Cours complet de
littérature
à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d
caire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de
littérature
. L’art de bien dire, que nos grands écrivains
Piron, ancien professeur de belles-lettres, dans un Cours complet de
littérature
, qui a obtenu l’approbation d’un très grand nombr
des Prélats qui ont adopté pour leurs séminaires le Cours complet de
littérature
? Nous ne pouvons que les constater, pour garanti
gnaient la confusion, le vague, la sécheresse. Votre Cours complet de
littérature
est sûrement un des meilleurs que nous ayons. Il
er ami, Avant de vous témoigner ma reconnaissance pour votre Cours de
littérature
, j’ai tenu à le parcourir. J’y ai trouvé un plan
tes leurs nuances et toutes leurs inflexions les différents genres de
littérature
, et c’est dans un style simple, naturel, concis,
e. Évêché de Rodez. Monsieur le Professeur, Votre nouveau volume de
littérature
, comprenant ce qui concerne le Style, nous a paru
rance avec laquelle vous poursuivez l’œuvre de votre Cours complet de
littérature
, qui doit être couronné par la Rhétorique. Ce ser
a Poésie et la Rhétorique, j’en ai confié l’examen aux professeurs de
littérature
de mon petit séminaire. Le rapport qu’ils me font
r le Vicaire général, Après avoir pris connaissance de votre Cours de
littérature
, je m’empresse de vous dire à mon tour combien je
ire, élever les esprits et orner les cœurs. En parcourant ce Cours de
littérature
, je me disais qu’on pouvait lui appliquer les par
es plus sincères relativement à la nouvelle édition de votre Cours de
littérature
. La simplicité du plan, la logique de la méthode,
, Les qualités que vous avez voulu mettre dans votre Cours complet de
littérature
, nouvellement réédité, s’y trouvent bien réelleme
1879. Monsieur le Vicaire général, Je viens d’examiner votre Cours de
littérature
, et je suis heureux de constater que vous avez ré
er quelque chose. En un mot, votre ouvrage est un excellent Traité de
littérature
. Je le recommanderai bien volontiers aux établiss
r l’Évêque de Rodez, de la nouvelle édition de votre Cours complet de
littérature
. Ces trois volumes sont écrits avec exactitude et
r, etc. Vosdey, Vicaire général. Monseigneur, Le Cours complet de
littérature
, par M. l’abbé Piron, me parait réunir les princi
inistère ne me permettant pas de lire avec assez de suite le Cours de
littérature
auquel vous avez consacré vos talents et vos long
79. Monsieur le Vicaire général, Aussitôt que j’ai eu votre Traité de
littérature
entre les mains, je me suis mis à le lire et à l’
e général, Je connais et je pratique depuis longtemps votre Traité de
littérature
: je veux aujourd’hui vous remercier des services
ns un avenir prochain, sinon cette année-ci. Escalon, Professeur de
littérature
. Petit-Séminaire de N.-D. de Mélan (Haute-Savoi
Cours complet de
littérature
à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d
caire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de
littérature
. Un grand nombre de journaux et de revues ont r
t de revues ont rendu un compte très favorable de ce nouveau Cours de
littérature
, et de la Poétique en particulier. Nous nommerons
intéressant Recueil de modèles qui doit compléter ce nouveau Cours de
littérature
offrira l’application des vues de l’auteur. En at
de petits séminaires et d’institutions ont adopté le Cours complet de
littérature
. Quelques congrégations l’ont établi dans leurs c
gnaient la confusion, le vague, la sécheresse. Votre Cours complet de
littérature
est sûrement un des meilleurs que nous ayons. Il
ns d’enseignement ainsi que parmi les gens du monde amateurs de bonne
littérature
. Recevez l’assurance de mes sentiments distinguée
r le Vicaire général, Après avoir pris connaissance de votre Cours de
littérature
, je m’empresse de vous dire à mon tour combien je
ire, élever les esprits et orner les cœurs. En parcourant ce Cours de
littérature
, je me disais qu’on pouvait lui appliquer les par
a Poésie et la Rhétorique, j’en ai confié l’examen aux professeurs de
littérature
de mon petit séminaire. Le rapport qu’ils me font
1879. Monsieur le Vicaire général, Je viens d’examiner votre Cours de
littérature
, et je suis heureux de constater que vous avez ré
er quelque chose. En un mot, votre ouvrage est un excellent Traité de
littérature
. Je le recommanderai bien volontiers aux établiss
es plus sincères relativement à la nouvelle édition de votre Cours de
littérature
. La simplicité du plan, la logique de la méthode,
e général, Je connais et je pratique depuis longtemps votre Traité de
littérature
: je veux aujourd’hui vous remercier des services
79. Monsieur le Vicaire général, Aussitôt que j’ai eu votre Traité de
littérature
entre les mains, je me suis mis à le lire et à l’
ons générales. § 1. Formes du langage. — Division des ouvrages de
littérature
. Il y a deux formes générales du langage : le
e ; et les poèmes, quand ils sont en vers. § 2. Poésie, éloquence,
littérature
. Les poèmes écrits dans une langue déterminée
uvrages en prose, grecs ou français. On comprend enfin sous le nom de
littérature
la réunion de tous ces ouvrages, soit en prose, s
la réunion de tous ces ouvrages, soit en prose, soit en vers. Ce mot
littérature
signifiait primitivement l’alphabet et l’art de t
eut se faire honneur. C’est dans ce sens qu’on dit qu’il n’y a pas de
littérature
plus riche que la nôtre ; c’est dans le même sens
ous prenons nous-mêmes ce mot quand nous annonçons ici des notions de
littérature
; et nous remarquons que, alors, la littérature s
ns ici des notions de littérature ; et nous remarquons que, alors, la
littérature
se distingue nettement de la grammaire, et qu’ell
upée du langage, de ses formes, de ses qualités et de ses défauts, la
littérature
classe et étudie les ouvrages où toutes ces parti
toriques ; 5º des contes et romans 2. 1. Tableau historique de la
littérature
française depuis 1789. 2. Domairon, Rhét, Règles
la classe de rhétorique, les Notions élémentaires de rhétorique et de
littérature
. Cette seule ligne décide des questions bien impo
; bien que les discours et oraisons aient, avec les autres genres de
littérature
, beaucoup de points de contact, il y a une multit
aire des idées nettes. Eh bien, ce sont là précisément ces Notions de
littérature
demandées par le règlement nouveau qu’il s’agit d
ravaux, ou au moins de morceaux de choix sur les différents genres de
littérature
répandus dans les livres de nos écrivains les plu
te a publié lui-même dans le siècle dernier, sous le titre d’École de
littérature
tirée de nos meilleurs écrivains, deux volumes tr
Sabatier a fait aussi, avec les mêmes ressources, son Dictionnaire de
littérature
. Mais les auteurs élevés et originaux ne sont pas
nce, selon l’opinion du monde ; qu’ainsi un ouvrage classique pour la
littérature
doit toujours s’appuyer ou d’autorités incontesta
nous occupe ici : l’un y a consacré trois volumes de ses Principes de
littérature
l’autre a écrit pour le même objet sa Rhétorique
de en toute question l’équilibre d’une modération conciliante. La
littérature
classique et le dix-neuvième siècle La littér
liante. La littérature classique et le dix-neuvième siècle La
littérature
classique est finie. Essentiellement aristocratiq
après de longs siècles de ténèbres, à l’âge du goût privilégié et des
littératures
d’élite. Quand on parle de progrès, il faut s’ent
de progrès, il faut s’entendre. Le progrès non interrompu en fait de
littérature
n’est qu’une chimère, si l’on s’imagine que les l
le de quarante millions d’hommes ; encore n’est-ce pas assez dire. La
littérature
française, à l’heure qu’il est, dessert la démocr
gné, où l’on n’en voudra plus d’autres à la Chine et au Japon. Que la
littérature
classique reste donc comme l’exemplaire éternel d
et Molière, comme nos pères lisaient Horace et Virgile. Une nouvelle
littérature
commence, qui déjà remplace à peu près et bientôt
emplace à peu près et bientôt remplacera entièrement l’âge classique,
littérature
appropriée à notre temps et à nos mœurs, expressi
main suffira à sa peine. Faut-il se plaindre de ce nouveau rôle de la
littérature
et lui en faire un crime ? N’est-elle pas faite a
lus de services à rendre ? Sont-ils si regrettables les siècles où la
littérature
n’était qu’un plaisir délicat, et les gens de let
es que les amuseurs du grand monde ? Ne faut-il pas plutôt relever la
littérature
à ses propres yeux en lui montrant la grandeur de
des regrets dans cette résignation. 1. En Grèce, tous les genres de
littérature
se développèrent naturellement, sans effort studi
sous l’influence d’un ciel clément. 2. C’est l’oraison funèbre de la
littérature
classique. 1. Il y a ici une nuance d’ironie. M.
te à juillet 1881, prescrit une composition française sur un sujet de
littérature
ou d’histoire, parmi les épreuves écrites de la p
et la Pléiade ? (21 juillet 1883). • Faire un tableau sommaire de la
littérature
française au xvie siècle. (20 novembre 1882). •
ngue française ? (16 août 1882). • Tracer le tableau du progrès de la
littérature
française sous le règne de Louis XIII. (17 août 1
ardinal de Richelieu. (3 novembre 1882). • Marquer les périodes de la
littérature
au xviie siècle et en décrire les caractères gén
onuments se sont élevés ? (10 novembre 1882). • Comparer l’état de la
littérature
française à la paix de Nimègue (1678) et à la mor
s. (8 août 1881). • Qu’appelez-vous un écrivain classique, et dans la
littérature
française, quels sont les écrivains français qui
constitue un genre instinctif qu’on retrouve au berceau de toutes les
littératures
, on voit combien il serait déraisonnable de voulo
La réponse est celle-ci : c’est qu’il a réellement inspiré toute une
littérature
épique. En dehors, en effet, de la poésie épique
tiges, sinon des monuments, chez presque tous les peuples qui ont une
littérature
, la plupart d’entre eux possèdent une poésie épiq
e où l’épopée naturelle était déjà morte sans retour ; c’est là cette
littérature
épique qui s’est inspirée d’Homère, et dont Homèr
ection plus égale et plus soutenue. Enfin leur ensemble constitue une
littérature
épique assez considérable pour justifier suffisam
chaines lettres. Adieu. » [3] (9 août 1884) Quels sont dans les
littératures
classiques, les principaux poèmes didactiques ?
on ne trouve plus guère de poésies didactiques dans l’histoire de la
littérature
grecque que pendant la période gréco-alexandrine,
c., Manilius, avec ses Astronomiques, Phèdre avec ses fables. Dans la
littérature
française, aucune œuvre ne mérite l’attention, da
) et (15 novembre 1884) Comparer, dans leurs caractères généraux, la
littérature
grecque et la littérature romaine. Développeme
omparer, dans leurs caractères généraux, la littérature grecque et la
littérature
romaine. Développement. — Il est intéressant d
st intéressant de comparer dans leurs caractères essentiels, les deux
littératures
de l’antiquité, non seulement pour se rendre comp
mais aussi pour voir comment elles ont pu inspirer diversement notre
littérature
moderne. I. — La littérature grecque se caractéri
elles ont pu inspirer diversement notre littérature moderne. I. — La
littérature
grecque se caractérise surtout par la plus grande
grande originalité, et une fécondité extrême. 1º Les sources de cette
littérature
sont toutes grecques ; c’est une littérature nati
1º Les sources de cette littérature sont toutes grecques ; c’est une
littérature
nationale, expression de la vie grecque sous tout
fut jamais. 2º Nous voyons donc combien est riche la fécondité de la
littérature
grecque. Cette fécondité se fait voir dans la lan
us toutes ses formes est pénétrée d’idéal : il est remarquable que la
littérature
philosophique, par exemple, est toute spéculative
L’originalité tout à fait indépendante et la fécondité si riche de la
littérature
grecque en font la plus merveilleusement variée,
rnes, mais pour les Latins même. II. — Ce qui caractérise en effet la
littérature
romaine, comparée à la littérature grecque, c’est
. — Ce qui caractérise en effet la littérature romaine, comparée à la
littérature
grecque, c’est une originalité assez restreinte :
ecque, c’est une originalité assez restreinte : la civilisation et la
littérature
latine sont en grande partie empruntées, et l’on
tes, la satire ( Satira tota nostra est , Quintilien), l’épître et la
littérature
technique. — C’est que, à Rome, les sources natio
s sources nationales et religieuses ont été bien peu de chose pour la
littérature
: elle n’est pas, en effet, comme en Grèce, l’exp
s, semble-t-il, une autre source d’inspiration, la religion ; mais la
littérature
n’y a guère puisé, parce que, à Rome « la mytholo
re les nuances abstraites et les délicatesses. — Si nous comparons la
littérature
philosophique de Rome à celle de la Grèce, nous v
eu près le seul fonds. Il est très naturel que dans ces conditions la
littérature
romaine ait été bien moins féconde que celle de l
ne fois la part assez grande, d’ailleurs, faite à l’imitation dans la
littérature
romaine, nous pouvons reconnaître qu’elle a appor
: son infériorité n’en reste pas moins incontestable, à l’égard de la
littérature
grecque, qui lui a fourni la plupart de ses modèl
ourni la plupart de ses modèles. [5] (14 août 1885) Comparer la
littérature
grecque du siècle de Périclès avec la littérature
1885) Comparer la littérature grecque du siècle de Périclès avec la
littérature
latine du siècle d’Auguste. Développement. — L
du siècle d’Auguste. Développement. — La période athénienne de la
littérature
grecque est la plus brillante de toutes : Athènes
Lysias, Isocrate. Voilà, dans ses traits principaux, le tableau de la
littérature
grecque au siècle de Périclès. La comparaison s’i
e réduite en province romaine, fut sans doute d’un grand secours à la
littérature
romaine de ce temps ; mais cette imitation, prati
e romain, car on la retrouve à toutes les époques de l’histoire de la
littérature
latine : l’esprit satirique est un trait de race,
ace, la satire devient une causerie familière de morale ou surtout de
littérature
(sermo). Nulle, part ou ne trouve dans ses satire
, et de l’influence que cette compagnie a exercée sur la langue de la
Littérature
au xviie siècle ? Développement. — Au xvie s
elas une bonne part de l’influence qu’elle exerça sur la langue de la
Littérature
à cette époque. [11] (18 novembre 1885) Ind
(1692-1763) ; enfin le Lycée, de La Harpe (1739-1803) et le Cours de
littérature
, de Marmontel. [13] (18 août 1884) Qu’est-c
système de morale ou d’éducation. Les principaux moralistes de notre
littérature
sont : Montaigne7, et son ami La Boétie, Charron,
époque où l’influence de la Grèce était encore peu sensible ; or, la
littérature
romaine ne commença à produire des œuvres de géni
isfaire. Voulons-nous en citer des exemples célèbres, les annales des
littératures
anciennes et modernes nous en offrent une multitu
ers que dans leur histoire. » Développement. — Tous ceux à qui la
littérature
du xviie siècle est quelque peu familière ont dû
astici de Baronius, l’autre de Justin. Peu versé dans la langue et la
littérature
grecques, il prit néanmoins à Appien sa Rodogune
ce le drame moderne, et que Corneille a vraisemblablement tirée de la
littérature
espagnole. Terminons enfin ce rapide examen des s
pas le premier qui ait composé des fables. L’apologue est un genre de
littérature
, un peu démocratique à l’origine, qui remonte à l
ois mêlé une fable à une de ses épîtres ou de ses satires. Dans notre
littérature
, nous trouvons quelques apologues chez Bonaventur
nt impérissables, en sorte qu’on a pu assimiler l’œuvre de Boileau en
littérature
à celle de Descartes en philosophie, et comparer
les, des préceptes absolus qu’il croit pouvoir être appliqués à toute
littérature
; c’est ainsi qu’il déclare le chœur et les recon
arge que celle de Boileau : il ne méprise pas comme lui notre vieille
littérature
, et tient en certaine estime les formes poétiques
le, a ignoré la véritable nature de l’Épopée. L’étude comparative des
littératures
de tous les peuples a révélé aux modernes les con
rèce et de Rome. Il semblait, en effet, à toute sa génération, que la
littérature
française fût née d’hier ; la langue et les écrit
iquité classique le sujet de ses tragédies profanes. Très épris de la
littérature
grecque, au rebours de Corneille qui n’a guère co
é toutes les tragédies que Racine a puisées à la source grecque. À la
littérature
latine, il ne prit que deux de ses pièces. L’une,
ionnera le chapitre XXXII, où Voltaire fait un tableau brillant de la
Littérature
au xviie siècle. [31] (12 novembre 1885) A
août 1885) Un ingénieux critique a écrit : « On peut dire que notre
littérature
tout entière est une littérature mondaine, née du
e a écrit : « On peut dire que notre littérature tout entière est une
littérature
mondaine, née du monde et pour le monde. » Cette
pour le monde. » Cette opinion n’est-elle pas fondée surtout pour la
littérature
française au xviie siècle ? Développement. —
çaise au xviie siècle ? Développement. — Pendant le moyen âge, la
littérature
en France est l’expression d’une société où la vi
de Malherbe, et aux efforts de ceux qui cherchent à le continuer, la
littérature
devient le domaine de tous, et le public est le j
pression de la vie sociale, sous toutes ses faces, c’est vraiment une
littérature
mondaine, née du monde et pour le monde. Recherch
r le monde. Recherchons les principales influences qui ont donné à la
littérature
, cette physionomie nouvelle. Signalons tout d’abo
é, au commencement du xviie siècle, ce qui est indispensable à toute
littérature
; un public, — en attendant que peu à peu, par le
cier. Dès le commencement du xviie siècle le caractère mondain de la
littérature
s’accentue très nettement. Les lettres de Balzac
e de Corneille, composés concurremment. Tel est le caractère de cette
littérature
du xviie siècle, qui reçoit du milieu social où
comment une telle société a pu produire et faire prospérer une telle
littérature
. [34] (20 novembre 1884) Développer en appo
té de l’œuvre considérable, du chef-d’œuvre dont il vient de doter la
littérature
de notre pays. Mais il faut vous dire d’abord com
ue j’avais emprunté aux anciens, les genres qui avaient illustré leur
littérature
, je crus devoir leur emprunter en même temps la l
absolue, mais pour les services qu’il va rendre à l’Académie et à la
littérature
française. Vous pensez bien que je n’ai pas longt
nde. Vous terminez cette longue et capricieuse excursion à travers la
littérature
ancienne et moderne par un jugement magistral sur
brairie Croville-Morant et Foucart, 6 fr. 2. V. Précis d’un cours de
Littérature
, p. Ch. Urbain, chap. I, art. 4, page 156. Paris,
ue de la Sorbonne. Prix 2,75. 3. V. Ch. Urbain. Précis d’un cours de
littérature
, chap. I, art. 1, p. 135. 4. Ch. Urbain. — Préci
ture, chap. I, art. 1, p. 135. 4. Ch. Urbain. — Précis d’un cours de
littérature
, chap. II, art. 2., p. 234. 5. V. Urbain et Jame
cart, 20, rue de la Sorbonne). 8. V Ch. Urbain, Précis d’un cours de
littérature
, chap. I, art. 1, p. 168 et 175. 9. Urbain et Ja
calauréat, t. I, p. 553 sqq. 15. V. Ch. Urbain, Précis d’un cours de
littérature
, chap. I, art. 4, p. 156 et 178. 16. V. Urbain e
Notions préliminaires 1. Qu’est-ce que la
littérature
? La Littérature est la science des règles, des
Notions préliminaires 1. Qu’est-ce que la littérature ? La
Littérature
est la science des règles, des lois, des principe
e manifeste dans le langage ou lorsqu’elle se fixe par l’écriture. La
littérature
, telle que nous l’entendons ici, est en même temp
u’il s’agisse d’apprécier des ouvrages d’esprit. On entend encore par
littérature
la connaissance des productions littéraires elles
u d’un genre quelconque. C’est dans ce dernier sens que l’on dit : la
littérature
espagnole, la littérature du siècle de Louis XIV,
’est dans ce dernier sens que l’on dit : la littérature espagnole, la
littérature
du siècle de Louis XIV, la littérature sacrée, la
: la littérature espagnole, la littérature du siècle de Louis XIV, la
littérature
sacrée, la littérature morale, etc. 2. Que faut-i
ole, la littérature du siècle de Louis XIV, la littérature sacrée, la
littérature
morale, etc. 2. Que faut-il entendre par belles-l
l’admiration vers le beau ; considérer comme le principe vital de la
littérature
le sentiment religieux, où l’on trouve le premier
e. 23. Quelle est la division la plus naturelle d’un cours complet de
littérature
? Cette division, déjà indiquée dans la question
c’est, enfin, d’apprendre à juger sainement les ouvrages d’esprit. La
littérature
forme donc la base essentielle de toutes nos conn
; elle grandit en tout l’horizon de l’esprit humain. L’utilité de la
littérature
n’est contestée par personne. Quels sont les moye
ont l’étude des règles de l’art d’écrire et l’histoire critique de la
littérature
. Selon nous, il faut faire marcher de front ces d
orie générale de l’art d’écrire ; la seconde, une étude des genres de
littérature
en vers et en prose. Nous avons cherché à y rendr
grammaire, veulent commencer un cours suivi, raisonné, progressif de
littérature
, où la pratique s’appuie constamment sur les préc
la pratique s’appuie constamment sur les préceptes. L’histoire de la
littérature
, si intéressante et si utile quand elle est bien
esprits. C’est qu’un moraliste se cache sous le lettré. Son cours de
littérature
dramatique est une histoire de nos travers, de no
, la stérilité et la monotonie des souffrances matérielles. (Cours de
littérature
dramatique. Édition Charpentier.) Sur la biza
ittérature dramatique. Édition Charpentier.) Sur la bizarrerie en
littérature
Les exceptions et les bizarreries deviennent
e de l’imiter et de la reproduire. La facilité de l’imitation est, en
littérature
comme en peinture, la punition de ce qu’on appell
e en peinture, la punition de ce qu’on appelle la manière. (Cours de
littérature
dramatique.) Le stoïcisme et le christianisme
s sages, il est mort inutile pour avoir vécu orgueilleux1. (Essais de
littérature
et de morale. Édition Charpentier.) Sur l’idé
décider à être homme, c’est-à-dire imparfait et médiocre1. (Essais de
littérature
et de morale. Édition Charpentier.) Fragment
par M. Nisard sur l’Art d’écrire. (Même recueil.) 2. Tableau de la
littérature
française au seizième siècle. Librairie Didier.
