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1 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
e littérature y fût plus répandue et plus approfondie, de recueils de morceaux choisis, empruntés à nos meilleurs écrivains, pro
nfiance, lorsqu’il a bien voulu nous inviter à composer un recueil de morceaux choisis, pour les classes de grammaire particuliè
ivent étudier, les modèles les plus incontestés et les plus purs, les morceaux les plus propres à former le cœur autant que l’es
paru en rapport avec leur jeune intelligence. Dans la disposition des morceaux , nous n’avons apporté d’autre ordre que celui qui
té faite par un grand nombre de professeurs, nous avons réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les mo
réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les morceaux de prose et de poésie plus particulièrement conve
e poésie plus particulièrement convenables à chaque classe ; quelques morceaux nouveaux ont pris place parmi les anciens. Ce tra
2 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
grands maîtres ont tracées, en produire quelques-uns et faire même un morceau vraiment éloquent, que lui dictera le seul sentim
r le style ? Non sans doute : il est impossible qu’il ne défigure ces morceaux éloquents par d’autres morceaux défectueux. C’est
est impossible qu’il ne défigure ces morceaux éloquents par d’autres morceaux défectueux. C’est ce que font tous les jours des
Il y a, par exemple, dans les poèmes dramatiques de Shakespeare, des morceaux d’une vraie éloquence, que déparent d’autres morc
hakespeare, des morceaux d’une vraie éloquence, que déparent d’autres morceaux pleins de défauts monstrueux. Si ce Tragique angl
fureur. Il n’est aucun homme sensible, qui, à la lecture de ces deux morceaux , ne conçoive et n’éprouve lui-même les vives impr
frent en ce genre des exemples sans nombre. Néanmoins leurs meilleurs morceaux sont inférieurs à l’histoire admirable de Josepha
euville, surtout son Oraison funèbre du cardinal de Fleuri a, d’où le morceau suivant a été tiré. « Le moment arrivait où ce m
n. Le Sermon de ce dernier sur le petit nombre des élus, est plein de morceaux sublimes. Voici le plus frappant. L’orateur l’a i
ât seulement dix justes parmi nous ? En trouverait-il un seul ? » Ce morceau , dit Voltaire 1, est un des plus beaux traits d’é
’Orateur ; et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce morceau . Aucun de ces trois genres ne se trouve ordinaire
3 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VII. Éloge funèbre des officiers morts dans la guerre de 1744, par Voltaire. »
neur à sa plume et à notre langue. C’est là que l’on trouve ce fameux morceau sur la guerre, et cette définition de la véritabl
els ont été les progrès des lumières, depuis que Voltaire écrivait ce morceau , et leur influence sur l’art militaire en particu
barbares, que n’a point fait leur valeur ? etc. » Rapprochons de ce morceau une autre définition d’une armée, citée partout c
renne, son plus bel ouvrage, qui ne voit, dans le premier de ces deux morceaux , le véritable orateur, l’écrivain plein de son su
es, etc. Le discours éloquent que nous parcourons est terminé par un morceau de la sensibilité la plus vraie sur la mort de M.
4 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Le Sage 1668-1747 » pp. 139-143
m’assis tout seul à une table. Je n’avais pas encore mangé le premier morceau , que l’hôte entra, suivi d’un homme qui l’avait a
à table pour vous tenir compagnie seulement, et je mangerai quelques morceaux par complaisance. » En parlant ainsi, mon panégyr
excellente, mais elle coûtera cher à ceux qui la mangeront : c’est un morceau trop friand pour vous. — Qu’appelez-vous trop fri
ant, etc. » Cela rappelle le mot du parasite : « Je mangerai quelques morceaux par complaisance. » 4. Il faut avouer que le sei
5 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
son goût pour les pierres, etc ». (Éloge de Tournefort). Voilà deux morceaux d’un caractère de style bien différent ; et tous
ierre Ier et du roi de Suède, par Voltaire ; on sait que c’est un des morceaux brillants de l’histoire de Charles XII. Ce même p
». (Voltaire.) Tous les compilateurs n’ont jamais manqué de citer ce morceau , et de se récrier d’admiration en le citant. Les
de restriction : sans doute, dans toute autre circonstance, un pareil morceau pourrait être déplacé, et dégraderait peut-être l
6 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VII. De l’Harmonie imitative. »
ement quelquefois le plaisir que pourraient nous faire les plus beaux morceaux de poésie moderne. Ouvrez Homère, et vous lui ren
ς μέλιτος γλυκίων ῥέεν αὐδή. (Ιλ. Α. v. 247). C’est surtout dans les morceaux d’une certaine étendue, et où plusieurs circonsta
monie à la versification latine, Lucrèce, a imité avec succès ce beau morceau d’Homère. ……………… Adverso nixantem trudere monte
rescere murmur. (Georg. Lib. i). M. Delille se montre digne, dans ce morceau , de marcher à côté de son modèle. Au premier sif
les d’harmonie soutenue et caractérisée, d’un bout à l’autre, dans un morceau de longue haleine ? Entendez-vous le son des trom
7 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
nt ici l’air étrangère, et qu’elle est bien loin de défigurer ce beau morceau . …………………………… Je disais à la nuit sombre : Ô nuit
na Babylonis, etc. ; c’est-à-dire, de la plus belle élégie connue, du morceau le plus touchant que nous offre l’antiquité164. L
par exemple, que l’esprit seul des livres saints pouvait inspirer le morceau suivant : Digne prix de ma foi, quelle auguste m
rien, absolument rien, et n’en reviendront qu’avec plus de plaisir au morceau délicieux que nous venons de citer. Après ce cour
ême déplacé dans une pièce profane, est quelque chose de plus dans un morceau de la nature de celui-ci, et nous sommes étonnés
e historique, rejettent nécessairement cet épisode dans la classe des morceaux qui plaisent plus à l’esprit qu’ils ne peuvent to
nneur de disputer, en 1784, le prix de l’académie française. Voici ce morceau , d’autant plus précieux, qu’il est rare, et qu’il
8 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »
essentiellement ici l’esprit du génie. Un exorde, en général, est un morceau d’apparat, un morceau étudié ; et tout ce qui sup
’esprit du génie. Un exorde, en général, est un morceau d’apparat, un morceau étudié ; et tout ce qui suppose et exige de l’art
d. Voilà pourquoi l’homme d’esprit se tire à merveille d’une foule de morceaux de détails, de petites circonstances qu’il a le t
he à sa parole » ! Fléchier et Mascaron se sont élevés, dans ce même morceau , à des beautés dignes de Bossuet lui-même. Écouto
9 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303
se protection. On le regrettera vivemement, à la lecture de plusieurs morceaux de ses ouvrages. Aux traces d’exagération et d’in
ère avait parlé à peu près de même dans les Femmes savantes. Voir les Morceaux choisis pour la classe de seconde. 1. Condamnati
des fautes, il ne méritait cependant pas la mort. 1. Ces vers et ces morceaux même, admirablement frappés, ont mérité à Gilbert
eu des planètes (c’est l’exposition du système de Copernic), quelques morceaux traduits avec éclat de Virgile, etc. 3. Voilà un
10 (1839) Manuel pratique de rhétorique
ude des règles par : 1° La lecture des bons modèles ; 2° L’analyse de morceaux choisis dans tous les genres ; 3° Des exercices g
d’abord il lui a été donné connaissance.   1er Exercice : Lecture du morceau par le maître ou par un élève. Après cette lectur
e, l’élève doit en présenter le compte rendu. 2e Exercice : Examen du morceau dans ses parties constitutives. — Quel est l’obje
n du morceau dans ses parties constitutives. — Quel est l’objet de ce morceau  ? — Examinons si les faits que l’auteur expose, s
res subdivisions ? (De même pour les autres). 3e Exercice : Examen du morceau sous le rapport de la disposition de ses parties
es. — Maintenant que vous connaissez les parties constitutives de ce morceau , examinez l’ordre dans lequel l’auteur les a dist
eur aurait pu en adopter une plus convenable. 4e Exercice : Examen du morceau sous le rapport de la liaison de ses parties cons
teur a lié les diverses parties de son œuvre. 5e Exercice : Examen du morceau sous le rapport du style. — Quelle opinion avez-v
apport du style. — Quelle opinion avez-vous du style en général de ce morceau  ? — L’auteur avait-il besoin pour son sujet d’art
essions relevées, d’images sublimes ? — Le style de l’auteur, dans ce morceau , est-il clair ? est-il pur ?   Ici c’est au profe
qu’ensuite on le mette le livre de côté, et qu’on essaye d’écrire ce morceau de mémoire, aussi bien qu’on pourra le faire. Apr
mple et celui qui obtient les résultats les plus rapides. Un choix de morceaux dans les différents genres de nos meilleurs auteu
us haut, et puis cherchera à recomposer, sans le secours du livre, le morceau analysé. Enfin, par la comparaison qu’il fera de
l y a un moyen de développer la sensibilité, c’est de se pénétrer des morceaux éloquents qui en offrent les différents traits, e
s savoir pourquoi. Cependant, si l’on veut examiner attentivement les morceaux de ce genre, on trouvera que les pensées sont sim
prêtre ; Mais bientôt à ma vue on l’a fait disparaître. Et cet autre morceau  : Un immense bûcher, dressé pour leur suppliée,
Raynouard. Les Templiers. On trouve encore l’hypotypose dans les morceaux suivants : À peine nous sortions des portes de T
tes et chez les orateurs ; mais il faut surtout la remarquer dans les morceaux pathétiques, et on voit qu’elle consiste à dispos
stes d’une voix qui tombe, et d’une ardeur qui s’éteint ! » Un autre morceau où la gradation est bien marquée, surtout bien ap
prime dans l’âme un sentiment profond ; elle est placée à la fin d’un morceau . Il faut remarquer l’épiphonème qui termine, dans
e des précédentes. Pour s’en convaincre, qu’on dépouille du nombre un morceau quelconque où il est bien observé, tel que celui
— Donnez des exemples ? — En quoi consiste la réticence ? — Citez des morceaux où elle se rencontre ? — Que fait l’orateur au mo
Nous empruntons presque tout ce qui suit sur la manière d’analyser un morceau littéraire à l’excellent ouvrage de feu Sabatier 
11 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
ment de cette figure dans son Discours sur les Lettres. Voici ce beau morceau . « Ô Fabriciusc, qu’eût pensé votre grande âme,
tion de Didona abandonnée par Énée. Voici la traduction en vers de ce morceau par Boileau, frère de l’auteur du Lutrin. Hélas 
Pompignan dans sa belle Ode tirée de ce psaume, a ainsi paraphrasé ce morceau  :         L’éclat pompeux de ses ouvrages,     
nt tous devant ses yeux comme s’ils n’étaient pas. Si ces différents morceaux traduits en notre langue, éclatent par tant de be
le parti de ceux qu’ils voudraient favoriser. Je n’en citerai que ce morceau , dont la plus grande partie a été traduite en ver
s pervers. On trouve encore le vrai sublime des images dans les deux morceaux suivants. Le premier est tiré d’un sermon de Mass
e fils. Il est plein de grandes idées et d’images sublimes : c’est un morceau de poésie fini. Déjà j’entends des mers mugir le
12 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
é à la mode du premier Empire, on est parfois tenté de croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des morceaux de choi
ois tenté de croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des morceaux de choix. Puisse-t-on ne point adresser ce reproc
e d’une routine fastidieuse qui risquait d’imposer à chaque groupe de morceaux choisis une étiquette de convention. Oui, mieux v
13 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
é à la mode du premier Empire, on est parfois tenté de croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des morceaux de choi
ois tenté de croire que des morceaux choisis ne sont pas toujours des morceaux de choix. Puisse-t-on ne point adresser ce reproc
e d’une routine fastidieuse qui risquait d’imposer à chaque groupe de morceaux choisis une étiquette de convention. Oui, mieux v
14 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
modèles de pensées et de sentiments naturels, nous mentionnerons les morceaux suivants : la jeune Captive, par André Chénier ;
ndrons Fontenelle, Marivaux, Dorat, Vauvenargues, et Blanchet dont le morceau intitulé l’Académie silencieuse ou les Emblèmes,
trait de la femme forte, Mulierem fortem… (Prov., xxxi, 10-31). A ces morceaux nous ajouterons des passages plus ou moins nombre
taire, Lamartine, présentent des modèles de style gracieux. Parmi les morceaux les plus remarquables en ce genre, nous signalero
plus de quatre-vingts ans, écrivit à madame Lullin. Voici ce dernier morceau  : Hé quoi ! vous êtes étonnée Qu’au bout de qua
ine, Bossuet, Racine, Bourdaloue, Massillon, J.-B. Rousseau, etc. Les morceaux suivants sont des modèles de style sublime : la d
