presque dans leur langue. Ses études sont inpirées par la passion des
livres
, l’amour des lettres, l’enthousiasme du beau, et
qui ne lisent pas, qui seraient très-fâchés de lire, et qui n’ont des
livres
que pour la montre. Tous les moments qu’ils avaie
aurais encore, je le crois, du plaisir à tenir dans mes mains un beau
livre
. Je sentirais du moins le velouté de sa reliure,
nt vu ! Le bibliophile odieux, c’est celui qui achète brutalement des
livres
en convenant tout haut qu’il ne lit jamais. Notez
t la plus avide ; c’est elle qui fait monter ridiculement le prix des
livres
. Vous n’aurez jamais un volume, quand un de ces g
rétend l’avoir. Ils n’ont sur nous qu’un avantage, c’est que tous les
livres
leur sont bons pourvu qu’ils soient beaux, et que
, bibliophiles raisonnables, notre champ est plus restreint. Quand un
livre
n’est pas à notre usage, il a beau être bien bril
que trop exact à l’heure ; de ne rentrer chez soi que pour changer de
livres
et de méditations, ou pour se livrer à ce repos a
et cette belle bibliothèque de MM. de Bure n’existera donc plus ! Ces
livres
qu’ils avaient rassemblés avec amour vont se part
dispersées à leur tour. Triste sort des choses humaines ! O mes chers
livres
! un jour viendra aussi où vous serez étalés sur
peut-être que votre maître actuel ! Ils sont bien à moi pourtant, ces
livres
; je les ai tous choisis un à un, rassemblés à la
e en ce monde, et c’est notre faute si nous n’avons pas appris de nos
livres
eux-mêmes à mettre au-dessus de tous les biens qu
ste, il ne lit pas, et souvent il n’a jamais lu : il collectionne des
livres
, comme il ferait des tableaux, des coquilles, des
u juste et du vrai. » 1. M. de Sacy a dit ailleurs : « Le goût des
livres
, quand il n’est pas la passion d’une âme honnête,
sa conduite, pour remplir tous les devoirs du vrai honnête-homme. Un
livre
, où ces devoirs sont fort bien tracés, et qui est
mme d’honneur, ce sont les Offices de Cicéron, traduits par Barrett ;
livre
qu’on ne doit pas se contenter de lire, suivant P
r former l’esprit et le cœur des jeunes gens. Dans ce petit nombre de
livres
que je viens d’indiquer, on peut puiser le goût e
rir une bien profonde connoissance des hommes par le seul secours des
livres
. Il faut pour cela un grand usage du monde, et un
sage du monde, et une longue suite d’observations réitérées. Mais les
livres
nous abrègent infiniment ce travail, en nous donn
nous reste plus qu’à en faire de justes applications. La lecture des
livres
qui nous facilitent cette connoissance des hommes
nsées, maximes et réflexions morales du duc dt. C’est un des premiers
livres
bien écrits qui aient été publiés en France. Que
s, qui l’avoient sans doute lu avec précipitation. Son ouvrage est un
livre
fait pour les bons esprits et pour l’homme qui a
c tout le faste de leur morale, disparoître auprès de l’Evangile. Nul
livre
en effet n’offre des maximes si pures, si élevées
lui-même (a) : la sainteté de l’Evangile parle à mon cœur. Voyez les
livres
des philosophes avec toute leur pompe. Qu’ils son
te leur pompe. Qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un
livre
à la fois si sublime et si sage soit l’ouvrage de
t plus inconcevable que plusieurs hommes d’accord eussent fabriqué ce
livre
, qu’il ne l’est qu’un seul en ait fourni le sujet
lomnie. Le Traité de l’existence de Dieu, par Fénélon, est le premier
livre
qui doit nous mener à la connoissance de la relig
ntrées la nécessité et la vérité de la révélation, l’authenticité des
livres
saints et l’accomplissement des prophéties qu’ils
é indigne de Dieu même, et désespérant pour l’homme. Quand on a lu ce
livre
avec quelque attention, on ne peut regarder les p
nte de toutes, et pour le chrétien, et même pour l’homme du monde. Le
livre
où l’on peut le mieux la puiser, est l’Art de se
touchant, pour nous engager à le prendre. Parmi la grande quantité de
livres
qui peuvent nous animer à remplir les devoirs de
es d’une dévotion vraie, solide et non moins aimable, voulut avoir un
livre
particulier, pour se préparer à recevoir dignemen
de l’année, qui furent publiées par la voie de l’impression. Mais le
livre
, dont la lecture doit, pour cet objet, nous occup
a lecture doit, pour cet objet, nous occuper le plus fréquemment ; le
livre
le plus capable de nous faire aimer et pratiquer
faire aimer et pratiquer la vertu, est l’Imitation de Jésus-Christ ;
livre
admirable, plein de sagesse, de force et d’onctio
hrétien. En vous indiquant, mon cher ancien élève, ce petit nombre de
livres
de morale, je crois avoir rempli, du moins dans l
s qu’à méditer bien sérieusement les bons principes contenus dans ces
livres
; à vous les graver bien profondément dans l’espr
r. Je ou moi. Me pour à moi, moi. Exemples. Le maître me donnera un
livre
, c’est-à-dire, donnera à moi. Le maître me regard
r. Tu ou toi. Te pour à toi, toi. Exemples. Le maître te donnera un
livre
, c’est-à-dire donnera à toi. Le maître te regarde
s pronoms adjectifs qui marquent la possession d’une chose, comme mon
livre
, votre cheval, son chapeau ; c’est-à-dire, le liv
chose, comme mon livre, votre cheval, son chapeau ; c’est-à-dire, le
livre
qui est à moi, le cheval qui est à vous, le chape
— Première remarque. Ces pronoms sont toujours joints à un nom : mon
livre
, ton chapeau. Deuxième remarque. Mon, ton, son,
qui servent à montrer la chose dont on parle, comme quand je dis : ce
livre
, cette table, je montre un livre, une table 1.
nt on parle, comme quand je dis : ce livre, cette table, je montre un
livre
, une table 1. Singulier. Masculin. Féminin
quand je dis : Dieu qui a créé le monde, qui se rapporte à Dieu ; le
livre
que je lis, que se rapporte à livre : le mot auqu
onde, qui se rapporte à Dieu ; le livre que je lis, que se rapporte à
livre
: le mot auquel qui ou que se rapporte, s’appelle
eux exemples ci-dessus, Dieu est l’antécédent du pronom relatif qui ;
livre
est l’antécédent du pronom relatif que. Règle
PRÉFACE. La première édition de ce
livre
n’avait ni préface, ni avant-propos. Il me sembla
conseil de perfectionnement de l’enseignement moyen l’a adopté comme
livre
classique. D’autre part, quelques personnes ont p
tinés. Et notez qu’il ne s’agit pas ici d’espiègles écoliers que tout
livre
didactique ennuie par lui-même et quelle qu’en so
mais les leçons et les travaux de la rhétorique ? Avant tout donc ce
livre
, dans mon idée, devait être composé de façon que
l’ai fait. Mais je l’ai voulu d’autant mieux que, dans ma pensée, ce
livre
n’est pas exclusivement destiné aux rhétoriciens
rtaines idées, certains faits et certains hommes. On trouvera dans ce
livre
, à côté des noms de Platon, de Cicéron, de Pascal
e n’ai rien à changer. Je sais bien qu’il manque encore beaucoup à ce
livre
, qu’il répond mal au travail que j’y ai dépensé,
mps n’est plus où l’écrivain consumait des dix et vingt années sur un
livre
, bien sûr d’arriver toujours à propos. Au milieu
fait bien. Jeunes gens, vous surtout à qui s’adresse spécialement ce
livre
, vous qu’attendent les carrières de l’intelligenc
r amour de vos semblables. Sans doute, les préceptes formulés dans ce
livre
et les exercices qu’il recommande sont indispensa
és, je le décompose. Je suis, je crois, le seul homme qui ait mis des
livres
au jour sans être touché de la réputation de bel
se tourmenterait sans cesse les vivants. J’ai la maladie de faire des
livres
, et d’en être honteux quand je les ai faits. N…,
llais à lui, et le priai de me dire quels étaient quelques-uns de ces
livres
que je voyais mieux reliés que les autres. « Mons
lles questions ; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tous ces
livres
pour les satisfaire ; j’ai mon bibliothécaire qui
illé toute ma vie. Au sortir du collége, on me mit dans les mains les
livres
de droit : j’en cherchai l’esprit ; j’ai travaill
le tout uniquement pour son plaisir… « Il met plus d’esprit dans ses
livres
que dans sa conversation, parce qu’il ne cherche
age de La Bruyère sur le Bibliomane : « Mais quand il ajoute que les
livres
en apprennent plus que les voyages, et qu’il m’a
’escalier je tombe en faiblesse d’une odeur de maroquin noir dont ses
livres
sont tous couverts. Il a beau me crier aux oreill
ndroits près qui sont peints de manière qu’on les prend pour de vrais
livres
arrangés sur des tablettes, et que l’œil s’y trom
santerie, plein de traits qui annoncent un esprit plus solide que son
livre
. C’est, dit-il, une imitation du Siamois de Dufre
les Lucaniens, les Samnites, et autres. (Appian, De la Guerre civile,
livre
I, chap. xxxix.) (Note de Montesquieu.) 2. Les T
ne s’exerçait qu’à Rome. 6. Voyez les Lettres de Cicéron à Atticus,
livre
IV, lettre xviii. (Note de Montesquieu.) 1. Tum
1. Voltaire, dans ses lettres, a jugé ainsi l’Esprit des lois. « Ce
livre
m’a toujours paru un cabinet mal rangé, avec de b
avoue que Montesquieu manque souvent d’ordre, malgré ses divisions en
livres
et en chapitres ; que quelquefois il donne une ép
a à jamais un génie heureux et profond, qui pense et fait penser. Son
livre
devrait être le bréviaire de ceux qui sont appelé
ux 2. Lorsque M. de Solar lut l’Esprit des lois, il dit : « Voilà un
livre
qui opérera une révolution dans les esprits en Fr
mot qui sert à nommer une personne ou une chose, comme Pierre, Paul,
livre
, chapeau. 11. — Il y a deux sortes de noms, le
enre féminin à des choses qui ne sont ni mâles, ni femelles, comme un
livre
, une table, le soleil, la lune. 13. — Il y a de
n parle d’une seule personne ou d’une seule chose, comme un homme, un
livre
; le pluriel, quand on parle de plusieurs personn
de plusieurs personnes ou de plusieurs choses, comme les hommes, les
livres
. Comment se forme le pluriel dans les noms.
utez s à la fin du nom : le père, les pères ; la mère, les mères ; le
livre
, les livres ; la table, les tables. Première rem
fin du nom : le père, les pères ; la mère, les mères ; le livre, les
livres
; la table, les tables. Première remarque. Les n
truction peut s’acquérir partout, dans l’étude de la nature, dans les
livres
, dans- les voyages, dans nos rapports avec le mon
mieux elle sait goûter ce qui est beau et bon. La nature est le grand
livre
que nous ne devons jamais nous lasser d’étudier ;
te, il vaut mieux interroger notre mémoire et nos impressions que les
livres
; nos compositions auront une couleur plus vraie,
sir avec soin nos lectures : il y a des fleurs vénéneuses, il y a des
livres
où circule le poison. Il en est des livres comme
urs vénéneuses, il y a des livres où circule le poison. Il en est des
livres
comme des amis : un petit nombre suffit ; ce n’es
mûrissant, elle en comprendra la justesse, et finira par mépriser les
livres
futiles qui l’ont enthousiasmée un instant. Les m
er les livres futiles qui l’ont enthousiasmée un instant. Les mauvais
livres
gâtent le cœur et le goût : ils n’apprennent rien
t pas mieux utiliser son temps et ses loisirs. Mais, dira-t-on, quels
livres
choisir ? Les bons ouvrages ne manquent pas. Cons
daignez pas les orateurs et les moralistes ; ne reculez pas devant un
livre
sérieux : vous n’aurez pas à regretter votre temp
la hâte, pour arriver à la fin du volume : relisez plusieurs fois les
livres
ou les passages qui vous auront frappé ; vous en
une personne qui soit en état de sentir les beautés ou les défauts du
livre
, et de vous communiquer ses impressions. « J’aim
e plaît à une belle représentation dramatique, à la lecture d’un beau
livre
. Mais voyez comme les émotions sont différentes,
resque dans leur langue. Ses études sont inspirées par la passion des
livres
, l’amour des lettres, l’enthousiasme du beau, et
ersonne de relire La Rochefoucauld dans ces moments-là ? Prend-on son
livre
pour devenir plus fort, plus courageux, plus homm
que trop exact à l’heure ; de ne rentrer chez soi que pour changer de
livres
et de méditations, ou pour se livrer à ce repos a
et cette belle bibliothèque de MM. de Bure n’existera donc plus ! Ces
livres
qu’ils avaient rassemblés avec amour vont se part
dispersées à leur tour. Triste sort des choses humaines ! O mes chers
livres
! un jour viendra aussi où vous serez étalés sur
peut-être que votre maître actuel ? Ils sont bien à moi pourtant, ces
livres
; je les ai tous choisis un à un, rassemblés à la
e en ce monde, et c’est notre faute si nous n’avons pas appris de nos
livres
eux-mêmes à mettre au-dessus de tous les biens qu
r salutaire influence. Sans doute tout le monde ne peut pas faire des
livres
; le génie est le partage d’un bien petit nombre
e de luxe, une vaine décoration d’appartement. Ils aimaient les beaux
livres
, mais ils les aimaient pour les lire ; ils en par
s en paraient leurs esprits, ils en nourrissaient leur cœur. Dans ces
livres
, M. Duplessis et M. Parison avaient cherché et tr
. Parison avaient cherché et trouvé ce qui est le véritable fruit des
livres
, la tranquillité de l’âme, le goût d’une vie simp
Tâchons d’être bibliophiles aux mêmes conditions qu’eux ! Le goût des
livres
, quand il n’est pas la passion d’une âme honnête,
de l’étude des Pères, surtout de celle de saint Augustin. 305. Quels
livres
faut-il lire ? La raison suffirait pour nous app
nvariable, a placés au premier rang. Or, pour mériter cet honneur, un
livre
doit être irréprochable, tant sous le rapport mor
nir ? Le jeune littérateur doit donc rejeter impitoyablement tous les
livres
qui portent des atteintes plus ou moins funestes
Et lorsqu’on aura longtemps contemplé les merveilles de la Bible, le
livre
par excellence, et les grandes inspirations de la
odèles est de se borner à un petit nombre d’auteurs. La multitude des
livres
, dit Sénèque, au lieu d’enrichir et d’éclairer l’
ulent se former un goût sûr et un bon style, doivent donc lire peu de
livres
, et les choisir dans le genre de leur talent. C’e
réfléchie, courte et méthodique. D’abord, de ce que le nombre de ces
livres
est peu étendu, il s’ensuit que chacun doit être
és pour en lire d’autres, ne manquez pas de revenir aux premiers. Un
livre
dont l’importance est une fois hors de doute, n’e
encore de rendre une lecture fructueuse, c’est de ne pas lire un seul
livre
utile sans en faire, non pas l’analyse, ce serait
ce par les ouvrages les plus utiles, que l’on se garde de passer d’un
livre
à l’autre sans raison, et que l’on évite de couri
udes. La légèreté et le pédantisme sont trop souvent le caractère des
livres
de ce genre ; ici, les notions sont précises, ren
il dirige l’attention de ses auditeurs vers les beautés fécondes des
livres
saints, et il aime à former leur goût sur les che
port qui m’en a été adressé, j’ai la satisfaction de vous dire que ce
livre
ne contient rien de contraire aux principes de la
été faite, et un légitime hommage est rendu à la divine poésie de nos
livres
sacrés, si souvent dédaignée par les partisans ig
ié ce travail consciencieux qui mérite une place distinguée parmi les
livres
, classiques édités de nos jours, et je ne puis qu
rez comment tous les genres de poésie trouvent leurs modèles dans les
Livres
saints : l’Ode, dans les chants de Moïse et de Dé
e d’éloge votre sévérité ou plutôt votre justice à condamner certains
livres
, dont il ne faut à aucun prix se permettre la lec
ique, il est clair. Aussi désiré-je vivement le voir introduire comme
livre
classique dans notre maison ; il serait à la fois
e de vivre chez lui et pour lui, dans sa tour de Montaigne, parmi ses
livres
et ses pensées. Il ne voulait que « passer en rep
gument et sujet d’étude ». Vers 1580, parut la première édition de ce
livre
« consubstantiel à son auteur et membre de sa vie
de rhétorique. Trésor inépuisable d’observation et d’expérience, son
livre
, ouvert à n’importe quelle page, nous offre parto
ont il use. Non, il ne nous trompe pas, lorsqu’il dit : « Ceci est un
livre
de bonne foy. » Aussi a-t-il constamment ses fidè
amour des siens. (Essais, liv. II, chap. viii.) Montaigne et ses
livres
Pour me distraire d’une imagination importune
es10 ; ils me receoivent tousiours de mesme visage. Ie ne voyage sans
livres
, ny en paix, ny en guerre ; toutesfois il se pass
pluspart des membres de ma maison. Là, ie feuillette à cette heure un
livre
, à cette heure un aultre, sans ordre et sans dess
va pas seul, comme si3 les iambes l’agitent : ceux qui estudient sans
livre
en sont touts là. La figure en est ronde, et n’a
mon siege ; et vient m’offrant, en se courbant, d’une veue, touts mes
livres
, rengés sur des pulpitres à cinq degrez tout à l’
ant plus disposé à tout autre amusement, si léger qu’il soit, que mes
livres
, étant sous ma main, ne sauraient me faire défaut
. Comme lorsque. 4. Sa bibliothèque est circulaire et lui offre ses
livres
rangés à l’entour sur cinq rangs. 5. Prospect (
. Odyssée, XI, 235 Apollodore, Bibliothèque, I, 9, § 8. Cf. Welcker,
livre
cité, I, p. 313 et les Fragments de Sophocle, ré
crime à sa sœur Procné. Voyez Ovide, Métamorphoses, VI, 575 Welcker,
livre
cité, I, p. 379 Ahrens, livre cité, p. 341. Les
vide, Métamorphoses, VI, 575 Welcker, livre cité, I, p. 379 Ahrens,
livre
cité, p. 341. Les Cypriens.] Même sujet, selon We
leau qui représentait Télamon. (Virgile a imité ce trait dans le i er
livre
de l’Énéide.) Le chœur se composait sans doute de
composait sans doute de Cypriens, compagnons de Teucer. Voy. Ahrens,
livre
cité, p. 285. Le Tydée et les fils de Phinée.] On
philosophiques ou oratoires. Les traités, qu’on pourrait appeler des
livres
purement didactiques, sont des ouvrages où l’écri
. Il faut que, pour bien comprendre ce qui est dit au commencement du
livre
, on ne soit pas obligé de le lire ou de l’étudier
a dit souvent que les Français étaient les seuls qui sussent faire un
livre
. C’est surtout quand il s’agit des traités que l’
atoire. Il s’est donc déterminé à imprimer les Règles de l’éloquence,
livre
qui n’a rien de commun avec un autre ouvrage du m
lessantes dans la discussion contre une personne que quand on juge un
livre
. On sait que La Motte, ayant fait, dans le siècle
son adversaire jusqu’à la grossièreté la plus outrageante. J’ouvre le
livre
au hasard (p. 131), et j’y lis ces mots : Voilà
tous les lecteurs. Ce passage est curieux et mérite d’être cité. Le
livre
de madame Dacier, annoncé depuis longtemps, parut
rance qu’on remplirait la condition. Mais, après avoir achevé tout le
livre
, je trouvai qu’il n’y avait que la moitié de l’ou
ères, folies, ignorances entassées, ces beaux mots sont semés dans le
livre
de madame Dacier, comme ces charmantes particules
e. Le traité de l’Orateur est aussi un grand dialogue divisé en trois
livres
. Chez nous, Fontenelle s’est fait une juste réput
é en 1806. [Notice] Critique conservateur, M. Nisard a fait un
livre
qui manquait à la France. Il est le premier, il e
e de lui plaire. Elle s’est fait un idéal de l’esprit humain dans les
livres
; elle s’en est fait un du génie particulier de l
la France, un autre de sa langue3 ; elle met chaque auteur et chaque
livre
en regard de ce triple idéal4. Elle note ce qui s
ée des sciences morales. Quant au quatrième genre, les lecteurs de ce
livre
diront s’il répond à une réalité, ou si l’auteur
d’être un genre, et qui en refuserait l’éloge. L’art de lire les bons
livres
serait son vrai nom. Elle parle plus volontiers d
e de ses dégoûts ; elle tient plus à nous faire aimer les beautés des
livres
qu’à nous rendre trop délicats sur les défauts de
plaisirs d’esprit qui formaient notre goût. Ces leçons, devenues des
livres
, ont gardé dans leurs parties les plus solides le
là, pour cet âge, le profit proportionné2. Les fables ne sont pas le
livre
des jeunes gens ; ils préfèrent les illustres séd
en est un qui, par désœuvrement ou par fatigue des plaisirs, ouvre le
livre
dédaigné, quelle n’est pas sa surprise, en se ret
epuis la création du monde, jusqu’à la publication de l’Évangile, Les
livres
saints où sont consignés les événements antérieur
’ancien testament, le plus ancien, et le plus authentique de tous les
livres
, sont marquées la propagation du genre humain, la
es hommes de tous les âges, de toutes les conditions trouvent dans ce
livre
des livres la route qui doit les mener au vrai bo
de tous les âges, de toutes les conditions trouvent dans ce livre des
livres
la route qui doit les mener au vrai bonheur. À ne
’arrangement le plus naturel. L’éloquence continue qui règne dans les
livres
saints, n’y doit rien aux ressources de l’art : e
re. Elle fut si applaudie, qu’on donna le nom des neuf muses aux neuf
livres
qui la composent ; La narration d’Hérodote est en
e Sicile, avait fait une Bibliothèque historique, divisée en quarante
livres
, dont quinze seulement nous sont parvenus avec qu
es, et finissait à celle de Macédoine. Elle était divisée en quarante
livres
, dont il ne nous reste que les cinq premiers, ave
n langue grecque l’Histoire des antiquités romaines, divisée en vingt
livres
. Il ne nous en reste que les onze premiers, qui v
Rome, et finissait à la mort de Drusus sous Auguste. De cent quarante
livres
qu’elle renfermait, on n’a pu en sauver que trent
aduit ce dernier ouvrage, les Mœurs des Germains, et les six premiers
livres
des Annales. Le P. Dotteville a traduit le reste.
