e littérature y fût plus répandue et plus approfondie, de recueils de
morceaux
choisis, empruntés à nos meilleurs écrivains, pro
nfiance, lorsqu’il a bien voulu nous inviter à composer un recueil de
morceaux
choisis, pour les classes de grammaire particuliè
ivent étudier, les modèles les plus incontestés et les plus purs, les
morceaux
les plus propres à former le cœur autant que l’es
paru en rapport avec leur jeune intelligence. Dans la disposition des
morceaux
, nous n’avons apporté d’autre ordre que celui qui
té faite par un grand nombre de professeurs, nous avons réimprimé ces
Morceaux
choisis, en réunissant dans le même volume les mo
réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les
morceaux
de prose et de poésie plus particulièrement conve
e poésie plus particulièrement convenables à chaque classe ; quelques
morceaux
nouveaux ont pris place parmi les anciens. Ce tra
grands maîtres ont tracées, en produire quelques-uns et faire même un
morceau
vraiment éloquent, que lui dictera le seul sentim
r le style ? Non sans doute : il est impossible qu’il ne défigure ces
morceaux
éloquents par d’autres morceaux défectueux. C’est
est impossible qu’il ne défigure ces morceaux éloquents par d’autres
morceaux
défectueux. C’est ce que font tous les jours des
Il y a, par exemple, dans les poèmes dramatiques de Shakespeare, des
morceaux
d’une vraie éloquence, que déparent d’autres morc
hakespeare, des morceaux d’une vraie éloquence, que déparent d’autres
morceaux
pleins de défauts monstrueux. Si ce Tragique angl
fureur. Il n’est aucun homme sensible, qui, à la lecture de ces deux
morceaux
, ne conçoive et n’éprouve lui-même les vives impr
frent en ce genre des exemples sans nombre. Néanmoins leurs meilleurs
morceaux
sont inférieurs à l’histoire admirable de Josepha
euville, surtout son Oraison funèbre du cardinal de Fleuri a, d’où le
morceau
suivant a été tiré. « Le moment arrivait où ce m
n. Le Sermon de ce dernier sur le petit nombre des élus, est plein de
morceaux
sublimes. Voici le plus frappant. L’orateur l’a i
ât seulement dix justes parmi nous ? En trouverait-il un seul ? » Ce
morceau
, dit Voltaire 1, est un des plus beaux traits d’é
’Orateur ; et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce
morceau
. Aucun de ces trois genres ne se trouve ordinaire
neur à sa plume et à notre langue. C’est là que l’on trouve ce fameux
morceau
sur la guerre, et cette définition de la véritabl
els ont été les progrès des lumières, depuis que Voltaire écrivait ce
morceau
, et leur influence sur l’art militaire en particu
barbares, que n’a point fait leur valeur ? etc. » Rapprochons de ce
morceau
une autre définition d’une armée, citée partout c
renne, son plus bel ouvrage, qui ne voit, dans le premier de ces deux
morceaux
, le véritable orateur, l’écrivain plein de son su
es, etc. Le discours éloquent que nous parcourons est terminé par un
morceau
de la sensibilité la plus vraie sur la mort de M.
m’assis tout seul à une table. Je n’avais pas encore mangé le premier
morceau
, que l’hôte entra, suivi d’un homme qui l’avait a
à table pour vous tenir compagnie seulement, et je mangerai quelques
morceaux
par complaisance. » En parlant ainsi, mon panégyr
excellente, mais elle coûtera cher à ceux qui la mangeront : c’est un
morceau
trop friand pour vous. — Qu’appelez-vous trop fri
ant, etc. » Cela rappelle le mot du parasite : « Je mangerai quelques
morceaux
par complaisance. » 4. Il faut avouer que le sei
son goût pour les pierres, etc ». (Éloge de Tournefort). Voilà deux
morceaux
d’un caractère de style bien différent ; et tous
ierre Ier et du roi de Suède, par Voltaire ; on sait que c’est un des
morceaux
brillants de l’histoire de Charles XII. Ce même p
». (Voltaire.) Tous les compilateurs n’ont jamais manqué de citer ce
morceau
, et de se récrier d’admiration en le citant. Les
de restriction : sans doute, dans toute autre circonstance, un pareil
morceau
pourrait être déplacé, et dégraderait peut-être l
ement quelquefois le plaisir que pourraient nous faire les plus beaux
morceaux
de poésie moderne. Ouvrez Homère, et vous lui ren
ς μέλιτος γλυκίων ῥέεν αὐδή. (Ιλ. Α. v. 247). C’est surtout dans les
morceaux
d’une certaine étendue, et où plusieurs circonsta
monie à la versification latine, Lucrèce, a imité avec succès ce beau
morceau
d’Homère. ……………… Adverso nixantem trudere monte
rescere murmur. (Georg. Lib. i). M. Delille se montre digne, dans ce
morceau
, de marcher à côté de son modèle. Au premier sif
les d’harmonie soutenue et caractérisée, d’un bout à l’autre, dans un
morceau
de longue haleine ? Entendez-vous le son des trom
nt ici l’air étrangère, et qu’elle est bien loin de défigurer ce beau
morceau
. …………………………… Je disais à la nuit sombre : Ô nuit
na Babylonis, etc. ; c’est-à-dire, de la plus belle élégie connue, du
morceau
le plus touchant que nous offre l’antiquité164. L
par exemple, que l’esprit seul des livres saints pouvait inspirer le
morceau
suivant : Digne prix de ma foi, quelle auguste m
rien, absolument rien, et n’en reviendront qu’avec plus de plaisir au
morceau
délicieux que nous venons de citer. Après ce cour
ême déplacé dans une pièce profane, est quelque chose de plus dans un
morceau
de la nature de celui-ci, et nous sommes étonnés
e historique, rejettent nécessairement cet épisode dans la classe des
morceaux
qui plaisent plus à l’esprit qu’ils ne peuvent to
nneur de disputer, en 1784, le prix de l’académie française. Voici ce
morceau
, d’autant plus précieux, qu’il est rare, et qu’il
essentiellement ici l’esprit du génie. Un exorde, en général, est un
morceau
d’apparat, un morceau étudié ; et tout ce qui sup
’esprit du génie. Un exorde, en général, est un morceau d’apparat, un
morceau
étudié ; et tout ce qui suppose et exige de l’art
d. Voilà pourquoi l’homme d’esprit se tire à merveille d’une foule de
morceaux
de détails, de petites circonstances qu’il a le t
he à sa parole » ! Fléchier et Mascaron se sont élevés, dans ce même
morceau
, à des beautés dignes de Bossuet lui-même. Écouto
se protection. On le regrettera vivemement, à la lecture de plusieurs
morceaux
de ses ouvrages. Aux traces d’exagération et d’in
ère avait parlé à peu près de même dans les Femmes savantes. Voir les
Morceaux
choisis pour la classe de seconde. 1. Condamnati
des fautes, il ne méritait cependant pas la mort. 1. Ces vers et ces
morceaux
même, admirablement frappés, ont mérité à Gilbert
eu des planètes (c’est l’exposition du système de Copernic), quelques
morceaux
traduits avec éclat de Virgile, etc. 3. Voilà un
ude des règles par : 1° La lecture des bons modèles ; 2° L’analyse de
morceaux
choisis dans tous les genres ; 3° Des exercices g
d’abord il lui a été donné connaissance. 1er Exercice : Lecture du
morceau
par le maître ou par un élève. Après cette lectur
e, l’élève doit en présenter le compte rendu. 2e Exercice : Examen du
morceau
dans ses parties constitutives. — Quel est l’obje
n du morceau dans ses parties constitutives. — Quel est l’objet de ce
morceau
? — Examinons si les faits que l’auteur expose, s
res subdivisions ? (De même pour les autres). 3e Exercice : Examen du
morceau
sous le rapport de la disposition de ses parties
es. — Maintenant que vous connaissez les parties constitutives de ce
morceau
, examinez l’ordre dans lequel l’auteur les a dist
eur aurait pu en adopter une plus convenable. 4e Exercice : Examen du
morceau
sous le rapport de la liaison de ses parties cons
teur a lié les diverses parties de son œuvre. 5e Exercice : Examen du
morceau
sous le rapport du style. — Quelle opinion avez-v
apport du style. — Quelle opinion avez-vous du style en général de ce
morceau
? — L’auteur avait-il besoin pour son sujet d’art
essions relevées, d’images sublimes ? — Le style de l’auteur, dans ce
morceau
, est-il clair ? est-il pur ? Ici c’est au profe
qu’ensuite on le mette le livre de côté, et qu’on essaye d’écrire ce
morceau
de mémoire, aussi bien qu’on pourra le faire. Apr
mple et celui qui obtient les résultats les plus rapides. Un choix de
morceaux
dans les différents genres de nos meilleurs auteu
us haut, et puis cherchera à recomposer, sans le secours du livre, le
morceau
analysé. Enfin, par la comparaison qu’il fera de
l y a un moyen de développer la sensibilité, c’est de se pénétrer des
morceaux
éloquents qui en offrent les différents traits, e
s savoir pourquoi. Cependant, si l’on veut examiner attentivement les
morceaux
de ce genre, on trouvera que les pensées sont sim
prêtre ; Mais bientôt à ma vue on l’a fait disparaître. Et cet autre
morceau
: Un immense bûcher, dressé pour leur suppliée,
Raynouard. Les Templiers. On trouve encore l’hypotypose dans les
morceaux
suivants : À peine nous sortions des portes de T
tes et chez les orateurs ; mais il faut surtout la remarquer dans les
morceaux
pathétiques, et on voit qu’elle consiste à dispos
stes d’une voix qui tombe, et d’une ardeur qui s’éteint ! » Un autre
morceau
où la gradation est bien marquée, surtout bien ap
prime dans l’âme un sentiment profond ; elle est placée à la fin d’un
morceau
. Il faut remarquer l’épiphonème qui termine, dans
e des précédentes. Pour s’en convaincre, qu’on dépouille du nombre un
morceau
quelconque où il est bien observé, tel que celui
— Donnez des exemples ? — En quoi consiste la réticence ? — Citez des
morceaux
où elle se rencontre ? — Que fait l’orateur au mo
Nous empruntons presque tout ce qui suit sur la manière d’analyser un
morceau
littéraire à l’excellent ouvrage de feu Sabatier
ment de cette figure dans son Discours sur les Lettres. Voici ce beau
morceau
. « Ô Fabriciusc, qu’eût pensé votre grande âme,
tion de Didona abandonnée par Énée. Voici la traduction en vers de ce
morceau
par Boileau, frère de l’auteur du Lutrin. Hélas
Pompignan dans sa belle Ode tirée de ce psaume, a ainsi paraphrasé ce
morceau
: L’éclat pompeux de ses ouvrages,
nt tous devant ses yeux comme s’ils n’étaient pas. Si ces différents
morceaux
traduits en notre langue, éclatent par tant de be
le parti de ceux qu’ils voudraient favoriser. Je n’en citerai que ce
morceau
, dont la plus grande partie a été traduite en ver
s pervers. On trouve encore le vrai sublime des images dans les deux
morceaux
suivants. Le premier est tiré d’un sermon de Mass
e fils. Il est plein de grandes idées et d’images sublimes : c’est un
morceau
de poésie fini. Déjà j’entends des mers mugir le
é à la mode du premier Empire, on est parfois tenté de croire que des
morceaux
choisis ne sont pas toujours des morceaux de choi
ois tenté de croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des
morceaux
de choix. Puisse-t-on ne point adresser ce reproc
