enons, outre l’étude et la connaissance des principes littéraires, la
lecture
des modèles, l’imitation des chefs-d’œuvre, et la
questions dans les trois articles suivants. Article Ier. De la
lecture
des modèles 303. La lecture des modèles n’est
es suivants. Article Ier. De la lecture des modèles 303. La
lecture
des modèles n’est-elle pas un moyen puissant de f
est-elle pas un moyen puissant de former le style ? De tout temps la
lecture
des modèles littéraires, c’est-à-dire de ce qu’il
n puissant pour développer le talent et former le style. C’est par la
lecture
, dit Quintilien, que nous apprenons le sens et la
et la valeur des mots, et la place qu’il convient de leur donner… La
lecture
sérieuse et souvent répétée grave les choses dans
cherchent à s’initier à l’art d’écrire, doivent s’attacher dans leurs
lectures
aux meilleurs ouvrages des écrivains les plus ill
l’esprit des jeunes gens dont le cœur est vicié de bonne heure par la
lecture
d’auteurs dangereux ou suspects. Les avantages de
cire securè quàm cum periculo discere. 307. Qu’avez-vous à dire des
lectures
au point de vue littéraire ? Le bon dans les com
ce qui n’en a que l’apparence, alors on pourra entreprendre d’autres
lectures
, et faire connaissance avec les écrivains dont la
cessaire de lire beaucoup d’ouvrages ? Une des règles relatives à la
lecture
des modèles est de se borner à un petit nombre d’
ès petit nombre d’écrivains favoris l’élite imposante des amis que la
lecture
lui avait donnés, parmi les maîtres de la parole.
s sont les moyens à prendre pour lire les modèles avec avantage ? La
lecture
des modèles, pour être profitable, doit être réfl
ortance est une fois hors de doute, n’est jamais connu à une première
lecture
; il ne l’est que bien imparfaitement à une secon
ord des expressions avec les idées. Un bon moyen encore de rendre une
lecture
fructueuse, c’est de ne pas lire un seul livre ut
t suffoquées, quand l’eau est versée avec trop d’abondance. Enfin, la
lecture
des modèles doit être faite avec ordre et méthode
pour modèles de ses compositions les auteurs qu’on a choisis pour ses
lectures
. Sans revenir sur l’importance de ce choix, nous
r le style que nous venons d’énumérer, la connaissance des règles, la
lecture
et l’imitation des chefs-d’œuvre, sont sans doute
es, Et ton père expirant sous le poids des douleurs. C. Delavigne.
Lecture
. — Mort de Jeanne d’Arc. Vol. II, nº 43. Des dé
ces vieux murs de leurs toiles fragiles, Frappe ses yeux. Delille.
Lecture
. — Exemples de Catachrèse. Vol. II, nº 44. § I
ugement ; Une mauvaise langue, pour la médisance, la calomnie, etc.
Lecture
. — Exemples de Métonymie. Vol. II, nº 45. § IV
Le vieillard, pour Mentor, etc. L’esclave de Phrygie, pour Ésope,
Lecture
. — Exemples de Synecdoque. Vol. II, nº 46. § V
mpoisonné son père, reçut le surnom de Philopator qui aime son père.
Lectures
. — 1° Hermione à Pyrrhus. Vol. II, nº 17. — 2° Mo
’autre témoigne des regrets sur la défaite des Français à Hochstedt.
Lectures
. — 1° Ulysse à Agamemnon. Vol. II, nº 48. — 2° Vo
dieu des pasteurs. Dans ces prés fleuris Qu’arrose la Seine, Etc.
Lectures
. — 1° Madame Deshoulières à ses enfants. Vol. II,
nt en passant une multitude d’idées qui rendent les plaisirs de cette
lecture
inépuisable ; et c’est dans les fables de La Font
et Phèdre n’avaient pas soupçonné que l’apologue fût susceptible. »
Lecture
. — Quelques exemples d’allusion. Vol. II, nº 25.
t toujours tout prêt à me percer. Racine, Athalie, acte II, sc. v.
Lectures
. — 1° Lusignan à sa fille. Vol. II, nº 26. — 2° S
sous les yeux tous les bienfaits dont il l’a successivement comblé.
Lecture
. — Auguste à Cinna. Vol. II, nº 28. § IV. Péri
te se sert pour dire les feuilles, le médecin, l’automne et la mort.
Lectures
. — 1° Idylle de madame Deshoulières. Vol. II, nº
igure dans une suite de questions pleines de noblesse et de majesté.
Lecture
. — Existence de Dieu. Vol. II, nº 32. § VI. De
uil où l’on voit briller l’héroïsme du courage et de l’amour filial.
Lectures
. — 1° Martyre de trois jeunes Souliotes. Vol. II,
ortraits du curé de village, et du magister de village, par Delille.
Lectures
. — 1° Le Curé de village. Vol. II, nº 35. — 2° Le
ons aussi de lire le portrait du directeur, tracé par le même poète.
Lectures
. — 1° Portrait d’un Couple avare. Vol. II, nº 37.
rt amusant, intitulé le Portrait, dont l’auteur est le duc de Lévis.
Lectures
. — 1° Le Prince Potemkin. Vol. II, nº 39. — 2° Le
de ses jardins, la première par J. Janin, et la seconde par Delille.
Lectures
. — 1° Le Palais de Lucifer. Vol. II, nº 41. — 2°
onte, dans une des scènes de sa tragédie de Mérope (acte V, sc. vi).
Lecture
. — Mort de Polyphonte. Vol. II, nº 44. § VII.
l exemple dans le discours de Léonidas à ses trois cents Spartiates.
Lectures
. — 1° Mort d’Henriette d’Angleterre. Vol. II, nº
lysse combat sa tendresse paternelle en employant ce moyen oratoire.
Lecture
. — Ulysse à Agamemnon, pour le déterminer à immol
iner le duc de Nemours, son ennemi, et l’envoyé du duc de Bourgogne.
Lectures
. — 1° Ulysse à Agamemnon. Vol. II, nº 48. — 2° Ca
ple de cette figure dans l’Oraison funèbre de Turenne, par Fléchier.
Lectures
. — 1° L’Aumône, par Massillon. Vol. II, nº 51. —
ise tous les efforts de ses rivales pour toucher le cœur d’Assuérus.
Lecture
. — Élévation d’Esther. Vol. II, nº 53. Sectio
i, et Valois lui annonce que peut-être le même sort lui est réservé.
Lectures
. — 1° Potier à Mayenne. Vol. II, nº 54. — 2° Mort
ait plaisant, restera toujours comme un modèle de suspension badine.
Lectures
. — 1° Madame de Maintenon à madame de Dangeau. Vo
vori, et ne sait plus à qui il doit désormais accorder sa confiance.
Lectures
. — 1° Les Mondes. Vol. II, nº 60. — 2° Incertitud
sesse de l’homme. Ver impur de la terre et roi de l’univers,… Etc.
Lectures
. — 1° L’Amour maternel. Vol. II, nº 65. — 2° Gran
le loup cruel, et la déroute des Troyens devant le terrible Achille.
Lectures
. — 1° La Tendresse maternelle. Vol. II, nº 64. —
s à leurs rois, cruels à la patrie. » Voltaire, Henriade, ch. VII.
Lecture
. — Parallèle entre Charles XII et Pierre le Grand
rfait de leur sanglante paix. Corneille, Cinna, acte Ier, sc. iii.
Lecture
. — Oraison funèbre du prince de Condé. Vol. II, n
de véritables pauvres que l’on rebute comme s’ils ne l’étaient pas…
Lecture
. — Oubli et Abandon des Pauvres. Vol. II, nº 68.
eux la perdre en combattant pour vous. Voltaire, Henriade, ch. II.
Lectures
. — 1° Thomas à deux soldats du maréchal de Saxe.
dans le donjon : Ô Fabricius ! qu’eût pensé votre grande âme, etc.
Lectures
. — 1° Les Tombeaux de Saint-Denis. Vol. II, nº 71
venger Athalie, Achab et Jézabel. Racine, Athalie, acte V, sc. vi.
Lectures
. — 1° Imprécations de Cléopâtre. Vol. II, 73. — 2
Britannicus : Et ne suffit-il pas, seigneur, à vos souhaits, Etc.
Lectures
. — 1° Philoctète à Pyrrhus. Vol. II, nº 75. — 2°
monde impromptu. On en trouvera les développements dans le volume de
lecture
, et l’on pourra juger facilement de la différence
de faire le tour du monde. Il rentra chez lui au bout de trois ans !
Lecture
. — Le Tour du monde impromptu. Vol. II, nº 114. I
ès que le jour fatal est arrivé, elle se présente et reçoit la mort.
Lecture
. — Vœu de Jephté. Vol. II, nº 115. La Jeune Fille
retrouver ses traits dans ce miroir. Trouver une conclusion morale.
Lecture
. — La jeune Fille et la Naïade. Vol. II, nº 116.
ivants, et finit par tirer cette famille de la misère. — Réflexions.
Lecture
. — Le Porteur d’eau, vol. II, nº 117. § II. Na
idence. Rendre compte des sentiments qui agitent l’âme de l’ouvrier.
Lecture
. — La Providence. Vol. II, nº 118. § III. Narr
me de Jean V, qui se réconcilie sincèrement avec Olivier de Clisson.
Lecture
. — Vengeance de Jean V, duc de Bretagne. Vol. II,
signol qui célébrera la gloire du Dieu, créateur de tous les mondes.
Lecture
. — La Campagne. Vol. II, nº 120. 2° Dissertati
ire sur les enfants qui pratiquent cette vertu, les faveurs du ciel.
Lecture
. — La Piété filiale. Vol. II, nº 121. 3° Disse
deux arts, et en donnant la supériorité à celui qui plaira le plus.
Lecture
. — Accorder une préférence à la Peinture ou à la
hes et fertiles. C’est ce que les naturalistes ont appelé Alluvions.
Lecture
. — Les Alluvions, par Cuvier. Vol. II, nº 123.
sent divertissantes, car je vous assure que nous mourons d’ennui. »
Lecture
. — La Fontaine à son Oncle. Vol. II, nº 124. 2
ant, revenu de toute ambition, mais non des sentiments paternels. »
Lectures
. — 1° M. de Feuquières à Louis XIV. Vol. II, nº 1
ne me sens point encore cette façon de penser à votre égard, etc. »
Lecture
. — Rousseau à M. Boutet. Vol. II, nº 127. 4° D
amais de vous aimer, et de me souvenir que je suis aimée de vous. »
Lecture
. — Boileau et Racine, au maréchal de Luxembourg,
besoin d’être exercée, je vous demanderai compte à mon retour de vos
lectures
, et surtout de l’histoire de France, dont je vous
onne. Adieu, mon cher fils ; donnez-moi souvent de vos nouvelles. »
Lecture
. — Lettre de Voltaire à mademoiselle *** qui l’av
ien arriver, car je crois que je saurai aimer au-delà du tombeau. »
Lecture
. — Racine à son Fils. Vol. II, nº 130. 7° Des
qu’il voie que si je fais les maux, je fais aussi les médecines. »
Lectures
. — 1° Voltaire au marquis d’Argenson. Vol. II, nº
sent aigrir ses propres peines en s’attendrissant sur les leurs. »
Lectures
. — 1° Lettre de madame de Maintenon au roi, sur l
taché avec la plus respectueuse et la plus tendre reconnaissance. »
Lecture
. — Lettre de d’Alembert à Voltaire. Vol. II, nº 1
ous. Il nous assure que vous aimez le travail, que la promenade et la
lecture
sont vos plus grands divertissements, et surtout
der Dieu comme un père qui ne nous manquera pas dans nos besoins. »
Lecture
. — J.-J. Rousseau à un jeune homme. Vol. II, nº 1
à la plus cruelle petite chose qu’on puisse faire à un courtisan. »
Lectures
. — 1° Lettre de P. L. Courier à madame Pégalle. V
r remettre un peu ma tête, et reprendre une espèce de contenance. »
Lectures
. — 1° M. Caraccioli à M. ***. Vol. II, nº 140. —
aller les premiers à l’offrande. Vous ne voyez pas cela à Paris. »
Lectures
. — 1° Lettre de Le Brun au comte de Turpin. Vol.
s êtes bon Russe, et vous ne sauriez être l’ennemi de Catherine. »
Lecture
. — Lettre d’un Sacristain au roi de Prusse. Vol.
t, en secouer la paresse, creuser ses souvenirs, ses impressions, ses
lectures
passées, chercher tout ce qui se rattache de près
r, et combiner les idées que l’on a acquises dans la société, dans la
lecture
, dans l’étude ; il n’y a que les hommes de génie
at s’obtient ; 1° par l’étude et l’observation en général ; 2° par la
lecture
; 3° par la traduction ; 4° par la conversation.
ivain qui se laisse aller à ces bienfaisantes inspirations ! 2° La
lecture
. La lecture est le moyen qui conduit le plus d
isse aller à ces bienfaisantes inspirations ! 2° La lecture. La
lecture
est le moyen qui conduit le plus directement et l
nt faire un choix parmi les fleurs, nous devons choisir avec soin nos
lectures
: il y a des fleurs vénéneuses, il y a des livres
seil ne plaît pas toujours à la jeunesse, qui ne voit souvent dans la
lecture
, qu’un amusement pour son imagination frivole ; m
rviendrez infailliblement à savoir écrire. Bossuet était rempli de la
lecture
de la Bible ; Démosthène copia plusieurs fois de
re à propos. Un genre d’exercice qui réunit à la fois l’utilité de la
lecture
et le charme de la conversation, c’est de lire, n
éfauts du livre, et de vous communiquer ses impressions. « J’aime la
lecture
en général, dit La Rochefoucauld ; celle où il se
onieuse ; chacun se plaît à une belle représentation dramatique, à la
lecture
d’un beau livre. Mais voyez comme les émotions so
ais goût, résultat d’un jugement faux et d’un sentiment perverti. Les
lectures
sans choix et sans régie contribuent surtout à dé
einture… Le malheureux père ne put survivre à sa douleur. Capelle.
Lecture
. — L’Enfant volontaire. Vol. II, nº 95. § II.
dirai toujours, parce que c’est la même chose. » Madame de Sévigné.
