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1 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre I. — Rhétorique »
ce talent. Marmontel nous en indique la différence en ces termes : «  L’une trace la méthode et l’autre la suit ; l’une ensei
férence en ces termes : « L’une trace la méthode et l’autre la suit ; l’une enseigne les moyens et l’autre les emploie ; l’un
l’autre la suit ; l’une enseigne les moyens et l’autre les emploie ; l’une indique les sources et l’autre y va puiser ; l’un
utre les emploie ; l’une indique les sources et l’autre y va puiser ; l’une abat une forêt de matériaux et l’autre en fait le
2 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE I. Des différentes sortes de vers. » pp. 267-270
cĭă | līnquĭmŭs | ārυă. Le vers hexamètre peut avoir trois césures, l’une au second pied, l’autre au troisième, et l’autre
; et, si cela n’était pas possible, il en faudrait deux dans le vers, l’une au second pied, l’autre au quatrième28, comme on
té, plus d’étendue à la pensée. 28. Les vers qui ont deux césures, l’une au second pied, l’autre au quatrième, offrent une
3 (1875) Poétique
La tragédie étant donc née comme d’elle-même, ainsi que la comédie : l’une du dithyrambe, l’autre des farces satiriques, qui
d’Ulysse, comme sa folie simulée, sa blessure au mont Parnasse, dont l’une n’est liée à l’autre ni nécessairement ni vraisem
: car les actions dont les fables sont les imitations sont évidemment l’une ou l’autre. J’appelle action simple celle qui, ét
implexe, celle qui s’achève avec reconnaissance ou péripétie, ou avec l’une et l’autre. Ce qui doit naître de la constitution
pourrait y avoir un exemple, mais il n’y aurait ni pitié ni terreur : l’une a pour objet l’innocent, l’autre notre semblable
berceau dans Tyro. Mais dans cette espèce il y a deux manières, dont l’une est meilleure que l’autre. Par exemple, Ulysse es
demande une imagination vive ou une âme susceptible d’enthousiasme : l’une peint fortement, l’autre sent de même. Quel que s
ue le peintre et tout artiste qui figure, il faut de ces trois choses l’une  : qu’il imite les objets tels qu’ils sont ou qu’i
arlant de lui-même et d’Euripide. On peut en user dans l’occasion. Ni l’une ni l’autre de ces raisons n’est reçue. Dites que
ue nous avions à dire de la tragédie et de l’épopée ; de la nature de l’une et de l’autre ; de leurs formes et de leurs parti
nd la conjonction avec la préposition, qui effectivement ne diffèrent l’une de l’autre qu’en ce que la préposition a un régim
4 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
orber, une opinion éclectique ou un fait conciliateur, il présentera, l’une après l’autre, la thèse, l’antithèse et la synthè
n prend le premier rang. Enfin, il est des cas où l’on peut supprimer l’une ou l’autre de ces parties, comme parfois on suppr
s les moyens de la confirmation et de la réfutation. Manque-t-elle de l’une ou de l’autre des vertus que lui demandent les rh
Il en est de même de l’éloquence judiciaire. Tantôt il faut prémunir l’une ou l’antre partie de la narration par une discuss
gueurs. La route qui mène à la clarté mène aussi à la précision. Pour l’une comme pour l’autre, il faut faire un choix dans l
5 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
assentiment, je cherche une idée intermédiaire dont la relation avec l’une et l’autre soit évidente ou préalablement démontr
x dernières formes peuvent se ramener toujours à la première. Souvent l’une ou l’autre des prémisses a besoin elle-même d’une
and nombre de propositions tellement liées ensemble que l’attribut de l’une devienne continuellement le sujet de celle qui la
apports ensemble, que plusieurs rhéteurs ne les ont point distinguées l’une de l’autre. « Comme vous ne pouvez, dit Cicéron,
nies et accumulées, isolez à votre tour chacune d’elles et brisez-les l’une après l’autre. Si, au contraire, vous avez contre
6 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre premier. Idée générale de l’Éloquence. »
e est l’art de persuader, et la rhétorique est la théorie de cet art. L’une trace la méthode, et l’autre la suit ; l’une indi
t la théorie de cet art. L’une trace la méthode, et l’autre la suit ; l’une indique les sources, et l’autre y va puiser ; l’u
l’autre la suit ; l’une indique les sources, et l’autre y va puiser ; l’une enfin prépare les matériaux, et l’autre en fait l
7 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
ne, et qui est ou l’objet de notre foi ou la règle de notre conduite. L’une et l’autre sont absolument nécessaires à tout hom
le premier et le principal devoir des créatures intelligentes ; mais l’une et l’autre sont encore plus essentielles à ceux q
vous attachant aux deux vues générales que je viens de vous marquer : l’une , de vous convaincre toujours de plus en plus du b
8 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
a fortune de ses héros n’est ni lente ni précipitée, et le passage de l’une à l’autre situation étant surprenant sans être in
n suppliante, couquestio, commiseratio ; il développe les éléments de l’une et de l’autre, ne donnant pas moins de treize moy
utes les idées, qui, en les rapprochant, les fortifie et les échauffe l’une par l’autre. La disposition enseigne les justes p
essentielle à l’écrivain que l’invention et l’élocution, qui l’aident l’une à les découvrir, l’autre à les formuler. Que l’él
9 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VIII. » pp. 96-97
il feignit lorsque les Grecs assembloient leurs armées  car de ce que l’une est arrivée, il ne s’ensuit ny nécessairement ny
d’Ulysse, comme sa folie simulée, sa blessure au mont Parnasse, dont l’une n’est liée à l’autre ni nécessairement ni vraisem
10 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VII. des passions  » pp. 89-97
hrope et philanthrope, Burrhus et Néron ? Et cependant de deux choses l’une  : ou vous croyez qu’il éprouve à la fois des pass
’une : ou vous croyez qu’il éprouve à la fois des passions exclusives l’une de l’autre, puisqu’il les exprime également bien,
çons de littérature de Noël et de la Place. Comparez ces compositions l’une à l’autre, c’est un exercice que je recommande d’
11 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
conséquent une synecdoque. Quoi qu’il en soit, et que vous préfériez l’une ou l’autre dénomination, observez qu’il ne faut p
ez plus que je ne vous dis. » Je bornerais volontiers la métalepse à l’une de ses applications, la plus ingénieuse, et en mê
ntité d’éléments qu’elle renferme ; et, comme on le prévoit aisément, l’une est toujours en raison inverse de l’autre. L’idée
us les exemples donnés de ces deux figures prouvent qu’elles rentrent l’une et l’autre dans la catachrèse, la périphrase et l
12 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117
ses dernières conséquences ; qui prépare, appuie, continue les idées l’une par l’autre du commencement à la fin de l’ouvrage
t dire, pour justifier l’écrivain, d’abord qu’il est aisé de conclure l’une de l’autre, et qu’en laissant ee soin à l’auditeu
qu’à présent, vous le voyez, les idées ont été successivement amenées l’une par l’autre ; la première a toujours contenu la s
bien disposer à leur tour leurs propres idées, et à les faire dériver l’une de l’autre. Il faudrait d’abord leur mettre entre
à quoi revient cette réflexion, puisque vous n’êtes vous-même ni dans l’une ni dans l’autre de ees catégories ? Vous n’êtes p
13 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
génération de jeunes élèves qui s’élanceront un jour à la tribune de l’une ou de l’autre chambre, et y feront entendre une é
pensé : « Ce sont deux choses, dit Horace, qui ont besoin du secours l’une de l’autre et qui doivent s’unir étroitement. …
a théorie de cet art. Elle trace la méthode, et l’éloquence la suit ; l’une indique les sources, et l’autre y va puiser. On p
le génie sans l’étude : ce sont deux choses qui ont besoin du secours l’une de l’autre, et qui doivent s’unir étroitement. »
ppe. Mais souvent elles sont contraires ; alors l’orateur fait valoir l’une ou l’autre, selon l’impulsion qu’il veut donner a
qui ont entre elles de l’analogie sont propres à se servir de preuves l’une à l’autre. D’où il suit que la preuve est en rais
ent, les argumens qui concernent la personne ou la chose se tirent de l’une ou de l’autre, et même de l’une et de l’autre tou
la personne ou la chose se tirent de l’une ou de l’autre, et même de l’une et de l’autre tout ensemble. Lieux qui regardent
principales, qu’on distingue surtout par la différence de leur objet. L’une se propose le vrai, sur lequel elle s’exerce par
ffirmatif et négatif. Lorsqu’on joint deux idées qui semblent faites l’une pour l’autre, le jugement est affirmatif ; lorsqu
est facile de voir que l’idée de Dieu et celle d’adorer, conviennent l’une et l’autre à l’idée d’être tout-puissant ; car Di
et par suite, si deux idées prises chacune séparément et rapprochées l’une après l’autre, d’une troisième, se trouvent avoir
is aux lois d’en faire justice. Il avait donc deux choses à prouver : l’une , que Clodius méritait la mort ; l’autre, que Milo
, en le tuant, avait pu justement faire l’office de la loi. Il prouve l’une par l’accumulation des attentats que l’audace, la
prémisse en particulier, les étendent, les amplifient toutes deux ou l’une d’elles seulement, si l’autre n’a pas besoin d’êt
s logiciens. Tantôt ils placent la mineure avant la majeure, séparant l’une de l’autre par d’assez grands intervalles, et ren
n, syllogisme tronqué. Il n’est composé que de deux propositions dont l’une s’appelle l’antécédent, et l’autre le conséquent.
