ce talent. Marmontel nous en indique la différence en ces termes : «
L’une
trace la méthode et l’autre la suit ; l’une ensei
férence en ces termes : « L’une trace la méthode et l’autre la suit ;
l’une
enseigne les moyens et l’autre les emploie ; l’un
l’autre la suit ; l’une enseigne les moyens et l’autre les emploie ;
l’une
indique les sources et l’autre y va puiser ; l’un
utre les emploie ; l’une indique les sources et l’autre y va puiser ;
l’une
abat une forêt de matériaux et l’autre en fait le
cĭă | līnquĭmŭs | ārυă. Le vers hexamètre peut avoir trois césures,
l’une
au second pied, l’autre au troisième, et l’autre
; et, si cela n’était pas possible, il en faudrait deux dans le vers,
l’une
au second pied, l’autre au quatrième28, comme on
té, plus d’étendue à la pensée. 28. Les vers qui ont deux césures,
l’une
au second pied, l’autre au quatrième, offrent une
La tragédie étant donc née comme d’elle-même, ainsi que la comédie :
l’une
du dithyrambe, l’autre des farces satiriques, qui
d’Ulysse, comme sa folie simulée, sa blessure au mont Parnasse, dont
l’une
n’est liée à l’autre ni nécessairement ni vraisem
: car les actions dont les fables sont les imitations sont évidemment
l’une
ou l’autre. J’appelle action simple celle qui, ét
implexe, celle qui s’achève avec reconnaissance ou péripétie, ou avec
l’une
et l’autre. Ce qui doit naître de la constitution
pourrait y avoir un exemple, mais il n’y aurait ni pitié ni terreur :
l’une
a pour objet l’innocent, l’autre notre semblable
berceau dans Tyro. Mais dans cette espèce il y a deux manières, dont
l’une
est meilleure que l’autre. Par exemple, Ulysse es
demande une imagination vive ou une âme susceptible d’enthousiasme :
l’une
peint fortement, l’autre sent de même. Quel que s
ue le peintre et tout artiste qui figure, il faut de ces trois choses
l’une
: qu’il imite les objets tels qu’ils sont ou qu’i
arlant de lui-même et d’Euripide. On peut en user dans l’occasion. Ni
l’une
ni l’autre de ces raisons n’est reçue. Dites que
ue nous avions à dire de la tragédie et de l’épopée ; de la nature de
l’une
et de l’autre ; de leurs formes et de leurs parti
nd la conjonction avec la préposition, qui effectivement ne diffèrent
l’une
de l’autre qu’en ce que la préposition a un régim
orber, une opinion éclectique ou un fait conciliateur, il présentera,
l’une
après l’autre, la thèse, l’antithèse et la synthè
n prend le premier rang. Enfin, il est des cas où l’on peut supprimer
l’une
ou l’autre de ces parties, comme parfois on suppr
s les moyens de la confirmation et de la réfutation. Manque-t-elle de
l’une
ou de l’autre des vertus que lui demandent les rh
Il en est de même de l’éloquence judiciaire. Tantôt il faut prémunir
l’une
ou l’antre partie de la narration par une discuss
gueurs. La route qui mène à la clarté mène aussi à la précision. Pour
l’une
comme pour l’autre, il faut faire un choix dans l
assentiment, je cherche une idée intermédiaire dont la relation avec
l’une
et l’autre soit évidente ou préalablement démontr
x dernières formes peuvent se ramener toujours à la première. Souvent
l’une
ou l’autre des prémisses a besoin elle-même d’une
and nombre de propositions tellement liées ensemble que l’attribut de
l’une
devienne continuellement le sujet de celle qui la
apports ensemble, que plusieurs rhéteurs ne les ont point distinguées
l’une
de l’autre. « Comme vous ne pouvez, dit Cicéron,
nies et accumulées, isolez à votre tour chacune d’elles et brisez-les
l’une
après l’autre. Si, au contraire, vous avez contre
e est l’art de persuader, et la rhétorique est la théorie de cet art.
L’une
trace la méthode, et l’autre la suit ; l’une indi
t la théorie de cet art. L’une trace la méthode, et l’autre la suit ;
l’une
indique les sources, et l’autre y va puiser ; l’u
l’autre la suit ; l’une indique les sources, et l’autre y va puiser ;
l’une
enfin prépare les matériaux, et l’autre en fait l
ne, et qui est ou l’objet de notre foi ou la règle de notre conduite.
L’une
et l’autre sont absolument nécessaires à tout hom
le premier et le principal devoir des créatures intelligentes ; mais
l’une
et l’autre sont encore plus essentielles à ceux q
vous attachant aux deux vues générales que je viens de vous marquer :
l’une
, de vous convaincre toujours de plus en plus du b
a fortune de ses héros n’est ni lente ni précipitée, et le passage de
l’une
à l’autre situation étant surprenant sans être in
n suppliante, couquestio, commiseratio ; il développe les éléments de
l’une
et de l’autre, ne donnant pas moins de treize moy
utes les idées, qui, en les rapprochant, les fortifie et les échauffe
l’une
par l’autre. La disposition enseigne les justes p
essentielle à l’écrivain que l’invention et l’élocution, qui l’aident
l’une
à les découvrir, l’autre à les formuler. Que l’él
il feignit lorsque les Grecs assembloient leurs armées car de ce que
l’une
est arrivée, il ne s’ensuit ny nécessairement ny
d’Ulysse, comme sa folie simulée, sa blessure au mont Parnasse, dont
l’une
n’est liée à l’autre ni nécessairement ni vraisem
hrope et philanthrope, Burrhus et Néron ? Et cependant de deux choses
l’une
: ou vous croyez qu’il éprouve à la fois des pass
’une : ou vous croyez qu’il éprouve à la fois des passions exclusives
l’une
de l’autre, puisqu’il les exprime également bien,
çons de littérature de Noël et de la Place. Comparez ces compositions
l’une
à l’autre, c’est un exercice que je recommande d’
conséquent une synecdoque. Quoi qu’il en soit, et que vous préfériez
l’une
ou l’autre dénomination, observez qu’il ne faut p
ez plus que je ne vous dis. » Je bornerais volontiers la métalepse à
l’une
de ses applications, la plus ingénieuse, et en mê
ntité d’éléments qu’elle renferme ; et, comme on le prévoit aisément,
l’une
est toujours en raison inverse de l’autre. L’idée
us les exemples donnés de ces deux figures prouvent qu’elles rentrent
l’une
et l’autre dans la catachrèse, la périphrase et l
ses dernières conséquences ; qui prépare, appuie, continue les idées
l’une
par l’autre du commencement à la fin de l’ouvrage
t dire, pour justifier l’écrivain, d’abord qu’il est aisé de conclure
l’une
de l’autre, et qu’en laissant ee soin à l’auditeu
qu’à présent, vous le voyez, les idées ont été successivement amenées
l’une
par l’autre ; la première a toujours contenu la s
bien disposer à leur tour leurs propres idées, et à les faire dériver
l’une
de l’autre. Il faudrait d’abord leur mettre entre
à quoi revient cette réflexion, puisque vous n’êtes vous-même ni dans
l’une
ni dans l’autre de ees catégories ? Vous n’êtes p
génération de jeunes élèves qui s’élanceront un jour à la tribune de
l’une
ou de l’autre chambre, et y feront entendre une é
pensé : « Ce sont deux choses, dit Horace, qui ont besoin du secours
l’une
de l’autre et qui doivent s’unir étroitement. …
a théorie de cet art. Elle trace la méthode, et l’éloquence la suit ;
l’une
indique les sources, et l’autre y va puiser. On p
le génie sans l’étude : ce sont deux choses qui ont besoin du secours
l’une
de l’autre, et qui doivent s’unir étroitement. »
ppe. Mais souvent elles sont contraires ; alors l’orateur fait valoir
l’une
ou l’autre, selon l’impulsion qu’il veut donner a
qui ont entre elles de l’analogie sont propres à se servir de preuves
l’une
à l’autre. D’où il suit que la preuve est en rais
ent, les argumens qui concernent la personne ou la chose se tirent de
l’une
ou de l’autre, et même de l’une et de l’autre tou
la personne ou la chose se tirent de l’une ou de l’autre, et même de
l’une
et de l’autre tout ensemble. Lieux qui regardent
principales, qu’on distingue surtout par la différence de leur objet.
L’une
se propose le vrai, sur lequel elle s’exerce par
ffirmatif et négatif. Lorsqu’on joint deux idées qui semblent faites
l’une
pour l’autre, le jugement est affirmatif ; lorsqu
est facile de voir que l’idée de Dieu et celle d’adorer, conviennent
l’une
et l’autre à l’idée d’être tout-puissant ; car Di
et par suite, si deux idées prises chacune séparément et rapprochées
l’une
après l’autre, d’une troisième, se trouvent avoir
is aux lois d’en faire justice. Il avait donc deux choses à prouver :
l’une
, que Clodius méritait la mort ; l’autre, que Milo
, en le tuant, avait pu justement faire l’office de la loi. Il prouve
l’une
par l’accumulation des attentats que l’audace, la
prémisse en particulier, les étendent, les amplifient toutes deux ou
l’une
d’elles seulement, si l’autre n’a pas besoin d’êt
s logiciens. Tantôt ils placent la mineure avant la majeure, séparant
l’une
de l’autre par d’assez grands intervalles, et ren
n, syllogisme tronqué. Il n’est composé que de deux propositions dont
l’une
s’appelle l’antécédent, et l’autre le conséquent.
nt beaucoup. Cependant nous avons cru apercevoir une différence entre
l’une
et l’autre. L’exemple est l’exposition d’un fait
ortes de méthode. Les logiciens distinguent deux sortes de méthode ;
l’une
qu’ils appelent analyse 1, et l’autre synthèse 2.
t de passer aux espèces et aux individus. Différence qu’il y a entre
l’une
et l’autre. MM. de Port-Royal disent « que ces d
rvir pour prouver qu’une personne est descendue de saint Louis ; dont
l’une
est de montrer que cette personne a un tel pour p
dont l’écrivain doit faire usage ? Je réponds qu’il doit se servir de
l’une
et de l’autre. L’analyse lui est indispensable po
10.) Les preuves ne doivent point paraître isolées et indépendantes
l’une
de l’autre ; il faut, au contraire, qu’elles form
ompent, le font parce qu’ils manquent ou de ces trois qualités, ou de
l’une
d’elles. Faute de prudence, ils ne voient pas le
ordonner le discours. L’ordonnance du discours est de deux sortes. «
L’une
, dit Cicéron, est indiquée par la nature même ; l
udence et de la sagacité de l’orateur. » (De Orat., l. II, n. 307.)
