressources, acquises par la valeur et par la prudence de nos
pères
; vous avez anéanti les droits de l’empire, les p
rrissait la milice des Siciliens, les enfants de laboureurs, dont les
pères
recueillaient à la sueur de leur front des moisso
ntreprises importantes, dans toutes ses persécutions. XLII. Les
pères
, les proches parents de ces jeunes gens infortuné
s de vous la justice, vertu qui vous fut toujours inconnue. Dexion le
père
, l’un des citoyens les plus distingués de Tyndari
re ou avec une bête féroce que nous avons à traiter ? Les larmes d’un
père
sur le péril d’un fils innocent ne vous touchaien
ils innocent ne vous touchaient-elles point ? Vous aviez laissé votre
père
à Rome ; vous aviez votre fils avec vous ; la pré
i ne vous rappelait-elle pas l’amour filial ? et le souvenir de votre
père
absent ne vous ramenait-il pas à la tendresse pat
ils avaient donné pour obtenir leur congé. Il y avait encore un autre
père
, citoyen d’Herbite, nommé Eubulide, homme recomma
plus fidèles et nos plus anciens alliés, comblés de bienfaits par nos
pères
, vivement touchés de ces horreurs, sont alarmés p
e, leurs corps seront exposés aux bêtes : s’il est affligeant pour un
père
de voir en cet état le corps de son fils, qu’il a
à Timarchide. Ne me répondez point, Verrès, que c’est un discours de
pères
qui, dans leurs ressentiments, viennent se plaind
Tout ce qu’elle leur a produit, c’est qu’on a arraché du sein de son
père
un jeune homme des plus estimables, et d’entre le
e ces châtiments, que vous avez frappé de la hache à l’exemple de nos
pères
, et que c’est pour ce sujet que je vous accuse et
ncore : « L’un de ces juges est de mes amis, l’autre est l’ami de mon
père
? » Mais plus un juge a de liaison avec vous, plu
honte de vous voir subir l’accusation présente. C’est l’ami de votre
père
! dieux immortels ! si votre père lui-même était
tion présente. C’est l’ami de votre père ! dieux immortels ! si votre
père
lui-même était juge, que pourriez-vous faire quan
ur que, dans un âge si fragile et si chancelant, la vie déréglée d’un
père
lui servit d’exemple. Préteur en Sicile, vous y a
vrés aux tourments et à la mort. Ni les larmes et la douleur de leurs
pères
, ni le souvenir qu’ils vous ont rappelé de mon no
ang innocent vous avez à la fois trouvé plaisir et profit. » Si votre
père
, Verrès, vous faisait de pareils reproches, pourr
t pour son pays, comme un Judas Machabée : l’armée le pleure comme un
père
, et la cour et tout ;e peuple en gémissent ; sa p
hez de bien lier le dialogue. N° 65. — Hamlet et le Spectre de son
père
Note. Claudius, oncle d’Hamlet, règne sur le
me tout le monde, mais pendant la solitude de la nuit, l’ombre de son
père
lui apparaît, pour lui découvrir le crime de son
e l’observer et de l’écouter. Il lui apprend qu’il est l’ombre de son
père
, condamné à errer pendant la nuit jusqu’à ce que
t moins la terreur que l’étonnement. Il lui semblera reconnaître son
père
revêtu de son armure. Aux premières paroles du sp
Note. Scapin, valet d’un jeune homme prodigue, veut tirer de Géronte,
père
de son maître, une somme de cinq cents écus. Pour
Pauvre le malin, il est riche à présent61 — …Pendant ce temps-là, le
père
et la mère tranquilles… Voilà ce que c’est qu’une
un des fils se fit soldat, l’autre marin, la jeune fille disparut, le
père
mourut de chagrin et la mère se plaignit à Dieu,
us fûmes silencieux. — Le quatrième jour, Gaddo égaré, me dit : — Mon
père
, que ne viens-tu me secourir ? et il mourut. Ains
t : Allocution de l’enfant aux passants : notre mère est morte, notre
père
aussi, nous avons froid et faim, faut-il mourir ?
t se fait le pain — … Loïs tout joyeux vole près de sa mère et de son
père
, et leur fait part de ses dons — … Le père sème l
près de sa mère et de son père, et leur fait part de ses dons — … Le
père
sème le blé — … Un druide, jaloux de voir les moi
bles et sur le parquet — … Grande frayeur de la pauvre enfant — … Son
père
vient à ses cris — … Il réussit à s’emparer du ch
ésence du camp anglais, le sauvage demande à l’officier s’il avait un
père
— … Sur sa réponse affirmative, le vieux Abenaki
age. — Dénouement. Puis, il dit à l’anglais de partir, afin que son
père
, en le revoyant, eût encore de la joie à revoir l
1. — Les Balances Exposition. Le sultan Ekber avait succédé à son
père
, le pacifique Humaïoun, septième descendant du gr
tion, change dès le lendemain de conduite, et mérite d’être appelé le
père
du peuple — … N° 172. — Les deux Bergers E
une fille consent à boire un verre de sang humain ! Elle boit, et son
père
est sauvé. Avis. Dans l’exposition vous ferez un
t l’acte héroïque de Mlle de Sombreuil ainsi que la délivrance de son
père
. N° 194. — Mort d’Abel Un orage se préparai
198. — Vision de Charles XI N° 195. — EXPOSITION Charles XI,
père
du fameux Charles XII, fut un des monarques les p
sexe, des jeunes (1) garçons qui se rappellent les exploits de leurs
pères
, des vieillards qui racontent à leurs enfants les
Electre114. « Où aller, seule et dé laissée, chassée du palais de mon
père
et réduite à être esclave, moi, fille d’un roi !
, moi, fille d’un roi ! Et la mort ne termine pas mes douleurs. Ô mon
père
! Viens me défendre ; Dieux puissants, vengez-moi
routes inconnues et semées de précipices — … Reste ici, mon fils, ton
père
est mort dans les glaciers » — … Le chasseur calm
i se haïssaient cordialement, l’un, Jorg de Tellis, déjà vieux, était
père
d’une jeune fille nommée Mathilde ; Vautre, dans
r, car Kœpf avait demandé Mathilde en mariage ; mais il fut refusé du
père
et de la fille — … Peu après fut tué un banneret
struisit — … Quand Mathilde vit cela, et qu’on n’apportait contre son
père
que des suppositions au lieu de preuves, elle dem
e s’offrit à combattre, elle, jeune fille, contre l’accusateur de son
père
, suivant la coutume de ces temps — … Le juge prit
ours d’Œdipe, se hâtait de répondre à toutes ses questions. « Oui mon
père
, disait-elle, un torrent roule au fond de l’abîme
blanchis avant le temps. » Ainsi disait Œdipe. Antigone consolait son
père
par de douces paroles ; mais lorsqu’enfin il n’a
ans la vallée, et court demander à un pâtre la victime que désire son
père
. « A présent, lui dit Œdipe, retire-toi. » Antigo
ait détourner les funestes effets de la malédiction paternelle. « Mon
père
, s’écriait-elle, avant que de mourir, pardonnez à
eint aussitôt ; alors, d’épaisses ténèbres lui dérobent la vue de son
père
, et, du sein de ces ténèbres mystérieuses, sort c
étonnement et la douleur, chercha trois jours entiers le corps de son
père
, pour lui rendre les honneurs de la sépulture. Le
r, en attendant qu’elle puisse exécuter les dernières volontés de son
père
et se rendre à la cour de Thésée. BALLANCHE Fils.
’auriez-vous pas aime qu’Antigone restât quelque temps à chercher son
père
? Cela n’aurait-il pas préparé l’esprit à ta disp
nnaître la résignation, et ambitionner le triomphe du martyre ; leurs
pères
étaient des braves, pourtant ils se sont laissé j
lle l’exhorte à rester auprès d’elle. : D’abord elle lui parle de son
père
; quand il mourut, elle était jeune encore, mais
a dit : Si vous ne remettez les offenses commises contre vous, votre
père
céleste ne vous remettra pas les vôtres. Quant à
abitants voulaient que leurs cendres fussent mêlées à celles de leurs
pères
. Le curé les exhorte à la soumission. La piété de
té de ses paroissiens murmure ; ils veulent être ensevelis avec leurs
pères
. Mais c’est un usage funeste à la santé publique
nts dénaturés ? Si leurs cendres ne sont pas mêlées à celles de leurs
pères
, elles seront réunies à celles de leurs enfants,
sort ; on est généralement d’avis de les faire mourir. Un vieillard,
père
de deux fils qui ont perdu la vie dans le dernier
ne fille, elle est ton ennemie ; Je suis bien malheureux !… C’est ton
père
, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta
n pas sans y trouver ton Dieu : Et tu n’y peux rester sans renier son
père
, Ton honneur qui te parle et ton Dieu qui t’éclai
endresse qu’une famille a pour son aîné ; il en appelle aux cœurs des
pères
et mères. Le père voit dans ce fils chéri l’hérit
ille a pour son aîné ; il en appelle aux cœurs des pères et mères. Le
père
voit dans ce fils chéri l’héritier de son nom ; l
tôt il abandonne ces moyens peu sérieux. Il soutient que c’est sur le
père
de famille que repose toute la charge d’une maiso
nt d’une famille privée de son chef ; les fils dissipent les biens du
père
et déshonorent quelquefois un nom respectable. Il
t F objection qu’on pourrait lui faire, que la mère peut remplacer le
père
, et à ce sujet il prouve qu’une mère n’a point as
Dans nos jours passagers de peines, de malheurs, enfants d’un même
père
, vivons du moins en frères. Aidons-nous les uns l
t ans plus tard, Electre qui n’avait cessé de déplorer la mort de son
père
, et d’implorer la vengeance des dieux contre Egis
connaître à elle, tua les deux coupables et recouvra le trône de ses
pères
. 115. Le narrateur était officier d’artillerie,
forts infatigables. Ses continuateurs lui durent, comme on doit à son
père
le bien dont on en hérite, leur amour pour la pur
si de nos discords l’infâme vitupère A pu la dérober aux victoires du
père
, Nous la verrons captive aux triomphes du fils.
e causent que des pleurs. Dans toutes les fureurs des siècles de tes
pères
, Les monstres les plus noirs firent-ils jamais ri
son pouvoir mesuré ses désirs. Il laboure le champ que labourait son
père
; Il ne s’informe point de ce qu’on délibère Dans
lus illustre mort, ni plus digne d’envie, Que de mourir au lit où ses
pères
sont morts. Il contemple du port les insolentes
nt invraisemblable que Chimène consente à épouser le meurtrier de son
père
le jour même où il l’a tué ; mais elle approuve c
ts je nomme mes exploits : Ma valeur est ma race, et mon bras est mon
père
. Don Lope. Vous le voyez, madame, et la preuve e
e fierté sincère ; On n’entend que soupirs : « Ah, mon fils ! Ah, mon
père
! « Ô jour trois fois heureux ! moment trop atten
ce, et bouillant de colère, Il crie à pleine voix qu’on lui rende son
père
. On tremble devant lui sans croire son courroux ;
; Et l’on m’arrache encor le seul bien qui me reste ! On me vole mon
père
! on le fait criminel ! On attache à son nom un o
ut effacer le sacré caractère. De grâce, commandez qu’on me rende mon
père
: Ce doit leur être assez de savoir qui je suis,
n’ont rien qui dégénère, Rien qui les fasse croire enfants d’un autre
père
. Ce sont des malheureux étouffés au berceau, Qu’u
complaisants, Vous font-ils méconnaître et haïr leurs présents ? Roi,
père
, époux heureux, fils du puissant Atrée, Vous poss
oupçonner un arrêt si sévère, Peut-être s’applaudit des bontés de son
père
; Ma fille… Ce nom seul, dont les droits sont si
le fardeau, Trop avare d’un sang reçu d’une déesse, Attendre chez mon
père
une obscure vieillesse ; Et, toujours de la gloir
oins, Et les plus malheureux osent pleurer le moins. Ulysse. Je suis
père
, seigneur, et faible comme un autre : Mon cœur se
Agamemnon. Hé bien ! ma fille, embrassez votre
père
; Il vous aime toujours. Iphigénie.
mour la Grèce vous révère ! Quel bonheur de me voir la fille d’un tel
père
! Agamemnon. Vous méritiez, ma fille, un père pl
voir la fille d’un tel père ! Agamemnon. Vous méritiez, ma fille, un
père
plus heureux. Iphigénie. Quelle félicité peut ma
ieux. D’un soin cruel ma joie est ici combattue. Iphigénie. Hé ! mon
père
, oubliez votre rang à ma vue. Je prévois la rigue
ois la rigueur d’un long éloignement : N’osez-vous, sans rougir, être
père
un moment ? Vous n’avez devant vous qu’une jeune
la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos
pères
, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disa
es Dettes du joueur. (Le Joueur, acte III, scène IV) Géronte, le
père
du joueur ; Hector, le domestique du joueur. Hec
t ton affaire. Hector. J’aurai fait en deux mots. L’honnête homme de
père
! Ah ! qu’à notre secours à propos vous venez ! E
e, oubliant ses amours, À l’aspect du milan qui menace ses jours. Les
pères
chargés d’ans, laissant leurs tendres gages90 Fu
rs de vie abandonnaient un bien Près de qui vivre un siècle aux vrais
pères
n’est rien… Une dame, encor jeune et sage en sa c
sortir nécessairement du sujet114 ». Le Glorieux rougissant de son
père
. (Le Glorieux, acte IV, scène VII.) Le Comte d
embarras vraiment comique. D’un autre côté, le comte de Tuflères a un
père
pauvre, qui vit au fond de la province ; il peut
la province ; il peut donc parler à son aise des grands biens de son
père
et du train magnifique qu’il mène dans ses terres
et du train magnifique qu’il mène dans ses terres. Malheureusement ce
père
arrive à Paris et se présente chez son fils. Il e
du glorieux, le financier Lisimon rencontre chez son futur gendre le
père
caché avec tant de soin. Que faire ? Que devenir
volontiers les parvenus enrichis, demande au comte, lui montrant son
père
, quel est cet homme-là : Le Comte, tirant Lisim
isimon en lui parlant de moi. Sa gloire est alarmée à l’aspect de son
père
. Le Comte, à Lisimon. Sachez encore… Lisimon.
désire, ou je cesse de feindre. Ici, dit M. Saint-Marc Girardin, le
père
se contente de se jouer de la fierté ridicule de
rras du comte de Tufières qui, aux yeux de Lisimon, a fait passer son
père
pour son intendant, et qui se trouve forcé d’endu
iemment les boutades de cet intendant. Mais, avant de nous montrer ce
père
qui met plaisamment en défaut l’orgueil de son fi
s sérieux. Le Comte de Tufières avait voulu cacher à tous les yeux ce
père
malencontreux qui vient déranger ses vanteries ;
valet, qu’il s’était hâté de congédier dès qu’il avait vu entrer son
père
. C’est par respect, dit-il : Aux regards d’un va
est par respect, dit-il : Aux regards d’un valet dois-je exposer mon
père
? Mais Lycandre ne s’y trompe pas : Vous craign
iez honneur de bannir tout mystère Et de me reconnaître en qualité de
père
. Dans cette maison-ci. Voyons si vous l’osez. Le
demande. Lycandre. J’entends : la vanité me déclare, à genoux, Qu’un
père
infortuné n’est pas digne de vous115. Le Cont
omte. Proprement c’est mon
père
; Mais, comme après sa mort j’aurai ce marquisat,
mon. Signons donc maintenant. La noce se fera Aussitôt qu’à Paris ton
père
arrivera. Le Comte. Mon père, dites-vous ? Il ne
La noce se fera Aussitôt qu’à Paris ton père arrivera. Le Comte. Mon
père
, dites-vous ? Il ne faut point l’attendre. Jamais
l’Être suprême. Cette loi peu exigeante se réduit à la qualité de bon
père
, de bon ami et de bon voisin. La composition de c
r ! ô cris ! Il le voit, il l’embrasse : hélas ! c’était son fils. Le
père
infortuné, les yeux baignés de larmes, Tournait c
Sedaine, obligé à treize ans d’interrompre ses études, parce que son
père
, qui était architecte, avait dissipé sa fortune,
D’un air sombre s’avance et guide Les pas tardifs de Jupiter ; Et son
père
, le vieux Saturne, Roule à peine son char nocturn
terriblement combattue qu’elle ait jamais pu l’être. Le spectre d’un
père
assassiné demande vengeance à un fils, et Hamlet,
btint un succès d’enthousiasme et de larmes, et le titre de Poète des
pères
fut confirmé à Ducis. L’année suivante il donna M
et. Acte IV, scène III. Hamlet voit apparaître l’ombre de son
père
qui lui commande la vengeance. Hamlet, Gertrude,
ent fixés sur quelque objet terrible. Hamlet, voyant l’ombre de son
père
. C’est sur lui… Le voilà ; ne le voyez-vous pas ?
scène VI. Hamlet, placé entre Gertrude, sa mère, meurtrière de son
père
, et Claudius, son complice, qui accourt pour le f
e faire périr, se sent élevé au-dessus de lui-même par l’ombre de son
père
qui lui apparaît, saisit ses armes, et crie à sa
! Hamlet. Qu’ordonnes-tu ? De frapper ? J’obéis. Mon
père
, tu la vois, grâce ! je suis son fils. Gertrude.
Vivre comme jadis, aux champs de Babylone, Ont vécu, nous dit-on, ces
pères
des humains Dont le nom aux autels remplit nos fa
n, je vous assure, Bon ange !… » En ce moment, de leurs larmes noyés,
Père
, mère, enfants, tous sont tombés à ses pieds. « L
je vivrai ; mais si tu meurs, je meurs. Déjà la tombe enferme et ton
père
et tes sœurs ; Seules, nous nous restons ; toi se
Mayence, Bordeaux, Florence, Ou les Pays-Bas. « Adieu donc, mon
père
, Adieu donc, mon frère ; Adieu donc, ma mère, Adi
le protège. » Son sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait
père
, Le rendait père. — Quel beau jour pour vous, gra
sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait père, Le rendait
père
. — Quel beau jour pour vous, grand’mère ! Quel be
s dans les fers, Seigneur, ils pouvaient t’adorer. Du tombeau de leur
père
ils parlaient sans alarmes : Souffrant ensemble,
nçois de Paule. Que puis-je ? Louis. Tout, mon
père
; oui, tout vous est possible : Vous réchauffez d
ouvrant mes mains je sème les miracles. Louis. Au moins dix ans, mon
père
! accordez-moi dix ans, Et je vous comblerai d’ho
feu roi de langueur et de faim. François de Paule. Un fils a de son
père
abrégé la vieillesse ! Louis. Le dauphin, c’étai
par droit de misère ! Ah ! si dans mes tourments vous descendiez, mon
père
, Je vous arracherais des larmes de pitié ! Les an
tre. En vain je sors de moi ; fils rebelle jadis, Je me vois dans mon
père
et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami ;
i la vertu. Ton premier pas est fait, règne sur ce rivage. Puisse mon
père
un jour, couronnant son ouvrage, Laisser un grand
oi qui rends d’un regard l’immensité féconde. Âme de l’univers, Dieu,
père
créateur, Sous tous ces noms divers je crois en t
jalouse. La chambre maternelle où nous vînmes au jour, Celle de notre
père
, à côté sur la cour ; Ces meubles familiers, qui
u geste : « À genoux ! nous dit-elle, Enfants ! voilà le lit où votre
père
est mort ! » Puis, tombant elle-même à genoux sur
que par des côtés restreints : les bons chevaliers ouïes tyrans, les
pères
, les enfants, les vieillards ; le poète a été imp
de lumières, Viens sous mon ciel plein de zéphyrs ! « J’ai connu ton
père
et ta mère Dans leurs bons et leurs mauvais jours
père, Mon travail léger, mon ciel bleu, Lorsqu’elle me disait : « Mon
père
, » Tout mon cœur s’écriait : « Mon Dieu ! » À tr
rs entretiens ! Le soir, comme elle était l’aînée, Elle me disait : «
Père
, viens ! Nous allons t’apporter ta chaise ; Cont
gnation. (Les Contemplations, IV, XV.) Je viens à vous, Seigneur,
père
auquel il faut croire ; Je v
Est le commencement. Je conviens à genoux que vous seul,
Père
auguste, Possédez l’infini, le réel, l’absolu ; J
ous ses fils regardaient trembler l’aïeul farouche. Caïn dit à Jubal,
père
de ceux qui vont Sous des tentes de poil dans le
mme l’aurore ; Et Caïn répondit : « Je vois cet œil encore ! » Jubal,
père
de ceux qui passent dans les bourgs Soufflant dan
adelle ; Bâtissons une ville et nous la fermerons. » Alors Tubalcaïn,
père
des forgerons, Construisit une ville énorme et su
re, en une tour de pierre ; Et lui restait lugubre et hagard. « Ô mon
père
! L’œil a-t-il disparu ? » dit en tremblant Tsill
us qu’à moitié, Et qui disait : « À boire, à boire, par pitié ! » Mon
père
, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de r
ore, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon
père
en criant : « Caramba ! » Le coup passa si près,
fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même à boire, » dit mon
père
. Deschamps (Émile) (1791-1872) Émile Desc
Ô vous dont le cœur pur, dans l’ombre s’échauffant, Aime ardemment un
père
, un époux, un enfant, Une tante, une sœur, foule
racontait souvent, pour me distraire, Son enfance et les jeux de mon
père
, son frère, Que je n’ai pas connu ; car je naquis
berceau d’abord posa sur un cercueil. Elle me parlait donc et de mon
père
et d’elle ; Et ce qu’aimait surtout sa mémoire fi
.) Amélie, Mme Dalainville, Dupré, Charles. Mme Dalainville. Mon
père
, vous voilà ! Que ce moment est doux ! Dupré. À
l’exemple de sa mère aux vertus religieuses, et par l’exemple de son
père
aux vertus civiles et sociales. Sa vocation poéti
ands dômes verts ! Nous léguons à nos fils la terre dévastée, Car nos
pères
nous ont légué des cieux déserts. Retour aux
vos grands yeux ; Fermons ce gros livre ennuyeux, Et souriez à votre
père
. Il est beau d’être un raisonneur, De tout lire e
’on a fait tout son devoir, Que la main est lasse d’écrire, Quand le
père
est rentré, le soir, Avec les sœurs il faut savoi
vers eux, monter pareils à des fantômes ; Mais tous ayant sur mer des
pères
, des enfants, Ils voulurent toucher et voir ces a
814-1867) Francis Ponsard naquit, le 1er juin 1814, à Vienne, d’un
père
avocat. Il s’annonça comme auteur dramatique, en
ce n’est pas la grande poésie. Un fils acceptant l’héritage de son
père
avec toutes ses charges. (L’Honneur et l’Argent,
D’accord ; Mais mon
père
avait mis en vous sa confiance. Le Notaire. Oui,
. Mais sans doute à ceci vous êtes préparé. (George s’incline.) Votre
père
, chargé de vastes entreprises, S’est vu paralysé
biens de votre mère. George. Et comment paîra-t-on les dettes de mon
père
? Le Notaire. On ne les paîra pas. George.
Donc, pour s’être fié À l’honneur de mon
père
, on sera spolié. Le Notaire. Que voulez-vous ? t
t, du passif tout entier ; Et six cent mille francs, payés pour votre
père
, Absorberont tout net la dot de votre mère : Vous
ous êtes sur le point de vous marier. Le notaire dit à George que le
père
de la jeune fille qu’il désire épouser le refuser
is, monsieur, et réponds de sa foi. Le Notaire. Je le veux ; mais le
père
imposera sa loi. George. Oh ! que me dites-vous
e cas du fils qui délibéré, Quand il faut acquitter les dettes de son
père
. Leconte de Lisle (Né en 1820) Leconte de
e et sa force, il lui dit : « Tu m’es, fleuve propice, envoyé par mon
père
, Ces étables m’ont fait reculer, mais j’espère Av
Sage, fils de Jean II, qui eut la régence pendant la captivité de son
père
en Angleterre (1350-1360), et régna de 1364 à 138
de Saturne. Il régna en Thessalie. Les Grecs le regardaient comme le
père
de leur race. 38. Allusion à un ouvrage plaisant
gamemnon serait intéressant, dit M. Vinet, si, entre le citoyen et le
père
qui se disputent la victoire dans son cœur, on ne
atouille de son cœur l’orgueilleuse faiblesse ! Aussi la rencontre du
père
avec la fille est bien moins touchante dans Racin
s ces deux vers : “J’entends : la vanité rue déclare, à genoux, Qu’un
père
infortuné n’est pas digne de vous !…” Il a raison
andée à genoux ; ce droit de cacher sa naissance et de désavouer son
père
, imploré de son père lui-même ; ce cruel et pénib
roit de cacher sa naissance et de désavouer son père, imploré de son
père
lui-même ; ce cruel et pénible aveu, moins cruel
ourtant pour la fierté du comte que la reconnaissance publique de son
père
pauvre et mal vêtu : tant d’orgueil pour le dehor
Ses fils, forcés d’assister à son supplice, reçurent le sang de leur
père
sur leurs têtes, d’après la légende populaire. 2
235. Confidences. 236. C’est ce que Lamartine dit lui-même de son
père
, dans ses Nouvelles Confidences, xli. 237. Conf
rit sa retraite après la deuxième Restauration. Il mourut en 1828. Le
père
du poète illustre a laissé des Mémoires, 3 vol. i
e discours que prête Xénophon à Cyrus mourant. Ces derniers avis d’un
père
à ses enfants, ces réflexions si sages d’un grand
les doux nœuds dont le ciel a voulu lier ensemble les fils d’un même
père
: resserrez-les plutôt, par les actes répétés d’u
plice » ! 76. « Mon fils, au nom des nœuds sacrés qui unissent les
pères
et les enfants, je l’en conjure, mon cher fils !
her fils ! ne souille point, ne laisse point souiller les yeux de ton
père
d’un pareil spectacle ! Il n’y a qu’un moment que
9). 77. « Mon épouse et mon fils ne me sont pas plus chers que mon
père
et la république ; mais sa propre grandeur soutie
ue mon père et la république ; mais sa propre grandeur soutiendra mon
père
, et les autres armées défendront la république. Q
ssance dont vous payez votre général ? Il me faudra donc mander à mon
père
, qui ne reçoit de tous côtés que d’heureuses nouv
ivin Auguste, reçue maintenant parmi les Dieux ! Mânes de Drusus, mon
père
, dont tout rappelle ici la mémoire, n’employez, p
c’est dans vos cœurs que je dépose mes derniers vœux. Racontez à mon
père
et à mon frère quelles amertumes ont empoisonné,
s, mon cher Scipion, jamais on ne me persuadera que Paul Émile, votre
père
, que tant de grands hommes, dont l’énumération se
Orso ne peut faire un pas, sans être poursuivi par le fantôme de son
père
qui crie vengeance. Il est la proie d’une obsessi
ousier, l’ajouta à la pyramide. « Orso, dit-elle, c’est ici que notre
père
est mort. Prions pour son âme, mon frère ! » Et e
hemise couverte de larges taches de sang. « Voici la chemise de votre
père
, Orso. » Et elle la jeta sur ses genoux. « Voici
je respire. Électre. Tu es Oreste ? Oreste. Vois le cachet de mon
père
et reconnais-moi. Électre. O jour chéri à jamai
entiment filial ; car le frère d’Électre sera aussi le vengeur de son
père
. Lisez les scènes qui suivent, dans la traduction
sciplinait si facilement, on peut juger de ce qu’étaient des citoyens
pères
de famille, attachés au sol de la patrie et nourr
ion royale, et a consolé, par cet appui, les mânes plaintifs de leurs
pères
. « Bénissons, mon cher frère, les circonstances q
érables, s’il embrassait le service des Espagnols : l’histoire de son
père
fut la seule réponse que le Général Espagnol en r
rère, de l’École dans la carrière militaire. Portez les armes que vos
pères
ont portées, et que ce soit avec honneur comme eu
otre vie et vos services, au double titre de votre maître et de votre
père
! Vous porterez toute votre vie sur votre personn
ne lettre qu’on écrit à un religieux. Au lieu de mettre : Au Révérend
Père
, le Révérend Père ; il faut, au Révérend Père, Ré
rit à un religieux. Au lieu de mettre : Au Révérend Père, le Révérend
Père
; il faut, au Révérend Père, Révérend Père, etc.
de mettre : Au Révérend Père, le Révérend Père ; il faut, au Révérend
Père
, Révérend Père, etc. J’avais oublié de dire, que
Révérend Père, le Révérend Père ; il faut, au Révérend Père, Révérend
Père
, etc. J’avais oublié de dire, que quand on écrit
grande. Enfin l’un d’eux dit aux autres : « Mes frères, prions notre
Père
qui est dans les cieux ; peut-être qu’il aura pit
e détresse. » Et cette parole fut écoutée, et ils prièrent de cœur le
Père
qui est dans les cieux1. Et quand ils eurent prié
ces temps de désordre et de calamités, ne plaignons pas ceux à qui le
Père
céleste dit : Entrez dans la paix ! Pleurons sur
et s’entre-secourir comme les enfants d’une même famille, qui ont un
père
commun. Chaque nation n’est qu’une branche de cet
mbreuse qui est répandue sur la face de toute la terre. L’amour de ce
père
commun doit être sensible, manifeste, et inviolab
re à ceux qui naissent de lui : Connaissez le Seigneur, qui est votre
père
. » 2. Paroles d’un croyant. (Édition Garnier
trouvent chaque jour la pâture de chaque jour, que leur a préparée le
Père
céleste. C’est ainsi qu’ils doivent apparaître au
Nous nous en allons vers notre vraie patrie, vers la maison de notre
père
. Mais à l’entrée, il y a un passage où deux ne sa
é mon but ; je désire sincèrement l’avoir atteint. 1. Homère fut le
père
de la poésie ancienne, c’est le créateur de l’épo
teur de l’épopée ; Virgile n’a fait que l’imiter. — Démosthène fut le
père
de l’éloquence et le modèle de Cicéron. — Le gran
de l’éloquence et le modèle de Cicéron. — Le grand Corneille a été le
père
de la poésie française et a tellement contribué à
neille, les premiers seraient regardés aujourd’hui comme créateurs et
pères
de genre, si je puis m’exprimer ainsi.
p répond : « J’en sais la vérité ; — - c’est cela même que me fit ton
père
— à cette source où avec lui j’étais. — Il y a si
. Jourdain. — Voilà pas le coup de langue ? Mme Jourdain. — Et votre
père
n’était-il pas marchand aussi bien que le mien ?