est le premier, il est le seul qui ait consacré à l’histoire de notre
littérature
un monument qu’on peut appeler national ; car nul
, prendre plus de souci de la morale que de l’esthétique. C’est de la
littérature
comparée qui conclut par de la morale. J’éprouve
a beauté des tableaux, la vie des portraits, les rapprochements de la
littérature
comparée. J’ai peut-être des raisons personnelles
e la plus jalouse de rester distincte de la religion. (Histoire de la
littérature
française, t. IV, p. 530. Édition Firmin Didot.)
vent des effets du sang, des fumées qui nous montent au cerveau4. Les
littératures
les plus riches en images sont les plus pauvres d
en n’est-il pas à la merci des hommes et des choses ! (Histoire de la
littérature
française, t. I, p. 24. Édition Firmin Didot.)
son effet moral1, est de l’invention de La Fontaine. (Histoire de la
littérature
française, t. III, p. 133. Édition Firmin Didot.)
5. Allusion aux œuvres de M. Saint-Marc Girardin, intitulées Cours de
littérature
dramatique. Il s’y plaît aux antithèses morales,
que peuvent l’être les choses littéraires. 3. Lisez l’Histoire de la
littérature
française, pour commenter cette définition. 4. L
pe ? N’hésitons pas d’ailleurs à le dire : presque tous les genres de
littérature
ont sur ce point le même danger que les fables de
t, sans doute, peu différentes ; elles porteront sur l’ensemble de la
littérature
française et plus spécialement sur les deux derni
ement sur les deux derniers siècles. On n’y saurait donner place à la
littérature
contemporaine puisque l’étude en est exclusivemen
uer aux épreuves orales. On consultera, avec profit, l’Histoire de la
Littérature
Française de M. Nisard, celle de M. Géruzez, les
sur Corneille, Racine et Molière, le Cours critique et historique de
Littérature
de M. A. Henry, et il sera utile de bien posséder
. Henry, et il sera utile de bien posséder un Précis d’histoire de la
littérature
. Les candidats pourront à leur gré choisir entre
ique générale. Usage de la langue mythologique des anciens dans la
littérature
française. 1° A quelle époque et à la faveur de q
t du xviii e siècles. 3° Ce procédé poétique est-il abandonné dans la
littérature
contemporaine ? Prendre vos exemples de préférenc
préférence. (Marseille, juillet 1890.) En quoi diffèrent surtout les
littératures
des xvii e et xviii e siècles ? (Caen, novembre 1
Marseille, juillet 1888.) Quels sont les caractères généraux de notre
littérature
au xviii e siècle ? Quels genres nouveaux apparai
ue le plus. (Lille, avril 1888.) Par quels caractères se distingue la
littérature
du xviii e siècle ? Quels sont les grands prosate
le inclusivement. (Lyon, octobre 1888.) La poésie lyrique dans notre
littérature
aux xviii e siècles et xviii e siècles et dans la
e faut-il entendre par là ? – En a-t-il toujours été ainsi dans notre
littérature
? Rappeler les idées de Fénelon à ce sujet, et ré
’Art poétique ? Quels en sont les principaux représentants dans notre
littérature
? (Lyon, octobre 1889.) Vous indiquerez la nature
ître et apprécier l’influence exercée par Boileau sur la langue et la
littérature
françaises au xvii e siècle. (Toulouse, juillet 1
te), juillet 1889.] La chevalerie : son influence sur les mœurs et la
littérature
du moyen-âge. (Clermont, novembre 1885.) discour
poésie, et que les progrès des sciences doivent amener la ruine de la
littérature
et des beaux-arts ? (Toulouse, juillet 1891.) Vou
Plans Quelle a été l’influence personnelle de Louis XIV sur la
littérature
de son siècle ? Louis XIV avait le goût du be
e le roi donnait des pensions aux gens de lettres. Avant Louis XIV la
littérature
était fort mêlée ; si Malherbe et Corneille avaie
ivaient sans fin, de Chapelain, de Saint-Amand, etc… il condamnait la
littérature
facile où se complaisaient la plupart des poètes.
re, etc… Il essayait, en un mot, de préparer le public à accepter une
littérature
meilleure. En quoi peuvent se ressembler et e
. Il faut aller jusqu’à André Chénier pour trouver un vrai poète. La
littérature
du xviii e siècle a été surtout une littérature d
er un vrai poète. La littérature du xviii e siècle a été surtout une
littérature
d’action ; elle s’est proposé de renverser tout c
nce littéraire de J.-J. Rousseau ? J.-J. Rousseau a exercé sur la
littérature
de son temps une influence considérable et cette
n’a mieux enseigné que dans ses lettres. Il y a, là, tout un cours de
littérature
, et le plus exquis qu’on ait jamais écrit. C’est
pense, c’est qu’il a été choqué par des fautes répétées. Le goût, en
littérature
, est le sentiment prompt et délicat des beautés c
il y aura tout profit à se procurer quelques bons livres, comme : la
Littérature
de Nisard, le Cours de littérature dramatique de
r quelques bons livres, comme : la Littérature de Nisard, le Cours de
littérature
dramatique de Saint-Marc Girardin, les Moralistes
urts, de simples précis, tels que les Éléments d’histoire littéraire (
Littérature
française), de René Doumic (Delaplane), le Précis
), de René Doumic (Delaplane), le Précis historique et critique de la
Littérature
française, très riche en indications bibliographi
Leçons de M. Petit de Julleville (Masson), la Petite] Histoire de la
Littérature
française de Gazier (Armand Colin), et aussi, pou
que rêvait La Bruyère et qu’il définissait…. Concours de 1882.
Littérature
. Développer, éclaircir par des exemples et, s’il
ection des Lettres et section des Sciences.) Concours de 1883.
Littérature
. Notre xvii e siècle a réuni bien des conditions
bien des conditions favorables au développement d’une grande et riche
littérature
: – langue préparée à point par la vie sociale et
les rapports de la charité et de la justice ? (Section des Lettres.)
Littérature
. « Que chacun de nous se contente de la part qui
e bien. » jouffroy. (Section des Sciences) Concours de 1885.
Littérature
. Mme de Lambert (1647-1733) avait écrit à Fénelon
ale ? Idées et sentiments qui s’y rattachent. (Section des Lettres.)
Littérature
. Justifier cette pensée : « La culture littéraire
en les reposant. » (Section des Sciences.) Concours de 1886.
Littérature
. Montrer les principales différences entre les tr
i-même comme moyen de perfectionnement moral. (Section des Lettres.)
Littérature
. Développer ces lignes d’une lettre de Voltaire :
aisir et son goût ». (Section des Sciences.) Concours de 1887.
Littérature
. Analyser, dans la comédie des Femmes savantes, l
’universalité des principes de la loi morale. (Section des Lettres.)
Littérature
. Expliquer cette pensée de Nicole : « On se sert
ionner sa raison. » (Section des Sciences.) Concours de 1888.
Littérature
. Est-ce la prose, est-ce la poésie qui, au xviii
e la responsabilité. (Section des Sciences.) Concours de 1889.
Littérature
. Pauline de Grignan, la petite-fille de Mme de Sé
ne femme savante. » (Section des Sciences.) Concours de 1890.
Littérature
. Montrer les qualités que réunit, pour la premièr
ucation de soi-même. (Section des Sciences.) Concours de 1891.
Littérature
. Qu’entendez-vous par un écrivain classique ? (S
lisait beaucoup, ne savait pas ce qu’une femme doit savoir en fait de
littérature
. Sainte-Beuve a pu dire d’elle : « En fait de lec
duit, et en même temps il est juste, il est vrai. Car, il y a dans la
littérature
, des lectures qui sont nécessaires et d’autres qu
as le nécessaire… nécessaire… 2 e Paragraphe. – Il en est de même en
littérature
. Le superflu, ce sont les lectures faites au hasa
nfortunes. – Un ingénieux critique a écrit : « On peut dire que notre
littérature
tout entière est une littérature mondaine, née du
e a écrit : « On peut dire que notre littérature tout entière est une
littérature
mondaine, née du monde et pour le monde. » – Cett
our le monde. » – Cette opinion n’est-elle pas fondée surtout pour la
littérature
française au xvii e siècle ? – La Bruyère va trou
u monde et particulièrement par les femmes sur le développement de la
littérature
française auxvii e siècle. – Quelles sont les idé
es, ou pédants ou précieux. Boileau avait l’amour et le respect de la
littérature
, le souci de la dignité des poètes. Et si parfois
La Fontaine : La galande fait chère lie. 3° Syntaxe du conditionnel.
Littérature
. Développer et apprécier ces paroles de Fénelon :
les n’ont pas fait remonter leurs études au-delà du xvii e siècle. En
littérature
, l’insuffisance de la méthode qui a présidé jusqu
qui leur a été enseigné, et pour l’employer dans la juste mesure. »
Littérature
. Quel profit peut-on tirer de la correspondance d
concours, quel examen en est exempt ? – le niveau des compositions de
littérature
est supérieur à celui de l’année dernière, et pro
a précision sans apprêt de leur langage. » Ordre des sciences
Littérature
. « Quelques exemples rapportés en peu de mots et
nt à l’archaïsme qui se produit à l’arrière-saison des langues et des
littératures
? – Un tel dictionnaire, excellent pour l’histoir
er à écrire simplement le dictionnaire sous la dictée de l’usage. »
Littérature
. Qu’entend-on par un écrivain moraliste ? Sous qu
te peut-il se produire ? Fécondité, en ce genre d’écrivains, de notre
littérature
classique. Extrait du rapport de M. Jacquinet :
ure classique. Extrait du rapport de M. Jacquinet : « Composition de
littérature
. – Ce sujet, à trop peu d’exceptions près, n’a pa
soignée offre quelques mérites de style. » Ordre des sciences
Littérature
. J. -J. Rousseau dit, dans l’Émile : « Rendez vo
ue pour l’âge dont on avait à s’occuper. » Ordre des sciences
Littérature
. Faire le portrait d’une femme instruite suivant
ire se produire le goût de l’un ou de l’autre, et à quel moment d’une
littérature
? Quelles sortes d’esprits, de talents, s’enhardi
du néologisme. – En quoi l’abus, des deux parts, est-il à redouter ?
Littérature
. Dire quels services peuvent rendre au goût, à la
uter ? Littérature. Dire quels services peuvent rendre au goût, à la
littérature
, aux mœurs, les salons brillants et choisis, les
re, de celui que tentent, dans l’arrière-saison d’une langue et d’une
littérature
, certains talents, soit d’eux-mêmes, soit à la su
gétation stérile qui couronne les vieux idiomes. » 2° Composition de
littérature
. – Dans cette épreuve, nos aspirantes, hâtons-nou
’examen ont rarement occasion de décerner. Ordre des sciences
Littérature
. Une de vos élèves, jeune fille d’environ quinze
s l’épreuve qui suit, et dont le sujet est alternativement pris de la
littérature
ou de la morale, le tour de celle-ci revenait cet
me avec un certain bonheur d’expression. » Ordre des sciences
Littérature
. La Bruyère a dit : « Si l’on juge par le passé d
onymes pour l’écrivain. – Notre langue est-elle riche de synonymes ?
Littérature
. Voltaire a dit : « Voulez-vous une petite règle
à ce mérite dont on dissertait, ou d’en approcher. 2° Composition de
littérature
. – On avait à étudier, à discuter un passage de V
géré, débordant, de la prose dans l’esthétique de Voltaire et dans la
littérature
de son temps, au dépérissement qui ne peut être c
riche de couleur et de son que de sens. » Ordre des sciences
Littérature
. La science, l’industrie et l’art. – Les distingu
a pureté de notre langue, il s’avisait de dire, dans son Essai sur la
littérature
anglaise : « Il est très bon, très utile d’appren
elle l’est, l’approuvez-vous sans réserve ? Ordre des sciences
Littérature
. La littérature, comme la science, a la vérité po
prouvez-vous sans réserve ? Ordre des sciences Littérature. La
littérature
, comme la science, a la vérité pour objet : Rien
e qu’il importe de confier à leur mémoire ? Ordre des sciences
Littérature
. A l’époque de la Renaissance, le goût de l’érudi
ecture d’Homère, de Sophocle et de Virgile. – On a souvent dit que la
littérature
est l’expression de la société. Expliquez cette p
e les trois ou quatre mots sublimes qui sont signalés dans toutes les
littératures
. Ce n’est pas cela ; il faut revenir et, se sépar
’art d’écrire. (Hachette.) Lintilhac Précis critique et historique de
Littérature
. Tome 1. Le tome II paraîtra prochainement. (Andr
» latine. (Id.) Max Egger »grecque. (Id.) Chauvin et le Bidois. La
Littérature
française par les écrivains contemporains (choix
par des professeurs. Concours de 1883. (Ordre des lettres)
Littérature
. Lettre de Mme de Sévigné à son ancien maître Mén
des lettres Langue française. Du verbe dans la langue française.
Littérature
. La poésie lyrique au xvii e, au xviii e et au xi
nt bien inutilement sur l’enseignement des garçons… 2° Composition de
littérature
française. – Le sujet était : La poésie lyrique…
s de nos aspirantes y suffisaient. Ce qu’on connaît le mieux de notre
littérature
, c’est le théâtre. On pouvait se contenter d’anal
is à tout un genre de poésie, pour les trois grandes époques de notre
littérature
, et à un genre dont il est plus aisé de sentir le
nsemble, propres à éclairer l’histoire si riche et si variée de notre
littérature
. Nous voulions nous assurer que l’on savait recon
ut de sens critique, qui s’était trahi surtout aux épreuves orales de
littérature
. Il nous a frappés, cette année, au milieu de rée
r ces annexions inattendues qui dénotent bien le trouble des idées en
littérature
. Comment cette ignorance et ces erreurs de jugeme
s qu’il appartiendrait de s’en souvenir… » Ordre des sciences
Littérature
. Quels ont été, au xvii e siècle, les grands aute
lier de leur style ? Concours de 1885. Ordre des lettres
Littérature
. Expliquez, et appliquez à la critique littéraire
x futures mères de famille. La morale y trouvera son compte, comme la
littérature
. C’est dans cette pensée que nous avions emprunté
la correction, la sobriété, le naturel. » Ordre des sciences
Littérature
. Pascal écrit : « Ceux qui sont accoutumés à jug
sse, en particulier. Concours de 1886. Ordre des lettres
Littérature
. A quels points de vue différents peut-on se plac
férents peut-on se placer pour l’étude et la critique des ouvrages de
littérature
? Quels sont les avantages, les inconvénients, le
, 1714.) Extrait du rapport de M. Eugène Manuel, président du jury :
Littérature
. – Voici quel était le sujet de la composition li
écier chez les concurrentes les vues générales, dans les questions de
littérature
, et les connaissances particulières ; l’étendue d
ine a-t-on entrevu le rôle des théories esthétiques dans les diverses
littératures
, la place faite aux races, aux mœurs, à l’histoir
se, la préparation des aspirantes était plus solide que sur celles de
littérature
. Le champ est évidemment plus restreint ; les liv
l’élégance, ni le bon choix des termes. » Ordre des sciences
Littérature
. La Bruyère écrit : « L’on n’a guère vu jusques à
vrage de plusieurs ? Concours de 1887. Ordre des lettres
Littérature
. Quelle a été, sur la littérature française, au x
de 1887. Ordre des lettres Littérature. Quelle a été, sur la
littérature
française, au xvii e siècle, l’influence de la so
mblent un peu trop détourner nos aspirantes de l’étude générale de la
littérature
et de l’histoire littéraire proprement dite. S’il
ées et coordonnées. On sait assez bien telle ou telle partie de notre
littérature
; mais ce sont des points isolés dans un vaste pa
nombreux, mais bien choisis et probants. » Ordre des sciences
Littérature
. Vauvenargues a dit : « Je n’approuve point la ma
ême la bien savoir ? Concours de 1888. Ordre des lettres
Littérature
. Comparer Corneille et Racine. Langue française.