’ère chrétienne, avait composé l’Histoire d’Alexandre-le-Grand en dix
livres
. Les deux premiers ont été perdus, ainsi que la f
que le P. Maimbourg, jésuite, a publié sur la Décadence de l’Empire ;
livre
estimé même par les plus savants d’entre les Alle
, l’an 584 avant J.-C, avait fait l’Histoire des animaux. De quarante
livres
dont elle était composée, il ne nous en est parve
icéron. « Il est impossible, dit Antoine à Crassus, que l’auditeur se
livre
à la douleur, à la haine, à l’indignation, à la c
par ses paroles et son action. » Relisez aussi le chapitre II du VIe
livre
de Quintilien, où il traite des passions ; vous v
du sublime au ridicule il n’y a qu’un pas. Autre observation. Dans un
livre
, vous pouvez préparer le lecteur, l’amener peu à
faute n’en est pas à vous, mais à lui qui, d’humeur triste, a pris un
livre
gai, ou d’humeur gaie, un livre triste. Il n’en v
à lui qui, d’humeur triste, a pris un livre gai, ou d’humeur gaie, un
livre
triste. Il n’en va pas ainsi de l’orateur. L’orat
lacryma citius arescit. » Il répète deux fois cette sentence, dans le
livre
à Herennius et dans le De Inventione. L’émotion p
en 1806 [Notice] Critique conservateur, M. Nisard a fait un
livre
qui manquait à la France6. Il est le premier, il
t là, pour cet âge, le profit proportionné. Les fables ne sont pas le
livre
des jeunes gens ; ils préfèrent les illustres séd
en est un qui, par désœuvrement ou par fatigue des plaisirs, ouvre le
livre
dédaigné, quelle n’est pas sa surprise en se retr
vait peut-être gardé, comme prévoyance, de sa médiocrité première, un
livre
qui le rend un moment à lui-même, et lui fait sav
: « La mémoire n’aime que ce qui est excellent. » — « On dit que les
livres
sont bientôt lus, mais ils ne sont pas bientôt en
mot en, comme : les jeunes gens se forment l’esprit en lisant de bons
livres
1. Participe passé. Aimé, fini, reçu, rend
participe. EXEMPLES. La lettre que vous avez écrite, je l’ai lue. Les
livres
que j’avais prêtés, on les a rendus. Quelle affai
J’ai écrit une lettre. J’ai écrit des lettres. Vous avez acheté un
livre
. Vous avez acheté des livres. (Écrit, acheté, n
écrit des lettres. Vous avez acheté un livre. Vous avez acheté des
livres
. (Écrit, acheté, ne changent pas, quoique le ré
dans son traité de l’Invention, dans ses Topiques, et dans le second
livre
de l’Orateur. Mais lorsqu’elles auront à préparer
mme des caractères italiques dont on couvrirait toutes les pages d’un
livre
; ces caractères, à force de beaucoup distinguer,
garder de les calquer sur la ponctuation ordinaire de la plupart des
livres
. La ponctuation est, en général, fort arbitraire,
bon goût est reconnu. Quintilien, dans le dernier chapitre du onzième
livre
de ses Institutions, nous a laissé un grand nombr
point de vue, quelle persuasion pourra-t-il produire ? Nous lisons un
livre
avec plus de plaisir, lorsque nous avons une idée
nt deux manières tout à fait différentes de communiquer ses idées. Un
livre
, fait pour être lu, exige un style tout autre que
employer un homme qui s’adresse oralement à ses semblables. Dans les
livres
il faut viser à la correction et à la précision,
homme qui parle ou qui déclame en public, que d’un homme qui écrit un
livre
. Ses traités de politique (car ce sont les seuls
écrits sur cette matière est son traité de l’Orateur, divisé en trois
livres
. Dans aucun de ses ouvrages il n’a porté la perfe
vains anciens sur l’art oratoire, c’est Quintilien. Je connais peu de
livres
plus remplis de bon sens ; j’en connais peu où l’
t en même temps des modèles d’éloquence. Dans quelques parties de son
livre
, il a peut-être trop sacrifié à ce système artifi
que nous avons plus de guides à suivre. L’imprimerie a multiplié les
livres
, les a mis à la portée de tout le monde. Rien n’i
il nous donne du plan de son ouvrage au commencement de son troisième
livre
. Il observe que le sujet sur lequel il a entrepri
mbre d’exemples d’une narration parfaite. Au commencement du neuvième
livre
(ch. 5), son récit de la fameuse défaite de l’ar
rnes. La Guerre de Flandre, écrite en latin par Famien Strada, est un
livre
estimable, mais bien loin cependant de pouvoir êt
e système, eurent le plus grand succès. Gil-Blas, par Le Sage, est un
livre
plein de bon sens, qui nous apprend à connaître l
ion si profonde sur l’imagination du lecteur ; c’est en même temps un
livre
très instructif, puisqu’il nous montre comment l’
mblaient beaucoup aux Proverbes de Salomon, dont une grande partie du
livre
n’est composée que de phrases poétiques détachées
es des Arabes. Nous retrouvons encore ce genre de composition dans le
Livre
de Job. Il paraît que ce sont les Grecs qui, les
ée, le poète qui va composer une ode, si son génie a quelque feu, s’y
livre
tout entier et sans réserve ; s’il en est dépourv
lonais nommé Casimir, qui, dans le dix-septième siècle, publia quatre
livres
d’odes. Il est loin d’Horace pour la grâce et la
anciens que modernes, d’un mérite très distingué ; tels sont les six
livres
de Lucrèce de Rerum natura, les Géorgiques de Vir
sédaient au plus haut degré l’art de décrire. Virgile, dans le second
livre
de l’Énéide, fait un tableau si frappant du siège
e poésie que nous avons examinés jusqu’ici. En ne considérant que ces
livres
saints comme les plus anciens monuments poétiques
e longs développements pour prouver qu’il existe entre les différents
livres
de l’Ancien Testament une telle diversité de styl
idemment écrits en style prosaïque, il n’est pas moins évident que le
Livre
de Job, les Psaumes de David, le Songe de Salomon
d, le Songe de Salomon, les Lamentations de Jérémie, presque tous les
livres
des prophètes, et quelques passages de chapitres
la poésie. Il est incontestable que, dans l’origine, cette partie des
livres
sacrés fut écrite en vers, ou du moins en une esp
jecti membra poetæ . Lisez attentivement l’introduction historique du
Livre
de Job renfermé dans les deux premiers chapitres,
ieu en s’accompagnant avec divers instruments. Nous voyons au premier
livre
des Rois (ch. 10, v. 5), que Samuel dit à Saül qu
osé des hymnes et des poèmes sacrés. On trouve dans le chapitre 25 du
livre
ier des Chroniques, quelques détails sur les ins
t bien aux sujets sacrés ; voilà pourquoi nous le retrouvons dans les
livres
des prophètes aussi bien que dans les psaumes de
Aucun ouvrage n’est plus rempli de figures hardies et animées que les
livres
saints. Il convient de nous arrêter un instant su
nous arrêter un instant sur ce genre de mérite, parce que, ayant ces
livres
entre les mains dès notre plus bas âge, nous nous
alami et junci. Ces sortes d’images se reproduisent souvent dans les
livres
d’Isaïe. D’un autre côté, comme la Judée était un
ce qu’on appelle les dernières paroles de David, rapportées au second
livre
des Rois, ch. 23, v. 3 et 4 : Dominator hominum
ne des meilleures et une des plus naturelles que l’on trouve dans les
livres
saints. L’allégorie s’y représente encore très fr
tio et mors dixerunt : Auribus nostris audivimus famam ejus. Dans le
Livre
d’Isaïe, cette sublime description de la chute du
des pour le langage des hommes. Après ces remarques sur la poésie des
livres
saints en général, je terminerai cette dissertati
xamen rapide des différents genres de poésie que l’on trouve dans les
livres
saints, et du caractère distinctif des principaux
ent celles dont on retrouve les caractères dans l’Écriture sainte. Le
livre
des Proverbes est essentiellement dans le genre d
onstruites avec art qui distinguent toutes les poésies hébraïques. Le
livre
de l’Ecclésiaste, ainsi que quelques psaumes, et
les lamentations de David sur son ami Jonathan, quelques passages des
livres
des prophètes, et plusieurs psaumes composés par
e dans l’Écriture, et peut-être dans aucun ouvrage poétique, c’est le
livre
intitulé les Lamentations de Jérémie. Comme dans
e, c’est le livre intitulé les Lamentations de Jérémie. Comme dans ce
livre
le prophète pleure sur la destruction du temple e
que. Outre un grand nombre d’hymnes et de cantiques répandus dans les
livres
historiques et dans ceux des prophètes, comme le
comme le cantique de Moïse, celui de Déborah et beaucoup d’autres, le
livre
entier des Psaumes peut être regardé comme une re
s Psaumes peut être regardé comme une recueil d’odes sacrées. Dans ce
livre
, l’ode revêt toutes les formes de la poésie lyriq
de compositions poétiques. Il existe parmi les différents auteurs des
livres
sacrés une diversité bien évidente dans le ton et
sent assez apercevoir ; et une chose fort remarquable, c’est qu’aucun
livre
de l’Écriture n’a été traduit d’une manière plus
ce poète, et avec lesquelles on ne peut rien mettre en parallèle. Son
livre
a plus de clarté et plus de méthode dans la distr
mère, Jérémie à Simonide, et Ézéchiel à Eschyle. La majeure partie du
livre
d’Isaïe est tout à fait poétique, et à peine si l
rophéties de Daniel et de Jonas. Il ne nous reste plus qu’à parler du
Livre
de Job, auquel je consacrerai la fin de cet artic
il est fort ancien, et l’on croit même qu’il est antérieur à tous les
livres
poétiques. Le nom de son auteur n’est point parve
ncontre un ruisseau que les chaleurs ont tari. Cependant la poésie du
Livre
de Job n’est pas seulement égale à celle des autr
a poésie du Livre de Job n’est pas seulement égale à celle des autres
livres
saints, elle leur est même supérieure,-si toutefo
saints, elle leur est même supérieure,-si toutefois on en excepte le
Livre
d’Isaïe. De même qu’Isaïe est le plus sublime des
é n’est pas aussi sensible que dans l’Énéide ; car, pendant plusieurs
livres
, Achille ne reparaît plus sur la scène, il reste
Clorinde dans la Jérusalem ; enfin la vision d’Adam aux deux derniers
livres
du Paradis perdu. Non seulement de semblables épi
res et rapportées. L’épisode d’Olinde et de Sophronie, dans le second
livre
de la Jérusalem, est vicieux, parce qu’il pèche c
i l’on voudrait ne pas trouver la fable des Harpies dans le troisième
livre
de l’Énéide, et l’allégorie du Péché et de la Mor
vre de l’Énéide, et l’allégorie du Péché et de la Mort dans le second
livre
du Paradis perdu. Lecture XLIII. L’Iliade et l
ésie. Quiconque ouvre Homère doit songer qu’il va lire le plus ancien
livre
du monde après la Bible. Sans cette réflexion il
un odieux objet ! Comme l’admiration que lui témoignent, au troisième
livre
, les plus anciens chefs de l’armée la relève à no
élégance ; il avait tracé lui-même le plan de son palais ; au sixième
livre
, Hector le surprend à redresser et à polir ses ar
mple que celui des plus grands poètes, rappelle la poésie de quelques
livres
de l’Ancien Testament. Ceux qui ne le connaissent
sous nos yeux. On peut en citer pour exemple cet endroit du quatrième
livre
où une flèche lancée par Pandarus rompt la trêve
t la trêve qui existait entre les deux armées ; et surtout au sixième
livre
ces adieux si touchants d’Hector à Andromaque, da
épique. L’intérêt ne se soutient pas toujours dans les douze derniers
livres
, lorsqu’Ulysse est rentré dans Ithaque. Quoique l
e où il se découvre à sa nourrice Euryclée, et celle, au dix-neuvième
livre
, où il paraît devant Pénélope sans en être reconn
me doux et presque impassible. Sa conduite envers Didon, au quatrième
livre
, surtout le discours qu’il lui adresse après qu’e
uteur n’a pas eu le temps d’achever. L’on assure que les six derniers
livres
n’ont pas reçu la dernière main du poète, qui, po
ant, sur la foi d’un oracle, réclame un établissement dans le Latium,
livre
le pays aux fureurs de la guerre, tue l’amant de
’Andromaque. Dans l’Énéide, il y en a un très grand nombre. Le second
livre
est un chef-d’œuvre que rien n’égala jamais, et V
laisir. C’est ainsi qu’on ne s’est point lassé d’admirer le quatrième
livre
, qui renferme la passion malheureuse et la mort f
s sublimes. L’entrevue d’Énée avec Andromaque et Hélène, au troisième
livre
, les épisodes de Pallas et d’Évandre, de Nysus et
tout elles s’y présentent en grand nombre, même dans les six derniers
livres
. Les parties les plus travaillées sont les premie
s premier, second, quatrième, sixième, septième, huitième et douzième
livres
. Virgile, dans les descriptions de batailles, est
À cet égard, l’antiquité ne nous offre rien de comparable au sixième
livre
de l’Énéide : la scène est grande et frappante ;
de l’imiter, il l’a traduit littéralement. C’est ainsi qu’au premier
livre
de l’Énéide, par exemple, la description de la te
ête et le discours d’Énée à ses compagnons sont traduits du cinquième
livre
de l’Odyssée ; c’est ainsi que presque toutes les
e possédons aujourd’hui, ce poème n’est pas terminé : ou les derniers
livres
ont été perdus, ou l’auteur a laissé son travail
et transporter brusquement son lecteur d’un lieu dans un autre. Il se
livre
à de fréquentes digressions, et quitte trop souve
la nature ; sur les serpents d’Afrique, par exemple, dans le neuvième
livre
, sur les sources du Nil, dans le dixième. On trou
iquité. Il a, par exemple, dessiné de main de maître, dans le premier
livre
, les caractères de César et de Pompée ; rien n’es
ffet sublime. La description de l’enfer, au commencement du quatrième
livre
, est singulièrement frappante, ainsi que l’appari
aimables et tendres, comme l’asile champêtre d’Herminie, au septième
livre
; les enchantements et la beauté d’Armide, au qua
son voyage qui a précédé son arrivée à Mélinde. Ce récit occupe trois
livres
entiers ; il est bien conçu ; il renferme un gran
réservés. Mais la plus noble conception du poète se trouve au sixième
livre
, dans le récit que Vasco fait au roi de Mélinde d
aimable et tendre qu’il serait impossible d’imiter. Les six premiers
livres
, dans lesquels Télémaque raconte ses aventures à
le devient ensuite plus languissante, surtout dans les douze derniers
livres
; elle manque tout à fait de vigueur dans les des
ournalier sur la terre, que de commander à tous les morts. Au sixième
livre
de l’Énéide, l’on aperçoit déjà dans les idées un
e, je dirai même d’aucun poème, est le songe dans lequel, au septième
livre
, saint Louis transporte Bourbon dans le ciel et a
, de Bélial, sont admirablement peints dans les éloquents discours du
livre
second. Les anges du Seigneur, quoique représenté
errière lui Virgile, et tous les poètes connus. Les premier et second
livres
du Paradis perdu sont presque tout entiers sublim
randes, les plus élevées qu’ait formées le génie poétique. Au sixième
livre
, quelle majesté surtout dans l’intervention du Me
surtout dans l’intervention du Messie ! Il est vrai que, dans ce même
livre
, il se trouve aussi des fautes graves, et que les
turellement arriver ce que le philosophe Dumarsais a observé dans son
livre
des Tropes, que les figures de rhétorique ne sont
ils sont applaudis ; Ils n’ont droit qu’à notre indulgence. Les vieux
livres
sont des trésors Dit la sotte et maligne Envie. C
rent sa plume pour justifier la mort de leur roi, et pour répondre au
livre
que Charles II avait fait écrire par Saumaise au
de cette révolution étrange ne périra jamais chez les hommes, et les
livres
de Saumaise et de Milton sont déjà ensevelis dans
ue l’on a le plus admirées pour leur sublimité, comme l’ode 4 du ive
livre
: Qualem ministrum fulminis alitem . Il me sembl
lui donner ; la nature seule était son guide. Ce n’est point dans les
livres
qu’il avait appris à la connaître. Il descendaita
? Voilà pourtant, jeunes Pisons, voilà l’image exacte et fidèle d’un
livre
où les idées confuses ressembleraient aux songes
raison : voilà le principe et la source des bons vers Socrate et les
livres
de ses disciples vous fourniront les idées premiè
gréable, il faut plaire et instruire en même temps. C’est alors qu’un
livre
fait la fortune des Sosies, et qu’il franchit les
4qu’il sera tout-à-fait-semblable 15isti tabulæ, à ce tableau, 16le
livre
17vanæ dont les idées vaines (confuses) : 18ser
et le principe 882et la source du bien écrire. 883Les papiers (les
livres
) Socratiques 884pourront montrer à toi 885la ch
enfants Romains 929apprennent par de longs calculs 930à diviser une
livre
931en cent parties. 932Que le fils d’Albinus me
ais-tu (pourrais-tu) 937avoir dit (dire) cela ? — 938Le tiers d’une
livre
(quatre onces). — 939Bien ! tu pourras 940conse
harmant le lecteur 988et en l’instruisant tout-à-la-fois. 989Un tel
livre
990vaut (rapporte) beaucoup d’argent 991aux Sos
(rapporte) beaucoup d’argent 991aux Sosies (au libraire), 992un-tel
livre
aussi passe la mer, 993et proroge (assure) 994u
Dieux, 1072ni les colonnes des portiques 1073 où s’exposaient les
livres
en vente, 1074n’ont permis aux poëtes 1075d’êt
pas ici comblé d’honneurs, comme dans le vers 107 de l’épître Ire du
livre
Ier : Liber, honoratus, pulcher, rex denique reg
ontraignit. Voyez Horace, Art poétique, vers 283 et 284, et épître I,
livre
II, vers 152 et suivants : Quin etiam lex Pænaq
uste. Page 42. — 1. Poteras dixisse ? — Triens… C’est le tiers d’une
livre
ou d’un as. La livre avait douze parties égales,
Poteras dixisse ? — Triens… C’est le tiers d’une livre ou d’un as. La
livre
avait douze parties égales, appelées onces ; ses
ient : 1° uncia, l’once ; 2° sextans, deux onces, ou le sixième de la
livre
; 3° quadrans, trois onces, ou le quart de la liv
le sixième de la livre ; 3° quadrans, trois onces, ou le quart de la
livre
; 4° triens, quatre onces, ou le tiers de la livr
ou le quart de la livre ; 4° triens, quatre onces, ou le tiers de la
livre
; 5° quincunx, cinq onces ; 6° semis (pour semiss
7° septunx, sept onces ; 8° bes, huit onces, ou les deux tiers de la
livre
; 9° dodrans, neuf onces, ou les trois quarts ; 1
quarts ; 10° dextans, dix onces ; 11° deunx, les onze douzièmes de la
livre
; 12°, enfin, as, la livre, ou l’as, réunion des
nces ; 11° deunx, les onze douzièmes de la livre ; 12°, enfin, as, la
livre
, ou l’as, réunion des douze onces. — 2. Pransœ La
pour des vers médiocres, composés à sa louange. Voyez l’épître Ire du
livre
II, vers 232 et suiv. : Gratus Alexandro regi Ma
manie, Au défaut du génie, Récompensait en lui le désir d’en avoir. (
Livre
XVIII, ode ii, au prince Eugène.) Page 48. — 1.
poésie, est le même dont il est question au vers 38 de la satire X du
livre
1er : Hæc ego ludo, Quæ nec in æde sonent certan
arus, poëte distingué, en l’honneur de qui a été composée l’ode XX du
livre
1er : Quis desiderio sit pudor aut modus Tam car
ue impartial tracé par le poëte dans l’Epître à Florus (la seconde du
livre
II), vers 109 à 125. Nous rapprocherons surtout l
tue, et partant assez neuve, que les deux premières Epîtres du second
livre
forment, avec l’Épître aux Pisons, un Art poétiqu
envahit jusqu’au Dictionnaire de l’Académie, et dans la Préface de ce
livre
, M. Villemain a employé le mot déconstruire, qui
ndre avec les points accumulés si ridiculement employés dans certains
livres
modernes. Dans Virgile, Neptune gourmande ainsi l
er ou respecter. 212. La permission est une figure par laquelle on se
livre
à son adversaire pour toucher sa pitié, ou bien o
cte ? Buffon a su le rendre harmonieux en disant d’un fleuve : Il se
livre
à la pente précipitée de ses cataractes écumantes
l’étude de la jeunesse, dit le R. P. de Boylesve, sera donc la Bible,
livre
des livres, expression fidèle de la parole de Die
la jeunesse, dit le R. P. de Boylesve, sera donc la Bible, livre des
livres
, expression fidèle de la parole de Dieu, et c’est
ice ou l’erreur ne peut être proposé pour type du beau littéraire. Un
livre
n’est classique, c’est-à-dire propre à être étudi
’entendons ici, ne consiste pas à parcourir rapidement les pages d’un
livre
pour charmer ses loisirs ou pour satisfaire une c
stance étrangère qui se change en sa propre substance. La société des
livres
est pleine d’enseignements pour tous les âges ; m
t, elle a une foule d’avantages et d’attraits. 261. Pour le choix des
livres
, il y a trois précautions principales à prendre :
res, il y a trois précautions principales à prendre : s’interdire les
livres
dangereux sous le rapport moral, ne pas lire ceux
it nombre. 262. Le jeune élève doit d’abord s’interdire avec soin les
livres
qui portent des atteintes funestes à la religion
e style est l’homme, lisez avant tout, pour vous former le style, des
livres
qui contribuent à former l’homme, c’est-à-dire de
style, des livres qui contribuent à former l’homme, c’est-à-dire des
livres
qui vous apprennent à bien penser, à bien vouloir
me moral. 263. La seconde règle qu’il faut observer dans le choix des
livres
, c’est de ne point lire les auteurs médiocres et
es qu’il faut toujours s’attacher12. 264. Enfin, dans le choix de ses
livres
, il faut savoir se borner. Ce n’est pas en lisant
livres, il faut savoir se borner. Ce n’est pas en lisant beaucoup de
livres
que l’on s’instruit, mais en lisant beaucoup un m
aucoup de livres que l’on s’instruit, mais en lisant beaucoup un même
livre
. Multum legendum, non multa (Pline le Jeune). P
oins d’ouvrages médiocres. 265. Ce n’est pas tout de bien choisir les
livres
qu’on veut lire, il faut encore apporter de la mé
c ordre, avec sobriété, avec lenteur, avec réflexion. 266. Il y a des
livres
qu’on ouvre seulement pour y puiser un fait ou un
a choisi ces derniers, il faut savoir s’y tenir et ne pas voltiger de
livre
en livre. Commencez toujours par les livres les p
ces derniers, il faut savoir s’y tenir et ne pas voltiger de livre en
livre
. Commencez toujours par les livres les plus utile
enir et ne pas voltiger de livre en livre. Commencez toujours par les
livres
les plus utiles et qui se rapportent mieux à votr
ée de butin. 267. La sobriété veut d’abord qu’on ne lise pas tous les
livres
qui se présentent sous la main, et nous avons déj
Ayez une plume ou un crayon sous votre main, et ne quittez jamais un
livre
sans avoir extrait quelque pensée ou noté quelque
lle. C’est ainsi que Virgile a imité l’Odyssée, dans les six premiers
livres
de l’Énéide, et l’Iliade dans les six derniers. B
sez et relisez avec attention un morceau bien écrit ; puis, fermez le
livre
, prenez la plume, essayez de le reproduire à votr
rent une foule d’exemples écrits avec un remarquable talent. Mais les
livres
de Moïse, et surtout la Genèse, dans leur noble e
du cheval ; mais la plus belle de toutes est celle qu’on lit dans le
livre
de Job. (Voir le nº xiii.) Voici comment Barthélé
et l’usage. C’est ce qu’on appelle le cérémonial des lettres, et les
livres
spéciaux contiennent des règles à ce sujet. De
talent. Il existe assez de belles pages sur la littérature, mais les
livres
qui en résument bien les préceptes seront toujour
ce travail, il ne suffit pas de rapetisser un auteur et de réduire un
livre
à un petit nombre de phrases ; il faut marquer, p
n qu’ils ne soient pas écrits en vers. Il y en a plus encore dans les
livres
des prophètes et des autres écrivains sacrés que
rée, il faut passer chez les Hébreux et chercher nos modèles dans les
livres
saints. C’est en effet chez eux que nous trouvons
ennent les odes de Pindare. Dans Horace, les plus belles du troisième
livre
ont aussi le même caractère. 435. Puisque le suje
les meilleurs ne valent presque rien. Ce sont, comme dit Bossuet, des
livres
corrupteurs de la vie humaine, où la vertu et la
rmant tableau du genre pastoral, l’histoire de Ruth, qui forme un des
livres
de nos saintes Écritures. (Voir le nº xix.) Ch
ton nom de tes propres écrits. (Boileau.) Ci-gît l’auteur d’un gros
livre
Plus embrouillé que savant ; Après sa mort il cru
les détails, le génie nous frappe en masse. Pour admirer le cinquième
livre
de l’Énéide, il faut le lire ; pour admirer le se
r. C’est qu’en effet la langue, et surtout la langue française, ne se
livre
pas à tout venant : elle exige une lutte et ne se
ouche ; il se retire confus et va s’agenouiller ailleurs ; il tire un
livre
pour faire sa prière, et c’est sa pantoufle qu’il
n instrument utile, Fais qu’au juste héritier le sceptre soit remis :
Livre
en ses faibles mains ses puissants ennemis ; Conf
fiant en la main qui délivre, Je me faisais relire aux pages du saint
livre
L’histoire du berger que protégeait le ciel, Ou D
cle, que tu ne connais pas encore, te portera bientôt, de ma part, un
livre
qui t’amusera beaucoup ; il est tout plein de bel
es images, et, dès qu’on t’aura expliqué comment il faut se servir du
livre
, tu pourras t’amuser toute seule. Adèle et Rodolp
, vous êtes immortels ! (Delille.) XVI. Analyse de l’Énéide.
Livre
Ier. Énée, étant parti de Sicile, vogue sur la me
et celui de ses propres malheurs, depuis son départ de cette ville.
Livre
II. Le héros raconte à Didon le stratagème dont s
nombre de Troyens, enfin, la perte qu’il fit de Créuse, son épouse.
Livre
III. Suivant le récit que continue Énée, il équip
on père, et essuya la tempête qui le jeta sur les côtes de Carthage,
Livre
IV. Didon devient éperdument amoureuse d’Énée, qu
e triomphe alors de sa passion, il part ; Didon se tue de désespoir.
Livre
V. Une tempête fait prendre à Énée le parti de re
Sicile une ville où il laisse une partie de sa suite, et s’embarque.
Livre
VI. Énée aborde à Cumes ; la Sybille lui annonce
térité, et lui peint les plus fameux héros de la République romaine.
Livre
VII. Énée arrive à l’embouchure du Tibre, dans un
illant Turnus rassemble les troupes latines et celles de ses alliés.
Livre
VIII. Le héros troyen, suivant le conseil du dieu
ors de Vénus, sa mère, des armes que Vulcain avait forgées pour lui.
Livre
IX. Turnus, averti par Junon, profite de l’absenc
précipite du haut du rempart dans le Tibre et va rejoindre l’armée.
Livre
X. Tous les dieux de l’Olympe s’assemblent par l’
rivé à sa nouvelle ville, les ennemis s’opposent à sa descente. Il se
livre
un combat dans lequel Pallas, fils du roi Évandre
ce dans le combat, est tué avec son fils Lausus par le héros troyen.
Livre
XI. Les deux parties conviennent d’une suspension
t en embuscade dans les montagnes où est Énée. D’un autre côté, il se
livre
un combat de cavalerie dans lequel les Latins déf
ourir la ville. Énée le suit et l’atteint ; mais la nuit les sépare.
Livre
XII. Un combat singulier entre Énée et Turnus doi
oupeaux et celui des abeilles, tels sont les quatre sujets des quatre
livres
des Géorgiques. Chant Ier. Après une invocation
teurs ? 261. Combien faut-il prendre de précautions pour le choix des
livres
? 262. Faut-il s’interdire tout ouvrage immoral ?
médiocres et imparfaits ? 264. Faut-il se borner à un petit nombre de
livres
? 265. De quelle manière faut-il lire, pour tirer
e, De l’étude et de l’enseignement des lettres, ch. vi ; Cormenin, Le
livre
des orateurs, art. Lamartine. 21. Auteurs à cons
allai à lui, et le priai de me dire quels étaient quelques-uns de ces
livres
que je voyais mieux reliés que les autres. « Mons
lles questions ; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tous ces
livres
pour les satisfaire ; j’ai mon bibliothécaire qui
age de La Bruyère sur le Bibliomane : « Mais quand il ajoute que les
livres
en apprennent plus que les voyages, et qu’il m’a
’escalier je tombe en faiblesse d’une odeur de maroquin noir dont ses
livres
sont tous couverts. Il a beau me crier aux oreill
ndroits près qui sont peints de manière qu’on les prend pour de vrais
livres
arrangés sur des tablettes, et que l’œil s’y trom
santerie, plein de traits qui annoncent un esprit plus solide que son
livre
. C’est, dit-il, une imitation du Siamois de Dufre
ontenté des sciences qu’on nous enseignait, j’avais parcouru tous les
livres
traitant de celles qu’on estime les plus curieuse
s langues que l’on y apprend sont nécessaires pour l’intelligence des
livres
anciens ; que la gentillesse des fables réveille
n elles aident à former le jugement ; que la lecture de tous les bons
livres
est comme une conversation avec les plus honnêtes
déjà donné assez de temps aux langues, et même aussi à la lecture des
livres
anciens, et à leurs histoires, et à leurs fables.
