en-ēnis : siren-rēnis. 2° dans les noms en er et en es, qui ont en
grec
un η au génitif : ver-vēris (en grec ηρ-ηρος).
oms en er et en es, qui ont en grec un η au génitif : ver-vēris (en
grec
ηρ-ηρος). crater-ēris (en grec ϰρατηρ-ηρος). ta
rec un η au génitif : ver-vēris (en grec ηρ-ηρος). crater-ēris (en
grec
ϰρατηρ-ηρος). tapes- ē tis, magnes- ē tis.
s, ītis ; Samn-is, ītis ; et d’autres noms en is ou en in, dérivés du
grec
: Delph-is ou in, génitif Delph-īnis ; Salam-in,
s, ōris, qui suivent la règle générale. 2° dans les noms qui ont en
grec
un omicron au génitif, comme Hect-or, ŏris ; rhet
remière déclin. : rosā, filiā. 2° au vocatif des noms en as tirés du
grec
: Æneas, vocatif Æneā ; Pallas, vocatif Pallā.
famē, ablatif de l’ancienne forme fam-es, ei. et les noms qui ont en
grec
un η, comme cetē, tempē. 3° à l’impér. des verbe
s. I final est bref : 1° au vocatif des noms en is imités du
grec
, comme Daphnis, Daphnĭ ; Alexis, Alexĭ. 2° dans
long chez les vieux poètes.) I final est commun : 1° aux datifs
grecs
en i : Pallad[ATTcaractere], Parid[ATTcaractere].
véritables datifs ou ablatifs : amandō. 3° dans les noms qui ont en
grec
un oméga à la dernière syllabe, comme Cliō, Didō.
Y final ne se trouve que dans un très-petit nombre de mots dérivés du
grec
. Cette voyelle suit en latin la quantité du primi
a quantité du primitif ; elle est brève ou longue selon que la finale
grecque
en υ admet l’une ou l’autre de ces quantités.
ilibus imbuĕt agnus. Virg. Exceptions. B est long dans quelques mots
grecs
et hébreux, où cette finale est longue, comme Jōb
ques mots grecs et hébreux, où cette finale est longue, comme Jōb (en
grec
Iώϐ), Jacōb (en grec Iαϰώϐ), etc. II C final
breux, où cette finale est longue, comme Jōb (en grec Iώϐ), Jacōb (en
grec
Iαϰώϐ), etc. II C final. Les finales en c
ēn, renis ; sir-ēn, enis ; hym-ēn, enis. 2° dans les noms qui ont en
grec
une longue pour finale, comme Titān, Anchisēn, Sa
comme num-ĕn, inis ; flum-ĕn, inis, etc. 2° dans les noms qui ont en
grec
un omicron à leur finale, comme Peliŏn, Iliŏn. Aj
un omicron à leur finale, comme Peliŏn, Iliŏn. Ajoutez les accusatifs
grecs
des noms en is : Daphnĭn, Parĭn, et quelques accu
ses composés impār, dispār 2° dans les noms en er qui ont un êta en
grec
, comme aēr, œthēr, cratēr, Celtibēr. Remarque.
Remarque. — Patĕr et matĕr ont la finale brève, quoiqu’ils aient en
grec
un êta43. VII S final. Les mots qui se
1° AS final est bref : 1° dans les noms en as, adis, dérivés du
grec
: Arc-ăs, adis ; Pall-ăs, adis, etc. ; joignez-y
joignez-y anăs-atis ; văs, vadis. 2° à l’accusatif pluriel des noms
grecs
de la troisième déclinaison : heroăs, Arcadăs, et
odĕs, etc. 3° au nominatif et au vocatif pluriels des noms dérivés du
grec
, comme Troĕs, Arcadĕs, (Ces noms font ēs long à l
ŏs, ŏs (génitif ossis) et son composé exŏs. 2° dans les noms qui, en
grec
, ont un omicron, comme Samŏs, Chiŏs, Rhodŏs, melŏ
t un omicron, comme Samŏs, Chiŏs, Rhodŏs, melŏs. Ajoutez les génitifs
grecs
en os de la troisième déclinaison : Arcadŏs, Pall
; ajoutez Samn-īs, Si-moīs, et quelques autres peu usités qui ont en
grec
une finale longue. 3° à la deuxième personne du s
rième déclinaison45 : man-ūs, fruct-ūs, etc. 3° dans les noms qui, en
grec
, finissent en ους, comme Jesūs (en grec Iησους),
etc. 3° dans les noms qui, en grec, finissent en ους, comme Jesūs (en
grec
Iησους), tripūs (composé de πους), etc. Remar
as confondre les finales en us et en eus. Celles-ci, dérivées de noms
grecs
en ευς, forment une diphthongue qui est toujours
ctere]s, Erinn[ATTcaractere]s, et d’autres noms en ys dérivés de mots
grecs
en υς long46. ARTICLE V. 1° Des mots com
et généralement dans les mots composés où pro remplace la préposition
grecque
προ, antè. Pro est commun dans pr[ATTcaractere]cu
io ; mŏlestus, de mōles ; mācero, de măcer ; etc. Les mots dérivés du
grec
conservent en général leur quantité primitive : Σ
si : 1. Les finales en or sont brèves en latin, quoiqu’elles aient en
grec
une voyelle longue ; comme Nέστωρ, Nestŏr ; ρήτωρ
hetŏr, etc. 2. Les noms en a pur ont généralement la finale longue en
grec
, et brève en latin : θεά, deă ; λὺρα, lyră, etc.
ng dans εγώ ; il est commun dans les verbes latins, bien que, dans le
grec
, il y ait un oméga, comme tremŏ, de τρεµω ; ed[AT
emŏ, de τρεµω ; ed[ATTcaractere], de έδω, etc. De même, dans ergŏ, du
grec
έργψ ; dans Mil[ATTcaractere], de Mίλων ; dans Pl
, est pour manuis, et au pluriel manûs est pour manues. 46. Les noms
grecs
en υς et en υ, dont le génitif est en ος pur, et
veloppement à travers les civilisations. II l’éloquence chez les
grecs
. — age héroique Les Grecs dont Homère nous dép
ilisations. II l’éloquence chez les grecs. — age héroique Les
Grecs
dont Homère nous dépeint les mœurs ne sont pas de
et de Platon. La guerre de Troie n’est que l’aube de la civilisation
grecque
; mais il y a peu de jours dans l’histoire des au
en doit être supérieure à celle d’un Sioux ou d’un Paunie ? L’orateur
grec
doit inspirer le respect aux multitudes par l’asc
n. En un mot, l’orateur barbare peut n’être qu’un guerrier, l’orateur
grec
doit être un politique. Si vous voulez mieux comp
e de celle de la tribu, suivez-moi un instant dans le camp des alliés
grecs
devant Troie. Ils sont venus de tous les cantons
us par un sentiment unanime, l’horreur de l’infidèle ; tandis que les
Grecs
, désintéressés pour la plupart dans la querelle d
st absolue que sur les champs de bataille : l’esprit démocratique des
Grecs
se réveille dans le camp et trouve déjà des inter
’heureuse issue de la guerre et la chute prochaine de Troie. Mais les
Grecs
sont ennuyés des longueurs du siége ; il veut les
donc en assemblée, et voici comment il leur parle : « — Amis, héros
grecs
, compagnons de Mars ; Jupiter, fils de Saturne, m
nte pour nous et pour ceux qui viendront après nous que le peuple des
Grecs
si brave, si puissant, ait fait une guerre inutil
ez qu’après avoir immolé les victimes du serment, il prenne envie aux
Grecs
et aux Troyens de se compter. Si les Troyens qui
qui ont leurs foyers dans la ville se rangeaient d’un côté, et si les
Grecs
de l’autre se partageaient en décades, et que cha
es manqueraient d’échanson. Voilà dans quelle proportion les fils des
Grecs
l’emportent sur les Troyens. — Je dis sur les Tro
e, car il dépassa le but que l’orateur voulait atteindre. A peine les
Grecs
l’ont-ils entendu, qu’ils poussent un cri, et tou
d de la pensée d’Atride. — Il a voulu tenter aujourd’hui les fils des
Grecs
, demain il les châtiera peut-être. — Nous n’avons
e qu’il a dit dans le conseil. — Ah ! que je crains pour les fils des
Grecs
les effets de sa colère ! — Elle est terrible, la
l. — Crois-tu que nous allons tous régner maintenant dans l’armée des
Grecs
? — Non, il n’est pas bon que plusieurs gouvernen
r a confié le sceptre et la justice pour commander aux hommes. » Les
Grecs
reviennent au conseil « avec un murmure pareil au
es et de belles captives ? Chaque fois qu’ils prennent une ville, les
Grecs
ne te font-ils pas la première part du butin ? Qu
tant pas, parce que tu es roi, t’habituer à marcher sur les têtes des
Grecs
. O mes amis, si vous n’êtes pas des femmes, si vo
es Grecs. O mes amis, si vous n’êtes pas des femmes, si vous êtes des
Grecs
, partons, retournons chez nous sur nos vaisseaux.
ut troublé, le regard hébété et essuyant ses larmes. A cette vue, les
Grecs
, quoique bien affligés, se prennent à rire de bon
ête des armées, mais le plus bel exploit qu’il ait accompli parmi les
Grecs
, c’est de fermer la bouche à ce dangereux bavard.
Ulysse m’attire : elle est l’expression la plus vraie de ce caractère
grec
composé de ruse et de courage, de patience et d’a
proportion. Connaître bien ce personnage, c’est connaître l’éloquence
grecque
, jusqu’au temps où l’art des rhéteurs vint la per
oisés n’ont qu’un Bohémond, vous en trouveriez vingt dans l’armée des
Grecs
. C’est que l’astuce est naturelle à ce peuple, et
randes enjambées, serait un excellent chef de Peaux-Rouges : chez les
Grecs
, il ne compte que comme un bon soldat. Ulysse seu
les. Pourquoi ? Parce qu’il a plus que les autres la vertu éminemment
grecque
, l’esprit de mesure et de convenance. Il est brav
lez-vous Thémistocle donnant de faux avis à Xerxès, et trahissant les
Grecs
pour les sauver. Aux violences de ses adversaires
e Rhésus ; lui qui conçoit la ruse du cheval de bois. Mais ce que les
Grecs
estiment surtout en lui, c’est la souplesse et le
esque à l’égal du courage. Mais pour un peuple fin et délié comme les
Grecs
, la ruse est un don divin qui se confond avec la
de chef et ranger Thersite au devoir. Maintenant il va haranguer les
Grecs
et les rappeler aux sentiments de l’honneur et de
es de Calchas sont vaines, ou si elles doivent s’accomplir. » — Les
Grecs
l’ont envoyé comme négociateur auprès d’Achille,
y contraigne : au contraire, l’abondance règne dans le camp, mais les
Grecs
n’ont plus le cœur aux festins. Jupiter s’est déc
e plus sage. Évite les discussions et les dangereuses rivalités ; les
Grecs
, jeunes et vieux, t’en honoreront davantage. » —
in ennemie, ces présents te paraissent odieux ; mais songe aux autres
Grecs
, songe au malheureux peuple foulé par la guerre.
à la patrie et d’obéissance aux lois sont aussi étrangères aux héros
grecs
qu’elles le furent plus tard aux barons du moyen
lors devenu citoyen, s’appellera Démosthène ; il ne frappera plus les
Grecs
avec son sceptre, mais avec l’arme bien autrement
e inspirée par l’amour du droit et de la liberté. IV L’éloquence
grecque
dans les cités démocratiques. — Les chefs athénie
ez-vous, dans une ville comme Athènes, la plus démocratique des cités
grecques
, quelle émulation doit s’élever entre les orateur
t. A Athènes, le dernier matelot naissait avec cette idée qu’il était
Grec
, c’est-à-dire supérieur aux barbares ; Athénien,
supérieur aux barbares ; Athénien, c’est-à-dire supérieur aux autres
Grecs
. Il savait qu’en qualité d’homme libre il était s
er, un chant. Ce que les Latins appelaient exorde s’appelait chez les
Grecs
prélude 5 : c’était l’ouverture du morceau. Vous
tir. Et combien cependant les Romains étaient moins musiciens que les
Grecs
! Une fois donc le diapason du discours donné par
prééminence sur toute la Grèce. Ces rudes ouvriers de l’indépendance
grecque
ont au cœur, imprimés en traits de feu par l’éduc
ron nous assure qu’avant Périclès l’éloquence était inconnue chez les
Grecs
, et que c’est ce grand homme qui l’apprit des phi
? Par les effets qu’elle a produits. J’ai vu des citoyens réunir les
Grecs
divisés, chasser les barbares de l’Europe, élever
itèrent du premier rang : mais Lacédémone et Thèbes étaient des cités
grecques
. — « Aujourd’hui celui qui commande en maître, ce
ous et aux Thessaliens et aux autres Amphictyons ce privilége que les
Grecs
eux-mêmes n’auraient pas osé nous disputer ? N’a-
ace d’imposer aux Thessaliens la forme de leur gouvernement ?… Et les
Grecs
voient ces choses, et ils les souffrent, pareils
sans hésitation, sans peur, sans arrière-pensée. Seul, au milieu des
Grecs
divisés, n’ayant pour armes que son génie et sa c
lle le Discours de la Couronne, Plusieurs années après la défaite des
Grecs
à Chéronée, pendant qu’Alexandre était en Asie, E
À MAINE DE BIRAN, humble et pieux hommage. Préface. La langue
grecque
peut, à juste titre, être nommée le berceau du la
ie des dieux, dans son Héroogonie celle des demi-dieux. Ainsi, par le
grec
, commence et grandit l’idée religieuse. Au culte
e narré : j’écris ces choses selon que je les estime vraies ; car les
Grecs
débitent des contes sans fin et ridicules à ce qu
maître. Magnifiques régions à explorer que cette immense littérature
grecque
qui servit de type à la langue et à la littératur
r l’antique Lutèce des splendides merveilles de leur enseignement. Le
grec
, de la sorte, se trouva présider à la grande réfo
dans un ouvrage spécial, constater la conformité du français avec le
grec
. Sur le modèle du Rhapsode s’étaient formés, ici
op de succès, d’appliquer à l’idiome naissant les règles de la poésie
grecque
et latine et s’essaya dans presque tous les genre
eur comme du poète, tel qu’il devint au siècle suivant, et l’étude du
grec
, disons-le, des chefs-d’œuvre grecs, plus encore
t au siècle suivant, et l’étude du grec, disons-le, des chefs-d’œuvre
grecs
, plus encore que la connaissance du latin, a prov
ie puissant de Corneille, digne de rivaliser bientôt avec le cothurne
grec
: le théâtre venait de retrouver par lui son Esch
on ; Aristophane, sous le nom de Molière. La chaire, émule de l’Agora
grec
, du Forum romain, révèle, pour l’éloquence, pour
la modestie, et qui voulut bien nous assurer qu’à part les citations
grecques
et latines, ce petit traité, par sa simplicité, p
yle est facile, clair, pur, élégant et harmonieux. Isocrate, chez les
Grecs
, est l’écrivain disert ; Démosthène, l’homme éloq
e ou art oratoire Étymologie et définition. La rhétorique, du
grec
ἡ ῥητορική, l’art de dire, se définit l’art de pa
nheur, donc il faut aimer l’étude. Enthymème. Le syllogisme (du
grec
συλλογισμός) avec ses trois propositions, c’est-à
’y offre renversé. Le plus souvent il cède la place à l’enthymème (en
grec
ἐνθύμημα), qui est un syllogisme tronqué ou rédui
μα κυριώτατον τῶν πίστεων (ibid.). Épichérème. L’épichérème (du
grec
ἐπιχείρημα) que Cicéron (de Invent., I, 34) nomme
il fut permis à Milon de tuer Clodius. » Sorite. Le sorite (du
grec
ὁσωρίτης ; sous-entendu συλλογισμός) se compose d
ux ; donc les avares sont malheureux. » Dilemme. Le dilemme (du
grec
δίλεμμα) est formé de deux propositions qui, sans
ptis laudabor opimis, Aut leto insigni. Exemple. L’exemple (en
grec
τὸ παράδειγμα) a beaucoup de rapport avec l’induc
le manière procède l’exemple. Supposez un orateur qui demande que les
Grecs
fassent des préparatifs contre le roi de Perse et
la même manière : il était le plus adroit comme le plus éloquent des
Grecs
, et ajoutons que le poète a bien saisi ce caractè
joute à son éloquence. Si mes vœux et les vôtres avaient été exaucés,
Grecs
, l’héritier de ces armes, objet d’un si grand déb
rmes), qui peut mieux succéder au grand Achille que celui par qui les
Grecs
eurent le bonheur de posséder le grand Achille ?