es pensées et des sentiments énergiques, on la trouve encore dans des morceaux assez étendus. L’énergie se développe alors dans
15 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre III. Du Sublime dans les Compositions littéraires. »
est frappant, tout va en croissant. Voyons maintenant ce que ce beau morceau a pu perdre ou gagner entre les mains de deux fam
asse voir, ne fasse entrer, en trois vers, est une négligence dans un morceau aussi important ; et fasse voir du Styx la rive d
c des armes très inégales que les modernes voudront lutter contre des morceaux d’une perfection aussi achevée ; et Delille est t
ne Manes . Il est évident au surplus que Pope avait, en traduisant ce morceau , les vers de Boileau sous les yeux. Son dernier v
16 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre V. Beautés oratoires. »
père et l’autorité d’un maître. Le Deutéronome, qui nous a fourni le morceau qu’on vient de lire, contient plusieurs autres mo
Plaignons, et plaignons bien sincèrement ceux pour qui de semblables morceaux perdraient de leur mérite réel, par cela seul qu’
nce inévitable de l’autre : nous vous avons montré que les plus beaux morceaux , que l’on pût offrir à votre admiration, étaient
17 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
es de donner la plus haute idée de cette entreprise si hasardeuse. Ce morceau est, au jugement du P. Rapin 112, le plus achevé
donna un Abrégé, qui fit perdre l’histoire même. Il y a de très beaux morceaux , et des peintures très vives. La narration de cet
que, et la Vie d’Agricola pour un des plus beaux et des plus précieux morceaux de l’antiquité. L’abbé de La Bletterie a traduit
lon Voltaire, n’a eu ni modèles, ni imitateurs, est un des plus beaux morceaux d’éloquence qui soient sortis de la main des homm
dans son style ; que toutes ses histoires offrent un grand nombre de morceaux pleins de chaleur et d’intérêt, et qu’il en est p
enise. Il y a, dit-on, quelques faits imaginés. À cela près, c’est un morceau très précieux. Les réflexions y sont sensées, les
naïveté. Ceux de Commines, chambellan de Louis XI : un des meilleurs morceaux de notre histoire pour le règne de ce monarque et
18 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
re littérature y fût plus répandu et plus approfondie, de recueils de morceaux choisis, empruntés à pos meilleurs écrivains, pro
nfiance, lorsqu’il a bien voulu nous inviter à composer un recueil de morceaux choisis, pour les classes de grammaire particuliè
ivent étudier, les modèles les plus incontestés et les plus purs, les morceaux les plus propres à former le cœur autant que l’es
paru en rapport avec leur jeune intelligence. Dans la disposition des morceaux , nous n’avons apporté d’autre ordre que celui qui
tacle de la nature : ce qu’il nous enseigne. Voyez, Lucile219, ce morceau de terre, plus propre et plus orné que les autres
ence. Pour la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les morceaux nécessaires se tournent en ornements naturels. Ma
acte de Rodogune, se soutiendraient à côté d’Athalie, quand même ces morceaux seraient faits aujourd’hui ; de quel œil devons-n
t ; Cela fut sitôt fait qu’à peine ils le sentirent : Tout fut mis en morceaux un seul n’en échappa.         Nous pouvons concl
serre cruelle, Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle Et les morceaux du las qui l’avait attrapé,         Semblait un f
e n’ont trouvé un plus élégant et plus judicieux interprète. Quelques morceaux de lui attestent en outre qu’il était capable d’u
té faite par un grand nombre de professeurs, nous avons réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les mo
réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les morceaux de prose et de poésie plus particulièrement conve
e poésie plus particulièrement convenables à chaque classe ; quelques morceaux nouveaux ont pris place parmi les anciens. Ce tra
rois archaïsmes, la seule tache qui paraîtrait aujourd’hui déparer ce morceau plein de mouvement et de chaleur. 27. Bossuet ra
les, avaient coutume de se retirer. 52. On peut lire, au sujet de ce morceau , des considérations pleines d’intérêt de M. Ville
ici, pour suivre la liaison rigoureuse des idées développées dans ce morceau , se rendre bien compte de la différence établie p
ettre de Mme de Sévigné, datée du 16 août 1675, et que renferment nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de quatrième, un b
re à Timothée, VI, 15. 106. Les mêmes idées sont développées dans le morceau de Balzac intitulé : De la conduite de Dieu dans
itulé : De la conduite de Dieu dans les événements humains. (Voy. les morceaux choisis à l’usage de la classe de troisième, page
e estimable de Saint-Évremond, que nous avons fait connaître dans nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de quatrième. 110
eunes gens. Voyez encore Horace, Art poétique, v. 161 et suiv., et le morceau de Régnier intitulé les quatre âges de l’homme, d
t le morceau de Régnier intitulé les quatre âges de l’homme, dans les morceaux choisis pour la classe de quatrième, page 81. 12
— Il serait facile, mais peu nécessaire, de relever çà et là dans ce morceau quelques incorrections de détail : Bossuet n’a mi
tudiées. 140. Lactance, Divin. Instit., liv. VI, c. XI. 141. Cf. le morceau de Bourdaloue intitulé Nécessité de l’aumône et c
146. On a quelquefois refusé à Bossuet le don de la sensibilité ; ce morceau suffirait pour faire justice d’une telle opinion 
i qui l’a écrite et de celui qui y est loué. On peut en rapprocher un morceau judicieux du père Bretonneau, de la société des j
ableau achevé ». 161. Pour faciliter aux élèves l’intelligence de ce morceau étendu de Bourdaloue, nous en avons tracé le plan
 avril 1687, etc. Il faut voir aussi l’éloge que fait l’abbé Maury du morceau que nous avons emprunté à Bourdaloue, et en génér
ents passagers qui se combinent avec l’un et l’autre, on peut voir un morceau intéressant de cet auteur, dans les Éléments de l
le sermon de Bourdaloue sur la passion de Notre-Seigneur, à la fin du morceau . 273. Ce mot conserve ici son sens étymologique
l’orateur, et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce morceau . » Il le transcrit ensuite et termine sa citation
9. On peut ici comparer Massillon avec lui-même, en rapprochant de ce morceau la peinture qu’il a tracée, dans son sermon pour
nt porte aussi loin que Massillon le mérite de l’élégance ». Ces deux morceaux ont été donnés dans les Morceaux choisis pour la
le mérite de l’élégance ». Ces deux morceaux ont été donnés dans les Morceaux choisis pour la classe de quatrième, pages 68 et
305. « Comme toutes les expressions, observe La Harpe en citant ce morceau , coulent d’une âme qui s’épanche ! Est-il possibl
e du philosophe chrétien atteint à la plus grande élévation. 308. Ce morceau est mentionné par La Harpe comme l’un de ceux « o
t revoir sur la conduite du sénat un passage de Bossuet cité dans les Morceaux choisis de la classe de quatrième, page 32. 316.
s Romains et ce honteux abaissement des rois. On peut revoir dans les Morceaux choisis de la classe de quatrième, page 94, les e
ètes. Ce prince a été fort bien jugé par Montesquieu lui-même dans le morceau intitulé : Parallèle de Charles XII et d’Alexandr
était sa mère. Eurydice était l’épouse d’Aridée. 329. En offrant ce morceau pathétique à l’étude de la jeunesse, on ne dissim
aire.) 336. Dans le récit de la bataille de Rocroy fait par Bossuet ( Morceaux choisis de la classe de troisième, page 59), l’or
le d’Adélaïde Duguesclin. 358. Il faut rapprocher de cette lettre le morceau de Fénelon intitulé : De la perfection du goût, e
e avant l’apparition de Corneille. On peut revoir ce passage dans les Morceaux choisis de la classe de troisième, page 81. 365.
de la nature sauvage. Il serait curieux, par exemple, d’opposer à ce morceau de Buffon les descriptions que M. de Chateaubrian
mêlant à la splendeur des images, en tempère heureusement l’éclat. Un morceau encore sans reproche, ajoutait- il, c’est le débu
ienfaits de la paix dans une idylle pleine de grâce. On peut voir les Morceaux choisis de la classe de sixième, p. 159. 448. «
insi parler de soi et de ne s’être point trompé. En effet, il y a des morceaux de Malherbe qui dureront jusqu’aux derniers débri
dans le style noble. 483. Revoir sur ce mot la note 1, page 179 des Morceaux choisis de la classe de troisième. 484. Maintena
es vers en sont beaux, les réflexions sont justes, intéressantes : ce morceau est digne du grand Corneille ». 504. Pour confi
te à Sénèque en surpassant son modèle, et qui est l’un des plus beaux morceaux de notre langue, le poète a montré, pour parler a
rs de littérature dramatique. En outre. M. Guizot a publié sur lui un morceau important. 527. Ici se retrouve un souvenir de l
pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième. 550.
e mal : tour vif, qui paraîtrait aujourd’hui peu usité. 562. « À ce morceau dont l’impression est si délicieuse, dit La Harpe
der.) 576. Nous avons rencontré une image semblable dans l’admirable morceau de Bossuet sur la jeunesse, donné dans le même re
scours de Molière, chef-d’œuvre de la bonne comédie ? Ce sont de tels morceaux qui l’ont fait justement appeler par La Harpe « l
et qui reparaîtra encore un peu plus bas. 668. On peut voir dans nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de cinquième, p. 2
us possédons n’offre, on osera l’affirmer, un épisode comparable à ce morceau pour la vivacité de l’invention, la force du colo
dernière édition qu’il donna de ses œuvres poétiques (1701). C’est un morceau dont on ne saurait trop recommander la lecture.
écepte de Boileau, voyez le discours de Buffon sur le style, dans les Morceaux choisis de la classe de rhétorique. 692. De même
bien plus poète que lui cependant, a laissé, entre autres travaux, un morceau inachevé sur l’Invention, où ses idées sur les ré
mper ait. 840. Revoir, au sujet de cette expression, la p. 298 des Morceaux choisis pour la classe de troisième. 841. « Lo
es secrets du génie. Je ne crois pas qu’il y ait dans notre langue un morceau d’une mélancolie plus touchante, d’une chasteté p
 Et modo nata mala vellere poma manu ? 842. Il ne subsiste que des morceaux , inachevés en général, de ce poème où A. Chénier,
19 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »
xemples, que ce lieu commun fournit, à l’éloquence, de bien brillants morceaux . On voit aussi que l’orateur définit les choses b
mémorables victoires du grand Condé 13, celle de Fribourg14. Voici ce morceau frappant : « Arrêtez ici vos regards. Il se prép
ne, comme étant de son invention et de sa composition, une pensée, un morceau qu’il a pris dans un autre écrivain. Liberté d
le peinture du bouclier de ce héros, et dans bien d’autres excellents morceaux de son Énéide. Homère lui-même, a vraisemblableme
dans le début de son Clovis, poème médiocre, mais où l’on trouve des morceaux heureux, dit à la muse qu’il invoque : Ose répan
otre Racine qui imite Euripide. Je ne rapporterai qu’une partie de ce morceau . Dans le poète grec, Phèdre se reprochant son amo
ice Gavius, citoyen romain. Voici, à peu près, le sens littéral de ce morceau . « Au milieu de la place publique de Messine37,
le pompeux et magnifique. Un beau modèle de narration oratoire est le morceau suivant de l’Oraison funèbre du président de Lamo
vable de son agrandissement à votre négligence, qu’à sa valeur ». Ce morceau est plein d’éloquence, mais de cette éloquence mâ
et qui en ignorait le succès, a jugé, à la simple lecture de ces deux morceaux , qu’Eschine succomba. Il perdit en effet sa cause
qu’on puisse citer en notre langue. Il n’est pas possible de lire ce morceau , sans être vivement ému ; et je ne crains point q
20 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. »
c’est qu’ils n’écrivaient que dans l’inspiration du génie, et que les morceaux qu’on admire le plus, sont ceux quelquefois qui o
omme un autre, qu’il se trouve de fort beaux vers dans Claudien ; des morceaux même que l’on peut mettre sans danger sous les ye
curieuses et qui fait honneur à notre littérature, qui compte peu de morceaux oratoires plus véritablement éloquents que l’Élog
21 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
 ». Peut-être eût-il fallu s’en tenir là, et passer immédiatement au morceau sublime qui termine ce beau discours. Mais Socrat
mme lui, victimes d’un jugement injuste, etc. Il y a, dans ces divers morceaux , de la force, de l’élévation, de la vraie philoso
de purifier son âme ». C’est sans doute après la lecture de pareils morceaux , que l’un des plus spirituels écrivains du seiziè
22 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
pendance et de l’égalité : j’attendis qu’il vînt chez moi ». Tout ce morceau est bien pensé, bien écrit, plein de réflexions p
t entre tous les empereurs ; transition un peu forcée, pour amener le morceau suivant, « À ce mot de philosophie, je m’arrête.
