escere, croître) est un accroissement de syllabes qui a lieu dans les
noms
, les adjectifs et les verbes. Iter, itineris ; mi
et le second, la pénultième ti. PARAGRAPHE I. créments dans les
noms
et les adjectifs. 36 On distingue, dans les n
réments dans les noms et les adjectifs. 36 On distingue, dans les
noms
et les adjectifs, les créments du singulier et ce
equum, dives pictāi vestis et auri. Virg. Deuxième déclinaison. Les
noms
en us et en um de la deuxième déclinaison n’ont p
ème déclinaison. 1re règle. A crément du singulier est long dans les
noms
et les adjectifs de la troisième déclinaison ; co
Exceptions. A crément du singulier est bref : 1° dans les
noms
neutres en a : poema- ă tis. diadema- ă tis.
dis. Cæsar- ă ris. par, păris et ses composés. 3° dans les
noms
propres en al : Annibal-ălis. 4° dans les noms a
posés. 3° dans les noms propres en al : Annibal-ălis. 4° dans les
noms
anas-ătis, Arabs-ăbis, fax-ăcis, trabs-ăbis, sal-
sité), dăpis. 2e règle. E crément du singulier est bref dans les
noms
et les adjectifs de la troisième déclinaison ; co
Exceptions. E crément du singulier est long : 1° dans les
noms
en en-ēnis : siren-rēnis. 2° dans les noms en
est long : 1° dans les noms en en-ēnis : siren-rēnis. 2° dans les
noms
en er et en es, qui ont en grec un η au génitif :
grec ϰρατηρ-ηρος). tapes- ē tis, magnes- ē tis. Joignez-y les
noms
hébreux Abel-ēlis, Daniel-ēlis, etc. 3° dans hær-
cis. 3e règle. I et Y créments du singulier sont brefs dans les
noms
et les adjectifs de la troisième déclinaison ; co
. lis, lītis, procès. et dans vīres, pluriel de vis. 2° dans les
noms
de peuples : Quir-is, ītis ; Samn-is, ītis ; et d
ans les noms de peuples : Quir-is, ītis ; Samn-is, ītis ; et d’autres
noms
en is ou en in, dérivés du grec : Delph-is ou in,
lph-is ou in, génitif Delph-īnis ; Salam-in, īnis, etc. 3° dans les
noms
et les adjectifs en ix, comme rad-ix, īcis ; fel-
bref, est long dans bombyx, ӯcis, ver à soie, et dans quelques autres
noms
peu usités. 4e règle. O crément du singulier est
noms peu usités. 4e règle. O crément du singulier est long dans les
noms
et les adjectifs de la troisième déclinaison ; co
olōrem. Virg. Exceptions. O crément est bref : 1° dans les
noms
neutres qui ont le génitif en oris : marm-or, ŏ
, ōris ; utili-us, ōris, qui suivent la règle générale. 2° dans les
noms
qui ont en grec un omicron au génitif, comme Hect
4° dans arb-or, ŏris ; bos, bŏvis ; comp-os, ŏtis ; ops (inus. au
nom
.), ŏpis ; inops-ŏpis ; lep-us, ŏris ; memor-ŏris
præc-ox, ŏcis. 5e règle. U crément du singulier est bref dans les
noms
de la troisième déclinaison ; comme dux, dŭcis ;
s aurœ. Virg. Exceptions. U erément est long : 1° dans les
noms
en us dont le génitif est en udis, uris, utis. Ex
s ou Ligur-ŭris ; pec-us, ŭdis ; interc-us, ŭtis. 2° dans les quatre
noms
fur, fūris ; frux, frūgis ; lux, lūcis ; Poll-ux,
; frux, frūgis ; lux, lūcis ; Poll-ux, ūcis. Remarques. — 1° Les
noms
de la troisième déclinaison qui ont deux créments
blatif sing. de la première déclin. : rosā, filiā. 2° au vocatif des
noms
en as tirés du grec : Æneas, vocatif Æneā ; Pall
E final est long : 1° aux nominatif, vocatif et ablatif des
noms
en e et en es de la première déclinaison : musicē
es de la première déclinaison : musicē, Anchisē. 2° à l’ablatif des
noms
de la cinquième déclinaison : rē, diē, etc., et d
iē, etc. Ajoutez famē, ablatif de l’ancienne forme fam-es, ei. et les
noms
qui ont en grec un η, comme cetē, tempē. 3° à l’
ntur. Ov. Exceptions. I final est bref : 1° au vocatif des
noms
en is imités du grec, comme Daphnis, Daphnĭ ; Ale
dō, qui sont de véritables datifs ou ablatifs : amandō. 3° dans les
noms
qui ont en grec un oméga à la dernière syllabe, c
n iō, dans ergō mis pour causā. O final est commun : 1° dans les
noms
, au nominatif et au vocatif : hom[ATTcaractere],
ebam. Virg. Remarque. — Les ablatifs de la quatrième déclinaison, le
noms
neutres en u et les supins éprouvent une contract
evocabilis hora. Il faut excepter sāl, sōl, nīl (pour nihil), et les
noms
hébreux, comme Daniēl, Michaēl, Nabāl. IV M
s en n sont longues ou brèves. N final est long : 1° dans les
noms
en ēn, gén. enis : rēn, renis ; sir-ēn, enis ; hy
n, gén. enis : rēn, renis ; sir-ēn, enis ; hym-ēn, enis. 2° dans les
noms
qui ont en grec une longue pour finale, comme Tit
s ēn, nōn, quīn, sīn, deīn, exīn N final est bref : 1° dans les
noms
en ēn qui font inis au génitif, comme num-ĕn, ini
inis au génitif, comme num-ĕn, inis ; flum-ĕn, inis, etc. 2° dans les
noms
qui ont en grec un omicron à leur finale, comme P
à leur finale, comme Peliŏn, Iliŏn. Ajoutez les accusatifs grecs des
noms
en is : Daphnĭn, Parĭn, et quelques accusatifs fé
r, fār, lār, nār, vēr, pār et ses composés impār, dispār 2° dans les
noms
en er qui ont un êta en grec, comme aēr, œthēr, c
astra. Virg. Exceptions : 1° AS final est bref : 1° dans les
noms
en as, adis, dérivés du grec : Arc-ăs, adis ; Pal
tc. ; joignez-y anăs-atis ; văs, vadis. 2° à l’accusatif pluriel des
noms
grecs de la troisième déclinaison : heroăs, Arcad
naison : heroăs, Arcadăs, etc. 2° ES final est bref : 1° dans les
noms
qui ont le crément bref, comme div-ĕs, ĭtis ; seg
potĕs, adĕs, prodĕs, etc. 3° au nominatif et au vocatif pluriels des
noms
dérivés du grec, comme Troĕs, Arcadĕs, (Ces noms
vocatif pluriels des noms dérivés du grec, comme Troĕs, Arcadĕs, (Ces
noms
font ēs long à l’accusatif.) 3° OS fin
s compŏs, impŏs, ŏs (génitif ossis) et son composé exŏs. 2° dans les
noms
qui, en grec, ont un omicron, comme Samŏs, Chiŏs,
e du besoin de la césure. 2° US final est long : 1° dans les
noms
de la troisième déclinaison qui ont ū long pour c
s, ūtis ; sal-ūs, ūtis ; rūs, rūris, etc. 2° au génitif singulier, au
nom
., voc. et accus. pluriels de la quatrième déclina
ls de la quatrième déclinaison45 : man-ūs, fruct-ūs, etc. 3° dans les
noms
qui, en grec, finissent en ους, comme Jesūs (en g
aut pas confondre les finales en us et en eus. Celles-ci, dérivées de
noms
grecs en ευς, forment une diphthongue qui est tou
est long dans Teth[ATTcaractere]s, Erinn[ATTcaractere]s, et d’autres
noms
en ys dérivés de mots grecs en υς long46. ART
ne voyelle longue ; comme Nέστωρ, Nestŏr ; ρήτωρ, rhetŏr, etc. 2. Les
noms
en a pur ont généralement la finale longue en gre
e Pλούτων, etc. 36. Tout ce que nous dirons des créments dans les
noms
, devra s’entendre aussi des créments dans les adj
upra, infra, sont pour superâ inferâ parte, etc. 42. La quantité des
noms
neutres en u, au nominatif, au vocatif et à l’acc
mple : Nuda genu, nodoque sinus collecta fluentes, etc. 43. Ces deux
noms
, qui ont pris à tous les cas la forme latine, en
, il y a donc une contraction. 45. C'est que, dans tous ces cas, les
noms
de la quatrième déclinaison éprouvent une contrac
sing., est pour manuis, et au pluriel manûs est pour manues. 46. Les
noms
grecs en υς et en υ, dont le génitif est en ος pu
, prononcez respect humain, comme s’il y avait respec humain. Des
noms
composés. 115. — Quand un nom est composé d’un
s’il y avait respec humain. Des noms composés. 115. — Quand un
nom
est composé d’un adjectif et d’un nom, ils prenne
ms composés. 115. — Quand un nom est composé d’un adjectif et d’un
nom
, ils prennent tous deux la marque du pluriel. Exe
arc-boutant, des arcs-boutants. 116. — Quand il est composé de deux
noms
unis par une préposition, on ne met la marque du
ne préposition, on ne met la marque du pluriel qu’au premier des deux
noms
. Exemples : un chef-d’œuvre, des chefs-d’œuvre ;
117. — Quand il est composé d’une préposition ou d’un verbe et d’un
nom
, le nom seul prend la marque du pluriel. Exemples
Quand il est composé d’une préposition ou d’un verbe et d’un nom, le
nom
seul prend la marque du pluriel. Exemples : un en
es : un entre-sol, des entre-sols ; un garde-fou, des garde-fous.
Noms
de nombre. 118. — Cent au pluriel, et vingt da
t vingt dans quatre-vingt, prennent une s, quand ils sont suivis d’un
nom
. Exemples : deux cents hommes, quatre-vingts volu
re, une demi-livre : ce mot demi ne change pas quand il est devant le
nom
; mais dites : une heure et demie, une livre et d
e heure et demie, une livre et demie : quand le mot demi est après le
nom
, il en prend le genre. Noms partitifs. 122
demie : quand le mot demi est après le nom, il en prend le genre.
Noms
partitifs. 122. — On appelle noms partitifs ce
e nom, il en prend le genre. Noms partitifs. 122. — On appelle
noms
partitifs ceux qui marquent la partie d’un plus g
, comme la plupart de, une infinité de, beaucoup de, peu de, etc. Les
noms
partitifs, suivis d’un nom pluriel, veulent le ve
nfinité de, beaucoup de, peu de, etc. Les noms partitifs, suivis d’un
nom
pluriel, veulent le verbe et l’adjectif au plurie
et quelquefois ils sont articles : l’article est toujours suivi d’un
nom
, le frère, la sœur, les hommes : au lieu que le p
e faut pas se servir du pronom son, sa, ses, leur, leurs, mis pour un
nom
de chose, à moins que ce nom ne soit exprimé dans
m son, sa, ses, leur, leurs, mis pour un nom de chose, à moins que ce
nom
ne soit exprimé dans la même phrase. Ainsi, ne di
’en admire les bâtiments. On emploie bien son, sa, ses, etc., pour un
nom
de chose, quand il est exprimé dans la même phras
u’ils soient, ne doivent pas oublier qu’ils sont hommes. S’il y a un
nom
entre quelque et que, alors on met quelque au mêm
nom entre quelque et que, alors on met quelque au même nombre que le
nom
. Exemple : Quelques richesses que vous ayez, vou
richesses que vous ayez, vous ne devez pas vous enorgueillir. Si le
nom
n’est placé qu’après le que et le verbe, alors il
e connais personne plus heureux que lui. Mais personne, employé comme
nom
, est du féminin : cette personne est très-heureus
un quelqu’un. Remarques sur les verbes. 137. — Le sujet, soit
nom
, soit pronom, se place après le verbe, 1° quand o
l’été à la campagne. Remarque sur le régime. 149. — Règle. Un
nom
peut être régi par deux adjectifs, ou par deux ve
phrases cent et vingt sont suivis d’un autre adjectif numéral. 3. Le
nom
médie désignant une mesure de chemin prend une s
ne mesure de chemin prend une s au pluriel. 1. Cependant, quoique le
nom
de chose ne soit pas dans la même phrase, on se s
Chapitre premier. Première espèce de mots. Le
nom
. 10. — Le Nom est un mot qui sert à nommer une
Chapitre premier. Première espèce de mots. Le nom. 10. — Le
Nom
est un mot qui sert à nommer une personne ou une
se, comme Pierre, Paul, livre, chapeau. 11. — Il y a deux sortes de
noms
, le nom commun et le nom propre. Le nom commun es
Pierre, Paul, livre, chapeau. 11. — Il y a deux sortes de noms, le
nom
commun et le nom propre. Le nom commun est celui
vre, chapeau. 11. — Il y a deux sortes de noms, le nom commun et le
nom
propre. Le nom commun est celui qui convient à pl
11. — Il y a deux sortes de noms, le nom commun et le nom propre. Le
nom
commun est celui qui convient à plusieurs personn
es ou à plusieurs choses semblables : homme, cheval, maison, sont des
noms
communs ; car le mot homme convient à Pierre, à P
es noms communs ; car le mot homme convient à Pierre, à Paul, etc. Le
nom
propre est celui qui ne convient qu’à une seule p
eule chose, comme Adam, Ève, Paris, la Seine, etc.1. 12. — Dans les
noms
, il faut considérer le genre et le nombre. Il y a
mbre. Il y a en français deux genres, le masculin, et le féminin. Les
noms
d’hommes ou de mâles sont du genre masculin, comm
mmes ou de mâles sont du genre masculin, comme un père, un lion ; les
noms
de femmes ou de femelles sont du genre féminin, c
comme les hommes, les livres. Comment se forme le pluriel dans les
noms
. 14. — Règle générale. Pour former le pluriel
14. — Règle générale. Pour former le pluriel, ajoutez s à la fin du
nom
: le père, les pères ; la mère, les mères ; le li
le livre, les livres ; la table, les tables. Première remarque. Les
noms
terminés au singulier par s, z, x, n’ajoutent rie
s fils ; le nez, les nez ; la voix, les voix. Deuxième remarque. Les
noms
terminés au singulier par au, eu, ou, prennent x
eux ; le caillou, les cailloux 1. Troisième remarque. La plupart des
noms
terminés au singulier par al, ail, font leur plur
es personnes, à toutes les choses semblables ou de la même espèce. Le
nom
propre convient à une ou à plusieurs personnes, à
pellent Jacques, Antoine, etc. Il n’est donc pas exact de dire que le
nom
propre ne convient qu’à une seule personne. 1. L
e dire que le nom propre ne convient qu’à une seule personne. 1. Les
noms
en ou prennent une s au pluriel, suivant la règle
ts. L’adjectif. 17. — L’Adjectif est un mot que l’on ajoute au
nom
pour marquer la qualité d’une personne ou d’une c
age : ces mots bon, bonne, beau, belle, sont des adjectifs joints aux
noms
père, mère, etc. On connaît qu’un mot est adjecti
fs. 21. — Le pluriel, dans les adjectifs, se forme comme dans les
noms
, en ajoutant s à la fin : bon, bonne ; au pluriel
conjugal, austral, boréal, final 2. Accord des adjectifs avec les
noms
. 22. — Règle. Tout adjectif doit être du même
Règle. Tout adjectif doit être du même genre et du même nombre que le
nom
auquel il se rapporte. Exemples. Le bon père, la
ulin et au pluriel, etc. 23. — Quand un adjectif se rapporte à deux
noms
singuliers, on met cet adjectif au pluriel, parce
ger sont égaux après la mort : (et non pas égal.) 24. — Si les deux
noms
sont de genres différents, on met l’adjectif au m
. — Quant à la place des adjectifs, il y en a qui se mettent avant le
nom
, comme beau jardin, grand arbre, etc. D’autres se
om, comme beau jardin, grand arbre, etc. D’autres se mettent après le
nom
, comme habit rouge, table ronde, etc. L’usage est
égard. Régime des adjectifs 1. 26. — Règle. Pour joindre un
nom
à un adjectif précédent, on met de ou à entre cet
nom à un adjectif précédent, on met de ou à entre cet adjectif et le
nom
: alors on appelle ce nom le régime de l’adjectif
nt, on met de ou à entre cet adjectif et le nom : alors on appelle ce
nom
le régime de l’adjectif. Exemples. Digne de réco
appelle relatif, parce qu’il marque un rapport aux autres villes.
Noms
et adjectifs de nombre. 30. — Les noms de nom
ort aux autres villes. Noms et adjectifs de nombre. 30. — Les
noms
de nombre sont ceux dont on se sert pour compter1
nt ceux dont on se sert pour compter1. Il y en a de deux sortes : les
noms
de nombre cardinaux, et les noms de nombre ordina
ter1. Il y en a de deux sortes : les noms de nombre cardinaux, et les
noms
de nombre ordinaux. Les noms de nombre cardinaux
s : les noms de nombre cardinaux, et les noms de nombre ordinaux. Les
noms
de nombre cardinaux sont : un, deux, trois, quat
, quarante, cinquante, soixante, quatre-vingts, cent, mille, etc. Les
noms
de nombre ordinaux se forment des cardinaux : ces
ille, etc. Les noms de nombre ordinaux se forment des cardinaux : ces
noms
sont, premier, second, troisième, quatrième, cinq
septième, huitième, neuvième, dixième, etc. 31. — Il y a encore des
noms
de nombre qui servent à marquer une certaine quan
comme : le double, le triple, etc. 1. Les adjectifs, ainsi que les
noms
en ant, ou en ent, tels que enfant, prudent, cons
moitié, le tiers, le quart, le double, le triple, etc. on les appelle
noms
.
espèce de mots, il est essentiel d’observer que, dans le discours, un
nom
peut être employé de trois manières : 1°. au voca
t latin vocare, signifiant appeler : 2°. en sujet : 3°. en régime. Un
nom
est au vocatif, quand, par ce nom, on adresse la
: 2°. en sujet : 3°. en régime. Un nom est au vocatif, quand, par ce
nom
, on adresse la parole à une personne ou à une cho
us de frapper ! Dans ces phrases, homme et glaive sont au vocatif. Un
nom
est employé en sujet, quand, par ce nom, on désig
et glaive sont au vocatif. Un nom est employé en sujet, quand, par ce
nom
, on désigne la personne ou la chose, qui, comme j
ots, corruption, bonheur. On doit juger, par ce seul exemple, que les
noms
substantifs peuvent être régimes et régissants. I
substantifs peuvent être régimes et régissants. Il en est de même des
noms
adjectifs, des pronoms et des verbes. En voici de
nt qu’indirectement aux mots exemple et nous. Il arrive souvent qu’un
nom
substantif, quoique de le précède, est en régime
cule, avec de préposition : voici pour cela un principe sûr. Quand un
nom
substantif, que de précède, peut répondre à la qu
? il est en régime simple ; et de est alors particule. Quand ce même
nom
peut répondre à la question de qui ? ou de quoi ?
Observations sur l’Article. L’article devant être placé avant les
noms
, pour leur donner un sens précis et déterminé, il
ms, pour leur donner un sens précis et déterminé, il s’ensuit que les
noms
qu’on emploie dans un sens vague et indéterminé,
Suppression de l’article. On supprime encore l’article avant les
noms
communs, pris dans une partie indéterminée de leu
pris dans une partie indéterminée de leur signification, lorsque ces
noms
sont précédés de leur adjectif, ou d’un adverbe q
beaucoup de jugement, on peut se consoler d’avoir peu de fortune. Les
noms
substantifs, connaissances, sentiments, jugement,
’article particulé des pour de les, avant connaissances, parce que ce
nom
n’est point précédé de son adjectif ; et par la r
iments. Je le supprime aussi avant jugement et fortune, parce que ces
noms
sont précédés des adverbes de quantité, peu, beau
n’osent le venger. Il aurait fallu d’indignes fils. J’ai dit que les
noms
substantifs, précédés de leur adjectif, et avant
t aux adverbes de quantité pas et point, lorsque, sans influer sur le
nom
substantif qu’ils précédent, ils tombent sur un a
aire sur cette règle, qui veut qu’on n’emploie pas l’article avant un
nom
précédé de son adjectif. Elle ne souffre à cet ég
son adjectif. Elle ne souffre à cet égard aucune difficulté, quand ce
nom
est au pluriel. Mais doit-elle être observée, qua
, quand ce nom est au pluriel. Mais doit-elle être observée, quand ce
nom
est au singulier ? C’est ce que les grammairiens
de, elle dit : de bonne viande ; de belle viande. Pourquoi le premier
nom
est-il précédé de l’article particulé du ? et pou
cadémie, dans le même ouvrage, après avoir employé l’article avant un
nom
masculin, le supprime avant un autre nom de ce ge
r employé l’article avant un nom masculin, le supprime avant un autre
nom
de ce genre : après avoir dit, du petit papier, e
us donc pas en droit de conclure que cette règle ne regarde point les
noms
qui sont au singulier, et qu’on peut indifféremme
peut indifféremment employer, ou ne pas employer l’article avant ces
noms
? Observation sur une remarque de Wailly W
mploie principalement l’article, pour déterminer la signification des
noms
communs, soit, comme je l’ai dit ailleurs, qu’on
noms communs, soit, comme je l’ai dit ailleurs, qu’on veuille par ces
noms
exprimer toute une espèce de choses, soit qu’on n
rs parties de cette espèce, on le met cependant quelquefois avant les
noms
propres d’hommes. Mais faut-il alors mettre ces n
uefois avant les noms propres d’hommes. Mais faut-il alors mettre ces
noms
au singulier, ou au pluriel ? Pour résoudre cette
ntifs ne servent, précisément, qu’à distinguer les personnes par leur
nom
, ils doivent être mis au singulier. On dira donc
s, tels que les Scipion, les Turenne, et les Maurice. Mais si par ces
noms
de personne, on veut exprimer une qualité, on doi
s. L’article accompagne encore les adjectifs placés avant ou après un
nom
propre. = Henri le Grand ; le grand Henri ; Louis
rès Duclos, que, dans ces cas, l’adjectif mis avec l’article avant le
nom
propre, ne sert qu’à qualifier cette personne don
: placé après, il sert à la distinguer de celles qui portent le même
nom
. Ainsi, le riche Luculle, veut dire seulement, Lu
ession élégante de l’article. Quoique l’article doive précéder les
noms
qu’on veut employer dans un sens précis et déterm
un sens précis et déterminé, on peut cependant le supprimer avant ces
noms
, pour rendre la diction plus vive. Quand on dit,
ille occasions, que la suppression ou l’emploi de l’article, avant un
nom
substantif, précédé d’un verbe, change entièremen
mes. D’ailleurs, l’article doit toujours accompagner immédiatement un
nom
substantif exprimé ou sous-entendu. Or il n’y en
est pas correct : Vous voyez, devant vous, un prince déplorable.
Noms
de nombre. Quand un nom de nombre est précédé
z, devant vous, un prince déplorable. Noms de nombre. Quand un
nom
de nombre est précédé du pronom relatif en, on me
préposition de avant l’adjectif ou le participe qui se rapporte à ce
nom
: = on en compte trois de tués et six de blessés
de blessés : = il y en a deux de médiocres et quatre de mauvais. Les
noms
de nombre adjectifs, cent et vingt ont un pluriel
uatre-vingts hommes, deux cents hommes. Mais s’ils précédent un autre
nom
de nombre, ils restent au singulier. Il faut donc
crire sans s dans quatre-vingt-dix, deux cent cinquante, etc. Mille,
nom
de nombre adjectif, n’a pas de pluriel, et par co
s années : = l’hiver fut très rude en mil sept cent neuf. Mais mille,
nom
substantif, signifiant une étendue de mille pas,
il faut une s finale dans deux milles, trois milles d’Allemagne. Les
noms
de nombre, deux, trois, et cinq, ne peuvent pas s
rai un pavillon. Dans les trois premiers exemples, il faut répéter le
nom
, et dans les autres y suppléer par les pronoms en
emploient point avec la préposition de, lorsqu’ils se rapportent à un
nom
collectif, même de choses animées. On ne dira don
porte sa récompense avec soi : = ce remède est bon de soi. Mais si le
nom
auquel ce pronom se rapporte, est au pluriel, on
mes ; c’est-à-dire, nous sommes eux. Les pronoms y et en suppléent au
nom
des personnes et des choses : = pensez-vous à moi
ser autrui ; mépriser autrui. Quelqu’un, ne se rapportant point à un
nom
substantif, ne peut s’employer au pluriel qu’en s
rcer votre valeur. Le pronom celui, employé tout seul à la place d’un
nom
substantif, qu’on ne veut point répéter, n’en exp
uilles, ceux en métal. Dans la première phrase, il fallait répéter le
nom
et dire : le précepte si généreux du pardon des i
nature, etc. Dans les deux autres, si l’on ne voulait pas répéter le
nom
, il fallait joindre au pronom celui, le relatif q
crée. Cette règle doit être également observée, quand on a employé un
nom
collectif de personnes. Ainsi l’on ne pourrait pa
qu’à expliquer, à développer une idée, renfermée ou supposée dans le
nom
auquel il se rapporte. Il est déterminatif, lorsq
orte. Il est déterminatif, lorsqu’il détermine la signification de ce
nom
. Dieu qui est juste, punira les hommes, qui viole
s grande faute encore de placer le pronom qui, immédiatement après un
nom
auquel il ne se rapporte pas, comme dans cette ph
, le mien, le tien, le sien, etc., ne peuvent point se rapporter à un
nom
commun, qui n’est point précédé de l’article, ou
e trouve bien fondé. Il faut dire : vous avez le droit, ou répéter le
nom
, au lieu du pronom, en disant et je trouve ce dro
endu. Le pronom relatif, en effet, doit toujours rappeler l’idée d’un
nom
qui a une signification déterminée. Or un nom ne
rs rappeler l’idée d’un nom qui a une signification déterminée. Or un
nom
ne peut avoir cette signification, s’il n’est pré
défini ; et, cependant, les pronoms la, elle, rappellent l’idée de ce
nom
, comme s’il présentait un sens défini ; ce qui n’
l, aucune, déterminent, aussi bien que l’article, la signification du
nom
, mais seulement, lorsqu’ils sont suivis du relati
dit que si l’article, ou un mot équivalent, est sous-entendu avant le
nom
, on peut employer le pronom. Ainsi les phrases su
verbe se met au même nombre et à la même personne que son sujet. Les
noms
substantifs faisant la fonction de sujet, désigne
qui est le sujet, se met au même nombre et à la même personne, que le
nom
ou pronom, auquel le qui se rapporte. On dira don
reur. Il aurait fallu, qui me tues. Lorsque le verbe a pour sujet un
nom
collectif partitif, ou un adverbe de quantité, su
jet un nom collectif partitif, ou un adverbe de quantité, suivis d’un
nom
substantif pluriel, il doit être mis lui-même au
nt de philosophes se sont égarés. La raison de cette règle est que le
nom
collectif, ou l’adverbe de quantité, ne présente
lait dire, ont prétendu. La plupart, quoiqu’il ne soit suivi d’aucun
nom
, veut le verbe, et l’adjectif ou le participe qui
fauts que nous avons nous-mêmes. Le verbe qui a pour sujets plusieurs
noms
singuliers, qui ne sont pas liés par une conjonct
ospérité, la fortune, le mauvais exemple n’a pu le gâter. Mais si ces
noms
sont liés par une conjonction, on met le verbe au
. On dit, élever en dignité, parce qu’il n’y a pas d’article avant ce
nom
. Mais il faut dire, élever à une dignité, parce q
: = son mérite supplée au défaut de sa naissance. Répétition d’un
nom
en régime après deux verbes. Quand deux verbes
x verbes, qui ont de leur nature différents régimes, sont suivis d’un
nom
, il faut que le nom en régime soit mis après chac
leur nature différents régimes, sont suivis d’un nom, il faut que le
nom
en régime soit mis après chacun de ces deux verbe
soit prépositions, etc. Chacun d’eux assujettit à son régime le même
nom
. Ne dites donc pas : les rois sont soumis et dépe
alors employé absolument, c’est-à-dire, qu’il ne doit point avoir de
nom
ni de pronom en régime. Ainsi il y a une faute da
pe soit déclinable, la réunion de ces trois circonstances : 1°. qu’un
nom
ou un pronom le précède : 2°. que ce nom ou ce pr
is circonstances : 1°. qu’un nom ou un pronom le précède : 2°. que ce
nom
ou ce pronom soit régi par ce participe, joint à
i par ce participe, joint à son auxiliaire avoir ou être : 3°. que ce
nom
ou ce pronom soit en régime simple. Voici d’abord
es avez-vous composés ? = quelles contrées avez-vous parcourues ? Ces
noms
substantifs livre, beauté, ouvrages, contrées, so
ues. Donc ces participes doivent prendre le genre et le nombre de ces
noms
. La valeur que vous avez montrée, dans ce combat
rs être séparé du verbe neutre auquel il est joint, régit lui-même le
nom
ou pronom en régime simple qui les précède, et do
soit, ne présente avec cet infinitif qu’une idée à l’esprit. Ainsi le
nom
ou pronom qui les précède, et qui est en régime s
’une phrase. Il y est fort bien placé, 1°. lorsqu’il se rapporte à un
nom
ou à un pronom substantif, (voyez ce que j’ai dit
raite. 2°. Lorsqu’il se rapporte naturellement et sans équivoque à un
nom
ou à un pronom substantif, qui est en régime, soi
articipe, ou l’adjectif, ou le substantif ne se rapportant point à un
nom
, se rapportent seulement au pronom adjectif, qui
n nom, se rapportent seulement au pronom adjectif, qui est joint à ce
nom
, alors la construction est vicieuse. C’est ce qu’
t, que de dire : il est arrivé devant moi. L’article se met devant le
nom
. Il faudrait dire avant moi, avant le nom. Il y a
L’article se met devant le nom. Il faudrait dire avant moi, avant le
nom
. Il y a cependant quelques circonstances, mais en
ici, après l’Académie, que, quand cette préposition se joint avec un
nom
, elle ne reçoit jamais l’article pluriel les, imm
ssessifs, a lieu pour les prépositions. On doit les répéter avant des
noms
ou des verbes qui signifient des choses opposées,
. C’est, 1° lorsqu’on en met plusieurs ensemble, et qu’on ne place le
nom
qu’après le dernier : = il y a des animaux dessus
s, moins, si, autant et autres termes comparatifs, ainsi qu’avant les
noms
de nombre. = Démosthène n’est pas si diffus que C
s pu penser qu’au sang d’Agamemnona, Achilleb préférât une fille sans
nom
, Qui, de tout son destin ce qu’elle a pu compren
nous servons pour exprimer nos pensées. Il y en a de huit sortes : le
nom
, l’article, le pronom, le verbe, la préposition,
ticle I. Des trois premières parties de l’oraison. I. Du
Nom
. Tous les êtres qui existent, sont les objets
m. Tous les êtres qui existent, sont les objets de nos idées. Les
noms
ont été inventés, pour exprimer ces objets, soit
s, soit spirituels, soit corporels. Si l’on parle d’un seul objet, le
nom
est au nombre singulier. Si l’on parle de plusieu
objet, le nom est au nombre singulier. Si l’on parle de plusieurs, le
nom
est au nombre pluriel. Si cet objet est, ou est c
m est au nombre pluriel. Si cet objet est, ou est censé être mâle, le
nom
est du genre masculin, désigné par le mot le ou u
= le livre, un livre. Si cet objet est, ou est censé être femelle, le
nom
est du genre féminin, désigné par le mot la ou un
ou une : = la mère, une mère : = la table, une table. Division des
noms
. Les objets de nos idées peuvent être considér
avec quelques qualités dont ils sont revêtus : delà, deux espèces de
nom
; le substantif, et l’adjectif. Le nom substantif
evêtus : delà, deux espèces de nom ; le substantif, et l’adjectif. Le
nom
substantif est un mot, dont nous nous servons, po
loquent. Ici, esprit, vertu, maison, jardin, César, Cicéron, sont des
noms
substantifs. Vaste, rare, commode, agréable, vict
ntifs. Vaste, rare, commode, agréable, victorieux, éloquent, sont des
noms
adjectifs. Il est aisé de comprendre que le nom s
, éloquent, sont des noms adjectifs. Il est aisé de comprendre que le
nom
substantif signifie quelque chose par lui-même, c
mots vaste, rare, commode, agréable, victorieux, éloquent. Lorsqu’un
nom
substantif peut convenir à tous les objets d’une
en général. S’il ne peut convenir qu’à un seul objet, comme Annibal (
nom
d’un homme), Paris (nom d’une ville), la Seine (n
t convenir qu’à un seul objet, comme Annibal (nom d’un homme), Paris (
nom
d’une ville), la Seine (nom d’une rivière), il es
t, comme Annibal (nom d’un homme), Paris (nom d’une ville), la Seine (
nom
d’une rivière), il est propre. Celui qui, quoiqu’
es, plusieurs soldats réunis. Il est essentiel de distinguer dans les
noms
collectifs, ceux qui renferment l’idée d’un tout
noms collectifs, ceux qui renferment l’idée d’un tout (tels sont les
noms
que je viens de citer), et ceux qui renferment se
part, une troupe de, etc. une quantité de, etc. Les premiers sont des
noms
collectifs généraux : les autres sont des noms co
Les premiers sont des noms collectifs généraux : les autres sont des
noms
collectifs partitifs. Il y a encore des noms qu’o
ux : les autres sont des noms collectifs partitifs. Il y a encore des
noms
qu’on appelle noms de nombre. Les uns expriment l
t des noms collectifs partitifs. Il y a encore des noms qu’on appelle
noms
de nombre. Les uns expriment la quantité des chos
t appelés nombres ordinaux. Les uns et les autres sont adjectifs. Les
noms
de nombre qui marquent assemblage de plusieurs no
e qu’il posséde, est le plus heureux de tous les hommes. Genre des
noms
. Tous les noms adjectifs sont des deux genres.
st le plus heureux de tous les hommes. Genre des noms. Tous les
noms
adjectifs sont des deux genres. Il y en a qui ont
la grand-messe ? = c’est grand-pitié de voir souffrir cet homme. Les
noms
substantifs ne sont ordinairement que d’un genre.
i, employé comme adjectif : = un homme esclave, une femme esclave. Le
nom
pluriel gens exige plusieurs remarques. 1°. Il es
l : = on voit dans cette église de très belles orgues. 2°. Il y a des
noms
substantifs qui sont des deux genres, mais seulem
est féminin : = ce bateau s’est enfoncé dans la vase. 3°. Il y a des
noms
substantifs qui sont des deux genres, mais avec d
use : le médiateur, la médiatrice de la paix, etc. Terminaison des
noms
. La plupart des noms, tant substantifs qu’adje
édiatrice de la paix, etc. Terminaison des noms. La plupart des
noms
, tant substantifs qu’adjectifs, doivent être term
nsée juste et brillante ! quelles pensées justes et brillantes ! Les
noms
qui se terminent au singulier en eau ou en eu, pr
: le feu ; les feux, etc. Mais bleu fait au pluriel bleus. Parmi les
noms
en ou, les uns prennent un x : = le chou ; les ch
jou ; les bijous : le verrou ; les verrous, etc. Au reste, il y a des
noms
, soit substantifs, soit adjectifs, qui finissent
x, ou un z ; et l’on doit juger qu’ils les conservent au pluriel. Les
noms
en al ont le pluriel en aux : = égal ; égaux : ro
pour les ferrer ou pour les panser, il fait au pluriel travails. Les
noms
qui sont composés de plusieurs mots liés ensemble
, et des garde-fous. Cependant la même académie ajoute, dans quelques
noms
de cette espèce, une s à la fin du premier mot. E
item, etc. Elle écrit aussi : des lazzi ; des oui-dire, etc. Dans les
noms
qui se terminent en ent, ou ant, c’est aujourd’hu
’on écrive au singulier tout, on écrit au pluriel tous. Nombre des
noms
. Il y a des noms qui n’ont point de pluriel. L
ier tout, on écrit au pluriel tous. Nombre des noms. Il y a des
noms
qui n’ont point de pluriel. Les substantifs de ce
re, etc.) ; renommée, repos, sang, soif, sommeil, etc. Ajoutez à ces
noms
, 1°. les noms des métaux pris en général, c’est-à
nommée, repos, sang, soif, sommeil, etc. Ajoutez à ces noms, 1°. les
noms
des métaux pris en général, c’est-à-dire, lorsqu’
us ce rapport seulement qu’on dit, des fers, des plombs, etc. 2°. Les
noms
des vertus et des vices ; comme foi, sincérité, a
x genres. Ce mot ne signifie rien par lui-même. On le place avant les
noms
substantifs, lorsqu’on veut les tirer d’une signi
ignification vague, pour leur en donner une précise et déterminée. Un
nom
en effet, employé tout seul, ne présente que la s
e l’on donne à cette idée ; et alors on détermine la signification du
nom
qui présente cette même idée. Prenons pour exempl
que je n’ai pu les employer, qu’en vertu de l’article placé avant ce
nom
, et que par conséquent c’est cet article qui en d
ent la signification. Il s’ensuit de là qu’on met l’article avant les
noms
, soit que l’on veuille par ces noms exprimer déte
là qu’on met l’article avant les noms, soit que l’on veuille par ces
noms
exprimer déterminément toute une espèce de choses
ent point maîtriser par leurs passions. Observons qu’il n’y a que les
noms
substantifs exprimés ou sous-entendus, qui puisse
cle est simple, ou particulé : simple, lorsqu’il précède tout seul le
nom
substantif ; le bonheur ; la bienfaisance : parti
nom dit assez par lui-même que c’est un mot qu’on met à la place d’un
nom
. On l’emploie pour rappeler l’idée de ce nom, don
u’on met à la place d’un nom. On l’emploie pour rappeler l’idée de ce
nom
, dont on veut éviter la répétition trop fréquente
pour île, et le troisième pour peuples. Ils rappellent l’idée de ces
noms
, et en font éviter la répétition. Division des
ue les pronoms de chaque espèce ont de particulier. Ils sont de vrais
noms
; les uns substantifs, les autres adjectifs, et d
sont des pronoms qu’on nomme relatifs, parce qu’ils ont rapport à un
nom
qui les précède : = il faut aimer la vertu et la
leurs, sont des pronoms adjectifs, quand ils sont mis à la place des
noms
: = je défends son ami ; qu’il défende le mien. M
ectifs. Que, mis absolument, c’est-à-dire, sans être précédé d’un
nom
auquel il ait rapport, est substantif : = que vou
que répondre. Il signifie ici quelle chose. Que, ayant rapport à un
nom
qui le précède, et pour lors pronom relatif, est
ompagnés que du pronom il, à la place duquel on ne peut pas mettre un
nom
, s’appellent impersonnels : = il faut : il import
s personnes : les nombres dans les verbes sont les mêmes que ceux des
noms
. Il n’y a proprement que trois temps dans la natu
ce poète, qui dit : Car dans l’instant que tu combine Quel est mon
nom
, mon origine, etc. Il aurait fallu combines. Ce
s français, que ce héros parlé, pour ayant parlé. Passer, suivi d’un
nom
substantif, prend avoir : = les troupes ont passé
eux. Il fallait dire avait passé. Quand ce verbe n’est pas suivi d’un
nom
, il prend être : = l’armée est passée : ces fleur
pas, avec deux écrivains modernes : combien de grands hommes, dont le
nom
a resté dans l’oubli ! = les ennemis, après avoir
aurait trop bien retenir les définitions que je vais rappeler ici. Le
nom
désigne les objets (c’est le substantif), ou en e
ou en exprime quelque qualité (c’est l’adjectif). L’article tire les
noms
d’une signification vague, pour leur en donner un
ur en donner une précise et déterminée. Le pronom tient la place d’un
nom
, en rappelle l’idée, et en fait éviter la répétit
ntre le vice et un refuge contre le malheur ! » Analyse. Religion.
Nom
com. f. sing. employé comme nom propre parce que
le malheur ! » Analyse. Religion. Nom com. f. sing. employé comme
nom
propre parce que la Religion est ici personnifiée
égulier. ton. Adj. possessif, m. sing., déterminant empire. empire.
Nom
com. m. sing., sujet de est. que. Pour combien,
plément ou régime direct du verbe doivent. de. Préposition. vertus.
Nom
com. f. pl. complétant, à l’aide de la prépos. de
onjugaison. les. Article m. plur. se rapportant a humains. humains.
Nom
com. m. plur., sujet du verbe doivent. Oh ! Inte
ualificatif, m. sing., se rapportant au pron. il et par conséquent au
nom
mortel. le. Art. m. sing., se rapportant à morte
sition. tes. Adj. possessif f. plur., déterminant vérités. vérités.
Nom
com. f. plur., complétant, à l’aide de la prépos.
Préposition. ton. Adj. possessif m. sing., déterminant sein. sein.
Nom
com. m. sing., formant, à l’aide de la prépos. de
trouve. un. Adj. numéral card. m. sing., déterminant asile. asile.
Nom
com. m. sing., complément ou régime direct du ver
contre. Préposition. le. Art. m. sing., se rapportant à vice. vice.
Nom
com. m. sing., formant, à l’aide de la prépos. co
asile. un. Adj. numéral card. m. sing., déterminant refuge. refuge.
Nom
com. m. sing., complément ou régime direct du ver
. Préposition. le. Art. m. sing., se rapportant à malheur. malheur.
Nom
com. m. sing., formant, à l’aide de la prépositio
L’article. 15. — L’Article est un petit mot que l’on met devant les
noms
communs, et qui en fait connaître le genre et le
article : le, la, au singulier ; les, au pluriel. Le se met devant un
nom
singulier masculin, le père ; la se met devant un
e met devant un nom singulier masculin, le père ; la se met devant un
nom
singulier féminin, la mère ; les se met devant to
devant un nom singulier féminin, la mère ; les se met devant tous les
noms
pluriels, soit masculins, soit féminins, les père
ulins, soit féminins, les pères, les mères. Ainsi, l’on connaît qu’un
nom
est du genre masculin, quand on peut mettre le de
ît qu’un nom est du genre masculin, quand on peut mettre le devant ce
nom
; on connaît qu’un nom est du genre féminin, quan
re masculin, quand on peut mettre le devant ce nom ; on connaît qu’un
nom
est du genre féminin, quand on peut mettre la.
XI, au mot Orthographe, page 52. Deuxième remarque. Pour joindre un
nom
à un mot précédent, on met de ou à devant ce nom
que. Pour joindre un nom à un mot précédent, on met de ou à devant ce
nom
; fruit de l’arbre ; utile à l’homme. Alors, au l
e l’arbre ; utile à l’homme. Alors, au lieu de mettre de le devant un
nom
masculin singulier, qui commence par une consonne
ce par une consonne, on met du. Au lieu de à le, on met au. Devant un
nom
pluriel, de les se change en des ; à les se chang
eu de débauche, qu’il était honteux de ne pas s’y enivrer. Amalthée,
nom
de la chèvre qui nourrit Jupiter, et que ce Dieu
Grecs, l’avait établi, l’an 1522 avant J.-C. ; et c’est de son propre
nom
, que les juges étaient appelés Amphictyons. Anni
i la Livadie du milieu, dans la Turquie d’Europe. Elle avait tiré son
nom
d’une de ses montagnes, qui, suivant les poètes,
dans l’ancienne Palestine. Quoique ruinée, elle porte encore le même
nom
. Asdrubal-Barca, un des plus grands généraux Car
revers. Atride. On appelait ainsi Agamemnon et son frère Ménélas du
nom
de leur père Atrée. Lorsque Agamemnon commandait
e, et prit le titre d’Empereur. Deux ans après, il reçut du Sénat les
noms
de Prince, d’Auguste et de Père de la Patrie. Dep
t que les poètes prennent souvent pour l’Italie même. Elle tirait son
nom
d’Auson, un des premiers rois de ce pays. B
té bâtie. Basan ou Astaroth, ville capitale du royaume de ce premier
nom
, dans le pays des Gergéséens, peuples de l’ancien
s la mer Méditerranée, sur les côtes de la Turquie d’Asie. Cythérée,
nom
que l’on donne souvent à Vénus, parce qu’elle ava
n fils. Il mourut de la petite vérole en 1711, âgé de 50 ans. Dioné,
nom
que l’on donne à Vénus, comme étant celui de sa m
avant Jésus-Christ. Eugène ( François de Savoie, plus connu sous le
nom
de prince), né à Paris en 1663, d’Eugène Maurice
les-Emmanuel duc de Savoie. Eugène fut d’abord ecclésiastique sous le
nom
de l’abbé de Carignan. Il demanda une abbaye, qu’
avoir régné 29. F Flore, nymphe appelée Chloris et qui prit le
nom
de Flore, lorsque Zéphire la fit déesse des fleur
séens, peuples de la terre de Canaan, et qui s’appelait alors de leur
nom
Jébus. Nabuchodonosor, roi des Assyriens et des B
diterranée, et dont la capitale était Jérusalem. Elle porta plusieurs
noms
, et fut appelée 1º. Terre de Canaan, du nom des C
em. Elle porta plusieurs noms, et fut appelée 1º. Terre de Canaan, du
nom
des Cananéens qui l’habitaient ; 2º. Terre promis
ce même peuple s’étant divisé, il eut formé les deux royaumes de ces
noms
. 5º. Judée, lorsque ces deux peuples réunis ne fo
Juda. Les Grecs et les Romains appelèrent cette contrée Palestine, du
nom
des Palestins ou Philistins, peuples voisins, qu’
résidait aux mariages et aux accouchements ; ce qui lui fit donner le
nom
de Lucine. La fable dit que la Discorde piquée de
ts, au nord d’Arras. Louis (Saint), roi de France, et le neuvième de
nom
, de la troisième race. Il monta sur le trône, en
roit où il reçoit le Mein. Elle est la capitale de l’électorat de son
nom
; et son archevêque, le premier des électeurs et
originaire, de Fribourg, et nommé Bertod Schwarts, mais dont le vrai
nom
était Constantin Ancklitzen, inventa en 1280 la p
s de lettres estimables, particulièrement de Virgile et d’Horace. Son
nom
est aujourd’hui un titre d’honneur pour les grand
t qu’il rendit mère des neuf muses. Les anciens la révéraient sous le
nom
de déesse de mémoire. Ce qui a donné lieu à cette
cessaire dans l’étude des sciences et des arts. Mémoire (filles de).
Nom
que l’on donne souvent aux neuf muses, comme fill
éros ! Messine, capitale de la Sicile, sur le détroit qui porte son
nom
, et auprès duquel est un fare, ou une tour avec u
sécha de langueur. Les Dieux le changèrent en une fleur qui porte son
nom
. Nérons (les). Ils étaient de la maison Claudia,
arquins, fut avec cinq mille de ses vassaux s’établir à Rome, sous le
nom
d’Appius Claudius. Cette maison se divisa en plus
ron, vainqueur d’Asdrubal, près du fleuve Métaure. Elle avait pris le
nom
de Néron de la langue sabine, où Néro signifie br
mpara, après un siège de neuf mois, de Samos, capitale de l’île de ce
nom
(aujourd’hui Céphalonie, dans la mer Ionienne). H
sud-ouest de la Judée, aujourd’hui Terre Sainte. Phœbus. Quoique ce
nom
n’ait été donné à Apollon que dans le ciel où il
mines d’argent. Il y a tout auprès une grande et belle ville du même
nom
. Prométhée, fils de Japet, qui, suivant la fable
ot Rome dans les notes, à la fin du premier volume. S Samarie,
nom
de la capitale du royaume d’Israël après la destr
vers l’an 710 avant J.-C., ce prince impie et blasphémateur du saint
nom
du vrai Dieu, étant entré, avec une armée formida
ù les luthériens firent des protestations ; ce qui leur fit donner le
nom
de Protestants. Sybaris, ville qui n’existe plus
millions d’aujourd’hui à faire bâtir le château, et portait alors le
nom
de Vaux-le-Vicomte. Au commencement du siècle der
u siècle dernier, elle fut appelée Vaux-le-Villars, du maréchal de ce
nom
, qui en avait fait l’acquisition. Elle passa ensu
ujourd’hui l’Archipel). C’est le même que le Scamandre, qui reçut son
nom
de Scamander, venu de l’île de Crète dans ce pays
ts. Le pronom. 32. — Le Pronom est un mot qui tient la place du
nom
. Pronoms personnels. 33. — Les pronoms pers
je parle de lui, d’elle, etc., selon la personne ou la chose dont le
nom
a été exprimé auparavant. 2° Y qui signifie à cet
, elles, doivent toujours être du même genre et du même nombre que le
nom
dont ils tiennent la place : ainsi, en parlant de
rs 41. — Première remarque. Ces pronoms sont toujours joints à un
nom
: mon livre, ton chapeau. Deuxième remarque. Mon
ux-ci. Ceux-ci. Ceux-là. Ceux-là. Remarque. On met ce devant les
noms
qui commencent par une consonne ou une h aspirée
43. — Il y a des pronoms relatifs, c’est-à-dire, qui ont rapport à un
nom
qui est devant, comme quand je dis : Dieu qui a c
e sortes de pronoms indéfinis. 1° Ceux qui ne se joignent jamais à un
nom
, comme on, quelqu’un, quelqu’une, quiconque, chac
ne désigne pas quelle elle est. 2° Ceux qui sont toujours joints à un
nom
, comme quelque, chaque, quelconque, certain, cert
uelque nouvelle, certain auteur1. 3° Ceux qui sont tantôt joints à un
nom
et tantôt seuls, comme nul, nulle ; aucun, aucune
n les considère comme adjectifs parce qu’ils accompagnent toujours un
nom
. 2. Ces mots sont adjectifs indéfinis lorsqu’ils
nom. 2. Ces mots sont adjectifs indéfinis lorsqu’ils accompagnent un
nom
, et pronoms indéfinis lorsqu’ils sont employés se
de, nous l’avons adoptée, et nous avons maintenant à étudier, sous le
nom
de petits poèmes, des pièces qui ont en effet une
ion de suivre cette manière de philosopher, c’est lui qui a donné son
nom
à ce genre d’instruction. Ésope était Phrygien ;
é et de précision énergique. Elle s’adresse à tous ceux que trompe le
nom
de la liberté, et qui croient qu’elle consiste à
des grâces qu’elle peut recevoir. On a donné aux pièces pastorales le
nom
d’églogues, qui, en grec, signifie pièces choisie
s choisies en quelque genre que ce soit. On a ensuite désigné sous ce
nom
de petits poèmes sur la vie champêtre, recueillis
petits poèmes sur la vie champêtre, recueillis en un même volume. Le
nom
de bucoliques, qu’on leur donne aussi, signifie c
les Grecs paraît avoir été un berger sicilien nommé Daphnis, dont le
nom
est resté célèbre chez tous ceux qui se sont exer
poètes qui se sont exercés dans la poésie pastorale, sous différents
noms
, sont fort nombreux ; mais ils ne se sont pas éle
ssi beaucoup de poésies pastorales ; ce dernier surtout s’est fait un
nom
dans ce genre. Ses idylles ont de la douceur, de
ire enivre leur raison ; Au même instant, l’agile Renommée Grave leur
nom
sur son char lumineux. Jouets constants d’une vai
l s’agit, quand elle n’est adressée à personne, perd naturellement le
nom
d’épître, et il faut lui donner celui de disserta
celui de discours en vers. C’est Voltaire qui a le premier employé ce
nom
pour des dissertations très remarquables, et qui
personnage agité d’une passion qui, le plus souvent, est l’amour. Ce
nom
, singulier chez nous, vient du titre qu’Ovide, l’
t peindre un homme enrichi par ses rapines, a bien soin de prendre un
nom
en l’air : Si l’on vient à chercher par quel sec
suprême, Souillant la liberté d’éloges imposteurs, Immolaient en son
nom
ses premiers fondateurs ! Allons, plats écoliers,
blir ou les travers dont il veut se moquer. Quelquefois elle porte le
nom
de discours, quelquefois celui d’épître, quand el
dictée98. § 53. Histoire de la satire. La satire (ou plutôt le
nom
de satire) n’a pas toujours représenté le même fo
u masculin. Chez les Romains, la première poésie, si elle méritait ce
nom
, fut ce qu’ils appelèrent Satura, d’où nous avons
régularité, soit pour le fond, soit pour la forme. De là elle prit ce
nom
de Satura, qui signifiait un bassin, dans lequel
onné à Rome des spectacles en règle, la satire changea de forme et de
nom
; elle prit quelque chose de dramatique. Elle par
e, ou pièce d’entracte ; si c’était à la fin, on la désignait sous le
nom
d’exode, ou pièce de sortie. Elle reprit son nom
la désignait sous le nom d’exode, ou pièce de sortie. Elle reprit son
nom
sous Ennius et Pacuvius, qui parurent quelque tem
njouement. On ne fut plus ni fat ni sot impunément, Et malheur à tout
nom
qui, propre à la censure, Put entrer dans un vers
de cette espèce de poésie, ou plutôt, ici comme pour l’épigramme, le
nom
a changé de signification. Les anciens appelaient
mnerme, Solon, Simonide, Callimaque, Philétas, Hermésianax, que leurs
noms
et de bien courts fragments. Nous sommes plus heu
lavigne, et auxquelles il a donné, par une allusion un peu forcée, le
nom
bizarre de Messéniennes. Empruntons quelques vers
sujets que Properce et Tibulle, il est évident qu’on leur applique ce
nom
dans la signification antique : pour nous, ce son
ces formes ; elles ne furent plus toutes égales et prirent différents
noms
. Il y eut la strophe, l’antistrophe et l’épode. L
es : les danseurs tournaient dans un sens pendant la strophe, dont le
nom
signifie tour (p. 137). Pendant l’antistrophe, qu
Les Français ont des odes de deux sortes ; les unes qui retiennent le
nom
générique, et les autres qu’on nomme cantates. Da
ièce lyrique, un chant lyrique, etc. On donne à toutes ces pièces des
noms
différents, et en particulier les suivants, selon
dées ; de sorte que le dithyrambe devint chez les Grecs eux-mêmes, le
nom
d’une poésie lyrique tout à fait déréglée, quel q
es, et mérite, par le nombre comme par l’excellence de ses chants, le
nom
exclusif de psalmiste. Plus tard encore, ce sont
crites, les Grecs ont reconnu neuf poètes lyriques115, dont voici les
noms
par ordre chronologique : Alcman, qui florissait
et qui, d’après le caractère des pièces qui nous sont venues sous son
nom
, serait mieux rangé parmi les chansonniers ou aut
Table des matières. Accents pag. 4 Adjectif. 7 — accord avec les
noms
9 — formation du féminin 8 — formation du pluri
des verbes 16 Mots 3 Mots dans lesquels la lettre k est aspirée 69
Nom
5 — commun 5 — propre 5 — formation du pluriel
— formation du pluriel 5 Nombre 5 Nominatif ou sujet du verbe 30
Noms
et adjectifs de nombre 10 Orthographe 52 — des
s et adjectifs de nombre 10 Orthographe 52 — des adverbes 54 — des
noms
52 — des pronoms 56 — des verbes 54 Parenthèse
ce de mots 45 — sur les adverbes 51 — sur les lettres 45 — sur les
noms
composés 46 Remarque sur les noms de nombre 46
1 — sur les lettres 45 — sur les noms composés 46 Remarque sur les
noms
de nombre 46 — sur les noms partitifs 47 — sur
r les noms composés 46 Remarque sur les noms de nombre 46 — sur les
noms
partitifs 47 — sur les prépositions 54 — sur le
’une seule, comme on a fait jusqu’ici. Car nous n’avons point d’autre
nom
générique pour désigner les mimes de Sophron ou d
ouvrage soit sur la médecine ou sur la physique, on lui donne le même
nom
. Mais Homère et Empédocle n’ont rien de commun qu
mêler dans un poème des vers de toutes les espèces, mériterait-il le
nom
de poète ? Conservons en conséquence notre distin
qu’il peint par l’action ou le drame. Car c’est de là qu’est venu le
nom
de drame, de l’imitation qui se fait par l’action
uver, quelques-uns de ceux du Péloponèse font valoir l’étymologie des
noms
. Chez eux, disent-ils, les bourgades s’appellent
e, qui est le vers propre à la satire, à laquelle même il a donné son
nom
qu’elle porte encore aujourd’hui, parce que c’éta
blable ou le nécessaire que la poésie a en vue lorsqu’elle impose les
noms
de l’histoire. Le particulier est ce qu’a fait Al
nt d’abord leur sujet selon le vraisemblable, pour y mettre après les
noms
qui s’offrent à leur imagination. Dans les satire
agination. Dans les satires c’est le contraire : on prend d’abord les
noms
des personnes, ensuite on arrange sur elles l’act
e on arrange sur elles l’action. Mais dans la tragédie on emploie les
noms
de l’histoire. La raison est que nous croyons ais
s où l’on s’écarte de cette règle, et où l’on ne trouve qu’un ou deux
noms
qui soient vrais. Il y en a même où tous les noms
rouve qu’un ou deux noms qui soient vrais. Il y en a même où tous les
noms
sont feints, comme dans la Fleur d’Agathon : car
ême où tous les noms sont feints, comme dans la Fleur d’Agathon : car
noms
et sujet, tout y est de pure fiction, et la pièce
être aussi : et cette exclamation le sauve. » Après cela on remet les
noms
, on fait les détails qui doivent tous être propre
ts, on distingue l’élément, la syllabe, la conjonction, l’article, le
nom
, le verbe, le cas, enfin l’oraison. L’élément est
ficatifs, et qui se place tantôt aux extrémités, tantôt au milieu. Le
nom
est un mot significatif, qui ne marque point les
temps, et dont les parties séparées ne signifient rien ; car dans les
noms
doubles on ne prend point les parties dans leur s
mps, et dont les parties séparées ne signifient pas plus que celle du
nom
: homme, blanc, ne marquent point le temps : Il m
, signifient, l’un le présent, l’autre le passé. Le cas appartient au
nom
et au verbe : il marque les rapports, de, à, etc.