laire et précise du sujet. C’est, dans les plaidoyers, le litige, (en
grec
τὸ κρινόμενον) ou l’état de la question. La propo
tre de Milon ; il est à cheval, sans voiture, sans bagage, sans aucun
Grec
à sa suite et, contre son ordinaire, sans sa femm
êler. Tels sont : 1º Le cercle vicieux ou la pétition de principe, en
grec
ὁ διάλληλος τρόπος, en latin demonstratio in orbe
les esprits le dernier degré de conviction. Cette récapitulation (du
grec
ἀνακεφάλωσις) est indispensable dans les grandes
complétement disparu. Du style. Jadis on appelait de ce nom (en
grec
στῦλος) le poinçon qui servait à tracer (en grec
pelait de ce nom (en grec στῦλος) le poinçon qui servait à tracer (en
grec
γράφειν) des lettres sur des tablettes enduites d
gne d’assentiment et de ce signe il ébranle tout l’Olympe. Le tableau
grec
a plus de majesté. C’est à ce modèle-là que s’ins
upiter a rendu aux dieux la permission de se mêler de la querelle des
Grecs
et des Troyens (Il., υ, vers 61 et sq.). Ἔδεισεν
c. 18, etc., etc. Correction. La correction ou épanorthôse (du
grec
ἐπαρνόρθωσις) figure de raisonnement, consiste à
n… Occupation. L’occupation ou antéoccupation, ou prolepse (du
grec
πρόληψις) est une figure de raisonnement. Par ell
distinguer le poète. Opposition. L’opposition ou antithèse (du
grec
ἀντίθεσις) procède par les contrastes : elle oppo
dans la diction. À l’antithèse se rattache une figure appelée par les
Grecs
τὸ ὀξύμωρον, propr. finement ou spirituellement b
e principe, la puissance de Philippe s’est accrue, fortifiée, que les
Grecs
sont livrés à la défiance et à la discorde, qu’il
s honnêtes gens. Signification. La signification ou emphase (du
grec
ἔμφασις), laisse à comprendre ou deviner plus qu’
Cicér., Rhetor. ad Herenn., IV, 54. Gradation. La gradation (en
grec
κλῖμαξ) monte ou descend par degrés d’une idée à
re distinction serait superflue. Description La description, en
grec
διαγραφή, autrement dite démonstration en grec ἐν
La description, en grec διαγραφή, autrement dite démonstration en
grec
ἐνάργεια, est une figure qui décrit ou met sous l
tez jamais de basse circonstance. Hypotypose. L’hypotypose (du
grec
ὑποτύπωσις) peint l’objet avec des couleurs si vi
’ils ont dans l’histoire. Prosopographie. La prosopographie (du
grec
πρόσωπον γράφειν) ou effiction, troisième genre d
xemple d’obsécration. Réticence. La réticence ou aposiopèse (du
grec
ἀποσιώπησις) est une figure par laquelle on s’int
m’as promis, songe à l’exécuter. Prosopopée. La Prosopopée (du
grec
προσωποποιΐα) est une figure de grand mouvement.
ut, te soumettre à ce qu’elle commande ? » Il faut lire dans le texte
grec
cette admirable prosopopée, simple et sublime à l
ue ainsi plusieurs vers encore. Disjonction. La disjonction (en
grec
τὸ ἀσύνδετον ou διάλυτον), disjoint les diverses
e et que nous nous bornerons à indiquer : telles sont : l’ellipse (du
grec
ἡ ἔλλειψις), qui supprime des mots dont la phrase
ui supprime des mots dont la phrase peut se passer ; le pléonasme (du
grec
ὁ πλεονασμός), qui en ajoute de surabondants ; la
u grec ὁ πλεονασμός), qui en ajoute de surabondants ; la syllepse (du
grec
ἡ σύλληψις), qui oublie le mot pour l’idée ; l’hy
(du grec ἡ σύλληψις), qui oublie le mot pour l’idée ; l’hyperbate (du
grec
τὸ ὑπερϐατον), qui transpose l’ordre grammatical
rec τὸ ὑπερϐατον), qui transpose l’ordre grammatical ; l’énallage (du
grec
ἡ ἐναλλαγή), qui substitue un genre ou un mode à
λαγή), qui substitue un genre ou un mode à un autre ; l’antiptose (du
grec
ἡ ἀντίπτωσις), qui prend un cas pour un autre ; l
grec ἡ ἀντίπτωσις), qui prend un cas pour un autre ; l’anastrophe (du
grec
ἡ ἀναστροφή) qui renverse les mots ; la tmèse (du
anastrophe (du grec ἡ ἀναστροφή) qui renverse les mots ; la tmèse (du
grec
ἡ τμῆσις), qui coupe un terme en deux ; la synchy
mèse (du grec ἡ τμῆσις), qui coupe un terme en deux ; la synchyse (du
grec
ἡ σύγχυσις), qui fait confusion de l’incise avec
ncipale ; et, par rapport aux syllabes ou aux lettres, la diérèse (du
grec
ἡ διαίρεσις), qui d’une syllabe en fait deux ; la
u grec ἡ διαίρεσις), qui d’une syllabe en fait deux ; la synérèse (du
grec
ἡ συναίρεσις), qui de deux syllabes en fait une ;
grec ἡ συναίρεσις), qui de deux syllabes en fait une ; la syncope (du
grec
ἡ συνκοπή), qui retranche une syllabe au milieu d
υνκοπή), qui retranche une syllabe au milieu d’un mot ; l’apocope (du
grec
ἡ ἀποκοπή), qui en retranche une à la fin, et la
du grec ἡ ἀποκοπή), qui en retranche une à la fin, et la paragoge (du
grec
ἡ παραγωγή), qui en ajoute une. Nous ne poursuivo
t désignées sous le nom de tropes. Tropes. On appelle ainsi (du
grec
τροπή, changement) des figures par lesquelles on
’onomatopée ; 8º l’hypallage. § I. — Métaphore. La métaphore (du
grec
ἡ μεταφορά) est un trope par lequel un mot se tro
, toujours libre dans ses allures. Catachrèse. La catachrèse (en
grec
κατάχρησις, abus) consiste à se servir abusivemen
erbe animadvertere le sens de punir. Allégorie. L’allégorie (en
grec
ἡ ἀλληγορία) est un discours plus ou moins étendu
genre de l’allégorie. § II. — Métonymie. Le mot métonymie (en
grec
ἡ μετωνυμία), dans son acception étymologique, si
ères disaient deux cents louis d’or. Métalepse. La métalepse (en
grec
μετάληψις) est une espèce de métonymie qui consis
pour l’été et l’été pour l’année. Antonomase. L’antonomase (en
grec
ἡ ἀντονομασία), autre sorte de métonymie, prend l
tes celles qui sont comprises sous le nom commun. L’orateur, chez les
Grecs
, c’est Démosthène ; le poète, c’est Homère. Dans
riche ; un Sardanapale en parlant d’un voluptueux. Astu ou, chez les
Grecs
, Ἀστύ, c’est la ville d’Athènes. Urbs, chez les R
Nep., Vie de Thém. § III. — Synecdoque. La synecdoque (du mot
grec
ἡ συνεκδοχή, compréhension) est un trope qui fait
hapeau fait du poil de cet animal. § IV. — Ironie. L’ironie (en
grec
ἡ εἰρωνεία), cache un sens opposé au sens littéra
a tant fait pour l’ingrate ! § V. — Euphémisme L’euphémisme (en
grec
ὁ εὐφημισμός) est un trope qui adoucit ce qu’une
ez-moi, dit par euphémisme : N’avez-vous plus rien à m’ordonner ? Les
Grecs
disent : ἐὰν οὗτός τι πάθῃ, Dém., 1re Philippique
en pareille circonstance. » § VI. — Hyperbole. L’hyperbole (en
grec
ἢ ὑπερϐολή) est un trope qui, dans l’expression,
iers plus grands que le pied. » § VII. — Litote. La litote (en
grec
ἡ λιτότης), figure dont l’étymologie veut dire di
u des plus estimables ». § VIII. — Onomatopée. L’onomatopée (en
grec
ἡ ὀνοματοποιΐα) dénomme les objets, en vertu de l
liquetis des armes, etc., etc. ; parmi les animaux et de leur cri, en
grec
, ἡ κακκάϐη, la perdrix ; en grec encore : ὁ βύαξ,
parmi les animaux et de leur cri, en grec, ἡ κακκάϐη, la perdrix ; en
grec
encore : ὁ βύαξ, et latin, Bubo, cuculus, ulula,
ais le hibou, le coucou, la chouette. Plus que toute autre langue, le
grec
possède de ces mots formés par onomatopée. C’est
ilège des idiomes originaux. § IX. — Hypallage. L’hypallage (en
grec
, ἡ ὑπαλλαγή) est une figure qui consiste à interv
is Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut son fils que les
Grecs
vous ravissent. Pensez-vous qu’après tout ses mân
erain Est-ce là ce vainqueur digne de tant de haine ? Déjà contre les
Grecs
plein d’un noble courroux, Le soin de votre fils
Céphise, il fera plus qu’il n’a promis de faire. Sur le courroux des
Grecs
je m’en repose encor ; Leur haine va donner un pè
rfide ! il mourra. Mais que t’a dit Oreste ? Cléone. Oreste avec ses
Grecs
dans le temple est entré. Hermione. Hé bien ! à
dème ; Il respecte en Pyrrhus Achille et Pyrrhus même : Il craint les
Grecs
, il craint l’univers en courroux ; Mais il se cra
e. Hermione. Il est mort ! Oreste. Il est mort !Il expire ; et nos
Grecs
irrités Ont lavé dans son sang ses infidélités. J
ît de ce complot une funeste image, J’ai couru vers le temple, où nos
Grecs
dispersés Se sont jusqu’à l’autel dans la foule g
er de face : Il semblait que ma vue excitât son audace ; Que tous les
Grecs
, bravés en leur ambassadeur, Dussent de son hymen
des Troyens. » A ces mots, qui du peuple attiraient le suffrage, Nos
Grecs
n’ont répondu que par un cri de rage ; L’infidèle
perfide, Et n’impute qu’à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes
Grecs
admirer ta fureur, Va : je la désavoue, et tu me
tons de ce palais, Ou bien résolvons-nous de n’en sortir jamais ; Nos
Grecs
pour un moment en défendent la porte : Tout le pe
premier époux. Allons, n’attendons pas que l’on nous environne : Nos
Grecs
nous rejoindront ; et tandis qu’Hermione Tient en
ue d’Euripide. Sur la comparaison de la pièce française avec la pièce
grecque
, on lira avec intérêt un chapitre des Etudes sur
recque, on lira avec intérêt un chapitre des Etudes sur les tragiques
grecs
de M. Patin (t. III). 2. Virgile a mieux dit, É
nfiance. Cet empressement unanime nous prouve encore quel intérêt les
Grecs
attachaient à tout ce qui avait eu une influence
des deux orateurs, est un trait précieux du caractère distinctif des
Grecs
, également enthousiastes des grandes choses et de
ensuite, que sur l’ingratitude de la république ! Quel est, parmi les
Grecs
qui ont reçu quelque éducation, quel est l’homme
urd’hui, hélas ! que dira-t-il, qu’osera-t-il dire, en présentant aux
Grecs
celui même qui a rendu nos enfants orphelins ? S’
phée contre vous-mêmes ; ne faites point passer, aux yeux de tous les
Grecs
, les Athéniens pour des insensés ; gardez-vous de
ait de sa faute, afin d’apprendre combien on doit ménager la vie des
Grecs
; et vous ne rougissez pas de laisser au timon de
, si nous avions laissé à d’autres le soin de défendre la liberté des
Grecs
contre Philippe ? Et qui donc, parmi les Grecs ou
éfendre la liberté des Grecs contre Philippe ? Et qui donc, parmi les
Grecs
ou les barbares, ignore que jamais, dans les sièc
, en bravant tous les dangers pour le salut et la liberté de tous les
Grecs
; non, vous n’avez point failli ! j’en jure et pa
je prétends mériter une couronne ? Le voici : c’est que chez tous les
Grecs
, tous les ministres, à commencer par toi, s’étant
et de toute l’Attique Arthénius de Zélie, qui avait apporté chez les
Grecs
l’or des Perses ; Arthénius qui ne faisait que pa
celui qui avoue lui-même avoir conspiré avec les barbares contre les
Grecs
. » Pour moi, ô terre ! ô soleil ! ô vertu ! et vo
actions. (6 novembre 1883). • Comparer entre eux les trois tragiques
grecs
. (30 juillet 1881). • Quelles sont les principale
1881). • Quelles sont les principales différences entre la tragédie,
grecque
et la tragédie française classique ? (10 août 188
ou avec Philinte ? (7 novembre 1882). • Faire connaître les tragédies
grecques
qui ont été imitées par les grands tragiques fran
çais. (27 juillet 1882). • Qu’est-ce que Racine a emprunté au théâtre
grec
? (8 août 1883). • Que pensez-vous des tragédies
les hommes et les mœurs de son temps sous des noms et dans des cadres
grecs
ou romains ? (27 juillet 1883). • Des trois unité
, car il représente le peuple, et pour y jouer, un rôle, il faut être
Grec
. Tu ne saurais, je t’assure, entendre une poésie
ses de son temps ; c’est une des principales sources de la mythologie
grecque
, où Ovide a beaucoup puisé pour faire ses Métamor
e plus guère de poésies didactiques dans l’histoire de la littérature
grecque
que pendant la période gréco-alexandrine, avec Ar
embre 1884) Comparer, dans leurs caractères généraux, la littérature
grecque
et la littérature romaine. Développement. — Il
u inspirer diversement notre littérature moderne. I. — La littérature
grecque
se caractérise surtout par la plus grande origina
ne fécondité extrême. 1º Les sources de cette littérature sont toutes
grecques
; c’est une littérature nationale, expression de
utes grecques ; c’est une littérature nationale, expression de la vie
grecque
sous toutes ses formes ; — en outre, elle est sor
s, que l’imagination vive de la Grèce a créés, ne l’oublions pas. Les
Grecs
ont fait ainsi eux-mêmes leur éducation littérair
2º Nous voyons donc combien est riche la fécondité de la littérature
grecque
. Cette fécondité se fait voir dans la langue d’ab
est excellemment apte à l’expression des idées générales : la langue
grecque
est par nature une langue philosophique. Cette la
uccession d’admirables chefs-d’œuvre, absolument originaux. Aussi les
Grecs
sont-ils une nation d’artistes : dès l’enfance, l