nuels changements ? On étudiera, à ce point de vue, l’influence de la
littérature
sur la langue. Ordre des sciences Littérat
’influence de la littérature sur la langue. Ordre des sciences
Littérature
. Du rôle utile et des dangers de l’imagination da
ut-il l’apprécier aujourd’hui ? Vous exposerez, comme en une leçon de
littérature
française, cet épisode de notre histoire littérai
Eugène Manuel, président du jury : « 1° Composition sur un sujet de
littérature
. – … On se tromperait, avec la plupart des aspira
seurs des modernes, passant, avec le xviii e siècle, du domaine de la
littérature
dans celui de la philosophie et de la politique,
ue contemporaines, en état d’écrire désormais l’histoire comparée des
littératures
. Sans espérer ni demander que le cadre de cette c
eau et des injures de Mme Dacier. Enfin, nous réclamions une leçon de
littérature
, faite à des élèves dans une classe de 4e ou de 5
ux préparées pour les questions de langue et de grammaire que pour la
littérature
et la critique, les résultats de cette compositio
mêmes de nos lycées de jeunes filles : la grammaire y déborde sur la
littérature
. Non que nous prétendions blâmer une étude si néc
ique ou synthétique d’une langue, et impriment une marque propre à la
littérature
et au génie d’un peuple (c’est, pour le français,
rez l’opinion de La Bruyère ; vous appliquerez surtout ses idées à la
littérature
, et vous puiserez vos arguments et vos exemples d
ière d’observations plus précises. 1° Composition sur une question de
littérature
. – Il serait aussi injuste qu’invraisemblable de
n veut parcourir, et la question du goût devient ici tout un cours de
littérature
. On est presque toujours trop long ; on craint de
pement spontané des langues, souvent même après les chefs-d’œuvre des
littératures
; et que les mots, les formes, les tours, les syn
ndre à la variété infinie des sujets ? Sujets proposés Morale,
littérature
et langue françaises1 – Développer cette pens
français : les caractériser. – Montrer que l’étude de l’histoire des
littératures
est le complément nécessaire de l’étude des chefs
bles de La Fontaine une théorie poétique ? – « On peut dire que notre
littérature
tout entière est une littérature mondaine, née du
oétique ? – « On peut dire que notre littérature tout entière est une
littérature
mondaine, née du monde et pour le monde », a dit
, M. Paul Janet. Cette opinion n’est-elle pas fondée, surtout pour la
littérature
française au xvii e siècle ? – Développer et comm
? Quelles sont les principales influences qui se sont exercées sur la
littérature
? – Les lettres françaises sous Richelieu. – Qu’e
moment où le précieux, le solennel et le burlesque se partageaient la
littérature
. Les belles périodes, un peu pédantes et guindées
iècle. Rien de plus différent, on l’a répété bien des fois, que la
littérature
du xvii e et du xviii e siècle ; de Bossuet à Vol
ficile de se prononcer, justement à cause de la dissemblance des deux
littératures
. Les uns, ne pouvant rien concevoir en dehors de
t de l’époque précédente. Il y a des deux parts de l’exagération : la
littérature
du xviii e siècle, inférieure en réalité à celle
; les idées fermentaient ; à la mort de Louis XIV tout fut changé, la
littérature
comme le reste. Les idées étaient nouvelles, on l
t là le grec et le latin, on alla puiser des idées nouvelles dans les
littératures
étrangères. Enfin le prestige de la royauté dispa
n et de réédification, ce furent les écrivains qui l’accomplirent. La
littérature
du xviii e siècle devint un instrument de propaga
, il est vrai, tout de suite au deuxième rang, et la seconde place en
littérature
est encore bien belle. X., Élève du Collège Sévi
conclure. Elles se rendront compte que composer, en histoire comme en
littérature
, c’est ordonner, c’est combiner, c’est faire un t
nus. Elles chercheront à faire œuvre personnelle. Pour la Composition
littérature
, il va de soi qu’elles devront ne l’aborder qu’ap
du xviii e et du xix e siècle. 2° Précis historique et critique de la
Littérature
française depuis les origines jusqu’à nos jours,
sseur bien renseigné, très érudit, pour des professeurs. 3° Précis de
littérature
de M. Gréard. (Masson.) On y trouvera des résumés
Conseils sur l’art d’écrire, par M. Lanson. (Hachette.) 5° Leçons de
littérature
, par M. Petit de Julleville. (Masson.) Quand on a
ages une étude approfondie, on pourra et on devra aborder le Cours de
littérature
dramatique de Saint-Marc Girardin, l’Histoire de
rs de littérature dramatique de Saint-Marc Girardin, l’Histoire de la
littérature
de Nisard, le XVIIIe siècle de Villemain, la Pros
tellectuelles que vous voudriez surtout développer chez vos élèves ?
Littérature
. On ne lit pas assez dans nos écoles. Comment dév
e goût de la lecture, par Michel Bréal (voir Lectures pédagogiques).
Littérature
. Faire connaître le Cid. Importance de cette pièc
xamen du brevet supérieur ? Insistez sur l’enseignement des lettres.
Littérature
. Entre les classiques français, à quel poète donn
en Europe de 1804 à 1815. Concours de 1883. SESSION DE JUILLET
Littérature
. Expliquer, avec des exemples à l’appui, ce qu’on
régner l’ordre et la discipline dans une classe ? SESSION D’OCTOBRE
Littérature
. Qu’avez-vous lu des historiens du xix e siècle ?
ssayez de rendre compte de votre préférence. Concours de 1884.
Littérature
. D’après ce que vous connaissez de la corresponda
bon livre ; à quels signes le reconnaître ? Concours de 1885.
Littérature
. Expliquer ce mot de Buffon : « Bien écrire, c’es
ils moins que d’autres l’occasion de punir ? Concours de 1886.
Littérature
. Commentez et appréciez le mot de Montesquieu :
ision possible les motifs de votre jugement. Concours de 1887.
Littérature
et grammaire. I. – Expliquer quant à la forme gra
un bon livre de lectures à l’école primaire. Concours de 1888.
Littérature
. Étudier les caractères de femmes dans le Misanth
également l’esprit et le laissent à sec. » Concours de 1889.
Littérature
. Commenter l’une des deux sentences de La Bruyère
tre les autres ou de se connaître soi-même ? Concours de 1890.
Littérature
ou grammaire. 1. – Pourquoi l’exercice de la lect
ur commerce par le cœur que par l’esprit. » Concours de 1891.
Littérature
ou grammaire. I. – Un jeune homme, qui se prépare
s sujets qui ont, à quelques exceptions près, un caractère spécial de
littérature
et de pédagogie féminines. I. – Littérature
un caractère spécial de littérature et de pédagogie féminines. I. –
Littérature
– Lettre de Mme de Maintenon à Mme d’Aubigné,
e et un peu le xix e siècle, placerez-vous dans cette bibliothèque ? (
Littérature
, morale, histoire.) Vous caractériserez brièvemen
ujet est littéraire. Je voudrais qu’on en fit un recueil. Ce cours de
littérature
sans plan et sans dessein, cette poétique sans di
t le programme des écoles normales contribuent à former le jugement.
Littérature
. Principales différences et ressemblances entre l
de quelle ressource est dans la vie une volonté ferme et réfléchie.
Littérature
. Dire ce qu’on entend par la Renaissance. En expl
, ne se transformera pas en un dialogue oiseux, en un pur bavardage.
Littérature
. Exposez à des élèves qui entrent à l’école norma
distinctifs de la prose et de la poésie. Prendre des exemples dans la
littérature
française. Concours de 1883. Pédagogie. Qu
Pédagogie. Quels sont les avantages et les dangers de l’émulation ?
Littérature
. Analysez et appréciez une fable de La Fontaine à
ieurs branches de l’enseignement dans les écoles normales primaires.
Littérature
. Expliquer comment Corneille a su varier dans tro
ression d’un même sentiment, le patriotisme. Concours de 1885.
Littérature
. La France élève des statues à ses grands hommes.
ys et, par-dessus tout, la langue nationale. Concours de 1886.
Littérature
. Expliquer ces paroles d’un grand écrivain : « Vo
ropres à le faire naître et à le développer ? Concours de 1887
Littérature
et Grammaire. Du rôle et de l’utilité des exemple
Quels sont ses effets ? Comment y remédier ? Concours de 1888.
Littérature
. Quelles sont les principales qualités nécessaire
on maître, le citoyen aux lois de son pays ? Concours de 1889.
Littérature
. Expliquer ce mot d’un philosophe : « L’âge d’or,
r la morale à l’école primaire, et comment ? Concours de 1890.
Littérature
. Expliquer cette définition de l’histoire : « L’h
ses enfants, entre le maître et ses élèves ? Concours de 1891.
Littérature
. Qu’entend-on par exposition dans une pièce de th
entier. 1er Paragraphe. – Il va de soi que le sentiment s’allie à la
littérature
, à l’histoire, à la morale (le montrer). 2e Parag
tolémées1. (Section d’architecture, mars 1891.) Comparer l’art et la
littérature
des Romains à l’art et à la littérature des Grecs
1891.) Comparer l’art et la littérature des Romains à l’art et à la
littérature
des Grecs. (Section de peinture, juin 1891.) CONS
doit se diviser nettement en deux grandes parties : 1° L’art ; 2° la
littérature
. Et dans chacune des deux parties se placent deux
Il sacrifie le beau à l’utile. Ex. : le Colisée. 2 e Paragraphe. – La
littérature
. – A. La littérature grecque est nationale, origi
l’utile. Ex. : le Colisée. 2 e Paragraphe. – La littérature. – A. La
littérature
grecque est nationale, originale, d’une extraordi
ormes changeantes, pleine d’une imagination vive et spontanée. B. La
littérature
romaine est imitée de la littérature grecque. Ell
nation vive et spontanée. B. La littérature romaine est imitée de la
littérature
grecque. Elle pèche par l’invention. Elle emprunt
our du Monde. Comme le sujet pourrait être emprunté à la morale, à la
littérature
, ils ne négligeront pas également de consulter le
de consulter le Précis de morale, de M. Paul Janet, l’Histoire de la
Littérature
, par M. R. Doumic. Concours de 1858. LES GYM
nt en même temps écrivains ont-ils apporté une note originale dans la
littérature
française ? Duquesne et rutter Le 22 avril 1676
seau. Extrait de la France maritime (1852). On trouvera des sujets de
littérature
et de morale de la page 44 à la page 56. Nous eng
souvent depuis Montaigne : « Rien n’est nouveau sous le soleil. » En
littérature
, en art, en philosophie, en histoire, il semble e
les finances de l’État sont prospères. Sous le règne de Louis XIV, la
littérature
, les sciences atteignent à un degré de splendeur
tres. Conseils généraux 268 Sujets de concours 271 Sujets proposés.
Littérature
277 Pédagogie et morale 280 Copies d’élèves 291
et les vers. Il ne faut pas croire que les premiers monuments de la
littérature
d’un peuple soient ordinairement composés en pros
elle est l’indice non équivoque du talent ou du génie. Appliquée à la
littérature
ou aux arts, elle produit ces œuvres qui captiven
Tel est le beau en général dans les arts ; tel il sera aussi dans la
littérature
, et principalement dans la poésie ; car la poésie
ocoon, le Jugement dernier de Michel-Ange, les pyramides d’Égypte. En
littérature
: l’Iliade d’Homère, l’Enfer de Dante. Dans Corne
C’est l’apogée du développement humain, c’est aussi l’âge d’or de la
littérature
, le moment où la langue atteint sa maturité. Aprè
e, vouloir appliquer ce système dans toute sa rigueur et à toutes les
littératures
; mais il suffit de jeter un coup d’œil sur l’his
vers. Division. Nous pouvons diviser, comme il suit, les genres de
littérature
en vers : Quatre grands genres : Le genre lyriqu
itique Lorsque la critique est devenue nécessairement un genre de
littérature
; souvent ceux qui l’exerçaient n’ont pas respect
e Sésostris. Aussi rien ne fut plus original, plus sincère, que cette
littérature
imitée et quelquefois transcrite de l’antiquité.
sûre, en vous nommant, d’être juste et populaire. Dans tout genre de
littérature
, toute célébrité durable est un grand titre acadé
Paris, sa vie d’affaires et de plaisirs, sa banque, son commerce, sa
littérature
, c’est autour de vous, c’est aujourd’hui, c’est h
ouveau-venus. 2. C’est parler d’or. 3. Il faut être libéral même en
littérature
. 4. Voici les conseils que Lamotte donnait aux
t prompt ! Aussi les gens de goût sont-ils les hauts justiciers de la
littérature
. L’esprit de critique est un esprit d’ordre : il
ivres. 3. Librairie académique. 4. Voir dans M. Nisard (Hist. de la
Littérature
, t. III) de belles pages sur l’influence littérai
es (Réflexions critiques sur quelques poëtes), Marmontel (Eléments de
littérature
, au mot Fable), La Harpe (Cours de littérature),
Marmontel (Eléments de littérature, au mot Fable), La Harpe (Cours de
littérature
), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (Histoir
littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (Histoire de la
littérature
française), etc. Il est de plus resté, mais en pa
lassique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux Histoires de la
littérature
française qu’ont fait paraître MM. Geruzez et Dem
t aussi à La Harpe, qui l’a transcrite et commentée dans son Cours de
littérature
, l’une des plus heureuses de La Fontaine. 4. Ce
remonté fort au delà de Rabelais et de Marot dans l’histoire de notre
littérature
; et, comme l’observe le compte de Caylus dans un
de la troisième édition. Cette troisième édition de notre Cours de
littérature
ne diffère pas notablement de la précédente. Nous
J. V. Paris, le 1er septembre 1862. Notions préliminaires. I.
Littérature
et belles-lettres1. 1. La littérature, en géné
tions préliminaires. I. Littérature et belles-lettres1. 1. La
littérature
, en général, est la connaissance raisonnée des ou
goût, le talent de la critique et celui de la composition. 2. Le mot
littérature
a pour l’ordinaire deux acceptions différentes. I
d’un pays, ou même d’un certain genre. C’est ainsi que l’on dit : la
littérature
du siècle d’Auguste, la littérature grecque, la l
re. C’est ainsi que l’on dit : la littérature du siècle d’Auguste, la
littérature
grecque, la littérature sacrée, la littérature lé
dit : la littérature du siècle d’Auguste, la littérature grecque, la
littérature
sacrée, la littérature légère. Ainsi entendue, la
u siècle d’Auguste, la littérature grecque, la littérature sacrée, la
littérature
légère. Ainsi entendue, la littérature se confond
que, la littérature sacrée, la littérature légère. Ainsi entendue, la
littérature
se confond avec les belles-lettres et peut se déf
n du beau par la parole écrite ou parlée. Dans le second sens, le mot
littérature
se prend pour la collection des règles qui appren
d’esprit et à écrire ou parler soi-même avec goût. Ainsi entendue, la
littérature
peut se définir : L’ensemble des lois qui régisse
est l’objet de la science ; la morale s’attache à montrer le bon ; la
littérature
s’applique spécialement à rechercher le beau, san
c’est le vrai dans tout son éclat, c’est la splendeur du vrai. 7. La
littérature
ou les belles-lettres ont pour but immédiat, d’ap
es plus belles ne sont rien si elles présentent des idées fausses, la
littérature
accorde une grande importance à la pensée et perf
ement des moyens ordinaires et à réussir dans ce qu’on entreprend. En
littérature
, il consiste à donner aux sujets que l’on traite
e goût ; Aristote, plus de pureté et de profondeur. III. Règles de
littérature
. Plan et division de l’ouvrage. 26. Les règles
ure. Plan et division de l’ouvrage. 26. Les règles ou préceptes de
littérature
sont un recueil de principes et d’observations pr
31. La critique est l’application des règles à tous les arts ; et, en
littérature
, c’est le jugement que nous portons sur les beaut
le le jugement se manifeste. La logique ne considère que le fond ; la
littérature
s’occupe tout à la fois du fond et de l’expressio
ogisme il y a trente ans, et qui sont maintenant adoptés par la bonne
littérature
. Ainsi, utiliser une découverte, démoraliser une
les expressions d’une composition. 274. Il n’y a pas un seul genre de
littérature
sur lequel l’analyse ne puisse utilement s’exerce
beaucoup d’étude et de talent. Il existe assez de belles pages sur la
littérature
, mais les livres qui en résument bien les précept
pour un écrivain. 363. Les jeunes gens qui étudient les principes de
littérature
ne sont pas encore capables de bien saisir l’ense
rétendu qu’il fallait avant tout viser à l’effet, et que le succès en
littérature
épurait et justifiait tous les moyens. Cette opin
de décoration répartis en quatre actes. 537. Il n’est aucun genre de
littérature
où les écrivains aient fait un aussi déplorable a
ître philosophique est celle qui roule sur la religion, la morale, la
littérature
, les sciences, les arts, ou sur quelque autre suj
rançais sont naturellement malins, les épigrammes abondent dans notre
littérature
. Boileau, Racine et J.-B. Rousseau nous en ont la
re !… ton fils est mort ! (J. Reboul.) Questionnaire du cours de
littérature
Notions préliminaires. 1. Qu’est-ce qu’on
térature Notions préliminaires. 1. Qu’est-ce qu’on entend par
littérature
en général ? 2. Combien d’acceptions peut avoir l
ar littérature en général ? 2. Combien d’acceptions peut avoir le mot
littérature
? 3. Faut-il confondre les lettres et les belles-
deux caractères d’un goût exquis ? 26. Qu’entendez-vous par règles de
littérature
? 27. Quelle est l’origine des règles ? 28. Quell
le logogriphe ? 1. Auteurs à consulter : Marmontel, Éléments de
littérature
, art. Beau, Génie, Talent, Goût, etc. ; Laurentie
e l’enseignement des lettres, ch. i, ii, iii ; Pérennès, Principes de
littérature
, 1re et 2e part. ; Collombet, Cours de littératur
nnès, Principes de littérature, 1re et 2e part. ; Collombet, Cours de
littérature
profane et sacrée, ch. ier ; l’abbé Decœur, Essa
Style ; Buffon, Discours de réception à l’Académie ; Blair, Leçons de
littérature
, IIIe partie ; Collombet, Cours de littérature pr
mie ; Blair, Leçons de littérature, IIIe partie ; Collombet, Cours de
littérature
profane et sacré, ch. iii ; Ernest Hello, Le Styl
38-13 ; Ouintilien, Inst. orat., liv. VIII ; Le Batteux, Principes de
littérature
, Construction oratoire ; l’abbé Girard, Synonymes
tilien, Institut. orat., liv. VIII, ch. i, ii, iii : Blair, Leçons de
littérature
, IIIe partie ; Rollin, Traité des études, liv. II
ii ; Crevier, Rhétorique française, IIIe partie ; Collombet, Cours de
littérature
, section Ire, chap. iii. 9. Auteurs à consulter
n, Instit. orat., liv. IX ; Du Marsais, Des tropes ; Blair, Leçons de
littérature
, IIIe part., leç. 14, 15 et 16 ; De Calonne, Trai
, art. 2 ; Le Batteux, Construction oratoire : Marmontel, Éléments de
littérature
; Collombet, Cours de littérature, sect. 1re, ch.
n oratoire : Marmontel, Éléments de littérature ; Collombet, Cours de
littérature
, sect. 1re, ch. v. 11. Auteurs à consulter : Lon
ue, leç. 35, 36, 37 ; Marmontel, art. Narration ; Collombet, Cours de
littérature
, sect. Ire, ch. vi ; De Calonne, Traité de la nar
analyse littéraire. 16. Auteurs à consulter : Marmontel, Éléments de
littérature
, art. Description ; Collombet, Cours de littératu
ntel, Éléments de littérature, art. Description ; Collombet, Cours de
littérature
, ch. vi, art. ii. 17. Voir notre Traité de l’art
cation française. 22. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de
littérature
, 6e traité ; Marmontel, Éléments de littérature,
Batteux, Principes de littérature, 6e traité ; Marmontel, Éléments de
littérature
, art. Lyrique, Ode ; Lowth, Poésie sacrée des Héb
pactes bibliques. 23. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de
littérature
, 4e traité ; Rollin, Traité des études, liv. II,
a lecture d’Homère ; Blair, leç. xlii, xliii ; Marmontel, Éléments de
littérature
, art. Épopée ; Chateaubriand, Génie du christiani
du christianisme, 3e partie, liv. III et IV ; Pérennès, Principes de
littérature
, 2e part., ch. v. 24. Auteurs à consulter : Le B
2e part., ch. v. 24. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de
littérature
, 5e traité ; Blair, leç. xlv, xlvi ; Marmontel, a
chap. viii ; Victor Hugo, Préface de Cromwell ; F. Schlegel, Cours de
littérature
dramatique ; Saint-Marc Girardin, Littérature dra
; F. Schlegel, Cours de littérature dramatique ; Saint-Marc Girardin,
Littérature
dramatique. 25. Auteurs à consulter : Le Batteu
ture dramatique. 25. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de
littérature
, 7e traité ; Blair, Leçons de rhétorique, leç. xl
leç. xl ; Marmontel, art Didactique, Descriptif ; Collombet, Cours de
littérature
, sect. II, chap. iii. 26. Auteurs à consulter :
s lettres, ch. x. 27. Auteurs à consulter : Le Batteux, Principes de
littérature
, 8e traité ; Marmontel, Éléments de littérature,
Batteux, Principes de littérature, 8e traité ; Marmontel, Éléments de
littérature
, art. Épigramme, Épitaphe, Énigme, Ballade, etc.
art. Épigramme, Épitaphe, Énigme, Ballade, etc. ; Collombet, Cours de
littérature
, sect. II, ch. ii.