que celle qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand
livre
du monde, j’employai le reste de ma jeunesse à vo
Mais, après que j’eus employé quelques années à étudier ainsi dans le
livre
du monde et à tâcher d’acquérir quelque expérienc
e cas, mettre le Traité de la poésie entre les mains des élèves comme
livre
de lecture : ce qui serait d’autant plus facile à
ragraphe, que déjà il bâille, l’ennui le saisit, et il est dégoûté du
livre
et de la science. — D’ailleurs, toutes les questi
ication de ce cours, la Poétique, qui a paru il y a quelques mois. Ce
livre
nous a déjà valu des encouragements bien précieux
ût et à orner leur cœur, et qui mérite une place distinguée parmi les
livres
classiques édités de nos jours ; de nous louer d’
x caprice, Fasse de vos écrits prospérer la malice, Et qu’enfin votre
livre
aille, au gré de vos vœux, Faire siffler Cotin ch
a haine des sots ? Quel démon vous irrite et vous porte à médire ? Un
livre
vous déplaît : qui vous force à le lire ? Laissez
? Ai-je par un écrit Pétrifié sa veine et glacé son esprit ? Quand un
livre
au Palais se vend et se débite, Que chacun par se
hemin qu’il faut suivre, M’inspira, dès quinze ans, la haine d’un sot
livre
, Et, sur ce mont fameux où j’osai la chercher, Fo
e, Qui doit y soulever un peuple de mutins : Ainsi le ciel l’écrit au
livre
des destins. A ce triste discours, qu’un long
mouvement est imité de Juvénal, début de la Ire satire. 4. Plusieurs
livres
des Lettres de Balzac lui sont adressés. Et l’on
ogue à celle d’Horace, lorsqu’il montre, dans la quinzième ode du Ier
livre
, Pallas préparant contre les Troyens son char et
x nobles48 et les fist conduire hors de l’ost à sauveté. (Chroniques,
livre
I, § 312.) Ces six bourgeois se mirent aussitôt à
que ung aultre l’eust faict, ne privé, ny estrange131. (Mémoires,
livre
VI, chap. xi.) Rabelais (1495-1553) Né à
eux qui étaient en icelui156. (La vie de Gargantua et de Pantagruel,
livre
1, chap. xxxvi.) Le son et la fumée A Paris
ée, si plus juridiquement eût été par eux sentencié198. (Pantagruel,
livre
III, chap. xxxvii.) Bonaventure Des Périers (
592. Sous le titre d’Essais, il a publié, puis incessamment retouché (
livres
I et II, 1580 ; livre III, 1588), un ouvrage, éga
sais, il a publié, puis incessamment retouché (livres I et II, 1580 ;
livre
III, 1588), un ouvrage, également remarquable par
entreprises des conseillers plus gens de bien que ceux-là. » (Essais,
livre
I, chap. xxiii.) Sur l’éducation des enfants c
usippus455. Où est leur profit, que456 là fût aussi leur ébat. (Id.,
livre
I, chap. xxv.) Les « pertes457 triomphantes à
; et consiste l’honneur de la vertu à combattre, non à battre. (Id.,
livre
1, chap. xxx.) Balzac (1594-1654) Né en 15
cours de la Méthode 477 (1637) : il n’y a peut-être en effet point de
livre
dont l’apparition marque une date aussi important
ui fut mêlé aux troubles de la Fronde, est surtout connu par le petit
livre
intitulé Réflexions et Sentences ou Maximes moral
stoire des variations, des églises protestantes). Quelques-uns de ses
livres
ont été composés pour le dauphin, dont il fut pré
ion765. » (Politique tirée des propres paroles de l’Écriture sainte,
livre
I, article ii.) La bonté Loin de nous les h
s animaux, à qui apparemment elle sert de pâture, je me mis à lire un
livre
que j’avais sur moi, et j’y trouvai une chose for
n esprit singulièrement personnel et perspicace, sont en effet un des
livres
les mieux écrits, les plus fins et les plus varié
n beau-frère : ce sont les Mémoires du Chevalier de Gramont. C’est un
livre
d’une rare frivolité et l’on se demande, après l’
illeures pages des Mémoires : c’est à ce titre qu’il faut garder à ce
livre
un souvenir. Histoire d’un habit de bal I
ée à la dent avec beaucoup d’adresse ; mais on commença par faire des
livres
, et puis on consulta l’orfèvre. Rien n’est plus n
gion naturelle950 : il était persuadé de la révélation, et, parmi les
livres
de toute espèce qu’il avait sans cesse entre les
s portaient un pareil jugement. (Histoire de Gil Blas de Santillane,
livre
II, chap. ii.) Saint-Simon (1675-1755) Lou
marquer par de petites bougies, qu’elles avaient pour lire dans leurs
livres
et qui donnaient à plein sur leur visage. La régu
nouveau système. Il était bien avancé, lorsqu’il parut divers petits
livres
du sieur de Boisguilbert, lieutenant général au s
e Vauban, sans se connaître l’un l’autre1042. De ce travail naquit un
livre
savant et profond sur la matière1043, dont le sys
térêts. Chamillart, qui avait succédé1045 à Pontchartrain, examina ce
livre
; il en conçut de l’estime : il manda Boisguilber
rèrent la profondeur, la justesse, l’exactitude et la clarté. Mais ce
livre
avait un grand défaut1051 : il donnait, à la véri
pas surprenant que tant de gens si puissants en tout genre, à qui ce
livre
arrachait tout des mains, conspirassent contre un
x gendres de M. Colbert1058, de l’esprit et du gouvernement duquel ce
livre
s’écartait fort, et furent trompés1059 par les ra
orte, reçut très mal le maréchal de Vauban lorsqu’il lui présenta son
livre
, qui lui était adressé dans tout le contenu de l’
il aurait été le meilleur soldat d’Alexandre. (De l’Esprit des Lois,
livre
X, chap. xiii.) Voltaire (1694-1778) Né à
avoir payé la taille, le taillon, les aides et gabelles, le sou pour
livre
, la capitation et les vingtièmes1120, ne se trouv
ir prévenu le secours qui m’était destiné. (Émile ou de l’Éducation,
livre
II) Les chansons de Tante Suson Hors le tem
pauvre tante Suson l’ont chanté, (Les Confessions, première partie,
livre
I, 1719-1723.) Les voyages a pied Je ne con
and on veut voyager, il faut aller à pied. (Émile ou de l’Éducation,
livre
V.) En Suisse Je me rappellerai toute ma vi
rais dans leur grange de meilleur cœur qu’au bal de l’Opéra. (Emile,
livre
IV.) Le pot de beurre A M. Le Comte De Lastic1
z moi ; que ce panier contenait, entre autres choses, un pot de vingt
livres
de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais c
ce ne se prêtât ; car l’indigence est presque toujours officieuse. Un
livre
était-il couvert de poussière, un de ses pans s’o
ne tapisserie de Bergame, une planche de sapin qui soutenait quelques
livres
, quelques estampes enfumées, sans bordure1217, cl
ain de seigle, un petit fromage, un morceau de lard, et deux ou trois
livres
de bœuf : ma mère y avait ajouté une douzaine de
dans les collèges, on n’apprenne que du latin. (Mémoires d’un père,
livre
I.) Beaumarchais (1732-1799) Né à Paris e
ion ; les principaux sont les Considérations sur la France (1796), le
livre
Du Pape (1819) et les Soirées de Saint-Pétersbour
urés célèbres, Delphine (1802) et Corinne ou l’Italie (1807), et deux
livres
remplis d’idées neuves et qui devaient exercer un
n hâte allèrent prendre des chevaux à la poste. (Corinne ou l’Italie,
livre
1, chap. iv.) Schiller Schiller était1352 u
le à un gros bouquet de fiancée de village. (Mémoires d’Outre-Tombe,
livre
II.) Les pèlerinages Dans les siècles de ba
l’aventure d’Homère1372. (Génie du Christianisme, quatrième partie,
livre
VI, chap. viii.) M. Violet Je me trouvais e
rtège des étoiles, et il se réjouissait dans son cœur. (Les Martyrs,
livre
I.) Un martyr Le peuple s’assemblait à l’am
tourne son esprit et son cœur uniquement vers le ciel. (Les Martyrs,
livre
XXIV.) Les Francs1426 Parés de la dépouill
de l’autre, formaient le cadre de ce grand tableau. (Les Martyrs,
livre
VI.) Paul-Louis Courier (1772-1825) Paul-L
rompre ouvertement avec l’Église. C’est alors qu’il publia plusieurs
livres
qu’on jugea dangereux, non sans raison, mais dont
plis d’une inexprimable douceur : les Paroles d’un croyant (1834), le
Livre
du peuple (1857), une Voix de prison (1846). Cito
écrit au lèvre du souverain Juge parmi ceux des parricides ’ (Le
Livre
du peuple, XIL) Justice et charité Ne pas f
t accompli le devoir, la loi de justice ci la loi d’amour1481. » (Le
Livre
du peuple, X.) Guizot (1787-1874) Né à Nîm
tait une longue vie ». (Histoire de la Révolution d’Angleterre 1490,
livre
VII.) Savoir dire non Lettre à Mademoiselle
l de la mort et les éloges de la postérité. (Histoire des Girondins,
livre
XLIV, xv.) La barque brisée Nous nous hâtâm
s. Puis elle alla se rasseoir, et ne dit plus rien. (Les Confidences
livre
VII. Graziella ; épisode XV.) Augustin Thierr
vénement. (Histoire de la conquête de l’Angleterre par les Normands,
livre
VII) Galeswinthé Le mariage de Sighebert151
récits peuvent nous faire sourire, nous qui les lisons dans de vieux
livres
, écrits pour les hommes d’un autre âge ; mais, au
t, avec une rapide Histoire de la Révolution française (1824), divers
livres
sur l’histoire du xvie siècle, Marie Stuart, Cha
e d’être mon propre geôlier. (Servitude et Grandeur militaires 1538,
livre
III, vi) Thiers (1797-1877) Né à Marseille
evait être le dernier1544 !... (Histoire du Consulat et de l’Empire,
livre
XLIV.) La Bérézina1545 I Éblé et ses pon
devait promptement succomber. (Histoire du Consulat et de l’Empire,
livre
XLV.) Michelet (1798-1874) Né à Paris en
bares, et on l’appela la guerre inexpiable. (Histoire romaine 1571,
livre
II, chap. iv.) L’alouette L’oiseau des cham
bienfaits de la liberté. (Histoire de la Révolution française 1581,
livre
VIII, chap. V.) Souvenirs d’enfance1582
qui j’avais bien plus de rapports, m’aurait tué. (Ma Jeunesse 1588,
livre
I, chap. iii.) Lacordaire (1802-1861) Jea
our, il se leva de son fauteuil et alla à sa bibliothèque chercher un
livre
. Ce livre était sur un des rayons d’en haut. Comm
leva de son fauteuil et alla à sa bibliothèque chercher un livre. Ce
livre
était sur un des rayons d’en haut. Comme l’évêque
une des trois avait à recueillir d’une grand’ tante cent bonnes mille
livres
de rentes ; le deuxième était substitué au titre
elui auquel on ne succède point. » (Les Misérables, première partie,
livre
I, chap. iii et iv.) Alexandre Dumas (1803-18
e, c’est elle qui nous tuera. » Là-dessus arrive le ministre1622, son
livre
sous le bras ; on nous mène tous deux sous un cer
eux, plus qu’un grand penseur et un grand écrivain. Citons, parmi ses
livres
les plus connus, de vastes poèmes en prose : Ahas
e pied de l’homme nous foulera-t-il jamais ? » (Merlin l’enchanteur,
livre
II, ch. iv et v.) La « Marseillaise » La vé
victoire a éclaté en même temps que la bataille1641. (La Révolution,
livre
XI, iii.) George Sand (1804-1876) Née en 1
les Conférences parisiennes (1874), dans l’Art de la lecture (1878),
livre
charmant qui n’apprend plus seulement à bien lire
0 « Maintenant, Schmoûle, dit David, tu vas prêter serment sur ce
livre
, en présence de l’Éternel qui t’écoute ; tu vas j
promis ? S’il ne l’a pas promis à Christel, qu’il pose la main sur le
livre
de la loi, et qu’il dise : « Je jure non ! je n’a
qu’il a de plus poétique ou de plus joyeux ; enfin il n’est point de
livre
qui, de notre temps, ait passé pour une satire pl
, des encriers de buis, qui sentaient bon, des cahiers cartonnés, des
livres
neufs avec beaucoup de notes dans le bas ; moi, m
onnés, des livres neufs avec beaucoup de notes dans le bas ; moi, mes
livres
étaient de vieux bouquins achetés sur les quais,
ttre des crimes avec ses canots ! Je manquais l’école, je vendais mes
livres
. Qu’est-ce que je n’aurais pas vendu pour une apr
re, le Crime de Sylvestre Bonnard, membre de l’Institut (1885), et le
Livre
de mon ami (1885). Souvenirs d’enfance I L
meubles anciens, d’estampes anciennes, de vieux tableaux et de vieux
livres
, de crédences1781 sculptées, de potiches à fleurs
, d’orfrois1782, d’étoffes brochées, de tapisseries à personnages, de
livres
à figures et d’éditions princeps1783 reliées en m
s. Que de fois, hélas ! j’ai recommencé dans ma vie cette aventure du
livre
et du géant ! Que de fois, sur le point de commen
ntre lesquels, à sa place, je me serais mille fois cassé le nez. (Le
Livre
de mon ami : Nouvelles Amours, IV, V, VI.) P
Islande (1886). Des mérites analogues enfin ont assuré le succès d’un
livre
également renommé, dont l’action se passe au pays
e ceux-ci, je veux qu’on me délivre Et que soudain en ma place on les
livre
. Si1919 vous suppli, Sire, mander par lettre Qu’e
, Non plus qu’un étranger d’Asie Ou quelqu’un d’Afrique venu. (Odes,
livre
III, xxiv.) La fuite du temps Quand je suis
vais de nuit et de jour, Au lieu d’où plus on ne retourne.... (Odes,
livre
IV, ix.) Institution1968 pour l’adolescence du
déloger, marmoteine ; De l’hiver n’en délogerai. » (Les Mimes 2026,
livre
III.) Malherbe (1555-1628) Né à Caen en 15
s, des poésies diverses, des lettres, est surtout connu par ses douze
livres
de Fables. Les sujets de ces fables sont le plus
sont les nôtres, Et ne croyons le mal que quand il est venu. (Fables,
livre
I, fable viii.) L’ours et les deux compagnons
Vendre la peau de l’ours qu’on ne l’ait mis par terre2166. » (Fables,
livre
V, fable xx.) La laitière et le pot au lait
je rentre en moi-même ? Je suis gros Jean comme devant2181. (Fables,
livre
VII, fable x.) Le meunier, son fils et l’âne
vernement : Les gens en parleront, n’en doutez nullement. » (Fables,
livre
III, fable i.) Le vieillard et les trois jeune
2213, il grava sur leur marbre Ce que je viens de raconter. (Fables,
livre
XI, fable viii.) Épitaphe d’un paresseux Je
ait à tes vers estropier Horace2348. Trissotin. Sou viens-toi de ton
livre
et de son peu de bruit. Vadius. Et toi, de ton l
s mes désirs, J’achète à peu de frais de solides plaisirs. Tantôt, un
livre
en main, errant dans les prairies, J’occupe ma ra
ue du Scythe avec moi l’alliance jurée De l’Europe en ces lieux ne me
livre
l’entrée ? Recueilli2428 dans leurs ports, accru
ce à revenir sur l’eau. Valère. Calmons le désespoir où la fureur me
livre
. Approche ce fauteuil. (Hector approche un fauteu
proche ce fauteuil. (Hector approche un fauteuil.) Va me chercher un
livre
. Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre ch
Hector approche un fauteuil.) Va me chercher un livre. Hector. Quel
livre
voulez-vous lire en votre chagrin ? Valère. Celu
peu : prends dans ma bibliothèque. hector sort, et rentre tenant un
livre
. Voilà Sénèque2449. Valère. Lis. Hector. Que j
res de ses pères, Et c’est le même Dieu qui nous jugera tous. (Odes,
livre
I, ode iii.) Louis Racine (1692-1763) Né à
us n’égalez pas cette auguste ruine, Ce naufrage victorieux ! (Odes,
livre
IV, 23.) Epigrammes I On vient de me v
ébris. Ils sont passés les jours d’ivresse et de folie ! Viens, je me
livre
à toi, tendre mélancolie ; Viens, non le front ch
dain : « Apprenez, leur dit-il, comme on fait son chemin. » (Fables,
livre
III, fable xiii.) L’aveugle et le paralytique
e emploi, Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. » (Fables,
livre
I, fable 20.) Le singe qui montre la lanterne
’avait oublié qu’un point ; C’était d’éclairer sa lanterne ! (Fables,
livre
II, fable 7.) Le voyage Partir avant le jou
a naître, vivre et mourir : La volonté de Dieu soit faite ! (Fables,
livre
IV, fable 21.) Le lapin et la sarcelle Unis
d’autant plus la vie, Qu’ils se la devaient tous les deux. (Fables,
livre
IV, fable 13.) André Chénier (1762-1794) N
, avec le Voyage en Orient (1835) et l’Histoire des Girondins (1847),
livres
d’un poète plus que d’un géographe ou d’un histor
la nuit Fragment. O nuits, déroulez en silence Les pages du
livre
des cieux ; Astres, gravitez en cadence Dans vos
n monde, Retentir jusqu’à toi ! (Harmonies poétiques et religieuses,
livre
I, ii.) Souvenirs d’enfance Voilà le banc
ous, leur père dans les cieux ! (Harmonies poétiques et religieuses,
livre
III, ii.) Pensée des morts2615 Voilà les f
mé ; c’est le sceau du pardon ! (Harmonies poétiques et religieuses,
livre
III, 1.) Dieu imprimant aux mondes leurs mouve
’enfonça tournant comme une roue, Et la mer vint sur nous. (Poésies.
Livre
moderne : la Frégate la Sérieuse, XVI.) La fi
u paternel. — Voilà ce qu’ont chanté les filles d’Israël. (Poésies :
Livre
antique.) Le Cor I J’aime le son du co
» Dieu ! que le son du cor est triste au fond des bois ! (Poésies :
Livre
moderne) Victor Hugo (1802-1885) Né à Bes
nêtre sombre, J’entrevoyais un coin des cieux ! (Les Contemplations,
livre
IV, ix.) La source et l’océan La source tom
mer ! Une goutte d’eau qu’on peut boire2698. » (Les Contemplations,
livre
V, iv.) Les soldats de la République O sold
x la grande République Montrant du doigt les cieux ! (Les Châtiments,
livre
II, vii : à l’Obéissance passive) Jéricho2705
t. A la septième fois, les murailles tombèrent2708. (Les Châtiments,
livre
VII, i.) Après la bataille Mon père, ce
te son noir sanglot. L’homme est en mer. Depuis l’enfance matelot, Il
livre
au hasard sombre une rude bataille. Pluie ou bour
s marions tantôt. Vive la joie ! (Les Quatre Vents de l’esprit. — Le
Livre
dramatique : Les Deux Trouvailles de Gallus, II,
, pleurant un long espoir déçu, De tes petites mains je vis tomber le
livre
; Tu cessas à la fois de m’entendre et de vivre..
rnette (1868), Harmodius, tragédie (1870), Poèmes civiques (1873), le
Livre
d’un père (1876), qui sont tous remarquables par
urs jeux ses charmantes leçons. Les marmots hérissés ayant horreur du
livre
, Quand elle ouvrait le sien, quittaient tout pour
t à coup, l’image, en saisissant les yeux, Répandait sa clarté sur le
livre
ennuyeux. Elle égayait ainsi la lecture morose ;
A se faire conter des contes éternels, A s’empresser autour du vieux
livre
d’images, A changer mille fois de plaisirs et d’o
ême à réciter des fables et des vers ! Puis on posait cahier, tricot,
livre
, au plus vite : Les châtaignes fumaient dans l’im
ô jeunesse aguerrie ! Faites votre devoir : Dieu fera le succès. (Le
Livre
d’un père.) A un grave écolier. Monsieur l
ncor, je l’espère ? Levez un moment vos grands yeux ; Fermons ce gros
livre
ennuyeux, Et souriez à votre père. Il est bea
eux, A la lèvre un mot gracieux, La vertu même en est plus belle. (Le
Livre
d’un père.) Autran (1813-1877) Né en 1813
ieuses, Pour voir la folle mer qui se brise là-bas ! (La Vie rurale,
livre
I : Pendant que la terre est en fleurs, xxiii.)
nspiré, outre quelques pièces admirables et une traduction du premier
livre
de Lucrèce2927, ses deux poèmes les plus étendus,
songeras, les yeux fixés sur les charbons, À ta fière jeunesse en mon
livre
effeuillée.... Et, si je vois alors cette larme c
ut quitter les genêts et les monts, S’en aller au collège étudier des
livres
, Et sentir, loin de l’air natal qui vous rend ivr
inople. C’est dans cette dernière période de sa vie qu’il composa son
livre
, peut-être pour répondre à certains reproches don
aditions et de documents recueillis partout, des Chroniques en quatre
livres
, où sont racontés les événements des années 1325-
’époque du mariage de Charles VIII et d’Anne de Bretagne (1491). — Le
livre
de Commynes fut publié pour la première fois en 1
nit le récit du règne de Charles VIII. C’est en 1552 seulement que le
livre
fut publié avec le titre de Mémoires et avec la d
le livre fut publié avec le titre de Mémoires et avec la division par
livres
et chapitres qui a subsisté. — Nous suivons l’édi
. Comparez la conclusion de l’Huître et les Plaideurs de La Fontaine (
livre
IX, fable ix), qui s’est certainement souvenu de
e que, comme le dit M. Ernest Dupuy, « l’imprimerie, en répandant les
livres
d’heures, Tendait nécessaire l’entrée de la lumiè
t du pilon) que je me misse à les broyer. 328. Faire tourner. 329.
Livres
, ou francs. 330. Voir p. 4, note 15. 331. Fuss
or espagnole, était également employé pour exprimer une valeur de dix
livres
ou francs. 555. Guinder. On voit ici, pris dans
er des bêtes rapaces et féroces, symbole des gens de justice, dans le
livre
V de Rabelais, publié après la mort de cet écriva
Rochefoucauld, voir page 51. 700. Le Singe et le Chat, fable xvi du
livre
IX dans le recueil définitif. 701. Y, en cela,
aux gens du voisinage. 703. Le Gland et la Citrouille, fable iv du
livre
IX ; le Milan et le Rossignol, fable xvii du même
, fable iv du livre IX ; le Milan et le Rossignol, fable xvii du même
livre
. 704. Du premier tome, qui, contenant les six p
u même livre. 704. Du premier tome, qui, contenant les six premiers
livres
des Fables, avait paru en 1668. 705. Il faut bi
est le quatrième de ceux qui composent l’Ancien Testament. C’est à ce
livre
de Ruth (I, 17) que Bossuet emprunte les paroles
es Juifs jusqu’à sa mort (424). Son histoire est racontée dans un des
livres
de l’Ancien Testament, le second livre d’Esdras o
oire est racontée dans un des livres de l’Ancien Testament, le second
livre
d’Esdras ou le livre de Néhémias. — La citation d
s un des livres de l’Ancien Testament, le second livre d’Esdras ou le
livre
de Néhémias. — La citation de Bossuet est emprunt
ou le livre de Néhémias. — La citation de Bossuet est empruntée à ce
livre
(II, 2-5). 763. Néhémias (II, 17). 764. Psaum
3e journée). 774. Dans la sagesse. L’orateur ne désigne pas ici le
livre
même de la Bible qu’on appelle la Sagesse. Mais p
on la Sagesse il entend sans doute l’ensemble de ce qu’on appelle les
livres
sapientiaux (Psaumes, Proverbes, Ecclésiaste, Sag
urs des noms grecs aux personnages dont il trace le portrait dans son
livre
des Caractères : ces personnages sont souvent ima
de, à la table de quelqu’un. 978. Je, c’est Gil Blas, le héros du
livre
de Le Sage, qui parle. Gil Blas et les autres per
le mot a ici. 1087. Le Sadder, ou plutôt le Vendidad-Sadé, l’un des
livres
sacrés des Persans. 1088. Le tsar Alexis, mort e
tion ; les gabelles étaient l’impôt sur le sel ; on appelait sou pour
livre
certains droits additionnels qu’on payait en sus
re une addition qui sera envoyée à tous les libraires qui débitent ce
livre
. Je ne veux point mourir sans avoir rendu justice
rouvera une version dans la fable de La Fontaine le Berger et le Roi (
livre
X, fable 10). 1229. Relevée, dans l’attitude qu
s henricus, des carolus, des napoléons) valait vingt-quatre francs ou
livres
tournois. Le franc, ou livre tournois, ou livre d
apoléons) valait vingt-quatre francs ou livres tournois. Le franc, ou
livre
tournois, ou livre de Tours, valait vingt sous :
ngt-quatre francs ou livres tournois. Le franc, ou livre tournois, ou
livre
de Tours, valait vingt sous : la livre parisis, o
e franc, ou livre tournois, ou livre de Tours, valait vingt sous : la
livre
parisis, ou de Paris, valait un cinquième de plus
Gobelins. 1303. Virginie. On sait que c’est le nom de l’héroïne du
livre
célèbre Paul et Virginie. Voir un autre fragment
roïne du livre célèbre Paul et Virginie. Voir un autre fragment de ce
livre
dans notre Cours supérieur. 1304. Ce mot marron
e nom. Mme Roland fait ici allusion à un épisode célèbre du quatrième
livre
des Géorgiques. 1336. Bosc (1759-1828), fils d’
ller était mort en 1805, à quarante-six ans. Mme de Staël a écrit son
livre
De l’Allemagne entre 1807 et 1810. Nous n’avons p
t représenté que par suite d’un nouvel et […] comme l’ami du héros du
livre
; car il est né seu[…]. [TEXTE LACUNAIRE] 1417.
t beaucoup d’esprit, quoique un peu longuement, dans un roman en deux
livres
; Corneille, Molière et Quinault se sont associés
est ainsi qu’on disait jadis chez nous le sou parisis (de Paris) ; la
livre
tournois (de Tours). 1570. Hiéron II, tyran de S
la Marseillaise, voir page 395. 1581. Flammarion, éditeur. 1582. Le
livre
d’où ce fragment est tiré n’est pas exactement l’
publié un recueil de Comptes tout faits, on donna le nom de barême au
livre
lui-même et aux ouvrages du même genre. 1605. .
r visitait le pays (1842). 1610. Le gros était la 128e partie de la
livre
et équivaut à peu près à quatre grammes. 1611.
cure-dent de M. l’Amiral. Coligny, dit de Thou (Histoire universelle,
livre
LIII), avait coutume d’avoir un petit morceau de
— « Une lumière pure et douce, dit à son tour Fénelon dans Télémaque (
livre
xiv), se répand autour des corps de ces hommes ju
nnage imaginaire, dont l’auteur en fait le grand-père du héros de son
livre
. C’est ce dernier lui-même qui est ici censé parl
Phèdre, imitée par La Fontaine (la Lice et sa compagne, fable vii du
livre
II), n’est pas sans analogie. 2017. Marmoteine
de La Fontaine : « Vendre le dormir — comme le manger et le boire » (
livre
VIII, fable ii). Héberger se rattache à la même o
rconstance sur le vrai caractère du mime, que Baïf donna ce nom à son
livre
. 2027. « François du Périer, fils de Laurent du
ent les coups de la foudre », dit aussi Horace dans une de ses odes, (
livre
II. ode vii). Au reste, les plaisirs de la retrai
mme équivalent de en le. 2088. Imité d’un passage célèbre du second
livre
des Géorgiques de Virgile, où le poète célèbre le
de Jésus-Christ est une sorte de manuel de la vie mystique, en quatre
livres
, rédigé en latin, qui est, au plus tard, du xve
s premières années du ier siècle de l’ère chrétienne, il publia cinq
livres
de fables en vers, imitées pour la plupart d’Ésop
e, remerciait le roi, qui venait de lui accorder une pension de mille
livres
(1663). Ce remercîment au roi, dans lequel Molièr
ers ceux de La Fontaine dans le Songe d’un habitant du Mogol (Fables,
livre
XI, iv). 2392. Voi. Voir la note 5 de la page 5
poser dans le tombeau. Virgile, que Racine suit ici, raconte, au IIIe
livre
de l’Énéide, qu’Andromaque avait élevé en Épire u
oie fur prise, saccagée et brûlée : la prise de Troie est le sujet du
livre
II de l’Énéide de Virgile, où sont racontés la pl
Boileau (satire VIII) : Prends-moi le bon parti : laisse là tous les
livres
. 2508. Défilé des Apennins, qui conduit de la L
r, grossir. 2579. Tout ce fragment est imité d’un passage célèbre du
livre
II des Géorgiques de Virgile (vers 135-175 : élog
Voltaire, de Buffon, de Delille. 2609. L’olive, l’huile. 2610. Ce
livre
, l’Évangile. 2611. L’airain sonore, la cloche.
. Cette catastrophe a inspiré au poète toutes les pièces du quatrième
livre
des Contemplations. 2693. Sa sœur, Mlle Adèle
. 2705. Jéricho, ville de Palestine, dont les murailles, d’après le
Livre
de Josué (chap. vi), tombèrent d’elles-mêmes quan
lèbre poète allemand. Le fameux mot « Des ailes » sert d’épigraphe au
livre
de Michelet l’Oiscau (voir pages 366 et 368), 28
nard la confuse saveur Me remet mon pays et ma jeunesse au cœur. (Le
Livre
de la payse) 2927. Lucrèce (95-51 av. J.-C.) e
ucrèce (95-51 av. J.-C.) est l’auteur d’un poème philosophique en six
livres
, De la Nature des Choses, l’un des plus beaux mon
cipe, aux auteurs de premier ordre, et qu’on relise souvent les mêmes
livres
, si l’on veut former pour la suite sa pensée et s
e Rollin, et dans la Chrestomathie française de M. Vinet, le meilleur
livre
que je connaisse en ce genre. A l’imitation de ce
x méthodes d’enseignement de ces langues, il existe une foule de bons
livres
spéciaux sur la matière. On peut les consulter. S
ujours mieux trouver de soi-même les choses qu’on trouverait dans les
livres
; c’est le vrai secret de les bien mouler à sa tê
science de la méditation, que le professeur mette entre ses mains les
livres
, les discours, les traités les plus remarquables
e premier travail fait avec conscience et intelligence, il fermera le
livre
original pour le refaire à son tour ; il s’efforc
parfait en son espèce. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce
livre
n’est pas un traité de logique ; mais ce peu de m
z encore les choisir, les disposer, les traiter. Cicéron, au deuxième
livre
de l’Orateur, donne sur le choix des preuves d’ex
es forces de l’argumentation. Quintilien, au commencement du septième
livre
, développe minutieusement cette idée dans ses rap
du discours ; on leur demande d’où ils font ressortir l’éloquence des
livres
qui présente souvent les différents genres. Ils p
nts genres. Ils pourraient répondre que, par là même, l’éloquence des
livres
rentre naturellement dans l’un ou l’autre des gen
ée comme capitale, d’un autre côté, je n’ai point cru devoir, dans un
livre
didactique, admettre comme fondamentale une divis
Si déjà la philosophie se glisse partout, dans les salons et dans les
livres
, elle n’est pas cependant une puissance, et le jo
velles : les littératures étrangères et la liberté33. » C’est dans le
livre
De l’Allemagne (1808), que le mot romantique est
rès que l’ont fondé Schopenhauer et Hartmann : système accablant, qui
livre
le monde au mal, fait de l’existence la pire des
Bruyère et Molière. Sous l’illusion légère du costume espagnol, aucun
livre
n’est plus français que Gil Blas : français par l
qu’il arrache de toutes parts, jusque dans les entrailles, il nous le
livre
et nous l’étale dans un langage parlant, animé, é
tifiques et littéraires composés pour l’Académie de Bordeaux. Mais un
livre
, d’un genre bien différent, avait beaucoup plus f
gner. Les Lettres persanes avaient paru en 1721, "le plus profond des
livres
frivoles, a dit Villemain, ce livre si bien écrit
ru en 1721, "le plus profond des livres frivoles, a dit Villemain, ce
livre
si bien écrit, si vif, si moqueur, si fait pour a
malheurs que ceux dont se plaignaient les païens151. Salvien fit son
livre
où il soutint que c’étaient les dérèglements des
reur. Il avait mis sur l’empire d’Orient un tribut de deux mille cent
livres
d’or. Il recevait les appointements de général de
int soupçonné qu’il était vaincu et blessé. Histoire de Charles XII,
livre
IV. Henri IV176. Si Henri IV n’avait été qu
lli, et les airs et les symphonies avec celles de Rameau ; on lit les
livres
avec l’esprit des bons auteurs. On dit qu’il ne f
ignent ou affectent de vous dédaigner. Vous portez en tremblant votre
livre
à une dame de la cour ; elle le donne à une femme
s Lettres. A M. J. J. Rousseau. J’ai reçu, monsieur, votre nouveau
livre
contre le genre humain, je vous en remercie200 Vo
n. Ainsi, nous nous sommes persuadé, indépendamment de l’autorité des
Livres
sacrés, que l’homme a été créé le dernier, et qu’
ec lui, séjourne treize mois à Wooton, où il compose les six premiers
livres
des Confessions, et retourne brusquement en Franc
me garderai bien de lui donner ce nom, quoique vous ayez qualifié de
livre
contre le genre humain un écrit où je plaidais la
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y
livre
en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
ite ses accessoires aussi sérieusement que le fond de son sujet. A ce
livre
placé sur une table, devant cette fille aînée, je
de réciter les prières des agonisants. Cette fiole qui est à côté du
livre
contient apparemment les restes d’un cordial. Et
r lui donner le goût de lire, et ne lui mettre dans les mains que des
livres
qui ont de l’intérêt : par exemple, j’aurais voul
nais plus ce qu’elles mettaient en moi ; j’étouffais, je quittais mes
livres
, et je sortais comme un homme en fureur, pour fai
oite avec Jean-Jacques Rousseau, dont l’influence est sensible sur le
livre
qui donna au nom de Bernardin de Saint-Pierre tou
. Mais cette autorité, Dieu l’a-t-il rendue visible sur la terre ? Le
livre
du Pape (1819) est la réponse à cette question, L
vrai de cette parole bien autrement pénétrante qui retentit dans les
livres
. Toujours celle du français est entendue de plus
un homme, dit-il, tourmenté par la maudite ambition de mettre tout un
livre
dans une page, toute une page dans une phrase, et
dignité aux passions, voilà ce que J. J. Rousseau a tenté. Lisez ses
livres
: la basse envie y parle avec orgueil ; l’orgueil
n que toute étude lui est inutile ; qu’il ait pour seul but, dans son
livre
, de montrer la beauté de Dieu dans le christianis
t, un nuage, une vapeur changent la règle353. Nos pères jugeaient des
livres
par leur goût, par leur conscience et leur raison
eur raison ; nous en jugeons par les émotions qu’ils nous causent. Ce
livre
peut-il nuire ou peut-il servir ? est-il propre à
a première édition fut saisie et détruite par la police impériale. Ce
livre
, le chef-d’œuvre de Mme de Staël, initiait la Fra
la bonne Dame (die gute Frau). Malgré cette réserve, ce qui assure au
livre
de l’Allemagne un succès mérité et durable, c’est
a même plus faite pour intéresser des lecteurs qui cherchent dans les
livres
de quoi varier leur destinée monotone et veulent
ette influence sur les poètes et les historiens de notre siècle. « Ce
livre
, dit-il, a été, pour les poètes et pour les artis
mettre ; mais la rupture éclata dans les Paroles d’un Croyant (1834),
livre
étrange, écrit en versets avec des réminiscences
couvertes de l’histoire et de la philosophie morale, elle replaça les
livres
qu’elle voulait juger dans le milieu social qui l
de jardins, où il s’enfermait dès le point du jour ; ce cabinet sans
livres
, et sans autre ornement qu’une gravure de Newton
complète de ses œuvres philosophiques, rassembla et condensa dans son
livre
Du Vrai, du Beau et du Bien ce qui lui parut la p
ze compagnons. Le nom de leur monastère fut inscrit le premier sur le
livre
noir des conquérants. Les mères et les femmes de
la Vie de Franklin, écrite en 1848, l’Histoire de Marie Stuart et un
livre
définitif sur Charles-Quint, son abdication, son
remit en marche d’un air noble et doux, le crucifix d’une main et un
livre
d’Heures de l’autre, revêtue du costume de veuve
suffrage public, « d’historien national. » Traçant, au début du XIIe
livre
, une rapide théorie de l’histoire, Thiers a résum
Précis de l’Histoire Moderne, et, en 1831, une Histoire Romaine, deux
livres
restés classiques, le premier surtout. Michelet,
cette large et intelligente sympathie qui avait inspiré ses premiers
livres
, Michelet était visiblement dominé par des passio
irigées. A côté de ses œuvres historiques se place toute une série de
livres
[l’Oiseau, l’Insecte, la Mer, etc.) qui relèvent
ne mesure. Toutes les coutumes seront mises en français, dans un beau
livre
. Cela coupera court aux ruses et pilleries des av
, avec son chien, son cor de chasse, en habit de chasseur524. Ibid.,
livre
XVII. L’Hirondelle. L’hirondelle s’est, san
an-Jacques Rousseau (1875). Le Cours de Littérature dramatique est un
livre
désormais classique. Saint-Marc Girardin, on peut
rables de sa vie littéraire : 1 Histoire de Port-Royal. C’est dans ce
livre
, et dans la longue série de ses Portraits et Caus
a fixé la rédaction française, se trouvent-ils ailleurs dans d’autres
livres
, dans d’autres recueils que le sien, et dans des
aussi, et cela est satisfaisant à penser, que ce n’est point dans des
livres
qu’il a puisé l’idée de ses Contes de Fées ; il l
; et, en regard de ce double idéal, il place chaque auteur et chaque
livre
. Le bon est ce qui s’en rapproche ; le mauvais, c
ne cependant n’a eu plus que M. Nisard le droit d’écrire : « Tous mes
livres
sont une défense de mon goût contre les illusions
s548. » Quoique inspiré par une pensée de polémique contemporaine, ce
livre
sera relu aujourd’hui pour ses qualités propres,
peintures de la société romaine sous l’empire. Mais combien d’autres
livres
faudrait-il encore citer pour faire apprécier la
et le plus jeune, que nous avons vu mourir, Alfred de Musset, tout ce
livre
en dit lès motifs. Alfred de Musset, aussi origin
le bois, et y prend ce qui lui a le moins coûté de tout son luxe, un
livre
, qui le rend un moment à lui-même et lui fait sav
gue pas, parce qu’elle ne s’attache qu’à ce qui dure, les beautés des
livres
, de la nature et de l’art ; c’est le plaisir d’en
sies religieuses, un titre pour le moins embarrassant à rappeler. Ses
livres
des Odes sacrées, des Odes profanes et celui des
e venais t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’aimes : vengeons-nous ;
livre
-moi la victime. ALZIRE. Oui, tu dois te venger, t
nonne, il ne déparlait pas ; Bien est-il vrai qu’il parlait comme un
livre
, Toujours d’un ton confît en savoir vivre. Il n’é
racle et le bouffon Craignent pour eux le sort des absents qu’il leur
livre
, Et que tous avec lui seraient fâchés de vivre. O
our à Paris, André Chénier, qui a renoncé à la carrière des armes, se
livre
tout entier à sa vocation. « Le véritable Chénier
ersité. Le premier recueil des Chansons de Béranger parut en 1815. Le
livre
s’ouvrait par le Roi d’Yvetot, un chef-d’œuvre de
les grands horizons, Lamartine retrouvera toute sa supériorité, « Ses
livres
d’histoire, a dit Sainte-Beuve, ne sont et ne ser
nt les mers pour écouter les sages ; Mais le monde à l’orgueil est un
livre
fermé ! Tantôt, pour deviner le monde inanimé, Fu
? On peut les effacer sur le marbre ou l’airain ; Qui les effacera du
livre
de l’histoire766 ? C’était là une légitime revan
Tu ne reviendras plus, et c’est toi qui m’attends ! » Messéniennes,
livre
II777. Entrevue de Louis XI et de François de
les conditions. Nemours les repousse, mais Coitier, ému de pitié, lui
livre
la clé de son appartement par lequel il pourra s’
e rare cependant, et qui a gravé son nom, comme il le voulait, sur le
livre
d’or de l’Esprit : J’ai mis sur le cimier doré du
ers (Symphonies, Idylles héroïques, Voix du Silence, Poèmes civiques,
Livre
du Père), d’autres recueils où se retrouve, sous
que j’ôte à la colline Je le restitue au vallon843. Les Symphonies,
livre
II. Feuilles, tombez844. Déjà le vent, tan
es populaires, II. Au lecteur (Sully-Prudhomme). Quand je vous
livre
mon poème, Mon cœur ne le reconnaît plus : Le mei
th de Russie, passim. 7. Nouveaux Essais sur l’Entendement humain,
livre
IV, chapitre xvi. 8. L’Esprit public au dix-hui
scours parlementaires de Guizot. Voy. introduction. Cf. la Préface du
livre
: Les Assemblées provinciales sous Louis XVI, par
éressants à la biographie jusqu’ici incomplète de Massillon. Voir son
livre
: Massillon, d’après des documents inédits, chez
Sénèque l’imagine. Cf. le chapitre de Malebranche sur Sénèque au IIe
livre
de la Recherche de la Vérité. 57. Portique et p
e au mérite, ce qui le remplace. 64. De la ville de Thécua. Voir le
livre
des Rois, liv. II, chap. xiv. 65. Cf. la viie s
de de M. Sainte-Beuve placée en tête de l’édition de M. Chéruel et le
livre
de M. Chéruel lui-même, intitulé : Saint-Simon co
métralement opposés, si artificieusement semés, » il faudrait lire au
livre
IX des Mémoires de Saint-Simon ce qu’il écrit au
le 2 février 1717. Saint-Simon en a tracé un portrait intéressant au
livre
XIII de ses Mémoires. 113. Henri-Jacques Nompar
e au dix-huitième siècle, de Villemain ; les chap. iii et viii du IVe
livre
de l’Histoire de la Littérature française, de M.
