ris Duvernez, devint, grâce à son adresse, une importante question de
liberté
publique et d’intérêt général. Il y trouva prétex
ont d’un château fort, à l’entrée duquel je laissai l’espérance et la
liberté
. Que je voudrais bien tenir un de ces puissants d
ont d’importance qu’aux lieux où l’on en gêne le cours1 ; que sans la
liberté
de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur, et qu
ant ma retraite économique, il s’est établi dans Madrid un système de
liberté
sur la vente des productions, qui s’étend même à
l’inspection de deux ou trois censeurs. Pour profiter de cette douce
liberté
, j’annonce un écrit périodique, et croyant n’alle
nce affaire de quelques louis devient par son adresse une question de
liberté
publique et d’intérêt général. Par des pamphlets
s des calamités sans nombre ; déchiré par mille ennemis ; privé de ta
liberté
, de tes biens ; accusé de rapines, de faux, d’imp
ont d’un château fort, à l’entrée duquel je laissai l’espérance et la
liberté
. Que je voudrais bien tenir un de ces puissants d
ont d’importance qu’aux lieux où l’on en gêne le cours1 ; que sans la
liberté
de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur, et qu
ant ma retraite économique, il s’est établi dans Madrid un système de
liberté
sur la vente des productions, qui s’étend même à
l’inspection de deux ou trois censeurs. Pour profiter de cette douce
liberté
, j’annonce un écrit périodique, et croyant n’alle
. Le comte Almaviva doit être joué très-noblement, mais avec grâce et
liberté
. La corruption du cœur ne doit rien ôter au bon t
trement puissante d’une parole inspirée par l’amour du droit et de la
liberté
. IV L’éloquence grecque dans les cités démoc
errière a succédé l’égalité politique ; à la discipline des camps, la
liberté
de la place publique. Avec la forme de l’État, le
la mer et les îles tributaires. Ce spectacle de la grandeur et de la
liberté
de leur patrie est bien fait pour agrandir leurs
t des dieux qui les ont protégés contre les barbares et l’amour de la
liberté
qu’ils ont achetée au prix de tant de sacrifices.
cendants aimaient mieux le bien-être que la patrie et le repos que la
liberté
… Mais pourquoi m’étendre sur le tableau de la déc
tution démocratique, et, soit calcul, soit désespoir, trahissaient la
liberté
et livraient la patrie à l’ennemi, sous prétexte
ndeur, c’est d’avoir compris que la puissance d’Athènes fondée par la
liberté
ne pouvait se relever que par la liberté. C’est à
ance d’Athènes fondée par la liberté ne pouvait se relever que par la
liberté
. C’est à cette grande idée qu’il dut son influenc
nts. Elle était encore capable de se passionner pour le beau, pour la
liberté
, pour la justice, et de s’exalter au souvenir du
est menacée par Philippe : il faut la secourir. Votre honneur, votre
liberté
sont intéressés à son salut ; sa chute ouvre à Ph
il s’en arme comme le prisonnier s’arme de ses fers pour conquérir sa
liberté
. Il ressemble au torrent qui emprunte ses forces
pas de ces inconséquences. Dans le grand combat qu’il soutint pour la
liberté
de son pays contre l’ambition de la Macédoine, on
ns, non, vous n’avez pas failli, quand vous vous êtes exposés pour la
liberté
et le salut le tous, j’en jure par nos ancêtres l
ompensèrent par de magnifiques décrets de n’avoir pas désespéré de la
liberté
, même quand la liberté était perdue pour jamais.
ifiques décrets de n’avoir pas désespéré de la liberté, même quand la
liberté
était perdue pour jamais. Certes, voilà bien des
doine qui est en lutte avec une petite république : c’est l’esprit de
liberté
aux prises avec l’esprit de conquête et d’oppress
s deux mains ; j’aurai assez de l’une ou de l’autre pour conquérir la
liberté
par le glaive. Craignez-vous de confier une épée
la justice, la sagesse, la paix, la joie, les plaisirs purs, la vraie
liberté
, la douce abondance, la gloire sans tache. « Je v
lois sont étouffées par la force, les droits sacrés sont anéantis, la
liberté
gémit accablée sous des armes sacrilèges ! Et qua
ue et ne permettront pas que César opprime à jamais et les lois et la
liberté
de Rome ! » Traduit de Thomas May, écrivain Angl
attre, la piété, la fermeté invincible, l’amour de la patrie et de la
liberté
. Chez nos ennemis, dominent la volonté des chefs
os âmes, grâce à une valeur inébranlable, l’espérance de recouvrer la
liberté
. L’armée des ennemis est partagée en plusieurs co
! l’on comblerait d’éloges ceux qui ont sacrifié leur existence à la
liberté
commune, et pourtant on n’aurait pas honte de pré
Mytilène, innocents de tout crime, possédés seulement du regret de la
liberté
perdue ? » XXXIX. Discours de Gylippe. Troisi
es, aux dévastations de vos ennemis ! « Ainsi donc, si vous rendez la
liberté
aux prisonniers Athéniens, si vous faites avec At
rai, de ne pas couper mon discours par des exclamations : tu auras la
liberté
de me répondre ensuite tout à loisir. Je t’ai tro
la flamme et les traits, et nous ne craindrons pas d’endurer pour la
liberté
ce que souffrit Sagonte assiégée par le cruel Car
rances mutuelles de deux nations. Quant à ce qui est de les mettre en
liberté
, je n’approuve pas l’idée de les renvoyer tous sa
ue même je ne les condamne à aucune amende, mais que je leur rends la
liberté
, en les épargnant, comme s’ils avaient bien mérit
contraire pour l’en délivrer. Notre victoire sera la gardienne de la
liberté
et des lois. Si les dieux n’eussent connu à fond
trouverais très glorieux pour nous de le donner, afin d’assurer notre
liberté
, et de le transmettre à nos descendants. » Tradu
atrie nous encouragent à triompher des Romains. Soyons vainqueurs, la
liberté
nous attend, et l’esclavage, si nous sommes vainc
s, la liberté nous attend, et l’esclavage, si nous sommes vaincus. La
liberté
! c’est le patrimoine des Parthes : protégeons-la
des brigands cupides et ambitieux l’amour de la patrie, la valeur, la
liberté
. » LXVI. Entretien de Xerxès et de Démarate.
est féconde en héros qui sauront tout souffrir, tout essayer pour la
liberté
, pour la défense de leurs autels et de leurs foye
rité, je ne cherche pas à vous flatter ; en agissant autrement, notre
liberté
commune ne serait peut-être pas sauvegardée dans
nous d’immenses avantages. Dès qu’on verra briller l’espérance d’une
liberté
reconquise, alors pour l’atteindre, plus de révol
ge de si grands bienfaits, nous te demandons seulement de rétablir la
liberté
détruite ; accomplis cette tâche, et la renommée
xprime en ces termes : « Grand Prince, si je donne mon avis en toute
liberté
, j’espère que vous ne condamnerez pas ma franchis
e, conduite ici par le vainqueur avec tout le butin, elle recouvra sa
liberté
, grâce à une rançon considérable ; mais bientôt l
aux armes étincelantes, t’entraînera toute en larmes et te ravira la
liberté
! Captive dans la ville d’Argos, tu tourneras le
tu recherches la gloire des combats, si tu veux rendre tes amis à la
liberté
, asservir tes ennemis, prends les maîtres les plu
e aux Athéniens. Il les engage à veiller à la conservation de leur
liberté
et à songer que les citoyens d’une ville sont ava
us fort, en n’agissant pas conformément à la justice, ni de vendre sa
liberté
pour obtenir son salut ; mais elle a toujours per
ble servitude ; ils auraient mieux aimé ne pas vivre que de perdre la
liberté
. Chacun ne se croyait pas né seulement pour ses p
tiques, basés sur le même plan, animés du même esprit de gloire et de
liberté
, mutuellement jaloux, et nécessairement rivaux le
en faire ? C’était dans les luttes perpétuelles des factions et de la
liberté
, dans le torrent d’une vie toujours active, au mi
citoyens n’étaient ingrats. Il pensa, parla et vécut toujours pour la
liberté
de son pays, et travailla quarante ans à ranimer
ique ambitieuse de Philippe, roi de Macédoine, l’ennemi déclaré de la
liberté
de la Grèce, et de les prémunir contre les mesure
es et l’élégance de la cour ; Molière doit à la puissance du trône la
liberté
de son génie ; La Fontaine lui-même s’aperçoit1 d
ez inspirer l’éloquence, cette altière élève des révolutions et de la
liberté
? C’est là que nous apparaît le trait distinctif
e un exemple de probité antique ; elle n’était plus la sauvegarde des
libertés
que ses pères avaient défendues ; Lamoignon avait
cette littérature imitée et quelquefois transcrite de l’antiquité. La
liberté
du pinceau se trouva jusque dans les copies qui s
i et de cœur à tout ce qui honore, console et relève l’humanité, à la
liberté
, à la religion, à la vérité, semblent rendre enco
donc, pour l’instruction de nos contemporains, mettre à profit cette
liberté
que nous pouvons prendre sur les auteurs qui ne s
la multitude et la diriger à leur gré. Mais, malgré les orages de la
liberté
, les grands intérêts, et le plaisir de gouverner
its que n’a pas le reste des hommes. Chez les anciens, d’ailleurs, la
liberté
républicaine permettait plus d’énergie aux sentim
nce avec Cicéron, elle expira avec lui. Rien de moins surprenant : la
liberté
n’était plus, et l’empire romain devenait la proi
uelques-uns des beaux-arts, qui dépendent moins essentiellement de la
liberté
, se soutinrent quelque temps encore. Mais les dis
es sociétés ; il forme des vœux généreux d’humanité, de justice et de
liberté
réglée. Il allume des flambeaux qui ne s’éteindro
et les succès qui leur arrivent leur font presque toujours perdre la
liberté
; au lieu que les succès et les malheurs d’un Éta
le dont le peuple n’avait eu qu’un même esprit, un même amour pour la
liberté
, une même haine pour la tyrannie, où cette jalous
n État qui se donne le nom de république, on peut être certain que la
liberté
n’y est pas. Ce qu’on appelle union dans un corps
t profité, ni de malheurs dont elle ne se soit servie. Elle perdit sa
liberté
parce qu’elle acheva trop tôt son ouvrage2. I
ement même qu’on avait proscrit1. Quand Sylla voulut rendre à Rome la
liberté
, elle ne put plus la recevoir : elle n’avait plus
la réveiller : on y craignait Philippe, non pas comme l’ennemi de la
liberté
, mais des plaisirs. Cette ville, qui avait résist
a le secret d’associer dans une sorte d’idéal les mots d’Empire et de
Liberté
. Sa gaieté, composée de bon sens narquois et de m
illaient dans la bataille Ces habits bleus par la victoire usés6 ! La
liberté
mêlait à la mitraille Des fers rompus et des scep
encor toute noircie, Leur bouche est prête à flatter les tyrans9. La
liberté
déserte avec ses armes ; D’un trône à l’autre il
nir drame. Il a gravé pour l’immortalité des vers comme ceux-ci : La
liberté
mêlant à la mitraille Des fers rompus et des scep
que les droits soient proportionnés au mérite de qui les obtient. La
liberté
est une conquête funeste à qui n’est point digne
son, de la justice et des lois ; il pense avoir ôté à Rome jusqu’à la
liberté
de la voix et de la respiration : ou les pauvres
e un siècle en poudre, Il éclate comme la foudre Dans un mot de feu :
Liberté
! Puis, dégoûté de son ouvrage, D’un mot qui tonn
e ne ressens pas le moindre embarras à en parler, et à en parler avec
liberté
. Personne n’ignore qu’au moment où il s’est saisi
ouces voix de dieux tutélaires de la patrie et de restaurateurs de la
liberté
publique. Celui qui leur inspirait ce venin avec
euve : dans la guerre et dans le gouvernement, résister, au nom de la
liberté
et au nom du pouvoir, au roi et au peuple ; comme
vière pour ramener l’abondance. Le roi songeait-il non à proclamer la
liberté
des entrées, mais à rendre aux protestants l’état
n supprimait ou on allégeait au moins les entraves que mettaient à la
liberté
du commerce les jurandes et les maîtrises ; vite
que d’abord le droit d’arriver, par l’indépendance de la raison et la
liberté
de penser, aux vérités que l’autorité religieuse
u prix de son sang que la postérité Doit recueillir un jour la sainte
liberté
. Cela suffit. Qu’importe où sa cendre repose ? Il
hington ; il agit avec lenteur : on dirait qu’il se sent chargé de la
liberté
de l’avenir et qu’il craint de la compromettre. C
le géant révolutionnaire ; mais en écrasant l’anarchie, il étouffe la
liberté
, et finit par perdre la sienne sur son dernier ch
ettre incessamment en lumière les conditions essentielles de la vraie
liberté
, de la liberté pour tous, sans restrictions ni ré
ent en lumière les conditions essentielles de la vraie liberté, de la
liberté
pour tous, sans restrictions ni réticences, ils a
reprendre son empire sans recours à la violence, sans dommage pour la
liberté
à qui le devait-on ? L’histoire n’oubliera pas d’
enaient d’être retrouvés, chacun redressa la tête, et ce grand nom de
liberté
, déshonoré par l’anarchie, proscrit par le despot
s de tous exposés au grand jour par un Aristophane aux mille noms, la
liberté
de la presse fait, il faut l’avouer, une formidab
tat, d’un péril, d’une coalition des puissances de l’Europe contre la
liberté
, ou du meilleur terrain à semer les navets, le st
Et dans tous les chemins montre les pas de Dieu. V. Hugo, La
Liberté
Tu n’as rien toi, Tyrol, ni temples ni riches
, chasseresse ! Mais l’amour de ton cœur s’appelle d’un beau nom : La
liberté
! Qu’importe au fils de la montagne Pour quel des
à Dieu. L’air du ciel ! l’air de tous ! vierge comme le feu ! Oui, la
liberté
meurt sur le fumier des villes. Oui, vous qui la
nez-moi la sandale et la pique ferrée : Elle est là sur les monts, la
liberté
sacrée. C’est là qu’à chaque pas l’homme la voit
ul jour, éblouissant ma vue, Ce beau soleil me réchauffe le cœur ! La
liberté
, que de loin je salue, Me crie : « Accours, Thras
nte en soi fleurir sa puberté, Il n’est qu’un seul moyen, et c’est la
liberté
. Cette seconde ardeur remplaçant la première, Rom
git pour lui. Comme je vous estime, il m’est aisé de croire Que de la
liberté
vous feriez votre gloire, Que votre âme en secret
re ; Qu’on croit n’être en vos fers qu’esclave volontaire ; Et que la
liberté
trouvera peu de jour À détruire un pouvoir que fa
souverain, Qui pour tout conserver tienne tout en sa main ; Et si sa
liberté
te faisait entreprendre, Tu ne m’eusses jamais em
in, Et la triste Italie encor toute fumante Des feux qu’a rallumés sa
liberté
mourante. Non, princes, ce n’est point au bout de
oi-même, revêtu d’un pouvoir emprunté, Que je reçus de Claude avec la
liberté
, J’ai cent fois, dans le cours de ma gloire passé
mble. ROBESPIERRE. Les essais ne sont pas si faciles qu’il semble. La
liberté
ne vit que par les bonnes mœurs ; Pour réformer l
Et vais tout droit au but, par des chemins très-courts. Eh bien ! la
liberté
ne sera pas fondée, Si l’on ne suit ma simple et
r, Des cris qu’elle déteste exagérant l’ardeur ! DANTON. Morbleu ! la
liberté
ne veut pas de despotes, Chapeau bas, grands seig
ont d’un château fort, à l’entrée duquel je laissai l’espérance et la
liberté
. Que je voudrais bien tenir un de ces puissants d
’ont d’importance qu’aux lieux où l’on en gêne le cours ; que sans la
liberté
de blâmer, il n’est point d’éloge flatteur, et qu
ant ma retraite économique, il s’est établi dans Madrid un système de
liberté
sur la vente des productions, qui s’étend même à
l’inspection de deux ou trois censeurs. Pour profiter de cette douce
liberté
, j’annonce un écrit périodique, et croyant n’alle
foi publique ? Je ne vous dis plus. Eh ! quels titres avez-vous à la
liberté
, quels moyens vous resteront pour la maintenir, s
désaltérer de sang. Et savez-vous, citoyens, comment disposent de la
liberté
des citoyens ces hommes qui s’imaginent qu’on a f
en être secondé soi-même. Voilà de quelle étrange série dépendent la
liberté
et la vie des citoyens ; voilà entre quelles main
tution qui assure le bonheur de la France et consolide le règne de la
liberté
. Je demande que les membres de la commune réponde
e cet acte solennel n’est point une vaine forme ; que le temple de la
liberté
est aussi celui de l’impartialité que la loi comm
rs des insinuations sans consistance. Casimir Périer. Pour la
Liberté
de la Presse Messieurs, une loi qui nie la mo
loi de tyrannie. Or, messieurs, il en est de la tyrannie comme de la
liberté
: il ne suffit pas de l’écrire ; elle a ses précé
juge par ses œuvres. Voilà qu’elle vous propose la destruction de la
liberté
de la presse ; l’année dernière, elle avait exhum
le mouvement des esprits ne vient pas seulement des livres. Né de la
liberté
des conditions, il vit du travail, de la richesse
au jour de l’affranchissement des communes, sinistre précurseur de la
liberté
de la presse, qui, frappée des mêmes anathèmes pa
ttres familières, c’est lui qui encourage tout le monde à défendre la
liberté
. Au moment où le triumvirat se forme entre Octave
âme a pu être abattue, déchirée ; son patriotisme et son amour de la
liberté
n’ont pas fléchi. Dans ses lettres, dans ses disc
, et n’attaqua point ces vices dangereux qui venaient de renverser la
liberté
romaine et devaient finir par renverser l’empire.
