l’étude et la connaissance des principes littéraires, la lecture des
modèles
, l’imitation des chefs-d’œuvre, et la méditation
ans les trois articles suivants. Article Ier. De la lecture des
modèles
303. La lecture des modèles n’est-elle pas un
Article Ier. De la lecture des modèles 303. La lecture des
modèles
n’est-elle pas un moyen puissant de former le sty
un moyen puissant de former le style ? De tout temps la lecture des
modèles
littéraires, c’est-à-dire de ce qu’il y a de plus
goût sûr et délicat, et que le sentiment général a classés parmi les
modèles
. Et lorsqu’on aura longtemps contemplé les mervei
lire beaucoup d’ouvrages ? Une des règles relatives à la lecture des
modèles
est de se borner à un petit nombre d’auteurs. La
s de M. de Bonald. 309. Quels sont les moyens à prendre pour lire les
modèles
avec avantage ? La lecture des modèles, pour êtr
oyens à prendre pour lire les modèles avec avantage ? La lecture des
modèles
, pour être profitable, doit être réfléchie, court
, quand l’eau est versée avec trop d’abondance. Enfin, la lecture des
modèles
doit être faite avec ordre et méthode. Cette règl
re l’imitation des auteurs ? D’abord, il est naturel de prendre pour
modèles
de ses compositions les auteurs qu’on a choisis p
s ferons remarquer avec d’Aguesseau, qu’on ne saurait se proposer des
modèles
trop purs et trop parfaits, quand on veut arriver
t arriver soi-même à la perfection. En supposant qu’on se propose les
modèles
les plus parfaits, comment s’y prendra-t-on pour
rceau intéressant, à le reproduire librement et à le comparer avec le
modèle
. Quelquefois cependant on pourra essayer de tirer
as d’un écrivain et qui a fait tant de mauvaises copies des meilleurs
modèles
, et imiter d’une manière noble, généreuse, pleine
esclavage. Ensuite, comme tout n’est pas également parfait dans les
modèles
, puisque d’après Horace, Homère sommeille quelque
Enfin, un autre danger de l’imitation, c’est de se passionner pour un
modèle
. Ce défaut a très-souvent de funestes conséquence
ur un modèle. Ce défaut a très-souvent de funestes conséquences : Un
modèle
imparfait égare, S’il a du brillant et du faux ;
aduction est un des meilleurs moyens de rendre fructueuse l’étude des
modèles
, et un des exercices les plus utiles pour se form
ation successive des parties qui le composent. Nous indiquerons comme
modèles
l’énumération des tourments endurés par la mère d
lques exemples de style naturel. Outre les exemples déjà cités comme
modèles
de pensées et de sentiments naturels, nous mentio
x, comme on pourra en juger par les exemples suivants. 137. Citez des
modèles
de style simple. Nous citerons comme modèles en
uivants. 137. Citez des modèles de style simple. Nous citerons comme
modèles
en ce genre, l’histoire de Joseph, dans la Bible
qui paraissent nées d’elles-mêmes plutôt que choisies. 141. Citez des
modèles
de style naïf. Après Joinville, historien de sai
nt des forêts verdoyantes et de délicieuses campagnes. 154. Citez des
modèles
en ce genre ? Nous signalerons, comme remarquabl
, le premier mérite du style poétique. 158. Quels sont les principaux
modèles
en ce genre ? Exemples. Ce sont Théocrite, Virgi
grâce plus belle encor que la beauté. 161. Quels sont les principaux
modèles
dans le genre gracieux ? David, dans les psaumes
e, La Fontaine, Racine, Hamilton, Voltaire, Lamartine, présentent des
modèles
de style gracieux. Parmi les morceaux les plus re
rquables en ce genre, nous signalerons l’Ange et l’Enfant, de Reboul,
modèle
de délicatesse et de grâce ; le Cocher, le Chat e
doit éviter la sécheresse et l’excès d’ornements. 164. Citez quelques
modèles
. On trouve des exemples de style riche chez Virg
même, la ravit, la transporte d’admiration. 167. Faites connaître des
modèles
. Dans la Bible, nous signalerons seulement les d
aloue, Massillon, J.-B. Rousseau, etc. Les morceaux suivants sont des
modèles
de style sublime : la description du Tartare, par
périodes qui produisent une magnifique gradation. Nous citerons comme
modèles
de style énergique la peinture de la puissance de
est la froideur, dont nous avons parlé plus haut. 174. Citez quelques
modèles
de style véhément. Nous signalerons une partie d
arlé en traitant de la majesté des pensées. 176. Faites connaître des
modèles
. Nous trouvons des modèles de style magnifique d
té des pensées. 176. Faites connaître des modèles. Nous trouvons des
modèles
de style magnifique dans l’Écriture, et chez les
euvent faire le fond du sujet. » Secondement. Proposez-vous certains
modèles
à imiter. Je sais que le modèle ne donne point ce
Secondement. Proposez-vous certains modèles à imiter. Je sais que le
modèle
ne donne point ces vertus premières que l’on ne d
ant bien ce qu’elle n’est pas. Imiter n’est point copier les vices du
modèle
: Quand sur une personne on prétend se régler, C
e, ni un pastiche. L’imitation est une gymnastique, une lutte avec un
modèle
, dans laquelle on cherche à faire comme lui, pour
eut, en faisant autrement. Enfin, le point capital, c’est le choix du
modèle
. Etudiez les prosateurs français qui ont le mieux
sion de Tacite, notre langue y répugne ; autant vaudrait prendre pour
modèles
de diction française Gœthe ou Walter Scott. Enfin
us ou hors de vous s’opposera alors à la complète reproduction de vos
modèles
? Les idées de Lamartine, par exemple, ou de Vict
es idées d’aujourd’hui et des formes d’autrefois, l’étude si utile du
modèle
compromettra beaucoup moins votre originalité. Je
On a mieux fait, une fois le style sec inventé, il a fallu trouver un
modèle
, un type pour celui-là comme pour les autres. On
ulminant, lorsqu’on aura relu, au besoin, un passage analogue dans un
modèle
sûr, lorsqu’on aura choisi les moyens d’amplifica
e. La Navigation de Télémaque et le Lever du soleil sont d’excellents
modèles
à étudier. 342. Que faut-il pour réussir dans la
x images qui paraissent avoir été épuisées par les écrivains. Un beau
modèle
en ce genre est la description d’un nid de bouvre
n oratoire, n’intéresse que l’imagination est superflu et vicieux. Un
modèle
de ce genre est la description du supplice de Gav
autant que possible, la présence d’êtres vivants. Nous citerons comme
modèles
la description du lieu où était située la grotte
es portes : At domus interior… tenent Danai quà deficit ignis. A ce
modèle
nous ajouterons trois descriptions de tempête : l
n vigoureux par M. de Maistre, peut être cité comme un des plus beaux
modèles
: N’avez-vous jamais remarqué… — On peut rapporte
. L’éloquence et la poésie doivent ordonner leurs compositions sur ce
modèle
. Une variété toujours renaissante en fait le char
it affreuse que Molina passa dans la caverne des serpents est un beau
modèle
de brièveté : pas une idée de trop, pas un mot in
vention, dans la disposition et dans l’élocution. Nous citerons comme
modèles
d’intérêt progressif le récit du sacrifice propos
chien. Le début du combat des Thermopyles, par Barthélemy, est un bon
modèle
d’exposition simple. 407. Qu’avez-vous à dire sur
Animaux malades de la peste, La Fontaine nous donne en même temps un
modèle
d’exposition pompeuse, et un exemple de circonsta
avoir lieu dans un sujet ordinaire et peu intéressant. 409. Citez un
modèle
de début dramatique. Nous trouvons un admirable
409. Citez un modèle de début dramatique. Nous trouvons un admirable
modèle
de début dramatique dans le récit de la mort de J
en mettant toujours en relief le personnage principal. 413. Citez un
modèle
de nœud. Le récit de la mort de Turenne, par Mme
it de la mort de Turenne, par Mme de Sévigné, nous offre un admirable
modèle
de nœud. L’auteur, après avoir décrit scrupuleuse
t le récit aura un complément qu’on appelle achèvement. 419. Citez un
modèle
de dénoûment. Chateaubriand a admirablement prép
-t-on les plus belles narrations historiques ? Après les inimitables
modèles
que nous présente la Bible, comme la vie des patr
, vous pouvez vous en servir. Mme de Sévigné. Nous indiquerons comme
modèles
de descriptions dans la lettre, les peintures de
plume des négociants et des commis de bureau. Mme de Maintenon est un
modèle
excellent en ce genre ; elle dit ce qu’il faut di
La lettre suivante du P. Brumoi au cardinal de Gesvres peut servir de
modèle
: Il n’est question ici, Monseigneur, que de vot
léger et badin, grave et sérieux selon le sujet. Nous citerons comme
modèles
en ce genre la lettre de Mme de Sévigné au comte
aires. Parmi les écrivains épistolaires dignes d’être proposés comme
modèles
, nous citerons les suivants : Cicéron, qui a lais
ard, sainte Thérèse, saint François de Sales, qui présentent de beaux
modèles
épistolaires, surtout dans le genre pieux ; Balza
urvu d’aisance dans le genre épistolaire ; Racine, qui offre de beaux
modèles
de lettres familières ; Mme de Sévigné, qui possè
sse des expressions et l’éclat des peintures ; Mme de Maintenon, vrai
modèle
de correction, de noble simplicité en même temps
principalement leur attention sur les passages les plus saillants des
modèles
qu’ils auront sous les yeux, et d’en faire l’obje
aussi, comme une chose bien importante, de procurer à ses élèves des
modèles
d’analyse littéraire, et, dans la correction des
uraient sous les yeux, et mieux encore dans leurs souvenirs, un texte
modèle
où ils puiseraient, pour faire leurs thèmes, des
cturnâ versate manu, versate diurnâ. Hor. Feuilletez jour et nuit les
modèles
de la Grèce.
doit être en harmonie avec l’ensemble du morceau. Nous citerons comme
modèle
de début, l’ode d’Horace : Qualem ministrum… 181
celui-ci emploie pour prouver ce qu’il a en vue. On peut citer comme
modèle
l’ode d’Horace : Sic te diva potens… 184. Quel d
; — 79, Qui regis Israel ; — 132, Ecce quam bonum, qui sont de beaux
modèles
d’odes gracieuses ; dans le genre tempéré, les ps
râces. Il prenait tous les tons de l’ode, et il en est quelquefois le
modèle
le plus sublime et le plus touchant. Aux chants s
t nous avons fait mention précédemment, nous citerons quelques autres
modèles
choisis parmi les odes sacrées, les hymnes et les
de la gloire. Dans ce genre, les chants prussiens sont à la fois des
modèles
d’enthousiasme et de discipline. — L’ode héroïque
que l’innocence n’en puisse jamais être alarmée. On peut citer comme
modèle
une ode de Klopstock, qui a pour titre Salem ou l
, les paroles de Gilbert, mourant. 220. Où se trouvent les plus beaux
modèles
de poésie élégiaque ? Les plus beaux modèles en
trouvent les plus beaux modèles de poésie élégiaque ? Les plus beaux
modèles
en ce genre se trouvent chez les Hébreux. Ce sont
inusitées (nova verba). Du reste, l’antiquité ne nous a laissé aucun
modèle
de cette espèce de poésie lyrique. 224. Quel a ét
oble et dans le genre gracieux. J.-B. Rousseau nous offre de parfaits
modèles
des deux espèces. Nous citerons, dans le premier
des pleurs : Je suis l’arbre stérile ! On peut citer comme
modèles
de chansons religieuses, l’Église de campagne, et
ent avec refrain, comme dans Catulle. La Bible nous fournit plusieurs
modèles
d’épithalames. Le Cantique des cantiques, qui a d
ce qu’il ne s’y trouve pas de vers intercalaires, on peut citer comme
modèle
l’épithalame que M. de Bernis fit, en 1745, sur l
ont fait avant nous. 29. Les règles n’ont pas précédé, mais suivi les
modèles
. On admirait les chefs-d’œuvre de Sophocle et d’E
las ! dit-elle, j’y pensais. Le trait qui termine cette fable est un
modèle
de naïveté ; La Fontaine en a beaucoup de ce genr
quitem sedet atra cura. Mais Boileau a été encore plus hardi que son
modèle
en disant : Le chagrin monte en croupe et galope
elles de Henri IV et de La Rochejaquelein chez les modernes, sont des
modèles
d’énergie. Ituri in aciem, et majores et postero
s’ils s’étaient présentés d’eux-mêmes à l’esprit. On peut citer comme
modèle
de style naturel ces strophes de la Jeune captive
les périodes nombreuses et les chutes cadencées. On peut citer comme
modèle
de style simple l’histoire de Joseph et celle de
J’étais né pour servir d’exemple à ta colère, Pour être du malheur un
modèle
accompli : Eh bien ! je meurs content, et mon sor
se former à l’art d’écrire : la connaissance des règles, l’étude des
modèles
, l’exercice de la composition. Les principes que
matériaux, ii les employer avec discernement et sagesse, l’étude des
modèles
et l’exercice du style nous enseigneront, mieux q
parler de ces deux principaux moyens de former le style : l’étude des
modèles
et l’exercice de la composition. Article premie
e la composition. Article premier. Étude des modèles11. 251. Par
modèles
littéraires, on entend ce qui existe de plus beau
l habite, tout ce qui est naturel n’est pas digne d’être proposé pour
modèle
. C’est dans les exemples et les écrits des grands
cités, dans l’Ancien et le Nouveau Testament, qu’il faut chercher des
modèles
où brillent une incomparable splendeur et une pur
une incomparable splendeur et une pureté sans tache. 253. Le premier
modèle
que nous proposons à l’étude de la jeunesse, dit
55. On cherchera principalement dans les chefs d’œuvre des païens les
modèles
d’une argumentation solide, l’harmonie poétique e
et les Docteurs de l’Église. 256. Pour qu’un ouvrage soit cité comme
modèle
et étudié comme classique, il ne suffit pas qu’il
bien agir autant qu’à bien parler et à bien écrire. 257. L’étude des
modèles
se réduit à quatre exercices : la lecture, l’anal
urs propres défauts par l’exemple des auteurs qu’ils ont choisis pour
modèles
. Ils se trompent étrangement, dit un maître expér
t parler. 276. La traduction est un excellent moyen d’approfondir les
modèles
. Pour bien traduire, le jeune homme doit faire un
ve dans l’heureuse nécessité de pénétrer le caractère et la beauté du
modèle
qu’il étudie. 277. La lecture ne peut pas supplée
r ou un poète, mais à se pénétrer de la pensée et des sentiments d’un
modèle
et à les reproduire avec une certaine liberté. La
n langage, ses habitudes de concevoir, de peindre, d’imaginer, sur le
modèle
qu’on s’est proposé de suivre et avec lequel on s
yez de le reproduire à votre façon, et comparez votre travail avec le
modèle
. Ce genre d’imitation, quoique moins utile que le
rendre dans l’imitation d’un écrivain : discernement dans le choix du
modèle
, liberté dans l’imitation, intelligence dans les
ce dans les traits que l’on reproduit. — Discernement : les meilleurs
modèles
ont leurs défauts, et les défauts sont plus facil
rvum pecus. La hardiesse de l’imitation doit rappeler la hardiesse du
modèle
. — Intelligence : choisissez ce qui est à votre p
attachez pas exclusivement à un seul, mais ne multipliez pas trop vos
modèles
. Mieux vaudrait encore s’attacher à un seul : Dém
fusion et obscurité, et l’effet serait manqué. On peut citer comme un
modèle
en ce genre la lettre où Mme de Sévigné raconte l
e dans Homère, Virgile, Racine, Fénelon et Chateaubriand d’excellents
modèles
de récits poétiques. Quant aux narrations histori
tous les lieux qui ont servi de théâtre à un événement. On cite comme
modèle
la description de la grotte de Calypso et celle d
; La Bruyère et Molière nous ont laissé des caractères. On cite comme
modèles
les portraits de Catilina par Salluste et Cicéron
aint Grégoire, de saint Jérôme et de saint Bernard, vous serviront de
modèles
. 352. Les ornements particuliers que les littérat
es Latins, Cicéron et Pline le Jeune. Les lettres du premier sont des
modèles
de gaieté, de finesse et de bon goût ; mais celle
elon, Mme de Sévigné, Mme de Maintenon, peuvent fournir amplement des
modèles
pour tous les genres. Enfin les lettres de Joseph
et de célèbres écrivains catholiques de notre temps peuvent servir de
modèle
en ce genre. 361. Les critiques littéraires ont p
religieuse et sacrée, il faut passer chez les Hébreux et chercher nos
modèles
dans les livres saints. C’est en effet chez eux q
aimables leçons. Lamartine et Victor Hugo nous offrent aussi quelques
modèles
de ce genre dans les poésies de leur jeunesse.