ées dans un style d’une précision sévère. 141. Frontin, Stratagèmes,
livre
II, dit qu’Archélaüs, lieutenant de Mithridate, c
que Montesquieu dit encore de Mithridate dans l’Esprit des Lois. Voir
livre
XXI, chap. xii. 148. De là le proverbe rapporté
t Augustin composa la Cité de Dieu (427) ; lui-même le déclare au IIe
livre
des Rétractations : « Rome, envahie par les Goths
me vers l’an 340, mort en 409. Chateaubriand a retracé cette scène au
livre
XVI des Martyrs, mais il a altéré quelques traits
loquence chrétienne au quatrième siècle. 150. Lettres de Symmaque,
livre
X, lettre liv. 151. Né à Tarragone vers la fin d
fin du quatrième siècle, mort en 484. Montesquieu fait allusion à son
livre
intitulé : De Gubernatione Dei. 153. Histoire
ant l’a défini plusieurs fois. Voir particulièrement Esprit des Lois,
livre
III, chap. v, note 1, et livre V, chap. II. Dans
Voir particulièrement Esprit des Lois, livre III, chap. v, note 1, et
livre
V, chap. II. Dans les Eclaircissements sur l’Espr
des rapports du luxe avec la morale et la politique, on peut lire le
livre
Ier intitulé : Théorie du Luxe, dans le savant ou
pour les théâtres. » (Montesquieu.) 164. Voir Tite-Live, Histoires,
livre
XXXIII, chap. xlvi et suivants. C’est Tite-Live q
que celui-ci fit rouer et écarteler. Voir l’Histoire de Charles XII,
livre
III. 170. Né en 1674 d’un paysan des environs de
te est un animal dépravé. » Lire, sur tout le débat le chapitre iv du
livre
de Saint-Marc Girardin : Jean-Jacques Rousseau, s
sur les Révolutions du Globe, page 17, édition Didot. 207. Essais,
livre
II, chapitre XII. 208. Lire, sur Buffon : la 22e
française au dix-huitième siècle, de Villemain ; le chapitre x du IVe
livre
de l’Histoire de la Littérature française, de M.
ciété, et particulièrement de la découverte du feu. De Natura. Rerum,
livre
V, vers 1009-1106. 217. On ne peut douter que Bu
e, exclure la peinture à fresque, aussi charmante dans les pages d’un
livre
que sur les murs d’une coupole. » 227. Villemain
en accuse, de la propriété des termes. 228. Confessions, partie II,
livre
III. 229. Lire, sur J. J. Rousseau : Jean-Jacque
ulièrement inspiré de Montaigne. Voir dans les Essais le chap. xxv du
livre
I : De l’Institution des Enfants. 231. Virgile
ité de bon sens et d’expérience. 233. Cf. Lucrèce, De Natura Rerum,
livre
III, v. 1037 à 1107, et particulièrement ces vers
ncore intéressant de comparer ici Rousseau et Montaigne. Voir Essais,
livre
III, chap. ix : « Le voyager me semble un exercic
sa vie : Que peut donc de l’esprit la plus vaste étendue ? Rien. Le
livre
du sort se ferme à notre vue. L’homme étranger à
quis, le chevalier, depuis bailli de Mirabeau. M. de Loménie, dans le
livre
cité plus haut, en a beaucoup parlé. 272. L’hist
pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce
livre
entre les mains, encore que je ne feusse à peine
qu’il dit ici de lui-même n’est pas excessif. M. de Loménie, dans le
livre
déjà cité, a marqué avec un soin particulier ce m
de bien à ce donc, argument si commode au défaut d’autres. » Le Pape,
livre
I, chapitre xvii. 324. Il disait de lui-même : «
. Voy. Tiraboschi, Stor. della Letter. ital. (Venise, 1795), tome IV,
livre
III, chapitre I. 332. Malgré quelques traits sév
ouverain se proposait de publier, il dit : « Au fond, je crois que le
livre
le plus utile à consulter, avant de mettre la mai
rtirait que Chateaubriand avait eu la pensée tout d’abord d’écrire un
livre
de doctrine. Dans cette vue, il s’entourait d’inf
si d’avance à ceux qui ont accusé le Génie du Christianisme d’être un
livre
plus brillant que solide. Chateaubriand, se posan
elui de Hartmann et de Schopenhauer. 375. Augustin Thierry, dans son
livre
: Dix ans d’Études historiques, a raconté l’impre
u Louvre possède seize de ses tableaux. M. Émile de Montégut, dans un
livre
récent : Poètes et Artistes de l’Italie (1881), i
fouilles entreprises dans ce siècle, un très intéressant chapitre du
livre
de M. Boissier : Promenades archéologiques. 407.
s-enfants a été éditée par MM. Hachette et Cie. 424. Guizot, dans le
livre
II, avait tracé de Strafford ce beau portrait : «
e nouvelle défense. 429. On trouvera les détails de cette affaire au
livre
II de l’Histoire de la Révolution d’Angleterre.
ossuet prononça l’oraison funèbre. Un écrivain, M. Poujoulat, dans un
livre
intitulé Charles Ier et le Parlement, se montre p
bre Discours pour Eutrope. 442. L’oraison funèbre que Thucydide, au
livre
II de son Histoire, met dans la bouche de Périclè
, en 1736. 451. Cette idée a été développée dans la 6e leçon du même
livre
. 452. C’est-à-dire l’imagination qui nous représ
Sur ce même sujet, on pourra lire des pages fines et élevées dans le
livre
de M. Caro : Problèmes de Morale sociale. Voir pa
à ses dernières conséquences. Sa philosophie est tout entière dans le
livre
De l’Esprit, qui parut en 1758. Dans cet ouvrage,
aisir et l’intérêt. Helvétius, entraîné par ces monstrueux principes,
livre
au ridicule toute vertu et toute religion, et pro
461. Helvétius, en effet, dans le XIVe chapitre du IIe discours du
livre
De l’Esprit, distingue les vertus de préjugés des
loi… 466. Il faut lire à ce sujet la belle ode d’Horace, la ve du
livre
III. 467. Cf. la XIIe leçon sur la morale de l’i
ubliés chez Furne et chez Garnier. 471. Grégoire de Tours, Histoire,
livre
V. 472. Job, cb. i, 21. 473. Pour châtier Limog
t sur lesquels le fils de Godwin avait juré à son insu. 478. Voir le
livre
II du même ouvrage. 479. De même, Galgacus dit a
maine. 483. Lucrèce a rendu la même pensée dans le De Natura Rerum,
livre
IV : ……...Medio de fonte leporum Surgit amari al
dent injuste à l’égard de Bossuet. 487. On pourra lire à ce sujet le
livre
de Cuvier sur les Révolutions de la Surface du Gl
s de l’historien français et le passage des Alpes par Annibal dans le
livre
XXI, ch. xxx et suiv., de Tite-Live. Les nombreus
que l’autorité la plus ancienne est celle de Bodin. Voir République,
livre
III, § iv. 524. Cf. le récit de la mort de Louis
24. Cf. le récit de la mort de Louis XI dans les Mémoires de Comines,
livre
VI, chap. xi et xn. L’historien s’élève à une vra
célèbres conversations de Napoléon à Sainte-Hélène, rapportée dans un
livre
écrit en 1841 d’après les communications du génér
ntiment religieux en Grèce d’Homère à Eschyle, et particulièrement le
livre
Ier intitulé : « Du Sentiment de l’Harmonie dans
u’un Classique ? au tome III des Causeries du Lundi. 541. Les Trois
livres
écrits pour consoler Stagiro sont analysés par Vi
xlv. 549. Causeries du Lundi, tome XV. 550. L’idée du quatrième
livre
de M. Nisard consiste à prendre chaque genre litt
re, on ne cherche pas à en imposer aux hommes. » 562. Odes sacrées,
livre
IV, ode X. 563. Voir la curieuse lettre adressée
Rousseau à M. de Machy, le 28 février 1707, au sujet de l’ode lere du
livre
II Sur la Naissance de Monseigneur le Duc de Bret
de ses Odes sacrées, Rousseau a tenté de s’approprier les beautés des
Livres
saints. Nous renvoyons, pour la citation des text
9. 577. Il faut voir l’aventure d’Orphée et d’Eurydice dans Virgile,
livre
IV des Géorgiques, et dans Ovide, Métamorphoses,
dans Virgile, livre IV des Géorgiques, et dans Ovide, Métamorphoses,
livre
X. On peut lire aussi l’ode célèbre de Pope Pour
française, tome IV, chap. v; Marmontel, ses Mémoires, vers la fin du
livre
IV. — Dijon, sa ville natale, conserve son mauso
. Voir, sur les personnages de cette tragédie, les Annales de Tacite,
livre
XII, chap xliv et suivants, et livre XIII, chap.
tragédie, les Annales de Tacite, livre XII, chap xliv et suivants, et
livre
XIII, chap. xxxvii. 589. Le caractère de Rhadami
ve, analogue à cette chute de l’une des strophes d’Horace, ode xii du
livre
Ier : Unda recumbit. 628. Les anciens sont r
guère d’exister qu’à la fin du dix-septième siècle. L’un des premiers
livres
qui le dissipèrent fut celui que le savant Bayle
rés : de là ce titre d’abbé que porta Delille. 676. Voir Géorgiques,
livre
IV, vers 116 et suivants. 677. On en a retenu c
raits littéraires, tome II. 679. Cf. dans les Géorgiques de Virgile,
livre
IV, vers 125 à 148. 680. Delille n’a pas rendu
uvenir des vers de Virgile sur le labyrinthe de Dédale. Voir. Énéide,
livre
VI, vers 27 et suivants. 690. Où l’espoir le co
ec intérêt de ce morceau la descente d’Eudore aux catacombes, dans le
livre
V des Martyrs de Chateaubriand. Eudore, égaré dan
e de la composition, cf. l’arrivée d’Ulysse chez les Pbéaciens au VIe
livre
de l’Odyssée. 699. Cf. Virgile, Enéide, III, 5
taire adressée à M. Deodati de Tovazzi (24 janvier 1761), auteur d’un
livre
sur l’Excellence de la Langue italienne, où celui
de la Provence. On trouvera à ce sujet d’intéressants détails dans le
livre
de M. Saint-René Taillandier intitulé Études litt
roites bandes de papier, semblables aux marques que l’on met dans les
livres
, roulées très serré et d’une épaisseur à peine ég
s abeilles. C’est tout un ciel, tout un.paysage en un vers. » 750.
Livre
II, chapitre n (trad. C. Bénard). 751. Cette imp
l’Imitation de Jésus-Christ. Voir particulièrement le chap. xlviii du
livre
III : « Opto inhærere coelestibus, sed deprimunt
762. Une pensée analogue inspire à Cicéron, dans le fragment du VIe
livre
de la République (l’entretien de Lælius et de Sci
x le rivage de la mer retentissante. » 777. Quatre pièces du second
livre
des Messéniennes sont consacrées à la Grèce : Le
788. Ce morceau, d’une simplicité douce et triste, est cité dans le
livre
de M. Legouvé : La Lecture en action. On trouvera
s le’ Songe d’une Nuit d’Été quelques pages de M. A. Mézières dans le
livre
: Shakespeare, ses Œuvres et ses Critiques, page
801. Relire, sur l’incendie de Rome, dans les Annales de Tacite, le
livre
XV, chapitres xxxviii et suivants. Dion Cassius
simulantem. » 802. Sur ce point Tacite est affirmatif. Voir Annales,
livre
XV, chapitre xliv : « Ergo abolendo rumori Nero
ar le souvenir de Napoléon : chez C. Delavigne, la VIe Messénienne du
livre
II ; chez M. V. Hugo, Lui, dans les Orientales ;
mière pièce qui porte son nom : Celle pour qui j’écris avec amour ce
livre
Ne le lira jamais : quand le soir la délivre Des
uemment. » 826. Voir la célèbre invocation de Lucrèce à Épicure, au
livre
1er du De Natura Rerum : Primum Graius homo mort
e-Quint jetait ses béquilles. » 840. M. de Laprade a aussi publié un
livre
composé d’études détachées et intitulé : Question
bentia flumina terra... 843. Comparez la Source dans les Bois, au
livre
II des Harmonies de Lamartine : Dans combien de
49, intitulé : L’orphisme d’Eschyle et l’orphisme d’Euripide, dans le
livre
de M. Jules Girard, le Sentiment religieux en Grè
sont la loi commune de tout écrivain, et que celui qui parle sur les
livres
des autres, au lieu d’en faire lui-même, n’est pa
es, qui se mêlent sans confusion, conduit le lecteur jusqu’au bout du
livre
sans qu’il ait un moment l’envie de s’arrêter. »
patronage. 2. Il faut pourtant conserver toujours la haine d’un sot
livre
. C’est une des inspirations du critique. 3. Pour
ase ! 2. Aimer le talent est le premier devoir de celui qui juge les
livres
. 3. Librairie académique.
vain inimitable qui aurait produit un chef-d’œuvre, si le plan de son
livre
n’était défectueux, et si l’on ne surprenait pas
ion notée des scènes de Quinault avec l’oreille de Lulli ; on lit les
livres
avec l’esprit des bons auteurs. Le goût peut se g
ignent ou affectent de vous dédaigner. Vous portez en tremblant votre
livre
à une dame de la cour ; elle le donne à une femme
ur feraient voir que nos bras exercent une force de près de cinquante
livres
pour lever un poids d’une seule livre ; que le cœ
une force de près de cinquante livres pour lever un poids d’une seule
livre
; que le cœur en exerce une immense pour exprimer
ies ont dit depuis, et je pris, de plus, la liberté de me moquer d’un
livre
très-ridicule que votre persécuteur écrivit dans
ies, parce qu’il y a plus de lecteurs des feuilles médisantes que des
livres
utiles. Par exemple, monsieur, lorsqu’on imprime
Gandouin ? Lorsqu’on imprime que je suis l’auteur de je ne sais quel
livre
intitulé Des beautés de la langue française, je r
voir ce qu’ils font. Les hommes ne méritent certainement pas qu’on se
livre
à leur jugement, et qu’on fasse dépendre son bonh
ot : « Vraiment vous ne m’aviez pas dit que vous aviez environ 1,500
livres
par an, pour la peine de souper tous les jours en
e furent aussi indignés des manœuvres de Maupertuis qu’ennuyés de son
livre
. Il obtint la haine et le mépris de ceux qui se p
es témoignages sont divins ou humains : les oracles, les augures, les
livres
prophétiques ou sacerdotaux, voilà la première cl
uvera d’abord dans ce qu’on nomme les pièces du procès, puis dans les
livres
où sont traitées ex professo les questions de dro
objets extérieurs qui ont rapport au sujet, et la lecture de tous les
livres
qui peuvent en éclaircir l’ensemble ou les détail
etc… » Il en est de même des mots humanités au second chapitre de ce
livre
, philosophie, amour-propre, religion, etc. Il y a
s, j’ai presque dit toute l’invention de détail. Quintilien, au VIIIe
livre
, explique les avantages de l’analyse par un exemp
igures de rhétorique, par le sieur Jacob. Paris, 1655. C’est un petit
livre
assez curieux.
orrection. De tous les écrivains anciens ou modernes, les auteurs des
livres
saints sont ceux qui nous offrent le plus d’exemp
limes. Nous citerons, entre autres, te passage du commencement du 20e
livre
de l’Iliade. C’est le moment où Jupiter a rendu a
ous en offre presque continuellement des exemples, dans les 1er et 2e
livres
de son Paradis Perdu. Bornons-nous, pour le momen
ec tant de succès dans cette belle description d’un orage, au premier
livre
de ses admirables Géorgiques : Sæpè etiam immens
effroi, Tu peux, à son défaut, te reposer sur moi. Ton esprit qui se
livre
à des frayeurs si fortes, Se les reprocherait s’i
. Ces extrêmes ne se rencontrent point dans la philosophie divine des
livres
saints : la morale y est ce qu’elle doit être, do
ui ôtant jusqu’aux illusions qui amusent son infortune réelle ? et le
livre
précieux que nous venons de parcourir ne deviendr
ntière, et non d’après les absurdes hypothèses du matérialisme183. Le
livre
des Proverbes est un monument plus curieux encore
nous l’avons déjà dit, et nous allons continuer de le prouver par le
livre
même des Proverbes, où le charme de la forme se j
leur bien ! Ce doux titre de père est celui que prend Salomon dans le
livre
des Proverbes, et ce titre est justifié à chaque
Proverbes s’adresse au riche : Je déplore l’erreur où ton orgueil te
livre
, Riche voluptueux ! que l’abondance enivre ! Sott
de la gloire qui inspire les autres poètes. Pénétré de la lecture des
livres
saints, enthousiasmé de tous les genres de beauté
citée en pareil cas : elle se trouve dans ses Entretiens solitaires,
livre
II, chap. 5. Le poëte s’adresse à Dieu : Les omb
d’un roman fameux, il y a quelque trente ans, le Solitaire ; dans ce
livre
, comme dans le Renégat, dans la Mort et l’Amour,
resque le style tout entier. Pour faciliter aux élèves l’étude de ce
livre
, et leur en faire mieux saisir la marche, j’ai cr
nthétiques ou transpositives. C’est à eux que s’adresse Quintilien au
livre
IX : « Cependant je n’approuve pas, dit-il, le sc
française. 119. Un seul exemple, la première phrase du chap. Ier du
livre
IV de Quinte-Curce : « Darius, tanti modo exercit
différente de Justin, pour exprimer la même idée, à propos de Xerxès,
livre
II, chap. 13 : « Erat res spectaculo digna, et œs
un roman ; on n’ose pas lui donner le nom de poëme, et cependant, ce
livre
a été écrit avec l’âme d’un poëte. La versificati
ais pousser si loin L’ingratitude ? Adieu : j’ai dit ce que je pense.
Livre
X, fable ii. Racine même a dit : Je parlerai, m
uet. Sa piété eût craint d’introduire la critique littéraire dans les
livres
saints. Avec la hardiesse du génie, Bossuet a déf
notre ancienne langue, sans étalage, sans apprêt, sans emphase. Il ne
livre
pas une bataille hasardeuse pour sauver la tête d
irconstances. C’est une règle absolue, au début d’un discours ou d’un
livre
, de se concilier l’attention et la bonne volonté
Au barreau, dans la chaire, à la tribune comme dans l’école, dans les
livres
comme dans les discours, dans un cabinet, d’affai
le chien : donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants.
Livre
I, fable v. N’étant pas de ces rats qui, les livr
ons, et mendiants. Livre I, fable v. N’étant pas de ces rats qui, les
livres
rongeants, Se font savants jusques aux dents. Liv
es rats qui, les livres rongeants, Se font savants jusques aux dents.
Livre
VIII, fable ix. Il faut respecter ces archaïsmes
). La Fontaine a dit : Ce chien-ci donc, étant de la sorte atourné.
Livre
III, fab. vi. Voici quelques vers curieux de Cha
, où c’est ouïr que voir, Au chef des Séraphins explique son pouvoir.
Livre
III. D’une mortelle peine à ce mot oppressée, E
le sent un retien, Et, pour vouloir trop dire, elle ne dit plus rien.
Livre
IV. Le fruit qui de son or couronne chaque plante
t s’en peint, Ibid. Là se suspend son âme, et ne scait que résoudre.
Livre
VI L’horreur, comme en son antre, en cette grotte
udre. Livre VI L’horreur, comme en son antre, en cette grotte habite.
Livre
VII. Il court, sans but certain, aux brigades pre
er sous son terrible choq, Et semble sous les traits un immobile roc.
Livre
X. Ce cerf, depuis un siècle, en ces provinces er
obile roc. Livre X. Ce cerf, depuis un siècle, en ces provinces erre.
Livre
V. Sur un fond de lys blanc une vermeille rose. I
vec admiration ses ordres pour la guerre. » (Histoire de Charles XII,
livre
II). La vraie harmonie du style consiste dans le
, et semblaient ne pouvoir quitter ces bords enchantés. » (Télémaque,
livre
Ier.) Division du style en trois genres. — La v
es mots. Rollin l’a développée, d’après les anciens dans le troisième
livre
du Traité des études (ch. III, articles i à iv).
core et plus d’enthousiasme, les beautés des Pères de l’Église et des
Livres
saints. Il n’a pas non plus oublié Bossuet. (Livr
e l’Église et des Livres saints. Il n’a pas non plus oublié Bossuet. (
Livre
IV, chap. ii et iii.) « Enfin, ajoute-t-il, i
dans la vérité. » (Hist. de la Littérature française, par M. Nisard,
livre
III, ch. v, t. II, p. 237.) Ainsi préparé, le gé
es grands orateurs instruisaient la société par leurs discours, leurs
livres
, leur correspondance, La Bruyère travaillait sile
opard semblables, N’ont que l’habit pour tous talents ! La Fontaine,
livre
IX, fab. iii. Parfois l’épiphonême se réduit à u
x tous, trop fort pour chacun d’eux. Id., Horace, acte IV, sc. ii.