Lecture
. — Don Juan et M. Dimanche. Vol. II, nº 96. §
Et reprenez vos cent écus. La Fontaine, Livre VIII, Fable ii.
Lecture
. — Le Gland et la Citrouille. La Fontaine, livre
le un rare talent de description embellie par des images gracieuses.
Lecture
. — Une Nuit d’été à Saint-Pétersbourg. Vol. II, n
licat et de plus » sensible que ce mot dans la bouche d’un père ? »
Lectures
. — La Métempsycose du Singe. Vol. II, nº 99. §
’un cadavre étendu sur la neige et blanchissant au souille du nord.
Lecture
. — Le Voyageur égaré dans les neiges du Saint-Ber
r ! Enfin, je suis échappé des bandits, des Espagnols et de la mer.
Lecture
. — La Provence en hiver. Vol. II, nº 101. § VI
ci-bas est d’aimer, de connaître et de servir Dieu de plus en plus.
Lecture
. — L’Immortalité de l’âme, prouvée par les attrib
trie et par mes concitoyens. Rollin, Histoire ancienne, liv. VIII.
Lecture
. — Le Duc de Rohan à ses troupes. Vol. II, nº 103
n’acceptent pour récompense que les périls et l’Italie. Salvandy.
Lecture
. — Mort de Léonidas, par Barthélemy. Vol. II, nº
n’est qu’accessoire. Buffon la regarde comme facile à acquérir par la
lecture
des poètes et des orateurs. L’harmonie ne fait ni
r éviter les dissonances, et de l’avoir exercée, perfectionnée par la
lecture
des poètes et des orateurs, pour que mécaniquemen
leur génie. Buffon, Discours de réception à l’Académie française.
Lecture
. — Discours de J. Racine. Vol. II, nº 403. § X
r des laines fines, qu’on rehausse d’une broderie d’or et d’argent.
Lecture
. — Les Fleurs. Vol. II, nº 106. § XI. Style ro
s ont été couronnés de quelque succès. Nous donnons dans le volume de
Lectures
la spirituelle et incisive épître qu’il a composé
tte pièce de vers a trop d’étendue pour que nous la rapportions ici.
Lecture
. — Épître aux Muses sur les Romantiques. Vol. II,
silence et de la nuit au milieu des forêts vierges du Nouveau-Monde.
Lecture
. — Les Forêts d’Amérique, vol. II, nº 109. § I
plume de M. de Frayssinous ; elle est intitulée : Existence de Dieu.
Lecture
. — Existence de Dieu prouvée par les beautés de l
urs grandes et sublimes images, si fréquentes dans les lieux saints.
Lecture
. — La Mort de saint Louis. Vol. II, nº 111. 2°
en se servant des expressions les plus riches et les plus pompeuses.
Lecture
. — Athalie, acte III, sc. vii. Vol. II, nº 112.
andonne à des transports de joie, d’admiration et de reconnaissance.
Lecture
. — Cantique de Moïse. Vol. II, nº 113.
leçons ? La Harpe, Éloge de Fénelon. Nous aimons à conseiller comme
lecture
les lignes écrites sur les salles d’asile par M.
nous •intéresse si vivement en faveur des pauvres petits Savoisiens.
Lectures
. — 1° Les Salles d’Asile. Vol. II, nº 77. — 2° Le
orthographe et de la syntaxe. Cette qualité s’acquiert surtout par la
lecture
des meilleurs écrivains de notre langue et la fré
peut corrompre De Jouy. Il ne nous est point difficile de citer des
lectures
à faire sur la Pureté du style. Ouvrons au hasard
sont l’historien Gaillard, et le publiciste genevois Mallet du Pan.
Lectures
. — 1° Passage des Alpes. Vol. II, nº 70. — 2° Dév
re en des termes exacts et directement utiles au sujet qui l’occupe.
Lecture
. — La Vraie Gloire. Vol. II, nº 81. 4° Naturel
c Maître Jacques. On pourra lire cette page dans le deuxième volume.
Lecture
. — Maître Jacques à Harpagon. Vol. II, nº 82.
ttention sur l’étendue des phrases et des périodes qui le composent.
Lecture
. — Xénophon à Scillonte. Vol. II, nº 83. 6° No
encé de suivre, il fût devenu l’un des premiers génies de la France.
Lectures
. — 1° Jésus-Christ ; Divinité de sa mission. Vol.
j’ai été forcé de l’employer pour vous obéir. » Madame de Genlis.
Lecture
. — Molière soupant avec Louis XIV. Vol. II, nº 86
primé, ravagé. La domination romaine devient en horreur. Lacépède.
Lecture
. — Le Prêtre. Vol. II, nº 87. 3° Dans les sujets
à vous rendre heureux, et un royaume qu’elle vous offre. Fénelon.
Lecture
. — Guillaume Tell. Vol. II, nº 88. 4° Dans les su
ns brillante et gracieuse : les images y sont variées et abondantes,
Lecture
. — Une vue des Pyrénées. Vol. II, nº 80. La Conve
t en harmonie et empreint de la couleur locale la plus caractérisée.
Lecture
. — L’Arabe et son Cheval. Vol. II nº 90. 8° Ha
Beaucoup d’entre eux en France ont été comblés de cette faveur, et la
lecture
des ouvrages où elle règne plonge l’âme dans un i
e, des Tasse, etc., nous goûterons un vrai bonheur dans de semblables
lectures
. Si nous préférons les écrivains en prose, c’est
é, qui nous procurera de douces jouissances. Nous signalons ici comme
lecture
un passage des Harmonies de la nature, que nous d
Harmonies de la nature, que nous devons à Bernardin de Saint-Pierre.
Lecture
. — Les Forêts agitées par les vents. Vol. II, nº
n par l’armée française. Nous la rapportons dans le deuxième volume.
Lecture
. — Lettre de Voiture au duc d’Enghien. Vol. II, n
jamais la moquerie n’a été la qualité caractéristique d’un bon cœur,
Lecture
. — Quelques passages de l’Énéide et du Télémaque
les différentes circonstances d’une terrible tempête, par Lamartine.
Lecture
. — Une Tempête. Vol. II, nº 150. Comme ce livre e
nt moyen pour combler ce vide d’idées qui nous menace tous : c’est la
lecture
des bons auteurs. Cette ressource, que nous ne sa
Fénelon avait médité les anciens, et il avait su tirer profit de leur
lecture
. Il apprend ainsi aux élèves quel est le moyen le
au moins de le paraître : Peuple caméléon, peuple singe du maître.
Lecture
. — Magnifique Définition de la Vie, par Massillon
tte sonne, il dit : Allons ! Et vous reconnaissez le cheval de Job.
Lecture
. — Pompeïa. Vol. II, nº 162. 3° Énumération de
n les principaux événements qui composent la vie de cette princesse.
Lecture
. — Exorde de l’Oraison funèbre de la reine d’Angl
oinville les causes et les effets de son expédition en Terre Sainte.
Lecture
. — Louis IX à Joinville. Vol. II, nº 154. 5° L
mbien est insensé celui qui nie l’existence d’une puissance suprême.
Lecture
. — La Providence. Vol. II, nº 155. 6° Les Cont
nce Qui existe entre la Personne à la mode et la Personne de mérite.
Lecture
. — La Personne à la mode et la Personne de mérite
anciés, comme si elle avait été témoin de la mort de ce grand homme.
Lecture
. — Mort de Turenne. Vol. II, nº 157. Enfin il exi
. Ducis, Roméo et Juliette, acte iv. L’imagination se plaît dans la
lecture
des bons auteurs dont elle recherche les beautés
ont bien ridicules à des gens en haleine depuis le lever du soleil.
Lecture
. — Voir la suite de ce morceau. Vol. II, nº 158.
voix reconnaissante Bénit le ciel et rend grâce à l’amour. Parny.
Lecture
. — Voir la suite de cette charmante pièce de vers
e gazon, Et le voile des nuits sur les monts se déplie. Lamartine.
Lecture
. — Voir la suite de cette pièce de vers. Vol. II,
ette même douceur : La plus belle victoire est de vaincre son cœur.
Lecture
. — Aux Nymphes de Vaux. Vol. II, nº 7. Autant les
plus beaux morceaux dramatiques qui existent dans notre littérature.
Lectures
. — Mort d’Hippolyte, par Racine. Vol. II, nº 8. —
ses jambes, et tomber avec lui, chacun de son côté, à la renverse.
Lecture
. — Le Distrait. Vol. II, nº 10. Fléchier dans l’o
rible des enfants Que le Nord eut portés jusque-là dans ses flancs.
Lecture
. — Le Chêne et le Roseau. Vol. II, nº 44. Dans la
upeau ? Perrette, là-dessus, saute aussi transportée. La Fontaine.
Lecture
. — La Laitière et le Pot au lait. Vol. II, nº 42.
l n’était pas inutile de leur présenter, dans un deuxième volume, des
lectures
complémentaires qui ont l’avantage de leur faire
me. Le deuxième volume est le complément du premier : il renferme des
lectures
conformes aux principes expliqués dans le premier
rceaux que nous avons choisis sont destinés à servir non seulement de
lectures
, mais aussi d’exercices de mémoire. Après avoir e
cation. Cette première étude était suivie de celle des langues, de la
lecture
des poètes, et de la connaissance des manuscrits,
ieux ; les candidats en profiteront. Nous avons indiqué de nombreuses
lectures
à faire. Il n’entre pas dans notre pensée de cons
n moitié moins d’espace. Il n’y a pas de meilleure préparation que la
lecture
assidue des textes qu’on devra expliquer aux épre
e les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de
lecture
n’ait dissipé. » Vous ferez développer cette pen
e les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de
lecture
n’ait dissipé. » (Clermont, août 1891.) Vous che
pensée est vraie. (Dijon, avril 1890.) De l’utilité des livres et des
lectures
. (Clermont, octobre 1889.) Vous exposerez dans un
t 1881.) Un jeune écolier aimait à lire, mais se plaisait surtout aux
lectures
frivoles et sans portée. Vous supposerez que son
iques. Il insistera surtout sur les inconvénients qui résultent de la
lecture
de livres purement amusants et sur les qualités q
ragment détaché du reste ; vous direz avec quelle joie il refit cette
lecture
et quelles réflexions elle lui fit faire, dans un
ère d’Auguste dans la tragédie de Cinna. (1883.) Comparez d’après vos
lectures
, Voltaire et Rousseau comme écrivains. (1884.) De
reculé les limites de ce genre ? – Quelle utilité peut-on tirer de la
lecture
des moralistes ? – Les moralistes du xvii e siècl
ire ? – Quelle idée peut-on se faire de l’éloquence de la chaire à la
lecture
des meilleurs sermons du xvii e siècle ? – La Bru
u style de La Fontaine ? – Peut-on tirer encore quelque profit de la
lecture
de Buffon ? Quelles sont ses qualités et quels dé
ur le maudire des paroles d’une force incomparable. A tout prendre la
lecture
des Mémoires est saine ; elle est fortifiante, el
d’une sensibilité intellectuelle prompte à s’irriter. Il souffre à la
lecture
de certains écrits. La grossièreté et la platitud
eu. Celui-ci essayera de le consoler, il lui vantera le plaisir de la
lecture
et lui dira que « l’étude a été pour lui le souve
s dégoûts de la vie et qu’il n’a jamais eu de chagrin qu’une heure de
lecture
n’ait dissipé ». Il l’engagera à s’adonner à l’ét
d’une fois représenté une existence calme, tout entière adonnée à la
lecture
, aux lettres, à des loisirs studieux, mais l’ambi
lit et les miens sont de ceux-là. Montesquieu. – La méditation et la
lecture
vous divertiront et vous feront une âme toute nou
ivais dans une compagnie nombreuse, et si j’avais à qui parler de mes
lectures
; ce serait un beau thème à discussions. Montesq
les dégoûts de la vie et je n’ai jamais eu de chagrin qu’une heure de
lecture
n’ait dissipé. D’Argenson. – Je vous porte envie
ment, » nous dit à peu près ce qu’il entend par le beau : « Quand une
lecture
vous élève l’esprit et qu’elle vous inspire des s
cours présents. Concours de 1881. La Bruyère a dit : « Quand une
lecture
vous élève l’esprit et qu’elle vous inspire des s
vaillance, – l’amour filial, – la constance. Conclusion. – Il est la
lecture
même que rêvait La Bruyère et qu’il définissait….