e d’une routine fastidieuse qui risquait d’imposer à chaque groupe de
morceaux
choisis une étiquette de convention. Oui, mieux v
é à la mode du premier Empire, on est parfois tenté de croire que des
morceaux
choisis ne sont pas toujours des morceaux de choi
ois tenté de croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des
morceaux
de choix. Puisse-t-on ne point adresser ce reproc
e d’une routine fastidieuse qui risquait d’imposer à chaque groupe de
morceaux
choisis une étiquette de convention. Oui, mieux v
modèles de pensées et de sentiments naturels, nous mentionnerons les
morceaux
suivants : la jeune Captive, par André Chénier ;
ndrons Fontenelle, Marivaux, Dorat, Vauvenargues, et Blanchet dont le
morceau
intitulé l’Académie silencieuse ou les Emblèmes,
trait de la femme forte, Mulierem fortem… (Prov., xxxi, 10-31). A ces
morceaux
nous ajouterons des passages plus ou moins nombre
taire, Lamartine, présentent des modèles de style gracieux. Parmi les
morceaux
les plus remarquables en ce genre, nous signalero
plus de quatre-vingts ans, écrivit à madame Lullin. Voici ce dernier
morceau
: Hé quoi ! vous êtes étonnée Qu’au bout de qua
ine, Bossuet, Racine, Bourdaloue, Massillon, J.-B. Rousseau, etc. Les
morceaux
suivants sont des modèles de style sublime : la d
es pensées et des sentiments énergiques, on la trouve encore dans des
morceaux
assez étendus. L’énergie se développe alors dans
est frappant, tout va en croissant. Voyons maintenant ce que ce beau
morceau
a pu perdre ou gagner entre les mains de deux fam
asse voir, ne fasse entrer, en trois vers, est une négligence dans un
morceau
aussi important ; et fasse voir du Styx la rive d
c des armes très inégales que les modernes voudront lutter contre des
morceaux
d’une perfection aussi achevée ; et Delille est t
ne Manes . Il est évident au surplus que Pope avait, en traduisant ce
morceau
, les vers de Boileau sous les yeux. Son dernier v
père et l’autorité d’un maître. Le Deutéronome, qui nous a fourni le
morceau
qu’on vient de lire, contient plusieurs autres mo
Plaignons, et plaignons bien sincèrement ceux pour qui de semblables
morceaux
perdraient de leur mérite réel, par cela seul qu’
nce inévitable de l’autre : nous vous avons montré que les plus beaux
morceaux
, que l’on pût offrir à votre admiration, étaient
es de donner la plus haute idée de cette entreprise si hasardeuse. Ce
morceau
est, au jugement du P. Rapin 112, le plus achevé
donna un Abrégé, qui fit perdre l’histoire même. Il y a de très beaux
morceaux
, et des peintures très vives. La narration de cet
que, et la Vie d’Agricola pour un des plus beaux et des plus précieux
morceaux
de l’antiquité. L’abbé de La Bletterie a traduit
lon Voltaire, n’a eu ni modèles, ni imitateurs, est un des plus beaux
morceaux
d’éloquence qui soient sortis de la main des homm
dans son style ; que toutes ses histoires offrent un grand nombre de
morceaux
pleins de chaleur et d’intérêt, et qu’il en est p
enise. Il y a, dit-on, quelques faits imaginés. À cela près, c’est un
morceau
très précieux. Les réflexions y sont sensées, les
naïveté. Ceux de Commines, chambellan de Louis XI : un des meilleurs
morceaux
de notre histoire pour le règne de ce monarque et
re littérature y fût plus répandu et plus approfondie, de recueils de
morceaux
choisis, empruntés à pos meilleurs écrivains, pro
nfiance, lorsqu’il a bien voulu nous inviter à composer un recueil de
morceaux
choisis, pour les classes de grammaire particuliè
ivent étudier, les modèles les plus incontestés et les plus purs, les
morceaux
les plus propres à former le cœur autant que l’es
paru en rapport avec leur jeune intelligence. Dans la disposition des
morceaux
, nous n’avons apporté d’autre ordre que celui qui
tacle de la nature : ce qu’il nous enseigne. Voyez, Lucile219, ce
morceau
de terre, plus propre et plus orné que les autres
ence. Pour la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les
morceaux
nécessaires se tournent en ornements naturels. Ma
acte de Rodogune, se soutiendraient à côté d’Athalie, quand même ces
morceaux
seraient faits aujourd’hui ; de quel œil devons-n
t ; Cela fut sitôt fait qu’à peine ils le sentirent : Tout fut mis en
morceaux
un seul n’en échappa. Nous pouvons concl
serre cruelle, Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle Et les
morceaux
du las qui l’avait attrapé, Semblait un f
e n’ont trouvé un plus élégant et plus judicieux interprète. Quelques
morceaux
de lui attestent en outre qu’il était capable d’u
té faite par un grand nombre de professeurs, nous avons réimprimé ces
Morceaux
choisis, en réunissant dans le même volume les mo
réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les
morceaux
de prose et de poésie plus particulièrement conve
e poésie plus particulièrement convenables à chaque classe ; quelques
morceaux
nouveaux ont pris place parmi les anciens. Ce tra
rois archaïsmes, la seule tache qui paraîtrait aujourd’hui déparer ce
morceau
plein de mouvement et de chaleur. 27. Bossuet ra
les, avaient coutume de se retirer. 52. On peut lire, au sujet de ce
morceau
, des considérations pleines d’intérêt de M. Ville
ici, pour suivre la liaison rigoureuse des idées développées dans ce
morceau
, se rendre bien compte de la différence établie p
ettre de Mme de Sévigné, datée du 16 août 1675, et que renferment nos
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de quatrième, un b
re à Timothée, VI, 15. 106. Les mêmes idées sont développées dans le
morceau
de Balzac intitulé : De la conduite de Dieu dans
itulé : De la conduite de Dieu dans les événements humains. (Voy. les
morceaux
choisis à l’usage de la classe de troisième, page
e estimable de Saint-Évremond, que nous avons fait connaître dans nos
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de quatrième. 110
eunes gens. Voyez encore Horace, Art poétique, v. 161 et suiv., et le
morceau
de Régnier intitulé les quatre âges de l’homme, d
t le morceau de Régnier intitulé les quatre âges de l’homme, dans les
morceaux
choisis pour la classe de quatrième, page 81. 12
— Il serait facile, mais peu nécessaire, de relever çà et là dans ce
morceau
quelques incorrections de détail : Bossuet n’a mi
tudiées. 140. Lactance, Divin. Instit., liv. VI, c. XI. 141. Cf. le
morceau
de Bourdaloue intitulé Nécessité de l’aumône et c
146. On a quelquefois refusé à Bossuet le don de la sensibilité ; ce
morceau
suffirait pour faire justice d’une telle opinion
i qui l’a écrite et de celui qui y est loué. On peut en rapprocher un
morceau
judicieux du père Bretonneau, de la société des j
ableau achevé ». 161. Pour faciliter aux élèves l’intelligence de ce
morceau
étendu de Bourdaloue, nous en avons tracé le plan
avril 1687, etc. Il faut voir aussi l’éloge que fait l’abbé Maury du
morceau
que nous avons emprunté à Bourdaloue, et en génér
ents passagers qui se combinent avec l’un et l’autre, on peut voir un
morceau
intéressant de cet auteur, dans les Éléments de l
le sermon de Bourdaloue sur la passion de Notre-Seigneur, à la fin du
morceau
. 273. Ce mot conserve ici son sens étymologique
l’orateur, et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce
morceau
. » Il le transcrit ensuite et termine sa citation
9. On peut ici comparer Massillon avec lui-même, en rapprochant de ce
morceau
la peinture qu’il a tracée, dans son sermon pour
nt porte aussi loin que Massillon le mérite de l’élégance ». Ces deux
morceaux
ont été donnés dans les Morceaux choisis pour la
le mérite de l’élégance ». Ces deux morceaux ont été donnés dans les
Morceaux
choisis pour la classe de quatrième, pages 68 et
305. « Comme toutes les expressions, observe La Harpe en citant ce
morceau
, coulent d’une âme qui s’épanche ! Est-il possibl
e du philosophe chrétien atteint à la plus grande élévation. 308. Ce
morceau
est mentionné par La Harpe comme l’un de ceux « o
t revoir sur la conduite du sénat un passage de Bossuet cité dans les
Morceaux
choisis de la classe de quatrième, page 32. 316.
s Romains et ce honteux abaissement des rois. On peut revoir dans les
Morceaux
choisis de la classe de quatrième, page 94, les e
ètes. Ce prince a été fort bien jugé par Montesquieu lui-même dans le
morceau
intitulé : Parallèle de Charles XII et d’Alexandr
était sa mère. Eurydice était l’épouse d’Aridée. 329. En offrant ce
morceau
pathétique à l’étude de la jeunesse, on ne dissim
aire.) 336. Dans le récit de la bataille de Rocroy fait par Bossuet (
Morceaux
choisis de la classe de troisième, page 59), l’or
le d’Adélaïde Duguesclin. 358. Il faut rapprocher de cette lettre le
morceau
de Fénelon intitulé : De la perfection du goût, e
e avant l’apparition de Corneille. On peut revoir ce passage dans les
Morceaux
choisis de la classe de troisième, page 81. 365.
de la nature sauvage. Il serait curieux, par exemple, d’opposer à ce
morceau
de Buffon les descriptions que M. de Chateaubrian
mêlant à la splendeur des images, en tempère heureusement l’éclat. Un
morceau
encore sans reproche, ajoutait- il, c’est le débu
ienfaits de la paix dans une idylle pleine de grâce. On peut voir les
Morceaux
choisis de la classe de sixième, p. 159. 448. «
insi parler de soi et de ne s’être point trompé. En effet, il y a des
morceaux
de Malherbe qui dureront jusqu’aux derniers débri
dans le style noble. 483. Revoir sur ce mot la note 1, page 179 des
Morceaux
choisis de la classe de troisième. 484. Maintena
es vers en sont beaux, les réflexions sont justes, intéressantes : ce
morceau
est digne du grand Corneille ». 504. Pour confi
te à Sénèque en surpassant son modèle, et qui est l’un des plus beaux
morceaux
de notre langue, le poète a montré, pour parler a
rs de littérature dramatique. En outre. M. Guizot a publié sur lui un
morceau
important. 527. Ici se retrouve un souvenir de l
pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le volume de nos
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de sixième. 550.
e mal : tour vif, qui paraîtrait aujourd’hui peu usité. 562. « À ce
morceau
dont l’impression est si délicieuse, dit La Harpe
der.) 576. Nous avons rencontré une image semblable dans l’admirable
morceau
de Bossuet sur la jeunesse, donné dans le même re
scours de Molière, chef-d’œuvre de la bonne comédie ? Ce sont de tels
morceaux
qui l’ont fait justement appeler par La Harpe « l
et qui reparaîtra encore un peu plus bas. 668. On peut voir dans nos
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de cinquième, p. 2
us possédons n’offre, on osera l’affirmer, un épisode comparable à ce
morceau
pour la vivacité de l’invention, la force du colo
dernière édition qu’il donna de ses œuvres poétiques (1701). C’est un
morceau
dont on ne saurait trop recommander la lecture.
