it quelque chose : ainsi, le mot être, je suis, est un verbe ; le mot
lire
, je lis, est un verbe. On connaît un verbe, en fr
e chose : ainsi, le mot être, je suis, est un verbe ; le mot lire, je
lis
, est un verbe. On connaît un verbe, en français,
on peut y ajouter ces pronoms, je, tu, il, nous, vous, ils ; comme je
lis
, tu lis, il lit, nous lisons, vous lisez, ils lis
y ajouter ces pronoms, je, tu, il, nous, vous, ils ; comme je lis, tu
lis
, il lit, nous lisons, vous lisez, ils lisent. 4
oms, je, tu, il, nous, vous, ils ; comme je lis, tu lis, il lit, nous
lisons
, vous lisez, ils lisent. 48. — Les pronoms je,
il, nous, vous, ils ; comme je lis, tu lis, il lit, nous lisons, vous
lisez
, ils lisent. 48. — Les pronoms je, nous, marque
ous, ils ; comme je lis, tu lis, il lit, nous lisons, vous lisez, ils
lisent
. 48. — Les pronoms je, nous, marquent la premiè
nombres ; le singulier, quand on parle d’une seule personne, comme je
lis
, l’enfant dort ; le pluriel, quand on parle de pl
dort ; le pluriel, quand on parle de plusieurs personnes, comme nous
lisons
, les enfants dorment. 50. — Il y a trois temps,
résent, qui marque que la chose est ou se fait actuellement, comme je
lis
; le passé ou prétérit, qui marque que la chose a
le passé ou prétérit, qui marque que la chose a été faite, comme j’ai
lu
; le futur, qui marque que la chose sera ou se fe
j’ai lu ; le futur, qui marque que la chose sera ou se fera, comme je
lirai
. On distingue plusieurs sortes de prétérits ou pa
ue plusieurs sortes de prétérits ou passés, savoir : un imparfait, je
lisais
; trois parfaits, je lus, j’ai lu, j’eus lu, et u
rits ou passés, savoir : un imparfait, je lisais ; trois parfaits, je
lus
, j’ai lu, j’eus lu, et un plus-que-parfait, j’ava
ssés, savoir : un imparfait, je lisais ; trois parfaits, je lus, j’ai
lu
, j’eus lu, et un plus-que-parfait, j’avais lu. On
ir : un imparfait, je lisais ; trois parfaits, je lus, j’ai lu, j’eus
lu
, et un plus-que-parfait, j’avais lu. On distingue
parfaits, je lus, j’ai lu, j’eus lu, et un plus-que-parfait, j’avais
lu
. On distingue aussi deux futurs, le futur simple,
fait, j’avais lu. On distingue aussi deux futurs, le futur simple, je
lirai
; et le futur passé, j’aurai lu. 51. — Il y a c
i deux futurs, le futur simple, je lirai ; et le futur passé, j’aurai
lu
. 51. — Il y a cinq modes ou manières de signifi
xprime l’action ou l’état en général, sans nombre, ni personne, comme
lire
, être. 52. — Réciter de suite les différents mo
ait. Je fais. Je fis. Prendre. Prenant. Pris. Je prends. Je pris.
Lire
. Lisant. Lu. Je lis. Je lus. Luire. Luisant. Lu
Je fis. Prendre. Prenant. Pris. Je prends. Je pris. Lire. Lisant.
Lu
. Je lis. Je lus. Luire. Luisant. Lui. Je luis.
Prendre. Prenant. Pris. Je prends. Je pris. Lire. Lisant. Lu. Je
lis
. Je lus. Luire. Luisant. Lui. Je luis. Mettr
re. Prenant. Pris. Je prends. Je pris. Lire. Lisant. Lu. Je lis. Je
lus
. Luire. Luisant. Lui. Je luis. Mettre. Metta
inguliers, on met ce verbe au pluriel. Exemple. Mon frère et ma sœur
lisent
. 67. — Deuxième remarque. Quand les deux sujets
seconde est plus noble que la troisième. Exemples. Vous et moi nous
lisons
. Vous et votre frère vous lisez. (La politesse f
isième. Exemples. Vous et moi nous lisons. Vous et votre frère vous
lisez
. (La politesse française veut qu’on nomme d’abord
Pères, surtout de celle de saint Augustin. 305. Quels livres faut-il
lire
? La raison suffirait pour nous apprendre que ce
s dont la réputation est moins éclatante. 308. — Est-il nécessaire de
lire
beaucoup d’ouvrages ? Une des règles relatives à
qu’à y jeter le désordre et la confusion. Pline le Jeune conseille de
lire
beaucoup un petit nombre d’ouvrages : Multùm leg
d’écrire et possédera surtout la manière la plus originale, qui aura
lu
le plus souvent et avec le plus de fruit un petit
çants qui veulent se former un goût sûr et un bon style, doivent donc
lire
peu de livres, et les choisir dans le genre de le
est l’avis de M. de Bonald. 309. Quels sont les moyens à prendre pour
lire
les modèles avec avantage ? La lecture des modèl
nombre de ces livres est peu étendu, il s’ensuit que chacun doit être
lu
plus d’une fois : Si jamais , dit Sénèque, vous
: Si jamais , dit Sénèque, vous quittez les auteurs estimés pour en
lire
d’autres, ne manquez pas de revenir aux premiers.
Un bon moyen encore de rendre une lecture fructueuse, c’est de ne pas
lire
un seul livre utile sans en faire, non pas l’anal
l’expression de Cicéron, une riche moisson d’idées. De plus, il faut
lire
peu à la fois ; les objets se fixent plus aisémen
ire peu à la fois ; les objets se fixent plus aisément dans l’esprit.
Lire
au delà de certaines bornes, c’est presque toujou
Enfin, une autre manière, appelée méthode de reproduction, consiste à
lire
plusieurs fois avec attention un morceau intéress
ibliophile MM. de Bure n’étaient point de ces bibliophiles qui ne
lisent
pas, qui seraient très-fâchés de lire, et qui n’o
nt de ces bibliophiles qui ne lisent pas, qui seraient très-fâchés de
lire
, et qui n’ont des livres que pour la montre. Tous
ien des années, Dieu sait avec quel respect ! Je crois bien qu’ils ne
lisaient
pas toujours dans ces beaux volumes, et qu’ils se
licieuses, je le sais, et que je permets au bibliophile, pourvu qu’il
lise
ou qu’il ait au moins l’intention de lire. Je dev
u bibliophile, pourvu qu’il lise ou qu’il ait au moins l’intention de
lire
. Je deviendrais aveugle que j’aurais encore, je l
ographe officieux ; du reste, il ne lit pas, et souvent il n’a jamais
lu
: il collectionne des livres, comme il ferait des
oyen de donner à l’imagination l’impulsion dont elle manque, c’est de
lire
, avant de composer, quelques passages d’un bon au
us facilement. Si l’on a à traiter un sujet historique, il est bon de
lire
dans un historien les faits relatifs à l’époque o
élève studieux peut tirer un grand profit, c’est celui qui consiste à
lire
avec attention des morceaux choisis, et à les rep
signalent comme dignes de fixer notre attention. Il faut, dit Pline,
lire
beaucoup, mots non beaucoup de choses. Celui-là
de choses. Celui-là réussira le mieux dans l’art d’écrire, qui aura
lu
le plus souvent et avec le plus de fruit un petit
y trouve à la fois le drame, le roman, la philosophie et l’éloquence.
Lisez
les poètes qui ont le mieux peint l’homme et la n
’homme et la nature, leurs riantes images vous délasseront l’esprit ;
lisez
aussi les critiques célèbres, pour vous habituer
vre sérieux : vous n’aurez pas à regretter votre temps et vos peines.
Lisez
avec attention, avec réflexion, et non à la hâte,
ois l’utilité de la lecture et le charme de la conversation, c’est de
lire
, non pas seul, mais avec une personne qui soit en
st celle que j’aime le plus. Surtout, j’ai une extrême satisfaction à
lire
avec une personne d’esprit ; car, de cette sorte,
s suffise d’avoir eu la bonne volonté d’aider les jeunes gens à mieux
lire
, et à juger par eux-mêmes, sous la conduite du ci
s l’attrait du fruit défendu à des livres qu’un engouement irréfléchi
lira
sans critique, si on s’obstine à les proscrire de
lui-même une idée distincte de l’auteur en question. On ne peut tout
lire
sans doute de chaque auteur ; il n’est besoin que
peut tout lire sans doute de chaque auteur ; il n’est besoin que d’en
lire
assez pour bien marquer le sens de sa manière, et
ritique, en un mot, dans son sens le plus pratique, consiste à savoir
lire
judicieusement les auteurs, et à apprendre aux au
voir lire judicieusement les auteurs, et à apprendre aux autres à les
lire
de même, en leur épargnant les tâtonnements et en
ce fauteuil.Va me chercher un livre. Hector. Quel livre voulez-vous
lire
en votre chagrin ? Valère. Celui qui te viendra
que. Valère. Voilà Sénèque.Lis. Hector. Voilà Sénèque. Lis.Que je
lise
Sénèque ? Valère. Oui. Ne sais-tu pas lire ? He
Voilà Sénèque. Lis.Que je lise Sénèque ? Valère. Oui. Ne sais-tu pas
lire
? Hector. Oui. Ne sais-tu pas lire ?Hé ! vous n
e ? Valère. Oui. Ne sais-tu pas lire ? Hector. Oui. Ne sais-tu pas
lire
?Hé ! vous n’y pensez pas. Je n’ai lu, de mes jou
Hector. Oui. Ne sais-tu pas lire ?Hé ! vous n’y pensez pas. Je n’ai
lu
, de mes jours, que dans des almanachs. Valère. O
Je n’ai lu, de mes jours, que dans des almanachs. Valère. Ouvre, et
lis
au hasard. Hector. Ouvre, et lis au hasard.Je v
des almanachs. Valère. Ouvre, et lis au hasard. Hector. Ouvre, et
lis
au hasard.Je vais le mettre en pièces. Valère. L
du Joueur et se brouilla avec lui à cette occasion. Mais, après avoir
lu
le Chevalier joueur de celui-là, on dira avec Vol
exemplaire qui vous aurait fait connaître son mérite si vous l’aviez
lu
, mais que vous n’avez pas lu, parce que, occupé c
ait connaître son mérite si vous l’aviez lu, mais que vous n’avez pas
lu
, parce que, occupé comme vous l’êtes, vous ne lis
que vous n’avez pas lu, parce que, occupé comme vous l’êtes, vous ne
lisez
rien, et je crois que vous faites bien, par une p
ne règle imposée à tout écrivain par la nécessité de plaire et d’être
lu
facilement, plus impérieusement imposée à lui qu’
battait les mesures. Que serait-ce si on interrompait la musique pour
lire
quelque pièce justificative à l’appui de chaque a
1. Bossuet dans ses citations avait l’air de parler en son nom : il
lisait
les textes sacrés dans la mémoire de son cœur, da
la mort au séjour aimable et délicieux de la vie bienheureuse. » Je
lis
dans un article de Mme Georges Sand : « Quoi de
ayant pu le faire connaître ici que par échappée, nous conseillons de
lire
l’avant-propos écrit avec une simplicité touchant
d fera qu’elle viendra mal à propos, et qu’elle ne sera peut-être pas
lue
de la manière qu’elle est écrite ; à cela, je ne
s me fussent venues à la tête, j’aurois été bien moins étonnée. Je le
lus
et je le relus, ce cruel portrait ; je l’aurois t
ercie de vos lettres au roi, mon cousin ; elles me feroient plaisir à
lire
d’un inconnu, elles m’attendrissent ; il me sembl
te place où la mort était attachée, et quelle mort ! vous n’avez qu’à
lire
cette histoire. L’on veut qu’une religion subsist
t qu’une imagination des hommes ! Les hommes ne pensent point ainsi :
lisez
saint Augustin dans la Vérité de la Religion ; li
nt point ainsi : lisez saint Augustin dans la Vérité de la Religion ;
lisez
l’Abbadie 2, bien différent de ce grand saint, ma
, il est le maître de tout, et voici comme nous devrions penser (j’ai
lu
ceci en bon lieu) : « Quel trouble peut-il arrive
prie, une chose qui, à mon sens, est fort belle ; il me semble que je
lis
l’histoire romaine. « Saint-Hilaire, lieutenant g
qu’un baiser. Ils sont doux les baisers d’enfant : il me semble qu’un
lis
s’est posé sur ma joue3. (Journal et fragments. É
e monte au ciel ! Aujourd’hui grande venue de lettres que je n’ai pas
lues
. Que lire là-dedans ? Des mots qui ne disent rien
ciel ! Aujourd’hui grande venue de lettres que je n’ai pas lues. Que
lire
là-dedans ? Des mots qui ne disent rien. Toute co
e vois le néant dans tout, si Dieu ne s’y trouve pas. » Ailleurs, je
lis
encore : « Le 6. — Depuis trois jours, je n’ai p
(Lettres, Didier, p. 57.) 1. Voici un aveu sur elle-même : « Je
lisais
hier au soir Bernardin, au premier volume des Étu
eur d’une feuille. De tout cela, mon ami, quel volume ! » 1. Nous
lisons
ailleurs : « Je ne sais pourquoi cela m’est deve
ssesse et sans déguisement. Pour moi, je pleurais de joie, lorsque je
lisais
ces pages ; je ne passais point de nuit sans parl
ation, de passion et de courage, qu’il m’était bien impossible de les
lire
de sang-froid1 ; je mêlais ces trois lectures, et
tre frère devienne un stoïcien, et qu’il se tue comme Caton, ou qu’il
lise
notre Sénèque ! Ah ! n’appréhendez pas cela ; je
ire pour vous ennuyer un quart d’heure, car il faut bien cela pour la
lire
. Ce sont vos louanges qui me gâtent ; il est just
guère sympathique aux Ménalques ; voulez-vous voir son idéal secret,
lisez
cette page : « Quand je trouve dans un ouvrage u
est l’histoire d’une vie entière en quelques lignes. 3. « Je vais
lire
vos Portraits, lui écrivait Voltaire ; si jamais
éfinition suivante, évidemment calquée sur celle de la tragédie qu’on
lira
plus bas au chap. VI :Κωμῳδία ἐστὶ μίμησις πράξεω
us bas au chap. VI :Κωμῳδία ἐστὶ μίμησις πράξεως γελοίου ϰαὶ ἀμοίρου (
lisez
γελοίας ϰαὶ ἀνωδύνου ?), μεγέθους τελείου, χωρὶς
Marmontel, au mot Unité.) Dans quel auteur grec notre critique a-t-il
lu
cette règle sur la durée de l’action théâtrale ?
é sans influence sur l’art dramatique, particulièrement en France, on
lira
peut-être avec intérêt quelques extraits des cont
table, j’ai vu des gens qui travaillaient depuis longtemps au théâtre
lire
ou voir un poëme par plusieurs fois, sans reconna
main, Sur l’herbe de sang arrosée, Je m’assis, Tacite3 à la main. Je
lisais
les crimes de Rome, Et l’empire à l’encan1 vendu,
ait l’heure sainte où, libre et solitaire, Aux rayons du couchant, il
lisait
son bréviaire ; Et plus6 surpris encor de ne pas
alité portait déjà l’image ; Et déjà sur ce front, où son signe était
lu
, Mon œil respectueux ne voyait qu’un élu. Puis, a
son regard sans mot dire ; Et, comme si son œil dans mon cœur eût pu
lire
, Elle m’ouvrit ma chambre et ne me parla pas. Le
agne a été naturalisée en France par Châteaubriand et Lamartine. Je
lis
ailleurs cette belle page du grand poëte sur le c
eligieux des champs et le repos acheté du jour, tantôt s’arrêter pour
lire
un verset des poésies sacrées, tantôt regarder le
ra des orages sur la terre. 1. C’est avec le cœur qu’il convient de
lire
ces vers. On craint de gâter son plaisir en l’ana
des témoins indifférents de notre vie turbulente et affairée. 3. Je
lis
ailleurs dans M. de Lamartine : « Voilà le toi
es, intéressantes et vraiment utiles. On a dit que c’était pour avoir
lu
les détails des batailles de Créci, de Poitiers,
se rendit à Pise, pendant qu’on y célébrait les jeux olympiques, et y
lut
son histoire. Elle fut si applaudie, qu’on donna
duit. Thucydide, né à Athènes l’an 475 avant Jésus-Christ, entendant
lire
l’histoire d’Hérodote aux jeux olympiques, sentit
et démontrées. Je dois remarquer ici que les militaires ne sauraient
lire
avec trop de réflexion Thucydide, Xénophon et Pol
peuple, et celles de sa décadence : vrai chef-d’œuvre, qu’on ne peut
lire
avec fruit que quand on possédera bien l’histoire
ions, tout y offre le plus grand intérêt. Il serait bien difficile de
lire
quelque chose de mieux fait sur cette partie impo
ître même les différends survenus dans l’empire d’Allemagne ? On peut
lire
l’excellent ouvrage que le P. Maimbourg, jésuite,
même auteur une Histoire particulière, très curieuse, et qui se fait
lire
avec bien de l’intérêt : c’est celle des deux con
de Louis XVI ; bien faits pour plaire à l’homme de goût, et pour être
lus
avec délices par les âmes sensibles et vertueuses
une étude sérieuse des matières que ces auteurs ont traitées ; qu’il
lise
leurs écrits sans la moindre prévention ; qu’il r
Spectacle de la nature. Cet ouvrage est très instructif et agréable à
lire
, malgré les négligences du style. Buffon, dans s
aillottent en chats fourrés2, les palais où ils jugent, les fleurs de
lis
, tout cet appareil auguste était fort nécessaire
de l’éloquence ; la vraie morale se moque de la morale3. 1. Nous
lisons
dans M. Cousin : « De tous les monuments du géni
ujourd’hui trivial. Pascal a de l’audace dans sa familiarité. 6. Je
lis
dans La Bruyère : « Il faut aux enfants des verg
aisemblable que… 8. Il y a dans Pascal plus d’une page qu’on ne peut
lire
sans éprouver comme une sorte de vertige. 9. Pa
dire que l’instinct et la nature se moquent des règles de convention.
Lire
le chapitre où Pascal traite de la différence ent
céron, traduits par Barrett ; livre qu’on ne doit pas se contenter de
lire
, suivant Pline, mais qu’on doit apprendre par cœu
e prix de ce sentiment délicieux. Un militaire ne doit pas manquer de
lire
le Traité de la valeur, par Saint-Réal. Il est pl
ain. Cependant il est nécessaire de dire que cet ouvrage devroit être
lu
avec quelque précaution, sans les judicieuses rem
le, comme l’ont prétendu quelques critiques, qui l’avoient sans doute
lu
avec précipitation. Son ouvrage est un livre fait
t nous mener à la connoissance de la religion. Il est essentiel de le
lire
, non-seulement, pour sentir tout le frivole des s
s couler, Mon vengeur est au ciel ; apprenez à trembler. Nous devons
lire
ensuite le Traité de la vérité de la religion chr
émontré indigne de Dieu même, et désespérant pour l’homme. Quand on a
lu
ce livre avec quelque attention, on ne peut regar
tombe antique de marbre avec une inscription. Je m’approchais pour la
lire
, écartant ces plantes, cherchant à poser le pied
l, l’Arcadie du Poussin, hors qu’il n’y a ni danses ni bergers ; mais
lisez
, lisez l’inscription. » Je lus ; elle était en la
cadie du Poussin, hors qu’il n’y a ni danses ni bergers ; mais lisez,
lisez
l’inscription. » Je lus ; elle était en latin, et
il n’y a ni danses ni bergers ; mais lisez, lisez l’inscription. » Je
lus
; elle était en latin, et il y avait dans la prem
. La Fontaine m’est mieux connu que si, lui vivant, je le voyais sans
lire
ce qu’il a écrit. On peut dire même que ces homme
s suffise d’avoir eu la bonne volonté d’aider les jeunes gens à mieux
lire
, et à juger par eux-mêmes, sous la conduite du ci
s l’attrait du fruit défendu à des livres qu’un engouement irréfléchi
lira
sans critique, si l’on s’obstine à les proscrire
ritique, en un mot, dans son sens le plus pratique, consiste à savoir
lire
judicieusement les auteurs, et à apprendre aux au
voir lire judicieusement les auteurs, et à apprendre aux autres à les
lire
de même, en leur épargnant les tâtonnements et en
et puise toujours aux sources les plus authentiques. Nul n’a su mieux
lire
les papiers d’État et les archives de la diplomat
, de l’honnêteté, du dévouement, qu’il peut apprendre à tous ceux qui
liront
sa vie à se servir de l’intelligence que Dieu leu
citoyens mêmes, Dans ce sincère et fidèle miroir Peuvent apprendre et
lire
leur devoir. (L’Histoire. — J. B. Rousseau.) «
et notices. Librairie académique de Didier : t. Ier, p. 41. 1. Nous
lisons
dans le Siècle de Louis XIV, de Voltaire : « La
s étrangers ; un Bayle surtout, qui, écrivant en Hollande, s’est fait
lire
de toutes les nations ; un Rapin de Thoyras, qui
é à la voix moyenne. Chap. xliii. — De deux éléments agréables.] Nous
lisons
avec M. Bojesen, qui a publié une édition spécial
l’on veut, τῇ ᾠδῇ équivalant à τοὺς φθόγγους. Il est donc inutile de
lire
αὐτῆς avec M. Bojesen. Chap. ix. — Une flûte.] Pe
tile de lire αὐτῆς avec M. Bojesen. Chap. ix. — Une flûte.] Peut-être
lisait
-on primitivement dans le texte αὐλὸν ἕνα, et la f
libres de l’ancien temps. Je conviens toutefois qu’on s’attendrait à
lire
ἱδιον avant ἦθος Peut-être aussi ἦθος φυλάσσειν s
s suffise d’avoir eu la bonne volonté d’aider les jeunes gens à mieux
lire
, et à juger par eux-mêmes, sous la conduite du ci
s l’attrait du fruit défendu à des livres qu’un engouement irréfléchi
lira
sans critique, si l’on s’obstine à les proscrire
illeure opinion que nous de ceux qui veulent réformer le monde. Qu’il
lise
les histoires de tous les siècles, il verra que c
naissance que j’ai des bonnes lettres. Que si vous prenez la peine de
lire
ce livre55, ou que vous le fassiez lire par ceux
ue si vous prenez la peine de lire ce livre55, ou que vous le fassiez
lire
par ceux des vôtres qui en auront le plus de lois
a main contre mes yeux pour voir si je ne dormais point, lorsque j’ai
lu
dans votre lettre que vous aviez dessein de venir
encore vu la guerre que dans les livres, effaça tout ce qu’il y avait
lu
des Alexandre et des César, sitôt qu’il parut à l
est celle que j’aime le plus. Surtout j’ai une extrême satisfaction à
lire
avec une personne d’esprit ; car, de cette sorte,
des beaux-frères querelleurs, des belles-sœurs ennuyeuses, et aimant
lire
de mauvais romans, de la fumée en hiver, des mous
té les gens pour les assassiner à force de mangeaille ! Allez-vous-en
lire
un peu les préceptes de la santé, et demander aux
quelques commencements des sciences ? m. Jourdain. Oh ! oui, je sais
lire
et écrire. l e maître de philosophie. Par où vou
llottent en chats fourrés288, les palais où ils jugent, les fleurs de
lis
, tout cet appareil auguste était fort nécessaire
s. C’est nourrissant, pratique, juste, clair et proportionné. « Je le
lis
, disait madame de Sévigné, avec un plaisir qui m’
étude est la culture et la nourriture de notre esprit363. Ce que nous
lisons
entre dans notre mémoire, et y est reçu comme un
t, et ce qui doit être la semence de nos pensées365 ? car ce que nous
lisons
aujourd’hui avec indifférence se réveillera366 da
il dit au maréchal de Gramont : « Monsieur le maréchal, je vous prie,
lisez
ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamai
ers, on m’en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir
lu
, dit au Roi : « Sire, Votre Majesté juge divineme
i que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j’aie jamais
lu
. » Le Roi se mit à rire, et lui dit : « N’est-il
Ah ! Sire, quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende ; je l’ai
lu
brusquement. — Non. Monsieur le maréchal ; les pr
l nous commande de le lui donner tout entier : elle m’a promis de les
lire
et de les relire souvent. Je vous envoie encore s
t d’ambition vous coûtent la perte de votre repos et de votre santé !