nt beaucoup. Cependant nous avons cru apercevoir une différence entre l’une et l’autre. L’exemple est l’exposition d’un fait
ortes de méthode. Les logiciens distinguent deux sortes de méthode ; l’une qu’ils appelent analyse 1, et l’autre synthèse 2.
t de passer aux espèces et aux individus. Différence qu’il y a entre l’une et l’autre. MM. de Port-Royal disent « que ces d
rvir pour prouver qu’une personne est descendue de saint Louis ; dont l’une est de montrer que cette personne a un tel pour p
dont l’écrivain doit faire usage ? Je réponds qu’il doit se servir de l’une et de l’autre. L’analyse lui est indispensable po
 10.) Les preuves ne doivent point paraître isolées et indépendantes l’une de l’autre ; il faut, au contraire, qu’elles form
ompent, le font parce qu’ils manquent ou de ces trois qualités, ou de l’une d’elles. Faute de prudence, ils ne voient pas le
ordonner le discours. L’ordonnance du discours est de deux sortes. «  L’une , dit Cicéron, est indiquée par la nature même ; l
udence et de la sagacité de l’orateur. » (De Orat., l. II, n. 307.) L’une a rapport aux diverses parties du discours. La p
e tiennent toujours par quelque côté, et le plus souvent s’engendrent l’une l’autre. Cette génération devient un ordre nécess
Cicéron : Thèse, hypothèse. Il distingue deux sortes de questions, l’une qu’il appelle thèse, ou proposition générale, et
culier ; celle-là doit s’élever sans cesse du particulier au général. L’une ramène les maximes au fait, l’autre étend les fai
e qu’on en fait. » (De Orat., n. 331.) Les mêmes principes gouvernent l’une et l’autre ; les argumens qu’on y emploie se tire
se tirent des mêmes lieux : pensées, style, figures, tout est égal en l’une et en l’autre. Moyens de réfuter. C’est surtout
vif et naturel qui saisit la mélodie et la cadence, quand elles sont l’une et l’autre ce qu’elles doivent être. » (Arrangeme
oses ont entre elles des rapports si intimes, qu’on ne peut connaître l’une sans connaître les autres. Les pensées et les sen
dans quelque ouvrage que ce soit. Au contraire, elles se rapprochent l’une de l’autre, elles se confondent et se marient ens
ans ce ton ; il parcourt différentes modulations, toujours enchaînant l’une à l’autre avec art et avec goût. C’est ce que doi
rce que la préposition avec se trouve répétée dans deux phrases, dont l’une n’est pas subordonnée à l’autre. Manière de plai
uet où les pensées sont parfaitement liées et les phrases construites l’une par rapport à l’autre : Exemple où les idées son
dépendance, de ressemblance ou d’opposition entre les deux idées dont l’une emprunte le nom de l’autre. Il suit de là qu’on d
figures de pensées ont chacune un caractère particulier qui fait que l’une sera admirable où l’autre serait ridicule. C’est
de comparaison, et l’idée première que l’on compare, étant éclairées l’une par l’autre, laissent mieux découvrir toute leur
rmi ses divinités, en avait une qu’elle représentait avec deux têtes, l’une tournée vers les siècles écoulés qu’elle embrassa
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces : l’une de l’avoir fait chrétienne ; l’autre….. Messieurs
idicule entre l’effet qu’il veut produire et le moyen qu’il emploie. L’une n’admet pas le style de l’autre. Il faut éviter
velopper chacune en particulier sans les confondre, évitant d’appuyer l’une par des raisons qui ne conviennent qu’à une autre
présent de la nature et le fruit du travail. Elle doit son origine à l’une , et à l’autre sa perfection. Une mémoire heureuse
quùm constet è voce atque motu. (Orat., n. 54.) De ces deux parties, l’une frappe les oreilles, et l’autre les yeux, deux se
reau, on entend de deux manières ce qu’on appelle l’état de la cause, l’une a rapport à l’instruction du procès ; en ce sens
induction. 1. Le discours de Canuléius renferme deux inductions. Par l’une , l’orateur prouve qu’il est juste que le peuple r
pose, je mets ensemble. Analyse. Synthèse. Différence qu’il y a entre l’une et l’autre. Quelle est celle dont l’orateur fait
rce que c’est contraire à nos mœurs. Néanmoins on peut assigner entre l’une et l’autre une différence assez simple : c’est qu
la disposition. Son importance. Deux manières d’ordonner le discours. L’une a rapport aux diverses parties du discours. L’aut
gne que tout discours, à la rigueur, n’a que deux parties. Il appelle l’une proposition et l’autre preuve. « En effet, dit-il
ique dans la prose. Différence qu’il y a entre la poésie et la prose. L’une n’admet pas le style de l’autre. Y a-t-il une pro
14 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
vais découvert de plus en plus mon ignorance. Et néanmoins j’étais en l’une des plus célèbres écoles de l’Europe1, où je pens
t l’éloquence, et j’étais amoureux de la poésie ; mais je pensais que l’une et l’autre étaient des dons de l’esprit plutôt qu
cette vie à ceux qui ont vécu en gens d’honneur, mais qu’au contraire l’une et l’autre leur promettent des joies et des récom
15 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
la litote nous rapprochions deux idées toujours semblables, mais dont l’une était plus grande ou plus petite que l’autre. Enf
ent en se rapprochant, comme deux couleurs opposées se font ressortir l’une l’autre ; exemples : La jeunesse vit d’espérance,
les mots sur eux-mêmes dans deux propositions successives et opposées l’une à l’autre, l’antithèse prend le nom de réversion.
16 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
ui absorbaient la rhétorique dans la philosophie, Aristote a appliqué l’une des maximes fondamentales de sa méthode, qui est
e ou la philosophie dans la rhétorique, c’est les dénaturer également l’une et l’autre ; la philosophie est une science, la r
y a deux manières de traduire les ouvrages techniques de l’antiquité. L’une consiste à faire passer dans notre langue toute l
nçant : les circonstances où elle a lieu, son objet, son procédé. Par l’une , Sophocle est un imitateur dans le même sens qu’H
’apparition de la tragédie et de la comédie, les poètes s’attachant à l’une ou à l’autre, suivant leur caractère propre, les
qui se déroule avec reconnaissance ou avec péripétie, ou encore avec l’une et l’autre. III. Il faut nécessairement que ces e
ments d’humanité, mais non pas à la pitié, ni à la terreur. En effet, l’une surgit en présence d’un malheureux qui l’est inju
celle de la femme, celle de l’esclave, bien que le caractère moral de l’une soit peut-être moins bon, et celui de l’autre abs
t-à-dire un nombre égal aux parties dont une tragédie est composée85. L’une est complexe et comprend dans son ensemble la pér
de la rhétorique. I. La rhétorique se rattache à la dialectique179. L’une comme l’autre s’occupe de certaines choses qui, c
science déterminée. Aussi tout le monde, plus ou moins, les pratique l’une et l’autre ; tout le monde, dans une certaine mes
pposée, la rhétorique et la dialectique sont seules à procéder ainsi, l’une et l’autre supposant des contraires. Toutefois, l
commençant, est une partie de la dialectique et lui ressemble189. Ni l’une ni l’autre n’implique en soi la connaissance de q
actère improbable, Il arrive nécessairement que, parmi ces dernières, l’une n’est pas facile à suivre, en raison de son long
hoses s’enchaînent de deux manières, selon qu’elles vont ensemble, ou l’une après l’autre : par exemple, la science à l’étude
vidus (d’une espèce surpassent) ceux (d’une autre), le plus grand (de l’une ) surpassera le plus grand (de la seconde). Par ex
chose est un principe et que l’autre n’est pas un principe ; lorsque l’une est une cause et que l’autre n’est pas une cause,
rès ce qui précède, qu’une chose peut apparaître comme plus grande de l’une et de l’autre manière. En effet, si telle chose e
insi, chacun de nous a de l’aversion pour le voleur et le sycophante. L’une de ces passions peut guérir avec le temps, mais l
ces passions peut guérir avec le temps, mais l’autre est incurable ; l’une cherche plutôt à causer du chagrin, et l’autre à
ce. En effet, la présence d’un vice ne cause aucune douleur. De plus, l’une (la colère) est accompagnée de peine338, et l’aut
’être ; et si une galère est faisable, un navire l’est aussi. XII. Si l’une des deux choses qui se trouvent naturellement en
l’induction est un point de départ. Il y a deux espèces d’exemples : l’une consiste à relater des faits accomplis antérieure
r quelles sont leurs ressources en marine, en armée de terre, ou dans l’une et l’autre ; quel est l’effectif, quels sont les
naissance et ceux qui prétendent qu’ils meurent, car la conclusion de l’une et de l’autre opinion, c’est qu’à un moment donné
emblance476. Il en est de même des autres cas. Il faut de deux choses l’une  : ou qu’il y ait, ou qu’il n’y ait pas matière à
tion du temps, ou par celle des faits, et les principales font valoir l’une et l’autre ; car si le fait a lieu plusieurs fois
(artistes) ; or ces termes sont tous deux des métaphores, appliquées l’une par des gens qui veulent l’avilir (la profession)
chaque démonstration apparaît telle qu’elle est ; mais, si l’on fait l’une de ces choses et non pas l’autre sans le laisser
ébut et la fin diffèrent573. VI. Il y a deux formes de péans opposées l’une à l’autre : l’une d’elles convient au début ; c’e
fèrent573. VI. Il y a deux formes de péans opposées l’une à l’autre : l’une d’elles convient au début ; c’est le péan qui com
comme pour la période précitée, mais dans sa totalité. Le membre est l’une de ces deux parties582. J’appelle période tout un
me) la paille, il produit un enseignement et une notion par le genre, l’une et l’autre ayant perdu leurs fleurs. III. Les ima
toutes deux font une même chose, seulement elles différent en ce que l’une la fait par en haut, et l’autre par en bas ; — ou
nombreux, plus il faut se mettre loin pour le contempler. Aussi, dans l’une comme dans l’autre, les détails négligés et impar
le fait en vue d’une démonstration. II. Ces deux parties sont donc : l’une , la proposition665, l’autre, la preuve ; c’est co
re, la preuve ; c’est comme si l’on établissait cette distinction que l’une est la question posée, et que l’autre en est la d
louer, blâmer et mettre la dernière main. Or il faut viser à établir l’une de ces deux opinions, que l’on est bon au point d
ser à boire. 165. Iliade, xx, 272. — Τῇ correspond à πτύχη χρυσείη, l’une des cinq lames qui composaient le bouclier d’Achi