ère, Mme de Grignan, avait cru devoir. par scrupule, lui interdire la
lecture
de Corneille. Vous supposerez que Mme de Pomponne
en fait de littérature. Sainte-Beuve a pu dire d’elle : « En fait de
lectures
, elle ne s’était jamais rien refusé, que le néces
refusé, que le nécessaire. » Qu’est-ce que le nécessaire en fait de
lectures
? Plan développé Préambule. – Mme du Deffan
Lespinasse, a beaucoup écrit et surtout beaucoup lu. Mais, en fait de
lectures
, frivole comme la plupart des femmes mondaines, e
r son esprit. Aussi, un critique a-t-il pu dire d’elle : « En fait de
lectures
, elle ne s’était jamais rien refusé, que le néces
temps il est juste, il est vrai. Car, il y a dans la littérature, des
lectures
qui sont nécessaires et d’autres qui ne le sont p
agraphe. – Il en est de même en littérature. Le superflu, ce sont les
lectures
faites au hasard de la rencontre. Ce sont les rom
s choisies de Mme de Sévigné et de Voltaire. Appréciez, d’après cette
lecture
, et comparez les deux écrivains. – Mme de Staël a
le plus médiocre qui aura eu la chance de s’appuyer sur la vérité. » (
Lectures
scientifiques, par Jules Gay ; – Hachette.) – Qu’
els sont ses avantages au point de vue scientifique et ses dangers ? (
Lectures
scientifiques de J. Gay, p. 752. On y trouvera le
immenses que nous offre l’investigation des phénomènes naturels. » (
Lectures
scientifiques de Gay.) – Commenter les paroles s
reporter l’influence que ses travaux peuvent avoir dans le monde. » (
Lectures
tirées d’auteurs modernes, 3e partie : sciences.)
oiture ? Vous avez commis le crime de ne point vous pâmer d’aise à la
lecture
d’Uranie ! Je vous le dis, Monsieur, j’enrage d’ê
se dessine l’évolution du concours. Nous avons la conviction que leur
lecture
rendra d’inappréciables services aux aspirantes e
x ou trois aspirantes des départements. Des faits bien choisis, de la
lecture
, des vues justes ou ingénieuses, de la netteté et
avec fruit par d’habiles maîtres ou tiré avec intelligence de solides
lectures
. Le meilleur esprit anime les pages où réponse es
quinet. C’est, sur les leçons des aspirantes, une leçon à retenir… «
Lecture
expliquée d’un texte français. – Cette épreuve ne
s’exercent, par un travail assidu et bien dirigé, à mettre dans leurs
lectures
expliquées la prévoyance, le choix, la méthode, s
été généralement mieux dits qu’expliqués. Bien que parfois encore la
lecture
en ait été faite un peu trop vite ; que trop souv
choix dans l’introduction des néologismes ? Morale. Des dangers des
lectures
mal choisies. Indiquer les principes que doit sui
ndiquer les principes que doit suivre une maîtresse dans le choix des
lectures
qu’elle conseille à ses élèves. Extrait du rappor
teintes secrètes qu’une âme jeune et sans défense peut recevoir d’une
lecture
imprudemment ou témérairement choisie, et du trou
tes ou les conseils qu’on a pris soin d’ajouter, au sujet du choix de
lectures
le meilleur à faire, auraient dû s’éclairer d’une
s compter que dans ces hors-d’œuvre, auxquels la mémoire de certaines
lectures
plus ou moins digérées avait plus de part qu’un s
nations l’antiquité profane, et se demandait si la connaissance et la
lecture
de poètes anciens pouvait occuper une place dans
et comment une âme vertueuse et chrétienne n’a rien à redouter de la
lecture
d’Homère, de Sophocle et de Virgile. – On a souve
z de montrer le profit intellectuel et moral qu’on peut retirer d’une
lecture
lente et réfléchie des auteurs classiques. – Expl
rraisonné et d’une admiration qu’on nous a inspirée dès nos premières
lectures
. Si l’on nous demandait quels sont nos favoris da
; il a des heurts qui forcent à s’arrêter, quelque légère que soit la
lecture
. Puis ses personnages sont disposés en escalier,
traité de rhétorique qu’il est indispensable d’étudier de très près.
LECTURES
RECOMMANDÉES : Sainte-Beuve Extraits. (Garnier, é
r dans les écoles normales trop d’importance à l’étude sérieuse de la
lecture
à haute voix ; la science du débit est une qualit
ort agréablement traité, parce qu’il était restreint. Les études, les
lectures
, les exercices ordinaires de nos aspirantes y suf
en réalité, communs à lui et à tous les auteurs de son temps. Plus de
lectures
et une étude plus approfondie de la langue du xvi
ns de littérature, et les connaissances particulières ; l’étendue des
lectures
et l’intelligence des problèmes. La faiblesse rel
ains des jeunes filles, pour le xvi e siècle comme pour le reste, les
lectures
que demande la préparation à nos concours permett
eux compris si, chargeant un peu moins leur mémoire du poids de leurs
lectures
, elles s’appliquaient, après avoir saisi et group
lui des hommes. » Vous développerez cette pensée, en montrant que la
lecture
des bons livres et la connaissance du monde sont
e auteur ? – Développer et apprécier cette pensée de Descartes : « La
lecture
de tous les bons livres est comme une conversatio
compléterez, vous élargirez vos impressions. » Mais quelles sont les
lectures
qu’il faut avoir faites pour bien connaître les a
ès substantielles. Chaque chapitre a son sommaire, des indications de
lectures
, etc. C’est la pure doctrine classique. Il faut s
as de se procurer deux volumes très intéressants récemment parus : la
Lecture
expliquée de M. Léon Robert (A. Colin), les Extra
L’Éducation progressive. MM. Defodon, Guillaume, Mme Kergomard, etc..
Lectures
pédagogiques. Ludovic Carrau De l’éducation. Jane
ques. E. Manuel Poésies de l’école et du foyer. Mlle Jeanne Vaudouer…
Lectures
morales et littéraires. E. Petit Alentour de l’éc
t pas assez dans nos écoles. Comment développeriez-vous le goût de la
lecture
chez les élèves de nos écoles normales ? Lecture
z-vous le goût de la lecture chez les élèves de nos écoles normales ?
Lecture
: Legouvé. – L’Art de la lecture. SESSION D’OCTOB
les élèves de nos écoles normales ? Lecture : Legouvé. – L’Art de la
lecture
. SESSION D’OCTOBRE Pédagogie. Montrer que dans l
ats-Généraux de 1789. SESSION DE JUILLET Pédagogie. De l’utilité des
lectures
personnelles. Lecture : Le goût de la lecture, pa
ESSION DE JUILLET Pédagogie. De l’utilité des lectures personnelles.
Lecture
: Le goût de la lecture, par Michel Bréal (voir L
ogie. De l’utilité des lectures personnelles. Lecture : Le goût de la
lecture
, par Michel Bréal (voir Lectures pédagogiques).
personnelles. Lecture : Le goût de la lecture, par Michel Bréal (voir
Lectures
pédagogiques). Littérature. Faire connaître le C
ntre les maux de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de
lecture
n’ait dissipé. » PLAN Préambule. – Définir le s
– Sens de dissipé : ne serait-il pas atténué, adouci ? – Sens du mot
lecture
, qui est renforcé du mot : étude. Il ne s’agit pa
du mot lecture, qui est renforcé du mot : étude. Il ne s’agit pas de
lectures
frivoles, mais de lectures patientes, sérieuses,
nforcé du mot : étude. Il ne s’agit pas de lectures frivoles, mais de
lectures
patientes, sérieuses, qui nécessitent une attenti
aragraphe. – L’étude est un soulagement, un soutien, un réconfort. La
lecture
d’œuvres fortes élève l’esprit, inspire des senti
e préférence. Pédagogie. Des qualités que doit avoir un bon livre de
lectures
à l’école primaire. Concours de 1888. Litt
de 1890. Littérature ou grammaire. 1. – Pourquoi l’exercice de la
lecture
expliquée est-il généralement regardé comme l’un
e épouse et comme mère, dans la tragédie de Racine. – Des dangers des
lectures
mal choisies. Indiquer les principes que doit sui
ndiquer les principes que doit suivre une maitresse dans le choix des
lectures
qu’elle conseille à ses élèves. – Si vous aviez à
amener dans l’éducation des jeunes personnes. – Comparez, d’après la
lecture
que vous avez faite de leurs lettres, Mme de Sévi
res, une journée de Mme de Sévigné en Bretagne : ses passe-temps, ses
lectures
, ses réflexions, ses visites ; à qui pense-t-elle
dant une saison de pluies continuelles : « Sans la consolation de la
lecture
, nous mourrions présentement d’ennui. » – Dévelo
mondains dictés au jour le jour par l’occasion et les relations, les
lectures
et les études du moment. 1er Paragraphe. – Histo
ns que le milieu, les circonstances, l’éducation que l’on reçoit, les
lectures
que l’on fait, l’ordre d’idées dans lequel on se
est spécial à la section des sciences, il sera utile de consulter les
Lectures
scientifiques de M. Jules Gay, les Lectures tirée
ra utile de consulter les Lectures scientifiques de M. Jules Gay, les
Lectures
tirées d’auteurs modernes, 3e partie (sciences),
recevoir l’esprit de l’élève. – Prendre pour exemple l’arithmétique.
Lecture
: Gausseron. – Comment élever nos enfants, ch. iv
ité de l’étude de la botanique pour les futures institutrices. Voir :
Lectures
pédagogiques de C. Defoden, Guillaume et Kergomar
u brevet supérieur ? Insistez sur l’enseignement des sciences. Voir :
Lectures
pédagogiques, p. 341. Concours de juillet 1883
Quelles sont les qualités que vous devez rechercher dans un livre de
lecture
que vous vous proposez de mettre entre les mains
mal des enfants. – Vous découvrez qu’une de vos amies se livre à des
lectures
dangereuses, vous faites appel à toute sa raison
de la méthode, de l’ordre, de la simplicité. Nous indiquons les mêmes
lectures
que pour Fontenay. Nous recommandons en outre :
mples à citer. 3e Paragraphe. – A propos de chaque exercice scolaire,
lecture
, récitation, correction de devoirs, etc., un bon
ttre à un ami, de lui dépeindre l’impression produite sur vous par la
lecture
des lignes qui précèdent et efforcez-vous de lui
e, de François Ier, de la Renaissance, etc. La prudence exige que des
lectures
aient été faites, des devoirs rédigés sur ces poi
Précis ne seront pas lus tout seuls. Il sera expédient d’étudier les
Lectures
de MM. Maspéro, Langlois, Mariéjol, etc. , de la
raphie descriptive (la Terre à vol d’oiseau, d’Onésime Reclus), – les
Lectures
d’auteurs modernes, par E. Petit. La biographie d
ans une petite classe et se livrant avec une attention studieuse à la
lecture
des ouvrages qu’ils ont sous les yeux. Un inspect
3e Paragraphe. – Montrez le jeune lecteur de Robinson absorbé par sa
lecture
. Les demandes. La réponse… Pourquoi, comment Robi
et faits, faute d’avoir amassé un certain nombre de souvenirs par la
lecture
et par l’étude, on doit être fort embarrassé quan
nne ; comment l’idée des aérostats a été conçue par Étienne, après la
lecture
de l’ouvrage de Priestley sur les différentes esp
sert aux uns n’est pas inutile aux autres, et réciproquement. Quelles
lectures
est-il indispensable de faire pour une préparatio
position des principaux problèmes qu’on leur demande en général. Les
Lectures
scientifiques de M. Jules Gay (Hachette). Il y es
la pratique ? Donner des exemples empruntés à diverses professions.
Lecture
. Cuvier, dans la page suivante, a rendu avec forc
des textes comme l’épitre de Lavoisier, de GayLussac, etc. Certaines
lectures
sont de rigueur. Faute de les avoir faites, – et
ton, la terminologie à employer. Nous indiquons tout spécialement les
Lectures
scientifiques(Extraits de mémoires originaux et d
ition a eu lieu ce matin à six heures. » Une acclamation suivit cette
lecture
. L’assemblée décréta que Condé prendrait le nom d
. – Un de vos parents, désireux de développer chez vous le goût de la
lecture
, vous a fait don d’une certaine somme pour achete
laisser de côté leurs classiques, ils auront soin de faire certaines
lectures
qui les initieront à des connaissances, à des imp
un Entomologiste (Delagrave), – l’Esprit des Bêtes, de Toussenel, nos
Lectures
tirées d’auteurs modernes, par Edouard Petit (Qua
transcrit de mémoire a un air d’emprunt qui le rend suspect. Quelles
lectures
conseillerons-nous aux candidats ? Ils feront bie
conseillerons-nous aux candidats ? Ils feront bien de se procurer les
Lectures
géographiques, de M. Louis Lanier, qui contiennen
restres et maritimes, de précieux renseignements (Belin, éd.) ; – les
Lectures
tirées d’auteurs modernes (Histoire, géographie,
aissant au sein d’une famille de modestes artisans, apprenant seul la
lecture
et le calcul, et simple ouvrier imprimeur, acquér
ction des lettres et à la section des sciences. 1. Voir : Maspéro. –
Lectures
d’histoire ancienne (Hachette). 1. Le même sujet
synthèse. On commencera par la méthode analytique. Dans un système de
lectures
habilement graduées, l’élève étudiera les vocable
d’un article de loi ; alors seulement il ne l’oubliera plus. Dans les
lectures
graduées que je recommande, j’insiste sur le préc
rs, mais avec précaution et sous la direction d’un maître habile. Ces
lectures
se feront, autant que possible, à haute voix, pou
idiome, soit en prose, soit en vers. Ainsi beaucoup de grammaire, de
lectures
, de traductions en langue maternelle, peu de trad
n possédait déjà. On peut en dire autant des langues étrangères ; des
lectures
de toute espèce, si l’on se borne, avare de son t
r vous en écrire davantage. Conseils à une demoiselle Sur la
lecture
Aux Délices, près de Genève, le 20 juin 1756. Je
Le Tasse et l’Arioste1 vous rendront plus de services que moi, et la
lecture
de nos meilleurs poëtes vaut mieux que toutes les
it respirer et me ferait plus de plaisir : il me tient trop tendu, la
lecture
de ses vers me devient une étude ; tant d’éclairs
e relisait souvent : « Nous relisons aussi, au travers de nos grandes
lectures
, des rogatons que nous trouvons sous notre main ;
e le pédagogue. 4. La Bruyère disait sur le même sujet : « Quand une
lecture
vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire des
s lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait la
lecture
, comme elle peut. Pauvre femme ! nous mettons ens
re avec la plus grande attention les meilleurs auteurs, et lorsque la
lecture
était finie, à faire des extraits des passages le
logiques dont il ne remplit que les dates, et à mesure que dans leurs
lectures
ou dans les cours qu’ils suivaient, un fait impor
parole à toucher et à convaincre. Il communiqua à ses amis un plan de
lecture
sur la composition littéraire. Il paraît que ce p
fit un cours complet de rhétorique et de critique. Il en commença la
lecture
au collège d’Edimbourg le 11 décembre 1759. Les a
ompter les personnes les plus distinguées de la ville. Cette première
lecture
donna une si haute idée de l’excellence des princ
quatre ans, que Blair se décida à publier ses leçons sous le titre de
Lectures
on Rhetoric and Belles-Lettres [Lectures sur la R
ses leçons sous le titre de Lectures on Rhetoric and Belles-Lettres [
Lectures
sur la Rhétorique et les Belles-Lettres] ; elles
ux conceptions de leur génie ou aux productions de leurs talents. Les
Lectures
de Blair furent traduites en français par M. Cant
’il est moins fait pour assurer à l’auteur une gloire durable que ses
Lectures
sur la Rhétorique et les Belles-Lettres. Les serm
soient les Sermons de Blair, on s’accorde généralement à regarder ses
Lectures
sur la Rhétorique et les Belles-Lettres comme un
jugés, pour ne suivre que l’étendard de la raison et du bon goût. Ces
Lectures
sont un des livres que l’on peut mettre avec le p
r : cela prouve qu’il l’est beaucoup dans les Sermons ; car celui des
Lectures
est clair et correct ; dans certains endroits mêm
ngt-deux ans huit mois et vingt jours. Préface de l’auteur. LES
Lectures
suivantes furent répétées vingt-quatre années de
outes les fautes que des éditeurs ignorants y avaient accumulées. Ces
Lectures
furent d’abord destinées à servir d’introduction
assez grand nombre d’années s’est écoulé depuis qu’il a commencé ces
Lectures
, il pourrait se faire qu’il eût adopté les idées
nt du public. En conservant la simplicité de style qui convient à des
lectures
, et surtout à l’instruction, il n’a cherché qu’à
érité : qu’il est plus facile de donner le précepte que l’exemple.