Lisez
la vie de saint Louis ; vous verrez combien les g
du Saint-Esprit dans un livre que vous ne devez point vous lasser de
lire
. Les livres profanes inspirent l’orgueil, et nour
portez un peu d’envie à mademoiselle de La Chapelle, de ce qu’elle a
lu
plus de comédies et plus de romans que vous. Je v
un âge où vous devez vous laisser conduire. Je ne dis pas que vous ne
lisiez
quelquefois des choses qui puissent vous divertir
pressez pas encore de retourner à l’étude724. Je vous conseille de ne
lire
que des choses qui vous fassent plaisir, jusqu’à
livres, si cela vous fait plaisir. J’aimerais autant, si vous voulez
lire
quelque livre français, que vous prissiez la trad
à qui le dégoût ou l’antipathie de quelques-uns ne saurait nuire : un
lis
, une rose. Lion voit Eustrate assis dans sa nacel
se se fend pour m’ouvrir un chemin ; chacun a les yeux attentifs pour
lire
dans les miens quelle sera sa destinée. Je monte
e fontaine. Ils jetèrent de l’eau sur la pierre pour la laver, et ils
lurent
ces paroles castillanes : « Ici est enfermée l’âm
jeune de ces écoliers, qui était vif et étourdi, n’eut pas achevé de
lire
l’inscription 938 qu’il dit en riant de toute sa
ur, tu vas ressembler à l’un ou à l’autre de ces deux écoliers. Si tu
lis
mes.aventures sans prendre garde aux instructions
enferment, tu ne retireras aucun fruit de cet ouvrage ; mais si tu le
lis
avec attention, tu y trouveras, suivant le précep
lait leurs tables, leurs papiers, leurs lettres, les décachetait, les
lisait
quelquefois malgré eux, selon qu’elle les voyait
squieu appartenait à une famille de robe et d’épée. Dès l’enfance, il
lisait
, plume en main, avec réflexion, cherchant, dit-il
apparaîtrai couvert de sang ; il croira voir les funestes tables, et
lire
son nom à la tête des proscrits. On murmure en se
ce monde ne valent pas un bon ami1080. Jeannot et Colin apprenaient à
lire
chez le magister1081 du village ; Jeannot était f
ais puisque vous daignez de si loin me consulter, je vous invite à ne
lire
que les ouvrages qui sont depuis longtemps en pos
sans effort. Ce n’est point une étude ; il n’en coûte aucune peine de
lire
ce qui est bon, et de ne lire que cela. On n’a de
e étude ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est bon, et de ne
lire
que cela. On n’a de maître que son plaisir et son
eint, mais qui ressemble assez ; que nos journées ont été employées à
lire
des papiers écrits de sa main, et que mes dernier
pour moi me touche faiblement et dure peu. C’est pour mes amis que je
lis
, que je réfléchis, que j’écris, que je médite, qu
Je souffre trop, je recommencerai demain ; le quatrième a été de les
lire
; le cinquième enfin est de vous en envoyer la co
lieu de délices ; je vis cependant quelques fleurs, entre autres des
lis
bleus portés par une espèce de glaïeuls ; j’en cu
n’ose regarder le mur de la salle du festin1559, dans la crainte d’y
lire
des caractères funestes. Ses sens semblent deveni
ons. C’est un vers de La Fontaine. Mon Dieu ! m’allez-vous dire, on a
lu
La Fontaine ; on sait ce que c’est que le Curé et
antillon de mon histoire ; mais c’est du noir1612, prenez-y garde. Ne
lisez
pas cela en vous couchant ; vous en rêveriez, et
son tombeau et laissée incomplète par sa mort, ne cessera pas d’être
lue
, comme un des monuments du génie français ; et le
, dans les passions, les intérêts et les caractères. Nul n’a su mieux
lire
les papiers d’État et les archives de la diplomat
cha dans la Vie des Saints, que ses filles1702 avaient coutume de lui
lire
tous les soirs, un grand coupable à qui Dieu eût
le se rendit dans son oratoire ; elle s’agenouilla devant l’autel, et
lut
avec une grande ferveur les prières des agonisant
, admis dans le château, dont on avait fermé les portes. Robert Beale
lut
alors la sentence, que Marie écouta en silence, e
ardez aux actions des généraux et des hommes d’État ; toujours vous y
lirez
leur caractère autant que leur esprit, parce que
es Lettres de madame de Sévigné. C’est fa première fois que je les ai
lues
tout entières. Peu à peu mon esprit se calmait ;
littérature, mes goûts sont exclusifs. N’ayant jamais eu le temps de
lire
autant que je l’aurais voulu, je n’ai lu que des
yant jamais eu le temps de lire autant que je l’aurais voulu, je n’ai
lu
que des livres excellents ; je les ai relus sans
bibliophile MM, de Bure n’étaient point de ces bibliophiles qui ne
lisent
pas, qui seraient très-fâchés de lire, et qui n’o
nt de ces bibliophiles qui ne lisent pas, qui seraient très-fâchés de
lire
, et qui n’ont des livres que pour la montre. Tous
ien des années, Dieu sait avec quel respect ! Je crois bien qu’ils ne
lisaient
pas toujours dans ces beaux volumes, et qu’ils se
licieuses, je le sais, et que je permets au bibliophile, pourvu qu’il
lise
ou qu’il ait au moins l’intention de lire. Je dev
u bibliophile, pourvu qu’il lise ou qu’il ait au moins l’intention de
lire
. Je deviendrais aveugle que j’aurais encore, je l
refuge dans les chambres des ponts supérieurs, et là ils priaient et
lisaient
l’Écriture sainte avec les femmes des officiers e
s psaumes, celui qui convenait le mieux à leur danger, et se mirent à
lire
à haute voix, alternativement, les versets suivan
te et fébrile, sa prédication allait au cœur d’un auditoire qui avait
lu
Chateaubriand, Lamartine et Victor Hugo. Le chr
qui ressemblent à une confidence et parfois à une confession. Savoir
lire
, voilà son art inimitable. Comme il l’a dit, il p
ais mieux que lorsqu’on a mûri soi-même. Ce La Fontaine qu’on donne à
lire
aux enfants ne se goûte jamais si bien qu’après l
it, qui est d’origine divine, et Dieu1839. L’attention Quand je
lis
un travail dont l’attention a tracé le plan, lié
lui-même une idée distincte de l’auteur en question. On ne peut tout
lire
sans doute de chaque auteur ; il n’est besoin que
peut tout lire sans doute de chaque auteur ; il n’est besoin que d’en
lire
assez pour bien marquer le sens de sa manière, et
ritique, en un mot, dans son sens le plus pratique, consiste à savoir
lire
judicieusement les auteurs, et à apprendre aux au
voir lire judicieusement les auteurs, et à apprendre aux autres à les
lire
de même, en leur épargnant les tâtonnements et en
supérieures). M. de Sacy a dit de Balzac : « Balzac est délicieux à
lire
par fragments ; on croirait presque entendre Boss
nt, in-8*, 1613. — Réponse à Phyllarque, in-8°, Paris, 1628. 33. Je
lis
ailleurs dans Balzac : « Sous la sérénité d’un c
emier entre les bons, si l’on consulte l’ordre des temps, est utile à
lire
, à méditer, et excellent à admirer ; il est égale
n citoyen. Corneille parle comme un de ses héros antiques. 103. Nous
lisons
dans Bossuet : « Philisbourg est aux abois en dix
M. Hatzfeld, qui s’en est fait récemment le consciencieux éditeur, je
lis
cette prière : « Je vous offre, mon Dieu, la tra
et moins méchant que Catilina. « Ses Mémoires sont très-agréables à
lire
; mais conçoit-on qu’un homme ait le courage, ou
nnêtes gens, je ne dis pas qu’il veuille approuver, mais qu’il daigne
lire
, incapable d’être corrigé par cette peinture, qu’
il daigne lire, incapable d’être corrigé par cette peinture, qu’il ne
lira
point. 227. On sait que M. Jourdain est le type
semble, en un mot. Beaucoup plus fou, mais pas si sot. 241. Nous
lisons
dans un lettre de Voltaire cette apologie du théâ
de cette lettre comme échantillon curieux du vieux temps. 281. Nous
lisons
dans M. Cousin : « De tous les monuments du géni
vial. Pascal a de l’audace dans son expressive familiarité. 292. Je
lis
dans la Bruyère : « Il faut aux enfants les verg
emblable que… 335. Il y a dans Pascal plus d’une page qu’on ne peut
lire
sans éprouver comme une sorte de vertige. 336.
Sage, ce mot désigne Salomon, l’auteur du Livre des Proverbes. 369.
Lisez
les conseils que Racine donne à son fils sur la l
assillon sur la vérité. (Recueil des classes supérieures.) 379. Je
lis
ces réflexions dans Madame de Lambert, femme d‘es
du monde, se mettre à part. Ayez quelques heures dans la journée pour
lire
, et pour faire usage de vos réflexions. « La réf
la nous amuse, et nous occupe ; nous raisonnons sur ce que nous avons
lu
; mon fils est infatigable, il lit cinq heures de
he. 519. C’est-à-dire susceptibilité de leur amour-propre. 520. Je
lis
dans Corneille : Que te sert de percer les plus
n même temps j’y vois reluire un ordre admirable. » 554. . Nous
lisons
dans La Bruyère : « Laissez faire Ergaste, et il
spirituel sur la terre. » 561. Disputait, rivalisait. 562. Nous
lisons
dans Balzac : « Les Gaulois étaient plus forts et
e pauvre et pure ! Heureux le sort caché dans une vie obscure ! On ne
lira
pas non plus sans plaisir cette fantaisie de Gres
frère et à moi, de parler entre nous d’autre chose que de ce que nous
lisions
dans Plutarque ; c’est un livre où sont contenus
que action mémorable. Nous ne finissions pas d’en parler. Après avoir
lu
nous étions toujours à comparer les faits des uns
4. Herbe menue. Description rapide, gracieuse et sentie. 735. Nous
lisons
dans Voltaire : L’âne passait auprès, et, se mir
e soie. Que sert tant d’or à son troupeau ou contre les loups ? » Je
lis
dans Bossuet : « Dieu a choisi David, et l’a tir
eure de la digestion, qu’on puisse quelque part mourir de faim ? » Je
lis
encore : « Il y a des misères sur la terre qui sa
onnête homme. 753. Se soutenir, pour soutenir son crédi. 754. Je
lis
dans Duclos (Considérations sur les mœurs) : La p
porte an vent. 788. Eustrate est le personnage à la mode. 789. Je
lis
dans une lettre de Voltaire : Je tiens, en fait
it-on pédant, quelques siècles après qu’on ne la parlerait plus, pour
lire
Molière ou La Fontaine ? Villon disait avec le v
eur place. Quel fond à faire sqr un personnage de comédie ! 795. Je
lis
dans Sainte-Beuve : La Bruyère n’avait pas eu les
source. 819. Il y a du badinage dans ces rudes vérités : Fénelon fit
lire
cette page à son élève ; c’était lui présenter un
rte d’une médaille antique, dont les copies couraient l’Europe. Il la
lut
à haute voix, à déjeuner, au duc de Bourgogne. Ca
en m’envoyant le Télémaque de M. de Cambrai. Je l’avais pourtant déjà
lu
. Il y a de l’agrément dans ce livre, et une imita
lus à sa place, est un des plus beaux traits d’éloquence qu’on puisse
lire
chez les nations modernes ; et le reste du discou
r la gloire de leur ordre. Voltaire écrit pour son couvent. Aimer à
lire
, c’est faire un échange des heures d’ennui que l’
n’aviez fait que de belles tragédies et le seul poëme héroïque qu’on
lise
avec plaisir dans notre langue ; si vous n’étiez
isif et tranchant, des manières libres et bruyantes. 1140. L’auteur.
Lisez
une scène de la métromanie, dans laquelle Piron a
eds ont des ailes, pour exprimer la rapidité de la marche. 1145. Je
lis
dans Buffon : « Ah ! la malheureuse vie que celle
t abandonné. Mes infirmités me font pitié à moi-même. Je ne peux plus
lire
ni dans mon Virgile ni dans mon Horace, ni dans m
. » 1185. Son génie fut égal à la majesté de la nature. 1186. Je
lis
dans Joubert : « Buffon a du génie pour l’ensemb
entiment et de la pensée brille dans les yeux. 1195. Il convient de
lire
après cette page celle de Bossuet que voici : «
coup dire. 1255. On dirait un dilettante dans un concert. 1256. Je
lis
dans M. Michelet : « Les rossignols, les pinsons
temps du régime des médiocres; je suis dégoûté de l’Académie. » Nous
lisons
ailleurs : « Mon voisinage pourraitindisposer ou
sies.) 1265. Dans la correspondance de Goëthe et de Schiller, nous
lisons
ce jugement : « Le livre de Diderot est excellent
non infaillibles. 1369. On fait alors comme les ruminants. 1370. Je
lis
dans Joubert : « Quand Dieu se retire du monde, l
Voltaire disait « : Quel homme ! sa naïveté m’enchante ; quand je le
lis
, je lui pardonne ses impudences et ses pétulances
ccompagné dans la zone, à laquelle il doit sa naissance. Nous l’avons
lu
, mon cher compagnon et ami Bonpland et moi, penda
ord j’essayai de ranimer cette société endormie : je leur proposai de
lire
des vers, de faire de la musique. Une fois le jou
5, et depuis elle a été mis à découvert par des fouilles successives.
Lisez
l’étude de M. Beulé (Drame du Vésuve : Revue des
-vous l’apparition de Banco, dans le festin de Macbeth. 1560. Nous
lisons
dans M. Jouffroy : « S’il fallait devenir philos
ages ou les mœurs de leur époque, ou leur propre caractère. » 1625.
Lisez
Massillon : La Mort du juste. 1626. Comparez l
umble raison, Qui contemple sa gloire et murmure son nom. 1627. Je
lis
dans Rousseau : « Esclaves par nos besoins, nous
ons funèbres. 1670. Qui veut connaître le vrai génie de Bossuet doit
lire
avant tout ses sermons. 1671. Il faut lire l’Élo
rai génie de Bossuet doit lire avant tout ses sermons. 1671. Il faut
lire
l’Éloge de Bossuet, par M. Patin, l’éminent doyen
s. 1676. Les commentaires de César. 1677. Pensées de Marc Aurèle.
Lisez
une belle étude de M. Martha, dans Les moralistes
Frédéric, roi de Prusse. 1679. Mémorial de Saint-Hélène. 1680. Je
lis
dans Sainte-Beuve : « Pascal est peut-être l’écr
de son enseignement éloquent et de son influence féconde. 1682. Je
lis
dans M. de Rémusat : « Il nous disait qu’en étud
un voyage de vacances philosophiques. 1691. Notons l’aveu. 1692.
Lisez
cette page de Voltaire racontant son voyage à Ber
t. Malheur aux gens tièdes ! » Ajoutons cette autre citation : « Je
lis
dans les mémoires du général Joubert : A chaque h
iographe officieux ; du reste il ne lit pas, et souvent il n’a jamais
lu
. : il collectionne des livres, comme il ferait de
écrivains, et se trahissent par leur style. 1786. Fogelberg. 1787.
Lisez
les belles pages que lui consacre M. Nisard. (Rec
re du bon sens et du cœur. 1842. Il faut, dit Joubert, si l’on veut
lire
avec fruit, rendre son attention tellement ferme,
me que ce qui est excellent. » — « On dit que les livres sont bientôt
lus
, mais ils ne sont pas bientôt entendus. Le point
ée pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait
lire
, et qui nous meurtrissent l’omoplate en nous disa
es pas demandeur, et vous n’avez que la défense. Avancez, docteur, et
lisez
la promesse. Figaro. Oui, promesse ! Bartholo
a, messieurs, malice, erreur ou distraction dans la manière dont on a
lu
la pièce ; car il n’est pas dit dans l’écrit : «
rtholo. Il y a ET. Figaro. Il y a OU. Brid’oison. Dou-ouble-Main,
lisez
vous-même. Double-Main, prenant le papier. Et c
7.) Un de ses derniers billets À Collin d’Harleville 3 Pour
lire
un joli poëme, s’amuser d’un ouvrage, il faut, mo
quand on saura dans quelle école j’en ai recherché la leçon, quand on
lira
le morceau suivant, aussi tiré d’un moraliste, le
e grec et le latin seront le partage des savants. L’homme bien élevé2
lira
Corneille, la Fontaine, Racine et Molière, comme
levé2 lira Corneille, la Fontaine, Racine et Molière, comme nos pères
lisaient
Horace et Virgile. Une nouvelle littérature comme
ut ! Leurs illusions du moins n’ont rien que de noble et de généreux.
Lisez
quelques passages de Platon, de la République ou
ouvrage de sa vieillesse, tranquille et doux comme une belle soirée.
Lisez
ensuite les Maximes de La Rochefoucauld ; et comp
ble ; elle ne fait pas partager avec plus de simplicité à ceux qui la
lisent
les émotions de son cœur, les bons ou mauvais évé
tement. Ils aimaient les beaux livres, mais ils les aimaient pour les
lire
; ils en paraient leurs esprits, ils en nourrissa
de chaque écrivain l’encre dont il se sert pour parler de lui. Savoir
lire
, voilà son art inimitable. Ses œuvres sont une en
? Il vient un âge, peut-être, où l’on n’écrit plus. Heureux ceux qui
lisent
, qui relisent, ceux qui peuvent obéir à leur libr
leçons de ta philosophie, À mépriser la mort, en savourant la vie, À
lire
tes écrits pleins de grâce et de sens, Comme on b
’amour de l’antique C’est dans la jeunesse qu’il faut apprendre à
lire
les Anciens. Alors la page de l’esprit est toute
rer de la nourriture moderne. Soyez sobre, soyez à jeun ; n’allez pas
lire
tous les journaux dès le matin2. Dans le tourbil
parfaite beauté. Il en est ainsi des grands poëtes : ils doivent être
lus
souvent et étudiés avec révérence, avant qu’un es
t, marque une action en progrès. 4. Devant signifie auparavant. Je
lis
dans M. Saint-Marc Girardin : « Quels vers charma
n fâcheux parentage.» 4. Lignage est synonyme de race, famille. Je
lis
dans M. Saint-Marc Girardin : « Qui de nous n’a r
le terme latin conversamur ; nous ne vivons plus qu’avec. 1. Il faut
lire
le discours de Galgacus dans la Germanie de Tacit
rouillées avec lui : c’est pour lui seul, et il mourra demain. » Nous
lisons
dans M. Saint-Marc Girardin : « Je trouve, dans l
. La forfanterie vaniteuse du moucheron justifie sa punition, 4. Je
lis
dans M. Saint-Marc Girardin : « Dites, Masaniello
nge qu’à nous accoutumer à cette idée, à nous adoucir le passage. 2.
Lire
l’Oraison funèbre de la duchesse d’Orléans, par B
, infortuné convive, J’apparus un jour, et je meurs… (Gilbery.) Nous
lisons
dans M. Saint-Marc Girardin : « Il y a pourtant d
mort ! Nous décachetons ces billets d’une main négligente ; nous les
lisons
d’un œil inattentif. Tout à coup le nom d’un pare
etc., et qui est restée dans endormir, enfuir, enflammer. 1. Il faut
lire
dans Horace le récit de la scène entre l’avocat P
it tout, et rien qu’avec dessein, Qui les sait que lui seul ? Comment
lire
en son sein Aurait-il imprimé sur le front des ét
remplacent la louange, compensent ce qui manque de ce côté. 2. Nous
lisons
dans M. Saint-Marc Girardin : « Ne voilà-t-il pas
à l’antiquité, qu’il nous retrace dans tout ce qu’elle a d’excellent.
Lisez
-le, et dites si Anacréon a su badiner avec plus d
ce qui est dit au commencement du livre, on ne soit pas obligé de le
lire
ou de l’étudier tout entier. Non seulement chaque
peut faire en y donnant le soin convenable. Ce n’est pas tout d’avoir
lu
l’ouvrage ; il faut le bien comprendre, et, avant
part des lecteurs entraînés par les agréments du style. Après qu’on a
lu
un certain nombre de pages, tout vous échappe ; o
reté la plus outrageante. J’ouvre le livre au hasard (p. 131), et j’y
lis
ces mots : Voilà un beau coup de filet pour M. d
cture seule du texte et ma remarque lui auraient épargnée, s’il avait
lu
l’un et l’autre avec moins de préoccupation ou pl
e Dacier, annoncé depuis longtemps, parut quelques jours après… Je le
lus
avec attention pour y chercher mes erreurs, et co
acle de la langue française : Racine et Boileau s’empressaient de lui
lire
leurs ouvrages, et son jugement déterminait le le
ise ses plaidoyers et ses lettres, on a cessé depuis longtemps de les
lire
, parce qu’on y chercherait en vain cette chaleur
atru, et à le reléguer dans la classe des écrivains estimés, mais peu
lus
, ce fut le célèbre Cochin, à qui il semblait rése
nt les mœurs de l’ancienne chevalerie ; et c’est ce qui nous les fait
lire
avec plaisir et avec intérêt. Tels sont deux ouvr
ères, quoiqu’il y en ait beaucoup d’autres qui peuvent également être
lus
sans danger. Mais on fera mieux de les lire tard.
qui peuvent également être lus sans danger. Mais on fera mieux de les
lire
tard. 129. Orthographié Huët (NdE). 130. Orth
’est exercé leur merveilleux génie. Il suffit pour s’en convaincre de
lire
leurs poëtes. Je ne vous rappellerai pas les admi
cause étrangère. Je me trompe, un avocat déployerait plus de chaleur.
Lisez
les plaidoyers civils d’Antiphon, de Démosthène,
alestre aux jeux violents du Cirque, tant le spectacle est différent.
Lisez
les premières légendes de Rome, à leur couleur dr
e la cause du sénat et les intérêts des citoyens, il lui suffirait de
lire
les annales de Rome, les traités des jurisconsult
Ligarius a porté les armes contre César, lui-même ne s’en défend pas.