urdain. — Peste soit de la femme ! Elle n’y a jamais manqué. Si votre
père
a été marchand, tant pis pour lui ; mais, pour le
eu vous visitera et vous établira dans la terre qu’il a promise à nos
pères
; emportez mes os avec vous. » Ce fut là sa derni
ent pourrais-je n’avoir pas le visage triste, puisque la ville où mes
pères
sont ensevelis est déserte, et que ses portes son
quelque grâce, renvoyez-moi en Judée, en la terre du sépulcre de mon
père
, et je la rebâtirai. » Étant arrivée en Judée, il
ui en montre un si serein et si doux. Jésus-Christ, le Fils unique du
Père
céleste, est le grand pacificateur… A l’exemple d
s unique, les enfants d’adoption doivent prendre le caractère de leur
Père
, et se montrer vrais enfants de Dieu par l’amour
a à la cour d’Angleterre quand Charles II remonta sur le trône de ses
pères
(1660) et revint définitivement, en France, où il
si fort souvent : tantôt c’était à ma santé, et tantôt à celle de mon
père
et de ma mère, dont il ne pouvait assez vanter le
reconnu leur erreur, ils portèrent le corps du jeune Soltikoff à son
père
pour l’enterrer ; et le père malheureux, loin d’o
tèrent le corps du jeune Soltikoff à son père pour l’enterrer ; et le
père
malheureux, loin d’oser se plaindre, leur donna d
irent ces paroles : ils rentrent furieux dans la chambre, traînent le
père
par les cheveux, et l’égorgent à la porte de sa m
ndais Vangad : ils rencontrent son fils, ils lui demandent où est son
père
; le jeune homme, en tremblant, répond qu’il l’ig
ans lequel périt, il y a peu d’années1103, ce bon cultivateur, ce bon
père
de famille, nommé Martin, d’un village du Barrois
e à la potence, qu’il est coupable de l’assassinat pour lequel ce bon
père
de famille est mort. Une fatalité1109 singulière
à M. le marquis de la Jeannotière ; c’était un ordre de monsieur son
père
de faire venir monsieur son fils à Paris. Jeannot
es lecteurs qui aiment à s’instruire doivent savoir que M. Jeannot le
père
avait acquis assez rapidement des biens immenses
? C’est parce qu’on est heureux.... C’est ce qui arriva à Jeannot le
père
, qui fut bientôt ML de la Jeannotière, et qui, ay
quis ne lui fit point de réponse : Colin en fut malade de douleur. Le
père
et la mère donnèrent d’abord un gouverneur au jeu
èrement de cet avis. Le petit marquis était au comble de la joie ; le
père
était très indécis. « Que faudra-t-il donc appren
et se perfectionna dans l’habitude de n’être propre à rien. Quand son
père
le vit si éloquent, il regretta vivement de ne lu
ant et en épousant le jeune marquis. Elle devint la meilleure amie du
père
et de la mère. Une vieille voisine proposa le mar
ces coquins-là, allez vite. » Il y court, il arrive à la maison ; son
père
était déjà emprisonné ; tous les domestiques avai
’avait pas encore étouffé : il sentit qu’il ne pouvait abandonner son
père
et sa mère. « Nous aurons soin de ta mère, dit Co
« Nous aurons soin de ta mère, dit Colin ; et quant à ton bonhomme de
père
, qui est en prison, j’entends un peu les affaires
r peu de chose ; je me charge de tout. » Colin fit tant qu’il tira le
père
de prison. Jeannot retourna dans sa patrie avec s
nt de même humeur que le frère, le rendit très heureux. Et Jeannot le
père
, et Jeannotte la mère, et Jeannot le fils virent
uson Hors le temps que je passais à lire ou à écrire auprès de mon
père
, j’étais toujours avec ma tante1160, à la voir br
1222, qui déplace, qui édifie, qui renverse, qui vide les coffres des
pères
, qui laisse les filles sans dot, les fils sans éd
léments de littérature 1243, et on lit avec plaisir ses Mémoires d’un
père
pour servir à l’instruction de ses enfants, œuvre
n maître ayant jugé que j’étais en état d’être reçu en quatrième, mon
père
consentit, quoique à regret, à me mener lui-même
e Mauriac1244, qui était le plus voisin de Bort1245. Ce regret de mon
père
était d’un homme sage, et je dois le justifier. J
ée ; c’était au milieu de ces femmes et d’un essaim d’enfants que mon
père
se trouvait seul1247 : avec très peu de bien, tou
était en abondance, et presque en non-valeur ; il était permis à mon
père
d’en tirer sa provision. L’excellent beurre de la
ts étaient communs et coûtaient peu ; le vin n’était pas cher, et mon
père
lui-même en usait sobrement. Mais enfin, quoique
de nos moyens ; et, quand je serais au collège, la prévoyance de mon
père
s’exagérait les frais de mon éducation. D’ailleur
ns tardive et moins incertaine, pensait-il à laisser en moi un second
père
à ses enfants. Cependant, pressé par ma mère, qui
é de douces larmes et chargé de bénédictions, je partis donc avec mon
père
. Il me portait en croupe, et le cœur me battait d
t le cœur me battait de joie ; mais il me battit de frayeur quand mon
père
me dit ces mots : « On m’a promis, mon fils, que
Après nous avoir accueillis avec cette grâce touchante, et invité mon
père
à revenir savoir quel serait le succès de l’exame
n cinquième. » Je me mis à pleurer. « Je suis perdu, lui dis-je ; mon
père
n’a aucune envie de me laisser continuer mes étud
hagrin à ma mère ! Ah ! par pitié, recevez-moi ; je vous promets, mon
père
, d’étudier tant, que dans peu vous aurez lieu d’ê
, touché de mes larmes et de ma bonne volonté, me reçut, et dit à mon
père
de ne pas être inquiet de moi ; qu’il était sûr q
ec cinq autres écoliers, chez un honnête artisan de la ville ; et mon
père
, assez triste de s’en aller sans moi, m’y laissa
sorte que, tout calculé, hormis mon vêtement, je pouvais coûter à mon
père
de quatre à cinq louis1253 par an. C’était beauco
t que, dans les collèges, on n’apprenne que du latin. (Mémoires d’un
père
, livre I.) Beaumarchais (1732-1799) Né à
t me laver du juste reproche que vous me faites d’être le fils de mon
père
… Mais je m’arrête ; car je le sens derrière moi q
e ce que j’écris, et rit en m’embrassant. O vous qui me reprochez mon
père
, vous n’avez pas d’idée de son généreux cœur ; en
l y frappe ; il en sort un vieux hernouten1297à barbe blanche : « Mon
père
, lui dit l’officier, montrez-moi un champ où je p
monte à cheval. L’officier de cavalerie dit alors à son guide : « Mon
père
, vous nous avez fait aller trop loin sans nécessi
de Saint-Cloud. « Où irons-nous demain, s’il fait beau ? » disait mon
père
, le soir des samedis d’été ; puis il me regardait
t ainsi : toujours il se plaindra, toujours il argumentera contre son
père
. Ce n’est point assez que Dieu ait attaché un bon
lord Nelvil, qui vient d’être frappé d’un deuil cruel, la mort de son
père
, et dont la santé est ébranlée par le chagrin, s’
avait vraiment connus.... Schiller était le meilleur ami, le meilleur
père
, le meilleur époux ; aucune qualité ne manquait à
seil1424, à une fin si glorieuse. Il songe avec attendrissement à son
père
, à ses sœurs, à sa patrie ; il recommande à Etern
ends sur l’escalier quelqu’un, et par la fente de la porte, je vis le
père
, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses g
udoie nous autres paysans, gens de peu, bons amis pourtant de feu son
père
. Il semble toujours avoir peur qu’on ne le prenne
. Écoute, Biscotine, va jusque devers1461 la butte pour savoir si ton
père
ne revient pas. Et toi, Biscotin, suis le chemin
de la butte : « Mordienne ! dit Biscotin, je retrouverai notre pauvre
père
ou les loups m’y mangeront. — Pardienne1462 ! dit
e oreille docile. Les petits même des animaux n’écoutent-ils pas leur
père
et leur mère, et ne leur obéissent-ils pas à l’in
ns que vous reçûtes d’eux dans vos premières années. Qui délaisse son
père
et sa mère en leurs nécessités, qui demeure sec e
dans ces temps mauvais : qui sait combien ils dureront ? » Le pauvre
père
se tut, et, le cœur plein d’angoisse, il s’en ret
l y a des soucis sur votre front et des larmes dans vos yeux. » Et le
père
, d’une voix altérée, lui exposa son infortune. Qu
pas concouru, avec le feu duc de Buckingham1486, à la mort du roi son
père
: « Mon ami, lui répondit Charles avec mépris et
pauvre fils, avant de mourir et de me laisser ses trois enfants sans
père
ni mère, l’avait bâtie avec tant de soins et d’am
offrant un marc d’or, lui parla ainsi : « Étienne, fils d’Érard, mon
père
, a servi toute sa vie le tien sur mer, et c’est l
tien sur mer, et c’est lui qui conduisait le vaisseau sur lequel ton
père
monta pour aller à la conquête ; seigneur roi, je
les étaient épuisés ; Athanaghild interposa son autorité de roi et de
père
; et, malgré les larmes de la reine, Galeswinthe
puissante donne le signal aux moissonneurs. « Il faut partir, dit le
père
; n’entendez-vous pas l’alouette ? » Elle les sui
vivions. Lorsque, dans nos longues courses, j’avais parcouru avec mon
père
tous les boulevards, tous les quais, et que nous
ntières. Elles faisaient équilibre à la jeunesse un peu légère de mon
père
, à ses crédules espérances, à sa sécurité dangere
er ailleurs ou de jouer avec mon chat ; mais rien ne m’échappait. Mon
père
écoutait tout avec une bonté, une patience digne
légère, d’envisager nos intérêts. Aujourd’hui, plus juste envers mon
père
, je crois que sans ce caractère picard1586, cette
res au gain et à la moisson, il disait : « Voyez ceux d’Embrun. Si un
père
de famille, au temps de la récolte, a son fils au
entend pas le rossignol une fois en cinquante ans. Eh bien, quand le
père
meurt dans une famille, les garçons s’en vont che
ciel de lit ? Il est fait de verdure, ce soir, mon enfant : mais ton
père
n’en soupe pas moins. Veux-tu souper avec lui ? J
peur. « Y a-t-il de méchantes bêtes dans ce bois ? demanda-t-il à son
père
. — Non, fit le père, il n’y en a point. Ne crains
méchantes bêtes dans ce bois ? demanda-t-il à son père. — Non, fit le
père
, il n’y en a point. Ne crains rien. — Tu as donc
e mémoire, il s’en souvient. Mais apprends, mon petit Pierre, que ton
père
ne ment jamais. Nous avons passé les grands bois
oups ne sortent pas des grands bois. Et puis, s’il en venait ici, ton
père
les tuerait. — Et toi aussi, petite Marie ? — Et
rner. Qu’ai-je besoin d’une femme que je ne connais pas ? — Mon petit
père
, dit l’enfant, pourquoi donc est-ce que tu parles
ant le jour et qui s’y formulait à l’approche du sommeil. « Mon petit
père
, dit-il, si tu veux me donner une autre mère, je
nieux qui se révèle dans l’Histoire morale de femmes (1847), dans les
Pères
et les enfants au xixe siècle (1867), dans les C
m’entendre ; la mère et la fille avaient disparu toutes deux comme le
père
; c’est à leur mémoire seule que s’adressèrent me
ue l’on ait jamais su pourquoi, et comme pour saluer, elles aussi, le
père
de la lumière et de la vie, — et qu’une sorte de
de gagner dans telle circonstance ». Ou bien : « Il a fait tort à mon
père
, à mes proches, et je rentre ainsi dans ce qui me
avait dit : « attends-moi ! » et gagna lestement ses chevrons1738 de
père
de famille, sans retourner la tête vers ses ancie
enir jusqu’au bout. Je me souviens d’une soirée funèbre et douce ; le
père
très grave, la mère atterrée. On causait bas auto
aient plus de rien si personne ne les admirait. Comme j’entendais mon
père
et ma mère causer dans la chambre voisine, j’y en
causer dans la chambre voisine, j’y entrai avec un grand fracas. Mon
père
m’examina pendant quelques instants ; puis il hau
pension. — Il est encore bien petit, dit ma mère. — Eh bien, dit mon
père
, on le mettra avec les petits. » Je n’entendis qu
ctement, c’est qu’elles m’ont été répétées plusieurs fois depuis. Mon
père
ajouta : « Cet enfant, qui n’a ni frères ni sœurs
Fontanet, me dit-il, et toi ? » Puis il me demanda ce que faisait mon
père
. Je lui dis qu’il était médecin. « Le mien est av
llets nus. Fontanet demeurait au coin de la rue Bonaparte1784, où son
père
avait son cabinet d’avocat. L’appartement de mes
rvir, qui seulement de mère Ne vous sert pas ici, mais de garde et de
père
..., Commencez donc ainsi1985. Puis sitôt que par
hommes ! C’est un point arrêté, que tout ce que nous sommes, Issus de
pères
rois et de pères bergers, La Parque2041 également
point arrêté, que tout ce que nous sommes, Issus de pères rois et de
pères
bergers, La Parque2041 également sous la tombe no
discords2066 l’infâme vitupère2067 À pu la dérober aux victoires du
père
, Nous la verrons captive aux triomphes du fils206
son pouvoir mesuré ses désirs ! Il laboure le champ que labourait son
père
; Il ne s’informe point de ce qu’on délibère Dans
illustre mort, ni plus digne d’envie, Que de mourir au2087 lit où ses
pères
sont morts. S’il ne possède point ces maisons mag
’ont pris de lui le peuple et le sénat Ne trouveront en moi jamais un
père
ingrat : Je crois que pour régner il en2099 a les
104, Et n’oublier jamais qu’autrefois ce grand homme Commença par son
père
à triompher de Rome2105. Flaminius. Ah ! c’est t
ait la Bithynie entière, Telle que de tout temps l’aîné la tient d’un
père
, Et s’empresserait moins à le faire régner, Si vo
pour l’épée2117 : L’attente où j’ai vécu n’a point été trompée ; Mon
père
a consenti que je suive2118 mon choix, Et j’ai fa
est bien fou du cerveau « Qui prétend contenter tout le monde et son
père
. « Essayons toutefois si par quelque manière « No
s2407 Seigneur, voyez l’état où2408 vous me réduisez. J’ai vu mon
père
mort, et nos murs embrasés ; J’ai vu trancher les
traîné sans honneur autour de nos murailles2413 ? Dois-je oublier son
père
, à mes pieds renversé » Ensanglantant l’autel qu’
it que ce qu’ils ont été ; Parle-lui tous les jours des vertus de son
père
; Et quelquefois aussi parle-lui de sa mère. Mais
ler ma colère. Hector. Monsieur, contraignez-vous : j’aperçois votre
père
. (Le Joueurt acte IV, sc. xiii.) A mauvais m
nos grandeurs passagères, Il faut mêler sa cendre aux cendres de ses
pères
, Et c’est le même Dieu qui nous jugera tous. (Od
e Jean Racine et une traduction de ce Paradis perdu de Milton que son
père
et Boileau n’avaient pas connu et qui commençait
l suit les lois dont vous bravez l’empire2482… Comme un roi, comme un
père
, il vient vous gouverner ; Et, plus chrétien que
une fille, elle est ton ennemie ! Je suis bien malheureux… C’est ton
père
, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta
pas, sans y trouver ton Dieu ; Et tu n’y peux rester sans renier ton
père
, Ton honneur qui te parle, et ton Dieu qui t’écla
es jours infortunés, Le voilà devant vous, et vous l’assassinez ! Son
père
est mort, hélas ! par un crime funeste2494; Sauve
he. O reine ! levez-vous Et daignez me prouver que Cresphonte est mon
père
, En cessant d’avilir et sa veuve et ma mère.... N
er. (A Alvarez.) Le ciel, qui veut ma mort, et qui l’a suspendue, Mon
père
, en ce moment m’amène à votre vue. Mon âme fugiti
om, s’il se peut, bénissez la mémoire. (A Alvarez.) Daignez servir de
père
à ces époux heureux : Que du ciel, par vos soins,
puisque je vois vos pleurs. Pour la dernière fois approchez-vous, mon
père
; Vivez longtemps heureux ; qu’Alzire vous soit c
e, et sa gloire avec lui ! » Mais à mon cœur calmé le Seigneur dit en
père
: « Leur haine sera ton appui. À tes plus chers a
3.) André Chénier (1762-1794) Né à Constantinople en 1762 d’un
père
français et d’une mère grecque, André-Marie de Ch
) Souvenirs d’enfance Voilà le banc rustique où s’asseyait mon
père
; La salle où résonnait sa voix mâle et sévère, Q
astre et l’insecte invisible à nos yeux Avaient, ainsi que nous, leur
père
dans les cieux ! (Harmonies poétiques et religie
s un débris de nos cœurs ? Dieu de pardon ! Leur Dieu ! Dieu de leurs
pères
! Toi que leur bouche a si souvent nommé, Entends
, en l’implorant ? François De Paule. Que puis-je ? louis. Tout, mon
père
; oui, tout vous est possible ; Vous réchauffez d
ouvrant mes mains je sème les miracles. Louis. Au moins dix ans, mon
père
! accordez-moi dix ans, Et je vous comblerai d’ho
entr’ouvre à ses premières larmes2660 ; C’est que, parmi les voix, le
père
a reconnu La voix la plus aimée2661 à ce chant in
onne s’apprête La première à parer les cheveux de sa tête ; C’est mon
père
, et jamais un autre enfant que moi N’augmenta la
nnés avec tendresse, Suspendant à son col leur pieuse caresse : « Mon
père
, embrassez-moi ! D’où naissent vos retards ? Je n
as ? « — C’est vous, hélas ! c’est vous, ma fille bien-aimée ? Dit le
père
en rouvrant sa paupière enflammée. Faut-il que ce
t au ciel2682 ! (Les Feuilles d’automne, XXXII.) Après la mort du
père
Notre ami Ne reverra jamais son vieux père end
I.) Après la mort du père Notre ami Ne reverra jamais son vieux
père
endormi ! Hélas ! il a perdu cette sainte défense
pour dompter le flot, Prête une expérience au jeune matelot ! Plus de
père
pour lui ! plus rien qu’une mémoire ! Plus d’augu
rdu la moitié de sa vie, L’orgueil de faire voir à la foule ravie Son
père
, un vétéran, un général ancien2683 ! Ce foyer où
orphelin, mère, enfant, jeune fille2684, Se rallie inquiet autour du
père
seul, Que ne dépasse plus le front blanc de l’aïe
rs entretiens ! Le soir, comme elle était l’aînée, Elle me disait : «
Père
, viens ! Nous allons t’apporter ta chaise. Conte-
2708. (Les Châtiments, livre VII, i.) Après la bataille Mon
père
, ce héros au sourire si doux2709, Suivi d’un seul
lus qu’à moitié, Et qui disait : « A boire, à boire par pitié ! » Mon
père
, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de r
ure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon
père
en criant : « Caramba2711 ! » Le coup passa si pr
fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même à boire », dit mon
père
. (La Légende des siècles, première série, XIII,
e souci ! Qu’est-ce que j’ai fait là ? Cinq enfants sur les bras ! ce
père
qui travaille ! Il n’avait pas assez de peine ; i
oi, Et tu hais ton voisin d’être semblable à toi. Parle, aimes-tu ton
père
? aimes-tu ta patrie ? Au souffle du matin sens-t
le tien. Que ne vas-tu courir et tenter la fortune, Si le toit de ton
père
est trop bas pour ton front ? Ton orgueil est sce
8), Harmodius, tragédie (1870), Poèmes civiques (1873), le Livre d’un
père
(1876), qui sont tous remarquables par l’élévatio
aguerrie ! Faites votre devoir : Dieu fera le succès. (Le Livre d’un
père
.) A un grave écolier. Monsieur l’écolier s
vos grands yeux ; Fermons ce gros livre ennuyeux, Et souriez à votre
père
. Il est beau d’être un raisonneur, De tout li
u’on a fait tout son devoir, Que la main est lasse d’écrire, Quand le
père
est rentré, le soir, Avec les sœurs il faut savoi
èvre un mot gracieux, La vertu même en est plus belle. (Le Livre d’un
père
.) Autran (1813-1877) Né en 1813 à Marseil
ous mes lauriers flétris ? meganire, se précipitant vers lui. O mon
père
! à vos pieds votre fille inclinée Dira que tout
ons des vers2898. » (En voyage, III.) Chanson de mort2899 Mon
père
, où donc vas-tu ? — Je vais Demander une arme et
e, où donc vas-tu ? — Je vais Demander une arme et me battre ! — Non,
père
! autrefois, tu servais : À notre tour les temps
! — Le jeune est mort : voici sa croix2900, Retourne au logis, pauvre
père
! La nuit vient, les matins sont froids Nous le v
le vengerons, je l’espère ! Nous sommes deux. — Nous serons trois ! —
Père
, le sort nous est funeste, Et ces combats sont ha
onneur à toi, Gérald ! Ton triomphe d’hier A racheté l’honneur de ton
père
. — Sois fier, Car devant toi, héros que la faveur
us haute, Je veux que le malheur soit plus grand que la faute ; Et le
père
sera d’autant mieux pardonné Que le fils innocent
vos cœurs généreux S’arrêterait bientôt à me voir plus heureux ! Mon
père
s’exilait2913 : nous partirons ensemble ; Il sied
la mort parle et que le ciel ordonne, Eh bien, Gérald, au nom de mon
père
.... Gérald. Plus bas. Le mien pourrait entendre
un nez de vautour. « Je voudrais te donner quelque chose à ton tour,
Père
, lui dit le comte Istvan avec malice ; Mais je n’
, la Poésie des Bêtes (1886), le Clocher (1887)2946. Le poète à son
père
C’est à toi que je veux offrir mes premiers ve
poète à son père C’est à toi que je veux offrir mes premiers vers,
Père
! J’en ai cueilli les strophes un peu rudes Là-ha
touffus et les genêts amers. Tu ne les liras point, je le sais, ô mon
père
! Car tu ne sais pas lire, hélas ! et toi qui fis
os à jamais, tu te reposeras Sous l’herbe haute et drue où repose ton
père
, J’ai voulu de mes vers réunir les meilleurs, Ceu
s losanges Qu’ils vont gagner leur pain, les pauvres petits anges. Le
père
est mort depuis quatre mois. La maison Est trop c
l’un des héros de l’ouvrage de Rabelais, est un jeune géant, que son
père
, le roi Grandgosier, vient de rappeler de Paris,
sa satire viii : « Voici que se dresse contre toi la Noblesse de tes
pères
, portant un flambeau pour éclairer ta honte. »
entilhomme. Saint-Hilaire. — Quand le fils de ce gentilhomme voit son
père
blessé, il « se jette à son père, et se met à cri
d le fils de ce gentilhomme voit son père blessé, il « se jette à son
père
, et se met à crier et à pleurer. « Taisez-vous, m
Philippsbourg. Il commandait, dans le régiment de Champagne, dont son
père
avait été colonel, une compagnie que sa mère avai
fille, Nathalie, étaient nés d’un second mariage. Fœdor succéda à son
père
; quand il mourut en 1682, à l’âge de vingt ans,
. Sa mère était morte presque en lui donnant le jour. Une sœur de son
père
, Suzanne Rousseau, était alors venue s’installer
maturée. Marmontel n’avait en effet que seize ans quand il perdit son
père
. 1251. Régent, nom que portaient autrefois les
r. 1332. La jeune fille (elle avait alors environ dix-huit ans), son
père
et sa mère. 1333. La famille Philipon habitait a
Pape. 1351. Le désespoir qu’il avait éprouvé lors de la mort de son
père
. 1352. Schiller était mort en 1805, à quarante-s
nts lieutenants de Napoléon. Il avait été l’ami du général de Marbot,
père
de notre héros, et avait pris en 1805 ce dernier
s soins qu’elle a donné à la publication de plusieurs ouvrages de son
père
. 1492. Guizot était alors ambassadeur à Londres.
enfants » dont il va être question sont leurs deux petits frères. Le
père
et la mère sont morts. 1504. On appelle coque le
u S.-O. de la régence de Tunis. 1566. Métis, de race mixte, dont le
père
, par exemple, était Grec et la mère barbare. 156
barême au livre lui-même et aux ouvrages du même genre. 1605. . Ton
père
. Le général Dumas (voir la notice). 1606. Buona
e ils ont rencontré le petit Pierre, le fils aîné de Germain, que son
père
n’avait pas voulu emmener avec lui, et qui était
e. Le petit Pierre s’est endormi ; mais, entendant tout d’un coup son
père
manger, il se réveille. 1646. Germain a raison :
que ce vœu du petit Pierre, qui répond si bien aux sentiments de son
père
, sera réalisé. « Touchante délicatesse, dit Saint
rquer leurs années de service. L’auteur veut dire que Dumont devenait
père
plusieurs fois à mesure que ses camarades vieilli
îné de Daniel, d’une nature affectueuse et tendre, et qui aidait leur
père
dans son commerce. 1753. Formule en usage, dans
s les vœux étaient unanimes. Les enfants confondaient leurs jeux, Les
pères
se prêtaient leurs rimes. (Poésies : les Bonnes
litique ; l’autre, l’ainé, est Nicomède, qui vient de conquérir à son
père
une grande partie de l’Asie Mineure, mais dont le
nt d’un mot grec qui signifie vieillard ; il est commun à beaucoup de
pères
de la comédie classique. 2138. On a souvent rapp
e de la même façon. — Molière, dans Don Juan, fait tenir à don Louis,
père
de don Juan, dans une situation analogue, à peu p
u comme l’un des hommes les plus spirituels de son temps. 2372. Mon
père
, Gilles Boileau, greffier de la grand’chambre du
clides ou descendants d’Héraclès (Hercule). 2493. Lui tenir lieu de
père
. Polyphonte voulait forcer Mérope à l’épouser. 2
mte de Toulouse, fils de Louis XIV. Sa fille épousa le duc d’Orléans,
père
du roi Louis-Philippe. Son fils était le prince d
ans ses Sermons (voir page 96, note 1). 2683. Un général ancien. Le
père
du poète (1774-1828), Volontaire en 1791, avait a
enaces. 2709. Victor Hugo lui-même a ainsi résumé la carrière de son
père
, dans la dédicace mise en tête du recueil des Voi
attet, est du mois de mai 1832. Alfred de Musset venait de perdre son
père
. Au chagrin qu’il en ressentait étaient venues se
the et Gérald s’étaient rencontrés pour la première fois. 2913. Mon
père
s’exilait. Allusion à la promesse qu’Amaury a fai
. Orso ne peut faire un pas sans être poursuivi par le fantôme de son
père
qui crie vengeance. Il est la proie d’une obsessi
ousier, l’ajouta à la pyramide. « Orso, dit-elle, c’est ici que notre
père
est mort. Prions pour son âme, mon frère ! » Et e
hemise couverte de larges taches de sang. « Voici la chemise de votre
père
, Orso. » Et elle la jeta sur ses genoux. « Voici
lles. 1. Colomba veut exciter son frère Orso à venger la mort de son
père
. 1. Comparez dans Euripide la reconnaissance d’O
minin. Les noms d’hommes ou de mâles sont du genre masculin, comme un
père
, un lion ; les noms de femmes ou de femelles sont
ègle générale. Pour former le pluriel, ajoutez s à la fin du nom : le
père
, les pères ; la mère, les mères ; le livre, les l
ale. Pour former le pluriel, ajoutez s à la fin du nom : le père, les
pères
; la mère, les mères ; le livre, les livres ; la
s de Vaucouleurs, Et la chaumière, et les compagnes, Et ton
père
expirant sous le poids des douleurs. C. Delavign
de Viau, tragédie de Pyrame. Et dans cet exorde du discours d’un bon
père
capucin : J’embarque ce discours sur le galion d
elé bon, et que Ptolémée, roi d’Égypte, accusé d’avoir empoisonné son
père
, reçut le surnom de Philopator qui aime son père.
avoir empoisonné son père, reçut le surnom de Philopator qui aime son
père
. Lectures. — 1° Hermione à Pyrrhus. Vol. II, nº
la naissance de Zaïre, sa fille, pour la ramener à la religion de ses
pères
: Ma fille, tendre objet de mes dernières peines
Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son
père
! Racine, Esther, acte I, sc. v. Dans ce passag
au dans le sein de son fils, et qui obéit sans murmurer. » — Ah ! mon
père
, répondit-elle avec impétuosité, Dieu n’aurait ja
s conseille à Brutus de faire périr César, dans lequel Brutus voit un
père
. Louis XI fait comprendre par cette même figure,
us côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son
père
, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère, Le
ls à Commode, fils de l’empereur, en présence du corps inanimé de son
père
: On te dira bientôt que tu es tout puissant, on
si pure. Je touche au terme de ma vie ; bientôt j’irai rejoindre ton
père
. Si tu dois être juste, puissé-je vivre encore as
d’Orosmane. Il vient de surprendre un billet que Zaïre adresse à son
père
, et croit qu’il est adressé à un rival ; la fureu
sa femme en son lit égorgé, Le fils tout dégouttant du meurtre de son
père
, Et, sa tête à la main, demandant son salaire ; S
dèle au sang d’Achab qu’il a reçu de moi, Conforme à son aïeul, à son
père
semblable, On verra de David l’héritier détestabl
mère d’origine grecque et qui naquit à Constantinople, en 1762, d’un
père
qui y représentait la France comme consul, fit d’
’eussent pris, N’eussiez armé pour moi les pierres et les cris. — Mon
père
, il est donc vrai, tout est devenu pire ? Car jad
el lieu sommes-nous ? — Sicos1 est l’île heureuse où nous vivons, mon
père
. — Salut, belle Sicos, deux fois hospitalière ! C
ar sur tes bords heureux je suis déjà venu ; Amis, je la connais. Vos
pères
m’ont connu : Ils croissaient comme vous ; mes ye
remarquer par une administration aussi active qu’éclairée. C’était le
père
des deux frères Trudaine, dont Chénier était l’am
aternelle Les plus sages législateurs ont pris soin de donner aux
pères
une grande autorité sur leurs enfants. Rien ne so
de récompenses et de punitions, les familles sont mieux réglées ; les
pères
sont l’image du Créateur de l’univers2, qui, bien
une bien belle lettre de Ducis inspirée par la piété filiale : « Mon
père
était un homme rare et digne du temps des patriar
ses maîtresse formes. Aussi, je remercie Dieu de m’avoir donné un tel
père
. Il n’y a pas de jour où je ne pense à lui ; et,
de moi-même, il m’arrive quelquefois de lui dire : Es-tu content, mon
père
? Il me semble alors qu’un signe de sa tête vénér
a perte qu’ils ont faite, et non aux blessures qu’ils ont reçues. Les
pères
mourants envoient leurs fils pleurer sur leur gén
l’autre, qui jouit encore en repos de l’héritage qu’il a reçu de ses
pères
, souhaite une éternelle paix à celui qui l’a sauv
ce 23 avril 1707. (Fléchier, Lettres choisies, lettre 288.) À un
père
sur la mort de sa fille J’apprends avec dépla
innocence et de pénitence dont j’ai été tout à fait touché. Vous êtes
père
, et vous avez ressenti la douleur que cause la na
se, par le souvenir de sa foi, de sa résignation, de son courage. Les
pères
doivent donner bon exemple à leurs enfants, mais
tuition morale qui les rapprochent de la haute comédie dont il est le
père
. Non moins habile à nouer une intrigue, à exciter
a dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie1. Nos
pères
, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disa
ujourd’hui ? Ceci me rappelle cette fable allemande de Gellert : « Un
père
avait deux héritiers : Christophe qui était spiri
ère. « Le fils tressaillit, et resta quelque temps immobile. Ah ! mon
père
, dit-il, si je reçois tout de vous, que deviendra
eçois tout de vous, que deviendra ensuite mon frère ? — Lui ! dit son
père
, l’interrompant ; je ne suis pas inquiet pour Geo
que français. 7. Horace a dit (sat. iii, 1. 1er) : « Ce que fait un
père
pour son fils, nous le devons faire pour nos amis
s prendre en dégoût, s’ils ont quelque défaut. L’enfant louche, et le
père
parle de son regard oblique ; il l’appelle tendre
, la peinture à l’huile. 4. Je ferai mon possible à bien venger mon
père
. (Corneille.) 1. La peinture à fresque s’étend
la sagesse6, Leur parlaient du bonheur qu’elles donnent toujours : Le
père
par un conte égayait ses discours, La mère par un
, ne se plaisait qu’aux jeux1. Un soir, selon l’usage, à côté de leur
père
, Assis près d’une table où s’appuyait la mère, L’
utres fondateurs d’Empire6 ? Ces deux noms sont-ils différents ? » Le
père
méditait une réponse sage, Lorsque son fils cadet
ng ouvrage7 ; Et voilà le cadet pleurant. « Mon fils, répond alors le
père
, Le fondateur, c’est votre frère, Et vous êtes le
le appartenir à la mélancolie allemande. Afin de soulager son pauvre
père
déjà avancé en âge et chargé de famille, un petit
e, et il redisait souvent : « Quand irai-je donc embrasser mon pauvre
père
? Oh ! qu’il sera content de me revoir ! » Plein
us courte, selon lui, pour se rendre au village qu’habitait son vieux
père
, la débâcle s’opéra subitement avec un fracas sem
ans son voyage ; il prend sa trompette, sonne un air guerrier que son
père
aimait beaucoup, puis il s’écrie : « Cent pièces
repêchera mon corps et qui portera les cinquante autres pièces à mon
père
» À peine eut-il achevé ces mots qu’un glaçon éno
disparut… Son corps fut retrouvé quelques jours après. On apporta au
père
de cet infortuné, non cinquante pièces d’or, mais
ièces d’or, mais les cent qui étaient dans la ceinture… Le malheureux
père
ne put survivre à sa douleur. Capelle. Lecture
de plus délicat et de plus » sensible que ce mot dans la bouche d’un
père
? » Lectures. — La Métempsycose du Singe. Vol.
nts, regardant par la fenêtre au travers des ténèbres, appellent leur
père
avec les cris et les larmes de l’innocence. Hélas
s athéniens, après la guerre de Sicile. Vous voyez, s’écrie-t-il, un
père
infortuné qui a senti plus qu’aucun autre Syracus
btiendra : elle tombera sur vous et sur vos enfants ; et le fils d’un
père
injuste, et héritant de son crime, héritera aussi
veuve. J’étais l’œil de l’aveugle et le pied du boiteux : j’étais le
père
des pauvres : je brisais les mâchoires de l’injus
Lebrun Né en 1785 [Notice] Né sous Louis XVI, fêté par les
pères
de nos pères, académicien et sénateur, M. Lebrun
n 1785 [Notice] Né sous Louis XVI, fêté par les pères de nos
pères
, académicien et sénateur, M. Lebrun n’est pas un
dans le lieu par sa race habité ; Je ne réclame pas le château de mes
pères
. Non, mais de ma jeunesse et de mes jours prospèr
du geste : « A genoux ! nous dit-elle, Enfants, voici le lit où votre
père
est mort… » Rappelez-vous aussi ce vers ; Cha
. ; pour la chaire : l’Écriture sainte, la tradition de l’Église, les
Pères
, les canons, etc. Voici ce que dit Rollin, appuyé
fut un acte louable à ce point de vue. L’effort qu’il dut coûter à un
père
, le rend héroïque ; pour d’autres, moins fortemen
lancine, je dépose mes dernières prières dans votre cœur. Dites à mon
père
et à mon frère de quelles amertumes je fus abreuv
voltées. « Mon épouse, ni mon fils ne me sont pas plus chers que mon
père
et la chose publique. Mais l’empereur a pour le d
vous témoignez à votre général ? Cette nouvelle, la porterai-je à mon
père
qui n’apprend rien que d’agréable des autres prov
us de tous mes parents le destructeur odieux Vous, teint du sang d’un
père
, expirant à mes vœux Cruel ! Ah ! si du moins vot
as d’être nés dans mon flanc. Hérode, ayez pour eux des entrailles de
père
. Peut-être un jour, hélas ! vous connaîtrez leur
vaient servi sous lui. Il leur recommanda ta jeunesse. Servez- lui de
père
, leur dit-il, ah ! servez-lui de père. Alors, il
nda ta jeunesse. Servez- lui de père, leur dit-il, ah ! servez-lui de
père
. Alors, il te donna des conseils tels que Marc Au
mme va courir ; le deuxième, de l’obligation où il sera de percer son
père
lui-même ; le troisième, de ce que la religion a
éconnaître à la fois le respect et l’affection qu’un fils porte à son
père
, au point de le transpercer pour se faire jour ju
our jusqu’à Annibal ? Un pareil mépris du devoir filial, le sang d’un
père
témérairement versé, révoltent la conscience : c’
oint commettre, de ne point t’exposer à souffrir, sous le regard d’un
père
, tout ce qu’il y a de plus inouï. Il y a peu d’he
seuls Campaniens, et ce serait pour la souiller du sang de ton hôte ?