L’une
a rapport aux diverses parties du discours. La p
e tiennent toujours par quelque côté, et le plus souvent s’engendrent
l’une
l’autre. Cette génération devient un ordre nécess
Cicéron : Thèse, hypothèse. Il distingue deux sortes de questions,
l’une
qu’il appelle thèse, ou proposition générale, et
culier ; celle-là doit s’élever sans cesse du particulier au général.
L’une
ramène les maximes au fait, l’autre étend les fai
e qu’on en fait. » (De Orat., n. 331.) Les mêmes principes gouvernent
l’une
et l’autre ; les argumens qu’on y emploie se tire
se tirent des mêmes lieux : pensées, style, figures, tout est égal en
l’une
et en l’autre. Moyens de réfuter. C’est surtout
vif et naturel qui saisit la mélodie et la cadence, quand elles sont
l’une
et l’autre ce qu’elles doivent être. » (Arrangeme
oses ont entre elles des rapports si intimes, qu’on ne peut connaître
l’une
sans connaître les autres. Les pensées et les sen
dans quelque ouvrage que ce soit. Au contraire, elles se rapprochent
l’une
de l’autre, elles se confondent et se marient ens
ans ce ton ; il parcourt différentes modulations, toujours enchaînant
l’une
à l’autre avec art et avec goût. C’est ce que doi
rce que la préposition avec se trouve répétée dans deux phrases, dont
l’une
n’est pas subordonnée à l’autre. Manière de plai
uet où les pensées sont parfaitement liées et les phrases construites
l’une
par rapport à l’autre : Exemple où les idées son
dépendance, de ressemblance ou d’opposition entre les deux idées dont
l’une
emprunte le nom de l’autre. Il suit de là qu’on d
figures de pensées ont chacune un caractère particulier qui fait que
l’une
sera admirable où l’autre serait ridicule. C’est
de comparaison, et l’idée première que l’on compare, étant éclairées
l’une
par l’autre, laissent mieux découvrir toute leur
rmi ses divinités, en avait une qu’elle représentait avec deux têtes,
l’une
tournée vers les siècles écoulés qu’elle embrassa
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces :
l’une
de l’avoir fait chrétienne ; l’autre….. Messieurs
idicule entre l’effet qu’il veut produire et le moyen qu’il emploie.
L’une
n’admet pas le style de l’autre. Il faut éviter
velopper chacune en particulier sans les confondre, évitant d’appuyer
l’une
par des raisons qui ne conviennent qu’à une autre
présent de la nature et le fruit du travail. Elle doit son origine à
l’une
, et à l’autre sa perfection. Une mémoire heureuse
quùm constet è voce atque motu. (Orat., n. 54.) De ces deux parties,
l’une
frappe les oreilles, et l’autre les yeux, deux se
reau, on entend de deux manières ce qu’on appelle l’état de la cause,
l’une
a rapport à l’instruction du procès ; en ce sens
induction. 1. Le discours de Canuléius renferme deux inductions. Par
l’une
, l’orateur prouve qu’il est juste que le peuple r
pose, je mets ensemble. Analyse. Synthèse. Différence qu’il y a entre
l’une
et l’autre. Quelle est celle dont l’orateur fait
rce que c’est contraire à nos mœurs. Néanmoins on peut assigner entre
l’une
et l’autre une différence assez simple : c’est qu
la disposition. Son importance. Deux manières d’ordonner le discours.
L’une
a rapport aux diverses parties du discours. L’aut
gne que tout discours, à la rigueur, n’a que deux parties. Il appelle
l’une
proposition et l’autre preuve. « En effet, dit-il
ique dans la prose. Différence qu’il y a entre la poésie et la prose.
L’une
n’admet pas le style de l’autre. Y a-t-il une pro
vais découvert de plus en plus mon ignorance. Et néanmoins j’étais en
l’une
des plus célèbres écoles de l’Europe1, où je pens
t l’éloquence, et j’étais amoureux de la poésie ; mais je pensais que
l’une
et l’autre étaient des dons de l’esprit plutôt qu
cette vie à ceux qui ont vécu en gens d’honneur, mais qu’au contraire
l’une
et l’autre leur promettent des joies et des récom
la litote nous rapprochions deux idées toujours semblables, mais dont
l’une
était plus grande ou plus petite que l’autre. Enf
ent en se rapprochant, comme deux couleurs opposées se font ressortir
l’une
l’autre ; exemples : La jeunesse vit d’espérance,
les mots sur eux-mêmes dans deux propositions successives et opposées
l’une
à l’autre, l’antithèse prend le nom de réversion.
ui absorbaient la rhétorique dans la philosophie, Aristote a appliqué
l’une
des maximes fondamentales de sa méthode, qui est
e ou la philosophie dans la rhétorique, c’est les dénaturer également
l’une
et l’autre ; la philosophie est une science, la r
y a deux manières de traduire les ouvrages techniques de l’antiquité.
L’une
consiste à faire passer dans notre langue toute l
nçant : les circonstances où elle a lieu, son objet, son procédé. Par
l’une
, Sophocle est un imitateur dans le même sens qu’H
’apparition de la tragédie et de la comédie, les poètes s’attachant à
l’une
ou à l’autre, suivant leur caractère propre, les
qui se déroule avec reconnaissance ou avec péripétie, ou encore avec
l’une
et l’autre. III. Il faut nécessairement que ces e
ments d’humanité, mais non pas à la pitié, ni à la terreur. En effet,
l’une
surgit en présence d’un malheureux qui l’est inju
celle de la femme, celle de l’esclave, bien que le caractère moral de
l’une
soit peut-être moins bon, et celui de l’autre abs
t-à-dire un nombre égal aux parties dont une tragédie est composée85.
L’une
est complexe et comprend dans son ensemble la pér
de la rhétorique. I. La rhétorique se rattache à la dialectique179.
L’une
comme l’autre s’occupe de certaines choses qui, c
science déterminée. Aussi tout le monde, plus ou moins, les pratique
l’une
et l’autre ; tout le monde, dans une certaine mes
pposée, la rhétorique et la dialectique sont seules à procéder ainsi,
l’une
et l’autre supposant des contraires. Toutefois, l
commençant, est une partie de la dialectique et lui ressemble189. Ni
l’une
ni l’autre n’implique en soi la connaissance de q
actère improbable, Il arrive nécessairement que, parmi ces dernières,
l’une
n’est pas facile à suivre, en raison de son long
hoses s’enchaînent de deux manières, selon qu’elles vont ensemble, ou
l’une
après l’autre : par exemple, la science à l’étude
vidus (d’une espèce surpassent) ceux (d’une autre), le plus grand (de
l’une
) surpassera le plus grand (de la seconde). Par ex
chose est un principe et que l’autre n’est pas un principe ; lorsque
l’une
est une cause et que l’autre n’est pas une cause,
rès ce qui précède, qu’une chose peut apparaître comme plus grande de
l’une
et de l’autre manière. En effet, si telle chose e
insi, chacun de nous a de l’aversion pour le voleur et le sycophante.
L’une
de ces passions peut guérir avec le temps, mais l
ces passions peut guérir avec le temps, mais l’autre est incurable ;
l’une
cherche plutôt à causer du chagrin, et l’autre à
ce. En effet, la présence d’un vice ne cause aucune douleur. De plus,
l’une
(la colère) est accompagnée de peine338, et l’aut
’être ; et si une galère est faisable, un navire l’est aussi. XII. Si
l’une
des deux choses qui se trouvent naturellement en
l’induction est un point de départ. Il y a deux espèces d’exemples :
l’une
consiste à relater des faits accomplis antérieure
r quelles sont leurs ressources en marine, en armée de terre, ou dans
l’une
et l’autre ; quel est l’effectif, quels sont les
naissance et ceux qui prétendent qu’ils meurent, car la conclusion de
l’une
et de l’autre opinion, c’est qu’à un moment donné
emblance476. Il en est de même des autres cas. Il faut de deux choses
l’une
: ou qu’il y ait, ou qu’il n’y ait pas matière à
tion du temps, ou par celle des faits, et les principales font valoir
l’une
et l’autre ; car si le fait a lieu plusieurs fois
(artistes) ; or ces termes sont tous deux des métaphores, appliquées
l’une
par des gens qui veulent l’avilir (la profession)
chaque démonstration apparaît telle qu’elle est ; mais, si l’on fait
l’une
de ces choses et non pas l’autre sans le laisser
ébut et la fin diffèrent573. VI. Il y a deux formes de péans opposées
l’une
à l’autre : l’une d’elles convient au début ; c’e
fèrent573. VI. Il y a deux formes de péans opposées l’une à l’autre :
l’une
d’elles convient au début ; c’est le péan qui com
comme pour la période précitée, mais dans sa totalité. Le membre est
l’une
de ces deux parties582. J’appelle période tout un
me) la paille, il produit un enseignement et une notion par le genre,
l’une
et l’autre ayant perdu leurs fleurs. III. Les ima
toutes deux font une même chose, seulement elles différent en ce que
l’une
la fait par en haut, et l’autre par en bas ; — ou
nombreux, plus il faut se mettre loin pour le contempler. Aussi, dans
l’une
comme dans l’autre, les détails négligés et impar
le fait en vue d’une démonstration. II. Ces deux parties sont donc :
l’une
, la proposition665, l’autre, la preuve ; c’est co
re, la preuve ; c’est comme si l’on établissait cette distinction que
l’une
est la question posée, et que l’autre en est la d
louer, blâmer et mettre la dernière main. Or il faut viser à établir
l’une
de ces deux opinions, que l’on est bon au point d
ser à boire. 165. Iliade, xx, 272. — Τῇ correspond à πτύχη χρυσείη,
l’une
des cinq lames qui composaient le bouclier d’Achi
se ambassade, § 303. — Voir Dobrée, Adversaria critica, p. 138. 618.