écepte de Boileau, voyez le discours de Buffon sur le style, dans les
Morceaux
choisis de la classe de rhétorique. 692. De même
bien plus poète que lui cependant, a laissé, entre autres travaux, un
morceau
inachevé sur l’Invention, où ses idées sur les ré
mper ait. 840. Revoir, au sujet de cette expression, la p. 298 des
Morceaux
choisis pour la classe de troisième. 841. « Lo
es secrets du génie. Je ne crois pas qu’il y ait dans notre langue un
morceau
d’une mélancolie plus touchante, d’une chasteté p
Et modo nata mala vellere poma manu ? 842. Il ne subsiste que des
morceaux
, inachevés en général, de ce poème où A. Chénier,
xemples, que ce lieu commun fournit, à l’éloquence, de bien brillants
morceaux
. On voit aussi que l’orateur définit les choses b
mémorables victoires du grand Condé 13, celle de Fribourg14. Voici ce
morceau
frappant : « Arrêtez ici vos regards. Il se prép
ne, comme étant de son invention et de sa composition, une pensée, un
morceau
qu’il a pris dans un autre écrivain. Liberté d
le peinture du bouclier de ce héros, et dans bien d’autres excellents
morceaux
de son Énéide. Homère lui-même, a vraisemblableme
dans le début de son Clovis, poème médiocre, mais où l’on trouve des
morceaux
heureux, dit à la muse qu’il invoque : Ose répan
otre Racine qui imite Euripide. Je ne rapporterai qu’une partie de ce
morceau
. Dans le poète grec, Phèdre se reprochant son amo
ice Gavius, citoyen romain. Voici, à peu près, le sens littéral de ce
morceau
. « Au milieu de la place publique de Messine37,
le pompeux et magnifique. Un beau modèle de narration oratoire est le
morceau
suivant de l’Oraison funèbre du président de Lamo
vable de son agrandissement à votre négligence, qu’à sa valeur ». Ce
morceau
est plein d’éloquence, mais de cette éloquence mâ
et qui en ignorait le succès, a jugé, à la simple lecture de ces deux
morceaux
, qu’Eschine succomba. Il perdit en effet sa cause
qu’on puisse citer en notre langue. Il n’est pas possible de lire ce
morceau
, sans être vivement ému ; et je ne crains point q
c’est qu’ils n’écrivaient que dans l’inspiration du génie, et que les
morceaux
qu’on admire le plus, sont ceux quelquefois qui o
omme un autre, qu’il se trouve de fort beaux vers dans Claudien ; des
morceaux
même que l’on peut mettre sans danger sous les ye
curieuses et qui fait honneur à notre littérature, qui compte peu de
morceaux
oratoires plus véritablement éloquents que l’Élog
». Peut-être eût-il fallu s’en tenir là, et passer immédiatement au
morceau
sublime qui termine ce beau discours. Mais Socrat
mme lui, victimes d’un jugement injuste, etc. Il y a, dans ces divers
morceaux
, de la force, de l’élévation, de la vraie philoso
de purifier son âme ». C’est sans doute après la lecture de pareils
morceaux
, que l’un des plus spirituels écrivains du seiziè
pendance et de l’égalité : j’attendis qu’il vînt chez moi ». Tout ce
morceau
est bien pensé, bien écrit, plein de réflexions p
t entre tous les empereurs ; transition un peu forcée, pour amener le
morceau
suivant, « À ce mot de philosophie, je m’arrête.
révolution qui ne tarda pas à se manifester dans les choses ? Mais un
morceau
généralement admiré, un morceau qui paraissait av
manifester dans les choses ? Mais un morceau généralement admiré, un
morceau
qui paraissait avec raison à La Harpe de la plus
s pensées isolées, fugitives, et qui écrivent en différents temps des
morceaux
détachés, ne les réunissent jamais sans transitio
rable par le tissu de son style. Puis ils attaqueraient peu à peu des
morceaux
plus considérables, des discours, des dissertatio
gale sous ce rapport. On pourrait encore analyser en ce sens quelques
morceaux
de poésie, réputés classiques, parce que les déta
miration du professeur du Lycée pour l’expression et l’harmonie de ce
morceau
, nous sommes loin d’en regarder la disposition co
uchement l’idée de l’exorde. Le dirai-je ? On croirait presque que ce
morceau
a été fait à plusieurs reprises ; le poëte aurait
hapitre I, section I]. La clarté du style fait le principal mérite du
morceau
intitulé : Fléaux de 1709, Humanité de Fénelon, T
comprendre sans la moindre peine. Nous ferons le même éloge du second
morceau
intitulé : les Savoyards et la Savoie, dans leque
s. Il écrivit avec la plus grande facilité : on peut en juger, par le
morceau
suivant, qui est rendu avec simplicité, correctio
serre cruelle Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle, Et les
morceaux
du lacs qui l’avait attrapé, Semblait un forç
ide en un instant. Boileau. Citons comme exemple de style noble, ce
morceau
plein de grandeur que nous extrayons de L’Essai s
répond à la solidité des pensées. (Domairon.) M. de Lacépède, dans le
morceau
intitulé : Causes de la décadence de l’empire rom
présente une page où sont réunies ces différentes qualités. C’est un
morceau
historique remarquable, l’auteur esquisse avec la
s, et l’harmonie imitative toutes les fois que le sujet s’y prête. Le
morceau
que nous citons ici est écrit d’un style noble et
é que nous présentent les fastes académiques. Que l’on en juge par ce
morceau
pris au hasard dans son discours de réception. «
on se reporte à l’époque où il fut composé, et qu’on le rapproche de
morceaux
d’une date beaucoup plus récente, on est égalemen
. C’était, comme vous voyez, un Cupidon dérobant les armes d’Hercule,
morceau
d’un travail exquis et grec, si je ne me trompe.
j’ai écrit avec un crayon : Lugete, Veneres Cupidinesque 4, et les
morceaux
dispersés qui feraient mourir de douleur Mengs et
us le fer de quelque ignoble soldat. Voilà le Pamphlet des pamphlets,
morceau
d’un entraînement irrésistible, et dont le style,
ure de pensée, combien de tropes différents contribuent à embellir ce
morceau
! ce sont les voiles, les ténèbres du mensonge, l
jusqu’à 97). Voltaire s’amusa, dans sa vieillesse, à faire de ce beau
morceau
l’imitation suivante : Prométhée autrefois pénét
irrités on fait des dieux propices ; a cependant bien réussi dans ce
morceau
qui n’exigeait que de la grâce, de l’esprit et de
très près à cet égard. Nous en offrirons un exemple frappant dans ce
morceau
du Paradis perdu. C’est l’instant où la malheureu
de tous les extrêmes réunis ? Il n’y a donc rien à reprendre dans le
morceau
suivant ; et quoique l’antithèse y paraisse prodi
n’y vois que la paraphrase froide et traînante de l’un des plus beaux
morceaux
du lyrique romain. Pourquoi, au contraire, ces de
deerit. (Ad Cornific. Lib. xii). 39. Voici comme Pope a rendu ce
morceau
: Pray’rs are Jove’s daughters, of celestial rac
n’en est pas de même des historiens latins : leurs harangues sont des
morceaux
si achevés, dans leur genre, qu’il est impossible
ttra trop d’obstacle. (Acte v. sc. dernière). Tite-Live est plein de
morceaux
où respire cette éloquence vraiment dramatique, q
ifficile, malgré cela, de trouver, dans sa longue gazette en vers, un
morceau
comparable au discours dont il est question ici.
reproduite avec autant d’éclat que de noblesse par Fléchier, dans ce
morceau
déjà cité. « On compte, en le voyant, les ennemi
s et avec les Pisons, que les Germanicus obtiennent justice. Un autre
morceau
du même genre, mais dont le plan et l’exécution d
t de celle de la chaire. Avec quel avantage Cicéron s’en sert dans le
morceau
suivant ! « Si tu apud Persas, aut in extremâ In
à cette figure que les rhéteurs rapportent l’honneur et l’effet de ce
morceau
célèbre de Massillon, dans son sermon sur le peti
u célèbre de Massillon, dans son sermon sur le petit nombre des Élus,
morceau
si franchement loué par Voltaire lui-même, et don
mbrà, etc. Telle sur un rameau, durant la nuit obscure, etc. Tout ce
morceau
est charmant, respire la plus douce sensibilité,
ien éminemment poétique du génie allégorique des prophètes : c’est le
morceau
ou Ézéchiel prédit le terme de la captivité des J
mages les plus poétiques. Nous ne connaissons rien à opposer à un tel
morceau
, si ce n’est peut-être, et toujours à la distance
emple dans toute la prophétie qui a pour objet la naissance de J.-C.,
morceau
vraiment magnifique, qui a fourni à Virgile son P
teur, et ce trouble ne servit qu’à augmenter l’effet de cet admirable
morceau
, modèle de l’usage des passions : Je ne parle pl
t celui qui frappe. Comme la douleur de Bossuet est soutenue dans le
morceau
suivant, et quelle émotion en découle dans notre
autre chose que de froids ornements. Les critiques dont cet admirable
morceau
a été l’objet attestent ou l’irréflexion ou la ja
iquant la qualité appropriée à la circonstance ou à l’action. Dans le
morceau
de Bossuet, cité plus haut, les adjectifs : longu
e chanteur et le musicien ; les dernières notes décident du succès du
morceau
tout entier. La péroraison se propose un double b
l résume et rappelle ce qu’il a dit précédemment. De même que dans un
morceau
de musique bien composé le motif du début revient
nne le change, Et sait en vieux renard s’échapper de leurs mains. Un
morceau
tout entier peut n’être qu’une suite de comparais
d a réuni comme à plaisir toutes les formes de la comparaison dans le
morceau
suivant des Martyrs : Un cri s’élève du fond des
re à la célèbre prosopopée de Fabricius. Encore quelques années et ce
morceau
ne sera peut-être plus lisible35. 5. Du dialogis
vent réunies les principales figures, assez naturellement amenées. Ce
morceau
peut servir à faire repasser d’une façon assez pi
oquence et la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les
morceaux
nécessaires se tournent en ornements naturels ; m
de lire tout haut, d’apprendre et de réciter par cœur les plus beaux
morceaux
de nos grands poëtes et de nos écrivains classiqu
it pas été mauvais pour des oraisons funèbres, et nous avons quelques
morceaux
de physique dans le goût du poème épique et de l’
e partie d’un ouvrage quelF conque ; on peut, on doit même écrire des
morceaux
très-simples dans un ouvrage du genre le plus éle
e que pour lire et réciter avec charme et avec intérêt les plus beaux
morceaux
de notre littérature. Personne n’a mieux dit que
ciation que chaque circonstance demande. Le ton du discours, dans les
morceaux
de dignité, exige des sons pleins, lents, modérés
les affections de chaque personne et ses plus intimes sentiments, Les
morceaux
de plaisanterie se prononcent d’une voix doucemen
ont, suivant la nature des pensées, la tristesse ou la joie. Dans les
morceaux
de dignité, l’orateur sans changer de place, ne f
cette facilité d’élocution. Cet exercice consiste à lire avec soin un
morceau
d’un grand classique, à bien s’en pénétrer, en no
on renouvelle cet exercice en variant le caractère des auteurs et des
morceaux
, par exemple en passant de Mme de Sévigné à Pasca
— Chateaubriand nous a laissé un modèle de description dans le petit
morceau
suivant : Le nid de bouvreuil Nous nous rappel
ts principaux : 1° Chercher l’idée première qui fait le sujet même du
morceau
et qui est d’ordinaire indiquée par le titre seul
e des idées et des raisonnements. FIN DE LA RHETORIQUE. 1. Voir
Morceaux
choisis des Classiques français, 3e année, page 4
orceaux choisis des Classiques français, 3e année, page 465. 2. Voir
Morceaux
choisis des Classiques français, par A. Pellissie
des Classiques français, par A. Pellissier, 3e année, p.159. 3. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, p.161. 4. Voir pour plus de d
s d’un Cours de- philosophie élémentaire, 3e édition, p.164. 5. Voir
Morceaux
choisis, 2e année, page 94. 6. Voir Morceaux cho
dition, p.164. 5. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 94. 6. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 474. 7. Voir ive leçon,
x choisis, 3e année, page 474. 7. Voir ive leçon, page 17. 8. Voir
Morceaux
choisis, 2e année, page 103. 9. Voir page 77. 1
Voir page 164. 11. VoirMorceaux choisis, 2e année, page 5. 12. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 32. 13. Voir mon Précis
7. 14. Voir mon Précis de philosophie élémentaire, page 282. 15. V.
Morceaux
choisis, 3e année, page 169. 16. Voir Leçon XXXV
hoisis, 3e année, page 169. 16. Voir Leçon XXXV, page 239. 17. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 23. 18. Voir Morceaux ch
V, page 239. 17. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 23. 18. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 300. 19. V. Morceaux cho
née, page 23. 18. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 300. 19. V.
Morceaux
choisis, 2e année, p. 103. 20. Voir page 75. 21
. V. Morceaux choisis, 2e année, p. 103. 20. Voir page 75. 21. Voir
Morceaux
choisis3e année page 210 22. Voir Morceaux chois
. Voir page 75. 21. Voir Morceaux choisis3e année page 210 22. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 287. 23. Voir page 49.
ir Morceaux choisis, 3e année, page 287. 23. Voir page 49. 24. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 267. 25. Voir page 104.
3e année, page 267. 25. Voir page 104. 26. Voir page 89. 27. Voir
Morceaux
choisis, 2e année, pages 27 et suiv. ; 3e année,
suiv. 28. Comparez un beau portrait tracé par M. de Sainte-Autaire.
