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1 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Silvestre de Sacy Né en 1804 » pp. 271-274
presque dans leur langue. Ses études sont inpirées par la passion des livres , l’amour des lettres, l’enthousiasme du beau, et
qui ne lisent pas, qui seraient très-fâchés de lire, et qui n’ont des livres que pour la montre. Tous les moments qu’ils avaie
aurais encore, je le crois, du plaisir à tenir dans mes mains un beau livre . Je sentirais du moins le velouté de sa reliure,
nt vu ! Le bibliophile odieux, c’est celui qui achète brutalement des livres en convenant tout haut qu’il ne lit jamais. Notez
t la plus avide ; c’est elle qui fait monter ridiculement le prix des livres . Vous n’aurez jamais un volume, quand un de ces g
rétend l’avoir. Ils n’ont sur nous qu’un avantage, c’est que tous les livres leur sont bons pourvu qu’ils soient beaux, et que
, bibliophiles raisonnables, notre champ est plus restreint. Quand un livre n’est pas à notre usage, il a beau être bien bril
que trop exact à l’heure ; de ne rentrer chez soi que pour changer de livres et de méditations, ou pour se livrer à ce repos a
et cette belle bibliothèque de MM. de Bure n’existera donc plus ! Ces livres qu’ils avaient rassemblés avec amour vont se part
dispersées à leur tour. Triste sort des choses humaines ! O mes chers livres  ! un jour viendra aussi où vous serez étalés sur
peut-être que votre maître actuel ! Ils sont bien à moi pourtant, ces livres  ; je les ai tous choisis un à un, rassemblés à la
e en ce monde, et c’est notre faute si nous n’avons pas appris de nos livres eux-mêmes à mettre au-dessus de tous les biens qu
ste, il ne lit pas, et souvent il n’a jamais lu : il collectionne des livres , comme il ferait des tableaux, des coquilles, des
u juste et du vrai. » 1. M. de Sacy a dit ailleurs : « Le goût des livres , quand il n’est pas la passion d’une âme honnête,
2 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
sa conduite, pour remplir tous les devoirs du vrai honnête-homme. Un livre , où ces devoirs sont fort bien tracés, et qui est
mme d’honneur, ce sont les Offices de Cicéron, traduits par Barrett ; livre qu’on ne doit pas se contenter de lire, suivant P
r former l’esprit et le cœur des jeunes gens. Dans ce petit nombre de livres que je viens d’indiquer, on peut puiser le goût e
rir une bien profonde connoissance des hommes par le seul secours des livres . Il faut pour cela un grand usage du monde, et un
sage du monde, et une longue suite d’observations réitérées. Mais les livres nous abrègent infiniment ce travail, en nous donn
nous reste plus qu’à en faire de justes applications. La lecture des livres qui nous facilitent cette connoissance des hommes
nsées, maximes et réflexions morales du duc dt. C’est un des premiers livres bien écrits qui aient été publiés en France. Que
s, qui l’avoient sans doute lu avec précipitation. Son ouvrage est un livre fait pour les bons esprits et pour l’homme qui a
c tout le faste de leur morale, disparoître auprès de l’Evangile. Nul livre en effet n’offre des maximes si pures, si élevées
lui-même (a) : la sainteté de l’Evangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe. Qu’ils son
te leur pompe. Qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un livre à la fois si sublime et si sage soit l’ouvrage de
t plus inconcevable que plusieurs hommes d’accord eussent fabriqué ce livre , qu’il ne l’est qu’un seul en ait fourni le sujet
lomnie. Le Traité de l’existence de Dieu, par Fénélon, est le premier livre qui doit nous mener à la connoissance de la relig
ntrées la nécessité et la vérité de la révélation, l’authenticité des livres saints et l’accomplissement des prophéties qu’ils
é indigne de Dieu même, et désespérant pour l’homme. Quand on a lu ce livre avec quelque attention, on ne peut regarder les p
nte de toutes, et pour le chrétien, et même pour l’homme du monde. Le livre où l’on peut le mieux la puiser, est l’Art de se
touchant, pour nous engager à le prendre. Parmi la grande quantité de livres qui peuvent nous animer à remplir les devoirs de
es d’une dévotion vraie, solide et non moins aimable, voulut avoir un livre particulier, pour se préparer à recevoir dignemen
de l’année, qui furent publiées par la voie de l’impression. Mais le livre , dont la lecture doit, pour cet objet, nous occup
a lecture doit, pour cet objet, nous occuper le plus fréquemment ; le livre le plus capable de nous faire aimer et pratiquer
faire aimer et pratiquer la vertu, est l’Imitation de Jésus-Christ ; livre admirable, plein de sagesse, de force et d’onctio
hrétien. En vous indiquant, mon cher ancien élève, ce petit nombre de livres de morale, je crois avoir rempli, du moins dans l
s qu’à méditer bien sérieusement les bons principes contenus dans ces livres  ; à vous les graver bien profondément dans l’espr
3 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre IV. Quatrième espèce de mots.  » pp. 12-15
r. Je ou moi. Me pour à moi, moi. Exemples. Le maître me donnera un livre , c’est-à-dire, donnera à moi. Le maître me regard
r. Tu ou toi. Te pour à toi, toi. Exemples. Le maître te donnera un livre , c’est-à-dire donnera à toi. Le maître te regarde
s pronoms adjectifs qui marquent la possession d’une chose, comme mon livre , votre cheval, son chapeau ; c’est-à-dire, le liv
chose, comme mon livre, votre cheval, son chapeau ; c’est-à-dire, le livre qui est à moi, le cheval qui est à vous, le chape
 — Première remarque. Ces pronoms sont toujours joints à un nom : mon livre , ton chapeau. Deuxième remarque. Mon, ton, son,
qui servent à montrer la chose dont on parle, comme quand je dis : ce livre , cette table, je montre un livre, une table 1.
nt on parle, comme quand je dis : ce livre, cette table, je montre un livre , une table 1. Singulier. Masculin. Féminin
quand je dis : Dieu qui a créé le monde, qui se rapporte à Dieu ; le livre que je lis, que se rapporte à livre : le mot auqu
onde, qui se rapporte à Dieu ; le livre que je lis, que se rapporte à livre  : le mot auquel qui ou que se rapporte, s’appelle
eux exemples ci-dessus, Dieu est l’antécédent du pronom relatif qui ; livre est l’antécédent du pronom relatif que. Règle
4 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « PRÉFACE. » pp. -12
PRÉFACE. La première édition de ce livre n’avait ni préface, ni avant-propos. Il me sembla
conseil de perfectionnement de l’enseignement moyen l’a adopté comme livre classique. D’autre part, quelques personnes ont p
tinés. Et notez qu’il ne s’agit pas ici d’espiègles écoliers que tout livre didactique ennuie par lui-même et quelle qu’en so
mais les leçons et les travaux de la rhétorique ? Avant tout donc ce livre , dans mon idée, devait être composé de façon que
l’ai fait. Mais je l’ai voulu d’autant mieux que, dans ma pensée, ce livre n’est pas exclusivement destiné aux rhétoriciens
rtaines idées, certains faits et certains hommes. On trouvera dans ce livre , à côté des noms de Platon, de Cicéron, de Pascal
e n’ai rien à changer. Je sais bien qu’il manque encore beaucoup à ce livre , qu’il répond mal au travail que j’y ai dépensé,
mps n’est plus où l’écrivain consumait des dix et vingt années sur un livre , bien sûr d’arriver toujours à propos. Au milieu
fait bien. Jeunes gens, vous surtout à qui s’adresse spécialement ce livre , vous qu’attendent les carrières de l’intelligenc
r amour de vos semblables. Sans doute, les préceptes formulés dans ce livre et les exercices qu’il recommande sont indispensa
5 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
és, je le décompose. Je suis, je crois, le seul homme qui ait mis des livres au jour sans être touché de la réputation de bel
se tourmenterait sans cesse les vivants. J’ai la maladie de faire des livres , et d’en être honteux quand je les ai faits. N…,
llais à lui, et le priai de me dire quels étaient quelques-uns de ces livres que je voyais mieux reliés que les autres. « Mons
lles questions ; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tous ces livres pour les satisfaire ; j’ai mon bibliothécaire qui
illé toute ma vie. Au sortir du collége, on me mit dans les mains les livres de droit : j’en cherchai l’esprit ; j’ai travaill
le tout uniquement pour son plaisir… « Il met plus d’esprit dans ses livres que dans sa conversation, parce qu’il ne cherche
age de La Bruyère sur le Bibliomane : « Mais quand il ajoute que les livres en apprennent plus que les voyages, et qu’il m’a
’escalier je tombe en faiblesse d’une odeur de maroquin noir dont ses livres sont tous couverts. Il a beau me crier aux oreill
ndroits près qui sont peints de manière qu’on les prend pour de vrais livres arrangés sur des tablettes, et que l’œil s’y trom
santerie, plein de traits qui annoncent un esprit plus solide que son livre . C’est, dit-il, une imitation du Siamois de Dufre
les Lucaniens, les Samnites, et autres. (Appian, De la Guerre civile, livre I, chap. xxxix.) (Note de Montesquieu.) 2. Les T
ne s’exerçait qu’à Rome. 6. Voyez les Lettres de Cicéron à Atticus, livre IV, lettre xviii. (Note de Montesquieu.) 1. Tum
1. Voltaire, dans ses lettres, a jugé ainsi l’Esprit des lois. « Ce livre m’a toujours paru un cabinet mal rangé, avec de b
avoue que Montesquieu manque souvent d’ordre, malgré ses divisions en livres et en chapitres ; que quelquefois il donne une ép
a à jamais un génie heureux et profond, qui pense et fait penser. Son livre devrait être le bréviaire de ceux qui sont appelé
ux 2. Lorsque M. de Solar lut l’Esprit des lois, il dit : « Voilà un livre qui opérera une révolution dans les esprits en Fr
6 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
mot qui sert à nommer une personne ou une chose, comme Pierre, Paul, livre , chapeau.   11. — Il y a deux sortes de noms, le
enre féminin à des choses qui ne sont ni mâles, ni femelles, comme un livre , une table, le soleil, la lune.   13. — Il y a de
n parle d’une seule personne ou d’une seule chose, comme un homme, un livre  ; le pluriel, quand on parle de plusieurs personn
de plusieurs personnes ou de plusieurs choses, comme les hommes, les livres . Comment se forme le pluriel dans les noms.
utez s à la fin du nom : le père, les pères ; la mère, les mères ; le livre , les livres ; la table, les tables. Première rem
fin du nom : le père, les pères ; la mère, les mères ; le livre, les livres  ; la table, les tables. Première remarque. Les n
7 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
truction peut s’acquérir partout, dans l’étude de la nature, dans les livres , dans- les voyages, dans nos rapports avec le mon
mieux elle sait goûter ce qui est beau et bon. La nature est le grand livre que nous ne devons jamais nous lasser d’étudier ;
te, il vaut mieux interroger notre mémoire et nos impressions que les livres  ; nos compositions auront une couleur plus vraie,
sir avec soin nos lectures : il y a des fleurs vénéneuses, il y a des livres où circule le poison. Il en est des livres comme
urs vénéneuses, il y a des livres où circule le poison. Il en est des livres comme des amis : un petit nombre suffit ; ce n’es
mûrissant, elle en comprendra la justesse, et finira par mépriser les livres futiles qui l’ont enthousiasmée un instant. Les m
er les livres futiles qui l’ont enthousiasmée un instant. Les mauvais livres gâtent le cœur et le goût : ils n’apprennent rien
t pas mieux utiliser son temps et ses loisirs. Mais, dira-t-on, quels livres choisir ? Les bons ouvrages ne manquent pas. Cons
daignez pas les orateurs et les moralistes ; ne reculez pas devant un livre sérieux : vous n’aurez pas à regretter votre temp
la hâte, pour arriver à la fin du volume : relisez plusieurs fois les livres ou les passages qui vous auront frappé ; vous en
une personne qui soit en état de sentir les beautés ou les défauts du livre , et de vous communiquer ses impressions. « J’aim
e plaît à une belle représentation dramatique, à la lecture d’un beau livre . Mais voyez comme les émotions sont différentes,
8 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
resque dans leur langue. Ses études sont inspirées par la passion des livres , l’amour des lettres, l’enthousiasme du beau, et
ersonne de relire La Rochefoucauld dans ces moments-là ? Prend-on son livre pour devenir plus fort, plus courageux, plus homm
que trop exact à l’heure ; de ne rentrer chez soi que pour changer de livres et de méditations, ou pour se livrer à ce repos a
et cette belle bibliothèque de MM. de Bure n’existera donc plus ! Ces livres qu’ils avaient rassemblés avec amour vont se part
dispersées à leur tour. Triste sort des choses humaines ! O mes chers livres  ! un jour viendra aussi où vous serez étalés sur
peut-être que votre maître actuel ? Ils sont bien à moi pourtant, ces livres  ; je les ai tous choisis un à un, rassemblés à la
e en ce monde, et c’est notre faute si nous n’avons pas appris de nos livres eux-mêmes à mettre au-dessus de tous les biens qu
r salutaire influence. Sans doute tout le monde ne peut pas faire des livres  ; le génie est le partage d’un bien petit nombre 
e de luxe, une vaine décoration d’appartement. Ils aimaient les beaux livres , mais ils les aimaient pour les lire ; ils en par
s en paraient leurs esprits, ils en nourrissaient leur cœur. Dans ces livres , M. Duplessis et M. Parison avaient cherché et tr
. Parison avaient cherché et trouvé ce qui est le véritable fruit des livres , la tranquillité de l’âme, le goût d’une vie simp
Tâchons d’être bibliophiles aux mêmes conditions qu’eux ! Le goût des livres , quand il n’est pas la passion d’une âme honnête,
9 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
de l’étude des Pères, surtout de celle de saint Augustin. 305. Quels livres faut-il lire ? La raison suffirait pour nous app
nvariable, a placés au premier rang. Or, pour mériter cet honneur, un livre doit être irréprochable, tant sous le rapport mor
nir ? Le jeune littérateur doit donc rejeter impitoyablement tous les livres qui portent des atteintes plus ou moins funestes
Et lorsqu’on aura longtemps contemplé les merveilles de la Bible, le livre par excellence, et les grandes inspirations de la
odèles est de se borner à un petit nombre d’auteurs. La multitude des livres , dit Sénèque, au lieu d’enrichir et d’éclairer l’
ulent se former un goût sûr et un bon style, doivent donc lire peu de livres , et les choisir dans le genre de leur talent. C’e
réfléchie, courte et méthodique. D’abord, de ce que le nombre de ces livres est peu étendu, il s’ensuit que chacun doit être
és pour en lire d’autres, ne manquez pas de revenir aux premiers. Un livre dont l’importance est une fois hors de doute, n’e
encore de rendre une lecture fructueuse, c’est de ne pas lire un seul livre utile sans en faire, non pas l’analyse, ce serait
ce par les ouvrages les plus utiles, que l’on se garde de passer d’un livre à l’autre sans raison, et que l’on évite de couri
10 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
udes. La légèreté et le pédantisme sont trop souvent le caractère des livres de ce genre ; ici, les notions sont précises, ren
il dirige l’attention de ses auditeurs vers les beautés fécondes des livres saints, et il aime à former leur goût sur les che
port qui m’en a été adressé, j’ai la satisfaction de vous dire que ce livre ne contient rien de contraire aux principes de la
été faite, et un légitime hommage est rendu à la divine poésie de nos livres sacrés, si souvent dédaignée par les partisans ig
ié ce travail consciencieux qui mérite une place distinguée parmi les livres , classiques édités de nos jours, et je ne puis qu
rez comment tous les genres de poésie trouvent leurs modèles dans les Livres saints : l’Ode, dans les chants de Moïse et de Dé
e d’éloge votre sévérité ou plutôt votre justice à condamner certains livres , dont il ne faut à aucun prix se permettre la lec
ique, il est clair. Aussi désiré-je vivement le voir introduire comme livre classique dans notre maison ; il serait à la fois
11 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
e de vivre chez lui et pour lui, dans sa tour de Montaigne, parmi ses livres et ses pensées. Il ne voulait que « passer en rep
gument et sujet d’étude ». Vers 1580, parut la première édition de ce livre « consubstantiel à son auteur et membre de sa vie
de rhétorique. Trésor inépuisable d’observation et d’expérience, son livre , ouvert à n’importe quelle page, nous offre parto
ont il use. Non, il ne nous trompe pas, lorsqu’il dit : « Ceci est un livre de bonne foy. » Aussi a-t-il constamment ses fidè
amour des siens. (Essais, liv. II, chap. viii.) Montaigne et ses livres Pour me distraire d’une imagination importune
es10 ; ils me receoivent tousiours de mesme visage. Ie ne voyage sans livres , ny en paix, ny en guerre ; toutesfois il se pass
pluspart des membres de ma maison. Là, ie feuillette à cette heure un livre , à cette heure un aultre, sans ordre et sans dess
va pas seul, comme si3 les iambes l’agitent : ceux qui estudient sans livre en sont touts là. La figure en est ronde, et n’a
mon siege ; et vient m’offrant, en se courbant, d’une veue, touts mes livres , rengés sur des pulpitres à cinq degrez tout à l’
ant plus disposé à tout autre amusement, si léger qu’il soit, que mes livres , étant sous ma main, ne sauraient me faire défaut
. Comme lorsque. 4. Sa bibliothèque est circulaire et lui offre ses livres rangés à l’entour sur cinq rangs. 5. Prospect (
12 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVI » pp. 112-113
. Odyssée, XI, 235  Apollodore, Bibliothèque, I, 9, § 8. Cf. Welcker, livre cité, I, p. 313  et les Fragments de Sophocle, ré
crime à sa sœur Procné. Voyez Ovide, Métamorphoses, VI, 575  Welcker, livre cité, I, p. 379  Ahrens, livre cité, p. 341. Les
vide, Métamorphoses, VI, 575  Welcker, livre cité, I, p. 379  Ahrens, livre cité, p. 341. Les Cypriens.] Même sujet, selon We
leau qui représentait Télamon. (Virgile a imité ce trait dans le i er livre de l’Énéide.) Le chœur se composait sans doute de
composait sans doute de Cypriens, compagnons de Teucer. Voy. Ahrens, livre cité, p. 285. Le Tydée et les fils de Phinée.] On
13 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
philosophiques ou oratoires. Les traités, qu’on pourrait appeler des livres purement didactiques, sont des ouvrages où l’écri
. Il faut que, pour bien comprendre ce qui est dit au commencement du livre , on ne soit pas obligé de le lire ou de l’étudier
a dit souvent que les Français étaient les seuls qui sussent faire un livre . C’est surtout quand il s’agit des traités que l’
atoire. Il s’est donc déterminé à imprimer les Règles de l’éloquence, livre qui n’a rien de commun avec un autre ouvrage du m
lessantes dans la discussion contre une personne que quand on juge un livre . On sait que La Motte, ayant fait, dans le siècle
son adversaire jusqu’à la grossièreté la plus outrageante. J’ouvre le livre au hasard (p. 131), et j’y lis ces mots : Voilà
tous les lecteurs. Ce passage est curieux et mérite d’être cité. Le livre de madame Dacier, annoncé depuis longtemps, parut
rance qu’on remplirait la condition. Mais, après avoir achevé tout le livre , je trouvai qu’il n’y avait que la moitié de l’ou
ères, folies, ignorances entassées, ces beaux mots sont semés dans le livre de madame Dacier, comme ces charmantes particules
e. Le traité de l’Orateur est aussi un grand dialogue divisé en trois livres . Chez nous, Fontenelle s’est fait une juste réput
14 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
é en 1806. [Notice] Critique conservateur, M. Nisard a fait un livre qui manquait à la France. Il est le premier, il e
e de lui plaire. Elle s’est fait un idéal de l’esprit humain dans les livres  ; elle s’en est fait un du génie particulier de l
la France, un autre de sa langue3 ; elle met chaque auteur et chaque livre en regard de ce triple idéal4. Elle note ce qui s
ée des sciences morales. Quant au quatrième genre, les lecteurs de ce livre diront s’il répond à une réalité, ou si l’auteur
d’être un genre, et qui en refuserait l’éloge. L’art de lire les bons livres serait son vrai nom. Elle parle plus volontiers d
e de ses dégoûts ; elle tient plus à nous faire aimer les beautés des livres qu’à nous rendre trop délicats sur les défauts de
plaisirs d’esprit qui formaient notre goût. Ces leçons, devenues des livres , ont gardé dans leurs parties les plus solides le
là, pour cet âge, le profit proportionné2. Les fables ne sont pas le livre des jeunes gens ; ils préfèrent les illustres séd
en est un qui, par désœuvrement ou par fatigue des plaisirs, ouvre le livre dédaigné, quelle n’est pas sa surprise, en se ret
15 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
epuis la création du monde, jusqu’à la publication de l’Évangile, Les livres saints où sont consignés les événements antérieur
’ancien testament, le plus ancien, et le plus authentique de tous les livres , sont marquées la propagation du genre humain, la
es hommes de tous les âges, de toutes les conditions trouvent dans ce livre des livres la route qui doit les mener au vrai bo
de tous les âges, de toutes les conditions trouvent dans ce livre des livres la route qui doit les mener au vrai bonheur. À ne
’arrangement le plus naturel. L’éloquence continue qui règne dans les livres saints, n’y doit rien aux ressources de l’art : e
re. Elle fut si applaudie, qu’on donna le nom des neuf muses aux neuf livres qui la composent ; La narration d’Hérodote est en
e Sicile, avait fait une Bibliothèque historique, divisée en quarante livres , dont quinze seulement nous sont parvenus avec qu
es, et finissait à celle de Macédoine. Elle était divisée en quarante livres , dont il ne nous reste que les cinq premiers, ave
n langue grecque l’Histoire des antiquités romaines, divisée en vingt livres . Il ne nous en reste que les onze premiers, qui v
Rome, et finissait à la mort de Drusus sous Auguste. De cent quarante livres qu’elle renfermait, on n’a pu en sauver que trent
aduit ce dernier ouvrage, les Mœurs des Germains, et les six premiers livres des Annales. Le P. Dotteville a traduit le reste.
