tracer succinctement les préceptes généraux sur la manière d’écrire l’
histoire
, et en ajouter ensuite quelques-uns de particulie
oins durables que brillants. Article I. De la manière d’écrire l’
Histoire
. Celui qui veut écrire l’histoire a des devoir
e I. De la manière d’écrire l’Histoire. Celui qui veut écrire l’
histoire
a des devoirs bien importants à remplir. Je vais
s’ouvre aux yeux de l’historien, est d’une étendue immense, puisque l’
histoire
embrasse toutes les actions des hommes célèbres,
’elles présentent, sont les seules qui peuvent faire la matière d’une
histoire
. Il faut surtout que la vérité en soit bien const
cte, et de n’admettre que ce qui ne peut pas être révoqué en doute. L’
histoire
n’est le récit que des choses vraies : l’historie
i, l’esprit national même. Au moment où vous maniez les pinceaux de l’
histoire
, vous ne devez être d’aucune secte, d’aucun pays.
rangement les plus convenables : c’est en quoi consiste la forme de l’
histoire
. Un esprit susceptible de grandes idées, et capab
grands événements seront les mieux placés, pour la perfection de son
histoire
. Que le fil de la narration ne soit jamais rompu
davantage, et en augmentant son plaisir. La liaison des faits dans l’
histoire
doit être, pour ainsi dire, aussi naturelle que l
aux événements rapportés avec toutes leurs circonstances, rendent une
histoire
bien agréable et bien instructive, quand ces circ
e. Ce morceau est, au jugement du P. Rapin 112, le plus achevé de son
histoire
, il se trouve, dit-il, peu de choses de cette for
e parole de l’historien ; et jamais tableau n’a paru plus fini dans l’
histoire
, ni touché de plus fortes couleurs et avec de plu
oir dans les différentes circonstances de la vie. C’est en cela que l’
histoire
nous est vraiment utile. L’historien s’attachera
opinion de Catilina, par le portrait qu’il en fait à l’entrée de son
histoire
. Et quand je vois ce soldat déterminé mettre des
sions et des Réflexions. Les digressions sont des ornements dans l’
histoire
: elles y répandent une agréable variété, qui cha
oins étendues, selon leur plus ou moins de liaison avec le corps de l’
histoire
. C’est ainsi que Garnier, dans son Histoire de Fr
iaison avec le corps de l’histoire. C’est ainsi que Garnier, dans son
Histoire
de France, désapprouvant un traité que signa Loui
écit. Les réflexions particulières, les sentences figurent mal dans l’
histoire
, à moins qu’elles ne naissent naturellement du su
cteur, en se bornant à lui en présenter le germe. V. Du Style de l’
Histoire
. On vient de voir que la perfection d’une hist
. Du Style de l’Histoire. On vient de voir que la perfection d’une
histoire
consiste en grande partie, dans l’exposition et l
ment sans art. Le style ne doit presque pas se faire remarquer dans l’
histoire
. Cela n’empêche pas qu’il ne doive être proportio
le et le plus vigoureux. Article II. Des différentes Espèces d’
Histoire
. On peut considérer les hommes dans leurs rapp
ité, et dans leurs rapports entre eux. De là deux espèces générales d’
histoire
; l’histoire sacrée et l’histoire profane. I. D
leurs rapports entre eux. De là deux espèces générales d’histoire ; l’
histoire
sacrée et l’histoire profane. I. De l’Histoire
eux. De là deux espèces générales d’histoire ; l’histoire sacrée et l’
histoire
profane. I. De l’Histoire sacrée. L’histoire
rales d’histoire ; l’histoire sacrée et l’histoire profane. I. De l’
Histoire
sacrée. L’histoire sacrée est en général l’his
istoire sacrée et l’histoire profane. I. De l’Histoire sacrée. L’
histoire
sacrée est en général l’histoire de la religion d
ane. I. De l’Histoire sacrée. L’histoire sacrée est en général l’
histoire
de la religion depuis l’origine du monde jusqu’à
elle a été répandue par toute la terre. C’est ce qui a fait diviser l’
histoire
sacrée en histoire sainte et en histoire ecclésia
par toute la terre. C’est ce qui a fait diviser l’histoire sacrée en
histoire
sainte et en histoire ecclésiastique. Histoire
’est ce qui a fait diviser l’histoire sacrée en histoire sainte et en
histoire
ecclésiastique. Histoire sainte. L’histoire
l’histoire sacrée en histoire sainte et en histoire ecclésiastique.
Histoire
sainte. L’histoire sainte a été écrite par des
istoire sainte et en histoire ecclésiastique. Histoire sainte. L’
histoire
sainte a été écrite par des hommes inspirés de Di
on des quatre évangélistes et les actes des apôtres qui contiennent l’
histoire
de la vie de Jésus-Christ et les faits immédiatem
rieurs à sa mort, sont appelés le nouveau testament. Il n’y a point d’
histoire
qu’on puisse comparer à celle-ci pour la certitud
tude, la grandeur, l’importance et la variété des événements. C’est l’
histoire
de l’homme, l’histoire du ciel et de la terre, l’
portance et la variété des événements. C’est l’histoire de l’homme, l’
histoire
du ciel et de la terre, l’histoire de Dieu même.
ts. C’est l’histoire de l’homme, l’histoire du ciel et de la terre, l’
histoire
de Dieu même. Cet être souverain, dont elle nous
insi dire, emprunté la plume des hommes, pour apprendre à l’univers l’
histoire
de notre religion. Dans l’ancien testament, le pl
e qui réfléchit, une bien forte preuve de la vérité des écritures.
Histoire
ecclésiastique. L’histoire ecclésiastique a ét
e preuve de la vérité des écritures. Histoire ecclésiastique. L’
histoire
ecclésiastique a été écrite par des hommes aidés
en mugissant, les flots soulevés par les plus violents orages. Cette
histoire
renferme tous les faits relatifs, non seulement à
u adoptaient des erreurs contraires aux vérités qu’elle enseigne. Les
histoires
des papes, des conciles, des hérésies et des schi
es papes, des conciles, des hérésies et des schismes font partie de l’
histoire
ecclésiastique. Pour la bien traiter, il faut êtr
èles que puissent se proposer ceux qui veulent s’adonner à ce genre d’
histoire
, est l’abbé Fleuri, auteur de l’Histoire ecclésia
ulent s’adonner à ce genre d’histoire, est l’abbé Fleuri, auteur de l’
Histoire
ecclésiastique, écrivain aussi sage et circonspec
bourreaux, Et lions au combat, ils meurent en agneaux. II. De l’
Histoire
profane. L’histoire profane est ou civile, ou
combat, ils meurent en agneaux. II. De l’Histoire profane. L’
histoire
profane est ou civile, ou littéraire, ou naturell
. L’histoire profane est ou civile, ou littéraire, ou naturelle.
Histoire
civile Tous les événements qui se sont passés
ans les empires et les divers états de la terre, sont la matière de l’
histoire
civile. Si elle embrasse le monde entier et tous
nt, la vie d’un seul homme, elle est particulière. On divise encore l’
histoire
civile, en histoire ancienne, et en histoire mode
homme, elle est particulière. On divise encore l’histoire civile, en
histoire
ancienne, et en histoire moderne. L’histoire anci
ière. On divise encore l’histoire civile, en histoire ancienne, et en
histoire
moderne. L’histoire ancienne commence à la créati
re l’histoire civile, en histoire ancienne, et en histoire moderne. L’
histoire
ancienne commence à la création du monde, et fini
pire d’orient et en empire d’occident. Il y en a même qui terminent l’
histoire
ancienne à la fondation d’un nouvel empire d’occi
nouvel empire d’occident par Charlemagne, couronné empereur en 800. L’
histoire
moderne s’étend depuis l’une de ces trois époques
usqu’à nos jours. C’est une entreprise bien difficile que celle d’une
histoire
universelle, qu’on veut écrire dans tous les déta
ls nécessaires : elle est au-dessus des forces d’un seul homme. Cette
histoire
, en effet, doit présenter le fond de toutes les h
homme. Cette histoire, en effet, doit présenter le fond de toutes les
histoires
des peuples, dans une étendue proportionnée au co
urs, jusqu’à la perfection entière de l’entreprise. Pour bien faire l’
histoire
complète d’une nation, il faut remonter jusqu’à s
jusqu’au dernier période de sa grandeur. Si l’on ne veut écrire que l’
histoire
de ses révolutions, on passera sous silence tous
en exposant succinctement ce qui est arrivé dans les intervalles. Les
histoires
de révolutions exigent un style plus élégant, plu
lus élégant, plus vif, plus rapide, et plus orné que celui des autres
histoires
. Quand l’historien se borne au récit d’un seul év
ge. Remarquons ici qu’il y a une différence assez essentielle entre l’
histoire
et la vie d’un homme illustre. Dans la première,
autant l’homme privé que l’homme public. Si, par exemple, on écrit l’
histoire
d’un général, on doit rapporter en détail toutes
retirer de cette lecture ! C’est là, plus que partout ailleurs, que l’
histoire
instruit les hommes par les hommes mêmes. « Ceux,
illustres qu’aient été son rang et sa naissance. Quant aux abrégés d’
histoire
, il faut convenir qu’ils ont leur utilité, lorsqu
ntéresser le lecteur. C’est ce que n’a point fait un abréviateur de l’
Histoire
sainte, dans cet endroit, où il se borne à dire q
ire connaître les personnages dont il parle, et raconter brièvement l’
histoire
de Joseph. Un discernement juste pour le choix de
des événements, est nécessaire à celui qui veut faire un bon abrégé d’
histoire
. Il lui faut de plus le talent rare de dire beauc
qui peut-être est la plus difficile de toutes. Les Mémoires sont des
histoires
écrites par des personnes qui ont eu part aux aff
ns en ce genre. Les anciens sont nos maîtres dans l’art d’écrire l’
histoire
. Supérieurs en ce genre aux meilleurs historiens
mineure, vers l’an 484 avant Jésus-Christ, a été appelé le Père de l’
histoire
, parce qu’il a été le premier qui l’ait écrite. M
onner aussi le nom de Père du mensonge. Son ouvrage contient, outre l’
histoire
des guerres des Perses contre les Grecs depuis le
t à Pise, pendant qu’on y célébrait les jeux olympiques, et y lut son
histoire
. Elle fut si applaudie, qu’on donna le nom des ne
oblesse. Le savant Larcher a donné une fort bonne traduction de cette
histoire
, qu’il a enrichie d’excellentes notes. Diodore d
nous sont parvenus avec quelques fragments. Cet ouvrage comprenait l’
histoire
des Égyptiens, des Syriens, des Mèdes, des Perses
Thucydide, né à Athènes l’an 475 avant Jésus-Christ, entendant lire l’
histoire
d’Hérodote aux jeux olympiques, sentit naître, di
e, dit-on, son talent pour ce genre d’ouvrages. Il écrivit en effet l’
Histoire
de la guerre du Péloponèse, qu’il ne conduisit qu
. Xénophon, né à Athènes, vers l’an 450 avant Jésus-Christ, publia l’
histoire
de Thucydide, et la continua, sous le titre d’His
rist, publia l’histoire de Thucydide, et la continua, sous le titre d’
Histoire
grecque, jusqu’à la bataille de Mantinée. Nous av
u’à la bataille de Mantinée. Nous avons aussi de lui la Cyropédie, ou
Histoire
de Cyrus, ainsi que l’Histoire de l’expédition de
us avons aussi de lui la Cyropédie, ou Histoire de Cyrus, ainsi que l’
Histoire
de l’expédition de Cyrus le jeune, et de la mémor
s d’Abeille grecque et de Muse athénienne. D’Ablancourt a traduit son
Histoire
grecque, à la suite de celle de Thucydide, et Dac
cédoine, furent emmenés à Rome. Il y avait composé, mais en grec, une
Histoire
universelle, qui commençait aux guerres puniques,
eux de l’antiquité. Il paraît s’être principalement proposé, dans son
histoire
, de former des politiques et des militaires. Dom
de connaissances en matière de goût, de chronologie, de géographie, d’
histoire
et de critique. L’abbé Gédoin en a donné une trad
té à Rome, qu’il habita pendant 25 ans, y composa en langue grecque l’
Histoire
des antiquités romaines, divisée en vingt livres.
Venaissin, avait fait, vers le commencement de l’ère chrétienne, une
histoire
, où il retraçait tout ce qui s’était passé de plu
e. Environ 150 ans après, Justin en donna un Abrégé, qui fit perdre l’
histoire
même. Il y a de très beaux morceaux, et des peint
quit l’estime d’Auguste, dont il reçut des mémoires pour composer son
Histoire
romaine. Elle commence à la fondation de Rome, et
rist, à Amiterne, ville d’Italie, aujourd’hui ruinée, montre dans son
Histoire
de la conjuration de Catilina, et dans celle-des
, né à Naples, quelques années avant l’ère chrétienne, avait fait une
Histoire
abrégée de la Grèce, de l’Orient, de Rome et de l
de l’Occident. Il ne nous en est parvenu qu’un fragment de l’ancienne
Histoire
grecque, avec l’Histoire romaine, depuis la défai
en est parvenu qu’un fragment de l’ancienne Histoire grecque, avec l’
Histoire
romaine, depuis la défaite de Persée, dernier roi
n le Bréviaire des politiques, a écrit des Annales, qui contenaient l’
histoire
des empereurs Tibère, Caligula, Claude et Néron.
empereurs Tibère, Caligula, Claude et Néron. Il ne nous reste que les
histoires
du premier et du dernier, à peu près entières, et
ivait à la fin du premier siècle de l’ère chrétienne, avait composé l’
Histoire
d’Alexandre-le-Grand en dix livres. Les deux prem
eproche à l’auteur quelques fautes de chronologie, de géographie et d’
histoire
. Vaugelas l’a traduit, et après lui, Beauzée. Co
es plus estimés ; ce sont : Bossuet, dans son Discours sublime sur l’
Histoire
universelle jusqu’au temps de Charlemagne : la co
ps celui qui nous apprend le mieux l’usage que nous devons faire de l’
histoire
. Rollin dans son Histoire ancienne des Égyptiens
e mieux l’usage que nous devons faire de l’histoire. Rollin dans son
Histoire
ancienne des Égyptiens, des Carthaginois, des Ass
oquent. Cet ouvrage d’ailleurs respire la vertu et la fait aimer. Son
Histoire
romaine depuis la fondation de Rome jusqu’à la ba
r décadence. Le titre de cet ouvrage dit assez que ce n’est point une
histoire
complète et rigoureusement suivie, où tous les év
t suivie, où tous les événements soient racontés en détail. C’est une
histoire
purement politique de la naissance et de la chute
-d’œuvre, qu’on ne peut lire avec fruit que quand on possédera bien l’
histoire
romaine, jusqu’à l’extinction de l’empire. C’est
réflexions fines et profondes dont il est rempli. Le Beau, dans son
Histoire
du Bas-Empire, qui commence à Constantin. Le styl
de lire quelque chose de mieux fait sur cette partie importante de l’
histoire
des Romains. Les tomes 21e et 22e n’ont paru qu’a
umes ainsi que le 23e et le 24e y sont d’Ameilhon, qui continue cette
histoire
. Le P. Maimbourg, jésuite, malgré les critiques s
u feu, de l’énergie et de la rapidité dans son style ; que toutes ses
histoires
offrent un grand nombre de morceaux pleins de cha
nt extrêmement prévenus contre ce que les étrangers écrivent sur leur
histoire
». On estime principalement son Histoire de la dé
étrangers écrivent sur leur histoire ». On estime principalement son
Histoire
de la décadence de l’Empire après Charlemagne ; s
ment son Histoire de la décadence de l’Empire après Charlemagne ; son
Histoire
des Croisades ; son Histoire de la Ligue ; son Hi
ence de l’Empire après Charlemagne ; son Histoire des Croisades ; son
Histoire
de la Ligue ; son Histoire du Pontificat de saint
lemagne ; son Histoire des Croisades ; son Histoire de la Ligue ; son
Histoire
du Pontificat de saint Grégoire-le-Grand, et cell
du Pontificat de saint Léon-le-Grand. Le P. Daniel, jésuite, dans son
Histoire
de France depuis l’établissement de la monarchie
ment de la monarchie dans les Gaules. Il a moins, fait à la vérité, l’
histoire
de la nation que celle de ses guerres. Mais il a
urrait désirer. Le président Hénault qui assurément connaissait notre
histoire
, et qui était bien en état d’apprécier les auteur
ichi de grandes et belles dissertations, et augmenté d’une excellente
Histoire
de Louis XIII, ainsi que du Journal historique de
Louis XIII, ainsi que du Journal historique de Louis XIV. Au reste, l’
histoire
du P. Daniel n’est pas aussi recherché que l’abré
l’abrégé qu’il en a fait lui-même. Cet auteur nous a donné aussi une
Histoire
de la milice française. Elle est fort bien faite,
militaires, et curieuse pour tous les lecteurs. L’abbé Velly dans son
Histoire
de France depuis l’établissement de la monarchie
lence. L’abbé Velly n’a laissé que les huit premiers volumes de cette
histoire
. Villaret l’a continuée avec succès, quoiqu’il se
inuateur. Le P. d’Avrigny, jésuite, dans ses Mémoires pour servir à l’
histoire
universelle de l’Europe depuis 1600 jusqu’en 1716
accompagner de réflexions plus judicieuses. L’abbé de Vertot dans son
Histoire
des révolutions de la république romaine, un de n
que des objets très intéressants. Le. P. d’Orléans, jésuite, dans son
Histoire
des révolutions d’Angleterre, où brille l’imagina
style en est toujours agréable, toujours riche, toujours animé. Cette
histoire
donne d’ailleurs une très juste idée de l’ancienn
nés avec clarté, racontés avec chaleur. Nous avons du même auteur une
Histoire
particulière, très curieuse, et qui se fait lire
mhi qui ont subjugué la Chine. Le P. Bougeant, jésuite, dans sa belle
Histoire
du traité de Westphalie, à laquelle on a réuni ce
récis, plus pur, plus noble et plus agréable. L’abbé du Bos, dans son
Histoire
de la ligue de Cambrai ; profonde, politique et b
donnait de l’ombrage à toute l’Europe. L’abbé de Saint-Réal, dans son
Histoire
de la conjuration que des Espagnols formèrent en
ste, que Saint-Réal paraît avoir pris pour modèle. Sarasin, dans son
Histoire
du siège de Dunkerque, et dans celle de la conspi
l’amiral de Coligny surtout est très bien faite. Fléchier, dans son
Histoire
de l’empereur Théodose, composée pour l’instructi
chef-d’œuvre de style et de sagesse, où règne la vraie éloquence de l’
histoire
. Voltaire, dans son Histoire de Charles XII, roi
gesse, où règne la vraie éloquence de l’histoire. Voltaire, dans son
Histoire
de Charles XII, roi de Suède, regardée comme le m
iques. Elle passe pour être exacte. Le P. Bouhours, jésuite, dans son
Histoire
du grand-maître d’Aubusson ; infiniment propre à
genre. Le président Hénault offre dans son Abrégé chronologique de l’
histoire
de France, le plus parfait modèle qu’on puisse ch
Commines, chambellan de Louis XI : un des meilleurs morceaux de notre
histoire
pour le règne de ce monarque et celui de Charles
la Valteline sous Louis XIII ; importants pour cette partie de notre
histoire
, et très propres à former de bons militaires. Ceu
mer de bons militaires. Ceux de madame de Motteville, pour servir à l’
histoire
d’Anne d’Autriche, reine de France, épouse de Lou
ecdotes vraiment curieuses. Ceux du marquis de Torcy, pour servir à l’
histoire
des négociations, depuis le traité de Riswick en
des plus distinguées de la cour. Enfin, les Mémoires pour servir à l’
histoire
de Louis, dauphin de France, père de Louis XVI ;
pour être lus avec délices par les âmes sensibles et vertueuses.
Histoire
littéraire. L’histoire littéraire comprend la
s par les âmes sensibles et vertueuses. Histoire littéraire. L’
histoire
littéraire comprend la naissance, les progrès, la
storiens en ce genre. Juvenel de Carlencas a donné un Essai sur l’
histoire
des belles-lettres, des sciences et des arts, dan
littéraires y sont trop confondues avec les matières scientifiques. L’
Histoire
littéraire des Troubadours a été rédigée par l’ab
leurs vies et des extraits de leurs ouvrages. L’abbé Lambert a fait l’
Histoire
littéraire du règne de Louis XIV. Mais il n’a pas
es savants et des artistes, avec une notice de leurs ouvrages. Dans l’
Histoire
de l’Académie française par Pellisson, et continu
res a publiés, un Précis historique de son établissement, par Boze. L’
Histoire
de l’Académie des sciences a été faite par Fonten
avaux. Les Éloges des membres des diverses Académies font partie de l’
histoire
littéraire. Histoire naturelle. Tous les ou
mbres des diverses Académies font partie de l’histoire littéraire.
Histoire
naturelle. Tous les ouvrages dont le souverain
tale à nos yeux, ou qu’elle cache dans son sein, sont la matière de l’
histoire
naturelle. Elle comprend ce qu’on appelle le règn
, né à Stagyre, ville de Macédoine, l’an 584 avant J.-C, avait fait l’
Histoire
des animaux. De quarante livres dont elle était c
té des plantes, très curieux, traduit aussi en latin par Gara, et une
Histoire
des pierres, dont Hill a donné une belle édition
istinguer de Pline le jeune, son neveu, le panégyriste de Trajan, une
Histoire
naturelle qui est très estimée. Elle renferme une
ture. Le savant P. Brotier, jésuite, a donné une belle édition de son
histoire
, revue sur les manuscrits et enrichie de notes. P
t agréable à lire, malgré les négligences du style. Buffon, dans son
Histoire
naturelle, est un des plus grands peintres de la
ond parfaitement à l’objet de son travail. 112. Réflexions sur l’
Histoire
. 113. Ibid. 114. Orthographié Polieucte (NdE
chapitre. — Choix, arrangement et récit des faits ; digressions. L’
histoire
est le récit des actions, des événements, des cho
re de les raconter, voilà ce qui constitue la nature et la forme de l’
histoire
, et nous devons faire connaître d’abord ces princ
nt les ouvrages historiques et les noms qu’on donne à chacun d’eux. L’
histoire
embrasse toutes les actions des hommes célèbres,
elles présentent, sont les seules qui puissent faire la matière d’une
histoire
. Il faut surtout que la vérité en soit bien const
cte, et de n’admettre que ce qui ne peut pas être révoqué en doute. L’
histoire
n’est le récit que des choses vraies ; l’historie
lus convenable pour son dessein. C’est en quoi consiste la forme de l’
histoire
. L’ordre chronologique est toujours celui qui dom
t davantage et en augmentant son plaisir. La liaison des faits dans l’
histoire
doit être, pour ainsi dire, aussi naturelle que l
ux événements, rapportés avec toutes leurs circonstances, rendent une
histoire
bien agréable et bien instructive, quand ces circ
étendues. Ces digressions peuvent être de véritables ornements dans l’
histoire
; elles y répandent une agréable variété qui char
nt ; et leur étendue doit dépendre de leur liaison avec le corps de l’
histoire
, et surtout de leur importance44. § 24. Caract
ir dans les différentes circonstances de la vie : c’est en cela que l’
histoire
nous est vraiment utile. L’historien s’attachera
e par une description abstraite et philosophique. § 25. Style de l’
histoire
. Le texte de l’histoire doit être dans la form
aite et philosophique. § 25. Style de l’histoire. Le texte de l’
histoire
doit être dans la forme indirecte, c’est-à-dire q
llement, soit en les résumant, et alors, loin d’être un vice dans une
histoire
, c’est, au contraire, un vrai mérite, puisqu’on a
criptions, les narrations animées figurent avec plus de succès dans l’
histoire
que les maximes ou pensées abstraites. On peint l
partie de l’attention due seulement au sujet. Tout appareil déguise l’
histoire
plutôt qu’il ne l’embellit. La principale qualité
se hâte donc de l’y conduire. Il doit être proportionné au sujet. Une
histoire
générale ne s’écrit point du même ton que l’histo
né au sujet. Une histoire générale ne s’écrit point du même ton que l’
histoire
d’un seul homme. Le style, dans celle-là, est plu
ersation47. Pour bien faire comprendre ce que doit être le style de l’
histoire
, il n’y a peut-être rien de mieux que de citer un
nt les défauts qui y sont les plus opposés. J’emprunte ce passage à l’
Histoire
philosophique, de l’abbé Raynal, historien consta
rpassé Cicéron ou Démosthène en éloquence, Thucydide ou Tacite dans l’
histoire
, je vous accorderai la célébrité, mais non la glo
’un Caton. C’est le lot d’un Henri IV. § 26. Différentes sortes d’
histoires
. — Histoire sacrée, histoire ecclésiastique. O
est le lot d’un Henri IV. § 26. Différentes sortes d’histoires. —
Histoire
sacrée, histoire ecclésiastique. On distingue
enri IV. § 26. Différentes sortes d’histoires. — Histoire sacrée,
histoire
ecclésiastique. On distingue plusieurs sortes
e sacrée, histoire ecclésiastique. On distingue plusieurs sortes d’
histoires
: l’histoire des hommes, considérés dans leurs ra
oire ecclésiastique. On distingue plusieurs sortes d’histoires : l’
histoire
des hommes, considérés dans leurs rapports avec l
ire des hommes, considérés dans leurs rapports avec la Divinité, ou l’
Histoire
de la religion ; l’histoire des hommes, dans leur
ans leurs rapports avec la Divinité, ou l’Histoire de la religion ; l’
histoire
des hommes, dans leurs rapports entre eux, ou l’H
religion ; l’histoire des hommes, dans leurs rapports entre eux, ou l’
Histoire
profane ; et l’Histoire naturelle, qui a pour obj
s hommes, dans leurs rapports entre eux, ou l’Histoire profane ; et l’
Histoire
naturelle, qui a pour objet les productions de la
se rapporte cependant que de nom aux deux premières. En effet, le mot
histoire
y est pris dans son sens étymologique d’informati
es font connaître de nouveaux rapports entre les êtres ; tandis que l’
histoire
, dans son sens général, ne s’applique qu’aux évén
si les trois espèces énumérées ici se réduisent réellement à deux : l’
histoire
sacrée et l’histoire profane. L’Histoire de la re
énumérées ici se réduisent réellement à deux : l’histoire sacrée et l’
histoire
profane. L’Histoire de la religion se sous-divise
uisent réellement à deux : l’histoire sacrée et l’histoire profane. L’
Histoire
de la religion se sous-divise en deux espèces, do
toire de la religion se sous-divise en deux espèces, dont l’une est l’
Histoire
sainte, écrite par des hommes inspirés ; l’autre,
ne est l’Histoire sainte, écrite par des hommes inspirés ; l’autre, l’
Histoire
ecclésiastique, écrite par des hommes aidés de la
tique, écrite par des hommes aidés de la seule lumière naturelle49. L’
Histoire
sainte comprend tous les siècles qui se sont écou
n des quatre évangélistes et les Actes des apôtres, qui contiennent l’
histoire
de la vie de Jésus-Christ et les faits immédiatem
sa mort, sont appelés le Nouveau Testament 50. Si on veut connaître l’
histoire
dans toute sa grandeur et dans toute sa noblesse,
e même caractère. En un mot, rien n’est plus parfait dans ce genre. L’
histoire
est exacte, fidèle, sûre ; c’est la vérité qui se
aire les ténèbres des siècles les plus reculés. Enfin, ce livre est l’
histoire
du ciel et de la terre et de ce qu’ils contiennen
st l’histoire du ciel et de la terre et de ce qu’ils contiennent51. L’
Histoire
ecclésiastique ne diffère de l’histoire profane q
de ce qu’ils contiennent51. L’Histoire ecclésiastique ne diffère de l’
histoire
profane que par l’objet. Elle comprend l’espace d
èles que puissent se proposer ceux qui veulent s’adonner à ce genre d’
histoire
est l’abbé Fleury, auteur de l’Histoire ecclésias
eulent s’adonner à ce genre d’histoire est l’abbé Fleury, auteur de l’
Histoire
ecclésiastique, écrivain aussi sage et circonspec
chose de cette noblesse et de cette onction qu’on sent en lisant les
histoires
sacrées. Il parle des desseins de Dieu avec digni
sse voir un bon esprit, une piété éclairée, un cœur droit53. § 27.
Histoire
profane. L’Histoire profane est le tableau des
une piété éclairée, un cœur droit53. § 27. Histoire profane. L’
Histoire
profane est le tableau des siècles passés présent
ar rapport aux époques, elle est ancienne, moderne ou du moyen âge. L’
histoire
ancienne s’étend de la création à la naissance de
-Christ (ou de l’année 476) jusqu’à la prise de Constantinople ; et l’
histoire
moderne, de cette date jusqu’à nos jours. L’Histo
antinople ; et l’histoire moderne, de cette date jusqu’à nos jours. L’
Histoire
générale est l’histoire du genre humain répandu s
e moderne, de cette date jusqu’à nos jours. L’Histoire générale est l’
histoire
du genre humain répandu sur la terre habitable de
e commencement du monde. Il paraît presque impossible de composer une
histoire
universelle de tous les peuples, dans tous les te
es peuples, dans tous les temps, dans tous les lieux. Nous disons une
histoire
, non une chronologie accompagnée de quelques déta
pagnée de quelques détails, ce qui a été exécuté plus d’une fois. Une
histoire
universelle comprendrait le fond de toutes les hi
une fois. Une histoire universelle comprendrait le fond de toutes les
histoires
des peuples, réduites à une étendue proportionnée
ein54. Chez les anciens, les auteurs qui se sont proposé d’écrire une
histoire
générale sont surtout Polybe, Diodore de Sicile,
Macédoine, furent emmenés à Rome en otage. Il y composa, en grec, une
Histoire
universelle qui commençait aux guerres puniques e
s, dont quinze seulement nous sont parvenus. Cet ouvrage comprenait l’
histoire
des Syriens, des Mèdes, des Perses, des Grecs, de
historien romain, fit, vers le commencement de l’ère chrétienne, une
histoire
où il retraçait tout ce qui s’était passé dans l’
tard par Justin, écrivain latin, peu connu d’ailleurs. Chez nous, les
histoires
générales sont souvent des œuvres collectives pro
vrages dans un esprit opposé : c’est Bossuet, dans son Discours sur l’
histoire
universelle, et Voltaire, dans son Essai sur les
andre, puisqu’il n’avait pas moins d’esprit que de courage. § 28.
Histoire
nationale. L’Histoire nationale est celle qui
pas moins d’esprit que de courage. § 28. Histoire nationale. L’
Histoire
nationale est celle qui embrasse un peuple tout e
qui embrasse un peuple tout entier dans son développement ; une bonne
histoire
nationale est moins difficile à faire sans doute
istoire nationale est moins difficile à faire sans doute qu’une bonne
histoire
universelle ; mais elle occupe un rang égal dans
presque aussi rares et des qualités aussi étendues. Pour bien faire l’
histoire
complète d’une nation, il faut remonter jusqu’à s
’à sa ruine entière ou jusqu’au dernier période de sa grandeur55. Une
histoire
nationale peut ne pas être racontée dans toute so
Romains, Tacite, venant après Tite-Live, ne refit pas la partie de l’
histoire
romaine que celui-ci avait traitée : il commença
: il commença la sienne à partir du régime impérial. Il y a aussi des
histoires
qui se bornent à un seul événement important, com
lution de Portugal, etc. Ce sont encore là, en réalité, des parties d’
histoire
nationale, et elles en ont les caractères. Il fau
e, et elles en ont les caractères. Il faut souvent, dans ces sortes d’
histoires
, faire quelque préambule pour introduire le lecte
es conduise jusqu’à la fin. Au reste, ici, comme dans toutes sortes d’
histoires
, la chronologie est le flambeau de l’historien. O
vre scrupuleusement, et pas à pas56. C’est surtout dans le genre de l’
histoire
nationale que les anciens passent pour nos maître
Sans examiner la question à fond, nous devons faire observer que les
histoires
modernes sont beaucoup plus difficiles à faire qu
Hérodote, né vers l’an 484 avant J.-C, qui a été appelé le Père de l’
histoire
, parce qu’il est le premier qui l’ait écrite d’un
l’ait écrite d’une manière instructive et attachante : il a raconté l’
histoire
des guerres des Perses et des Grecs depuis le règ
Xerxès. Thucydide, né à Athènes l’an 471 avant J.-C, entendant lire l’
histoire
d’Hérodote aux jeux Olympiques, sentit naître, di
t naître, dit-on, en lui une vive émulation : il écrivit, en effet, l’
Histoire
de la guerre du Péloponnèse. Xénophon, né vers l’
rnommé l’Abeille attique à cause de la douceur de son style, publia l’
histoire
de Thucydide et la continua jusqu’à la bataille d
de et la continua jusqu’à la bataille de Mantinée. Il écrivit aussi l’
Histoire
de Cyrus, celle de l’Expédition de Cyrus le Jeune
2º Chez les Romains, Salluste, né l’an 85 avant J.-C, avait fait une
Histoire
du peuple romain depuis la mort de Sylla jusqu’à
s sa patrie après la mort de cet empereur. Il entreprit et acheva une
Histoire
romaine complète, depuis les temps les plus recul
ome, l’an 55 de l’ère chrétienne se consacra, sous Trajan, à écrire l’
histoire
. Il fit, sous le nom d’Annales et d’Histoire, deu
sous Trajan, à écrire l’histoire. Il fit, sous le nom d’Annales et d’
Histoire
, deux ouvrages qui nous restent en partie seuleme
érable d’hommes de talent ou d’une grande érudition qui ont écrit des
histoires
nationales dans leur totalité ou en partie. Mais
ces. On distingue parmi ces écrivains : Sarazin, né en 1603, pour son
Histoire
de la conjuration de Walstein ; l’abbé de Saint-R
tein ; l’abbé de Saint-Réal, né en 1659 à Chambéry, à qui l’on doit l’
Histoire
de la conjuration des Espagnols contre Venise ; l
x qu’elle n’aurait point imposée. § 29. Biographie. Il y a des
histoires
qui n’embrassent que la vie d’un seul homme : c’e
s retirer de cette lecture ? C’est là plus que partout ailleurs que l’
histoire
instruit les hommes par les hommes mêmes. « Ceux,
; mais d’abord on ne la distinguait pas nettement des autres genres d’
histoire
. C’est plus tard que la division se fit exactemen
elles qu’il fait entre un Grec et un Romain, dont il vient d’écrire l’
histoire
, sont sans doute, comme l’a remarqué M. Ampère, d
une partie de la Grande-Bretagne ; Quinte-Curce, celle d’Alexandre ;
histoire
un peu romanesque, mais d’un style fleuri et agré
sque, mais d’un style fleuri et agréable à lire. Les six auteurs de l’
Histoire
auguste sont encore des biographes plutôt que des
te sont encore des biographes plutôt que des historiens ; car toute l’
histoire
se concentre pour eux dans la personne du prince.
i ont donné des notices biographiques ; nous verrons, en parlant de l’
Histoire
littéraire, que les modernes ont composé sous le
uvrages considérables, nous ne pouvons du moins passer sous silence l’
Histoire
de l’empereur Théodose, composée par Fléchier pou
éodose, composée par Fléchier pour l’instruction du grand Dauphin ; l’
Histoire
de Henri IV, par Péréfixe ; l’Histoire de Charles
struction du grand Dauphin ; l’Histoire de Henri IV, par Péréfixe ; l’
Histoire
de Charles XII de Voltaire, chef-d’œuvre à la foi
sont une espèce d’héroïsme non moins admirable. § 30. Mémoires ;
histoire
littéraire. Les Mémoires sont des histoires éc
e. § 30. Mémoires ; histoire littéraire. Les Mémoires sont des
histoires
écrites par des personnes qui ont eu part aux aff
traits, sont un de nos ouvrages historiques les plus considérables. L’
Histoire
littéraire, qui serait plus exactement nommée l’H
idérables. L’Histoire littéraire, qui serait plus exactement nommée l’
Histoire
des littérateurs, des savants et des artistes, es
s littérateurs, des savants et des artistes, est une des parties de l’
histoire
qui ont pris le plus de développement et qui prés
ges de ce genre qui ont obtenu une réputation brillante et méritée. L’
Histoire
de l’Académie française, commencée par Pélisson,
s de cette académie forment aussi une suite remarquable de notices. L’
Histoire
de l’Académie des sciences a été commencée par Fo
ssants des progrès de l’esprit humain. C’est une des parties de notre
histoire
littéraire qui se font lire avec le plus de plais
ofit. Donnons ici, comme exemple du charme que peut offrir ce genre d’
histoire
, un court passage tiré de l’Éloge de Marivaux par
t est venu avec raison, et la pièce est tombée. » § 31. Abrégés d’
histoire
. On a fait, on fait aujourd’hui surtout, un gr
On a fait, on fait aujourd’hui surtout, un grand nombre d’Abrégés d’
histoire
sous ce nom ou sous ceux d’Épitome, de Résumé, de
événements est donc nécessaire à celui qui veut faire un bon abrégé d’
histoire
. Il lui faut, de plus, le talent rare de dire bea
chez nous un grand nombre de résumés ou d’abrégés non seulement de l’
histoire
de France, mais des histoires de tous les peuples
résumés ou d’abrégés non seulement de l’histoire de France, mais des
histoires
de tous les peuples. Un des meilleurs est celui q
t celui que le président Hénault a intitulé Abrégé chronologique de l’
histoire
de France. Domairon le déclare, avec un peu d’exa
aussi, dans le dernier siècle, publié, sous le titre d’Éléments de l’
histoire
ancienne, Éléments de l’histoire moderne, de l’hi
ublié, sous le titre d’Éléments de l’histoire ancienne, Éléments de l’
histoire
moderne, de l’histoire de France, de l’histoire d
Éléments de l’histoire ancienne, Éléments de l’histoire moderne, de l’
histoire
de France, de l’histoire d’Angleterre, des abrégé
cienne, Éléments de l’histoire moderne, de l’histoire de France, de l’
histoire
d’Angleterre, des abrégés qui ont obtenu et conse
de détails utiles65. 44. Domairon, Rhét, de la Manière d’écrire l’
histoire
. 45. Domairon, Rhét, des Caractères des personna
omairon, Rhét, des Caractères des personnages. 46. Réflexions sur l’
histoire
. 47. Batteux, Style de l’histoire. 48. Batteux,
ersonnages. 46. Réflexions sur l’histoire. 47. Batteux, Style de l’
histoire
. 48. Batteux, Du récit historique. 49. Batteux,
récit historique. 49. Batteux, lieu cité. 50. Domairon, Rhét., de l’
Histoire
sacrée. 51. Batteux, Caractère de l’histoire sac
. Domairon, Rhét., de l’Histoire sacrée. 51. Batteux, Caractère de l’
histoire
sacrée. 52. Domairon, Rhét, de l’Histoire sacrée
1. Batteux, Caractère de l’histoire sacrée. 52. Domairon, Rhét, de l’
Histoire
sacrée. 53. Batteux, Caractère de l’histoire sac
2. Domairon, Rhét, de l’Histoire sacrée. 53. Batteux, Caractère de l’
histoire
sacrée. 54. Batteux, de l’Histoire profane. 55.
rée. 53. Batteux, Caractère de l’histoire sacrée. 54. Batteux, de l’
Histoire
profane. 55. Domairon, Rhét, de l’Histoire profa
acrée. 54. Batteux, de l’Histoire profane. 55. Domairon, Rhét, de l’
Histoire
profane. 56. Batteux, des Histoires particulière
rofane. 55. Domairon, Rhét, de l’Histoire profane. 56. Batteux, des
Histoires
particulières. 57. Domairon, Rhét, de l’Histoire
56. Batteux, des Histoires particulières. 57. Domairon, Rhét, de l’
Histoire
profane. 58. De deux mot grecs qui signifient de
mot grecs qui signifient description de la vie. 59. Domairon, Rhét,
Histoire
profane. 60. Domairon, Rhét, Histoire profane.
e la vie. 59. Domairon, Rhét, Histoire profane. 60. Domairon, Rhét,
Histoire
profane. 61. C’est le mot latin commentarii, qui
en français, prend ordinairement un autre sens. 62. Domairon, Rhét,
Histoire
profane. 63. Ces dernières lignes appartiennent
communique à une de nos Revues littéraires, son projet de continuer l’
histoire
de l’Académie française depuis 1772, année où d’A
r mieux disposé ou mieux préparé pour l’ouvrage. 64. Domairon, Rhét,
Histoire
profane. 65. Le Dictionnaire de M. Bouillet est,
Chapitre XIV. Genre historique. L’
histoire
a pour but de raconter les évènements véritables.
e demande plus d’étude, plus de jugement, plus de connaissances que l’
histoire
. Outre les connaissances spéciales, les recherche
ie, l’économie politique, des notions générales et suffisantes. Car l’
histoire
n’est pas seulement le récit des faits qui sont l
nce réciproque des idées sur les faits, et des faits sur les idées. L’
histoire
n’est pas comme la peinture, qui ne donne que des
’est donc par de sérieuses études que l’écrivain doit se préparer à l’
histoire
. Quand il aborde ensuite un sujet spécial, il ne
vrai ; il ne dira pas ce mot qu’on reproche à Vertot au sujet de son
Histoire
de Malte : « Mon siège est fait. » § I. Impar
rdentes, sans sortir de la dignité, de la modération qui convient à l’
histoire
, il nous communiquera les émotions généreuses de
rendra hautement la défense de la vertu : c’est ainsi seulement que l’
histoire
peut devenir une école de morale. Loin de nous ce
mposition où l’ordre et la clarté soient nécessaires, c’est surtout l’
histoire
. Pour arriver à ce résultat, l’auteur, après avoi
omplet. Malgré la diversité que peuvent présenter les évènements de l’
histoire
, ils se développent toujours d’après certaine loi
nous en offrent de beaux modèles : le premier donne pour centre à son
Histoire
générale l’agrandissement de la puissance romaine
nérale l’agrandissement de la puissance romaine ; le second, dans son
Histoire
universelle, montre partout le doigt de la Provid
é que des admirateurs. Présentée avec cet ensemble et cette unité, l’
histoire
devient une vaste épopée où circulent la vie et l
t l’esprit que l’intérêt repose sur la vérité. § III. Détails de l’
histoire
. Les détails de l’histoire doivent être subord
e sur la vérité. § III. Détails de l’histoire. Les détails de l’
histoire
doivent être subordonnés au plan que l’on adopte
’histoire doivent être subordonnés au plan que l’on adopte : dans une
histoire
abrégée, on ne présente que la substance des fait
faits, on se borne aux principaux événements ; si l’on veut faire une
histoire
complète et détaillée, on peut s’étendre, et ne r
on peut s’étendre, et ne rien omettre de ce qui offre de l’intérêt. L’
histoire
détaillée est plus instructive, plus attachante ;
être mis de côté. Il y a, du reste, plusieurs manières de présenter l’
histoire
. L’une, qu’on peut appeler narrative, consiste à
t les groupe pour en faire sortir un enseignement. Tite-Live dans son
Histoire
romaine, M. de Barante dans son Histoire des ducs
ignement. Tite-Live dans son Histoire romaine, M. de Barante dans son
Histoire
des ducs de Bourgogne, ont adopté la première man
re. § IV. Chronologie. L’ordre chronologique est nécessaire à l’
histoire
; mais on est parfois obligé de s’en écarter, pou
de revenir sur ses pas. C’est ce qui se rencontre fréquemment dans l’
histoire
générale, où les événements séparés et multiples,
ivant le sujet et les circonstances. § VI. Différentes formes de l’
histoire
. Histoire primitive. Légendes, annales, chro
et les circonstances. § VI. Différentes formes de l’histoire.