Précis des quatre âges de la
Littérature
. On ne saurait douter que les productions litt
C’est à eux qu’appartient la gloire d’avoir créé les divers genres de
littérature
, et d’avoir enfanté des chefs-d’œuvre qui ont fix
, et mille autres savants illustres ouvrirent les sources de la bonne
littérature
. L’Italie fut l’heureuse contrée, où les lettres
s sont les grands hommes, qui ont illustré, dans les divers genres de
littérature
les quatre fameux siècles, qu’on appelle, par exc
eurs 56, rue des écoles Introduction. Caractères généraux de la
littérature
française au dix-huitième et au dix-neuvième sièc
ix-huitième siècle seront : la philosophie sceptique, l’imitation des
littératures
étrangères et la réforme politique. Rien de plus
i est l’opinion publique. Un des caractères les plus expressifs de la
littérature
au dix-huitième siècle, c’est d’avoir été essenti
érature au dix-huitième siècle, c’est d’avoir été essentiellement une
littérature
de propagande et de conquête. Si la France emprun
les y reporte plus nettes et plus dégagées. « La seconde époque de la
littérature
anglaise, dit Villemain, est, en effet, toute fra
ises sera sensible sur les gouvernements comme sur les sociétés. « La
littérature
italienne porte tellement l’empreinte de la nôtre
disciples (d’Aranda, Campomanès, Florida Blanca). En Allemagne, si la
littérature
française transforme peu le goût et les formes du
éraux, parce que la philosophie, en effet, marque de son empreinte la
littérature
, la poésie, la langue même du dix-huitième siècle
n’a rien laissé au dix-huitième siècle qui ait vraiment enrichi notre
littérature
. Rollin, l’abeille de la France, compose son miel
de l’emphase, ni du sentimentalisme qui règnent en ce moment dans la
littérature
. « Deux ou trois générations d’orateurs dévorées
et de science, de mélancolie découragée et de foi dans le progrès, sa
littérature
recevra son caractère même de cet état si complex
à faire comprendre quels devront être les principaux caractères de la
littérature
au dix-neuvième siècle : la place considérable do
e Christianisme ; ils estiment qu’une société nouvelle doit créer une
littérature
nouvelle, ils sont du parti des modernes. Mais, d
ur influence ne s’exerce encore que sur le groupe qui les entoure. La
littérature
proprement appelée impériale est une décadence. «
rtie peu ordinaire, dit Thiers, s’était emparée du génie national. La
littérature
française, malgré l’influence de Napoléon, demeur
s et des arts. En 1806, il écrivait de Posen à M. de Champagny : « La
littérature
a besoin d’encouragements. Vous en êtes le minist
és par le pouvoir, ne furent que des décors officiels. D’ailleurs, la
littérature
impériale prétend relever de la tradition classiq
pire et la Révolution de 1848 sont la période la plus brillante de la
littérature
du dix-neuvième siècle. Mais, dans ces années, ce
rcé sur les actes du pouvoir. Sans doute, à la tribune, comme dans la
littérature
, se feront sentir deux courants d’opinions en sen
le remarque, reviennent sans cesse sous la plume quand on parle de la
littérature
du dix-neuvième siècle : c’est qu’ils en indiquen
l’histoire, qu’elle appelle si souvent, d’ailleurs, en témoignage, la
littérature
politique devait prendre dans notre temps une pla
ger, la critique est devenue une des plus brillantes parties de notre
littérature
. Historique avec Villemain, doctrinale avec M. Ni
arables à l’Esthétiqne de Hégel, elle n’a pas laissé d’enrichir notre
littérature
de pages brillantes et fines : les noms de Raoul-
Vitet surtout, et plus tard de Rio, suffiraient pour le rappeler. La
littérature
d’imagination, dans cette même période, donnerait
le moindre danger serait de les détourner d’études plus solides. « La
littérature
de l’Empire, remarque Guizot, nous avait rendu un
, aussi bien qu’une boussole. Le souffle inspirateur manquait à notre
littérature
, quand l’école romantique alla le chercher à des
and l’école romantique alla le chercher à des sources nouvelles : les
littératures
étrangères et la liberté33. » C’est dans le livre
V. Hugo, par exemple, dit du romantisme qu’il était le libéralisme en
littérature
; il a encore comparé la poésie classique au pala
s, avaient raison sur plusieurs points : quand ils soutenaient que la
littérature
doit être la vivante expression de la société et
ne sauraient être fixées avec sûreté. Dans le développement de notre
littérature
, depuis la moitié du siècle jusqu’à nos jours, tr
ences dangereuses qui menacent aujourd’hui sur plusieurs points notre
littérature
. En philosophie, par exemple, il y aurait grande
ai que nous soyons entrés dans la période de notre déclin ? Que notre
littérature
doive subir cette loi inflexible de décadence pro
ie qui s’applique à tout avec succès, s’occupe dans le même temps de,
littérature
et de politique, de ses tragédies et de ses affai
age s’imprime ; c’est alors qu’il faut ou assoupir les Cerbères de la
littérature
, ou les faire aboyer en votre faveur. Il y a touj
sermon que je vous fais ? est-ce de vous détourner de la route de la
littérature
? Non ; je ne m’oppose point ainsi à la destinée
on que de deux ou trois mots d’amitié ; et quelques nouvelles soit de
littérature
, soit des sottises humaines, le tout courant sur
vie humaine, ce sont là les moins funestes. Les épines attachées à la
littérature
et à un peu de réputation ne sont que des fleurs
r atteinte : même en atténuant le reproche, il a trop souvent mêlé la
littérature
à l’industrie ; tout n’est pas clair dans son rôl
, la plus simple, la plus vraie, la plus touchante pastorale de notre
littérature
, où la seule gradation des sentiments nous mène s
t particulièrement Diderot, dont il reçut l’éveil en fait d’art et de
littérature
. Mais ses vrais maîtres furent les anciens, surto
lus riche dans la langue ; Chateaubriand prend partout, même dans les
littératures
vicieuses ; mais il opère une vraie transmutation
de séparer l’histoire des lettres de celle des faits et des idées. La
littérature
du Consulat et de l’Empire réfléchira, en effet,
s du passé ? Ces mouvements divers et opposés se retrouveront dans la
littérature
de l’époque nouvelle où nous entrons. Certaines é
chie de l’école sensualiste du dix-huitième siècle. En 1801, parut la
Littérature
considérée dans ses rapports avec les institution
critique nouvelle, agrandie par l’étude comparée des sociétés et des
littératures
étrangères, échauffée par l’admiration désintéres
vive. » Corinne, ch. III. Gœthe. Gœthe pourrait représenter la
littérature
allemande tout entière ; non qu’il n’y ait d’autr
is la connaissance personnelle de l’homme qui a le plus influé sur la
littérature
de son pays sert, ce me semble, à mieux comprendr
littérature de son pays sert, ce me semble, à mieux comprendre cette
littérature
. Gœthe est un homme d’un esprit prodigieux en con
esse générale ; la froide tragédie de Moïse, Milton et l’Essai sur la
Littérature
anglaise, qui contient des fragments précieux, et
toire de France. Jean II. Néron et Tacite. Il y a des genres de
littérature
qui semblent appartenir à certaines époques de la
r de l’homme, expliquant l’un par l’autre ; enfin, par la science des
littératures
comparées, elle éclaira d’un jour nouveau les gra
ouvrages qui résument l’enseignement de Villemain : le Tableau de la
Littérature
au moyen âge et l’Histoire de la Littérature fran
emain : le Tableau de la Littérature au moyen âge et l’Histoire de la
Littérature
française au dix-huitième siècle. Finesse et élév
sa sévérité, des vues nouvelles, de féconds rapprochements entre les
littératures
diverses, et, si l’on veut une réserve, le goût d
u quatrième siècle, dans les Souvenirs contemporains d’Histoire et de
Littérature
, comme dans l’Étude sur M. de Chateaubriand. Secr
e de grâce, ne va pas moins à son but et s’y fixe436. Rapport de la
littérature
d’un peuple avec son état moral. Il n’y a pas
s, tout réveil philosophique ou poétique. Qu’est-ce, en effet, que la
littérature
? Une étude plus ou moins ingénieuse des formes d
omplète liberté, ni la complète servitude438. » Choix d’études sur la
littérature
contemporaine. De l’éloquence au dix-septième
seau en représentait avec énergie la pensée politique. Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, Leçon 22. V
eux couronnes académiques par un Éloge de Bossuet et le Tableau de la
Littérature
française au seizième siècle. En même temps, réda
arante années sont sortis les meilleurs de ses ouvrages : le Cours de
Littérature
dramatique, ou De l’Usage des Passions dans le Dr
r la Vie et les Ouvrages de Jean-Jacques Rousseau (1875). Le Cours de
Littérature
dramatique est un livre désormais classique. Sain
, l’esprit philosophique régnait au théâtre comme dans le reste de la
littérature
. Dans la tragédie, des tirades contre le fanatism
, donne prise à la calomnie sans jamais lui donner raison. Essais de
Littérature
et de Morale, Beaumarchais. La poésie descript
Un savant auteur anglais, le colonel Mure, dans son Histoire de la
littérature
grecque, se pose cette question : « Si la nation
econde guerre punique, sans posséder encore rien qui ressemblât à une
littérature
proprement dite digne de ce nom538 : il lui fallu
omains, c’est-à-dire n’ayant par elles-mêmes, en fait de poésie ou de
littérature
, qu’un premier développement rudimentaire, agrest
vie et le signal à des floraisons inattendues, à des renaissances. La
littérature
chevaleresque elle-même, que nous voyons s’épanou
actère le plus général et dans sa plus large définition, comprend les
littératures
à l’état de santé et de fleur heureuse, les litté
comprend les littératures à l’état de santé et de fleur heureuse, les
littératures
en plein accord et en harmonie avec leur époque,
de l’esprit, a-t-on dit, en marque la force ; cela est vrai pour les
littératures
comme pour les individus) ; les littératures qui
; cela est vrai pour les littératures comme pour les individus) ; les
littératures
qui sont et qui se sentent chez elles, dans leur
’a jamais été un principe de beauté. Ce n’est pas moi qui médirai des
littératures
romantiques ; je me tiens dans les termes de Gœth
e le donner ; on le respire avec l’air aux heures de la jeunesse. Les
littératures
romantiques, qui sont surtout de coup de main et
très en avant ou très en arrière, volontiers ailleurs, — errantes. La
littérature
classique ne se plaint pas, ne gémit pas, ne s’en
des moralités en vers qu’il ajoute), il ait conservé le cachet de la
littérature
populaire, la bonhomie. Chaque nation, d’ailleurs
rd.(1806.) M. Nisard, dans le dernier chapitre de l’Histoire de la
Littérature
française. distingue quatre sortes de critique li
et de tirer des lettres un enseignement pratique, qu’elle est « de la
littérature
comparée qui conclut par de la morale. » La quatr
a beauté des tableaux, la vie des portraits, les rapprochements de la
littérature
comparée. J’ai peut-être des raisons personnelles
M. Nisard s’en offensa, et il écrivit d’abord le manifeste contre la
Littérature
française, puis les Études sur les Poètes latins
fit. M. Nisard publiait en 1844 le premier volume de l’Histoire de la
Littérature
française. Le quatrième et dernier n’a paru qu’en
de travail que l’auteur a apportée à son œuvre, « L’histoire de notre
littérature
par M. Nisard, a dit Sainte-Beuve, est une de ces
telligibles. » L’Institut a désigné cette année même l’Histoire de la
Littérature
française pour le prix biennal, qui est la plus h
me : c’est pour cela qu’il fut si bon juge des autres. L’histoire des
littératures
n’offre peut-être pas un second exemple d’une tel
me qui sent en poète ce qu’il enseigne en théoricien. Histoire de la
Littérature
française, tome II, § 6. Les trois grands poèt
la lecture des longs romans du dix-septième siècle, peu versé dans la
littérature
classique, on ne peut s’étonner qu’il ait à peu p
ons classiques, il habituait le goût public, par le rapprochement des
littératures
étrangères, à moins de timidité. En parlant de Vo
sans doute à la famille de ces esprits créateurs qui rajeunissent les
littératures
: disciple de Voltaire en poésie, il prétendit, à
ns sa forme personnelle étaient, comme les deux points extrêmes de la
littérature
d’une nation. Les peuples enfants, dans l’activit
yen âge fut mieux compris, le goût s’enhardit par la connaissance des
littératures
étrangères, la barrière élevée par les classiques
re fatigué. François Coppée 869, le Passant. 1. Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, lre leçon. 2.
res, De la Cour. 3. Les Caractères, De la Ville. 4. Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, leçon 36e. 5.
au dix-huitième siècle, leçon 36e. 5. Voir Heinrich, Histoire de la
Littérature
allemande, t. I, liv. iv, ch. 3. 6. A. Vandal,
Lundis, tome III : Les Poètes français. 16. Villemain, Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, 8e leçon. 17.
dix-huitième siècle, 8e leçon. 17. Cours historique et critique de
Littérature
, p. 185. 18. Voir le Théâtre et la Philosophie a
i que le synonyme d’écrivain politique. 21. Villemain, Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, 15e leçon. 22.
ise au dix-huitième siècle, 15e leçon. 22. Villemain, Tableau de la\
Littérature
française au dix-huitième siècle, leçon 17. 23.
s de la Langue, pages 105 et suivantes. 24. Villemain, Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, 40e Leçon. 25.
olution (1789-1799), par Henri Welschinger, 1881. 27. Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, 48e leçon. 28.
ançaise au dix-huitième siècle, 48e leçon. 28. Merlet, Tableau de la
Littérature
française (1800-1815). V. Introduction, p. 3. 29
ure française (1800-1815). V. Introduction, p. 3. 29. Tableau de la
Littérature
française (1800-1815), p. v. 30. Littérature fr
3. 29. Tableau de la Littérature française (1800-1815), p. v. 30.
Littérature
française au dix-neuvième siècle (les Origines du
ix-neuvième siècle (les Origines du Romantisme) „ Voir Napoléon et la
Littérature
. 31. Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, tome XI :
e II : M. de Balzac. 33. Guizot, Mémoires, t. III, p. 118. 34. La
Littérature
française au dix-neuvième siècle, p. 19. 35. Vil
au dix-neuvième siècle, p. 19. 35. Villemain, Choix d’Etudes sur la
Littérature
contemporaine, p. 329. 36. Réception de M. de Lo
sociale, Préface, p. 4. 38. J. J. Weiss, Essais sur L’Histoire de.la
Littérature
française : de l’époque actuelle, p. 89. 39. De
intérêt les pages que lui a consacrées M. Patin dans ses Mélanges de
Littérature
ancienne et moderne. Chateaubriand, Andrieux, Fon
e de M. Patin, couronné par l’Académie française en 1822 (Mélanges de
Littérature
ancienne et moderne), la Notice de Walter Scott d
nciers célèbres, la onzième leçon de Villemain, dans le Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle, et la Causerie de Sainte-
u : son Éloge, par d’Alembert ; la xive et xve leçon du Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle, de Villemain ; les chap.
de Villemain ; les chap. iii et viii du IVe livre de l’Histoire de la
Littérature
française, de M. Nisard ; le chapitre sur Montesq
t plus en peintre, Montesquieu plus en penseur. » Voir Histoire de la
Littérature
française, tome IV, page 71 et suivantes. 140. O
ur Voltaire historien, lire la dix-septième leçon de l’Histoire de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, de Villemain, l
main, le chapitre m, § 2 et le chapitre ix, § 1 » de l’Histoire de la
Littérature
française de M. Nisard (tome IV, page 78 et suiva
ancienne. M. Nisard, citant la définitiond e Voltaire (Histoire de la
Littérature
française, tome IV, III), ajoute : « Voltaire ne
comique, on lira un article intéressant de La Harpe dans son Cours de
Littérature
; « De l’opéra comique et du vaudeville dramatiqu
chapitre XII. 208. Lire, sur Buffon : la 22e leçon du Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, de Villemain ;
siècle, de Villemain ; le chapitre x du IVe livre de l’Histoire de la
Littérature
française, de M. Nisard ; Histoire des Travaux et
, 1875 ; les 23e, 24e, 25e leçons de Villemain, dans le Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle ; le chap. XI de
ix-huitième siècle ; le chap. XI de la IVe partie de l’Histoire de la
Littérature
française de M. Nisard ; Causeries du Lundi, de S
sézat, chez Garnier frères (1876). — Lire sur Diderot : Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, de Villemain, l
se au dix-huitième siècle, de Villemain, leçon 20e ; — Histoire de la
Littérature
française, de D. Nisard, tome IV, cbap. VI, § 4,
7. — Lire sur Vauvenargues : Villemain, la 16e leçon du Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle ; Nisard, Histoi
Littérature française au dix-huitième siècle ; Nisard, Histoire de la
Littérature
française, tome IV, chap. vil, §§2 et 3 ; Sainte-
eaumarchais, sa Vie et son Temps, par M. de Loménie ; — Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, de Villemain, 4
se au dix-huitième siècle, de Villemain, 47e leçon ; — Histoire de la
Littérature
française, de M. D. Nisard, tome IV, chap. vi ; —
Lire : Bernardin de Saint-Pierre, par M. Patin, dans ses Mélanges de
Littérature
ancienne et moderne ; — Villemain, 45e leçon du T
érature ancienne et moderne ; — Villemain, 45e leçon du Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle ; — Nisard, chap
siècle ; — Nisard, chap. XII, § IV du IVe volume de L’Histoire de la
Littérature
française ; — Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, t
par L. de Loménie. — Sur Mirabeau lui-même : Villemain, Tableau de la
Littérature
française du dix-huitième siècle, la 53e leçon ;
septième siècle. 357. On ne saurait mieux définir le caractère de la
littérature
grecque, mieux dire ce qui est le propre de l’esp
du pur génie hellénique ne doit pas nous conduire au dénigrement des
littératures
modernes. Doudan, un esprit subtil, compliqué, ma
artés. C’est dans ces profondeurs, qui vont jusqu’aux abîmes, que les
littératures
doivent descendre, quand elles ont moissonné les
and elles ont moissonné les champs qui sont à la lumière du jour. Ces
littératures
ne sont pas de décadence comme on se plaît à les
tre, cherchent à rassembler dans un même foyer les rayons épars de la
littérature
, de la philosophie et de la religion. » De l’Alle
taire, dans ses deux voyages en Prusse, s’était fort peu occupé de la
littérature
allemande. Il avait tenté cependant de parler la
et 1844). — Lire sur Mme de Staël, la dernière leçon du Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, de Villemain. —
siècle, V. tome II : Coppet et Mme de Staël. Al. Vinet : Étude sur la
Littérature
au dix-neuvième siècle. 362. Après Bramante et
tre en relief les misères de l’homme. — Vinet, dans ses Études sur la
Littérature
française au dix-neuvième siècle, a tracé un para
éressant entre Mme de Staël et Chateaubriand. « Tous deux, dit-il, en
littérature
, ont poussé leurs contemporains dans des voies no
ndiqués ici par Villemain, on pourrait la trouver dans l’Histoire des
Littératures
étrangères, de M. Alfred Bougaud. Voir le 2e et l
page la pensée qui avait inspiré l’ouvrage de madame de Staël sur la
Littérature
considérée dans ses rapports avec les institution
deux genres opposés qu’on appelle la prose poétique, signe fatal des
littératures
en décadence, qui a paru chez nous à la fin du si
sans l’enseigner ex professo, ils devaient la mêler à leurs leçons de
littérature
ou d’histoire. C’est ce que j’ai fait, et je n’ai
j’use de ce droit. ». Causeries en Sorbonne, au tome II des Essais de
Littérature
et de Morale. — Les œuvres de Saint-Marc Girardin
re dix-huit années, de 219 à 201 av. J. C. Voir dans l’Histoire de la
Littérature
romaine par A. Pierron la conclusion dn chap. il
pays. 546. M. Nisard, en effet, dans la Préface de l’Histoire de la
Littérature
française, a écrit : « C’est dans le magnifique e
ont été, dans chacun de ces genres, les pertes et les gains de notre
littérature
dans le dix-huitième siècle comparé au dix-septiè
n effet, qu’il y a quelque rigueur] à enfermer ainsi l’histoire de la
littérature
d’un siècle dans le cadre même de l’histoire litt
. Voir la discussion de ce point dans les Essais sur l’Histoire de la
Littérature
française, par J. J. Weiss : 2e article : Du Dix-
les Études sur les Poètes latins, chez Hachette, et l’Histoire de la
Littérature
française, chez Firmin Didot. 552. Il y aurait b
argues, Réflexions critiques sur quelques poètes ; La Harpe, Cours de
Littérature
, siècle de Louis XIV, chap. ix ; Villemain, Table
Littérature, siècle de Louis XIV, chap. ix ; Villemain, Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle (2e leçon). M. Manuel a do
harme de plus. » 587. Lire, sur Crébillon : Villemain, Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle, 2e leçon; Nisard, Histoir
Littérature au dix-huitième siècle, 2e leçon; Nisard, Histoire de la
Littérature
française, tome IV, chap. v; Marmontel, ses Mémoi
r Voltaire poète, lire les analyses de ses tragédies dans le Cours de
Littérature
de La Harpe ; Villemain, Tableau de la Littératur
s dans le Cours de Littérature de La Harpe ; Villemain, Tableau de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, leçons 4e, 8e,
tième siècle, leçons 4e, 8e, 9e, 12e, 21e ; D. Nisard, Histoire de la
Littérature
française, tome IV, chap. iv, v ; Le Théâtre et l
de m’avoir voulu tuer sans raison. » 622. On trouve dans le Cours de
Littérature
de La Harpe une analyse étendue de la pièce d’Alz
. Villemain a parlé de Gresset dans la 12e leçon de son Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle. Plus récemment, il a paru
artie, § iv. 652. Tableau historique de l’État et des Progrès de la
Littérature
française depuis 1789, Introduction. 653. Villem
789, Introduction. 653. Villemain, dans la 44e leçon de son Cours de
Littérature
au dix- huitième siècle, raconte une anecdote qui
— Lire, sur André Chénier : Villemain, la 58e leçon du Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle ; Nisard, Histoire de la L
eau de la Littérature au dix-huitième siècle ; Nisard, Histoire de la
Littérature
française, tome IV, chap. iv ; Sainte-Beuve, le c
Lire, sur Marie-Joseph Chénier, la 58e et la 59e leçon du Cours de la
Littérature
française au dix-huitième siècle, par Villemain.