’ère chrétienne, avait composé l’Histoire d’Alexandre-le-Grand en dix livres . Les deux premiers ont été perdus, ainsi que la f
que le P. Maimbourg, jésuite, a publié sur la Décadence de l’Empire ; livre estimé même par les plus savants d’entre les Alle
, l’an 584 avant J.-C, avait fait l’Histoire des animaux. De quarante livres dont elle était composée, il ne nous en est parve
16 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97
icéron. « Il est impossible, dit Antoine à Crassus, que l’auditeur se livre à la douleur, à la haine, à l’indignation, à la c
par ses paroles et son action. » Relisez aussi le chapitre II du VIe livre de Quintilien, où il traite des passions ; vous v
du sublime au ridicule il n’y a qu’un pas. Autre observation. Dans un livre , vous pouvez préparer le lecteur, l’amener peu à
faute n’en est pas à vous, mais à lui qui, d’humeur triste, a pris un livre gai, ou d’humeur gaie, un livre triste. Il n’en v
à lui qui, d’humeur triste, a pris un livre gai, ou d’humeur gaie, un livre triste. Il n’en va pas ainsi de l’orateur. L’orat
lacryma citius arescit. » Il répète deux fois cette sentence, dans le livre à Herennius et dans le De Inventione. L’émotion p
17 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
en 1806 [Notice] Critique conservateur, M. Nisard a fait un livre qui manquait à la France6. Il est le premier, il
t là, pour cet âge, le profit proportionné. Les fables ne sont pas le livre des jeunes gens ; ils préfèrent les illustres séd
en est un qui, par désœuvrement ou par fatigue des plaisirs, ouvre le livre dédaigné, quelle n’est pas sa surprise en se retr
vait peut-être gardé, comme prévoyance, de sa médiocrité première, un livre qui le rend un moment à lui-même, et lui fait sav
 : « La mémoire n’aime que ce qui est excellent. » — « On dit que les livres sont bientôt lus, mais ils ne sont pas bientôt en
18 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VI. Sixième espèce de mots.  » pp. 38-40
mot en, comme : les jeunes gens se forment l’esprit en lisant de bons livres 1. Participe passé. Aimé, fini, reçu, rend
participe. EXEMPLES. La lettre que vous avez écrite, je l’ai lue. Les livres que j’avais prêtés, on les a rendus. Quelle affai
J’ai écrit une lettre. J’ai écrit des lettres. Vous avez acheté un livre . Vous avez acheté des livres. (Écrit, acheté, n
écrit des lettres. Vous avez acheté un livre. Vous avez acheté des livres . (Écrit, acheté, ne changent pas, quoique le ré
19 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
dans son traité de l’Invention, dans ses Topiques, et dans le second livre de l’Orateur. Mais lorsqu’elles auront à préparer
mme des caractères italiques dont on couvrirait toutes les pages d’un livre  ; ces caractères, à force de beaucoup distinguer,
garder de les calquer sur la ponctuation ordinaire de la plupart des livres . La ponctuation est, en général, fort arbitraire,
bon goût est reconnu. Quintilien, dans le dernier chapitre du onzième livre de ses Institutions, nous a laissé un grand nombr
point de vue, quelle persuasion pourra-t-il produire ? Nous lisons un livre avec plus de plaisir, lorsque nous avons une idée
nt deux manières tout à fait différentes de communiquer ses idées. Un livre , fait pour être lu, exige un style tout autre que
employer un homme qui s’adresse oralement à ses semblables. Dans les livres il faut viser à la correction et à la précision,
homme qui parle ou qui déclame en public, que d’un homme qui écrit un livre . Ses traités de politique (car ce sont les seuls
écrits sur cette matière est son traité de l’Orateur, divisé en trois livres . Dans aucun de ses ouvrages il n’a porté la perfe
vains anciens sur l’art oratoire, c’est Quintilien. Je connais peu de livres plus remplis de bon sens ; j’en connais peu où l’
t en même temps des modèles d’éloquence. Dans quelques parties de son livre , il a peut-être trop sacrifié à ce système artifi
que nous avons plus de guides à suivre. L’imprimerie a multiplié les livres , les a mis à la portée de tout le monde. Rien n’i
il nous donne du plan de son ouvrage au commencement de son troisième livre . Il observe que le sujet sur lequel il a entrepri
mbre d’exemples d’une narration parfaite. Au commencement du neuvième livre (ch.  5), son récit de la fameuse défaite de l’ar
rnes. La Guerre de Flandre, écrite en latin par Famien Strada, est un livre estimable, mais bien loin cependant de pouvoir êt
e système, eurent le plus grand succès. Gil-Blas, par Le Sage, est un livre plein de bon sens, qui nous apprend à connaître l
ion si profonde sur l’imagination du lecteur ; c’est en même temps un livre très instructif, puisqu’il nous montre comment l’
mblaient beaucoup aux Proverbes de Salomon, dont une grande partie du livre n’est composée que de phrases poétiques détachées
es des Arabes. Nous retrouvons encore ce genre de composition dans le Livre de Job. Il paraît que ce sont les Grecs qui, les
ée, le poète qui va composer une ode, si son génie a quelque feu, s’y livre tout entier et sans réserve ; s’il en est dépourv
lonais nommé Casimir, qui, dans le dix-septième siècle, publia quatre livres d’odes. Il est loin d’Horace pour la grâce et la
anciens que modernes, d’un mérite très distingué ; tels sont les six livres de Lucrèce de Rerum natura, les Géorgiques de Vir
sédaient au plus haut degré l’art de décrire. Virgile, dans le second livre de l’Énéide, fait un tableau si frappant du siège
e poésie que nous avons examinés jusqu’ici. En ne considérant que ces livres saints comme les plus anciens monuments poétiques
e longs développements pour prouver qu’il existe entre les différents livres de l’Ancien Testament une telle diversité de styl
idemment écrits en style prosaïque, il n’est pas moins évident que le Livre de Job, les Psaumes de David, le Songe de Salomon
d, le Songe de Salomon, les Lamentations de Jérémie, presque tous les livres des prophètes, et quelques passages de chapitres
la poésie. Il est incontestable que, dans l’origine, cette partie des livres sacrés fut écrite en vers, ou du moins en une esp
jecti membra poetæ . Lisez attentivement l’introduction historique du Livre de Job renfermé dans les deux premiers chapitres,
ieu en s’accompagnant avec divers instruments. Nous voyons au premier livre des Rois (ch. 10, v. 5), que Samuel dit à Saül qu
osé des hymnes et des poèmes sacrés. On trouve dans le chapitre 25 du livre  ier des Chroniques, quelques détails sur les ins
t bien aux sujets sacrés ; voilà pourquoi nous le retrouvons dans les livres des prophètes aussi bien que dans les psaumes de
Aucun ouvrage n’est plus rempli de figures hardies et animées que les livres saints. Il convient de nous arrêter un instant su
nous arrêter un instant sur ce genre de mérite, parce que, ayant ces livres entre les mains dès notre plus bas âge, nous nous
alami et junci. Ces sortes d’images se reproduisent souvent dans les livres d’Isaïe. D’un autre côté, comme la Judée était un
ce qu’on appelle les dernières paroles de David, rapportées au second livre des Rois, ch. 23, v. 3 et 4 : Dominator hominum
ne des meilleures et une des plus naturelles que l’on trouve dans les livres saints. L’allégorie s’y représente encore très fr
tio et mors dixerunt : Auribus nostris audivimus famam ejus. Dans le Livre d’Isaïe, cette sublime description de la chute du
des pour le langage des hommes. Après ces remarques sur la poésie des livres saints en général, je terminerai cette dissertati
xamen rapide des différents genres de poésie que l’on trouve dans les livres saints, et du caractère distinctif des principaux
ent celles dont on retrouve les caractères dans l’Écriture sainte. Le livre des Proverbes est essentiellement dans le genre d
onstruites avec art qui distinguent toutes les poésies hébraïques. Le livre de l’Ecclésiaste, ainsi que quelques psaumes, et
les lamentations de David sur son ami Jonathan, quelques passages des livres des prophètes, et plusieurs psaumes composés par
e dans l’Écriture, et peut-être dans aucun ouvrage poétique, c’est le livre intitulé les Lamentations de Jérémie. Comme dans
e, c’est le livre intitulé les Lamentations de Jérémie. Comme dans ce livre le prophète pleure sur la destruction du temple e
que. Outre un grand nombre d’hymnes et de cantiques répandus dans les livres historiques et dans ceux des prophètes, comme le
comme le cantique de Moïse, celui de Déborah et beaucoup d’autres, le livre entier des Psaumes peut être regardé comme une re
s Psaumes peut être regardé comme une recueil d’odes sacrées. Dans ce livre , l’ode revêt toutes les formes de la poésie lyriq
de compositions poétiques. Il existe parmi les différents auteurs des livres sacrés une diversité bien évidente dans le ton et
sent assez apercevoir ; et une chose fort remarquable, c’est qu’aucun livre de l’Écriture n’a été traduit d’une manière plus
ce poète, et avec lesquelles on ne peut rien mettre en parallèle. Son livre a plus de clarté et plus de méthode dans la distr
mère, Jérémie à Simonide, et Ézéchiel à Eschyle. La majeure partie du livre d’Isaïe est tout à fait poétique, et à peine si l
rophéties de Daniel et de Jonas. Il ne nous reste plus qu’à parler du Livre de Job, auquel je consacrerai la fin de cet artic
il est fort ancien, et l’on croit même qu’il est antérieur à tous les livres poétiques. Le nom de son auteur n’est point parve
ncontre un ruisseau que les chaleurs ont tari. Cependant la poésie du Livre de Job n’est pas seulement égale à celle des autr
a poésie du Livre de Job n’est pas seulement égale à celle des autres livres saints, elle leur est même supérieure,-si toutefo
saints, elle leur est même supérieure,-si toutefois on en excepte le Livre d’Isaïe. De même qu’Isaïe est le plus sublime des
é n’est pas aussi sensible que dans l’Énéide ; car, pendant plusieurs livres , Achille ne reparaît plus sur la scène, il reste
Clorinde dans la Jérusalem ; enfin la vision d’Adam aux deux derniers livres du Paradis perdu. Non seulement de semblables épi
res et rapportées. L’épisode d’Olinde et de Sophronie, dans le second livre de la Jérusalem, est vicieux, parce qu’il pèche c
i l’on voudrait ne pas trouver la fable des Harpies dans le troisième livre de l’Énéide, et l’allégorie du Péché et de la Mor
vre de l’Énéide, et l’allégorie du Péché et de la Mort dans le second livre du Paradis perdu. Lecture XLIII. L’Iliade et l
ésie. Quiconque ouvre Homère doit songer qu’il va lire le plus ancien livre du monde après la Bible. Sans cette réflexion il
un odieux objet ! Comme l’admiration que lui témoignent, au troisième livre , les plus anciens chefs de l’armée la relève à no
élégance ; il avait tracé lui-même le plan de son palais ; au sixième livre , Hector le surprend à redresser et à polir ses ar
mple que celui des plus grands poètes, rappelle la poésie de quelques livres de l’Ancien Testament. Ceux qui ne le connaissent
sous nos yeux. On peut en citer pour exemple cet endroit du quatrième livre où une flèche lancée par Pandarus rompt la trêve
t la trêve qui existait entre les deux armées ; et surtout au sixième livre ces adieux si touchants d’Hector à Andromaque, da
épique. L’intérêt ne se soutient pas toujours dans les douze derniers livres , lorsqu’Ulysse est rentré dans Ithaque. Quoique l
e où il se découvre à sa nourrice Euryclée, et celle, au dix-neuvième livre , où il paraît devant Pénélope sans en être reconn
me doux et presque impassible. Sa conduite envers Didon, au quatrième livre , surtout le discours qu’il lui adresse après qu’e
uteur n’a pas eu le temps d’achever. L’on assure que les six derniers livres n’ont pas reçu la dernière main du poète, qui, po
ant, sur la foi d’un oracle, réclame un établissement dans le Latium, livre le pays aux fureurs de la guerre, tue l’amant de
’Andromaque. Dans l’Énéide, il y en a un très grand nombre. Le second livre est un chef-d’œuvre que rien n’égala jamais, et V
laisir. C’est ainsi qu’on ne s’est point lassé d’admirer le quatrième livre , qui renferme la passion malheureuse et la mort f
s sublimes. L’entrevue d’Énée avec Andromaque et Hélène, au troisième livre , les épisodes de Pallas et d’Évandre, de Nysus et
tout elles s’y présentent en grand nombre, même dans les six derniers livres . Les parties les plus travaillées sont les premie
s premier, second, quatrième, sixième, septième, huitième et douzième livres . Virgile, dans les descriptions de batailles, est
À cet égard, l’antiquité ne nous offre rien de comparable au sixième livre de l’Énéide : la scène est grande et frappante ;
de l’imiter, il l’a traduit littéralement. C’est ainsi qu’au premier livre de l’Énéide, par exemple, la description de la te
ête et le discours d’Énée à ses compagnons sont traduits du cinquième livre de l’Odyssée ; c’est ainsi que presque toutes les
e possédons aujourd’hui, ce poème n’est pas terminé : ou les derniers livres ont été perdus, ou l’auteur a laissé son travail
et transporter brusquement son lecteur d’un lieu dans un autre. Il se livre à de fréquentes digressions, et quitte trop souve
la nature ; sur les serpents d’Afrique, par exemple, dans le neuvième livre , sur les sources du Nil, dans le dixième. On trou
iquité. Il a, par exemple, dessiné de main de maître, dans le premier livre , les caractères de César et de Pompée ; rien n’es
ffet sublime. La description de l’enfer, au commencement du quatrième livre , est singulièrement frappante, ainsi que l’appari
aimables et tendres, comme l’asile champêtre d’Herminie, au septième livre  ; les enchantements et la beauté d’Armide, au qua
son voyage qui a précédé son arrivée à Mélinde. Ce récit occupe trois livres entiers ; il est bien conçu ; il renferme un gran
réservés. Mais la plus noble conception du poète se trouve au sixième livre , dans le récit que Vasco fait au roi de Mélinde d
aimable et tendre qu’il serait impossible d’imiter. Les six premiers livres , dans lesquels Télémaque raconte ses aventures à
le devient ensuite plus languissante, surtout dans les douze derniers livres  ; elle manque tout à fait de vigueur dans les des
ournalier sur la terre, que de commander à tous les morts. Au sixième livre de l’Énéide, l’on aperçoit déjà dans les idées un
e, je dirai même d’aucun poème, est le songe dans lequel, au septième livre , saint Louis transporte Bourbon dans le ciel et a
, de Bélial, sont admirablement peints dans les éloquents discours du livre second. Les anges du Seigneur, quoique représenté
errière lui Virgile, et tous les poètes connus. Les premier et second livres du Paradis perdu sont presque tout entiers sublim
randes, les plus élevées qu’ait formées le génie poétique. Au sixième livre , quelle majesté surtout dans l’intervention du Me
surtout dans l’intervention du Messie ! Il est vrai que, dans ce même livre , il se trouve aussi des fautes graves, et que les
turellement arriver ce que le philosophe Dumarsais a observé dans son livre des Tropes, que les figures de rhétorique ne sont
ils sont applaudis ; Ils n’ont droit qu’à notre indulgence. Les vieux livres sont des trésors Dit la sotte et maligne Envie. C
rent sa plume pour justifier la mort de leur roi, et pour répondre au livre que Charles II avait fait écrire par Saumaise au
de cette révolution étrange ne périra jamais chez les hommes, et les livres de Saumaise et de Milton sont déjà ensevelis dans
ue l’on a le plus admirées pour leur sublimité, comme l’ode 4 du ive   livre  : Qualem ministrum fulminis alitem . Il me sembl
lui donner ; la nature seule était son guide. Ce n’est point dans les livres qu’il avait appris à la connaître. Il descendaita
20 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
 ? Voilà pourtant, jeunes Pisons, voilà l’image exacte et fidèle d’un livre où les idées confuses ressembleraient aux songes
raison : voilà le principe et la source des bons vers Socrate et les livres de ses disciples vous fourniront les idées premiè
gréable, il faut plaire et instruire en même temps. C’est alors qu’un livre fait la fortune des Sosies, et qu’il franchit les
4qu’il sera tout-à-fait-semblable 15isti tabulæ, à ce tableau, 16le livre 17vanæ dont les idées vaines (confuses) : 18ser
et le principe 882et la source du bien écrire. 883Les papiers (les livres ) Socratiques 884pourront montrer à toi 885la ch
enfants Romains 929apprennent par de longs calculs 930à diviser une livre 931en cent parties. 932Que le fils d’Albinus me
ais-tu (pourrais-tu) 937avoir dit (dire) cela ? — 938Le tiers d’une livre (quatre onces). — 939Bien ! tu pourras 940conse
harmant le lecteur 988et en l’instruisant tout-à-la-fois. 989Un tel livre 990vaut (rapporte) beaucoup d’argent 991aux Sos
(rapporte) beaucoup d’argent 991aux Sosies (au libraire), 992un-tel livre aussi passe la mer, 993et proroge (assure) 994u
Dieux, 1072ni les colonnes des portiques 1073 où s’exposaient les livres en vente, 1074n’ont permis aux poëtes 1075d’êt
pas ici comblé d’honneurs, comme dans le vers 107 de l’épître Ire du livre Ier : Liber, honoratus, pulcher, rex denique reg
ontraignit. Voyez Horace, Art poétique, vers 283 et 284, et épître I, livre II, vers 152 et suivants : Quin etiam lex Pænaq
uste. Page 42. — 1. Poteras dixisse ? — Triens… C’est le tiers d’une livre ou d’un as. La livre avait douze parties égales,
Poteras dixisse ? — Triens… C’est le tiers d’une livre ou d’un as. La livre avait douze parties égales, appelées onces ; ses
ient : 1° uncia, l’once ; 2° sextans, deux onces, ou le sixième de la livre  ; 3° quadrans, trois onces, ou le quart de la liv
le sixième de la livre ; 3° quadrans, trois onces, ou le quart de la livre  ; 4° triens, quatre onces, ou le tiers de la livr
ou le quart de la livre ; 4° triens, quatre onces, ou le tiers de la livre  ; 5° quincunx, cinq onces ; 6° semis (pour semiss
7° septunx, sept onces ; 8° bes, huit onces, ou les deux tiers de la livre  ; 9° dodrans, neuf onces, ou les trois quarts ; 1
quarts ; 10° dextans, dix onces ; 11° deunx, les onze douzièmes de la livre  ; 12°, enfin, as, la livre, ou l’as, réunion des
nces ; 11° deunx, les onze douzièmes de la livre ; 12°, enfin, as, la livre , ou l’as, réunion des douze onces. — 2. Pransœ La
pour des vers médiocres, composés à sa louange. Voyez l’épître Ire du livre II, vers 232 et suiv. : Gratus Alexandro regi Ma
manie, Au défaut du génie, Récompensait en lui le désir d’en avoir. ( Livre XVIII, ode ii, au prince Eugène.) Page 48. — 1.
poésie, est le même dont il est question au vers 38 de la satire X du livre 1er : Hæc ego ludo, Quæ nec in æde sonent certan
arus, poëte distingué, en l’honneur de qui a été composée l’ode XX du livre 1er : Quis desiderio sit pudor aut modus Tam car
ue impartial tracé par le poëte dans l’Epître à Florus (la seconde du livre II), vers 109 à 125. Nous rapprocherons surtout l
tue, et partant assez neuve, que les deux premières Epîtres du second livre forment, avec l’Épître aux Pisons, un Art poétiqu
21 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
envahit jusqu’au Dictionnaire de l’Académie, et dans la Préface de ce livre , M. Villemain a employé le mot déconstruire, qui
ndre avec les points accumulés si ridiculement employés dans certains livres modernes. Dans Virgile, Neptune gourmande ainsi l
er ou respecter. 212. La permission est une figure par laquelle on se livre à son adversaire pour toucher sa pitié, ou bien o
cte ? Buffon a su le rendre harmonieux en disant d’un fleuve : Il se livre à la pente précipitée de ses cataractes écumantes
l’étude de la jeunesse, dit le R. P. de Boylesve, sera donc la Bible, livre des livres, expression fidèle de la parole de Die
la jeunesse, dit le R. P. de Boylesve, sera donc la Bible, livre des livres , expression fidèle de la parole de Dieu, et c’est
ice ou l’erreur ne peut être proposé pour type du beau littéraire. Un livre n’est classique, c’est-à-dire propre à être étudi
’entendons ici, ne consiste pas à parcourir rapidement les pages d’un livre pour charmer ses loisirs ou pour satisfaire une c
stance étrangère qui se change en sa propre substance. La société des livres est pleine d’enseignements pour tous les âges ; m
t, elle a une foule d’avantages et d’attraits. 261. Pour le choix des livres , il y a trois précautions principales à prendre :
res, il y a trois précautions principales à prendre : s’interdire les livres dangereux sous le rapport moral, ne pas lire ceux
it nombre. 262. Le jeune élève doit d’abord s’interdire avec soin les livres qui portent des atteintes funestes à la religion
e style est l’homme, lisez avant tout, pour vous former le style, des livres qui contribuent à former l’homme, c’est-à-dire de
style, des livres qui contribuent à former l’homme, c’est-à-dire des livres qui vous apprennent à bien penser, à bien vouloir
me moral. 263. La seconde règle qu’il faut observer dans le choix des livres , c’est de ne point lire les auteurs médiocres et
es qu’il faut toujours s’attacher12. 264. Enfin, dans le choix de ses livres , il faut savoir se borner. Ce n’est pas en lisant
livres, il faut savoir se borner. Ce n’est pas en lisant beaucoup de livres que l’on s’instruit, mais en lisant beaucoup un m
aucoup de livres que l’on s’instruit, mais en lisant beaucoup un même livre . Multum legendum, non multa (Pline le Jeune). P
oins d’ouvrages médiocres. 265. Ce n’est pas tout de bien choisir les livres qu’on veut lire, il faut encore apporter de la mé
c ordre, avec sobriété, avec lenteur, avec réflexion. 266. Il y a des livres qu’on ouvre seulement pour y puiser un fait ou un
a choisi ces derniers, il faut savoir s’y tenir et ne pas voltiger de livre en livre. Commencez toujours par les livres les p
ces derniers, il faut savoir s’y tenir et ne pas voltiger de livre en livre . Commencez toujours par les livres les plus utile
enir et ne pas voltiger de livre en livre. Commencez toujours par les livres les plus utiles et qui se rapportent mieux à votr
ée de butin. 267. La sobriété veut d’abord qu’on ne lise pas tous les livres qui se présentent sous la main, et nous avons déj
Ayez une plume ou un crayon sous votre main, et ne quittez jamais un livre sans avoir extrait quelque pensée ou noté quelque
lle. C’est ainsi que Virgile a imité l’Odyssée, dans les six premiers livres de l’Énéide, et l’Iliade dans les six derniers. B
sez et relisez avec attention un morceau bien écrit ; puis, fermez le livre , prenez la plume, essayez de le reproduire à votr
rent une foule d’exemples écrits avec un remarquable talent. Mais les livres de Moïse, et surtout la Genèse, dans leur noble e
du cheval ; mais la plus belle de toutes est celle qu’on lit dans le livre de Job. (Voir le nº xiii.) Voici comment Barthélé
et l’usage. C’est ce qu’on appelle le cérémonial des lettres, et les livres spéciaux contiennent des règles à ce sujet. De
talent. Il existe assez de belles pages sur la littérature, mais les livres qui en résument bien les préceptes seront toujour
ce travail, il ne suffit pas de rapetisser un auteur et de réduire un livre à un petit nombre de phrases ; il faut marquer, p
n qu’ils ne soient pas écrits en vers. Il y en a plus encore dans les livres des prophètes et des autres écrivains sacrés que
rée, il faut passer chez les Hébreux et chercher nos modèles dans les livres saints. C’est en effet chez eux que nous trouvons
ennent les odes de Pindare. Dans Horace, les plus belles du troisième livre ont aussi le même caractère. 435. Puisque le suje
les meilleurs ne valent presque rien. Ce sont, comme dit Bossuet, des livres corrupteurs de la vie humaine, où la vertu et la
rmant tableau du genre pastoral, l’histoire de Ruth, qui forme un des livres de nos saintes Écritures. (Voir le nº xix.) Ch
ton nom de tes propres écrits. (Boileau.) Ci-gît l’auteur d’un gros livre Plus embrouillé que savant ; Après sa mort il cru
les détails, le génie nous frappe en masse. Pour admirer le cinquième livre de l’Énéide, il faut le lire ; pour admirer le se
r. C’est qu’en effet la langue, et surtout la langue française, ne se livre pas à tout venant : elle exige une lutte et ne se
ouche ; il se retire confus et va s’agenouiller ailleurs ; il tire un livre pour faire sa prière, et c’est sa pantoufle qu’il
n instrument utile, Fais qu’au juste héritier le sceptre soit remis : Livre en ses faibles mains ses puissants ennemis ; Conf
fiant en la main qui délivre, Je me faisais relire aux pages du saint livre L’histoire du berger que protégeait le ciel, Ou D
cle, que tu ne connais pas encore, te portera bientôt, de ma part, un livre qui t’amusera beaucoup ; il est tout plein de bel
es images, et, dès qu’on t’aura expliqué comment il faut se servir du livre , tu pourras t’amuser toute seule. Adèle et Rodolp
, vous êtes immortels ! (Delille.) XVI. Analyse de l’Énéide. Livre  Ier. Énée, étant parti de Sicile, vogue sur la me
et celui de ses propres malheurs, depuis son départ de cette ville. Livre  II. Le héros raconte à Didon le stratagème dont s
nombre de Troyens, enfin, la perte qu’il fit de Créuse, son épouse. Livre  III. Suivant le récit que continue Énée, il équip
on père, et essuya la tempête qui le jeta sur les côtes de Carthage, Livre  IV. Didon devient éperdument amoureuse d’Énée, qu
e triomphe alors de sa passion, il part ; Didon se tue de désespoir. Livre  V. Une tempête fait prendre à Énée le parti de re
Sicile une ville où il laisse une partie de sa suite, et s’embarque. Livre  VI. Énée aborde à Cumes ; la Sybille lui annonce
térité, et lui peint les plus fameux héros de la République romaine. Livre  VII. Énée arrive à l’embouchure du Tibre, dans un
illant Turnus rassemble les troupes latines et celles de ses alliés. Livre  VIII. Le héros troyen, suivant le conseil du dieu
ors de Vénus, sa mère, des armes que Vulcain avait forgées pour lui. Livre  IX. Turnus, averti par Junon, profite de l’absenc
précipite du haut du rempart dans le Tibre et va rejoindre l’armée. Livre  X. Tous les dieux de l’Olympe s’assemblent par l’
rivé à sa nouvelle ville, les ennemis s’opposent à sa descente. Il se livre un combat dans lequel Pallas, fils du roi Évandre
ce dans le combat, est tué avec son fils Lausus par le héros troyen. Livre  XI. Les deux parties conviennent d’une suspension
t en embuscade dans les montagnes où est Énée. D’un autre côté, il se livre un combat de cavalerie dans lequel les Latins déf
ourir la ville. Énée le suit et l’atteint ; mais la nuit les sépare. Livre  XII. Un combat singulier entre Énée et Turnus doi
oupeaux et celui des abeilles, tels sont les quatre sujets des quatre livres des Géorgiques. Chant Ier. Après une invocation
teurs ? 261. Combien faut-il prendre de précautions pour le choix des livres  ? 262. Faut-il s’interdire tout ouvrage immoral ?
médiocres et imparfaits ? 264. Faut-il se borner à un petit nombre de livres  ? 265. De quelle manière faut-il lire, pour tirer
e, De l’étude et de l’enseignement des lettres, ch. vi ; Cormenin, Le livre des orateurs, art. Lamartine. 21. Auteurs à cons
22 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
allai à lui, et le priai de me dire quels étaient quelques-uns de ces livres que je voyais mieux reliés que les autres. « Mons
lles questions ; mais vous voyez bien que je n’irai pas lire tous ces livres pour les satisfaire ; j’ai mon bibliothécaire qui
age de La Bruyère sur le Bibliomane : « Mais quand il ajoute que les livres en apprennent plus que les voyages, et qu’il m’a
’escalier je tombe en faiblesse d’une odeur de maroquin noir dont ses livres sont tous couverts. Il a beau me crier aux oreill
ndroits près qui sont peints de manière qu’on les prend pour de vrais livres arrangés sur des tablettes, et que l’œil s’y trom
santerie, plein de traits qui annoncent un esprit plus solide que son livre . C’est, dit-il, une imitation du Siamois de Dufre
23 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
ontenté des sciences qu’on nous enseignait, j’avais parcouru tous les livres traitant de celles qu’on estime les plus curieuse
s langues que l’on y apprend sont nécessaires pour l’intelligence des livres anciens ; que la gentillesse des fables réveille
n elles aident à former le jugement ; que la lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes
déjà donné assez de temps aux langues, et même aussi à la lecture des livres anciens, et à leurs histoires, et à leurs fables.