Livre
en mes faibles mains ses puissants ennemis. Pour
eux devoir. Ibid., acte II, sc. ii. Qu’à la fureur du glaive on le
livre
avec elle. Athalie, acte V, sc. vii. Le conten
e, et en général sur la formation de la prose française, voy. le IIIe
livre
de l’Hist. de la Littérature française, par M. Ni
us tout ce qui ne satisfaisait pas directement la curiosité ; mais le
livre
fini, nul ne s’avisait d’y revenir. On relit Don
maudit de grand cœur quiconque, à la première lecture, lui eût ôté le
livre
des mains avant la fin du quatrième tome. L’intér
littéraire, M. Francis Wey, a consacré plus de soixante pages de son
livre
aux préceptes sur le choix du sujet, et ce n’est
, des autobiographies, des mémoires signés ou anonymes ; ou enfin son
livre
n’éveille qu’un sentiment de curiosité, sans atta
exalté par la fièvre, la colère et la lecture de la Bible, écrivit ce
livre
pour rendre du cœur à des vaincus, et « faire gri
furent donc forgés en pleine fournaise1. L’œuvre est divisée en sept
livres
qui rappellent les cercles d’un enfer Dantesque ;
a famille, il fascha1 bien à ce petit garçon de quitter un cabinet de
livres
couverts2 somptueusement et autres meubles, par l
ust, car ne pourroit faire de Londres à Paris qu’il ne coustast 20000
livres
; l’aultre poinct est qu’il fault avoir des logis
chaire, sur la manière d’écrire l’histoire, sur la critique ! Que de
Livres
de l’Orateur, depuis Cicéron jusqu’à Timon et Gor
position et la forme de la narration en général, qu’elle constitue le
livre
lui-même, ou n’y entre qu’accidentellement. Et ai
e l’autre, après l’exposition, le nœud et le dénoûment. Mais dans les
livres
didactiques, dans l’éloquence démonstrative, déli
un ordre rigoureux, et varie au gré d’une foule de circonstances. Tel
livre
didactique présente, après l’exorde, une synthèse
ent caractère ou portrait, et dont nous allons nous occuper. 48. Le
Livre
des orateurs, par Timon, 12e édit. ; Bruxelles, J
hoses, objecté l’espèce de bigarrure qui résultait, dans les premiers
livres
, du mélange des citations anglaises ou italiennes
age, et c’est surtout ce que je me suis proposé. Voilà donc encore un
livre
nécessairement fait avec beaucoup d’autres livres
Voilà donc encore un livre nécessairement fait avec beaucoup d’autres
livres
. M. de La Harpe prétend quelque part2 que c’est l
epuis la création du monde jusqu’à la publication de l’Évangile ; les
livres
saints où sont consignés les événements antérieur
oire dans toute sa grandeur et dans toute sa noblesse, c’est dans les
livres
saints qu’il faut l’envisager. L’auteur, dépouill
s ; elle éclaire les ténèbres des siècles les plus reculés. Enfin, ce
livre
est l’histoire du ciel et de la terre et de ce qu
60 ans avant J.-C, avait fait une Bibliothèque historique en quarante
livres
, dont quinze seulement nous sont parvenus. Cet ou
t de Drusus, l’an 744 de la fondation de Rome. Des cent quarante-deux
livres
qui composaient ce magnifique ouvrage, il ne nous
re de raconter et d’apprécier leurs actes, font de son recueil un des
livres
à la fois les plus intéressants et les plus utile
étails et modèle de style historique. Voici le commencement du second
livre
, où se trouve dépeint le changement qui se fit da
les amener enfin à ce point de perfection que nous exigeons dans les
livres
de recherches. On a, en effet, ainsi des dictionn
ans ma classe, et j’en ai pu constater l’excellence. Quelques-uns des
livres
, que le critique judicieux et délicat avait chois
aujourd’hui davantage leur éducation ; mais on peut regretter que les
livres
faits à leur usage ne soient pas encore assez sol
sa défense. « Que n’avez-vous parlé (dit Antoine à Crassus, dans le
livre
de l’Orateur), que n’avez-vous parlé pour ce Ruti
avait prises des philosophes, et que lui-même il a fécondées dans ses
livres
de l’Orateur. Plus on les lit, ces livres que Cic
ême il a fécondées dans ses livres de l’Orateur. Plus on les lit, ces
livres
que Cicéron lui seul au monde a été en état d’écr
ires, il répétera en balbutiant ce qu’il en aura retenu : et si on le
livre
à lui-même, il flottera au gré d’une imagination
i commence à donnera la raison de la force et de la couleur. Les bons
livres
en sont la source, et ce moyen est assez connu :
ans compter, pour l’orateur chrétien, la lecture et la méditation des
livres
sacrés, dont il doit être plein comme de sa propr
donne des ailes et cent voix à l’éloquence, comme à la renommée ; les
livres
sont pour elle des ministres rapides qui, d’une e
vertu fécondes, le ciel aurait donné le don d’écrire éloquemment ! Un
livre
où les principes d’une saine philosophie, d’une p
ve un homme. Au lieu que ceux qui ont le goût bon et qui en voyant un
livre
croient trouver un homme sont tout surpris de tro
tion. XXVI. Certains auteurs, parlant de leurs ouvrages, disent : Mon
livre
, mon commentaire, mon histoire, etc. Ils sentent
ujours un « chez moi » à la bouche. Ils feraient mieux dédire : Notre
livre
, notre commentaire, notre histoire, etc., vu que
rselle me plaît seule. Quand en voyant un homme on se souvient de son
livre
, c’est mauvais signe : je voudrais qu’on ne s’ape
, en vérité, que deux personnes qui ont lu et appris par cœur le même
livre
, le sachent également, si l’un le comprend en sor
s. Voilà ce que je sais par une longue expérience de toutes sortes de
livres
et de personnes. Et sur cela je fais le même juge
t on s’en éloigne : il faut le plus souvent s’abaisser. Les meilleurs
livres
sont ceux que ceux qui les lisent croient qu’ils
s : c’est une trop grande entreprise. C’est un métier que de faire un
livre
, comme de faire une pendule. Il faut plus que de
approbations, il reste à peine assez de pages pour mériter le nom de
livre
. Il y a de certaines choses dont la médiocrité es
le et qu’on veut louer. Que ne disiez-vous seulement : « Voilà un bon
livre
», vous le dites, il est vrai, avec toute la Fran
’en effet ils ne citent point, n’en est pas pire. « Que dites-vous du
livre
d’Hermodore ? - Qu’il est mauvais, répond Anthime
il est mauvais ? - Qu’il est tel, continue-t-il, que ce n’est pas un
livre
, ou qui mérite du moins que le monde en parle. —
expérience faite, que, s’il se trouve dix personnes qui effacent d’un
livre
une expression ou un sentiment, l’on en fournit a
ns le payer avec usure, s’ils disent magistralement qu’ils ont lu son
livre
, et qu’il y a de l’esprit ; mais il leur renvoie
les récompenses, qui est de les rendre meilleurs. Les sots lisent un
livre
, et ne l’entendent point ; les esprits médiocres
qu’à l’ire dans un auteur. Rabelais surtout est incompréhensible. Son
livre
est une énigme, quoi qu’on veuille dire, inexplic
ui lui ressemblent. Il y a autant d’invention à s’enrichir par un sot
livre
qu’il y a de sottise à l’acheter : c’est ignorer
ses lecteurs. L’on a cette incommodité à essuyer dans la lecture des
livres
faits par des gens de parti et de cabale, qui l’o
étorique : il y en a beaucoup d’inutiles ; vous les avez lus dans les
livres
où ils sont amplement. Contentons-nous de parler
ps en temps, faire des essais ; mais il faudrait que l’étude des bons
livres
fût longtemps son occupation principale. C. Je cr
à belles-lettres, qui ne cherchaient que la pureté des langues et les
livres
poliment écrits ; ceux-là, sans principes solides
ent toujours voir en eux la faiblesse humaine. Il n’y a que le second
livre
des Machabées, le livre de la Sagesse, surtout à
la faiblesse humaine. Il n’y a que le second livre des Machabées, le
livre
de la Sagesse, surtout à la fin, et celui de l’Ec
prêche mieux que Bourdaloue ; car jamais Bourdaloue ne fit brûler de
livres
; et moi j’ai déclamé avec tant d’éloquence contr
n’est pas l’auteur de tout cela que tu vois, c’est celui des Mondes,
livre
qui aurait dû t’instruire, de Thétis et Pélée, op
lure. Je vis les muses présenter tour à tour sur l’autel du dieu des
livres
, des dessins et des plans de toute espèce. On voi
sagesse suprême N’a ni trop ni trop peu de fleurs. Presque tous les
livres
y sont corrigés et retranchés de la main des muse
prit de tous les arts : il creusa les sources de l’éloquence dans son
livre
de la Rhétorique, il lit voir que la dialectique
r donné les exemples dans ses harangues, donna les préceptes dans son
livre
de l’Orateur : il suit presque toute la méthode d
Il y aurait encore bien des choses à dire sur l’éloquence ; mais les
livres
n’en disent que trop ; et, dans un siècle éclairé
à un philosophe de cette force. Un autre qui vient d’écrire un petit
livre
(lequel il suppose être physique et moral) contre
ulli, et les airs et les symphonies avec celle de Rameau : on lit les
livres
avec l’esprit des bons auteurs. Si toute une nati
l’élu, le receveur du grenier à sel, le citoyen aisé, personne n’a de
livre
, personne n’a l’esprit cultivé ; on n’est pas plu
que, depuis que les Français s’avisèrent d’écrire, ils n’eurent aucun
livre
écrit d’un bon style, jusqu’à l’année 1654 où les
ite. N’affectez point des tours inusités et des mots nouveaux dans un
livre
de religion, comme l’abbé Houteville. Ne déclamez
livre de religion, comme l’abbé Houteville. Ne déclamez point dans un
livre
de physique. Point de plaisanterie en mathématiqu
rnes. Le système de la nature en est un grand exemple. Il y a dans ce
livre
confus quatre fois trop de paroles ; et c’est en
c’est en partie pour cette raison qu’il est si confus. L’auteur de ce
livre
dit d’abord (page 1) que l’homme est l’ouvrage de
cette autre est une règle prescrite par une essence. Presque tout le
livre
est malheureusement écrit de ce style obscur et d
en et qu’on ne pouvait résister à un philosophe de cette force ». Des
livres
très-estimables sont infectés de cette tâche. La
vivons est de tous les temps le plus éclairé, malgré nos très-mauvais
livres
, et malgré la foule de tant d’insipides journaux
ois plus de goût et de finesse que vous n’en trouveriez dans tous les
livres
écrits avant les Lettres provinciales. Voilà l’é
, qui est très-rarement juste et jamais noble, inonde aujourd’hui nos
livres
, et la cour, et le barreau, et la société ; car d
sort de sa sphère. Des hommes même de beaucoup d’esprit ont fait des
livres
ridicules, pour vouloir avoir trop d’esprit. Le j
lent en public doivent étudier votre Traité de la Prosodie ; c’est un
livre
classique qui durera autant que la langue françai
r la Vie de Vanini ; je l’ai lue. Ce n’était pas la peine de faire un
livre
. Je suis fâché qu’on ait cuit ce pauvre Napolitai
ivre des Lettres persanes dont vous me parlez. On a négligé le petit
livre
de la Décadence des Romains, du même auteur ; cep
ue tous les bons esprits estiment le grand sens qui règne dans ce bon
livre
d’abord méprisé, et font assez peu de cas de la f
ou enchâssées d’une manière étrangère à notre langue. Il faut que ce
livre
soit excellent d’un bout à l’autre. Je vous conju
d : Les exemples vivants sont d’un autre pouvoir ; Un prince dans un
livre
apprend mal son devoir. Et qu’a fait, après tout,
de son siècle le plus poli et le plus capable d’intrigues, auteur du
livre
des Maximes ; le fameux cardinal de Retz, le card
, loin de rendre un ouvrage plus solide, en détruit l’assemblage ; le
livre
paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
ien à redouter de leur contagion. VI. On n’aime pas à trouver dans un
livre
les mots qu’on ne pourrait pas se permettre de di
quoi, quand une langue a eu plusieurs âges, comme la nôtre, les vieux
livres
sont bons à lire. Avec eux, on remonte à ses sour
up, et tout entière, dès qu’elle est achevée. Ce qui en reste dans le
livre
, sans s’en détacher de lui-même, pour s’appliquer
ût et à orner leur cœur, et qui mérite une place distinguée parmi les
livres
classiques édités de nos jours ; » que tous enfin
e d’éloge votre sévérité ou plutôt votre justice à condamner certains
livres
, dont il ne faut à aucun prix se permettre la lec
bbé Piron, me parait réunir les principales qualités de nos meilleurs
livres
classiques. L’auteur y donne le résumé de ses doc
ique, il est clair. Aussi désiré-je vivement le voir introduire comme
livre
classique dans notre maison ; il serait à la fois
Strabon fait peut-être allusion à la Poétique, lorsque, dans son Ier
livre
, il écrit, à propos d’Ératosthène : Оὐδὲ γὰρ ἀληθ
Athénée, III, p. 98, 99 et comparez dans Aristote le commencement du
livre
sur Xénophane, où, du reste, la sécheresse du sty
tous les pays, il faudrait qu’un spectateur allât consulter tous les
livres
avant qu’il sût si ce qu’on lui représente est fa
vrai de cette parole bien autrement pénétrante qui retentit dans les
livres
. Toujours celle des Français est entendue de plus
du goût, de la hardiesse et de la célérité. » « Les journaux et les
livres
sont plus dangereux en France qu’ailleurs, parce
impose ses idées. Par sa presse, elle gouverne les peuples ; par ses
livres
, elle gouverne les esprits. Si elle n’a plus la c
e et vivante : c’est la littérature française. On ne lit plus que des
livres
français de Pétersbourg à Cadix, de Calcutta à Ne
vit. Sur toute la surface du continent, partout où germe une idée, un
livre
français a été semé. Honneur donc aux travaux des
talent, son génie propre consistent à dégager la substance morale des
livres
où il cherche les éléments d’un caractère. Comme
emps cette description qui, si elle était complète, tiendrait tout un
livre
. Le moyen âge, croyez-le bien, et Dante occuperai
à ses amis, à ceux qu’un long commerce a éprouvés. Vieux vins, vieux
livres
, vieux amis. On se dit, comme Voltaire dans ces v
aisément aujourd’hui. Les marbres sont devenus comme les garants des
livres
. Phidias a été inspiré par Homère : il le lui ren
, chef de l’école classique. 1. Trouvons-nous la raison dans le ive
livre
de l’Enéide et dans les transports de Didons ? (S
e qui me semble excellente, et qui vient tout à fait à propos dans un
livre
comme celui-ci. Condillac veut faire sentir quell
ateurs de figures triviales que la France ait produits. C’est dans le
Livre
des Orateurs qu’on trouve que les orateurs pathét
s cités par M. Wey ? l’un est d’un romancier moderne qui, dédiant son
livre
à un peintre, et voulant lui faire sentir que tou
s comme les pires, se croire obligés, pour assurer le succès de leurs
livres
, de supposer l’allégorie là où elle n’était point
s un moment le gouvernail, ou tout est perdu. » Et dans son cinquième
livre
, quel charme n’ajoute pas l’allusion au tableau d
t de leurs plaisanteries comme des romans allégoriques et de certains
livres
sur les mœurs et caractères ; pour les pénétrer,
et protestant, Pontife en sa maison, y porte, en l’habitant, Un seul
livre
; et partout où, pour l’heure, il réside, De tout
n noir feston, Un billet en dix mots qu’écrivit Washington8. Quelques
livres
rangés, dont le premier, Shakspeare (Car des deu
Si l’orgueil prend ton cœur quand le peuple me nomme Que de mes
livres
seuls te vienne ta fierté. J’ai mis sur le cimier
n où aucun de ses rivaux ne l’a égalé. » Louis Ratisbonne, Auteurs et
Livres
. M. Théophile Gautier comparait la gloire serei
amitié sympathique pour sa douce mémoire1. Vauvenargues parle des
livres
anciens qui l’ont passionné 1 Les Vies de Plu
nais plus ce qu’elles mettaient en moi ; j’étouffais, je quittais mes
livres
, et je sortais comme un homme en fureur, pour fai
nces morales qu’il avait avec son frère, il vient à disserter sur les
livres
anciens. 2. Henri IV écrivait sur Plutarque à l
pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce
livre
entre les mains, encore que je ne feusse à peine
e que lui faisait Colletet d’une de ses comédies, lui donna six cents
livres
pour six vers seulement qu’il trouvait fort beaux
inistre ce distique : Armand, qui pour six vers m’as donné six cents
livres
, Que ne puis-je à ce prix te vendre tous mes livr
s donné six cents livres, Que ne puis-je à ce prix te vendre tous mes
livres
! On doit observer de mêler les rimes masculines
un tout parfait en son genre. La réflexion que fait Cicéron dans son
livre
de l’Orateur, au chapitre de l’Invention, va nous
ne action : quelquefois il la met sous les yeux : d’autres fois il se
livre
seulement au sentiment : enfin il traite souvent
ramatique. Quand, pénétré d’un sentiment, agité d’une passion, il s’y
livre
tout entier, et les exprime avec le plus vif enth
errement et funerailles9, et le pauvre Gargantua demoura à l’hostel. (
Livre
II, ch. iii.) Exploit d’un géant Comment
urent tous rompuz12, et mis en pieces ceulx qui estoient en icelluy. (
Livre
I, ch. xxxvi.) Le fils d’un géant De l’en
ppa au milieu par despit, auec protestation de iamais n’y retourner. (
Livre
II, ch. iv.) Un bon tour Jean Dodin et Fr
in se descharge, et vous iecte Dodin en pleine eau la teste au fond. (
Livre
III, ch. xxiii.) Femme mute 11 et mari sourd
demy mors9. Ie ne ris oncques tant que ie feis10 à ce patelinage11. (
Livre
III, ch. xxxiv.) 1. Interdit aux gens d’Église
ès bien des essais et des tâtonnements. « C’est un métier de faire un
livre
, comme de faire une pendule, disait la Bruyère ;
l’écrivain vole maintenant d’un bout à l’autre de l’univers avec les
livres
, les pamphlets, les journaux. Le plaidoyer même e
ue ces trois objets, pour être traités à fond, demanderaient un autre
livre
tout entier, qu’il n’en est pas question dans cel
mme l’eau murmure et comme le rossignol chante. » Et le raisonneur du
livre
lui répond avec un grand sens : « Le murmure de l
os de cette définition. Voyez, entre autres, la Poétique de Scaliger,
livre
V, chap. 6 les auteurs analysés par Goujet, Bibl
ait δρώντος, et non δρώντων. La Fontaine a inséré à la fin du premier
livre
de sa Psyché une comparaison de la comédie et de
urs et les pensées.] Mêmes distinctions dans la Morale Nicom., fin du
livre
Ier. Et il n’y a rien au delà.] De même, Rhétoriq
es déjà, notre plume a quelque habitude de juger les écrivains ou les
livres
. Notre intention a été de n’admettre ici que les
air qui nous entoure, ne donnons pas l’attrait du fruit défendu à des
livres
qu’un engouement irréfléchi lira sans critique, s
sprit droit et d’une âme saine. Gustave Merlet. 1. L’esprit de ce
livre
est contenu dans la page que voici, et que j’empr
comparer à celle de la terre : c’est celle qui se manifeste dans les
Livres
saints, et qui a pour interprète les cantiques de
cine, reproduit avec un bonheur incomparable le mouvement lyrique des
Livres
sacrés : aussi n’avons-nous rien de plus beau dan
e. Le Chi-King, recueil de chants rassemblés par Confucius. Inde. Les
livres
sacrés nommés Védas, Kalidasa. Perse, Arabie. Les
a virtus orationis est perspicuitas, » dit Quintilien, dès le premier
livre
de ses Institutions, pour revenir sur cette vérit
es ; ce n’est qu’en France, de l’aveu de tous, que l’on sait faire un
livre
. Dans un ordre d’idées moins élevé, ce qui n’est
Bruyère, une demi-page de ce jeu d’esprit, je le veux bien ; mais un
livre
entier ! Et puis, quelles que soient l’érudition
pour l’esprit et la marche de l’œuvre. Songez qu’on avait donné à ses
livres
le nom des Muses. Or les Muses françaises parlent
prix que diverses libéralités avaient élevé jusqu’au chiffre de 4400
livres
. L’ouvrage était d’ailleurs très-digne de cette b
la compétence qui le distinguaient, M. Walckenaer a donné sur lui un
livre
plein de recherches curieuses : Histoire de la vi
soixante-six apologues d’Esope, et surtout Gueroult, dans son Premier
livre
des Emblèmes. Quant à la pièce de La Fontaine, el
e que l’on peut être, Les choses changent de nom. 5. « Le septième
livre
, dit Chamfort, s’ouvre par le plus beau des apolo
ce à revenir sur l’eau. Valère. Calmons le désespoir où la fureur me
livre
. Approche ce fauteuil. (Hector approche un fauteu
un fauteuil.) Valère, assis. Approche ce fauteuil.Va me chercher un
livre
. Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre ch
, assis. Approche ce fauteuil.Va me chercher un livre. Hector. Quel
livre
voulez-vous lire en votre chagrin ? Valère. Celu
peu, prends dans ma bibliothèque. Hector sort, et rentre, tenant un
livre
. Voilà Sénèque. Valère. Voilà Sénèque.Lis. Hec
ures m’étonne ; la sainteté de l’Évangile parle à mon cœur. Voyez les
livres
des philosophes avec toute leur pompe : qu’ils so
e leur pompe : qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un
livre
à la fois si sublime et si sage soit l’ouvrage de
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y
livre
en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
dans Furetière : « Que l’on serait heureux si l’on pouvait avoir des
livres
choisir, et des amis plus encore ! Du bon sens pl
sable de ses actes et de ses paroles. Incapable de mener à fin un bon
livre
, il excellait pourtant à tracer en courant de bel
capitation vient à l’imposer sur sa robe de chambre. L’écritoire, les
livres
, les accessoires aussi bien qu’il est possible ;
prouver par expérience qu’une once de sens commun vaut mieux que cent
livres
d’esprit ; car avec du sens commun… — Ah ! scélér
e de Goëthe et de Schiller mentionne souvent le nom de Diderot : « Le
livre
de Diderot est excellent et s’adresse au poëte pl
aux ennemis que lui avait faits sa gloire. On trouve dans ce dernier
livre
, remarque M. Nisard, de grands traits de mélancol
eût touché au but : vous pouvez voir et compter ces opinions dans les
livres
de la Cité de Dieu de saint Augustin2. Jésus-Chri
it la sienne. 2. On peut consulter, à ce sujet, le chap. 1er du XIXe
livre
de cet ouvrage ; Cf. ibid., XVIII, 41. 3. Allusi
que de laisser deux ouvrages, les Provinciales et les Pensées. Aucun
livre
n’atteste plus que le premier la puissance du sty
l, précédée d’une étude ; M. Sainte-Beuve, qui lui a consacré tout un
livre
, le troisième de son Port-Royal, et M. Cousin, qu
r des conjectures… 3. Manilius avait dit la même chose, au début du
livre
IV de ses Astronomiques, en peignant les chimériq
pas quand il est devant le nom ; mais dites : une heure et demie, une
livre
et demie : quand le mot demi est après le nom, il
met de, et non pas des devant un adjectif. Exemples : j’ai lu de bons
livres
, et non pas des bons livres ; j’ai vu de belles m
t un adjectif. Exemples : j’ai lu de bons livres, et non pas des bons
livres
; j’ai vu de belles maisons, et non pas des belle
air qui nous entoure, ne donnons pas l’attrait du fruit défendu à des
livres
qu’un engouement irréfléchi lira sans critique, s
0 ; et ce grand courage, qui n’avait encore vu la guerre que dans les
livres
, effaça tout ce qu’il y avait lu des Alexandre et
de l’esprit, le duc de la Rochefoucauld consola ses disgrâces par un
livre
où ses ressentiments lui inspirent la misanthropi
l’enfance des dons merveilleux. On sait que, sans le secours d’aucun
livre
, il trouva seul, à l’âge de douze ans, les trente
le bonheur, qui est le tout du monde. Je voudrais de bon cœur voir le
livre
italien, dont je ne connais que le titre, qui vau
italien, dont je ne connais que le titre, qui vaut lui seul bien des
livres
, dell’ Opinione, regina del mondo 295. J’y souscr
e furent ses maîtres, avant le jour où, dans la Bible, il reconnut le
livre
par excellence, la source même de son propre géni
issement de la loi. Tel est, madame, l’oracle du Saint-Esprit dans un
livre
que vous ne devez point vous lasser de lire. Les
Esprit dans un livre que vous ne devez point vous lasser de lire. Les
livres
profanes inspirent l’orgueil, et nourrissent une
in ; les poulets en plumes valent trente sous, la viande huit sous la
livre
et très mauvaise ; on porte tout au camp693. Il p
quand il faut s’en défier ou s’y abandonner, personne ne le sait ; ni
livres
, ni règles, ni expérience ne l’enseignent ; une c
as, ce disoit-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me mit ce
livre
entre les mains, encore que je ne fusse à peine p
9, et vous voyez que je vous ai mis moi-même entre les mains assez de
livres
français capables de vous amuser ; mais je serois
apables de vous amuser ; mais je serois inconsolable si ces sortes de
livres
vous inspiraient du dégoût pour des lectures plus
piraient du dégoût pour des lectures plus utiles, et surtout pour les
livres
de piété et de morale, dont vous ne parlez jamais
er à s’entretenir avec vous. Vous pouvez prendre Voiture730 parmi mes
livres
, si cela vous fait plaisir. J’aimerais autant, si
ela vous fait plaisir. J’aimerais autant, si vous voulez lire quelque
livre
français, que vous prissiez la traduction d’Hérod
ix ; et si le roi désirait que je quittasse, je quitterais cent mille
livres
de rentes, sans condition et sans rien demander.
vain inimitable qui aurait produit un chef-d’œuvre, si le plan de son
livre
n’était défectueux. Sa Correspondance est pétilla
ite bien davantage en les lisant1133, qu’avec tous les mauvais petits
livres
dont nous sommes inondés. Les bons auteurs n’ont
rien de soutenu, de suivi, de réglé. Incapable de mener à fin un bon
livre
, il excellait pourtant à tracer en courant de bel
ures m’étonne ; la sainteté de l’Évangile parle à mon cœur. Voyez les
livres
des philosophes avec toute leur pompe : qu’ils so
e leur pompe : qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un
livre
à la fois si sublime et si sage soit l’ouvrage de
nous impose n’a rien que. de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y
livre
en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
z moi ; que ce panier contenait, entre autres choses, un pot de vingt
livres
de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais c
tre, ni pratiquer, ni aimer. Personne néanmoins n’ignore que les bons
livres
sont l’essence1417 des meilleurs esprits, le préc
ce et de réconciliation entre la religion et la société française. Ce
livre
réhabilita tout ce qu’avaient flétri des sarcasme
viennent, ces vierges austères, qu’elles viennent fermer pour moi le
livre
de la Poésie et m’ouvrir les pages de l’histoire.
essai sur l’Indifférence en matière de religion (1817-1823). Dans ce
livre
apparaissait déjà sous le docteur orthodoxe un lo
s lettres brèves et saisissantes, comme l’éclair de sa volonté, et un
livre
unique, non pas seulement le secret de ses campag
remit en marche d’un air noble et doux, le crucifix d’une main et un
livre
d’Heures de l’autre, revêtue du costume de veuve
resque dans leur langue. Ses études sont inspirées par la passion des
livres
, l’amour des lettres, l’enthousiasme du beau, et
omme en laid, je n’irai pas chercher bien loin mon modèle1726. Les
livres
Assurément, je ne suis ni un grand critique, n
dans mes souvenirs, je ne trouve pas un jour où la vue seule d’un bon
livre
, à plus forte raison sa lecture, ne m’ait ravi et
ravi et transporté. Je ne pourrai jamais dire tout ce que ce goût des
livres
et des lettres a répandu de charme sur ma vie ; q
récède toute discussion sérieuse. Les beaux jours arrivaient-ils, mon
livre
me suivait dans de longues promenades : je l’ouvr
eu le temps de lire autant que je l’aurais voulu, je n’ai lu que des
livres
excellents ; je les ai relus sans cesse. Il y a u
s livres excellents ; je les ai relus sans cesse. Il y a une foule de
livres
très-bons dans leur genre, je n’en doute pas, que
le maître, ma main va toute seule chercher dans une bibliothèque ces
livres
que les enfants savent déjà par cœur : un Boileau
qui ne lisent pas, qui seraient très-fâchés de lire, et qui n’ont des
livres
que pour la montre. Tous les moments qu’ils avaie
aurais encore, je le crois, du plaisir à tenir dans mes mains un beau
livre
. Je sentirais du moins le velouté de sa reliure,
nt vu ! Le bibliophile odieux, c’est celui qui achète brutalement des
livres
en convenant tout haut qu’il ne lit jamais. Notez
t la plus avide ; c’est elle qui fait monter ridiculement le prix des
livres
. Vous n’aurez jamais un volume quand un de ces ge
étend l’avoir. Ils n’ont sur nous qu’on avantage : c’est que tous les
livres
leur sont bons pourvu qu’ils soient beaux, et que
, bibliophiles raisonnables, notre champ est plus restreint. Quand un
livre
n’est pas à notre usage, il a beau être bien bril
ot de la société française et du cœur humain. En parlant non comme un
livre
, mais comme un homme, il a exercé la plus saine i
lait de soie ou de velours, entrait dans son cabinet, et, ouvrant ses
livres
, conversait avec les grands génies de l’antiquité
ces ; car toute la morale aboutit là. Montaigne est mort : on met son
livre
sur son cercueil ; le théologal Charron1804 et ma
Nisard Né en 1806. Critique conservateur, M. Nisard a fait un
livre
qui manquait à la France1828. Il est le premier,
ont se compose le miel des bons sentiments et des bonnes pensées. Les
livres
ne sont plus que des formulaires, et les beautés
ait peut-être gardé, comme prévoyance ; de sa médiocrité première, un
livre
qui le rend un moment à lui-même, et lui fait sav
44. (Août 1855, discours au lycée Bonaparte.) 1. L’esprit de ce
livre
est contenu dans la page que voici, et que j’empr
: « Je vous offre, mon Dieu, la traduction de ce saint et admirable
livre
; je ne l’ai pas entreprise pour la rendre publiq
. Je me plais à voir ce bourgeois enrichi, respecter ou apprécier les
livres
, et ce qu’ils contiennent. 256. Frôler, c’est-à-
in : « De tous les monuments du génie, nul n’est plus célèbre que le
livre
des Pensées. et la littérature française ne possè
la conscience même. 368. Sage, ce mot désigne Salomon, l’auteur du
Livre
des Proverbes. 369. Lisez les conseils que Raci
le, ou en compagnie ; on se rencontre à une place fort belle, on a un
livre
, ou prie Dieu, on rêve à sa chère fille, on fait
agne, en Provence, tantôt gais, tantôt tristes. Mon fils nous lit des
livres
très-agréables : nous en avons un de dévotion, le
faut. Nous soupons à huit heures ; Sévigné lit après souper, mais des
livres
gais, de peur de dormir ; ils s’en vont à dix heu
jours chez le prince de Condé, et la dépense monta à plus de 180, 000
livres
, qui vaudraient aujourd’hui 360 à 400, 000 francs
eux la marée ou la mort. La mort seule répond ; l’infortuné s’y
livre
; Déjà percé trois fois, il a cessé de vivre. Ses
us d’autre chose que de ce que nous lisions dans Plutarque ; c’est un
livre
où sont contenus les faits des grands hommes qui
ction, me disait-il, est de lui, et je courais vite regarder dans mon
livre
s’il n’y avait rien à opposer à ce qu’il disait :
e leurs sens, Qu’à former les vainqueurs de Pharsale et d’Arbelle. Au
livre
des destins tous leurs jours sont comptés. 74
es, mortes ou vivantes ; mais elles sont grossières ou polies, si les
livres
qu’elles ont formés sont d’un bon ou d’un mauvais
ressentiment qu’il en a gardé se laisse voir en maint endroit de son
livre
, et s’y marque parfois avec une sorte d’amertume.
muse chrétienne. Comparez ses Champs-Élysées avec ceux de Virgile (6e
livre
de l’Enéide), vous Verrez combien l’auteur du Tél
de Cambrai. Je l’avais pourtant déjà lu. Il y a de l’agrément dans ce
livre
, et une imitation de l’Odyssée que j’approuve for
. Voltaire, dans ses lettres, a jugé ainsi l’Esprit des lois : « Ce
livre
m’a toujours paru un cabinet mal rangé, avec de b
avoue que Montesquieu manque souvent d’ordre, malgré ses divisions en
livres
et en chapitres ; que quelquefois il donne une ép
a à jamais un génie heureux et profond, qui pense et fait penser. Son
livre
devrait être le bréviaire de ceux qui sont appelé
le que d’avoir un père ou un aïeul comme lui qui n’avait fait que des
livres
. Garat, dans ses mémoires, nous montre Montesqu
rrespondance de Goëthe et de Schiller, nous lisons ce jugement : « Le
livre
de Diderot est excellent, et s’adresse au poëte p
osé y penser. » 1268. Tronchin, médecin, né à Genève. 1269. Le mot
livres
désignait alors la valeur d’un franc. Cette somme
dans Furetière : « Que lion serait heureux si lion pouvait avoir des
livres
choisis, et des amis plus encore ! Du bon sens pl
ui nous charment dans la physionomie de M. Guizot. Un de ses derniers
livres
est l’Histoire racontée par un grand-père à ses p
es, qui se mêlent sans confusion, conduit le lecteur jusqu’au bout du
livre
sans qu’il ait un moment l’envie de s’arrêter.
s honnêtes gens, comme on disait alors. Etienne Pasquier appelait son
livre
un vrai séminaire de belles et notables sentences
e mot. Si vous ne rêvez pas vie militaire, si vous ne dévorez pas les
livres
et les plans de la g terre, si vous ne baisez poi
réorganisa tous les services, institua la banque de France, le grand
livre
de la dette publique, fit achever la rédaction du
lectures d’enfance. « Je suis de ceux pour qui la connaissance d’un
livre
peut devenir un véritable événement. Le peu de bo
puis que j’existe, a développé le peu de bonnes qualités que j’ai. Un
livre
a toujours été pour moi un ami, un conseil, un co
nt dans la vague de l’air, comme tout à l’heure les caractères sur le
livre
. Il faut partir ; le chemin est pierreux, l’éclus
onfession de votre journée, et que vous aurez été sommé de montrer le
livre
, après quelque hésitation et une grande crainte d
ste il ne lit pas, et souvent il n’a jamais lu. : il collectionne des
livres
, comme il ferait des tableaux, des coquilles, des
remier venu : peu lui importe que les gens sachent ce que c’est qu’un
livre
, et, qui plus est, un beau livre ! « Le bibliom
les gens sachent ce que c’est qu’un livre, et, qui plus est, un beau
livre
! « Le bibliomane envieux désire tout ce qu’il
as ; et, dès qu’il possède, son désir change de but : sait-il que tel
livre
existe chez un amateur avec lequel il rivalise, a
, il ne dort plus, il ne vit plus que pour la conquête du bienheureux
livre
qu’il convoite ; il emploie tout, jusqu’à l’intri
ssession ; mais un rien, la découverte d’un second exemplaire du même
livre
, une critique en l’air, une réimpression, voilà c
ace. Tout à l’heure l’envieux souhaitait la mort du maître de ce cher
livre
, afin de s’enrichir aux dépens du défunt ! Ce bib
ence à chaque nouveau désir. » Le bibliomane fantasque n’adore ses
livres
que pour un temps ; il les recueille avec curiosi
réflexion et la lecture nous guérissent de l’ennui, surtout quand le
livre
est un chef-d’œuvre. 1808. Saint-Evremond (1613-
: « La mémoire n’aime que ce qui est excellent. » — « On dit que les
livres
sont bientôt lus, mais ils ne sont pas bientôt en
ps que pour la concevoir. » — « Il n’est rien de plus beau qu’un beau
livre
. » 1843. Allusion à ce mot de l’Écriture : Voe
us », disait cette femme dont l’Ecriture a loué la prudence au second
livre
des Rois3 , « et nous allons sans cesse au tombea
duc d’Orléans, qu’elle avait fait exiler. 3. Les Rois forment quatre
livres
qui contiennent l’histoire des Juifs pendant cinq
muel. Ils viennent, dans la division de l’Ancien Testament, après les
livres
de Josué et de Ruth. 1. La mort presque soudaine
rvi. » 1. En signalant ce passage comme l’un des plus distingués du
livre
par la clarté et l’analyse, M. de Barante fait ob
i-même ; et ces deux ouvrages peuvent tenir lieu d’un grand nombre de
livres
sur la religion et la morale. » La Harpe a dit ju
urrons-nous trouver une juste idée de la poésie sacrée ? Ce sont les
Livres
Saints qui pourront nous donner une juste idée de
eu l’avait comblé. On trouve encore d’autres poèmes lyriques dans les
Livres
Saints : les plaintes sublimes de Job, Pereat die
de l’âme, et demande à être chantée. C’est le nom qu’a pris dans les
Livres
Saints la poésie lyrique, à l’exception des Psaum
intitulée : Dégoût des grandeurs périssables ; les plus belles du Ier
livre
de J.-B. Rousseau, tout entier tiré des Psaumes ;
un certain nombre, parmi lesquelles on doit ranger les plus belles du
livre
III, et quelques-unes du livre IV. Il en est de m
lles on doit ranger les plus belles du livre III, et quelques-unes du
livre
IV. Il en est de même de J.-B. Rousseau, dont nou
Outre quelques odes d’Horace, en particulier les trois premières du
livre
III, nous pouvons citer en ce genre une ode de Jo
ux. Quoi de plus vivant, de plus délicieux que le passage suivant des
Livres
Saints : Vous bénirez nos champs, Seigneur, et vo
cé : » voilà la seule conclusion de Montesquieu pour les trente et un
livres
de l’Esprit des lois. Et il a raison, en effet, d
t qui le caractérise, l’a fort bien compris, et l’idée d’un treizième
livre
est une bouffonnerie digne du chanoine Mafeo Vegi
s voyages en Chine et en Tartarie, c’est-à-dire au moins la moitié du
livre
, ne présente plus ni intérêt, ni originalité, ni
eur, que la quète qui suivit son sermon rapporta cent cinquante mille
livres
en souscriptions. Quoi qu’il en soit, il est ce
oive tousjours les tailles, sans rendre compte. Je n’ay point leu les
livres
, ny les histoires, et annales de France, et n’ay
eux de l’argent. 6. Ce que c’est. 7. De Rieux, qui n’a point lu les
livres
ni les historiens, confond les faits. Le prince H
ancharte, qui estoit une imposition pour tout le royaume d’un sol par
livre
de chaque denrée vendue. » (Est. Pasquier, Lettre
x de jouir dans un autre soi-même, Et des lieux qu’on préfère, et des
livres
qu’on aime. Chaque abeille2 à la ruche apporte so
qu’elle repose à l’ombre. Je viens de voir le nom d’un roi1 Sur le
livre
où, selon l’usage, Chacun ici laisse après soi Un
nsons. 1. Dans un volume intitulé Causcries sur les Femmes et les
Livres
, par Gustave Merlet, on peut lire une étude sur M
rs jeux ses charmantes leçons. Les marmots hérissés3 ayant horreur du
livre
, Quand elle ouvrait le sien, quittaient tout pour
A se faire conter des contes éternels, A s’empresser autour du vieux
livre
d’images, A changer mille fois de plaisirs et d’o
ême à réciter des fables et des vers ! Puis on posait cahier, tricot,
livre
, au plus vite : Les châtaignes fumaient dans l’im
a philosophie, sur la morale, sur les arts et les sciences ; tous les
livres
de théorie, les études et les descriptions de la
s livres de théorie, les études et les descriptions de la nature, les
livres
d’éducation, etc. C’est le genre le plus vaste de
st pour en offrir à tous le moyen et la facilité que nous publions ce
livre
. On y trouvera des plans, des développements, des
ts vers le but qu’ils veulent atteindre. Il sera bon pour tirer de ce
livre
tout le profit possible de procéder avec méthode.