Histoire
primitive. Légendes, annales, chroniques. Dans
les légendes et les chroniques, qui sont plutôt des matériaux pour l’
histoire
que l’histoire même. Les annales se contentent de
t les chroniques, qui sont plutôt des matériaux pour l’histoire que l’
histoire
même. Les annales se contentent de consigner les
livres pontificaux. Les légendes n’appartiennent qu’indirectement à l’
histoire
; ce sont des récits naïfs et populaires, fondés
car l’invention romanesque y domine. La chronique est l’enfance de l’
histoire
: elle est naïve et de bonne foi ; elle raconte p
lle plait, elle intéresse par sa simplicité même et son abandon33.
Histoire
proprement dite. L’histoire proprement dite ap
a simplicité même et son abandon33. Histoire proprement dite. L’
histoire
proprement dite appartient aux âges déjà éclairés
à la forme et au sujet, en plusieurs espèces. D’abord on distingue l’
histoire
sacrée et l’histoire profane. L’histoire sacrée r
et, en plusieurs espèces. D’abord on distingue l’histoire sacrée et l’
histoire
profane. L’histoire sacrée raconte les faits rela
èces. D’abord on distingue l’histoire sacrée et l’histoire profane. L’
histoire
sacrée raconte les faits relatifs à la religion :
istoire sacrée raconte les faits relatifs à la religion : on la nomme
histoire
sainte quand elle renferme les événements religie
ie ; c’est l’Ancien Testament qui en est la source. On donne le nom d’
histoire
ecclésiastique à celle qui raconte les évènements
nte les évènements religieux depuis Jésus-Christ jusqu’à nos jours. L’
histoire
sacrée est souvent mêlée à l’histoire profane dan
sus-Christ jusqu’à nos jours. L’histoire sacrée est souvent mêlée à l’
histoire
profane dans les auteurs. L’histoire profane, qui
ire sacrée est souvent mêlée à l’histoire profane dans les auteurs. L’
histoire
profane, qui s’occupe spécialement des événements
lement des événements humains, nous offre les divisions suivantes : L’
histoire
universelle, qui embrasse tous les peuples, depui
s, depuis l’origine du monde jusqu’à nos jours (Bossuet, de Ségur). L’
histoire
générale, qui comprend les faits de toute une épo
prend les faits de toute une époque ou de tout un empire (telle est l’
Histoire
d’Hérodote, l’Histoire d’Angleterre par Lingard,
e une époque ou de tout un empire (telle est l’Histoire d’Hérodote, l’
Histoire
d’Angleterre par Lingard, etc.) L’histoire partic
t l’Histoire d’Hérodote, l’Histoire d’Angleterre par Lingard, etc.) L’
histoire
particulière, qui raconte seulement une période d
etc.) L’histoire particulière, qui raconte seulement une période de l’
histoire
, ou un grand évènement isolé (la Retraite des dix
un grand évènement isolé (la Retraite des dix mille, par Xénophon ; l’
Histoire
des Croisades, par Michaud : la Conquête de l’Ang
marquable et qui a joué un rôle dans la société. Si l’on veut faire l’
histoire
d’un homme, on le représente principalement dans
ie d’Agricola, par Tacite, etc.). Les mémoires ne contiennent pas une
histoire
suivie et complète, ils relatent les faits, les i
es mémoires ne sont pas astreints à l’ordre, à la dignité sévère de l’
histoire
. On aime à y trouver un ton de liberté vif et ani
Sully, du cardinal de Retz, de Saint-Simon, etc.) La philosophie de l’
histoire
n’est pas un récit chronologique et suivi des évé
ique et suivi des événements ; elle présente des vues générales sur l’
histoire
; elle considère spécialement l’esprit des faits,
ultats et les conséquences : c’est comme un complément nécessaire à l’
histoire
proprement dite ; elle s’adresse aux esprits murs
enseignements les plus utiles à l’humanité (Montesquieu, Guizot)34. L’
histoire
de la littérature est aussi un complément nécessa
L’histoire de la littérature est aussi un complément nécessaire de l’
histoire
politique : si celle-ci présente le tableau des é
les mœurs, le goût et l’art d’écrire : tel est l’objet multiple de l’
histoire
littéraire. Il n’est guère d’étude plus propre à
ui devaient être des événements littéraires. Signalons tout d’abord l’
Histoire
de la Révolution française (1824), résumé dramati
its hardiment tracés par un peintre peut-être trop impassible. Dans l’
histoire
de Marie Stuart (1851) et de Charles-Quint (1854)
a prononcé de nombreux éloges, qui sont autant de pages accomplies. L’
histoire
est chez lui une science et un art : une science,
C’est un modèle de précision, de justesse et de dignité simple. L’
histoire
en notre siècle L’histoire se montre chez les
e justesse et de dignité simple. L’histoire en notre siècle L’
histoire
se montre chez les peuples le dernier en date des
ir, en état de pleinement comprendre, en droit de tout juger. Aussi l’
histoire
n’a-t-elle vraiment existé que dans les siècles é
pendance de la pensée, que se sont formés les maîtres dans l’art de l’
histoire
. Les conditions favorables au milieu desquelles i
ndant encore. Une révolution philosophique qui a rendu la raison de l’
histoire
plus ferme ; une révolution politique qui l’a ren
ire pénétrer plus avant que nos devanciers dans tous les secrets de l’
histoire
. Aussi ses obligations se sont-elles accrues avec
cachée de la Providence : telle est aujourd’hui sa mission. Par là, l’
histoire
devient un spectacle plein d’émotions et une scie
çon de la vie humaine1 (Portraits et notices. Édition Didier.) L’
histoire
est un enseignement L’histoire, occupée de fa
et notices. Édition Didier.) L’histoire est un enseignement L’
histoire
, occupée de faits changeant avec les siècles et s
raison de leur existence et la loi de leur succession. À ce titre, l’
histoire
est faite pour prouver et pour enseigner, et vous
demeure sur lui-même, aspire à découvrir, par l’observation et par l’
histoire
, les lois même de l’humanité. Lorsque ce siècle a
ce sincère et fidèle miroir Peuvent apprendre et lire leur devoir. (L’
Histoire
. — J. B. Rousseau.) « L’histoire, quand elle es
apprendre et lire leur devoir. (L’Histoire. — J. B. Rousseau.) « L’
histoire
, quand elle est bien enseignée, devient une école
nations ; un Rapin de Thoyras, qui a donné en français la seule bonne
histoire
d’Angleterre ; un Saint-Évremond, dont toute la c
les plus vives du patriotisme populaire. Si l’on a pu reprocher à son
Histoire
de la Révolution (1823-1827) trop d’indulgence po
iste digne de tout comprendre et de tout sentir. L’art d’écrire l’
histoire
1 L’observation assidue des hommes et des év
la nature, ne suffit pas : il faut un certain don pour bien écrire l’
histoire
. Quel est-il ? est-ce l’esprit, l’imagination, la
l serait bien désirable d’avoir tous ces dons à la fois, et que toute
histoire
où se montre une seule de ces qualités nous est u
tures. Je dirai qu’il y a non pas une, mais vingt manières d’écrire l’
histoire
, qu’on peut l’écrire comme Thucydide, Xénophon, P
la promptitude. C’est cette qualité, appliquée aux grands objets de l’
histoire
, qui, à mon avis, convient essentiellement au nar
laisse pas tromper par les vaines traditions ou les faux bruits de l’
histoire
; on a de la critique, on saisit bien le caractèr
tables ; on écarte le fard, de tous les ornements le plus malséant en
histoire
, on peint juste ; on entre dans les secrets resso
nd1. L’intelligence est donc, selon moi, la facilité heureuse qui, en
histoire
, enseigne à démêler le vrai du faux, à peindre le
ousser et à tuer l’ennemi qu’on a devant soi, elle est peu digne de l’
histoire
; mais quand une de ces rencontres se présente, o
es peuples, comme dans celle des individus1. ………………. ………………. (Thiers,
Histoire
de la Révolution, tome VIII, livre 34e. Éd. Furn
a sauté, et si je pouvais me flatter de vivre, je voudrais écrire une
histoire
de France à ma mode. J’ai une drôle d’idée dans m
ont fait des tragédies qui puissent jeter quelque intérêt dans notre
histoire
sèche et barbare. Mézerai et Daniel m’ennuient ;
qu’ils ne savent ni peindre ni remuer les passions. Il faut, dans une
histoire
comme dans une pièce de théâtre, exposition, nœud
sition, nœud et dénoument. « Encore une autre idée. On n’a fait que l’
histoire
des rois, mais on n’a point fait celle de la nati
oire souriait avec un indéfinissable dédain, et cessait d’écouter. En
histoire
, il en est ainsi. » 1. Dans cette préface just
la passion et l’imagination ; mais ce qu’il refuse à l’historien, son
histoire
nous l’a plus d’une fois donné. — Comparez à ce m
t tenir compte. § II. Caractère du roman. Le roman diffère de l’
histoire
; celle-ci raconte des faits véritables, l’autre
e vit de fictions ; mais le roman a aussi sa vérité à lui : il fait l’
histoire
du cœur humain. L’histoire de l’homme ne consiste
roman a aussi sa vérité à lui : il fait l’histoire du cœur humain. L’
histoire
de l’homme ne consiste pas seulement dans les évé
es, les mœurs, les usages, les caractères de la vie commune ; c’est l’
histoire
de chacun et l’histoire de tous : tels sont les é
s, les caractères de la vie commune ; c’est l’histoire de chacun et l’
histoire
de tous : tels sont les éléments variés et fécond
devant lui se creuse un abîme où trop souvent il s’engloutit. § V.
Histoire
du roman. Le roman nous apparaît d’abord chez
itude, frappait les esprits par ce mélange d’intervention divine et d’
histoire
héroïque, qui faisait son merveilleux et sa terre
la Grèce courait aux jeux Olympiques pour entendre Hérodote lire son
histoire
. « Sous d’autres rapports, cette forme de société
comme le remarque Cicéron ; c’est le Télémaque réduit aux formes de l’
histoire
. La belle fiction de l’Atlantide, dans Platon, pr
mènes, race de héros aussi fades qu’ennuyeux, aussi peu conformes à l’
histoire
qu’à la nature. Depuis l’Astrée d’Honoré d’Urfé j
e des auteurs que par les exigences d’un public avide d’émotions et d’
histoires
. Citons seulement le roman historique comme une d
pu dire de ses romans, sans se tromper, qu’ils sont plus vrais que l’
histoire
. En résumant cette longue esquisse du roman, nous
t à la France. Il est le premier, il est le seul qui ait consacré à l’
histoire
de notre littérature un monument qu’on peut appel
raire. La première1 est comme une partie nouvelle et essentielle de l’
histoire
générale. Les révolutions de l’esprit, les change
iété sur les auteurs, des auteurs sur la société : c’est proprement l’
histoire
des affaires de l’esprit. La seconde sorte1 de cr
nde sorte1 de critique est à la première ce que les mémoires sont à l’
histoire
. Elle s’occupe plus de la chronique2 des lettres
histoire. Elle s’occupe plus de la chronique2 des lettres que de leur
histoire
, et elle fait plus de portraits que de tableaux.
nt aux trois premières sortes de critique la diversité, la liberté, l’
histoire
mêlée aux lettres, la beauté des tableaux, la vie
ui de l’écrivain supérieur6 qui a élevé la critique à la hauteur de l’
histoire
, et prouvé que la science littéraire n’est pas la
e tous les ouvrages ; elle est mêlée à tous les genres. Appliquée à l’
histoire
des beaux-arts et au jugement des chefs-d’œuvre d
e a, dans des pages d’une justesse et d’une finesse exquises, tracé l’
histoire
des grandes écoles et appelé sur l’œuvre du plus
urd’hui comme lecteurs, une brillante application de la critique3 à l’
histoire
de la philosophie. C’étaient de belles fêtes pour
re eût-on désiré pour une si belle plume une fortune plus haute que l’
histoire
ou la critique des systèmes ; peut-être un nouvel
s la philosophie la plus jalouse de rester distincte de la religion. (
Histoire
de la littérature française, t. IV, p. 530. Éditi
té1. Au reste, l’art n’est pas facile, même aux mieux doués. Ce que l’
histoire
anecdotique de nos grands écrivains nous raconte
discours, combien n’est-il pas à la merci des hommes et des choses ! (
Histoire
de la littérature française, t. I, p. 24. Édition
ce et dans tout son effet moral1, est de l’invention de La Fontaine. (
Histoire
de la littérature française, t. III, p. 133. Édit
Exacte, autant que peuvent l’être les choses littéraires. 3. Lisez l’
Histoire
de la littérature française, pour commenter cette
lit dans Bernardin de Saint-Pierre : « Si ses fables n’étaient pas l’
histoire
des hommes, elles seraient encore pour moi un sup
quelquefois le nom d’Art poétique et les avons-nous admis dans notre
histoire
abrégée, de la Rhétorique. Les uns et les autres
s différentes œuvres Lucien 125 ? — 200 ? De la manière d’écrire l’
histoire
. Longin 213 ? — 273 Rhétorique ; — Traité du s
ence des Romains sont contenues dans quelques pages du Discours sur l’
histoire
universelle (IIIe partie, chap. vi et vii.) 5°
prêt à donner la paix à ses ennemis et à l’empire. » (Discours sur l’
Histoire
universelle, Ire partie, xe époque.) Mithridate
exemple, les discours et écrits qui traitent d’affaires, de points d’
histoire
et de science, etc. Le style tempéré tient le mil
n a dans la composition. Le style de l’éloquence n’est pas celui de l’
histoire
; celui de la poésie dramatique n’est pas le même
scrupuleusement exacte. Ex. le passage du Saint-Bernard, par Thiers (
Histoire
du Consulat et de l’Empire, t. I, livre IV, p. 36
s habitudes modernes, le discours repose entièrement sur l’étude de l’
histoire
. Il est de tous les exercices de rhétorique le pl
odernes sur la rhétorique que nous avons cités dans le tableau de son
histoire
abrégée (p. 5 et 6), nous indiquerons, comme comp
opée : Poème héroïque, ou historique, héroï-comique. 2° Historique
Histoire
proprement dite, Annales ou chroniques, Mémoires,
istoire proprement dite, Annales ou chroniques, Mémoires, Biographie,
Histoire
littéraire. 3° Dramatique Genre tragique : T
ure est, dans le sens le plus étendu du mot, la théorie générale et l’
histoire
critique des œuvres de l’esprit humain. Elle comp
es genres littéraires et des règles auxquelles ils sont soumis ; 2° l’
Histoire
littéraire, c’est-à-dire le tableau et l’apprécia
prose a précédé les vers, mais dans celui des faits particuliers de l’
histoire
littéraire, la poésie a précédé la prose. Le jour
; cependant, toute création n’est pas poétique. La poésie n’est pas l’
histoire
minutieuse et exacte de la vie humaine ; elle en
te, évoquer tes fastes devant moi, Et, d’un œil enflammé dévorant ton
histoire
, Prendre, convive obscur, ma part de tant de gloi
onnet a toujours été très cultivé dans notre littérature. Il a en son
histoire
, sa monographie. Les poètes provençaux, Girard de
s ». Les héros sont à peu près exclusivement ceux de la fable ou de l’
histoire
. L’épopée chante les actions, la gloire et les ma
thologie ou dans les récits des temps héroïques, souvent aussi dans l’
histoire
politique des peuples. Son style doit avoir de la
sous une forme bouffonne, les principaux événements de l’année.
Histoire
de la poésie dramatique Dans le chant IIIe de
. 61 et suiv.), Boileau a résumé en quelques vers, imites d’Horace, l’
histoire
incomplète et inexacte de la poésie dramatique :
d’Aristote, l’Art poétique d’Horace et celui de Boileau, cités dans l’
Histoire
abrégée de la rhétorique (p. 5 et 6), nous indiqu
storique), en faisant connaître les découvertes de la science et de l’
histoire
, les résultats de l’observation, de l’expérience
rose a certainement précédé les vers ; il n’en est pas de même dans l’
histoire
littéraire, où elle a été devancée par le langage
fondements du genre historique, et qu’après eux Hérodote écrivit ses
Histoires
. Chez les Latins, les Chants des frères Arvales,
elle est supérieure à un lourd traité de philosophie ou à un livre d’
histoire
écrit d’un style pesant et plat. Nous adopterons
s auditoires de la Sorbonne et du Collège de France la philosophie, l’
histoire
, l’éloquence et la poésie. Ce genre d’éloquence a
tes faites dans une science ou dans un art, on y discute des points d’
histoire
, de chronologie, de critique, etc. Le style de ce
vains célèbres. 2° Le genre historique Le genre historique ou
histoire
(ἵστορία, information, recherche) embrasse le réc
littéraire et scientifique de l’humanité. Son objet et son but ; l’
histoire
chez les anciens et les modernes L’histoire ra
n objet et son but ; l’histoire chez les anciens et les modernes L’
histoire
raconte les faits accomplis ; elle les coordonne,
appelle avec raison « le témoin des temps, la lumière de la vérité, l’
histoire
du présent, l’école de la vie, la révélatrice du
historiques dans les littératures orientales, mais on peut dire que l’
histoire
véritable est née en Grèce. Créée par les logogra
la vérité. Les Grecs, comme plus tard les Romains, n’ont pas séparé l’
histoire
de l’éloquence ; nihil est magis oratorium quam
plus ou moins exact de la vraisemblance. Les anciens considéraient l’
histoire
plutôt comme une œuvre d’art que de science. C’es
sacrifier l’intérêt dramatique à la vérité. Au dix-neuvième siècle, l’
histoire
renouvelée par le travail incessant de la critiqu
écits l’intérêt d’une action, sans altérer la vérité. Sources de l’
histoire
; qualités nécessaires à l’historien Les sourc
; qualités nécessaires à l’historien Les sources principales de l’
histoire
sont : les traditions orales habilement interprét
e science particulière. Quant aux journaux, ce sont les éléments de l’
histoire
dont il faut le plus se défier, à cause des préju
éraires. Les qualités morales peuvent se réduire à l’impartialité ; l’
histoire
doit être fidèle et entière à tous les points de
mps . De nos jours Augustin Thierry disait : « Il ne faut pas faire l’
histoire
au profit d’une seule idée ». L’impartialité cons
nces nécessaires à l’historien La mise en œuvre des matériaux de l’
histoire
exige un grand talent de composition, une étude p
politiques, langues, chronologie et géographie, « ces deux yeux de l’
histoire
», rien de tout cela ne doit être étranger à celu
jamais été chez nous que des hommes d’étude. Différentes espèces d’
histoire
1° Histoire narrative, critique et philosoph
ous que des hommes d’étude. Différentes espèces d’histoire 1°
Histoire
narrative, critique et philosophique Au point
hilosophique Au point de vue de la méthode ou de la composition, l’
histoire
est narrative, critique et philosophique. 1° Elle
cier. Fénelon, au dix-septième siècle, et de Barante au dix-neuvième (
Histoire
des ducs de Bourgogne), etc., représentent cette
mots de Quintilien : Scribitur ad narrandum non ad probandum. 2° L’
histoire
critique, ajoute au récit exact des faits la rech
Science nouvelle, à peine entrevue par nos pères, la philosophie de l’
histoire
résume les innombrables découvertes faites par l’
écouvertes faites par l’érudition et la critique dans le domaine de l’
histoire
ancienne et moderne. Prenant pour point de départ
es annales de chaque nation, elle s’élève à la conception d’une seule
histoire
générale. Elle embrasse d’un coup d’œil la généra
s, des révolutions chez tous les peuples. Ex. Bossuet, Discours sur l’
histoire
universelle, — l’italien Vico, Principes d’une sc
sur la philosophie de l’humanité, — le P. Gratry, La Philosophie de l’
histoire
, etc. 2° Histoire universelle, générale, parti
l’humanité, — le P. Gratry, La Philosophie de l’histoire, etc. 2°
Histoire
universelle, générale, particulière Considérée
particulière Considérée sous le rapport de l’étendue des sujets, l’
histoire
est : 1° Universelle, si elle embrasse l’ensemble
isolée, à un événement spécial, à une province ou à une ville. 3°
Histoire
sacrée, profane Au point de vue des éléments q
u point de vue des éléments qui constituent la société, on a divisé l’
histoire
en deux grandes parties : l’histoire sacrée et l’
ituent la société, on a divisé l’histoire en deux grandes parties : l’
histoire
sacrée et l’histoire profane. L’histoire sacrée r
a divisé l’histoire en deux grandes parties : l’histoire sacrée et l’
histoire
profane. L’histoire sacrée raconte tous les faits
en deux grandes parties : l’histoire sacrée et l’histoire profane. L’
histoire
sacrée raconte tous les faits relatifs à la relig
nt du monde jusqu’à nos jours. Elle se subdivise en deux parties : 1°
Histoire
sainte, ou récit d’après les Saintes Écritures de
après les Saintes Écritures des faits antérieurs au christianisme. 2°
Histoire
ecclésiastique, ou histoire qui traite de l’établ
des faits antérieurs au christianisme. 2° Histoire ecclésiastique, ou
histoire
qui traite de l’établissement de l’Église et de s
eloppement à travers les siècles. On peut ajouter comme appendice à l’
histoire
sacrée celle de toutes les religions qui, sous di
es variées, se sont établies de tout temps sur la surface du globe. L’
histoire
profane comprend l’histoire civile, politique et
de tout temps sur la surface du globe. L’histoire profane comprend l’
histoire
civile, politique et intellectuelle de tous les p
elle de tous les peuples. On la divise en trois grandes périodes : 1°
Histoire
ancienne, depuis l’origine des sociétés dans l’an
l’empire romain, à la fin du quatrième siècle après Jésus-Christ. 2°
Histoire
du moyen âge, depuis la ruine du monde romain jus
de Constantinople par les Turcs ottomans, sous Mahomet II (1453). 3°
Histoire
des temps modernes depuis le milieu du quinzième
siècle jusqu’à nos jours. (Voir nos résumés synoptiques des diverses
histoires
littéraires pour les noms des plus célèbres histo
téraires pour les noms des plus célèbres historiens). Formes de l’
histoire
Les principales formes de l’histoire sont :
historiens). Formes de l’histoire Les principales formes de l’
histoire
sont : 1° Annales ou chroniques Les annales
çaise du Moyen Âge. 2° Mémoires Les mémoires sont des espèces d’
histoires
individuelles où l’auteur raconte sa vie (autobio
ieux et plus familiers que ne le comporte la sévérité habituelle de l’
histoire
. C’est le genre français par excellence. Ex. les
ceux qui ont été réunis dans les Collections de mémoires relatifs à l’
histoire
de France, de Guizot, — de Buchon, — de Michaud e
Barrière. Plusieurs ont été exhumés ou reproduits par la Société de l’
histoire
de France, qui en a soumis les textes à la critiq
On appelle biographie le récit de la vie d’un seul homme ; c’est l’
histoire
individuelle. Ex. Vie des hommes illustres par Pl
d’Agricola par Tacite, — Vie de Henri IV par Hardouin de Péréfixe, —
Histoire
de Charles XII par Voltaire, etc. 4° Histoire
douin de Péréfixe, — Histoire de Charles XII par Voltaire, etc. 4°
Histoire
et critique littéraire L’histoire littéraire r
les XII par Voltaire, etc. 4° Histoire et critique littéraire L’
histoire
littéraire raconte les origines, les progrès, les
nt produites, d’après les règles rigoureuses de la science moderne. L’
histoire
littéraire étudie, au moyen de l’analyse psycholo
lle laisse de côté la vérité et l’éclat des peintures. Nul souci de l’
histoire
, des différences de temps et de lieu ; elle ne qu
le. — Saint-Marc Girardin, Cours de littérature dramatique, — Nisard,
Histoire
de la littérature française, — Sainte-Beuve, Caus
tmartin, F. Sarcey, etc. 5° Bibliographie On peut rattacher à l’
histoire
et surtout à l’histoire littéraire la bibliograph
5° Bibliographie On peut rattacher à l’histoire et surtout à l’
histoire
littéraire la bibliographie qui en est le complém
’est-à-dire les ouvrages qui ne peuvent appartenir entièrement ni à l’
histoire
, ni à l’éloquence, et qui, en général, ont pour o
c le monde. On peut y ajouter, comme complément, la métaphysique et l’
histoire
de la philosophie. 1° La métaphysique est la scie
l’appelle aussi ontologie (λόγος, science, — ὤντος, de l’être). 2° L’
histoire
de la philosophie, est l’étude critique des doctr
du beau), etc. (Voir pour de plus amples détails, notre Tableau de l’
histoire
abrégée de la rhétorique, p. 2 et 3.) 4° Genr
Longus. 2° Le roman historique est celui où la fiction est mêlée à l’
histoire
. Ex. La plupart des romans d’Alexandre Dumas père
du roman avec J.-J. Rousseau et Bernardin de Saint-Pierre qui, dans l’
histoire
du cœur humain et des passions, ont donné une gra
ents modèles dans les nombreux récits de voyages du Tour du monde. L’
histoire
est quelquefois descriptive comme le roman quand
iques traitent particulièrement des points de morale, de politique, d’
histoire
, ou des questions littéraires, artistiques, scien
armé incomparable, et fournir à la littérature des chefs-d’œuvre, à l’
histoire
des documents importants. Il suffit de rappeler l
e d’écrivains qui, à des degrés divers, ont leur place marquée dans l’
histoire
dramatique du dix-neuvième siècle. Différents
sur les lettres, les arts, Discours funèbres Différentes espèces d’
histoire
: 1° narrative, critique, philosophique. 2° unive
siastique. 2° Profane : ancienne, du moyen âge, moderne. Formes de l’
histoire
: Annales ou chroniques, Mémoires, Biographie, Hi
Formes de l’histoire : Annales ou chroniques, Mémoires, Biographie,
Histoire
et critique littéraire, Bibliographie. Traités
Outre les traités anciens et modernes que nous avons cités, dans l’
histoire
abrégée de la rhétorique (p. 5 et 6), nous indiqu
x de madame Geoffrin, de madame du Deffand, enfin de madame Necker. L’
histoire
de ces salons tiendra de près à l’histoire littér
enfin de madame Necker. L’histoire de ces salons tiendra de près à l’
histoire
littéraire et politique du siècle. Ils seront les
oncent, la signalent, et Leibniz, dès 1704, en résume presque toute l’
histoire
dans une page qui atteint à la clairvoyance d’une
autre part, la révolution, à la considérer comme une période de notre
histoire
littéraire, a des caractères nouveaux, complexes,
ort de l’ancien régime ; il y en a un autre, bien grand encore, que l’
histoire
des idées nous révèle : c’est la mort du dix-huit
ècle. Les trois périodes du dix-huitième siècle. — On peut diviser l’
histoire
littéraire du dix-huitième siècle en trois périod
748, et l’année suivante Buffon donne les trois premiers volumes de l’
Histoire
Naturelle. Il semble, à ce moment, que le dix-hui
reprochent à Montesquieu de s’en être tenu, dans la philosophie de l’
histoire
, à la raison des faits accomplis, d’avoir cherché
e, la difficile solution. La poésie au dix-huitième siècle. — Dans l’
histoire
de la poésie française le dix-huitième siècle n’o
ombien de ces poèmes applaudis qui ne sont plus que des titres dans l’
histoire
littéraire : les Saisons de Saint-Lambert, les Fa
iens. Les idées sont trop actives, les partis trop animés, pour que l’
histoire
soit simplement une œuvre de recherche libre et d
tion sur le pouvoir monarchique ; l’abbé Raynal, enfin, l’auteur de l’
Histoire
de la Conquête des Indes, œuvre de colère et de p
’il désavoua loyalement, quand la Révolution l’eut éclairé. Quant à l’
histoire
proprement dite, sauf quelques ouvrages de Voltai
par la grace, au moins par l’honnêteté des sentiments. L’Abrégé de l’
Histoire
de France du président Hénault ne serait qu’une t
dotes et de fines réflexions. Rulhière a des parties d’éclat dans son
Histoire
de Pologne. L’érudition est exacte, étendue chez
un temps qui avait peu encore 1’intelligence du génie antique. Notre
histoire
nationale ne savait encore ni emprunter aux ancie
leur naturel. « On laissait chez nos anciens chroniqueurs la vie de l’
histoire
; on n’en tirait que des restes arides. L’étude d
ire de l’Académie des sciences après Fontenelle, a écrit une agréable
histoire
des aurores boréales. Mais aucun, dans ce siècle,
iècle qu’il appartiendra de la renouveler par la philosophie et par l’
histoire
. Conclusion. — Il nous resterait à conclure. Le
unir, cette juste et salutaire croyance s’élève et surmonte toute son
histoire
. Le premier, il la proclamée, et a voulu la réali
document historique de grande valeur ; mais il n’entrera guère dans l’
histoire
littéraire proprement dite. A ce moment, d’ailleu
poque. Le Consulat et l’Empire (1799-1815). — La première époque de l’
histoire
littéraire de notre siècle est celle du Consulat
. Dans les talents secondaires de cette époque, n’en est-il pas que l’
histoire
littéraire a le devoir de ne pas oublier ? Ce ne
rémités systématiques ; le cardinal de Bausset, écrivain délicat de l’
Histoire
de Fénelon, et des critiques ou savants distingué
règne de Louis-Philippe. La philosophie spiritualiste est relevée, l’
histoire
renouvelée, la critique agrandie, pendant que les
reinte de religion et de mélancolie. Arrivés à cette période de notre
histoire
littéraire, nous pouvons essayer de caractériser
dans le développement de l’esprit humain. On peut reconnaître dans l’
histoire
de la philosophie française de notre siècle deux
des différences. C’est une sorte d’anarchie, mais d’anarchie féconde.
Histoire
, critique, analyse, ces mots, on le remarque, rev
el caractère. Le dix-neuvième siècle sera, avant tout, le siècle de l’
histoire
et de la critique. Personne ne lui contestera d’a
iand et de madame de Staël, Guizot rédige ses leçons mémorables sur l’
histoire
de la civilisation en Europe et en France ; Baran
bares, élève d’admirables monuments ; Thiers et Mignet écrivent leurs
histoires
de la Révolution française. A ces maîtres, dont l
l est un principe qui chez toutes est également reconnu : c’est que l’
histoire
est une science avant d’être un art ; qu’elle doi
s œuvres les plus glorieuses pour le dix-neuvième siècle. A côté de l’
histoire
, qu’elle appelle si souvent, d’ailleurs, en témoi
équilibre et se tempérer. Ce sujet se confond trop souvent avec notre
histoire
politique pour en être détaché sans perdre beauco
liberté nouvelle des études, à la connaissance plus approfondie de l’
histoire
et de l’antiquité, au contact plus fréquent avec
eintre de portraits avant tout, conçoit la critique comme une sorte d’
histoire
naturelle des esprits. Près de ces maîtres, combi
it avec justice demandé au théâtre de s’ouvrir plus largement à notre
histoire
nationale, on le reconnaîtra ; mais ce drame roma
e tranquillité suprême, je n’ose ajouter contentement38. » Dans l’
histoire
également, la physiologie et même la pathologie,
bée alors en décadence. Nous ne suivrons pas d’ailleurs Rollin dans l’
histoire
de ses charges universitaires, ni dans celle des
ilieu du dix-huitième siècle les traditions du siècle de Louis XIV. L’
Histoire
Ancienne en onze volumes (1730-1738) et l’Histoir
le de Louis XIV. L’Histoire Ancienne en onze volumes (1730-1738) et l’
Histoire
Romaine, conduite jusqu’au neuvième volume, furen
vaux de cette vie si laborieuse et si féconde. Montesquieu a loué les
histoires
de Rollin en des termes qui peuvent s’appliquer à
liquer à toutes ses œuvres : a Un honnête homme a, par ses ouvrages d’
histoire
, enchanté le public. C’est le cœur qui parle au c
tenu l’exorde célèbre de Massillon devant le cercueil de Louis XIV. L’
histoire
de l’oraison funèbre au dix-septième siècle ne po
squ’à la naissance des siècles, parcourez toutes les nations, lisez l’
histoire
des royaumes et des empires, écoutez ceux qui rev
iété et d’instruction qui sont infinis, son inimitable Discours sur l’
Histoire
universelle, et cette sublime Politique tirée de
oduisit trois grandes guerres, qui forment un des beaux morceaux de l’
histoire
romaine142 ; parce qu’on n’y voit pas des princes
0. » Trois auteurs célèbres répondirent à Symmaque. Orose composa son
histoire
pour montrer qu’il y avait toujours eu dans le mo
celles qui étaient policées154, était un des grands monarques dont l’
histoire
ait jamais parlé. On voyait à sa cour les ambassa
est la vertu158. Ce que je dis est confirmé par le corps entier de l’
histoire
, et est très conforme à la nature des choses. Car
ipaux de la vie de Voltaire, et, puisque son nom appartient aussi à l’
histoire
de la poésie du dix-huitième siècle, ne jugeons p
éra la publication, Voltaire rapporta d’Angleterre les matériaux de l’
Histoire
de Charles XII, roi de Suède. Modèle de narration
oltaire (1731) marque en outre l’avènement de l’esprit moderne dans l’
histoire
. Les anciens regardaient trop exclusivement l’his
moderne dans l’histoire. Les anciens regardaient trop exclusivement l’
histoire
comme un art. Soucieux avant tout de la beauté, i
diminué : ce qu’il a compris avec une raison supérieure, c’est que l’
histoire
n’a pas seulement à raconter des batailles et des
strie, les lettres elles-mêmes et les beaux-arts ; "On n’a fait que l’
histoire
des rois, avait-il dit, mais on n’a point fait ce
ustice qui l’amènent à nier les bienfaits du christianisme, à juger l’
histoire
des premiers siècles de l’ère chrétienne aussi pe
ignoré son état n’eût point soupçonné qu’il était vaincu et blessé.
Histoire
de Charles XII, livre IV. Henri IV176. Si H
y prononça sont encore dans la mémoire des bons citoyens qui savent l’
histoire
de leur pays : « Déjà par la faveur du Ciel, par
pèrent toutes ses vertus, et firent pardonner ses faiblesses : plus l’
histoire
fut approfondie, plus il fut aimé. Le siècle de L
aurai fait un bon poème, une pièce de théâtre applaudie, ou écrit une
histoire
avec succès, ou cherché à m’éclairer et à instrui
; un autre, qui vend à un libraire quelques chapitres d’une prétendue
Histoire
universelle, sous mon nom ; le libraire assez avi
mença l’œuvre immense à laquelle est attaché son nom, et qui honore l’
histoire
des lettres comme celle des sciences. Dix ans s’é
tendance du Jardin du Roi et la publication des premiers volumes de l’
Histoire
Naturelle. De 1749 à 1767 parurent quinze volumes
1767 parurent quinze volumes consacrés à la théorie de la terre, à l’
histoire
de l’homme et des quadrupèdes vivipares. Dans une
. On a reproché plus justement à Buffon d’avoir trop dédaigné, dans l’
histoire
des animaux, l’étude comparée des espèces et leur
rtu moins un devoir absolu qu’un calcul de l’intérêt bien entendu. L’
Histoire
Naturelle de Buffon se compléta par neuf volumes
ient à l’essence même de l’espèce, c’est-à-dire à sa propagation220.
Histoire
Naturelle. Animaux carnassiers. L’âne. L’ân
ions de la famille et des devoirs naturels. La Nouvelle Héloïse est l’
histoire
de Rousseau, a dit Saint-Marc Girardin, refaite e
par le repentir que par la vertu, telle est l’idée fondamentale de l’
histoire
de Julie ; c’est aussi l’idée qui semble dominer
Gouvernement de la Pologne. Ce qui l’occupa surtout, ce fut sa propre
histoire
, celle de ses chagrins et de ses malheurs. Il mou
manière de les cultiver ? Qui est-ce qui, ayant un peu de goût pour l’
histoire
naturelle, peut se résoudre à passer un terrain s
ux sans chercher des fossiles ? Vos philosophes de ruelles étudient l’
histoire
naturelle dans des cabinets ; ils ont des colific
10 et suivantes. Vauvenargues.(1715-1747.) Il n’est pas dans l’
histoire
littéraire du dix-huitième siècle de plus touchan
tes. Lettre au marquis de Mirabeau270. Les vies de Plutarque. L’
histoire
de France, que vous lui conseillez271, est une le
te bienséance ; il n’y a qu’une réponse à faire, c’est que cette même
histoire
est extrêmement sèche272, qu’elle ne l’amuserait
sont nulle part mieux peints ; l’on y peut prendre une teinture de l’
histoire
de la Grèce, et même de celle de Rome. L’on ne me
raisier. Je formai, il y a quelques années, le projet d’écrire une
histoire
générale de la nature, à l’imitation d’Aristote,
sserais d’observer, et que j’aurais rassemblé tous les matériaux de l’
histoire
de la nature ; mais il m’en a pris comme à cet en
infiniment étendue, et je suis un homme très borné. Non seulement son
histoire
générale, mais celle de la plus petite plante, es
ité celle de la nature. Je n’eusse pu leur refuser une place dans son
histoire
générale, lorsqu’elle leur en avait donné une dan
ait donné une dans l’univers. A plus forte raison, si j’eusse écrit l’
histoire
de mon fraisier, il eût fallu en tenir compte. Le
es plantes sont les habitations des insectes, et l’on ne fait point l’
histoire
d’une ville sans parler de ses habitants. D’aille
des jeunesses d’un matin et des décrépitudes d’un jour. S’ils ont des
histoires
, ils ont des mois, des années, des siècles, des é
: sa vive curiosité embrassait tout : langues anciennes et modernes,
histoire
, politique, science, dessin même et musique. Le m
rabeau fut envoyé par la ville d’Aix comme représentant du tiers. Son
histoire
, à partir de cette époque, appartient à celle de
e Commensal, et je maudis l’étiquette. Or, sais-tu ce que c’est cette
histoire
: ce n’est pas seulement celle des Laurée et des
Rivarol.(1753-1801.) Rivarol n’avait pas toute sa place dans l’
histoire
littéraire. Il était resté cependant de lui quelq
et de la frugalité didactique et de la magnificence qui convient à l’
histoire
de la nature. On ne dit rien en vers qu’on ne pui
que nul publiciste n’a étudié avec une plus persévérante attention l’
histoire
et le génie de la France, n’a proclamé plus haut
; et déjà dans le treizième siècle, un Italien écrivait en français l’
histoire
de sa patrie, « parce que la langue française cou
eux mille fois les hommes qui ne sont appelés à contempler que dans l’
histoire
les grandes révolutions, les guerres générales, l
éterminer le caractère, moins que jamais il conviendrait de séparer l’
histoire
des lettres de celle des faits et des idées. La l
t. Le Génie du Christianisme marque ainsi une date importante dans l’
histoire
religieuse du dix-neuvième siècle. Il parut en 18
eur locale aux tableaux que l’imagination emprunte aux souvenirs de l’
histoire
; il a réveillé le goût des études historiques, e
e combien d’émotions et de jouissances nous privaient nos préjugés en
histoire
; non pas qu’il soit lui-même exempt de préjugés
nte devant qui tombaient les remparts ennemis. Analyse raisonnée de l’
Histoire
de France. Jean II. Néron et Tacite. Il y a
a poésie convient plus particulièrement à l’enfance des peuples, et l’
histoire
à leur vieillesse. La simplicité des mœurs pastor
le langage du poète, que les crimes mêmes en paraissent embellis ; l’
histoire
seule peut les peindre sans en affaiblir l’horreu
hef de l’école philosophique, celle qui s’applique moins à donner à l’
histoire
les couleurs et l’intérêt du drame qu’à retirer d
ctobre 1787, Guizot, dès 1812, était nommé à la Sorbonne professeur d’
histoire
moderne ; il montait à vingt-cinq ans dans cette
de liberté. Les ouvrages de Guizot sur les origines et la suite de l’
histoire
de France représentent son enseignement. Augustin
gnement. Augustin Thierry les juge en ces termes : « Les Essais sur l’
Histoire
de France, L’Histoire de la Civilisation européen
rry les juge en ces termes : « Les Essais sur l’Histoire de France, L’
Histoire
de la Civilisation européenne et L’Histoire de la
r l’Histoire de France, L’Histoire de la Civilisation européenne et L’
Histoire
de la Civilisation française sont trois parties d
ait encore à sa réputation : c’étaient les deux premiers volumes de l’
Histoire
de la Révolution d’Angleterre (1827). Sans perdre
833). Après la révolution de 1848, Guizot acheva l’œuvre commencée. l’
Histoire
de la Révolution d’Angleterre fut conduite jusqu’
encore, est retracé par M. Guizot avec une vérité admirable. Voilà l’
histoire
telle que je la conçois, et telle qu’elle ne peut
stent égales dans ses dernières œuvres : les Mémoires pour servir à l’
histoire
de mon temps 422 (1858-1868), et les Méditations
r, en dictant à sa fille les dernières pages du quatrième volume de l’
Histoire
de France racontée à mes petits-enfants. Sa fille
d’inquiétude sur la justice du vœu qu’ils venaient de voir accompli.