Père
, j’ai pu obtenir grâce pour mon fils auprès d’Ann
ans la pièce suivante de Victor Hugo, (La légende des siècles) : Mon
père
, ce héros au sourire si doux, Suivi d’un seul hou
us qu’à moitié, Et qui disait : « À boire ! à boire par pitié ! » Mon
père
, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de r
ore, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon
père
, en criant : « Caramba ! » Le coup passa si près
fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même à boire », dit mon
père
. Au genre simple se rattache le genre naïf qui e
es figures qui nous restent de Jupiter, vous ne verrez dans aucune le
père
des dieux approcher de la grandeur avec laquelle
d’une image d’un sublime réel. Rien d’imposant comme ce tableau où le
père
des humains apparaît au sein des nues, brandissan
rend mal l’original. Sur le premier plan apparaît, dans le latin, le
père
des humains. L’idée est heureuse. Les nuages, la
enfants malheureux qui, sans défiance, vont se réfugier près de leur
père
, persuasion hélas ! si naturelle à cet âge, qu’on
s au rejet ! Miseros, malheureux, oui, malheureux de la faute de leur
père
. Toujours l’innocence, surtout l’innocence perséc
ea circum Terga dati, superant capite et cervicibus altis. Post, le
père
accourt. Les deux élisions du premier vers semble
s deux élisions du premier vers semblent exprimer la précipitation du
père
qui dévore l’espace dont il se trouve séparé de s
uite. Sa piété, voilà ce qui cause son malheur, celui de ses enfants.
Père
infortuné ! qui, avant de périr, meurt par deux f
us côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son
père
, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère, Le
la vue De ce sacré soleil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le
père
et le maître des dieux ; Le ciel, tout l’univers
Où me cacher ? Fuyons dans la nuit infernale. Mais, que dis-je ? Mon
père
y tient l’urne fatale ; Le sort, dit-on, l’a mise
tète à Néoptolème : « Ô mon fils ! je te conjure par les mânes de ton
père
, par ta mère, par tout ce que tu as de plus cher
omme sage, que la patrie est plus vénérable encore qu’une mère, qu’un
père
, que tous les aïeux ? que, lorsqu’elle t’envoie a
s) écrivant à Fénelon : Monseigneur, vous avez pour moi des boyaux de
père
. Il voulait dire des entrailles, le seul admis da
elle porte l’empreinte : Deux cents philippes d’or, dit Batteux. Nos
pères
disaient deux cents louis d’or. Métalepse. L
l’on va voir l’hypallage peignant le désordre d’idées d’un malheureux
père
qui, pour sauver une bien chère enfant, et obligé
it encore de rattacher plus étroitement notre recueil à ceux de notre
père
. L’ouvrage de M. Léon Feugère, complété d’abord p
rait que ce travail parût avoir avec les précédents recueils de notre
père
comme un air de famille, et qu’on y retrouvât que
histoire, politique, science, dessin même et musique. Le marquis son
père
, homme d’un caractère inflexible, pour le punir d
ersation les hommes distingués qui se pressaient dans le salon de son
père
. En 1785, elle épousa le baron de Staël-Holstein,
e quinze ans chez une tante de sa mère. À la mort de cette tante, son
père
la rappela en Angleterre : il s’était remarié et
e quelque temps, j’avais renoncé à mes vaines tentatives, non que mon
père
me les interdit, il avait même engagé ma belle-mè
ivre XIV, ch. ier . Le Panthéon Corinne, après la mort de son
père
, retourne en Italie. Au nombre des admirateurs de
en un instinct perverti. Schiller était le meilleur ami, le meilleur
père
, le meilleur époux ; aucune qualité ne manquait à
i un moment que pour son bonheur ; il part avec ses voisins, avec son
père
et sa mère, avec ses sœurs et ses frères ; il ne
est venu se perdre le sien indique moins le ministre du temple que le
père
laborieux du troupeau. Il sort de sa retraite, bâ
mps ! « Pharamond ! Pharamond ! Nous avons combattu avec l’épée « Nos
pères
sont morts dans les batailles, tous les vautours
es sont morts dans les batailles, tous les vautours en ont gémi : nos
pères
les rassasiaient de carnage ! Choisissons des épo
mirer à leur tête trois générations de héros : l’aïeul, le fils et le
père
. Mérovée, rassasié de meurtres, contemplait, immo
ent Mérovée, l’élèvent sur un bouclier, et le proclament roi avec ses
pères
, comme le plus brave des Sicambres. L’épouvante c
monde d’obtenir, ce qu’un sage demande vainement à quelques amis, un
père
à ses enfants, une épouse à son époux, un frère à
nt de bienveillance, ni plus ni moins, qu’en méritera leur malheureux
père
, selon qu’il paraîtra un jour coupable ou innocen
ait pas concouru, avec le feu duc de Buckingham, à la mort du roi son
père
: « Mon ami, lui répondit Charles avec mépris et
les entre l’empereur Lodewig ou Louis214 et ses enfants, guerre où le
père
et les fils étaient poussés à leur insu par des m
ns. Lorsqu’en l’année 830 les partisans de la réconciliation entre le
père
et le fils proposèrent, comme moyen d’y parvenir,
ls de Clotaire Ier s’étaient partagé le royaume après la mort de leur
père
, Sighebert avait reçu la France orientale ou Ostr
Ces fils de conquérants à demi sauvages, nés avec les idées de leurs
pères
au milieu des jouissances du luxe et des tentatio
frappait surtout les enfants et les personnes jeunes. La douleur des
pères
et des mères dominait dans ces scènes lugubres, c
ôts iniques ; contentons-nous pour notre fisc de ce qui a suffi à ton
père
, le roi Chloter. » Aussitôt elle donna l’ordre d’
s de noir, donnaient les mêmes signes de douleur qu’aux obsèques d’un
père
ou d’un époux ; il leur semblait, en accompagnant
ur aller vivre avec plus de liberté chez une de ses amies à Caen. Son
père
avait autrefois, par quelques écrits, réclamé les
e famille, ne faisaient ni l’occupation ni le charme. Elle trompa son
père
, et lui écrivit que, les troubles de la France de
ntre dans sa prison avec le sourire sur les lèvres ; elle écrit à son
père
pour lui demander pardon d’avoir disposé de sa vi
ynice, sur le point de combattre Étéocle, vient demander à Œdipe, son
père
, réfugié avec sa fille Antigone auprès du temple
lui, c’est lui, l’ingrat, dont le conseil parjure M’a fait envers mon
père
oublier la nature. Que je dois le haïr ! mais si
es sanglots291, ma misère, Rien n’a pu t’attendrir sur ton malheureux
père
: Et si ma digne fille, en consolant mes jours, À
er soutien, voilà ma bienfaitrice. Puisqu’il ne peut te voir, que ton
père
attendri Baigne au moins de ses pleurs la main qu
nds mes larmes ; Il faut à ma douleur que vous rendiez les armes. Mon
père
… ŒDIPE. Mon père…Eh bien ! POLYNICE. Mon père…
l faut à ma douleur que vous rendiez les armes. Mon père… ŒDIPE. Mon
père
…Eh bien ! POLYNICE. Mon père… Eh bien !Je meurs.
endiez les armes. Mon père… ŒDIPE. Mon père…Eh bien ! POLYNICE. Mon
père
… Eh bien !Je meurs. ŒDIPE. Mon père… Eh bien ! J
on père…Eh bien ! POLYNICE. Mon père… Eh bien !Je meurs. ŒDIPE. Mon
père
… Eh bien ! Je meurs.Perfide, éloigne-toi. POLYNIC
calmez votre colère. Viens dans mes bras, ingrat ; retrouve enfin ton
père
. Que le jour un moment rentre encor dans mes yeux
re la liberté. Souvent je me suis dit, plein de cette espérance : Mon
père
à ces beaux jours prépara mon enfance. C’est vous
oche : Va trouver mes amis, autrefois si nombreux ; Va, recommande un
père
à leurs soins généreux362 : Ils ont de mon crédit
elle réclame son châtiment. Cnéius se présente seul pour défendre son
père
. Ce premier devoir accompli, Agrippine redevient
: « Si le sort, me dit-il, se déclarait contre eux, Et si, comme leur
père
, ils étaient malheureux, Dieux ! veillez sur mes
vont sauver du naufrage, Recueillis par César, retrouveront en lui Un
père
aussi sensible, un plus puissant appui ; Et ton c
connu deux enfants de Tibère ; Et souvent mon époux vous appelait son
père
. TIBÈRE. Lui ! ce rival de gloire à Tibère opposé
se, et Séjan vient à nous. Je vais trouver mes fils. Déjà privés d’un
père
, Ah ! doivent-ils longtemps conserver une mère !
ais de quels traits sa grande âme est capable : Il ne méritait pas un
père
aussi coupable ; Et le seul châtiment que je crai
s le protège. Son sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait
père
, Le rendait père. — Quel beau jour pour vous, gra
sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait père, Le rendait
père
. — Quel beau jour pour vous, grand’mère ! Quel be
dans les fers, Seigneur, ils pouvaient t’adorer ; Du tombeau de leur
père
ils parlaient sans alarmes ; Souffrant ensemble,
bras Combat, quand il se venge, et n’assassine pas. Je devais tout au
père
, et me tiendrais infâme Si ses bienfaits passés n
ttend qu’on l’introduise. LOUIS, montrant Coitier. Entrez. Voyez, mon
père
, il a bravé son roi Et je lui pardonnais. Coitier
ant ? FRANÇOIS DE PAULE. Que puis-je ? LOUIS. Que puis-je ?Tout, mon
père
; oui, tout vous est possible : Vous réchauffez d
ouvrant mes mains je sème les miracles. LOUIS. Au moins dix ans, mon
père
! accordez-moi dix ans, Et je vous comblerai d’ho
eu roi de langueur et de faim427. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son
père
abrégé la vieillesse ! LOUIS. Un fils a de son p
Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! LOUIS. Un fils a de son
père
abrégé la vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. F
lesse ! Le Dauphin… c’était moi. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son
père
abrégé la vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. V
vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. Vous ! LOUIS. Un fils a de son
père
abrégé la vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. V
par droit de misère ! Ah ! si dans mes tourments vous descendiez, mon
père
, Je vous arracherais des larmes de pitié ! Les an
tre. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon
père
et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami :
Le Roi s’amuse, 1832) deviendra le plus tendre, le plus passionné des
pères
; les plus chastes ardeurs du sentiment maternel
Disant à la même heure une même prière, Demandent pour nous grâce au
père
universel ! Et puis ils dormiront. — Alors, épar
s pour toute prière : « Seigneur, Seigneur, mon Dieu, vous êtes notre
père
, Grâce, vous êtes bon ! grâce, vous êtes grand !
s morts ! IV À genoux, à genoux, à genoux sur la terre Où ton
père
a son père, où ta mère a sa mère ; Où tout ce qui
IV À genoux, à genoux, à genoux sur la terre Où ton père a son
père
, où ta mère a sa mère ; Où tout ce qui vécut dort
profond ! Abîme où la poussière est mêlée aux poussières, Où sous son
père
encore on retrouve des pères, Comme l’onde sous l
ère est mêlée aux poussières, Où sous son père encore on retrouve des
pères
, Comme l’onde sous l’onde en une mer sans fond !
mbre, Leur plonge sans pitié des racines au cœur ! Prie, afin que le
père
, et l’oncle et les aïeules, Qui ne demandent plus
ière innocente, Enfant, peut se charger d’autrui ! Ah ! demande à ce
père
auguste Qui sourit à ton oraison Pourquoi l’arbre
ous ! VI Comme une aumône, enfant, donne donc ta prière À ton
père
, à ta mère, aux pères de ton père ; Donne au rich
e une aumône, enfant, donne donc ta prière À ton père, à ta mère, aux
pères
de ton père ; Donne au riche à qui Dieu refuse le
enfant, donne donc ta prière À ton père, à ta mère, aux pères de ton
père
; Donne au riche à qui Dieu refuse le bonheur, Do
d sans hésiter tout ce qu’il possède pour faire honneur au nom de son
père
ruiné dans une faillite. Peu à peu, cependant, il
crifice est plus dur qu’il ne l’avait cru. Ses amis le délaissent, le
père
de sa fiancée le repousse. Il reconnaît que la pa
e. Les forêts, les défilés de la Franconie, la Saale, l’Elbe, que nos
pères
n’eussent pas traversés en sept ans, nous les avo
d’abord au couvent de l’Abbaye-aux-Dames, puis dans la maison de son
père
et chez sa vieille amie, est empreint d’une fraîc
uncan l’a confié à Sévar, montagnard écossais qui passe pour être son
père
. Au cinquième acte, Macbeth lui remet la couronne
aïques ont le tort de rappeler le discours que Polynice adresse à son
père
dans l’Œdipe à Colone de Sophocle. V. les vers 12
contre son frère bien plutôt qu’un retour de vraie tendresse pour son
père
qui explique et justifie la démarche de Polynice.
reuse et funeste où la ruine m’a été préparée par la malédiction d’un
père
… Laissez-moi, adieu ; vous ne me reverrez plus vi
primait ce triomphe de l’amour paternel : Crois-tu qu’à pardonner un
père
ait tant de peine ? 296. Ducis lut cette épîtr
urs. » (Trad. de M. Burnouf.) 350. Un fils devait ainsi parler à son
père
; mais la vérité, si nous consultons Tacite, est
Pison, il excite vivement l’intérêt par l’opposition établie entre le
père
et le fils. Chaque parole de Cnéius est pour Piso
éius se frappe lui-même avec le poignard retiré de la blessure de son
père
. Cette dernière scène de l’acte V est d’un grand
ers 1416 à Paule, petite ville de Calabre, et mort en 1508. 422. Le
père
du jeune duc de Nemours avait appelé Coitier à la
ris, les jeunes enfants du duc, pour recevoir sur eux le sang de leur
père
. Ils en sortirent tout couverts, et en cet état o
foi, loi, moi, roi et toi 186 id. ; Les trois rimes frère, mère et
père
100 id. ; Les quatre rimes alarmes, armes, ch
veut, d’Auguste ou de Tibère ; Qu’il imite, s’il peut, Germanicus mon
père
. Parmi tant de héros je n’ose me placer ; Mais il
moi. (Racine, Mithridate, acte III, sc. 1.) 3° IPHIGÉNIE, à son
père
. AGAMEMNON. Que vois-je ! Quel discours ! Ma
lle et la mère. Ah ! malheureux Arcas, tu m’as trahi ! IPHIGÉNIE. Mon
père
, Cessez de vous troubler, vous n’êtes pas trahi :
c’est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux nom de
père
; C’est moi qui, si longtemps le plaisir de vos y
nez rien : mon cœur, de votre honneur jaloux, Ne fera point rougir un
père
tel que vous ; Et, si je n’avais eu que ma vie à
Ne pourrai-je, sans vous, disposer de ma fille ? Ne suis-je plus son
père
? Êtes-vous son époux ? Et ne peut-elle... ACHILL
m’appelle ? Pour qui, sourd à la voix d’une mère immortelle, Et d’un
père
éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la
au seul nœud qui retient ma colère : D’Iphigénie encor je respecte le
père
. Peut-être, sans ce nom, le chef de tant de rois
quérant qui ait existé, parvenu, dès l’âge de 20 ans, au trône de son
père
, il soumit par les armes toute la Grèce, et se fi
peste, qui ne cessa qu’au moment où la jeune captive fut rendue à son
père
. Auguste ( Caius Julius César Octavianus), né à
. Il naquit en 1707, et mourut âgé de cinq ans, la même année que son
père
. C Capitole, forteresse bâtie sur le mont
e à la trace par Apollon qui l’aimait, elle implora le secours de son
père
, qui la métamorphosa en laurier. Le dieu, frustré
agne en 1700, il dit : Je n’aspire qu’à dire toute ma vie, le roi mon
père
et le roi mon fils. Cette espèce de proverbe qui,
qui, même longtemps avant sa mort, courut sur ce prince, fils de roi,
père
de roi, sans être roi, était fondé sur la santé d
Maurice de Savoie et d’Olympe Mancini, nièce du cardinal Mazarin. Son
père
était comte de Soissons, du chef de Marie de Bour
suivant la fable, par le vent Borée, qui n’avait pu l’obtenir de son
père
pour l’épouser. P Palestine. Voyez le mot
sur les yeux. Thémistocle, né à Athènes, l’an 527 avant J.-C., d’un
père
vertueux, qui le déshérita, dans sa jeunesse, à c
u’elle aurait un fils, qui serait plus grand et plus illustre que son
père
. Elle fut mariée à Pélée, roi de la Phthiotide en
s XIV vieillissant, il reçut un jour du roi cet éloge délicat : " Mon
père
, j’ai entendu dans ma chapelle plusieurs prédicat
rimes nous attirent ce châtiment ; soit que nos excès, inconnus à nos
pères
, nous y conduisent ; ce sont aujourd’hui les mort
maîtres ; et, seul depuis le commencement des choses, il a passé des
pères
aux enfants, et s’est toujours maintenu sur la te
de l’ordre de Saint-Dominique, monté, contre l’ordinaire de ces bons
pères
, sur une mauvaise mule. « Dieu soit loué, s’écria
er. « Messieurs, leur dis-je, vous serez contents : je vais mettre ce
père
nu comme la main, et vous amener ici sa mule. — N
ouvé. Je n’osai donc hasarder une démarche si délicate. Je joignis le
père
et lui demandai la bourse, en lui présentant le b
êtes bien jeune ; vous faites de bonne heure un vilain métier. — Mon
père
, lui répondis-je, tout vilain qu’il est, je voudr
glement ! Souffrez que je vous représente l’état malheureux… Oh ! Mon
père
, interrompis-je avec précipitation, trêve de mora
rs de bonnes pistoles pour être plus sûrs de la Providence. Mais, mon
père
, ajoutai-je, finissons : mes camarades, qui sont
ieux. — Elle doit être bien garnie, continua l’un d’eux, car ces bons
pères
ne voyagent pas en pèlerins. » Le capitaine délia
ni virgule. Aussi la joie qu’il en témoigna fut mêlée de surprise. «
Père
éternel ! s’écria-t-il avec transport lorsqu’il e
iv. Saint-Simon.(1675-1755.) Né à Paris en janvier 1675, d’un
père
déjà âgé, et qui devait sa fortune à Louis XIII,
passées ? Nous devons être fidèles à tant de siècles, « et suivre nos
pères
, qui ont suivi si heureusement les leurs. « Pense
leurs. « Pensez que Rome vous parle, et vous dit : Grands princes, «
pères
de la patrie, respectez mes années pendant lesque
empires tributaires. « Théodose, disait-il insolemment, est fils d’un
père
très noble, aussi bien que moi ; mais, en me paya
enfants entraient en fureur au récit des beaux faits d’armes de leurs
pères
, et où les pères versaient des larmes parce qu’il
en fureur au récit des beaux faits d’armes de leurs pères, et où les
pères
versaient des larmes parce qu’ils ne pouvaient pa
rand, il eut à vaincre, pour suivre sa vocation, la résistance de son
père
, trésorier de la Chambre des Comptes. La tragédie
vue autrefois si malheureuse et si languissante. « C’est qu’alors le
père
de famille n’y était pas, lui dit Henri, et aujou
ants, ne laissent pas de former des familles et d’être soumis à leurs
pères
. Un empire, un monarque, une famille, un père, vo
d’être soumis à leurs pères. Un empire, un monarque, une famille, un
père
, voilà les deux extrêmes de la société : ces extr
durer et se multiplier qu’à la faveur de la société ; que l’union des
pères
et mères aux enfants est naturelle, puisqu’elle e
r a pas donnés. Vous me direz que je tombe dans le cas de ces mauvais
pères
auxquels je reprochais de sacrifier le bonheur de
evez point vous estimer malheureux de vivre comme fait monsieur votre
père
; et il n’y a point de sort que le travail, la vi
est la vue la plus opposée à celle de Molière. Le Fils naturel et le
Père
de famille, loin d’être un argument en faveur des
l255 de cuir noir, où l’on peut être commodément assis : asseyez-y le
père
du fils ingrat. Attenant à la porte, placez un ba
algré le secours dont le fils aîné de la maison peut être à son vieux
père
, à sa mère et à ses frères, il s’est enrôlé ; mai
malheureux. Il vient avec un vieux soldat ; il a fait sa demande. Son
père
en est indigné ; il n’épargne pas les mots durs à
pargne pas les mots durs à cet enfant dénaturé qui ne connaît plus ni
père
, ni mère, ni devoirs, et qui lui rend injures pou
olent, insolent et fougueux ; il a le bras droit élevé du côté de son
père
, au-dessus de la tête d’une de ses sœurs ; il se
désolé ; la sœur aînée s’est aussi interposée entre son frère et son
père
; la mère et la sœur semblent, par leur attitude,
e : « Malheureux ! que fais-tu ? tu repousses ta mère, tu menaces ton
père
; mets-toi à genoux et demande pardon. » Cependan
fait la campagne. Il revient, et dans quel moment ? Au moment où son
père
vient d’expirer. Tout a bien changé dans la maiso
autre élevée et tenant encore le crucifix qu’elle a fait baiser à son
père
. Un de ses petits enfants, effrayé, s’est caché l
tre la fenêtre et le lit, ne saurait se persuader qu’elle n’a plus de
père
: elle est penchée vers lui ; elle semble cherche
; elle soulève un de ses bras, et sa bouche entr’ouverte crie : « Mon
père
! mon père ! est-ce que vous ne m’entendez plus ?
ève un de ses bras, et sa bouche entr’ouverte crie : « Mon père ! mon
père
! est-ce que vous ne m’entendez plus ? » La pauvr
il a repoussé sa mère, et il est perclus du bras dont il a menacé son
père
. Il entre. C’est sa mère qui le reçoit. Elle se t
r ses yeux, et de l’autre montrer à l’enfant ingrat le cadavre de son
père
. On n’en aurait pas moins aperçu sur le reste de
! Ici, un enfant échappé du naufrage est porté sur les épaules de son
père
; là, une femme étendue morte sur le rivage, et s
s ceux qui chérissent l’honneur des lettres ! Restaurateurs des arts,
pères
de l’éloquence, lumières de l’esprit humain, que
rchais du dedans, et qui n’est plus en scène, le fils et le frère, le
père
et l’ami, ont été pour beaucoup une révélation, e
Voici ma vie en peu de mots :.depuis quinze ans je m’honore d’être le
père
et l’unique appui d’une famille nombreuse ; et lo
histoire, politique, science, dessin même et musique. Le marquis son
père
, homme d’un caractère inflexible, pour le punir d
dans le Morvan, où est sa femme, et dans le Hurepoix, où est son cher
père
, pour les assurer qu’il sera en état d’exercer sa
ents, un coup de vent, un nuage, une vapeur changent la règle353. Nos
pères
jugeaient des livres par leur goût, par leur cons
ersation les hommes distingués qui se pressaient dans le salon de son
père
. En 1786, elle épousa le baron de Staël-Holstein,
humaine361. Saint-Pierre de Rome. Corinne, après la mort de son
père
, retourne dans sa patrie, en Italie. Au nombre dè
ps ! « Pharamond ! Pharamond ! Nous avons combattu avec l’épée. « Nos
pères
sont morts dans les batailles, tous les vautours
es sont morts dans les batailles, tous les vautours en ont gémi : nos
pères
les rassasiaient de carnage ! Choisissons des épo
n 1793. Capitaine deux ans plus tard, à la nouvelle de la mort de son
père
, il quitte sans congé le quartier général de l’ar
ous, et les orphelins ne furent pas délaissés dans leur misère. Et le
père
qui s’était délié de la Providence raconta le soi
rsuivons notre route en paix. « Si je meurs avant vous, vous serez le
père
de mes enfants ; si vous mourez avant moi, je ser
serez le père de mes enfants ; si vous mourez avant moi, je serai le
père
des vôtres. « Et si l’un et l’autre nous mourons
omme la colombe, mais à ce lieu élevé où est bâtie la maison de notre
Père
, et qu’il a préparée dès l’éternité, pour être la
terminé cet ouvrage sur le plan et d’après les notes laissées par son
père
(1876). Aux travaux historiques de Guizot, à ses
nt de bienveillance, ni plus ni moins, qu’en méritera leur malheureux
père
, selon qu’il paraîtra un jour coupable ou innocen
frappait surtout les enfants et les personnes jeunes. La douleur des
pères
et des mères dominait dans ces scènes lugubres, c
ôts iniques ; contentons-nous pour notre fisc de ce qui a suffi à ton
père
, « le roi Chloter. » Aussitôt elle donna l’ordre
s de noir, donnaient les mêmes signes de douleur qu’aux obsèques d’un
père
ou d’un époux : il leur semblait, en accompagnant
e, compositeur d’imprimerie, et le seul souvent dans l’atelier de son
père
, « voyageant d’imagination pendant qu’il était im
ce passage tempétueux, où, comme ils disent, le fils n’attend pas le
père
, c’est la porte de l’Espagne. Une immense poésie
petite réputation de collège ; il est lauréat, comme l’étaient Stace
père
et fils ; il ne veut pas plus être avoué ou notai
pouvaient paraître injustes à l’égard de celui qui, rougissant de son
père
, honnête artisan, ne sut pas être bon fils ? Déjà
ine. Ce sont des membres de la famille héroïque dont Corneille est le
père
. Crébillon, d’ordinaire si incorrect, et qui semb
ls de Pharasmane, Arsame, et elle l’anime à secouer l’autorité de son
père
. Au second acte, Rhadamiste, que l’on croyait mor
hadamiste, que l’on croyait mort, reparaît. Il vient à la cour de son
père
, qui ne l’a pas vu depuis sa première jeunesse ;
effet j’étais connu de vous. PHARASMANE. Pourquoi me le cacher ? Ah,
père
déplorable ! RHADAMISTE. Vous vous êtes toujours
vos enfants, proscrits et malheureux, N’ont pu vous regarder comme un
père
pour eux. Heureux, quand votre main vous immolait
ransports jaloux mon sang doit se défendre ; Fuyez, n’exposez plus un
père
à le répandre605. Ibid. acte V, scène VI. V
r ; Pardonnez si je tremble à ce seul souvenir : « Ton fils tuera son
père
, et ce fils sacrilège, « Inceste et parricide… »
oi, seigneur, moi sa mère, Dégouttant dans mes bras du meurtre de son
père
; Et que, tous deux unis par ces liens affreux, J
autrefois menaça votre fils ; Me dit que je serais l’assassin de mon
père
... JOCASTE. Ah dieux ! ŒDIPE. Ah dieux !Que je s
s le sein d’une terre étrangère, Je me croyais encore au trône de mon
père
, Et tous ceux qu’à mes yeux le sort venait offrir
a embrassé le christianisme. Alzire, vaincue par les instances de son
père
, s’est faite chrétienne, et, malgré ses vives rép
ce même instant de recevoir ma main. ZAMORE. Lui ? ALZIRE. Lui ?Mon
père
, Alvarez, ont trompé ma jeunesse, Ils ont à cet h
ux ! ALZIRE. Je pourrais t’alléguer, pour affaiblir mon crime, De mon
père
sur moi le pouvoir légitime, L’erreur où nous éti
te parlait aujourd’hui !…… ALZIRE. O ciel, c’est Gusman même, et son
père
avec lui. Alzire, acte III, scène IV. Gusman
er. (A Alvarez.) Le Ciel, qui veut ma mort, et qui l’a suspendue, Mon
père
, en ce moment m’amène à votre vue. Mon âme fugiti
om, s’il se peut, bénissez la mémoire. (A Alvarez.) Daignez servir de
père
à ces époux heureux : Que du Ciel, par vos soins,
puisque je vois vos pleurs. Pour la dernière fois approchez-vous, mon
père
! Vivez longtemps heureux ; qu’Alzire vous soit c
On flétrit aisément leur beauté passagère. Le travail est souvent le
père
du plaisir : Je plains l’homme accablé du poids d
le point de combattre son frère Étéocle, vient demander à Œdipe, son
père
, réfugié avec sa fille Antigone auprès du temple
lui, c’est lui, l’ingrat, dont le conseil parjure M’a fait envers mon
père
oublier la nature. Que je dois le haïr ! mais si
es sanglots661, ma misère, Rien n’a pu t’attendrir sur ton malheureux
père
: Et si ma digne fille, en consolant mes jours, A
er soutien, voilà ma bienfaitrice. Puisqu’il ne peut te voir, que ton
père
attendri Baigne au moins de ses pleurs la main qu
nds mes larmes ; Il faut à ma douleur que vous rendiez les armes. Mon
père
... œdipe. Eh bien ! polynice. Je meurs. œdipe.