uit en réduit. Mon travail sans appui monte sur le théâtre, Chacun en
liberté
l’y blâme ou l’idolâtre ; Là, sans que mes amis p
ossuet, d’un accent ferme et mesuré, avec le respect d’un sujet et la
liberté
d’un apôtre, proclamer le néant des choses humain
. Pardonnons beaucoup à celui qui a écrit tant de belles pages sur la
liberté
, sur la vertu et sur Dieu ; mais réservons notre
itié de son esprit. Sa verve avait besoin de licence pour circuler en
liberté
. Voltaire, dans ses écrits, n’est jamais seul ave
i et de cœur à tout ce qui honore, console et relève l’humanité, à la
liberté
à la religion, à la vérité, semblent rendre encor
e voudrais pas de tout l’or de l’Asie, Au prix de ma paresse et de ma
liberté
. Vous avez quelquefois loué ma modestie ; En
monde politique est aussi réglé que le monde physique ; mais comme la
liberté
de 1’homme y joue un certain rôle, nous finissons
reux et chrétien, c’est le vœu de votre ami. Ozanam. Folie de
liberté
Le docteur Olybrius, etc., etc., a madame Dan
ste ; si on l’enferme, il se révolte ; il ne pense et ne parle que de
liberté
. Telle est la dégradation intellectuelle et moral
’ambition cède quelquefois à l’âge et au mépris des hommes ; folie de
liberté
, on n’en guérit jamais. Je me mets à vos pieds, c
nement même qu’on avait proscrit. Quand Sylla voulut rendre à Rome la
liberté
, elle ne put plus la recevoir : elle n’avait plus
la réveiller : on y craignait Philippe, non pas comme l’ennemi de la
liberté
, mais des plaisirs. Cette ville, qui avait résist
ux. De Montalembert 109. Aux Jeunes Gens Si vous aimez la
liberté
et la patrie, fuyez ce qui les a perdues. Loin de
ussi très-persuadés qu’en France la démocratie traversera toujours la
liberté
, qu’elle mène tout droit au désordre et par le dé
u désordre et par le désordre à la dictature. Ne demandez donc qu’une
liberté
modérée et attachez-vous-y de toutes les puissanc
pines ni les découragements de la rédaction ; où l’esprit, planant en
liberté
au-dessus des matériaux qu’il rassemble, compose
dans les rencontres particulières. Bossuet. La Religion et la
Liberté
Il y a des gens en France qui considèrent les
s ruines dans cet abîme pour essayer de le combler. Ceux-là sont à la
liberté
ce que les compagnies franches du moyen âge étaie
térêts. C’est le despotisme qui peut se passer de la foi, mais non la
liberté
. La religion est beaucoup plus nécessaire dans la
e ? Qu’est-il sorti du christianisme et de la société chrétienne ? La
liberté
moderne, les gouvernements représentatifs. Tourne
e sans bornes. Au contraire, l’Europe chrétienne est le berceau de la
liberté
; et si c’était ici le lieu et le temps, je vous
ter cette forme admirable de gouvernement qui identifie l’ordre et la
liberté
. C’est aussi le christianisme qui, après avoir co
c’est la découverte que cette âme est libre. Cette connaissance de la
liberté
produit l’idée du devoir ; analysant cette idée,
ns un petit nombre d’âmes privilégiées, d’amour de la gloire et de la
liberté
. Des peuples vaincus d’avance, engourdis depuis l
’exposer publiquement, et de défendre avec courage les intérêts de la
liberté
et la forme du gouvernement ; on peut dire aussi
bstacles réunis, et pour reconquérir une ombre au moins de l’ancienne
liberté
. Aussi peut-on remarquer une conformité singulièr
nt aux peuples anciens, les appasts9 de la servitude, le prix de leur
liberté
, les utils10 de la tyrannie. Ce moyen, ceste prac
ndu de tous n’eust pas quitté son escuelle de soupe pour recouvrer la
liberté
de la Republique de Platon. Les tyrans faisoient
oit faict à la mort de Jules Cæsar, qui donna congé8 aux lois et à la
liberté
: auquel personnage ils n’y ont trouvé, ce me sem
amation Aux Italiens Novembre 17971. Nous vous avons donné la
liberté
… sachez la conserver… Pour être dignes de votre d
és depuis des siècles à la tyrannie, vous n’eussiez pas conquis votre
liberté
; mais sous peu d’années, fussiez-vous abandonnés
vous serez dignes de l’armée dont vous faites partie. Le génie de la
liberté
, qui a rendu, dès sa naissance, la république l’a
assuré la puissance de nos alliés, n’ait restitué à notre commerce sa
liberté
et ses colonies. Nous avons conquis sur l’Elbe et
n grand commerce aujourd’hui, est intéressée à l’indépendance et à la
liberté
des mers. La destruction des principes révolution
rillaient dans la bataille Ces habits bleus par la Victoire usés ! La
Liberté
mêlait à la mitraille Des fers rompus et des scep
tous les exilés furent rappelés ; tous les prisonniers furent mis en
liberté
, tous les criminels furent justifiés, tous ceux q
aient devant lui. Le premier président parla à la reine avec toute la
liberté
que l’état des choses lui donnait. Il lui représe
lement étant sorti du Palais-Royal, et ne disant rien au peuple de la
liberté
de Broussel, ne trouva d’abord qu’un morne silenc
ibéra, et l’on donna arrêt par lequel la reine serait remerciée de la
liberté
accordée aux prisonniers. Aussitôt que l’arrêt fu
es, leurs sentiments, leurs images, leur plan, mais avec une certaine
liberté
, c’est-à-dire en les déguisant avec esprit ou en
eilleurs modèles, et imiter d’une manière noble, généreuse, pleine de
liberté
et d’aisance, comme La Fontaine qui dit de lui-mê
fait justice en ces termes d’une des maximes de la Révolution : La
liberté
, l’égalité, la fraternité ou la mort ont eu dans
fraternité ou la mort ont eu dans la Révolution une grande vogue. La
liberté
a abouti à couvrir la France de prisons ; l’égali
laissera pas à l’auditeur transporté hors de lui-même, le temps et la
liberté
de remarquer ses défauts : ils seront cachés dans
fort les paroles qu’il y doit prononcer. Si quelquefois il n’a pas la
liberté
de mesurer le style et les expressions de ses dis
ssances. Ses partisans se sont érigés en précepteurs du genre humain.
Liberté
de penser, voilà leur cri, et ce cri s’est fait e
nte en soi florir3 sa puberté, Il n’est qu’un seul moyen, et c’est la
liberté
. Cette seconde ardeur remplaçant la première, Rom
oses du monde, On ne peut y plier son humeur vagabonde. Rodolphe. La
liberté
, cher George, est le suprême bien. Je ne dois rie
ble. Robespierre. Les essais ne sont pas si faciles qu’il semble. La
liberté
ne vit que par les bonnes mœurs3 ; Pour réformer
, Et vais tout droit au but par des chemins très-courts. Eh bien ! la
liberté
ne sera pas fondée, Si l’on ne suit ma simple et
à grands pas, pendant les dernières paroles de Marat. Morbleu ! — la
liberté
ne veut pas de despotes. Chapeau bas, grands seig
s n’ont rien d’absolu, d’étroit et d’impérieux. Il trouve si douce la
liberté
d’opinion, qu’il ne cherche pas querelle aux diss
ttres familières, c’est lui qui encourage tout le monde à défendre la
liberté
. Au moment où le triumvirat se forme entre Octave
âme a pu être abattue, déchirée ; son patriotisme et son amour de la
liberté
n’ont pas fléchi. Dans ses lettres, dans ses disc
t dans ses Verrines, avec une sensibilité si profonde : O doux nom de
liberté
! droits sacrés du citoyen ! loi Porcia ! loi Sem
ie multitude de peuples qui attend de leur protection son salut et sa
liberté
; quand je vois que, dans un état policé, si la t
mille contraintes, ne laisse pas de les satisfaire, par l’image d’une
liberté
errante. Comme un arbre que le vent semble caress
grande inconstance, vous diriez toutefois que l’arbre s’égaye par la
liberté
de son mouvement. Ainsi, encore que3 les hommes d
son mouvement. Ainsi, encore que3 les hommes du monde n’aient pas de
liberté
véritable, étant presque toujours contraints de c
t qui les pousse, toutefois ils s’imaginent jouir d’un certain air de
liberté
et de paix, en promenant deçà et delà leurs désir
te de la vertu, qui en est le principe, et qui elle-même dépend de la
liberté
venue de Dieu et assistée de lui. Ce regard jeté
ence et le goût, l’histoire du monde, la science des tyrannies et des
libertés
, la lumière reçue des temps, l’ombre de tous les
orgueil ou de la charité, un esclave des sens ou du devoir ; et si la
liberté
lui demeure toujours contre le mal, ce sera pourt
mœurs. Ils ont trouvé des complices jusque dans les traditions de la
liberté
, et le forum, la tribune, le sénat, ont été les n
ue leur cœur n’a point faibli, et que leur parole a conservé toute sa
liberté
. Il vaut mieux cent fois se taire que de trahir l
uêtes. Quand Brutus inspirait au peuple romain un amour immense de la
liberté
, il ne songeait pas qu’il jetait dans les esprits
mille contraintes, ne laisse pas de les satisfaire, par l’image d’une
liberté
errante. Comme un arbre que le vent semble caress
grande inconstance, vous diriez toutefois que l’arbre s’égaye par la
liberté
de son mouvement. Ainsi, encore que les hommes du
e son mouvement. Ainsi, encore que les hommes du monde n’aient pas de
liberté
véritable, étant presque toujours contraints de c
t qui les pousse, toutefois ils s’imaginent jouir d’un certain air de
liberté
et de paix, en promenant deçà et delà leurs désir
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
; une reine fugitive, qui ne trouve aucune retrai
le cache. Et toutefois, grâce à la mort, nous en pouvons parler avec
liberté
. Il n’est rien de si grand dans le monde, qui ne
torze ans. 6. On voit par cette lettre que Bossuet sait concilier la
liberté
du prédicateur avec le respect du sujet. Il faut
sage, pour mieux s’étourdir, on s’y précipita. De là cette ivresse de
liberté
, qui tourne toutes les têtes ; ce feu français, c
une époque de réconciliation. Les principes de justice sociale et de
liberté
politique sont proclamés par le tiers état et acc
ns pour faire pénétrer et prévaloir l’équité dans l’état social et la
liberté
dans le gouvernement14. » Malgré tout, dans ces j
cipe est matérialiste, ses solutions spiritualistes. Car les idées de
liberté
, de droit, d’égalité, de dignité humaine, de phil
iste leur raison d’être et leur vérité. Comment nier théoriquement la
liberté
de l’homme et la rétablir dans l’ordre pratique d
cette étude s’appelèrent publicistes 20. « Les idées de réforme et de
liberté
que Fénelon avait proposées dans des mémoires con
, et Bolingbroke, qui, bien que jacobite, était, par ses habitudes de
liberté
anglaise et de scepticisme, un grand révolutionna
il ne les concilie le principe de la monarchie absolue et celui de la
liberté
des communes ; l’abbé Mably qui propose comme mod
l’humanité, réformé la pénalité, créé la science sociale, préparé la
liberté
politique : ce sont là ses gloires durables. D’ai
Révolution, n’avait pas cru acheter trop cher son repos du prix de sa
liberté
; mais devait-elle longtemps, avec sa nature arde
de la Révolution ou un temps d’arrêt ? Cet accord de l’ordre avec la
liberté
voulu par la nation, renonçait-elle définitivemen
cé par Chateaubriand et par Madame de Staël, se développe, grâce à la
liberté
des institutions nouvelles et à la faveur même de
des institutions nouvelles et à la faveur même des passions que cette
liberté
soulève ou combat. La tribune se relève. Des orat
variée, ne suffisait plus sous la Restauration à la curiosité et à la
liberté
des esprits. Une feuille célèbre, le Globe, répon
Duvergier de Hauranne, Ampère, Damiron, Dubois, Magnin. Grâce à cette
liberté
nouvelle des études, à la connaissance plus appro
e nouveau, mais un mouvement d’émancipation, une légitime reprise des
libertés
de l’art. Sous d’autres mots reparaissait la viei
s combinés du mouvement, nie par conséquent la personne humaine et la
liberté
. « Sous l’action lente, mais irrésistible de ces
ourde et grossière doctrine qui, en chassant du monde Dieu, l’âme, la
liberté
, ôte à la vie son sens, aux lettres et aux arts l
uisque vous m’avez recommandé d’être franc et sincère, je prendrai la
liberté
de vous dire que votre dernier discours ne me par
mouvement intime de sa conscience, enfin sa personne, sa volonté, sa
liberté
, et tout cela dans leur totalité entière, sacrifi
lle crainte qu’il ne leur échappât pour peu qu’ils lui laissassent de
liberté
. Ce monarque si altier gémissait dans ses fers, l
s de tous états, sur sa famille de tout âge, qui avait proscrit toute
liberté
jusqu’à la ravir aux consciences les plus saintes
risienne avant de la faire réfléchir. Les hardiesses frondeuses et la
liberté
trop vive de certains tableaux, ce fut là ce qui
lles, mirent leur confiance dans ce roi barbare qui les appelait à la
liberté
. Cette disposition des choses produisit trois gra
e revenu du fisc de plus d’un tiers, le pouvoir n’augmenta pas, et la
liberté
publique n’en fut que plus exposée147. Considéra
ent même qu’on avait proscrit160. Quand Sylla voulut rendre à Rome la
liberté
, elle ne put plus la recevoir : elle n’avait plus
la réveiller : on y craignait Philippe, non pas comme l’ennemi de la
liberté
, mais des plaisirs163. Cette ville, qui avait rés
, le système de Newton, le spectacle d’institutions politiques que la
liberté
affermissait au lieu d’ébranler, par malheur auss
auvaise ; il faudrait la venir rétablir dans l’air natal, jouir de la
liberté
, boire avec moi du lait de nos vaches, et brouter
e, avec les animaux ; mais dès qu’oubliant sa noblesse il sacrifia sa
liberté
pour se réunir aux autres, la guerre, l’âge de fe
és. Si, sous un climat doux, dans un terrain abondant, ils peuvent en
liberté
occuper un espace considérable au-delà duquel ils
à une doctrine qui fait de la souveraineté de tous la négation de la
liberté
individuelle, qui déplace le despotisme au lieu d
dération d’un temps éloigné qui peut ne jamais être. Non pas : car la
liberté
que je donne à mon élève le dédommage amplement d
mme peut voir, et, ne dépendant que de moi-même, je jouis de toute la
liberté
dont un homme peut jouir235. Voyager à pied, c’es
venargues, comme Pascal, défendit jusqu’à la fin contre la maladie la
liberté
de son esprit. Il mourut à Paris le 28 mai 1747.
ndue de l’esprit et du cœur humain que dans ces siècles fortunés ; la
liberté
découvre, jusque dans l’excès du crime, la vraie
e, a l’art enfin de transformer une affaire privée en une question de
liberté
publique. En 1787 Beaumarchais eut encore un autr
évelopper dans cette âme ardente la haine d’un régime politique où la
liberté
personnelle était si mal protégée contre les capr
publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titres avez-vous à la
liberté
? quels moyens vous resteront pour la maintenir,
ns l’exercice du droit de la paix et de la guerre est parricide de la
liberté
publique ; on répand des bruits de perfidie, de c
vingt ans combat toutes les oppressions, qui par lait aux Français de
liberté
, de constitution, de résistance, lorsque ses vils
étaient trop voisins, l’ébranlement trop sensible encore pour que la
liberté
sereine du jugement fût déjà possible ; mais ce q
nt permis au diable de barbouiller, de façon que les anges ont pleine
liberté
d’y écrire tout ce qu’ils voudront, pourvu que tu
poléon, deviendront dans notre pays les formes et les garanties de sa
liberté
politique. Anne-Louise-Germaine Necker, fille du
Le but de Mme de Staël était de montrer que tout ce qui profite à la
liberté
politique d’un peuple profite au talent. On compr
légant qu’ils n’avaient point à Sparte. L’amour de la patrie et de la
liberté
n’était point pour les Athéniens un instinct aveu
préoccupée de ne pas sacrifier le principe d’autorité au principe de
liberté
. Les ouvrages de Guizot sur les origines et la su
vain Selden, le plus ancien et le plus illustre des défenseurs de la
liberté
, Holborne, l’un des avocats de Hampden dans l’aff
un serment d’union, pour la défense de la religion protestante et des
libertés
publiques, fut adopté par les deux chambres ; les
ans la pensée, richesses d’une mémoire qui laisse à l’esprit toute sa
liberté
; style à la fois naturel et savant, que l’imagin
ses d’art et de goût. Cette élévation n’a pas toujours la forme de la
liberté
civile proprement dite : elle peut, suivant l’âge
un vif éclat poétique, alors même que la tradition de leurs vieilles
libertés
allait s’affaiblissant. Ainsi, l’Angleterre avait
e lumières pour n’avoir aucune volonté sur les affaires publiques, la
liberté
civile devient nécessaire à la dignité nationale.
