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1 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
enons, outre l’étude et la connaissance des principes littéraires, la lecture des modèles, l’imitation des chefs-d’œuvre, et la
questions dans les trois articles suivants. Article Ier. De la lecture des modèles 303. La lecture des modèles n’est
es suivants. Article Ier. De la lecture des modèles 303. La lecture des modèles n’est-elle pas un moyen puissant de f
est-elle pas un moyen puissant de former le style ? De tout temps la lecture des modèles littéraires, c’est-à-dire de ce qu’il
n puissant pour développer le talent et former le style. C’est par la lecture , dit Quintilien, que nous apprenons le sens et la
et la valeur des mots, et la place qu’il convient de leur donner… La lecture sérieuse et souvent répétée grave les choses dans
cherchent à s’initier à l’art d’écrire, doivent s’attacher dans leurs lectures aux meilleurs ouvrages des écrivains les plus ill
l’esprit des jeunes gens dont le cœur est vicié de bonne heure par la lecture d’auteurs dangereux ou suspects. Les avantages de
cire securè quàm cum periculo discere. 307. Qu’avez-vous à dire des lectures au point de vue littéraire ? Le bon dans les com
ce qui n’en a que l’apparence, alors on pourra entreprendre d’autres lectures , et faire connaissance avec les écrivains dont la
cessaire de lire beaucoup d’ouvrages ? Une des règles relatives à la lecture des modèles est de se borner à un petit nombre d’
ès petit nombre d’écrivains favoris l’élite imposante des amis que la lecture lui avait donnés, parmi les maîtres de la parole.
s sont les moyens à prendre pour lire les modèles avec avantage ? La lecture des modèles, pour être profitable, doit être réfl
ortance est une fois hors de doute, n’est jamais connu à une première lecture  ; il ne l’est que bien imparfaitement à une secon
ord des expressions avec les idées. Un bon moyen encore de rendre une lecture fructueuse, c’est de ne pas lire un seul livre ut
t suffoquées, quand l’eau est versée avec trop d’abondance. Enfin, la lecture des modèles doit être faite avec ordre et méthode
pour modèles de ses compositions les auteurs qu’on a choisis pour ses lectures . Sans revenir sur l’importance de ce choix, nous
r le style que nous venons d’énumérer, la connaissance des règles, la lecture et l’imitation des chefs-d’œuvre, sont sans doute
2 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
es, Et ton père expirant sous le poids des douleurs. C. Delavigne. Lecture . — Mort de Jeanne d’Arc. Vol. II, nº 43. Des dé
ces vieux murs de leurs toiles fragiles, Frappe ses yeux. Delille. Lecture . — Exemples de Catachrèse. Vol. II, nº 44. § I
ugement ; Une mauvaise langue, pour la médisance, la calomnie, etc. Lecture . — Exemples de Métonymie. Vol. II, nº 45. § IV
Le vieillard, pour Mentor, etc. L’esclave de Phrygie, pour Ésope, Lecture . — Exemples de Synecdoque. Vol. II, nº 46. § V
mpoisonné son père, reçut le surnom de Philopator qui aime son père. Lectures . — 1° Hermione à Pyrrhus. Vol. II, nº 17. — 2° Mo
’autre témoigne des regrets sur la défaite des Français à Hochstedt. Lectures . — 1° Ulysse à Agamemnon. Vol. II, nº 48. — 2° Vo
dieu des pasteurs. Dans ces prés fleuris Qu’arrose la Seine, Etc. Lectures . — 1° Madame Deshoulières à ses enfants. Vol. II,
nt en passant une multitude d’idées qui rendent les plaisirs de cette lecture inépuisable ; et c’est dans les fables de La Font
et Phèdre n’avaient pas soupçonné que l’apologue fût susceptible. » Lecture . — Quelques exemples d’allusion. Vol. II, nº 25.
t toujours tout prêt à me percer. Racine, Athalie, acte II, sc. v. Lectures . — 1° Lusignan à sa fille. Vol. II, nº 26. — 2° S
sous les yeux tous les bienfaits dont il l’a successivement comblé. Lecture . — Auguste à Cinna. Vol. II, nº 28. § IV. Péri
te se sert pour dire les feuilles, le médecin, l’automne et la mort. Lectures . — 1° Idylle de madame Deshoulières. Vol. II, nº 
igure dans une suite de questions pleines de noblesse et de majesté. Lecture . — Existence de Dieu. Vol. II, nº 32. § VI. De
uil où l’on voit briller l’héroïsme du courage et de l’amour filial. Lectures . — 1° Martyre de trois jeunes Souliotes. Vol. II,
ortraits du curé de village, et du magister de village, par Delille. Lectures . — 1° Le Curé de village. Vol. II, nº 35. — 2° Le
ons aussi de lire le portrait du directeur, tracé par le même poète. Lectures . — 1° Portrait d’un Couple avare. Vol. II, nº 37.
rt amusant, intitulé le Portrait, dont l’auteur est le duc de Lévis. Lectures . — 1° Le Prince Potemkin. Vol. II, nº 39. — 2° Le
de ses jardins, la première par J. Janin, et la seconde par Delille. Lectures . — 1° Le Palais de Lucifer. Vol. II, nº 41. — 2°
onte, dans une des scènes de sa tragédie de Mérope (acte V, sc. vi). Lecture . — Mort de Polyphonte. Vol. II, nº 44. § VII.
l exemple dans le discours de Léonidas à ses trois cents Spartiates. Lectures . — 1° Mort d’Henriette d’Angleterre. Vol. II, nº 
lysse combat sa tendresse paternelle en employant ce moyen oratoire. Lecture . — Ulysse à Agamemnon, pour le déterminer à immol
iner le duc de Nemours, son ennemi, et l’envoyé du duc de Bourgogne. Lectures . — 1° Ulysse à Agamemnon. Vol. II, nº 48. — 2° Ca
ple de cette figure dans l’Oraison funèbre de Turenne, par Fléchier. Lectures . — 1° L’Aumône, par Massillon. Vol. II, nº 51. — 
ise tous les efforts de ses rivales pour toucher le cœur d’Assuérus. Lecture . — Élévation d’Esther. Vol. II, nº 53. Sectio
i, et Valois lui annonce que peut-être le même sort lui est réservé. Lectures . — 1° Potier à Mayenne. Vol. II, nº 54. — 2° Mort
ait plaisant, restera toujours comme un modèle de suspension badine. Lectures . — 1° Madame de Maintenon à madame de Dangeau. Vo
vori, et ne sait plus à qui il doit désormais accorder sa confiance. Lectures . — 1° Les Mondes. Vol. II, nº 60. — 2° Incertitud
sesse de l’homme. Ver impur de la terre et roi de l’univers,… Etc. Lectures . — 1° L’Amour maternel. Vol. II, nº 65. — 2° Gran
le loup cruel, et la déroute des Troyens devant le terrible Achille. Lectures . — 1° La Tendresse maternelle. Vol. II, nº 64. — 
s à leurs rois, cruels à la patrie. » Voltaire, Henriade, ch. VII. Lecture . — Parallèle entre Charles XII et Pierre le Grand
rfait de leur sanglante paix. Corneille, Cinna, acte Ier, sc. iii. Lecture . — Oraison funèbre du prince de Condé. Vol. II, n
de véritables pauvres que l’on rebute comme s’ils ne l’étaient pas… Lecture . — Oubli et Abandon des Pauvres. Vol. II, nº 68.
eux la perdre en combattant pour vous. Voltaire, Henriade, ch. II. Lectures . — 1° Thomas à deux soldats du maréchal de Saxe.
dans le donjon : Ô Fabricius ! qu’eût pensé votre grande âme, etc. Lectures . — 1° Les Tombeaux de Saint-Denis. Vol. II, nº 71
venger Athalie, Achab et Jézabel. Racine, Athalie, acte V, sc. vi. Lectures . — 1° Imprécations de Cléopâtre. Vol. II, 73. — 2
Britannicus : Et ne suffit-il pas, seigneur, à vos souhaits, Etc. Lectures . — 1° Philoctète à Pyrrhus. Vol. II, nº 75. — 2°
3 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
monde impromptu. On en trouvera les développements dans le volume de lecture , et l’on pourra juger facilement de la différence
de faire le tour du monde. Il rentra chez lui au bout de trois ans ! Lecture . — Le Tour du monde impromptu. Vol. II, nº 114. I
ès que le jour fatal est arrivé, elle se présente et reçoit la mort. Lecture . — Vœu de Jephté. Vol. II, nº 115. La Jeune Fille
retrouver ses traits dans ce miroir. Trouver une conclusion morale. Lecture . — La jeune Fille et la Naïade. Vol. II, nº 116.
ivants, et finit par tirer cette famille de la misère. — Réflexions. Lecture . — Le Porteur d’eau, vol. II, nº 117. § II. Na
idence. Rendre compte des sentiments qui agitent l’âme de l’ouvrier. Lecture . — La Providence. Vol. II, nº 118. § III. Narr
me de Jean V, qui se réconcilie sincèrement avec Olivier de Clisson. Lecture . — Vengeance de Jean V, duc de Bretagne. Vol. II,
signol qui célébrera la gloire du Dieu, créateur de tous les mondes. Lecture . — La Campagne. Vol. II, nº 120. 2° Dissertati
ire sur les enfants qui pratiquent cette vertu, les faveurs du ciel. Lecture . — La Piété filiale. Vol. II, nº 121. 3° Disse
deux arts, et en donnant la supériorité à celui qui plaira le plus. Lecture . — Accorder une préférence à la Peinture ou à la
hes et fertiles. C’est ce que les naturalistes ont appelé Alluvions. Lecture . — Les Alluvions, par Cuvier. Vol. II, nº 123.
sent divertissantes, car je vous assure que nous mourons d’ennui. » Lecture . — La Fontaine à son Oncle. Vol. II, nº 124. 2
ant, revenu de toute ambition, mais non des sentiments paternels. » Lectures . — 1° M. de Feuquières à Louis XIV. Vol. II, nº 1
ne me sens point encore cette façon de penser à votre égard, etc. » Lecture . — Rousseau à M. Boutet. Vol. II, nº 127. 4° D
amais de vous aimer, et de me souvenir que je suis aimée de vous. » Lecture . — Boileau et Racine, au maréchal de Luxembourg,
besoin d’être exercée, je vous demanderai compte à mon retour de vos lectures , et surtout de l’histoire de France, dont je vous
onne. Adieu, mon cher fils ; donnez-moi souvent de vos nouvelles. » Lecture . — Lettre de Voltaire à mademoiselle *** qui l’av
ien arriver, car je crois que je saurai aimer au-delà du tombeau. » Lecture . — Racine à son Fils. Vol. II, nº 130. 7° Des
qu’il voie que si je fais les maux, je fais aussi les médecines. » Lectures . — 1° Voltaire au marquis d’Argenson. Vol. II, nº
sent aigrir ses propres peines en s’attendrissant sur les leurs. » Lectures . — 1° Lettre de madame de Maintenon au roi, sur l
taché avec la plus respectueuse et la plus tendre reconnaissance. » Lecture . — Lettre de d’Alembert à Voltaire. Vol. II, nº 1
ous. Il nous assure que vous aimez le travail, que la promenade et la lecture sont vos plus grands divertissements, et surtout
der Dieu comme un père qui ne nous manquera pas dans nos besoins. » Lecture . — J.-J. Rousseau à un jeune homme. Vol. II, nº 1
à la plus cruelle petite chose qu’on puisse faire à un courtisan. » Lectures . — 1° Lettre de P. L. Courier à madame Pégalle. V
r remettre un peu ma tête, et reprendre une espèce de contenance. » Lectures . — 1° M. Caraccioli à M. ***. Vol. II, nº 140. — 
aller les premiers à l’offrande. Vous ne voyez pas cela à Paris. » Lectures . — 1° Lettre de Le Brun au comte de Turpin. Vol. 
s êtes bon Russe, et vous ne sauriez être l’ennemi de Catherine. » Lecture . — Lettre d’un Sacristain au roi de Prusse. Vol. 