se ambassade, § 303. — Voir Dobrée, Adversaria critica, p. 138. 618. L’une des deux trières consacrées (l’autre était la Sal
17 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
e côté. Il y a, du reste, plusieurs manières de présenter l’histoire. L’une , qu’on peut appeler narrative, consiste à détaill
t, en combinant habilement ces deux méthodes, réunir les avantages de l’une et de l’autre. § IV. Chronologie. L’ordre c
18 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
vanité et le mensonge : mais la violence et la vérité ne peuvent rien l’une sur l’autre. Qu’on ne prétende pas de là néanmoin
che à la terre ; et ils n’ont fait autre chose qu’entretenir au moins l’une de ces maladies. S’ils vous ont donné Dieu pour o
19 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
ndillac, que si, en conservant les idées principales, vous substituez l’une des périphrases à l’autre, toutes deux vous paraî
actère donné à Dieu n’aura plus assez de rapport avec son action dans l’une et l’autre circonstance. Quand la périphrase ne c
ucun sujet de douter que cela ne soit ainsi. En un mot, il suffit que l’une des phrases die plus que l’autre, pour éviter le
20 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
mes les plus puissantes de l’éloquence ; c’est l’adversaire, le juge, l’une ou l’autre classe d’auditeurs, que l’orateur inte
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs,
avec des pierres brutes, qui essaye, qui rejette, qui reprend, tantôt l’une , tantôt l’autre, jusqu’à ce qu’il ait placé chacu
21 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
plus expressive : Le chagrin monte en croupe ; et galope avec lui. L’une des plus remarquables est celle que Corneille met
sions qui ont un sens diffèrent chacune, au lieu d’être la répétition l’une de l’autre. Les deux poètes parlent des rochers o
l’art d’enchaîner les pensées ; la transition est l’art de passer de l’une à l’autre naturellement. Boileau dit que les tran
22 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
u’il entreprend. Les deux engins3 qui ont servi aux trois espreuves à l’une desquelles vous avez assisté à Geneve, m’ont cous
maison du Crest1 à la vostre d’Aubonne. Il y a 9 lieuës savoyardes de l’une à l’autre, et plus que de Paris à Estampes, ou de
23 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
justices sont  en présence, la Justice humaine et la Justice divine : l’une , implacable et appuyée sur un glaive, est accompa
un voile trempé de  pleurs, se montre entre la Pitié et l’Espérance. L’une  a pour ministre un homme de sang, l’autre un hom
L’une  a pour ministre un homme de sang, l’autre un homme  de paix ; l’une condamne, l’autre absout. Innocente ou  coupable,
e singularité qui frappe et émeut. Ces deux voix opposées qui crient, l’une  : meurs ; l’autre : montez au ciel, font tressail
xpression dans les deux hémistiches ; harmonie différente appropriée, l’une à la force, l’autre  à ta faiblesse. Ce qui est u
24 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
vanité et le mensonge ; mais la violence et la vérité ne peuvent rien l’une sur l’autre. Qu’on ne prétende pas de là néanmoin
le royaume ne lui appartenait pas. Ainsi il avait une double pensée : l’une par laquelle il agissait en roi, l’autre par laqu
25 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
intemps, fond sur une jatte de lait. Mais ce fil suffit pour attacher l’une à l’autre les deux images, et ces échappées sur l
a en quelque sorte entre elles des reflets qui portent des nuances de l’une sur l’autre ; et chacune doit à celles qui l’appr
elles ne peuvent se rencontrer à quelque distance qu’on les prolonge l’une et l’autre. » L’autre est d’un critique qui, diss
26 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
s a trente arcs-boutants et autour de ces arcs-boutants se promènent, l’une après l’autre, deux femmes, l’une blanche, l’autr
de ces arcs-boutants se promènent, l’une après l’autre, deux femmes, l’une blanche, l’autre noire. Ésope expliqua cette éni
oème fait à l’occasion d’un mariage. Il a deux parties essentielles : l’une comprend les louanges qu’on donne aux nouveaux ép
27 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
entir la convenance, le rapport que deux personnes ou deux choses ont l’une avec l’autre. Le plus souvent, l’allusion est l’a
croissant, soit en décroissant. Il y a donc deux sortes de gradation, l’une ascendante, l’autre descendante plus rare que la
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces ! l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs,
e-t-on d’espèces d’harmonie ? On distingue deux espèces d’harmonie : l’une qui consiste dans l’arrangement des mots et des p
s ou bâillement, qui a lieu quand deux voyelles se trouvent vis-à-vis l’une de l’autre, et se tranchent durement, comme dans
ion de ses membres. On doit éviter de placer immédiatement à la suite l’une de l’autre deux périodes de même forme, dont les
gle est de les entremêler, et que leur mélange bien entendu constitue l’une des principales ressources du beau langage. Tous
28 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
nc une institution sage, dans le barreau moderne, que d’avoir donné à l’une et à l’autre cause la ressource d’être plaidées à
ains supplient quand elles se joignent ; bénissent quand on les étend l’une à coté de l’autre. Avancée et étendue à la hauteu
doigts qui seront joints légèrement, et formeront une petite courbe. L’une des mains ne doit point anticiper sur le domaine
le debout ou assis : debout, les jambes ne doivent point être serrées l’une à côté de l’autre, on aurait l’air d’un soldat au
e qu’il n’y ait pas plus de deux rimes de même consonnance à la suite l’une de l’autre. 2. Ce principe, généralement adopté,
ques. 2. L’hiatus est produit par la rencontre de deux voyelles dont l’une ne peut s’élider. Ex. : Il alla à  Arras. Quoiqu’
29 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — R — article » p. 421
frontière et importante. Sa famille se divisa en deux branches, dont l’une est connue sous le nom de Riquet, comte de Carama
30 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
précision morale était aussi indispensable que celle du style, et que l’une et l’autre se devaient fortifier et éclairer mutu
ent fortifier et éclairer mutuellement. Quelle force elles empruntent l’une de l’autre dans le morceau suivant ! Va, sublime
31 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre IV. Analyse et Extraits du plaidoyer de Cicéron pour Sextius. »
associations d’hommes, qui furent nommées des cités ; alors on bâtit l’une près de l’autre des maisons que l’on appela des v
iers hommes que la loi et la violence. Si nous ne voulons pas user de l’une , il faut faire usage de l’autre. Voulons-nous abo
32 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300
oclame le père des arts, et par cette liaison des idées, ce réveil de l’une par l’autre, qui est aussi un des éléments de not
criture ; en français, paon pour pan. crase, peculi pour peculii. L’une des lettres disparaît dans l’écriture ; en frança
33 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre premier. Division générale. »
n essence. Ce qui nous semble beau doit participer, plus ou moins, à l’une de ces trois qualités, et souvent à toutes les tr
st créée. La poésie est donc un chant ; elle est sœur de la musique ; l’une et l’autre ont pour base la mélodie et la mesure 
34 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109
d après Homère3. Virgile. Nos muses ne doivent point être jalouses l’une de l’autre : leurs genres sont si différents ! Ce
2. L’auteur suppose ici une conversation entre deux personnes, dont l’une , celle qui parle en ce moment, a un goût et des c
35 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
s’entremêlent des jours  Qu’il faut chômer ! on nous ruine en fêtes : L’une fait tort à l’autre ; et monsieur le curé De quel
Harpe, qui l’a transcrite et commentée dans son Cours de littérature, l’une des plus heureuses de La Fontaine. 4. Ce sujet a
36 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
pres à nous en défendre. Regnard a composé aussi des satires, et dans l’une d’elles, dans le Tombeau de Boileau, il eut même
entôt reparaître ayant tout perdu. 1. Il faut comparer cette scène à l’une des meilleures de Molière. Don Juan, IV. 3. 1. E
37 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
s dans le recueil de l’Académie des inscriptions, attestent qu’il fut l’une des gloires de ce corps illustre2. Mais son princ
vant « avait quitté les muses pour le commerce », fut, comme on sait, l’une des victimes du tremblement de terre arrivé à Lis
38 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
vais tout le loisir de m’entretenir de mes pensées : entre lesquelles l’une des premières fut que je m’avisai de considérer q
s cette vie, à ceux qui ont vécu en gens d’honneur, mais au contraire l’une et l’autre leur promet des joies et des récompens
st pas que je prétende qu’on ne puisse admettre plusieurs périls dans l’une et plusieurs intrigues ou obstacles dans l’autre,
des scènes, qui unit toutes les actions particulières de chaque acte  l’une avec l’autre, est un grand ornement dans un poème
on ressemble mieux et soit plus parfaite. Ne donnons, s’il se peut, à l’une que les deux heures que l’autre remplit : je ne c
: il faut une grande justesse pour railler longtemps sans tomber dans l’une ou l’autre de ces extrémités. La raillerie est un
vais juges de la solidité et de l’éloquence, qu’ils ne connaissent ni l’une ni l’autre, quand, par une conséquence ridicule,
t de ce tombeau, la première et la dernière parole de l’Ecclésiaste : l’une qui montre le néant de l’homme, l’autre qui établ
u de diviser deux choses qui paraissent se joindre, ou de les opposer l’une à l’autre ; c’est celui de ne dire qu’à moitié la
ncore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée l’une des meilleures397. S’étonnera-t-on qu’après une f
avons tous deux refusé notre main : Qui de vous s’est vengée ? est-ce l’une , est-ce l’autre Qui fait agir la sienne au refus
percer le flanc. Nous avons mal servi vos haines mutuelles, Aux jours l’une de l’autre également cruelles ; Mais si j’ai refu
                    Seigneur, que faites-vous ? ANTIOCHUS. Je sers ou l’une ou l’autre, et je préviens ses coups. CLÉOPÂTRE.