que celle qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand livre du monde, j’employai le reste de ma jeunesse à vo
Mais, après que j’eus employé quelques années à étudier ainsi dans le livre du monde et à tâcher d’acquérir quelque expérienc
24 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
e cas, mettre le Traité de la poésie entre les mains des élèves comme livre de lecture : ce qui serait d’autant plus facile à
ragraphe, que déjà il bâille, l’ennui le saisit, et il est dégoûté du livre et de la science. — D’ailleurs, toutes les questi
ication de ce cours, la Poétique, qui a paru il y a quelques mois. Ce livre nous a déjà valu des encouragements bien précieux
ût et à orner leur cœur, et qui mérite une place distinguée parmi les livres classiques édités de nos jours ; de nous louer d’
25 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
x caprice, Fasse de vos écrits prospérer la malice, Et qu’enfin votre livre aille, au gré de vos vœux, Faire siffler Cotin ch
a haine des sots ? Quel démon vous irrite et vous porte à médire ? Un livre vous déplaît : qui vous force à le lire ? Laissez
? Ai-je par un écrit Pétrifié sa veine et glacé son esprit ? Quand un livre au Palais se vend et se débite, Que chacun par se
hemin qu’il faut suivre, M’inspira, dès quinze ans, la haine d’un sot livre , Et, sur ce mont fameux où j’osai la chercher, Fo
e, Qui doit y soulever un peuple de mutins : Ainsi le ciel l’écrit au livre des destins.     A ce triste discours, qu’un long
mouvement est imité de Juvénal, début de la Ire satire. 4. Plusieurs livres des Lettres de Balzac lui sont adressés. Et l’on
ogue à celle d’Horace, lorsqu’il montre, dans la quinzième ode du Ier livre , Pallas préparant contre les Troyens son char et
26 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
x nobles48 et les fist conduire hors de l’ost à sauveté. (Chroniques, livre I, § 312.) Ces six bourgeois se mirent aussitôt à
que ung aultre l’eust faict, ne privé, ny estrange131.    (Mémoires, livre VI, chap. xi.) Rabelais (1495-1553) Né à
eux qui étaient en icelui156. (La vie de Gargantua et de Pantagruel, livre 1, chap. xxxvi.) Le son et la fumée A Paris
ée, si plus juridiquement eût été par eux sentencié198. (Pantagruel, livre III, chap. xxxvii.) Bonaventure Des Périers (
592. Sous le titre d’Essais, il a publié, puis incessamment retouché ( livres I et II, 1580 ; livre III, 1588), un ouvrage, éga
sais, il a publié, puis incessamment retouché (livres I et II, 1580 ; livre III, 1588), un ouvrage, également remarquable par
entreprises des conseillers plus gens de bien que ceux-là. » (Essais, livre I, chap. xxiii.) Sur l’éducation des enfants c
usippus455. Où est leur profit, que456 là fût aussi leur ébat. (Id., livre I, chap. xxv.) Les « pertes457 triomphantes à
 ; et consiste l’honneur de la vertu à combattre, non à battre. (Id., livre 1, chap. xxx.) Balzac (1594-1654) Né en 15
cours de la Méthode 477 (1637) : il n’y a peut-être en effet point de livre dont l’apparition marque une date aussi important
ui fut mêlé aux troubles de la Fronde, est surtout connu par le petit livre intitulé Réflexions et Sentences ou Maximes moral
stoire des variations, des églises protestantes). Quelques-uns de ses livres ont été composés pour le dauphin, dont il fut pré
ion765. » (Politique tirée des propres paroles de l’Écriture sainte, livre I, article ii.) La bonté Loin de nous les h
s animaux, à qui apparemment elle sert de pâture, je me mis à lire un livre que j’avais sur moi, et j’y trouvai une chose for
n esprit singulièrement personnel et perspicace, sont en effet un des livres les mieux écrits, les plus fins et les plus varié
n beau-frère : ce sont les Mémoires du Chevalier de Gramont. C’est un livre d’une rare frivolité et l’on se demande, après l’
illeures pages des Mémoires : c’est à ce titre qu’il faut garder à ce livre un souvenir. Histoire d’un habit de bal I
ée à la dent avec beaucoup d’adresse ; mais on commença par faire des livres , et puis on consulta l’orfèvre. Rien n’est plus n
gion naturelle950 : il était persuadé de la révélation, et, parmi les livres de toute espèce qu’il avait sans cesse entre les
s portaient un pareil jugement. (Histoire de Gil Blas de Santillane, livre II, chap. ii.) Saint-Simon (1675-1755) Lou
marquer par de petites bougies, qu’elles avaient pour lire dans leurs livres et qui donnaient à plein sur leur visage. La régu
nouveau système. Il était bien avancé, lorsqu’il parut divers petits livres du sieur de Boisguilbert, lieutenant général au s
e Vauban, sans se connaître l’un l’autre1042. De ce travail naquit un livre savant et profond sur la matière1043, dont le sys
térêts. Chamillart, qui avait succédé1045 à Pontchartrain, examina ce livre  ; il en conçut de l’estime : il manda Boisguilber
rèrent la profondeur, la justesse, l’exactitude et la clarté. Mais ce livre avait un grand défaut1051 : il donnait, à la véri
pas surprenant que tant de gens si puissants en tout genre, à qui ce livre arrachait tout des mains, conspirassent contre un
x gendres de M. Colbert1058, de l’esprit et du gouvernement duquel ce livre s’écartait fort, et furent trompés1059 par les ra
orte, reçut très mal le maréchal de Vauban lorsqu’il lui présenta son livre , qui lui était adressé dans tout le contenu de l’
il aurait été le meilleur soldat d’Alexandre. (De l’Esprit des Lois, livre X, chap. xiii.) Voltaire (1694-1778) Né à
avoir payé la taille, le taillon, les aides et gabelles, le sou pour livre , la capitation et les vingtièmes1120, ne se trouv
ir prévenu le secours qui m’était destiné. (Émile ou de l’Éducation, livre II) Les chansons de Tante Suson Hors le tem
pauvre tante Suson l’ont chanté, (Les Confessions, première partie, livre I, 1719-1723.) Les voyages a pied Je ne con
and on veut voyager, il faut aller à pied. (Émile ou de l’Éducation, livre V.) En Suisse Je me rappellerai toute ma vi
rais dans leur grange de meilleur cœur qu’au bal de l’Opéra. (Emile, livre IV.) Le pot de beurre A M. Le Comte De Lastic1
z moi ; que ce panier contenait, entre autres choses, un pot de vingt livres de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais c
ce ne se prêtât ; car l’indigence est presque toujours officieuse. Un livre était-il couvert de poussière, un de ses pans s’o
ne tapisserie de Bergame, une planche de sapin qui soutenait quelques livres , quelques estampes enfumées, sans bordure1217, cl
ain de seigle, un petit fromage, un morceau de lard, et deux ou trois livres de bœuf : ma mère y avait ajouté une douzaine de
dans les collèges, on n’apprenne que du latin. (Mémoires d’un père, livre I.) Beaumarchais (1732-1799) Né à Paris e
ion ; les principaux sont les Considérations sur la France (1796), le livre Du Pape (1819) et les Soirées de Saint-Pétersbour
urés célèbres, Delphine (1802) et Corinne ou l’Italie (1807), et deux livres remplis d’idées neuves et qui devaient exercer un
n hâte allèrent prendre des chevaux à la poste. (Corinne ou l’Italie, livre 1, chap. iv.) Schiller Schiller était1352 u
le à un gros bouquet de fiancée de village. (Mémoires d’Outre-Tombe, livre II.) Les pèlerinages Dans les siècles de ba
l’aventure d’Homère1372. (Génie du Christianisme, quatrième partie, livre VI, chap. viii.) M. Violet Je me trouvais e
rtège des étoiles, et il se réjouissait dans son cœur. (Les Martyrs, livre I.) Un martyr Le peuple s’assemblait à l’am
tourne son esprit et son cœur uniquement vers le ciel. (Les Martyrs, livre XXIV.) Les Francs1426 Parés de la dépouill
de l’autre, formaient le cadre de ce grand tableau.     (Les Martyrs, livre VI.) Paul-Louis Courier (1772-1825) Paul-L
rompre ouvertement avec l’Église. C’est alors qu’il publia plusieurs livres qu’on jugea dangereux, non sans raison, mais dont
plis d’une inexprimable douceur : les Paroles d’un croyant (1834), le Livre du peuple (1857), une Voix de prison (1846). Cito
écrit au lèvre du souverain Juge parmi ceux des parricides    ’ (Le Livre du peuple, XIL) Justice et charité Ne pas f
t accompli le devoir, la loi de justice ci la loi d’amour1481. » (Le Livre du peuple, X.) Guizot (1787-1874) Né à Nîm
tait une longue vie ». (Histoire de la Révolution d’Angleterre 1490, livre VII.) Savoir dire non Lettre à Mademoiselle
l de la mort et les éloges de la postérité. (Histoire des Girondins, livre XLIV, xv.) La barque brisée Nous nous hâtâm
s. Puis elle alla se rasseoir, et ne dit plus rien. (Les Confidences livre VII. Graziella ; épisode XV.) Augustin Thierr
vénement. (Histoire de la conquête de l’Angleterre par les Normands, livre VII) Galeswinthé Le mariage de Sighebert151
récits peuvent nous faire sourire, nous qui les lisons dans de vieux livres , écrits pour les hommes d’un autre âge ; mais, au
t, avec une rapide Histoire de la Révolution française (1824), divers livres sur l’histoire du xvie siècle, Marie Stuart, Cha
e d’être mon propre geôlier. (Servitude et Grandeur militaires 1538, livre III, vi) Thiers (1797-1877) Né à Marseille
evait être le dernier1544 !... (Histoire du Consulat et de l’Empire, livre XLIV.) La Bérézina1545 I Éblé et ses pon
devait promptement succomber. (Histoire du Consulat et de l’Empire, livre XLV.) Michelet (1798-1874) Né à Paris en
bares, et on l’appela la guerre inexpiable. (Histoire romaine 1571, livre II, chap. iv.) L’alouette L’oiseau des cham
bienfaits de la liberté. (Histoire de la Révolution française 1581, livre VIII, chap. V.) Souvenirs d’enfance1582
qui j’avais bien plus de rapports, m’aurait tué. (Ma Jeunesse 1588, livre I, chap. iii.) Lacordaire (1802-1861) Jea
our, il se leva de son fauteuil et alla à sa bibliothèque chercher un livre . Ce livre était sur un des rayons d’en haut. Comm
leva de son fauteuil et alla à sa bibliothèque chercher un livre. Ce livre était sur un des rayons d’en haut. Comme l’évêque
une des trois avait à recueillir d’une grand’ tante cent bonnes mille livres de rentes ; le deuxième était substitué au titre
elui auquel on ne succède point. » (Les Misérables, première partie, livre I, chap. iii et iv.) Alexandre Dumas (1803-18
e, c’est elle qui nous tuera. » Là-dessus arrive le ministre1622, son livre sous le bras ; on nous mène tous deux sous un cer
eux, plus qu’un grand penseur et un grand écrivain. Citons, parmi ses livres les plus connus, de vastes poèmes en prose : Ahas
e pied de l’homme nous foulera-t-il jamais ? » (Merlin l’enchanteur, livre II, ch. iv et v.) La « Marseillaise » La vé
victoire a éclaté en même temps que la bataille1641. (La Révolution, livre XI, iii.) George Sand (1804-1876) Née en 1
les Conférences parisiennes (1874), dans l’Art de la lecture (1878), livre charmant qui n’apprend plus seulement à bien lire
0 « Maintenant, Schmoûle, dit David, tu vas prêter serment sur ce livre , en présence de l’Éternel qui t’écoute ; tu vas j
promis ? S’il ne l’a pas promis à Christel, qu’il pose la main sur le livre de la loi, et qu’il dise : « Je jure non ! je n’a
qu’il a de plus poétique ou de plus joyeux ; enfin il n’est point de livre qui, de notre temps, ait passé pour une satire pl
, des encriers de buis, qui sentaient bon, des cahiers cartonnés, des livres neufs avec beaucoup de notes dans le bas ; moi, m
onnés, des livres neufs avec beaucoup de notes dans le bas ; moi, mes livres étaient de vieux bouquins achetés sur les quais,
ttre des crimes avec ses canots ! Je manquais l’école, je vendais mes livres . Qu’est-ce que je n’aurais pas vendu pour une apr
re, le Crime de Sylvestre Bonnard, membre de l’Institut (1885), et le Livre de mon ami (1885). Souvenirs d’enfance I L
meubles anciens, d’estampes anciennes, de vieux tableaux et de vieux livres , de crédences1781 sculptées, de potiches à fleurs
, d’orfrois1782, d’étoffes brochées, de tapisseries à personnages, de livres à figures et d’éditions princeps1783 reliées en m
s. Que de fois, hélas ! j’ai recommencé dans ma vie cette aventure du livre et du géant ! Que de fois, sur le point de commen
ntre lesquels, à sa place, je me serais mille fois cassé le nez. (Le Livre de mon ami : Nouvelles Amours, IV, V, VI.) P
Islande (1886). Des mérites analogues enfin ont assuré le succès d’un livre également renommé, dont l’action se passe au pays
e ceux-ci, je veux qu’on me délivre Et que soudain en ma place on les livre . Si1919 vous suppli, Sire, mander par lettre Qu’e
, Non plus qu’un étranger d’Asie Ou quelqu’un d’Afrique venu. (Odes, livre III, xxiv.) La fuite du temps Quand je suis
vais de nuit et de jour, Au lieu d’où plus on ne retourne.... (Odes, livre IV, ix.) Institution1968 pour l’adolescence du
déloger, marmoteine ; De l’hiver n’en délogerai. » (Les Mimes 2026, livre III.) Malherbe (1555-1628) Né à Caen en 15
s, des poésies diverses, des lettres, est surtout connu par ses douze livres de Fables. Les sujets de ces fables sont le plus
sont les nôtres, Et ne croyons le mal que quand il est venu. (Fables, livre I, fable viii.) L’ours et les deux compagnons
Vendre la peau de l’ours qu’on ne l’ait mis par terre2166. » (Fables, livre V, fable xx.) La laitière et le pot au lait
je rentre en moi-même ? Je suis gros Jean comme devant2181. (Fables, livre VII, fable x.) Le meunier, son fils et l’âne
vernement : Les gens en parleront, n’en doutez nullement. » (Fables, livre III, fable i.) Le vieillard et les trois jeune
2213, il grava sur leur marbre Ce que je viens de raconter. (Fables, livre XI, fable viii.) Épitaphe d’un paresseux Je
ait à tes vers estropier Horace2348. Trissotin. Sou viens-toi de ton livre et de son peu de bruit. Vadius. Et toi, de ton l
s mes désirs, J’achète à peu de frais de solides plaisirs. Tantôt, un livre en main, errant dans les prairies, J’occupe ma ra
ue du Scythe avec moi l’alliance jurée De l’Europe en ces lieux ne me livre l’entrée ? Recueilli2428 dans leurs ports, accru
ce à revenir sur l’eau. Valère. Calmons le désespoir où la fureur me livre . Approche ce fauteuil. (Hector approche un fauteu
proche ce fauteuil. (Hector approche un fauteuil.) Va me chercher un livre . Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre ch
Hector approche un fauteuil.) Va me chercher un livre. Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valère. Celu
peu : prends dans ma bibliothèque. hector sort, et rentre tenant un livre . Voilà Sénèque2449. Valère. Lis. Hector. Que j
res de ses pères, Et c’est le même Dieu qui nous jugera tous. (Odes, livre I, ode iii.) Louis Racine (1692-1763) Né à
us n’égalez pas cette auguste ruine, Ce naufrage victorieux ! (Odes, livre IV, 23.) Epigrammes I On vient de me v
ébris. Ils sont passés les jours d’ivresse et de folie ! Viens, je me livre à toi, tendre mélancolie ; Viens, non le front ch
dain : « Apprenez, leur dit-il, comme on fait son chemin. » (Fables, livre III, fable xiii.) L’aveugle et le paralytique
e emploi, Je marcherai pour vous, vous y verrez pour moi. » (Fables, livre I, fable 20.) Le singe qui montre la lanterne
’avait oublié qu’un point ; C’était d’éclairer sa lanterne ! (Fables, livre II, fable 7.) Le voyage Partir avant le jou
a naître, vivre et mourir : La volonté de Dieu soit faite ! (Fables, livre IV, fable 21.) Le lapin et la sarcelle Unis
d’autant plus la vie, Qu’ils se la devaient tous les deux. (Fables, livre IV, fable 13.) André Chénier (1762-1794) N
, avec le Voyage en Orient (1835) et l’Histoire des Girondins (1847), livres d’un poète plus que d’un géographe ou d’un histor
la nuit Fragment. O nuits, déroulez en silence Les pages du livre des cieux ; Astres, gravitez en cadence Dans vos
n monde, Retentir jusqu’à toi ! (Harmonies poétiques et religieuses, livre I, ii.) Souvenirs d’enfance Voilà le banc
ous, leur père dans les cieux ! (Harmonies poétiques et religieuses, livre III, ii.) Pensée des morts2615 Voilà les f
mé ; c’est le sceau du pardon ! (Harmonies poétiques et religieuses, livre III, 1.) Dieu imprimant aux mondes leurs mouve
’enfonça tournant comme une roue, Et la mer vint sur nous. (Poésies. Livre moderne : la Frégate la Sérieuse, XVI.) La fi
u paternel. — Voilà ce qu’ont chanté les filles d’Israël. (Poésies : Livre antique.) Le Cor I J’aime le son du co
 » Dieu ! que le son du cor est triste au fond des bois ! (Poésies : Livre moderne) Victor Hugo (1802-1885) Né à Bes
nêtre sombre, J’entrevoyais un coin des cieux ! (Les Contemplations, livre IV, ix.) La source et l’océan La source tom
mer ! Une goutte d’eau qu’on peut boire2698. » (Les Contemplations, livre V, iv.) Les soldats de la République O sold
x la grande République Montrant du doigt les cieux ! (Les Châtiments, livre II, vii : à l’Obéissance passive) Jéricho2705
t. A la septième fois, les murailles tombèrent2708. (Les Châtiments, livre VII, i.)    Après la bataille Mon père, ce
te son noir sanglot. L’homme est en mer. Depuis l’enfance matelot, Il livre au hasard sombre une rude bataille. Pluie ou bour
s marions tantôt. Vive la joie ! (Les Quatre Vents de l’esprit. — Le Livre dramatique : Les Deux Trouvailles de Gallus, II,
, pleurant un long espoir déçu, De tes petites mains je vis tomber le livre  ; Tu cessas à la fois de m’entendre et de vivre..
rnette (1868), Harmodius, tragédie (1870), Poèmes civiques (1873), le Livre d’un père (1876), qui sont tous remarquables par
urs jeux ses charmantes leçons. Les marmots hérissés ayant horreur du livre , Quand elle ouvrait le sien, quittaient tout pour
t à coup, l’image, en saisissant les yeux, Répandait sa clarté sur le livre ennuyeux. Elle égayait ainsi la lecture morose ;
A se faire conter des contes éternels, A s’empresser autour du vieux livre d’images, A changer mille fois de plaisirs et d’o
ême à réciter des fables et des vers ! Puis on posait cahier, tricot, livre , au plus vite : Les châtaignes fumaient dans l’im
ô jeunesse aguerrie ! Faites votre devoir : Dieu fera le succès. (Le Livre d’un père.) A un grave écolier. Monsieur l
ncor, je l’espère ? Levez un moment vos grands yeux ; Fermons ce gros livre ennuyeux, Et souriez à votre père.     Il est bea
eux, A la lèvre un mot gracieux, La vertu même en est plus belle. (Le Livre d’un père.) Autran (1813-1877) Né en 1813
ieuses, Pour voir la folle mer qui se brise là-bas ! (La Vie rurale, livre I : Pendant que la terre est en fleurs, xxiii.)
nspiré, outre quelques pièces admirables et une traduction du premier livre de Lucrèce2927, ses deux poèmes les plus étendus,
songeras, les yeux fixés sur les charbons, À ta fière jeunesse en mon livre effeuillée.... Et, si je vois alors cette larme c
ut quitter les genêts et les monts, S’en aller au collège étudier des livres , Et sentir, loin de l’air natal qui vous rend ivr
inople. C’est dans cette dernière période de sa vie qu’il composa son livre , peut-être pour répondre à certains reproches don
aditions et de documents recueillis partout, des Chroniques en quatre livres , où sont racontés les événements des années 1325-
’époque du mariage de Charles VIII et d’Anne de Bretagne (1491). — Le livre de Commynes fut publié pour la première fois en 1
nit le récit du règne de Charles VIII. C’est en 1552 seulement que le livre fut publié avec le titre de Mémoires et avec la d
le livre fut publié avec le titre de Mémoires et avec la division par livres et chapitres qui a subsisté. — Nous suivons l’édi
. Comparez la conclusion de l’Huître et les Plaideurs de La Fontaine ( livre IX, fable ix), qui s’est certainement souvenu de
e que, comme le dit M. Ernest Dupuy, « l’imprimerie, en répandant les livres d’heures, Tendait nécessaire l’entrée de la lumiè
t du pilon) que je me misse à les broyer. 328. Faire tourner. 329. Livres , ou francs. 330. Voir p. 4, note 15. 331. Fuss
or espagnole, était également employé pour exprimer une valeur de dix livres ou francs. 555. Guinder. On voit ici, pris dans
er des bêtes rapaces et féroces, symbole des gens de justice, dans le livre V de Rabelais, publié après la mort de cet écriva
Rochefoucauld, voir page 51. 700. Le Singe et le Chat, fable xvi du livre IX dans le recueil définitif. 701. Y, en cela,
aux gens du voisinage. 703. Le Gland et la Citrouille, fable iv du livre IX ; le Milan et le Rossignol, fable xvii du même
, fable iv du livre IX ; le Milan et le Rossignol, fable xvii du même livre . 704. Du premier tome, qui, contenant les six p
u même livre. 704. Du premier tome, qui, contenant les six premiers livres des Fables, avait paru en 1668. 705. Il faut bi
est le quatrième de ceux qui composent l’Ancien Testament. C’est à ce livre de Ruth (I, 17) que Bossuet emprunte les paroles
es Juifs jusqu’à sa mort (424). Son histoire est racontée dans un des livres de l’Ancien Testament, le second livre d’Esdras o
oire est racontée dans un des livres de l’Ancien Testament, le second livre d’Esdras ou le livre de Néhémias. — La citation d
s un des livres de l’Ancien Testament, le second livre d’Esdras ou le livre de Néhémias. — La citation de Bossuet est emprunt
ou le livre de Néhémias. — La citation de Bossuet est empruntée à ce livre (II, 2-5). 763. Néhémias (II, 17). 764. Psaum
3e journée). 774. Dans la sagesse. L’orateur ne désigne pas ici le livre même de la Bible qu’on appelle la Sagesse. Mais p
on la Sagesse il entend sans doute l’ensemble de ce qu’on appelle les livres sapientiaux (Psaumes, Proverbes, Ecclésiaste, Sag
urs des noms grecs aux personnages dont il trace le portrait dans son livre des Caractères : ces personnages sont souvent ima
de, à la table de quelqu’un. 978. Je, c’est Gil Blas, le héros du livre de Le Sage, qui parle. Gil Blas et les autres per
le mot a ici. 1087. Le Sadder, ou plutôt le Vendidad-Sadé, l’un des livres sacrés des Persans. 1088. Le tsar Alexis, mort e
tion ; les gabelles étaient l’impôt sur le sel ; on appelait sou pour livre certains droits additionnels qu’on payait en sus
re une addition qui sera envoyée à tous les libraires qui débitent ce livre . Je ne veux point mourir sans avoir rendu justice
rouvera une version dans la fable de La Fontaine le Berger et le Roi ( livre X, fable 10). 1229. Relevée, dans l’attitude qu
s henricus, des carolus, des napoléons) valait vingt-quatre francs ou livres tournois. Le franc, ou livre tournois, ou livre d
apoléons) valait vingt-quatre francs ou livres tournois. Le franc, ou livre tournois, ou livre de Tours, valait vingt sous :
ngt-quatre francs ou livres tournois. Le franc, ou livre tournois, ou livre de Tours, valait vingt sous : la livre parisis, o
e franc, ou livre tournois, ou livre de Tours, valait vingt sous : la livre parisis, ou de Paris, valait un cinquième de plus
Gobelins. 1303. Virginie. On sait que c’est le nom de l’héroïne du livre célèbre Paul et Virginie. Voir un autre fragment
roïne du livre célèbre Paul et Virginie. Voir un autre fragment de ce livre dans notre Cours supérieur. 1304. Ce mot marron
e nom. Mme Roland fait ici allusion à un épisode célèbre du quatrième livre des Géorgiques. 1336. Bosc (1759-1828), fils d’
ller était mort en 1805, à quarante-six ans. Mme de Staël a écrit son livre De l’Allemagne entre 1807 et 1810. Nous n’avons p
t représenté que par suite d’un nouvel et […] comme l’ami du héros du livre  ; car il est né seu[…]. [TEXTE LACUNAIRE] 1417.
t beaucoup d’esprit, quoique un peu longuement, dans un roman en deux livres  ; Corneille, Molière et Quinault se sont associés
est ainsi qu’on disait jadis chez nous le sou parisis (de Paris) ; la livre tournois (de Tours). 1570. Hiéron II, tyran de S
la Marseillaise, voir page 395. 1581. Flammarion, éditeur. 1582. Le livre d’où ce fragment est tiré n’est pas exactement l’
publié un recueil de Comptes tout faits, on donna le nom de barême au livre lui-même et aux ouvrages du même genre. 1605.  .
r visitait le pays (1842). 1610. Le gros était la 128e partie de la livre et équivaut à peu près à quatre grammes. 1611.
cure-dent de M. l’Amiral. Coligny, dit de Thou (Histoire universelle, livre LIII), avait coutume d’avoir un petit morceau de
— « Une lumière pure et douce, dit à son tour Fénelon dans Télémaque ( livre xiv), se répand autour des corps de ces hommes ju
nnage imaginaire, dont l’auteur en fait le grand-père du héros de son livre . C’est ce dernier lui-même qui est ici censé parl
Phèdre, imitée par La Fontaine (la Lice et sa compagne, fable vii du livre II), n’est pas sans analogie. 2017. Marmoteine
de La Fontaine : « Vendre le dormir — comme le manger et le boire » ( livre VIII, fable ii). Héberger se rattache à la même o
rconstance sur le vrai caractère du mime, que Baïf donna ce nom à son livre . 2027. « François du Périer, fils de Laurent du
ent les coups de la foudre », dit aussi Horace dans une de ses odes, ( livre II. ode vii). Au reste, les plaisirs de la retrai
mme équivalent de en le. 2088. Imité d’un passage célèbre du second livre des Géorgiques de Virgile, où le poète célèbre le
de Jésus-Christ est une sorte de manuel de la vie mystique, en quatre livres , rédigé en latin, qui est, au plus tard, du xve
s premières années du ier siècle de l’ère chrétienne, il publia cinq livres de fables en vers, imitées pour la plupart d’Ésop
e, remerciait le roi, qui venait de lui accorder une pension de mille livres (1663). Ce remercîment au roi, dans lequel Molièr
ers ceux de La Fontaine dans le Songe d’un habitant du Mogol (Fables, livre XI, iv). 2392. Voi. Voir la note 5 de la page 5
poser dans le tombeau. Virgile, que Racine suit ici, raconte, au IIIe livre de l’Énéide, qu’Andromaque avait élevé en Épire u
oie fur prise, saccagée et brûlée : la prise de Troie est le sujet du livre II de l’Énéide de Virgile, où sont racontés la pl
Boileau (satire VIII) : Prends-moi le bon parti : laisse là tous les livres . 2508. Défilé des Apennins, qui conduit de la L
r, grossir. 2579. Tout ce fragment est imité d’un passage célèbre du livre II des Géorgiques de Virgile (vers 135-175 : élog
Voltaire, de Buffon, de Delille. 2609. L’olive, l’huile. 2610. Ce livre , l’Évangile. 2611. L’airain sonore, la cloche.
. Cette catastrophe a inspiré au poète toutes les pièces du quatrième livre des Contemplations. 2693. Sa sœur, Mlle Adèle
. 2705. Jéricho, ville de Palestine, dont les murailles, d’après le Livre de Josué (chap. vi), tombèrent d’elles-mêmes quan
lèbre poète allemand. Le fameux mot « Des ailes » sert d’épigraphe au livre de Michelet l’Oiscau (voir pages 366 et 368), 28
nard la confuse saveur Me remet mon pays et ma jeunesse au cœur. (Le Livre de la payse) 2927. Lucrèce (95-51 av. J.-C.) e
ucrèce (95-51 av. J.-C.) est l’auteur d’un poème philosophique en six livres , De la Nature des Choses, l’un des plus beaux mon
27 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
cipe, aux auteurs de premier ordre, et qu’on relise souvent les mêmes livres , si l’on veut former pour la suite sa pensée et s
e Rollin, et dans la Chrestomathie française de M. Vinet, le meilleur livre que je connaisse en ce genre. A l’imitation de ce
x méthodes d’enseignement de ces langues, il existe une foule de bons livres spéciaux sur la matière. On peut les consulter. S
ujours mieux trouver de soi-même les choses qu’on trouverait dans les livres  ; c’est le vrai secret de les bien mouler à sa tê
science de la méditation, que le professeur mette entre ses mains les livres , les discours, les traités les plus remarquables 
e premier travail fait avec conscience et intelligence, il fermera le livre original pour le refaire à son tour ; il s’efforc
28 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
parfait en son espèce. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce livre n’est pas un traité de logique ; mais ce peu de m
z encore les choisir, les disposer, les traiter. Cicéron, au deuxième livre de l’Orateur, donne sur le choix des preuves d’ex
es forces de l’argumentation. Quintilien, au commencement du septième livre , développe minutieusement cette idée dans ses rap
du discours ; on leur demande d’où ils font ressortir l’éloquence des livres qui présente souvent les différents genres. Ils p
nts genres. Ils pourraient répondre que, par là même, l’éloquence des livres rentre naturellement dans l’un ou l’autre des gen
ée comme capitale, d’un autre côté, je n’ai point cru devoir, dans un livre didactique, admettre comme fondamentale une divis
29 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
Si déjà la philosophie se glisse partout, dans les salons et dans les livres , elle n’est pas cependant une puissance, et le jo
velles : les littératures étrangères et la liberté33. » C’est dans le livre De l’Allemagne (1808), que le mot romantique est
rès que l’ont fondé Schopenhauer et Hartmann : système accablant, qui livre le monde au mal, fait de l’existence la pire des
Bruyère et Molière. Sous l’illusion légère du costume espagnol, aucun livre n’est plus français que Gil Blas : français par l
qu’il arrache de toutes parts, jusque dans les entrailles, il nous le livre et nous l’étale dans un langage parlant, animé, é
tifiques et littéraires composés pour l’Académie de Bordeaux. Mais un livre , d’un genre bien différent, avait beaucoup plus f
gner. Les Lettres persanes avaient paru en 1721, "le plus profond des livres frivoles, a dit Villemain, ce livre si bien écrit
ru en 1721, "le plus profond des livres frivoles, a dit Villemain, ce livre si bien écrit, si vif, si moqueur, si fait pour a
malheurs que ceux dont se plaignaient les païens151. Salvien fit son livre où il soutint que c’étaient les dérèglements des
reur. Il avait mis sur l’empire d’Orient un tribut de deux mille cent livres d’or. Il recevait les appointements de général de
int soupçonné qu’il était vaincu et blessé. Histoire de Charles XII, livre IV. Henri IV176. Si Henri IV n’avait été qu
lli, et les airs et les symphonies avec celles de Rameau ; on lit les livres avec l’esprit des bons auteurs. On dit qu’il ne f
ignent ou affectent de vous dédaigner. Vous portez en tremblant votre livre à une dame de la cour ; elle le donne à une femme
s Lettres. A M. J. J. Rousseau. J’ai reçu, monsieur, votre nouveau livre contre le genre humain, je vous en remercie200 Vo
n. Ainsi, nous nous sommes persuadé, indépendamment de l’autorité des Livres sacrés, que l’homme a été créé le dernier, et qu’
ec lui, séjourne treize mois à Wooton, où il compose les six premiers livres des Confessions, et retourne brusquement en Franc
me garderai bien de lui donner ce nom, quoique vous ayez qualifié de livre contre le genre humain un écrit où je plaidais la
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y livre en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
ite ses accessoires aussi sérieusement que le fond de son sujet. A ce livre placé sur une table, devant cette fille aînée, je
de réciter les prières des agonisants. Cette fiole qui est à côté du livre contient apparemment les restes d’un cordial. Et
r lui donner le goût de lire, et ne lui mettre dans les mains que des livres qui ont de l’intérêt : par exemple, j’aurais voul
nais plus ce qu’elles mettaient en moi ; j’étouffais, je quittais mes livres , et je sortais comme un homme en fureur, pour fai
oite avec Jean-Jacques Rousseau, dont l’influence est sensible sur le livre qui donna au nom de Bernardin de Saint-Pierre tou
. Mais cette autorité, Dieu l’a-t-il rendue visible sur la terre ? Le livre du Pape (1819) est la réponse à cette question, L
vrai de cette parole bien autrement pénétrante qui retentit dans les livres . Toujours celle du français est entendue de plus
un homme, dit-il, tourmenté par la maudite ambition de mettre tout un livre dans une page, toute une page dans une phrase, et
dignité aux passions, voilà ce que J. J. Rousseau a tenté. Lisez ses livres  : la basse envie y parle avec orgueil ; l’orgueil
n que toute étude lui est inutile ; qu’il ait pour seul but, dans son livre , de montrer la beauté de Dieu dans le christianis
t, un nuage, une vapeur changent la règle353. Nos pères jugeaient des livres par leur goût, par leur conscience et leur raison
eur raison ; nous en jugeons par les émotions qu’ils nous causent. Ce livre peut-il nuire ou peut-il servir ? est-il propre à
a première édition fut saisie et détruite par la police impériale. Ce livre , le chef-d’œuvre de Mme de Staël, initiait la Fra
la bonne Dame (die gute Frau). Malgré cette réserve, ce qui assure au livre de l’Allemagne un succès mérité et durable, c’est
a même plus faite pour intéresser des lecteurs qui cherchent dans les livres de quoi varier leur destinée monotone et veulent
ette influence sur les poètes et les historiens de notre siècle. « Ce livre , dit-il, a été, pour les poètes et pour les artis
mettre ; mais la rupture éclata dans les Paroles d’un Croyant (1834), livre étrange, écrit en versets avec des réminiscences
couvertes de l’histoire et de la philosophie morale, elle replaça les livres qu’elle voulait juger dans le milieu social qui l
de jardins, où il s’enfermait dès le point du jour ; ce cabinet sans livres , et sans autre ornement qu’une gravure de Newton 
complète de ses œuvres philosophiques, rassembla et condensa dans son livre Du Vrai, du Beau et du Bien ce qui lui parut la p
ze compagnons. Le nom de leur monastère fut inscrit le premier sur le livre noir des conquérants. Les mères et les femmes de
la Vie de Franklin, écrite en 1848, l’Histoire de Marie Stuart et un livre définitif sur Charles-Quint, son abdication, son
remit en marche d’un air noble et doux, le crucifix d’une main et un livre d’Heures de l’autre, revêtue du costume de veuve
suffrage public, « d’historien national. » Traçant, au début du XIIe livre , une rapide théorie de l’histoire, Thiers a résum
Précis de l’Histoire Moderne, et, en 1831, une Histoire Romaine, deux livres restés classiques, le premier surtout. Michelet,
cette large et intelligente sympathie qui avait inspiré ses premiers livres , Michelet était visiblement dominé par des passio
irigées. A côté de ses œuvres historiques se place toute une série de livres [l’Oiseau, l’Insecte, la Mer, etc.) qui relèvent
ne mesure. Toutes les coutumes seront mises en français, dans un beau livre . Cela coupera court aux ruses et pilleries des av
, avec son chien, son cor de chasse, en habit de chasseur524. Ibid., livre XVII. L’Hirondelle. L’hirondelle s’est, san
an-Jacques Rousseau (1875). Le Cours de Littérature dramatique est un livre désormais classique. Saint-Marc Girardin, on peut
rables de sa vie littéraire : 1 Histoire de Port-Royal. C’est dans ce livre , et dans la longue série de ses Portraits et Caus
a fixé la rédaction française, se trouvent-ils ailleurs dans d’autres livres , dans d’autres recueils que le sien, et dans des
aussi, et cela est satisfaisant à penser, que ce n’est point dans des livres qu’il a puisé l’idée de ses Contes de Fées ; il l
 ; et, en regard de ce double idéal, il place chaque auteur et chaque livre . Le bon est ce qui s’en rapproche ; le mauvais, c
ne cependant n’a eu plus que M. Nisard le droit d’écrire : « Tous mes livres sont une défense de mon goût contre les illusions
s548. » Quoique inspiré par une pensée de polémique contemporaine, ce livre sera relu aujourd’hui pour ses qualités propres,
peintures de la société romaine sous l’empire. Mais combien d’autres livres faudrait-il encore citer pour faire apprécier la
et le plus jeune, que nous avons vu mourir, Alfred de Musset, tout ce livre en dit lès motifs. Alfred de Musset, aussi origin
le bois, et y prend ce qui lui a le moins coûté de tout son luxe, un livre , qui le rend un moment à lui-même et lui fait sav
gue pas, parce qu’elle ne s’attache qu’à ce qui dure, les beautés des livres , de la nature et de l’art ; c’est le plaisir d’en
sies religieuses, un titre pour le moins embarrassant à rappeler. Ses livres des Odes sacrées, des Odes profanes et celui des
e venais t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’aimes : vengeons-nous ; livre -moi la victime. ALZIRE. Oui, tu dois te venger, t
nonne, il ne déparlait pas ; Bien est-il vrai qu’il parlait comme un livre , Toujours d’un ton confît en savoir vivre. Il n’é
racle et le bouffon Craignent pour eux le sort des absents qu’il leur livre , Et que tous avec lui seraient fâchés de vivre. O
our à Paris, André Chénier, qui a renoncé à la carrière des armes, se livre tout entier à sa vocation. « Le véritable Chénier
ersité. Le premier recueil des Chansons de Béranger parut en 1815. Le livre s’ouvrait par le Roi d’Yvetot, un chef-d’œuvre de
les grands horizons, Lamartine retrouvera toute sa supériorité, « Ses livres d’histoire, a dit Sainte-Beuve, ne sont et ne ser
nt les mers pour écouter les sages ; Mais le monde à l’orgueil est un livre fermé ! Tantôt, pour deviner le monde inanimé, Fu
? On peut les effacer sur le marbre ou l’airain ; Qui les effacera du livre de l’histoire766 ? C’était là une légitime revan
Tu ne reviendras plus, et c’est toi qui m’attends ! » Messéniennes, livre II777. Entrevue de Louis XI et de François de
les conditions. Nemours les repousse, mais Coitier, ému de pitié, lui livre la clé de son appartement par lequel il pourra s’
e rare cependant, et qui a gravé son nom, comme il le voulait, sur le livre d’or de l’Esprit : J’ai mis sur le cimier doré du
ers (Symphonies, Idylles héroïques, Voix du Silence, Poèmes civiques, Livre du Père), d’autres recueils où se retrouve, sous
que j’ôte à la colline Je le restitue au vallon843. Les Symphonies, livre II. Feuilles, tombez844. Déjà le vent, tan
es populaires, II. Au lecteur (Sully-Prudhomme). Quand je vous livre mon poème, Mon cœur ne le reconnaît plus : Le mei
th de Russie, passim. 7. Nouveaux Essais sur l’Entendement humain, livre IV, chapitre xvi. 8. L’Esprit public au dix-hui
scours parlementaires de Guizot. Voy. introduction. Cf. la Préface du livre  : Les Assemblées provinciales sous Louis XVI, par
éressants à la biographie jusqu’ici incomplète de Massillon. Voir son livre  : Massillon, d’après des documents inédits, chez
Sénèque l’imagine. Cf. le chapitre de Malebranche sur Sénèque au IIe livre de la Recherche de la Vérité. 57. Portique et p
e au mérite, ce qui le remplace. 64. De la ville de Thécua. Voir le livre des Rois, liv. II, chap. xiv. 65. Cf. la viie s
de de M. Sainte-Beuve placée en tête de l’édition de M. Chéruel et le livre de M. Chéruel lui-même, intitulé : Saint-Simon co
métralement opposés, si artificieusement semés, » il faudrait lire au livre IX des Mémoires de Saint-Simon ce qu’il écrit au
le 2 février 1717. Saint-Simon en a tracé un portrait intéressant au livre XIII de ses Mémoires. 113. Henri-Jacques Nompar
e au dix-huitième siècle, de Villemain ; les chap. iii et viii du IVe livre de l’Histoire de la Littérature française, de M.