Histoire
de la Révolution d’Angleterre, liv. III. Vill
es absolues et abstraites ; s’appropriant toutes les découvertes de l’
histoire
et de la philosophie morale, elle replaça les liv
es comparées, elle éclaira d’un jour nouveau les grandes époques de l’
histoire
, et montra ainsi que les formes mobiles de l’art
justifient, loin de les contredire, les principes éternels du beau. L’
histoire
littéraire, grâce à cette méthode, est devenue l’
gnement de Villemain : le Tableau de la Littérature au moyen âge et l’
Histoire
de la Littérature française au dix-huitième siècl
ce chrétienne au quatrième siècle, dans les Souvenirs contemporains d’
Histoire
et de Littérature, comme dans l’Étude sur M. de C
e et de grand l’intelligence et le cœur de l’homme, la philosophie, l’
histoire
, la politique. Ce partage admis, et avec ces deux
airement continue pour l’esprit d’un peuple : là où la philosophie, l’
histoire
, la politique, sont l’objet d’une libre étude, d’
nt que sous sa plume, et plus tard sous celle de M. de Lacépède447, l’
histoire
naturelle prend un luxe d’images, un éclat de cou
après (1815) à suppléer Royer-Collard à la Sorbonne, dans la chaire d’
histoire
de la philosophie, ses leçons partagèrent bientôt
t les dernières années de son enseignement public, l’Introduction à l’
Histoire
de la Philosophie et l’ Examen de la Philosophie
eibniz, Cousin, à l’encontre de cette vieille opinion qui considère l’
histoire
des doctrines philosophiques comme l’histoire mêm
opinion qui considère l’histoire des doctrines philosophiques comme l’
histoire
même des aberrations de l’esprit humain, pose, au
leur absolue de l’éclectisme, il imprima un nouvel essor aux études d’
histoire
de la philosophie, et c’est un honneur incontesta
sé de plusieurs contemporains célèbres qui s’initièrent en écrivant l’
histoire
à la vie publique, le polémiste chez Augustin Thi
estauration dans les rangs de l’opposition libérale, il demandait à l’
histoire
des armes nouvelles pour la cause qu’il avait emb
out passionnait sa curiosité, et ce fut dans la Première Lettre sur l’
Histoire
de France qu’il posa nettement les termes de la q
é hardie et séduisante, qui hâta, on ne peut le nier, la réforme de l’
histoire
, en la rappelant à l’étude des monuments originau
rité. Après avoir agité plus encore que résolu dans ses Lettres sur l’
Histoire
de France cette question des origines, à laquelle
n Thierry reporta son attention sur le premier objet de ses études, l’
Histoire
de la Conquête de l’Angleterre par les Normands.
s. Là encore se rencontrait le fait analogue à celui que présentait l’
histoire
de nos origines, le fait d’une conquête étrangère
inqueurs ; avec des matériaux grossiers et informes, il recompose des
histoires
vivantes, qui réunissent au charme naïf de la lég
ut en 1833, après la révision complète et sévère de ses Lettres sur l’
Histoire
de France, qu’il conçut la pensée d’entreprendre
s publia six de ces épisodes sous le titre de Nouvelles Lettres sur l’
Histoire
de France ; en 1840, les sept fragments qui compo
e sa pensée, Augustin Thierry put encore achever (1853) l’Essai sur l’
Histoire
de la Formation et des Progrès du Tiers État. C’é
ur l’Histoire de la Formation et des Progrès du Tiers État. C’était l’
histoire
même du développement de la nation depuis l’époqu
Waltham, abbaye que, de son vivant, Harold avait fondée et enrichie.
Histoire
de la Conquête de l’Angleterre par les Normands,
Angleterre par les Normands, liv. III. Jouffroy.(1796-1842.) L’
histoire
de Jouffroy doit être surtout l’histoire de sa pe
Jouffroy.(1796-1842.) L’histoire de Jouffroy doit être surtout l’
histoire
de sa pensée philosophique. Il se mêla peu au mou
c la grandeur de la nature, mais encore les regards jetés, soit sur l’
histoire
de notre espèce, soit sur celle de cette terre qu
s et de ses passions, le problème de la destination. Vous qui savez l’
histoire
, voyez un peu comment l’humanité a marché. Dans l
inent, des races qui ont peut-être des ancêtres, mais qui n’ont pas d’
histoire
. Elles s’en viennent sauvages, presque nues, à pe
à peine créé entre en contact avec l’Europe. Là aussi des hommes sans
histoire
, qui ont encore d’autres idées, une autre manière
ien il se rattache à la commune humanité ! Quand on réfléchit à cette
histoire
de l’espèce humaine, à cette nuit profonde qui co
terre on y a trouvé des témoignages, des monuments authentiques de l’
histoire
de ce petit globe que nous habitons. On s’est con
essais de sa plume. Venu à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’
histoire
à l’Athénée ; de brillantes leçons sur les temps
ne pénétrante sagacité, d’une méthode sévère, et qui cherchait dans l’
histoire
moins le drame des passions que l’affirmation des
ue l’affirmation des lois selon lesquelles se développe l’humanité. L’
Histoire
de la Révolution française, qui parut en 1824, do
vient surtout de signaler, avec la Vie de Franklin, écrite en 1848, l’
Histoire
de Marie Stuart et un livre définitif sur Charles
grande unité de méthode. Sa constante préoccupation a été d’élever l’
histoire
, à la hauteur d’une science rigoureuse et précise
ut à découvrir, ce qu’il excelle à démêler, c’est la partie fixe de l’
histoire
, les influences supérieures qui dominent une époq
rique. M. Mignet n’a même pas échappé au reproche d’avoir fait dans l’
histoire
la part trop étroite à la liberté humaine. Cette
la liberté humaine. Cette tendance fataliste apparaît surtout dans l’
Histoire
de la Révolution française. On regrette d’entendr
grand coupable à qui Dieu eût pardonné : elle s’arrêta à la touchante
histoire
du bon larron, qui lui sembla le plus rassurant e
ive collaboration au National, fondé par Armand Carrel, Thiers, par l’
Histoire
de la Révolution française, se plaçait au premier
e plaçait au premier rang de nos historiens. En 1840. il commençait l’
Histoire
du Consulat et de l’Empire 500. On demeure confon
national. » Traçant, au début du XIIe livre, une rapide théorie de l’
histoire
, Thiers a résumé les qualités de l’historien dans
lui-même, traçant à son insu sa propre image, demandait au style de l’
histoire
: cette transparence d’une glace qui reproduit le
hiers aime mieux expliquer que juger et condamner ; qu’il voit dans l’
histoire
plus de fautes que de crimes ; enfin, qu’il se dé
ayant attendri les commissaires eux-mêmes chargés de l’accompagner.
Histoire
du Consulat et de l’Empire, liv. LIII. Michel
leurs modiques ressources à le faire entrer au collège. Professeur d’
histoire
au collège Sainte-Barbe, puis à l’École normale,
te-Barbe, puis à l’École normale, il donnait, en 1827, un Précis de l’
Histoire
Moderne, et, en 1831, une Histoire Romaine, deux
l donnait, en 1827, un Précis de l’Histoire Moderne, et, en 1831, une
Histoire
Romaine, deux livres restés classiques, le premie
e moyen âge. De 1833 à 1843 il publiait les six premiers volumes de l’
Histoire
de France, depuis les origines jusqu’à la mort de
l’œuvre de Michelet. « Augustin Thierry, a-t-il écrit, avait appelé l’
histoire
narration, Guizot, analyse ; je l’appelle résurre
, de couleur et de relief, toute une société qui se ranime, et dont l’
histoire
a pour nous l’intérêt d’un drame. Gœthe soutenait
e refuser le droit d’approuver les unes et de condamner les autres. L’
histoire
alors ne répondrait plus à toute sa définition. E
dominé par des passions et des colères, que la lutte avait aigries. L’
histoire
, sous sa plume, devenait pamphlet : elle en prena
nt les sciences et les méthodes, il introduisait la pathologie dans l’
histoire
, et, s’égarant dans des voies obscures et sans is
e la science de Cuvier et d’Élie de Beaumont ; qu’ils racontent cette
histoire
antéhistorique. Ils y étaient, eux, et moi, je n’
de mille ans518 ? » « Et nous, dit le Basque, nous ne datons plus. »
Histoire
de France, tome II, liv. III (Tableau de la Franc
t la religion du succès522. Un autre mal, très grave, et qui faussa l’
histoire
, c’est que la féodalité, périssant sous une telle
jeune, hardie, parfois provocante, et qui a laissé des traces dans l’
histoire
de l’opposition libérale. Plus tard, en réunissan
éveloppement de ces vues nouvelles. « Chaque sentiment, dit-il, a son
histoire
, et cette histoire est curieuse, parce qu’elle es
vues nouvelles. « Chaque sentiment, dit-il, a son histoire, et cette
histoire
est curieuse, parce qu’elle est, pour ainsi dire,
oire est curieuse, parce qu’elle est, pour ainsi dire, un abrégé de l’
histoire
de l’humanité. » Prenant ainsi tour à tour les di
nies. M. Daunou529, je crois, prétendait qu’ayant bien cherché dans l’
histoire
du monde quel était le siècle où il faisait le mi
ingts ans, pourrait se dire avoir été aussi heureux que le comporte l’
histoire
de l’humanité. Point de grandes révolutions, poin
eaumarchais n’a pas seulement créé le caractère, il en a aussi créé l’
histoire
. Le Barbier, le Mariage, la Mère coupable, formen
e éthérée de l’amour. C’est fini, c’est à jamais fini, et telle est l’
histoire
de l’homme dans l’amour. Je me trompe. Il y a un
ençait une des œuvres les plus considérables de sa vie littéraire : 1
Histoire
de Port-Royal. C’est dans ce livre, et dans la lo
aturaliste des esprits ; sa dernière ambition eût été de constituer l’
Histoire
Naturelle littéraire. Quand l’histoire littéraire
bition eût été de constituer l’Histoire Naturelle littéraire. Quand l’
histoire
littéraire, riche et variée comme la vie, pourrai
e de la Grèce. Un savant auteur anglais, le colonel Mure, dans son
Histoire
de la littérature grecque, se pose cette question
M. Désire Nisard.(1806.) M. Nisard, dans le dernier chapitre de l’
Histoire
de la Littérature française. distingue quatre sor
La première, celle de Villemain, partie nouvelle et essentielle de l’
histoire
générale, s’applique à faire ressortir l’influenc
ellectuelles, « s’occupe plus de la chronique des lettres que de leur
histoire
, et fait plus de portraits que de tableaux. » M.
nt aux trois premières sortes de critique la diversité, la liberté, l’
histoire
mêlée aux lettres, la beauté des tableaux, la vie
des hommes dont j’avais salué la venue, j’étais allé chercher, dans l’
histoire
des lettres latines, une école de novateurs, à qu
sir et sans profit. M. Nisard publiait en 1844 le premier volume de l’
Histoire
de la Littérature française. Le quatrième et dern
ce et la sévérité de travail que l’auteur a apportée à son œuvre, « L’
histoire
de notre littérature par M. Nisard, a dit Sainte-
si nettement intelligibles. » L’Institut a désigné cette année même l’
Histoire
de la Littérature française pour le prix biennal,
écrit beaucoup qu’il y a des gens de talent qui écrivent fort mal. L’
histoire
de Perse, c’est l’histoire d’un jeune homme que j
es gens de talent qui écrivent fort mal. L’histoire de Perse, c’est l’
histoire
d’un jeune homme que je connais, que nous connais
i avec lui-même : c’est pour cela qu’il fut si bon juge des autres. L’
histoire
des littératures n’offre peut-être pas un second
celle d’un homme qui sent en poète ce qu’il enseigne en théoricien.
Histoire
de la Littérature française, tome II, § 6. Les
d560 a rendu sa pensée visible par un talent non moins nouveau dans l’
histoire
de notre poésie. Si tout est chant dans le premie
le chercha dans les parties les plus sombres du théâtre grec, dans l’
histoire
d’Atrée et de Thyeste, dans l’Orestie d’Eschyle.
lus que le cadre d’une thèse philosophique, à laquelle la vérité de l’
histoire
est sacrifiée autant que cette vérité humaine qui
n caquet digne d’être en couvent... Admis partout, si l’on en croit l’
histoire
, L’oiseau chéri mangeait au réfectoire : Là tout
t l’indulgence publique. Aucun art, aucune science, physique, chimie,
histoire
naturelle, ne fut à l’abri de la description. Il
goumois, il alla passer six mois en garnison à Strasbourg, et, dans l’
histoire
délicate à suivre du développement poétique d’And
mé de son génie quand il s’est promis, avant de tomber, d’attendrir l’
histoire
sur les victimes et d’imprimer sur les bourreaux
rigé mon poignard. Mais quoi ! Nul ne resterait donc pour attendrir l’
histoire
Sur tant de justes massacrés ! Pour consoler leur
dans les siècles qui ont précédé le nôtre, appartiendrait plutôt à l’
histoire
politique. On a dit que l’ancienne monarchie étai
ongtemps. L’humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra pas d’autre
histoire
. Là viendront les villageois Dire alors à quelque
historien et homme d’État ; il y mêla, a-on-dit, trop de poésie. Son
Histoire
des Girondins (1847), offre plutôt les émotions d
uréole jusque sur le front de Robespierre. Mais dans les parties où l’
histoire
se rapproche de la poésie, quand d’un trait il fa
s horizons, Lamartine retrouvera toute sa supériorité, « Ses livres d’
histoire
, a dit Sainte-Beuve, ne sont et ne seront jamais
trois agonies, celles de Gilbert, de Chatterton et d’André Chénier, l’
histoire
n’aurait aucune peine à distinguer les vraies cau
inet : tous les temps, tous les aspects du monde physique et moral, l’
histoire
et la spéculation, la méditation intime et le fra
ifforme se donnent rendez-vous dans ses vers. La vie, toute la vie, l’
histoire
, toute l’histoire, l’homme, tout l’homme, voilà s
rendez-vous dans ses vers. La vie, toute la vie, l’histoire, toute l’
histoire
, l’homme, tout l’homme, voilà son objet. Ouvrez à
s fait des sensations, cet ensemble restera un monument unique dans l’
histoire
littéraire de notre siècle. Et ce n’est là encore
t dans le même personnage de l’extrême bien et de l’extrême mal. Ni l’
histoire
, ni l’observation de la vie, ne donnent sur ce po
sombrés dans les nuits noires ? O flots ! que vous savez de lugubres
histoires
! Flots profonds, redoutés des mères à genoux ! V
dinaire, une crise de fièvre poétique, qui est restée une date dans l’
histoire
littéraire de notre siècle, tout ce feu s’est éte
ecueils de Brizeux : Primel et Nola, une idylle sœur de Marie, et les
Histoires
poétiques. Ce dernier ouvrage fut couronné par l’
tes destinées !) Grégor fleurit toujours dans ses jeunes années822…
Histoires
poétiques. Alfred de Musset.(1810-1857).
a dit le besoin de croire, d’aimer et de prier ! Et n’était-ce pas l’
histoire
de sa vie entière qui lui échappait dans cette de
ions. Le symbolisme hardi du poète découvrait dans la fable grecque l’
histoire
même de l’humanité, de sa chute, de ses épreuves
rmann et Dorothée de Gœthe, le poème de Pernette, dans le cadre d’une
histoire
touchante et dramatique, groupe avec art l’image
é toujours au premier rang. Vous savez si je mens, ô vous tous dont l’
histoire
Rattachera les noms à ces jours de victoire ; Vou
qui lui permet de modifier dans une certaine mesure les données de l’
histoire
, selon les convenances de son sujet. Ici, il fall
personnages : il fallait concilier la vérité du drame avec celle de l’
histoire
. Il est juste de reconnaître que nulle époque peu
— je ne peux pas y croire, — Que cette vieille fille et cette sotte
histoire
? GEORGE. Depuis quand ce metier d’écouteur assid
sants, les suivait pas à pas, Et disait, sans changer un mot, la même
histoire
, De celles qu’on écoute et que l’on ne croit pas
ature française au dix-huitième siècle, leçon 36e. 5. Voir Heinrich,
Histoire
de la Littérature allemande, t. I, liv. iv, ch. 3
èmes de Morale sociale, Préface, p. 4. 38. J. J. Weiss, Essais sur L’
Histoire
de.la Littérature française : de l’époque actuell
e, et François de Vendôme, duc de Beaufort (161-1669), célèbre dans l’
histoire
de la Fronde sous le nom de Roi des halles. 107.
à Rotterdam, en 1713. Il publia des Lettres de controverses contre l’
Histoire
des Variations, de Bossuet. Celui-ci y répondit p
itième siècle, de Villemain ; les chap. iii et viii du IVe livre de l’
Histoire
de la Littérature française, de M. Nisard ; le ch
térature française, de M. Nisard ; le chapitre sur Montesquieu dans Y
Histoire
de la Philosophie morale et politique dans l’anti
Conversation, et Montaigne, Essais, III, 3. M. Deschanel a écrit une
Histoire
de la Conversation (1858). 134. Pour cela, comm
La Bruyère écrit plus en peintre, Montesquieu plus en penseur. » Voir
Histoire
de la Littérature française, tome IV, page 71 et
rs la fin du quatrième siècle. La date de sa mort est incertaine. Son
Histoire
est ainsi désignée dans les anciens manuscrits :
ieu fait allusion à son livre intitulé : De Gubernatione Dei. 153.
Histoire
gothique et Relation de l’Ambassade écrite par Pr
on de l’Ambassade écrite par Priseus. C’était Théodose le Jeune. Voir
Histoire
d’Attila et de ses successeurs, par Amédée Thierr
itulé : Théorie du Luxe, dans le savant ouvrage de M.H. Baudrillart :
Histoire
du Luxe privé et public depuis l’antiquité jusqu’
ent destiné pour les théâtres. » (Montesquieu.) 164. Voir Tite-Live,
Histoires
, livre XXXIII, chap. xlvi et suivants. C’est Tite
tère. » 167. Sur Voltaire historien, lire la dix-septième leçon de l’
Histoire
de la Littérature française au dix-huitième siècl
iècle, de Villemain, le chapitre m, § 2 et le chapitre ix, § 1 » de l’
Histoire
de la Littérature française de M. Nisard (tome IV
uste II à Charles XII, et que celui-ci fit rouer et écarteler. Voir l’
Histoire
de Charles XII, livre III. 170. Né en 1674 d’un
té la critique ancienne. M. Nisard, citant la définitiond e Voltaire (
Histoire
de la Littérature française, tome IV, III), ajout
Alexandre et la grande galerie du palais de Versailles représentant l’
Histoire
de Louis XIV jusqu’à la paix de Nimègue. — Poussi
taire. Voir, au tome XIV des Causeries du Lundi, l’article intitulé :
Histoire
de l’Académie française, à propos d’une réédition
ulé : Histoire de l’Académie française, à propos d’une réédition de l’
Histoire
de l’Académie française par Pellisson et d’Olivet
u dix-huitième siècle, de Villemain ; le chapitre x du IVe livre de l’
Histoire
de la Littérature française, de M. Nisard ; Histo
u IVe livre de l’Histoire de la Littérature française, de M. Nisard ;
Histoire
des Travaux et des Idées de Buffon, par Flourens
ques ou changements de la surface de la terre. La dernière contient l’
histoire
conjecturale du premier âge de l’humanité. 210.
nnent ensuite les arguments directs, tirés des faits eux-mêmes : 1° l’
histoire
ne montre nulle part l’homme dans ce prétendu éta
e ne montre nulle part l’homme dans ce prétendu état de nature ; 2° l’
histoire
montre partout les hommes ou demeurant dans l’éta
française au dix-huitième siècle ; le chap. XI de la IVe partie de l’
Histoire
de la Littérature française de M. Nisard ; Causer
érature française au dix-huitième siècle, de Villemain, leçon 20e ; —
Histoire
de la Littérature française, de D. Nisard, tome I
Tableau de la Littérature française au dix-huitième siècle ; Nisard,
Histoire
de la Littérature française, tome IV, chap. vil,
e Loménie, dans le livre cité plus haut, en a beaucoup parlé. 272. L’
histoire
de France, telle qu’elle est écrite de nos jours,
érature française au dix-huitième siècle, de Villemain, 47e leçon ; —
Histoire
de la Littérature française, de M. D. Nisard, tom
au dix-huitième siècle ; — Nisard, chap. XII, § IV du IVe volume de L’
Histoire
de la Littérature française ; — Sainte-Beuve, Cau
Martin. 292. François Bacon (1560-1626) traita particulièrement de l’
histoire
naturelle dans un ouvrage traduit en latin par J.
ardin de Saint-Pierre intendant du Jardin des Plantes et du Cabinet d’
histoire
naturelle. Il lui dit : « J’ai lu vos ouvrages ;
conclut au nom du catholicisme. 327. Cf. ce que dit Voltaire dans l’
Histoire
de Pierre le Grand : « Il a forcé la nature en to
ions très justes de Mme de Staël. 369. Il serait curieux d’étudier l’
histoire
des rapports de Mme de Staël avec Gœthe ; elle es
au dix-neuvième siècle, par M. Caro, intitulé : Le Pessimisme dans l’
histoire
. On y trouvera de très fines remarques sur la dif
» L’enfant avait senti combien, sous le pinceau d’un grand peintre, l’
histoire
peut reprendre de la vie et de la couleur. 376.
et a tracé le parallèle de Sparte et d’Athènes dans le Discours sur l’
Histoire
universelle, IIIe partie, chap. V. 388. Lord Byr
Salamine. Lève-toi, et redeviens maître de ces lieux illustrés par l’
histoire
. » 389. Parmi les morceaux remarquables de l’Iti
ments que Bossuet a donnés à cette même pensée dans le Discours sur l’
Histoire
universelle. 402. Les œuvres complètes de P. L.
ourg), mort en 1768, dont l’influence s’est surtout fait sentir par l’
Histoire
de l’Art. ce Winckelmann n’était pas un philosoph
s et les œuvres philosophiques ont paru à la librairie Michel Lévy. L’
Histoire
de France racontée à mes petits-enfants a été édi
ense. 429. On trouvera les détails de cette affaire au livre II de l’
Histoire
de la Révolution d’Angleterre. 430. On appelle
littéraires indiqués ici par Villemain, on pourrait la trouver dans l’
Histoire
des Littératures étrangères, de M. Alfred Bougaud
r Eutrope. 442. L’oraison funèbre que Thucydide, au livre II de son
Histoire
, met dans la bouche de Périclès, célébrant les pr
447. Né à Agen en 1756, mort en 1825. Son principal ouvrage est une
Histoire
Naturelle des Poissons. 448. « La qualité de ce
es Temps mérovingiens, Préface. 469. Expression de Villemain. 470.
Histoire
de mes Idées et de mes Travaux historiques, Préfa
ont été publiés chez Furne et chez Garnier. 471. Grégoire de Tours,
Histoire
, livre V. 472. Job, cb. i, 21. 473. Pour châtie
nu à soi, considère ce qu’il est au prix. » 486. La Philosophie de l’
Histoire
a pour objet de rechercher les causes et la loi d
idot, 1849). Schiller, au 5e acte de Marie Stuart, s’est inspiré de l’
histoire
en retraçant la belle scène des adieux de la rein
e étant, en effet, la propre sœur de la grand’mère de Thiers. 500. L’
Histoire
de la Révolution française a été publiée par la l
a été publiée par la librairie Furne et Jouvet, en 8 vol. in-8°, et l’
Histoire
du Consulat et de l’Empire, par la librairie L’he
à connaître : « C’est cette qualité, appliquée aux grands objets de l’
histoire
, qui, à mon avis, convient essentiellement au nar
laisse pas tromper par les vaines traditions ou les faux bruits de l’
histoire
; on a de la critique, on saisit bien le caractèr
tables ; on écarte le fard, de tous les ornements le plus malséant en
histoire
; on peint juste ; on entre dans les secrets ress
e sainte Thérèse et de saint Ignace de Loyola. C’est cependant pour l’
histoire
une condition indispensable que d’entrer dans tou
Ainsi est-elle toujours bonne, toujours utile, toujours nécessaire. L’
histoire
déroule une vaste psychologie, qui embrasse dans
vers les événements sa fortune dans le monde. Comment s’étonner que L’
histoire
trouve des sympathies pour l’homme tout entier, p
chelet, c’est que le roi craignait que les moines n’eussent fait de l’
histoire
une satire. Louis XI cependant se montra curieux
t de l’histoire une satire. Louis XI cependant se montra curieux de l’
histoire
pour elle-même. 522. C’est la conclusion de Comi
ex professo, ils devaient la mêler à leurs leçons de littérature ou d’
histoire
. C’est ce que j’ai fait, et je n’ai pas à m’en re
erre punique dure dix-huit années, de 219 à 201 av. J. C. Voir dans l’
Histoire
de la Littérature romaine par A. Pierron la concl
ouen en 1711, morte en 1780. Elle n’a pas écrit moins de 70 volumes d’
histoires
et de contes, d’une morale pure et d’un style fac
malheurs de son pays. 546. M. Nisard, en effet, dans la Préface de l’
Histoire
de la Littérature française, a écrit : « C’est da
peut croire, en effet, qu’il y a quelque rigueur] à enfermer ainsi l’
histoire
de la littérature d’un siècle dans le cadre même
insi l’histoire de la littérature d’un siècle dans le cadre même de l’
histoire
littéraire d’un autre siècle. Voir la discussion
un autre siècle. Voir la discussion de ce point dans les Essais sur l’
Histoire
de la Littérature française, par J. J. Weiss : 2e
z Michel Lévy ; les Études sur les Poètes latins, chez Hachette, et l’
Histoire
de la Littérature française, chez Firmin Didot.
, Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle, 2e leçon; Nisard,
Histoire
de la Littérature française, tome IV, chap. v; Ma
aise au dix-huitième siècle, leçons 4e, 8e, 9e, 12e, 21e ; D. Nisard,
Histoire
de la Littérature française, tome IV, chap. iv, v
donné pour cadre à une action toute fictive une époque fameuse dans l’
histoire
, celle de la conquête du Pérou par les Espagnols,
grave et très bonne leçon. On retrouve d’ailleurs quelque chose de l’
histoire
de Ver-Vert dans ce que Buffon raconte d’un perro
cité, mêlé dans toutes les querelles, Les plaintes, les rapports, les
histoires
nouvelles, Etre craint à la fois et désiré partou
e leçon du Tableau de la Littérature au dix-huitième siècle ; Nisard,
Histoire
de la Littérature française, tome IV, chap. iv ;
assurer la faveur de Tibère. Chénier n’a pas suivi cette donnée de l’
histoire
. Il suppose que Pison, arrivé dans le palais de l
le fond est véritable, avait été raconté par M. Pouqueville dans son
Histoire
de la Régénération de la Grèce. L’insurrection de
s prononcée par le Parlement, le duc fut décapité aux Halles ; mais l’
histoire
de ses enfants placés sous l’échafaud n’est qu’un
en tête de son Louis XI, et qui forme la préface de cette tragédie. L’
histoire
n’a fait que ratifier le jugement de notre vieil
e Roland, lire un intéressant chapitre de M. Charles Aubertin, dans l’
Histoire
de la Langue et de la Littérature françaises au m
ption des navires de Villeneuve, était anéantie (1er août). » (Duruy,
Histoire
de France, tome II, chapitre lxii.) 796. Dans le
a, Garnier et Calmann-Lévy. 815. On pourra lire, au tome second de l’
Histoire
de la Réunion de la Bretagne à la France, par M.
détruites par la colère de Dieu. » (Chateaubriand.) 854. Mélanges d’
Histoire
et de Littérature (première série), p. 353. 855.
i des indulgents, on consultera avec intérêt l’ouvrage de M. Wallon :
Histoire
du Tribunal révolutionnaire de Paris, t. III, p.
trois, il est des degrés, que vous avez marqués avec la fidélité de l’
histoire
. Marat cause presque plus de stupeur que d’aversi
t, plus d’une fois, envier les morts par les survivants. » Mélanges d’
Histoire
et de Littérature, 2e série, p. 351. 861. Sainte
e qui reviennent le plus souvent. Le discours repose avant tout sur l’
histoire
. Chaque personnage doit parler selon son caractèr
on devra expliquer aux épreuves orales. On consultera, avec profit, l’
Histoire
de la Littérature Française de M. Nisard, celle d
érature de M. A. Henry, et il sera utile de bien posséder un Précis d’
histoire
de la littérature. Les candidats pourront à leur
éat de l’enseignement secondaire spécial Sujets littéraires
Histoire
littéraire. – Critique générale. Usage de la l
es. (Dijon, avril 1891.) Pour désigner une certaine période de notre
histoire
littéraire, on s’est souvent servi de cette expre
ns. » Un autre Italien, Martino da Canale, dit à son tour avoir mis l’
histoire
de Venise en français « porce que lengue frencese
nctifs de la langue française. Prenez, aux diverses périodes de notre
histoire
littéraire, parmi les grands écrivains français,
ands écrivains français, quelques exemples. (Bordeaux, avril 1891.) L’
histoire
est aujourd’hui considérée comme étant à la fois
e dans le genre historique. (Lyon, avril 1891.) Exposer ce qu’a été l’
histoire
en France jusqu’au xix e siècle. Pour quelles cau
s lettres ont brillé d’un si vif éclat, est-il resté inférieur dans l’
histoire
? (Dijon, avril 1889.) Après avoir rappelé briève
uels en sont le plan et l’esprit général, s’arrêter au chapitre sur l’
Histoire
, indiquer les principales qualités que Fénelon ve
s préceptes. (Lyon, avril 1890.) En quoi l’épopée diffère-t-elle de l’
histoire
? L’histoire mise en vers serait-elle un poème ép
(Lyon, avril 1890.) En quoi l’épopée diffère-t-elle de l’histoire ? L’
histoire
mise en vers serait-elle un poème épique ? (Paris
.) Exposer et apprécier les idées exprimées par Fénelon au sujet de l’
histoire
dans sa Lettre à l’Académie française. (Besançon,
istorien ? (Clermont, novembre 1886.) Les chroniques, les mémoires, l’
histoire
, la philosophie de l’histoire. – Caractériser ces
1886.) Les chroniques, les mémoires, l’histoire, la philosophie de l’
histoire
. – Caractériser ces différentes espèces d’écrits
e fait un gros livre. » (Toulouse, octobre 1890.) Faire brièvement l’
histoire
de notre théâtre au moyen âge. (Clermont, novembr
e Cid et dans Horace ? (Paris, août 1887.) Qu’appelle-t-on dans notre
histoire
littéraire la querelle du Cid ? En exposer les ca
el qu’on l’entendait au xvii e siècle, et prendre des exemples dans l’
histoire
et dans les comédies de Molière. (Grenoble, avril
eux, disloqués, inégaux, sans symétrie, me rebutaient. D’ailleurs ces
histoires
d’animaux qui parlent, qui se font des leçons, qu
éloquence, d’après la Lettre de l’Académie. (Poitiers, août 1891.)
Histoire
Alexandre expose aux membres de son conseil so
is XIV et Louis XV. (Clermont, août 1891.) Rôle de Frédéric II dans l’
histoire
de la monarchie prussienne. (Poitiers, août 1891.
oire et profit. (Besançon, juillet 1891.) Rôle du xix e siècle dans l’
histoire
générale de la civilisation. De quelle nature son
ions modernes ? Si vous en trouvez des formes différentes à travers l’
histoire
, analyser et déterminer ces formes d’après des ex
habitudes, les mêmes usages, les mêmes intérêts et qui ont eu la même
histoire
. (Clermont, avril 1890.) Un moraliste ancien a di
tique. – Est-ce une science et quelle est sa méthode ? – Raconter son
histoire
et exposer son but. (Alexandrie, juillet 1891.)
mporterez avec vous ? (Marseille, avril 1891.) Rechercher dans notre
histoire
politique et littéraire et dans les traits les pl
rés à cette époque ? (Paris, octobre 1874.) Discours de Bossuet sur l’
Histoire
universelle. (Clermont, octobre 1881.) Donnez une
(Paris, octobre 1882.) Qu’appelle-t-on les quatre grands siècles de l’
histoire
? Pourquoi les a-t-on distingués et qualifiés ain
uvre qui justifient le rang qu’on assigne à ces quatre siècles dans l’
histoire
de la civilisation. (Paris, août 1874.) Énumérer
ppement de l’éloquence politique ? Vous prendrez vos arguments dans l’
histoire
de France. (Paris, août 1881.) Qu’appelle-t-on él
nne monarchie ? Dans quelles circonstances ? A quelle époque de notre
histoire
nationale et dans quelles conditions l’éloquence
des exemples empruntés à nos meilleurs poètes. (Paris, août 1878).
Histoire
. – géographie Par quelles causes Montesquieu e
a patrie a produit de grand et de fécond aux différentes époques de l’
histoire
. (Paris, août 1872.) Du travail imposé à chaque h
ces deux peuples doivent-ils surtout la place qu’ils occupent dans l’
histoire
de la civilisation et des idées ? D’où vient l’ad
a-t-il lieu de s’exercer ? En donner quelques exemples empruntés à l’
histoire
de France. Dire pourquoi il est plus rare que le
lité des mémoires, et quel usage convient-il d’en faire pour écrire l’
histoire
? – Dans quels genres Montesquieu a-t-il excellé
le d’Auguste dans Cinna, et dire s’il est conforme au caractère que l’
histoire
prête à ce prince ? – Le songe de Pauline dans la
habitués de l’hôtel de Rambouillet n’aient pas compris Polyeucte ? L’
histoire
des querelles religieuses du temps n’explique-t-e
ui reproche-t-on ? – Comment Voltaire a-t-il compris l’art d’écrire l’
histoire
? – Est-il vrai que Voltaire ait exagéré la grand
tielles entre les prosateurs du xvii e et ceux du xviii e siècle ?
Histoire
– Donner une idée de l’œuvre de Richelieu. – Q
Louis XIV, ont diminué la puissance de la France. – Faites, d’après l’
histoire
et d’après Saint-Simon, un tableau de la cour de
re partie du xviii e siècle. – Expliquer le système de Law et faire l’
histoire
de cette tentative. – Les guerres de Louis XV ont
férences convient-il de faire entre les chroniques, les mémoires et l’
histoire
. Joinville a fait des mémoires et Froissart des c
st-il élevé d’abord à la même hauteur que la poésie lyrique ? Faire l’
histoire
de la tragédie de Jodelle à Corneille. – Quels so
e du prince de Condé par Bossuet. – Charles Ier et Cromwell d’après l’
histoire
et d’après Bossuet. – Lettre de Boileau à La Bruy
nd-on par là ? Citez des exemples. – Est-il vrai que Bossuet dans son
Histoire
universelle soit orateur autant qu’historien ? A
passer de faire suivre d’une moralité la plupart de ses fables ? – L’
Histoire
de Charles XII est-elle, comme on le prétend, un
ement. Les caractères. – Celui d’Auguste. Est-il ou non conforme à l’
histoire
? Est-il naturel et soutenu ? Parler également de
Le Cid n’est pas seulement une belle tragédie, c’est une date dans l’
histoire
littéraire de notre patrie et de la langue frança
lus vraiment poétique. Racine fut ce poète. C’est à la légende et à l’
histoire
que Racine emprunte le sujet de ses pièces, comme
unes d’un langage magnifique, n’ont eu qu’un succès passager. Toute l’
histoire
littéraire démontre, par d’éclatants exemples, la
t que la matière même a, pour eux, quelque chose de plus éclatant : l’
histoire
s’y mêle à l’enseignement religieux ; le tableau
e tels qu’ils ont été. Avant la publication des Mémoires on avait des
histoires
du règne de Louis XIV ; on en savait les splendeu
, malgré tous ses travers, il mérite l’estime. De quels progrès l’
Histoire
est-elle redevable à Voltaire ? L’Histoire, te
De quels progrès l’Histoire est-elle redevable à Voltaire ? L’
Histoire
, telle que l’antiquité l’avait comprise, était su
la civilisation nous sont à peu près inconnus. Voltaire trouva que l’
histoire
ainsi comprise ne suffisait point à satisfaire no
thème, de se montrer écrivain et orateur, il faut chercher le vrai. L’
histoire
qui était surtout un art devient une science. Si
ublie trop souvent les règles qu’il a tracées, il s’y soumet dans son
histoire
du siècle de Louis XIV. Il interroge les témoins,
exact. Voilà pour la vérité. Il agrandit en même temps le champ de l’
histoire
. Il veut qu’elle apporte plus d’attention aux usa
s tout concourt pourtant à un ensemble. Voltaire demande encore que l’
histoire
d’un pays étranger ne soit point jetée dans le mê
rle, et des détails sur la vie de chaque peuple. C’était déjà créer l’
histoire
pittoresque. Il en a donné surtout d’illustres mo
toire pittoresque. Il en a donné surtout d’illustres modèles dans son
Histoire
de Charles XII. Le tableau de l’état de la Suède
lui permet de tout saisir et de tout montrer. Voltaire donne donc à l’
histoire
plus de vérité ; il en recule les limites et il l
plir, mais l’essentiel était fait. Voltaire est bien le créateur de l’
histoire
telle qu’on l’entend aujourd’hui. On a été plus l
. Il a cultivé presque tous les genres et partout il est un maître. L’
histoire
, telle qu’on l’avait toujours comprise avant lui,
se avant lui, était trop incomplète. « On n’a fait, disait-il, que l’
histoire
des rois, mais on n’a point fait celle de la nati
sont-ils donc rien ? » Il s’appliqua, en effet, à faire entrer dans l’
histoire
tout ce qui lui manquait, et il a été vraiment le
roît. Nous n’avons point de narration plus aisée et plus rapide que l’
Histoire
de Charles XII ; et l’on pourrait citer tels chap
re soit au premier rang, parmi ses œuvres. Clarté et concision dans l’
histoire
, élégance et netteté dans la critique, agrément e
jeunes gens. Montesquieu. – Les livres peuvent être utiles à tous. L’
histoire
a des enseignements dont l’homme d’État fait son
e petite fable, La Mort et le Bûcheron, s’il a placé dans son œuvre l’
histoire
de l’hultre et des plaideurs, c’est à titre d’orn
des ouvrages plus courts, de simples précis, tels que les Éléments d’
histoire
littéraire (Littérature française), de René Doumi
d (Masson), les Leçons de M. Petit de Julleville (Masson), la Petite]
Histoire
de la Littérature française de Gazier (Armand Col
e vous êtes-vous faite, en lisant les lettres de Mme de Sévigné, de l’
histoire
et des mœurs de son temps ? – Rappeler à propos d
leur sont faites. Trop souvent aussi les faits les plus simples de l’
histoire
de la langue leur échappent. Elles n’ont pas fait
antes ont la mémoire assez bien fournie de détails de biographie et d’
histoire
littéraire, mais elles n’ont lu que des fragments
us délicats du style, on n’a guère vu qu’un problème grammatical… »
Histoire
. Nous donnons pour 1883 le sujet d’histoire et un
problème grammatical… » Histoire. Nous donnons pour 1883 le sujet d’
histoire
et un extrait de l’appréciation émise par M. Eugè
mot pour mot les paroles du rapporteur. Le sujet de la composition d’
histoire
était : Les Reines de France au XVIIe siècle : l
l profit peut-on tirer de la correspondance de Mme de Sévigné, pour l’
histoire
de son temps ? Extrait du rapport de M. Eugène Ma
ement mis en œuvre celles de ces lettres qui nous introduisent dans l’
histoire
du temps, avec le procès de Fouquet, avec la Bret
s deux aspects, au point de vue des principes et au point de vue de l’
histoire
. Ce qui tout d’abord rend inadmissible la réforme
de doctrines, ont prouvé qu’elles n’étaient nullement étrangères à l’
histoire
de la philosophie, du moins quant à la morale, et
langues et des littératures ? – Un tel dictionnaire, excellent pour l’
histoire
de la langue, offrirait pour le goût, dans la ric
e, parfois même assez fine, exposées amplement et non sans intérêt. L’
histoire
est venue, dans une assez large proportion, au se
e 1888. Ordre des lettres Langue française. Qu’entend-on par
histoire
des mots au point de vue du sens ? Choisir trois
ans les arts, dans les sciences, dans la nature, et j’ose dire dans l’
histoire
! Quelles découvertes ne fera-t-on point !….. Que
marquants ; faire un choix.) L’état actuel de nos connaissances et l’
histoire
du temps présent ne permettraient-ils pas de la r
l trouve bonnes à leur usage, ce sont, « pour le plus », la poésie, l’
histoire
et la morale. (Essais, III, 3.) Expliquer les mot
s ont remarqué le titre de récentes publications : la Vie des mots, l’
Histoire
des mots, et celui d’une étude de Littré : Pathol
du Roi, devenu, depuis, le Jardin des Plantes de Paris et le Muséum d’
Histoire
naturelle. Vous supposerez la lettre par laquelle
ler toutes les créations de la nature et tâcher d’en écrire un jour l’
histoire
. – « Il fault pour juger bien à poinct d’un homme
ers. – La Patrie. – Ce qui la constitue. – A quelles époques de notre
histoire
le sentiment de la patrie s’est-il révélé et mani
’entrerez dans aucun détail technique. Ce sera comme un chapitre de l’
histoire
générale de cette période, sous une forme vive et
encyclopédie (2 vol.). (E. Belin.) Ammann Sujets et développements d’
Histoire
. (Nathan.) Sciences. Jules Gay Lectures scientif
stylo, sur la langue, c’est-à-dire l’esprit critique. Les épreuves d’
histoire
ont été généralement satisfaisantes. Les élues y
itives, déjà classiques. Tout en laissant de côté les curiosités de l’
histoire
de la langue, ils sont tenus aujourd’hui de conna
la démonstration de quelques vérités d’ensemble, propres à éclairer l’
histoire
si riche et si variée de notre littérature. Nous
apprentissage, de toucher d’une main un peu exercée à ces problèmes d’
histoire
littéraire si nouveaux pour les jeunes filles, et
nde sûreté de mémoire et une rare abondance de notions précises sur l’
histoire
de la langue. Peut-être l’énumération est-elle qu
tissement. La plupart des aspirantes, en quelque sorte étrangères à l’
histoire
même de la critique, et uniquement préoccupées de
ent des lettres. La critique littéraire a été confondue tantôt avec l’
histoire
littéraire proprement dite, tantôt avec la correc
s les diverses littératures, la place faite aux races, aux mœurs, à l’
histoire
générale, à la biographie, à l’influence des mili
à leur juste valeur et en tirer des conséquences propres à éclairer l’
histoire
de notre langue au xvi e et au xvii e siècle. La
t des autres devoirs il a trouvé une connaissance assez complète de l’
histoire
de notre langue au xvi e et au xvii e siècle, mai
testable. S’en tenir à l’Hôtel de Rambouillet et à Voiture, refaire l’
histoire
des Précieuses pour aboutir aux Femmes savantes,
étourner nos aspirantes de l’étude générale de la littérature et de l’
histoire
littéraire proprement dite. S’il est indispensabl
ais non d’ignorer, dans ce qu’elle a d’élémentaire et d’incontesté, l’
histoire
de notre langue même, avec les traits essentiels
ez, comme en une leçon de littérature française, cet épisode de notre
histoire
littéraire. Langue française. Qu’appelle-t-on la
térêt de curiosité, un simple chapitre, et des moins importants, de l’
histoire
littéraire du xvii e siècle, un motif ingénieux à
e ni conséquence. Ce n’était pas uniquement une question restreinte d’
histoire
littéraire et une lutte de préséance que nous pro
cience et de la critique contemporaines, en état d’écrire désormais l’
histoire
comparée des littératures. Sans espérer ni demand
sujet exigeât des études très précises, une solide connaissance de l’
histoire
de la langue française, même une certaine familia
ons professeurs de grammaire et de langue française. 3° Composition d’
histoire
. – Sujet : « Périclès et son siècle. » – Une préo
quité aurait indirectement sa place, nous a dicté le choix du sujet d’
histoire
. Relativement facile, ce sujet invitait les aspir
copies sont très dignes d’éloge, et dénotent une sérieuse étude de l’
histoire
grecque. Nous avons trouvé moins de précision dan
étrangère aux études de nos aspirantes ; quelques noms propres pour l’
histoire
et la philosophie, accompagnés de jugements très
iels, ne suffisaient pas. L’éloquence aussi était peu connue. Enfin l’
histoire
de l’art, au plus beau siècle de la Grèce, sans ê
la littérature, et vous puiserez vos arguments et vos exemples dans l’
histoire
des lettres françaises. Langue française. On a d
e parfois à côté de la question sans la voir. On n’avait ni à faire l’
histoire
de la grammaire, ni à s’occuper de la réforme de
pement de l’esprit, ni d’en affirmer la vertu propre. Composition d’
histoire
1. Sujet : Annibal. M. Eugène Manuel critique les
la froideur d’une rédaction que rien ne vient animer, et qui est à l’
histoire
ce qu’est la carte géographique par rapport à la
sources mêmes que le passé a son écho le plus sonore ; le drame de l’
histoire
ne revit bien que dans les textes. Il n’est pas p
on littéraire. Que pensez-vous du regret que Voltaire, en terminant l’
histoire
du siècle de Corneille, de Bossuet, de Racine, ex
oir beaucoup pour avoir celui-là. » – Caractériser l’importance de l’
histoire
littéraire. N’est-elle pas chez nous le reflet de
nce de l’histoire littéraire. N’est-elle pas chez nous le reflet de l’
histoire
générale ? Le prouver par des exemples pris dans
ateurs sacrés français : les caractériser. – Montrer que l’étude de l’
histoire
des littératures est le complément nécessaire de
s au xvii e siècle ; ou du moins, la galté de style du Discours sur l’
histoire
universelle, des Sermons de Bossuet, des Pensées,
ton. Il donne des modèles du style coupé dans ses Sermons et dans son
Histoire
des variations. Les grands écrivains comprennent
de connaissances précises. Elles devront posséder à fond leur cours d’
histoire
et se mettre à même de rédiger un devoir où elles
volume de M. A. Ammann qui a pour titre : Sujets et développements d’
histoire
. Elles y trouveront des conseils, des plans, des
ter, à diviser, à conclure. Elles se rendront compte que composer, en
histoire
comme en littérature, c’est ordonner, c’est combi
trices parce qu’ils ont été écrits pour l’enseignement. 1° Éléments d’
Histoire
littéraire, par M. René Doumie. (P. Delaplane.) –
aborder le Cours de littérature dramatique de Saint-Marc Girardin, l’
Histoire
de la littérature de Nisard, le XVIIIe siècle de
ion qu’en doit recevoir l’esprit de l’élève. – Prendre pour exemple l’
histoire
. Composition française. Les États-Généraux au xi
Littérature. Faire connaître le Cid. Importance de cette pièce dans l’
histoire
de la poésie française. Concours de 1882. S
quel profit en avez-vous tiré au point de vue de la connaissance de l’
histoire
, des mœurs et des écrivains de son temps ? Exempl
eille à ses élèves. – Si vous aviez à choisir parmi les héroïnes de l’
Histoire
de France, quelle est celle que vous préféreriez
s raisons. – Vous écrivez à une de vos amies que vous venez de lire l’
Histoire
de la Révolution française. La vie, et quelquefoi
e amie des impressions que vous avez éprouvées et vous lui racontez l’
histoire
de quelques-unes de ces femmes. – En 1760, Voltai
on peut faire, selon vous, des écrivains épistolaires pour étudier l’
histoire
d’une époque en prenant comme exemple la correspo
z-vous et avec quels tempéraments ? – Les chroniques, les mémoires, l’
histoire
, la philosophie de l’histoire. Caractériser ces d
nts ? – Les chroniques, les mémoires, l’histoire, la philosophie de l’
histoire
. Caractériser ces différentes espèces et citer, e
aucun pays. » Voltaire a écrit : « J’ose croire que ceux qui liront l’
histoire
de Louis XIV verront bien que je suis Français. »
siècle, placerez-vous dans cette bibliothèque ? (Littérature, morale,
histoire
.) Vous caractériserez brièvement les principaux o
antisme. Divisions. – Ses lettres, selon M. Nisard, résument toute l’
histoire
littéraire du xviii e siècle surtout ; on y peut
s relations, les lectures et les études du moment. 1er Paragraphe. –
Histoire
littéraire. – A supposer que tous les mémoires, t
us les mémoires, tous les traités spéciaux qui déroulent à nos yeux l’
histoire
littéraire du xviii e siècle aient disparu, les l
Paragraphe. – Poétique. – Si la correspondance de Voltaire embrasse l’
histoire
littéraire en général, elle ne néglige pas de pén
laint de la difficulté et de l’ennui qu’elle trouve dans l’étude de l’
histoire
. Vous lui dites pourquoi vous, au contraire, vous
Vous lui dites pourquoi vous, au contraire, vous vous intéressez à l’
histoire
de France et quelles sont les parties de l’histoi
us intéressez à l’histoire de France et quelles sont les parties de l’
histoire
auxquelles vous vous êtes le plus attachée. – Que
s en outre : De l’Education, par Ludovic Carrau (Picard et Kaan) ; L’
Histoire
de la Pédagogie, par Vincent (Delaplane) ; Les Le
Pédagogie. C’est préparer des citoyens, que d’apprendre aux enfants l’
histoire
et la géographie de leur pays et, par-dessus tout
Concours de 1890. Littérature. Expliquer cette définition de l’
histoire
: « L’histoire est la résurrection du passé devan
1890. Littérature. Expliquer cette définition de l’histoire : « L’
histoire
est la résurrection du passé devant un juge. »
graphe. – Il va de soi que le sentiment s’allie à la littérature, à l’
histoire
, à la morale (le montrer). 2e Paragraphe. – S’agi
athématiques, de physique, de géographie ? Ne peut-on faire appel à l’
histoire
de ces sciences, montrer quels efforts a coûtés l
t presque tous historiques, et surtout presque toujours empruntés à l’
histoire
de l’art, à un état tout particulier de la civili
e tout à fait particulier que les candidats envisageront l’étude de l’
histoire
. Ils ne devront pas se contenter de puiser leurs
homme bien élevé est tenu de pouvoir parler. Nous recommandons pour l’
Histoire
ancienne : le Précis, de M. Raoul Suérus (P. Dupo
ancienne : le Précis, de M. Raoul Suérus (P. Dupont, éd.) ; – pour l’
Histoire
grecque, la Petite Histoire grecque, de M. Victor
Raoul Suérus (P. Dupont, éd.) ; – pour l’Histoire grecque, la Petite
Histoire
grecque, de M. Victor Duruy (Hachette) ; – pour l
la Petite Histoire grecque, de M. Victor Duruy (Hachette) ; – pour l’
Histoire
romaine, le Précis, de M. A. Guiraud et Lacour-Ga
t Lacour-Gayet (Alcan) ; – pour le Moyen âge et les Temps modernes, l’
Histoire
, de M. Duruy, revue par M. E. Lavisse (Hachette).