Lisez
les plaidoyers de Cicéron pour ces deux accusés ;
n défend pas. Lisez les plaidoyers de Cicéron pour ces deux accusés ;
lisez
-les, non pour en admirer les grands effets de sty
a laissées sur ce sujet sont les mémoires de l’éloquence. Nous allons
lire
ensemble ces belles pages, et, si nous sommes ass
du substantif orateurs. J’ai acheté les deux ouvrages nouveaux, et je
lis
en ce moment celui de votre ami. Voilà le pronom
ce moment celui de votre ami. Voilà le pronom celui, régime du verbe
lis
, et en même temps régissant du substantif ami : =
cune préposition exprimée ou sous-entendue : = Cultivons les arts, et
lisons
les beaux ouvrages. Ici l’action de cultiver, et
, et lisons les beaux ouvrages. Ici l’action de cultiver, et celle de
lire
se rapportent ou se terminent directement aux art
ssion. Mais dans ce même Dictionnaire, même édit. de Paris 1762, nous
lisons
au mot écrire : On dit figurément et familièreme
à quelqu’un, pour dire, lui écrire fortement sur quelque chose. Nous
lisons
au mot encre : on dit figurément et familièremen
ions : = je connais des hommes savants, des femmes prudentes : = j’ai
lu
un discours bien écrit, une tragédie bien conduit
i il y a une faute dans cette phrase de Voltaire : Heureusement j’ai
lu
dans madame Dacier, qu’un homme peut parler avant
ont pas un beau feuillage ; mais leurs fruits sont délicieux : = j’ai
lu
l’ouvrage que vous m’avez envoyé ; j’ai trouvé so
nt pas un beau feuillage ; mais les fruits en sont délicieux : = j’ai
lu
l’ouvrage que vous m’avez envoyé ; j’en ai trouvé
actifs. Exemples pour les verbes actifs. Quel livre avez-vous
lu
? = quelle beauté avez-vous remarquée ? = quels o
: ils sont régis par l’auxiliaire et les participes qu’ils précèdent,
lu
, remarquée, composés, parcourues. Donc ces partic
e, je prierai le lecteur d’ouvrir le dictionnaire de l’Académie. Il y
lira
au mot laisser : « on dit qu’une fille s’est lais
venir à une fin, ils doivent être précédés de la préposition en. = Je
lis
en me promenant. = On dit souvent la vérité en ri
e France. La première phrase signifie : je vous ai vu, pendant que je
lisais
, etc. ; et la seconde, je vous ai vu, lorsque vou
dant que je lisais, etc. ; et la seconde, je vous ai vu, lorsque vous
lisiez
, etc. On peut juger, par ce second exemple, que c
es phrases interrogatives, et l’on ne peut jamais se servir de pas. =
Lirez
-vous ces vers ? point. Ajoutons, après l’Académie
être moral, il doit être intéressant. Un auteur n’écrit que pour être
lu
; par là même il contracte une dette envers celui
là même il contracte une dette envers celui qui prend la peine de le
lire
, et il n’a qu’un moyen de s’acquitter, c’est de l
l’appréciation critique. Aussi qu’arriva-t-il ? C’est qu’en effet on
lut
ces ouvrages d’un bout à l’autre avec une ardeur
la matière d’un feuilleton ou d’un vaudeville. Et, d’autre part, j’ai
lu
tel article de journal, où l’auteur, resserré dan
nt à moi, si j’avais suivi ma première vocation, et que je n’eusse ni
lu
ni écrit, j’en aurais sans doute été plus heureux
dit avec une dureté trop cruelle et vraiment injuste : « Quand on a
lu
Buffon on se croit savant. On se croit vertueux q
nd on a lu Buffon on se croit savant. On se croit vertueux quand on a
lu
Rousseau : on n’est pourtant pour cela ni l’un ni
usseau. » 2. Né à Rotterdam en 1467, mort à Bâle en 1536 1. Nous
lisons
dans La Bruyère : « Qui a vécu un seul jour a vé
d César fut vainqueur. 2. Dans le sermon de Bossuet sur la mort, je
lis
ces admirables pensées : « Quoi ! cette âme plon
ce qui distingue son style. c’est la chaleur et l’énergie. 3. Nous
lisons
ailleurs : « La vie est courte ; c’est donc une
es regards jeté sur notre cœur, il en tire cette larme unique où nous
lisons
ce qu’il est. Larme des mères retrouvant leur fil
ea en 1764, à 52 ans, durant son séjour à Motiers, en Suisse. 1. Je
lis
ailleurs dans Rousseau : « La chose que je regre
jeuner deux pièces de six blancs qui me restaient encore. » 1. Je
lis
ailleurs : « J’aimerais la société comme un autr
uelques-unes des observations qu’il avait faites sur son art ; je les
lisais
à haute voix en les commentant. Puis, j’ai pris L
alogues sur l’éloquence et pour sa Lettre à l’Académie française ; je
lisais
en parcourant, en choisissant les points, en comm
ibles. J’ai voulu présenter aux jeunes gens un choix tout fait qu’ils
liront
avec le dessein d’y trouver une suite de réflexio
s allaient entendre dans la Grèce ce qu’il y restait d’orateurs ; ils
lisaient
les écrits de ceux qui n’étaient plus ; en les li
ment de l’idée de la vertu, tel que Cicéron nous le donne, lorsqu’ils
liront
qu’elle est à la fois prudence, justice, force et
amplifiais quelque morceau de poésie ou d’éloquence, que je venais de
lire
en notre langue. Mais je m’aperçus que cette méth
les accompagnent. Croira-t-on, en vérité, que deux personnes qui ont
lu
et appris par cœur le même livre, le sachent égal
s souvent s’abaisser. Les meilleurs livres sont ceux que ceux qui les
lisent
croient qu’ils auraient pu faire. La nature, qui
, ont de beaux traits ; il les cite, et ils sont si beaux qu’ils font
lire
sa critique. Quelques habiles18 prononcent en fav
aits sur le goût de l’antiquité : on les récuse. L’on devrait aimer à
lire
ses ouvrages à ceux qui en savent assez pour les
fait appréhender qu’elles ne le soient pas assez pour mériter d’être
lues
. Un esprit médiocre croit écrire divinement ; un
n esprit croit écrire raisonnablement. L’on m’a engagé, dit Ariste, à
lire
mes ouvrages à Zoïle, je l’ai fait : ils l’ont sa
plusieurs langues : il n’est plus temps. Quelques-uns de ceux qui ont
lu
un ouvrage en rapportant certains traits dont ils
vre, ou qui mérite du moins que le monde en parle. — Mais l’avez-vous
lu
? — Non, dit Anthime. Que n’ajoute-t-il que Fulvi
. Que n’ajoute-t-il que Fulvie et Mélanie l’ont condamné sans l’avoir
lu
, et qu’il est ami de Fulvie et de Mélanie. Arsèn
nêtes gens, je 11e dis pas qu’il veuille approuver, mais qu’il daigne
lire
: incapable d’être corrigé par cette peinture, qu
l daigne lire : incapable d’être corrigé par cette peinture, qu’il ne
lira
point. Théocrine sait des choses assez inutiles,
-même de ceux qu’il croit ne le valoir pas. Le hasard fait que je lui
lis
mon ouvrage, il l’écoute. Est-il lu, il me parle
r pas. Le hasard fait que je lui lis mon ouvrage, il l’écoute. Est-il
lu
, il me parle du sien. Et du vôtre, me direz-vous,
qui la commence, et par une période tout un chapitre : leur avez-vous
lu
un seul endroit de l’ouvrage, c’est assez : ils s
néanmoins le payer avec usure, s’ils disent magistralement qu’ils ont
lu
son livre, et qu’il y a de l’esprit ; mais il le
t même que les récompenses, qui est de les rendre meilleurs. Les sots
lisent
un livre, et ne l’entendent point ; les esprits m
our l’usage où elles les mettent. Il n’appartient qu’à elles de faire
lire
dans un seul mot tout un sentiment, et de rendre
cule ! Mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques ! J’ai
lu
Malherbe et Théophile25. Ils ont tous deux connu
l a été redevable de certains vers, les plus heureux qu’on ait jamais
lus
ailleurs, de la conduite de son théâtre, qu’il a
e entière exactitude ; et ce qui use la plus longue patience, il faut
lire
un grand nombre de termes durs et injurieux que s
l n’atteint pas ses originaux, du moins il en approche, et il se fait
lire
. Il doit, au contraire, éviter comme un écueil de
e, quoique travaillés avec art, pleins de traits et de poésie, seront
lus
encore quand la langue aura vieilli, en seront le
ptes de la rhétorique : il y en a beaucoup d’inutiles ; vous les avez
lus
dans les livres où ils sont amplement. Contentons
s : on se communique mutuellement ses pensées ; chacun dit ce qu’il a
lu
de meilleur. Pour moi, Messieurs, je profite beau
se soit beaucoup exercé à écrire comme Cicéron le demande : qu’il ait
lu
tous les bons modèles : qu’il ait beaucoup de fac
marque qui est arrivé à Isocrate. Sa composition est meilleure à être
lue
qu’à être prononcée ; d’ailleurs, quoi qu’il fass
cours fleuris et périodiques qui sont maintenant à la mode. Avez-vous
lu
cet éloge d’Hélène qui est si célèbre ? B. Oui,
Avez-vous lu cet éloge d’Hélène qui est si célèbre ? B. Oui, je l’ai
lu
autrefois. A. Comment vous parut-il ? B. Admira
uceur, d’invention et de délicatesse. Je vous avoue qu’Homère, que je
lus
ensuite, ne me parut point avoir les mêmes traits
re vive qui saisit l’imagination. Il laisse Homère loin derrière lui.
Lisez
encore Daniel dénonçant à Balthazar la vengeance
n. Mais j’aurais beau vouloir vous parler de ces choses ; il faut les
lire
pour les sentir. B. Vous élevez bien haut l’éloq
ndeur de ses sentiments est souvent admirable ; d’ailleurs il faut le
lire
pour certains principes sur la tradition, pour le
erchait à émouvoir les passions, selon le vrai but de la rhétorique ?
Lisez
ce qu’il rapporte lui-même d’un discours qu’il li
Après cet aveu ingénu, ces messieurs voulurent absolument nous faire
lire
certains passages de Dictys de Crète, et de Métro
, Recueils nouveaux, et journaux à centaines : Et monseigneur voulait
lire
, et bâillait. Je crus en être quitte pour ce pet
Segrais dans l’églogue en charme les forêts. Mais la Critique, ayant
lu
, par malheur pour lui, quelques pages de son Enéi
s vermoulus, Et la suite inutile et rare D’écrivains qu’on n’a jamais
lus
. Le dieu daigna de sa main même En leur rang plac
l’élégance sont tout ce qui lui convient. Il n’est pas besoin d’avoir
lu
Aristote, Cicéron et Quintilien, pour sentir qu’u
lus à sa place, est un des plus beaux traits d’éloquence qu’on puisse
lire
chez les nations anciennes et modernes ; et le re
moindre étincelle de goût, qui n’aiment aucun des beaux-arts, qui ne
lisent
jamais, et dont quelques-uns feuillettent tout au
roire. Non, Sire, il n’est plus possible qu’ils en doutent lorsqu’ils
liront
dans l’histoire qu’on a vu Votre Majesté, à la tê
M. de Beaufrant son neveu, que Quinault savait assez de latin pour ne
lire
jamais Ovide que dans l’original, et qu’il posséd
que l’honneur d’être encore dans ses bonnes grâces, et le plaisir de
lire
les pensées les plus profondes, exprimées d’un st
r les ouvrages de M. Despréaux que d’avoir été commentés par vous, et
lus
par Charles XII. Tous avez raison de dire que le
serais bien plus importun. J’ai reçu hier la Vie de Vanini ; je l’ai
lue
. Ce n’était pas la peine de faire un livre. Je su
ût et de génie qui restent encore dans Paris, et qui méritent de vous
lire
. Mais, plus j’admire cet esprit de profondeur et
us, plus je suis affligé que vous me refusiez vos lumières. Vous avez
lu
superficiellement une tragédie91 pleine de fautes
nfin par ma tendre amitié pour vous. Au même. Mai 1746. Je vais
lire
vos portraits. Si jamais je veux faire celui du g
s, pour devenir presque aussi susceptible des métamorphoses du style,
lut
obligée d’attendre que le génie de Rome se fut lu
endato ad una madre. Dans un voyage de Pinto, je me souviens d’avoir
lu
ce récit terrible d’un naufrage. « Au milieu d’un
taine. Lorsqu’on a entendu parler de La Fontaine, et qu’on vient à
lire
ses ouvrages, on est étonné d’y trouver, je ne di
déparent ses autres nouveautés. Il paraît avoir ignoré que, pour être
lu
avec Plaisir, ou même pour faire illusion à tout
as besoin de justifier. Chacun sait ce qu’on souffre, je ne dis pas à
lire
de mauvais vers, mais même à entendre mal réciter
ous, par l’expression, de celles de son rival, sont moins agréables à
lire
, mais plus intéressantes quelquefois dans la repr
ours ce qu’ils doivent dire, et sont grands sans affectation. Il faut
lire
la seconde scène du second acte pour comprendre c
art pour faire sentir la vérité dans les choses de goût, on n’a qu’à
lire
la préface d’Œdipe, écrite contre M. de La Motte
ect... Lord Byron appréciait extraordinairement Voltaire ; il a dû le
lire
beaucoup, l’étudier, le mettre à contribution. C’
gue a eu plusieurs âges, comme la nôtre, les vieux livres sont bons à
lire
. Avec eux, on remonte à ses sources, et on la con
’autres mettent leurs soins à écrire de telle sorte, qu’on puisse les
lire
sans obstacle, et qu’on ne puisse en aucune maniè
ore qu’il n’a jamais autant de charmes pour nous, que lorsque nous le
lisons
attentivement dans une langue que nous n’entendon
tisanes français. 104. Fénelon 105. Dans la première édition, on
lisait
, au lieu du dernier paragraphe, le passage suivan
ue Cède aux bémols des Monsignis1 Qu’on chante à l’Opéra-Comique. Je
lis
cet éloge éloquent Que Thomas a fait savamment De
xtérieur ne peut entrer. Ayons le cœur et l’esprit hospitaliers. » Je
lis
dans La Bruyère : « Appellerai-je homme d’esprit
es couler, Mon vengeur est au ciel : apprenez à trembler1. 1. Je
lis
dans M. Sainte-Beuve : « Je le comparerais volont
de Ligne. Le bruit avait couru que Voltaire venait de mourir. 1. Je
lis
dans M. Victor Hugo (Espoir en Dieu) ces beaux ve
xtérieur ne peut entrer. Ayons le cœur et l’esprit hospitaliers. » Je
lis
dans La Bruyère : « Appellerai-je homme d’esprit
, entêté de Boccace, J’en parle si souvent qu’on en est étourdi. J’en
lis
qui sont du Nord et qui sont du Midi… 2. Géomè
54, propose de revenir pour cette phrase à l’autorité des mss., et de
lire
: Τὸ μὲν οὖν ἐπɩσϰοπɛĩν παρέχɛɩ ἢδη ἡ τραγῳδία, τ
la sero liberata (tragœdia) magnificentior evasit. » Même après avoir
lu
les raisonnements dont il appuie cette conjecture
dans le Nouveau Testament. Du ton familier.] Ἀρμονίας dit le grec. On
lirait
plus volontiers ἑρμηνείας. Voyez Démétrius, sur l
au commencement d’un ouvrage didactique, on ne soit pas obligé de le
lire
et de l’étudier tout entier. Non seulement chaque
ire, que celui qui veut juger une production littéraire ne saurait la
lire
et l’examiner avec une attention trop scrupuleuse
es de servir à jamais de modèles en ce genre, doivent être sans cesse
lus
et médités par tous ceux qui se destinent à couri
du P. Jouvancy 127, jésuite. Le sage et judicieux Rollin, après avoir
lu
cet excellent ouvrage, dit que s’il avait pu le c
cet ouvrage est, au dire de beaucoup de juges compétents, agréable à
lire
. Dans le Style comme dans le reste du Cours, nous
ne sont à vrai dire que des nomenclatures : l’élève n’en a pas plutôt
lu
un paragraphe, que déjà il bâille, l’ennui le sai
n d’en indiquer un certain nombre que l’on peut se contenter de faire
lire
attentivement. Quant aux auteurs qui nous ont ser
ais puisque vous daignez de si loin me consulter, je vous invite à ne
lire
que les ouvrages qui sont depuis longtemps en pos
sans effort. Ce n’est point une étude ; il n’en coûte aucune peine de
lire
ce qui est bon, et de ne lire que cela. On n’a de
e étude ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est bon, et de ne
lire
que cela. On n’a de maître que son plaisir et son
n ignorant. Le barbare Sylla, le crapuleux Antoine, l’imbécile Lépide
lisaient
peu Platon et Sophocle ; et pour ce tyran sans co
table orgueil des hommes, depuis Thamas Kouli-Khân, qui ne savait pas
lire
, jusqu’à un commis de la douane, qui ne sait que
t abandonné. Mes infirmités me font pitié à moi-même. Je ne peux plus
lire
ni dans mon Virgile, ni dans mon Horace, ni dans
. C’est nourrissant, pratique, juste, clair et proportionné. « Je les
lis
, disait Mme de Sévigné, avec un plaisir qui m’enl
cherchons pas la forme, mais la matière, qui est exquise. Il faut le
lire
avec un désir de pratique. » Je lis chez le même
re, qui est exquise. Il faut le lire avec un désir de pratique. » Je
lis
chez le même moraliste : « Un homme qui ne montre
re, chaque surprise est amenée naturellement et semble indispensable.
Lisez
Colomba, son chef-d’œuvre ; vous y verrez régner
gret à la balle et aux billes que nous venions de quitter. Nous avons
lu
Hérodote et Thucydide lambeau par lambeau, comme
nt filial ; car le frère d’Électre sera aussi le vengeur de son père.
Lisez
les scènes qui suivent, dans la traduction de M.
raison : « Je veux que mon fils sache beaucoup de latin. » 2. Je
lis
ailleurs dans M. Mérimée : « À mon avis, le gran
ffet. D. Diègue. Pour s’instruire d’exemple, en dépit de l’envie, Il
lira
seulement l’histoire de ma vie. Là, dans un long
is trop vain, Si ce honteux trophée avait chargé ma main. Adieu. Fais
lire
au prince, en dépit de l’envie, Pour son instruct
e ; Vous en revîntes hier1 Dorante, à Cliton. Oui, hier, il me fut
lu
dans une compagnie. Te tairas-tu, maraud ? (A Cla
cet auteur sur Corneille, contenu dans la Biographie universelle. On
lira
aussi, mais avec circonspection, la vie de Cornei
es parurent en 1651), a été réimprimée environ quarante fois. On peut
lire
, à ce sujet, la savante dissertation publiée par
ns le Misanthrope, dit en parlant d’un sonnet : Oui, hier, il me fut
lu
dans une compagnie. 2. Au roi, faut-il sous-e
vieil Horace et D. Diègue. Il n’est point de père qui ne doive faire
lire
cette belle scène à ses enfants ». 3. Rotrou, q
squieu appartenait à une famille de robe et d’épée. Dès l’enfance, il
lisait
plume en main, avec réflexion, cherchant, dit-il,
rmis de prédire la fortune de mon ouvrage3, il sera plus approuvé que
lu
: de pareilles lectures peuvent être un plaisir,
font de pareilles questions ; mais vous voyez bien que je n’irai pas
lire
tous ces livres pour les satisfaire ; j’ai mon bi
dans La Bruyère Arias ou le parleur impertinent, qui a tout vu, tout
lu
, et aime mieux mentir que de se taire ou paraître
» 1. Ses lectures lui avaient usé les yeux 2. Lorsque M. de Solar
lut
l’Esprit des lois, il dit : « Voilà un livre qui
2. Dans cette page, on croit l’entendre causer. Il semble aussi qu’on
lise
son compatriote Montaigne.
u’on veut se faire écouter ; si l’on écrit, c’est qu’on veut se faire
lire
. Il suit de là que, sans perdre de vue l’indicati
se demander aussi comment on parviendra, dès le principe, à se faire
lire
ou écouter. A cet effet, trois qualités sont requ
nouveauté de l’autre, il aura, avant tout, le désir et la volonté de
lire
ou d’écouter. Le mot sacramentel, Ami lecteur, qu
vains, est l’expression naïve de ce besoin. Attentif : il écoutera ou
lira
avec suite et intérêt, sans non-chalance, sans di
eur sur le caractère général, sur l’allure réelle de l’écrit qu’il va
lire
. Plusieurs de nos romanciers modernes sont tombés
squieu appartenait à une famille de robe et d’épée. Dès l’enfance, il
lisait
, plume en main, avec réflexion, cherchant, dit-il
font de pareilles questions ; mais vous voyez bien que je n’irai pas
lire
tous ces livres pour les satisfaire ; j’ai mon bi
1. Dans cette page, on croit l’entendre causer. Il semble aussi qu’on
lise
son compatriote Montaigne 2. Voilà un de ces pas
dans La Bruyère Arias ou le parleur impertinent, qui a tout vu, tout
lu
, et aime mieux mentir que de se taire ou paraître
paroles. 1. Son génie fut égal à la majesté de la nature. 2. Je
lis
dans Joubert : « Buffon a du génie pour l’ensembl
temps du régime des médiocres ; je suis dégoûté de l’Académie. » Nous
lisons
ailleurs : « Mon voisinage pourrait indisposer ou
ce sentiment religieux se mêlant à la peinture des travaux rustiques,
lisez
les Géorgiques de Jocelyn. (Même recueil.) 1. C
u sentiment et de la pensée brille dans les yeux. 4. Il convient de
lire
après cette page celle de Bossuet que voici : « L
ieux, et les ramène à un état modéré et conforme à la raison. »Racine
lisait
δρώντος, et non δρώντων. La Fontaine a inséré à l
de la comédie et de la tragédie, qui mérite encore aujourd’hui d’être
lue
pour quelques observations délicates et quelques
les costumes inexacts. Les Fureurs d’Oreste ou la Prophétie de Joad,
lues
dans un salon par Talma en frac, faisaient autant
e. Ils sont trop superbes pour goûter ce qu’enfants on leur a donné à
lire
. C’était une lecture de père de famille, dans le
moire du bon sens et du cœur. 2. Il faut, dit Joubert, si l’on veut
lire
avec fruit, rendre son attention tellement ferme,
me que ce qui est excellent. » — « On dit que les livres sont bientôt
lus
, mais ils ne sont pas bientôt entendus. Le point
ait pas qu’elle pût y jeter la vérité de mœurs et la passion qui fait
lire
un récit22 » Au dix-huitième siècle cependant que
ontez jusqu’à la naissance des siècles, parcourez toutes les nations,
lisez
l’histoire des royaumes et des empires, écoutez c
près que le Régent eut cessé de parler, il dit au garde des sceaux de
lire
la déclaration. Toute cette lecture fut écoutée a
ant au garde des sceaux : « Monsieur, continua-t-il, voulez-vous bien
lire
la déclaration ? » lequel, sans rien ajouter, se
re la déclaration ? » lequel, sans rien ajouter, se mit incontinent à
lire
. J’avais, pendant le discours de Son Altesse Roya
toutes celles de la déclaration, à mesure que le garde des sceaux la
lisait
. Noailles120, éperdu en lui-même, ne le cachait p
e plus les affections de ceux dont je viens de parler. La déclaration
lue
, M. le duc d’Orléans la loua en deux mots, et dit
ant vers M. le Duc : « Monsieur, lui dit-il, je crois que vous voulez
lire
ce que vous avez dessein de dire au Roi, au lit d
dessein de dire au Roi, au lit de justice ? » Là-dessus, M. le Duc le
lut
tel qu’il est imprimé. Quelques moments de silenc
rayure. Le garde des sceaux, pour faire quelque diversion, proposa de
lire
le discours qu’il avait préparé pour servir de pr
beaucoup d’éloges pour supporter patiemment l’éloge d’autrui. Aimer à
lire
, c’est faire un échange des heures d’ennui que l’
avez pas dû réussir. Des savants qui entendent mal le grec, et qui ne
lisent
point ce qu’on fait en français, vous dédaignent
us persécutant ! On vous impute des libelles que vous n’avez pas même
lus
, des vers que vous méprisez, des sentiments que v
française pourrait servir à fixer le goût de la nation. Il n’y a qu’à
lire
ses Remarques sur le Cid ; la jalousie du cardina
ignorant ; le barbare Sylla, le crapuleux Antoine, l’imbécile Lépide,
lisaient
peu Platon et Sophocle ; et pour ce tyran sans co
le orgueil des hommes, depuis Thamasp Kouli-Kan204, qui ne savait pas
lire
, jusqu’à un commis de la douane qui ne sait que c
taine. Lorsqu’on a entendu parler de La Fontaine, et qu’on vient à
lire
ses ouvrages, on est étonné d’y trouver, je ne di
mesure ; mais il faut commencer, je crois, par lui donner le goût de
lire
, et ne lui mettre dans les mains que des livres q
sesse, et sans déguisement. Pour moi, je pleurais de joie, lorsque je
lisais
ces Vies ; je ne passais point de nuit sans parle
ation, de passion et de courage, qu’il m’était bien impossible de les
lire
de sang-froid ; je mêlais ces trois lectures, et
re frère devienne un stoïcien, et qu’il se tue, comme Caton, ou qu’il
lise
notre Sénèque ! Ah ! N’appréhendez pas cela : je
ire pour vous ennuyer un quart d’heure, car il faut bien cela pour la
lire
. Fragment d’une lettre à M. de Mirabeau. Pensé
angue française courait parmi le monde, et était la plus dilettable à
lire
et à oïr que nulle autre331. » Il y a mille trait
e autre331. » Il y a mille traits de ce genre. Je me souviens d’avoir
lu
jadis une lettre du fameux architecte Christophe
r et de la dignité aux passions, voilà ce que J. J. Rousseau a tenté.