ées dans un style d’une précision sévère. 141. Frontin, Stratagèmes, livre II, dit qu’Archélaüs, lieutenant de Mithridate, c
que Montesquieu dit encore de Mithridate dans l’Esprit des Lois. Voir livre XXI, chap. xii. 148. De là le proverbe rapporté
t Augustin composa la Cité de Dieu (427) ; lui-même le déclare au IIe livre des Rétractations : « Rome, envahie par les Goths
me vers l’an 340, mort en 409. Chateaubriand a retracé cette scène au livre XVI des Martyrs, mais il a altéré quelques traits
loquence chrétienne au quatrième siècle. 150. Lettres de Symmaque, livre X, lettre liv. 151. Né à Tarragone vers la fin d
fin du quatrième siècle, mort en 484. Montesquieu fait allusion à son livre intitulé : De Gubernatione Dei. 153. Histoire
ant l’a défini plusieurs fois. Voir particulièrement Esprit des Lois, livre III, chap. v, note 1, et livre V, chap. II. Dans
Voir particulièrement Esprit des Lois, livre III, chap. v, note 1, et livre V, chap. II. Dans les Eclaircissements sur l’Espr
des rapports du luxe avec la morale et la politique, on peut lire le livre Ier intitulé : Théorie du Luxe, dans le savant ou
pour les théâtres. » (Montesquieu.) 164. Voir Tite-Live, Histoires, livre XXXIII, chap. xlvi et suivants. C’est Tite-Live q
que celui-ci fit rouer et écarteler. Voir l’Histoire de Charles XII, livre III. 170. Né en 1674 d’un paysan des environs de
te est un animal dépravé. » Lire, sur tout le débat le chapitre iv du livre de Saint-Marc Girardin : Jean-Jacques Rousseau, s
sur les Révolutions du Globe, page 17, édition Didot. 207. Essais, livre II, chapitre XII. 208. Lire, sur Buffon : la 22e
française au dix-huitième siècle, de Villemain ; le chapitre x du IVe livre de l’Histoire de la Littérature française, de M.
ciété, et particulièrement de la découverte du feu. De Natura. Rerum, livre V, vers 1009-1106. 217. On ne peut douter que Bu
e, exclure la peinture à fresque, aussi charmante dans les pages d’un livre que sur les murs d’une coupole. » 227. Villemain
en accuse, de la propriété des termes. 228. Confessions, partie II, livre III. 229. Lire, sur J. J. Rousseau : Jean-Jacque
ulièrement inspiré de Montaigne. Voir dans les Essais le chap. xxv du livre I : De l’Institution des Enfants. 231. Virgile
ité de bon sens et d’expérience. 233. Cf. Lucrèce, De Natura Rerum, livre III, v. 1037 à 1107, et particulièrement ces vers
ncore intéressant de comparer ici Rousseau et Montaigne. Voir Essais, livre III, chap. ix : « Le voyager me semble un exercic
sa vie : Que peut donc de l’esprit la plus vaste étendue ? Rien. Le livre du sort se ferme à notre vue. L’homme étranger à
quis, le chevalier, depuis bailli de Mirabeau. M. de Loménie, dans le livre cité plus haut, en a beaucoup parlé. 272. L’hist
pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains, encore que je ne feusse à peine
qu’il dit ici de lui-même n’est pas excessif. M. de Loménie, dans le livre déjà cité, a marqué avec un soin particulier ce m
de bien à ce donc, argument si commode au défaut d’autres. » Le Pape, livre I, chapitre xvii. 324. Il disait de lui-même : «
. Voy. Tiraboschi, Stor. della Letter. ital. (Venise, 1795), tome IV, livre III, chapitre I. 332. Malgré quelques traits sév
ouverain se proposait de publier, il dit : « Au fond, je crois que le livre le plus utile à consulter, avant de mettre la mai
rtirait que Chateaubriand avait eu la pensée tout d’abord d’écrire un livre de doctrine. Dans cette vue, il s’entourait d’inf
si d’avance à ceux qui ont accusé le Génie du Christianisme d’être un livre plus brillant que solide. Chateaubriand, se posan
elui de Hartmann et de Schopenhauer. 375. Augustin Thierry, dans son livre  : Dix ans d’Études historiques, a raconté l’impre
u Louvre possède seize de ses tableaux. M. Émile de Montégut, dans un livre récent : Poètes et Artistes de l’Italie (1881), i
fouilles entreprises dans ce siècle, un très intéressant chapitre du livre de M. Boissier : Promenades archéologiques. 407.
s-enfants a été éditée par MM. Hachette et Cie. 424. Guizot, dans le livre II, avait tracé de Strafford ce beau portrait : «
e nouvelle défense. 429. On trouvera les détails de cette affaire au livre II de l’Histoire de la Révolution d’Angleterre.
ossuet prononça l’oraison funèbre. Un écrivain, M. Poujoulat, dans un livre intitulé Charles Ier et le Parlement, se montre p
bre Discours pour Eutrope. 442. L’oraison funèbre que Thucydide, au livre II de son Histoire, met dans la bouche de Périclè
, en 1736. 451. Cette idée a été développée dans la 6e leçon du même livre . 452. C’est-à-dire l’imagination qui nous représ
Sur ce même sujet, on pourra lire des pages fines et élevées dans le livre de M. Caro : Problèmes de Morale sociale. Voir pa
à ses dernières conséquences. Sa philosophie est tout entière dans le livre De l’Esprit, qui parut en 1758. Dans cet ouvrage,
aisir et l’intérêt. Helvétius, entraîné par ces monstrueux principes, livre au ridicule toute vertu et toute religion, et pro
461. Helvétius, en effet, dans le XIVe chapitre du IIe discours du livre De l’Esprit, distingue les vertus de préjugés des
loi… 466. Il faut lire à ce sujet la belle ode d’Horace, la ve du livre III. 467. Cf. la XIIe leçon sur la morale de l’i
ubliés chez Furne et chez Garnier. 471. Grégoire de Tours, Histoire, livre V. 472. Job, cb. i, 21. 473. Pour châtier Limog
t sur lesquels le fils de Godwin avait juré à son insu. 478. Voir le livre II du même ouvrage. 479. De même, Galgacus dit a
maine. 483. Lucrèce a rendu la même pensée dans le De Natura Rerum, livre IV : ……...Medio de fonte leporum Surgit amari al
dent injuste à l’égard de Bossuet. 487. On pourra lire à ce sujet le livre de Cuvier sur les Révolutions de la Surface du Gl
s de l’historien français et le passage des Alpes par Annibal dans le livre XXI, ch. xxx et suiv., de Tite-Live. Les nombreus
que l’autorité la plus ancienne est celle de Bodin. Voir République, livre III, § iv. 524. Cf. le récit de la mort de Louis
24. Cf. le récit de la mort de Louis XI dans les Mémoires de Comines, livre VI, chap. xi et xn. L’historien s’élève à une vra
célèbres conversations de Napoléon à Sainte-Hélène, rapportée dans un livre écrit en 1841 d’après les communications du génér
ntiment religieux en Grèce d’Homère à Eschyle, et particulièrement le livre Ier intitulé : « Du Sentiment de l’Harmonie dans
u’un Classique ? au tome III des Causeries du Lundi. 541. Les Trois livres écrits pour consoler Stagiro sont analysés par Vi
xlv. 549. Causeries du Lundi, tome XV. 550. L’idée du quatrième livre de M. Nisard consiste à prendre chaque genre litt
re, on ne cherche pas à en imposer aux hommes. » 562. Odes sacrées, livre IV, ode X. 563. Voir la curieuse lettre adressée
Rousseau à M. de Machy, le 28 février 1707, au sujet de l’ode lere du livre II Sur la Naissance de Monseigneur le Duc de Bret
de ses Odes sacrées, Rousseau a tenté de s’approprier les beautés des Livres saints. Nous renvoyons, pour la citation des text
9. 577. Il faut voir l’aventure d’Orphée et d’Eurydice dans Virgile, livre IV des Géorgiques, et dans Ovide, Métamorphoses,
dans Virgile, livre IV des Géorgiques, et dans Ovide, Métamorphoses, livre X. On peut lire aussi l’ode célèbre de Pope Pour
française, tome IV, chap. v; Marmontel, ses Mémoires, vers la fin du livre IV. — Dijon, sa ville natale, con­serve son mauso
. Voir, sur les personnages de cette tragédie, les Annales de Tacite, livre XII, chap xliv et suivants, et livre XIII, chap. 
tragédie, les Annales de Tacite, livre XII, chap xliv et suivants, et livre XIII, chap. xxxvii. 589. Le caractère de Rhadami
ve, analogue à cette chute de l’une des strophes d’Horace, ode xii du livre Ier : Unda recumbit. 628. Les anciens sont r
guère d’exister qu’à la fin du dix-septième siècle. L’un des premiers livres qui le dissipèrent fut celui que le savant Bayle
rés : de là ce titre d’abbé que porta Delille. 676. Voir Géorgiques, livre IV, vers 116 et suivants. 677. On en a retenu c
raits littéraires, tome II. 679. Cf. dans les Géorgiques de Virgile, livre IV, vers 125 à 148. 680. Delille n’a pas rendu
uvenir des vers de Virgile sur le labyrinthe de Dédale. Voir. Énéide, livre VI, vers 27 et suivants. 690. Où l’espoir le co
ec intérêt de ce morceau la descente d’Eudore aux catacombes, dans le livre V des Martyrs de Chateaubriand. Eudore, égaré dan
e de la composition, cf. l’arrivée d’Ulysse chez les Pbéaciens au VIe livre de l’Odyssée. 699. Cf. Virgile, Enéide, III, 5
taire adressée à M. Deodati de Tovazzi (24 janvier 1761), auteur d’un livre sur l’Excellence de la Langue italienne, où celui
de la Provence. On trouvera à ce sujet d’intéressants détails dans le livre de M. Saint-René Taillandier intitulé Études litt
roites bandes de papier, semblables aux marques que l’on met dans les livres , roulées très serré et d’une épaisseur à peine ég
s abeilles. C’est tout un ciel, tout un.paysage en un vers. » 750. Livre II, chapitre n (trad. C. Bénard). 751. Cette imp
l’Imitation de Jésus-Christ. Voir particulièrement le chap. xlviii du livre III : « Opto inhærere coelestibus, sed deprimunt
762. Une pensée analogue inspire à Cicéron, dans le fragment du VIe livre de la République (l’entretien de Lælius et de Sci
x le rivage de la mer retentissante. » 777. Quatre pièces du second livre des Messéniennes sont consacrées à la Grèce : Le
788. Ce morceau, d’une simplicité douce et triste, est cité dans le livre de M. Legouvé : La Lecture en action. On trouvera
s le’ Songe d’une Nuit d’Été quelques pages de M. A. Mézières dans le livre  : Shakespeare, ses Œuvres et ses Critiques, page
801. Relire, sur l’incendie de Rome, dans les Annales de Tacite, le livre XV, chapitres xxxviii et suivants. Dion Cassius
simulantem. » 802. Sur ce point Tacite est affirmatif. Voir Annales, livre XV, chapitre xliv  : « Ergo abolendo rumori Nero
ar le souvenir de Napoléon : chez C. Delavigne, la VIe Messénienne du livre II ; chez M. V. Hugo, Lui, dans les Orientales ;
mière pièce qui porte son nom : Celle pour qui j’écris avec amour ce livre Ne le lira jamais : quand le soir la délivre Des
uemment. » 826. Voir la célèbre invocation de Lucrèce à Épicure, au livre 1er du De Natura Rerum : Primum Graius homo mort
e-Quint jetait ses béquilles. » 840. M. de Laprade a aussi publié un livre composé d’études détachées et intitulé : Question
bentia flumina terra... 843. Comparez la Source dans les Bois, au livre II des Harmonies de Lamartine : Dans combien de
49, intitulé : L’orphisme d’Eschyle et l’orphisme d’Euripide, dans le livre de M. Jules Girard, le Sentiment religieux en Grè
30 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
sont la loi commune de tout écrivain, et que celui qui parle sur les livres des autres, au lieu d’en faire lui-même, n’est pa
es, qui se mêlent sans confusion, conduit le lecteur jusqu’au bout du livre sans qu’il ait un moment l’envie de s’arrêter. »
patronage. 2. Il faut pourtant conserver toujours la haine d’un sot livre . C’est une des inspirations du critique. 3. Pour
ase ! 2. Aimer le talent est le premier devoir de celui qui juge les livres . 3. Librairie académique.
31 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
vain inimitable qui aurait produit un chef-d’œuvre, si le plan de son livre n’était défectueux, et si l’on ne surprenait pas
ion notée des scènes de Quinault avec l’oreille de Lulli ; on lit les livres avec l’esprit des bons auteurs. Le goût peut se g
ignent ou affectent de vous dédaigner. Vous portez en tremblant votre livre à une dame de la cour ; elle le donne à une femme
ur feraient voir que nos bras exercent une force de près de cinquante livres pour lever un poids d’une seule livre ; que le cœ
une force de près de cinquante livres pour lever un poids d’une seule livre  ; que le cœur en exerce une immense pour exprimer
ies ont dit depuis, et je pris, de plus, la liberté de me moquer d’un livre très-ridicule que votre persécuteur écrivit dans
ies, parce qu’il y a plus de lecteurs des feuilles médisantes que des livres utiles. Par exemple, monsieur, lorsqu’on imprime
Gandouin ? Lorsqu’on imprime que je suis l’auteur de je ne sais quel livre intitulé Des beautés de la langue française, je r
voir ce qu’ils font. Les hommes ne méritent certainement pas qu’on se livre à leur jugement, et qu’on fasse dépendre son bonh
ot : « Vraiment vous ne m’aviez pas dit que vous aviez environ 1,500 livres par an, pour la peine de souper tous les jours en
e furent aussi indignés des manœuvres de Maupertuis qu’ennuyés de son livre . Il obtint la haine et le mépris de ceux qui se p
32 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
es témoignages sont divins ou humains : les oracles, les augures, les livres prophétiques ou sacerdotaux, voilà la première cl
uvera d’abord dans ce qu’on nomme les pièces du procès, puis dans les livres où sont traitées ex professo les questions de dro
objets extérieurs qui ont rapport au sujet, et la lecture de tous les livres qui peuvent en éclaircir l’ensemble ou les détail
etc… » Il en est de même des mots humanités au second chapitre de ce livre , philosophie, amour-propre, religion, etc. Il y a
s, j’ai presque dit toute l’invention de détail. Quintilien, au VIIIe livre , explique les avantages de l’analyse par un exemp
igures de rhétorique, par le sieur Jacob. Paris, 1655. C’est un petit livre assez curieux.
33 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre III. Du Sublime dans les Compositions littéraires. »
orrection. De tous les écrivains anciens ou modernes, les auteurs des livres saints sont ceux qui nous offrent le plus d’exemp
limes. Nous citerons, entre autres, te passage du commencement du 20e  livre de l’Iliade. C’est le moment où Jupiter a rendu a
ous en offre presque continuellement des exemples, dans les 1er et 2e  livres de son Paradis Perdu. Bornons-nous, pour le momen
ec tant de succès dans cette belle description d’un orage, au premier livre de ses admirables Géorgiques : Sæpè etiam immens
effroi, Tu peux, à son défaut, te reposer sur moi. Ton esprit qui se livre à des frayeurs si fortes, Se les reprocherait s’i
34 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre IV. Beautés morales et philosophiques. »
. Ces extrêmes ne se rencontrent point dans la philosophie divine des livres saints : la morale y est ce qu’elle doit être, do
ui ôtant jusqu’aux illusions qui amusent son infortune réelle ? et le livre précieux que nous venons de parcourir ne deviendr
ntière, et non d’après les absurdes hypothèses du matérialisme183. Le livre des Proverbes est un monument plus curieux encore
nous l’avons déjà dit, et nous allons continuer de le prouver par le livre même des Proverbes, où le charme de la forme se j
leur bien ! Ce doux titre de père est celui que prend Salomon dans le livre des Proverbes, et ce titre est justifié à chaque
Proverbes s’adresse au riche : Je déplore l’erreur où ton orgueil te livre , Riche voluptueux ! que l’abondance enivre ! Sott
de la gloire qui inspire les autres poètes. Pénétré de la lecture des livres saints, enthousiasmé de tous les genres de beauté
35 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
citée en pareil cas : elle se trouve dans ses Entretiens solitaires, livre II, chap. 5. Le poëte s’adresse à Dieu : Les omb
d’un roman fameux, il y a quelque trente ans, le Solitaire ; dans ce livre , comme dans le Renégat, dans la Mort et l’Amour,
resque le style tout entier. Pour faciliter aux élèves l’étude de ce livre , et leur en faire mieux saisir la marche, j’ai cr
nthétiques ou transpositives. C’est à eux que s’adresse Quintilien au livre IX : « Cependant je n’approuve pas, dit-il, le sc
française. 119. Un seul exemple, la première phrase du chap. Ier du livre IV de Quinte-Curce : « Darius, tanti modo exercit
différente de Justin, pour exprimer la même idée, à propos de Xerxès, livre II, chap. 13 : « Erat res spectaculo digna, et œs
36 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
un roman ; on n’ose pas lui donner le nom de poëme, et cependant, ce livre a été écrit avec l’âme d’un poëte. La versificati
ais pousser si loin L’ingratitude ? Adieu : j’ai dit ce que je pense. Livre X, fable ii. Racine même a dit : Je parlerai, m
uet. Sa piété eût craint d’introduire la critique littéraire dans les livres saints. Avec la hardiesse du génie, Bossuet a déf
notre ancienne langue, sans étalage, sans apprêt, sans emphase. Il ne livre pas une bataille hasardeuse pour sauver la tête d
irconstances. C’est une règle absolue, au début d’un discours ou d’un livre , de se concilier l’attention et la bonne volonté
Au barreau, dans la chaire, à la tribune comme dans l’école, dans les livres comme dans les discours, dans un cabinet, d’affai
le chien : donner la chasse aux gens Portants bâtons, et mendiants. Livre I, fable v. N’étant pas de ces rats qui, les livr
ons, et mendiants. Livre I, fable v. N’étant pas de ces rats qui, les livres rongeants, Se font savants jusques aux dents. Liv
es rats qui, les livres rongeants, Se font savants jusques aux dents. Livre VIII, fable ix. Il faut respecter ces archaïsmes
). La Fontaine a dit : Ce chien-ci donc, étant de la sorte atourné. Livre III, fab. vi. Voici quelques vers curieux de Cha
, où c’est ouïr que voir, Au chef des Séraphins explique son pouvoir. Livre III. D’une mortelle peine à ce mot oppressée, E
le sent un retien, Et, pour vouloir trop dire, elle ne dit plus rien. Livre IV. Le fruit qui de son or couronne chaque plante
t s’en peint, Ibid. Là se suspend son âme, et ne scait que résoudre. Livre VI L’horreur, comme en son antre, en cette grotte
udre. Livre VI L’horreur, comme en son antre, en cette grotte habite. Livre VII. Il court, sans but certain, aux brigades pre
er sous son terrible choq, Et semble sous les traits un immobile roc. Livre X. Ce cerf, depuis un siècle, en ces provinces er
obile roc. Livre X. Ce cerf, depuis un siècle, en ces provinces erre. Livre V. Sur un fond de lys blanc une vermeille rose. I
vec admiration ses ordres pour la guerre. » (Histoire de Charles XII, livre II). La vraie harmonie du style consiste dans le
, et semblaient ne pouvoir quitter ces bords enchantés. » (Télémaque, livre Ier.) Division du style en trois genres. — La v
es mots. Rollin l’a développée, d’après les anciens dans le troisième livre du Traité des études (ch. III, articles i à iv).