ns une étude particulière de l’esthétique, on devra connaître, pour l’
histoire
artistique : le Précis de l’histoire de l’Art, pa
ique, on devra connaître, pour l’histoire artistique : le Précis de l’
histoire
de l’Art, par Bayet ; – l’Histoire de l’Art, de L
stoire artistique : le Précis de l’histoire de l’Art, par Bayet ; – l’
Histoire
de l’Art, de Lübke, traduite par Koëlla (Allison,
mandées. Ceux qui résident à Paris auront intérêt à suivre le Cours d’
histoire
générale, institué dans l’École même et où, avec
te de la recommandation qui leur est faite. Sujets de concours
Histoire
ancienne. I. – Parler de Périclès, et dire quels
, en insistant sur la topographie et les monuments de Rome ancienne.
Histoire
moderne. I. – Parler de Louis XIII et de Richelie
s œuvres les plus célèbres. Il faut traiter une des deux questions d’
histoire
ancienne, une des deux questions d’histoire moder
une des deux questions d’histoire ancienne, une des deux questions d’
histoire
moderne. Mettre au moins la date du siècle. (Sect
rne. Mettre au moins la date du siècle. (Section de peinture, 1877)
Histoire
ancienne. I. – Indiquer et décrire en quelques mo
éron, Jules César, Pompée, Marius, les Gracques, Scipion l’Africain.
Histoire
moderne. I. – Charlemagne. II. – Qu’est-ce que l’
ons que pour 1877). (Section de peinture, 1re série, juillet 1879.)
Histoire
ancienne. I. – Géographie sommaire de l’Egypte av
l’état de la Gaule ancienne et la conquête du pays par les Romains.
Histoire
moderne. I. – Quelles sont les dynasties qui se s
ions que pour 1877). (Section de peinture, 2e série, juillet 1879.)
Histoire
ancienne. I. – Énumérer les écrivains les plus cé
ndiquer leurs œuvres principales. II. – Parler d’Alexandre le Grand.
Histoire
moderne. I. – Donner quelques renseignements somm
me, Florence, Venise au temps de la Renaissance (par exemple sur leur
histoire
, sur leurs grands hommes, sur les grandes œuvres
à cette époque). On indiquera le siècle ou les siècles où se place l’
histoire
de la Renaissance. (Section de peinture, juillet
ération de monuments et de noms propres. Ce n’est pas un sec devoir d’
histoire
, un exercice de mémoire que l’on demande, mais un
la pièce jouée, les assistants… (Section de sculpture, juillet 1889.)
Histoire
des préliminaires et des stipulations de la paix
ur les monuments de Rome ancienne ? – Utilité de la connaissance de l’
histoire
pour un peintre, – pour un sculpteur, – pour un a
’en rendra facilement compte, étant généralement empruntés au cours d’
histoire
inscrit au programme, ou bien aux annales de la F
t pas également de consulter le Précis de morale, de M. Paul Janet, l’
Histoire
de la Littérature, par M. R. Doumic. Concours d
lutarque. L’autre lit la Vie des Saints. Celui-ci est tout entier à l’
Histoire
des Voyages. Celui-là dévore avidement les Mervei
ire de connaître à fond, même en ses parties anecdotiques, le cours d’
histoire
inscrit au programme du concours. Faute d’avoir a
u fond ce que l’on veut savoir, c’est si les élèves ont une idée de l’
histoire
grecque, et ne confondent pas entre elles les gue
avec Philippe-Auguste. CONSEILS ET DÉVELOPPEMENT CONSEILS Ce n’est l’
histoire
ni de l’un ni de l’autre prince qui est demandée.
ur opérer avec lui sa jonction. CONSEILS ET PLAN La connaissance de l’
histoire
est indispensable. Il faut tirer trois ou quatre
CONSEILS Le danger qu’il fallait éviter, c’était de faire un devoir d’
histoire
, au lieu de rédiger une composition, une narratio
s. Ils furent épargnés en 1793 : on les transporta d’abord au musée d’
histoire
naturelle, puis au musée des monuments. C’est de
misère ; il demande qu’on lui fasse justice. – Rechercher dans notre
histoire
politique et littéraire et dans les traits les pl
est ainsi que fut fondée Marseille (600 ans av. J.-C.). Henri Martin,
Histoire
de France populaire. – La peste de Barcelone. – D
vine que d’attribuer de la puissance au hasard. (Rennes.) éloge de l’
histoire
. L’histoire est pour le genre humain ce que la mé
ttribuer de la puissance au hasard. (Rennes.) éloge de l’histoire. L’
histoire
est pour le genre humain ce que la mémoire est po
par là lui révèle aussi son avenir. Chez tous les peuples éclairés, l’
histoire
a occupé les plus grands esprits. Hérodote, Thucy
lustres et les plus utiles de l’antiquité littéraire. De nos jours, l’
histoire
a pris plus d’importance qu’elle n’en avait jamai
us d’importance qu’elle n’en avait jamais eu. Influence morale que l’
histoire
peut exercer : peinture du grand historien. (Comp
d’échapper ; les travaux et l’industrie du castor. Il raconte enfin l’
histoire
des deux rats qui ont trouvé un œuf, et qui, aper
es, et l’autre le traine par la queue. Il est permis de douter de ces
histoires
et d’autres semblables que les partisans de l’âme
inson lui-même comme dans le roman. On ajoutera cette remarque, que l’
histoire
de Robinson étant comme un tableau où est représe
urd’hui ? (Rennes.) Concours de 1854. mort de paul l’ermite. L’
histoire
de Paul l’Ermite est une des plus poétiques légen
en ce moment… J’ai résolu de consacrer le reste de ma vie à écrire l’
histoire
de l’empire romain depuis la mort d’Auguste jusqu
l’Italien son soleil ; elle produit les plus beaux dévouements dont l’
histoire
ait consacré le souvenir, et elle entretient l’es
au concours de 1851 (Strasbourg). Concours de 1870. éloge de l’
histoire
. Même sujet qu’au concours de 1851 (Composition s
nouveau sous le soleil. » En littérature, en art, en philosophie, en
histoire
, il semble en effet que le temps se borne à renou
itions. Écoutant les inspirations de sa conscience et les leçons de l’
histoire
, il fera, selon la lettre des règlements, tout ce
oit-elle pas au contraire se fortifier de plus en plus ? La nature, l’
histoire
, les aspirations les plus nobles de l’être humain
t à fait techniques qui sont proposées. Elles sont empruntées non à l’
histoire
militaire ou politique, mais à l’histoire des sci
les sont empruntées non à l’histoire militaire ou politique, mais à l’
histoire
des sciences. Il est donc nécessaire que les cand
à exécution à la fin du siècle dernier, remonte bien haut dans notre
histoire
. Historique. – Les mesures dont Charlemagne avai
de la Fulda pour gagner Brême et la mer du Nord (1707). – Résumer l’
histoire
de la machine à vapeur de Denis Papin à nos jours
n (système Chappe) et un poteau de télégraphe électrique. – Résumer l’
histoire
des plus célèbres ascensions : les frères Montgol
ser ; étude des productions et observations utiles à la physique, à l’
histoire
naturelle, à l’astronomie ; ruines grandioses, pr
le, à l’astronomie ; ruines grandioses, précieuses à consulter pour l’
histoire
de l’art et de la civilisation ; langue morte des
historique de Regnault.) Démontrer quelle serait l’utilité d’une
histoire
scientifique. PLAN 1° Elle mettrait les savant
les inventions découlent de quelques principes généraux. CORRIGÉ 1° L’
histoire
scientifique contribuerait puissamment à éclairer
2° Outre l’intérêt pour ainsi dire spécial qui s’attache aux études d’
histoire
scientifique, il en est encore un autre qui tient
ne l’ont pas complètement omise. On ne connaît cependant qu’à demi l’
histoire
des sciences, quand on ignore dans quelles circon
transformations doit nécessairement tenir une place importante dans l’
histoire
des sciences. En s’ajoutant aux études de critiqu
ssit à produire un ouvrage achevé, qui mérite de prendre place dans l’
histoire
. Auguste Laugel. (Extrait de la Revue des Deux M
en-être. L’exemple de toutes les nations comme les enseignements de l’
histoire
, nous prouvent l’importance des progrès de l’agri
rquoi ? – Éloge du paysan français. – Ses qualités, – son rôle dans l’
histoire
, – sa place dans la société. – Comparer l’existen
ez sur la commune, le conseil municipal, le maire et les électeurs. –
Histoire
d’un petit sou. Sa naissance, son aspect, ses voy
nseignements (Belin, éd.) ; – les Lectures tirées d’auteurs modernes (
Histoire
, géographie, voyages, sciences, par Édouard Petit
) ; – les Extraits des Economistes, par Félix Frank (Delagrave) ; – l’
Histoire
du commerce français, par Ch. Périgot (Maurice, é
ues, plus faciles à déduire. On les trouve énumérées dans les cours d’
histoire
. La mémoire pourra fournir la réponse que seule l
n de sciences, de combien de professions. 1rePartie. – Elle aide à l’
histoire
, à la géologie, à l’histoire naturelle, à la stra
professions. 1rePartie. – Elle aide à l’histoire, à la géologie, à l’
histoire
naturelle, à la stratégie, etc. 2° Partie. – 1 e
ant ces quatre années, les candidats ont eu à faire une composition d’
histoire
. Concours de 1890 École supérieure de co
de voyager ? – La politique coloniale de la France au xixe siècle. –
Histoire
coloniale de la France sous Louis XV – La frontiè
u Nil. Ces deux races, les plus vieilles le l’Europe par leur antique
histoire
, les plus jeunes par la montée de sève qui les a
dans le monde une place proportionnelle à celle qu’elle occupe dans l’
histoire
. C’est tout au plus si dans le monde entier, Amér
rance n’a pas le génie colonisateur ? Mais alors il faut rayer de son
histoire
deux siècles d’héroïques efforts et de triomphes
nscience de son rôle et de sa grandeur dans le monde. Ce sera, dans l’
histoire
, l’éternel honneur de la troisième république que
ccalauréat de l’enseignement secondaire spécial. Sujet littéraires 1
Histoire
littéraire. – Critique générale 1 Le théâtre (Su
ille – Racine – Molière) 6 La Fontaine 14 Bolteau 17 Éloquence 18
Histoire
19 Géographie. – Voyages 28 Morale. – Économie
d’études de l’enseignement secondaire spécial Sujets littéraires 44
Histoire
. – Géographie 48 Morale 51 Sujets divers 53 S
nt secondaire moderne). Programme de la classe de Seconde moderne 59
Histoire
63 Programme de la classe de Troisième moderne 6
ettres et à la section des sciences. 1. Voir : Maspéro. – Lectures d’
histoire
ancienne (Hachette). 1. Le même sujet a été donn
itoyen. Il a l’éloquence du patriotisme. Si l’on a pu reprocher à son
Histoire
de la Révolution (1823-1827) trop d’indulgence po
la force, les intérêts et le caractère des peuples, qu’il sache leur
histoire
politique, et particulièrement leur histoire mili
euples, qu’il sache leur histoire politique, et particulièrement leur
histoire
militaire ; il faut surtout qu’il connaisse les h
! (Discours de réception à l’Académie française.) La poésie de l’
histoire
J’ai toujours considéré l’histoire comme l’oc
française.) La poésie de l’histoire J’ai toujours considéré l’
histoire
comme l’occupation qui convenait le mieux à nos c
iècle était particulièrement propre à faire. J’ai consacré à écrire l’
histoire
trente années de ma vie, et je dirai que, même au
st, je le crois, la vraie préparation de l’esprit à cette épopée de l’
histoire
, qui n’est pas condamnée à être décolorée, parce
ς τι φθεγξαµένων πρώτην τινὰ λέγουσι φιλοσοφίαν τὴν ποιητιϰήν Polybe (
Histoire
, II, 56) compare, d’une façon peu instructive d’a
(Histoire, II, 56) compare, d’une façon peu instructive d’ailleurs, l’
histoire
à la tragédie, pour en marquer les différences.
d’Aristote que la poésie d’Homère est plus grave et plus morale que l’
histoire
. » La poésie met ensuite des noms propres.] Cf.
f. plus bas le chap. xvii, et le fragment d’Antiphane, traduit dans l’
Histoire
de la Critique, p. 43. On trouve aussi quelques i
die a le même droit que la comédie sur les sujets d’invention mais l’
histoire
du théâtre moderne, ainsi que celle du théâtre gr
. Le Venceslas de Rotrou est entièrement dans ce goût, et toute cette
histoire
est fabuleuse… Un sujet de pure invention, et un
l’inspiration de Walter Scott. La fiction y est intéressante comme l’
histoire
. Nul narrateur ne sait plus adroitement conduire
ion. (Chronique de Charles IX. Édition Charpentier.) Intérêt de l’
histoire
grecque L’histoire moderne est décidément seu
les IX. Édition Charpentier.) Intérêt de l’histoire grecque L’
histoire
moderne est décidément seule en vogue parmi nous
eux qui trouvent ce préjugé fort injuste. À mon avis, le malheur de l’
histoire
ancienne, c’est d’être enseignée par contrainte e
ortune nous avons retenu quelque chose de ce qu’on nous y a montré, l’
histoire
ancienne pourra devenir pour nous la plus attacha
de n’est pas roi ou ministre pour avoir besoin des enseignements de l’
histoire
; mais il n’est personne qui ne prenne intérêt au
Ces livres suffiraient pour apprendre au magistrat qui connaîtrait l’
histoire
et la position de son pays quels sont ses devoirs
ui. » 1. M. Mérimée ajoutait : « Le temps a cruellement mutilé l’
histoire
de la Grèce comme toutes les autres parties de sa
ublime et le plus difficile de tous les poèmes. En effet, trouver une
histoire
qui puisse plaire à tous les lecteurs et les inté
ont en très petit nombre, et qu’il serait difficile de trouver dans l’
histoire
littéraire plus de huit ou dix poèmes qui mériten
tion, en un mot, le beau idéal ; car la ligne du réel, c’est-à-dire l’
histoire
, serait impuissante à fournir des modèles assez p
ique. Le poète n’est donc pas obligé de se conformer à la vérité de l’
histoire
; mais aussi il ne doit pas blesser la vraisembla
inventions s’accordent entre elles et avec les données fournies par l’
histoire
. 341. En quoi consiste l’unité épique ? L’unité
exciter le même intérêt, ni soutenir l’attention au même point qu’une
histoire
unique et bien liée, où les divers incidents nais
ans l’Iliade, l’entretien d’Hector et d’Andromaque ; dans l’Énéide, l’
histoire
de Cacus et celle de Nisus et d’Euryale ; dans la
uelques fictions. Au contraire, dès qu’il rentre dans le domaine de l’
histoire
réelle et bien constatée, cette liberté est fort
tiques ? Elle consiste dans la conformité aux données fournies par l’
histoire
, la fable ou la tradition, relativement au caract
n, ce qui caractérise l’essence de ce poème, ce qui le distingue de l’
histoire
et surtout du poème héroïque, et ce qui devient p
it absurde dans les épopées modernes, c’est-à-dire dans celles dont l’
histoire
des peuples chrétiens a fourni ou peut fournir le
chantez l’antique alliance de Dieu et des hommes. Redites-nous cette
histoire
, chère au ciel, l’histoire de Joseph et de ses fr
de Dieu et des hommes. Redites-nous cette histoire, chère au ciel, l’
histoire
de Joseph et de ses frères. Le chœur des saints R
rveilleux, qui ne serait pas reçu aujourd’hui dans un poème tiré de l’
histoire
des natures modernes, peut être plus facilement j
sente quelquefois les portraits de certains personnages connus dans l’
histoire
, d’où il a tiré le sujet de son poème. Ces orneme
e héroïque ? Le poème héroïque qui, comme on le voit, n’est que de l’
histoire
mise en vers, diffère du récit historique ordinai
s : sa vive curiosité embrassait tout, langues anciennes et modernes,
histoire
, politique, science, dessin même et musique. Le m
rabeau fut envoyé par la ville d’Aix comme représentant du tiers. Son
histoire
, à partir de cette époque, appartient à celle de
la critique, en lui donnant par son alliance avec la philosophie et l’
histoire
des horizons nouveaux et agrandis. Sous le consul
taël, qui parut à quelques égards la confidence discrète de sa propre
histoire
, eut un grand et légitime succès : on y admira la
et monotones. La naissance, le mariage et la mort composaient toute l’
histoire
de notre société, et ces trois événements différa
r sont pratiquées des prisons très cruelles. Tous les événements de l’
histoire
de Rome, depuis Adrien jusqu’à nos jours, sont li
aversons le Tibre. Il semble qu’en prononçant ces paroles on évoque l’
histoire
et qu’on ranime les morts. En allant au Capitole
u point élevé du Capitole où Corinne l’avait conduit, La lecture de l’
histoire
, les réflexions qu’elle excite, agissent bien moi
uand on l’écoute une fois33, Il aimait la poésie, l’art dramatique, l’
histoire
, la littérature pour elle-même. Il aurait été rés
tions les jeux de notre enfance, les aventures de notre jeunesse, les
histoires
de nos familles. Un Athénien vantait les arts et
us ; je me suis déterminé ainsi pour la Fable, et n’ai reconnu pour l’
histoire
que le temple de Lycurgue. J’avoue que je préfère
ouvenirs des Thermopyles, et à tous les mensonges de la Fable et de l’
histoire
. Le soleil disparut derrière le Taygète, de sorte
pouvons toucher ici que le seul côté par lequel il appartient à notre
histoire
littéraire. Ses proclamations ont créé un genre n
-troisième volume, n’est pas seulement le plus précieux monument de l’
histoire
de cette époque ; c’est encore l’image la plus co
buer m’empêchait de former des plans, et je vivais comme étranger à l’
histoire
. Mais la marche des événements se précipita plus
on : « Je suis un Dieu », ou de cette autre ; « Il y a des dieux. » L’
histoire
ne mentionne aucun autre individu qui se soit qua
-septième siècle, écrite au dix-huitième avec frivolité ou passion, l’
histoire
rencontre à l’époque de la restaurai ion un milie
ce vaste procès engagé entre des principes et des intérêts opposés, l’
histoire
devait être entendue comme le témoin le plus dési
e les détails de la vie des princes, qui jusque-là avaient encombré l’
histoire
, pour suivre d’une vue plus attentive le mouvemen
à cette direction nouvelle et plus élevée, des parties entières de l’
histoire
ancienne et moderne ont été rajeunies et replacée
nt précédés, se distinguèrent encore des historiens de l’antiquité. L’
histoire
chez les anciens était une œuvre d’art plus encor
hef de l’école philosophique, celle qui s’applique moins à donner à l’
histoire
les couleurs et l’intérêt du drame qu’à retirer d
es en 1787, M. Guizot dès 1812 était nommé à la Sorbonne professeur d’
histoire
moderne ; il montait à vingt-cinq ans dans cette
ses vues. Les ouvrages de M. Guizot sur les origines et la suite de l’
histoire
de France représentent son enseignement. M. Augus
ment. M. Augustin Thierry les juge en ces termes : « Les Essais sur l’
Histoire
de France, l’Histoire de la civilisation européen
rry les juge en ces termes : « Les Essais sur l’Histoire de France, l’
Histoire
de la civilisation européenne et l’Histoire de la
r l’Histoire de France, l’Histoire de la civilisation européenne et l’
Histoire
de la civilisation française sont trois parties d
ait encore à sa réputation ; c’étaient les deux premiers volumes de l’
Histoire
de la Révolution d’Angleterre (1827). Sans perdre
e calme honoré de la vie privée, a repris son œuvre et l’a achevée. L’
Histoire
de la Révolution d’Angleterre a été conduite jusq
encore, est retracé par M. Guizot avec une vérité admirable. Voilà l’
histoire
telle que je la conçois et telle qu’elle ne peut
ept volumes qu’il a publiés sous le titre de Mémoires pour servir à l’
histoire
de mon temps attestent combien ce vigoureux espri
e de Staël et de M. Villemain s’agrandit de toutes les conquêtes de l’
histoire
et de la philosophie morale ; elle replaça les li
res comparées elle éclaira d’un jour nouveau les grandes époques de l’
histoire
, elle montra que les formes mobiles de l’art just
justifient, loin de les contredire, les principes éternels du beau. L’
histoire
littéraire, grâce à celle méthode, est devenue l’
ement de M. Villemain, le Tableau de la littérature au moyen âge et l’
Histoire
de la littérature française au dix-huitième siècl
la fois le passé elle présent. Ce sont les Souvenirs contemporains d’
histoire
et de littérature (1856), l’Étude sur M. de Chate
nt que sous sa plume, et plus tard sous celle de M. de Lacépède154, l’
histoire
naturelle prend un luxe d’images, un éclat de cou
ès (1815) à suppléer M. Royer-Collard à la Sorbonne, dans la chaire d’
histoire
de la philosophie, loin de fléchir sous le poids
t les dernières années de son enseignement public, l’Introduction à l’
histoire
de la philosophie et l’Examen de la philosophie d
itz, M. Cousin, à l’encontre de cette vieille opinion qui considère l’
histoire
des doctrines philosophiques comme l’histoire mêm
opinion qui considère l’histoire des doctrines philosophiques comme l’
histoire
même des aberrations de l’esprit humain, pose au
leur absolue de l’éclectisme, il imprima un nouvel essor aux études d’
histoire
de la philosophie, et c’est un honneur incontesta
sé de plusieurs contemporains célèbres qui s’initièrent en écrivant l’
histoire
à la vie publique, le polémiste chez M. Augustin
estauration dans les rangs de l’opposition libérale, il demandait à l’
histoire
des armes nouvelles pour la cause qu’il avait emb
out passionnait sa curiosité, et ce fut dans la Première lettre sur l’
histoire
de France qu’il posa nettement les termes de la q
té hardie et séduisante qui hâta, on ne peut le nier, la réforme de l’
histoire
en la rappelant à l’étude des monuments originaux
rité. Après avoir agité plus encore que résolu dans ses Lettres sur l’
histoire
de France cette question des origines à laquelle
n Thierry reporta son attention sur le premier objet de ses études, l’
Histoire
de la conquête d’Angleterre par les Normands. Là
s. Là encore se rencontrait le fait analogue à celui que présentait l’
histoire
de nos origines, le fait d’une conquête étrangère
ainqueurs ; avec des matériaux grossiers et informes il recompose des
histoires
vivantes qui réunissent au charme naïf de la lége
ut en 1833, après la révision complète et sévère de ses Lettres sur l’
histoire
de France, qu’il conçut la pensée d’entreprendre
s publia six de ces épisodes sous le titre de Nouvelles lettres sur l’
histoire
de France ; en 1840, les sept fragments qui compo
a pensée, M. Augustin Thierry put encore achever (1853) l’Essai sur l’
histoire
de la formation et des progrès du tiers-état. C’é
ur l’histoire de la formation et des progrès du tiers-état. C’était l’
histoire
même du développement de la nation depuis l’époqu
ules par les Franks Dans le première partie de la VIe lettre sur l’
histoire
de France 194, M. Augustin Thierry marque l’origi
orsqu’elle eut le besoin d’en créer197. Le premier de ces rois dont l’
histoire
constate l’existence par des faits positifs est C
om soit bien germanique et son règne possible, ne figure pas dans les
histoires
les plus dignes de foi. C’est au nom de Chlodio q
de la poésie. Le sceau d’une destinée irrésistible n’est, dans aucune
histoire
, plus fortement empreint que dans celle des rois
its des temps mérovingiens (7e Récit). Jouffroy (1796-1842) L’
histoire
de M. Jouffroy doit être surtout l’histoire de sa
Jouffroy (1796-1842) L’histoire de M. Jouffroy doit être surtout l’
histoire
de sa pensée philosophique. Il se mêla peu au mou
c la grandeur de la nature, mais encore les regards jetés, soit sur l’
histoire
de notre espèce, soit sur celle de cette terre qu
s et de ses passions, le problème de la destination. Vous qui savez l’
histoire
, voyez un peu comment l’humanité a marché. Dans l
inent, des races qui ont peut-être des ancêtres, mais qui n’ont pas d’
histoire
. Elles s’en viennent sauvages, presque nues, à pe
à peine créé entre en contact avec l’Europe. Là aussi des hommes sans
histoire
, qui ont encore d’autres idées, une autre manière
ien il se rattache à la commune humanité ! Quand on réfléchit à cette
histoire
de l’espèce humaine, à cette nuit profonde qui co
terre on y a trouvé des témoignages, des monuments authentiques de l’
histoire
de ce petit globe que nous habitons. On s’est con
essais de sa plume. Venu à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’
histoire
à l’Athénée ; de brillantes leçons sur les temps
ne pénétrante sagacité, d’une méthode sévère, et qui cherchait dans l’
histoire
moins le drame des passions que l’affirmation des
ue l’affirmation des lois selon lesquelles se développe l’humanité. L’
Histoire
de la révolution française, qui parut en 1824, do
nvient surtout de signaler avec la Vie de Franklin, écrite en 1848, l’
Histoire
de Marie Stuart et un livre définitif sur Charles
e tendance et de méthode. Sa constante préoccupation a été d’élever l’
histoire
à la hauteur d’une science rigoureuse et précise.
ut à découvrir, ce qu’il excelle à démêler, c’est la partie fixe de l’
histoire
, les influences supérieures qui dominent une époq
rique, M. Mignet n’a même pas échappé au reproche d’avoir fait dans l’
histoire
la part trop étroite à la libre activité humaine.
re activité humaine. Cette tendance fataliste apparaît surtout dans l’
Histoire
de la Révolution française. On regrette d’entendr
grand coupable à qui Dieu eût pardonné : elle s’arrêta à la touchante
histoire
du bon larron, qui lui sembla le plus rassurant e
collaboration au National, fondé par Armand Carrel, M. Thiers, par l’
Histoire
de la Révolution française, se plaçait au premier
poursuivait ses études avec la même ardeur. En 1840, il commençait l’
Histoire
du Consulat et de l’Empire 261 qu’il achevait apr
. » M. Thiers, traçant au début du XIIe livre une rapide théorie de l’
histoire
, a résumé les qualités de l’historien dans ce mot
lui-même, traçant à son insu sa propre image, demandait au style de l’
histoire
, cette transparence absolue d’une glace qui repro
n profonde pour toute déclamation sentimentale. M. Thiers voit dans l’
histoire
plus de fautes que de crimes, et lui-même se déro
t l’indulgence publique. Aucun art, aucune science, physique, chimie,
histoire
naturelle, ne fut à l’abri de la description, qui
dans les siècles qui ont précédé le nôtre, appartiendrait plutôt à l’
histoire
politique. On a dit avec esprit que l’ancienne mo
ongtemps. L’humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra pas d’autre
histoire
. Là viendront les villageois Dire alors à quelque
istorien et homme d’État ; il y mêla, a-t-on dit, trop de poésie. Son
Histoire
des Girondins (1847), malgré d’admirables pages,
uréole jusque sur le front de Robespierre, Mais dans les parties au l’
histoire
se rapproche de la poésie, quand d’un trait il fa
zons, M. de Lamartine retrouvera toute sa supériorité. « Ses livres d’
histoire
, a dit M. Sainte-Beuve, ne sont et ne seront jama
r un triste esclave des plus honteux caprices, c’est manquer envers l’
histoire
de respect et de justice, c’est abuser de la puis
éblouies Comme un Mahomet d’Occident. Leur féerie a déjà réclamé son
histoire
. La tente de l’Arabe est pleine de sa gloire. Tou
se une trace éternelle Sur le front mouvant du désert439. III
Histoire
, poésie, il joint du pied vos cimes. Éperdu, je n
qui lui permet de modifier dans une certaine mesure les données de l’
histoire
, selon les convenances de son sujet. Ici, il fall
personnages : il fallait concilier la vérité du drame avec celle de l’
histoire
. Il est juste de reconnaître que nulle époque peu
— je ne peux pas y croire, — Que cette vieille fille et cette sotte
histoire
? GEORGE. Depuis quand ce métier d’écouteur assid
xions très justes de Mme de Staël. 31. Il serait curieux d’étudier l’
histoire
des rapports de Mme de Staël avec Goethe : elle e
. L’enfant avait senti combien, sous le pinceau d’un grand peintre, l’
histoire
peut reprendre de la vie et de la couleur. 51. V
et a tracé le parallèle de Sparte et d’Athènes dans le discours sur l’
histoire
universelle, part. III, c. 5. 99. Lord Byron, da
Salamine. Lève-toi, et redeviens maître de ces lieux illustrés par l’
histoire
. » 100. M. de Chateaubriand en passant par Méga
ense. 130. On trouvera les détails de cette affaire au livre II de l’
Histoire
de la Révolution d’Angleterre. 131. On appelle d
urs cette double impression Nous recommandons dans le IVe volume de l’
Histoire
de ta Révolution d’Angleterre le tableau de la mo
ier a bientôt amené. Dans la troisième partie, M. Guizot présentera l’
histoire
du christianisme, et enfin il cherchera dans une
ritique fataliste dont il a lui-même tracé la théorie au début de son
Histoire
de la littérature anglaise. C’est faire injure à
lité des milieux. Exagérer un tel principe, c’est nier la morale et l’
histoire
. 145. Discours sur la critique, — Les œuvres de
ur Eutrope. 149. L’oraison funèbre que Thucydide, au livre II de son
Histoire
, met dans la bouche de Périclès célébrant les pre
154. Né à Agen en 1756, mort en 1825. Son principal ouvrage est une
histoire
naturelle des poissons. 155. Les Époques de la n
ature parurent en 1778. « C’est peut-être, a dit M. Flourens dans son
Histoire
des travaux et des idées de Buffon, l’ouvrage du
penser dans ce qu’il écrit », a dit pareillement Fénelon. 163. Cf. l’
Histoire
de la littérature française de M. Nisard, liv. IV
bes de ta gloire, Vers toi d’un œil religieux Remonter au loin dans l’
histoire
. 168. On sait, en effet, que ce même André Ché
temps mérovingiens, préface. 192. Expression de M. Villemain. 193.
Histoire
de mes idées et de mes travaux historiques, préfa
, préface de Dix ans d’études. 194. Les cinq premières lettres sur l’
histoire
de France sont la partie critique de l’ouvrage. M
. Les Franks l’invoquaient en allant au combat. On pourra lire dans l’
Histoire
littéraire de la France avant le douzième siècle,
uer l’orthographe germanique aux noms des personnages franks de notre
histoire
. Sans contester que cette restitution contribue à
ire, évêque de Tours, naquit en Auvergne en 539. Son ouvrage intitulé
Histoire
ecclésiastique des Franks remonte à l’origine du
Tours, et le double but qu’il se propose est de raconter à la fois l’
histoire
de la barbarie et celle de l’Église dans les Gaul
c intérêt cette lettre de M. Augustin Thierry du deuxième Essai sur l’
Histoire
de France, par M. Guizot, intitulé : De l’origine
rdres que des miens. » (A. T.) 212. M. Guizot, dans les Essais sur l’
Histoire
de France, a porté une grande lumière sur la ques
chacun libre de se conformer à l’usage. Les noms célèbres qui, par l’
histoire
, sont entrés dans la langue nationale font partie
r empereur. En allemand moderne on dit kaiser. (A. T.) 217. Nithard,
Histoire
des divisions entre les fils de Louis le Débonnai
lasses supérieures, par M. Léon Feugère, page vi. 220. Voir Nithard,
Histoire
, livre III, chap. vi. 221. Le démembrement de l’
mière fois en 1837 par M. Michel et en 1850 par M. F. Génin. Dans son
Histoire
de la littérature française, M. Démogeot en a tra
232. Celui de Galswinthe, sœur de Brunehaut. 233. Grégoire de Tours,
Histoire
, livre V. 234. Chilpéric mourut assassiné en 585
sa mère plaça sous la protection de Gontran. 235. Grégoire de Tours,
Histoire
, livre V. 236. Job, ch. i. 21. 237. Pour châtie
s, les villes et soi-même au juste prix. » 248. La philosophie de l’
histoire
a pour objet de rechercher les causes et la loi d
l’égard de Bossuet. Schlegel, dans ses leçons sur la Philosophie de l’
histoire
, a montré une grande hauteur de vues, une science
idot, 1849). Schiller, au 5e acte de Marie Stuart, s’est inspiré de l’
histoire
en retraçant la belle scène des adieux de la rein
tait, en effet, la propre sœur de la grand-mère de M. Thiers. 261. L’
Histoire
de la Révolution française a été publiée par la l
a été publiée par la librairie Furne et Jouvet, en 8 vol. in-8°, et l’
Histoire
du Consulat et de l’Empire, par la librairie Lheu
approcher avec intérêt les pages consacrées à Charlotte Corday dans l’
Histoire
des Girondins par M. de Lamartine. Le récit de so
blesse. La morale proteste contre l’action de Charlotte Corday, et l’
histoire
nous montre qu’en faisant de Marat un martyr, ell
irondin. 267. Ce morceau, que nous détachons du premier volume de l’
Histoire
du Consulat et de l’Empire, est avec raison regar
intérêt en le partageant. Ducis dédoubla sa tragédie dont il écarta l’
histoire
d’Admète, Le sujet fut ainsi ramené à une simple
’assurer la faveur de Tibère. Chénier n’a pas suivi cette donnée de l’
histoire
; il suppose que Pison, arrivé dans le palais de
1853), M. V. Duruy a cherché à réhabiliter Tibère contre l’arrêt de l’
histoire
: on lira avec intérêt sur la mort de Germanicus
ysage en un vers. » 392. Liv. II, ch. 2 (trad, C. Bénard). 393.
Histoire
de la littérature française, t. IV. Conclusion.
le fond est véritable, avait été raconté par M. Pouqueville dans son
Histoire
de la régénération de la Grèce. L’insurrection de
en tête de son Louis XI, et qui forme la préface de cette tragédie. L’
histoire
n’a fait que ratifier le jugement de notre vieil
s brisés, comme Sixte-Quint jetait ses béquilles ». 465. Mélanges d’
histoire
et de littérature (première série), 1868, page 35
, prescrit une composition française sur un sujet de littérature ou d’
histoire
, parmi les épreuves écrites de la première partie
ositions françaises données à la Sorbonne en 1881, 1882 et 1883.
Histoire
littéraire. • La tragédie chez les anciens, se
es modernes. Citer des exemples. (8 novembre 1881). • Expliquer par l’
histoire
de la poésie latine ce vers d’Horace. : Nil inte
et celui de Chimène dans le Cid. (9 novembre 1881). • Auguste dans l’
histoire
, Auguste dans Cinna. (3 août 1882). • Comparer le
à son fils l’infant don Philippe. / Après avoir rapidement retracé l’
histoire
de son règne, il lui annonce, en la motivant, son
ard (1583). Il apprécie les œuvres et le talent de ce poète et fait l’
histoire
sommaire de la Pléiade. (1er août 1882). • Sully
sser ; étude des productions ; observations utiles à la physique, à l’
histoire
naturelle, à l’astronomie ; mines grandioses, pré
lle, à l’astronomie ; mines grandioses, précieuses à consulter pour l’
histoire
de l’art et de la civilisation ; langue morte des
re et le rôle de Richelieu et de Mazarin. (4 août 1881). • Raconter l’
histoire
du surintendant Fouquet. Quelles ont été les caus
itions françaises données à la Sorbonne en 1884 et en 1885. I. —
Histoire
littéraire. [1] (26 juillet 1884) Pourquo
hauts faits on les ornant des couleurs de la poésie et transformer l’
histoire
en légende ; telle est l’épopée, et si tous les p
m’ont permis de recueillir. Mais je préfère te raconter la touchante
histoire
d’Antigone dans une de mes prochaines lettres. Ad
s cette époque, on ne trouve plus guère de poésies didactiques dans l’
histoire
de la littérature grecque que pendant la période
s qui naissent spontanément et naturellement chez tous les peuples, l’
histoire
, l’éloquence ; ajoutons, pour être justes, la sat
e ne furent pas les poètes seuls qui firent la gloire de ce siècle. L’
histoire
prend avec Hérodote un caractère littéraire ; les
ractère littéraire ; les Anciens avaient donné aux neuf livres de ses
Histoires
le nom des neuf Muses. Thucydide, son continuateu
à un plus haut degré la véracité et l’esprit philosophique, dans son
Histoire
de la guerre du Péloponnèse. Xénophon, qui vient
s ne pouvons guère juger, à cette époque, que, par le témoignage de l’
histoire
, fut habilement maniée par les hommes politiques,
dramatique est, à cette époque, en pleine décadence. Dans la prose, l’
histoire
est glorieusement représentée par Tite-Live ; l’é
eprésentent le genre élégiaque ; Manilius, la poésie philosophique. L’
histoire
, à part Tite-Live, compte encore Velleius Patercu
lle du caractère romain, car on la retrouve à toutes les époques de l’
histoire
de la littérature latine : l’esprit satirique est
stra est. [8] (25 juillet 1884) Dites ce que vous savez sur l’
histoire
du théâtre religieux au moyen âge. Développeme
autant de drames pieux où se déroulait, sous une forme saisissante, l’
histoire
des saintes croyances qui remplissaient leur âme.