mes, et cette culture fait partie de l’éducation nationale ; pour les
Grecs
l’agréable doit être mêlé à l’utile, parce que l’
e que l’idéal domine, à une hauteur infinie, le réel. La civilisation
grecque
tout entière, la pensée grecque sous toutes ses f
eur infinie, le réel. La civilisation grecque tout entière, la pensée
grecque
sous toutes ses formes est pénétrée d’idéal : il
é tout à fait indépendante et la fécondité si riche de la littérature
grecque
en font la plus merveilleusement variée, la plus
leusement variée, la plus belle, la plus achevée, qui fût jamais. Les
Grecs
ont été les précepteurs de l’art, non seulement p
aractérise en effet la littérature romaine, comparée à la littérature
grecque
, c’est une originalité assez restreinte : la civi
ande partie empruntées, et l’on peut dire que les Romains doivent aux
Grecs
le meilleur de leur développement intellectuel ;
t littéraire est presque toute d’emprunt. Les Latins ont emprunté aux
Grecs
, en effet, les genres littéraires ; ils n’ont été
elle ne commença à produire des œuvres de valeur que lorsque le génie
grec
eut pénétré et fécondé la pensée latine, un peu l
ut été renouvelé ou plutôt transformé entièrement par l’imitation des
Grecs
(Plaute et Térence). Une fois la part assez grand
orité n’en reste pas moins incontestable, à l’égard de la littérature
grecque
, qui lui a fourni la plupart de ses modèles. [
part de ses modèles. [5] (14 août 1885) Comparer la littérature
grecque
du siècle de Périclès avec la littérature latine
’Auguste. Développement. — La période athénienne de la littérature
grecque
est la plus brillante de toutes : Athènes a été,
rres Médiques avaient déjà montré sa supériorité sur les autres cités
grecques
à tous les points de vue. La période athénienne e
la comédie. Au temps de Périclès, Eschyle, le premier grand tragique
grec
, avait déjà passionné toute la Grèce pour ses poè
vient Euripide, qui modifia sensiblement le caractère de la tragédie
grecque
: ses hardiesses, qui lui firent beaucoup d’ennem
m domine la période appelée comédie ancienne et même toute la comédie
grecque
. Mais ce ne furent pas les poètes seuls qui firen
rate. Voilà, dans ses traits principaux, le tableau de la littérature
grecque
au siècle de Périclès. La comparaison s’impose en
mple, pourrait se définir par ces mots que Fénelon applique aux seuls
Grecs
: « Tout dépendait du peuple, et le peuple dépend
tes les charges, à tous les honneurs. Les exemples abondent. Chez les
Grecs
, nous voyons tout d’abord Thémistocle qui sut, pa
sthène et Eschine, l’Éloquence s’évanouit avec la liberté ; le peuple
grec
, devenu esclave, cessa de délibérer sur ses desti
place peu à peu à une imitation maladroite et lourde du dilettantisme
grec
, où les Romains, avec une prodigalité et une oste
es qu’il avait transplantées, des mots nouveaux empruntés aux sources
grecque
et latine sans ménagement comme sans souci du gén
ourrait bien enfin succéder à la latine, comme la latine succéda à la
grecque
, si on prenait plus de soin qu’on n’avait fait ju
e ami, qui le conjure de reprendre les armes quand Hector attaque les
Grecs
jusque sur leurs vaisseaux. Mais soudain Patrocle
ompilation ; son plus grand mérite est d’avoir transporté l’hexamètre
grec
dans sa langue, et d’avoir assez bien manié cet i
igé de toute éducation libérale ; mais il fut à Naples le disciple du
Grec
Parthénius. Il médita longtemps un poème épique e
es sont quelquefois injustes et mal fondées. Les adversaires du poète
grec
, que nous défendrons en premier, lui ont reproché
ront enfin les détracteurs d’Euripide, comment admettre que l’Achille
grec
n’éprouve aucune inclination pour Iphigénie ? Sa
temps, et que n’admettait pas la condition des femmes dans la société
grecque
. On le voit, tous ces reproches et d’autres sembl
à celle d’Euripide, ne reposent sur aucun fondement solide : le poète
grec
ne pouvait peindre, dans sa tragédie, d’autres mœ
réserve dans la douleur, une résignation calme et digne que le poète
grec
ne s’est nullement soucié de lui prêter. — Soit,
propose pas d’autre modèle, d’autre source de sujets que l’antiquité
grecque
. La partie critique de l’Épître aux Pisons est pe
ronius, l’autre de Justin. Peu versé dans la langue et la littérature
grecques
, il prit néanmoins à Appien sa Rodogune (1644), à
éraire et eut pour principaux représentants Ésope et Phèdre, chez les
Grecs
et les Romains. Horace aussi a quelquefois mêlé u
ique le sujet de ses tragédies profanes. Très épris de la littérature
grecque
, au rebours de Corneille qui n’a guère connu que
, mais en surpassant de beaucoup son modèle, car l’Hippolyte du poète
grec
, outre que l’intérêt s’y concentre sur le sort d’
cine en a tiré. Si à ces trois pièces, imitées directement du théâtre
grec
, l’on ajoute Mithridate (1673) qui fut conçue en
s avons énuméré toutes les tragédies que Racine a puisées à la source
grecque
. À la littérature latine, il ne prit que deux de
rofanes, — Esther et Athalie ne sont pas de notre sujet ; — c’est aux
Grecs
, comme nous le disions au début, qu’il a surtout
sensibilité profonde et discrète, a une étroite parenté avec le génie
grec
que caractérisent tout ensemble l’esprit de mesur
prit de mesure et la délicatesse des sentiments. Cette douceur, toute
grecque
, qu’il a si bien reproduite dans les pièces imité
recque, qu’il a si bien reproduite dans les pièces imitées des poètes
grecs
, se retrouve également dans les sujets qu’il a em
tragédies ; aussi, de même que les anciens appelaient Térence le plus
grec
des poètes latins, l’on peut dire que Racine est
e plus grec des poètes latins, l’on peut dire que Racine est le, plus
grec
des poètes français. [23] (11 novembre 1885)
ançais, qui nous appartient toujours, soit dans les langues latine et
grecque
, qui sont les sources de la nôtre. [29] (4 n
anciens et modernes ; mais Ronsard, Dont la muse en français parlait
grec
et latin ne parle que des anciens : il ne faut p
e dès l’âge de 25 ans, Démosthène embrassa la cause de l’indépendance
grecque
, et ne cessa jusqu’à sa mort de lutter contre la
rsuivre jusqu’au bout le rôle ingrat qu’il avait assumé ! Les peuples
grecs
divisés, le patriotisme languissant, la vénalité
punique, Livius Andronicus ouvrit à Rome une école pour enseigner le
grec
et expliquer Homère. Vous supposerez qu’après la
étais Achille, Patrocle, Ajax, Agamemnon ; je me passionnais pour les
Grecs
, dans la lutte sans cesse renaissante qu’ils sout
français, comme vous l’avez fait, vous et vos disciples, pour parler
grec
et latin, au risque d’être incompris ? Ronsard.
ssi j’entrepris de transporter dans la langue française tous les mots
grecs
ou latins qui me parurent nobles, harmonieux et e
sans la refaire en entier ni la remanier sur le modèle du latin et du
grec
. Malherbe. — Merci du compliment : mais que n’ai
onique de Charles IX. Édition Charpentier.) Intérêt de l’histoire
grecque
L’histoire moderne est décidément seule en vo
France, aujourd’hui, loin d’encourager les recherches sur l’antiquité
grecque
et romaine, on pense qu’elles appartiennent exclu
aux écoliers, encore seulement pour le temps qu’ils sont condamnés au
grec
et au latin. Je suis de ceux qui trouvent ce préj
les qu’elles étaient cinq siècles avant notre ère. À leur gauche, les
Grecs
avaient un mur de rochers infranchissables ; à le
s dans M. Mérimée : « À mon avis, le grand principe de la démocratie
grecque
, c’est le respect de la loi, c’est-à-dire le resp
’est-à-dire le respect de la majorité. C’était la première idée qu’un
Grec
recevait en naissant et qu’il suçait pour ainsi d
le parlement anglais, parait avoir été vertu familière à tout citoyen
grec
. Le goût et le talent de l’éloquence étaient inné
es exemples les plus remarquables de cette obéissance absolue que les
Grecs
montraient aux décisions de la majorité. Les dix
us attentifs à leurs intérêts. C’est le résultat que les législateurs
grecs
avaient obtenu, et, plus que jamais, nous devrion
grammaire. Sophistes et rhéteurs Les premiers rhéteurs chez les
Grecs
furent les sophistes. Pris en bonne part, ce nom
s. Nés en — Morts en Ouvrages. Rhétorique chez les anciens. 1°
Grecs
. Avant J.-C. Platon 430 ? — 347 Gorgias ou
273 Rhétorique ; — Traité du sublime. 2° Romains (Imitateurs des
Grecs
.) Avant J.-C. Cicéron 106 — 43 Rhétorique à
pelaient lieux communs (loci communes chez les Latins, τόποι chez les
Grecs
, d’où le nom de Topiques donné aux livres d’Arist
hrase, etc. 1° Figures de grammaire Les langues anciennes, le
grec
surtout, possédaient plus de figures de grammaire
figure, qui est le fond même de la construction de la phrase chez les
Grecs
et les Latins, donne aux langues anciennes une gr
nes ; car ceux-ci possèdent plus d’écrivains que d’orateurs. Chez les
Grecs
et les Romains, elle était violente et passionnée
ce, qui condamnait absolument l’emploi d’un quatrième personnage. Les
Grecs
en admettaient deux, rarement trois. Le dialogue
éraires. Tableau synthétique POÉSIE PROSE Versification : 1°
grecque
, 2° latine, 3° française. Différents genres de co
3° française. Différents genres de composition en vers. Prose : 1°
grecque
, 2° latine, 3° française. Différents genres dé co
s Bertrand, si admiré de Sainte-Beuve). 1° Versification chez les
Grecs
et les Latins Chez les Grecs et les Latins, le
Beuve). 1° Versification chez les Grecs et les Latins Chez les
Grecs
et les Latins, les vers étaient métriques, c’est-
s mē|liă cōn|dĭt ām|phŏrīs. (Horace, Épode II, vers 15.) Prosodie
grecque
Il est beaucoup plus difficile de fixer la pro
osodie grecque Il est beaucoup plus difficile de fixer la prosodie
grecque
que la prosodie latine. Toutefois, on peut remarq
pas encore leur métrique déterminée d’une manière certaine. La poésie
grecque
empruntait une puissance musicale, dont nous ne p
ot. Résumé synoptique de la versification VERSIFICATION
Grecque
et latine. Française. Principaux pieds Spondé
Principes de versification Césure, Hémistiche, Élision, Chez les
Grecs
seulement Accent tonique, Temps fort/faible. Ri
ἔπος) et du pentamètre (ἔλενος), c’est-à-dire le distique. Les poètes
grecs
n’ont pas toujours employé cette forme de vers, q
Lévy, t. I, p. 136.) Poésie lyrique chez les Hébreux, chez les
Grecs
et les Romains, chez les modernes La poésie ly
psaumes de David. La Bible est pleine d’effusions lyriques. Chez les
Grecs
, elle est également née de la religion (Linus et
ue, en descendant des hauteurs où l’avaient placée les Hébreux et les
Grecs
, prend un accent plus personnel pour exprimer les
ant vulgaire, … etc. Boileau montre ensuite la part de la mythologie
grecque
et romaine dans l’Énéide de Virgile ; il célèbre
épopées PEUPLES. AUTEURS. DATES. POÈMES. Nés en — Morts en
Grecs
Homère Apollonius de Rhodes Avant J.-C. xe
Le drame satyrique est une composition dramatique de l’ancien théâtre
grec
, qui tenait le milieu entre la tragédie et la com
informe et grossière en naissant, etc. Poésie dramatique chez les
Grecs
Chez les Grecs, la tragédie naquit au milieu d
ère en naissant, etc. Poésie dramatique chez les Grecs Chez les
Grecs
, la tragédie naquit au milieu des fêtes de Bacchu
nouvelle. Poésie dramatique à Rome Les Romains, imitateurs des
Grecs
, ne nous offrent en fait de tragédies que des tra
omédie. Importée par Livius Andronicus, comme la tragédie, la comédie
grecque
reparaît sur la scène avec Plaute et Térence, qui
agédie. Jodelle, qui s’était chargé de remettre au jour les tragiques
grecs
, ne nous rendit qu’une ombre de leurs drames. Pen
pensée et dans l’expression. Les poèmes didactiques écrits en langue
grecque
, latine française et étrangère sont innombrables.
poème tout entier, comme dans Delille. Poésie didactique chez les
Grecs
, chez les Romains, en France Née avec le génie
ique chez les Grecs, chez les Romains, en France Née avec le génie
grec
, la poésie didactique donne aux poètes, par la bo
ittéraires (Art poétique). Après eux, chez les Romains comme chez les
Grecs
, la poésie didactique s’empare de sujets trop spé
mme l’indique son étymologie, ce mot désignait spécialement, chez les
Grecs
, les inscriptions mises sur les monuments, les st
l’a appliqué à toute pièce de vers, qui, comme celles de l’Anthologie
grecque
, ne dépassait pas la longueur d’une inscription.