révolution qui ne tarda pas à se manifester dans les choses ? Mais un morceau généralement admiré, un morceau qui paraissait av
manifester dans les choses ? Mais un morceau généralement admiré, un morceau qui paraissait avec raison à La Harpe de la plus
23 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117
s pensées isolées, fugitives, et qui écrivent en différents temps des morceaux détachés, ne les réunissent jamais sans transitio
rable par le tissu de son style. Puis ils attaqueraient peu à peu des morceaux plus considérables, des discours, des dissertatio
gale sous ce rapport. On pourrait encore analyser en ce sens quelques morceaux de poésie, réputés classiques, parce que les déta
miration du professeur du Lycée pour l’expression et l’harmonie de ce morceau , nous sommes loin d’en regarder la disposition co
uchement l’idée de l’exorde. Le dirai-je ? On croirait presque que ce morceau a été fait à plusieurs reprises ; le poëte aurait
24 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
hapitre I, section I]. La clarté du style fait le principal mérite du morceau intitulé : Fléaux de 1709, Humanité de Fénelon, T
comprendre sans la moindre peine. Nous ferons le même éloge du second morceau intitulé : les Savoyards et la Savoie, dans leque
s. Il écrivit avec la plus grande facilité : on peut en juger, par le morceau suivant, qui est rendu avec simplicité, correctio
serre cruelle Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle, Et les morceaux du lacs qui l’avait attrapé,     Semblait un forç
ide en un instant. Boileau. Citons comme exemple de style noble, ce morceau plein de grandeur que nous extrayons de L’Essai s
répond à la solidité des pensées. (Domairon.) M. de Lacépède, dans le morceau intitulé : Causes de la décadence de l’empire rom
présente une page où sont réunies ces différentes qualités. C’est un morceau historique remarquable, l’auteur esquisse avec la
s, et l’harmonie imitative toutes les fois que le sujet s’y prête. Le morceau que nous citons ici est écrit d’un style noble et
25 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre premier. »
é que nous présentent les fastes académiques. Que l’on en juge par ce morceau pris au hasard dans son discours de réception. «
on se reporte à l’époque où il fut composé, et qu’on le rapproche de morceaux d’une date beaucoup plus récente, on est égalemen
26 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
. C’était, comme vous voyez, un Cupidon dérobant les armes d’Hercule, morceau d’un travail exquis et grec, si je ne me trompe.
j’ai écrit avec un crayon : Lugete, Veneres Cupidinesque 4, et les morceaux dispersés qui feraient mourir de douleur Mengs et
us le fer de quelque ignoble soldat. Voilà le Pamphlet des pamphlets, morceau d’un entraînement irrésistible, et dont le style,
27 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
ure de pensée, combien de tropes différents contribuent à embellir ce morceau  ! ce sont les voiles, les ténèbres du mensonge, l
jusqu’à 97). Voltaire s’amusa, dans sa vieillesse, à faire de ce beau morceau l’imitation suivante : Prométhée autrefois pénét
irrités on fait des dieux propices ; a cependant bien réussi dans ce morceau qui n’exigeait que de la grâce, de l’esprit et de
très près à cet égard. Nous en offrirons un exemple frappant dans ce morceau du Paradis perdu. C’est l’instant où la malheureu
de tous les extrêmes réunis ? Il n’y a donc rien à reprendre dans le morceau suivant ; et quoique l’antithèse y paraisse prodi
n’y vois que la paraphrase froide et traînante de l’un des plus beaux morceaux du lyrique romain. Pourquoi, au contraire, ces de
deerit. (Ad Cornific. Lib. xii). 39. Voici comme Pope a rendu ce morceau  : Pray’rs are Jove’s daughters, of celestial rac
28 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
n’en est pas de même des historiens latins : leurs harangues sont des morceaux si achevés, dans leur genre, qu’il est impossible
ttra trop d’obstacle. (Acte v. sc. dernière). Tite-Live est plein de morceaux où respire cette éloquence vraiment dramatique, q
ifficile, malgré cela, de trouver, dans sa longue gazette en vers, un morceau comparable au discours dont il est question ici.
reproduite avec autant d’éclat que de noblesse par Fléchier, dans ce morceau déjà cité. « On compte, en le voyant, les ennemi
s et avec les Pisons, que les Germanicus obtiennent justice. Un autre morceau du même genre, mais dont le plan et l’exécution d
29 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IX. De quelques autres figures qui appartiennent plus particulièrement à l’éloquence oratoire. »
t de celle de la chaire. Avec quel avantage Cicéron s’en sert dans le morceau suivant ! « Si tu apud Persas, aut in extremâ In
à cette figure que les rhéteurs rapportent l’honneur et l’effet de ce morceau célèbre de Massillon, dans son sermon sur le peti
u célèbre de Massillon, dans son sermon sur le petit nombre des Élus, morceau si franchement loué par Voltaire lui-même, et don
30 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
mbrà, etc. Telle sur un rameau, durant la nuit obscure, etc. Tout ce morceau est charmant, respire la plus douce sensibilité,
ien éminemment poétique du génie allégorique des prophètes : c’est le morceau ou Ézéchiel prédit le terme de la captivité des J
mages les plus poétiques. Nous ne connaissons rien à opposer à un tel morceau , si ce n’est peut-être, et toujours à la distance
emple dans toute la prophétie qui a pour objet la naissance de J.-C., morceau vraiment magnifique, qui a fourni à Virgile son P
31 (1873) Principes de rhétorique française
teur, et ce trouble ne servit qu’à augmenter l’effet de cet admirable morceau , modèle de l’usage des passions : Je ne parle pl
t celui qui frappe. Comme la douleur de Bossuet est soutenue dans le morceau suivant, et quelle émotion en découle dans notre
autre chose que de froids ornements. Les critiques dont cet admirable morceau a été l’objet attestent ou l’irréflexion ou la ja
iquant la qualité appropriée à la circonstance ou à l’action. Dans le morceau de Bossuet, cité plus haut, les adjectifs : longu
e chanteur et le musicien ; les dernières notes décident du succès du morceau tout entier. La péroraison se propose un double b
l résume et rappelle ce qu’il a dit précédemment. De même que dans un morceau de musique bien composé le motif du début revient
nne le change, Et sait en vieux renard s’échapper de leurs mains. Un morceau tout entier peut n’être qu’une suite de comparais
d a réuni comme à plaisir toutes les formes de la comparaison dans le morceau suivant des Martyrs : Un cri s’élève du fond des
re à la célèbre prosopopée de Fabricius. Encore quelques années et ce morceau ne sera peut-être plus lisible35. 5. Du dialogis
vent réunies les principales figures, assez naturellement amenées. Ce morceau peut servir à faire repasser d’une façon assez pi
oquence et la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les morceaux nécessaires se tournent en ornements naturels ; m
de lire tout haut, d’apprendre et de réciter par cœur les plus beaux morceaux de nos grands poëtes et de nos écrivains classiqu
it pas été mauvais pour des oraisons funèbres, et nous avons quelques morceaux de physique dans le goût du poème épique et de l’
e partie d’un ouvrage quelF conque ; on peut, on doit même écrire des morceaux très-simples dans un ouvrage du genre le plus éle
e que pour lire et réciter avec charme et avec intérêt les plus beaux morceaux de notre littérature. Personne n’a mieux dit que
ciation que chaque circonstance demande. Le ton du discours, dans les morceaux de dignité, exige des sons pleins, lents, modérés
les affections de chaque personne et ses plus intimes sentiments, Les morceaux de plaisanterie se prononcent d’une voix doucemen
ont, suivant la nature des pensées, la tristesse ou la joie. Dans les morceaux de dignité, l’orateur sans changer de place, ne f
cette facilité d’élocution. Cet exercice consiste à lire avec soin un morceau d’un grand classique, à bien s’en pénétrer, en no
on renouvelle cet exercice en variant le caractère des auteurs et des morceaux , par exemple en passant de Mme de Sévigné à Pasca
— Chateaubriand nous a laissé un modèle de description dans le petit morceau suivant : Le nid de bouvreuil Nous nous rappel
ts principaux : 1° Chercher l’idée première qui fait le sujet même du morceau et qui est d’ordinaire indiquée par le titre seul
e des idées et des raisonnements. FIN DE LA RHETORIQUE. 1. Voir Morceaux choisis des Classiques français, 3e année, page 4
orceaux choisis des Classiques français, 3e année, page 465. 2. Voir Morceaux choisis des Classiques français, par A. Pellissie
des Classiques français, par A. Pellissier, 3e année, p.159. 3. Voir Morceaux choisis, 3e année, p.161. 4. Voir pour plus de d
s d’un Cours de- philosophie élémentaire, 3e édition, p.164. 5. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 94. 6. Voir Morceaux cho
dition, p.164. 5. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 94. 6. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 474. 7. Voir ive leçon,
x choisis, 3e année, page 474. 7. Voir ive leçon, page 17. 8. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 103. 9. Voir page 77. 1
Voir page 164. 11. VoirMorceaux choisis, 2e année, page 5. 12. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 32. 13. Voir mon Précis
7. 14. Voir mon Précis de philosophie élémentaire, page 282. 15. V. Morceaux choisis, 3e année, page 169. 16. Voir Leçon XXXV
hoisis, 3e année, page 169. 16. Voir Leçon XXXV, page 239. 17. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 23. 18. Voir Morceaux ch
V, page 239. 17. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 23. 18. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 300. 19. V. Morceaux cho
née, page 23. 18. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 300. 19. V. Morceaux choisis, 2e année, p. 103. 20. Voir page 75. 21
. V. Morceaux choisis, 2e année, p. 103. 20. Voir page 75. 21. Voir Morceaux choisis3e année page 210 22. Voir Morceaux chois
. Voir page 75. 21. Voir Morceaux choisis3e année page 210 22. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 287. 23. Voir page 49.
ir Morceaux choisis, 3e année, page 287. 23. Voir page 49. 24. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 267. 25. Voir page 104.