dans l’ordre intellectuel, que celui qui renoncerait tout à fait à la
liberté
, dont il aurait eu la passion et le privilège. Ma
dans la civilisation imparfaite de l’empire romain, le souvenir de la
liberté
perdue, l’effort accidentel pour la ressaisir, ju
« Tu vas commander à des hommes, qui ne peuvent porter ni la complète
liberté
, ni la complète servitude438. » Choix d’études su
quité, le plus grand intérêt, la plus puissante affection, c’était la
liberté
; dans le dix-septième siècle, fut la religion. C
que, a cru devoir délivrer sa patrie de l’homme qui lui avait ravi sa
liberté
et ses vieilles institutions, qui peut trouver sa
pé au reproche d’avoir fait dans l’histoire la part trop étroite à la
liberté
humaine. Cette tendance fataliste apparaît surtou
toriques, à la tête de cette école fataliste qui, ne croyant pas à la
liberté
humaine, et n’ayant d’autre mesure que celle du s
e ; ici, la brume et la pluie, mais l’intelligence, la richesse et la
liberté
. Passez la frontière, comparez nos routes splendi
entier au triomphe de sa foi. Avec Montalembert, il voulut fonder la
liberté
de l’enseignement, avant que le principe en fût i
ne cessa d’aimer ce qui était bon, et personne n’a mieux parlé de la
liberté
que ce moine qui avait renoncé à la sienne. Les d
s que donnent aux trois premières sortes de critique la diversité, la
liberté
, l’histoire mêlée aux lettres, la beauté des tabl
sique, il n’a jamais, pour maintenir cette haute situation, aliéné sa
liberté
, et les jugements par lesquels il confirme ceux d
ire le fait évader pendant la nuit. Le premier usage qu’il fait de sa
liberté
, c’est d’aller frapper son tyran sous les yeux mê
, L’esprit semble écouter la voix de l’Éternel. Épitres, liv. La
liberté
. Dans le cours de nos ans, étroit et court pa
insi que moi ; « C’est le plus beau présent de notre commun Roi. « La
liberté
, qu’il donne à tout être qui pense, « Fait des mo
s zéphirs, « A ta propre pensée, et même à tes désirs. « Ah ! sans la
liberté
, que seraient donc nos âmes ? « Mobiles agités pa
« Vils instruments d’un Dieu qui nous aurait trompés. « Comment, sans
liberté
, serions-nous ses images ? « Que lui reviendrait-
ent le diable ? » Discours en vers sur l’Homme, 2e Discours : De la
Liberté
. Les Français à la guerre. Épître a M… Du
Terreur et faillit en être la victime. Forcé de payer la rançon de sa
liberté
en composant un hymne pour la fête de l’Être Supr
u poète anglais, élevé au-dessus de lui-même, et a rencontré, dans la
liberté
même d’une interprétation souvent peu sévère, que
toutes les mémoires : L’Aveugle, le Mendiant, la Jeune Tarentine, la
Liberté
, etc. Il médite aussi des œuvres plus étendues, e
rassemblés ? Notre âge est-il pareil aux temps dont vous parlez ? La
liberté
régnait sur les rives du Tibre ; César y règne se
i dirais-je, et prononce toi-même : Vois le crime, usurpant le nom de
liberté
, Rouler dans nos remparts son char ensanglanté ;
sans diadème, Des brigands, parvenus à l’empire suprême, Souillant la
liberté
d’éloges imposteurs, Immolaient en son nom ses pr
délaissé, doux rêves de la vie : Plaisir, gloire, bonheur, patrie et
liberté
, Vous fuyez loin d’un cœur vide et désenchanté. L
n des sens enchaîné sur la terre, Esclave, il sent un cœur né pour la
liberté
, Malheureux, il aspire à la félicité ; Il veut so
s plus contraires. La foi monarchique et chrétienne, la passion de la
liberté
, l’orgueilleux souvenir de l’épopée militaire du
de juillet. D’autres pièces, non moins célèbres, lui succédèrent : La
Liberté
, Quatre-vingt-treize, la Popularité, l’Idole. And
mble. ROBESPIERRE. Les essais ne sont pas si faciles qu’il semble. La
liberté
ne vit que par les bonnes mœurs ; Pour réformer l
, Et vais tout droit au but par des chemins très courts. Eh bien ! La
liberté
ne sera pas fondée, Si l’on ne suit ma simple et
Des cris qu’elle déteste exagérant l’ardeur ! DANTON. Morbleu ! — la
liberté
ne veut pas de despotes. Chapeau bas, grands seig
ent, déteste le pouvoir absolu, même dans Louis XIV, et ne conçoit la
liberté
que pour les ducs et pairs. » 102. Remarquez ce
cependant il succombe, le résultat enfin d’une victoire funeste à la
liberté
romaine : toutes les parties de ce vaste sujet so
seau a bien raison ; mais comment concilier cette limite imposée à la
liberté
de l’enfant avec le principe de l’Émile ? Il y a
général vivement enlevé, et qui laisse à notre appréciation toute sa
liberté
. 344. Joubert dit encore de Montesquieu : oc Ses
essons donc de nous calomnier, de dire que nous n’entendons rien à la
liberté
: nous entendons tout, nous sommes propres à tout
epuis la plaine jusqu’aux cavernes des montagnes, fut la patrie de la
liberté
ou le tombeau de la gloire ! sépulcre des grands
ouronne, il prit son pouvoir à cœur, comme il avait fait naguères les
libertés
du pays, mais sérieusement, fièrement, en ministr
nce, qui n’a entouré d’ombre ce grand mystère que par respect pour la
liberté
humaine. 483. Lucrèce a rendu la même pensée da
homme tout entier, pour sa raison, son imagination, son cœur, pour la
liberté
et pour la grâce, pour le dogme et pour la morale
e supporte pas que ses flatteurs deviennent ses juges, et la première
liberté
qu’elle ôte à ses adulateurs, c’est la liberté de
juges, et la première liberté qu’elle ôte à ses adulateurs, c’est la
liberté
de ne plus l’être ; la seconde condition, c’est q
p.II de la Ire partie du Traité de l’Existence de Dieu : « Otez cette
liberté
: toute la vie humaine est renversée, et il n’y a
samment l’entraîne ; Et nous ne recevons ni crainte ni désir De cette
liberté
qui n’a rien à choisir. Attachés sans relâche à c
nonçant son complcie ; mais des remords, et surtout des sentiments de
liberté
dans son cœur, j’ai peine à les concevoir. » 743
tions poétiques. Chez C. Delavigne, Napoléon est le fils ingrat de la
liberté
. M. V. Hugo est ébloui par l’homme de génie, auss
la plus belle des mortelles. A sa noble aisance, à la facilité, à la
liberté
de ses mouvements sur l’eau, on doit le reconnaît
nts et suaves. Aux avantages de la nature, le cygne réunit ceux de la
liberté
; il n’est pas du nombre de ces esclaves que nous
force ; il a su discipliner leur humeur brutale, et contraindre leur
liberté
indocile ; il a même fléchi par adresse les créat
45-1862) l’amour du vrai, la clairvoyance d’une raison supérieure, la
liberté
d’un esprit impartial, et une modération aussi éq
re, réalise le plus vrai de ses besoins, l’égalité civile, ajourne la
liberté
qui l’eût gêné dans sa marche, et court porter à
haut degré, sert à protéger, à défendre une noble cause, celle de la
liberté
, alors la scène devient aussi morale qu’elle est
danger passé, la proie regagne les champs, va revoir le soleil et la
liberté
; elle retourne toute joyeuse à son tapis de serp
e sous un buisson, bien à couvert, a-t-elle regret aux caprices de sa
liberté
et aux molles ondulations de son vol dans le haut
s ondulations de son vol dans le haut des airs ? Je n’ai jamais eu la
liberté
de l’oiseau, ni ma pensée n’a été aussi heureuse
r véritable de la patrie, ayant pour base l’ordre légal appuyé sur la
liberté
. Elle assiste aux funérailles de ce noble général
des mots n’est plus soumis à un ordre invariable. On accorde plus de
liberté
dans l’inversion et la transposition ; mais cette
rde plus de liberté dans l’inversion et la transposition ; mais cette
liberté
est restreinte dans des limites peu étendues, et
ccessoire des substantifs qu’ils servent à distinguer. D’ailleurs, la
liberté
de transposition admise par ces langues exigeait
avantage considérable sur nous dans cette partie du style. L’extrême
liberté
que leur langue leur accordait dans la constructi
bligation. Là, on exige plus d’attention à la nature des sons, et les
libertés
poétiques nous rendent plus maîtres de leur direc
sont eux qui, dans la débauche, ont autrefois vendu à Philippe notre
liberté
, et qui la vendent encore aujourd’hui à Alexandre
où il vivait, met cette vérité dans le plus haut degré d’évidence. La
liberté
, dit-il, est la mère nourricière du génie, elle a
oute-t-il, trouver toutes les autres qualités chez un peuple privé de
liberté
; un esclave peut être un flatteur pompeux ; mais
tiques, presque tous tracés sur le même plan, animés du même désir de
liberté
, jaloux et rivaux l’un de l’autre. Nous pouvons r
a bataille de Marathon et le temps où Alexandre-le-Grand subjugua les
libertés
de la Grèce. Cette période comprend cent cinquant
éloquence mâle et vigoureuse jaillit des débats des factions et de la
liberté
. Pisistrate, qui fut contemporain de Solon, et qu
de ses concitoyens contre Philippe de Macédoine, l’ennemi public des
libertés
de la Grèce ; de les prémunir contre les ruses de
rment encore un peuple puissant et florissant, protecteur naturel des
libertés
de la Grèce, et qu’il ne leur manque que la volon
es actions et le patriotisme. Chaque orateur agit avec la plus grande
liberté
contre son antagoniste ; les mœurs anciennes perm
raduction de Boileau. Après la mort de Démosthène, la Grèce perdit sa
liberté
. L’éloquence naturellement languit et retomba dan
de, l’argumentation véhémente, le dédain, la colère, la hardiesse, la
liberté
qui les animent perpétuellement rendraient infail
e expira, et nous ne devons pas nous en étonner, car non seulement la
liberté
périt entièrement, mais le pouvoir arbitraire s’a
teindre. Quelques-uns des arts de luxe les moins intimement liés à la
liberté
, subsistèrent pendant quelque temps encore ; mais
à l’éloquence, cette souveraine des cœurs, qui toujours accompagne la
liberté
et se voile à l’aspect d’un pouvoir ombrageux. No
re horizon politique ! Foudroyons l’anarchie, non moins ennemie de la
liberté
que le despotisme ! Fondons la liberté sur les lo
rchie, non moins ennemie de la liberté que le despotisme ! Fondons la
liberté
sur les lois et une sage constitution, et bientôt
au soldat heureux qui devait l’asservir. L’éloquence est fille de la
liberté
, elle fuit le despotisme. L’aigle impériale l’eff
confondre les intérêts et concilier toutes les opinions, consacra la
liberté
par une charte qui fut acceptée comme un bienfait
bats politiques rappellent l’éloquence, elle reparaît à la voix de la
liberté
. Des orateurs distingués se présentent dans la li
l Foy et le spirituel Girardin, qui joignirent un amour sincère de la
liberté
à un attachement patriotique à l’antique maison d
ent notre éloquence parlementaire. Les discussions judiciaires sur la
liberté
de la presse, le talent qu’ont développé les avoc
x de l’éloquence populaire dans son plus haut degré de perfection. La
liberté
que nous accordons à ce genre passionné et véhéme
exige le raisonnement pressant. Quelquefois on peut permettre quelque
liberté
à l’imagination pour animer un sujet aride et sou
Verrès. Le style est simple et l’exclamation passionnée, l’appel à la
liberté
, aux lois, est bien placé, et dans le véritable s
ius, et montrait quel mépris il avait conçu pour le nom romain et les
libertés
romaines. » Jusqu’à présent tout est beau, animé
r en public avec dignité, droit et ferme, afin d’avoir la plus grande
liberté
de mouvements. L’expression des traits de son vis
yens, elle nous accoutume au travail, elle laisse à l’esprit toute sa
liberté
, le rend maître de lui-même, exempt de ces passio
dans un discours aux Anciens assemblés, de sauver la république et la
liberté
. Qui nous le garantira ? s’écrie une voix. Grenad
’il faut de suite travailler, pour consolider enfin dans la France la
liberté
et la république ». Il nous serait facile de mul
écision énergique. Elle s’adresse à tous ceux que trompe le nom de la
liberté
, et qui croient qu’elle consiste à se révolter co
e révolter contre les lois, à secouer le joug d’un devoir. « Vive la
liberté
! » criait dans la prairie, L’unique fois, hélas
is, hélas ! qu’il se soit emporté, Martin, qui se croyait vraiment en
liberté
Pour n’être pas à l’écurie. Un ce
syllabes ou en vers mêlés. Elle doit avoir un air de négligence et de
liberté
; c’est ce qui la caractérise. Elle ne souffre po
sans diadème, Des brigands parvenus à l’empire suprême, Souillant la
liberté
d’éloges imposteurs, Immolaient en son nom ses pr
re par des écarts souvent incompréhensibles, et dans la forme par une
liberté
entière dans le choix des vers et la longueur des
eptres des rois. Toi que je chante et que j’adore, Dirige, ô
Liberté
! mon vaisseau dans son cours ; Moins de vents or
: Honorer la vertu, c’est la rendre féconde, Et la vertu produit la
liberté
. …………………… Le verrai-je ce jour où, sans intolér
, je trouverai des vers, Des sons dans ma voix affaiblie ; Et cette
liberté
, que je chantai toujours, Redemandant un hymne à
cles passés. Démosthène défendit par les foudres de son éloquence, la
liberté
de sa patrie, contre la politique et les armes de
toyens de la république s’y distinguèrent. Bientôt la Grèce perdit sa
liberté
. Les arts exilés de ces belles contrées, vinrent
lui présentant des objets toujours différents, et elle lui laisse la
liberté
de se livrer à toute sa vivacité. Cependant la su
cipal. On doit mettre son adresse à régler l’esprit, sans lui ôter sa
liberté
. Quelque ordre que les gens à talent mettent dans
« Ainsi,… ceux qui leur sont soumis se vengent de la servitude par la
liberté
des discours ; les grands se croient tout permis,
ils perdent par la soumission ; ils se vangent de la servitude par la
liberté
des discours. Non, Sire, les grands se croient to
à tous tes ancêtres ? et à ce Brutus qui chassa les rois et donna la
liberté
aux Romains ? que leur dira-t-elle de toi ? de te
ont changées. L’aigle en cage a les ailes aussi vastes que l’aigle en
liberté
: ce n’est pas la puissance qui lui manque, c’est
tte tare, la faveur des Athéniens s’attacha à ce ferme champion de la
liberté
avec une constance invincible. Cicéron n’eut que
sont pas, comme ceux de Démosthène, des actes. Il aime son pays et la
liberté
, mais il aime aussi sa réputation. Il ne s’oublie
nal pour juger un infracteur de la loi, il va prononcer sur sa propre
liberté
: aussi le législateur a-t-il placé ces mots à la
ver les yeux, si nous avions laissé à d’autres le soin de défendre la
liberté
des Grecs contre Philippe ? Et qui donc, parmi le
n’avez point failli, en bravant tous les dangers pour le salut et la
liberté
de tous les Grecs ; non, vous n’avez point failli
les avons suivies scrupuleusement. Nous nous sommes réservé une seule
liberté
, celle d’élargir le cadre tracé par M. le ministr
les jugements que nous avons exprimés à nos risques et périls, que la
liberté
de notre appréciation s’est toujours conciliée av
évelopper dans cette âme ardente la haine d’un régime politique où la
liberté
personnelle était si mal protégée contre les capr
ouvait encore, à cette dernière heure, réconcilier le pouvoir avec la
liberté
: le deuil public qui entoura ses funérailles tém
foi publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titres avez-vous à la
liberté
? quels moyens vous resteront pour la maintenir,
ns l’exercice du droit de la paix et de la guerre est parricide de la
liberté
publique ; on répand des bruits de perfidie, de c
vingt ans combat toutes les oppressions, qui parlait aux Français de
liberté
, de constitution, de résistance, lorsque ses vils
rs cette convention nationale, encore garrottée dans les langes de la
liberté
), foulèrent aux pieds tant de préjugés, bravèrent
u pays, en échange de la gloire et de la sécurité, le sacrifice de sa
liberté
. Bonaparte exila Mme de Staël (1802), qui se reti
fice. Crescentius, Arnault de Brescia, Nicolas Rienzi, ces amis de la
liberté
romaine, qui ont pris si souvent Les souvenirs po
t et de la justice, et sur les garanties inviolables de la charte, la
liberté
parlementaire. Tour à tour dans l’opposition léga
légant qu’ils n’avaient point à Sparte. L’amour de la patrie et de la
liberté
n’était point pour les Athéniens un instinct aveu
et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la
liberté
, étaient seuls capables de souffrir ce que vous a
n compromis équitable entre les deux principes de l’autorité et de la
liberté
, dont l’un est nécessaire à la sécurité et l’autr
vain Selden, le plus ancien et le plus illustre des défenseurs de la
liberté
, Holborne, l’un des avocats de Hampden dans l’aff
un serment d’union, pour la défense de la religion protestante et des
libertés
publiques, fut adopté par les deux chambres ; les
nt, qu’à cette seule condition le royaume retrouverait la paix et ses
libertés
. Pendant qu’il parlait, quelqu’un toucha à la hac
quité, le plus grand intérêt, la plus puissante affection, c’était la
liberté
; dans le dix-septième siècle, ce fut la religion
ssionnent avec une courageuse candeur pour toutes les nobles idées de
liberté
, de réparation, de justice ; qui les réclament, a
à une double haine, il continuait de proclamer toutes les théories de
liberté
et d’attaquer avec une vertueuse colère tous les
que, a cru devoir délivrer sa patrie de l’homme qui lui avait ravi sa
liberté
et ses vieilles institutions, qui peut trouver sa
autres États gaulois, comme seul régi en toute puissance et en pleine
liberté
, devint le centre d’un système politique embrassa
storiques, à la tête de cette école fataliste qui ne croyant pas à la
liberté
humaine, et n’ayant d’autre mesure que celle du s
Elle avait quitté la maison paternelle pour aller vivre avec plus de
liberté
chez une de ses amies à Caen. Son père avait autr
village. Nous fuyons. Plus de soins, plus d’importune image. Amis, la
liberté
nous attend dans les bois. Sans nous plaindre, et
Terreur et faillit en être la victime. Forcé de payer la rançon de sa
liberté
en composant un hymne pour la fête de l’Être supr
u poète anglais, élevé au-dessus de lui-même, et a rencontré, dans la
liberté
même d’une interprétation souvent peu sévère, que
un Camille, et l’on s’était flatté Qu’il devait aux Romains rendre la
liberté
. Souvent je me suis dit, plein de cette espérance
PISON. Ô mon fils ! ton aïeul, dont tu me rends les traits, Vit notre
liberté
, si chère à tes regrets, Sous les coups de Lépide
ômes sacrés, Et, des Romains séduits trompant l’obéissance, Du nom de
liberté
cimentait sa puissance355. Il étendit sur moi son
ant loi. CNÉIUS. Qui ? vous ! PISON. Qui ? vous !Moi. Dût un jour la
liberté
renaître, Je n’en jouirai plus ; j’ai fléchi sous
rassemblés ? Notre âge est-il pareil aux temps dont vous parlez ? La
liberté
régnait sur les rives du Tibre : César y règne se
i dirais-je, et prononce toi-même : Vois le crime, usurpant le nom de
liberté
, Rouler dans nos remparts son char ensanglanté ;
sans diadème, Des brigands, parvenus à l’empire suprême, Souillant la
liberté
d’éloges imposteurs, Immolaient en son nom ses pr
délaissé, doux rêves de la vie : Plaisirs, gloire, bonheur, patrie et
liberté
, Vous fuyez loin d’un cœur vide et désenchanté. L
rapeau tricolore a fait le tour du monde avec le nom, la gloire et la
liberté
de la patrie ! » Par cet acte d’héroïque résistan
n des sens enchaîné sur la terre, Esclave, il sent un cœur né pour la
liberté
, Malheureux, il aspire à la félicité ; Il veut so
rin en variant sa coupe, en usant, à l’exemple d’André Chénier, de la
liberté
du rejet ; il ne fallait pas en arriver, par espr
Misérables : ἀνάγκη. C’est l’honneur et la force de la doctrine de la
liberté
humaine, qu’on ne puisse la nier sans tomber dès
esthétique. 34. « Schiller, disait Goethe, a prêché l’Évangile de la
liberté
. » 35. « On ne peut nier, ce me semble, que les
exacte et minutieuse jusqu’au scrupule : Homère use souvent de cette
liberté
. 66. Cette admirable description, qu’on ne se la
epuis la plaine jusqu’aux cavernes des montagnes, fut la patrie de la
liberté
ou le tombeau de la gloire ! sépulcre des grands
ouronne, il prit son pouvoir à cœur, comme il avait fait naguères les
libertés
du pays, mais sérieusement, fièrement, en ministr
ais le lecteur français veut être respecté : Du moindre sens impur la
liberté
l’outrage, Si la pudeur des mots n’en adoucit l’i
ence qui n’a entouré d’ombre ce grand mystère que par respect pour la
liberté
humaine. 245. Lucrèce a rendu la même pensée da
nonçant son complice : mais des remords, et surtout des sentiments de
liberté
dans son cœur, j’ai peine à les concevoir. » 352
éon l’homme de génie ; chez C. Delavigne, il est le fils ingrat de la
liberté
. Enfin dans les vers célèbres de M. de Lamartine
iant le pain qu’il pleure, À l’orphelin une demeure, Au prisonnier la
liberté
. 448. M. de Laprade. Discours de réception à l
onvénients où j’avais vu ceux qui avaient pris avec vous de pareilles
libertés
. Mais, monseigneur, vous en faites trop, pour le
ns que vous faites sans qu’il en fût autre chose, ni que l’on prît la
liberté
de vous en parler. Si vous saviez de quelle sorte
, par de si grands exemples, et convaincus que le bonheur est dans la
liberté
, la liberté dans Je courage, ne refusez jamais de
grands exemples, et convaincus que le bonheur est dans la liberté, la
liberté
dans Je courage, ne refusez jamais des périls glo
vous faites sans qu’il en fût autrement question, ni que l’on prît la
liberté
de vous en parler. Si vous saviez de quelle sorte
’être des vôtres. Trouvez bon, ô César ! que je vous parle avec cette
liberté
. Recevez les louanges qui vous sont dues, et souf
le, et le rendre formidable. Déjà sa politique astucieuse menaçait la
liberté
d’Athènes ; l’alarme commençait à se répandre par
ut le plus chéri, Par un vil délateur se vit presque flétri. Alors la
liberté
ne savait pas dans Rome Du simple citoyen disting
érêt général et sa passion particulière ? Laissez à l’esprit toute sa
liberté
, il aura toute son énergie : dominé par la passio
dit à leur sévère équité ; mais insensiblement ils abusèrent de cette
liberté
, et firent indistinctement périr les bons et les
git ici ni d’impôts à établir, ni d’alliés à venger : il s’agit de la
liberté
, il s’agit de nos jours menacés. » J’ai souvent f
us me rendez garant du reste de sa vie, Je répondrai, madame, avec la
liberté
D’un soldat qui sait mal farder la vérité. Vous m
peine respirant du joug qu’elle a porté, Du règne de Néron compte sa
liberté
. Que dis-je ? la vertu semble même renaître. Tout
in, Et la triste Italie encor toute fumante Des feux qu’à rallumés sa
liberté
mourante. Non, princes, ce n’est point au bout de
us me rendez garant du reste de sa vie, Je répondrai, madame, avec la
liberté
D’un soldat qui sait mal farder la vérité. (Raci
ers avait été brisé comme ci-dessous : Je répondrai, madame, avec la
liberté
D’un soldat : je sais mal farder la vérité.