utefois le chrétien devra chercher dans les psaumes de David de vrais
modèles
du genre tendre et gracieux. Les psaumes 62 et 83
tre du poème développé. La proposition de Virgile peut nous servir de
modèle
: Arma virumque cano, Trojæ qui primus ab oris I
n n’y prend jamais le ton de l’épopée. Le Vert-vert de Gresset est un
modèle
du genre. Au-dessous de ce genre badin est encore
a, on peut employer des vers libres et inégaux. Quinault fut jadis un
modèle
pour la tragédie lyrique. Toutefois, il faut bien
son propre sujet. La mort de César, dans les Géorgiques, est un vrai
modèle
de ce genre. (Voir le nº xviii.) Du poème desc
té du style. Horace et Boileau nous offrent sur ce point d’assez bons
modèles
. 551. L’épître familière est caractérisée par un
s objets de la campagne et toujours suggérées par la nature. 567. Les
modèles
du genre pastoral sont, chez les Grecs, Théocrite
ni de subtilités. 573. La poésie sacrée nous offre les plus parfaits
modèles
de poésie élégiaque. Les plaintes de Job, les lam
ne citerons pas le sonnet de Desbarreaux, si longtemps présenté comme
modèle
, parce qu’il contient des pensées fausses et inju
de l’humaine raison. — (Platon.) Troisième partie. Citations et
modèles
I. Le talent et le génie. Le talent est
le est l’importance des règles ? 29. Les règles ont-elles précédé les
modèles
? 30. Les règles sont-elles généralement invariab
imple ? 142. Quelles sont les qualités propres au style simple et les
modèles
de ce genre ? 143. Qu’est-ce que le style tempéré
e former à l’art d’écrire ? 250. Les préceptes suffisent-ils sans les
modèles
et les exercices du style ? 251. Qu’entendez-vous
ans les modèles et les exercices du style ? 251. Qu’entendez-vous par
modèles
littéraires ? 252. Où se trouvent les modèles que
1. Qu’entendez-vous par modèles littéraires ? 252. Où se trouvent les
modèles
que le jeune homme doit sans cesse étudier ? 253.
jeune homme doit sans cesse étudier ? 253. La Bible n’est-elle pas un
modèle
qu’il faut méditer continuellement ? 254. Le chré
s païens ? 256. Que faut-il pour qu’un ouvrage puisse être cité comme
modèle
? 257. Combien d’exercices embrasse l’étude des m
tre cité comme modèle ? 257. Combien d’exercices embrasse l’étude des
modèles
? 258. En quoi consiste une lecture bien entendue
ude des modèles ? 258. En quoi consiste une lecture bien entendue des
modèles
? 259. La lecture des écrivains est-elle un puiss
ion ? 276. La traduction est-elle un puissant moyen d’approfondir les
modèles
? 277. La lecture peut-elle tenir lieu de la trad
poétique ? 324. Quels sont les écrivains qui présentent les meilleurs
modèles
de narration ? 325. Qu’est-ce que la description,
Quel doit être le style de la poésie pastorale ? 567. Quels sont les
modèles
du genre pastoral chez les anciens et chez les mo
sonne et ne peuvent fournir aux jeunes gens que de pauvres et tristes
modèles
. Cette rhétorique se flatte de n’offrir rien de n
istote jusqu’il Andrieux, des hommes de génie qui ont offert de beaux
modèles
, depuis Homère jusqu’à Chateaubriand : voilà ce q
éflexions provoquées par le spectacle et l’étude attentive des grands
modèles
. Les préceptes sont utiles, même à l’homme doué d
tion. Cultiver son cœur, orner sa mémoire, lire et méditer les grands
modèles
sont des conditions sans lesquelles la méthode se
s ils ont réussi ; elles ne suppléent ni à l’étude directe des grands
modèles
, ni à la méditation, ni à l’exercice, qui est un
ds orateurs, tous les grands écrivains ont demandé aux maîtres et aux
modèles
les leçons de la réflexion et de l’expérience : D
; et les règles simples et générales suggérées par l’étude des grands
modèles
s’appliquent également dans tous les cas : I. ge
e autorité que rien ne remplace. Quand un écrivain semble la copie du
modèle
proposé par Caton et par Fénelon, qui pourrait s’
es passions dérivées et secondaires, les grands écrivains offrent des
modèles
achevés de la façon dont elles peuvent être excit
ce trouble ne servit qu’à augmenter l’effet de cet admirable morceau,
modèle
de l’usage des passions : Je ne parle plus du re
traits et réservez les plus frappants pour la péroraison. Un parfait
modèle
de cet art et de cette mesure, c’est la scène VI
de vue, le bon goût des Athéniens, leur esprit de mesure en font des
modèles
bien plus sûrs, et Démosthène est beaucoup plus m
situation où elle met le fidèle, pour le présent ; 3° par les grands
modèles
qu’elle lui propose à imiter. 3e Partie. La re
nduire l’esprit à des inductions favorables. Quintilien cite comme un
modèle
dans l’art de disposer ces détails la narration p
us heureux effet. Massillon dont la plume habile offre de si parfaits
modèles
, donne le meilleur exemple de cette narration orn
aux premiers honneurs de la guerre !…. Enfin, il faut citer comme le
modèle
des péroraisons pathétiques ce cri arraché à l’âm
ouvements sur l’eau, on doit reconnaître le cygne… comme le plus beau
modèle
que la nature nous ait offert pour l’art de la na
ue l’usage, le goût, l’euphonie et la clarté. IV. Etudier les grands
modèles
et se rendre compte de la marche qu’ils ont suivi
rophe à Zénobie dans La Bruyère21. On peut encore citer comme un beau
modèle
du style périodique le tableau des bienfaits de l
onstration. Cependant le bon sens et observation attentive des grands
modèles
peuvent accepter les six règles suivantes : I. La
des défauts, des vertus ou des vices. Salluste en a laissé un célèbre
modèle
dans ce portrait de Catilina, type achevé du cons
; la fuite a sauvé tout le reste. Mme de Sévigné offre un admirable
modèle
d’accumulation dans cette peinture de la douleur
ployer les figures de pensée. L’étude attentive de ces beaux
modèles
conduit à poser comme préceptes de goût
haut Que j’ai cru jusqu’ici madame sans défaut. On peut citer comme
modèle
d’une adulation habile l’apostrophe de Boileau à
ter le sentiment et le langage. Un des plus anciens et des plus beaux
modèles
de prosopopée a été donné par Platon dans le dial
, de ce Montausier que sa sincérité faisait soupçonner d’avoir été le
modèle
copié par Molière dans Alceste et qui répondait q
en action ! Les fables de la Fontaine offrent à foison, d’excellents
modèles
de dialogismes. Andrieux en offre une charmante i
ques exemples d’une audace telle qu’on peut à peine les proposer pour
modèles
: Restait cette redoutable infanterie de l’armée
ivain suit bien le mouvement de sa pensée ou de son émotion, quand il
modèle
avec soin son expression sur la nature de ce qu’i
omme sur beaucoup d’autres points, les fables de La Fontaine sont des
modèles
de fécondité, de goût et de mesure qu’on ne saura
bois, Et mes coursiers oisifs ont oublié ma voix. Pradon a donné un
modèle
de platitude dans les vers où il a exprimé les mê
nduisez-vous ? Félix. A la mort. Polyeucte A la gloire. sont des
modèles
de concision. C’est sous une forme laconique qu’u
rent à cette période sa richesse. De même J. B. Rousseau offre un bon
modèle
de style riche dans cette apostrophe à la Fortune
l n’est pour cela ni rude, ni agreste, ni sauvage. Racine a donné un
modèle
exquis de la grâce dans le. style, en traitant le
vantage si le vin ne nous eût manqué. » On peut citer encore comme un
modèle
de finesse la réponse d’un ministre à l’issue d’u
pûmes jamais aller jusqu’à la flatterie. Enfin il faut donner comme
modèle
la délicatesse ravissante de ces vers de La Fonta
on présentent dans mille passages de leurs compositions oratoires des
modèles
d’une grandeur et d’une sublimité à laquelle il n
xercice constant, pour retenir et se représenter aisément, à titre de
modèles
, les chefs-d’œuvre des grands orateurs et des gra
e de beaux et précieux souvenirs, l’esprit trouvera non-seulement des
modèles
, mais les éléments de ces allusions et de ces cit
— Toutes les observations de goût inspirées par l’exemple des grands
modèles
ou par la réflexion des critiques constituent l’a
quence judiciaire. Après avoir traité devant eux, pour leur servir de
modèles
, toutes les questions générales qui leur étaient
sophistes. La parole était pour eux une arme à deux tranchants, et le
modèle
de l’orateur grec d’alors fut ce Carnéade égaleme
e pratique qui consistait à suivre au forum un orateur qui servait de
modèle
et de protecteur. A cette instruction des faits e
ire. Ce travail achevé, il faudra comparer le résultat obtenu avec le
modèle
choisi, c’est un rapprochement très-instructif. S
oût sûr, de manière à ne plus craindre qu’il puisse être gâté par des
modèles
imparfaits. 2. Observation générale sur les com
ts prétentieux ; enfin on cherche à se rapprocher de la nature, notre
modèle
et notre guide. 6. Classification des différents
de présenter à propos de chacun d’eux quelques règles à suivre et un
modèle
à imiter ; ce sera joindre l’exemple au précepte,
3. Exemples de description et de tableau. — 4. De la narration. — 5.
Modèle
de narration. — 6. De la fable. — 7. Modèle de fa
4. De la narration. — 5. Modèle de narration. — 6. De la fable. — 7.
Modèle
de fable, — 8. Résumé et règles. 1. De la desc
ourage et.qui tâche de leur inspirer la confiance qu’il n’a plus 3.
Modèles
de description et de tableau. — Chateaubriand nou
odèles de description et de tableau. — Chateaubriand nous a laissé un
modèle
de description dans le petit morceau suivant :
raîne son lecteur jusqu’au dénoument, sans fatigue et sans ennui. 5.
Modèle
de narration. — Voici par exemple un sujet de nar
e sera toujours la meilleure préparation à ce travail littéraire. 7.
Modèle
de fable. — La morale de la fable de la Fontaine,
2. Qualités essentielles au style épistolaire. — 3. Du rapport. — 4.
Modèle
de rapport. — 5. Du discours. — 6. Modèle de disc
aire. — 3. Du rapport. — 4. Modèle de rapport. — 5. Du discours. — 6.
Modèle
de discours. — 7. Du dialogue. — 8. Modèle de dia
rt. — 5. Du discours. — 6. Modèle de discours. — 7. Du dialogue. — 8.
Modèle
de dialogue. — 9. Résumé et règles. 1. De la l
outes les formes de style ; ce n’est donc pas un exemple, ce sont dix
modèles
qu’il en faudrait donner sans avoir la prétention
ue doit se proposer le rédacteur d’un rapport ou d’un compte rendu 4.
Modèle
de rapport. Dévouement d’André Thillet. Sujet. —
urs comporte tous les tons et toutes les formes de style. Voici comme
modèle
une des compositions les plus remarquables conser
st un discours heureusement encadré dans une narration historique. 6.
Modèle
de discours. Dion Chrysostome aux Romains. Sujet
. Des compositions morales et philosophiques. — 2. Du caractère. — 3.
Modèles
de caractères. — 4. Du portrait. — 5. Modèles de
— 2. Du caractère. — 3. Modèles de caractères. — 4. Du portrait. — 5.
Modèles
de portraits. — 6. De l’éloge. — 7. Modèles d’élo
s. — 4. Du portrait. — 5. Modèles de portraits. — 6. De l’éloge. — 7.
Modèles
d’éloges. — 8- du parallèle. — 9. Modèles de para
aits. — 6. De l’éloge. — 7. Modèles d’éloges. — 8- du parallèle. — 9.
Modèles
de parallèles. — 10. Résumé et règles. 1. Des
les détails et engendre l’obscurité, la confusion et la fatigue. 3.
Modèles
de caractères. — Voici, comme preuve des formes d
e. Enfin, dans un tout autre genre, Desmahis nous fournit un dernier
modèle
: Le fat. C’est un homme dont la vanité seule fo
dispensables au portrait. De même que le peintre doit saisir dans son
modèle
le trait qui lui donne sa physionomie propre ; de
nature et met l’imagination du peintre à la place de la réalité. 5.
Modèles
de portraits — Voici comment Chateaubriand dans u
les actes et les sentiments qui peuvent leur servir d’exemples et de
modèles
; bien que l’admiration soit une passion noble et
leçons de goût ; et la comparaison en peut être très-instructive. 7.
Modèles
d’éloges. Saint Louis. Sujet. — Saint Louis est
ctive. 7. Modèles d’éloges. Saint Louis. Sujet. — Saint Louis est le
modèle
du héros chrétien ; humble dans la grandeur, prêt
ce de Dieu auquel il rapporte tout. Développement. — Roi, il est le
modèle
des rois ; chrétien, il est le modèle de tous les
Développement. — Roi, il est le modèle des rois ; chrétien, il est le
modèle
de tous les hommes. Quel exemple pour nous ! Il e
factice qui enlève toute valeur historique et morale au parallèle. 9.
Modèles
de parallèles. Washington et Bonaparte. Sujet. —
e chaque jour par le travail et l’expérience, nous offre un très beau
modèle
de parallèle historique : Florence et Venise au
portrait doit être fidèle et intéressant ; le caractère principal du
modèle
doit servir de point central au tableau. IV. L’él
ique. — Développement moral. 1. Du développement historique. — 2.
Modèle
de développement historique. — 3. Du développemen
e de développement historique. — 3. Du développement littéraire. — 4.
Modèle
de développement littéraire. — 5. De l’analyse cr
Modèle de développement littéraire. — 5. De l’analyse critique. — 6.
Modèle
d’analyse critique. — 7. Du développement moral.
ue. — 6. Modèle d’analyse critique. — 7. Du développement moral. — 8.
Modèle
de développement moral. — 9. Résumé et règles.
tyle sobre, sévère, et par-dessus tout très-clair et très-précis. 2.
Modèle
de développement historique. — Voici, par exemple
qui doit ressembler plutôt à une exposition presque scientifique. 4.
Modèle
de développement littéraire. De la critique. Suj
onstant de découvrir, de proclamer, d’admirer le bien et le beau. 6.
Modèle
d’analyse critique. — Une des applications les pl
s sans étouffer les qualités littéraires de l’esprit et du style. 8.
Modèle
de développement moral. — On peut donner plus de
me il a observé la clarté et la précision. Voir Canevas n° 42 à 43.
Modèle
de décomposition de définition. MATIÈRE. L’Esp
il parle du mérite d’un auteur ; il est historique quand il prend son
modèle
dans les temps passés ; il ne devient caractère q
ortir les traits qui lui plairont le plus. Voir Canevas n° 55 à 58.
Modèle
de décomposition de portraits. MATIÈRE. Lafont
parallèle, si vous en êtes content et pourquoi. Voir Canevas n° 63.
Modèle
de décomposition de parallèles. MATIÈRE. La Ju
fonds on spécifiera le genre du dialogue. Voir Canevas n° 70, 71.
Modèle
de décomposition de dialogues. MATIÈRE. Inte
de découvrir le sens caché des allégories. Voir Canevas n°83 à 86.
Modèle
de décomposition d’allégories. MATIÈRE. Le Roc
able, on sait assez que Lafontaine en a donné, non pas un, mais vingt
modèles
divers. Tour à tour gracieux, badin, touchant, su
isez la fable à sa plus simple expression. Voir Canevas n° 98 à 99.
Modèle
de décomposition de fable et d’apologue. MATIÈ
s’occupera que des détails et du style. Voir Canevas n° 136 à 139.
Modèle
de décomposition de descriptions. MATIÈRE. UN
i rarement dans leurs lectures des fragments propres à leur servir de
modèle
en ce genre ? La raison en est simple. C’est qu’u
bien saisies qui font leur mérite principal. Canevas n° 222 et 223.