hapitre de M. Charles Aubertin, dans l’Histoire de la Langue et de la
Littérature
françaises au moyen âge, tome Ier, 2e partie, § i
dans un article piquant reproduit dans ses Essais de Politique et de
Littérature
(2e série, p. 317). — Les œuvres de M. de Laprade
a colère de Dieu. » (Chateaubriand.) 854. Mélanges d’Histoire et de
Littérature
(première série), p. 353. 855. Les œuvres de Pon
ois, envier les morts par les survivants. » Mélanges d’Histoire et de
Littérature
, 2e série, p. 351. 861. Sainte-Beuve, dans un ra
— 1788 Discours sur le style. Le Batteux 1713 — 1780 Principes de
littérature
. Condillac 1715 — 1780 Cours d’études (Art d’éc
rs d’études (Art d’écrire, etc.) Marmontel 1753 — 1799 Éléments de
littérature
. Cardinal Maury 1746 — 1817 Essai sur l’éloq
e Rhétorique. Jullien 1798 — 1881 Petit traité de rhétorique et de
littérature
. Géruzez 1799 — 1865 Cours de littérature. F
aité de rhétorique et de littérature. Géruzez 1799 — 1865 Cours de
littérature
. Filon 1860 — 1875 Éléments de rhétorique fran
nouvelle (en vers). Didier 1819 — 1870 Notions de rhétorique et de
littérature
. Trois genres de causes Quelque sujet que
rs jours d’assemblées académiques. » Marmontel, dans ses Éléments de
littérature
, a essayé de réunir les principales figures de rh
u mériterais un meilleur sort (prosopopée). » (Marmontel, Éléments de
littérature
, t. II, page 187.) Élocution. Résumé synopt
a Chicane et de la Mollesse dans le Lutrin. La mythologie a fourni en
littérature
le sujet d’un grand nombre d’allégories, et Boile
aisonné de style et de composition, 2e édit., in-12, 1874 ; Deltour,
Littérature
française (Principes de composition et de style),
écrire enseigné par les grands maîtres, 1 vol. in-12, 1878, etc.
Littérature
Étude des genres littéraires. Tableau synthé
genres littéraires Introduction Définition et division de la
littérature
; poésie et prose, leur origine La Littérature
n et division de la littérature ; poésie et prose, leur origine La
Littérature
est, dans le sens le plus étendu du mot, la théor
différents genres et aux diverses époques. On distingue toutefois la
littérature
proprement dite de la science et de l’érudition p
ses, et qui permet de donner à la pensée un tour piquant. Le goût, en
littérature
, est un discernement, vif, net, précis des beauté
et de leurs caractères Genres poétiques On appelle genres en
littérature
les grandes divisions, soit en vers, soit en pros
que, satirique, etc. Le sonnet a toujours été très cultivé dans notre
littérature
. Il a en son histoire, sa monographie. Les poètes
squ’à Chateaubriand (Génie du christianisme) et M. Egger (Mémoires de
littérature
ancienne, p. 100). Critiques des règles minuti
le plan et les caractères du poème épique (Cf. Marmontel, Éléments de
littérature
, t. II, p. 100). Ils ont oublié qu’une des condit
et nombreuses épopées, de ses romans satiriques et d’aventure, notre
littérature
du moyen âge a produit peu de poèmes purement did
mme composition indépendante. Il tient une brillante place dans notre
littérature
. Le conte est soumis aux règles de la narration (
agne. On ne doit pas confondre la poésie pastorale, genre distinct en
littérature
, avec la description de la nature, dont le sentim
et les comiques grecs, Homère, Hésiode, etc. (Cf. Egger, Mémoires de
littérature
ancienne, p. 242 et suiv.) Toutefois la pastorale
remiers prosateurs, Villehardouin, Froissart, Joinville, Commines, la
littérature
avait déjà des monuments de son génie poétique da
du prince régnant. Voltaire est le premier qui ait traité un point de
littérature
, innovation bientôt suivie par Buffon dans son Di
oges de Montaigne et de Montesquieu par Villemain, — le Tableau de la
littérature
française au seizième siècle par Philarète Chasle
atore, II, 9.) On retrouve bien quelques essais historiques dans les
littératures
orientales, mais on peut dire que l’histoire véri
s, celles de Froissart, et les nombreux monuments de ce genre dans la
littérature
française du Moyen Âge. 2° Mémoires Les mém
qu’il a composé sur la Tragédie, l’abbé Batteux dans ses Principes de
littérature
, se sont occupés seulement de la forme. La critiq
s théories abstraites. Fénelon, Voltaire, Diderot, La Harpe (Cours de
littérature
) n’échappent pas toujours à ce reproche. De notre
s, études et portraits, monographies, etc.). Ex. Villemain, Cours de
littérature
au moyen âge, — au dix-huitième siècle. — Saint-M
moyen âge, — au dix-huitième siècle. — Saint-Marc Girardin, Cours de
littérature
dramatique, — Nisard, Histoire de la littérature
c Girardin, Cours de littérature dramatique, — Nisard, Histoire de la
littérature
française, — Sainte-Beuve, Causeries du lundi, Po
le, et les nombreux recueils d’articles sur toutes les branches de la
littérature
publiés dans les Revues littéraires et savantes,
n prose comprend tous les traités de philosophie, de métaphysique, de
littérature
, de jurisprudence, sur les arts, les sciences mor
ctions, le roman est un récit comme l’épopée. À l’origine de notre
littérature
, il s’est confondu avec elle. Leurs différences s
mœurs et de la nature extérieure des corps. Son historique dans la
littérature
française, son abus Souvent employée dans les
ortalisé par des chefs-d’œuvre, est-il devenu aujourd’hui la forme de
littérature
la plus populaire et la plus goûtée. Ex. l’œuvre
s devaient surtout y apporter un charmé incomparable, et fournir à la
littérature
des chefs-d’œuvre, à l’histoire des documents imp
élange de la prose et des vers dans quelques œuvres célèbres de notre
littérature
. Ex. la Satire Ménippée, — le Voyage de Chapelle
trée. Ces préceptes s'appliquent généralement à tous les ouvrages de
littérature
qui ont quelque étendue, et nous donnerons pour e
nt l'éthopée, la topographie, les caractères, etc. (Voyez ci-après la
Littérature
.) Caractère de Cromwel. — Un homme s'est rencont
t des personnes célèbres, elle se nomme parallèle. (Voyez ci-après la
littérature
). 15° L'allusion, sans parler d'une chose, en rév
sées sublimes ? Qu'est-ce que la période ? Quels sont les ouvrages de
littérature
qui réclament le style simple ? Quels sont les ou
des modifications de la voix dans le discours. Parlez du geste.
Littérature
. On entend par littérature la connaissance des
dans le discours. Parlez du geste. Littérature. On entend par
littérature
la connaissance des belles-lettres, et l'on enten
les ou préceptes des genres différents, nous parlerons de la nouvelle
littérature
, de cette littérature du dix-neuvième siècle, qui
enres différents, nous parlerons de la nouvelle littérature, de cette
littérature
du dix-neuvième siècle, qui devait, il est vrai,
r nos douleurs ! (V. J.) L'un des plus grands défauts de la nouvelle
littérature
, c'est de prendre les idées accessoires hors du s
pas les mêmes chez tous les peuples, l'imagination (principe de toute
littérature
) ne devait pas non plus présenter dans ses récits
'écartent de celles que Boileau et Laharpe ont formulées. La nouvelle
littérature
aime à peindre le caractère, les mœurs, des perso
suivre ces préceptes. Selon Victor Hugo, les préceptes de la nouvelle
littérature
consistent à voir plus que des mots dans les mots
es, à côté de mots gigantesques, cette pièce appartient à la nouvelle
littérature
, et telle est celle de Victor Hugo qui a pour tit
igmes ; tout y est affecté ; et la moindre affectation est un vice en
littérature
. Les Italiens n'ont dégénéré, après Le Tasse et L
ue dans l'intervalle d'un acte à l'autre. — Observons que la nouvelle
littérature
ne tient pas toujours compte de ces règles. Toute
préjugés contraires au bonheur de tous et la parodie des ouvrages de
littérature
sont de son domaine ; mais quelle que soit la fab
ux et d'expressions sublimes sont aussi des hors-d'œuvre. La nouvelle
littérature
a produit beaucoup de hors-d'œuvre. Que le sujet
'on a puisé. Observons, en achevant de dicter ces leçons, que si, en
littérature
, il y a peu de règles sans exception, l'ensemble
Règles pour les ouvrages de
littérature
Ce que je viens de dire, doit faire juger qu’il
faire juger qu’il y a des règles pour la composition des ouvrages de
littérature
; règles qui, émanées de la saine raison, fondées
emières se trouveront suffisamment développées. En fait d’ouvrages de
littérature
, l’esprit est dans l’homme la faculté de penser e
ëme didactique moral et du simple dialogue. » (Marmontel, Éléments de
littérature
, au mot Comédie. ) Voilà qui s’éloigne bien d’Ari
français dans le recueil intitulé : Pièces fugitives d’histoire et de
littérature
, Paris, 1704, p. 256.) — Nos critiques français s
diens qu’il lui fût permis d’observer l’unité de lieu. » (Éléments de
Littérature
, au mot Unité. ) Et Voltaire lui-même, que les no
lève de Voltaire, Frédéric le Grand, dans son ouvrage intitulé De la
Littérature
allemande (vol. III, p. 92 de ses Œuvres, Berlin,
a point cessé de grandir1 : il n’en est pas de plus éclatante dans la
littérature
française ; on peut ajouter dans aucune littératu
éclatante dans la littérature française ; on peut ajouter dans aucune
littérature
. Molière a partagé en effet avec La Fontaine ce p
on citera parmi eux Lemercier, tome II de son Cours analytique de la
littérature
générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de
générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de son Histoire de la
littérature
française ; et M. Bazin, auteur d’une étude où so
et des colléges, pour que la connaissance de notre langue et de notre
littérature
y fût plus répandue et plus approfondie, de recue
lycées et des colléges connussent, avec les plus grands noms de notre
littérature
, ce qu’elle a produit de plus parfait ; et ce ser
re idiome parvenu à sa maturité, le magnifique développement de notre
littérature
arrivée à son plus grand éclat. On ne perdra pas
les que nous nous sommes efforcé de réunir dans ce Cours classique de
littérature
. Réservant pour la Rhétorique les préceptes de l’
Nous croyons même que l’on pourrait utilement commencer l’étude de la
littérature
vers la fin de la quatrième. Quelques notions sur
contraire. Quelques établissements ne consacrent que deux années à la
littérature
, et ne peuvent par conséquent s’occuper de l’étud
ique surtout à ce déluge de romans écrits à la hâte, qui inondent les
littératures
modernes. Je plains celui qui ne sait pas mieux u
beau et du bon, qui est le but de tous les arts ; et ils aimeront la
littérature
, les bonnes lettres, comme disaient les anciens,
lle étude n’est plus avantageuse sous ce rapport que l’histoire de la
littérature
, sous la direction d’un guide éclairé. En passant
on raisonnée des lois du goût à l’appréciation des œuvres d’art et de
littérature
. Son devoir n’est pas seulement de blâmer les déf
ude particulière de l’esprit à réussir dans un travail quelconque. En
littérature
, il consiste à produire des œuvres qui satisfasse
er cet homme vraiment célèbre, qui a rendu de grands services à notre
littérature
, et qui s’est distingué surtout par une justesse
sage, mesuré, respectueux même, qu’il adopta depuis dans le Cours de
littérature
, et l’on sentira tout ce que peut l’empire de la
e La Harpe ; son véritable titre à la célébrité est dans son Cours de
Littérature
, monument précieux dans tous les temps, et plus e
ous ne connaissons point de code aussi complet, en fait de goût et de
littérature
, et qui soit en général aussi bien exécuté. Il eû
es paroles s’appliquent d’elles-mêmes à M. de La Harpe et au Cours de
littérature
: Multa enim probanda in eo, multa etiam admiran
gement que portait de ces deux traducteurs comparés le La Harpe de la
littérature
anglaise, le célèbre Johnson : « Si l’on compare,
ne passera pas aisément en d’autres mains. 185. Voyez le Cours de
Littérature
, tome 16, deuxième partie, dans la notice. 186.