4 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
t, en secouer la paresse, creuser ses souvenirs, ses impressions, ses lectures passées, chercher tout ce qui se rattache de près
r, et combiner les idées que l’on a acquises dans la société, dans la lecture , dans l’étude ; il n’y a que les hommes de génie
at s’obtient ; 1° par l’étude et l’observation en général ; 2° par la lecture  ; 3° par la traduction ; 4° par la conversation.
ivain qui se laisse aller à ces bienfaisantes inspirations ! 2° La lecture . La lecture est le moyen qui conduit le plus d
isse aller à ces bienfaisantes inspirations ! 2° La lecture. La lecture est le moyen qui conduit le plus directement et l
nt faire un choix parmi les fleurs, nous devons choisir avec soin nos lectures  : il y a des fleurs vénéneuses, il y a des livres
seil ne plaît pas toujours à la jeunesse, qui ne voit souvent dans la lecture , qu’un amusement pour son imagination frivole ; m
rviendrez infailliblement à savoir écrire. Bossuet était rempli de la lecture de la Bible ; Démosthène copia plusieurs fois de
re à propos. Un genre d’exercice qui réunit à la fois l’utilité de la lecture et le charme de la conversation, c’est de lire, n
éfauts du livre, et de vous communiquer ses impressions. « J’aime la lecture en général, dit La Rochefoucauld ; celle où il se
onieuse ; chacun se plaît à une belle représentation dramatique, à la lecture d’un beau livre. Mais voyez comme les émotions so
ais goût, résultat d’un jugement faux et d’un sentiment perverti. Les lectures sans choix et sans régie contribuent surtout à dé
5 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
einture… Le malheureux père ne put survivre à sa douleur. Capelle. Lecture . — L’Enfant volontaire. Vol. II, nº 95. § II.
dirai toujours, parce que c’est la même chose. » Madame de Sévigné. Lecture . — Don Juan et M. Dimanche. Vol. II, nº 96. § 
     Et reprenez vos cent écus. La Fontaine, Livre VIII, Fable ii. Lecture . — Le Gland et la Citrouille. La Fontaine, livre 
le un rare talent de description embellie par des images gracieuses. Lecture . — Une Nuit d’été à Saint-Pétersbourg. Vol. II, n
licat et de plus » sensible que ce mot dans la bouche d’un père ? » Lectures . — La Métempsycose du Singe. Vol. II, nº 99. §
’un cadavre étendu sur la neige et blanchissant au souille du nord. Lecture . — Le Voyageur égaré dans les neiges du Saint-Ber
r ! Enfin, je suis échappé des bandits, des Espagnols et de la mer. Lecture . — La Provence en hiver. Vol. II, nº 101. § VI
ci-bas est d’aimer, de connaître et de servir Dieu de plus en plus. Lecture . — L’Immortalité de l’âme, prouvée par les attrib
trie et par mes concitoyens. Rollin, Histoire ancienne, liv. VIII. Lecture . — Le Duc de Rohan à ses troupes. Vol. II, nº 103
n’acceptent pour récompense que les périls et l’Italie. Salvandy. Lecture . — Mort de Léonidas, par Barthélemy. Vol. II, nº 
n’est qu’accessoire. Buffon la regarde comme facile à acquérir par la lecture des poètes et des orateurs. L’harmonie ne fait ni
r éviter les dissonances, et de l’avoir exercée, perfectionnée par la lecture des poètes et des orateurs, pour que mécaniquemen
leur génie. Buffon, Discours de réception à l’Académie française. Lecture . — Discours de J. Racine. Vol. II, nº 403. § X
r des laines fines, qu’on rehausse d’une broderie d’or et d’argent. Lecture . — Les Fleurs. Vol. II, nº 106. § XI. Style ro
s ont été couronnés de quelque succès. Nous donnons dans le volume de Lectures la spirituelle et incisive épître qu’il a composé
tte pièce de vers a trop d’étendue pour que nous la rapportions ici. Lecture . — Épître aux Muses sur les Romantiques. Vol. II,
silence et de la nuit au milieu des forêts vierges du Nouveau-Monde. Lecture . — Les Forêts d’Amérique, vol. II, nº 109. § I
plume de M. de Frayssinous ; elle est intitulée : Existence de Dieu. Lecture . — Existence de Dieu prouvée par les beautés de l
urs grandes et sublimes images, si fréquentes dans les lieux saints. Lecture . — La Mort de saint Louis. Vol. II, nº 111. 2°
en se servant des expressions les plus riches et les plus pompeuses. Lecture . — Athalie, acte III, sc. vii. Vol. II, nº 112.
andonne à des transports de joie, d’admiration et de reconnaissance. Lecture . — Cantique de Moïse. Vol. II, nº 113.
6 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
leçons ? La Harpe, Éloge de Fénelon. Nous aimons à conseiller comme lecture les lignes écrites sur les salles d’asile par M. 
nous •intéresse si vivement en faveur des pauvres petits Savoisiens. Lectures . — 1° Les Salles d’Asile. Vol. II, nº 77. — 2° Le
orthographe et de la syntaxe. Cette qualité s’acquiert surtout par la lecture des meilleurs écrivains de notre langue et la fré
peut corrompre De Jouy. Il ne nous est point difficile de citer des lectures à faire sur la Pureté du style. Ouvrons au hasard
sont l’historien Gaillard, et le publiciste genevois Mallet du Pan. Lectures . — 1° Passage des Alpes. Vol. II, nº 70. — 2° Dév
re en des termes exacts et directement utiles au sujet qui l’occupe. Lecture . — La Vraie Gloire. Vol. II, nº 81. 4° Naturel
c Maître Jacques. On pourra lire cette page dans le deuxième volume. Lecture . — Maître Jacques à Harpagon. Vol. II, nº 82.
ttention sur l’étendue des phrases et des périodes qui le composent. Lecture . — Xénophon à Scillonte. Vol. II, nº 83. 6° No
encé de suivre, il fût devenu l’un des premiers génies de la France. Lectures . — 1° Jésus-Christ ; Divinité de sa mission. Vol.
j’ai été forcé de l’employer pour vous obéir. » Madame de Genlis. Lecture . — Molière soupant avec Louis XIV. Vol. II, nº 86
primé, ravagé. La domination romaine devient en horreur. Lacépède. Lecture . — Le Prêtre. Vol. II, nº 87. 3° Dans les sujets
à vous rendre heureux, et un royaume qu’elle vous offre. Fénelon. Lecture . — Guillaume Tell. Vol. II, nº 88. 4° Dans les su
ns brillante et gracieuse : les images y sont variées et abondantes, Lecture . — Une vue des Pyrénées. Vol. II, nº 80. La Conve
t en harmonie et empreint de la couleur locale la plus caractérisée. Lecture . — L’Arabe et son Cheval. Vol. II nº 90. 8° Ha
Beaucoup d’entre eux en France ont été comblés de cette faveur, et la lecture des ouvrages où elle règne plonge l’âme dans un i
e, des Tasse, etc., nous goûterons un vrai bonheur dans de semblables lectures . Si nous préférons les écrivains en prose, c’est
é, qui nous procurera de douces jouissances. Nous signalons ici comme lecture un passage des Harmonies de la nature, que nous d
Harmonies de la nature, que nous devons à Bernardin de Saint-Pierre. Lecture . — Les Forêts agitées par les vents. Vol. II, nº 
n par l’armée française. Nous la rapportons dans le deuxième volume. Lecture . — Lettre de Voiture au duc d’Enghien. Vol. II, n
jamais la moquerie n’a été la qualité caractéristique d’un bon cœur, Lecture . — Quelques passages de l’Énéide et du Télémaque
7 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
les différentes circonstances d’une terrible tempête, par Lamartine. Lecture . — Une Tempête. Vol. II, nº 150. Comme ce livre e
nt moyen pour combler ce vide d’idées qui nous menace tous : c’est la lecture des bons auteurs. Cette ressource, que nous ne sa
Fénelon avait médité les anciens, et il avait su tirer profit de leur lecture . Il apprend ainsi aux élèves quel est le moyen le
au moins de le paraître : Peuple caméléon, peuple singe du maître. Lecture . — Magnifique Définition de la Vie, par Massillon
tte sonne, il dit : Allons ! Et vous reconnaissez le cheval de Job. Lecture . — Pompeïa. Vol. II, nº 162. 3° Énumération de
n les principaux événements qui composent la vie de cette princesse. Lecture . — Exorde de l’Oraison funèbre de la reine d’Angl
oinville les causes et les effets de son expédition en Terre Sainte. Lecture . — Louis IX à Joinville. Vol. II, nº 154. 5° L
mbien est insensé celui qui nie l’existence d’une puissance suprême. Lecture . — La Providence. Vol. II, nº 155. 6° Les Cont
nce Qui existe entre la Personne à la mode et la Personne de mérite. Lecture . — La Personne à la mode et la Personne de mérite
anciés, comme si elle avait été témoin de la mort de ce grand homme. Lecture . — Mort de Turenne. Vol. II, nº 157. Enfin il exi
. Ducis, Roméo et Juliette, acte iv. L’imagination se plaît dans la lecture des bons auteurs dont elle recherche les beautés
ont bien ridicules à des gens en haleine depuis le lever du soleil. Lecture . — Voir la suite de ce morceau. Vol. II, nº 158.
8 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
voix reconnaissante Bénit le ciel et rend grâce à l’amour. Parny. Lecture . — Voir la suite de cette charmante pièce de vers
e gazon, Et le voile des nuits sur les monts se déplie. Lamartine. Lecture . — Voir la suite de cette pièce de vers. Vol. II,
ette même douceur : La plus belle victoire est de vaincre son cœur. Lecture . — Aux Nymphes de Vaux. Vol. II, nº 7. Autant les
plus beaux morceaux dramatiques qui existent dans notre littérature. Lectures . — Mort d’Hippolyte, par Racine. Vol. II, nº 8. —
ses jambes, et tomber avec lui, chacun de son côté, à la renverse. Lecture . — Le Distrait. Vol. II, nº 10. Fléchier dans l’o
rible des enfants Que le Nord eut portés jusque-là dans ses flancs. Lecture . — Le Chêne et le Roseau. Vol. II, nº 44. Dans la
upeau ? Perrette, là-dessus, saute aussi transportée. La Fontaine. Lecture . — La Laitière et le Pot au lait. Vol. II, nº 42.
9 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Introduction »
l n’était pas inutile de leur présenter, dans un deuxième volume, des lectures complémentaires qui ont l’avantage de leur faire
me. Le deuxième volume est le complément du premier : il renferme des lectures conformes aux principes expliqués dans le premier
rceaux que nous avons choisis sont destinés à servir non seulement de lectures , mais aussi d’exercices de mémoire. Après avoir e
cation. Cette première étude était suivie de celle des langues, de la lecture des poètes, et de la connaissance des manuscrits,
10 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
ieux ; les candidats en profiteront. Nous avons indiqué de nombreuses lectures à faire. Il n’entre pas dans notre pensée de cons
n moitié moins d’espace. Il n’y a pas de meilleure préparation que la lecture assidue des textes qu’on devra expliquer aux épre
e les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. » Vous ferez développer cette pen
e les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. » (Clermont, août 1891.) Vous che
pensée est vraie. (Dijon, avril 1890.) De l’utilité des livres et des lectures . (Clermont, octobre 1889.) Vous exposerez dans un
t 1881.) Un jeune écolier aimait à lire, mais se plaisait surtout aux lectures frivoles et sans portée. Vous supposerez que son
iques. Il insistera surtout sur les inconvénients qui résultent de la lecture de livres purement amusants et sur les qualités q
ragment détaché du reste ; vous direz avec quelle joie il refit cette lecture et quelles réflexions elle lui fit faire, dans un
ère d’Auguste dans la tragédie de Cinna. (1883.) Comparez d’après vos lectures , Voltaire et Rousseau comme écrivains. (1884.) De
reculé les limites de ce genre ? – Quelle utilité peut-on tirer de la lecture des moralistes ? – Les moralistes du xvii e siècl
ire ? – Quelle idée peut-on se faire de l’éloquence de la chaire à la lecture des meilleurs sermons du xvii e siècle ? – La Bru
u style de La Fontaine ? – Peut-on tirer encore quelque profit de la lecture de Buffon ? Quelles sont ses qualités et quels dé
ur le maudire des paroles d’une force incomparable. A tout prendre la lecture des Mémoires est saine ; elle est fortifiante, el
d’une sensibilité intellectuelle prompte à s’irriter. Il souffre à la lecture de certains écrits. La grossièreté et la platitud
eu. Celui-ci essayera de le consoler, il lui vantera le plaisir de la lecture et lui dira que « l’étude a été pour lui le souve
s dégoûts de la vie et qu’il n’a jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé ». Il l’engagera à s’adonner à l’ét
d’une fois représenté une existence calme, tout entière adonnée à la lecture , aux lettres, à des loisirs studieux, mais l’ambi
lit et les miens sont de ceux-là. Montesquieu. – La méditation et la lecture vous divertiront et vous feront une âme toute nou
ivais dans une compagnie nombreuse, et si j’avais à qui parler de mes lectures  ; ce serait un beau thème à discussions. Montesq
les dégoûts de la vie et je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. D’Argenson. – Je vous porte envie
ment, » nous dit à peu près ce qu’il entend par le beau : « Quand une lecture vous élève l’esprit et qu’elle vous inspire des s
cours présents. Concours de 1881. La Bruyère a dit : « Quand une lecture vous élève l’esprit et qu’elle vous inspire des s
vaillance, – l’amour filial, – la constance. Conclusion. – Il est la lecture même que rêvait La Bruyère et qu’il définissait….
ère, Mme de Grignan, avait cru devoir. par scrupule, lui interdire la lecture de Corneille. Vous supposerez que Mme de Pomponne
en fait de littérature. Sainte-Beuve a pu dire d’elle : « En fait de lectures , elle ne s’était jamais rien refusé, que le néces
refusé, que le nécessaire. » Qu’est-ce que le nécessaire en fait de lectures  ? Plan développé Préambule. – Mme du Deffan
Lespinasse, a beaucoup écrit et surtout beaucoup lu. Mais, en fait de lectures , frivole comme la plupart des femmes mondaines, e
r son esprit. Aussi, un critique a-t-il pu dire d’elle : « En fait de lectures , elle ne s’était jamais rien refusé, que le néces
temps il est juste, il est vrai. Car, il y a dans la littérature, des lectures qui sont nécessaires et d’autres qui ne le sont p
agraphe. – Il en est de même en littérature. Le superflu, ce sont les lectures faites au hasard de la rencontre. Ce sont les rom
s choisies de Mme de Sévigné et de Voltaire. Appréciez, d’après cette lecture , et comparez les deux écrivains. – Mme de Staël a
le plus médiocre qui aura eu la chance de s’appuyer sur la vérité. » ( Lectures scientifiques, par Jules Gay ; – Hachette.) – Qu’
els sont ses avantages au point de vue scientifique et ses dangers ? ( Lectures scientifiques de J. Gay, p. 752. On y trouvera le
immenses que nous offre l’investigation des phénomènes naturels. » ( Lectures scientifiques de Gay.) – Commenter les paroles s
reporter l’influence que ses travaux peuvent avoir dans le monde. » ( Lectures tirées d’auteurs modernes, 3e partie : sciences.)