3e année, page 267. 25. Voir page 104. 26. Voir page 89. 27. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 27 et suiv. ; 3e année,
suiv. 28. Comparez un beau portrait tracé par M. de Sainte-Autaire. Morceaux choisis, 3e année, page 208. 29. Voir pages 104,
re. Morceaux choisis, 3e année, page 208. 29. Voir pages 104, 164 et Morceaux choisis, 3e année, page 327. 30. Voir 7e leçon,
e 327. 30. Voir 7e leçon, page 37, et 18e leçon, page 104. 31. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 233. 32. Voir Morceaux c
, page 104. 31. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 233. 32. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 243. 33. Voir Morceaux c
, page 233. 32. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 243. 33. Voir Morceaux choisis, 3e année., page 23. 34. Voir plus haut,
nnée., page 23. 34. Voir plus haut, leçon XXVI, page 151. 35. Voyez Morceaux choisis, 2e année, page 101. 36. Voyez Morceaux
page 151. 35. Voyez Morceaux choisis, 2e année, page 101. 36. Voyez Morceaux choisis, 3e année, p.143, 145, 150. 37. Voir Mor
01. 36. Voyez Morceaux choisis, 3e année, p.143, 145, 150. 37. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 3. 38. Voir Leçon XXIV,
choisis, 3e année, page 3. 38. Voir Leçon XXIV, page 137. 39. Voyez Morceaux choisis. 6e année, pages 38, 128. 3e année, page
ceaux choisis. 6e année, pages 38, 128. 3e année, page 223. 40. Voir Morceaux choisis, 2e année, pages 13, 14, 17. – 3e année,
année, page 23 et suivantes. 41. Voir Leçon IX, page 50. 42. Voir Morceaux choisis, 3e année, page 253 et suiv. 43. Voir Le
, 3e année, page 253 et suiv. 43. Voir Leçon XVI, page 92. 44. Voir Morceaux choisis, 2e année, page 106 ; 3° année, page 191
32 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
rfectionnées, a choisi pour objet d’étude la plus grande partie de ce morceau . 1. Il n’y avait été admis toutefois qu’en 1647,
ents passagers qui se combinent avec l’un et l’autre, on peut voir un morceau intéressant de cet auteur dans les Eléments de li
Louis XIV dans sa lettre à milord Hervey, que l’on trouvera dans les Morceaux choisis à l’usage de la classe de seconde. 2. Au
33 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. B. Rousseau. (1671-1741.) » pp. 254-266
4. Sublime imitation du psalmiste. On peut rapprocher de ces vers le morceau de Bossuet intitulé : Image de la vie, et que nou
Bossuet intitulé : Image de la vie, et que nous avons donné dans les Morceaux choisis à l’usage de la quatrième. 5. Dieu, par
remuer le cœur ». 4. « Cette cantate de Circé, dit La Harpe, est un morceau à part ; elle a toute la richesse et l’élévation
34 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
emander, mais au moins des extraits à son usage. On relit souvent ces morceaux  ; on les apprend même quelquefois de mémoire ; on
, le triste nom de son malheureux fils. Voltaire. L’imitation de ce morceau se voit encore, mais plus faible, plus voilée, pl
ode de reproduction, consiste à lire plusieurs fois avec attention un morceau intéressant, à le reproduire librement et à le co
35 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre II. Défense de Fouquet, par Pélisson. »
ns, ni à la portée de tout le monde. Il est malheureux que de pareils morceaux ne puissent pas être mis plus souvent sous les ye
dans la manière antique. Ne croirait-on pas, dans le reste de ce beau morceau , entendre Cicéron lui-même plaidant devant le peu
36 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
dmirer. Je vais essayer de donner en notre langue une idée de ce beau morceau . « Ah ! si vous étiez assez heureux, pour avoir
t trop bien faite et trop curieuse, pour que je n’en cite pas quelque morceau . En voici un qui est charmant. Lassés d’un vain
en vers le premier livre. Je ne croirai pas inutile d’en citer ici un morceau qui fera autant connoître le mérite du traducteur
que par la magnificence et la sublimité des images, sur-tout dans les morceaux , où le poëte rend les beautés des livres saints.
. Quant à la poésie, lés Anglais le regardent comme un des plus beaux morceaux qu’ils aient en leur langue. Le même poëte a fait
descriptions de la plus grande beauté. Il y a aussi de très-brillans morceaux dans un autre poëme sur la peinture, par Le. L’or
oble, brillante, vive et soutenue. On a pu en juger par les différens morceaux que j’en ai cités. L’abbé Delille a publié un poë
s des différens âges et des différentes conditions. On peut relire le morceau d’Aristote que j’ai cité sur ce sujet dans le vol
e Misanthrope est un chef-d’œuvre dans le haut comique. En voici un morceau tiré d’une scène pleine de portraits finis. Cli
Va-t-en, ma pauvre enfant. Je ne puis résister à l’envie de citer un morceau de la scène suivante : il est plein de jugement e
ture dans toute sa simplicité, si l’on ne s’arrête pas aux détails du morceau de fromage et du potage, qui, comme je l’ai dit,
aux avec ta chaîne de laiton. Gros-René. J’oubliois d’avant-hier ton morceau de fromage, Tiens. Je voudrois pouvoir rejeter le
son de préférer ses comédies à celles d’Aristophane. On voit dans ces morceaux une peinture toujours vive, exacte et décente ; u
st personne qui n’approuve la remarque faite depuis long-tems, que ce morceau si brillant et si fleuri, n’est pas bien placé da
lle dignité dans ce ton de l’empereur romain ! Tout est grand dans ce morceau  ; tout y est d’une simplicité sublime : il n’y a
acroit à d’éternels affronts. On peut certainement mettre à côté des morceaux que je viens de citer, une belle scène de la trag
imité cette vivacité si prompte, cette chaleur rapide, qui anime les morceaux bien dialogués de Corneille, est cette scène, où
ontenté de donner le précis des autres avec la traduction de quelques morceaux . Celles-ci ont été entièrement mises en français
qui sentent le déclamateur, des inégalités, même des chutes après les morceaux les plus sublimes. Racine qui entra dans la carr
t dans ses meilleures pièces, des détails d’une beauté frappante, des morceaux pleins de noblesse, de grandeur et d’intérêt, des
ému par des situations pathétiques. Il y a quelques vers et quelques morceaux bien faits : mais, en général, le style de ce tra
se a fait une pièce dans le genre de Corneille : c’est Ms. Il y a des morceaux dignes de ce père de la tragédie française. Le pr
ut, réunir l’élégance et l’agrément avec l’énergie et l’élévation. Ce morceau que chante Médée, dans l’opéra de Thésée, en est
es cœurs infortunés, Ne soyons pas seuls misérables. Voici encore un morceau , où l’on admirera tout à-la-fois l’aisance, l’har
mant dans les bornes des idées que nous donne la foi, ne sont pas les morceaux les moins frappans de leurs poëmes. Pour que ce m
’un faste et d’une magnificence déplacée. On en jugera par les divers morceaux que je vais avoir occasion de citer. Du style
n de l’assaut livré à la ville de Paris, est en ce genre un des beaux morceaux de notre poésie. Voyez l’éclat et la vivacité de
n’en rapporterai aucune, parce qu’on en a assez vu dans les différens morceaux que j’ai cités. Du ton, et du langage des inte
le sujet de son poëme ; et ces ornemens épisodiques n’en sont pas le morceau le moins intéressant. C’est ainsi que dans Virgil
ouis transporte Henri IV en esprit au ciel et aux enfers. Ce brillant morceau nous intéresse trop, pour que je ne doive pas le
rompt deux fois sur sa tête, Et deux fois de sa main le buis tombe en morceaux  : Tel Hercule(a) filant rompoit tous ses fuseaux.
du fameux Œdipe. Il y a un assez grand nombre de traits heureux et de morceaux de poésie vraiment beaux. Mais ils sont défigurés
ys, et voulut chanter cette conquête. On a remarqué dans ce poëme des morceaux , mais en très-petit nombre, qui sont très-beaux :
a été traduit par Anthelmy et Liébault. Il y a de l’élévation et des morceaux vraiment pathétiques. Le second a été traduit par
enfin que le plan est défectueux. Mais ils y ont admiré de très-beaux morceaux , dignes du pinceau d’un grand maître, tels que la
37 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
l’héritage d’honneur qui lui avait été transmis. Plusieurs excellents morceaux de haute critique, contenus dans le recueil de l’
cès a été attesté par de nombreuses réimpressions, offre çà et là des morceaux dignes du grand Racine ; mais l’ensemble est trop
in, la marche de l’auteur se ralentit et s’affaiblit un peu. Dans les morceaux mêmes que nous avons cités, on ne saurait dire qu
38 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »
n ne peut nier, comme l’observe judicieusement M. de La Harpe, que ce morceau ne présente un contraste habilement imaginé. L’or
la nécessité de les restreindre, pour les rendre honorables. C’est un morceau brillant, mais qui ne pose que sur un sophisme, e
e, aux yeux de l’homme qui pense, autant d’honneur que les plus beaux morceaux de sa harangue.
39 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
de Carthage dans Virgile : … pendent opera interrupta… Pourquoi le morceau finit-il précisément là plutôt qu’avant ou après 
. Mais nos auteurs l’ont porté jusqu’à l’abus, ils l’ont étendu à des morceaux de plus longue haleine ; de l’exception ils ont f
uge, c’est celle du Mémoire de Pélisson en faveur de Fouquet, le seul morceau peut-être réellement éloquent qu’ait produit le g
40 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
e roseau, les vieillards et les trois jeunes hommes sont en tout deux morceaux achetés. Celle des animaux malades de la peste ne
urs, les ruisseaux, les fontaines, etc. ; comme on va le voir dans ce morceau de l’idylle des Oiseaux de madame Deshoulières.
ment pensé et exprimé de même. Je n’en citerai d’autre exemple que ce morceau de son Épître, dans laquelle il prouve que nous d
vu que tout y soit exprimé avec grâce. C’est ce qu’on va voir dans ce morceau d’une jolie épître de Piron, intitulée les Plaisi
le nom d’élégie. Mais on peut principalement rapporter à ce genre un morceau fort touchant, qui est dans l’Andromaque d’Euripi
un nouveau degré de force et d’élévation, comme on va le voir dans ce morceau de l’Ode d’Horace, dont j’ai cité le début. Rome
e que l’antiquité puisse nous offrir quelque chose de comparable à ce morceau . Enfin le poète encore plein d’images sanglantes,
s l’île de Lesbos, un peu plus de six cents ans avant J.-C., que deux morceaux , où éclatent tout le feu et toute la vivacité du
aractère. Madame Dacier les a fort bien traduites, ainsi que les deux morceaux de Sapho. Poinsinet de Sivry en a donné une imita
41 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
tonem cœlo œquavit. (Tacit.) Mais il nous reste de Cicéron plusieurs morceaux oratoires célèbres, dans le genre du panégyrique 
ublicæ credamus ». Que cette transition est heureuse, pour amener le morceau important qui suit, et qui était le grand sujet d
à son plus haut point de perfection. Il n’y a, pour louer de pareils morceaux , que le transport de l’admiration : nous ne le ré
42 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
t que l’on doit traiter ; les chrestomathies fournissent toujours des morceaux de ce genre. On se met ainsi en train, et les idé
r un grand profit, c’est celui qui consiste à lire avec attention des morceaux choisis, et à les reproduire ensuite soi-même, en
Cicéron la conseille dans soit dialogue de l’Orateur. Les recueils de morceaux choisis ne manquent pas pour s’aider dans ce trav
43 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
e littérature y fût plus répandue et plus approfondie, de recueils de morceaux choisis, empruntés à nos meilleurs écrivains, pro
nfiance, lorsqu’il a bien voulu nous inviter à composer un recueil de morceaux choisis, pour les classes de grammaire particuliè
ivent étudier, les modèles les plus incontestés et les plus purs, les morceaux les plus propres à former le cœur autant que l’es
paru en rapport avec leur jeune intelligence. Dans la disposition des morceaux , nous n’avons apporté d’autre ordre que celui qui
n mourut en 1693. Les Mémoires pour Fouquet, dont nous présentons les morceaux les plus remarquables, ont toujours passé pour le
et le mouvement qu’on met dans ses pensées ». Toute l’économie de ce morceau peut se ramener à cette définition. L’ordre des p
s pensées isolées, fugitives, et qui écrivent en différents temps des morceaux détachés, ne les réunissent jamais sans transitio
e n’ont trouvé on plus élégant et plus judicieux interprète. Quelques morceaux de lui attestent en outre qu’il était capable d’u
té faite par un grand nombre de professeurs, nous avons réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les mo
réimprimé ces Morceaux choisis, en réunissant dans le même volume les morceaux de prose et de poésie plus particulièrement conve
e poésie plus particulièrement convenables à chaque classe ; quelques morceaux nouveaux ont pris place parmi les anciens. Ce tra
onnu la solidité. » 24. Aujourd’hui bien que. On remarquera dans ce morceau d’autres archaïsmes qu’il est inutile de relever.