. On ne peut donc trop les multiplier. Si l’on veut bien parcourir ce
livre
tout entier, on reconnaîtra sans peine que les di
re pas dans notre pensée de conseiller à personne l’achat de tous ces
livres
. On les trouvera, pour la plupart, dans les bibli
ent que des notions très variées. Nous espérons que tel qu’il est, ce
livre
sera utile aux candidats de tout ordre ; on ne le
Latini (xiii e siècle), dans la préface de son ouvrage intitulé : Li
livres
du trésor, explique pourquoi, bien qu’Italien, il
ivres du trésor, explique pourquoi, bien qu’Italien, il a composé son
livre
en français et donne la raison suivante : « parce
ntenue dans ce vers : « Le théâtre instruit plus que ne fait un gros
livre
. » (Toulouse, octobre 1890.) Faire brièvement l’
les de La Fontaine. (Clermont, avril 1887.) Rousseau, dans le second
livre
de l’Émile, déclare qu’il ne fera pas apprendre à
gne écrit à La Fontaine pour le remercier de lui avoir dédié le xii e
Livre
de ses Fables. (Nancy, juillet 1891.) Expliquer e
(Lyon, octobre 1890.) Expliquer et discuter la pensée fondamentale du
livre
des Maximes de La Rochefoucauld : Que l’amour-pro
ger, novembre1889 ; juillet 1891.) Développer cette pensée : « Un bon
livre
est un bon ami. » (Clermont, août 1886.) Montesq
combien cette pensée est vraie. (Dijon, avril 1890.) De l’utilité des
livres
et des lectures. (Clermont, octobre 1889.) Vous e
t de Fénelon en l’écrivant ? 4° D’où vient la longue popularité de ce
livre
, et l’abandon où il semble être tombé ? (Paris, a
nsistera surtout sur les inconvénients qui résultent de la lecture de
livres
purement amusants et sur les qualités que l’espri
succès dans ses études, une somme assez ronde, destinée à l’achat de
livres
classiques qui formeraient sa première bibliothèq
c’était un esprit autrefois cultivé, bien qu’il n’eût plus ouvert un
livre
depuis sa vie aventureuse), il raconte qu’il renc
e le tableau de la société française avant la Révolution, d’après les
livres
, la presse et les salons. – Montrer que c’est à s
rès Bossuet. – Lettre de Boileau à La Bruyère qui lui avait envoyé le
livre
des Caractères. – Que faut-il penser du jugement
Fables de La Fontaine. On prendra des exemples dans les six premiers
livres
. – Pourquoi la fable le Chêne et le Roseau est-el
une réelle influence. Boileau eut « dès quinze ans la haine d’un sot
livre
». Il avait formé son esprit et son goût à l’écol
ique cette élévation dont Pascal lui-même est le parfait modèle. Tout
livre
qui ne donne pas de son auteur cette grande idée
i ne donne pas de son auteur cette grande idée ne saurait être un bon
livre
. Il n’est pas fait de main d’ouvrier, car il n’él
eux que dans ses heures d’enthousiasme, et la meilleure page d’un bon
livre
est, le plus souvent, celle qui a le moins coûté
il n’a fait que les observer et les noter au passage. Le début de son
livre
est d’un homme modeste et qui, tout de suite, veu
’est lui qu’il nous a peint ; l’homme du xvii e siècle revit dans son
livre
. Le souverain, dont il a fait le portrait, est as
ort point de Paris, il ne parle que d’aunage, de tarif et de sou pour
livre
. Sa femme n’aime que le luxe, elle ne fait cas qu
me tel que le font les lois et les coutumes de l’époque où il vit. Le
livre
des Caractères renferme encore autre chose ; l’ho
rien d’essentiel sur les mœurs des Suédois et des Russes, et il nous
livre
, avec les intrigues qui se nouent autour du sulta
our eux-mêmes, le droit de dire tout le mal qu’ils pensent d’un « sot
livre
». A les en croire ce n’est ni la haine, ni surt
t. C’est son droit lorsqu’il a été blessé de dire du mal d’un mauvais
livre
; c’est son devoir d’admirer les beaux ouvrages,
rgenson. – Que puis-je faire ici ? A quels travaux voulez-vous que se
livre
un ministre en disgrâce ? La politique m’est inte
on étudie ; c’est par la pratique des affaires qu’on s’instruit ; les
livres
ne sont utiles qu’aux jeunes gens. Montesquieu.
t ; les livres ne sont utiles qu’aux jeunes gens. Montesquieu. – Les
livres
peuvent être utiles à tous. L’histoire a des ense
ur les philosophes et pour les moralistes ; vous trouverez dans leurs
livres
des consolations qui rendront vos regrets moins a
ontesquieu. – Ces amis qui vous manquent, vous les trouverez dans vos
livres
eux-mêmes ; ils peupleront votre solitude et cett
uissantes à rendre toute ma pensée. D’Argenson. – Vous avez aimé les
livres
comme j’ai aimé les affaires. Vous y avez cherché
par vos soldats. Quelques milliers d’hommes, et quelques millions de
livres
vous assureront la possession de la contrée la pl
a plus que nous. » A.B La Fontaine adresse à Maucroix le dernier
livre
de ses fables et il en prend prétexte pour dire u
fruits et des fleurs ! Puis je m’en vais semant maint conseil en mon
livre
. Je dis au fainéant qui s’endort au soleil : Trav
de conter avec art, Ma muse est un oiseau qui voltige au hasard. Mon
livre
, ouvert à tous, suffit à ma défense. Je ne sais p
r en lisant mes écrits. Je me flatte peut-être ; est-il donc pour son
livre
Auteur qui n’ait rêvé des destins éclatants ; Tou
eus, d’avoir favorisé notre rencontre ; depuis si longtemps que je me
livre
aux douceurs de la vie des champs, loin des tourm
texte, les auteurs, il y aura tout profit à se procurer quelques bons
livres
, comme : la Littérature de Nisard, le Cours de li
e : élève l’esprit, le terme : sentiments nobles et courageux. Un bon
livre
, et bien écrit, nous élève toujours au-dessus de
’il y a de meilleur, de plus noble, de plus généreux en notre âme. Un
livre
qui est pensé hautement, soulevé d’un beau souffl
Grignan, la petite-fille de Mme de Sévigné, était une « dévoreuse de
livres
». Sa mère, Mme de Grignan, avait cru devoir. par
ais tâché de faire une belle et docte préface, et je ne manque pas de
livres
qui m’auraient fourni tout ce qu’on peut dire de
st expansive, ouverte, facile à connaître, autant Mme de Maintenon se
livre
peu. Elle écrivit moins sans doute que Mme de Sév
i plaise. » Ainsi, selon Boileau, ce qu’il pourra dire contre un bon
livre
ne saurait lui nuire, puisque le public est toujo
dire le mot, au lieu commun. L’étude du singulier empire que prend le
livre
, le livre qui agrée, sur des esprits tout neufs,
t, au lieu commun. L’étude du singulier empire que prend le livre, le
livre
qui agrée, sur des esprits tout neufs, tout entie
ses études, parce que, dit-elle, elle se trouve à la campagne et sans
livres
. Répondez-lui. Examens de 1888. Ordre de
cueillent, avec plus de zèle que de discernement, dans les excellents
livres
de MM. Brachet, Aubertin, Darmesteter, les élémen
raisonner et bien conclure, qu’il s’agisse de quelques pages ou d’un
livre
entier, c’est là le travail toujours difficile où
ition des Fables, et surtout une édition annotée ; mais exécutée sans
livres
ni notes, et en si peu de temps, elle atteste une
r celles de littérature. Le champ est évidemment plus restreint ; les
livres
, d’une consultation plus facile, parce qu’ils son
ation personnelles, parce qu’on ne la trouve pas toute faite dans les
livres
, a été plus faible et presque nulle dans quelques
rdinairement quand on a moins de commerce avec les hommes qu’avec les
livres
; et il n’avait point cette rudesse et une certai
t une certaine fierté sauvage que donne assez souvent le commerce des
livres
sans celui des hommes. » Vous développerez cette
Vous développerez cette pensée, en montrant que la lecture des bons
livres
et la connaissance du monde sont nécessaires à la
urs appellations latines d’artisans et d’utils. (Montaigne. – Essais,
livre
Ier, chapitre 25.) Le goût peut se gâter chez une
t apprécier cette pensée de Descartes : « La lecture de tous les bons
livres
est comme une conversation avec les plus honnêtes
es jusqu’à nos jours, par M. E. Lintilhac. (André-Guédon.) – C’est un
livre
tout à fait utile aux aspirantes. Il est fait par
ère et de son esprit ? Pédagogie. On vous recommande de lire de bons
livres
et de n’en lire que de bons. Mais qu’est-ce qu’un
de bons livres et de n’en lire que de bons. Mais qu’est-ce qu’un bon
livre
; à quels signes le reconnaître ? Concours de
ltivées de préférence. Pédagogie. Des qualités que doit avoir un bon
livre
de lectures à l’école primaire. Concours de 18
es Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles ? » La Fontaine,
livre
II, fable XIII. (L’Astrologue qui tombe dans un p
e de Sévigné vient de lire d’un trait les fables qui composent le 11e
livre
(1678) et qu’elle conte ses impressions à son cou
t. Exposer, en particulier, quelques-unes des idées contenues dans le
livre
II de l’Émile. – « Qui a pratiqué, à quelque deg
raison armée, de ce bon sens fin, pénétrant, enjoué, tant qu’on a le
livre
en mains ; le livre fermé, le prestige s’efface e
bon sens fin, pénétrant, enjoué, tant qu’on a le livre en mains ; le
livre
fermé, le prestige s’efface et de cette nourritur
uez et commentez le proverbe suivant : « Une once de vanité gâte cent
livres
de mérite. » Montrez comment, en citant certaine
e sans dissertation, cette rhétorique sans règle d’école, seraient un
livre
unique. Voltaire parle des choses de l’esprit com
e les diverses parties du cours, préparées à l’aide d’un ou plusieurs
livres
, laquelle adoptez-vous ? Sujets proposés N
tachée. – Quelles sont les qualités que vous devez rechercher dans un
livre
de lecture que vous vous proposez de mettre entre
s fables, du mal des enfants. – Vous découvrez qu’une de vos amies se
livre
à des lectures dangereuses, vous faites appel à t
L’Éducation de l’Instituteur, par Chauvin (Picard et Kaan). C’est le
livre
des devoirs que les éducateurs nationaux ont à re
rdé, ils pourront le décrire avec soin, le jour du concours. Certains
livres
leur sont indispensables. Ils devront en meubler
de l’enfant, se demander ce qu’à son âge on rêvait quand on lisait un
livre
de voyages, d’aventures, tel que le Robinson Crus
ant final, l’héroïsme de Jeanne Hachette. Comme le candidat n’a aucun
livre
sous la main, aucun document à sa portée, il doit
oser son épée et de se constituer prisonnier. 3° Un violent combat se
livre
dans l’àme du prince. Doit-il tirer une vengeance
u roi de Perse avec deux mille cavaliers. Quelques jours après, Cyrus
livre
une nouvelle bataille aux Lydiens. Le matin du co
ed cube, ou au boisseau, ou au gallon ; les monnaies se comptaient en
livres
, sous, deniers, liards, pistoles, écus : la livre
s se comptaient en livres, sous, deniers, liards, pistoles, écus : la
livre
se divisait en onces, gros, grains ; la toise, en
bruyant et formidable qui dompte les mers, supprime les distances, et
livre
la terre promise à toutes les énergies de l’activ
e est couverte de journaux et ses tablettes ploient sous le poids des
livres
. A sa gauche est un petit cabinet, dans les armoi
l ? Rappelez la belle fable de La Fontaine, l’Homme et la Couleuvre, (
livre
X, fable 2), où le poète fait dire à cette derniè
ircissait, se simplifiait si l’on se posait cette question : « Qui se
livre
au commerce maritime ? » L’importateur, l’exporta
ains (notices et extraits) de M. Jacquinet (Belin, éditeur). C’est un
livre
indispensable pour la préparation aux écoles fémi
, loin de rendre un ouvrage plus solide, en détruit l’assemblage ; le
livre
paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
ar des mortaises. Je voudrais que les pensées se succédassent dans un
livre
comme les astres dans le ciel, avec harmonie, mai
scours en abrégé. » 3. Dans ce que j’ai dit ici, j’avais en vue le
livre
de l’Esprit des lois, ouvrage excellent pour le f
à son élection académique. 2. Montaigne disait : « Le commerce des
livres
est bien plus seur et plus à nous qu’aucun autre
e distraire d’une imagination importune, il n’est que de recourir aux
livres
; ils me destournent facilement à eux et me la dé
ence, qui est très-véritable, consiste tout le fruict que je tire des
livres
. » 1. De la collection de M. le comte de Bros
antinople par la conquête musulmane ; une bibliothèque naissante, les
livres
qui, de toutes parts, sortent de la poussière des
sard, s’attachait le soupçon d’hérésie (on confisquait au couvent les
livres
grecs de Rabelais), « se place dans la religion p
s plus fins langages du siècle bien des anecdotes, et, dans plusieurs
livres
et sous plusieurs titres, peint les mœurs et écri
. La logique, qui appelle la négation aujourd’hui dans : J’ai plus de
livres
que vous n’en avez (c.-à-d. vous n’en avez pas au
s Peuvent se placer : L’adjectif possessif après le substantif (un
livre
mien) ; L’adverbe avant le verbe (plus est blâmab
ant le verbe (Dieu les hommes a sauvé ; courir je veux ; prenez votre
livre
et me laissez le mien ; pour ce faire) ; Le verbe
le roi et le pape : témoin le privilège royal donné en 1546 à son 3e
livre
, témoin la bulle pontificale de 1536, qui, en l’a
s que ceux des chefs-d’œuvre du théâtre. Son roman se compose de cinq
livres
, publiés aux dates et sous les titres suivants :
e de cinq livres, publiés aux dates et sous les titres suivants : Ier
livre
(1535, N. B.), La vie très horrificque du grand G
(1564, posthume, sous le titre de l’Isle Sonnente.) Les deux premiers
livres
donnaient comme le nom de l’auteur M. Alcofribas
t faire en t’escripvant, comme tu as l’authorité de Marc Tulle en son
livre
de Vieillesse, et la sentence de Plutarche au liv
Marc Tulle en son livre de Vieillesse, et la sentence de Plutarche au
livre
intitulé, « Comment on peut se louer sans envie10
nt et midy, rien ne te soit incogneu. Puis soigneusement revisite les
livres
des medicins greçz, arabes et latins, sans contem
udier et proufficter, eussiez dit que tel estoyt son esprit entre les
livres
, comme est le feu parmy les brandes18, tant il l’
respondit le marchant, pour l’amour de vous. Mais il en payera troys
livres
tournoys53 de la piece en choisissant. — C’est be
air, précis, nerveux, nombreux et éloquent. Tout est nouveau dans son
livre
, dit M. Nisard, « la matière même, la méthode et
sus Christ. Au commencement que ie m’appliquay à escrire ce présent
livre
, ie ne pensoye rien moins, Sire, que d’escrire ch
nce. Laquelle mienne deliberation on pourra facilement appercevoir du
livre
, en tant que ie l’ay accommodé à la plus simple f
ne doctrine, il m’a semblé estre expedient de faire servir ce present
livre
, tant d’instruction à ceux que premierement i’avo
e ses Essais. Une nouvelle édition, augmentée du troisième et dernier
livre
, fut publiée par lui à Paris en 1588. Mme de Gour
rit comme il pense ; le lecteur doit la prendre comme il l’écrit. Son
livre
« de bonne foy » nous convie à penser avec lui, n
est le contre-pied d’une doctrine, nous laisse toute liberté. Si nul
livre
n’est plus décousu, sans incohérence » nulle tram
mais, sur tout, ie luy sçais bon gré d’avoir sceu trier et choisir un
livre
si digne et si à propos, pour en faire present à
aire present à son païs. Nous aultres ignorants estions perdus, si ce
livre
ne nous eust relevé du bourbier : sa mercy95, nou
. Quand i’escris, ie me passe bien de la compaignie et souvenance des
livres
, de peur qu’ils n’interrompent ma forme ; aussi q
it. I’ay faict ce que i’ay voulu : tout le monde me recognoist en mon
livre
, et mon livre en moy. (Essais, III, 5.) Re
ce que i’ay voulu : tout le monde me recognoist en mon livre, et mon
livre
en moy. (Essais, III, 5.) Res verba rapiun
plus de françois ou de perigordin que d’arabesque ; et sans art, sans
livre
, sans grammaire ou precepte, sans fouet, et sans
mprendre, et principalement, ceulx qui ne vivent qu’en la mémoire des
livres
: il practiquera, par le moyen des histoires, ces
der, pour nous cognoistre de bon biais. Somme, ie veuh que ce soit le
livre
de mon escholier. Tant d’humeurs, de sectes, de i
au plaisir, par où rapprends à renger mes opinions et conditions, les
livres
qui m’y servent, c’est Plutarque, depuis qu’il es
-deux ans, Étienne de la Boétie doit l’immortalité à l’éloquent petit
livre
, le Contr’un, que lui inspira en 1548 l’horreur d
rs et miseres, par le bénéfice de la prison. Aucuns y ont composé des
livres
, s’y sont faicts sçavans et meilleurs : Plus in c
y à faire du feu, pensant retirer de ma fournee trois ou quatre cents
livres
, et continuay ledit feu jusqu’à ce que j’eus quel
bles, et qui sont sur le poinct de leur advancement. Ce n’est pas ung
livre
pour les jeunes gens de sçavoir, ils ont assez d’
n ou mal, je m’en remets à ceux qui me feront cest honneur de lire ce
livre
, qui est proprement le discours de ma vie. C’est
re avoict vendeu tout le bien qu’il possedoyt hormis huit cens ou mil
livres
de rentes ou revenu. Et, comme j’ai esté le premi
plus tost a exécuter qu’à cappitaine de l’armée. L’escripture de mon
livre
vous en rendra témoignage. (Commentaires, livre
. Les autres trembloient comme la feuille au vent. Il fit apporter un
livre
du code sur la table, et l’ouvre luy-mesmes et le
pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce
livre
entre les mains, encore que je ne feusse plus un
méthode Après que j’eus employé quelques années à étudier dans le
livre
du monde et à tâcher d’acquérir quelque expérienc
me semble, que si je me fusse jamais éloigné ni de mon pays ni de mes
livres
. J’étois alors313 en Allemagne, où l’occasion des
ndoient toutes à la même fin. Et ainsi je pensai que les sciences des
livres
, au moins celles dont les raisons ne sont que pro
oétiques et militaires qui font rire le lecteur presque dans tous vos
livres
. Pour me faire croire ignorant, vous avez lâché d
our me taire sur les défauts de votre esprit que vous étalez dans vos
livres
. Jusque-là je suis assez glorieux pour vous dire
oyal (1661), qu’il écrivit avec Nicole. Son début (1643) avait été le
livre
de dévotion le plus populaire du siècle, avec l’I
moi qui l’a dit, cela est donc faux : ce n’est pas moi qui ai fait ce
livre
, il est donc mauvais. C’est la source de l’esprit
ont illustres en piété ; les plus petits auteurs pourroient faire des
livres
des éloges qu’ils reçoivent de leurs amis ; de so
rères, ayant ouï parler de moi, et sachant que j’avois prêté quelques
livres
de poésies, se souvint d’avoir vu mon nom au bas
e plus âgée, et de plus mariée, s’adressa à moi : « Ayant de si beaux
livres
que vous avez, me dit-elle, et faisant d’aussi be
ièrent de les excuser si elles avoient la curiosité d’ouvrir quelques
livres
qu’elles voyoient ; que c’étoit une curiosité inv
la religion chrétienne (demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce
livre
) : ramassez donc toutes ces idées, et ne jugez po
près les hommes et particulièrement la cour et les grands, matière du
livre
qu’en 1688 il publia modestement à la suite d’une
ciété, et qu’ils renvoient ainsi dépouillés à leur cabinet et à leurs
livres
. Comme l’ignorance est un état paisible et qui ne
Les faux savans font manifestement paroître ce qu’ils sont dans les
livres
qu’ils composent et dans leurs conversations ordi
avez peu de temps à vous. Employez le reste du temps libre à lire des
livres
d’histoire, de fortifications, et de tout le rest
rivée je me suis mis à vous y chercher. Enfin, après avoir rempli mon
livre
de votre nom et de vos éloges, je puis m’entreten
religion naturelle ; il étoit persuadé de la révélation, et parmi les
livres
de toute espèce qu’il avoit sans cesse entre les
la jeunesse du comte et des cours de France et d’Angleterre. Ce petit
livre
a fait oublier ses contes charmants et ses vers s
re, parut si accablé, qu’on eût dit que je lui avois mis quatre cents
livres
de plomb sur le dos en lui ôtant ces quatre cents
1726, le Traité des Études, « monument de raison et de goût et un des
livres
les mieux écrits dans notre langue après les livr
de goût et un des livres les mieux écrits dans notre langue après les
livres
de génie » (Villemain), une Histoire ancienne et
dans la comédie de ce nom (1709) ; Gil Blas, héros du roman dont les
livres
parurent successivement de 1715 à 1735. Gil Blas,
, et les airs et les symphonies avec celles de Rameau522 ; on lit les
livres
avec l’esprit des bons auteurs. On dit qu’il ne f
……………… Je vis les Muses présenter tour à tour sur l’autel du dieu des
livres
, des dessins et des plans de toute espèce. On voi
èque de ce palais enchanté ; elle n’était pas ample… Presque tous les
livres
y sont corrigés et retranchés de la main des Muse
us leur forme légère, portent loin, et, en 1734, par le profond petit
livre
des Considérations sur les causes de la grandeur
grave publiciste a souvent donné au plus sérieux et au plus dense des
livres
un tour d’imagination qui tait penser à son compa
ard). « J’avoue qu’il manque souvent d’ordre, malgré ses divisions en
livres
et en chapitres ; que quelquefois il donne une ép
jamais un génie heureux et profond, qui pense et qui fait penser. Son
livre
devrait être le bréviaire de ceux qui sont appelé
ures m’étonne ; la sainteté de l’Évangile parle à mon cœur. Voyez les
livres
des philosophes avec toute leur pompe ; qu’ils so
e leur pompe ; qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un
livre
à la fois si sublime et si simple soit l’ouvrage
t plus inconcevable que plusieurs hommes d’accord eussent fabriqué ce
livre
, qu’il ne l’est qu’un seul en ait fourni le sujet
pour m’occuper le reste de mes jours. On dit qu’un Allemand a fait un
livre
sur un zeste de citron : j’en aurois fait un sur
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y
livre
en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
z moi ; que ce panier contenoit, entre autres choses, un pot de vingt
livres
de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais c
lon de travail, situé sur une haute terrasse, devant son bureau, sans
livres
, sans appareil scientifique, pénétré de son sujet
nois plus ce qu’elles mettoient en moi ; j’étouffois, je quittois mes
livres
, et je sortois comme un homme en fureur, pour fai
ite ses accessoires aussi sérieusement que le fond de son sujet. À ce
livre
placé sur une table, devant cette fille aînée, je
e de réciter les prières des agonisans. Cette fiole qui est à côté du
livre
contient apparemment les restes d’un cordial. Et
nelon dans une partie de son Existence de Dieu, Chateaubriand dans un
livre
de son Génie du christianisme, les observations m
s d’ineffables rêveries, qui souvent ont fait tomber de mes mains les
livres
des philosophes. Majestueuses forêts, paisibles s
oraux de Florian (1755-1794) qu’on ne lit plus ; surtout par le petit
livre
, le seul qu’on lise toujours, d’un romancier qui
nrichit et se popularise, ses lois se fixent, sa pratique se répand :
livres
, revues, discours et rapports académiques, tout l
pas nécessaire d’aller si loin pour goûter la nature, ni de faire les
livres
pour la peindre. Quelques lettres ou quelques fra
Il voyage en Italie avec Mme de Staël ; il se resserre dans le petit
livre
(Adolphe) de Benjamin Constant, son ami. Tout à c
emporel de la Providence (1821), second titre qui indique l’esprit du
livre
et la doctrine générale de tous les écrits de son
sa retraite de Coppet, en Suisse, sortirent successivement ces beaux
livres
(Corinne, 1807 ; de l’Allemagne, 1810) que mutila
orts avec les institutions sociales, discours préliminaire.) Les
livres
consolateurs Cette tristesse aride qui naît d
s Martyrs, sous le titre de Itinéraire de Paris à Jérusalem (1811), «
livre
original et charmant, dit M. Villemain, le plus n
e humaine682, les larmes de l’admiration ont coulé de nos yeux, et le
livre
est tombé de nos mains. (Ibid., part. III, liv.
ait, et du matin au soir, à la manière d’Homère, qui n’avait point de
livres
. Il étudiait les hommes ; on ne les voit nulle pa
tudes, et je sais à présent des choses qu’on n’apprend point dans les
livres
. Je me rapproche de vous de deux cents lieues. Je
s. — Monsieur, lui dis-je, les Lettres provinciales de Pascal… — Oh !