L’une
des deux trières consacrées (l’autre était la Sal
e côté. Il y a, du reste, plusieurs manières de présenter l’histoire.
L’une
, qu’on peut appeler narrative, consiste à détaill
t, en combinant habilement ces deux méthodes, réunir les avantages de
l’une
et de l’autre. § IV. Chronologie. L’ordre c
vanité et le mensonge : mais la violence et la vérité ne peuvent rien
l’une
sur l’autre. Qu’on ne prétende pas de là néanmoin
che à la terre ; et ils n’ont fait autre chose qu’entretenir au moins
l’une
de ces maladies. S’ils vous ont donné Dieu pour o
ndillac, que si, en conservant les idées principales, vous substituez
l’une
des périphrases à l’autre, toutes deux vous paraî
actère donné à Dieu n’aura plus assez de rapport avec son action dans
l’une
et l’autre circonstance. Quand la périphrase ne c
ucun sujet de douter que cela ne soit ainsi. En un mot, il suffit que
l’une
des phrases die plus que l’autre, pour éviter le
mes les plus puissantes de l’éloquence ; c’est l’adversaire, le juge,
l’une
ou l’autre classe d’auditeurs, que l’orateur inte
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces :
l’une
de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs,
avec des pierres brutes, qui essaye, qui rejette, qui reprend, tantôt
l’une
, tantôt l’autre, jusqu’à ce qu’il ait placé chacu
plus expressive : Le chagrin monte en croupe ; et galope avec lui.
L’une
des plus remarquables est celle que Corneille met
sions qui ont un sens diffèrent chacune, au lieu d’être la répétition
l’une
de l’autre. Les deux poètes parlent des rochers o
l’art d’enchaîner les pensées ; la transition est l’art de passer de
l’une
à l’autre naturellement. Boileau dit que les tran
u’il entreprend. Les deux engins3 qui ont servi aux trois espreuves à
l’une
desquelles vous avez assisté à Geneve, m’ont cous
maison du Crest1 à la vostre d’Aubonne. Il y a 9 lieuës savoyardes de
l’une
à l’autre, et plus que de Paris à Estampes, ou de
justices sont en présence, la Justice humaine et la Justice divine :
l’une
, implacable et appuyée sur un glaive, est accompa
un voile trempé de pleurs, se montre entre la Pitié et l’Espérance.
L’une
a pour ministre un homme de sang, l’autre un hom
L’une a pour ministre un homme de sang, l’autre un homme de paix ;
l’une
condamne, l’autre absout. Innocente ou coupable,
e singularité qui frappe et émeut. Ces deux voix opposées qui crient,
l’une
: meurs ; l’autre : montez au ciel, font tressail
xpression dans les deux hémistiches ; harmonie différente appropriée,
l’une
à la force, l’autre à ta faiblesse. Ce qui est u
vanité et le mensonge ; mais la violence et la vérité ne peuvent rien
l’une
sur l’autre. Qu’on ne prétende pas de là néanmoin
le royaume ne lui appartenait pas. Ainsi il avait une double pensée :
l’une
par laquelle il agissait en roi, l’autre par laqu
intemps, fond sur une jatte de lait. Mais ce fil suffit pour attacher
l’une
à l’autre les deux images, et ces échappées sur l
a en quelque sorte entre elles des reflets qui portent des nuances de
l’une
sur l’autre ; et chacune doit à celles qui l’appr
elles ne peuvent se rencontrer à quelque distance qu’on les prolonge
l’une
et l’autre. » L’autre est d’un critique qui, diss
s a trente arcs-boutants et autour de ces arcs-boutants se promènent,
l’une
après l’autre, deux femmes, l’une blanche, l’autr
de ces arcs-boutants se promènent, l’une après l’autre, deux femmes,
l’une
blanche, l’autre noire. Ésope expliqua cette éni
oème fait à l’occasion d’un mariage. Il a deux parties essentielles :
l’une
comprend les louanges qu’on donne aux nouveaux ép
entir la convenance, le rapport que deux personnes ou deux choses ont
l’une
avec l’autre. Le plus souvent, l’allusion est l’a
croissant, soit en décroissant. Il y a donc deux sortes de gradation,
l’une
ascendante, l’autre descendante plus rare que la
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces !
l’une
de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs,
e-t-on d’espèces d’harmonie ? On distingue deux espèces d’harmonie :
l’une
qui consiste dans l’arrangement des mots et des p
s ou bâillement, qui a lieu quand deux voyelles se trouvent vis-à-vis
l’une
de l’autre, et se tranchent durement, comme dans
ion de ses membres. On doit éviter de placer immédiatement à la suite
l’une
de l’autre deux périodes de même forme, dont les
gle est de les entremêler, et que leur mélange bien entendu constitue
l’une
des principales ressources du beau langage. Tous
nc une institution sage, dans le barreau moderne, que d’avoir donné à
l’une
et à l’autre cause la ressource d’être plaidées à
ains supplient quand elles se joignent ; bénissent quand on les étend
l’une
à coté de l’autre. Avancée et étendue à la hauteu
doigts qui seront joints légèrement, et formeront une petite courbe.
L’une
des mains ne doit point anticiper sur le domaine
le debout ou assis : debout, les jambes ne doivent point être serrées
l’une
à côté de l’autre, on aurait l’air d’un soldat au
e qu’il n’y ait pas plus de deux rimes de même consonnance à la suite
l’une
de l’autre. 2. Ce principe, généralement adopté,
ques. 2. L’hiatus est produit par la rencontre de deux voyelles dont
l’une
ne peut s’élider. Ex. : Il alla à Arras. Quoiqu’
frontière et importante. Sa famille se divisa en deux branches, dont
l’une
est connue sous le nom de Riquet, comte de Carama
précision morale était aussi indispensable que celle du style, et que
l’une
et l’autre se devaient fortifier et éclairer mutu
ent fortifier et éclairer mutuellement. Quelle force elles empruntent
l’une
de l’autre dans le morceau suivant ! Va, sublime
associations d’hommes, qui furent nommées des cités ; alors on bâtit
l’une
près de l’autre des maisons que l’on appela des v
iers hommes que la loi et la violence. Si nous ne voulons pas user de
l’une
, il faut faire usage de l’autre. Voulons-nous abo
oclame le père des arts, et par cette liaison des idées, ce réveil de
l’une
par l’autre, qui est aussi un des éléments de not
criture ; en français, paon pour pan. crase, peculi pour peculii.
L’une
des lettres disparaît dans l’écriture ; en frança
n essence. Ce qui nous semble beau doit participer, plus ou moins, à
l’une
de ces trois qualités, et souvent à toutes les tr
st créée. La poésie est donc un chant ; elle est sœur de la musique ;
l’une
et l’autre ont pour base la mélodie et la mesure
d après Homère3. Virgile. Nos muses ne doivent point être jalouses
l’une
de l’autre : leurs genres sont si différents ! Ce
2. L’auteur suppose ici une conversation entre deux personnes, dont
l’une
, celle qui parle en ce moment, a un goût et des c
s’entremêlent des jours Qu’il faut chômer ! on nous ruine en fêtes :
L’une
fait tort à l’autre ; et monsieur le curé De quel
Harpe, qui l’a transcrite et commentée dans son Cours de littérature,
l’une
des plus heureuses de La Fontaine. 4. Ce sujet a
pres à nous en défendre. Regnard a composé aussi des satires, et dans
l’une
d’elles, dans le Tombeau de Boileau, il eut même
entôt reparaître ayant tout perdu. 1. Il faut comparer cette scène à
l’une
des meilleures de Molière. Don Juan, IV. 3. 1. E
s dans le recueil de l’Académie des inscriptions, attestent qu’il fut
l’une
des gloires de ce corps illustre2. Mais son princ
vant « avait quitté les muses pour le commerce », fut, comme on sait,
l’une
des victimes du tremblement de terre arrivé à Lis
vais tout le loisir de m’entretenir de mes pensées : entre lesquelles
l’une
des premières fut que je m’avisai de considérer q
s cette vie, à ceux qui ont vécu en gens d’honneur, mais au contraire
l’une
et l’autre leur promet des joies et des récompens
st pas que je prétende qu’on ne puisse admettre plusieurs périls dans
l’une
et plusieurs intrigues ou obstacles dans l’autre,
des scènes, qui unit toutes les actions particulières de chaque acte
l’une
avec l’autre, est un grand ornement dans un poème
on ressemble mieux et soit plus parfaite. Ne donnons, s’il se peut, à
l’une
que les deux heures que l’autre remplit : je ne c
: il faut une grande justesse pour railler longtemps sans tomber dans
l’une
ou l’autre de ces extrémités. La raillerie est un
vais juges de la solidité et de l’éloquence, qu’ils ne connaissent ni
l’une
ni l’autre, quand, par une conséquence ridicule,
t de ce tombeau, la première et la dernière parole de l’Ecclésiaste :
l’une
qui montre le néant de l’homme, l’autre qui établ
u de diviser deux choses qui paraissent se joindre, ou de les opposer
l’une
à l’autre ; c’est celui de ne dire qu’à moitié la
ncore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée
l’une
des meilleures397. S’étonnera-t-on qu’après une f
avons tous deux refusé notre main : Qui de vous s’est vengée ? est-ce
l’une
, est-ce l’autre Qui fait agir la sienne au refus
percer le flanc. Nous avons mal servi vos haines mutuelles, Aux jours
l’une
de l’autre également cruelles ; Mais si j’ai refu
Seigneur, que faites-vous ? ANTIOCHUS. Je sers ou
l’une
ou l’autre, et je préviens ses coups. CLÉOPÂTRE.