core et plus d’enthousiasme, les beautés des Pères de l’Église et des Livres saints. Il n’a pas non plus oublié Bossuet. (Livr
e l’Église et des Livres saints. Il n’a pas non plus oublié Bossuet. ( Livre IV, chap. ii et iii.)    « Enfin, ajoute-t-il, i
dans la vérité. » (Hist. de la Littérature française, par M. Nisard, livre III, ch. v, t. II, p. 237.) Ainsi préparé, le gé
es grands orateurs instruisaient la société par leurs discours, leurs livres , leur correspondance, La Bruyère travaillait sile
opard semblables, N’ont que l’habit pour tous talents ! La Fontaine, livre IX, fab. iii. Parfois l’épiphonême se réduit à u
x tous, trop fort pour chacun d’eux. Id., Horace, acte IV, sc. ii. Livre en mes faibles mains ses puissants ennemis. Pour
eux devoir. Ibid., acte II, sc. ii. Qu’à la fureur du glaive on le livre avec elle. Athalie, acte V, sc. vii. Le conten
e, et en général sur la formation de la prose française, voy. le IIIe livre de l’Hist. de la Littérature française, par M. Ni
37 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47
us tout ce qui ne satisfaisait pas directement la curiosité ; mais le livre fini, nul ne s’avisait d’y revenir. On relit Don
maudit de grand cœur quiconque, à la première lecture, lui eût ôté le livre des mains avant la fin du quatrième tome. L’intér
littéraire, M. Francis Wey, a consacré plus de soixante pages de son livre aux préceptes sur le choix du sujet, et ce n’est
, des autobiographies, des mémoires signés ou anonymes ; ou enfin son livre n’éveille qu’un sentiment de curiosité, sans atta
38 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
exalté par la fièvre, la colère et la lecture de la Bible, écrivit ce livre pour rendre du cœur à des vaincus, et « faire gri
furent donc forgés en pleine fournaise1. L’œuvre est divisée en sept livres qui rappellent les cercles d’un enfer Dantesque ;
a famille, il fascha1 bien à ce petit garçon de quitter un cabinet de livres couverts2 somptueusement et autres meubles, par l
ust, car ne pourroit faire de Londres à Paris qu’il ne coustast 20000 livres  ; l’aultre poinct est qu’il fault avoir des logis
39 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
chaire, sur la manière d’écrire l’histoire, sur la critique ! Que de Livres de l’Orateur, depuis Cicéron jusqu’à Timon et Gor
position et la forme de la narration en général, qu’elle constitue le livre lui-même, ou n’y entre qu’accidentellement. Et ai
e l’autre, après l’exposition, le nœud et le dénoûment. Mais dans les livres didactiques, dans l’éloquence démonstrative, déli
un ordre rigoureux, et varie au gré d’une foule de circonstances. Tel livre didactique présente, après l’exorde, une synthèse
ent caractère ou portrait, et dont nous allons nous occuper. 48. Le Livre des orateurs, par Timon, 12e édit. ; Bruxelles, J
40 (1811) Cours complet de rhétorique « Préface. »
hoses, objecté l’espèce de bigarrure qui résultait, dans les premiers livres , du mélange des citations anglaises ou italiennes
age, et c’est surtout ce que je me suis proposé. Voilà donc encore un livre nécessairement fait avec beaucoup d’autres livres
Voilà donc encore un livre nécessairement fait avec beaucoup d’autres livres . M. de La Harpe prétend quelque part2 que c’est l
41 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
epuis la création du monde jusqu’à la publication de l’Évangile ; les livres saints où sont consignés les événements antérieur
oire dans toute sa grandeur et dans toute sa noblesse, c’est dans les livres saints qu’il faut l’envisager. L’auteur, dépouill
s ; elle éclaire les ténèbres des siècles les plus reculés. Enfin, ce livre est l’histoire du ciel et de la terre et de ce qu
60 ans avant J.-C, avait fait une Bibliothèque historique en quarante livres , dont quinze seulement nous sont parvenus. Cet ou
t de Drusus, l’an 744 de la fondation de Rome. Des cent quarante-deux livres qui composaient ce magnifique ouvrage, il ne nous
re de raconter et d’apprécier leurs actes, font de son recueil un des livres à la fois les plus intéressants et les plus utile
étails et modèle de style historique. Voici le commencement du second livre , où se trouve dépeint le changement qui se fit da
les amener enfin à ce point de perfection que nous exigeons dans les livres de recherches. On a, en effet, ainsi des dictionn
42 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
ans ma classe, et j’en ai pu constater l’excellence. Quelques-uns des livres , que le critique judicieux et délicat avait chois
aujourd’hui davantage leur éducation ; mais on peut regretter que les livres faits à leur usage ne soient pas encore assez sol
sa défense. « Que n’avez-vous parlé (dit Antoine à Crassus, dans le livre de l’Orateur), que n’avez-vous parlé pour ce Ruti
avait prises des philosophes, et que lui-même il a fécondées dans ses livres de l’Orateur. Plus on les lit, ces livres que Cic
ême il a fécondées dans ses livres de l’Orateur. Plus on les lit, ces livres que Cicéron lui seul au monde a été en état d’écr
ires, il répétera en balbutiant ce qu’il en aura retenu : et si on le livre à lui-même, il flottera au gré d’une imagination
i commence à donnera la raison de la force et de la couleur. Les bons livres en sont la source, et ce moyen est assez connu :
ans compter, pour l’orateur chrétien, la lecture et la méditation des livres sacrés, dont il doit être plein comme de sa propr
donne des ailes et cent voix à l’éloquence, comme à la renommée ; les livres sont pour elle des ministres rapides qui, d’une e
vertu fécondes, le ciel aurait donné le don d’écrire éloquemment ! Un livre où les principes d’une saine philosophie, d’une p
ve un homme. Au lieu que ceux qui ont le goût bon et qui en voyant un livre croient trouver un homme sont tout surpris de tro
tion. XXVI. Certains auteurs, parlant de leurs ouvrages, disent : Mon livre , mon commentaire, mon histoire, etc. Ils sentent
ujours un « chez moi » à la bouche. Ils feraient mieux dédire : Notre livre , notre commentaire, notre histoire, etc., vu que
rselle me plaît seule. Quand en voyant un homme on se souvient de son livre , c’est mauvais signe : je voudrais qu’on ne s’ape
, en vérité, que deux personnes qui ont lu et appris par cœur le même livre , le sachent également, si l’un le comprend en sor
s. Voilà ce que je sais par une longue expérience de toutes sortes de livres et de personnes. Et sur cela je fais le même juge
t on s’en éloigne : il faut le plus souvent s’abaisser. Les meilleurs livres sont ceux que ceux qui les lisent croient qu’ils
s : c’est une trop grande entreprise. C’est un métier que de faire un livre , comme de faire une pendule. Il faut plus que de
approbations, il reste à peine assez de pages pour mériter le nom de livre . Il y a de certaines choses dont la médiocrité es
le et qu’on veut louer. Que ne disiez-vous seulement : « Voilà un bon livre  », vous le dites, il est vrai, avec toute la Fran
’en effet ils ne citent point, n’en est pas pire. « Que dites-vous du livre d’Hermodore ? - Qu’il est mauvais, répond Anthime
il est mauvais ? -  Qu’il est tel, continue-t-il, que ce n’est pas un livre , ou qui mérite du moins que le monde en parle. — 
expérience faite, que, s’il se trouve dix personnes qui effacent d’un livre une expression ou un sentiment, l’on en fournit a
ns le payer avec usure, s’ils disent magistralement qu’ils ont lu son livre , et qu’il y a de  l’esprit ; mais il leur renvoie
les récompenses, qui est de les rendre meilleurs. Les sots lisent un livre , et ne l’entendent point ; les esprits médiocres
qu’à l’ire dans un auteur. Rabelais surtout est incompréhensible. Son livre est une énigme, quoi qu’on veuille dire, inexplic
ui lui ressemblent. Il y a autant d’invention à s’enrichir par un sot livre qu’il y a de sottise à l’acheter : c’est ignorer
ses lecteurs. L’on a cette incommodité à essuyer dans la lecture des livres faits par des gens de parti et de cabale, qui l’o
étorique : il y en a beaucoup d’inutiles ; vous les avez lus dans les livres où ils sont amplement. Contentons-nous de parler
ps en temps, faire des essais ; mais il faudrait que l’étude des bons livres fût longtemps son occupation principale. C. Je cr
à belles-lettres, qui ne cherchaient que la pureté des langues et les livres poliment écrits ; ceux-là, sans principes solides
ent toujours voir en eux la faiblesse humaine. Il n’y a que le second livre des Machabées, le livre de la Sagesse, surtout à
la faiblesse humaine. Il n’y a que le second livre des Machabées, le livre de la Sagesse, surtout à la fin, et celui de l’Ec
prêche mieux que Bourdaloue ; car jamais Bourdaloue ne fit brûler de livres  ; et moi j’ai déclamé avec tant d’éloquence contr
n’est pas l’auteur de tout cela que tu vois, c’est celui des Mondes, livre qui aurait dû t’instruire, de Thétis et Pélée, op
lure. Je vis les muses présenter tour à tour sur l’autel du dieu des livres , des dessins et des plans de toute espèce. On voi
sagesse suprême N’a ni trop ni trop peu de fleurs. Presque tous les livres y sont corrigés et retranchés de la main des muse
prit de tous les arts : il creusa les sources de l’éloquence dans son livre de la Rhétorique, il lit voir que la dialectique
r donné les exemples dans ses harangues, donna les préceptes dans son livre de l’Orateur : il suit presque toute la méthode d
Il y aurait encore bien des choses à dire sur l’éloquence ; mais les livres n’en disent que trop ; et, dans un siècle éclairé
à un philosophe de cette force. Un autre qui vient d’écrire un petit livre (lequel il suppose être physique et moral) contre
ulli, et les airs et les symphonies avec celle de Rameau : on lit les livres avec l’esprit des bons auteurs. Si toute une nati
l’élu, le receveur du grenier à sel, le citoyen aisé, personne n’a de livre , personne n’a l’esprit cultivé ; on n’est pas plu
que, depuis que les Français s’avisèrent d’écrire, ils n’eurent aucun livre écrit d’un bon style, jusqu’à l’année 1654 où les
ite. N’affectez point des tours inusités et des mots nouveaux dans un livre de religion, comme l’abbé Houteville. Ne déclamez
livre de religion, comme l’abbé Houteville. Ne déclamez point dans un livre de physique. Point de plaisanterie en mathématiqu
rnes. Le système de la nature en est un grand exemple. Il y a dans ce livre confus quatre fois trop de paroles ; et c’est en
c’est en partie pour cette raison qu’il est si confus. L’auteur de ce livre dit d’abord (page 1) que l’homme est l’ouvrage de
cette autre est une règle prescrite par une essence. Presque tout le livre est malheureusement écrit de ce style obscur et d
en et qu’on ne pouvait résister à un philosophe de cette force ». Des livres très-estimables sont infectés de cette tâche. La
vivons est de tous les temps le plus éclairé, malgré nos très-mauvais livres , et malgré la foule de tant d’insipides journaux 
ois plus de goût et de finesse que vous n’en trouveriez dans tous les livres écrits avant les Lettres provinciales. Voilà l’é
, qui est très-rarement juste et jamais noble, inonde aujourd’hui nos livres , et la cour, et le barreau, et la société ; car d
sort de sa sphère. Des hommes même de beaucoup d’esprit ont fait des livres ridicules, pour vouloir avoir trop d’esprit. Le j
lent en public doivent étudier votre Traité de la Prosodie ; c’est un livre classique qui durera autant que la langue françai
r la Vie de Vanini ; je l’ai lue. Ce n’était pas la peine de faire un livre . Je suis fâché qu’on ait cuit ce pauvre Napolitai
ivre des Lettres persanes dont vous me parlez. On a négligé le petit livre de la Décadence des Romains, du même auteur ; cep
ue tous les bons esprits estiment le grand sens qui règne dans ce bon livre d’abord méprisé, et font assez peu de cas de la f
ou enchâssées d’une manière étrangère à notre langue. Il faut que ce livre soit excellent d’un bout à l’autre. Je vous conju
d : Les exemples vivants sont d’un autre pouvoir ; Un prince dans un livre apprend mal son devoir. Et qu’a fait, après tout,
de son siècle le plus poli et le plus capable d’intrigues, auteur du livre des Maximes ; le fameux cardinal de Retz, le card
, loin de rendre un ouvrage plus solide, en détruit l’assemblage ; le livre paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
ien à redouter de leur contagion. VI. On n’aime pas à trouver dans un livre les mots qu’on ne pourrait pas se permettre de di
quoi, quand une langue a eu plusieurs âges, comme la nôtre, les vieux livres sont bons à lire. Avec eux, on remonte à ses sour
up, et tout entière, dès qu’elle est achevée. Ce qui en reste dans le livre , sans s’en détacher de lui-même, pour s’appliquer
43 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
ût et à orner leur cœur, et qui mérite une place distinguée parmi les livres classiques édités de nos jours ; » que tous enfin
e d’éloge votre sévérité ou plutôt votre justice à condamner certains livres , dont il ne faut à aucun prix se permettre la lec
bbé Piron, me parait réunir les principales qualités de nos meilleurs livres classiques. L’auteur y donne le résumé de ses doc
ique, il est clair. Aussi désiré-je vivement le voir introduire comme livre classique dans notre maison ; il serait à la fois
44 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101
Strabon fait peut-être allusion à la Poétique, lorsque, dans son Ier livre , il écrit, à propos d’Ératosthène : Оὐδὲ γὰρ ἀληθ
Athénée, III, p. 98, 99  et comparez dans Aristote le commencement du livre sur Xénophane, où, du reste, la sécheresse du sty
tous les pays, il faudrait qu’un spectateur allât consulter tous les livres avant qu’il sût si ce qu’on lui représente est fa
45 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
vrai de cette parole bien autrement pénétrante qui retentit dans les livres . Toujours celle des Français est entendue de plus
du goût, de la hardiesse et de la célérité. » « Les journaux et les livres sont plus dangereux en France qu’ailleurs, parce
impose ses idées. Par sa presse, elle gouverne les peuples ; par ses livres , elle gouverne les esprits. Si elle n’a plus la c
e et vivante : c’est la littérature française. On ne lit plus que des livres français de Pétersbourg à Cadix, de Calcutta à Ne
vit. Sur toute la surface du continent, partout où germe une idée, un livre français a été semé. Honneur donc aux travaux des
46 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
talent, son génie propre consistent à dégager la substance morale des livres où il cherche les éléments d’un caractère. Comme
emps cette description qui, si elle était complète, tiendrait tout un livre . Le moyen âge, croyez-le bien, et Dante occuperai
à ses amis, à ceux qu’un long commerce a éprouvés. Vieux vins, vieux livres , vieux amis. On se dit, comme Voltaire dans ces v
aisément aujourd’hui. Les marbres sont devenus comme les garants des livres . Phidias a été inspiré par Homère : il le lui ren
, chef de l’école classique. 1. Trouvons-nous la raison dans le ive   livre de l’Enéide et dans les transports de Didons ? (S
47 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
e qui me semble excellente, et qui vient tout à fait à propos dans un livre comme celui-ci. Condillac veut faire sentir quell
ateurs de figures triviales que la France ait produits. C’est dans le Livre des Orateurs qu’on trouve que les orateurs pathét
s cités par M. Wey ? l’un est d’un romancier moderne qui, dédiant son livre à un peintre, et voulant lui faire sentir que tou
s comme les pires, se croire obligés, pour assurer le succès de leurs livres , de supposer l’allégorie là où elle n’était point
s un moment le gouvernail, ou tout est perdu. » Et dans son cinquième livre , quel charme n’ajoute pas l’allusion au tableau d
t de leurs plaisanteries comme des romans allégoriques et de certains livres sur les mœurs et caractères ; pour les pénétrer,
48 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539
et protestant, Pontife en sa maison, y porte, en l’habitant, Un seul livre  ; et partout où, pour l’heure, il réside, De tout
n noir feston, Un billet en dix mots qu’écrivit Washington8. Quelques livres rangés, dont le premier, Shakspeare (Car des deu
Si l’orgueil prend ton cœur quand le peuple me nomme Que de mes livres seuls te vienne ta fierté. J’ai mis sur le cimier
n où aucun de ses rivaux ne l’a égalé. » Louis Ratisbonne, Auteurs et Livres .   M. Théophile Gautier comparait la gloire serei
49 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343
amitié sympathique pour sa douce mémoire1. Vauvenargues parle des livres anciens qui l’ont passionné 1 Les Vies de Plu
nais plus ce qu’elles mettaient en moi ; j’étouffais, je quittais mes livres , et je sortais comme un homme en fureur, pour fai
nces morales qu’il avait avec son frère, il vient à disserter sur les livres anciens. 2. Henri IV écrivait sur Plutarque à l
pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains, encore que je ne feusse à peine
50 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »
e que lui faisait Colletet d’une de ses comédies, lui donna six cents livres pour six vers seulement qu’il trouvait fort beaux
inistre ce distique : Armand, qui pour six vers m’as donné six cents livres , Que ne puis-je à ce prix te vendre tous mes livr
s donné six cents livres, Que ne puis-je à ce prix te vendre tous mes livres  ! On doit observer de mêler les rimes masculines
un tout parfait en son genre. La réflexion que fait Cicéron dans son livre de l’Orateur, au chapitre de l’Invention, va nous
ne action : quelquefois il la met sous les yeux : d’autres fois il se livre seulement au sentiment : enfin il traite souvent
ramatique. Quand, pénétré d’un sentiment, agité d’une passion, il s’y livre tout entier, et les exprime avec le plus vif enth
51 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
errement et funerailles9, et le pauvre Gargantua demoura à l’hostel. ( Livre II, ch. iii.) Exploit d’un géant Comment
urent tous rompuz12, et mis en pieces ceulx qui estoient en icelluy. ( Livre I, ch. xxxvi.) Le fils d’un géant De l’en
ppa au milieu par despit, auec protestation de iamais n’y retourner. ( Livre II, ch. iv.) Un bon tour Jean Dodin et Fr
in se descharge, et vous iecte Dodin en pleine eau la teste au fond. ( Livre III, ch. xxiii.) Femme mute 11 et mari sourd
demy mors9. Ie ne ris oncques tant que ie feis10 à ce patelinage11. ( Livre III, ch. xxxiv.) 1. Interdit aux gens d’Église
52 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
ès bien des essais et des tâtonnements. « C’est un métier de faire un livre , comme de faire une pendule, disait la Bruyère ;
l’écrivain vole maintenant d’un bout à l’autre de l’univers avec les livres , les pamphlets, les journaux. Le plaidoyer même e
ue ces trois objets, pour être traités à fond, demanderaient un autre livre tout entier, qu’il n’en est pas question dans cel
mme l’eau murmure et comme le rossignol chante. » Et le raisonneur du livre lui répond avec un grand sens : « Le murmure de l
53 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
os de cette définition. Voyez, entre autres, la Poétique de Scaliger, livre V, chap. 6  les auteurs analysés par Goujet, Bibl
ait δρώντος, et non δρώντων. La Fontaine a inséré à la fin du premier livre de sa Psyché une comparaison de la comédie et de
urs et les pensées.] Mêmes distinctions dans la Morale Nicom., fin du livre Ier. Et il n’y a rien au delà.] De même, Rhétoriq
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
es déjà, notre plume a quelque habitude de juger les écrivains ou les livres . Notre intention a été de n’admettre ici que les
air qui nous entoure, ne donnons pas l’attrait du fruit défendu à des livres qu’un engouement irréfléchi lira sans critique, s
sprit droit et d’une âme saine. Gustave Merlet. 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la page que voici, et que j’empr
55 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre II. »
comparer à celle de la terre : c’est celle qui se manifeste dans les Livres saints, et qui a pour interprète les cantiques de
cine, reproduit avec un bonheur incomparable le mouvement lyrique des Livres sacrés : aussi n’avons-nous rien de plus beau dan
e. Le Chi-King, recueil de chants rassemblés par Confucius. Inde. Les livres sacrés nommés Védas, Kalidasa. Perse, Arabie. Les
56 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
a virtus orationis est perspicuitas, » dit Quintilien, dès le premier livre de ses Institutions, pour revenir sur cette vérit
es ; ce n’est qu’en France, de l’aveu de tous, que l’on sait faire un livre . Dans un ordre d’idées moins élevé, ce qui n’est
Bruyère, une demi-page de ce jeu d’esprit, je le veux bien ; mais un livre entier ! Et puis, quelles que soient l’érudition
pour l’esprit et la marche de l’œuvre. Songez qu’on avait donné à ses livres le nom des Muses. Or les Muses françaises parlent
57 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
prix que diverses libéralités avaient élevé jusqu’au chiffre de 4400 livres . L’ouvrage était d’ailleurs très-digne de cette b
la compétence qui le distinguaient, M. Walckenaer a donné sur lui un livre plein de recherches curieuses : Histoire de la vi
soixante-six apologues d’Esope, et surtout Gueroult, dans son Premier livre des Emblèmes. Quant à la pièce de La Fontaine, el
e que l’on peut être, Les choses changent de nom. 5. « Le septième livre , dit Chamfort, s’ouvre par le plus beau des apolo
58 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
ce à revenir sur l’eau. Valère. Calmons le désespoir où la fureur me livre . Approche ce fauteuil. (Hector approche un fauteu
un fauteuil.) Valère, assis. Approche ce fauteuil.Va me chercher un livre . Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre ch
, assis. Approche ce fauteuil.Va me chercher un livre. Hector. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? Valère. Celu
peu, prends dans ma bibliothèque. Hector  sort, et rentre, tenant un livre . Voilà Sénèque. Valère. Voilà Sénèque.Lis. Hec
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195
ures m’étonne ; la sainteté de l’Évangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe : qu’ils so
e leur pompe : qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un livre à la fois si sublime et si sage soit l’ouvrage de
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y livre en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
dans Furetière : « Que l’on serait heureux si l’on pouvait avoir des livres choisir, et des amis plus encore ! Du bon sens pl
60 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Diderot, 1713-1784 » pp. 303-312
sable de ses actes et de ses paroles. Incapable de mener à fin un bon livre , il excellait pourtant à tracer en courant de bel
capitation vient à l’imposer sur sa robe de chambre. L’écritoire, les livres , les accessoires aussi bien qu’il est possible ;
prouver par expérience qu’une once de sens commun vaut mieux que cent livres d’esprit ; car avec du sens commun… — Ah ! scélér
e de Goëthe et de Schiller mentionne souvent le nom de Diderot : « Le livre de Diderot est excellent et s’adresse au poëte pl
61 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Balzac. (1594-1655.) » pp. 2-6
aux ennemis que lui avait faits sa gloire. On trouve dans ce dernier livre , remarque M. Nisard, de grands traits de mélancol
eût touché au but : vous pouvez voir et compter ces opinions dans les livres de la Cité de Dieu de saint Augustin2. Jésus-Chri
it la sienne. 2. On peut consulter, à ce sujet, le chap. 1er du XIXe livre de cet ouvrage ; Cf. ibid., XVIII, 41. 3. Allusi
62 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
que de laisser deux ouvrages, les Provinciales et les Pensées. Aucun livre n’atteste plus que le premier la puissance du sty
l, précédée d’une étude ; M. Sainte-Beuve, qui lui a consacré tout un livre , le troisième de son Port-Royal, et M. Cousin, qu
r des conjectures… 3. Manilius avait dit la même chose, au début du livre  IV de ses Astronomiques, en peignant les chimériq
63 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52
pas quand il est devant le nom ; mais dites : une heure et demie, une livre et demie : quand le mot demi est après le nom, il
met de, et non pas des devant un adjectif. Exemples : j’ai lu de bons livres , et non pas des bons livres ; j’ai vu de belles m
t un adjectif. Exemples : j’ai lu de bons livres, et non pas des bons livres  ; j’ai vu de belles maisons, et non pas des belle
64 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
air qui nous entoure, ne donnons pas l’attrait du fruit défendu à des livres qu’un engouement irréfléchi lira sans critique, s
0 ; et ce grand courage, qui n’avait encore vu la guerre que dans les livres , effaça tout ce qu’il y avait lu des Alexandre et
de l’esprit, le duc de la Rochefoucauld consola ses disgrâces par un livre où ses ressentiments lui inspirent la misanthropi
l’enfance des dons merveilleux. On sait que, sans le secours d’aucun livre , il trouva seul, à l’âge de douze ans, les trente
le bonheur, qui est le tout du monde. Je voudrais de bon cœur voir le livre italien, dont je ne connais que le titre, qui vau
italien, dont je ne connais que le titre, qui vaut lui seul bien des livres , dell’ Opinione, regina del mondo 295. J’y souscr
e furent ses maîtres, avant le jour où, dans la Bible, il reconnut le livre par excellence, la source même de son propre géni
issement de la loi. Tel est, madame, l’oracle du Saint-Esprit dans un livre que vous ne devez point vous lasser de lire. Les
Esprit dans un livre que vous ne devez point vous lasser de lire. Les livres profanes inspirent l’orgueil, et nourrissent une
in ; les poulets en plumes valent trente sous, la viande huit sous la livre et très mauvaise ; on porte tout au camp693. Il p
quand il faut s’en défier ou s’y abandonner, personne ne le sait ; ni livres , ni règles, ni expérience ne l’enseignent ; une c
as, ce disoit-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains, encore que je ne fusse à peine p
9, et vous voyez que je vous ai mis moi-même entre les mains assez de livres français capables de vous amuser ; mais je serois
apables de vous amuser ; mais je serois inconsolable si ces sortes de livres vous inspiraient du dégoût pour des lectures plus
piraient du dégoût pour des lectures plus utiles, et surtout pour les livres de piété et de morale, dont vous ne parlez jamais
er à s’entretenir avec vous. Vous pouvez prendre Voiture730 parmi mes livres , si cela vous fait plaisir. J’aimerais autant, si
ela vous fait plaisir. J’aimerais autant, si vous voulez lire quelque livre français, que vous prissiez la traduction d’Hérod
ix ; et si le roi désirait que je quittasse, je quitterais cent mille livres de rentes, sans condition et sans rien demander.
vain inimitable qui aurait produit un chef-d’œuvre, si le plan de son livre n’était défectueux. Sa Correspondance est pétilla
ite bien davantage en les lisant1133, qu’avec tous les mauvais petits livres dont nous sommes inondés. Les bons auteurs n’ont
rien de soutenu, de suivi, de réglé. Incapable de mener à fin un bon livre , il excellait pourtant à tracer en courant de bel
ures m’étonne ; la sainteté de l’Évangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe : qu’ils so
e leur pompe : qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un livre à la fois si sublime et si sage soit l’ouvrage de
nous impose n’a rien que. de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y livre en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
z moi ; que ce panier contenait, entre autres choses, un pot de vingt livres de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais c
tre, ni pratiquer, ni aimer. Personne néanmoins n’ignore que les bons livres sont l’essence1417 des meilleurs esprits, le préc
ce et de réconciliation entre la religion et la société française. Ce livre réhabilita tout ce qu’avaient flétri des sarcasme
viennent, ces vierges austères, qu’elles viennent fermer pour moi le livre de la Poésie et m’ouvrir les pages de l’histoire.
essai sur l’Indifférence en matière de religion (1817-1823). Dans ce livre apparaissait déjà sous le docteur orthodoxe un lo
s lettres brèves et saisissantes, comme l’éclair de sa volonté, et un livre unique, non pas seulement le secret de ses campag
remit en marche d’un air noble et doux, le crucifix d’une main et un livre d’Heures de l’autre, revêtue du costume de veuve
resque dans leur langue. Ses études sont inspirées par la passion des livres , l’amour des lettres, l’enthousiasme du beau, et
omme en laid, je n’irai pas chercher bien loin mon modèle1726. Les livres Assurément, je ne suis ni un grand critique, n
dans mes souvenirs, je ne trouve pas un jour où la vue seule d’un bon livre , à plus forte raison sa lecture, ne m’ait ravi et
ravi et transporté. Je ne pourrai jamais dire tout ce que ce goût des livres et des lettres a répandu de charme sur ma vie ; q
récède toute discussion sérieuse. Les beaux jours arrivaient-ils, mon livre me suivait dans de longues promenades : je l’ouvr
eu le temps de lire autant que je l’aurais voulu, je n’ai lu que des livres excellents ; je les ai relus sans cesse. Il y a u
s livres excellents ; je les ai relus sans cesse. Il y a une foule de livres très-bons dans leur genre, je n’en doute pas, que
le maître, ma main va toute seule chercher dans une bibliothèque ces livres que les enfants savent déjà par cœur : un Boileau
qui ne lisent pas, qui seraient très-fâchés de lire, et qui n’ont des livres que pour la montre. Tous les moments qu’ils avaie
aurais encore, je le crois, du plaisir à tenir dans mes mains un beau livre . Je sentirais du moins le velouté de sa reliure,
nt vu ! Le bibliophile odieux, c’est celui qui achète brutalement des livres en convenant tout haut qu’il ne lit jamais. Notez
t la plus avide ; c’est elle qui fait monter ridiculement le prix des livres . Vous n’aurez jamais un volume quand un de ces ge
étend l’avoir. Ils n’ont sur nous qu’on avantage : c’est que tous les livres leur sont bons pourvu qu’ils soient beaux, et que
, bibliophiles raisonnables, notre champ est plus restreint. Quand un livre n’est pas à notre usage, il a beau être bien bril
ot de la société française et du cœur humain. En parlant non comme un livre , mais comme un homme, il a exercé la plus saine i
lait de soie ou de velours, entrait dans son cabinet, et, ouvrant ses livres , conversait avec les grands génies de l’antiquité
ces ; car toute la morale aboutit là. Montaigne est mort : on met son livre sur son cercueil ; le théologal Charron1804 et ma
Nisard Né en 1806. Critique conservateur, M. Nisard a fait un livre qui manquait à la France1828. Il est le premier,
ont se compose le miel des bons sentiments et des bonnes pensées. Les livres ne sont plus que des formulaires, et les beautés
ait peut-être gardé, comme prévoyance ; de sa médiocrité première, un livre qui le rend un moment à lui-même, et lui fait sav
44. (Août 1855, discours au lycée Bonaparte.) 1. L’esprit de ce livre est contenu dans la page que voici, et que j’empr
 : « Je vous offre, mon Dieu, la traduction de ce saint et admirable livre  ; je ne l’ai pas entreprise pour la rendre publiq
. Je me plais à voir ce bourgeois enrichi, respecter ou apprécier les livres , et ce qu’ils contiennent. 256. Frôler, c’est-à-
in : « De tous les monuments du génie, nul n’est plus célèbre que le livre des Pensées. et la littérature française ne possè
la conscience même. 368. Sage, ce mot désigne Salomon, l’auteur du Livre des Proverbes. 369. Lisez les conseils que Raci
le, ou en compagnie ; on se rencontre à une place fort belle, on a un livre , ou prie Dieu, on rêve à sa chère fille, on fait
agne, en Provence, tantôt gais, tantôt tristes. Mon fils nous lit des livres très-agréables : nous en avons un de dévotion, le
faut. Nous soupons à huit heures ; Sévigné lit après souper, mais des livres gais, de peur de dormir ; ils s’en vont à dix heu
jours chez le prince de Condé, et la dépense monta à plus de 180, 000 livres , qui vaudraient aujourd’hui 360 à 400, 000 francs
eux la    marée ou la mort. La mort seule répond    ; l’infortuné s’y livre  ; Déjà percé trois fois, il a cessé de vivre. Ses
us d’autre chose que de ce que nous lisions dans Plutarque ; c’est un livre où sont contenus les faits des grands hommes qui
ction, me disait-il, est de lui, et je courais vite regarder dans mon livre s’il n’y avait rien à opposer à ce qu’il disait :
e leurs sens, Qu’à former les vainqueurs de Pharsale et d’Arbelle. Au livre des destins tous leurs jours sont comptés. 74
es, mortes ou vivantes ; mais elles sont grossières ou polies, si les livres qu’elles ont formés sont d’un bon ou d’un mauvais
ressentiment qu’il en a gardé se laisse voir en maint endroit de son livre , et s’y marque parfois avec une sorte d’amertume.
muse chrétienne. Comparez ses Champs-Élysées avec ceux de Virgile (6e livre de l’Enéide), vous Verrez combien l’auteur du Tél
de Cambrai. Je l’avais pourtant déjà lu. Il y a de l’agrément dans ce livre , et une imitation de l’Odyssée que j’approuve for
. Voltaire, dans ses lettres, a jugé ainsi l’Esprit des lois : «  Ce livre m’a toujours paru un cabinet mal rangé, avec de b
avoue que Montesquieu manque souvent d’ordre, malgré ses divisions en livres et en chapitres ; que quelquefois il donne une ép
a à jamais un génie heureux et profond, qui pense et fait penser. Son livre devrait être le bréviaire de ceux qui sont appelé
le que d’avoir un père ou un aïeul comme lui qui n’avait fait que des livres . Garat, dans ses mémoires, nous montre Montesqu
rrespondance de Goëthe et de Schiller, nous lisons ce jugement : « Le livre de Diderot est excellent, et s’adresse au poëte p
osé y penser. » 1268. Tronchin, médecin, né à Genève. 1269. Le mot livres désignait alors la valeur d’un franc. Cette somme
dans Furetière : « Que lion serait heureux si lion pouvait avoir des livres choisis, et des amis plus encore ! Du bon sens pl
ui nous charment dans la physionomie de M. Guizot. Un de ses derniers livres est l’Histoire racontée par un grand-père à ses p
es, qui se mêlent sans confusion, conduit le lecteur jusqu’au bout du livre sans qu’il ait un moment l’envie de s’arrêter.
s honnêtes gens, comme on disait alors. Etienne Pasquier appelait son livre un vrai séminaire de belles et notables sentences
e mot. Si vous ne rêvez pas vie militaire, si vous ne dévorez pas les livres et les plans de la g terre, si vous ne baisez poi
réorganisa tous les services, institua la banque de France, le grand livre de la dette publique, fit achever la rédaction du
lectures d’enfance. « Je suis de ceux pour qui la connaissance d’un livre peut devenir un véritable événement. Le peu de bo
puis que j’existe, a développé le peu de bonnes qualités que j’ai. Un livre a toujours été pour moi un ami, un conseil, un co
nt dans la vague de l’air, comme tout à l’heure les caractères sur le livre . Il faut partir ; le chemin est pierreux, l’éclus
onfession de votre journée, et que vous aurez été sommé de montrer le livre , après quelque hésitation et une grande crainte d
ste il ne lit pas, et souvent il n’a jamais lu. : il collectionne des livres , comme il ferait des tableaux, des coquilles, des
remier venu : peu lui importe que les gens sachent ce que c’est qu’un livre , et, qui plus est, un beau livre ! « Le bibliom
les gens sachent ce que c’est qu’un livre, et, qui plus est, un beau livre  ! « Le bibliomane envieux désire tout ce qu’il
as ; et, dès qu’il possède, son désir change de but : sait-il que tel livre existe chez un amateur avec lequel il rivalise, a
, il ne dort plus, il ne vit plus que pour la conquête du bienheureux livre qu’il convoite ; il emploie tout, jusqu’à l’intri
ssession ; mais un rien, la découverte d’un second exemplaire du même livre , une critique en l’air, une réimpression, voilà c
ace. Tout à l’heure l’envieux souhaitait la mort du maître de ce cher livre , afin de s’enrichir aux dépens du défunt ! Ce bib
ence à chaque nouveau désir.  » Le bibliomane fantasque n’adore ses livres que pour un temps ; il les recueille avec curiosi
réflexion et la lecture nous guérissent de l’ennui, surtout quand le livre est un chef-d’œuvre. 1808. Saint-Evremond (1613-
 : « La mémoire n’aime que ce qui est excellent. » — « On dit que les livres sont bientôt lus, mais ils ne sont pas bientôt en
ps que pour la concevoir. » — « Il n’est rien de plus beau qu’un beau livre . » 1843. Allusion à ce mot de l’Écriture : Voe
65 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
us », disait cette femme dont l’Ecriture a loué la prudence au second livre des Rois3 , « et nous allons sans cesse au tombea
duc d’Orléans, qu’elle avait fait exiler. 3. Les Rois forment quatre livres qui contiennent l’histoire des Juifs pendant cinq
muel. Ils viennent, dans la division de l’Ancien Testament, après les livres de Josué et de Ruth. 1. La mort presque soudaine
rvi. » 1. En signalant ce passage comme l’un des plus distingués du livre par la clarté et l’analyse, M. de Barante fait ob
i-même ; et ces deux ouvrages peuvent tenir lieu d’un grand nombre de livres sur la religion et la morale. » La Harpe a dit ju
66 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
urrons-nous trouver une juste idée de la poésie sacrée ? Ce sont les Livres Saints qui pourront nous donner une juste idée de
eu l’avait comblé. On trouve encore d’autres poèmes lyriques dans les Livres Saints : les plaintes sublimes de Job, Pereat die
de l’âme, et demande à être chantée. C’est le nom qu’a pris dans les Livres Saints la poésie lyrique, à l’exception des Psaum
intitulée : Dégoût des grandeurs périssables ; les plus belles du Ier livre de J.-B. Rousseau, tout entier tiré des Psaumes ;
un certain nombre, parmi lesquelles on doit ranger les plus belles du livre III, et quelques-unes du livre IV. Il en est de m
lles on doit ranger les plus belles du livre III, et quelques-unes du livre IV. Il en est de même de J.-B. Rousseau, dont nou
Outre quelques odes d’Horace, en particulier les trois premières du livre III, nous pouvons citer en ce genre une ode de Jo
ux. Quoi de plus vivant, de plus délicieux que le passage suivant des Livres Saints : Vous bénirez nos champs, Seigneur, et vo
67 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
cé : » voilà la seule conclusion de Montesquieu pour les trente et un livres de l’Esprit des lois. Et il a raison, en effet, d
t qui le caractérise, l’a fort bien compris, et l’idée d’un treizième livre est une bouffonnerie digne du chanoine Mafeo Vegi
s voyages en Chine et en Tartarie, c’est-à-dire au moins la moitié du livre , ne présente plus ni intérêt, ni originalité, ni
eur, que la quète qui suivit son sermon rapporta cent cinquante mille livres en souscriptions. Quoi qu’il en soit, il est ce
68 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — La Satire Ménippée, 1594 » pp. -
oive tousjours les tailles, sans rendre compte. Je n’ay point leu les livres , ny les histoires, et annales de France, et n’ay
eux de l’argent. 6. Ce que c’est. 7. De Rieux, qui n’a point lu les livres ni les historiens, confond les faits. Le prince H
ancharte, qui estoit une imposition pour tout le royaume d’un sol par livre de chaque denrée vendue. » (Est. Pasquier, Lettre
69 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
x de jouir dans un autre soi-même, Et des lieux qu’on préfère, et des livres qu’on aime. Chaque abeille2 à la ruche apporte so
qu’elle repose à l’ombre. Je viens de voir le nom d’un roi1 Sur le livre où, selon l’usage, Chacun ici laisse après soi Un
nsons. 1. Dans un volume intitulé Causcries sur les Femmes et les Livres , par Gustave Merlet, on peut lire une étude sur M
70 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — De Laprade Né en 1812 » pp. 576-582
rs jeux ses charmantes leçons. Les marmots hérissés3 ayant horreur du livre , Quand elle ouvrait le sien, quittaient tout pour
A se faire conter des contes éternels, A s’empresser autour du vieux livre d’images, A changer mille fois de plaisirs et d’o
ême à réciter des fables et des vers ! Puis on posait cahier, tricot, livre , au plus vite : Les châtaignes fumaient dans l’im
71 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XV. Genre didactique en prose. »
a philosophie, sur la morale, sur les arts et les sciences ; tous les livres de théorie, les études et les descriptions de la
s livres de théorie, les études et les descriptions de la nature, les livres d’éducation, etc. C’est le genre le plus vaste de
72 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
st pour en offrir à tous le moyen et la facilité que nous publions ce livre . On y trouvera des plans, des développements, des
ts vers le but qu’ils veulent atteindre. Il sera bon pour tirer de ce livre tout le profit possible de procéder avec méthode.