calmez votre colère. Viens dans mes bras, ingrat ; retrouve enfin ton
père
. Que le jour un moment rentre encor dans mes yeux
trer sans méfiance. Pour la douzième fois célébrant ma naissance, Mon
père
doit donner une fête aujourd’hui. Il m’aime ; il
ur l’autre bord, mourant, affamé, blême... Ne me décèle point. De mon
père
aujourd’hui J’ai promis qu’il pourrait solliciter
s’élève. Lycus descend, accourt, tend la main, le relève : — « Salut,
père
étranger ; et que puissent tes vœux Trouver le Ci
aison ne te force au mystère, Tu nous diras ton nom, ta patrie et ton
père
. » Il retourne à sa place, après que l’indigent S
, et te souviens de moi. Oui, oui, je m’en souviens : Cléotas fut mon
père
; * Tu vois le fruit des dons de sa bonté prospèr
e toi, Cléotas ? toi qu’ainsi je revoi ? Tout ici t’appartient. O mon
père
! est-ce toi ? Je rougis que mes yeux aient pu te
toi ? Je rougis que mes yeux aient pu te méconnaître. O Cléotas ! mon
père
! ô toi qui fus mon maître, Viens ; je n’ai fait
ais de quels traits sa grande âme est capable : Il ne méritait pas un
père
aussi coupable ; Et le seul châtiment que je crai
s le protège. Son sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait
père
, Le rendait père. — Quel beau jour pour vous, gra
sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait père, Le rendait
père
. — Quel beau jour pour vous, grand’mère î Quel be
dans les fers, Seigneur, ils pouvaient t’adorer ; Du tombeau de leur
père
ils parlaient sans alarmes : Souffrant ensemble,
ant ? FRANÇOIS DE PAULE. Que puis-je ? LOUIS. Que puis-je ?Tout, mon
père
; oui, tout vous est possible : Vous réchauffez d
ouvrant mes mains je sème les miracles. LOUIS. Au moins dix ans, mon
père
! accordez-moi dix ans, Et je vous comblerai d’ho
eu roi de langueur et de faim780. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son
père
abrégé la vieillesse ? LOUIS. Le Dauphin… c’était
par droit de misère ! Ah ! si dans mes tourments vous descendiez, mon
père
. Je vous arracherais des larmes de pitié ! Les an
tre. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon
père
et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami :
hie Trébuchet, fille d’un armateur de Nantes, royaliste ardente, d’un
père
soldat et d’une mère vendéenne, a dit le poète da
’amuse, 1832) est tout ensemble le plus tendre, le plus passionné des
pères
; dans une âme corrompue et criminelle (Lucrèce B
Disant à la même heure une même prière, Demandent pour nous grâce au
Père
universel ! Et puis ils dormiront. — Alors, épars
s pour toute prière : « Seigneur, Seigneur, mon Dieu, vous êtes notre
Père
, Grâce, vous êtes bon ! grâce, vous êtes grand !
rs nous806 ! Les Rayons et les Ombres. Après la bataille. Mon
père
, ce héros au sourire si doux807, Suivi d’un seul
lus qu’à moitié, Et qui disait : « A boire, à boire par pitié ! » Mon
père
, ému, tendit à son housard fidèle Une gourde de r
ure, Saisit un pistolet qu’il étreignait encore, Et vise au front mon
père
en criant : « Caramba ! » Le coup passa si près q
fit un écart en arrière. « Donne-lui tout de même à boire, » dit mon
père
. Légende des Siècles. Le poète à sa fille.
prendre aux flammes. C’est une vieille ruse en notre vieux pays : Nos
pères
en vivaient, qu’elle profite aux fils. Sur le vai
honies, Idylles héroïques, Voix du Silence, Poèmes civiques, Livre du
Père
), d’autres recueils où se retrouve, sous l’extrêm
ille, Veiller, jusqu’au moment de les voir endormis, Et la mère et le
père
et les deux vieux amis845. A toutes ces douleurs
d sans hésiter tout ce qu’il possède pour faire honneur au nom de son
père
, ruiné dans une faillite. Peu à peu cependant, il
crifice est plus dur qu’il ne l’avait cru. Ses amis le délaissent, le
père
de sa fiancée le repousse. Il reconnaît que la pa
tes M’ensevelir, ainsi que vos anachorètes ; Mais je me rappelai, mon
Père
, vos avis : D’autres devoirs me sont imposés : j’
v. I des Essais de Montaigne : « De vrai le soin et la dépense de nos
pères
ne vise qu’à nous meubler la tête de science ; du
la mort successive de son grand-père (le grand-dauphin), 1711, de son
père
(le duc de Bourgogne) et de son frère aîné (1712)
L’exemple des rois mes prédécesseurs et celui du testament du roi mon
père
ne me laissent pas ignorer ce que celui-ci pourra
612-1669), qui porta le nom de duc de Mercoeur jusqu’à la mort de son
père
, et François de Vendôme, duc de Beaufort (161-166
ate l’avait fait roi du Bosphore. Sur la nouvelle de l’arrivée de son
père
, il se donna la mort. » (Montesquieu.) 146. Cf.
1721-1794) fut chargé de la direction de la librairie pendant que son
père
était chancelier. Exilé dans ses terres à la fin
nomiste né en 1715 à Pertuis, en Provence, et mort en 1789. Il est le
père
de l’orateur. — Sur les relations du marquis de M
i se rencontrent plusieurs fois dans sa correspondance. Écrivant à un
père
qui avait perdu sa fille, il dit, avec non moins
Nous nous en allons vers notre vraie patrie, vers la maison de notre
père
. Mais à l’entrée, il y a un passage où deux ne sa
tulée Poétique du Christianisme. Les caractères naturels sont ceux du
père
, de la mère, du fils et de la fille ; les caractè
Iphigénie, acte III, scène v : ….Vous êtes en ces lieux Son
père
, son époux, son asile, ses dieux. 579. Nesci
ïques, ont le tort de rappeler le discours que Polynice adresse à son
père
dans l’Œdipe à Colone de Sophocle. Voir les ver
contre son frère bien plutôt qu’un retour de vraie tendresse pour son
père
qui explique la démarche de Polynice. Les oracles
reuse et funeste où la ruine m’a été préparée par la malédiction d’un
père
… Laissez-moi, adieu, vous ne me reverrez plus viv
primait ce triomphe de l’amour paternel : Crois-tu qu’à pardonner un
père
ait tant de peine ? — Le dénouement est, d’aille
r j’ai fermé ma paupière, Ses yeux n’ont pas cessé de veiller sur ton
père
. Elle a guidé mes pas, sans plaintes, sans regret
dans le fond des forêts… Polynice se croit couvert du pardon de son
père
; mais le grand prêtre le repousse par ces mots :
on de son père ; mais le grand prêtre le repousse par ces mots : Ton
père
est apaisé, les dieux ne le sont pas,… et le frè
e son fils au retour des combats : Oui ! ce héros surpasse encore son
père
(Iliade, ch. VI, vers 476 et suiv.). 716. Quel t
ls sur les expédients employés par le poète pour faire parvenir à son
père
les vers qui étaient le dernier cri de son cœur.
loyauté, d’honneur, et il ne soupçonne rien des crimes commis par son
père
. 742. Chénier, en effet, prête à Pison de vifs r
ius se frappe lui- même avec le poignard retiré de la blessure de son
père
. Cette dernière scène de l’acte V est d’un grand
roi, et s’est caché derrière les rideaux du lit, décidé à venger son
père
en tuant Louis XI. 787. Quand François de Paule
ir la dédicace des Voix intérieures adressée par M. Victor Hugo à son
père
. Elle est ainsi conçue : « A Joseph-Léopold-Sigis
s fait sentir quelque chose de cette crainte inouïe que connurent nos
pères
, et qui s’appela la Terreur, crainte d’un péril h
nt, voilà ce qui fait l’homme de goût, l’homme bien élevé, ce que nos
pères
appelaient si justement l’honnête homme. À d’autr
son flanc D’affreux lambeaux suivis de longs ruisseaux de sang. Leur
père
accourt : tous deux à son tour le saisissent, D’é
fuis ; c’en est fait, ta mère Va protéger tes pas, et te rendre à ton
père
. » Elle dit, et dans l’ombre échappe à mes regar
e temple abandonné, Du Dieu que nous servons le tombeau profané ! Nos
pères
, nos enfants, nos filles et nos femmes, Au pied d
it attendri que des maux de ses frères. Seigneur, depuis ce temps, ce
père
des chrétiens, Resserré loin de nous, blanchi dan
ents et ses oracles avec autorité, avec équité, avec tendresse ; roi,
père
et juge tout ensemble. Fléchier. Mort de sai
en tout les véritables intérêts de sa nation, dont il était autant le
père
que le roi. Il voyait tout de ses propres yeux da
n, je vous assure, Bon ange !… » En ce moment, de leurs larmes noyés,
Père
, mère, enfants, tous sont tombés à ses pieds. « L
Ou sur sa lyre virginale Chante aux mondes vieillis ce jour,
père
des jours ! Lamartine. Le Jugement dernier
ent-ils connaître la terreur Lorsqu’ils approchent de leur
père
? Quoi ! de tant de mortels qu’ont nourris tes b
ngés dans les enfers. Là tombent condamnés et la sœur et le frère, Le
père
avec le fils, la fille avec la mère ; Les amis, l
rsaire Hélas ! après dix ans je revois la journée Où l’âme de mon
père
aux cieux est retournée ! L’heure sonne ; j’écout
ontait ma perle. Quand la nuit dans les airs jeta son crêpe noir, Mon
père
à ses côtés ne me fit plus asseoir. Et j’attendis
ne l’ont point adouci ; Je ne puis voir un fils dans les bras de son
père
, Sans dire en soupirant : « J’avais un père aussi
fils dans les bras de son père, Sans dire en soupirant : « J’avais un
père
aussi ! » Son image est toujours présente à ma te
ma tendresse. Ah ! quand le pille automne aura jauni les bois, Ô mon
père
! je veux promener ma tristesse Aux lieux où je t
Nos guerriers ne me diront pas : « Ton fils est digne de son
père
: Il porte sans frémir la lance des combats
nd, pour bénir l’enfant dont sa fille est la mère, Viendra mon
père
en cheveux blancs, Je guiderai ses pas tre
sa farine. Quel plaisir lorsqu’à table, entre tous ses enfants, Leur
père
, chaque soir, voit revenir des champs Ses troupea
aimer, à vénérer et à craindre ; que les inconnus même appellent, mon
père
; aux pieds duquel les chrétiens vont répandre le
défenseur de quiconque est privé de défense, l’appui de la veuve, le
père
de l’orphelin, le réparateur de tous les désordre
filles des étrangers établis à Athènes, servitude que partagent leurs
pères
et leurs mères. En effet, les uns et les autres p
n travail se reposait sur vous. Et moi, fils inconnu d’un si glorieux
père
, Je suis même encor loin des traces de ma mère !
éveillé tous les regrets dans l’âme d’Agamemnon. Ulysse. Je suis
père
, seigneur, et faible comme un autre. Mon cœur se
e… Agamemnon. Hé bien ! ma fille, embrassez votre
père
; Il vous aime toujours. Iphigénie.
mour la Grèce vous révère ! Quel bonheur de me voir la fille d’un tel
père
! Agamemnon. Vous méritiez, ma fille, un père plu
voir la fille d’un tel père ! Agamemnon. Vous méritiez, ma fille, un
père
plus heureux. Iphigénie. Quelle félicité peut man
ieux : D’un soin cruel ma joie est ici combattue. Iphigénie. Eh ! mon
père
, oubliez votre rang à ma vue. Je prévois la rigue
ois la rigueur d’un long éloignement : N’osez-vous, sans rougir, être
père
un moment ? Vous n’avez devant vous qu’une jeune
sur son front la hache meurtrière ! Et je suis la seule, ô mon
père
, Oui, la seule qui donne à ton nom glorieux
dromaque Seigneur, voyez l’état où vous me réduisez : J’ai vu mon
père
mort et nos murs embrasés ; J’ai vu trancher les
os vainqueurs en colère, Qui ne se souvient plus qu’Achille était son
père
, Qui dément ses exploits et les rend superflus ?
Et traîné sans honneur autour de nos murailles ? Dois-je oublier son
père
à mes pieds renversé, Ensanglantant l’autel qu’il
la mémoire t’est chère « Montre au fils à quel point tu chérissais le
père
. » Et je puis voir répandre un sang si précieux ?
ourir : Tigres, allez combattre ; et nous, allons mourir. Horace. Mon
père
, retenez des femmes qui s’emportent Et, de grâce,
ut beau, ne les pleurez pas tous ; Deux jouissent d’un sort dont leur
père
est jaloux. Que des plus nobles fleurs leur tombe
urs, et ma juste colère, Contre un indigne fils usant des droits d’un
père
, Saura bien faire voir dans sa punition, L’éclata
repos. Sylla m’a précédé dans ce pouvoir suprême ; Le grand César mon
père
en a joui de même : D’un œil si différent tous de
eut, d’Auguste ou de Tibère ; Qu’il imite, s’il peut, Germanicus, mon
père
. Parmi tant de héros je n’ose me placer ; Mais il
ur ; Mais j’aurai trop de force, ayant assez de cœur. À qui venge son
père
il n’est rien impossible. Ton bras est invaincu,
n devoir, et le fils dégénère Qui survit un moment â l’honneur de son
père
. Corneille. Défense de Rodrigue D. Diègue
a tête, il n’en est que le bras. Si Chimène se plaint qu’il a tué son
père
, Il ne l’eût jamais fait si je l’eusse pu faire.
rossier ne te verrai-je pas Mener, comme autrefois ton pauvre et sage
père
, Ramener les chevreaux à la crèche grossière ? »
us savez déjà ce que cela veut dire. Mariane, aux genoux d’Orgon. Mon
père
, au nom du ciel qui connaît ma douleur, Et par to
t cette vie, hélas ! que vous m’avez donnée, Ne me la rendez pas, mon
père
, infortunée. Si, contre un doux espoir que j’avai
prodigue MONTE-PRADE, FABRICE. Fabrice. Mon
père
, embrassez donc Fabrice. Monte-Prade. C’est bien…
us scélérats de tous les hommes. Les enfants qui avaient égorgé leurs
pères
et leurs mères, les épouses qui avaient trempé le
, on passe pour un monstre quand on manque de reconnaissance pour son
père
, ou pour un ami de qui on a reçu quelque secours
biens qu’elle renferme ! Ne leur doit-on pas sa naissance plus qu’au
père
même de qui on est né ! Plus tous ces crimes sont
s, et les orphelins ne furent point délaissés dans leur misère. Et le
père
, qui s’était défié de la Providence, raconta le s
rsuivons notre route en paix. « Si je meurs avant vous, vous serez le
père
de mes enfants ; si vous mourez avant moi, je ser
serez le père de mes enfants ; si vous mourez avant moi, je serai le
père
des vôtres. « Et si, l’un et l’autre, nous mouron
de la beauté. Les sentiments différents qui agitent les enfants et le
père
produisent des mouvements variés, qui développent
pour des prodiges ; on aurait presque défini le grand poète : un bon
père
de famille qui fait de beaux vers. H. Rigault 7
and il se consente de vouloir partager avec eux la succession de leur
père
. Il habite les parquets et les autres lieux desti
illes ; vous savez ce que c’est qu’un vieux et ancien domestique d’un
père
et d’une mère tendrement aimés. Voilà un pauvre v
ts ans qu’il possède ; au surplus, bon et honnête homme. Ce misérable
père
a un fils qui le soulageait dans sa vieillesse, i
ir. Quand je vois un vieux bonhomme que j’ai vu toute ma vie chez mon
père
, que je le vois foudre en larmes devant son portr
it, s’il est permis de parler ainsi, héréditaire et domestique, et où
pères
, mères, frères, sœurs, aïeuls de côté et d’autre,
s, je vivrai ; et si tu meurs, je meurs. Déjà la tombe enferme et ton
père
et tes sœurs ; Seules, nous, nous restons ; toi s
ni virgule. Aussi la joie qu’il en témoigna fut mêlée de surprise. «
Père
éternel ! s’écria-t-il avec transport, lorsqu’il
it faire de sérieuses études. Il avait à peine treize ans lorsque son
père
fut tout à coup ruiné ; et, s’étant réfugié au fo
quefois les voyageurs font monter sur le siège du conducteur ce petit
père
de famille de treize ans, et il arrive ainsi à Pa
ris. C’est là, c’est alors qu’il reprend par la base le métier de son
père
, et se met vaillamment à tailler la pierre, aidan
iement, les larmes venaient aux yeux des maçons qui avaient connu son
père
l’architecte et servi sous lui comme des soldats
i qui rends d’un regard l’immensité féconde ; Âme de l’univers, Dieu,
père
, créateur. Sous tous ces noms divers, je crois en
Disant à la même heure une même prière, Demandent pour nous grâce au
Père
universel Et puis ils dormiront. — Alors, épars
is pour toute prière : — Seigneur, Seigneur mon Dieu, vous êtes notre
père
; Grâce, vous êtes bon ! grâce, vous êtes grand !
ix à la guerre ; car pendant la paix, les enfants ensevelissent leurs
pères
, et pendant la guerre, ce sont les pères qui ense
enfants ensevelissent leurs pères, et pendant la guerre, ce sont les
pères
qui ensevelissent leurs enfants ; » rien de plus
est peut-être un peu long, mais il est vrai et naturel, Puisque son
père
est l’offensé, Et l’offenseur le père de Chimène.
côtés dans Paris ; on trouvait le fils assassiné sur le corps de son
père
, le frère mort avec la sœur et la fille avec mère
s côtés ruisselant dans Paris ; Le fils assassiné sur le corps de son
père
Le frère avec la sœur, la fille avec sa mère… Vo
s autres hommes admettent ce qu’il pense et fassent ce qu’il veut. Le
père
de famille dans sa maison, le professeur dans sa
les paroles mêmes de l’accusateur, que Roscius n’était pas haï de son
père
. Cet accusateur avait dit d’abord que Roscius le
pas haï de son père. Cet accusateur avait dit d’abord que Roscius le
père
possédait de très belles terres, et qu’il laissai
s et du serment ; dans la chaire, le prédicateur cite l’Écriture, les
Pères
et les conciles. § III. De l’usage des lieux o
véritable. Ce serait faire un dénombrement imparfait que de dire à un
père
de famille qui veut faire étudier ses enfants :
ant moyen de maîtriser les âmes par la parole. Vous me tenez lieu de
père
, de mère, de frère, disait saint Chrysostome à so
un s’étonne de ce langage, c’est qu’il ignore ce que c’est que d’être
père
. 95. L’orateur est modeste quand il paraît s’oub
s prononcées pour cette même cause, dans cette même enceinte, par mon
père
; et la conviction que c’est ici une question de
l’article précédent. Lally-Tollendal, plaidant pour la mémoire de son
père
, parle ainsi devant les magistrats qui sont ses j
le magistrat qui s’opposait à la réhabilitation de la mémoire de son
père
: Monsieur, je suis pénétré du plus profond resp
e condamnez à ne plus voir dans ce magistrat que le détracteur de mon
père
, que le persécuteur de sa mémoire. Attendez-vous
ous avez beaucoup de maîtres en Jésus-Christ ; mais vous n’avez qu’un
père
. Et, permettez-moi de vous le dire, c’est moi qui
ritent beaucoup d’égards. Un fils est-il obligé de plaider contre son
père
, un inférieur contre son supérieur, ils auront re
ntre ceux qui ont une action craintive, comme s’ils parlaient à leurs
pères
, et non pas à leurs disciples et enfants ; « Je d
’avoir dans ses recueils les plus beaux morceaux de l’Écriture et des
Pères
: il faut les avoir dans le cœur (Voir le nº xxii
tera profondément et repassera dans sa mémoire ce que l’Écriture, les
Pères
et la tradition ont dit de plus frappant sur cett
isme, quelle force et quelle chaleur depuis les Apôtres et les saints
Pères
jusqu’à Bossuet et Fénelon, de Maistre et Chateau
tes. Faites-en, grand Dieu ! un roi selon votre cœur, c’est-à-dire le
père
de son peuple, le protecteur de votre Église, le
de l’harmonie, la vivacité de la passion. Les beaux-arts, enfants et
pères
du plaisir ne demandent que la fleur et la plus d
eur manifester le Dieu qu’ils adorent sans le connaître, et que leurs
pères
ont aussi honoré. Mais remarquons encore ici l’ha
ation oratoire. — Lally-Tollendal raconte le procès et la mort de son
père
. Un étranger, sans autre appui que son mérite
ui voulut pourtant lui pardonner. Après le repas, Pérolla conduit son
père
dans un endroit écarté, et là, tenant un poignard
e en attaquant Annibal au milieu de ses gardes ; le second regarde le
père
, qui est résolu de se mettre entre Annibal et son
tif tiendra donc la seconde place. Le respect et la tendresse pour un
père
qu’il faudra égorger avant que d’arriver à Anniba
z pas entreprendre une action qui vous expose au danger de tuer votre
père
; Mineure. Or, l’action de tuer Annibal vous exp
Mineure. Or, l’action de tuer Annibal vous expose aussi à tuer votre
père
; Conclusion. Donc, etc. ENTHYMÈMES. Première pr
écédent. L’action de tuer Annibal vous expose au danger do tuer votre
père
; Conséquent. Donc vous ne devez pas l’entrepren
crifices ; 2º les droits sacrés de l’hospitalité ; 3º l’autorité d’un
père
sur son fils. « Paucæ horæ sunt, intra quas juran
o, pour l’hospitalité ; pietas, pour le respect qu’un fils doit à son
père
. La dernière pensée est fort belle, et conduit na
ds font trembler, et un faible particulier, tu ! Troisième motif ; le
père
qu’il faudra tuer avant d’arriver à Annibal. « Et
ci quelques pensées. Pourrez-vous tremper vos mains dans le sang d’un
père
? Arracher la vie à celui de qui vous l’avez reçu
’affaiblir. Il finit par des prières, plus fortes dans la bouche d’un
père
que toutes les raisons : « Deterreri hic sine te
juste récompense que le ciel accordait au zèle et à la ferveur de nos
pères
. Mais les chrétiens de nos jours ont-ils droit de
ion, ces mots : « Aimez-vous, faites le bien pour le mal, et priez le
Père
céleste ! » (Cormenin.) XXI. De l’action du p
æ soli ! c’est la sentence de l’Écriture. Enfin, un ami véritable, un
père
de notre âme nous est donné : on pourra tout lui
, et son confident Peel, le jeune fileur (allusion à la profession du
père
de sir Robert Peel). Hommes de Clare, si je n’ai
idoyer de Lally-Tollendal pour la réhabilitation de la mémoire de son
père
. Enfin, messieurs, pour sentir combien mes de
eux qui n’ont jamais eu d’exemple ; cette évocation de l’ombre de mon
père
; ce discours qu’on m’a fait adresser par elle, e
rir. Et vous avez voulu parler des droits de la nature ! et vous êtes
père
! Que dis-je ? Le cri public annonce de toute par
uive contre lui la réparation des outrages dont vous avez accablé mon
père
et moi. Croyez que je lui demanderais pardon, à v
uelle à laquelle je serais réduit. Croyez que je lui dirais : « Votre
père
a eu des vertus, votre père a eu des époques glor
éduit. Croyez que je lui dirais : « Votre père a eu des vertus, votre
père
a eu des époques glorieuses dans sa vie. Plus d’u
tous les hommes ; elle l’a rendu cruel et injuste. Il a calomnié mon
père
; il m’a calomnié moi-même. Je puis vous sacrifie
r mon injure ; mais je ne puis ni ne dois vous sacrifier celle de mon
père
. Je dois prouver que mon père était innocent ; tâ
ni ne dois vous sacrifier celle de mon père. Je dois prouver que mon
père
était innocent ; tâchez de prouver que le vôtre n
tu as pu le laisser achever, ce discours impie que l’on a prêté à ton
père
! tu ne t’es pas élevé dès le premier mot ! tu n’
on roi, plus prodigue de ton sang pour l’une et pour l’autre, que ton
père
ne l’a été ? Moi, t’exhorter à ne pas me défendre
vaincu de votre innocence, et ne respirant que pour la défendre ; mon
père
, mon malheureux père ! vous m’avez donné, vous m’
ence, et ne respirant que pour la défendre ; mon père, mon malheureux
père
! vous m’avez donné, vous m’avez laissé une vie d
tueuses ? Qui a ouvert la voie du tonnerre retentissant ? Quel est le
père
de la pluie, et qui a produit les gouttes de la r
oque in supplicium verterant9. » Les saintes Écritures, et les saints
Pères
qui les expliquent, sont partout de l’opinion de
oulagement, il le prit en affection et lui donna ce beau titre de son
père
. L’arrêter était un coup bien hardi et pouvait êt
peuples, elle n’égalera jamais la vôtre. Les bons rois sont les vrais
pères
des peuples, ils les aiment naturellement. Leur g
ble, mais une désolation pareille à celle que cause la perte d’un bon
père
à ses enfants174. Il n’y a personne de nous qui n
souvienne d’avoir ouï souvent raconter ce gémissement universel à son
père
ou à son grand-père, et qui n’ait encore le cœur
e instruire194 : il connut bientôt les erreurs où les derniers de ses
pères
, déserteurs de l’ancienne foi, l’avaient engagé.
s accourons effrayés, pour unir parfaitement le corps de l’Église, le
père
et les enfants, le chef et les membres, le sacerd
valoir ses domaines avec sagesse, avec attention, avec économie ; un
père
de famille pourrait apprendre dans ses lois à gou
enues. Dans le temps que l’univers est en larmes après la mort de son
père
; dans cet instant d’étonnement où tout le monde
lé son serment, et les promesses solennelles qu’il avait faites à son
père
le jour de son couronnement320. Après la mort de
république ; je répondrai à tous ceux qui viendront me demander leur
père
, leur fils ou leur frère328.” Tous les Romains se
u le mauvais génie de la république. Cependant le gouvernement de nos
pères
a été rétabli ; le peuple a expié tous les affron
il les avait dépouillés. “Je te laisse, lui dis-je, le royaume de tes
pères
, à toi qui devrais me remercier de ce que je te l
, ses partisans sur l’échafaud et pour errer dans des montagnes : son
père
, chassé au berceau du palais des rois et de sa pa
sublimes et divines beautés, comme disait Mme de Sévigné, qu’offre ce
père
de notre théâtre, qu’elles suffiront à jamais pou
yeucte aux pieds de son rival. Soudain à son secours j’ai réclamé mon
père
; Hélas ! c’est de tout point ce qui me désespère
n père ; Hélas ! c’est de tout point ce qui me désespère, J’ai vu mon
père
même, un poignard à la main, Entrer le bras levé
t : laissez partir Sévère411, Et donnez lieu d’agir aux bontés de mon
père
. POLYEUCTE. Les bontés de mon Dieu sont bien plus
Pauline embrasse la foi chrétienne. Félix, Pauline, Albin. PAULINE.
Père
barbare achève, achève ton ouvrage ; Cette second
40. Règne ; de crime en crime enfin te voilà roi. Je t’ai défait d’un
père
, et d’un frère, et de moi : Puisse le ciel tous d
n’ont rien qui dégénère, Rien qui les fasse croire enfants d’un autre
père
; Ce sont des malheureux étouffés au berceau, Qu’
parle la nature. Le méchant goût du siècle en cela me fait peur : Nos
pères
, tout grossiers, l’avaient beaucoup meilleur ; Et
vocat, comme P. Corneille, et il se disait, à raison de l’état de ses
pères
, sorti de la poudre du greffe. Successeur de Régn
t ma fortune, Contez-lui qu’allié d’assez hauts magistrats, Fils d’un
père
greffier, né d’aïeux avocats, Dès le berceau perd
j’ai trahi le mystère ; Et, quand il n’en perdrait que l’amour de son
père
, Il en mourra587, seigneur. Ma foi ni mon amour N
autrefois souverains, Pendant qu’ils n’adoraient que le Dieu de leurs
pères
, Ont vu bénir le cours de leurs destins prospères
? ESTHER. Il restait seul de notre famille : Mon
père
était son frère. Il descend comme moi Du sang inf
campagnes si chères. UNE AUTRE. J’irai pleurer au tombeau de mes
pères
. TOUT LE CHŒUR. Repassez les monts et les
itier à ses honteux mystères Et blasphème le nom qu’ont invoqué leurs
pères
. Je tremble qu’Athalie, à ne vous rien cacher, Vo
stait seul avec ses enfants ; Par les traits de Jéhu je vis percer le
père
: Vous avez vu les fils massacrés par la mère. JO
d’un enfant voulez-vous qu’on se plonge ? Vous ne savez encor de quel
père
il est né, Quel il est. MATHAN.
ici ma voix au malheureux ! Et vous, qui lui devez des entrailles de
père
, Vous, ministre de paix dans les temps de colère,
HALIE, à Joas. Et vous, quel est donc votre
père
? Jeune enfant, répondez650. JOSABETH.