Lecture
première. Introduction. L’UN des plus beaux pr
Je ne m’étendrai pas davantage sur ces considérations générales. Les
lectures
suivantes seront divisées en cinq parties. La pre
es meilleurs ouvrages de prose ou de poésie. Première partie.
Lecture
II. Le goût. LE but de cet ouvrage m’oblige à
ison. Le plaisir que nous recevons de la vue d’un bel aspect ou de la
lecture
d’un bon poème, n’est pas le résultat d’une décou
mpire : Opinionum commenta delet dies, naturæ judicia confirmat .
Lecture
III. La critique. — Le génie. — Les plaisirs du g
s sans qu’on y attache aucune idée précise. En commençant un cours de
Lectures
où ces expressions doivent se rencontrer souvent,
s. D’après les principes que nous avons adoptés dans notre précédente
Lecture
, le public est le juge suprême auquel on doit en
it par l’art d’écrire et de parler, qui est le sujet principal de ces
Lectures
. Mon seul dessein est d’entrer dans quelques déve
tion, et qu’il a un rapport plus direct avec l’objet principal de ces
Lectures
. Pour plus d’ordre, je traiterai d’abord de la gr
nous allons faire sur le sublime dans le style et la composition.
Lecture
IV. Du sublime dans le style. APRÈS avoir trai
s de motifs pour nous en occuper ici qu’en aucune autre partie de nos
Lectures
suivantes. Presque aucune des expressions qui app
t, des idées assez claires et assez précises. Avant de terminer cette
Lecture
, j’ai à faire une remarque dont je désire que l’o
ou plutôt, de taches ou d’imperfections que j’ai rapportés dans cette
Lecture
, exemples que j’ai choisis et que je continuerai
vitant à n’imiter et à n’admirer que ce qui en est vraiment digne.
Lecture
V. De la beauté et des autres plaisirs que procur
naissent du goût, n’ayant pas un rapport si direct avec le but de ces
Lectures
, il n’est pas nécessaire de nous en occuper d’une
aisirs et celui de la mort : ces vertus, comme je l’ai prouvé dans la
Lecture
précédente, excitent des émotions grandes et subl
ux dont il est temps de faire l’application au sujet principal de ces
Lectures
. Si l’on me demandait à quelle classe des plaisir
l’esprit une impression moins différente15. Seconde partie.
Lecture
VI. Origine et progrès du langage. APRÈS avoir
s remarques qui me serviront d’introduction au sujet principal de ces
Lectures
, je vais traiter du langage, sur lequel repose to
grès a été analogue à celle dont nous venons de suivre les traces.
Lecture
VII. Origine et progrès du langage et de l’écritu
position, quelle que soit la place qu’ils occupent dans la phrase. La
Lecture
suivante nous offrira l’occasion d’entrer dans pl
curieuses et utiles. D’après ce que nous avons dit dans la précédente
Lecture
, on peut croire que le langage fut d’abord pauvre
prit une impression bien plus profonde que celle que peut produire la
lecture
de quelque ouvrage que ce soit. Les tons, les reg
devons ce que l’éloquence a produit de plus grand et de plus beau.
Lecture
VIII. De la structure du langage. Après avoir
autres matières qui réclament notre attention pendant le cours de ces
Lectures
. Mais je me propose d’entrer en quelques considér
ent analogue dans la conjugaison des verbes, dont je parlerai dans la
Lecture
prochaine, nous nous sommes privés de la liberté
en nombre et en cas, avec le substantif uxor, qui est le dernier.
Lecture
IX. Structure du langage. — Langue anglaise.
n maintenant à ce qui concerne notre langue. J’ai déjà eu, dans cette
Lecture
et dans la précédente, occasion de faire quelques
l’étude la plus attentive de sa langue28. Troisième partie.
Lecture
X. Du style en général, de la clarté et de la pré
rons la profondeur, mais nous serons rarement disposés à reprendre la
lecture
de son livre. Quelques auteurs s’excusent de leur
int va nous occuper d’abord, et nous y consacrerons le reste de cette
Lecture
. La clarté dans les mots et dans les phrases exig
naissons la valeur de chaque mot, et toute l’étendue de la langue.
Lecture
XI. De la construction des phrases. En commen
tion des phrases. En commençant à traiter du style, j’ai, dans la
Lecture
précédente, examiné sa qualité fondamentale, qui
tion et dans l’arrangement de ses phrases. J’ai dit, dans la dernière
Lecture
, qu’il méritait souvent le reproche de sacrifier
mauvais choix de mots ou d’un arrangement vicieux. J’ai dit, dans la
Lecture
précédente, tout ce qui concernait le choix des m
ouvelle, ajoutée à la phrase lorsqu’elle était complètement finie.
Lecture
XII. [Suite de la précédente.] De la construction
est pas possible d’établir, à cet égard, des règles particulières. La
lecture
attentive des meilleurs écrivains, et de fréquent
elle seule le soin et l’attention que j’ai mis à traiter ce sujet.
Lecture
XIII. De l’harmonie dans la construction des phra
is indiqués ; savoir : la clarté, l’unité, la force et l’harmonie.
Lecture
XIV. De l’origine et de la nature du langage figu
re confirme l’exactitude de l’observation que j’ai faite dans une des
Lectures
précédentes, que jamais les langues ne renferment
rce. Tout ce que je me propose, c’est de jeter, avant la fin de cette
Lecture
, un coup d’œil général sur les sources du sens fi
coup d’œil général sur les sources du sens figuré dans les mots ; les
Lectures
suivantes seront consacrées à l’examen particulie
occuper particulièrement, et son examen fera l’objet de ma prochaine
Lecture
. Lecture XV. De la métaphore. Après avoir
ticulièrement, et son examen fera l’objet de ma prochaine Lecture.
Lecture
XV. De la métaphore. Après avoir fait quelque
finiment ingénieuses dans quelques-unes des visions du Spectateur.
Lecture
XVI. De l’hyperbole, de la personnification et de
à son tour ; chacun joue sans confusion le rôle qui lui convient.
Lecture
XVII. De la comparaison, de l’antithèse, de l’int
complet de la métaphore, la plus commune de toutes ; dans la dernière
Lecture
, j’ai passé en. revue l’hyperbole, la personnific
elles ne sont pas, commes les figures dont nous avons traité dans les
Lectures
précédentes, l’expression des passions énergiques
otre opinion, et augmenter l’intérêt que nous prenions à sa cause.
Lecture
XVIII. Du style figuré, des caractères généraux d
emandent un style plus abondant que ceux que l’on veut soumettre à la
lecture
. L’orateur doit éviter une trop grande concision,
a place le goût des pensées solides et du style simple et nerveux.
Lecture
XIX. Caractères généraux des styles simple, affec
ffecté, véhément. — Conseils pour se former un bon style. Dans la
Lecture
précédente, j’ai commencé à faire connaître les c
. Rien n’est si dangereux pour la foule des esprits imitateurs que la
lecture
d’un écrivain qui, à des beautés éclatantes, join
istinguent la manière de chacun. J’ai tâché de rassembler, dans cette
Lecture
et dans les précédentes, les observations qu’il n
teat . ——— Nota. Blair a consacré les xxe , xxie , xxiie et xxiiie
Lectures
à l’examen critique du style des nºs 412, 413 et
voir augmenter le volume de cet ouvrage par la traduction de ces cinq
Lectures
, qui ont essentiellement pour objet l’application
étrangers à cette langue. Quatrième partie. De l’éloquence.
Lecture
XXV. Éloquence ou discours publics, histoire de l
quam inflammabat. Après lui, la Grèce ne compta plus d’orateurs.
Lecture
XXVI. Suite de l’histoire de l’éloquence. — Éloqu
asion de revenir, et j’entrerai alors dans de plus grands détails.
Lecture
XXVII. Différentes espèces de discours. — Éloquen
cœur qui porte la conviction : veræ voces ab imo pectore . Dans une
Lecture
précédente, j’ai dit, en commençant à traiter ce
plète, il faudrait recourir au texte même de cet excellent modèle.
Lecture
XXVIII. Éloquence du barreau. — Analyse de la har
a harangue de Cicéron pour Cluentius. J’ai donné, dans ma dernière
Lecture
, les règles qui concernent particulièrement l’élo
ec ordre, avec élégance et avec force la cause la plus compliquée.
Lecture
XXIX. De l’éloquence de la chaire. Avant de t
style et l’esprit de l’éloquence de la chaire feront l’objet de cette
Lecture
. Commençons d’abordé par considérer de quels avan
presque toutes les qualités morales. J’ai prouvé dans une précédente
Lecture
qu’un homme ne pouvait être éloquent, sur quelque
enfin se servir des figures de langage les plus passionnées. Dans les
Lectures
précédentes je me suis arrêté assez longtemps sur
ent dans les discours de ce genre. L’on pourrait encore conseiller la
lecture
des ouvrages de l’évêque Butler, comme très propr
onte en chaire, celui que nous avons indiqué au commencement de cette
Lecture
, est d’inspirer à ses auditeurs les meilleures ré
is que je vous ai entendu, j’ai été très mécontent de moi-même. »
Lecture
XXX. Examen d’un discours de l’évêque Atterbury.
évêque Atterbury. Nota. Nous omettrons ici la traduction de cette
Lecture
par les motifs qui nous-ont déterminé à supprimer
e Lecture par les motifs qui nous-ont déterminé à supprimer celle des
Lectures
xx, xxi, xxii, xxiii, xxiv. Lecture XXXI. De l
terminé à supprimer celle des Lectures xx, xxi, xxii, xxiii, xxiv.
Lecture
XXXI. De la composition générale d’un discours. —
ours. — Exorde, division, narration, explication. Dans les quatre
Lectures
précédentes, je suis entré dans des détails qui s
ens. Je ne suis pas en cela de son avis, et je ne finirai point cette
Lecture
sans tâcher d’assigner quelques-unes des causes a
ucoup. Il ne nous reste plus qu’à en faire de justes applications. La
lecture
des livres qui nous facilitent cette connoissance
tiennes, qui respirent la plus saine morale de l’évangile, et dont la
lecture
ne sauroit être trop conseillée. L’édition où se
ette religion divine, nous n’avons pas besoin de nous engager dans la
lecture
d’une foule d’excellens ouvrages, où elle est ven
i furent publiées par la voie de l’impression. Mais le livre, dont la
lecture
doit, pour cet objet, nous occuper le plus fréque
admirable, plein de sagesse, de force et d’onction. Le fruit de cette
lecture
sera une piété douce et tendre, une tranquillité
pris au hasard qui nous engageront, je pense, à faire complètement la
lecture
des ouvrages d’où ils sont tirés. Dieu seul est
tière, que nous regardons comme une des plus admirables de l’auteur.
Lecture
. — Le Paysan du Danube. Vol. II, nº 146. § II.
e de judiciaire, le Discours de Socrate à ses juges, par Barthélemy.
Lectures
. — 1° Péroraison de l’Éloge funèbre de Washington
Suite de la quatrième partie.
Lecture
XXXII. De la composition d’un discours. — Du rais
renvoyer le lecteur aux conseils que j’ai donnés dans mes précédentes
Lectures
, en traitant du style, et à ceux qu’il trouvera p
xcellent morceau de philosophie morale ; mais je doute fort que cette
lecture
rende jamais un orateur plus pathétique. Je ne cr
er en leur donnant une idée favorable et du sujet et de l’orateur.
Lecture
XXXIII. De la prononciation ou du débit. Aprè
manière que la césure coïncide avec le repos indiqué par le sens, sa
lecture
ne présente aucune difficulté, comme dans cet exe
itions naturelles et sur les bonnes habitudes qu’il s’est formées.
Lecture
XXXIV. Moyens de faire des progrès en éloquence.
’on peut étudier avec fruit, je les ai déjà cités si souvent dans mes
Lectures
précédentes, que je crois superflu de répéter ici
on destinée à être débitée en public et une composition destinée à la
lecture
, que l’on ne saurait jamais se mettre trop bien e
devoir répéter l’avis que je leur donnais dans une de mes précédentes
Lectures
, de choisir dans une question le côté vers lequel
lus de goût et de jugement que Quintilien. Cinquième partie.
Lecture
XXXV. Du mérite comparé des anciens et des modern
hode que j’ai précédemment adoptée, et sans laquelle je crois que ces
Lectures
seraient peu dignes de votre attention. Je dirai
paraissent fondées sur le bon sens et la raison. Dans mes précédentes
Lectures
, j’ai quelquefois cité des passages des auteurs c
regarder comme manquant de goût celui qui n’éprouve aucun charme à la
lecture
de ces écrivains que tous les siècles et tous les
et développés dans l’ordre le plus clair et le plus distinct : car la
lecture
de l’histoire doit nous enseigner à être sages ;
d’unité d’être plus difficile à lire et d’exciter moins d’intérêt.