. On ne peut donc trop les multiplier. Si l’on veut bien parcourir ce livre tout entier, on reconnaîtra sans peine que les di
re pas dans notre pensée de conseiller à personne l’achat de tous ces livres . On les trouvera, pour la plupart, dans les bibli
ent que des notions très variées. Nous espérons que tel qu’il est, ce livre sera utile aux candidats de tout ordre ; on ne le
Latini (xiii e siècle), dans la préface de son ouvrage intitulé : Li livres du trésor, explique pourquoi, bien qu’Italien, il
ivres du trésor, explique pourquoi, bien qu’Italien, il a composé son livre en français et donne la raison suivante : « parce
ntenue dans ce vers : « Le théâtre instruit plus que ne fait un gros livre . » (Toulouse, octobre 1890.) Faire brièvement l’
les de La Fontaine. (Clermont, avril 1887.) Rousseau, dans le second livre de l’Émile, déclare qu’il ne fera pas apprendre à
gne écrit à La Fontaine pour le remercier de lui avoir dédié le xii e Livre de ses Fables. (Nancy, juillet 1891.) Expliquer e
(Lyon, octobre 1890.) Expliquer et discuter la pensée fondamentale du livre des Maximes de La Rochefoucauld : Que l’amour-pro
ger, novembre1889 ; juillet 1891.) Développer cette pensée : « Un bon livre est un bon ami. » (Clermont, août 1886.) Montesq
combien cette pensée est vraie. (Dijon, avril 1890.) De l’utilité des livres et des lectures. (Clermont, octobre 1889.) Vous e
t de Fénelon en l’écrivant ? 4° D’où vient la longue popularité de ce livre , et l’abandon où il semble être tombé ? (Paris, a
nsistera surtout sur les inconvénients qui résultent de la lecture de livres purement amusants et sur les qualités que l’espri
succès dans ses études, une somme assez ronde, destinée à l’achat de livres classiques qui formeraient sa première bibliothèq
c’était un esprit autrefois cultivé, bien qu’il n’eût plus ouvert un livre depuis sa vie aventureuse), il raconte qu’il renc
e le tableau de la société française avant la Révolution, d’après les livres , la presse et les salons. – Montrer que c’est à s
rès Bossuet. – Lettre de Boileau à La Bruyère qui lui avait envoyé le livre des Caractères. – Que faut-il penser du jugement
Fables de La Fontaine. On prendra des exemples dans les six premiers livres . – Pourquoi la fable le Chêne et le Roseau est-el
une réelle influence. Boileau eut « dès quinze ans la haine d’un sot livre  ». Il avait formé son esprit et son goût à l’écol
ique cette élévation dont Pascal lui-même est le parfait modèle. Tout livre qui ne donne pas de son auteur cette grande idée
i ne donne pas de son auteur cette grande idée ne saurait être un bon livre . Il n’est pas fait de main d’ouvrier, car il n’él
eux que dans ses heures d’enthousiasme, et la meilleure page d’un bon livre est, le plus souvent, celle qui a le moins coûté
il n’a fait que les observer et les noter au passage. Le début de son livre est d’un homme modeste et qui, tout de suite, veu
’est lui qu’il nous a peint ; l’homme du xvii e siècle revit dans son livre . Le souverain, dont il a fait le portrait, est as
ort point de Paris, il ne parle que d’aunage, de tarif et de sou pour livre . Sa femme n’aime que le luxe, elle ne fait cas qu
me tel que le font les lois et les coutumes de l’époque où il vit. Le livre des Caractères renferme encore autre chose ; l’ho
rien d’essentiel sur les mœurs des Suédois et des Russes, et il nous livre , avec les intrigues qui se nouent autour du sulta
our eux-mêmes, le droit de dire tout le mal qu’ils pensent d’un « sot livre  ». A les en croire ce n’est ni la haine, ni surt
t. C’est son droit lorsqu’il a été blessé de dire du mal d’un mauvais livre  ; c’est son devoir d’admirer les beaux ouvrages,
rgenson. – Que puis-je faire ici ? A quels travaux voulez-vous que se livre un ministre en disgrâce ? La politique m’est inte
on étudie ; c’est par la pratique des affaires qu’on s’instruit ; les livres ne sont utiles qu’aux jeunes gens. Montesquieu. 
t ; les livres ne sont utiles qu’aux jeunes gens. Montesquieu. – Les livres peuvent être utiles à tous. L’histoire a des ense
ur les philosophes et pour les moralistes ; vous trouverez dans leurs livres des consolations qui rendront vos regrets moins a
ontesquieu. – Ces amis qui vous manquent, vous les trouverez dans vos livres eux-mêmes ; ils peupleront votre solitude et cett
uissantes à rendre toute ma pensée. D’Argenson. – Vous avez aimé les livres comme j’ai aimé les affaires. Vous y avez cherché
par vos soldats. Quelques milliers d’hommes, et quelques millions de livres vous assureront la possession de la contrée la pl
a plus que nous. » A.B La Fontaine adresse à Maucroix le dernier livre de ses fables et il en prend prétexte pour dire u
fruits et des fleurs ! Puis je m’en vais semant maint conseil en mon livre . Je dis au fainéant qui s’endort au soleil : Trav
de conter avec art, Ma muse est un oiseau qui voltige au hasard. Mon livre , ouvert à tous, suffit à ma défense. Je ne sais p
r en lisant mes écrits. Je me flatte peut-être ; est-il donc pour son livre Auteur qui n’ait rêvé des destins éclatants ; Tou
eus, d’avoir favorisé notre rencontre ; depuis si longtemps que je me livre aux douceurs de la vie des champs, loin des tourm
texte, les auteurs, il y aura tout profit à se procurer quelques bons livres , comme : la Littérature de Nisard, le Cours de li
e : élève l’esprit, le terme : sentiments nobles et courageux. Un bon livre , et bien écrit, nous élève toujours au-dessus de
’il y a de meilleur, de plus noble, de plus généreux en notre âme. Un livre qui est pensé hautement, soulevé d’un beau souffl
Grignan, la petite-fille de Mme de Sévigné, était une « dévoreuse de livres  ». Sa mère, Mme de Grignan, avait cru devoir. par
ais tâché de faire une belle et docte préface, et je ne manque pas de livres qui m’auraient fourni tout ce qu’on peut dire de
st expansive, ouverte, facile à connaître, autant Mme de Maintenon se livre peu. Elle écrivit moins sans doute que Mme de Sév
i plaise. » Ainsi, selon Boileau, ce qu’il pourra dire contre un bon livre ne saurait lui nuire, puisque le public est toujo
dire le mot, au lieu commun. L’étude du singulier empire que prend le livre , le livre qui agrée, sur des esprits tout neufs,
t, au lieu commun. L’étude du singulier empire que prend le livre, le livre qui agrée, sur des esprits tout neufs, tout entie
ses études, parce que, dit-elle, elle se trouve à la campagne et sans livres . Répondez-lui. Examens de 1888. Ordre de
cueillent, avec plus de zèle que de discernement, dans les excellents livres de MM. Brachet, Aubertin, Darmesteter, les élémen
raisonner et bien conclure, qu’il s’agisse de quelques pages ou d’un livre entier, c’est là le travail toujours difficile où
ition des Fables, et surtout une édition annotée ; mais exécutée sans livres ni notes, et en si peu de temps, elle atteste une
r celles de littérature. Le champ est évidemment plus restreint ; les livres , d’une consultation plus facile, parce qu’ils son
ation personnelles, parce qu’on ne la trouve pas toute faite dans les livres , a été plus faible et presque nulle dans quelques
rdinairement quand on a moins de commerce avec les hommes qu’avec les livres  ; et il n’avait point cette rudesse et une certai
t une certaine fierté sauvage que donne assez souvent le commerce des livres sans celui des hommes. » Vous développerez cette
Vous développerez cette pensée, en montrant que la lecture des bons livres et la connaissance du monde sont nécessaires à la
urs appellations latines d’artisans et d’utils. (Montaigne. – Essais, livre Ier, chapitre 25.) Le goût peut se gâter chez une
t apprécier cette pensée de Descartes : « La lecture de tous les bons livres est comme une conversation avec les plus honnêtes
es jusqu’à nos jours, par M. E. Lintilhac. (André-Guédon.) – C’est un livre tout à fait utile aux aspirantes. Il est fait par
ère et de son esprit ? Pédagogie. On vous recommande de lire de bons livres et de n’en lire que de bons. Mais qu’est-ce qu’un
de bons livres et de n’en lire que de bons. Mais qu’est-ce qu’un bon livre  ; à quels signes le reconnaître ? Concours de
ltivées de préférence. Pédagogie. Des qualités que doit avoir un bon livre de lectures à l’école primaire. Concours de 18
es Ce que la nuit des temps enferme dans ses voiles ? » La Fontaine, livre II, fable XIII. (L’Astrologue qui tombe dans un p
e de Sévigné vient de lire d’un trait les fables qui composent le 11e livre (1678) et qu’elle conte ses impressions à son cou
t. Exposer, en particulier, quelques-unes des idées contenues dans le livre II de l’Émile. – « Qui a pratiqué, à quelque deg
raison armée, de ce bon sens fin, pénétrant, enjoué, tant qu’on a le livre en mains ; le livre fermé, le prestige s’efface e
bon sens fin, pénétrant, enjoué, tant qu’on a le livre en mains ; le livre fermé, le prestige s’efface et de cette nourritur
uez et commentez le proverbe suivant : « Une once de vanité gâte cent livres de mérite. » Montrez comment, en citant certaine
e sans dissertation, cette rhétorique sans règle d’école, seraient un livre unique. Voltaire parle des choses de l’esprit com
e les diverses parties du cours, préparées à l’aide d’un ou plusieurs livres , laquelle adoptez-vous ? Sujets proposés N
tachée. – Quelles sont les qualités que vous devez rechercher dans un livre de lecture que vous vous proposez de mettre entre
s fables, du mal des enfants. – Vous découvrez qu’une de vos amies se livre à des lectures dangereuses, vous faites appel à t
L’Éducation de l’Instituteur, par Chauvin (Picard et Kaan). C’est le livre des devoirs que les éducateurs nationaux ont à re
rdé, ils pourront le décrire avec soin, le jour du concours. Certains livres leur sont indispensables. Ils devront en meubler
de l’enfant, se demander ce qu’à son âge on rêvait quand on lisait un livre de voyages, d’aventures, tel que le Robinson Crus
ant final, l’héroïsme de Jeanne Hachette. Comme le candidat n’a aucun livre sous la main, aucun document à sa portée, il doit
oser son épée et de se constituer prisonnier. 3° Un violent combat se livre dans l’àme du prince. Doit-il tirer une vengeance
u roi de Perse avec deux mille cavaliers. Quelques jours après, Cyrus livre une nouvelle bataille aux Lydiens. Le matin du co
ed cube, ou au boisseau, ou au gallon ; les monnaies se comptaient en livres , sous, deniers, liards, pistoles, écus : la livre
s se comptaient en livres, sous, deniers, liards, pistoles, écus : la livre se divisait en onces, gros, grains ; la toise, en
bruyant et formidable qui dompte les mers, supprime les distances, et livre la terre promise à toutes les énergies de l’activ
e est couverte de journaux et ses tablettes ploient sous le poids des livres . A sa gauche est un petit cabinet, dans les armoi
l ? Rappelez la belle fable de La Fontaine, l’Homme et la Couleuvre, ( livre X, fable 2), où le poète fait dire à cette derniè
ircissait, se simplifiait si l’on se posait cette question : « Qui se livre au commerce maritime ? » L’importateur, l’exporta
ains (notices et extraits) de M. Jacquinet (Belin, éditeur). C’est un livre indispensable pour la préparation aux écoles fémi
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
, loin de rendre un ouvrage plus solide, en détruit l’assemblage ; le livre paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
ar des mortaises. Je voudrais que les pensées se succédassent dans un livre comme les astres dans le ciel, avec harmonie, mai
scours en abrégé. » 3. Dans ce que j’ai dit ici, j’avais en vue le livre de l’Esprit des lois, ouvrage excellent pour le f
à son élection académique. 2. Montaigne disait : « Le commerce des livres est bien plus seur et plus à nous qu’aucun autre 
e distraire d’une imagination importune, il n’est que de recourir aux livres  ; ils me destournent facilement à eux et me la dé
ence, qui est très-véritable, consiste tout le fruict que je tire des livres . » 1. De la collection de M. le comte de Bros
74 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
antinople par la conquête musulmane ; une bibliothèque naissante, les livres qui, de toutes parts, sortent de la poussière des
sard, s’attachait le soupçon d’hérésie (on confisquait au couvent les livres grecs de Rabelais), « se place dans la religion p
s plus fins langages du siècle bien des anecdotes, et, dans plusieurs livres et sous plusieurs titres, peint les mœurs et écri
. La logique, qui appelle la négation aujourd’hui dans : J’ai plus de livres que vous n’en avez (c.-à-d. vous n’en avez pas au
s Peuvent se placer : L’adjectif possessif après le substantif (un livre mien) ; L’adverbe avant le verbe (plus est blâmab
ant le verbe (Dieu les hommes a sauvé ; courir je veux ; prenez votre livre et me laissez le mien ; pour ce faire) ; Le verbe
le roi et le pape : témoin le privilège royal donné en 1546 à son 3e livre , témoin la bulle pontificale de 1536, qui, en l’a
s que ceux des chefs-d’œuvre du théâtre. Son roman se compose de cinq livres , publiés aux dates et sous les titres suivants :
e de cinq livres, publiés aux dates et sous les titres suivants : Ier livre (1535, N. B.), La vie très horrificque du grand G
(1564, posthume, sous le titre de l’Isle Sonnente.) Les deux premiers livres donnaient comme le nom de l’auteur M. Alcofribas
t faire en t’escripvant, comme tu as l’authorité de Marc Tulle en son livre de Vieillesse, et la sentence de Plutarche au liv
Marc Tulle en son livre de Vieillesse, et la sentence de Plutarche au livre intitulé, « Comment on peut se louer sans envie10
nt et midy, rien ne te soit incogneu. Puis soigneusement revisite les livres des medicins greçz, arabes et latins, sans contem
udier et proufficter, eussiez dit que tel estoyt son esprit entre les livres , comme est le feu parmy les brandes18, tant il l’
respondit le marchant, pour l’amour de vous. Mais il en payera troys livres tournoys53 de la piece en choisissant. — C’est be
air, précis, nerveux, nombreux et éloquent. Tout est nouveau dans son livre , dit M. Nisard, « la matière même, la méthode et
sus Christ.   Au commencement que ie m’appliquay à escrire ce présent livre , ie ne pensoye rien moins, Sire, que d’escrire ch
nce. Laquelle mienne deliberation on pourra facilement appercevoir du livre , en tant que ie l’ay accommodé à la plus simple f
ne doctrine, il m’a semblé estre expedient de faire servir ce present livre , tant d’instruction à ceux que premierement i’avo
e ses Essais. Une nouvelle édition, augmentée du troisième et dernier livre , fut publiée par lui à Paris en 1588. Mme de Gour
rit comme il pense ; le lecteur doit la prendre comme il l’écrit. Son livre « de bonne foy » nous convie à penser avec lui, n
est le contre-pied d’une doctrine, nous laisse toute liberté. Si nul livre n’est plus décousu, sans incohérence » nulle tram
mais, sur tout, ie luy sçais bon gré d’avoir sceu trier et choisir un livre si digne et si à propos, pour en faire present à
aire present à son païs. Nous aultres ignorants estions perdus, si ce livre ne nous eust relevé du bourbier : sa mercy95, nou
. Quand i’escris, ie me passe bien de la compaignie et souvenance des livres , de peur qu’ils n’interrompent ma forme ; aussi q
it. I’ay faict ce que i’ay voulu : tout le monde me recognoist en mon livre , et mon livre en moy. (Essais, III, 5.) Re
ce que i’ay voulu : tout le monde me recognoist en mon livre, et mon livre en moy. (Essais, III, 5.) Res verba rapiun
plus de françois ou de perigordin que d’arabesque ; et sans art, sans livre , sans grammaire ou precepte, sans fouet, et sans
mprendre, et principalement, ceulx qui ne vivent qu’en la mémoire des livres  : il practiquera, par le moyen des histoires, ces
der, pour nous cognoistre de bon biais. Somme, ie veuh que ce soit le livre de mon escholier. Tant d’humeurs, de sectes, de i
au plaisir, par où rapprends à renger mes opinions et conditions, les livres qui m’y servent, c’est Plutarque, depuis qu’il es
-deux ans, Étienne de la Boétie doit l’immortalité à l’éloquent petit livre , le Contr’un, que lui inspira en 1548 l’horreur d
rs et miseres, par le bénéfice de la prison. Aucuns y ont composé des livres , s’y sont faicts sçavans et meilleurs : Plus in c
y à faire du feu, pensant retirer de ma fournee trois ou quatre cents livres , et continuay ledit feu jusqu’à ce que j’eus quel
bles, et qui sont sur le poinct de leur advancement. Ce n’est pas ung livre pour les jeunes gens de sçavoir, ils ont assez d’
n ou mal, je m’en remets à ceux qui me feront cest honneur de lire ce livre , qui est proprement le discours de ma vie. C’est
re avoict vendeu tout le bien qu’il possedoyt hormis huit cens ou mil livres de rentes ou revenu. Et, comme j’ai esté le premi
plus tost a exécuter qu’à cappitaine de l’armée. L’escripture de mon livre vous en rendra témoignage. (Commentaires, livre
. Les autres trembloient comme la feuille au vent. Il fit apporter un livre du code sur la table, et l’ouvre luy-mesmes et le
pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les mains, encore que je ne feusse plus un
méthode Après que j’eus employé quelques années à étudier dans le livre du monde et à tâcher d’acquérir quelque expérienc
me semble, que si je me fusse jamais éloigné ni de mon pays ni de mes livres . J’étois alors313 en Allemagne, où l’occasion des
ndoient toutes à la même fin. Et ainsi je pensai que les sciences des livres , au moins celles dont les raisons ne sont que pro
oétiques et militaires qui font rire le lecteur presque dans tous vos livres . Pour me faire croire ignorant, vous avez lâché d
our me taire sur les défauts de votre esprit que vous étalez dans vos livres . Jusque-là je suis assez glorieux pour vous dire
oyal (1661), qu’il écrivit avec Nicole. Son début (1643) avait été le livre de dévotion le plus populaire du siècle, avec l’I
moi qui l’a dit, cela est donc faux : ce n’est pas moi qui ai fait ce livre , il est donc mauvais. C’est la source de l’esprit
ont illustres en piété ; les plus petits auteurs pourroient faire des livres des éloges qu’ils reçoivent de leurs amis ; de so
rères, ayant ouï parler de moi, et sachant que j’avois prêté quelques livres de poésies, se souvint d’avoir vu mon nom au bas
e plus âgée, et de plus mariée, s’adressa à moi : « Ayant de si beaux livres que vous avez, me dit-elle, et faisant d’aussi be
ièrent de les excuser si elles avoient la curiosité d’ouvrir quelques livres qu’elles voyoient ; que c’étoit une curiosité inv
la religion chrétienne (demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce livre ) : ramassez donc toutes ces idées, et ne jugez po
près les hommes et particulièrement la cour et les grands, matière du livre qu’en 1688 il publia modestement à la suite d’une
ciété, et qu’ils renvoient ainsi dépouillés à leur cabinet et à leurs livres . Comme l’ignorance est un état paisible et qui ne
Les faux savans font manifestement paroître ce qu’ils sont dans les livres qu’ils composent et dans leurs conversations ordi
avez peu de temps à vous. Employez le reste du temps libre à lire des livres d’histoire, de fortifications, et de tout le rest
rivée je me suis mis à vous y chercher. Enfin, après avoir rempli mon livre de votre nom et de vos éloges, je puis m’entreten
religion naturelle ; il étoit persuadé de la révélation, et parmi les livres de toute espèce qu’il avoit sans cesse entre les
la jeunesse du comte et des cours de France et d’Angleterre. Ce petit livre a fait oublier ses contes charmants et ses vers s
re, parut si accablé, qu’on eût dit que je lui avois mis quatre cents livres de plomb sur le dos en lui ôtant ces quatre cents
1726, le Traité des Études, « monument de raison et de goût et un des livres les mieux écrits dans notre langue après les livr
de goût et un des livres les mieux écrits dans notre langue après les livres de génie » (Villemain), une Histoire ancienne et
dans la comédie de ce nom (1709) ; Gil Blas, héros du roman dont les livres parurent successivement de 1715 à 1735. Gil Blas,
, et les airs et les symphonies avec celles de Rameau522 ; on lit les livres avec l’esprit des bons auteurs. On dit qu’il ne f
……………… Je vis les Muses présenter tour à tour sur l’autel du dieu des livres , des dessins et des plans de toute espèce. On voi
èque de ce palais enchanté ; elle n’était pas ample… Presque tous les livres y sont corrigés et retranchés de la main des Muse
us leur forme légère, portent loin, et, en 1734, par le profond petit livre des Considérations sur les causes de la grandeur
grave publiciste a souvent donné au plus sérieux et au plus dense des livres un tour d’imagination qui tait penser à son compa
ard). « J’avoue qu’il manque souvent d’ordre, malgré ses divisions en livres et en chapitres ; que quelquefois il donne une ép
jamais un génie heureux et profond, qui pense et qui fait penser. Son livre devrait être le bréviaire de ceux qui sont appelé
ures m’étonne ; la sainteté de l’Évangile parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe ; qu’ils so
e leur pompe ; qu’ils sont petits près de celui-là ! Se peut-il qu’un livre à la fois si sublime et si simple soit l’ouvrage
t plus inconcevable que plusieurs hommes d’accord eussent fabriqué ce livre , qu’il ne l’est qu’un seul en ait fourni le sujet
pour m’occuper le reste de mes jours. On dit qu’un Allemand a fait un livre sur un zeste de citron : j’en aurois fait un sur
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y livre en vue de remplir son devoir ; et la vigueur de l
z moi ; que ce panier contenoit, entre autres choses, un pot de vingt livres de beurre ; que le tout est parvenu, je ne sais c
lon de travail, situé sur une haute terrasse, devant son bureau, sans livres , sans appareil scientifique, pénétré de son sujet
nois plus ce qu’elles mettoient en moi ; j’étouffois, je quittois mes livres , et je sortois comme un homme en fureur, pour fai
ite ses accessoires aussi sérieusement que le fond de son sujet. À ce livre placé sur une table, devant cette fille aînée, je
e de réciter les prières des agonisans. Cette fiole qui est à côté du livre contient apparemment les restes d’un cordial. Et
nelon dans une partie de son Existence de Dieu, Chateaubriand dans un livre de son Génie du christianisme, les observations m
s d’ineffables rêveries, qui souvent ont fait tomber de mes mains les livres des philosophes. Majestueuses forêts, paisibles s
oraux de Florian (1755-1794) qu’on ne lit plus ; surtout par le petit livre , le seul qu’on lise toujours, d’un romancier qui
nrichit et se popularise, ses lois se fixent, sa pratique se répand : livres , revues, discours et rapports académiques, tout l
pas nécessaire d’aller si loin pour goûter la nature, ni de faire les livres pour la peindre. Quelques lettres ou quelques fra
Il voyage en Italie avec Mme de Staël ; il se resserre dans le petit livre (Adolphe) de Benjamin Constant, son ami. Tout à c
emporel de la Providence (1821), second titre qui indique l’esprit du livre et la doctrine générale de tous les écrits de son
sa retraite de Coppet, en Suisse, sortirent successivement ces beaux livres (Corinne, 1807 ; de l’Allemagne, 1810) que mutila
orts avec les institutions sociales, discours préliminaire.) Les livres consolateurs Cette tristesse aride qui naît d
s Martyrs, sous le titre de Itinéraire de Paris à Jérusalem (1811), «  livre original et charmant, dit M. Villemain, le plus n
e humaine682, les larmes de l’admiration ont coulé de nos yeux, et le livre est tombé de nos mains. (Ibid., part. III, liv.