par elles-mêmes quelque chose. Car tout discours n’est pas composé de
noms
et de verbes, comme la définition de l’homme : le
ux une suite de mots, comme l’Iliade. Chapitre XXI. Des formes du
nom
. Des métaphores. Des figures de grammaire. Il
rmes du nom. Des métaphores. Des figures de grammaire. Il y a des
noms
simples, nommés ainsi, parce qu’ils ne sont pas c
oms simples, nommés ainsi, parce qu’ils ne sont pas composés d’autres
noms
significatifs, comme γῆ, terre ; et des noms doub
nt pas composés d’autres noms significatifs, comme γῆ, terre ; et des
noms
doubles, qui sont composés d’un mot significatif
, comme l’Hermocaïcoxanthus des Mégaliotes et beaucoup d’autres. Tout
nom
est ou propre ou étranger, ou métaphorique, ou d’
qu’on y en ajoute une autre, δεξιτερόν pour δεξιόν. Il y a aussi des
noms
masculins, des féminins et des neutres. Les mascu
e pour les féminins, car ψ et ξ se terminent par ς. Il n’y a point de
nom
qui se termine par une consonne absolument muette
ue : si c’est au même et de la même manière ; si l’homme parle en son
nom
; s’il a le même objet, enfin s’il dit ce que doi
pour le genre. 2. Poème sur la poltronnerie, parodie du sujet et du
nom
de l’Iliade. 3. C’est le titre d’un poème où Hom
de maintenir et d’honorer sa patrie, de laisser enfin à sa famille un
nom
honoré. C’est déjà beaucoup ; mais notre âme ne s
eurs enfants et leurs souvenirs, ils s’en allaient, sans laisser leur
nom
, mourir en paix dans la bienheureuse pensée d’avo
Ce peuple vit enfin, il révèle sa présence par des hommes qui ont un
nom
, par des actes qui ont un empire. Mais qui l’a ti
ditions de la liberté, et le forum, la tribune, le sénat, ont été les
noms
dont ils ont couvert l’avilissement des âmes et l
uspendu le cours des ruines ? Qui a ramené, ne fût-ce qu’un jour, des
noms
et des souvenirs honnêtes ? Ne le demandez pas, m
ite, pour que l’on apprécie la différence du ton : « Qu’est-ce qu’un
nom
? Et non-seulement ce nom, si retentissant que no
e la différence du ton : « Qu’est-ce qu’un nom ? Et non-seulement ce
nom
, si retentissant que nous croyions qu’il soit, fi
’étant allé visiter lady Stanhope dans le Liban, elle lui demanda son
nom
. “Je le lui dis. — Je ne l’avais jamais entendu,
uelques vers dans ma vie, qui ont fait répéter un million de fois mon
nom
par tous les échos littéraires de l’Europe ; mais
ici je suis un homme tout nouveau, un homme complétement inconnu, un
nom
jamais prononcé.” « M. de Lamartine fut quelque
e Lamartine fut quelque peu étonné, quoiqu’il ne le dise pas, que son
nom
fût tout à fait inconnu dans le Liban. Nous en so
aussi que la puissance ! Nous nous surfaisons tous le bruit de notre
nom
; nous croyons tous que tout le monde s’occupe de
elle ne passe pas la Seine et s’arrête sur la rive gauche. Il y a des
noms
pour chaque quartier, pour chaque rue, pour chaqu
chers et de salons ! Cela est arrivé à M. de Lamartine : il a dit son
nom
, et il a trouvé que son nom n’était point connu.
t arrivé à M. de Lamartine : il a dit son nom, et il a trouvé que son
nom
n’était point connu. « C’était dans le Liban, il
ù vous êtes entièrement oublié ; puisque, s’il arrive que votre saint
nom
y soit proféré, c’est presque toujours pour y êtr
rande dame, d’esprit très-distingué, et dont le salon réunit bien des
noms
illustres. Les lettres que lui écrivit Lacordaire
fum et l’éclat de leurs couleurs ; mais le naturaliste qui sait leurs
noms
, qui connaît leurs familles, les retrouve comme d
oire que les hommes n’ont point donné arbitrairement et au hasard des
noms
aux objets qui les frappaient le plus vivement et
appaient le plus vivement et le plus souvent. Il est probable que ces
noms
ont été en grande partie déterminés par ce pencha
s identique observé dans un être quelconque, ont donné à cet être son
nom
. On prétend qu’en sanscrit le mot employé pour dé
ite. Et nous remarquons encore aujourd’hui un procédé pareil dans les
noms
propres des sauvages. Cette nomenclature par simi
abstraites ; les mots consacrés à leur expression ont été dérivés du
nom
des choses sensibles avec lesquelles on leur trou
e a rappelé celui du lion, et l’on a donné à l’homme brave et fort le
nom
de lion ; on a été enflammé de colère, quand on s
nalogue à la sensation physique éprouvée au contact de la flamme. Les
noms
consacrés aux objets matériels ont sans doute pré
rèses. Celles-là, si notre définition est exacte, méritent à peine le
nom
de figures. Car, puisqu’elles sont forcées et imp
s rhéteurs étaient divisés sur les genres, les espèces, le nombre, le
nom
même des figures ; ces questions étaient, au sièc
ien, ont beaucoup trop multiplié les figures, et souvent ont donné ce
nom
à ce qui fait le fond de l’idée et n’a rien de fi
me classe de figures de mots, je demanderai comment on peut donner ce
nom
à celles où les vocables conservent leur signific
énéral et sans distinction, des poèmes, quoique ensuite on réserve ce
nom
pour certains poèmes plus importants que les autr
prenant les qualités d’une chose pour la chose elle-même, donnent au
nom
dont ils se servent un sens tout particulier, et
alité du style, et la renvoyer à l’art oratoire. » Malgré les grands
noms
dont s’appuie cette opinion, elle n’est pas moins
s de l’antiquité, trop sensible à la véritable poésie, pour donner le
nom
de poème à son Télémaque. Lamotte, homme de beauc
poèmes écrits dans une langue déterminée sont souvent réunis sous le
nom
abstrait de poésie de cette langue. Ainsi, la poé
es écrits en français, et assez connus pour qu’on les désigne sous ce
nom
. Les ouvrages en prose, écrits et discours, sont
nt aussi réunis, moins absolument, mais au moins quelquefois, sous le
nom
d’éloquence de telle ou telle nation. Ainsi, un c
s les ouvrages en prose, grecs ou français. On comprend enfin sous le
nom
de littérature la réunion de tous ces ouvrages, s
nombre de navires, ce sont les voiles. Ainsi, cette transposition de
nom
n’a été employée que par une suite naturelle de l
e, et comme eux orphelin. Racine. Je ne vois point le peuple à mon
nom
s’alarmer ; Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’e
s trop étendus. Quand elle s’étend à un morceau entier, elle prend le
nom
de composition allégorique. A ce genre appartienn
ns l’esprit, est une espèce de métaphore par laquelle on se sert d’un
nom
commun ou d’une périphrase pour un nom propre, ou
e par laquelle on se sert d’un nom commun ou d’une périphrase pour un
nom
propre, ou d’un nom propre pour un nom commun, ou
sert d’un nom commun ou d’une périphrase pour un nom propre, ou d’un
nom
propre pour un nom commun, ou enfin d’un nom prop
un ou d’une périphrase pour un nom propre, ou d’un nom propre pour un
nom
commun, ou enfin d’un nom propre déterminé par un
r un nom propre, ou d’un nom propre pour un nom commun, ou enfin d’un
nom
propre déterminé par un adjectif ou par un nom co
commun, ou enfin d’un nom propre déterminé par un adjectif ou par un
nom
commun au lieu d’un autre nom propre. 217. Citez
pre déterminé par un adjectif ou par un nom commun au lieu d’un autre
nom
propre. 217. Citez des exemples. On dit par anto
. 218. Qu’est-ce que la métonymie ? La métonymie ou transposition de
nom
, est une figure qui se distingue de la métaphore
e, le contenant pour le contenu, le signe pour la chose signifiée, le
nom
abstrait pour le nom concret, le possesseur pour
le contenu, le signe pour la chose signifiée, le nom abstrait pour le
nom
concret, le possesseur pour la chose possédée, le
bstrait pour le nom concret, le possesseur pour la chose possédée, le
nom
du lieu où la chose se fait pour la chose même. 2
hébreu dont ces hommes étaient les patriarches. — On prend encore les
noms
des dieux du paganisme pour les choses dont ils s
ion belgique Il voit l’aigle germanique Uni sous les léopards… 5° Le
nom
abstrait pour le nom concret : Blancheur, pour bl
l’aigle germanique Uni sous les léopards… 5° Le nom abstrait pour le
nom
concret : Blancheur, pour blanc ; l’enfance, pour
personne a été incendiée, pour l’habitation de cette personne. 7° Le
nom
du lieu où une chose se fait pour la chose elle-m
l’a dit vingt fois, cent fois, mille fois, pour plusieurs fois. 4° Le
nom
de la matière pour la chose qui en est faite : Le
n triste sort ; C’est s’immortaliser par une belle mort. On donne le
nom
d’épiphonème à une sentence vive et profonde qui
second, elle se propose de mordre cruellement, et alors elle prend le
nom
de sarcasme ; ou bien elle a pour but d’exprimer
usseau. Lorsque la réponse suit la question, on donne à la figure le
nom
de subjection. Nous en avons parlé plus haut. 253
illé par mes mains ! 254. Dans quels cas l’exclamation prend-elle le
nom
d’optation ? L’exclamation prend le nom d’optati
l’exclamation prend-elle le nom d’optation ? L’exclamation prend le
nom
d’optation lorsqu’elle exprime un souhait ardent,
Seigneur se réveille. Racine. Condé, Turenne, Luxembourg, Créquy,
noms
immortels ! Guerriers, qui durant cinquante ans a
scène les personnages et établit un dialogue entre eux, elle prend le
nom
de dialogisme. Cette figure est un tour très prop
, elle est tellement nécessaire à toute composition qu’elle a reçu le
nom
d’harmonie du discours. 267. Qu’avez-vous à dire
mots. Nous ne citerons ici que les vers suivants : L’Éternel est son
nom
; le monde est son ouvrage ; Il entend les soupir
méchants vers douze fois douze cents. Où, ô Hugo, juchera-t-on ton
nom
? Rendu justice enfin que ne t’a-t-on ? Quand don
hrase est un arrangement de mots formant un sens complet. On donne le
nom
de phrase simple à celle qui ne peut se diviser e
exe lorsqu’elle en renferme plusieurs. La phrase complexe conserve ce
nom
lorsque les parties qui la composent peuvent être
hent ensemble sans dépendance nécessaire, et auxquelles on a donné le
nom
d’incises. La suppression d’une incise ne détruit
trop souvent parce qu’elle sent l’art et le travail. On donne le même
nom
, par extension, à toute période nombreuse et soig
— Celle dont les membres sont opposés et forment antithèse a reçu le
nom
de période croisée. Nous ferons remarquer que les
der dans ce travail ; car, dans toutes les langues, on trouve que les
noms
de plusieurs sons particuliers ont été faits de m
tée. II. 293. Que faut-il entendre par épithète ? On donne le
nom
d’épithète à un qualificatif, ordinairement un ad
leur envoie. Voltaire. 5° Antonomase L’Antonomase emploie un
nom
propre à la place d’un nom commun, et un nom comm
5° Antonomase L’Antonomase emploie un nom propre à la place d’un
nom
commun, et un nom commun à la place d’un nom prop
L’Antonomase emploie un nom propre à la place d’un nom commun, et un
nom
commun à la place d’un nom propre. Ex. : Le Sauve
m propre à la place d’un nom commun, et un nom commun à la place d’un
nom
propre. Ex. : Le Sauveur, pour Jésus-Christ ; L’O
ation naturelle pour lui en donner une autre et on la désigna sous le
nom
de trope. Bientôt il arriva que ces mots, dotés d
horique, c’est-à-dire qu’il ne désigne plus ici l’animal qui porte ce
nom
, mais des hommes qui, par l’Insensibilité, par la
s leur rapprochement que consiste la figure, à laquelle on a donné le
nom
de catachrèse, ou a bus des mots. La catachrèse e
l. II, nº 44. § III. Métonymie Du grec Metônymia, changement de
nom
. Ce plat est pour Arlequin, disait Louis XIV, au
Louis XIV pour avoir parlé par métonymie. La Métonymie transporte le
nom
d’une chose à une autre chose distincte, mais que
eille, Rollin, pour les œuvres de Racine, de Corneille, de Rollin. Le
nom
des dieux du paganisme se prend pour la chose à l
t ; Toute la ville le sait ; Rome entière admirait les Fabiens, 5° Le
nom
de l’auteur pour la chose qu’il a produite : Un
our un livre d’arithmétique ; Une carcel, pour une lampe, etc. 6° Le
nom
du lieu où une chose se fait pour la chose même.
Les peuples, pour le peuple ; L’oiseau, pour les oiseaux, etc. 3° Le
nom
de la matière pour la chose qui en est faite, com
uté, pour l’homme cruel ; La douceur, pour l’homme doux, etc. 6° Les
noms
propres devenus noms communs, pour désigner une c
el ; La douceur, pour l’homme doux, etc. 6° Les noms propres devenus
noms
communs, pour désigner une classe particulière d’
e la louange sous le voile du blâme, et réciproquement. Elle prend le
nom
d’astéisme. C’est la manière que Boileau emploie
é n’a point de feux, l’hiver n’a point de glace. J’entends à son seul
nom
tous mes sujets frémir. Ln vain deux fois la paix
saisonne les railleries du sel le plus amer : elle est connue sous le
nom
de sarcasme. C’est ainsi qu’un homme cruel est ap
trente-trois pieds de long et que Roland furieux, dans le poème de ce
nom
, arrache d’une main les arbres les plus forts. Da
abaisse et on les diminue ; dans le dernier cas, l’hyperbole prend le
nom
de litote ou exténuation. C’est ainsi qu’on appel
assion qui en fait le caractère, et elles pourraient alors prendre le
nom
de figures passionnées ; ce sont : l’exclamation,
araissez et soyez le flambeau de la nuit » ? Qui a donné l’être et le
nom
à cette multitude d’étoiles qui décorent avec tan
ux-mêmes. La description embrasse différents genres qui ont chacun un
nom
particulier ; ce sont : l’hypotypose, l’éthopée,
rviteurs peut-il souffrir que leurs intrigues s’ourdissent sous votre
nom
, et qu’ils engagent un connétable et un prince du
s non de t’estimer. Ô fils de Marc-Aurèle ! pardonne : je te parle au
nom
des dieux, au nom de l’univers qui t’est confié ;
Arques, Fontaine-Française, Coutras, Ivry, ne sont pas d’aussi grands
noms
dans la mémoire des hommes, et n’entraînaient pas
uche : Il me pousse, il me presse, il me jette à tes pieds. César, au
nom
des dieux dans ton cœur oubliés, Au nom de tes ve
ur oubliés, Au nom de tes vertus, de Rome et de toi-même, Dirai-je au
nom
si un fils qui frémit et qui t’aime Qui te préfè
comprend que les spectateurs. La pièce que l’on joue prend souvent le
nom
d’action, d’action dramatique. On dit aussi la fa
es : elle peut aussi être feinte au fond, et vraie seulement dans les
noms
: c’est lorsqu’on attribue à des personnages qui
ils n’ont pas faite. Elle peut enfin être feinte en tout, et dans les
noms
et dans les faits : c’est ce qui arrive pour la p
us convenable d’employer pour cela le mot mouvement, et de laisser le
nom
de scène à ce que nous avons appelé ainsi en comm
ute, événement. La péripétie finale, ou celle du dénouement, porte le
nom
de catastrophe (d’un mot grec qui signifie renver
nces ou ceux qui gouvernent les peuples, et que l’on comprend sous le
nom
de héros ; le dénouement en est le plus souvent m
ifférence entre ces divers sujets, et que l’on a jusqu’ici réservé le
nom
de tragédie aux pièces tristes dont les personnag
Comme nous le dirons, les autres sont généralement comprises sous le
nom
de drames. Ce n’est pas assez que l’action de la
défigure et rabaisse les personnages historiques dont on emprunte les
noms
; qu’enfin, peinte trop vivement, elle ne peut qu
citer la sensibilité et à faire verser des larmes, la pièce reçoit le
nom
de comédie larmoyante ou tragédie bourgeoise. Ces
reçoit le nom de comédie larmoyante ou tragédie bourgeoise. Ces deux
noms
se prennent toujours en mauvaise part. Quand on d
hasardées, aux mots triviaux, aux lazzi burlesques, la pièce prend le
nom
de farce, de folie, de parade, etc. L’objet de la
véritable comédie d’une certaine espèce. Le titre de l’original, les
noms
et les rangs des personnages sont conservés ou ch
insigne, un débauché fameux, quelqu’un qu’on haïssait, on prenait son
nom
, son air, sa démarche, sa manière de s’habiller,
s prirent alors un autre tour pour éluder la loi. Ils employèrent des
noms
imaginaires, sous lesquels ils peignirent, d’aprè
ies, les êtres surnaturels ; et, en termes de théâtre, on applique ce
nom
aux pièces dans lesquelles on exécute, à l’aide d
pas là précisément une comédie à couplets ou à ariettes : on donne ce
nom
à des pièces où le chant et la musique sont intro
connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la pièce, sous le
nom
de vaudeville final, une chanson dont tous les ac
peut y employer toutes les ressources de l’art. Le mélodrame, dont le
nom
signifie drame musical, semblerait indiquer la mê
nt dite. Quand il est d’un genre gai, on a soin de le désigner par le
nom
de mélodrame comique. Ensuite, la musique qu’expr
d’écrire correctement tous les mots d’une langue. Orthographe des
noms
. 151. — 1° La première lettre des noms propres
langue. Orthographe des noms. 151. — 1° La première lettre des
noms
propres, des noms de dignité, doit être une lettr
raphe des noms. 151. — 1° La première lettre des noms propres, des
noms
de dignité, doit être une lettre capitale : Pierr
e dignité, doit être une lettre capitale : Pierre, Paris. 2° Tous les
noms
qui ne finissent point par s au singulier en pren
ion, discrétion, etc. Remarque. T conserve sa prononciation dans les
noms
où il est précédé d’une s ou d’un x : question, i
es enfants ont été sages, je leur donnerai un prix. Leur, suivi d’un
nom
pluriel, prend une s ; alors il signifie d’eux, d
met point d’accent sur o dans notre, votre, quand ils sont devant un
nom
: votre père, notre maison ; mais on met un accen
tiente. Le cachet du génie, c’est la création et l’invention. Ce beau
nom
n’appartient qu’à celui qui crée ou qui féconde a
la politique, pour les arts, pour les sciences ; mais on ne donne le
nom
de génie qu’à un homme très supérieur. Démosthène
es enduites de cire les caractères de l’alphabet. On donna ensuite le
nom
de style à la manière spéciale dont chacun se ser
esse, poussée à l’excès, se change en extravagance. On peut donner ce
nom
à certaines pensées de Lucain, de Ronsard, et de
x, et facta est lux. (Genèse, ch. i.) Pour peindre la terreur que le
nom
d’Alexandre inspirait à toute la terre, l’Écritur
défendre la vérité et faire aimer la vertu, tout écrivain digne de ce
nom
doit employer ces tours ingénieux qu’on appelle d
ne pensée triviale revêtue d’une image pompeuse et brillante porte le
nom
de phébus. Le phébus est un mélange d’obscurité e
e sa signification propre dans une signification étrangère portent le
nom
de tropes (τρέπω, changer). Celles qui consistent
s qui consistent dans l’arrangement des mots conservent proprement le
nom
de figures de mots. 168. La plupart des mots ont
ropre pour exprimer ce qu’on veut dire. Les rhéteurs lui ont donné ce
nom
, qui signifie abus, extension, parce que la resse
e in arundine longâ. (Horace.) 178. L’antonomase (ἀντὶ, pour, ὄνομα,
nom
) consiste à employer un nom propre pour un nom co
e.) 178. L’antonomase (ἀντὶ, pour, ὄνομα, nom) consiste à employer un
nom
propre pour un nom commun, ou un nom commun pour
se (ἀντὶ, pour, ὄνομα, nom) consiste à employer un nom propre pour un
nom
commun, ou un nom commun pour un nom propre. 1º L
ομα, nom) consiste à employer un nom propre pour un nom commun, ou un
nom
commun pour un nom propre. 1º L’apôtre pour saint
à employer un nom propre pour un nom commun, ou un nom commun pour un
nom
propre. 1º L’apôtre pour saint Paul ; l’orateur r
179. La métonymie (μετὰ, au-delà, ὄνομα), qui signifie changement de
nom
, a lieu toutes les fois qu’on emploie un nom pour
i signifie changement de nom, a lieu toutes les fois qu’on emploie un
nom
pour un autre. Elle diffère de la métaphore en ce
éron.) À la fin j’ai quitté la robe pour l’épée. (Corneille.) 5º Le
nom
abstrait pour le nom concret : C’est la vertu qu
quitté la robe pour l’épée. (Corneille.) 5º Le nom abstrait pour le
nom
concret : C’est la vertu qui distribue les grâce
on et Virgile ; Nous pour je quand on fait un discours public. 4º Le
nom
de la matière pour la chose qui en est faite. Qu
’antonomase une métaphore particulière qui concerne le changement des
noms
propres et des noms communs. Quant à la synecdoqu
phore particulière qui concerne le changement des noms propres et des
noms
communs. Quant à la synecdoque, elle n’est qu’une
’avec le mot auquel il se rapporte. Je ne vois point le peuple à mon
nom
s’alarmer ; Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’e
rt de réponse ou d’application à la précédente, cette figure prend le
nom
particulier de subjection. Dans la chaire et au b
te figure on peut rapporter la dubitation et la supposition, dont les
noms
disent assez la signification, sans qu’il soit né
end pas le nombre des années. (Corneille.) 198. La sentence prend le
nom
d’épiphonème quand elle est une espèce d’exclamat
ance et qu’elle tombe sur un ennemi vaincu et terrassé, elle prend le
nom
de sarcasme. On en trouve beaucoup d’exemples che
hésite, il recule d’un pas. (Delille.) 207. La comparaison prend le
nom
de contraste lorsqu’elle oppose deux objets diffé
ou un souhait ardent d’obtenir un bien que l’on envie, elle prend le
nom
particulier d’optation. Quis dabit mihi pennas s
us vous hâteriez de rentrer dans vos tombeaux, pour ne voir pas votre
nom
flétri, votre mémoire abolie, et votre prévoyance
scène et que le dialogue s’engage entre elles, la prosopopée prend le
nom
de dialogisme. Boileau peint ainsi la lutte du ma
s figures. Il y a en effet quelque chose d’un peu frivole à donner un
nom
à toutes les formes de la pensée et à toutes les
es mots techniques : l’histoire est aussi obligée de répéter certains
noms
que les événements produisent et qui ne sont pas
Épître au Roi sur le passage du Rhin : Des villes que tu prends les
noms
durs et barbares N’offrent de toutes parts que sy
, Pour trouver un bon mot courir jusqu’au Tessel. Oui, partout de son
nom
chaque place munie Tient bon contre le vers, en d
qui peut sans frémir aborder Waërden ? Quel vers ne tomberait au seul
nom
de Heusden ? 228. L’harmonie des mots dépend moi
rechercher le style dur et rocailleux : Où, ô Hugo, juchera-t-on ton
nom
? Rendu justice enfin que ne t’a-t-on ? Quand don
nts de la langue et ceux de la nature. 244. Tout écrivain digne de ce
nom
désire peindre les objets dont il parle, et les i
e ensuite avec art les premiers événements. Cette exposition porte le
nom
de début dramatique. Elle pique la curiosité du l
ments qui embrassent toute une époque ou la vie d’une nation porte le
nom
d’histoire. L’histoire est donc le récit fidèle e
l’éthopée retrace les mœurs d’un personnage déterminé, elle prend le
nom
de portrait ; quand elle expose une qualité consi
en montrer les rapports et les différences, ce rapprochement prend le
nom
de parallèle. Ces contrastes servent beaucoup à f
V. De la dissertation philosophique et littéraire18. 356. Sous le
nom
de dissertation ou genre didactique, nous compren
, l’inspiration est le partage exclusif du poète vraiment digne de ce
nom
. 377. Cette puissance intérieure, qu’on appelle l
ue, le pastoral et l’élégiaque ; 3º les petits poèmes compris sous le
nom
de poésies fugitives. Les règles de la versificat
et on l’appelle vers métrique. Dans la langue française, il prend le
nom
de vers syllabique, parce que, au lieu de mesurer
s. La rencontre d’une diphtongue nasale et d’une voyelle, comme dans
nom
adorable, produit quelquefois une mauvaise conson
Ô Père qu’adore mon père, Toi qu’on ne nomme qu’à genoux, Toi dont le
nom
, terrible et doux Fait courber le front de ma mèr
tantôt irrégulière, comme dans une suite de stances. 408. On donne le
nom
de stance à un nombre indéterminé de vers dont le
nivers. En poésie, l’s peut aussi quelquefois se retrancher dans les
noms
propres et à la première personne du singulier du
is lorsque plus tard la poésie se sépara de la musique, on réserva le
nom
de lyriques aux poèmes qui étaient destinés à êtr
’Art poétique. Ces deux genres de poésie lyrique sont compris sous le
nom
d’ode, qui vient du mot grec ὠδῂ, chant. Nous all
420. Chez les Grecs, l’ode était divisée en stances qui portaient le
nom
de strophes, d’antistrophes, d’épodes. Ces trois
religieuse, parce qu’il est naturel de consacrer par la religion les
noms
illustres que le poète veut immortaliser. D’aille
ne chante que la joie et les plaisirs, on l’appelle anacréontique, du
nom
d’Anacréon, qui s’est distingué dans ce genre de
par le chant une pensée touchante, légère ou satirique, elle porte le
nom
de chanson. Comme la chanson embrasse tous les su
nd aussi tous les tons. 442. Dans la chanson, les stances prennent le
nom
de couplets : chaque couplet doit être terminé pa
rler ici plus longuement de ce genre frivole qui porte quelquefois le
nom
de romance. Cantate. 443. La cantate est un
s les causes qui déterminent l’action ; le milieu, qui porte aussi le
nom
de nœud, dans les difficultés et les obstacles qu
ipétie. Quand ce dénouement est heureux comme dans Cinna, il garde le
nom
de péripétie ; quand il est malheureux, comme dan
ipétie ; quand il est malheureux, comme dans Britannicus, il prend le
nom
de catastrophe. On pourrait dire que la fortune d
ins. 502. Les actes se divisent en parties secondaires qui portent le
nom
de scènes. Les scènes sont caractérisées par l’en
e des ridicules et des vices de la société. Elle prend quelquefois le
nom
de farce et quelquefois le nom de parodie. Dans l
la société. Elle prend quelquefois le nom de farce et quelquefois le
nom
de parodie. Dans le temps où le spectacle françai
’assistance, les pièces s’appellent des pantomimes ; elles portent le
nom
de ballet quand ce sont des danseurs qui viennent
connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la pièce, sous le
nom
de vaudeville final, une sorte de chanson satiriq
èces où la musique joue le principal rôle et qui sont connues sous le
nom
d’opéra. On distingue le grand opéra, l’opéra-com
de l’opéra s’appelle récitatif, et l’autre est un chant qui porte le
nom
d’air. Dans l’opéra, on peut employer des vers li
rs d’un opéra-comique. Du mélodrame. 535. Le mélodrame, dont le
nom
signifie drame musical, est un drame dans lequel
genre didactique25. 541. Le poème didactique, comme l’indique son
nom
, a pour but d’instruire et d’exposer en vers les
rieux et moral. De l’épître. 548. L’épître, comme l’indique son
nom
, n’est autre chose qu’une lettre écrite en vers.
mme des arbres, des animaux. Dans le premier cas, l’apologue prend le
nom
de parabole ; dans le second cas, il garde propre
prend le nom de parabole ; dans le second cas, il garde proprement le
nom
de fable. Quand un personnage doué de raison est
e troisième. Du genre élégiaque. 568. L’élégie comme l’indique son
nom
(ἐλέγειν, dire hélas !) est un petit poème généra
bon tant d’efforts, de larmes et de cris, Cotin, pour faire ôter ton
nom
de mes ouvrages ? Si tu veux du public éviter les
ouvrages ? Si tu veux du public éviter les outrages, Fais effacer ton
nom
de tes propres écrits. (Boileau.) Ci-gît l’aute
mains. Par là, croissant en renommée, Chez la postérité charmée Nos
noms
braveront le trépas... — Fort bien. Voilà la bon
noms braveront le trépas... — Fort bien. Voilà la bonne route : Vos
noms
y parviendront sans doute, Mais vos vers n’y parv
ecteur, tu verras apparaître Une ville, une mouche, un oiseau dont le
nom
Ne se prononce pas d’ordinaire façon. Avec cinq p
tifs, pour la parler dans un langage immortel, pour, la signer de son
nom
, pour l’associer, aux yeux du genre humain, à cet
un d’eux aura son style. Le style ! voilà la grande parole ; voilà le
nom
du secret. Mais quel est le sens de cette parole
ue d’Arles et les évêques de Beauvais et de Saintes, tous les deux du
nom
de La Rochefoucauld, et la plupart de leurs compa
’allégorie, et comment la distinguez-vous de la métaphore ? 176. Quel
nom
prend l’allégorie lorsqu’elle se prolonge dans to
u’est-ce que la prolepse ? 192. Quand est-ce que la prolepse prend le
nom
de subjection ? 193. En quoi consiste la suspensi
u’est-ce que la sentence ? 198. Quand est-ce que la sentence prend le
nom
d’épiphonème ? 199. Quelles sont les figures de p
204. Qu’est-ce que l’ironie ? 205. Quand est-ce que l’ironie prend le
nom
de sarcasme ? 206. Qu’est-ce que la comparaison o
araison ou similitude ? 207. Quand est-ce que la comparaison prend le
nom
de contraste ? 208. Quelles sont les figures de p
t-ce que l’exclamation ? 215. Quand est-ce que l’exclamation prend le
nom
d’optation ? 216. Qu’est-ce que ^interrogation ?
t-ce que la prosopopée ? 220. Quand est-ce que la prosopopée prend le
nom
de dialogisme ? 221. Faut-il attacher beaucoup d’
ra-t-elle simple et modeste ? 303. Quand l’exposition porte-t-elle le
nom
de début dramatique ? 30. Qu’est-ce que le nœud d
portrait et le caractère ? 339. Quand est-ce que le portrait prend le
nom
de parallèle ? 340. Qu’est-ce que la lettre ? 341
s principaux écrivains épistolaires ? 356. Que comprenez-vous sous le
nom
de dissertation ou genre didactique ? 357. Que de
-t-on ode anacréontique ? 441. Quand est-ce que l’ode badine prend le
nom
de chanson ? 442. Quels sont la forme et le style
et d’où découle-t-il ? 499. Quand le dénouement a-t-il lieu et quels
noms
reçoit-il ? 500. De quoi se compose toute action
Qu’est-ce que la comédie populaire, et quand est-ce qu’elle prend le
nom
de parodie ? 526. Qu’appelle-t-on comédie-ballet
les mots variables sont susceptibles (le singulier et le pluriel des
noms
, le singulier et le pluriel, le masculin et le fé
s rimes qu’affectionnait le tendre Racine. Enfin, le monosyllabe pas (
nom
ou adverbe), en se combinant avec les seules rime
Vous l’ai-je confié pour en faire un ingrat ? Pour être, sous son
nom
, les maîtres de l’État ? Certes, plus je médite,
ble, toujours le timide Néron N’ose-t-il être Auguste et César que de
nom
? Vous le dirai-je enfin ? Rome le justifie. Rome
à tous mes amis ; Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le grand
nom
de Pompée assure sa conquête : C’est l’effroi de
ivant, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez partout l’horreur du
nom
romain, Et la triste Italie encor toute fumante D
, et la mienne peut-être ; Et, la flamme à la main, effaçons tous ces
noms
Que Rome y consacrait à d’éternels affronts. Voil
memnon, c’est moi qui, la première, Seigneur, vous appelai de ce doux
nom
de père ; C’est moi qui, si longtemps le plaisir
’est moi qui, si longtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce
nom
remercier les dieux, Et pour qui, tant de fois pr
né les faiblesses. Hélas ! avec plaisir je me faisais conter Tous les
noms
des pays que vous allez dompter ; Et déjà, d’Ilio
in, Vous l’allez à Calchas livrer de votre main. On dit que, sous mon
nom
à l’autel appelée, Je ne l’y conduisais que pour
ma colère : D’Iphigénie encor je respecte le père. Peut-être, sans ce
nom
, le chef de tant de rois M’aurait osé braver pour
la froide raison, jugement, bon sens, ou sens commun, peu importe le
nom
formulant ses arrêts dans un langage plus ou moin
’autre, nous trouvons, de plus, la volonté, la volonté de se faire un
nom
illustre, en mettant son intelligence au service
savants auteurs, comme aux plus grands guer- Apollon ne promet qu’un
nom
et des lauriers. [riers, (Boileau, Art p., v. 12
agédie, genre le mieux approprié à sa nature et à son génie. Sous des
noms
différents, il fera le portrait de l’humanité ell
u coin d’un bois le mot qui m’avait fui. (Ep. VI.) Que ce roi dont le
nom
fait trembler tant de rois, (Ep. X.) Dans ce der
ment de monosyllabes, n’en serait pas moins bon : Que ce roi dont le
nom
fait peur à tant de rois. Conclusion. — C’est d
rios ; construisez : Vos oro per deos patrios. Je vous en supplie, au
nom
des dieux de la patrie. Per deorum atque hominum
esprit. III Les prépositions antè.) et post se suppriment devant les
noms
qui indiquent les divisions du mois romain. Ex. :
es cas suivants : 1° Quand il y a deux sujets ou deux compléments, un
nom
et un pronom, pour désigner la même personne. Ex.
t statim iret in Ciliciam, is negavit se iturum sine Catone. Cic. (Le
nom
propre Posthumius et le pronom is sont tous deux
Syllepse dans le genre, quand un adjectif est à un autre genre que le
nom
auquel il se rapporte. Ex. : Samnitium duo millia
usieurs sortes d’hellénismes : 1° Hellénisme par attraction, quand un
nom
ou un pronom, ou un adjectif, sont attirés à tel
om, ou un adjectif, sont attirés à tel genre, à tel cas, par un autre
nom
ou pronom qui précède. Ainsi, l’on dit en grec :
e suite de phrases servant à développer la même pensée, elle prend le
nom
d’allégorie, Ainsi, en lisant l’idylle de Mme Des
a langue, qui est le principal organe de la parole, a aussi prêté son
nom
pour désigner l’idiome ou le langage des différen
onymie. La métonymie (de µετα, qui marque le changement, et ονοµα,
nom
) est une figure qui consiste à prendre une chose
s le dieu de la guerre, etc. ; c’est pourquoi ils donnaient au blé le
nom
de Cérès, au vin le nom de Bacchus, et à la guerr
etc. ; c’est pourquoi ils donnaient au blé le nom de Cérès, au vin le
nom
de Bacchus, et à la guerre le nom de Mars. Ainsi
t au blé le nom de Cérès, au vin le nom de Bacchus, et à la guerre le
nom
de Mars. Ainsi Virgile a dit : Tum cererem corru
s beaux arts. Nous faisons aussi une métonymie, quand nous prenons le
nom
d’un auteur pour ses ouvrages. J'ai lu Boileau, j
le impiger hausit Spumantem pateram, et pleno se proluit auro. 4° Le
nom
du lieu où une chose se fait pour la chose elle-m
que la paix et le repos valent mieux que le tumulte des armes. 6° Le
nom
de la matière pour la chose qui en est faite. Ain
et de pourpre. Regali conspectus in auro nuper et austro. Hor. 7° Le
nom
abstrait pour le nom concret. Ainsi, l’on dit ser
i conspectus in auro nuper et austro. Hor. 7° Le nom abstrait pour le
nom
concret. Ainsi, l’on dit servitus pour servi, cus
oute : ϰαι ἐγϰἓφαλον ουϰ έχει, mais elle n’a point de cervelle. 9° Le
nom
du maitre de la maison se prend aussi pour la mai
antes errent parmi les vastes appartements. (Tectis pour ædibus.) Les
noms
de villes, de fleuves, de lieux particuliers, se
villes, de fleuves, de lieux particuliers, se prennent aussi pour les
noms
de provinces, de nations. Ainsi, les Pélasges, le
ue. La synecdoche diffère de la métonymie en ce que celle-ci prend un
nom
pour un autre, comme la cause pour l’effet, et l’
tonomase. L'antonomase (du grec ἁντί, pour, au lieu de, et ονοµα,
nom
) est une seconde espèce de métonymie qui consiste
, nom) est une seconde espèce de métonymie qui consiste à employer un
nom
commun pour un nom propre, ou un nom propre pour
nde espèce de métonymie qui consiste à employer un nom commun pour un
nom
propre, ou un nom propre pour un nom commun. Ains
nymie qui consiste à employer un nom commun pour un nom propre, ou un
nom
propre pour un nom commun. Ainsi, les mots philos
à employer un nom commun pour un nom propre, ou un nom propre pour un
nom
commun. Ainsi, les mots philosophe, orateur, poèt
insi, les mots philosophe, orateur, poète, roi, ville, etc., sont des
noms
communs ; mais, par antonomase, on en fait des no
e, etc., sont des noms communs ; mais, par antonomase, on en fait des
noms
particuliers équivalant à des noms propres. Quand
is, par antonomase, on en fait des noms particuliers équivalant à des
noms
propres. Quand les auteurs anciens disent le Phil
mots destinés à qualifier les substantifs ; l’antonomase en fait des
noms
particuliers : le juste, le sage, le grand, le co
e, le sage, le grand, le conquérant, etc. L'antonomase prend aussi un
nom
propre pour un nom commun. Ainsi, l’on dit, en pa
d, le conquérant, etc. L'antonomase prend aussi un nom propre pour un
nom
commun. Ainsi, l’on dit, en parlant d’un voluptue
compléments, et que, par suite de ce changement, on fait remplir à un
nom
le rôle qu’il ne devrait pas avoir. Ainsi, Virgil
lieu de dare classes austris. (On expose les vaisseaux aux vents, et
nom
le vent aux vaisseaux.) 2° Quand on fait rapporte
ent aux vaisseaux.) 2° Quand on fait rapporter un adjectif à un autre
nom
que celui auquel il devrait se rapporter. Virgile
us vous hâteriez de rentrer dans vos tombeaux, pour ne pas voir votre
nom
terni, votre mémoire abolie, etc. » VIII de
elle on déguise des idées désagréables, odieuses ou tristes, sous des
noms
qui ne sont point les noms propres de ces idées,
ésagréables, odieuses ou tristes, sous des noms qui ne sont point les
noms
propres de ces idées, mais qui leur servent comme
à-dire mer favorable aux voyageurs. Voilà pourquoi Ovide a dit que le
nom
de cette mer était un mensonge : Quem tenet Eux
e la légion. — Manipulus signifie proprement une gerbe. On a donné ce
nom
à une compagnie de soldats, parce que, sous Romul
CLVIII. — Nomen, prænomen, cognomen, agnomen. Nomen était le
nom
propre qui distinguait la race d’où l’on sortait,
ortait, comme Pompée, Manlius, Cornélius. — Prænomen était le premier
nom
qui distinguait chaque personne, comme Marcus, Lu
ub et olere) est le rejeton qui pousse au pied de la souche. Ces deux
noms
se sont appliqués aux hommes, par métaphore, pour
ée en forme de croix une petite planche sur laquelle était inscrit le
nom
de la cohorte qui suivait : Cohortis primœ, Cohor
re où était représentée en or ou en argent l’image des Césars avec le
nom
de l’empereur. CCXXIV. — Simulachrum, effigies
our faire venir. Vocare ad arma. Cic. — Appellare, appeler, donner un
nom
. Appellare unumquemque suo nomine. — Nominare, no
un nom. Appellare unumquemque suo nomine. — Nominare, nommer, dire le
nom
pour distinguer. Suo proprio vocabulo rem aliquam
s hôtels des villes, épopées muettes comme leurs héros, dont quelques
noms
seulement étaient répétés encore par la prose pop
omme les autres. Ronsard, et avec lui l’école à laquelle il donna son
nom
, répudia hardiment et brusquement le passé nation
quel devaient pousser les moissons du xviie siècle. Autour des trois
noms
de Marot, de Ronsard et de Malherbe se groupe tou
se dessécher sous la rude main de Malherbe ou de Boileau1. Autour du
nom
de Marot, roi incontesté de la poésie dans la pre
emière moitié du xvie siècle, se groupent en faisceau, — d’abord les
noms
de ses prédécesseurs et contemporains, parmi lesq
ditions épiques, allégoriques et satiriques du moyen âge ; — puis les
noms
de ses amis, de ses contemporains et de ses succe
t un recueil de fables lues et imitées par La Fontaine doit sauver le
nom
ce l’oubli avec ceux de Heudent et de Guéroult, f
comme Marot, sut parler gaiement de « Plate bourse » et popularisa le
nom
de Roger Bon Temps, qu’il se donnait ; — Victor B
fin, et surtout, pour clore une liste qui ne saurait épuiser tous les
noms
de cette époque, le plus brillant des seconds de
uarante ans. — Elle se constitue dès le premier jour, d’abord sous le
nom
modeste de Brigade, puis, quand la gloire est ven
onsard, qui, d’année en année, donne Odes, Hymnes, Élégies, Églogues,
noms
antiques, poèmes tout remplis, tout chargés des m
si l’on veut, confusion, cette nouvelle poésie pastorale qui sous le
nom
de Bergerie chez Remi Belleau, d’Églogue chez Ron
rite et de Virgile, et le roman et le drame à l’idylle ; qui, sous le
nom
de Pastourelle ou Fable bocagère chez Nicolas de
un genre qui s’y fera une large place au xviie siècle ; qui, sous le
nom
de Bergerie spirituelle chez Louis des Mazures, f
érité une bergère, et de Dieu le « pasteur d’en haut » ; qui, sous le
nom
d’Églogues spirituelles chez Remi Belleau, repris
vêque Godeau et l’abbé Cotin, associe le sacré au profane et donne le
nom
de « Nymphettes » aux filles de Sion. Ainsi s’éch
. Racan, Maynard, Coulomby, Touvant, Yvande, Dumoutier (on sait leurs
noms
comme ceux de la pléiade), assis tous les soirs d
nal et ambassadeur, a consacré par la renommée littéraire leur commun
nom
. Il est mort à trente-cinq ans, sans avoir eu le
s diverses de ses Jeux rustiques, ajoutées à celles qui précèdent, le
nom
d’« Ovide français », si tant est que ce nom impl
celles qui précèdent, le nom d’« Ovide français », si tant est que ce
nom
implique, avec la grâce et l’esprit, les qualités
u, etc., se faisaient un honneur d’associer par des commentaires leur
nom
à celui du maître. Odes pindariques ou horatienne
t, Qui au bruit de Ronsard156 ne s’aille reveillant, Benissant vostre
nom
de157 louange immortelle. Je seray sous la terre
ons d’un beau jour : Que les replis de la Seine ondoyante Portent ton
nom
jusqu’aux flots escumeux De la grand’mer, et puis
dre, et n’en reste sinon (S’il nous en reste rien) que le son de leur
nom
, Qu’ils ont voulu nommer la bonne renommee, Qui n
n’est plus lu, il a eu au moins la gloire assurée d’avoir attaché son
nom
à la première date mémorable du théâtre français.
ton chef mis en poudre, Sera ta sepulture, et mesmes en mourant, Mon
nom
entre tes dents on t’orra308 murmurant, Nommant D
acrée : Sédécie ou les Juifves (1583), dont le second titre prend son
nom
du chœur qu’il y a introduit comme dans toutes le
res poignantes, Tout recognoist Cesar, tout fremist à sa voix, Et son
nom
seulement espouvante les Rois329. (Marc-Antoine
Paladins, Pour sous ton estendart rompre les Sarasins, Ennemis de ton
nom
, pour l’Eglise défendre, Qu’ils veulent par le fe
rray tant d’honneur en ce honteux supplice, Où je fay de ma vie à son
nom
sacrifice, Qu’on m’en celebrera en langage divers
cs à Paris. — À dix-neuf ans il publia (1555) en deux livres, sous le
nom
de Foresteries, qui n’a pas fait fortune, des piè
llies en deux livres, son Art poétique françois en trois livres. — Le
nom
de Satire avait été renouvelé de l’antiquité par
de ne pas nommer son vieux maître Ronsard quand il déclare que les «
noms
de Guillot et de Pierrot, au lieu de Thyrsis et d
re son passé et son avenir de huguenot militant, — qui écrit, sous le
nom
de Printemps, odes, sonnets et chansons ; et un p
u nous fais du mal, il nous vient de nous-mesmes ; Ils maudissent ton
nom
quand tu leur es plus doux ; Quand tu nous meurtr
avons faict ouïr au tombeau nos prieres, Faict sonner aux tombeaux le
nom
de Dieu le fort, Et annoncé la vie au logis de la
ste flambeau, Le fameux océan luy servît de tombeau, Et depuis de son
nom
cette mer fut nommée : Bien-heureux le malheur qu
ieuses qui restent son véritable titre. Depuis le vers de Boileau son
nom
est inséparable de celui de Desportes. Mais de l’
ec l’école italienne de la poésie plaisante, burlesque, ou plutôt, du
nom
de son chef, Bernesque, dont un adepte, Mauro, av
la parenté de Régnier, Malherbe et Molière, Sainte-Beuve y ajoute le
nom
un peu inattendu d’André Chénier. La gloire de Ré
s avoir autre chose sinon Qu’un simple benefice567, et quelque peu de
nom
: Afin de pouvoir vivre avec quelque asseurance,
sans intérêt quelques pièces ou quelques passages de poètes dont les
noms
ont trouvé place dans notre tableau de la poésie
’une d’elles, n’eût-elle pas été sœur de roi et reine, se fût fait un
nom
inoubliable dans l’histoire du xvie siècle. Marg
e, l’ami de Saint-Amant, fort compromis par la rime qu’appelaient son
nom
et ses habitudes, fort enclin à Charbonner de se
ileau et de Molière ; Menage (1613-1692), que protège, après tout, le
nom
de son élève, Mmede Sévigné : le P. Lemoyne (1602
uccès Clovis (1657) et Marie-Madeleine ; Brebeuf (1618-1661), dont le
nom
est resté synonyme d’hyperbole et d’emphase, et q
d’une églogue intitulée Christine. — C’est à dessein qu’à côté de ces
noms
nous faisons revenir celui de Boileau : ils ont r
le, Rotrou, Corneille) pour la scène de son Palais-Cardinal. Quelques
noms
et quelques renommées de poètes surnagent ; Pyram
lon, etc. L’Académie, — qui était née en 1630 et avait grandi sans
nom
dans le salon de Conrart, qualifiée, consacrée et
l’unité poétique du siècle de Louis XIV nous apparaîtra dans quelques
noms
souverains. — Boileau, nommons-le le premier, Boi
t qui l’écrivirent envers et en prose : Chapelle (1626-1686), dont le
nom
est inséparable aussi de ceux de Molière, de Boil
sa place dans une ligne de l’histoire pour avoir baptisé la Fronde du
nom
qu’elle a gardé. Les poètes dramatiques sont auss
Voltaire, un « prodigieux effet ». — La Fosse (1653-1718) se fait un
nom
durable par la meilleure des tragédies de second
l’infidele malice710 A nourri le desordre et la sedition : Quitte le
nom
de Juste711, ou fais voir ta justice En leur puni
tomber de ses mains. La Fontaine et Boileau ont toujours associé son
nom
à celui de Malherbe. Le premier a dit : Ces deux
i demeure chez luy comme en son element, Sans cognoistre Paris que de
nom
seulement770, Et qui, bornant le monde aux bords
elque relasche à nos travaux passez ; Ta valeur et mes vers ont eu du
nom
assez Dans le siecle où nous sommes ; Il faut aim
chasteaux, accablez dessous leur propre fais, Enterrent avec eux les
noms
et les devises De ceux qui les ont faits775…
d il est mort… Ces deux syllabes precieuses Qui font ensemble vostre
nom
Seront de tout vostre renom Les heritieres glorie
III, 2). Profession de fox chrétienne Genest (reprenant son
nom
d’acteur) ; Marcelle, Sergeste, Lentule, acteurs
phe encore de la mauvaise humeur de Voltaire ; Attila (1667), dont le
nom
ne rappelle plus que la saillie de Boileau, et la
e de grâce égaré au milieu de ces aventures tragiques, qui associe le
nom
de Corneille a ceux de Molière et de Quinault ; P
de six ans il ne s’est fait combat Qui ne m’ait bien acquis ce grand
nom
de soldat. J’en avois pour témoin le feu roi votr
mais aucun droit d’occuper cette place. CARLOS. Se pare qui voudra du
nom
de ses aïeux ; Moi, je ne veux porter que moi-mêm
. Je n’entreprendrai point de juger entre vous Qui mérite le mieux le
nom
de son époux ; Je serois téméraire, et m’en sens
lui-même… Général en idée, et monarque en peinture, De ces illustres
noms
pourrois-je faire cas S’il les falloit porter moi
ts, fut un séminariste de passage, un mari de hasard, un forestier de
nom
. Il fut avant tout et de bonne heure poète. En su
ans se douter peut-être qu’il portait le génie dans un genre dont son
nom
est devenu synonyme, « volage en vers comme en am
n de ses personnages a son caractère, ses habitudes, son langage, son
nom
, son surnom : comme Homère il a créé des types, c
t m’apprendre des cieux Les divers mouvemens inconnus à nos yeux, Les
noms
et les vertus de ces clartés errantes Par qui son
ue, et je sais qu’il n’est pas sans mérite ; Mais, près de ces grands
noms
, notre gloire est petite : Tel de nous, dépourvu
il sur nous, dit-on, soit en vers, soit en prose886 ? L’antiquité des
noms
ne fait rien à la chose, L’autorité non plus, ni
lière (1622-1673) Notice Jean-Baptiste Poquelin, qui prit le
nom
de Molière, naquit et mourut à Paris. Ce qu’on a
gue ; une fantaisie mythologique imitée d’Apulée, et signée aussi des
noms
de Corneille et de Quinault, Psyché. Molière, obs
ation avec un relief ineffaçable et reste dans notre souvenir avec un
nom
personnel : Don Juan, Tartufe, Alceste, M. Jourda
struire la jeunesse, Reprendre ses défauts avec grande douceur, Et du
nom
de vertu ne lui point faire peur. Mes soins pour
pière, Montant superbement sa jument poulinière904, Qu’il honoroit du
nom
de sa bonne jument, S’en est venu nous faire un m
u (1636-1711) Notice Nicolas Boileau, qui ajouta depuis à son
nom
celui de Despréaux, de vieille bourgeoisie parisi
é vertement attaqué de son temps, et, plus que lui, de nos jours, Son
nom
a été une arme de combat dans la guerre des class
ques. Mais la paix s est faite entre eux et s’est faite aussi sur son
nom
. Alfred de Musset, qui avait médit de sa « tisane
ussi sur eux qu’il rejette son crime : Il cherche à se couvrir de ces
noms
glorieux. J’ai peu lu ces auteurs ; mais tout n’i
ouement ; On ne fut plus ni fat ni sot impunément ; Et malheur à tout
nom
qui, propre à la censure, Put entrer dans un vers
s972 ? Et ne sauroit-on vivre au bout de l’univers Sans connoître son
nom
et le poids de ses fers ? Quelle étrange valeur,
ce moment, on me bénit, on m’aime : On ne voit point le peuple à mon
nom
s’alarmer ; Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’e
Il faut donc vous le lire. « Fut présent devant nous, dont les
noms
sont au bas, « Maître Mathieu Géronte, en son fau
(Malherbe et son école, Causer. du Lundi, VIII) ont associé ces trois
noms
. En faveur à la cour de Henri IV, secrétaire de M
t pour les personnages des ballets dansés à la cour de Louis XIV. Les
noms
de Des Barreaux (1699-1573) et de Hesnault (mort
table en « goinfre » (c’est le titre d’une de ses pièces, et c’est le
nom
que se donnaient les compagnons du comte d’Harcou
à Chantilly des vers dans ce « cabinet de verdure » qui a conservé le
nom
de Bois de Sylvie. (Voir Ph. Chasles, les Victime
rg, où Boileau lut son Lutrin, et dont, avec Huet, il publia sous son
nom
les romans de fantaisie pastorale et les Portrait
fayette, dont les romans, Zaïde et la Princesse de Clèves portent son
nom
et ont peut-être dû quelque chose à sa plume. Son
sage. Tu vois de près ta dernière saison ; Tout le monde connoist ton
nom
et ton visage, Et tu n es pas connu de ta propre
ongtemps avant qu’il meure ; Il périt en détail imperceptiblement. Le
nom
de Mort qu’on donne à notre dernière heure N’en e
istoire de la poésie française au xviiie siècle s’encadre entre deux
noms
dont l’un a commencé à déchoir au moment où l’aut
istoire particulière de presque tous ces genres nous rencontrerons le
nom
, les œuvres et la gloire éclatante de Voltaire ;
a gloire éclatante de Voltaire ; au terme de beaucoup d’entre eux, le
nom
, les chefs-d’œuvre ou les essais et la gloire, en
nier, son voisin sur la charrette qui les conduisait à l’échafaud. Le
nom
de Léonard est sauvé de l’oubli moins par son poè
dos d’homme, Où l’on voit par un trou les héros qu’on renomme. — Le
nom
de Legouvé (1764-1812) se recommande par ses peti
es de la Mélancolie, les Souvenirs, le Mérite des Femmes. De tous ces
noms
, un nom est resté longtemps populaire, aujourd’hu
Mélancolie, les Souvenirs, le Mérite des Femmes. De tous ces noms, un
nom
est resté longtemps populaire, aujourd’hui déchu,
esse », comme l’appelle, après Rousseau, M. Villemain. Au-dessous des
noms
de Voltaire, Crébillon et Ducis, il convient de d
est resté, ne fût-ce que dans le mot nouveau, le marivaudage, que son
nom
a légué à la langue française. — À la suite de ce
sous-genres du genre comique, il faut faire une place à ceux dont les
noms
rappellent quelques succès passagers : Boissy, Ba
ment au théâtre de la foire (Saint-Germain et Saint-Laurent), sous le
nom
de comédie à ariettes, et sous celui de vaudevill
ont écrit des volumes de « farces » pour le théâtre de la foire. Les
noms
des deux derniers comptent aussi avec celui de Co
st avec Favart (1710-1792) que l’opéra-comique se fit une place et un
nom
; Sedaine, Marmontel, Desforges, connu par ses co
gloutissent déjà toute cette richesse, Ces terres, ces palais, de vos
noms
ennoblis. Et que vous reste-t-il en ces momens su
vous reste-t-il en ces momens suprêmes ? Un sépulcre funèbre, où vos
noms
, où vous-mêmes Dans l’éternelle nuit serez enseve
x. Toutefois, c’est, ainsi que nos maîtres célèbres Ont dérobé leurs
noms
aux épaisses ténèbres De leur antiquité ; Et ce n
oltaire (1694-1778) Notice François-Marie Arouet, qui prit le
nom
de Voltaire, naquit à Chatenay, près de Paris, Je
, Je 21 février 1694 et mourut à Paris le 30 mai 1778. Il a donné son
nom
au siècle qu’il a rempli de sa vie de ses écrits,
eux les cités florissantes, Enfin cette Comté, franche aujourd’hui de
nom
, Qu’avec l’or de Louis conquit le grand Bourbon11
z vos États ; Et, de vos murs détruits rétablissant la gloire, De mon
nom
, s’il se peut, bénissez la mémoire. (À Alvarez.)
cacher ses besoins sous un brillant dehors. Depuis votre malheur, mon
nom
et mon courage Font toute ma richesse ; et ce seu
re égale à ma naissance ; Et, sans ce faux relief, ni mon rang ni mon
nom
N’auroient pu m’introduire auprès de Lisimon. LYC
Paris ? Qu’a produit un séjour de si longue durée ? Que veut dire ce
nom
: Monsieur de l’Empyrée1128 ? Sied-il, dans ton é
et le gain établir sa maison, Et ne devoir qu’a soi sa fortune et son
nom
. DAMIS. Ce mélange de gloire et de gain m’importu
qui se puissent relire avec un vrai plaisir et qui s’attachent à son
nom
: Ver-Vert à son moment le plus vif (1733), le Mé
là ma destinée et mon unique goût. Quant aux amis, crois-moi, ce vain
nom
qu’on se donne Se prend chez tout le monde, et n’
it au fleuve du temps1152. Florian (1755-1794) Notice Le
nom
de Florian rassemble bien des contrastes. Capitai
stes. Capitaine de dragons, ce sont des bergeries qui lui ont fait un
nom
populaire. La naïveté qu’il n’a pas trouvée dans
latée, de romances, et qui a légué aux imageries populaires, avec son
nom
, celui de Némorin ; Numa Pompilius (1786) ; Gonza
cueil de quatre-vingt-neuf Fables, en cinq livres, qui a consacré son
nom
. Le singe qui montre la lanterne magique1153
t les tours Attiroient chez lui grand concours. Jacqueau, c’étoit son
nom
, sur la corde élastique Dansoit et voltigeoit au
e pédante Fait des vers fort vantés par Voltaire qu’il vante, Qui, du
nom
de poème ornant de plats sermons, En quatre point
67 ; Et tant d’autres encor dont le public épris Connoît beaucoup les
noms
et fort peu les écrits : Alors, certes, alors ma
pardonneriez de les avoir cités. Quoi donc ! un écrivain veut que son
nom
partage Le tribut de louange offert à son ouvrage
à forfait, s’il blesse la raison, De la venger d’un vers égayé de son
nom
? Comptable de l’ennui dont sa muse m’assomme, Po
on journal1171, Des sophistes du temps l’adulateur banal, Lorsque son
nom
suffit pour exciter le rire, Dois-je, au lieu de
gmes au lecteur. Sitôt que l’auteur signe un écrit qui transpire, Son
nom
doit partager l’éloge et la satire. De citer un p
ine, « Que leur vie et leur mort s’éteignent dans l’oubli ; « Que ton
nom
dans la nuit demeure enseveli. « — Viens, suis-n
lieux départis, Où l’étranger, à l’aise achevant son voyage, Pense au
nom
des Trudaine et bénit leur ouvrage1247 ?… …………………
oir recruteur des ombres, Escorté d’infâmes soldats, Ébranlant de mon
nom
ces longs corridors sombres, Où seul dans la foul
adémie en 1760. Son Ode sur la mort de J-B. Rousseau a fait vivre son
nom
. Un autre honnête homme, qui a été l’ami de Berna
ette courte période (1800-1815) a pris et conservé dans l’histoire le
nom
de Littérature de l’Empire. Deux noms s’en détach
s et conservé dans l’histoire le nom de Littérature de l’Empire. Deux
noms
s’en détachent et la dominent de très haut, ce so
re. Deux noms s’en détachent et la dominent de très haut, ce sont les
noms
de deux prosateurs, Mme de Staël et Chateaubriand
ns-la enterrée dans les colonnes du Moniteur, et n’en retenons que le
nom
de Pierre Lebrun (1785-1873) que l’avenir devait
un troisième avec Charles le Téméraire en Suisse. Qu’importent leurs
noms
? Qu’importent et une Caroléide, et une Davidéide
me la poésie descriptive, la tragédie de l’Empire nous a transmis des
noms
plutôt que des œuvres. Je laisse ceux dont la ren
aventures : proscrit pour raisons politiques par la censure, sous son
nom
primitif de Don Sanche, il émigra des bords de l’
re, a laissé le souvenir de succès de bon aloi. Dans la comédie trois
noms
sont inséparables, unis par l’amitié, la gaieté,
agea avec Nicolo. Le Pré aux Clercs (1832) associe au nom d’Hérold le
nom
de Planard (1783-1855), que ses comédies n’eussen
temps, et de Le Bailly (1756-1832). Enfin la chanson fait répéter les
noms
de Piis, de Brazier, d’Armand Gouffé, de Laujon,
-1857). II Pendant les premières années de la Restauration, aux
noms
des poètes déjà connus ou célèbres, dont l’un, Bé
pertoire tragique, de sa Marie Stuart (1820), — vinrent s’ajouter des
noms
nouveaux venus. Casimir Delavigne (1794-1843) rem
. Alexandre Guiraud (1788-1847) fit connaître au théâtre, en 1822, un
nom
auquel, deux ans après, ses Poèmes et Chants élég
ue la publication de deux œuvres éclatantes révéla ou popularisa deux
noms
qui représentèrent, et deux génies qui accomplire
ce qu’il y a d’intime en nous ». Il donne par ce mot la formule et le
nom
d’une poésie nouvelle dont Lamartine avait le pre
que poème ou recueil poétique nouveau, son titre, qui ne sera plus le
nom
commun d’un genre, mais le cri de son âme et comm
ne école nouvelle, dont Mme de Staël avait par anticipation trouvé le
nom
, l’école « romantique », nom qui résumait, par op
e Staël avait par anticipation trouvé le nom, l’école « romantique »,
nom
qui résumait, par opposition avec celui de classi
indépendance et d’audace dans l’invention, la couleur et le style. Ce
nom
, V. Hugo le discute et l’écarte en 1824 (IIe préf
re. C’est sur le théâtre qu’elle arbora en 1827 et son drapeau et son
nom
. Pendant que Lamartine, qui, poète, historien, or
l’élégance monotone ; et sur ses ruines il dresse le « drame », vieux
nom
, chose nouvelle ; non plus le drame du xviiie si
que demi séculaires qu’on s’est repris à applaudir aujourd’hui que le
nom
même de romantisme est oublié. Aussi bien l’équil
dans une grande école de poésie française où elle a perdu jusqu’à son
nom
. Le goût public, après avoir oscillé, a trouvé un
, néo-grecs, parnassiens (le public admet tous les genres et tous les
noms
), — les poètes de nos jours, les uns, muets aujou
r à lenrs provinces qu’ils ont écrit les poésies qui leur ont fait un
nom
. L’esprit de rénovation et d’indépendance qui, pa
mie, qui aurait pu lui savoir gré d’avoir atteint, sous le couvert du
nom
Tibère, celui qu’il avait lui-même frappé sous ce
ouvert du nom Tibère, celui qu’il avait lui-même frappé sous celui du
nom
de Tacite (voir notre Recueil des prosateurs, p.
les tombeaux de Rome1273… Les Romains ! deux encor sont dignes de ce
nom
, Cette fière Agrippine et le fils de Pison. Cnéiu
Camille, Enfants de Quintius, postérité d’Émile, Esclaves accablés du
nom
de leurs aïeux1274 ! Ils cherchent chaque jour le
mort aux promesses de l’avenir, il n’en est pas, après A. Chénier, au
nom
duquel la postérité ait attaché plus de regrets q
sonne. La vaste porte, ouvrant ses battants vermoulus, Me demande mon
nom
, et ne me connaît plus. Hélas ! je ne suis pas un
Enfants d’Édouard », auquel il a dédié le drame désigné sous le même
nom
, reste entre Ingres et Delacroix. Il est le Delar
i, que dans ses tourments il rappelle soudain ; Toujours moi, dont le
nom
s’échappe de sa bouche, Lorsqu’un remords vengeur
Ne me dites pas non. Enrichi des impôts qu’on perçoit en mon
nom
, Pour cinq cents écus d’or vous en levez deux mil
rais, fussé-je sa victime. Mais qui donc êtes-vous pour parler en son
nom
? N’a-t-elle qu’une voix ? Est-ce la vôtre ? Non.
droit, Et le fait qu’on doit croire au bruit menteur qu’on croit, Les
noms
dont elle est fière à ceux dont elle a honte. Nom
r qu’on croit, Les noms dont elle est fière à ceux dont elle a honte.