Lisez
ses livres : la basse envie y parle avec orgueil
u’il se le prouve, et que, pour se le prouver, il a souvent besoin de
lire
, de consulter, de compulser. Mais, hors de là, qu
e règle imposée à tout écrivain, par la nécessité de plaire et d’être
lu
facilement, plus impérieusement imposée à lui qu’
attait les mesures. Que serait-ce si on interrompait la musique, pour
lire
quelque pièce justificative à l’appui de chaque a
le fit pressentir une riche et forte intelligence. A quinze ans, elle
lisait
Montesquieu et étonnait par la fermeté de son esp
prit public une influence considérable, et ses discours, plus souvent
lus
que prononcés à la Chambre des pairs, attestent a
lieu de délices ; je vis cependant quelques fleurs, entre autres des
lis
bleus portés par une espèce de glaïeuls ; j’en cu
, d’un esprit si peu ouvert, qu’on ne lui avait jamais pu apprendre à
lire
, ce gentilhomme, demi-paysan, n’avait rien en app
lait à reprendre dans le Simple Discours condamné. « Je ne l’ai point
lu
, me dit-il ; mais c’est un pamphlet, cela me suff
vrage, l’auriez-vous condamné ? — Selon. — J’entends : vous l’eussiez
lu
d’abord, pour voir s’il était condamnable. — Oui,
ndamnable. — Oui, je l’aurais examiné. — Mais le pamphlet, vous ne le
lisez
pas ? — Non, parce que le pamphlet ne saurait êtr
poison ? — Oui, monsieur, et du plus détestable ; sans quoi, on ne le
lirait
pas. — S’il n’y avait du poison ? — Non, le monde
cé devant ses yeux. C’était sa réponse qu’il avait préparée, et qu’il
lut
, sans que personne l’écoutât, se hâtant de lui-mê
n Provence, il revenait presque aveugle à Paris, condamné désormais à
lire
par les yeux d’autrui et à dicter au lieu d’écrir
chercha dans la Vie des Saints, que ses filles avaient coutume de lui
lire
tous les soirs, un grand coupable à qui Dieu eût
elle se rendit dans son oratoire. Elle s’agenouilla devant l’autel et
lut
avec une grande ferveur les prières des agonisant
, admis dans le château, dont on avait fermé les portes. Robert Beale
lut
alors la sentence, que Marie écouta en silence, e
a justification495, elle se mit à prier. Le docteur Flechter se mit à
lire
la prière des morts selon le rit anglican, tandis
, de l’honnêteté, du dévouement, qu’il peut apprendre à tous ceux qui
liront
sa vie à se servir de l’intelligence que Dieu leu
cience : car il n’y a pas de vérité qui, en détruisant une misère, ne
lue
un vice. Honorons les hommes supérieurs, et propo
de la grandeur du travail, quand Thiers nous apprend lui-même qu’il «
lut
, relut et annota de sa propre main les innombrabl
nir. Il se fit apporter les Chroniques de Saint-Denis 521, les voulut
lire
, et sans doute y trouva peu de chose. Le moine ch
tes de la Mère l’Oie : il n’est en rien pour la tradition. S’il avait
lu
Perrault, il aurait peut-être pardonné. La mesure
t littéraires, où il n’est pas une page, on peut le dire, qui ne soit
lue
sans plaisir et sans profit. M. Nisard publiait e
mes esprits glacés, Le passé m’interdit, et le présent m’accable ; Je
lis
dans l’avenir un sort épouvantable, Et le crime p
objet. Dans vos leçons j’ai puisé ces maximes : Puissent vos lois se
lire
dans mes rimes ! Dans maint auteur de science pro
s se lire dans mes rimes ! Dans maint auteur de science profonde J’ai
lu
qu’on perd à trop courir le monde ; Très rarement
vant elle au sénat rassemblé : Devant elle, an sénat, Tibère entendra
lire
Les ordres qu’en secret il osait me prescrire : E
cupait de poésie : à ses heures de loisir, au retour de l’atelier, il
lisait
beaucoup (Molière et La Fontaine étaient ses aute
lentement pour m’être plus sensible ; Dans ses traits expirants où je
lisais
mon sort, J’ai vu lutter ensemble et l’amour et l
sandales Sur la tète des morts qui dorment sous tes dalles ; J’aime à
lire
les mots de leurs grands écussons, A réveiller de
jourd’hui, du maître à l’ouvrier, Tous, en ces champs heureux, savent
lire
et prier... L’âge vint sans courber ni son corps
C’est l’hiver qu’aimerait ma nature fragile ; C’est l’hiver, quand je
lis
, devant un feu de bois, Le tableau du printemps d
plus : Le meilleur demeure en moi-même, Mes vrais vers ne seront pas
lus
. Comme autour des fleurs obsédées Palpitent les p
s 1122. 40. M. Letronne a donné une édition des Œuvres de Rollin. On
lira
avec intérêt les pages que lui a consacrées M. Pa
ition. Le mot n’a plus aujourd’hui qu’une acception défavorable. 84.
Lire
sur Le Sage l’Éloge de M. Patin, couronné par l’A
ur la Renonciation, et des Pièces diverses. (2 vol. in-8°, Hachette.)
Lire
, sur Saint-Simon, l’étude de M. Sainte-Beuve plac
« si diamétralement opposés, si artificieusement semés, » il faudrait
lire
au livre IX des Mémoires de Saint-Simon ce qu’il
emettre les bâtards de Louis XIV à leur simple rang de pairs, il faut
lire
cette page étonnante et voir tous ces nuages d’un
elle qui a été donnée par M. Laboulaye, en 7 volumes, chez Garnier. —
Lire
sur Montesquieu : son Éloge, par d’Alembert ; la
urd’hui, des rapports du luxe avec la morale et la politique, on peut
lire
le livre Ier intitulé : Théorie du Luxe, dans le
seur de bons mots, mauvais caractère. » 167. Sur Voltaire historien,
lire
la dix-septième leçon de l’Histoire de la Littéra
ticulièrement les tomes II, VII et XV. — Sur les Lettres de Voltaire,
lire
la préface de Saint-Marc Girardin aux Lettres iné
. 175. Aujourd’hui Dniéper. 176. A propos de ce chapitre, on pourra
lire
quelques pages piquantes de Sainte-Beuve sur « le
aurent et Saint-Germain, et qui sont l’origine de l’opéra comique, on
lira
un article intéressant de La Harpe dans son Cours
un état contre nature, et l’homme qui médite est un animal dépravé. »
Lire
, sur tout le débat le chapitre iv du livre de Sai
page 17, édition Didot. 207. Essais, livre II, chapitre XII. 208.
Lire
, sur Buffon : la 22e leçon du Tableau de la Litté
propriété des termes. 228. Confessions, partie II, livre III. 229.
Lire
, sur J. J. Rousseau : Jean-Jacques Rousseau, sa V
Désastre de Lisbonne. Sur cette polémique entre Rousseau et Voltaire,
lire
le chapitre v de l’ouvrage cité de Saint-Marc Gir
ue dans Platon ; et même, comme il l’a dit souvent, il n’avait jamais
lu
les ouvrages du philosophe de Leipsig. Leibniz fa
evant la Convention, il mourut sur l’échafaud. 248. Son chien. 249.
Lire
le jugement de Saint-Marc Girardin sur cette lett
e Diderot a été donnée par M. As-sézat, chez Garnier frères (1876). —
Lire
sur Diderot : Tableau de la Littérature française
de Vauvenargues est celle qui a été donnée par M. Gilbert en 1857. —
Lire
sur Vauvenargues : Villemain, la 16e leçon du Tab
— Sur les relations du marquis de Mirabeau avec Vauvenargues, on peut
lire
le chapitre xvn de l’ouvrage de M. de Loménie : L
-Beuve dans son article sur Vaugelas, Nouveaux Lundis, tome VI. 278.
Lire
, sur Beaumarchais : Beaumarchais, sa Vie et son T
ent : « Ce n’est pas tout d’être blâmé, il faut être modeste. » 291.
Lire
: Bernardin de Saint-Pierre, par M. Patin, dans s
n des Plantes et du Cabinet d’histoire naturelle. Il lui dit : « J’ai
lu
vos ouvrages ; ils sont d’un honnête homme, et j’
re est une distance de cent vingt brasses (environ 200 mètres). 306.
Lire
, sur la famille de Mirabeau : Les Mirabeau, Nouve
ers. 315. C’est la portion assurée par la loi sur un héritage. 316.
Lire
sur Rivarol, Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, to
318. Hegel a, sur ce point, une page curieuse et fine que l’on peut
lire
dans son Esthétique, tome II, page 139 de la trad
estes et très soumises aux pensées de ceux qui pensent mieux. » 325.
Lire
sur Joseph de Maistre, Sainte-Beuve, Causeries du
idées ! c’est la maison pour les loger qui me coûte à bâtir ! » 342.
Lire
sur Joubert : Chateaubriand et son Groupe littéra
ent et d’opposition entre Bernardin de Saint-Pierre et Chateaubriand,
lire
encore une page de Sainte-Beuve, au tome VI des C
son fils, le baron Auguste de Staël-Holstein (Paris, 1821 et 1844). —
Lire
sur Mme de Staël, la dernière leçon du Tableau de
eu peu de goût pour les hommes de génie taciturnes ? 367. On pourra
lire
à ce sujet la pièce de Gœthe intitulée : le Triom
ulté de l’enthousiasme qui prouve la noblesse de notre origine. 374.
Lire
sur Chateaubriand : Villemain : M. de Chateaubria
ies du Lundi consacrées par Sainte-Beuve à Chateaubriand doivent être
lues
avec quelque défiance. Ou y sent trop le parti pr
timent ; celles de M. de Chateaubriand aux vœux de l’imagination. » —
Lire
aussi le chapitre premier du Pessimisme au dix-ne
été publiées, avec une notice, par A. Carrel en 1830. 4 vol. in-8°. —
Lire
sur Courier : Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, t
main ne manquera pas de témoins qui déposeront de sa démence. » 414.
Lire
, sur Lamennais, Sainte-Beuve : Portraits contempo
varié dans ses modes d’expression. 457. Sur ce même sujet, on pourra
lire
des pages fines et élevées dans le livre de M. Ca
re, à tes volontés rebelle, Me révolte contre ta loi… 466. Il faut
lire
à ce sujet la belle ode d’Horace, la ve du livre
divers changements qui transforment sans cesse l’humanité. On pourra
lire
dans les Mélanges philosophiques de Jouffroy un a
ouffroy, qui le rendent injuste à l’égard de Bossuet. 487. On pourra
lire
à ce sujet le livre de Cuvier sur les Révolutions
haux ou juge criminel. 494. Médecin de Marie Stuart. 495. On pourra
lire
cette justification dans les Recherches de la Fra
tif du caractère de Franklin, que M. Mignet semble avoir trop adouci.
Lire
aussi une série de trois articles sur Franklin da
lammarion. 514. .Sur Ramond, le peintre des Pyréens (1755-1827), on
lira
trois articles intéressants de Sainte-Beuve, Caus
e depuis le temps des rois. » 539. Sur ces caractères du génie grec,
lire
l’ouvrage de M. Jules Girard : Le Sentiment relig
l’image la plus complète et la plus pure de l’esprit humain, ». 547.
Lire
, à ce sujet, la très intéressante Préface de la n
n connaît aussi la vive riposte de Boileau à Louis XIV, qui lui avait
lu
des vers de sa façon : « Sire, rien n’est impossi
e ma huitième, neuvième et dixième strophes sont tirées, etc. » 564.
Lire
, sur J. B. Rousseau : Vauvenargues, Réflexions cr
ouler de ses lèvres, en le domptant, des torrents d’harmonie. On peut
lire
, dans les Premières Méditations poétiques, l’Enth
vre IV des Géorgiques, et dans Ovide, Métamorphoses, livre X. On peut
lire
aussi l’ode célèbre de Pope Pour le Jour de Saint
us laisse sur le sujet de ses douleurs est un charme de plus. » 587.
Lire
, sur Crébillon : Villemain, Tableau de la Littéra
et travaillé trop imparfaitement ses vers. 606. Sur Voltaire poète,
lire
les analyses de ses tragédies dans le Cours de Li
phie au dix-huitième siècle, par L. Fontaine (1878). — On devra aussi
lire
les principales lettres de Voltaire qui concernen
re, le cours des comètes et le flux et le reflux de la mer. — Il faut
lire
l’éloge de Newton par Fontenelle, « de cette pure
es pièces où était présenté le même type. Sur ces imitations, on peut
lire
un chapitre intéressant de l’étude de M. Fontaine
vainqueur d’Arcole et de Lodi fort étonné de cette incartade. » 654.
Lire
sur Ducis la leçon citée plus haut de Villemain e
çais, et la lutte est circonscrite dans le cœur lui-même. 668. Ducis
lut
cette épître à l’Académie française le jour (13 f
t aux terres étrangères, Consolez-vous ! vous êtes immortels. 678.
Lire
, sur Dellile, Sainte-Beuve, Portraits littéraires
nier, avec une notice et des notes par M. Gabriel de Chénier, 1874. —
Lire
, sur André Chénier : Villemain, la 58e leçon du T
un tuyau de plume. » L’écriture est serrée, presque microscopique. On
lira
aussi avec intérêt de curieux détails sur les exp
nir à son père les vers qui étaient le dernier cri de son cœur. 732.
Lire
, sur Marie-Joseph Chénier, la 58e et la 59e leçon
toute-puissance de Dieu, nous voulons croire à sa bonté, nous voulons
lire
dans tous ses ouvrages non pas seulement les sign
endant la force d’ordonner la mort de Nemours. Il sera intéressant de
lire
la lettre d’Étienne Pasquier à M. de Thiard, cité
antes, des réflexions délicates sur la manière dont il convient de le
lire
. 789. Voir la pièce de l’Esprit pur dans le recu
ny ont été éditées chez Michel Lévy. 791. Sur la Chanson de Roland,
lire
un intéressant chapitre de M. Charles Aubertin, d
nt été éditées chez Masgana, Garnier et Calmann-Lévy. 815. On pourra
lire
, au tome second de l’Histoire de la Réunion de la
qui porte son nom : Celle pour qui j’écris avec amour ce livre Ne le
lira
jamais : quand le soir la délivre Des longs trava
ombereau et les acteurs barbouillés de lie n’est rien moins que sûre.
Lire
ce que dit à ce sujet Patin dans les Études sur l
e Bornier ont été publiées chez Dentu. L’extrait donné ici invitera à
lire
la pièce tout entière. Berthe, la fille de Roland
et par elle-même, et par l’effort de ceux qui la persécutent. 2. Je
lis
dans Pascal : Les disproportions qu’il y a entre
ation même. 5. Dans les Poëmes des Champs, par M. de La Fayette, je
lis
ces vers : La vache ! pacifique et bonne créatur
nheur, et mon âme et mes chants Iront où vous irez, jeunesse ! Je
lis
aussi dans le journal d’Eugénie de Guérin ; « La
’aussi pur, d’aussi doux que son baiser d’enfant ? Il me semble qu’un
lis
m’a touché la joue. Que ne puis-je accourir, en
ntitulé Tristesse d’Olympio, nous ne voulons que susciter le désir de
lire
l’ensemble de ce chef-d’œuvre, et de le comparer
iéroglyphes étaient souvent imaginaires, etque les allusions qu’on en
lirait
étaient équivoques et forcées, ce genre d’écritur
ais ils restèrent encore assez nombreux pour que l’art d’écrire et de
lire
fût toujours très-compliqué. Enfin s’éleva quelqu
la mort ; que souvent des élans généreux, des mots qu’ils n’ont point
lus
dans les livres, mais qui sont partis de leur âme
he que celle de Cicéron, c’est ce que personne ne pourra souffrir. Je
lisais
dernièrement le discours de C. Gracchus sur les l
eût été décidée, et cette campagne eût fini la guerre. Mais le moment
lut
manqué : le terme fatal approchait ; et le ciel,
ne qui fut jamais, mais tu ne sais pas user de ta victoire. Rome, que
lu
tenais, l’échappe ; et le destin ennemi t’a ôté t
la gloire veulent avoir la gloire d’avoir bien écrit ; et ceux qui le
lisent
veulent avoir la gloire de l’avoir lu ; et moi qu
bien écrit ; et ceux qui le lisent veulent avoir la gloire de l’avoir
lu
; et moi qui écris ceci, j’ai peut-être cette env
écris ceci, j’ai peut-être cette envie ; et peut-être que ceux qui le
liront
l’auront aussi. » III. Des figures de pensée
re écrit ? J’entends. — Mais, non. — Tant pis ; vous me l’auriez fait
lire
; J’en aurais profité. Du moins vous pourrez dire
élève de Socrate, Son ami, son vengeur au sein d’Athène ingrate, J’ai
lu
ce dialogue et je vous le tradui. Puisse-t-il cor
uis trop vif, trop sensible (concession). J’ai souhaité cent fois que
lu
fusses laide ; j’ai maudit, détesté ces yeux perf
uvais ménage ; ils entendent les cris, les plaintes, les injures dont
lu
m’accables ; ils l’ont vue les yeux égarés, le vi
supprimés se présentent si naturellement à l’esprit, qu’on croie les
lire
ou les entendre. Telle est cette phrase de Pascal
s hommes dans les animaux, de la félicité à la misère, de la misère à
lu
félicité, sans que ces révolutions eussent jamais
ar sa prudence, dites, avec les historiens de l’antiquité, que Marcel
lus
était l’épée de Rome, et que Fabius en était le b
, j’embrasse vos genoux ; vous voyez à vos pieds cette tille qui vous
lut
chère ; ne m’arrachez pas une vie que je commence
s l’usage de ta vie a les semblables ! Apprends qu’une mort telle que
lu
la médites, est honteuse et furtive ; c’est un vo
nt de vertu, viens, que je t’apprenne à aimer la vie. Chaque fois que
lu
seras tenté d’en sortir, dis en toi-même : « Que
ssant ; nous devons en convenir, et rappeler aux jeunes gens qui nous
liront
cette belle parole d’un écrivain du dernier siècl
damné, alla s’établir à Rhodes, où il ouvrit un cours d’éloquence. Il
lut
un jour à ses auditeurs le discours qu’il avait p
contre Démosthènes : ce discours fut très-applaudi. Le lendemain, il
lut
celui que Démosthènes avait prononcé contre lui,
et fortifie. Il est d’usage, en certaines circonstances d’apparat, de
lire
un discours au lieu de le réciter ; mais là où il
erait devenu ce mouvement oratoire, si Antoine avait eu l’habitude de
lire
ses plaidoyers ? Figurez-vous l’orateur déchiffra
mémoire, c’est l’improvisation. II. De la prononciation C’est
lu
nature qui fait l’instrument de l’orateur, la voi
r, de la tourner ou de l’incliner. » (Quintilien.) Les mouvements des
liras
et des mains servent à indiquer le temps, le nomb
t pour avoir été trop souvent transplanté. Les jeunes gens ne doivent
lire
que des livres excellents. Qu’ils apprennent, dan
jeunes gens doivent se garder de tout écouter, aussi bien que de tout
lire
. Nombre de gens dans le monde ressemblent à de ma
fois futilité de la lecture et le charme de la conversation, c’est de
lire
non pas seul, mais avec une personne qui soit en
est celle que j’aime le plus. Surtout j’ai une extrême satisfaction à
lire
avec une personne d’esprit ; car de cette sorte o
nt de bonne heure à peindre ce qu’ils ont vu plutôt que ce qu’ils ont
lu
. Ainsi, quand il y a dans une composition un phén
que pour en reconnaître la vérité et l’importance, Votre Majesté les
lise
sans dégoût jusqu’à la fin, et que donnant tant d
es simples avec emphase. « Il n’est pas besoin, dit Voltaire, d’avoir
lu
Aristote, Cicéron et Quintilien, pour sentir qu’u
nt ; votre lettre vaudra infiniment mieux que tout ce que je viens de
lire
. » On l’a dit avec raison : une lettre est une co
us les sujets, tous les tons vous sont permis ; ceux qui doivent vous
lire
se prèteront à tout ; sitôt qu’ils auront reconnu
tes ; c’est le même abandon, le même mouvement dans le style. Nous ne
lisons
plus une lettre : ce sont des faits qui se passen
anchant ; songez que vous écrivez une lettre : si celui qui doit vous
lire
ne partage pas voire opinion, un ton d’autorité p
une jeune personne qui l’avait consulté sur les livres qu’elle devait
lire
: « Je ne suis, mademoiselle, qu’un vieux malade,
leçons. Mais, puisque vous daignez me consulter, je vous invite à ne
lire
que les ouvrages qui sont depuis longtemps en pos
t sa pensée. Ce n’est point une étude ; il n’en coûte aucune peine de
lire
ce qui est bon, et de ne lire que cela. On n’a de
e étude ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est bon, et de ne
lire
que cela. On n’a de maître que son plaisir et son
’excusa de le recevoir, en assurant qu’à la lumière il ne pouvait pas
lire
récriture ; nous rimes un peu du revers qu’éprouv
d’avoir dit ou écouté quelque chose d’utile. Puissent les élèves qui
liront
cet ouvrage se rendre dignes un jour d’occuper un
Supplément aux exemples. Manière de
lire
les vers. C’est peu d’aimer les vers, il les faut
ière de lire les vers. C’est peu d’aimer les vers, il les faut savoir
lire
; Il faut avoir appris cet art mélodieux De parle
t, me diras-tu, cette brusque apostrophe ? Lisant pour m’éclairer, je
lis
en philosophe, Plus un écrit est beau, moins il a
exclusive pour le spectacle des beautés de la nature. Tout enfant, il
lisait
avec une curiosité passionnée la Vie des saints o
in des Plantes, il lui adressa ces paroles simples et vraies : « J’ai
lu
vos ouvrages ; ils sont d’un honnête homme » L’in
s de Bernardin de Saint-Pierre, accompagnée d’un Essai sur sa vie. On
lira
aussi avec profit les leçons 7e et 8e (IIIe parti
La mère par une caresse7. L’aîné de ces enfants, né grave, studieux,
Lisait
et méditait sans cesse ; Le cadet, vif, léger, m
té de leur père, Assis près d’une table où s’appuyait la mère, L’aîné
lisait
Rollin2 : le cadet, peu soigneux D’apprendre les
es qui s’accordent avec leurs rôles. 2. Heureux temps où des enfants
lisaient
le bon Rollin, aujourd’hui si délaissé de tous le
cent on ce genre ; et lorsque leur travail sera terminé, ils pourront
lire
avec fruit et comparer avec leurs compositions ce
à mademoiselle *** qui l’avait consulté sur les livres qu’elle devait
lire
. Vol. II, nº 129. 6° Des Lettres de Reproche
oli. Un matin, il dit au maréchal de Grammont : monsieur le maréchal,
lisez
, je vous prie, ce petit madrigal, et voyez si vou
ers, on m’en apporte de toutes les façons. Le maréchal, après l’avoir
lu
, dit au roi : Sire, Votre Majesté juge divinement
i que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j’aie jamais
lu
. Le roi se mit à rire, et lui dit : N’est-il pas
Ah ! sire, quelle trahison ! Que Votre Majesté me le rende ; je l’ai
lu
brusquement. — Non, monsieur le maréchal, les pre
et je crains fort que vos chemins de Bourgogne ne soient rompus. Nous
lisons
ici des maximes que Corbinelli m’explique ; il vo
les malices, les sarcasmes, tout ce qui peut froisser les sentiments.