eu soin dans le même discours d’en marquer les différences. 28. Ce morceau atteste que Descartes méritait bien les félicitat
nisi dignus vindice nodus. 40. « Que devons-nous dire de tout ce morceau  ? applaudir au bon sens de Corneille autant qu’à
ruite. » — Il est piquant de rapprocher de ces réflexions l’excellent morceau de M. Villemain sur les unités et le théâtre grec
parlement… 66. On peut voir, dans nos extraits du cardinal de Retz ( Morceaux choisis pour la classe de troisième), le récit de
. 67. En tumulte… Cet adverbe n’est plus usité aujourd’hui. 68. Le morceau du cardinal de Retz cité tout à l’heure fera conn
que plus que les moyens. » 75. On peut rapprocher cette pensée d’un morceau de quelque étendue écrit par La Rochefoucauld sur
, il ne faut point le perdre de vue pour apprécier avec exactitude ce morceau et les suivants, sont presque toujours détachées 
reinte que la faculté de penser dans les écrits du grand Newton. » Ce morceau est cité dans le Cours de littérature de La Harpe
rocher ce passage de plusieurs considérations de Montesquieu, dans un morceau où des vues fines et justes sont mêlées à quelque
hrétien : « On voudrait s’arrêter : Marche ! marche ! etc. » Voy. nos Morceaux choisis, à l’usage de la classe de cinquième, p. 
ueil se rappelle avoir entendu dire à l’illustre Royer-Collard que ce morceau était, suivant lui, le plus beau qui existât dans
té à cet acte public. 225. On rapprochera avec intérêt ce passage du morceau de Pascal intitulé : Contre les indifférents et l
ce sur tout ce qui l’entoure. Pascal a développé cette pensée dans le morceau précédemment rappelé. 232. Qui vous refusez (à v
on, Carême, mardi de la quatrième semaine. On ne peut rapprocher deux morceaux où des idées semblables soient présentées d’une m
xii, 9. 275. Ce discours, que l’on a justement loué comme « l’un des morceaux les plus touchants et les plus parfaits de l’éloq
nné. 293. Nous avons cru devoir faire, dans ce récit, « le plus beau morceau peut-être des Mémoires », a dit M. Nisard, mais t
, avec la même ardeur et presque la même fureur de pinceau. » Dans le morceau spécial qu’il a consacré à Saint-Simon, l’auteur
œuvre historique, dit M. Villemain dans son Éloge de Montesquieu, ce morceau est un incomparable modèle de l’art de pénétrer u
sa mort le célèbre poète italien Alfieri. 358. On pourra comparer ce morceau du Voltaire avec les pages excellentes de Fénelon
les pages excellentes de Fénelon sur la perfection du goût. Voir les Morceaux choisis pour la classe de Seconde, p. 97. 359.
de l’Essai sur le beau du P. André : l’article sur le Style, fort bon morceau , que renfermant les Éléments de littérature de Ma
35. Sens actif, pour faire passer. 436. « Sur moi dépare un peu ce morceau , qui est très beau : achevant demande absolument
pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième. 447.
532. Nous avons rencontré une semblable élision chez La Fontaine ( Morceaux choisis pour la classe de seconde, p. 218) : Du
acine dans son Sermon pour le quatrième dimanche de l’Avent ; voy. le morceau terminé par ces mots : « D’où partent ces fléaux
trouvé la mort en le combattant. 640. La Harpe a dit, au sujet de ce morceau qu’il déclare achevé : « Jamais on n’a su narrer
un parallèle entre Virgile, faisant parler la sibylle de Cumes, et ce morceau de Racine : seconde partie, liv. II, ch. 10. 66
tère inimitable de beauté. C’est ce qui a fait dire à La Harpe : « Ce morceau est ce que l’on connaît de plus parfait en situat
ions les plus heureuses de cette tragédie. 723. « Le sublime de ce morceau tient surtout à ce sentiment de justice si profon
propre grandeur…. 730. . On peut rapprocher de cet endroit un des morceaux les plus remarquables de la Henriade : c’est le c
e version française de toutes les pièces d’Eschyle ; et, entre autres morceaux de l’antiquité ou des littératures étrangères, il
753. La Harpe termine par les mots suivants son appréciation de ce morceau  : « Tous ces mouvements sont lyriques, tous ces v
bien plus poète que lui cependant, a laissé, entre autres travaux, un morceau inachevé sut l’Invention, où ses idées sur les ré
44 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
s du sujet et la fin, pour bien déterminer l’ensemble et l’étendue du morceau , et ne jamais perdre de vue cette règle si simple
mployait des années entières à la composition et à la correction d’un morceau lyrique ; La Fontaine, dont le style paraît si fa
, au contraire, la fatigue et l’ennui se font sentir dans le cours du morceau , c’est une preuve certaine qu’il ne présente pas
qu’elle occupe ? Considérée sous ce rapport, la description forme un morceau à part, une composition descriptive isolée et com
s critiques lui ont-ils donné le nom de narration descriptive. Un des morceaux les plus frappants en ce genre est la peinture de
nt, parlent à l’imagination et peignent au lieu de raconter. Mais ces morceaux brillants doivent être courts, pour se faire rema
plus souvent on entremêle les points de rapport dans tout le cours du morceau . Cet exercice, agréable à l’esprit, présente cepe
ent émue, et l’action nouée avec une extrême habileté. Ce qui rend ce morceau plus admirable, c’est qu’il ne renferme que des t
45 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
comme un simple essai, où l’on rencontre néanmoins de beaux vers, des morceaux assez heureux, et des corrections même qui décèle
e la Seine. La critique a dû relever, dans ce grand ouvrage, bien des morceaux faibles et négligés, des transitions malheureuses
l’épisode des Catacombes ; et l’on reconnut, dans une foule d’autres morceaux , que le talent de l’auteur se fortifiait au lieu
s, comme l’Apollon était dans la carrière. Veut-on voir maintenant un morceau qui avait rebuté les traducteurs, même en prose,
46 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
bles par leur énergie, et surtout par leur noblesse de sentiment ? Le Morceau suivant est un chef d’œuvre de style. Massillon y
ainsi plus facile de comparer toutes les pensées qui entrent dans ce morceau avec celles qui composent le même sujet traité pa
e de toutes les couleurs de la poésie, et que c’est un des plus beaux morceaux dramatiques qui existent dans notre littérature.
47 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
ns les âmes les plus avancées2 certaines faiblesses, semblables à ces morceaux de terre qu’on nomme témoins, et qu’on laisse dan
ité froide et respectueuse, lui adressa les paroles contenues dans ce morceau . 3. Il concilia la dignité d’une âme fière et le
r aucune personne en ce monde. » 1. Il faut remarquer dans tout ce morceau la familiarité expressive des images, l’aisance i
48 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
des ans Le chef-d’œuvre fameux de ses riches présents 3 Cet éclatant morceau de savante peinture Dont elle a couronné ta noble
re, lui avait suggéré l’idée, et qui fut trouvée partout le plus beau morceau de l’ouvrage ». 1. Terme de vénerie, comme il y
49 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
e faire cette épreuve. Comment ferez-vous pour me faire voir un petit morceau de vos pays enchantés ?… Le comte de Chapelles m’
Avis. Caractère. Il est inutile de vous recommander de conserver à ce morceau ce tour pittoresque, et les deux phrases où l’aut
sont les plus admirables métaphores. — 3º Reconnaîtriez-vous dans ce morceau quelques-unes des splendeurs du style ? où sont-e
mbleront le plus vigoureux. — En indiquant à quel genre appartient ce morceau , énumérez tous les vices qui n’accompagnent la fa
l’abeille et de l’hirondelle offriront quelques détails gracieux. Le morceau capital sera le discours de Stentor, qui, après a
figurées se présentaient en foule ? De l’emploi tic quelle figure ce morceau tire-t-il sa vivacité ? Voyez s’il y a gradation
drapeaux jetés sur des monceaux de morts. Lamartine. Avis. Voici un morceau où vous aurez l’embarras du choix : Il est riche
tte dernière ; c’est plus qu’une épithète. Reconnaîtriez-vous dans ce morceau un auteur romantique, et à quelles expressions ?
. Montrez-nous deux petits tableaux touchants qui se trouvent dans le morceau . Vous finirez ici la part de l’éloge. Passez à la
retirée du fleuve. » Chateaubriand. Avis. Dites en commençant si cc morceau vous paraît une description et pourquoi. Ne conti
exigence, il brise de nouveau le tronçon de la lance et en jette les morceaux à la tête du tigre — … L’animal frappé par derriè
même étendue à votre analyse, ce qui serait très facile parce que ce morceau est un des plus beaux que l’on connaisse. Il faud
ur de sa ville. Avis. Le corrigé de cc canevas est un des plus beaux morceaux du plus éloquent des pères de l’Eglise. J’ai déla
es états d’autrui. Avis. Vous rendrez véhément le commencement de ce morceau au moyen de l’interrogation. La Commination anime
ez-vous un exorde, une confirmation et une péroraison ? Au résumé, ce morceau fait-il honneur à son auteur. N° 243. — Sur le
ous offre un commencement de communication, qui continue dans tout le morceau ¿quand vous la retrouverez, n’omettez pas de le f
nt tellement liés, qu’il serait impossible de distraire une phrase du morceau , sans nuire à son effet. Il est inutile de vous d
us haut fait explosion. On rapporte que lorsque Massillon prononça ce morceau dans l’église St-Eustache, et dans la chapelle de
50 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
qu’il eust prins un peu de couleur roge13, et en beuz, avec un petit morceau de pain, trois doigtz, puis me regarday au miroir
uses, il nous laissa en paix, ne s’attendant nous avoir qu’au dernier morceau de pain. Et commencasmes à entrer au mois de mars
51 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
bien plus poëte que lui cependant, a laissé, entre autres travaux, un morceau inachevé sur l’Invention, où ses idées sur les ré
irg., Egl., VI, 31, et Géorg., IV. 546 1. On pourra rapprocher de ce morceau quelques chefs-d’œuvre de l’antiquité qui ont sug
52 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
eu des peuples où elles furent écrites. Ce sont, ont dit les uns, des morceaux de luxe, des ornements parasites, où brille le ta
ngereux, qu’il est plus aisé de s’en laisser séduire. Au surplus, ces morceaux d’opposition ouvrent un champ si favorable à l’él
remier ; quelle aspérité guerrière dans le second ! Ce sont là de ces morceaux qui ont placé la Henriade, quant au style, au ran
53 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre IV. Beautés morales et philosophiques. »
us, et de compter, parmi les monuments distingués de notre poésie, le morceau le plus philosophique, et le plus précieux, sous
Je me crus philosophe en cessant d’être sage. Ce passage rappelle un morceau célèbre de Claudien, que nous allons rapporter ic
nsible et plus vraie l’application des vers précéder, termine ce beau morceau  : Semblables aux torrents dont la fange et les o
54 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VIII. De l’Oraison funèbre. »
prouver le néant de tout ce que l’homme admire ici-bas, débute par ce morceau sur la frivolité des distinctions passagères. « 
peser avec réflexion et d’examiner avec soin ce que l’un de ces deux morceaux peut avoir d’avantage sur l’autre. C’est par ces
55 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
de réparer à cet égard l’injure des circonstances. Je connais peu de morceaux qui réunissent à un pareil degré la profondeur de
cri seul de l’admiration peut louer d’une manière digne d’elles. Quel morceau , par exemple, que celui-ci, sur l’accord de la ph
56 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
c l’objet dont il est question. Quelque achevés que puissent être ces morceaux , ils n’en sont pas moins des hors-d’œuvre très dé
écapitulation pour soulager la mémoire de celui qui écoute, et non un morceau d’apparat pour faire briller le talent de celui q
57 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
e belle lettre de Mme de Sévigné à sa fille, datée du 3 février 1672 ( Morceaux choisis pour la classe de quatrième). 4. Augusti
es au genre des mémoires, ne nous ont pas paru devoir empêcher que ce morceau et le suivant, d’une originalité si puissante, tr
58 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
mutuellement. Quelle force elles empruntent l’une de l’autre dans le morceau suivant ! Va, sublime ignorant, monte aux cieux,
au plus frappant et plus complet. Tels sont, Corneille dans ses beaux morceaux , et Bossuet dans la plupart de ses oraisons funèb
59 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
le jugement et le bon sens. » 2. On peut rapprocher ce passage d’un morceau de La Rochefoucauld, intitulé « de la Conversatio
e troubles, faisaient usage pour se barricader. Voy dans ce volume le morceau de Retz, intitulé : Une sédition à Paris, page 25