Morceaux
choisis, 3e année, page 208. 29. Voir pages 104,
re. Morceaux choisis, 3e année, page 208. 29. Voir pages 104, 164 et
Morceaux
choisis, 3e année, page 327. 30. Voir 7e leçon,
e 327. 30. Voir 7e leçon, page 37, et 18e leçon, page 104. 31. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 233. 32. Voir Morceaux c
, page 104. 31. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 233. 32. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 243. 33. Voir Morceaux c
, page 233. 32. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 243. 33. Voir
Morceaux
choisis, 3e année., page 23. 34. Voir plus haut,
nnée., page 23. 34. Voir plus haut, leçon XXVI, page 151. 35. Voyez
Morceaux
choisis, 2e année, page 101. 36. Voyez Morceaux
page 151. 35. Voyez Morceaux choisis, 2e année, page 101. 36. Voyez
Morceaux
choisis, 3e année, p.143, 145, 150. 37. Voir Mor
01. 36. Voyez Morceaux choisis, 3e année, p.143, 145, 150. 37. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 3. 38. Voir Leçon XXIV,
choisis, 3e année, page 3. 38. Voir Leçon XXIV, page 137. 39. Voyez
Morceaux
choisis. 6e année, pages 38, 128. 3e année, page
ceaux choisis. 6e année, pages 38, 128. 3e année, page 223. 40. Voir
Morceaux
choisis, 2e année, pages 13, 14, 17. – 3e année,
année, page 23 et suivantes. 41. Voir Leçon IX, page 50. 42. Voir
Morceaux
choisis, 3e année, page 253 et suiv. 43. Voir Le
, 3e année, page 253 et suiv. 43. Voir Leçon XVI, page 92. 44. Voir
Morceaux
choisis, 2e année, page 106 ; 3° année, page 191
rfectionnées, a choisi pour objet d’étude la plus grande partie de ce
morceau
. 1. Il n’y avait été admis toutefois qu’en 1647,
ents passagers qui se combinent avec l’un et l’autre, on peut voir un
morceau
intéressant de cet auteur dans les Eléments de li
Louis XIV dans sa lettre à milord Hervey, que l’on trouvera dans les
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de seconde. 2. Au
4. Sublime imitation du psalmiste. On peut rapprocher de ces vers le
morceau
de Bossuet intitulé : Image de la vie, et que nou
Bossuet intitulé : Image de la vie, et que nous avons donné dans les
Morceaux
choisis à l’usage de la quatrième. 5. Dieu, par
remuer le cœur ». 4. « Cette cantate de Circé, dit La Harpe, est un
morceau
à part ; elle a toute la richesse et l’élévation
emander, mais au moins des extraits à son usage. On relit souvent ces
morceaux
; on les apprend même quelquefois de mémoire ; on
, le triste nom de son malheureux fils. Voltaire. L’imitation de ce
morceau
se voit encore, mais plus faible, plus voilée, pl
ode de reproduction, consiste à lire plusieurs fois avec attention un
morceau
intéressant, à le reproduire librement et à le co
ns, ni à la portée de tout le monde. Il est malheureux que de pareils
morceaux
ne puissent pas être mis plus souvent sous les ye
dans la manière antique. Ne croirait-on pas, dans le reste de ce beau
morceau
, entendre Cicéron lui-même plaidant devant le peu
dmirer. Je vais essayer de donner en notre langue une idée de ce beau
morceau
. « Ah ! si vous étiez assez heureux, pour avoir
t trop bien faite et trop curieuse, pour que je n’en cite pas quelque
morceau
. En voici un qui est charmant. Lassés d’un vain
en vers le premier livre. Je ne croirai pas inutile d’en citer ici un
morceau
qui fera autant connoître le mérite du traducteur
que par la magnificence et la sublimité des images, sur-tout dans les
morceaux
, où le poëte rend les beautés des livres saints.
. Quant à la poésie, lés Anglais le regardent comme un des plus beaux
morceaux
qu’ils aient en leur langue. Le même poëte a fait
descriptions de la plus grande beauté. Il y a aussi de très-brillans
morceaux
dans un autre poëme sur la peinture, par Le. L’or
oble, brillante, vive et soutenue. On a pu en juger par les différens
morceaux
que j’en ai cités. L’abbé Delille a publié un poë
s des différens âges et des différentes conditions. On peut relire le
morceau
d’Aristote que j’ai cité sur ce sujet dans le vol
e Misanthrope est un chef-d’œuvre dans le haut comique. En voici un
morceau
tiré d’une scène pleine de portraits finis. Cli
Va-t-en, ma pauvre enfant. Je ne puis résister à l’envie de citer un
morceau
de la scène suivante : il est plein de jugement e
ture dans toute sa simplicité, si l’on ne s’arrête pas aux détails du
morceau
de fromage et du potage, qui, comme je l’ai dit,
aux avec ta chaîne de laiton. Gros-René. J’oubliois d’avant-hier ton
morceau
de fromage, Tiens. Je voudrois pouvoir rejeter le
son de préférer ses comédies à celles d’Aristophane. On voit dans ces
morceaux
une peinture toujours vive, exacte et décente ; u
st personne qui n’approuve la remarque faite depuis long-tems, que ce
morceau
si brillant et si fleuri, n’est pas bien placé da
lle dignité dans ce ton de l’empereur romain ! Tout est grand dans ce
morceau
; tout y est d’une simplicité sublime : il n’y a
acroit à d’éternels affronts. On peut certainement mettre à côté des
morceaux
que je viens de citer, une belle scène de la trag
imité cette vivacité si prompte, cette chaleur rapide, qui anime les
morceaux
bien dialogués de Corneille, est cette scène, où
ontenté de donner le précis des autres avec la traduction de quelques
morceaux
. Celles-ci ont été entièrement mises en français
qui sentent le déclamateur, des inégalités, même des chutes après les
morceaux
les plus sublimes. Racine qui entra dans la carr
t dans ses meilleures pièces, des détails d’une beauté frappante, des
morceaux
pleins de noblesse, de grandeur et d’intérêt, des
ému par des situations pathétiques. Il y a quelques vers et quelques
morceaux
bien faits : mais, en général, le style de ce tra
se a fait une pièce dans le genre de Corneille : c’est Ms. Il y a des
morceaux
dignes de ce père de la tragédie française. Le pr
ut, réunir l’élégance et l’agrément avec l’énergie et l’élévation. Ce
morceau
que chante Médée, dans l’opéra de Thésée, en est
es cœurs infortunés, Ne soyons pas seuls misérables. Voici encore un
morceau
, où l’on admirera tout à-la-fois l’aisance, l’har
mant dans les bornes des idées que nous donne la foi, ne sont pas les
morceaux
les moins frappans de leurs poëmes. Pour que ce m
’un faste et d’une magnificence déplacée. On en jugera par les divers
morceaux
que je vais avoir occasion de citer. Du style
n de l’assaut livré à la ville de Paris, est en ce genre un des beaux
morceaux
de notre poésie. Voyez l’éclat et la vivacité de
n’en rapporterai aucune, parce qu’on en a assez vu dans les différens
morceaux
que j’ai cités. Du ton, et du langage des inte
le sujet de son poëme ; et ces ornemens épisodiques n’en sont pas le
morceau
le moins intéressant. C’est ainsi que dans Virgil
ouis transporte Henri IV en esprit au ciel et aux enfers. Ce brillant
morceau
nous intéresse trop, pour que je ne doive pas le
rompt deux fois sur sa tête, Et deux fois de sa main le buis tombe en
morceaux
: Tel Hercule(a) filant rompoit tous ses fuseaux.
du fameux Œdipe. Il y a un assez grand nombre de traits heureux et de
morceaux
de poésie vraiment beaux. Mais ils sont défigurés
ys, et voulut chanter cette conquête. On a remarqué dans ce poëme des
morceaux
, mais en très-petit nombre, qui sont très-beaux :
a été traduit par Anthelmy et Liébault. Il y a de l’élévation et des
morceaux
vraiment pathétiques. Le second a été traduit par
enfin que le plan est défectueux. Mais ils y ont admiré de très-beaux
morceaux
, dignes du pinceau d’un grand maître, tels que la
l’héritage d’honneur qui lui avait été transmis. Plusieurs excellents
morceaux
de haute critique, contenus dans le recueil de l’
cès a été attesté par de nombreuses réimpressions, offre çà et là des
morceaux
dignes du grand Racine ; mais l’ensemble est trop
in, la marche de l’auteur se ralentit et s’affaiblit un peu. Dans les
morceaux
mêmes que nous avons cités, on ne saurait dire qu
n ne peut nier, comme l’observe judicieusement M. de La Harpe, que ce
morceau
ne présente un contraste habilement imaginé. L’or
la nécessité de les restreindre, pour les rendre honorables. C’est un
morceau
brillant, mais qui ne pose que sur un sophisme, e
e, aux yeux de l’homme qui pense, autant d’honneur que les plus beaux
morceaux
de sa harangue.
de Carthage dans Virgile : … pendent opera interrupta… Pourquoi le
morceau
finit-il précisément là plutôt qu’avant ou après
. Mais nos auteurs l’ont porté jusqu’à l’abus, ils l’ont étendu à des
morceaux
de plus longue haleine ; de l’exception ils ont f
uge, c’est celle du Mémoire de Pélisson en faveur de Fouquet, le seul
morceau
peut-être réellement éloquent qu’ait produit le g
e roseau, les vieillards et les trois jeunes hommes sont en tout deux
morceaux
achetés. Celle des animaux malades de la peste ne
urs, les ruisseaux, les fontaines, etc. ; comme on va le voir dans ce
morceau
de l’idylle des Oiseaux de madame Deshoulières.
ment pensé et exprimé de même. Je n’en citerai d’autre exemple que ce
morceau
de son Épître, dans laquelle il prouve que nous d
vu que tout y soit exprimé avec grâce. C’est ce qu’on va voir dans ce
morceau
d’une jolie épître de Piron, intitulée les Plaisi
le nom d’élégie. Mais on peut principalement rapporter à ce genre un
morceau
fort touchant, qui est dans l’Andromaque d’Euripi
un nouveau degré de force et d’élévation, comme on va le voir dans ce
morceau
de l’Ode d’Horace, dont j’ai cité le début. Rome
e que l’antiquité puisse nous offrir quelque chose de comparable à ce
morceau
. Enfin le poète encore plein d’images sanglantes,
s l’île de Lesbos, un peu plus de six cents ans avant J.-C., que deux
morceaux
, où éclatent tout le feu et toute la vivacité du
aractère. Madame Dacier les a fort bien traduites, ainsi que les deux
morceaux
de Sapho. Poinsinet de Sivry en a donné une imita
tonem cœlo œquavit. (Tacit.) Mais il nous reste de Cicéron plusieurs
morceaux
oratoires célèbres, dans le genre du panégyrique
ublicæ credamus ». Que cette transition est heureuse, pour amener le
morceau
important qui suit, et qui était le grand sujet d
à son plus haut point de perfection. Il n’y a, pour louer de pareils
morceaux
, que le transport de l’admiration : nous ne le ré
t que l’on doit traiter ; les chrestomathies fournissent toujours des
morceaux
de ce genre. On se met ainsi en train, et les idé
r un grand profit, c’est celui qui consiste à lire avec attention des
morceaux
choisis, et à les reproduire ensuite soi-même, en
Cicéron la conseille dans soit dialogue de l’Orateur. Les recueils de
morceaux
choisis ne manquent pas pour s’aider dans ce trav
e littérature y fût plus répandue et plus approfondie, de recueils de
morceaux
choisis, empruntés à nos meilleurs écrivains, pro
nfiance, lorsqu’il a bien voulu nous inviter à composer un recueil de
morceaux
choisis, pour les classes de grammaire particuliè
ivent étudier, les modèles les plus incontestés et les plus purs, les
morceaux
les plus propres à former le cœur autant que l’es
paru en rapport avec leur jeune intelligence. Dans la disposition des
morceaux
, nous n’avons apporté d’autre ordre que celui qui
n mourut en 1693. Les Mémoires pour Fouquet, dont nous présentons les
morceaux
les plus remarquables, ont toujours passé pour le
et le mouvement qu’on met dans ses pensées ». Toute l’économie de ce
morceau
peut se ramener à cette définition. L’ordre des p
s pensées isolées, fugitives, et qui écrivent en différents temps des
morceaux
détachés, ne les réunissent jamais sans transitio
e n’ont trouvé on plus élégant et plus judicieux interprète. Quelques
morceaux
de lui attestent en outre qu’il était capable d’u
té faite par un grand nombre de professeurs, nous avons réimprimé ces
Morceaux
choisis, en réunissant dans le même volume les mo
réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les
morceaux
de prose et de poésie plus particulièrement conve
e poésie plus particulièrement convenables à chaque classe ; quelques
morceaux
nouveaux ont pris place parmi les anciens. Ce tra
onnu la solidité. » 24. Aujourd’hui bien que. On remarquera dans ce
morceau
d’autres archaïsmes qu’il est inutile de relever.