Et que mon déplaisir430, par un coup généreux, Épargne un parricide à l’une de vous deux. CLÉOPÂTRE. Puisque le même jour que
entre nous deux. Certes, si vous voulez passer435 pour véritable Que l’une de nous deux de sa mort soit coupable, Je veux bi
on sang ; j’ai demandé le vôtre : Le roi sait quels motifs ont poussé l’une et l’autre ; Comme par sa prudence il a tout adou
       Vous m’arrêtez en vain : Donnez. RODOGUNE. Ah ! gardez-vous de l’une et l’autre main ! Cette coupe est suspecte, elle
fureur de ses ennemis. La reconnaissance d’Alzire et de Zamore forme l’une des situations les plus pathétiques de cette trag
uvre. Il rentra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie, l’une des pièces dont la réputation s’est maintenue au
e, « que ce sont les proverbes des gens d’esprit. » La Fontaine, dans l’une de ses Fables (L’homme et son image), en a fait a
ssait pour pouvoir arrêter les plus grands vaisseaux : rac. remorari. L’une et l’autre acception est aujourd’hui fort peu usi
comme on parle en latin, invita ratione. Ce tour n’existe plus. 96. L’une …, l’imagination ; l’autre…, la raison. 97. Exemp
it. 153. Noble allégorie qui rappelle ces paroles de Descartes, dans l’une de ses lettres : « Je connais clairement que nos
dmire surtout la terreur dramatique qui règne dans le cinquième acte, l’une des plus éclatantes manifestations du génie de Co
que de bonne bourgeoisie. » 479. C’est-à-dire d’années qui viennent l’une après l’autre, se succèdent. Ce verbe n’est plus
ette pièce, qui est de 1666, fut l’un des premiers modèles et demeure l’une des plus belles productions de la comédie de mœur
x à leur place. » 608. C’est-à-dire, de Saül. 609. On voit, dans l’une des premières scènes, qu’Aman appartenait en effe
uelques éditions, sont des leçons défectueuses, parce qu’avec revêtus l’une et l’autre manière de s’exprimer deviendrait impr
touchant où l’on peut retrouver quelques traces de l’Ion d’Euripide, l’une des pièces de cet auteur qui attestent le mieux l
l’excès peut-être par La Harpe, cette pièce demeurera sans contredit l’une des créations de Voltaire les plus neuves et les
intérêt va en grandissant : cette rencontre entre les deux rivaux est l’une des inspirations les plus heureuses de cette trag
ertes de Newton. 732. Harmonie imitative, analogue à cette chute de l’une des strophes d’Horace, 12e ode du liv. 1er : Und
ent neuf construit en 1660. Il se composait de deux petites chambres, l’une au-dessus de l’autre, surmonté d’une plate-forme
’une simplicité aisée qui amène la scène de la reconnaissance. 781. L’une des principales villes de la Thessalie. Achille,
39 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — De la ponctuation. »
  178. — Le point avec la virgule (;) se met entre deux phrases dont l’une dépend de l’autre. Exemple : La douceur est à la
40 (1852) Précis de rhétorique
ain. 10. Les préceptes de la Rhétorique se divisent en deux parties : l’une renferme les préceptes généraux qui s’appliquent
nel. 5. La phrase est composée, quand elle a deux parties distinctes, l’une principale, l’autre incidente. Celle-ci modifie e
mains supplient quand elles se joignent, bénissent quand on les étend l’une à côté de l’autre. Avancée et étendue à la hauteu
gts, qui seront joints légèrement et formeront une petite courbe. 18. L’une des mains ne doit point anticiper sur le domaine
z quelles sensations sont rendues par les mouvements des mains. — 18. L’une des mains ne peut-elle pas anticiper sur le domai
courte, et même, si une clarté suffisante ressort du développement de l’une des trois qualités constitutives de la définition
ce qu’il n’y ait pas plus de deux rimes de même consonance à la suite l’une de l’autre. 2. Ce principe, généralement adopté,
ues. 2. L’hiatus est produit par la rencontre de deux voyelles, dont l’une ne peut s’élider. Ex. : Il alla à Arras. Quoiqu’i
41 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IX. de la disposition. — proportions, digressions, transitions, variété  » pp. 118-130
ière, d’en ordonner si naturellement les parties, qu’elles se suivent l’une l’autre, sans se rattacher par aucun lien artific
, ne supporte ni une longue inertie, ni une longue tension de force ; l’une et l’autre en usent les ressorts ; qu’au repos su
42 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
tion de l’invention et de la disposition, comme j’ai séparé celles-ci l’une de l’autre. Et cependant ces trois parties sont s
et les défauts qui affectent plus spécialement chacune d’elles, quand l’une ou l’autre n’atteint pas le but commun. L’unité e
43 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
sorte la parole avec la pensée, qu’il soit impossible de se rappeler l’une sans l’autre, n’est pas la sienne ; mais il en a
grand poëte, d’un sage, d’un homme de génie, auquel a manqué pourtant l’une des plus précieuses qualités : la candeur, la vra
44 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Joubert, 1754-1824 » pp. 388-398
es survivants si terribles1. Ces deux causes agissent perpétuellement l’une sur l’autre, et bouleversent les âmes dans leurs
la vie par les soins de la mort, et la mort par les soins de la vie : l’une nous ennuie, l’autre nous effraye. » 1. Il fau
45 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — Chapitre II. Du genre pastoral » pp. 96-112
, toutes sortes de sujets, étaient autrefois employées indifféremment l’une pour l’autre. Aujourd’hui, on admet généralement
e diffèrent en rien du ton et du style de l’églogue en dialogue. Dans l’une et dans l’autre, ce doit être une suite d’images
46 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XII. » p. 103
écisément juxtaposées dans une tragédie, mais quelquefois interposées l’une dans l’autre. — Sur les chants du chœur, voy. aus
47 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
té froide qui repousse également la louange et la critique, parce que l’une serait sans fruit, et l’autre sans objet. Au rest
s ornements qui leur sont propres. C’est le grand mérite du Tasse, et l’une des causes qui en rendront toujours la traduction
iables de leur nature, ou que l’on ne concilie du moins qu’aux dépens l’une de l’autre, l’allure fière, libre et indépendante
48 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
Yester. En 1738, il fut promu à l’église métropolitaine d’Edimbourg, l’une des chaires cléricales les plus importantes du ro
ner à son nom l’éclat dont il devait briller dans la suite. Revêtu de l’une des plus belles fonctions ecclésiastiques, qu’il
n’est rien peut-être en quoi ces deux classes d’hommes diffèrent plus l’une de l’autre, que dans la faculté de ressentir les
a pureté consiste à écarter toutes les fausses prétentions au mérite. L’une réside surtout dans la manière de sentir, l’autre
l appuie cette proposition d’un nombre très considérable d’exemples : l’une est la ligne ondoyante, c’est-à-dire une courbe q
t distinctes, qu’elles ne puissent quelquefois se rapprocher beaucoup l’une de l’autre. Un cours d’eau paisible, par exemple,
lités morales peuvent être partagées en deux grandes divisions : dans l’une se placent ces hautes vertus qui exigent de nous
igner d’autres causes au plaisir que nous en recevons, et c’est comme l’une de ces causes que M. Addison et quelques autres é
ir et sa manière de s’exprimer : tant il est difficile de les séparer l’une de l’autre ! Je traiterai plus tard des caractère
s le rendent non seulement clair, mais encore gracieux. Pour acquérir l’une et l’autre, il n’est pas de moyen plus sûr que de
ficulté, un obstacle. » La difficulté embarrasse, l’obstacle arrête ; l’une se lève ou s’éloigne, l’autre se surmonte. La dif
ette phrase, produiraient un meilleur effet si elles étaient séparées l’une de l’autre. Dans ce passage des remarques sur l’H
phrases. Lorsque, dans le cours d’une période, on compare deux choses l’une à l’autre, soit que l’on exprime leur point de co
ées par des intervalles égaux ne doivent jamais se trouver à la suite l’une de l’autre ; pour que le style soit à la fois vif
ont tant de rapports ensemble que l’imagination passe en se jouant de l’une à l’autre, et contemple en même temps deux objets
des prés, un trop vif éclat les fatigue. » Cette allusion heureuse à l’une des couleurs qui flattent le plus notre vue, rend
us frappantes, est celle qui existe entre la cause et l’effet ; aussi l’une est-elle souvent prise pour l’autre dans le langa
nous avons données au sujet de la métaphore, parce qu’il existe entre l’une et l’autre une grande analogie. La seule différen
i qu’il est peu convenable à la dignité d’une passion de s’adresser à l’une des parties du corps comme si elle était animée,
e la figure par laquelle on s’adresse à un objet inanimé, que souvent l’une et l’autre sont indistinctement appelées apostrop
, pour sembler naturelles, doivent être suggérées par la passion, car l’une et l’autre ne sont que l’expression des passions
disposition graduelle de circonstances qui, en enchérissant toujours l’une sur l’autre, conduisent au plus haut degré l’idée
onc embellir une composition que lorsqu’elles nous sont suggérées par l’une ou l’autre de ces facultés de l’âme. Elles doiven
ceptibles de recevoir. Chacune de ces manières a ses avantages ; mais l’une et l’autre, poussée à l’excès, devient vicieuse.