Lisons
à ce sujet une lettre que Racine écrivit à M. Lev
pour vous. Ma chère enfant, je veux que vous vous fassiez homme pour
lire
ma pièce. Envoyez prier l’abbé d’Olivet de vous p
ous prêter son bonnet de nuit, sa robe de chambre, et son Cicéron, et
lisez
Rome sauvée dans cet équipage. Pendant que vous v
n ignorant. Le barbare Sylla, le crapuleux Antoine, l’imbécile Lépide
lisaient
peu Platon et Sophocle ; et pour ce tyran sans co
table orgueil des hommes, depuis Thamas Kouli-Khân, qui ne savait pas
lire
, jusqu’à un commis de la douane, qui ne sait que
avez pas dû réussir. Des savants qui entendent mal le grec, et qui ne
lisent
point ce qu’on fait en français, vous dédaignent
us persécutant ! On vous impute des libelles que vous n’avez pas même
lus
, des vers que vous méprisez, des sentiments que v
française pourrait servir à fixer le goût de la nation. Il n’y a qu’à
lire
ses Remarques sur le Cid ; la jalousie du cardina
Des beautés de la langue française, je réponds que je ne l’ai jamais
lu
, et j’en dis autant sur toutes les impertinentes
jeunes gens. Quintilien pense qu’un élève doit toujours commencer par
lire
les meilleurs auteurs, continuer par eux et finir
finir par eux ; ce n’est que lorsque son goût sera formé qu’il pourra
lire
les auteurs moins parfaits. Ainsi, pour m’expliqu
exemple, le jeune poète qui aura de l’attrait pour la tragédie devra
lire
et relire Racine, qui est à peu près parfait ; et
, qui est à peu près parfait ; et ce n’est que plus tard qu’il pourra
lire
Pierre Corneille, qui a mêlé à d’admirables beaut
avoir au moins deux mots, le sujet et le verbe, comme je chante, vous
lisez
, l’homme meurt : souvent le verbe a un régime, co
me meurt : souvent le verbe a un régime, comme je chante un air, vous
lisez
une lettre, etc. 103. — La Conjonction est un m
n maître. Le Deutéronome, qui nous a fourni le morceau qu’on vient de
lire
, contient plusieurs autres monuments de l’éloquen
teur, avec quel empressement on attendrait, avec quel enthousiasme ne
lirait
-on pas le discours suivant ? Discours à l’Aréopag
héniens, en traversant vos murs, j’ai remarqué un autel sur lequel se
lisait
cette inscription : au Dieu inconnu ! Eh bien ! c
ί, qui paraît être dans tous les manuscrits sauf un, où Vettori avait
lu
ἐϰστατιϰοί. « « L’heureux don d’être affecté for
parfaite : le feu sacré n’y est pas. Suffisait-il à Corneille d’avoir
lu
Tite-Live, de s’en représenter vivement plusieurs
soir, dont la première syllabe est Pô, nom d’un fleuve ; la seconde ;
lis
, nom d’une fleur ; la troisième, soir, nom d’une
peut être mise au nombre des meilleures. Un certain sot de qualité,
Lisait
à Saumaise 156 un ouvrage, Et répétait à chaque p
nd plus de feu, plus de saillie. Mais l’un et l’autre ne doivent être
lus
qu’avec la plus grande précaution. Catulle n’a pa
aucun mouvement. Prends-moi deux brocs d’un fin jus de sarment, Puis
lis
comment on les met en pratique. Prends-en deux d
oin d’être long et mystérieux. L’épitaphe n’étant faite que pour être
lue
en passant, doit présenter un sens clair et préci
pirituelle, mêlée parfois d’affectation ; mais dans celle que l’on va
lire
, cet auteur s’est élevé au-dessus de son ton et d
rra. Mais lorsque, dans deux cents ans, ceux qui viendront après nous
liront
en notre histoire que le cardinal de Richelieu a
les veines et quelque amour pour la gloire de leur pays, pourront-ils
lire
ces choses sans s’affectionner à lui ; et, à votr
ouver mauvais que j’aie défendu la mienne ; et je vous promets que je
lirai
volontiers tout ce que vous m’écrirez, quand les
s interrogations. Ce matin, M. le chancelier71 a pris son papier et a
lu
, comme une liste, dix chefs d’accusation, sur quo
out entière de papier : c’était une rapsodie assez bonne ; il nous la
lut
à madame de Coulanges et à moi. Je lui dis : « En
t trop misérable. « Pour qui nous prenez-vous ? vous nous l’avez bien
lue
. — Tant y a que je ne veux pas qu’elle la lise. »
? vous nous l’avez bien lue. — Tant y a que je ne veux pas qu’elle la
lise
. » Voilà toute la raison que j’en ai eue ; jamais
rt d’écrire et de ce qui en fait la perfection. L’on devrait aimer à
lire
ses ouvrages à ceux qui en savent assez pour les
fait appréhender qu’elles ne le soient pas assez pour mériter d’être
lues
. Un esprit médiocre croit écrire divinement189 ;
prit croit écrire raisonnablement. L’on m’a engagé, dit Ariste 190, à
lire
mes ouvrages à Zoïle : je l’ai fait ; ils l’ont s
plusieurs langues : il n’est plus temps. Quelques-uns de ceux qui ont
lu
un ouvrage en rapportent certains traits dont ils
vre, ou qui mérite du moins que le monde en parle. — Mais l’avez-vous
lu
? — Non, dit Anthime. Que n’ajoute-t-il que Fulvi
. Que n’ajoute-t-il que Fulvie et Mélanie l’ont condamné sans l’avoir
lu
, et qu’il est ami de Fulvie et de Mélanie. Arsèn
tes gens195, je ne dis pas qu’il veuille approuver, mais qu’il daigne
lire
: incapable d’être corrigé par cette peinture, qu
l daigne lire : incapable d’être corrigé par cette peinture, qu’il ne
lira
point196. Théocrine sait des choses assez inutil
même de ceux qu’il croit ne le valoir pas : le hasard fait que je lui
lis
mon ouvrage, il l’écoute ; est-il lu, il me parle
pas : le hasard fait que je lui lis mon ouvrage, il l’écoute ; est-il
lu
, il me parle du sien. Et du vôtre, me direz-vous,
il a été redevable de certains vers les plus heureux qu’on ait jamais
lus
ailleurs, de la conduite de son théâtre, qu’il a
e, quoique travaillés avec art, pleins de traits et de poésie, seront
lus
encore quand la langue aura vieilli, en seront le
à se former au bon goût. Dans les écrits des anciens qu’on leur fait
lire
, ils peuvent aisément, pourvu qu’ils aient un bon
ais puisque vous daignez de si loin me consulter, je vous invite à ne
lire
que les ouvrages qui sont depuis longtemps en pos
sans effort. Ce n’est point une étude ; il n’en coûte aucune peine de
lire
ce qui est bon, et de ne faire que cela. On n’a d
ur l’onde, Que l’honneur unique du monde C’est la reine des fleurs de
lis
. Quand son Henri, de qui la gloire Fut une merve
e Ils se virent sous l’onde et se virent au port. Ce furent de beaux
lis
qui, mieux que la nature Mêlant à leur blancheur
e À connaître un pourpoint d’avec un haut-de-chausse619. Les leurs ne
lisaient
point, mais elles vivaient bien ; Leurs ménages é
dience. BÉLISE, interrompant Trissotin chaque fois qu’il se dispose à
lire
. Je sens d’aise mon cœur tressaillir par avance.
ARMANDE. Ah ! laissez-le donc
lire
. TRISSOTIN. Sonnet à la princesse Uranie sur sa f
que Perrin les admire679 ; Que l’auteur du Jonas s’empresse pour les
lire
; Qu’ils charment de Senlis le poète idiot Ou le
s leçons de ta philosophie, À mépriser la mort en savourant la vie, À
lire
tes écrits pleins de grâce et de sens, Comme on b
MM. Malitourne et Geruzez, qui lui ont consacré chacun une notice. On
lira
aussi avec intérêt sur l’influence de Balzac, au
e que Schiller a consacrée à ce général. Pour son entreprise, il faut
lire
la Conspiration de Wallenstein, par Sarrazin, que
l est mauvais, répond Anthime ; qu’il est mauvais. — Mais l’avez-vous
lu
? — Non, dit Anthime. » 36. À côté de qui j’éta
ans les causes capitales, avaient coutume de se retirer. 52. On peut
lire
, au sujet de ce morceau, des considérations plein
elle vie, M. Royer-Collard, cet excellent juge des ouvrages d’esprit,
lisait
chaque soir, après une page de Tacite, quelque le
prie, une chose qui est, à mon sens, fort belle : il me semble que je
lis
l’histoire romaine. Saint-Hilaire, lieutenant-gén
e sa piété. 98. … Lex orandi fuit Demosthenes , X, 1. 99. Il faut
lire
l’éloge qu’ont fait de Bossuet La Bruyère, dans s
us été des modèles de vertus. Pour connaître celles de Bourdaloue, on
lira
une lettre de François de Lamoignon, le fils ainé
re : Tout Paris pour Chimène a les yeux de Rodrigue. 199. On peut
lire
cette critique, annotée par Voltaire et publiée s
(celui de Saint-Simon doit être modifié à quelques égards), on devra
lire
sur lui les discours de La Harpe et de l’abbé Mau
ai sur l’éloquence de la chaire (chap. 59), une piquante anecdote. Il
lut
ce discours alors inédit en présence de plusieurs
u la langue française universelle. 298. Voltaire, qui avait beaucoup
lu
Massillon et qui l’a souvent imité, a cité ce pas
lus à sa place, est un des plus beaux traits d’éloquence qu’on puisse
lire
chez les nations anciennes et modernes ; le reste
reste, que la conquête ait été l’œuvre exclusive de la force. On peut
lire
notamment, dans le troisième volume, les pages 12
rrose la Seine, Cherchez qui vous mène, Mes chères brebis… On pourra
lire
dans le Cours de littérature dramatique de M. Sai
la phrase un tour vif et un air piquant de nouveauté. 388. On peut
lire
: Chateaubriand, Génie du Christianisme, part. Ir
La Fontaine, dans le poème d’Adonis : Rien ne manque à Vénus, ni les
lis
, ni les roses. Ni le mélange exquis des plus char
s entre la manufacture des tabacs et le Champ-de-Mars. 390. On peut
lire
notamment une belle application de cette traditio
lui montrant que la mort n’est pas un mal pour lui : I, 19. 394. On
lira
avec intérêt, dans ses Œuvres morales, le traité
it cette phrase de l’excellent traducteur Amyot, qu’il avait beaucoup
lu
: « Les champions qui combattent ès jeux sacrés n
ion de l’homme, dernier fruit des lumières et de la satiété. 412. On
lira
sur l’abbé Barthélemy la quatrième et la cinquièm
st présentée par le poète. 416. Longin, du Sublime, ch. 33. 417. On
lira
à ce propos d’excellentes réflexions, appuyées su
s. 425. Aristote, de la Rhétorique, liv. III, ch. xiv. 426. On peut
lire
ses deux tragédies d’Hécube et d’Hippolyte. Plaut
cet auteur sur Corneille, contenu dans la Biographie universelle. On
lira
aussi, mais avec circonspection, la vie de Cornei
re, il nous a laissé aussi d’excellentes pages de prose, dont on peut
lire
quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choi
rofonde de Pascal : « Les meilleurs livres sont ceux que ceux qui les
lisent
croient qu’ils auraient pu faire. » (De l’Art de
d’Auger, d’Aimé Martin, et plus récemment celle de M. Louandre. Pour
lire
avec fruit cet auteur, on fera également un très
es Précieuses ridicules est évidemment le modèle de celle que l’on va
lire
. 630. Les caractères d’Armande et d’Henriette fo
ignaler encore Vauvenargues, Auger, Lemercier, Roger et M. Nisard. On
lira
aussi avec intérêt, sur la vie domestique et sur
ouler de ses lèvres, en le domptant, des torrents d’harmonie. On peut
lire
, dans les Premières Méditations poétiques, l’Enth
ns Virgile, liv. IV des Géorg., et dans Ovide, Métam., ch. X. On peut
lire
aussi l’ode célèbre de Pope pour le jour de Saint
rendu ce critique trop rarement juste pour Voltaire. Surtout il faut
lire
le chapitre (c’est le xve ) que, dans son Cours d
u : « Oui, lorsque dans deux cents ans, ceux qui viendront après nous
liront
en notre histoire que le cardinal de Richelieu a
les veines et quelque amour pour la gloire de leur pays, pourront-ils
lire
ces choses sans s’affectionner à lui, et, à votre
on se sert de l’inversion avec art et réserve. (La Harpe.) 3. Nous
lisons
dans les stances de Polyeucte : Toute votre féli
t d’après la leçon de Hermann et de Græfenhan : ὁμαλὁν Batteux avait
lu
ce mot dans un manuscrit de Paris — 2° Vahlen (1
été inséré par les premiers éditeurs après Νιόϐην. Hermann propose de
lire
ici le nom de Sophocle au lieu de celui d’Euripid
n sont pourtant pas moins des figures : il est enflammé de courroux ;
lisez
Cicéron ; donnez-moi un petit verre ; chevaucher
embarrassent et obscurcissent la phrase, mais réellement on a peine à
lire
une centaine de vers où le sujet et le régime son
es dont la valeur nominale ne trompe personne sur leur cours réel. Je
lis
au bas d’une lettre : votre très-humble et très-o
empêche de voir aucune exagération dans cette image exagérée. Si vous
lisez
de sang-froid les discours des Danton, des Isnard
il dit au maréchal de Gramont : « Monsieur le maréchal, je vous prie,
lisez
ce petit madrigal, et voyez si vous en avez jamai
ers, on m’en apporte de toutes les façons. » Le maréchal, après avoir
lu
, dit au Roi : « Sire, Votre Majesté juge divineme
i que voilà le plus sot et le plus ridicule madrigal que j’aie jamais
lu
. » Le roi se mit à rire, et lui dit : « N’est-il
Ah ! Sire, quelle trahison ! que Votre Majesté me le rende ; je l’ai
lu
brusquement. — Non, Monsieur le maréchal ; les pr
fort et plus serré que Catulle ; mais l’un et l’autre ne doivent être
lus
qu’avec la plus grande précaution, à cause des ob
peut être mise au nombre des meilleures : Un certain sot de qualité,
Lisait
à Saumaise un ouvrage, Et répétait à chaque page
de la personne qui en est l’objet. L’épitaphe, étant faite pour être
lue
en passant, doit encore présenter un sens clair,
polissoir. La première syllabe est pô, nom d’un fleuve ; la seconde,
lis
, nom d’une fleur ; la troisième , soir, nom d’une
grands maîtres pensaient qu’un pareil ouvrage était susceptible. J’ai
lu
les rhéteurs anciens, j’ai lu aussi les rhéteurs
pareil ouvrage était susceptible. J’ai lu les rhéteurs anciens, j’ai
lu
aussi les rhéteurs modernes les plus estimés ; pe
en second lieu de les former à la lecture à haute voix. Le talent de
lire
avec grâce, avec goût, avec intérêt ; l’art de do
; le livre que je leur offre aujourd’hui ne saurait les dispenser de
lire
et méditer plus tard les ouvrages dont celui-ci n
donc d’un bon orateur d’avoir beaucoup vu, beaucoup écouté, beaucoup
lu
, beaucoup réfléchi. » (De Orat., l. I, n°. 218.)
mbats particuliers ; qui a fait plus de guerres que d’autres n’en ont
lu
; qui a conquis plus de provinces que d’autres n’
ance, que ne l’est Cicéron en suppliant pour lui. Antoine ne fait que
lire
le testament de César, et cet exposé simple de se
s narrations de Cicéron sont pleines de naturel et d’adresse. On peut
lire
en particulier celles du discours pour Milon, et
mme distinct dans la pensée, ce qui s’est réuni dans les termes. Nous
lisons
dans l’Évangile : les aveugles voient, les boiteu
t-Royal en ont fait un chapitre excellent que les jeunes gens peuvent
lire
avec beaucoup de fruit. (IIIe. Partie, ch. 19.)
, quel ordre il faut tenir, quels témoignages, quelles pièces il faut
lire
durant la plaidoirie, quelles sont celles qu’il f
ps l’aspect sous lequel elles se présentent. En sorte que, quand nous
lisons
un ouvrage, il nous est impossible de séparer le
l n’a, pour ainsi dire, rien coûté à l’auteur. On se figurerait, à le
lire
, qu’on va soi-même en faire autant ; mais qu’on e
lange des sons durs et choquans. Notre oreille est blessée quand nous
lisons
les vers suivans : Pourquoi ce roi du monde, et
(Voltaire.) Elle est au contraire affectée délicieusement quand nous
lisons
ceux-ci : L’Éternel est son nom, le monde est so
n ne peindra plus rien. Veut-on des tableaux naïfs et touchans, qu’on
lise
ces descriptions si douces que la plume de Fénélo
s qualités qu’on peut et qu’on doit exiger de celui qui veut se faire
lire
. Cependant ce ne serait pas encore assez : dans b
sé, obscur, équivoque ; et de plus, dans les discours faits pour être
lus
en public, elles gênent la respiration et rendent
médiatement. Exemple : « Il a fallu, avant toutes choses, vous faire
lire
dans l’Écriture l’histoire du peuple de Dieu, qui
précède ; elle serait levée trop tard, si le lecteur était obligé de
lire
ce qui suit. Il, elle, le, la, les, etc… Les pr
e, par exemple, de dire : Cet ouvrage m’a paru admirable, et je l’ai
lu
avec plaisir. — C’est l’homme le plus vertueux qu
i se réduisent ces magnifiques éloges qu’on leur donne |, et que nous
lisons
sur les superbes mausolées que leur érige la vani
and l’histoire serait inutile aux autres hommes, il faudrait la faire
lire
aux princes. Il n’y a pas de meilleur moyen de le
et disons : Exemples où elles ne le sont pas. « Il faudrait faire
lire
l’histoire aux princes, quand même elle serait in
ur moyen de leur découvrir ce que peuvent, etc… » Il faudrait faire
lire
l’histoire aux princes, est naturellement lié ave
oires. « Plus je rentre en moi-même, plus je me consulte, et plus je
lis
ces mots écrits dans mon âme : Sois juste, et tu
Métonymie. La métonymie emploie 1°. la cause pour l’effet. Exemple :
lire
Cicéron, Virgile, pour dire les ouvrages de ces a
r un chapeau dans ce vers de Boileau : Autour d’un Caudebec, j’en ai
lu
la préface. 5°. Le nom du signe pour la chose si
celui de l’Académie française. Il ne faut, pour s’en convaincre, que
lire
les ouvrages et les discours mêmes des principaux
la gardienne et la dépositaire de ce que nous voyons, de ce que nous
lisons
, et de tout ce que les autres ou nos propres réfl
omme qui lit ; sa prononciation même n’est plus si vive ni si animée.
Lire
un discours, c’est lui ôter l’âme et la vie. Si l
cardinal Maury, les ministres de l’Évangile voulaient se contenter de
lire
leurs instructions en chaire, ils n’attireraient
ons subites. De la tribune. La plupart des orateurs de nos chambres
lisent
à la tribune des discours écrits ; aussi leurs ar
nir, non les mots, mais le fond, le sens, la suite des choses qu’on a
lues
ou entendues, comme d’une histoire, d’un plaidoye
re. « Je me souviens, dit le cardinal Maury, d’avoir entendu Le Kain
lire
d’une manière déplorable l’Oraison funèbre du gra
bouche. Le Kain s’en aperçut bientôt. Il voulut qu’un homme du métier
lût
devant lui quelques pages de ce chef-d’œuvre qu’i
mais sérieusement et pour en tirer du fruit. « Il faut, dit Cicéron,
lire
les poètes, connaître l’histoire, avoir continuel
ou de suivre dans ce choix les conseils d’hommes éclairés. Il ne faut
lire
que l’excellent, jusqu’à ce qu’on ait le goût sai
ibi minimè fallat, legendus est. (Quint., loc. cit.) Manière de les
lire
. Mais comment doit-on lire les auteurs dont on f
est. (Quint., loc. cit.) Manière de les lire. Mais comment doit-on
lire
les auteurs dont on fait choix ? Lisez peu à la f
les lire. Mais comment doit-on lire les auteurs dont on fait choix ?