oiture ? Vous avez commis le crime de ne point vous pâmer d’aise à la lecture d’Uranie ! Je vous le dis, Monsieur, j’enrage d’ê
se dessine l’évolution du concours. Nous avons la conviction que leur lecture rendra d’inappréciables services aux aspirantes e
x ou trois aspirantes des départements. Des faits bien choisis, de la lecture , des vues justes ou ingénieuses, de la netteté et
avec fruit par d’habiles maîtres ou tiré avec intelligence de solides lectures . Le meilleur esprit anime les pages où réponse es
quinet. C’est, sur les leçons des aspirantes, une leçon à retenir… «  Lecture expliquée d’un texte français. – Cette épreuve ne
s’exercent, par un travail assidu et bien dirigé, à mettre dans leurs lectures expliquées la prévoyance, le choix, la méthode, s
été généralement mieux dits qu’expliqués. Bien que parfois encore la lecture en ait été faite un peu trop vite ; que trop souv
choix dans l’introduction des néologismes ? Morale. Des dangers des lectures mal choisies. Indiquer les principes que doit sui
ndiquer les principes que doit suivre une maîtresse dans le choix des lectures qu’elle conseille à ses élèves. Extrait du rappor
teintes secrètes qu’une âme jeune et sans défense peut recevoir d’une lecture imprudemment ou témérairement choisie, et du trou
tes ou les conseils qu’on a pris soin d’ajouter, au sujet du choix de lectures le meilleur à faire, auraient dû s’éclairer d’une
s compter que dans ces hors-d’œuvre, auxquels la mémoire de certaines lectures plus ou moins digérées avait plus de part qu’un s
nations l’antiquité profane, et se demandait si la connaissance et la lecture de poètes anciens pouvait occuper une place dans
et comment une âme vertueuse et chrétienne n’a rien à redouter de la lecture d’Homère, de Sophocle et de Virgile. – On a souve
z de montrer le profit intellectuel et moral qu’on peut retirer d’une lecture lente et réfléchie des auteurs classiques. – Expl
rraisonné et d’une admiration qu’on nous a inspirée dès nos premières lectures . Si l’on nous demandait quels sont nos favoris da
; il a des heurts qui forcent à s’arrêter, quelque légère que soit la lecture . Puis ses personnages sont disposés en escalier,
traité de rhétorique qu’il est indispensable d’étudier de très près. LECTURES RECOMMANDÉES : Sainte-Beuve Extraits. (Garnier, é
r dans les écoles normales trop d’importance à l’étude sérieuse de la lecture à haute voix ; la science du débit est une qualit
ort agréablement traité, parce qu’il était restreint. Les études, les lectures , les exercices ordinaires de nos aspirantes y suf
en réalité, communs à lui et à tous les auteurs de son temps. Plus de lectures et une étude plus approfondie de la langue du xvi
ns de littérature, et les connaissances particulières ; l’étendue des lectures et l’intelligence des problèmes. La faiblesse rel
ains des jeunes filles, pour le xvi e siècle comme pour le reste, les lectures que demande la préparation à nos concours permett
eux compris si, chargeant un peu moins leur mémoire du poids de leurs lectures , elles s’appliquaient, après avoir saisi et group
lui des hommes. » Vous développerez cette pensée, en montrant que la lecture des bons livres et la connaissance du monde sont
e auteur ? – Développer et apprécier cette pensée de Descartes : « La lecture de tous les bons livres est comme une conversatio
compléterez, vous élargirez vos impressions. » Mais quelles sont les lectures qu’il faut avoir faites pour bien connaître les a
ès substantielles. Chaque chapitre a son sommaire, des indications de lectures , etc. C’est la pure doctrine classique. Il faut s
as de se procurer deux volumes très intéressants récemment parus : la Lecture expliquée de M. Léon Robert (A. Colin), les Extra
L’Éducation progressive. MM. Defodon, Guillaume, Mme Kergomard, etc.. Lectures pédagogiques. Ludovic Carrau De l’éducation. Jane
ques. E. Manuel Poésies de l’école et du foyer. Mlle Jeanne Vaudouer… Lectures morales et littéraires. E. Petit Alentour de l’éc
t pas assez dans nos écoles. Comment développeriez-vous le goût de la lecture chez les élèves de nos écoles normales ? Lecture 
z-vous le goût de la lecture chez les élèves de nos écoles normales ? Lecture  : Legouvé. – L’Art de la lecture. SESSION D’OCTOB
les élèves de nos écoles normales ? Lecture : Legouvé. – L’Art de la lecture . SESSION D’OCTOBRE Pédagogie. Montrer que dans l
ats-Généraux de 1789. SESSION DE JUILLET Pédagogie. De l’utilité des lectures personnelles. Lecture : Le goût de la lecture, pa
ESSION DE JUILLET Pédagogie. De l’utilité des lectures personnelles. Lecture  : Le goût de la lecture, par Michel Bréal (voir L
ogie. De l’utilité des lectures personnelles. Lecture : Le goût de la lecture , par Michel Bréal (voir Lectures pédagogiques).
personnelles. Lecture : Le goût de la lecture, par Michel Bréal (voir Lectures pédagogiques). Littérature. Faire connaître le C
ntre les maux de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. » PLAN Préambule. – Définir le s
 – Sens de dissipé : ne serait-il pas atténué, adouci ? – Sens du mot lecture , qui est renforcé du mot : étude. Il ne s’agit pa
du mot lecture, qui est renforcé du mot : étude. Il ne s’agit pas de lectures frivoles, mais de lectures patientes, sérieuses,
nforcé du mot : étude. Il ne s’agit pas de lectures frivoles, mais de lectures patientes, sérieuses, qui nécessitent une attenti
aragraphe. – L’étude est un soulagement, un soutien, un réconfort. La lecture d’œuvres fortes élève l’esprit, inspire des senti
e préférence. Pédagogie. Des qualités que doit avoir un bon livre de lectures à l’école primaire. Concours de 1888. Litt
de 1890. Littérature ou grammaire. 1. – Pourquoi l’exercice de la lecture expliquée est-il généralement regardé comme l’un
e épouse et comme mère, dans la tragédie de Racine. – Des dangers des lectures mal choisies. Indiquer les principes que doit sui
ndiquer les principes que doit suivre une maitresse dans le choix des lectures qu’elle conseille à ses élèves. – Si vous aviez à
amener dans l’éducation des jeunes personnes. – Comparez, d’après la lecture que vous avez faite de leurs lettres, Mme de Sévi
res, une journée de Mme de Sévigné en Bretagne : ses passe-temps, ses lectures , ses réflexions, ses visites ; à qui pense-t-elle
dant une saison de pluies continuelles : « Sans la consolation de la lecture , nous mourrions présentement d’ennui. » – Dévelo
mondains dictés au jour le jour par l’occasion et les relations, les lectures et les études du moment. 1er Paragraphe. – Histo
ns que le milieu, les circonstances, l’éducation que l’on reçoit, les lectures que l’on fait, l’ordre d’idées dans lequel on se
est spécial à la section des sciences, il sera utile de consulter les Lectures scientifiques de M. Jules Gay, les Lectures tirée
ra utile de consulter les Lectures scientifiques de M. Jules Gay, les Lectures tirées d’auteurs modernes, 3e partie (sciences),
recevoir l’esprit de l’élève. – Prendre pour exemple l’arithmétique. Lecture  : Gausseron. – Comment élever nos enfants, ch. iv
ité de l’étude de la botanique pour les futures institutrices. Voir : Lectures pédagogiques de C. Defoden, Guillaume et Kergomar
u brevet supérieur ? Insistez sur l’enseignement des sciences. Voir : Lectures pédagogiques, p. 341. Concours de juillet 1883
 Quelles sont les qualités que vous devez rechercher dans un livre de lecture que vous vous proposez de mettre entre les mains
mal des enfants. – Vous découvrez qu’une de vos amies se livre à des lectures dangereuses, vous faites appel à toute sa raison
de la méthode, de l’ordre, de la simplicité. Nous indiquons les mêmes lectures que pour Fontenay. Nous recommandons en outre :
mples à citer. 3e Paragraphe. – A propos de chaque exercice scolaire, lecture , récitation, correction de devoirs, etc., un bon
ttre à un ami, de lui dépeindre l’impression produite sur vous par la lecture des lignes qui précèdent et efforcez-vous de lui
e, de François Ier, de la Renaissance, etc. La prudence exige que des lectures aient été faites, des devoirs rédigés sur ces poi
Précis ne seront pas lus tout seuls. Il sera expédient d’étudier les Lectures de MM. Maspéro, Langlois, Mariéjol, etc. , de la
raphie descriptive (la Terre à vol d’oiseau, d’Onésime Reclus), – les Lectures d’auteurs modernes, par E. Petit. La biographie d
ans une petite classe et se livrant avec une attention studieuse à la lecture des ouvrages qu’ils ont sous les yeux. Un inspect
3e Paragraphe. – Montrez le jeune lecteur de Robinson absorbé par sa lecture . Les demandes. La réponse… Pourquoi, comment Robi
et faits, faute d’avoir amassé un certain nombre de souvenirs par la lecture et par l’étude, on doit être fort embarrassé quan
nne ; comment l’idée des aérostats a été conçue par Étienne, après la lecture de l’ouvrage de Priestley sur les différentes esp
sert aux uns n’est pas inutile aux autres, et réciproquement. Quelles lectures est-il indispensable de faire pour une préparatio
position des principaux problèmes qu’on leur demande en général. Les Lectures scientifiques de M. Jules Gay (Hachette). Il y es
la pratique ? Donner des exemples empruntés à diverses professions. Lecture . Cuvier, dans la page suivante, a rendu avec forc
des textes comme l’épitre de Lavoisier, de GayLussac, etc. Certaines lectures sont de rigueur. Faute de les avoir faites, – et
ton, la terminologie à employer. Nous indiquons tout spécialement les Lectures scientifiques(Extraits de mémoires originaux et d
ition a eu lieu ce matin à six heures. » Une acclamation suivit cette lecture . L’assemblée décréta que Condé prendrait le nom d
. – Un de vos parents, désireux de développer chez vous le goût de la lecture , vous a fait don d’une certaine somme pour achete
laisser de côté leurs classiques, ils auront soin de faire certaines lectures qui les initieront à des connaissances, à des imp
un Entomologiste (Delagrave), – l’Esprit des Bêtes, de Toussenel, nos Lectures tirées d’auteurs modernes, par Edouard Petit (Qua
transcrit de mémoire a un air d’emprunt qui le rend suspect. Quelles lectures conseillerons-nous aux candidats ? Ils feront bie
conseillerons-nous aux candidats ? Ils feront bien de se procurer les Lectures géographiques, de M. Louis Lanier, qui contiennen
restres et maritimes, de précieux renseignements (Belin, éd.) ; – les Lectures tirées d’auteurs modernes (Histoire, géographie,
aissant au sein d’une famille de modestes artisans, apprenant seul la lecture et le calcul, et simple ouvrier imprimeur, acquér
ction des lettres et à la section des sciences. 1. Voir : Maspéro. –  Lectures d’histoire ancienne (Hachette). 1. Le même sujet
11 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
synthèse. On commencera par la méthode analytique. Dans un système de lectures habilement graduées, l’élève étudiera les vocable
d’un article de loi ; alors seulement il ne l’oubliera plus. Dans les lectures graduées que je recommande, j’insiste sur le préc
rs, mais avec précaution et sous la direction d’un maître habile. Ces lectures se feront, autant que possible, à haute voix, pou
idiome, soit en prose, soit en vers. Ainsi beaucoup de grammaire, de lectures , de traductions en langue maternelle, peu de trad
n possédait déjà. On peut en dire autant des langues étrangères ; des lectures de toute espèce, si l’on se borne, avare de son t
12 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
r vous en écrire davantage. Conseils à une demoiselle Sur la lecture Aux Délices, près de Genève, le 20 juin 1756. Je
Le Tasse et l’Arioste1 vous rendront plus de services que moi, et la lecture de nos meilleurs poëtes vaut mieux que toutes les
it respirer et me ferait plus de plaisir : il me tient trop tendu, la lecture de ses vers me devient une étude ; tant d’éclairs
e relisait souvent : « Nous relisons aussi, au travers de nos grandes lectures , des rogatons que nous trouvons sous notre main ;
e le pédagogue. 4. La Bruyère disait sur le même sujet : « Quand une lecture vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire des
s lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait la lecture , comme elle peut. Pauvre femme ! nous mettons ens
13 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
re avec la plus grande attention les meilleurs auteurs, et lorsque la lecture était finie, à faire des extraits des passages le
logiques dont il ne remplit que les dates, et à mesure que dans leurs lectures ou dans les cours qu’ils suivaient, un fait impor
parole à toucher et à convaincre. Il communiqua à ses amis un plan de lecture sur la composition littéraire. Il paraît que ce p
fit un cours complet de rhétorique et de critique. Il en commença la lecture au collège d’Edimbourg le 11 décembre 1759. Les a
ompter les personnes les plus distinguées de la ville. Cette première lecture donna une si haute idée de l’excellence des princ
quatre ans, que Blair se décida à publier ses leçons sous le titre de Lectures on Rhetoric and Belles-Lettres [Lectures sur la R
ses leçons sous le titre de Lectures on Rhetoric and Belles-Lettres [ Lectures sur la Rhétorique et les Belles-Lettres] ; elles
ux conceptions de leur génie ou aux productions de leurs talents. Les Lectures de Blair furent traduites en français par M. Cant
’il est moins fait pour assurer à l’auteur une gloire durable que ses Lectures sur la Rhétorique et les Belles-Lettres. Les serm
soient les Sermons de Blair, on s’accorde généralement à regarder ses Lectures sur la Rhétorique et les Belles-Lettres comme un
jugés, pour ne suivre que l’étendard de la raison et du bon goût. Ces Lectures sont un des livres que l’on peut mettre avec le p
r : cela prouve qu’il l’est beaucoup dans les Sermons ; car celui des Lectures est clair et correct ; dans certains endroits mêm
ngt-deux ans huit mois et vingt jours. Préface de l’auteur. LES Lectures suivantes furent répétées vingt-quatre années de
outes les fautes que des éditeurs ignorants y avaient accumulées. Ces Lectures furent d’abord destinées à servir d’introduction
assez grand nombre d’années s’est écoulé depuis qu’il a commencé ces Lectures , il pourrait se faire qu’il eût adopté les idées
nt du public. En conservant la simplicité de style qui convient à des lectures , et surtout à l’instruction, il n’a cherché qu’à
érité : qu’il est plus facile de donner le précepte que l’exemple. Lecture première. Introduction. L’UN des plus beaux pr
Je ne m’étendrai pas davantage sur ces considérations générales. Les lectures suivantes seront divisées en cinq parties. La pre
es meilleurs ouvrages de prose ou de poésie. Première partie. Lecture II. Le goût. LE but de cet ouvrage m’oblige à
ison. Le plaisir que nous recevons de la vue d’un bel aspect ou de la lecture d’un bon poème, n’est pas le résultat d’une décou
mpire : Opinionum commenta delet dies, naturæ judicia confirmat . Lecture III. La critique. — Le génie. — Les plaisirs du g
s sans qu’on y attache aucune idée précise. En commençant un cours de Lectures où ces expressions doivent se rencontrer souvent,
s. D’après les principes que nous avons adoptés dans notre précédente Lecture , le public est le juge suprême auquel on doit en
it par l’art d’écrire et de parler, qui est le sujet principal de ces Lectures . Mon seul dessein est d’entrer dans quelques déve
tion, et qu’il a un rapport plus direct avec l’objet principal de ces Lectures . Pour plus d’ordre, je traiterai d’abord de la gr
nous allons faire sur le sublime dans le style et la composition. Lecture IV. Du sublime dans le style. APRÈS avoir trai
s de motifs pour nous en occuper ici qu’en aucune autre partie de nos Lectures suivantes. Presque aucune des expressions qui app
t, des idées assez claires et assez précises. Avant de terminer cette Lecture , j’ai à faire une remarque dont je désire que l’o
ou plutôt, de taches ou d’imperfections que j’ai rapportés dans cette Lecture , exemples que j’ai choisis et que je continuerai
vitant à n’imiter et à n’admirer que ce qui en est vraiment digne. Lecture V. De la beauté et des autres plaisirs que procur
naissent du goût, n’ayant pas un rapport si direct avec le but de ces Lectures , il n’est pas nécessaire de nous en occuper d’une
aisirs et celui de la mort : ces vertus, comme je l’ai prouvé dans la Lecture précédente, excitent des émotions grandes et subl
ux dont il est temps de faire l’application au sujet principal de ces Lectures . Si l’on me demandait à quelle classe des plaisir
l’esprit une impression moins différente15. Seconde partie. Lecture VI. Origine et progrès du langage. APRÈS avoir
s remarques qui me serviront d’introduction au sujet principal de ces Lectures , je vais traiter du langage, sur lequel repose to
grès a été analogue à celle dont nous venons de suivre les traces. Lecture VII. Origine et progrès du langage et de l’écritu
position, quelle que soit la place qu’ils occupent dans la phrase. La Lecture suivante nous offrira l’occasion d’entrer dans pl
curieuses et utiles. D’après ce que nous avons dit dans la précédente Lecture , on peut croire que le langage fut d’abord pauvre
prit une impression bien plus profonde que celle que peut produire la lecture de quelque ouvrage que ce soit. Les tons, les reg
devons ce que l’éloquence a produit de plus grand et de plus beau. Lecture VIII. De la structure du langage. Après avoir
autres matières qui réclament notre attention pendant le cours de ces Lectures . Mais je me propose d’entrer en quelques considér
ent analogue dans la conjugaison des verbes, dont je parlerai dans la Lecture prochaine, nous nous sommes privés de la liberté
en nombre et en cas, avec le substantif uxor, qui est le dernier. Lecture IX. Structure du langage. — Langue anglaise.