Modèle
de décomposition de narration. MATIÈRE. Combat
est rien. On trouve encore dans cette épigramme de J.-B. Rousseau le
modèle
du genre qui doit plaire à tous les bons esprits,
oux, de plus simple, de plus gracieux. En voici un qui peut servir de
modèle
: c’est une réponse de Pradon à quelqu’un qui lui
drement, Je n’écris que pour vous le dire. On peut citer encore pour
modèle
de madrigal ces jolis vers que fit Desmarets sur
rune comme elle. Ceux de nos auteurs qui ont laissé le plus de beaux
modèles
en ce genre, sont madame Deshoulières et M. de La
i de Desbarreaux 160. C’est par cette raison, qu’en le proposant pour
modèle
, je ne ferai point difficulté de le citer, quoiqu
rs. Adam Billaut, que j’ai déjà fait connaître, offre les plus beaux
modèles
de chansons bachiques dans le genre élevé. Voyez
Voici deux couplets d’un vaudeville de Panard, qui peuvent servir de
modèle
. Qu’à s’ajuster du haut jusques en bas,
eut établir que tous les poètes épiques postérieurs l’aient pris pour
modèle
, dans quel sens a-t-on pu dire qu’il est le père
ées dont nous parlons ont été chercher tout ensemble des règles et un
modèle
. Et il ne faudrait pas médire de ce genre d’épopé
la poésie épique, » décerné à Homère, qui en fut l’inspirateur et le
modèle
, par l’enthousiasme des lettrés. [2] (31 jui
l’égard de la littérature grecque, qui lui a fourni la plupart de ses
modèles
. [5] (14 août 1885) Comparer la littérature
e les mots existants et à remanier la langue en prenant le latin pour
modèle
. Elle périt sous les coups répétés de Malherbe, q
mais sans parler de Charron qui n’a fait que suivre d’assez loin son
modèle
Sequitur… non passibus æquis, les observations
e épique en l’honneur de sa patrie ; l’Iliade et l’Odyssée furent ses
modèles
de prédilection ; il y choisit, pour son sujet, l
nergiques tableaux du sévère historien. Il tira largement parti de ce
modèle
inimitable, mais il le fit avec un art et une ori
s n’est pas moins saisissante, dit encore M. Burnouf. Mais ces odieux
modèles
, il ne les a pas créés ; et quand il offre à nos
férence est dans la forme ; les épîtres de Marot sont un incomparable
modèle
du genre ; les plus connues sont adressées au roi
xcès de plume, elle nous a laissé des causeries exquises qui sont les
modèles
les plus achevés du genre. Les épîtres, toutes li
es comme des lettres. Fénelon nous offre, dans sa correspondance, des
modèles
de lettres éloquentes et simples en même temps, c
use et puérile de la supériorité de l’imitation sur l’original, ou du
modèle
sur l’imitation doit être résolument écartée ; ca
et l’épopée. Pour l’une comme pour l’autre, il ne propose pas d’autre
modèle
, d’autre source de sujets que l’antiquité grecque
dylle, l’élégie, l’ode, sont définies comme de simples imitations des
modèles
antiques. Parmi les genres secondaires, Boileau n
nspirer un poète, c’est la France. La chanson de Roland était un beau
modèle
à suivre. Mais la raison nous semble celle-ci : l
ects dans un poème l’homme et la divinité ; la Henriade, faite sur le
modèle
antique, est une œuvre qu’on voudrait presque pou
s scènes dramatiques, autrement vivantes que les froids récits de ses
modèles
. La Fontaine s’est rendu justice lui-même, quand
le Chêne et le Roseau, et qu’on le compare à la fable d’Ésope. Que le
modèle
semblera languissant et froid ! Si l’on compare d
ins de La Fontaine, une fable incomparable et supérieure encore à son
modèle
. En résumé, il n’est guère possible d’établir la
tait le portrait : il n’obéit qu’à son bon plaisir ; le Renard est le
modèle
du courtisan roué, mais prudent ; le Loup, c’est
t au sens que nous avons déterminés. [20] (1er août 1885) Quels
modèles
Boileau a-t-il eux sous les yeux en composant l’A
ste envers lui sur le chapitre de l’originalité, et comme il a eu des
modèles
, on lui a reproché parfois d’avoir emprunté à ceu
nu, mais il n’a pas la libre allure, la netteté, la profondeur de son
modèle
. Boileau a plus de gravité et moins de force, plu
n de la Fresnaye. Il est peu probable que Boileau se soit servi de ce
modèle
, et l’on peut suffisamment expliquer les ressembl
imité Horace avant Boileau. Ajoutons qu’il est bien plus près de son
modèle
; on retrouve en lui beaucoup du laisser-aller, d
nce, et l’on ne concevait pas qu’on pût rien écrire sans prendre pour
modèles
les chefs-d’œuvre qu’elle avait brusquement révél
ra surtout l’imitateur d’Euripide, mais en surpassant de beaucoup son
modèle
, car l’Hippolyte du poète grec, outre que l’intér
; aussi Molière n’a-t-il pas proposé cette ligne de conduite comme un
modèle
. Il a créé ce personnage pour amorcer, pour ainsi
is les dons naturels, sans l’éducation, sans l’imitation d’excellents
modèles
, ne donneraient pas de résultats. Avant de produi
opée ; mais pour tenter une pareille entreprise, j’aurais besoin d’un
modèle
. Hâtez-vous donc d’achever votre odyssée latine,
s semblent toutes dérobées, examinons brièvement ce qui en revient au
modèle
qui l’a inspiré, au drame espagnol de Guillem de
enres les plus élevés sans la refaire en entier ni la remanier sur le
modèle
du latin et du grec. Malherbe. — Merci du compli
à la matière de ses fables qu’à la façon dont il les a conçues. Quels
modèles
pouvait-il trouver parmi ses devanciers ? les uns
enne ? Quand il fit paraître sur la scène ses premières pièces, quels
modèles
trouva-t-il ? aucune comédie faite selon les règl
notre langue aussi bien pour la forme que pour la matière, qui est un
modèle
de bon goût, de critique, et d’érudition littérai
qui ne tarda pas à lui donner son affection. Cette lettre est un vrai
modèle
en ce genre, principalement pour la précision, la
. Ces sortes de lettres doivent être courtes. Celle ci peut servir de
modèle
. Elle est du Comte de Bussy à M. Mascaron sur sa
ceur, la politesse, et l’expression de la vraie amitié. On va voir un
modèle
du ton et du style de ces sortes de lettres, dans
de Balzac et de Voiture, que pour les citer, les premières comme des
modèles
de style ampoulé, et les autres comme des modèles
premières comme des modèles de style ampoulé, et les autres comme des
modèles
d’affectation. Celles de Boursault sont faites sa
anteur de la première ? Madame de Maintenon pourrait plutôt servir de
modèle
pour la noble simplicité, l’élégance et la précis
n, s’élancer au-delà des bornes étroites de l’individu, contempler un
modèle
plus grand et plus haut placé, pressentir enfin d
s, indiquer pour la reproduction de chacune d’elles les règles et les
modèles
à suivre. Je ne l’essaierai même pas. C’est au je
modernes, nos grands poëtes, nos grands romanciers fourniraient mille
modèles
de la passion décrite, excitée ou calmée. Mais, a
plus utile que tous les commentaires de la philosophie, que tous les
modèles
de la poésie et de l’éloquence. J’ai dit qu’on fé
le a vu succomber au milieu de ses succès, et qui, après avoir été le
modèle
du citoyen, servira de modèle à l’orateur. Le gén
ses succès, et qui, après avoir été le modèle du citoyen, servira de
modèle
à l’orateur. Le général Foy a fixé le genre de no
s d’érudition et de philosophie, ne puissent pas être proposées comme
modèle
général de prédication, parce qu’elles ne convien
s. C’est donc seulement par une attention soutenue pour les meilleurs
modèles
, par la lecture des ouvrages les plus recommandab
tante est donc celle-ci : Y a-t-il quelque chose qu’on puisse appeler
modèle
du goût, et peut-on, en s’y attachant, distinguer
rd, il faut remarquer qu’il n’y a rien qu’on puisse regarder comme le
modèle
du goût ; les goûts peuvent différer prodigieusem
aison, mais comment juger ces opinions, où trouverons-nous le type ou
modèle
du goût ? L’on entend en général, par modèle, ce
ouverons-nous le type ou modèle du goût ? L’on entend en général, par
modèle
, ce que, d’après l’assentiment général et presque
ation que nous devons comparer toutes les choses d’imitation dont les
modèles
existent dans la nature ; mais ce guide ne peut p
e chose de plus précis et de plus clair qui puisse être assigné comme
modèle
du goût. Le goût, comme je l’ai dit, est fondé su
’un tel homme donnerait sur le beau en seraient sans doute le parfait
modèle
. Mais comme cet être surnaturel ne saurait existe
rtit immédiatement en difformité. Virgile, Racine et Fénelon sont des
modèles
de la convenance du style. Ces sources ne sont pa
lle expression préférablement à telle autre. Il n’existe pas d’autres
modèles
de pureté et de convenance que la lecture habitue
ores, et cependant mal disposés. Nul écrivain n’offre de plus parfait
modèle
en ce genre que l’illustre orateur dont nous veno
défaut de la plupart des écrivains. J.-J. Rousseau me paraît être un
modèle
dans cette partie de l’art. Toutefois il ne faut
tum verbum prætermittamus, gratia lenitatis . Cicéron est le meilleur
modèle
du style harmonieux ; mais son amour pour la mélo
dignes d’être consultés à cet égard, et sous d’autres rapports, comme
modèles
de plusieurs ornements du style. « Sans cette pai
l’exigent plus impérieusement. On peut citer comme un des plus beaux
modèles
du style nerveux les discours de Démosthène. Tout
gendre que l’affectation. Aussi trouvons-nous parmi les Grecs plus de
modèles
d’une belle simplicité que parmi les Romains. Hom
ns le cabinet. Les harangues de Démosthène présentent le plus parfait
modèle
de ce style. Je n’insisterai pas davantage sur le
en de la peine à rendre raison des jugements que l’on porte. Les bons
modèles
, dans chaque genre, tiennent lieu de règles ; leu
cette époque. Lysias, qui vécut quelque temps avant Isocrate, est le
modèle
de ce que les anciens appelaient tenuis vel subti
nchant pour imiter le style de Thucydide, qu’il avait choisi pour son
modèle
, et dont il transcrivit, dit-on, huit fois l’hist
il est nécessaire de signaler. L’éloquence de ce grand orateur est un
modèle
si séduisant par ses beautés, que si on ne l’exam
ercevoir dans leurs écrits, et aucun d’eux ne peut être cité comme un
modèle
d’éloquence. Dans nos temps modernes, il faut avo
r. C’est un puissant levier pour les plus hauts desseins. Les anciens
modèles
nous offrent des exemples dignes d’être imités, q
que dans les ouvrages de Démosthène et de Cicéron qu’on trouvait des
modèles
de cette espèce d’éloquence. La tribune était mue
ude persévérante des règles de l’art, et surtout par celle des grands
modèles
, elle se montrera digne de leur succéder. Des
époque ; de là la réputation qu’elles conservent aujourd’hui. Un tel
modèle
doit toujours être sous les yeux des orateurs pub
r même les oraisons judiciaires de Cicéron et de Démosthène comme des
modèles
exacts de la manière de parler propre à l’état pr
narration, la conduite et l’exposition de ses arguments, offrent des
modèles
qui doivent être imités. Rien de plus parfait ne
toute la cause reste plongée dans les ténèbres. Cochin peut servir de
modèle
en ce point essentiel. Sa méthode est ainsi expos
Je prémunirai également mes lecteurs contre l’attrait de prendre pour
modèle
ces genres de prédications que le hasard ou la mo
t doit être pathétique ; ou enfin simplement argumentatif, suivant le
modèle
qu’offre quelque célèbre prédicateur. Chacun de c
iés que lui offrent les maîtres pour son instruction, et préférer tel
modèle
; mais la servile imitation éteint le génie, ou p
cessaire doit être élagué avec sévérité. C’est l’usage et l’étude des
modèles
vivants qui peuvent seuls enseigner les moyens de
ans hésiter, la vérité du précepte de ce grand maître. Cicéron est un
modèle
dans la narration. Ses discours en offrent mille
omaines. » Jusqu’à présent tout est beau, animé et pathétique, et le
modèle
eût été parfait si l’orateur s’était arrêté à ce
ou suivant que tel genre de voix leur paraît plus agréable, ou qu’un
modèle
artificiel a captivé leur imagination. Ils acquiè
compassion et les autres émotions de l’âme, et qu’ils vous servent de
modèles
. Quelques-uns de ces regards et de ces gestes son
s qu’on ne mette en même temps sous les yeux des jeunes disciples des
modèles
pratiques. Sans entrer dans de grands détails à c
ous serait pas naturel, soit par imitation, soit en imaginant quelque
modèle
fantastique. Tout ce qui est naturel, quoique acc
r leurs traces. L’orateur formera son style par la lecture des grands
modèles
, qui l’enrichiront de nouvelles idées, qui rectif
plutôt trahit sa stérilité. Cicéron recommande aussi l’étude des bons
modèles
, et se sert d’une comparaison frappante de vérité
eur style donne de la couleur au mien. » Mais, en supposant même ses
modèles
bien choisis, il évitera de se laisser séduire pa
exemplar vitiis imitabile . Il ne faut pas oublier que, même dans les
modèles
les plus achevés, il y a toujours quelque chose q
urs bonnes qualités. Jamais on ne doit s’attacher trop fortement à un
modèle
quel qu’il soit ; et celui qui agirait ainsi se l
Il doit tâcher de réunir en lui toutes les différentes vertus de ses
modèles
. Saurin, Bourdaloue, Fléchier, Massillon, Bossuet
ls qui font la gloire de la nation, offriront à l’orateur de nombreux
modèles
pour former sa diction, et donner à son style du
uent, se les approprier et s’en parer avec orgueil. Outre l’étude des
modèles
, de fréquents exercices de composition et d’actio
acquise, nous devons en conserver toujours l’image, et tracer sur ce
modèle
tout ce que nous disons, tout ce que nous écrivon
suivant l’âge et l’intelligence de ceux qui les doivent étudier, les
modèles
les plus incontestés et les plus purs, les morcea
un soin plus vigilant à ne présenter aux jeunes intelligences que des
modèles
accomplis sous le rapport moral ainsi que sous le
ront ensuite aisément quels sont ceux qui ont le plus approché de ces
modèles
. » 1. Pour répondre à la demande qui nous en a é
ant pour le cœur. Nous n’avons qu’à ouvrir ce poète pour y trouver un
modèle
de ce double mérite. Lisons, par exemple, ces par
et affaiblissent l’idée. La Rochefoucauld, Pascal, Voltaire, sont des
modèles
de précision. Voici une pensée de La Rochefoucaul
le. La mort d’Hippolyte, dans la Phèdre de Racine, nous offre un beau
modèle
d’harmonie imitative. Le poète peint ainsi le mon
n, ce grand maître en l’art d’écrire, nous en offre à chaque page des
modèles
. Relisez cette belle description du cheval : C’es
ainsi que le sentiment de l’harmonie, s’acquiert par l’étude des bons
modèles
. § IV. Des différents genres de style. Le s
et du langage de la vie ordinaire. Molière nous en offre d’excellents
modèles
dans l’Avare et dans le Bourgeois gentilhomme. Ci
Madame Louise Colet, dans un de ses contes, nous en offre un charmant
modèle
: Enfants, ne jouez pas si près de la rivière ;
Laitière et le Pot au lait. Marot, dans son vieux style, est aussi un
modèle
de ce genre. La naïveté appartient surtout à l’en
e que de l’autre, pour ne point tomber dans l’afféterie. Citons comme
modèles
les deux strophes suivantes : On meurt deux fois
ine… Lamartine, dans sa méditation sur la Prière, nous offre un beau
modèle
d’allégorie. Le soir, dit-il, toute la nature ren
dans le choix et l’expression des détails, quoique loin encore de son
modèle
, qu’on ne saurait le lire sans éprouver cette sor
. En voici une intitulée l’Âne et le Cerf, qu’on peut donner comme un
modèle
de vérité et de précision énergique. Elle s’adres
aïve et gracieuse, et a mérité d’être donné partout comme l’excellent
modèle
de ce genre de poésie. Moschus et Bion vinrent qu
ète latin qui ait excellé dans ce genre. Il a mieux aimé prendre pour
modèle
Théocrite que Bion et Moschus. Il a su d’ailleurs
t plus polis, moins grossiers89. Bref, Théocrite et lui sont les deux
modèles
que doivent se proposer tous les poètes bucolique
du tonnerre. Segrais, né en 1624, est, selon Fontenelle, le meilleur
modèle
que nous ayons de la poésie bucolique ; Fontenell
à la marche régulière de la raison92. Horace avait donné d’excellents
modèles
en ce genre ; Boileau, suivant ses traces, a peut
des portraits généraux, dont les traits sont empruntés de différents
modèles
: c’est au spectateur de prendre la leçon lui-mêm