Noms
purs, nobles talents, c’est sur eux que je compte
, a ruisselé, intarissable, en odes, en stances, en élégies, sous les
noms
de Méditations (1820-1823), d’Harmonies poétiques
et l’amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n’a pas de
nom
au terrestre séjour1325. Que ne puis-je, porté s
qu’un jour si vivant ne pourra plus mourir ; Jéhovah ! Jéhovah ! ton
nom
seul me soulage ! Il est le seul écho qui réponde
n écho de ta propre grandeur ! Tu ne dors pas souvent dans mon sein,
nom
sublime ! Tu ne dors pas souvent sur mes lèvres d
des (1818-1828) et les Orientales (1819) ; poésie semi-épique sous le
nom
de légendes (La Légende des Siècles, 1862 et 1877
(La Légende des Siècles, 1862 et 1877) ; poésie intime sous tous les
noms
(Les Feuilles d’Automne, 1831 ; Les Chants du Cré
e et satirique (Les Châtiments, 1853) ; poésie encyclopédique sous le
nom
de Les Quatre Vents de l’Esprit (1881) ; — rien,
ut reçu pour hochet la couronne de Rome ; Lorsqu’on l’eut revêtu d’un
nom
qui retentit ; Lorsqu’on eut bien montré son fron
re. L’air reprend la fumée, et la terre la cendre. L’oubli reprend le
nom
! VI Ô révolutions ! j’ignore, Moi, le mo
ux. Je commande à la nuit de déchirer ses voiles ; Ma bouche par leur
nom
a compté les étoiles, Et, dès qu’au firmament mon
Il sourit en songeant que ce fragile verre Portera sa pensée et son
nom
jusqu’au port ; Que d’une île inconnue il agrandi
uits d’incomparables accents qui le mettent, sans qu’il ait repris le
nom
d’Élégies, à côté ou au-dessus de Lamartine et d’
ser les deux mains ? Clouerons-nous au poteau d’une satire altière Le
nom
sept fois vendu d’un pâle pamphlétaire, Qui, pous
poète, poète d’un jour, que ce jour fera vivre, et ont attaché à son
nom
le nom d’Iambes, dont il partage, dans la poésie
poète d’un jour, que ce jour fera vivre, et ont attaché à son nom le
nom
d’Iambes, dont il partage, dans la poésie françai
sol, que traduit à l’oreille la brièveté sonore et quasi sauvage des
noms
, soit passée dans ce style dru, court, de tons vi
ule, Et de là, pour aller ensemble à Lo’-Théa, Formant de leurs beaux
noms
le doux nom de Létâ ; C’est l’El-Orn que la mer s
, pour aller ensemble à Lo’-Théa, Formant de leurs beaux noms le doux
nom
de Létâ ; C’est l’El-Orn que la mer sale de son é
rrare ; Mon instinct l’emporta, je redevins barbare, Et j’oubliai les
noms
des antiques héros, Pour chanter les combats des
s en prose, que l’amitié a pieusement recueillies et publiées sous le
nom
de Myosotis (1838, nouvelle édition 1851), le sou
t déçu, et,d’un talent trop tôt enlevé à de légitimes espérances. Son
nom
s’associe à ceux de Gilbert, chanté par lui à l’h
e… Hélas ! si j’avais su ! La Voulzie1463. Élégie S’il est un
nom
bien doux fait pour la poésie, Oh ! dites, n’est-
est un nom bien doux fait pour la poésie, Oh ! dites, n’est-ce pas le
nom
de la Voulzie ? La Voulzie, est-ce un fleuve aux
uve aux grandes îles ? Non ; Mais, avec un murmure aussi doux que son
nom
, Un tout petit ruisseau coulant visible à peine ;
tu n’es pas flétrie, ô sainte liberté, Par les crimes commis sous ton
nom
emprunté ! S’il est une belle œuvre, elle est tou
! Que la vie, épanchée à flots dans l’infini, Proclame vastement ton
nom
partout béni1531 ! Allez, persécuteurs ! Lanc
ra d’une sanglante flamme ; On entendit des cris et des plaintes sans
nom
; Un grand vent accourut des bords de l’horizon,
60. (Poèmes barbares. — A. Lemerre, éditeur.) 1. Voici les
noms
des genres poétiques pratiqués par Marot et son é
Il feint qu’il a, comme les grands seigneurs, deux terres portant ses
noms
. 50. Cette épître a toujours été citée comme un
ent. 75. Transnabam. 76. Funda ; auj. fronde. 77. C’est sous le
nom
rustique de Robin, traditionnel dans les pastoure
deuil de Jésus » ; dans un « balladin », la primitive Église, sous le
nom
de Christine la Bergerette, reçoit aide et protec
t le fil en écheveau. Var. : devisant, causant. 156. En entendant le
nom
de… Var. : au nom de Ronsard. 157. Par une louan
t., II). Leur moindre défaut est de n’avoir guère de l’églogue que le
nom
. Sous le masque d’une imitation de Théocrite et d
bergers, ni leurs nymphes. La cour de France y est déguisée sous des
noms
de ferme, quelquefois de basse-cour. — Dans la pl
nce, duchesse de Savoie, a un double rôle, berger ici, Margot là. Les
noms
d’Orléantin. Angelot, Navarrin cachent le duc d’O
yrsis, deviennent dès l’édition de 1569 Carlin et Xandrin (Alexandre,
nom
porté par Henri III dans sa jeunesse), — cadres d
t m’apprendre des cieux Les divers mouvemens inconnus à nos yeux, Les
noms
et les vertus de ces clartés errantes, Par qui so
Institution pour l’adolescence du Roy tres chrestien Charles IX de ce
nom
. (Discours, p. 33 sqq.). Elle commence ainsi : S
Dieu Dont vous estes l’image, et porter au milieu De vostre cœur son
nom
et sa sainte parole. Comme le seul secours dont [
On songerait presque à ce noble l’Hospital, qui disait : « Otons ces
noms
diaboliques de partis, ne changeons le nom de chr
qui disait : « Otons ces noms diaboliques de partis, ne changeons le
nom
de chrétien », n’étaient les accents de colère qu
Estendus l’un sur l’autre ; et que la multitude Qui s’asseure en ton
nom
, franche de servitude. De fleurs bien couronnée,
., 1, 508 : Et curvæ rigidum falces conflantur in ensem. 243. Les
noms
de pistola et pistolese, donnés en italien à un c
en français (pistole, pistolet) à la plus courte des armes à feu. Le
nom
de pistole fut donné aussi, par assimilation dimi
tor. L’Empire, constitué civilement, a commencé avec Auguste, sous le
nom
de Principatus. 313. Finissent. 314. Cf Shakesp
t mille tourmens plustost je souffrirois, Qu’un adveu si contraire au
nom
que je desire, Ils ont menty, D’Aurat ! c’est un
nation plus heureuse quand il définissait la maladie, Poison à mille
noms
, ministre du trépas, Qui s’en vient au galop et s
rent les Foresteries qui lui sont dédiées, après avoir chanté sous le
nom
de l’Admirée celle qu’il épousa deux ans avant sa
pour peureux : paoros, peüros, paoureux (Amyot). 400. Anciennement,
nom
du singe. 401. Cf. Horace, A. Poét. v. 101 : U
j’ai volé… (Elég., IV.) 458. Voilà le titre du poème expliqué par le
nom
de la Muse qui l’inspire. — Les Tragiques, publié
tte tournure. Cf. Corneille Don Sanche, I. 3 : Se pare qui voudra du
nom
de ses ayeux ; Mot je ne porte que moi-même en to
veut sa maison gouverner en province, Chacun se deconnait et veut son
nom
changer, Chacun sous d’autres mœurs veut les sien
ns de lierre ; Comme s’il importoit, estans ombres là bas, Que nostre
nom
vescust ou qu’il ne vescust pas… Doncq’ par d’aut
606. Je me reconnais féru de mon idée. 607. Ver coquin (mauvais),
nom
: 1° de diverses larves ; 2° d’un ver qui est dan
eu, l’une de Racan, l’autre de Adam Billaut, de Nevers, connu sous le
nom
de Maître Adam, qui resta menuisier en devenant p
éremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les
noms
de vieillir. Mais l’art d’en faire des couronnes
e d’Adrien qu’il joue, Genest, touché de la grâce, fait en son propre
nom
une profession de foi chrétienne (acte IV, sc. 4e
e bruit, Et de qui certes l’art comme l’estime est juste, Portent les
noms
fameux de Pompée et d’Auguste : Ces poèmes sans p
ilas de son oncle. Il faut croire qu’il est de Corneille, puisque son
nom
y est ; et il y a une scène d’Agésilas et de Lysa
e, spirituelle et bonne. Elle recueillit en 1672 La Fontaine, dont le
nom
reste attaché au sien. Elle mourut en 1693. 870.
e présente à elle. C’est l’Amour lui-même ; mais il ne révèle pas son
nom
; elle veut le savoir : il obéit, et le palais s’
abuser de l’autorité qu’il confère et perdre Astrate son rival. — Le
nom
de Quinault est un de ceux qui viennent d’eux-mêm
r satisfaction. 992. Cette tragédie fut d’abord jouée (1676) sous le
nom
de Coras, puis réclamée par Leclerc. 993. On a r
e Armide ou comme Atys, avec quelle idolâtrie il serait reçu ! » — Le
nom
de Quinault a le don de fâcher Voltaire contre Bo
s, et, dans la demi-obscurité d’une chambre de malade, dicte, sous le
nom
du veillard, le testament, ou il a soin de ne pas
en ce genre, au chevalier de Cailly (1604-1673), qui publia, sous le
nom
de d’Aceilly de fines épigrammes. À Monseigneur
rands acteurs, Le Kain au xviiie siècle, Talma au xixe attaché leur
nom
à l’interprétation de ce rôle. La tradition a con
. 1059. L’admiration du xviiie siècle l’a ouvert à Rousseau. Son
nom
y reste conservé, plus par habitude, aujourd’hui,
e beau seul que je respecte, Et non l’autorité suspecte Ni des grands
noms
ni des vieux temps. Sur La Motte, le dernier mot
mbrouillée qu’elle soit, nous apprend que Zénobie est, cachée sous le
nom
d’Isménie, à la cour de son beau-père, qui veut l
entre les mains de l’ambassadeur et recevant d’elle la révélation du
nom
de cet ambassadeur et du lien qui les unit, Rhada
e perdre dans les hauteurs du sublime. Métrom., I, 7 : MONDOR. Votre
nom
maintenant, c’est donc ? DORANME.
da ! N’ayant sous l’horizon Ni feu, ni lieu qui puisse allonger votre
nom
, Et ne possédant rien sous la voûte céleste, Le n
se allonger votre nom, Et ne possédant rien sous la voûte céleste, Le
nom
de l’enveloppe est tout ce qui vous reste. 112
u’autrefois à Oronte d’avoir fait un mauvais sonnet. On mit plusieurs
noms
sous celui de Cléon, et ceux qui les portaient ne
médaille des salons du xviiie siècle. » 1137. Gresset applique le
nom
de Chartreuse, qui signifie couvent de Chartreux
treuse, qui signifie couvent de Chartreux (Étym. : Catursiani montes,
nom
des montagnes de Savoie où Saint- Bruno fonda l’o
t-Jacques, « la pédantesque rue », dans le quartier qui a conservé le
nom
de « Quartier latin », près du point culminant de
: on le voit par cette dernière. 1144. Shakespeare a immortalisé le
nom
de Macbeth par une de ses plus célèbres tragédies
pements mythologiques où il s’attarde ; de ces brusques disparates du
nom
de Buffon avec ceux d’Hercule, des Hespérides, de
du Chratis ; ce sont les rives du Sébéthus auxquelles Néère répète le
nom
de Clinias (Bucol., XIII). Mais il ne veut pas se
télescope la résout en un nombre infini de petites étoiles. 1202. Ce
nom
et les suivants sont des noms de constellations.
bre infini de petites étoiles. 1202. Ce nom et les suivants sont des
noms
de constellations. 1203. Homère. 1204. Cf. Ilia
yss., VIII, 65. L’aède aveugle Démodocus est l’image d’Homère. 1218.
Nom
donné à ceux qui allaient de ville en ville chant
euilles qui surnagent, un parfum qui devait à jamais s’attacher à son
nom
. Il avait eu une fois de la mélancolie et de la m
lide, entre les golfes d’Égine et de Nauplie ; 2° ville forte du même
nom
dans cette île. — Les Hydriotes se signalèrent da
, la réponse de Fr. de Paule. 1323. Il est facile de deviner sous le
nom
de Victor C. Delavigne lui-même. 1324. Vous ret
s baignés par sa molle clarté. 1325. Qui, sur la terre, n’a pas de
nom
, parce qu’il n’y a pas d’existence. Le second ver
i du croyant fait chanter à toute la nature par la voix du poète ; le
nom
de Dieu sort et monte du concert immense et infin
IV). L’Arc de triomphe, où V. Hugo se plaint de ne pas voir gravé le
nom
de son père, et Notre-Dame, où son roman a gravé
liers errants, et, avec un peu d’ironie, redresseurs de torts. 1378.
Nom
donné dans les Pyrénées aux cours d’eau qui desce
mérique méridionale et la Terre-de-Feu, le détroit qui a conservé son
nom
. 1385. Panne (latin pannus, étoffe), usité dès
de Musset, dans l’indépendance de la poétique nouvelle, chante en son
nom
ce qu’il sent et ce qu’il souffre ; mais l’éloque
erdu par le joueur. 1404. Bains, bains thermaux, qui ont donné leur
nom
allemand à la ville de Baden. 1405. Voilà un dr
nies de l’air, dans la poésie scandinave, voir Shakespeare. 1465. Le
nom
de la nymphe qui inspirait Numa est arrivé à pers
uis votre souvenir même est enseveli. Le corps se perd dans l’eau, le
nom
dans la mémoire ; Le temps qui sur toute ombre en
Et quand la tombe enfin a fermé leur paupière, Rien ne sait plus vos
noms
, pas même une humble pierre Dans l’étroit cimetiè
De Republ., VI, 8, Songe de Scipion).· — Cf. A. Chénier p.42. 1529.
Nom
donné par analogie au verre du télescope, taillé
: l’« Apollon de Belvédère » le représente vainqueur du monstre ; 2°
nom
donne, par allusion au précédent, à un genre d’op
ntoue à Milan, Et répètent sans fin cette magique histoire, Où chaque
nom
de fille est un nom de victoire… Cependant autour
pètent sans fin cette magique histoire, Où chaque nom de fille est un
nom
de victoire… Cependant autour d’eux leurs compagn
1558. Qui colore la neige d’un reflet rouge. 1559. Ou Croix du Sud,
nom
d’une constellation de l’hémisphère austral. 15
Alger, ville fameuse par ses pirateries, et capitale du royaume de ce
nom
en Afrique. Elle est située près de la mer, vis-à
que (aujourd’hui Livadie, dans la Turquie d’Europe). C’est de ce même
nom
que les Grecs appelaient Minerve ; et c’est ce qu
nne, chef des Ligueurs, fit proclamer roi de France, en 1589, sous le
nom
de Charles X. Ce prélat était alors prisonnier à
aquelle elle soutint trois guerres, fameuses dans l’histoire, sous le
nom
de Puniques. Dans la première, elle subit la loi
présente la tête couronnée d’épis, et une faucille à la main. César (
nom
de). On donne ordinairement ce nom aux douze prem
et une faucille à la main. César (nom de). On donne ordinairement ce
nom
aux douze premiers empereurs de Rome. Celui dont
ées en forme de cercle ; forme de laquelle, dit-on, elles tirent leur
nom
. Cyclopes. (Voyez le mot Etna.) D. Danube
u le Soleil, parce qu’il naquit avec Diane, sa sœur, dans l’île de ce
nom
, et que d’ailleurs, il y était adoré dans un temp
’avaient chacune qu’un arbre sous leur protection. E. Egypans.
Nom
que l’on donne aux satyres. Voyez ce mot. Égypte
ifie guerre, et de man qui signifie homme. D’autres prétendent que ce
nom
de Germains signifiant frères, ne fut d’abord don
ongres, habitants du pays situé entre la Meuse et l’Escaut, et que ce
nom
passa dans la suite à tous les peuples de la Germ
un évangéliste et un historien, plutôt que pour un prophète. Israël.
Nom
que l’ange du Seigneur donna au patriarche Jacob,
et de Benjamin, pour former un royaume particulier. J. Jacob.
Nom
que l’on donne souvent au peuple de Dieu, comme é
. Mer morte. Voyez Asphaltite (lac). Milan, capitale du duché de ce
nom
, et l’une des plus grandes et des plus belles vil
Paris dans le château de la Bastille en 1703, et fut enterré, sous le
nom
de Marchiali, dans le cimetière de la paroisse de
ommée alors Calypso, parce qu’elle était habitée par une déesse de ce
nom
. Il y conçut une violente passion pour une de ses
ns. Thomas de Cantorbéry (saint), né à Londres l’an 1117, et dont le
nom
de famille était Becquet. Il mérita, par ses gran
ils Érichton, et à celui-ci son fils Tros, qui donna à cette ville le
nom
de Troie. Après lui, son fils Ilus voulut qu’elle
Zéphyrs (les). Les poètes, en personnifiant les vents, ont donné ce
nom
aux vents doux et agréables qui soufflent au prin
u genre léger on des poésies fugitives 109. Que comprend-on sous le
nom
de poésies fugitives ? On donne le nom de poésie
109. Que comprend-on sous le nom de poésies fugitives ? On donne le
nom
de poésies fugitives à de petites pièces de vers
e des productions dignes d’un vrai talent poétique. Elles ont reçu le
nom
de fugitives, sans doute parce que, à cause de le
uiser la pointe. Les nombreuses épigrammes des Grecs, réunies sons le
nom
d’Anthologie ou bouquet de fleurs, ne sont guère
Dieu n’est permanent. 119. Dans quel cas l’inscription prend-elle le
nom
d’épigraphe ? L’inscription s’appelle épigraphe
t que tous ces traits réunis désignent exclusivement la chose dont le
nom
est cherché. C’est la règle fondamentale de l’éni
e veut ôter le cœur Qu’a vu plus d’une fois renaître le lecteur. Mon
nom
bouleversé, dangereux voisinage, Au Gascon imprud
faire une charade avec le mot polissoir. La première syllabe est pô,
nom
d’un fleuve ; la seconde, lis, nom d’une fleur ;
ssoir. La première syllabe est pô, nom d’un fleuve ; la seconde, lis,
nom
d’une fleur ; la troisième , soir, nom d’une part
d’un fleuve ; la seconde, lis, nom d’une fleur ; la troisième , soir,
nom
d’une partie du jour, et le tout un instrument qu
s genres qu’on a extrait ce recueil de préceptes auquel on a donné le
nom
de Rhétorique. 7. À force de travail et d’étude o
ter tous les autres, c’est-à-dire l’amour et la haine, et on donne le
nom
de pathétique à l’art d’exciter les passions. 14.
ns pitié toutes les tournures prétentieuses, auxquelles on a donné le
nom
de précieux ridicule. Telle est cette phrase : Pe
signifier quelque chose sans rien signifier du tout ; marivaudage, du
nom
de Marivaux, qui l’a créé, un style fatigant par
gloire qui vient de la vertu. En ce cas, la phrase incidente prend le
nom
d’incidente déterminative parce qu’elle détermine
re de gloire qui a un éclat immortel. 6. La phrase incidente prend le
nom
d’incidente explicative, lorsqu’elle ne sert qu’e
oncourt au développement de l’idée générale, cette incidence prend le
nom
d’incise ; l’incise toutefois fait partie du memb
e composée ? — 6. La phrase incidente prend-elle quelquefois un autre
nom
? — 7. Qu’est-ce qu’une période ? — 8. Quelles so
s, lorsque le mot conserve son acception propre, et elles prennent le
nom
de tropes, quand le mot est pris dans une accepti
tc. 16. L’apposition consiste à mettre ensemble sans conjonction deux
noms
dont l’un est un nom propre et l’autre un nom com
onsiste à mettre ensemble sans conjonction deux noms dont l’un est un
nom
propre et l’autre un nom commun, en sorte que ce
sans conjonction deux noms dont l’un est un nom propre et l’autre un
nom
commun, en sorte que ce dernier sert de qualifica
ymie signifie en effet, suivant son étymologie grecque, changement de
nom
. 8. Il y a métonymie : 1° quand on prend la cause
: Il avala la coupe funeste. 4° Quand on prend pour la chose même le
nom
du lieu où cette chose se fait. Ex. : Voilà une j
nfond souvent, il faut remarquer que la métonymie prend simplement un
nom
pour un autre, tandis que la synecdoque ajoute à
ille). 6. L’antonomase est un trope par lequel on substitue tantôt un
nom
commun à un nom propre : ex. : l’Apôtre pour sain
nomase est un trope par lequel on substitue tantôt un nom commun à un
nom
propre : ex. : l’Apôtre pour saint Paul ; tantôt
m commun à un nom propre : ex. : l’Apôtre pour saint Paul ; tantôt un
nom
propre à un nom commun : ex. : un Benjamin pour u
m propre : ex. : l’Apôtre pour saint Paul ; tantôt un nom propre à un
nom
commun : ex. : un Benjamin pour un enfant chéri.
s contraire jusqu’à un certain point aux lois de la grammaire. 7. Les
noms
des figures, la plupart tirés de la langue grecqu
ers suivants résument la signification de toutes les figures dont les
noms
sont tirés du grec : Figures grammaticales. L’Ell
t et compare ensemble deux idées. Par la Métonymie on peut changer un
nom
, Et mettre en son discours bronze au lieu de cano
6. Qu’est-ce que l’hypallage ? — 7. Faites-nous une remarque sur les
noms
des figures, et mettez en vers français leurs déf
lement rapprochement d’idées qui se fortifient, cette figure prend le
nom
de contraste. 14. L’antithèse peut exister dans l
peignent l’état de la chose décrite. En ce dernier cas, elle prend le
nom
d’harmonie descriptive. Les deux vers suivants pe
nscrire une idée confuse, incomplète ou vague, elle ne mérite plus le
nom
d’épithète ; ce n’est qu’un simple adjectif. 10.
ne description courte et vive. 11. On donne, comme par excellence, le
nom
de pensées à celles qui sont énoncées dans une fo
4e Leçon) — Chapitre II. De la narration24. 1. On comprend sous le
nom
générique de narration toutes ces compositions de
les formes de l’antithèse. Questionnaire. 1. Que comprend-on sous le
nom
générique de narration ? — 2. De combien de sorte
y aurait pas allégorie parfaite, et la composition prendrait un autre
nom
. C’est ainsi qu’on nomme parabole l’allégorie qui
d’un fait. Élevée à son plus haut degré de perfection, elle prend le
nom
de tableau. 15. La description et le tableau ne c
le et pure. C’est ce qui a fait donner à la narration merveilleuse le
nom
de légende. 7. La légende étant ordinairement pui
e sang coulera dans — ses veines. (Rac. [Racine]) On donne encore le
nom
de rime riche, mais évidemment par extension, à c
tin, infi — nie, ago — nie, et à laquelle certains auteurs donnent le
nom
de rime riche. Fausse rime. — Il y a fausse rime
leau, en disant ………………… L’enfant tire, et Broutin Est le premier des
noms
qu’apporte le destin, n’a fait qu’un enjambement
possible d’appeler le Télémaque un roman ; on n’ose pas lui donner le
nom
de poëme, et cependant, ce livre a été écrit avec
eilleux exemples ne sont que des exceptions. Bossuet se fût irrité du
nom
de poëte ; Fénelon en eût été surpris. Boileau a
s harmonieux et le plus riche, est l’alexandrin de douze syllabes. Ce
nom
lui vient, dit-on, d’Alexandre de Paris ou de Ber
’image harmonieuse du beau, l’inspiration, nous l’avons dit, prend le
nom
de poésie. L’inspiration poétique est mobile com
ion et la chute du premier homme. Mais il ne parle plus en son propre
nom
que par hasard. Son inspiration cesse de lui appa
du vin, culte à la fois héroïque et plaisant, lyrique et moqueur. Les
noms
des deux genres ont consacré pour toujours le sou
, surtout chez les modernes, un troisième genre dramatique, appelé du
nom
un peu vague de drame. À ce genre appartient déjà
déjà dans l’antiquité le Cyclope d’Euripide. C’est d’ordinaire par ce
nom
que l’on désigne les œuvres immortelles de Shakes
ale, qui, chez Boileau, ne diffère de l’épître que par la forme et le
nom
, et n’est d’ailleurs qu’une leçon perpétuelle de
le ne connaît pas les élans et l’enthousiasme de l’ode ; mais sous le
nom
de Méditations et les formes variées des stances,
ent les mouvements de la passion. Chez le poëte, le bon sens, sous le
nom
de goût, est le contre-poids et la règle de l’ima
ments importants à l’histoire, des chefs-d’œuvre à la littérature. Le
nom
de madame de Sévigné est aussi populaire que ceux
le cite avec orgueil Voltaire et La Harpe ; le xixe ne manque pas de
noms
illustres après eux. 3. — Nous ne dirons rien du
ssoire de la Rhétorique, élevée au rang d’une science, objet, sous le
nom
de Mnémonique, d’études longues et minutieuses. C
clusion. La majeure et la mineure prennent encore l’une et l’autre le
nom
de prémisses. Enthymème. — L’éloquence, qui dema
ment se réduit ici à la majeure et à la conclusion. Il prend alors le
nom
d’Enthymème. La mineure est sous-entendue ; l’ora
fun. d’Anne de Gonzague.) On voit que ces formules anciennes et ces
noms
grecs, dont on se fait une peur puérile, ont un s
u’il ne faut pas confondre avec la figure de pensée qui porte le même
nom
, établit, comme cette figure, un rapport entre de
es Mœurs, et l’autre par les Passions. Voilà pourquoi, sous ces deux
noms
, la sensibilité a sa part dans l’Invention oratoi
e iv.) Dans le Cid, l’orgueil du comte pousse D. Diègue à bout. Mon
nom
sert de rempart à toute la Castille. Sans moi, vo
s essentielles de l’éloquence. Ce sont les qualités comprises sous le
nom
de mœurs dans l’Invention. 1° La probité, premie
qu’il ait donné cette haine à son personnage : il ne faut pas que ce
nom
de Misanthrope en impose, comme si celui qui le p
, malgré la défaveur que la conversation et l’usage ont attachée à ce
nom
, croira-t-on que la définition et l’énumération d
style, la troisième partie de la Rhétorique. L’Élocution, comme son
nom
l’indique, est la traduction de la pensée par la
es idées qu’ils exprimaient aux idées contraires, donné aux vices les
noms
des vertus, et appliqué au faux les signes du vra
Corneille et Racine emploient également le pronom en pour désigner un
nom
de personne. Il connaît Nicodème, il connaît sa
indés, et croiraient se trop abaisser en nommant les choses par leurs
noms
. Tout entre dans les sujets que l’éloquence doit
, et n’eût pas fait de cercle vicieux, s’il eût simplement analysé le
nom
que les anciens donnaient aux figures. Ils les ap
heureuses qu’un art accompli. Il ne faut pas non plus s’effrayer des
noms
que leur a donnés la Rhétorique. Toute science a
hniques, faites pour seconder la mémoire et faciliter le travail. Ces
noms
qui nous semblent singuliers désignent les actes
guliers désignent les actes et les œuvres de l’esprit, comme d’autres
noms
scientifiques désignent les organes et les actes
Corneille, Cinna, acte III, sc. iii. On a donné à l’exclamation le
nom
d’épiphonême, quand elle exprime une réflexion et
ague). La Comparaison continuée entre deux hommes illustres prend le
nom
de Parallèle. Nous ne pouvons qu’indiquer ici cel
x plus vieilles chroniques, Et que l’un des Capets, pour honorer leur
nom
, Ait de trois fleurs de lis doté leur écusson. Qu
liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende seulement le
nom
. Ceux-ci, occupés du premier objet qui les avait
helin. Athalie, acte IV, sc. iii. On ne voit point le peuple à mon
nom
s’alarmer, Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’en
nterie de l’armée d’Espagne. » (Ibid.) « Sache la postérité, si le
nom
d’un si grand ministre fait aller mon discours ju
érivent. 1° Métaphore. — « C’est, disait Aristote, un transport d’un
nom
qu’on tire de sa signification ordinaire. » (Poét
ance du style. IV. Métonymie. — La Métonymie est la substitution d’un
nom
à un autre. Elle consiste à prendre : La cause p
e IV, sc. iv. Antonomase. — Ce trope est encore une substitution de
nom
. Il consiste à prendre : Le nom commun pour le n
trope est encore une substitution de nom. Il consiste à prendre : Le
nom
commun pour le nom propre (et de même le nom patr
e substitution de nom. Il consiste à prendre : Le nom commun pour le
nom
propre (et de même le nom patronymique, le nom de
consiste à prendre : Le nom commun pour le nom propre (et de même le
nom
patronymique, le nom de famille, le terme qui dés
Le nom commun pour le nom propre (et de même le nom patronymique, le
nom
de famille, le terme qui désigne une qualité esse
nsi saint Paul, l’apôtre par excellence. L’antonomase prend aussi le
nom
propre pour un nom commun, par une transposition
pôtre par excellence. L’antonomase prend aussi le nom propre pour un
nom
commun, par une transposition très-élégante et tr
de la nature, m’apprenait à admirer les œuvres de Dieu et à bénir son
nom
. Ici quelques pensées pieuses. Sous ce berceau de
e Florval reçoivent Jacquot comme leur fils ; il prend la place et le
nom
de Gaston ; on rend Gaston, devenu Jacquot, à sa
le Conquérant. Sa femme se nommait Sibylle. Nous avons substitué à ce
nom
, qui a quelque chose de ridicule dans notre langu
mission avec un génie, un courage et un patriotisme qui ont rendu son
nom
immortel ; et, grâce à lui, Lacédémone devint le
né à Samosate, ville de Syrie, comme le philosophe qui porte le même
nom
. Il nous reste de lui un fragment d’une lettre éc
fondre ce Léonidas avec le héros des Thermopyles, qui portait le même
nom
et qui mourut l’an 480 avant J.-C. — Ce second Lé
du gouverneur. Mais l’un d’eux reconnaît Arioste ; il le nomme. A ce
nom
, la fureur des brigands fait place à des témoigna
mutation de peine, et il l’obtient. Le jeune homme (Gaëtano était son
nom
) est condamné à une prison perpétuelle. Ce fait e
qui va suivre. Vingt-deux ans après, ce prêtre, devenu pape, sous le
nom
de Pie IX, se rend incognito à la prison, pour ju
eu lieu en 1846, l’année où Pie IX monta sur le trône pontifical. Le
nom
de famille de Pie IX est Mastaï. Vingt-deux ans
énéralement doux et modéré. Le frère d’Achmet se nommait Mustapha. Ce
nom
ayant, dans notre langue, quelque chose de ridicu
. En devenant puissant et riche, le mari de Fanchette avait changé de
nom
, ce qui explique la surprise de son ancienne bien
rt la Jamaïque, qui appartient aujourd’hui aux Anglais. On donnait le
nom
d’Indiens aux naturels des Antilles et de tous le
ait, à grands frais, d’un pays lointain dont on ne savait pas même le
nom
. Ce pays est la Chine. La Chine seule, alors, pos
de ses guerriers qui s’étaient laissé vaincre. Owinsko répond en son
nom
et au nom de ses compagnons d’armes : ils aiment
rte le titre de prince de Galles. Ce jeune prince devenu roi porta le
nom
de Henri V. Son père, Henri IV, était le chef de
e, de comte de Vienne ou de comte dauphin, la province connue sous le
nom
de Dauphiné, et qui forme aujourd’hui trois de no
dit-on, ils portaient l’image d’un dauphin sur leur casque ; de là le
nom
donné à la province. Humbert II, dont il est ques
onnement et courroux de Richard : questions. L’inconnu répond que son
nom
est Bertrand de Gourdon ; que Richard autrefois,
rante-huit heures. Dialogue de l’enfant avec lord William (c’était le
nom
du proscrit). William se confie à l’enfant et ne
re Guillaume d’Orange, stathouder de Hollande, connu dès lors sous le
nom
de Guillaume III. 91. Mort de Bonchamp. (18
rt de Bonchamp. (18 octobre 1793.) La Vendée (on désigne sous ce
nom
une grande partie du département de la Vendée, de
ion. Vous nommerez ce Français Delmance15, vous donnerez à son ami le
nom
de Flavio. Plan. Pendant que la conjuration se tr
rysogonus, pour s’emparer de sa fortune, obtint de Sylla de placer le
nom
de cet homme, qui venait de périr, au nombre des
; la Lithuanie devint chrétienne. Jagellon fut roi de Pologne sous le
nom
de Ladislas V. Ses descendants occupèrent ce trôn
t leur père ; Louis lui succéda, et est connu dans l’histoire sous le
nom
de Louis le Débonnaire. 100. Charlemagne et Lo
’il eut l’âge de raison, fidèle au vœu que Clotilde avait fait en son
nom
, il se renferma dans un cloître. Sujet et plan. N
Église le mît au nombre des saints. Elle l’honore le 7 septembre. Son
nom
s’est corrompu en celui de saint Cloud. Le lieu q
nt Cloud. Le lieu qu’il habitait sur les bords de la Seine a reçu son
nom
. Clotilde mourut en 543, Childebert en 558, Clodo
lon aux chefs de la croisade. La fameuse expédition connue sous le
nom
de première croisade était commencée depuis quatr
onnera si nous abandonnons l’entreprise que nous avions formée en son
nom
. Marchons donc sur Jérusalem. C’est le moment, ou
trangers en Espagne. En 714, les Mahométans d’Afrique, connus sous le
nom
d’Arabes et de Maures, favorisés par sa trahison,
mais, pour goûter ce funeste plaisir, que n’a-t-il pas sacrifié ? Son
nom
est devenu infâme. Il a fait le malheur de sa pat
t courageusement contre les musulmans, la tache qu’ont imprimée à son
nom
les crimes de son père. Après la bataille de Xérè
s Alphonse s’est rendu auprès de Pélage. Alphonse cache avec soin son
nom
et son origine. Une mélancolie profonde l’accable
e et recueille ses forces. Il révèle à Pélage le triste secret de son
nom
et de sa destinée. Il lui témoigne sa reconnaissa
Son fils aîné s’appelait Mustapha, et non Zéangir ; mais ce premier
nom
ayant, dans notre langue, quelque chose de ridicu
’Amasie, ville de 1’Asie Mineure. Sélim régna après son père, sous le
nom
de Sélim III, depuis 1566 jusqu’en 1574. C’est lu
me, ils avaient envahi la France. La France était alors gouvernée, au
nom
des rois fainéants, par l’intrépide Charles Marte
s détails qui peuvent faire paraître la conduite de Cléon (c’était le
nom
du riche) plus odieuse. Les abeilles de son voisi
tes en Italie ; la partie septentrionale de la péninsule a gardé leur
nom
. 125. Discours de Rinaldi dans le conseil des
bannis. Les bannis se réfugièrent à Naples, capitale du royaume de ce
nom
, qui appartenait à l’empereur Frédéric II. Les vi
t du XVIIIe siècle. La Hollande était alors une république portant le
nom
de Province unies des Pays-Bas. 127. Discours
Pierre III, roi d’Aragon. Sujet. L’horrible massacre connu sous le
nom
de Vêpres siciliennes vient d’être commis. Les Si
aient peut-être bientôt le même sort que les Français. On sait que le
nom
de vêpres siciliennes a été donné au massacre que
accorda au père de Charles vingt mille francs. Nous avons changé les
noms
propres. 132. Discours d’un principal de collè
tements tout ce qui pouvait lui rappeler le souvenir de son fils ; le
nom
de Léon ne sort plus de sa bouche ; il ne soutire
répétant les paroles que Léon s’était amusé à lui apprendre. Quand ce
nom
, que depuis trois mois il était interdit de prono
’ère chrétienne. Sujet. Chéops, dans le désir insensé d’éterniser son
nom
et d’avoir un tombeau d’une magnificence inouïe,
souffert. Le supplice d’un sage, révéré de toute la Grèce, et dont le
nom
était moins celui d’un homme vertueux que celui d
roi de la troisième race, qui fut, plus tard, appelée Capétienne, du
nom
de Hugues Capet, petit-neveu d’Eudes. 144. Dis
père, et si nous l’appelons Yvain, c’est pour éviter la confusion des
noms
), voyant qu’il avait été sur le point de commettr
t ce que ce crime a d’affreux. Il réclame le châtiment du coupable au
nom
des lois violées, au nom de l’humanité et de la n
ra ainsi naturellement divisé un deux parties. Alexandre III (dont le
nom
de famille était Orlando Ranuccio), était né à Si
est une principauté allemande, ayant pour capitale une ville du même
nom
. 11. Papinien était né en Phénicie vers 142. On
bjet de cette narration est célèbre sur les bords du Rhin. 14. Son
nom
était Édouard ; nous l’appelons Edmond, pour évit
était Édouard ; nous l’appelons Edmond, pour éviter la confusion des
noms
. 15. Il s’appelait Guillemin Porcelet ou Despor
rhéteurs chez les Grecs furent les sophistes. Pris en bonne part, ce
nom
désigna d’abord les interprètes et les panégyrist
l’autorité d’Homère. Aussi leurs ouvrages ont-ils pris quelquefois le
nom
d’Art poétique et les avons-nous admis dans notre
communs (loci communes chez les Latins, τόποι chez les Grecs, d’où le
nom
de Topiques donné aux livres d’Aristote et de Cic
s et disposés, il faut les exprimer. L’élocution, comme l’indique son
nom
(elocutio), est l’expression de la pensée par la
ces membres forme une ou plusieurs phrases indépendantes, il prend le
nom
d’incises (incisæ, coupées). Souvent aussi on ent
es : analogues. Les rhéteurs ont donné à ces dernières expressions le
nom
de figures ; leur ensemble forme ce qu’on appelle
t plus naturel. L’abus que les déclamateurs ont fait des figures, les
noms
pédantesques que les rhéteurs leur ont donnés, le
la nature seule, et auxquelles la rhétorique n’a fait qu’ajouter des
noms
, sont l’âme même du style. Elles leur donnent de
us vous hâteriez de rentrer dans vos tombeaux, pour ne pas voir votre
nom
terni, votre mémoire abolie et votre prévoyance t
figure le portrait et la description. La description prend différents
noms
suivant l’objet auquel elle s’applique : Éthopée
(J. Racine, Andromaque, acte V, scène v.) On a donné quelquefois le
nom
d’épiphonème à l’exclamation, quand elle termine
ou plus de piquant. Quand elle est cruelle et amère, on lui donne le
nom
de sarcasme. L’ironie est quelquefois spirituelle
s Métonymie La métonymie (μετωνυμία, de μετά, au-delà, ὄνομα,
nom
, — mot transposé) est la substitution d’un nom à
μετά, au-delà, ὄνομα, nom, — mot transposé) est la substitution d’un
nom
à un autre. Elle prend : 1° la cause pour l’effet
ntonomase L’antonomase (ἀντονομασία, de ἀντὶ, au lieu de — ὄνομα,
nom
) substitue un nom propre à un nom commun. Ex. Un
tonomase (ἀντονομασία, de ἀντὶ, au lieu de — ὄνομα, nom) substitue un
nom
propre à un nom commun. Ex. Un Benjamin, pour un
μασία, de ἀντὶ, au lieu de — ὄνομα, nom) substitue un nom propre à un
nom
commun. Ex. Un Benjamin, pour un enfant favori.
s règles que la narration oratoire. On donne plus particulièrement le
nom
d’anecdote (de ἄν privatif, et ἔκδοτος livré, = i
signer à Louis XIII la condamnation de Cinq-Mars dans le roman de ce
nom
(chap. xxiv, p. 393-395). 2° En faisant mouvoir d
dans les Confessions de J.-J. Rousseau. 4° Portrait On donne le
nom
de portrait à la description quand elle peint les
Dialogues sur l’éloquence. Il y a une distinction à établir entre ces
noms
, puisque tantôt le dialogue est supposé (Socrate,
, mais sans éclat ni élévation, si toutefois ces derniers méritent le
nom
d’écrivains. I. Poésie Définition de la
’appelait ἀρσὶς, et le temps faible où la voix s’abaissait prenait le
nom
de θέσις. 2° Versification française. Princip
ir les crimes de la terre, La peste (puisqu’il faut l’appeler par son
nom
), Capable d’enrichir en un jour l’Achéron,
thousiasme religieux jusqu’aux passions profanes. Nous avons gardé le
nom
, mais la chose elle-même s’est modifiée bien souv
i) 4° Ode badine L’ode badine, à laquelle Anacréon a donné son
nom
(ode anacréontique), roule sur des sujets légers
gina, en effet, de faire virer, c’est-à-dire tourner la rime (d’où le
nom
de virelai). On en distingue deux sortes : le vir
lusieurs poèmes du même genre que celui qui a gardé définitivement ce
nom
. On appelle rondeau ordinaire un petit poème de t
llée, comme on disait dans notre ancienne langue ; de là est venu son
nom
. Elle est composée de trois couplets ou strophes
en appelant ballades de petits poèmes du genre de ceux qui portent ce
nom
en Allemagne ou autres pays, et qui dans des vers
mposé en l’honneur des rois et des seigneurs ; c’est l’origine de son
nom
. Chez Gringore, Villon, Charles d’Orléans, cette
levés. Pour composer une œuvre épique durable et vraiment digne de ce
nom
, il faut trois conditions : 1° Un grand sujet, la
milles héroïques, certaines gestes ou exploits, d’où leur est venu le
nom
de chansons de gestes. La plus célèbre de toutes,
eurs intérêts et leurs passions. 2° Le nœud de l’action, qui prend le
nom
d’intrigue, dans la comédie, se forme au premier
mer leur rôle. Il ne faut pas le confondre avec la pantomime, dont le
nom
a été donné en France à des ballets tirés de suje
refois étaient exclusivement réservés à la tragédie, et l’on donne ce
nom
à des pièces qui contiennent en même temps une ac
idicules d’une époque (Les Précieuses ridicules). Elle prend aussi le
nom
de comédie de caractère lorsqu’elle peint un cara
des fêtes de Bacchus (Dionysiaques). Ce souvenir fut conservé par son
nom
(τράγος, bouc, — ὠδή, chant), parce que le bouc,
du dithyrambe. C’est aussi l’étymologie la plus vraisemblable de son
nom
. De Mégare (ancienne Grèce), le dorien Susarion a
nt presque toujours un côté tragique. L’usage seul lui a conservé son
nom
de comédie. 4° Genre didactique et philosoph
que, son objet, ses caractères Comme l’indique l’étymologie de son
nom
, la poésie didactique (διδάσκω, j’instruis) a pou
, moral et religieux, scientifique et littéraire, etc. Ex. Sujets.