Et que mon déplaisir430, par un coup généreux, Épargne un parricide à
l’une
de vous deux. CLÉOPÂTRE. Puisque le même jour que
entre nous deux. Certes, si vous voulez passer435 pour véritable Que
l’une
de nous deux de sa mort soit coupable, Je veux bi
on sang ; j’ai demandé le vôtre : Le roi sait quels motifs ont poussé
l’une
et l’autre ; Comme par sa prudence il a tout adou
Vous m’arrêtez en vain : Donnez. RODOGUNE. Ah ! gardez-vous de
l’une
et l’autre main ! Cette coupe est suspecte, elle
fureur de ses ennemis. La reconnaissance d’Alzire et de Zamore forme
l’une
des situations les plus pathétiques de cette trag
uvre. Il rentra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie,
l’une
des pièces dont la réputation s’est maintenue au
e, « que ce sont les proverbes des gens d’esprit. » La Fontaine, dans
l’une
de ses Fables (L’homme et son image), en a fait a
ssait pour pouvoir arrêter les plus grands vaisseaux : rac. remorari.
L’une
et l’autre acception est aujourd’hui fort peu usi
comme on parle en latin, invita ratione. Ce tour n’existe plus. 96.
L’une
…, l’imagination ; l’autre…, la raison. 97. Exemp
it. 153. Noble allégorie qui rappelle ces paroles de Descartes, dans
l’une
de ses lettres : « Je connais clairement que nos
dmire surtout la terreur dramatique qui règne dans le cinquième acte,
l’une
des plus éclatantes manifestations du génie de Co
que de bonne bourgeoisie. » 479. C’est-à-dire d’années qui viennent
l’une
après l’autre, se succèdent. Ce verbe n’est plus
ette pièce, qui est de 1666, fut l’un des premiers modèles et demeure
l’une
des plus belles productions de la comédie de mœur
x à leur place. » 608. C’est-à-dire, de Saül. 609. On voit, dans
l’une
des premières scènes, qu’Aman appartenait en effe
uelques éditions, sont des leçons défectueuses, parce qu’avec revêtus
l’une
et l’autre manière de s’exprimer deviendrait impr
touchant où l’on peut retrouver quelques traces de l’Ion d’Euripide,
l’une
des pièces de cet auteur qui attestent le mieux l
l’excès peut-être par La Harpe, cette pièce demeurera sans contredit
l’une
des créations de Voltaire les plus neuves et les
intérêt va en grandissant : cette rencontre entre les deux rivaux est
l’une
des inspirations les plus heureuses de cette trag
ertes de Newton. 732. Harmonie imitative, analogue à cette chute de
l’une
des strophes d’Horace, 12e ode du liv. 1er : Und
ent neuf construit en 1660. Il se composait de deux petites chambres,
l’une
au-dessus de l’autre, surmonté d’une plate-forme
’une simplicité aisée qui amène la scène de la reconnaissance. 781.
L’une
des principales villes de la Thessalie. Achille,
178. — Le point avec la virgule (;) se met entre deux phrases dont
l’une
dépend de l’autre. Exemple : La douceur est à la
ain. 10. Les préceptes de la Rhétorique se divisent en deux parties :
l’une
renferme les préceptes généraux qui s’appliquent
nel. 5. La phrase est composée, quand elle a deux parties distinctes,
l’une
principale, l’autre incidente. Celle-ci modifie e
mains supplient quand elles se joignent, bénissent quand on les étend
l’une
à côté de l’autre. Avancée et étendue à la hauteu
gts, qui seront joints légèrement et formeront une petite courbe. 18.
L’une
des mains ne doit point anticiper sur le domaine
z quelles sensations sont rendues par les mouvements des mains. — 18.
L’une
des mains ne peut-elle pas anticiper sur le domai
courte, et même, si une clarté suffisante ressort du développement de
l’une
des trois qualités constitutives de la définition
ce qu’il n’y ait pas plus de deux rimes de même consonance à la suite
l’une
de l’autre. 2. Ce principe, généralement adopté,
ues. 2. L’hiatus est produit par la rencontre de deux voyelles, dont
l’une
ne peut s’élider. Ex. : Il alla à Arras. Quoiqu’i
ière, d’en ordonner si naturellement les parties, qu’elles se suivent
l’une
l’autre, sans se rattacher par aucun lien artific
, ne supporte ni une longue inertie, ni une longue tension de force ;
l’une
et l’autre en usent les ressorts ; qu’au repos su
tion de l’invention et de la disposition, comme j’ai séparé celles-ci
l’une
de l’autre. Et cependant ces trois parties sont s
et les défauts qui affectent plus spécialement chacune d’elles, quand
l’une
ou l’autre n’atteint pas le but commun. L’unité e
sorte la parole avec la pensée, qu’il soit impossible de se rappeler
l’une
sans l’autre, n’est pas la sienne ; mais il en a
grand poëte, d’un sage, d’un homme de génie, auquel a manqué pourtant
l’une
des plus précieuses qualités : la candeur, la vra
es survivants si terribles1. Ces deux causes agissent perpétuellement
l’une
sur l’autre, et bouleversent les âmes dans leurs
la vie par les soins de la mort, et la mort par les soins de la vie :
l’une
nous ennuie, l’autre nous effraye. » 1. Il fau
, toutes sortes de sujets, étaient autrefois employées indifféremment
l’une
pour l’autre. Aujourd’hui, on admet généralement
e diffèrent en rien du ton et du style de l’églogue en dialogue. Dans
l’une
et dans l’autre, ce doit être une suite d’images
écisément juxtaposées dans une tragédie, mais quelquefois interposées
l’une
dans l’autre. — Sur les chants du chœur, voy. aus
té froide qui repousse également la louange et la critique, parce que
l’une
serait sans fruit, et l’autre sans objet. Au rest
s ornements qui leur sont propres. C’est le grand mérite du Tasse, et
l’une
des causes qui en rendront toujours la traduction
iables de leur nature, ou que l’on ne concilie du moins qu’aux dépens
l’une
de l’autre, l’allure fière, libre et indépendante
Yester. En 1738, il fut promu à l’église métropolitaine d’Edimbourg,
l’une
des chaires cléricales les plus importantes du ro
ner à son nom l’éclat dont il devait briller dans la suite. Revêtu de
l’une
des plus belles fonctions ecclésiastiques, qu’il
n’est rien peut-être en quoi ces deux classes d’hommes diffèrent plus
l’une
de l’autre, que dans la faculté de ressentir les
a pureté consiste à écarter toutes les fausses prétentions au mérite.
L’une
réside surtout dans la manière de sentir, l’autre
l appuie cette proposition d’un nombre très considérable d’exemples :
l’une
est la ligne ondoyante, c’est-à-dire une courbe q
t distinctes, qu’elles ne puissent quelquefois se rapprocher beaucoup
l’une
de l’autre. Un cours d’eau paisible, par exemple,
lités morales peuvent être partagées en deux grandes divisions : dans
l’une
se placent ces hautes vertus qui exigent de nous
igner d’autres causes au plaisir que nous en recevons, et c’est comme
l’une
de ces causes que M. Addison et quelques autres é
ir et sa manière de s’exprimer : tant il est difficile de les séparer
l’une
de l’autre ! Je traiterai plus tard des caractère
s le rendent non seulement clair, mais encore gracieux. Pour acquérir
l’une
et l’autre, il n’est pas de moyen plus sûr que de
ficulté, un obstacle. » La difficulté embarrasse, l’obstacle arrête ;
l’une
se lève ou s’éloigne, l’autre se surmonte. La dif
ette phrase, produiraient un meilleur effet si elles étaient séparées
l’une
de l’autre. Dans ce passage des remarques sur l’H
phrases. Lorsque, dans le cours d’une période, on compare deux choses
l’une
à l’autre, soit que l’on exprime leur point de co
ées par des intervalles égaux ne doivent jamais se trouver à la suite
l’une
de l’autre ; pour que le style soit à la fois vif
ont tant de rapports ensemble que l’imagination passe en se jouant de
l’une
à l’autre, et contemple en même temps deux objets
des prés, un trop vif éclat les fatigue. » Cette allusion heureuse à
l’une
des couleurs qui flattent le plus notre vue, rend
us frappantes, est celle qui existe entre la cause et l’effet ; aussi
l’une
est-elle souvent prise pour l’autre dans le langa
nous avons données au sujet de la métaphore, parce qu’il existe entre
l’une
et l’autre une grande analogie. La seule différen
i qu’il est peu convenable à la dignité d’une passion de s’adresser à
l’une
des parties du corps comme si elle était animée,
e la figure par laquelle on s’adresse à un objet inanimé, que souvent
l’une
et l’autre sont indistinctement appelées apostrop
, pour sembler naturelles, doivent être suggérées par la passion, car
l’une
et l’autre ne sont que l’expression des passions
disposition graduelle de circonstances qui, en enchérissant toujours
l’une
sur l’autre, conduisent au plus haut degré l’idée
onc embellir une composition que lorsqu’elles nous sont suggérées par
l’une
ou l’autre de ces facultés de l’âme. Elles doiven
ceptibles de recevoir. Chacune de ces manières a ses avantages ; mais
l’une
et l’autre, poussée à l’excès, devient vicieuse.