n maintenant à ce qui concerne notre langue. J’ai déjà eu, dans cette Lecture et dans la précédente, occasion de faire quelques
l’étude la plus attentive de sa langue28. Troisième partie. Lecture X. Du style en général, de la clarté et de la pré
rons la profondeur, mais nous serons rarement disposés à reprendre la lecture de son livre. Quelques auteurs s’excusent de leur
int va nous occuper d’abord, et nous y consacrerons le reste de cette Lecture . La clarté dans les mots et dans les phrases exig
naissons la valeur de chaque mot, et toute l’étendue de la langue. Lecture XI. De la construction des phrases. En commen
tion des phrases. En commençant à traiter du style, j’ai, dans la Lecture précédente, examiné sa qualité fondamentale, qui
tion et dans l’arrangement de ses phrases. J’ai dit, dans la dernière Lecture , qu’il méritait souvent le reproche de sacrifier
mauvais choix de mots ou d’un arrangement vicieux. J’ai dit, dans la Lecture précédente, tout ce qui concernait le choix des m
ouvelle, ajoutée à la phrase lorsqu’elle était complètement finie. Lecture XII. [Suite de la précédente.] De la construction
est pas possible d’établir, à cet égard, des règles particulières. La lecture attentive des meilleurs écrivains, et de fréquent
elle seule le soin et l’attention que j’ai mis à traiter ce sujet. Lecture XIII. De l’harmonie dans la construction des phra
is indiqués ; savoir : la clarté, l’unité, la force et l’harmonie. Lecture XIV. De l’origine et de la nature du langage figu
re confirme l’exactitude de l’observation que j’ai faite dans une des Lectures précédentes, que jamais les langues ne renferment
rce. Tout ce que je me propose, c’est de jeter, avant la fin de cette Lecture , un coup d’œil général sur les sources du sens fi
coup d’œil général sur les sources du sens figuré dans les mots ; les Lectures suivantes seront consacrées à l’examen particulie
occuper particulièrement, et son examen fera l’objet de ma prochaine Lecture . Lecture XV. De la métaphore. Après avoir
ticulièrement, et son examen fera l’objet de ma prochaine Lecture. Lecture XV. De la métaphore. Après avoir fait quelque
finiment ingénieuses dans quelques-unes des visions du Spectateur. Lecture XVI. De l’hyperbole, de la personnification et de
à son tour ; chacun joue sans confusion le rôle qui lui convient. Lecture XVII. De la comparaison, de l’antithèse, de l’int
complet de la métaphore, la plus commune de toutes ; dans la dernière Lecture , j’ai passé en. revue l’hyperbole, la personnific
elles ne sont pas, commes les figures dont nous avons traité dans les Lectures précédentes, l’expression des passions énergiques
otre opinion, et augmenter l’intérêt que nous prenions à sa cause. Lecture XVIII. Du style figuré, des caractères généraux d
emandent un style plus abondant que ceux que l’on veut soumettre à la lecture . L’orateur doit éviter une trop grande concision,
a place le goût des pensées solides et du style simple et nerveux. Lecture XIX. Caractères généraux des styles simple, affec
ffecté, véhément. — Conseils pour se former un bon style. Dans la Lecture précédente, j’ai commencé à faire connaître les c
. Rien n’est si dangereux pour la foule des esprits imitateurs que la lecture d’un écrivain qui, à des beautés éclatantes, join
istinguent la manière de chacun. J’ai tâché de rassembler, dans cette Lecture et dans les précédentes, les observations qu’il n
teat . ——— Nota. Blair a consacré les xxe , xxie , xxiie et xxiiie Lectures à l’examen critique du style des nºs 412, 413 et
voir augmenter le volume de cet ouvrage par la traduction de ces cinq Lectures , qui ont essentiellement pour objet l’application
étrangers à cette langue. Quatrième partie. De l’éloquence. Lecture XXV. Éloquence ou discours publics, histoire de l
quam inflammabat. Après lui, la Grèce ne compta plus d’orateurs. Lecture XXVI. Suite de l’histoire de l’éloquence. — Éloqu
asion de revenir, et j’entrerai alors dans de plus grands détails. Lecture XXVII. Différentes espèces de discours. — Éloquen
cœur qui porte la conviction : veræ voces ab imo pectore . Dans une Lecture précédente, j’ai dit, en commençant à traiter ce
plète, il faudrait recourir au texte même de cet excellent modèle. Lecture XXVIII. Éloquence du barreau. — Analyse de la har
a harangue de Cicéron pour Cluentius. J’ai donné, dans ma dernière Lecture , les règles qui concernent particulièrement l’élo
ec ordre, avec élégance et avec force la cause la plus compliquée. Lecture XXIX. De l’éloquence de la chaire. Avant de t
style et l’esprit de l’éloquence de la chaire feront l’objet de cette Lecture . Commençons d’abordé par considérer de quels avan
presque toutes les qualités morales. J’ai prouvé dans une précédente Lecture qu’un homme ne pouvait être éloquent, sur quelque
enfin se servir des figures de langage les plus passionnées. Dans les Lectures précédentes je me suis arrêté assez longtemps sur
ent dans les discours de ce genre. L’on pourrait encore conseiller la lecture des ouvrages de l’évêque Butler, comme très propr
onte en chaire, celui que nous avons indiqué au commencement de cette Lecture , est d’inspirer à ses auditeurs les meilleures ré
is que je vous ai entendu, j’ai été très mécontent de moi-même. » Lecture XXX. Examen d’un discours de l’évêque Atterbury.
évêque Atterbury. Nota. Nous omettrons ici la traduction de cette Lecture par les motifs qui nous-ont déterminé à supprimer
e Lecture par les motifs qui nous-ont déterminé à supprimer celle des Lectures xx, xxi, xxii, xxiii, xxiv. Lecture XXXI. De l
terminé à supprimer celle des Lectures xx, xxi, xxii, xxiii, xxiv. Lecture XXXI. De la composition générale d’un discours. —
ours. — Exorde, division, narration, explication. Dans les quatre Lectures précédentes, je suis entré dans des détails qui s
ens. Je ne suis pas en cela de son avis, et je ne finirai point cette Lecture sans tâcher d’assigner quelques-unes des causes a
14 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
ucoup. Il ne nous reste plus qu’à en faire de justes applications. La lecture des livres qui nous facilitent cette connoissance
tiennes, qui respirent la plus saine morale de l’évangile, et dont la lecture ne sauroit être trop conseillée. L’édition où se
ette religion divine, nous n’avons pas besoin de nous engager dans la lecture d’une foule d’excellens ouvrages, où elle est ven
i furent publiées par la voie de l’impression. Mais le livre, dont la lecture doit, pour cet objet, nous occuper le plus fréque
admirable, plein de sagesse, de force et d’onction. Le fruit de cette lecture sera une piété douce et tendre, une tranquillité
15 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre I. — Rhétorique »
pris au hasard qui nous engageront, je pense, à faire complètement la lecture des ouvrages d’où ils sont tirés. Dieu seul est
tière, que nous regardons comme une des plus admirables de l’auteur. Lecture . — Le Paysan du Danube. Vol. II, nº 146. § II.
e de judiciaire, le Discours de Socrate à ses juges, par Barthélemy. Lectures . — 1° Péroraison de l’Éloge funèbre de Washington
16 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
Suite de la quatrième partie. Lecture XXXII. De la composition d’un discours. — Du rais
renvoyer le lecteur aux conseils que j’ai donnés dans mes précédentes Lectures , en traitant du style, et à ceux qu’il trouvera p
xcellent morceau de philosophie morale ; mais je doute fort que cette lecture rende jamais un orateur plus pathétique. Je ne cr
er en leur donnant une idée favorable et du sujet et de l’orateur. Lecture XXXIII. De la prononciation ou du débit. Aprè
manière que la césure coïncide avec le repos indiqué par le sens, sa lecture ne présente aucune difficulté, comme dans cet exe
itions naturelles et sur les bonnes habitudes qu’il s’est formées. Lecture XXXIV. Moyens de faire des progrès en éloquence.
’on peut étudier avec fruit, je les ai déjà cités si souvent dans mes Lectures précédentes, que je crois superflu de répéter ici
on destinée à être débitée en public et une composition destinée à la lecture , que l’on ne saurait jamais se mettre trop bien e
devoir répéter l’avis que je leur donnais dans une de mes précédentes Lectures , de choisir dans une question le côté vers lequel
lus de goût et de jugement que Quintilien. Cinquième partie. Lecture XXXV. Du mérite comparé des anciens et des modern
hode que j’ai précédemment adoptée, et sans laquelle je crois que ces Lectures seraient peu dignes de votre attention. Je dirai
paraissent fondées sur le bon sens et la raison. Dans mes précédentes Lectures , j’ai quelquefois cité des passages des auteurs c
regarder comme manquant de goût celui qui n’éprouve aucun charme à la lecture de ces écrivains que tous les siècles et tous les
et développés dans l’ordre le plus clair et le plus distinct : car la lecture de l’histoire doit nous enseigner à être sages ;
d’unité d’être plus difficile à lire et d’exciter moins d’intérêt. Lecture XXXVI. Des ouvrages historiques. Après avoir
XVI. Des ouvrages historiques. Après avoir fait, dans la dernière Lecture , quelques observations sur la diversité des opini
voir l’influence des causes politiques sur les affaires générales. La lecture attentive des historiens grecs ne nous donne qu’u
laisir de voir comment ils se lient les uns aux autres. Autrement, la lecture de l’histoire ne produit ni plaisir ni instructio
jet, cette unité que j’ai si fortement recommandée dans la précédente Lecture . Le succès dépend beaucoup aussi des transitions,
lair et grave, peut cependant être un écrivain fort ennuyeux, dont la lecture ne produise aucun fruit, et que bientôt même on n
plus haut point de gloire et de dignité. J’ai fait observer, dans la Lecture précédente, que les annales, les mémoires et les
ceux des principaux personnages de son temps, ne peuvent être qu’une lecture utile pour un homme de sens. Les Mémoires du duc
eulent écrire ou connaître l’histoire des temps qu’il a parcourus. Lecture XXXVII. Des écrits philosophiques. — Du dialogue.