action ne l’oblige pas à être historique : on laisse à l’auteur toute
liberté
d’invention. Mais il ne doit jamais sortir de la
et c’est ce qui arrive fréquemment sur notre théâtre. Sans donner une
liberté
illimitée au poète, nous avouerons pourtant que l
chefs-d’œuvre. Le système ancien enlevait à l’homme une partie de sa
liberté
; la lutte n’était pas égale entre le ciel et la
érialiser : l’atroce et l’horrible sont les éléments qu’il aime. Même
liberté
, dans le style : la noblesse, la correction sont
r tous les jours parmi la confusion d’un grand peuple, avec autant de
liberté
et de repos que vous sauriez faire dans vos allée
à trouver qu’en celui-ci ? Quel autre pays où l’on puisse jouir d’une
liberté
si entière, où l’on puisse dormir avec moins d’in
tablier, apprennent l’arithmétique et la géométrie. » Élevé en toute
liberté
, il était réveillé au son des instruments. Il dut
ce en l’education d’une ame tendre, qu’on dresse pour l’honneur et la
liberté
. Il y a je ne sçay quoy de servile en la rigueur
(Ép., 123) veut dire : « C’est une des conditions essentielles de la
liberté
qu’un estomac bien réglé. » 5. Ce fut aussi la
couvrira des plus riches moissons. Vous marcherez toujours dans votre
liberté
, et jamais votre tête ne se courbera sous le joug
lumineuses, que tout l’Aréopage, à moitié convaincu déjà, lui rend sa
liberté
d’une voix unanime, en se proposant bien de l’ent
nièce, elle le sera bien1, et cette idée me console de la perte de ma
liberté
. Vous ne me parlez point de son baptême : est-ell
de Nantes, publié en 1598 par Henri IV, accordait aux calvinistes la
liberté
de conscience, l’exercice de leur culte et l’admi
uche pour faire confession de ma chrestienté1. Icy non seulement j’ay
liberté
de glorifier Dieu, mais j’ay tant de bonnes remon
hose en elle-même. » 9. C’était comme une fenêtre ouverte à d’autres
libertés
. — Parmi bien d’autres prescriptions tyranniques,
impide et frais ? Qui peindra des grands bois le studieux silence, La
liberté
des champs et leur indépendance, Et les prés plei
qu’il a quitté J’aime qu’il vienne faire hommage A l’humble et pauvre
liberté
. Que n’as-tu suivi ton envie ! Que ne t’ai-je p
e, et la matière humaine ! Inventez, maniez, changez, embellissez, La
Liberté
jamais ne dira : C’est assez1 ! 2. Je lis da
e aux nations, avec leur nourriture, La lumière, la paix, l’ordre, la
liberté
! Ainsi toujours fidèle à la voix des poëtes, Q
quittaient tout pour la suivre. Dans nos rudes hameaux faits pour la
liberté
, Où jamais magister ne s’était implanté, Son foye
uriez jamais pour la Muse bannie Un seul regret, pas plus que pour la
liberté
! On dit vos cœurs tout pleins d’ambitions mort-n
ple. Cette exclamation passionnée, cette invocation des lois et de la
liberté
sont parfaitement bien placées, et dans le vérita
ais de produire un mauvais effet, lorsqu’on n’y trouve ni aisance, ni
liberté
. Peu de personnes sont capables de parler parfait
e émulation, soutient notre ardeur, et laisse à notre esprit toute sa
liberté
, en l’affranchissant du joug de ces passions hont
et la corruption ; du courage et de la grandeur d’âme ; l’amour de la
liberté
, de la patrie et du bien public, un zèle ardent p
. Peut-être aussi que, dans ces temps reculés, de quelque amour de la
liberté
que fussent animés les citoyens d’un État, l’infl
développer sa manière de voir sous un nom célèbre. C’est une sorte de
liberté
poétique incompatible avec le caractère grave du
ncipaux citoyens de l’ancienne Rome, une conversation où président la
liberté
, la politesse et la dignité. L’auteur du dialogue
est inconvenant de n’employer qu’un style lâche et incorrect ; cette
liberté
pourrait desservir la personne qui écrit auprès d
siècle, et peuvent être regardées comme les derniers monuments de la
liberté
romaine, puisque la plupart furent écrites pendan
dans les différends où la justice et l’honneur étaient intéressés, la
liberté
qu’avaient les dames de nommer un chevalier qui s
, ont un ton particulier et une espèce de mélodie. L’inversion, ou la
liberté
des transpositions que le style poétique prit nat
aut qui fait perdre au vers une grande partie de la noblesse et de la
liberté
que réclame la poésie héroïque. Notre vers anglai
au sublime et au pathétique ; elles feraient perdre sa noblesse et sa
liberté
au poème épique ou tragique. Ce n’est qu’aux comp
a mélodie des vers, il suffisait des mots sonores de la langue, de la
liberté
des inversions, de la quantité fixe des syllabes,
e vers rimé, et fait enjamber ses couplets18 l’un sur l’autre avec la
liberté
que donnent les vers blancs. Lecture XXXIX. De
de, telle est la cause de l’enthousiasme qui y domine et de l’extrême
liberté
accordée au poète, liberté que ne lui permettrait
’enthousiasme qui y domine et de l’extrême liberté accordée au poète,
liberté
que ne lui permettrait pas une autre espèce de po
t l’autre cas il court grand risque de tomber dans l’extravagance. La
liberté
d’écrire sans ordre, sans méthode, sans liaison,
arrogé, de nos jours, le droit de prendre dans leur versification une
liberté
excessive qui a encore augmenté le désordre intro
de l’art poétique. Les poètes didactiques jouissent de la plus grande
liberté
pour embellir leurs compositions d’épisodes et de
res des hommes, on y peut, en quelque sorte, employer l’aisance et la
liberté
de la conversation ; aussi, la muse qui préside p
ouvertement ; et, pour y arriver, elle pousse jusqu’à la hardiesse la
liberté
de censurer le vice et les hommes vicieux. Les tr
tion ce qui, dans son sujet, ne se prèle pas assez à la poésie. Cette
liberté
, au contraire, est d’autant plus restreinte qu’il
optèrent une marche opposée. Le dénouement de l’un est la ruine de la
liberté
romaine, le dénouement de l’autre est l’expulsion
de réserve dans l’emploi de ces moyens extraordinaires. Il n’a pas la
liberté
d’introduire au gré de son imagination un nouveau
ut ce que la nature a donné au génie de hardiesse, de franchise et de
liberté
. Et, en effet, ce qui caractérise surtout la poés
épique, puisque le poète n’a célébré que le triomphe de César sur la
liberté
romaine. Il est vrai que, tel que nous le possédo
l avait éprouvé les rigueurs du despotisme assis sur les ruines de la
liberté
romaine. En écrivant, il cédait aux inspirations
ût beaucoup mieux valu qu’on n’en fixât jamais aucun, pour laisser la
liberté
de partager toutes les pièces en autant de partie
és de temps et de lieu, il ne faut cependant pas perdre de vue que la
liberté
qu’ils peuvent prendre à cet égard a des bornes.
sont sous les yeux du spectateur, il est impossible de prendre cette
liberté
. En effet, dans le cours d’un acte, la scène ne d
contraire, qu’il ait cette vivacité et cette aisance nécessaires à la
liberté
du dialogue et aux mouvements des passions. L’obl
; mais il n’en est pas moins évident que la rime est un obstacle à la
liberté
du dialogue, qu’elle le remplit d’une languissant
sous leur véritable nom, parce qu’on s’était aperçu qu’une semblable
liberté
pourrait compromettre la tranquillité publique. L
re moderne. Les Anglais aiment surtout ce qui est naturel et vrai. La
liberté
que nous laisse notre gouvernement, celle que nos
reux que, sur notre théâtre comique, se joigne à la hardiesse et à la
liberté
un esprit de licence, d’indécence même, qui a pla
s’assujettir à la rime ; et Blair soutient que le vers blanc, par sa
liberté
, sa noblesse, l’emporte sur le vers rimé, qui ne
n d’un si grand dessein. Il était né avec une passion extrême pour la
liberté
; ce sentiment l’empêcha toujours de prendre part
sont discutées, la Réforme se greffe sur la Renaissance. L’esprit de
liberté
, éveillé par l’étude des lettres anciennes, à laq
enue sous bride. Davantage, il y en a d’aucuns qui sous couverture de
liberté
lui concedent toutes choses. Il la faut donc brid
sçay-ie ? » qui est le contre-pied d’une doctrine, nous laisse toute
liberté
. Si nul livre n’est plus décousu, sans incohérenc
en la forme du parler. Toute affectation, nommeement en la gayeté et
liberté
françoise, est mesavenante au courtisan ; et en u
ée et de mon propre désir ; et d’eslever mon ame en toute doulceur et
liberté
, sans rigueur et contraincte : ie dis jusques à t
ioinct ne le peust tenir ni arrester. Celuy qui sçait se maintenir en
liberté
et user de son droict, qui est de n’estre pas enf
port de salut, et la forteresse à plusieurs qui se fussent perdus en
liberté
, voire qui ont eu recours à elle pour estre en li
sent perdus en liberté, voire qui ont eu recours à elle pour estre en
liberté
, l’ont choisie et espousee pour vivre en repos et
gageront jusques à leur chemise pour conserver avec eulx la vie et la
liberté
, estant vivement persuadez qu’il y va de cela, qu
ie, messieurs, s’il est permis de jetter encore ces derniers abois en
liberté
, considérons un peu quel bien et quel profit nous
ps ils sont ensemble soupirans pour la vostre et travaillans à vostre
liberté
; mais vous n’avez que des larmes aux yeux et eux
es années pour les gens de lettres, entre la servilité du passé et la
liberté
de l’avenir. Molière joue, par la volonté de Loui
toutes leurs pensées : d’où vient que, s’ils avoient une fois pris la
liberté
de douter des principes qu’ils ont reçus et de s’
de chercher un lieu écarté pour se tuer. Nous ne prenons pas la même
liberté
de tirer les rois et les princesses de leurs appa
une chose indubitable, ou en faisant paroitre qu’on leur veut ôter la
liberté
de l’examiner et d’en juger par leur propre lumiè
nt devant lui. Le premier président351 parla à la reine avec toute la
liberté
que l’état des choses lui donnoit. Il lui représe
lement étant sorti du Palais-Royal, et ne disant rien au peuple de la
liberté
de Broussel, ne trouva d’abord qu’un morne silenc
ibéra, et l’on donna arrêt par lequel la reine seroit remerciée de la
liberté
accordée aux prisonniers. Aussitôt que l’arrêt fu
ue de les régler, n’a jamais été donné à la multitude ; mais si cette
liberté
ne veut pas être contrainte, elle souffre toutefo
s ouvrages françois, puisque on y voit la hardiesse qui convient à la
liberté
, mêlée à la retenue, qui est l’effet du jugement
se contente pas seulement de plaire ; soit que la parole retienne sa
liberté
naturelle dans l’étendue de la prose, soit que, r
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
; une reine fugitive, qui ne trouve aucune retrai
é par de tels orages ? Ou bien étoit-ce381 les derniers efforts d’une
liberté
remuante, qui alloit céder la place à l’autorité
urd’hui les yeux de toute l’Europe ! Je parlerai, sire, avec toute la
liberté
d’un homme qui n’a rien à craindre ni à espérer,
françoise, dans la plus douce des monarchies, non-seulement pleine de
libertés
, mais de licences. Il ne nous étoit pas aisé de v
œur et l’âme ; et en effet, quelle rude sépa- ration ! Je demandai la
liberté
d’être seule ; on me mena dans la chambre de Mada
d’y parvenir. S’il restoit à quelqu’autre un souvenir innocent de la
liberté
, il passoit pour un esprit dangereux qui vouloit
joue et badine, mais avec dignité ; on l’approche tout ensemble avec
liberté
et avec retenue. Son caractère est noble et facil
uvre à moi ; le sultan effrayé recule ; déjà le Péloponèse respire en
liberté
, et l’Église de Corinthe va refleurir. La voix de
austère et contraignant. Là où est l’esprit de Dieu, là est la vraie
liberté
473. Si une fois vous l’aimez de tout votre cœur,
les.) Lettre à Louis XIV475 La personne, Sire, qui prend la
liberté
de vous écrire cette lettre n’a aucun intérêt en
es, de vous persuader que ce qui multiplie vos chaînes augmente votre
liberté
, et de faire votre sûreté de vos périls mêmes482.
Castries, sa dame d’atours, et madame de Saint-Simon. Ravies de leur
liberté
, elles s’approchèrent en un tas, tout le long d’u
e, elles se mirent à en deviser tout bas ensemble dans ce groupe avec
liberté
. Dans la galerie et dans ce salon, il y avoit plu
Suisse me disoit de temps en temps : Demande pardon à monsieur de la
liberté
grande ; et là-dessus m’envoyoit des bouffées de
fées de tabac à m’étouffer. M. Cerise, de l’autre côté, me demanda la
liberté
de me demander si j’avois jamais été dans son pay
ns beaucoup de façons qu’il y consentit, en me demandant pardon de la
liberté
grande. Je lui gagnai partie, revanche, et le tou
’un de ses goussets, et, me le présentant, il me demanda pardon de la
liberté
grande, et voulut se retirer. Ce n’étoit pas mon
qu’il allât voir ses chevaux, et se retira, me demandant pardon de la
liberté
grande500. Le sang-froid dont il me refusa, et la
le jetèrent par la fenêtre en criant : « Le tyran est mort ; vive la
liberté
et Dom Juan, roi de Portugal ! » Le peuple, qui é
ux insultes du peuple encore en mouvement et plein de chaleur pour sa
liberté
. Elle comprit qu’elle étoit prisonnière. Outrée d
oltaire est l’apôtre de la tolérance et du bon sens ; Rousseau, de la
liberté
et de la religion naturelles ; Montesquieu cherch
rande sæculi spatium », ouvrent à l’éloquence, par la fondation de la
liberté
politique et du régime parlementaire, une vaste c
y, de Cazalès, à gauche de Barnave, de Vergniaud et des Girondins. La
liberté
de la presse est une autre carrière, parallèle à
rde les louanges de la vie rustique. C’est pour cela que je prends la
liberté
de vous indiquer un endroit de Saint-Chrysostôme
isque vous m’avez recommandé d’être franc et sincère ; je prendrai la
liberté
de vous dire que votre dernier discours ne me par
puis quinze mois qu’il étoit occupé par Son Éminence, prit un jour la
liberté
de lui représenter ses besoins, et de demander qu
s mœurs du monarque » Les mœurs du prince contribuent autant à la
liberté
que les lois : il peut, comme elles, faire des ho
, a aussi défendu ma vie quand je l’ai quittée ; et ce jour assure ma
liberté
pour jamais. « Seigneur, lui dis-je, Marius raiso
la se soit impunément fait dictateur dans Rome, ils y ont proscrit la
liberté
pour jamais. Il faudroit qu’ils fissent trop de m
érieure, qu’il a aimée avec passion et peinte avec génie. La vraie
liberté
Ô homme ! resserre ton existence au dedans de
t pour la conserver comme il lui plaît, et autant qu’il lui plaît. La
liberté
, ton pouvoir ne s’étendent qu’aussi loin que tes
l suit que le premier de tous les biens n’est pas l’autorité, mais la
liberté
: l’homme vraiment libre ne veut que ce qu’il peu
s intelligences célestes. Mais un corps qui souffre ôte à l’esprit sa
liberté
: désormais je ne suis plus seul, j’ai un hôte qu
ns la dispute, de la sécurité dans les périls, et dans le monde cette
liberté
de cœur qui nous rend attentifs à tout ce qui s’y
due de l’esprit et du cœur humains que dans ces siècles fortunés ; la
liberté
découvre, jusque dans l’excès du crime, la vraie
n combattant le despotisme domestique. Il les dépensa au profit de la
liberté
publique. Plein de ressources et d’audace, lumine
foi publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titres avez-vous à la
liberté
, quels moyens vous resteront pour la maintenir, s
lique ; de même qu’on avait vu le tribun Clodius élever un autel à la
liberté
sur l’emplacement de la maison rasée de Cicéron,
placement de la maison rasée de Cicéron, et le peuple crier : Vive la
liberté
! L’un était frappé à cause de son nom et de celu
, et sans témoins de sa valeur ; nous, dont la mort soufferte pour la
liberté
ne peut être que glorieuse, solennelle et reçue e
s, non pas à défendre notre vie comme des malades, mais à défendre la
liberté
et les principes comme des républicains. El quand
e, dans un moment de guerre où j’ai eu mes deux frères hachés pour la
liberté
, qu’est-ce que la guillotine, sinon un coup de sa
ont assujetties. Les sciences y étoient libres, et ils durent à cette
liberté
d’avoir pu ressusciter quelques étincelles du gén
et fécond, mais devenu étouffant ; la révolution du xixe a fondé la
liberté
littéraire, qui dure encore. La première associai
. de Vigny écrivait depuis 1816 sans rien publier encore. L’esprit de
liberté
souffle de toutes parts. Les vieilles lois qui ré
e est une sorte d’équilibre entre l’indépendance intellectuelle et la
liberté
littéraire dans les œuvres d’imagination, d’une p
nt permis au diable de barbouiller, de façon que les anges ont pleine
liberté
d’y écrire tout ce qu’ils voudront, pourvu que tu
i préparaient la Révolution. Apôtre précoce, fervent et éclairé de la
liberté
, par sa plume, elle la servit sous la monarchie,
à l’oreille et au cœur le « souffle lointain de morale, de poésie, de
liberté
» que l’on ne pouvait respirer en France. Ses pre
s léger d’érables, où le soleil se joue comme à travers une dentelle.