t ; il finit par ennuyer le lecteur. Un auteur cependant doit adopter
l’une
ou l’autre manière, selon la disposition naturell
e manière, selon la disposition naturelle de son esprit, et parce que
l’une
comme l’autre lui offre les moyens de rassembler
longueur ou la brièveté des phrases soient le caractère distinctif de
l’une
ou l’autre espèce de style. Un écrivain, en ne se
acité. Il est facile de ne pas les confondre en observant l’effet que
l’une
et l’autre produisent ; celle-là attache le lecte
remplies de parenthèses, et renferment une foule de choses entassées
l’une
sur l’autre, comme il arrive toujours dans la cha
eur ou d’un orateur du parlement ; et l’on ne peut juger avec goût de
l’une
ou de l’autre, qu’autant qu’on s’est formé une id
ons imaginaires, quelque importante ou quelque futile que puisse être
l’une
de ces questions, un jeune homme en les traitant
c’est le raisonnement, selon que quelque prédicateur célèbre a adopté
l’une
ou l’autre manière. Chacune est également vicieus
scrire aucune règle à cet égard. Il faut que chaque prédicateur suive
l’une
ou l’autre méthode, suivant les dispositions de s
paraître pédant ou affecté. Il y a d’excellents discours où manquent
l’une
ou l’autre de toutes ces parties, où l’orateur, p
complet, en montrant comment toutes les parties du discours se lient
l’une
à l’autre et tendent au même but. Lorsque l’on cr
es parties entre lesquelles on divise un sujet soient bien distinctes
l’une
de l’autre, c’est-à-dire que l’une d’entre elles
se un sujet soient bien distinctes l’une de l’autre, c’est-à-dire que
l’une
d’entre elles ne doit pas être déjà contenue avec
les sont soumises aux mêmes règles et tendent au même but, en servant
l’une
et l’autre à faire mieux connaître la cause ou le
l’épigramme ? Il y a nécessairement deux parties dans l’épigramme :
l’une
qui est l’exposition du sujet, de la chose qui a
ettres. Par conséquent, c’est l’assemblage de plusieurs énigmes, dont
l’une
porte sur le mot total, et les autres sur les par
Liaison des idées. Les idées sont liées dans notre esprit, lorsque
l’une
réveille naturellement le souvenir de l’autre. Ai
de l’éloquence et les progrès de la philosophie, ne tarda pas à voir
l’une
dénaturée par les déclamateurs, et l’autre corrom
ofane. L’Histoire de la religion se sous-divise en deux espèces, dont
l’une
est l’Histoire sainte, écrite par des hommes insp
nt les richesses des rois. De deux factions qui régnaient à Carthage,
l’une
voulait toujours la paix et l’autre toujours la g
utre toujours la guerre, de façon qu’il était impossible d’y jouir de
l’une
, ni d’y bien faire l’autre. Pendant qu’à Rome la
es, doivent sortir du même fond, se rapporter au même but, être liées
l’une
à l’autre, et former un ensemble non moins utile
mouvements incertains. Si elles ne sont pas également intéressantes,
l’une
est alors subordonnée à l’autre, et ne doit entre
un joug déjà prochain menacent tout son cours. « Nous l’avons vu, dit
l’une
, affronter la tempête De cent foudres d’airain to
position ; ce qui arrive quand elles sont suivies de deux consonnes,
l’une
finale, l’autre initiale du mot suivant. Ainsi, a
e brève devient longue, quand elle est suivie de deux consonnes, dont
l’une
finit un mot, et l’autre commence le mot suivant.
re qui vient plutôt de l’esprit, la seconde, du cœur. Le caractère de
l’une
et de l’autre est de ne point exprimer l’idée tou
les mots sur eux-mêmes dans deux propositions successives et opposées
l’une
à l’autre ; L’enthymémisme qui rapproche vivemen
le publia tel qu’il nous est parvenu. C’est, malgré tous ses défauts,
l’une
des productions les plus estimables de l’antiquit
autant dans ses conséquences que la vanité et l’amour de la gloire :
l’une
tâche d’escamoter le succès ; l’autre veut le con
ire : l’une tâche d’escamoter le succès ; l’autre veut le conquérir ;
l’une
est inquiète d’elle-même et ruse avec l’opinion ;
e caractère de tristesse méditative et désenchantée qui fut plus tard
l’une
des séductions comme l’un des dangers de son géni
qu’elle, si ce n’est la vertu. Le comble du bonheur serait de réunir
l’une
à l’autre dans cette vie ; et c’était l’objet de
ur un terrain uni, derrière et au pied du théâtre, trois ruines, dont
l’une
est assez haute et arrondie comme une tour : dans
otre cœur sont entre les mains de Dieu : laissons-le donc disposer de
l’une
comme de l’autre101. Ibid., ib. Ruines de
ces deux extrêmes opposés, est la peinture, presque aussi précise que
l’une
, presque aussi touchante que l’autre. Comme la sc
fet que celui de rapprocher, malgré elles, des populations étrangères
l’une
à l’autre, et qui bientôt se séparèrent violemmen
s. Louis et Charles se réunirent à Strasbourg avec leurs armées, dont
l’une
était composée d’hommes de toutes les tribus teut
-Dame ! Dieu aide ! Dieu aide ! Mais les Normands furent repoussés, à
l’une
des portes du camp, jusqu’à un grand ravin recouv
ur et de force. Né en 1796 au hameau des Pontets, près de Mouthe, sur
l’une
des chaînes du Jura, il se fit remarquer de bonne
onnables, quelque chose de saint, de sacré, d’obligatoire, c’est nier
l’une
de ces deux choses, ou que la raison humaine s’él
encore d’autres idées, une autre manière de vivre. Et ces deux races,
l’une
asiatique et l’autre grecque, se disputent la pré
isions, et particulièrement le matériel. Chaque jour il devait passer
l’une
des divisions de l’armée. L’opération devait donc
nde ne pouvait lui faire subir une telle extrémité. Il pensait que si
l’une
des plus hautes montagnes du globe ne l’avait pas
grin qu’il éprouvait de ne pouvoir, faute d’un peu d’aisance, épouser
l’une
des filles de cette vallée. Le Premier Consul, ta
irs auraient dû protéger contre l’humiliante tyrannie des Turcs. Dans
l’une
des villes du Bosphore, devant l’un des plus beau
, Vous avez vu notre chaumine : De ce vallon ne me parlez-vous pas ?