Noms
de poèmes. Auteurs. Philosophique Moraux et re
s leur art consiste trop souvent à ne pas appeler les choses par leur
nom
. Ils font comme ce poète trop délicat, qui, voula
ules. La satire ne diffère souvent de l’épître que par le style et le
nom
. Elle peint tantôt les vices et les ridicules gén
fait. 7° Épitaphe L’inscription placée sur un tombeau prend le
nom
d’épitaphe (ἐπι, sur, τάφος, tombeau). Ex. L’épi
et les Romains, en France Les anciens ont souvent compris sous le
nom
d’ἐιδύλλια une foule de petits poèmes qui n’avaie
ion, de la mesure et de la rime poétiques. Les Grecs lui donnaient le
nom
de πεζὸς ou ψιλὸς, langage pédestre. Il est deven
s et tribunaux. C’est encore dans l’antiquité qu’il faut chercher les
noms
les plus illustres de l’éloquence judiciaire : c’
aumarchais dans ses Mémoires. Le dix-neuvième siècle compte de grands
noms
dont la postérité déterminera le rang. Ex. Berrye
ipales : l’onction et la brièveté. Homélie L’homélie, comme son
nom
l’indique (ὁμιλία) est un entretien familier dans
nouvelle carrière à la parole publique. Il suffit de rappeler ici les
noms
célèbres de Royer-Collard, Cousin, Guizot, Villem
r nos résumés synoptiques des diverses histoires littéraires pour les
noms
des plus célèbres historiens). Formes de l’hi
s, artistes, savants, fait aussi partie de son domaine. Elle prend le
nom
de critique littéraire quand elle ne se contente
r l’observation et l’expérience. Ces traités prennent, en général, le
nom
de l’objet spécial dont ils s’occupent. Ex. la Rh
dre et mélancolique, souvent aussi une aventure purement amusante. Ce
nom
de nouvelle (novella) remonte aux premiers trouba
vre, à l’histoire des documents importants. Il suffit de rappeler les
noms
de Voiture, de Balzac, surnommé de son temps le g
s toutes de quelque valeur. Appendice. Genre mixte On donne le
nom
de genre mixte à des ouvrages où l’on rencontre l
nglais, et que Boileau, Corneille et Racine connaissaient à peine les
noms
de Milton et de Shakspeare. À cette longue insouc
e temps a fait justice de cet excès ridicule auquel on avait donné le
nom
d’anglomanie. Une sage critique nous a éclairés s
eurs les plus considérés de l’Église d’Edimbourg ; son fils se fit un
nom
dans la littérature par son poème intitulé the Gr
s principes ; mais il n’avait encore rien publié qui pût donner à son
nom
l’éclat dont il devait briller dans la suite. Rev
ut ce qui demande de la force est au-dessus d’elle. Ce n’est point le
nom
de douceur qu’il faut donner à cette lâche compla
on, et la simplicité, le caractère essentiel de tout ce qui mérite le
nom
d’ornement. Avant d’entrer en matière, on me perm
u rapport de ce sens avec un des sens externes qu’elle a emprunté son
nom
; c’est en effet celui par lequel nous recevons e
mêmes signes que la délicatesse du sens extérieur, qui porte le même
nom
. Ce n’est pas à l’impression des saveurs fortes q
x qui jugent de cette manière sont des pédants qui ne méritent pas le
nom
de critiques. J’ai démontré que les vraies règles
e ce genre de sublime, ou au moins presque tout, est compris sous les
noms
de magnanimité ou d’héroïsme, et produit en nous
e la confusion des idées sur ce sujet. Ce qui mérite véritablement le
nom
de sublime dans le style, est la description d’ob
es grandes, élevées, imposantes, idées auxquelles nous avons donné le
nom
de sublimes, quelque belle qu’en soit la descript
voisin de celui du sublime ; ce mérite les rend en un sens dignes du
nom
d’écrivains sublimes, et c’est à ce rang que nous
ous sont redevables du don de plaire. Les objets auxquels on donne le
nom
de beau sont si différents, que ce n’est pas en v
u’ils sont censés tenir, on peut avec un peu plus de raison donner le
nom
d’imitatif à l’art qu’il emploie, et le genre dra
Non seulement l’on a assigné à tous les objets qui nous entourent, un
nom
au moyen duquel les communications les plus indis
ent devenues nécessaires, et qu’on essaya de donner à chaque objet un
nom
qui lui fût propre, comment les hommes s’y priren
lui fût propre, comment les hommes s’y prirent-ils pour assigner ces
noms
aux choses, c’est-à-dire pour inventer des mots ?
leur verte ; ainsi, dans les commencements du langage, pour donner un
nom
à quelque chose de rude ou de violent, on chercha
t sans cause que d’admettre que les mots ont été inventés, ou que les
noms
ont été assignés arbitrairement, sans choix et sa
et sans raison. Quelques motifs devaient toujours porter à donner tel
nom
de préférence à tel autre, et nous ne pouvons en
nait pour produire cette imitation. Quand il s’agissait d’assigner un
nom
à un objet qui produisait un son, un bruit ou un
ien facile à saisir. Cette analogie nous échappe tout à fait dans les
noms
des objets qui ne frappent que la vue, qui ne pro
ls croient remarquer que les termes qui les expriment sont dérivés du
nom
des objets qui tombent sous les sens, et qui ont
lque principe d’après lequel on a pu être conduit à assigner certains
noms
à certains objets ? Cette dernière opinion avait
est que plus tard que l’on inventa les mots, ou, pour mieux dire, les
noms
des objets ; mais ce moyen ne fit pas renoncer to
vec lesquels ils étaient le plus familiarisés, ils leur donnèrent des
noms
longtemps avant d’en avoir imaginé pour exprimer
e un de ses compagnons de le lui donner. Si ce sauvage ne sait pas le
nom
de ce qu’il veut, il s’efforcera de se faire comp
xprimer avec des mots, le premier qu’il prononcera sans doute sera le
nom
de l’objet en question. Il ne dira pas, selon la
re. Accoutumés aujourd’hui à un ordre bien différent, nous donnons le
nom
d’inversion à cette manière de parler, et nous la
ar l’imagination et le désir, qui nous portent à placer avant tout le
nom
de l’objet qui les excite. Nous pourrions donc en
grec et en latin la construction la plus usitée plaçait en premier le
nom
de l’objet dont est frappée l’imagination de celu
st celui que la raison a dicté. Dans une phrase, on énonce d’abord le
nom
de la personne ou de la chose qui agit, ensuite l
les avaient d’indiquer la corrélation des mots par la terminaison des
noms
et des verbes, qu’elles devaient cette grande lib
s du Nord, ces langues éprouvèrent de graves altérations. Les cas des
noms
et les terminaisons qui indiquaient les temps des
seront presque les mêmes. D’un autre côté, la forme des figures, les
noms
ou appellations des lettres, alpha, bêta, gamma,
s les langues, car il doit toujours y avoir des mots qui expriment le
nom
des objets ou indiquent le sujet d’une propositio
ifs et en connectifs. Les substantifs sont les mots qui expriment les
noms
des objets ou le sujet de la proposition ; les at
division la plus ordinaire en huit parties du discours, savoir : les
noms
, pronoms, verbes, participes, adverbes, prépositi
sur la logique, puisqu’elle comprend sous la dénomination générale de
noms
les adjectifs et les substantifs, qui sont des pa
nnues. Il est assez naturel que nous commencions notre examen par les
noms
substantifs, sur lesquels repose toute la grammai
rjections ou des exclamations, ils éprouvèrent le besoin de donner un
nom
aux objets dispersés autour d’eux, et c’est ce qu
eux, et c’est ce qu’en langage grammatical on appelle l’invention des
noms
substantifs23. Ici un fait assez curieux se prése
sauvage porte la vue, il aperçoit des forêts et des arbres. Donner un
nom
particulier à chacun de ces arbres, eût été une e
interminable ; aussi ne chercha-t-il, au commencement, qu’à donner un
nom
à l’arbre en particulier dont le fruit apaisait s
es objets qui réunissaient ces propriétés, et donna à cette classe le
nom
d’arbre. Une plus longue expérience lui apprit en
ue expérience lui apprit ensuite à diviser les objets compris sous ce
nom
générique en espèces particulières, comme le chên
expressions génériques ; car les mots « chêne, pin, frêne, » sont des
noms
de classe d’objets de même nature, qui toutes ren
dans la composition première du langage. Car si nous en exceptons les
noms
propres aux personnes, comme « César, Jean, Pierr
utres substantifs que nous employons dans le discours ne sont pas des
noms
d’objets individuels, mais bien des noms de genre
le discours ne sont pas des noms d’objets individuels, mais bien des
noms
de genres très étendus ou d’espèces nombreuses d’
ts se ressemblent, ils devaient être naturellement portés à donner un
nom
commun aux objets qui offraient entre eux une par
arler. Lorsque le langage eut reçu ce premier degré d’avancement, les
noms
assignés aux objets étaient encore bien imparfait
arfaits ; car lorsque quelqu’un, en parlant à un autre, prononçait un
nom
substantif, comme « homme, lion ou arbre, » comme
re pouvait-il connaître entre tous les individus compris sous le même
nom
, de quel homme, de quel lion ou de quel arbre, il
vantages par lesquels notre langue l’emporte sur quelques autres. Les
noms
substantifs, outre cette faculté d’être particula
sir, on l’a marquée presque toujours par une légère variation dans le
nom
substantif, et nous voyons qu’en anglais comme en
qu’à proprement parler, le genre ne devrait être employé que pour les
noms
des créatures vivantes que l’on peut distinguer e
assées dans l’un des deux genres masculin ou féminin. Tous les autres
noms
substantifs devraient appartenir à ce que les gra
re à certaines terminaisons. En grec et en latin, cependant, tous les
noms
d’objets inanimés ne sont pas ou masculins ou fém
t indiquer la cause), le genre neutre est absolument inconnu ; et les
noms
des objets inanimés sont, sans exception, comme c
la pour le féminin ; et l’un ou l’autre accompagne invariablement les
noms
substantifs pour indiquer leur genre. Les Italien
e discours ordinaire), tous les mots substantifs, qui ne sont pas des
noms
de créatures vivantes, sont neutres sans exceptio
met cependant de mettre, par métaphore, au masculin ou au féminin les
noms
des objets inanimés, toutes les fois que nous cro
ux sexes. Selon lui, nous donnons ordinairement le genre masculin aux
noms
substantifs pris au figuré, lorsqu’ils emportent
Notre auteur pense que l’on doit, au contraire, mettre au féminin les
noms
qui emportent l’idée de retenue, de reproduction,
éminin les noms qui emportent l’idée de retenue, de reproduction, les
noms
qui indiquent des choses d’une nature passive plu
règle, que dans la désignation des genres auxquels appartiennent les
noms
des choses inanimées, et principalement chez quel
lques peuples qui ont appliqué le masculin ou le féminin à tous leurs
noms
substantifs. Après cette dissertation sur le genr
eurs noms substantifs. Après cette dissertation sur le genre dans les
noms
substantifs, je vais m’occuper de ce qu’en style
idée juste, il faut observer que lorsque les hommes eurent donné des
noms
aux objets extérieurs, qu’ils eurent déterminé le
s noms aux objets extérieurs, qu’ils eurent déterminé le genre de ces
noms
par des articles, et les eurent distingués ensuit
éthode pour exprimer les relations mutuelles de ces objets. Avoir des
noms
pour désigner un homme, un lion, un arbre, une ri
re eux sont innombrables, à la vérité ; en sorte qu’avoir imaginé des
noms
pour les indiquer tous, fut sans doute le dernier
sont venus le génitif, le datif et l’ablatif, cas qui expriment et le
nom
et les espèces de relations de ce nom déterminées
blatif, cas qui expriment et le nom et les espèces de relations de ce
nom
déterminées en anglais par of, to, from, with et
un objet avec un autre, indiqués par une variation quelconque dans le
nom
de l’objet, variation qui ordinairement a lieu da
de mots appelés prépositions, que l’on place avant le substantif. Les
noms
anglais n’ont d’autre cas qu’une espèce de géniti
l’objet même, et d’exprimer leurs idées à cet égard, en modifiant le
nom
de l’objet de manière à le faire passer par tous
discerner de nouveaux rapports que n’exprimait pas la déclinaison des
noms
, ils conçurent des idées générales ou métaphysiqu
ple et plus facile d’adapter quelques prépositions aux nominatifs des
noms
, et de dire di Roma, a Roma, di Cartago, a Cartag
nes. Ces changements successifs nous donnent à comprendre comment les
noms
, dans nos langues modernes, sont devenus tout à f
au moyen des terminaisons qui indiquaient clairement les régimes des
noms
et des verbes, présentait au lecteur le sens entr
qui, comme l’indique leur dénomination, représentent ou remplacent le
nom
. Je, tu, il, elle, ne sont que des moyens abrégés
rappeler souvent dans le discours ; aussi sont-ils sujets, comme les
noms
substantifs, à être modifiés par le genre, le nom
i concerne les cas, les langues qui ne les admettent point dans leurs
noms
substantifs, s’en servent néanmoins dans quelques
tous les mots qui composent la classe de ceux auxquels on a donné le
nom
d’attributifs. On les retrouve dans toutes les la
er ses pensées sur ce qui les concerne, tant qu’on n’a pas assigné un
nom
à leurs qualités différentes. Je n’ai rien à fair
ité des langues grecque et latine, de leur faire prendre la forme des
noms
substantifs, et de les rendre comme ceux-ci décli
des nombres. Aussi les grammairiens les ont rangés dans la classe des
noms
, qu’ils ont partagés en noms substantifs et en no
iriens les ont rangés dans la classe des noms, qu’ils ont partagés en
noms
substantifs et en noms adjectifs, division fondée
ans la classe des noms, qu’ils ont partagés en noms substantifs et en
noms
adjectifs, division fondée bien plus sur la forme
et leur féminin, leur génitif et leur datif, tout aussi bien que des
noms
de choses ou de personnes. Mais c’est dans le gén
ue anglaise. De toutes les espèces de mots auxquels on a donné le
nom
d’attributifs, les plus complexes sont assurément
rmation sans emporter le temps. L’infinitif briller peut s’appeler le
nom
du verbe, et n’indique ni temps ni affirmation ;
ette assertion, c’est le verbe. C’est à son importance qu’il doit son
nom
: verbe vient du latin verbum, qui signifie mot,
des déclinaisons. De même que les prépositions, placées en avant des
noms
, ont remplacé les cas, de même aussi les deux ver
blables. Les prépositions lient les mots en montrant le rapport qu’un
nom
substantif peut avoir avec un autre nom, comme de
en montrant le rapport qu’un nom substantif peut avoir avec un autre
nom
, comme de, par, à, sur, sous, etc. J’ai eu occasi
répositions lorsque je me suis occupé des cas et des déclinaisons des
noms
substantifs. Il est évident que ces particules co
spèce de latin corrompu, mélangé de celtique, et auquel on a donné le
nom
de langue romance. Ces peuples ne firent pas ce q
s bien moins que les langues grecque et latine par un verbe ou par un
nom
substantif. Notre style est moins serré, et nos p
action, doit correspondre aussi exactement qu’il est possible avec le
nom
de la chose dont il exprime l’action ou la qualit
n verbe actif gouverne l’accusatif, il indique clairement par là quel
nom
substantif est celui de l’objet vers lequel son a
e d’une personne ou d’un auteur, rarement il l’indique par son propre
nom
. Dans son traité intitulé Avis à un auteur, il co
adverbes qui servent à modifier la signification d’une chose dont le
nom
les précède ou les suit. « Par grandeur, dit M. A
es, je vais passer à l’examen de la troisième, à laquelle je donne le
nom
de force 32. Par là j’entends un arrangement de c
point épuiser. Il faut toujours éviter de séparer une préposition du
nom
qu’elle gouverne, comme dans cette phrase : « Quo
us étendus et plus sonores, la faculté de varier les terminaisons des
noms
et des verbes procurait la double facilité d’intr
esque toujours à son secours ; car dans presque tous les idiomes, les
noms
que portent les sons ont avec les sons mêmes une
dénominations ; et c’est à cela peut-être que ces formes doivent leur
nom
de figures. De même que la figure ou la forme d’u
te, en effet, que nous donnions à certaines manières de s’exprimer le
nom
de trope ou de figure, pourvu que nous ne perdion
u’il est possible de bien écrire et de bien parler, sans connaître le
nom
d’aucune des figures du discours, sans avoir jama
rhétorique, le soin admirable que l’on a mis à leur donner autant de
noms
qu’il y en a de variétés diverses, et à les divis
renferme cette classe nombreuse à laquelle les rhéteurs ont donné le
nom
de tropes. À l’époque des premiers essais du lang
remiers essais du langage, les hommes durent commencer par donner des
noms
aux objets divers qu’ils voyaient, et à ceux que
ou les affections de l’âme, sont exprimées par des mots empruntés aux
noms
des objets sensibles, et l’on en conçoit aisément
noms des objets sensibles, et l’on en conçoit aisément la raison. Ces
noms
des objets sensibles furent les premiers mots dan
quelque obscurité qui empêchait qu’il fût facile de leur assigner un
nom
bien distinct. Ainsi l’on empruntait le nom d’un
acile de leur assigner un nom bien distinct. Ainsi l’on empruntait le
nom
d’un objet sensible pour le donner à une pensée,
l’objet principal, mot cependant bien connu, on emploie à sa place le
nom
d’une idée correspondante ou accessoire. Voilà co
e s’avance vers sa perfection, des objets plus nombreux reçoivent des
noms
, et les hommes qui la parlent s’efforcent de plus
guré ; et ils en sont restés là, comme s’il suffisait de connaître le
nom
et la classification des tropes pour les faire se
i existe entre un objet et un autre objet, et en vertu de laquelle le
nom
de l’un a été substitué au nom de l’autre. L’effe
l’or sont mis pour la liqueur qu’ils contiennent. C’est ainsi que le
nom
d’un pays remplace celui des habitants, que le ci
dre le sceptre, » pour « prendre l’autorité royale. » L’on a donné le
nom
de métonymie à ces espèces de tropes qui sont fon
prit passe aisément d’un objet à un autre, ou saisit un objet dans le
nom
d’un autre. C’est toujours quelque idée accessoir
s appelons métaphore, par laquelle, au lieu de se servir du véritable
nom
d’un objet, l’on emploie le nom d’un autre objet
le, au lieu de se servir du véritable nom d’un objet, l’on emploie le
nom
d’un autre objet qui lui ressemble. C’est en quel
que, sans en faire précisément la comparaison, on peut substituer le
nom
de l’un au nom de l’autre. « Ce ministre est la c
de un écrivain aussi correct, parce que les divisions infinies et les
noms
divers des tropes n’étaient point connus de son t
généralement admises, il serait inexact de donner indistinctement le
nom
de métaphore à toutes les expressions figurées. D
ant de personnification, que l’on peut douter même qu’il en mérite le
nom
, et qu’on ne devrait peut-être le placer qu’au ra
n grand avantage dans l’emploi de cette figure. Comme, chez nous, les
noms
substantifs n’ont point de genre, ou, pour mieux
noms substantifs n’ont point de genre, ou, pour mieux dire, comme les
noms
seuls des êtres mâles ou femelles sont masculins
ou à une idée abstraite, c’est-à-dire si, au lieu de placer devant le
nom
le pronom it, nous nous servons des pronoms perso
bus assigner leurs cantons, Cultiver votre enfance et vous donner des
noms
! Quel autre soutiendra vos tiges languissantes ?
mner ce passage de la belle épître d’Héloïse à Abélard, par Pope : «
Nom
cher et fatal, je ne veux plus te prononcer, ne s
mêle avec l’idée de Dieu ! Ô ma main, ne l’écris pas !… Mais déjà ce
nom
s’offre âmes yeux ; effacez-le, mes larmes. » Ic
nnifiées, et le poète leur adresse à tous la parole. D’abord c’est le
nom
d’Abélard, nom cher et fatal…, et l’on ne peut ra
poète leur adresse à tous la parole. D’abord c’est le nom d’Abélard,
nom
cher et fatal…, et l’on ne peut raisonnablement l
l’on ne peut raisonnablement le reprocher à l’auteur, car souvent le
nom
d’une personne étant mis à la place de la personn
mis à la place de la personne même, et rappelant les mêmes idées, ce
nom
peut, avec dignité, supporter la personniifcation
e de son cœur elle en vient à sa main, et la prie de ne pas écrire le
nom
de son amant, voilà qui est forcé et hors de natu
a enlevé pendant qu’il travaillait à l’ouvrage qui a immortalisé son
nom
: Nam quo ille animo, qua medicorum, admiratione
er plus à loisir. Je crois qu’on pourrait donner à cette invention le
nom
de figure typographique du langage. Puisque j’ai
ydide parmi les écrivains en prose. Il entend par style fleuri, et le
nom
d’ailleurs l’indique assez, un style orné, coulan
r leur faux brillant, le style dans lequel ils sont répandus prend le
nom
de fleuri, expression dont on se sert pour faire
on s’est mépris sur son éloquence, si toutefois on peut lui donner ce
nom
. Car si par éloquence nous entendons la véhémence
guerre du Péloponnèse parurent un grand nombre d’hommes qui, sous le
nom
de rhéteurs, et quelquefois de sophistes, exercèr
on la plus grande, frappèrent des pièces de monnaie qui portèrent son
nom
. Dans les dernières années de sa vie, il se fixa
t rien de plus digne de notre attention que Cicéron lui-même, dont le
nom
seul rappelle tout ce qu’a de grand l’art de l’or
é de Cicéron, et préfère le style plein, soutenu et abondant, quelque
nom
qu’on veuille lui donner. Il termine par cette ob
a Grèce et de Rome ; quelques-unes même l’emportent ; mais ces grands
noms
de Démosthène et de Cicéron n’ont point encore co
uence qu’il exerça pendant sa vie, et la gloire qui couvre encore son
nom
. Voilà les modèles que l’orateur devrait toujours
mes à la main, suivi d’une puissante armée, le monarque nous amuse dn
nom
de paix, tandis qu’il nous fait réellement la gue
it vivre plus longtemps auprès d’une femme qui n’avait de mère que le
nom
, et qui venait de couvrir d’opprobre elle-même et
put contre Oppianicus, en leur promettant d’abord de l’argent en son
nom
, puis en leur disant qu’Oppianicus était un fourb
ce ; mais si on les répand sans discernement, si l’on en surcharge le
nom
de chaque objet, au lieu d’embellir une image, el
précédents, ont publié des sermons. L’on trouve parmi eux beaucoup de
noms
infiniment respectables. Leurs ouvrages sont dign
distinguent deux espèces d’introduction auxquelles ils ont donné les
noms
de principium [début], et insinuatio [insinuation
t encore apporter une attention particulière à la citation exacte des
noms
, des dates, des lieux, enfin des principales circ
chez tous les peuples, les premiers mots que l’on inventa, furent des
noms
substantifs simples et réguliers Rien n’est aussi
s par lesquels les hommes arrivèrent à la formation d’une langue. Les
noms
des objets remontent, sans doute, aux temps des p
rticulés que l’on forma, exprimaient plutôt une phrase entière que le
nom
d’un objet particulier, et servaient à donner que
grossit » Leurs premiers mots furent, sans doute, non pas de simples
noms
substantifs, mais des substantifs mêmes, accompag
st notre article indéfini un : J’ai vu UN homme qui… ; one, est notre
nom
de nombre cardinal un : Il y avait trois hommes,
e n’en ai vu qu’UN. 25. Les différentes terminaisons d’un mot, d’un
nom
ou d’un verbe, paraissent toujours plus intimemen
der strain. 49. Lee. 50. En français nous donnons ordinairement le
nom
d’épigraphe à ces sentences ou devises que quelqu
torieuses, et la hardiesse française porte partout la terreur avec le
nom
de Louis. Tu céderas, ou tu tomberas sous ce vain
ssions de l’antique poésie ; on laissa à cette imitation dégénérée le
nom
de poésie lyrique ; les poètes répétèrent souvent
hanson. § II. De l’ode. Le poème lyrique prend généralement le
nom
d’ode, qui signifie chant. Boileau la définit ain
; elle se composait de plusieurs parties ou stances, qui prenaient le
nom
de strophe, antistrophe et épode, et qui correspo
bler par le nombre et la disposition des vers. L’ode prend différents
noms
, suivant le caractère de l’inspiration et l’objet
ce, qui célèbrent l’amour (Anacréon, célèbre poète grec, a laissé son
nom
au genre anacréontique, qui chante aussi l’ivress
ui chante aussi l’ivresse et l’amour) ; la chanson satirique, dont le
nom
indique assez l’objet ; la chanson bachique, qui
Définition ; classification. – épigramme. Domairon réunit sous le
nom
de poésies fugitives un certain nombre d’ouvrages
amère contre ceux qui s’intitulent amis, mais qui ne méritent pas ce
nom
. Eh bien, c’est cette dernière pièce que nous app
Les pensées, les épigrammes et les madrigaux, prennent chez nous le
nom
d’inscription, quand ils sont en effet inscrits q
tes pièces, qu’on donne aussi très souvent, et assez improprement, le
nom
d’épigrammes à quelques contes très courts, et do
) ; ou tri et potage ; ou enfin tripot et âge. Le logogriphe, dont le
nom
signifie embarras sur un mot, est une autre énigm
veut tirer le cœur, Qu’a vu plus d’une fois renaître le lecteur. Mon
nom
bouleversé, dangereux voisinage, Au Gascon imprud
us le mercredi, C’est là ce qui m’étonne. On donne encore le
nom
de vaudeville à un divertissement en chanson qui
hanson qui termine souvent les petites pièces de théâtre, et de là le
nom
de vaudeville s’est étendu aux pièces entières. I
Il y a encore quelques chansons particulières qu’on désigne sous des
noms
différents. Indiquons seulement ici l’épithalame,
té marqués avec la plus scrupuleuse exactitude. La parole a trouvé un
nom
pour les émotions intérieures, ainsi que pour les
si, ces exclamations que la grammaire a recueillies plus tard sous le
nom
d’interjections, et qu’elle a placées après toute
société humaine, comment s’y prit-on pour assigner à chaque objet un
nom
qui lui fût propre, c’est-à-dire, pour inventer l
prime l’espèce de gémissement que fait entendre l’oiseau qui porte ce
nom
. Lorsqu’on dit que le vent souffle, que le tonner
nivre de sang etjouit d’un carnage inutile, ils auront aussi donné le
nom
de tigre à l’homme cruel sans nécessité, qui fais
es grammairiens et les rhéteurs ont placées dans leurs livres sous le
nom
de tropes et de métaphores, Ces expressions pitto
nvénient, on inventa, en certains pays, des caractères connus sous le
nom
d’hiéroglyphes, et l’on peut considérer cette inv
à chacun de ces sons élémentaires un signe particulier, connu sous le
nom
de lettre, et il enseigna aux hommes comment, en
es objets par un cri énergique et rapide, et qu’ils leur donnèrent un
nom
articulé, les substantifs furent créés. Quand l’h
t il s’appliqua aux animaux ou aux choses inanimées, et remplaça leur
nom
dans le discours. Cette classe de mots, que la gr
ntagne. Cette espèce de mots est désignée dans les grammaires sous le
nom
d’adjectifs ou mots qui s’ajoutent aux substantif
us vaste, bien plus importante : l’homme, après avoir désigné par des
noms
l’existence particulière des choses qui l’entoura
tte assertion, c’est le verbe ; c’est à son importance qu’il doit son
nom
: verbe vient du latin verbum qui signifie mot, c
mots que nous venons de citer sont placés dans les grammaires sous le
nom
de prépositions ou mots qui se mettent devant les
nt dans la classe des connectifs, et auxquels la grammaire a donné le
nom
de conjonctions, tels que mais, et, parce que, qu
principales espèces tic mots : 1° les substantifs, qui comprennent le
nom
et le pronom ; 2° les attributifs, qui comprennen
mptent point au nombre des parties fondamentales du discours, et leur
nom
indique assez leur nature mixte, participant à la
un dans presque toute la Gaule ; la plupart des habitants prirent des
noms
romains, et portèrent la toge ; des mariages nomb
ait en latin que l’on écrivait l’histoire, si l’on peut appeler de ce
nom
les chroniques informes des premiers siècles du m
sir, on l’a presque toujours marquée par une légere variation dans le
nom
substantif. En français, le pluriel se forme ordi
e entre les deux sexes, il ne devrait à la rigueur s’appliquer qu’aux
noms
de créatures vivantes que l’on peut distinguer en
ssées dans l’un des deux genres, masculin ou féminin. Tous les autres
noms
substantifs devraient appartenir à un genre que c
du latin, notre grammaire, non contente d’avoir assigné un genre aux
noms
d’animaux, divise les noms des objets inanimés, s
non contente d’avoir assigné un genre aux noms d’animaux, divise les
noms
des objets inanimés, sans exception, en masculins
endre par des mots séparés : on se borna à changer la terminaison des
noms
substantifs. De là sont venus les cas des langues
le Seigneur. Cette méthode, qui consiste à varier la terminaison des
noms
4, est sans doute la seule dont les hommes se so
discerner de nouveaux rapports que n’exprimait pas la déclinaison des
noms
, ils conçurent des idées générales, et inventèren
imple et plus facile d’adapter quelques prépositions au nominatif des
noms
, et de dire : di Roma, a Roma, di Cartago, a Cart
des monts on disait : di Roma, a Roma. Nos adjectifs se joignent aux
noms
substantifs dont ils déterminent la qualité, et,
igne qui marque le genre et le nombre, selon le nombre et le genre du
nom
auquel ils appartiennent. Les pronoms français n’
xprimer avec des mots. Le premier qu’il prononcera sera sans doute le
nom
de l’objet en question ; il ne dira pas, selon ta
rd. Accoutumés aujourd’hui à un ordre tout différent, nous donnons le
nom
d’inversion à cette manière de parler, et nous la
éré par l’imagination et par les liassions, qui placent avant tout le
nom
de l’objet qui les occupe ; etles passions sont p
st fondé sur ta raison : dans toute proposition, on énonce d’abord le
nom
de la personne ou de la chose qui agit, ensuite l
langue des Romains leur idiome barbare, ils supprimèrent les cas des
noms
et les terminaisons des verbes, parce qu’ils n’at
on était parvenu à l’éloquence. Ces derniers ont été désignés sous le
nom
de rhéteurs, et l’art qu’ils ont créé s’est appel
e ; mais ni l’homme de bien, ni Phocion n’en furent ouïs, et, avec le
nom
de justice dans la bouche, on passa outre à l’une
e ce monstre à l’exécration des Romains, lorsqu’il s’écrie : « O doux
nom
de la liberté ! ô droits sacrés de la cité romain
liers pour en tirer une conclusion générale, le raisonnement prend le
nom
d’induction. Buffon veut prouver qu’il ne faut p
faits particuliers, attribués à un peuple ou à un personnage dont le
nom
fait autorité, l’argument prend le nom d’‘exemple
ple ou à un personnage dont le nom fait autorité, l’argument prend le
nom
d’‘exemple. J. J. Rousseau, voulant prouver que
ut pu encore gagner des batailles ; et voilà que dans son silence son
nom
même nous anime ; et en semble il nous avertit qu
séricorde, qui vous comptera un soupir et un verre d’eau donné en son
nom
, plus que tous les autres ne feront jamais tout v
on vive ou profonde : ils ont désigné ces formes privilégiées sous le
nom
général de figures de pensées, et ils ont donné à
général de figures de pensées, et ils ont donné à chacune d’elles des
noms
particuliers. Nous allons énumérer les principale
hé, qui donne à la pensée un tour plus piquant. Cette figure prend le
nom
d’allusion. On dirait que pour plaire, instruit
nt ! ô mortels ignorants de leur destinées ! » Cette figure prend le
nom
d’exclamation. Il y en a encore un exemple dans l
tre une idée de ruse et d’artifice, pourraient être désignées sous le
nom
générique de feintes oratoires : nous allons énum
détournée qui se cache sous la forme d’un reproche, l’ironie prend le
nom
d’’astéisme, d’un mot grec qui signifie enjouemen
le piège l’ambition du roi des rois. Cette figure est connue sous le
nom
d’hyperbole, mot tiré du grec qui signifie exagér
lle qui les diminue. Cette figure, dont La Harpe n’osait prononcer le
nom
, dans la crainte d’effrayer son auditoire, s’appe
les vaisseaux : « Ilse fit inscrire au rôle des charpentiers sous le
nom
de Pierre Michaëloff, et non de Pierre Michaëlowi
tendre que les paroles les plus positives. On donne à cette figure le
nom
de réticence. Aricie l’emploie, dans Phèdre, pour
ion du sens. L’harmonie, considérée sous ce dernier rapport, prend le
nom
d’harmonie imitative. L’harmonie imitative est u
e mers en mers, et moins roi que pirate, Conservant pour tout bien le
nom
de Mithridate, Apprenez que, suivi d’un nom si gl
servant pour tout bien le nom de Mithridate, Apprenez que, suivi d’un
nom
si glorieux, Partout de l’univers j’attacherais l
la tristesse. Les rhéteurs ont ensuite constaté le fait, et donné le
nom
de tropes à ces mots enrichis d’un nouveau sens.
De l’allégorie. Quand la métaphore se prolonge, elle prend le
nom
d’allégorie. La métaphore ne tombe que sur un mot
lle catachrèse ou abus de mots. De la métonymie. On emploie le
nom
d’un objet pour le nom d’un autre, lorsqu’il exis
de mots. De la métonymie. On emploie le nom d’un objet pour le
nom
d’un autre, lorsqu’il existe un rapport tel entre
’autre et soit presque disposé à les confondre. Cette figure prend le
nom
de métonymie, d’un mot grec qui signifie changeme
e prend le nom de métonymie, d’un mot grec qui signifie changement de
nom
. Il y a plusieurs espèces de métonymies ; 1° On p
trop inquiétée. C’est encore ainsi qu’on désigne une doctrine par le
nom
du lion où on la professe. On dit la doctrine du
et demain dans un froc. Boileau. 7° On désigne un ouvrage par le
nom
de son auteur, ou un objet par le nom de celui qu
7° On désigne un ouvrage par le nom de son auteur, ou un objet par le
nom
de celui qui le tient sous sa garde et sous sa pr
ventions nouvelles, les produits des manufactures prennent souvent le
nom
de l’inventeur ou du fabricant. On dit aussi Sain
stor pour désigner un chapeau fait de poils de castor. 3° On prend le
nom
du genre pour celui de l’espéce (l’espéce est la
aignée : L’insecte fut sensible, et l’homme fut barbare. L’insecte,
nom
du genre, est mis pour l’araignée, espèce d’insec
m du genre, est mis pour l’araignée, espèce d’insecte. 4° On prend le
nom
de l’espéce pour celui du genre, comme lorsque l’
e l’objet coloré. 9° On désigne une classe d’objets en général par le
nom
propre d’un objet particulier. Ainsi, en parlant
age pittoresque. 10° Quelquefois, au contraire, au lieu d’employer le
nom
propre d’un objet particulier, on se sert du nom
u lieu d’employer le nom propre d’un objet particulier, on se sert du
nom
de la classe à laquelle il appartient. Ainsi, en
a risée de tout le monde ; et jamais on ne parle de vous que sous les
noms
d’avare, de ladre, de vilain et de fesse-mathieu.
pension, etc. Quand la finesse s’applique au sentiment, elle prend le
nom
de délicatesse. Un trait délicat est une idée tou
efforce à tacher le renom D‘un guerrier à qui tous doivent un si beau
nom
? Dis, Valère, dis-nous, si tu veux qu’il périsse
nt acquis rapidement des biens immenses, fut bientôt marquis, sous le
nom
de M. de La Jeannotière, et retira son fils de l’
Eh ! mon Dieu ! s’écria-t-il, je crois que c’est là Jeannot ! » À ce
nom
, le marquis lève les yeux, la voiture s’arrête :
que nous l’a représentée Virgile, se console en Épire, en donnant des
noms
troyens aux lieux de son exil. En remontant à la
ues-unes de ces douces appellations de la patrie. Andromaque donne le
nom
de Simoïs à un ruisseau. Et quelle touchante véri
s de la montagne, il faisait jaillir un fleuve qui ne portait que son
nom
, » (M. Villemain, Discours prononcé à l’ouverture
de Platon avait bien mérité du genre humain, et ils ont attaché à son
nom
une gloire immortelle. 3° Le discours doit être p
ui représentent ici la splendeur littéraire de la France, et dont les
noms
, célébrés aujourd’hui par la voix des nations, re
appartiennent à des professions différentes : les uns se sont fait un
nom
dans les arts ou dans les sciences ; ceux-là hono
orique emploie des formes spéciales dont il est utile de connaître le
nom
et l’usage. Qu’on se rappelle d’abord ce qui a ét
dit. » On a appelé pronomination la périphrase qui remplace un seul
nom
. Ainsi le vers de Racine, Celui qui met un frein
, Qui m’arracha d’un coup ma naissance et ton père, De qui jusques au
nom
tout doit m’être odieux, Est de tous les mortels
les adjonctions de mots qui n’ajoutent rien à l’idée, et réservera le
nom
de pléonasme à celles qui lui donnent de l’énergi
a condensant et en la resserrant. Ces dernières se renferment sous le
nom
général d’ellipse. L’ellipse est le contraire du
le, que pour ne pas laisser ignorer aux jeunes gens des formes et des
noms
qu’ils pourraient rencontrer. Pour ajouter plus d
distraction qui lui a fait prendre, comme au singe de la Fontaine, le
nom
d’un port pour un nom d’homme, je préfère sa form
fait prendre, comme au singe de la Fontaine, le nom d’un port pour un
nom
d’homme, je préfère sa forme, Phénisse veille e
ngue. Si l’on y tient cependant, on peut leur donner à toutes un seul
nom
, celui d’imiation, par exemple, et y joindre les
connaissant que par toi-même, et sans que tu fusses recommandé par le
nom
de tes ancêtres, t’a si promptement élevé, de dig
elle-même ; toi, le conservateur de Rome et de l’empire, car c’est le
nom
que nous te donnons à juste titre, tu protégeras
à craindre par l’énormité de leurs dettes, par leur influence, par le
nom
qu’ils portent ! III. Pour moi, quand je co
e centurion, qui est venu camper près de Fésules, c’est en son propre
nom
qu’il a déclaré la guerre au peuple romain ; cett
lui répondent en peu de mots et sans se troubler, lui rappelant et le
nom
de leur introducteur et le nombre de leurs visite
ît et son cachet et l’écriture de sa main. La lettre ne portait aucun
nom
; elle était conçue en ces termes : « Celui que j
out : des actions de grâce sont décernées aux dieux immortels, en mon
nom
, pour leur protection signalée. Je suis le premie
mes douleurs d’être l’objet d’un sentiment si bienveillant. Mais, au
nom
des dieux immortels, bannissez-le de vos cœurs, j
é. En effet, si Lentulus a pu croire, sur la foi des devins, qu’à son
nom
était fatalement attaché la ruine de l’État, pour
auvez vos personnes, vos femmes, vos enfants, vos biens ; défendez le
nom
et l’existence du peuple romain ; mais cessez de
pas un de nous ne doit survivre, même pour gémir sur l’extinction du
nom
romain et pour déplorer la chute d’un si puissant
mis sous bonne garde ; mais surtout lorsque vous avez ordonné, en mon
nom
, des actions de grâces solennelles, honneur que n
leur liberté, les mêmes qui décrétaient des actions de grâces en mon
nom
; les mêmes qui, hier, récompensaient magnifiquem
sa manie, et les Siciliens son brigandage ; pour moi, je ne sais quel
nom
lui donner. Je vais vous mettre la chose sous les
es yeux : jugez-en par ce qu’elle est en elle-même, plutôt que par le
nom
. Considérez d’abord la nature des faits, et peut-
la nature des faits, et peut-être ne chercherez-vous pas longtemps le
nom
qui leur convient. Je nie que dans toute la Sicil
Praxitèle ; car, en recherchant les crimes de Verrès, j’ai appris les
noms
des artistes. C’est, si je ne me trompe, ce même
t orner la place en honneur des dieux immortels, et pour la gloire du
nom
romain. Mais ce magistrat, hôte de la famille Héj
Lisez la note des registres. Registres d’Héjus. J’aime à voir que les
noms
célèbres de ces artistes, dont nos curieux font t
étrangères cessent de respecter cet illustre corps, que deviennent le
nom
et la majesté de notre empire ? La ville de Messi
ces tapisseries si renommées dans toute la Sicile, et connues sous le
nom
de tapisseries attaliques ? Vous pouviez les ache
es, Apollonius de Drépane, fils de Nicon, et qui porte aujourd’hui le
nom
d’A. Clodius : vous l’avez dépouillé de toute sa
un anneau ; c’est-à-dire, que l’un a prouvé qu’il était digne de son
nom
infâme, et l’autre, de son glorieux surnom. XX
; Archonide et Mégiste, à Élore. La voix me manquerait plutôt que les
noms
. Il y a apparence qu’il fournissait la laine, et
ieux offensés, la confiance dans le peuple romain et la dignité de ce
nom
auguste affaiblies et presque perdues, les droits
dépouillé son hôte, chassé l’allié et l’ami du peuple romain ? Votre
nom
et celui du peuple romain, soyez-en sûrs, ô juges
e Capitole, comme l’exigent la majesté de ce temple et la grandeur du
nom
romain. Si vous montrez de la sévérité contre cel
sénat et du peuple romain, votre gloire réside dans ce temple ; votre
nom
, consacré avec cet édifice, jouira d’une égale im
peuple romain. Cette ville, faisant la guerre aux Carthaginois en son
nom
et avec ses seules forces, fut prise et détruite
ses anciens autels. Elle était sur un piédestal élevé, qui portait le
nom
du grand Scipion écrit en gros caractères. On y l
s de la crainte et de l’espérance. On lui oppose de temps en temps le
nom
de Scipion, on lui dit que c’est un présent du pe
ceux qui ne voyaient plus que le piédestal, sur lequel était gravé le
nom
de Scipion, regardaient comme un crime impardonna
qualités ; j’exige de vous ce que vous devez à votre sang et à votre
nom
. Pouvez-vous donc vous déclarer le protecteur d’u
, de porter même le scrupule jusqu’au point de ne pas souffrir que le
nom
d’un étranger y soit inscrit, et vous favoriserie
it inscrit, et vous favoriseriez Verrès, qui a, je ne dis pas mis son
nom
par force ou par fraude sur les monuments de Scip
cette statue de Diane, et qu’elle fut remise en place et consacrée au
nom
et sous les auspices de ce général ; que Verrès,
sant ôter et transporter, fit aussi effacer et enlever entièrement le
nom
de Scipion. Ils vous conjurent de leur faire rend
t de Scipion, exposent ses images, se décorent de sa gloire et de son
nom
, j’y consens ; mais je soutiens que ce grand homm
onduite et de mœurs, sont des liens peut-être aussi forts que ceux du
nom
et du sang dont vous faites tant d’état. XXXVI
de votre part ; rétablissez seulement ce piédestal ; qu’on y grave le
nom
de cet invincible général ; qu’on replace cette m
uilles de nos ennemis vaincus, et ayant été placé dans cette ville au
nom
et sous les auspices de notre général ; crime con
de notre empire : il n’a pas craint de fouler aux pieds la gloire du
nom
romain, de renverser les monuments de nos exploit
n homme innocent, contre un ami, un allié du peuple romain. Mais quel
nom
donner à l’insulte faite à la statue de Marcellus
d’une si belle tige, et protecteur né de la Sicile, voulût prêter son
nom
à Verrès et se charger de son crime : cependant,
rthage, cette admirable statue d’Apollon qui portait sur la cuisse le
nom
de Myron, sculpteur, inscrit en petits caractères
si supérieur en tout, qui les avait placés et y avait fait graver son
nom
. Pourquoi vous parler et me plaindre davantage de
le trajet est très périlleux. Il y a dans cette île une ville de même
nom
, où Verrès n’a jamais mis le pied, quoique pendan
edoublez d’attention pour ce que je vais dire : je vous le demande au
nom
des dieux immortels, de ces dieux dont la religio
’insister particulièrement sur ce qui avait rapport à la religion. Au
nom
des dieux immortels, ne méprisez pas leurs plaint
t l’élite des habitants de cette ville, ces fréquentes répétitions du
nom
de Verrutius, dont je vous ai déjà parlé, et je l
le autre dans celui de Jupiter ou dans celui de Bacchus. » À côté des
noms
de ceux à qui on avait confié la garde de ces cho
ont que non. En troisième lieu, s’ils n’ont point fait construire, au
nom
et aux frais de la ville, un gros navire de charg
ai-je ? Car à tous mes assauts on oppose comme un mur impénétrable le
nom
d’excellent général. Je connais le terrain. Je vo
t soulevé d’autres esclaves. Apollonius n’avait point d’esclave de ce
nom
; il lui commande néanmoins de le produire sur-le
n vain Apollonius affirme-t-il qu’il n’a point d’esclave qui porte le
nom
qu’on lui cite ; Verrès ordonne qu’on l’arrache d
seaux pour vous escorter et vous conduire ? Vous ne pouviez, en votre
nom
particulier, aller en aucun lieu hors de votre pr
« Et suivant l’avis de mon conseil : » vous avez entendu, juges, les
noms
de ceux qui composaient alors l’admirable conseil
nt alors l’admirable conseil de Verrès. Vous semblait-il entendre les
noms
des conseillers d’un préteur, ou plutôt ne vous r
ieu des terres, éminemment laboureurs, qui n’avaient jamais craint le
nom
de corsaire, et qui, sous votre préture, n’avaien
annonce que les vaisseaux corsaires sont au port d’Odyssée (c’est le
nom
qu’on donne à ce lieu), et notre flotte était au
hynum. Cléomène, voyant près de là un fort (mais il n’en avait que le
nom
), espérait, avec les troupes qu’il en tirerait, p
eux immortels ! dans le temps que l’autorité de notre république, son
nom
, ses faisceaux, règnent dans Syracuse, un brick d
ur de cette île, qui forme dans Syracuse une ville distinguée par son
nom
et par son enceinte ; et, comme je l’ai déjà dit,
ombre des suppliants. Il était votre hôte, et vous lui aviez donné ce
nom
lorsque vous logiez chez lui. Quand vous vîtes un
pectable accablé de maux, ses larmes, sa vieillesse, les droits et le
nom
de l’hospitalité ne purent-ils vous rappeler du c
être battu de verges. Quelqu’un avait-il alors permis de prononcer le
nom
de Cléomène. Mais le motif de ma propre défense m
ommé Furius (dans cette province plusieurs portent comme celui-ci des
noms
latins) ; cet homme, connu et estimé dans sa patr
onsidérable ; il dit la même chose : il ne diffère en aucun point. Au
nom
des dieux immortels ! quels sont vos sentiments,
douleur de leurs pères, ni le souvenir qu’ils vous ont rappelé de mon
nom
, rien n’a pu faire impression sur vous. À répandr
pas la guerre ? pourrions-nous laisser impuni l’outrage fait à notre
nom
? Combien croyez-vous que nos ancêtres ont entrep
le cœur des barbares. Notre empire est si respecté, la vénération du
nom
romain si grande chez tous les peuples, qu’une pa
ortuné, qui n’avait jamais vu un pareil abus de pouvoir. LXIII.
Nom
précieux de liberté ! magnifique privilège de not
ce qu’il est parlé dans ces lettres d’un Gavius, et que je choisis ce
nom
afin d’y attacher cette histoire fondée sur une i
tés du monde, vous auriez été si redevable au nom de votre patrie, ce
nom
glorieux chez tous les peuples de la terre, cet h
personnel, et que vous ne vous fussiez pas montré l’ennemi déclaré du
nom
, des familles et des droits de tous les citoyens.
on à des amis de notre république, non à des hommes qui connussent le
nom
du peuple romain, enfin non à des hommes, mais à
hent dans Rome tellement flétris pour avoir acquitté Verrès, que leur
nom
semble couvert non de cire, mais de fange. Ainsi,
lle organisation des tribunaux, loi que n’a pas publiée celui dont le
nom
y est attaché, mais cet accusé lui-même ; oui, c’
s vertus, et qui, voulant être le premier auteur de sa race et de son
nom
, soutint la haine et la jalousie des hommes les p
e temple si auguste, si vénéré ; il n’y reste plus aujourd’hui que le
nom
du grand Africain et les vestiges de ces profanat
: « Ha ! gentilz sires, voelliés rafrener vostre corage. Vous avés le
nom
et la renommée de souverainne gentillèce et noblè
stres de Plutarque et les petits traités de cet auteur connus sous le
nom
d’Œuvres morales ; cette traduction, qui rendait
lui, il y aurait beaucoup d’injustice et d’ingratitude à laisser son
nom
tomber tout à fait dans l’oubli. Les français e
isis… Ribaud, ayant visité toutes les côtes de cette terre, donné les
noms
des rivières de France aux principales, et planté
les armes de France, commença à bâtir un fort auquel il imposa491 le
nom
du roi Charles, et fit alliance avec les roitelet
eppe. Étant heureusement arrivé là, il bâtit un autre fort du même
nom
que le premier sur l’embouchure de la rivière de
ette religion, dissimula une injure si atroce, au grand déshonneur du
nom
français ; mais il se trouva un particulier qui e
teur. Molière (1622-1673) Jean-Baptiste Poquelin, qui prit le
nom
de Molière, est né à Paris le 15 janvier 1622. A
onde pour être gentilhomme ? Croyez-vous qu’il suffise d’en porter le
nom
et les armes574, et que ce nous soit une gloire d
vertu est le premier titre de noblesse, que je regarde bien moins au
nom
qu’on signe qu’aux actions qu’on fait, et que je
e qui a dit cela ? Valère. — Je ne me souviens pas maintenant de son
nom
. Harpagon. — Souviens-toi de m’écrire ces mots.
e parler devant moi avec cette arrogance, et de donner impudemment le
nom
de science à des choses que l’on ne doit pas même
t le nom de science à des choses que l’on ne doit pas même honorer du
nom
d’art621, et qui ne peuvent être comprises que so
honorer du nom d’art621, et qui ne peuvent être comprises que sous le
nom
de métier misérable de gladiateur, de chanteur et
tte question, n’hésitent pas beaucoup. On tranche le mot aisément. Ce
nom
ne fait aucun scrupule à prendre, et l’usage aujo
assez passable ; mais, avec tout cela, je ne veux point me donner un
nom
où631 d’autres, en ma place, croiraient pouvoir p
verses trouvées dans ses papiers, qui ont été publiées (1670) sous le
nom
de Pensées. Facheux effet de l’amour-propre
t est bien fat677 ? — Sire, il n’y a pas moyen de lui donner un autre
nom
. — Oh bien ! dit le Roi, je suis ravi que vous m’
ais il fut prié d’arrêter un moment, jusqu’à ce qu’on eût parcouru le
nom
des coupables qu’on avait ordre d’arrêter. Le sie
aient reçu la cruelle mission de leur maître. Il leur avait donné des
noms
fort apostoliques, appelant l’un Sans-Fiance793,
’autre Brise-Tout et ainsi du reste. Sur la terreur que donnaient ces
noms
effroyables il imposait des sommes assez considér
iverses plantes. Je pris un de ces insectes, dont je ne sais point le
nom
… Je le considérai attentivement ; et je ne crains
brassade, que je lui dis : « Seigneur cavalier, je ne croyais pas mon
nom
connu à Peñaflor984. — Comment, connu ! reprit-il
stituait un unique, divisé en deux branches, auxquelles il donnait le
nom
de dime royale, l’une sur les terres, par un dixi
ris le 20 novembre 1694, François-Marie Arouet, qui devait prendre le
nom
de Voltaire, donna de très bonne heure des marque
ur permit même d’élever un monument, sur lequel ils firent graver les
noms
de ceux qu’ils avaient massacrés comme traîtres à
« Eh ! mon Dieu ! s’écria-t-il, je crois que c’est là Jeannot. » A ce
nom
le marquis lève les yeux ; la voiture s’arrête :
e dans des cabinets1167 ; ils ont des colifichets1168, ils savent des
noms
, et n’ont aucune idée de la nature. Mais notre ca
vantage. Tandis qu’il écrivait sans me regarder, je lui déclinais mon
nom
, et je lui faisais mon histoire. Sur la fin de ce
marque un peu dans le grand monde, ordonné que le noble y mettra son
nom
, le poète son talent. Doublemain lit un autre pa
te-Allure, fille majeure (Marceline se lève et salue), contre Figaro…
nom
de baptême en blanc. » Figaro. — Anonyme. Brid
était en honneur chez nos religieux : plusieurs d’entre eux, sous le
nom
d’hospitaliers 1363se consacrèrent particulièreme
it danser Madelon Friquet 1377 à ces Iroquois. M. Violet (c’était son
nom
) était maître de danse chez les sauvages. On lui
pellent le Nouvel Éden, et à laquelle les Français ont laissé le doux
nom
de Louisiane 1387. Mille autres fleuves, tributai
plus tard chargé par le duc d’Orléans, qui devait devenir roi sous le
nom
de Louis-Philippe, de l’éducation militaire de so
leurs souffrances et de leur dénuement, je vous le dis en vérité, son
nom
est écrit au lèvre du souverain Juge parmi ceux d
nsistèrent : « Eh bien ! dit Charles à l’évêque, remerciez-les en mon
nom
de leur offre ; mais dites-leur franchement qu’ap
644. La mort de Wilberforce1496 On a prononcé tout à l’heure un
nom
, le nom vénéré d’un homme qui passa par les mêmes
a mort de Wilberforce1496 On a prononcé tout à l’heure un nom, le
nom
vénéré d’un homme qui passa par les mêmes épreuve
doigt sur leur bouche, et leur rappelait qu’elle avait promis en leur
nom
qu’elles montreraient plus de force. « Loin de pl
é, et la modeste insouciance d’un soldat à qui il importe peu que son
nom
soit célèbre, pourvu que la chose publique prospè
thiopie, les épices et les perles des Indes, les châles des pays sans
nom
de l’Asie, cent sortes de meubles précieux mystér
9, Charles-Augustin Sainte-Beuve, après avoir d’abord publié, sous le
nom
de Joseph Delorme, un recueil de Poésies (1829),
r Port-Royal 1657 (1840-1860) et les articles qu’il a réunis sous les
noms
de Causeries du lundi, Nouveaux Lundis, Portraits
Quant à nous, nous ne faisons rien de mal ». On lui demanda : « Quel
nom
a Dieu ? — Dieu, dit-il, n’a pas de nom comme un
al ». On lui demanda : « Quel nom a Dieu ? — Dieu, dit-il, n’a pas de
nom
comme un homme ». Les deux martyrs reçurent le co
1890, ont si intimement uni leurs talents, comme ils unissaient leurs
noms
, qu’il est impossible de distinguer l’apport de c
et à demi satirique, dont le succès fut grand et rendit dès lors son
nom
célèbre, la Grèce contemporaine (1855). C’est enc
ien gaie, bien riante, et particulièrement française, en dépit de son
nom
germanique. Nous embarquions une demi-douzaine de
du bout des lèvres, d’un air méprisant. Jamais il ne m’appela par mon
nom
; il disait toujours : « Eh ! vous là-bas, le pet
elle, se balançant doucement bord à bord, comme allégés par les jolis
noms
qu’ils portaient à leur arrière en lettres blanch
onner. Seulement on fit l’appel de ceux qui restaient, pour savoir le
nom
du second qu’on avait perdu : c’était un petit no
irs ruisseaux dont la France est garnie : Si1851 seront mis vos hauts
noms
en histoire. Frappez donc tant de main gladiatoir
Dieu, Dont vous êtes l’image, et porter au milieu De votre cœur, son
nom
et sa sainte parole, Comme le seul secours dont19
ander, A ouïr vos sujets, les voir et demander1986, Les connaître par
nom
et leur faire justice, Honorer la vertu et corrig
loire, Et faites que de vous se remplisse une histoire Digne de votre
nom
, vous faisant immortel Comme Charles le Grand, ou
x ombres de Damon.) Sur le règne de Henri IV La terreur de son
nom
rendra nos villes fortes : On n’en gardera plus n
de son heur2059 étonné, Ajoute chaque jour quelque nouvelle marque Au
nom
qu’il s’est acquis du plus rare monarque Que ta b
ut aussitôt servie. Je ne vous dirai point les différents apprêts, Le
nom
de chaque plat, le rang de chaque mets ; Vous sau
jouvenceaux, enfants du voisinage ; Assurément il radotait. « Car, au
nom
des dieux, je vous prie, Quel fruit de ce labeur
ure. Valet d’Amphitryon ? Sosie. D’Amphitryon, de lui. mercure. Ton
nom
est ? Sosie. Sosie. Mercure. Heu ? comment ? S
isie ? Mercure. Qui te donne, dis-moi, cette témérité, De prendre le
nom
de Sosie ? Sosie. Moi je ne le prends point, je
rrible ! et l’impudence extrême ! Tu m’oses soutenir que Sosie eû ton
nom
? Sosie. Fort bien : je le soutiens, par la gran
ut au gré de tes vœux : Ton bras t’en a fait le maître. mercure. Ton
nom
était Sosie, à ce que tu disais ? Sosie. Il est
t-il ainsi renoncer à moi même, Et par un imposteur me voir voler mon
nom
! Que son bonheur est extrême, De ce que je suis
dents, je pense, Tu murmures je ne sais quoi ? Sosie. Non. Mais, au
nom
des dieux, donne-moi la licence De parler un mome
is-moi, dans cette fantaisie ? Que te reviendra-t-il de m’enlever mon
nom
? Et peux-tu faire enfin, quand tu serais démon,
de chiens ; Il tutaye2306 en parlant ceux du plus haut étage ; Et le
nom
de Monsieur est chez lui hors d’usage. Clitandre
rrez connaître, Ne manquez pas, d’un haut ton, De les saluer par leur
nom
, De quelque rang qu’ils puissent être. Cette fami
pourras, conduis-le sur leur trace. Dis-lui par quels exploits leurs
noms
ont éclaté, Plutôt ce qu’ils ont fait que ce qu’i
ce moment, on me bénit, on m’aime : On ne voit point le peuple à mon
nom
s’alarmer ; Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’e
à tous mes amis : Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le grand
nom
de Pompée assure sa conquête2426 ; C’est l’effroi
ivant, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez partout l’horreur du
nom
romain, Et la triste Italie encor toute fumante D
is, et la mienne peut-être ; Et la flamme à la main effaçons tous ces
noms
Que Rome y consacrait à d’éternels affronts. Voil
gloutissent déjà toute cette richesse, Ces terres, ces palais, de vos
noms
ennoblis. Et que vous reste-t-il en ces moments s
vous reste-t-il en ces moments suprêmes ? Un sépulcre funèbre, où vos
noms
, où vous-mêmes Dans l’éternelle nuit serez enseve
eux. Mais j’entends le murmure et la clameur publique ; J’entends ces
noms
affreux de relaps, d’hérétique : Je vois d’un zèl
z vos États ; Et, de vos murs détruits rétablissant la gloire, De mon
nom
, s’il se peut, bénissez la mémoire. (A Alvarez.)
s tours Attiraient chez lui grand concours2555. Jacqueau, c’était son
nom
, sur la corde élastique Dansait et voltigeait au
re de la patrie ! Le Berger. Va, patrie et vertu ne sont que de vains
noms
. Toutefois, tes discours sont pour moi des affron
! et berce les images Du Dieu qui t’a donné tes flots. Savez-vous son
nom
? La nature Réunit en vain ses cent voix ; L’étoi
e nomme ? Mais les astres, la terre et l’homme Ne peuvent achever son
nom
. Que tes temples, Seigneur, sont étroits pour mon
d’eux vous placera, que dis-je ? au dessus d’eux. Je veux sous votre
nom
fonder des basiliques, Je veux de jaspe et d’or s
roit qu’à leur cercueil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux
noms
leur nom est le plus beau. Toute gloire près d’eu
leur cercueil la foule vienne et prie. Entre les plus beaux noms leur
nom
est le plus beau. Toute gloire près d’eux passe e
oire, aube toujours nouvelle, Fait luire leur mémoire et redore leurs
noms
! Gloire à notre France éternelle ! Gloire à ceux
éfiez-vous de l’épée. Elle mord. — Quand tu serais femelle ayant pour
nom
la Mort, J’irais ! J’égorgerai Nuño dans la campa
lus le quitter. Quelques pièces d’un charme exquis ont fait vivre son
nom
. Outre ses poésies, réunies en un recueil intitul
abit est vert, de s’en apercevoir ? Irus. Puis-je savoir au moins le
nom
de ce jeune homme ? Laerte. Qu’est-ce que ça vou
Silvio qu’il se nomme. Irus. Silvio ! ce n’est pas mal… Silvio ! ce
nom
est bien. Irus,… Irus,… Silvio,… mais j’aime mieu
prendrez : Pour être ambitieux d’un sort digne d’envie2832, Lisez ces
noms
obscurs et désormais sacrés ! Ils rentreront, dem
nombre : Ils ont plus que la gloire, ils ont fait leur devoir ! Leur
nom
n’est pas signé sur quelque œuvre éphémère2834 ;
deuil, et vous aurez l’honneur. Prononcez mieux que nous2835 ce saint
nom
: la Patrie ! Osez enfin tout haut vous proclamer
ma déplorable vie Que pour mieux avilir, à mes derniers instants, Un
nom
dont la splendeur l’offusqua trop longtemps. O ma
e dois choisir, injure pour injure, La ride au front sied mieux qu’au
nom
la flétrissure. — C’est assez : le temps passe à
tre eux, une âme droite et sainte, — Un homme enfin, — le seul de son
nom
qui restât, Son dernier fils, sous Metz2903, étan
Je veux être couché dans un coin : de la terre, Et rien de plus ; mon
nom
tracé, sans commentaire ; Pas de fleurs sur le so
à l’heure, j’étais un brave homme, on m’aimait ; Je ne sais de quels
noms
votre fils me nommait ; J’étais une belle âme, un
piration plus profonde et plus grave. En même temps le poète, sous le
nom
de Mystères, donnait quatre petites pièces, Tobie
; Je verse la richesse et la fécondité.... Pour me donner, enfin, un
nom
bien mérité, C’est moi qui suis la Propreté. Tu n
, Chacun se sent meilleur, tendre, — humain, pour tout dire : Car mon
nom
est Fraternité ! L’eau. Allons, je te rends mon e
et qui tous ont pour héros le même personnage rusé et malfaisant. Ce
nom
de Renart, d’ailleurs, devenu nom commun, comme P
e personnage rusé et malfaisant. Ce nom de Renart, d’ailleurs, devenu
nom
commun, comme Patelin et Tartuffe, est, dans ces
evenu nom commun, comme Patelin et Tartuffe, est, dans ces poèmes, un
nom
propre. L’animal que nous appelons aujourd’hui re
e siècle. Seule la forme tissu est demeurée comme participe et comme
nom
. 59. Vert. Voir la note 5 de la page 468. 60.
illaume de Villon, chapelain du cloître Saint-Benoit, dont il prit le
nom
. Toutefois il semble s’être fait appeler encore d
’Université de Lille, a eu le mérite de la reconnaître le premier) du
nom
d’Alcibiade, que les gens du moyen âge, à cause d
cause de la beauté proverbiale de ce personnage, avaient pris pour un
nom
de femme. Flora, nom romain Thaïs, nom grec, port
overbiale de ce personnage, avaient pris pour un nom de femme. Flora,
nom
romain Thaïs, nom grec, portés par plusieurs pers
rsonnage, avaient pris pour un nom de femme. Flora, nom romain Thaïs,
nom
grec, portés par plusieurs personnes, entre lesqu
68. Écho, nymphe, personnification mythologique du phénomène du même
nom
. 69. On mène, on fait entendre. 70. Estan, éta
erite de Bourgogne femme de Louis X le Hutin. 76. Jeu de mots sur le
nom
de Blanche-Villon désigne peut-être Blanche de Ca
mynes fut publié pour la première fois en 1524 (Paris, in-4°) sous le
nom
de Chronique et hystoire faite et composée par fe
Jean (seigny doit être une forme populaire et vicieuse de seigneur),
nom
d’un bouffon dont on trouve la mention dès le xiv
. 210. En, à. 211. Quinquaille (le mot est encore français) est le
nom
général qui désigne les objets de fer ou de cuivr
mot latin passé en français pour désigner quelqu’un dont on ignore le
nom
. Il se prend surtout en mauvaise part, mais ce n’
Guise. 429. Tel lieu est une expression indéterminée, remplaçant le
nom
de terre sous lequel était connu ce gentilhomme,
t été découverte le dimanche des Rameaux (ou Pâques Fleuries, d’où le
nom
de Floride) de l’année 1512 par l’Espagnol Jean P
t prêchée par le moine allemand Luther (1485-1546). 511. Huguenots,
nom
donné en France, dès le xvie siècle, aux protesta
au côté : aussi étaient-ils dits de robe courte. 554. Pistole. Ce
nom
, qui désignait proprement en France une monnaie d
dans le sens figuré. Le mot est d’origine germanique. 556. Prévôt.