s. Nous avons Properce, Tibulle et Ovide, qui peuvent passer pour des
modèles
. Properce a plus de feu, Tibulle plus de douceur
la poésie lyrique114. C’est dans la Bible qu’on trouve les plus beaux
modèles
de la poésie lyrique élevée. Dès le temps de Moïs
auxquelles ce reproche ne peut s’appliquer, et qui sont de véritables
modèles
. Nous ne citerons rien de lui, puisque ses odes s
éceptes n’ont varié que dans la forme, le fond est resté le même. Les
modèles
, il est vrai, se sont multipliés, et nous sommes
talent : car, on ne peut le nier, le talent a existé avant l’art, les
modèles
existèrent avant les préceptes. C’est en observan
n’a fait que l’imiter. — Démosthène fut le père de l’éloquence et le
modèle
de Cicéron. — Le grand Corneille a été le père de
ce. Presque jamais de portraits en pied, le buste suffit. Une fois le
modèle
posé avec aisance, sans roideur, sans luxe inutil
part ce qui n’existe que dans leur pensée, que vous reconnaissez leur
modèle
, sans l’avoir jamais connu, et qu’une fois admis
res. Elle nous vient de l’antiquité, et Platon en est resté l’éternel
modèle
. Là elle se conçoit. L’antiquité vivait en plein
cule. Puisque j’ai nommé Mirabeau, peut-on trouver un plus magnifique
modèle
d’amplification que son discours sur la banquerou
d’écouter les circonstances de la mort d’Hippolyte ? 50. Voici un
modèle
en ce genre ; c’est le portrait d’Ibrahim dans l’
ts de l’imagination, sont le résultat de l’étude raisonnée des grands
modèles
: c’est l’Iliade et l’Odyssée sous les yeux ; c’e
ments sacrés de l’antique et auguste douleur des premiers temps ; ces
modèles
achevés des chants religieux consacrés aux grande
a peut-être le plus soigné, il est resté cependant si inférieur à son
modèle
, par les efforts même qu’il fait pour s’en rappro
. Il ne restait au poète Gray qu’un pas à faire, pour nous laisser le
modèle
accompli de l’élégie sacrée et héroïque ; et les
. Nous n’avions cependant rien à opposer encore aux grands, aux vrais
modèles
que j’ai cités plus haut, lorsque M. Treneuil fit
resque sans nom en poésie, nous a donné, dans son églogue de Ruth, le
modèle
le plus accompli de ce genre d’écrire, le tableau
es attraits possibles. C’est ce qu’a fait La Fontaine le plus parfait
modèle
auquel on puisse s’attacher pour le style simple,
nes qu’il a lui-même traduites en français, s’est proposé Phèdre pour
modèle
, et l’a bien souvent égalé. De la Métamorphose
gles particulières de ce genre de poésie. Ils sont d’ailleurs un vrai
modèle
du style qui lui convient : ils offrent le précep
critique, ses idylles seront toujours mises au nombre des plus beaux
modèles
qu’on puisse proposer. Elles sont remarquables pa
s dans quelques-unes, ne permettent guère qu’on les regarde comme des
modèles
dans le genre pastoral. Longepierre publia vers
rmi les bucolistes français. Ses idylles sont tout à la fois de vrais
modèles
de naïveté, de douceur, et de délicatesse L’espri
t, est parmi les poètes latins, celui qui nous a laissé les meilleurs
modèles
pour l’épître philosophique. Il a eu plusieurs tr
e premier qui ait fait des héroïdes, qu’on ne peut guère prendre pour
modèle
. Ce poète ingénieux, mais peu sensible, cherche t
le et Properce, deux grands poètes du siècle d’Auguste, sont de vrais
modèles
dans l’élégie. Le premier, surtout, est doux, élé
es exploits de Louis XIII. Voilà, si je ne me trompe, le plus parfait
modèle
qu’on puisse proposer de cet enthousiasme vif, ma
pas toujours Mécène325, Si je voulais former des vœux. Voilà un vrai
modèle
du style et du ton de l’ode dans le genre gracieu
, et dans le genre gracieux. J.-B. Rousseau nous en offre de parfaits
modèles
des deux espèces. Dans le premier genre, celle de
t jamais de stances, qui soient vides d’idées. C’est un des meilleurs
modèles
de poésie lyrique. Racan, disciple de Malherbe,
ssi dans le genre gracieux. Ses odes anacréontiques peuvent servir de
modèle
. Les odes sacrées du marquis de Pompignan étincel
dans l’imitateur, non seulement l’attention la plus sérieuse sur son
modèle
, l’étude la plus constante et la plus réfléchie d
on deux cents ans avant l’auteur de l’Iliade. C’est pour avoir eu des
modèles
, que ces grands hommes sont devenus des modèles à
est pour avoir eu des modèles, que ces grands hommes sont devenus des
modèles
à leur tour. D’ailleurs, y a-t-il quelque heureux
pprocher de très près. Cherchons, en les imitant, à lutter contre nos
modèles
: la bonne imitation, c’est-à-dire, l’imitation a
e et fin, un goût sûr et exquis. Il faut choisir un ou plusieurs bons
modèles
, y distinguer ce qui est véritablement beau, ce q
e fumier d’Ennius. Quand l’imitateur a saisi les bons endroits de son
modèle
voici à peu près la manière dont il en fait usage
us naturel et plus fin. Quelquefois l’imitateur, enchérissant sur son
modèle
, ajoute à la beauté de la pensée qu’il imite. Hor
er contre le poète. Voici une autre imitation qui peut bien servir de
modèle
, quoiqu’elle ne soit pas aussi adroitement déguis
nt suffire pour faire voir la manière dont l’homme de goût invite son
modèle
. II. Des Mœurs. Les mœurs sont, en généra
Aristote, qui en a fait une admirable peinture dans sa rhétorique, le
modèle
de tous les ouvrages en ce genre ; peinture qui s
citer un seul fourni par un grand maître, et qui peut bien servir de
modèle
: il est tiré d’une oraison de Cicéron contre Ver
beaucoup de soin, en un mot, le style pompeux et magnifique. Un beau
modèle
de narration oratoire est le morceau suivant de l
oraison funèbre du grand Condé 86, par Bossuet, est un des plus beaux
modèles
qu’on puisse citer en notre langue. Il n’est pas
la comédie. Cicéron, quoique moins nerveux que Démosthène, devint le
modèle
des grands orateurs. Lucrèce, né avec un génie de
jeune consacra le talent de l’éloquence, à louer un des plus parfaits
modèles
des bons souverains. Mais le règne de la belle na
erse et Juvénal. Madame Deshoulières offrit dans ses Idylles de vrais
modèles
de poésies bucoliques. Racine se montra le digne
one. » De Thon, l’Hospital, d’Aguesseau, M. Guizot, sont d’excellents
modèles
de ce que j’appelle la gravité. Une observation.
n de Saint-Pierre, de Vergniaud, de Lamennais, de Lamartine, sont des
modèles
de richesse ; un grand nombre de passages des pro
e de la reine d’Angleterre, la péroraison de celle de Condé, sont des
modèles
de magnificence. La magnificence est à l’esprit c
mprécations qui terminent nos tragédies classiques, sont d’excellents
modèles
de véhémence. Le premier point à remarquer dans t
o, la plus brûlante expression de l’amour sensuel, Longin cite, comme
modèle
de ce qu’il nomme sublime d’image, ce passage d’E
pensée avec une énergie qui se pare d’élégance. Il ajoute de nouveaux
modèles
à ceux dont il nous fait si bien comprendre et se
ui s’y est fait de nos jours une aimable célébrité qu’il en a pris le
modèle
à Fénelon et à Rollin. La critique est la faculté
ien doué ; il faut savoir la langue et avoir pesé dans les écrits des
modèles
ce que valent les mots dont nous nous servirons à
nre tel que La Fontaine l’a traité. Cependant Ésope, Phèdre, ses deux
modèles
dans l’antiquité, donnent la même sorte de plaisi
e lion, et, quand il préside à quelque partage, bien instruit par son
modèle
, il a grand soin de s’emparer de tout. Mais, quan
it de Démosthène ; et c’est avec des couleurs dignes du peintre et du
modèle
. « Ce fut dans le premier âge de l’éloquence que
e sa réputation au plus grand des philosophes ». Pourquoi ces grands
modèles
sont-ils devenus si rares ? Le voici : « Livrés,
déshonorent. Les Réquisitoires de d’Aguesseau sont, en ce genre, des
modèles
achevés, dont rien n’approche davantage que ceux
rriver à son but ; mais l’un et l’autre et chacun en son genre, vrais
modèles
pour les hommes de goût. On comprend que nous ne
age spécial, constater la conformité du français avec le grec. Sur le
modèle
du Rhapsode s’étaient formés, ici le Troubadour,
ombre d’ouvrages, mais cités, après plus de deux cents ans, comme des
modèles
de pureté, de correction et d’harmonie de style.
légant et correct écrivain, cette pureté de style dont fut le parfait
modèle
le panégyriste d’Athènes, Isocrate, et que Rome,
prêts à s’entrégorger pour le commandement, peut être donné comme un
modèle
parfait de l’expression des mœurs oratoires, dans
de tact qu’il ne mesura l’éloge, Fontanes, va nous offrir un parfait
modèle
des convenances que doit observer l’orateur, dans
fondie du cœur humain, le commerce des hommes, l’imitation des grands
modèles
, par de fréquentes compositions. Modèle touchant
mes, l’imitation des grands modèles, par de fréquentes compositions.
Modèle
touchant de sensibilité. — Germanicus meurt dans
re que les cœurs sont plus fortement touchés. Citons comme un parfait
modèle
le discours de Germanicus à ses légions révoltées
richesse, toute la pompe de l’éloquence. Fléchier va nous fournir un
modèle
de cet exorde dans son oraison funèbre pour Turen
uves, des passions, dans leur développement. Il n’y a pas de meilleur
modèle
à citer que le discours, si remarquablement beau,
larté, pour la netteté, pour l’habileté : je ne sache pas de meilleur
modèle
. Pour la pompe, pour la splendeur des idées, pour
, pour la splendeur des idées, pour la magnificence du style et comme
modèle
du genre démonstratif, nous citerons, à son tour,
nt, qu’à porter la conviction dans l’esprit. Il n’est pas de meilleur
modèle
à suivre que Démosthène. C’est à ce sujet que d’A
1, 52.) Tels discours du même orateur pourraient nous offrir de beaux
modèles
de cette récapitulation. Le pathétique dans la
limes vérités de la religion, genre de beauté ignoré des anciens.
Modèle
d’exercice. Terminons par un modèle d’exercice
beauté ignoré des anciens. Modèle d’exercice. Terminons par un
modèle
d’exercice où va se faire l’application des préce
la nature, ou du moins, dans les œuvres de ceux qui y ont puisé leurs
modèles
. Veut-on juger de son importance, on n’a, comme o
d’autant plus touchantes qu’elle s’en préoccupe moins. » Citons pour
modèle
le morceau suivant : « Considérez cette troupe d
ette abondance est quelquefois pire que la stérilité. » Donnons pour
modèle
du style tempéré, cette belle description de l’Ap
ébranle tout l’Olympe. Le tableau grec a plus de majesté. C’est à ce
modèle
-là que s’inspira Phidias, le grand statuaire auqu
mortels et craint même des dieux. Ces vers, sans être comparables au
modèle
, ont des beautés. S’émeut au bruit est faible. So
que les flots ! Pleurez ! pleurez ma honte, ô filles de Lesbos !
Modèle
de style : le groupe de Laocoon. On connaît le
de feu, mélange tout à fait extraordinaire. Le troisième vers est un
modèle
d’harmonie et de description : Sibila lambebant
e silence depuis qu’il a entendu la voix de l’Éternel. » Voyez comme
modèles
encore la Tempête du premier livre de l’Énéide et
rotte de Calypso, qui sert de début. La Chartreuse de Gresset est un
modèle
de topographie. Il suffira d’en citer quelques ve
int Louis, puissiez-vous l’être de leurs vertus ! Puissent ces grands
modèles
revivre en vous par l’imitation plus encore que p
on plus encore que par le cœur ! Puissiez-vous devenir, vous-même, le
modèle
des rois, vos successeurs !… » Déprécation.
mpter les vents, Il faut la main du sage et non des ornements. Comme
modèle
d’allégorie, nous pourrions encore citer cette in
s chefs-d’œuvre de l’inspiration chrétienne. L’intéressant Recueil de
modèles
qui doit compléter ce nouveau Cours de littératur
plus louable encore, c’est d’avoir rattaché à votre enseignement les
modèles
si parfaits qu’offrent les poètes bibliques et li
x, vous nous montrez comment tous les genres de poésie trouvent leurs
modèles
dans les Livres saints : l’Ode, dans les chants d
s trois unités conduisent, que l’examen de l’Œdipe grec et d’Athalie,
modèles
aussi purs dans le genre tragique, que le sont le
seul mot les indique, une scène nous met au fait. Nous citerons comme
modèles
d’exposition, dans le genre comique, celles du Ta
ux dans les deux espèces de dialogue. Dans le comique, Molière est un
modèle
accompli dans l’art de dialoguer comme la nature
eux ; l’un veut immoler, l’autre ne le veut pas. Nous citerons comme
modèle
le fameux monologue d’Auguste : Ciel ! etc. A
re riche, brillant, animé, et surtout pathétique. On peut citer comme
modèle
celle d’Idoménée dans la tragédie de ce nom, par
ec une extrême justesse par Quinault, quo l’on peut regarder comme le
modèle
de l’élégance, de la grâce, de la facilité, quelq
où règne une passion tumultueuse et violente, Métastase est encore un
modèle
supérieur à Quinault. Mais dans le récitatif, le
Que faut-il éviter dans l’opéra ? Il serait difficile de trouver un
modèle
plus parfait que Quinault pour le style de la tra
noble, mais ne les ont pas confondus. Le Bourgeois gentilhomme est un
modèle
de ce comique. Le bas comique peint les mœurs du
ur humain, mais seulement beaucoup d’imagination. Nous citerons comme
modèle
en ce genre l’Étourdi, de Molière. 515. Qu’est-ce
son humeur, si le style est convenablement adapté à son rôle. Un bon
modèle
du style comique est le passage des Femmes savant
llies, est nécessaire pour réussir dans ce genre. Nous citerons comme
modèles
les Fâcheux, de Molière, et le Mercure galant, de
eurs pensées ! Cette hésitation dépend le plus souvent du peu de bons
modèles
que l’on offre aux jeunes élèves ; il nous a semb
ment ces auteurs; mais, de même que les jeunes artistes prennent pour
modèles
les meilleures œuvres des grands peintres ou des
r fantaisie, de même les jeunes gens, après avoir analysé, admiré les
modèles
que nous leur offrons, se ressentiront d’une cert
llemain, Casimir Delavigne, dans ses bonnes pages, sont les meilleurs
modèles
de l’élégance du style. Le style fleuri fait vers
des jardins, à certaines pièces de pur agrément. Voltaire donne pour
modèle
du style fleuri ces jolis vers de Quinault dans l
us et de Mérope, ces innombrables facéties qui resteront les éternels
modèles
du genre. L’or et l’argent sont les métaux avec l
cepte la Satire Ménippée. Mais au xviie , sans parler des poëtes, les
modèles
en prose abondent : madame de Sévigné, la Bruyère
possible d’écrire. Après s’être exercés quelque temps à reproduire un
modèle
, ils s’habitueront à penser par eux-mêmes ; ils n
ts de la langue et aux finesses du style ; enfin, elle nous offre des
modèles
variés de composition. En lisant, nous devons fai
, mais la qualité que nous devons rechercher. Attachons-nous aux bons
modèles
, à ces ouvrages que l’admiration universelle et u
pas pour donner du goût ; c’est par l’étude et par la comparaison des
modèles
qu’il se forme : l’enseignement du maître consist
s épigrammes morales, telles que celle-ci de J.-B. Rousseau. C’est le
modèle
du genre qui doit plaire à tous les bons esprits,
de plus doux, de plus gracieux. Voici un madrigal qui peut servir de
modèle
: c’est une réponse de Pradon à une personne qui
La chanson de Bernard, intitulée la Rose, est souvent donnée comme un
modèle
du genre. En voici les premiers couplets : Tendr
quelques couplets d’un vaudeville de Panard, qui peut passer pour un
modèle
: Que ducs et pairs, seigneurs et magistrats,
er, embellir et inventer suivant sa convenance, afin de présenter des
modèles
plus élevés et plus frappants , un type de grande
ne du réel, c’est-à-dire l’histoire, serait impuissante à fournir des
modèles
assez parfaits, des entreprises assez intéressant
se l’attente du lecteur. Telle est celle de la Lusiade. 383. Citez un
modèle
d’exposition ? Un bon modèle d’exposition est ce
est celle de la Lusiade. 383. Citez un modèle d’exposition ? Un bon
modèle
d’exposition est celle de l’Énéide : Arma virumq
les qui s’opposent à l’exécution de l’entreprise. On peut citer comme
modèles
de cette partie importante de l’épopée la lutte d
e ce prince, et te combat simulé de cavalerie. Citons en outre, comme
modèles
de descriptions épiques, le combat de Tancrède et
urs heureux. Son but est ordinairement satirique. Nous citerons comme
modèles
le Lutrin, de Boileau, Don Quichotte et le Roland