chant II, vers 1 et suiv.) Poésie pastorale primitive, chez les
Grecs
, et les Romains, en France Les anciens ont sou
is. On trouve aussi des pastorales dans les tragiques et les comiques
grecs
, Homère, Hésiode, etc. (Cf. Egger, Mémoires de li
amps avec les raffinements de la civilisation. Elle apparaît chez les
Grecs
, au milieu de la cour savante d’Alexandrie, avec
sodie, in-12, etc. II. Prose [Introduction] Définition
grecque
, latine, française de la prose ; ses conditions e
s lois de la versification, de la mesure et de la rime poétiques. Les
Grecs
lui donnaient le nom de πεζὸς ou ψιλὸς, langage p
n vers pour être placés au rang des plus grands poètes. Ex. Chez les
Grecs
, la prose de Platon ; chez les Romains, celle de
e scientifique et littéraire ; abrégé historique de la prose chez les
Grecs
et les Romains, en France La prose de la scien
s atque Carminibus venit. (Horace, Art poétique, vers 400.) Chez les
Grecs
, l’Iliade, l’Odyssée, des chants lyriques, les pr
aient les orateurs et qu’on discutait les intérêts généraux. Chez les
Grecs
, elle avait pour théâtre l’agora ; chez les Romai
e la présence de nombreuses harangues de généraux chez les historiens
grecs
et latins. Elles n’ont probablement jamais été pr
udiciaire : c’est au style immortel de Démosthène, d’Eschine chez les
Grecs
, de Cicéron chez les Romains, que bien des affair
mmencé avec les Apôtres et s’est continuée avec les Pères de l’Église
grecque
et latine (saint Jean Chrysostôme, saint Basile,
e d’émotion, à poursuivre l’erreur et à enseigner la vérité. Chez les
Grecs
, excepté dans l’origine et au premier siècle de P
s il se confondait avec le panégyrique et l’oraison funèbre. Chez les
Grecs
, l’éloge public des guerriers morts pour la patri
uvent philosophique, à. leur intelligente recherche de la vérité. Les
Grecs
, comme plus tard les Romains, n’ont pas séparé l’
le juge des événements qu’elle transmet à la postérité. Ex. chez les
Grecs
, Thucydide, Polybe ; — chez les Romains, Tacite ;
année par année, suivant l’ordre chronologique. Ex. Hérodote chez les
Grecs
, — les Annales des Pontifes chez les Romains, — l
s lettres. Elle est à la fois une science et un art. Dans l’antiquité
grecque
et latine Aristote et Quintilien, en France, aux
à l’une d’elles sont des philosophes proprement dits. Ex. Chez les
Grecs
. Chez les Romains, imitateurs des Grecs. Au moyen
prement dits. Ex. Chez les Grecs. Chez les Romains, imitateurs des
Grecs
. Au moyen âge. Chez les modernes. Pythagore, S
Épicure, Zénon, etc. Cicéron, Sénèque, Marc-Aurèle (qui a écrit du
grec
), etc. Alcuin, Roscelin, Guillaume de Champeaux
’on veut démontrer. Ex. les dialogues de Platon et de Lucien chez les
Grecs
, — ceux de Cicéron chez les Romains, — en France,
s et les règles des beaux-arts, des belles-lettres, etc. Ex. Chez les
Grecs
, Aristote, Longin, etc. ; — à Rome, Cicéron, Quin
Théophile Gautier, de Paul de Saint-Victor, etc. Le roman chez les
Grecs
et les Romains, en France Chez les Grecs, le r
etc. Le roman chez les Grecs et les Romains, en France Chez les
Grecs
, le roman fut élégant, gracieux et quelquefois la
aucune œuvre qui vaille la peine d’être remarquée. Le véritable roman
grec
est tout entier dans la création de la mythologie
ères, ou corrompues jusqu’à la brutalité. La mythologie si riante des
Grecs
devint chez eux une religion grave et formaliste
de ses légendes. Ils n’eurent le goût du roman que par imitation des
Grecs
. Ex. le Satyricon de Pétrone ; — L’Âne d’or d’Apu
étrone ; — L’Âne d’or d’Apulée. Le roman, à peu près inconnu chez les
Grecs
et les Romains, à cause du rôle effacé de la femm
nd sous ce terme les diverses lettres missives (en latin epistola, en
grec
ἐπιστολὴ, envoi, message) qui sont écrites par un
ère, agressive et polie tout à la fois. Genre épistolaire chez les
Grecs
et les Romains en France Chez les Grecs, on ne
Genre épistolaire chez les Grecs et les Romains en France Chez les
Grecs
, on ne rencontre aucun recueil épistolaire authen
s ont été recueillies au xive siècle de notre ère par Planude, moine
grec
, dont nous avons le recueil. Babrius, poète grec
e par Planude, moine grec, dont nous avons le recueil. Babrius, poète
grec
très estimé, dont on ne connaît pas précisément l
es d’Ésope et les a un peu embellies. Ce sont là les seuls fabulistes
grecs
remarquables. Les fabulistes latins sont d’abord
recevoir. On a donné aux pièces pastorales le nom d’églogues, qui, en
grec
, signifie pièces choisies en quelque genre que ce
r. Les pastorales se nomment aussi quelquefois idylles ; c’est un mot
grec
qui signifie une petite image, une petite peintur
tière de la poésie pastorale88. L’inventeur de cette poésie parmi les
Grecs
paraît avoir été un berger sicilien nommé Daphnis
ésenté le même fond, ni la même forme. Elle a été différente chez les
Grecs
et chez les Romains. Chez les Grecs, c’était une
e. Elle a été différente chez les Grecs et chez les Romains. Chez les
Grecs
, c’était une pièce dramatique qui tenait une sort
doine, un mélange de différentes choses. Livius Andronicus, qui était
Grec
d’origine, ayant donné à Rome des spectacles en r
e de l’élégie se trouve marqué dans le mot même, composé de deux mots
grecs
qui signifient dire hélas ! Ce petit poème, en ef
rreur102. Tout cela est vrai, mais seulement pour nous modernes ; les
Grecs
et les Latins jugeaient tout autrement que nous d
veut pas se faire une idée tout à fait fausse de ce que pensaient les
Grecs
et les Romains à cet égard. Il est bien vrai, d’u
une élégie dans toute la rigueur du terme. Il ne l’était pas pour les
Grecs
, parce qu’il est tout entier en vers hexamètres :
avons-nous parlé à l’occasion de la poésie pastorale, à laquelle les
Grecs
le rapportaient. Il est aisé de juger que pour ré
t bien courte et bien facile à faire. Il ne nous reste des élégiaques
grecs
, Callinus, Tyrtée, Mimnerme, Solon, Simonide, Cal
différente suivant le goût des peuples où elle est en usage. Chez les
Grecs
, elle était d’abord partagée en petites strophes
re absolu dans les idées ; de sorte que le dithyrambe devint chez les
Grecs
eux-mêmes, le nom d’une poésie lyrique tout à fai
lques cantiques, mais qui appartiennent à un autre ordre d’idées. Les
Grecs
ont eu des poètes lyriques dès les temps les plus
, et en ne comptant que ceux dont ils avaient les œuvres écrites, les
Grecs
ont reconnu neuf poètes lyriques115, dont voici l
itement dans l’ode, s’était rempli de la lecture de tous les lyriques
grecs
; il a, selon les sujets, la gravité et la nobles
. Mais, si on laisse de côté cette imitation un peu forcée du lyrique
grec
, l’abus des métaphores et des idées mythologiques
ét., Caractère de l’élégie. 103. M. Pierron, Hist. de la littérature
grecque
, ch. 7. 104. Domairon, Poét., Caractère de l’élé
aite des Dix mille avaient fait connaître au juste la supériorité des
Grecs
dans leur manière de combattre et dans le genre d
les peuples barbares qui en étaient voisins et achevé d’accabler les
Grecs
: il ne se servit de cet accablement que pour l’e
Le passage du Granique fit qu’Alexandre se rendit maître des colonies
grecques
: la bataille d’Issus lui donna Tyr et l’Egypte :
nt il les conserva. Il résista à ceux qui voulaient qu’il traitât les
Grecs
comme maîtres et les Perses comme esclaves : il n
pour ne pas désoler les Perses en leur faisant prendre les mœurs des
Grecs
: c’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect p
eux peuples, songea à faire dans la Perse un grand nombre de colonies
grecques
: il bâtit une infinité de villes, et il cimenta
ble et la confusion des plus affreuses guerres civiles, après que les
Grecs
se furent, pour ainsi dire, anéantis eux-mêmes, a
vanité des peuples. Les rois de Perse avaient détruit les temples des
Grecs
, des Babyloniens et des Egyptiens : il les rétabl
allait-il payer les dettes des soldats, faire part de sa conquête aux
Grecs
, faire la fortune de chaque homme de son armée :
publiée, en 1849, dans l’Essai sur l’histoire de la Critique chez les
Grecs
, ouvrage depuis longtemps épuisé1. J’aurais voulu
anquait pour suffire à cette tâche. Dans la présente édition le texte
grec
n’est amélioré que sur quelques points mais j’ai
français. Bien que le Commentaire soit aujourd’hui rattaché au texte
grec
, et non à la traduction, nous avons maintenu cett
er, nous avons indiqué par des astérisques tous les passages du texte
grec
qui sont visés dans le commentaire. 1. Cette ré
es, a dû être faite en deux volumes séparés, l’un comprenant le texte
grec
avec le commentaire, l’autre la traduction frança
ntraires ou sympathiques à notre tempérament. L’Italie et l’antiquité
grecque
ou latine, voilà les trois écoles dont relevèrent
gue française par un coup d’autorité, en lui imposant un dictionnaire
grec
et latin et une grammaire despotique, où l’ignora
mieux éclairer cette conclusion, demandons-nous dans quelle mesure le
grec
et le latin aidèrent à la formation de notre lang
dèrent à la formation de notre langue. III. Influence de la langue
grecque
sur le XVIe siècle Quoi qu’en aient dit certa
ains grammairiens ou étymologistes du temps passé, les Gaulois et les
Grecs
n’eurent jamais de relations directes. Ces deux r
bmergé sous cette inondation. Si, avant le xv e siècle, quelques mots
grecs
se glissèrent dans l’usage, ils ne nous ont été t
t donc à la Renaissance qu’il convient d’attribuer l’influence que le
grec
put exercer sur notre langue et notre littérature
s extravagances dont Ronsard prit l’initiative, lorsqu’à la façon des
Grecs
il essaya de provigner les mots, et voulut tirer
t, brouilla tout, fit un art à sa mode… Que sa muse en français parla
grec
et latin ? En dépit de ces expériences, peu de m
nçais parla grec et latin ? En dépit de ces expériences, peu de mots
grecs
ont été greffés sur la tige gauloise. Exceptions
ès les écrivains de cette époque, on pourra surprendre l’influence du
grec
dans certaines tournures ou expressions, entre au
ité classique, Rabelais eut toujours une prédilection marquée pour le
grec
« sans lequel, dit Gargantua, c’est honte qu’une
de Montaigne, qui francisa autant de mots latins que Rabelais de mots
grecs
, ne prouve-t-elle pas que les latinismes vulgaire
vraie doctrine n’est point es-auditoires des professeurs hébraïques,
grecs
ou latins de l’Université de Paris ; elle est au
Thesaurus linguæ, 1503-1559), et père d’Henri, qui eut la passion du
grec
(1528-1598). On lui doit la première édition d’An
éocrite et de Pindare, le Traité de la conformité du françois avec le
grec
(1569), et le Thesaurus linguæ græcæ (1572). 1.
hologie, mais science d’âme (seelenlehre). Notre vocabulaire, tiré du
grec
, ne dit rien à un Français qui n’a pas fait d’étu
anciens que modernes. Je vais seulement indiquer les principaux, soit
grecs
, soit latins, soit français. Historiens grecs.
les principaux, soit grecs, soit latins, soit français. Historiens
grecs
. Hérodote, né à Halicarnasse, capitale de la
ouvrage contient, outre l’histoire des guerres des Perses contre les
Grecs
depuis le règne de Cyrus jusqu’à celui de Xercès,
ait l’histoire des Égyptiens, des Syriens, des Mèdes, des Perses, des
Grecs
, des Romains et des Carthaginois. Le style en est
à la vingt unième année. C’est le plus parfait de tous les historiens
grecs
, soit pour la manière de raconter, soit pour l’ex
lia l’histoire de Thucydide, et la continua, sous le titre d’Histoire
grecque
, jusqu’à la bataille de Mantinée. Nous avons auss
e par la pureté, la douceur, et tous les agréments de la diction. Les
Grecs
lui donnèrent les surnoms d’Abeille grecque et de
gréments de la diction. Les Grecs lui donnèrent les surnoms d’Abeille
grecque
et de Muse athénienne. D’Ablancourt a traduit son
le grecque et de Muse athénienne. D’Ablancourt a traduit son Histoire
grecque
, à la suite de celle de Thucydide, et Dacier sa C
roi de Macédoine, furent emmenés à Rome. Il y avait composé, mais en
grec
, une Histoire universelle, qui commençait aux gue
et la Grèce aient produits. Les comparaisons que fait l’auteur de ces
Grecs
et de ces Romains, sont d’une justesse et d’une s
t, ayant été à Rome, qu’il habita pendant 25 ans, y composa en langue
grecque
l’Histoire des antiquités romaines, divisée en vi
dent. Il ne nous en est parvenu qu’un fragment de l’ancienne Histoire
grecque
, avec l’Histoire romaine, depuis la défaite de Pe
gyptiens, des Carthaginois, des Assyriens, des Mèdes, des Perses, des
Grecs
et des Macédoniens. En prenant pour guides les au
ses, des Grecs et des Macédoniens. En prenant pour guides les auteurs
grecs
et les latins, il a recueilli tout ce qu’ils ont
stoire des pierres, dont Hill a donné une belle édition à Londres, en
grec
et en anglais. Nous avons de Pline l’ancien, ains
s ses forces dans la dialectique. Les Romains, race plus dure que les
Grecs
, sont moins artistes : les travaux de la campagne
la morale. Les idées abstraites avec lesquelles se joue la subtilité
grecque
glissent sur son gros bon sens. Ce n’est pas lui
humiliés par la jactance de leurs vainqueurs. Combien l’éloquence des
Grecs
est loin de cette morgue ! Combien elle est plus
st en effet son trait dominant, celui qui la distingue de l’éloquence
grecque
. II Le pathétique Si les Grecs ont fait d
la distingue de l’éloquence grecque. II Le pathétique Si les
Grecs
ont fait dans leurs discours une part si restrein
ncitoyens ; il eût disposé de la justice. Je vous ai déjà dit que les
Grecs
avaient réglé par des lois l’usage de l’éloquence
ependant c’est avec ces moyens, qui nous semblent si pauvres, que les
Grecs
arrivaient au but de l’éloquence, qui est la pers
qui montre combien sont variables les conditions de l’éloquence, les
Grecs
et les Latins semblent avoir confondu ces deux ge
ique, les moyens sont les mêmes dans les deux pays. On dirait que les
Grecs
ont appliqué au barreau les procédés de la tribun
ome dès sa naissance la vertu que l’autre, au milieu de la corruption
grecque
, avait puisée dans la spéculation. Il ne raisonna
e Fabricius était vertueux, sans le savoir. En l’an 161, les rhéteurs
grecs
apportèrent dans Rome leurs cahiers et leurs méth
onna une excellente éducation. Il lui fit d’abord apprendre la langue
grecque
, sans laquelle il n’y avait pas à Rome d’instruct
ans quelques noms propres en aius Cāius, Grāius, et d’autres tirés du
grec
, où cette voyelle est longue, comme Nāis, Lāocoon
i, speciēi. E est long : 2° dans quelques noms propres qui ont en
grec
la diphthongue ει, ou la longue η : Pompēius, Ænē
i ont en grec la diphthongue ει, ou la longue η : Pompēius, Ænēas (en
grec
: Poµπήιος, Aίvειας). 3° dans l’interjection ē
commun dans Orĭon, Dĭana, Marĭa. O est long dans les noms qui, en
grec
, ont un oméga, comme trōes, herōes, etc. (en grec
ns les noms qui, en grec, ont un oméga, comme trōes, herōes, etc. (en
grec
: τρώες, ἠρωες). Il est commun dans [ATTcaractere
rs publics, n’a accordé autant de considération aux orateurs, que les
Grecs
et les Romains. Il en devait être ainsi : on a pu
à la constitution d’un peuple ; et qu’elle avait rencontré, chez les
Grecs
et les Romains, un concours de circonstances qu’i
y devoir arrêter un moment. Comme on peut dire qu’il n’y eut plus de
Grecs
ni de Romains, dès l’instant qu’il ne fut plus pe
s inférieurs dans toutes les parties de ce bel art, non seulement aux
Grecs
et aux Romains, mais même aux Français dans quelq
onnement, dont nous avons fait une étude particulière. Sans doute les
Grecs
et les Romains avaient plus de génie que nous ; m
de Néoptolème de Parium. L’Oreste d’Euripide.] L’auteur de l’Argument
grec
sur cette pièce, la déclare δρᾶμα τῶν ἐπὶ σϰηνῆς
tre elle, sont conformes à la nature, conformes à l’esprit du théâtre
grec
, qui en avait fait le sujet et la leçon de la tra
jet et la leçon de la tragédie. » (M. Patin, Études sur les Tragiques
grecs
, t. II, p. 301, Examen de l’Iphigénie à Aulis.) C
Harpe, Analyse de la Poétique. Dans la Médée.] L’auteur d’un argument