Lisez
peu à la fois ; les objets se fixeront plus aisém
u à la fois ; les objets se fixeront plus aisément dans votre esprit.
Lire
au delà de certaines bornes, c’est presque toujou
’esprit s’affaisse sous le poids dont on le charge. Il faut beaucoup
lire
, mais non beaucoup de choses : Multùm legendum, n
tùm legendum, non multa. (Plin. Jun., l. VII, ep. 9.) « Après avoir
lu
un livre, il faut le reprendre de nouveau, pour v
nsidéré, tout connu, il faut y revenir. » (Quint., lac. cit.) A-t-on
lu
un bon ouvrage ou quelque morceau important de ph
s discours faits pour être prononcés, et les discours faits pour être
lus
. C’est Aristote qui le remarque (Rhét., l. III, c
différentes de communiquer ses idées. Dans un discours fait pour être
lu
, il faut viser à la correction et à la précision
n 423 § III. De l’imitation 424 Errata. Page 13, ligne 29,
lisez
à la suite : Le sens de ces paroles de Cicéron et
enait qu’une connaissance légère et superficielle. Page 30, ligne 9 :
lisez
ατεχνους, au lieu de ατεϰνους. Page 47, à la marg
isez ατεχνους, au lieu de ατεϰνους. Page 47, à la marge, 1er. titre :
lisez
définition du, au lieu de définition de. Page 66,
: lisez définition du, au lieu de définition de. Page 66, ligne 10 :
lisez
haine, au lieu de chaîne. Page 162, ligne 31 : li
e 66, ligne 10 : lisez haine, au lieu de chaîne. Page 162, ligne 31 :
lisez
exciter, au lieu d’exécuter. Page 197, ligne 28 :
2, ligne 31 : lisez exciter, au lieu d’exécuter. Page 197, ligne 28 :
lisez
concevable, au lieu de convenable. Page 234, lign
ne 28 : lisez concevable, au lieu de convenable. Page 234, ligne 27 :
lisez
le dire, au lieu de redire. Page 238, ligne 15 :
34, ligne 27 : lisez le dire, au lieu de redire. Page 238, ligne 15 :
lisez
affici, ou lieu de offici. Page 239, ligne 9 : li
238, ligne 15 : lisez affici, ou lieu de offici. Page 239, ligne 9 :
lisez
qui siéent, au lieu de soient. Page 341, ligne 12
, ligne 9 : lisez qui siéent, au lieu de soient. Page 341, ligne 12 :
lisez
vos présents, au lieu de vos pensées. Page 425, l
12 : lisez vos présents, au lieu de vos pensées. Page 425, ligne 10 :
lisez
ont mis, au lieu de ont mise. Idee de l’éloque
pression imitative, tombera infailliblement dans un éternel oubli. On
lira
avec plaisir le précepte donné en même temps que
u. (1). Nous engageons les jeunes gens qui se destinent au barreau à
lire
et à méditer, sur la manière de préparer et de pr
a lecture des bons modèles. Choix qu’il faut ou faire. Manière de les
lire
. Utilité de la lecture des poëtes. Et de la tradu
te et fébrile, sa prédication allait au cœur d’un auditoire qui avait
lu
Chateaubriand, Lamartine et Victor Hugo. Sa langu
mpuissance de se trouver elle-même. Ses yeux s’ouvriront sans qu’on y
lise
une pensée, et son cœur battra sans qu’on y sente
ed de notre couvent, et qui ont bien de la peine à fleurir. 1. Je
lis
dans M. Saint-Marc Girardin cette page spirituell
ntervalle entre le tombeau d’un grand homme et la gloire. » 1. Je
lis
dans un discours à l’Académie française : « Pour
les idées sont élevées, et la forme est brillante. — Si l’on vent en
lire
la contre-partie, on devra comparer une page de M
ns que les programmes peuvent suggérer aux examinateurs. On devra les
lire
attentivement, se demander ce qu’on pourrait dire
crites au programme de l’examen auquel on se prépare. Il faut d’abord
lire
de bons ouvrages, étudier des Précis, et chercher
à l’une convient aussi à l’autre. Il suffit, pour n’en pas douter, de
lire
seulement les questions qui ont été traitées ici
entre ces ouvrages qui sont également recommandables. Il suffira d’en
lire
un de chaque sorte et de le bien posséder. Des co
s au programme. Il faut se faire une juste idée de chacune d’elles et
lire
ce qu’en ont écrit les principaux critiques. Un p
orce que lengue frencese cort parmi le monde, et est plus delitable à
lire
et à oïr que nulle autre. » Marquez les mérites
et pour l’auteur, vous communiquez vos impressions à un ami : A-t-il
lu
cette pièce ? S’il ne l’a pas fait encore, qu’il
ez. (Nancy, août 1886) Lettre de Mme de la Sablière à Boileau. Elle a
lu
avec un extrême plaisir l’Art poétique qui vient
d’une lettre à un ami. (Paris, août 1881.) Un jeune écolier aimait à
lire
, mais se plaisait surtout aux lectures frivoles e
ai pas du style, qui est partout admirable. Nous n’avions jamais rien
lu
de tel dans notre langue, les détracteurs les plu
rité de plus, surtout dans la bouche des héroïnes d’un poète habile à
lire
dans les cœurs et à démêler les plus subtils soph
, épigramme, etc…), et qui sont manifestement inférieurs. Je viens de
lire
votre Art poétique avec toute l’attention qu’on d
, « ce bon mot de deux rimes orné », n’est point à dédaigner. J’en ai
lu
de vous quelques-unes, et je plains vos victimes.
pour faire voir de belles dents ; Arrias qui sait tout et qui a tout
lu
, Arsène qui du haut de son esprit contemple les h
re comme l’un des premiers parm nos critiques littéraires. Quand on a
lu
certaines pages exquises du Dictionnaire où il tr
La solitude n’est pas lourde à qui sait vivre pour lui-même. Méditez,
lisez
, instruisez-vous, écrivez. D’Argenson. – J’ai fa
Montesquieu. – Faites-le et vous verrez si le conseil était bon. Ne
lisez
pas seulement les historiens, réservez quelques h
’expérience d’autrui ne sert à personne. Je me déciderais peut-être à
lire
si je vivais dans une compagnie nombreuse, et si
uet, les Extraits de Sainte-Beuve et de Chateaubriand. Il sera bon de
lire
aussi des ouvrages plus courts, de simples précis
rave), l’Éducation de Ludovic Carrau (Picard et Kaan). Les aspirantes
liront
avec fruit les extraits des Rapports officiels in
sans effort. Ce n’est point une étude ; il n’en coûte aucune peine de
lire
ce qui est bon et de ne lire que cela ; on n’a de
ne étude ; il n’en coûte aucune peine de lire ce qui est bon et de ne
lire
que cela ; on n’a de maître que son plaisir et so
er des exemples empruntés à la prose (Bossuet), à la poésie (Racine).
Lire
: Sainte-Beuve (Extraits des Causeries du Lundi,
Sujets proposés section des lettres Mme du Deffand, qui
lisait
beaucoup, ne savait pas ce qu’une femme doit savo
rupture avec Mlle de Lespinasse, a beaucoup écrit et surtout beaucoup
lu
. Mais, en fait de lectures, frivole comme la plup
e qui sert, l’agréable à l’utile. Elle avait le goût des romans, elle
lisait
les gazettes à la mode, les petits vers qu’on se
au xvii e siècle ? – La Bruyère va trouver Boileau à Auteuil pour lui
lire
ses Caractères. Le satirique est malade. Il écout
l dans le théâtre de Corneille, de Racine et de Voltaire. – Vous avez
lu
des lettres choisies de Mme de Sévigné et de Volt
. » – Développer et discuter cette pensée d’Eugénie de Guérin : « Je
lis
, non pour m’instruire, mais pour m’élever. » – «
gement soit vrai, d’après les lettres de Mme de Sévigné que vous avez
lues
? – En tête des cahiers distribués aux demoiselle
s doute que Mme de Sévigné, mais cependant beaucoup ; et, lorsqu’on a
lu
cette longue correspondance avec ses amis et sa f
e de détails de biographie et d’histoire littéraire, mais elles n’ont
lu
que des fragments des auteurs. Quant à l’apprécia
ous plaisons à signaler. Ce sont des compositions agréables et qui se
lisent
avec un intérêt soutenu ; elles dénotent une cult
e anglaise : « Il est très bon, très utile d’apprendre, d’étudier, de
lire
les langues vivantes, assez dangereux de les parl
Composition littéraire. Indiquer les raisons pour lesquelles il faut
lire
et apprendre par cœur aux enfants les poètes avan
qu’il lit ainsi pour la troisième fois. » Est-ce ainsi que l’on doit
lire
? Essayez de montrer le profit intellectuel et mo
de l’esprit. Éducation des sentiments.) Dès que nous commençons à
lire
un peu sérieusement, on place entre nos mains Cor
e influence sur nous, elle est insensible, d’autant plus que nous les
lisons
fort longtemps, avant de les comprendre. Pour qu
, cela augmenterait singulièrement la culture de l’esprit. Quand nous
lisons
Corneille, nous sommes entraînées ; c’est une sor
t chose rare parmi les jeunes filles. Je crois qu’il serait bon de la
lire
avant Racine ; il a des heurts qui forcent à s’ar
ide ; nous pouvons raffiner en passant à Racine. Il n’est guère mieux
lu
que Corneille ; chez lui, rien qui force les espr
ellement pas. Racine est encore plus perfide que Corneille ; ceux qui
lisent
vite l’ont comparé à une belle prairie unie et pl
nsion, l’art d’entrer dans les idées, les sentiments de ceux qu’elles
liront
et écouteront. Je ne suis pas de celles qui croie
et parfois il est très près de nous. Les jeunes filles après l’avoir
lu
, s’analyseront ; c’est inévitable ; se connaître
x trop dangereux. Pour le reste, laissez-les à elles-mêmes – qu’elles
lisent
assidûment Corneille et Racine ; je ne crois pas
ncombrée. Il est évident qu’on a fait beaucoup de recherches, qu’on a
lu
les meilleurs ouvrages concernant ces questions,
goût dont ils font preuve dans leurs ouvrages, mais de tous ceux qui
lisent
, qui jugent, qui veulent se rendre compte de la v
uelques copies où le texte de La Bruyère ne semble même pas avoir été
lu
avec attention ; où les affirmations vagues, les
qu’on y voit dessiné. On vit trop avec les Précis ; on n’a pas assez
lu
Polybe et Tite-Live : on oublie que c’est aux sou
montre à l’égard des autres. » – « Voulez-vous connaître la morale ?
lisez
les poètes », disait un penseur. Expliquer, comme
? – Développer et commenter ce mot de Mlle Eugénie de Guérin : « Je
lis
pour m’élever, non pour m’instruire. » – L’on di
pies. Nous leur renouvelons le conseil qu’on leur a souvent donné : «
Lisez
les auteurs de la liste officielle. Lisez-les dan
on leur a souvent donné : « Lisez les auteurs de la liste officielle.
Lisez
-les dans le texte. Lisez-les une première fois po
« Lisez les auteurs de la liste officielle. Lisez-les dans le texte.
Lisez
-les une première fois pour en prendre une idée d’
is qu’on ne doit pas ignorer ? Nous sommes d’avis qu’il faut beaucoup
lire
, mais qu’il faut beaucoup lire après avoir déjà c
Nous sommes d’avis qu’il faut beaucoup lire, mais qu’il faut beaucoup
lire
après avoir déjà classé dans son cerveau des noti
raie préparation, l’initiation indispensable. Non qu’il ne faille pas
lire
. Mais lisez surtout les œuvres de ceux qui ont vu
ation, l’initiation indispensable. Non qu’il ne faille pas lire. Mais
lisez
surtout les œuvres de ceux qui ont vu, de ceux qu
ipline dans une classe ? SESSION D’OCTOBRE Littérature. Qu’avez-vous
lu
des historiens du xix e siècle ? Dites en particu
de son caractère et de son esprit ? Pédagogie. On vous recommande de
lire
de bons livres et de n’en lire que de bons. Mais
it ? Pédagogie. On vous recommande de lire de bons livres et de n’en
lire
que de bons. Mais qu’est-ce qu’un bon livre ; à q
it tout, et rien qu’avec dessein, Qui les sait que lui seul ? Comment
lire
en son sein ? Aurait-il imprimé sur le front des
Expliquez cette préférence et dites quelle est la vôtre. – Vous avez
lu
les lettres de Mme de Sévigné ; quel profit en av
sur des raisons. – Vous écrivez à une de vos amies que vous venez de
lire
l’Histoire de la Révolution française. La vie, et
a facilité de ses fables. Vous supposerez que Mme de Sévigné vient de
lire
d’un trait les fables qui composent le 11e livre
mps ni d’aucun pays. » Voltaire a écrit : « J’ose croire que ceux qui
liront
l’histoire de Louis XIV verront bien que je suis
son opinion. – Une de vos jeunes amies vous écrit que sa maîtresse a
lu
en classe le portrait que Fénelon trace dans son
édits, par quels rescrits leur a-t-on défendu d’ouvrir les yeux et de
lire
, de retenir ce qu’elles ont lu et d’en rendre com
t-on défendu d’ouvrir les yeux et de lire, de retenir ce qu’elles ont
lu
et d’en rendre compte ou dans leur conversation,
e le mieux instruit du monde. » Portez sur la page que vous venez de
lire
, tirée d’un de nos classiques, un jugement qui en
ne de ses lettres : « La jolie, l’heureuse disposition, que d’aimer à
lire
! avec elle, on évite l’ennui et l’oisiveté, deux
qu’il est bon d’avoir consultés. En général, les Précis ne seront pas
lus
tout seuls. Il sera expédient d’étudier les Lectu
es où on leur parle de la mer et des marins. Nous leur conseillons de
lire
des descriptions de Bernardin de Saint-Pierre, de
s, certains détails de la navigation doivent leur être familiers. Ils
liront
avec fruit un ou deux volumes sur la vie des mari
. Celui-là dévore avidement les Merveilles de la Nature. – Et toi que
lis
-tu ? dit enfin l’inspecteur à un jeune enfant tel
tellement attentif, qu’il ne s’était pas aperçu de son arrivée. – Je
lis
Robinson. – Et pourquoi ? – Parce que je veux êtr
la place de l’enfant, se demander ce qu’à son âge on rêvait quand on
lisait
un livre de voyages, d’aventures, tel que le Robi
jeune Bouzard, à qui l’Empereur fit don de la maison, sur laquelle on
lut
cette inscription simple, mais expressive : « Nap
scartes sur l’âme des bêtes. Sans aller bien loin, il vous suffira de
lire
dans La Fontaine le discours à Madame de la Sabli
une année, ont été tout à fait surpris et désorientés quand on leur a
lu
des textes comme l’épitre de Lavoisier, de GayLus
t. Ils sont dans l’esprit du concours. – Il y aura également profit à
lire
ce qui a trait aux écoles commerciales, agricoles
courant des progrès, des découvertes effectuées par l’agriculture, de
lire
des rapports, des discours prononcés dans des com
choisir ; quels agréments et quels profits me procurerait ce voyage.
Lire
la jolie page si connue sur les voyages à pied, p
e la jolie page si connue sur les voyages à pied, par J.-J. Rousseau.
Lire
aussi Le Rhin, de Victor Hugo, lettre XX. Conc
ances, à des impressions qu’ils retrouveront avec profit. Ils devront
lire
l’Anthologie, de Michelet (Colin), par Seignobos
retard ? Il conviendra de faire court. Il sera utile après qu’on aura
lu
et relu la matière, après qu’on l’aura méditée et
es se sont améliorées et les progrès ont été rapides. 1. Tout est à
lire
dans les rapports de M. Eugène Manuel. Nous engag
t prédicateur. Ses plus beaux sermons, ceux que l’on n’a jamais assez
lus
, et dans lesquels on rencontre toujours de nouvel
naires leurs contemporains, qui, depuis longtemps, ne sont plus guère
lus
. C’est une opinion assez généralement reçue, que
ce siècle par excellence de notre littérature, qu’il faut sans cesse
lire
et relire. Des écrivains qui sont sortis à leur g
à leur gloire de l’examen de quatre ou cinq générations doivent être
lus
et étudiés de préférence à des modernes ou à des
mpteront toujours parmi les princes de l’esprit humain, et ils seront
lus
avec une égale admiration jusque dans les âges le
nne partie des poésies de l’ère de Louis XIII et de Louis XIV ne sont
lues
qu’avec une curiosité bien émoussée et un intérêt
rateur de longues injustices, s’est heureusement repris à goûter et à
lire
. Les esprits les plus divers y trouvèrent de quoi
rire ; tout ce qu’il a fait de vraiment bon et de durable pourrait se
lire
en moins d’une demi-heure, et ses plus belles ode
ur cruelle manie, Tourner tous leurs conseils à notre affliction ; Et
lisons
clairement dedans leur conscience, Que s’ils tien
re, Racine n’avait été qu’un imitateur de Corneille, qui, après avoir
lu
Alexandre, avait conseillé au jeune poète de ne p
ique. Achille. Non, non, tous ces détours sont trop ingénieux : Vous
lisez
de trop loin dans les secrets des dieux. Moi, je
usse À connaître un pourpoint d’avec un haut-de-chausse. Les leurs ne
lisaient
point, mais elles vivaient bien : Leurs ménages é
ce fauteuil, va me chercher un livre. Hector. Quel livre voulez-vous
lire
en votre chagrin ? Valère. Celui qui te viendra
Lis. Hector. Que je
lise
Sénèque ? Valère. Oui, ne sais-tu pas lire ? He
Que je lise Sénèque ? Valère. Oui, ne sais-tu pas
lire
? Hector.
Hé ! vous n’y pensez pas. Je n’ai
lu
de mes jours que dans des almanachs. Valère. Ouv
s. Je n’ai lu de mes jours que dans des almanachs. Valère. Ouvre, et
lis
au hasard. Hector.
rupule. Il faut donc vous le
lire
. « Fut présent devant nous, dont les noms sont au
runtés aux Poésies diverses qui offrent aussi des pages dignes d’être
lues
, étudiées, admirées. La Captivité de saint Malc
agments de la pastorale de Malc insérés dans ce recueil ne seront pas
lus
sans plaisir. Le tableau de Malc et de sa vertueu
entêté de Boccace, J’en parle si souvent qu’on en est étourdi ; J’en
lis
qui sont du Nord, et qui sont du Midi, Non qu’il
quoique travaillés avec art, pleins de trait et de poésie, qui seront
lus
encore quand la langue aura vieilli99, » bien que
it et qui fait rire, Qu’on blâme en le lisant, et pourtant qu’on veut
lire
, Dans ses plaisants accès qui se croit tout permi
ment les feuilles d’un recueil. À peine quelquefois je me force à les
lire
, Pour plaire à quelque ami, que charme la satire,
Et qu’aux annales de l’empire Avec étonnement l’avenir pourra
lire
: « Par la faveur d’Allah, En tel t
ittons la lyre immortelle Pour le tambourin d’Érato. Homère est moins
lu
que Chapelle ; Et, si nous admirons Apelle, Nous
Est-ce ici qu’on s’assemble ? Lisimon. Oui. M. Josse.
Lisons
ma minute. À trois articles près, Monsieur, j’ai
iter du Voltaire est aussi difficile en vers qu’en prose. Nous ferons
lire
quelques morceaux de différents genres qui permet
mez-vous la grâce, la délicatesse, toutes les coquetteries du style ?
Lisez
Gresset. Ses qualités charmantes et vraiment fran
re veuve et pauvre. Dans ses courts instants de loisir il étudiait et
lisait
. Devenu plus libre, il se livra sérieusement à la
uchard) (1729-1807) Les odes d’Écouchard Lebrun ne sont plus guère
lues
, mais on continue de joindre son nom à celui de P
national, et commencer un hymne destiné à être sinon chanté, du moins
lu
par les hommes du peuple, par les soldats, par le
nte nos auteurs. Comme l’humanité règne dans tous les cœurs ! Vous ne
lisez
donc pas le Mercure de France ? Il cite au moins
ux entiers. Plusieurs années avant de le livrer à l’impression, il en
lut
un grand nombre de passages dans les cercles de P
ines de beaux vers sauveront ce poème de l’oubli. Longtemps encore on
lira
des morceaux comme la Circulation de la sève, les
es choses futures, Les voyages sur mer sont remplis d’aventures. J’ai
lu
… je ne sais où, mais cela m’a frappé, Qu’un voyag
ieuse. Épître. Manière de travailler du poète. « Eh bien ! nous
lirez
-vous quelque chose aujourd’hui, Me dit un curieux
des vers psalmodiés. — Qui, moi ? Non, je n’ai rien, d’ailleurs je ne
lis
guère. — Certes, un tel nous lut hier une épître
Non, je n’ai rien, d’ailleurs je ne lis guère. — Certes, un tel nous
lut
hier une épître !… et son frère Termina par une o
e et le hasard inspire, Je n’ai jamais sur moi rien qu’on puisse vous
lire
. — Bon ! bon ! Et cet Hermès dont vous ne parlez
Voltaire, si ce n’est qu’elle n’en avait pas la malice. En outre, il
lisait
ses vers avec une séduisante perfection, Voilà, a
reprise, applaudit avec transport la première esquisse qui lui en fut
lue
par Delille lui-même. Vivement encouragé par ce s
éorgiques (aux morceaux de sentiment près) ; mais c’est comme si vous
lisiez
Racine dans la langue de Louis XV : on a des tabl
t composées ou du moins commencées longtemps auparavant, et les avait
lues
par fragments à l’Académie, au Collège de France,
ui et de contrainte, qui les lui faisait vite refermer234. Ceux qu’il
lisait
avec passion, c’étaient « les poètes modernes, it
s’éprit d’un particulier enthousiasme pour les poésies d’Ossian qu’il
lisait
avec passion, l’hiver, assis sous quelque rocher
mille alexandrins, qui auraient pu être abrégés de moitié, il se fit
lire
, d’un bout de la France à l’autre, comme un roman
ois en toi, Seigneur ; Et, sans avoir besoin d’entendre ta parole, Je
lis
au front des cieux mon glorieux symbole. L’étendu
a d’abord comme un continuateur des classiques, par les poésies qu’il
lut
dans le cercle classique des Bonnes Lettres dont
. Sur un toit où l’herbe frissonne Le jasmin veut bien se poser ; Le
lis
ne méprise personne, Lui qui pourrait tout mépris
parlais, leur mère Les regardait rire, et songeait. Leur aïeul, qui
lisait
dans l’ombre, Sur eux parfois levait les yeux, Et
’était un front de vierge avec des mains d’enfant ; Il ressemblait au
lis
que sa blancheur défend. Ses mains en se joignant
Bien des choses auront vécu Quand nos enfants
liront
encore Ce que le bonhomme a conté
, Et souriez à votre père. Il est beau d’être un raisonneur, De tout
lire
et de tout entendre, De remporter les prix d’honn
restera célèbre par son poème idyllique de Marie, publié en 1831. On
lira
toujours avec une admiration douce et attendrie l
f, un tréteau figurait un cercueil. Tout ce deuil disparut ; mais les
lis
du parterre, Les roses tapissant les murs du pres
e souviendra pas. Parmi les productions de Ponsard, les jeunes gens
liront
avec un profit particulier le poème d’Homère et l
ient des écueils placés à l’entrée du détroit de Constantinople. 53.