a justesse et l’exactitude. En voici un qui peut assurément servir de
modèle
, et dont l’exposition instruira bien mieux que to
sublime, et son style, travaillé. Saint Jean Chrysostôme me paraît le
modèle
achevé d’un prédicateur ». Prédicateurs modern
l’esprit, et remuent fortement le cœur. Voilà les deux plus parfaits
modèles
que puissent se proposer, ceux qui se destinent à
e leurs éloges funèbres, elle est la même que dans le Panégyrique. Le
modèle
que je leur en ai offert, devrait sans cloute suf
us touchant. C’est ce que n’a jamais manqué de faire Cicéron, le vrai
modèle
des orateurs du barreau. Quant au style, il doit
roulant que sur des affaires de particuliers, peuvent mieux servir de
modèle
à l’avocat, pour la netteté, la précision et la f
e des sentiments. Sa harangue pour le consul Marcellus est un parfait
modèle
d’éloquence fleurie. On regarde avec juste raison
des pensées, une diction riche, nombreuse et variée. Le plus parfait
modèle
qui puisse être proposé en ce genre d’éloquence,
ue les généraux d’armée adressaient aux troupes, et qui sont de vrais
modèles
en ce génie d’éloquence. On en a donné un recueil
d’imiter. Je ne connais point de grands hommes qui n’aient adopté de
modèles
. Rousseau a imité Marot ; Corneille, Lucain et Sé
u’ils avaient à peu près le même génie que ceux qu’ils prenaient pour
modèles
; de sorte qu’ils cultivaient leur propre caractè
n’ont que de l’esprit sont toujours de faibles copistes des meilleurs
modèles
, et n’atteignent jamais leur art : preuve inconte
t une condition essentielle de la beauté : la nature nous en offre le
modèle
et l’exemple ; les anciens étaient tellement frap
ntrer brusquement en matière en lançant la foudre. On peut lire comme
modèles
l’exorde insinuant du plaidoyer de M. Desèze pour
légèrement sur celles qui pourraient nuire. On cite toujours comme un
modèle
d’habileté la narration de la mort de Claudius, d
esoin pour combattre les passions elles erreurs. Nous citerons, comme
modèle
de confirmation et de réfutation réunies, un frag
teurs qui ont l’esprit très pénétrant38. On ne peut donner ici, comme
modèle
, un traité entier ; je placerai, du moins, quelqu
ritable éloquence, a montré, dans son traité intitulé Orator, le vrai
modèle
de l’orateur. Dans d’autres ouvrages, comme le de
icatesse et l’aménité du style41. On sera bien aise de trouver ici un
modèle
de bon style critique, et en même temps d’une gra
mais dont le recueil est devenu classique43. Nous en extrayons comme
modèle
du genre l’entretien suivant de Pompée le fils av
n. Cet ouvrage et celui de Cicéron, bien dignes de servir à jamais de
modèles
en ce genre, doivent être sans cesse lus et médit
raité des études, la plume lui serait tombée des mains. Les meilleurs
modèles
de critique que je connaisse en notre langue, son
alogues des morts par Fontenelle. Tous ces ouvrages sont d’excellents
modèles
de dialogue oratoire. 125. Piron, coméd. de
s définitions, » et surtout « d’avoir rattaché à son enseignement les
modèles
si parfaits qu’offrent les poètes bibliques et li
a méthode, même justesse dans les définitions, même hommage rendu aux
modèles
parfaits que l’on trouve dans les écrivains sacré
e l’enseignement. Sans négliger les sages préceptes et les admirables
modèles
de l’antiquité, il a eu le bon esprit d’initier s
le célèbre Cochin, à qui il semblait réservé d’offrir aux Français le
modèle
le plus accompli de l’éloquence du barreau, et l’
t de.pareilles anecdotes ! Il est si consolant de pouvoir estimer ses
modèles
, et de ne jamais séparer de l’admiration qu’inspi
leur sang, et vengé par vos mains. (Rome sauvée, Act. ii). Voilà le
modèle
de l’éloquence entraînante de la tragédie, comme
raînante de la tragédie, comme nous venons de voir, dans Salluste, le
modèle
de la précision que commande l’éloquence historiq
ureusement saisies, que ces deux discours sont, chacun à sa place, un
modèle
parfait de l’éloquence de la chose, et du style d
discours dont il est question ici. On voit que, soutenu par un grand
modèle
, il a fait des efforts pour s’élever même au-dess
tuleris ? Mais où Silius Italicus s’est montré vraiment digne de son
modèle
, c’est dans cette belle pensée rendue par une ima
rnit cette dernière faculté des tableaux dont l’ensemble n’a point de
modèle
dans la nature, elle devient créatrice ; et c’est
ce ni aucun art. Dans les compositions littéraires, elle rappelle les
modèles
en même temps que les règles, et présente aux fac
un exercice fréquent, par l’étude des règles, par la connaissance des
modèles
, par la comparaison et l’appréciation des chefs-d
torique de la pastorale. L’Écriture sainte nous offre d’admirables
modèles
de la vie pastorale dans le tableau de l’existenc
dmirable dans son style, il lui manque la naïveté qui caractérise son
modèle
. Il est difficile, en effet, à la pastorale de re
2. La poésie a-t-elle précédé la poétique ? Dans tous les arts, les
modèles
ont devancé les préceptes. Les hommes de génie on
justesse et de goût sur les études du poète, sur son travail, sur les
modèles
qu’il doit suivre. Ce que l’auteur dit de l’élocu
sa douze tragédies, qui sont presque toutes demeurées l’honneur et le
modèle
de la scène française. Par elles il ouvrit à l’ar
J’étais né pour servir d’exemple à ta colère, Pour être du malheur un
modèle
accompli : Hé bien ! je meurs content, et mon sor
par l’emploi des images dans le style, où il est avec Boileau, notre
modèle
le plus soutenu. Quoique l’avis de Voltaire fût q
passage, on sent, comme le remarque La Harpe, que Virgile a servi de
modèle
à Racine. 2. Application de l’ancienne règle de
c’est-à-dire dégagée des imperfections accidentelles qui altèrent les
modèles
du beau ; dégagée des traits passagers et périssa
Art poétique,ii, 58. Boileau seulement définissait l’ode d’après les
modèles
antiques, sans songer aux effusions lyriques qui
. Bossuet, dans le Discours sur l’histoire universelle, en a donné un
modèle
inimitable. 4. — La biographie est encore une des
qui même le fait disparaître tout à fait. Le rôle de Monime en est un
modèle
exquis. Elle dit à Mithridate jaloux et menaçant
orages de la terre, notre éloquence sacrée n’en offre-t-elle pas des
modèles
au-dessus de l’admiration humaine ? Voyez Massill
n expression la plus pure et la plus sainte, présente les plus grands
modèles
d’exordes pathétiques et sublimes. Nous ne pouvon
n prendre le caractère et le goût, et s’en proposer les plus parfaits
modèles
; être très-réservé à faire usage du second genre
l faut que l’éducation y ramène les jeunes gens par l’étude des vrais
modèles
. 2° Propriété. — La Propriété consiste dans le ra
oute la première partie du Discours sur l’Histoire universelle est un
modèle
de concision claire et énergique : « Valentinien
aisée à déterminer. Dans l’Oraison funèbre de la princesse Palatine,
modèle
d’esprit aussi bien que de génie, Bossuet raconte
raison funèbre de Henriette de France. Bossuet en offre bien d’autres
modèles
; nous prenons au hasard : « Pendant que les orgu
t ce qui lui résiste. » On regretterait que Rollin n’ait cherché les
modèles
du sublime que dans l’antiquité, s’il n’avait com
a cette grande éloquence de la chaire, inconnue des anciens, dont les
modèles
appartiennent à notre littérature. La religion, d
oquence aux plus sublimes accents de la poésie. Les Oraisons funèbre,
modèles
de profondeur historique, de grandeur, de pathéti
éloquence à la logique puissante dont Port-Royal avait déjà donné les
modèles
, avec une abondance qui rendait jusqu’aux moindre
ntiques. Ajoutons, à la gloire de Fénelon, qu’il a donné le ton et le
modèle
de la critique dans les Dialogues et la Lettre su
Henriette de France.) L’exorde du même discours offre de magnifiques
modèles
de la même figure. En voici d’un autre caractère.
e elle se répand sur les tribunaux. C’est dans le règne d’Ezéchias le
modèle
de nos jours. » (Bossuet, Oraison funèbre de M. L
littéraire, mais pour lequel nous avons souvent renvoyé au Recueil de
Modèles
, surtout pour les grands genres. Certaines questi
sur les poètes bibliques et liturgiques. L’Écriture nous a fourni des
modèles
inimitables dans l’élégie, dans la pastorale, dan
re. L’exemple de Voltaire méritoit de trouver des imitateurs, et le
modèle
qu’il venait de donner était bien capable d’en fo
urtout sont des chefs-d’œuvre d’une éloquence qui ne pouvait avoir de
modèle
dans l’antiquité, et que l’on n’a point égalée de
, ce que l’on cite, ce que l’on fait admirer aux jeunes gens comme un
modèle
de figure : mais ce qui suit, mais ce tableau où
la cause. Le second discours de Cicéron contre Rullus, nous offre un
modèle
accompli de ce genre d’introduction. Il s’agissai
t il n’y a presque pas une de ses narrations oratoires qui ne soit un
modèle
à citer. Mais nous nous arrêterons de préférence
a voulu nous faire entendre, lorsqu’il nous a donné le conseil et le
modèle
à la fois de la plus courte et de la meilleure pe
nité, la tenue ont aussi fixé leur empreinte sur son style. Il est un
modèle
de majestueuse élégance, de clarté brillante, et
ement comme le premier des navigateurs ailés, mais comme le plus beau
modèle
que la nature nous ait offert pour l’art de la na
es attraits, s’offrir à notre hommage ; Soit que. do nos vaisseaux le
modèle
achevé, Se rabaissant en proue, en poupe relevé,
on, le style propre aux mouvements passionnés, se présenteraient pour
modèles
: et après la lecture, qui serait sobrement accom
vements, aux tours du style de l’écrivain qu’on lui aurait donné pour
modèle
: et combien plus vive et plus profonde serait l’
Tite-Live ! C’est en l’exerçant à travailler ainsi d’après de grands
modèles
sur des sujets intéressants, qu’on lui élèverait
e de Crassus et de Cicéron ; et je suis bien persuadé que de tous les
modèles
, celui que Massillon avait le plus étudié, c’étai
l’âme ; enfin la composition en grand est insensée avant l’étude îles
modèles
. Quel moyen reste-t-il pour en graver l’empreinte
oir exercé longtemps les jeunes peintres à dessiner d’après de grands
modèles
, on leur permet de composer, on pourrait de même
ement à leur donner pour correctif, après la composition, le meilleur
modèle
possible ; 2° que ce soit une question douteuse e
six, en cinq, ou en trois parties. Mais, quoiqu’on puisse donner pour
modèle
un discours dans lequel ces parties, distribuées
te qu’une langue inconnue est déchiffrable. XXVIII. Il y a un certain
modèle
d’agrément et de beauté qui consiste en un certai
qu’elle est, et la chose qui nous plaît. Tout ce qui est formé sur ce
modèle
nous agrée : soit maison, chanson, discours, vers
s, arbres, chambres, habits, etc. Tout ce qui n’est point fait sur ce
modèle
déplaît à ceux qui ont le bon goût. Et comme il y
rt parfait entre une chanson et une maison qui sont faites sur le bon
modèle
, parce qu’elles ressemblent à ce modèle unique, q
on qui sont faites sur le bon modèle, parce qu’elles ressemblent à ce
modèle
unique, quoique chacune selon son genre, il y a d
y a de même un rapport parfait entre les choses faites sur le mauvais
modèle
. Ce n’est pas que le mauvais modèle soit unique,
les choses faites sur le mauvais modèle. Ce n’est pas que le mauvais
modèle
soit unique, car il y en a une infinité. Mais cha
e infinité. Mais chaque mauvais sonnet, par exemple, sur quelque faux
modèle
qu’il soit fait, ressemble parfaitement à une fem
dèle qu’il soit fait, ressemble parfaitement à une femme vêtue sur ce
modèle
. Rien ne fait mieux entendre combien un faux sonn
bien un faux sonnet est ridicule, que d’en considérer la nature et le
modèle
, et de s’imaginer ensuite une femme ou une maison
modèle, et de s’imaginer ensuite une femme ou une maison faite sur ce
modèle
-là. XXIX. Comme on dit beauté poétique, on devrai
agrément qui est l’objet de la poésie. Ou ne sait ce que c’est que ce
modèle
naturel qu’il faut imiter ; et à faute de cette c
elle ce jargon beauté poétique. Mais qui s’imaginera une femme sur ce
modèle
-là, qui consiste à dire de petites choses avec de
r la reine : et c’est pourquoi nous appelons les sonnets faits sur ce
modèle
-là, les reines de villages. Je n’ai jamais jugé d
e leurs entrailles tout ce qu’ils expriment sur le papier : dangereux
modèles
, et tout propres à faire tomber dans le froid, da
l, soit qu’il invente, soit qu’il traduise ; qui a été au-delà de ses
modèles
: modèle lui-même difficile à imiter. Celui-ci53
’il invente, soit qu’il traduise ; qui a été au-delà de ses modèles :
modèle
lui-même difficile à imiter. Celui-ci53 passe Juv
exercé à écrire comme Cicéron le demande : qu’il ait lu tous les bons
modèles
: qu’il ait beaucoup de facilité naturelle et acq
s vient de la scolastique. B. Je conviens que l’école est un méchant
modèle
pour l’éloquence ; mais quelle forme donnait-on d
Pour ne blesser personne, revenons à Isocrate : aussi bien est-ce le
modèle
des discours fleuris et périodiques qui sont main
venus qu’après ce déclin : ainsi il ne faut pas les prendre pour des
modèles
sûrs en tout. Il faut même avouer que la plupart
c fureur en dispersa. Bientôt François Premier osa En bâtir un sur ce
modèle
. Sa postérité méprisa Cette architecture si belle
me les beaux endroits de Cicéron et de Démosthène, soient devenus les
modèles
de toutes les nations occidentales. Le lecteur se
devenu lieu commun. Les prédicateurs qui ne peuvent imiter ces grands
modèles
, feraient mieux de les apprendre par cœur et de l
Voiture et Costar le citent très-souvent dans leurs lettres comme un
modèle
. Ils admirent sa description de la rose, fille d’
nt généralement que l’éloquence est corrompue, quoique nous ayons des
modèles
presqu’en tous les genres. Un des grands défauts
de ses poèmes : et en cela on a eu raison de dire qu’il avait été le
modèle
de la tragédie en même temps que de l’épopée. Le
ant de défauts, nous a donné, à ce qu’il me semble, les plus parfaits
modèles
du langage tragique ; et quand son naturel est da
aits de l’enfance ; ils ont rendu cet hommage à la nature, leur riche
modèle
. C’était néanmoins un beau champ pour leur imagin
tre non-seulement dans ses ouvrages, mais encore dans le choix de ses
modèles
, qu’il a pris chez les Espagnols et les Latins, a
éé le théâtre. Je ne puis souscrire à cela. Corneille avait de grands
modèles
parmi les anciens ; Racine ne l’a point suivi : p
s défauts, parce qu’ils ne regardent qu’aux traits originaux de leurs
modèles
, et qu’ils connaissent mieux le prix de l’inventi
ue l’on juge si sévèrement d’un ouvrage si peu sérieux, et qui est un
modèle
d’agréments. Dans un genre assez différent, l’Épî
de temps par la vaine ambition d’imaginer et de s’écarter des anciens
modèles
. XXXII. Ce que nous appelons une pensée brillante
phes de son siècle. XXXVII. Les premiers écrivains travaillaient sans
modèle
, et n’empruntaient rien que d’eux-mêmes, ce qui f
ps, plus le style doit s’écarter de celui des écrivains qui n’ont été
modèles
que pour avoir excellé à montrer, dans leurs ouvr
tteté de leurs idées ; enfin originaux, créateurs dans leur genre, et
modèles
très-accomplis. » 106. Guillaume Temple, célèb
lle doit les habituer en même temps à juger avec goût et sagacité les
modèles
que l’on offre à leur étude. Nul doute que la thé
esprit, et surtout par celle du cœur. Faites comme madame de Sévigné,
modèle
admirable et qu’on ne peut trop relire ; laissez
atigue. C’est ainsi que, sans le savoir, elle a produit d’inimitables
modèles
de style, et s’est placée au rang des plus grands
asser ni fautes ni équivoque. Voici, dans différents genres, quelques
modèles
de lettres qui se recommandent par les noms des a
été, et fait ressortir les parties essentielles. Nous donnerons comme
modèles
de description, les deux morceaux suivants, l’un
ard, Discours couronné par l’Académie française, en 1755.) Voici deux
modèles
de dissertation, l’une en prose, l’autre en vers
nalyse critique, appliquée aux chefs-d’œuvre de la littérature et aux
modèles
des bons écrivains. Le goût des élèves se forme e
r finir leurs jours Ceux qui les passeront près d’elle.