, sans fatigue, sans impatience, l’interminable drame. Ici s’arrête l’
histoire
du théâtre religieux du moyen âge. Aux approches
ls que sa pièce est digne de figurer à côté de l’œuvre de Tacite. Les
Histoires
, aussi bien que les Annales, méritent à leur aute
itée, l’activité de son esprit était prodigieuse : éloquence, poésie,
histoire
, grammaire, science astronomique, théologie, Césa
arées nécessaires au genre épistolaire. Si nous abordons maintenant l’
histoire
littéraire de notre pays, le premier que nous ren
plus général, plus complet que celui d’Horace. Il fait la théorie, l’
histoire
et la critique des différents genres. L’idylle, l
ns ; ils sont plus grands et plus romains dans ses vers que dans leur
histoire
. » Développement. — Tous ceux à qui la littér
ns ; ils sont plus grands et plus romains dans ses vers que dans leur
histoire
; » ce qui veut dire : Corneille ennoblit les Rom
rande unie, et ceux qu’il met en scène sont plus grands que ceux de l’
histoire
, plus riches de toutes les vertus qu’on attribue
u xviie siècle. Parcourons les tragédies que Corneille a tirées de l’
histoire
de Rome, et nous verrons se justifier le jugement
’il les fait plus grands que nature, plus grands que dans leur propre
histoire
. Par cette manière grandiose de nous présenter le
ait à l’égard des Romains. Et notre siècle leur a donné raison, car l’
histoire
de Rome, mieux connue, nous a révélé que derrière
euples, croyances que les modernes ont nommées mythologie. De plus, l’
histoire
exacte et vraisemblable leur était inconnue ; tou
mère, ce n’étaient pas là seulement des fictions, c’était presque une
histoire
de ceux qu’ils revendiquaient pour ancêtres. Il f
njustice, de n’avoir pas emprunté les sujets de ses tragédies à notre
histoire
nationale, aux légendes populaires qui avaient si
place à part dans les œuvres de notre poète, car il l’a puisée dans l’
histoire
contemporaine. Rappelons même que cette tentative
il est vrai que Racine ait voulu innover en prenant ses sujets dans l’
histoire
moderne, elle pouvait lui fournir, en France ou d
Plan. — Le Siècle de Louis XIV peut se diviser en quatre parties ; 1º
Histoire
des événements politiques et militaires ; 2º Tabl
. La première, empreinte de gravité et de pompe, tire ses sujets de l’
histoire
et n’admet comme personnages que des gens de haut
nnales, écrit à un de ses amis. Il lui dit quelle est la période de l’
histoire
romaine qu’il se propose de raconter dans son nou
e ces travaux ; vous vous demandez sans doute quelle période de notre
histoire
je vais essayer de raconter, où d’autres ne m’aie
oment où les progrès de l’adulation gâtèrent les plus beaux génies. L’
histoire
de Tibère, de Laïus, de Claude et de Néron, falsi
été offerts. Ces Annales, comme je les appellerai, formeront avec mes
Histoires
un grand et vaste ouvrage. Bien que souvent les g
souvent les grammairiens emploient indifféremment les mots Annales et
Histoires
pour désigner les œuvres des historiens primitifs
, année par année, même jour par jour, des événements mémorables de l’
histoire
intérieure et extérieure. On a appelé Histoires u
ements mémorables de l’histoire intérieure et extérieure. On a appelé
Histoires
un récit plus détaillé, orné de réflexions et mêl
se sont passés avant l’époque où l’auteur a vécu. On réserve celui d’
Histoires
aux livres où il parle des événements qu’il a vus
de vue de la méthode, mes Annales ne différeront pas beaucoup de mes
Histoires
; je combinerai l’ordre chronologique des faits a
s une sobriété et une rapidité plus grandes de narration que dans mes
Histoires
, car je serai plus maître du moi, moins entraîné
oirs du forum comme ceux du Sénat. C’est ce qui m’a fait comprendre l’
histoire
comme une sorte de protestation morale destinée à
quels que soient les ouvrages de Racine, poésie ou prose, tragédie ou
histoire
, il est convaincu qu’ils seront faits avec le mêm
ermettant quelques réflexions sur la délicatesse qu’il y a d’écrire l’
histoire
du vivant de son héros, et en exprimant l’assuran
son style, à lui offrir de belles images ou d’agréables allusions. L’
histoire
lui sera plus utile encore, parce qu’il trouvera
e goût et sur les compositions littéraires. Il est certain que pour l’
histoire
, par exemple, il n’est aucune nation de l’Europe
ble encouragement du génie. Hérodote, aux jeux Olympiques, lisait son
Histoire
devant les Grecs rassemblés, et on lui décernait
é, nous ne devons pas craindre d’avancer que nous ne possédons aucune
histoire
aussi élégante, aussi pittoresque, aussi animée,
ques, épistolaires, et les ouvrages d’invention. Je commencerai par l’
histoire
, et j’en traiterai avec une étendue proportionnée
eux. L’instruction est donc l’objet essentiel, la fin principale de l’
histoire
, et ce principe nous indique les règles que l’on
de tomber dans bien des erreurs. Comme la vérité est le seul but de l’
histoire
, l’impartialité, la fidélité et l’exactitude doiv
fidèle de la nature humaine. Cependant on ne peut pas donner le nom d’
histoire
à tous les récits, bien que les faits en soient d
dans l’ordre le plus clair et le plus distinct : car la lecture de l’
histoire
doit nous enseigner à être sages ; elle doit supp
de nous apprendre à bien juger dans toutes les affaires de la vie. L’
histoire
n’est donc point une simple narration, faite pour
ement, et qui s’adresse plus à notre raison qu’à notre imagination. L’
histoire
, toutefois, n’exclut ni les ornements, ni la chal
iné les ouvrages réguliers auxquels appartient véritablement le nom d’
histoire
. Ces ouvrages peuvent se partager en deux classes
classes principales : ou ils renferment, dans toutes ses périodes, l’
histoire
d’un état ou d’un royaume, comme celle de Tite-Li
-Live ; ou ils ne renferment que le récit d’un événement majeur, ou l’
histoire
d’une certaine période ou d’une portion particuli
’une certaine période ou d’une portion particulière de temps, comme l’
histoire
de la guerre du Péloponnèse, par Thucydide ; cell
adoptée, même par les historiens les plus estimables. Qu’on étudie l’
histoire
pour son plaisir ou pour son instruction, on sera
e. J’avoue qu’il est difficile que cette unité soit parfaite dans les
histoires
générales où sont rassemblés tous les faits qui i
pporter très bien et à ce qui précède et à ce qui doit suivre. Dans l’
histoire
d’une monarchie, par exemple, chaque règne doit a
: Tite-Live, au milieu de cette foule d’événements dont se compose l’
histoire
de Rome, trouva l’unité historique dans l’accrois
u monde. De tous les écrivains de l’antiquité qui nous ont laissé des
histoires
générales, Polybe, quoique d’ailleurs peu élégant
parés, sans voir jamais sa forme ou sa structure. Ceux qui écrivent l’
histoire
de quelque événement particulier, ou qui se borne
e événement particulier, ou qui se bornent à une certaine époque de l’
histoire
d’une nation, peuvent si facilement conserver l’u
pédie et la Retraite des dix mille, par Xénophon, sont des exemples d’
histoires
particulières dans lesquelles l’unité historique
d’ailleurs plein de force et de noblesse, n’a pas ce mérite dans son
Histoire
de la guerre du Péloponnèse. L’auteur n’a pas en
en vue un objet principal ; sa narration est sans cesse coupée ; son
histoire
se divise par étés et par hivers ; les récits ne
qui n’ont entre eux d’autres rapports que celui des dates. Quoique l’
Histoire
d’Hérodote soit conçue sur un plan bien plus vast
usue. Parmi les modernes, le président de Thou, en voulant rendre son
histoire
trop universelle, n’a pas su éviter ce défaut ; i
dans des considérations préliminaires sur les ouvrages historiques. L’
histoire
doit être regardée, en général, comme un récit d’
s juste. Maintenant je ferai observer que, pour atteindre au but de l’
histoire
, l’écrivain doit remonter à la source des événeme
eurs alliances et de leurs intérêts particuliers. Tite-Live, dans son
histoire
, avait une belle occasion de déployer ses connais
deur ni par sa pénétration. Il est évident que Salluste, en traçant l’
histoire
d’une conspiration, histoire qui devait être tout
l est évident que Salluste, en traçant l’histoire d’une conspiration,
histoire
qui devait être tout entière politique, s’est bie
ructions nécessaires pour l’intelligence des affaires dont il écrit l’
histoire
; il doit nous donner une idée de la constitution
a narration quelque système particulier qu’il s’est formé d’avance. L’
histoire
nous instruit plus par le récit exact et judicieu
ue la manière de raconter est de la plus grande importance, puisque l’
histoire
n’est autre chose que le récit d’événements passé
r comment ils se lient les uns aux autres. Autrement, la lecture de l’
histoire
ne produit ni plaisir ni instruction. L’historien
blaient entièrement étrangers l’un à l’autre. En second lieu, comme l’
histoire
est un genre de composition plein de noblesse et
facile et intéressant ; mais ses Helléniques, ou la continuation de l’
Histoire
de Thucydide, sont un travail bien inférieur. On
inférieur. On sait avec quel talent Salluste a manié le pinceau de l’
histoire
dans la Conjuration de Catilina, et surtout dans
on style, quelquefois trop affecté et souvent obscur. Il semble que l’
histoire
veuille une manière d’écrire plus coulante, plus
ette méthode ; les harangues que l’on trouve en grand nombre dans son
Histoire
et dans celle de quelques auteurs grecs et latins
je crois cependant qu’il est permis de douter qu’elles soient dans l’
histoire
à leur véritable place. Elles forment un mélange
Les unes ne doivent pas plus que les autres trouver une place dans l’
histoire
. Les historiens modernes me semblent avoir adopté
qu’ils sont en plus grand nombre, et travaillés avec plus de soin. L’
histoire
étant principalement destinée à l’instruction des
tuce et la politique à la franchise, c’est déroger à l’austérité de l’
histoire
, c’est en ôter tout l’intérêt. Les événements nou
ntestablement en Italie que, dans ces derniers siècles, le génie de l’
histoire
a brillé de l’éclat le plus vif. Le caractère nat
vila, Bentivoglio, Fra Paolo. Il paraît que tous s’étaient formé de l’
histoire
l’idée la plus juste, car tous ont le mérite de p
hez eux quelques imperfections. Machiavel n’a pas su répandre sur son
Histoire
de Florence autant d’intérêt qu’on pouvait en att
olo n’a pas su toujours se défendre. Bentivoglio, dans son excellente
Histoire
des guerres de Flandre, a peut-être employé un st
ecdotes qui lui sont personnelles, qu’il semble avoir moins écrit une
histoire
que rédigé des mémoires historiques. Les historie
ersonnages illustres étaient des genres de composition inférieurs à l’
histoire
. Néanmoins, avant de quitter tout à fait ce sujet
l’ordre chronologique, et destinés plutôt à fournir des matériaux à l’
histoire
, qu’à former une histoire véritable. Tout ce que
destinés plutôt à fournir des matériaux à l’histoire, qu’à former une
histoire
véritable. Tout ce que l’on doit exiger d’un écri
à la fois plus utile, et ne se rapproche davantage de la dignité de l’
histoire
. Ils ont particulièrement ce mérite de nous peind
ce mérite de nous peindre les deux plus illustres personnages dont l’
histoire
fasse mention : Sully, le plus habile et le plus
i d’utilité. Il a, sans doute, moins d’importance et de dignité que l’
histoire
, mais il n’est peut-être pas moins instructif pou
palement redevables de ce perfectionnement dans la manière d’écrire l’
histoire
, c’est M. de Voltaire, dont le génie a brillé d’u
ments que méritait cet ingénieux et éloquent ouvrage. Son Essai sur l’
Histoire
générale de l’Europe depuis Charlemagne, ne peut
rale de l’Europe depuis Charlemagne, ne peut être considéré comme une
histoire
, ni même comme le canevas d’une composition histo
digne de toute l’attention de ceux qui veulent écrire ou connaître l’
histoire
des temps qu’il a parcourus. Lecture XXXVII. D
s écrits philosophiques. — Du dialogue. — Du genre épistolaire. — Des
histoires
fictives. L’histoire tombe dans le domaine de
— Du dialogue. — Du genre épistolaire. — Des histoires fictives. L’
histoire
tombe dans le domaine de la critique ; d’abord pa
s propositions que l’on met en avant par des citations empruntées à l’
histoire
ou à l’étude du cœur humain. Les sujets de morale
de mille11. Elles renferment les matériaux les plus importants sur l’
histoire
de son siècle, et peuvent être regardées comme le
la chute de la république, époque la plus intéressante peut-être de l’
histoire
du monde. Cicéron ouvrait son cœur tout entier à
e s’exerce encore sur les mœurs et le goût d’une nation. Au fait, ces
histoires
imaginaires pourraient avoir un but utile ; elles
manière dont elles sont exécutées. Bacon regarde notre goût pour les
histoires
fictives comme une preuve de la grandeur et de la
nous voyons ici-bas ; et comme nous ne pouvons pas le trouver dans l’
histoire
, nous le cherchons dans la fable. Nous créons un
de placer ici quelques observations sur l’origine et les progrès de l’
histoire
fabuleuse, et sur les formes diverses qu’elle a r
d’un genre fort libre et quelquefois obscène. Il nous reste quelques
histoires
fictives composées au temps de la décadence de l’
leux système de chevalerie, l’un des phénomènes les plus curieux de l’
histoire
du genre humain. Ce fut le berceau de tous ces co
orce du génie de notre nation. Aucune langue peut-être ne possède une
histoire
fictive aussi bien conduite que celle de Robinson
l’on publie tous les jours sous les titres de vies, d’aventures ou d’
histoires
par des auteurs anonymes, ne sont pas en général
et de leurs annales historiques. Ce sont des faits que nous atteste l’
histoire
de toutes les nations. Dans les premiers âges de
ent, et il paraît que jusqu’au siècle qui précéda celui d’Hérodote, l’
histoire
n’avait pas d’autre forme que celle des fables po
me que celle des fables poétiques. C’est ainsi que nous voyons dans l’
histoire
de presque tous les autres peuples, que l’attenti
lons la littérature ou les belles-lettres. L’on confondait ensemble l’
histoire
, l’éloquence et la poésie. Quiconque voulait pers
qu’il produisait ces effets merveilleux dont nous parle si souvent l’
histoire
des temps antiques ; et il est bien certain qu’il
s plus difficiles à saisir. Les anciens l’admiraient ; mais comme les
histoires
des familles et des villes auxquelles il fait con
ait croire, avec le docteur Lowth, que ces images sont empruntées à l’
histoire
de la descente de Dieu sur le mont Sinaï ; mais i
e ; au costume de leurs prêtres, et aux principaux événements de leur
histoire
sacrée : comme la destruction de Sodome, l’appari
, et se trouvait liée à toutes les parties de l’établissement et de l’
histoire
de leur nation ; aussi toutes les idées qui s’y r
hébreux ; on n’y rencontre aucune allusion aux grands événements de l’
histoire
sacrée, aux cérémonies religieuses des Juifs, au
moral que son ouvrage est destiné à inculquer. Ensuite il invente une
histoire
générale ou une série de faits qu’il ne rattache
ter du jour sur la morale qu’il a choisie. Enfin il particularise son
histoire
, c’est-à-dire que, s’il veut composer une fable,
ton ou son loup ; s’il veut écrire un poème épique, il cherche dans l’
histoire
les noms des héros qui conviennent le mieux aux r
le. Pour donner plus de force à son instruction, il imagina ce plan d’
histoire
: plusieurs princes formèrent une confédération c
’est là ce qui la caractérise essentiellement. Elle se distingue de l’
histoire
par sa forme poétique et en même temps parce qu’e
omis. Tels sont les adieux d’Hector et d’Andromaque dans l’Iliade ; l’
histoire
de Cacus, celle de Nisus et celle d’Euryale dans
d’une date trop récente, ou comprise dans une espace de temps dont l’
histoire
nous est devenue trop familière. Lucain et Voltai
lus restreinte qu’il se place davantage sous la verge inflexible de l’
histoire
. Il faut qu’à l’exemple de Lucain, il se renferme
t à nous avec leurs vertus et leurs imperfections. Voilà pourquoi des
histoires
modernes et bien connues peuvent fournir d’excell
me pour base, et dont l’objet principal est d’exciter l’admiration, l’
histoire
ancienne ou la tradition est une source bien plus
ivinités de la fable dans tous les événements qui se rapportaient à l’
histoire
des temps héroïques. Mais en faut-il conclure que
trop peu d’invention, le poète y suit trop strictement la marche de l’
histoire
, pour qu’on puisse la considérer comme une épopée
r répondre au désir du roi, lui donne des détails sur l’Europe, sur l’
histoire
du Portugal, et lui raconte la partie de son voya
e date trop récente, et appartient à une partie trop bien connue de l’
histoire
. Pour remédier à cet inconvénient, et éviter de n
euse. On s’étonne qu’avec un petit nombre de matériaux, puisés dans l’
Histoire
sainte, il ait formé un édifice si complet et si
des conspirateurs et des chefs de factions qui jouent un rôle dans l’
histoire
. Les caractères de Beelzebuth, de Moloch, de Béli
l de la tragédie. Pour y arriver, il doit, avant tout, choisir dans l’
histoire
un sujet touchant et propre à intéresser, pour le
ne action fictive inventée par lui, mais qu’il puisât ce sujet dans l’
histoire
ou parmi les faits les plus connus. C’est ce que
des choses. La tragédie, même lorsqu’elle emprunte ses matériaux à l’
histoire
, y mêle toujours quelques circonstances imaginair
e est peint avec toute la noblesse et toute la dignité qu’il a dans l’
histoire
; mais les scènes dans lesquelles il est question
a cherché à y mettre de la variété en faisant entrer dans sa pièce l’
histoire
des amours de la famille de son héros ; mais il a
à la représentation d’une tragédie dont le sujet était emprunté de l’
histoire
grecque ou romaine. On sait bien qu’il ne s’agit
rprenant que la plupart des critiques se soient accordés à regarder l’
histoire
d’Œdipe comme l’une des plus propres à fournir de
une des plus propres à fournir des sujets à la tragédie, et que cette
histoire
ait été mise sur le théâtre, non par Sophocle seu
historiques de la nation. Hercule est le héros de deux tragédies ; l’
histoire
d’Œdipe, roi de Thèbes, et de son infortunée fami
orter notre imagination sur les événements les plus intéressants de l’
histoire
de notre patrie42. Après Shakspeare, nous pouvons
place la scène partout où il lui plaît, il choisit une action dans l’
histoire
de sa patrie ou dans celle d’un autre peuple, et
ntre lui et la tragédie, nous allons jeter un rapide coup d’œil sur l’
histoire
de ses progrès, et sur la manière dont il a été t
mpossible de les comprendre sans avoir une connaissance parfaite de l’
histoire
de cette époque. L’on y parodie trop souvent les
it le visage d’Agamemnon ; ou ces feuillets déchirés par la Muse de l’
histoire
, dans le fameux tableau de Chantilly. C’est par l
tre sur la scène l’ombre d’un personnage, ou même un génie, lorsque l’
histoire
ou la mythologie ont consacré cette apparition ;
. » Voici comme, dans son Dictionnaire philosophique, il nous donne l’
histoire
de ce genre : « Quelques personnes s’amusaient à
de Lénox, et fit ses études à Paris. Il mourut en 1582, laissant une
Histoire
d’Écosse, écrite assez élégamment, mais qui passe
ement (Érasme partage cette opinion) qu’il était Danois. Il a écrit l’
histoire
du Danemark ; cet ouvrage a quelque chose de fabu
ux considérables qui devaient être des événements littéraires. Dans l’
Histoire
de la Révolution française (1824), comme dans cel
a prononcé de nombreux éloges, qui sont autant de pages accomplies. L’
histoire
est chez lui une science et un art. Il donne un s
sa famille errante dans ce beau, dans cet industrieux séjour1. L’
histoire
est un enseignement L’histoire est faite pour
ans cet industrieux séjour1. L’histoire est un enseignement L’
histoire
est faite pour prouver et pour enseigner, et vous
demeure sur lui-même, aspire à découvrir, par l’observation et par l’
histoire
, les lois mêmes de l’humanité. Lorsque ce siècle
concitoyens. Hérodote, Thucydide et Xénophon prirent les crayons de l’
histoire
, pour transmettre aux siècles futurs les événemen
exandre ; âge heureux, qui est la première époque intéressante dans l’
histoire
de l’esprit humain. Siècle de César et d’Augus
ve, César lui-même, et après eux, Quinte-Curce et Tacite écrivirent l’
histoire
, et portèrent à un degré supérieur l’art de peind
t par l’élégance de sa diction. Guichardin excella dans le genre de l’
histoire
. L’Arioste enrichit sa patrie d’un poème admirabl
ès eux Vertot, manièrent avec le plus grand succès lest pinceaux de l’
histoire
. Au commencement du siècle dernier, d’Aguesseau,
es les autres parties du corps à donner au cheval un noble maintien.
Histoire
naturelle 1 : quadrupèdes domestiques. La fauv
ure au dix-huitième siècle, 22e leçon ; M. Geruzez, Nouveaux essais d’
histoire
littéraire, et l’Histoire de ses travaux et de se
, 22e leçon ; M. Geruzez, Nouveaux essais d’histoire littéraire, et l’
Histoire
de ses travaux et de ses idées, par M. Flourens,
ité philosophique, ni les divisions, les détails et le style de cette
histoire
conjecturale. » On sait que les Epoques de la nat
la nature (elles eurent d’abord leur place dans les Suppléments de l’
Histoire
naturelle, mais les éditeurs récents les ont just
vie d’homme suffit à achever. — Les trois premiers volumes in-4° de l’
Histoire
naturelle avaient paru en 1749, un an après l’Esp
t deux chants de plus, on ajoutera deux muses qui diront chacune leur
histoire
. Le poème épisodique n’a donc par lui-même, et da
u’une, et c’est pour cela qu’il est généralement peu estimé. § 61.
Histoire
de la poésie didactique. La poésie didactique,
rd. À en juger par la première idée qui se présente, l’épopée est une
histoire
, ou quelque chose qui lui ressemble fort, puisque
is la ressemblance n’est qu’apparente ; il ne faut pas s’y tromper. L’
histoire
est consacrée à la vérité. L’épopée, au contraire
e invente tout ce qu’elle raconte, et se contente du vraisemblable. L’
histoire
ne souffre point les ornements empruntés de l’art
on veut, au contraire, que l’épopée charme, plaise, touche, étonne. L’
histoire
peut raconter tous les faits indifféremment ; l’é
arties, parfaitement liées, fassent un tout entier et proportionné. L’
histoire
ne montre que les causes naturelles ; l’épopée co
t ce qui la distingue de la tragédie et ce qu’elle a de commun avec l’
histoire
. Le récit poétique est ce qui la distingue de cel
ions ; selon leur siècle, leur pays, leur gouvernement ; et d’après l’
histoire
, ou la renommée, ou l’opinion. Les mœurs seront r
muser un instant ; ce n’est pas lui qui doit nous instruire. § 67.
Histoire
de l’épopée. La poésie où l’on rappelle les gr
le. Son génie original ouvrit une route nouvelle : en choisissant une
histoire
récente pour sujet d’un poème épique, il s’est ôt
e plus d’esprit que de génie, plus de coloris que d’invention, plus d’
histoire
que de poésie ; que les portraits, quoique très b
uède, par Voltaire ; on sait que c’est un des morceaux brillants de l’
histoire
de Charles XII. Ce même parallèle s’offrait natur
de rois guerriers, leurs généraux animés par le seul souvenir de leur
histoire
. Aussi le czar disait-il, en commençant cette gue
à la finesse ou à l’esprit ; c’est la simplicité noble du style de l’
histoire
, et l’imposante gravité qui lui convient. Écouton
rceau pourrait être déplacé, et dégraderait peut-être la majesté de l’
histoire
; mais a-t-on fait attention qu’entraîné par la m
érents, doivent se rapprocher aussi de l’œil du spectateur. Puisque l’
histoire
est et doit être un tableau, l’historien doit don
sciences, il conçut, à l’âge de trente-deux ans, le projet d’écrire l’
Histoire
de la nature. Publié entre 1749 et 1788, cet ouvr
iance, plus de raison que de chaleur1. (Discours sur le style.) L’
histoire
naturelle comparée a l’histoire politique Com
leur1. (Discours sur le style.) L’histoire naturelle comparée a l’
histoire
politique Comme, dans l’histoire civile, on c
’histoire naturelle comparée a l’histoire politique Comme, dans l’
histoire
civile, on consulte les titres, on recherche les
maines et constater les dates des événements moraux : de même, dans l’
histoire
naturelle, il faut fouiller les archives du monde
omme la distance ; notre vue y décroît, et s’y perdrait de même, si l’
histoire
et la chronologie n’eussent placé des fanaux, des
sanguinaire, fût également enseveli dans la nuit de l’oubli ! Ainsi l’
histoire
civile, bornée d’un côté par les ténèbres d’un te
s successivement les peuples soigneux de leur mémoire : au lieu que l’
histoire
naturelle embrasse également tous les espaces, to
eaux, et je compte faire imprimer cet hiver le premier volume de leur
histoire
. Je vous porterai le discours préliminaire de ce
r les grands phénomènes de l’univers. Il se proposait de vulgariser l’
histoire
naturelle, et voulait frapper les imaginations. Q
entale dans ces traits. Buffon se complaît trop à faire passer dans l’
histoire
naturelle des maximes morales ou philanthropiques
les éloges , sur l’éloquence de la chaire, sur la manière d’écrire l’
histoire
, sur la critique ! Que de Livres de l’Orateur, de
me Beaumarchais et M. Scribe. La rhétorique renfermerait donc toute l’
histoire
littéraire. J’ai déjà dit que la prétention me pa
opos du récit, par exemple, point de traité sur la manière d’écrire l’
histoire
ou le roman, mais quelques préceptes sur la dispo
utre objet que l’exposition de certains faits, racontés ou dialogués,
histoire
, roman, épopée, drame, etc., l’ordre chronologiqu
Scaliger. Les récits les plus étranges deviennent admissibles, dans l’
histoire
, dès qu’on échelonne convenablement les circonsta
n des éléments de la clarté. M. Villemain dit finement, à propos de l’
Histoire
de Louis XI par Duclos : « Malgré la méthode, les
is XI par Duclos : « Malgré la méthode, les dates, les détails, cette
histoire
est obscure. Elle est obscure, parce qu’elle n’in
de ce monde que jamais nul empire et nul succès n’ont pu assujettir l’
histoire
, et en imposer par elle à la postérité. Des génér
leurs pères, et maintenir sur leur tombe le faux éclat de leur vie. L’
histoire
, un jour ou l’autre, sous la plume ignorée d’un c
, accablés du spectacle de la terre et du ciel, des perspectives de l’
histoire
et des horizons sans fin de l’avenir, nous ne pou
lui apparaissent et sollicitent son génie et son cœur. Il lit dans l’
histoire
de ses pères l’exemple de ceux qui ont honoré un
’est la suprématie de l’esprit, c’est, avec l’éloquence et le goût, l’
histoire
du monde, la science des tyrannies et des liberté
l’espace que l’œil embrasse d’une fenêtre : une heure est pour lui l’
histoire
; une maison l’univers, une caresse la fin derniè
on aide une meilleure parole que la parole qui l’aura trompé. Voilà l’
histoire
de l’homme ; écoutez celle du peuple. Un peuple e
i un drapeau. L’idée lui manque, et avec elle la vertu, le progrès, l’
histoire
, la stabilité. Mais voici que tout change. Ce peu
siècle sa durée. Il en compte les révolutions, et distribue sa propre
histoire
dans le cycle où toutes les nations ont renfermé
a suite continue de morceaux choisis chez les écrivains classiques, l’
histoire
de la langue et de la littérature, de leur marche
els ils ressortent, constituent par leur réunion et leur ensemble une
histoire
de la littérature française ; nous croyons seulem
aux élèves, d’abord un résumé, puis les principaux documents de cette
histoire
, ceux-ci encadrés dans celui-là ; qu’il suppléera
il suppléera, dans la mesure modeste que limite un seul volume, à des
histoires
, œuvres de science littéraire et de critique, don
né. Pourquoi, par exemple, y faire entrer des pages du Discours sur l’
Histoire
universelle et de la Grandeur des Romains, quand
onde. Ce double fait est consacré par le nom de « Renaissance » que l’
histoire
a donné au xvie siècle, et qui constate, avec la
laissons donc pas tromper par la date de 1549 ; elle ne partage pas l’
histoire
littéraire du xvie siècle en deux périodes ; ell
e littéraire du xvie siècle en deux périodes ; elle ne partage que l’
histoire
de sa poésie ; le manifeste de Du Bellay appelle
la seconde par les prosateurs. Quelques lignes suffiront à résumer l’
histoire
de la poésie du xvie siècle, qui n’entre que com
s doublées, dans les institutions politiques » (Michelet, Précis de l’
Histoire
moderne). — Voilà ce qu’ont fait les prosateurs d
ent les Pasquier et les Pithou : elle éclairait le droit romain par l’
histoire
et la littérature antique. La science du droit fr
n latin et en français, des ouvrages, parmi lesquels se distingue son
Histoire
ecclésiastique de l’Eglise réformée au royaume de
s, mais complet en son ensemble, sera terminé, si nous ajoutons que l’
histoire
du xvie siècle, que nous avons déjà trouvée dans
que de pareils noms ne sauvent pas de l’oubli, mais que conserve à l’
histoire
la collection de Petitot ; et ces deux nobles fig
nt les Mémoires sont l’œuvre charmante d’une « après-dînée ». Enfin l’
histoire
proprement dite compte le calviniste La Popeliniè
deux ont fait apprécier de Bossuet leur impartiale exactitude dans l’
histoire
de leur temps, et Théodore Agrippa d’Aubigné (155
leur temps, et Théodore Agrippa d’Aubigné (1550-1630), qui, dans son
Histoire
universelle, sait raconter et peindre. Tel fut le
myot dit grande peine et grand’ peine, au lieu de grand peine, dont l’
histoire
de l’orthographe a établi la logique ; — que baye
ses formes et dans tous ses objets, philosophie, morale, législation,
histoire
, médecine, astronomie, marine, guerre, jeux, gymn
vivent qu’en la mémoire des livres : il practiquera, par le moyen des
histoires
, ces grandes ames des meilleurs siècles. C’est un
e de son debvoir qu’il mourust là. Qu’il ne luy apprenne pas tant les
histoires
qu’à en juger. C’est à mon gré, entre toutes, la
e la diversité de leurs dogmes et fantasies. En ce genre d’estude des
histoires
, il fault feuilleter, sans distinction, toutes so
lierement me semble meriter qu’on l’estudie, non pour la science de l’
histoire
seulement, mais pour luy mesme : tant il a de per
et les differents rapports qu’on luy faisoit : c’est la matiere de l’
histoire
nue et informe ; chascun en peult faire son prouf
orceaux ; ils se donnent loy de iuger, et par consequent d’incliner l’
histoire
à leur fantasie ; car, depuis que le iugement pen
lusieurs ordonnances célèbres, tiennent une place considérable dans l’
histoire
du xvie siècle. Les harangues qu’il prononça, à
e luy donq, qui a bien voulu emprunter de nostre langue les noms et l’
histoire
de son poëme, choisy moy quelqu’un de ces beaux v
(7 vol. in-4°, publiés dans la Collection des documents inédits de l’
Histoire
de France, 1843-1835, et complétés par différente
s théologiques, au cardinal Du Perron ; il écrit dans la retraite son
Histoire
universelle de 1550 à 1610 (1616-1620), que le bo
Ie siècle Les deux périodes du XVIIe siècle. Les prosateurs L’
histoire
littéraire du xviie siècle, comme son histoire p
. Les prosateurs L’histoire littéraire du xviie siècle, comme son
histoire
politique, se partage en deux périodes d’inégale
elé le grand Arnauld, la plume la plus infatigable du siècle ; dans l’
histoire
, encore Bossuet et bientôt Saint-Simon, qui égale
ans une ville où, sous son successeur, Voltaire ne pourra publier son
histoire
, où il ira, bâtonné, à la Bastille. La noblesse d
e est encore belle, et vous vous pourmènerez tous les jours parmi les
histoires
et les fables. Mais ce sont les amusemens d’un es
e, dans deux cents ans, ceux qui viendront après nous liront en notre
histoire
que le cardinal de Richelieu a démoli la Rochelle
nce, et que dans un moindre rang on soit à couvert de ces malheurs. L’
histoire
dédaigne de les marquer, à moins qu’ils ayent acc
rt-Royal deux lettres (1666) ; avec pureté, plus tard, un Abrégé de l’
histoire
de Port-Royal ; avec une gravité douce et touchan
Le nom de Bossuet rappelle la plus haute autorité religieuse de notre
histoire
ecclésiastique et le plus grand style de notre li
des Méditations sur l’Évangile, des Élévations sur les mystères, une
Histoire
des variations des Églises protestantes ; une Pol
té du libre arbitre, une Logique, etc. ; historien, le Discours sur l’
histoire
universelle. Plusieurs de ces ouvrages ont été co
le de les contenter, quoi qu’on fasse. Sans remonter bien loin dans l’
histoire
des siècles passés, le nôtre a vu Henri IV, votre
cle ; ami de la plupart des Académiciens avant d’être leur historien (
Histoire
de l’Académie françoise, 1653) et leur confrère (
requêtes, secrétaire de Louis XIV, historiographe, historien du roi (
Histoire
de Louis XIV, 1660-1678), économe royal, administ
out à fait différentes : témoin la réponse de ce bon religieux, que l’
histoire
n’a pas trouvée indigne d’être rapportée, quand l
e plus rien qu’elle-même et les mouvemens généreux de son cœur. Que l’
histoire
marque un jour dans ses monumens éternels : « Lou
la mort étoit attachée, et quelle mort ! vous n’avez qu’à lire cette
histoire
. L’on veut qu’une religion subsistante par un mir
ls divers (10 volumes), de 1854 à 1865, par M. Théophile Lavallée ; l’
Histoire
de la maison de Saint-Cyr, par le même ; l’Histoi
hile Lavallée ; l’Histoire de la maison de Saint-Cyr, par le même ; l’
Histoire
de Mme de Maintenon, par M. de Noailles, de l’Aca
1680 des fonctions de trésorier des finances à Caen, pour enseigner l’
histoire
au petit-fils du grand Condé. Dès lors, à Versail
de temps à vous. Employez le reste du temps libre à lire des livres d’
histoire
, de fortifications, et de tout le reste qui est u
, mais il ne le sera pas parmi ces bons rois, et l’on ne rappellera l’
histoire
de son règne que pour rappeler le souvenir des ma
eau et les Racine ; — et, avec l’auteur des Dialogues des Morts, de l’
Histoire
des Oracles, des Entretiens sur la Pluralité des
en 1697, secrétaire perpétuel de l’Académie des sciences, écrivit son
Histoire
de 1666 a 1699, et, à la différence de ses prédéc
dont je voulois parler, et je m’attendois bien483 à savoir de vous l’
histoire
du temps que vous avez vu, et où régnoit tant de
Scapin, et d’un spirituel et fantastique Voyage dans la lune et d’une
Histoire
des États du soleil — ni le Normand Sarrazin (160
ristote mieux que ses traducteurs et ses commentateurs » (M. Géruzez,
Histoire
de la littérature française), écrivit avec succès
ruzez, Histoire de la littérature française), écrivit avec succès une
Histoire
du siège de Dunkerque, et se surpassa dans son Hi
ec succès une Histoire du siège de Dunkerque, et se surpassa dans son
Histoire
de la conjuration de Waldstein ; — ni le Parisien
r, auxquels mit peut-être la main Segrais, son secrétaire, résument l’
histoire
de cette vie pure et de cette âme délicate. Au mi
nta le premier aux sources et aux documents originaux pour écrire son
Histoire
de France (3 vol. in-folio). Son caractère indépe
oriographe à la cour du duc de Savoie. U écrivit plusieurs ouvrages d’
histoire
et de critique. Le style sobre et précis, les por
et de critique. Le style sobre et précis, les portraits serrés de son
Histoire
de la conjuration des Espagnols contre la républi
sraélites (1681), Mœurs des Chrétiens (1682). Le plus considérable, l’
Histoire
ecclésiastique (elle s’arrête en 1414) fait autor
retraite des cures modestes qu’il eut près de Paris et de Rouen, une
Histoire
des révolutions de Portugal (1689) et une Histoir
s et de Rouen, une Histoire des révolutions de Portugal (1689) et une
Histoire
des révolutions de Suède (1696), plus courtes et
des révolutions de Suède (1696), plus courtes et mieux venues que son
Histoire
des révolutions de la République romaine (1719),
des écrits philosophiques et théologiques. Il eût été oublié sans son
Histoire
de France (17 vol. in-4°), histoire purement mili
iques. Il eût été oublié sans son Histoire de France (17 vol. in-4°),
histoire
purement militaire, mais bien ordonnée et bien éc
uceurs, on pût voir la guerre ou des barricades autre part que dans l’
histoire
d’Henri III. Enfin cette plaisanterie dura tout l
en 1721, par les Lettres Persanes ; Buffon, qui commence en 1739 son
Histoire
naturelle ; Rousseau, qui donne son premier Disco
écrits dans notre langue après les livres de génie » (Villemain), une
Histoire
ancienne et une Histoire romaine, œuvres de moral
après les livres de génie » (Villemain), une Histoire ancienne et une
Histoire
romaine, œuvres de morale plus que d’érudition. V
ns les discours même que l’on a à composer, il n est point question d’
histoire
grecque ou romaine, de philosophie, de mathématiq
fécondité ; une doctrine judicieuse, moins attentive à nous tracer l’
histoire
des pensées d’autrui qu’à nous apprendre à bien p
cles pour l’Encyclopédie qui ont formé le Dictionnaire philosophique,
Histoire
du Parlement, Annales de l’Empire, Essais sur les
Essais sur les mœurs et l’esprit des nations, qui est une revue de l’
histoire
, de Charlemagne à Charles-Quint, Vie de Charles X
se fit d’abord connaître à l’Académie de Bordeaux par des Mémoires d’
histoire
naturelle, puis à la France par la spirituelle sa
on qui le conduisoit, et que ceux qui ont voulu faire un roman de son
histoire
et qui avoient l’esprit plus gâté que lui, n’ont
i étonné les hommes, et c’est beaucoup. Repassez dans votre mémoire l’
histoire
de ma vie : vous verrez que j’ai tout tiré de ce
ne pouvoir l’éviter. Un honnête homme (Rollin) a, par ses ouvrages d’
histoire
, enchanté le public. C’est le cœur qui parle au c
imple soit l’ouvrage des hommes ! Se peut-il que celui dont il fait l’
histoire
ne soit qu’un homme lui-même ? Est-ce là le ton d
d’un sage, la vie et la mort de Jésus sont d’un dieu. Dira-t-on que l’
histoire
de l’Évangile est inventée à plaisir ? Ce n’est p
decin de Louis XIII. C’est alors (1739) qu’il conçut le projet de son
Histoire
naturelle : il en poursuivit l’exécution pendant
s seroient ses premiers mouvemens ? Si cet homme vouloit nous faire l’
histoire
de ses premières pensées, qu’auroit-il à nous dir
ses premières pensées, qu’auroit-il à nous dire ? Quelle seroit cette
histoire
? Je ne puis me dispenser de le faire parler lui-
mort. (Ibid., les Quadrupèdes, Art. Chameau.) Comparaison de l’
histoire
politique et de l’histoire naturelle Comme, d
èdes, Art. Chameau.) Comparaison de l’histoire politique et de l’
histoire
naturelle Comme, dans l’histoire civile, on c
de l’histoire politique et de l’histoire naturelle Comme, dans l’
histoire
civile, on consulte les titres, on recherche les
umaines et constater les dates des événemens moraux ; de même, dans l’
histoire
naturelle, il faut fouiller les archives du monde
comme la distance ; notre vue y décroît et s’y perdroit de même, si l’
histoire
et la chronologie n’eussent placé des fanaux, des
sanguinaire fût également enseveli dans la nuit de l’oubli ! Ainsi l’
histoire
civile, bornée d’un côté par les ténèbres d’un te
s successivement les peuples soigneux de leur mémoire ; au lieu que l’
histoire
naturelle embrasse également tous les espaces, to
ature étant contemporaine de la matière, de l’espace et du temps, son
histoire
est celle de toutes les substances, de tous les l
sont nulle part mieux peints ; l’on y peut prendre une teinture de l’
histoire
de la Grèce et même de celle de Rome. L’on ne mes
ité me sourient. Le mélange des êtres allégoriques et réels donne à l’
histoire
l’air d’un conte, et, pour trancher le mot, ce dé
chef et l’orateur le plus éclatant du groupe politique célèbre dans l’
histoire
de la Révolution sous le nom de Girondins. Il est
ramène au combat. Il faut écrire, il faut quitter le crayon lent de l’
histoire
de la révolution, que je traçais au coin du feu,
(1715-1771) et l’athéisme avec le baron d’Holbach (1723-1789). Dans l’
histoire
, à l’esprit critique qui manquait chez Rollin, se
système chez l’abbé Dubos (1670-1742), apôtre du tiers-état dans son
Histoire
critique de rétablissement de la monarchie dans l
éclairé des textes et documents du passé, dans ses Observations sur l’
histoire
de France, le plus célèbre de ses nombreux ouvrag
’abbé Raynal (1713-1796), déclamateur, quelquefois éloquent, dans son
Histoire
philosophique et politique des établissements et
it admirer la profondeur de ses vues et l’éclat de son style dans son
Histoire
de l’anarchie de Pologne. Gaillard (1726-1806) ma
non de pénétration, mais de méthode dans ses nombreux ouvrages sur l’
histoire
de France, dont le plus connu est une Histoire de
ombreux ouvrages sur l’histoire de France, dont le plus connu est une
Histoire
de François Ier , écrite avec élégance. — Les tra
er , écrite avec élégance. — Les travaux d’Anquetil (1723-1806) sur l’
histoire
de France ; l’Histoire de France de Velly (1709-1
ce. — Les travaux d’Anquetil (1723-1806) sur l’histoire de France ; l’
Histoire
de France de Velly (1709-1759), continuée par Vil
ée, et qui a fait oublier ses tragédies de l’école de Voltaire et son
Histoire
des Voyages ; — avec une compétence sûre en un su
entier dans le tombeau. (Thomas.) Sully dans la disgrâce L’
histoire
a peint des sages dans la retraite, des héros dan
lle se continue et s’achève en même temps dans la prose. C’est dans l’
histoire
et le roman qu’elle est le plus considérable et l
re et le roman qu’elle est le plus considérable et le plus féconde. L’
histoire
, avec M. Guizot, cherche et démêle le problème d’
elle organisation sociale sous une révolution politique (Essais sur l’
histoire
de France, 1823) et la marche de la civilisation
e originaire d’Italie, met toute sa science et son éloquence dans une
Histoire
des républiques italiennes, et, pour la première
oire des républiques italiennes, et, pour la première fois, donne une
histoire
de la nation, plus que de la royauté française (H
s, donne une histoire de la nation, plus que de la royauté française (
Histoire
des Français). À ce vaste monument, un Français,
). À ce vaste monument, un Français, M. Henri Martin, ajoute le sien (
Histoire
de France), œuvre d’érudit et de patriote. M. Thi
verselle compétence et sa lumineuse clarté vingt-cinq années de notre
histoire
(Révolution, Consulat et Empire) ; Lamartine, ave
Louis Blanc, une période de la dernière monarchie constitutionnelle (
Histoire
de Dix ans, 1830-1840), avec l’âpreté d’un sectai
’un tribun. En même temps qu’eux ou après eux, M. Villemain donne une
Histoire
de Cromwell ; M. de Champagny, une Histoire des C
x, M. Villemain donne une Histoire de Cromwell ; M. de Champagny, une
Histoire
des Césars ; le Père Lacordaire, une Vie de saint
saint Dominique ; cinq autres académiciens, MM. de Montalembert, une
Histoire
de sainte Élisabeth de Hongrie et une Histoire de
. de Montalembert, une Histoire de sainte Élisabeth de Hongrie et une
Histoire
des Moines d’Occident jusqu’à saint Bernard ; de
Histoire des Moines d’Occident jusqu’à saint Bernard ; de Falloux, l’
histoire
d’un roi (Louis XVI) et d’un saint (Pie V) ; A. d
éodose (L’Église et l’Empire romain au ive siècle) ; C. Rousset, une
Histoire
de Louvois ; de Noailles, de Mme de Maintenon. M.