Lecture
XXXVI. Des ouvrages historiques. Après avoir
XVI. Des ouvrages historiques. Après avoir fait, dans la dernière
Lecture
, quelques observations sur la diversité des opini
voir l’influence des causes politiques sur les affaires générales. La
lecture
attentive des historiens grecs ne nous donne qu’u
laisir de voir comment ils se lient les uns aux autres. Autrement, la
lecture
de l’histoire ne produit ni plaisir ni instructio
jet, cette unité que j’ai si fortement recommandée dans la précédente
Lecture
. Le succès dépend beaucoup aussi des transitions,
lair et grave, peut cependant être un écrivain fort ennuyeux, dont la
lecture
ne produise aucun fruit, et que bientôt même on n
plus haut point de gloire et de dignité. J’ai fait observer, dans la
Lecture
précédente, que les annales, les mémoires et les
ceux des principaux personnages de son temps, ne peuvent être qu’une
lecture
utile pour un homme de sens. Les Mémoires du duc
eulent écrire ou connaître l’histoire des temps qu’il a parcourus.
Lecture
XXXVII. Des écrits philosophiques. — Du dialogue.
déterminées. Nous en avons traité avez assez d’étendue dans les deux
Lectures
précédentes : nous nous arrêterons moins longtemp
avec clarté ; et en réfléchissant sur ce que nous avons dit, dans les
Lectures
précédentes, au sujet de la clarté dans l’emploi
nt parfaitement les uns des autres. Un dialogue ainsi conduit est une
lecture
infiniment agréable, qui, au moyen du partage d’o
és confient au papier. Une telle correspondance, bien écrite, est une
lecture
fort agréable pour un homme de goût, et elle a d’
été publiées dans la collection des ouvrages de ces deux auteurs. La
lecture
en est amusante et agréable ; on y trouve beaucou
étiens contre les infidèles ; et du onzième au seizième siècle, cette
lecture
devint une véritable fureur dans toute l’Europe,
le qui vise au perfectionnement du goût trouve quelque plaisir à leur
lecture
. Les caractères en étaient outrés, le style bours
s ou d’histoires par des auteurs anonymes, ne sont pas en général des
lectures
dangereuses, au moins sont-elles presque toujours
oriser la dissipation et la paresse qu’à produire le moindre bien.
Lecture
XXXVIII. De la poésie. — De son origine et de ses
différentes espèces d’écrits en vers, je me propose de faire de cette
Lecture
une introduction sur la poésie en général ; je ch
ts18 l’un sur l’autre avec la liberté que donnent les vers blancs.
Lecture
XXXIX. De la poésie pastorale et de la poésie lyr
eurs, et en m’élevant jusqu’aux poésies épiques et dramatiques. Cette
lecture
sera employée à l’examen de la poésie pastorale e
e de poésie ; car, ainsi que je l’ai fait observer dans la précédente
Lecture
, la musique et la poésie furent contemporaines, e
e genre de poésie ; aussi en trouve-t-on un bien petit nombre dont la
lecture
soit agréable, surtout parmi celles destinées à c
ce que ce poète nous a laissé de plus agréable et de plus parfait.
Lecture
XL. De la poésie didactique et de la poésie descr
la plus évidente et la plus certaine du mérite d’une description.
Lecture
XLI. De la poésie des Hébreux. La poésie des
uteur ingénieux, j’aurai souvent recours à lui dans la suite de cette
Lecture
. Il n’est pas nécessaire d’entrer dans de longs d
’eux, c’est augmenter beaucoup le fruit que l’on peut retirer de leur
lecture
. Les poètes sacrés les plus éminents sont Job, Da
jus stupebunt novissimi, et primos invadet horror. (C. 20 et 18.)
Lecture
XLII. De la poésie épique. Il nous reste à par
dramatique. Je commence par la poésie épique. Nous emploierons cette
Lecture
à en faire connaître les principes généraux ; nou
C’est avoir une idée bien pauvre et bien bornée de l’avantage que la
lecture
d’un long poème épique est susceptible de procure
orie du Péché et de la Mort dans le second livre du Paradis perdu.
Lecture
XLIII. L’Iliade et l’Odyssée. — L’Énéide. L’ép
core regardé comme le père de la théologie poétique. Dans la dernière
Lecture
, j’ai dit ce que je pensais du merveilleux en gén
its faibles de l’Énéide, que Virgile laissa son ouvrage imparfait.
Lecture
XLIV. La Pharsale, la Jérusalem délivrée, la Lusi
it trop du temps où ce poète vivait ; j’ai démontré, dans la dernière
Lecture
, que cette circonstance était presque toujours dé
es, quelquefois aussi il tombe même au-dessous des plus médiocres.
Lecture
XLV. Poésie dramatique. — Tragédie. Chez tous
arrêterons plus longtemps sur la tragédie ; nous y consacrerons cette
Lecture
et celle qui suit, puis nous traiterons particuli
orribles, que la peine surpasserait de beaucoup le plaisir, et que la
lecture
ou la représentation de certaines tragédies en de
nnui et du dégoût. Voilà tout le mystère de l’illusion du théâtre.
Lecture
XLVI. De la tragédie en général, de celle des Gre
poète a placées à propos dans sa pièce. J’ai eu occasion, dans cette
Lecture
et dans la précédente, de faire remarquer quelque
nçais est une des principales causes du plaisir que l’on goûte à leur
lecture
. Il prétend qu’il n’y aurait plus de tragédie s’i
voir que la poésie lyrique lui servait d’embellissement ; et, dans la
Lecture
précédente, je suis entré dans une discussion app
es plus frappantes que l’on puisse trouver dans une tragédie. Dans la
Lecture
précédente, j’ai fait sentir les défauts du dénou
ureux usage de la grandeur et de la majesté des idées religieuses.
Lecture
XLVII. De la comédie en général, de la comédie ch
aise ne fut trop souvent que l’école du vice. Les règles que, dans la
Lecture
précédente, j’ai données sur l’action dramatique
mbla que ces deux espèces de pieds lui convenaient mieux ; mais, à la
lecture
, l’oreille ne sent pas la chute des césures. C’es
ouvons dire du sujet ce que la Bruyère dit de l’ouvrage : « Quand une
lecture
vous élève l’esprit et qu’elle vous inspire des s
squ’à la lin. Le plus bel éloge à leur goût, c’était que, une fois la
lecture
commencée, on ne pût la quitter qu’à la dernière
rtant ce même homme eût maudit de grand cœur quiconque, à la première
lecture
, lui eût ôté le livre des mains avant la fin du q
doivent pas s’étonner si on leur interdit ces frivoles et dangereuses
lectures
: leur cœur et leur esprit n’y peuvent rien gagne
. Rien n’est plus contraire aux progrès d’une éducation solide que la
lecture
des romans ; ces frivoles distractions dégoûtent
eur de l’imagination qui a besoin de tant de délicats ménagements. La
lecture
des romans, même les plus innocents en apparence,
se nourrisse, qu’il enrichisse, qu’il fortifie son éloquence de leur
lecture
: il sera sûr alors de toucher, de persuader et d
l’étude suivie des saintes écritures, il est essentiel de joindre la
lecture
raisonnée de ces orateurs que leurs vertus et leu
ει pour ἀναγνωρίσει est fort séduisante. On traduirait alors : « à la
lecture
comme à la représentation »; mais l’idée de lect
t alors : « à la lecture comme à la représentation »; mais l’idée de
lecture
est déjà exprimée, six lignes plus haut, par les
art à son fils du plaisir qu’il lui fait en lui rendant compte de ses
lectures
. Le soleil de justice n’a point de coucher ; l’
en écrire. 257. L’étude des modèles se réduit à quatre exercices : la
lecture
, l’analyse, la traduction et l’imitation. § I.
s : la lecture, l’analyse, la traduction et l’imitation. § I. De la
lecture
. 258. La lecture, telle que nous l’entendons i
alyse, la traduction et l’imitation. § I. De la lecture. 258. La
lecture
, telle que nous l’entendons ici, ne consiste pas
er ensuite par la mémoire et la réflexion. 259. Il est évident que la
lecture
des écrivains ainsi entendue est un puissant moye
n de l’étude des Pères et surtout de celle de saint Augustin. 260. La
lecture
est indispensable aux jeunes gens qui veulent cul
goût n’est pas assez pur. L’érudition peut gagner quelque chose à une
lecture
plus variée, mais le goût court grand risque de s
re apporter de la méthode dans ce travail. Pour tirer du fruit de ses
lectures
, il faut lire avec ordre, avec sobriété, avec len
vancer. Si on saute du commencement au milieu, du milieu à la fin, la
lecture
produira peu de fruits. Rien de propre à détendre
les ressorts de l’intelligence et à engendrer la confusion comme ces
lectures
sautillantes et décousues. Le papillon voltige de
ourriture trop abondante fatigue et surcharge l’estomac : de même une
lecture
trop longue et mal digérée rebute et embarrasse l
ir de votre position. 268. Une autre condition nécessaire pour qu’une
lecture
soit utile, c’est qu’elle soit faite avec lenteur
ent dans son sein et lui donnent la fécondité. Si vous voulez que vos
lectures
portent des fruits, revenez plusieurs fois sur un
avoir extrait quelque pensée ou noté quelque fragment. 269. Enfin, la
lecture
doit être faite avec réflexion. Appliquez-vous à
ions, les figures et les tours dont l’écrivain a revêtu sa pensée. La
lecture
réfléchie dont nous parlions tout à l’heure est u
de pénétrer le caractère et la beauté du modèle qu’il étudie. 277. La
lecture
ne peut pas suppléer au travail de la traduction,
ires pour qu’une œuvre littéraire laisse de profondes impressions. La
lecture
, c’est trop souvent un regard furtif et rapide je
us voulez seulement le suspendre quelques instants, ayez recours à la
lecture
réfléchie d’un passage analogue à celui qui vous
nds événements de l’époque où il a vécu. Nous ne connaissons guère de
lecture
plus instructive pour un jeune homme sérieux. (Vo
critiques raisonnées sur une production littéraire dont on a fait une
lecture
attentive et réfléchie. Il serait même bon quelqu
auxquelles le maître saura d’ailleurs préparer un jeune homme par des
lectures
ou des explications données à propos. Il est donc
, fidèle aux lois de la religion et de l’honneur, doit s’interdire la
lecture
de la plupart de ces dangereux ouvrages. 538. Ce
; en attendant, je suis bien aise de savoir que tu aimes beaucoup la
lecture
, et que tu sais ton Télémaque sur le bout du doig
d’exercices embrasse l’étude des modèles ? 258. En quoi consiste une
lecture
bien entendue des modèles ? 259. La lecture des é
258. En quoi consiste une lecture bien entendue des modèles ? 259. La
lecture
des écrivains est-elle un puissant moyen de se fo
écrivains est-elle un puissant moyen de se former le style ? 260. La
lecture
est-elle indispensable aux jeunes littérateurs ?
s ? 265. De quelle manière faut-il lire, pour tirer des fruits de ces
lectures
? 266. Que demande l’ordre qu’on doit apporter à
de ces lectures ? 266. Que demande l’ordre qu’on doit apporter à ses
lectures
? 267. Qu’exige la sobriété dans les lectures ? 2
’on doit apporter à ses lectures ? 267. Qu’exige la sobriété dans les
lectures
? 268. Faut-il lire avec lenteur ? 269. La lectur
sobriété dans les lectures ? 268. Faut-il lire avec lenteur ? 269. La
lecture
doit-elle être accompagnée de réflexions ? 270. E
uction est-elle un puissant moyen d’approfondir les modèles ? 277. La
lecture
peut-elle tenir lieu de la traduction ? 278. La t
t v ; Marmontel, art. Imitation. Traduction ; Dom Jamin, Traité de la
lecture
. 12. Le Guide du jeune littérateur, par le P. B
atteux, Les beaux-arts réduits à un même principe, 3e partie ; Blair,
Lecture
xxxviii ; Rollin, Traité des études, liv. II ; Ma
de littérature, 4e traité ; Rollin, Traité des études, liv. II, de la
lecture
d’Homère ; Blair, leç. xlii, xliii ; Marmontel, É
n réelle et présente. Assurément un traité de géométrie n’est pas une
lecture
plus récréative qu’un traité de rhétorique, mais
out donc ce livre, dans mon idée, devait être composé de façon que la
lecture
en fût, sinon amusante, du moins intéressante. No
l’ai-je gardée ? En définitive, le jeune homme sortira-t-il de cette
lecture
avec de meilleurs sentiments et un plus vif désir
tyle est pur, lumineux, doux et soutenu. C’est un des auteurs dont la
lecture
est le plus profitable non-seulement à l’esprit,
la faiblesse de l’homme, c. 4. Du discernement à apporter dans nos
lectures
et les objets de nos études. Il faut considére
.) — L’écrit dont nous avons donné un extrait était principalement la
lecture
favorite de cette femme d’un esprit si charmant,
a d’attraits pour tout ce qui reçoit ainsi les prémices de son âme.
Lecture
. — Mort de Vatel. Vol. II, nº 1. Le morceau suiva
s sont obligés de céder devant les efforts victorieux des chrétiens.
Lecture
. — Siège de Ptolémaïs. Vol. II, nº 2. Le Laconi
es et de voyelles brèves. Qui n’éprouverait un véritable plaisir à la
lecture
des phrases suivantes : « Les grâces de la figur
écieux en ce qu’ils donnent en même temps le précepte et l’exemple !
Lecture
. — Vers de Pope, traduits par l’abbé Du Resnel et
e par le triomphe des toréadors et la défaite de leur fière victime.