Nom
donné communément à des magistrats chargés de fon
s plus d’état du fils, j’estimerais plus le fils. 578. Harpagon. Ce
nom
se rattache étymologiquement à la racine grecque
taine, l’acteur énumérai t après les mots Potages..., entrées..., les
noms
de quatre potages et de cinq entrées, que Molière
n qu’il a ensuite été appliqué au légume que nous connaissons sons ce
nom
. 601. Pâté en pot. fait avec du bœuf et du lard
mour des hommes, considérés comme créatures de Dieu. 658. Sénateur,
nom
par lequel on désignait quelquefois les membres d
bougent, ne remuent pour agir. 663. Fourrés, garnis de fourrure. Le
nom
de chats fourrés se trouve employé pour désigner
ci il n’en est pas ainsi. 709. Les domestiques portaient souvent des
noms
de provinces : Picard, Bourguignon, Champagne. 7
nt l’une s’appelle Mlle de Croque-Oison, et l’autre de Kerborgne… Ces
noms
me réjouissent. » (Lettre du 19 juillet 1671.) 7
oignées par de hauts magistrats que le roi envoyait pour juger en son
nom
certains crimes ou abus que les tribunaux locaux
Arrias (et plus loin Sethon). La Bruyère donne presque toujours des
noms
grecs aux personnages dont il trace le portrait d
is à La Bruyère de représenter certains de ses contemporains sous ces
noms
supposés. 818. Se hasarder de est aujourd’hui
repas trop copieux les excite. 829. La Solitaire, l’Orientale, etc.,
noms
de certaines variétés de tulipes. — Voir la note
précier la saveur. 834. On croit que La Bruyère a peint ici, sous le
nom
de Diphile, Jean de Santeul (1630-1697), chanoine
repaître (voir page 20, note 7) ; mais le pronominal a prévalu. 882.
Nom
honorifique par lequel l’hôtelier interpelle le c
uis, pièce d’or d’une valeur de vingt-quatre francs, ainsi appelée du
nom
de nos rois dont elle portait l’effigie. 888. U
sprit le goût (des études, des travaux intéressants). 911. Bacchus,
nom
latin du dieu que les Grecs pomment Bacchos ou Di
page 9. 924. Ridiculement, de manière à faire rire. 925. Fagotin.
Nom
propre de forme plaisante donné aux singes des ba
n Ruland (1532-1611), médecin à Ratisbonne, fils d’un médecin du même
nom
(mort en 1602), qui avait été médecin impérial.
III, électeur de Brandebourg, devenu le premier roi de Prusse sous le
nom
de Frédéric Ier en 1701 ; mort en 1713. — Sa femm
nd à notre gn. 985. Ses sages : les sept Sages. On désigne sous ce
nom
, devenu, lui aussi, proverbial, sept philosophes
e au toast ou à la provocation d’un buveur. 993. Corcuelo. C’est le
nom
de l’hôte. 994. Friand. En dépit de l’orthograp
éologien pourvu du second des grades universitaires, la licence. — Le
nom
de ce grade vient de ce qu’il conférait la licenc
1001. Valladolid, ville d’Espagne, capitale de la province du même
nom
, a 154 kilomètres nord de Madrid : le licencié Sé
decin grec qui vivait au ve siècle avant l’ère chrétienne, et dont le
nom
est devenu proverbial. 1003. Les Parques, divini
nne à plusieurs fonctionnaires, ministres, gouverneurs, etc. — Médie,
nom
ancien de la région qui forme aujourd’hui, dans l
arriva plus d’une fois de détrôner et de massacrer. 1092. Boïards,
nom
donné aux possesseurs de fiefs, qui, avant Pierre
it la seconde femme du tsar Alexis. 1095. Pierre 1er. C’est sous ce
nom
, qui devint illustre, que devait être connu dans
ue : en Chine. Réciproquement, on employait quelquefois en devant les
noms
de ville : aller en Alger. 1099. Finit par pro
’avait pas le titre, mais elle avait le pouvoir. 1102. Expéditions,
nom
général qui désigne les pièces officielles, lettr
dans la vallée de la Vire, petite rivière qui arrose la ville du même
nom
et se jette dans la Manche. Puis le mot de vaudev
iment d’Auvergne. Régiment d’infanterie créé en 1597 et qui reçut son
nom
définitif en 1635. 1139. C’est en effet à la sui
contribue beaucoup à les rendre intéressantes. 1150. Bardot est le
nom
d’une espèce de mulet, puis, au sens dérivé, d’un
de ce mot, voir page 168, note 3), et rien de plus. 1167. Cabinet,
nom
consacré pour désigner une salle contenant des co
gner une salle contenant des collections. 1168. Colifichets. Par ce
nom
méprisant, Rousseau veut désigner les collections
a vie à Rome. Aussi met-on souvent l’article emphatique le devant son
nom
, comme devant celui de beaucoup de grands hommes
91), grand ami de Diderot. 1220. Vénus accroupie. On désigne par ce
nom
un assez grand nombre de statues antiques représe
vait en effet que seize ans quand il perdit son père. 1251. Régent,
nom
que portaient autrefois les professeurs des collè
teurs comprenaient bien qu’en mettant en scène des personnages et des
noms
espagnols, c’est des Français et des Parisiens qu
91. Rue de la Madeleine, à Paris, dans le quartier de l’église de ce
nom
, qui avait été commencée en 1764. 1292. Rue Ber
établie à Herrnhut, dans le royaume de Saxe : les adeptes prirent le
nom
de Herrnhutter (en français, Hernhuttes ; la form
8 réunie à celle des Gobelins. 1303. Virginie. On sait que c’est le
nom
de l’héroïne du livre célèbre Paul et Virginie. V
u’elle avait reçus de lui. On réserve le pronom en pour remplacer les
noms
de choses. 1309. Morne, mot qui vient de l’espa
e l’espagnol morron (monticule) et qui a le même sens. 1310. Rotin,
nom
donné à une espèce de palmier et aux cannes qu’on
é d’or ; entendez : la médiocrité aussi précieuse que l’or. — Tivoli (
nom
moderne de Tibur) est à environ 30 kilomètres nor
, petite rivière voisine de Tarente, qui se jette dans le golfe de ce
nom
. Mme Roland fait ici allusion à un épisode célèbr
ne entre 1807 et 1810. Nous n’avons pas besoin de rappeler ici que le
nom
de Schiller est avec celui de Gœthe (1749-1852),
emploi très rare. 1360. Hyacinthe, jacinthe. Forme moins usitée du
nom
. 1361. Ces deux basiliques sont situées tout à f
au ixe siècle : depuis, des associations religieuses portant le même
nom
et se proposant le même but se répandirent en gra
vers l’Inde, et c’est dans ce pays qu’il crut avoir abordé : de là le
nom
d’indiens qui fut donné et que l’on a conservé au
Guadalquivir, qui arrose Grenade. 1386. Meschacebé, autre forme du
nom
du Mississipi. — C’est en 1791 que Chateaubriand
il va décrire, et qui est aujourd’hui fort peuplé. 1387. Louisiane,
nom
donné (1682), en l’honneur de Louis XIV, par Cave
est un port de Messénie, qui semble être aujourd’hui Pétalidi. 1403.
Nom
grec du martin pêcheur ou de la mouette. Chateaub
Galérius à la veille du triomphe de Constantin. 1409. Confesseurs :
nom
donné aux premiers chrétiens qui, sans crain [...
t la prison Mamertine, ou [...] cachot de cette prison, connu sous le
nom
de Tullianum, et où, [...] tradition, saint Pierr
s fers de lance. 1432. Il n’a probablement existé aucun prince de ce
nom
: le mot Pharamond parait avoir été un titre, et
ce nom : le mot Pharamond parait avoir été un titre, et non point un
nom
propre 1433. Rien de moins assuré également que
rdieu (par la mort de Dieu), pardieu, et éviter ainsi de jurer par le
nom
de Dieu. 1463. Sur le territoire de… — On visite
ère. 1492. Guizot était alors ambassadeur à Londres. 1493. Dillon,
nom
de famille de Mme Élisa Guizot (1804-1835), secon
17. 1500. Mme de Bretteville, chez qui elle demeurait à Caen. 1501.
Nom
de la maison de Mme de Bretteville. 1502. Le poè
’Espagne. — Nous rappelons qu’Augustin Thierry a partout restitué aux
noms
mérovingiens leur physionomie germanique, un peu
1538, épousé le dauphin de France, François, qui, devenu roi sous le
nom
de François II, en 1559, mourut l’année suivante.
), qui, quand Élisabeth fut morte sans enfant (1603), hérita, sous le
nom
de Jacques Ier, du trône d’Angleterre, étant, par
éâtre de la première guerre punique. 1561. Du soleil, adoré sous le
nom
de Baal, la grande divinité des peuples phénicien
il est assez difficile de dire quelle contrée était désignée sous ce
nom
. 1563. Saba, dans l’Arabie. 1564. Le talent pe
formée exclusivement par César de soldats gaulois s’appelait Alauda,
nom
gaulois qui désignait l’alouette et qui devint la
1602. Le père Mounier, maître d’armes. Contres, feintes et parades,
noms
de divers mouvements usités en escrime. 1603.
t en 1703) ayant publié un recueil de Comptes tout faits, on donna le
nom
de barême au livre lui-même et aux ouvrages du mê
C’était ainsi que les royalistes affectaient souvent de prononcer le
nom
de l’empereur, voulant faire entendre par là que
tional de l’Espagne ; introduit en France, il y était désigné sous le
nom
d’oille, prononcez oïe, l’espagnol se prononçant
s, qu’il donnait ensuite à l’Amiral pour les signer. » a. Dandelot,
nom
par lequel on désignait François de Coligny, le p
ine aux yeux par ses toits de chaume. 1631. Louvre. On croit que ce
nom
, forme française du latin Lupara, vient des loups
, qui, importé à Paris par les fédérés de Marseille, prit dès lors le
nom
de Marseillaise. — L’analyse que donne Edgar Quin
e la rue Saint-Honoré, un club célèbre, ei prirent eux-mêmes de là le
nom
de jacobins. Par extension, on peut appeler jacob
e recueil des classes supérieures, Prose. 1662. Trissotin, Vadius,
noms
de deux pédants qui figurent, ainsi que Phi lamin
itre ridiculiser les imitateurs des vraies précieuses, et, depuis, le
nom
a été presque toujours pris en mauvaise part. 16
ise conduite. 1678. Guingan, étoffe fine de coton, ainsi appelée du
nom
de la ville de Guingamp (Côtes-du-Nord). 1679.
ur est remarquable par l’éclat et la variété des couleurs, et dont le
nom
, transcrit littéralement du grec, se rattache au
hènes. 1714. Asphodèle, plante de la famille des liliacées, dont le
nom
est littéralement transcrit du grec. 1715. Sont
villages de France, notamment en Bretagne et en Normandie, portent ce
nom
, qui désigne ici un village imaginaire de la Tour
1740. Pandour, soldat hongrois, en dehors de l’armée régulière (du
nom
d’une ville de Hongrie.) 1741. Hachette et Cie,
’on place en travers du mât pour soutenir la voile. 1771. Mouches,
nom
populaire de certains bateaux à vapeur, en usage
e, à Lyon, pour le transport en commun des voyageurs. 1772. Chaine,
nom
par lequel les gens du métier désignent souvent l
mpereur une scène violente, au cours de laquelle il l’appela des deux
noms
italiens qui sont cités dans le texte et qui veul
semble témoigner ici à son égard \a voulu peindre le déluge). 1797.
Nom
du bâtiment sur lequel est monté l’auteur de ce r
, dans la langue usuelle : parler net, parler haut, etc. 1809. Yves,
nom
d’un matelot à qui l’officier qui parle ici a vou
ande en carême. 1861. Grue, sot, dupe.Maisle rapprochement des deux
noms
d’animaux (le lion qui n’est pas grue) fait une e
n y avoir, qui, seule, a prévalu depuis. 1886. L’église Saint-Pris,
nom
fantaisiste et populaire de la prison du Châtelet
du monde grec) avait pris, au iiie siècle avant l’ère chrétienne, ce
nom
de Pléiade, emprunté à l’astronomie, et qui fut r
recueil de poésies desquelles on peut tirer des leçons de morale. Ce
nom
de mime était celui d’une espèce de farce assez g
r cette circonstance sur le vrai caractère du mime, que Baïf donna ce
nom
à son livre. 2027. « François du Périer, fils de
sait pour avoir construit le fameux labyrinthe de l’île de Crète. Son
nom
, pris comme nom commun, est devenu synonyme de la
construit le fameux labyrinthe de l’île de Crète. Son nom, pris comme
nom
commun, est devenu synonyme de labyrinthe et, au
en France dans les premières années du xviie siècle. 2071. Tircis,
nom
de berger, fréquemment employé dans la poésie pas
seurs, jusqu’à Louis XIV, ne cessèrent de l’agrandir. On croit que ce
nom
de Louvre se rattache à la même racine que louvet
e que son fils l’a trompé par un récit mensonger. 2137. Géronte. Ce
nom
vient d’un mot grec qui signifie vieillard ; il e
Le récit en farce en fat fait. On en fit une farce. Farce, tel est le
nom
qu’on donnait, au moyen âge, à certaines pièces c
assé en français dans le sens de personnage dont on ne connaît pas le
nom
, avec une nuance de dénigrement ou de mépris. 22
ir page 548, note 3) plusieurs détails de cette scène et notamment ce
nom
de port Persique, qui désigne probablement un lie
2288. De certitude, certainement. 2289. Dave, Arpage, Cléanthis,
noms
antiques qui désignent ici des personnages imagin
té. 2291. Thèbe, pour Thèbes, licence usuelle en vers pour tous les
noms
propres se terminant par es (Athènes, Jules, etc.
censée destinée. — Certains poètes du xixe siècle ont écrit sous le
nom
de ballades, à l’imitation des Anglais et des All
atires, attaqué les mauvais auteurs de son temps. D’ailleurs, sous le
nom
de Trissotin, Molière voulait attaquer l’abbé Cot
on : pour monsieur le marquis. Le bon usage voulait qu’en donnant son
nom
à l’huissier de la chambre du roi, on ne se quali
s votre mariage. 2441. Hector est le valet de Valère, le joueur. Son
nom
est plaisamment choisi, puisque c’est celui de l’
ert a dû se faire au visage avec le signe orthographique appelé de ce
nom
. 2460. Engeance, race, espèce. – Un apanage éta
e nous avons citée dans le volume du Second cycle. Là se perdent ces
noms
de maîtres de la terre. 2468. Après deux stroph
mot, qui désigne un objet en usage dans l’antiquité, est amené par le
nom
grec de Glycère ; mais le sens en est plaisamment
al au mot précis et exact, réputé moins noble. 2524. Albion, ancien
nom
de l’Angleterre, qui, se rattachant comme le nom
524. Albion, ancien nom de l’Angleterre, qui, se rattachant comme le
nom
d’Alpes au celtique alp, signifie pays de roches
ital. 2539. Tel est le vrai titre de cette ode souvent citée sous le
nom
d’Adieu à la vie. Nulle part d’ailleurs, cette im
grecques, dont les sujets sont très variés et qui sont réunis sous le
nom
général d’épigrammes. 2569. Au cap du Zéphyr,
e légende de la mythologie grecque qui représente une princesse de ce
nom
changée en rossignol). 2589. Dans ces lieux. Vo
a Sainte Ampoule (du latin ampulla, vase, flacon). 2643. Madeleine,
nom
d’une maison de campagne, située en Normandie, le
, non loin du cirque de Gavarnie, plus célèbre encore. 2666. Gaves,
nom
donné en général à tous les cours d’eau des Pyrén
airs (c’est-à-dire les égaux) qui t’accompagnent. La légende donne ce
nom
aux douze seigneurs dont elle représente toujours
neviève. En 1701, l’Assemblée Constituante décréta qu’il prendrait le
nom
de Panthéon Français et serait consacré à la sépu
. Redevenu l’église Sainte-Geneviève en 1851, ce monument a repris le
nom
de Panthéon eu 1885, en vertu d’une loi votée à l
. Le czar du nord, l’empereur de Russie. Czar (ou mieux tsar) est le
nom
russe, passé en français, qui désigne le souverai
pelle celui des cavaliers hongrois qu’on désignait proprement sous ce
nom
. 2711. Caramba ! juron espagnol. 2712. Musoir
e en 1037, puis en 1072, et définitivement en 1230. 2720. Durandal,
nom
de l’épée merveilleuse que toutes les légendes pr
n qui veut dire la Lamentation, la Plainte. 2744. Erin (île Verte),
nom
irlandais de l’Irlande. La misère des fermiers ir
pas toujours assez ce grand poète. 2773. La bille qui roule (d’où le
nom
de roulette, donné au jeu), avant de s’arrêter de
es chez Lemerre. 2817. Pernette est l’héroïne du poème qui porte son
nom
, sorte d’idylle héroïque ou d’épopée rustique d’u
x travaux des femmes, tapisserie, broderie, etc. 2862. Montagnards,
nom
donné aux membres les plus exaltés de la Conventi
siégeaient sur les bancs les plus élevés de l’assemblée. — Ci-devant,
nom
donné, sous la Révolution, aux personnes qui avai
ent employé pour : ayant un blason, des armoiries. 2866. Muscadins,
nom
donné aux petits maîtres, aux élégants sous la Co
8. Allusion à la levée en masse décrétée au mois d’août 1793, sous le
nom
de réquisition permanente. 2869. Coalition de l’
Épisode raconté aux vers 3429 et suivants de la Chanson de Roland. Le
nom
propre n’est pas sûr : le personnage est d’ailleu
aite, un peu auparavant, de s’éloigner pour jamais. 2914. Joyeuse,
nom
que la légende donne à l’épée de Charlemagne. 29
: ballot, paquet de marchandises de vêtements, de provisions. 2962.
Nom
dont se nommaient, avant la conquête des Espagnol
rattache probablement lui-même à moût (ancienne orthographe moust).,
nom
du jus de raison qui vient d’être exprimé et qui
re eux les signes qui les expriment. L’assassin emprunte au tigre son
nom
comme ses mœurs, Fénelon et Bossuet ne sont plus
s fausses et les plus incohérentes que l’on puisse rencontrer : Doux
nom
de mon bonheur, si je pouvais inscrire Un chiffre
u socle de ma lyre, C’est le tien que mon cœur écrirait avant moi, Ce
nom
où vit ma vie et qui double mon âme ; Mais pour l
emme aimée vous rend parfaitement heureux, vous puissiez dire que son
nom
est celui de votre bonheur ; mais ce que je ne co
conçois pas, c’est que votre cœur écrive avant vous le chiffre de ce
nom
, et que vous prétendiez conserver à ce chiffre ou
ffre de ce nom, et que vous prétendiez conserver à ce chiffre ou à ce
nom
une chaste ombre de femme. Je conçois que la femm
e ce flot puisse monter au lit du fleuve. Je conçois que cette femme,
nom
de bonheur et lit d’ombrage, puisse encore être l
blique. L’allégorisme, au contraire, ne présente qu’un objet, sous un
nom
emprunté. Par exemple, quand Mithridate veut prou
ogisme les allégories tirées de la fable païenne ; mais donne-t-on un
nom
spécial à celles que fournissent l’Écriture saint
t plus haut. Quand l’allégorie peut se peindre, elle prend souvent le
nom
d’emblème. Remarquez, en passant, que Voltaire et
: et la France ravie saluait de ses applaudissements enthousiastes le
nom
du grand Corneille. Dès lors, en bien peu de temp
en peu de temps, quelle succession de chefs-d’œvre, consacrée par les
noms
d’Horace, de Cinna, de Polyeucte, de Pompée, de R
son fils, don Rodrigue, que ses exploits feront plus tard honorer du
nom
de Cid (chef), le soin de sa vengeance. Acte I
ferme appui ; Grenade et l’Aragon tremblent quand ce fer brille ; Mon
nom
sert de rempart à toute la Castille : Sans moi, v
is-tu bien qui je suis ?Oui : tout autre que moi Au seul bruit de ton
nom
pourrait trembler d’effroi. Les palmes dont je vo
me fut lu dans une compagnie. Te tairas-tu, maraud ? (A Clarice.) Mon
nom
dans nos succès s’étais mis assez haut Pour faire
ut aussitôt servie. Je ne vous dirai point les différents apprêts, Le
nom
de chaque plat, le rang de chaque mets ; Vous sau
r Lamboy, Jean de Vert et Galas2 Nommer quelques châteaux de qui les
noms
barbares Plus ils blessent l’oreille, et plus leu
que je mens ?Qui me le dit, infâme1 ? Dis-moi, si tu le peux, dis le
nom
de ta femme2. Le conte qu’hier au soir tu m’en fi
l’a fait oublier. Géronte. Ajoute, ajoute encore avec effronterie Le
nom
de ton beau-père et de sa seigneurie ; Invente à
conclut celui-ci très-sagement, s’il y a quelque contestation sur le
nom
de l’écrivain, il est hors de dispute que c’était
de Léon et de Castille. La tragi-comédie du Cid (on donnait alors ce
nom
aux pièces tragiques dont le dénoûment était heur
préposition. 92. — La Préposition est un mot qui sert à joindre le
nom
ou pronom suivant au mot qui la précède ; par exe
fruit et arbre ; quand je dis : utile à l’homme, à fait rapporter le
nom
homme à l’adjectif utile ; quand je dis : j’ai re
f utile ; quand je dis : j’ai reçu de mon père ; de sert à joindre le
nom
père au verbe reçu, etc. ; de, à, sont des prépos
s s’appelle préposition, parce qu’elle se met ordinairement devant le
nom
qu’elle régit. Prépositions françaises. 93.
Chapitre second. De la narration. On donne le
nom
générique de narration à toutes ces compositions
r classer les autres genres de compositions que l’on comprend sous le
nom
de narration. Ils sont au nombre de sept : 1° la
t le cours de la définition 1’incertitude de la chose définie dont le
nom
est rejeté à la fin. Mais pour excuser l’auteur,
it moral. Quand les deux sortes sont réunies, la description prend le
nom
de portrait sans autre explication. Le caractère
œud, son dénoument. Chez lui, l’utilité s’unit à l’agrément ; Le vrai
nom
blesse moins en passant par sa bouche, Il ménage
e voyage ; Mais le cœur te choisit, mais tu reçus de nous, Au lieu du
nom
de Grand, un nom cent fois plus doux ; Et, qui vo
e cœur te choisit, mais tu reçus de nous, Au lieu du nom de Grand, un
nom
cent fois plus doux ; Et, qui voit ton portrait,
, l’unité et la régularité de plan des fables de Lafontaine. Le vrai
nom
blesse moins en passant par sa bouche, caractéris
Lafontaine ne se doutait pas de la hauteur de sou talent. Au lieu du
nom
de Grand un nom cent fois plus doux, c’est le bo
doutait pas de la hauteur de sou talent. Au lieu du nom de Grand un
nom
cent fois plus doux, c’est le bonhomme, c’est-à-
fait son maître ; mais le cœur le choisit, mais il reçoit de nous le
nom
par excellence. L’antithèse de mots se rencontre
d’un fait. Elevée à son plus haut degré de perfection, elle prend le
nom
de tableau. La description et le tableau ne cons
ie du Christianisme.) ANALYSE. Cette brillante description mérite le
nom
de tableau ; car on y reconnaît la touche d’un pe
ouvent des caractères tout faits, des circonstances préparées, et des
noms
de personnages prêts à mettre en scène. C’est une
Cette narration appartient au genre mixte, l’auteur s’est emparé d’un
nom
, d’un fait historique, et son imagination a su le
’histoire est un fragment d’une traduction de la Bible. Connu sous le
nom
de Gloses de Reichenau, il date de 768, l’année m
arlovingienne ait été soumise à l’unité d’un vocabulaire régulier. Ce
nom
générique de langue romane ne rappelle, en effet,
omme désinence dans le substantif, marque le sujet de la phrase si le
nom
est singulier, le régime lorsqu’il est pluriel. S
empruntés, pour la plupart, aux légendes bretonnes, et connus sous le
nom
de Romans de la Table-Ronde 1 (1154-1183, Henri I
c les croisés, elle a visité la Grèce, l’Asie-Mineure et la Syrie. Le
nom
des Francs représente déjà dans l’Orient toutes l
gaux, mais relevés de Christine de Pisan et d’Alain Chartier, un seul
nom
mérite une longue mémoire dans la foule de ceux q
du pape Léon X, qui fonda la bibliothèque Laurentienne, et donna son
nom
au siècle de l’Arioste, de Berni, de Fracastor, d
olière et se souvient de Panurge. Un siècle qui nous offre de pareils
noms
a préparé d’avance l’heure privilégiée où le géni
qui signifiait primitivement tromperie ; il nous a peut-être donné le
nom
propre de Tartuffe, immortalisé par Molière. 1.
le femme, le maison ; c’est de là que viennent par apocope plusieurs
noms
propres, Delpierre, Delfosse, qui se disent en fr
dre un ton plus élevé. Dans les sujets dramatiques, l'exorde prend le
nom
d'exposition. Boileau a dit : Que, dès les premi
suivants, par l'alliance les mots avec lesquels il est employé : Ces
noms
de roi des rois et de chef de la Grèce Chatouilla
métonymie emploie la cause pour l'effet ; l'effet pour la cause ; le
nom
de lieu pour la chose même ; le signe pour la cho
necdoche prend la partie pour le tout, et le tout pour la partie ; le
nom
de la matière pour la chose qui en est formée ; l
e se rattachent l'antonomase et l'antiphrase. L'antonomase emploie un
nom
commun pour un nom propre, ou un nom propre pour
ntonomase et l'antiphrase. L'antonomase emploie un nom commun pour un
nom
propre, ou un nom propre pour un nom commun : Un
iphrase. L'antonomase emploie un nom commun pour un nom propre, ou un
nom
propre pour un nom commun : Un Mécène est un prot
se emploie un nom commun pour un nom propre, ou un nom propre pour un
nom
commun : Un Mécène est un protecteur des lettres,
auvres et les orphelins. 5° La répétition reproduit plusieurs fois le
nom
ou pronom qui représente l'idée principale du dis
'église, mais la poésie l'emploie aussi au masculin dans ce cas. Les
noms
propres employés pour désigner plusieurs personne
Les noms propres employés pour désigner plusieurs personnes du même
nom
ne prennent pas ordinairement le signe du pluriel
ans la prose ordinaire, les adjectifs ne peuvent se rapporter qu'à un
nom
ou pronom exprimé dans la même phrase : mais dans
ans les vers et dans la prose poétique, ils peuvent se rapporter à un
nom
ou pronom exprimé dans une phrase antérieure, si
ou pronom exprimé dans une phrase antérieure, si leur rapport avec ce
nom
ou pronom ne donne lieu à aucune équivoque ; ains
llesse, Le poids de sa couronne accablait sa faiblesse. parce que le
nom
auquel endormi a rapport est clairement sous-ente
Qui, régime d'une préposition, ne s'emploie dans la prose qu'avec un
nom
de personne ; mais, dans les vers, la mesure et l
ns les vers, la mesure et l'euphonie permettent de l'employer avec un
nom
de chose : Soutiendrez-vous un faix sous qui Rom
Son, sa, ses, leur, leurs, ne s'emploient ordinairement qu'avec un
nom
de personne, ou avec un nom de chose exprimé dans
, ne s'emploient ordinairement qu'avec un nom de personne, ou avec un
nom
de chose exprimé dans la même proposition que ces
e son antécédent que par une préposition et des mots qui modifient le
nom
dont ce pronom rappelle l'idée. On ne dirait pas
re de l'enthousiasme, règne dans toute la pièce, cette pièce prend le
nom
d'ode, et les stances celui de strophes. le tem
ans la vie commune et peint nos travers, nos ridicules, elle prend le
nom
de comédie. La tragédie et la comédie doivent re
le dénoûment avec succès : la princesse Armide, dans l'opéra du même
nom
, part sur un char volant et l'œil la suit encore
se traduisent élégamment par des adjectifs latins. Tels sont : 1° les
noms
qui marquent la dimension des objets, comme le ha
e la mer, imum mare ; le bout des doigts, extremi digiti, etc. 2° Les
noms
qui désignent la matière dont une chose est faite
equina ; de mouton, vervecina ; de bête sauvage, ferina, etc. 3° Les
noms
de lieux, de villes, de provinces : le parlement
ticensis ; Thrasybule d’Athènes, Thrasybulus atheniensis, etc. 4° Les
noms
de temps, ceux surtout qui désignent les diverses
me, ante Romam conditam, etc. 5° Il en est ainsi de beaucoup d’autres
noms
précédés en français de la préposition de ou des,
assaillent les vieillards. VI En latin, comme en français, les
noms
propres sont quelquefois plus élégants au pluriel
vrai, il me semble même voir les Crassus et les Lélius. VII Le
nom
du lieu se met élégamment pour celui de la nation
ce ; ni d’Athènes, cette mère de toutes les sciences. Si cependant le
nom
de pays était peu usité, ou s’il n’existait pas,
pays était peu usité, ou s’il n’existait pas, il faudrait employer le
nom
de la nation. Ex. : In Sabinis natus, né dans le
s verbes qui expriment le souvenir ou l’oubli, quand le régime est un
nom
de personne. Ex. : Scias velim nos meminisse tui.
ez croire que je ne vous ai point oublié. Mais quand le régime est un
nom
de chose, l’accusatif est plus fréquemment employ
es poètes et même les prosateurs mettent quelquefois à l’accusatif le
nom
qui désigne la partie à laquelle se rapporte l’ac
quefois avec élégance au genre neutre, quand même il se rapporte à un
nom
masculin ou féminin, ou à deux noms du même genre
re, quand même il se rapporte à un nom masculin ou féminin, ou à deux
noms
du même genre. Ex. : Quùm omnium rerum mors sit e
à ; aptus, idoneus, propre à ; natus, né pour, on met généralement le
nom
de la personne au datif et le nom de la chose à l
us, né pour, on met généralement le nom de la personne au datif et le
nom
de la chose à l’accusatif avec ad. Ex. : Patienti
s embûches. (La raison de cette différence de cas, c’est que, avec le
nom
de personne, il y a plutôt un rapport d’attributi
e nom de personne, il y a plutôt un rapport d’attribution, et avec le
nom
de chose, un rapport de tendance.) X Après
on ne vit vertueux. VII Le verbe aimer ayant pour complément le
nom
d’une chose qui fait plaisir, qui réjouit, se tra
ngue latine de faire usage du participe futur passif, quand il y a un
nom
avec lequel on puisse le faire accorder. Ex. : Ul
tuas pervenit ad aures Belidœ nomen Palamedis. Virg. Si par hasard le
nom
de Palamède, fils de Bélus, est venu jusqu’à vos
, au nom de. Ex. : Oro te, per deos immortales. Je vous en conjure au
nom
des dieux immortels. Per caput hoc juro, per quod
. Apud judicem, devant le juge. 3° Dans le sens de in, dans, avec les
noms
d’auteurs. Ex. : Apud Ciceronem, apud Xenophontem
tion dans les sujets. C’est Marivaux qui l’a créé, et lui a donné son
nom
. On a dit de lui qu’il pesait des œufs de mouche
d. V. Conjonction. 5 La conjonction est une figure qui tire son
nom
du mot même qui la forme. Elle consiste dans la r
ux les meurtres. VI. Répétition. 6. La répétition est, comme le
nom
l’indique, une figure par laquelle on répète les
. 8. L’apposition consiste à mettre ensemble sans conjonction deux
noms
dont l’un est un nom commun, ensuite que derni
onsiste à mettre ensemble sans conjonction deux noms dont l’un est un
nom
commun, ensuite que dernier sert de qualificat
deux parties, comme les syllabes d’un mot. Ce cri est : coucou, et ce
nom
a été formé par onomatopée. C’est à cette figure
s générale, la plus variée et la plus belle des figures de mots. Le
nom
même en est devenu, dit La Harpe, tellement usue
a métaphore dont on veut se servir. II. Métonymie. — Changement de
nom
. 11. La Métonymie (changement de nom) est un t
I. Métonymie. — Changement de nom. 11. La Métonymie (changement de
nom
) est un trope qui supprime le mot propre et en me
lieu. — On fait cette métonymie quand ou prend pour la chose même le
nom
du lieu où cette chose se fait : C’est du bordea
ce entre la métonymie et la synecdoque, que le premier trope prend un
nom
pour un autre, tandis que le second ajoute à ce c
nd souvent. Dans la métonymie, la pensée de l’objet dont on change le
nom
existe indépendante de l’objet qui fournit un aut
on change le nom existe indépendante de l’objet qui fournit un autre
nom
. Dans la synecdoque, les deux pensées sont liées
avec détails dans le second livre de ce traité. VI. Antonomase. —
Nom
remplacé. 15. L’antonomase est une espèce de s
pécial. L’antonomase se borne a deux applications. 1° Ou elle fait un
nom
commun d’un nom propre ; L’Orateur romain, pour
mase se borne a deux applications. 1° Ou elle fait un nom commun d’un
nom
propre ; L’Orateur romain, pour Cicéron, L’Aigl
Fénélon Le Père du peuple, pour Louis XII. 2° Ou bien elle fait un
nom
propre d’un nom commun. Un Crésus, pour un homme
re du peuple, pour Louis XII. 2° Ou bien elle fait un nom propre d’un
nom
commun. Un Crésus, pour un homme très riche, Un
d’instinct pour ainsi dire. XI. Ironie. — Dissimulation. 20. Le
nom
de ce trope a perdu sa gravité grecque. Il n’est
le voir, et ce n’est point en ce cas qu’on doit donner à la figure le
nom
de périphrase. La périphrase n’a lieu que lorsqu’
on. Nota. — On a pu remarquer que j’ai eu soin de donner après les
noms
de figures tirés de la langue grecque, des noms é
n de donner après les noms de figures tirés de la langue grecque, des
noms
équivalents en français. Mais cela ne me semble p
t et compare ensemble deux idées. Par la Métonymie on peut changer un
nom
, Et mettre en ses discours l’airain pour le canon
ue les tropes et les figures grammaticales. On leur a donné de grands
noms
, quoique elles appartiennent aux procédés les plu
it nier, afin d’obtenir ce que l’on demande. La figure prend alors le
nom
d’Epitrope. XII. Subjection. 37. La subjec
, et les choisir neuves, autant que possible. La comparaison prend le
nom
de contraste, quand pour fortifier une idée, on m
ées et la dureté affectée de son style : Où, ô H... nichera-t-on ton
nom
, Justice enfin rendu que ne t’a t’on ? Quand donc
e présenter à l’esprit sous un aspect toujours nouveau. On a donné le
nom
de convenances à cet art de varier le style. I
conscrire une idée confuse, incomplète, vague, elle ne mérite plus le
nom
d’épithète, ce n’est qu’un simple adjectif. Dans
avec plaisir. VIII. Pensées. On donne comme par excellence le
nom
de pensées à celles qui sont énoncées dans une fo
ire incertaine L’homme livre en passant au courant qui l’entraîne, Un
nom
de jour en jour en sa course affaibli ; De ce bri
igne toujours finit par disparaître. Or, par la marche des siècles le
nom
de l’homme s’éloigne. Donc, il finit par disparaî
e et par quelques-uns des solitaires de Port-Royal, et publié sous le
nom
de La Fontaine qui y inséra une nouvelle paraphra
se, Grondant entre mes dents, je barbote une excuse. De vous dire son
nom
il ne guérit de rien6, Et vous jure, au surplus,
us, de peur de la peine, auront peur de faillir48. La terreur de son
nom
rendra nos villes fortes, On n’en gardera plus ni
ers de son heur étonné, Ajoute chaque jour quelque nouvelle marque Au
nom
qu’il s’est acquis du plus rare monarque Que ta b
ots l’infidèle malice A nourri le désordre et la sédition ; Quitte le
nom
de Juste, ou fais voir ta justice En l
éremment cueillir Ces belles feuilles toujours vertes Qui gardent les
noms
de vieillir : Mais l’art d’en faire des couronnes
es vaines, Ils sont rongés des, vers. Là se perdent les
noms
de maîtres de la terre, D’arbitres de la paix, de
isant Horace (1639), œuvre dans laquelle tout, excepté le sujet et le
nom
des personnages empruntés à l’histoire romaine, e
ie et la simplicité manquent à ces femmes qui n’ont de féminin que le
nom
. Elles font valoir elles-mêmes leurs vertus, elle
de six ans il ne s’est fait combat Qui ne m’ait bien acquis ce grand
nom
de soldat : J’en avais pour témoin le feu roi vot
is aucun droit d’occuper cette place. Carlos. Se pare qui voudra des
noms
de ses aïeux : Moi, je ne veux porter que moi-mêm
e vous avec plus de raison Que moi qui n’en connais que la race et le
nom
. Marquis, prenez ma bague, et la donnez pour marq
Je n’entreprendrai point de juger entre vous Qui mérite le mieux le
nom
de son époux ; Je serais téméraire, et m’en sens
int don Sanche, et connais mes parents ; Ce bruit me donne en vain un
nom
que je vous rends. Gardez-le pour ce prince ; une
x bruit il se voulait défendre, Votre cour, obstinée à lui changer de
nom
, Murmurait tout autour : « Don Sanche d’Aragon »,
reste ! On me vole mon père ! on le fait criminel ! On attache à son
nom
un opprobre éternel ! Je suis fils d’un pêcheur,
âme ; La bassesse du sang ne va pas jusqu’à l’âme ; Et je renonce aux
noms
de comte et de marquis Avec bien plus d’honneur q
Peut-être elle ne fait qu’une embûche à la mienne : La gloire de mon
nom
vaut bien qu’on la retienne ; Mais son plus bel é
ilà, ce qu’a pu faire et qu’a fait à vos yeux Un cœur que ravalait le
nom
de ses aïeux. La gloire qui m’en reste après cett
our premier rôle une femme dont elles portent ou pourraient porter le
nom
, et toutes les femmes de son théâtre remplissent
vec quelque pudeur, Charmé de mon pouvoir et plein de ma grandeur, Ce
nom
de roi des rois et de chef de la Grèce Chatouilla
rmera l’amour et la raison, Vous laisse pour ce meurtre abuser de son
nom
? Verra-t-il à ses yeux son amante immolée ? Aga
i sévère, Peut-être s’applaudit des bontés de son père ; Ma fille… Ce
nom
seul, dont les droits sont si saints. Sa jeunesse
esse ; Et, toujours de la gloire évitant le sentier, Ne laisser aucun
nom
, et mourir tout entier ? Ah ! ne nous formons poi
à tous mes amis ; Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le grand
nom
de Pompée assure sa conquête : C’est l’effroi de
ivant, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez partout l’horreur du
nom
romain, Et la triste Italie encor toute fumante D
le. » Molière (1622-1673) Jean-Baptiste Poquelin, qui prit le
nom
de Molière en se faisant comédien, est le véritab
l prend à partie un vice ou un ridicule, le personnifie, lui donne un
nom
de guerre, et c’est sur les épaules de ce personn
n héritage un vieillard cassé et près de mourir, et fabriquent en son
nom
un faux testament pendant qu’ils le croient à l’a
tor. Moi, fort à votre service. Ce
nom
n’étant point fait du tout à la propice79 D’un v
uveau, M’a mis celui d’Hector, du valet de carreau. Géronte. Le beau
nom
! Il devait appeler Angélique, Pallas, du nom con
reau. Géronte. Le beau nom ! Il devait appeler Angélique, Pallas, du
nom
connu de la dame de pique. Hector. Secondement,
ien ! soit. Plus, il doit à maints particuliers, Ou quidams, dont les
noms
, qualités et métiers Sont déduits plus au long av
Il faut donc vous le lire. « Fut présent devant nous, dont les
noms
sont au bas, « Maître Mathieu Géronte, en son fau
ialité révoltantes. Médiocre dans la tragédie, Quinault s’est fait un
nom
glorieux dans l’opéra, dont il est le véritable f
vers, selon le sujet, selon le moment. Il nomme chaque chose par son
nom
, il précise, il montre aux yeux. La grâce naïve e
ue, et je sais qu’il n’est pas sans mérite ; Mais, près de ces grands
noms
, notre gloire est petite : Tel de nous, dépourvu
-t-il sur nous, dit-on, soit en vers, soit en prose ? L’antiquité des
noms
ne fait rien à la chose, L’autorité non plus, ni
e et de Juvénal, représente la satire au dix-septième siècle. Quelque
nom
qu’il ait donné à ses diverses œuvres, partout so
le monde. Souvent il ne vit dans un écrivain qu’un sujet, et dans un
nom
qu’une rime à exploiter : parfois même ses attaqu
indre, après tout, d’une fureur si vaine ? Personne ne connaît ni mon
nom
ni ma veine. On ne voit point mes vers, à l’envi
ici. Laissez cette fille, et pour cause. M. Josse, au comte. Votre
nom
, s’il vous plaît, vos titres, votre rang : Je ne
hilogène-Louis… M. Josse. Oh ! quelle kyrielle ! Ma foi, sur tant de
noms
ma mémoire chancelle. (Il répète.) Philogène-Loui
Comte. Quoi ! c’est là votre
nom
? Antoine ! est-il possible ? Lisimon.
Eh ! parbleu, pourquoi non ? Le Comte. Ce
nom
est bien bourgeois ! Lisimon.
lorsqu’il composa Œdipe, pour effacer la pièce de Corneille, du même
nom
, qu’il trouvait un fort mauvais ouvrage 121. La r
u vaste sein de l’onde, Sa voix faisait redire aux échos attendris Le
nom
, le triste nom de son malheureux fils. Du héros e
l’onde, Sa voix faisait redire aux échos attendris Le nom, le triste
nom
de son malheureux fils. Du héros expirant la jeun
and dans la tombe un pauvre homme est inclus, Qu’importe un bruit, un
nom
qu’il n’entend plus ! L’ombre de Pope avec les ro
pe avec les rois repose ; Un peuple entier fait son apothéose, Et son
nom
vole à l’immortalité : Quand il vivait, il fut pe
ux, Si les bons cœurs étaient toujours heureux. Vert-vert (c’était le
nom
du personnage), Transplanté là de l’indien rivage
rire enivre leur raison. Au même instant l’agile Renommée Grave leurs
noms
sur son char lumineux : Jouets constants d’une va
et le gain établir sa maison Et ne devoir qu’à soi sa fortune et son
nom
. Damis. Ce mélange de gloire et de gain m’import
espèces ; À sauver, s’il se peut, par mes travaux constants, Et leurs
noms
et le mien des injures du temps. Infortuné ! je t
mirer. Et trouver tout le monde actif à censurer. Va des auteurs sans
nom
grossir la foule obscure, Égayer la satire, et se
es pécheurs ont lassé sa justice, Que l’enfer les dévore, et que leur
nom
périsse ; Que Dieu verse la paix dans le fond de
chard Lebrun ne sont plus guère lues, mais on continue de joindre son
nom
à celui de Pindare, ce qui fait naître l’idée d’u
fortifie, Qui, paré du manteau de la philosophie, Que dis-je ? de son
nom
faussement revêtu, Étouffe les talents et détruit
restée célèbre. Les tragédies de Ducis ont beaucoup vieilli, mais son
nom
reste honoré. Ce qui fait sa gloire particulière,
arrivé, Aux grands événements je me sens réservé. Je me puis faire un
nom
, et, dans mon ministère, Servir le roi, l’État, p
mps de Babylone, Ont vécu, nous dit-on, ces pères des humains Dont le
nom
aux autels remplit nos fastes saints ; Avoir amis
ombres, Escorté d’infâmes soldats, Emplissant de mon
nom
ces longs corridors sombres, Où s
ce Déjà levé sur ces pervers ! Pour cracher sur leurs
noms
, pour chanter leur supplice. Allo
tortueuse élégamment se roule, L’autre de l’araignée a la forme et le
nom
; Un autre imite aux yeux la trompe et le clairon
uccessivement, La Chartreuse de Paris, qui n’a d’autre rapport que le
nom
avec l’ouvrage de Gresset, et qui se rapproche pl
ribus, Un prêtre ami des lois et zélé sans abus, Qui, peu jaloux d’un
nom
, d’une orgueilleuse mitre198, Aimé de son troupea
, Et, des apôtres saints fidèle imitateur, A mérité comme eux ce doux
nom
de pasteur. Il sut par l’espérance adoucir la tri
reçu d’outrage ; Ils conservent en paix leur antique héritage. Leurs
noms
ne chargent point des marbres fastueux ; Un pâtre
autrefois séparé, Illustre dans les camps ou sublime au théâtre, Son
nom
charmait encor l’univers idolâtre, Aujourd’hui so
voix est d’abord adoptée, Et sans autre examen soudain exécutée. Les
noms
des sénateurs qu’on doit tirer au sort Sont jetés
premier qui sort Est aux regards du peuple amené sur la place. À son
nom
, à sa vue, on crie, on le menace. Aucun tourment
stance, Voyant qu’on ne dit mot, prend un peu d’assurance, Hasarde un
nom
, encor le risqua-t-il si bas, Qu’à moins d’être t
et mince éclat, Voyez en ce moment ce digne et saint prélat, Que son
nom
, son génie et son titre décore, Mais que tant de
s mes douleurs. D’un hymen trop fécond voilà le dernier gage ; De ton
nom
, au berceau, je dotai son jeune âge, Je vouai son
dotai son jeune âge, Je vouai son enfance à tes blanches couleurs. Ce
nom
, ce vêtement, m’étaient d’un doux présage ; Et qu
et le cap de Ténare La mer baigne les murs de la triste Coron, Coron,
nom
malheureux, nom moderne et barbare, Et qui de Col
are La mer baigne les murs de la triste Coron, Coron, nom malheureux,
nom
moderne et barbare, Et qui de Colonis228 détrôna
heureux, nom moderne et barbare, Et qui de Colonis228 détrôna le beau
nom
. Les Grecs ont tout perdu : la langue de Platon,
n, La palme des combats, les arts et leurs merveilles, Tout jusqu’aux
noms
divins qui charmaient nos oreilles. Ces murs bat
… Ô bien qu’aucun bien ne peut rendre ! Ô Patrie ! ô doux
nom
, que l’exil fait comprendre, Que murmurait ma voi
d’eux vous placera, que dis-je ? au-dessus d’eux. Je veux sous votre
nom
fonder des basiliques, Je veux de jaspe et d’or s
s avec horreur vos maximes d’État. Croyez-vous m’abuser ? Couverts de
noms
sublimes, Ces crimes consacrés en sont-ils moins
eux. Je commande à la nuit de déchirer ses voiles, Ma bouche par leur
nom
a compté les étoiles, Et dès qu’au firmament mon
p longtemps retardée au gré de ses désirs, en publiant, en 1820, sans
nom
d’auteur, ses Méditations poétiques qui obtinrent
son second épisode épique, Jocelyn, Lamartine voulut peindre, sous le
nom
d’un personnage imaginaire, ce qu’il avait éprouv
et l’amour, Et ce bien idéal que toute âme désire, Et qui n’a pas de
nom
au terrestre séjour ! Que ne puis-je, porté sur
ure. Seul, invoquant ici son regard paternel, Je remplis le désert du
nom
de l’Éternel ; Et celui qui du sein de sa gloire
la voix de mon humble raison, Qui contemple sa gloire et murmure son
nom
. Salut, principe et fin de toi-même et du monde,
mensité féconde. Âme de l’univers, Dieu, père créateur, Sous tous ces
noms
divers je crois en toi, Seigneur ; Et, sans avoir
ts, En froisser une feuille, en cueillir une branche, Appeler par son
nom
chaque colombe blanche, Qui, partant de nos pieds
r perdu pour lui : il semble rougir aujourd’hui de prononcer ce grand
nom
de Dieu, qui sortirait cependant, s’il les interr
le pont. » Vers ce pâle inconnu je levai ma paupière : « Quel est ton
nom
? lui dis-je. Il me dit : — La prière ! » La
glorieux héritage264 ». Ambitionnant d’être compté à la suite de ces
noms
célèbres, Sainte-Beuve s’applique à être sévère d
Odes et Ballades et des Orientales. Ce volume, publié également sans
nom
d’auteur, fut accueilli avec une grande faveur. L
destin caché ; C’est moins de n’avoir pas visité ces rivages Que des
noms
éternels peuplent de leurs images, Où l’orange es
nfants (tous sont morts !) entouraient le fauteuil ; Et je disais les
noms
de chaque jeune fille, Du curé, du notaire, amis
n’as rien, chasseresse ! Mais l’amour de ton cœur s’appelle d’un beau
nom
: La liberté ! Qu’importe au fils de la montagne
Barbier (Henri-Auguste) (1805-1882) Auguste Barbier s’est fait un
nom
marquant dans la littérature du dix-neuvième sièc
aires, Par leur impertinence indignent tout Paris, Et se sont fait un
nom
à force de mépris. N’est-ce pas, à peu près, tout
: « C’est bien à vous ce livre issu de ma prière : Qu’il garde votre
nom
et vous soit consacré, Ce livre où j’ai souffert,
la conduite d’une Muse biblique, appelée en hébreu Thèbel, et dont le
nom
signifie l’Univers, comme qui dirait Cosmos en gr
cloître avec nous S’appelle Jean-Babylas-Chrysostome. « Ce sont ses
noms
. Mais toi, qui donc es-tu, Pour pénétrer ainsi da
crise, D’aller ainsi voilés vers la prochaine église, Sans dire notre
nom
aux habitants du lieu, Sans avoir de pensers pour
s ! L’épouvante est partout sur ce haut promontoire, Et chacun de ses
noms
dit assez son histoire. À gauche, ces rochers de
poésie frelatée vingt-quatre vers admirables. On a souvent opposé le
nom
de Ponsard à celui de Victor Hugo, en tenant comp
êter, il faut qu’on y regarde. George. Et nos lois ont permis que le
nom
paternel Fût souillé par un fils d’un opprobre ét
route ; Il faut se signaler entre mille rivaux, Et l’on n’acquiert un
nom
que par de longs travaux, Encor que de dégoûts et
même sens, chiennaille. 22. C’est-à-dire fort habile. Gonin était le
nom
d’un faiseur de tours. 23. Le Seau, ville du Ber
tablissement d’une compagnie composée de plusieurs officiers dont les
noms
et les emplois sont conformes à leur institut, et
le pilote du navire des Argonautes. 52. Les anciens avaient donné le
nom
de Syrtes aux deux golfes que forme la Méditerran
tuation. 70. On employait autrefois en, non pas seulement devant les
noms
de royaumes, de contrées, mais aussi devant les n
ement devant les noms de royaumes, de contrées, mais aussi devant les
noms
de villes commençant par une voyelle et même deva
crifie sa fille, non à la patrie ni à la volonté des dieux, mais à ce
nom
de roi des rois et de chef de la Grèce, qui chato
econde satire de Gilbert, intitulée Mon Apologie. 153. On donnait le
nom
de palinods (on prononce palino) aux pièces de po
stice. 257. C’est-à-dire l’Assyrie, Assur (heureux en hébreu) est le
nom
du second fils de Sem, qui, chassé par Nemrod des
s par les cités dites Armoricaines, unies étroitement entre elles. Le
nom
s’étend à toute la Bretagne actuelle. 284. En la
viennent pour le pardon, célèbre fête religieuse et populaire. 287.