ait, et du matin au soir, à la manière d’Homère, qui n’avait point de livres . Il étudiait les hommes ; on ne les voit nulle pa
tudes, et je sais à présent des choses qu’on n’apprend point dans les livres . Je me rapproche de vous de deux cents lieues. Je
s. — Monsieur, lui dis-je, les Lettres provinciales de Pascal… — Oh ! livre admirable, divin, le chef-d’œuvre de notre langue
cations révolutionnaires de ses Paroles d’un croyant (1834) et de son Livre du peuple (1838), que continuèrent d’autres écrit
érature française au xviiie  siècle ; il a jugé en maître dans divers livres les anciens et les modernes. (Pindare, Chateaubri
imagination du grand orateur et qu’avait nourri son ardente étude des livres saints, sa fréquentation solitaire du Liban et du
passionné des autres chants de victoires ou de deuils semés dans les livres saints, Bossuet semble plus épris encore de cette
, de ces courts axiomes, de ces symboles parlants qui remplissent les livres de Salomon et ceux du fils de Sirach. Par toutes
endant sa retraite ; enfin dans la doctrine religieuse, par plusieurs livres de Méditations sur l’essence ou l’état actuel de
la conquête de l’Angleterre par les Normands, de M. Thierry, le seul livre où les motifs, les penchants, les impulsions qui
attribue généreusement l’inspiration révélatrice à la lecture du VIe livre des Martyrs et des romans historiques de Walter S
ît le plus grand honneur à sa sagacité ; il en fit le sujet d’un gros livre qu’il imprima en beaux caractères800. Ce livre fu
fit le sujet d’un gros livre qu’il imprima en beaux caractères800. Ce livre fut saisi, lacéré et brûlé ; au lieu des louanges
française, Précis de l’histoire moderne, un chef-d’œuvre, etc.) ; des livres empreints d’un double caractère, la passion de la
n et d’écrivain. Dans sa chaire une parole ardente, dans ses derniers livres une âme tendre, un style plein d’éclat, de sensib
coup vécu, beaucoup fait et beaucoup souffert. Il tenait à la main un livre qu’il venait de fermer, et semblait plongé dans u
es de mots simples et grandioses, de pensées qui sentent la Bible, le livre de la Sagesse, et où résonne pourtant comme un lo
l. Dès sa jeunesse, au milieu de ses travaux dramatiques, il avait un livre secret dans lequel il écrivait tout son examen de
dans sa vieillesse :   « Je suis auprès de mes consolateurs, de vieux livres , une belle vue et de douces promenades. J’ai soin
ue, publiciste, a fait goûter dans sa chaire de la Sorbonne, dans ses livres , dans sa polémique journalière, un langage net et
us intéressants, et souvent les plus piquants. Comme cet ouvrage, ses livres sur la vie et les œuvres de Jean-Jacques Rousseau
parfait de l’amour paternel, il est naturel que je le prenne dans le livre divin qui a donné à tous les sentiments de l’homm
aturelles, essaye de les remplacer par d’autres affections, alors les livres ne représentent plus la société : ils représenten
est un homme qui a fait une révolution. Aujourd’hui on dit : C’est un livre . De là l’importance qu’ont prise les idées, et ce
uerres dans ce pays nous apportaient, avec le mal de l’imitation, les livres grecs et latins qui devaient nous en guérir. Les
a fausse science la source même de la vraie science, c’est-à-dire les livres où elle est consignée. La Réforme dissipa l’ignor
ur prouvant qu’elle savait mieux lire qu’eux-mêmes dans leurs propres livres , les força d’y regarder ; et la science s’ajoutan
ns bienveillant, de l’élévation et de la naïveté, les qualités de ses livres , intelligence, sagacité critique, sentiment de la
s de bâcler un théâtre929 entre la septième et huitieme édition de ce livre  ; les Cordeliers930 avec leurs trois énormes pign
regrets s’évanouiraient à l’instant. Le Lépreux. — En vain quelques livres m’ont instruit de la perversité des hommes et des
re la plus originale, à part le fragment épique de Moïse, est-elle le livre qu’il intitula Servitude et grandeur militaires (
est ici / fienter ; autrefois c’était repaître. » (Le Duchat) 53. La livre parisis (frappée à Paris) valait 25 sous ; — tour
0. Opiare. souhaiter. 61. Pays imaginaire où Panurge débarque au Ve livre . 62. Ulla, quelque. 63. Berger de la farce de
jà fort avant au decours de mon aage, j’ai commencé à prendre en main livres latins, en quoy il m’est advenu une chose estrang
ce style qui ne bronche jamais. » (Géruzez, Hist. de la litt. franc., livre III, chap. 4.) 205. Un corps d’Espagnols servait
rneille. (Voltaire). 283. Histoire de la littérature française, livre III, chap. VII. 284. Précis d’histoire moderne,
un. de Condé (1re p., début). 466. Isaïe, LII, 7. 467. Le Tartare ( livre XVIII). 468. Gloire signifie ici splendeur, co
mparez les plaisirs matériels des justes et des héros dans le sixième livre de l’Énéide. 470. On a conjecturé sans preuves q
. 534. Moabdar, roi de Babylone, dit le conte. 535. Abrégé du Zend, livre sacré des Brahmanes. 536. Trésorier de Voltaire
branle en secret ! (Note de J.-J. Rousseau.) 553. De la République, livre I. 554. Du fameux naturaliste Suédois Linné (170
lafonds de Versailles, dans l’architecture, dans les frontispices des livres , etc. 575. Marie de Médicis. Voir au Louvre. 57
s formes et les couleurs des nuages, dans les Harmonies de la Nature ( livre III), Harmonies aquatiques de l’air. 594. B. de
gouvernement despotique. » (Montesquieu. C’est tout le chap. XIII du livre V de l’Esprit des Lois.) 640. De Providentia, V
e que naquit la mode des maximes. Son salon a été le berceau du petit livre , chef-d’œuvre de La Rochefoucauld. 761. Voir sa
a Jacquerie (xive  siècle). 800. xvie et xviiie  siècles. 801. Un livre ne pouvait être publié sans permission et privilè
75 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
ux ennemis que lui avait faits sa gloire. « On trouve dans ce dernier livre , remarque M. Nisard, de grands traits de mélancol
cartes, résolu de chercher la vérité en lui-même et non plus dans les livres , entreprend d’ôter de son esprit toutes les opini
que celle qui se pourrait trouver en moi-même, ou bien dans le grand livre du monde, j’employai le reste de ma jeunesse à vo
ent été bâties à d’autres fins : ainsi je pensai que les sciences des livres , s’étant composées et grossies peu à peu des opin
français par les progrès qu’elle introduisit dans les méthodes et les livres consacrés à l’instruction de la jeunesse. La Logi
que de laisser deux ouvrages, les Provinciales et les Pensées. Aucun livre n’atteste plus que le premier la puissance du sty
le bonheur, qui est le tout du monde. Je voudrais de bon cœur voir le livre italien, dont je ne connais que le titre, qui vau
italien, dont je ne connais que le titre, qui vaut lui seul bien des livres , Della opinione regina del mondo 99. J’y souscris
uises, et que celles des anciens lui sont toujours présentes dans les livres qu’ils en ont laissés. Et comme il conserve ces c
la religion chrétienne : demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce livre . Ramassez donc toutes ces idées, et ne jugez poin
tous, disait cette femme dont l’Écriture a loué la prudence au second livre des Rois184, et nous allons sans cesse au tombeau
qu’à rire dans un auteur. Rabelais surtout est incompréhensible. Son livre est une énigme, quoi qu’on veuille dire, inexplic
Je ne vous remettrai point à un autre jour. Vous me trouverez sur les livres de Platon qui traitent de la spiritualité de l’âm
Parlez, que voulez-vous que je fasse pour vous ? Faut-il quitter mes livres , mes études, mon ouvrage, cette ligne qui est com
l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France. Outre ce livre pénétré de l’esprit antique et des inspirations s
aucun besoin, de tous ces secours, ayant pour consolation les saints livres gui sont dans nos mains. Et en effet, de quoi l’É
t pour éclairer ses semblables et pour les rendre meilleurs. Après un livre frivole, où des parties sérieuses portaient l’emp
ons : tant la saine raison à partout d’empire ! Dites-moi si les bons livres de ce temps n’ont pas servi à l’éducation de tous
oin de rendre un ouvrage plus solide, en détruit l’assemblage369 ; le livre paraît plus clair aux yeux, mais le dessein de l’
e à vous faire imprimer ? Si l’on peut pardonner l’essor d’un mauvais livre , Ce n’est qu’aux malheureux qui composent pour vi
s mes désirs, J’achète à peu de frais de solides plaisirs. Tantôt, un livre en main, errant dans les prairies, J’occupe ma ra
e vos derniers vers on est fort en courroux : Pradon a mis au jour un livre contre vous ; Et chez le chapelier du coin de not
emploi ? JOAS. J’adore le Seigneur ; on m’explique sa loi ; Dans son livre divin on m’apprend à la lire, Et déjà de ma main
e. Quelque temps indécise et troublée, Athalie veut bientôt qu’on lui livre Éliacin. Mathan se présente à Josabeth et réclame
age. Hélas ! ils ont des rois égaré le plus sage677 Promettez sur ce livre , et devant ces témoins, Que Dieu fera toujours le
endant Abner apporte les propositions de paix de la reine : qu’on lui livre Éliacin avec les trésors de David, et le temple s
e venais t’arracher à ce monstre odieux. Tu m’aimes : vengeons-nous ; livre -moi la victime. ALZIRE. Oui, tu dois te venger, t
C’est ce qui fait que J.-J. Rousseau a appelé cet ouvrage un triste livre . Au contraire, Montesquieu disait des Maximes, e
l, précédée d’une étude ; M. Sainte-Beuve, qui lui a consacré tout un livre , le troisième de son Port-Royal, et M. Cousin, qu
vocation de l’édit de Nantes éloigna de la France. Il est auteur d’un livre sur la Vérité de la religion chrétienne, 1684, su
1. « Dans ces solennités funèbres, dit M. Jacquinet au chap. V de son livre des Prédicateurs du dix-septième siècle avant Bos
ses censures Cf. Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, livre  IV, chap. 3. 278. Nicolas de Catinat naquit à Pa
hi ; on dira mieux assouvir sa colère, etc. 283. Lactance a écrit un livre intitulé : De la mort des persécuteurs de l’Églis
Saint-Simon considéré comme historien de Louis XIV (1 vol. in-8º). Ce livre peut être regardé comme le jugement définitif de
on de l’Observatoire de Paris. On lui doit, entre autres ouvrages, le livre intitulé Mesure de la terre, 1671, in-fº. Mort en
instabilité progressive de la science, les hypothèses que contient ce livre ont pour la plupart été délaissées ; mais on n’en
u en arrière, certains passages de Montaigne, notamment le chap. V du livre  III des Essais, et, en revenant vers nos jours, q
et dosâmes fortes seulement à cause qu’ils la méprisent ! » 388. Ce livre , incomplet sans doute, offre de nombreuses pages
Jésus-Christ occupa Corneille pendant six années : les deux premiers livres parurent en 1651. Cet ouvrage eut un grand succès
aux tu de la païenne Pauline. » Génie du Christianisme, partie II, livre  III, c. viii. 417. Ici il faut comparer Bossue
prix que diverses libéralités avaient élevé jusqu’au chiffre de 4 400  livres . L’ouvrage était d’ailleurs très digne de cette b
la compétence qui le distinguaient, M. Walckenaer a donné sur lui un livre plein de recherches curieuses : Histoire de la vi
éditions. 448. Il faut rapprocher de cette fable un passage du IIIe  livre de Lucrèce, v. 944 au v. 992, et un beau chapitre
u v. 992, et un beau chapitre des Essais de Montaigne, le 19e, du Ier  livre . 449. Cf. Properce, Élégie sur la mort du jeune
un trait de satire avec un air plein de bonhomie : cf. la fable 1 du livre  X : Non loin du Nord il est un monde Où l’on sai
ux animaux Ils y construisent des travaux… 456. Voy. la fable X du livre  X, Le berger et le roi. 457. Remarquez la coupe
ndé et agrandi par le génie de La Fontaine ! 466. Voy. la fable 5 du livre  VI : le cochet (jeune coq), le chat et le sourice
s donnera bien plus qu’il ne nous annonce. 467. Marc-Aurèle, dans le livre qu’il nous a laissé sur lui-même, ne nous parle d
urs analytique de la littérature générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre  III de son Histoire de la littérature française ;
la défense de Racine, d’abord que le fait est ainsi raconté dans les livres saints ; ensuite, qu’un homme dont l’esprit est e
et J.-B. Rousseau se sont aussi approprié cette magnifique image des livres saints ; le premier, dans le chant V de la Henria
quérir une parfaite connaissance du sujet, emprunté au IIIe et au IVe  livre des Rois, la lecture de la préface que Racine a d
fonder l’intérêt de la pièce n’y a été omis. Quant aux imitations des livres saints, fort multipliées comme dans Esther, nous
portée de son jeune âge, mûri comme on le suppose, par la lecture des livres sacrés. Le rapport sensible de ses paroles avec s
M. Prosper Faugère. 659. Cette femme juive, comme on le voit dans le Livre des Juges, c. iv, fit périr en effet Sisara, géné
Orbi salutem germinet ! 675. Circonstance conforme aux récits des livres saints et très-heureusement rapportée ici, en ce
llectif, ce qui explique le pluriel eux. 679. Ainsi Fénelon, au IIe  livre de Télémaque : « Quand tu seras le maître des aut
de littérature de La Harpe, les Mémoires de Marmontel, vers la fin du livre  IV, les feuilletons de Geoffroy et une leçon de M
té à Tacite. On pourra lire dans les Annales les chap. 44 et suiv. du livre  XII, et le chap. 37 du livre XIII. 688. À partir
ans les Annales les chap. 44 et suiv. du livre XII, et le chap. 37 du livre  XIII. 688. À partir du second acte, observe La H
cesse guère d’exister qu’à la fin du xviie  siècle. L’un des premiers livres qui le dissipèrent fut celui que le savant Bayle
ittératures étrangères, il a traduit en vers les Géorgiques et le VIe  livre de l’Enéide. Le libraire Nyon a publié une bonne
76 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre V. » pp. 82-88
urrait bien provenir également, plus ou moins directement, de quelque livre d’Aristote. L’auteur avait aussi sous les yeux le
. Vauquelin de la Fresnaye écrit, à la fin du XVI e siècle (Poétique, livre II, p. 50, éd. 1612) : Or comme eux l’héroïc, su
1597, argumente formellement contre la règle des vingt-quatre heures ( livre V, chap. 9). La Mesnardière, Poétique (1640), cha
77 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
sont la loi commune de tout écrivain, et que celui qui parle sur les livres des autres, au lieu d’en faire lui-même, n’est pa
es, qui se mêlent sans confusion, conduit le lecteur jusqu’au bout du livre sans qu’il ait un moment l’envie de s’arrêter. On
patronage. 2. Il faut pourtant conserver toujours la haine d’un sot livre . C’est une des inspirations du critique. 3. Pour
ase ! 2. Aimer le talent est le premier devoir de celui qui juge les livres . 3. Librairie académique. 4. Voir dans M. Nisar
78 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
aïveté. Martial, né en Espagne, l’an 40 de notre ère, a laissé treize livres d’épigrammes sur lesquelles il a porté lui-même l
gis hic : aliter non fit, Avite, liber. Je t’offre, ami lecteur, au livre que voici, Du bon, du médiocre et du mauvais auss
mauvais aussi.        Tu riras de l’aveu ; n’importe        Hé ! quel livre est fait d’autre sorte ? Martial aiguisa l’épigr
ription s’appelle épigraphe quand elle est placée au frontispice d’un livre , pour en indiquer, sous forme de sentence, l’obje
79 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
eurs. C’est ainsi que land (terre) devint lande, pays stérile ; buch ( livre ), bouquin ; ross (coursier), rosse ; herr (seigne
pieuse figure de Louis IX, fondant la Sorbonne, faisant traduire les livres saints, ouvrant la première bibliothèque publique
as assez français par le cœur, il l’est du moins par l’esprit, et son livre sera l’adieu, le testament de la chevalerie qui v
les principes, et confond trop volontiers le juste avec l’utile. Son livre est un monument qui nous rappelle l’œuvre princip
le est maintenant une arme faite pour l’action. C’est le temps où les livres remuent le monde. Sobre, précis et rapide, le sty
80 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre II. Études du Prédicateur. »
’un commentaire perfide. Sans compter les ressources immenses que les livres saints offrent au prédicateur qui sait en faire u
fique Fléchier a su tirer de la rare conformité que lui offraient les livres saints entre le héros des Machabées, et le grand
81 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
net Térence et Plaute, pour n’être pas importuné de leurs raisons. » ( Livre cité, p. 249.) On peut voir dans la Poétique de L
es éditeurs qui, comme Vettori, ont cru que nous avions là le premier livre d’un grand ouvrage d’Aristote sur la Poétique. Vo
82 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
l’enfance des dons merveilleux. On sait que, sans le secours d’aucun livre , il trouva seul à l’âge de douze ans, les trente-
selle me plaît seule. Lorsqu’en voyant un homme on se souvient de son livre , c’est mauvais signe. Je voudrais qu’on ne s’aper
in : « De tous les monuments du génie, nul n’est plus célèbre que le livre des Pensées, et la littérature française ne possè
83 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
peuvent pas s’employer avec le substantif francs. Il faut dire : deux livres , trois livres, cinq livres. Je remarquerai ici qu
employer avec le substantif francs. Il faut dire : deux livres, trois livres , cinq livres. Je remarquerai ici qu’on peut se se
le substantif francs. Il faut dire : deux livres, trois livres, cinq livres . Je remarquerai ici qu’on peut se servir de ce su
is d’une fraction. On peut dire : six francs, et l’on doit dire : six livres dix sous. Article III. Observations sur
y. Si l’on vous demande : est-ce là votre tabatière ? sont-ce là vos livres  ? vous ne répondrez point : non, ce n’est pas ell
vient proprement qu’aux personnes. On dira d’une maison, de plusieurs livres  : je lui dois le rétablissement de ma santé : je
es prodiges de valeur, chacun sous ses drapeaux : = remettez tous ces livres , chacun à sa place. J’ai dit, dans la première éd
veulent le verbe au singulier : = les meubles les plus précieux, les livres les plus rares, les plus beaux chef-d’œuvres des
 : = votre maître vous dispense de ce travail : = je vous donnerai un livre . Le verbe passif a un régime composé, marqué par
pour les verbes actifs. Exemples pour les verbes actifs. Quel livre avez-vous lu ? = quelle beauté avez-vous remarqué
osés ? = quelles contrées avez-vous parcourues ? Ces noms substantifs livre , beauté, ouvrages, contrées, sont en régime simpl
n. = Vous ne trouverez pas deux hommes de votre avis. = Il n’a pas un livre . Point s’emploie mieux à la fin d’une phrase. = S
84 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXII. » pp. 122-123
διάλɛϰτο, qui n’est autre que le genre tempéré. Voy. Denys d’Halic., livre cité, et Jugement sur les philosophes : Οὐδὲ παρα
dans la versification française, voyez le traité de M. L. Quicherat, livre I, chap. viii. Dans un vers.] Sur ce sens général
85 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
ez longs pour se diviser en plusieurs parties qu’on appelle chants ou livres , et qu’à cause de cela nous avons appelés grands
l’amitié et la mort de Nisus et d’Euryale, célébrées dans le neuvième livre de l’Énéide. Thalie prend ensuite la parole et ra
 ans avant notre ère, a fait sur la Nature des choses un poème en six livres , où il expose la physique d’Épicure. C’est une ph
que par la magnificence des morceaux où le poète rend les beautés des livres saints. Le commencement en est, en particulier, s
l en dit. C’est une satire en plusieurs chants ; et le poète, qui s’y livre à toute sa malignité, peut nous amuser un instant
es a condensés, en quelque sorte, savoir, l’Odyssée dans ses premiers livres , et l’Iliade dans les derniers. On a souvent comp
86 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177
Je ne vous remettrai point à un autre jour. Vous me trouverez sur les livres de Platon qui traitent de la spiritualité de l’âm
Parlez, que voulez-vous que je fasse pour vous ? Faut-il quitter mes livres , mes études, mon ouvrage, cette ligne qui est com
 ! Les écrivains et les hommes de finance Si les pensées, les livres et leurs auteurs dépendaient des riches et de ceu
e regardaient comme un homme qui n’était pas riche, et qui faisait un livre  ? Que deviendront les Fauconnets 5 ? iront-ils au
vous ne m’aviez pas tant loué », et il lui donna une pension de 2,000 livres . 3. Complexions, caractères. 4. Saint-Simon n’
ressentiment qu’il en a gardé se laisse voir en maint endroit de son livre , et s’y marque même avec amertume. Ayant passé en
87 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
le trouvai même si bien enchâssé, et tenant si bien sa place dans le livre , que je n’eus pas la consolation de me pouvoir fl
ntièrement. Enfin, je vous vis au Palais-Royal, où je vous dis que ce livre couroit ; vous voulûtes me conter qu’il falloit q
Être dans les mains de tout le monde ; se trouver imprimée ; être le livre de divertissement de toutes les provinces, où ces
la religion chrétienne (demandez à l’abbé de Polignac s’il estime ce livre ) ; ramassez donc toutes ces idées, et ne jugez po
88 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
leur théâtre complet est ouvert aux élèves de la dernière. Les douze livres des Fables de La Fontaine sont sous leurs yeux en
des Vers lyriques ou Odes, L’année suivante Ronsard donne son premier livre d’Odes. En vain Charles Fontaine répond à la Deff
ont de 1540 à 1543 : ils furent continués à Genève. Ses Élégies (deux livres ), ses Ballades et Chants royaux, ses Complaintes,
Chansons, son Cimetière (épitaphes), ses Étrennes, ses Rondeaux (deux livres ), ses Épigrammes (sept livres), ses Épîtres (deux
phes), ses Étrennes, ses Rondeaux (deux livres), ses Épigrammes (sept livres ), ses Épîtres (deux livres), ses Églogues, éparse
ndeaux (deux livres), ses Épigrammes (sept livres), ses Épîtres (deux livres ), ses Églogues, éparses sous différents titres da
devois de ce peu que je puis, Vivre content du bien de la plume et du livre . Mais il n’a pleu aux Dieux me permettre de suiv
que long temps à l’estude il pallisse, Je ne veulx que resveur sur le livre il vieillisse, Feuilletant, studieux, tous les so
le roi ; il se révélait par le recueil intitulé : Les quatre premiers livres des Odes de P. de Ronsard, Vandômois. Puis succes
és à différentes reprises, les Amours de Cassandre, avec le cinquième livre des Odes (1552), le Bocage royal (1552), les Hymn
honneste ! Un autre en caquetant m’estourdiroit la teste184. Puis, du livre ennuyé, je regardois les fleurs, Feuilles, tiges,
Il publia (1873) ses œuvres en quatre volumes. Elles comprennent neuf livres de Poèmes divers, sept d’Amours, cinq de Jeux et
9, Se rend come visible ès œuvres de ses mains… Le monde est un grand livre , où du souverain Mètre L’admirable artifice on li
du Pré-aux-Clercs à Paris. — À dix-neuf ans il publia (1555) en deux livres , sous le nom de Foresteries, qui n’a pas fait for
deux ans avant sa mort. Elle contient ses Satyres françoises en cinq livres , ses Idillies en deux livres, son Art poétique fr
contient ses Satyres françoises en cinq livres, ses Idillies en deux livres , son Art poétique françois en trois livres. — Le
vres, ses Idillies en deux livres, son Art poétique françois en trois livres . — Le nom de Satire avait été renouvelé de l’anti
de sa vive et franche allure à droite et à gauche : au milieu de ses livres , il chante le mois de mai et chansonne l’Espagnol
ter mon bien que l’on ait conscience.     Alors vrayment heureux, les livres feüillettant, Je rendrois mon désir et mon esprit
rts tout nouveaux ; et s’ils font, comme ils disent, De ses fautes un livre aussi gros que le sien595 Telles je les croiray
t aux vieux guerriers ; Qu’ils composent une œuvre : on verra si leur livre , Aprés mille et mille ans, sera digne de vivre, S
seigneur et son roy687…     O le plaisir que c’est, ayant au poing un livre , De se perdre en un bois, et de tout soing delivr
ffit à ses poésies ; les autres renferment ses traductions du XXXIIIe livre de Tite-Live, des Bienfaits et de quatre-vingt-on
même. Il charme l’enfant, il fait réfléchir l’homme. Si Horace est le livre de tous les sages, La Fontaine est le livre de to
l’homme. Si Horace est le livre de tous les sages, La Fontaine est le livre de tous les âges. La mort et le bucheron837
ses, Et les disoit à travers champs, N’étant pas de ces rats qui, les livres rongeans, Se font savane jusques aux dons. Parmi
les prise, et prétends qu’ils me laissent aussi Révérer les héros du livre que voici. Recevez leur tribut des mains de Tosca
n l’air dont il faut vivre Instruit mieux à mon gré que ne fait aucun livre . Elle aime à dépenser en habits, linge et nœuds :
nce à revenir sur l’eau. VALÈRE. Calmons le désespoir où la fureur me livre . Approche ce fauteuil. (Hector approche un fauteu
VALÈRE, assis.                                     Va me chercher un livre . HECTOR. Quel livre voulez-vous lire en votre cha
                                Va me chercher un livre. HECTOR. Quel livre voulez-vous lire en votre chagrin ? VALÈRE Celui
peu ; prends dans ma bibliothèque. HECTOR, sort, et rentre, tenant un livre . Voilà Sénèque. VALÈRE.                         
une ingénieuse prétention ce qu’il en pense quand il dit : « premier livre de la Pluralité des Mondes est la meilleure églog
ommaient alors patibulaire 1080. Il m’enseigna comment on dépeçait Un livre entier, comme on le recousait, Comme on jugeait d
oracle et le bouffon Craignent pour eux le sort des absens qu’il leur livre Et que tous avec lui seroient fâchés de vivre. On
liques ou semi-épiques, qu’il a intitulés : Galatée (1788), en quatre livres , imitée ou travestie de Cervantes ; Estelle (1788
tre livres, imitée ou travestie de Cervantes ; Estelle (1788), en six livres , prose mêlée, comme Galatée, de romances, et qui
lles ; — enfin (1792) le recueil de quatre-vingt-neuf Fables, en cinq livres , qui a consacré son nom. Le singe qui montre l
a bataille de Marengo. Ces sujets mesurent la longueur de sa vie. Six livres d’odes (cent quarante-deux Odes guerrières, polit
ssivement, dans le goût de Gessner, quarante-quatre Idylles en quatre livres , puis deux poèmes : la Voix de la Nature (trois c
Béranger, né à Paris, petit-fils d’un tailleur et fils d’un teneur de livres , d’abord ouvrier imprimeur, puis fixé douze ans d
e tragique sans y ajouter. Au théâtre il sut prendre le vent entre le livre révélateur de Mme de Staël (De l’Allemagne) et le
en sonder l’infini ; Nuit où le firmament, dépouillé de nuages, De ce livre de feu rouvre toutes les pages ! Sur le dernier s
aulettes de capitaine d’infanterie, il avait déjà publié les poésies ( livre antique : Moïse, la Fille de Jephté, le Déluge, E
s (livre antique : Moïse, la Fille de Jephté, le Déluge, Eloa, etc. ; livre moderne : Dolorida, le Cor, le Trappiste, etc.),
ans le sac d’un de ses soldats. C’est la méditation du premier-né des livres , c’est le voisinage et la contemplation des Vosge
emise, Au coursier d’Israël qu’il attache le frein ; Je lui lègue mon livre et la verge d’airain. « Pourquoi vous fallut-il t
ole romantique qu’il a défendue par sa propagande et enrichie par ses livres . Son caractère propre, celui qui fera vivre la pa
lair dans mon âtre, Sur mes genoux un chat qui se joue et folâtre, Un livre pour veiller, un fauteuil pour dormir1441 ?. (P
Fuyant et reculant devant nos attentats, Tu remontes aux cieux et tu livres la terre À des enfants ingrats et plus forts que
tiques etle recueil de Primel et Nola (1852). Tout a son lien dans le livre lyrique de la Fleur d’or (intitulé d’abord les Te
, pleurant un long espoir déçu, De tes petites mains je vis tomber le livre  ; Tu cessas à la fois de m’entendre et de vivre…
ernette (1868), roman en vers, n’est plus que son cher Forez Celui du Livre d’un Père (1876) est le foyer domestique. Partout
rmer obstinément les yeux, Rien qu’à toucher du doigt les pages de ce livre , En écoutant le maître1489 avec le cœur joyeux.
toujours verts ; Allons respirer l’air que respirent les chênes… Les livres sont fermés et les bois sont ouverts1490. (Le L
ur, batteur de pavez, s’il en estoit à Paris, au demourant, etc. (1er livre de Pantagruel, chap. 16). 17. Garçon, en patois
r). Plusieurs fois, Ronsard cité ensemble Gastine et le Loir (Amours, livre  Ier, sonnets 66, 161). Voyez Odes, liv. II, 15 :
de la musique. C’est à Calliope que Ronsard adresse la seconde ode du livre II : C’est toy qui fais que j’aime les fontaines
s mes désirs, J’achète à peu de frais de solides plaisirs. Tantôt, un livre en main, errant dans les prairies, J’occupe ma ra
Mimes latins, un enseignement moral. Ce recueil est divisé en quatre livres , et contient 1660 sixains. — Il contient plusieur
— Jodelle a fait dans cette pièce tous les emprunts qu’il a pu au IVe livre de l’Enéide. 310. Non pas héritage reçue, mais
eur le début aux deux vers suivants ; Grands Dieux qui, sans mourir, livres tout en trespas, Qui, sans jamais changer, change
ant aumônier de Charles IX, intitulé Plaisirs des champs, et un petit livre qui est comme le manuel poétique de l’amateur des
et un passage du Courtisan retiré de Jean de la Taille. 445. Le IVe livre des Satyres contient dix pièces, épîtres bien plu
plis dans les premières années du xviie  siècle. Ils comprennent sept livres , intitulés Misères, Princes, la Chambre dorée, le
ette strophe, demi joyeuse, demi mélancolique, échappée du milieu des livres du do.cte professeur, mériterait d’être renommée
r par des cérémonies religieuses ou des pratiques magiques. Grimoire, livre (Étymol. controversée, γράμμα ? des sorciers pour
e rappelle le Roman de la Rose. — Voyez la même allégorie dans le IIe livre des Sonnets pour Helene, de Ronsard, sonnet 21.