eu soin dans le même discours d’en marquer les différences. 28. Ce
morceau
atteste que Descartes méritait bien les félicitat
nisi dignus vindice nodus. 40. « Que devons-nous dire de tout ce
morceau
? applaudir au bon sens de Corneille autant qu’à
ruite. » — Il est piquant de rapprocher de ces réflexions l’excellent
morceau
de M. Villemain sur les unités et le théâtre grec
parlement… 66. On peut voir, dans nos extraits du cardinal de Retz (
Morceaux
choisis pour la classe de troisième), le récit de
. 67. En tumulte… Cet adverbe n’est plus usité aujourd’hui. 68. Le
morceau
du cardinal de Retz cité tout à l’heure fera conn
que plus que les moyens. » 75. On peut rapprocher cette pensée d’un
morceau
de quelque étendue écrit par La Rochefoucauld sur
, il ne faut point le perdre de vue pour apprécier avec exactitude ce
morceau
et les suivants, sont presque toujours détachées
reinte que la faculté de penser dans les écrits du grand Newton. » Ce
morceau
est cité dans le Cours de littérature de La Harpe
rocher ce passage de plusieurs considérations de Montesquieu, dans un
morceau
où des vues fines et justes sont mêlées à quelque
hrétien : « On voudrait s’arrêter : Marche ! marche ! etc. » Voy. nos
Morceaux
choisis, à l’usage de la classe de cinquième, p.
ueil se rappelle avoir entendu dire à l’illustre Royer-Collard que ce
morceau
était, suivant lui, le plus beau qui existât dans
té à cet acte public. 225. On rapprochera avec intérêt ce passage du
morceau
de Pascal intitulé : Contre les indifférents et l
ce sur tout ce qui l’entoure. Pascal a développé cette pensée dans le
morceau
précédemment rappelé. 232. Qui vous refusez (à v
on, Carême, mardi de la quatrième semaine. On ne peut rapprocher deux
morceaux
où des idées semblables soient présentées d’une m
xii, 9. 275. Ce discours, que l’on a justement loué comme « l’un des
morceaux
les plus touchants et les plus parfaits de l’éloq
nné. 293. Nous avons cru devoir faire, dans ce récit, « le plus beau
morceau
peut-être des Mémoires », a dit M. Nisard, mais t
, avec la même ardeur et presque la même fureur de pinceau. » Dans le
morceau
spécial qu’il a consacré à Saint-Simon, l’auteur
œuvre historique, dit M. Villemain dans son Éloge de Montesquieu, ce
morceau
est un incomparable modèle de l’art de pénétrer u
sa mort le célèbre poète italien Alfieri. 358. On pourra comparer ce
morceau
du Voltaire avec les pages excellentes de Fénelon
les pages excellentes de Fénelon sur la perfection du goût. Voir les
Morceaux
choisis pour la classe de Seconde, p. 97. 359.
de l’Essai sur le beau du P. André : l’article sur le Style, fort bon
morceau
, que renfermant les Éléments de littérature de Ma
35. Sens actif, pour faire passer. 436. « Sur moi dépare un peu ce
morceau
, qui est très beau : achevant demande absolument
pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le volume de nos
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de sixième. 447.
532. Nous avons rencontré une semblable élision chez La Fontaine (
Morceaux
choisis pour la classe de seconde, p. 218) : Du
acine dans son Sermon pour le quatrième dimanche de l’Avent ; voy. le
morceau
terminé par ces mots : « D’où partent ces fléaux
trouvé la mort en le combattant. 640. La Harpe a dit, au sujet de ce
morceau
qu’il déclare achevé : « Jamais on n’a su narrer
un parallèle entre Virgile, faisant parler la sibylle de Cumes, et ce
morceau
de Racine : seconde partie, liv. II, ch. 10. 66
tère inimitable de beauté. C’est ce qui a fait dire à La Harpe : « Ce
morceau
est ce que l’on connaît de plus parfait en situat
ions les plus heureuses de cette tragédie. 723. « Le sublime de ce
morceau
tient surtout à ce sentiment de justice si profon
propre grandeur…. 730. . On peut rapprocher de cet endroit un des
morceaux
les plus remarquables de la Henriade : c’est le c
e version française de toutes les pièces d’Eschyle ; et, entre autres
morceaux
de l’antiquité ou des littératures étrangères, il
753. La Harpe termine par les mots suivants son appréciation de ce
morceau
: « Tous ces mouvements sont lyriques, tous ces v
bien plus poète que lui cependant, a laissé, entre autres travaux, un
morceau
inachevé sut l’Invention, où ses idées sur les ré
s du sujet et la fin, pour bien déterminer l’ensemble et l’étendue du
morceau
, et ne jamais perdre de vue cette règle si simple
mployait des années entières à la composition et à la correction d’un
morceau
lyrique ; La Fontaine, dont le style paraît si fa
, au contraire, la fatigue et l’ennui se font sentir dans le cours du
morceau
, c’est une preuve certaine qu’il ne présente pas
qu’elle occupe ? Considérée sous ce rapport, la description forme un
morceau
à part, une composition descriptive isolée et com
s critiques lui ont-ils donné le nom de narration descriptive. Un des
morceaux
les plus frappants en ce genre est la peinture de
nt, parlent à l’imagination et peignent au lieu de raconter. Mais ces
morceaux
brillants doivent être courts, pour se faire rema
plus souvent on entremêle les points de rapport dans tout le cours du
morceau
. Cet exercice, agréable à l’esprit, présente cepe
ent émue, et l’action nouée avec une extrême habileté. Ce qui rend ce
morceau
plus admirable, c’est qu’il ne renferme que des t
comme un simple essai, où l’on rencontre néanmoins de beaux vers, des
morceaux
assez heureux, et des corrections même qui décèle
e la Seine. La critique a dû relever, dans ce grand ouvrage, bien des
morceaux
faibles et négligés, des transitions malheureuses
l’épisode des Catacombes ; et l’on reconnut, dans une foule d’autres
morceaux
, que le talent de l’auteur se fortifiait au lieu
s, comme l’Apollon était dans la carrière. Veut-on voir maintenant un
morceau
qui avait rebuté les traducteurs, même en prose,
bles par leur énergie, et surtout par leur noblesse de sentiment ? Le
Morceau
suivant est un chef d’œuvre de style. Massillon y
ainsi plus facile de comparer toutes les pensées qui entrent dans ce
morceau
avec celles qui composent le même sujet traité pa
e de toutes les couleurs de la poésie, et que c’est un des plus beaux
morceaux
dramatiques qui existent dans notre littérature.
ns les âmes les plus avancées2 certaines faiblesses, semblables à ces
morceaux
de terre qu’on nomme témoins, et qu’on laisse dan
ité froide et respectueuse, lui adressa les paroles contenues dans ce
morceau
. 3. Il concilia la dignité d’une âme fière et le
r aucune personne en ce monde. » 1. Il faut remarquer dans tout ce
morceau
la familiarité expressive des images, l’aisance i
des ans Le chef-d’œuvre fameux de ses riches présents 3 Cet éclatant
morceau
de savante peinture Dont elle a couronné ta noble
re, lui avait suggéré l’idée, et qui fut trouvée partout le plus beau
morceau
de l’ouvrage ». 1. Terme de vénerie, comme il y
e faire cette épreuve. Comment ferez-vous pour me faire voir un petit
morceau
de vos pays enchantés ?… Le comte de Chapelles m’
Avis. Caractère. Il est inutile de vous recommander de conserver à ce
morceau
ce tour pittoresque, et les deux phrases où l’aut
sont les plus admirables métaphores. — 3º Reconnaîtriez-vous dans ce
morceau
quelques-unes des splendeurs du style ? où sont-e
mbleront le plus vigoureux. — En indiquant à quel genre appartient ce
morceau
, énumérez tous les vices qui n’accompagnent la fa
l’abeille et de l’hirondelle offriront quelques détails gracieux. Le
morceau
capital sera le discours de Stentor, qui, après a
figurées se présentaient en foule ? De l’emploi tic quelle figure ce
morceau
tire-t-il sa vivacité ? Voyez s’il y a gradation
drapeaux jetés sur des monceaux de morts. Lamartine. Avis. Voici un
morceau
où vous aurez l’embarras du choix : Il est riche
tte dernière ; c’est plus qu’une épithète. Reconnaîtriez-vous dans ce
morceau
un auteur romantique, et à quelles expressions ?