L’une
de vous peut-être est née Au toit où j’ai reçu le
trop spécial pour intéresser le grand nombre. Le Paria (1821) restera
l’une
des meilleures inspirations de C. Delavigne : nul
rations de ses meilleurs jours : le portrait du conventionnel restera
l’une
de ses plus heureuses créations. Une dernière piè
quait les conversations de l’Empereur. 122. La même pensée a inspiré
l’une
des plus éloquentes conférences (la 39e) du P. La
mme celle du roi Charles terminait les deux premiers. Morts terribles
l’une
et l’autre ! tableaux dignes d’un Tacite, et dans
ier était né en 1762, Joseph en 1764. 165. Ce sont deux lettres dont
l’une
a pour objet les danses de la Grèce moderne, et l
leçons sur la tribune anglaise au dix-huitième siècle resteront aussi
l’une
des parties les plus neuves et les plus attachant
t la guerre qui « fut à la fois, a dit M. Thiers, la plus légitime et
l’une
des plus glorieuses de ces temps héroïques. » Le
nt endurci dans sa haine. Ce retour de tendresse n’en reste pas moins
l’une
des plus heureuses inspirations de Ducis, et le p
admiration. 443. La piété filiale a aussi inspiré à M. de Lamartine
l’une
de ses pièces les plus parfaites de sentiment et
aractère de l’esprit de l’homme est de se laisser toujours emporter à
l’une
ou à l’autre, le caractère de l’esprit de Dieu es
ous est ici représenté dans les deux époques malheureuses de sa vie ;
l’une
par rapport à son roi ; c’est-à-dire, enveloppé d
tre mis au nombre des plaidoyers. On doit y recueillir les raisons de
l’une
et de l’autre partie, les comparer, les balancer,
n veut que nous tenions aussi de sa main un si grand bienfait. Ce que
l’une
a établi par un droit inviolable, l’autre vient d
nt, ne s’ensuit-il pas que ces deux parties sont liées si étroitement
l’une
à l’autre que, si on a pu les séparer dans la thé
une lumière nouvelle et ajoutera à l’évidence ; les raisons, poussées
l’une
par l’autre, comme le flot par le flot, entreront
is je me contenterai de vous y renvoyer, et cela, pour deux raisons :
l’une
, qu’il n’y a pas de dénombrement si vaste qui con
és ensemble par le lien de la proposition maîtresse et qui s’appuient
l’une
sur l’autre en se succédant. Chaque raison nouvel
t par conséquent à la félicité du genre humain : deux choses qui sont
l’une
de l’autre une conséquence immédiate, et que l’on
désigné pour être le second ? Cela est possible ; mais de deux choses
l’une
: ou vous imiterez Homère, ou vous ne l’imiterez
dans cette fable où La Fontaine nous montre deux veuves lui arrachant
l’une
les cheveux noirs, parce qu’ils sont trop jeunes,
amment de sa vie écoulée : Deux parts en fit, dont il soulait passer
L’une
à dormir, et l’autre à ne rien faire Je ne dirai
e xviie siècle est là pour nous apprendre à respecter, sinon à aimer
l’une
et l’autre. GUSTAVE MERLET 1. Il appartenait à
conséquent pour l’antécédent : c’est un jeu d’idées corrélatives dont
l’une
réveille l’autre. 1° La métalepse met l’antécéden
idées dans un ordre tellement naturel, que l’esprit passe aisément de
l’une
à l’autre et presque sans s’en apercevoir. La gra
me. Combien de fois a-t-elle remercié Dieu de deux grandes grâces :
l’une
de l’avoir faite chrétienne, l’autre… Messieurs,
a dit Labruyère, l’opposition de deux vérités qui se donnent du jour
l’une
et l’autre. Cette définition concise a besoin d’ê
ressortir les différences qui existent entre deux choses, en opposant
l’une
à l’autre. Il y a trois sortes d’antithèses : 1°
t qu’on les a disposées suivant les règles de l’art, il faut les lier
l’une
à l’autre, afin d’en faire un ensemble solide. On
que dans le style ou la pensée. On distingue deux sortes d’enflures :
l’une
consiste dans des pensées simples et vulgaires qu
jectif avec comparaison : quand on compare deux choses, on trouve que
l’une
est ou supérieure à l’autre, ou inférieure à l’au
i la pousse à cet excès ? Les passions ne sont variées et différentes
l’une
de l’autre que quand elles sont modérées : alors
lacée, quand elle n’est pas ridicule dans la chaire. C’est à balancer
l’une
par l’autre ces deux qualités précieuses, que les
nesse, à travers un voile transparent ; il ne faut pas plus abuser de
l’une
que de l’autre, pour ne point tomber dans l’affét
vre décousue et pleine de disparates. Les pensées doivent s’enchaîner
l’une
à l’autre naturellement, sans effort, par une suc
: « Combien de fois a-t-elle remercié Dieu de deux grandes grâces :
l’une
, de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs
. La fable veut encore qu’il ait séparé une montagne en deux parties,
l’une
appelée Calpé en Europe, et l’autre Abyla en Afri
ui étaient consacrés. L Landau, ville très forte de France, et
l’une
des plus fortes de toute l’Europe, à l’extrémité
ces ou royaumes. Elle fut le théâtre de deux fameuses batailles, dont
l’une
se livra, dans les plaines de Pharsale entre Césa
vrir la bouche, est la rencontre, dans le vers, de deux voyelles dont
l’une
, autre que l’e muet, finit un mot, et dont l’autr
ns la poésie lyrique. La stance de cinq vers renferme deux rimes dont
l’une
est nécessairement triple. Les trois rimes sembla
de sept vers est composée d’un quatrain et d’un tercet » en sorte que
l’une
des deux rimes de la première partie passe dans l
d’annoncer déjà Périclès comme orateur : nous allons l’entendre dans
l’une
des circonstances les plus importantes et les plu
ité publique. Croyez que la jeunesse et la vieillesse ne peuvent rien
l’une
sans l’autre, et que c’est dans la réunion de tou
assied, vous le voyez s’enfoncer dans un fauteuil, croiser les jambes
l’une
sur l’autre, froncer le sourcil, abaisser son cha
oir” de Giton, et “le fauteuil où il s’enfonce en croisant les jambes
l’une
sur l’autre” ; mais, s’il prend la plupart des vi
nne est tellement proportionnée à ma fortune, que je serais fâché que
l’une
ou l’autre fussent plus grandes. Vous serez homme
t à vous, mon cher abbé. Vous m’apprenez deux choses bien agréables :
l’une
que nous verrons monseigneur Cérati en France ; l
e Cid enfin est l’un des plus beaux poèmes que l’on puisse faire ; et
l’une
des meilleures critiques qui aient été faites sur
L’antithèse est une opposition de deux vérités qui se donnent du jour
l’une
à l’autre. La métaphore ou la comparaison emprunt
chent presque, à en juger par nos yeux : une étoile paraît assise sur
l’une
de celles qui forment la queue de la grande Ourse
de l’éloignement de deux étoiles qui, en effet, paraissent éloignées
l’une
de l’autre, et à plus forte raison des deux polai
s ? — Seigneur, lui dit Callisthène, vous êtes chef de deux nations :
l’une
, esclave avant que vous l’eussiez soumise, ne l’e
ure, la grâce de l’union des parties, celle des figures qui s’animent
l’une
par l’autre, et qui se prêtent des agréments par
d’une forme presque ronde, enferme dans son milieu deux petites îles,
l’une
habitée et cultivée, d’environ une demi-lieue de
ncore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée
l’une
des meilleures469. S’étonnera-t-on qu’après une f
un joug déjà prochain menacent tout son cours. « Nous l’avons vu, dit
l’une
, affronter la tempête De cent, foudres d’airain t
Pour bien faire, Néron n’a qu’à se ressembler. Heureux si ses vertus,
l’une
à l’autre enchaînées, Ramènent tous les ans ses p
l passa tout le reste de sa vie loin de la France dont il est demeuré
l’une
des gloires. L’élévation de la pensée, la magnifi
nos regards. 244. Boileau. 245. Racine. 246. L’Œdipe de Corneille,
l’une
des pièces les plus faibles du grand poète, est d
erre : « car j’appelle ainsi cette expression, l’insulter en passant,
l’une
des plus belles que l’imagination ait inventées »
n peut voir sur cette rapide conquête deux pièces du grand Corneille,
l’une
en vers français, l’autre en vers latins : tom. X
hes suivantes de la pièce de M. de Lamartine, intitulée le Lac (c’est
l’une
des Premières Méditations poétiques) : Ainsi, to
e cet avis, qui lui semble être assez généralement reçu. Le sujet est
l’une
des plus belles actions d’Auguste racontée par Sé
ls de Pompée et l’amant d’Émilie, sa complice, dont le père avait été
l’une
des victimes d’Octave dans les proscriptions du t
er ce nom à un récit qui n’a rien d’allégorique) : c’est pareillement
l’une
des pièces où Chamfort s’est le plus appliqué à m
tour, on retrancherait l’article. 598. Le caractère de Chrysale est
l’une
des créations les plus piquantes de Molière. C’es
ri IV : J.-B. Rousseau a célébré aussi le courage de ce seigneur dans
l’une
de ses odes qui lui est adressée, III, 8. 663.
eption du début, dont la versification est quelque peu pénible, comme
l’une
des plus heureuses inspirations de Boileau. Il es
en rappelant que l’analyse du théâtre de Racine est sans aucun doute
l’une
des meilleures parties de cet ouvrage. Signalons,
ons sur quelques poètes. 751. Cette ode, regardée avec raison comme
l’une
des plus parfaites de J.-B. Rousseau, est imitée
e de recherche et d’embarras. 768. Horace commence à peu près ainsi
l’une
de ses odes (IV, 2) : Quem tu, Melpomene, semel
rtrait du véritable magistrat. Il a donné si longtemps des preuves de
l’une
, et si heureusement réalisé ce qu’il va dire de l
ue. Et comme l’intelligence humaine a deux manières de se développer,
l’une
spontanée, l’autre réfléchie, il est indispensabl
la disposition dépend de l’invention et l’élocution est le reflet de
l’une
et de l’autre. Il faut donc vaincre les premières
signifie en grec conception, pensée intime ; c’est un syllogisme dont
l’une
des prémisses reste dans l’esprit et qui se trouv
ion, argument personnel. 8. De l’exemple. — C’est un syllogisme dont
l’une
des prémisses est un fait historique ou du moins
iviser deux choses qui paraissent se joindre, ou de les opposer
l’une
à l’autre ; c’est celui de ne dire qu’à moitié sa
lle a usé chrétiennement de la bonne et de la mauvaise fortune ; dans
l’une
elle a été bienfaisante, dans l’autre elle s’est
s’entremêlent des jours Qu’il faut chômer ; on nous ruine en fêtes ;
L’une
fait tort à l’autre ; et monsieur le curé De quel
s un ensemble qui frappe l’esprit parce que les preuves se fortifient
l’une
l’autre : l’artifice le plus ordinaire de la réfu
ce double but, la péroraison doit comprendre deux parties distinctes,
l’une
qui se rapporte aux arguments et l’autre aux pass
uant, du pathétique ou de l’harmonie. Une épithète qui ne remplit pas
l’une
de ces conditions doit être bannie comme un mot p
brille, il étincelle. Quand deux propositions principales s’opposent
l’une
à l’autre parle sens, le simple rapprochement suf
lle harmonie dans les images, comme elles s’enchaînent et s’éclairent
l’une
l’autre ! Le pampre et l’épi sont les plus heureu
on autorité suprême sur le monde. Essayons d’échanger ces périphrases
l’une
pour l’autre, et disons : « Celui qui met un fre
en de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces :
l’une
de l’avoir faite chrétienne ; l’autre… Messieurs,
ègle grammaticale de construction Au contraire, l’inversion constitue
l’une
des principales licences de notre poésie. Voici q
mètre et sont des objets de commerce. C’est l’un des effets et aussi
l’une
des causes de notre décadence littéraire. Montaig
nous, peut employer deux formes littéraires pour exposer sa pensée :
l’une
qui ressemble au langage même de la conversation,
ns et se rencontre avec nos sympathies. 5. De l’analyse critique. —
L’une
des études les plus intéressantes pour les jeunes
Ces deux genres d’éducation sont d’une égale importance pour l’homme
L’une
lui donne toute la dignité, toute la force de sa
le but suprême et définitif. Ces deux éducations ne sont pas opposées
l’une
à l’autre ; bien au contraire, elles se fortifien
bien au contraire, elles se fortifient, se perfectionnent, s’achèvent
l’une
par l’autre. 9. Résumé et règles. — Les observat
endrez outrée. Si vous embellissez une pensée naïve, une pensée vive,
l’une
et l’autre cesseront de l’être. Mon ami n’est plu
la poésie son plus beau coloris ; elles sont comme l’âme et la vie de
l’une
et de l’autre. Ainsi les figures sont de certains
qu’il soit de l’essence de la métaphore de renfermer une comparaison,
l’une
et l’autre ne doivent pas être confondues. Qu’on
eau. Le rondeau est composé de treize vers roulant sur deux rimes,
l’une
masculine et l’autre féminine ; il se divise en t
. Justement au pied, le carrosse s’arrêta tout court. Comme j’étais à
l’une
des portières avec Mademoiselle de Vendôme, je de
parsemée de pierreries. Des jeunes filles se tenaient à l’entour, et
l’une
d’elles disait plusieurs choses à la louange de c
la théorie de cet art de persuader, dont l’éloquence est la pratique.