Liberté
primitive, je te retrouve enfin ! Je passe comme
et souvent sans pain. Les phalanges républicaines, les soldats de la
liberté
, étaient seuls capables de souffrir ce que vous a
: il fut l’apôtre ardent et aimé de l’union du catholicisme et de la
liberté
. Dans ses belles oraisons funèbres d’O’Connell et
ient de son immuable sanction ce qui n’a ni sentiment, ni vouloir, ni
liberté
, ni vie. Qui eût dit que là même, au foyer glacé
quité, le plus grand intérêt, la plus puissante affection, c’était la
liberté
; dans le dix-septième siècle, ce fut la religion
ndépendance individuelle, le plaisir de se jouer, avec sa force et sa
liberté
, au milieu des chances du monde et de la vie ; le
ons anciennes. Quand vous trouvez dans les civilisations anciennes la
liberté
, c’est la liberté politique, la liberté du citoye
nd vous trouvez dans les civilisations anciennes la liberté, c’est la
liberté
politique, la liberté du citoyen : ce n’est pas d
es civilisations anciennes la liberté, c’est la liberté politique, la
liberté
du citoyen : ce n’est pas de sa liberté personnel
’est la liberté politique, la liberté du citoyen : ce n’est pas de sa
liberté
personnelle que l’homme est préoccupé, c’est de s
pas de sa liberté personnelle que l’homme est préoccupé, c’est de sa
liberté
comme citoyen ; il appartient à une association,
ur lui-même, sur son âme, un travail intérieur pour dompter sa propre
liberté
et se soumettre à ce que voulait sa foi. Mais le
a foi. Mais le sentiment de l’indépendance personnelle, le goût de la
liberté
se déployant à tout hasard, sans autre but presqu
des grands esprits qui cultivent les lettres, et leur laisse assez de
liberté
pour qu’ils déploient avec confiance leurs ailes.
ché aux anciennes lois du pays, tout en détestant le nouvel esprit de
liberté
, modéré par raison, quoique son humeur fui âpre e
et les États. C’est d’abord la justice, le respect inviolable que la
liberté
d’un homme doit avoir pour celle d’un autre homme
ver et à agrandir l’homme. Elle enseigne la spiritualité de l’âme, la
liberté
et la responsabilité des actions humaines, l’obli
montrons ici le principe de vos maux et leur remède. Si vous aimez la
liberté
et la patrie, fuyez ce qui les a perdues. Loin de
lara nettement son droit absolu et imprescriptible de propriété et de
liberté
. Le pouvoir capitula, puis il se rétracta ; il y
jamais besoin que d’un peu de mouvement pour lever, et de l’air de la
liberté
pour grandir. C’est dans ces circonstances que la
0 l’octogénaire M. Sieyès vint jouir, dans sa patrie recouvrée, de la
liberté
dont il avait été l’un des principaux fondateurs,
it indirectement, enfermé au For-L’Évêque. Il obtient quatre jours de
liberté
, et, peut avoir de son rapporteur, le conseiller
me historien, à disparaître tout à fait. Les mémoires lui laissent la
liberté
de se livrer à son génie. Il aime à dire : J’étai
imer, se battent ; et l’on est obligé de les séparer. Leur flamme en
liberté
devait être éternelle : La nécessité
mours, coulaient des jours dignes d’envie dans l’abondance et dans la
liberté
, dans le sein du repos et de la joie, au milieu d
age. Il n’est de sincère langage. Il n’est de
liberté
que chez les animaux. L’usage, le devoir, l’austè
r, Cette crainte nous est commune ; Sur notre
liberté
chacun veut attenter : Par des dehors trompeurs o
Cette âme, ce rayon de la divinité, Dans le calme des sens, médite en
liberté
, Sonde ses profondeurs, cherche au fond d’elle-mê
L’Épître qu’on nomme familière doit avoir un air de négligence et de
liberté
: c’est ce qui la caractérise. Elle ne souffre po
; Jamais le moindre fracas De carrosse ni de cloche ; Paix, bombance,
liberté
, Liberté sans anicroche ; L’horloge à la vérité R
le moindre fracas De carrosse ni de cloche ; Paix, bombance, liberté,
Liberté
sans anicroche ; L’horloge à la vérité Rarement e
us me rendez garant du reste de sa vie, Je répondrai, Madame, avec la
liberté
D’un soldat, qui sait mal farder la vérité. Vous
nsuls imploraient votre secours pour la défense de la patrie et de la
liberté
? Quelle autorité auriez-vous respectée ? quelle
que ce grand criminel Si le même jour que ce grand criminel Dût à la
liberté
porter le coup mortel : Si lorsque le Sénat eût c
, joue et badine, mais avec dignité. On l’approche tout ensemble avec
liberté
et avec retenue. Son caractère est noble et facil
butte au sombre orage, En proie au flot amer, Il a fallu, plaisirs,
liberté
, fantaisie, Famille, amour, trésors, jusqu’à la p
cages, Et, joyeux, s’en étaient allés, de fleur en fleur, Chercher la
liberté
, bien loin, — ou l’oiseleur4. Ciel ! alors j’acco
est pas seulement pour l’oiseau que l’oiseleur est parfois près de la
liberté
. 5. L’ensemble est charmant d’esprit, et d’émoti
positions dictées par une philanthropie éclairée et par l’amour d’une
liberté
qui n’est pas la licence ; nous lui avons laissé
nstruction, il n’a cherché qu’à être clair. Si, parce qu’il a pris la
liberté
nécessaire de critiquer sévèrement le style des é
n une circonstance heureuse et pittoresque9. Notre vers blanc, par sa
liberté
, sa hardiesse et sa variété, est infiniment plus
ère de presque toutes les langues anciennes laissaient la plus grande
liberté
dans la disposition des mots, et permettaient qu’
versions et les transpositions sont quelquefois permises ; mais cette
liberté
est resserrée dans des bornes bien étroites en co
la terminaison des noms et des verbes, qu’elles devaient cette grande
liberté
de transposer les mots et de ne suivre que l’arra
prose. Il est important de remarquer que, lorsque nous usons de cette
liberté
, que nous laisse le génie de notre langue, de don
je parlerai dans la Lecture prochaine, nous nous sommes privés de la
liberté
de transposer ou d’arranger arbitrairement les mo
és de la liberté de transposer ou d’arranger arbitrairement les mots,
liberté
dont les anciennes langues tiraient un si grand a
unir dans l’expression, comme la nature les a réunis dans l’objet. La
liberté
des transpositions exigeait encore cette espèce d
sions que nous avons pour peindre les grandes commotions de l’âme, la
liberté
dont nous jouissons, à un plus haut degré qu’aucu
ui sont d’une formation récente ; toutefois, on ne doit user de cette
liberté
qu’avec une extrême réserve. En prose, les innova
Vues sur les progrès de la religion : « Les Romains s’entendaient en
liberté
au moins aussi bien que nous. » Ces mots peuvent
és de deux manières, selon qu’en les prononçant le lecteur appuie sur
liberté
, ou sur au moins. Dans le premier cas, ils signif
e si nous nous entendons en d’autres choses mieux que les Romains, la
liberté
au moins était une chose dans laquelle ils s’ente
si bien que nous ; dans le second cas, ils veulent dire qu’en fait de
liberté
, ils s’entendaient au moins aussi bien que nous,
ntendaient au moins aussi bien que nous, ou, autrement, qu’en fait de
liberté
ils s’entendaient mieux que nous. Si ce dernier s
ante de la prononciation, en mettant : « Les Romains s’entendaient en
liberté
aussi bien, au moins, que nous. » Il est certain
ait succomber victime du pouvoir, mais la vérité, et la raison, et la
liberté
succomberaient avec lui. » César, en décrivant un
d’être clair ; car le génie de notre langue ne laisse pas une grande
liberté
dans le choix des constructions. Presque toujours
u style. Leur langue, qui permettait les inversions, leur laissait la
liberté
de choisir pour chaque mot la place qui leur semb
ent les inversions que leur langue admettait, et qui leur laissait la
liberté
de placer les mots dans l’ordre le plus propre à
prose de Milton ; mais les écrivains de son siècle jouissaient d’une
liberté
d’inversion qui aujourd’hui ne serait pas compati
ne serait pas compatible avec la pureté du style ; et, quoique cette
liberté
rendît leurs périodes plus pompeuses et plus sono
que le spectateur qui en fait le récit, il ne peut jouir d’autant de
liberté
, parce que l’on suppose que la personne exprime d
son Traité du Sublime, donne un beau développement à cette idée. « La
liberté
, dit-il, est la vraie nourrice du génie ; elle do
Europe, bien que quelques-unes de ces nations jouissent d’une entière
liberté
. Les sermons, les oraisons funèbres des orateurs
L’éloquence mâle et forte ne se retrouve guère que dans le pays de la
liberté
. Sous un gouvernement arbitraire, indépendamment
peu près sur les mêmes bases, également animés d’un grand amour de la
liberté
, et mutuellement rivaux et jaloux l’un de l’autre
énergique, s’élevait au milieu du choc des factions, à l’ombre de la
liberté
publique, et ne se formait point au sein de la re
e ses concitoyens contre Philippe, roi de Macédoine, l’oppresseur des
libertés
de la Grèce, et de les mettre en garde contre les
e une nation forte et florissante, que c’est sur lui que reposent les
libertés
de la Grèce, et que, pour faire trembler Philippe
e toute l’impétuosité, de tout le feu que peut inspirer l’amour de la
liberté
. C’est une succession rapide d’inductions, de con
r nous de vives émotions ! La Grèce perdit à la fois Démosthène et la
liberté
. Le flambeau de l’éloquence pâlit, les rhéteurs e
émence des raisonnements, ce dédain, ce courroux, cette audace, cette
liberté
qui respirent dans les harangues de Démosthène, r
devons pas en être surpris. Non seulement les Romains perdirent leur
liberté
, mais ils sentirent bientôt tout le poids du pouv
t s’éteindre. Ceux des beaux-arts qui sont moins intimement liés à la
liberté
furent encore cultivés quelque temps ; mais on ne
se de l’habileté et du génie de la nation, mais surtout à cause de la
liberté
dont elle jouit. Cependant, il n’est que trop vra
arler d’une manière lâche et triviale. Ils ne devraient prendre cette
liberté
que dans ces sortes de sociétés où l’on ne s’occu
ment à l’orateur de se préparer avant de prendre la parole. C’est une
liberté
dont jouissent les prédicateurs et quelquefois le
’elle est portée à son plus haut point de perfection. Cependant cette
liberté
, accordée à ce genre d’éloquence, de prendre un c
ujours plus perfide, avaient mis en danger, et ensuite opprimèrent la
liberté
de la Grèce. Les Athéniens commençaient à s’alarm
ar ce n’est pas sans cause que les Grecs, autrefois si jaloux de leur
liberté
, sont maintenant si disposés à la servitude. Il r
ut dans la circonstance présente, de vous exposer mes sentiments avec
liberté
et sincérité. Je voudrais être assuré qu’il est a
ou réveiller l’attention des auditeurs ; mais il faut n’user de cette
liberté
qu’avec la plus grande réserve. Car un style bril
retentissait de ce bruit, et l’on s’écriait partout que la vie et la
liberté
des citoyens n’étaient plus en sûreté, si l’on ne
ar les mêmes juges ? Celui qui avait tout à craindre, dont la vie, la
liberté
, la fortune étaient fortement compromises, ne dut
t devant eux ; en les consultant, ils conserveraient presque toute la
liberté
et l’aisance d’un homme qui parle. Les prédicateu
signifie un ferme attachement aux véritables intérêts du peuple, à sa
liberté
, à son repos et à son bonheur ; mais qu’il voit b
le était combinée de manière à fonder un pouvoir incompatible avec la
liberté
, et à enrichir quelques hommes aux dépens du publ
, et que je puisse y soulager la vieillesse de mes parents. Prenez la
liberté
de lui demander cette faveur, il ne vous refusera
auvaise ; il faudrait la venir rétablir dans l’air natal, jouir de la
liberté
, boire avec moi du lait de nos vaches et brouter
s ce que toutes les académies ont dit depuis, et je pris, de plus, la
liberté
de me moquer d’un livre très-ridicule que votre p
itié de son esprit. Sa verve avait besoin de licence pour circuler en
liberté
. « Voltaire, dans ses écrits, n’est jamais seul a
ix. Kœnig était mon ami ; j’avais à la fois le plaisir de défendre la
liberté
des gens de lettres avec la cause d’un ami, et ce
isonnière à Saint-Lazare, comme Chénier. Le 9 thermidor lui rendit la
liberté
. fragment « L’épi naissant mûrit de la faux re
isonnière à Saint-Lazare, comme Chénier. Le 9 thermidor lui rendit la
liberté
. 3. C’est toute la pensée des strophes suivantes
e à ce mot. J’y fus pris ; j’asservis au vain désir de plaire La mâle
liberté
qui fait mon caractère3 ; Et, perdant la raison,
itié de son esprit. Sa verve avait besoin de licence pour circuler en
liberté
. « Il entre souvent dans la poésie, mais il en so
e excella. 1. « On dirait que la versification n’est pour lui qu’une
liberté
de plus, et qu’il a trouvé dans ce genre la vraie
de : rien d’heureux ne leur échappe ; rien ne coule de source et avec
liberté
: ils parlent proprement3 et ennuyeusement. L’esp
ons des hommes, de la sérénité sur leurs visages ; qui étendrait leur
liberté
; qui réveillerait en eux, avec les talents natur
, joue et badine, mais avec dignité. On l’approche tout ensemble avec
liberté
et avec retenue. Son caractère est noble et facil
nt vous regardez la peinture, a parlé à son maître avec force et avec
liberté
, et a plus craint de lui nuire que de lui déplair
udier, le commerce de la vie ne pouvant même subsister si l’on n’a la
liberté
de témoigner que l’on n’est pas du sentiment des
une chose indubitable, ou en faisant paraître qu’on leur veut ôter la
liberté
de l’examiner et d’en juger par leur propre lumiè
due de l’esprit et du cœur humains que dans ces siècles fortunés ; la
liberté
découvre, jusque dans l’excès du crime, la vraie
» « La servitude abaisse l’homme jusqu’à s’en faire aimer. » « La
liberté
est incompatible avec la faiblesse. » « Le frui
r l’enseignement des plus grands spectacles, sous la protection de la
liberté
de l’État ou de l’indépendance de la pensée, que
sement des faits, la part des volontés particulières qui attestent la
liberté
morale de l’homme, et l’action des lois générales
t et vaillant soldat, à Pavie, où il fut blessé et pris. — Rendu à la
liberté
, commença pour lui, en 1526, cette vie de persécu
du livre. Mais il n’a pleu aux Dieux me permettre de suivre Ma jeune
liberté
, ny faire que depuis Je vesquisse aussi franc de
pas retournee, Quand, loin d’affection, de desir et d’amour, En pure
liberté
je passois tout le jour, Et, franc de tout soucy
s courtisans ont les aines atteintes… Misérables valets, vendant leur
liberté
Pour un-petit201 d’honneur servement acheté ! Quo
cime Brute, Marc Antoine, soldats. MARC BRUTE. Le Tyran est tué, la
liberté
remise, Et Rome a regaigné sa premiere franchise.