. Or va, romps-toy la teste, et de jour et de nuict, Pallis dessus un livre à l’appetit d’un bruict Qui nous honore après que
comme personnes yvres, Et disent pour bon-jour, Monsieur, je fais des livres , On les vend au Palais, et les Doctes du temps A
ou la chasse au sanglier (œuvres poétiques). — En 1625, fut publié le Livre de la chasse, composé par le Roy Charles IX et dé
ore Discours à Madame de la Sablière la fable qui commence le dixième livre , et où il réfute la doctrine de Descartes sur l’a
ieur Pierre Corneille, premier poète dramatique du monde ; deux mille livres  ». Le 10e est Molière « excellent poète comique ;
mille livres ». Le 10e est Molière « excellent poète comique ; mille livres  ». Le 30e est Chapelain, « le plus grand poète fr
françois qui ait jamais été et du plus solide jugement ; trois mille livres  ». (Voir Histoire de Molière, par Taschereau, not
mille livres ». (Voir Histoire de Molière, par Taschereau, note 14 du livre II.) M. de Longueville lui faisait quatre mille l
eau, note 14 du livre II.) M. de Longueville lui faisait quatre mille livres , etc. 957. Le barbier du roi de Phrygie Midas av
. Il se dérobe par une réponse glaciale et ambiguë. (Cf. Énée, au IVe livre de l’Éneide.) Interdite et déçue, elle interroge,
ns par ces citations les éléments d’une comparaison avec le quatrième livre de l’Énéide, porté au programme de la Troisième.
t M. de La Faye. La Motte le remercia de lui permettre d’enrichir son livre de l’ode qu’il avait faite « en faveur des vers »
« Dès sa jeunesse, au milieu de ses travaux dramatiques, il avait un livre secret dans lequel il écrivait tout son examen de
oli quelquefois. 1163. Clément (1742-1812), de Dijon, fut, par ses livres et sa plume de journaliste critique, un des allié
d’or. — Ailleurs, même dans les plus vantées de ses odes (ode 34e du livre Ier, à Voltaire, en faveur de mademoiselle Cornei
vre Ier, à Voltaire, en faveur de mademoiselle Corneille ; ode 1re du livre IIe, l’Enthousiasme ; ode 23e du livre Ve, sur le
oiselle Corneille ; ode 1re du livre IIe, l’Enthousiasme ; ode 23e du livre Ve, sur le vaisseau le Vengeur, on est haletant d
mêlé d’admiration ? 1332. Les Harmonies poétiques et religieuses (IV livres ) ne mentent pas aux trois mots de leur titre : el
dies. » (Littré.) 1357. Léviathan, monstre marin, mentionné dans le livre de Job. — Alcyon, ou hirondelle de mer (Ἅλς, mer 
ans leur application, dans ses préfaces et dans ses poésies, le grand livre (métaphore qui lui est familière) ou il a lu, sur
i lui est familière) ou il a lu, sur lequel il a médité, rêvé, senti, livre écrit par Dieu avec des couleurs et des rayons. «
à sa Muse grisée de printemps dans les Chansons des rues et des bois, livre puéril et charmant, débauche d’esprit et de mauva
re une poche dans laquelle elle porte ses petits. Voyez la fable 1re, livre II, de Florian. 1391. Goémon, appelé aussi vare
atyre écoutant les chansons ; Par vous la rêverie errante, vagabonde, Livre a vos favoris la nature et le monde ; Par vous mo
ont remis en honneur le sonnet, oublié au xviiie . Nous détachons du Livre des Sonnets (quatorze dizains de sonnets choisis
velours, brocarts et guipures. Il s’en entourait, il en a rempli ses livres , il en remplit la nature. C’est, ici, l’hiver qui
la nature rustique et vraie. Enfin, dans le dernier de ses poèmes, le Livre d’un père, donnant un caractère de plus en plus p
ns la conversation des grands morts sur les hauteurs de la poésie, ce livre est achevé au pied du Christ. » 1485. Tableau
vait déjà dit dans les Poèmes civiques. Lisez dans le printemps, les livres sont fermés… Soyez forts, soyez bons ; c’est le m
e, l’embrassa tout entière dans ses Poèmes de la mer. Dans le premier livre il n’a de limites que l’Océan. Il allume les phar
mille ans. (Ibid., i. — Voyage au Pôle arctique.) Dans le deuxième livre il ne dépasse pas la Méditerrannée, où il rencont
d’Ulysse, les baigneuses de Castellamare et de Sorrente. Le troisième livre le fixe sur les côtes de Provence. Il s’arrête da
s, Une soirée d’été, par J. Sandeau. 1495. Petit roman rustique en 4 livres . Un jeune homme, qui n’a rapporté des plaisirs de
hilosophie expérimentale, inventeur du pendule, du télescope, etc. Le livre déféré. à la cour de Rome en 1633 est intitulé :
89 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
ux ennemis que lui avait faits sa gloire. « On trouve dans ce dernier livre , remarque M. Nisard, de grands traits de mélancol
qui les confirment bien considérés, je ne puis trouver étrange qu’un livre qui me dit des injures ait été reçu avec faveur ;
é reçu avec faveur ; et pour cela je n’en ai pas meilleure opinion du livre , ni plus mauvaise de moi. Cet heureux succès n’a
que de laisser deux ouvrages, les Provinciales et les Pensées. Aucun livre n’atteste plus que le premier la puissance du sty
si l’amour des plaisirs. Quand j’écoute parler les voluptueux dans le livre de la sapience, je ne vois rien de plus agréable
roublés. Aussi tout ce que cet adorable Sauveur leur avait marqué des livres de Moïse et des prophètes, comme se rapportant à
able et qu’on veut louer. Que ne disiez-vous seulement : Voilà un bon livre  ; vous le dites, il est vrai, avec toute la Franc
qu’en effet ils ne citent point, n’en est pas pire. Que dites-vous du livre d’Hermodore ? — Qu’il est mauvais, répond Anthime
’il est mauvais ? — Qu’il est tel, continue-t-il, que ce n’est pas un livre , ou qui mérite du moins que le monde en parle. — 
l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France. Outre ce livre pénétré de l’esprit antique et des inspirations s
la seconde partie. Rollin (1661-1741.) [Notice.] Dans un livre destiné à la jeunesse, le nom de Rollin doit trou
t pour éclairer ses semblables et pour les rendre meilleurs. Après un livre frivole, où des parties sérieuses portaient l’emp
Caravage348 que de leur attribuer les grâces de l’Albane. Le sixième livre de l’Énéide est sublime, le quatrième a plus de g
profite bien davantage en les lisant qu’avec tous les mauvais petits livres dont nous sommes inondés. Les bons auteurs n’ont
ainteté de l’Évangile est un argument qui parle à mon cœur. Voyez les livres des philosophes avec toute leur pompe : qu’ils so
eur pompe : qu’ils sont petits près de celui-là397 ! Se peut-il qu’un livre à la fois si sublime et si simple soit l’ouvrage
epris pour enrichir le cabinet des médailles, qu’il conçut le plan du livre qui assure à son nom une célébrité durable : il a
rs le temps de Philippe la relation du Voyage du jeune Anacharsis. Ce livre remarquable, où les préoccupations de l’érudit n’
d’Albe (voy. Tite-Live, liv. I, et Denys d’Halicarnasse, Antiq. rom., livre  III) viennent d’être remises aux mains des trois
t que le ciel me soit dur ou propice, Qu’il m’élève à la gloire ou me livre au supplice, Que Rome se déclare ou pour ou contr
vous irrite ; Mais vous en faites, vous, d’étranges en conduite. Vos livres éternels ne me contentent pas ; Et, hors un gros
ient bien ; Leurs ménages étaient tout leur docte entretien, Et leurs livres , un dé, du fil, et des aiguilles, Dont elles trav
une voix légère, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère ! Son livre , aimé du ciel et chéri des lecteurs, Est souvent
leur rêverie ! Heureuse la seule patrie Où l’on adore le Seigneur756! Livre I, ode 13. Au comte du Luc757. Tel que le v
fastes saints ; Avoir amis, enfants, épouse belle et sage ; Errer, un livre en main, de bocage en bocage ; Savourer sans remo
ch. I des Caractères (des ouvrages de l’esprit) : « Que dites-vous du livre d’Hermodore — Qu’il est mauvais, répond Anthime ;
l, précédée d’une étude ; M. Sainte-Beuve, qui lui a consacré tout un livre , le troisième de son Port-Royal, et M. Cousin, qu
mot, c’est le bon goût, tenez-vous-y. » 87. C’est la 17e fable du livre  IX : D’animaux malfaisants c’était un très bon p
ercher ses divisions, ses preuves, ses images. « Au lieu de citer les livres saints en fastidieux érudit, remarque avec raison
éface aux sermons de celui-ci. — On trouvera aussi dans le chap. 4 du livre de M. Jacquinet (Des prédicateurs du dix-septième
e en latin : de Cærimonia cinerum. M. Jacquinet, au chapitre 4 de son livre cité plus haut, établit ce curieux rapprochement
s récits ou ses tableaux, La Bruyère introduit à tout moment dans son livre des noms de convention : sans imiter les commenta
le, avait le sens étendu du mot latin animus. 201. Cf. le chap. 7 du livre cité de Longin. 202. Son, se rapportant ainsi à
s, a été sa devise. » À cette remarque M. Sainte-Beuve ajoute que son livre est, par ce motif, une bonne leçon pour notre épo
e pendant les douze années qui suivirent la première impression de ce livre il fut publié dans le même genre, et sous des tit
 que Dieu n’a fait que montrer à la terre ». 253. Cf. le chap. 5 du livre III de l’Imitation de Jésus-Christ sur les effets
ses censures. Cf. Chateaubriand, Génie du Christianisme, IIIe partie, livre  IV, chap. 3. 290. Massillon, déjà évêque de Cler
la à tout, mais souvent sans mesure et sans goût. On trouvera dans le livre déjà cité de M. Jacquinet (chap. Ier, p. 35) un e
8 et 69. 300. C’est-à-dire vous vous préparez : on sait que l’un des livres de la Bible contient le récit des malheurs de Job
perfection du style. Il paraît que Voltaire avait toujours ce dernier livre sur son pupitre, comme un de ses modèles favoris.
trouver seule devant Dieu. » (Génie du Christianisme, 1re partie, 5e  livre .) 372. De même Horace, parlant, dans l’Art poét
u nous impose n’a rien que de doux au cœur de l’homme de bien qui s’y livre en vue de remplir son devoir… » C’était aussi le
réflexions, appuyées sur des exemples, dans les chap. i, ii et iii du livre  Ier du Cours de littérature dramatique par M. Sai
force de l’expression ». Elle valut à son auteur une pension de 1 500  livres . Déjà Malherbe avait été honoré de la faveur et d
orneille a développé admirablement ces vers de Lucain dans le premier livre de la Pharsale : Hinc usura vorax, aridumque in
prix que diverses libéralités avaient élevé jusqu’au chiffre de 4 400  livres . L’ouvrage était d’ailleurs très digne de cette b
la compétence qui le distinguaient, M. Walckenaer a donné sur lui un livre plein de recherches curieuses : Histoire de la vi
» On se rappelle cette réflexion profonde de Pascal : « Les meilleurs livres sont ceux que ceux qui les lisent croient qu’ils
cependant elle précéda de plusieurs années la publication du premier livre de ses Fables. La maturité de l’âge fut donc chez
urs analytique de la littérature générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre  III de son Histoire de la littérature française ;
14. 620. C’est ce que recommande encore Fénelon, dans son excellent livre de l’Éducation des filles. — N’y a-t-il pas, d’ai
isa en effet la philosophie d’Aristote. 647. Cf. Horace, ode III du livre III, v. 1 et suiv. : Justum et tenacem propositi
toute supériorité blesse et irrite. On pourra consulter à ce sujet le livre de M. Deltour sur les ennemis de Racine. Cet ouvr
me recueil. 671. Célèbre comédienne. 672. Cf. Horace, ode XVIII du livre  III, v 31 : Virtutem incolumen odimus, Sublatam
mis l’apologue et La Fontaine, lorsque celui-ci avait déjà publié six livres de ses fables ? (Delille s’est appliqué, non sans
mélange, plus étonnant encore, du génie de Racine avec le sublime des livres saints. Au-delà il n’y a rien. » 748. Plusieur
e. 839. C’est à peu près ainsi que Tibulle commence la 7e élégie du livre  II :                                       …… Cr
uer plus nettement, sont sans doute ceux qu’on lit dans l’élégie 5 du livre  III : Quid fraudare juvat vitem crescentihus uvi
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Eugénie de Guérin , 1805-1848. » pp. 578-584
vase retombe au fond, et puis que l’eau coule, pas plus tôt. Laissons livres et plumes ; je sais quelque chose de mieux. Cent
ir deux Études sur Eugénie de Guérin, Causeries sur les femmes et les livres , in-12, par Gustave Merlet ; Portraits d’hier et
j’éprouve en entrant dans ta chambre quelque chose d’une église ; tes livres , tes habits, à peine j’ose les toucher ; quelque
91 (1881) Rhétorique et genres littéraires
ent au dix-huitième. Notre époque est moins didactique. En dehors des livres destinés aux maisons d’éducation, et qui ne sont
rançaise. XVIIIe siècle. Rollin 1661 — 1741 Traité des études ( livres IV et V). Dumarsais 1676 — 1756 Traité des tro
z les Latins, τόποι chez les Grecs, d’où le nom de Topiques donné aux livres d’Aristote et de Cicéron qui en traitent). Les li
est le secret des passions oratoires. (Cf. Rollin, Traité des Études, livre  IV, ch. iii, § 7.) Par les passions ou le pathéti
i sachent combien il y a de gloire à être bon. » (Fénelon, Télémaque, livre  XII ; paroles de Philoctète à Néoptolème.) Ex
x. Septem subjecta trioni , pour septentrioni. (Virgile, Géorgiques, livre  III, vers 381.) Il en est de même en prose : Qu
sens. Ex. Ibant obscuri sola sub nocte per umbram. (Virgile, Énéide, livre  V, vers 268.) Disjonction, conjonction, répét
x orages. O navis, referent in mare te novi Fluctus ! o quid agis ? ( Livre  I, ode xiv.) Cf. la fin de l’idylle dans laquell
le. Ce terme ne s’applique guère qu’aux allégories contenues dans les livres saints. Ex. la parabole de l’enfant prodigue. — T
tit Lapin : Dit l’animal chassé du paternel logis, (pour le lapin.) ( Livre  VII, 16.) 2° la partie pour le tout, et réciproq
uries. [Conclusion sur les figures] Dumarsais a dit, dans son livre des Tropes (p. 2) : « Je suis persuadé qu’il se f
Saint-Bernard, par Thiers (Histoire du Consulat et de l’Empire, t. I, livre  IV, p. 365, édit. Paulin, 1845), et tous les modè
son ou conclusion brève du rapporteur. Cf. Rollin, Traité des études, livre  V, chap. i. Ex. Rapport sur les inondations de l
ttaient l’avenir aux murs des sept collines, etc. (Victor Hugo, Odes, livre  IV, ode xv.) La rime est suffisante, lorsqu’il y
racontent une légende où le merveilleux se mêle au tragique. (Cf. Le Livre des ballades, édit. A. Lemerre, 1876.) 9° Doub
tes, une des formes les plus achevées de la poésie française. (Cf. Le Livre des sonnets, édit. A. Lemerre, 1874.) Sainte-Beuv
essais d’éloquence militaire et politique (Caton, les Gracques), les livres des premiers historiens (Grandes annales, Livres
, les Gracques), les livres des premiers historiens (Grandes annales, Livres des pontifes), etc. En France, lorsque parurent
e forme, elle est supérieure à un lourd traité de philosophie ou à un livre d’histoire écrit d’un style pesant et plat. Nous
dans son journal, l’historien, le philosophe et le savant dans leurs livres , peuvent aussi atteindre l’éloquence, sans être d
e en revue les ouvrages couronnés (prix d’éloquence, de poésie) ; les livres présentés et jugés dignes d’une récompense (grand
tiques en deux classes principales : 1° les traités, c’est-à-dire les livres purement didactiques ; 2° les œuvres variées, qui
animaux et de leurs différentes espèces. Ex. celle du cheval dans le Livre de Job, dans les Géorgiques de Virgile, dans Buff
92 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
s déjeuner, Colomba sortit un instant, et, au lieu de revenir avec un livre et du papier, parut avec son mezzaro sur sa tête.
ons et les mots, les discours et les exemples, tout concourt dans les livres latins à former des hommes publics. Ces livres su
tout concourt dans les livres latins à former des hommes publics. Ces livres suffiraient pour apprendre au magistrat qui conna
93 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIII. » pp. 124-127
llié des Troyens, fut tué par Néoptolème devant Troie (Petite Iliade, livre ii, selon l’analyse de Proclus). On ignore quel p
phocle a tiré un de ses chefs-d’œuvre. Voy., pour plus de détails, le livre de Welcker, Tragédies grecques dans leur rapport
94 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
paraît très heureusement conçu et parfaitement divisé. Le système des livres élémentaires par demandes et par réponses n’est p
se plaisait à reconnaître tout le mérite et toute la conscience de ce livre . Tout en cherchant à améliorer le plan et la méth
95 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
par ses notions abstraites et générales, qui sont pour lui comme des livres abrégés, il échappe à tout moment aux regards de
ne raison ivre d’orgueil qui s’évanouit dans ses pensées, et que Dieu livre à ses illusions. Craignons une intempérance si fu
tière, afin de frapper également les esprits grossiers et subtils. On livre ces faits à votre curiosité : voilà les fondement
96 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
t en casque ; mais on y trouve de l’agrément dans le style : c’est un livre innocent, et, comme disait madame du Deffand, il
t régenté où l’on voudrait être attiré par le charme… Il y a dans ses livres assez de talent pour sortir du commun, pas assez
lettre que madame de Staël adressait à l’empereur en lui offrant son livre De l’Allemagne : « La disgrâce de Votre Majesté
97 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
ysiques. Sciences morales et politiques. — Morale à Nicomaque, en 10  livres . Grandes Morales ou Morale d’Eudème, en 7 livres.
e à Nicomaque, en 10 livres. Grandes Morales ou Morale d’Eudème, en 7  livres . Traité des vertus. Des vertus et des vices. La P
Havet, dès 1843, M. Ch. Thurot, en 1860, ont consacré chacun tout un livre à l’étude d’Aristote. M. Thurot a complété le sie
u à sa disposition la collation de seize manuscrits. Il nous reste un livre unique de cet ouvrage. Diogène Laërce lui en donn
, l’auteur de la Vie d’Homère longtemps attribuée à Plutarque cite le livre  III de la Poétique, mais c’est peut-être l’effet
d’Aristote « sur les Poètes », cité par Diogène comme divisé en trois livres . Il est probable que nous possédons le livre Ier
e comme divisé en trois livres. Il est probable que nous possédons le livre  Ier et que le second traitait de la comédie, du d
préférer des raisons à des phrases, le traité d’Aristote doit être le livre classique de tous ceux qui veulent apprendre l’ar
ui vaut mieux, c’est de se pénétrer de la philosophie qui est dans ce livre , de s’approprier ces procédés d’une observation d
ur Aristote, p. 196.) Aristote, au rapport de Cicéron, avait écrit un livre dans lequel il exposait les préceptes oratoires d
tore, II, 58, 160.) Leonhard Spengel a pour ainsi dire reconstitué ce livre dans un mémoire couronné en 1823 par l’université
du raisonnement, c’est ce qu’Aristote seul a fait ; c’est par où son livre est original ; et aujourd’hui encore, cette théor
générales et les principes essentiels. » (P. 93.) Au commencement du livre  IIIe de la Rhétorique, Aristote établit que perso
uant au plan du traité, L. Spengel a cherché à démontrer que, pour le livre  IIe, il y avait désaccord entre celui qu’Aristote
dans le premier et la disposition que présente actuellement ce second livre . (Mémoires de l’Académie de Bavière ; Philosophie
r la disposition de leurs parties. « Quant à la Rhétorique, les trois livres qui la composent sont parfaitement à leur place,
e, en 1877, sous les auspices de l’université de cette ville. Ce beau livre , qui résume et complète tous les travaux antérieu
; mais celles-ci ne concernent que les chapitres XV et XVI du dernier livre de la Rhétorique. Elles ont été éditées par L. Sp
29, est de Paris, 1624, in-8º. Elle ne comprend que les deux premiers livres . Le traducteur dit qu’il s’est abstenu de traduir
-8º) une nouvelle édition de cette traduction, complétée par celle du livre  III. La Rhétorique fut de nouveau traduite par Ba
gard ; mais nous nous sommes suffisamment expliqué là-dessus dans les livres précédemment publiés71. Chapitre XVI Des qu
on et de la pensée. II. Ce qui concerne la pensée sera placé dans les livres de la Rhétorique 91, car c’est une matière qui ap
s la Rhétorique, une des parties perdues : « Nous avons dit, dans les livres de la Poétique, combien il y avait d’espèces de c
dition de 1876, chapitre V. — Diogène de Laërte (V, 1, 12) donne deux livres à la Poétique. Traduction I. La tragédie do
ure analogue. Or elle a pour mère le rire178. La Rhétorique Livre premier Chapitre premier Rapports de la r
a communauté. En effet, celui qui commet un adultère, et celui qui se livre à des voies de fait, cause un préjudice à certain
ce que nous avions à dire sur les preuves indépendantes de l’art. Livre  II Chapitre premier Comment on agit sur l
signes, mais s’ils répondent à une réalité, comme on l’a expliqué au livre premier484. En effet, que tout signe soit privé d
s reste maintenant à traiter de l’élocution et de la disposition. Livre III Chapitre premier De l’élocution. I.
on (au point de vue oratoire) ; Thrasymaque498, par exemple, dans son livre sur l’Art d’exciter la pitié. La faculté hypocrit
’est au précédent ou au suivant. Prenons pour exemple le début de son livre . Il s’exprime ainsi : « Cette raison qui existe t
commencements de périodes, on les a énumérés presque (tous) dans les livres adressés à Théodecte604. X. Il y a aussi de fauss
porte son discours. C’est un point dont l’évidence doit ressortir du livre des Topiques 715, ainsi que les solutions à oppos
purge l’âme et la soulage avec un plaisir sans danger » (p. 188). Au livre  viii de la Politique (p. 1341 b), Aristote dit qu
urs professé par lui en 1867-1868 à la Sorbonne et qui est devenu son livre de l’Hellénisme en France. 25. Cp. ch. ii, § 2.
rapportés par Aristote. (Rhétorique, liv. II, chap. xxiv, § 10.) 91. Livre  III. 92. Le fait de grandir et de diminuer l’imp
telle arrière-pensée. 186. Chap. ier , § 4. 187. C’est le sujet du livre  II. 188. M. Thurot voit ici une allusion à Isocr
 c’est le dernier mot de la question ». 201. Cp. Pr. Analyt., fin du livre  II. 202. Voir Aristote, Polit., V, 5, où Théagèn
es vertus et des vices (p. 1249 éd. Bekker). 253. Ce sera l’objet du livre  II, chap. i à xvii. 254. Livre II, chap. i à xvi
éd. Bekker). 253. Ce sera l’objet du livre II, chap. i à xvii. 254. Livre  II, chap. i à xvii. 255. Livre II, chap. ii. 25
et du livre II, chap. i à xvii. 254. Livre II, chap. i à xvii. 255. Livre  II, chap. ii. 256. Chap. iv, vi, vii, etc. 257.
es trois points que l’auteur a indiqués au début du chapitre x. 274. Livre II, chap. xix. 275. C’est-à-dire aux trois genre
issenschafte, t. XLIII, Wien, 1863, p. 504. 284. Chap. x, § 3. 285. Livre  II, chap. ii. 286. Chap. x, § 12. 287. § 2. 28
une similitude de condition que de caractère. 366. C’est le sujet du livre  Ier. 367. Voici cet apophtegme : Σὺ δ’ οὔπω χρ
98 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
cœur était droit, toutes les créatures Te seraient des miroirs et des livres ouverts, Où tu verrais sans cesse en mille lieux
s mieux que la moindre fourmi2. Trad. de l’Imitation de Jésus-Christ, livre II, chap. IV. Le Cid1. (Extraits.) Don D
mte. Les exemples vivants sont d’un autre pouvoir : Un prince dans un livre apprend mal son devoir. Et qu’a fait, après tout,
duction, à laquelle il consacra près de six années (les deux premiers livres parurent en 1651), a été réimprimée environ quara
uctions françaises de l’Imitation de Jésus-Christ, « le plus beau des livres sortis de la main des hommes, disait Fontenelle,
99 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
Préface Nous nous sommes proposé un double but en publiant ce livre  ; répondre au programme officiel de l’enseignemen
e une échappée sur la littérature contemporaine. Nous n’avons dans ce livre rien changé à la méthode excellente de classifica
beauté de situation qui n’eût pas arrêté l’esprit du lecteur. Dans un livre de ce genre où l’on ne présente que des fragments
première édition était saisie et détruite par la police impériale. Ce livre , le chef-d’œuvre de Mme de Staël, initiait la Fra
a même plus faite pour intéresser des lecteurs qui cherchent dans les livres de quoi varier leur destinée monotone et veulent
sme. L’ouvrage entier, publié en 1802, eut un succès éclatant. Jamais livre ne vint plus à propos : il paraissait l’année mêm
o et de Mondovi forcent le roi de Sardaigne à signer un armistice qui livre trois forteresses à l’armée française. Peu de jou
tre écrite que par ceux qui ont fait eux-mêmes de l’histoire123. » Ce livre n’a pas épuisé l’activité de M. Guizot. Les sept
onquêtes de l’histoire et de la philosophie morale ; elle replaça les livres qu’elle voulait juger dans le milieu social qui l
e de jardins, où il s’enfermait dès le point du jour, ce cabinet sans livres , et sans autre ornement qu’une gravure de Newton,
qui devait être trop courte ; il rassembla et condensa dans son beau livre Du vrai, du beau et du bien ce qui lui parut la p
ze compagnons. Le nom de leur monastère fut inscrit le premier sur le livre noir des conquérants. Les mères et les femmes de
la Vie de Franklin, écrite en 1848, l’Histoire de Marie Stuart et un livre définitif sur Charles-Quint, son abdication, son
remit en marche d’un air noble et doux, le crucifix d’une main et un livre d’Heures de l’autre, revêtue du costume de veuve
public, « d’historien national. » M. Thiers, traçant au début du XIIe livre une rapide théorie de l’histoire, a résumé les qu
ersité, Le premier recueil des Chansons de Béranger parut en 1815. Le livre s’ouvrait par le Roi d’Yvetot, un chef-d’œuvre de
aisse trop facilement assoupir aux sons d’une vague mélodie. Un autre livre de M. de Lamartine, Le roman poétique de Jocelyn
ands horizons, M. de Lamartine retrouvera toute sa supériorité. « Ses livres d’histoire, a dit M. Sainte-Beuve, ne sont et ne
nt les mers pour écouter les sages : Mais le monde à l’orgueil est un livre fermé ! Tantôt, pour deviner le monde inanimé, Fu
? On peut les effacer sur le marbre ou l’airain ; Qui les effacera du livre de l’histoire408 ? C’était là une légitime revan
: celui-ci les repousse ; mais Coitier, ému de pitié et d’admiration, livre à Nemours la clef de son appartement, par lequel
les tableaux bien dignes d’une lecture méditée : Corinne au Capitole ( livre II), — le Vésuve (liv. XIII. ch. i), — Corinne au
ne (liv. XVI, ch. v). On peut reconnaître que la partie romanesque du livre de Mme de Staël a un peu vieilli. Corinne est cep
par M. Saint-René Taillandier. 32. On trouvera au chap. xiii du même livre un jugement de Mme de Staël sur les poésies détac
qui prouve la noblesse de notre origine. 38. M. Villemain, dans son livre  : M. de Chateaubriand, sa vie, ses écrits, son in
liés par M. A. Didier, 1 vol. in-12, Paris, Delalain. 40. L’objet du livre auquel ce morceau est emprunté est de prouver l’e
nous recommanderons à une lecture particulière et attentive les cinq livres de la 2e partie, dans lesquels M. de Chateaubrian
ans, envoyé à Rome comme otage. 50. . M. Augustin Thierry, dans son livre Dix ans d’études historiques, a raconté l’impress
s dans le Voyage du jeune Anacharsis, chap. XII, et dans les Martyrs, livre XV. 98. Bossuet a tracé le parallèle de Sparte e
emplie de cendres, de charbon et d’ossements humains. 105. Odyssée, livre XXIV. 106. On pourra lire au début de la deuxièm
’une conversation de l’Empereur à Sainte-Hélène, a été publié dans un livre écrit en 1841 d’après les communications du génér
phiques ont paru à la librairie Michel Lévy. 125. M. Guizot, dans le livre II, a tracé de Strafford cet admirable portrait :
e nouvelle défense. 130. On trouvera les détails de cette affaire au livre II de l’Histoire de la Révolution d’Angleterre.
onça l’oraison funèbre. Un écrivain catholique, M. Poujoulat, dans un livre intitulé Charles Ier et le parlement, se montre p
èbre discours pour Eutrope. 149. L’oraison funèbre que Thucydide, au livre II de son Histoire, met dans la bouche de Périclè
avant et naturaliste, nous ne saurions trop recommander la lecture du livre que nous venons de citer : c’est l’exposé complet
, en 1736. 175. Cette idée a été développée dans la 6e leçon du même livre . 176. C’est-à-dire l’imagination qui nous représ
à ses dernières conséquences. Sa philosophie est tout entière dans le livre de l’Esprit, qui parut en 1758. Dans cet ouvrage,
aisir et l’intérêt. Helvétius, entraîné par ces monstrueux principes, livre au ridicule toute vertu et toute religion et proc
loi… 189. Il faut lire à ce sujet la belle ode d’Horace, la ve du livre III. 190. Cf. la XIIe leçon sur la morale de l’i
vant le douzième siècle, par M. Ampère, un curieux chapitre (le 2e du livre II) où l’auteur recherche les traces de l’odinism
ment cité de M. Ampère deux chapitres intéressants (le 8e et le 9e du livre III) sur Sidoine Apollinaire, né à Lyon en 430, g
istoire de la barbarie et celle de l’Église dans les Gaules. C’est le livre que M. Augustin Thierry a pris pour base dans ses
ithard, Histoire des divisions entre les fils de Louis le Débonnaire, livre II, ch. x. 218. En juin 841. 219. Cf. l’introdu
érieures, par M. Léon Feugère, page vi. 220. Voir Nithard, Histoire, livre III, chap. vi. 221. Le démembrement de l’empire
ur lesquels le fils de Godwin avait juré à son insu. » 223. Voir le livre II du même ouvrage. 224. La Chanson de Roland ou
de Galswinthe, sœur de Brunehaut. 233. Grégoire de Tours, Histoire, livre V. 234. Chilpéric mourut assassiné en 585, laiss
aça sous la protection de Gontran. 235. Grégoire de Tours, Histoire, livre V. 236. Job, ch. i. 21. 237. Pour châtier Limog
ivin placé au milieu des temps. » 249. On pourra lire à ce sujet le livre de Cuvier sur les Révolutions de la surface du gl
s de l’historien français et le passage des Alpes par Annibal dans le livre XXI, ch. xxx et suiv. de Tite-Live. Les nombreuse
ec intérêt de ce morceau la descente d’Eudore aux catacombes, dans le livre v des Martyrs de M. de Chateaubriand, Eudore, éga
ns, par Montesquieu. 356. Tacite parle de ces bruits au ch. v du Ier livre des Annales. 357. Annales, l. 11 : « Templum et
100 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109
l’effet d’une mort prématurée, furent perdus pour la France. Outre ce livre pénétré de l’esprit antique et des inspirations s
suivi Homère quand vous avez traité les amours de Didon. Ce quatrième livre est tout original1. On ne peut pas même vous ôter
’évocation des âmes qui est dans l’Odyssée2. Virgile. Mes derniers livres sont négligés : je ne prétendais pas les laisser
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