L’une
trace la méthode et l’autre la suit ; l’une indiq
loquence est la pratique. L’une trace la méthode et l’autre la suit ;
l’une
indique les sources, et l’autre y va puiser ; Tun
utre y va puiser ; Tune enseigne les moyens, et l’autre les emploie ;
l’une
, pour me servir de l’expression de Cicéron abat u
rer l’attaque à la défense, ou bien la défense à l’attaque, selon que
l’une
ou l’autre promet plus d’avantage. Si in refellen
n paroles, dans un âge où nous sommes si dépourvus d’idées, peut être
l’une
des causes qui ont peuplé le monde de raisonneurs
où il y a beaucoup de principes. Il y a donc deux sortes d’esprits :
l’une
, de pénétrer vivement et profondément les conséqu
ment douteux entre la vérité et la volupté, et que la connaissance de
l’une
et le sentiment de l’autre font un combat dont le
ouvernent plus par caprice que par raison ! Or, de ces deux méthodes,
l’une
de convaincre, l’autre d’agréer, je ne donnerai i
propos de prévenir trois objections principales qu’on pourra faire :
L’une
, que cette méthode n’a rien de nouveau ; l’autre,
vaine et ridicule, au lieu d’une nourriture solide et vigoureuse. Et
l’une
des raisons principales qui éloignent autant ceux
Le Cid enfin est l’un des plus beaux poëmes que l’on puisse faire, et
l’une
des meilleures critiques qui aient été faites sur
L’antithèse est une opposition de deux vérités qui se donnent du jour
l’une
à l’autre. La métaphore, ou la comparaison, empru
oi58. Que vous manque-t-il enfin ? Vous avez des écrivains habiles en
l’une
et en l’autre oraison ; des poëtes en tout genre
uvais, il peut être évident aussi que de deux nations contemporaines,
l’une
a un goût rude et grossier, l’autre fin et nature
s sommes touchés des charmes de la beauté naïve et simple. Mais, dans
l’une
et l’autre image, n’oublions pas que la simplicit
les trois fonctions de l’éloquence ; mais elles ne sont ni exclusives
l’une
de l’autre, ni exclusivement attachées au genre q
II. On discerne aisément la vraie de la fausse étendue d’esprit : car
l’une
agrandit ses sujets, et l’autre, par l’abus des é
donc peu de savoir écrire. Nous aurions besoin tous les jours d’unir
l’une
et l’autre éloquence : mais nulle ne peut s’acqué
ssance, ne les ont pas toujours en exercice, et éprouvent souvent que
l’une
agit sans l’autre. Que de gens ont une plume et n
et la sortie doivent avoir un motif. Les scènes doivent être amenées
l’une
par l’autre, et être liées sans embarras, sans co
e Philaminte et Bélise. La comédie s’écrit en vers et en prose ; sous
l’une
ou l’autre forme, c’est toujours le ton de la con
uvre. Il rentra ensuite dans le monde, et par une excellente comédie,
l’une
des pièces dont la réputation s’est maintenue au
cette vie à ceux qui ont vécu en gens d’honneur, mais qu’au contraire
l’une
et l’autre leur promettent des joies et des récom
juillet 1706. J’ai à répondre à deux lettres de vous, mon cher duc,
l’une
du 11, l’autre du 17, et toutes deux aussi triste
indiquées, la moralité privée et la moralité politique, faisant dans
l’une
la leçon aux individus, comme s’il espérait la co
race et en traduisant sa pensée, d’un goût et d’un sens exquis, que «
l’une
réclame le secours de l’autre et, d’accord, conco
bjet la louange et le blâme, cherchent à démontrer jusqu’à quel point
l’une
ou l’autre est fondée ; de là le genre dit démons
étonné, indigné. Mais vous, première et vingtième légions, qui avez,
l’une
, reçu vos drapeaux de la main de Tibère, l’autre,
e part, il est souvent fort à propos de faire qu’elles s’accompagnent
l’une
l’autre ; et certains rhéteurs, avec quelque rais
es dans l’ordre logique ou naturel ; de telle sorte qu’elles naissent
l’une
de l’autre, que la cause précède l’effet, le prin
e à l’autre moitié. C’est le corps du serpent divisé en deux parties,
l’une
roide de vigueur, de force, d’énergie, je dirai p
ien de fois a-t-elle remercié Dieu humblement de deux grandes grâces,
l’une
de l’avoir fait chrétienne, l’autre… Messieurs, q
uer qu’elle s’unit très bien à l’éthopée et qu’elles n’en deviennent,
l’une
et l’autre, que plus agréables et plus piquantes.
feu du regard, la clarté du langage, une lueur ou un rayon d’espoir,
l’une
des lumières du barreau. Ils rendent plus énergiq
a dû s’attacher à unir ces parties de telle manière que le passage de
l’une
à l’autre n’ait rien de choquant, rien de brusque
consiste à rapprocher les choses des circonstances, pour conclure de
l’une
à l’autre ; 4° la cause et les effets : la cause
ses excès : c’est le goût, un juste discernement, qui doivent régler
l’une
et l’autre. Ici les fonctions de l’orateur devien
son sujet, enfin, chaque partie de la confirmation doit être traitée,
l’une
avec force, l’autre avec clarté ; ici ce sont des
sprit ou de déterminer la volonté. De là, deux sortes de péroraisons,
l’une
en choses, l’autre en mouvement ; quelquefois mêm
a-t-elle en ce lieu remercié Dieu humblement de deux grandes grâces :
l’une
de l’avoir faite chrétienne ; l’autre, Messieurs,
. Quelle chose par là nous peut être enseignée ? J’en vois deux, dont
l’une
est qu’entre nos ennemis Les plus à craindre sont
s’entremêlent des jours Qu’il faut chômer ; on nous ruine en fêtes :
L’une
fait tort à l’autre, et monsieur le curé De quelq
ps, bien sut le disposer ; Deux parts en fit, dont il soulait passer,
L’une
à dormir, et l’autre à ne rien faire. 5. Un p
aient nécessairement attachés à ceux de la morale, et que la ruine de
l’une
entraînait la décadence inévitable de l’autre : n
u bâillement la rencontre dans un même vers de deux voyelles sonores,
l’une
à la fin d’un mot, l’autre au commencement du mot
par le mouvement, comme de grosses boules vertes roulant par milliers
l’une
sur l’autre avec une grâce infinie. J’ai passé un
ppement. L’orateur peut, dans l’emploi de ses arguments, se servir de
l’une
ou de l’autre de ces méthodes auxquelles on a don
t de philosophie, de morale ou de critique, et dans lequel on a suivi
l’une
ou l’autre de ces deux méthodes, occupe, lorsqu’i
es réunit toutes les deux ; et tant qu’elles ne furent point séparées
l’une
de l’autre, elles durent augmenter mutuellement l
eurs compositions poétiques, et qu’ils en distinguaient deux espèces,
l’une
qu’ils comparaient à des perles détachées, l’autr
et quelquefois on en trouve deux de même nature immédiatement auprès
l’une
de l’autre. Mais, en général, sur dix syllabes do
t l’Aminte, du Tasse, ont acquis une grande célébrité. On trouve dans
l’une
et l’autre des beautés d’un ordre supérieur ; et,
contemporaines, et longtemps réunies. Mais lorsqu’on les eut séparées
l’une
de l’autre, lorsque les bardes eurent composé des
et pleines de feu sans paraître décousues. On doit les regarder comme
l’une
des meilleures productions de la poésie française
es divinités d’un ordre inférieur, parce qu’elles ont pris parti pour
l’une
ou l’autre armée, sont des trivialités dont un po
est le tableau des faiblesses, des travers et des folies des hommes.