. Montrez-nous deux petits tableaux touchants qui se trouvent dans le
morceau
. Vous finirez ici la part de l’éloge. Passez à la
retirée du fleuve. » Chateaubriand. Avis. Dites en commençant si cc
morceau
vous paraît une description et pourquoi. Ne conti
exigence, il brise de nouveau le tronçon de la lance et en jette les
morceaux
à la tête du tigre — … L’animal frappé par derriè
même étendue à votre analyse, ce qui serait très facile parce que ce
morceau
est un des plus beaux que l’on connaisse. Il faud
ur de sa ville. Avis. Le corrigé de cc canevas est un des plus beaux
morceaux
du plus éloquent des pères de l’Eglise. J’ai déla
es états d’autrui. Avis. Vous rendrez véhément le commencement de ce
morceau
au moyen de l’interrogation. La Commination anime
ez-vous un exorde, une confirmation et une péroraison ? Au résumé, ce
morceau
fait-il honneur à son auteur. N° 243. — Sur le
ous offre un commencement de communication, qui continue dans tout le
morceau
¿quand vous la retrouverez, n’omettez pas de le f
nt tellement liés, qu’il serait impossible de distraire une phrase du
morceau
, sans nuire à son effet. Il est inutile de vous d
us haut fait explosion. On rapporte que lorsque Massillon prononça ce
morceau
dans l’église St-Eustache, et dans la chapelle de
qu’il eust prins un peu de couleur roge13, et en beuz, avec un petit
morceau
de pain, trois doigtz, puis me regarday au miroir
uses, il nous laissa en paix, ne s’attendant nous avoir qu’au dernier
morceau
de pain. Et commencasmes à entrer au mois de mars
bien plus poëte que lui cependant, a laissé, entre autres travaux, un
morceau
inachevé sur l’Invention, où ses idées sur les ré
irg., Egl., VI, 31, et Géorg., IV. 546 1. On pourra rapprocher de ce
morceau
quelques chefs-d’œuvre de l’antiquité qui ont sug
eu des peuples où elles furent écrites. Ce sont, ont dit les uns, des
morceaux
de luxe, des ornements parasites, où brille le ta
ngereux, qu’il est plus aisé de s’en laisser séduire. Au surplus, ces
morceaux
d’opposition ouvrent un champ si favorable à l’él
remier ; quelle aspérité guerrière dans le second ! Ce sont là de ces
morceaux
qui ont placé la Henriade, quant au style, au ran
us, et de compter, parmi les monuments distingués de notre poésie, le
morceau
le plus philosophique, et le plus précieux, sous
Je me crus philosophe en cessant d’être sage. Ce passage rappelle un
morceau
célèbre de Claudien, que nous allons rapporter ic
nsible et plus vraie l’application des vers précéder, termine ce beau
morceau
: Semblables aux torrents dont la fange et les o
prouver le néant de tout ce que l’homme admire ici-bas, débute par ce
morceau
sur la frivolité des distinctions passagères. «
peser avec réflexion et d’examiner avec soin ce que l’un de ces deux
morceaux
peut avoir d’avantage sur l’autre. C’est par ces
de réparer à cet égard l’injure des circonstances. Je connais peu de
morceaux
qui réunissent à un pareil degré la profondeur de
cri seul de l’admiration peut louer d’une manière digne d’elles. Quel
morceau
, par exemple, que celui-ci, sur l’accord de la ph
c l’objet dont il est question. Quelque achevés que puissent être ces
morceaux
, ils n’en sont pas moins des hors-d’œuvre très dé
écapitulation pour soulager la mémoire de celui qui écoute, et non un
morceau
d’apparat pour faire briller le talent de celui q
e belle lettre de Mme de Sévigné à sa fille, datée du 3 février 1672 (
Morceaux
choisis pour la classe de quatrième). 4. Augusti
es au genre des mémoires, ne nous ont pas paru devoir empêcher que ce
morceau
et le suivant, d’une originalité si puissante, tr
mutuellement. Quelle force elles empruntent l’une de l’autre dans le
morceau
suivant ! Va, sublime ignorant, monte aux cieux,
au plus frappant et plus complet. Tels sont, Corneille dans ses beaux
morceaux
, et Bossuet dans la plupart de ses oraisons funèb
le jugement et le bon sens. » 2. On peut rapprocher ce passage d’un
morceau
de La Rochefoucauld, intitulé « de la Conversatio
e troubles, faisaient usage pour se barricader. Voy dans ce volume le
morceau
de Retz, intitulé : Une sédition à Paris, page 25
pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le volume de nos
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de sixième. 3. No
elais ; sur le second et ses projets, voyez la 1re épitre de Boileau (
Morceaux
choisis à l’usage de la classe de sixième, page 1
es prémices de son âme. Lecture. — Mort de Vatel. Vol. II, nº 1. Le
morceau
suivant au contraire pèche contre la clarté par u
félicité. Lamennais, Essai sur l’Indifférence. Que l’on compare ce
morceau
, dont les phrases sont longues et embarrassées, a
oi d’Angleterre, et Philippe Auguste, roi de France : on voit dans ce
morceau
, les Musulmans se défendre avec une énergie redou
s essentielles. Nous donnerons comme modèles de description, les deux
morceaux
suivants, l’un en vers, l’autre en prose. Une ba
ement jusqu’à la fin. Comme exemple de narration, nous citerons trois
morceaux
de genres et de styles différents. Combat de Mér
cette critique en grand, il est éminemment utile de rappliquer à des
morceaux
choisis de peu d’étendue. Cette analyse doit cons
s morceaux choisis de peu d’étendue. Cette analyse doit considérer un
morceau
dans son ensemble et dans tous ses détails, y mon
le d’analyse critique. Je me sens doucement ému à la lecture de ce
morceau
; je reconnais l’élégie à ces tendres et mélancol
ite. Il a de très bons sermons ; et il n’en est aucun qui n’offre des
morceaux
admirables. Une grande simplicité en fait le méri
ros que loue l’Orateur. On va s’en convaincre à la lecture de ce beau
morceau
, tiré de l’Oraison funèbre du grand Condé 92, par
’éloquence avec un succès bien marqué. Il y a cependant de très beaux
morceaux
dans son Oraison funèbre du Prince de Conti, et s
éputation, ainsi que Gautier, leur contemporain. Il y a de très beaux
morceaux
dans leurs plaidoyers, qui ont été imprimés. Mais
réception de Thomas Corneille, qui succédait à son frère. En voici un
morceau
frappant. Après avoir comparé le grand Corneille
n ton si imposant, puisqu’il doit être en harmonie avec l’ensemble du
morceau
. Nous citerons comme modèle de début, l’ode d’Hor
enaient l’antistrophe et l’épode, et ainsi de suite jusqu’à la fin du
morceau
. Ces stances étaient toujours accompagnées du cha
obtulistis, chanté par Débora après la victoire sur Sisara. Tous ces
morceaux
sont dans le genre sublime. Parmi les psaumes, no
le ton des différents poètes inspirés. Nous donnons un extrait de ce
morceau
: Écoutez ! Jéhova s’élance
que. J’ai pensé aussi qu’en mettant sous les yeux des jeunes gens des
morceaux
choisis de nos meilleurs écrivains, je pouvais bi
le composé non de membres joints l’un à l’autre, mais de pièces et de
morceaux
, e singulis non membres, sed frustis collata, dit
a relisant avec attention, vous sentirez que si le point culminant du
morceau
est en effet l’exclamation terrible : Paraissez m
ez la Rhétorique, III, 8. Le commos.] Exemple : ibid., v. 649-697. Ce
morceau
est donc contenu dans le deuxième épisode, d’où i
On ajoutera que Rotrou et Corneille ont imité ici Malherbe : voy. nos
Morceaux
choisis des Classiques français à l’usage de la c
me tombé en désuétude, remarque ici La Harpe, « y a-t-il dans tout ce
morceau
, si vigoureux, si animé, si pathétique, un seul m
Molière, le Festin de Pierre, IV, 6. On trouvera ce passage dans les
Morceaux
choisis pour la classe de sixième, page 20. 3. S
heure Cicéron lui-même recommander de ne pas être trop court dans les
morceaux
pathétiques. Mais, si les grands mouvements ne pe
’orateur ; et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce
morceau
. Voltaire, qui l’a cité avec admiration, nous par
l y a une pénitence aussi glorieuse que l’innocence même. Il manie ce
morceau
habilement : dans le reste, il parle avec grandeu
’avons déjà remarqué, rien n’est si achevé que le tour qui termine ce
morceau
. L’orateur ne veut pas retracer l’image sanglante
t les rend nécessaires82. Un beau modèle de narration oratoire est le
morceau
suivant de l’oraison funèbre de Louis XIV par Mas
etc. » Cicéron nous apprend (Orat., ibid.) que, lorsqu’il prononça ce
morceau
, il fut interrompu par les applaudissements de l’
3 (Bossuet, Or. fun. de Condé). On trouve souvent dans les plus beaux
morceaux
ce qu’il appellerait des fautes contre la langue
oquence et la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les
morceaux
nécessaires se tournent en ornements naturels ; m
éfaut dominant de Sénèque. Cet auteur plaît quand on le considère par
morceaux
détachés ; mais il lasse quand on le lit de suite
elles disent ? — La vérité. » Il faut lire dans le texte même tout ce
morceau
; il est simple et sublime. Cette figure se borne
honème est le plus souvent une sentence ; mais il termine toujours le
morceau
dont il dépend, au lieu que la sentence peut se p
pensées, et il les met, pour ainsi dire, en action. Nous citerons ce
morceau
comme une récapitulation de nos préceptes : « Je
es caractères198. » Qu’on ajoute à cela, dit un écrivain qui cite ce
morceau
sans le traduire, tous les moyens que Cicéron ind
r l’indignation ou la pitié. « On prononce sur le ton du discours les
morceaux
de dignité, de démonstration, de narration, de pl
ation que chaque circonstance demande. « Le ton du discours, dans les
morceaux
de dignité, exige des sons pleins, lents, modérés
les affections de chaque personne et ses plus intimes sentiments. Les
morceaux
de plaisanterie se prononcent d’une voix doucemen
t, suivant la nature des pensées, la tristesse ou la joie. « Dans les
morceaux
de dignité, l’orateur, sans changer de place, ne
rappeler aussitôt le souvenir de tous ces beaux ouvrages, de tous ces
morceaux
sublimes qui feront éternellement leur gloire, et
ement la rudesse et la naïveté de nos pères. On peut citer un ou deux
morceaux
de Saint-Réal, les Révolutions de Portugal et de
αι τοῖς ἐπαλλήλοις ἐκείνου πάθεσιν (Περὶ Ὕψους, c. 28 ; al. 34). 43.
Morceau
cité par Longin, Περὶ Ὕψους, c. 16, al. 18. 44.
c. 16, al. 18. 44. Nous donnons une traduction nouvelle de tous les
morceaux
grecs et latins. 45. Fénelon. 46. Quousque tan
te supériorité de ton, cette verve d’ironie et de gaieté composent un
morceau
d’éloquence digne d’être rapproché des Provincial
saura dans quelle école j’en ai recherché la leçon, quand on lira le
morceau
suivant, aussi tiré d’un moraliste, lequel parlan
de notre ouvrage ne nous permettent pas d’offrir en entier de pareils
morceaux
à l’admiration de nos lecteurs. Mais il n’en est
où l’on ne présente que des fragments isolés, comment conserver à ces
morceaux
tout leur prix, si quelques notes explicatives ne
it toujours surveillé et dirigé par son professeur mais le nombre des
morceaux
ainsi lus et commentés dans la classe sera toujou
quelque faiblesse… — Vous avez raison », dit le roi ; et il mangea un
morceau
de pain et but un verre de vin. Il était une heur
e dans notre esprit le problème de notre destinée. Tel est l’objet du
morceau
qui va suivre. Jamais peut-être l’homme ne se de
sa pas à ce seul modèle ; mais dans la pièce d’Œdipe chez Admète, des
morceaux
brillants et pathétiques ne rachètent pas la faib
une d’autant mieux acquise qu’il ne la doit qu’à lui-même. 1.