de Maintenon. M. Théophile Lavallée fait, entre autres ouvrages, une
Histoire
de la maison royale de Saint-Cyr. M. Lanfrey refa
Lanfrey refait à un peint de vue démocratique et laisse inachevée une
Histoire
de Napoléon Ier . M. de Vaulabelle raconte les de
aurations (1814-1830). M. Wallon débute par une œuvre considérable, l’
Histoire
de l’esclavage dans l’antiquité. M. Amédée Thierr
l’esclavage dans l’antiquité. M. Amédée Thierry, qui a débuté par une
Histoire
des Gaulois, en 1828, qui a continué par une Hist
débuté par une Histoire des Gaulois, en 1828, qui a continué par une
Histoire
d’Attila et de ses successeurs, écrit encore en 1
eurs, écrit encore en 1861 des travaux sur les ive et ve siècles. L’
histoire
, en notre siècle, n’est pas seulement une étude d
éraire, qui, avec La Harpe, ne jugeait que les œuvres, s’éclaire de l’
histoire
, avec M. Villemain, et replace l’écrivain dans la
te. La critique artistique reflète l’esprit du siècle. Éclairée par l’
histoire
et l’analyse, elle n’est pas exclusive : elle con
tion est l’Académie des Inscriptions et belles-lettres qui continue l’
Histoire
littéraire de la France commencée par les Bénédic
t souvent aussi le mérite et l’intérêt principal du genre qui, avec l’
histoire
, s’est assurément le plus développé en ce siècle,
ues et amusantes équipées des héros d’Alexandre Dumas au travers de l’
histoire
de France, et de la Notre-Dame de Paris de Victor
e de la raison. Néanmoins ils doivent se ranimer en observant, dans l’
histoire
de l’esprit humain, qu’il n’a existé ni une pensé
de certains sentiments qui ont ébranlé votre cœur font époque dans l’
histoire
de vos impressions solitaires. Alors que le crimi
u point élevé du Capitole où Corinne l’avait conduit. La lecture de l’
histoire
, les réflexions qu’elle excite agissent moins sur
oumis à des maîtres sans gloire, on trouve des siècles entiers dont l’
histoire
peut à peine conserver quelques faits ; et ce For
ibuent à donner à Rome je ne sais quoi de rustique, qui va bien à son
histoire
: ses premiers dictateurs conduisaient la charrue
a poésie convient plus particulièrement à l’enfance des peuples, et l’
histoire
à leur vieillesse. La simplicité des mœurs pastor
e.) Napoléon (1769-1821) Notice Napoléon appartient à l’
histoire
littéraire de son temps par ses proclamations mil
ons de faire un empereur, et pour ma part, je n’y ai pas nui. Voici l’
histoire
. Ce matin, d’Anthouard698 nous assemble, et nous
otre vie ; et mettez-vous bien dans l’esprit que tous les mémoires et
histoires
de vos académies, depuis leur fondation, ne font
itoire. On oublie qu’on meurt de faim : les voilà tous à griffonner l’
histoire
d’aujourd’hui ; je fais comme eux en enrageant. F
rs, La France venait d’être visitée par les plus grands revers de son
histoire
. Tandis que les flots emportaient loin d’elle l’h
public, député, pair de France ou ministre. Historien, il a donné des
Histoires
de Cromwell et de Grégoire VII, et diverses étude
né des Histoires de Cromwell et de Grégoire VII, et diverses études d’
histoire
moderne ; critique (c’est sa meilleure part), il
erne ; critique (c’est sa meilleure part), il a professé et écrit des
histoires
de la Littérature au moyen âge en France, en Ital
ours, dans les fêtes, qu’il a recueilli les documents de son ouvrage,
histoire
presque universelle des États de l’Europe depuis
centre de récit, premier objet de l’historien, venaient se réunir des
histoires
tout entières, amenées là comme par épisode. Du G
itions, l’historien mis en scène, ses aventures mêlées aux faits de l’
histoire
. Dans un voyage qu’il fit pour conduire quatre lé
oir un avantage sur les anciens. Dans les discours qui parsèment leur
histoire
, vous reconnaissez l’écrivain plus que le personn
plus considérables de ses travaux historiques, dans ses Essais sur l’
histoire
de France, il a éclairé la vie civile et politiqu
été gallo-romaine et franque ; dans ses cours publics, il a déroulé l’
histoire
philosophique de la Civilisation en Europe, de la
ique de la Civilisation en Europe, de la Civilisation en France, et l’
histoire
du Gouvernement représentatif ; dans l’Histoire d
ation en France, et l’histoire du Gouvernement représentatif ; dans l’
Histoire
de la Révolution d’Angleterre et dans la Vie de W
re de la barbarie se trouve empreint avec toute son énergie ; c’est l’
Histoire
de la conquête de l’Angleterre par les Normands,
ont vraiment agi sur notre littérature et marqué leur trace dans son
histoire
. Par une confiscation sans exemple, le Journal de
e, si ce n’est Cromwell, n’a tenu, de son temps, plus de place dans l’
histoire
d’Angleterre ; nul n’a pris tant de soin pour tra
; nul n’a pris tant de soin pour transmettre à la postérité sa propre
histoire
dans celle de son temps. La postérité lui en a te
e bien connaître, à d’autres générations, et son temps et lui-même. L’
histoire
de la grande Rébellion et les Mémoires sur sa vie
usin le fondateur de l’éclectisme spiritualiste et le théoricien de l’
histoire
de la philosophie, dans la seconde l’historien cu
ple de Buffon, il continua, sur son invitation même, la partie de son
Histoire
naturelle qui traite des animaux, et publia, en 1
lques mois avant la mort de celui qui lui avait ouvert la carrière, l’
Histoire
des Reptiles, suivie plus tard de celle des Poiss
imites du temps, et à retrouver, au moyen de quelques observations, l’
histoire
de ce monde et une succession d’événements qui on
nic et des Kepler766, qui ont frayé la route à Newton ; et pourquoi l’
histoire
naturelle n’aurait-elle pas aussi un jour son New
ments sont clairement empreints partout pour l’œil qui sait en lire l’
histoire
dans leurs monuments. (Discours sur les révolut
é. M. de Lacépède s’empressa de le remercier, mais au nom du muséum d’
histoire
naturelle, où il avait pensé, disait-il, que s’ad
jusqu’au dernier moment : il a écrit auprès d’elle une partie de son
histoire
des poissons, et sa douleur s’exhale en plusieurs
à étudier avec zèle, avec plaisir, je dirai même avec enthousiasme, l’
histoire
de quelques nations inconnues qui ont joué sur la
tait-il pas le fils d’un cordonnier ? Ce très-petit incident de notre
histoire
littéraire semblait donc devoir rester dans l’obs
nce historique. Son premier levier a été une conception nouvelle de l’
histoire
, dont il attribue généreusement l’inspiration rév
ent à la science, et c’est comme Milton qu’il a dicté son Essai sur l’
histoire
de la formation et des progrès du tiers-état, pub
et des progrès du tiers-état, publié en 1853. Dans ses Lettres sur l’
histoire
de France (1820 et 1827), dans ses Dix ans d’Étud
effacée sous l’uniformité banale de la convention historique ; dans l’
Histoire
de la conquête de l’Angleterre par les Normands (
gleterre par les Normands, livre III. — Édition Garnier frères.)
Histoire
véritable de Jacques Bonhomme788. D’après les doc
e des plus hautes et des plus complètes facultés de l’intelligence. L’
histoire
fut l’honneur de la première partie de sa carrièr
gence. L’histoire fut l’honneur de la première partie de sa carrière (
Histoire
de la Révolution française, 10 vol., 1823-1827) ;
te jusqu’au jour où il reparut sur la scène politique pour y grandir (
Histoire
du Consulat et de l’Empire, 20 vol., 1845-1862).
tarque et Quinte-Curce : il y cherchait l’aliment des grandes âmes, l’
histoire
des héros de l’antiquité, Il était capricieux, in
x lui a permis de le parcourir tout entier. Les principaux sont : une
Histoire
de la Révolution française de 1789 à 1814 (1824),
espect dû à un confrère illustre, mais avec l’impartialité qu’exige l’
histoire
à laquelle il appartient. M. Sieyès était plus un
en 1803, de la cour de Napoléon, et qui dut à ses écrits historiques (
Histoire
romaine, Histoire ancienne, Histoire de France) u
r de Napoléon, et qui dut à ses écrits historiques (Histoire romaine,
Histoire
ancienne, Histoire de France) un fauteuil académi
ui dut à ses écrits historiques (Histoire romaine, Histoire ancienne,
Histoire
de France) un fauteuil académique, le général Phi
nts et de grandes catastrophes élèvent souvent jusqu’à l’éloquence, l’
Histoire
de Napoléon et de la Grande Armée pendant l’année
ns tracé avec le fer et le sang l’une des plus grandes pages de notre
histoire
; quelques débris le disaient encore, et bientôt
il succéda à Daunou en 1838 ; des ouvrages historiques considérables (
Histoire
romaine, Histoire de France, Histoire de la Révol
u en 1838 ; des ouvrages historiques considérables (Histoire romaine,
Histoire
de France, Histoire de la Révolution française, P
ages historiques considérables (Histoire romaine, Histoire de France,
Histoire
de la Révolution française, Précis de l’histoire
Histoire de France, Histoire de la Révolution française, Précis de l’
histoire
moderne, un chef-d’œuvre, etc.) ; des livres empr
onuments de l’antiquité, et des archives de tous les siècles de notre
histoire
, dont ses fonctions à la Section historique des A
les pulsations de l’opinion publique ; il fait palpiter le cœur de l’
histoire
. « Il semble, dit M. Despois de son Histoire de F
it palpiter le cœur de l’histoire. « Il semble, dit M. Despois de son
Histoire
de France, qu’il l’avait vécue avant de l’écrire.
euple au pied de l’autel de la Fédération. Dans sa manière d’écrire l’
histoire
, des qualités de premier ordre compensent chez lu
t-il. — Qui ? — La pauvre Jeanne d’Arc. » Telle est la force de cette
histoire
, telle sa tyrannie sur le cœur, sa puissance pour
canonisation, ni culte, ni autel. On n’a pas prié, mais on pleure. L’
histoire
est telle : Une enfant de douze ans, une toute je
tinés à un cours, non professé, au Collège de France ; et surtout une
Histoire
de Port-Royal, monument d’érudition qui l’occupa
clémence d’un père ; et, en même temps, il explique, par cette belle
histoire
, comment il entend le cœur d’un père à qui le rep
es deux sortes de sentiments répondent à deux phases différentes de l’
histoire
littéraire des nations : il y a les sentiments qu
e mérite de cette sorte d’ouvrages, c’est qu’ils sont en même temps l’
histoire
d’un homme et l’histoire des événements854. Point
’ouvrages, c’est qu’ils sont en même temps l’histoire d’un homme et l’
histoire
des événements854. Point de bons Mémoires, si l’a
es : être soi, c’est-à-dire garder sa physionomie particulière dans l’
histoire
générale de son temps, et être quelque chose, c’e
ridité, fin sans recherche, qui ne se dément jamais dans ses Études d’
histoire
et de littérature, et dont sa grande Histoire de
amais dans ses Études d’histoire et de littérature, et dont sa grande
Histoire
de la littérature française est le plus parfait m
groupant dans le Globe, étudia, écrivit sur les arts, les lettres, l’
histoire
, et prépara des hommes politiques aux années qui
. Son étude sur Lesueur (1843), qui contient un tableau critique de l’
histoire
de la peinture jusqu’au milieu du xviie siècle,
e presse respectueusement une foule illustre : Hérodote, le père de l’
histoire
, jette l’encens sur les charbons du trépied, rend
le déchiffrer, le blason est une algèbre, le blason est une langue. L’
histoire
entière de la seconde moitié du moyen âge est écr
de la seconde moitié du moyen âge est écrite dans le blason, comme l’
histoire
de la première moitié dans le symbolisme des égli
jours Guérande, la ville illustre où se signa le traité fameux dans l’
histoire
, la clef de la côte, et qui accuse, non moins que
istoriques de France, il a écrit des études d’art et d’archéologie. L’
histoire
romaine et l’histoire de Russie lui ont fourni le
il a écrit des études d’art et d’archéologie. L’histoire romaine et l’
histoire
de Russie lui ont fourni le sujet d’études épisod
mann Lévy, éditeur.) 1. Très joyeuse, plaisante, récréative,
histoire
composée par le loyal serviteur, des faits, geste
de la création. 88. Saisir, comprendre. 89. Traduit par M. Géruzez (
Histoire
de l’éloquence poitique et religieuse en France,
que, Epist. 75. 121. Buchanan (1506-1582), poète latin et historien (
Histoire
de l’Écosse). 122. Muret (1526-1585), de Muret p
166. Cf. Balzac, les Fléaux de Dieu ; Bossuet, fin du Discours sur l’
Histoire
universelle. 167. Ce second que est explétif. 1
nd Condé pleurant aux vers du grand Corneille. (Voltaire). 283.
Histoire
de la littérature française, livre III, chap. VII
re de la littérature française, livre III, chap. VII. 284. Précis d’
histoire
moderne, chapitre XIX. 285. Corneille et son te
eurs appelaient mazarinistes ou mazarins les partisans de Mazarin ; l’
histoire
a appelé mazarinades, les pamphlets écrits contre
elation tragi-comique de cette session, assises judiciaires et salon,
histoires
et historiettes, criminels et originaux de provin
hristian., part. iii, liv. ΙII, ch. 7) : « Rollin est le Fénelon de l’
histoire
. » 552. Ce petit garçon que vous voyez là-bas,
u et éloquent. 653. Les grands tableaux de la nature, des arts, de l’
histoire
, éveillent la pensée et l’enthousiasme chez Mme d
teur de l’esthétique moderne par ses nombreux ouvrages et surtout son
Histoire
de l’art chez les anciens. 671. Virgile, Géorg.,
e (1734), reprise en 1765. 736. « Si vous avez le courage de lire l’
histoire
, vous serez charmé d’Hérodote, de Polybe et de Xé
s Sciences, puis de l’Académie française. Son principal ouvrage est l’
Histoire
de l’astronomie, publiée en 1775-85. Il présida l
nquérant, quand il fut devenu Guillaume Ier, roi d’Angleterre. 788.
Histoire
allégorique du peuple de France, sous un nom donn
on, madame de Maintenon par Babbien, sa vieille servante. » (Précis d’
histoire
moderne, ch. XIX ; 1833.) 822. Cf. Vauban, Dixme
i me dit… J’appris du prince… Je conseillai… De plus, dans ce genre d’
histoire
, il n’est pas obligé de renoncer à ses passions (
assan, de Palma le jeune, etc. Ils représentent des sujets tirés de l’
histoire
de Venise. 881. Broderies employées en bordures
t-Jacques. 913. 1620-1670. En 1724 fut publié son ouvrage intitulé :
Histoire
et antiquités de la ville de Paris. C’est lui que
du céleste courroux ; Peut-être il obtiendra la guérison commune : L’
histoire
nous apprend qu’en de tels accidents On fait
. Walckenaer a donné sur lui un livre plein de recherches curieuses :
Histoire
de la vie et des ouvrages de Jean de La Fontaine.
Harpe (Cours de littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (
Histoire
de la littérature française), etc. Il est de plus
ns de l’époque classique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux
Histoires
de la littérature française qu’ont fait paraître
lications morales en sont bien autrement importantes. C’est presque l’
histoire
de toute société humaine. » 6. Espèce de chariot
e : il était même remonté fort au delà de Rabelais et de Marot dans l’
histoire
de notre littérature ; et, comme l’observe le com
ument qui ait été exécuté sur les origines, le fonds et la suite de l’
Histoire
de France. L’ensemble en est imposant. Ses travau
ions : tels sont les mérites éminents de ce grand esprit qui aborda l’
histoire
en homme d’État, prédestiné aux luttes et aux tri
l’échafaud, il y meurt, justement, je le veux : Est-ce fini ? Non : l’
histoire
est là qui a aussi à le juger, et la justice de l
. Je comprends que Hampden l’ait condamné ; je ne comprends pas que l’
histoire
, en le chargeant de ce qui fit sa ruine, ne prenn
la sienne, et, au dernier moment, de sympathiser avec ce grand cœur. (
Histoire
de la Révolution d’Angleterre. Didier.) Mirab
t de mort. 1. Dans une de ses odes, M. Victor Hugo parle ainsi de l’
Histoire
: Muse, il n’est point de temps que tes regards
ttoresque ; l'apologue est précis et naturel, mais riant et varié ; l'
histoire
n'emprunte ni la pompeuse diction de la tragédie,
t le plus sot que j'aie jamais lu. » Le style tempéré est celui de l'
histoire
, celui du roman, de certains dialogues, de la fab
usage : Je l'ai vu, dis-je, vu, de mes propres yeux vu. (Molière.)
Histoire
véritable du grand don Quichotte de la Manche. L
; je lui ai parlé à lui-même ; c'est un prodige étonnant ; c'est une
histoire
véritable. En haut, de mes yeux, à lui-même, éton
ue. Mais à ces connaissances, le littérateur doit joindre celles de l'
histoire
, de la géographie, de la mythologie et celles des
Anot a dit : Puisque les mœurs, la religion, le langage, le climat, l'
histoire
, les sites, les productions de la terre ne sont p
de grammaire du même auteur, les règles de la versification.) L'
histoire
. L'histoire est le récit des événements qui in
u même auteur, les règles de la versification.) L'histoire. L'
histoire
est le récit des événements qui intéressent les h
le récit des événements qui intéressent les hommes. Elle se divise en
histoire
sacrée et en histoire profane. La première renfer
s qui intéressent les hommes. Elle se divise en histoire sacrée et en
histoire
profane. La première renferme celle des Juifs et
renferme celle des Juifs et celle de l'Eglise. La seconde comprend l'
histoire
ancienne et l'histoire moderne. L'histoire est gé
fs et celle de l'Eglise. La seconde comprend l'histoire ancienne et l'
histoire
moderne. L'histoire est générale ou particulière
ise. La seconde comprend l'histoire ancienne et l'histoire moderne. L'
histoire
est générale ou particulière ; l'histoire général
ne et l'histoire moderne. L'histoire est générale ou particulière ; l'
histoire
générale embrasse les événements du monde connu ;
ière ; l'histoire générale embrasse les événements du monde connu ; l'
histoire
particulière ne parle que de ceux d'un royaume, d
ain dans le profane si l'on remonte au-delà de quatre mille années. L'
histoire
littéraire a pour but de fixer l'époque de la nai
ès et de la décadence des arts et des sciences ; elle se rattache à l'
histoire
profane. L'histoire naturelle est un tableau abré
e des arts et des sciences ; elle se rattache à l'histoire profane. L'
histoire
naturelle est un tableau abrégé des objets que re
e ; elle se rattache à la physique. Pour ce qui regarde le style de l'
histoire
, voyez la rhétorique. Le roman. Le roman e
arer si souvent le poëte au peintre. La poésie, en effet, n’est pas l’
histoire
exacte et minutieuse de la vie humaine ; elle en
et Athalie, créations poétiques et idéales, avec toute la vérité de l’
histoire
, expriment dans des types impérissables la perfid
ut les suivre toute leur vie. Bossuet en a esquissé à grands traits l’
histoire
et les caractères. « Il se faisait (dans les anc
e cœur, et s’imprime plus aisément dans la mémoire. » (Discours sur l’
Histoire
universelle, IIe part., chap. iii.) Cette admira
inférieurs de notre poésie, ils ne nous intéressent guère que dans l’
histoire
; nous renvoyons également l’Art poétique de Boil
e l’admiration, la joie et la douleur ont fait les premiers poètes. L’
histoire
est née après l’éloquence, quand les hommes ont e
Le juste, l’utile et le beau ne sont que trois formes du vrai. V.
Histoire
. L’éloquence persuade le vrai : l’histoire le
formes du vrai. V. Histoire. L’éloquence persuade le vrai : l’
histoire
le raconte « C’est elle qui nous montre les grand
ernement à une autre. »(Fénelon, Lettre à l’Académie, viii.) 1. — L’
histoire
doit être vraie et vivante, sobre et discrète ; e
le. (Ibid.) Avec ce goût exquis, Fénelon a donné les caractères de l’
histoire
, telle qu’il l’a trouvée dans César, et telle que
postérité par ses jugements comme par ses récits. 2. — Au genre de l’
histoire
appartiennent les Mémoires, où l’auteur raconte s
a Fayette, à madame de Motteville, à Saint-Simon. 3. — Au-dessus de l’
histoire
qui juge les hommes se place la science qui étudi
es principes dans les conséquences : on l’appelle la Philosophie de l’
histoire
. Bossuet, dans le Discours sur l’histoire univers
appelle la Philosophie de l’histoire. Bossuet, dans le Discours sur l’
histoire
universelle, en a donné un modèle inimitable. 4.
t, dans la bouche d’un narrateur de génie, prend les proportions de l’
histoire
. Les Vies de Plutarque, la Vie d’Agricola par Tac
de l’histoire. Les Vies de Plutarque, la Vie d’Agricola par Tacite, l’
Histoire
de Charles XII par Voltaire, se placent parmi les
nelles de la morale et du goût, a fourni des monuments importants à l’
histoire
, des chefs-d’œuvre à la littérature. Le nom de ma
s traits, la couleur et la forme. » (Lucien, De la manière d’écrire l’
histoire
, li.) Toutefois cette fidélité rigoureuse n’exc
leaux. Il suffit de nommer Tacite et Tite-Live, ces deux maîtres de l’
histoire
, qui ont été des peintres immortels. Narration p
s, en réduisant le magnifique langage de Bossuet à la simplicité de l’
histoire
. On peut faire la même étude sur le récit de la m
a philosophie, dans la science, dans la conversation même du monde. L’
histoire
, il est vrai, ne fait guère usage des diverses fo
, dit-il, ne peut se trouver que dans les grands sujets. La poésie, l’
histoire
et la philosophie ont toutes le même objet, et un
elle les agrandit, les exagère, elle crée les héros et les dieux ; l’
histoire
ne peint que l’homme, et le peint tel qu’il est.
u’habile politique, etc. » Toute la première partie du Discours sur l’
Histoire
universelle est un modèle de concision claire et
édition classique des Oraisons funèbres de Fléchier, les notes sur l’
Histoire
de Théodose, p. 325 et suiv.) Il ne faut pas que
la plus aisée, la plus coulante que la poésie ait jamais parlée. Son
histoire
est celle de tous les grands écrivains. Souvent m
urs prêt à donner la paix à ses ennemis et à l’empire. » (Disc, sur l’
Histoire
universelle, Ire partie, Xe époque.) Mithridate
s que lui, ils reçurent avec admiration ses ordres pour la guerre. » (
Histoire
de Charles XII, livre II). La vraie harmonie du
, le barreau, les affaires publiques, la philosophie, les sciences, l’
histoire
, les lettres, demandent avant tout lu simplicité,
, ne furent qu’une partie de cette vie prodigieuse. Le Discours sur l’
Histoire
universelle, en créant parmi nous la philosophie
sur l’Histoire universelle, en créant parmi nous la philosophie de l’
histoire
, consacra la prose la plus mâle, la plus noble, l
neille, et qui ne s’oublient jamais. Voilà les principaux traits de l’
histoire
de la prose française au xviie siècle. Encore pa
lles que les réclament par exemple la vérité et l’impartialité dans l’
histoire
, ou l’inflexibilité de la justice dans les plaido
et caractères doivent être peu fréquents et habilement faits. Dans l’
histoire
même, qui est le genre qui les emploie de préfére
ères se rencontrent à chaque instant. La raison en est simple. Dans l’
histoire
, un personnage se développe et se fait connaître
grammaire, la logique, la philosophie, la physique, la géographie, l’
histoire
et la politique. Outre ces espèces particulières
’un âne qui avait mange son foin, et dont il venait de lui raconter l’
histoire
. — Je ne veux point être liée — je ne la serai po
historique, c’est-à-dire du récit particulier d’un fait puisé dans l’
histoire
; or, trois qualités sont indispensables à ce gen
qui seraient contraires à nos opinions. L’unité. — S’il faut, dans l’
histoire
, tout rapporter à une cause première, ainsi que l
ne cause première, ainsi que l’a fait Bossuet dans son discours sur l’
histoire
universelle, à plus forte raison faut-il dans une
es personnages d’un côté plutôt que d’un autre. Mais la sévérité de l’
histoire
s’opposait au moindre écart en dehors de la ligne
la narration mixte on s’empare d’un fait dont le fond appartient à l’
Histoire
: d’un personnage dont l’ existence n’est point m
parler les grands acteurs des siècles passés. En puisant ainsi dans l’
histoire
, ils économisent des frais d’invention ; ils y tr
Préceptes du genre. La légende est le récit d’un fait puisé dans l’
histoire
du moyen-âge, ou dans ces temps primitifs où l’im
t le livre me tombe des mains. Quand vous prendrez votre sujet dans l’
histoire
, dans la tradition, dans la mythologie, respectez
’est de donner aux objets cette couleur locale qui les rapproche de l’
histoire
. Sur le premier point, il n’y a aucune remarque à
able. Mais sur le second point, il est essentiel de peindre d’après l’
histoire
les mœurs de temps et de lieux. Les mœurs de te
vous que je m’intéresse à un héros qui tire vanité de ses crimes, à l’
histoire
d’un scélérat qui souille sa vie de forfaits hont
e gémirions pas aujourd’hui sur une époque à jamais déplorable dans l’
histoire
de notre littérature dramatique. Coupables auteur
’est réduit à la misère ; je lui citerai quelques faits puisés dans l’
histoire
, l’autorité des moralistes, etc., etc., et ces pr
ment les acclamations et l’estime se changer en huées et en mépris. L’
histoire
de nos luttes parlementaires en offre plus d’un e
fourni l’occasion des recherches que j’ai résumées dans l’Essai sur l’
histoire
de la Critique, formait le complément naturel de
us célèbres auteurs, soit anciens, soit modernes, sur des questions d’
histoire
ou de critique littéraire. Le lecteur qui désire
ter, et aux travaux indiqués dans le chap. iii, § 4, de l’Essai sur l’
histoire
de la Critique. Quant aux extraits des Problèmes,
publié par Cramer, Anecdota Oxon., t. IV, p. 312, 313. Comparez notre
Histoire
de la Critique chez les Grecs, p. 93. Les Mégarie
ertions contenues dans ce chapitre ne serait rien moins qu’écrire une
histoire
des origines du drame en Grèce. Sur ce point, nou
de ses Opuscules latins) Magnin, Origines du théâtre moderne Bode,
Histoire
de la poésie grecque, tome III (Leipzig, 1839-184
aire appel à toutes les facultés de l’intelligence. Embrassant donc l’
histoire
, l’éloquence, la philosophie, la critique, la mor
uent et s’expliquent les uns les autres, devient ainsi l’abrégé d’une
histoire
agissante et vivante, qui nous permet de suivre l
que consacrent déjà plusieurs années de pratique. En effet, puisque l’
Histoire
contemporaine s’enseigne dans toute la France, po
de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière page de sa belle
histoire
littéraire : « Les soixante premières années du d
à la France6. Il est le premier, il est le seul qui ait consacré à l’
histoire
de notre littérature un monument qu’on peut appel
contesté. Aussi bien, ce que nous faisons ainsi à nous seuls, toute l’
histoire
moderne nous en est témoin, nous le faisons pour
manquons à nous-mêmes, c’est au monde que nous aurons manqué2. 6.
Histoire
de la littérature française. 4 vol., Didot. 1. L
lit dans Bernardin de Saint-Pierre : « Si ses fables n’étaient pas l’
histoire
des hommes, elles seraient encore pour moi un sup
aire appel à toutes les facultés de l’intelligence. Embrassant donc l’
histoire
, l’éloquence, la philosophie, la critique, la mor
uent et s’expliquent les uns les autres, devient ainsi l’abrégé d’une
histoire
agissante et vivante, qui nous permet de suivre l
que consacrent déjà plusieurs années de pratique. En effet, puisque l’
Histoire
contemporaine s’enseigne dans toute la France, po
de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière page de sa belle
histoire
littéraire ? « Les soixante premières années du d
VIII. De l’unité de l’action. IX. § 1. Digression : comparaison de l’
histoire
et de la poésie. De l’élément historique dans le
la fable. Pourquoi la plupart des sujets tragiques sont fournis par l’
histoire
. XV. § 1. Des mœurs dans la tragédie. § 2. De ce
entes observations au style poétique. XXIII. Retour à l’épopée et à l’
histoire
de la durée des événements épiques. XXIV. Compar
ques, la chute ou la naissance des empires, ces rares évènements de l’
histoire
qui changent la face du monde, et dans lesquels l
ur. Tels sont l’entretien d’Hector et d’Andromaque, dans l’Iliade ; l’
histoire
de Nisus et Euryale, dans l’Énéide ; les aventure
de Tancrède avec Herminie et Clorinde, dans la Jérusalem délivrée ; l’
histoire
de Velléda, dans les Martyrs. Le poème épique a d
mêmes lois et le même style. Souvent le poème héroïque n’est que de l’
histoire
mise en vers, mais ornée de tous les charmes de l
din. Le poème badin ne prend jamais le ton de l’épopée ; c’est une
histoire
plaisante et légère qui brille par la vivacité et
s genres littéraires convient cette forme ? La poésie, l’éloquence, l’
histoire
, le roman admettent le portrait, soit d’un indivi
par leur caractère plus privé, plus intime, le comportent mieux que l’
histoire
proprement dite ; voir Saint-Simon et le cardinal
mais des portraits du même individu, selon qu’ils sont destinés à une
histoire
, à des Mémoires ou à quelque œuvre d’éloquence. C
même de la mauvaise foi qui dénature à plaisir53 J’ai proscrit de l’
histoire
le portrait de fantaisie ; il n’est à sa place qu
didactique est utile aussi pour éclairer quelques points obscurs de l’
histoire
; ainsi l’admirable dialogue de Sylla et d’Eucrat
èle d’Auguste et de Louis XIV. extrait de l’Abrégé chronologique de l’
histoire
de France du président Hénault. 54. Je pourrais
même vers le viiie siècle. Le premier témoignage que nous en offre l’
histoire
est un fragment d’une traduction de la Bible. Con
e nécessaire d’en expliquer le texte par des notes marginales. II.
Histoire
des progrès littéraires accomplis par notre langu
jusqu’à la fin du XVIe siècle Il convient maintenant de résumer l’
Histoire
littéraire de la langue romane, jusqu’à l’heure d
Naples va faire accueil à notre idiome. Martino da Canale traduira l’
histoire
latine de Venise en français, « parce qu’il cort
60-1213), naïve et claire dans Joinville (1224-1317), elle inaugure l’
histoire
par la chronique, en un siècle que comme la pieus
n écrivain de profession, Froissart (1333-1400), qui, s’emparant de l’
histoire
, nous enseigne l’art de plaire sans le secours de
rappellerait Thucydide s’il n’avait pas écrit en latin son impartiale
histoire
. Tandis que la guerre civile ou religieuse met la
ur électriser la valeur française. Dans ces glorieuses pages de notre
histoire
, il a toujours l’à-propos grandiose, le ton du co
on Ier , t. XI, n° 9562.) À un général qui la priait d’écrire son
histoire
Que la postérité s’en tire comme elle pourra.
’occupe d’elle-même à les préserver de l’oubli. J’ai confiance dans l’
histoire
! J’ai eu de nombreux flatteurs, et le moment pré
temps ; L’humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d’autre
histoire
. Là viendront les villageois Dire alors à quelq
e en siècle, grâce aux actions surhumaines dont la fable grossit leur
histoire
, et finissent par laisser l’érudit incertain si c
r, cette agonie de Prométhée, tiennent de la mythologie plus que de l’
histoire
. L’histoire, comment fera-t-elle pour expliquer l
nie de Prométhée, tiennent de la mythologie plus que de l’histoire. L’
histoire
, comment fera-t-elle pour expliquer la mort de Na
temporains et divers, t. III : Homère, Apollonius de Rhodes Fauriel,
Histoire
de la Poésie provençale (Paris, 1846) etc. Le co
montre bien dans ses Remarques) autrement il serait contredit par l’
histoire
même du théâtre grec, où l’on peut signaler encor
Euripide peut-être aussi le Bellérophon du même poëte, puisque cette
histoire
se trouve racontée dans l’Iliade. De l’Odyssée :
tuation même qu’il veut peindre. C’est là un grand mérite83. § 48.
Histoire
de l’apologue. Il n’est pas possible de marque
ut dans l’esclavage. Personne n’ignore sa vie. Ceux qui ont donné son
histoire
ont peut-être exagéré la difformité de son corps
x lieux, Le ciel n’a plus ni jour, ni clarté pour mes yeux. § 50.
Histoire
de la poésie pastorale. Si l’églogue est née p
atire, dès que c’est l’esprit d’invectives qui l’a dictée98. § 53.
Histoire
de la satire. La satire (ou plutôt le nom de s
elui-là, si l’on peut parler ainsi, de règles particulières. § 55.
Histoire
de l’élégie. L’histoire de l’élégie est mainte
r ainsi, de règles particulières. § 55. Histoire de l’élégie. L’
histoire
de l’élégie est maintenant bien courte et bien fa
l est, du reste, bien rare qu’un tel ouvrage soit excellent. § 58.
Histoire
de l’ode. La première exclamation de l’homme s
les place. Enfin, il est rempli d’une érudition détournée, tirée de l’
histoire
particulière de certaines familles et de certaine
aines villes qui ont eu peu de part dans les révolutions connues de l’
histoire
ancienne116. Je ne parle pas d’Anacréon, dont il
. 96. La calomnie. 97. Domairon, Poét., de la Satire. 98. Batteux,
Histoire
abrégée de la satire. 99. Batteux, Définition de
la satire. 99. Batteux, Définition de la satire, etc. 100. Batteux,
Histoire
abrégée de la satire. 101. Domairon, Poét., Poèt
lequel la pensée humaine, se contemplant elle-même, étudie sa propre
histoire
depuis ses obscurs commencements jusqu’à ses plus
tômes du passé, mais des personnages empruntés à l’imagination ou à l’
histoire
, comme on voudra, pourvu qu’ils soient animés, pa
, où même la laideur n’est point admise, et tout cela en respectant l’
histoire
dans une juste mesure, surtout sans sortir jamais
était celui des maîtres, et, en l’assouplissant au genre tempéré de l’
histoire
biographique, en lui donnant plus de grâce et de
dans le Discours de la Methode et dans le Cid, forment un problème d’
histoire
littéraire aussi curieux que difficile à résoudre
les moyens théoriques sont l’étude des règles de l’art d’écrire et l’
histoire
critique de la littérature. Selon nous, il faut f
littérature, où la pratique s’appuie constamment sur les préceptes. L’
histoire
de la littérature, si intéressante et si utile qu
ui termine l’ouvrage renferme un tableau complet de l’éloquence, de l’
histoire
et du roman ; nous avons fait un historique de ce
tinguaient trois genres de causes, et il ignorera ce que c’est qu’une
histoire
, ce que c’est qu’une élégie, un poème épique, une
e nous ajoutons à notre Cours de langue française. Disons un mot de l’
histoire
littéraire. Cette science est, avec raison, exclu
x écoles supérieures appartient l’étude systématique et complète de l’
histoire
littéraire. Mais, sans l’étudier à fond et comme
it plus les hommes et leurs passions, les affaires et leurs ennuis, l’
histoire
et ses terribles agitations, qu’à travers ce rayo
rmonieux et si doux, à relire tantôt une tragédie de Racine, tantôt l’
histoire
des origines du monde, racontées par Bossuet avec
r les astres dans le ciel, chercher dans les entrailles de la terre l’
histoire
de notre globe et de ses antiques révolutions, do
le souvenir ému de son enseignement, il a renouvelé la critique par l’
histoire
, la biographie, les détails de mœurs, et les aper
qui brillaient autour du souverain ; et dans les sujets empruntés à l’
histoire
, la vérité des peintures souffrit souvent de cett
s passagers de la cour, saisissait les crayons de l’éloquence et de l’
histoire
pour honorer la vertu de Turenne. Quelquefois une
tin et dans Paul Orose1 le plan, la suite, la vaste ordonnance de son
Histoire
universelle ; et maître d’une grande idée indiqué
membres de cette glorieuse tribu d’écrivains qu’il passe en revue. L’
histoire
, la biographie, les détails de mœurs vivifient sa
abord la carrière des armes ; mais bientôt attiré par la passion de l’
histoire
, il s’enferma au collége Sainte-Barbe pour se liv
encontres, se résolut d’attendre l’ennemi dans un poste avantageux3.
Histoire
de France, liv. LXII. 1. C’est le premier maré
on Dictionnaire philosophique, au mot Eloquence. — On ajoutera que l’
Histoire
de Mézeray a quelque chose du mérite qui caractér
nce que je lui dois, et que je conserverai toujours pour sa mémoire.
Histoire
de l’Académie des sciences 2 (Éloges des académic
nt les grands jours, qu’on désignait ainsi, remarque Dupleix dans son
Histoire
de France, « par quelque allusion au grand jour d
Tournelle, un peu au-dessous du pont désigné par ce nom. 2. Dans son
Histoire
de l’Académie des sciences, qui renferme les Elog
omparer, comme législateur, à Moïse lui-même. Ce curieux épisode de l’
histoire
du dix-septième siècle est très-agréablement raco
ction des hommes est le sien. A la suite des Mémoires pour servir à l’
histoire
de Louis, dauphin de France, père de Louis XVI, o
her ancien élève, dans une foule de bons ouvrages de littérature et d’
histoire
, d’excellentes maximes touchant les mœurs ; les p
sage soit l’ouvrage des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l’
histoire
, ne soit qu’un homme lui-même ? Est-ce là le ton
ir et mourir sans foiblesse et sans ostentation ?…. Dirons-nous que l’
histoire
de l’Evangile est inventée à plaisir ? Ce n’est p
t authentiques : ils ne peuvent sous aucun rapport être contestés : l’
histoire
n’en offre point d’aussi certains ; et l’homme qu
charmée son enseignement, M. Villemain a renouvelé la critique par l’
histoire
, la biographie, les détails de mœurs, et les aper
membres de cette glorieuse tribu d’écrivains qu’il passe en revue. L’
histoire
, la biographie, les détails de mœurs vivifient sa
il.) 2. Il est sublime sans cesser d’être simple. 3. Discours sur l’
Histoire
universelle. 4. Allusion à ses oraisons funèbres
ose, ils en sont blâmables. Mais ne proposant cet écrit que comme une
histoire
, ou, si vous l’aimez mieux, que comme une fable,
illesse des fables réveille l’esprit ; que les actions mémorables des
histoires
le relèvent, et qu’étant lues avec discrétion ell
ux langues, et même aussi à la lecture des livres anciens, et à leurs
histoires
, et à leurs fables. Car c’est quasi le même de co
eurs événements comme possibles qui ne le sont point, et que même les
histoires
les plus fidèles, si elles ne changent ni n’augme
me deæque pejus perdant quam perire me quotidie sentio, si scio. » L’
histoire
ajoute : « Adeo facinora atque flagitia sua ipsi
t les saints Pères qui les expliquent, sont partout de l’opinion de l’
histoire
, et ne trouvent point de pareil supplice à celui
se est encore belle, et vous vous promènerez tous les jours parmi les
histoires
et les fables : mais ce sont des amusements d’un
le, et pour celui de Pellisson, qui, entre autres écrits, a composé l’
Histoire
de l’Académie française, continuée après lui par
out à fait différentes : témoin la réponse de ce bon religieux, que l’
histoire
n’a pas trouvée indigne d’être rapportée, quand l
t jamais au monde, vous ne vous y tromperez pas. Fixez les yeux sur l’
histoire
de tous les siècles, sur les vénérables restes de
la mort était attachée : et quelle mort ! Vous n’avez qu’à lire cette
histoire
, pour vous persuader qu’une religion subsistante
le de les contenter, quoi qu’on fasse. Sans remonter bien loin dans l’
histoire
des siècles passés, le nôtre a vu Henri IV, votre
Que le sort de tels esprits est hasardeux, et qu’il en paraît dans l’
histoire
à qui leur audace a été funeste ! Mais aussi que
Il avait cependant été attaché à la cour ; mais chargé d’enseigner l’
histoire
au petit-fils du grand Condé, qui tira trop peu d
s noble, de plus naïf et de plus simple ; il en fait la peinture ou l’
histoire
. L’autre, sans choix, sans exactitude, d’une plum
les fers, contre la vue de la mort et du dernier supplice ! Prenez l’
histoire
, ouvrez, remontez jusques au commencement du mond
it qu’il avait voulu voir le roi, et non pas les morts. Ainsi, dans l’
histoire
de cette seconde race, on cherche Pépin et Charle
i étonné les hommes, et c’est beaucoup. Repassez dans votre mémoire l’
histoire
de ma vie : vous verrez que j’ai tout tiré de ce
tes infortunes jettent les yeux sur ce prince et sur ses ancêtres !