r une mesme main qu’eust Tarquin le dernier. Respire donc à l’aise, o
liberté
romaine ! Respire librement sans la crainte inhum
naturelle, Ceux qui voudront bastir leur puissance nouvelle Dessus la
liberté
, car ainsi les tyrans Finent313 le plus souvent l
isant l’univers d’une horrible fierté, L’univers captivant veuf de sa
liberté
. Toutefois aujourd’huy cette orgueilleuse Rome, S
berté. Toutefois aujourd’huy cette orgueilleuse Rome, Sans bien, sans
liberté
, ploye au vouloir d’un homme : Son empire est à m
et les bois, Loin du tumulte et du bruit populaire, Et qui ne vend sa
liberté
pour plaire Aux passions des princes et des rois
ange de sincérité naïve, d’en-thousiasme et de hauteur, il réclame la
liberté
de son génie qu’échauffe et vivifie cette intempé
peche honorablement. Car penser s’affranchir, c’est une resverie. La
liberté
par songe en la terre est cherie. Rien n’est libr
us sommes nez, et n’a jamais esté Homme qu’on ait veu vivre en pleine
liberté
. En vain, me retirant enclos en une estude, P
ui avait régenté et dominé la poésie. Ils les suivent, chacun dans la
liberté
de sa nature et de son esprit, mais tous respectu
nière comédie de Regnard, le Légataire, couvre de sa gaîté d’étranges
libertés
contre la morale et la loi, symptôme de cette dis
Et je ne voy plus rien qui me pût secourir, Ni qui sceust rappeler ma
liberté
bannie. Dès long-temps je connois sa rigueur inf
peine ; Elle m’affranchira de votre autorité, Et ma punition sera ma
liberté
, (Antigone, 1638, IV, 3.) Corneille (1606
républiques, Que sous votre cabale il vous plut asservir : La vieille
liberté
si chère à leurs ancêtres Y fut partout forcée à
t en réduit ; Mon travail sans appui monte sur le théâtre ; Chacun en
liberté
l’y blâme ou l’idolâtre ; Là, sans que mes amis p
aire peur. Mes soins pour Léonor ont suivi ces maximes ; Des moindres
libertés
je n’ai point fait des crimes, À ses jeunes désir
ais bien que nos ans ne se rapportent guère, Et je laisse à son choix
liberté
tout entière. Si quatre mille écus de rente bien
gueur est passée, Mon dernier jour est dessus l’horizon. Tu crains ta
liberté
. Quoy ! n’est-tu pas lassée D’avoir souffert soix
cet excès l’esclavage est monté, L’esclavage, crois-moi, touche à la
liberté
; le Barnewelt, un qui le termine : Caton se la
ur style tragique. C’est ailleurs qu’il faut chercher Voltaire. La
liberté
Dans le cours de nos ans, étroit et court pas
insi que moi ; « C’est le plus beau présent de notre commun roi. « La
liberté
, qu’il donne à tout être qui pense, « Fait des mo
s zéphirs, « À ta propre pensée, et même à tes désirs. « Ah ! sans la
liberté
, que seraient donc nos âmes ? « Mobiles agités pa
ge occupés, « Vils instrumens d’un Dieu qui nous aurait trompés… « La
liberté
, dis-tu, t’est quelquefois ravie : « Dieu te la d
imites ?… « Connais mieux l’heureux don que ton chagrin réclame. « La
liberté
dans l’homme est la santé de l’âme. « On la perd
s saillies ; « Hélas ! combien le cœur a-t-il de maladies « Sûr de ta
liberté
, rapporte à son auteur « Ce don que sa bonté te f
ître étoit resté (C’étoit, je pense, un jour de fête), Notre singe en
liberté
Veut faire un coup de sa tête. Il s’en va rassemb
e ne suis-je enfant de ce lac enchanté Où trois pâtres héros ont à la
liberté
Rendu tous leurs neveux et l’Helvétie entière ! F
le tombeau… Si je devois, un jour, pour de viles richesses Vendre ma
liberté
, descendre à des bassesses ; Si mon cœur par mes
usé aux fantaisies de Mardoche, n’ont-ils pas été, dans la plus large
liberté
de leurs conceptions poétiques, de purs classique
n et de l’Empire, le xixe siècle a cherché dans l’ordre politique la
liberté
; il a cherché dans l’histoire, les sciences, les
ffée sous la tradition des conventions littéraires, il a reconquis la
liberté
entravée par la tyrannie des règles absolues. Le
e romantique qui, comme toute école révolutionnaire, même celle de la
liberté
, a eu ses formules despotiques, voulut à son tour
même de la révolution poétique qui s’était accomplie, « tolérance et
liberté
» (Victor Hugo, préface d’Hernani). C’est la poés
pelle le 18 brumaire et l’attentat de Bonaparte contre les lois et la
liberté
. Je n ai point caressé sa brillante infamie ; Ma
délaissé, doux rêves de la vie. Plaisirs, gloire, bonheur, patrie et
liberté
, Vous fuyez loin d’un cœur vide et désenchanté. L
vous les clameurs qu’elle envoie ? Elle s’avance et mêle, aux cris de
liberté
Des chants d’orgueil, d’espérance et de joie. «
enivrer. ANNA. Madame, où votre esprit se va-t-il égarer ? Hélas ! la
liberté
ne vous est pas rendue ; La prison seulement s’ou
e enfance ! Saluez ces doux bords qui me furent si chers ! Hélas ! en
liberté
vous traversez les airs1309 (Marie Stuart, tra
rêt sans appel, qu’un seul aurait porté, Serait la tyrannie et non la
liberté
; Contre elle et contre tous, notre garant, c’est
verra luire un sommet argenté Pour les oiseaux divins, l’aigle et la
liberté
. (Iambes et Poèmes. — Poèmes, Lazare, XV. — E.
l’école rivale avait assuré au théâtre la conquête et l’exercice, les
libertés
de temps et de lieu. Chacune de ses pièces nouvel
2. — Calmann Lévy, éditeur.) Enthousiasme de la nature et de la
liberté
Charlotte Corday, Faneuses, Faucheurs. CHA
, ô solitude ! (Ibid.,II, 1 et 2. — Calmann Lévy, éditeur.) La
liberté
Charlotte Corday, Barbaroux 1513. BARBAROU
ez-moi du récit de nos gloires ! — Non, tu n’es pas flétrie, ô sainte
liberté
, Par les crimes commis sous ton nom emprunté ! S’
ux punis, nous pourrons faire admirer au monde La mère des vertus, la
liberté
féconde. (Ibid., III, 1. — Calmann Lévy, éditeu
n qu’on nomme renommée N’a jamais enivré d’une vaine fumée, Qui de sa
liberté
forme tout son plaisir, Et ne rend qu’à lui-même
s’est plaint, avec quelque amertume, d’avoir, sans profit, aliéné sa
liberté
au service de maîtres ingrats. Comme eux, il étai
ur la dure. Je l’ay, sans le quitter, à toute heure suivy, Donnant ma
liberté
je me suis asservy. En public, à l’Eglise, à la c
sa peau s’enveloppa (VIII, 3). 850. La Fontaine se donne toute
liberté
à l’égard de l’affabulation, tantôt simple, tantô
épouse de bon gré et de bon cœur un tuteur qui lui laisse une honnête
liberté
. La charmante comédie de l’École des Femmes (1662
ue suscita contre lui cette pièce ; ses ennemis abusérent de quelques
libertés
de langage, qu’ils interprétèrent malignement, po
r un philosophe que lui justifier ses larmes, et mettre sa douleur en
liberté
. Si je n’ai pas trouvé d’assez fortes raisons pou
oublât ton repos ? As-tu pas toujours eu comme reine absolue Toute la
liberté
que toi-même as voulue ? Cependant ton caprice, e
, Philinte, l’homme aux révérences, toujours prêt a s’excuser de la «
liberté
grande », qui le provoque : Avec confusion, mais
te, sans remords, avec simplicité. Je marche dans ma force et dans ma
liberté
. (Othello, II, 7) 1149. Cf. Lamartine, Le v
e, les abus de la fiscalité, et un appel éloquent à l’égalité et à la
liberté
. Cette seconde partie de l’Hymne est de même éten
e la libre pensée. — Il revendique avec autant d’éloquence ceux de la
liberté
politique dans sa célèbre Élégie La Promenade (18
. Convaincu seulement du crime détesté D’avoir aimé, servi, chanté la
liberté
1282. Bernardin de Saint-Pierre, Chateaubriand
dant marcher cette forêt d’éclairs ». et auquel répond par un cri de
liberté
L’aigle montagnard, l’aigle orageux de l’espace,
chênes Serve aux humains d’exemple et leur dicte des lois, Et que la
liberté
, seul remède à nos haines, Règne autour des palai
ien des deux actions qui composent la pièce, la mort de Lucrèce et la
liberté
de Rome…, et un des plus heureux ressorts de la t
ttre de ne jamais porter les armes contre les Abenakis et lui rend la
liberté
, afin que son père cesse d’être malheureux. Ce fa
er rang des braves qui défendent contre les cruels enfants de Rome la
liberté
expirante de la Gaule, se distingue un jeune bard
s pas dans l’esclavage, toi qui célébrais le courage, la gloire et la
liberté
. « O ma patrie ! je meurs pour toi, hélas ! et av
jeune homme, Huneric, gendre du roi des Vandales, de lui accorder la
liberté
de l’enfant. Refus dur et insultant du barbare. D
e cette scène ; paroles de l’enfant, qui ne voulait point accepter la
liberté
à un tel prix. Insistance héroïque de Paulin ; se
on et le respect de son nouveau maître. Trois ans après, il obtint la
liberté
, non-seulement pour lui-même, mais encore pour to
te de Lycurgue envers lui. Au bout de deux mois, Lycurgue lui rend la
liberté
et le renvoie dans sa famille. Paroles de Lycurgu
nt été sans pitié pour le gouverneur, se font un honneur de rendre la
liberté
au poëte. Paroles de leur chef. Les brigands font
nsko, le vainqueur lui accorde, ainsi qu’à ses compagnons d’armes, la
liberté
de retourner en Russie ou d’accepter en Pologne u
eurtrier ; il lui accorde la vie et ordonne qu’on le laisse partir en
liberté
, sans lui faire aucun mal. Alors Bertrand se sent
dessein d’aller soulever l’Ecosse contre les Anglais et de rendre la
liberté
à sa patrie. Il s’échappe de Londres avec son frè
sa vie), écouta la voix de la raison et de l’humanité : il rendit la
liberté
à Owinsko et à ses compagnons. 122. Monologue
Autriche, à la tête d’une armée formidable, s’avance pour détruire la
liberté
naissante de la Suisse. L’un de ces jeunes gens r
de Morgarten ; l’armée autrichienne fut écrasée, Léopold fut tué, la
liberté
de la Suisse fut assurée. Les cinquante jeunes ge
ce jeune homme lui firent délivrer une feuille de route pour venir en
liberté
rejoindre son régiment en garnison à Paris. Le co
utus lit jurer au peuple qu’il se maintiendrait éternellement dans sa
liberté
. Bossuet, Histoire universelle. J.-J. Rousseau
ébéiens contre les patriciens. Le peuple-roi, accoutumé à regarder la
liberté
comme inséparable de son nom, ne voulait recevoir
s’éteignent ou sont immolés. Actium décide du maître de l’empire. La
liberté
est sacrifiée à un repos perfide, que devaient su
s qui marque sur la terre le triomphe de l’égalité des races et de la
liberté
politique. Et ces cérémonies de la semaine sainte
qui ont la mine d’être de fort mauvais garçons, de faire insulte aux
libertés
, et de traiter une âme de Turc à More. Comment, d
les ; et beaucoup de vilains petits embarras m’en ont toujours ôté la
liberté
. Je n’ai pourtant pas ignoré l’état où vous êtes,
bles dans un long ouvrage1. En vous exposant mes pensées avec tant de
liberté
, je ne prétends ni reprendre ni contredire person
t être moins parfaits ou trop éloignés de nos mœurs. C’est avec cette
liberté
si judicieuse et si délicate que Virgile a suivi
es portiques, et partout le sentiment de l’homme dans sa beauté et sa
liberté
. Sa maison est le temple en petit ; le temple est
ne de vos leçons ; et vous qui savez si bien peindre les vertus et la
liberté
, apprenez-nous à les chérir dans nos murs comme d
s intelligences célestes. Mais un corps qui souffre ôte à l’esprit sa
liberté
; désormais je ne suis plus seul, j’ai un hôte qu
nc enfin cette cause ? Elle n’est autre que cet indomptable esprit de
liberté
que rien n’a pu vaincre, et devant lequel les hon
nd air, le grand appétit, la bonne santé que je gagne en marchant, la
liberté
du cabaret, l’éloignement de tout ce qui me fait
it leur magistrat naturel ; c’était un maître qui s’accordait avec la
liberté
, qui se faisait obéir, quoiqu’il ne leur fît poin
ison, de la justice et des lois. Il pense avoir ôté à Rome jusqu’à la
liberté
de la voix et de la respiration : ou les pauvres
personnages ; et, ce qui est plus essentiel, elle laisse au poète la
liberté
d’embellir son sujet au moyen de quelques fiction
rentre dans le domaine de l’histoire réelle et bien constatée, cette
liberté
est fort gênée. Il faut qu’il se renferme, comme
les personnages principaux doivent être historiques. Le poète a toute
liberté
pour la création des personnages accessoires. 354
propre caractère. Dans les personnages d’invention, le poète a toute
liberté
pour la peinture et le choix des caractères ; il
foi publique ? Je ne vous dis plus : Eh ! quels titres avez-vous à la
liberté
, quels moyens vous resteront pour la maintenir, s
a force des baïonnettes !” » 1. Le bailli de Mirabeau. Privé de sa
liberté
depuis trois ans, son neveu le supplie d’intercéd
euve : dans la guerre et dans le gouvernement, résister, au nom de la
liberté
et au nom du pouvoir, au roi et au peuple ; comme
à ses rivaux ; il connaissait des besoins publics, des conditions de
liberté
publique dont Hollis et Pym2 avaient tort de ne p
s n’osa plus enjamber. Toutefois, La Fontaine use largement de cette
liberté
toute latine et en tire des effets singulièrement
Livre X, fable ii. Racine même a dit : Je parlerai, madame, avec la
liberté
D’un soldat qui sait mal farder la vérité. … Pui
nent, elles adoptent la forme et créent le genre de la prose, dont la
liberté
et la souplesse se prêtent mieux à l’analyse et à
ngage les incertitudes où le jette la comparaison du pouvoir et de la
liberté
: Cet empire absolu sur la terre et sur l’onde,
intres immortels. Narration poétique. — Le poëte et l’orateur ont la
liberté
, interdite à l’historien, de donner aux événement
tions mathématiques. En effet, dans les sciences exactes, il n’y a ni
liberté
ni choix ; la vérité est rigoureuse et n’abandonn
Grecs et aux Latins leur facilité à composer les mots, aux Anglais la
liberté
de leurs emprunts et de leurs usurpations5. L’exp
. « On sait combien notre langue, au xviiie siècle surtout, avait de
liberté
hardie dans les tours, soit par un reste des vieu
u langage. « La règle en France et la discipline ont donc prévenu la
liberté
. Nos écrivains ont été bien avertis que la langue
Quand on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l’appât de la
liberté
, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende
se perdre dans une eau si vaste, en se flattant d’une fausse image de
liberté
. » (Bossuet, Panégyrique de saint André, 1re part
citoyens, tyranniser et piller les alliés en toute impunité, en toute
liberté
; tu as été assez puissant, non seulement pour ne
la prison et les fers l’homme qui, de lui-même, se juge indigne de la
liberté
? Puisqu’il en est ainsi, Catilina, peux-tu hésit
ommes qui, il y a trois jours, privaient des citoyens romains de leur
liberté
, les mêmes qui décrétaient des actions de grâces
en pour qui ces temples, l’aspect de cette ville, la possession de la
liberté
, cette lumière même qui nous éclaire, cette terre
t de leur fortune, les droits de citoyens auxquels ils sont admis, la
liberté
enfin, si douce à tous les cœurs, intéressent nat
u pour fonder cet empire, que de courage pour y établir solidement la
liberté
, quelle protection des dieux pour étendre et agra
ville entière avec ses monuments et vos maisons ; c’est l’empire, la
liberté
, le salut de l’Italie, c’est la république tout e
s, parce qu’on lui en donnait suivant les lois. Ils lui ont laissé la
liberté
d’acheter un esclave, dont le service est absolum
dépouillées. Il ne s’est laissé ni le moyen de nier ces faits, ni la
liberté
de se justifier. Je démontre tous mes chefs d’acc
nts, nous sortîmes du sénat, mon frère et moi, pour ne point gêner la
liberté
des suffrages, en cas qu’ils eussent quelque chos
rient que c’est les dépouiller de leurs droits, que c’est violer leur
liberté
; le peuple comble d’éloge son sénat et lui témoi
prédécesseurs. Quand donc a-t-il privé quelqu’un du plaisir et de la
liberté
de voir tous ceux qu’il avait pris ? En quelque l
, tu fis trancher la tête à leurs concitoyens. » En un mot, juges, la
liberté
que vous avez donnée à vos alliés, Furius l’emplo
t : mais déjà leurs parents endurent le supplice ; car on leur ôte la
liberté
de voir leurs enfants, de leur fournir des vêteme
nourris par leurs parents dans l’espérance qu’ils jouiraient de leur
liberté
sous notre empire équitable, doivent-ils être les
violé le droit des citoyens romains, vous jugez que cela intéresse la
liberté
et la gloire de l’État. Quoi c’est dans les priso
urs du supplice, se sentait revivre comme ranimé par la lumière de la
liberté
et par une espèce de parfum des lois, commença à
ait jamais vu un pareil abus de pouvoir. LXIII. Nom précieux de
liberté
! magnifique privilège de notre empire ! lois de
regarde, dit-il, sa patrie ; qu’il expire à la vue des lois et de la
liberté
. » Ce n’est donc point, Verrès, Gavius seul, ce n
e, le premier citoyen venu, c’est la cause commune de l’État et de la
liberté
que vous avez immolée au milieu de ces tourments
ls sont persuadés que leurs biens, leurs droits, leurs intérêts, leur
liberté
enfin, dépendent du jugement que vous prononcerez
te et ingénieuse. L’épitre familière prend un air de négligence et de
liberté
; elle badine agréablement, elle sème partout la
et serviles, mais que les plus injustes blâmes passent pour effets de
liberté
, et sont mis au nombre des actions généreuses. Vo
urs de cette puissance divine, d’ôter la vie aux hommes, ils n’ont la
liberté
de juger que selon les dépositions des témoins, e
nnées, afin que tu dises à ceux qui sont dans les chaînes : Sortez en
liberté
; et à ceux qui sont dans les ténèbres : Venez à
uêtes. Quand Brutus inspirait au peuple romain un amour immense de la
liberté
, il ne songeait pas qu’il jetait dans les esprits
s pensassent à ceux du prochain : vous les avez mis à leur aise et en
liberté
, afin qu’ils fissent leur affaire du soulagement
dès son202 commencement, vous laisse à peine dans tout son progrès la
liberté
de respirer et le temps de vous remettre ; ou, s’
joue et badine, mais avec dignité ; on l’approche tout ensemble avec
liberté
et avec retenue : son caractère est noble et faci
pendant deux générations ; mais cet amour était au fond celui de leur
liberté
. Enfin la Franche-Comté était heureuse, mais pauv
qui ne demande qu’autant qu’il leur accorde, et ne veut que calme et
liberté
. Les grâces de la figure, la beauté de la forme,
uver les grâces et la beauté… À sa noble aisance, à la facilité, à la
liberté
de ses mouvements sur l’eau, on doit le reconnaît
s et suaves388. Aux avantages de la nature le cygne réunit ceux de la
liberté
; il n’est pas du nombre de ces esclaves que nous
ral. 1. Dieu a créé l’homme à son image, c’est-à-dire libre. Or cette
liberté
n’existerait plus si nous ne pouvions être bons o
e l’a doué ; mais elle a tellement borné ses forces, que l’abus de la
liberté
qu’elle lui laisse ne peut troubler l’ordre génér
er ce contentement que nous sommes placés sur la terre et doués de la
liberté
, que nous sommes tentés par les passions et reten
battait l’aigle, et de chaque côté Nos légions s’armaient contre leur
liberté
; Où les meilleurs soldats et les chefs les plus
eu de mots : « Toutes ces cruautés, « La perte de nos biens et de nos
libertés
, « Le ravage des champs, le pillage des villes, «
i. « Lui mort, nous n’avons point de vengeur ni de maître498. Avec la
liberté
Rome s’en va renaître ; Et nous mériterons le nom
souverain, Qui pour tout conserver tienne tout en sa main ; Et si sa
liberté
-te faisait entreprendre517, Tu ne m’eusses jamais
passe à votre frère ; Votre jalouse humeur ne lui saurait souffrir La
liberté
d’aimer ce qu’il me voit chérir : Son amour pour
garée, Les bergers de leur peau se faisaient maints habits. Jamais de
liberté
, ni pour les pâturages, Ni d’autre part p
us me rendez garant du reste de sa vie, Je répondrai, madame, avec la
liberté
D’un soldat qui sait mal farder la vérité711.