Nom
que donnèrent les royalistes du temps au second r
es élèves des lycées et des collèges connussent, avec les plus grands
noms
de notre littérature, ce qu’elle a produit de plu
ils les montraient souvent au doigt, et les nommaient par leur propre
nom
. Et cette licence scandaleuse était si agréable a
t vous, habitants des îles de la mer : le Seigneur m’a appelé par mon
nom
dès le sein de ma mère, il me protège sous l’ombr
ent partir d’un cœur comme celui de notre maître79. On se sert de son
nom
, et on le profane, comme vous voyez. Je vous mand
lons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d’un
nom
dont nous couvrons notre ignorance. Ce qui est ha
le puissent forcer. Celui-là seul tient tout en sa main, qui sait le
nom
de ce qui est et de ce qui n’est pas encore, qui
travaux : on n’y entendait parler d’autre chose que de la grandeur du
nom
romain. Il fallait aller à la guerre quand la rép
même après Antoine ; Rome tend les bras à César, qui demeure, sous le
nom
d’Auguste et sous le titre d’empereur, seul maîtr
orieuses ; et la hardiesse française porte partout la terreur avec le
nom
de Louis. Tu céderas, ou tu tomberas sous ce vain
toute la gloire que peut prétendre un Dieu : tellement qu’à son seul
nom
, et en vue de sa croix, les plus hautes puissance
cette prédiction devait passer pour chimérique ; dans un temps où le
nom
de Jésus-Christ était en horreur. Toutefois ce qu
c’est un premier ouvrage, l’auteur ne s’est pas encore fait un grand
nom
, il n’a rien qui prévienne en sa faveur ; il ne s
; en sa place, vous trouverez un je ne sais quoi qui n’a ni forme ni
nom
, qui n’en peut avoir, et que vous ne sauriez défi
rents de la grâce. Les empereurs mêmes sont devenus les adorateurs du
nom
qu’ils blasphémaient et les nourriciers de l’Égli
a foi chez des peuples corrompus jusqu’à la racine, qui ne portent le
nom
de fidèles que pour le flétrir et le profaner ? L
1661-1741.) [Notice.] Dans un livre destiné à la jeunesse, le
nom
de Rollin doit trouver sa place, puisque sa vie l
ais plus nous voyons que s’est élevée à un haut point cette gloire du
nom
français, plus il est à craindre que, ne pouvant
gner, c’est à nous qu’il convient d’être comme en sentinelle sous son
nom
et par ses ordres, veillant avec une attention in
mbuscades qui les attendent, souvent cachées à l’abri des plus grands
noms
. Car il y a des embûches tendues de toutes parts
e depuis que vous les avez remportées. Je suis Grec, seigneur : et ce
nom
, vous l’avez élevé si haut, que, sans vous faire
rd quelque plaisir à vous voir faire une action de courage ; mais, au
nom
des dieux, que ce soit pour la dernière fois. Lai
d’hommes ont plus que Voltaire remué par leur génie et rempli de leur
nom
le monde ; aucun n’a plus fortement agi sur son t
nt, était Louis de Bourbon, alors duc d’Enghien, connu depuis sous le
nom
de grand Condé. La plupart des grands capitaines
uplée, étendue en long de quarante lieues et large de vingt, avait le
nom
de Franche et l’était en effet : les rois d’Espag
style, il se plaça au nombre des quatre hommes dont l’influence et le
nom
dominent le dix-huitième siècle : aussi admiré qu
95.) Si le génie, comme on l’a dit, était une longue patience, le
nom
de l’abbé Barthélemy serait un des plus glorieux
cabinet des médailles, qu’il conçut le plan du livre qui assure à son
nom
une célébrité durable : il avait pensé tout d’abo
éremment cueillir Les belles feuilles toujours vertes Qui gardent les
noms
de vieillir : Mais l’art d’en faire des couronnes
: et la France ravie saluait de ses applaudissements enthousiastes le
nom
du grand Corneille. Dès lors, en bien peu de temp
n peu de temps, quelle succession de chefs-d’œuvre, consacrée par les
noms
d’Horace, de Cinna, de Polyeucte, de Pompée, de R
de quel zèle Cette troupe entreprend une action si belle492 ! Au seul
nom
de César, d’Auguste et d’empereur. Vous eussiez v
de Rome ; Et son salut dépend de la perte d’un homme, Si l’on doit le
nom
d’homme à qui n’a rien d’humain, À ce tigre altér
rable honneur de lui donner un maître « Faisant aimer à tous l’infâme
nom
de traître, « Romains contre Romains, parents con
Qu’un crayon imparfait de leur sanglante paix497. « Vous dirai-je les
noms
de ces grands personnages « Dont j’ai dépeint les
tre498. Avec la liberté Rome s’en va renaître ; Et nous mériterons le
nom
de vrais Romains, Si le joug qui l’accable est br
ous en sommes. Demain, j’attends la haine ou la faveur des hommes, Le
nom
de parricide ou de libérateur ; César, celui de p
neur. Regarde le malheur de Brute et de Cassie : La splendeur de leur
nom
en est-elle obscurcie ? Sont-ils morts tout entie
avis ou de mauvais soupçons ? De tous ces meurtriers te dirai-je les
noms
? Procule, Glabrion, Virginian, Rutile, Marcel, P
apitale et le palais de Venceslas, roi de Pologne : ce prince, IVe du
nom
, vivait dans le treizième siècle. Condition et de
nfants du voisinage : Assurément il radotait. Car, au
nom
des dieux, je vous prie, Quel fruit de ce labeur
Quel martyre ! BÉLISE. Ce sont les
noms
des mots ; et l’on doit regarder En quoi c’est qu
en mieux, pour moi, qu’en épluchant ses herbes Elle accommode mal les
noms
avec les verbes, Et redise cent fois un bas ou mé
paix et la douceur, Et ma femme est terrible avec que son humeur. Du
nom
de philosophe elle fait grand mystère627 : Mais e
ait sonner haut ; Un pédant, qu’à tout coup votre femme apostrophe Du
nom
de bel esprit et de grand philosophe, D’homme qu’
chacune une haine mortelle Pour un nombre de mots, soit ou verbes ou
noms
, Que mutuellement nous nous abandonnons ; Contre
ois658 ; Et de mille remparts mon onde environnée De ces fleuves sans
nom
suivra la destinée ! Ah ! périssent mes eaux, ou
bruit s’épand qu’Enghien et Condé sont passés666 Condé, dont le seul
nom
fait tomber les murailles Force les escadrons, et
ée Que, dans l’heureux spectacle à nos yeux étalé, En a fait sous son
nom
verser la Champmeslé671. Ne crois pas toutefois p
eux. La mort seule ici-bas, en terminant sa vie, Peut calmer, sur son
nom
l’injustice et l’envie, Faire au poids du bon sen
consoler Paris, Cesse de t’étonner si l’envie animée, Attachant à ton
nom
sa rouille envenimée, La calomnie en main quelque
Racine (1639-1699.) [Notice.] Si l’on voulait réaliser par un
nom
l’idée de la perfection absolue dans la versifica
t soumis : Que de ton bras la force les renverse ; Que de ton
nom
la terreur les disperse704 !… Esther, act. Ill,
5. (Extraits.) Agrippine avait conçu l’espérance de régner sous le
nom
de son fils Néron, qu’elle avait fait empereur ;
Vous l’ai-je confié pour en faire un ingrat ; Pour être707, sous son
nom
, les maîtres de l’État ? Certes, plus je médite,
ble, toujours le timide Néron N’ose-t-il être Auguste et César que de
nom
? Vous le dirai-je enfin ? Rome le justifie. Rome
i ma faible autorité, Il expose la sienne, et que dans la balance Mon
nom
peut-être aura plus de poids qu’il ne pense. BURR
e. Tant qu’il respirera, je ne vis qu’à demi : Elle m’a fatigué de ce
nom
ennemi ; Et je ne prétends pas que sa coupable au
ce moment, on me bénit, on m’aime ; On ne voit point le peuple à mon
nom
s’alarmer ; Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’e
, Et que Rome, effaçant tant de titres d’honneur, Me laisse pour tous
noms
celui d’empoisonneur ? Ils mettront ma vengeance
r votre commune injure ; Éteignez dans le sang d’un ennemi parjure Du
nom
que vous portez l’opprobre injurieux ; Et, sous l
enchant instinctif dont elle ne se rend pas compte, Lisette, c’est le
nom
de cette jeune personne, est favorable au comte d
cacher ses besoins sous un brillant dehors. Depuis votre malheur, mon
nom
et mon courage Font toute ma richesse ; et ce seu
re égale à ma naissance ; Et sans ce faux relief ; ni mon rang ni mon
nom
N’auraient pu m’introduire auprès de Lisimon. LYC
oquez, je pense ? C’est Lisette. LYCANDRE. Ce
nom
a causé votre erreur. Venez, ma fille ; comte, em
Voltaire (1694-1778.) [Notice.] Déjà nous avons inscrit le
nom
de Voltaire parmi ceux de nos plus grands prosate
ourri dans la bassesse819, aux travaux condamnés ; Un malheureux sans
nom
, si l’on croit l’apparence. MÉROPE. N’importe, qu
MÉROPE. Qui, ton père ? en Élide ? En quel trouble il me jette ! Son
nom
? parle, réponds. ÉGISTHE.
e, réponds. ÉGISTHE. Son
nom
est Polyclète : Je vous l’ai déjà dit. MÉROPE.
sanglante.) MÉROPE. Guerriers, prêtres, amis, citoyens de Messène, Au
nom
des dieux vengeurs, peuples, écoutez-moi : Je vou
s ceux de notre époque que la postérité proclamera les plus dignes du
nom
de poètes. Ce ne sont pas là, toutefois, ses seul
s bienfaits, Indompté dans la guerre, opulent dans la paix ; Son beau
nom
remplissant leur cœur et leur histoire, Les siècl
ps de Babylone, Ont vécu, nous dit-on, ces pères des humains, Dont le
nom
aux autels remplit nos fastes saints ; Avoir amis
pagnols par l’armée du roi : elle est datée du 24 décembre 1630. — Le
nom
de celui à qui elle était adressée a été prudemme
d’Anne de Gonzague, le souvenir de ce héros, Gustave-Adolphe, dont le
nom
, dit-il, fait encore trembler l’Allemagne. 28. L
e de culte, en l’invoquant, comme son modèle de prédilection, sous le
nom
de Notre-Dame des Rochers. 69. Sur la disgrâce e
es. La maîtresse du logis était Anne de Gonzague, plus connue sous le
nom
de Princesse palatine. 73. Arnauld d’Andilly, le
a fait dans ses Caractères, ch. XI, de l’Homme, son portrait sous le
nom
de Ménalque. On peut voir sur lui une autre lettr
t. III, p. 216. 92. Bossuet. Il avait continué à être désigné par ce
nom
, quoiqu’il eût résigné son évêché peu après avoir
naquit en 1616 et mourut en 1684. Cette princesse, plus connue sous e
nom
de princesse palatine, épousa en 1645 le prince É
nous sommes. La chair changera de nature ; le corps prendra un autre
nom
; même celui de cadavre ne lui demeurera pas long
ps ; il deviendra, dit Tertullien, un je ne sais quoi qui n’a plus de
nom
dans aucune langue : tant il est vrai que tout me
u ses tableaux, La Bruyère introduit à tout moment dans son livre des
noms
de convention : sans imiter les commentateurs, qu
chap. 7 du livre cité de Longin. 202. Son, se rapportant ainsi à un
nom
de chose, paraîtrait dur aujourd’hui. 203. Ces p
terme désignait alors toutes les pièces de théâtre : de là encore le
nom
de Comédie française pour Théâtre français. 206.
muraille couverte de feuilles. 223. Petits cours d’eau : ce sont des
noms
propres substitués à un nom commun. 224. C’est-à
. 223. Petits cours d’eau : ce sont des noms propres substitués à un
nom
commun. 224. C’est-à-dire un canal dont les deux
st question : mais il est probable que La Bruyère a exprès altéré son
nom
. C’était lui qui avait dessiné les jardins de Cha
septième siècle, grâce à la licence et aux désordres de la Fronde. Le
nom
qui personnifie cette réaction éphémère est celui
été le sujet d’une tragédie médiocre de Piron (1730), désignée par le
nom
de ce philosophe, et où figure également Lysimaqu
e statues antiques, entre lesquelles l’Apollon qui lui a emprunté son
nom
est surtout remarquable. 350. Boileau a dit dan
là, chez les anciens, la fable de Prométhée : voy. la tragédie de ce
nom
dans Eschyle. 370. On dirait aujourd’hui consumé
encor que la beauté. 389. « Témoin, remarque Buffon lui-même, le
nom
de l’île aux Cygnes, donné à ce terrain qu’embras
ui comme bonnes ou mauvaises ; et c’est à ce principe que je donne le
nom
de conscience. » 397. On peut rapprocher de ces
garder de l’étudier sans guide, parce qu’il a trop souvent mérité le
nom
de sophiste. 403. En Suisse, dans le canton de B
astique traitait de si graves questions d’art et de poésie, tirait ce
nom
singulier de son chœur travesti en grenouilles. L
n aux Muses. Chénier rappelle que Boileau les a désignées par le même
nom
: Sans cesse poursuivant ces fugitives fées.
dit Horace ; et Racine, d’après ce double exemple : Ne laisser aucun
nom
et mourir tout entier… 502. Remarquez comme ce
juste sentiment de sa situation ? 520. On francisait alors tous les
noms
propres latins, comme on a pu déjà le voir : goût
le sait, que les vrais grands hommes n’aient pas un précurseur), son
nom
subsisterait parmi ceux qui font date dans l’hist
8. On dirait aujourd’hui en Amérique : à ne se mettant plus devant le
nom
d’une contrée, mais seulement devant le nom d’une
se mettant plus devant le nom d’une contrée, mais seulement devant le
nom
d’une ville. 569. Tour elliptique pour le vieill
Batteux et La Harpe ont commenté cet apologue (si l’on peut donner ce
nom
à un récit qui n’a rien d’allégorique) : c’est pa
hargé de jouer ce personnage, et il l’avait d’abord appelé Tricotin :
nom
qu’il eut la malice de changer en Trissotin, équi
e, le rôle de Martine par sa propre servante, qui portait en effet ce
nom
. 600. Martine prononce l’on comme l’écrivaient q
. » Partout la vérité et la profondeur de l’observation justifient ce
nom
de Contemplateur que Boileau donnait à Molière.
ans l’ode au prince Eugène : Mais la déesse de mémoire Favorable aux
noms
éclatants, Soulève l’équitable histoire Contre l’
histoire Contre l’iniquité du temps. 679. Nous renvoyons pour les
noms
cités dans ce passage aux éditions spéciales de B
de 1620 à 1630, et qui s’était établi sur la place Dauphine. Sous son
nom
ont paru beaucoup de farces burlesques. 684. On
s’honora d’être son protecteur, et qu’il a récompensé en rendant son
nom
immortel. Ce seigneur fut un peu plus tard plénip
s plus anciens habitants de notre contrée, les Celtes. La trace de ce
nom
subsiste encore dans le pays de Galles, dont les
, Euripide avait traité ce même sujet, et sa tragédie, qui portail le
nom
de Cresphonte, a été signalée par Aristote, dans
e beauté 833. Ainsi, chez Euripide, Hécube, dans la tragédie de ce
nom
, demande, agenouillée aux pieds d’Ulysse, la vie
faiblesse du style, se succédèrent encore beaucoup de pièces dont le
nom
seul et quelques vers ont survécu. Il est triste
r distingué, M. de La Touche, qui eut la bonne fortune d’associer son
nom
à celui d’A. Chénier. Ils furent ensuite joints a
ves, appelés rhétoriciens, étudient la science dont ils ont pris leur
nom
. Cette science, en effet, bien qu’elle n’ait pas
discours comme devant être prononcé, on est obligé d’ajouter, sous le
nom
d’action, une quatrième partie qui comprenait aut
ement exorde ; le récit se nomme narration ; la proposition garde son
nom
. Les preuves à l’appui de ce qu’on raconte ou qu’
nécessaire d’en déterminer les parties. Enfin, la conclusion garde ce
nom
si l’on conclut, en effet, directement quelque ch
xorde véhément ou exorde ex abrupto, car on lui donne fort souvent ce
nom
tiré du latin, a lieu quand l’orateur est animé d
eur, et d’abord à l’exposé du sujet. Mais cet exposé prend différents
noms
, selon le genre de cause dont il s’agit. Les anci
La confirmation et la réfutation sont quelquefois comprises sous le
nom
collectif de la preuve. La confirmation est cette
ce peu de terre que nous voyons dans cette chapelle couvre ces grands
noms
et ces grands mérites. Quel tombeau renferma jama
porte moins que l’autre, et nous comprenons tous ces discours sous le
nom
d’éloquence sacrée. Pareillement, à l’époque de l
vie dans le repos et dans la retraite du sanctuaire. Le bruit de son
nom
se répand bientôt après ; de toutes parts, on va
s ces éloges, purement humains, n’avaient à peu près de commun que le
nom
avec notre oraison funèbre. Le dogme de l’immorta
uné, qui n’avait jamais vu l’exemple d’un tel abus de pouvoir. Ô doux
nom
de liberté ! Ô droits sacrés du citoyen ! loi Por
it parler fort éloquemment. On a recueilli en un seul volume, sous le
nom
de Conciones, les discours tirés des historiens l
it attendre sa destinée, la seule qui l’intéresse, la destinée de son
nom
, que du temps, ce juge incorruptible qui fait jus
tion et de cérémonie. On désigne en général dans le monde, sous le
nom
d’éloquence académique, deux ou trois sortes d’ou
que nous nous en occuperons ; 2º les discours d’apparat prononcés au
nom
des académies, dans certaines cérémonies ou fêtes
les auteurs. Aussi fit-il parvenir son discours à l’Académie sous le
nom
de M. BruneI, son ami ; et probablement il contri
on entre le dix-huitième siècle et le nôtre. La popularité des grands
noms
d’aujourd’hui a fait tort à la mémoire de Ducis,
e auteur. La curiosité de la jeunesse est très éveillée à l’égard des
noms
modernes. Nous avons cherché, sans dépasser les m
d’ensemble. On pourra sans doute regretter ici l’absence de plusieurs
noms
célèbres. Il nous eût été facile et agréable d’en
sa moisson, sa destinée, la seule qui l’intéresse, la destinée de son
nom
, que du temps, ce juge incorruptible, qui fait ju
ombre des libérateurs de la patrie ; vous y verrez des hommes dont le
nom
désarme la calomnie, et dont les libellistes les
ice du temple on lit encore : Agrippa l’a consacré. Auguste donna son
nom
à son siècle, parce qu’il a fait de ce siècle une
ien, pour recevoir le paisible magistrat qui porte à lui tout seul ce
nom
immense de sénateur romain, jadis l’objet des res
adis l’objet des respects de l’univers. Ici nous n’avons plus que des
noms
; mais leur harmonie, mais leur antique dignité c
, le Nil et le Tibre, avec la louve de Romulus. On ne prononce pas le
nom
du Tibre comme celui des fleuves sans gloire ; c’
s élevées qu’elles ne l’étaient autrefois, lorsqu’elles méritaient le
nom
de monts escarpés. Rome moderne est élevée de qua
déserta jamais la cause à laquelle il avait attaché l’honneur de son
nom
. Moins orateur qu’écrivain, trop apprêté et trop
é à la cérémonie : c’est un vieux pasteur qui n’est connu que sous le
nom
de curé, et ce nom vénérable dans lequel est venu
c’est un vieux pasteur qui n’est connu que sous le nom de curé, et ce
nom
vénérable dans lequel est venu se perdre le sien
criai de toute ma force : Léonidas ! Aucune ruine ne répéta ce grand
nom
, et Sparte même sembla l’avoir oublié. Si des rui
ien voir la vanité de tout ici-bas, il faut pourtant convenir que les
noms
qui survivent à des empires, et qui immortalisent
gradées. Comme je pouvais choisir, j’ai donné à l’un de ces débris le
nom
du temple d’Hélène ; à l’autre, celui du tombeau
in du théâtre quelques pastèques : et à Magoula, qui donne son triste
nom
à Lacédémone, on remarquait un petit bois de cypr
90. L’Eurotas, appelé d’abord Himère, coule maintenant oublié sous le
nom
d’Iris, comme le Tibre, autrefois l’Albula, porte
rovisions à la ville : il faut supposer toutes ces montagnes dont les
noms
sont si beaux, toutes ces ruines si célèbres, tou
sein gigantesque de dérober pour lui le culte suprême, en usurpant le
nom
de Dieu. Jésus est le seul qui l’ait osé. Il est
de cet amour mystique qui est l’essence du christianisme sous le beau
nom
de charité. C’est qu’ils avaient garde de se lanc
çu ou deviné de moi ; je n’ai pas davantage le secret d’éterniser mon
nom
et mon amour dans les cœurs, et d’y opérer des pr
lle a été celle de César et d’Alexandre ! et l’on nous oublie ! et le
nom
d’un conquérant, comme celui d’un empereur, n’est
ent regardée comme la première des qualités de l’historien. Parmi les
noms
éminents qui personnifient cette renaissance des
deur si récente, son maintien, la terreur même naguère attachée à son
nom
, commandaient encore le respect. À mesure qu’il p
nquante-neuf membres des communes avaient voté contre le bill ; leurs
noms
furent placardés dans les rues avec ces mots : Vo
nsistèrent : « Eh bien ! dit Charles à l’évêque, remerciez-les en mon
nom
de leur offre ; mais dites-leur franchement qu’ap
nouvelle, l’éloquence du professorat et de l’enseignement142 » Trois
noms
justement célèbres, ceux de MM. Guizot, Cousin et
igé de créer une passion nouvelle, s’il est permis de profaner par ce
nom
le sentiment profond et sublime qui seul peut tou
rmi les poètes de cette époque (1789), il en est deux portant le même
nom
, issus du même sang, et qu’on ne peut séparer : c
n 1840, les sept fragments qui composent l’ouvrage parurent sous leur
nom
définitif : Récits des temps mérovingiens. C’est
epuis l’époque de la naissance du tiers-état, longtemps caché sous le
nom
de serfs et de colons, jusqu’au jour de son émanc
positifs est Chlodio ; car Faramond198 fils de Markomir, quoique son
nom
soit bien germanique et son règne possible, ne fi
que sorte les victoires obtenues par une succession de chefs dont les
noms
demeuraient dans l’oubli, et l’on concentrait sur
endroit précis où ils voulaient frapper. Outre la hache, qui, de leur
nom
, s’appelait francisque, ils avaient une arme de t
able que les autres. Cette conquête, à laquelle on pourrait donner le
nom
d’administrative, s’effectua dans l’intervalle du
devenant les chefs de ce parti, ils lui prêtaient l’autorité de leur
nom
et de leur expérience militaire. Ces révoltes, qu
. Sur le terrain qui porta depuis et qui aujourd’hui porte encore le
nom
de lieu de la bataille, les lignes des Anglo-Saxo
us leurs armes : c’étaient l’abbé de Hida et ses douze compagnons. Le
nom
de leur monastère fut inscrit le premier sur le l
onts par l’évêque de Tournay, reçut, contre la coutume des Franks, un
nom
étranger à la langue germanique, celui de Samson,
Job : Le Seigneur me les a donnés, le Seigneur me les a ôtés, que le
nom
du Seigneur soit béni236. » Lorsque l’épidémie, a
le considère avant de le frapper. Marat demande avec empressement le
nom
des députés présents à Caen ; elle les nomme, et
rivière qui reçoit toutes les eaux du Saint-Bernard, et qui, sous le
nom
de Dora-Ballea, va les jeter dans le Pô. En appro
tour dans son palais, Macbeth raconte à sa femme Frédegonde (c’est le
nom
que Ducis a donné à lady Macbeth) ces visions don
GONDE. Qui peut-elle être ?Eh quoi ! la méconnaissez-vous ? Le grand
nom
d’Iphyctone est-il nouveau pour nous280 ? Les die
en qui nous unit par la plus tendre flamme, Votre fils au berceau, ce
nom
de mon époux, Tous ces titres sacrés n’ont plus d
nnemi, Voir briller mon bonheur dans les yeux d’un ami. D’un ami ! ce
nom
seul me charme et me rassure. C’est avec mon ami
la foule à grands frais cherche un grossier bonheur : D’un mot, d’un
nom
, d’un rêve, elle nourrit son cœur. Souvent, quand
, Dans ta course éternelle, atteste sa grandeur ; Cours proclamer son
nom
du couchant à l’aurore ; De l’aurore au couchant,
ous à qui des airs il partagea l’empire, Ô vents, remplissez l’air du
nom
de votre roi ! Forêts, inclinez-vous ; cèdre alti
Et vous, des clairs ruisseaux mélodieux murmures ! Qu’il bénisse son
nom
, l’oiseau vif et joyeux Qui, dès le point du jour
ture française depuis 1789, on reste surpris de lire signées d’un tel
nom
des pages empreintes d’une modération équitable e
et fantômes sacrés, Et, des Romains séduits trompant l’obéissance, Du
nom
de liberté cimentait sa puissance355. Il étendit
ple est fatigué du pouvoir despotique ; Naguère, il m’en souvient, le
nom
de république A, jusque dans sa cour, effrayé l’o
Il courtisait le peuple en vous servant vous-même. Il avait un grand
nom
: brillant, mais faible appui ; Vingt cités l’ado
aître Votre jeune Caïus, promené sur un char, Revêtu des habits et du
nom
de César371. AGRIPPINE. Pour calmer, pour vous re
atrie ? De Caïus, de mes fils, les droits sont-ils perdus ? Quoi ! le
nom
de César ne leur appartient plus ! Et qui donc ma
r les lauriers cueillis par les Césars, De prétendre au respect qu’un
nom
fameux inspire, D’aspirer aux grandeurs, mais jam
rde, lui dirais-je, et prononce toi-même : Vois le crime, usurpant le
nom
de liberté, Rouler dans nos remparts son char ens
suprême, Souillant la liberté d’éloges imposteurs, Immolaient en son
nom
ses premiers fondateurs ! De toute renommée envie
’une école établie selon les principes de Rousseau, et qui portait le
nom
solennel d’Institut patriotique. À Paris, il devi
a muse moderne par l’auteur d’Atala et de René. » Vers 1820, un autre
nom
se levait auprès du sien : c’était celui de M. de
en 91, en 93, et le drapeau tricolore a fait le tour du monde avec le
nom
, la gloire et la liberté de la patrie ! » Par cet
À lord Byron 395. Toi, dont le monde encore ignore le vrai
nom
, Esprit mystérieux, mortel, ange ou démon, Qui qu
Sept fois, depuis ce jour, l’arbre que j’ai planté Sur sa tombe sans
nom
a changé son feuillage : Tu ne m’as pas quitté.
le cap de Ténare, La mer baigne les murs de la triste Coron ; Coron,
nom
malheureux, nom moderne et barbare, Et qui de Col
e, La mer baigne les murs de la triste Coron ; Coron, nom malheureux,
nom
moderne et barbare, Et qui de Colonis détrôna le
malheureux, nom moderne et barbare, Et qui de Colonis détrôna le beau
nom
. Les Grecs ont tout perdu : la langue de Platon,
, La palme des combats, les arts et leurs merveilles, Tout, jusqu’aux
noms
divins qui charmaient nos oreilles. Ces murs bat
d’eux vous placera, que dis-je ? au-dessus d’eux. Je veux sous votre
nom
fonder des basiliques, Je veux de jaspe et d’or s
initive parmi nos grands poètes lyriques. À partir de cette époque le
nom
de M. V. Hugo n’a plus cessé d’occuper et de pass
est pas moins altérée dans le théâtre de M. V. Hugo. Avilir de grands
noms
, faire de Cromwell un fou fanatique, de Charles-Q
éateur. Je tremble, et dans ma bouche abondent les paroles, Quand son
nom
gigantesque, entouré d’auréoles, Se dresse dans m
vois, guidant l’obus aux bonds rapides ; Là, massacrant le peuple au
nom
des régicides ; Là, soldat, aux tribuns arrachant
puis dans ces mondes sublimes Remuer rien de grand sans toucher à son
nom
; Oui, quand tu m’apparais pour le culte ou le bl
ser les deux mains ? Clouerons-nous au poteau d’une satire altière Le
nom
sept fois vendu d’un pâle pamphlétaire, Qui, pous
lte, parce que la pierre volcanique qu’on désigne aujourd’hui sous ce
nom
ne saurait exister en Égypte ; mais comme Pline a
més, et que l’historien des arts, Winckelmann, leur conserve aussi ce
nom
, j’ai cru pouvoir m’en servir dans son acception
l’auteur des Martyrs en lui reprochant ces prétendus anachronismes de
noms
. Il a fort bien répondu qu’il y avait eu des Phar
et des Mérovées avant ceux que nous connaissons : peut-être même ces
noms
n’étaient-ils que ceux de la dignité. 60. Par un
ces bourgs ne se mêlaient pas les uns avec les autres ; aussi le même
nom
s’appliquait à la tribu et au quartier où elle ét
princes ni rois…, de même que ces fleuves tant vantés demeurent sans
nom
et sans gloire, mêlés dans l’Océan avec les riviè
erre ont, en effet, la forme des tombeaux anciens. Celui qui porte le
nom
d’Achille fut ouvert en 1787 : on y trouva une pe
vre écrit en 1841 d’après les communications du général Montholon. Le
nom
de l’honorable général en garantirait au besoin l
I de l’Histoire de la Révolution d’Angleterre. 131. On appelle de ce
nom
le célèbre pacte populaire du 1er mars 1638, par
x-huitième siècle. Ces chapitres sont d’un très vif intérêt. 195. Le
nom
de frank ou frak, qu’on l’écrivit avec ou sans l’
and fracas, à la tête de ses guerriers. 197. Il est probable que le
nom
de Merowings ou Mérovingiens est d’une date antér
rieure à l’existence de Merowig ou Mérovée, successeur de Clodion. Ce
nom
paraît avoir appartenu à une ancienne famille ext
Thierry a pensé qu’il fallait restituer l’orthographe germanique aux
noms
des personnages franks de notre histoire. Sans co
un léger regret en retrouvant sous cette physionomie inaccoutumée des
noms
propres dont l’orthographe semblait consacrée par
203. Ceux des Burgondes et des Visigoths. 204. Forme germanique du
nom
de Clovis. 205. Grégoire, évêque de Tours, naqui
et un autre appelé Twente. Le canton de Wise tirait probablement son
nom
de sa situation occidentale, et celui de Bode rap
n nom de sa situation occidentale, et celui de Bode rappelle l’ancien
nom
de l’île des Bataves. (A. T.) 207. Mâl, dans la
oses et les hommes lui demeuraient absolument étrangers… » 210. Le
nom
de Carlovingien, forgé pour obtenir la plus grand
Mérovingien, est un barbarisme absurde. On l’a construit comme si le
nom
propre dont il dérive était Karlov et non pas Kar
terres bénéficiaires et les terres tributaires. 213. À propos de ce
nom
, je dois dire que je ne prétends pas supprimer ce
t l’interpréter, laissant chacun libre de se conformer à l’usage. Les
noms
célèbres qui, par l’histoire, sont entrés dans la
ébonnaire, qui régna de 814 à 840. 215. Welske ou Welsche était le
nom
que les peuples germains donnaient à tous les Occ
vancée. (A. T.) 216. C’est ainsi que les Franks orthographiaient le
nom
de César, qu’ils employaient pour empereur. En al
de l’Espagne jusqu’à l’Èbre, fut donnée à Charles le Chauve, sous le
nom
de nouvelle France. Le nom d’ancienne France dési
e, fut donnée à Charles le Chauve, sous le nom de nouvelle France. Le
nom
d’ancienne France désigna le royaume de Louis le
t, jusqu’à l’embouchure de ces fleuves. Ce royaume fut désigné par le
nom
de famille de ses chefs, Lotharingia, dont nous a
l’historien ; Grégoire de Tours n’a pas le défaut de déclamer sous le
nom
de ses personnages ; il leur fait dire les parole
l de ses compatriotes. Ce fut surtout dans l’almanach célèbre sous le
nom
de la Science du bonhomme Richard qu’il devint vr
llemain, une espèce de magicienne du grand ton, qui s’appelle du beau
nom
d’Iphyctone, qu’on ne voit pas, qu’on n’entend pa
cision : … Sub Œbaliæ memini me turribus allis. Œbalie est l’ancien
nom
de Tarente, fondée par une colonie de Lacédémonie
: Tout entière à l’objet dont elle est possédée. Ne redit qu’un seul
nom
, n’entretient qu’une idée, Et chérit son secret q
ssances étrangères, il était défendu de jouer ces airs connus sous le
nom
populaire de Ranz des vaches, que répètent les la
utantibus, faIsi intelligerentur. » — « Tibère et Augusta (c’était le
nom
de Livie depuis la mort d’Auguste) s’abstinrent d
ssance. Il faut éviter d’appliquer ainsi les pronoms personnels à des
noms
de choses. 382. L’auteur a ici recours à un moye
un asile. Nous aimons, en terminant ces extraits, à rapprocher deux
noms
que la calomnie ne parviendra pas à désunir. 39
ique contre les Turcs. Dans tous les sujets qu’il a traités, sous les
noms
divers de Childe-Harold, de Lara, de Manfred, c’e
fier, le plus efficace est cet ensemble d’études auquel on a donné le
nom
d’humanités et qui s’occupe surtout de la langue
se, et l’on concilie les deux opinions par une troisième qui prend le
nom
de synthèse. Mais la méthode la plus ordinaire es
les ornements dont elle est susceptible, et que l’on comprend sous le
nom
de figures. Chapitre XVI. Les qualités esse
ntinuée devient l’allégorie. L’allégorie qui peut se peindre prend le
nom
d’emblème. L’allusion peut se rapprocher de l’all
le concret, etc. L’antonomase, sorte de synecdoque, qui substitue un
nom
commun à un nom propre, et réciproquement, ou bie
. L’antonomase, sorte de synecdoque, qui substitue un nom commun à un
nom
propre, et réciproquement, ou bien un nom propre
ubstitue un nom commun à un nom propre, et réciproquement, ou bien un
nom
propre ou commun à un autre moins expressif ; La
rve une gradation ascendante ou descendante, elle se nomme climax. Le
nom
générique de toute figure par laquelle on ajoute
é reconnaissante à des vertus qui n’avaient pas pour elles l’éclat du
nom
ou la splendeur de la dignité. De tout temps il y
nfondues. Non, après ce que nous venons de voir, la santé n’est qu’un
nom
, la vie n’est qu’un songe, la gloire n’est qu’une
guent les hommes ; de même que ces fleuves tant vantés demeurent sans
nom
et sans gloire, mêlés dans l’océan avec les riviè
ndeur et la gloire ! (s’écrie-t-il). Pouvons-nous encore entendre ces
noms
, dans ce triomphe de la mort ? Non, messieurs ; j
vous ai dit que la grandeur et la gloire n’étaient parmi nous que des
noms
pompeux, vides de sens et de choses, je regardais
tune, quand ils verront que dans un moment leur gloire passera à leur
nom
, leurs titres à leurs tombeaux, leurs biens à des
je le sais, Font d’une mort récente une vieille nouvelle. De quelque
nom
d’ailleurs que le regret s’appelle, L’homme, par
divin, Pas un faible soupir, pas un écho lointain ! Une croix, et ton
nom
écrit sur une pierre, Non pas même le tien, mais
; Et ceux qui t’iront voir à ta maison dernière, N’y trouvant pas ce
nom
qui fut aimé de nous1, Ne sauront pour prier où p
s à l’ange des ténèbres Qu’à peine de ce temps il nous reste un grand
nom
; Que Géricault, Cuvier, Schiller, Gœthe et Byron
y a dans ces vers une grâce légère qui ne s’analyse pas. 3. C’est le
nom
de l’enfant. 1. Il y a là comme une cascade de g
l’humanité. 3. Mon père. Le père d’Alfred de Musset, connu sous le
nom
de Musset-Pathay, était lui-même un poëte d’un ce
e vouer à un genre périlleux, sans craindre les orages. Toutefois, le
nom
de Théophraste servit de bouclier à la première é
oratoires. Agile, dégagé, brisé, coupé, appelant les choses par leur
nom
, il prépare et annonce les temps nouveaux où les
on ne désignât par quelque ouvrage fameux qui lui avait fait un grand
nom
, et qui lui donnait rang dans cette Académie nais
its, les publicains3, ne sont plus : ont-ils été ? leur patrie, leurs
noms
, sont-ils connus ? y a-t-il eu dans la Grèce des
viter, qui ne lui rendaient pas le salut, ou qui le saluaient par son
nom
, qui ne daignaient pas l’associer4 à leur table,
affaires. Il ne manque cependant à l’oisiveté du sage qu’un meilleur
nom
, et que méditer, parler, lire et être tranquille
ès-présente qui rappelle les besoins des sujets, leurs visages, leurs
noms
, leurs requêtes ; une vaste capacité qui s’étende
un monarque qui les rassemble toutes en sa personne est bien digne du
nom
de grand. Le courtisan N’espérez plus de
son visage, à ses entretiens ? Il ne nomme plus chaque chose par son
nom
; il n’y a plus pour lui de fripons, de fourbes,
que alors d’être un Mécène. 5. Il y avait un bail des fermes sous ce
nom
. 6. En imprimant ainsi les mots né Français et m
s descendants pour le soin de votre mémoire et pour la durée de votre
nom
: les titres passent, la faveur s’évanouit, les d
cinquante mille écus, pour éviter de me payer quinze mille francs au
nom
et sur la foi de l’engagement de son bienfaiteur.
usant faussement, au tribunal du public, d’avoir osé compromettre les
noms
les plus sacrés, il sorte enfin couvert de honte,
ercer ma patience et me mieux tourmenter, quelque magistrat d’un beau
nom
doit se déclarer le protecteur, le conseil et le
marque un peu dans le grand monde, ordonné que le noble y mettra son
nom
, le poëte son talent. Double-Main lit un autre
Allure, fille majeure (Marceline se lève et salue) ; contre Figaro… »
Nom
de baptême en blanc. Figaro. Anonyme. Brid’oi
de la Renommée ; la verve l’emporte : il ne se contient plus, et les
noms
lui échappent. 1. Darnaud Baculard conseiller d
désigne ici le premier président Nicolaï ; cette réticence envers un
nom
respecté devient un nouveau trait d’éloquence. La
étude du droit, Jean-Baptiste Poquelin suivit son étoile, et, sous le
nom
de Molière, devint directeur d’une troupe ambulan
me qui a dit cela ? Valère. Je ne me souviens pas maintenant de son
nom
. Harpagon. Souviens-toi de m’écrire ces mots. J
la risée de tout le monde, et jamais on ne parle de vous que sous les
noms
d’avare, de ladre, de vilain et de fesse-Mathieu.
te question n’hésitent pas beaucoup : on tranche le mot3 aisément. Ce
nom
ne fait aucun scrupule à prendre ; et l’usage, au
g assez passable ; mais, avant tout cela, je ne veux pas me donner un
nom
où d’autres en ma place croiraient pouvoir préten
onde pour être gentilhomme ? Croyez-vous qu’il suffise d’en porter le
nom
et les armes, et que ce nous soit une gloire d’êt
vertu est le premier titre de noblesse ; que je regarde bien moins au
nom
qu’on signe qu’aux actions qu’on fait, et que je
oilà des traits comiques d’une inimitable naïveté. 4. Nicole est le
nom
de sa servante. 5. On lit dans madame de Sévign
riginalité ; on pourra le lire avec plaisir, mais il n’aura jamais un
nom
parmi les maîtres. Pourquoi un connaisseur reconn
re, de Tacite, de Pascal, de Molière ou de Chateaubriand, pour que le
nom
de l’auteur vienne aussitôt à l’esprit. Si la dif
erre, On distingue… un sceptre brisé. Ici gît… Point de
nom
!… Demandez à la terre ! Ce nom, il est inscrit e
un sceptre brisé. Ici gît… Point de nom !… Demandez à la terre ! Ce
nom
, il est inscrit en sanglant caractère Des bords d
. Henriade. Malgré le discrédit où sont tombées les figures, dont les
noms
étranges, empruntés à la langue grecque, ont prêt
ical, mais avec l’idée de ce rapport. Je ne vois pas le peuple à mon
nom
s’alarmer : Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’e
cheval sur un bâton. 4° Métonymie. La métonymie (changement de
nom
) est une figure par laquelle on met le nom d’une
a métonymie (changement de nom) est une figure par laquelle on met le
nom
d’une chose pour celui d’une autre. La métonymie
bien ! je meurs content, et mon sort est rempli ! L’ironie prend le
nom
de sarcasme quand elle est vive et méchante, quan
ausolée L’ombre des noirs cyprès. La comparaison prend le
nom
de contraste quand, au lieu de procéder par simil
réateur. Je tremble, et dans ma bouche abondent les paroles Quand son
nom
gigantesque, entouré d’auréoles, Se dresse dans m
vois, guidant l’obus aux bonds rapides ; Là, massacrant le peuple au
nom
des régicides ; Là, soldat, aux tribuns arrachant
ssiez vu la face pompeuse de Rome sauvée par votre bras, et que votre
nom
respectable avait plus illustrée que toutes ses c
ouvrages en vers pour les lire et non pour les chanter, on réserva le
nom
de lyrique aux poèmes destinés à être unis à la m
cieuses de notre nature déchue, le poète lyrique vraiment digne de ce
nom
se rappellera que ces accents, quelle que soit la
De l’ode 176. Qu’est-ce que l’ode ? L’ode (ᾡδή, chant) était le
nom
donné, chez les Grecs, à tout poème lyrique qui p
tances, qu’ils appelaient formes εἴδη. Ces stances avaient différents
noms
. Il y avait la strophe, l’antistrophe et l’épode.
est-ce que l’hymne ? L’hymne (ὓμνος, chant) est, comme l’indique son
nom
, un chant, un poème en l’honneur de la divinité,
on d’un sentiment élevé de l’âme, et demande à être chantée. C’est le
nom
qu’a pris dans les Livres Saints la poésie lyriqu
du ton de l’ode gracieuse. On les divise en strophes qui prennent le
nom
de couplets ; on les termine avantageusement par
de d’Ossian, qui a pour titre : Hymne au soleil, et une autre de même
nom
de Léopold de Stolberg ; une ode du protestant No
rwaradin. On trouve aussi des odes héroïques chez les poètes dont les
noms
suivent : Tyrtée, Ossian, Malherbe, Théophile, Le
ges. 210. Qu’entend-on par ode anacréontique ? L’ode badine prend le
nom
d’anacréontique, quand elle chante Bacchus ou l’A
e celui qui était en vers hexamètres et pentamètres entrelacés, et le
nom
d’élégie tenait alors à la forme du poème aussi b
les tons. La chanson se divise en stances ou strophes qui prennent le
nom
de couplets. 233. Quel est le caractère de la cha
on, ayant fait connaître ce chant dans cette ville, on lui donna leur
nom
qu’il a toujours conservé. Béranger a fait plusie
nonnement ridicule qui, dans la bouche de tous nos écoliers, prend le
nom
de récitation des leçons ; il est impossible de b
, Dans ta course éternelle, atteste sa grandeur ; Cours proclamer son
nom
du couchant à l’aurore ; De l’aurore au couchant,
ous à qui des airs il partagea l’empire, Ô vents, remplissez l’air du
nom
de votre roi ! Forêts, inclinez-vous ; cèdre alti
Et vous, des clairs ruisseaux mélodieux murmures ! Qu’il bénisse son
nom
, l’oiseau vif et joyeux Qui, dès le point du jour
divine, Que leur vie et leur mort s’éteignent dans l’oubli ; Que ton
nom
dans la nuit demeure enseveli ! — Viens, suis-nou
olâtre Couronnait dans Shakspeare le père du théâtre. Juliette, à son
nom
, s’arrachant du cercueil, Othello tout sanglant p
des ? Ou ne serait-ce point cette fière beauté Dont j’entends le beau
nom
chaque jour répété, Dont j’apprends que partout l
asion, pour en éclairer un temps éloigné et obscur. La destinée et le
nom
de Napoléon sont maintenant de l’histoire, je ne
e, ni une douceur si imposante ; et ce pouvoir tant calomnié sous les
noms
de royauté, de tyrannie sans fin et sans bornes,
s sortes de partis dans le parlement. Le premier était des Frondeurs,
nom
donné par raillerie à ceux qui étaient contre les
ouvoyer jusqu’au bon moment ; étranger, sans autre appui que le grand
nom
de son prédécesseur, sans avoir rien fait, du moi
r qu’un prince ou qu’un baron ? Ne serais-je Français et libre que de
nom
? Faudra-t-il envoyer un duc pour me défendre ? L
monde. Il paraît sur tous les rivages ; il inscrit précipitamment son
nom
dans les fastes de tous les peuples ; il jette de
lesse venaient d’être retrouvés, chacun redressa la tête, et ce grand
nom
de liberté, déshonoré par l’anarchie, proscrit pa
es travers de tous exposés au grand jour par un Aristophane aux mille
noms
, la liberté de la presse fait, il faut l’avouer,
’intéressant pour le public, n’en fera point un gros ouvrage avec son
nom
en grosses lettres, par Monsieur..., de l’Académi
Font encore les vaines, Ils sont mangés des vers. Là se perdent ces
noms
de maîtres de la terre, D’arbitres de la paix, de
ronce et du lierre On distingue… un sceptre brisé. Ici gît… Point de
nom
! demandez à la terre ! Ce nom, il est inscrit en
… un sceptre brisé. Ici gît… Point de nom ! demandez à la terre ! Ce
nom
, il est inscrit en sanglant caractère, Des bords
laves Qu’il foulait tremblants sous son char. Depuis les deux grands
noms
qu’un siècle au siècle annonce, Jamais nom qu’ici
. Depuis les deux grands noms qu’un siècle au siècle annonce, Jamais
nom
qu’ici-bas toute langue prononce Sur l’aile de la
et de Lépide Remplissait l’univers d’horreurs : Il n’eût point eu le
nom
d’Auguste, Sans cet empire heureux et juste Qui f
pour faire un conquérant : Celui qui dompte la fortune Mérite seul le
nom
de grand. Il perd sa volage assistance, Sans rien
n’as rien, chasseresse ! Mais l’amour de ton cœur s’appelle d’un beau
nom
: La liberté ! Qu’importe au fils de la montagne
utilité des phares ; les miroirs métalliques profonds, connus sous le
nom
de miroirs paraboliques, en ont fourni une soluti
allées forment d’assez vastes plaines. Le Bocage, comme l’indique son
nom
, est couvert d’arbres. On y voit peu de grandes f
arrare, Mon instinct l’emporta, je redevins barbare, Et j’oubliai les
noms
des antiques héros Pour chanter les combats des l
in, Vous l’allez à Calchas livrer de votre main. On dit que, sous mon
nom
à l’autel appelée, Je ne l’y conduisais que pour
ma colère : D’Iphigénie encor je respecte le père. Peut-être, sans ce
nom
, le chef de tant de rois M’aurait osé braver pour
ymen à son enlèvement : Une fille en sortit, que sa mère a celée ; Du
nom
d’Iphigénie elle fut appelée. Je vis moi-même alo
de leurs amours : D’un sinistre avenir je menaçai ses jours. Sous un
nom
emprunté sa noire destinée Et ses propres fureurs
ordres d’un homme ? N’y commandez-vous pas comme Sylla dans Rome ? Du
nom
de dictateur, du nom de général, Qu’importe, si d
’y commandez-vous pas comme Sylla dans Rome ? Du nom de dictateur, du
nom
de général, Qu’importe, si des deux le pouvoir es
hef d’une guerre Qui veut tenir aux fers les maîtres de la terre ? Ce
nom
, sans vous et lui, nous serait encor dû ; C’est p
peine. Et vous pensez avoir l’âme toute romaine ! Vous avez hérité ce
nom
de vos aïeux ; Mais s’il vous était cher, vous le
avis, ou de mauvais soupçons ? De tous ces meurtriers te dirai-je les
noms
? Procule, Glabrion, Virginian, Rutile, Marcel, P
e à tous mes amis. Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le grand
nom
de Pompée assure sa conquête : C’est l’effroi de
ivant, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez partout l’horreur du
nom
romain, Et la triste Italie encor toute fumante D
, et la mienne peut-être ; Et, la flamme à la main, effaçons tous ces
noms
Que Rome y consacrait à d’éternels affronts.
, Et que Rome, effaçant tant de titres d’honneur, Me laisse pour tout
nom
celui d’empoisonneur ? Ils mettront ma vengeance
i, que dans ses tourments il rappelle soudain ; Toujours moi, dont le
nom
s’échappe de sa bouche Lorsqu’un remords vengeur
d’eux vous placera, que dis-je ? au-dessus d’eux. Je veux sous votre
nom
fonder des basiliques, Je veux de jaspe et d’or s
! Que la vie, épanchée à flots dans l’infini, Proclame vastement ton
nom
partout béni ! Allez, persécuteurs, lancez vos a
t complet. Nous sommes tout-puissants ; Le peuple élève aux cieux nos
noms
retentissants. Tout nous appartient, clubs, comit
. Il faut qu’on nomme un chef, un tribun militaire, Un dictateur ; le
nom
ne fait rien à l’affaire : Il faut que ce tribun,
représentants aussi bien que vous l’êtes ; Je ne veux plus livrer ce
nom
à des mépris Que le peuple déjà n’a que trop bien
je suis ? Un tel dard suffit pour vous le dire : Attique. — C’est mon
nom
. J’affirme que je suis Seul autochthone et seul e
et de chiens ; Il tutoie, en parlant, ceux du plus haut étage, Et le
nom
de monsieur est chez lui hors d’usage. CLITANDRE.
aux, Avec de bonnes gens, des gens qu’on puisse entendre, Qui de leur
nom
pour nous n’aient pas l’air de descendre, Qui ne
tre avait placée sur la tête de son fils il s’écriait : Périssent mon
nom
et ma mémoire, pourvu que la Suisse soit libre. E
et sa mémoire, si elle épargne un crime qui imprimerait une tache au
nom
français ; si sa vigueur n’apprend point aux nati
es. Moi, citoyens, je vous les apporte, je les apporte à ce peuple au
nom
duquel on l’accuse. Je voudrais pouvoir être ente
ons préparées, consommées par la guerre civile. Mais a-t-il mérité le
nom
de vaincu, le parti qui n’a pas osé combattre ? S
us ! vains esprits ! s’écrie avec hauteur Un ignorant fourré, fier du
nom
de docteur, Venez à moi ; laissez Massillon, Bour
s de la montagne, il faisait jaillir un fleuve qui ne portait que son
nom
. Villemain. L’Improvisation oratoire
parole n’est-elle que l’écho de la voix de l’histoire, qui a salué du
nom
de grands siècles, avant tous les autres, ceux où
réateur. Je ne me sens pas le courage de réprouver, d’avilir, sous le
nom
de paganisme, ce que fit dans ces grands siècles
u’est-ce qu’une gloire dont aucun titre ne subsiste ? Qu’est-ce qu’un
nom
tout seul dans la postérité ? Ceux-là vraiment ne
la poésie lyrique, l’aient toujours négligée, et qu’à tous ces grands
noms
des Grecs ils n’aient à opposer que le seul nom d
qu’à tous ces grands noms des Grecs ils n’aient à opposer que le seul
nom
d’Horace ? Ces vainqueurs dans les fêtes de la Gr
uefois des rois et des princes puissants, toujours des Grecs dont les
noms
faisaient la gloire de leur patrie comme leurs st
és, et les vicieux eux-mêmes, quel que fût leur rang, cités par leurs
noms
, sans pitié comme sans respect, au tribunal de la
méprise la philosophie, Jésus-Christ lui tient lieu de tout ; et son
nom
qu’il a toujours à la bouche, ses mystères qu’il
enfin tes mânes ; Que, déchiré longtemps par des rires profanes, Ton
nom
, d’abord fameux, recouvre un peu d’honneur ! Qu’o
hose, par la douleur qu’on laisse après soi, par la perpétuité de son
nom
et de ses œuvres, jusqu’à ces derniers et tristes
nos attachements ; qu’il l’a convaincu de n’être que ce qu’il est, un
nom
, un songe, une apparence, une vapeur qui s’exhale
èle amante ; Qui, rempli d’une noble et constante fierté, Dédaigne un
nom
fameux par l’intrigue acheté, Et, n’ayant pour pr
se produisit qu’un jour dans la pleine jeunesse du monde. Leurs trois
noms
sont devenus l’idéal de l’art : Platon, Sophocle
e ; En public, en secret, vous savez que mon cœur Vous donna tous les
noms
du plus cher bienfaiteur ; Essayez si je puis ren
us pique95 ; je l’ai reçue de Paris avec une lettre qui m’a appris le
nom
de son auteur ; il l’adresse à un de nos amis, qu
simples traductions ; vous avez déclamé contre moi, pour avoir tu le
nom
de l’auteur espagnol, bien que vous ne l’ayez app
cadémies étrangères et de quatre-vingt-deux sociétés de province, mon
nom
n’a rien à craindre du temps ni de l’envie. La Fr
voix est d’abord adoptée, Et sans autre examen soudain exécutée. Les
noms
des sénateurs qu’on doit tirer au sort Sont jetés
premier qui sort Est aux regards du peuple amené sur la place. À son
nom
, à sa vue, on crie, on le menace ; Aucun tourment
stance, Voyant qu’on ne dit mot, prend un peu d’assurance, Hasarde un
nom
; encore le risqua-t-il si bas, Qu’à moins d’être
ommes poussés vers la rive infernale ; Dans l’urne du destin tous les
noms
sont mêlés ; Ou plus tôt ou plus tard sur la barq
la gloire, et le plus souvent de ces deux biens ensemble ; couvrir du
nom
d’ambition tout autre désir que celui-là, c’est d
l’avilir. N’est pas ambitieux qui veut, et bien des gens reçoivent ce
nom
, ou même s’en défendent comme d’un blâme, qui n’y
asser des richesses ou pour vivre dans les plaisirs, vous méritez les
noms
attachés à ces passions diverses ; mais l’ambitio
ir de l’influence que vous tiendrez de son caprice, vous approchez du
nom
d’ambitieux et tout le monde vous le donnera ; ex
le monde vous le donnera ; excepté celui qui, voulant conserver à ce
nom
toute sa dignité et n’en pas dégoûter les nobles
’à titre d’esclave il commande en ces lieux ! Laissons à chacun son
nom
véritable, le nom qui convient au désir qui le co
il commande en ces lieux ! Laissons à chacun son nom véritable, le
nom
qui convient au désir qui le conduit et à la pass
ns vos bourses. Pourtant ne quêtez pas pour qu’on voie un moment Vos
noms
dans une église affichés saintement ; Apportez-là
l’Église avait donné à l’assistance telle qu’elle la voulait ce doux
nom
de charité, qu’il ne faut plus repousser comme on
faut plus repousser comme on l’a trop fait, qui exprimait plus que ce
nom
même si populaire de fraternité : car tous les fr
t capable : c En mon bon droit j’ai confiance, » l’âme s’émeut, et le
nom
de Dieu invoqué ne nous paraît plus un blasphème.
is d’une table de jeu, toutes les choses admirables et sacrées que le
nom
de patrie représente, quel est l’être humain qui
oid devant ce terrible et grand spectacle ? Ce sont, à bon droit, des
noms
vénérables et sacrés dans la mémoire des hommes q
l est juste, il est bon ; La terre voit son œuvre et le ciel sait son
nom
! Heureux qui le connaît, plus heureux qui l’ador
lons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d’un
nom
dont nous couvrons notre ignorance. Ce qui est ha
sublime ambition Est de prouver ton existence, Et de faire épeler ton
nom
. Le dernier des fils de la terre Te rend grâces
t des vertus stoïciennes : « Souvent ce qu’ils appellent d’un si beau
nom
n’est qu’une insensibilité, ou un orgueil, ou un
herbes, des Royer-Collard, des Augustin Thierry et des Laboulaye. Son
nom
y a perdu en popularité bruyante ; il doit y gagn
mieux entre-chant, ce qui interrompait le chant ; ensuite il reçut le
nom
d’action, de drame, et plus tard celui de tragédi
ns le fond même et dans les circonstances et vraie seulement dans les
noms
qui sont historiques, comme dans le Cid et dans H
elles qui sont arrivées en différents temps, mais encore inventer les
noms
, les faits et les circonstances, en un mot, une a
e à ce but. Le martyre de Polyeucte est le sujet de la tragédie de ce
nom
. Il est facile de voir que toutes les petites act
ectateur, comme Joas dans Athalie, Britannicus dans la tragédie de ce
nom
; car si l’intérêt était double, l’action serait
ment, un milieu et une fin. Ces trois parties de l’action prennent le
nom
d’exposition, de nœud ou d’intrigue, et de dénoûm
atrième scène, ce qui est un autre défaut. — Les anciens donnaient le
nom
de protatiques aux personnages chargés de faire l
434. Qu’appelle-t-on prologue ? Le prologue est, comme l’indique son
nom
, un ouvrage qui sert de prélude à une pièce drama
e de préface, dans laquelle un acteur spécial qui portait lui-même le
nom
de prologue, donnait une exposition du sujet, ana
mixte. Si le dénoûment est heureux, comme dans Cinna, il conserve le
nom
de péripétie ; s’il est malheureux, c’est-à-dire
personnages périssent, comme dans Polyeucte, Britannicus, il prend le
nom
de catastrophe ; enfin, il est mixte, et la révol
pièce. 449. Qu’est-ce qu’un acte dans le drame ? Un acte, comme son
nom
l’indique, est un degré, un pas de l’action. C’es
it donc être composé de plusieurs parties ; et ces parties portent le
nom
de scènes. Chaque scène est caractérisée par l’en
mêlés de spondées. Ce pied, dont la grande rapidité a fait donner le
nom
de trimètre au vers iambique, quoiqu’il soit comm
voir la description que Bérénice fait de Titus dans la tragédie de ce
nom
(I. 3), et celle que fait Andromaque de la prise
e. On peut citer comme modèle celle d’Idoménée dans la tragédie de ce
nom
, par Crébillon (I. 2). § II. — De la tragédie
leur variété, dans leur désordre, est rendu par un chant qui porte le
nom
d’air ou d’ariette. Ce chant ne peut donc être pl
ands seigneurs. Le grand Corneille fut le premier à faire usage de ce
nom
pour Don Sanche d’Aragon. Molière a aussi laissé
les acteurs s’expriment uniquement par des gestes, la pièce prend le
nom
de pantomime. On distingue encore la comédie hist
ue personnage chante un couplet sur la scène. Aujourd’hui on donne le
nom
de vaudeville à un véritable drame oh les sentime
ns ce genre que s’est illustré Walter Scott. Le roman d’éducation, le
nom
l’indique, est celui qui est destiné à l’éducatio
etc. C’est pour cette sorte d’ouvrage qu’on a quelquefois proposé le
nom
de poème en prose. Mais il y a dans ces mots une
ompu, nommé Romain rustique ou Langue romane, d’où leur est venu leur
nom
. On vit naître à cette époque une multitude de lé
Pallas qui disputaient entre eux à qui aurait la gloire de donner son
nom
à une ville naissante. Neptune de son trident fra
use par ses dons simples et utiles, et la superbe Athènes portait son
nom
. On voyait aussi Minerve assemblant autour d’elle
teur de la Comédie italienne, ne se permit pas de le désigner par son
nom
de comédien : « Tiberio Fiorelli, dit-il, connu s
son nom de comédien : « Tiberio Fiorelli, dit-il, connu sous un autre
nom
dans le monde… » En marge, ajoute Crévier, est le
u sous un autre nom dans le monde… » En marge, ajoute Crévier, est le
nom
de Scaramouche, qui a été jugé indigne d’entrer d
de Vadé, ou les ignobles parades qu’on nous donne si souvent sous le
nom
de roman et de vaudeville ? Maintenant quelle idé
et des étrangers. Dans les choses de la nature et de l’art, dans les
noms
, par exemple, de certains animaux, de certaines p
l’insulter en passant, profiter de ce seul moment pour déshonorer son
nom
, et tomber au sortir de là entre les mains éterne
ctère ne vous frappe pas, le mot, la chose, l’acte ne méritent pas le
nom
de sublime. Quand je dis le mot, je n’entends que
ison qui porte un écriteau tiré de Barème et de l’algèbre, et dont le
nom
, aussi bien que celui de l’enchanteur, se lit dan
que tous ces traits réunis conviennent uniquement à la chose, dont le
nom
est le mot cherché : c’est la première et la plus
e veut ôter le cœur, Qu’a vu plus d’une fois renaître le lecteur. Mon
nom
bouleversé, dangereux voisinage, Au Gascon imprud
faire une charade du mot polissoir, dont la première syllabe est Pô,
nom
d’un fleuve ; la seconde ; lis, nom d’une fleur ;
dont la première syllabe est Pô, nom d’un fleuve ; la seconde ; lis,
nom
d’une fleur ; la troisième, soir, nom d’une parti
d’un fleuve ; la seconde ; lis, nom d’une fleur ; la troisième, soir,
nom
d’une partie du jour, et le tout, un instrument.
cueils de jolis épithalames ou des pièces, de vers, qui en portent le
nom
, sans en avoir précisément la forme. Ce sont des
mercredi ; C’est là ce qui m’étonne. On donne encore le
nom
de vaudeville à un divertissement qui termine les
aisir de le découvrir tout à fait. Les empereurs romains prenaient le
nom
de père de la patrie, dès qu’ils montaient sur le
le cœur de ses sujets, le père de la patrie, avant qu’il en portât le
nom
. Boileau ne loue pas moins finement Louis XIV. O
n si fréquent usage de ce pronom, aurait dû répéter plusieurs fois le
nom
, dont il tient la place. C’est ce que font les me
uarante ans ont à peine achevé. Je suis arrêté, dit-il, par le grand
nom
de Racine, qui ne me permet point d’appeler ceci
aité des tropes, qu’on peut bien parler, sans jamais avoir appris les
noms
particuliers de ces figures. Combien de personnes
erfectionner leur talent ? Les figures de mots qui ne portent pas le
nom
de tropes, sont la répétition, la conversion, la
lus fameuses forêts de Ponta, en vain voudrais-tu te prévaloir de ton
nom
et de ton origine. Les peintures, dont ta poupe e
tait menacée. Métonymie. La Métonymie consiste à se servir d’un
nom
pour un autre, lorsqu’il y a entre ces deux noms
iste à se servir d’un nom pour un autre, lorsqu’il y a entre ces deux
noms
un rapport de relation. Cette manière de s’exprim
chère, pour une personne chérie et précieuse lorsque l’on emploie le
nom
d’un fleuve pour celui du peuple dont il arrose l
e lorsque les poètes Grecs et les Latins se sont servis du mot Tempé,
nom
d’une plaine de la Thessalie, pour marquer toutes
ort. Il y a une autre espèce de Synecdoque, par laquelle on prend un
nom
propre pour un nom commun ou pour un adjectif ; c
tre espèce de Synecdoque, par laquelle on prend un nom propre pour un
nom
commun ou pour un adjectif ; comme lorsqu’on dit
te rien de nouveau. Il entre hardiment dans la vaste nomenclature des
noms
techniques, divise et subdivise, délaie ses idées
on de courbes qui a quelque analogie à la lettre S, et la gratifie du
nom
de ligne de la beauté, il nous la montre dans les
le la nature des objets qu’ils voulaient peindre par la consonance du
nom
qu’ils lui appliquaient, ils s’efforcèrent d’exci
Cette opinion est exactement le contraire de la vérité. L’absence des
noms
propres à chaque chose obligea les hommes à appli
t étaient les choses physiques et naturelles qui les entouraient, des
noms
avaient été donnés à ces objets longtemps avant q
bles aux yeux les choses immatérielles qu’ils voulaient décrire ; les
noms
radicaux furent le résultat des sensations produi
un ordre fixe. Chez les Grecs et chez les Latins, les divers cas des
noms
indiquaient les relations mutuelles des divers mo
ons qui font usage de ces chiffres, quelle que soit la différence des
noms
qu’ils aient imposée à ces figures. Mais l’on s’a
ésentatifs à un petit nombre de voyelles et de consonnes, appelées du
nom
générique de lettres. Ces signes, diversement var
le la plus usitée est celle qui attribue huit parties au discours, le
nom
, le pronom, le verbe, le participe, l’adverbe, la
ent aller au-delà de l’interjection, ils furent forcés d’assigner des
noms
aux divers objets dont ils étaient entourés ; mai
eût été une entreprise indéfinie et impraticable de vouloir donner un
nom
spécial à chaque individu, à chaque objet particu
les ou analogues, ils les rangèrent en classes, et leur donnèrent des
noms
communs ou génériques, et l’expérience leur appri
rées dans la formation primitive des langues ; car, à l’exception des
noms
propres, comme César, Paul, Pierre, tous les autr
ms propres, comme César, Paul, Pierre, tous les autres substantifs de
nom
dont nous faisons usage ne sont pas des objets in
nous faisons usage ne sont pas des objets individuels, mais bien des
noms
qui s’appliquent à des espèces entières d’êtres.