J’ai nom Éliacin652. ATHALIE. Votre
père
? JOAS. Je suis, dit-on, un o
5, A vengé mes parents sur ma postérité. J’aurais vu massacrer et mon
père
et mon frère, Du haut de son palais précipiter ma
le temple de Dieu sommes-nous étrangères ? Vous avez près de vous nos
pères
et nos frères. UNE AUTRE. Hélas ! si, pour venger
dèle au sang d’Achab qu’il a reçu de moi, Conforme à son aïeul, à son
père
semblable, On verra de David l’héritier détestabl
s elle et il lui ordonne de s’en éloigner. La fausse Isménie, dont le
père
, Mithridate, a déjà péri par les embûches de son
iter de la passion d’Arsame pour l’animer à secouer l’autorité de son
père
. Au second acte, Rhadamiste, réputé mort, reparaî
eux dont il a été la victime, au nombre desquels il place d’abord son
père
: celui-ci, qui ne l’a pas vu depuis sa première
a peint à Pharasmane comme un rebelle, est arrêté par l’ordre de son
père
. Celui-ci persévère dans ses desseins de vengeanc
ous à jamais, ignorant ce mystère, Oublier avec lui de qui vous fûtes
père
! PHARASMANE. Ah ! c’est trop m’alarmer : expliqu
effet j’étais connu de vous. PHARASMANE. Pourquoi me le cacher ? Ah,
père
déplorable ! RHADAMISTE. Vous vous êtes toujours
vos enfants, proscrits et malheureux, N’ont pu vous regarder comme un
père
pour eux. Heureux, quand votre main vous immolait
ransports jaloux mon sang doit se défendre ; Fuyez, n’exposez plus un
père
à le répandre707. Voltaire (1694-1778.)
e sauvage hémisphère ; Dans ces climats brûlants j’ai vaincu sous mon
père
; Je dois de vous encore apprendre à gouverner, E
grâce, elle me sera chère : Je l’attends comme ami, je la demande en
père
. Mon fils, remettez-moi ces esclaves obscurs Aujo
il était sanguinaire, S’il n’avait des vertus, vous n’auriez plus de
père
. Avez-vous oublié qu’ils m’ont sauvé le jour ? Av
ous est trop nécessaire : « Vivez, aux malheureux servez longtemps de
père
; « Qu’un peuple de tyrans, qui veut nous enchaîn
ré vous, s’émeut et s’adoucit. L’humanité vous parle, ainsi que votre
père
. Ah ! si la cruauté vous était toujours chère, De
, est un Dieu qui pardonne. Alzire, vaincue par les instances de son
père
, s’est faite chrétienne, et, malgré ses vives rép
même instant de recevoir ma main. ZAMORE. Lui ? ALZIRE. Mon
père
, Alvarez, ont trompé ma jeunesse ; Ils ont à cet
ux ! ALZIRE. Je pourrais t’alléguer, pour affaiblir mon crime, De mon
père
sur moi le pouvoir légitime, L’erreur où nous éti
r te parlait aujourd’hui !… ALZIRE. Ô ciel, c’est Gusman même, et son
père
avec lui. Acte III, scène V. Alvarez, Gus
Quoi ! le ciel a permis Que ce vertueux
père
eût cet indigne fils ! GUSMAN. Esclave, d’où te v
ngeur et préviens ton trépas. La main, la même main qui t’a rendu ton
père
, Dans ton sang odieux pourrait venger la terre ;
erre ; Et j’aurais les mortels et les dieux pour amis, En révérant le
père
et punissant le fils. ALVAREZ, à Gusman. De ce di
À Gusman.) À Alvarez.) Cruel ! Et vous, seigneur, mon protecteur, mon
père
; (À Zamore.) Toi, jadis mon espoir en un temps p
e je la dois ! Ah ! mes fils ! de ce nom ressentez la tendresse, D’un
père
infortuné regardez la vieillesse. Et du moins… Z
er. (À Alvarez.) Le ciel, qui veut ma mort, et qui l’a suspendue, Mon
père
, en ce moment m’amène à votre vue. Mon âme fugiti
om, s’il se peut, bénissez la mémoire. (À Alvarez.) Daignez servir de
père
à ces époux heureux : Que du ciel, par vos soins,
puisque je vois vos pleurs. Pour la dernière fois approchez-vous, mon
père
! Vivez longtemps heureux ; qu’Alzire vous soit c
mère d’origine grecque et qui naquit à Constantinople, en 1762, d’un
père
qui y représentait la France comme consul, fit d’
ycus errait sur les bords du Crathis772 qui entoure le domaine de son
père
, quand un étranger suppliant, vêtu de haillons, s
aison ne te force au mystère, Tu nous diras ton nom, ta patrie et ton
père
. » Il retourne à sa place après que l’indigen
et te souviens de moi. » Oui, oui, je m’en souviens : Cléotas fut mon
père
; Tu vois le fruit des dons de sa bonté prospère.
e toi, Cléotas ? toi qu’ainsi je revoi ? Tout ici t’appartient. Ô mon
père
! est-ce toi ? Je rougis que mes yeux aient pu te
toi ? Je rougis que mes yeux aient pu te méconnaître. Ô Cléotas ! mon
père
! ô toi, qui fus mon maître, Viens ; je n’ai fait
mps-là. 9. Tacite, Annales, liv. VI, ch. vi : « Que vous écrirai-je,
pères
conscrits ? comment vous écrirai-je ? ou que dois
ue par eux : le grand Condé l’assiégea en vain. 61. 1646. C’était le
père
du grand Condé. 62. Consommer est pris ici dans
de Louis XIV à sa mère ; elle est citée dans l’Histoire de France du
père
Daniel), et Pellisson lui-même fut enfermé à la B
notre langue le nombre et la période : il a été justement appelé « le
père
de la prose française. » — Coeffeteau, traducteur
s ses revers. » Il lui fit même un jour un compliment délicat : « Mon
père
, lui dit-il, j’ai entendu dans ma chapelle plusie
nt, tout plein de ses devoirs », n’en omettait aucun à l’égard de son
père
: mais, entre ces deux natures si différentes, le
ileau, Anne de Nyélé, mourut à l’âge de vingt-trois ans, en 1638. Son
père
, Gilles Boileau, mourut en 1657, âgé de soixante-
e soixante-treize ans. 561. Cf. l’épître V à M. Guilleragues : Mon
père
, soixante ans au travail appliqué, En mourant me
ous, faut-il sous-entendre, après les pieux essais dramatiques de nos
pères
… Comme l’avait fait, en défigurant le roi de Per
i les maîtres. 701. . Le respect de Rhadamiste pour les jours de son
père
semble une expiation de ses fautes, et achève de
te. 738. En particulier au marquis de Mirabeau, l’ami des hommes, le
père
de l’orateur. 739. . Une partie de ses Poésies s
son fils au retour des combats : Oui ! ce héros surpasse encore son
père
(Iliade, ch. VI, v. 476 et suiv.). 783. Quel ta
couleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent et saluent de concert le
père
de la vie : en ce moment pas un seul ne se tait.
t l’espérance de sa récolte ; l’autre, qui jouit de l’héritage de ses
pères
, souhaite une éternelle paix à celui qui l’a sauv
ermé avec ses enfants dans la Tour de la faim, à Pise ? Cet infortuné
père
les voit successivement mourir sous ses yeux. Le
s ses yeux. Les Enfants de Montaigu. …………………… Renault me dit : « Mon
père
, Vis, tu nous vengeras. » Raymond, Dolcé, Sévère,
enfers, des juges qui la menacent. Elle s’écrie : J’ai pour aïeul le
père
et le maître des dieux ; Le ciel, tout l’univers
Où me cacher ? Fuyons dans la nuit infernale. Mais, que dis-je ? Mon
père
y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise
vers, Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ! Que diras-tu, mon
père
, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de tes m
salon doré ? Songez-vous qu’il est là sous le givre et la neige. Ce
père
sans travail que la famine assiège ? Et qu’il se
m’appelle ? Pour qui, sourd à la voix d’une mère immortelle, Et d’un
père
éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la
elles hérésies littéraires qui commençaient à se répandre au sujet du
père
de notre tragédie. Plus heureux dans l’éloge de V
protecteurs de votre empire dérobèrent Marc-Aurèle à ce danger : son
père
le transporta, à trois ans, dans une retraite où
vaient servi sous lui ; il leur recommanda ta jeunesse. Servez-lui de
père
, leur dit-il : ah ! servez-lui de père ! Alors il
nda ta jeunesse. Servez-lui de père, leur dit-il : ah ! servez-lui de
père
! Alors il te donna des conseils, tels que Marc-A
si pure. Je touche au terme de ma vie ; bientôt j’irai rejoindre ton
père
. Si tu dois être juste, puissé-je vivre encore as
e et les enfants, qu’un peu d’ombre rassemble, Sur l’herbe, autour du
père
, assis, rompent ensemble Et se passent entre eux
s durcis, le laitage et le pain ; Et le chien, regardant le visage du
père
, Suit d’un œil confiant les miettes qu’il espère.
jalouse, La chambre maternelle où nous vînmes au jour, Celle de notre
père
, à côté, sur la cour ; Ces meubles familiers qui
u geste : « A genoux ! nous dit-elle, Enfants ! Voilà le lit où votre
père
est mort ! » Puis tombant elle-même à genoux sur
souffle du monde ; le nid où la mort est venue prendre tour à tour le
père
et la mère, et dont les enfants se sont successiv
je devais y retrouver à mon réveil la voix de ma mère, les pas de mon
père
, etc. » 1. « Quiconque fut nourri aux affectio
nt, voilà ce qui fait l’homme de goût, l’homme bien élevé, ce que nos
pères
appelaient si justement l’honnête homme. À d’autr
race damnée ! La justice a conduit la main dont je suis née ; Or, le
Père
, et le Fils, et l’Esprit souverain, Font, depuis
lles comprenaient ces paroles amères ; Elles maudissaient Dieu, leurs
pères
et leurs mères, Leurs fils, le genre humain, le t
vierges, semez des fleurs ; Hector dans le tombeau précède son vieux
père
. Ilion, Ilion, tu dors : et dans tes murs Pyrrhu
veux entendre nos chants, Rends-nous, peuple cruel, nos époux et nos
pères
, Nos enfants et nos frères ; Fais sortir Ilion de
’eussent pris, N’eussiez armé pour moi les pierres et les cris. — Mon
père
, il est donc vrai, tout est devenu pire ? Car jad
uel lieu sommes-nous ? — Sicos est l’ile heureuse où nous vivons, mon
père
. — Salut, belle Sicos, deux fois hospitalière ! C
ar sur tes bords heureux je suis déjà venu ; Amis, je la connais. Vos
pères
m’ont connu : Ils croissaient comme vous ; mes ye
si qu’à Straffort l’Angleterre idolâtre Couronnait dans Shakspeare le
père
du théâtre. Juliette, à son nom, s’arrachant du c
oit moi qui ferme ta paupière ? Que j’unisse ta cendre à celle de ton
père
? C’est toi qui me devais ces soins religieux, Et
Assise à tes côtés, ses discours, sa tendresse, Sa voix, trop heureux
père
! enchantent ta vieillesse. Dieux ! par-dessus la
peux te guérir ; Vis, et formons ensemble une seule famille : Que mon
père
ait un fils, et ta mère une fille. » A. Chénie
uoque in supplicium verterant. » Les saintes Écritures, et les saints
Pères
qui les expliquent, sont partout de l’opinion de
ciplinait si facilement, on peut juger de ce qu’étaient des citoyens,
pères
de famille, attachés au sol de la patrie et nourr
oulagement, il le prit en affection et lui donna ce beau titre de son
père
. L’arrêter était un coup bien hardi et pouvait êt
taient droites et bonnes, s’il avait pour le peuple des entrailles de
père
, le peuple, de son côté, aimait et respectait le
avait dix-neuf ans, quitte sa famille, sa femme qui allait le rendre
père
, il s’embarque sur un petit navire à la Corogne,
qui, rencontrant dès sa naissance tous les despotismes, celui de son
père
, du gouvernement et des tribunaux, employa sa jeu
ne une loi toute-puissante qui punit sur les fils les fautes de leurs
pères
, et qui ne permet à personne de s’écarter impuném
s ma pauvre chaumière, Quand l’enfant accourait, et me criait : « Mon
père
! » Quand il me souriait et me tendait les bras,
disais tout bas : « Pauvre enfant, tu seras une bête de somme, « Ton
père
est un manant, il n’a pu faire un homme ! » Ces t
amais devant nos ennemis, S’il désertait nos droits, s’il reniait ses
pères
, Alors je verserais des larmes bien amères... Je
, astres brillants des cieux, Te dirigent sur l’onde amère ! Par leur
père
enchaînés, que les vents furieux Au souffle const
le plus cher de ses souhaits ; Qui fuit la basse flatterie ; Et qui,
père
de sa patrie, Compte ses jours par ses bienfaits.
s nations a dit : Si jeunesse savait ! si vieillesse pouvait ! Or, le
père
qui aime, le vieux père, possède à la fois la sci
nesse savait ! si vieillesse pouvait ! Or, le père qui aime, le vieux
père
, possède à la fois la science et la puissance : i
onne la vie. Ge serait l’amour sans tache et plein, si de l’enfant au
père
il y avait le retour égal de l’ami à l’ami, de l’
’homme de retrouver dans ses enfants l’ingratitude qu’il eut pour ses
pères
et de finir ainsi, comme Dieu, par un sentiment d
anger Ce que cherche un héros, la gloire et le danger. Il demande mon
père
… il entre… Ô misérable ! Dieux cruels ! mal sacré
Son salut ! Pour armer sa valeur insensée, Il fallait dépouiller mon
père
… je le fis ! Trahir notre cité, nos dieux… je les
Ne pourrai-je, sans vous, disposer de ma fille ? Ne suis-je plus son
père
? Êtes-vous son époux ? Et ne peut elle… ACHILLE.
m’appelle ? Pour qui, sourd à la voix d’une mère immortelle, Et d’un
père
éperdu négligeant les avis, Vais-je y chercher la
au seul nœud qui retient ma colère : D’Iphigénie encor je respecte le
père
. Peut-être, sans ce nom, le chef de tant de rois
é sur la terre étrangère ?... Tu dormirais du moins au tombeau de ton
père
! Pourquoi t’ai-je sauvé ?… Tu meurs dans la doul
aufrage !… Le crime est triomphant, sans remords, sans terreurs ; Mon
père
a succombé !… Tu péris et je meurs !… Je meurs !…
erme À ne le pas risquer, en en pressant le terme. VALÈRE. Ainsi, ton
père
mort… BRUTE.
le jour, Cinna ; mais ceux dont tu le tiens Furent les ennemis de mon
père
, et les miens : Au milieu de leur camp tu reçus l
bras Combat, quand il se venge, et n’assassine pas. Je devais tout au
père
, et me tiendrais infâme, Si ses bienfaits passés
end qu’on l’introduise. LOUIS. (Montrant Coitier.) Entrez. Voyez, mon
père
; il a bravé son roi Et je lui pardonnais. Coitie
ANÇOIS DE PAULE. Que puis-je ? LOUIS. Tout, mon
père
; oui, tout vous est possible : Vous réchauffez d
ouvrant les mains je sème les miracles. LOUIS. Au moins dix ans, mon
père
! accordez-moi dix ans, Et je vous comblerai d’ho
e feu roi de langueur et de faim. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son
père
abrégé la vieillesse ! LOUIS. Le dauphin… c’était
par droit de misère ! Ah ! si dans mes tourments vous descendiez, mon
père
, Je vous arracherais des larmes de pitié ! Les an
tre. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon
père
et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami :
n serviteur. À ma sujétion lorsque je me résigne. Tout le sang de mon
père
en mes veines s’indigne, Et je ne sais vraiment p
France au char de l’ennemi ! Ah ! sire, vous parliez du sang de votre
père
Qu’en vos veines le joug d’un ministre exaspère :
nt ! MATHILDE. Et comment se fait-il, voilà ce que j’admire, Qu’aucun
père
à son fils ne s’avise de dire : « Paris est encom
croyais qu’Iphigénie est en effet sur le point d’être immolée par son
père
à vingt pas de moi, je sortirais de la salle en f
supplice du méchant, afin que le crime tremble. Contemplez David, le
père
et tout ensemble la figure du Messie ; voyez-le d
té parmi nous : et nous avons vu sa gloire, la gloire du fils aîné du
père
, plein de grâce et de vérité. » Tout prend une fa
; Courbés avant le temps, consumés de langueur, Enfants efféminés de
pères
sans vigueur ; Demi-dieux avortés, qui par droit
enfants avec un œil sévère ; De la triste Équivoque il rougit d’être
père
, Et rit des traits manqués du pinceau faible et d
iminutif, Andrieux. « Il y a plus d’une demeure dans la maison de mon
père
; r que cela soit vrai du royaume du beau ici-bas
e votre autorité et votre gloire. Si le roi, dit-on, avait un cœur de
père
pour ses peuples, ne mettrait-il pas plutôt sa gl
Au Père Porée97 Si vous vous souvenez encore, mon révérend
père
, d’un homme qui se souviendra de vous toute sa vi
-moi comme un fils qui vient, après plusieurs années, présenter à son
père
le fruit de ses travaux dans un art qu’il a appri
os leçons, alors sublimi feriam sidera vertice. Surtout, mon révérend
père
, je vous supplie instamment de vouloir bien m’ins
on-seulement comme auteur, mais comme chrétien. Je suis, mon révérend
père
, et je ferai profession d’être toute ma vie, avec
t nos docteurs aiment à reconnaître. Dans le vieil Hippocrate et leur
père
et leur maître ; Doutez-vous que César, au métier
dans ton emportement Tu le menaceras d’un autre testament ! Toi d’un
père
usurper l’autorité jalouse ; Quand tu fais pis, v
eu vous visitera et vous établira dans la terre qu’il a promise à nos
pères
: emportez mes os avec vous. » Ce fut là sa derni
ent pourrais-je n’avoir pas le visage triste, puisque la ville où mes
pères
sont ensevelis est déserte, et que ses portes son
quelque grâce, renvoyez moi en Judée, en la terre du sépulcre de mon
père
, et je la rebâtirai. » Étant arrivé en Judée, il
issons pas de fils qui se soit jamais acquitté envers sa mère, pas de
père
de famille honnête qui ait jamais trouvé le jour
voir payé le vicaire à qui l’État donne cent écus par an pour être le
père
, l’instituteur, le consolateur d’un pauvre villag
. Défense du Cid, écrit anonyme. 96. Le cardinal de Richelieu. 97.
Père
jésuite, auteur de diverses œuvres latines, profe
is voulu que vous vissiez Louise Vernet danser la saltarelle avec son
père
. Elle fut obligée de se reposer un instant ; pren
rd’hui en usage, nous est aussi nouvelle qu’elle était inconnue à nos
pères
. La voix publique nous reproche le vice contraire
un homme nous aurait ruinés, estropiés, brûlé nos maisons, tué notre
père
, et qu’il se disposerait encore à nous assassiner
e, camper hiver et été, obéir sans résistance, mourir ou vaincre. Les
pères
qui n’élevaient pas leurs enfants dans ces maxime
s sans dérober et des meurtriers sans verser de sang. Tous les saints
Pères
disent d’un commun accord que ce riche inhumain d
rayon de votre puissance ; vous les avez fait grands, pour servir de
pères
à vos pauvres : votre providence a pris soin de d
cet endroit-là un ravissant éclat par les rayons du soleil, comme du
père
de la lumière. Quand il la voit de ce côté, elle
nfants251. Saint Louis. Enfant de saint Louis252, imitez votre
père
; soyez, comme lui, doux, humain, accessible, aff
en tout les véritables intérêts de sa nation, dont il était autant le
père
que le roi. Il voyait tout de ses propres yeux da
s. La simplicité, la modestie, la frugalité, la probité exacte de nos
pères
, leur ingénuité, leur pudeur, passent pour des ve
t. Le titre de conquérant n’est écrit que sur le marbre ; le titre de
père
du peuple est gravé dans les cœurs. Et quelle fél
niens étaient indignés de voir ce prince rougir d’avoir Philippe pour
père
: leur mécontentement s’accrut, lorsqu’ils lui vi
e entre mon peuple et moi. Je suis le roi d’un peuple qui m’aime. Les
pères
de famille espèrent la longueur de ma vie comme c
es enfants craignent de me perdre, comme ils craignent de perdre leur
père
. Mes sujets sont heureux, et je le suis329. Œuv
r trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante, que tous les
Pères
l’ont sentie, et qu’il n’est pas possible de s’y
sublimes et divines beautés, comme disait Mme de Sévigné, qu’offre ce
père
de notre théâtre, qu’elles suffiront à jamais pou
cte II, scène VIII. Le vieil Horace, Horace, Curiace. HORACE. Mon
père
, retenez des femmes qui s’emportent Et, de grâce,
beau482, ne les pleurez pas tous : Deux jouissent d’un sort dont leur
père
est jaloux. Que des plus nobles fleurs leur tombe
font éclater un si puissant courroux, Qu’ils semblent tous venger un
père
, comme vous. ÉMILIE. Je l’avais bien prévu, que,
cit de toutes les misères, Que durant notre enfance ont endumé493 nos
pères
, Renouvelant leur haine avec leur souvenir, Je re
femme en son lit égorgé ; « Le fils tout dégouttant du meurtre de son
père
, « Et, sa tête à la main, demandant son salaire,
jour, Cinna512 ; mais ceux dont tu le tiens Furent les ennemis de mon
père
, et les miens : Au milieu de leur camp tu reçus l
stement acquise à celui que Corneille ne dédaignait pas d’appeler son
père
. On comprend mieux, d’ailleurs, les grands hommes
nfant vous chérit, Ni la soumission d’un peuple qui vous rit, Ni d’un
père
et d’un roi le conseil salutaire, Lors, pour être
roi le conseil salutaire, Lors, pour être tout roi, je ne serai plus
père
: En vous abandonnant à la rigueur des lois, Au m
ndre, Henriette. CLITANDRE. … Puisqu’il m’est permis, je vais à votre
père
, Madame… HENRIETTE. Le plus sûr est de gagner ma
votre père, Madame… HENRIETTE. Le plus sûr est de gagner ma mère. Mon
père
est d’une humeur à consentir à tout ; Mais il met
Vous me voyez, ma sœur, chargé par lui D’en faire la demande à son
père
aujourd’hui. BÉLISE. Fort bien ! ARISTE.
rtance : Il est riche en vertus, cela vaut des trésors ; Et puis, son
père
et moi n’étions qu’un en deux corps. ARISTE. Parl
la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos
pères
, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disa
vocat, comme P. Corneille, et il se disait, à raison de l’état de ses
pères
, sorti de la poudre du greffe. Successeur de Régn
uve en sa défense espère ; UNE AUTRE. De l’orphelin il est le
père
; TOUTES ENSEMBLE. Et les larmes du juste implora
veut, d’Auguste ou de Tibère ; Qu’il imite, s’il peut, Germanicus mon
père
. Parmi tant de héros je n’ose me placer ; Mais il
pens pas de ce zèle sincère : Madame, c’est un fils qui succède à son
père
. En adoptant Néron, Claudius par son choix De son
ui, se découvrant au glorieux et à Lisette, a montré qu’il était leur
père
, Acte IV, scène VI. Lycandre, le comte, Pa
el est le téméraire, Quel est l’audacieux qui m’ose789…Ah ! c’est mon
père
! LYCANDRE. L’accueil est très touchant ; j’en su
loigner de moi ? LE COMTE. Aux regards d’un valet dois-je exposer mon
père
? LYCANDRE. Vous craignez bien plutôt d’exposer m
je me suis trompé, croyant qu’un inconnu Vous corrigerait mieux qu’un
père
misérable Qu’à vos yeux la fortune a rendu mépris
ez honneur de bannir tout mystère, Et de me reconnaître en qualité de
père
, Dans cette maison-ci. Voyons si vous l’osez. LE
la demande. LYCANDRE. J’entends : la vanité me déclare à genoux Qu’un
père
infortuné n’est pas digne de vous791. Oui, oui, j
tune, qui n’existe que dans son imagination. Il vient de dire que son
père
, retenu par la goutte, ne peut être présent au ma
Je bénis ma misère, Puisqu’elle t’humilie et qu’elle venge un
père
. Ah ! bien loin de rougir, adoucis mes malheurs.
est, ne vous méconnaît plus. Oui, je suis votre fils et vous êtes mon
père
. Rendez votre tendresse à ce retour sincère796. (
Par ce qu’il vient de faire Je jugerais, morbleu ! que vous êtes son
père
. LYCANDRE relève le comte et l’embrasse. En sonda
e vous jure Par vous, par ce cher fils, par vos divins aïeux, Que mon
père
en mes mains mit ce don précieux. MÉROPE. Qui, to
ïeux, Que mon père en mes mains mit ce don précieux. MÉROPE. Qui, ton
père
? en Élide ? En quel trouble il me jette ! Son no
Ô mon
père
! MÉROPE. Son père ! ÉGISTHE, à Narbas.
Ô mon père ! MÉROPE. Son
père
! ÉGISTHE, à Narbas. Hélas ! q
oux mon crime involontaire. Cruel, vous qui vouliez lui tenir lieu de
père
, Qui deviez protéger ses jours infortunés, Le voi
es jours infortunés, Le voilà devant vous, et vous l’assassinez ! Son
père
est mort, hélas ! par un crime funeste ; Sauvez l
Ô reine ! levez-vous, Et daignez me prouver que Cresphonte est mon
père
, En cessant d’avilir et sa veuve et ma mère. Je s
ure encore, Égisthe est votre roi. Il a puni le crime, il a vengé son
père
. Celui que vous voyez traîné sur la poussière, C’
méconnaître une mère ? Un fils qu’elle défend ? un fils qui venge un
père
? Un roi vengeur du crime ? MÉROPE.
mère d’origine grecque et qui naquit à Constantinople, en 1762, d’un
père
qui y représentait la France comme consul, lit d’
Vivre comme jadis, aux champs de Babylone, Ont vécu, nous dit-on, ces
pères
des humains, Dont le nom aux autels remplit nos f
connue sous le nom de Princesse palatine. 73. Arnauld d’Andilly, le
père
de M. de Pomponne : il avait quitté le monde à ci
terie, et tue M. de Turenne : le fils de Saint-Hilaire se jette à son
père
, et se met à crier et à pleurer. Taisez-vous, mon
re tous les jours M. de Turenne ; vous n’avez que lui de parent et de
père
; baisez les pas par où il passe, et faites-vous
fils ainé du premier président, l’un de ces magistrats qui, comme son
père
, furent l’honneur de nos anciens parlements. Adre
parle la nature. Le méchant goût du siècle en cela me fait pour : Nos
pères
tout grossiers l’avaient beaucoup meilleur… 3
référer le pays à ses enfants, il joint cependant la sensibilité d’un
père
. 487. Pour a flétri sa gloire : cette transposi
montrer plus attentifs à maintenir leurs privilèges. 488. À Rome le
père
de famille était magistrat, et avait sur ses enfa
même n’affranchissait pas le fils de l’obéissance qu’il devait à son
père
. « Le sentiment de cette toute-puissance, observe
na, le petit-fils de Pompée et l’amant d’Émilie, sa complice, dont le
père
avait été l’une des victimes d’Octave dans les pr
Morceaux choisis de la classe de rhétorique. 692. De même Sénèque le
père
, parlant du rhéteur Albutius, Controv., préf. du
titulée les Larmes de Racine. 701. Louis Racine nous apprend que son
père
« se félicitait de ces quatre stances, qui contie
oin. Agrippine, veuve de Claude, était sœur de Caligula : et quant au
père
de cette princesse, Germanicus, il avait été décl
pouvaient paraître injustes à l’égard de celui qui, rougissant de son
père
, honnête artisan, ne sut pas, comme Horace son ma
nie, acte III, sc. v : … Vous êtes en ces lieux Son
père
, son époux, son asile, ses dieux. 765. Nesc
mandée à genoux ; ce droit de cacher sa naissance et de désavouer son
père
, imploré de son père lui-même ; tant d’orgueil po
droit de cacher sa naissance et de désavouer son père, imploré de son
père
lui-même ; tant d’orgueil pour le dehors, tant de
eux conçu dans le Glorieux, dit La Harpe, c’est de lui avoir donné un
père
dont la pauvreté désole son faste : de, là cette
gré à l’auteur de ne pas le changer en fils sacrilège, maudit par son
père
: autrement la comédie finirait par une scène de
i ne lui semble pas trop romanesque. On est bien aise, dit-il, que le
père
, rétabli dans ses biens, l’apprenne à son fils, q
d’Andromaque, parlant de son fils, I, 4 : Il m’aurait tenu lieu d’un
père
et d’un époux. 834. Cette narration, dit La
. Prends soin, après ma mort, de la triste Aricie….. Cher ami, si mon
père
, un jour désabusé, Plaint le malheur d'un fils fa
des dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l'œil même de son
père
. (Racine.) La confirmation ou preuve, doit prouv
ès de son berceau. Tendre arbrisseau menacé par l'orage, Privé d'un
père
, où sera ton appui ? A ta faiblesse il ne reste a
iez-vous qu'il fit contre trois ? dit Julie. Qu'il mourût ! répond ce
père
indigné. De la période. La période est une
, en éclats, semble fondre sur moi, L'enfer s'ouvre….. O Laïus, ô mon
père
, est-ce toi ? Je vois, je reconnais la blessure m
e ainsi à Néoptolème : O mon fils, je te conjure par les mânes de ton
père
, par ta mère, par tout ce que tu as de plus cher
s côtés ruisselant dans Paris ; Le fils assassiné sur le corps de son
père
, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère. (V
malheureux ? Ton fils ! Ce fils que Rome craint ! qui peut venger son
père
! Pourquoi répandre un sang qui m'est si nécessai
œur et le frère, Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son
père
. (Racine.) 7° La disjonction retranche les part
ctif déterminatif avant son substantif, comme dans cette phrase : Son
père
et sa mère ; et chaque substantif avant ou après
oésie et le laisser-aller de la conversation permettent de dire : Ses
père
et mère ; les langues française, anglaise et espa
une fille elle est ton ennemie. Je suis bien malheureux !… C'est ton
père
, c'est moi, C'est ma seule prison qui t'a ravi ta
n pas sans y trouver ton Dieu ; Et tu n'y peux rester sans renier ton
père
, Ton honneur qui te parle et ton Dieu qui t'éclai
lait si doux ; Mais, pour ces biens, qu'il nous dispense Comme un bon
père
, il veut de nous Un cœur aimant, pur et sans tac
qu’une maison ne peut subsister sans la vigilance et l’économie d’un
père
de famille ; il croit qu’un vaisseau ne peut être
etraite Lettre au supérieur de la compagnie. Mon très-révérend
Père
, Dieu m’inspire et me presse d’avoir recours à vo
order ce que je n’ai pu, malgré tous mes efforts, obtenir du révérend
père
provincial2 Il y a cinquante-deux ans que je vis
son autorité, Éleva jusqu’au ciel sa générosité, Et nomma sans rougir
père
de la patrie, Celui qui l’égorgeait chaque jour d
connaît plus d’ennemis ni sur terre ni sur mer ». 65. « Tous ceux,
pères
conscrits, qui ont à délibérer sur des affaires é
e pouvait leur permettre contre leurs ennemis. » Imitez leur exemple,
pères
conscrits, et prenez garde que le crime de Lentul
garçons indignement enlevés ; les enfants arrachés des bras de leurs
pères
; les mères de famille en proie à la brutalité d’
arrive aux conjurés, ils l’ont mérité d’avance ; mais pesez mûrement,
pères
conscrits, les suites de ce que vous allez résoud
dans le fourreau ? qui mettra un terme à ses ravages ? Nos ancêtres,
pères
conscrits, ne manquaient ni de prudence, ni de co
upable d’attentat contre la république et le salut commun ». 66. «
Pères
conscrits, l’aspect des dangers qui nous environn
plot, s’ils avaient conservé le moindre sentiment d’honneur. » Enfin,
pères
conscrits, s’il ne s’agissait que d’une erreur sa
hommes ! C’est un point arrêté, que tout ce que nous sommes, Issus de
pères
rois et de pères bergers1, La parque également so
point arrêté, que tout ce que nous sommes, Issus de pères rois et de
pères
bergers1, La parque également sous la tombe nous
goût de ces souvenirs mythologiques était beaucoup plus vif chez nos
pères
qu’il ne l’est demeuré parmi nous. 1. Tour conci
homme de bien, attaché à tous ses devoirs jusqu’au scrupule ; que ce
père
si tendre et cet ami si dévoué reçut de la nature
e la querelle sur les anciens et les modernes. Docile aux avis de son
père
, Jean-Baptiste Racine ne fit plus un vers de sa v
pour des prodiges ; on aurait presque défini le grand poëte : un bon
père
de famille qui fait de beaux vers. » (Études litt
occupations des hommes : « Le frère dresse des embûches au frère ; le
père
est séparé de ses enfants, l’époux de son épouse
ics, des écoles de lubricité : notre siècle voit des horreurs que nos
pères
ne connaissaient même pas. La ville est une Niniv
qu’une maison ne peut subsister sans la vigilance et l’économie d’un
père
de famille ; il croit qu’un vaisseau ne peut être
re sacré, puisqu’il est pour nous tous celui d’un bienfaiteur et d’un
père
. Il est impossible de ne point nous sentir une af
re aimer ; il vous engage à craindre pour sa vie ; il vous montre son
père
accablé de vieillesse et alarmé des périls de ce
nant le ton d’autorité et de reproche, il lui dit : « Lâche fils d’un
père
si généreux ! menez ici une vie molle, sans honne
honneur, au milieu des femmes ; faites malgré les dieux ce que votre
père
crut indigne de lui. » Ce discours était propre à
lière, mais importante et grave, me fit presser si vivement Curion le
père
, qu’obligé de s’asseoir sans pouvoir répondre un
ist., VII, 30.) Le respect inviolable que les enfants doivent à leurs
pères
et mères, lors même qu’ils en sont traités avec d
e et honore le souvenir : une consommation de justice, du côté de son
père
; une consommation de malice, de la part des homm
les. Cicéron, défendant Roscius, injustement accusé du meurtre de son
père
, le peint comme un homme simple, de mœurs innocen
tia (Orat., c. 30). En plaidant pour Roscius, accusé d’avoir tué son
père
, il fait de longues réflexions sur le supplice de
, qui voulut bien pourtant lui pardonner le passé, à la prière de son
père
. Après le festin, Pérolla conduisit Pacuvius dans
ose en attaquant Annibal au milieu de ses gardes ; l’autre regarde le
père
, qui est résolu de se mettre entre Annibal et son
ce motif tiendra la seconde place. Le respect et la tendresse pour un
père
qu’il faudra égorger avant que d’arriver à Anniba
je t’en conjure, ne va pas commettre un crime devant les yeux de ton
père
, un crime qui retomberait sur toi ! » 1er motif,
crifices ; 2º les droits sacrés de l’hospitalité ; 3º l’autorité d’un
père
sur son fils94. « Il n’y a qu’un moment que nous
o, pour l’hospitalité ; pietas, pour le respect qu’un fils doit à son
père
. La dernière pensée est fort belle, et conduit na
es regards font trembler, et un faible assassin, tu ! IIIe motif. Son
père
qu’il faudra percer avant d’arriver à Annibal97.