Modèle
d’analyse critique. Je me sens doucement ému à
anière tendre, affectueuse et insinuante. Voilà les vrais, les grands
modèles
qu’il faut étudier avec soin, qu’il faut avoir sa
toujours utiles à présenter à toutes les classes de lecteurs, et des
modèles
à offrir à nos jeunes rhétoriciens, passons sur l
, ch. iv, où Aristote fait allusion au même texte d’Homère. Comme des
modèles
, etc.] « Ainsi, le poëte, en représentant un homm
représenter dans un tel degré d’excellence, qu’ils puissent servir de
modèle
ou de colère, ou de douceur ou d’autre chose. » (
; mais les chrestomathies sont toujours là pour fournir au besoin des
modèles
. La plupart des traités sur l’art d’écrire sont d
issertation, nous avons parlé de l’analyse critique, en en donnant un
modèle
qui puisse guider dans ce genre de travail : nous
e idée dans l’exemple suivant, que je suis bien loin de proposer pour
modèle
. « Quel plaisir d’être assis, à la pointe du jour
fournit au printemps tout ce qu’il a d’appas. Enfin je citerai pour
modèle
d’hypotypose ces vers pittoresques du poème des Q
’emploie que des couleurs simples et naturelles. On peut prendre pour
modèle
en ce genre le portrait du cardinal de Richelieua
Posographie, peint l’extérieur des objets. On en trouve un bien beau
modèle
dans ce portrait du prélat du Lutrin par Boileau
n grand jardin. » La Chartreuse de Gresset, est presque en entier un
modèle
de topographie. En voici quelques vers : Si ma c
olide dans le talent, sans les mœurs et la conduite. Les anciens, nos
modèles
en vertus, comme ils furent nos maîtres dans tous
au de leurs pensées, et l’histoire fidèle de leurs actions. Voila les
modèles
que doit se proposer celui qui écrit pour la jeun
ont l’imagination trouve plus vite les développements), j’ai pris ces
modèles
dans les meilleurs auteurs français et étrangers.
: car il serait injuste d’exiger qu’il atteignît à la perfection des
modèles
. Si, dans les sujets graves, austères, abstraits,
procédé de même, avec cette différence toutefois que j’ai choisi les
modèles
qui sont connus de tout le monde. La raison de ce
célérité à la connaissance du beau en littérature. Dans la pénurie de
modèles
de décomposition où nous ont laissés jusqu’ici le
qu’ici les rhéteurs, j’ai du puiser dans mes propres inspirations les
modèles
que je donne. Je les livre à la critique sans org
n travail. Mais de quelle méthode me suis-je servi pour disséquer les
modèles
de ce volume et les réduire en canevas ? Je n’ai
de suivre un ordre plus classique que littéraire, j’ai réuni tous les
modèles
du même genre sous un même titre, malgré les degr
a l’habitude, après avoir assigné le canevas à travailler, de lire le
modèle
aux élèves. Je crois cette méthode peu propre à e
st ainsi, je n’aurai pas perdu mon temps. GUYET. Lettres. SI.
Modèles
de Lettres de Compliment. N° 1 1. — A Mme de
achement très parfait, etc. (Date.) Mme de Simiane. SII.
Modèles
de Lettres de Félicitation N° 4. — À Mme de
sentiments avec lesquels je suis, etc. Mascaron. (1679.) SIII.
Modèles
de Lettres de Condoléance. N° 7. — A une Mè
de Sophie et l’éloge de ses vertus, eussent fait de cette lettre, un
modèle
de consolation : le pathétique religieux employé
es moments les plus solennels de la vie ! Cela fait mal. G. SIV.
Modèles
de Lettres de Demandes. N° 10. — A M. Leduc,
omets de ne vous en point laisser manquer. SCARRON. (Date.) SV.
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de Lettres de Remercîments. N° 13. — A M. l
ez à m’écrire et à m’aimer. Mme de Sévigné. 3 juillet 1680. SVI.
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de Lettres d’Excuses. N° 16. —A Mlle Vitart
gageure, j’y aurais bien perdu mon argent. Mme de Sévigné. SVII.
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de Lettres de Nouvelles. N° 19. — A M. le c
se, et je l’ai gagnée. Le maréchal de Luxembourg. (1603.) SVIII.
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de Lettres de Recommandations. N° 21. — A M
C’est l’air que je respire. Mme de Sevigné. 12 avril 1671. SIX.
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de Lettres de Conseils. N° 24. — A Mme de G
nde en raison, et je vous importune. Mme de Sévigné. (Date.) SX.
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de Lettres de Reproches. N° 27. — À l’emper
njure. Quelle affliction pour moi de penser qu’un empereur, jusque-là
modèle
de la plus haute piété, aussi recommandable par s
eut être aimé ? L’abbé de Chaulieu. (Date.) Décompositions.
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. N° 30. — Lettre de Voiture au prince de Condé
bonnes. Cette lettre, réduite de la manière suivante me semblerait un
modèle
: Monseigneur, « Je n’ai garde de m’étonner que v
courageusement les revers ; mais comme vous avez pris Alexandre pour
modèle
, que chaque jour voit votre mérite se rapprocher
ils, d’être une narration épistolaire. Guyet. Définitions.
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. N° 34. — L’esprit. Qu’est-ce que l’esp
miroir, Peuvent apprendre à lire leur devoir. J. B. Rousseau.
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de décompositions de Définitions. N° 42. — L
ême pendant son sommeil. » Guyet. Portraits et caractères.
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. N° 44. — Le Coq. .... En fierté le coq
e voit que noirceur, et misère et sottise. COLLlN D’HARLEVILLE.
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de Décompositions de Portraits et Caractères.
ous permettent pas un tel travail. Ce portrait est physique. C’est un
modèle
de description pompeuse, et le chef-d’œuvre de la
que le chien sacrifie sa vie par amour. Guyet. Parallèles.
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. N° 59. — Le riche et le pauvre. Qu’est
ur ; Racine doit avoir celle de la postérité, dont il est à jamais le
modèle
. Les ouvrages de l’un ont dû perdre beaucoup avec
les attraits corrupteurs. Minutius Félix, t rad, p. Pellicot.
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de Décomposition des Parallèles. N° 63. - T
oral, il est de Bossuet. Ce mot dit tout. Guyet Dialogues.
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. N° 64. — Le Connétable de Bourbon et Bayar
monde que je ne fisse pour votre service. (Il sort.) Molière.
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de Décompositions de Dialogues. N° 70. — Di
: mais qu’il tient aux deux genres. Guyet. Allégories. —
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. N° 72. — Le Tigre. Que mes frères quit
tent une place dans le ciel. Guyet. Fables et apologues.
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. N° 87. — La Goutte d’eau et la Source.
sa dose ; Il peut coûter cher de briller. Laurent de Jussieu.
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de Décomposition de Fables. N° 98. — Les An
est celle du plus fort. » Guyet. Tableaux et descriptions.
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. N° 100. — Le Déluge. Tous les vents mu
ore pour lui plaire la sombre et majestueuse beauté. Girodet.
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de Décompositions de Tableaux ou Descriptions.
ier mot du dernier vers. Guyet. Narrations historiques.
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. N° 140. — Bataille de Naseby. La renc
ue suite de tourments. St Eusèbe. Narrations poétiques.
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N° 150. L’Ange exilé. Dieu, dit une vie
a avec lui dans l’abîme. Victor Hugo. Narrations badines.
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. N° 164. — Le Chapeau (Historiette). Il
ns art ; mieux encore il rappelle Ce seigneur qui servit à Regnard de
modèle
, Le marquis de Brancas, le premier des distraits.
inage. Herder, trad. de M. Truenthal. Narrations mixtes.
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. N° 184. — L’hôpital Auffrédy. Vers le c
n talent. Un Professeur de Paris. Narrations épistolaire.
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. N° 204. — L’hospitalité calabraise. — Paul
s qu’elle est fort vraie. Racine. Narrations-légendes.
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. N° 212. — La Couronne de Marie Au fon
out ce qui peut rendre fier, la science et le rang : vivantes leçons,
modèles
saints, glorieux anneaux destinés à transmettre a
eaux voleter et planer au-dessus de l’échafaud. Louis Veuillot.
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de Décompositions de Narrations. N° 222. —
ut retrouver ses restes. Guyet. Exhortations et harangues.
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. N° 224. — Fénelon au Duc de Bourgogne.
injustice commise par ma patrie et par mes concitoyens. Rollin.
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de Décompositions d’Exhortations etc Harangues.
ence, l’éloquence sacrée. _ Guyet. Narrations oratoires. -
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. N° 244. — Bataille de Rocroi. À la nuit
ince et du triste regret de sa mort. Fléchier. Plaidoyers.
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. N° 246 à 248. — Discours pour Polidore,
dans les lettres de Mme de Sévigné ne doivent point être prises pour
modèle
. G. 4. Voir mon cours de style épistolaire, tome
anlé la majesté s’incline6. (M. E. Aignan). Virgile enchérit sur son
modèle
, par l’admirable précision de ce beau vers : Ann
raison, qu’il n’y a pas une circonstance ici qui ne soit sublime. Ces
modèles
de descriptions prouvent combien le sublime dépen
le génie de Corneille devzit s’arrêter : mais, séduit par un mauvais
modèle
, il s’égare sur ses pas, et affaiblit, en la para
tes en fait de critique littéraire. De plus, les morceaux cités comme
modèles
sont presque toujours choisis parmi ce qu’il y a
nos définitions, et surtout d’avoir rattaché à notre enseignement les
modèles
si parfaits qu’offrent les poètes bibliques et li
ter la pitié. Sans entrer dans ces détails, pour lesquels l’étude des
modèles
et six mois de pratique valent mieux que vingt pa
n décret d’accusation contre Marat… Dieu ! je l’ai nommé ! » Un beau
modèle
de péroraison tirée de la personne du juge, c’est
in, si vous les délaissez. » « Cette conclusion, dit M. Leclerc, le
modèle
des péroraisons pathétiques, eut le succès qu’ell
la aux intrigues d’une cour romanesque. Si M. Cousin juge parfois ses
modèles
avec trop d’indulgence ; on ne peut qu’admirer en
légère, c’est la prose forte et laborieuse de Rousseau qui a servi de
modèle
à M. de Chateaubriand, le père de la littérature
successeur disait dans son discours de réception : « Elles sont des
modèles
de style. L’auteur seul y trouvait à redire et y
Georges, ils prennent un pinceau, et, sans carton, sans dessin, sans
modèle
, ils vous improvisent aussitôt la figure demandée
rmé, et vous viendrez, esclave des traditions, les yeux fixés sur les
modèles
antiques, m’imposer les conventions des âges qui
première grammaire ou de votre premier dictionnaire. Lisez les grands
modèles
, non pour les imiter, les temps ne sont plus les
nt adresser ce reproche à nos essais, qui composent une collection de
modèles
appropriés à tous les degrés de l’enseignement !
qui a son unité, sa suite et ses rapports logiques. L’ensemble de ces
modèles
, qui s’enchaînent, se continuent et s’expliquent
nt adresser ce reproche à nos essais, qui composent une collection de
modèles
appropriés à tous les degrés de l’enseignement !
qui a son unité, sa suite et ses rapports logiques. L’ensemble de ces
modèles
, qui s’enchaînent, se continuent et s’expliquent
peint tout ce qu’il éprouve, et avec la même force. Tel doit être le
modèle
du style de l’orateur qui veut paraître pathétiqu
t beau, tout est animé, tout est pathétique, et ce morceau eût été un
modèle
parfait, car Cicéron devait s’arrêter là, mais l’
che avec raison ; et c’est un inconvénient fâcheux qu’évite celui qui
modèle
son débit sur le ton du langage habituel. Toutefo
vements d’animosité, d’indignation, de compassion, et prenez-les pour
modèles
. La plupart de ces gestes et de ces regards sont
s de votre naturel, ne cherchez à imiter personne ni à vous former un
modèle
imaginaire. Tout ce qui est naturel plaît, même s
sera sans chaleur. En quatrième lieu, l’étude attentive des meilleurs
modèles
contribue beaucoup au perfectionnement de l’éloqu
donne de la vivacité aux pensées et excite l’émulation. Le choix des
modèles
dont on se propose l’imitation est sans doute d’u
lar, vitiis imitabile. (Horatius, Epist. lib. I, ep. 19, v. 17.) Un
modèle
imparfait égare, S’il a du brillant et du faux ;
en imite que les défauts. (Trad. de Daru.) N’oublions jamais que les
modèles
les plus accomplis ont toujours quelque chose qu’
ons que cela. Toutefois ne nous attachons pas exclusivement à un seul
modèle
, si nous voulons éviter les inconvénients d’une i
e qu’un bien petit nombre d’orateurs dignes d’être proposés comme des
modèles
à suivre. Les Français, sous ce rapport, sont bie
nquièmement. Ce n’est pas assez d’étudier attentivement les meilleurs
modèles
, il faut s’exercer souvent à composer et à parler
s des anciens sur la rhétorique, et ses écrits sont en même temps des
modèles
d’éloquence. Dans quelques parties de son livre,
tien, Virgile et Horace étaient des poètes que l’on mettait comme des
modèles
entre les mains de la jeunesse : Quot stabant pu
l constant que c’est chez les anciens que nous trouvons les meilleurs
modèles
dans tous les genres de composition. Les modernes
(Horatius, Art poet., v. 269.) Feuilletez nuit et jour ces antiques
modèles
. (Trad. de Daru.) Sans les bien connaître, on ne
n historien. Plein de beautés supérieures, ce n’est pourtant point un
modèle
parfait, et ceux qui voulurent se former à son éc
raité sur l’entendement humain, par M. Locke, peut être cité comme un
modèle
de clarté et de précision dans le style philosoph
es écrivains philosophes. Ses dialogues, légers et gracieux, sont des
modèles
dans lesquels il a presque atteint la perfection.
Les lettres de madame de Sévigné sont regardées aujourd’hui comme le
modèle
le plus parfait d’une correspondance familière ;
’inspiration de la vertu et de l’héroïsme. Les chevaliers étaient des
modèles
, non seulement de valeur, mais de religion, de gé
ces descriptions, par exemple, d’objets dont la nature nous offre le
modèle
, dans l’expression des sentiments qui se trouvent
sujet, d’ailleurs, ne semble plus favorable à la poésie. Quels riches
modèles
à décrire la nature nous offre de toutes parts !