déterminées. Nous en avons traité avez assez d’étendue dans les deux Lectures précédentes : nous nous arrêterons moins longtemp
avec clarté ; et en réfléchissant sur ce que nous avons dit, dans les Lectures précédentes, au sujet de la clarté dans l’emploi
nt parfaitement les uns des autres. Un dialogue ainsi conduit est une lecture infiniment agréable, qui, au moyen du partage d’o
és confient au papier. Une telle correspondance, bien écrite, est une lecture fort agréable pour un homme de goût, et elle a d’
été publiées dans la collection des ouvrages de ces deux auteurs. La lecture en est amusante et agréable ; on y trouve beaucou
étiens contre les infidèles ; et du onzième au seizième siècle, cette lecture devint une véritable fureur dans toute l’Europe,
le qui vise au perfectionnement du goût trouve quelque plaisir à leur lecture . Les caractères en étaient outrés, le style bours
s ou d’histoires par des auteurs anonymes, ne sont pas en général des lectures dangereuses, au moins sont-elles presque toujours
oriser la dissipation et la paresse qu’à produire le moindre bien. Lecture XXXVIII. De la poésie. — De son origine et de ses
différentes espèces d’écrits en vers, je me propose de faire de cette Lecture une introduction sur la poésie en général ; je ch
ts18 l’un sur l’autre avec la liberté que donnent les vers blancs. Lecture XXXIX. De la poésie pastorale et de la poésie lyr
eurs, et en m’élevant jusqu’aux poésies épiques et dramatiques. Cette lecture sera employée à l’examen de la poésie pastorale e
e de poésie ; car, ainsi que je l’ai fait observer dans la précédente Lecture , la musique et la poésie furent contemporaines, e
e genre de poésie ; aussi en trouve-t-on un bien petit nombre dont la lecture soit agréable, surtout parmi celles destinées à c
ce que ce poète nous a laissé de plus agréable et de plus parfait. Lecture XL. De la poésie didactique et de la poésie descr
la plus évidente et la plus certaine du mérite d’une description. Lecture XLI. De la poésie des Hébreux. La poésie des
uteur ingénieux, j’aurai souvent recours à lui dans la suite de cette Lecture . Il n’est pas nécessaire d’entrer dans de longs d
’eux, c’est augmenter beaucoup le fruit que l’on peut retirer de leur lecture . Les poètes sacrés les plus éminents sont Job, Da
jus stupebunt novissimi, et primos invadet horror. (C. 20 et 18.) Lecture XLII. De la poésie épique. Il nous reste à par
dramatique. Je commence par la poésie épique. Nous emploierons cette Lecture à en faire connaître les principes généraux ; nou
C’est avoir une idée bien pauvre et bien bornée de l’avantage que la lecture d’un long poème épique est susceptible de procure
orie du Péché et de la Mort dans le second livre du Paradis perdu. Lecture XLIII. L’Iliade et l’Odyssée. — L’Énéide. L’ép
core regardé comme le père de la théologie poétique. Dans la dernière Lecture , j’ai dit ce que je pensais du merveilleux en gén
its faibles de l’Énéide, que Virgile laissa son ouvrage imparfait. Lecture XLIV. La Pharsale, la Jérusalem délivrée, la Lusi
it trop du temps où ce poète vivait ; j’ai démontré, dans la dernière Lecture , que cette circonstance était presque toujours dé
es, quelquefois aussi il tombe même au-dessous des plus médiocres. Lecture XLV. Poésie dramatique. — Tragédie. Chez tous
arrêterons plus longtemps sur la tragédie ; nous y consacrerons cette Lecture et celle qui suit, puis nous traiterons particuli
orribles, que la peine surpasserait de beaucoup le plaisir, et que la lecture ou la représentation de certaines tragédies en de
nnui et du dégoût. Voilà tout le mystère de l’illusion du théâtre. Lecture XLVI. De la tragédie en général, de celle des Gre
poète a placées à propos dans sa pièce. J’ai eu occasion, dans cette Lecture et dans la précédente, de faire remarquer quelque
nçais est une des principales causes du plaisir que l’on goûte à leur lecture . Il prétend qu’il n’y aurait plus de tragédie s’i
voir que la poésie lyrique lui servait d’embellissement ; et, dans la Lecture précédente, je suis entré dans une discussion app
es plus frappantes que l’on puisse trouver dans une tragédie. Dans la Lecture précédente, j’ai fait sentir les défauts du dénou
ureux usage de la grandeur et de la majesté des idées religieuses. Lecture XLVII. De la comédie en général, de la comédie ch
aise ne fut trop souvent que l’école du vice. Les règles que, dans la Lecture précédente, j’ai données sur l’action dramatique
mbla que ces deux espèces de pieds lui convenaient mieux ; mais, à la lecture , l’oreille ne sent pas la chute des césures. C’es
17 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre III. du choix du sujet. » pp. 38-47
ouvons dire du sujet ce que la Bruyère dit de l’ouvrage : « Quand une lecture vous élève l’esprit et qu’elle vous inspire des s
squ’à la lin. Le plus bel éloge à leur goût, c’était que, une fois la lecture commencée, on ne pût la quitter qu’à la dernière
rtant ce même homme eût maudit de grand cœur quiconque, à la première lecture , lui eût ôté le livre des mains avant la fin du q
18 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVI. Genre du roman. »
doivent pas s’étonner si on leur interdit ces frivoles et dangereuses lectures  : leur cœur et leur esprit n’y peuvent rien gagne
. Rien n’est plus contraire aux progrès d’une éducation solide que la lecture des romans ; ces frivoles distractions dégoûtent
eur de l’imagination qui a besoin de tant de délicats ménagements. La lecture des romans, même les plus innocents en apparence,
19 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre II. Études du Prédicateur. »
se nourrisse, qu’il enrichisse, qu’il fortifie son éloquence de leur lecture  : il sera sûr alors de toucher, de persuader et d
l’étude suivie des saintes écritures, il est essentiel de joindre la lecture raisonnée de ces orateurs que leurs vertus et leu
20 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
ει pour ἀναγνωρίσει est fort séduisante. On traduirait alors : « à la lecture comme à la représentation  »; mais l’idée de lect
t alors : « à la lecture comme à la représentation  »; mais l’idée de lecture est déjà exprimée, six lignes plus haut, par les
21 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
art à son fils du plaisir qu’il lui fait en lui rendant compte de ses lectures . Le soleil de justice n’a point de coucher ; l’
en écrire. 257. L’étude des modèles se réduit à quatre exercices : la lecture , l’analyse, la traduction et l’imitation. § I.
s : la lecture, l’analyse, la traduction et l’imitation. § I. De la lecture . 258. La lecture, telle que nous l’entendons i
alyse, la traduction et l’imitation. § I. De la lecture. 258. La lecture , telle que nous l’entendons ici, ne consiste pas
er ensuite par la mémoire et la réflexion. 259. Il est évident que la lecture des écrivains ainsi entendue est un puissant moye
n de l’étude des Pères et surtout de celle de saint Augustin. 260. La lecture est indispensable aux jeunes gens qui veulent cul
goût n’est pas assez pur. L’érudition peut gagner quelque chose à une lecture plus variée, mais le goût court grand risque de s
re apporter de la méthode dans ce travail. Pour tirer du fruit de ses lectures , il faut lire avec ordre, avec sobriété, avec len
vancer. Si on saute du commencement au milieu, du milieu à la fin, la lecture produira peu de fruits. Rien de propre à détendre
les ressorts de l’intelligence et à engendrer la confusion comme ces lectures sautillantes et décousues. Le papillon voltige de
ourriture trop abondante fatigue et surcharge l’estomac : de même une lecture trop longue et mal digérée rebute et embarrasse l
ir de votre position. 268. Une autre condition nécessaire pour qu’une lecture soit utile, c’est qu’elle soit faite avec lenteur
ent dans son sein et lui donnent la fécondité. Si vous voulez que vos lectures portent des fruits, revenez plusieurs fois sur un
avoir extrait quelque pensée ou noté quelque fragment. 269. Enfin, la lecture doit être faite avec réflexion. Appliquez-vous à
ions, les figures et les tours dont l’écrivain a revêtu sa pensée. La lecture réfléchie dont nous parlions tout à l’heure est u
de pénétrer le caractère et la beauté du modèle qu’il étudie. 277. La lecture ne peut pas suppléer au travail de la traduction,
ires pour qu’une œuvre littéraire laisse de profondes impressions. La lecture , c’est trop souvent un regard furtif et rapide je
us voulez seulement le suspendre quelques instants, ayez recours à la lecture réfléchie d’un passage analogue à celui qui vous
nds événements de l’époque où il a vécu. Nous ne connaissons guère de lecture plus instructive pour un jeune homme sérieux. (Vo
critiques raisonnées sur une production littéraire dont on a fait une lecture attentive et réfléchie. Il serait même bon quelqu
auxquelles le maître saura d’ailleurs préparer un jeune homme par des lectures ou des explications données à propos. Il est donc
, fidèle aux lois de la religion et de l’honneur, doit s’interdire la lecture de la plupart de ces dangereux ouvrages. 538. Ce
 ; en attendant, je suis bien aise de savoir que tu aimes beaucoup la lecture , et que tu sais ton Télémaque sur le bout du doig
d’exercices embrasse l’étude des modèles ? 258. En quoi consiste une lecture bien entendue des modèles ? 259. La lecture des é
258. En quoi consiste une lecture bien entendue des modèles ? 259. La lecture des écrivains est-elle un puissant moyen de se fo
écrivains est-elle un puissant moyen de se former le style ? 260. La lecture est-elle indispensable aux jeunes littérateurs ?
s ? 265. De quelle manière faut-il lire, pour tirer des fruits de ces lectures  ? 266. Que demande l’ordre qu’on doit apporter à
de ces lectures ? 266. Que demande l’ordre qu’on doit apporter à ses lectures  ? 267. Qu’exige la sobriété dans les lectures ? 2
’on doit apporter à ses lectures ? 267. Qu’exige la sobriété dans les lectures  ? 268. Faut-il lire avec lenteur ? 269. La lectur
sobriété dans les lectures ? 268. Faut-il lire avec lenteur ? 269. La lecture doit-elle être accompagnée de réflexions ? 270. E
uction est-elle un puissant moyen d’approfondir les modèles ? 277. La lecture peut-elle tenir lieu de la traduction ? 278. La t
t v ; Marmontel, art. Imitation. Traduction ; Dom Jamin, Traité de la lecture . 12. Le Guide du jeune littérateur, par le P. B
atteux, Les beaux-arts réduits à un même principe, 3e partie ; Blair, Lecture  xxxviii ; Rollin, Traité des études, liv. II ; Ma
de littérature, 4e traité ; Rollin, Traité des études, liv. II, de la lecture d’Homère ; Blair, leç. xlii, xliii ; Marmontel, É
22 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « PRÉFACE. » pp. -12
n réelle et présente. Assurément un traité de géométrie n’est pas une lecture plus récréative qu’un traité de rhétorique, mais
out donc ce livre, dans mon idée, devait être composé de façon que la lecture en fût, sinon amusante, du moins intéressante. No
l’ai-je gardée ? En définitive, le jeune homme sortira-t-il de cette lecture avec de meilleurs sentiments et un plus vif désir
23 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47
tyle est pur, lumineux, doux et soutenu. C’est un des auteurs dont la lecture est le plus profitable non-seulement à l’esprit,
la faiblesse de l’homme, c. 4. Du discernement à apporter dans nos lectures et les objets de nos études. Il faut considére
.) — L’écrit dont nous avons donné un extrait était principalement la lecture favorite de cette femme d’un esprit si charmant,
24 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
a d’attraits pour tout ce qui reçoit ainsi les prémices de son âme. Lecture . — Mort de Vatel. Vol. II, nº 1. Le morceau suiva
s sont obligés de céder devant les efforts victorieux des chrétiens. Lecture . — Siège de Ptolémaïs. Vol. II, nº 2. Le Laconi
es et de voyelles brèves. Qui n’éprouverait un véritable plaisir à la lecture des phrases suivantes : « Les grâces de la figur
écieux en ce qu’ils donnent en même temps le précepte et l’exemple ! Lecture . — Vers de Pope, traduits par l’abbé Du Resnel et
e par le triomphe des toréadors et la défaite de leur fière victime. Lecture . — Combat du Taureau, vol. II, nº 4.