Corneille que lorsqu’il apprécie Racine ; Geoffroy, dans son Cours de
littérature
dramatique ; Lemercier, dans son Cours analytique
s de littérature dramatique ; Lemercier, dans son Cours analytique de
littérature
générale ; les Observations critiques de Palissot
des Chefs-d’œuvre de cet auteur (Didot, 1814-1819) ; l’Histoire de la
littérature
française de M. Nisard, etc., pourront encore êtr
« C’était, a dit Voltaire, un homme d’un grand mérite et d’une vaste
littérature
. » Il fit quarante-deux pièces de théâtre, dont q
noûment était heureux), jouée en 1636, est une grande date dans notre
littérature
, puisque ce fut le début des chefs-d’œuvre de Cor
usieurs mots perdus qui sont à regretter : voy., dans ses Eléments de
littérature
, l’article Usage. 2. Au sujet des sentiments qui
ts qui animent don Diègue, on consultera avec fruit, dans le Cours de
littérature
dramatique de M. Saint-Marc Girardin, le ch. VIII
de la musique, soit dans le langage plus strict et mieux défini de la
littérature
, l’oreille ne se contente plus de sa première jou
ettre. Voilà le principe de toutes les lois de l’harmonie générale en
littérature
. Et bien entendu que je parle ici de la littératu
monie générale en littérature. Et bien entendu que je parle ici de la
littérature
écrite comme de la littérature parlée. Car puisqu
Et bien entendu que je parle ici de la littérature écrite comme de la
littérature
parlée. Car puisque l’écriture peut et doit toujo
ticles Articulation, Harmonie, Prosodie, Nombre, dans les Éléments de
littérature
. La matière y est traitée à fond et ingénieusemen
pes généraux. — Polémique. Les ouvrages de critique, en matière de
littérature
, se rapportent au genre didactique, parce que l’é
ents motivés sur les œuvres des contemporains ou sur quelque point de
littérature
; mais c’est, la plupart du temps, à propos d’aut
tude de passages et d’articles ; La Harpe, dans son Lycée ou Cours de
littérature
; Clément (de Dijon), dans ses Essais de critique
Dijon), dans ses Essais de critique ; Chénier, dans son Tableau de la
littérature
; enfin, les rédacteurs des journaux de critique
la littérature ; enfin, les rédacteurs des journaux de critique et de
littérature
qu’on avait autrefois, et qui ont gardé jusqu’ici
ais nul ne contestera sans doute que de Malherbe seulement date notre
littérature
classique. Comme Balzac a le premier marqué dans
que. 1. On peut voir sur Malherbe M. Nisard, dans son Histoire de la
littérature
française, c. V, §§ 3 à 7 ; une notice de M. Geru
prême de cet écrivain, et qui devinrent par lui les qualités de notre
littérature
. Vainement ses contemporains s’indignaient-ils de
peuples, et acquis sur la politique, la religion, la philosophie, la
littérature
, les arts, le commerce, l’industrie, l’économie p
es plus utiles à l’humanité (Montesquieu, Guizot)34. L’histoire de la
littérature
est aussi un complément nécessaire de l’histoire
nements, celle-là fait comprendre la marche des esprits. C’est par la
littérature
que se traduit le génie d’une nation, c’est là qu
vie humaine, ce sont là les moins funestes. Les épines attachées à la
littérature
et à un peu de réputation ne sont que des fleurs
age s’imprime ; c’est alors qu’il faut ou assoupir les cerbères de la
littérature
, ou les faire aboyer en votre faveur. Il y a touj
sermon que je vous fais ? est-ce de vous détourner de la route de la
littérature
? Non ; je ne m’oppose point ainsi à la destinée
on que de deux ou trois mots d’amitié, et quelques nouvelles, soit de
littérature
, soit des sottises humaines, le tout courant sur
se croit un politique, et on n’est que méchant. Point de politique en
littérature
. Il faut avoir raison, dire la vérité, et s’immol
s des anciens. Dans l’éloquence, dans la poésie, dans toute espèce de
littérature
, on les trouve, comme dans l’histoire, abondants
soutient le moins l’homme. 2. M. Saint-Marc Girardin a dit : « La
littérature
est le plus beau des loisirs, mais le plus détest
érudit français (1674-1755), s’occupa de politique, d’histoire et de
littérature
. 2. Tyrconnel, envoyé de France auprès de Frédér
n a été publiée en cette langue à Léipsick, avec des additions sur la
littérature
allemande. Toutes les augmentations que j’ai fait
on pourra puiser les notions essentielles de toutes les parties de la
littérature
, depuis les premiers éléments de notre langue, ju
udes de Rollin, les Leçons de de Rhétorique de Blair, les Éléments de
Littérature
de Marmontel, etc. Il nous a semblé cependant que
ons, le professeur de rhétorique exposera des notions élémentaires de
littérature
, qu’il résumera à la fin du cours par les questio
s propres et leurs différences relatives. Prose et Poésie. — Dans la
littérature
, qui n’est autre chose que le langage de l’âme, l
grés différents, dans tous les genres de prose qui appartiennent à la
littérature
. II. Science et littérature. La prose de
enres de prose qui appartiennent à la littérature. II. Science et
littérature
. La prose de la science n’est pas la prose li
es en prose, de n’en pas citer d’autres moins considérables, où notre
littérature
compte des trésors. 1. — Le genre épistolaire, do
fourni des monuments importants à l’histoire, des chefs-d’œuvre à la
littérature
. Le nom de madame de Sévigné est aussi populaire
èbre et une tragédie. Il faut, même dans les matières étrangères à la
littérature
, un exorde, ou une exposition nette, précise, int
aractères et les principes, nous expliquerons à quelles parties de la
littérature
se rapportent ces règles de la rhétorique. Ainsi,
à Montesquieu. Rollin, excellent juge en matière d’éducation comme de
littérature
, marque aux élèves le style dont il convient de s
s, l’affectation de la science, les rêveries vagues et vaporeuses des
littératures
étrangères, qui ne les préservent ni de l’emphase
préservent ni de l’emphase, ni du mauvais goût, ont dénaturé, dans la
littérature
du xixe siècle, l’exquise clarté de nos bons et
e développent ou s’affaiblissent selon le progrès ou la décadence des
littératures
. Qualités de la prose française : Clarté. — La p
clarté, devenait de plus en plus (au xviie siècle) une loi de notre
littérature
. Elle se marquait par l’ordre direct du langage,
que parle chacun de nous quand il est dans la vérité. » (Hist. de la
Littérature
française, par M. Nisard, livre III, ch. v, t. II
chaire, inconnue des anciens, dont les modèles appartiennent à notre
littérature
. La religion, devant une telle audience, s’alliai
u, les grands prosateurs du siècle. Tous ajoutèrent à la gloire de la
littérature
et de la langue ; mais l’âge de la perfection éta
admiration puérile s’est attachée aux singularités et aux défauts des
littératures
modernes, plus encore qu’à leurs beautés. Avec ta
dont nous avons parlé plus haut. On voit, par ces études sommaires de
littérature
, de composition et de style, quelle utilité prati
formation de la prose française, voy. le IIIe livre de l’Hist. de la
Littérature
française, par M. Nisard. On trouvera dans ce qui
ui suit des souvenirs de ces belles leçons. 10. M. Gérusez, Cours de
Littérature
, p. 145. 11. « Parce que cette syllabe frappoit
ne faut pas s’étonner que le roman soit devenu un genre important de
littérature
; il peut avoir de graves inconvénients, nous le
n, qui joue un si grand rôle dans les romans modernes. » Pourtant la
littérature
grecque n’est pas absolument dépourvue de romans
ai de la narration, cette satire de bon goût qui devait chasser de la
littérature
toutes les fades et extravagantes aventures de la
son existence indépendante, qu’au xiie et au xiiie il produisit sa
littérature
, et qu’au xive il disparut insensiblement pour c
goûts de son auditoire. Le xiie siècle sera l’adolescence de cette
littérature
. Alors apparaîtront enfin des manuscrits, longue
estinées furent intimement liées à celles de notre langue et de notre
littérature
. renaissance. — Le moyen âge est fini, les tem
s qui héritèrent de ses nobles dépouilles. La gloire européenne d’une
littérature
que nous envieront toujours nos ennemis les plus
égance et de grossièreté que nous offre sa cour se réfléchira dans la
littérature
de son temps. Énigme inexplicable, monstrueux ass
et des collèges, pour que la connaissance de notre langue et de notre
littérature
y fût plus répandu et plus approfondie, de recuei
lycées et des collèges connussent, avec les plus grands noms de notre
littérature
, ce qu’elle a produit de plus parfait ; et ce ser
re idiome parvenu à sa maturité, le magnifique développement de notre
littérature
arrivée à son plus grand éclat. On ne perdra pas
phase, négligence ou affectation, est devenue l’un des genres dont la
littérature
française a le plus droit d’être fière. Un autre
ais nul ne contestera sans doute que de Malherbe seulement date notre
littérature
classique. Comme Balzac a le premier marqué dans
point cessé de grandir583 : il n’en est pas de plus éclatante dans la
littérature
; on peut ajouter dans aucune littérature. Molièr
s de plus éclatante dans la littérature ; on peut ajouter dans aucune
littérature
. Molière a partagé en effet avec La Fontaine ce p
r les Pensées de Pascal : « Il est venu à cette heureuse époque de la
littérature
et de la langue où l’art se joignait à la nature
, des considérations pleines d’intérêt de M. Villemain (Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, xve leçon) sur la dureté
es vers de Racine leur cache sa vigueur et sa force. » Histoire de la
littérature
française, t. IV, p. 238. 147. Parmi s’employai
peut voir un morceau intéressant de cet auteur, dans les Éléments de
littérature
(article Mœurs). 205. Ce terme désignait alors t
end une grande âme. » Consulter aussi Marmontel, dans ses Éléments de
littérature
, à l’article Sublime. 213. La Bruyère était bien
comparaison établie par M. Nisard, au tome III de son Histoire de la
littérature
française, entre La Bruyère, Pascal, La Rochefouc
ses propres écrits. On peut voir, sur ces ouvrages, l’Histoire de la
littérature
française de M. Nisard, t. III, § 7. 271. L’abbé
que M. Letronne a donnée des Œuvres de Rollin. M. Patin, Mélanges de
littérature
ancienne et moderne, a écrit sa vie : voy. p. 538
ait une première fois par d’Alembert), en outre dans le Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, 14e et 15e leçons ; M. Wa
és une célébrité odieuse. 330. M. de Barante, dans le Tableau de la
littérature
française au dix-huitième siècle, déplore avec él
anisme, IIIe partie, liv. III, chap. vi ; M. Villemain. Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle. 332. Richelieu, pour aba
ez qui vous mène, Mes chères brebis… On pourra lire dans le Cours de
littérature
dramatique de M. Saint-Marc Girardin (tom. III, c
stianisme, IIIe partie, liv. IV, chap. v ; M. Villemain Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, 22e leçon ; M. Geruzez, N
bre 1778 ; M. Villemain, dans son Tableau, plusieurs fois cité, de la
littérature
au dix-huitième siècle ; M. de Barante, dans son
ature au dix-huitième siècle ; M. de Barante, dans son ouvrage sur la
littérature
française à la même époque. M. Sainte-Beuve l’a j
la langue, qui commençait à s’épuiser ; il a régénéré et étendu notre
littérature
: quand il n’écrit pas sous l’influence despotiqu
quatrième et la cinquième leçon du troisième volume du Tableau de la
littérature
française au dix-huitième siècle, par M. Villemai
ur des exemples, dans les chap. i, ii et iii du livre Ier du Cours de
littérature
dramatique par M. Saint-Marc Girardin. 418. Ce j
fixé sur l’avenir. Le temps et la connaissance plus approfondie des
littératures
anciennes devaient porter quelque atteinte à cett
e. 431. On peut voir sur Malherbe M. Nisard, dans son Histoire de la
littérature
française, c. v, §§ 3 à 7 ; une notice de M. Geru
prême de cet écrivain, et qui devinrent par lui les qualités de notre
littérature
. Vainement ses contemporains s’indignaient-ils de
Corneille que lorsqu’il apprécie Racine ; Geoffroy, dans son Cours de
littérature
dramatique ; Lemercier dans son Cours analytique
rs de littérature dramatique ; Lemercier dans son Cours analytique de
littérature
générale ; les Observations critiques de Palissot
des Chefs-d’œuvre de cet auteur (Didot, 1814-1819) ; l’Histoire de la
littérature
française de M. Nisard, etc., pourront encore êtr
« C’était, a dit Voltaire, un homme d’un grand mérite et d’une vaste
littérature
. » Il fit quarante-deux pièces de théâtre, dont q
rnier éclat. » On peut voir l’article du Sublime dans les Éléments de
littérature
. 486. On a blâmé mal à propos ce vers, heureux e
512. Il faut ici rappeler ce jugement de Lemercier, dans son Cours de
Littérature
: « Nul orateur n’imprima mieux que Corneille, da
le premier dans son Éloge de Corneille ; le second dans son Cours de
littérature
dramatique. En outre. M. Guizot a publié sur lui
, 5 vol. in-8º, 1820-22. Sur Venceslas, on peut consulter le Cours de
littérature
de La Harpe, IV, 4, 1, et les feuilletons recueil
es (Réflexions critiques sur quelques poètes), Marmontel (Éléments de
littérature
, au mot Fable), La Harpe (Cours de littérature),
Marmontel (Éléments de littérature, au mot Fable), La Harpe (Cours de
littérature
), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (Histoir
littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (Histoire de la
littérature
française), etc. Il est de plus resté, mais en pa
lassique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux Histoires de la
littérature
française qu’ont fait paraître MM. Geruzez et Dem
ire, étroitement liée au souvenir de plusieurs chefs-d’œuvre de notre
littérature
. 572. Petite rivière qui-arrosait la propriété d
on citera parmi eux Lemercier, tome II de son Cours analytique de la
littérature
générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de
générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de son Histoire de la
littérature
française ; et M. Bazin, auteur d’une étude où so
c Chapelain, Scudéry, etc., représentaient le faux goût de l’ancienne
littérature
, détrônée par Boileau. 632. Pour déprécier les œ
oileau, de Molière et de Racine, les partisans, alors nombreux, de la
littérature
facile ou plutôt négligée, prétendaient que leurs
» La Harpe lui a consacré l’un des meilleurs articles de son Cours de
littérature
. Daunou, Victorien Fabre, Auger (l’ouvrage de ce
cadémie française), plus récemment M. Nisard, dans son Histoire de la
littérature
française, et M. Geruzez ont dignement parlé de B
e de Narcisse avec l’Iago de Shakespeare dans Othello : Tableau de la
Littérature
au xviiie siècle. 740. Empoisonneuse qu’Agrippi
renverrons donc le lecteur, pour un examen plus complet, au Cours de
Littérature
, en rappelant que l’analyse du théâtre de Racine
ouis Racine, Rollin et Lefranc de Pompignan. 750. Outre le Cours de
littérature
de La Harpe, fort étendu au sujet de Rousseau (II
Rousseau (IIe part., liv. Ier, ch 9), il faut voir le Tableau de la
littérature
au dix-septième siècle par M. Villemain (2e leç.)
aits par d’Alembert. Il faut, en outre, consulter sur lui le Cours de
littérature
de La Harpe (IIIe part., liv. I, ch. 5, sect. 2 e
e de La Harpe (IIIe part., liv. I, ch. 5, sect. 2 et le Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle, par M. Villemain (13e leç
a consacré une étude pleine d’intérêt dans le ch. 21 de son Cours de
littérature
dramatique. 782. Excellent contraste que celu
i, nous signalerons La Harpe dans différentes parties de son Cours de
littérature
; Ducis, discours de réception à l’Académie franç
te tragédie voy. la 35e leçon, de M. Villemain dans son Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle ; on peut consulter aussi
térature au dix-huitième siècle ; on peut consulter aussi le Cours de
littérature
dramatique de Geoffroy, mais en se tenant en gard
rtout il faut lire le chapitre (c’est le xve ) que, dans son Cours de
littérature
dramatique, M. Saint-Marc Girardin a consacré, so
t. Planche, etc. Voyez particulièrement la 53e leçon du Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, et la Revue des deux Mond
que et philosophique, a de nos jours enrichi d’œuvres remarquables la
littérature
française. Il faut il est vrai apporter à ce juge
é des hommes les plus compétents lui a décerné le prix quinquennal de
littérature
française, et le conseil de perfectionnement de l
irculaire officielle : « La rhétorique actuelle doit être un cours de
littérature
générale. » Je ne confonds point avec la théorie
sume dans ces trois mots : foi, espoir et amour. 1. Histoire de la
littérature
française.
» La Harpe lui a consacré l’un des meilleurs articles de son Cours de
littérature
. Daunou, Victorin Fabre, Auger (l’ouvrage de ce d
cadémie française), plus récemment M. Nisard, dans son Histoire de la
littérature
française, et M. Geruzez ont dignement parlé de B
. Et l’on ne peut nier que Chapelain n’eût pour son temps beaucoup de
littérature
et de mérite : mais il fut un de ces poëtes attar
ts duLutrin, a dit M. Daunou, sont au nombre des monuments dont notre
littérature
doit être orgueilleuse… On voit s’y succéder, et
ravaux. De la critique. Les ouvrages de critique, en matière de
littérature
, peuvent se rapporter an genre didactique, parce
es sur les anciens auteurs, et d’autres ouvrages de philosophie et de
littérature
. Le seul qui nous soit parvenu, est son Traité du
s d’esprit (en dialogues), par le P. Bouhours, et les Principes de la
littérature
, par l’abbé Batteux. Je crois devoir indiquer ici
étés, comme la faiblesse aux deux extrêmes de celle des individus. La
littérature
grecque est peut-être la seule qui fasse exceptio
En France, à la fin du xvie siècle et au commencement du xviie , la
littérature
fut en proie à une déplorable manie d’emphase et
plaisaient tant à Napoléon, exercèrent une fâcheuse influence sur la
littérature
. M. de Chateaubriand lui-même se laissa parfois e
imée Né en 1803. [Notice] Dans un temps où règne le goût de la
littérature
facile, M. Prosper Mérimée a été un des rares écr
gloire d’éclairer les autres nations et de les policer. Ses armes, sa
littérature
, ses arts, ont été bienfaisants. Dans l’espace de
t mutilé l’histoire de la Grèce comme toutes les autres parties de sa
littérature
. Pour reconstruire l’édifice avec ses débris épar
r seule l’avidité de leurs lecteurs, prirent fantaisie de faire de la
littérature
dans leurs feuilletons. L’idée était bonne ; mais
le fut tel que les journaux qui en général ne se piquent pas de bonne
littérature
, et qui étaient d’ailleurs presque tous aussi cou
ûtante manière de penser et d’écrire ; que, sans cette précaution, la
littérature
française serait marquée aux yeux du monde entier
jourd’hui sur une époque à jamais déplorable dans l’histoire de notre
littérature
dramatique. Coupables auteurs, qui avez inventé c
erses modernes ont entièrement renouvelé ce sujet. Voyez : Villemain,
Littérature
du moyen âge, xi e leçon, et Littérature du xviii
ce sujet. Voyez : Villemain, Littérature du moyen âge, xi e leçon, et
Littérature
du xviii e siècle, Ire partie, viii e leçon Sain
la Bible, le livre par excellence, et les grandes inspirations de la
littérature
chrétienne ; lorsqu’on aura étudié les chefs-d’œu
II. De l’imitation 310. Que faut-il entendre par imitation en
littérature
? L’imitation des maîtres qui excellent ou qui on
r la raison bien simple qu’il n’entre pas dans le plan d’un traité de
littérature
d’enseigner à traduire. Qu’il nous suffise de dir
s la langue remonte à ses origines, et j’estime qu’il est d’une saine
littérature
de ramener à leur sens natif les vocables que le
les choses sans emprunter les mots, l’étude plus approfondie de leur
littérature
, les progrès des technologies diverses, qui, aprè
celui du vol et du meurtre est odieux. Je ne vois dans notre ancienne
littérature
que Villon qui s’en soit rendu coupable ; celui-l
es françaises a été de les initier à un commerce plus étroit avec les
littératures
étrangères : par là il n’a pas peu contribué à ra
de l’auteur par Lebeau. On peut encore consulter sur lui le Cours de
littérature
de La Harpe (IIIe partie, liv. I, ch. II, § 21) e
e de La Harpe (IIIe partie, liv. I, ch. II, § 21) et le Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle par M. Villemain (12e leço
ts. C’est qu’un moraliste se cache sous le lettré. Aussi son cours de
littérature
dramatique est-il une histoire de nos travers, de
onner plus de relief à la passion, l’efface et la détruit2. (Cours de
littérature
dramatique. — Ed. Charpentier.) Fragment de p
rincipal d’initier sérieusement à la connaissance de l’histoire de la
littérature
française depuis Malherbe et Pascal ; étude à laq
1828, ont témérairement porté le ravage dans toutes les parties de la
littérature
française. Trop peu des plus vantés ont un style
les auteurs du siècle de Louis XIV, ce siècle par excellence de notre
littérature
, qu’il faut sans cesse lire et relire. Des écriva
Montaigne. Elle était savante. Non seulement elle possédait à fond la
littérature
italienne, mais l’antiquité classique lui était f
rêter, de vrais poètes s’élevèrent qui imposèrent à la langue et à la
littérature
leur forme et leur manière. L’école de Ronsard et
phocle. Avec l’école de Malherbe et de ses successeurs classiques, la
littérature
française se rapprocha davantage du caractère lat
x-septième siècle, si poli et si solennel, devait mieux comprendre la
littérature
latine que la littérature grecque, mieux sentir V
et si solennel, devait mieux comprendre la littérature latine que la
littérature
grecque, mieux sentir Virgile qu’Homère, mieux ap
sentir Virgile qu’Homère, mieux apprécier Cicéron que Démosthène. La
littérature
classique a donc commencé avec Malherbe, avec Rac
ouons cependant, pour ne rien exagérer, que, dans certains genres, la
littérature
du dix-septième siècle, presque toujours belle de
grands règnes. Cette ère marque l’époque la plus florissante de notre
littérature
. Cependant alors encore le goût du public françai
ais et de l’esprit antique constitua l’éclatante supériorité de notre
littérature
. Cette supériorité fut bientôt reconnue par toute
le respire une énergie, une fierté, une indépendance rares dans notre
littérature
classique, qu’il doit à sa nature et aux inspirat
diction nous seront toujours enviés par tous les peuples qui ont une
littérature
et les Français ne sauront jamais trop apprécier
fouet et d’en avoir meurtri le dos de la médiocrité alors régnante en
littérature
; d’avoir déclaré la guerre au faux goût et de l’
rt poétique, surtout en haine des imitations qui ne remontent pas aux
littératures
de la Grèce et de Rome. L’Art poétique, dont la p
éaux100 », devait être éternellement placé parmi les gloires de notre
littérature
, n’eût-il produit que cet Art poétique qui mérita
oésie française au dix-huitième siècle. Au dix-huitième siècle, la
littérature
cesse pour ainsi dire d’être un art, et, dans la
te poésie fardée, mouchetée, poudrée du dix-huitième siècle, de cette
littérature
à paniers, à pompons et à falbalas », comme l’a q
r je ferai le voyage. Voltaire (1694-1778) Le directeur de la
littérature
au dix-huitième siècle fut souvent bon écrivain e
passionné pour les belles-lettres, la connaissance des langues et des
littératures
hébraïque, grecque, latine, espagnole, italienne,
it à attaquer avec violence tout ce qui tenait alors le sceptre de la
littérature
, académiciens et philosophes. Cette haine, il la
ntinuateurs de la tradition classique, ils déclaraient notre ancienne
littérature
morte à jamais, et se croyaient appelés, eux, « l
ttéraire, Guillaume Schlegel, pour ruiner le crédit dont jouissait la
littérature
française dans le domaine dramatique, employa tou
ne humaine, à la peinture des passions et des caractères ; dans notre
littérature
classique, le paysage tient à peu près la même pl
Cinq-Cents sous le Directoire, tribun sous le Consulat, professeur de
littérature
française sous l’Empire, sous la Restauration et
l revendiquait hautement et avec justice, son droit d’aînesse dans la
littérature
du dix-neuvième siècle. Il pouvait dire de ses di
s avec tant d’ardeur à briser les barrières étroites de notre vieille
littérature
, pour ouvrir à la poésie contemporaine des chemin
rdu, et ce genre agréable et commode a reparu avec honneur dans notre
littérature
. Environ un an après Joseph Delorme, en mars 1830
». Mais le poète cesse de grandir. Le lettré versé dans les diverses
littératures
anciennes et modernes domine le poète. L’affectat
te) (1805-1882) Auguste Barbier s’est fait un nom marquant dans la
littérature
du dix-neuvième siècle par la manière dont il a s
ation chrétienne. Son principal mérite est d’avoir naturalisé dans la
littérature
française la légende en vers dont les littérature
naturalisé dans la littérature française la légende en vers dont les
littératures
étrangères, surtout celles du Nord, offraient tan
également vifs en lui. Intelligence ouverte aux beautés de toutes les
littératures
, il connaissait par une intime fréquentation Shak
accumulations d’images désordonnées qui caractérisent trop souvent la
littérature
du dix-neuvième siècle. Sentant qu’Homère était p
raire. La poésie de celui qu’on croyait appelé à restaurer dans notre
littérature
dramatique le bon sens et le bon français n’est g
, ce mouvement néo-païen qui forme comme un courant à part dans notre
littérature
contemporaine et qui nous ferait revenir tout dro
est une pure traduction d’Horace (Od. II, xiv). 104. Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, 2e leçon. 105. Comme l
la plus énergique dans cette scène admirable. » (Saint-Marc Girardin,
Littérature
dramatique, t. II, p. 42-48.) 116. Ce sont les e
du 25 mars 1758. 117. Préface d’Œdipe. 118. Voir Geoffroy, Cours de
littérature
dramatique, t. III, p. 50. 119. Voir la lettre à
ode. 144. Lycée, 3e p., liv. Ier, ch. v, sect. III. 145. Cours de
littérature
dramatique, t. II, p. 449. 146. Aujourd’hui on d
ne grande difficulté vaincue. (P. Cahours.) *Psaume viii, 4. 155.