aires de la langue, qu’ils sont naturellement enclins à doter du même
nom
tous les objets qui ont de l’analogie entre eux.
du même nom tous les objets qui ont de l’analogie entre eux. Mais ces
noms
généraux n’étaient pas suffisants, il fallait par
rticle, trois modifications dignes de considération appartiennent aux
noms
substantifs : le nombre, le genre et le cas. Le n
ls admettent la distinction du mâle et de la femelle. Tous les autres
noms
devraient appartenir au genre que les grammairien
des articles destinés à déterminer le genre des personnes, devant les
noms
de choses inanimées, ils élèvent leur style, et d
nres j’arrive naturellement à une autre particularité remarquable des
noms
substantifs qui, dans le style des grammairiens,
ppelé la déclinaison des cas. Après que les hommes eurent assigné des
noms
aux choses, il fallut s’occuper des moyens d’expr
atif, l’ablatif, qui, dans nos langues modernes, sont exprimés par le
nom
lui-même joint au signe de relation de, à, par. L
u d’envisager ces relations d’une manière abstraite, et d’inventer un
nom
pour exprimer chacune d’elles, les hommes parvinr
leur objet, et ils exprimèrent ces idées de relations en modifiant le
nom
de cet objet, suivant les diverses terminaisons d
ent les relations définitives de chaque membre. Les pronoms, comme le
nom
l’indique, servent à représenter des noms ; ils n
embre. Les pronoms, comme le nom l’indique, servent à représenter des
noms
; ils ne sont que des moyens abrégés de nommer le
sujets aux mêmes modifications de nombre, de genre et de cas, que les
noms
substantifs. La fonction principale du pronom est
oms substantifs. La fonction principale du pronom est de remplacer le
nom
, quoiqu’il serve quelquefois à marquer par lui-mê
e et latine, c’est la capacité qu’ils ont de prendre la désinence des
noms
qu’ils modifient ; ce qui peut paraître d’autant
traîne pas affirmation. Le mode infinitif briller peut être appelé le
nom
du verbe ; il n’indique ni temps, ni affirmation,
dont j’ai parlé ; et de même que les prépositions, placées avant les
noms
, furent substitués à l’usage des cas, de même les
la langue le favorise, car on trouve dans toutes les langues que les
noms
d’un grand nombre de sons particuliers sont formé
important de savoir si nous devons donner à tel mode d’expression le
nom
de trope ou de figure, pourvu que nous nous resso
c’est que l’on peut parler et écrire correctement sans connaître les
noms
et les diverses ligures du discours, parce que la
multipliaient avec leurs rapports et leurs connaissances, et que les
noms
des objets croissaient à l’infini, durent songer
claire, et auxquels ils trouvaient plus de difficulté d’assigner des
noms
distincts. C’est ainsi que nous disons un jugemen
le plus raffiné. Nous n’entrerons pas dans la vaste nomenclature des
noms
qui ont été inventés par les rhéteurs pour les di
existent entre les objets ; relations qui permettent de substituer le
nom
d’une chose à une autre, et, par ce moyen, de don
ant au contenu, ou réciproquement de signes et de choses, ont reçu le
nom
de métonymie ou transposition. Ce genre de figure
sur elles que repose la métaphore. Lorsque au lieu de faire usage du
nom
propre de l’objet nous employons celui d’un objet
urvu qu’on en conçoive bien la nature, peu importe qu’on lui donne le
nom
de figure ou de trope. Il faut cependant se garde
rivain d’une négligence blâmable. Les subdivisions minutieuses et les
noms
variés des tropes étaient inconnus dans son temps
étaphore et les autres figures. Il n’y a rien dans la nature, dont le
nom
ne puisse servir à revêtir une idée différente :
produit un plus mauvais effet que de substituer au nom de la chose le
nom
d’un autre objet qui ne lui ressemble pas. Dumars
fatigue le lecteur par un étalage d’imagination. Elle prend alors le
nom
de métaphore outrée. Après avoir traité à peu prè
personnifier est même si obscure qu’on peut douter qu’elle mérite le
nom
de prosopopée ; elle appartient peut-être à plus
s qu’on ne saurait jamais trop répéter à ceux qui veulent acquérir un
nom
dans les arts libéraux : Ne forçons pas notre ta
poètes, ceux de Thucydide parmi les prosateurs. Par l’orné, comme le
nom
l’indique, un style fleuri, doux et coulant, plus
ous sommes occupés jusqu’ici. On peut le distinguer en lui donnant le
nom
de véhément. « La véhémence dépend moins de la fo
oiqu’un peu plus tard que les philosophes dont nous avons rappelé les
noms
, florissait Isocrate. Il professa la rhétorique,
quence brilla de l’éclat le plus vif parmi tous ceux qui portèrent le
nom
d’orateur, et qui mérite par conséquent une atten
m inflammabat. Après lui, la Grèce fut veuve d’orateurs dignes de ce
nom
. Continuation de l’histoire de l’éloquence. Él
de notre attention, dans cette période, est Cicéron lui-même, dont le
nom
rappelle ce qu’il y a de plus brillant dans l’art
ce qu’on vit briller avec tant d’éclat dans les temps anciens, et les
noms
de Démosthène et de Cicéron règnent sans rivaux s
tout fut célèbre, et l’admiration de ses contemporains lui décerna le
nom
de grand orateur. Rollin l’appelait aussi le gran
ature, voyez ces larmes, et jugez. » Nous ajouterons quelques autres
noms
à ceux de ces trois illustres avocats. Target fut
narration exige une attention particulière pour fixer clairement les
noms
, les dates, les lieux et chaque circonstance natu
ivies par les orateurs dans la direction de leurs raisonnements ; les
noms
que l’art leur donne sont l’analyse et la synthès
la personne de Gavius, et montrait quel mépris il avait conçu pour le
nom
romain et les libertés romaines. » Jusqu’à prése
elles auxquelles on donne l’apparence même d’un tribunal ou, sous des
noms
supposés à l’aide d’une cause feinte, deux jeunes
nonnement ridicule qui, dans la bouche de tous nos écoliers, prend le
nom
de récitation des leçons ; il est impossible de b
pir formant un faible son, D’Eurydice, en flottant, murmurait le doux
nom
: Eurydice ! ô douleur ! Touchés de son supplice,
ve une voix vers toi, mais non pas une voix amie ; je ne prononce ton
nom
, ô soleil ! que pour te dire combien je hais tes
endroit précis où ils voulaient frapper. Outre la hache, qui, de leur
nom
, s’appelait francisque, ils avaient une arme de t
rd prisonnier. À rejoindre Nemours déjà son âme aspire ; Il meurt… Le
nom
du Christ sur ses lèvres expire. À la patrie en p
vie, Nous accorder le prix qu’il doit à la vertu ; Vainement pour son
nom
nous avons combattu. Ressouvenir affreux, dont l’
que les prédécesseurs de l’un et de l’autre s’étaient acquise sous le
nom
de leurs maîtres. Il convient aussi d’observer qu
cence Avec ses fiers persécuteurs. Sous le vain
nom
de bienfaiteurs, Ces grands semaient ensemble et
’est l’heure où la lumière aux ténèbres fit place, Où des formes sans
nom
traversèrent l’espace ; C’est l’heure où le solei
er les deux mains ? Clouerons-nous au poteau d’une satire altière Le
nom
sept fois vendu d’un pâle pamphlétaire, Qui, pous
lieux départis Où l’étranger, à l’aise achevant son voyage, Pense au
nom
des Trudaine et bénit leur ouvrage. Ton peuple i
réateur. Je tremble et dans ma bouche abondent les paroles, Quand son
nom
gigantesque, entouré d’auréoles, Se dresse dans m
vois, guidant l’obus aux bonds rapides ; Là, massacrant le peuple au
nom
des régicides ; Là, soldat, aux tribuns arrachant
s règlent leurs pas sauvages, Et les ardents chevaux hennissent à son
nom
. Parfois il vient, porté sur l’ouragan humide, P
puis dans ces mondes sublimes Remuer rien de grand sans toucher à son
nom
; Oui, quand tu m’apparais pour le culte ou le bl
Mère Il est à vous ce livre issu de la prière : Qu’il garde votre
nom
et vous soit consacré ; Ce livre où j’ai souffert
s ma nuit, Dieu présent et vainqueur, Si j’invoquai toujours son vrai
nom
dans mon cœur, C’est que j’avais appris ce nom de
quai toujours son vrai nom dans mon cœur, C’est que j’avais appris ce
nom
de votre bouche. Né dans un temps rebelle à pron
tel Je devais le secret qu’à ces rimes je livre ; Sans doute, pour le
nom
que j’inscris sur ce livre, Mon cœur silencieux e
e de ma vie ; Elle déborde en moi lorsque je chante ou prie, Et votre
nom
s’échappe avec celui de Dieu. Si l’homme droit e
m’apprendre des cieux Les divers mouvements inconnus à nos yeux, Les
noms
et les vertus de ces clartés errantes Par qui son
Au forum, au sénat, dans nos jeux, dans nos fêtes, Je proclamais son
nom
, je vantais ses exploits. Quand ses lauriers soum
eux, Garde les simples mœurs de nos sages aïeux ! À peine il sait les
noms
d’intérêts, de créances ; Il ne redoute point le
on y a distingué un prélude, un roulement, un final ; on a donné des
noms
particuliers à chaque reprise, on les a presque n
il sait combien d’architectes ont présidé à cet ouvrage ; il sait le
nom
des architectes. Dirai-je qu’il croit Henri IV fi
mémoire toute une liste de rois des Mèdes ou de Babylone, et que les
noms
d’Apronal, d’Hérigebal, de Noesnemordach. de Mard
entit encore dans le cœur de son troupeau ; il meurt, une pierre sans
nom
marque sa place au cimetière, près de la porte de
re, Ne manquez pas, d’un haut ton, De les saluer par leur
nom
, De quelque rang qu’ils puissent être.
elons te feront du bien. — Il me faudra donc au village Vieillir sans
nom
sous mon treillage ; Je pourrai voir tout à loisi
eu veut être loué. À mes tintements, les âmes pieuses prononceront le
nom
de Jésus, de Marie ou de quelque saint bien-aimé
ile, toute la poésie, tous les tableaux de l’Écriture sont là. Chaque
nom
renferme un mystère, chaque grotte déclare l’aven
s ancienne. Une foule d’hommes vivants ont connu l’inventeur, dont le
nom
réveille constamment dans sa patrie l’idée de l’a
Les deux Sosie MERCURE30, SOSIE. Mercure. De prendre le
nom
de Sosie Qui te donne, dis-moi, cette témérité ?
orrible et l’impudence extrême ! Tu m’oses soutenir que Sosie est ton
nom
? Sosie. Fort bien. Je le soutiens par la grande
ré de tes vœux. Ton bras t’en a fait le maître. Mercure. Ton
nom
ôtait Sosie, à ce que tu disais ? Sosie. Il est v
t-il ainsi renoncer à moi-même, Et par un imposteur me voir voler mon
nom
? Que son bonheur est extrême D
-moi, dans cette fantaisie ? Que t’en reviendra-t-il de m’enlever mon
nom
? Et peux-tu faire enfin, quand tu serais démon,
Et je suis la seule, ô mon père, Oui, la seule qui donne à ton
nom
glorieux Les pleurs et la prière ! Ast
quelque façon que votre cour vous nomme, On hait la monarchie ; et le
nom
d’empereur, Cachant celui de roi, ne fait pas moi
mânes d’un tel homme, D’emporter avec eux la liberté de Rome. Ce
nom
depuis longtemps ne sert qu’à l’éblouir, Et sa pr
re ? Vous l’ai-je confié pour en faire un ingrat, Pour être, sous son
nom
, les maîtres de l’État ? Certes, plus je médite,
ble, toujours le timide Néron N’ose-t-il être Auguste et César que de
nom
? Vous le dirai-je enfin ? Rome le justifie. Rome
Oui ; tout autre que moi Au seul bruit de ton
nom
pourrait trembler d’effroi. Les palmes dont je vo
omme qui a dit cela ? Valère. Je ne me souviens pas maintenant de son
nom
. Harpagon. Souviens-toi de m’écrire ces mots : je
a risée de tout le monde ; et jamais on ne parle de vous que sous les
noms
d’avare, de ladre et de vilain. Harpagon, en batt
e. Il me naquit un fils, et voilà le ménage En guerre, pour donner un
nom
au personnage. Ma très illustre épouse, entêtemen
m au personnage. Ma très illustre épouse, entêtement fatal ! Exige un
nom
en « Hipp » autrement dit : « Cheval. » « Cheval
Cheval blond, beau cheval ! » En bon grec : « Callippide ! » Moi, du
nom
de l’aïeul, je disais « Phidonide, » C’est-à-dire
attentats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le
nom
de liberté ; une reine fugitive, qui ne trouve au
liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende seulement le
nom
. Ceux-ci, occupés du premier objet qui les avait
dont quelques individus avaient tellement l’habitude d’entourer leur
nom
, qu’ils en avaient déjà demandé la permission à t
traite profonde ? Et qu’ai-je à faire avec le monde, Dont le
nom
seul ici doit me glacer d’effroi ? Ici, la chari
sement me fait une fatigue. J’aimerais mieux encor qu’il déclinât son
nom
, Et dît : Je suis Oreste, ou bien Agamemnon, Que
s Clélie, L’air ni l’esprit français à l’antique Italie, Et, sous des
noms
romains faisant notre portrait, Teindre Caton gal
ue, et je sais qu’il n’est pas sans mérite ; Mais, près de ces grands
noms
, notre gloire est petite. La Fontaine. Lectur
igé de créer une passion nouvelle, s’il est permis de profaner par ce
nom
le sentiment profond et sublime qui seul peut tou
ui a ravi le feu des cieux. La Harpe. Molière Molière ! à ce
nom
seul se rassemblent les ris ; Les fronts sont dér
pardonneriez de les avoir cités. Quoi donc ! un écrivain veut que son
nom
partage Le tribut de louange offert à son ouvrage
à forfait, s’il blesse la raison, De la venger d’un vers égayé de son
nom
? Comptable de l’ennui dont sa muse m’assomme, Po
de son journal, Des sophistes du temps l’adulateur banal, Lorsque son
nom
subit pour exciter le rire, Dois-je, au lieu de L
pense pas que la Normandie en ait jamais porté un si redoutable. Son
nom
seul fait trembler toutes les veuves et met en fu
-il sur nous81, dit-on, soit en vers, soit en prose ? L’antiquité des
noms
ne fait rien à la chose, L’autorité non plus, ni
ssion du roi, Mademoiselle, Mademoiselle de… Mademoiselle… devinez le
nom
: il épouse Mademoiselle, ma foi ! par ma foi ! m
s mes douleurs, D’un hymen trop fécond, voilà le dernier gage, De ton
nom
, au berceau, je dotai son jeune âge, Je vouai son
otai son jeune âge, Je vouai son enfance à tes blanches couleurs ; Ce
nom
, ce vêtement m’étaient d’un doux présage ; Et qua
» dit cette bonne âme, Et dans la rue il se jeta. IV Ah ! ton
nom
, ton vrai nom, que ma voix le répande87 Toi que
nne âme, Et dans la rue il se jeta. IV Ah ! ton nom, ton vrai
nom
, que ma voix le répande87 Toi que j’appelai Jacq
s une âme douce et grande, Pour l’honneur du pays, héros, dis-moi ton
nom
! Sommes-nous au-dessous des temps de barbarie ?
quelque chose d’incorruptible qui persiste à appeler l’action par son
nom
et à juger qu’il est mal de la faire. Qu’il résis
iable y résisterait ? Beaumarchais. La Gloire Qu’est-ce qu’un
nom
? Et non-seulement ce nom, si retentissant que no
umarchais. La Gloire Qu’est-ce qu’un nom ? Et non-seulement ce
nom
, si retentissant que nous croyions qu’il soit, fi
’étant allé visiter lady Stanhope dans le Liban, elle lui demanda son
nom
. « Je le lui dis. — Je ne l’avais entendu, reprit
uelques vers dans ma vie, qui ont fait répéter un million de fois mon
nom
par tous les échos littéraires de l’Europe ; mais
ici je suis un homme tout nouveau, un homme complètement inconnu, un
nom
jamais prononcé. » M. de Lamartine fut quelque pe
e Lamartine fut quelque peu étonné, quoiqu’il ne le dise pas, que son
nom
fût tout à fait inconnu dans le Liban. Nous en so
aussi que la puissance ! Nous nous surfaisons tous le bruit de notre
nom
; nous croyons tous que tout le monde s’occupe de
elle ne passe pas la Seine et s’arrête sur la rive gauche. Il y a des
noms
pour chaque quartier, pour chaque rue, pour chaqu
chers et de salons ! Cela est arrivé à M. de Lamartine : il a dit son
nom
, et il a trouvé que son nom n’était point connu.
t arrivé à M. de Lamartine : il a dit son nom, et il a trouvé que son
nom
n’était point connu. C’était dans le Liban, il es
nsité féconde ; Âme de l’univers, Dieu, père, créateur. Sous tous ces
noms
divers, je crois en toi, Seigneur ; Et, sans avoi
tour. Et pendant les trois premiers siècles de l’entreprise, c’est au
nom
et avec les seules armes de la foi et de la liber
Lévy édit.) 24. Les Symphonies. (Michel Lévy édit.) 25. . Sous le
nom
d’Émile, qui est encore un rapprochement ingénieu
envoyait un exemplaire à Mgr l’évêque de Soissons, plus connu sous le
nom
d’Huet, évêque d’Avranches. 83. La lettre est da
ières, les expressions proverbiales, les phrases toutes faites et les
noms
propres composés : Le juge prétendait qu’à tort
sonnance ou un son dur qu’il faut, autant que possible, éviter, comme
nom
adorable, nom illustre. § III. — Des repos.
son dur qu’il faut, autant que possible, éviter, comme nom adorable,
nom
illustre. § III. — Des repos. 61. Qu’enten
sure, qui se trouve dans le corps du vers, et le repos final, dont le
nom
indique la place. 62. Combien y a-t-il de césures
pos final ? Le repos final, qui, comme l’hémistiche, porte encore le
nom
de repos prosodique, consiste dans la suspension
u’est devenu ce temps, cet heureux temps, Où les rois s’honoraient du
nom
de fainéants ; S’endormaient sur le trône, et me
O Père qu’adore mon père, Toi qu’on ne nomme qu’à genoux, Toi dont le
nom
terrible et doux Fait courber le front de ma mère
elle et avec elle par un plein repos. Dans l’ode, la stance prend le
nom
de strophe, et dans la chanson et la romance celu
us le règne de Henri III, par Jean de Lingendes. — Ou donne encore le
nom
de stances à des poésies composées d’un certain n
naître le tercet et la stance de cinq vers. Le tercet est, comme son
nom
l’indique, une stance de trois vers. On le trouve
ne suite de stances qui ont chacune une forme différente. On donne le
nom
de stances mixtes à une suite de stances qui ont
pprime à volonté, en faveur de l’élision ou de la rime, dans certains
noms
propres, comme Naple, Londre, Athène, Versaille,
classique, ou du moins un ancien. Il faut saluer en lui le plus grand
nom
qui ait ouvert le dix-neuvième siècle. Né au mili
é à la cérémonie : c’est un vieux pasteur qui n’est connu que sous le
nom
de curé, et ce nom vénérable, dans lequel est ven
c’est un vieux pasteur qui n’est connu que sous le nom de curé, et ce
nom
vénérable, dans lequel est venu se perdre le sien
1. Variété du singe. 2. Espèce de cerf. 3. Armorique est l’ancien
nom
de la Bretagne. Elle tire son nom de deux mots ce
e cerf. 3. Armorique est l’ancien nom de la Bretagne. Elle tire son
nom
de deux mots celtiques : ar, proche, et mor, mer.
as le premier, mais le seul, dans le peuple ailé, à qui l’on doive ce
nom
. Pourquoi ? Seul il est créateur ; seul il varie,
a catachrèse supplée à l’insuffisance de la langue, en empruntant des
noms
à des choses qui en ont, pour les donner à celles
fourchette ; d’un écrivain : C’est une plume éloquente ; Ou enfin le
nom
abstrait pour le nom concret : — Là, parmi les d
rivain : C’est une plume éloquente ; Ou enfin le nom abstrait pour le
nom
concret : — Là, parmi les douceurs d’un tranquil
ur le pluriel : — Le Français, né malin, forma le vaudeville24 ; Le
nom
de la matière pour celui de la chose qui en est f
e personne, on la désigne, ou par un trait caractéristique, ou par un
nom
qui est devenu un type, et alors on fait une anto
ne place à cette figure, en attendant que les rhéteurs lui donnent un
nom
. FIN. 24. Et non pas créa. Ce vers est toujour
es élèves des lycées et des collèges connussent, avec les plus grands
noms
de notre littérature, ce qu’elle a produit de plu
ses Mémoires attachants, ce qu’il avait vu, et fit paraître, sous le
nom
de Sentences ou Maximes morales, les réflexions q
exposant leurs griefs au parlement et en demandant la réparation. Les
noms
des partisans d’Emery tombèrent dans l’exécration
s sortes de partis dans le parlement. Le premier était des Frondeurs,
nom
donné par raillerie à ceux qui étaient contre les
us les rois de la terre : Ne soyez point si justes 137. C’est un beau
nom
que la Chambre de Justice, mais le temple de Clém
ante en la personne de Jules César, est un plus grand et un plus beau
nom
encore. Si cette vertu n’offre encore un temple à
avec la permission du roi, mademoiselle… mademoiselle… de, devinez le
nom
; il épouse dimanche Mademoiselle, fille de feu M
attentats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le
nom
de liberté ; une reine fugitive, qui ne trouve au
liberté, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende seulement le
nom
. Ceux-ci, occupés du premier objet qui les avait
nfondues. Non, après ce que nous venons de voir, la santé n’est qu’un
nom
, la vie n’est qu’un songe, la gloire n’est qu’une
uent les hommes ; de même que ces fleuves tant vantés demeurent, sans
nom
et sans gloire, mêlés dans l’Océan avec les riviè
ure. Notre chair change bientôt de nature. Notre corps prend un autre
nom
; même celui de cadavre, dit Tertullien190, parce
emeure pas longtemps : il devient un je ne sais quoi, qui n’a plus de
nom
dans aucune langue tant il est vrai que tout meur
vous ai dit que la grandeur et la gloire n’étaient parmi nous que des
noms
pompeux, vides de sens et de choses, je regardais
te son étendue, ce n’est ni l’erreur ni la vanité qui ont inventé ces
noms
magnifiques ; au contraire, nous ne les aurions j
? La faute que nous faisons n’est donc pas de nous être servis de ces
noms
: c’est de les avoir appliqués à des objets trop
pu encore gagner des batailles ; et voilà que, dans son silence, son
nom
même nous anime ; et ensemble il nous avertit que
séricorde, qui vous comptera un soupir et un verre d’eau donné en son
nom
plus que tous les autres ne feront jamais tout vo
us instruire, selon l’ordre qu’ils en ont reçu du ciel. C’est en leur
nom
que je vous parle ; c’est par leur autorité que j
ils que pour les affronter, que mille actions distinguent plus que le
nom
du fameux général qu’elle a l’honneur d’avoir à s
était peuplé que de nations fières281 et idolâtres, ennemies de votre
nom
et de votre culte : l’empire, la puissance, les r
e Église ? À peine en reste-t-il quelque souvenir sur la terre ; leur
nom
même ne s’est conservé jusqu’à nous qu’à la faveu
erre ; leur nom même ne s’est conservé jusqu’à nous qu’à la faveur du
nom
des martyrs qu’ils ont immolés286, et que les fêt
dit-il, et il me suffit pour ma sûreté et celle du peuple romain. Ce
nom
arrête toutes les entreprises, et il n’y a point
rai couvert de sang ; il croira voir les funestes tables, et lire son
nom
à la tête des proscrits. On murmure en secret con
ous de mes démêlés avec Marius : je fus indigné de voir un homme sans
nom
, fier de la bassesse de sa naissance, entreprendr
d’hommes ont plus que Voltaire remué par leur génie et rempli de leur
nom
le monde ; aucun n’a plus fortement agi sur son t
ui contribuèrent à polir et à éclairer le genre humain ? Cependant le
nom
de Léon X a prévalu, parce qu’il encouragea les a
bâtit une maison, à Florence, des bienfaits de Louis XIV : il mit le
nom
de ce roi sur le frontispice, et vous ne voulez p
rant. Charles-Édouard prit des habits de servante, et suivit, sous le
nom
de Betty, mademoiselle Macdonald. Les dangers ne
style, il se plaça au nombre des quatre hommes dont l’influence et le
nom
dominent le dix-huitième siècle : aussi admiré qu
e des ombres qui ne laissent point de traces ; et plût au ciel que le
nom
de tous ces prétendus héros dont on a célébré les
: et la France ravie saluait de ses applaudissements enthousiastes le
nom
du grand Corneille. Dès lors, en bien peu de temp
n peu de temps, quelle succession de chefs-d’œuvre, consacrée par les
noms
d’Horace, de Cinna, de Polyeucte, de Pompée, de R
, je vous aime et respecte ; Mais, quoi que sur mon cœur puissent des
noms
si doux, À ces marques enfin je ne connais que vo
emande un peu plus de mystère512 ; Et c’est assurément en profaner le
nom
, Que de vouloir le mettre à toute occasion. Avec
imons qu’on nous flatte. Mais un jour, à quelqu’un, dont je tairai le
nom
, Je disais, en voyant des vers de sa façon, Qu’il
cupations ; Et n’allez point quitter, de quoi que l’on vous somme, Le
nom
que dans la cour vous avez d’honnête homme, Pour
ourt qu’avant-hier on vous assassina : Un écrit scandaleux sous votre
nom
se donne : D’un pasquin547 qu’on a fait, au Louvr
e volume. Que si mêmes557 un jour le lecteur gracieux, Amorcé par mon
nom
, sur vous tourne les yeux ; Pour m’en récompenser
sement me fait une fatigue. J’aimerais mieux encor qu’il déclinât son
nom
, Et dît : Je suis Oreste, ou bien Agamemnon567, Q
lélie572, L’air ni l’esprit français à l’antique Italie, Et, sous des
noms
romains faisant notre portrait, Peindre Caton gal
Racine (1639-1699.) [Notice.] Si l’on voulait réaliser par un
nom
l’idée de la perfection absolue dans la versifica
st point tel que l’erreur le figure à vos yeux601 : L’Eternel est son
nom
, le monde est son ouvrage ; Il entend les soupirs
ur, Dieu fit choix de Cyrus avant qu’il vît le jour, L’appela par son
nom
, le promit à la terre, Le fit naître, et soudain
temps donné De meurtres remplira l’univers étonné : On verra, sous le
nom
du plus juste des princes, Un perfide étranger dé
re les Juifs et contre Mardochée Cette haine, seigneur, sous d’autres
noms
cachée. En vain de vos bienfaits Mardochée est pa
ls de Baal621, Se fait initier à ses honteux mystères Et blasphème le
nom
qu’ont invoqué leurs pères. Je tremble qu’Athalie
ous ? JOAS. J’ai
nom
Éliacin652. ATHALIE. Votre père ? JOAS.
Une femme inconnue, Qui ne dit point son
nom
, et qu’on n’a point revue. ATHALIE. Mais de vos p
Que Dieu veut être aimé ; Qu’il venge tôt ou tard son saint
nom
blasphémé ; Qu’il est le défenseur de l’orphelin
cultivez déjà leur haine et leur fureur ; Vous ne leur prononcez mon
nom
qu’avec horreur. JOSABETH. Peut-on de nos malheur
661. Ils ne s’assurent point662 en leurs propres mérites, Mais en ton
nom
sur eux invoqué tant de fois, En tes serments jur
maël, et les trois autres chefs des lévites. JOAD. Ô mon fils ! de ce
nom
j’ose encor vous nommer676 ! Souffrez cette tendr
. Et je sais quelle main sans vous me l’eût ravie. JOSABETH. De votre
nom
, Joas, je puis donc vous nommer ? JOAS. Joas ne c
it on a justement place la tragédie : c’est ce qui explique le peu de
noms
qui ont survécu, entre tous ceux qui ont cherché
. Rhadamiste et Zénobie687. (Extraits.) Zénobie, cachée sous un
nom
supposé, celui d’Isménie, apprend qui elle est à
tels que vous ; Rome n’ignore pas à quel point la victoire Parmi les
noms
fameux élève votre gloire ; Ce peuple enfin si fi
oncer que ce Romain fuit, enlevant celle qu’il ne connaît que sous le
nom
d’Isménie. Il s’élance après eux, trouve Rhadamis
Voltaire (1694-1778.) [Notice.] Déjà nous avons inscrit le
nom
de Voltaire parmi ceux de nos plus grands prosate
h ! Dieu nous envoyait, quand de nous il fit choix, Pour annoncer son
nom
, pour faire aimer ses lois : t nous, de ces clima
est en poudre714 ; Et nous n’avons du ciel imité que la foudre. Notre
nom
, je l’avoue, inspire la terreur ; Les Espagnols s
sort. J’étais seul, sans secours, et j’attendais la mort : Mais à mon
nom
, mon fils, je vis tomber leurs armes. Un jeune Am
rmer ces liens. J’ai tout quitté, mes dieux, mon amant, ma patrie. Au
nom
. de tous les trois, arrache-moi la vie. Voilà mon
’un tient de moi la vie, à l’autre je la dois ! Ah ! mes fils ! de ce
nom
ressentez la tendresse, D’un père infortuné regar
z vos États ; Et, de vos murs détruits rétablissant la gloire, De mon
nom
, s’il se peut, bénissez la mémoire. (À Alvarez.)
s ceux de notre époque que la postérité proclamera les plus dignes du
nom
de poètes. Ce ne sont pas là, toutefois, ses seul
faim. Puis, si nulle raison ne te force au mystère, Tu nous diras ton
nom
, ta patrie et ton père. » Il retourne à sa pl
que le printemps qui lui donna le jour. Rien n’est resté de lui qu’un
nom
, un vain nuage, Un souvenir, un songe, une invisi
ne prince. La Fontaine demandait-aux neuf sœurs de lui apprendre Les
noms
et les vertus de ces clartés errantes Par qui son
nt deux grands rémoras à la philosophie. Ce mot était, au propre, le
nom
d’un petit poisson qui passait pour pouvoir arrêt
se du monde, dit aussi Bacon, et à son âge mûr qu’il faut attacher ce
nom
d’antiquité. Or, la vieillesse du monde, c’est le
e de culte, en l’invoquant, comme son modèle de prédilection, sous le
nom
de Notre-Dame-des-Rochers. 140. La Grande Mademo
r Eutrope. 183. XII, 13, 14. 184. Cette femme, non désignée par son
nom
, était une veuve de la tribu de Thécua : c. XIV,
par le jugement de la postérité, malgré l’autorité de ces deux grands
noms
. 242. Théophile de Viau naquit en 1590 et mouru
n le verra tout à l’heure. Quant à Bondin, dont il n’est resté que le
nom
, c’était le premier médecin de Monseigneur : Sain
evoir. (Sylla, acte V, sc. 4.) 331. Sylla n’avait pas seulement un
nom
, mais des partisans dévoués qui avaient tout inté
t porte ce titre sur son frontispice, allusion heureuse et au premier
nom
qu’on a donné au roi et à la manière dont elle a
ot. 351. Charles-Édouard était le fils de Jacques III, connu sous le
nom
de chevalier de Saint-Georges et qui, après l’usu
, abandonné par Louis XV et chassé de France, vécut en Italie sous le
nom
de comte d’Albany et mourut à Florence en 1788, S
rand goût, de l’âme la plus haute et la plus simple, je mettrai votre
nom
au bas. » Une telle lettre ne dut-elle pas consol
inin. 413. Il y a ici une légère irrégularité, la se rapportant à un
nom
indéterminé. 414. Dans cette scène qu’il appelle
…… Les baiser, les mettre en digne lieu, Et faire retentir partout le
nom
de Dieu. 424. Cette tragédie, intitulée Rodogu
iait faire grand embarras d’une chose. Molière a écrit ailleurs : Du
nom
de philosophe elle fait grand mystère… (Les Femm
e on sait, n’a fait tant de cas d’Alceste que paire qu’il décorait du
nom
de sagesse sa propre misanthropie. Ici, on voit q
esprits curieux de rapprochements l’œuvre de Lucien, désignée par le
nom
du célèbre Timon ; une déclamation (la IXe) placé
71. 575. Au dix-septième siècle, on donnait à la finale de ce mot le
nom
de l’e ouvert, en sorte qu’altiers (prononcé alti
tonné qu’Assuérus ignorât qu’elle avait été la naissance d’Esther (ce
nom
même veut dire inconnue en hébreu) ; mais on n’a
s encore, disait-il à Cyrus, mais je te vois et je t’ai nommé par ton
nom
. Je marcherai devant loi dans les combats ; à ton
trouve dans la traduction de quelques vers de Grotius, connus sous le
nom
de Prosopopée d’Ostende, sur lesquels s’exercèren
ter comme gouverneurs de cette partie du nouveau monde, à la place du
nom
célèbre des Pizarres, les noms inconnus de Gusman
partie du nouveau monde, à la place du nom célèbre des Pizarres, les
noms
inconnus de Gusman et d’Alvarez, on ne peut se re
ionale de la Terre-de-Feu. 712. Ville du Haut Pérou, qui a donné son
nom
a toute la contrée. 713. Il y a quelque négligen
and génie scientifique de l’Angleterre, né en 1642, mort en 1727. Son
nom
se lie au souvenir de quelques-unes des plus célè
et placé si naturellement ». 743. . C’est Henri de Lorraine, IIe du
nom
, duc de Guise, qui, d’après une note de Pompignan
r distingué, M. de La Touche, qui eut la bonne fortune d’associer son
nom
à celui d’A. Chénier. Ils furent ensuite joints a
de n’admettre ici que les maîtres et leurs chefs-d’œuvre. Si quelques
noms
secondaires se sont glissés dans cette galerie, n
res réflexions. C’est l’objet des notices qui accompagnent ici chaque
nom
d’auteur. Il ne nous a pas semblé suffisant de le
s arrêts de la postérité, qui commence dès aujourd’hui pour plus d’un
nom
illustre, tirons des œuvres qui nous ont charmés
informer au delà, il en garde un souvenir propre, et attache à chaque
nom
connu une idée précise. L’art de la critique, en
de n’admettre ici que les maîtres et leurs chefs-d’œuvre. Si quelques
noms
secondaires se sont glissés dans cette galerie, n
res réflexions. C’est l’objet des notices qui accompagnent ici chaque
nom
d’auteur. Il ne nous a pas semblé suffisant de le
s arrêts de la postérité, qui commence dès aujourd’hui pour plus d’un
nom
illustre, tirons des œuvres qui nous ont charmés
informer au delà, il en garde un souvenir propre, et attache à chaque
nom
connu une idée précise. L’art de la critique, en
méprise la philosophie, Jésus-Christ lui tient lieu de tout ; et son
nom
qu’il a toujours à la bouche, ses mystères qu’il
lons plus de hasard ni de fortune, ou parlons-en seulement comme d’un
nom
dont nous couvrons notre ignorance. Ce qui est ha
le puissent forcer. Celui-là seul tient tout en sa main, qui sait le
nom
de ce qui est et de ce qui n’est pas encore3, qui
e levée ? ne semble-t-elle pas digne des héros ? ne perd-elle pas son
nom
pour s’appeler politesse2 et galanterie ? Eh quoi
es hommes ? ne fallait-il que ce peu de mélange pour faire changer de
nom
aux choses, et mériter de l’honneur à ce qui est
Eh quoi ! pour dix ans de vie ! — Mais je regarde ma postérité et mon
nom
. — Mais peut-être que ta postérité n’en jouira pa
attentats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le
nom
de liberté ; une reine fugitive, qui ne trouve au
re : notre chair change bientôt de nature, notre corps prend un autre
nom
; même celui de cadavre, dit Tertullien, parce qu
demeure pas longtemps ; il devient un je ne sais quoi qui n’a plus de
nom
dans aucune langue : tant il est vrai que tout me
ût pu encore gagner des batailles : et voilà que dans son silence son
nom
même nous anime ; et ensemble il nous avertit que
lat du monde voulait colorer, que je ne sais plus sur quoi appuyer ce
nom
auguste de grandeur, ni à quoi je puis appliquer
nous sommes : la chair changera de nature ; le corps prendra un autre
nom
; « même celui de cadavre ne lui demeurera pas lo
ps ; il deviendra, dit Tertullien, un je ne sais quoi qui n’a plus de
nom
dans aucune langue » : tant il est vrai que tout
gloutissent déjà toute cette richesse, Ces terres, ces palais, de vos
noms
ennoblis. Et que vous reste-t-il en ces moments s
vous reste-t-il en ces moments suprêmes ? Un sépulcre funèbre, où vos
noms
, où vous-mêmes Dans l’éternelle nuit serez enseve
siez, vu la face pompeuse de Rome sauvée par votre bras, et que votre
nom
respectable avait plus illustrée que toutes ses c
on, à la grandeur, à la politique, et la vertu, et la Religion, et le
nom
de Dieu » ? On se sert encore très avantageuseme
uche : Il me pousse, il me presse, il me jette à tes pieds. César, au
nom
des Dieux dans ton cœur oubliés, Au nom de tes ve
on du Roi, mademoiselle ; mademoiselle de…. mademoiselle ; devinez le
nom
. Il épouse Mademoiselle ; ma foi, par ma foi, ma
rendus par l’expression la plus simple. Médée, dans la Tragédie de ce
nom
, veut se venger de ses ennemis. Nérine sa confide
n de comparable dans toute l’antiquité. Cinna, dans la Tragédie de ce
nom
, forme une conjuration contre Auguste. L’empereur
’insulter, en passant, profiter de ce seul moment pour déshonorer son
nom
, et tomber au sortir de là entre les mains éterne
e dois choisir, injure pour injure, La ride au front sied mieux qu’au
nom
la flétrissure3. — C’est assez : le temps passe à
st complet. Nous sommes tout-puissants. Le peuple élève aux cieux nos
noms
retentissants. Tout nous appartient, clubs, comit
— Il faut qu’on nomme un chef, un tribun militaire, Un dictateur ; le
nom
ne fait rien à l’affaire ; Il faut que ce tribun,
nt accordé la faveur de choisir dans leur catalogue si littéraire les
noms
et les œuvres appropriés à notre dessein. 1. MM.
nt accordé la faveur de choisir dans leur catalogue si littéraire les
noms
et les œuvres appropriés à notre dessein. 1. Au
enté en elle la sévère honnêteté de la matrone romaine. 5. C’est le
nom
de Brutus francisé. On sait qu’ayant vu son père
ebout devant sa chaise, entre Marat et Robespierre. 1. Girondins.
Nom
d’un parti célèbre qui joua un rôle important dan
avers de l’homme, il traduisait les individus sur la scène, avec leur
nom
, leur costume, leur physionomie : cette licence n
t en composa ces poèmes pleins de variété et de malice qui prirent le
nom
de satires, mot qui voulait dire mélange. Luciliu
ouement : On ne fut plus ni fat ni sot impunément ; Et malheur à tout
nom
qui, propre à la censure, Put entrer dans les ver
el, se confondait dans l’origine avec le triolet, qui portait le même
nom
. Il consistait comme lui à ramener le premier ou
nt à tour de rôle les suivants. À ces vingt vers on ajoutait, sous le
nom
d’envoi, un sixième quatrain qui ramenait à la fi
omme dans l’exemple suivant ; et ils donnèrent à cette combinaison le
nom
de lai. La grandeur humaine Est une ombre vaine
rince, princesse, etc. C’est même de là, dit-on, que lui est venu son
nom
. § 41. Sonnet. Le sonnet n’est pas, comme l
ase les mots les plus nombreux16 et les mieux cadencés. Tels sont les
noms
et les adjectifs de plusieurs syllabes, les compa
ours. ARTICLE I. de la disposition des substantifs. I Les
noms
qui expriment un titre, une dignité, une professi
n titre, une dignité, une profession, se mettent communément après le
nom
propre, quand ces mots sont simplement explicatif
o consul, Augustus imperator, Curioni tribuno plebis. Mais quand ces
noms
sont employés comme titres honorifiques, comme te
ifiques, comme termes de louange ou de blâme, ils se mettent avant le
nom
propre, pour mieux faire ressortir la qualité qu’
duire au supplice. III Le génitif se met ordinairement avant le
nom
dont il est complément, et il a une grâce particu
ou de qui est ce livre ? Il est évident que l’on désire connaître le
nom
de l’auteur, ou de celui qui le possède, plutôt q
nnaître le nom de l’auteur, ou de celui qui le possède, plutôt que le
nom
du livre, qui nous est déjà connu. Mais, si l’int
. Cic. Un ami se plaît à vivre avec son ami. On rapproche de même les
noms
qui ont une signification opposée, pour mieux fai
me de bien, moins on soupçonne les autres de méchanceté. — 5° Avec un
nom
de temps, quand il y a un retour périodique de l’
légamment soit au commencement, soit à la fin de la phrase, après les
noms
et les adjectifs de plusieurs syllabes, après les
es mots négatifs, après les comparatifs et les superlatifs, après les
noms
et les adjectifs de plusieurs syllabes. exemples
ositions se placent souvent avec plus de grâce entre l’adjectif et le
nom
, pourvu que l’adjectif soit le premier. exemple :
la préposition se met bien la première, puis le génitif, et enfin le
nom
. exemple : Nomen legati ejusmodi esse debet, qu
ociorum jura, sed etiam inter hostium tela incolume versetur. Cie. Le
nom
d’ambassadeur doit imprimer un tel respect, qu’il
ie : lorsqu’on désigne, par exemple, un instrument ou un objet par le
nom
de la matière dont il est fait : le fer, pour l’é
rendre la figure qu’on a souvent appelée antonomase, qui substitue un
nom
commun à un nom propre, et réciproquement, ou enc
qu’on a souvent appelée antonomase, qui substitue un nom commun à un
nom
propre, et réciproquement, ou encore un nom propr
stitue un nom commun à un nom propre, et réciproquement, ou encore un
nom
propre ou commun à un autre qui présenterait la m
tion des substantifs abstraits, ni employer non plus à tout propos le
nom
des parties du corps ou des qualités morales au l
Lucrèce, prouve, dans le Misanthrope, que la passion sait donner des
noms
favorables même aux défauts des personnes aimées,
ciples, Aristoxène de Tarente, chef de l’école musicale qui porte son
nom
, en conçut une basse jalousie contre Aristote ; m
othèque. Voici la liste des ouvrages qui nous sont parvenus sous le
nom
d’Aristote : Logique. — L’Organon, groupe formé
dus des mètres de toute sorte, il ne faudrait pas moins lui donner le
nom
de poète. Telles sont les distinctions à établir
ous deux imitent en mettant leurs personnages en action. II. De là le
nom
de drames (δράματα), donné à leurs œuvres, parce
par ceux du Péloponnèse, qui se fondent sur un indice fourni par les
noms
; car ils allèguent que chez eux village se dit ϰ
e ou la nécessité, et c’est à quoi réussit la poésie, en imposant des
noms
propres. Le détail particulier c’est, par exemple
es, les poètes comiques imposent, de la même manière, n’importe quels
noms
, mais non pas, à la façon dont s’y prennent les ï
des faits personnels. VI. Pour la tragédie, les poètes s’emparent des
noms
de personnages qui ont existé. La raison en est q
ossible36. VII. Néanmoins, dans quelques tragédies, il y a un ou deux
noms
connus, et les autres sont fictifs ; dans quelque
seul de connu, par exemple dans la Fleur, d’Agathon37 ; car, faits et
noms
, tout y est imaginaire, ce qui n’empêche pas que
rt et que l’autre est sauvé. III. La reconnaissance, c’est, comme son
nom
l’indique, le passage de l’état d’ignorance à la
sacrifié ; et de là, son salut. VI. Après cela, il faut, le choix des
noms
une fois arrêté, disposer les épisodes. Il faut a
ties de toute élocution : l’élément97, la syllabe, la conjonction, le
nom
, le verbe, l’article, le cas, le discours98. IV.
r exemple, la (locution) je dis 100, le (mot) sur 101, etc.102 X. Le
nom
est un son composé, significatif indépendamment d
, dont aucune partie n’est significative par elle-même ; car dans les
noms
doubles nous n’employons pas (une des parties) co
aucune partie n’est significative par elle-même, de même que dans les
noms
. En effet, le mot homme, le mot blanc ne marquent
résent, l’autre celle du temps passé. XII. Le cas est ce qui, dans un
nom
ou dans un verbe, marque tantôt le rapport de pos
fication par elles-mêmes ; car toute proposition ne se compose pas de
noms
et de verbes, comme, par exemple, la définition d
lle désigne un seul objet. Chapitre XXI Des diverses espèces de
noms
. I. Les espèces de noms sont : Le nom simple ;
Chapitre XXI Des diverses espèces de noms. I. Les espèces de
noms
sont : Le nom simple ; or j’appelle « nom simple
I Des diverses espèces de noms. I. Les espèces de noms sont : Le
nom
simple ; or j’appelle « nom simple » celui qui n’
noms. I. Les espèces de noms sont : Le nom simple ; or j’appelle «
nom
simple » celui qui n’est pas composé d’éléments s
osé d’éléments significatifs, comme, par exemple, γῆ (terre) ; II. Le
nom
double, qui se compose tantôt d’un élément signif
nt non significatif103, tantôt d’éléments tous significatifs. III. Le
nom
pourrait être triple, quadruple, enfin multiple,
des mots emphatiques, parmi lesquels Hermocaïcoxanthos 104. IV. Tout
nom
est ou bien un mot propre, ou un mot étranger (gl
ens106 et une glose pour nous. VI. La métaphore est le transfert d’un
nom
d’autre nature, ou du genre à l’espèce ou de l’es
er. VIII. Je dis qu’il y a analogie (ou proportion) lorsque le second
nom
est au premier comme le quatrième est au troisièm
e » ; ou, comme Empédocle : « couchant de la vie ». IX. Pour quelques
noms
, il n’existe pas d’analogue établi ; néanmoins on
bouclier non pas la coupe de Mars, mais la coupe sans vin 115… X. Le
nom
forgé est celui que le poète place sans qu’il ait
ainsi les cornes, appelées ἐρνύται, le prêtre, appelé ἀρητήρ. XI. Le
nom
est allongé, raccourci, d’une part lorsqu’on empl
rcalée ; d’autre part, si on lui retranche quelque partie. Exemple de
nom
allongé : πόλεος devenu πόληος ; Πηλείδου devenu
nom allongé : πόλεος devenu πόληος ; Πηλείδου devenu Πηληϊάδεω ; — de
nom
raccourci : κρῖ116, δῶ117, et dans ce vers : Tou
dans ce vers : Toutes deux ont une seule et même figure118. XII. Le
nom
est altéré lorsqu’une partie du mot énoncé est re
Exemple : À la mamelle droite, δεξιτερόν au lieu de δεξιόν. XIII. Les
noms
eux-mêmes119 sont les uns masculins, d’autres fém
que sont égales en nombre les lettres par lesquelles se terminent les
noms
masculins et les noms féminins ; car le Ψ et le Ξ
bre les lettres par lesquelles se terminent les noms masculins et les
noms
féminins ; car le Ψ et le Ξ ne font qu’un (avec Σ
les noms féminins ; car le Ψ et le Ξ ne font qu’un (avec Σ)121. Aucun
nom
ne se termine sur une lettre aphone (muette), ni
inent sur un Ι : μέλι (miel), κόμμι (gomme), πέπερι (poivre)123. Cinq
noms
se terminent sur ϒ124. Les noms intermédiaires (s
μμι (gomme), πέπερι (poivre)123. Cinq noms se terminent sur ϒ124. Les
noms
intermédiaires (sc. neutres) se terminent sur ces
existent ; or il n’est pas possible de faire cela par l’alliance des
noms
, mais il est permis de le faire par métaphore. Ex
ont les allongements, les apocopes (coupures) et les altérations (des
noms
) ; car (un mot), présenté comme forme insolite, p
e, du moment que l’on accordait aux poètes la faculté d’allonger (les
noms
) autant qu’ils le veulent et qui les raillait en
e, il faut considérer la question dans les vers en faisant entrer les
noms
dans un mètre. Pour la glose, pour la métaphore e
et Eschyle mettant le même vers ïambique, l’un, en changeant un seul
nom
et faisant une glose à la place du terme propre e
férent de faire un emploi convenable de chacune des formes précitées,
noms
doubles et noms étrangers ou gloses : mais le plu
un emploi convenable de chacune des formes précitées, noms doubles et
noms
étrangers ou gloses : mais le plus important, c’e
hore, c’est avoir égard aux rapports de ressemblance. XIII. Parmi les
noms
, ceux qui sont doubles conviennent surtout aux di
ïambes, comme on y cherche surtout à imiter le langage ordinaire, les
noms
les plus convenables sont ceux dont on fait usage
s et celui qui a le plus d’ampleur ; aussi se prête-t-il le mieux aux
noms
étrangers et aux métaphores, car la poésie narrat
l faut les détruire, par exemple en alléguant l’emploi d’une glose ou
nom
étranger : Les mulets d’abord152 ; car, peut-êt
ocutions rentrent dans la métaphore. XIX-XX. Il faut aussi, lorsqu’un
nom
semble indiquer quelque contradiction, observer d
itoyens, et c’est de là que cette forme de gouvernement238 a pris son
nom
. La monarchie, comme son nom l’indique aussi, est
ette forme de gouvernement238 a pris son nom. La monarchie, comme son
nom
l’indique aussi, est le gouvernement où un seul c
à nous irriter, c’est l’oubli ; comme, par exemple, l’oubli de notre
nom
, bien que ce soit sans importance. En effet, l’ou
a propre défense, à cette imputation de Thrasybule qu’il avait eu son
nom
inscrit sur la stèle (infamante) de l’Acropole et
nstitue tout le premier traité de Théodore. XXIX. Un autre se tire du
nom
, comme, par exemple, dans Sophocle : Il est sign
e du nom, comme, par exemple, dans Sophocle : Il est significatif le
nom
que porte Sidéro450, et comme on a l’habitude d’
l’Hécube d’Euripide dit d’Aphrodite : Oui, c’est à bon droit que le
nom
de cette déesse a le même commencement que celui
de la folie454 ; et, dans Chérémon455 : Penthée, qui porte dans son
nom
le triste sort qui l’attend456. XXX. En fait d’e
ssesse, mais elle ne convient pas au discours en prose. II. Parmi les
noms
et les verbes, ceux-là rendent l’élocution claire
ui qui, le premier, a donné l’exemple. Comme le discours est formé de
noms
et de verbes et qu’il y a autant d’espèces de nom
cours est formé de noms et de verbes et qu’il y a autant d’espèces de
noms
qu’on l’a exposé dans la Poétique 508, il faut n’
t à l’heure la qualité principale du langage oratoire. VII. Parmi les
noms
, les homonymies512 sont surtout utiles au sophist
autre ne l’est pas. Autre exemple : il y a des gens qui qualifient du
nom
de διονυσοκόλακες516 ceux qui, entre eux, s’appel
le même esprit que les brigands se donnent entre eux, aujourd’hui, le
nom
de πορισταί (agents d’approvisionnement). De là v
V. La quatrième distingue, comme l’a fait Protagoras, les genres des
noms
masculins, féminins et neutres550 ; car il faut e
qui contribue à l’ampleur de l’élocution : donner l’explication d’un
nom
à la place du nom lui-même ; ne pas dire un cercl
’ampleur de l’élocution : donner l’explication d’un nom à la place du
nom
lui-même ; ne pas dire un cercle, par exemple, ma
stance du point central » ; tandis que, pour obtenir la concision, le
nom
, au contraire, sera mis à la place de l’explicati
l’expression. Si la bassesse est dans l’explication, on emploiera le
nom
; si elle est dans le nom, l’emploi de l’explicat
sse est dans l’explication, on emploiera le nom ; si elle est dans le
nom
, l’emploi de l’explication sera préférable. III.
σι601. Voici, maintenant, un exemple des diverses désinences du même
nom
: Ἄξιος δὲ σταθῆναι χαλκοῦς, οὐκ ἄξιος ὢν χαλκοῦ
’il n’était pas moins honnête que tel honnête homme dont il citait le
nom
, alléguant que ce dernier était malhonnête à rais
ut concilier, Vahlen lit ‹ ἢ › Νιόϐην ; mais comment admettre que les
noms
d’Euripide et d’Eschyle soient séparés par le tit
Plutarque, Dion, 18 et suiv. Cornélius Népos donne à ce personnage le
nom
de Callistrate. Plutarque ne ménage pas le blâme
. Le terme propre et son diminutif. 530. Il s’agit du sophiste de ce
nom
. Cp. Soph. elench., chap. xv. 531. Ἀκτὴ στενόπο
n en ridicule la morgue qui avait donné aux amis de M. de Beaufort le
nom
d’Importants ; et ils se servirent en même temps
ermission de bâtir dans la place Royale. Je ne me ressouviens plus du
nom
de celui à qui on expédia un brevet pour un impôt
i très-bien apprécié de nos jours. 3. « Ils s’étaient fait donner ce
nom
, a dit M. Cousin, par leurs airs d’importance, pa
té des peuples, qui n’écoutaient plus la voix du magistrat… » 2. Ce
nom
était autrefois commun à plusieurs barrières, en
rsection des rues Saint-Honoré et de l’Arbre-Sec. Suivant les uns, ce
nom
venait des marchands d’étoffes, nombreux en ce li
dats ! Mais du moins, au nom de Jupiter qui préside aux batailles, au
nom
des Dieux témoins des serments, tuez-moi avec le
leurs enfants, persuadés que rien ne pourra leur réussir, tant que le
nom
Franc existera. « Il faut donc aujourd’hui déploy
e courage, dans votre bonheur, dans la fortune, dans les destinées du
nom
des Sarrasins et dans la gloire de vos ancêtres.
, habile artisan de paroles et Caton, avec le vain épouvantail de son
nom
! Eh quoi ! les plus vils clients, achetés à prix
votre compagnon d’armes plutôt que son fils : il regardait ce dernier
nom
comme venant de la nature, et l’autre comme une f
ées, il veut détruire nos villes et n’a d’autre but que d’anéantir le
nom
chrétien qui lui est odieux. « Pour repousser ces
aider de leur concours et de leurs efforts : tous ceux qui portent le
nom
de chrétiens) s’empresseront de se rendre dans no
ain ! Vous avez acquis une gloire immortelle, vous avez entouré votre
nom
d’un honneur impérissable, en ouvrant, le glaive
ui m’a été accordé, contrairement aux usages de l’État, a entouré mon
nom
d’un grand éclat. » Traduit de Dion Cassius, his
Aussi, la pensée de mes enfants m’inspire une haine profonde pour le
nom
Athénien, puisque vous voyez que je me présente d
essuyé aucun outrage ? Permettez-moi, Syracusains, je vous en prie au
nom
des Dieux immortels, de vous exposer mon avis en
les projets qu’ils avaient formés d’abord. « Je vous conjure donc, au
nom
des Dieux, Syracusains, de ne pas vous laisser al
, les Servilius, et tant d’autres nobles, qui ne portent pas de vains
noms
, et rehaussent encore par leurs belles actions la
conditions, la sécurité de Carthage à l’avenir, ta gloire et celle du
nom
romain seront parfaitement sauvegardées. » Tradu
vre avec honneur et de mourir en laissant le souvenir immortel de son
nom
. Ignorez-vous que le fondateur de notre race ne s
Minos, Rhadamanthe, Éaque, Triptolème, qui méritent véritablement le
nom
de juges, pour vivre avec les âmes des héros qui
iscuter l’opinion de ceux qui donnent à la plus honteuse servitude le
nom
de capitulation ; ils ne doivent pas, je pense, ê
urd’hui notre roi de nouveaux dangers, et si nous n’affranchissons le
nom
et la nation des Parthes de la servitude qui pèse
es lois divines et humaines ont été violées ! Tels sont les titres au
nom
desquels les Romains veulent se faire appeler les
e est enfin arrivé. Ne vous laissez pas effrayer par le faux éclat du
nom
romain ; leurs soldats ne sont pas comparables à
ville ? Et les Albains, les Latins n’ont-ils pas adopté jusqu’à notre
nom
? Aujourd’hui, ce sont des esclaves, il est vrai,
. » Sénèque répond à Lucilius et lui reproche doucement d’employer le
nom
d’ami comme l’emploie le vulgaire ; il lui déclar
ulgaire ; il lui déclare que le véritable ami, réellement digne de ce
nom
, est celui à qui l’on peut confier toutes ses aff
tu rends à Rome, qui est sur le penchant de sa ruine, l’éclat de son
nom
et l’étendue de sa puissance, qui sera plus illus
res n’ont pu souffrir les rois et la monarchie ? Croit-on que le seul
nom
de roi ait fait cette grande aversion de nos père
e terme fatal est arrivé, ils ne sont pas condamnés à l’oubli ; leurs
noms
passent d’âge en âge jusqu’à la postérité la plus
faite prisonnière. Elle ajoute qu’ils voudraient en vain flétrir son
nom
par cet infâme supplice. — Elle leur présage que
remière formation des langues, les hommes commencèrent par donner des
noms
aux objets qui frappaient le plus fréquemment leu
ts, et que leurs idées se multiplièrent par conséquent, le nombre des
noms
s’étendit dans la même proportion. Or il était, e
n s’occupa alors de la classification des figures ; on leur donna des
noms
, on limita leurs emplois, et les rhéteurs disting
fûtes pauvre et comme eux orphelin. (Racine). La répétition, dont le
nom
seul donne la définition : Te, dulcis conjux, t
avec les idées accessoires qui l’accompagnent, et nous prononçons le
nom
de celle de ces images qui nous frappe le plus. D
nguerons : 1º La métonymie, qui signifie transposition, changement de
nom
, nom pris pour un autre, etc. Les maîtres de l’ar
ons : 1º La métonymie, qui signifie transposition, changement de nom,
nom
pris pour un autre, etc. Les maîtres de l’art res
rtum, Quàm sepire plagis, canibusque cicre. (Lib. v. v. 1250). 4º Le
nom
du lieu où une chose se fait, se prend pour la ch
phore, figure par laquelle on transporte la signification propre d’un
nom
à une autre signification qui ne lui convient qu’
de La Harpe, que l’envie qu’ont eue les rhéteurs de donner de grands
noms
aux procédés les plus simples de l’élocution, il
bus assigner leurs cantons, Cultiver votre enfance et vous donner vos
noms
! Qui viendra vous verser des eaux rafraîchissant
r la muraille qui l’incruste, Je recomposais lentement Les lettres du
nom
de l’Auguste3 Qui dédia le monument. J’en épel
concertant mes regards, Un lézard dormait sur la ligne Où brillait le
nom
des Césars4 ; Seul héritier des sept collines5, S
s, En froisser une feuille, en cueillir une branche ; Appeler par son
nom
chaque colombe blanche, Qui, partant de nos pieds
veut dire que l’empire était au plus offrant. 2. Gladiateur est le
nom
de ceux qui combattaient dans les jeux du cirque
depuis porté par les empereurs romains, ses successeurs. 4. Césars.