grec
de cette pièce, qui contient des observations int
fois que nous remarquons ces rapports entre les Arguments des pièces
grecques
et des textes d’Aristote ils indiquent évidemmen
, t. IV, p. 312, 313. Comparez notre Histoire de la Critique chez les
Grecs
, p. 93. Les Mégariens, etc.] On sait qu’il y avai
ile. Voyez M. Brunet de Presle, Recherches sur les établissements des
Grecs
en Sicile (Paris, 1845), p. 79, 80. Chionidès.] L
ns) Magnin, Origines du théâtre moderne Bode, Histoire de la poésie
grecque
, tome III (Leipzig, 1839-1840) Patin, Études sur
ecque, tome III (Leipzig, 1839-1840) Patin, Études sur les Tragiques
grecs
, tome I. Par πράττɛɩν] Il est probable qu’ici le
. — Fable. — Scène. La poésie dramatique est ainsi nommée d’un mot
grec
qui signifie agir, parce que, dans cette espèce d
ent le nombre de ceux qui forment une pièce. Il ne paraît pas que les
Grecs
aient connu la division de la tragédie ou de la c
ituation respective des personnages, s’appellent péripéties, d’un mot
grec
qui signifie chute, événement. La péripétie final
finale, ou celle du dénouement, porte le nom de catastrophe (d’un mot
grec
qui signifie renversement), surtout quand elle es
ractères différents. Mais tous les deux doivent représenter les mœurs
grecques
, où ce que nous consentons à regarder comme ces m
l’action tragique, qu’elle y jette la fadeur et la langueur, que les
Grecs
et les Romains n’en ont point fait usage, qu’elle
t une source d’émotions dont il est absurde de se priver ; que si les
Grecs
et les Romains n’y ont pas eu recours, c’est en g
à de ce qu’on appelle l’héroïque. Euripide, le troisième tragique des
Grecs
, naquit à Salamine, quinze ans après Sophocle, s’
oduisit à Rome vers le temps des guerres puniques. Livius Andronicus,
Grec
de naissance, montra la comédie aux Romains par d
ec de naissance, montra la comédie aux Romains par des traductions du
grec
. Névius, Ennius polirent le théâtre romain de plu
aient en effet chez lui171. La comédie a eu chez nous, comme chez les
Grecs
, des commencements informes. Longtemps même après
artialité. Il réunit au plus haut degré tous les talents des comiques
grecs
et des latins : le sel et la gaîté d’Aristophane,
capitulation des règles de la tragédie. 161. Batteux, de la Tragédie
grecque
. 162. Domairon, Poét., les Poètes tragiques. 16
Chapitre II. De l’Éloquence chez les
Grecs
. Telles sont les idées générales que nous nous
concours de tant de circonstances favorables aient porté l’éloquence
grecque
à ce degré d’élévation, dont rien n’a depuis appr
tractées dans le calme de la retraite et de la méditation. Orateurs
grecs
. À la tête de cette foule de grands hommes qui
ateur. Avec Démosthène disparurent les beaux jours de l’éloquence des
Grecs
: les rhéteurs et les sophistes achevèrent de cor
ers temps. Mais, cette époque écoulée, nous ne trouvons plus chez les
Grecs
un seul orateur digne de ce nom. 55. Nous revi
? » C’est pourtant là un idiotisme bien constaté, sinon de la langue
grecque
, au moins du style d’Aristote voy. encore la Pol
’indicatrice.] Voyez Vincent, Notice, p. 119. L’expression n’est plus
grecque
.] Οὐϰ ἔστιν ὁ λόγος ἑλλη-νιϰός. Rhétorique, III,
, à propos du chap. xv. Le Géryon.] Voyez les Fragments des Tragiques
grecs
, éd. Wagner, p. 101. Majestueux et calme.] Mêmes
en ce qui concerne la différence des μέτρα et des μέλη dans la poésie
grecque
, question pleine d’intérêt, mais aussi de difficu
sification (Paris, 1841) 2° Vincent : De la Musique dans la tragédie
grecque
, à propos de la représentation d’Antigone (Paris,
mées Atellanes, et les transmettent aux Romains avant que l’imitation
grecque
ait pénétré en Italie. Les Indous possèdent, dès
est alors le drame proprement dit. § II. Coup d’œil sur le théâtre
grec
. En Grèce, nous voyons poindre le drame en mêm
chœur, lié à l’action, ne fut plus la partie principale : la tragédie
grecque
atteignit sa perfection avec Sophocle et Euripide
e Racine, le Paria de Casimir Delavigne. Comme on le voit, le théâtre
grec
eut une origine toute religieuse ; il conserva to
possible la vraisemblance et l’imitation de la vie réelle. Les pièces
grecques
, qui se représentaient sans interruption, étaient
ts d’un masque qui grossissait la voix : vous aurez une idée de l’art
grec
dans toute sa majesté. 2° Système moderne. Les
et Schiller. La France, longtemps fidèle à l’imitation classique des
Grecs
, a vu naître, dans les derniers temps, une réacti
ont parlaient les anciens, et qui se trouve dans Aristophane chez les
Grecs
, dans Plaute chez les Latins, e dans Molière chez
Cours de littérature dramatique. 17. Principaux poètes tragiques :
Grecs
. Eschyle, Sophocle, Euripide. Latin. Sénèque. San
Federici. 19. Pièce de Le Sage. 20. Principaux auteurs comiques :
Grecs
. Aristophane, Ménandre. Latins. Plaute, Térence.
rvé le degré d’inspiration qu’elle avait chez les Hébreux et chez les
Grecs
? Au point de vue de l’inspiration et de l’entho
n’a été qu’une frivole imitation du poème lyrique des Hébreux et des
Grecs
. On a dit : Je chante, et on n’a point chanté ; o
u’est-ce que l’ode ? L’ode (ᾡδή, chant) était le nom donné, chez les
Grecs
, à tout poème lyrique qui pouvait être chanté, et
rme de l’ode a varié suivant le goût des différents peuples. Chez les
Grecs
, elle était ordinairement partagée en stances, qu
ous à dire sur la forme de l’élégie ? La forme de l’élégie, chez les
Grecs
et les Latins, était le distique. Les anciens app
§ III — Du dithyrambe 223. Qu’appelait-on dithyrambe chez les
Grecs
? Chez les Grecs, le dithyrambe était un petit p
hyrambe 223. Qu’appelait-on dithyrambe chez les Grecs ? Chez les
Grecs
, le dithyrambe était un petit poème lyrique fait
atins et les modernes ? Les Latins, quoique leur culte fût celui des
Grecs
, ne respectaient pas assez la fureur bachique pou
anciens poètes du temps de Ronsard, qui se faisaient gloire de parler
grec
en français, ne manquèrent pas d’essayer aussi de
suivre la passion dans sa marche désordonnée, il doit, comme chez les
Grecs
, avoir des allures neuves, hardies et vives. 226.
ile, vers l’an 612 avant Jésus-Christ, passe pour avoir été, chez les
Grecs
, l’inventeur de l’épithalame. Il ne reste presque
out David qui, suivant saint Jérôme, peut nous tenir lieu de tous les
Grecs
et de tous les Latins, nous citerons : Anacréon e
et de tous les Latins, nous citerons : Anacréon et Pindare, chez les
Grecs
; Horace, chez les Latins ; Malherbe, J. Racine,
o riensium Comœdia, p. 74. Une révolution du soleil.] « De l’aveu des
Grecs
l’action théâtrale pouvait comprendre une demi- r
ngt-quatre heures, etc. » (Marmontel, au mot Unité.) Dans quel auteur
grec
notre critique a-t-il lu cette règle sur la durée
upules. Marmontel écrit : « La même continuité d’action qui, chez les
Grecs
, liait les actes l’un à l’autre et qui forçait l’
’unité de temps, n’aurait pas dû permettre le changement de lieu les
Grecs
ne laissaient pourtant pas de se donner quelquefo
unités de temps et de lieu en s’appuyant sur des exemples du théâtre
grec
et du théâtre latin. Le célèbre Manzoni les comba
t une preuve de cette extrême fertilité de l’invention orientale. Les
Grecs
, hommes d’action avant tout, étaient moins portés
lemain, était pour ainsi dire envahi par le polythéisme ingénieux des
Grecs
. Cette croyance devait suffire aux imaginations l
un si grand rôle dans les romans modernes. » Pourtant la littérature
grecque
n’est pas absolument dépourvue de romans : la Cyr
urtout à l’époque de la décadence que nous trouvons le roman chez les
Grecs
. Les Fables milésiennes, dues à un certain Aristi
Saint Pierre ; mais combien l’auteur français l’emporte sur l’auteur
grec
par la pureté morale, par le naturel et la vérité
ëtes qui ne cherchent que le possible, etc. »? Noms historiques.] En
grec
: γƐνομένων δνομάτων. Ma traduction dissimule un
ntion mais l’histoire du théâtre moderne, ainsi que celle du théâtre
grec
, confirme la judicieuse réserve de notre philosop
, le Cid du poëte français ayant plu aussi bien que la Fleur du poëte
grec
, ne seroit-il point vrai qu’il a obtenu la fin de
la Poétique ? » « Les modernes ont, encore plus fréquemment que les
Grecs
, imaginé des sujets de pure invention. Nous eûmes
és de sciences. — Histoire de ces ouvrages. Didactique est un mot
grec
; il signifie qui est propre à enseigner, qui ens
observations. Plusieurs des ouvrages didactiques qui nous restent des
Grecs
sont excellents, et méritent qu’on en fasse une é
de penser. Je n’aime pas, non plus, les termes techniques écorchés du
grec
; il fallait en substituer de plus intelligibles.
leur ancienne réputation. Ce que l’on appelle polémique (c’est un mot
grec
qui signifie propre au combat, à la discussion) c
ouvrage un Essai sur Homère, où il relevait dans ce père de la poésie
grecque
un grand nombre de défauts, madame Dacier, qui av
semés dans le livre de madame Dacier, comme ces charmantes particules
grecques
qui ne signifient rien, mais qui ne laissent pas,
sujets, soit graves, soit badins, soit littéraires, soit savants. Les
Grecs
, les Latins et les écrivains de notre nation l’on
ramatique. L’origine de la poésie dramatique tient à la religion des
Grecs
. Des chœurs composés d’acteurs qui, en dansant et
mi les critiques, les uns suivant l’école classique, c’est-à-dire les
Grecs
, les Latins, et en général tous les tragiques fra
phocle. L’unité absolue de temps dut être exigible dans les tragédies
grecques
, qui no formaient qu’un seul grand acte de toutes
interruption du commencement jusqu’à la fin, comme dans les tragédies
grecques
, a rendu moins nécessaire l’observation rigoureus
législateurs du théâtre, et suivi dans la pratique par les tragiques
grecs
, italiens et français, depuis Sophocle jusqu’à Vo
eur ne se croit pas transporté à Athènes ou à Rome, lorsqu’il voit un
Grec
ou un Romain paraître sur le théâtre. Il sait que
ction supérieure les trois unités conduisent, que l’examen de l’Œdipe
grec
et d’Athalie, modèles aussi purs dans le genre tr
rouver Assuérus et l’empêche d’agir. 437. Quel était le nœud chez les
Grecs
? Chez les Grecs, le nœud dramatique était génér
l’empêche d’agir. 437. Quel était le nœud chez les Grecs ? Chez les
Grecs
, le nœud dramatique était généralement peu de cho
’avoir accompli l’oracle, et il s’en punit. Voilà le chef-d’œuvre des
Grecs
. La comédie grecque, dans ses deux premiers âges,
oracle, et il s’en punit. Voilà le chef-d’œuvre des Grecs. La comédie
grecque
, dans ses deux premiers âges, n’était guère mieux
des Latins, ne savaient rien de mieux que de défigurer les poèmes des
Grecs
en les imitant, lorsqu’il parut un génie créateur
e connues des spectateurs, sont censés agir loin du théâtre. Chez les
Grecs
, le théâtre n’était jamais vide, et l’intervalle
te espèce, ordinaire à nos théâtres, n’est pas si commune à celui des
Grecs
. Ils usent fréquemment du dialogue coupé, qui rép
il se parle à lui-même. Le monologue ne doit pas être, comme chez les
Grecs
et les Romains, le récit d’un événement ou l’anno
dans les tragédies honnêtes, est dangereuse pour les mœurs. 478. Les
Grecs
employaient-ils l’amour dans la tragédie ? Sur l
Les Grecs employaient-ils l’amour dans la tragédie ? Sur le théâtre
grec
, cette passion était en quelque sorte inconnue. I
ophane et par ses contemporains. Cela tenait aux mœurs nationales des
Grecs
, à la séparation des sexes qui était établie chez
médie. 538. Quels sont les principaux auteurs dramatiques ? Chez les
Grecs
nous nommerons Eschyle, Sophocle et Euripide, dan
otice] Fils du consul général de France en Turquie, né d’une mère
grecque
, à Constantinople, élevé sous le beau ciel du Lan
multitude de papillons : on eut enfin une abeille ! » Admirateur des
Grecs
, il opéra une renaissance de l’art français. L’âm
iphrase pour exprimer le mot tisane. 4. Les nourrices de la tragédie
grecque
n’ont pas l’accent plus simple, plus tendre et pl
; Corneille, Lucain et Sénèque ; Bossuet, les prophètes ; Racine, les
Grecs
et Virgile ; et Montaigne dit quelque part qu’il
, fit éclore un nouveau printemps. L’alexandrin apprit de l’hexamètre
grec
la césure mobile, les variétés de coupes, les sus
Ce héros si célèbre fut le plus vaillant et le plus fort de tous les
Grecs
, au siège de Troie. Mais s’étant brouillé avec Ag
il cessa de combattre ; et pendant tout le temps de son inaction, les
Grecs
n’éprouvèrent que des revers. La mort de son ami
rère d’Hector, il mourut de cette blessure, l’an 1200 avant J.-C. Les
Grecs
l’enterrèrent sur le promontoire de Sigée, où ils
’hui Livadie, dans la Turquie d’Europe). C’est de ce même nom que les
Grecs
appelaient Minerve ; et c’est ce qui a donné lieu
(aujourd’hui l’Archipel), n’est plus qu’un écueil abandonné, que les
Grecs
appellent Dili, et qui sert de retraite aux corsa
’hui la Natolie). Il était de la secte cynique, ainsi nommée d’un mot
grec
qui veut dire chien, parce que ceux qui en étaien
fini de ses temples. Elle est aujourd’hui habitée par des Maures, des
Grecs
, des Arabes, des Turcs, qui en sont les souverain
e que quelques épigrammes et une traduction en vers latins d’un poème
grec
d’Aratus sur l’astronomie, intitulé Les Phénomène
3, à 74 ans. Morphée, ministre du dieu du Sommeil, et que les poètes
grecs
, ainsi que les latins, prennent souvent pour ce m
vint à l’Empire de toute la Grèce, sous le titre de généralissime des
Grecs
qu’il se fit donner, et prépara ainsi les immense
eureux prince de toute l’Asie, lorsque son Empire fut détruit par les
Grecs
. Après avoir vu périr tous ses enfants par le fer
dans les combats, et le plus éloquent, le plus sage, le plus ruse des
Grecs
, leur rendit au siège de Troie les services les p
sont les épisodes et les descriptions épisodiques. Le mot épisode est
grec
; il signifie littéralement introduction. L’épiso
le dixième siècle avant J.-C. Le plus célèbre des poètes didactiques
grecs
, après Hésiode, est Aratus, qui vivait 275 ans av
mains se sont élevés dans la poésie didactique à une hauteur dont les
Grecs
n’approchent pas. Lucrèce, né 95 ans avant notre
père. § 62. Poème épique ou épopée. L’épopée, chez les anciens
Grecs
, était un poème écrit en vers épiques ou hexamètr
our le genre humain. Tel est, par exemple, la Prise de Troie pour les
Grecs
; telle est la Chute du premier homme pour le mon
ision qui va entraîner toute la suite de malheurs qui accableront les
Grecs
. Voilà le sujet connu : c’est l’exposition. Quel
ait pas s’arrêter là. Il a fallu montrer les effets heureux, pour les
Grecs
, de cette réconciliation. En effet, il représente
cette ville ne pouvait, après sa mort, que tomber entre les mains des
Grecs
, tout était complet et fini par là. Homère a cepe
re défectueux, parce qu’ils ne ressemblaient pas aux nôtres. Le poète
grec
les a peints tels qu’ils étaient de son temps. Il
t environ mille ans avant Jésus-Christ, est le plus ancien des poètes
grecs
, et pour nous le père de la poésie épique. On cro
possession de ses armes : ils exposèrent leurs prétentions devant les
Grecs
assemblés. Ajax s’avance le premier. Impatient et
’un œil farouche les rivages du promontoire de Sigée et la flotte des
Grecs
; puis levant les mains, il s’écrie : Plaidoyer
temps ses yeux fixés sur la terre, il les porte sur les juges : « Ô
Grecs
, dit-il, si vos vœux et les miens avaient été exa
de l’héritage du grand Achille, si ce n’est celui qui fait jouir les
Grecs
d’Achille et de sa gloire ? etc. » Cet exorde, p
n parle. Oreste s’exprime ainsi devant Pyrrhus : Avant que tous les
Grecs
vous parlent ma voix, Soutirez que j’ose ici flat
ue fait Oreste à la fin de son discours à Pyrrhus. Enfin de tous les
Grecs
satisfaites l’envie ; Assurez leur vengeance, ass
, dans une longue discussion sur les parties d’étendue de la tragédie
grecque
, je me borne à quelques rapprochements, et je ren
, à des exemples pris dans l’Œdipe roi, celle de toutes les tragédies
grecques
qu’Aristote a citée avec le plus de prédilection.