river à Annibal97. « Mais que tout l’abandonne, oseras-tu immoler ton
père
? frapperas-tu ce sein dont je veux lui faire un
ici quelques pensées : Pourras-tu tremper tes mains dans le sang d’un
père
? arracher la vie à celui de qui tu l’as reçue, e
98. Pacuvius termine par de courtes prières, qui, dans la bouche d’un
père
, sont plus fortes que les meilleurs motifs ; cett
ges ? Que répondrai-je à mes enfants qui te regardent comme un second
père
? Ô Quintus ! ô mon frère ! absent aujourd’hui, a
t le vieux roi de la Troade privé des honneurs de la sépulture : « Ce
père
de tant de rois n’a point de tombeau ; et le feu
la délicatesse dans ce vers de Racine. Quand Iphigénie a entendu son
père
lui défendre de revoir Achille, elle s’écrie (Act
, écrivait à Fénelon : Monseigneur, vous avez pour moi des boyaux de
père
. Il voulait dire des entrailles. Thésée à son fi
ère, Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son
père
! la répétition de la conjonction et semble mult
riche : lui a-t-on laissé un ample patrimoine ? Tous les biens de son
père
ont été vendus. Lui est-il survenu quelque hérita
appelle sage, que la patrie est plus vénérable encore qu’une mère, un
père
, et tous les aïeux ; plus auguste, plus sacrée, e
ueux, plus soumis, plus humble devant la patrie irritée que devant un
père
en courroux ; qu’il faut, ou la fléchir, ou souff
te laisse la justice ; mais que si la révolte est sacrilège envers un
père
ou une mère, elle l’est encore plus envers la pat
la femme qui s’efforçait de l’attendrir par ses larmes ; et comme le
père
de famille allait proférer encore quelques mots q
dit à Néoptolème : « Ô mon fils ! je te conjure par les mânes de ton
père
, par ta mère, par tout ce que tu as de plus cher
us côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son
père
, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère ; L
jeune chevalier répétait le chant de Roland que lui avait appris son
père
, et le vieillard, cherchant dans ses souvenirs, r
ux. Mais ces expéditions lointaines faisaient-elles le bonheur de vos
pères
? Pourquoi soutenir, au prix du sang, des prétent
ay nous représentent assez fidèlement la rudesse et la naïveté de nos
pères
. On peut citer un ou deux morceaux de Saint-Réal,
suspendez un moment vos cantiques sacrés, écoutez les malheurs de vos
pères
: les souvenirs de la captivité ont quelque douce
que le voyageur se baissera pour te reconnaître ! Et toi, Dieu de nos
pères
, tu as promis à Abraham une postérité plus nombre
l ! Sion, tressaille de joie sous tes ruines. Celui qui conduisit nos
pères
au milieu des flots de la mer Rouge suspendus, ce
urnaient les yeux, et jetaient un dernier regard sur le toit de leurs
pères
! Ils entendaient au loin le fracas de leurs temp
le de Salomon. Nous irons donc pleurer encore sur les tombeaux de nos
pères
; nous entendrons aux rives du Jourdain le son de
ent qu’avec terreur le courage que vous inspirent les tombeaux de vos
pères
. Ô Scythes, sacrifiez toujours à Mars et à son gl
us n’avez pas vu Carus Métius accuser les enfants d’avoir pleuré leur
père
; vous n’avez pas vu traîner à la mort Sénécion,
ntonin, de Marc-Aurèle, et surtout de Constantin, qui est aussi notre
père
; » nous n’irons plus visiter les tombeaux de nos
r cendre. Hélas ! il nous faudra aussi abandonner les tombeaux de nos
pères
! Ô sénateurs ! si vous nous enlevez le patriotis
jamais nous écoutions le funeste projet de déchirer l’héritage de nos
pères
, Rome dépouillée de ses droits, n’aurait plus que
j’entrerai dans leur ville, que le sang n’aura pas souillée, mais en
père
. C’est un bon exemple que je donnerai à la postér
per gramina ». (Deut. c. 32. v. 2). Quand la tendre sollicitude d’un
père
et ses soins multipliés pour ses enfants ont-ils
es Sur eux prêtes à s’écraser. …………………………… 139Fils éternel comme ton
père
, Je t’engendrai pour les humains. Dépositaire de
s, Tu seras le butin du vorace corbeau. Non, tu ne joindras point tes
pères
au tombeau : Ta cendre outragerait tes pè
indras point tes pères au tombeau : Ta cendre outragerait tes
pères
. (Roucher). Quel mouvement ! quelle variété, que
Sifflera le vent du désert. Braves guerriers, où sont vos
pères
? Dans les combats ces astres ont brillé ;
des tyrans s’est rendue au courage des condamnés. La patience de nos
pères
a lassé toutes les mains, toutes les machines21,
cun doive suivre52. Reconnaissance53 5 juin 1637. Mon Révérend
Père
, Je juge bien que vous n’aurez pas retenu les nom
ourdain. Voilà pas le coup de langue233 ? m adame Jourdain. Et votre
père
n’était-il pas marchand aussi bien que le mien ?
Jourdain. Peste soit de la femme ! elle n’y a jamais manqué. Si votre
père
a été marchand, tant pis pour lui ; mais, pour le
ar j’ai toutes les envies du monde d’être savant, et j’enrage que mon
père
et ma mère ne m’aient pas fait bien étudier dans
vre de dessous ; FA. m. Jourdain. FA, FA. C’est la vérité ! Ah ! mon
père
et ma mère, que je vous veux de mal255 ! l e maî
amille où l’intelligence s’alliait à la vertu, élevé librement par un
père
qui fut un homme supérieur, Blaise Pascal manifes
r la promesse que Jésus-Christ nous fait, qu’il confessera devant son
père
ceux qui l’auront confessé en ce monde378. La
, de sorte qu’il n’y en a pas un seul qui ne doive le chérir comme un
père
: c’est ce qui me ravit, chrétiens ; c’est en quo
e, camper hiver et été, obéir sans résistance, mourir ou vaincre. Les
pères
qui n’élevaient pas leurs enfants dans ces maxime
gnalèrent entre les autres à citer les plus beaux endroits des saints
Pères
à la louange des grands jours, et firent voir que
qu’une maison ne peut subsister sans la vigilance et l’économie d’un
père
de famille ; il croit qu’un vaisseau ne peut être
etraite Lettre au supérieur de la compagnie Mon très-révérend
Père
, Dieu m’inspire et me presse d’avoir recours à vo
order ce que je n’ai pu, malgré tous mes efforts, obtenir du révérend
père
provincial664. Il y a cinquante-deux ans que je v
. Songez, mon cher frère, au voyage d’Amérique, aux malheurs de notre
père
, aux malheurs de notre enfance, à ceux de notre j
Vilette pense à marier sa fille ; les petits de Murçay croissent ; le
père
prétend à tout ce qui vaque ; madame de Sainte-He
fut un homme de bien, attaché à tous ses devoirs jusqu’au scrupule ;
père
tendre et ami dévoué, il reçut de la nature une i
ce que je vous dis comme une réprimande721, mais comme les avis d’un
père
qui vous aime tendrement, et qui ne songe qu’à vo
ont de tous les temps, et d’une vogue ancienne et populaire ; que nos
pères
ont estimées, et que nous estimons après nos père
opulaire ; que nos pères ont estimées, et que nous estimons après nos
pères
; à qui le dégoût ou l’antipathie de quelques-uns
e votre autorité et votre gloire. Si le roi, dit-on, avait un cœur de
père
pour ses peuples, ne mettrait-il pas plutôt sa gl
patience899 … A quel propos disons-nous tous les jours : « Notre
père
qui êtes aux cieux, » si nous ne voulons pas être
-vous avec moi, vous qui savez combien je vous aime ? Oh ! combien le
Père
céleste est-il plus père, plus compatissant, plus
savez combien je vous aime ? Oh ! combien le Père céleste est-il plus
père
, plus compatissant, plus bienfaisant, plus aimant
, opérèrent de soudaines conversions, et le roi disait de lui : « Mon
père
, j’ai entendu plusieurs grands orateurs, j’en ai
tant de travaux, et saluant enfin de loin cette patrie promise à ses
pères
, il chante un cantique d’actions de grâces, meurt
souvent ; tantôt c’était à ma santé, et tantôt c’était à celle de mon
père
et de ma mère955, dont il ne pouvait assez vanter
sut mieux profiter des instructions qu’elle avait reçues. Son habile
père
, qui connaissait à fond notre cour, la lui avait
in qui s’y était trouvé lorsqu’elle fut bâtie. Jamais Charnecé et son
père
n’avait pu réduire990 ce paysan à la leur vendre,
paternelle Les plus sages législateurs ont pris soin de donner aux
pères
une grande autorité sur leurs enfants. Rien ne so
de récompenses et de punitions, les familles sont mieux réglées ; les
pères
sont l’image du Créateur de l’univers1072, qui, b
e à M. le marquis 1085 de la Jeannotière : c’était un ordre de M. son
père
de faire revenir M.1086 son fils à Paris. Jeannot
s lecteurs qui aiment à s’instruire doivent savoir1088 que M. Jeannot
père
avait acquis assez rapidement des biens immenses
coquins, allez vite1094. » Il y courut ; il arriva à la maison : son
père
était déjà emprisonné1095 ; tous les domestiques
eux qu’il avait vus venir le plus familièrement dans la maison de son
père
; ils le reçurent tous avec une politesse étudiée
’avait pas encore étouffé : il sentit qu’il ne pouvait abandonner son
père
et sa mère. « Nous aurons soin de ta mère, dit Co
« Nous aurons soin de ta mère, dit Colin, et, quant à ton bonhomme de
père
qui est en prison, j’entends un peu les affaires,
t de même humeur que le frère, le rendit très-heureux : et Jeannot le
père
, et Jeannote la mère, et Jeannot le fils, virent
e la plus ancienne famille de Genève ; ils se font tuer pour nous, de
père
en fils, depuis Henri IV. L’oncle de celui-ci a é
ez que j’ai toujours été assis à table vis-à-vis d’un portrait de mon
père
, qui est mal peint, mais qui ressemble assez ; qu
ils ne connaissaient ni pitié, ni miséricorde ; ils auraient sacrifié
père
et mère, et l’univers entier, au moindre de leurs
ouleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent, et saluent de concert le
père
de la vie : en ce moment, pas un seul ne se tait.
r trait Jésus-Christ : la ressemblance est si frappante, que tous les
Pères
l’ont sentie, et qu’il n’est pas possible de s’y
s ceux qui chérissent l’honneur des lettres ! restaurateurs des arts,
pères
de l’éloquence, lumières de l’esprit humain, que
entra dans le port, et qu’ils virent sur les quais, leurs amis, leurs
pères
, leurs mères, leurs enfants, qui leur tendaient l
impunément qu’il parut sur la scène, obéré de dettes, maudit par son
père
, voué à une sorte de réprobation qui l’empêcha de
us cette grâce, il faudrait, s’il était possible, réparer ; mais, mon
père
, le puis-je dans la situation où je suis ? et m’ô
re cœur, et de remplir les devoirs qu’elle m’impose envers vous ? Mon
père
, je suis loin de vouloir m’excuser ; je vous écri
tie dans le funeste procès qui a divisé et mutilé ma famille1480. Mon
père
, vous dites et vous croyez que suis un fou. Si je
ndrait votre vue et mon existence l’enchaînerait à jamais à vous. Mon
père
, vous ne me croyez pas méchant ; si je l’étais, j
incérité de cet aveu et de ces résolutions. Consultez votre cœur, mon
père
, et daignez, oh ! daignez me dire s’il vous dicte
ré de toi. C’est la tendresse multipliée par la compassion1500. Un
père
a sa fille Sans doute, ma très-chère enfant, t
st venu se perdre le sien, indique moins le ministre du temple que le
père
laborieux du troupeau. Il sort de sa retraite, bâ
nneur : c’est la seule consolation qui puisse adoucir la douleur d’un
père
. Nous sommes tous dévoués à la mort. Quelques jou
dis sur l’escalier quelqu’un, et, par la fente de la porte, je vis le
père
, sa lampe dans une main, dans l’autre un de ses g
re premier besoin, et prier Dieu, c’est commencer à posséder Dieu, Le
père
connaît les besoins de son fils : faut-il à cause
ils n’ait jamais une parole de demande et d’action de grâces pour son
père
? Quand les animaux souffrent, quand ils craignen
ère. Cependant d’autres femmes souliotes combattaient à côté de leurs
pères
et de leurs maris. La nuit fit cesser le carnage.
rcées de s’enfuir sans vêtements, et couraient çà et là, cherchant un
père
, un mari, des enfants. Les uns attendaient leur s
n de durable et d’immobile ; que nos cœurs soient le foyer1770 de nos
pères
! Prosper Mérimée Né en 1803. Dans un temp
Orso ne peut faire un pas, sans être poursuivi par le fantôme de son
père
qui crie vengeance. Il est la proie d’une obsessi
» Un grand jeune homme, fils de Pietri, serrant la main froide de son
père
, s’écria : « Oh ! pourquoi n’es-tu pas mort de la
en ce moment dans l’âme d’Orso ; mais la présence de l’ennemi de son
père
lui causa une espèce d’horreur, et, plus que jama
aré à comparaître — devant le Tout-Puissant. — L’orpheline pleure son
père
, — surpris par de lâches assassins, — frappé par
ère, — surpris par de lâches assassins, — frappé par derrière ; — son
père
dont le sang est rouge — sous l’amas de feuilles
u’elles portaient dans leurs mains1821, l’ont regardé, ce visage d’un
père
, à travers leurs pleurs ; les principales, en le
’une lettre an cardinal de la Valette, si dévoué à Richelieu, que son
père
, le duc d’Épernon, l’appela le cardinal Valeto (v
importun. 56. Il parle comme s’il était encore un élève du révérend
père
. 57. Cependant veut dire pendant ce temps, int
le père Tournemine, décembre 1738 : « Mon très-cher et très-révérend
père
, est-il vrai que ma Mérope vous ait plu ? Y avez-
pectueuse tendresse pour mes maîtres est la même. Adieu, mon révérend
père
; je suis pour toute ma vie, etc. » 59. Desca
it d’aise, en lisant ces gentillesses. 98. Voiture a été proclamé le
père
de l’ingénieuse badinerie, et personne n’a plaisa
autre source que de... 233. M. Jourdain rougit d’être le fils de son
père
. 234. . Nicole est la servante, qui glisse son
une leçon de philosophie pratique. 243. Il a tort d’en vouloir à son
père
et à sa mère ; mais il a raison de regretter son
s les raffinements. 266. C’est la nature prise sur le fait. Tous les
pères
lui ressemblent. 267. C’est-à-dire un peu benêt.
i voit cette tombe. 345. Admire, vois avec étonnement. 346. Un tel
père
méritait un tel fils. 347. En peine de, c’est-à
bourgeois, et a oublié Bussy, ou à peu près. 408. Arnauld d’Andilly,
père
du marquis de Pomponne qui devint ministre des af
ue il aurait pu rappeler des paroles de la Bible, des Apôtres, ou des
Pères
, mais c’eût été ici un manque de tact, M. de Mont
ames de la maison de Saint-Cyr, 699. Louvois, ministre de la guerre,
père
du marquis de Barbezieux dont il est question ici
à l’autorité du conseil. 723. Il a peur d’une rechute. 724. Ici le
père
est comme un médecin plein d’affection pour son c
nt pour un prodige ! On pouvait alors définir un grand poëte : Un bon
père
de famille qui fait de beaux vers. 727. On dit p
e Sémélé, fille de Cadmus et d’Harmonia. 865. Silène, vieux satyre,
père
nourricier et compagnon de Bacchus. 866. Oracle
ulut mener tout seul, avant sa majorité, l’attelage redoutable de son
père
, et ne fut célèbre que par son naufrage. 1041. C
i une bien belle lettre de Ducis inspirée par la piété filiale : Mon
père
était un homme rare et digne du temps des patriar
es maîtresses formes. Aussi, je remercie Dieu de m’avoir donné un tel
père
. Il n’y a pas de jour où je ne pense à lui, et, q
e moi-même, il m’arrive quelque fois de lui dire : Es-tu content, mon
père
? Il me semble alors qu’un signe de sa tête vénér
vers de madame Tastu : Pour vivre longtemps sur la terre, Honore ton
père
et ta mère ; C’est ce que votre loi, Seigneur, co
C’est ce que votre loi, Seigneur, commande à tous, Pour respecter son
père
à l’égal de vous-même, Pour aimer tendrement la m
ce serait un embarras à un personnage si considérable que d’avoir un
père
ou un aïeul comme lui qui n’avait fait que des li
ux dames, et dans les relations mondaines. 1263. Le Fils naturel, le
Père
de famille. 1264. Bien que Diderot ait eu de r
otion naïve et profonde. Comparez aux regrets d’Horace parlant de son
père
. Joubert a dit : « Il est une classe de la sociét
ient son affection, étonnaient son intelligence. Ayant accompagné son
père
dans un petit voyage à Rouen, celui-ci s’arrêta d
t pour admirer le voi des hirondelles qui y faisaient leurs nids. Son
père
, qui le voyait dans une espèce d’extase, l’attrib
Bon Dieu ! qu’elles volent haut ! » Tout le monde se mit à rire, son
père
le traita d’imbécile ; mais toute sa vie il fut c
t me rendre à la fois la jouissance de ma vie entière. » 1477. Son
père
l’avait fait enfermer à Vincennes, pour le punir
le; il obéira à la moindre inflexion de votre main ou de celle de mon
père
. Ecrivez- moi, mon oncle, daignez m’écrire, et di
, que la mort n’est pas le plus grand de tous. « Votre affectionné
père
. » Rapprochons de ces lettres celle qu’on simple
re. 1756. Ces mots font allusion aux écoles philosophiques de Zénon,
père
du stoïcisme, et de Platon, qui enseignait dans l
vu tant de révolutions ! 1770. Il veut dire : Que la mémoire de nos
pères
, que leur culte, la tradition de leurs vertus viv
iebat opus. Ov., Met., VIII, 13. « Le jeune Icare était auprès de son
père
, et ne se doutant point que ce qu’il avait dans l
son pouce, et, par ces jeux, il retardait l’ouvrage admirable de son
père
. » Ignarus sua se tractare pericla, — ore renid
orte raison, dans la circonstance présente, être debout à côté de son
père
; puis cette alternative d’amusements si bien exp
aules de son fils. Il s’agit ici de peindre l’inquiétude de ce tendre
père
, qui redoute que cet instrument de salut ne devie
sont ces expressions patriœ manus. Si Dédale tremble, c’est qu’il est
père
, et qu’il craint pour la vie de son fils52. Nous
es mots patriœ cecidêre manus ! Il semble voir les mains de ce tendre
père
qui s’élèvent pour commencer cette touchante pein
aussitôt ; et pourquoi ? parce que ces mains sont mues par un cœur de
père
, et que la douleur les a rendues impuissantes. so
trui est une charité pour nous. Ils eurent bientôt la consolation des
pères
vertueux, qui est d’avoir des enfants qui leur re
ils n’étaient au pied des autels que pour demander la santé de leurs
pères
, l’union de leurs frères, l’amour et l’obéissance
nouvelle s’était emparée de leur cœur : l’un voulait mourir pour son
père
, un autre pour sa femme et ses enfants, celui-ci
sauriez subsister, et vous tomberiez dans le malheur de vos premiers
pères
. Mais ce joug vous paraît trop dur : vous aimez m
nus, suivant la fable, et d’Anchise, qui étoit fils de Capys, dont le
père
étoit Assaracus, frère d’Ilus, roi de Troie. Enée
ir vaillamment combattu pour la défendre. Portant sur ses épaules son
père
, qui s’étoit chargé de ses dieux Pénates ; tenant
ignalé par la prise et la ruine de Jérusalem, lorsqu’il succéda à son
père
. Ses mœurs avoient été jusqu’alors peu réglées. M
s sujets toute la sollicitude d’un prince, et toute la tendresse d’un
père
. Ce furent l’embrasement de plusieurs villes de l
Jourdain. Voilà pas le coup de langue5 ? Madame Jourdain. Et votre
père
n’était-il pas marchand aussi bien que le mien ?
Jourdain. Peste soit de la femme ! elle n’y a jamais manqué. Si votre
père
a été marchand, tant pis pour lui ; mais, pour le
ons de même farine. (Acte II, scène vi, le Malade imaginaire.) Un
père
fait la leçon à son fils Don Louis. Je vois
, d’autre source que de… 5. M. Jourdain rougit d’être le fils de son
père
.. 1. Nicole est la servante, qui glisse son mot
ous les raffinements. 1. C’est la nature prise sur le fait. Tous les
pères
lui ressemblent. 2. C’est-à-dire un peu benêt.
, opérèrent de soudaines conversions, et le roi disait de lui : « Mon
père
, j’ai entendu plusieurs grands orateurs, j’en ai
nt à l’autel des victimes qui vont s’y immoler à la cupidité de leurs
pères
plutôt qu’à la grandeur du Dieu qu’on y adore ; i
et nos soutiens ; semblables au prodigue de l’Évangile, en forçant le
père
de famille de laisser à notre disposition et à no
M. Perier, son beau frère, au sujet de la mort d’Étienne Pascal, son
père
. (17 octobre 1651.) 1. Massillon semble né pour
aborieuse de Rousseau qui a servi de modèle à M. de Chateaubriand, le
père
de la littérature contemporaine. Nous n’avons pas
croyais qu’Iphigénie est en effet sur le point d’être immolée par son
père
à vingt pas de moi, je sortirais de la salle en f
r parfaitement sage et bon. L’homme n’est point un orphelin : il a un
père
dans le ciel. Que fera ce père de son enfant quan
omme n’est point un orphelin : il a un père dans le ciel. Que fera ce
père
de son enfant quand celui-ci lui reviendra ? Rien
rien de durable et d’immobile. Que nos cœurs soient le foyer1 de nos
pères
! L’enfance du général drouot Général de
, et sollicitent son génie ou son cœur. Il lit dans l’histoire de ses
pères
l’exemple de ceux qui ont honoré un grand patrimo
e a vu tant de révolutions ! 1. Il veut dire : Que la mémoire de nos
pères
, que leur culte, la tradition de leurs vertus viv
aux terres étrangères ? » Répondaient-ils en pleurs. Ô berceau de nos
pères
! » Ô ma chère Sion ! si tu n’es pas toujours » E
Moab vont fixer leur séjour. Bientôt de Noémi les fils n’ont plus de
père
: Chacun d’eux prit pour femme une jeune étrangèr
retroussés ; Les rubis sur leurs doigts dans l’or sont enchâssés ; Le
père
en ses atours ne connaît plus sa fille, Et sur de
ttends d’un cœur ferme. » Je suis pécheur ; mais Dieu, s’il juge, est
père
aussi, » Et je sais qu’aisément un père est adouc
r ; mais Dieu, s’il juge, est père aussi, » Et je sais qu’aisément un
père
est adouci. » Mais quoiqu’il me fût doux d’exerce
re : Si vous ne remettez pas les offenses commises contre vous, votre
père
céleste ne vous remettra pas les vôtres. Représen
re : Si vous ne remettez pas les offenses commises contre vous, votre
père
céleste ne vous remettra pas les vôtres. » Prin
l les princes de la terre ne sont plus que de faibles mortels. Votre
père
céleste. Le séjour de l’Éternel est dans les cieu
est dans les cieux ; c’est pour cela que les hommes l’appellent leur
père
céleste. « Représentez-vous ce jour terrible, da
me ! Que répondrai-je à mes enfants, qui te regardent comme un second
père
? Ô Quintus ! ô mon frère ! absent aujourd’hui, a
e ne point entreprendre, de ne point commettre sous les yeux de votre
père
, une action également criminelle en elle-même, et
ai-je à ta fille, ainsi qu’à ton épouse, de révérer la mémoire de son
père
, d’un époux, en méditant sans cesse ses actions e
rte qu’ils ont faite, et non pas aux blessures qu’ils ont reçues. Les
pères
mourants envoient leurs fils pleurer sur leur gén
sa récolte ; l’autre, qui jouit encore en repos de l’héritage de ses
pères
, souhaite une éternelle paix à celui qui l’a sauv
ur et le frère ; Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son
père
. 3° La disjonction, qui supprime les particules
côtés ruisselant dans Paris, « Le fils assassiné sur le corps de son
père
, « Le frère avec la sœur, la fille avec la mère ;
» « Que répondrai-je à mes enfants qui te regardent comme un second
père
? Ô Quintus ! ô mon frère ! absent aujourd’hui, a
« Prends soin, après ma mort, de la triste Aricie. « Cher ami, si mon
père
un jour désabusé « Plaint le malheur d’un fils fa
des dieux triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l’œil même de son
père
. Racine. Phèdre. Combat de Turenne et de d’A
a suivi le parti que vous suiviez vous-même, et que votre respectable
père
avait embrassé comme vous. Il est donc nécessaire
our son pays, comme un Judas le Machabée ; l’armée le pleure comme un
père
, et la cour et tout le peuple gémit ; sa piété es
é, A vengé mes parents sur ma postérité. J’aurais vu massacrer et mon
père
et mon frère, Du haut de son palais précipiter ma
Antoine de Baïf quand Ronsard était secrétaire de Lazare de Baïf, son
père
, puis précepteur des pages du roi ; — Du Bellay,
re Larivey (1540-1611), Italien francisé, Florentin d’origine par son
père
, Champenois et Troyen de naissance, imitateur de
t printemps, jour et séjour, mettre et promettre, défense et offense,
père
et mère, toi et moi, chair et cher, puissance et
ouis XIV une assez glorieuse lignée. Son histoire, comme celle de son
père
, appartient au xviie siècle. Clément Marot (
an Marot, qui y était, venu de Caen, sa patrie. Il suivit à Paris son
père
, devenu secrétaire d’Anne de Bretagne et poète de
onner les habitués du Jeu de paume appelé « tripot Régnier », que son
père
, bourgeois de Chartres, avisé et gai vivant, avai
cé », comme jadis Ronsard, et menacé des « verges » (Sat. IV) par son
père
qui lui demandait d’être abbé renté comme son onc
près le manifeste de l’école qu’il devait combattre et remplacer. Son
père
ayant embrassé le calvinisme, il en conçut un tel
stant devant moy, vous estes devant eux765. (Ibid., IV, 5.) Un
père
[I] Les conseils du vieux Silène à sa fil
, de l’Équivoque). Voiture n’est en réalité, comme on l’a dit, que le
père
de l’ingénieuse badinerie. Mais, « dans sa manie
Corneille, qui, plus âgé que lui, reçut ses conseils et l’appela son
père
: tous deux faisaient, avec l’Étoile, G. Colletet
ndamnation Venceslas, Ladislas. LADISLAS. M’annoncez-vous, mon
père
, ou ma mort ou ma grâce ? VENCESLAS. Embrassez-mo
ndant Rodogune et son frère, Peut déjà de ma part les promettre à son
père
. Ils le suivront de près, et j’ai tout préparé Po
isant mon roi, c’est trop me négliger Que te laisser sur moi frère et
père
à venger. Qui se venge à demi court lui-même à sa
ns je nomme mes exploits ; Ma valeur est ma race, et mon bras est mon
père
. D. LOPE. Vous le voyez, madame, et la preuve en
n’ont rien qui dégénère, Rien qui les fasse croire enfans d’un autre
père
; Ce sont des malheureux étouffés au berceau, Qu’
voir en les voyant des vaisseaux de haut bord. « Certes, dit-il, mon
père
était un pauvre sire ! Il n’osoit voyager, craint
toit un grand qui parlât933. (Amphitryon, II, 1). Le cœur d’un
père
Le Roi, père de Psyché, Psyché 934. LE ROI.
rd, qui a finement prouvé au poète repentant qu’il avait calomnié son
père
. On ne chicanera pas cette filiation (il ne s’agi
eux dire, ce phénix dont le vol belliqueux redonna la franchise à nos
pères
, ayant trouvé en V. A. un soleil propre à ranimer
uve ma retraite, et permets que je meure Dans le mesme village où mes
pères
sont morts1012. J’ai fréquenté la cour où ton co
us lui l’ordre de la nature, Des élémens divers est l’unique lien, Le
père
de la vie et la source du bien. Tranquille posses
sé avec ses comédies en vers ; — Marivaux (1688-1763), fin prosateur,
père
de la comédie subtile et raffinée, est resté, ne
un goût nouveau », dit Voltaire, mais ennuyeux, dit La Harpe, où « le
père
pleure, et Saint-Albin pleure, et Sophie pleure,
nos grandeurs passagères, Il faut mêler sa cendre aux cendres de ses
pères
, Et c’est le même Dieu qui nous jugera tous1042.