Lisez
Ménias. 54. C’est un souvenir de la Théogonie d’
e : Beatus ille… et de l’ode : Rectius vives, Licini, que Racan avait
lues
dans des traductions, ne sachant pas le latin. 6
p. 18, édit. 1819. 123. Lettre à la baronne de Warens, 1757. 124.
Lire
la scène de la reconnaissance de la Péruvienne Al
te de Lisle n’offre aussi que des tableaux purement terrestres. 190.
Lire
en particulier le Poème des Champs, par Calemard
es et littéraires, 21 novembre 1852. 289. Id., ibid., 30 juin 1850.
Lire
sur ce même sujet un article de Louis Veuillot :
evant le participe. EXEMPLES. La lettre que vous avez écrite, je l’ai
lue
. Les livres que j’avais prêtés, on les a rendus.
s devant le participe est ordinairement pronom : que, me, te, se, le,
lu
, les, nous, vous, quels. 90. — Deuxième règle.
75 de sa Défense de la Poétique. Le même savant (note 176) propose de
lire
au vers suivant : ϰεράμενος, en faisant la premiè
e ses Opuscules. — Dans le vers d’Eschyle, on ne peut guère hésiter à
lire
avec Hermann φαγέδαιναν à l’accusatif, au lieu de
Sucrer. Sucrez-vous Sucrez votre café, votre thé, etc. Sur J’ai
lu
sur le journal J’ai lu dans le journal. Tendre
ucrez votre café, votre thé, etc. Sur J’ai lu sur le journal J’ai
lu
dans le journal. Tendresse Tendresse des lég
usqu’à Xerxès. Thucydide, né à Athènes l’an 471 avant J.-C, entendant
lire
l’histoire d’Hérodote aux jeux Olympiques, sentit
re ; histoire un peu romanesque, mais d’un style fleuri et agréable à
lire
. Les six auteurs de l’Histoire auguste sont encor
connaissance réelle des matières que ces auteurs ont traitées ; qu’il
lise
leurs écrits sans la moindre prévention ; qu’il r
umain. C’est une des parties de notre histoire littéraire qui se font
lire
avec le plus de plaisir et de profit. Donnons ici
t eu le plus grand succès dans les sociétés particulières où il avait
lu
son ouvrage. Les spectateurs furent bien plus sév
rompés sur l’effet dramatique par la manière séduisante dont l’auteur
lisait
, avaient oublié de se transporter en idée dans le
elque sujet donc que vous traitiez, historique, oratoire, didactique,
lisez
et lisez attentivement et complétement, si faire
et donc que vous traitiez, historique, oratoire, didactique, lisez et
lisez
attentivement et complétement, si faire se peut,
applications particulières les inconvénients de l’érudition. Avant de
lire
ce que d’autres ont écrit sur la matière qui vous
t bien fort, surtout si cet ipse est un mort ou un étranger. Où ai-je
lu
que le cardinal de Retz, voulant entraîner le par
qu’à faire aux yeux briller la vérité. Sais-tu pourquoi mes vers sont
lus
dans les provinces, Sont recherchés du peuple, et
uts elle a, Cette jeunesse ! On l’aime avec ces défauts-là. 2. Je
lis
encore dans Régnier : L’âge au soin se tournant,
rent à leur tour de si grands avantages contre la vieillesse ? » Nous
lisons
dans Régnier : Maints fascheux accidents surpren
aux ouvrages, le travail seul les achève. 2. « L’on devrait aimer à
lire
ses ouvrages à ceux qui en savent assez pour les
it. Elle veut dire que la caution n’est ni valable ni sûre. 2. Nous
lisons
dans La Bruyère : « Que dites-vous du livre d’He
ivre, on qui mérite du moins que le monde en parle — Mais l’avez-vous
lu
? — Non, dit Anthime. — Que n’ajoute-t-il que Ful
— Que n’ajoute-t-il que Fulvie et Mélanie l’ont condamné sans l’avoir
lu
, et qu’il est l’ami de Fulvie et de Mélanie. »
. 2. Différence du prix des places. 3. Rappelons-nous que Molière
lisait
ses comédies à sa servante. 1. Ce Lysandre est l
e pique point d’être un genre, et qui en refuserait l’éloge. L’art de
lire
les bons livres serait son vrai nom. Elle parle p
1. Ils sont trop superbes pour goûter ce qu’enfants on leur a donné à
lire
. C’était une lecture de père de famille, dans le
: la morale qui se confond avec notre propre expérience, en sorte que
lire
le fabuliste, c’est ruminer ; l’art, dont nous so
e. 2. Exacte, autant que peuvent l’être les choses littéraires. 3.
Lisez
l’Histoire de la littérature française, pour comm
profondeur que de subtilité, et ce qu’il a écrit à ce sujet peut être
lu
avec fruit comme un excellent morceau de philosop
érence entre un chapitre de la Bible, ou tout autre morceau de prose,
lu
par une personne qui renforce sa voix à propos, e
par un artiste habile, ou écorchée par un musicien ignorant. Avant de
lire
en public un discours préparé, l’on fera très bie
, et comme si l’on discutait ses intérêts privés. Lorsqu’il s’agit de
lire
ou de réciter des vers, on éprouve un genre parti
ile, qu’il est véritablement très rare de rencontrer une personne qui
lise
agréablement la poésie. L’harmonie poétique a deu
ndant partagés par la césure, alors il devient fort difficile de bien
lire
de tels vers ; car le sens perd ce que l’on accor
é sous ce point de vue, quelle persuasion pourra-t-il produire ? Nous
lisons
un livre avec plus de plaisir, lorsque nous avons
à fait différentes de communiquer ses idées. Un livre, fait pour être
lu
, exige un style tout autre que celui que doit emp
lère et de Denys d’Halicarnasse sont parvenus jusqu’à nous. L’on peut
lire
avec fruit ce que tous deux ont écrit sur la cons
roits aride et quelquefois ennuyeux. Cependant je crois qu’il faut le
lire
tout entier ; ces parties mêmes ne seront pas san
t le véritable encouragement du génie. Hérodote, aux jeux Olympiques,
lisait
son Histoire devant les Grecs rassemblés, et on l
le ranger parmi ce petit nombre d’auteurs qu’on ne se lasse jamais de
lire
; et si les ouvrages de ses contemporains eussent
tient pas aux ouvrages de l’homme. Nous pouvons, nous devons donc les
lire
avec discernement, afin de n’imiter que ce qu’ils
et rend cet écrivain plus fatigant à suivre, et bien moins agréable à
lire
qu’il ne l’eût été s’il avait pris une autre marc
e jugement ; mais il doit à ce manque d’unité d’être plus difficile à
lire
et d’exciter moins d’intérêt. Lecture XXXVI. D
x, dont la lecture ne produise aucun fruit, et que bientôt même on ne
lira
plus du tout. Il doit donc s’attacher à rendre sa
ces deux qualités, et n’être cependant qu’un écrivain fort pénible à
lire
. Il doit donc s’appliquer à semer sur sa composit
rté pourrait desservir la personne qui écrit auprès de celle qui doit
lire
la lettre. Il faut donc, dans une correspondance
t she rejects, | but never one offends. « Elle portait sur un sein de
lis
une croix étincelante qu’un Juif eût pressée sur
à l’oreille de presque tous les hommes, et si quelqu’un, après avoir
lu
la Boucle de cheveux enlevée de Pope, ou l’Épître
orsque les bardes eurent composé des vers qui devaient seulement être
lus
ou récités, l’on donna le nom d’ode aux poèmes sp
ont il les a traités, que malgré la beauté de son expression, nous le
lisons
avec beaucoup moins de plaisir. On dirait que la
s nous fatigue bientôt, surtout dans un ouvrage de poésie que nous ne
lisons
que pour notre agrément. Le grand art de répandre
mpressions qu’il éprouvait. Il est impossible qu’une personne de goût
lise
une de ses saisons sans éprouver des sentiments e
les objets auxquels elles font allusion : c’est la rose de Saron, le
lis
des vallées, les troupeaux qui paissent sur le mo
qui veulent connaître à fond la matière qui va nous occuper, pourront
lire
avec fruit le savant traité du docteur Lowth, int
percevons encore les membres épars du poète, disjecti membra poetæ .
Lisez
attentivement l’introduction historique du Livre
nt pour tel siècle ou tel pays, mais pour toutes les personnes qui le
lisent
, c’est l’art que déploie l’auteur dans le manieme
ue, mais de toute poésie. Quiconque ouvre Homère doit songer qu’il va
lire
le plus ancien livre du monde après la Bible. San
e qu’aucun d’eux ne connaissait bien son poème, ou qu’au moins ils le
lurent
avec beaucoup de prévention ; car je me crois fon
ible d’en juger par les traductions, puisque je suis privé de pouvoir
lire
l’original dans sa propre langue. Le Camoëns n’a
s une que l’on puisse appeler véritablement bonne, ou que l’on puisse
lire
avec un plaisir égal depuis le commencement jusqu
ui contester. Malgré ses nombreuses absurdités, il semble, quand nous
lisons
ses pièces, que nous sommes au milieu de nos semb
n ancienneté, nous admirions encore le caractère de Falstaff, et nous
lisions
avec plaisir les Femmes de Windsor 47. Ce ne fut
ndato ad una madre, « Dans un voyage de Pinto, je me souviens d’avoir
lu
ce récit terrible d’un naufrage : “Au milieu d’un
ne me suis-je plutôt noyé (optation) ! Je ne te reprocherai ni ce que
lu
me coûtes, ni les peines que je me donne pour y s
e je cite partout Démosthène comme un des premiers auteurs qu’il faut
lire
, ou plutôt qu’il faut savoir par cœur. J’observer
aire nous apprend que, quand l’orateur en vint au passage que l’on va
lire
, “un transport de saisissement s’empara de tout l
saurions trop recommander aux jeunes gens qui veulent s’instruire, de
lire
et de méditer les articles que Marmontel a consac
a carrière des arts a plus d’étendue qu’on ne pense. Un homme qui n’a
lu
que les auteurs classiques méprise tout ce qui es
evoir transcrire ici le jugement de Voltaire sur Milton : pourrait-on
lire
sans intérêt les pages que l’auteur de la Henriad
Dieu, et le caractère encore plus brillant qu’il donne au Diable. On
lut
avec beaucoup de plaisir la description du jardin
t il faut que le poème soit bien beau d’ailleurs pour qu’on ait pu le
lire
, malgré l’ennui que doit causer cet amas de folie
i, se croyait l’homme le plus éloquent du royaume, et qui, pour avoir
lu
la Poétique d’Aristote, pensait être le maître de
ont la représentation ne put être achevée, et que jamais personne n’a
lue
. « Lamotte, s’tant laissé persuader que son espri
quand elles sont bien jouées ; cela peut être, je n’ai jamais pu les
lire
; mais on prétend que les comédiens font quelque
n autre homme ce qui se passe dans son esprit. (Sheridan, de l’Art de
lire
.) 5. Voici comme s’exprime un auteur du dix-sep
hapitre de la prosodie du langage. Il prouve que la manière dont nous
lisons
les vers latins leur donne une mélodie à peu près
ule, et ce jugement nous oblige à croire que M. Addison n’avait point
lu
cette pièce. Dans un dialogue entre Daphné, compa
inexactitude si étrange en se copiant les uns les autres, au lieu de
lire
l’auteur qu’ils censuraient, je crois devoir rapp
ν. Χαιρέτω βουλεύματα Τὰ πρόσθεν… (EURIP., Med., v. 1040.) 40. On
lira
sans doute avec plaisir ces vers dans lesquels un
ince, que les délices de la royauté auraient dû, sans doute, amollir.
Lisez
dans les divins cantiques l’histoire de ses austé
servir à l’ambition, la religion même qui la condamne ». On ne peut
lire
les sermons de ce grand orateur, sans s’apercevoi
uoi se réduisent ces magnifiques éloges qu’on leur donne, et que nous
lisons
sur ces superbes mausolées, que leur érige la van
ntendant prononcer ces paroles, les plus terribles, sans doute, qu’on
lise
dans nos divines écritures : je m’en vais ; vous
, et quel spectacle attendrissant, même pour nos neveux, quand ils en
liront
l’histoire ! Dieu répand la désolation et la mort
mmes, mais presque semblable aux dieux. III. Vos conquêtes, César, se
liront
à la vérité dans nos annales, et dans celles de p
, et que l’utilité publique le demande ». On s’attend, sans doute, à
lire
, après cette péroraison, celle de la harangue de
u de sa retraite. Il y établit une école d’éloquence, et commença par
lire
à ses auditeurs sa harangue, qui lui mérita de le
i lui mérita de leur part de très grands éloges. Mais après qu’il eut
lu
celle de Démosthène, les acclamations et les appl
modèles qu’on puisse citer en notre langue. Il n’est pas possible de
lire
ce morceau, sans être vivement ému ; et je ne cra
usse A connaître un pourpoint d’avec un haut-de-chausse. Les leurs ne
lisaient
point ; mais elles vivaient bien ; Leurs ménages
1. Haut est ici pour hauteur. Dans la chronique de Saint-Denis, je
lis
ce signalement de Charlemagne : « Le nez avait gr
nnêtes gens, je ne dis pas qu’il veuille approuver, mais qu’il daigne
lire
: incapable d’être corrigé par cette peinture, qu
l daigne lire : incapable d’être corrigé par cette peinture, qu’il ne
lira
point. » (La Bruyèrs.) Molière dit ailleurs : No
Boileau.) 3. Ce mot gloire veut dire le ciel entr’ouvert. 4. Je
lis
dans Balzac cette page piquante : « Toutefois, pu
des deux épopées homériques, qui, en effet, ne pourraient guère être
lues
d’une seule haleine, quoi qu’en dise le savant Da
Aristote pour la construire grammaticalement, il faudrait, en outre,
lire
, avec Bonitz, δεῖ, pour δή mais il resterait enc
eux. Suivant son fils, ce remercîment, très-simple et très-court, fut
lu
d’une voix si basse, que presque personne ne l’en
ie française. » On rapporte que Louis XIV, a qui Racine était venu le
lire
, lui dit avec cette dignité pleine de justesse qu
V dans le discours dont nous venons de donner un extrait. 2. On peut
lire
, dans le Siècle de Louis XIV par Voltaire, un réc
arquent dans son savoir sa noble confiance. Il sait, le fait est sûr,
lire
, écrire et compter4 ; Sait instruire à l’école, a
t-il ? Sur son front ténébreux ou serein, Le peuple des enfants croit
lire
son destin3. Il veut, on se sépare ; il fait sign
e. 5. Funeste est gauche. 6. Un parterre. A ce mot je préfère les
lis
et les verveines qui embaument les vers de Virgil
nce de M. de Guibert est plus faite pour être prononcée que pour être
lue
. Elle a ce caractère énergique et passionné qui e
ce qui m’est ravi, me paraît sans couleur. Je vous assure que si vous
lisiez
dans mon âme, je vous ferais pitié. Je suis bien
rammaire générale. 2. Didier. Gustave III, p. 412, t. Ier. 3. Nous
lisons
dans Joubert : « La verve est une passion, une i
i n’est que d’opinion. Les ouvrages des Pères de l’église, qu’il doit
lire
avec méthode, lui donneront la connaissance des v
mon consistait dans l’explication, soit de l’évangile qu’on venait de
lire
, soit de quelque autre partie de l’écriture, dont
grâces. Mais les figures brillantes y sont quelquefois prodiguées. On
lira
toujours avec plaisir les Panégyriques de l’abbé
plaidoyers. Mais d’un autre côté, ces sortes de discours devant être
lus
dans le silence du cabinet, exigent plus d’art et
it rien que de grand et d’utile pour ses concitoyens. Vous ne sauriez
lire
cet orateur, dit Fénelon 97, sans voir qu’il port
on, sous le titre d’Oraisons choisies de Cicéron : elle mérite d’être
lue
. L’abbé d’Olivet a fort bien traduit les Catilina
un recueil de Discours académiques, dont le plus grand nombre se fait
lire
avec plaisir. On peut en dire autant de ceux qu’e
l y a un vaste et précieux recueil d’excellents Mémoires, qui ont été
lus
dans l’Académie des belles-lettres. Tous les genr
, v. 114 et suiv. On a souvent induit de ces ressemblances, qu’Horace
lisait
et imitait l’ouvrage d’Aristote rien n’est moins
Σϰληρότητος. Twining propose ingénieusement, mais sans nécessité, de
lire
ici ἁπλότητος, et il compare avec ce passage la R
sionomie n’était pas expressive, dirions-nous si fréquemment que nous
lisons
sur la figure, que la physionomie trahit notre la
lètement paralysé par les feuilles de papier qu’il tient à la main. «
Lire
un discours, dit le célèbre d’Aguesseau, c’est lu
té les gens pour les assassiner à force de mangeaille ! Allez-vous-en
lire
un peu les préceptes de la santé, et demander aux
nnêtes gens, je ne dis pas qu’il veuille approuver, mais qu’il daigne
lire
, incapable d’être corrigé par cette peinture, qu’
il daigne lire, incapable d’être corrigé par cette peinture, qu’il ne
lira
point. » 2. On sait que M. Jourdain est le type
Sancho Pansa et sa femme (Don Quichotte, part. II, ch. V.) 1. Nous
lisons
dans une lettre de Voltaire cette apologie du thé
ie trouva dans son cœur l’éloquence indignée de Tacite. « On croirait
lire
, dit M. Villemain, un manuscrit antique trouvé da
ui, pour voir les luisants images de livres illuminés12, apprennent à
lire
. Les Romains tyrans s’adviserent encores d’un au
in tout entière de papier. C’était une rapsodie assez bonne ; il nous
lut
à madame de Coulantes et à moi. Je lui dis : Envo
t trop misérable. — Pour qui nous prenez-vous ? Vous nous l’avez bien
lue
, — Tant y a, je ne veux pas qu’elle la lise. — Vo
us ? Vous nous l’avez bien lue, — Tant y a, je ne veux pas qu’elle la
lise
. — Voilà toute h raison que j’en ai eue, jamais i
d’autres nuances toujours diverses et toujours admirables. On pourra
lire
encore de M. Joseph de Maistre, un passage intitu
t se répandre uniformément dans un écrit, que ces étincelles qu’on ne
lire
que par force en choquant les mots les uns contre
d changement qui n’ait eu ses causes dans les siècles précédents. On
lira
avec intérêt une page de Chateaubriand, intitulée
elle est toute où je suis. » Au sujet du Sublime des images, on peut
lire
la Mort de saint Louis, par l’abbé Poulle : on y
Préface Ce choix de morceaux destinés à être
lus
, médités et appris par cœur vient après mille aut
te, le nombre est singulièrement restreint des personnes qui aiment à
lire
tout haut et qui font plaisir en lisant. On compt
haut et qui font plaisir en lisant. On compte les hommes capables de
lire
à haute voix de façon à charmer les loisirs d’une
ttéraire. L’origine du mal est dans l’habitude brise dès l’enfance de
lire
et de réciter en ânonnant. Que ce bourdonnement s
et très féconde, je donne ici quelques conseils généraux sur l’art de
lire
à haute voix et de réciter, c’est tout un. La lec
ir le milieu entre un ânonnement insipide et la déclamation scénique.
Lire
comme un acteur jouerait, avec cris, gestes et mo
sont les règles générales ; les règles particulières de l’art de bien
lire
se rapportent à trois objets principaux : la pron
upplice qu’il avait infligé lui-même à tant d’innocents. Son corps ne
lut
jamais retrouvé. A. de Broglie 3. Les Francs
chrétien. Plus heureux que Caton, Saint Louis ne fut point obligé de
lire
un traité de l’immortalité de l’âme pour se conva
ous la dictée du Poussin. Vitet 7. J.-J. Rousseau Quand on a
lu
Buffon on se croit savant ; on se croit vertueux
d on a lu Buffon on se croit savant ; on se croit vertueux quand on a
lu
Rousseau : on n’est pourtant pour cela ni l’un ni
c’est ne voir goutte Que de révoquer en doute Le salut des fleurs de
lis
. Ô roi, qui du rang des hommes T’exceptes par ta
votre nom s’échappe avec celui de Dieu. Si l’homme droit et pur qui
lira
cette page Essuie, en la tournant, une larme à se
Des feuillets d’Ovide et d’Horace Flottent épars sur mes genoux, Je
lis
, je dors, tout soin s’efface ; Je ne fais rien, e
rts Livres, dessins, crayons, confusément épars. Là, je dors, chante,
lis
, pleure, étudie et pense. Là, dans un calme pur,
du monde, se mettre à part. Ayez quelques heures dans la journée pour
lire
, et pour faire usage de vos réflexions. « La réfl
oiseau très vif ; on le voit toujours en mouvement ; et cela, joint à
lu
gaîté de son chant, a donné lieu sans doute à la
eligieux des champs et le repos acheté du jour, tantôt s’arrêter pour
lire
un verset des poésies sacrées, tantôt regarder le
ant Sur l’avenir qui doit m’attendre ! Mais je le sais… Je
lis
dans ce sombre avenir ; Mes malheurs sont prévus
vue, Soit que je n’ose encor démentir le pouvoir De ces yeux où j’ai
lu
si longtemps mon devoir ; Soit qu’à tant de bienf
té des gens pour les assassiner à force de mangeaille ? Allez-vous-en
lire
un peu les préceptes de la santé, et demander aux
ait ses actions, se ressent encore dans ses paroles. « Tout ce que je
lisais
sur la religion me touchait jusqu’à répandre des
ussi. Mon voyage dépeint Vous sera d’un plaisir extrême. Je
lirai
: J’étais là ; telle chose m’advint : V
te fontaine. Ils jetèrent de l’eau sur la pierre pour la laver et ils
lurent
ces paroles castillanes : « A qui esta encerrada
jeune de ces écoliers, qui était vif et étourdi, n’eut pas achevé de
lire
l’inscription qu’il dit en riant de toute sa forc
sor. Que le jeune bouton Espère le Zéphyr, et craigne l’Aquilon. À ce
lis
altéré versez l’eau qu’il implore, Formez, dans s
ssesse et sans déguisement. Pour moi, je pleurais de joie, lorsque je
lisais
ces pages ; je ne passais point de nuit sans parl
ation, de passion et de courage, qu’il m’était bien impossible de les
lire
de sang-froid ; je mêlais ces trois lectures, et
tre frère devienne un stoïcien, et qu’il se tue comme Caton, ou qu’il
lise
notre Sénèque ! Ah ! n’appréhendez pas cela ; je
rti, Aigrit nos passions et dénonce à la France L’écrit qu’il n’a pas
lu
, mais qu’il flétrit d’avance ! Voilà donc les fau
. Vous a-t-il vu trois fois au bal ? vous êtes son ami intime. A-t-il
lu
un livre qui lui a plu ? c’est la plus belle chos
ante, la plus merveilleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante,
lu
plus étourdissante, la plus inouïe, la plus singu
e vous. Adieu ; les lettres qui seront portées par cet ordinaire vous
liront
voir si nous disons vrai ou non. Mme de Sévigné.
avez pas dû réussir. Des savants qui entendent mai le grec, et qui ne
lisent
point ce qu’on fait en français, vous dédaignent
us persécutant ! On vous impute des libelles que vous n’avez pas même
lus
, des vers que vous méprisez, des sentiments que v
française pourrait servir à fixer le goût de la nation. Il n’y a qu’à
lire
ses Remarques sur le Cid ; la jalousie du cardina
ne règle imposée à tout écrivain par la nécessité de plaire et d’être
lu
facilement, plus impérieusement imposée à lui qu’
battait les mesures. Que serait-ce si on interrompait la musique pour
lire
quelque pièce justificative à l’appui de chaque a
petite chambre et profondément triste. Depuis quelques jours, j’avais
lu
les Psaumes, l’Évangile et quelques bons livres.