t ; il finit par ennuyer le lecteur. Un auteur cependant doit adopter l’une ou l’autre manière, selon la disposition naturell
e manière, selon la disposition naturelle de son esprit, et parce que l’une comme l’autre lui offre les moyens de rassembler
longueur ou la brièveté des phrases soient le caractère distinctif de l’une ou l’autre espèce de style. Un écrivain, en ne se
acité. Il est facile de ne pas les confondre en observant l’effet que l’une et l’autre produisent ; celle-là attache le lecte
remplies de parenthèses, et renferment une foule de choses entassées l’une sur l’autre, comme il arrive toujours dans la cha
eur ou d’un orateur du parlement ; et l’on ne peut juger avec goût de l’une ou de l’autre, qu’autant qu’on s’est formé une id
ons imaginaires, quelque importante ou quelque futile que puisse être l’une de ces questions, un jeune homme en les traitant
c’est le raisonnement, selon que quelque prédicateur célèbre a adopté l’une ou l’autre manière. Chacune est également vicieus
scrire aucune règle à cet égard. Il faut que chaque prédicateur suive l’une ou l’autre méthode, suivant les dispositions de s
paraître pédant ou affecté. Il y a d’excellents discours où manquent l’une ou l’autre de toutes ces parties, où l’orateur, p
complet, en montrant comment toutes les parties du discours se lient l’une à l’autre et tendent au même but. Lorsque l’on cr
es parties entre lesquelles on divise un sujet soient bien distinctes l’une de l’autre, c’est-à-dire que l’une d’entre elles
se un sujet soient bien distinctes l’une de l’autre, c’est-à-dire que l’une d’entre elles ne doit pas être déjà contenue avec
les sont soumises aux mêmes règles et tendent au même but, en servant l’une et l’autre à faire mieux connaître la cause ou le
49 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
l’épigramme ? Il y a nécessairement deux parties dans l’épigramme : l’une qui est l’exposition du sujet, de la chose qui a
ettres. Par conséquent, c’est l’assemblage de plusieurs énigmes, dont l’une porte sur le mot total, et les autres sur les par
50 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre III. »
Liaison des idées. Les idées sont liées dans notre esprit, lorsque l’une réveille naturellement le souvenir de l’autre. Ai
51 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre premier. »
de l’éloquence et les progrès de la philosophie, ne tarda pas à voir l’une dénaturée par les déclamateurs, et l’autre corrom
52 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
ofane. L’Histoire de la religion se sous-divise en deux espèces, dont l’une est l’Histoire sainte, écrite par des hommes insp
nt les richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage, l’une voulait toujours la paix et l’autre toujours la g
utre toujours la guerre, de façon qu’il était impossible d’y jouir de l’une , ni d’y bien faire l’autre. Pendant qu’à Rome la
53 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
es, doivent sortir du même fond, se rapporter au même but, être liées l’une à l’autre, et former un ensemble non moins utile
mouvements incertains. Si elles ne sont pas également intéressantes, l’une est alors subordonnée à l’autre, et ne doit entre
un joug déjà prochain menacent tout son cours. « Nous l’avons vu, dit l’une , affronter la tempête De cent foudres d’airain to
54 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — NOTIONS PRÉLIMINAIRES. » pp. 264-266
position ; ce qui arrive quand elles sont suivies de deux consonnes, l’une finale, l’autre initiale du mot suivant. Ainsi, a
55 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE II. Règles générales de la quantité. » pp. 271-273
e brève devient longue, quand elle est suivie de deux consonnes, dont l’une finit un mot, et l’autre commence le mot suivant.
56 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
re qui vient plutôt de l’esprit, la seconde, du cœur. Le caractère de l’une et de l’autre est de ne point exprimer l’idée tou
les mots sur eux-mêmes dans deux propositions successives et opposées l’une à l’autre ; L’enthymémisme qui rapproche vivemen
57 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IV. Éloge de Trajan, par Pline le jeune. »
le publia tel qu’il nous est parvenu. C’est, malgré tous ses défauts, l’une des productions les plus estimables de l’antiquit
58 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
autant dans ses conséquences que la vanité et l’amour de la gloire : l’une tâche d’escamoter le succès ; l’autre veut le con
ire : l’une tâche d’escamoter le succès ; l’autre veut le conquérir ; l’une est inquiète d’elle-même et ruse avec l’opinion ;
e caractère de tristesse méditative et désenchantée qui fut plus tard l’une des séductions comme l’un des dangers de son géni
qu’elle, si ce n’est la vertu. Le comble du bonheur serait de réunir l’une à l’autre dans cette vie ; et c’était l’objet de
ur un terrain uni, derrière et au pied du théâtre, trois ruines, dont l’une est assez haute et arrondie comme une tour : dans
otre cœur sont entre les mains de Dieu : laissons-le donc disposer de l’une comme de l’autre101. Ibid., ib. Ruines de
ces deux extrêmes opposés, est la peinture, presque aussi précise que l’une , presque aussi touchante que l’autre. Comme la sc
fet que celui de rapprocher, malgré elles, des populations étrangères l’une à l’autre, et qui bientôt se séparèrent violemmen
s. Louis et Charles se réunirent à Strasbourg avec leurs armées, dont l’une était composée d’hommes de toutes les tribus teut
-Dame ! Dieu aide ! Dieu aide ! Mais les Normands furent repoussés, à l’une des portes du camp, jusqu’à un grand ravin recouv
ur et de force. Né en 1796 au hameau des Pontets, près de Mouthe, sur l’une des chaînes du Jura, il se fit remarquer de bonne
onnables, quelque chose de saint, de sacré, d’obligatoire, c’est nier l’une de ces deux choses, ou que la raison humaine s’él
encore d’autres idées, une autre manière de vivre. Et ces deux races, l’une asiatique et l’autre grecque, se disputent la pré
isions, et particulièrement le matériel. Chaque jour il devait passer l’une des divisions de l’armée. L’opération devait donc
nde ne pouvait lui faire subir une telle extrémité. Il pensait que si l’une des plus hautes montagnes du globe ne l’avait pas
grin qu’il éprouvait de ne pouvoir, faute d’un peu d’aisance, épouser l’une des filles de cette vallée. Le Premier Consul, ta
irs auraient dû protéger contre l’humiliante tyrannie des Turcs. Dans l’une des villes du Bosphore, devant l’un des plus beau
, Vous avez vu notre chaumine : De ce vallon ne me parlez-vous pas ? L’une de vous peut-être est née Au toit où j’ai reçu le
trop spécial pour intéresser le grand nombre. Le Paria (1821) restera l’une des meilleures inspirations de C. Delavigne : nul
rations de ses meilleurs jours : le portrait du conventionnel restera l’une de ses plus heureuses créations. Une dernière piè
quait les conversations de l’Empereur. 122. La même pensée a inspiré l’une des plus éloquentes conférences (la 39e) du P. La
mme celle du roi Charles terminait les deux premiers. Morts terribles l’une et l’autre ! tableaux dignes d’un Tacite, et dans
ier était né en 1762, Joseph en 1764. 165. Ce sont deux lettres dont l’une a pour objet les danses de la Grèce moderne, et l
leçons sur la tribune anglaise au dix-huitième siècle resteront aussi l’une des parties les plus neuves et les plus attachant
t la guerre qui « fut à la fois, a dit M. Thiers, la plus légitime et l’une des plus glorieuses de ces temps héroïques. » Le
nt endurci dans sa haine. Ce retour de tendresse n’en reste pas moins l’une des plus heureuses inspirations de Ducis, et le p
admiration. 443. La piété filiale a aussi inspiré à M. de Lamartine l’une de ses pièces les plus parfaites de sentiment et
59 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
aractère de l’esprit de l’homme est de se laisser toujours emporter à l’une ou à l’autre, le caractère de l’esprit de Dieu es
ous est ici représenté dans les deux époques malheureuses de sa vie ; l’une par rapport à son roi ; c’est-à-dire, enveloppé d