grande richesse dans les descriptions. C’est l’original qui servit de
modèle
à Virgile ; les traits les plus remarquables des
qu’il a imité en poète habile, et que souvent même il a surpassé son
modèle
; car on ne saurait s’empêcher de reprocher à Thé
s poétique. Virgile, dans ses Géorgiques, se présente à nous comme un
modèle
parfait en ce genre. Il possède l’art d’ennoblir
réunissent toutes ces qualités, et doivent être considérées comme des
modèles
presque parfaits de ce genre de poésie. Il semble
ellir une description d’objets inanimés dont la nature lui fournit le
modèle
, y doit toujours introduire quelques êtres vivant
ous les couleurs les plus touchantes. On trouve encore de magnifiques
modèles
de descriptions poétiques dans les batailles d’Ho
ois être fondé à dire que, tout considéré, l’Énéide de Virgile est le
modèle
le plus parfait que l’on puisse trouver d’une fab
e à Colone ; ceux de la mort d’Œmon et d’Antigone, sont de véritables
modèles
de description dans une tragédie. L’on attribue g
êt plus vif. Ils se sont appliqués à suivre la régularité des anciens
modèles
. Scrupuleux observateurs des trois unités, ils n’
sés à commettre dans la peinture des caractères, c’est d’outrer leurs
modèles
. En effet, lorsqu’il s’agit de ridicule, il est e
éformer le goût de ses contemporains, et que ses comédies étaient des
modèles
de correction et d’élégance. Il ne nous reste de
de Plaute et de Térence, qui, tous deux, avaient pris les Grecs pour
modèles
. Plaute est remarquable par son style expressif,
n que Térence la délicatesse, l’élégance et le goût. Son style est un
modèle
de grâce et de pureté. Son dialogue est toujours
a, écrivain français, que notre Shakspeare serait, auprès de Lope, un
modèle
de méthode et de régularité. L’auteur espagnol, n
homme ; mais pendant le cours de la pièce, on le présentait comme un
modèle
des jeunes gens de bon ton, et l’impression que p
pas nécessaire que toutes les comédies soient faites d’après un même
modèle
; les unes peuvent être très gaies, d’autres fort
celui de l’éloquence. Ayons-le donc toujours devant les yeux comme le
modèle
que l’on doit se proposer, et que celui-là soit s
plus grand air était de mépriser beaucoup sa femme, laquelle était un
modèle
de vertu et de raison. Cette jeune femme l’accabl
donc que l’orateur ne se contente pas de l’imitation d’un seul de ces
modèles
, mais qu’il tâche de réunir en lui toutes leurs d
le. Cicéron vous offre, dans son Discours pour Ligarius, un admirable
modèle
de l’art d’exciter les passions. « Il défend, dit
justesse et l’exactitude. Voici un plan qui peut assurément servir de
modèle
, et dont l’exposition instruira mieux que tous le
est sublime et son style travaillé. Saint Jean Chrysostôme paraît le
modèle
achevé d’un prédicateur22. Sous le règne brillant
ière de rendre la justice et celle des Romains, ils peuvent servir de
modèles
à nos jeunes avocats. Les discours contre Verrès,
utile à sa patrie ni mériter ainsi une reconnaissance immortelle. Les
modèles
d’éloquence délibérative ne manquent pas : les or
particulièrement Démosthène et Cicéron, nous en ont laissé plusieurs
modèles
admirables30. Mais ce sont surtout les historiens
ences, en présence du roi de Danemarck, le 5 décembre 1768 ; c’est un
modèle
de convenance et de dignité ; les Réflexions sur
fforcé de réduire à ses plus simples éléments. J’ai placé ensuite des
modèles
de narrations, de dissertations et de discours, l
des Fléchier, des Bossuet, des Massillon, j’ai joint fréquemment des
modèles
ou des conseils empruntés à Buffon, à Montesquieu
ts essentiels de toute chose, ha nature nous en offre l’exemple et le
modèle
. Les arts, dont une des lois suprêmes est l’imita
stribuer dans les autres parties du discours. Nous citerons, comme un
modèle
de narration oratoire, un passage de Bossuet où s
éroraison proprement dite. Nous ne pouvons pas présenter un plus beau
modèle
de péroraison que le morceau, si souvent cité, qu
ant pour le cœur. Nous n’avons qu’à ouvrir ce poëte pour y trouver un
modèle
de ce double mérite. Prenons, par exemple, ces pa
tes outres : le même rang qui les donne en spectacle les propose pour
modèles
; leurs mœurs forment bientôt les mœurs publiques
ie, d’Andromaque un exemple de transition qui peut être cité comme un
modèle
. Le discours d’Oreste, dont nous avons déjà cité
nnocents je me sentis presser. Des épithètes. On voit, par les
modèles
d’hypotypose que nous venons de citer, que l’empl
, ou les réduisait à faire l’aveu de leur ignorance. Un des meilleurs
modèles
en ce genre, c’est l’entretien de Socrate et de G
ciens, et chez nous Voltaire, dans ses ouvrages historiques, sont des
modèles
de précision. De l’harmonie. L’harmonie est
ait ni mieux choisir ni mieux placer les mots, et cette phrase est un
modèle
achevé d’harmonie. Gardez-vous de pousser trop lo
t sur la foi des zéphyrs. « La Henriade, dit La Harpe, nous offre un
modèle
d’allégorie soutenue pendant dix vers, sans la mo
e qu’il ne peut s’en passer. Fénelon lui-même peut être cité comme un
modèle
de style simple. Au livre dix-neuvième de Télémaq
s dans le langage des autres. » La Fontaine est souvent cité comme un
modèle
de naïveté ; voyez comme il nous représente la la
imple, mais il a plus d’abandon et de mouvement. Molière en offre des
modèles
à chaque page ; il sait être familier, sans tombe
esse s’adresse en même temps à l’esprit et au cœur. Fontenelle est un
modèle
de finesse, Racine est un modèle de délicatesse.
esprit et au cœur. Fontenelle est un modèle de finesse, Racine est un
modèle
de délicatesse. Fontenelle, dans son ingénieux ou
blesse la nôtre. » Le portrait de Charlemagne par Montesquieu est un
modèle
de concision : « Tout fut uni par la force de s
rs, au lieu de courir à son but par un canal direct. Massillon est un
modèle
parfait de style périodique : « Si tout doit fin
tout entiers. Le talent inspire le talent ; et le contact d’un grand
modèle
agit, comme l’étincelle électrique, sur l‘esprit
ltant l’histoire, quand il a puisé des inspirations dans l’étude d’un
modèle
analogue à son sujet, il doit coordonner les diff
rsonnages que l’on met en scène. Nous allons présenter aux élèves des
modèles
de narration dans les trois genres ; et, afin de
l’imitation, en changeant l’objet imité. La barbarie elle-même est un
modèle
. Que l’artiste contemple l’Apollon du Belvédère o
e connaître. Ces principes posés, nous offrirons à nos lecteurs trois
modèles
de discours pris dans les trois genres que nous a
entales de l’art d’écrire, et où les préceptes sont en même temps des
modèles
. Troisième partie. Utilité pratique de la r
Ce discours, prononcé à Rouen en 1596, peut encore être cité comme un
modèle
, malgré quelques tournures et quelques expression
entraînent. Comment analyser tin pareil talent ? Comment en faire un
modèle
qui doive servir à tous ? Ne serait-ce pas dire à
nt de naturel et de simplicité, peut être cité comme un des meilleurs
modèles
de style épistolaire. De sa volumineuse correspon
era poscit opem res, et conjurat amice. 11. On a dit souvent que les
modèles
tracés par un homme de génie valent mieux que les
Marmontel, quand il s’agit d’échauffer l’âme et de l’élever. Mais les
modèles
les plus frappants ne jettent la lumière que sur
sans recourir aux lieux oratoires, c’est de lire beaucoup les grands
modèles
et de s’en rendre compte par l’analyse. « Quand l
éprouve pas au fond de son âme. Heureux celui qui trouve toujours son
modèle
en lui-même, et qui, pour faire aimer la vertu, n
le plus de vertu. Cicéron, que nous ne prétendons pas citer comme un
modèle
de vertu, répond cependant avec beaucoup d’adress
’enseignent pas les préceptes de rhétorique. » On cite comme un beau
modèle
de mœurs oratoires la péroraison de Massillon dan
la loi agraire et la harangue d’Antoine sur la mort de César sont des
modèles
de ce genre. 117. L’orateur doit employer des pré
faire craindre d’avance pour son sort. Virgile, qui l’avait pris pour
modèle
, est aussi admirable sous ce rapport. Les histori
crivains sacrés et les Pères de l’Église vous offriront cependant des
modèles
plus accomplis. Lisez saint Grégoire, saint Jérôm
orde du pro Corona, celui du pro Milone, celui de M. de Sèze sont des
modèles
du genre (Voir le nº xiii). Démosthènes débute ai
re de ce précepte, et nous ont laissé, sous ce rapport, les meilleurs
modèles
à suivre. Dans beaucoup de rhétoriques, on s’appu
s court, mais désagréable et escarpé. Tous les rhéteurs ont cité pour
modèle
la narration de la Milonienne, et il est vrai qu’
, une grande variété dans les tours. Massillon nous a laissé de beaux
modèles
de ce genre de péroraison. 233. Le second devoir
ralement courtes, agréables et tirées du fond du sujet. On cite comme
modèle
l’endroit où Cicéron fait l’éloge des lettres dan
ourdaloue, parmi les orateurs modernes, nous ont laissé les meilleurs
modèles
de panégyrique (Voir le nº xxv). Article sixiè
ours comme des écueils pour la piété autant que pour l’éloquence. Les
modèles
du genre sont Bossuet, et, à une immense distance
rande personnification de cette éloquence : ses Philippiques sont des
modèles
achevés dans ce genre, et elles présentent à nos
lle avait chez les anciens, et on ne peut pas prendre absolument pour
modèles
les plaidoyers de Cicéron et de Démosthènes. Les
t à force de plaire. L’éloge que Racine fit du grand Corneille est un
modèle
du genre. 406. Au dix-huitième siècle, l’Académie
. Le discours du P. Guénard sur l’esprit philosophique peut servir de
modèle
(Voir le nº xxxv). Les plaidoyers littéraires qui
de goût, et peut même devenir une offense. On a quelquefois cité pour
modèle
le discours de Fontenelle à Louis XV, le jour de
s des palais » (Voir le nº xxxix). Troisième partie. Citations et
modèles
I. De la vraie éloquence. Il ne faut pas
t Louis) ; puissiez-vous l’être de leurs vertus ! puissent ces grands
modèles
revivre en vous par l’imitation plus encore que p
ation plus encore que par le nom ! puissiez-vous devenir vous-même le
modèle
des rois vos successeurs ! Déjà, si notre tendres
c’est-à-dire le père de son peuple, le protecteur de votre Église, le
modèle
des mœurs publiques, le pacificateur plutôt que l
tuation où elle met le fidèle pour le présent ; 3º du côté des grands
modèles
qu’elle lui propose à imiter. 1er membre de la s
de saint François de Sales, par Bourdaloue. On peut citer comme un
modèle
le panégyrique d’un grand saint loué par un grand
uceur a été tout évangélique, et doit nous servir d’instruction et de
modèle
. Division. François de Sales, par la force de sa
uent ? 10. L’étude des règles est-elle nécessaire pour tous ? 11. Les
modèles
peuvent-ils dispenser de l’étude des règles ? 12.
euples où elle a brillé avec le plus d’éclat, et qui nous offrent les
modèles
où nous pouvons l’étudier avec le plus de fruit.
e style fleuri des rhéteurs de son temps, il choisit Périclès pour le
modèle
de son éloquence, et son caractère distinctif est
plaudir à la justesse de la réflexion suivante. La lecture des grands
modèles
est autant au-dessus de l’étude des règles, que l
les endroits faibles de ceux que nous proposons d’ailleurs comme des
modèles
. Éloignés du culte fanatique que de certaines gen
haire, chap. 58. Si le premier, en faisant de lui, dans le sermon, le
modèle
par excellence, le juge avec un peu de faveur, le
tre ; à rendre la France triomphante et policée, et à être en tout le
modèle
des hommes. Sa piété, qui était celle d’un anacho
la nature et du goût, que quelques beautés conformes à cet invariable
modèle
, répandues dans un ouvrage bizarrement mélangé, s
nous rappeler au respect des lois du beau, à l’amour et à l’étude des
modèles
, ce serait cette critique qui semble se monter au
la nature et du goût, que quelques beautés conformes à cet invariable
modèle
, répandues dans un ouvrage bizarrement mélangé, s
autour de vous, c’est aujourd’hui, c’est hier que vous avez saisi vos
modèles
et reçu vos inspirations. Votre théâtre s’est rap
nous rappeler au respect des lois du beau, à l’amour et à l’étude des
modèles
, ce serait cette critique qui semble se monter au
des héros chrétiens qui l’ont cimentée de leur sang. Un des meilleurs
modèles
que puissent se proposer ceux qui veulent s’adonn
à la grandeur du dessein. Ce discours qui, selon Voltaire, n’a eu ni
modèles
, ni imitateurs, est un des plus beaux morceaux d’
précision de celui de Salluste, que Saint-Réal paraît avoir pris pour
modèle
. Sarasin, dans son Histoire du siège de Dunkerqu
Dunkerque, et dans celle de la conspiration de Walstein : deux vrais
modèles
; la seconde surtout pour la noblesse, la simplic
ans son Abrégé chronologique de l’histoire de France, le plus parfait
modèle
qu’on puisse choisir pour ces sortes d’ouvrages :
l’ouvrage dont j’offre au public une nouvelle traduction est un noble
modèle
de cette impartialité qui doit toujours régner da
out à la pratique de ces vertus douces et touchantes dont il était le
modèle
. Ses discours roulent principalement sur l’union
is elles arrêtent une fécondité superflue ; elles désignent les vrais
modèles
que nous devons suivre ; elles mettent sous nos y
s beautés de l’art de parler et d’écrire, l’étude attentive des vrais
modèles
et la comparaison des passages les plus brillants
; Dean Swift, s’il avait écrit sur la critique, eût été peut-être un
modèle
de pureté. Après avoir considéré le goût dans son
semblable nature. C’est dans ce sens que l’on dit que la cour est le
modèle
des belles manières, et l’Écriture sainte l’étend
s de doute que, toutes les fois qu’on a voulu imiter un objet dont le
modèle
se rencontre dans la nature, comme lorsqu’il s’ag
a superstition ou l’esprit de parti ; il peut même servir un temps de
modèle
à presque toute une nation. C’est alors que, malg
ivait en 1720, a cité les Commentaires de César comme le plus parfait
modèle
de sublime, et a composé un volume in-4º intitulé
de passages qu’il cite comme des exemples de sublime ne sont que des
modèles
d’élégance, qui n’ont pas le moindre rapport avec
Addison est tout à fait un écrivain de ce genre, et c’est le meilleur
modèle
que l’on puisse en citer ; un autre modèle encore
enre, et c’est le meilleur modèle que l’on puisse en citer ; un autre
modèle
encore, c’est Fénelon, l’auteur des Aventures de
ent tous les temps et tous les modes ; le latin est formé sur le même
modèle
, mais est un peu moins régulier, surtout au passi
ots originairement anglais, et sa diction doit être regardée comme un
modèle
de pureté et de précision relativement au choix d
e un modèle de pureté et de précision relativement au choix des mots,
modèle
dont il semble que nous nous écartions tous les j
randes beautés et de grands défauts ; il ne saurait être un excellent
modèle
à suivre. Cet auteur connaissait parfaitement la
x ou trois pages à Aristote, sans le nommer jamais autrement que « le
modèle
des critiques, le grand génie ou le grand juge de
leur propre construction. Une suite de phrases composées sur le même
modèle
, et d’un même nombre de membres dont l’étendue se
et une affectation qui l’empêchaient de pouvoir être regardé comme un
modèle
; mais comme son oreille était très délicate, et
4.) Cicéron, comme déjà je l’ai fait observer, est un des plus beaux
modèles
de style harmonieux. On voit cependant qu’il y at
es psaumes, une foule d’autres passages qu’on pourrait citer pour des
modèles
de construction noble et harmonieuse. Tel est le
raux du style, je ne puis qu’indiquer les auteurs dignes de servir de
modèle
. Des passages détachés, comme j’en ai cité jusqu’
liquais, ne peuvent donner une juste idée du style d’un écrivain. Les
modèles
les plus parfaits, selon moi, d’une concision pou
sur le sens de ses propositions. Cicéron est assurément le plus beau
modèle
que l’on puisse citer d’un style développé ; Addi
une énergie soutenue. Les discours de Démosthène sont les plus beaux
modèles
que l’on puisse citer d’un style nerveux. Les mei
gravité du sujet ne permet pas d’en employer d’autre. Aristote est un
modèle
accompli de style sec. Aucun écrivain, peut-être,
ue et l’expression de la langue anglaise, et il doit être offert pour
modèle
à tous ceux qui veulent se former un style exact
ut que tout ouvrage, à l’unité fidèle, De la simplicité nous offre le
modèle
. (Trad. de Daru.) La simplicité dont il est ici
e produire un peu d’affectation. Aussi les Grecs nous fournissent des
modèles
d’une plus belle simplicité que les Romains. Homè
ut toujours admiré comme un écrivain supérieur, et considéré comme un
modèle
d’éloquence de la chaire, Mais on s’est mépris su
rande et la mieux méritée. Sans doute on ne le regardera pas comme un
modèle
de la plus haute éloquence, mais on le citera com
t le plus agréable. Malgré quelques défauts, c’est encore le plus sûr
modèle
à suivre ; c’est celui qui est le plus exempt de
apté au genre d’un ouvrage comme le Spectateur) d’être donné comme un
modèle
à suivre dans des compositions d’un genre plus él
dans son cabinet. Les harangues de Démosthène en sont de magnifiques
modèles
. De tous nos auteurs anglais, celui qui, malgré s
u telle espèce de style : je n’essayerai pas, non plus, d’indiquer un
modèle
d’une perfection absolue en ce genre. Il ne sera
avec une attention particulière le caractère et le style de ce grand
modèle
. La vie de Démosthène est trop bien connue pour q
son goût pour le style de Thucydide ; il l’étudia longtemps comme un
modèle
, et l’on dit qu’il recopia huit fois de sa propre
xaminer ce qu’elle fut à Rome, à Rome où nous trouverons le plus beau
modèle
de cet art porté à son plus haut point de splende
ts ; mais il faut avouer que leur génie resta bien au-dessous de leur
modèle
. Ils étaient plus sérieux, plus grands, mais moin
l importe de fixer notre attention. Car l’éloquence de Cicéron est un
modèle
si rempli de beautés, que, sans un examen scrupul
. Mais aucun de ces Pères de l’Église ne fut, à proprement parler, un
modèle
d’éloquence. Si nous descendons jusqu’au troisièm
in, de d’Aguesseau ; les critiques français les citent même comme des
modèles
d’éloquence. Il en est de même pour l’éloquence d
rça pendant sa vie, et la gloire qui couvre encore son nom. Voilà les
modèles
que l’orateur devrait toujours avoir sous les yeu
et plus complète, il faudrait recourir au texte même de cet excellent
modèle
. Lecture XXVIII. Éloquence du barreau. — Analy
s harangues judiciaires de Démosthène ou de Cicéron comme de parfaits
modèles
de la manière de plaider aujourd’hui. C’est ce do
il faut chercher à l’imiter. Il est impossible de trouver un meilleur
modèle
; mais celui qui voudrait contrefaire son exagéra
onner l’analyse. J’ai choisi celle-ci, parce qu’elle est un excellent
modèle
de l’art de traiter avec ordre, avec élégance et
t de renvoyer aux discours des prophètes et des apôtres, qui sont des
modèles
de l’éloquence la plus sublime et la plus persuas
e celui que l’on admire davantage. En plaçant sous ses yeux plusieurs
modèles
à la fois, il peut, en cherchant à imiter ce que
rançais, et de l’exactitude des Anglais, qui, selon moi, formerait un
modèle
accompli de sermon. Un sermon français nous sembl
l’est dans un grand nombre de ces sermons ; ils pourraient servir de
modèles
s’ils n’étaient conçus sur un plan trop resserré
de l’éloquence populaire ; aussi c’est jusque aujourd’hui le meilleur
modèle
que l’on puisse suivre. Cependant il ne faut pas
du sujet. L’évêque Atterbury peut être particulièrement cité comme un
modèle
de style élégant et correct ; quelques-uns de ses
qui fournissent aux imitations et aux descriptions leurs plus nobles
modèles
. C’est ce pouvoir de les développer avec tant d’a
plus nécessaire de les indiquer, qu’il offre, dans tout le reste, un
modèle
parfait, qui entraînerait aisément les jeunes gen
idèles encore aux bons principes, et admirateurs constants des grands
modèles
, ne pouvaient voir sans douleur les progrès effra
in effigiem moderantûm cuncta Deorum, il s’ensuit que la copie d’un
modèle
qui n’existe que dans le vague, et qui est tout c
le possède à un plus haut degré que la Bible, qui seule nous offre le
modèle
de tous les genres de beautés poétiques, morales,
si qu’il trouvera l’unité. Polybe et Bossuet nous en offrent de beaux
modèles
: le premier donne pour centre à son Histoire gén
agnifique unité à cet ouvrage, qui, comme l’a dit Voltaire, n’a eu ni
modèle
ni imitateurs, et dont le style n’a trouvé que de
la Méthode, où il porta la prose française à sa perfection : c’est un
modèle
de netteté, de justesse et d’exactitude. Son lang
oi. Que si mon ouvrage m’ayant assez plu, je vous en fais voir ici le
modèle
, ce n’est pas, pour cela, que je veuille conseill
ient de se préparer à l’étude des règles par : 1° La lecture des bons
modèles
; 2° L’analyse de morceaux choisis dans tous les
: ceux de Burrhus, de Narcisse, d’Ulysse, d’Achille, de Joad sont des
modèles
parfaits d’éloquence, et il sera facile à l’élève
lus doux de tous les princes. (Lebeau, Histoire du Bas-Empire.)