25 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343
res anciens qui l’ont passionné 1 Les Vies de Plutarque2 sont une lecture touchante ; j’en étais fou dans mon enfance ; le
tait bien impossible de les lire de sang-froid1 ; je mêlais ces trois lectures , et j’en étais si ému, que je ne contenais plus c
n sceu mander qui me fust plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a prins. Plutarque me sourit toujours d’
26 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »
s sont pratiques, les autres théoriques. Les moyens pratiques sont la lecture , l’étude des bons auteurs, et l’exercice de la co
entre les mains une chrestomathie, ou que le maître y supplée par des lectures choisies d’après son goût et selon les besoins de
27 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
les disgrâces de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. Je m’éveille le matin avec une joi
fortune de mon ouvrage3, il sera plus approuvé que lu : de pareilles lectures peuvent être un plaisir, elles ne sont jamais un
à quelques endroits de mon Esprit ; j’en suis devenu incapable : mes lectures m’ont affaibli les yeux ; et il me semble que ce
autres. Il restera, et les folliculaires seront oubliés. » 1. Ses lectures lui avaient usé les yeux 2. Lorsque M. de Solar
28 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
remplir leur véritable objet, doivent se composer en grande partie de lectures , d’extraits abondants, faits avec choix… L’accent
ques remarques courantes et comme marginales, qui se glissent dans la lecture et s’en distinguent par un autre ton ; quelques r
29 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Nisard Né en 1806 » pp. 296-300
est le seul hôte. On le rend présent par la prière et par de pieuses lectures . La fable et la fontaine Dans l’enfance,
uperbes pour goûter ce qu’enfants on leur a donné à lire. C’était une lecture de père de famille, dans le temps des conseils mi
30 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
remplir leur véritable objet, doivent se composer en grande partie de lectures , d’extraits abondants, faits avec choix… L’accent
ques remarques courantes et comme marginales, qui se glissent dans la lecture et s’en distinguent par un autre ton ; quelques r
31 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
de son siècle, enfin inspiré d’un génie extraordinaire, et aidé de la lecture des anciens, fit voir sur la scène la raison, mai
s, le 2 juin 1693. Vous me faites plaisir de me rendre compte de vos lectures  ; mais je vous exhorte à ne pas donner toute votr
32 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
des lettres peut lui inspirer une sorte d’impatience et de dépit à la lecture d’un ennuyeux et ridicule ouvrage ; mais l’habitu
t d’être dangereux2. Je sais qu’il est un goût acquis par l’étude, la lecture et la comparaison, et je ne prétends pas en nier
33 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
e qui ne l’est pas de même, c’est le fruit que l’on peut tirer de ces lectures amusantes que l’on ferait à haute voix, et qui, b
es enfants. Cet exercice commencerait, dans l’école assemblée, par la lecture , à haute voix, d’un morceau pris d’un historien,
x mouvements passionnés, se présenteraient pour modèles : et après la lecture , qui serait sobrement accompagnée de réflexions,
ne, le grand ennemi de la déclamation, voulait qu’on eut nourri de la lecture des poètes, et surtout de celle d’Homère : Det p
iumque bibat felici pectore fontem. Théophraste reconnaissait que la lecture des poètes était infiniment utile aux orateurs ;
e par. (De Orat. 1. I) Aussi le Sophocle latin, Pacuvius, était-il la lecture la plus habituelle de Crassus et de Cicéron ; et
t la diversité des parties dont cet ensemble est composé ? Une simple lecture ne les captive point, et ne laisse presque jamais
l’empreinte dans l’esprit des élèves, que la méthode de Crassus, une lecture à haute voix, et, après la lecture, une rédaction
es, que la méthode de Crassus, une lecture à haute voix, et, après la lecture , une rédaction, une traduction de mémoire ? Ici l
re l’inapplication des élèves : émus jusqu’à l’enthousiasme par cette lecture enivrante, pleins des beautés qu’ils auront admir
et dans tous ses rapports ; sans compter, pour l’orateur chrétien, la lecture et la méditation des livres sacrés, dont il doit
étrie, puisqu’elle consiste en ces deux mots qu’on sait à la première lecture  ; et enfin qu’elle est assez inutile, puisque son
pas le véritable auteur, quand même il ne l’aurait appris que dans la lecture de ce grand saint ; car je sais combien il y a de
t dans le· fait et entendent l’ouvrage. Un tissu d’énigmes serait une lecture divertissante ; et c’est une perte pour eux que c
es qui aient été faites sur aucun sujet est celle du Cid19. Quand une lecture vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire des
n qu’on a de ses lecteurs. L’on a cette incommodité à essuyer dans la lecture des livres faits par des gens de parti et de caba
monnaie qui n’a point de cours. On est tout à la fois étonné de leur lecture et ennuyé de leurs entretiens ou de leurs ouvrage
génie. Si elle vient d’un homme qui ait moins de discernement que de lecture , et qu’elle s’exerce sur de certains chapitres, e
ns la dispute. Ayez le plaisir de voir que vous n’êtes arrêté dans la lecture que par les difficultés qui sont invincibles, où
contre soi-même et contre ses plus chers intérêts, en multipliant les lectures , les recherches et le travail qu’elle cherchait à
, mais encore une étude particulière de l’antiquité. Il recommande la lecture des anciens Grecs ; il veut qu’on étudie les hist
rai d’abord reconnaître un jeu d’esprit et un ornement solide. A. La lecture et la réflexion pourront vous l’apprendre ; il y
rieuse des premiers principes, une connaissance étendue des mœurs, la lecture de l’antiquité, de la force de raisonnement et d’
usique. B. Mais encore, rendez-moi cela un peu plus sensible· A. La lecture des bons et des mauvais orateurs vous formera un
plus utile que d’avoir le goût de la simplicité antique ; surtout la lecture des anciens Grecs sert beaucoup à y réussir. Je d
rs y cherchent le plus. Beaucoup de prédicateurs se gâtent dans cette lecture . L’envie de dire quelque chose de singulier les j
s l’être ; et s’ils ne font aucun effet au théâtre, ils charment à la lecture par la seule élégance du style. Presque toujours
e se trouve, et où l’inutile seul est omis, pour sauver l’ennui d’une lecture insupportable à ceux de nos compatriotes qui veul
à l’effort de sa main foudroyante. S’il n’avait pas été rempli de la lecture du Tasse, il n’aurait pas fait son admirable opér
s les étrangers dans l’erreur. D’ailleurs, Monseigneur, l’usage et la lecture des bons auteurs en a beaucoup plus appris à Votr
tous ceux qui veulent écrire. Corneille et Racine Je dois à la lecture des ouvrages de M. de Voltaire le peu de connaiss
r éviter les dissonances, et de l’avoir exercée, perfectionnée par la lecture des poètes et des orateurs, pour que mécaniquemen
t poésies. 23. Tout ce passage semblerait avoir été inspiré par la lecture lettres de Mme de Sévigné ; et il en serait le pl
34 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
e, un journaliste inconsidéré ou présomptueux, qui se bornerait à une lecture rapide et superficielle d’un ouvrage, pour pronon
it approfondi toutes les parties. Il sera bon de n’en entreprendre la lecture , qu’après avoir acquis quelques connaissances gén
35 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
s, par l’art heureux avec lequel l’auteur a disposé ses matières, une lecture des plus agréables. L. F. Guérin, Membre de l’Aca
ndamner certains livres, dont il ne faut à aucun prix se permettre la lecture , quand bien même on devrait se résoudre à ignorer
36 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239
à un travail aussi gigantesque, qui exigerait le dépouillement et la lecture de plusieurs milliers de volumes, depuis la fin d
respirer et me ferait plus de plaisir ; il me tient trop tendu, et sa lecture me devient une étude. Tant d’éclairs m’éblouissen
37 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
ntré, l’histoire ancienne pourra devenir pour nous la plus attachante lecture . Tout le monde n’est pas roi ou ministre pour avo
ue timidement. Sans doute une forte éducation classique et d’immenses lectures , auxquelles on ne se résigne guère que lorsqu’on
38 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — [Notice] Maurice de Guérin, 1810-1839. » pp. 598-606
père tout ; la soirée qui s’ouvre par l’éclat d’un feu joyeux, et, de lecture en lecture, de causeries en causeries, va expirer
la soirée qui s’ouvre par l’éclat d’un feu joyeux, et, de lecture en lecture , de causeries en causeries, va expirer dans le so
39 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »
ine, et quelles couleurs naturelles ! quelle émotion saisissante ! La lecture , l’étude, la comparaison, prêtent à l’imagination
sie. Il est des personnes qui resteront froides et indifférentes à la lecture du Cid, à la vue d’une belle nuit constellée, d’u
40 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
étant lues avec discrétion elles aident à former le jugement ; que la lecture de tous les bons livres est comme une conversatio
oyais avoir déjà donné assez de temps aux langues, et même aussi à la lecture des livres anciens, et à leurs histoires, et à le
41 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
esoin d’être exercée. Je vous demanderai compte, à mon retour, de vos lectures et surtout de l’histoire de France, dont je vous
ttendrais encore ! Lamartine, § VI. De l’analyse critique. La lecture et la composition sont sans doute d’excellents mo
rtie sur la foi du maître et sur celle des critiques dont ils font la lecture  ; mais il faut aussi qu’ils s’habituent à juger p
sion d’appliquer. Si ce travail paraît difficile au premier abord, la lecture de La Harpe ou de M. Villemain mettra facilement
’elle. Modèle d’analyse critique. Je me sens doucement ému à la lecture de ce morceau ; je reconnais l’élégie à ces tendr
42 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avant-propos de la première édition. » pp. -
, même au détriment d’une élégance qui eût pu rendre plus agréable la lecture de ce petit ouvrage. Toutes les fois que l’excess
43 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »
éplique tous les faits qu’il rapporte, et toutes ses assertions de la lecture d’un acte public, qui les confirmait authentiquem
gloire se soutint pendant plusieurs siècles. Sa première leçon fut la lecture des deux harangues qui avaient causé son bannisse
44 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
pas ici de poésie, et je n’admets pas le style poétique en prose ; la lecture des poëtes est excellente pour préparer à écrire,
de l’idéal. C’est ainsi que le sculpteur Bouchardon s’inspirait à la lecture d’Homère. Prosateurs, usez des poëtes comme Bouch
45 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
Il est facile de voir combien M. de Chateaubriand s’est pénétré de la lecture de Bossuet et d’admiration pour ses beautés. C’es
même l’auteur des Martyrs, plus je me croirais fondé à penser que ces lectures ont été faites dans un âge où l’on sent trop vive
r ; étonné, ébloui de tant de richesses littéraires, que de nouvelles lectures , augmentent encore tous les jours, l’imagination
46 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
mment on doit parler en public ; et en second lieu de les former à la lecture à haute voix. Le talent de lire avec grâce, avec
plaire et pour toucher. Il faut que la personne chargée d’en faire la lecture , prenne en quelque sorte la place de l’auteur, qu
pourquoi Caton insiste tant sur une raison si faible en elle-même. La lecture des orateurs qui ont excellé, et particulièrement
ture qui sera vraie dans tous les temps et chez tous les peuples. Une lecture réfléchie de ces beaux chapitres ne peut être que
maîtres. Je pense néanmoins que l’imitation y peut quelque chose. La lecture réfléchie des meilleurs modèles, tels que les dis
pourtant fait subir quelques modifications. (Cours de belles-lettres, lecture 18.) Division de Cicéron et de Quintilien. Cicé
er correctement, il faut, aux connaissances grammaticales, joindre la lecture et l’usage : la lecture de nos meilleurs écrivain
, aux connaissances grammaticales, joindre la lecture et l’usage : la lecture de nos meilleurs écrivains tant poëtes qu’orateur
gement des mots, ch. 2.) Ce sentiment nous accompagne surtout dans la lecture des ouvrages ; en sorte qu’une composition dure e
où ils sont placés qui les fait valoir. Il faut les remarquer dans la lecture des bons auteurs. Des lectures bien faites, et le
t valoir. Il faut les remarquer dans la lecture des bons auteurs. Des lectures bien faites, et les instructions d’un bon maître,
Anglais et plusieurs officiers ; et l’on peut entendre à la première lecture que tous ont été traduits devant une cour martial
proche quelquefois d’une inspiration soudaine ; au lieu que la froide lecture d’une manuscrit ne saurait jamais dominer une ass
laider de mémoire ou sur de simples notes est devenue générale(1). La lecture d’un plaidoyer écrit, outre qu’elle nuirait à la
lait en soi-même. A ce que dit Quintilien nous pouvons ajouter que la lecture des bons modèles et la composition contribuent me
de là qu’il arrive que tant de discours plaisent au débit, qui, à la lecture , sont trouvés médiocres. Chapitre II. De l
fois une vive impression à entendre des discours qui en font peu à la lecture . L’action est au discours ce que l’âme est au cor
r le travail et l’exercice. Les moyens que l’on peut employer sont la lecture à haute voix, la déclamation de morceaux de prose
imples. Le soutenu, Le soutenu est celui qu’on doit prendre pour la lecture des discours graves. Il faut que la voix soit tou
d’œuvre qu’il était si loin de faire valoir : et reprenant ensuite la lecture mieux raisonnée du même discours, il y fit entrev
éron et Quintilien, contribuent à former l’écrivain et l’orateur : la lecture des bons modèles, la composition et l’imitation.
ecture des bons modèles, la composition et l’imitation. § I. De la lecture des bons modèles. La lecture des bons modèle
ition et l’imitation. § I. De la lecture des bons modèles. La lecture des bons modèles. « L’orateur, dit Quintilien,
oc. cit.) Pour acquérir ce fonds, il faut d’abord s’instruire par des lectures variées et faites non pas rapidement et pour pass
faire. On doit recommander aux jeunes gens de choisir d’abord leurs lectures , ou de suivre dans ce choix les conseils d’hommes
s, avec les tours, avec tous les ornemens du discours. Utilité de la lecture des poëtes. La lecture des poëtes est utile à l’
tous les ornemens du discours. Utilité de la lecture des poëtes. La lecture des poëtes est utile à l’orateur pour apprendre à
se destinent à la haute éloquence se nourrissent de bonne heure de la lecture des poëtes, et surtout de celle d’Homère. ……… D
moyens de se former à l’éloquence et à l’art d’écrire 420 § I. De la lecture des bons modèles 421 § II. De la composition 423
la nôtre. Trois moyens de se former à l’art de parler et d’écrire. La lecture des bons modèles. Choix qu’il faut ou faire. Mani
odèles. Choix qu’il faut ou faire. Manière de les lire. Utilité de la lecture des poëtes. Et de la traduction. La composition.
47 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
des lettres peut lui inspirer une sorte d’impatience et de dépit à la lecture d’un ennuyeux et ridicule ouvrage ; mais l’habitu
t d’être dangereux2. Je sais qu’il est un goût acquis par l’étude, la lecture et la comparaison ; et je ne prétends pas en nier
48 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Silvestre de Sacy. Né en 1801. » pp. 522-533
ront celles-ci à la fraîcheur, au contentement qui pénètre l’âme à la lecture des divines pages de Platon. Les Lois de Platon !