u prologue explicatif, dont Euripide introduisit l’usage sur la scène
grecque
. Voy. le schol. d’Aristophane sur les Grenouilles
consulter Sillig, Catalogus artificum. Soit en vers sans musique.] Le
grec
dit : ψɩλομɛτρίαν, mot qui montre bien que l’adje
lis par Vincent, p. 112 et suiv. de sa Notice sur diverses manuscrits
grecs
relatifs à la musique (Notices et extraits des ma
pe et des Perses de Timothée. Au reste, le mot ІІέρσας, dans le texte
grec
, est douteux. Tyrwhitt a tiré des variantes des m
la Poétique d’Aristote. Voyez Düntzer, Fragments de la Poésie épique
grecque
(Cologne, 1840), p. 59. La Théséide.] Le plus anc
lo Græcorum epico (Leipzig, 1829), p. 64. Au moment de la réunion des
Grecs
.] Cet épisode était traité dans les Chants Cypria
e qu’il reçut sur le Parnasse avec la folie qu’il feignit lorsque les
Grecs
assembloient leurs armées car de ce que l’une es
Hygin, Fable 127, et comparez le livre de Welcker, sur les Tragédies
grecques
considérées dans leur rapport avec le Cycle épiqu
et de son fils était le moment le plus intéressant de toute la scène
grecque
. Il donnait à ce coup de théâtre la préférence su
p de théâtre la préférence sur tous les autres. Plutarque dit que les
Grecs
, ce peuple si sensible, frémissaient de crainte q
erez pas même d’acheteurs ». Nous ne connaissons, dans aucun orateur
grec
ou romain, français ou étranger, rien de comparab
au lecteur, n’est que la traduction de la version latine faite sur le
grec
des Septante, et qu’il y a aussi loin du grec à l
ion latine faite sur le grec des Septante, et qu’il y a aussi loin du
grec
à l’hébreu, sous le rapport de la force des mots
mots et de l’énergie des images, qu’il y a loin de notre français au
grec
d’Homère ou de Démosthène ? Quel incalculable deg
des amis de la patrie, ou sur le désastre des ennemis. Les sophistes
grecs
découvrirent les premiers ce système artificiel d
qui a confusément entassé dans un volumineux recueil tout ce que les
Grecs
et les Romains nous ont laissé de bon et de mauva
qu’en travaillant sur les bases qu’il avait posées, que les rhéteurs
grecs
qui écrivirent après lui, et dont les ouvrages no
siècles heureux qu’au nombre de quatre. Le premier est le siècle des
Grecs
; il s’étend depuis la guerre du Péloponnèse jusq
utation dont ils jouissaient ! auprès de leurs contemporains ? car le
grec
et le latin ne furent pas toujours des langues mo
ssède des connaissances politiques plus étendues que n’en avaient les
Grecs
et les Romains. Nous apprécions mieux la nature d
génie. Hérodote, aux jeux Olympiques, lisait son Histoire devant les
Grecs
rassemblés, et on lui décernait une couronne. Dan
odernes, joint à une vénération aveugle pour tout ce qui est écrit en
grec
et en latin. Les pédants seuls peuvent tomber dan
iques sur les affaires générales. La lecture attentive des historiens
grecs
ne nous donne qu’une notion imparfaite de la forc
e en grand nombre dans son Histoire et dans celle de quelques auteurs
grecs
et latins, sont les plus précieux monuments que n
era voir distinctement chaque trait d’une physionomie. Les historiens
grecs
font quelquefois des éloges, mais presque jamais
res originaux et de mœurs curieuses qu’embellit une saine morale. Les
Grecs
parlent d’anciennes fables d’Ionie et de Milet qu
aire en traitant des différents genres de compositions poétiques. Les
Grecs
, toujours jaloux de faire honneur à leur nation d
s carmina, bardi. (Pharsaliæ lib. I, v. 447.) Il paraît que chez les
Grecs
la poésie reçut presque à son origine une forme p
tion des mondes, l’origine des choses. Nous savons d’ailleurs que les
Grecs
firent plus tôt des progrès en philosophie, et av
genre de composition dans le Livre de Job. Il paraît que ce sont les
Grecs
qui, les premiers, donnèrent une forme régulière
toujours le poète ; et quelques indices nous font croire que chez les
Grecs
, comme chez la plupart des autres nations, le bar
et que nous avons appelés rimes. La première méthode était celle des
Grecs
et des Romains ; nous avons adopté la dernière, a
la dernière, ainsi que presque toutes les nations modernes. Chez les
Grecs
et les Romains, chaque syllabe, ou au moins la ma
ait l’influence monacale. La rime peut paraître barbare dans des vers
grecs
ou latins, parce que, pour soutenir la mélodie de
Théocrite la même distinction à faire qu’entre la plupart des auteurs
grecs
et romains. Les Grecs ont ouvert la route, et, en
inction à faire qu’entre la plupart des auteurs grecs et romains. Les
Grecs
ont ouvert la route, et, en suivant de plus près
positions. Il nous est resté quelques fragments de deux autres poètes
grecs
qui ont écrit avec beaucoup de talent dans le gen
hanté ou accompagné par la musique ; son nom même l’indique : ode, en
grec
, signifie chanson ou hymne, et poésie lyrique veu
en cela bien différente, et même tout à fait opposée à la poésie des
Grecs
et des Romains. Indépendamment de sa forme partic
suites funestes ; tant qu’ils sont privés du secours de ce héros, les
Grecs
plient devant les Troyens ; mais lorsqu’il s’apai
réconcilie avec Agamemnon, la victoire se range sous les drapeaux des
Grecs
, et le poème finit. Il faut néanmoins convenir qu
et le dieu, cédant à ses instances, envoie la peste dans le camp des
Grecs
. On consulte l’augure, qui répond qu’on ne peut a
en, s’enflamme de colère à cette proposition ; il reproche au roi des
Grecs
son insolence et sa rapacité ; et, après l’avoir
sorte, il va se retirer avec son armée, et ne combattra plus pour les
Grecs
. Il se retire en effet. Thétis, sa mère, implore
pour venger Achille de l’affront qu’il a reçu, prend parti contre les
Grecs
, et leur fait éprouver de grands revers, jusqu’au
iège de dix années, durent répandre au loin le bruit de la valeur des
Grecs
, et jeter l’intérêt le plus vif sur tout ce qui r
ont tout à fait déplacés. En nous donnant une idée de la vivacité des
Grecs
, il nous donne aussi une idée de leur loquacité.
lus invulnérables. Leurs fils et leurs parents combattaient parmi les
Grecs
et les Troyens, et si ce n’est qu’elles étaient i
ité à l’attribuer à Virgile. L’un nous rappelle toute la vivacité des
Grecs
; l’autre la grandeur imposante des Romains. L’im
faits les plus connus. C’est ce que firent presque tous les tragiques
grecs
. Cependant je ne pense pas qu’il faille ajouter b
us les arts, fut, dans son origine, imparfaite et grossière. Chez les
Grecs
, les premiers inventeurs des représentations théâ
ntôt après à sa perfection. C’est une chose fort remarquable, que les
Grecs
, en si peu de temps, portèrent la tragédie de l’é
n. Nous avons vu que, dans son origine, la tragédie n’était, chez les
Grecs
, qu’une hymne ou un chant adressé aux dieux par d
s étonnant que les chœurs se soient toujours maintenus sur le théâtre
grec
; mais l’on peut affirmer qu’ils ne s’y fussent j
a pièce, et contribuent à en amener le dénouement. Tous les tragiques
grecs
ont conservé, non seulement l’unité d’action, mai
égard, il est néanmoins évident que cette division était ignorée des
Grecs
. Le mot acte ne se trouve pas une seule fois dans
le le prologue, l’épisode, et l’exode. Il est vrai que sur le théâtre
grec
les tragédies se représentaient depuis un bout ju
ut observer que les représentations dramatiques, sur les théâtres des
Grecs
, obligeaient les poètes de se conformer à ces tro
t nécessaire sur notre théâtre moderne. Nous avons vu que la tragédie
grecque
était représentée, sans aucune interruption, depu
essés d’une manière peu naturelle ; et l’on trouve dans les tragédies
grecques
beaucoup d’exemples d’événements que l’on suppose
résentation d’une tragédie dont le sujet était emprunté de l’histoire
grecque
ou romaine. On sait bien qu’il ne s’agit que d’un
du théâtre. Lecture XLVI. De la tragédie en général, de celle des
Grecs
, des Français et des Anglais. Après avoir tra
l’Hippolyte d’Euripide. Il faut l’attribuer aux mœurs nationales des
Grecs
, et à ce que chez eux les deux sexes avaient entr
erminerons ce sujet en jetant un rapide coup d’œil sur le théâtre des
Grecs
, des Français et des Anglais ; ce qui nous condui
e connaître les caractères essentiellement distinctifs de la tragédie
grecque
. J’ai fait voir que la poésie lyrique lui servait
chœurs, leurs avantages et leurs inconvénients. L’intrigue, chez les
Grecs
, était extrêmement simple ; on n’y admettait qu’u
intitulée les Perses, par Eschyle. Eschyle est le père de la tragédie
grecque
, et l’on trouve chez lui les beautés et les défau
intéresser et nous toucher. Les représentations théâtrales, chez les
Grecs
et les Romains, étaient accompagnées de circonsta
sion, y a beaucoup de ressemblance avec celui des anciennes tragédies
grecques
, et surtout est plus naturel, plus animé, et bien
euples, voici le caractère qu’on peut assigner à chacune. La tragédie
grecque
est l’exposition d’un événement triste et malheur
s. Lecture XLVII. De la comédie en général, de la comédie chez les
Grecs
, les Romains, les Français et les Anglais. La
re littéralement, les pièces de Ménandre et de quelques autres poètes
grecs
. On sait que, dans la suite, il y eut à Rome une
chez les différentes nations. L’on pense généralement que, parmi les
Grecs
, la tragédie précéda la comédie, et l’origine et
éros. Les critiques lui assignent trois différentes périodes chez les
Grecs
, et distinguent la comédie ancienne, la comédie m
rit de ses concitoyens ; cependant le P. Brumoy, dans son Théâtre des
Grecs
, parvient à prouver qu’elle ne peut avoir été, co
l, et non la copie de tel ou tel personnage. Ménandre était, chez les
Grecs
, l’auteur le plus distingué dans ce genre. Les im
les pièces de Plaute et de Térence, qui, tous deux, avaient pris les
Grecs
pour modèles. Plaute est remarquable par son styl
i les bouffonneries licencieuses d’Aristophane amusèrent un temps les
Grecs
, leur goût devint dans la suite et plus chaste et
es qui, au temps de Ménandre et de Térence, faisaient les délices des
Grecs
et des Romains. Opinions des littérateurs fra
distingué le sublime, le simple et le tempéré, ou, comme disaient les
Grecs
, l’abondant, le grêle et le médiocre. Dans l’un,
celle des Italiens, c’est-à-dire beaucoup moins qu’aux Latins et aux
Grecs
. Leurs constructions et leurs formes poétiques so
-on que les mœurs et les lois d’Athènes ne permettent pas à l’orateur
grec
les belles péroraisons du nôtre ; mais aussi la l
partie à faire Cicéron ce qu’il est. Il s’était attaché à imiter les
Grecs
, et nous a représenté, ce me semble, en lui seul
es discours ; mais ils ne passeront pas à la postérité comme ceux des
Grecs
et des Romains, parce qu’ils manquent de cet art
’aussi grands génies et d’aussi bons ouvrages que ceux de l’antiquité
grecque
et latine, mais de savoir si nous en avons en eff
it-on la nature bizarre Pour nous aujourd’hui plus avare Que pour les
Grecs
et les Romains ? De nos aînés mère idolâtre, N’es
e la rime ? Les Anglais et les Italiens diraient également, après les
Grecs
et les Romains : “Les pâles humains Minos aux enf
i guère au-delà de l’historique. Je demanderai seulement pourquoi les
Grecs
et les Romains firent toutes leurs comédies en ve
arques) autrement il serait contredit par l’histoire même du théâtre
grec
, où l’on peut signaler encore aujourd’hui, après
te avait tiré de ce sujet la matière d’une tragédie. Le Mendiant.] En
grec
, la Mendicité. Ulysse s’introduisant dans Troie s
s-d’œuvre. Voy., pour plus de détails, le livre de Welcker, Tragédies
grecques
dans leur rapport avec le Cycle épique.