60 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
pages de prose, dont on peut lire quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième. 3. No
elais ; sur le second et ses projets, voyez la 1re épitre de Boileau ( Morceaux choisis à l’usage de la classe de sixième, page 1
61 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
es prémices de son âme. Lecture. — Mort de Vatel. Vol. II, nº 1. Le morceau suivant au contraire pèche contre la clarté par u
félicité. Lamennais, Essai sur l’Indifférence. Que l’on compare ce morceau , dont les phrases sont longues et embarrassées, a
oi d’Angleterre, et Philippe Auguste, roi de France : on voit dans ce morceau , les Musulmans se défendre avec une énergie redou
62 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
s essentielles. Nous donnerons comme modèles de description, les deux morceaux suivants, l’un en vers, l’autre en prose. Une ba
ement jusqu’à la fin. Comme exemple de narration, nous citerons trois morceaux de genres et de styles différents. Combat de Mér
cette critique en grand, il est éminemment utile de rappliquer à des morceaux choisis de peu d’étendue. Cette analyse doit cons
s morceaux choisis de peu d’étendue. Cette analyse doit considérer un morceau dans son ensemble et dans tous ses détails, y mon
le d’analyse critique. Je me sens doucement ému à la lecture de ce morceau  ; je reconnais l’élégie à ces tendres et mélancol
63 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
ite. Il a de très bons sermons ; et il n’en est aucun qui n’offre des morceaux admirables. Une grande simplicité en fait le méri
ros que loue l’Orateur. On va s’en convaincre à la lecture de ce beau morceau , tiré de l’Oraison funèbre du grand Condé 92, par
’éloquence avec un succès bien marqué. Il y a cependant de très beaux morceaux dans son Oraison funèbre du Prince de Conti, et s
éputation, ainsi que Gautier, leur contemporain. Il y a de très beaux morceaux dans leurs plaidoyers, qui ont été imprimés. Mais
réception de Thomas Corneille, qui succédait à son frère. En voici un morceau frappant. Après avoir comparé le grand Corneille
64 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
n ton si imposant, puisqu’il doit être en harmonie avec l’ensemble du morceau . Nous citerons comme modèle de début, l’ode d’Hor
enaient l’antistrophe et l’épode, et ainsi de suite jusqu’à la fin du morceau . Ces stances étaient toujours accompagnées du cha
obtulistis, chanté par Débora après la victoire sur Sisara. Tous ces morceaux sont dans le genre sublime. Parmi les psaumes, no
le ton des différents poètes inspirés. Nous donnons un extrait de ce morceau  :             Écoutez ! Jéhova s’élance         
65 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avertissement de l’auteur sur la seconde édition. » pp. -
que. J’ai pensé aussi qu’en mettant sous les yeux des jeunes gens des morceaux choisis de nos meilleurs écrivains, je pouvais bi
66 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
le composé non de membres joints l’un à l’autre, mais de pièces et de morceaux , e singulis non membres, sed frustis collata, dit
a relisant avec attention, vous sentirez que si le point culminant du morceau est en effet l’exclamation terrible : Paraissez m
67 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XII. » p. 103
ez la Rhétorique, III, 8. Le commos.] Exemple : ibid., v. 649-697. Ce morceau est donc contenu dans le deuxième épisode, d’où i
68 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
On ajoutera que Rotrou et Corneille ont imité ici Malherbe : voy. nos Morceaux choisis des Classiques français à l’usage de la c
me tombé en désuétude, remarque ici La Harpe, « y a-t-il dans tout ce morceau , si vigoureux, si animé, si pathétique, un seul m
Molière, le Festin de Pierre, IV, 6. On trouvera ce passage dans les Morceaux choisis pour la classe de sixième, page 20. 3. S
69 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
heure Cicéron lui-même recommander de ne pas être trop court dans les morceaux pathétiques. Mais, si les grands mouvements ne pe
’orateur ; et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce morceau . Voltaire, qui l’a cité avec admiration, nous par
l y a une pénitence aussi glorieuse que l’innocence même. Il manie ce morceau habilement : dans le reste, il parle avec grandeu
’avons déjà remarqué, rien n’est si achevé que le tour qui termine ce morceau . L’orateur ne veut pas retracer l’image sanglante
t les rend nécessaires82. Un beau modèle de narration oratoire est le morceau suivant de l’oraison funèbre de Louis XIV par Mas
etc. » Cicéron nous apprend (Orat., ibid.) que, lorsqu’il prononça ce morceau , il fut interrompu par les applaudissements de l’
3 (Bossuet, Or. fun. de Condé). On trouve souvent dans les plus beaux morceaux ce qu’il appellerait des fautes contre la langue 
oquence et la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les morceaux nécessaires se tournent en ornements naturels ; m
éfaut dominant de Sénèque. Cet auteur plaît quand on le considère par morceaux détachés ; mais il lasse quand on le lit de suite
elles disent ? — La vérité. » Il faut lire dans le texte même tout ce morceau  ; il est simple et sublime. Cette figure se borne
honème est le plus souvent une sentence ; mais il termine toujours le morceau dont il dépend, au lieu que la sentence peut se p
pensées, et il les met, pour ainsi dire, en action. Nous citerons ce morceau comme une récapitulation de nos préceptes : « Je
es caractères198. » Qu’on ajoute à cela, dit un écrivain qui cite ce morceau sans le traduire, tous les moyens que Cicéron ind
r l’indignation ou la pitié. « On prononce sur le ton du discours les morceaux de dignité, de démonstration, de narration, de pl
ation que chaque circonstance demande. « Le ton du discours, dans les morceaux de dignité, exige des sons pleins, lents, modérés
les affections de chaque personne et ses plus intimes sentiments. Les morceaux de plaisanterie se prononcent d’une voix doucemen
t, suivant la nature des pensées, la tristesse ou la joie. « Dans les morceaux de dignité, l’orateur, sans changer de place, ne
rappeler aussitôt le souvenir de tous ces beaux ouvrages, de tous ces morceaux sublimes qui feront éternellement leur gloire, et
ement la rudesse et la naïveté de nos pères. On peut citer un ou deux morceaux de Saint-Réal, les Révolutions de Portugal et de
αι τοῖς ἐπαλλήλοις ἐκείνου πάθεσιν (Περὶ Ὕψους, c. 28 ; al. 34). 43. Morceau cité par Longin, Περὶ Ὕψους, c. 16, al. 18. 44.
c. 16, al. 18. 44. Nous donnons une traduction nouvelle de tous les morceaux grecs et latins. 45. Fénelon. 46. Quousque tan
70 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
te supériorité de ton, cette verve d’ironie et de gaieté composent un morceau d’éloquence digne d’être rapproché des Provincial
saura dans quelle école j’en ai recherché la leçon, quand on lira le morceau suivant, aussi tiré d’un moraliste, lequel parlan
71 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre IV. Prédicateurs français. »
de notre ouvrage ne nous permettent pas d’offrir en entier de pareils morceaux à l’admiration de nos lecteurs. Mais il n’en est
72 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
où l’on ne présente que des fragments isolés, comment conserver à ces morceaux tout leur prix, si quelques notes explicatives ne
it toujours surveillé et dirigé par son professeur mais le nombre des morceaux ainsi lus et commentés dans la classe sera toujou
quelque faiblesse… — Vous avez raison », dit le roi ; et il mangea un morceau de pain et but un verre de vin. Il était une heur
e dans notre esprit le problème de notre destinée. Tel est l’objet du morceau qui va suivre. Jamais peut-être l’homme ne se de
sa pas à ce seul modèle ; mais dans la pièce d’Œdipe chez Admète, des morceaux brillants et pathétiques ne rachètent pas la faib
une d’autant mieux acquise qu’il ne la doit qu’à lui-même. 1. Morceaux choisis des Classiques français, seizième, dix-se
eaubriand ont été publiées en 19 vol. in-12, Paris, Firmin-Didot. Des Morceaux choisis de Chateaubriand ont été publiés par M. A
idier, 1 vol. in-12, Paris, Delalain. 40. L’objet du livre auquel ce morceau est emprunté est de prouver l’existence de Dieu p
pas un goût sévère. 45. Le Génie du christianisme est trop riche en morceaux d’une brillante éloquence, pour que nous prétendi
on qu’il éprouva dans son enfance à la première lecture de ce célèbre morceau . Dans son enthousiasme il marchait à grands pas,
t lire sur cette poétique tradition une belle page de Buffon dans les Morceaux choisis à l’usage des classes supérieures (16e éd
és de voyage. 107. Énéide, liv. II, v. 254 et suiv. 108. Parmi les morceaux remarquables de l’Itinéraire dont nous recommando
ernière partie, la campagne de Carthage. 109. Nous conserverons à ce morceau le caractère même que lui a donné l’auteur : c’es
nous avons précédé à Berlin la renommée de nos victoires… » 121. Ce morceau , qui est le fragment d’une conversation de l’Empe
meilleurs chapitres a été placé par M. Hémardinquer à la suite de ses Morceaux choisis de Buffon. 154. Né à Agen en 1756, mort
annoté avec soin et commenté par de nombreux rapprochements, dans les Morceaux choisis des classiques français (classes supérieu
lante des révolutions. » Revoir les extraits d’André Chénier dans les Morceaux choisis pour les classes supérieures, de M. Léon
l ne comporte pas, n’y a-t-il pas jusque de la moquerie dans certains morceaux de Mozart ? 178. Cependant rien ne se ressemble
ire, livre II, ch. x. 218. En juin 841. 219. Cf. l’introduction des Morceaux choisis des classiques français (Prose) pour les
rale indépendante. 244. On sera frappé de l’analogie que présente ce morceau avec différents passages de Pascal, dont il sera
. de Lamartine. 247. Ce passage rappelle, sans l’égaler, le célèbre morceau de Pascal au début de ses Pensées : « Que l’homme
s restrictions à cet éloge, on pourrait rapprocher avec intérêt de ce morceau le contre-portrait que M. Philarète Chasles a tra
Marat un martyr, elle précipita la ruine du parti girondin. 267. Ce morceau , que nous détachons du premier volume de l’Histoi
la pièce de Sophocle les imprécations d’Œdipe (vers 1337 à 1386). Le morceau de Ducis, dont M. Villemain a cité avec éloges un
ns amis s’entendissent pour mourir ensemble le même jour. » 300. Ce morceau , d’un tour heureux et facile, nous rend avec fidé
rit une idée juste et grande. 336. On rapprochera avec intérêt de ce morceau la descente d’Eudore aux catacombes, dans le livr
nt au dix-huitième siècle. Voir pour les extraits d’André Chénier les Morceaux choisis pour les classes supérieures de M. Léon F
l’Éden leur chemin solitaire. » 400. Revoir dans le même volume le morceau de Jouffroy (page 166) sur le problème de la dest
et Navarin. 413. Les crins mouvants d’un étendard font tache dans le morceau . Les plis mouvants sembleraient une expression pl
cit de Commines sur la mort de Louis XI, cité dans l’introduction des Morceaux choisis pour les classes supérieures de M. Léon F
73 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
l’étendue et le sérieux de ces notices, le choix et l’importance des morceaux , les notes grammaticales, philologiques, littérai
et la satire IX, À monsieur Rapin, compteront toujours parmi les bons morceaux de la poésie française. Boileau a donné à son dev
u mal rangé pour ses dents paraissait, Où le chancre et la rouille en morceaux s’amassait… Sa barbe, sur sa joue éparse à l’aven
it deux fois autant de mains que Briarée, Et n’était, quel qu’il fût, morceau dedans le plat, Qui, des yeux et des mains, n’eût
nes de grâce, de fraîcheur, et de coquette élégance, et dans quelques morceaux brillants et achevés, comme le monologue de la sc
able tragédie. Ce n’est qu’une tentative pour mettre sur la scène des morceaux excellents qui ne formaient pas un tout. La Mort
ntre d’une héroïque générosité. Corneille a jeté dans cette pièce des morceaux sublimes et des traits d’héroïsme tels que n’en o
tueuse compagne s’occupant du ciel en gardant leurs troupeaux, est le morceau le plus travaillé du poème. Le voici presque en e
ue. Mais il goûta bien davantage l’Épître première et quelques autres morceaux , où il était délicatement loué. Il voulut en voir
n’admettait pas que la comédie dégénérât en tragédie bourgeoise. Les morceaux sérieux, philosophiques, moraux ou de sentiment,
re est aussi difficile en vers qu’en prose. Nous ferons lire quelques morceaux de différents genres qui permettront de juger de
e son recueil est composée d’imitations des Psaumes, de cantiques, de morceaux des prophètes et d’hymnes sacrées. Lefranc était
eurs partisans. Son talent devient plus mâle et grandit dans quelques morceaux de cette seconde satire ; l’indignation est virul