tre mis au nombre des plaidoyers. On doit y recueillir les raisons de l’une et de l’autre partie, les comparer, les balancer,
n veut que nous tenions aussi de sa main un si grand bienfait. Ce que l’une a établi par un droit inviolable, l’autre vient d
60 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
nt, ne s’ensuit-il pas que ces deux parties sont liées si étroitement l’une à l’autre que, si on a pu les séparer dans la thé
une lumière nouvelle et ajoutera à l’évidence ; les raisons, poussées l’une par l’autre, comme le flot par le flot, entreront
is je me contenterai de vous y renvoyer, et cela, pour deux raisons : l’une , qu’il n’y a pas de dénombrement si vaste qui con
és ensemble par le lien de la proposition maîtresse et qui s’appuient l’une sur l’autre en se succédant. Chaque raison nouvel
61 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre III. Idée de l’Éloquence des Saints-Pères. »
t par conséquent à la félicité du genre humain : deux choses qui sont l’une de l’autre une conséquence immédiate, et que l’on
62 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Préface. »
désigné pour être le second ? Cela est possible ; mais de deux choses l’une  : ou vous imiterez Homère, ou vous ne l’imiterez
63 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
dans cette fable où La Fontaine nous montre deux veuves lui arrachant l’une les cheveux noirs, parce qu’ils sont trop jeunes,
amment de sa vie écoulée : Deux parts en fit, dont il soulait passer L’une à dormir, et l’autre à ne rien faire Je ne dirai
e xviie  siècle est là pour nous apprendre à respecter, sinon à aimer l’une et l’autre. GUSTAVE MERLET 1. Il appartenait à
64 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
conséquent pour l’antécédent : c’est un jeu d’idées corrélatives dont l’une réveille l’autre. 1° La métalepse met l’antécéden
idées dans un ordre tellement naturel, que l’esprit passe aisément de l’une à l’autre et presque sans s’en apercevoir. La gra
me.  Combien de fois a-t-elle remercié Dieu de deux grandes grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne, l’autre… Messieurs,
a dit Labruyère, l’opposition de deux vérités qui se donnent du jour l’une et l’autre. Cette définition concise a besoin d’ê
ressortir les différences qui existent entre deux choses, en opposant l’une à l’autre. Il y a trois sortes d’antithèses : 1°
t qu’on les a disposées suivant les règles de l’art, il faut les lier l’une à l’autre, afin d’en faire un ensemble solide. On
que dans le style ou la pensée. On distingue deux sortes d’enflures : l’une consiste dans des pensées simples et vulgaires qu
65 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre III. Troisième espèce de mots. » pp. 8-11
jectif avec comparaison : quand on compare deux choses, on trouve que l’une est ou supérieure à l’autre, ou inférieure à l’au
66 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Marc Girardin Né en 1801 » pp. 275-278
i la pousse à cet excès ? Les passions ne sont variées et différentes l’une de l’autre que quand elles sont modérées : alors
67 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre premier. Objet de l’Éloquence de la chaire. »
lacée, quand elle n’est pas ridicule dans la chaire. C’est à balancer l’une par l’autre ces deux qualités précieuses, que les
68 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
nesse, à travers un voile transparent ; il ne faut pas plus abuser de l’une que de l’autre, pour ne point tomber dans l’affét
vre décousue et pleine de disparates. Les pensées doivent s’enchaîner l’une à l’autre naturellement, sans effort, par une suc
 : « Combien de fois a-t-elle remercié Dieu de deux grandes grâces : l’une , de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs
69 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
. La fable veut encore qu’il ait séparé une montagne en deux parties, l’une appelée Calpé en Europe, et l’autre Abyla en Afri
ui étaient consacrés. L Landau, ville très forte de France, et l’une des plus fortes de toute l’Europe, à l’extrémité
ces ou royaumes. Elle fut le théâtre de deux fameuses batailles, dont l’une se livra, dans les plaines de Pharsale entre Césa
70 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
vrir la bouche, est la rencontre, dans le vers, de deux voyelles dont l’une , autre que l’e muet, finit un mot, et dont l’autr
ns la poésie lyrique. La stance de cinq vers renferme deux rimes dont l’une est nécessairement triple. Les trois rimes sembla
de sept vers est composée d’un quatrain et d’un tercet » en sorte que l’une des deux rimes de la première partie passe dans l
71 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
d’annoncer déjà Périclès comme orateur : nous allons l’entendre dans l’une des circonstances les plus importantes et les plu
ité publique. Croyez que la jeunesse et la vieillesse ne peuvent rien l’une sans l’autre, et que c’est dans la réunion de tou
72 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117
assied, vous le voyez s’enfoncer dans un fauteuil, croiser les jambes l’une sur l’autre, froncer le sourcil, abaisser son cha
oir” de Giton, et “le fauteuil où il s’enfonce en croisant les jambes l’une sur l’autre” ; mais, s’il prend la plupart des vi
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
nne est tellement proportionnée à ma fortune, que je serais fâché que l’une ou l’autre fussent plus grandes. Vous serez homme
t à vous, mon cher abbé. Vous m’apprenez deux choses bien agréables : l’une que nous verrons monseigneur Cérati en France ; l
74 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
e Cid enfin est l’un des plus beaux poèmes que l’on puisse faire ; et l’une des meilleures critiques qui aient été faites sur
L’antithèse est une opposition de deux vérités qui se donnent du jour l’une à l’autre. La métaphore ou la comparaison emprunt
chent presque, à en juger par nos yeux : une étoile paraît assise sur l’une de celles qui forment la queue de la grande Ourse
de l’éloignement de deux étoiles qui, en effet, paraissent éloignées l’une de l’autre, et à plus forte raison des deux polai
s ? — Seigneur, lui dit Callisthène, vous êtes chef de deux nations : l’une , esclave avant que vous l’eussiez soumise, ne l’e
ure, la grâce de l’union des parties, celle des figures qui s’animent l’une par l’autre, et qui se prêtent des agréments par
d’une forme presque ronde, enferme dans son milieu deux petites îles, l’une habitée et cultivée, d’environ une demi-lieue de
ncore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée l’une des meilleures469. S’étonnera-t-on qu’après une f
un joug déjà prochain menacent tout son cours. « Nous l’avons vu, dit l’une , affronter la tempête De cent, foudres d’airain t
Pour bien faire, Néron n’a qu’à se ressembler. Heureux si ses vertus, l’une à l’autre enchaînées, Ramènent tous les ans ses p
l passa tout le reste de sa vie loin de la France dont il est demeuré l’une des gloires. L’élévation de la pensée, la magnifi
nos regards. 244. Boileau. 245. Racine. 246. L’Œdipe de Corneille, l’une des pièces les plus faibles du grand poète, est d
erre : « car j’appelle ainsi cette expression, l’insulter en passant, l’une des plus belles que l’imagination ait inventées »
n peut voir sur cette rapide conquête deux pièces du grand Corneille, l’une en vers français, l’autre en vers latins : tom. X
hes suivantes de la pièce de M. de Lamartine, intitulée le Lac (c’est l’une des Premières Méditations poétiques) : Ainsi, to
e cet avis, qui lui semble être assez généralement reçu. Le sujet est l’une des plus belles actions d’Auguste racontée par Sé
ls de Pompée et l’amant d’Émilie, sa complice, dont le père avait été l’une des victimes d’Octave dans les proscriptions du t
er ce nom à un récit qui n’a rien d’allégorique) : c’est pareillement l’une des pièces où Chamfort s’est le plus appliqué à m
tour, on retrancherait l’article. 598. Le caractère de Chrysale est l’une des créations les plus piquantes de Molière. C’es
ri IV : J.-B. Rousseau a célébré aussi le courage de ce seigneur dans l’une de ses odes qui lui est adressée, III, 8. 663.