Histoire
du Siècle de Louis XV, chap. xxv. De l’esprit.
illesse et qui devait immoler son fils unique360. Comparaison de l’
histoire
politique et de l’histoire naturelle. Comme,
er son fils unique360. Comparaison de l’histoire politique et de l’
histoire
naturelle. Comme, dans l’histoire civile, on
de l’histoire politique et de l’histoire naturelle. Comme, dans l’
histoire
civile, on consulte les titres, on recherche les
maines et constater les dates des événements moraux ; de même, dans l’
histoire
naturelle, il faut fouiller les archives du monde
comme la distance ; notre vue y décroît et s’y perdrait de même, si l’
histoire
et la chronologie n’eussent placé des fanaux, des
sanguinaire fût également enseveli dans la nuit de l’oubli ! Ainsi l’
histoire
civile, bornée d’un côté par les ténèbres d’un te
s successivement les peuples soigneux de leur mémoire : au lieu que l’
histoire
naturelle embrasse également tous les espaces, to
ublime ne peut se trouver que dans les grands sujets381. La poésie, l’
histoire
et la philosophie ont toutes le même objet, et un
, elle les agrandit, les exagère, elle crée les héros et les dieux. L’
histoire
ne peint que l’homme, et le peint tel qu’il est :
vieux temps ; Joins-y, si tu le peux, tous les traits éclatants De l’
histoire
profane et de l’histoire sainte. De tant d’enseig
i tu le peux, tous les traits éclatants De l’histoire profane et de l’
histoire
sainte. De tant d’enseignements l’impuissante lan
nom qu’avec horreur. JOSABETH. Peut-on de nos malheurs leur dérober l’
histoire
? Tout l’univers les sait : vous-même en faites g
anqué des trente-deux vents, L’auteur de l’Almanach de Liège Lorgne l’
histoire
du beau temps Et fabrique avec privilège Ses astr
escartes, 1824). Déjà l’abbé Fleury, dans le Ve de ses Discours sur l’
histoire
ecclésiastique, avait très judicieusement proposé
ement dans la nôtre. » 33. « Quand je pense, dit M. Nisard dans son
Histoire
de la littérature française, à Polyeucte, où Corn
le monde sait, a dit Racine au sujet d’Arnauld, dans son Abrégé de l’
Histoire
de Port-Royal, que c’était un génie admirable pou
et une lettre curieuse de Louis XIV à sa mère ; elle est citée dans l’
Histoire
de France du père Daniel), et Pellisson lui-même
I, 25. 134. Ce trait paraît dirigé principalement contre Colbert : l’
histoire
l’accuse d’avoir exagéré auprès de Louis XIV les
Chéruel, on pourra lire le récit détaillé de cet amusant épisode de l’
histoire
de la cour au dix-septième siècle. 141. C’est-à-
ifical. 163. Voyez comme Bossuet parle aussi dans son Discours sur l’
histoire
universelle, part. III, c. 1, de cette ville, eni
funèbre du Dauphin ; en outre, son oraison funèbre par La Rue et son
histoire
par Bausset et par M. Floquet. Parmi ceux qui ont
well, aussi bien que pour celui de la reine Henriette, il faut voir l’
Histoire
de Cromwell, par M. Villemain, et l’Histoire de l
enriette, il faut voir l’Histoire de Cromwell, par M. Villemain, et l’
Histoire
de la révolution d’Angleterre, par M. Guizot. 18
8. « Cette oraison funèbre seule, dit le cardinal de Bausset dans son
Histoire
de Bossuet, pourrait prouver que Bossuet n’était
e que la gloire, dont il s’était couvert, avait de périssable (voy. l’
Histoire
de Bossuet, par M. de Bausset, t. I, pages 24 et
siastiques, comme nous l’apprend le cardinal de Bausset, t. II de son
Histoire
de Bossuet, p. 109 et suiv. Dans cette occasion,
illemain, des articles de M. Sainte-Beuve et de M. de Sacy, surtout l’
histoire
si complète que lui a consacrée le cardinal de Ba
1er mai 1707, la consécration épiscopale des mains de Fénelon. Voy. l’
Histoire
de Fénelon par le cardinal de Bausset, in-8º, 181
llemain, Tableau de la littérature au dix-huitième siècle, M. Nisard,
Histoire
de la littérature française, un travail de M. Sai
harlemagne trouverait son développement naturel dans les Essais sur l’
histoire
de France par M. Guizot, Voy. le quatrième essai,
e mal à cette unité toujours un peu artificielle. Aussi le Sylla de l’
histoire
n’est pas toujours le Sylla du dialogue, et il es
en 1682 ou 1681. Sur ces découvertes et son influence, voy. Delambre.
Histoire
de l’astronomie moderne, au t. II. 347. « C’est
lira avec un vif intérêt le récit des aventures de Charles II dans l’
Histoire
de la révolution d’Angleterre, par M. Guizot. 35
ure au dix-huitième siècle, 22e leçon ; M. Geruzez, Nouveaux essais d’
histoire
littéraire, et l’Histoire de ses travaux et de se
, 22e leçon ; M. Geruzez, Nouveaux essais d’histoire littéraire, et l’
Histoire
de ses travaux et de ses idées, par M. Flourens.
s limites du temps et retrouver, au moyen de quelques observations, l’
histoire
de ce monde et une succession d’événements qui on
ité philosophique, ni les divisions, les détails et le style de cette
histoire
conjecturale. » On sait que les Époques de la nat
la nature (elles eurent d’abord leur place dans les Suppléments de l’
Histoire
naturelle, mais les éditeurs récents les ont just
la collection des Chefs-d’œuvre de cet auteur (Didot, 1814-1819) ; l’
Histoire
de la littérature française de M. Nisard, etc., p
le sujet de leurs fêtes. Le crime était adoré, etc. » Discours sur l’
histoire
universelle, IIe partie. 418. Ce vers, dit Volta
. Walckenaer a donné sur lui un livre plein de recherches curieuses :
Histoire
de la vie et des ouvrages de Jean de La Fontaine.
Harpe (Cours de littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (
Histoire
de la littérature française), etc. Il est de plus
ns de l’époque classique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux
Histoires
de la littérature française qu’ont fait paraître
la littérature générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de son
Histoire
de la littérature française ; et M. Bazin, auteur
Molière, n’est point Henri IV, mais Henri II. Suivant M. de Pétigny (
Histoire
archéologique du Vendômois, in-4o, 1849, p. 342),
en 1805 par l’Académie française), plus récemment M. Nisard, dans son
Histoire
de la littérature française, et M. Geruzez ont di
’airain. » 604. Cambyse, qui se perdit en effet par sa folie voy. l’
Histoire
d’Hérodote, liv. III, ch. 30 et suiv. 605. Comme
on de l’arbitre du goût et de quelques autres hommes éminents (voy. l’
Histoire
de Bossuet par de Bausset, t. II, p. 352) ne devi
f-d’œuvre de clarté, de simplicité et d’ordre : aucun des points de l’
histoire
juive qui servent à fonder l’intérêt de la pièce
ze vers, dont chacun retrace un miracle fameux et un mémorable fait d’
histoire
, on ne sait qu’admirer le plus, de la justesse et
donné pour cadre à une action toute fictive une époque fameuse dans l’
histoire
, celle de la conquête du Pérou par les Espagnols,
. « Le belvédère de la Chartreuse, dit M. Émond dans son intéressante
Histoire
du collège Louis-le-Grand, p. 362, s’élevait entr
ables de l’idylle et de l’élégie, c’est à lui que nous les devons. » (
Histoire
de la littérature française, t. IV, p. 155.) 7
funèbre du Dauphin ; en outre, son oraison funèbre par La Rue et son
histoire
par Bausset et par M. Floquet. Parmi ceux qui ont
ait fait exiler. 3. Les Rois forment quatre livres qui contiennent l’
histoire
des Juifs pendant cinq siècles environ, depuis Sa
On le voit encore par le passage où Bossuet, dans son Discours sur l’
histoire
universelle, rappelle les victoires remportées pa
e controverse sont égaux dans leur genre à ses Oraisons funèbres. Son
Histoire
des variations est un chef-d’œuvre de composition
es et les Méditations sur l’Evangile , observe M. de Bausset dans son
Histoire
de Bossuet, on apprend à connaître Dieu, les homm
dans chaque volume se rattachent autant que possible aux questions d’
histoire
, aux programmes de sciences, aux ouvrages des aut
ellent, l’exquis ; il ne s’agit point de faire une galerie complète d’
histoire
littéraire, mais un choix de modèles ; ce livre e
Que mon père ait un fils, et ta mère une fille. » A. Chénier.
Histoire
morale de l’humanité L’homme, sorti des mains
point digne de la recevoir. De Barante 4. Les Jugements de l’
histoire
et de la conscience Que les princes se glorif
me deæque pejus perdant quam perire me quotidie sentio, si scio. » L’
histoire
ajoute : « Adeo facinora atque flagitia sua ipsi
t les saints Pères qui les expliquent, sont partout de l’opinion de l’
histoire
, et ne trouvent point de pareil supplice à celui
nt leur peine à leur discrétion. Balzac. Les Révolutions de l’
histoire
Regardez donc, race insensée. Les pas des gén
s, Peuples, royaumes, républiques, Sont la poussière du chemin ; Et l’
histoire
, écho de la tombe, N’est que le bruit de ce qui t
gné et obscur. La destinée et le nom de Napoléon sont maintenant de l’
histoire
, je ne ressens pas le moindre embarras à en parle
tour de cette maison que Néron contemplera, chantera l’incendie que l’
histoire
l’accuse d’avoir allumé. Là vit, au milieu de tou
is, comme se vengent les chrétiens, en s’immolant pour eux. Combien l’
histoire
de l’Église n’offre-t-elle pas d’exemples semblab
me un tribut, aux théâtres, aux poètes improvisateurs, aux conteurs d’
histoires
qui éveillent leur imagination et qui nourrissent
faire reculer. Les esprits vulgaires, qui adorent servilement dans l’
histoire
l’apparence du succès, calomnient sans cesse les
qu’elles roulaient dans leurs flots impurs. On ne comprendra rien à l’
histoire
de l’Europe depuis le xvie siècle, si l’on mécon
ons et toutes les calomnies. Thiers 18. La Constituante L’
histoire
a droit d’être sévère avec la Constituante. On n’
rs à la violence, sans dommage pour la liberté à qui le devait-on ? L’
histoire
n’oubliera pas d’inscrire parmi les causes assuré
e dans une longue révolution, et un seul rôle noblement rempli dans l’
histoire
. Mignet 21. Œuvres du XIXe siècle Si
es âges. L’éloquence politique est née en France avec la politique. L’
histoire
, qui ne pouvait guère citer que Bossuet et Voltai
demeure sur lui-même, aspire à découvrir, par l’observation et par l’
histoire
, les lois mêmes de l’humanité. Lorsque ce siècle
rtune : Vivez, amis ; vivez en paix. A. Chénier. La Muse de l’
Histoire
Muse, il n’est point de temps que tes regards
fuis : ainsi le veut la fortune ennemie ; Mais vous savez trop bien l’
histoire
de ma vie, Pour croire que longtemps, soigneux de
ents qu’il ne sent point en lui. Voltaire. Les Matériaux de l’
histoire
Les Mémoires et les Chroniques ne sont pas en
ntairement partiaux. Les personnages qui ont figuré sur la scène de l’
histoire
y grossissent ou y dénaturent après coup leur rôl
Mémoires, mais ils trompent moins. Ils sont les vrais matériaux de l’
histoire
. Ceux dont ils émanent n’ont pas songé à paraître
nt les faits dans leur certitude, les intentions dans leur réalité. L’
histoire
s’avance sûrement lorsqu’elle s’appuie sur elles.
nètre les desseins des hommes. Mignet 67. La Philosophie de l’
histoire
Le premier devoir de l’historien philosophe e
’idée la plus générale d’une époque : c’est là la règle éminente de l’
histoire
. Cette règle se divise en autant de règles partic
ait son lieu, son théâtre : c’est là la condition même du drame de l’
histoire
. Mais sur ce théâtre, il faut que quelqu’un parai
lles et pour elles que tout se fait ; elles remplissent la scène de l’
histoire
, mais elles y figurent seulement ; elles n’y ont
qui les représentent. En effet, les peuples ne paraissent pas dans l’
histoire
, leurs chefs seuls y paraissent. Et par chefs, je
s se manifester ; ce sont donc les trois points importants auxquels l’
histoire
doit s’attacher. Si tout exprime quelque idée ; l
’une manifestation quelconque d’idées cachées que la philosophie de l’
histoire
doit dégager et mettre en lumière. V. Cousin 6
es, type affreux d’impureté ? Jamais. Non, il est tel portrait, telle
histoire
malsaine Qu’un poète toujours doit bannir de la s
ils ne se réfugiaient plus tout entiers dans les souvenirs et dans l’
histoire
des Romains, comme avaient fait autrefois quelque
s passagers de la cour, saisissait les crayons de l’éloquence et de l’
histoire
pour honorer la vertu de Turenne. Quelquefois une
stin et dans Paul Orose le plan, la suite, la vaste ordonnance de son
Histoire
universelle ; et, maître d’une grande idée indiqu
ssieurs, cette admirable parole n’est-elle que l’écho de la voix de l’
histoire
, qui a salué du nom de grands siècles, avant tous
tômes du passé, mais des personnages empruntés à l’imagination ou à l’
histoire
, comme on voudra, mais animés, mais passionnés, m
, où même la laideur n’est point admise, et tout cela en respectant l’
histoire
dans une juste mesure, surtout sans sortir jamais
oduit dans ce laboratoire Où tout ce qu’on distille, hélas ! est de l’
histoire
, Hausse ton éloquence à ton nouvel emploi, Gonfle
r le monde a su le rajeunir ; Qui de tant de hauts faits a rempli son
histoire
, Que dans mille ans d’ici l’on n’y voudra plus cr
s offre pas un autre modèle, ce sont ces lettres si précieuses pour l’
histoire
, plus précieuses encore, selon moi, par les rappo
à toi, qu’un sort injurieux Depuis deux siècles livre au mépris de l’
histoire
, J’élève de mes mains l’autel expiatoire Qui te p
membres de cette glorieuse tribu d’écrivains qu’il passe en revue. L’
histoire
, la biographie, les détails de mœurs vivifient sa
ins à faner, et qui est le plus indigne qu’on le traite bien. Voilà l’
histoire
en peu de mots : pour moi, j’aime les narrations
y est innocent, tout y est sublime et touchant : cette fidélité de l’
histoire
sainte donne du respect ; tous les chants convena
la mort était attachée, et quelle mort ! vous n’avez qu’à lire, cette
histoire
. On veut qu’une religion subsistante par un mirac
protestants, il faudrait pouvoir étudier dans ses derniers détails l’
histoire
de l’Église, ou plutôt, l’histoire universelle de
tudier dans ses derniers détails l’histoire de l’Église, ou plutôt, l’
histoire
universelle des temps modernes. Vous ne pourrez d
faire ce que ses maîtres, ses amis ou sa femme lui ordonnent. Voyez l’
histoire
de notre glorieuse Révolution ? Pour sauver la Fr
ge ingratitude ? Qu’on le nie devant les monuments irréfragables de l’
histoire
, ou qu’on confesse que la lumière naturelle n’est
dont brillent leurs écrits ; Voyez à chaque page, empreints dans leur
histoire
, L’amour de la patrie et l’amour de la gloire, De
qui est la vertu. Ce que je dis est confirmé par le corps entier de l’
histoire
, et très-conforme à la nature des choses. Car il
démolisseurs. À mesure que l’on approfondit l’étude de notre ancienne
histoire
et de la société telle qu’elle était organisée da
décrépit de continuer à mettre en coupe réglée les souvenirs de notre
histoire
et de défricher officiellement les monuments plan
t, plus heureux qui l’adore ! Lamartine. La Providence dans l’
Histoire
Dieu tient du plus haut des cieux les rênes d
sphère et dans sa portée. La religion, dans son principe et dans son
histoire
, est d’origine et d’institution divine. L’une vie
ich. Lévy édit.) 17. Discours populaires. (Charpentier édit.) 18.
Histoire
de la Révolution. (Furne édit.) 19. Mémoires in
iol édit.) 67. Rapport sur les papiers d’État. (Didier édit.) 68.
Histoire
de la Philosophie. (Didier édit.) 69. Homère
ivrer en la manière que je vous ai dit devant dou bois de Vincennes. (
Histoire
de Saint Louis, XII, édit. de Wailly.) Mainte foi
alité de ses vues et par ses qualités d’observateur, une place dans l’
histoire
de la science, écrivain d’une éloquence simple, m
e, la régularité de la langue, un des ouvrages qui font époque dans l’
histoire
de la prose française. Trop parler Le sénat
acques Amyot, grand aumônier de France419, me récita420 un jour cette
histoire
à l’honneur d’un prince des nôtres (et nôtre étai
n de gauche ni d’archaïque. Aussi mérite-t-il une grande place dans l’
histoire
de notre langue, quoique ses Lettres manquent sou
nt de livre dont l’apparition marque une date aussi importante dans l’
histoire
de la philosophie moderne ; d’autre part c’est le
ir du xvie siècle, à l’imitation de l’antiquité grecque et latine. L’
histoire
cependant est peut-être le seul genre qui ait plu
es campagnes de 1635 et de 1636, se mit à travailler à sa volumineuse
Histoire
de France, dont la première partie parut en 1643,
, non moins que son style un peu rude et archaïque, caractérisent son
histoire
, et notamment la dernière partie de cette histoir
caractérisent son histoire, et notamment la dernière partie de cette
histoire
, remplie par le récit des guerres de religion. Au
crivains qui, entre Commines et Voltaire488, se sont occupés de notre
histoire
nationale, et, si nos historiens n’ont plus rien
ant, par un rare bonheur, fait onze cents lieues en dix-huit jours. (
Histoire
de France 518 : Charles IX.) Cardinal De Ret
Il a aussi prononcé quelques Sermons et publié, dans sa jeunesse, une
histoire
de la Conjuration de Fiesque 519, dans laquelle i
ins à faner, et qui est le plus indigne qu’on le traite bien. Voilà l’
histoire
en peu de mots. Pour moi, j’aime les narrations o
de philosophie (Traité de la connaissance de Dieu et de soi-même), d’
histoire
(Discours sur l’histoire universelle), de controv
e la connaissance de Dieu et de soi-même), d’histoire (Discours sur l’
histoire
universelle), de controverse (Histoire des variat
e), d’histoire (Discours sur l’histoire universelle), de controverse (
Histoire
des variations, des églises protestantes). Quelqu
it, entre autres ouvrages, une Vie de Théodose le Grand (1679) et une
Histoire
du cardinal Ximenès (1693). Noble de province a
moires : c’est à ce titre qu’il faut garder à ce livre un souvenir.
Histoire
d’un habit de bal I Le chevalier de Gramo
chose par les chemins ? — Sire, dit le chevalier de Gramont, voici l’
histoire
de mon habit et de M. Termes, mon courrier ». A c
I et Philippe de Commines Louis. — On dit que vous avez écrit mon
histoire
. Commines. — Il est vrai, sire ; et j’ai parlé e
et être cru ; mais je ne l’ai pas voulu faire.936 Louis. — Quoi ! l’
histoire
ne doit-elle pas respecter les rois ? Commines.
ecter les rois ? Commines. — Les rois ne doivent-ils pas respecter l’
histoire
et la postérité, à la censure de laquelle ils ne
sseur en médecine dans l’Université de Helmstad937, écrivit en 1595 l’
histoire
de cette dent, et prétendit quelle était en parti
dent d’or ne manquât pas d’historiens, Rullandus939 en écrit encore l’
histoire
. Deux ans après, Ingolsteterus940, autre savant,
n qui eût été spectateur de toutes choses, indifférent et appliqué. (
Histoire
des oracles, Ire dissertation, chap. iv.) Cara
rincipaux membres de l’Académie des belles-lettres, et fameux par les
histoires
qui ont paru de lui970. Nous nous rassemblions av
chefs-d’œuvre sont la comédie de Turcaret ou le Financier (1709) et l’
Histoire
de Gil Blas de Santillane (1715-1724-1735), le pl
t de te tourner en ridicule. Ils vont composer de tout ceci une belle
histoire
qui pourra bien aller jusqu’à Oviédo, et qui t’y
en donnant à tous les diables le parasite, l’hôte et l’hôtellerie. (
Histoire
de Gil Blas de Santillane, liv. I, chap. ii.)
e trompaient presque jamais quand ils portaient un pareil jugement. (
Histoire
de Gil Blas de Santillane, livre II, chap. ii.)
les de ses œuvres en prose, pendant la même période de sa vie, sont l’
Histoire
de Charles XII, les Lettres philosophiques ou Let
urs du plaisir n’est pas du plaisir. (Romans : Zadig ou la Destinée,
histoire
orientale, chap.) Une sédition militaire à Mos
le relevait encore tant de talents ; son ambition seule les ternit. (
Histoire
de la Russie sous Pierre le Grand, première parti
eannot, confus et attendri, lui conta en sanglotant une partie de son
histoire
. « Viens dans l’hôtellerie où je loge me conter l
s ils sont oubliés, et ce n’est que longtemps après avoir écrit cette
histoire
que j’ai appris cette action si mémorable1139. (
e était autour du vénérable Freind, regardait et admirait. (Romans :
Histoire
de Jenni, ou l’Athée et te Sage, chap. x.) Bu
t par les mauvais traitements, et il devient lent, indocile et têtu. (
Histoire
naturelle : Quadrupèdes ; animaux domestiques.)
t leurs temps d’abstinence durent aussi longtemps que leurs voyages. (
Histoire
naturelle. Quadrupèdes. Du chameau et du dromadai
manière de les cultiver ? Qui est-ce qui, ayant un peu de goût pour l’
histoire
naturelle, peut se résoudre à passer1165 un terra
ans chercher des fossiles ? Vos philosophes de ruelles1166 étudient l’
histoire
naturelle dans des cabinets1167 ; ils ont des col
ait sans me regarder, je lui déclinais mon nom, et je lui faisais mon
histoire
. Sur la fin de cette histoire, mon homme s’arrête
éclinais mon nom, et je lui faisais mon histoire. Sur la fin de cette
histoire
, mon homme s’arrête, et se tracassant avec un de
quand on l’écoute une fois. Il aimait la poésie, l’art dramatique, l’
histoire
, la littérature pour elle-même. Il aurait été rés
un grand nombre de ses Lettres, vives et malicieuses. Une terrible
histoire
A Madame Pigalle1435 Résina, près Portici, le
t, quoi qu’on en dise, voici en attendant un petit échantillon de mon
histoire
; mais c’est du noir, prenez-y garde. Ne lisez pa
ce que cela signifiait. Cousine, obligez-moi : ne contez point cette
histoire
. D’abord, comme vous voyez, je n’y joue pas un be
en 1844, Jean-Charles-Emmanuel Nodier, qui publia quelques travaux d’
histoire
naturelle, de philologie et de bibliographie, est
ur quelques-uns des plus illustres écrivains de l’école romantique.
Histoire
du chien de Brisquet En notre forêt de Lions14
s, parmi lesquels on distingue surtout Corneille et son temps (1813),
Histoire
de la révolution d’Angleterre (1827), complétée p
lution d’Angleterre (1827), complétée plus tard par d’autres travaux,
Histoire
générale de la civilisation en Europe (1845), His
utres travaux, Histoire générale de la civilisation en Europe (1845),
Histoire
de la civilisation en France (1845), Méditations
actuel de la religion chrétienne (1864), et Mémoires pour servir à l’
histoire
de mon temps (1858-1868). Mort de Charles 1er 1
n corps bien constitué, dit-il, et qui promettait une longue vie ». (
Histoire
de la Révolution d’Angleterre 1490, livre VII.)
sion de son idée, l’appel de la mort et les éloges de la postérité. (
Histoire
des Girondins, livre XLIV, xv.) La barque bris
Augustin Thierry, né à Bleis en 1795, mort en 1856, a donné, dans son
Histoire
de la conquête de l’Angleterre par les Normands (
, et il faut encore citer d’Augustin Thierry un important Essai sur l’
histoire
de la formation et des progrès du Tiers Etat (185
tion et des progrès du Tiers Etat (1853), et, outre ses Lettres sur l’
histoire
de France (1827 et ses Considérations sur l’histo
es Lettres sur l’histoire de France (1827 et ses Considérations sur l’
histoire
de France (1840), les beaux morceaux réunis sous
survécut, et c’est de lui qu’on apprit les détails de l’événement. (
Histoire
de la conquête de l’Angleterre par les Normands,
vité du ton, la précision du style. Citons seulement, avec une rapide
Histoire
de la Révolution française (1824), divers livres
apide Histoire de la Révolution française (1824), divers livres sur l’
histoire
du xvie siècle, Marie Stuart, Charles-Quint, etc
la sienne, et dit Amen ! c’était celle du sombre comte de Kent1531. (
Histoire
de Marie Stuart, chap. xi.) Alfred De Vigny (
es qualités qui composent le grand homme, que je me demandai ce que l’
histoire
pourrait jamais ajouter à cet éloge, et je fus at
blique française en 1871, occupe une grande et glorieuse place dans l’
histoire
politique du xixe siècle. Ses deux œuvres les pl
tique du xixe siècle. Ses deux œuvres les plus célèbres1539 sont une
Histoire
de la Révolution française (1823-1827) et surtout
nt une Histoire de la Révolution française (1823-1827) et surtout une
Histoire
du Consulat et de l’Empire (1845-1863), vaste com
saient des dômes majestueux, portant l’emblème qui représente toute l’
histoire
de la Russie et toute son ambition, la croix sur
ément sentis de sa vie ! Hélas ! il devait être le dernier1544 !... (
Histoire
du Consulat et de l’Empire, livre XLIV.) La Bé
té une maladie mortelle a laquelle il devait promptement succomber. (
Histoire
du Consulat et de l’Empire, livre XLV.) Mich
t au Collège de France, s’est immortalisé par ses œuvres historiques.
Histoire
romaine (1831), Précis de l’Histoire moderne (183
lisé par ses œuvres historiques. Histoire romaine (1831), Précis de l’
Histoire
moderne (1833), Histoire de France (1837-1867), H
riques. Histoire romaine (1831), Précis de l’Histoire moderne (1833),
Histoire
de France (1837-1867), Histoire de la Révolution
Précis de l’Histoire moderne (1833), Histoire de France (1837-1867),
Histoire
de la Révolution française (1847-1853). Son génie
une vivacité et d’un coloris incomparables. Michelet ne raconte pas l’
histoire
des époques écoulées, il les fait revivre. Des mé
s peuples, Grecs et Barbares, et on l’appela la guerre inexpiable. (
Histoire
romaine 1571, livre II, chap. iv.) L’alouette
, et, pour leurs boulets, leur offrant les bienfaits de la liberté. (
Histoire
de la Révolution française 1581, livre VIII, chap
générale, on peut dire qu’il fut surtout préoccupé de chercher dans l’
histoire
de l’humanité la confirmation de ses théories plu
eorge Sand s’est aussi essayée au théâtre, quelquefois avec succès. l’
Histoire
de ma vie et les Lettres d’un voyageur, remplies
ajoutait un mystère plus affreux aux mystères déjà si sombres de son
histoire
. C’est en vain que les servantes nous avertissaie
oraliste, de l’éducateur et du causeur ingénieux qui se révèle dans l’
Histoire
morale de femmes (1847), dans les Pères et les en
leurs romans nationaux, le Fou Yégof (1862), Madame Thérèse (1863), L’
Histoire
d’un conscrit de 1813 (1864), l’Invasion, Waterlo
pour saisir le secret plein d’horreur. Et j’accrochais des lambeaux d’
histoire
où il était question de villageois à l’affût derr
e devais répondre là, sur le palier, au pied levé, avoir toujours une
histoire
prête, quelque chose à dire, et de si étonnant, d
auvre Pie IX ; puis, peu à peu, la conversation s’égarait à travers l’
histoire
des papes. Tante Rose parla de Pie VII1774, qu’el
lle qu’on se lègue et qui restent là ! puériles et locales, comme des
histoires
de couvent. C’est égal, jamais elle ne m’avait pa
e Fontanet eut une troisième conception. Il s’écria : « Composons une
Histoire
de France, avec tous les détails, en cinquante vo
s mon lit sans dormir, tant j’étais agité par la pensée sublime d’une
Histoire
de France en cinquante volumes, avec tous les dét
cinquante volumes, avec tous les détails. Nous la commençâmes, cette
histoire
. Je ne sais, ma foi, plus pourquoi nous la commen
faut sauter par-dessus Teutobochus, » me dit-il. Je n’osai point. L’
Histoire
de France en cinquante volumes s’arrêta à Teutobo
seaux dont la France est garnie : Si1851 seront mis vos hauts noms en
histoire
. Frappez donc tant de main gladiatoire1852 Qu’ap
prince, amoureux de la gloire, Et faites que de vous se remplisse une
histoire
Digne de votre nom, vous faisant immortel Comme C
nça assez tard à se livrer à la poésie, tient une grande place dans l’
histoire
de notre littérature. Car il travailla à ruiner,
ant de l’honneur les aimables appas, De faits si renommés ourdira son
histoire
, Que ceux qui, dedans l’ombre2061 éternellement n
fuis : ainsi le veut la fortune ennemie. Mais vous savez trop bien l’
histoire
de ma vie Pour croire que longtemps, soigneux de
Ses rayons et toute sa gloire. Voici présentement la lune ; et puis l’
histoire
D’Adam, d’Ève et des animaux. Voyez, Messieurs, c
Le Roi d’Yvetot Il était un roi d’Yvetot2593 Peu connu dans l’
histoire
, Se levant tard, se couchant tôt, Dormant fort bi
ages en prose de Lamartine sont, avec le Voyage en Orient (1835) et l’
Histoire
des Girondins (1847), livres d’un poète plus que
it : « Père, viens ! Nous allons t’apporter ta chaise. Conte-nous une
histoire
, dis ! » Et je voyais rayonner d’aise Tous ces re
dans ceux de la Fleur d’Or (1841), de Primel et Nola (1852), dans les
Histoires
poétiques (1851), enfin dans son épopée rustique
reaux le front de l’innocent ? Que n’a-t-elle, à propos, fermé là mon
histoire
? Ou plutôt, dans un jour doré par la victoire, A
me rendront plus que je ne vous donne ! » (Sonnets capricieux, VI :
Histoires
et contes, xvi.) Ponsard (1814-1867) Né en
sants, les suivait pas à pas, Et disait, sans changer un mot, la même
histoire
, De celles qu’on écoute et que l’on ne croit pas
écits en prose, les Souffrances de Claude Blouet (1870), la touchante
histoire
de Bigarreau (1884) sont de vrais chefs-d’œuvre,
classe en ont gardé mémoire, Et ceux qui m’ont revu m’en ont redit l’
histoire
: Plus de gaietés d’enfant, de jeux ni d’appétit.
agne et femme de Philippe le Bel, lui demanda plus tard, d’écrire son
histoire
. Achevé en 1509, cet écrit se compose de deux par
de Laudonnière) était protestant comme Ribault. Il publia en 1586 une
Histoire
notable de la Floride. 496. La rivière de May.
ernement de son pays (1547). 520. On se reportera aux divers cours d’
histoire
de France, pour le détail des événements qui préc
la mode cherche et réussit à exploiter cette ridicule manie : c’est l’
histoire
du corbeau et du renard. 609. Gentilhomme, litt
a belle-mère Noémi, veuve comme elle. Elle fut l’aïeule de David. Son
histoire
est racontée dans un ouvrage très court, mais d’u
est ce que rapporte l’historien grec Thucydide (né vers 465) dans son
Histoire
de la guerre du Péloponnèse (I, 138). 759. L’am
e Jérusalem, et gouverna ensuite les Juifs jusqu’à sa mort (424). Son
histoire
est racontée dans un des livres de l’Ancien Testa
. de la poésie, des arts et de la science : c’étaient Clio (Muse de l’
histoire
), Euterpe (musique). Thalie (comédie), Melpomène
ique, Newton, qui écrivit aussi sur la philosophie, la théologie et l’
histoire
, mérite d’être considéré comme l’un des plus gran
C’est sous ce nom, qui devint illustre, que devait être connu dans l’
histoire
le jeune frère de Foedor et de la princesse Sophi
rancs. 1276. . Thalestris est une prétendue reine des Amazones, et l’
histoire
à laquelle Bartholo fait allusion est purement ro
ux. 1369. Roncevaux, village de la Navarre espagnole, célèbre par l’
histoire
de la mort de Roland (voir page 673, note 3). 1
441. D’abord, dés l’abord, sans précaution, sans réflexion. 1442. L’
histoire
de Psyché est une des plus aimables fables qu’ait
es réminiscences personnelles tout l’intérêt et toute la gravité de l’
histoire
. » 1478. Fatiguer, verbe neutre, semble donner
racontés ici et qui sont d’ailleurs imaginaires, comme le héros de l’
histoire
, sont censés se passer vers 1808. — Le héros de l
héros de l’histoire, sont censés se passer vers 1808. — Le héros de l’
histoire
, jeune homme de vingt et un ans, était prisonnier
é en 1567. 1620. Du cure-dent de M. l’Amiral. Coligny, dit de Thou (
Histoire
universelle, livre LIII), avait coutume d’avoir u
chanvreur et le fossoyeur sont, au Berry, les narrateurs attitrés des
histoires
de revenants. 1656. Calmann Lévy, éditeur. 1657
fabrique que possédaient les parents de l’enfant qui raconte ici son
histoire
avant les revers de fortune qui les avaient oblig
. Les miens, les gens de ma famille. 2190. Dans quelque endroit. L’
histoire
du meunier et son fils était connue longtemps ava
ésenter un substantif qu’il est assez difficile de déterminer (chose,
histoire
, aventure, etc.). 2462. Il faut pardonner à Lise
de nos chansons de geste (poèmes épiques dont le sujet est tiré de l’
histoire
nationale) est la Chanson de Roland, qui raconte
ire nationale) est la Chanson de Roland, qui raconte cet épisode de l’
histoire
de Charlemagne. 2669. Preux, guerriers vaillant
Arme traditionnelle des paysans polonais. L’action est empruntée à l’
histoire
de l’une des révoltes de la Pologne contre la Rus
, et dont Littré a donné l’analyse dans le tome XXIII (page 216) de l’
Histoire
littéraire de la France. L’auteur moderne reprend
e voyelle ou une h muette. Ainsi, l’on dit l’argent pour le argent, l’
histoire
pour la histoire ; mais alors on met à la place d
h muette. Ainsi, l’on dit l’argent pour le argent, l’histoire pour la
histoire
; mais alors on met à la place de la lettre retra
Quel est celui de vous, disait M. Cousin aux auditeurs de son Cours d’
histoire
de la philosophie, quel est celui de vous qui pen
à l’invention14. Voyez quel caractère d’originalité elle a donné à l’
histoire
, sous la plume de Montesquieu, de Niebuhr, de Thi
mence par une description du territoire italien, dont il tire toute l’
histoire
passée de l’Italie et le seul plan raisonnable qu
historiques plus belles que celles-là. » Cours de philosophie. 15.
Histoire
de la littérature française jusqu’au xviie siècl
aies ou feintes. Les actions vraies sont celles qui sont arrivées : l’
histoire
ou la tradition nous les donnent. Les actions fei
i arrive pour la plupart de nos comédies. Il n’est pas possible que l’
histoire
ou la société actuelle fournisse au poète une act
gurer ni rabaisser les héros que de leur donner de l’amour, puisque l’
histoire
réelle ou poétique prouve qu’ils n’ont pas été ex
r, à la postérité avec l’approbation des connaisseurs160. » § 73.
Histoire
de la tragédie. C’est dans la Grèce qu’il faut
êmes expressions que ce prince pour déplorer son malheur169. § 76.
Histoire
de la comédie. La comédie naquit après la trag
s figures, § 37, p. 75. 169. Domairon, de la Parodie. 170. Batteux,
Histoire
abrégée de la comédie. 171. Batteux, Histoire ab
arodie. 170. Batteux, Histoire abrégée de la comédie. 171. Batteux,
Histoire
abrégée de la comédie. 172. Domairon, Poètes com
Parlons d’abord du poète, de ces Tragiques, monument unique en notre
Histoire
, étrange épopée où d’Aubigné se fait le Tyrtée, l
s, chambre dorée, feux, fers, vengeances, jugement. La précision de l’
Histoire
s’y combine avec les rêves d’une vision apocalypt
, toujours jeunes, se souvenaient si bien de l’épisode d’Amboise. Son
Histoire
universelle nous fait aussi admirer le talent du
se est encore belle, et vous vous promènerez tous les jours parmi les
histoires
et les fables. Mais ce sont les amusements d’un e
pinion que nous de ceux qui veulent réformer le monde. Qu’il lise les
histoires
de tous les siècles, il verra que ce zèle de réfo
ait foule pour… 3. Pour dire plus, en me conformant à la vérité de l’
histoire
. 4. C’est-à-dire, une divine folie. 5. Dispersi
temps. L’humble toit, dans cinquante ans, Ne connaîtra plus d’autre
histoire
. Là viendront les villageois Dire alors à que
aille par la défaite du prince de Cobourg. 4. La poésie est ici de l’
histoire
. Qui nous rendra…. C’est le vœu qui s’échappe enc
Hugo. 2. Dans cette chanson, toute une scène se déploie, toute une
histoire
se déroule. L’image, en ses vers, aspire constamm
hommes et les peuples, et en même temps à vous connaître vous-même. L’
histoire
est l’étude de la vérité : on y trouve à la fois
ture de la Bible ; Démosthène copia plusieurs fois de sa main toute l’
histoire
de Thucydide, pour s’identifier avec son style.
impartiale. Nulle étude n’est plus avantageuse sous ce rapport que l’
histoire
de la littérature, sous la direction d’un guide é
sortes de talents : ainsi Voltaire a excellé dans la tragédie, dans l’
histoire
, dans la poésie légère ; Léonard de Vinci se dist
curieux en ce qu’ils se rattachent à une époque intéressante de notre
histoire
. Lorsque le prince de Condé, prisonnier à Marcous
ammatique : Cet homme gros et court, Si connu dans l’
histoire
, Ce grand comte d’Harcourt Tout c
’étonne pas que Mars soit jardinier. § 44. Contes très rapides. —
Histoire
de l’épigramme. Ajoutons à ce que nous venons
les a réunis en effet. Je n’ai plus maintenant qu’un mot à dire sur l’
histoire
de l’épigramme. C’était très peu de chose chez le
et déjà, dans le treizième siècle, un Italien écrivait en français l’
histoire
de sa patrie, « parce que la langue française cou
ire, les pertes momentanées, par un surcroît visible de population. L’
histoire
nous montre souvent le spectacle d’une population
ans succès, jouets de tous et dignes de mépris. C’est pour cela que l’
histoire
de nos armées est si belle, et celle de nos compa
ique ; on se défend. La vie de l’homme ajoute au crédit du penseur. L’
histoire
des lettres en offre peu d’aussi belles. » 3.
it plus les hommes et leurs passions, les affaires et leurs ennuis, l’
histoire
et ses terribles agitations, qu’à travers ce rayo
rmonieux et si doux, à relire tantôt une tragédie de Racine, tantôt l’
histoire
des origines du monde, racontées par Bossuet avec
s offre pas un autre modèle, ce sont ces lettres si précieuses pour l’
histoire
, plus précieuses encore, selon moi, par les rappo
nissant obscurément sa vie dans sa maison de Tusculum jouerait dans l’
histoire
un triste rôle. Sa modération ne le menait pas au
e, dans deux cents ans, ceux qui viendront après nous liront en notre
histoire
que le cardinal de Richelieu a démoli la Rochelle
deur de notre victoire. Je vous manderai fidèlement la suite de cette
histoire
: elle est curieuse… (Lundi au soir.) À onze heur
ins à faner, et qui est le plus indigne qu’on le traite bien. Voilà l’
histoire
en peu de mots : pour moi, j’aime les relations o
; et néanmoins tout s’avance avec une suite réglée. Discours sur l’
histoire
universelle 107, Ille partie, les Empires, chap.
qu’il en parle comme d’un événement déjà arrivé et dont il raconte l’
histoire
: tant il est exact à en marquer jusqu’aux moindr
rsuit saint Augustin, le style seul dont les évangélistes ont écrit l’
histoire
de Jésus-Christ et de sa passion, leur simplicité
Il avait cependant été attaché à la cour ; mais chargé d’enseigner l’
histoire
au petit-fils du grand Condé, qui tira trop peu d
pires et de royaumes, tous ces grands événements qui embellissent nos
histoires
, ne seraient pour vous que les différentes scènes
e instant un nouveau tribut de reconnaissance et d’admiration374. »
Histoire
naturelle 375 : de la nature ; première vue. L
rant en musique et chantant leurs hymnes funéraires. Nulle fiction en
histoire
naturelle, nulle fable chez les anciens, n’a été
x mille ans ; et cependant le même intérêt nous affecte autant dans l’
histoire
ancienne que si tout cela s’était passé de nos jo
imple soit l’ouvrage des hommes ? Se peut-il que celui dont il fait l’
histoire
ne soit qu’un homme lui-même ? Est-ce là le ton d
ve point de couleurs assez noires « Pour en représenter les tragiques
histoires
. « Je les peins dans le meurtre à l’envi triompha
aurait quitter qu’après l’avoir détruit. Tant d’exemples fameux que l’
histoire
en raconte Ne suffisaient-ils pas sans la perte d
enflammé. BÉLISE, à Ariste. Non, non, je vous entends. Vous ignorez l’
histoire
; Et l’affaire n’est pas ce que vous pouvez croir
nnement en bannit la raison. L’un me brûle mon rôt, en lisant quelque
histoire
, L’autre rêve à des vers, quand je demande à boir
vois. ARMANDE. Nous approfondirons, ainsi que la physique, Grammaire,
histoire
, vers, morale et politique. PHILAMINTE. La morale
re, opulent dans la paix ; Son beau nom remplissant leur cœur et leur
histoire
, Les siècles prosternés au pied de sa mémoire.
raductions estimées, celles des Confessions de saint Augustin et de l’
Histoire
des Juifs de Josèphe. 74. Conseiller de la grand
e de Sévigné du 3 avril 1689. 78. Virgile, Æn., l. I., v. 11. 79. L’
histoire
accuse Colbert, qui aspirait à la succession de F
une chose qui est, à mon sens, fort belle : il me semble que je lis l’
histoire
romaine. Saint-Hilaire, lieutenant-général de l’a
funèbre du Dauphin ; en outre, son oraison funèbre par La Rue et son
histoire
par Bausset et par M. Floquet. Parmi ceux qui ont
isis à l’usage de la classe de quatrième. 110. On peut voir : Pline,
Histoire
naturelle, IX. 25. 111. À peu près l’an 4000 du
e. 112. Cette première partie est un résumé rapide et admirable de l’
histoire
du monde, dans lequel est adoptée la chronologie
quel est adoptée la chronologie d’Usserius (Usher) ; la seconde est l’
histoire
de la religion, dont l’unité et la suite attesten
me la douceur des vers de Racine leur cache sa vigueur et sa force. »
Histoire
de la littérature française, t. IV, p. 238. 147.
ines ». Cf. une comparaison établie par M. Nisard, au tome III de son
Histoire
de la littérature française, entre La Bruyère, Pa
illemain, des articles de M. Sainte-Beuve et de M. de Sacy, surtout l’
histoire
si complète que lui a consacrée le cardinal de Ba
té originale de ses propres écrits. On peut voir, sur ces ouvrages, l’
Histoire
de la littérature française de M. Nisard, t. III,
pourrait être regardée comme la conclusion dernière du Discours sur l’
histoire
universelle. 276. Isaïe, LII, 7. « Quam pulchri
en lui-même, avouait qu’il avait beaucoup profité à la lecture de ses
histoires
. Montesquieu, Boileau, J.-B. Rousseau, Voltaire d
et encouragé par son succès, que Rollin entreprit successivement son
Histoire
ancienne et son Histoire romaine : mais la mort l
cès, que Rollin entreprit successivement son Histoire ancienne et son
Histoire
romaine : mais la mort l’arrêta dans la compositi
dans les Morceaux choisis de la classe de quatrième, page 32. 316. L’
histoire
des Fourches Caudines est l’exemple le plus saill
on trouvera une description curieuse de ce pays dans le liv. IV de l’
Histoire
de Louis XIV par Pellisson. 339. Metz, Toul et V
tèrent entre nos mains. 343. Dans son ouvrage tout à l’heure cité, l’
Histoire
de Louis XIV, de la mort de Mazarin à la paix de
air et de flamme, selon la poétique expression de M. Villemain. » — L’
histoire
littéraire n’a pas conservé le souvenir de ce poè
ure au dix-huitième siècle, 22e leçon ; M. Geruzez, Nouveaux essais d’
histoire
littéraire, et l’Histoire de ses travaux et de se
, 22e leçon ; M. Geruzez, Nouveaux essais d’histoire littéraire, et l’
Histoire
de ses travaux et de ses idées, par M. Flourens.
vie d’homme suffit à achever. — Les trois premiers volumes in-4º de l’
Histoire
naturelle avaient paru en 1749, un an après l’Esp
it curieux de rapprocher Aristote et Pline de Buffon : on peut voir l’
Histoire
des animaux du premier, et surtout l’Histoire nat
Buffon : on peut voir l’Histoire des animaux du premier, et surtout l’
Histoire
naturelle du second, liv. VIII. 382. Ce portrait
n ne peut s’empêcher de penser au riche et au pauvre de La Bruyère. L’
histoire
naturelle a aussi ses Giton et ses Phédon ! 383
artiste en fait de style : c’est la manière de Bossuet appliquée à l’
histoire
naturelle. » 385. Qui semblent avoir du sentime
’être juste, mais de le paraître. » Cf. l’abbé Fleury, Discours sur l’
Histoire
ecclésiastique des six premiers siècles de l’Égli
e l’Art poétique. 431. On peut voir sur Malherbe M. Nisard, dans son
Histoire
de la littérature française, c. v, §§ 3 à 7 ; une
rature française, c. v, §§ 3 à 7 ; une notice de M. Geruzez (Essais d’
histoire
littéraire) ; un travail de M. Antoine de Latour,
it encore cette princesse, et il a souvent renouvelé son éloge, que l’
histoire
, par malheur, ne devait pas confirmer. Jadis, il
la collection des Chefs-d’œuvre de cet auteur (Didot, 1814-1819) ; l’
Histoire
de la littérature française de M. Nisard, etc., p
es crimes du triumvirat et de ces proscriptions dont Appien a écrit l’
histoire
! 498. Voltaire a proposé pour ce vers, dont l’
un précurseur), son nom subsisterait parmi ceux qui font date dans l’
histoire
des lettres françaises. Mais il a par lui-même sa
. Walckenaer a donné sur lui un livre plein de recherches curieuses :
Histoire
de la vie et des ouvrages de Jean de La Fontaine.