eaux vers sauveront ce poème de l’oubli. Longtemps encore on lira des morceaux comme la Circulation de la sève, les Pluies du pr
ses dix-huit ans sitôt moissonnés. Notre langue n’a peut-être pas un morceau d’une mélancolie plus touchante et d’une chasteté
eautés simples et mâles de Virgile étaient au-dessus de l’esprit. Les morceaux traduits par Malfilâtre ont plus de force, plus d
 : « Le chef-d’œuvre de Delille est sa traduction des Géorgiques (aux morceaux de sentiment près) ; mais c’est comme si vous lis
épique de grand caractère. Ces éloges s’appliquent surtout à quelques morceaux célèbres, la description de Satan s’élevant au-de
et de développements. Le plan est peu marqué. Ce poème, construit de morceaux détachés et de pièces de rapport réunis sous le m
inégale, mais peut-être plus riche que les Jardins, et dont plusieurs morceaux , les vers sur Jean-Jacques Rousseau, les épisodes
uantité de traits et de vers heureux, et l’on en cite encore de beaux morceaux , les vers sur une tempête dans les sables de l’As
st en son genre un petit chef-d’œuvre digne de demeurer classique. Le morceau élégiaque intitulé : le Jour des morts dans une c
ronomie est plus mesquin de plan, mais recommandable par de brillants morceaux . Visant à quelque chose de plus grand que ces poé
ous l’œil du cruel Néron.     Devant une vitre brisée     S’agite un morceau de miroir,     Et sous la barbe de Thésée     Est
es qu’on a publiés sous le titre de Derniers Chants. Plusieurs de ces morceaux peignent avec agrément et avec une grâce légère d
quel il faut croire ;                      Je vous porte, apaisé, Les morceaux de ce cœur tout plein de votre gloire,           
antiques, mais comme la date d’une restauration littéraire. Quelques morceaux , tels que le commencement de la pièce et l’entrée
gage ne s’était plus entendu au théâtre depuis Corneille. » Plusieurs morceaux méritent, au moins en partie, cet éloge ; par exe
Honneur et l’Argent (1853) et la Bourse (1856). Nous citerons un long morceau de l’Honneur et l’Argent. Il suffira pour faire a
le vient d’épouser l’Espagnol Guzman. Voir aussi le pardon de Guzman, morceau sublime. 125. Commentaire historique. 126. Exp
74 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
dans ses Éléments de Littérature, m’a fourni ensuite l’article Style, morceau excellent. Je n’ai eu garde d’oublier Buffon sur
Carbon. Je répétais de souvenir, je commentais, j’amplifiais quelque morceau de poésie ou d’éloquence, que je venais de lire e
mencerait, dans l’école assemblée, par la lecture, à haute voix, d’un morceau pris d’un historien, d’un orateur, ou d’un poète 
t                  Maître corbeau sur un arbre perché. Pourquoi ces morceaux manquent-ils d’élégance ? C’est que cette naïveté
r l’objet le plus important à l’homme, cependant il s’y trouve peu de morceaux frappants qui, comme les beaux endroits de Cicéro
l’orateur, et ce trouble ne servit qu’à augmenter le pathétique de ce morceau  ; le voici : « Je suppose que ce soit ici notre
n esprit un peu cultivé ne sentira pas l’extrême différence des beaux morceaux de Cinna et de ceux du même auteur dans les vingt
t pas été mauvais pour des oraisons funèbres ; et nous avons quelques morceaux de physique dans le goût du poëme et de l’ode. Il
se. Son style est pur, ses peintures sont attendrissantes. Relisez ce morceau sur l’humanité des grands : « Hélas ! s’il pouvai
-ce donc là le privilège des grands65 ? » Souvenez-vous ensuite de ce morceau de Britannicus : Tout ce que vous voyez conspire
blier ses malheurs66. Je crois voir, dans la comparaison de ces deux morceaux , le disciple qui tâche de lutter contre le maître
acte de Rodogune. se soutiendraient à côté d’Athalie, quand même ces morceaux seraient faits aujourd’hui. De quel œil devons-no
e leur avait donné l’exemple de cette sagesse de style, dans tous les morceaux dramatiques de ses poèmes : et en cela on a eu ra
eille n’est pas le seul qui nous en donne des exemples : Racine a des morceaux , quelquefois des scènes entières, tout aussi simp
l’épopée, et aussi près de la nature qu’il l’a été lui-même dans les morceaux de ses tragédies les plus parfaitement écrits. Le
lime constant et soutenu, qui peut régner dans un poëme comme dans un morceau d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques p
bien fortement dans quelques endroits ; et c’est uniquement dans ces morceaux naturels qu’il est admirable. Voilà ce qu’il me s
ïveté de Marot avec une énergie que Marot n’avait pas. Je louerai des morceaux admirables dans ses épîtres, où le génie de ses é
es épigrammes se fait singulièrement apercevoir. Mais en admirant ces morceaux , si dignes de l’être, je ne puis m’empêcher d’êtr
s des paroles pour le musicien, entièrement vides de sens. Les divers morceaux qu’on admire dans Quinault prouvent qu’il y a peu
aractère original de l’auteur, les grandes pensées qui y règnent, les morceaux éclatants de poésie qui les embellissent, la mani
ville et celle sur la mort de mademoiselle Lecouvreur m’ont paru deux morceaux remplis de charmes, et où la douleur, l’amitié, l
ouvera cela dans les Réflexions sur les poètes épiques, et les divers morceaux traduits par M. de Voltaire des poètes anglais, d
s pensées isolées, fugitives, et qui écrivent en différents temps des morceaux détachés, ne les réunissent jamais sans transitio
x que les préceptes ; mais, comme il ne m’est pas permis de citer les morceaux sublimes qui m’ont si souvent transporté en lisan
75 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
lein d’inquiétude3   Il a la voix perçante et rude,   Sur la tête un morceau de chair4, Une sorte de bras5 dont il s’élève en
serre cruelle, Vit notre malheureux, qui, traînant la ficelle Et les morceaux du las qui l’avait attrapé, Semblait un forçat éc
s’agit ici du cochet qu’il désigne par une vague description, 4. Un morceau de chair. La crête. Il remplace le mot propre par
e une aile. V. La Bruyère, De l’homme, édit. Hémardinquer, p. 291, le morceau qui commence ainsi : « N*** est moins affaibli pa
76 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177
ses qui partent comme des flèches, des allégories ingénieuses, et des morceaux d’apparat où l’esprit étincelle dans les moindres
ouvrier qui a élevé des palais superbes. » (Massillon.) 1. Tout ce morceau est une protestation éloquente, pleine de hardies
s dons des cieux, Que les enfants des autres dieux. (xi, 2.) 5. Ce morceau est un éloge de Louis XIV. Pour un auteur satiriq
77 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
e à garder le pouvoir absolu, définit l’état populaire. Comparez à ce morceau celui où Voltaire, dans Brutus, traite la même qu
s états, toutes les conditions, toutes les occupations de l’homme. Ce morceau est un modèle d’énumération. 2° L’analyse paraît
78 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
e n’ont trouvé un plus élégant et plus judicieux interprète. Quelques morceaux de lui attestent en outre qu’il était capable d’u
ne beauté suprême, pour se faire tant admirer dans ce grand nombre de morceaux achevés et de vers immortels. » — Quelques-uns de
79 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
nçaise, et non à Ivry, comme le dit Voltaire. Voy., sur ce Biron, les Morceaux choisis, à l’usage de la classe de sixième. 2.
ligé. Les extraits de Mérope en offriront un nouvel exemple (voir les Morceaux choisis pour la classe de seconde). 1. « Jamais,
80 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
Il serait facile de montrer tous les mérites littéraires de ce petit morceau  : la suite, l’enchaînement des idées, la clarté,
s yeux du lecteur que les vers négligés d’une pièce de poésie, ou les morceaux peu saillants d’une pièce d’éloquence, lui donner
81 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre V. Genre didactique et descriptif en vers. »
ile excelle sous ce rapport : les épisodes de ses Géorgiques sont des morceaux achevés. Enfin, le style doit être le principal o
82 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
Avertissement Le présent recueil de Morceaux choisis des poètes classiques français a été comp
classiques français a été composé sur le même plan que le recueil de Morceaux choisis des prosateurs classiques français qui l’
imitateur de la comédie latine et de la comédie italienne. (Voir nos Morceaux choisis de prosateurs.) On appellera encore fusio
Harpyes, Je dy ces importuns, qui les griffes remplies De cent mille morceaux , tendent tousjours la main, Et tant plus ils sont
se rue D’un courage si chaud qu’on ne l’en peut tirer, Voire en mille morceaux le deust-on deschirer. J’ay pitié quand je voy qu
e Devant ton huys, et, languissant de faim, Pour tout enfin n’a qu’un morceau de pain, Ou s’en reva sans que rien on luy donne 
siècle, et, de temps en temps, y fait sa partie en exécutant quelques morceaux de sa composition, courts et nets, à la fois leço
ts, Et, par un discours fait exprès, Jacqueau prépare l’auditoire. Ce morceau vraiment oratoire Fit bâiller ; mais on applaudit
oup de vers sont restés, isolés dans la mémoire ou enchâssés dans des morceaux de choix et de montre. Peu de poètes ont plus déf
anche1474 ; Il se courbe, en soufflant, le pied sur une branche ; Son morceau de pain noir est gagné pour demain ; Et, s’essuya
allâmes dans ma pauvre cabane, Chaque arbre, hélas ! qui tombe est un morceau de pain « Il en reste un… marqué du sceau fatal
iétés les antiques faisceaux Sous des milliers de mains se brisent en morceaux , En vain à rassembler la royauté s’efforce ; La f
joies de la campagne et de l’indépendance. 192. Comparez à tout ce morceau l’épître VI de Boileau (vers 43, sqq.) Avec des d
i les créateurs de la satire en France. Témoins la première partie du morceau précédent et de celui-ci, et, dans des sujets plu
an de tapisserie ». 260. C’est le Sordidus Autumnus d’Ovide. 261. Morceau de bois qui ferme la bonde, trou rond par lequel
. Brasser un méchant tour (La Fontaine). 357. On peut mesurer par ce morceau , qui provoque naturellement une comparaison avec
— Tome V, p. 348.) 372. Garrot a signifié 1° trait d’arbalète, 2° morceau de bois court que l’on passe dans une corde pour
uable, que pour signaler, particulièrement dans la première partie du morceau , un curieux abus de l’imaginatien mythologique en
non sans un mélange de bonhomie, d’enthousiasme et de fierté, dans le morceau suivant. 407. Or, maintenant. Voyez le morceau
t de fierté, dans le morceau suivant. 407. Or, maintenant. Voyez le morceau suivant. 408. Cf. infra deux passages de Jean d
Et les amis du Louvre adorent la fortune. 409. Pauvrement. Voy. le morceau précédent, note 4me. 410. Sic. On a souvent rep
83. Funda. Auj. fronde. 684. Nous signalons à l’attention, dans ce morceau , bien des vers expressifs et pittoresques, et par
te u couvent avec la douloureuse agitation que traduisent les vers du morceau précédent. Une tranquille sérénité respire dans l
771. Ce touchant monologue, cité partout, a toujours passé pour le morceau capital de l’ouvrage. Que de traits sobres et net
). 775. Cf. L’expression des mêmes idées dans les Stances à Tircis ( Morceaux choisis pour les classes de Grammaire). — Racan,
ses yeulx, de Salamine, de Platée, de Mycale, de Sicile » (Voyez nos Morceaux choisis de Prosateurs, p. 32), et comme une avanc
ique » ; et il ajoute que le P. Tournemine allait jusqu’à préférer ce morceau « à toutes les pièces de Racine. » Il est vrai qu
nale, ou il se repose et s’endort ! C’est le ton du vers qui finit le morceau suivant. — Nous avons cité cette fable, et nous c
pela au public par la Critique de l’École des Femmes (1663). Voir nos Morceaux choisis des Prosateurs. 897. Payés régulieremen
ui en est connu, et taire pressentir ce qui reste à en connaître… Les morceaux que nous citons répondent à quelques-unes des rés
tes sur Boileau, et qu’énumère notre notice. — La citation du premier morceau aura un autre avantage ; les élèves, dans les cla
classes d’humanités, apprennent l’histoire littéraire. Les notices et morceaux des poètes qui sont l’objet de ces erreurs, leur
é, si Despréaux était insensible à la douceur charmante de semblables morceaux , il faut lui pardonner d’avoir été injuste ; il é
lammisque soquacibus iras. 999. Le contraste de ce passage avec le morceau précédent peut faire apprécier la souplesse du ta
s dans le cadre ingénieux, vers et prose, du Temple du Goût (Voir nos Morceaux choisis des Prosateurs). On vient de voir ses ver
u raisonné des connaissances humaines. 1168. Le mouvement de tout ce morceau rappelle les vers de Boileau (Sat. IX) sur Chapel
laient de ville en ville chanter des poésies, et particulièrement des morceaux détachés des épopées d’Homère. Ῥαψῳδός (ῥάπτειν,
de Juvénal sur le remords, cités ibidem, avec les passages du présent morceau , qui ont avec eux des rapports frappants. 1315.