Morceaux
choisis des Classiques français, seizième, dix-se
eaubriand ont été publiées en 19 vol. in-12, Paris, Firmin-Didot. Des
Morceaux
choisis de Chateaubriand ont été publiés par M. A
idier, 1 vol. in-12, Paris, Delalain. 40. L’objet du livre auquel ce
morceau
est emprunté est de prouver l’existence de Dieu p
pas un goût sévère. 45. Le Génie du christianisme est trop riche en
morceaux
d’une brillante éloquence, pour que nous prétendi
on qu’il éprouva dans son enfance à la première lecture de ce célèbre
morceau
. Dans son enthousiasme il marchait à grands pas,
t lire sur cette poétique tradition une belle page de Buffon dans les
Morceaux
choisis à l’usage des classes supérieures (16e éd
és de voyage. 107. Énéide, liv. II, v. 254 et suiv. 108. Parmi les
morceaux
remarquables de l’Itinéraire dont nous recommando
ernière partie, la campagne de Carthage. 109. Nous conserverons à ce
morceau
le caractère même que lui a donné l’auteur : c’es
nous avons précédé à Berlin la renommée de nos victoires… » 121. Ce
morceau
, qui est le fragment d’une conversation de l’Empe
meilleurs chapitres a été placé par M. Hémardinquer à la suite de ses
Morceaux
choisis de Buffon. 154. Né à Agen en 1756, mort
annoté avec soin et commenté par de nombreux rapprochements, dans les
Morceaux
choisis des classiques français (classes supérieu
lante des révolutions. » Revoir les extraits d’André Chénier dans les
Morceaux
choisis pour les classes supérieures, de M. Léon
l ne comporte pas, n’y a-t-il pas jusque de la moquerie dans certains
morceaux
de Mozart ? 178. Cependant rien ne se ressemble
ire, livre II, ch. x. 218. En juin 841. 219. Cf. l’introduction des
Morceaux
choisis des classiques français (Prose) pour les
rale indépendante. 244. On sera frappé de l’analogie que présente ce
morceau
avec différents passages de Pascal, dont il sera
. de Lamartine. 247. Ce passage rappelle, sans l’égaler, le célèbre
morceau
de Pascal au début de ses Pensées : « Que l’homme
s restrictions à cet éloge, on pourrait rapprocher avec intérêt de ce
morceau
le contre-portrait que M. Philarète Chasles a tra
Marat un martyr, elle précipita la ruine du parti girondin. 267. Ce
morceau
, que nous détachons du premier volume de l’Histoi
la pièce de Sophocle les imprécations d’Œdipe (vers 1337 à 1386). Le
morceau
de Ducis, dont M. Villemain a cité avec éloges un
ns amis s’entendissent pour mourir ensemble le même jour. » 300. Ce
morceau
, d’un tour heureux et facile, nous rend avec fidé
rit une idée juste et grande. 336. On rapprochera avec intérêt de ce
morceau
la descente d’Eudore aux catacombes, dans le livr
nt au dix-huitième siècle. Voir pour les extraits d’André Chénier les
Morceaux
choisis pour les classes supérieures de M. Léon F
l’Éden leur chemin solitaire. » 400. Revoir dans le même volume le
morceau
de Jouffroy (page 166) sur le problème de la dest
et Navarin. 413. Les crins mouvants d’un étendard font tache dans le
morceau
. Les plis mouvants sembleraient une expression pl
cit de Commines sur la mort de Louis XI, cité dans l’introduction des
Morceaux
choisis pour les classes supérieures de M. Léon F
l’étendue et le sérieux de ces notices, le choix et l’importance des
morceaux
, les notes grammaticales, philologiques, littérai
et la satire IX, À monsieur Rapin, compteront toujours parmi les bons
morceaux
de la poésie française. Boileau a donné à son dev
u mal rangé pour ses dents paraissait, Où le chancre et la rouille en
morceaux
s’amassait… Sa barbe, sur sa joue éparse à l’aven
it deux fois autant de mains que Briarée, Et n’était, quel qu’il fût,
morceau
dedans le plat, Qui, des yeux et des mains, n’eût
nes de grâce, de fraîcheur, et de coquette élégance, et dans quelques
morceaux
brillants et achevés, comme le monologue de la sc
able tragédie. Ce n’est qu’une tentative pour mettre sur la scène des
morceaux
excellents qui ne formaient pas un tout. La Mort
ntre d’une héroïque générosité. Corneille a jeté dans cette pièce des
morceaux
sublimes et des traits d’héroïsme tels que n’en o
tueuse compagne s’occupant du ciel en gardant leurs troupeaux, est le
morceau
le plus travaillé du poème. Le voici presque en e
ue. Mais il goûta bien davantage l’Épître première et quelques autres
morceaux
, où il était délicatement loué. Il voulut en voir
n’admettait pas que la comédie dégénérât en tragédie bourgeoise. Les
morceaux
sérieux, philosophiques, moraux ou de sentiment,
re est aussi difficile en vers qu’en prose. Nous ferons lire quelques
morceaux
de différents genres qui permettront de juger de
e son recueil est composée d’imitations des Psaumes, de cantiques, de
morceaux
des prophètes et d’hymnes sacrées. Lefranc était
eurs partisans. Son talent devient plus mâle et grandit dans quelques
morceaux
de cette seconde satire ; l’indignation est virul
eaux vers sauveront ce poème de l’oubli. Longtemps encore on lira des
morceaux
comme la Circulation de la sève, les Pluies du pr
ses dix-huit ans sitôt moissonnés. Notre langue n’a peut-être pas un
morceau
d’une mélancolie plus touchante et d’une chasteté
eautés simples et mâles de Virgile étaient au-dessus de l’esprit. Les
morceaux
traduits par Malfilâtre ont plus de force, plus d
: « Le chef-d’œuvre de Delille est sa traduction des Géorgiques (aux
morceaux
de sentiment près) ; mais c’est comme si vous lis
épique de grand caractère. Ces éloges s’appliquent surtout à quelques
morceaux
célèbres, la description de Satan s’élevant au-de
et de développements. Le plan est peu marqué. Ce poème, construit de
morceaux
détachés et de pièces de rapport réunis sous le m
inégale, mais peut-être plus riche que les Jardins, et dont plusieurs
morceaux
, les vers sur Jean-Jacques Rousseau, les épisodes
uantité de traits et de vers heureux, et l’on en cite encore de beaux
morceaux
, les vers sur une tempête dans les sables de l’As
st en son genre un petit chef-d’œuvre digne de demeurer classique. Le
morceau
élégiaque intitulé : le Jour des morts dans une c
ronomie est plus mesquin de plan, mais recommandable par de brillants
morceaux
. Visant à quelque chose de plus grand que ces poé
ous l’œil du cruel Néron. Devant une vitre brisée S’agite un
morceau
de miroir, Et sous la barbe de Thésée Est
es qu’on a publiés sous le titre de Derniers Chants. Plusieurs de ces
morceaux
peignent avec agrément et avec une grâce légère d
quel il faut croire ; Je vous porte, apaisé, Les
morceaux
de ce cœur tout plein de votre gloire,
antiques, mais comme la date d’une restauration littéraire. Quelques
morceaux
, tels que le commencement de la pièce et l’entrée
gage ne s’était plus entendu au théâtre depuis Corneille. » Plusieurs
morceaux
méritent, au moins en partie, cet éloge ; par exe
Honneur et l’Argent (1853) et la Bourse (1856). Nous citerons un long
morceau
de l’Honneur et l’Argent. Il suffira pour faire a
le vient d’épouser l’Espagnol Guzman. Voir aussi le pardon de Guzman,
morceau
sublime. 125. Commentaire historique. 126. Exp
dans ses Éléments de Littérature, m’a fourni ensuite l’article Style,
morceau
excellent. Je n’ai eu garde d’oublier Buffon sur
Carbon. Je répétais de souvenir, je commentais, j’amplifiais quelque
morceau
de poésie ou d’éloquence, que je venais de lire e
mencerait, dans l’école assemblée, par la lecture, à haute voix, d’un
morceau
pris d’un historien, d’un orateur, ou d’un poète
t Maître corbeau sur un arbre perché. Pourquoi ces
morceaux
manquent-ils d’élégance ? C’est que cette naïveté
r l’objet le plus important à l’homme, cependant il s’y trouve peu de
morceaux
frappants qui, comme les beaux endroits de Cicéro
l’orateur, et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce
morceau
; le voici : « Je suppose que ce soit ici notre
n esprit un peu cultivé ne sentira pas l’extrême différence des beaux
morceaux
de Cinna et de ceux du même auteur dans les vingt
t pas été mauvais pour des oraisons funèbres ; et nous avons quelques
morceaux
de physique dans le goût du poëme et de l’ode. Il
se. Son style est pur, ses peintures sont attendrissantes. Relisez ce
morceau
sur l’humanité des grands : « Hélas ! s’il pouvai
-ce donc là le privilège des grands65 ? » Souvenez-vous ensuite de ce
morceau
de Britannicus : Tout ce que vous voyez conspire
blier ses malheurs66. Je crois voir, dans la comparaison de ces deux
morceaux
, le disciple qui tâche de lutter contre le maître
acte de Rodogune. se soutiendraient à côté d’Athalie, quand même ces
morceaux
seraient faits aujourd’hui. De quel œil devons-no
e leur avait donné l’exemple de cette sagesse de style, dans tous les
morceaux
dramatiques de ses poèmes : et en cela on a eu ra
eille n’est pas le seul qui nous en donne des exemples : Racine a des
morceaux
, quelquefois des scènes entières, tout aussi simp
l’épopée, et aussi près de la nature qu’il l’a été lui-même dans les
morceaux
de ses tragédies les plus parfaitement écrits. Le
lime constant et soutenu, qui peut régner dans un poëme comme dans un
morceau
d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques p
bien fortement dans quelques endroits ; et c’est uniquement dans ces
morceaux
naturels qu’il est admirable. Voilà ce qu’il me s
ïveté de Marot avec une énergie que Marot n’avait pas. Je louerai des
morceaux
admirables dans ses épîtres, où le génie de ses é
es épigrammes se fait singulièrement apercevoir. Mais en admirant ces
morceaux
, si dignes de l’être, je ne puis m’empêcher d’êtr
s des paroles pour le musicien, entièrement vides de sens. Les divers
morceaux
qu’on admire dans Quinault prouvent qu’il y a peu
aractère original de l’auteur, les grandes pensées qui y règnent, les
morceaux
éclatants de poésie qui les embellissent, la mani
ville et celle sur la mort de mademoiselle Lecouvreur m’ont paru deux
morceaux
remplis de charmes, et où la douleur, l’amitié, l
ouvera cela dans les Réflexions sur les poètes épiques, et les divers
morceaux
traduits par M. de Voltaire des poètes anglais, d
s pensées isolées, fugitives, et qui écrivent en différents temps des
morceaux
détachés, ne les réunissent jamais sans transitio
x que les préceptes ; mais, comme il ne m’est pas permis de citer les
morceaux
sublimes qui m’ont si souvent transporté en lisan
lein d’inquiétude3 Il a la voix perçante et rude, Sur la tête un
morceau
de chair4, Une sorte de bras5 dont il s’élève en
serre cruelle, Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle Et les
morceaux
du las qui l’avait attrapé, Semblait un forçat éc
s’agit ici du cochet qu’il désigne par une vague description, 4. Un
morceau
de chair. La crête. Il remplace le mot propre par
e une aile. V. La Bruyère, De l’homme, édit. Hémardinquer, p. 291, le
morceau
qui commence ainsi : « N*** est moins affaibli pa
ses qui partent comme des flèches, des allégories ingénieuses, et des
morceaux
d’apparat où l’esprit étincelle dans les moindres
ouvrier qui a élevé des palais superbes. » (Massillon.) 1. Tout ce
morceau
est une protestation éloquente, pleine de hardies
s dons des cieux, Que les enfants des autres dieux. (xi, 2.) 5. Ce
morceau
est un éloge de Louis XIV. Pour un auteur satiriq
e à garder le pouvoir absolu, définit l’état populaire. Comparez à ce
morceau
celui où Voltaire, dans Brutus, traite la même qu
s états, toutes les conditions, toutes les occupations de l’homme. Ce
morceau
est un modèle d’énumération. 2° L’analyse paraît
e n’ont trouvé un plus élégant et plus judicieux interprète. Quelques
morceaux
de lui attestent en outre qu’il était capable d’u
ne beauté suprême, pour se faire tant admirer dans ce grand nombre de
morceaux
achevés et de vers immortels. » — Quelques-uns de
nçaise, et non à Ivry, comme le dit Voltaire. Voy., sur ce Biron, les
Morceaux
choisis, à l’usage de la classe de sixième. 2.
ligé. Les extraits de Mérope en offriront un nouvel exemple (voir les
Morceaux
choisis pour la classe de seconde). 1. « Jamais,
Il serait facile de montrer tous les mérites littéraires de ce petit
morceau
: la suite, l’enchaînement des idées, la clarté,
s yeux du lecteur que les vers négligés d’une pièce de poésie, ou les
morceaux
peu saillants d’une pièce d’éloquence, lui donner
ile excelle sous ce rapport : les épisodes de ses Géorgiques sont des
morceaux
achevés. Enfin, le style doit être le principal o
Avertissement Le présent recueil de
Morceaux
choisis des poètes classiques français a été comp
classiques français a été composé sur le même plan que le recueil de
Morceaux
choisis des prosateurs classiques français qui l’
imitateur de la comédie latine et de la comédie italienne. (Voir nos
Morceaux
choisis de prosateurs.) On appellera encore fusio
Harpyes, Je dy ces importuns, qui les griffes remplies De cent mille
morceaux
, tendent tousjours la main, Et tant plus ils sont
se rue D’un courage si chaud qu’on ne l’en peut tirer, Voire en mille
morceaux
le deust-on deschirer. J’ay pitié quand je voy qu
e Devant ton huys, et, languissant de faim, Pour tout enfin n’a qu’un
morceau
de pain, Ou s’en reva sans que rien on luy donne
siècle, et, de temps en temps, y fait sa partie en exécutant quelques
morceaux
de sa composition, courts et nets, à la fois leço
ts, Et, par un discours fait exprès, Jacqueau prépare l’auditoire. Ce
morceau
vraiment oratoire Fit bâiller ; mais on applaudit
oup de vers sont restés, isolés dans la mémoire ou enchâssés dans des
morceaux
de choix et de montre. Peu de poètes ont plus déf
anche1474 ; Il se courbe, en soufflant, le pied sur une branche ; Son
morceau
de pain noir est gagné pour demain ; Et, s’essuya
allâmes dans ma pauvre cabane, Chaque arbre, hélas ! qui tombe est un
morceau
de pain « Il en reste un… marqué du sceau fatal
iétés les antiques faisceaux Sous des milliers de mains se brisent en
morceaux
, En vain à rassembler la royauté s’efforce ; La f
joies de la campagne et de l’indépendance. 192. Comparez à tout ce
morceau
l’épître VI de Boileau (vers 43, sqq.) Avec des d
i les créateurs de la satire en France. Témoins la première partie du
morceau
précédent et de celui-ci, et, dans des sujets plu
an de tapisserie ». 260. C’est le Sordidus Autumnus d’Ovide. 261.