eption du début, dont la versification est quelque peu pénible, comme l’une des plus heureuses inspirations de Boileau. Il es
en rappelant que l’analyse du théâtre de Racine est sans aucun doute l’une des meilleures parties de cet ouvrage. Signalons,
ons sur quelques poètes. 751. Cette ode, regardée avec raison comme l’une des plus parfaites de J.-B. Rousseau, est imitée
e de recherche et d’embarras. 768. Horace commence à peu près ainsi l’une de ses odes (IV, 2) : Quem tu, Melpomene, semel
75 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre VI. D’Aguesseau et Séguier. »
rtrait du véritable magistrat. Il a donné si longtemps des preuves de l’une , et si heureusement réalisé ce qu’il va dire de l
76 (1873) Principes de rhétorique française
ue. Et comme l’intelligence humaine a deux manières de se développer, l’une spontanée, l’autre réfléchie, il est indispensabl
la disposition dépend de l’invention et l’élocution est le reflet de l’une et de l’autre. Il faut donc vaincre les premières
signifie en grec conception, pensée intime ; c’est un syllogisme dont l’une des prémisses reste dans l’esprit et qui se trouv
ion, argument personnel. 8. De l’exemple. — C’est un syllogisme dont l’une des prémisses est un fait historique ou du moins
iviser deux choses qui paraissent se joindre,    ou de les    opposer l’une à l’autre ; c’est celui de ne dire qu’à moitié sa
lle a usé chrétiennement de la bonne et de la mauvaise fortune ; dans l’une elle a été bienfaisante, dans l’autre elle s’est
s’entremêlent des jours Qu’il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ; L’une fait tort à l’autre ; et monsieur le curé De quel
s un ensemble qui frappe l’esprit parce que les preuves se fortifient l’une l’autre : l’artifice le plus ordinaire de la réfu
ce double but, la péroraison doit comprendre deux parties distinctes, l’une qui se rapporte aux arguments et l’autre aux pass
uant, du pathétique ou de l’harmonie. Une épithète qui ne remplit pas l’une de ces conditions doit être bannie comme un mot p
brille, il étincelle. Quand deux propositions principales s’opposent l’une à l’autre parle sens, le simple rapprochement suf
lle harmonie dans les images, comme elles s’enchaînent et s’éclairent l’une l’autre ! Le pampre et l’épi sont les plus heureu
on autorité suprême sur le monde. Essayons d’échanger ces périphrases l’une pour l’autre, et disons : « Celui qui met un fre
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs,
ègle grammaticale de construction Au contraire, l’inversion constitue l’une des principales licences de notre poésie. Voici q
mètre et sont des objets de commerce. C’est l’un des effets et aussi l’une des causes de notre décadence littéraire. Montaig
nous, peut employer deux formes littéraires pour exposer sa pensée : l’une qui ressemble au langage même de la conversation,
ns et se rencontre avec nos sympathies. 5. De l’analyse critique. —  L’une des études les plus intéressantes pour les jeunes
Ces deux genres d’éducation sont d’une égale importance pour l’homme L’une lui donne toute la dignité, toute la force de sa
le but suprême et définitif. Ces deux éducations ne sont pas opposées l’une à l’autre ; bien au contraire, elles se fortifien
bien au contraire, elles se fortifient, se perfectionnent, s’achèvent l’une par l’autre. 9. Résumé et règles. — Les observat
77 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
endrez outrée. Si vous embellissez une pensée naïve, une pensée vive, l’une et l’autre cesseront de l’être. Mon ami n’est plu
la poésie son plus beau coloris ; elles sont comme l’âme et la vie de l’une et de l’autre. Ainsi les figures sont de certains
qu’il soit de l’essence de la métaphore de renfermer une comparaison, l’une et l’autre ne doivent pas être confondues. Qu’on
78 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XI. Poésies fugitives. »
eau. Le rondeau est composé de treize vers roulant sur deux rimes, l’une masculine et l’autre féminine ; il se divise en t
79 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Retz 614-1679 » pp. 22-26
. Justement au pied, le carrosse s’arrêta tout court. Comme j’étais à l’une des portières avec Mademoiselle de Vendôme, je de
80 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
parsemée de pierreries. Des jeunes filles se tenaient à l’entour, et l’une d’elles disait plusieurs choses à la louange de c
81 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
la théorie de cet art de persuader, dont l’éloquence est la pratique. L’une trace la méthode et l’autre la suit ; l’une indiq
loquence est la pratique. L’une trace la méthode et l’autre la suit ; l’une indique les sources, et l’autre y va puiser ; Tun
utre y va puiser ; Tune enseigne les moyens, et l’autre les emploie ; l’une , pour me servir de l’expression de Cicéron abat u
rer l’attaque à la défense, ou bien la défense à l’attaque, selon que l’une ou l’autre promet plus d’avantage. Si in refellen
n paroles, dans un âge où nous sommes si dépourvus d’idées, peut être l’une des causes qui ont peuplé le monde de raisonneurs
où il y a beaucoup de principes. Il y a donc deux sortes d’esprits : l’une , de pénétrer vivement et profondément les conséqu
ment douteux entre la vérité et la volupté, et que la connaissance de l’une et le sentiment de l’autre font un combat dont le
ouvernent plus par caprice que par raison ! Or, de ces deux méthodes, l’une de convaincre, l’autre d’agréer, je ne donnerai i
propos de prévenir trois objections principales qu’on pourra faire : L’une , que cette méthode n’a rien de nouveau ; l’autre,
vaine et ridicule, au lieu d’une nourriture solide et vigoureuse. Et l’une des raisons principales qui éloignent autant ceux
Le Cid enfin est l’un des plus beaux poëmes que l’on puisse faire, et l’une des meilleures critiques qui aient été faites sur
L’antithèse est une opposition de deux vérités qui se donnent du jour l’une à l’autre. La métaphore, ou la comparaison, empru
oi58. Que vous manque-t-il enfin ? Vous avez des écrivains habiles en l’une et en l’autre oraison ; des poëtes en tout genre
uvais, il peut être évident aussi que de deux nations contemporaines, l’une a un goût rude et grossier, l’autre fin et nature
s sommes touchés des charmes de la beauté naïve et simple. Mais, dans l’une et l’autre image, n’oublions pas que la simplicit
les trois fonctions de l’éloquence ; mais elles ne sont ni exclusives l’une de l’autre, ni exclusivement attachées au genre q
II. On discerne aisément la vraie de la fausse étendue d’esprit : car l’une agrandit ses sujets, et l’autre, par l’abus des é
donc peu de savoir écrire. Nous aurions besoin tous les jours d’unir l’une et l’autre éloquence : mais nulle ne peut s’acqué
ssance, ne les ont pas toujours en exercice, et éprouvent souvent que l’une agit sans l’autre. Que de gens ont une plume et n
82 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
et la sortie doivent avoir un motif. Les scènes doivent être amenées l’une par l’autre, et être liées sans embarras, sans co
e Philaminte et Bélise. La comédie s’écrit en vers et en prose ; sous l’une ou l’autre forme, c’est toujours le ton de la con
83 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296
uvre. Il rentra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie, l’une des pièces dont la réputation s’est maintenue au
84 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14
cette vie à ceux qui ont vécu en gens d’honneur, mais qu’au contraire l’une et l’autre leur promettent des joies et des récom
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Maintenon 1635-1719 » pp. 94-99
juillet 1706. J’ai à répondre à deux lettres de vous, mon cher duc, l’une du 11, l’autre du 17, et toutes deux aussi triste
86 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479
indiquées, la moralité privée et la moralité politique, faisant dans l’une la leçon aux individus, comme s’il espérait la co
87 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
race et en traduisant sa pensée, d’un goût et d’un sens exquis, que «  l’une réclame le secours de l’autre et, d’accord, conco
bjet la louange et le blâme, cherchent à démontrer jusqu’à quel point l’une ou l’autre est fondée ; de là le genre dit démons
étonné, indigné. Mais vous, première et vingtième légions, qui avez, l’une , reçu vos drapeaux de la main de Tibère, l’autre,
e part, il est souvent fort à propos de faire qu’elles s’accompagnent l’une l’autre ; et certains rhéteurs, avec quelque rais
es dans l’ordre logique ou naturel ; de telle sorte qu’elles naissent l’une de l’autre, que la cause précède l’effet, le prin
e à l’autre moitié. C’est le corps du serpent divisé en deux parties, l’une roide de vigueur, de force, d’énergie, je dirai p
ien de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces, l’une de l’avoir fait chrétienne, l’autre… Messieurs, q
uer qu’elle s’unit très bien à l’éthopée et qu’elles n’en deviennent, l’une et l’autre, que plus agréables et plus piquantes.
feu du regard, la clarté du langage, une lueur ou un rayon d’espoir, l’une des lumières du barreau. Ils rendent plus énergiq
88 (1839) Manuel pratique de rhétorique
a dû s’attacher à unir ces parties de telle manière que le passage de l’une à l’autre n’ait rien de choquant, rien de brusque
consiste à rapprocher les choses des circonstances, pour conclure de l’une à l’autre ; 4° la cause et les effets : la cause
ses excès : c’est le goût, un juste discernement, qui doivent régler l’une et l’autre. Ici les fonctions de l’orateur devien
son sujet, enfin, chaque partie de la confirmation doit être traitée, l’une avec force, l’autre avec clarté ; ici ce sont des
sprit ou de déterminer la volonté. De là, deux sortes de péroraisons, l’une en choses, l’autre en mouvement ; quelquefois mêm
a-t-elle en ce lieu remercié Dieu humblement de deux grandes grâces : l’une de l’avoir faite chrétienne ; l’autre, Messieurs,
89 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
. Quelle chose par là nous peut être enseignée ? J’en vois deux, dont l’une est qu’entre nos ennemis Les plus à craindre sont
s’entremêlent des jours Qu’il faut chômer ; on nous ruine en fêtes : L’une fait tort à l’autre, et monsieur le curé De quelq
ps, bien sut le disposer ; Deux parts en fit, dont il soulait passer, L’une à dormir, et l’autre à ne rien faire. 5. Un p
90 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre V. Beautés oratoires. »
aient nécessairement attachés à ceux de la morale, et que la ruine de l’une entraînait la décadence inévitable de l’autre : n
91 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »
u bâillement la rencontre dans un même vers de deux voyelles sonores, l’une à la fin d’un mot, l’autre au commencement du mot