L’une
agit essentiellement par la terreur et la pitié ;
ire marcher à la fois, dans la même pièce, deux actions indépendantes
l’une
de l’autre : il en résulte que l’esprit, partagé
es, ou ces conversations successives, doivent être parfaitement liées
l’une
à l’autre : mettre dans cette liaison de la vrais
des critiques se soient accordés à regarder l’histoire d’Œdipe comme
l’une
des plus propres à fournir des sujets à la tragéd
itié, la terreur et toutes les grandes passions forment le domaine de
l’une
, le principal et peut-être le seul instrument de
s y arrêterons-nous pas longtemps. Il est nécessaire qu’il y ait dans
l’une
comme dans l’autre une unité d’action et de sujet
palliata. On peut admettre deux espèces différentes de comédies. Dans
l’une
, c’est l’intrigue ou l’action qui est le principa
r à la comédie et à la tragédie, parce qu’empruntant quelque chose de
l’une
et de l’autre, il affaiblit par ce mélange même l
ntiment intérieur est l’objet de l’émotion. J’appelle l’expression de
l’une
, le langage des idées ; j’appelle l’expression de
oles, sans y faire naître que des idées confuses, qui se chasseraient
l’une
l’autre au lieu de concourir ensemble à fixer et
on aveu, il se forma deux sociétés de sciences morales et politiques,
l’une
, il est vrai, présidée par un jésuite, et siégean
endue pour être déjà sensible autre part que dans l’ordre spéculatif.
L’une
de ces doctrines, venue de l’Allemagne, est le pe
sement, notre esprit dans les ténèbres, à ne nous jamais servir ni de
l’une
ni de l’autre, à nous mettre au-dessous des anima
moi lui attachâmes à la ceinture une longue corde, dont nous saisîmes
l’une
des extrémités. Paul alors s’avança vers le Saint
t. La statue équestre de Pierre Ier s’élève sur le bord de la Néva, à
l’une
des extrémités de l’immense place d’Isaac. Son vi
e caractère de tristesse méditative et désenchantée qui fut plus tard
l’une
des séductions comme l’un des dangers de son géni
otre cœur sont entre les mains de Dieu : laissons-le donc disposer de
l’une
comme de l’autre389. Ibid., id. La campagne ro
aient portant la nourriture à leurs petits. Or, voilà qu’au moment où
l’une
des mères rentrait avec sa becquée, un vautour la
ces deux extrêmes opposés, est la peinture, presque aussi précise que
l’une
, presque aussi touchante que l’autre. Comme la sc
-Dame ! Dieu aide ! Dieu aide ! Mais les Normands furent repoussés, à
l’une
des portes du camp, jusqu’à un grand ravin recouv
ur et de force. Né en 1796 au hameau des Pontets, prés de Mouthe, sur
l’une
des chaînes du Jura, il se fit remarquer de bonne
encore d’autres idées, une autre manière de vivre. Et ces deux races,
l’une
asiatique et l’autre grecque, se disputent la pré
isions, et particulièrement le matériel. Chaque jour il devait passer
l’une
des divisions de l’armée. L’opération devait donc
grin qu’il éprouvait de ne pouvoir, faute d’un peu d’aisance, épouser
l’une
des filles de cette vallée. Le premier consul, ta
aissant, sans cesse évanouies, Qu’écoute l’Éternel durant l’éternité,
L’une
disait Nature ! et l’autre, Humanité ! Assurémen
ésie lyrique à la poésie descriptive, et ils ont admirablement relevé
l’une
par l’autre. La description, en effet, ne languit
e véritable champ du pathétique et du sublime ; » il a beau écrire de
l’une
d’elles « qu’il a eu dessein de donner une idée d
vre. Il rentra ensuite dans le monde, et, par une excellente comédie,
l’une
des pièces dont la réputation s’est maintenue au
rs auraient dû protéger contre l’humiliant despotisme des Turcs. Dans
l’une
des villes du Bosphore, devant l’un des plus beau
, Vous avez vu notre chaumine : De ce vallon ne me parlez-vous pas, ?
L’une
de vous peut-être est née Au toit où j ’ai reçu l
rop spécial pour intéresser le grand nombre. Le Paria (1821), restera
l’une
des meilleures inspirations de C. Delavigne : nul
l’abîme plongée. Chaque vague en passant d’un butin s’est chargée :
L’une
a saisi l’esquif, l’autre les matelots ! Nul ne s
ché (1840), par la pureté de la forme et l’élévation de l’idée, reste
l’une
de ses meilleures compositions. Le symbolisme har
d’un homme, jamais, n’a vu son onde oisive Transporter un vaisseau de
l’une
à l’autre rive : Livrée à ses courants toute barq
, rebelles aux lois de la nature sainte, Les peuples qui roulaient de
l’une
à l’autre enceinte En des crimes sans nom s’étaie
qu’aux yeux de Platon il y a deux politiques comme deux rhétoriques :
l’une
a pour but l’agréable, l’autre le bien. Et c’est
de Chateaubriand dans une direction plus nationale, plus française ;
l’une
est plus allemande, l’autre est plus latin ; l’un
, plus française ; l’une est plus allemande, l’autre est plus latin ;
l’une
est trop étrangère au sentiment de l’antiquité ;
qui vous trompent ; c’est nous qui nous trompons sur les desseins de
l’une
et sur le but de l’autre. C’est en méconnaissant
çait la guerre qui « fut à la fois, a dit Thiers, la plus légitime et
l’une
des plus glorieuses de ces temps héroïques. » Le
e de recherche et d’embarras. 582. Horace commence à peu près ainsi
l’une
de ses odes (IV, n) : Quem tu, Melpomene semel N
l’excès peut-être par La Harpe, cette pièce demeurera sans contredit
l’une
des créations de Voltaire les plus neuves et les
ertes de Newton. 627. Harmonie imitative, analogue à cette chute de
l’une
des strophes d’Horace, ode xii du livre Ier : Un
nt endurci dans sa haine. Ce retour de tendresse n’en reste pas moins
l’une
des plus heureuses inspirations de Ducis, et le p
’une simplicité aisée qui amène la scène de la reconnaissance. 714.
L’une
des principales villes de la Thessalie. Achille d
7. C’est-à-dire son bouclier, au centre duquel est la tête de Méduse,
l’une
des trois Gorgones. 728. Relire dans la lettre d
os appellabat. » 803. La piété filiale a aussi inspiré à Lamartine
l’une
de ses pièces les plus parfaites de sentiment et
tremêlent des jours Qu’il faut chômer : on nous ruine en fêtes.
L’une
fait tort à l’autre ; et monsieur le Curé De quel
deux poèmes ; tant cette différence est légère. Le poète traite dans
l’une
et dans l’autre des sujets de même nature, et, à
ujet d’une églogue ou d’une idylle. Mais voici ce qui peut distinguer
l’une
de l’autre. Ce qui peut distinguer l’Églogue d
ouleurs, et animée de tout le feu de la poésie, comme on le voit dans
l’une
des deux strophes que j’ai citées de l’Ode à la F
ncore, dans le Menteur, notre première comédie de caractère, demeurée
l’une
des meilleures1. S’étonnera-t-on qu’après une féc
L’humble simplicité vole droit jusqu’à Dieu, La pureté l’embrasse, et
l’une
à l’autre unie S’attache à ses bontés et les goût
onsiste à savoir rejeter les prétentions trompeuses d’un faux mérite.
L’une
s’adresse plus particulièrement au sentiment, l’a
eux méthodes parvenant au même but, et ne différant que par la forme,
l’une
ne paraît pas offrir plus d’avantages que l’autre
s les membres d’une période où deux choses sont comparées ou opposées
l’une
à l’autre, il faut conserver quelque ressemblance
e voyelles ou de consonnes, et dépouillés de consonnes qui réagissent
l’une
sur l’autre, ou de voyelles qui s’entrechoquent ;
s mots composés d’un grand nombre de voyelles, qui glissent doucement
l’une
sur l’autre ; ou, au contraire, lorsqu’il veut dé
résentée sous un aspect distinct, cependant, si elles sont accumulées
l’une
sur l’autre, elles produisent une confusion de la
lles. La seule différence matérielle que l’on puisse signaler est que
l’une
doit être courte et l’autre plus longue, que la m
, que pour animer des êtres insensibles et leur adresser un discours.
L’une
et l’autre figure est sujette à la même règle ; i
ite d’objets semblables, une série d’idées concordantes, de sorte que
l’une
sert à corroborer l’impression faite par l’autre.
tant. La différence se manifeste facilement par les effets produits ;
l’une
intéresse et flatte le lecteur, l’autre le fatigu
ses parties indiquées soient réellement distinctes ; c’est-à-dire que
l’une
ne se confonde pas avec l’autre ; ce serait une d
uments différents par leur nature. Toute argumentation tend à prouver
l’une
de ces trois choses, qu’une proposition est vraie
être froide et étudiée, la seconde doit être rapide et ardente : dans
l’une
, l’apparence de l’art et du travail est pardonnab
ns, pour la définir, qu’elle offre la réunion de deux phrases nommées
l’une
principale et l’autre subordonnée. Ces deux phras
il divague souvent ; il ne sait pas coordonner ses idées, les déduire
l’une
de l’autre ; il ne fait que les indiquer, sans le
u de diviser deux choses qui paraissent se joindre, ou de les opposer
l’une
à l’autre ; c’est celui de ne dire qu’à moitié sa
r l’Académie française, en 1755.) Voici deux modèles de dissertation,
l’une
en prose, l’autre en vers : Le Duel. « Gardez-vo
beaucoup à reprendre, mais plus encore à admirer ; son Paradis Perdu,
l’une
des plus belles créations de la poésie française.
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