’ait pas fait ce rêve d’une vie toute plongée dans l’étude et dans la lecture  ? qui ne s’est figuré, avec délices, une petite r
49 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Règles pour les ouvrages de littérature »
ouverte doit ajouter beaucoup au sentiment agréable, que lui cause la lecture d’un bel ouvrage. Je vais diviser cette Partie en
50 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
pauvres d’études préliminaires, Dont le feu, dépourvu de sens et de lecture , S’éteint à chaque pas, faute de nourriture. Si
omplète de tous les objets extérieurs qui ont rapport au sujet, et la lecture de tous les livres qui peuvent en éclaircir l’ens
51 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XX. » pp. 117-119
t sur le suivant aux éclaircissements les plus indispensables pour la lecture du texte, et à quelques indications qui pourront
52 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
sujets. Mais il serait imprudent de se jeter sans préparation dans la lecture de ces précieux ouvrages ; on s’exposerait à s’ég
lime ne paraît être qu’un fragment d’un plus important ouvrage, et la lecture attentive de ce précieux traité semble justifier
éteurs ; et beaucoup de choses inutiles rendent un peu fastidieuse la lecture de ses Institutions. Il faut donc ouvrir à l’étud
ment environ trois volumes in-8º. Après avoir entièrement traduit les lectures du savant professeur d’Édimbourg, j’en ai extrait
même degré dans chaque individu. Quoique l’impression produite par la lecture des productions du génie soit passagère, elle peu
ulement par une attention soutenue pour les meilleurs modèles, par la lecture des ouvrages les plus recommandables, et la compa
lus prononcé pour la poésie, l’autre ne trouve de plaisir que dans la lecture de l’histoire ; celui-ci préfère la tragédie, cel
ment sur le raisonnement, mais sur le plaisir que nous éprouvons à la lecture d’une tragédie dont l’action est simple. Un grand
rofondi des idées de l’auteur, dont il peut suspendre et reprendre la lecture , et soumettre les pensées à la réflexion. Mais, d
ment négative, mais bien une beauté positive. Nous nous plaisons à la lecture d’un auteur qui nous affranchit de la fatigue de
e. Il n’existe pas d’autres modèles de pureté et de convenance que la lecture habituelle des meilleurs écrivains. La définition
s devons nous familiariser avec le style des meilleurs auteurs ; leur lecture est nécessaire pour nous former le goût, et pour
rale que respirent ses discours je ne sais quel charme qui en rend la lecture attachante. — Un des hommes les plus remarquables
e subtilité la nature des passions. Sous le rapport philosophique, la lecture de ce traité peut être avantageuse ; mais je dout
, et non pas sur la manière guindée et artificielle qui résulte de la lecture des livres où la ponctuation nous dirige. En géné
voudront marcher sur leurs traces. L’orateur formera son style par la lecture des grands modèles, qui l’enrichiront de nouvelle
ierait plus spécialement aux exercices de composition et d’action. La lecture à haute voix, la déclamation accompagnée de geste
est très judicieux et très correct. Il est inutile de recommander la lecture des ouvrages de rhétorique de Cicéron, tout ce qu
53 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
à l’exercice de la mémoire et susceptible d’ajouter à l’utilité de la lecture , en plaçant sous les regards, avec la marche inse
54 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Henri IV, 1553-1610 » pp. -
s’ajouta pour lui la fréquentation d’Amyot, dont le Plutarque fut sa lecture favorite, et de Montaigne, son voisin, dont il pr
55 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
on frère. (16 août 1883). • Lettre de La Fontaine à Boileau après une lecture de l’Art poétique. (13 août 1883). • Lettre de l’
les causes de ce fétichisme rétrospectif ; les uns l’attribuent à la lecture de Plutarque, que le génie d’Amyot avait rendu fr
rries les générations précédentes ; les autres, plus simplement, à la lecture même des historiens latins, qui n’ont jamais inéd
ements de cour vous rendront blanc ou noir. Ne peut-on pas, après la lecture de ce morceau, dire de La Fontaine comme du poète
poétiques du moyen âge même, qu’il croit mériter d’être étudiées. La lecture de Vauquelin de la Fresnaye encore aujourd’hui ne
Voltaire, « la pièce des connaisseurs », fut inspirée à Racine par la lecture de Tacite, qu’il proclame avec raison « le plus g
re à l’Académie quelques réflexions seulement, que lui a inspirées la lecture des ouvrages de ses nouveaux confrères ; mais il
ur enseigner le grec et expliquer Homère. Vous supposerez qu’après la lecture publique de l’Iliade, un de ses disciples l’en re
s. [12] (19 août 1885) Lettre de La Fontaine à Boileau après la lecture du IIe chant de l’Art poétique. Plan. — 1º Il
ndaires ; cependant que son ami lui permette de lui confier que cette lecture lui a causé un chagrin : il a cherché en vain l’A
ue je n’ai pas longtemps gardé pour moi seul le charme d’une pareille lecture et que j’ai rassemblé nos confrères tout exprès p
56 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
rateurs, des hommes de goût, nourris aux luttes de la tribune et à la lecture des manuscrits grecs, tous hommes pratiques, la p
ter la scène dans le barreau. Étudiez avec soin toutes vos causes. La lecture d’un dossier ne suffit pas pour bien connaître un
cette justesse et cette propriété par l’étude de la langue et par la lecture des bons auteurs. Autrefois ces qualités étaient
rhythme, et cet instinct, c’est la nature qui nous le donne, c’est la lecture des poëtes et des orateurs qui le développe en no
57 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre V. — De l’Action »
si l’on veut avoir de bons conseils sur ce sujet, nous renvoyons à la lecture d’un poème sur le Geste, que nous devons au P. Sa
58 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Silvestre de Sacy Né en 1804 » pp. 271-274
’ait pas fait ce rêve d’une vie toute plongée dans l’étude et dans la lecture  ? Qui ne s’est figuré, avec délices, une petite r
59 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
ttre le Traité de la poésie entre les mains des élèves comme livre de lecture  : ce qui serait d’autant plus facile à faire que
60 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre premier. Objet de l’Éloquence de la chaire. »
ient au défaut de mœurs plus qu’au défaut de goût ; et rappelons à la lecture et à l’admiration de ces chefs-d’œuvre ceux que l
61 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Simon 1625-1695 » pp. 144-147
u5 de chacun ; également gaie et amusée6 à faire les après-dînées des lectures sérieuses, à converser dessus, et à travailler av
62 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
c’est ce qui nous attache et nous rappelle encore si puissamment à la lecture de leurs ouvrages ; c’est ce qui sollicite et obt
neuf livres qui composent son histoire, prouve avec quel transport la lecture en fut entendue à l’assemblée des jeux olympiques
63 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »
Dieux au plaisir que je sens. Le cardinal de Richelieu entendant la lecture que lui faisait Colletet d’une de ses comédies, l
rand défaut, si elle a quelque chose d’extraordinaire et de forcé. La lecture de nos bons poètes apprendra l’usage qu’on doit e
64 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
-mêmes leur cause, et leur plaidoyer se bornait presque toujours à la lecture d’un discours composé pour la circonstance par un
les réflexions vaudraient comme charme et comme utilité celles qu’une lecture attentive vous amènera à faire vous-mêmes ! D’ail
65 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre premier. Du Goût. »
rir le mérite d’un semblable plan, plus nous trouvons de plaisir à la lecture de l’ouvrage. Les caractères distinctifs du goût
66 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre XI. De l’orthographe. » pp. 53-58
c. (Ces observations ne peuvent être réduites en règles générales, la lecture et le dictionnaire doivent en tenir lieu. Or
67 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre V. Des sermons de Bossuet. »
us ne pouvons qu’applaudir à la justesse de la réflexion suivante. La lecture des grands modèles est autant au-dessus de l’étud
68 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XI. Poésies fugitives. »
c’était la poésie des ruelles ; l’hôtel de Rambouillet se pâmait à la lecture d’une ballade, d’un rondeau, d’un madrigal : la c
69 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Sainte-Beuve 1804-1870 » pp. 291-295
c des Quatre Cantons. 1. Ce passage est extrait d’un article sur les lectures publiques qui s’adressaient en 1848 à un auditoir
70 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
e coupé]alheur aurait ravi tout sentiment. Version LXXIX. De la Lecture . 79. La première preuve qui montre un esprit
eaucoup de [illisible chars][texte coupé]hoses, choisissez dans votre lecture quelque pensée pour vous [illisible chars][texte
re tendre, applique-le avec ardeur aux Muses, et propose-toi dans tes lectures des exemples que tu imiteras bientôt ; ne cesse j
il, il ne s’est passé presque aucun jour où quelque auteur ne fit une lecture publique. J’aime à voir les études fleurir, les h
i l’auteur est entré, s’il a dit le prologue, s’il est avancé dans sa lecture  : puis enfin ils se décident à venir, mais alors
anda la cause : comme on lui dit que c’était Nonianus qui faisait une lecture , il vint subitement, et sans être attendu, se mêl
ement leurs productions. Quant à moi, je n’ai manqué presque à aucune lecture . Du reste, la plupart des auteurs étaient mes ami
enant regagner ma retraite, et composer quelque chose, sans en donner lecture  : je ne voudrais pas paraître avoir prêté mon att
e choses que ses auditeurs emporteront avec eux. En effet, quoique la lecture leur offre assez d’exemples à imiter, cependant l
t fallu, le sacrifice de mes jours. Version LXXV. Utilité de la lecture des anciens. Dans la lecture des anciens, l’e
s. Version LXXV. Utilité de la lecture des anciens. Dans la lecture des anciens, l’esprit puise de la vigueur, et tro
s plus rapidement les ouvrages écrits dans notre langue, parce que la lecture en est plus facile. Beaucoup de choses passent sa
ouvelle qui pique notre curiosité : de même on peut dire que, dans la lecture de nos écrivains, dans un travail qui demande tro
ranger une salle, loue des banquettes, distribue des annonces. Et, sa lecture fût-elle couronnée du plus brillant succès, cette
connaît les poëtes médiocres, et peu connaissent les bons. Quand une lecture obtient le plus rare succès, le bruit s’en répand
n à un autre jour. Plusieurs personnes lui demandant avec instance la lecture du reste, il répondit qu’il l’achèverait le lende
c « que le poëte Philémon, qu’on attendait au théâtre pour achever la lecture d’une pièce d’invention, avait déjà terminé chez
38 78. Persée, roi de Macédoine, conduit en triomphe. 138 79. De la Lecture . 140 80. Midas change en or tous les objets qu’i
monarchie héréditaire. 238 34. Pline à Sosius Sénécion, touchant les lectures publiques. 240 35. Devoir du maître qui enseigne
de Socrate. 312 74. Des misères de l’âge mûr. 312 75. Utilité de la Lecture des anciens. 314 76. Vœux de Marc-Aurèle pour so
71 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre premier. Beautés de détail. »
ndent le mérite de l’ouvrage, et le plaisir que nous en peut faire la lecture . Or ce charme, le plus puissant, le plus sûr de t
72 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Supplément aux exemples. »
t épris ; Mais la vérité nue a pour moi plus de prix. Eh quoi ! d’une lecture insipide et glacée Tu prétends attrister mon orei
73 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
ravaux apostoliques des jésuites, et poursuivi par le souvenir de ses lectures , il cherchait naïvement aux alentours de la ville
74 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fléchier 1632-1710 » pp. 84-88
aux esprits dont l’hôtel de Rambouillet fut le centre, qu’enchanta la lecture de l’Astrée, et qui portèrent aux nues Balzac et
75 (1839) Manuel pratique de rhétorique
dirons qu’il convient de se préparer à l’étude des règles par : 1° La lecture des bons modèles ; 2° L’analyse de morceaux chois
ns tous les genres ; 3° Des exercices gradués de composition. 1° La lecture d’auteurs choisis. La voie des préceptes est l
les d’une éloquence austère et d’un style pur. 2° L’analyse. La lecture serait peu fructueuse, si l’analyse ne devait imm
nalyse dont d’abord il lui a été donné connaissance.   1er Exercice : Lecture du morceau par le maître ou par un élève. Après c
rcice : Lecture du morceau par le maître ou par un élève. Après cette lecture , l’élève doit en présenter le compte rendu. 2e Ex
ficile de trouver les preuves extrinsèques, lorsque par l’étude et la lecture la mémoire s’est enrichie d’exemples, d’autorités
76 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303
e froide et dédaigneuse protection. On le regrettera vivemement, à la lecture de plusieurs morceaux de ses ouvrages. Aux traces
77 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »
dits, ou grands poèmes, dont le sujet est assez développé et dont la lecture est assez longue pour qu’on ait été porté à les d
78 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
chait du four ouvert et enflammé, et continuait, à ce rude soleil, la lecture de Tite-Live ou de César. Telle était cette enfan
79 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31
vous-même, plutôt qu’à moi qui ne vous en demande point, et à qui la lecture de vos Observations n’a donné aucun mouvement que
80 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-
nt prouvé longuement que d’autres pensaient comme eux. Cet étalage de lecture , ce faste d’érudition ne convient pas à l’éloquen
81 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
ndamner certains livres, dont il ne faut à aucun prix se permettre la lecture , quand bien même on devrait se résoudre à ignorer
82 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. »
inspirer : τὸ μὲν γὰρ ἀπίθανον. Qui pourrait d’ailleurs supporter la lecture ou le débit d’un discours où toutes les phrases s
83 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
arer, comme moi, et de purifier son âme ». C’est sans doute après la lecture de pareils morceaux, que l’un des plus spirituels
84 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
frémissant d’une lutte récente, exalté par la fièvre, la colère et la lecture de la Bible, écrivit ce livre pour rendre du cœur
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-8
is des livres qui ne m’obligent point à méditer, et je n’apporte à ma lecture qu’une médiocre attention ; car en même temps je
86 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