livre
admirable, divin, le chef-d’œuvre de notre langue
cations révolutionnaires de ses Paroles d’un croyant (1834) et de son
Livre
du peuple (1838), que continuèrent d’autres écrit
érature française au xviiie siècle ; il a jugé en maître dans divers
livres
les anciens et les modernes. (Pindare, Chateaubri
imagination du grand orateur et qu’avait nourri son ardente étude des
livres
saints, sa fréquentation solitaire du Liban et du
passionné des autres chants de victoires ou de deuils semés dans les
livres
saints, Bossuet semble plus épris encore de cette
, de ces courts axiomes, de ces symboles parlants qui remplissent les
livres
de Salomon et ceux du fils de Sirach. Par toutes
endant sa retraite ; enfin dans la doctrine religieuse, par plusieurs
livres
de Méditations sur l’essence ou l’état actuel de
la conquête de l’Angleterre par les Normands, de M. Thierry, le seul
livre
où les motifs, les penchants, les impulsions qui
attribue généreusement l’inspiration révélatrice à la lecture du VIe
livre
des Martyrs et des romans historiques de Walter S
ît le plus grand honneur à sa sagacité ; il en fit le sujet d’un gros
livre
qu’il imprima en beaux caractères800. Ce livre fu
fit le sujet d’un gros livre qu’il imprima en beaux caractères800. Ce
livre
fut saisi, lacéré et brûlé ; au lieu des louanges
française, Précis de l’histoire moderne, un chef-d’œuvre, etc.) ; des
livres
empreints d’un double caractère, la passion de la
n et d’écrivain. Dans sa chaire une parole ardente, dans ses derniers
livres
une âme tendre, un style plein d’éclat, de sensib
coup vécu, beaucoup fait et beaucoup souffert. Il tenait à la main un
livre
qu’il venait de fermer, et semblait plongé dans u
es de mots simples et grandioses, de pensées qui sentent la Bible, le
livre
de la Sagesse, et où résonne pourtant comme un lo
l. Dès sa jeunesse, au milieu de ses travaux dramatiques, il avait un
livre
secret dans lequel il écrivait tout son examen de
dans sa vieillesse : « Je suis auprès de mes consolateurs, de vieux
livres
, une belle vue et de douces promenades. J’ai soin
ue, publiciste, a fait goûter dans sa chaire de la Sorbonne, dans ses
livres
, dans sa polémique journalière, un langage net et
us intéressants, et souvent les plus piquants. Comme cet ouvrage, ses
livres
sur la vie et les œuvres de Jean-Jacques Rousseau
parfait de l’amour paternel, il est naturel que je le prenne dans le
livre
divin qui a donné à tous les sentiments de l’homm
aturelles, essaye de les remplacer par d’autres affections, alors les
livres
ne représentent plus la société : ils représenten
est un homme qui a fait une révolution. Aujourd’hui on dit : C’est un
livre
. De là l’importance qu’ont prise les idées, et ce
uerres dans ce pays nous apportaient, avec le mal de l’imitation, les
livres
grecs et latins qui devaient nous en guérir. Les
a fausse science la source même de la vraie science, c’est-à-dire les
livres
où elle est consignée. La Réforme dissipa l’ignor
ur prouvant qu’elle savait mieux lire qu’eux-mêmes dans leurs propres
livres
, les força d’y regarder ; et la science s’ajoutan
ns bienveillant, de l’élévation et de la naïveté, les qualités de ses
livres
, intelligence, sagacité critique, sentiment de la
s de bâcler un théâtre929 entre la septième et huitieme édition de ce
livre
; les Cordeliers930 avec leurs trois énormes pign
regrets s’évanouiraient à l’instant. Le Lépreux. — En vain quelques
livres
m’ont instruit de la perversité des hommes et des
re la plus originale, à part le fragment épique de Moïse, est-elle le
livre
qu’il intitula Servitude et grandeur militaires (
est ici / fienter ; autrefois c’était repaître. » (Le Duchat) 53. La
livre
parisis (frappée à Paris) valait 25 sous ; — tour
0. Opiare. souhaiter. 61. Pays imaginaire où Panurge débarque au Ve
livre
. 62. Ulla, quelque. 63. Berger de la farce de
jà fort avant au decours de mon aage, j’ai commencé à prendre en main
livres
latins, en quoy il m’est advenu une chose estrang
ce style qui ne bronche jamais. » (Géruzez, Hist. de la litt. franc.,
livre
III, chap. 4.) 205. Un corps d’Espagnols servait
rneille. (Voltaire). 283. Histoire de la littérature française,
livre
III, chap. VII. 284. Précis d’histoire moderne,
un. de Condé (1re p., début). 466. Isaïe, LII, 7. 467. Le Tartare (
livre
XVIII). 468. Gloire signifie ici splendeur, co
mparez les plaisirs matériels des justes et des héros dans le sixième
livre
de l’Énéide. 470. On a conjecturé sans preuves q
. 534. Moabdar, roi de Babylone, dit le conte. 535. Abrégé du Zend,
livre
sacré des Brahmanes. 536. Trésorier de Voltaire
branle en secret ! (Note de J.-J. Rousseau.) 553. De la République,
livre
I. 554. Du fameux naturaliste Suédois Linné (170
lafonds de Versailles, dans l’architecture, dans les frontispices des
livres
, etc. 575. Marie de Médicis. Voir au Louvre. 57
s formes et les couleurs des nuages, dans les Harmonies de la Nature (
livre
III), Harmonies aquatiques de l’air. 594. B. de
gouvernement despotique. » (Montesquieu. C’est tout le chap. XIII du
livre
V de l’Esprit des Lois.) 640. De Providentia, V
e que naquit la mode des maximes. Son salon a été le berceau du petit
livre
, chef-d’œuvre de La Rochefoucauld. 761. Voir sa
a Jacquerie (xive siècle). 800. xvie et xviiie siècles. 801. Un
livre
ne pouvait être publié sans permission et privilè
ux ennemis que lui avait faits sa gloire. « On trouve dans ce dernier
livre
, remarque M. Nisard, de grands traits de mélancol
cartes, résolu de chercher la vérité en lui-même et non plus dans les
livres
, entreprend d’ôter de son esprit toutes les opini
que celle qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand
livre
du monde, j’employai le reste de ma jeunesse à vo
ent été bâties à d’autres fins : ainsi je pensai que les sciences des
livres
, s’étant composées et grossies peu à peu des opin
français par les progrès qu’elle introduisit dans les méthodes et les
livres
consacrés à l’instruction de la jeunesse. La Logi
que de laisser deux ouvrages, les Provinciales et les Pensées. Aucun
livre
n’atteste plus que le premier la puissance du sty
le bonheur, qui est le tout du monde. Je voudrais de bon cœur voir le
livre
italien, dont je ne connais que le titre, qui vau
italien, dont je ne connais que le titre, qui vaut lui seul bien des
livres
, Della opinione regina del mondo 99. J’y souscris
uises, et que celles des anciens lui sont toujours présentes dans les
livres
qu’ils en ont laissés. Et comme il conserve ces c
la religion chrétienne : demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce
livre
. Ramassez donc toutes ces idées, et ne jugez poin
tous, disait cette femme dont l’Écriture a loué la prudence au second
livre
des Rois184, et nous allons sans cesse au tombeau
qu’à rire dans un auteur. Rabelais surtout est incompréhensible. Son
livre
est une énigme, quoi qu’on veuille dire, inexplic
Je ne vous remettrai point à un autre jour. Vous me trouverez sur les
livres
de Platon qui traitent de la spiritualité de l’âm
Parlez, que voulez-vous que je fasse pour vous ? Faut-il quitter mes
livres
, mes études, mon ouvrage, cette ligne qui est com
l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France. Outre ce
livre
pénétré de l’esprit antique et des inspirations s
aucun besoin, de tous ces secours, ayant pour consolation les saints
livres
gui sont dans nos mains. Et en effet, de quoi l’É
t pour éclairer ses semblables et pour les rendre meilleurs. Après un
livre
frivole, où des parties sérieuses portaient l’emp
ons : tant la saine raison à partout d’empire ! Dites-moi si les bons
livres
de ce temps n’ont pas servi à l’éducation de tous
oin de rendre un ouvrage plus solide, en détruit l’assemblage369 ; le
livre
paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
e à vous faire imprimer ? Si l’on peut pardonner l’essor d’un mauvais
livre
, Ce n’est qu’aux malheureux qui composent pour vi
s mes désirs, J’achète à peu de frais de solides plaisirs. Tantôt, un
livre
en main, errant dans les prairies, J’occupe ma ra
e vos derniers vers on est fort en courroux : Pradon a mis au jour un
livre
contre vous ; Et chez le chapelier du coin de not
emploi ? JOAS. J’adore le Seigneur ; on m’explique sa loi ; Dans son
livre
divin on m’apprend à la lire, Et déjà de ma main
e. Quelque temps indécise et troublée, Athalie veut bientôt qu’on lui
livre
Éliacin. Mathan se présente à Josabeth et réclame
age. Hélas ! ils ont des rois égaré le plus sage677 Promettez sur ce
livre
, et devant ces témoins, Que Dieu fera toujours le
endant Abner apporte les propositions de paix de la reine : qu’on lui
livre
Éliacin avec les trésors de David, et le temple s
e venais t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’aimes : vengeons-nous ;
livre
-moi la victime. ALZIRE. Oui, tu dois te venger, t
C’est ce qui fait que J.-J. Rousseau a appelé cet ouvrage un triste
livre
. Au contraire, Montesquieu disait des Maximes, e
l, précédée d’une étude ; M. Sainte-Beuve, qui lui a consacré tout un
livre
, le troisième de son Port-Royal, et M. Cousin, qu
vocation de l’édit de Nantes éloigna de la France. Il est auteur d’un
livre
sur la Vérité de la religion chrétienne, 1684, su
1. « Dans ces solennités funèbres, dit M. Jacquinet au chap. V de son
livre
des Prédicateurs du dix-septième siècle avant Bos
ses censures Cf. Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie,
livre
IV, chap. 3. 278. Nicolas de Catinat naquit à Pa
hi ; on dira mieux assouvir sa colère, etc. 283. Lactance a écrit un
livre
intitulé : De la mort des persécuteurs de l’Églis
Saint-Simon considéré comme historien de Louis XIV (1 vol. in-8º). Ce
livre
peut être regardé comme le jugement définitif de
on de l’Observatoire de Paris. On lui doit, entre autres ouvrages, le
livre
intitulé Mesure de la terre, 1671, in-fº. Mort en
instabilité progressive de la science, les hypothèses que contient ce
livre
ont pour la plupart été délaissées ; mais on n’en
u en arrière, certains passages de Montaigne, notamment le chap. V du
livre
III des Essais, et, en revenant vers nos jours, q
et dosâmes fortes seulement à cause qu’ils la méprisent ! » 388. Ce
livre
, incomplet sans doute, offre de nombreuses pages
Jésus-Christ occupa Corneille pendant six années : les deux premiers
livres
parurent en 1651. Cet ouvrage eut un grand succès
aux tu de la païenne Pauline. » Génie du Christianisme, partie II,
livre
III, c. viii. 417. Ici il faut comparer Bossue
prix que diverses libéralités avaient élevé jusqu’au chiffre de 4 400
livres
. L’ouvrage était d’ailleurs très digne de cette b
la compétence qui le distinguaient, M. Walckenaer a donné sur lui un
livre
plein de recherches curieuses : Histoire de la vi
éditions. 448. Il faut rapprocher de cette fable un passage du IIIe
livre
de Lucrèce, v. 944 au v. 992, et un beau chapitre
u v. 992, et un beau chapitre des Essais de Montaigne, le 19e, du Ier
livre
. 449. Cf. Properce, Élégie sur la mort du jeune
un trait de satire avec un air plein de bonhomie : cf. la fable 1 du
livre
X : Non loin du Nord il est un monde Où l’on sai
ux animaux Ils y construisent des travaux… 456. Voy. la fable X du
livre
X, Le berger et le roi. 457. Remarquez la coupe
ndé et agrandi par le génie de La Fontaine ! 466. Voy. la fable 5 du
livre
VI : le cochet (jeune coq), le chat et le sourice
s donnera bien plus qu’il ne nous annonce. 467. Marc-Aurèle, dans le
livre
qu’il nous a laissé sur lui-même, ne nous parle d
urs analytique de la littérature générale ; M. Nisard, 9e chapitre du
livre
III de son Histoire de la littérature française ;
la défense de Racine, d’abord que le fait est ainsi raconté dans les
livres
saints ; ensuite, qu’un homme dont l’esprit est e
et J.-B. Rousseau se sont aussi approprié cette magnifique image des
livres
saints ; le premier, dans le chant V de la Henria
quérir une parfaite connaissance du sujet, emprunté au IIIe et au IVe
livre
des Rois, la lecture de la préface que Racine a d
fonder l’intérêt de la pièce n’y a été omis. Quant aux imitations des
livres
saints, fort multipliées comme dans Esther, nous
portée de son jeune âge, mûri comme on le suppose, par la lecture des
livres
sacrés. Le rapport sensible de ses paroles avec s
M. Prosper Faugère. 659. Cette femme juive, comme on le voit dans le
Livre
des Juges, c. iv, fit périr en effet Sisara, géné
Orbi salutem germinet ! 675. Circonstance conforme aux récits des
livres
saints et très-heureusement rapportée ici, en ce
llectif, ce qui explique le pluriel eux. 679. Ainsi Fénelon, au IIe
livre
de Télémaque : « Quand tu seras le maître des aut
de littérature de La Harpe, les Mémoires de Marmontel, vers la fin du
livre
IV, les feuilletons de Geoffroy et une leçon de M
té à Tacite. On pourra lire dans les Annales les chap. 44 et suiv. du
livre
XII, et le chap. 37 du livre XIII. 688. À partir
ans les Annales les chap. 44 et suiv. du livre XII, et le chap. 37 du
livre
XIII. 688. À partir du second acte, observe La H
cesse guère d’exister qu’à la fin du xviie siècle. L’un des premiers
livres
qui le dissipèrent fut celui que le savant Bayle
ittératures étrangères, il a traduit en vers les Géorgiques et le VIe
livre
de l’Enéide. Le libraire Nyon a publié une bonne
urrait bien provenir également, plus ou moins directement, de quelque
livre
d’Aristote. L’auteur avait aussi sous les yeux le
. Vauquelin de la Fresnaye écrit, à la fin du XVI e siècle (Poétique,
livre
II, p. 50, éd. 1612) : Or comme eux l’héroïc, su
1597, argumente formellement contre la règle des vingt-quatre heures (
livre
V, chap. 9). La Mesnardière, Poétique (1640), cha
sont la loi commune de tout écrivain, et que celui qui parle sur les
livres
des autres, au lieu d’en faire lui-même, n’est pa
es, qui se mêlent sans confusion, conduit le lecteur jusqu’au bout du
livre
sans qu’il ait un moment l’envie de s’arrêter. On
patronage. 2. Il faut pourtant conserver toujours la haine d’un sot
livre
. C’est une des inspirations du critique. 3. Pour
ase ! 2. Aimer le talent est le premier devoir de celui qui juge les
livres
. 3. Librairie académique. 4. Voir dans M. Nisar
aïveté. Martial, né en Espagne, l’an 40 de notre ère, a laissé treize
livres
d’épigrammes sur lesquelles il a porté lui-même l
gis hic : aliter non fit, Avite, liber. Je t’offre, ami lecteur, au
livre
que voici, Du bon, du médiocre et du mauvais auss
mauvais aussi. Tu riras de l’aveu ; n’importe Hé ! quel
livre
est fait d’autre sorte ? Martial aiguisa l’épigr
ription s’appelle épigraphe quand elle est placée au frontispice d’un
livre
, pour en indiquer, sous forme de sentence, l’obje
eurs. C’est ainsi que land (terre) devint lande, pays stérile ; buch (
livre
), bouquin ; ross (coursier), rosse ; herr (seigne
pieuse figure de Louis IX, fondant la Sorbonne, faisant traduire les
livres
saints, ouvrant la première bibliothèque publique
as assez français par le cœur, il l’est du moins par l’esprit, et son
livre
sera l’adieu, le testament de la chevalerie qui v
les principes, et confond trop volontiers le juste avec l’utile. Son
livre
est un monument qui nous rappelle l’œuvre princip
le est maintenant une arme faite pour l’action. C’est le temps où les
livres
remuent le monde. Sobre, précis et rapide, le sty
’un commentaire perfide. Sans compter les ressources immenses que les
livres
saints offrent au prédicateur qui sait en faire u
fique Fléchier a su tirer de la rare conformité que lui offraient les
livres
saints entre le héros des Machabées, et le grand
net Térence et Plaute, pour n’être pas importuné de leurs raisons. » (
Livre
cité, p. 249.) On peut voir dans la Poétique de L
es éditeurs qui, comme Vettori, ont cru que nous avions là le premier
livre
d’un grand ouvrage d’Aristote sur la Poétique. Vo
l’enfance des dons merveilleux. On sait que, sans le secours d’aucun
livre
, il trouva seul à l’âge de douze ans, les trente-
selle me plaît seule. Lorsqu’en voyant un homme on se souvient de son
livre
, c’est mauvais signe. Je voudrais qu’on ne s’aper
in : « De tous les monuments du génie, nul n’est plus célèbre que le
livre
des Pensées, et la littérature française ne possè
peuvent pas s’employer avec le substantif francs. Il faut dire : deux
livres
, trois livres, cinq livres. Je remarquerai ici qu
employer avec le substantif francs. Il faut dire : deux livres, trois
livres
, cinq livres. Je remarquerai ici qu’on peut se se
le substantif francs. Il faut dire : deux livres, trois livres, cinq
livres
. Je remarquerai ici qu’on peut se servir de ce su
is d’une fraction. On peut dire : six francs, et l’on doit dire : six
livres
dix sous. Article III. Observations sur
y. Si l’on vous demande : est-ce là votre tabatière ? sont-ce là vos
livres
? vous ne répondrez point : non, ce n’est pas ell
vient proprement qu’aux personnes. On dira d’une maison, de plusieurs
livres
: je lui dois le rétablissement de ma santé : je
es prodiges de valeur, chacun sous ses drapeaux : = remettez tous ces
livres
, chacun à sa place. J’ai dit, dans la première éd
veulent le verbe au singulier : = les meubles les plus précieux, les
livres
les plus rares, les plus beaux chef-d’œuvres des
: = votre maître vous dispense de ce travail : = je vous donnerai un
livre
. Le verbe passif a un régime composé, marqué par
pour les verbes actifs. Exemples pour les verbes actifs. Quel
livre
avez-vous lu ? = quelle beauté avez-vous remarqué
osés ? = quelles contrées avez-vous parcourues ? Ces noms substantifs
livre
, beauté, ouvrages, contrées, sont en régime simpl
n. = Vous ne trouverez pas deux hommes de votre avis. = Il n’a pas un
livre
. Point s’emploie mieux à la fin d’une phrase. = S
διάλɛϰτο, qui n’est autre que le genre tempéré. Voy. Denys d’Halic.,
livre
cité, et Jugement sur les philosophes : Οὐδὲ παρα
dans la versification française, voyez le traité de M. L. Quicherat,
livre
I, chap. viii. Dans un vers.] Sur ce sens général
ez longs pour se diviser en plusieurs parties qu’on appelle chants ou
livres
, et qu’à cause de cela nous avons appelés grands
l’amitié et la mort de Nisus et d’Euryale, célébrées dans le neuvième
livre
de l’Énéide. Thalie prend ensuite la parole et ra
ans avant notre ère, a fait sur la Nature des choses un poème en six
livres
, où il expose la physique d’Épicure. C’est une ph
que par la magnificence des morceaux où le poète rend les beautés des
livres
saints. Le commencement en est, en particulier, s
l en dit. C’est une satire en plusieurs chants ; et le poète, qui s’y
livre
à toute sa malignité, peut nous amuser un instant
es a condensés, en quelque sorte, savoir, l’Odyssée dans ses premiers
livres
, et l’Iliade dans les derniers. On a souvent comp
Je ne vous remettrai point à un autre jour. Vous me trouverez sur les
livres
de Platon qui traitent de la spiritualité de l’âm
Parlez, que voulez-vous que je fasse pour vous ? Faut-il quitter mes
livres
, mes études, mon ouvrage, cette ligne qui est com
! Les écrivains et les hommes de finance Si les pensées, les
livres
et leurs auteurs dépendaient des riches et de ceu
e regardaient comme un homme qui n’était pas riche, et qui faisait un
livre
? Que deviendront les Fauconnets 5 ? iront-ils au
vous ne m’aviez pas tant loué », et il lui donna une pension de 2,000
livres
. 3. Complexions, caractères. 4. Saint-Simon n’
ressentiment qu’il en a gardé se laisse voir en maint endroit de son
livre
, et s’y marque même avec amertume. Ayant passé en
le trouvai même si bien enchâssé, et tenant si bien sa place dans le
livre
, que je n’eus pas la consolation de me pouvoir fl
ntièrement. Enfin, je vous vis au Palais-Royal, où je vous dis que ce
livre
couroit ; vous voulûtes me conter qu’il falloit q
Être dans les mains de tout le monde ; se trouver imprimée ; être le
livre
de divertissement de toutes les provinces, où ces
la religion chrétienne (demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce
livre
) ; ramassez donc toutes ces idées, et ne jugez po
leur théâtre complet est ouvert aux élèves de la dernière. Les douze
livres
des Fables de La Fontaine sont sous leurs yeux en
des Vers lyriques ou Odes, L’année suivante Ronsard donne son premier
livre
d’Odes. En vain Charles Fontaine répond à la Deff
ont de 1540 à 1543 : ils furent continués à Genève. Ses Élégies (deux
livres
), ses Ballades et Chants royaux, ses Complaintes,
Chansons, son Cimetière (épitaphes), ses Étrennes, ses Rondeaux (deux
livres
), ses Épigrammes (sept livres), ses Épîtres (deux
phes), ses Étrennes, ses Rondeaux (deux livres), ses Épigrammes (sept
livres
), ses Épîtres (deux livres), ses Églogues, éparse
ndeaux (deux livres), ses Épigrammes (sept livres), ses Épîtres (deux
livres
), ses Églogues, éparses sous différents titres da
devois de ce peu que je puis, Vivre content du bien de la plume et du
livre
. Mais il n’a pleu aux Dieux me permettre de suiv
que long temps à l’estude il pallisse, Je ne veulx que resveur sur le
livre
il vieillisse, Feuilletant, studieux, tous les so
le roi ; il se révélait par le recueil intitulé : Les quatre premiers
livres
des Odes de P. de Ronsard, Vandômois. Puis succes
és à différentes reprises, les Amours de Cassandre, avec le cinquième
livre
des Odes (1552), le Bocage royal (1552), les Hymn
honneste ! Un autre en caquetant m’estourdiroit la teste184. Puis, du
livre
ennuyé, je regardois les fleurs, Feuilles, tiges,
Il publia (1873) ses œuvres en quatre volumes. Elles comprennent neuf
livres
de Poèmes divers, sept d’Amours, cinq de Jeux et
9, Se rend come visible ès œuvres de ses mains… Le monde est un grand
livre
, où du souverain Mètre L’admirable artifice on li
du Pré-aux-Clercs à Paris. — À dix-neuf ans il publia (1555) en deux
livres
, sous le nom de Foresteries, qui n’a pas fait for
deux ans avant sa mort. Elle contient ses Satyres françoises en cinq
livres
, ses Idillies en deux livres, son Art poétique fr
contient ses Satyres françoises en cinq livres, ses Idillies en deux
livres
, son Art poétique françois en trois livres. — Le
vres, ses Idillies en deux livres, son Art poétique françois en trois
livres
. — Le nom de Satire avait été renouvelé de l’anti
de sa vive et franche allure à droite et à gauche : au milieu de ses
livres
, il chante le mois de mai et chansonne l’Espagnol
ter mon bien que l’on ait conscience. Alors vrayment heureux, les
livres
feüillettant, Je rendrois mon désir et mon esprit
rts tout nouveaux ; et s’ils font, comme ils disent, De ses fautes un
livre
aussi gros que le sien595 Telles je les croiray
t aux vieux guerriers ; Qu’ils composent une œuvre : on verra si leur
livre
, Aprés mille et mille ans, sera digne de vivre, S
seigneur et son roy687… O le plaisir que c’est, ayant au poing un
livre
, De se perdre en un bois, et de tout soing delivr
ffit à ses poésies ; les autres renferment ses traductions du XXXIIIe
livre
de Tite-Live, des Bienfaits et de quatre-vingt-on
même. Il charme l’enfant, il fait réfléchir l’homme. Si Horace est le
livre
de tous les sages, La Fontaine est le livre de to
l’homme. Si Horace est le livre de tous les sages, La Fontaine est le
livre
de tous les âges. La mort et le bucheron837
ses, Et les disoit à travers champs, N’étant pas de ces rats qui, les
livres
rongeans, Se font savane jusques aux dons. Parmi
les prise, et prétends qu’ils me laissent aussi Révérer les héros du
livre
que voici. Recevez leur tribut des mains de Tosca
n l’air dont il faut vivre Instruit mieux à mon gré que ne fait aucun
livre
. Elle aime à dépenser en habits, linge et nœuds :
nce à revenir sur l’eau. VALÈRE. Calmons le désespoir où la fureur me
livre
. Approche ce fauteuil. (Hector approche un fauteu
VALÈRE, assis. Va me chercher un
livre
. HECTOR. Quel livre voulez-vous lire en votre cha
Va me chercher un livre. HECTOR. Quel
livre
voulez-vous lire en votre chagrin ? VALÈRE Celui
peu ; prends dans ma bibliothèque. HECTOR, sort, et rentre, tenant un
livre
. Voilà Sénèque. VALÈRE.
une ingénieuse prétention ce qu’il en pense quand il dit : « premier
livre
de la Pluralité des Mondes est la meilleure églog
ommaient alors patibulaire 1080. Il m’enseigna comment on dépeçait Un
livre
entier, comme on le recousait, Comme on jugeait d
oracle et le bouffon Craignent pour eux le sort des absens qu’il leur
livre
Et que tous avec lui seroient fâchés de vivre. On
liques ou semi-épiques, qu’il a intitulés : Galatée (1788), en quatre
livres
, imitée ou travestie de Cervantes ; Estelle (1788
tre livres, imitée ou travestie de Cervantes ; Estelle (1788), en six
livres
, prose mêlée, comme Galatée, de romances, et qui
lles ; — enfin (1792) le recueil de quatre-vingt-neuf Fables, en cinq
livres
, qui a consacré son nom. Le singe qui montre l
a bataille de Marengo. Ces sujets mesurent la longueur de sa vie. Six
livres
d’odes (cent quarante-deux Odes guerrières, polit
ssivement, dans le goût de Gessner, quarante-quatre Idylles en quatre
livres
, puis deux poèmes : la Voix de la Nature (trois c
Béranger, né à Paris, petit-fils d’un tailleur et fils d’un teneur de
livres
, d’abord ouvrier imprimeur, puis fixé douze ans d
e tragique sans y ajouter. Au théâtre il sut prendre le vent entre le
livre
révélateur de Mme de Staël (De l’Allemagne) et le
en sonder l’infini ; Nuit où le firmament, dépouillé de nuages, De ce
livre
de feu rouvre toutes les pages ! Sur le dernier s
aulettes de capitaine d’infanterie, il avait déjà publié les poésies (
livre
antique : Moïse, la Fille de Jephté, le Déluge, E
s (livre antique : Moïse, la Fille de Jephté, le Déluge, Eloa, etc. ;
livre
moderne : Dolorida, le Cor, le Trappiste, etc.),
ans le sac d’un de ses soldats. C’est la méditation du premier-né des
livres
, c’est le voisinage et la contemplation des Vosge
emise, Au coursier d’Israël qu’il attache le frein ; Je lui lègue mon
livre
et la verge d’airain. « Pourquoi vous fallut-il t
ole romantique qu’il a défendue par sa propagande et enrichie par ses
livres
. Son caractère propre, celui qui fera vivre la pa
lair dans mon âtre, Sur mes genoux un chat qui se joue et folâtre, Un
livre
pour veiller, un fauteuil pour dormir1441 ?. (P
Fuyant et reculant devant nos attentats, Tu remontes aux cieux et tu
livres
la terre À des enfants ingrats et plus forts que
tiques etle recueil de Primel et Nola (1852). Tout a son lien dans le
livre
lyrique de la Fleur d’or (intitulé d’abord les Te
, pleurant un long espoir déçu, De tes petites mains je vis tomber le
livre
; Tu cessas à la fois de m’entendre et de vivre…
ernette (1868), roman en vers, n’est plus que son cher Forez Celui du
Livre
d’un Père (1876) est le foyer domestique. Partout
rmer obstinément les yeux, Rien qu’à toucher du doigt les pages de ce
livre
, En écoutant le maître1489 avec le cœur joyeux.
toujours verts ; Allons respirer l’air que respirent les chênes… Les
livres
sont fermés et les bois sont ouverts1490. (Le L
ur, batteur de pavez, s’il en estoit à Paris, au demourant, etc. (1er
livre
de Pantagruel, chap. 16). 17. Garçon, en patois
r). Plusieurs fois, Ronsard cité ensemble Gastine et le Loir (Amours,
livre
Ier, sonnets 66, 161). Voyez Odes, liv. II, 15 :
de la musique. C’est à Calliope que Ronsard adresse la seconde ode du
livre
II : C’est toy qui fais que j’aime les fontaines
s mes désirs, J’achète à peu de frais de solides plaisirs. Tantôt, un
livre
en main, errant dans les prairies, J’occupe ma ra
Mimes latins, un enseignement moral. Ce recueil est divisé en quatre
livres
, et contient 1660 sixains. — Il contient plusieur
— Jodelle a fait dans cette pièce tous les emprunts qu’il a pu au IVe
livre
de l’Enéide. 310. Non pas héritage reçue, mais
eur le début aux deux vers suivants ; Grands Dieux qui, sans mourir,
livres
tout en trespas, Qui, sans jamais changer, change
ant aumônier de Charles IX, intitulé Plaisirs des champs, et un petit
livre
qui est comme le manuel poétique de l’amateur des
et un passage du Courtisan retiré de Jean de la Taille. 445. Le IVe
livre
des Satyres contient dix pièces, épîtres bien plu
plis dans les premières années du xviie siècle. Ils comprennent sept
livres
, intitulés Misères, Princes, la Chambre dorée, le
ette strophe, demi joyeuse, demi mélancolique, échappée du milieu des
livres
du do.cte professeur, mériterait d’être renommée
r par des cérémonies religieuses ou des pratiques magiques. Grimoire,
livre
(Étymol. controversée, γράμμα ? des sorciers pour
e rappelle le Roman de la Rose. — Voyez la même allégorie dans le IIe
livre
des Sonnets pour Helene, de Ronsard, sonnet 21.