même, il nous fait hanter avec lui les héros les plus sinistres : un
père
qui tue son fils (Idoménée, 1705), un oncle qui f
(Idoménée, 1705), un oncle qui fait boire le sang de son neveu à son
père
(Atrée et Thyeste, 1707), un fils qui assassine s
cher l’auteur de ma misère, Et la nature en vain me dit que c’est mon
père
. Mais c’est peut-être ici que le ciel irrité Veut
effet j’étois connu de vous. PHARASMANE. Pourquoi me le cacher ? Ah,
père
déplorable ! RHADAMISTE. Vous vous êtes toujours
vos enfans, proscrits et malheureux, N’ont pu vous regarder comme un
père
pour eux. Heureux, quand votre main vous immoloit
rds une épouse si chère, Heureux, quoiqu’en mourant, de retrouver mon
père
! Votre cœur s’attendrit ; je vois couler vos ple
Lève-toi, cher appui qu’espérait ma vieillesse ; Viens embrasser ton
père
: il t’a dû condamner ; Mais, s’il n’était Brutus
er. (À Alvarez.) Le ciel, qui veut ma mort, et qui l’a suspendue, Mon
père
, en ce moment m’amène à votre vue. Mon âme fugiti
om, s’il se peut, bénissez la mémoire. (À Alvarez.) Daignez servir de
père
à ces époux heureux : Que du ciel, par vos soins,
puisque je vois vos pleurs. Pour la dernière fois approchez-vous, mon
père
! Vivez longtemps heureux ; qu’Alzire vous soit c
deur à la porte1119. (Le Glorieux, II. 14). Le glorieux et son
père
Le Comte, Lycandre 1120. LYCANDRE. Allons
la demande. LYCANDRE. J’entends : la vanité me déclare à genoux Qu’un
père
infortuné n’est pas digne de vous1123 ! Oui, oui,
J’ai ri : me voilà désarmé. DAMIS. Et vous, un
père
… M. BALIVEAU, l’interrompant. Eh ! oui, bourreau
) Notice Jean-François Ducis, né à Versailles, était, par son
père
, de race savoisienne. Il a une physionomie très p
eure et sa gloire avec lui ! Mais à mon cœur calmé le Seigneur dit en
père
: Leur haine sera ton appui. À tes plus chers am
ent pris, « N’eussiez armé pour moi les pierres et les cris. « — Mon
père
, il est donc vrai : tout est devenu pire ? « Car
lieu sortîmes-nous ? « — Sicos est l’île heureuse où nous vivons, mon
père
. « — Salut, belle Sicos, deux fois hospitalière
sur ses bords heureux je suis déjà venu ; « Amis, je la connais. Vos
pères
m’ont connu : « Ils croissaient comme vous ; mes
, trop longtemps captive sous la glace, Lève ses tristes yeux vers le
père
des Mois, Et, frissonnante encor, remplit l’air d
triche (1835) de C. Delavigne, — comédie historique avec cet A. Dumas
père
qui s’est fait goûter partout ; thèse morale dans
aret et Figaro ; elle ne rit plus guère avec la Question d’argent, le
Père
prodigue, Maître Guérin, etc. ; et la physionomie
Élégie Hélas ! après dix ans je revois la journée Où l’âme de mon
père
aux deux est retournée. L’heure sonne, j’écoute…
regrets ! ô douleurs ! Quand cette heure eut sonné je n’avais plus de
père
. On retenait mes pas loin du lit funéraire ; On m
ontait ma perte. Quand la nuit dans les airs jeta son crêpe noir, Mon
père
à ses côtés ne me fit plus asseoir, Et j attendis
ns ne l’ont pas adouci ; Je ne puis voir un fils dans les bras de son
père
, Sans dire en soupirant : « J’avais un père aussi
fils dans les bras de son père, Sans dire en soupirant : « J’avais un
père
aussi. » Son image est toujours présente à ma ten
à ma tendresse. Ah ! quand la pâle automne aura jauni nos bois, Ô mon
père
! je veux promener ma tristesse Aux lieux où je t
urire était bien doux, D’un fils Dieu le rendait père1297, Le rendait
père
. — Quel beau jour pour vous, grand’mère ! Quel be
dans le lieu par sa race habité ; Je ne réclame pas le château de mes
pères
. Non, mais de ma jeunesse et de mes jours prospèr
par droit de misère ! Ah ! si dans mes tourments vous descendiez, mon
père
, Je vous arracherais des larmes de pitié ! Les an
tre. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon
père
et me crains dans mon fils. Je n’ai pas un ami :
cloches suspendues, Les sons entrecoupés du nocturne angélus, Que le
père
et l’enfant écoutent les fronts nus, Et le sourd
llé qu’on puisse tout ensemble Être si grand et si petit ; Quand son
père
eut pour lui gagné bien des batailles ; Lorsqu’il
aimé sur terre !.. — Mais les cœurs de lion sont les vrais cœurs de
père
. Il aimait son fils, ce vainqueur ! Deux choses l
goutte de lait au bout du sein restée, Agace sa lèvre en riant ! Le
père
alors posait ses coudes sur sa chaise, Son cœur p
n complété l’ossuaire, Dix ans vous ont suffi pour filer le suaire Du
père
et de l’enfant ! Gloire, jeunesse, orgueil, bien
ous ses fils regardaient trembler l’aïeul farouche. Caïn dit à Jabel,
père
de ceux qui sont Sous des tentes de poil dans le
mme l’aurore ; Et Caïn répondit : « Je vois cet œil encore ! » Jubal,
père
de ceux qui passent dans les bourgs Soufflant dan
tre en une tour de pierre : Et lui restait lugubre et hagard. « Ô mon
père
! L’œil a-t-il disparu ? » dit en tremblant Tsill
eaux. Déjà, croyant saisir et partager leur proie, Ils courent à leur
père
avec des cris de joie. En secouant leurs becs sur
ncieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses fils ses entrailles de
père
, Dans son amour sublime il berce sa douleur, Et,
68), roman en vers, n’est plus que son cher Forez Celui du Livre d’un
Père
(1876) est le foyer domestique. Partout et toujou
ferme À ne le pas risquer en en pressant le terme. VALÈRE. Ainsi, ton
père
mort… BRUTE. Plus tard sera vengé. VALÈRE. Tes af
ot, « bergère qui vaut tant » ; Louise de Savoie y est Loisette ; son
père
y est le bon Janot. Le tout pour aboutir à demand
e et Racine) le sens de tourment, désespoir. 112. Il s’adresse à son
père
. 113. Hélas ! je vous obéis pourtant. Ne suis-je
là un sublime d’une simplicité héroïque. C’est lui qui réconforte son
père
et demande la mort. Cela vaut l’exaltation lyriqu
Boileau (Sat., VIII) : Prends-moi le bon parti, etc. ; Épître V : Mon
père
, etc.). Le satiriste qui a sévèrenement traité Ro
plus de feu, les Discours. Voir ci-après. Cf. Régnier, Sat., IV. Son
père
lui disait « de dépit et bouffy de colere : « Ba
t l’emploi bizarre n’est pas à regretter. 341. Germanus, né du même
père
et de la même mère. 342. Je leur laisse le reste
eux de Garnier : Oed. Va, crois-moi, prends pitié de ton malheureux
père
. Ma fille, assez longtemps j’ai gémi sur la terre
Le duc d’Enghien, devenu prince de Condé en 1646, par la mort de son
père
. Il tomba malade après la victoire de Nordlingen
une ardente passion pour une jeune princesse élevée à la cour de son
père
: il la croit aimée du duc de Courlande, premier
père : il la croit aimée du duc de Courlande, premier ministre de son
père
; elle est en réalité fiancée secrètement à son f
l tue son frère, croyant frapper le ministre. Condamné à mort par son
père
, il est sauvé par la généreuse intercession du mi
t pour conserver l’autorité. Elle a deux fils jumeaux qui, après leur
père
, aiment Rodogune. Elle promet le trône à celui de
. Pendant que Molière donnait ces accents touchants à la douleur d’un
père
, le vieux Corneille en trouvait d’une tendresse d
1012. Cf. Racan, Séances à Tircis : … Que de mourir au lict où ses
pères
sont morts. 1013. On voit l’enchaînement de ce
ve sa femme, l’enlève, et poursuivi, atteint et frappé à mort par son
père
, il se fait reconnaître de lui en mourant et en l
s, sa fuite, son rôle auprès de Corbulon, le dessein qui l’amène. Son
père
, qui de tout temps a été ennemi, convoite l’Armén
pour lui demander de la soustraire aux prétentions impérieuses de son
père
en la remettant entre les mains de l’ambassadeur
dit dans le Temple du Goût : De la triste Equivoque il rougit d’être
père
, Et rit des traits manqués du pinceau faible et d
. Voici le sujet de cette tragédie. Gusman, successeur d’Alvarez, son
père
, dans le gouvernement du Pérou, a obtenu de Montè
(Sainte-Beuve, Nouv. Lundis, VII.) 1116. Le comte prétend que le
père
de celle qu’il veut épouser fasse auprès de lui l
… Elle sait mon amour, J’ai parlé ; c’est assez. PASQUIN. Son
père
est de retour. LE COMTE. C’est à lui de venir et
retour. LE COMTE. C’est à lui de venir et de m’offrir sa fille., Le
père
se présente précisément quelques instants après.
« gloire », ou la font ressortir par de plaisants contrastes : — son
père
, Lycandre, qui est pauvre ; — le père de celle qu
de plaisants contrastes : — son père, Lycandre, qui est pauvre ; — le
père
de celle qu’il recherche, Lisimon, un financier d
supplice : d’abord entre un pauvre qui « lui parle verd » (c’est son
père
) et un bourgeois (tout à l’heure son beau-père) q
nce de, tout le monde il est obligé de reconnaître un pauvre pour son
père
et une femme de chambre pour sa sœur. Le coup est
ufière est honnête homme : Oui, je suis votre fils, et vous êtes mon
père
, dit-il aux genoux de Lycandre, heureux de dire
ls proteste. — Osez me reconnaître dans cette maison même comme votre
père
. « Allons voir… » 1121. Excellent trait de cara
bon, et, malgré ma colère, Je veux encore un coup montrer un cœur de
père
… Mais si de ton côté le moindre obstacle arrive…
obstacle arrive… 1126. Lisimon entre et le comte fait passer son
père
pour son intendant. Voila comme il se corrige. Le
VI.) « J’habite avec Saint-Pacôme, écrivait-il en lisant les Vies des
Pères
du désert ; c’est un charme que de se transporter
a vie. Dans une pastorale dramatique, Alcée, du vieil Hardy, c’est le
père
de la jeune fille mourante qui lui amène le jeune
nageoire Contre une paire d’escarpins. Dans le char de monsieur son
père
, J’ai vu Phaéton, tout tremblant, Mettre en cendr
Pison, a seul encore, Tibère le sait, la confidence du dessein de son
père
: il périra. — Les imitations de Tacite abondent
; Cnéius révèle au Sénat, en présence de l’empereur, le secret de son
père
, et se tue. 1273. Cf. Lamartine, Dernier chant
de Napoléon en France : l’empereur triomphant visite par des rois, le
père
au baptême de son enfant, l’empereur vaincu défen
de triomphe, où V. Hugo se plaint de ne pas voir gravé le nom de son
père
, et Notre-Dame, où son roman a gravé le sien, son
ustique et vraie. Enfin, dans le dernier de ses poèmes, le Livre d’un
père
, donnant un caractère de plus en plus pratique à
u tableau, la saison et le ciel diffèrent. 1489. Le maître, c’est le
père
qui, à chaque pas, tire des spectacles de la natu
yez les Confidences). 1490. Voilà des vers vibrants. On sent que le
père
veut armer ses enfants pour la lutte dont il parl
atin peculium, dont il vient : avoir, biens. Autres sens : épargne du
père
de famille, du fils de famille, de l’esclave. Péc
r les uns c’est un fou, pour les autres un impie, pour la dernière un
père
qui rêve au lieu de faire une dot à sa fille. Son
ter le nom homme à l’adjectif utile ; quand je dis : j’ai reçu de mon
père
; de sert à joindre le nom père au verbe reçu, et
ile ; quand je dis : j’ai reçu de mon père ; de sert à joindre le nom
père
au verbe reçu, etc. ; de, à, sont des préposition
a perte qu’ils ont faite, et non aux blessures qu’ils ont reçues. Les
pères
mourants envoient leurs fils pleurer sur leur gén
l’autre, qui jouit encore en repos de l’héritage qu’il a reçu de ses
pères
, souhaite une éternelle paix à celui qui l’a sauv
ouvelle, qui a su joindre la politesse du temps à la bonne foi de nos
pères
, en qui la fortune n’a fait que donner du crédit
ommes ! C’est un point arrêté2, que tout ce que nous sommes, Issus de
pères
rois et de pères bergers, La Parque également sou
point arrêté2, que tout ce que nous sommes, Issus de pères rois et de
pères
bergers, La Parque également sous la tombe nous s
causent que des pleurs. Dans toutes les fureurs des siècles de tes
pères
, Les monstres les plus noirs firent-ils jamais ri
ins qu’il doive exclure de ses études les bons auteurs profanes ; les
pères
de l’église les avaient étudiés : ainsi, plus ses
éloquence vraiment apostoliques ont fait nommer à si juste titre les
pères
, c’est-à-dire, les fondateurs et les soutiens de
sois pas moins sévère. Du troupeau, dès l’enfance, il faut soigner le
père
. Des gris et des bais-bruns on estime le cœur : L
amille va lui offrir ; soit qu’il marche sur les nobles traces de son
père
ou de son oncle ; soit qu’il couvre sa tête du ca
suites aura la passion de Phèdre pour Hippolyte. Celui-ci croyant son
père
mort, rend à Aricie le sceptre d’Athènes auquel e
te se justifie ; en vain fait-il l’aveu de son amour pour Aricie. Son
père
n’y ajoute aucune foi et l’exile. Phèdre touchée
el désespoir est peint sur le visage de la reine. Alors ce malheureux
père
ne doute plus de l’innocence de son fils, et ordo
emme altière et absolue, tin mari pusillanime et soumis ; à côté d’un
père
avare, un fils prodigue. Le second, c’est d’oppos
t des deux sœurs, il dit : Elles sont sans parens, et notre ami leur
père
, Nous commit leur conduite à son heure dernière ;
n disposer, Sur elles, par contrat, nous sut, dès leur enfance, Et de
père
et d’époux donner pleine puissance. D’élever cell
la dépense avec économie, Doit être son étude et sa philosophie. Nos
pères
, sur ce point, étoient gens bien sensés, Qui diso
nné la Chasse d’Henri IV, et Dupuis et Desronais ; Diderot, auteur du
Père
de famille. Les pièces qu’on appelle Héroïques, e
i est marié secrètement avec la servante de la maison, tandis que son
père
veut le marier avec la fille de la baillive. Les
dernière fois, ôte-toi de ma vue. Sors, traître. N’attends pas qu’un
père
furieux Te fasse avec opprobre arracher de ces li
urri dans ta maison en l’amour de ta loi, Il ne connoît encor d’autre
père
que toi. Sur le point d’attaquer une reine homici
si touchant. Seigneur, voyez l’état où vous me réduisez. J’ai vu mon
père
mort et nos murs embrasés ; J’ai vu trancher les
la mémoire t’est chère ; Montre au fils à quel point tu chérissois le
père
. » Et je puis voir répandre un sang si précieux ?
es. C’est ainsi que nous plaignons vivement Rodrigue, qui a vengé son
père
par la mort de celui de sa maîtresse, parce que s
après avoir achevé, soit avant la tragédie, comme Œdipe qui a tué son
père
sans le connoître, soit dans la tragédie, comme O
i avoient été chargés de cet assassinat, entra dans le royaume de son
père
, s’en empara, et força le roi à se cacher dans un
ieux. D’un soin cruel ma joie est ici combattue. Iphigénie. Hé ! mon
père
, oubliez votre rang à ma vue. Je prévois la rigue
vois la rigueur d’un long éloignement. N’osez-vous, sans rougir, être
père
un moment ? Vous n’avez devant vous qu’une jeune
au seul nœud qui retient ma colère. D’Iphigénie encor je respecte le
père
, Peut-être sans ce nom, le chef de tant de rois M
Une mère m’attend, une mère intrépide Qui défendra son sang contre un
père
homicide, Je verrai mes soldats moins barbares qu
toute l’armée Elle refuse de le suivre, et ne songe qu’à obéir à son
père
. Ce héros furieux, résolu de renverser le bucher,
e nous touchent plus guère : Je les lui promettois tant qu’à vécu son
père
. Et puis s’écrier tout-à-coup : Non, vous n’esp
le fardeau, Trop avare d’un sang reçu d’une Déesse, Attendre chez mon
père
une obscure vieillesse, Et toujours de la gloire
e jour, Cinna ; mais ceux dont tu le tiens, Furent les ennemis de mon
père
et les miens. Au milieu de leur camp tu reçus la
le lui déclarer. Cet ambassadeur étoit Rhadamisthe lui-même, que son
père
ne reconnoissoit pas, parce qu’il ne l’avoit poin
Et traîné sans honneur autour de nos murailles ? Dois-je oublier son
père
à mes pieds renversé, Ensanglantant l’autel qu’il
chef-d’œuvres immortels, qui lui ont si justement mérité le titre de
père
de la tragédie françoise. C’est dans ces pièces q
ns le genre de Corneille : c’est Ms. Il y a des morceaux dignes de ce
père
de la tragédie française. Le principal rôle est a
uves, aux montagnes ; nous représente le fils de Dieu s’offrant à son
père
pour racheter le genre humain ; nous fait entendr
endrement leur bouche. Pyrrhus, dans les combats aussi ardent que son
père
, donne le dernier assaut. Ni les barricades, ni c
e tu viens de commettre ! Tu as osé tuer un fils sous les yeux de son
père
! Autrefois Achille(a), dont tu te vantes d’être
e toucha son bouclier, et qui tomba à ses pieds. Va te plaindre à mon
père
, répondit Pyrrhus ; raconte-lui mes honteuses act
fet, il faut qu’elles soient toujours justes et nobles. Homère est le
père
des belles comparaisons. Elles ont été presque to
eux du Belge(i) et de l’Ibèrek : Mais il n’égalera ni son fils ni son
père
? Henri dans ce moment voit sur des fleurs de lis
plaindre à Jupiter de l’acharnement de Junon contre son fils Enée. Le
père
des Dieux la console, en lui dévoilant ce que les
ur, cotoya ensuite plusieurs pays, aborda à Drépane, où il perdit son
père
, et essuya enfin la tempête qui le jeta sur les c
de relâcher à Drépane, où il célèbre l’anniversaire de la mort de son
père
, et donne à cette occasion des jeux funèbres. Iri
vers l’an 980 avant J.C., est le plus ancien des poëtes connus, et le
père
de la poésie épique. La critique a relevé dans so
ois ; les fils de Brutus regrettaient les Tarquins, expulsés par leur
père
; il les gourmanda en ces termes : « Moi, disait-
le bouclier de l’empire Romain. — 2. Le consul Cicéron fut appelé le
père
de la patrie. — 3. Marius mourut vieux. — 4. Les
s, fut appelé le très-bon et le très-grand ; les poëtes le nomment le
père
des dieux et des hommes. Junon, sœur et épouse de
ue d’argent. — 7. Timothée, fils de Conon, ne fut pas inférieur à son
père
. — 8. L’honneur est préférable à la vie. — 9. Enn
’Olympias. Le second se fit encore une plus grande réputation que son
père
. Alexandre était d’un grand cœur ; mais chez lui
, et passa le Tibre à la nage sous les traits des ennemis. — 8. Aucun
père
ne souhaite à ses enfants une vie éternelle. — 9.
ut sauvé. Ops en effet, l’ayant mis au monde, déroba cet enfant à son
père
. Saturne trompé dévora à la place de l’enfant une
d’abord régné seul ; mais Jupiter, devenu grand, ravit l’empire à son
père
, et le partagea avec ses frères Neptune et Pluton
saient de lait et de la chair des bêtes sauvages. — 5. Atticus eut un
père
indulgent. — 6. Annibal eut Sosile de Lacédemone
s des meilleurs maîtres ; cela vous importe vivement, à vous qui êtes
pères
. Récapitulation. version 50. Saturn
ausanias. Le premier soin d’Alexandre fut pour les funérailles de son
père
: les complices de l’assassinat furent immolés su
i. Ensuite il entreprit la guerre contre les Perses, projetée par son
père
. Sur ces entrefaites, les Athéniens et les Thébai
garder de l’intempérance, et de n’oublier jamais la retenue. — 8. Le
père
a plus de sollicitude pour son fils que le fils l
grandes actions de grâces lui furent rendues, et il reçut le titre de
Père
de la patrie. Chapitre V. Compléments circ
9. Pyrrhus, roi d’Épire, descendait d’Achille par sa mère, et par son
père
, d’Hercule. § 160. Nom du prix, de la valeur.
âgé de douze ans environ, mourut cinq jours avant le triomphe de son
père
; l’aîné, âgé de quatorze ans, trois jours après
t plus tard le surnom de César et ensuite celui d’Auguste, perdit son
père
à l’âge de quatre ans. version 88. Historiæ
irai à la campagne. — 10. Titus Manlius Torquatus fut relégué par son
père
à la campagne à cause de sa pesanteur d’esprit et
bœufs et au petit domaine de quatre arpents qu’il avait hérité de ses
pères
. § 166. Question QUA. version 93. 1.
r de chez nous — 10. Il y a des fables innombrables dans Hérodote, le
père
de l’histoire, et dans Théopompe. — 11. Thalie es
ds étaient honorés par les jeunes gens presque comme des dieux et des
pères
; ils étaient même, quand ils revenaient d’un rep
nda une nouvelle ville au pied d’une montagne, dans un endroit où son
père
avait trouvé une truie blanche, qui venait de met
des maux d’autrui et en sont heureux. — 9. Démarate, riche marchand,
père
du roi Tarquin l’Ancien, habitait à Corinthe dans
ur. — 12. Quelques-uns ajoutent à la gloire qu’ils ont reçue de leurs
pères
une nouvelle gloire qui leur est propre. — 13. L’
ux étrangers, autres que moi. Tu ne te feras pas d’idoles. Honore ton
père
et ta mère. Tu ne tueras pas, tu ne voleras pas,
ui aura tué un homme sera puni de mort. Que celui qui aura frappé son
père
ou sa mère, ou leur aura dit des injures, soit pu
. — 10. Quoique Timothée, fils de Conon, ne fût pas au-dessous de son
père
pour la gloire des armes, il ajouta à cette gloir
libare solebant. corrigé. 1. Thémistocle fut déshérité par son
père
parce qu’il menait une conduite trop libre, et qu
convoqua le sénat et se mit à réclamer le trône qu’avait possédé son
père
. A cette nouvelle, Servius accourt au sénat ; il
t chez elle portée sur un char, lorsqu’elle aperçut le cadavre de son
père
gisant sur le sol ; et, gourmandant le cocher qui
er qui voulait se détourner, elle fit passer elle-même par-dessus son
père
tout sanglant les chevaux qui s’arrêtaient d’horr
ore ce que c’est qu’une tempête ; peut-être a-t-il du moins laissé un
père
, qu’il a embrassé en partant. » Je croyais encore
que le vieillard donne des conseils aux enfants. — 5. Il faut que le
père
de famille soit grand vendeur, et non grand achet
ée par Sextus Tarquin, se perça d’un poignard après avoir conjuré son
père
et son époux de ne pas laisser sa mort sans venge
èse. — 2. Il fut décrété par le sénat que César recevrait le titre de
père
de la patrie, que sa personne serait inviolable,
. Échauffé par le vin, il se mit à s’élever au-dessus de Philippe son
père
, et à porter ses propres exploits jusqu’aux nues,
; on dit cependant que la mère de l’un vendait des herbes, et que le
père
de l’autre était coutelier. — 5. Nos premiers dev
oi il n’avait pas décrété de supplice contre celui qui aurait tué son
père
, il répondit qu’il avait pensé que ce crime ne se
t de gagner l’Égypte, comptant sur les services qu’il avait rendus au
père
de ce Ptolémée qui régnait alors à Alexandrie. Ma
omains avaient le respect le plus religieux pour les traités. — 7. Un
père
se contente d’un petit châtiment pour une grande
t à la vie. — 6. Titus mourut dans la même maison de campagne que son
père
, le jour des ides de septembre, deux ans deux moi
eptembre, deux ans deux mois et vingt jours après avoir succédé à son
père
, et dans la quarante deuxième année de son âge. —
i porté à la colère. — 6. Œdipe, fils de Laïus et de Jocaste, tua son
père
et épousa sa mère sans le savoir. — 7. On rapport
nt, aima mieux être honteusement l’esclave de Mithridate. — 2. Que le
père
de famille aime à vendre, au lieu d’aimer à achet
faire les préparatifs de la guerre contre la Grèce, projetée par son
père
. — 8. Ce fut longtemps parmi les hommes une quest
s filles de Scipion furent dotées aux frais de l’État, parce que leur
père
ne leur avait laissé aucune fortune : heureux les
r, dans son téméraire voyage, Phaéton déjà lancé dans les cieux : Le
père
cependant, plein d’un trouble funeste, Le voit ro
e, et le tableau est saisissant de vérité. Mais la forme à part, quel
père
n’eût fait de même88 ? Le sublime n’est donc pas
u’il mourût du vieil Horace, parce qu’il est plus haut que l’homme le
père
qui peut immoler spontanément le sentiment nature
ablement rendue par la musique de Rossini, au moment où le malheureux
père
adresse à son fils ses dernières recommandations
is son entrée dans la vie, jusqu’au moment où il articule les noms de
père
et de mère. Chaque découverte que fait successive
des ailes à la pensée. Les premiers mots qu’il prononce sont ceux de
père
et de mère… mots charmants, qui expriment, qui in
ein maternel de toutes ses douleurs, et font naître dans le cœur d’un
père
les plus vives et les plus joyeuses espérances. A
d’un service rendu : « Monseigneur, vous avez pour moi des boyaux de
père
. » 2° Une réunion de mots contraires à l’usage,
), Mais jamais il n’eût franchi les bornes du modeste héritage de ses
pères
. (3e membre.) On fait de même une période quatre
ruine, la misère, etc. Un fils expose sa vie pour sauver celle de son
père
: la cause, c’est l’amour filial, la reconnaissan
que nous devons adopter. On n’écrit pas à un ami comme on écrit à un
père
ou à un supérieur. Un livre composé pour la jeune
clure par des rapports de ressemblance ou d’opposition. Ainsi : votre
père
s’est distingué par ses vertus, donc vous devez m
te-Curce, etc. ; mais surtout dans Cicéron, surnommé à juste titre le
père
de l’éloquence chez les Latins. C'est lui, en eff
rem. Bien loin d’aimer son frère et sa sœur, il n’aimait pas même son
père
. Ne quùm in Siciliâ quidem fuit bellum, ejus bel
, l’on dira : in senatu, dans le sénat ; apud patrem tuum, chez votre
père
. Cependant les poètes en usent quelquefois autrem
e ; car il doit y avoir identité de pensées et de sentiments entre le
père
et le fils. Ce que le poète exprime si bien par l
n par les mots suivants : exspectata parenti, piété déjà si connue du
père
, et dont le fils donnait alors une preuve si évid
e vos douces paroles ; vous pouvez répondre encore à la voix de votre
père
! » Nous citerons aussi les vers suivants, dans
délicats de ces jeunes infortunés. Puis, saisissant avec violence le
père
lui-même, qui accourt avec des traits, ils envelo
e plus grand intérêt aux efforts impuissants et à la mort violente du
père
. Ces mots serpens amplexus uterque, au nombre sin
ants, il les ont enveloppés sans aucun effort, implicaverunt. Mais le
père
pouvait opposer de la résistance ; ils le saisiss
cette grande science de l’homme. Voici le portrait qu’il trace de ce
père
de la philosophie : « Enfin parut en France un g
it : cette maxime d’esclave irrita tous les esprits faibles contre le
père
de la philosophie pensante : elle le persécuta co
de l’harmonie, la vivacité de la passion : les beaux-arts, enfants et
pères
du plaisir, ne demandent que la fleur, et la plus
le jour, Cinna, mais ceux dont tu le tiens Furent les ennemis de mon
père
et les miens… jusqu’à ce mot si énergique de sit
la religion des tombeaux, une illusion vulgaire ; les cendres de nos
pères
et de nos amis, une vile poussière qu’il faut jet
qu’une maison ne peut subsister sans la vigilance et l’économie d’un
père
de famille ; il croit qu’un vaisseau ne peut être
on religieuse s’appuie sur les saintes Écritures, sur la doctrine des
Pères
et des conciles. C’est aux prêtres que Dieu a don
ce partout où elle se trouve. 29. Principaux orateurs chrétiens :
Pères
grecs. Saint Athanase, saint Grégoire de Nazianze
thanase, saint Grégoire de Nazianze, saint Basile, saint Chrysostome.