ou Pilpai, et l’Arabie celles de Lokman, traduites de nos jours. Les
Grecs
reçurent sans doute la fable de l’Orient ; Hésiod
pe, qu’on a regardé à tort comme l’inventeur de l’apologue, légua aux
Grecs
la sagesse orientale de ses fables, mais de vive
n lui racontant la fable des Membres et de l’Estomac. Phèdre, esclave
grec
amené à Rome et affranchi par Auguste, imita Ésop
source. Ajax, fils de Télamon, roi de Salamine, et le plus brave des
Grecs
, après Achille. Il se battit un jour entier contr
umit par les armes toute la Grèce, et se fit nommer généralissime des
Grecs
contre les Perses. Il part avec trente mille homm
ictyon, troisième roi d’Athènes, désirant maintenir l’union parmi les
Grecs
, l’avait établi, l’an 1522 avant J.-C. ; et c’est
e Ménélas du nom de leur père Atrée. Lorsque Agamemnon commandait les
Grecs
devant Troie, Chrysès, prêtre d’Apollon, vint, re
dans la Turquie d’Asie). Agamemnon la lui ayant refusée, l’armée des
Grecs
fut frappée de la peste, qui ne cessa qu’au momen
e, et d’Hécube. Durant le siège de cette ville, il tut la terreur des
Grecs
, dont il brûla la flotte, et soutint plusieurs co
ces deux peuples réunis ne formèrent plus que le royaume de Juda. Les
Grecs
et les Romains appelèrent cette contrée Palestine
ville de l’Attique à trois lieues d’Athènes, et près de laquelle les
Grecs
, au nombre de dix mille hommes seulement, command
et le nomma bientôt après commandant général de ses armées contre les
Grecs
. Mais Thémistocle, loin de vouloir faire la guerr
erne, je gouverne les Athéniens, et les Athéniens gouvernent tous les
Grecs
. Que de républiques, où un seul homme jouit d’un
e et s’épuise à chercher le sens, voir et juger comment des écrivains
Grecs
ou Latins, des auteurs modernes de bon aloi, ont
e suis pas attaché, et c’est avec intention, en traduisant les textes
grecs
ou latins, à l’élégance des phrases, à l’éclat du
seul moyen de la rendre immortelle. » Traduit d’Hérodien, historien
grec
(3e siècle ap. J.-C.) X. Mentor expose à Télém
tes, ma mère, mais ton fils est perdu. » Traduit d’Appien, historien
grec
du 2e siècle ap. J.-C. XX. Volumnie et Véturie
entôt mes promesses seront ratifiées. » Traduit de Polybe, historien
grec
(205 ans av. J.-C.). XXIII. Discours de Vercin
spirons n’était justifiée sans retard. » Traduit d’Arrien, historien
grec
du 2e siècle ap. J.-C. (Expédition d’Alexandre en
touré mon nom d’un grand éclat. » Traduit de Dion Cassius, historien
grec
(229 ap, J.-C.). XXXI Discours de Pompée au pe
t renversé l’édifice de sa grandeur. » Traduit d’Hérodote, historien
grec
(480 av. J.-C.). XXXIII. Discours de Moïse aux
tour, sans arrière-pensée. » Traduit de Diodore de Sicile, historien
grec
, qui vivait à Rome, au siècle d’Auguste. XXXV.
s premiers auteurs des hostilités. » Traduit de Thucydide, historien
grec
(420 av. J.-C.) (Guerre du Péloponèse.) XLVI.
repoussant les Thraces, les Illyriens, les Triballes et les peuplades
grecques
qui nous étaient hostiles ? Si je ne m’associais
en prenant le second, tu perdras un homme devenu l’ennemi déclaré des
Grecs
. » Sans répondre immédiatement à Thémistocle, le
rès de lui : « Je désire, lui dit-il, t’adresser une question. Tu es
Grec
, et citoyen d’une ville qui n’est ni la plus faib
ible, ni la moins importante de la Grèce. Eh bien ! penses-tu que les
Grecs
oseront se mesurer avec moi ? À mon avis, quand b
nt à ce que vous aura coûté le défilé des Thermopyles. Sans doute les
Grecs
vous abandonneront plusieurs positions, entraînés
s qu’il ne m’en reste plus un seul. J’avais cinquante fils, quand les
Grecs
ont abordé sur ce rivage ; le cruel Mars me les a
mon cher Hector ! C’est pour lui que je viens près des vaisseaux des
Grecs
, afin de le racheter, et je t’apporte de riches p
ême. Les Romains une fois vaincus, aucune ville barbare, aucune ville
grecque
ne saurait nous résister : nous serons maîtres de
ge, de ton épouse infortunée, qui bientôt sera veuve de toi ! car les
Grecs
vont se réunir pour t’attaquer et t’arracheront l
nos ennemis, me préoccupe bien moins que ta destinée, lorsqu’un chef
grec
, aux armes étincelantes, t’entraînera toute en la
ra la nécessité inexorable ! Puis, en te voyant verser des pleurs, un
Grec
dira sans doute : « Voilà l’épouse d’Hector, de c
toujours prêts à jeter leurs armes pour fuir plus vite. Triompher des
Grecs
, des Athéniens, de la cavalerie Thessalienne, des
lles qu’on pouvait attendre d’un Dieu. » Traduit de Lucien, écrivain
grec
, né à Samosate, vers l’an 120 av. J.-C. LXXXIX
qui le tourmente, et où sa valeur l’élèvera au premier rang parmi les
Grecs
. Philoctète, vaincu par les conseils de son ami,
épond ordinairement à ἀλλὰ ϰαί, non à ἀλλ’ ὅτι ϰαί. Voir la Grammaire
grecque
de Kühner, § 730 (2e éd. § 525), et les Idiotisme
de l’Alceste d’Euripide, dans l’Annuaire de l’Association des études
grecques
(1873). A la grandeur et à la noblesse.] Dacier :
res même dans le Nouveau Testament. Du ton familier.] Ἀρμονίας dit le
grec
. On lirait plus volontiers ἑρμηνείας. Voyez Démét
e, roi de Macédoine, furent emmenés à Rome en otage. Il y composa, en
grec
, une Histoire universelle qui commençait aux guer
ouvrage comprenait l’histoire des Syriens, des Mèdes, des Perses, des
Grecs
, des Romains et des Carthaginois. C’était le mond
il en soit, les historiens célèbres de l’antiquité sont : 1º chez les
Grecs
, Hérodote, né vers l’an 484 avant J.-C, qui a été
et attachante : il a raconté l’histoire des guerres des Perses et des
Grecs
depuis le règne de Cyrus jusqu’à Xerxès. Thucydid
s’y livrèrent exclusivement. Les principaux biographes sont, chez les
Grecs
, Arrien, qui a écrit l’Expédition d’Alexandre, et
a Grèce et de Rome. Les comparaisons perpétuelles qu’il fait entre un
Grec
et un Romain, dont il vient d’écrire l’histoire,
ami de Cicéron et de Catulle, a écrit la Vie des illustres capitaines
grecs
, qui nous est parvenue, mais probablement retouch
ulières. 57. Domairon, Rhét, de l’Histoire profane. 58. De deux mot
grecs
qui signifient description de la vie. 59. Domair
t souffrir courageusement. De même, la préposition secundùm, comme en
grec
la préposition ϰατα. Ex. Os humerosque deo simili
homme, et ces circonstances sont nombreuses. De même, quand on dit en
grec
: Τα ζῶα τρεχει, on met le verbe au singulier, pa
E V. de l’hellénisme. L'hellénisme (de ελληνισµος, imitation des
Grecs
) consiste à imiter dans le discours certaines man
manières de parler, certains tours de phrase particuliers à la langue
grecque
. Il y a plusieurs sortes d’hellénismes : 1° Hellé
à tel cas, par un autre nom ou pronom qui précède. Ainsi, l’on dit en
grec
: Περι λογων ὦν ελεξα, et l’on dirait en latin, p
e de la préposition ϰατα. Les Latins ont imité souvent les accusatifs
grecs
régis par les prépositions ϰατα ou περι sous-ente
Pacem te poscimus omnes, etc. 3° Hellénisme de la préposition εϰ. Les
Grecs
sous-entendent si souvent cette préposition, qui
commence à traduire les poètes. Ces figures sont appelées tropes (du
grec
τρόπος, tour, changement, tiré du verbe τρἐπω, je
es principaux tropes sont : I La métaphore. La métaphore (du
grec
µεταφορα, translation) est une figure par laquell
droite et l’aile gauche. II la catachrèse. La catachrèse (du
grec
ϰατάπχρησις, abus, mauvais emploi) est une figure
égon est tout en flammes. IV la synecdoche. La synecdoche (du
grec
συνεχδοϰὴ, compréhension) est une espèce de méton
Doriens, peuples particuliers de la Grèce, se prennent pour tous les
Grecs
chez les poètes anciens. On dit le Tibre pour les
genre pour l’espèce, etc. V l’antonomase. L'antonomase (du
grec
ἁντί, pour, au lieu de, et ονοµα, nom) est une se
ron ; quand ils disent le Poète, ils veulent nommer Virgile. Chez les
Grecs
, au contraire, l’un est Démosthène, l’autre le gr
t la traduction des auteurs. I de l’hypallage. L'hypallage (du
grec
υπαλλαγη, changement) est une figure mixte21 qui
. VII de la personnification ou prosopopée. La prosopopée (du
grec
πρὸσωπον, visage, figure, personne, et ποιεω, je
en sont l’âme et la vie. Homère et Virgile, ces princes de la poésie
grecque
et latine, sont pleins de cette figure. La guerre
selon les circonstances. IX de l’euphémisme. L'euphémisme (du
grec
εὖ, bien, et φηµἰ, je dis) est une figure par laq
sance plus nécessaire. I. — Acies, exercitus, agmen. Acies (du
grec
αϰη, pointe) désigne proprement la partie aiguë o
Ambire, cingere, redimire, circumdare, circumducere. Ambire (du
grec
αµφι, autour, et εω, je vais), entourer de plusie
r furtivement. XXII. — Aura, ventus, flatus, flamen. Aura (du
grec
αὒρα), vent doux, léger souffle. Aura lenis, un a
erre par des victoires. Debellatum est cum Græcis. La guerre avec les
Grecs
est terminée. Au figuré : Debellare superbos, aba
s chevaliers romains. — Pallium, longue robe ou manteau à l’usage des
Grecs
, surtout des philosophes. — Sagum, espèce de saye
ome une œuvre native et inspirée : c’est une admirable copie de l’art
grec
dans le& premiers livres, et un monument indi
oici les épopées les plus célèbres : l’Iliade et l’Odyssée, d’Homère (
grec
). L’Énéide, de Virgile (latin). Le Ramayana, de V
opée, par A. Soumet (français). 14. Poètes héroïques remarquables :
Grec
. Apollonius de Rhodes : l’Argonautique. Latins. L
: Bakhichi-Saraï, Rouslan et Ludmila. 15. Poètes héroï-comiques :
Grec
. La Batrachomyomachie, attribuée à Homère. França
) [Notice] A. Chénier, qui devait le jour à une mère d’origine
grecque
et qui naquit à Constantinople, en 1762, d’un pèr
versification française plusieurs des procédés habituels à la poésie
grecque
et latine. On reconnaît ici un exemple du rejet,
ers nouveaux faire des vers antiques 1. Tournure vive, empruntée au
grec
, pour : tend les mains en signe de prière. 2. C
-il sous-entendre. 1. Cette pensée est fréquemment exprimée chez les
Grecs
. Par une gracieuse confusion d’idées, l’homme de
sentiments nobles et vertueux, qui peuvent nous rendre meilleurs. Les
Grecs
sont les premiers peuples du monde, qui se soient
s de Nicée, ne dédaigna pas d’ouvrir une école de grammaire latine et
grecque
. Les chefs-d’œuvre de Rome et d’Athènes furent al
chevé du cœur de l’homme. Molière enleva le sceptre de la comédie aux
Grecs
et aux Latins, et le laissa entre les mains de Re
ie indépendant qui transforme ses réminiscences, détourne les sources
grecques
et les accommode à de nouvelles rives. Cet ouvrag
r s’y dérobe et que je ne puisse le voir. L’art gothique et l’art
grec
Il est naturel que les modernes, qui ont beau
, celle des Arabes, crurent sans doute avoir surpassé les architectes
grecs
. Un édifice grec1 n’a aucun ornement qui ne serve
ent flattés d’avoir surpassé par leur vain2 raffinement la simplicité
grecque
? Changez seulement les noms ; mettez les poëtes
s pour faciliter le progrès de la poésie2. Par exemple, les mœurs des
Grecs
formaient bien mieux des poëtes que celles des Ci
ns. Nous sortons à peine d’une étonnante barbarie ; au contraire, les
Grecs
avaient une très-longue tradition de politesse, d
e l’architecture antique : Elle n’est pas moins remarquable chez les
Grecs
. Entre le Parthénon et les Propylées on reconnaît
une contrée brumeuse et froide, il y sera étranger, il ressemblera au
Grec
lui-même exilé de sa patrie, et regrettant, sur l
ctions, du rhythme enfin, comme de l’euphonie, le latin et surtout le
grec
l’emportent manifestement sur toutes les langues
nnaître notre incompétence absolue à apprécier la vertu de l’harmonie
grecque
. Denys d’Halicarnasse, qui s’en est spécialement
us saisir du premier coup d’œil la distance qui sépare les Latins des
Grecs
sous le rapport de l’harmonie, rapprochez Cicéron
bilement distribués. Mais comparez leur conclusion à celle du rhéteur
grec
: « Ne sacrifions jamais un mot à l’euphonie, dit
i satisfasse l’oreille en même temps que l’esprit. Dans la rhétorique
grecque
et latine, la période ne pouvait avoir moins de d
comme un témoignage historique de l’altération de certaines doctrines
grecques
dans leur transmission en Occident par la science
bre 1873 et une leçon d’ouverture de M. Jules Girard sur la tragédie
grecque
, dans la Revue Politique et Littéraire du 9 mai 1
saient autant d’effet que déclamées sur la scène par Talma en manteau
grec
ou en robe juive. Iphigénie était accoutrée comme
neuves, enfin un mode de composition tout différent de celui que les
Grecs
et les Romains ont livré à notre admiration, et s
s’exerce. En effet, par exemple, on crut longtemps que l’architecture
grecque
était la plus parfaite ; dans les siècles suivant
ns les siècles suivants, l’architecture gothique l’emporta ; le style
grec
reprit ensuite toute sa faveur, et s’empara seul
qui était pompeux et brillant jusqu’à l’extravagance ; tandis que les
Grecs
méprisaient ce faste et n’admiraient que ce qui é
re, à la tête des Troyens, jetant avec son égide la terreur parmi les
Grecs
, sont aussi des exemples de sublime. L’apparition
batailles. Dans le vingtième livre, où les dieux, partagés entre les
Grecs
et les Troyens, combattent pour les deux armées,
Neptune frappe la terre ; le mont Ida, et Troie, et les vaisseaux des
Grecs
ont tremblé. Le roi des enfers épouvanté s’élance
rite de fixer toute notre attention, c’est que, dans leur langue, les
Grecs
et les Romains avaient conservé beaucoup de cette
iens. Nous avons bien des raisons de croire que la prosodie, chez les
Grecs
et les Romains, était portée bien plus loin que c
z les Romains, à plus forte raison devait-il en être de même chez les
Grecs
, qui passent pour avoir été plus amateurs de la m
la fantaisie, avait ensuite maintenus si longtemps dans la langue des
Grecs
et des Romains. Le latin se perdit insensiblement
ornement que l’on appelle prose. Phérécydes de Scyros passe chez les
Grecs
pour avoir composé le premier des ouvrages en pro
lui que nous trouvons dans la plupart des langues anciennes, comme le
grec
et le latin ; c’est, à ce qu’on assure, celui que
oique ce soit l’objet principal de la pensée du poète. J’ai dit qu’en
grec
et en latin la construction la plus usitée plaçai
, par sa construction, se rapproche plus de la langue anglaise que le
grec
ou le latin. Toutes les langues modernes de l’Eur
n’ont pas conservé l’usage de ces terminaisons diverses qui, dans le
grec
et le latin, distinguent les cas des substantifs
, a moins d’harmonie, moins de beauté et moins de force que celle des
Grecs
et des Latins, elle est aussi plus claire et plus
t l’usage auquel étaient appliqués les hiéroglyphes à l’époque où les
Grecs
commencèrent à avoir quelques relations avec l’Ég
es à Teuth l’Égyptien, que l’on croit être l’Hermès ou le Mercure des
Grecs
. Cadmus lui-même, quoique venu de Phénicie dans l
une partie de cette contrée, et que ces derniers les transmirent aux
Grecs
. L’alphabet que Cadmus apporta dans la Grèce étai
euples de l’Europe, est presque entièrement calqué sur l’alphabet des
Grecs
, et n’a éprouvé qu’un bien petit nombre de variat
petit nombre de variations. Les savants observent que les caractères
grecs
, tels qu’ils sont figurés sur les inscriptions le
iciens, et composaient l’alphabet de Cadmus. Renversez les caractères
grecs
de gauche à droite, conformément à la manière d’é
s lettres sont disposées dans chacun des alphabets phénicien, hébreu,
grec
ou romain, ont tant d’analogie, qu’il est évident
près quelques inscriptions très anciennes, l’avoir été aussi chez les
Grecs
, qui ensuite adoptèrent la méthode d’écrire leurs
é dans le discours, et cependant quelques langues n’en ont point. Les
Grecs
n’en avaient qu’un seul, ό, ή, τὸ, qui répond à n
n forme ordinairement le pluriel par l’addition d’un s. En hébreu, en
grec
et dans quelques autres langues anciennes, nous t
quantité d’objets inanimés. C’est ce que nous voyons dans les langues
grecque
et latine. Ainsi, par exemple, gladius [une épée]
a, en général, assigné un certain genre à certaines terminaisons. En
grec
et en latin, cependant, tous les noms d’objets in
port, le génie des langues française et italienne diffère de celui du
grec
et du latin. En français et en italien (on n’en p
e peut varier en quelque occasion que ce soit. Ἀρετὴ, par exemple, en
grec
, virtus, en latin, et la vertu, en français, sont
s les langues, cependant, n’ont point adopté ce mode d’expression. Le
grec
et le latin, entre autres, ont des déclinaisons ;
s les langues que l’on appelle mères ou primitives, ainsi que dans le
grec
et le latin. On peut expliquer d’une manière natu
gement des terminaisons qu’emportaient les cas et les déclinaisons du
grec
et du latin, devint bien moins agréable à l’oreil
ainsi régulièrement coupé ou divisé ; au lieu que la construction des
Grecs
et des Latins, au moyen des terminaisons qui indi
aire observer à leur égard, si ce n’est cette singularité des langues
grecque
et latine, de leur faire prendre la forme des nom
« on m’a donné l’ordre d’enseigner, j’ai appris moi-même. » La langue
grecque
, la plus parfaite de toutes les langues connues,
sées qui avaient échappé à une vue moins subtile. Aussi la langue des
Grecs
est-elle celle où l’on en rencontre un plus grand
ment dans la construction d’une phrase, que les mots de la langue des
Grecs
ou de celle des Romains. Mais ces inconvénients d
’en affaiblir l’expression. Nous exprimons bien moins que les langues
grecque
et latine par un verbe ou par un nom substantif.