Littérature
au dix-huitième siècle, XXXIXe leçon. 156. Corr
L’Homme des champs, Préface. 173. Épîtres, CL. 174. Essai sur la
littérature
anglaise, t. II, p. 283. 175. Chant I, v. 305 à
, v. 449 et suiv. 177. Chant V, v. 196 et suiv. 178. Tableau de la
littérature
française, ch. vii. 179. Critique littéraire, D
2 octobre 1857. 185. C’est la pensée de M. D. Nisard, Histoire de la
littérature
française, t. IV, p. 554. 186. Lettres de J.-B.
de Joseph Autran, d’André Lemoyne et d’André Theuriet. 191. V. Hugo,
Littérature
et philosophie mêlées, lx, xlii. 192. Id., ibid
ssant que le classique Fontanes avait des préjugés étroits contre les
littératures
étrangères. Il parlait avec un ton léger et sardo
. Il parlait avec un ton léger et sardonique, dans les cercles, de la
littérature
allemande, quand il ne savait pas un mot d’allema
ux poètes classiques, La Fontaine excepté, dans son Cours familier de
littérature
. 235. Confidences. 236. C’est ce que Lamartine
250. Préface des Contemplations. 251. Préface des Orientales. 252.
Littérature
et philosophie mêlées, xl. 253. Voir la préface
ses, sans but moral, sans utilité pour l’exemple, sans profit pour la
littérature
. Cette remarque s’applique également à plusieurs
enséances littéraires est pour moi le présage de la dissolution de la
littérature
. Le passé n’est pas si loin de nous pour que je n
us belles que celles-là. » Cours de philosophie. 15. Histoire de la
littérature
française jusqu’au xviie siècle, t. Ier, p. v.
ce n’est pas en un jour que s’est formée et a paru à la lumière cette
littérature
et particulièrement cette prose nouvelle qui dit
e Rousseau qui a servi de modèle à M. de Chateaubriand, le père de la
littérature
contemporaine. Nous n’avons pas besoin de rappele
s causes de toute sorte qui ont amené peu à peu, dans la langue et la
littérature
française, ce grand changement, si manifeste dans
et des collèges, pour que la connaissance de notre langue et de notre
littérature
y fût plus répandue et plus approfondie, de recue
lycées et des collèges connussent, avec les plus grands noms de notre
littérature
, ce qu’elle a produit de plus parfait ; et ce ser
re idiome parvenu à sa maturité, le magnifique développement de notre
littérature
arrivée à son plus grand éclat. On ne perdra pas
non pas seulement à la scolastique, qui partout succombait, mais à la
littérature
maniérée de la Renaissance. Il est le Malherbe de
issance de Louis XIV émancipé par la mort de Mazarin, a enrichi notre
littérature
de trois excellentes productions : les lettres de
phase, négligence ou affectation, est devenue l’un des genres dont la
littérature
française a le plus droit d’être fière. Un autre
point cessé de grandir482 : il n’en est pas de plus éclatante dans la
littérature
; on peut ajouter dans aucune littérature. Molièr
s de plus éclatante dans la littérature ; on peut ajouter dans aucune
littérature
. Molière a partagé en effet avec La Fontaine ce p
« Apulée, dit M. Saint-Marc Girardin dans le 51e chapitre du Cours de
littérature
dramatique, est un véritable littérateur des temp
ôtre. » 33. « Quand je pense, dit M. Nisard dans son Histoire de la
littérature
française, à Polyeucte, où Corneille s’en est le
eau de M. Villemain sur les unités et le théâtre grec : Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, 43e leçon. 42. Boileau
r les Pensées de Pascal : « Il est venu à cette heureuse époque de la
littérature
et de la langue où l’art se joignait à la nature
ns les écrits du grand Newton. » Ce morceau est cité dans le Cours de
littérature
de La Harpe. — Voltaire a dit également : « Quell
ite et rapproché de Bossuet, il faut voir M. Villemain, Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, M. Nisard, Histoire de la
u de la littérature au dix-huitième siècle, M. Nisard, Histoire de la
littérature
française, un travail de M. Sainte-Beuve, et les
ait une première fois par d’Alembert), en outre dans le Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, 14e et 15e leçons ; M. Wa
mais une fois souffert. » 337. M. de Barante, dans le Tableau de la
littérature
française au dix-huitième siècle, déplore avec él
anisme, IIIe partie, liv. III, chap. vi ; M. Villemain, Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle. 339. John Hervey (et non
tianisme, IIIe partie, liv. IV, chap. v ; M. Villemain, Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle, 22e leçon ; M. Geruzez, N
ction du grand Dauphin. Quelques réflexions de Pascal, relatives à la
littérature
, ne sauraient être trop méditées. On étudiera, da
rticle sur le Style, fort bon morceau, que renfermant les Éléments de
littérature
de Marmontel. On pourrait y joindre, en se report
on, dont l’autorité semble irrécusable » : c. iv de son Tableau de la
littérature
française. — « Cela même est l’éloquence, remarqu
ée, on arrive à cette formule générale qui n’est pas moins vraie : la
littérature
est l’expression de la société. 380. On rapproch
Corneille que lorsqu’il apprécie Racine ; Geoffroy, dans son Cours de
littérature
dramatique ; Lemercier, dans son Cours analytique
s de littérature dramatique ; Lemercier, dans son Cours analytique de
littérature
générale ; les Observations critiques de Palissot
des Chefs-d’œuvre de cet auteur (Didot, 1814-1819) ; l’Histoire de la
littérature
française de M. Nisard, etc., pourront encore êtr
« C’était, a dit Voltaire, un homme d’un grand mérite et d’une vaste
littérature
. » Il fit quarante-deux pièces de théâtre, dont q
es (Réflexions critiques sur quelques poètes), Marmontel (Éléments de
littérature
, au mot Fable), La Harpe (Cours de littérature),
Marmontel (Éléments de littérature, au mot Fable), La Harpe (Cours de
littérature
), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (Histoir
littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (Histoire de la
littérature
française), etc. Il est de plus resté, mais en pa
lassique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux Histoires de la
littérature
française qu’ont fait paraître MM. Geruzez et Dem
rselle, de même que Boileau y a mis ceux qui concernent le goût et la
littérature
, et Molière ceux qui sont relatifs à la société.
on citera parmi eux Lemercier, tome II de son Cours analytique de la
littérature
générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de
générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de son Histoire de la
littérature
française ; et M. Bazin, auteur d’une étude où so
» La Harpe lui a consacré l’un des meilleurs articles de son Cours de
Littérature
. Daunou, Victorien Fabre, Auger (l’ouvrage de ce
cadémie française), plus récemment M. Nisard, dans son Histoire de la
littérature
française, et M. Geruzez ont dignement parlé de B
anière des Grecs. — Lemercier, au 1er tome de son Cours analytique de
littérature
générale, s’est appliqué à montrer dans Athalie l
et les Romains, n’avait nullement dédaigné l’étude de notre ancienne,
littérature
, et qu’il a su puiser, dans plus d’un emprunt qu’
ert a fait son éloge. On consultera encore sur lui, outre le Cours de
littérature
de La Harpe, les Mémoires de Marmontel, vers la f
etons de Geoffroy et une leçon de M. Villemain dans son Tableau de la
Littérature
au xviiie siècle (c’est la 3e). Dijon, sa ville
i, nous signalerons La Harpe dans différentes parties de son Cours de
littérature
; Ducis, discours de réception à l’Académie franç
es pièces d’Eschyle ; et, entre autres morceaux de l’antiquité ou des
littératures
étrangères, il a traduit en vers les Géorgiques e
ui a été loué spécialement par Barère, on peut voir, avec le Cours de
littérature
de La Harpe (IIIe part., liv. I, ch. 8, sect. 3),
re de La Harpe (IIIe part., liv. I, ch. 8, sect. 3), le Tableau de la
Littérature
au xviiie siècle de M. Villemain (12e leçon). 7
. Villemain a parlé de Gresset dans la 12e leçon de son Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle. Plus récemment, il a paru
ots l’article assez long qu’il a consacré à Gresset dans son Cours de
littérature
(IIIe part., 1. Ier, c. 2. sect. 3) : « C’était u
t. Planche, etc. Voyez particulièrement la 58e leçon du Tableau de la
Littérature
au dix-huitième siècle, et la Revue des deux Mond
le et de l’élégie, c’est à lui que nous les devons. » (Histoire de la
littérature
française, t. IV, p. 155.) 778. La grammaire d
nous a paru préférable de butiner dans toutes les provinces de notre
littérature
, et de faire appel à toutes les facultés de l’int
ci, et que j’emprunte à un de nos maîtres préférés : « Les leçons de
littérature
, pour être utiles et remplir leur véritable objet
est le premier, il est le seul qui ait consacré à l’histoire de notre
littérature
un monument qu’on peut appeler national ; car nul
-mêmes, c’est au monde que nous aurons manqué2. 6. Histoire de la
littérature
française. 4 vol., Didot. 1. Le comté de Notting
nous a paru préférable de butiner dans toutes les provinces de notre
littérature
, et de faire appel à toutes les facultés de l’int
ci, et que j’emprunte à un de nos maîtres préférés : « Les leçons de
littérature
, pour être utiles et remplir leur véritable objet
itique Lorsque la critique est devenue nécessairement un genre de
littérature
, souvent ceux qui l’exerçaient n’ont pas respecté
uveaux-venus. 1. C’est parler d’or. 2. Il faut être libéral même en
littérature
. 3. Le goût est la conscience littéraire de l’âm
oésie, l’éloquence et les arts, l’antiquité et les temps modernes, la
littérature
étrangère et contemporaine, en un mot toutes les
au point de vue qui l’éclaire. Ce mode de commentaire, appliqué à la
littérature
, suppose tout un art qui se dérobe, et n’est au-d
tré en Italie. Les Indous possèdent, dès la plus haute antiquité, une
littérature
dramatique assez riche ; un de leurs drames, Saco
l’amphithéâtre. Si le drame ne se laissait pas aller à ces excès, la
littérature
serait disposée à l’admettre comme un genre bon e
s comédies les plus gaies et les plus heureuses ne vivent pas dans la
littérature
, parce que la lecture en est insipide en dehors d
légance et de la rapidité20. 16. Saint-Marc Girardin, Cours de
littérature
dramatique. 17. Principaux poètes tragiques : G
ianisme, IIIe partie, liv. iii, chap. 6 ; M. Villemain, Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle ; les ouvrages de MM. de B
ième siècle ; les ouvrages de MM. de Barante et Victorin Fabre sur la
littérature
française de cette même époque, etc. 2. Ce génér
rian fit cette fable, la sensibilité était fort en honneur dans notre
littérature
. Comparez les Deux Amis de La Fontaine. Aidons-n
rian fit cette fable, la sensibilité était fort en honneur dans notre
littérature
. Comparez les Deux Amis de La Fontaine. 1. C’es
en abstiennent. Et réellement qu’ont à faire avec la rhétorique et la
littérature
la Pipe cassée de Vadé, ou les ignobles parades q
l sujet serait avouer qu’on ne le comprend pas. J’appelle sublime, en
littérature
, l’expression vraie de tout sentiment qui élève l
tenue et des beaux vers. » De Reiffenberg, Introduction aux Leçons de
littérature
. 86. « En effet, dit Cicéron, il ne suffit pas a
es, quarum superbissimum est judicium. (Cicéron). Tous les genres de
littérature
n’exigent pas un style également nombreux ; mais
vrage neuf, plein de recherches curieuses et qui fait honneur à notre
littérature
, qui compte peu de morceaux oratoires plus vérita
liquée à l’éloquence peut s’entendre du style dans tous les genres de
littérature
. C’est la partie importante, essentielle de toute
e, qui est le cachet de leur génie. Il en est de même des ouvrages de
littérature
; il suffit d’entendre une page d’Homère, de Taci
e nous partions ensemble, Mère, alors je veux bien mourir ! Mais, en
littérature
, le naïf a souvent une tournure piquante qui n’es
ous offrent chaque jour leurs contrastes. Dans les arts comme dans la
littérature
, pour que l’antithèse fasse un bon effet, il faut
t du naturel ; les pointes, les jeux de mots, badinage proscrit de la
littérature
sérieuse : Balzac, Voiture, Scarron, étaient appl
e d’esprit, et à cause de ses analogies avec les autres parties de la
littérature
, et par les applications qui lui restent encore.
un discours d’un nouveau genre son entrée à l’Académie. Il y parla de
littérature
et de goût ; et son exemple est devenu en quelque
adémie française) ; celui de Daunou, De l’influence de Boileau sur la
littérature
française (couronné en 1785 par l’Académie de Nîm
ècle, de MM. Jay et Victorin Fabre (couronnés en 1810), et ceux De la
littérature
française au xvie siècle, de MM. Chasles et Sain
uire, même en assez grande quantité, des œuvres honorables pour notre
littérature
. 3. Domairon, Rhét, de l’Invention. 4. On dit
. Domairon, Rhét, Discours du barreau. 29. Sabatier, Dictionnaire de
littérature
. 30. Domairon, Rhét, Discours politiques. 31.