e son siècle, enfin, inspiré d’un génie extraordinaire, et aidé de la lecture des anciens, fit voir sur la scène la raison ; ma
87 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Le Sage, 1668-1747 » pp. 216-222
t qu’il me lut d’un air emphatique. Néanmoins, malgré le charme de la lecture , je trouvai l’ouvrage si obscur, que je n’y compr
88 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
ouis XIII, Saint-Simon a raconté presque au début de son œuvre que la lecture de Bassompierre "l’invita à écrire ce qu’il verra
à la nature. Le style n’est pas à beaucoup prés le seul intérêt de la lecture de Saint-Simon. Sa qualité essentielle est l’obse
sser la déclaration dont Monsieur le garde des sceaux allait faire la lecture , pour la faire enregistrer après au lit de justic
arler, il dit au garde des sceaux de lire la déclaration. Toute cette lecture fut écoutée avec la dernière attention, jointe à
ils ne le comprenaient pas, et ils ne s’en remirent point de toute la lecture . Ceux surtout que la précédente avait le plus aff
s. Je partageai mon attention entre le maintien de l’assistance et la lecture de la déclaration, et j’eus la satisfaction de l’
imé. Quelques moments de silence morne et profond succédèrent à cette lecture , pendant lesquels le maréchal de Villeroy, pâle e
us que je n’aie pas rendu un grand service au public de lui rendre la lecture des bons auteurs familière. — Je ne dis pas tout
e les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de lecture n’ait dissipé. J’ai eu naturellement de l’amour p
er à aucun, mais curieuse de connaître, de sentir, passionnée pour la lecture et les libres rêveries de la campagne. Comme Gil
s à vos leçons ; et je vous les dirai, encore attendri d’une première lecture où mon cœur écoutait avidement le vôtre, vous aim
utarque. L’histoire de France, que vous lui conseillez271, est une lecture essentielle : il est honteux de l’ignorer, c’est
he272, qu’elle ne l’amuserait point, et vous savez à merveille qu’une lecture qui ennuie n’est pas une lecture utile : tout pas
nt, et vous savez à merveille qu’une lecture qui ennuie n’est pas une lecture utile : tout passe comme sous les yeux d’un homme
onner les Vies de Plutarque ; mais elles ne sont point ici. C’est une lecture touchante, j’en étais fou à son âge : le génie et
était bien impossible de les lire de sang-froid ; je mêlais ces trois lectures , et j’en étais si ému, que je ne contenais plus c
suré, M. Damiron, a bien rendu, il nous semble, l’impression de cette lecture  : « On n’aime pas le ton d’amertume, peut-être au
impression sur les esprits. Le bill obtint sur-le-champ une première lecture . Les uns crurent sacrifier la loi à la justice, d
celle de Pym et de ses amis fut au comble ; ils pressèrent la seconde lecture du bill d’attainder 428. En vain Selden, le plus
ence historique. Né à Blois en 1795, il recevait, encore enfant, à la lecture des Martyrs de Chateaubriand, comme le premier pr
beth, et le 18 février 1587 la sentence reçut son exécution. Quand la lecture de la sentence fut achevée, Marie fit le signe de
bonne opinion des autres : voilà ce que chacun peut puiser dans cette lecture . Mais il y a aussi dans la vie de Franklin de bel
eux-mêmes. Ce n’est pas non plus l’un des moindres attraits de cette lecture , que ce style si personnel, rapide et varié comme
des dames qui ne craignent pas de venir bâiller, toutes parées, à mes lectures , pour gagner la réputation de s’y connaître ; j’a
eux enchanteurs qui l’entraînent : l’argent, s’il est prosateur ; les lectures à la cheminée, s’il est poète : outre que, s’il a
ustres devanciers, dans les secrets profonds de son art. Nourri de la lecture des longs romans du dix-septième siècle, peu vers
e même fut l’exaltation produite par une pièce qui paraît froide à la lecture , que Danton osait se promettre qu’elle accélérera
utem, sed expediunt. » 46. Rollin parle ici du goût par rapport à la lecture des auteurs et à la composition. 47. 3. Voir l’a
er. 283. Récolement, dans l’ancienne jurisprudence, se disait de la lecture faite à des témoins de leurs propres dépositions,
ques traits sévères ou excessifs, il y a une leçon à recueillir de la lecture de cette page. C’est que les étrangers ont souven
 » 351. On peut croire que cette pensée, Joubert l’a écrite après la lecture du Phèdre ou du Banquet de Platon. Mais elle est
ouvait rien contre elle. » 372. Nous ne saurions trop recommander la lecture des derniers chapitres de la quatrième partie de
storiques, a raconté l’impression qu’il éprouva dans son enfance à la lecture de ce célèbre morceau. Dans son enthousiasme, il
les morceaux remarquables de l’Itinéraire, dont nous recommandons la lecture , nous citerons : dans la troisième partie : l’arr
simplicité douce et triste, est cité dans le livre de M. Legouvé : La Lecture en action. On trouvera, page 259 et suivantes, de
89 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
P. Corneille. Préface de l’Imitation Je n’invite point à cette lecture ceux qui ne cherchent dans la poésie que la pompe
peu de travail je pourrais m’acquérir assez de réputation. J’aime la lecture , en général ; celle où il se trouve quelque chose
on les dispositions, ce qui est ce que Dieu regarde le plus362. La lecture Il faut considérer que l’étude est la culture
aux esprits dont l’hôtel de Rambouillet fut le centre, qu’enchanta la lecture de l’Astrée, et qui portèrent aux nues Balzac et
rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de lectures qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d’u
onsolable si ces sortes de livres vous inspiraient du dégoût pour des lectures plus utiles, et surtout pour les livres de piété
riture sainte. Il me semble qu’à votre âge il ne faut pas voltiger de lecture en lecture, ce qui ne servirait qu’à vous dissipe
te. Il me semble qu’à votre âge il ne faut pas voltiger de lecture en lecture , ce qui ne servirait qu’à vous dissiper l’esprit,
de chacun ; également gaie et amusée981 à faire les après-dinées des lectures sérieuses, à converser dessus, et à travailler av
us que je n’aie pas rendu un grand service au public de lui rendre la lecture des bons auteurs familière ? — Je ne dis pas tout
omme on aime son fils 1130. Conseils à une demoiselle Sur la lecture Aux Délices, près de Genève, le 20 juin 1756.
Tasse et l’Arioste1131 vous rendront plus de services que moi, et la lecture de nos meilleurs poëtes vaut mieux que toutes les
cet industrieux séjour1698. Mort de Marie Stuart1699 Quand la lecture de la sentence fut achevée, Marie fit le signe de
ve pas un jour où la vue seule d’un bon livre, à plus forte raison sa lecture , ne m’ait ravi et transporté. Je ne pourrai jamai
ouragement et l’ennui ; combien de fois une heure, une seule heure de lecture , m’a ranimé et rendu à moi-même ! Dans les premiè
tre j’abusais du soleil et de mes yeux, oubliant que ce plaisir de la lecture , qui semble le plus pur et le plus attrayant de t
est le seul hôte. On le rend présent par la prière et par de pieuses lectures . Un paysage anglais Pour les étrangers, la
liberté de l’abeille ; il ne choisit pas, parmi les fleurs des belles lectures , celles dont se compose le miel des bons sentimen
remplir leur véritable objet, doivent se composer en grande partie de lectures , d’extraits abondants, faits avec choix… L’accent
ques remarques courantes et comme marginales, qui se glissent dans la lecture et s’en distinguent par un autre ton ; quelques r
overbes. 369. Lisez les conseils que Racine donne à son fils sur la lecture . Le vase garde le parfum de la liqueur qu’il a re
relisait souvent : « Nous relisons aussi, au travers de nos grandes lectures , des rogatons que nous trouvons sous notre main :
faire le pédagogue. La Bruyère disait sur le même sujet : « Quand une lecture vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire des
s lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait la lecture , comme elle peut. Pauvre femme ! nous mettons ens
a l’humeur si mobile ! 1313. Dans son enfance, il aimait beaucoup la lecture de Plutarque. 1314. Le ton change brusquement et
29. Profitons de l’occasion pour citer cette page de Mme Sand sur ses lectures d’enfance. « Je suis de ceux pour qui la connais
s Quatre Cantons. 1800. Ce passage est extrait d’un article sur les lectures publiques qui s’adres­saient en 1848 à un auditoi
aire de Mazarin. 1807. Sainte-Beuve vent dire que la réflexion et la lecture nous guérissent de l’ennui, surtout quand le livr
90 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
et tels qu’ils sont. Quel fruit ne pouvons-nous pas retirer de cette lecture  ? C’est là plus que partout ailleurs que l’histoi
ire, exigeaient un genre d’illusion trop forcée pour le théâtre. À la lecture , on avait été plus indulgent, parce que les audit
91 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Maintenon, 1635-1719 » pp. 138-145
’intelligence, par la subtilité de la raison, par la multiplicité des lectures , ou le connaître par les simples instructions du
92 (1854) Éléments de rhétorique française
de son siècle, enfin inspiré d’un génie extraordinaire, et aidé de la lecture des anciens, fit voir sur la scène la raison, mai
e d’indignation et de haine il soulève au fond de notre âme ! À cette lecture , l’image des supplices m’environne de toutes part
soin de savoir régler votre ton et vos gestes, ne fût-ce que pour une lecture à haute voix ou une conversation familière. Le me
ils doivent puiser des idées. Les premières qui se présentent sont la lecture et la conversation. La jeunesse ne doit se livrer
ont la lecture et la conversation. La jeunesse ne doit se livrer à la lecture qu’avec une extrême circonspection. Il en est des
n vain plaisir à leur intérêt bien entendu ; qu’ils cherchent dans la lecture , non le moyen de se débarrasser du temps, mais l’
lativement à la conversation : elle est en général moins utile que la lecture , et ne peut guère fournir que des connaissances i
nnable. Ily a un genre d’exercice qui réunit à la fois futilité de la lecture et le charme de la conversation, c’est de lire no
défauts du livre, et de vous communiquer ses impressions. « J’aime la lecture en général, dit La Rochefoucauld ; celle où il se
e conversation la plus agréable du monde et la plus utile. » Après la lecture et la conversation, tous les objets qui nous envi
et en même temps s’est enrichi d’un assez grand nombre d’idées par la lecture , par la conversation, par l’observation extérieur
. Le Tasse et l’Arioste vous rendront plus de services que moi, et la lecture de nos meilleurs poëtes vaut mieux que toutes les
93 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
streint : il faut que l’enfant trouve quelque attrait à poursuivre sa lecture , et que la note écrite supplée, autant qu’il est
e, selon nous, de se rendre bientôt inutiles en inspirant le goût des lectures d’ensemble. On pourra sans doute regretter ici l’
tique Rome, du point élevé du Capitole où Corinne l’avait conduit, La lecture de l’histoire, les réflexions qu’elle excite, agi
impression sur les esprits. Le bill obtint sur-le-champ une première lecture . Les uns crurent sacrifier la loi à la justice, d
celle de Pym et de ses amis fut au comble ; ils pressèrent la seconde lecture du bill d’attainder 129. En vain Selden, le plus
ience historique. Né à Blois en 1793, il recevait encore enfant, à la lecture des Martyrs de M. de Chateaubriand, comme le prem
eth, et le 18 février 1587 la sentence reçut son exécution. Quand la lecture de la sentence fut achevée, Marie fit le signe de
bonne opinion des autres : voilà ce que chacun peut puiser dans cette lecture . Mais il y a aussi dans la vie de Franklin de bel
e. Telle fut même l’exaltation produite par une pièce qui paraît à la lecture froide et décolorée, que Danton osait se promettr
t difficile de se mettre en garde contre les surprises d’une première lecture  ; mais une fois le charme rompu et les nerfs calm
pages à détacher encore ! que d’admirables tableaux bien dignes d’une lecture méditée : Corinne au Capitole (livre II), — le Vé
tif et ses scrupules exagérés. Sauf ces réserves, Corinne est une des lectures les plus propres à développer chez la jeunesse l’
agne, IIe partie, chap. xv. 36. Nous ne saurions trop recommander la lecture des derniers chapitres de la quatrième partie, do
ur que nous prétendions les indiquer ; mais nous recommanderons à une lecture particulière et attentive les cinq livres de la 2
, a raconté l’impression qu’il éprouva dans son enfance à la première lecture de ce célèbre morceau. Dans son enthousiasme il m
i les morceaux remarquables de l’Itinéraire dont nous recommandons la lecture , nous citerons : dans la troisième partie, l’arri
néral en garantirait au besoin l’authenticité, s’il n’était aisé à la lecture d’y reconnaître ce cachet inimitable de force et
r Buffon, savant et naturaliste, nous ne saurions trop recommander la lecture du livre que nous venons de citer : c’est l’expos
leur partagée doit s’appeler consolation. » 388. On aimera, après la lecture des vers énergiques et sombres du Discours sur la
94 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
fermiront dans la voie du bien. Mais qu’ils se gardent surtout de ces lectures dangereuses où les passions, peintes sous des cou
95 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Vigny 1799-1863 » pp. 530-539
eds ont l’empire), Attendent dans un angle, à leur taille ajusté, Les lectures du soir et les heures du thé1. Tout est prêt et r
96 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
bonne opinion des autres : voilà ce que chacun peut puiser dans cette lecture . Mais il y a aussi dans la vie de Franklin de bel
97 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
me étouffés ou corrompus par une éducation vicieuse, par de mauvaises lectures , par les exemples et les préjugés du siècle, qui
98 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
nfin, ce n’est point ici l’effet toujours incertain et variable d’une lecture particulière où chacun a tout le loisir de lutter
ers, et le pourrait-on, il en résulterait une uniformité telle que la lecture et l’audition des vers seraient insupportables. L
léments de l’art ; l’âge mûr les développera et les complétera par la lecture approfondie des ouvrages didactiques composés sur
99 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
ire d’un tel homme ? il n’est bon à rien. Les affaires l’ennuient, la lecture sérieuse le fatigue, le service d’armée trouble s
t respirer, et me ferait plus de plaisir. Il me tient trop tendu ; la lecture de ses vers me devient une étude. Tant d’éclairs
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
’écrivain, beaucoup trop resserré dans les bornes d’une demi-heure de lecture , ne les ait pas franchies, au lieu de sacrifier s
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