Harpe (Cours de littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et Nisard (
Histoire
de la littérature française), etc. Il est de plus
ns de l’époque classique, on recourra avec beaucoup de fruit aux deux
Histoires
de la littérature française qu’ont fait paraître
de ces vers qui ont fait justement écrire à l’abbé d’Olivet dans son
Histoire
de l’Académie française : « La Fontaine a mérité
lequel il s’efface : il ne se donne nullement pour l’auteur de cette
histoire
; il semble n’avoir fait que la recueillir sur le
la littérature générale ; M. Nisard, 9e chapitre du livre III de son
Histoire
de la littérature française ; et M. Bazin, auteur
. Corneille. — « Plus on possédera, dit à ce sujet un commentateur, l’
histoire
littéraire du siècle, et plus l’on sera frappé de
en 1805 par l’Académie française), plus récemment M. Nisard, dans son
Histoire
de la littérature française, et M. Geruzez ont di
roduisit un enthousiasme dont on peut voir une curieuse preuve dans l’
Histoire
de Bossuet par le cardinal de Bausset, t. I, p. 3
a déesse de mémoire Favorable aux noms éclatants, Soulève l’équitable
histoire
Contre l’iniquité du temps. 679. Nous renvoyo
aise et commentaire, que j’avais publiée, en 1849, dans l’Essai sur l’
histoire
de la Critique chez les Grecs, ouvrage depuis lon
e dégageant de quelques renvois, désormais superflus, à l’Essai sur l’
histoire
de la critique, et en le complétant par quelques
lettre h ne se prononce pas dans certains mots, l’homme, l’honneur, l’
histoire
, etc., qu’on prononce comme s’il y avait l’omme,
histoire, etc., qu’on prononce comme s’il y avait l’omme, l’onneur, l’
histoire
; alors on l’appelle h muette. Mais, dans les mot
ils ont prétendu que les acteurs introduits dans le grand drame de l’
histoire
, n’ayant pas tenu précisément le discours que leu
nt que l’on pourrait étudier avec fruit cette partie essentielle de l’
histoire
de l’homme en société. Quoiqu’en effet tous les g
ment. À leur tête se présente Hérodote, que l’on a nommé le père de l’
histoire
, parce qu’il a le premier rassemblé en corps d’ou
s neuf muses, donné par acclamation aux neuf livres qui composent son
histoire
, prouve avec quel transport la lecture en fut ent
rodote. Le premier événement qui figure avec quelque intérêt dans son
histoire
, est la chute de ce fameux Crésus, qui soutint ce
υλίεσθαι pour ϰυλίνδεσθαι. Voyez d’autres exemples : Politique VI, 4
Histoire
des Animaux, V, 19 Questions de mécanique, chap.
re d’un grand ouvrage d’Aristote sur la Poétique. Voyez l’Essai sur l’
Histoire
de la Critique, p. 137 et suiv.
prose : les écrits d’Hérodote mis en vers ne seraient toujours qu’une
histoire
. Ils diffèrent en ce que l’un dit ce qui a été fa
e la poésie est beaucoup plus philosophique et plus instructive que l’
histoire
. Celle-ci peint les choses dans le particulier :
le nécessaire que la poésie a en vue lorsqu’elle impose les noms de l’
histoire
. Le particulier est ce qu’a fait Alcibiade, ou ce
ge sur elles l’action. Mais dans la tragédie on emploie les noms de l’
histoire
. La raison est que nous croyons aisément ce qui n
isir. Ce n’est donc pas une nécessité que les sujets soient tirés des
histoires
connues. Il serait même ridicule de l’exiger, par
. Il serait même ridicule de l’exiger, par la raison évidente que les
histoires
connues ne le sont que du petit nombre, et que le
tation dramatique. Chapitre XXIII. Différence entre l’épopée et l’
histoire
pour le choix du sujet et la durée des événements
l rapport entre elles ; de même, dans les événements consécutifs de l’
histoire
, les choses se font les unes après les autres, sa
es, comme il arrive presque toujours à la tribune, au barreau, dans l’
histoire
, dans la polémique, l’écrivain n’a encore que l’i
dessein prémédité de les appliquer à tel paysage donné, à tel sujet d’
histoire
ou de genre ? Quand a-t-on blâmé l’artiste de mul
que vous émettez, de la thèse que vous soutenez : exemples tirés de l’
histoire
, de la fable, des traditions, inductions, précéde
fois admise entraîne souvent aux plus absurdes conséquences. Voyez l’
histoire
des dernières années. Les définitions données par
ront guider le lecteur curieux de plus amples notions. C’est dans une
histoire
de la Grammaire qu’il convient de relever et de d
n pourra consulter sur ce sujet notre Apollonius Dyscole, Essai sur l’
Histoire
des Théories grammaticales dans l’antiquité, et l
ILON Maître de conférences à l’école normale supérieure, professeur d’
histoire
au lycée Napoléon Sixième édition Ouvrage auto
e, les notions qu’ils ont acquises sur la religion, la philosophie, l’
histoire
, la littérature et les sciences. Enfin, la derniè
de nous ne cherche à en détacher son bras ! » (Cadwallader Colden,
Histoire
des cinq nations indiennes.) Nous appelons ordi
xicains avaient consacré la mémoire des principaux événements de leur
histoire
. Mais ces annales devaient être bien inexactes et
e, de la justice et des lettres. C’était en latin que l’on écrivait l’
histoire
, si l’on peut appeler de ce nom les chroniques in
capable. L’éloquent secrétaire de l’Académie a heureusement résumé l’
histoire
de la langue française après le règne de Louis XI
té, pour l’éloquence qui lui prête son charme et sa puissance, pour l’
histoire
qui juge les faits et les hommes, enfin pour ces
é puise dans l’Écriture sainte, dans les décrets des conciles, dans l’
histoire
ecclésiastique ou dans les Pères de l’Église ; l’
ine dans le cœur humain, met d’abord en avant des exemples tirés de l’
histoire
des peuples anciens : « César envoya-t-il un cart
e chercher la leur dans un autre parti que dans le sien. » (Mézeray,
Histoire
de France.) Quand on a réuni les arguments qui é
de tous les hommes, fait voir qu’ils étaient les plus sociables. » (
Histoire
universelle.) Comparez à ces phrases qui adhèren
une espèce particulière d’animaux. Delille dit, après avoir raconté l’
histoire
de Pellisson et de son araignée : L’insecte fut
icence Bossuet expose l’interêt et la grandeur des enseignements de l’
histoire
! « Quand vous voyez passer comme en un instant
ur imagination de l’austérité des philosophes et de la monotonie de l’
histoire
. Qu’ils étudient ces chefs-d’œuvre d’éloquence qu
avec élégance, l’étude approfondie de la physique, de la chimie, de l’
histoire
naturelle et de l’astronomie ; mais on peut acqué
on fait naître, on peut, dans la plupart des narrations, empruntera l’
histoire
des détails et des éclaircissements positifs. L’é
quand l’élève a amassé des idées en réfléchissant et en consultant l’
histoire
, quand il a puisé des inspirations dans l’étude d
as s’écarter. Ainsi, dans un sujet tiré de la fable ou de toute autre
histoire
merveilleuse, le merveilleux une fois admis, il f
ne lui enseigna ni le latin, ni la géographie, ni l’astronomie, ni l’
histoire
, ni la géométrie : on se contenta de lui apprendr
on ; je m’imagine pourtant qu’il ne serait pas mal qu’il sût un peu d’
histoire
. — Hélas ! madame, à quoi cela est-il bon ? répon
bon ? répondit-il ; il n’y a certainement d’agréable et d’utile que l’
histoire
du jour. Toutes les histoires anciennes, comme le
certainement d’agréable et d’utile que l’histoire du jour. Toutes les
histoires
anciennes, comme le disait un de nos beaux esprit
nnot, confus et attendri, lui conta, en sanglotant, une partie de son
histoire
. « Viens dans l’hôtellerie où je loge me conter l
la Divinité peut seul donner aux peuples la force et la grandeur ; l’
histoire
vient à l’appui de cette assertion. Il peut seul
ils ne se réfugiaient plus tout entiers dans les souvenirs et dans l’
histoire
des Romains, comme avaient fait autrefois quelque
s passagers de la cour, saisissait les crayons de l’éloquence et de l’
histoire
pour honorer la vertu de Turenne. Quelquefois une
stin et dans Paul Orose le plan, la suite, la vaste ordonnance de son
Histoire
Universelle ; et, maître d’une grande idée indiqu
s qu’on donne à traiter aux jeunes gens sont ordinairement tirés de l’
histoire
; et en effet c’est surtout à cette source qu’on
s du cœur ou de l'esprit qui ont fait jadis leur puissance, et dont l’
histoire
a conservé le souvenir. Les convenances varient s
out à fait différentes ; témoin la réponse de ce bon religieux, que l’
histoire
n’a pas trouvée indigne d’être rapportée, quand l
tés particulières qui conviennent au style de la poésie, à celui de l’
histoire
et à celui de la philosophie. Discours de Buffo
e sublime ne peut se trouver que dans les grands sujets. La poésie, l’
histoire
et la philosophie ont toutes le même objet, et un
les agrandit, elle les exagère ; elle crée les héros et les dieux : l’
histoire
ne peint que l’homme, et le peint tel qu’il est ;
rtie ne s’appelle pas Scamandre, mais Michaut. » Il existe dans notre
histoire
plus d’un exemple de ce genre d’éloquence qui peu
térerait peut-être l’amitié qui vous unit. Voltaire, en défendant son
Histoire
du siècle de Louis XIV contre les objections de m
ly et Anquetil. Voyez la première lettre de M. Augustin Thierry sur l’
Histoire
de France. 9. Nous n’avons pu reproduire ici to
se cache sous le lettré. Son cours de littérature dramatique est une
histoire
de nos travers, de nos idées, de nos mœurs, en un
tonins. C’est à la mort de Caton et de Brutus que commence, à Rome, l’
histoire
de la philosophie stoïcienne ; ce sont les premie
était tout, et il ne le fit pas ; car il mourut. C’est là un peu mon
histoire
; seulement je n’ai jamais cru que ma maison fût
a rendu sa pensée visible par un talent de description nouveau dans l’
histoire
de notre poésie. Chez lui, tout est forme et coul
selle. Tous les temps, tous les aspects du monde physique et moral, l’
histoire
et la spéculation, la méditation intime et le fra
amme. Quo non ascendam ? c’est son espérance. La vie, toute la vie, l’
histoire
, toute l’histoire, l’homme, tout l’homme, voilà s
ndam ? c’est son espérance. La vie, toute la vie, l’histoire, toute l’
histoire
, l’homme, tout l’homme, voilà son objet. Tout ce
e. De là l’axiome si souvent cité : le génie n’est que la patience. L’
histoire
des grands écrivains ne confirme-t-elle pas cette
ittéraire, ne s’arrêtait pas là. La poésie épique, l’élégie, l’ode, l’
histoire
elle-même se chantaient et se récitaient par les
s règles de l’art d’écrire. Et quoique la philosophie, la poésie et l’
histoire
se fussent successivement retirées du domaine de
il faut se donner le spectacle des choses humaines. Qu’on voie dans l’
histoire
de Rome tant de guerres entreprises, tant de sang
ontesquieu à l’éloquence de Tacite, et parle comme la conscience de l’
histoire
. 3. Montesquieu a souvent des accents émus. Il
res de Marius et de Sylla ; on en trouvera dans Appian l’épouvantable
histoire
. » Il termine ainsi son ouvrage sur la grandeur
aire appel à toutes les facultés de l’intelligence. Embrassant donc l’
histoire
, l’éloquence, la philosophie, la critique, la mor
uent et s’expliquent les uns les autres, devient ainsi l’abrégé d une
histoire
agissante et vivante, qui nous permet de suivre l
que consacrent déjà plusieurs années de pratique. En effet, puisque l’
Histoire
contemporaine s’enseigne dans toute la France, po
de la tradition, n’a-t-il pas écrit dans la dernière page de sa belle
histoire
littéraire : « Les soixante premières années du d
se est encore belle, et vous vous promènerez tous les jours parmi les
histoires
et les fables. Mais ce sont les amusements d’un e
plus cruelle persécution qu’ait soufferte le monde, et que raconte l’
histoire
, est venue peut-être d’un moindre principe de tyr
pinion que nous de ceux qui veulent réformer le monde. Qu’il lise les
histoires
de tous les siècles, il verra que ce zèle de réfo
ais un homme de qualité406 à qui j’aurais bien plutôt fait écrire mon
histoire
qu’à ces bourgeois-là407, si j’étais son maître.
s, parce que, pour bien les entendre, il faut posséder parfaitement l’
histoire
de ce temps, là, et que vous ne la savez point. A
, qui est fort divertissant, et qui vous apprendrait la plus ancienne
histoire
qui soit parmi les hommes après l’Écriture sainte
la recommandation de Bossuet, il fut appelé à Paris pour enseigner l’
histoire
à M. le Duc, petit-fils du grand Condé. Ce fut l’
nnent dans le voisinage de la Fontaine ; ces Dialogues des Morts où l’
histoire
est morale sans nous ennuyer ; enfin le Télémaque
ts distinctifs. L’âme du licencié Garcias Avant que d’entendre l’
histoire
de ma vie, écoute, ami lecteur, un conte que je v
dre de Charlemagne, il fut tourmenté de bonne heure par le démon de l’
histoire
, et commença ses Mémoires en juillet 1694, à l’ar
il faut se donner le spectacle des choses humaines. Qu’on voie dans l’
histoire
de Rome tant de guerres entreprises, tant de sang
ot, confus et attendri, lui conta en sanglotant une partie1101 de son
histoire
. — Viens dans l’hôtellerie où je loge me conter l
sciences, il conçut, à l’âge de trente-deux ans, le projet d’écrire L’
Histoire
de la nature. Publié entre 1749 et 1788, cet ouvr
sans me regarder, je lui déclinais mon1274 nom, et je lui faisais mon
histoire
. Sur la fin de cette histoire, mon homme s’arrête
nais mon1274 nom, et je lui faisais mon histoire. Sur la fin de cette
histoire
, mon homme s’arrête, et, se tracassant avec un de
s. Le noyer de la terrasse O vous, lecteurs curieux de la grande
histoire
du noyer de la terrasse, écoutez-en l’horrible tr
jugeais mieux que César à trente1314. L’idée de ce noyer et la petite
histoire
qui s’y rapporte, m’est si bien restée ou revenue
e soit l’ouvrage des hommes1370 ? Se peut-il que celui dont il fait l’
histoire
ne soit qu’un homme lui-même ? Est-ce là le ton d
xemple ; car les fautes de sa jeunesse pesèrent sur toute sa vie. Son
histoire
nous offre le douloureux spectacle d’un génie pui
e province La naissance, le mariage et la mort composaient toute l’
histoire
de notre société, et ces trois événements différa
les débris des monuments publics, et ces monuments ne retracent que l’
histoire
politique des siècles écoulés ; mais à Pompéia, c
upart de ces maisons qui ont été ensevelies par d’autres laves. Cette
histoire
du monde, où les époques se comptent de débris en
nent fermer pour moi le livre de la Poésie et m’ouvrir les pages de l’
histoire
. J’ai consacré l’âge des illusions à la riante pe
ur électriser la valeur française. Dans ces glorieuses pages de notre
histoire
, il a toujours l’à-propos grandiose, le ton du co
quoi qu’on en dise, voici, en attendant, un petit échantillon de mon
histoire
; mais c’est du noir1612, prenez-y garde. Ne lise
t ce que cela signifiait. Cousine, obligez-moi, ne contez point cette
histoire
. D’abord, comme vous voyez, je n’y joue pas un be
ument qui ait été exécuté sur les origines, le fonds et la suite de l’
Histoire
de France. L’ensemble en est imposant. Ses travau
ions : tels sont les mérites éminents de ce grand esprit qui aborda l’
histoire
en homme d’État, prédestiné aux luttes et aux tri
charmée son enseignement, M. Villemain a renouvelé la critique par l’
histoire
, la biographie, les détails de mœurs, et les aper
i-même à la dernière postérité. Le travail de sa captivité1679, cette
histoire
dictée près de son tombeau et laissée incomplète
ux considérables qui devaient être des événements littéraires. Dans l’
Histoire
de la Révolution française (1824), comme dans cel
a prononcé de nombreux éloges, qui sont autant de pages accomplies. L’
histoire
est chez lui une science et un art. Il donne un s
grand coupable à qui Dieu eût pardonné ; elle s’arrêta à la touchante
histoire
du bon larron, qui lui sembla le plus rassurant e
itoyen. Il a l’éloquence du patriotisme. Si l’on a pu reprocher à son
Histoire
de la Révolution (1823-1827) trop d’indulgence po
s impressions et les instincts d’un artiste délicat. La poésie de l’
histoire
J’ai toujours considéré l’histoire comme l’occ
tiste délicat. La poésie de l’histoire J’ai toujours considéré l’
histoire
comme l’occupation qui convenait le mieux à nos c
iècle était particulièrement propre à faire. J’ai consacré à écrire l’
histoire
trente années de ma vie, et je dirai que, même au
st, je le crois, la vraie préparation de l’esprit à cette épopée de l’
histoire
, qui n’est pas condamnée à être décolorée parce q
a force, les intérêts et le caractère des peuples’ ; qu’il sache leur
histoire
politique, et particulièrement leur histoire mili
ples’ ; qu’il sache leur histoire politique, et particulièrement leur
histoire
militaire ; il faut surtout qu’il connaisse les h
r les astres dans le ciel, chercher dans les entrailles de la terre l’
histoire
de notre globe et de ses antiques révolutions, do
sous le lettré ; aussi son cours de littérature dramatique est-il une
histoire
de nos travers, de nos idées, de nos mœurs, en un
ocle1736; la voilà, cette île que le soleil marque de sa lumière et l’
histoire
de ses souvenirs ; la voilà avec tout ce que son
nter les grandes actions et les grands caractères de la Fable ou de l’
Histoire
. Ils mettent dans leur vie le calme et la modesti
i ne meurt pas. Mais ce qui les porta l’une et l’autre aux cimes de l’
histoire
, ce fut que, dans la servitude où se taisait le g
es sont une encyclopédie qui embrasse la philosophie, la politique, l’
histoire
, la poésie, l’éloquence et les arts, l’antiquité
tions politiques1797, a reporté cette passion assez innocemment sur l’
histoire
littéraire : il n’aime rien tant en ce genre que
la France1828. Il est le premier, il est le seul qui ait consacré à l’
histoire
de notre littérature un monument qu’on peut appel
contesté. Aussi bien, ce que nous faisons ainsi à nous seuls, toute l’
histoire
moderne nous en est témoin, nous le faisons pour
foule pour... 23. Pour dire plus, en me conformant à la vérité de l’
histoire
. 24. C’est-à-dire, une divine folie. 25. Disper
l’artiste en phrases, n’est-ce pas plutôt l’auteur du Discours sur l’
Histoire
universelle qui a écrit les lignes suivantes : «
ue. 144. Parmi les hommes comme parmi les enfants. 145. La célèbre
histoire
, de la Pie voleuse date du dix-septième siècle.
oit de son vivant, soit après sa mort. » (Abrégé chronologique de l’
Histoire
de France, iiie race, 1676.) 171. Il parle à s
es livres très-agréables : nous en avons un de dévotion, les autres d’
histoire
; cela nous amuse, et nous occupe ; nous raisonno
vieux temps ; Joins-y, si tu le peux, tous les traits éclatants De l’
histoire
profane et de l’histoire sainte : De tant d’ensei
i tu le peux, tous les traits éclatants De l’histoire profane et de l’
histoire
sainte : De tant d’enseignements l’impuissante la
e y a été si paisible qu’il ne fournit aucune variété pour embellir l’
histoire
. » 802. On peut comparer Bossuet (Recueil des
ontesquieu a l’éloquence de Tacite, et parle comme la conscience de l’
histoire
. 1034. Montesquieu a souvent des accents émus.
res de Marius et de Sylla ; on en trouvera dans Appian l’épouvantable
histoire
. » Il termine ainsi son ouvrage sur la grandeur
les proverbes des gens d’esprit. Voltaire n’écrira jamais une bonne
histoire
. Il est comme les moines, qui n’écrivent pas pour
ires de la couronne. 1210. Buffon mêle volontiers à ses peintures d’
histoire
naturelle les aperçus moraux d’un philanthrope. A
sa tombe il s’obstine à mourir. Enfin le grand Buffon écrivit son
histoire
; Et, lorsqu’à son retour, le chien d’Ulysse a
ité est le cadre du roman de Paul et Virginie. Les deux aspects de l’
histoire
touchante sont présagés, et se réfléchissent. Il
Pourtant, nous ne pouvons pas tous nous attendre à revenir raconter l’
histoire
de notre bataille, et je puis être destiné à mour
u parc et son ameublement ; D’un rhume ? de sa goutte il vous conte l’
histoire
; D’astronomie ? il grimpe à son observatoire, Où
ent dans la physionomie de M. Guizot. Un de ses derniers livres est l’
Histoire
racontée par un grand-père à ses petits-enfants.
membres de cette glorieuse tribu d’écrivains qu’il passe en revue. L’
histoire
, la biographie, les détails de mœurs vivifient s
1667. Il est sublime sans cesser d’être simple. 1668. Discours sur l’
Histoire
universelle. 1669. Allusions à ses oraisons fun
était celui des maîtres, et, en l’assouplissant au genre tempéré de l’
histoire
biographique, en lui donnant plus de grâce et de
excelle à rendre oratoires et dramatiques ces emprunts qu’il fait à l’
histoire
. 1756. Ces mots font allusion aux écoles philoso
y portait les lumières de la foi. 1819. Ce fragment est détaché de l’
histoire
de Port-Royal, où M. Sainte-Beuve vient de racont
les sentiments. Il n’en est aucun qu’il ne puisse comprendre. 1828.
Histoire
de la littérature moderne. 4 vol., Didot. 1829.
voit dans cette pensée de La Bruyère : « La vie des Héros a enrichi l’
histoire
; et l’histoire a embelli la vie des Héros. » Da
pensée de La Bruyère : « La vie des Héros a enrichi l’histoire ; et l’
histoire
a embelli la vie des Héros. » Dans ces vers de l
mémoire. Voyez d’abord avec quelles couleurs le P. Berruyer, dans son
Histoire
du peuple de Dieu, peint l’embrasement de ces anc
it du cardinal de Richelieua, tracé par le P. Bougeant, dans sa belle
Histoire
du traité de Westphalie. Le voici. Je ne craindra
êmes un caractère à leurs personnages, ou en embellissant celui que l’
histoire
leur donne. Parmi tous les portraits de cette esp
placées par le poète ou par l’historien dans la bouche d’un héros. L’
histoire
nous a conservé, et la poésie a mis habilement en
at s’enfuit épouvanté, en répétant : Je ne puis tuer Caius Marius. L’
histoire
moderne nous offre le même trait. Un ligueur va t
ractère général des problèmes qui y sont discutés, voy. l’Essai sur l’
Histoire
de la Critique, p. 123, où je crois avoir montré
aits des études d’Aristote sur Homère. — Voy. aussi notre Essai sur l’
Histoire
de la Critique, p. 123 et suiv. Les Illyriens.] M
lle injustice commise pour ma patrie et par mes concitoyens. Rollin,
Histoire
ancienne, liv. VIII. Lecture. — Le Duc de Rohan
§ VIII. Le Style historique Le style Historique est le style de l’
histoire
; il tient en somme le milieu entre le style enjo
partient pas à tous les sujets : il règne seulement dans la poésie, l’
histoire
et la philosophie : ce sont là les seuls champs o
e sublime ne peut se trouver que dans les grands sujets. La poésie, l’
histoire
et la philosophie ont toutes le même objet, et un
les agrandit, elle les exagère ; elle crée les héros et les dieux. L’
histoire
ne peint que l’homme, et le peint tel qu’il est :
n Bossuet nous parle des grandes leçons que nous devons puiser dans l’
histoire
: Quand vous voyez, passer comme en un instant d
les éléments essentiels du style véhément ». (Filon.) Raynal dans son
Histoire
philosophique et politique fait ainsi sentir aux
ils doivent un jour savoir appliquer les vertus. A mesure donc que l’
histoire
, la poésie, la philosophie morale, et cette fleur
forts. La philosophie cherche la vérité dans l’essence des choses ; l’
histoire
, dans les faits ; la poésie demande un merveilleu
sée de l’orateur. Ce sera surtout dans les faits que lui présentera l’
histoire
que l’élève retrouvera sa métaphysique en exemple
’a que la vraisemblance à se donner, et que l’illusion à répandre ; l’
histoire
n’a communément que l’ignorance à éclairer, la ph
le caractère de la poésie est une séduction perpétuelle ; celui de l’
histoire
, une sincérité noble et câline ; celui de la phil
pu être corrigé en un moment, si on l’eût averti qu’il faisait trop d’
histoires
et qu’il parlait trop de soi. XX. Parler de ceux
, parlant de leurs ouvrages, disent : Mon livre, mon commentaire, mon
histoire
, etc. Ils sentent leurs bourgeois qui ont pignon
he. Ils feraient mieux dédire : Notre livre, notre commentaire, notre
histoire
, etc., vu que d’ordinaire il y a plus en cela du
n goût sûr et d’une critique judicieuse. La vie des héros a enrichi l’
histoire
, et l’histoire a embelli les actions des héros :
’une critique judicieuse. La vie des héros a enrichi l’histoire, et l’
histoire
a embelli les actions des héros : ainsi je 11e sa
: ainsi je 11e sais qui sont plus redevables, ou ceux qui ont écrit l’
histoire
à ceux qui leur en ont fourni une si noble matièr
s noble, de plus naïf et de plus simple ; il en fait la peinture ou l’
histoire
. L’autre, sans choix, sans exactitude, d’une plum
riens, non-seulement pour leur style, mais encore pour les faits de l’
histoire
; surtout il exige l’étude des portes, à cause du
ttre d’ordinaire, dans le commencement de ses ouvrages de morale, des
histoires
et des traditions, qui sont comme le fondement de
ceux qui prêchent la religion ; car tout y est tradition, tout y est
histoire
, tout y est antiquité. La plupart des prédicateur
ient dans l’Ecriture ; tout y garde le caractère qu’il doit avoir : l’
histoire
, le détail des lois, les descriptions, les endroi
ut le lire pour certains principes sur la tradition, pour les faits d’
histoire
et pour la discipline de son temps ; mais pour so
re, de Thétis et Pélée, opéra qui excite inutilement ton envie ; de l’
Histoire
de l’Académie des sciences, que tu n’es pas à por
onne pas à Pélisson d’avoir dit gravement tant de puérilités dans son
Histoire
de l’Académie française, et d’avoir rapporté comm
elquefois se permettre, voici une occasion où Mézeray, dans sa grande
histoire
, semble obtenir grâce pour cette hardiesse approu
son style propre en prose et en vers. On sait assez que le style de l’
histoire
n’est pas celui d’une oraison funèbre : qu’une dé
de la négligence : c’est de mêler au style simple et noble qu’exige l’
histoire
ces termes populaires, ces expressions triviales,
s Lettres provinciales parurent. Pourquoi personne n’avait-il écrit l’
histoire
d’un style convenable, jusqu’à la Conspiration de
re, il n’est plus possible qu’ils en doutent lorsqu’ils liront dans l’
histoire
qu’on a vu Votre Majesté, à la tête de ses troupe
à des ligures de Raphaël. Je vois qu’on affecte quelquefois, dans des
histoires
, d’ailleurs bien écrites, dans de bons ouvrages d
artistes soient bien loin de l’être. Dans l’étude que j’ai faite de l’
histoire
, j’en ai toujours tiré ce fruit, que le temps où
nna et des Provinciales ? Et quel est l’homme un peu versé dans notre
histoire
qui puisse assigner un temps plus heureux, depuis
écédents, plus vous trouvez tout sauvage ; et c’est ce qui rend notre
histoire
de France si dégoûtante, qu’on a été obligé d’en
vous avez de vouloir bien faire des corrections si judicieuses dans l’
Histoire
de Charles XII. Je ne sais rien de si honorable
s. Si vous voulez aussi, Monsieur, me faire le plaisir de m’envoyer l’
Histoire
de Charles XII, de l’édition de Lyon, je serai fo
iseurs d’oraisons funèbres, des bavards ampoulés. Il nous resterait l’
histoire
; mais un génie naturellement éloquent veut dire
mais je brûlerais volontiers ces ennuyeux ouvrages, et encore plus l’
histoire
de sa vie. Si je l’avais reçue un jour plus tôt,
celles qui doivent naître de la diversité des genres. Le style de l’
histoire
est naturellement grave et d’une simplicité noble
le visage d’Agamemnon ; ou à ces feuillets déchirés par la muse de l’
histoire
, dans le fameux tableau de Chantilly. C’est par l
ttrait du plaisir ; qu’il ne serait pas digne de la philosophie, de l’
histoire
, de l’éloquence même d’un certain caractère, de d
d’une manière qui passe peut-être les originaux. Je ne parle pas de l’
Histoire
de Charles XII, qui, par la faiblesse des critiqu
aire que son Essai sur le siècle de Louis XIV et ses Réflexions sur l’
histoire
, ce serait déjà trop pour reconnaître en lui, non
s, ni la politique, ni mœurs des peuples, ni leurs opinions, ni leurs
histoires
, ni leur langue même, n’ont pu échapper ; illustr
e sublime ne peut se trouver que dans les grands sujets. La poésie, l’
histoire
et la philosophie ont toutes le même objet, et un
, elle les agrandit, les exagère, elle crée les héros et les dieux. L’
histoire
ne peint que l’homme, et le peint tel qu’il est :
s aime même dans les vieux auteurs, parce qu’ils sont là un fait de l’
histoire
littéraire ; ils montrent la naissance du langage
r en bien connaître le sens, la force, la propriété, avoir appris son
histoire
. La science des mots enseignerait tout l’art du s
’Héliodore. 33. Coeffeteau, né en 1574, mort en 1623 ; auteur d’une
histoire
romaine et d’une traduction de Florus. 34. Le M
suffit d’être historien exact pour tracer l’éloge de son héros ! « L’
histoire
déposera que, sans la présence du roi, la bataill
s vainquirent ». Voilà bien le ton, les couleurs et la fidélité de l’
histoire
décrivant un grand événement. Écoutez maintenant
ument qui ait été exécuté sur les origines, le fonds et la suite de l’
histoire
de France. L’ensemble en est imposant. Ses travau
ions : tels sont les mérites éminents de ce grand esprit qui aborda l’
histoire
en homme d’État, prédestiné aux luttes et aux tri
sous le lettré. Aussi son cours de littérature dramatique est-il une
histoire
de nos travers, de nos idées, de nos mœurs, en un
était tout, et il ne le fit pas ; car il mourut. C’est là un peu mon
histoire
; seulement je n’ai jamais cru que ma maison fût
elle convient parfaitement à la destinée de Didon et résume toute son
histoire
. Citons maintenant deux maximes de nos poètes :
et les chutes cadencées. On peut citer comme modèle de style simple l’
histoire
de Joseph et celle de Tobie dans nos saintes Écri
ende le style agréable et mélodieux. Les ouvrages de philosophie et d’
histoire
exigent sous ce rapport beaucoup moins d’attentio
parler le langage de la science et d’employer des mots techniques : l’
histoire
est aussi obligée de répéter certains noms que le
qui embrassent toute une époque ou la vie d’une nation porte le nom d’
histoire
. L’histoire est donc le récit fidèle et authentiq
nt toute une époque ou la vie d’une nation porte le nom d’histoire. L’
histoire
est donc le récit fidèle et authentique des événe
e récit fidèle et authentique des événements passés. 316. Le but de l’
histoire
est d’instruire l’homme en lui faisant connaître
fait important et le mettre dans tout son jour. 321. La moralité de l’
histoire
consiste à bien juger les hommes et les événement
de toute élévation ; ce serait méconnaître le but moral sans lequel l’
histoire
n’est qu’une série de dates et de faits, une vain
que de lire et méditer souvent la vie des patriarches et l’inimitable
histoire
de Joseph. § III. De la description16. 32
Dieu, les merveilles de la création et les principaux événements de l’
histoire
des Hébreux. On trouve dans ses chants une expres
sous les yeux. C’est un récit poétique, et en cela elle diffère de l’
histoire
et du roman qui ne sont pas écrits en vers. Enfin
able. Le poète n’est donc pas obligé de se conformer à la vérité de l’
histoire
, mais il ne peut dépasser les bornes de la vraise
e point à un récit qui choque les idées reçues et l’enseignement de l’
histoire
ou de la tradition. 450. L’action doit être héroï
t du ministère de ses anges pour conduire toutes choses à leur fin. L’
histoire
de la religion, les conquêtes de ses apôtres, l’h
ans l’Iliade, l’entretien d’Hector et d’Andromaque ; dans l’Énéide, l’
histoire
de Cacus, celle de Nisus et d’Euryale ; dans la J
ours une grande opposition de la part du mal. Le poète prendra dans l’
histoire
le héros et les personnages principaux ; les pers
uation ; ressemblantes c’est-à-dire en harmonie avec les données de l’
histoire
, de la fable ou de la tradition ; égales, c’est-à
e. Telle est la Pharsale de Lucain. Ce poème n’est, au fond, que de l’
histoire
mise en vers. Il en diffère seulement par le styl
uelques vers. Plus tard, Eschyle fit entrer dans ses compositions une
histoire
racontée en dialogue par divers personnages, et b
. On peut citer aussi, comme un charmant tableau du genre pastoral, l’
histoire
de Ruth, qui forme un des livres de nos saintes É
la main qui délivre, Je me faisais relire aux pages du saint livre L’
histoire
du berger que protégeait le ciel, Ou Débora parta
refuse pas lorsqu’on l’obtient des cieux. Voilà, prince, quelle est l’
histoire
de ma vie : Je n’ai point mérité qu’elle me soit
éraux ; Alexandre y fut arrêté devant Tyr, et vint lire à Jérusalem l’
histoire
de ses triomphes, écrits d’avance, comme ceux de
us, déguisée en chasseresse, se présente à Énée, à qui elle raconte l’
histoire
de cette princesse, puis l’enveloppe d’un nuage a
it l’occasion de parler de leur reproduction artificielle, et amène l’
histoire
d’Aristée, dans laquelle on trouve celle d’Orphée
-ce que la narration historique ? 316. Quel est le véritable but de l’
histoire
? 317. Quelles sont les qualités particulières à
e la narration historique ? 319. En quoi consiste l’impartialité de l’
histoire
? 320. Quel est l’ordre qui doit régner dans l’hi
dre qui doit régner dans l’historien ? 321. Qu’exige la moralité de l’
histoire
? 352. Qu’est-ce que la narration poétique ou fab
modèles de style simple. Nous citerons comme modèles en ce genre, l’
histoire
de Joseph, dans la Bible ; les Satires et les Épî
din de Saint-Pierre ; le Sacrifice des petits Enfants, de Berquin ; l’
histoire
de Denise, par Laurent de Jussieu ; et le Petit S
es, les entretiens familiers, les lettres, la fable, les dialogues, l’
histoire
, l’églogue, les rapports, les dissertations, en u
ie encore quelquefois dans les fables, les pastorales, les sermons, l’
histoire
, les odes, les compliments, etc. 156. Quelles son
à la tragédie et à l’opéra. En prose, le style sublime est celui de l’
histoire
et de la philosophie, quand elles s’occupent de c
clier. Rien ne m’amuse plus que de voir un conteur ennuyeux faire une
histoire
circonstanciée sans quartier : je ne suis pas att
e histoire circonstanciée sans quartier : je ne suis pas attentif à l’
histoire
, mais à la manière de la faire. Pour la plupart d
ui est la vertu2. Ce que je dis est confirmé par le corps entier de l’
histoire
, et très-conforme à la nature des choses. Car il
apide esquisse de Bossuet, qui ne fait des Romains qu’un épisode de l’
histoire
du monde ; Rome se montre plus étonnante dans Mon
la conjuration de Fiesque. Considérez le dénoûment que lui donnait l’
histoire
. Tout le plan de l’entreprise est définitivement
isons des passions et des volontés humaines. Ce dénoûment donné par l’
histoire
, l’art le proscrivait ; Schiller sentit qu’il n’y
raison qu’à celles qui en même temps parlent au cœur. J’admets dans l’
histoire
un épilogue qui dégage des événements passés les
étaient vos héros. Aujourd’hui la poésie et les grandes légendes de l’
histoire
exaltent vos jeunes cœurs et vous élèvent à des h
evenu chez nous un arbre immense qui couvre tout de son ombre, mœurs,
histoire
, politique, sciences, arts, et qui menace d’absor
s les contemporains. Nous avons d’excellents travaux de critique et d’
histoire
, étudiez-les : feuilletez même les romans, les br
de l’Art poétique. 1. On peut voir sur Malherbe M. Nisard, dans son
Histoire
de la littérature française, c. V, §§ 3 à 7 ; une
rature française, c. V, §§ 3 à 7 ; une notice de M. Geruzez (Essais d’
histoire
littéraire) ; un travail de M. Ant. de Latour, pu
quoi qu’on en dise, voici, en attendant, un petit échantillon de mon
histoire
; mais c’est du noir3, prenez-y garde. Ne lisez p
t ce que cela signifiait. Cousine, obligez-moi, ne contez point cette
histoire
. D’abord, comme vous voyez, je n’y joue pas un be
ltipliez vos jours, comme les cerfs et les corbeaux que la fable ou l’
histoire
de la nature fait vivre durant tant de siècles ;
x yeux de l’homme la conduite de la providence. « Nous lisons dans l’
histoire
sainte que le roi de Samarie ayant voulu bâtir un
norité orageuse au règne le plus glorieux dont il soit parlé dans nos
histoires
, retomber de cette gloire dans des malheurs presq
de Châteaubriand, dans ses Etudes historiques, analyse raisonnée de l’
histoire
de France : Louis IX.
es sont une encyclopédie qui embrasse la philosophie, la politique, l’
histoire
, la poésie, l’éloquence et les arts, l’antiquité
sédait à fond l’œuvre de Montaigne. 11. Ce fragment est détaché de l’
histoire
de Port-Royal. 12. Fontaine (1625-1709) fut un d
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