Pères
latins. Saint Hilaire de Poitiers, saint Ambroise
le plus cher de ses souhaits ; Qui fuit la basse flatterie ; Et qui,
père
de sa patrie, Compte ses jours par ses bienfaits.
nos grandeurs passagères, Il faut mêler sa cendre aux cendres de ses
pères
, Et c’est le même Dieu qui nous jugera tous2. Liv
pouvaient paraître injustes à l’égard de celui qui, rougissant de son
père
, honnête artisan, ne sut pas, comme Horace son ma
s devient-il envieux ? Ou faut-il croire, hélas ! ce que disaient nos
pères
, Que, lorsqu’on meurt si jeune, on est aimé des d
doit tendre sans relâche ; c’est le but divin de l’humanité. 3. Mon
père
. Le père d’Alfred de Musset, connu sous le nom de
à l’opéra italien de Londres. Fille de Manuel Garcia, elle suivit son
père
à Mexico et à New-York, où elle épousa un banquie
l’histoire, Auguste dans Cinna. (3 août 1882). • Comparer le rôle du
père
dans le Cid et dans Polyeucte. (4 novembre 1881).
raire. [1] (26 juillet 1884) Pourquoi dit-on qu’Homère est le
père
de la poésie épique ? Développement. — Homère2
énie, Un des titres qu’on lui prodigue le plus souvent est celui de «
père
de la poésie épique » ; il serait peut-être curie
e de génie. S’il ne convient pas de prendre à la lettre ce titre de «
père
de la poésie épique », il ne faudrait pas davanta
l’aient pris pour modèle, dans quel sens a-t-on pu dire qu’il est le
père
de l’épopée ? La réponse est celle-ci : c’est qu’
est inspirée d’Homère, et dont Homère peut, à bon droit, s’appeler le
père
, parce que c’est dans l’Iliade et l’Odyssée, ces
assez considérable pour justifier suffisamment le titre pompeux de «
père
de la poésie épique, » décerné à Homère, qui en f
son vivant les plus grands honneurs et lui donna le titre glorieux de
Père
de la patrie. Comme Démosthène en Grèce, il fut l
e siècle, Névius et Pacuvius. Lucilius peut être considéré comme le
père
de la satire à Rome : Lucile le premier osa la (
goût des représentations païennes, qui était resté très vif chez nos
pères
et se traduisait tous les ans, à l’époque des sat
celle de la poésie, en important chez nous des genres inconnus à nos
pères
, fut seule féconde et durable, tandis que celle d
naissance merveilleuse et fatale de Rome, son éternité promise par le
père
des dieux lui-même : Imperium sine fine dedi… s
bordé. Horace, ruiné après la bataille de Philippes et la mort de son
père
, se procura une charge de scribe des questeurs ;
coups de son époux victorieux ; Émilie qui poursuit la vengeance d’un
père
au péril des jours de son amant et au péril des s
eloppement. — L’épopée, dont Homère est généralement regardé comme le
père
, est la forme la plus ancienne de la poésie ; la
bonne comédie » est trouvé, et l’on peut dire que Corneille en est le
père
, comme il est le père de la tragédie moderne ; ma
ouvé, et l’on peut dire que Corneille en est le père, comme il est le
père
de la tragédie moderne ; mais il manque à ces pre
Rodrigue, as-tu du cœur ? Quel moment terrible pour tous deux ! le
père
annonce à son fils qu’il lui faut renoncer à l’am
ls qu’il lui faut renoncer à l’amour de Chimène et s’armer contre son
père
; Rodrigue alors exhale sa douleur dans des stanc
on à son honneur, c’est-à-dire à la vengeance de l’outrage fait à son
père
. Après la mort du comte il se rend courageusement
ous d’un ami vénéré et beaucoup d’entre nous d’un bienfaiteur et d’un
père
. Sa perte est un deuil pour tout le monde ; mais
t à l’amirauté de Rouen, sinécures honorifiques que lui a léguées son
père
; il n’a pu établir une de ses filles, et a dû la
s citoyens : — Ambroise Paré (1517-1590), chirurgien de Charles IX et
père
de la chirurgie moderne, dont le génie eut pour é
Montaigne, apprit le latin par la conversation dans la maison de son
père
: à six ans, il le parlait. Il continua ses étude
1628, comme elle donna encore en 1635 une édition définitive de son «
père
d’adoption ». Aucun écrivain ne représente mieux
royaulme ; car je suis venu au monde fils d’ung gentilhomme, que son
père
avoict vendeu tout le bien qu’il possedoyt hormis
dverty du roy, et bien aise de l’occasion de vanger la mort de M. son
père
, s’en alla très-bien accompaigné au logis de M. l
egat, et à l’ambassadeur Mendosse235, que n’ayons mangé les os de nos
pères
, comme font les sauvages de la nouvelle Espagne.
rûle en place de Grève,et va finir sa vie à Genève (1620-1630). Le
père
et l’enfant A huit ans et demi, le pere mena
achève l’œuvre de Richelieu, qui avait décrété et fait signer de son
père
rétablissement d’une aristocratie de l’intelligen
orde, et, par son secours, arriva heureusement dans sa maison. Le bon
père
, étonné d’une telle parabole, ne répondit rien. E
ien. Et je lui dis doucement pour le rassurer : Mais, après tout, mon
père
, à quoi avez-vous pensé de donner le nom de suffi
e Molière, fils d’un tapissier-valet de chambre du roi, hérita de son
père
et remplit, en 1641, sa charge, qu’il reprit plus
M. JOURDAIN. Voilà pas le coup de langue ? MADAME JOURDAIN. Et votre
père
n’étoit-il pas marchand aussi bien que le mien ?
JOURDAIN. Peste soit de la femme ! Elle n’y a jamais manqué. Si votre
père
a été marchand, tant pis pour lui ; mais, pour le
gnes de nos louanges, je veux dire, homme de probité et de piété, bon
père
de famille, bon parent, bon ami. Vous le savez, v
uté des originaux… L’usage, je le confesse, est appelé avec raison le
père
des langues. Le droit de les établir, aussi bien
peuples, elle n’égalera jamais la vôtre. Les bons rois sont les vrais
pères
des peuples, ils les aiment naturellement : leur
ble, mais une désolation pareille à celle que cause la perte d’un bon
père
à ses enfans. Il n’y a personne de nous que ne se
souvienne d’avoir ouï souvent raconter ce gémissement universel à son
père
ou à son grand-père, et qui n’ait encore le cœur
autre, enflés de leurs succès, ont cru pouvoir s’élever au-dessus des
Pères
; l’un et l’autre n’ont pu souffrir qu’on les con
plus confus du monde ; que je ne méritois ni la réputation que le bon
Père
m’avoit donnée, ni la bonne opinion qu’elles avoi
ment et par cette seconde formation de nos esprits et de nos mœurs le
père
de tous ses peuples. Mais quant à notre conduite
ille. La belle et froide Mme de Grignan, qui appelait Descartes « son
père
», a laissé quelques écrits philosophiques. On a
s étiez prisonnière, que vous étiez une princesse chassée de chez son
père
. Votre frère étoit beau comme vous ; vous aviez n
e votre autorité et votre gloire. Si le Roi, dit-on, avoit un cœur de
père
pour son peuple, ne mettroit-il pas plutôt sa glo
n éloquence, il suffira de rappeler le mot connu de Louis XIV : « Mon
Père
, j’ai entendu plusieurs grands orateurs, j’en ai
lui paroît plus glorieux d’être le destructeur de ses voisins que le
père
de son peuple ; si le deuil et la désolation de s
n’y a personne qui n’entre tout neuf dans la vie, et les sottises des
pères
sont perdues pour les enfans. SOCRATE. Mais pourq
ni virgule. Aussi la joie qu’il en témoigna fut mêlée de surprise. «
Père
éternel ! s’écria-t-il avec transport, lorsqu’il
l’autorité royale, en la faisant respecter, et les sujets avoient un
père
affectionné dans un vizir fidèle au prince. Atalm
enfants avec un œil sévère ; De la triste Équivoque il rougit d’être
père
, Et rit des traits manqués du pinceau faible et d
e la dot de sa sœur ; chacun disait : C’est l’aîné qui aime mieux son
père
, le cadet aime mieux sa sœur ; c’est à l’aîné qu’
g les fit venir tous deux l’un après l’autre. Il dit à l’aîné : Votre
père
n’est point mort, il est guéri de sa dernière mal
me chose au cadet. Dieu soit loué ! répondit-il, je vais rendre à mon
père
tout ce que j’ai, mais je voudrais qu’il laissât
s aurez les trente mille pièces : c’est vous qui aimez le mieux votre
père
. Il venait tous les jours des plaintes à la cour
l les avoit dépouillés. « Je te laisse, lui dis-je, le royaume de tes
pères
, à toi qui devrois me remercier de ce que je te l
r trait Jésus-Christ ; la ressemblance est si frappante, que tous les
Pères
l’ont sentie, et qu’il n’est pas possible de s’y
s ne devez point vous estimer malheureux de vivre comme fait M. votre
père
, et il n’y a point de sort que le travail, la vig
al582 de cuir noir où l’on peut être commodément assis : asseyez-y le
père
du fils ingrat. Attenant à la porte, placez un ba
algré le secours dont le fils aîné de la maison peut être à son vieux
père
, à sa mère et à ses frères, il s’est enrôlé ; mai
malheureux. Il vient avec un vieux soldat ; il a fait sa demande. Son
père
en est indigné ; il n’épargne pas les mots durs à
pargne pas les mots durs à cet enfant dénaturé qui ne connoît plus ni
père
, ni mère, ni devoirs, et qui lui rend injures pou
olent, insolent et fougueux ; il a le bras droit élevé du côté de son
père
, au-dessus de la tête d’une de ses sœurs ; il se
désolé ; la sœur aînée s’est aussi interposée entre son frère et son
père
; la mère et la sœur semblent, par leur attitude,
e : « Malheureux ! que fais-tu ? tu repousses ta mère, tu menaces ton
père
; mets-toi à genoux et demande pardon. » Cependan
fait la campagne. Il revient, et dans quel moment ? Au moment où son
père
vient d’expirer. Tout a bien changé dans la maiso
autre élevée et tenant encore le crucifix qu’elle a fait baiser à son
père
. Un de ses petits enfans, effrayé, s’est caché le
tre la fenêtre et le lit, ne sauroit se persuader qu’elle n’a plus de
père
: elle est penchée vers lui ; elle semble cherche
; elle soulève un de ses bras, et sa bouche entr’ouverte crie : « Mon
père
! mon père ! est-ce que vous ne m’entendez plus ?
ève un de ses bras, et sa bouche entr’ouverte crie : « Mon père ! mon
père
! est-ce que vous ne m’entendez plus ? » La pauvr
il a repoussé sa mère, et il est perclus du bras dont il a menacé son
père
. Il entre. C’est sa mère qui le reçoit. Elle se t
r ses yeux, et de l’autre montrer à l’enfant ingrat le cadavre de son
père
. On n’en auroit pas moins aperçu sur le reste de
t me laver du juste reproche que vous me faites d’être le fils de mon
père
… Mais je m’arrête ; car je le sens derrière moi q
e ce que j’écris, et rit en m’embrassant, Ô vous qui me reprochez mon
père
, vous n’avez pas l’idée de son généreux cœur ! En
erunus intentait une accusation de contre-révolution contre son vieux
père
, déjà exilé ; après quoi il se faisait appeler fi
net (1620-1793) et son neveu, Horace de Saussure (1740-1799), fils et
père
de savants, auteur du Voyage dans les Alpes, qui
ent servi sous lui ; il leur recommanda ta jeunesse : « Servez-lui de
père
, leur dit-il ; ah ! servez-lui de père ! » Alors
ta jeunesse : « Servez-lui de père, leur dit-il ; ah ! servez-lui de
père
! » Alors il te donna des conseils tels que Marc-
si pure. Je touche au terme de ma vie ; bientôt j’irai rejoindre ton
père
. Si tu dois être juste, puissé-je vivre encore as
; le silence mêlé de crainte et de respect des jeunes gens que leurs
pères
conduisoient par la main pour voir ce grand homme
de de secouer en marchant le vieillard, je vis bien qu’il portoit son
père
. Ce vieillard, arraché inopinément au sommeil et
nfin, entre les bras étendus de cette mère, et les bras étendus de ce
père
, l’enfant endormi dans son berceau… J’ai détourné
s, ont révélé dans ce penseur absolu, dans ce logicien inexorable, un
père
presque plus père que les plus tendres ». (M. Nis
ce penseur absolu, dans ce logicien inexorable, un père presque plus
père
que les plus tendres ». (M. Nisard.) Une nuit
nce dans la conversation des écrivains que réunissait le salon de son
père
, et dans l’étude des publicistes et des philosoph
s, et les orphelins ne furent point délaissés dans leur misère. Et le
père
qui s’était défié de la Providence raconta le soi
rsuivons notre route en paix. « Si je meurs avant vous, vous serez le
père
de mes enfants ; si vous mourez avant moi, je ser
serez le père de mes enfants ; si vous mourez avant moi, je serai le
père
des vôtres. « Et si l’un et l’autre nous mourons
tre premier besoin, et prier Dieu c’est commencer à posséder Dieu. Le
père
connaît les besoins de son fils ; faut-il à cause
ls n’ait jamais une parole de demande et d’actions de grâces pour son
père
? Quand les animaux souffrent, quand ils craignen
n ne m’a serré la main. L’exilé partout est seul. Il n’y a d’amis, de
pères
et de frères que dans la patrie. L’exilé partout
gémir : tous sont bannis comme toi, tous voient passer et s’évanouir
pères
, frères, amis. La patrie n’est point ici-bas ; l’
me de l’amour et de la pitié, de tous les sentiments sympathiques, le
Père
céleste ne nous a-t-il pas commandé d’autres vert
ime, n’êtes-vous pas opprimé aussi ? Que l’orphelin trouve en vous un
père
, la veuve et le vieillard un appui, l’étranger un
enfant perdu de la foule, peut écouter dans sa pensée le bruit de ses
pères
et de ses contemporains. Quel est-il ? Est-ce une
, après trente-quatre ans de ce régime auquel avaient tant aspiré nos
pères
… Dieu a des leçons sévères qu’il faut accepter sa
avait récemment embrassée791, et qu’il pratiquait avec ferveur. « Mon
Père
, lui-dit-il, que ferai-je ? Mon état présent me f
don d’avoir abusé d’un nom d’outrage qui fut autrefois appliqué à nos
pères
, afin de retracer plus rapidement la triste suite
mmense de peuple. Une armée considérable suivait le convoi ; le vieux
père
du général conduisait le deuil. Cette pompe fit u
ral Philippe Paul de Ségur en reçut un l’année même de la mort de son
père
(1830), et mourut un des doyens de l’Académie fra
rigine. Né à Versailles le 23 août 1733, d’une mère française et d’un
père
savoisien, il avait beaucoup de ce dernier. Il ét
ère savoisien, il avait beaucoup de ce dernier. Il était lion par son
père
, disait-il, et berger par sa mère. Ses parents, d
a modestie domestique prenait un caractère de grandeur morale : « Mon
père
, dit-il quelque part, à propos de je ne sais quel
-il quelque part, à propos de je ne sais quel détail de conduite, mon
père
, qui était un homme rare et digne du temps des Pa
ses maîtresses formes. Aussi je remercie Dieu de m’avoir donné un tel
père
. Il n’y a pas de jour où je ne pense à lui ; et q
de moi-même, il m’arrive quelquefois de lui dire : Es-tu content, mon
père
? Il semble alors qu’un signe de sa tête vénérabl
Horace, de son Virgile et de son La Fontaine, il lisait les Vies des
Pères
des Déserts, traduites par Arnauld d’Andilly840 :
t à son enfance, aux années meilleures, à ses jouissances de fils, de
père
et d’époux : « Les mœurs ne s’apprennent pas, c
grand William dans sa chambre à coucher, non loin du portrait de son
père
et de sa mère : « Je n’oublierai jamais, dit M.
s, même pour le peuple de Dieu, cette leçon était toute nouvelle. Les
pères
, dans l’Ancien Testament, n’ont pas la tendresse
Agamemnon et d’Idoménée, la foi domine la tendresse paternelle, et le
père
disparaît dans le croyant ; de même qu’avec les B
sa miséricorde ; mais le repentir du fils, pressenti et deviné par le
père
, ôte à cet amour ce qu’il aurait de faible et de
père, ôte à cet amour ce qu’il aurait de faible et de blâmable, et le
père
est à la fois juste et clément : juste, puisque s
toujours son effet. « Comme l’enfant prodigue était encore loin, son
père
le vit, et fut touché de compassion ; et, courant
à lui, il se jeta à son cou et le baisa. Et son fils lui dit : « Mon
père
, j’ai péché contre le ciel et contre toi, et je n
ontre toi, et je ne suis plus digne d’être appelé ton fils. — Mais le
père
dit à ses serviteurs : « Apportez la plus belle r
du cœur humain, tout est dit, ou plutôt tout se devine, et combien le
père
a souffert de l’absence de son fils, et quels vœu
qu’il soit, bon ou mauvais. Dans l’Évangile, au contraire, l’amour du
père
de famille a pressenti la régénération morale de
ls a prise, dans la misère et dans la solitude, « d’aller trouver son
père
et de s’humilier devant lui », cependant, dès qu’
’Évangile n’a pas cru pouvoir la comparer mieux qu’à la clémence d’un
père
; et, en même temps, il explique, par cette belle
il explique, par cette belle histoire, comment il entend le cœur d’un
père
à qui le repentir suffit sans l’aveu, et qui, com
le pénitent avant qu’il ait parlé. Aussi, point de dialogue entre le
père
et le fils, point d’explication : tout s’accompli
i expressif cette époque des précédentes. La Renaissance a paru à nos
pères
une sorte de résurrection de l’esprit français. L
Van Eyck lui-même prend plaisir à l’entendre, lui le précurseur et le
père
de tous les grands coloristes. Vêtu d’une de ces
suprême se presse respectueusement une foule illustre : Hérodote, le
père
de l’histoire, jette l’encens sur les charbons du
e de ce bourg, mari de Madeleine, qui a reçu le portefeuille de notre
père
mourant. Sa veuve est venue me prier de paraître
» Un grand jeune homme, fils de Pietri, serrant la main froide de son
père
, s’écria : « Oh ! pourquoi n’es-tu pas mort de la
t à l’hôtel de Châtillon pour présenter à l’Amiral la lettre dont son
père
l’avait chargé. Il trouva la cour de l’hôtel enco
ent. Et les mots, pour le dire, arrivent aisément. 107. Sénèque le
père
(le Rhéteur), Controvers. III, proœmium. 108. Ci
26 ans, tué d’un coup de canon sous Gueldres, le 23 octobre 1605. Son
père
dit : « J’ai perdu mon fils, j’ai donc perdu ma f
jeunes Spartiates, sous le règne de Cléombrete, se tuèrent ; et leur
père
, ne pouvant obtenir réparation, se tua sur leur t
i IV. 339. Gaston d’Orléans, frère du roi. 340. Le prince de Condé,
père
du grand Condé, alors duc d’Enghien. 341. Le duc
447. On n’hésite pas. Cf. Molière (Avare, I, 2) : Nous feignions, mon
père
, à vous aborder. 448. Je vous tiens quitte. — C
irassiers. 827. Louis XIV âgé de cinq ans, succéda à Louis XIII, son
père
, mort le 14 mai 1643. 828. Le 19 mai. Voir les r
850. Rusticitas. 851. Désespéré par les rigueurs de Ménédème, son
père
, le jeune Clinias est allé prendre du service en
ances à la Malibran : Ou faut-il croire, hélas ! ce que disaient nos
pères
: Que, lorqu’on meurt si jeune, on est aimé des D
porté par Priam de la tente d’Achille, et placé dans la maison de son
père
sur un lit. 955. Le don d’improvisation. 956. F
évère à sa croisée, pensif et regardant au loin la campagne, et votre
père
rentrant les chaises et fermant les volets de la
e bon mariage, Que de vous amuser à ces folles amours. Arténice. Mon
père
, à quelle fin tendent tous ces discours ? Si je v
e vous : Tandis2 que vous aurez mon service agréable, Ce me sera, mon
père
, un bien inestimable De mûrir avec vous la fleur
l s’échappa d’entre les mains de ses parents pour les affaires de son
père
céleste ? Quelle œuvre fit-il alors, si ce n’est
able œuvre de Dieu ? Va au temple ; échappe-toi1, s’il le faut, à ton
père
et à ta mère ; renonce à la chair et au sang, et
sus : « Ne faut-il pas que nous travaillions à l’œuvre que Dieu notre
père
nous a confiée2 ? » Tremblons, humilions-nous de
transmettre à leurs petits que ce qu’ils ont eux-mêmes reçu de leurs
père
et mère : au lieu que l’homme reçoit l’éducation
lons donc, dit Favorinus, faire visite à l’accouchée, et féliciter le
père
. » Ce dernier avait le rang de sénateur, et était
lui permettait pas de paraître avec une barbe, tandis qu’Apollon, son
père
, n’en avait pas. Il fit également enlever dans di
avait demandé à des Juifs en quel état se trouvait la ville de leurs
pères
. En apprenant que sa patrie était toujours enseve
s en laissiez tomber seulement quelques gouttes sur mes lèvres, votre
père
recouvrera la vie et la vigueur de la jeunesse. I
enant à réfléchir, dans les moments où ses larmes s’arrêtaient, qu’un
père
si vertueux n’avait plus besoin de vivre, tandis
it songer à la fiole. Il avait lui-même un fils, plus semblable à son
père
qu’à son aïeul. Il imagina d’intéresser son avari
t qu’il ne se permettrait jamais d’ôter même un seul petit doigt à ce
père
si tendrement chéri, à moins qu’il n’eût besoin d
in d’en détacher quelques faibles parcelles pour marier ses sœurs. Le
père
, satisfait de sa ruse, se dispose à mourir, et as
er pourtant de mesurer en long et en large le volume de cet excellent
père
. Après avoir calculé que cette métamorphose produ
ulut aller en délivrer le pays ; et il en obtint la permission de son
père
, avec d’autant plus de facilité, que ce n’était p
et voulut souiller de cet affreux homicide la main même à laquelle le
père
avait confié la garde de son fils, la main d’un s
philosophe Aristote l’éducation d’Alexandre. 43. Philippe, devenu
père
d’un fils dont tant de présages lui avaient fait
evé par vous et formé par vos leçons, il ne sera point indigne de son
père
, et pourra prendre la conduite d’un si grand empi
pe les airs de ses bras que rien ne soutenait plus ; et, appelant son
père
par ses cris, il tombe dans cette partie de la me
dans cette partie de la mer à laquelle il donna son nom. Cependant le
père
infortuné (que dis-je ? il n’était plus père) : «
na son nom. Cependant le père infortuné (que dis-je ? il n’était plus
père
) : « Icare, s’écrie-t-il, Icare, où es-tu ? De qu
douter si c’est un prince d’une sagesse accomplie, ou le meilleur des
pères
, dont la main gouverne [illisible chars][texte co
eu de l’assemblée : « Romains, dit-il, ce matin, au point du jour, le
père
de cette ville, Romulus, descendu des cieux, s’es
ertu. Version LXXXIII. Éloge de l’Éloquence. 83. Certes, le
père
de la nature, l’artisan de l’univers, Dieu, n’a p
t vivre ; qu’elle s’est éteinte avec la république ; qu’elle a vu son
père
préteur, consul, augure ; qu’elle a été unie aux
propres petits ; mais, lors même qu’ils ont pris leur croissance, le
père
les poursuit encore, et [illisible chars][texte c
qualités, ou qui devait les acquérir par les soins qu’il recevait. Le
père
partageait cette œuvre : protecteur vigilant ou z
produite depuis par la lyre. Mais pourquoi citer les philosophes ? Le
père
de la philosophie, Socrate lui-même, ne rougit po
flétrir cette jeune fille par la longue absence et la pauvreté de son
père
. Aujourd’hui, si vous vous présentez, vous honora
est personne qu’on lui préfère, et qu’on lui donne peu de rivaux. Son
père
, Néoclès, était noble. Il épousa une citoyenne d’
é au jeune Athénien le blâme de ses parents, il fut déshérité par son
père
. Cette flétrissure, loin de l’abattre, ne fit que
nir tête à toute la famille royale, dont il provoqua le bannissement.
Père
, vengeur, gardien de la liberté, dont le sentimen
vait renoncé à lui-même ; pour conserver son ouvrage, il cessa d’être
père
: ainsi l’amour de la liberté lui fit dépouiller
n me l’avait donné pour tuteur, et il me témoigna les sentiments d’un
père
. Ainsi, quand je fus candidat, il m’appuya de son
me leur futur souverain, et, quand le temps est venu, succédant à son
père
, une majesté qui n’est point empruntée d’un titre
érémonie, et tête levée. Mais voyez ce qui se passait du temps de nos
pères
: on rapporte que Claudius César, se promenant da
ître. 35. Le maître doit, avant tout, prendre les sentiments d’un
père
envers ses disciples, et se figurer qu’il remplac
nature, mais par ma propre volonté ; aujourd’hui qu’il a plu à votre
père
d’avancer sa mort, afin d’en avancer pour vous le
fondements des Etats. Il me reste à faire un dernier vœu, le vœu d’un
père
: c’est que vous voyiez grandir sous vos yeux un
la condition humaine, songe quels bienfaits nous avons reçus de notre
père
, comme nous avons mis sous le joug des animaux pl
e, quand les vétérans seraient remplacés par des fils élèves de leurs
pères
, qui serviraient dans les retranchements où ils a
il fournit aux jeunes gens des armes et des chevaux ; il assigna aux
pères
des récompenses proportionnées au nombre de leurs
e leurs fils. Les orphelins continuaient à recevoir la solde de leurs
pères
morts au champ de bataille. Leur enfance, se pass
ls contemplaient. Mais bientôt il se comporta de telle sorte, que son
père
fut son moindre titre pour se concilier leur fave
at ; un fronton à sa maison ; un mois dans le ciel ; puis le titre de
Père
de la patrie, de Dictateur perpétuel ; enfin (et
sion LXIX. Extrait du récit de la mort d’Hippolyte, racontée à son
père
. 69. …Quand le monstre vomi par les flots se
écoles publiques. 72. Il vous importe hautement, à vous qui êtes
pères
, que vos enfants reçoivent ici plutôt qu’ailleurs
Sa récente victoire sur Numance, la conquête de la Macédoine par son
père
, les dépouilles enlevées par son aïeul sur Cartha
Reçois le sceptre, lui dit-il, et monte sur le trône où fut assis ton
père
; mais règne avec plus de loyauté. » C’est ainsi
etit bien de campagne. 91. J’ai un petit champ que m’a laissé mon
père
: il n’est ni planté de vignes, ni fertile en blé
lorsque Scipion eut vaincu les deux Carthages (l’une, pour venger son
père
, l’autre, pour venger sa patrie) ; lorsqu’enfin,
utôt rendu la pensée que les mots. Versions latines. Corrigés. *. Le
père
et l’oncle paternel du premier Scipion avaient pé
es pampres verts, situé dans sa cabane solitaire. Il trouva son vieux
père
qui sommeillait paisiblement au clair de la lune.
da longtemps cette posture : sa vue restait constamment fixée sur son
père
: seulement il regardait de temps en temps le cie
s yeux. » Ô toi, dit-il, que j’honore le plus après les Dieux ! ô mon
père
, comme tu reposes doucement ! Que le sommeil du j
et tu te seras endormi en priant. Tu auras aussi prié pour moi, ô mon
père
. Ah ! que je suis heureux ! Les Dieux entendent t
vers le ciel, tu me donnes ta bénédiction d’un air content, ah ! mon
père
, de quel sentiment je suis alors pénétré ! Ma poi
ôt je vous quitterai pour d’autres campagnes plus heureuses. Ah ! mon
père
, mon meilleur ami, je dois donc bientôt te perdre
jour propice, où j’aurai pu faire du bien à quelque infortuné, ô mon
père
, je répandrai du lait et des fleurs sur ton monum
ation hardie. Racan a été en France, sous le règne de Louis XIII, le
père
de l’églogue. Au mérite d’un style aisé, simple e
bri de ces noms révérés : En vain vous vous couvrez des vertus de vos
pères
; Ce ne sont à mes yeux que de vaines chimères. J
il connut le premier le génie de notre langue, et fut, parmi nous, le
père
de la haute poésie. C’est peu d’avoir mis de la g
Où me cacher ? fuyons dans la nuit infernale. Mais que dis-je ! mon
père
y tient l’urne fatale. Le sort, dit-on, l’a mise
vers, Et des crimes peut-être inconnus aux enfers ? Que diras-tu, mon
père
, à ce spectacle horrible ? Je crois voir de ta ma
horbas que le Roi Laius, qu’il avait tué sans le connaître, était son
père
, et que la Reine Jocaste, dont il était devenu l’
eux de ses fils ont été tués, et que le troisième a pris la fuite. Le
père
est outré de la lâcheté de son fils. Cette femme
le, du mouvement de ses sourcils, toute la nature . Le second, que ce
père
des Dieux, en secouant sa terrible chevelure, éb
ec vous, Je n’ai pas, en cinq ans, encor reçu cinq sous. Valère. Mon
père
te paîra, l’article est au mémoire. Hector. Votr
Valère. Mon père te paîra, l’article est au mémoire. Hector. Votre
père
! Ah ! monsieur, c’est une mer à boire3. Son arge
es peuvent mettre de l’argent. 2. Suivante d’Angélique. 1. C’est le
père
du joueur. 2. Géronte, au lieu d’écus, lui avait
ait eu pour maîtres Mésenguy et Rollin, qui demeurèrent ses amis. Son
père
, qu’il perdit très-jeune, s’était aussi beaucoup
vers charmants de Bertaut, fort aimés et très-souvent répétés par nos
pères
: Félicité passée, Qui ne peux revenir, Tourment
’au singulier. 3. Cet hommage rendu par le poëte à la mémoire de son
père
est exprimé avec une délicate réserve qui en augm
ils ne connaissaient ni pitié, ni miséricorde ; ils auraient sacrifié
père
et mère, et l’univers entier, au moindre de leurs
ouleurs. Les oiseaux en chœur se réunissent, et saluent de concert le
père
de la vie ; en ce moment, pas un seul ne se tait.
rait Jésus-Christ ; la ressemblance en est si frappante, que tous les
Pères
l’ont senti, et qu’il n’est pas possible de s’y t
me à Utique ; le parricide, pour le second Brutus, qui tua César, son
père
adoptif. 1. Descartes était d’une famille noble
l’a dit. Cette maxime d’esclave irrita tous les philosophes contre le
père
de la philosophie pensante ; elle le fit persécut
nnaire épistolaire est excellent à consulter, et à pratiquer. 2. Son
père
, et sa fille morte en bas âge. 3. Ce mot signifi
s et de ses amis, il se voit accueilli par sa vieille mère, son vieux
père
, et toute sa famille, ses compagnons d’enfance l’
accompagner, j’espère. Quatre ans déjà passés, / j’y conduisis ton
père
; Mais lui, / mon fils, / ne revint pas
, — Prie, — et demande au riche : / i1 donne an nom de Dieu ; — Ton
père
le disait, sois plus heureux. — Adieu ! Mais le s
ajestueux. Vers de dix syllabes. O mes amis, que Dieu vous garde un
père
! Le mien n’est plus !… — De la terre étrangère,
s pour toute prière : Seigneur, Seigneur, mon Dieu, — vous êtes notre
père
. Pour mon enfant, — tourne, léger fuseau, Tourne
tation se mêle à la nullité du but : Je m’endors, et ma sœur, et mon
père
éperdus Se disaient : « Il s’endort pour ne s’éve
l raconte. Il s’endormait, il n’y a rien là de bien effrayant pour un
père
et pour une sœur, au contraire ; pourquoi donc ce
il est sorti de ces gorges maudi-tes, Vous vous tournez vers lui, mon
père
, et vous lui di- tes : (A.D.) Comme on le voit,
’Anacréon, et fit oublier Lucile, qui avait été, chez les Romains, le
père
de la satire. Tibulle et Properce répandirent dan
aume, établissait la balance de l’Europe, lorsque le grand Corneille,
père
de notre Théâtre, créa une tragédie nouvelle, et
r parfaitement sage et bon. L’homme n’est point un orphelin : il a un
père
dans le ciel. Que fera ce père de son enfant quan
omme n’est point un orphelin : il a un père dans le ciel. Que fera ce
père
de son enfant quand celui-ci lui reviendra ? Rien
s que quatre ou cinq petits, L’un contre mon mari, l’autre contre mon
père
, Et contre mes enfants : ah, monsieur ! la misère
aut faire. LA COMTESSE. Oui, Monsieur, je vous crois comme mon propre
père
. CHICANEAU. J’irais trouver mon juge. LA COMTESSE
sinuation adroite. La Comtesse empressée va écouter, comme son propre
père
, le donneur d’avis ; elle répète tout ce qu’il di
t grande. Enfin, l’un d’eux dit aux autres : mes frères, prions notre
père
qui est dans les deux, peut-être il aura pitié de
ette détresse. Et cette parole fut écoutée et ils prièrent de cœur le
père
qui est dans les deux. Et quand ils eurent prié,
arration légende fait respirer le parfum du style et de la foi de nos
pères
. 2° Si au fond les narrations fictives, mixtes, e
mandement, ils n’ont pu couvrir aux yeux du monde les fautes de leurs
pères
, et maintenir sur leur tombe le faux éclat de leu
t et sollicitent son génie et son cœur. Il lit dans l’histoire de ses
pères
l’exemple de ceux qui ont honoré un grand patrimo
éant et à l’infini ? Ce sera la parole encore : non plus celle de son
père
ou de sa mère mais une parole hasardeuse, qui éto
ple lui offre sous une image sensible le dieu qui a fait le monde, le
père
de la justice et l’habitant des âmes. Il l’adore
▲