e, et il en est résulté l’un des meilleurs morceaux de critique et de
littérature
que l’on puisse proposer à ceux qui ont besoin de
es partout et répétées jusqu’à satiété, depuis que l’on parle goût et
littérature
: ce sont des traits hardis détachés du grand tab
rable à ce pamphlet, qui demeure comme une date impérissable de notre
littérature
. Il y fixe la langue que parleront les maîtres. S
ents du génie, nul n’est plus célèbre que le livre des Pensées, et la
littérature
française ne possède pas d’artiste plus consommé
ivre sans lacune, dans tout son riche développement, le progrès de la
littérature
française. Après avoir assisté à l’éveil du génie
e lui ménager à la fin de son rapide voyage comme une échappée sur la
littérature
contemporaine. Nous n’avons dans ce livre rien ch
des individus et des peuples ; dans le second, sur les rapports de la
littérature
avec les institutions sociales, elle commençait l
à Weimar, où elle connut Goethe et Schiller et étudia la langue et la
littérature
allemande. Un voyage qu’elle fit en Italie (1804)
n monde nouveau qu’elle connaissait mal et dédaignait injustement. La
littérature
du dix-huitième siècle était arrivée par l’isolem
ritique orgueilleuse et étroite. L’étude comparée des sociétés et des
littératures
étrangères, l’admiration désintéressée du beau, s
ce noble esprit qui exerça une durable influencé sur les idées et la
littérature
de son siècle8. Une petite ville Corinne ét
société où l’on manque tout à la fois d’intérêt pour les sciences, la
littérature
, les tableaux et la musique, où l’imagination enf
Ibid. 26, ib., ch. iv. Goethe Goethe pourrait représenter la
littérature
allemande tout entière ; non qu’il n’y ait d’autr
is la connaissance personnelle de l’homme qui a le plus influé sur la
littérature
de son pays sert, ce me semble, à mieux comprendr
littérature de son pays sert, ce me semble, à mieux comprendre cette
littérature
. Goethe est un homme d’un esprit prodigieux en co
ute une fois33, Il aimait la poésie, l’art dramatique, l’histoire, la
littérature
pour elle-même. Il aurait été résolu à ne point p
esse générale ; la froide tragédie de Moïse, Milton et l’Essai sur la
littérature
anglaise, qui contient des fragments d’un grand p
es idées libérales et progressives, il eut la gloire de renouveler ta
littérature
en ta ramenant aux sources pures et antiques de l
ur de l’homme, expliquant l’un par l’autre ; enfin par la science des
littératures
comparées elle éclaira d’un jour nouveau les gran
uvrages qui résument l’enseignement de M. Villemain, le Tableau de la
littérature
au moyen âge et l’Histoire de la littérature fran
lemain, le Tableau de la littérature au moyen âge et l’Histoire de la
littérature
française au dix-huitième siècle. Les hautes fonc
sé elle présent. Ce sont les Souvenirs contemporains d’histoire et de
littérature
(1856), l’Étude sur M. de Chateaubriand (1857), l
sans doute à la famille de ces esprits créateurs qui rajeunissent les
littératures
et découvrent des voies nouvelles et inexplorées
progrès sur lui-même. Quand on parcourt son remarquable Tableau de la
littérature
française depuis 1789, on reste surpris de lire s
ersonnelle et objective, étaient comme les deux points extrêmes de la
littérature
d’une nation. Les peuples enfants, dans l’activit
le moyen âge fut mieux étudie et mieux compris ; la connaissance des
littératures
étrangères rendit le goût moins timide et plus im
out rythme et toute mesure. On avait, par l’étude du moyen âge et des
littératures
étrangères, agrandi le cercle trop restreint des
écédents arrêtés. 3. M. Villemain, dans la 53e leçon de son Cours de
littérature
française au dix-huitième siècle. 4. Les œuvres
c s’est marquée dans ses monuments comme dans les chefs-d’œuvre de sa
littérature
; le génie chrétien, plus tourmenté dans ses aspi
e, dans lesquels M. de Chateaubriand a jeté des vues si neuves sur la
littérature
, Celle étude des différentes expressions des pass
usée qui est l’un des traits du génie de M. de Chateaubriand et de la
littérature
de ce siècle. 94. Ma mémoire me trompait ici :
te dont il a lui-même tracé la théorie au début de son Histoire de la
littérature
anglaise. C’est faire injure à la nature humaine
qu’il écrit », a dit pareillement Fénelon. 163. Cf. l’Histoire de la
littérature
française de M. Nisard, liv. IV, et les Causeries
n Feugère. 170. M. Sainte-Beuve parle en ces termes du Tableau de la
littérature
au dix-huitième siècle : « Il y reste de la parol
deux genres opposés qu’on appelle la prose poétique, signe fatal des
littératures
en décadence, qui a paru chez nous à la fin du si
837 par M. Michel et en 1850 par M. F. Génin. Dans son Histoire de la
littérature
française, M. Démogeot en a traduit avec goût que
r Consul. » 273. Tableau historique de l’état et des progrès de la
littérature
française depuis 1789. Introduction. 274. M. Vil
. Introduction. 274. M. Villemain, dans la 44e leçon de son Cours de
littérature
au dix-huitième siècle, raconte avec son bonheur
sur la manière étroite et superficielle dont on comprenait alors les
littératures
étrangères, précèdent et amènent le parallèle ent
main a cité avec éloges un fragment dans la 43e leçon de son Cours de
littérature
au dix-huitième siècle, est plein de mouvement, d
profit sur Marie-Joseph Chénier la 58e et la 59e leçon du Cours de la
littérature
française au dix-huitième siècle, par M. Villemai
s. » 392. Liv. II, ch. 2 (trad, C. Bénard). 393. Histoire de la
littérature
française, t. IV. Conclusion. 394. Les Œuvres de
Sixte-Quint jetait ses béquilles ». 465. Mélanges d’histoire et de
littérature
(première série), 1868, page 353. 466. Les œuvre
es choses, tandis que l’écrivain doit soigner le fond et la forme. En
littérature
, la pensée peut donc se définir : l’expression co
cette carrière aisée et praticable. — Mais, comme dans tout genre de
littérature
on doit chercher non seulement à être utile, mais
es, éblouit et fatigue. Aux époques de jeunesse et de décadence d’une
littérature
, les images surabondent, ou sont peu naturelles,
s deux époques, le siècle de Louis XIV, âge de la virilité pour notre
littérature
, également éloigné de la faiblesse de l’enfance e
oivent être employés qu’avec une grande réserve, et seulement dans la
littérature
légère. Fénelon regrettait l’abandon complet de c
elle à son aide, pour amuser le spectateur, des moyens étrangers à la
littérature
proprement dite. On a successivement mêlé aux piè
danse, enfin les décorations ; et nous avons dans ce genre toute une
littérature
dramatique, dont il n’est pas permis d’ignorer le
d’ailleurs, il faut bien le dire, à mesure qu’on mêle aux ouvrages de
littérature
un plus grand nombre d’assaisonnements étrangers,
ien faible pour l’écrivain. Ces ouvrages tiennent, si l’on veut, à la
littérature
par le fond, par la charpente générale ; pour le
sie et l’histoire se fussent successivement retirées du domaine de la
littérature
orale, ceux qui vinrent plus tard ne changèrent r
teur contemporain ajoute dans le même sens : « Rien ne s’improvise en
littérature
; car l’idée, quelque lucide qu’elle soit, n’est
n peut voir un morceau intéressant de cet auteur dans les Eléments de
littérature
(article Mœurs). 1. Corneille fait allusion à ce
ar lui, autour de lui. » Voy. notamment, à ce sujet, l’Histoire de la
Littérature
française, par M. Nisard, t. II, l. iii, c. 7. 1
enres, il la trouva enfin, solide et véritable, dans l’alliance de la
littérature
avec la science, qu’il sut mettre à la portée du
y. particulièrement les chap. 6, 7 et 8. Cf. Villemain, Tableau de la
littérature
au xviiie siècle (13e leçon). M. Sainte-Beuve a
e Louis Racine, Rollin et Lefranc de Pompignan. 1. Outre le Cours de
littérature
de La Harpe, fort étendu au sujet de Rousseau (II
e Rousseau (IIe part., liv Ier, ch. 9), il faut voir le Tableau de la
littérature
ou dix-septième siècle par M. Villemain (2e leç.)
xcelle le moins. Les bons auteurs épistolaires se comptent dans notre
littérature
, et la liste en est courte. À leur tête est Mme d
nom. Sous forme épistolaire, on traite de morale, de philosophie, de
littérature
, de points d’histoire, etc., et on fait ainsi des
idences d’une âme supérieure ; et l’Allemagne, tableau brillant d’une
littérature
dont l’étude fut pour nous la découverte de riche
hommes ; si l’on proclame le découragement, il ne reste plus rien en
littérature
que des juges du temps passé. » « L’on voit des j
uvrage, où vous avez appris les principes de notre langue et de notre
littérature
. Vous la trouverez beaucoup plus étendue que la p
onde fois (De la Poésie dramatique, II, 4, t. III des Principes de la
Littérature
), il s’est dispensé de le traduire.
et Roi, à qui l’auteur enseignait, dans cette maison, la Langue et la
Littérature
française. En l’an xi (1802), Sa Majesté Impérial
orace, dans une épitre à Auguste, développe d’excellents principes de
littérature
; Boileau raconte le passage du Rhin sur le ton d
ramatique est cependant très-remarquable. » (A. W. Schlegel, Cours de
Littérature
dramatique, x e leçon.) Comme on fait ailleurs.]
z Marot, chez la Fontaine surtout, parfois même chez Scarron. Plus la
littérature
vieillit, plus les auteurs naïfs deviennent rares
e pratique est un empiétement et une profanation. » Geruzez, Cours de
littérature
. 91. Il est évident que le défaut d’intérêt ou l
laise est éteinte ; il n’y a plus à cette heure dans l’univers qu’une
littérature
allumée et vivante : c’est la littérature françai
heure dans l’univers qu’une littérature allumée et vivante : c’est la
littérature
française. On ne lit plus que des livres français
e précieux opuscule, qui, ayant exercé une si grande influence sur la
littérature
dramatique de l’Occident, et en particulier sur l
stylum vertere, pour effacer, corriger. 25. Qu’est-ce que le style en
littérature
? Le style est l’homme même, a dit Buffon ; c’es
et de cette gaîté, dont Swift a donné depuis l’idée et le modèle à la
littérature
anglaise, Lucien va figurer ici comme panégyriste
on orateur ; nous en avons plus d’un exemple dans l’histoire de notre
littérature
. Mais l’homme ainsi organisé ne sera orateur que
oisis chez les écrivains classiques, l’histoire de la langue et de la
littérature
, de leur marche et de leurs progrès. Le recueil q
t aux xviie et xviiie siècles que nous appliquons cette méthode. La
littérature
du xvie siècle n’a pas encore assez complètement
ent, constituent par leur réunion et leur ensemble une histoire de la
littérature
française ; nous croyons seulement pouvoir dire q
-1585), sur l’invitation de Du Bellay lui-même, puise au trésor de la
littérature
italienne comme des lettres antiques, et ajoute s
heures, et auteur des Recherches de la France. Parmi les savants, la
littérature
proprement dite réclame ceux qui ont, comme le de
françoise, ses Nouveaux dialogues du langage françois italianisé. La
littérature
, aussi bien que la science sous ses formes divers
r et les Pithou : elle éclairait le droit romain par l’histoire et la
littérature
antique. La science du droit français suivit une
médecin, ni curé, mais l’auteur du plus extraordinaire monument de la
littérature
du xvie siècle. Le xvie siècle tout entier, — p
éforme dans la France du xvie siècle, et comme un chef-d’œuvre de la
littérature
. Le dur et âpre sectaire qui a fondé et gouverné
à la seconde période du xviie siècle. Le cardinal de Retz donne à la
littérature
historique de ce temps son chef-d’œuvre, qui est
esure, de goût, de noblesse, de grandeur et d’unité, que reproduit la
littérature
de son temps. Elle se resserre autour de lui comm
se resserre autour de lui comme autour de son centre. « La brillante
littérature
de cette époque, dit M. Michelet284, n’est autre
. (Pensées, article III.) Pensées diverses sur la morale et la
littérature
Diseur de bons mots, mauvais caractère. Le mo
euse de notre histoire ecclésiastique et le plus grand style de notre
littérature
. Bossuet a été appelé le « dernier père de l’Égli
XVIIe siècle (suite). Les groupes secondaires Notices Dans la
littérature
du xviie siècle, une place au second rang est en
ue ses traducteurs et ses commentateurs » (M. Géruzez, Histoire de la
littérature
française), écrivit avec succès une Histoire du s
était un sablier » (Sainte-Beuve), frondeur en politique, frondeur en
littérature
, ennemi déclaré du Phœbus et du Balzac, mérite un
re, ennemi déclaré du Phœbus et du Balzac, mérite un souvenir dans la
littérature
épistolaire entre le pompeux Balzac et le spiritu
ous brillent et meurent, André Chénier et Camille Desmoulins. Dans la
littérature
proprement dite, Bernardin de Saint-Pierre soutie
ec savoir et avec goût par Marmontel (1723-1779) dans ses Éléments de
littérature
, qui ont plus vécu que son roman poétique des Inc
— avec éloquence par La Harpe (1739-1803) dans son Lycée ou Cours de
littérature
ancienne et moderne, qu’on lira toujours avec int
ux éminents mathématiciens, qui ont un pied dans la philosophie et la
littérature
: — le marquis de Condorcet (1743-1794), par son
rer dans la poésie par la plume de Mme de Staë l, en nous révélant la
littérature
de l’Allemagne et le théâtre de Goethe et de Schi
liberté souffle de toutes parts. Les vieilles lois qui régentaient la
littérature
et divisaient en provinces distinctes surtout la
es connaissances humaines, et particulièrement à la philosophie, à la
littérature
et à la linguistique. Dans la philosophie, Laromi
sentiment des arts, qui marquent d’une empreinte si profonde toute la
littérature
du xixe siècle, ne sont pas étrangers au dévelop
passions sur le bonheur des individus et des nations (1796), et De la
littérature
considérée dans ses rapports avec les institution
m, IVe partie.) Les historiens vengeurs Il y a des genres de
littérature
qui semblent appartenir à certaines époques de la
ochure, une simple feuille… — Fi ! ne m’en parlez pas, opprobre de la
littérature
, honte du siècle et de la nation, qu’il se puisse
llemain (Abel), né à Paris, a exercé une sorte de magistrature sur la
littérature
contemporaine par le rare concours et remploi sup
(c’est sa meilleure part), il a professé et écrit des histoires de la
Littérature
au moyen âge en France, en Italie, en Espagne et
au moyen âge en France, en Italie, en Espagne et en Angleterre, de la
Littérature
française au xviiie siècle ; il a jugé en maître
, les trois puissances qui, sous l’Empire, ont vraiment agi sur notre
littérature
et marqué leur trace dans son histoire. Par une c
d, Mme de Staël, M. Quatremère de Quincy756 la transportaient dans la
littérature
et les arts. On lui donne à bon droit le nom de s
; elle seconde l’art véritable, la poésie digne de ce nom, la grande
littérature
; elle est l’appui du droit : elle repousse égale
yez le culte des grands hommes et des grandes choses. Repoussez cette
littérature
énervante, tour à tour grossière et raffinée, qui
anglais de M. de La Place833. C’est d’après cet ouvrage précieux à la
littérature
que j’ai entrepris de rendre une des plus singuli
ement assaisonné, et des aperçus nouveaux et pénétrants. Son Cours de
littérature
dramatique ou de l’usage des passions dans le dra
e galerie d’études de caractères, de portraits, de parallèles, où les
littératures
anciennes et modernes fournissent les rapprocheme
éraire s’allie ici à la beauté morale, je n’en suis point étonné : en
littérature
, le beau et le bon s’accordent plus souvent qu’on
rature dramatique, XI. — Charpentier, éditeur.) Divorce entre la
littérature
et la société Il y a, dans la littérature, de
) Divorce entre la littérature et la société Il y a, dans la
littérature
, deux sortes de sentiments, et ces deux sortes de
tion, et qui ne sont que l’ombre et le reflet altéré des premiers. La
littérature
commence par les uns et finit par les autres. Qua
La littérature commence par les uns et finit par les autres. Quand la
littérature
arrive à ces derniers sentiments, quand l’imagina
confuses que recueille l’imagination et qu’elle met en œuvre dans la
littérature
. De là l’énergie des romans, la terreur des drame
De là l’énergie des romans, la terreur des drames ; de là enfin cette
littérature
qui plaît d’autant mieux à la société qu’elle lui
e lui ressemble moins. La société autrefois aimait à trouver, dans la
littérature
, l’image embellie de ses sentiments, et cette ima
cherche plus aujourd’hui qu’une distraction. Elle disait naguère à la
littérature
: Étudiez-moi afin de m’instruire et de m’élever
imagination se met à l’œuvre, et elle fait seule tous les frais de la
littérature
. Elle ne réussit pas toujours à amuser le public
pas toujours à amuser le public ; mais elle consomme le divorce de la
littérature
d’avec la société, chacune allant de plus en plus
s tristes, parce que, chaque jour, l’art y trouve moins de place ; la
littérature
, à ses œuvres chaque jour plus frivoles et plus v
’école romantique dans une sorte de contre-manifeste (1833) contre la
littérature
« facile » (voir ses Mélanges, 1838) ; sur la lit
) contre la littérature « facile » (voir ses Mélanges, 1838) ; sur la
littérature
latine dans ses Poètes latins de la décadence (18
s recherche, qui ne se dément jamais dans ses Études d’histoire et de
littérature
, et dont sa grande Histoire de la littérature fra
Études d’histoire et de littérature, et dont sa grande Histoire de la
littérature
française est le plus parfait modèle. De la Ren
x conceptions exprimées dans les langues anciennes. C’est l’ère de la
littérature
française, parce que c’est l’époque où un grand n
qui vous a gardé de la politique vous a gardé de l’esprit de parti en
littérature
. Quoiqu’il ait plu à votre modestie de parler de
teur populaire dans son Conseiller du peuple et son Cours familier de
littérature
, etc. ; Lamartine a toujours et partout ce langag
nt aux vers du grand Corneille. (Voltaire). 283. Histoire de la
littérature
française, livre III, chap. VII. 284. Précis d’
it est l’une des pièces les plus nettes et les plus achevées de notre
littérature
: c’est un simple dessin sans couleur aucune, mai
ou de l’Empire (1800-1814), réunis depuis sous le titre de : Cours de
littérature
dramatique. 836. Célèbre acteur tragique (1763-1
e et la description de ses tableaux tiennent une grande place dans la
littérature
contemporaine. La nature se mêle aux récits, aux
en écrire en notre langue, et à celle des règles des divers genres de
littérature
, soit en prose, soit en vers. Ainsi cet ouvrage s
aux et philosophiques. Ce n’était donc pas dans l’origine un genre de
littérature
, mais un accessoire du discours, un moyen énergiq
du judicieux critique, qui peut s’étendre à toutes les parties de la
littérature
et par conséquent à la poétique aussi bien qu’à l
la correction du premier travail. 329. Qu’entend-on par invention en
littérature
? L’invention, dans la composition, est l’action
parole. Dans un sens particulier, l’élocution est cette partie de la
littérature
qui a pour objet les règles du style, et surtout
nt de tout ce qui n’est pas lui. 341. Qu’entend-on par description en
littérature
? En littérature, et surtout en poésie et en élo
n’est pas lui. 341. Qu’entend-on par description en littérature ? En
littérature
, et surtout en poésie et en éloquence, la descrip
es traités de philosophie, de religion, de morale, de politique ou de
littérature
. Mais cela ne suffit pas pour mettre ces sortes d
des bonnes études, et le désir sincère de les propager. 2. Cours de
Littérature
, tome xi, première partie, article Crébillon.
imité les anciens comme Racine ! Il n’y a donc que des charlatans en
littérature
, et des hérésiarques en matière de goût, qui puis
I. De l’imitation des anciens au XVIe siècle, usage et abus Si les
littératures
vivantes portent parfois malheur à ceux qui les a
p prompte à fêter ce qui paraît neuf. Mais il n’en va pas ainsi de la
littérature
antique ; car, réduite à quelques chefs-d’œuvre,
tribuer l’influence que le grec put exercer sur notre langue et notre
littérature
. Ici, comme tout à l’heure, nous rencontrons des
éface La faveur croissante du public pour notre Cours classique de
littérature
nous impose de sérieux devoirs. Loin de nous repo
rt oratoire, et ces questions ont été développées dans notre Cours de
littérature
25. Seulement, puisque le discours doit tout ense
éclat et sa pureté. Or, s’il est vrai que le style est l’homme, si la
littérature
est l’expression de la société, il y a un rapport
noncés dans son enceinte soient dignes de ce but, et qu’en matière de
littérature
ils donnent tout à la fois le précepte et l’exemp
magination. 407. Les mémoires sur les questions de science, d’art, de
littérature
, de philosophie ou d’histoire, ne sont pas le cha
e bons conseils et de mauvais préceptes. (Marmontel, Dictionnaire de
Littérature
, art. Rhétorique.) III. Du raisonnement et des
; Fénelon, Premier dialogue sur l’éloquence ; Marmontel, Éléments de
littérature
, art. Éloq., t. II, p. 32-48 ; Laurentie, De l’Ét
l’enseignement des lettres, 1re édit., p. 296-304 ; Geruzez, Cours de
littérature
. 2. Auteurs à consulter : Aristote, Rhétorique,
: Logique de Port-Royal, 3e partie, ch. xix et xx ; Geruzez, Cours de
littérature
, art. Éloquence. v. Leclerc, 2e partie, v. 8. Au
à consulter : Aristote, l. II, c. xii, xiii ; Marmontel, Éléments de
littérature
, art. Mœurs ; Crevier, 1re partie, ch. iii; Boile
de Boylesve, Rhétorique, art. Confirmation. 20. Voir notre Cours de
littérature
, p. 83-98. 21. Auteurs à consulter : Quintilien,
ie ; Girard, Rhétorique, l. III. 25. Voir notre Cours élémentaire de
littérature
, à l’article des Figures de pensée. 26. Auteurs
. II, 1re part., ch. vi. 37. Auteurs à consulter: La Harpe, Cours de
littérature
, art. Bossuet ; Villemain, Essai sur l’oraison fu
rs à consulter : Blair, 4e part., leç. xxv-xxvii ; La Harpe, Cours de
littérature
, l. II, ch. iii ; Amar, Cours de rhétorique, 1re
partie ; Cormenin, Livre des orateurs, 2e part. ; Villemain, Cours de
littérature
(dix-huitième siècle) ; l’abbé Henry, Histoire de
à consulter : Fénelon, Dialogues sur l’éloquence ; La Harpe, Cours de
littérature
; Marcel, Chefs-d’œuvre d’éloquence ; Grandperret
oltaire. Veut-on un exemple frappant de ce genre de beauté ? Notre
littérature
va nous l’offrir, dans le Panégyrique de Louis XV
on que de deux ou trois mots d’amitié, et quelques nouvelles, soit de
littérature
, soit des sottises humaines, le tout courant sur
vie humaine, ce sont là les moins funestes. Les épines attachées à la
littérature
et à un peu de réputation ne sont que des fleurs
s heureux aujourd’hui, l’écrivain qui lie essentiellement un cours de
littérature
à un cours de morale, trouve à chaque pas une err
lus agissantes1. 1. M. Géruzez. (Dans sa judicieuse Histoire de la
Littérature
française. — Didier.) 1. Soyez doux et indulgent
idences d’une âme supérieure ; et l’Allemagne, tableau brillant d’une
littérature
que la France ignorait. Intelligence sympathique
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