, mon fils ! Je viens à vous parce que vous m’avez invoqué. » Je n’en
lus
pas davantage ; l’impression subite que j’éprouva
é de l’âme Plus je rentre en moi, plus je me consulte, et plus je
lis
ces mots écrits dans mon âme : « Sois juste, et t
ois en toi, Seigneur ; Et, sans avoir besoin d’attendre ta parole, Je
lis
au front des cieux mon glorieux symbole. L’étendu
elon Plutarque, ce chœur d’Œdipe à Colone est le morceau que Sophocle
lut
devant ses juges, pour répondre aux imputations d
t ; que les actions mémorables des histoires le relèvent, et qu’étant
lues
avec discrétion elles aident à former le jugement
n’augmentent la valeur des choses pour les rendre plus dignes d’être
lues
, au moins en omettent-elles presque toujours les
conservé un vif sentiment de reconnaissance pour ses maîtres. Il faut
lire
la lettre qu’il écrivit à l’un de ses anciens pro
les cours l’intrigue ou le hasard distribue toujours les récompenses,
lire
quelques-unes de ces lettres que le monarque écri
tout simple ; ils n’ont point été composés pour elle ; mais ils sont
lus
et relus avec un nouvel intérêt, depuis plus de s
raphe dans le chapitre x. Castelvetro a proposé assez heureusement de
lire
άπλώς, mot souvent employé dans Aristote pour xαθ
1 : ΜƐίζον δύνανται νūν των ποιητών οί ύποχριταί. Il ne faut donc pas
lire
ici χριταί pour ύποχριταί, quelque séduisante que
refuge dans les chambres des ponts supérieurs, et là ils priaient et
lisaient
l’Écriture sainte avec les femmes des officiers e
s psaumes, celui qui convenait le mieux à leur danger, et se mirent à
lire
à haute voix, alternativement, les versets suivan
a main contre mes yeux pour voir si je ne dormais point, lorsque j’ai
lu
dans votre lettre que vous aviez dessein de venir
que, pour en reconnaître la vérité et l’importance, Votre Majesté les
lise
sans dégoût jusqu’à la fin, et que, donnant tant
irs. J’écris tranquillement, et je ne comprends pas que vous puissiez
lire
de même ; je ne vois pas un moment où vous soyez
traire, et ils me le sont : le moyen qu’ils vous laissent le temps de
lire
de telles lanterneries145 ! Je vous assure, ma ch
e place où la mort était attachée : et quelle mort ! Vous n’avez qu’à
lire
cette histoire, pour vous persuader qu’une religi
être une imagination des hommes164. Les hommes ne pensent pas ainsi :
lisez
saint Augustin dans sa Vérité de la religion ; li
sent pas ainsi : lisez saint Augustin dans sa Vérité de la religion ;
lisez
l’Abbadie, bien différent de ce grand saint165, m
st le maître de tout166, et voici comment nous devrions penser : j’ai
lu
ceci en bon lieu : Quel mal peut-il arriver à une
e qui se faisait à la cour et en la présence du roi ? Lorsqu’il y fit
lire
la dernière lettre que lui écrivit ce grand homme
our l’usage où elles les mettent. Il n’appartient qu’à elles de faire
lire
dans un seul mot tout un sentiment, et de rendre
cule ! mais quel homme on aurait pu faire de ces deux comiques ! J’ai
lu
Malherbe et Théophile242. Ils ont tous deux connu
rs et des raisonnements les mieux suivis. Je consens néanmoins qu’ils
lisent
celui que je vais faire, pourvu qu’ils ne se pers
canapé des princes. Là, dans la chambre et par tout l’appartement, on
lisait
apertement302 sur les visages. Monseigneur n’étai
apparaîtrai couvert de sang ; il croira voir les funestes tables, et
lire
son nom à la tête des proscrits. On murmure en se
ans ; il couchait dans la chambre du roi pendant ses maladies, et lui
lisait
ces chefs-d’œuvre d’éloquence et de poésie qui dé
chez le chapelier du coin de notre place Autour d’un caudebec j’en ai
lu
la préface546 L’autre jour, sur un mot, la cour
gneur ; on m’explique sa loi ; Dans son livre divin on m’apprend à la
lire
, Et déjà de ma main je commence à l’écrire. ATHAL
MM. Malitourne et Geruzez, qui lui ont consacré chacun une notice. On
lira
aussi avec intérêt, sur l’influence de Balzac au
mesure des périodes. » 21. Pour connaître ce grand homme il faudra
lire
l’Éloge que lui a consacré Thomas (M. Cousin l’a
id est sapientia ? semper idem velle et idem nolle. » 26. On pourra
lire
dans la IIe Tusculane de Cicéron une réfutation t
son rang », et qui dès l’âge de dix-huit ans, au rapport de Balzac, «
lisait
Polybe et Thucydide en leur langue et les expliqu
ter ce jugement de Voltaire : « Les Mémoires de La Rochefoucauld sont
lus
, et l’on sait par cœur ses Pensées. » Parmi les t
ans les éditions antérieures, qui affaiblissaient Pascal. M. Cousin a
lu
ici : « dans l’enceinte de ce raccourci d’abîme »
t accuser de dilapidation. Il fut arrêté le 5 septembre 1661 (on peut
lire
à ce sujet une lettre curieuse de Louis XIV à sa
elle vie, M. Royer-Collard, cet excellent juge des ouvrages d’esprit,
lisait
chaque soir, après une page de Tacite, quelques l
Mémoires de Mademoiselle, récemment édités par M. Chéruel, on pourra
lire
le récit détaillé de cet amusant épisode de l’his
onner une idée de cette espèce de sens qu’il n’a pas, il faudrait lui
lire
les Lettres de madame de Sévigné. » 149. Séguie
outé si madame de Sévigné avait le goût du grand. N’avait-il donc pas
lu
cette lettre ? 168. Lex orandi fuit Demosthene
e lettre ? 168. Lex orandi fuit Demosthenes , X, 1. 169. Il faut
lire
l’éloge qu’ont fait de Bossuet La Bruyère, dans s
(celui de Saint-Simon doit être modifié à quelques égards), on devra
lire
sur lui les discours de La Harpe et de l’abbé Mau
ort des persécuteurs de l’Église. 284. Sur eux-mêmes. 285. On peut
lire
à ce sujet de belles pages de Fénelon dans ses En
qu’on unit rarement à ce degré : il avait reçu de la nature le don de
lire
dans les esprits et dans les cœurs à travers les
endre une résolution qui coûte un effort, un sacrifice. 333. On peut
lire
sur Mithridate une fort belle page de Montesquieu
notre Académie des sciences, ainsi que l’atteste son éloge qu’on peut
lire
dans Fontenelle. Mais on ne voit point qu’il ait
s de poignard et attaquent les hommes le sabre à la main. » 354. On
lira
avec un vif intérêt le récit des aventures de Cha
parer ces points de vue divers, mais supérieurs ; en d’autres termes,
lire
ce qu’ont écrit, sur l’éloquence. Aristote. Plato
que les lettres avaient fait briller de tant de gloire. 383. On peut
lire
sur Vauvenargues une notice de Suard, imprimée en
ssée dans ses maux, où mon âme espérerait, elle ? » 394. « Je vais
lire
vos Portraits (ou Caractères, comme les appelait
cet auteur sur Corneille, contenu dans la Biographie universelle. On
lira
aussi, mais avec circonspection, la vie de Cornei
de son génie. On a prétendu qu’avant d’être représenté, Polyeucte fut
lu
par l’auteur à l’hôtel de Rambouillet, et qu’il n
re, il nous a laissé aussi d’excellentes pages de prose, dont on peut
lire
quelques-unes dans le volume de nos Morceaux choi
d’Auger, d’Aimé Martin, et plus récemment celle de M. Louandre. Pour
lire
avec fruit cet auteur, on fera également un très
a moralité fondamentale de sa comédie du Misanthrope. 503. D’autres
lisent
ainsi ce vers : Mais ce flegme, monsieur qui rai
u sujet de ces règles exprimées avec une si habile précision, il faut
lire
le discours de Corneille sur les unités, dans le
ignaler encore Vauvenargues. Auger, Lemercier, Roger et M. Nisard. On
lira
aussi avec intérêt, sur la vie domestique et sur
fortifie l’intérêt dominant de son sujet. 665. La prophétie qu’on va
lire
, « composée, dit Geoffroy, de passages de l’Écrit
Claude, vers 50 après Jésus-Christ, est emprunté à Tacite. On pourra
lire
dans les Annales les chap. 44 et suiv. du livre X
est neuf et vigoureux ! » On a souvent répété que Boileau, qui se fit
lire
, dans sa dernière maladie, le début de cette pièc
re, le cours des comètes et le flux et le reflux de la mer. — Il faut
lire
l’éloge de Newton par Fontenelle. « De cette pure
que à ses différents âges », que la Revue des deux Mondes a publié le
lu
février 1848, M. Patin a rappelé aussi avec quel
dence, on les juge avec une légèreté dédaigneuse, et souvent sans les
lire
. Les recueils du moins doivent servir à protéger
veillé et dirigé par son professeur mais le nombre des morceaux ainsi
lus
et commentés dans la classe sera toujours restrei
es hautes facultés de sa belle et forte intelligence, quinze ans elle
lisait
Montesquieu cl étonnait par la fermeté précoce de
ord j’essayai de ranimer cette société endormie : je leur proposai de
lire
des vers, de faire de la musique. Une fois le jou
age humain exerce un grand pouvoir sur le cœur humain ; et quand vous
lisez
sur ce visage une désapprobation secrète, elle vo
de Weimar, en présence d’une société aussi éclairée qu’imposante ; il
lisais
très bien le français, mais il ne l’avait jamais
prit public une influence considérable, et ses discours, plus souvent
lus
que prononcés à la chambre des pairs, attestent a
isage des héros chrétiens. Leur valeur tranquille était pareille à un
lis
sans tache. Lorsque la légion s’avança dans la pl
ciel un souffle divin qui semblait tenir à peine à ce corps formé par
lus
Grâces ; elle tombe comme une fleur que la faux d
lieu de délices ; je vis cependant quelques fleurs, entre autres des
lis
bleus portés par une espèce de glaïeuls ; j’en cu
cé devant ses yeux. C’était sa réponse qu’il avait préparée, et qu’il
lut
sans que personne l’écoutât, se hâtant de lui-mêm
levé, l’évêque arriva et commença les exercices religieux : comme il
lisait
dans le xxviie chapitre de l’Évangile selon sain
n Provence, il revenait presque aveugle à Paris, condamné désormais à
lire
par les yeux d’autrui et à dicter au lieu d’écrir
prit l’un après l’autre et les jeta dans le large foyer au milieu des
lisons
brûlants. Ses yeux s’animaient en voyant la flamm
chercha dans la Vie des Saints, que ses filles avaient coutume de lui
lire
tous les soirs, un grand coupable à qui Dieu eût
elle se rendit dans son oratoire. Elle s’agenouilla devant l’autel et
lut
avec une grande ferveur les prières des agonisant
, admis dans le château, dont on avait fermé les portes. Robert Beale
lut
alors la sentence, que Marie écouta en silence, e
a justification256, elle se mit à prier. Le docteur Flechter se mit à
lire
la prière des morts selon le rit anglican, tandis
, de l’honnêteté, du dévouement, qu’il peut apprendre à tous ceux qui
liront
sa vie à se servir de l’intelligence que Dieu leu
andeur de l’entreprise, quand M. Thiers nous apprend lui-même qu’il «
lut
, relut et annota de sa propre main les innombrabl
nouveau pour nous280 ? Les dieux dans leurs secrets lui permettent de
lire
: Elle y voit les États se heurter, se détruire,
i revu la nature, et tout est oublié. Dans nos champs, le matin, deux
lis
venant d’éclore Brillent-ils à nos yeux des larme
Tableau de la littérature française depuis 1789, on reste surpris de
lire
signées d’un tel nom des pages empreintes d’une m
vant elle au sénat rassemblé : Devant elle, au sénat, Tibère entendra
lire
Les ordres qu’en secret il osait me prescrire ; E
cupait de poésie : à ses heures de loisir, au retour de l’atelier, il
lisait
beaucoup (Molière et La Fontaine étaient ses aute
lentement pour m’être plus sensible ; Dans ses traits expirants où je
lisais
mon sort, J’ai vu lutter ensemble et l’amour et l
t eu peu de goût pour les hommes de génie taciturnes ? 29. On pourra
lire
à ce sujet la pièce de Goethe intitulée : le Trio
oir les chap. xvii, xviii, xix et xx de la IIe partie. 33. On pourra
lire
de belles pages de Schiller sur la vocation du po
86. Castor et Pollux, fils de Jupiter. 87. Chap. XLI. 88. On peut
lire
sur cette poétique tradition une belle page de Bu
és dans l’Océan avec les rivières les plus inconnues. » 91. Il faut
lire
dans l’Odyssée (chant IV) la visite de Télémaque
oire que d’avoir ainsi préparé l’affranchissement de ce pays. On peut
lire
à la fin de la première partie de l’Itinéraire un
n et d’ossements humains. 105. Odyssée, livre XXIV. 106. On pourra
lire
au début de la deuxième partie de l’Itinéraire ce
ience doit à Buffon de progrès réels et de fécondes inductions. 156.
Lire
ce discours, annoté avec soin et commenté par de
lotte Corday, pour attirer sur Chénier la haine des factieux. On peut
lire
sur André Chénier, homme politique, une causerie
re, à tes volontés rebelle, Me révolte contre ta loi… 189. Il faut
lire
à ce sujet la belle ode d’Horace, la ve du livre
de bataille. Les Franks l’invoquaient en allant au combat. On pourra
lire
dans l’Histoire littéraire de la France avant le
199. Sidoine Apollinaire, Carmen in panegyr, Majoriani. — On pourra
lire
dans l’ouvrage précédemment cité de M. Ampère deu
erres si étroitement lié à l’état des personnes au moyen âge. Il faut
lire
ce qu’il a écrit dans le quatrième Essai sur les
divers changements qui transforment sans cesse l’humanité. On pourra
lire
dans les Mélanges philosophiques de M. Jouffroy u
uemment « le pôle divin placé au milieu des temps. » 249. On pourra
lire
à ce sujet le livre de Cuvier sur les Révolutions
haux ou juge criminel. 255. Médecin de Marie Stuart. 256. On pourra
lire
cette justification dans les Recherches de la Fra
Arcole et de Lodi fort étonné de cette incartade. » 275. 1784. — On
lira
avec un vif intérêt, dans la 44e leçon citée plus
ène V de l’acte Ier, où le poète la fait entrer en scène. Après avoir
lu
la lettre où Macbeth lui fait part de l’apparitio
: Crois-tu qu’à pardonner un père ait tant de peine ? 296. Ducis
lut
cette épître a l’Académie française le jour (13 f
jour, à cette heure si douce de la première aurore. » 340. On peut
lire
dans le Songe de Scipion (liv. VI de la Républiqu
de Latouche, au début du volume des Poésies d’André Chénier. 345. On
lira
avec profit sur Marie-Joseph Chénier la 58e et la
doute : recueillant seul le profil de la fureur des triumvirs. 355.
Lire
sur Auguste le ch. XIII des Considérations sur le
uruy a cherché à réhabiliter Tibère contre l’arrêt de l’histoire : on
lira
avec intérêt sur la mort de Germanicus les derniè
toute-puissance de Dieu, nous voulons croire à sa bonté, nous voulons
lire
dans tous ses ouvrages non pas seulement les sign
endant la force d’ordonner la mort de Nemours. Il sera intéressant de
lire
la lettre d’Etienne Pasquier à M. de Thiard, cité
ée pour plaire aux princes mahométans, dont pas un, je crois, ne sait
lire
, et qui nous meurtrissent l’omoplate en nous disa
dèle en laid. Voltaire disait : « sa naïveté m’enchante : quand je le
lis
, je lui pardonne ses impudences et ses pétulances
tions et éclaircissements Errata. Page 13, ligne 16, Mercruius,
lisez
Mercurius. — 18, — 22, benecifio, lisez beneficio
Page 13, ligne 16, Mercruius, lisez Mercurius. — 18, — 22, benecifio,
lisez
beneficio. — 24, — 10, trignita, lisez trignita.
curius. — 18, — 22, benecifio, lisez beneficio. — 24, — 10, trignita,
lisez
trignita. — 46, — 20, maximi, lisez Maximi. — 50,
beneficio. — 24, — 10, trignita, lisez trignita. — 46, — 20, maximi,
lisez
Maximi. — 50, — 27, fatus, lisez factus. — 64, —
lisez trignita. — 46, — 20, maximi, lisez Maximi. — 50, — 27, fatus,
lisez
factus. — 64, — 12, fabriquées, lisez forgées. —
isez Maximi. — 50, — 27, fatus, lisez factus. — 64, — 12, fabriquées,
lisez
forgées. — 66, — 7, Esquilinam, lisez Esquilinum.
factus. — 64, — 12, fabriquées, lisez forgées. — 66, — 7, Esquilinam,
lisez
Esquilinum. — 67, — 15, servitude, lisez servitut
gées. — 66, — 7, Esquilinam, lisez Esquilinum. — 67, — 15, servitude,
lisez
servitute. — 90, — 23, tuiles, lisez briques. — 9
quilinum. — 67, — 15, servitude, lisez servitute. — 90, — 23, tuiles,
lisez
briques. — 96, — 24, d’un arpent, lisez de cent p
ervitute. — 90, — 23, tuiles, lisez briques. — 96, — 24, d’un arpent,
lisez
de cent pieds. — 114, — 3, fuêrunt, lisez fuerunt
s. — 96, — 24, d’un arpent, lisez de cent pieds. — 114, — 3, fuêrunt,
lisez
fuerunt. — 130, — 28 et 29, de blessures, lisez à
— 114, — 3, fuêrunt, lisez fuerunt. — 130, — 28 et 29, de blessures,
lisez
à coups de verg — 133, — 24, bienfaits, lisez bi
8 et 29, de blessures, lisez à coups de verg — 133, — 24, bienfaits,
lisez
biens. — 138, — 25, quadringenta, lisez quadragin
verg — 133, — 24, bienfaits, lisez biens. — 138, — 25, quadringenta,
lisez
quadraginta. Cours de versions latines. Deux
ut la colère en punissant. — 9. L’élégance du style se perfectionne à
lire
les orateurs et les poëtes. — 10. Bien des gens m
s rampent sur la terre. — 16. A la campagne, je n’écris rien, mais je
lis
très-volontiers. — 17. Préparer la guerre et ména
Italie avec sa mère. Il apprit le premier aux habitants de l’Italie à
lire
et à écrire ; c’est lui encore qui leur fit conna
e, soit que je me livre en moi-même à quelque méditation, soit que je
lise
ou que j’écrive quelque chose. — 3. J’ai obéi à m
à l’honneur de son pays. C’est pourquoi il s’appliqua non-seulement à
lire
les livres des philosophes, mais encore à traiter
de leur maladie. — 2. Eschine d’Athènes, orateur éminent, après avoir
lu
aux Rhodiens l’accusation qu’il avait prononcée c
x Rhodiens l’accusation qu’il avait prononcée contre Démosthène, leur
lut
aussi la réponse de Démosthène, et les voyant éme
nc pris la coupe, il remet la lettre au médecin, et lui ordonne de la
lire
. Alors il boit la potion avec assurance, et en bu
ce, et en buvant il tient les yeux fixés sur le visage du médecin qui
lisait
. Dès qu’il le vit rester impassible, il se rassur
i ordonnait d’épargner leur vie ; il la mit dans son sein avant de la
lire
, ordonna de passer outre à l’exécution de la loi,
vœu d’offrir à Diane ce qui naîtrait de [illisible chars][texte coupé]
lus
beau dans son royaume pendant l’année, lui im[ill
génie ; en effet, il n’était rien né de [illisible chars][texte coupé]
lus
beau pendant cette année. — 6. Après que l’ar[ill
isible chars][texte coupé]t l’insolence des autres. » — 3. Il ne faut
lire
que [illisible chars][texte coupé]s meilleurs aut
pire que par les conseils et au gré des [illisible chars][texte coupé]
lus
vils histrions. § 224. Adverbes de quantité j
ite d’un jugement qui aboutit à sa honte, et s’étant retiré à Rhodes,
lut
, dit-on, à la demande des Rhodiens, ce discours f
pour adversaire. Après cette lecture, on lui demanda le lendemain de
lire
pareillement la réplique que Démosthène lui avait
que Démosthène lui avait faite en faveur de Ctésiphon. Quand il l’eut
lue
d’une voix pleine de douceur et de force, voyant
t, pendant que l’assemblée se réunissait, il ne pouvait s’empêcher de
lire
des livres grecs. — 5. Solon donna aux Athéniens
es choses dignes d’être écrites, ou d’écrire des choses dignes d’être
lues
; et comme les plus heureux des hommes, ceux qui
mnait les gens à mort sans les entendre. — 5. Alexandre, après avoir
lu
une lettre de sa mère, qui l’avertissait de se mé
i ordonna d’en prendre lecture avant tout. Antiochus, après les avoir
lues
, dit qu’il réfléchirait sur ce qu’il avait à fair
e pas à redoubler et à s’aggraver extrêmement. — 4. On dit qu’il faut
lire
beaucoup, et non lire beaucoup de choses ; en eff
s’aggraver extrêmement. — 4. On dit qu’il faut lire beaucoup, et non
lire
beaucoup de choses ; en effet, la multitude des l
ince de la sagesse romaine, ce Caton qui, avant de se donner la mort,
lut
, à ce qu’on rapporte, le livre de Platon sur l’im
empruntée. — 6. Nous ne pouvons regarder le soleil en face. — 7. J’ai
lu
qu’un habitant de Gadès, attiré par le nom et la
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