Lecture
. — Combat du Taureau, vol. II, nº 4.
res anciens qui l’ont passionné 1 Les Vies de Plutarque2 sont une
lecture
touchante ; j’en étais fou dans mon enfance ; le
tait bien impossible de les lire de sang-froid1 ; je mêlais ces trois
lectures
, et j’en étais si ému, que je ne contenais plus c
n sceu mander qui me fust plus agréable que la nouvelle du plaisir de
lectures
qui vous a prins. Plutarque me sourit toujours d’
s sont pratiques, les autres théoriques. Les moyens pratiques sont la
lecture
, l’étude des bons auteurs, et l’exercice de la co
entre les mains une chrestomathie, ou que le maître y supplée par des
lectures
choisies d’après son goût et selon les besoins de
les disgrâces de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de
lecture
n’ait dissipé. Je m’éveille le matin avec une joi
fortune de mon ouvrage3, il sera plus approuvé que lu : de pareilles
lectures
peuvent être un plaisir, elles ne sont jamais un
à quelques endroits de mon Esprit ; j’en suis devenu incapable : mes
lectures
m’ont affaibli les yeux ; et il me semble que ce
autres. Il restera, et les folliculaires seront oubliés. » 1. Ses
lectures
lui avaient usé les yeux 2. Lorsque M. de Solar
remplir leur véritable objet, doivent se composer en grande partie de
lectures
, d’extraits abondants, faits avec choix… L’accent
ques remarques courantes et comme marginales, qui se glissent dans la
lecture
et s’en distinguent par un autre ton ; quelques r
est le seul hôte. On le rend présent par la prière et par de pieuses
lectures
. La fable et la fontaine Dans l’enfance,
uperbes pour goûter ce qu’enfants on leur a donné à lire. C’était une
lecture
de père de famille, dans le temps des conseils mi
remplir leur véritable objet, doivent se composer en grande partie de
lectures
, d’extraits abondants, faits avec choix… L’accent
ques remarques courantes et comme marginales, qui se glissent dans la
lecture
et s’en distinguent par un autre ton ; quelques r
de son siècle, enfin inspiré d’un génie extraordinaire, et aidé de la
lecture
des anciens, fit voir sur la scène la raison, mai
s, le 2 juin 1693. Vous me faites plaisir de me rendre compte de vos
lectures
; mais je vous exhorte à ne pas donner toute votr
des lettres peut lui inspirer une sorte d’impatience et de dépit à la
lecture
d’un ennuyeux et ridicule ouvrage ; mais l’habitu
t d’être dangereux2. Je sais qu’il est un goût acquis par l’étude, la
lecture
et la comparaison, et je ne prétends pas en nier
e qui ne l’est pas de même, c’est le fruit que l’on peut tirer de ces
lectures
amusantes que l’on ferait à haute voix, et qui, b
es enfants. Cet exercice commencerait, dans l’école assemblée, par la
lecture
, à haute voix, d’un morceau pris d’un historien,
x mouvements passionnés, se présenteraient pour modèles : et après la
lecture
, qui serait sobrement accompagnée de réflexions,
ne, le grand ennemi de la déclamation, voulait qu’on eut nourri de la
lecture
des poètes, et surtout de celle d’Homère : Det p
iumque bibat felici pectore fontem. Théophraste reconnaissait que la
lecture
des poètes était infiniment utile aux orateurs ;
e par. (De Orat. 1. I) Aussi le Sophocle latin, Pacuvius, était-il la
lecture
la plus habituelle de Crassus et de Cicéron ; et
t la diversité des parties dont cet ensemble est composé ? Une simple
lecture
ne les captive point, et ne laisse presque jamais
l’empreinte dans l’esprit des élèves, que la méthode de Crassus, une
lecture
à haute voix, et, après la lecture, une rédaction
es, que la méthode de Crassus, une lecture à haute voix, et, après la
lecture
, une rédaction, une traduction de mémoire ? Ici l
re l’inapplication des élèves : émus jusqu’à l’enthousiasme par cette
lecture
enivrante, pleins des beautés qu’ils auront admir
et dans tous ses rapports ; sans compter, pour l’orateur chrétien, la
lecture
et la méditation des livres sacrés, dont il doit
étrie, puisqu’elle consiste en ces deux mots qu’on sait à la première
lecture
; et enfin qu’elle est assez inutile, puisque son
pas le véritable auteur, quand même il ne l’aurait appris que dans la
lecture
de ce grand saint ; car je sais combien il y a de
t dans le· fait et entendent l’ouvrage. Un tissu d’énigmes serait une
lecture
divertissante ; et c’est une perte pour eux que c
es qui aient été faites sur aucun sujet est celle du Cid19. Quand une
lecture
vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire des
n qu’on a de ses lecteurs. L’on a cette incommodité à essuyer dans la
lecture
des livres faits par des gens de parti et de caba
monnaie qui n’a point de cours. On est tout à la fois étonné de leur
lecture
et ennuyé de leurs entretiens ou de leurs ouvrage
génie. Si elle vient d’un homme qui ait moins de discernement que de
lecture
, et qu’elle s’exerce sur de certains chapitres, e
ns la dispute. Ayez le plaisir de voir que vous n’êtes arrêté dans la
lecture
que par les difficultés qui sont invincibles, où
contre soi-même et contre ses plus chers intérêts, en multipliant les
lectures
, les recherches et le travail qu’elle cherchait à
, mais encore une étude particulière de l’antiquité. Il recommande la
lecture
des anciens Grecs ; il veut qu’on étudie les hist
rai d’abord reconnaître un jeu d’esprit et un ornement solide. A. La
lecture
et la réflexion pourront vous l’apprendre ; il y
rieuse des premiers principes, une connaissance étendue des mœurs, la
lecture
de l’antiquité, de la force de raisonnement et d’
usique. B. Mais encore, rendez-moi cela un peu plus sensible· A. La
lecture
des bons et des mauvais orateurs vous formera un
plus utile que d’avoir le goût de la simplicité antique ; surtout la
lecture
des anciens Grecs sert beaucoup à y réussir. Je d
rs y cherchent le plus. Beaucoup de prédicateurs se gâtent dans cette
lecture
. L’envie de dire quelque chose de singulier les j
s l’être ; et s’ils ne font aucun effet au théâtre, ils charment à la
lecture
par la seule élégance du style. Presque toujours
e se trouve, et où l’inutile seul est omis, pour sauver l’ennui d’une
lecture
insupportable à ceux de nos compatriotes qui veul
à l’effort de sa main foudroyante. S’il n’avait pas été rempli de la
lecture
du Tasse, il n’aurait pas fait son admirable opér
s les étrangers dans l’erreur. D’ailleurs, Monseigneur, l’usage et la
lecture
des bons auteurs en a beaucoup plus appris à Votr
tous ceux qui veulent écrire. Corneille et Racine Je dois à la
lecture
des ouvrages de M. de Voltaire le peu de connaiss
r éviter les dissonances, et de l’avoir exercée, perfectionnée par la
lecture
des poètes et des orateurs, pour que mécaniquemen
t poésies. 23. Tout ce passage semblerait avoir été inspiré par la
lecture
lettres de Mme de Sévigné ; et il en serait le pl
e, un journaliste inconsidéré ou présomptueux, qui se bornerait à une
lecture
rapide et superficielle d’un ouvrage, pour pronon
it approfondi toutes les parties. Il sera bon de n’en entreprendre la
lecture
, qu’après avoir acquis quelques connaissances gén
s, par l’art heureux avec lequel l’auteur a disposé ses matières, une
lecture
des plus agréables. L. F. Guérin, Membre de l’Aca
ndamner certains livres, dont il ne faut à aucun prix se permettre la
lecture
, quand bien même on devrait se résoudre à ignorer
à un travail aussi gigantesque, qui exigerait le dépouillement et la
lecture
de plusieurs milliers de volumes, depuis la fin d
respirer et me ferait plus de plaisir ; il me tient trop tendu, et sa
lecture
me devient une étude. Tant d’éclairs m’éblouissen
ntré, l’histoire ancienne pourra devenir pour nous la plus attachante
lecture
. Tout le monde n’est pas roi ou ministre pour avo
ue timidement. Sans doute une forte éducation classique et d’immenses
lectures
, auxquelles on ne se résigne guère que lorsqu’on
père tout ; la soirée qui s’ouvre par l’éclat d’un feu joyeux, et, de
lecture
en lecture, de causeries en causeries, va expirer
la soirée qui s’ouvre par l’éclat d’un feu joyeux, et, de lecture en
lecture
, de causeries en causeries, va expirer dans le so
ine, et quelles couleurs naturelles ! quelle émotion saisissante ! La
lecture
, l’étude, la comparaison, prêtent à l’imagination
sie. Il est des personnes qui resteront froides et indifférentes à la
lecture
du Cid, à la vue d’une belle nuit constellée, d’u
étant lues avec discrétion elles aident à former le jugement ; que la
lecture
de tous les bons livres est comme une conversatio
oyais avoir déjà donné assez de temps aux langues, et même aussi à la
lecture
des livres anciens, et à leurs histoires, et à le
esoin d’être exercée. Je vous demanderai compte, à mon retour, de vos
lectures
et surtout de l’histoire de France, dont je vous
ttendrais encore ! Lamartine, § VI. De l’analyse critique. La
lecture
et la composition sont sans doute d’excellents mo
rtie sur la foi du maître et sur celle des critiques dont ils font la
lecture
; mais il faut aussi qu’ils s’habituent à juger p
sion d’appliquer. Si ce travail paraît difficile au premier abord, la
lecture
de La Harpe ou de M. Villemain mettra facilement
’elle. Modèle d’analyse critique. Je me sens doucement ému à la
lecture
de ce morceau ; je reconnais l’élégie à ces tendr
, même au détriment d’une élégance qui eût pu rendre plus agréable la
lecture
de ce petit ouvrage. Toutes les fois que l’excess
éplique tous les faits qu’il rapporte, et toutes ses assertions de la
lecture
d’un acte public, qui les confirmait authentiquem
gloire se soutint pendant plusieurs siècles. Sa première leçon fut la
lecture
des deux harangues qui avaient causé son bannisse
pas ici de poésie, et je n’admets pas le style poétique en prose ; la
lecture
des poëtes est excellente pour préparer à écrire,
de l’idéal. C’est ainsi que le sculpteur Bouchardon s’inspirait à la
lecture
d’Homère. Prosateurs, usez des poëtes comme Bouch
Il est facile de voir combien M. de Chateaubriand s’est pénétré de la
lecture
de Bossuet et d’admiration pour ses beautés. C’es
même l’auteur des Martyrs, plus je me croirais fondé à penser que ces
lectures
ont été faites dans un âge où l’on sent trop vive
r ; étonné, ébloui de tant de richesses littéraires, que de nouvelles
lectures
, augmentent encore tous les jours, l’imagination
mment on doit parler en public ; et en second lieu de les former à la
lecture
à haute voix. Le talent de lire avec grâce, avec
plaire et pour toucher. Il faut que la personne chargée d’en faire la
lecture
, prenne en quelque sorte la place de l’auteur, qu
pourquoi Caton insiste tant sur une raison si faible en elle-même. La
lecture
des orateurs qui ont excellé, et particulièrement
ture qui sera vraie dans tous les temps et chez tous les peuples. Une
lecture
réfléchie de ces beaux chapitres ne peut être que
maîtres. Je pense néanmoins que l’imitation y peut quelque chose. La
lecture
réfléchie des meilleurs modèles, tels que les dis
pourtant fait subir quelques modifications. (Cours de belles-lettres,
lecture
18.) Division de Cicéron et de Quintilien. Cicé
er correctement, il faut, aux connaissances grammaticales, joindre la
lecture
et l’usage : la lecture de nos meilleurs écrivain
, aux connaissances grammaticales, joindre la lecture et l’usage : la
lecture
de nos meilleurs écrivains tant poëtes qu’orateur
gement des mots, ch. 2.) Ce sentiment nous accompagne surtout dans la
lecture
des ouvrages ; en sorte qu’une composition dure e
où ils sont placés qui les fait valoir. Il faut les remarquer dans la
lecture
des bons auteurs. Des lectures bien faites, et le
t valoir. Il faut les remarquer dans la lecture des bons auteurs. Des
lectures
bien faites, et les instructions d’un bon maître,
Anglais et plusieurs officiers ; et l’on peut entendre à la première
lecture
que tous ont été traduits devant une cour martial
proche quelquefois d’une inspiration soudaine ; au lieu que la froide
lecture
d’une manuscrit ne saurait jamais dominer une ass
laider de mémoire ou sur de simples notes est devenue générale(1). La
lecture
d’un plaidoyer écrit, outre qu’elle nuirait à la
lait en soi-même. A ce que dit Quintilien nous pouvons ajouter que la
lecture
des bons modèles et la composition contribuent me
de là qu’il arrive que tant de discours plaisent au débit, qui, à la
lecture
, sont trouvés médiocres. Chapitre II. De l
fois une vive impression à entendre des discours qui en font peu à la
lecture
. L’action est au discours ce que l’âme est au cor
r le travail et l’exercice. Les moyens que l’on peut employer sont la
lecture
à haute voix, la déclamation de morceaux de prose
imples. Le soutenu, Le soutenu est celui qu’on doit prendre pour la
lecture
des discours graves. Il faut que la voix soit tou
d’œuvre qu’il était si loin de faire valoir : et reprenant ensuite la
lecture
mieux raisonnée du même discours, il y fit entrev
éron et Quintilien, contribuent à former l’écrivain et l’orateur : la
lecture
des bons modèles, la composition et l’imitation.
ecture des bons modèles, la composition et l’imitation. § I. De la
lecture
des bons modèles. La lecture des bons modèle
ition et l’imitation. § I. De la lecture des bons modèles. La
lecture
des bons modèles. « L’orateur, dit Quintilien,
oc. cit.) Pour acquérir ce fonds, il faut d’abord s’instruire par des
lectures
variées et faites non pas rapidement et pour pass
faire. On doit recommander aux jeunes gens de choisir d’abord leurs
lectures
, ou de suivre dans ce choix les conseils d’hommes
s, avec les tours, avec tous les ornemens du discours. Utilité de la
lecture
des poëtes. La lecture des poëtes est utile à l’
tous les ornemens du discours. Utilité de la lecture des poëtes. La
lecture
des poëtes est utile à l’orateur pour apprendre à
se destinent à la haute éloquence se nourrissent de bonne heure de la
lecture
des poëtes, et surtout de celle d’Homère. ……… D
moyens de se former à l’éloquence et à l’art d’écrire 420 § I. De la
lecture
des bons modèles 421 § II. De la composition 423
la nôtre. Trois moyens de se former à l’art de parler et d’écrire. La
lecture
des bons modèles. Choix qu’il faut ou faire. Mani
odèles. Choix qu’il faut ou faire. Manière de les lire. Utilité de la
lecture
des poëtes. Et de la traduction. La composition.
des lettres peut lui inspirer une sorte d’impatience et de dépit à la
lecture
d’un ennuyeux et ridicule ouvrage ; mais l’habitu
t d’être dangereux2. Je sais qu’il est un goût acquis par l’étude, la
lecture
et la comparaison ; et je ne prétends pas en nier
ront celles-ci à la fraîcheur, au contentement qui pénètre l’âme à la
lecture
des divines pages de Platon. Les Lois de Platon !