. Or va, romps-toy la teste, et de jour et de nuict, Pallis dessus un
livre
à l’appetit d’un bruict Qui nous honore après que
comme personnes yvres, Et disent pour bon-jour, Monsieur, je fais des
livres
, On les vend au Palais, et les Doctes du temps A
ou la chasse au sanglier (œuvres poétiques). — En 1625, fut publié le
Livre
de la chasse, composé par le Roy Charles IX et dé
ore Discours à Madame de la Sablière la fable qui commence le dixième
livre
, et où il réfute la doctrine de Descartes sur l’a
ieur Pierre Corneille, premier poète dramatique du monde ; deux mille
livres
». Le 10e est Molière « excellent poète comique ;
mille livres ». Le 10e est Molière « excellent poète comique ; mille
livres
». Le 30e est Chapelain, « le plus grand poète fr
françois qui ait jamais été et du plus solide jugement ; trois mille
livres
». (Voir Histoire de Molière, par Taschereau, not
mille livres ». (Voir Histoire de Molière, par Taschereau, note 14 du
livre
II.) M. de Longueville lui faisait quatre mille l
eau, note 14 du livre II.) M. de Longueville lui faisait quatre mille
livres
, etc. 957. Le barbier du roi de Phrygie Midas av
. Il se dérobe par une réponse glaciale et ambiguë. (Cf. Énée, au IVe
livre
de l’Éneide.) Interdite et déçue, elle interroge,
ns par ces citations les éléments d’une comparaison avec le quatrième
livre
de l’Énéide, porté au programme de la Troisième.
t M. de La Faye. La Motte le remercia de lui permettre d’enrichir son
livre
de l’ode qu’il avait faite « en faveur des vers »
« Dès sa jeunesse, au milieu de ses travaux dramatiques, il avait un
livre
secret dans lequel il écrivait tout son examen de
oli quelquefois. 1163. Clément (1742-1812), de Dijon, fut, par ses
livres
et sa plume de journaliste critique, un des allié
d’or. — Ailleurs, même dans les plus vantées de ses odes (ode 34e du
livre
Ier, à Voltaire, en faveur de mademoiselle Cornei
vre Ier, à Voltaire, en faveur de mademoiselle Corneille ; ode 1re du
livre
IIe, l’Enthousiasme ; ode 23e du livre Ve, sur le
oiselle Corneille ; ode 1re du livre IIe, l’Enthousiasme ; ode 23e du
livre
Ve, sur le vaisseau le Vengeur, on est haletant d
mêlé d’admiration ? 1332. Les Harmonies poétiques et religieuses (IV
livres
) ne mentent pas aux trois mots de leur titre : el
dies. » (Littré.) 1357. Léviathan, monstre marin, mentionné dans le
livre
de Job. — Alcyon, ou hirondelle de mer (Ἅλς, mer
ans leur application, dans ses préfaces et dans ses poésies, le grand
livre
(métaphore qui lui est familière) ou il a lu, sur
i lui est familière) ou il a lu, sur lequel il a médité, rêvé, senti,
livre
écrit par Dieu avec des couleurs et des rayons. «
à sa Muse grisée de printemps dans les Chansons des rues et des bois,
livre
puéril et charmant, débauche d’esprit et de mauva
re une poche dans laquelle elle porte ses petits. Voyez la fable 1re,
livre
II, de Florian. 1391. Goémon, appelé aussi vare
atyre écoutant les chansons ; Par vous la rêverie errante, vagabonde,
Livre
a vos favoris la nature et le monde ; Par vous mo
ont remis en honneur le sonnet, oublié au xviiie . Nous détachons du
Livre
des Sonnets (quatorze dizains de sonnets choisis
velours, brocarts et guipures. Il s’en entourait, il en a rempli ses
livres
, il en remplit la nature. C’est, ici, l’hiver qui
la nature rustique et vraie. Enfin, dans le dernier de ses poèmes, le
Livre
d’un père, donnant un caractère de plus en plus p
ns la conversation des grands morts sur les hauteurs de la poésie, ce
livre
est achevé au pied du Christ. » 1485. Tableau
vait déjà dit dans les Poèmes civiques. Lisez dans le printemps, les
livres
sont fermés… Soyez forts, soyez bons ; c’est le m
e, l’embrassa tout entière dans ses Poèmes de la mer. Dans le premier
livre
il n’a de limites que l’Océan. Il allume les phar
mille ans. (Ibid., i. — Voyage au Pôle arctique.) Dans le deuxième
livre
il ne dépasse pas la Méditerrannée, où il rencont
d’Ulysse, les baigneuses de Castellamare et de Sorrente. Le troisième
livre
le fixe sur les côtes de Provence. Il s’arrête da
s, Une soirée d’été, par J. Sandeau. 1495. Petit roman rustique en 4
livres
. Un jeune homme, qui n’a rapporté des plaisirs de
hilosophie expérimentale, inventeur du pendule, du télescope, etc. Le
livre
déféré. à la cour de Rome en 1633 est intitulé :
ux ennemis que lui avait faits sa gloire. « On trouve dans ce dernier
livre
, remarque M. Nisard, de grands traits de mélancol
qui les confirment bien considérés, je ne puis trouver étrange qu’un
livre
qui me dit des injures ait été reçu avec faveur ;
é reçu avec faveur ; et pour cela je n’en ai pas meilleure opinion du
livre
, ni plus mauvaise de moi. Cet heureux succès n’a
que de laisser deux ouvrages, les Provinciales et les Pensées. Aucun
livre
n’atteste plus que le premier la puissance du sty
si l’amour des plaisirs. Quand j’écoute parler les voluptueux dans le
livre
de la sapience, je ne vois rien de plus agréable
roublés. Aussi tout ce que cet adorable Sauveur leur avait marqué des
livres
de Moïse et des prophètes, comme se rapportant à
able et qu’on veut louer. Que ne disiez-vous seulement : Voilà un bon
livre
; vous le dites, il est vrai, avec toute la Franc
qu’en effet ils ne citent point, n’en est pas pire. Que dites-vous du
livre
d’Hermodore ? — Qu’il est mauvais, répond Anthime
’il est mauvais ? — Qu’il est tel, continue-t-il, que ce n’est pas un
livre
, ou qui mérite du moins que le monde en parle. —
l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France. Outre ce
livre
pénétré de l’esprit antique et des inspirations s
la seconde partie. Rollin (1661-1741.) [Notice.] Dans un
livre
destiné à la jeunesse, le nom de Rollin doit trou
t pour éclairer ses semblables et pour les rendre meilleurs. Après un
livre
frivole, où des parties sérieuses portaient l’emp
Caravage348 que de leur attribuer les grâces de l’Albane. Le sixième
livre
de l’Énéide est sublime, le quatrième a plus de g
profite bien davantage en les lisant qu’avec tous les mauvais petits
livres
dont nous sommes inondés. Les bons auteurs n’ont
ainteté de l’Évangile est un argument qui parle à mon cœur. Voyez les
livres
des philosophes avec toute leur pompe : qu’ils so
eur pompe : qu’ils sont petits près de celui-là397 ! Se peut-il qu’un
livre
à la fois si sublime et si simple soit l’ouvrage
epris pour enrichir le cabinet des médailles, qu’il conçut le plan du
livre
qui assure à son nom une célébrité durable : il a
rs le temps de Philippe la relation du Voyage du jeune Anacharsis. Ce
livre
remarquable, où les préoccupations de l’érudit n’
d’Albe (voy. Tite-Live, liv. I, et Denys d’Halicarnasse, Antiq. rom.,
livre
III) viennent d’être remises aux mains des trois
t que le ciel me soit dur ou propice, Qu’il m’élève à la gloire ou me
livre
au supplice, Que Rome se déclare ou pour ou contr
vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos
livres
éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros
ient bien ; Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, Et leurs
livres
, un dé, du fil, et des aiguilles, Dont elles trav
une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère ! Son
livre
, aimé du ciel et chéri des lecteurs, Est souvent
leur rêverie ! Heureuse la seule patrie Où l’on adore le Seigneur756!
Livre
I, ode 13. Au comte du Luc757. Tel que le v
fastes saints ; Avoir amis, enfants, épouse belle et sage ; Errer, un
livre
en main, de bocage en bocage ; Savourer sans remo
ch. I des Caractères (des ouvrages de l’esprit) : « Que dites-vous du
livre
d’Hermodore — Qu’il est mauvais, répond Anthime ;
l, précédée d’une étude ; M. Sainte-Beuve, qui lui a consacré tout un
livre
, le troisième de son Port-Royal, et M. Cousin, qu
mot, c’est le bon goût, tenez-vous-y. » 87. C’est la 17e fable du
livre
IX : D’animaux malfaisants c’était un très bon p
ercher ses divisions, ses preuves, ses images. « Au lieu de citer les
livres
saints en fastidieux érudit, remarque avec raison
éface aux sermons de celui-ci. — On trouvera aussi dans le chap. 4 du
livre
de M. Jacquinet (Des prédicateurs du dix-septième
e en latin : de Cærimonia cinerum. M. Jacquinet, au chapitre 4 de son
livre
cité plus haut, établit ce curieux rapprochement
s récits ou ses tableaux, La Bruyère introduit à tout moment dans son
livre
des noms de convention : sans imiter les commenta
le, avait le sens étendu du mot latin animus. 201. Cf. le chap. 7 du
livre
cité de Longin. 202. Son, se rapportant ainsi à
s, a été sa devise. » À cette remarque M. Sainte-Beuve ajoute que son
livre
est, par ce motif, une bonne leçon pour notre épo
e pendant les douze années qui suivirent la première impression de ce
livre
il fut publié dans le même genre, et sous des tit
que Dieu n’a fait que montrer à la terre ». 253. Cf. le chap. 5 du
livre
III de l’Imitation de Jésus-Christ sur les effets
ses censures. Cf. Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie,
livre
IV, chap. 3. 290. Massillon, déjà évêque de Cler
la à tout, mais souvent sans mesure et sans goût. On trouvera dans le
livre
déjà cité de M. Jacquinet (chap. Ier, p. 35) un e
8 et 69. 300. C’est-à-dire vous vous préparez : on sait que l’un des
livres
de la Bible contient le récit des malheurs de Job
perfection du style. Il paraît que Voltaire avait toujours ce dernier
livre
sur son pupitre, comme un de ses modèles favoris.
trouver seule devant Dieu. » (Génie du Christianisme, 1re partie, 5e
livre
.) 372. De même Horace, parlant, dans l’Art poét
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y
livre
en vue de remplir son devoir… » C’était aussi le
réflexions, appuyées sur des exemples, dans les chap. i, ii et iii du
livre
Ier du Cours de littérature dramatique par M. Sai
force de l’expression ». Elle valut à son auteur une pension de 1 500
livres
. Déjà Malherbe avait été honoré de la faveur et d
orneille a développé admirablement ces vers de Lucain dans le premier
livre
de la Pharsale : Hinc usura vorax, aridumque in
prix que diverses libéralités avaient élevé jusqu’au chiffre de 4 400
livres
. L’ouvrage était d’ailleurs très digne de cette b
la compétence qui le distinguaient, M. Walckenaer a donné sur lui un
livre
plein de recherches curieuses : Histoire de la vi
» On se rappelle cette réflexion profonde de Pascal : « Les meilleurs
livres
sont ceux que ceux qui les lisent croient qu’ils
cependant elle précéda de plusieurs années la publication du premier
livre
de ses Fables. La maturité de l’âge fut donc chez
urs analytique de la littérature générale ; M. Nisard, 9e chapitre du
livre
III de son Histoire de la littérature française ;
14. 620. C’est ce que recommande encore Fénelon, dans son excellent
livre
de l’Éducation des filles. — N’y a-t-il pas, d’ai
isa en effet la philosophie d’Aristote. 647. Cf. Horace, ode III du
livre
III, v. 1 et suiv. : Justum et tenacem propositi
toute supériorité blesse et irrite. On pourra consulter à ce sujet le
livre
de M. Deltour sur les ennemis de Racine. Cet ouvr
me recueil. 671. Célèbre comédienne. 672. Cf. Horace, ode XVIII du
livre
III, v 31 : Virtutem incolumen odimus, Sublatam
mis l’apologue et La Fontaine, lorsque celui-ci avait déjà publié six
livres
de ses fables ? (Delille s’est appliqué, non sans
mélange, plus étonnant encore, du génie de Racine avec le sublime des
livres
saints. Au-delà il n’y a rien. » 748. Plusieur
e. 839. C’est à peu près ainsi que Tibulle commence la 7e élégie du
livre
II : …… Cr
uer plus nettement, sont sans doute ceux qu’on lit dans l’élégie 5 du
livre
III : Quid fraudare juvat vitem crescentihus uvi
vase retombe au fond, et puis que l’eau coule, pas plus tôt. Laissons
livres
et plumes ; je sais quelque chose de mieux. Cent
ir deux Études sur Eugénie de Guérin, Causeries sur les femmes et les
livres
, in-12, par Gustave Merlet ; Portraits d’hier et
j’éprouve en entrant dans ta chambre quelque chose d’une église ; tes
livres
, tes habits, à peine j’ose les toucher ; quelque
ent au dix-huitième. Notre époque est moins didactique. En dehors des
livres
destinés aux maisons d’éducation, et qui ne sont
rançaise. XVIIIe siècle. Rollin 1661 — 1741 Traité des études (
livres
IV et V). Dumarsais 1676 — 1756 Traité des tro
z les Latins, τόποι chez les Grecs, d’où le nom de Topiques donné aux
livres
d’Aristote et de Cicéron qui en traitent). Les li
est le secret des passions oratoires. (Cf. Rollin, Traité des Études,
livre
IV, ch. iii, § 7.) Par les passions ou le pathéti
i sachent combien il y a de gloire à être bon. » (Fénelon, Télémaque,
livre
XII ; paroles de Philoctète à Néoptolème.) Ex
x. Septem subjecta trioni , pour septentrioni. (Virgile, Géorgiques,
livre
III, vers 381.) Il en est de même en prose : Qu
sens. Ex. Ibant obscuri sola sub nocte per umbram. (Virgile, Énéide,
livre
V, vers 268.) Disjonction, conjonction, répét
x orages. O navis, referent in mare te novi Fluctus ! o quid agis ? (
Livre
I, ode xiv.) Cf. la fin de l’idylle dans laquell
le. Ce terme ne s’applique guère qu’aux allégories contenues dans les
livres
saints. Ex. la parabole de l’enfant prodigue. — T
tit Lapin : Dit l’animal chassé du paternel logis, (pour le lapin.) (
Livre
VII, 16.) 2° la partie pour le tout, et réciproq
uries. [Conclusion sur les figures] Dumarsais a dit, dans son
livre
des Tropes (p. 2) : « Je suis persuadé qu’il se f
Saint-Bernard, par Thiers (Histoire du Consulat et de l’Empire, t. I,
livre
IV, p. 365, édit. Paulin, 1845), et tous les modè
son ou conclusion brève du rapporteur. Cf. Rollin, Traité des études,
livre
V, chap. i. Ex. Rapport sur les inondations de l
ttaient l’avenir aux murs des sept collines, etc. (Victor Hugo, Odes,
livre
IV, ode xv.) La rime est suffisante, lorsqu’il y
racontent une légende où le merveilleux se mêle au tragique. (Cf. Le
Livre
des ballades, édit. A. Lemerre, 1876.) 9° Doub
tes, une des formes les plus achevées de la poésie française. (Cf. Le
Livre
des sonnets, édit. A. Lemerre, 1874.) Sainte-Beuv
essais d’éloquence militaire et politique (Caton, les Gracques), les
livres
des premiers historiens (Grandes annales, Livres
, les Gracques), les livres des premiers historiens (Grandes annales,
Livres
des pontifes), etc. En France, lorsque parurent
e forme, elle est supérieure à un lourd traité de philosophie ou à un
livre
d’histoire écrit d’un style pesant et plat. Nous
dans son journal, l’historien, le philosophe et le savant dans leurs
livres
, peuvent aussi atteindre l’éloquence, sans être d
e en revue les ouvrages couronnés (prix d’éloquence, de poésie) ; les
livres
présentés et jugés dignes d’une récompense (grand
tiques en deux classes principales : 1° les traités, c’est-à-dire les
livres
purement didactiques ; 2° les œuvres variées, qui
animaux et de leurs différentes espèces. Ex. celle du cheval dans le
Livre
de Job, dans les Géorgiques de Virgile, dans Buff
s déjeuner, Colomba sortit un instant, et, au lieu de revenir avec un
livre
et du papier, parut avec son mezzaro sur sa tête.
ons et les mots, les discours et les exemples, tout concourt dans les
livres
latins à former des hommes publics. Ces livres su
tout concourt dans les livres latins à former des hommes publics. Ces
livres
suffiraient pour apprendre au magistrat qui conna
llié des Troyens, fut tué par Néoptolème devant Troie (Petite Iliade,
livre
ii, selon l’analyse de Proclus). On ignore quel p
phocle a tiré un de ses chefs-d’œuvre. Voy., pour plus de détails, le
livre
de Welcker, Tragédies grecques dans leur rapport
paraît très heureusement conçu et parfaitement divisé. Le système des
livres
élémentaires par demandes et par réponses n’est p
se plaisait à reconnaître tout le mérite et toute la conscience de ce
livre
. Tout en cherchant à améliorer le plan et la méth
par ses notions abstraites et générales, qui sont pour lui comme des
livres
abrégés, il échappe à tout moment aux regards de
ne raison ivre d’orgueil qui s’évanouit dans ses pensées, et que Dieu
livre
à ses illusions. Craignons une intempérance si fu
tière, afin de frapper également les esprits grossiers et subtils. On
livre
ces faits à votre curiosité : voilà les fondement
t en casque ; mais on y trouve de l’agrément dans le style : c’est un
livre
innocent, et, comme disait madame du Deffand, il
t régenté où l’on voudrait être attiré par le charme… Il y a dans ses
livres
assez de talent pour sortir du commun, pas assez
lettre que madame de Staël adressait à l’empereur en lui offrant son
livre
De l’Allemagne : « La disgrâce de Votre Majesté
ysiques. Sciences morales et politiques. — Morale à Nicomaque, en 10
livres
. Grandes Morales ou Morale d’Eudème, en 7 livres.
e à Nicomaque, en 10 livres. Grandes Morales ou Morale d’Eudème, en 7
livres
. Traité des vertus. Des vertus et des vices. La P
Havet, dès 1843, M. Ch. Thurot, en 1860, ont consacré chacun tout un
livre
à l’étude d’Aristote. M. Thurot a complété le sie
u à sa disposition la collation de seize manuscrits. Il nous reste un
livre
unique de cet ouvrage. Diogène Laërce lui en donn
, l’auteur de la Vie d’Homère longtemps attribuée à Plutarque cite le
livre
III de la Poétique, mais c’est peut-être l’effet
d’Aristote « sur les Poètes », cité par Diogène comme divisé en trois
livres
. Il est probable que nous possédons le livre Ier
e comme divisé en trois livres. Il est probable que nous possédons le
livre
Ier et que le second traitait de la comédie, du d
préférer des raisons à des phrases, le traité d’Aristote doit être le
livre
classique de tous ceux qui veulent apprendre l’ar
ui vaut mieux, c’est de se pénétrer de la philosophie qui est dans ce
livre
, de s’approprier ces procédés d’une observation d
ur Aristote, p. 196.) Aristote, au rapport de Cicéron, avait écrit un
livre
dans lequel il exposait les préceptes oratoires d
tore, II, 58, 160.) Leonhard Spengel a pour ainsi dire reconstitué ce
livre
dans un mémoire couronné en 1823 par l’université
du raisonnement, c’est ce qu’Aristote seul a fait ; c’est par où son
livre
est original ; et aujourd’hui encore, cette théor
générales et les principes essentiels. » (P. 93.) Au commencement du
livre
IIIe de la Rhétorique, Aristote établit que perso
uant au plan du traité, L. Spengel a cherché à démontrer que, pour le
livre
IIe, il y avait désaccord entre celui qu’Aristote
dans le premier et la disposition que présente actuellement ce second
livre
. (Mémoires de l’Académie de Bavière ; Philosophie
r la disposition de leurs parties. « Quant à la Rhétorique, les trois
livres
qui la composent sont parfaitement à leur place,
e, en 1877, sous les auspices de l’université de cette ville. Ce beau
livre
, qui résume et complète tous les travaux antérieu
; mais celles-ci ne concernent que les chapitres XV et XVI du dernier
livre
de la Rhétorique. Elles ont été éditées par L. Sp
29, est de Paris, 1624, in-8º. Elle ne comprend que les deux premiers
livres
. Le traducteur dit qu’il s’est abstenu de traduir
-8º) une nouvelle édition de cette traduction, complétée par celle du
livre
III. La Rhétorique fut de nouveau traduite par Ba
gard ; mais nous nous sommes suffisamment expliqué là-dessus dans les
livres
précédemment publiés71. Chapitre XVI Des qu
on et de la pensée. II. Ce qui concerne la pensée sera placé dans les
livres
de la Rhétorique 91, car c’est une matière qui ap
s la Rhétorique, une des parties perdues : « Nous avons dit, dans les
livres
de la Poétique, combien il y avait d’espèces de c
dition de 1876, chapitre V. — Diogène de Laërte (V, 1, 12) donne deux
livres
à la Poétique. Traduction I. La tragédie do
ure analogue. Or elle a pour mère le rire178. La Rhétorique
Livre
premier Chapitre premier Rapports de la r
a communauté. En effet, celui qui commet un adultère, et celui qui se
livre
à des voies de fait, cause un préjudice à certain
ce que nous avions à dire sur les preuves indépendantes de l’art.
Livre
II Chapitre premier Comment on agit sur l
signes, mais s’ils répondent à une réalité, comme on l’a expliqué au
livre
premier484. En effet, que tout signe soit privé d
s reste maintenant à traiter de l’élocution et de la disposition.
Livre
III Chapitre premier De l’élocution. I.
on (au point de vue oratoire) ; Thrasymaque498, par exemple, dans son
livre
sur l’Art d’exciter la pitié. La faculté hypocrit
’est au précédent ou au suivant. Prenons pour exemple le début de son
livre
. Il s’exprime ainsi : « Cette raison qui existe t
commencements de périodes, on les a énumérés presque (tous) dans les
livres
adressés à Théodecte604. X. Il y a aussi de fauss
porte son discours. C’est un point dont l’évidence doit ressortir du
livre
des Topiques 715, ainsi que les solutions à oppos
purge l’âme et la soulage avec un plaisir sans danger » (p. 188). Au
livre
viii de la Politique (p. 1341 b), Aristote dit qu
urs professé par lui en 1867-1868 à la Sorbonne et qui est devenu son
livre
de l’Hellénisme en France. 25. Cp. ch. ii, § 2.
rapportés par Aristote. (Rhétorique, liv. II, chap. xxiv, § 10.) 91.
Livre
III. 92. Le fait de grandir et de diminuer l’imp
telle arrière-pensée. 186. Chap. ier , § 4. 187. C’est le sujet du
livre
II. 188. M. Thurot voit ici une allusion à Isocr
c’est le dernier mot de la question ». 201. Cp. Pr. Analyt., fin du
livre
II. 202. Voir Aristote, Polit., V, 5, où Théagèn
es vertus et des vices (p. 1249 éd. Bekker). 253. Ce sera l’objet du
livre
II, chap. i à xvii. 254. Livre II, chap. i à xvi
éd. Bekker). 253. Ce sera l’objet du livre II, chap. i à xvii. 254.
Livre
II, chap. i à xvii. 255. Livre II, chap. ii. 25
et du livre II, chap. i à xvii. 254. Livre II, chap. i à xvii. 255.
Livre
II, chap. ii. 256. Chap. iv, vi, vii, etc. 257.
es trois points que l’auteur a indiqués au début du chapitre x. 274.
Livre
II, chap. xix. 275. C’est-à-dire aux trois genre
issenschafte, t. XLIII, Wien, 1863, p. 504. 284. Chap. x, § 3. 285.
Livre
II, chap. ii. 286. Chap. x, § 12. 287. § 2. 28
une similitude de condition que de caractère. 366. C’est le sujet du
livre
Ier. 367. Voici cet apophtegme : Σὺ δ’ οὔπω χρ
cœur était droit, toutes les créatures Te seraient des miroirs et des
livres
ouverts, Où tu verrais sans cesse en mille lieux
s mieux que la moindre fourmi2. Trad. de l’Imitation de Jésus-Christ,
livre
II, chap. IV. Le Cid1. (Extraits.) Don D
mte. Les exemples vivants sont d’un autre pouvoir : Un prince dans un
livre
apprend mal son devoir. Et qu’a fait, après tout,
duction, à laquelle il consacra près de six années (les deux premiers
livres
parurent en 1651), a été réimprimée environ quara
uctions françaises de l’Imitation de Jésus-Christ, « le plus beau des
livres
sortis de la main des hommes, disait Fontenelle,
Préface Nous nous sommes proposé un double but en publiant ce
livre
; répondre au programme officiel de l’enseignemen
e une échappée sur la littérature contemporaine. Nous n’avons dans ce
livre
rien changé à la méthode excellente de classifica
beauté de situation qui n’eût pas arrêté l’esprit du lecteur. Dans un
livre
de ce genre où l’on ne présente que des fragments
première édition était saisie et détruite par la police impériale. Ce
livre
, le chef-d’œuvre de Mme de Staël, initiait la Fra
a même plus faite pour intéresser des lecteurs qui cherchent dans les
livres
de quoi varier leur destinée monotone et veulent
sme. L’ouvrage entier, publié en 1802, eut un succès éclatant. Jamais
livre
ne vint plus à propos : il paraissait l’année mêm
o et de Mondovi forcent le roi de Sardaigne à signer un armistice qui
livre
trois forteresses à l’armée française. Peu de jou
tre écrite que par ceux qui ont fait eux-mêmes de l’histoire123. » Ce
livre
n’a pas épuisé l’activité de M. Guizot. Les sept
onquêtes de l’histoire et de la philosophie morale ; elle replaça les
livres
qu’elle voulait juger dans le milieu social qui l
e de jardins, où il s’enfermait dès le point du jour, ce cabinet sans
livres
, et sans autre ornement qu’une gravure de Newton,
qui devait être trop courte ; il rassembla et condensa dans son beau
livre
Du vrai, du beau et du bien ce qui lui parut la p
ze compagnons. Le nom de leur monastère fut inscrit le premier sur le
livre
noir des conquérants. Les mères et les femmes de
la Vie de Franklin, écrite en 1848, l’Histoire de Marie Stuart et un
livre
définitif sur Charles-Quint, son abdication, son
remit en marche d’un air noble et doux, le crucifix d’une main et un
livre
d’Heures de l’autre, revêtue du costume de veuve
public, « d’historien national. » M. Thiers, traçant au début du XIIe
livre
une rapide théorie de l’histoire, a résumé les qu
ersité, Le premier recueil des Chansons de Béranger parut en 1815. Le
livre
s’ouvrait par le Roi d’Yvetot, un chef-d’œuvre de
aisse trop facilement assoupir aux sons d’une vague mélodie. Un autre
livre
de M. de Lamartine, Le roman poétique de Jocelyn
ands horizons, M. de Lamartine retrouvera toute sa supériorité. « Ses
livres
d’histoire, a dit M. Sainte-Beuve, ne sont et ne
nt les mers pour écouter les sages : Mais le monde à l’orgueil est un
livre
fermé ! Tantôt, pour deviner le monde inanimé, Fu
? On peut les effacer sur le marbre ou l’airain ; Qui les effacera du
livre
de l’histoire408 ? C’était là une légitime revan
: celui-ci les repousse ; mais Coitier, ému de pitié et d’admiration,
livre
à Nemours la clef de son appartement, par lequel
les tableaux bien dignes d’une lecture méditée : Corinne au Capitole (
livre
II), — le Vésuve (liv. XIII. ch. i), — Corinne au
ne (liv. XVI, ch. v). On peut reconnaître que la partie romanesque du
livre
de Mme de Staël a un peu vieilli. Corinne est cep
par M. Saint-René Taillandier. 32. On trouvera au chap. xiii du même
livre
un jugement de Mme de Staël sur les poésies détac
qui prouve la noblesse de notre origine. 38. M. Villemain, dans son
livre
: M. de Chateaubriand, sa vie, ses écrits, son in
liés par M. A. Didier, 1 vol. in-12, Paris, Delalain. 40. L’objet du
livre
auquel ce morceau est emprunté est de prouver l’e
nous recommanderons à une lecture particulière et attentive les cinq
livres
de la 2e partie, dans lesquels M. de Chateaubrian
ans, envoyé à Rome comme otage. 50. . M. Augustin Thierry, dans son
livre
Dix ans d’études historiques, a raconté l’impress
s dans le Voyage du jeune Anacharsis, chap. XII, et dans les Martyrs,
livre
XV. 98. Bossuet a tracé le parallèle de Sparte e
emplie de cendres, de charbon et d’ossements humains. 105. Odyssée,
livre
XXIV. 106. On pourra lire au début de la deuxièm
’une conversation de l’Empereur à Sainte-Hélène, a été publié dans un
livre
écrit en 1841 d’après les communications du génér
phiques ont paru à la librairie Michel Lévy. 125. M. Guizot, dans le
livre
II, a tracé de Strafford cet admirable portrait :
e nouvelle défense. 130. On trouvera les détails de cette affaire au
livre
II de l’Histoire de la Révolution d’Angleterre.
onça l’oraison funèbre. Un écrivain catholique, M. Poujoulat, dans un
livre
intitulé Charles Ier et le parlement, se montre p
èbre discours pour Eutrope. 149. L’oraison funèbre que Thucydide, au
livre
II de son Histoire, met dans la bouche de Périclè
avant et naturaliste, nous ne saurions trop recommander la lecture du
livre
que nous venons de citer : c’est l’exposé complet
, en 1736. 175. Cette idée a été développée dans la 6e leçon du même
livre
. 176. C’est-à-dire l’imagination qui nous représ
à ses dernières conséquences. Sa philosophie est tout entière dans le
livre
de l’Esprit, qui parut en 1758. Dans cet ouvrage,
aisir et l’intérêt. Helvétius, entraîné par ces monstrueux principes,
livre
au ridicule toute vertu et toute religion et proc
loi… 189. Il faut lire à ce sujet la belle ode d’Horace, la ve du
livre
III. 190. Cf. la XIIe leçon sur la morale de l’i
vant le douzième siècle, par M. Ampère, un curieux chapitre (le 2e du
livre
II) où l’auteur recherche les traces de l’odinism
ment cité de M. Ampère deux chapitres intéressants (le 8e et le 9e du
livre
III) sur Sidoine Apollinaire, né à Lyon en 430, g
istoire de la barbarie et celle de l’Église dans les Gaules. C’est le
livre
que M. Augustin Thierry a pris pour base dans ses
ithard, Histoire des divisions entre les fils de Louis le Débonnaire,
livre
II, ch. x. 218. En juin 841. 219. Cf. l’introdu
érieures, par M. Léon Feugère, page vi. 220. Voir Nithard, Histoire,
livre
III, chap. vi. 221. Le démembrement de l’empire
ur lesquels le fils de Godwin avait juré à son insu. » 223. Voir le
livre
II du même ouvrage. 224. La Chanson de Roland ou
de Galswinthe, sœur de Brunehaut. 233. Grégoire de Tours, Histoire,
livre
V. 234. Chilpéric mourut assassiné en 585, laiss
aça sous la protection de Gontran. 235. Grégoire de Tours, Histoire,
livre
V. 236. Job, ch. i. 21. 237. Pour châtier Limog
ivin placé au milieu des temps. » 249. On pourra lire à ce sujet le
livre
de Cuvier sur les Révolutions de la surface du gl
s de l’historien français et le passage des Alpes par Annibal dans le
livre
XXI, ch. xxx et suiv. de Tite-Live. Les nombreuse
ec intérêt de ce morceau la descente d’Eudore aux catacombes, dans le
livre
v des Martyrs de M. de Chateaubriand, Eudore, éga
ns, par Montesquieu. 356. Tacite parle de ces bruits au ch. v du Ier
livre
des Annales. 357. Annales, l. 11 : « Templum et
l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France. Outre ce
livre
pénétré de l’esprit antique et des inspirations s
suivi Homère quand vous avez traité les amours de Didon. Ce quatrième
livre
est tout original1. On ne peut pas même vous ôter
’évocation des âmes qui est dans l’Odyssée2. Virgile. Mes derniers
livres
sont négligés : je ne prétendais pas les laisser
▲