92 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — De Laprade Né en 1812 » pp. 576-582
par le mouvement, comme de grosses boules vertes roulant par milliers l’une sur l’autre avec une grâce infinie. J’ai passé un
93 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
ppement. L’orateur peut, dans l’emploi de ses arguments, se servir de l’une ou de l’autre de ces méthodes auxquelles on a don
t de philosophie, de morale ou de critique, et dans lequel on a suivi l’une ou l’autre de ces deux méthodes, occupe, lorsqu’i
es réunit toutes les deux ; et tant qu’elles ne furent point séparées l’une de l’autre, elles durent augmenter mutuellement l
eurs compositions poétiques, et qu’ils en distinguaient deux espèces, l’une qu’ils comparaient à des perles détachées, l’autr
et quelquefois on en trouve deux de même nature immédiatement auprès l’une de l’autre. Mais, en général, sur dix syllabes do
t l’Aminte, du Tasse, ont acquis une grande célébrité. On trouve dans l’une et l’autre des beautés d’un ordre supérieur ; et,
contemporaines, et longtemps réunies. Mais lorsqu’on les eut séparées l’une de l’autre, lorsque les bardes eurent composé des
et pleines de feu sans paraître décousues. On doit les regarder comme l’une des meilleures productions de la poésie française
es divinités d’un ordre inférieur, parce qu’elles ont pris parti pour l’une ou l’autre armée, sont des trivialités dont un po
est le tableau des faiblesses, des travers et des folies des hommes. L’une agit essentiellement par la terreur et la pitié ;
ire marcher à la fois, dans la même pièce, deux actions indépendantes l’une de l’autre : il en résulte que l’esprit, partagé
es, ou ces conversations successives, doivent être parfaitement liées l’une à l’autre : mettre dans cette liaison de la vrais
des critiques se soient accordés à regarder l’histoire d’Œdipe comme l’une des plus propres à fournir des sujets à la tragéd
itié, la terreur et toutes les grandes passions forment le domaine de l’une , le principal et peut-être le seul instrument de
s y arrêterons-nous pas longtemps. Il est nécessaire qu’il y ait dans l’une comme dans l’autre une unité d’action et de sujet
palliata. On peut admettre deux espèces différentes de comédies. Dans l’une , c’est l’intrigue ou l’action qui est le principa
r à la comédie et à la tragédie, parce qu’empruntant quelque chose de l’une et de l’autre, il affaiblit par ce mélange même l
ntiment intérieur est l’objet de l’émotion. J’appelle l’expression de l’une , le langage des idées ; j’appelle l’expression de
oles, sans y faire naître que des idées confuses, qui se chasseraient l’une l’autre au lieu de concourir ensemble à fixer et
94 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
on aveu, il se forma deux sociétés de sciences morales et politiques, l’une , il est vrai, présidée par un jésuite, et siégean
endue pour être déjà sensible autre part que dans l’ordre spéculatif. L’une de ces doctrines, venue de l’Allemagne, est le pe
sement, notre esprit dans les ténèbres, à ne nous jamais servir ni de l’une ni de l’autre, à nous mettre au-dessous des anima
moi lui attachâmes à la ceinture une longue corde, dont nous saisîmes l’une des extrémités. Paul alors s’avança vers le Saint
t. La statue équestre de Pierre Ier s’élève sur le bord de la Néva, à l’une des extrémités de l’immense place d’Isaac. Son vi
e caractère de tristesse méditative et désenchantée qui fut plus tard l’une des séductions comme l’un des dangers de son géni
otre cœur sont entre les mains de Dieu : laissons-le donc disposer de l’une comme de l’autre389. Ibid., id. La campagne ro
aient portant la nourriture à leurs petits. Or, voilà qu’au moment où l’une des mères rentrait avec sa becquée, un vautour la
ces deux extrêmes opposés, est la peinture, presque aussi précise que l’une , presque aussi touchante que l’autre. Comme la sc
-Dame ! Dieu aide ! Dieu aide ! Mais les Normands furent repoussés, à l’une des portes du camp, jusqu’à un grand ravin recouv
ur et de force. Né en 1796 au hameau des Pontets, prés de Mouthe, sur l’une des chaînes du Jura, il se fit remarquer de bonne
encore d’autres idées, une autre manière de vivre. Et ces deux races, l’une asiatique et l’autre grecque, se disputent la pré
isions, et particulièrement le matériel. Chaque jour il devait passer l’une des divisions de l’armée. L’opération devait donc
grin qu’il éprouvait de ne pouvoir, faute d’un peu d’aisance, épouser l’une des filles de cette vallée. Le premier consul, ta
aissant, sans cesse évanouies, Qu’écoute l’Éternel durant l’éternité, L’une disait Nature ! et l’autre, Humanité ! Assurémen
ésie lyrique à la poésie descriptive, et ils ont admirablement relevé l’une par l’autre. La description, en effet, ne languit
e véritable champ du pathétique et du sublime ; » il a beau écrire de l’une d’elles « qu’il a eu dessein de donner une idée d
vre. Il rentra ensuite dans le monde, et, par une excellente comédie, l’une des pièces dont la réputation s’est maintenue au
rs auraient dû protéger contre l’humiliant despotisme des Turcs. Dans l’une des villes du Bosphore, devant l’un des plus beau
, Vous avez vu notre chaumine : De ce vallon ne me parlez-vous pas, ? L’une de vous peut-être est née Au toit où j ’ai reçu l
rop spécial pour intéresser le grand nombre. Le Paria (1821), restera l’une des meilleures inspirations de C. Delavigne : nul
l’abîme plongée. Chaque vague en passant d’un butin s’est chargée : L’une a saisi l’esquif, l’autre les matelots ! Nul ne s
ché (1840), par la pureté de la forme et l’élévation de l’idée, reste l’une de ses meilleures compositions. Le symbolisme har
d’un homme, jamais, n’a vu son onde oisive Transporter un vaisseau de l’une à l’autre rive : Livrée à ses courants toute barq
, rebelles aux lois de la nature sainte, Les peuples qui roulaient de l’une à l’autre enceinte En des crimes sans nom s’étaie
qu’aux yeux de Platon il y a deux politiques comme deux rhétoriques : l’une a pour but l’agréable, l’autre le bien. Et c’est
de Chateaubriand dans une direction plus nationale, plus française ; l’une est plus allemande, l’autre est plus latin ; l’un
, plus française ; l’une est plus allemande, l’autre est plus latin ; l’une est trop étrangère au sentiment de l’antiquité ;
qui vous trompent ; c’est nous qui nous trompons sur les desseins de l’une et sur le but de l’autre. C’est en méconnaissant
çait la guerre qui « fut à la fois, a dit Thiers, la plus légitime et l’une des plus glorieuses de ces temps héroïques. » Le
e de recherche et d’embarras. 582. Horace commence à peu près ainsi l’une de ses odes (IV, n) : Quem tu, Melpomene semel N
l’excès peut-être par La Harpe, cette pièce demeurera sans contredit l’une des créations de Voltaire les plus neuves et les
ertes de Newton. 627. Harmonie imitative, analogue à cette chute de l’une des strophes d’Horace, ode xii du livre Ier : Un
nt endurci dans sa haine. Ce retour de tendresse n’en reste pas moins l’une des plus heureuses inspirations de Ducis, et le p
’une simplicité aisée qui amène la scène de la reconnaissance. 714. L’une des principales villes de la Thessalie. Achille d
7. C’est-à-dire son bouclier, au centre duquel est la tête de Méduse, l’une des trois Gorgones. 728. Relire dans la lettre d
os appellabat. » 803. La piété filiale a aussi inspiré à Lamartine l’une de ses pièces les plus parfaites de sentiment et
95 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
tremêlent des jours       Qu’il faut chômer : on nous ruine en fêtes. L’une fait tort à l’autre ; et monsieur le Curé De quel
deux poèmes ; tant cette différence est légère. Le poète traite dans l’une et dans l’autre des sujets de même nature, et, à
ujet d’une églogue ou d’une idylle. Mais voici ce qui peut distinguer l’une de l’autre. Ce qui peut distinguer l’Églogue d
ouleurs, et animée de tout le feu de la poésie, comme on le voit dans l’une des deux strophes que j’ai citées de l’Ode à la F
96 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
ncore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée l’une des meilleures1. S’étonnera-t-on qu’après une féc
L’humble simplicité vole droit jusqu’à Dieu, La pureté l’embrasse, et l’une à l’autre unie S’attache à ses bontés et les goût
97 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
onsiste à savoir rejeter les prétentions trompeuses d’un faux mérite. L’une s’adresse plus particulièrement au sentiment, l’a
eux méthodes parvenant au même but, et ne différant que par la forme, l’une ne paraît pas offrir plus d’avantages que l’autre
s les membres d’une période où deux choses sont comparées ou opposées l’une à l’autre, il faut conserver quelque ressemblance
e voyelles ou de consonnes, et dépouillés de consonnes qui réagissent l’une sur l’autre, ou de voyelles qui s’entrechoquent ;
s mots composés d’un grand nombre de voyelles, qui glissent doucement l’une sur l’autre ; ou, au contraire, lorsqu’il veut dé
résentée sous un aspect distinct, cependant, si elles sont accumulées l’une sur l’autre, elles produisent une confusion de la
lles. La seule différence matérielle que l’on puisse signaler est que l’une doit être courte et l’autre plus longue, que la m
, que pour animer des êtres insensibles et leur adresser un discours. L’une et l’autre figure est sujette à la même règle ; i
ite d’objets semblables, une série d’idées concordantes, de sorte que l’une sert à corroborer l’impression faite par l’autre.
tant. La différence se manifeste facilement par les effets produits ; l’une intéresse et flatte le lecteur, l’autre le fatigu
ses parties indiquées soient réellement distinctes ; c’est-à-dire que l’une ne se confonde pas avec l’autre ; ce serait une d
uments différents par leur nature. Toute argumentation tend à prouver l’une de ces trois choses, qu’une proposition est vraie
être froide et étudiée, la seconde doit être rapide et ardente : dans l’une , l’apparence de l’art et du travail est pardonnab
98 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Introduction »
ns, pour la définir, qu’elle offre la réunion de deux phrases nommées l’une principale et l’autre subordonnée. Ces deux phras
99 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
il divague souvent ; il ne sait pas coordonner ses idées, les déduire l’une de l’autre ; il ne fait que les indiquer, sans le
u de diviser deux choses qui paraissent se joindre, ou de les opposer l’une à l’autre ; c’est celui de ne dire qu’à moitié sa
r l’Académie française, en 1755.) Voici deux modèles de dissertation, l’une en prose, l’autre en vers : Le Duel. « Gardez-vo
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
beaucoup à reprendre, mais plus encore à admirer ; son Paradis Perdu, l’une des plus belles créations de la poésie française.
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