peine respirant du joug qu’elle a porté, Du règne de Néron compte sa
liberté
. Que dis-je ? la vertu semble même renaître : Tou
t enlevée, Et qui même aurait mis au rang de ses bienfaits L’heureuse
liberté
de ne le voir jamais ! BURRHUS. Je sais que d’auc
BURRHUS. Madame, je vois bien qu’il est temps de me taire, Et que ma
liberté
commence à vous déplaire. La douleur est injuste
oi-même, revêtu d’un pouvoir emprunté, Que je reçus de Claude avec la
liberté
, J’ai cent fois, dans le cours de ma gloire passé
là, toutefois, ses seuls titres de gloire. Dans ce généreux ami d’une
liberté
réglée par les lois, qui, aux jours de la captivi
onnant des lois leur ont donné des biens, Des forces, des parents, la
liberté
, la vie ; Enfin qui d’un pays ont fait une patrie
storien met de la variété dans ses récits, parce que Dieu a mis de la
liberté
dans l’homme ; il y met de l’unité, parce qu’à tr
’éloquence humaine saurait-elle aller au-delà ? Et aussi quelle noble
liberté
dans la parole ! Cf. le sermon de Bossuet sur l’é
. 365. Maxime aussi équitable que sensée, très propre à concilier la
liberté
de nos jugements avec le respect que nous devons
s la condamnation de Fouquet, demandait encore au roi qu’il rendit la
liberté
au prisonnier ; il ne réussit point à désarmer la
le commencement et me mène jusqu’à la catastrophe sans me laisser la
liberté
de respirer. » — On a dû regretter pour Voltaire,
nfermée comme le poète à Saint-Lazare. Rendue par le 9 thermidor à la
liberté
, elle est morte en janvier 1820, dans un âge par
mme irréprochables, et qui paraissent même devoir leur succès à cette
liberté
d’allure. Il faut en conclure que la règle vérita
inspirer la valeur, le mépris de la mort, l’amour de la patrie, de la
liberté
et de la gloire. Dans ce genre, les chants prussi
’est quelquefois confondue avec d’autres gemmes, à cause de la grande
liberté
dont elle jouissait alors. C’est ainsi que nous l
’enthousiasme et le délire poétique, et qui jouit de la plus complète
liberté
relativement à la mesure. Ce petit poème est, pou
l’on tient pour démontré que Clodius n’est privé ni de raison, ni de
liberté
. Le syllogisme ainsi resserré se nomme enthymème.
es. Voilà les maîtres à suivre dans la réfutation par le ridicule. La
liberté
de la tribune et de la presse, consacrée par nos
Castries, sa dame d’atours, et madame de Saint-Simon. Ravies de leur
liberté
, elles s’approchèrent en un tas, tout le long d’u
e, elles se mirent à en deviser tout bas ensemble dans ce groupe avec
liberté
. Dans la galerie et dans ce salon, il y avait plu
mme l’airain qui bout et se régénère dans le creuset. La statue de la
Liberté
n’est pas fondue : le métal bouillonne, et si vou
n ; je me trompe, c’est une lâcheté. » La licence. — C’est un air de
liberté
et de feinte rudesse que l’on prend pour faire pa
Grèce. » Après Démosthène et Eschine, l’Éloquence s’évanouit avec la
liberté
; le peuple grec, devenu esclave, cessa de délibé
litique de Rome, car après lui les Romains dégénérés abdiquèrent leur
liberté
entre les mains de ceux à qui César avait montré
es républiques de l’antiquité, le rôle de l’éloquence ; elle guida la
liberté
et mourut avec elle. [7] (24 juillet 1884)
tion au milieu de laquelle il vit : il n’y a plus de famille, plus de
liberté
d’aucune sorte ; la gloire, le crédit, la fortune
ent. — Le genre épistolaire est celui de tous qui comporte le plus de
liberté
, et celui dans lequel presque tout le monde peut
ie, la veuve du grand Pompée, qui vient sommer César de lui rendre la
liberté
, afin de courir à la vengeance. On le voit, les e
franc et libre, soit qu’il réponde aux reproches d’Agrippine avec la
liberté
D’un soldat qui sait mal farder la vérité, soit
veau, tout en conservant sa physionomie bouffonne et ses habitudes de
liberté
excessive. Dès lors, les intrigues enchevêtrées,
ressemblance avec les autres ! L’un personnifie l’enthousiasme et la
liberté
absolue d’inspiration lyrique, l’autre la sensibi
e servitude aussi abjecte, je crois impossible un retour sérieux à la
liberté
. Au point de vue pratique, je pense que le meille
l’ardeur de la lutte, j’ai parfois usé envers vous d’une trop grande
liberté
de parole ; mais vous savez à quel point j’étais
r de ne pas révoquer l’édit de Nantes. Plan. — Il s’excusera de la
liberté
qu’il prend de donner des conseils au grand roi a
a tolérance ; Louis XIV mettra le comble à sa gloire en respectant la
liberté
de conscience, proclamée, par l’édit de Nantes.
ature reste ; et la nature « de l’homme, c’est d’intelligence » et la
liberté
: l’intelligence qu’il faut développer, la libert
telligence » et la liberté : l’intelligence qu’il faut développer, la
liberté
qu’il faut conduire. A cet effet, on a imaginé ;
our et le contre, elle frapperait également toutes les forces dont la
liberté
humaine peut user et abuser : « La mer, dit Mont
et tyrannique. Sans doute l’homme a toujours le droit d’abuser de sa
liberté
et de s’abandonner au désordre sous prétexte d’in
e mensonge eut toujours trop d’horreur Je répondrai, Madame, avec la
liberté
D’un soldat qui sait mal farder la vérité : Vou
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
; une reine fugitive, qui ne trouve aucune retrai
t détourner tous les coups, écarter tous les supplices. O doux nom de
liberté
! ô droits sacrés du citoyen ! ô lois de Porçius
t de leurs moyens, se dirigent eux-mêmes avec puissance, réflexion et
liberté
. Le langage des arguments honore à la fois celui
ançais, afin de leur persuader à tous qu’il ne faut jamais aliéner sa
liberté
, et pour ne pas être exposé à l’aliéner, n’en jam
rois parties sont indispensables, 4. Ordre de ces parties. — La même
liberté
peut être réclamée et par l’orateur et par l’écri
tte loi le trompe par de flatteuses apparences et porte atteinte à sa
liberté
, le consul est prêt à changer de sentiment. À for
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
.... 3. Condition essentielle de l’amplification
ante et naturelle du cygne : A la noble aisance, à la facilité, à la
liberté
de ses mouvements sur l’eau, on doit reconnaître
ar son sujet, il paraîtrait au moins étrange qu’il conservât assez de
liberté
d’esprit pour soigner ses mots et rechercher des
e à faire peur une brune adorable ; La maigre a de la taille et de la
liberté
; La grasse est dans son port pleine de majesté ;
habilement déguisée ; elle consiste à se donner les apparences d’une
liberté
portée à l’excès, mais qui ne sert qu’à faire val
, non, vous n’avez pas failli, quand vous vous êtes sacrifiés pour la
liberté
et le salut commun ; j’en jure par nos ancêtres q
t devait cette gloire aux mânes d’un tel homme D’emporter avec eux la
liberté
de Rome. Cette pensée a beaucoup d’éclat, et même
e Pompée devaient plutôt obtenir du ciel le maintien éternel de cette
liberté
, pour laquelle on suppose qu’il combattit et qu’i
aractére essentiel et permanent de la poésie. Au contraire une grande
liberté
dans la disposition dès sons et des mots est le p
ation, pour émouvoir les passions, cette langue a besoin d’une grande
liberté
de mouvement et cette liberté est d’autant plus l
ons, cette langue a besoin d’une grande liberté de mouvement et cette
liberté
est d’autant plus légitime que d’autre part la no
u sujet, une mémoire sûre et prompte qui laisse à l’orateur la pleine
liberté
de son esprit et de sa parole sont encore et sero
ette Athènes, l’endroit de la Grèce, dit Platon, où il y a le plus de
liberté
de parler. 3. De la rhétorique chez les Romains.
juste mesure, offrant les secours suffisants et laissant une certaine
liberté
à l’imagination. 5. Règles relatives à l’action.
Démosthène les consolations de la philosophie et les souvenirs de la
liberté
, il alla chercher un pays où l’on pût être impuné
actions ; il agit avec lenteur : on dirait qu’il se sent chargé de la
liberté
de l’avenir et qu’il craint de la compromettre. C
le géant révolutionnaire ; mais en écrasant l’anarchie, il étouffe la
liberté
, et finit par perdre la sienne sur son dernier ch
r laisser aux maîtres, qui voudraient bien accepter ce recueil, toute
liberté
de commenter ces textes à leur aise. Je dédie ce
lors j’eus le choix de tous les termes de ma langue, pour exprimer en
liberté
les pensées de mon auteur. » Voilà, je crois, le
pourrait de même permettre aux élèves de l’éloquence de s’essayer en
liberté
, lorsqu’ils auraient acquis des forces. Ce serait
ser au talent, comme les lois doivent laisser à l’homme, autant de sa
liberté
naturelle qu’il en peut avoir sans danger. Les rè
t avons-nous une tribune où l’orateur, homme d’État, puisse parler en
liberté
? » Fasse le ciel qu’il s’en élève, et en grand n
ne sera plus délatrice et calomnieuse ; mais si elle n’a pas toute la
liberté
de l’éloquence républicaine, aussi n’en aura-t-el
n leur ôtant le fruit qu’ils pourraient tirer de l’émulation et de la
liberté
qu’auraient plusieurs excellents maîtres de faire
ur dès son commencement, vous laisse à peine dans tout son progrès la
liberté
de respirer et le temps de vous remettre ; ou, s’
xercer, il se jetât d’abord dans les emplois extérieurs, qui ôtent la
liberté
d’étudier. Un jeune homme pourrait, de temps en t
ssieurs, je profite beaucoup à raisonner avec vous, vous souffrez mes
libertés
. B. Laissez là le compliment : pour moi, je me f
la république. Alors l’expérience des grandes affaires, l’amour de la
liberté
, la crainte des malheurs dont il était menacé, lu
aire des efforts dignes d’un orateur. Lorsqu’il s’agit de soutenir la
liberté
mourante, et d’animer toute la république contre
us avons déjà posés. D’un autre côté, que ne gagnera-t-il pas pour la
liberté
et pour la force de l’action, qui est le principa
discerner les grandes choses qui s’amusent à celles-là. Pardonnez ma
liberté
: ce n’est qu’à cause que je vous crois bien diff
ue celle d’Athènes. L’éloquence sublime n’appartient, dit-on, qu’à la
liberté
; c’est qu’elle consiste à dire des vérités hardi
s qui voient rarement des vaisseaux. Tout ce qui tiendra de près à la
liberté
d’un Anglais, à ses droits, à ses usages, fera pl
le peuple qui renferme les femmes, et chez celui qui leur accorde une
liberté
sans bornes. Mais il sera toujours vrai de dire q
. Permettez-moi, mon cher abbé, de vous dire librement pensée ; cette
liberté
est la preuve de mon estime. J’ajouterai que la p
oie en prose et en vers. Mais j’oserai dire que je n’aime point cette
liberté
qu’on se donne souvent, de mêler dans un ouvrage
Je m’imagine que M. de Catinat aurait pensé comme vous. J’ai pris la
liberté
de remettre au coche de Nancy un exemplaire que j
e et à la profondeur du pathétique de Voltaire. Aux hardiesses et aux
libertés
que les langues se sont permises, ou à la timide
nt données et avaient fait passer. L’italien a pris de ces langues la
liberté
des inversions ; il s’est donné celle d’employer
contours de la nature : et l’œil y trouve réunies l’exactitude et la
liberté
, la correction et la grâce : telle est encore la
ainte ; Et puisque vous trouvez plus de charme à la plainte, En toute
liberté
goûtez un bien si doux. Voici venir ma sœur pour
e commencement, et me mène jusqu’à la catastrophe, sans me laisser la
liberté
de respirer. S’il y a donc quelqu’un qui prétende
dans un plus beau jour et raisonner avec plus de force. Je prends la
liberté
de défendre encore contre son autorité le vertueu
e patrie à tous les vents jeté, Sans profit pour le peuple et pour la
liberté
! Ô Dante Alighieri ! poète de Florence ! Je comp
siper, ses pressentiments et ses rêves se réaliser et s’éclaircir. La
liberté
d’esprit du Poussin, ses attaques franches et bru
il qu’on se rabaisse ? Faut-il oublier, avant tout, Que la
Liberté
sainte est la seule déesse Que l’on n’
l’Italie. Des champêtres plaisirs tu n’es plus le séjour 1 Ah ! de la
liberté
tu vis le dernier jour. Dix ans d’efforts pour el
as ! le malheureux, sur ce bord enchanté, Ensevelit sa gloire avec la
liberté
. Crédule, j’ai longtemps célébré ses conquêtes ;
délaissé, doux rêves de la vie. Plaisirs, gloire, bonheur, patrie et
liberté
, Vous fuyez loin d’un cœur vide et désenchanté. L
e. Rome est à vous, seigneur, l’empire est votre bien ; Chacun en
liberté
peut disposer du sien ; Il le peut à son choix ga
prévaloir, C’est son bien seulement que vous devez vouloir ; Et cette
liberté
, qui lui semble si chère, N’est pour Rome, seigne
sité. Les Macédoniens aiment le monarchique, Et le reste des Grecs la
liberté
publique : Les Parthes, les Persans veulent des s
c votre aïeul Pompée au ciel a résisté Quand il a combattu pour notre
liberté
? Cinna. Si le ciel n’eût voulu que Rome l’eût pe
devait cette gloire aux mânes d’un tel homme, D’emporter avec eux la
liberté
de Rome. Ce nom depuis longtemps ne sert qu’à
devint jaloux ; César de mon aïeul ; Marc-Antoine de vous ; Ainsi la
liberté
ne peut plus être utile Qu’à former les fureurs d
ous me rende garant du reste de sa vie, Je répondrai, madame, avec la
liberté
D’un soldat qui sait mal farder la vérité. Vous m
peine respirant du joug qu’elle a porté, Du règne de Néron compte sa
liberté
. Que dis-je ? la vertu semble même renaître. Tout
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
; une reine fugitive, qui ne trouve aucune retrai
e fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l’appât de la
liberté
, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende
onstance : j’ai été, je suis, je serai jusqu’au tombeau l’homme de la
liberté
publique, l’homme de la constitution. Malheur aux
ence et le goût, l’histoire du monde, la science des tyrannies et des
libertés
, la lumière reçue des temps, l’ombre de tous les
craser ce qu’on a redouté. Le peuple ressaisit sa vaste autorité ; La
liberté
fougueuse est une tyrannie ; L’audace triompha, l
dis, nous renfermer tellement en nous-mêmes, que nous n’ayons pas la
liberté
de suivre des exemples et de joindre à nous des q
due de l’esprit et du cœur humains que dans ces siècles fortunés ; la
liberté
découvre, jusque dans l’excès du crime, la vraie
es portiques, et partout le sentiment de l’homme dans sa beauté et sa
liberté
. Sa maison est le temple en petit ; le temple est
our ; Vois ces groupes d’enfants se jouant sous l’ombrage Qui de leur
liberté
viennent te rendre hommage, Et dis, en contemplan
s que donnent aux trois premières sortes de critique la diversité, la
liberté
, l’histoire mêlée aux lettres, la beauté des tabl
’entreprise, c’est au nom et avec les seules armes de la foi et de la
liberté
que l’œuvre chrétienne a commencé à conquérir l’h
es armes et avec celles-là seulement, c’est au nom de la foi et de la
liberté
que, sous le coup de nouvelles et vives attaques,
Newton. Précurseur de la révolution de 1789, il défend la cause de la
liberté
de conscience, de la liberté individuelle ; il ré
lution de 1789, il défend la cause de la liberté de conscience, de la
liberté
individuelle ; il réclame la liberté de la presse
la liberté de conscience, de la liberté individuelle ; il réclame la
liberté
de la presse autant que l’adoucissement de la lég
ur dès son commencement, nous laisse à peine dans tout son progrès la
liberté
de respirer et le temps de nous remettre, ou, s’i
ir, en vingt mois de ministère, relevé nos finances, fait décréter la
liberté
du commerce des grains, détruit la corvée et les
nde-Bretagne. Il se plaint que le peuple anglais, qui a grandi par la
liberté
, veuille opprimer ses concitoyens d’Amérique. Les
ants des grands citoyens qui ont acheté au prix de longues luttes les
libertés
dont le peuple anglais est justement fier. Pourqu
) Développer cette parole de Gœthe : la loi seule peut nous donner la
liberté
. (Alger, juillet 1888.) Commenter cette maxime de
moyen. » (Lyon, juillet 1891.) Les arguments de la science contre la
liberté
: leur valeur. (Lyon, juillet 1891.) Le droit :
’après les livres, la presse et les salons. – Montrer que c’est à ses
libertés
politiques que l’Angleterre a dû son influence au
Émilie et Cinna nous apparaissent d’abord comme les vengeurs de la
liberté
proscrite par Auguste. Nous n’entendons rien au p
se déplace. Ceux qu’on prenait tout à l’heure pour les vengeurs de la
liberté
ne semblent plus guère que des fanatiques. Cinna
lie aura beau rappeler la mort de son père, Cinna aura beau parler de
liberté
, nous ne croirons plus à leur désintéressement. L
irons plus à leur désintéressement. L’occasion de rendre à Rome cette
liberté
qu’ils regrettent s’est présentée ; ils ont pu le
n, qui vont même comme Émilie jusqu’à dire qu’ils n’useraient de leur
liberté
que pour recommencer, c’est le fait d’une grande
es maîtrises et les jurandes vont disparaître. Le commerce, auquel la
liberté
n’est pas moins nécessaire qu’à l’industrie, est
urir à une bonne administration. Il convient d’initier le peuple à la
liberté
politique. Mon projet est de créer une représenta
ne assemblée nationale. La France entière jouira ainsi vraiment de la