’ait pas fait ce rêve d’une vie toute plongée dans l’étude et dans la
lecture
? qui ne s’est figuré, avec délices, une petite r
ouverte doit ajouter beaucoup au sentiment agréable, que lui cause la
lecture
d’un bel ouvrage. Je vais diviser cette Partie en
pauvres d’études préliminaires, Dont le feu, dépourvu de sens et de
lecture
, S’éteint à chaque pas, faute de nourriture. Si
omplète de tous les objets extérieurs qui ont rapport au sujet, et la
lecture
de tous les livres qui peuvent en éclaircir l’ens
t sur le suivant aux éclaircissements les plus indispensables pour la
lecture
du texte, et à quelques indications qui pourront
sujets. Mais il serait imprudent de se jeter sans préparation dans la
lecture
de ces précieux ouvrages ; on s’exposerait à s’ég
lime ne paraît être qu’un fragment d’un plus important ouvrage, et la
lecture
attentive de ce précieux traité semble justifier
éteurs ; et beaucoup de choses inutiles rendent un peu fastidieuse la
lecture
de ses Institutions. Il faut donc ouvrir à l’étud
ment environ trois volumes in-8º. Après avoir entièrement traduit les
lectures
du savant professeur d’Édimbourg, j’en ai extrait
même degré dans chaque individu. Quoique l’impression produite par la
lecture
des productions du génie soit passagère, elle peu
ulement par une attention soutenue pour les meilleurs modèles, par la
lecture
des ouvrages les plus recommandables, et la compa
lus prononcé pour la poésie, l’autre ne trouve de plaisir que dans la
lecture
de l’histoire ; celui-ci préfère la tragédie, cel
ment sur le raisonnement, mais sur le plaisir que nous éprouvons à la
lecture
d’une tragédie dont l’action est simple. Un grand
rofondi des idées de l’auteur, dont il peut suspendre et reprendre la
lecture
, et soumettre les pensées à la réflexion. Mais, d
ment négative, mais bien une beauté positive. Nous nous plaisons à la
lecture
d’un auteur qui nous affranchit de la fatigue de
e. Il n’existe pas d’autres modèles de pureté et de convenance que la
lecture
habituelle des meilleurs écrivains. La définition
s devons nous familiariser avec le style des meilleurs auteurs ; leur
lecture
est nécessaire pour nous former le goût, et pour
rale que respirent ses discours je ne sais quel charme qui en rend la
lecture
attachante. — Un des hommes les plus remarquables
e subtilité la nature des passions. Sous le rapport philosophique, la
lecture
de ce traité peut être avantageuse ; mais je dout
, et non pas sur la manière guindée et artificielle qui résulte de la
lecture
des livres où la ponctuation nous dirige. En géné
voudront marcher sur leurs traces. L’orateur formera son style par la
lecture
des grands modèles, qui l’enrichiront de nouvelle
ierait plus spécialement aux exercices de composition et d’action. La
lecture
à haute voix, la déclamation accompagnée de geste
est très judicieux et très correct. Il est inutile de recommander la
lecture
des ouvrages de rhétorique de Cicéron, tout ce qu
à l’exercice de la mémoire et susceptible d’ajouter à l’utilité de la
lecture
, en plaçant sous les regards, avec la marche inse
s’ajouta pour lui la fréquentation d’Amyot, dont le Plutarque fut sa
lecture
favorite, et de Montaigne, son voisin, dont il pr
on frère. (16 août 1883). • Lettre de La Fontaine à Boileau après une
lecture
de l’Art poétique. (13 août 1883). • Lettre de l’
les causes de ce fétichisme rétrospectif ; les uns l’attribuent à la
lecture
de Plutarque, que le génie d’Amyot avait rendu fr
rries les générations précédentes ; les autres, plus simplement, à la
lecture
même des historiens latins, qui n’ont jamais inéd
ements de cour vous rendront blanc ou noir. Ne peut-on pas, après la
lecture
de ce morceau, dire de La Fontaine comme du poète
poétiques du moyen âge même, qu’il croit mériter d’être étudiées. La
lecture
de Vauquelin de la Fresnaye encore aujourd’hui ne
Voltaire, « la pièce des connaisseurs », fut inspirée à Racine par la
lecture
de Tacite, qu’il proclame avec raison « le plus g
re à l’Académie quelques réflexions seulement, que lui a inspirées la
lecture
des ouvrages de ses nouveaux confrères ; mais il
ur enseigner le grec et expliquer Homère. Vous supposerez qu’après la
lecture
publique de l’Iliade, un de ses disciples l’en re
s. [12] (19 août 1885) Lettre de La Fontaine à Boileau après la
lecture
du IIe chant de l’Art poétique. Plan. — 1º Il
ndaires ; cependant que son ami lui permette de lui confier que cette
lecture
lui a causé un chagrin : il a cherché en vain l’A
ue je n’ai pas longtemps gardé pour moi seul le charme d’une pareille
lecture
et que j’ai rassemblé nos confrères tout exprès p
rateurs, des hommes de goût, nourris aux luttes de la tribune et à la
lecture
des manuscrits grecs, tous hommes pratiques, la p
ter la scène dans le barreau. Étudiez avec soin toutes vos causes. La
lecture
d’un dossier ne suffit pas pour bien connaître un
cette justesse et cette propriété par l’étude de la langue et par la
lecture
des bons auteurs. Autrefois ces qualités étaient
rhythme, et cet instinct, c’est la nature qui nous le donne, c’est la
lecture
des poëtes et des orateurs qui le développe en no
si l’on veut avoir de bons conseils sur ce sujet, nous renvoyons à la
lecture
d’un poème sur le Geste, que nous devons au P. Sa
’ait pas fait ce rêve d’une vie toute plongée dans l’étude et dans la
lecture
? Qui ne s’est figuré, avec délices, une petite r
ttre le Traité de la poésie entre les mains des élèves comme livre de
lecture
: ce qui serait d’autant plus facile à faire que
ient au défaut de mœurs plus qu’au défaut de goût ; et rappelons à la
lecture
et à l’admiration de ces chefs-d’œuvre ceux que l
u5 de chacun ; également gaie et amusée6 à faire les après-dînées des
lectures
sérieuses, à converser dessus, et à travailler av
c’est ce qui nous attache et nous rappelle encore si puissamment à la
lecture
de leurs ouvrages ; c’est ce qui sollicite et obt
neuf livres qui composent son histoire, prouve avec quel transport la
lecture
en fut entendue à l’assemblée des jeux olympiques
Dieux au plaisir que je sens. Le cardinal de Richelieu entendant la
lecture
que lui faisait Colletet d’une de ses comédies, l
rand défaut, si elle a quelque chose d’extraordinaire et de forcé. La
lecture
de nos bons poètes apprendra l’usage qu’on doit e
-mêmes leur cause, et leur plaidoyer se bornait presque toujours à la
lecture
d’un discours composé pour la circonstance par un
les réflexions vaudraient comme charme et comme utilité celles qu’une
lecture
attentive vous amènera à faire vous-mêmes ! D’ail
rir le mérite d’un semblable plan, plus nous trouvons de plaisir à la
lecture
de l’ouvrage. Les caractères distinctifs du goût
c. (Ces observations ne peuvent être réduites en règles générales, la
lecture
et le dictionnaire doivent en tenir lieu. Or
us ne pouvons qu’applaudir à la justesse de la réflexion suivante. La
lecture
des grands modèles est autant au-dessus de l’étud
c’était la poésie des ruelles ; l’hôtel de Rambouillet se pâmait à la
lecture
d’une ballade, d’un rondeau, d’un madrigal : la c
c des Quatre Cantons. 1. Ce passage est extrait d’un article sur les
lectures
publiques qui s’adressaient en 1848 à un auditoir
e coupé]alheur aurait ravi tout sentiment. Version LXXIX. De la
Lecture
. 79. La première preuve qui montre un esprit
eaucoup de [illisible chars][texte coupé]hoses, choisissez dans votre
lecture
quelque pensée pour vous [illisible chars][texte
re tendre, applique-le avec ardeur aux Muses, et propose-toi dans tes
lectures
des exemples que tu imiteras bientôt ; ne cesse j
il, il ne s’est passé presque aucun jour où quelque auteur ne fit une
lecture
publique. J’aime à voir les études fleurir, les h
i l’auteur est entré, s’il a dit le prologue, s’il est avancé dans sa
lecture
: puis enfin ils se décident à venir, mais alors
anda la cause : comme on lui dit que c’était Nonianus qui faisait une
lecture
, il vint subitement, et sans être attendu, se mêl
ement leurs productions. Quant à moi, je n’ai manqué presque à aucune
lecture
. Du reste, la plupart des auteurs étaient mes ami
enant regagner ma retraite, et composer quelque chose, sans en donner
lecture
: je ne voudrais pas paraître avoir prêté mon att
e choses que ses auditeurs emporteront avec eux. En effet, quoique la
lecture
leur offre assez d’exemples à imiter, cependant l
t fallu, le sacrifice de mes jours. Version LXXV. Utilité de la
lecture
des anciens. Dans la lecture des anciens, l’e
s. Version LXXV. Utilité de la lecture des anciens. Dans la
lecture
des anciens, l’esprit puise de la vigueur, et tro
s plus rapidement les ouvrages écrits dans notre langue, parce que la
lecture
en est plus facile. Beaucoup de choses passent sa
ouvelle qui pique notre curiosité : de même on peut dire que, dans la
lecture
de nos écrivains, dans un travail qui demande tro
ranger une salle, loue des banquettes, distribue des annonces. Et, sa
lecture
fût-elle couronnée du plus brillant succès, cette
connaît les poëtes médiocres, et peu connaissent les bons. Quand une
lecture
obtient le plus rare succès, le bruit s’en répand
n à un autre jour. Plusieurs personnes lui demandant avec instance la
lecture
du reste, il répondit qu’il l’achèverait le lende
c « que le poëte Philémon, qu’on attendait au théâtre pour achever la
lecture
d’une pièce d’invention, avait déjà terminé chez
38 78. Persée, roi de Macédoine, conduit en triomphe. 138 79. De la
Lecture
. 140 80. Midas change en or tous les objets qu’i
monarchie héréditaire. 238 34. Pline à Sosius Sénécion, touchant les
lectures
publiques. 240 35. Devoir du maître qui enseigne
de Socrate. 312 74. Des misères de l’âge mûr. 312 75. Utilité de la
Lecture
des anciens. 314 76. Vœux de Marc-Aurèle pour so
ndent le mérite de l’ouvrage, et le plaisir que nous en peut faire la
lecture
. Or ce charme, le plus puissant, le plus sûr de t
t épris ; Mais la vérité nue a pour moi plus de prix. Eh quoi ! d’une
lecture
insipide et glacée Tu prétends attrister mon orei
ravaux apostoliques des jésuites, et poursuivi par le souvenir de ses
lectures
, il cherchait naïvement aux alentours de la ville
aux esprits dont l’hôtel de Rambouillet fut le centre, qu’enchanta la
lecture
de l’Astrée, et qui portèrent aux nues Balzac et
dirons qu’il convient de se préparer à l’étude des règles par : 1° La
lecture
des bons modèles ; 2° L’analyse de morceaux chois
ns tous les genres ; 3° Des exercices gradués de composition. 1° La
lecture
d’auteurs choisis. La voie des préceptes est l
les d’une éloquence austère et d’un style pur. 2° L’analyse. La
lecture
serait peu fructueuse, si l’analyse ne devait imm
nalyse dont d’abord il lui a été donné connaissance. 1er Exercice :
Lecture
du morceau par le maître ou par un élève. Après c
rcice : Lecture du morceau par le maître ou par un élève. Après cette
lecture
, l’élève doit en présenter le compte rendu. 2e Ex
ficile de trouver les preuves extrinsèques, lorsque par l’étude et la
lecture
la mémoire s’est enrichie d’exemples, d’autorités
e froide et dédaigneuse protection. On le regrettera vivemement, à la
lecture
de plusieurs morceaux de ses ouvrages. Aux traces
dits, ou grands poèmes, dont le sujet est assez développé et dont la
lecture
est assez longue pour qu’on ait été porté à les d
chait du four ouvert et enflammé, et continuait, à ce rude soleil, la
lecture
de Tite-Live ou de César. Telle était cette enfan
vous-même, plutôt qu’à moi qui ne vous en demande point, et à qui la
lecture
de vos Observations n’a donné aucun mouvement que
nt prouvé longuement que d’autres pensaient comme eux. Cet étalage de
lecture
, ce faste d’érudition ne convient pas à l’éloquen
ndamner certains livres, dont il ne faut à aucun prix se permettre la
lecture
, quand bien même on devrait se résoudre à ignorer
inspirer : τὸ μὲν γὰρ ἀπίθανον. Qui pourrait d’ailleurs supporter la
lecture
ou le débit d’un discours où toutes les phrases s
arer, comme moi, et de purifier son âme ». C’est sans doute après la
lecture
de pareils morceaux, que l’un des plus spirituels
frémissant d’une lutte récente, exalté par la fièvre, la colère et la
lecture
de la Bible, écrivit ce livre pour rendre du cœur
is des livres qui ne m’obligent point à méditer, et je n’apporte à ma
lecture
qu’une médiocre attention ; car en même temps je
e son siècle, enfin, inspiré d’un génie extraordinaire, et aidé de la
lecture
des anciens, fit voir sur la scène la raison ; ma
t qu’il me lut d’un air emphatique. Néanmoins, malgré le charme de la
lecture
, je trouvai l’ouvrage si obscur, que je n’y compr
ouis XIII, Saint-Simon a raconté presque au début de son œuvre que la
lecture
de Bassompierre "l’invita à écrire ce qu’il verra
à la nature. Le style n’est pas à beaucoup prés le seul intérêt de la
lecture
de Saint-Simon. Sa qualité essentielle est l’obse
sser la déclaration dont Monsieur le garde des sceaux allait faire la
lecture
, pour la faire enregistrer après au lit de justic
arler, il dit au garde des sceaux de lire la déclaration. Toute cette
lecture
fut écoutée avec la dernière attention, jointe à
ils ne le comprenaient pas, et ils ne s’en remirent point de toute la
lecture