Nom
consacré à Jules César et aux onze premiers princ
ntit encore dans le cœur de son troupeau ; il meurt ; une pierre sans
nom
marque sa place au cimetière, près de la porte de
dus ?…” Quand il passait près d’un pâturage, il saluait les brebis du
nom
de sœurs ; et on dit qu’alors les brebis levaient
eux, Si les bons cœurs étaient toujours heureux. Ver-Vert (c’était le
nom
du personnage), Transplanté là de l’indien rivage
de l’avenir Que ne peut-on en dérober l’histoire2 ! Ah ! qu’un grand
nom
est un bien dangereux ! Un sort caché fut toujour
èle de plaisanterie légère et déliée que J. B. Rousseau a qualifié du
nom
de phénomène littéraire. Publié à Rouen en 1734,
2. C’est une ancienne religieuse professe : on appelait de ce dernier
nom
celle qui avait prononcé des vœux définitifs, apr
de remarquable, c’est qu’il donne au vers homérique ou vers simple un
nom
qui le rapproche de la prose, ψɩλομɛτρία, comme i
i. Xénarque.] Il y a eu un poëte de la moyenne comédie qui portait ce
nom
et qu’il ne faut sans doute pas confondre avec Xé
autorisée : Batteux, qui l’admet, traduit : « Mériterait-il moins le
nom
de poëte ? » Cela me semble bien contraire à la
ns rapproché, dans un appendice au siècle qui les a produits, sous le
nom
de groupe secondaire, leurs courtes biographies l
mières et « illustra » la seconde. Ce double fait est consacré par le
nom
de « Renaissance » que l’histoire a donné au xvie
re italienne comme des lettres antiques, et ajoute sur son drapeau le
nom
de Pétrarque à celui d’Homère. Elle comprend d’ab
né à Agen, du Jules César de Padoue ; le consciencieux Lambin dont le
nom
a donné un verbe à notre langue ; Robert Estienne
omme, qui savait frapper de si rudes coups, savait à peine signer son
nom
, où la devise semblait être « faire sans dire ».
du cardinal et cousins du poète ; et beaucoup d’autres que de pareils
noms
ne sauvent pas de l’oubli, mais que conserve à l’
ur qui vous autorise à. VIII. ellipse — De l’article devant les
noms
propres de pays (France, Allemagne) ; — devant ce
vant les noms propres de pays (France, Allemagne) ; — devant certains
noms
communs (homme, femme, chose, mort, fortune, etc.
itre de l’Isle Sonnente.) Les deux premiers livres donnaient comme le
nom
de l’auteur M. Alcofribas Nazier (anagramme de Fr
’on ne te jugeroit estre guarde et thresor de l’immortalité de nostre
nom
, et le plaisir que prendroys ce voyant seroit pet
roit ; et la meilleure, qui est l’ame, et par laquelle demoure nostre
nom
en benediction entre les hommes, seroit degeneran
Le march. Joyeusement ? Pan. Voyre. Le march. Vous avez, ce croy ie,
nom
Robin Mouton30 ? Pan. Il vous plaist a dire. Le m
ha, vous allez voir le monde, vous estes le ioyeulx du roy, vous avez
nom
Robin Mouton ; voyz ce mouton là, il ha nom Robin
ioyeulx du roy, vous avez nom Robin Mouton ; voyz ce mouton là, il ha
nom
Robin comme vous, Robin, Robin, Robin, bes, bes,
vice est vertus appellé, meschanceté est bonté surnommee, trahison ha
nom
de feaulté, larcin est dict liberalité : pillerie
hrestienne83 » Au Roy de France très chrestien François Ier de ce
nom
, son Prince et Souverain Seigneur, Jehan Calvin,
nous instruisent à ne faire pas grand miracle de la nostre : tant de
noms
, tant de victoires et conquestes ensepvelies soub
es soubs l’oubliance, rendent ridicule l’espérance d’éterniser nostre
nom
par la prinse de dix argoulets et d’un pouiller13
’amitié [Cette pièce143] me donna la premiere cognoissance de son
nom
, acheminant ainsi cette amitie que nous avons nou
e croys par quelque ordonnance du ciel. Nous nous embrassions par nos
noms
: et à nostre premiere rencontre, qui feut par ha
douceur profictera plus que la rigueur. Ostons ces mots diaboliques,
noms
de parts, factions et seditions, lutheriens, hugu
tions et seditions, lutheriens, huguenots, papistes : ne changeons le
nom
de chrestien… (Harangue prononcée à l’ouverture
que le juge ne faict plus rien sans argent. Vous ne pouvez retenir le
nom
de senateurs, de preud’hommes et bons juges, avec
cipalement de ses subjectz qui sont ses membres, perd à bon droict ce
nom
tant beau, et pour l’aultre, tant abominable, qui
tu ne voulois183, à l’exemple des anciens, en vers Heroyques, sous le
nom
de Satyre, et non sous ceste inepte appellation d
à l’Asne, taxer modestement les vices de son temps, et pardonner aux
noms
des personnes vicieuses. Tu as pour cecy Horace q
nnets, non moins docte que plaisante invention Italienne, conforme de
nom
à l’Ode, et differente d’elle seulement pource qu
e186. Comme luy donq, qui a bien voulu emprunter de nostre langue les
noms
et l’histoire de son poëme, choisy moy quelqu’un
emoire à present que j’eus jamais, me resouvenant et des lieux et des
noms
, combien que je n’eusse jamais rien escript. Je n
x frères que nous avons estés, il a falleu que je fisse cognoistre le
nom
de Monluc, de notre maison, avecques autant de pé
luy, le cappitaine Peyrelongue et ung autre que ne me souvyent de son
nom
… Ilz tournarent tout court à leur trouppe, qui n’
souverain, ayt faict trembler toute la chrestienté et remplie de son
nom
et de sa renommée tellement qu’alors de l’admirai
rai de France en estoit-il plus parlé que du roy de France. Et si son
nom
estoit cogneu parmy les chrestiens, il est allé j
t estre icy les premiers pour ouvrir et honorer les Estats ? Tous ces
noms
ne sont plus que noms de faquins236, dont on fait
rs pour ouvrir et honorer les Estats ? Tous ces noms ne sont plus que
noms
de faquins236, dont on fait litiere aux chevaux d
i ne pourroyent donner lieu à aucune raison (lesquels on cognoist par
nom
et surnom) ; si est-ce que la pluspart cognoissen
a Dame ; S. Dominique la prédication, de laquelle son ordre à pris le
nom
. S. Grégoire-le-Grand se plaisoit à caresser les
t à Florence, établi à Troyes où il devint chanoine, traduisit par le
nom
de Larivey, qu’il adopta, celui de sa famille d’o
s rares, ridiculisèrent, même avant la comédie de Molière (1659), les
noms
de précieux et de précieuses donnés longtemps aux
siècle de Louis XIV, il ne faut pas oublier celui qui lui a donné son
nom
, moins pour ce qu’il a écrit ou dicté lui-même, q
chet, écrite au vainqueur de Rocroy, sous le voile allégorique de ces
noms
et de ces jeux de salon. Il vaut mieux retenir qu
s pique316 ; je l’ai reçue de Paris avec une lettre qui m’a appris le
nom
de son auteur ; il l’adresse à un de nos amis, qu
simples traductions ; vous avez déclamé contre moi, pour avoir tu le
nom
de l’auteur espagnol, bien que vous ne l’ayez app
rès l’avoir faite, je me suis trouvé fort embarrassé à lui choisir un
nom
. Je n’ai jamais pu me résoudre à celui de tragédi
, il veut que ce soit aussi une comédie, et lui donne l’un et l’autre
nom
, par un composé qu’il forme exprès de peur de ne
étienne, dont les fragments, trouvés et publiés après sa mort sous le
nom
de Pensées, ont une éloquence d’une incomparable
rer : Mais, après tout, mon père, à quoi avez-vous pensé de donner le
nom
de suffisante à une grâce que vous dites qu’il es
tice Jean-Baptiste Poquelin, qui prit au théâtre et immortalisa le
nom
de Molière, fils d’un tapissier-valet de chambre
te question, n’hésitent pas beaucoup ; on tranche le mot aisément. Ce
nom
ne fait aucun scrupule à prendre, et l’usage aujo
assez passable ; mais, avec tout cela, je ne veux point me donner un
nom
où d’autres, en ma place, croiroient pouvoir prét
Et l’on sait que des cabales avaient été faites contre lui autour du
nom
de Corneille, et qu’il avait plus d’une fois donn
oyen, avoit au moins la consolation de voir dans la liste où sont les
noms
de tous ceux qui la composent, de voir, dis-je, i
s ceux qui la composent, de voir, dis-je, immédiatement au-dessous du
nom
sacré de son auguste protecteur364 le fameux nom
tement au-dessous du nom sacré de son auguste protecteur364 le fameux
nom
de Corneille. Et qui d’entre nous ne s’applaudiro
ion de Thomas Corneille.) Bossuet (1627-1704) Notice Le
nom
de Bossuet rappelle la plus haute autorité religi
méprise la philosophie, Jésus-Christ lui tient lieu de tout ; et son
nom
qu’il a toujours à la bouche, ses mystères qu’il
Eh quoi ! pour dix ans de vie ! — Mais je regarde ma postérité et mon
nom
. — Mais peut-être que ta postérité n’en jouira pa
attentats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le
nom
de liberté ; une reine fugitive, qui ne trouve au
n catholique jeta le plus vif éclat sous le règne de Louis XIV. Trois
noms
effacent tous les autres, ceux de Bossuet, de Bou
e j’avois prêté quelques livres de poésies, se souvint d’avoir vu mon
nom
au bas d’une ode ou d’une élégie. Il ne manqua pa
tous les rois de la terre. Ne soyez point si juste 404. C’est un beau
nom
que la Chambre de Justice, mais le temple de Clém
ante en la personne de Jules César, est un plus grand et un plus beau
nom
encore. Si cette vertu n’offre encore un temple à
vous, ou à ceux qui ont porté ou qui porteront encore indignement le
nom
de roi ; ce n’est pas un grand avantage de valoir
de lumière et leur paresse, leur permettant d’appeler leurs fautes du
nom
de malheur, et l’industrie d’autrui du nom de bon
d’appeler leurs fautes du nom de malheur, et l’industrie d’autrui du
nom
de bonne fortune. Pour voir, mon fils, comme vous
Notice Françoise d’Aubigné, depuis marquise de Maintenon, du
nom
d’une terre qu’elle acheta, naquit dans une priso
vivre les physionomies et dont les Clefs ont maintes fois révélé les
noms
véritables. — En quittant la compagnie des écriva
ui l’emporte sur celui des savans. S’ils allèguent en leur faveur les
noms
de d’Estrées, de Harlay, Bossuet, Séguier, Montau
onnages également doctes et polis ; s’ils osent même citer les grands
noms
de Chartres, de Condé, de Conti, de Bourbon, du M
guindés et croiroient trop s’abaisser en nommant les choses par leurs
noms
. Tout entre dans les sujets que l’éloquence doit
rrens de la grâce. Les empereurs mêmes sont devenus les adorateurs du
nom
qu’ils blasphémoient, et les nourriciers de l’Égl
ez dû, pour votre honneur, rejeter avec indignation. On a rendu votre
nom
odieux et toute la nation française insupportable
l’insulter en passant, profiter de ce seul moment pour déshonorer son
nom
, et tomber, au sortir de là, entre les mains éter
comme un fleuve majestueux pour y porter la joie et l’abondance : son
nom
sera écrit dans les annales de la postérité parmi
s mis à vous y chercher. Enfin, après avoir rempli mon livre de votre
nom
et de vos éloges, je puis m’entretenir avec vous,
de lunettes, et ne perdit qu’une seule dent pendant toute sa vie. Son
nom
doit justifier ces petits détails. Il étoit né fo
érances, toujours odieux au roi, à qui personne n’osoit prononcer son
nom
, même en choses indifférentes, plus odieux à Mme
it historiographe. Cette liste ne saurait être mieux close que par un
nom
honorable entre tous, celui de Vauban (1633-1707)
-même en est un exemple, il ne faut qu’un seul homme, mais d’un grand
nom
, et qui, par de rares qualités, se sera acquis un
est une foible peinture de ce qu’il plaît à notre siècle d’honorer du
nom
d’esprit. Esprit plus brillant que solide, lumièr
ral : Turcaret, le financier du xviiie siècle, dans la comédie de ce
nom
(1709) ; Gil Blas, héros du roman dont les livres
oltaire (1694-1778) Notice François-Marie Arouet, qui prit le
nom
de Voltaire, naquit à Chatenay, près de Paris, d’
isait et parlait le français, le xviiie siècle entier qui a reçu son
nom
, comme une partie du xviie a reçu celui de Louis
s ce qui n’est pas au rang des beaux-arts ; alors il mérite plutôt le
nom
de fantaisie. C’est la fantaisie plutôt que le go
t laissa venir à sa place madame de la Fayette, qui avait mis sous le
nom
de Segrais le roman aimable de Zaïde et celui de
ont la plupart des Parisiens ne connaissent pas plus la beauté que le
nom
de François Blondel qui acheva ce monument. Cette
église, une place et des admirateurs, et qui devrait immortaliser le
nom
de Desbrosses, encore plus que le palais du Luxem
erico Vespucci, négociant florentin, jouit de la gloire de donner son
nom
à la nouvelle moitié du globe, dans laquelle il n
ous de mes démêlés avec Marius : je fus indigné de voir un homme sans
nom
, fier de la bassesse de sa naissance, entreprendr
e des ombres qui ne laissent point de traces ; et plût au ciel que le
nom
de tous ces prétendus héros dont on a célébré les
du groupe politique célèbre dans l’histoire de la Révolution sous le
nom
de Girondins. Il est mort sur l’échafaud avec vin
le peuple crier : Vive la liberté ! L’un était frappé à cause de son
nom
et de celui de ses ancêtres ; un autre à cause de
e riche succession. Tous ces dénonciateurs se paraient des plus beaux
noms
, se faisaient appeler Cotta, Scipion, Régulus, Ca
des propriétés, étaient devenus des boucheries, où ce qui portait le
nom
de supplice et de confiscation n’était que vol et
s sens le champ des idées et des lettres. Ouvrons cette revue par les
noms
de deux hommes de bien entre tous, publicistes, l
aujourd’hui oubliés. L’art d’écrire, uni à la science, revendique les
noms
de Bailly (1736-1793), « un des esprits les plus
écédé dans ce genre d’exploration et d’ouvrages Ramond, appelé de son
nom
, « le Saussure » des Pyrénées ; enfin un Savoisie
Essai sur l’éloquence de la chaire, II.) De Bossuet Au seul
nom
de Démosthène, mon admiration me rappelle celui d
éder à ce grand homme, ô fils de Marc-Aurèle ! ô mon fils, permets ce
nom
à un vieillard qui t’a vu naître, et qui t’a tenu
mais non de t’estimer. Ô fils de Marc-Aurèle ! pardonne : je parle au
nom
des dieux, au nom de l’univers qui t’est confié ;
e, que ce n’étoit pas en vain que trente siècles avoient consacré son
nom
; et c’étoit pour moi une double jouissance de tr
des entraves forgées par le xvie siècle et serrées par le xviie au
nom
des anciens. La révolution du xvie a abouti à un
que chante déjà Lamartine adolescent ; on applaudit à Byron, dont le
nom
grandit tous les jours. Lamartine écrit dès la fi
t en haut, écrit soit en prose, soit en vers ; l’autre, qui, sons les
noms
divers de Méditations, Recueillements, Confidence
l’homme et toute la nature. Le public accepte tout sans regarder aux
noms
et aux titres, et la révolution est faite dans la
des questions sociales a étendue en ce siècle, se rattachent bien des
noms
fameux à divers titres, tels que ceux des Saint-S
xis de Tocqueville (1805-1859). Dans le premier quart du siècle, deux
noms
sont inséparables, ceux de MM. J. de Maistre, pub
sujet et à notre compétence : mais il comporte au moins le rappel des
noms
illustres de Cuvier, que son Discours sur les Rév
’est assurément le plus développé en ce siècle, et que consacrent les
noms
d’illustres écrivains, le roman. Le roman n’est p
pure ; enfin les récits serrés et dramatiques de P. Mérimée, dont le
nom
rappelle celui de Henri Beyle, son ami. Pour term
use où se distinguent l’abbé de Frayssinous et l’abbé de Ravignan, un
nom
efface tous les autres, celui du Père Dominicain
s ancienne. Une foule d’hommes vivants ont connu l’inventeur, dont le
nom
réveille constamment dans sa patrie l’idée de l’a
tempête a fait échouer sur des plages inhabitées, grave sur le roc le
nom
des aliments qu’il a découverts, indique où sont
le malheur et la mort. Après tout, qu’importent les revers, si notre
nom
prononcé dans la postérité va faire battre un cœu
spondance. Trente-deux volumes in-4° (1858-1869) contiennent, sous le
nom
général de Correspondance de Napoléon Ier les le
, il croit monter en s’égalant aux rois. Il aime mieux un titre qu’un
nom
. Pauvre homme ! ses idées sont au-dessous de sa f
t un autre homme. Il ne prit point de titres usés, mais il fit de son
nom
un titre supérieur à celui de roi… Adieu, nous t’
Pendant que l’on m’interrogeait à la préfecture de police sur mes
nom
, prénoms, qualités713, comme vous avez pu voir da
c pamphlétaire à mon propre jugement ; et, voyant l’horreur qu’un tel
nom
inspirait à tout l’auditoire, je demeurai confus.
il n’en était pas ainsi, d’où viendrait cette croyance unanime, et ce
nom
même de Dieu entendu de tous les peuples ?… Qu’on
-Henri Lacordaire, qui, en 1840, prit, avec la robe de dominicain, le
nom
de Dominique, et fut, de 1850 à 1854, le provinci
ents qui n’en ont point eux-mêmes, et que vous appelez superbement du
nom
d’axiomes. Vous dites, il est vrai, que ces axiom
des titres qui n’effaçaient point l’éclat de son mérite personnel, un
nom
connu de la France et respecté de l’armée. Mais s
d’enseignement public, à la tête de ce groupe fameux complété par les
noms
de MM. Guizot et Cousin, qui jeta tant d’éclat su
igé de créer une passion nouvelle, s’il est permis de profaner par ce
nom
le sentiment profond et sublime qui, seul, peut t
notre Alcée ; c’est aussi Horace et Catulle. Il sonne sur la lyre le
nom
du Christ ; et, aux accents de son luth à dix cor
son temps. La postérité lui en a tenu compte ; c’est toujours sous le
nom
de grand comte de Clarendon qu’Edouard Hyde est d
ortaient dans la littérature et les arts. On lui donne à bon droit le
nom
de spiritualisme, parce que son caractère est de
iment religieux ; elle seconde l’art véritable, la poésie digne de ce
nom
, la grande littérature ; elle est l’appui du droi
ec beaucoup d’esprit qu’elles nous avaient tout appris, excepté leurs
noms
et celui des lieux qu’elles habitaient ; vous vou
ent sa destinée, et s’exerçant avec beaucoup de peine à prononcer les
noms
barbares des hommes en dignité parmi ses nouveaux
es des hommes en dignité parmi ses nouveaux maîtres. Plusieurs de ces
noms
, défigurés par euphonie, peuvent être rétablis de
. Jacques, que jusqu’à ce jour on avait appelé Romanus, le Romain, du
nom
de ses premiers maîtres, se vit qualifié, dans ce
e la corde, de labourer lui-même sa terre au profit des étrangers. Le
nom
de litus était nouveau pour ses oreilles ; il se
usement confondu avec les arbres et les troupeaux du domaine, sous le
nom
commun de vêtement du fonds de terre, terræ vesti
aire ; et c’est quand il s’y livrait pleinement qu’on lui donnait les
noms
d’homme loyal et d’homme très avisé, recte legali
dans un sujet aussi grave ; nous demandons pardon d’avoir abusé d’un
nom
d’outrage qui fut autrefois appliqué à nos pères,
l’invasion armée, a mis le pied sur la terre qui porte aujourd’hui le
nom
de France, il ait été écrit là-haut que cette ser
Bonaparte, mais en murmurant ; il commanda quelquefois, mais sous le
nom
d’autrui, le général Jourdan, par exemple, prenan
atisfaisant la curiosité, sans la lasser jamais, par le contraste des
noms
, des nationalités, des physionomies, des caractèr
un Gouvernement nouveau et cherchait à y rattacher tout ce qui avait
nom
et gloire. On a souvent raconté comment il échoua
n croire plus qu’à personne, c’est ne prêcher, n’injurier personne au
nom
des mœurs. Les esprits durs, rustiques, sauvages
orme L’époque dite de la Renaissance se caractérise assez par son
nom
. Ce nom est plus qu’une définition ; il exprime u
L’époque dite de la Renaissance se caractérise assez par son nom. Ce
nom
est plus qu’une définition ; il exprime un sentim
le sentit avec une telle ivresse qu’il voulut confondre plus tard son
nom
dans le nom de Valmy911, et qu’après une longue v
ec une telle ivresse qu’il voulut confondre plus tard son nom dans le
nom
de Valmy911, et qu’après une longue vie et d’écla
tes victoires il légua, dans son testament, son cœur au village de ce
nom
, pour que la plus noble part de lui-même reposât
aine de ses fables. Il l’a lui-même intitulée la Comédie humaine ; ce
nom
rassemble tous ses romans dans une unité intentio
Nous retrouvons dans tous le même monde de personnages qui y ont leur
nom
, leur filiation, leurs alliances, leur caractère,
e laboureur criait d’une voix puissante, appelant chaque bête par son
nom
, mais plutôt pour calmer que pour exciter ; car l
ν, savant. 15. Raymond Lulle, de Majorque, (mort en 1315), se fit un
nom
dans la scolastique, les langues orientales, l’al
encore : faire des siennes. 27. Allusion à l’ancienne monnaie de ce
nom
, portant d’un côté un saint Jean-Baptiste, de l’a
ulte fustaye. etc. 30. Voyez La Fontaine Fables, IX 19. Robin est le
nom
d’un berger des Pastourelles du Moyen âge. 31. B
lé de latin et de français a été appelé macaronique (du mot macaroni,
nom
d’un mets italien). 60. Opiare. souhaiter. 61.
culièrement des Parlements, dont les conseillers sont désignés par le
nom
de Chats-fourrés à cause de leurs robes fourrées
n, et Bernard, duc de Saxe-Weymar. 313. 1619. Il avait 23 ans. 314.
Nom
donné en Allemagne et en Hollande à la chambre ch
ue) est du moyen âge. Un acteur de l’hôtel de Bourgogne le prit comme
nom
de théâtre dans la farce et lui attacha le sens q
lui avaient donné pour sobriquet, à cause de ses méchants propos, le
nom
d’une fée grondeuse et sinistre des vieux romans,
de Nantes. Le souvenir de madame de Sévigné s’y est conservé sous le
nom
de Dame de Vigneux. Tout, dans sa chambre, y est
es parcs à l’instar de Versailles. On les appelait des « folies ». Le
nom
en est resté à une rue de Paris, située au dix-se
aris, prévôt des marchands (il fit construire le quai qui a gardé son
nom
), ministre des finances après Colbert (1683-1689)
Les autres suivirent à des intervalles irréguliers Elles prirent leur
nom
du Salon où elles se faisaient. 581. J.-B. Greuz
ilippiq., I. 4. 605. C. Desmoulins donne pour titre à son journal le
nom
du Club dont il avait été en 1790 un des fondateu
la place libre aux terroristes. 608. C. Desmoulins fait ici, sous le
nom
du despotisme soupçonneux des Césars, le tableau
éfaite à Wagram (1809). 691. Bonaparte fut proclamé empereur sous le
nom
de Napoléon Ier le 18 mai 1804 ; couronné et sacr
comte de Clarendon, grand chancelier d’Angleterre (1608-1674). 748.
Nom
donné sous Charles Ier aux partisans des Stuarts,
l Godoï, prince de la Paix, favori du roi d’Espagne Charles IV. 770.
Nom
donné à des morceaux d’or natif sans gangue (enve
71. Répétons ici ce que Fontenelle dit dans l’éloge de Newton : « Son
nom
doit justifier ces petits détails. » (Voyez p. 29
les ordonna. En écoutant tout à l’heure le préopinant vous citer les
noms
de Pascal, de Descartes, de Leibnitz, de Cuvier,
a rien au coloris et au charme de l’imagination et du style, un autre
nom
, et un nom moderne, un nom contemporain, se prése
oloris et au charme de l’imagination et du style, un autre nom, et un
nom
moderne, un nom contemporain, se présentait à tou
rme de l’imagination et du style, un autre nom, et un nom moderne, un
nom
contemporain, se présentait à toutes vos pensées,
derne, un nom contemporain, se présentait à toutes vos pensées, et ce
nom
, il n’était interdit qu’à M. Arago de le prononce
’Angleterre. 788. Histoire allégorique du peuple de France, sous un
nom
donné par les Suzerains féodaux aux vilains, au p
umée qu’ils ne devaient pas laisser éteindre. 861. On appelle de ce
nom
la philosophie qui s’enseignait dans les écoles d
e versus erat (Trist., IV, 10,20.). 865. Odes, III, 9. 866. Ce
nom
, que se donnent entre eux les militaires, les con
é par le critique. La composition du peintre est aussi connue sous le
nom
de Hémicycle de l’École des Beaux-Arts. Elle a ét
us grand des peintres modernes. — Fra (frère) Bartolomeo (de son vrai
nom
Baccio della Porta), moine dominicain, peintre de
(1471-1528), de Nuremberg, peintre et graveur. — Fra Angelico (de son
nom
Giovanni da Fiesole), né à Fiesole, moine, peintr
, tellus) terre labourable, par opposition à Sahara, désert. 897. Ce
nom
qui signifie un Musulman se consacrant à la prati
éral, sous les ordres de Kellermann ; depuis roi des Français sous le
nom
de Louis-Philippe Ier (1830-1848) ; né en 1775, m
emble de Paris, composé alors de la Cité dans l’île qui a conservé ce
nom
, de la Ville sur la rive droite de la Seine, de l
antiquités de la ville de Paris. C’est lui que Boileau raille sous le
nom
de Sofal (Sat., VII, 40 ; IX, 292). 914. Les pon
t au sommet d’une voûte). 917. Une rue de la Cité en porte encore le
nom
. 918. 1360-1431, de Troyes. Prévôt des marchands
ès de la Seine entre le Petit-Pont et le pont Saint-Michel ; tire son
nom
de la rive marécageuse (palus, udis ; on a écrit
; on a écrit aussi marché Palud) du fleuve. Une rue en a conservé le
nom
jusqu’au milieu du xixe siècle. 920. Depuis, et
le (petite tour), à l’endroit où commence un pont qui porte encore ce
nom
; à l’ouest, par la tour de Nesle, située en face
ituée en face de la Tour qui fait le coin du vieux Louvre, tirant son
nom
du voisinage du vaste hôtel de Nesle dont les der
Racine et la rue de l’École-de-Médecine. 931. Un quai en a retenu le
nom
. 932. Vauvert était un château donné par saint L
pain à son four. Il avait droit de colombier ; une rue en a pris son
nom
. 934. Hôpital des Lépreux. 935. Personnage du R
la bataille de Waterloo (18 juin 1815). 937. Entre le village de ce
nom
et celui de Waterloo ; occupé par l’armée anglais
érite en branchages, en terre ou en pierres. 972. Le roman prend son
nom
d’un village de la côte provençale.
aison et du goût substituée partout à l’autorité même des plus grands
noms
.. Aussi n’est-ce pas rhétorique que je voudrais d
aire. Cette classification est simple et féconde, bien que les trois
noms
semblent indiquer des distinctions faites à des p
ns les peuvent louer ; toute autre louange languit auprès des grands
noms
, et la seule simplicité d’un récit fidèle pourrai
ns. Les trois parties essentielles de l’art d’écrire prennent donc le
nom
du travail dont elles donnent les règles, elles s
ce moment, on me bénit, on m’aime ; On ne voit point le peuple à mon
nom
s’alarmer ; Le ciel dans tous leurs pleurs ne m’e
eil du comte qui pousse à bout Don Diègue au lieu de le calmer : Mon
nom
sert de rempart à toute la Castille, Sans moi vou
e ; ce sont des syllogismes composés. Le dilemme, comme l’indique son
nom
grec, est un double syllogisme dans lequel, en pa
tte propriété de frapper de deux côtés qui lui valut au moyen âge, le
nom
bizarre d’argument cornu. Ainsi Mathan, voulant
es intérêts de l’Etat. 7. Des arguments d’après leur origine. — Les
noms
qui précèdent ont été donnés aux arguments d’aprè
aux arguments d’après leur forme ; mais ils reçoivent encore d’autres
noms
, quand on considère la source à laquelle ils puis
est une faible peinture de ce qu’il plaît à notre siècle d’honorer du
nom
d’esprit. On peut rapprocher de cette définition
attentats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le
nom
de liberté ; une reine fugitive, qui ne trouve au
ules les peuvent louer. Toute autre louange languit auprès des grands
noms
; et la seule simplicité d’un récit fidèle pourra
ieu commun ne doit pas être confondu avec la figure qui porte le même
nom
et qui ne tire du rapprochement entre les idées q
deux rapports de notre âme avec le bien et le mal. L’amour prend les
noms
divers de tendresse, respect, reconnaissance, joi
endez-vous ? un événement, ou la nécessité sans doute ? Et quel autre
nom
donner à ce qui arrive ? Moi, je ne connais point
l allait détourner tous les coups, écarter tous les supplices. O doux
nom
de liberté ! ô droits sacrés du citoyen ! ô lois
es employer pour instruire et convaincre tous ceux qui sont dignes du
nom
d’homme et qui, maîtres de leur esprit, en pleine
xorde simple. — On distingue trois sortes d’exorde, désignés par les
noms
d’exorde simple, exorde par insinuation, exorde e
emps qu’il flétrit les intrigues des tribuns qui cachent sous ce beau
nom
leurs ambitieux desseins, il loue hautement les G
tion banale la disposition ingénieuse désignée par Quintilien sous le
nom
d’ordre homérique. Au quatrième chant de l’Illiad
attentats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le
nom
de liberté.... 3. Condition essentielle de l’am
raisonnements sont désignés par les logiciens et les rhéteurs sous le
nom
de sophismes. Les sophismes résultent ou du mauva
rendre la vertu ridicule dans la personne d’Alceste, équivoque sur le
nom
de Misanthrope : Il ne faut pas que ce nom en im
Alceste, équivoque sur le nom de Misanthrope : Il ne faut pas que ce
nom
en impose, comme si celui qui le porte Otait enne
uil ou de Pontoise, Cela ne me fait rien !... Bélise. Ce sont, les
noms
des mots et l’on doit regarder En quoi c’est qu’i
d on vous a démontré... ? puis, comme si vous parliez en votre propre
nom
. repassez tous vos raisonnements l’un après l’aut
e pour la bonté de Dieu. De même on peut donner pour complément à un
nom
un autre nom ou bien encore un infinitif : Je rou
té de Dieu. De même on peut donner pour complément à un nom un autre
nom
ou bien encore un infinitif : Je rougis de pleure
loi des épithètes. Les épithètes sont des adjectifs qui s’ajoutent au
nom
pour en compléter le sens. Cinna désigne le trium
r. 4. Du style périodique. — C’est à peine si l’on peut conserver le
nom
de périodes aux énumérations en style périodique
écrivains en ont fait usage, et les rhéteurs les ont classés sous le
nom
de figures, c’est-à-dire de physionomies différen
rs grecs avaient désigné toutes les différentes formes par différents
noms
composés, comme l’hypotypose, l’éthopée, la proso
aux d’un être ou d’un objet se rattache au lieu commun étudié sous le
nom
d’énumération et à la figure de pensée qu’on appe
me Bossuet, dans le tableau de la toute-puissance divine, remplace le
nom
même de Dieu par les périphrases la souveraine in
sté ; La malpropre sur soi de peu d’attraits chargée Est mise sous le
nom
de beauté négligée ; La géante paraît une déesse
de Socrate ; c’est cette sagesse souriante, qu’on a désignée sous le
nom
d’ironie socratique. Le même tour indirect sert
ences de l’impartialité. — Boileau attaque le noble qui déshonore son
nom
et sa race : Je veux que la valeur de ses aïeux
x plus vieilles chroniques, Et que l’un des Capets, pour honorer leur
nom
, Ait de trois fleurs de lis doté leur écusson : Q
de pensée. 4. De la prosopopée. — La prosopopée, comme l’indique son
nom
grec, est une personnification des choses. Rien d
ous implore, il vous supplie ; laissez-vous toucher. O mon époux ! au
nom
fies dieux, embrasse ton maître ; il t’a vaincu ;
adressant à ses soldats révoltés, s’exprime ainsi dans Tacite : Quel
nom
donner à cette foule séditieuse ? vous appellerai
. 7. De l’obsécration et de l’optation. — L’ obsécration, comme son
nom
l’indique, est une prière instante avec appel à t
appantes et les plus communes des figures de mots sont les tropes. Ce
nom
, qui signifie en grec tourner, désigne une figure
relle entre deux objets ; car c’est en vertu de cette relation que le
nom
de l’un peut être transporté à l’autre. Le plaisi
is principaux tropes ont été désignés par les rhéteurs grecs sous les
noms
de métaphore, métonymie et synecdoque. 2. De la
t forcé de la pauvreté de la langue ; aussi les Grecs l’appelaient du
nom
de catachrèse, qui signifie abus. 6. De la méton
métaphore est un changement de mots ; elle consiste à prendre : 1° Le
nom
de la cause pour le nom de l’effet : c’est ainsi
ent de mots ; elle consiste à prendre : 1° Le nom de la cause pour le
nom
de l’effet : c’est ainsi qu’on dit cultiver les M
le vin ; vivre de son travail, au lieu du fruit de son travail. 2° Le
nom
de l’effet pour celui de la cause : Pélion n’a pl
lie s’écrie : David, David triomphe, Achab seul est détruit. 6° Le
nom
abstrait pour le terme concret : Que ton effront
nnaire : ils auraient fait rire, s’ils n’eussent fait trembler. 7° Le
nom
du lieu pour celui de la chose qui y est faite :
st une figure précieuse pour le style élevé, puisqu’en substituant le
nom
du genre à celui de l’espéce, elle satisfait à la
croit tout permis Et qui pour un bon mot va perdre vingt amis. 4° Le
nom
de la matière pour la chose qui en est f
nt. La Fontaine. La cervelle pour le jugement. On désigne sous le
nom
d’antonomase c’est-à-dire substitution de mot, la
tonomase c’est-à-dire substitution de mot, la figure qui substitue le
nom
commun au nom propre ou réciproquement : Ainsi, l
-à-dire substitution de mot, la figure qui substitue le nom commun au
nom
propre ou réciproquement : Ainsi, l’ orateur roma
tropes ne sont que des formes de la figure de pensée étudiée sous le
nom
d’ironie, litote, atténuation, astéisme, etc. Une
n’en soient pas exagérés. V. La synecdoque, qui donne à l’espéce le
nom
du genre, satisfait à la règle de Buffon qui veut
fûtes pauvre et comme eux orphelin. On ne voit point le peuple à mon
nom
s’alarmer, Le ciel dans tous fûtes pleurs ne m’en
exposition qu’en faisaient les rhéteurs anciens qui avaient donné des
noms
différents à toutes les modifications les plus si
pléonasme appuie sur une idée, mais il est si près du ridicule que le
nom
même est pris le plus souvent en mauvaise part.
e les particules conjonctives, change plusieurs fois le cas d’un même
nom
, etc. On voit par la précision de ces détails qu
u d’Agamemnon a quelque chose de noble et de louchant à la fois : Ce
nom
de roi des rois et de chef de ta Grèce Chatouill
ir les crimes de la terre, La peste, puisqu’il faut l’appeler par son
nom
, Capable d’enrichir eu un jour l’Achéron, Faisait
style simple. 1. Du style simple. — Ce style simple est comme son
nom
l’indique une manière unie de dire les choses. C’
ance. 1. Du style tempéré. — Le Style tempéré, comme l’indique son
nom
, tient le milieu entre le style simple et le styl
De l’élégance. — L’élégance est une qualité difficile à définir, son
nom
veut dire choix ; elle consiste en effet dans le
se piquante, puisqu’elle laisserait supposer la pensée d’appliquer ce
nom
à l’homme ; mais la naïveté étant le caractère de
ations religieuses, a écrit ces vers magnifiques : L’Éternel est son
nom
, le monde est son ouvrage ; Il entend les soupirs
ute poésie. Il y a donc une langue intermédiaire qui peut recevoir le
nom
de prose poétique ; elle jouit de quelques-unes d
atoire, un luxe de bonnes et de mauvaises raisons qui a discrédité le
nom
des sophistes. La parole était pour eux une arme
, Pour s’attirer un accueil favorable, Prend souvent les habits et le
nom
de la fable, Et son langage est écouté. Fontaine
: il abandonna sans regret une ville qui n’avait plus de Rome que le
nom
, et, emportant avec Platon et Démosthène les cons
de scs ancêtres ; un cri s’élève, et les rives du Tanais répètent le
nom
de Nerva. C’est ainsi que l’éloquence donna au mo
que et le développement moral. 2. Du caractère. — On désigne sous ce
nom
l’indication des traits moraux qui distinguent un
comme un fleuve majestueux pour y porter la joie et l’abondance ; son
nom
sera écrit dans les annales de la postérité parmi
cultés générales de la nature, et en fait par là un homme digne de ce
nom
, il doit donc y avoir une éducation spéciale et p
tinuellement : car ma maison est iuchee sur un tertre, comme dict son
nom
, et n’a point de piece plus esventee que cette cy
voir, si, à mon escient5, je laissois esvanouïr et perdre un si riche
nom
que le sien, et une memoire si digne de recommand
parceque chasque nouvelle cognoissance que je donne de luy et de son
nom
, c’est autant de multiplication de ce sien second
t de multiplication de ce sien second vivre12, et d’advantage que son
nom
s’ennoblit et s’honnore du lieu qui le receoit13,
i fouït11 mon iardin, il a ce matin enterré son pere ou son fils. Les
noms
mesme dequoy12 ils appellent les maladies en addo
le souvenir). 13. Suivant la valeur de ceux chez qui vit encore son
nom
, sa mémoire. 14. On dit encore : c’est affaire à
] Τὸ ἄϰρα. De même : Analytiques prem., I, 4 Métaphysique, X, 12. Le
nom
.] Voy. Aristote, Du Langage, chap. ii et iii, et
doubles de ce genre, les ingénieuses observations de Letronne sur les
Noms
propres grecs (Paris, 1846), IIe partie. Il march
t. sophistiques, chap. xxii Métaph. IV, 7 etc. Il en est de même du
nom
propre Cléon, cité plus bas. Voyez : Rhétorique,
où l’on peut puiser des idées, certains magasins ou arsenaux sous le
nom
de Lieux communs, ainsi nommés parce qu’ils peuve
vains ont le plus souvent recours, est celui que l’on désigne sous le
nom
de Circonstances. En effet, les circonstances com
se humaines La faute que nous faisons n’est pas de nous servir de ces
noms
, c’est de les appliquer à des objets trop indigne
hesses, noblesse, puissance, pour les hommes du monde ne sont que des
noms
; pour nous, si nous servons Dieu, ce sont des ch
ffectives et trop réelles pour eux ; pour nous, ce sont seulement des
noms
, » parce que celui qui s’attache à Dieu, ne perd
liers pour en tirer une conclusion générale, le raisonnement prend le
nom
d’Induction. Exemple : Les rois sont les sujets d
ujets à même loi subissent même sort. 5° L’Exemple On donne le
nom
d’Exemple à un argument qui, s’appuyant sur l’ana
, les hommes de lettres, et les génies de tout genre, pour rendre son
nom
et son règne à jamais célèbres. 2° Exemple à cont
t ainsi naissance à une foule de sentiments. Ainsi la haine prend les
noms
de crainte, de honte, de ressentiment, de colère,
os larmes, Et veulent aujourd’hui qu’un même coup mortel Abolisse ton
nom
, ton temple et ton autel. Ainsi donc un perfide,
ux que certains critiques, qui consentent difficilement à accorder le
nom
d’épopée à d’autres poèmes qu’à l’Iliade et à l’É
à l’Énéide, nous dirons que les poètes épiques vraiment dignes de ce
nom
sont en très petit nombre, et qu’il serait diffic
dans l’histoire littéraire plus de huit ou dix poèmes qui méritent le
nom
d’épopée. 336. Quel est le but du poème épique ?
tés de l’entreprise épique ? L’épopée, pour mériter véritablement ce
nom
, doit réunir les deux grands points qu’exige Hora
x enfers. Ces épisodes occupent au moins un livre entier. On donne le
nom
de petits épisodes à des incidents moins étendus
et révoltant. Le Tasse a eu l’inadvertance de donner à ses démons les
noms
des dieux infernaux et des furies du paganisme. M
ssions, les vertus et les vices. Tons ces êtres de raison prennent le
nom
de personnages allégoriques. 375. Le merveilleux
que cet ouvrage n’est pas écrit en vers, Blair répond qu’il mérite le
nom
d’épopée, parce que la prose cadencée et poétique
es épopées secondaires 400. Quels sont les poèmes compris sous le
nom
d’épopées secondaires ? Les poèmes que l’on a co
onsistent essentiellement dans le récit, et que l’on comprend sous le
nom
d’épopées secondaires, sont au nombre de cinq, sa
je dis, aux personnes où i est élidé. A est long : 3° dans quelques
noms
propres en aius Cāius, Grāius, et d’autres tirés
quième déclinaison : diēi, speciēi. E est long : 2° dans quelques
noms
propres qui ont en grec la diphthongue ει, ou la
3° I est commun dans Orĭon, Dĭana, Marĭa. O est long dans les
noms
qui, en grec, ont un oméga, comme trōes, herōes,
sonne. La vaste porte, ouvrant ses battants vermoulus, Me demande mon
nom
, et ne me connaît plus1. Hélas ! je ne suis pas u
ue pierre oubliée Où d’un ancien bonheur la mémoire est liée, Quelque
nom
, que sa main sur le hêtre a gravé, Et que mieux q
rsé l’univers, Depuis qu’elle repose à l’ombre. Je viens de voir le
nom
d’un roi1 Sur le livre où, selon l’usage, Chacun
our compagnon ! J’aurais aimé que l’Italie Près du sien vît aussi ton
nom
! Du moins j’ai voulu te décrire Ce petit peupl
r les crimes de la terre5, La peste (puisqu’il faut l’appeler par son
nom
), Capable d’enrichir en un jour l’Achéron1, F
ue, et je sais qu’il n’est pas sans mérite ; Mais, près de ces grands
noms
, notre gloire est petite. 1. Parmi les travaux
tière. 2. C’est-à-dire, instruit : on donnait aux ecclésiastiques le
nom
de clercs (d’ou clergé) ; et, dit Pasquier, « com
yon de Molière : Selon ce que l’on peut être, Les choses changent de
nom
. 5. « Le septième livre, dit Chamfort, s’ouvre
erse, aujourd’hui désigné plutôt par le titre de schah. Au propre, le
nom
de princes Sophis ou Sofis a été celui d’une des
: on se reconnaît en eux. On l’a blâmé de nous avoir offert sous des
noms
anciens des courtisans de Louis XIV. Mais, lui fa
esse en sa bouche5 ! athalie. Comment vous nommez-vous ? Joas. J’ai
nom
Éliacin1. Athalie. Votre père ? Joas. Je suis,
mit dans ce temple ? joas. Une femme inconnue, Qui ne dit point son
nom
, et qu’on n’a point revue1. Athalie. Mais de vos
? Joas. Que Dieu veut être aimé ; Qu’il venge tôt ou tard son saint
nom
blasphémé ; Qu’il est le défenseur de l’orphelin
cultivez déjà leur haine et leur fureur5 ; Vous ne leur prononcez mon
nom
qu’avec horreur. Josabeth. Peut-on de nos malheu
, madame2. Junie. Vous ? Néron. Je vous nommerais, madame, un autre
nom
, Si j’en savais quelque autre au-dessus de Néron.
nien, il fut traduit en grec, et s’appela les Pandectes. 3. C’est le
nom
du chien. 4. Il plaide les circonstances atténua
résente votre destinée honorable. Vous n’aviez reçu en naissant qu’un
nom
et de la pauvreté. C’était beaucoup que le premie
erais mieux être un homme estimé qu’un homme aimable ; un Officier de
nom
, qu’un joli cavalier ; et je prendrais, si je pou
ndent que les nobles ne doivent pas, en signant, ajouter le de à leur
nom
, non plus que leur titre ou de Marquis ou de Comt
e Marquis ou de Comte, etc. ; à moins qu’on ne soit plusieurs du même
nom
, et que ce titre ne soit employé comme distinctif
nmoins ceux qui signent ordinairement, sans ajouter leur titre à leur
nom
, écrivent pour la première fois à des personnes,
; pour le chancelier : À Monseigneur le Chancelier (en supprimant le
nom
) ; pour un ambassadeur : À son Excellence, etc. O
e l’attend dans une des places les plus éminentes. Quoiqu’on donne le
nom
général de poëme à tous les ouvrages en vers, il
à vaincre : mais ce n’est qu’en les surmontant qu’il peut mériter le
nom
de vrai poëte, et faire connoître tout le prix de
cun un génie particulier, nous les désignons cependant tous sous sept
noms
seulement ; et nous rangeons dans la même classe
dont la différence est moins sensible : apprenez leur ordre et leurs
noms
. Ceux que la réfraction écarte le moins de la lig
veines. La deuxième espèce dans l’ordre des rayons, a reçu de l’or le
nom
de sa couleur. Cruelle et fatale couleur ! Hélas
zurée. Très ressemblant au bleu qui le devance, le sixième a tiré son
nom
des régions de l’Inde. Le dernier enfin nous lais
res une sombre lueur. Pareil à la triste violette, il en emprunta son
nom
: sa lumière confuse et troublée le rapproche des
gent ses honneurs. Un opprobre éternel suit tout mortel parjure : Son
nom
pour ses enfans est une affreuse injure ; Leur un
Tu m’as vaincu ; je cède, et l’âme est immortelle Aussi bien que ton
nom
, mes écrits et tes vers. Il seroit bien difficil
ces. Elle peut aussi être feinte en tout, et vraie seulement dans les
noms
: c’est lorsque l’on attribue à des personnages q
t Corneille dans le Cid et dans Héraclius, où il n’a conservé que les
noms
, qui sont dans l’histoire ; et comme l’a fait aus
rendu plus sensible par un exemple. Poliencte, dans la tragédie de ce
nom
, vient dé se faire chrétien, et de recevoir le ba
e à ce but. Le martyre de Polieucte est le sujet de la tragédie de ce
nom
. Voyez comme toutes les petites actions qui précè
ectateur, comme Joas dans Athalie, Britannicus dans la tragédie de ce
nom
. Ce n’est pas qu’on ne puisse s’intéresser aux au
Clélie 2. L’air ni l’esprit français à l’antique Italie, Et sous des
noms
romains, faisant notre portrait, Peindre Caton(a)
de lui. Ainsi, lorsque nous voyons Mithridate, dans la tragédie de ce
nom
, résolu à se venger de ses deux fils, aussitôt qu
épart, l’a priée de souffrir qu’elle entretînt ce soir Valère sous le
nom
d’Isabelle, par la petite rue où la chambre de ce
itôt de ne point faire de bruit, et se nomme. Sganarelle entendant le
nom
d’Isabelle, dit : Vous en avez menti, chienne, c
que tu fais, elle suit trop les loix, Et tu prends faussement et son
nom
et sa voix. Isabelle dit à Valère qu’à moins de
Valère et Isabelle qui demande pardon à sa sœur d’avoir emprunté son
nom
, pour faire réussir son stratagème. Le tuteur con
nnées sur notre théâtre un autre genre de comique, auquel on donne le
nom
de lt. Le poëte y présente, dans tout le cours de
éprouver deux sentimens opposés, la douleur et la joie ; qu’enfin le
nom
de comédie ne convient nullement à des pièces de
que le mauvais goût de notre siècle a remis au monde ». On a donné le
nom
de Comédies héroïques, à celles où l’on a introdu
s espèces, A sauver, s’il se peut, par mes travaux constans, Et leurs
noms
et le mien des injures du temps. Infortuné ! je t
et de chiens : Il tutoie, en parlant, ceux du plus haut étage, Et le
nom
de monsieur est chez lui hors d’usage. Clitandre
s point ces gens-là. Philaminte. Quel martyre ! Belise. Ce sont les
noms
des mots, et l’on doit regarder En quoi c’est qu’
de la mort de Thespis, les poëtes n’inventoient ni les sujets ni les
noms
. Ils mettoient sur la scène des aventures réelles
considérables de la république ; et le principal acteur en portoit le
nom
. C’est de cette manière que le vertueux Socrate f
n décret par lequel il fut défendu aux poëtes comiques d’employer des
noms
connus. Alors à la vieille comédie succéda la me.
ployer des noms connus. Alors à la vieille comédie succéda la me. Les
noms
y étoient supposés ; mais les sujets étoient véri
oms y étoient supposés ; mais les sujets étoient véritables. Sous ces
noms
imaginaires, les poëtes peignoient si bien le car
n scènes, et rappela la règle des trois unités. C’est ce qui rend son
nom
précieux dans l’histoire de notre théâtre. Il fut
Dans les parodies de la première espèce, le titre de l’original, les
noms
et le rang des personnages, l’action, l’intrigue,
es parties du dialogue. Mais il change avec le titre de la fable, les
noms
et le rang des personnages ; il dégrade cette act
t ma colère. D’Iphigénie encor je respecte le père, Peut-être sans ce
nom
, le chef de tant de rois M’auroit osé braver pour
Que dans l’heureux spectacle à nos yeux étalé. N’en a fait, sous ton
nom
verser la Chanmeslé(a). De l’amour dans la tr
fforce à tacher le renom D’un guerrier, à qui tous doivent un si beau
nom
. Il est aisé de sentir que ce n’est point ici le
llesse, Et toujours de la gloire évitant le sentier, Ne laisser aucun
nom
et mourir tout entier ? Ah ! ne nous formons poin
our, le lieu, l’heure à laquelle il devoit exécuter son dessein et le
nom
de tous les conjurés. Ensuite il continue : Tu t
à tous mes amis : Chacun à ce fardeau veut dérober sa tête. Le grand
nom
de Pompée(b) assure sa conquête : C’est l’effroi
vant, plus qu’en tout le chemin, Vous trouverez par-tout l’horreur du
nom
romain, Et la triste Italie encore toute fumante
, et la mienne peut-être ; Et, la flamme à la main, effaçons tous ces
noms
Que Rome y consacroit à d’éternels affronts. On
pitié. C’est Idoménée, roi de Crète, qui parle dans la tragédie de ce
nom
par Crébillon. La Crète(b) paroissoit ; tout fla
vie ; Une telle vertu n’appartenoit qu’à nous : L’éclat de son grand
nom
lui fait peu de jaloux ; Et peu d’hommes au cœur
, Pour oser aspirer à tant de renommée, Curiace. Il est vrai que nos
noms
ne sauroient plus périr. L’occasion est belle, il
e pareille grandeur. Ce sont ces traits qui ont mérité à Corneille le
nom
de Grand, non-seulement pour le distinguer de son
leur variété, dans leur désordre, est rendu par un chant qui porte le
nom
d’Air ou Ae. Ce chant ne peut donc être placé, co
nous offrent ce genre de poésie. Définition du Poëme épique. Le
nom
d’épopée est composé de deux mots grecs ἕπος, qui
us révoltant. Le Tasse a eu l’inadvertance de donner à ses démons les
noms
des dieux infernaux et des furies du paganisme. M
ssures. Elle envoie à la tente de Tancrède un Ecuyer, qui, cachant le
nom
de la princesse, lui dit qu’une dame vient lui re
es dans le récit épique ; celle où le poëte se montre et parle en son
nom
, et celle où il fait parler ses personnages, en r
l est au-delà de ces lacs qu’on a depuis appelés les lacs Albains, du
nom
de la ville d’Albe(a) Il s’arrête, et ses yeux ch
s ; Si de vos fiers égaux, il vous fit les sujets, Il a de vos grands
noms
illustré la mémoire ; Et l’honneur du combat suff
fois en 1597, et dont ils font un très-grand cas : c’est l’Araucana,
nom
d’une contrée qui est sur les frontières du Chili
e dis-je ! ce vil et abject versificateur ne peut qu’imprimer sur son
nom
une tache éternelle : en devenant l’opprobre de s
s, à la fin de ce Volume. 1. Roman de Mademoiselle Scudéri. C’est le
nom
qu’elle donne à Cyrus, ce fameux roi des Penses,
Ne manquez pas, d’un haut ton, De les saluer par leur
nom
, De quelque rang qu’ils puissent être.
rapière, Montant superbement sa jument poulinière, Qu’il honorait du
nom
de sa bonne jument, S’en est venu nous faire un m
son chemin par une autre heurtée, 8. Sort du bois… 1. C’est le
nom
de chevaux de cette partie de la côte d’Afrique q
queur renommé. 1. Je les suis en les animant : terme de vénerie. 2.
Nom
d’un excellent chien. 3. Ancienne forme du verbe
dit Cicéron, et ψήφισμα natum est. Ce pséphisma ou décret portait le
nom
de celui qui l’avait proposé, et était toujours c
it le nom de celui qui l’avait proposé, et était toujours cité par le
nom
de son auteur, et la date du jour où il avait été
endu. Avant d’avoir reçu cette sanction, il portait provisoirement le
nom
de προϐούλευμα, et n’avait force de loi que penda
ions, on se servait de petites boules sur lesquelles était inscrit le
nom
de la tribu à laquelle appartenait la centurie, e
e frivole histoire. Vous imitez si mal vos illustres aïeux, Que leurs
noms
sont pour vous des noms injurieux. Mais de quoi s
imitez si mal vos illustres aïeux, Que leurs noms sont pour vous des
noms
injurieux. Mais de quoi se plaint-on ? Catilina c
-les de défendre, contre l’audace de quelques citoyens indignes de ce
nom
, celle ville dont l’éclat égale la puissance, et
e voient au-delà ni peines à craindre ni plaisirs à espérer. Mais, au
nom
des dieux, pourquoi n’avez-vous pas ajouté qu’ils
Rome ; ils appellent à leur secours les Gaulois, ennemis déclarés du
nom
romain ; le chef des conjurés s’avance à la tête
es. D’où vient qu’un autre a suivi la route des armes ? C’est que son
nom
et les services de ses ancêtres lui permettaient
ût, de conscience, d’intérêt même, l’éloignent, parce que, né avec un
nom
, il n’oserait se borner aux soins domestiques, et
eux s’exposer à toutes les suites de sa fragilité, que déshonorer son
nom
par une alliance inégale. Telle, sans aucun attra
Seigneur par pure fierté, parce que n’ayant pas de quoi soutenir son
nom
et s’établir convenablement dans le monde, un asi
des âmes dont le monde n’est pas digne, des sages seuls dignes de ce
nom
. Tous nos soins devraient donc se borner à la con
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