cle, mort à Paris en 1519). 1347. « Qu’est-ce que le trône ? Quatre morceaux de bois revêtus d’un morceau de velours. Tout dép
347. « Qu’est-ce que le trône ? Quatre morceaux de bois revêtus d’un morceau de velours. Tout dépend de celui qui s’y assied. 
çant (la terre) dans l’espace… 1372. On n’aurait à relever dans ce morceau , d’une harmonie douce et pleine et d’une fraîche
récier par comparaison la vigueur que prend le style du poète dans le morceau suivant. 1373. Comparez cet enjambement express
373. Comparez cet enjambement expressif au commencement du vers 7e du morceau précédent. — Les vers puissants et, sonores abond
ogressive de son esprit qu’on pourra remarquer dans la succession des morceaux suivants ; c’est le lien qui rattache ces morceau
la succession des morceaux suivants ; c’est le lien qui rattache ces morceaux à celui-ci et entre eux. 1479. Rare aujourd’hui
lui qui s’agite bruyamment ; 2° troubles, désordre, comme ici. 1506. Morceau plein et fort, dont le défaut est de resserrer le
ce des massacres de septembre, l’alliance qu’il leur offrait (voir le morceau précité) et leur demandait contre la Commune révo
ac nocturne d’Arabes (Chateaubriand), et la dernière note du présent morceau . 1551. Ou Al Borak, ou Borak, cheval qui, selon
faire apprécier la richesse et la souplesse du pinceau du peintre. Le morceau suivant permettra d’achever la comparaison. 1556
ux : Et dans le ciel couleur de perle La lune monte lentement. — Ce morceau est le rêve d’une imagination puissante, qui a l’
83 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre X. Genre pastoral. »
tes de sujets. Dans Théocrite, le Combat de Pollux et d’Amycus est un morceau épique ; dans Bion, le Chant funèbre d’Adonis app
84 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
yle souvent déclamatoire, des inégalités et même des chutes après les morceaux les plus sublimes. Racine sut éviter tous ces déf
pour cette pièce par un compositeur en titre ; ensuite, en ce que les morceaux de musique y sont beaucoup plus développés, et qu
rement dit est en récitatif, et il aboutit nécessairement à de grands morceaux de musique, solos, duos, trios, quatuors, chœurs,
85 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
nce1. Pour la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les morceaux nécessaires se tournent en ornements naturels. Ma
ar aucune personne en ce monde. » 1. Il faut remarquer dans tout ce morceau la familiarité expressive des images, l’aisance i
Fénelon avait donné au duc de Bourgogne « un reliquaire d’or avec un morceau de la mâchoire de saint Louis ». (Lettre au duc d
86 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IV. Éloge de Trajan, par Pline le jeune. »
’une grande force, des pensées pleines de grâce ou de finesse, et des morceaux entiers qui respirent le ton de la véritable éloq
87 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
» (Sermon sur l’humanité des grands.) Il est aisé de réduire ce beau morceau à ce raisonnement logique : Tout ce qui vient de
assigné sur la terre. » (Sermon sur l’humanité des grands.) Tout ce morceau se réduit à ce syllogisme : Si Dieu ne vous a pa
qu’à l’évidence. Si l’on remet le conséquent à sa place naturelle, ce morceau perd presque toute son énergie. Les grands poëtes
enne attaquer Dieu jusqu’en son sanctuaire. (Act. I, sc. I.) Dans ce morceau de la plus sublime éloquence, comme de la plus su
e, le détail de l’objet risible ; elle étend le ridicule dans tout un morceau de discours. Le mérite en est dans la fidélité et
ns le panégyrique. La péroraison du panégyrique est ordinairement un morceau d’éclat. L’orateur peut y étaler toutes les riche
ns une simple narration, puisqu’on peut et qu’on doit même écrire des morceaux très-simples dans un ouvrage du genre le plus éle
choisir le mode, le ton et le mouvement qui convient au caractère du morceau qu’il veut composer, de même l’orateur et l’écriv
lle passait la paix et la joie dans le cœur des peuples ! » Quand un morceau demande de la vivacité, on emploie des nombres pl
its des discours. Nous entendons par objets de détail, les différens morceaux dont un discours se compose, les pensées et les s
ux dont un discours se compose, les pensées et les sentimens dont ces morceaux se composent à leur tour. Il faut que l’écrivain
ens et aux pensées considérées en elles-mêmes et comme les élémens de morceaux plus étendus. Les pensées veulent être rendues da
est une beauté dans les sentences ou maximes détachées, dans certains morceaux des grands ouvrages, comme les portraits, les car
n’ai pu encore en découvrir. » (Art d’écrire, l. I, c. 1.) Voici un morceau de Bossuet où les pensées sont parfaitement liées
. » (Serm. sur l’hum. des grands envers le peuple.) Combien, dans ce morceau , l’orgueil et la fierté de ceux qui veulent passe
que l’orateur fait parler, est fidèlement et vivement exprimé dans ce morceau . Observation sur cette figure. Cette figure pro
le plus souvent une sentence ; mais il est toujours placé à la fin du morceau auquel il appartient, au lieu que la sentence se
t nous venons de parler ; mais il fallait nous borner. D’ailleurs les morceaux ainsi détachés ne peuvent que perdre de leur méri
s ambigus, fis croire au premier homme Qu’il allait, en goûtant de ce morceau fatal, Comblé de tout savoir, à Dieu se rendre ég
) Au reste, cette faute, si c’en est une, a produit un des plus beaux morceaux de la poésie française. 2°. Exagération, enflu
choses sublimes, est guindé dans plusieurs endroits. Il l’est dans le morceau où Émilie exprime le désir qu’elle a de venger la
st possible, si fieri potest, quotidiè, par cœur et mot à mot quelque morceau intéressant d’un bon auteur, soit en vers, soit e
ue l’on peut employer sont la lecture à haute voix, la déclamation de morceaux de prose et de poésie récités de mémoire dans des
t que la combinaison des trois tons dont nous avons parlé. Prenons le morceau du Telémaque où Philoctète raconte ses malheurs :
ouleur. » (Ton soutenu ; l’accent du désespoir.) Examinons encore un morceau de l’Oraison funèbre de la reine d’Angleterre, pa
premier essai en ce genre. Il défigurait totalement Bossuet, dont les morceaux les plus sublimes, exagérés avec emphase, étonnai
y revenir. » (Quint., lac. cit.) A-t-on lu un bon ouvrage ou quelque morceau important de philosophie, de littérature ; il ser
88 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
avec admiration quelques-uns de ses discours. Qui ne serait frappé du morceau suivant, où cet orateur répondait avec tant de pa
de Racine à MM. Thomas Corneille et Bergeret, dans laquelle on lit un morceau fameux sur Pierre Corneille ; celle de Fontenelle
 siècle, de MM. Chasles et Saint-Marc Girardin, sont certainement des morceaux d’éloquence académique très distingués, et qui se
tesquieu, par M. Villemain ; celui de Le Sage, par M. Patin, sont des morceaux très remarquables, et qui, s’ils ne prouvent pas
89 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »
, nous avons ajouté, dans cette seconde édition, un certain nombre de morceaux littéraires pour appuyer les préceptes ; pourtant
90 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168
On trouvera ces stances célèbres sur l’Amour de la retraite dans nos Morceaux choisis des Classiques français à l’usage de la c
91 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
monde resteraient infailliblement au-dessous d’une pareille prose. Ce morceau , d’ailleurs, était trop célèbre, pour chercher se
92 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre V. Panégyrique de Louis XV, par Voltaire. »
i promptement à tant de valeur ». Le même charme se retrouve dans le morceau suivant, sur l’amitié : « Quel préjugé s’est rép
93 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
ouvrage a été rédigé. Nous ne manquons pas de travaux, ou au moins de morceaux de choix sur les différents genres de littérature
94 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
utorités les plus hautes en fait de critique littéraire. De plus, les morceaux cités comme modèles sont presque toujours choisis
95 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
et brillantes descriptions, des narrations suaves et touchantes, des morceaux lyriques aussi irréprochables qu’élevés, mais, en
nouvelles guerres civiles ! Comparez à cette admirable allégorie des morceaux de quelque valeur, sans doute, mais qui sont loin
96 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
4, est jetée dans un coin dès qu’elle est cassée, et qu’elle reste en morceaux dans la poussière ; que voilà ce qui arrive à tou
ence. Pour la poésie, comme pour l’architecture, il faut que tous les morceaux nécessaires se tournent en ornements naturels. Ma
97 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mézeray. (1610-1683.) » pp. 12-14
ues impôts. Il mourut en 1683, la même année que ce ministre. Dans le morceau que l’on va lire, il s’est égalé, comme l’a dit V
98 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
est pas seulement un trait d’esprit : elle peut s’étendre sur un long morceau , et même sur tout un ouvrage. Fontenelle se disti
rois qualités de style réunies. Voici, dans un style plus moderne, un morceau remarquable emprunté à la Divine Épopée d’A. Soum
onnet : Belle Philis, on désespère Alors qu’on espère toujours. Le morceau suivant, de Victor Hugo, peut montrer que si ce p
99 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
dra comme une bête fauve dans sa tanière, mais sans pouvoir faire, du morceau de bois qui lui servira de défense, ni une épée,
ne cesser jamais de l’honorer et d’y croire ! » 1. Le style de ce morceau n’est point irréprochable, mais il a du mouvement
100 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
tes. Ritter n’hésite pas à considérer comme une interpolation tout le morceau qui s’étend depuis παραπλήσιον jusqu’à la fin du
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