. Ceux surtout que la précédente avait le plus aff
s. Je partageai mon attention entre le maintien de l’assistance et la
lecture
de la déclaration, et j’eus la satisfaction de l’
imé. Quelques moments de silence morne et profond succédèrent à cette
lecture
, pendant lesquels le maréchal de Villeroy, pâle e
us que je n’aie pas rendu un grand service au public de lui rendre la
lecture
des bons auteurs familière. — Je ne dis pas tout
e les dégoûts de la vie, n’ayant jamais eu de chagrin qu’une heure de
lecture
n’ait dissipé. J’ai eu naturellement de l’amour p
er à aucun, mais curieuse de connaître, de sentir, passionnée pour la
lecture
et les libres rêveries de la campagne. Comme Gil
s à vos leçons ; et je vous les dirai, encore attendri d’une première
lecture
où mon cœur écoutait avidement le vôtre, vous aim
utarque. L’histoire de France, que vous lui conseillez271, est une
lecture
essentielle : il est honteux de l’ignorer, c’est
he272, qu’elle ne l’amuserait point, et vous savez à merveille qu’une
lecture
qui ennuie n’est pas une lecture utile : tout pas
nt, et vous savez à merveille qu’une lecture qui ennuie n’est pas une
lecture
utile : tout passe comme sous les yeux d’un homme
onner les Vies de Plutarque ; mais elles ne sont point ici. C’est une
lecture
touchante, j’en étais fou à son âge : le génie et
était bien impossible de les lire de sang-froid ; je mêlais ces trois
lectures
, et j’en étais si ému, que je ne contenais plus c
suré, M. Damiron, a bien rendu, il nous semble, l’impression de cette
lecture
: « On n’aime pas le ton d’amertume, peut-être au
impression sur les esprits. Le bill obtint sur-le-champ une première
lecture
. Les uns crurent sacrifier la loi à la justice, d
celle de Pym et de ses amis fut au comble ; ils pressèrent la seconde
lecture
du bill d’attainder 428. En vain Selden, le plus
ence historique. Né à Blois en 1795, il recevait, encore enfant, à la
lecture
des Martyrs de Chateaubriand, comme le premier pr
beth, et le 18 février 1587 la sentence reçut son exécution. Quand la
lecture
de la sentence fut achevée, Marie fit le signe de
bonne opinion des autres : voilà ce que chacun peut puiser dans cette
lecture
. Mais il y a aussi dans la vie de Franklin de bel
eux-mêmes. Ce n’est pas non plus l’un des moindres attraits de cette
lecture
, que ce style si personnel, rapide et varié comme
des dames qui ne craignent pas de venir bâiller, toutes parées, à mes
lectures
, pour gagner la réputation de s’y connaître ; j’a
eux enchanteurs qui l’entraînent : l’argent, s’il est prosateur ; les
lectures
à la cheminée, s’il est poète : outre que, s’il a
ustres devanciers, dans les secrets profonds de son art. Nourri de la
lecture
des longs romans du dix-septième siècle, peu vers
e même fut l’exaltation produite par une pièce qui paraît froide à la
lecture
, que Danton osait se promettre qu’elle accélérera
utem, sed expediunt. » 46. Rollin parle ici du goût par rapport à la
lecture
des auteurs et à la composition. 47. 3. Voir l’a
er. 283. Récolement, dans l’ancienne jurisprudence, se disait de la
lecture
faite à des témoins de leurs propres dépositions,
ques traits sévères ou excessifs, il y a une leçon à recueillir de la
lecture
de cette page. C’est que les étrangers ont souven
» 351. On peut croire que cette pensée, Joubert l’a écrite après la
lecture
du Phèdre ou du Banquet de Platon. Mais elle est
ouvait rien contre elle. » 372. Nous ne saurions trop recommander la
lecture
des derniers chapitres de la quatrième partie de
storiques, a raconté l’impression qu’il éprouva dans son enfance à la
lecture
de ce célèbre morceau. Dans son enthousiasme, il
les morceaux remarquables de l’Itinéraire, dont nous recommandons la
lecture
, nous citerons : dans la troisième partie : l’arr
simplicité douce et triste, est cité dans le livre de M. Legouvé : La
Lecture
en action. On trouvera, page 259 et suivantes, de
P. Corneille. Préface de l’Imitation Je n’invite point à cette
lecture
ceux qui ne cherchent dans la poésie que la pompe
peu de travail je pourrais m’acquérir assez de réputation. J’aime la
lecture
, en général ; celle où il se trouve quelque chose
on les dispositions, ce qui est ce que Dieu regarde le plus362. La
lecture
Il faut considérer que l’étude est la culture
aux esprits dont l’hôtel de Rambouillet fut le centre, qu’enchanta la
lecture
de l’Astrée, et qui portèrent aux nues Balzac et
rien su mander qui me fût plus agréable que la nouvelle du plaisir de
lectures
qui vous a pris. Plutarque me sourit toujours d’u
onsolable si ces sortes de livres vous inspiraient du dégoût pour des
lectures
plus utiles, et surtout pour les livres de piété
riture sainte. Il me semble qu’à votre âge il ne faut pas voltiger de
lecture
en lecture, ce qui ne servirait qu’à vous dissipe
te. Il me semble qu’à votre âge il ne faut pas voltiger de lecture en
lecture
, ce qui ne servirait qu’à vous dissiper l’esprit,
de chacun ; également gaie et amusée981 à faire les après-dinées des
lectures
sérieuses, à converser dessus, et à travailler av
us que je n’aie pas rendu un grand service au public de lui rendre la
lecture
des bons auteurs familière ? — Je ne dis pas tout
omme on aime son fils 1130. Conseils à une demoiselle Sur la
lecture
Aux Délices, près de Genève, le 20 juin 1756.
Tasse et l’Arioste1131 vous rendront plus de services que moi, et la
lecture
de nos meilleurs poëtes vaut mieux que toutes les
cet industrieux séjour1698. Mort de Marie Stuart1699 Quand la
lecture
de la sentence fut achevée, Marie fit le signe de
ve pas un jour où la vue seule d’un bon livre, à plus forte raison sa
lecture
, ne m’ait ravi et transporté. Je ne pourrai jamai
ouragement et l’ennui ; combien de fois une heure, une seule heure de
lecture
, m’a ranimé et rendu à moi-même ! Dans les premiè
tre j’abusais du soleil et de mes yeux, oubliant que ce plaisir de la
lecture
, qui semble le plus pur et le plus attrayant de t
est le seul hôte. On le rend présent par la prière et par de pieuses
lectures
. Un paysage anglais Pour les étrangers, la
liberté de l’abeille ; il ne choisit pas, parmi les fleurs des belles
lectures
, celles dont se compose le miel des bons sentimen
remplir leur véritable objet, doivent se composer en grande partie de
lectures
, d’extraits abondants, faits avec choix… L’accent
ques remarques courantes et comme marginales, qui se glissent dans la
lecture
et s’en distinguent par un autre ton ; quelques r
overbes. 369. Lisez les conseils que Racine donne à son fils sur la
lecture
. Le vase garde le parfum de la liqueur qu’il a re
relisait souvent : « Nous relisons aussi, au travers de nos grandes
lectures
, des rogatons que nous trouvons sous notre main :
faire le pédagogue. La Bruyère disait sur le même sujet : « Quand une
lecture
vous élève l’esprit, et qu’elle vous inspire des
s lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait la
lecture
, comme elle peut. Pauvre femme ! nous mettons ens
a l’humeur si mobile ! 1313. Dans son enfance, il aimait beaucoup la
lecture
de Plutarque. 1314. Le ton change brusquement et
29. Profitons de l’occasion pour citer cette page de Mme Sand sur ses
lectures
d’enfance. « Je suis de ceux pour qui la connais
s Quatre Cantons. 1800. Ce passage est extrait d’un article sur les
lectures
publiques qui s’adressaient en 1848 à un auditoi
aire de Mazarin. 1807. Sainte-Beuve vent dire que la réflexion et la
lecture
nous guérissent de l’ennui, surtout quand le livr
et tels qu’ils sont. Quel fruit ne pouvons-nous pas retirer de cette
lecture
? C’est là plus que partout ailleurs que l’histoi
ire, exigeaient un genre d’illusion trop forcée pour le théâtre. À la
lecture
, on avait été plus indulgent, parce que les audit
’intelligence, par la subtilité de la raison, par la multiplicité des
lectures
, ou le connaître par les simples instructions du
de son siècle, enfin inspiré d’un génie extraordinaire, et aidé de la
lecture
des anciens, fit voir sur la scène la raison, mai
e d’indignation et de haine il soulève au fond de notre âme ! À cette
lecture
, l’image des supplices m’environne de toutes part
soin de savoir régler votre ton et vos gestes, ne fût-ce que pour une
lecture
à haute voix ou une conversation familière. Le me
ils doivent puiser des idées. Les premières qui se présentent sont la
lecture
et la conversation. La jeunesse ne doit se livrer
ont la lecture et la conversation. La jeunesse ne doit se livrer à la
lecture
qu’avec une extrême circonspection. Il en est des
n vain plaisir à leur intérêt bien entendu ; qu’ils cherchent dans la
lecture
, non le moyen de se débarrasser du temps, mais l’
lativement à la conversation : elle est en général moins utile que la
lecture
, et ne peut guère fournir que des connaissances i
nnable. Ily a un genre d’exercice qui réunit à la fois futilité de la
lecture
et le charme de la conversation, c’est de lire no
défauts du livre, et de vous communiquer ses impressions. « J’aime la
lecture
en général, dit La Rochefoucauld ; celle où il se
e conversation la plus agréable du monde et la plus utile. » Après la
lecture
et la conversation, tous les objets qui nous envi
et en même temps s’est enrichi d’un assez grand nombre d’idées par la
lecture
, par la conversation, par l’observation extérieur
. Le Tasse et l’Arioste vous rendront plus de services que moi, et la
lecture
de nos meilleurs poëtes vaut mieux que toutes les
streint : il faut que l’enfant trouve quelque attrait à poursuivre sa
lecture
, et que la note écrite supplée, autant qu’il est
e, selon nous, de se rendre bientôt inutiles en inspirant le goût des
lectures
d’ensemble. On pourra sans doute regretter ici l’
tique Rome, du point élevé du Capitole où Corinne l’avait conduit, La
lecture
de l’histoire, les réflexions qu’elle excite, agi
impression sur les esprits. Le bill obtint sur-le-champ une première
lecture
. Les uns crurent sacrifier la loi à la justice, d
celle de Pym et de ses amis fut au comble ; ils pressèrent la seconde
lecture
du bill d’attainder 129. En vain Selden, le plus
ience historique. Né à Blois en 1793, il recevait encore enfant, à la
lecture
des Martyrs de M. de Chateaubriand, comme le prem
eth, et le 18 février 1587 la sentence reçut son exécution. Quand la
lecture
de la sentence fut achevée, Marie fit le signe de
bonne opinion des autres : voilà ce que chacun peut puiser dans cette
lecture
. Mais il y a aussi dans la vie de Franklin de bel
e. Telle fut même l’exaltation produite par une pièce qui paraît à la
lecture
froide et décolorée, que Danton osait se promettr
t difficile de se mettre en garde contre les surprises d’une première
lecture
; mais une fois le charme rompu et les nerfs calm
pages à détacher encore ! que d’admirables tableaux bien dignes d’une
lecture
méditée : Corinne au Capitole (livre II), — le Vé
tif et ses scrupules exagérés. Sauf ces réserves, Corinne est une des
lectures
les plus propres à développer chez la jeunesse l’
agne, IIe partie, chap. xv. 36. Nous ne saurions trop recommander la
lecture
des derniers chapitres de la quatrième partie, do
ur que nous prétendions les indiquer ; mais nous recommanderons à une
lecture
particulière et attentive les cinq livres de la 2
, a raconté l’impression qu’il éprouva dans son enfance à la première
lecture
de ce célèbre morceau. Dans son enthousiasme il m
i les morceaux remarquables de l’Itinéraire dont nous recommandons la
lecture
, nous citerons : dans la troisième partie, l’arri
néral en garantirait au besoin l’authenticité, s’il n’était aisé à la
lecture
d’y reconnaître ce cachet inimitable de force et
r Buffon, savant et naturaliste, nous ne saurions trop recommander la
lecture
du livre que nous venons de citer : c’est l’expos
leur partagée doit s’appeler consolation. » 388. On aimera, après la
lecture
des vers énergiques et sombres du Discours sur la
fermiront dans la voie du bien. Mais qu’ils se gardent surtout de ces
lectures
dangereuses où les passions, peintes sous des cou
eds ont l’empire), Attendent dans un angle, à leur taille ajusté, Les
lectures
du soir et les heures du thé1. Tout est prêt et r
bonne opinion des autres : voilà ce que chacun peut puiser dans cette
lecture
. Mais il y a aussi dans la vie de Franklin de bel
me étouffés ou corrompus par une éducation vicieuse, par de mauvaises
lectures
, par les exemples et les préjugés du siècle, qui
nfin, ce n’est point ici l’effet toujours incertain et variable d’une
lecture
particulière où chacun a tout le loisir de lutter
ers, et le pourrait-on, il en résulterait une uniformité telle que la
lecture
et l’audition des vers seraient insupportables. L
léments de l’art ; l’âge mûr les développera et les complétera par la
lecture
approfondie des ouvrages didactiques composés sur
ire d’un tel homme ? il n’est bon à rien. Les affaires l’ennuient, la
lecture
sérieuse le fatigue, le service d’armée trouble s
t respirer, et me ferait plus de plaisir. Il me tient trop tendu ; la
lecture
de ses vers me devient une étude. Tant d’éclairs
’écrivain, beaucoup trop resserré dans les bornes d’une demi-heure de
lecture
, ne les ait pas franchies, au lieu de sacrifier s
▲