Modèle
d’analyse. Premier exercice. Examen du disco
à corps, dans laquelle le traducteur est forcé, pour approcher de son
modèle
, d’avoir recours à toutes les ressources de sa pr
nfin ce recueil de préceptes, tirés en même temps de la nature et des
modèles
qui offraient l’éloquence avec une certaine perfe
ns, qui ont imité les Grecs, ont trouvé chez eux et les règles et les
modèles
de l’éloquence. Cicéron a extrait ce qu’il y avai
s que de s’y préparer par l’analyse de quelques discours choisis pour
modèles
. Il y a deux sortes d’analyses, la première logiq
t observer dans la narration de la Milonienne qui, seule, suffit pour
modèle
et pour précepte d’une bonne narration. Confir
qui n’est entière et parfaite chez aucun, mais dont on peut former un
modèle
idéal et réunissant ces caractères épars dans plu
mes protègent ce tribunal, repousser, bannir, rejeter loin de Rome ce
modèle
de magnanimité ? Malheureux ! infortuné que je su
e pathétique véhément. Les exemples suivants peuvent être cités comme
modèles
du pathétique doux : Discours de Pacuvius à son f
he ? — D’interrogation et de répétition ? — De gradation ? — Citez un
modèle
de prosopopée ? — En quoi consiste cette figure ?
On le veut, j’y souscris, et suis prêt à me taire2 Mais que pour un
modèle
on montre ses écrits, Qu’il soit le mieux renté d
la perfection de la satire ; car elle sera toujours regardée comme un
modèle
où l’élégance et le bon ton s’allient à une plais
gnon l’avait, dit-on, défie de traiter. De là ce poëme héroï-comique,
modèle
dans son genre, demeuré sans égal parmi nous et p
celle à cet égard. Dans la description de la mort de César, véritable
modèle
d’épisode, le poète, au moment où il semble avoir
comme exemple de description : l’Orage, par Saint-Lambert ; et comme
modèle
d’épisode, la destruction de l’armée de Cambyse d
image et en poésie, et qui, avec le Printemps, de Kleist, a servi de
modèle
au genre. — Ewald Christian de Kleist, né en 1715
délicat dans le langage des conversations. La Fontaine peut servir de
modèle
en ce genre. Les expressions populaires et prover
lleuses, ou l’exposé d’un événement plaisant vrai ou supposé, dont le
modèle
est pris dans la vie commune, et que l’on fait da
st cette espèce d’analogie naturelle qui le rapproche, à son insu, du
modèle
qu’il se propose d’imiter, qui établit d’avance e
oins surpris que M. de La Harpe soit resté quelquefois si loin de son
modèle
, et gardons-nous surtout de juger à la rigueur ce
et d’admiration pour ses beautés. C’est lui surtout qu’il prend pour
modèle
; c’est sur ses ailes qu’il s’élève à la majesté
faut dire pourquoi. Ce n’est point assez, pour se placer au rang des
modèles
, d’ouvrir une route nouvelle ; il faut voir où ce
ce de sa force ont aussi fixé leur empreinte sur son style. Il est un
modèle
de majestueuse élégance, de clarté brillante, de
ement comme le premier des navigateurs ailés, mais comme le plus beau
modèle
que la nature nous ait offert pour l’art de la na
es attraits, s’offrir à notre hommage ; Soit que, de nos vaisseaux le
modèle
achevé, Se rabaissant en proue, en poupe relevé,
ant lui-même un jour une classification méthodique digne de servir de
modèle
à tous ; s’égarant quelquefois dans ces espaces i
es. Jeunes gens, prenez-y garde ! on ne déprécie pas moins ces grands
modèles
en les louant maladroitement, qu’en les dénigrant
ces deux écrivains ; comme je les crois, en général, de fort mauvais
modèles
à proposer aux jeunes gens, j’ai dû les signaler
l’époque où il vécut. Il est certain que Daphnis et Chloé a servi de
modèle
à Paul et Virginie de Bernardin de Saint Pierre ;
s. Enfin, Lesage, dans Gil-Blas, offrit le premier et le plus parfait
modèle
du roman de mœurs, genre fécond, par lequel le ro
ts qui fait un de leurs mérites. Toutefois, nous donnerons ici, comme
modèles
de style, un fragment du Diable boiteux de Le Sag
t ce qui se passait dans les bonnes compagnies. Donnons ici, comme un
modèle
de l’art de faire ces petits récits, la page que
méthodes fut celle des Grecs et des Latins, dont les Grecs furent les
modèles
; la seconde est la nôtre, et celle de la plupart
des syllabes, il répond au vers asclépiade latin, qui lui a servi de
modèle
. En effet, un asclépiade est un vers français de
sept syllabes ? Le vers de sept syllabes, qui semble avoir pris pour
modèle
le vers anacréontique, Ἀνακρέων μʹ ἔπεμψε… a de
ur plein d’un amour fidèle, Me parait des grands rois le plus parfait
modèle
. 79. Quelle est l’origine de la rime ? L’origin
jets badins, comme le vers anacréontique qu’il paraît avoir pris pour
modèle
. 96. N’y a-t-il pas d’autres stances de nombre pa
tion d’un type dont leur main reproduit l’idéale beauté ; concevez un
modèle
de perfection tel qu’il n’en a jamais existé de s
s puisèrent-ils, sinon dans la dialectique du maître ? Qu’enfin votre
modèle
ait le caractère, sans lequel la plus belle éloqu
tous les genres de causes, de multiplier les exemples, de donner des
modèles
d’exordes pour tous les procès, pour toutes les p
e qu’il ne se montre point. C’est pourquoi je ne proposerais pas pour
modèle
à l’orateur la narration de Bossuet, si éloquente
e est l’expression du caractère. Ceux qui copient le faire des grands
modèles
sont comme les laquais qui croient ressembler à l
es depuis l’invasion des Béotiens. Que l’orateur se règle sur de purs
modèles
, s’il est assez heureux pour en trouver ; et quan
aine présente de nombreux exemples de cette simplicité dont il est un
modèle
accompli. — Vauquelin de La Fresnaye, pour exprim
s : Monsieur le maréchal, on n’est plus heureux à notre âge, est un
modèle
de délicatesse et de magnanimité. 48. Quels sont
embellir que ce qui mérite de l’être. La Fontaine et Racine sont des
modèles
en ce genre ; leur style est riche et n’est point
es mots d’une phrase suivant les règles grammaticales, et d’après les
modèles
laissés par les grands écrivains. La première con
nnaissance approfondie de la langue suppose encore l’étude des grands
modèles
, et, s’il se peut, le commerce des personnes qui
cle des doctes. Chez Amyot, le tour d’esprit s’accomode si bien à son
modèle
que souvent on ne distingue plus l’aumônier de Be
fer sous l’artifice, comme fit Ronsard. De là vient qu’il donne à son
modèle
sa propre physionomie. Il le rend plus débonnaire
Turenne et la mort de Vatel, par madame de Sévigné, nous offrent des
modèles
parfaits de l’art de raconter, avec toutes les ci
âge, leur éducation, leur rang, leur caractère, leur nation, etc. Un
modèle
qu’on ne peut trop étudier sous le rapport des mœ
einture, L’esprit avec plaisir reconnaît la nature. Qu’il soit sur ce
modèle
en vos écrits tracé : Qu’Agamemnon soit fier, sup
e moqueuse et de bon goût n’y est point déplacée. On peut citer comme
modèle
le Vert-Vert de Gresset. Le poème burlesque, mis
’autorité, il laisse une empreinte sur tout ce qu’il touche. C’est un
modèle
de précision, de justesse et de dignité simple.
adresse à ses enfants peut être utile à tout le monde. Sa vie est un
modèle
à suivre. Chacun peut y apprendre quelque chose,
suivant l’âge et l’intelligence de ceux qui les doivent étudier, les
modèles
les plus incontestés et les plus purs, les morcea
un soin plus vigilant à ne présenter aux jeunes intelligences que des
modèles
accomplis sous le rapport moral ainsi que sous le
excité l’enthousiasme de son époque, peut offrir à la nôtre plus d’un
modèle
oratoire. Né à Angoulême (1594) vers le temps où
les choses de si loin ; enfin je crois que c’est ici, sans vanité, le
modèle
des narrations agréables. Lettre du 22 juillet 1
possible, la richesse de cette prodigieuse nature, et à emprunter des
modèles
aux genres les plus divers où a excellé Bossuet.
ernellement ; c’est là que régnait avec majesté la sainte discipline,
modèle
après lequel nous soupirons en vain. Cette terre
royal, recteur principal, il offrit dans chacune de ces positions un
modèle
idéal qui n’a pas été surpassé. Aucun homme n’a l
son effet, même sans que l’on y pense, et rend l’ouvrage conforme au
modèle
, même sans la réflexion de l’artisan287 ; en un m
u leur ; et le chaos où Ronsard, qui ne put imiter l’un ni devenir le
modèle
de l’autre, la replongea, montre que leurs ouvrag
de la vie civile ; et nos manières, comme nos ouvrages, servirent de
modèle
aux étrangers. Le goût est l’arbitre et la règle
ement comme le premier des navigateurs ailés, mais comme le plus beau
modèle
que la nature nous ait offert pour l’art de la na
es plans ; et ces défauts, il se flattait de les avoir évités. Si les
modèles
qu’on nous présente au théâtre se trouvaient à un
t l’honneur d’avoir produit le premier des comiques aussi bien que le
modèle
des fabulistes584. Les Femmes savantes585. (Ex
sa douze tragédies, qui sont presque toutes demeurées l’honneur et le
modèle
de la scène française. Par elles il ouvrit à l’ar
place à côté de nos classiques. Bien moins châtié et soutenu que les
modèles
du dix-septième siècle (sa langue et son goût par
s les yeux de l’auguste Cybèle La terre ne fit naître un plus parfait
modèle
Entre les dieux mortels. ; Et jamais
ront ensuite aisément quels sont ceux qui ont le plus approché de ces
modèles
. » 2. Pour répondre à la demande qui nous en a é
ce Walpole lui rendait une espèce de culte, en l’invoquant, comme son
modèle
de prédilection, sous le nom de Notre-Dame des Ro
erdue. — Fort goûtée des connaisseurs, la lettre de la Prairie est un
modèle
de grâce sémillante et d’esprit fin et délié, se
orateurs sacrés du siècle de Louis XIV, c’est qu’ils ont tous été des
modèles
de vertus. Pour connaître celles de Bourdaloue, o
rès rares ; le temps, ce juge définitif, a placé La Bruyère parmi les
modèles
, et l’on doit accueillir sur lui l’opinion de M.
haire, chap. 58. Si le premier, en faisant de lui, dans le sermon, le
modèle
par excellence, le juge avec un peu de faveur, le
aire avait toujours ce dernier livre sur son pupitre, comme un de ses
modèles
favoris. « Si la raison elle-même, a dit La Harpe
cet auteur la Biographie universelle ; M. Berryer, dans ses Leçons et
modèles
d’éloquence judiciaire. 313. Montesquieu rend à
isanthrope (acte I, sc. ii), avait déjà fait justice de ces dangereux
modèles
: Ce style figuré, dont on fait vanité. Sort du
et énergique de Rousseau paraisse à beaucoup de juges le plus parfait
modèle
, il est permis de croire que le style de Fénelon,
sente un caractère de force et de grandeur dont il n’y avait point de
modèle
». 477. Pour, qu’est-ce que ceci : locution qui
ans ce discours notamment, qu’il emprunte à Sénèque en surpassant son
modèle
, et qui est l’un des plus beaux morceaux de notre
-être la palme sur tous les ouvrages de La Fontaine, si parmi tant de
modèles
on avait la confiance de juger ou le courage de c
angère. 629. La scène xii des Précieuses ridicules est évidemment le
modèle
de celle que l’on va lire. 630. Les caractères d
s sans sincérité, livrés aux prétentions et aux chimères ; le second,
modèle
de la modestie et du bon sens assaisonnés de gaie
donner des lois au Parnasse, lorsqu’il publia ce code du bon goût, ce
modèle
des poèmes didactiques : en y exposant, outre les
par l’emploi des images dans le style, où il est, avec Boileau, notre
modèle
le plus soutenu. Quoique l’avis de Voltaire fût q
specte toujours lui-même en respectant Agrippine. Son discours est un
modèle
de raison et de convenance. 712. On notera ces a
d’ailleurs dans toute cette peinture une effrayante vérité ; c’est un
modèle
unique du développement des caractères. 731. Ce
fficiles à manier. Pour celui de Narcisse, Voltaire l’a cité comme le
modèle
qu’il fallait suivra, quand on avait besoin de pe
nte, a été signalée par Aristote, dans sa Poétique, ch. xiv, comme un
modèle
de la manière dont il faut exciter la terreur et
on.) La Lettre de madame de Sévigné que nous citons ici nous offre un
modèle
parfait de ce genre de style. Lettre de madame de
Fontaine, que nous citerons ici de préférence, comme le plus parfait
modèle
de la naïveté. Nous en trouvons un bel exemple da
quelques extraits de ce magnifique discours : c’est tout à la fois un
modèle
de style pur, sévère et noble et un recueil de bo
ons, ont été regardés de tout temps comme dignes d’être proposés pour
modèles
à l’admiration de tous les peuples, et à l’imitat
vouer hautement que les auteurs anciens, par leur génie, ont servi de
modèles
à la plupart de leurs dignes émules des temps du
son plan, caractérise ses acteurs, et le tout en agissant. On voit le
modèle
de cette exposition dans Horace, et particulièrem
style de la tragédie ; c’est dans nos bons poètes qu’on trouvera des
modèles
excellents. Mais il peut être utile d’en récapitu
blimes. Racine sut éviter tous ces défauts, et devint le plus parfait
modèle
des poètes tragiques. Ses plans sont toujours exa
moins les honnêtes gens. Plus on a le goût fin et exercé sur les bons
modèles
, plus on le sent ; mais ce sont de ces choses qu’
est pluriel. Si le nominatif pluriel est privé de l’s, c’est qu’il se
modèle
sur la deuxième déclinaison latine où l’s fait dé
en âge à la renaissance, sur le seuil d’un nouveau monde. Le goût des
modèles
anciens, les traductions qui se multiplient, la v
it été transporté d’une admiration presque superstitieuse en face des
modèles
qui révélèrent enfin, avec l’idéal trop ignoré ju
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