liberté
; elle s’associera à son roi pour la réforme de t
ichesses, supprimons les abus, accordons de sages et d’indispensables
libertés
, et nous aurons fait tout notre devoir. C’est ain
ocre estime ; on préférait l’unité à la diversité, la discipline à la
liberté
; le législateur du Parnasse pouvait-il comprendr
s, ces souffrances même que nous a coûté le long enfantement de notre
liberté
, ces affronts dévorés en silence, ce sang que tan
ent leurs maîtres ; où ces peuples qui étaient nés comme nous pour la
liberté
sont devenus les instruments inertes et les victi
té toute puissante du soleil ! Malgré les colères et les rancunes, la
Liberté
poursuit elle aussi sa marche triomphante et le j
nt du plus beau nom qui fut jamais sous le ciel le grand apôtre de la
liberté
! Je vous propose, Messieurs, de donner à William
vé contre cette sorte d’assimilation de l’une à l’autre, au nom de la
liberté
du poète, des droits de son inspiration, des prér
ils manient des hommes, qu’ils descendent dans le domaine où règne la
liberté
, leur esprit rigoureux ne voit qu’une ligne de co
s inquiétudes poignantes de notre destinée, avec l’enthousiasme de la
liberté
ou le souvenir de la gloire. Qu’avons-nous trouvé
l y eût même un goût et des principes de goût, et qui ont proclamé la
liberté
sans limites, non pas du génie seulement (on le l
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
; une Reine fugitive, qui ne trouve aucune retrai
us, quelle que fût la règle, il suffit qu’il y en eût une pour que la
liberté
fût supprimée ou tout au moins fort amoindrie ; e
que la liberté fût supprimée ou tout au moins fort amoindrie ; et la
liberté
est, je crois, une des conditions essentielles de
sque aucun (je parle toujours des auteurs d’œuvres graves), n’a cette
liberté
, cette vivacité d’allure qui seules pourraient à
ts ; on s’en défit : on fut sceptique, athée, et l’on osa réclamer la
liberté
de conscience. L’antiquité s’imposait à l’admirat
aqua aux abus de l’ancien régime, réclamant des réformes au nom de la
liberté
civile et politique. Cette œuvre de destruction e
Le problème de la discipline peut être formulé ainsi : Préparer à la
liberté
en obtenant l’obéissance. » La pensée de ce p
livré à tous ses caprices ; par là, il se prépare à l’exercice de la
liberté
. Car la liberté ne consiste pas à faire ce qui pl
s caprices ; par là, il se prépare à l’exercice de la liberté. Car la
liberté
ne consiste pas à faire ce qui plaît, uniquement
nsiste pas à faire ce qui plaît, uniquement parce que cela plaît ; la
liberté
n’est pas le caprice, c’est la volonté mise au se
uvre actuel : supposez-le inaugurant les premiers travaux. On a toute
liberté
pour imaginer la scène ; il faut seulement y plac
M. Robert est de retour dans sa famille sans savoir à qui il doit sa
liberté
. Son fils seul croit connaître l’auteur de ce bie
le du tribunal et ordonne au président Gascwagne de mettre son ami en
liberté
. – Le magistrat refuse. – Le prince le frappe. –
toujours la mer… courage pour la lutte, mépris du danger, amour de la
liberté
, absence de préjugés sociaux, joie et fierté de l
iant le pain qu’il pleure, A l’orphelin une demeure, Au prisonnier la
liberté
. – Expliquer et commenter le proverbe : « Il n’y
s dans le concert civilisateur, nées au progrès, à la lumière et à la
liberté
, grâce à la France, mère et éducatrice des peuple
aton et Brutus, c’est elle qui les soutint au milieu des ruines de la
liberté
; elle s’étendit ensuite, et se multiplia sous vo
i donnait son plan à cet égard ; et n’y trouve-t-on pas encore sur la
liberté
, l’égalité, la propriété, la vie et la mort, beau
mme les peintres, le privilège de tout oser ? — Sans doute : et cette
liberté
même, nous la réclamons pour nous, et l’accordons
sirs : alors on vit s’introduire dans les vers et dans la musique une
liberté
plus grande. Quel espoir, en effet, d’intéresser
arut la vieille Comédie, et elle compta de brillants succès ; mais la
liberté
dégénéra en licence : il fallut arrêter le scanda
cratère embrasé de l’Etna. Laissons donc aux poëtes le privilége, la
liberté
du suicide : en sauver un malgré lui ! mais c’est
non entendus 140des Céthégus couverts-du-cinctus ; 141et une telle
liberté
, 142prise avec-discrétion 143 te sera permise ;
céda la Comédie Antique, 804non sans une grande gloire ; 805mais la
liberté
tomba 806dans le vice (dans l’abus), 807et dans
tématique sa muse vagabonde, son style familier, son allure pleine de
liberté
et de caprice. Mais, dans toutes les trois aussi,
et l’artifice, la douceur et la majesté, la clarté et la brièveté, la
liberté
et l’exactitude, la hardiesse et la retenue, et q
5 que donnent aux trois premières sortes de critique la diversité, la
liberté
, l’histoire mêlée aux lettres, la beauté des tabl
urait dû échapper aux théories. Je ne sais si c’est la tyrannie ou la
liberté
qui donna naissance à l’apologue ; je me borne à
ations que j’ai élevées, l’or que j’ai fourni à mes concitoyens, leur
liberté
que j’ai défendue, leurs lois que j’ai rétablies,
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
; une reine fugitive, qui ne trouve aucune retrai
ition, une pensée, un morceau qu’il a pris dans un autre écrivain.
Liberté
d’imiter. L’imitation est très permise : les p
tir toute l’injustice de cet indigne traitement : « Ô doux nom de la
liberté
, ô admirable prérogative de notre ville ! Ô loi P
bras de mer très étroit formait la séparation de l’esclavage et de la
liberté
, et afin que l’Italie vît un de ses enfants mouri
s du Levant, pour porter en Europe les richesses de l’Asie. Contre la
liberté
des mers et la fidélité du commerce, des armateur
à ceux à qui l’on s’adresse. On inspire l’amour de la campagne, de la
liberté
, du repos, du travail, de la vertu, lorsqu’on en
trop y nuirait plus que le trop peu : les anciens avaient ici plus de
liberté
, et nous entendrons tout à l’heure Cicéron lui-mê
les pas émouvoir des sénateurs romains, protecteurs des lois et de la
liberté
?… » De Suppliciis, cap. 66, 67. 5º. L’orateur qu
la toge des sénateurs de Rome. L’éloquence de la chaire donne plus de
liberté
dans l’usage des passions. En un mot, erit ars ma
nt que vous ; sans doute vous combattrez avec plus de courage pour la
liberté
qu’eux pour la tyrannie. Jusques à quand aurez-vo
sous un dehors flatteur, donne en effet atteinte à son repos et à sa
liberté
, il se joindra à lui, et se rendra à son sentimen
de ses maux ; et la première ville où j’aurai trouvé des mœurs et la
liberté
, j’en ferai mon tranquille séjour. » Dans ces pa
t devait cette gloire aux mânes d’un tel homme D’emporter avec eux la
liberté
de Rome. Act. II, sc. 1. Cette pensée a beaucoup
e Pompée devaient plutôt obtenir du ciel le maintien éternel de cette
liberté
, pour laquelle on suppose qu’il combattit et qu’i
elui d’ignorer et de combattre la vérité. » La licence est un ton de
liberté
qui semble porté à l’excès, mais avec l’intention
avec l’intention secrète de plaire ; car il en est de cette espèce de
liberté
comme de la correction : si elle est franche et q
dre à ceux qui s’étaient armés contre vous. » Ce discours a un air de
liberté
, mais au fond il a pour but de plaire à César, et
ndre : chez ceux qui nous en ont dépossédés. L’orateur peut courir en
liberté
dans cette vaste carrière ; partout il sera dans
dant les droits du peuple, et donnant à ses souverains, dans sa noble
liberté
, le plus sûr gage de son amour et de leur empire.
ve-toi, prince qu’il a choisi pour rendre à Juda ses sacrifices et sa
liberté
; sors du sein de ta mère, et dès ta naissance po
Démosthène les consolations de la philosophie et les souvenirs de la
liberté
, il alla chercher un pays où l’on pût être impuné
fois dans le sang du peuple et du sénat, étouffer les restes de cette
liberté
que Rome avait retrouvée sous Titus ; et, fier de
nt les vertus et le courage rendront au monde le bonheur, la paix, la
liberté
, au nom romain, cette puissance qui étonnait et s
Qu’on m’amène tous les prisonniers parisiens ; je veux leur rendre la
liberté
; je les chargerai de dire à leurs concitoyens qu
son, de la justice et des lois ; il pense avoir ôté à Rome jusqu’à la
liberté
de la voix et de la respiration : ou les pauvres
liaison du sénat avec le peuple, et la barrière entre Philippe et la
liberté
. Philippe ne le dissimulait pas. Il reconnaissait
it leur magistrat naturel ; c’était un maître qui s’accordait avec la
liberté
, qui se faisait obéir, quoiqu’il ne leur fît poin
me promener tous les jours au milieu d’un grand peuple avec autant de
liberté
et de repos que vous en auriez dans vos allées, e
rouver que dans celui-ci ? Quel autre pays où l’on puisse jouir d’une
liberté
aussi entière, où l’on puisse dormir avec moins d
ieu. Il faut l’observer autant qu’il est possible, mais sans gêner sa
liberté
par la recherche d’une trop rigoureuse exactitude
e chercher un lieu écarté pour se tuer44. Nous ne prenons pas la même
liberté
de tirer les rois et les princesses de leurs appa
rs personnes, bref cette oppression dernière, nuisible à la vie, à la
liberté
et aux biens de tous les sujets du roi. Le parlem
ouces voix de dieux tutélaires de la patrie et de restaurateurs de la
liberté
publique. Celui qui leur inspirait ce venin avec
urd’hui les yeux de toute l’Europe ! Je parlerai, sire, avec toute la
liberté
d’un homme qui n’a rien à craindre ni à espérer,
ats jusqu’alors inconnus ; l’usurpation et la tyrannie sous le nom de
liberté
; une reine fugitive, qui ne trouve aucune retrai
e fois on a trouvé le moyen de prendre la multitude par l’appât de la
liberté
, elle suit en aveugle, pourvu qu’elle en entende
cédé par de tels orages ? Ou bien était-ce les derniers efforts d’une
liberté
remuante, qui allait céder la place à l’autorité
e Castries, sa dame d’atour, et madame de Saint-Simon. Ravies de leur
liberté
, elles s’approchèrent en un tas, tout le long d’u
e, elles se mirent à en deviser tout bas ensemble dans ce groupe avec
liberté
. Dans la galerie et dans ce salon il y avait plus
des sénateurs trahir le sénat pour ce peuple qui, s’imaginant que la
liberté
doit être aussi extrême que le peut être l’esclav
vantage de mourir citoyens d’une ville libre. » « J’ai cru qu’ôter la
liberté
à une ville dont j’étais citoyen était le plus gr
ssi défendu ma vie le jour que je l’ai quittée ; et ce jour assure ma
liberté
pour jamais. » « Seigneur, lui dis-je, Marius rai
se soit334 impunément fait dictateur dans Rome, ils y ont proscrit la
liberté
pour jamais. Il faudrait qu’ils fissent trop de m
ire le fait évader pendant la nuit. Le premier usage qu’il fait de sa
liberté
, c’est d’aller frapper son tyran sous les yeux mê
ce Caucase768 inhabitable Je me fais l’Olympe des dieux. Là, dans la
liberté
suprême, Semant de fleurs tous mes instants, Dans
là, toutefois, ses seuls titres de gloire. Dans ce généreux ami d’une
liberté
réglée par les lois, qui, aux jours de la captivi
urs cherché à l’observer avec ce juste tempérament qui ne gêne pas la
liberté
de l’inspiration. L’empereur Napoléon Ier disait
it alors synonyme d’indépendant à l’excès, c’est-à-dire qui pousse la
liberté
des opinions jusqu’à la témérité. 227. Jud. 10
est désormais moins forte que les grands hommes qu’elle produit : la
liberté
est perdue ; et l’on découvre dans l’avenir toute
état, le double système qu’avait fondé son aïeul, au-dedans, pour la
liberté
de religion, au-dehors, pour la prépondérance nat
375. « Il faut, a dit Bossuet, qu’à la hardiesse, qui convient à la
liberté
, se mêle la retenue, qui est l’effet du jugement
e, il en est trois qui méritent une égale admiration, le Mendiant, la
Liberté
et l’Aveugle. Le charme de ces trois pièces est s
es de vos têtes ; si les lois, si la justice, si les tribunaux, si la
liberté
, la pudeur et la chasteté ne sont point bannis de
e trouble ; et la première ville où j’aurai trouvé des mœurs et de la
liberté
, c’est là que je fixerai mon asile. Espérances tr
ion usuelle s’étendra bien davantage et se permettra beaucoup plus de
liberté
. Cicéron écrira indifféremment : accepi tuas litt
er, Vient-il de me convaincre et de nous arrêter ! On voit que cette
liberté
de changer l’ordre analytique et de faire du prem
és à mort, les fit communier, traiter splendidement, puis rendre à la
liberté
, en disant : « On ne peut faire mourir ceux que J
ble et si fière plut au vainqueur, qui rendit sur-le-champ à Porus la
liberté
et ses États. 18° Pensées sublimes Les pens
française, dans la plus douce des monarchies, non seulement pleine de
liberté
, mais de licence. Il ne nous était pas aisé de va
monde politique est aussi réglé que le monde physique ; mais comme la
liberté
de l’homme y joue un certain rôle, nous finissons
ance a prêté Son invincible génie, A coupé sa tyrannie D’un glaive de
liberté
. Les aventures du monde Vont d’un ordre mutuel43
in, Et la triste Italie encor toute fumante Des feux qu’a rallumés sa
liberté
mourante. Non, princes, ce n’est point au bout de
alité haute et courageuse en attaquant les abus de son temps avec une
liberté
qui n’épargnait ni grands seigneurs, ni princes,
t l’arrêt de ma mort est un arrêt de grâce Qui va me mettre en
liberté
; Mais le vizir en moi perdra plus qu’il ne pense
les autres beautés de la poésie, il néglige la rime au-delà même des
libertés
du théâtre ; par exemple, il fait rimer champs av
rades n’offrent un débordement de lieux communs sur la tyrannie et la
liberté
. Comédies. — Voltaire a fait quelques belles tra
e et Marc-Aurèle le reconnaissaient à nos devoirs. Le Discours sur la
liberté
nous laisse libres de croire qu’elle n’existe pas
monde occupé Quitte à la fin le jeu pour le soupé. Chaque convive en
liberté
déploie À son voisin son insipide joie. L’homme,
De ce Caucase inhabitable Je me fais l’Olympe des dieux. Là, dans la
liberté
suprême, Semant de fleurs tous mes instants, Dans
antique. Par lui le lyrisme, la pureté, la mollesse, la beauté et la
liberté
helléniques revivront dans notre langue renouvelé
Bertin et le chevalier de Parny. Les poésies héroïques, les chants de
liberté
sentent le travail. Il n’y a qu’une partie de ses
ent quatre d’entre elles, le Jeune Malade, le Mendiant, l’Aveugle, la
Liberté
, brillent par cette vérité de détail et par cette
nées suivantes, de chanter les grands événements qui intéressaient la
liberté
de la France et du monde ; mais son talent en ce
senter, en 1819, à l’Odéon, les Vêpres siciliennes. Les sentiments de
liberté
, le caractère de Procida, la curiosité du sujet s
uneste ; J’ai tout perdu par vous, le remords seul me reste. Farouche
liberté
, que me demandes-tu ? Laisse-moi mes remords, et
aru quelque reste à sa vue enflammée En criant :
Liberté
! Il eût jusqu’à la mer, borne du monde antique,
ait jadis ! Bravo ! c’est un bon clou de plus à la pensée, La vieille
liberté
par Voltaire laissée Était bonne autrefois pour l
ui, bien souvent, il néglige par trop la rime, et en use avec tant de
liberté
qu’il semble écrire en prose. Il fait rimer eau a
, chasseresse ! Mais l’amour de ton cœur s’appelle d’un beau nom : La
liberté
! Qu’importe au fils de la montagne Pour quel des
’à Dieu L’air du ciel ! l’air de tous ! vierge comme le feu ! Oui, la
liberté
meurt sur le fumier des villes ! Oui, vous qui la
-moi la sandale et la pique ferrée, Elle est sur les grands monts, la
liberté
sacrée : C’est là qu’à chaque pas l’homme la voit
patrie, à tous les vents jeté, Sans profit pour le peuple et pour la
liberté
. Ô Dante Alighieri, poète de Florence, Je compren
qui se perd dans les villes, Deux autels : l’un à Dieu, l’autre à la
liberté
. C’est chez vous que l’on fuit pour y rompre ses
utrager ? Ne parlez pas de vous plus mal que l’étranger. Je pleure, ô
liberté
! je pleure tes victimes ; Mais les âges passés s
le d’Alfred de Vigny et de Victor Hugo, Ponsard profile de toutes les
libertés
restituées à l’alexandrin par André Chénier ; mai
e voudrais, dit-il dans sa dédicace à Léon Bernard-Derosne, que cette
liberté
fût discrète et n’offensât aucune foi ; mais le d
escriptions. Les poètes jouissent même, sons ce rapport, d’une grande
liberté
. Une instruction longtemps soutenue nous lasse, s
digressions de cette nature, où le génie du poète a pu se déployer en
liberté
: tels sont les prodiges qui accompagnèrent la mo
sur des sujets peu élevés. Elle doit avoir un air de négligence et de
liberté
: c’est même ce qui la caractérise. Elle ne souff
eurs de cette puissance divine d’ôter la vie aux hommes, ils n’ont la
liberté
de juger que selon les dépositions des témoins, e
justice ; et je crois qu’il y en aura peu qui ne souhaitent que cette
liberté
3 s’applique à d’autres objets, puisque les inven
ctueuse. 1. Elle a la grâce d’un oiseau. 2. Elle prend avec eux des
libertés
aimables d’enfant gâtée, et les traite gentiment
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