Morceau
de bois qui ferme la bonde, trou rond par lequel
. Brasser un méchant tour (La Fontaine). 357. On peut mesurer par ce
morceau
, qui provoque naturellement une comparaison avec
— Tome V, p. 348.) 372. Garrot a signifié 1° trait d’arbalète, 2°
morceau
de bois court que l’on passe dans une corde pour
uable, que pour signaler, particulièrement dans la première partie du
morceau
, un curieux abus de l’imaginatien mythologique en
non sans un mélange de bonhomie, d’enthousiasme et de fierté, dans le
morceau
suivant. 407. Or, maintenant. Voyez le morceau
t de fierté, dans le morceau suivant. 407. Or, maintenant. Voyez le
morceau
suivant. 408. Cf. infra deux passages de Jean d
Et les amis du Louvre adorent la fortune. 409. Pauvrement. Voy. le
morceau
précédent, note 4me. 410. Sic. On a souvent rep
83. Funda. Auj. fronde. 684. Nous signalons à l’attention, dans ce
morceau
, bien des vers expressifs et pittoresques, et par
te u couvent avec la douloureuse agitation que traduisent les vers du
morceau
précédent. Une tranquille sérénité respire dans l
771. Ce touchant monologue, cité partout, a toujours passé pour le
morceau
capital de l’ouvrage. Que de traits sobres et net
). 775. Cf. L’expression des mêmes idées dans les Stances à Tircis (
Morceaux
choisis pour les classes de Grammaire). — Racan,
ses yeulx, de Salamine, de Platée, de Mycale, de Sicile » (Voyez nos
Morceaux
choisis de Prosateurs, p. 32), et comme une avanc
ique » ; et il ajoute que le P. Tournemine allait jusqu’à préférer ce
morceau
« à toutes les pièces de Racine. » Il est vrai qu
nale, ou il se repose et s’endort ! C’est le ton du vers qui finit le
morceau
suivant. — Nous avons cité cette fable, et nous c
pela au public par la Critique de l’École des Femmes (1663). Voir nos
Morceaux
choisis des Prosateurs. 897. Payés régulieremen
ui en est connu, et taire pressentir ce qui reste à en connaître… Les
morceaux
que nous citons répondent à quelques-unes des rés
tes sur Boileau, et qu’énumère notre notice. — La citation du premier
morceau
aura un autre avantage ; les élèves, dans les cla
classes d’humanités, apprennent l’histoire littéraire. Les notices et
morceaux
des poètes qui sont l’objet de ces erreurs, leur
é, si Despréaux était insensible à la douceur charmante de semblables
morceaux
, il faut lui pardonner d’avoir été injuste ; il é
lammisque soquacibus iras. 999. Le contraste de ce passage avec le
morceau
précédent peut faire apprécier la souplesse du ta
s dans le cadre ingénieux, vers et prose, du Temple du Goût (Voir nos
Morceaux
choisis des Prosateurs). On vient de voir ses ver
u raisonné des connaissances humaines. 1168. Le mouvement de tout ce
morceau
rappelle les vers de Boileau (Sat. IX) sur Chapel
laient de ville en ville chanter des poésies, et particulièrement des
morceaux
détachés des épopées d’Homère. Ῥαψῳδός (ῥάπτειν,
de Juvénal sur le remords, cités ibidem, avec les passages du présent
morceau
, qui ont avec eux des rapports frappants. 1315.
cle, mort à Paris en 1519). 1347. « Qu’est-ce que le trône ? Quatre
morceaux
de bois revêtus d’un morceau de velours. Tout dép
347. « Qu’est-ce que le trône ? Quatre morceaux de bois revêtus d’un
morceau
de velours. Tout dépend de celui qui s’y assied.
çant (la terre) dans l’espace… 1372. On n’aurait à relever dans ce
morceau
, d’une harmonie douce et pleine et d’une fraîche
récier par comparaison la vigueur que prend le style du poète dans le
morceau
suivant. 1373. Comparez cet enjambement express
373. Comparez cet enjambement expressif au commencement du vers 7e du
morceau
précédent. — Les vers puissants et, sonores abond
ogressive de son esprit qu’on pourra remarquer dans la succession des
morceaux
suivants ; c’est le lien qui rattache ces morceau
la succession des morceaux suivants ; c’est le lien qui rattache ces
morceaux
à celui-ci et entre eux. 1479. Rare aujourd’hui
lui qui s’agite bruyamment ; 2° troubles, désordre, comme ici. 1506.
Morceau
plein et fort, dont le défaut est de resserrer le
ce des massacres de septembre, l’alliance qu’il leur offrait (voir le
morceau
précité) et leur demandait contre la Commune révo
ac nocturne d’Arabes (Chateaubriand), et la dernière note du présent
morceau
. 1551. Ou Al Borak, ou Borak, cheval qui, selon
faire apprécier la richesse et la souplesse du pinceau du peintre. Le
morceau
suivant permettra d’achever la comparaison. 1556
ux : Et dans le ciel couleur de perle La lune monte lentement. — Ce
morceau
est le rêve d’une imagination puissante, qui a l’
tes de sujets. Dans Théocrite, le Combat de Pollux et d’Amycus est un
morceau
épique ; dans Bion, le Chant funèbre d’Adonis app
yle souvent déclamatoire, des inégalités et même des chutes après les
morceaux
les plus sublimes. Racine sut éviter tous ces déf
pour cette pièce par un compositeur en titre ; ensuite, en ce que les
morceaux
de musique y sont beaucoup plus développés, et qu
rement dit est en récitatif, et il aboutit nécessairement à de grands
morceaux
de musique, solos, duos, trios, quatuors, chœurs,
nce1. Pour la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les
morceaux
nécessaires se tournent en ornements naturels. Ma
ar aucune personne en ce monde. » 1. Il faut remarquer dans tout ce
morceau
la familiarité expressive des images, l’aisance i
Fénelon avait donné au duc de Bourgogne « un reliquaire d’or avec un
morceau
de la mâchoire de saint Louis ». (Lettre au duc d
’une grande force, des pensées pleines de grâce ou de finesse, et des
morceaux
entiers qui respirent le ton de la véritable éloq
» (Sermon sur l’humanité des grands.) Il est aisé de réduire ce beau
morceau
à ce raisonnement logique : Tout ce qui vient de
assigné sur la terre. » (Sermon sur l’humanité des grands.) Tout ce
morceau
se réduit à ce syllogisme : Si Dieu ne vous a pa
qu’à l’évidence. Si l’on remet le conséquent à sa place naturelle, ce
morceau
perd presque toute son énergie. Les grands poëtes
enne attaquer Dieu jusqu’en son sanctuaire. (Act. I, sc. I.) Dans ce
morceau
de la plus sublime éloquence, comme de la plus su
e, le détail de l’objet risible ; elle étend le ridicule dans tout un
morceau
de discours. Le mérite en est dans la fidélité et
ns le panégyrique. La péroraison du panégyrique est ordinairement un
morceau
d’éclat. L’orateur peut y étaler toutes les riche
ns une simple narration, puisqu’on peut et qu’on doit même écrire des
morceaux
très-simples dans un ouvrage du genre le plus éle
choisir le mode, le ton et le mouvement qui convient au caractère du
morceau
qu’il veut composer, de même l’orateur et l’écriv
lle passait la paix et la joie dans le cœur des peuples ! » Quand un
morceau
demande de la vivacité, on emploie des nombres pl
its des discours. Nous entendons par objets de détail, les différens
morceaux
dont un discours se compose, les pensées et les s
ux dont un discours se compose, les pensées et les sentimens dont ces
morceaux
se composent à leur tour. Il faut que l’écrivain
ens et aux pensées considérées en elles-mêmes et comme les élémens de
morceaux
plus étendus. Les pensées veulent être rendues da
est une beauté dans les sentences ou maximes détachées, dans certains
morceaux
des grands ouvrages, comme les portraits, les car
n’ai pu encore en découvrir. » (Art d’écrire, l. I, c. 1.) Voici un
morceau
de Bossuet où les pensées sont parfaitement liées
. » (Serm. sur l’hum. des grands envers le peuple.) Combien, dans ce
morceau
, l’orgueil et la fierté de ceux qui veulent passe
que l’orateur fait parler, est fidèlement et vivement exprimé dans ce
morceau
. Observation sur cette figure. Cette figure pro
le plus souvent une sentence ; mais il est toujours placé à la fin du
morceau
auquel il appartient, au lieu que la sentence se
t nous venons de parler ; mais il fallait nous borner. D’ailleurs les
morceaux
ainsi détachés ne peuvent que perdre de leur méri
s ambigus, fis croire au premier homme Qu’il allait, en goûtant de ce
morceau
fatal, Comblé de tout savoir, à Dieu se rendre ég
) Au reste, cette faute, si c’en est une, a produit un des plus beaux
morceaux
de la poésie française. 2°. Exagération, enflu
choses sublimes, est guindé dans plusieurs endroits. Il l’est dans le
morceau
où Émilie exprime le désir qu’elle a de venger la
st possible, si fieri potest, quotidiè, par cœur et mot à mot quelque
morceau
intéressant d’un bon auteur, soit en vers, soit e
ue l’on peut employer sont la lecture à haute voix, la déclamation de
morceaux
de prose et de poésie récités de mémoire dans des
t que la combinaison des trois tons dont nous avons parlé. Prenons le
morceau
du Telémaque où Philoctète raconte ses malheurs :
ouleur. » (Ton soutenu ; l’accent du désespoir.) Examinons encore un
morceau
de l’Oraison funèbre de la reine d’Angleterre, pa
premier essai en ce genre. Il défigurait totalement Bossuet, dont les
morceaux
les plus sublimes, exagérés avec emphase, étonnai
y revenir. » (Quint., lac. cit.) A-t-on lu un bon ouvrage ou quelque
morceau
important de philosophie, de littérature ; il ser
avec admiration quelques-uns de ses discours. Qui ne serait frappé du
morceau
suivant, où cet orateur répondait avec tant de pa
de Racine à MM. Thomas Corneille et Bergeret, dans laquelle on lit un
morceau
fameux sur Pierre Corneille ; celle de Fontenelle
siècle, de MM. Chasles et Saint-Marc Girardin, sont certainement des
morceaux
d’éloquence académique très distingués, et qui se
tesquieu, par M. Villemain ; celui de Le Sage, par M. Patin, sont des
morceaux
très remarquables, et qui, s’ils ne prouvent pas
, nous avons ajouté, dans cette seconde édition, un certain nombre de
morceaux
littéraires pour appuyer les préceptes ; pourtant
On trouvera ces stances célèbres sur l’Amour de la retraite dans nos
Morceaux
choisis des Classiques français à l’usage de la c
monde resteraient infailliblement au-dessous d’une pareille prose. Ce
morceau
, d’ailleurs, était trop célèbre, pour chercher se
i promptement à tant de valeur ». Le même charme se retrouve dans le
morceau
suivant, sur l’amitié : « Quel préjugé s’est rép
ouvrage a été rédigé. Nous ne manquons pas de travaux, ou au moins de
morceaux
de choix sur les différents genres de littérature
utorités les plus hautes en fait de critique littéraire. De plus, les
morceaux
cités comme modèles sont presque toujours choisis
et brillantes descriptions, des narrations suaves et touchantes, des
morceaux
lyriques aussi irréprochables qu’élevés, mais, en
nouvelles guerres civiles ! Comparez à cette admirable allégorie des
morceaux
de quelque valeur, sans doute, mais qui sont loin
4, est jetée dans un coin dès qu’elle est cassée, et qu’elle reste en
morceaux
dans la poussière ; que voilà ce qui arrive à tou
ence. Pour la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les
morceaux
nécessaires se tournent en ornements naturels. Ma
ues impôts. Il mourut en 1683, la même année que ce ministre. Dans le
morceau
que l’on va lire, il s’est égalé, comme l’a dit V
est pas seulement un trait d’esprit : elle peut s’étendre sur un long
morceau
, et même sur tout un ouvrage. Fontenelle se disti
rois qualités de style réunies. Voici, dans un style plus moderne, un
morceau
remarquable emprunté à la Divine Épopée d’A. Soum
onnet : Belle Philis, on désespère Alors qu’on espère toujours. Le
morceau
suivant, de Victor Hugo, peut montrer que si ce p
dra comme une bête fauve dans sa tanière, mais sans pouvoir faire, du
morceau
de bois qui lui servira de défense, ni une épée,
ne cesser jamais de l’honorer et d’y croire ! » 1. Le style de ce
morceau
n’est point irréprochable, mais il a du mouvement
tes. Ritter n’hésite pas à considérer comme une interpolation tout le
morceau
qui s’étend depuis παραπλήσιον jusqu’à la fin du
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