sons. Aucune langue n’a possédé plus éminemment ces avantages que le
grec
, aucune ne s’est mieux pliée au génie des écrivai
tine, quoique fort belle d’ailleurs, est bien au-dessous de celle des
Grecs
. Elle a trop constamment un air grand et noble ;
ns du mot qu’on ne le fait ordinairement dans aucune autre langue. En
grec
et en latin, c’est presque toujours sur la troisi
de ces mêmes mots dans une phrase. Nous savons quelle importance les
Grecs
et les Romains attachaient au langage dans les te
distinctement déterminés dans notre langue, qu’ils l’étaient chez les
Grecs
et chez les Romains par le moyen des terminaisons
encore plus mauvaise : « Ils marchaient, dit l’auteur, en parlant des
Grecs
commandés par Alexandre, à travers un pays incult
oisson de mer. » Ici la scène change à chaque instant ; la marche des
Grecs
, la description des habitants du pays à travers l
ous frappe surtout, c’est sa merveilleuse invention. » Les écrivains
grecs
et latins avaient sur nous un avantage considérab
gne d’attention. Premièrement, les langues anciennes, je veux dire le
grec
et le latin, étaient plus susceptibles de se revê
ces moyens de donner de l’harmonie aux périodes. En second lieu, les
Grecs
et les Romains, mais les Grecs surtout, étaient d
onie aux périodes. En second lieu, les Grecs et les Romains, mais les
Grecs
surtout, étaient des peuples mieux organisés que
aigus, graves et circonflexes, qui couvrent les syllabes de la langue
grecque
, non pas pour en marquer la quantité, mais afin d
tes acuto tenore concludunt. Si l’harmonie du langage était chez les
Grecs
et les Romains un objet d’une bien plus haute imp
onne à notre langue bien moins d’harmonie que n’en avaient celles des
Grecs
et des Romains36. Toutes ces raisons me conduisen
e quelques personnes se sont imaginé que sur ce point la doctrine des
Grecs
et des Romains était applicable à notre langue, e
syllabes, n’est pas assujettie à des règles constantes comme dans le
grec
et dans le latin ; elle est presque toujours arbi
igure pour toucher notre cœur ; il peint le sentiment douloureux d’un
Grec
qui, loin de sa patrie, succombe au milieu des co
tinguent ne sont pas celles qui ont déterminé la division du critique
grec
. Ces trois genres, que la plupart des rhéteurs mo
décousus de l’Arioste ; c’est encore la simplicité de l’architecture
grecque
, par opposition à la bizarre irrégularité de l’ar
; ce qui ne peut manquer de produire un peu d’affectation. Aussi les
Grecs
nous fournissent des modèles d’une plus belle sim
XV. Éloquence ou discours publics, histoire de l’éloquence, éloquence
grecque
, Démosthène. Après avoir terminé la partie de
e à parcourir, et qu’elle n’eut même jamais depuis. Comme l’éloquence
grecque
fut un objet constant d’admiration pour tous ceux
rre, fut, à proprement parler, celui qui le premier porta l’éloquence
grecque
à un degré de perfection tel qu’il ne semble pas
es et de jeux de mots ; ce qui nous montre combien l’esprit délié des
Grecs
avait déjà fait faire de progrès au langage. Ces
issé, sur les harangues d’Isocrate et sur celles de quelques orateurs
grecs
, un traité que je regarde comme un des meilleurs
qu’à l’origine de l’éloquence, après avoir suivi ses progrès chez les
Grecs
, nous allons examiner ce qu’elle fut à Rome, à Ro
ù ils subjuguèrent la Grèce. Ils se plurent toujours à avouer que les
Grecs
avaient été leurs maîtres dans toutes les science
vages vainqueurs. (Trad. de Daru.) Les Romains empruntèrent donc aux
Grecs
leur éloquence, leur poésie, leurs beaux-arts ; m
moins spirituels. Ils n’avaient ni la sagacité, ni la sensibilité des
Grecs
; leurs passions n’étaient pas si faciles à émouv
jets et à tous les genres de composition, et qui faisait de la langue
grecque
la plus douce et la plus harmonieuse de toutes ce
is dedit ore rotundo Musa loqui. (Horatius, Ars poet., v. 323.) Les
Grecs
avaient reçu de la faveur des cieux Le flambeau d
ons rivales de la Grèce et de Rome, on trouve toujours que celles des
Grecs
portent l’empreinte du génie, tandis que l’art et
ns. Ce que ceux-là avaient inventé, ceux-ci le perfectionnèrent ; les
Grecs
traçaient des originaux, qui même n’étaient quelq
e explication n’est pas satisfaisante ; car nous voyons que l’orateur
grec
parlait bien plus souvent à la multitude que l’or
le des Latins, et que nous soyons moins familiers avec les antiquités
grecques
qu’avec les antiquités romaines. Nous lisons Cicé
n culina habitant . J’ai montré comment, entre les mains des rhéteurs
grecs
, l’éloquence mâle et pressante des grands orateur
ance à l’art oratoire, et ne l’a cultivé avec autant de soins que les
Grecs
et les Romains. On n’y a point attaché la même gl
esque tous les genres d’éloquence, bien inférieurs, non seulement aux
Grecs
et aux Romains, mais encore aux Français. Nous av
insipides de tous les lieux communs. J’ai déjà fait observer que les
Grecs
et les Romains aspiraient à un genre d’éloquence
as douter que, dans les productions du seul génie, les Romains et les
Grecs
ne l’aient emporté sur nous ; mais il me semble q
naturelle et de notre tempérament flegmatique. Car la sensibilité des
Grecs
et des Romains, surtout celle des premiers, était
illes de force, qu’il retient nos possessions, qu’il opprime tous les
Grecs
, on voit ici des gens assez peu raisonnables pour
ares, rien ne peut assouvir sa cupidité. Tous tant que nous sommes de
Grecs
, nous le savons, nous le voyons, et au lieu d’en
tte disposition à tout souffrir ? Car ce n’est pas sans cause que les
Grecs
, autrefois si jaloux de leur liberté, sont mainte
gilance. Alors on ne vendait ni la concorde qui doit régner entre les
Grecs
, ni la défiance où ils doivent être des tyrans et
str dénotent une force puissante, et sont analogues au στρώννυμι des
Grecs
, qui signifie étendre, renverser, abattre ; comme
plus remarquable ; mais ilse borne à l’harmonie, à laquelle la langue
grecque
se prêtait bien plus que la nôtre. On peut consul
qui ont parfois assez de grâce et de parfum pour être conservées. Les
Grecs
nous en ont laissé un certain nombre que l’on a r
nt qu’un bon mot de deux rimes orné. Boileau. L’épigramme, chez les
Grecs
, n’était qu’une inscription pour les monuments, l
ption suivante, sur une statue de l’Amour, que Voltaire a traduite du
grec
: Qui que tu sois, voici ton maître : Il l’est,
upiter a rendu aux Dieux la permission de se mêler de la querelle des
Grecs
et des Troyens. Ἔδεισεν δ᾽ ὑπένερθεν ἄναξ ἐνέρων
ρδαλέ᾽, εὐρώεντα, τά τε στυγέουσι θεοί περ. (Ιλ. Ψ. v. 61). Voici le
grec
exactement traduit : « Pluton lui-même, le roi d
t de son trône, est faible, quand il s’agit de s’élancer, et quand le
grec
le disait expressément. Ne fasse voir, ne fasse e
u, que dans la traduction du poète français. La force de l’expression
grecque
se retrouve dans plusieurs endroits. Leapt from h
vainqueurs ; et les Romains durent tous les arts du génie à ces mêmes
Grecs
, dont ils furent en tous les disciples, les admir
du côté du génie. Ils n’avaient ni la vivacité, ni la sensibilité des
Grecs
: leurs passions étaient plus difficiles à émouvo
ngue. Peut-être la facilité qu’eurent les Romains, de puiser chez les
Grecs
tout ce qui manquait au système de leur langue ou
ur l’usage de la clepsydre dans les tribunaux, voyez Adam, Antiquités
grecques
, t. I, p. 180 (traduction fr., 2e édit.) et comp
us grande quantité d’objets et d’événements que n’ont fait les poëtes
grecs
, s’ils ont su conserver à leurs compositions l’un
site aux salles des Antiques du Louvre fait mieux connaître les mœurs
grecques
et romaines que le dépouillement de vingt in-foli
le plus complétement ; de chercher, par exemple, parmi les écrivains
grecs
, romains, français, anglais celui qui est le plus
plus réellement et le plus complétement anglais, français, romain ou
grec
. En se pénétrant bien de l’esprit de ce type nati
t familiers à son parterre, n’a pas osé agir de même avec l’antiquité
grecque
. Et certes, il ne péchait point par ignorance ; n
simple d’origine celtique, von ou fon, source, fontaine. — Animus (du
grec
ανεµοσ, vent, souffle) est un mot simple formé de
rticulatim, par parties. — De l’oriental hur, feu, s’est formé le mot
grec
πυρ ; d’où, par le changement de p en f, cette fa
r premier sens, expriment tous trois l’idée du mot armée. — Acies (du
grec
αϰη, pointe) désigne, dans son premier sens, la p
Son origine. La satire touche de près à la comédie ; chez les
Grecs
, elle prit même naissance sur le théâtre : les co
me est la menue monnaie de la satire24. 24. Satiriques célèbres :
Grecs
. Archiloque, Aristophane. Latins. Pacuvius, Enniu
ur fleur première et de leur éclat de nouveauté, que les Anciens, les
Grecs
, se sauvent le plus aisément aujourd’hui. Les mar
Sainte-Beuve se récuse ? 2. Valmiki, Viasa, et Fjirdoucy. 3. Poëtes
grecs
. 4. Le législateur chinois. 1. Longin disait :
e délicatesse littéraire qui est fort rare. Les Latins et surtout les
Grecs
ont eu des admirateurs qui les comprenaient peu.
ie, en comparaison de celles qu’ont parlées nos premiers maîtres, les
Grecs
et les Romains. Nous ne sommes que des violons de
Regnier, De la formation et de la composition des mots dans la langue
grecque
(Paris, 1840), § 290-295. D’ornement.] On s’étonn
physique, cité plus haut, p. 115. Qui peuvent s’allonger comme a.] Le
grec
est ici d’une concision difficile à justifier, ma
cer cet è, il faut appuyer dessus, et desserrer les dents. 4. — L’y
grec
s’emploie le plus souvent pour deux ii, comme dan
l’écriture. 2. L’y ne s’emploie pour un i que dans les mots tirés du
grec
, comme pyramide, physique, style. 1. C’est-à-dir
re III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens
grecs
. Ce que nous venons de citer de Salluste, nous
si fréquemment, et toujours avec tant de plaisir, dans les historiens
grecs
et latins. Les observateurs scrupuleux des limite
é dans les jeux olympiques, a relevé la gloire d’Athènes aux yeux des
Grecs
, qui croyaient cette république abattue. J’ai lan
et passer à un état plus heureux ; renfermées dans une seule île, et
grecques
pour la plupart, elles ne préféreront pas, sans d
le. (Il est bien triste qu’il en faille d’autres) ! Nous laissons aux
Grecs
ces précautions de signer des pactes et d’atteste
portations dont nous avons profité. Car les mots qui nous viennent du
grec
dérivent tous du latin, c’est-à-dire de la Renais
phocle. Dès 1360, Boccace fit établir à Florence une chaire de langue
grecque
, en faveur de Léonce Pilate, qui rendit Homère à
Turcs apprirent bientôt le chemin de l’Italie aux savants de l’empire
grec
. En 1396, Chrysoloras faisait à Florence ses prem
ces amis du paradoxe qui déplorent les conséquences de cette invasion
grecque
et latine, nous ne regretterons pas que le xvie
eloppement de nos instincts natifs. Autant vaudrait prétendre que les
Grecs
avaient été jadis pour le rude Latium des maîtres
s en trois groupes. Le premier comprend les sujets puisés aux sources
grecques
: (Andromaque 1667, Iphigénie 1674, Phèdre 1677.)
jurisconsulte, né à Toulouse en 1520. 7. Harmenopule, jurisconsulte
grec
, né à Constantinople en 1320. « Hérille, soit qu’
me capable de penser, il veut les devoir aux anciens, aux Latins, aux
Grecs
. Ce n’est ni pour donner plus d’autorité à ce qu’
ste jusqu’à Justinien. Publié en 530 par Tribonien, il fut traduit en
grec
, et s’appela les Pandectes. 3. C’est le nom du c
veut dire : « La nature, en tout l’univers, n’était, comme disent les
Grecs
, qu’un chaos, une masse informe et confuse. » Rac
l’hyperbole, 7° l’allégorie, et 8° l’allusion. § I. Métaphore Du
grec
Métaphérô qui signifie transporter. On appelle Mé
e bien riche, ne pouvant la faire belle. » § II. Catachrèse Du
grec
Catachrèsis qui signifie emploi. Il est reconnu q
. — Exemples de Catachrèse. Vol. II, nº 44. § III. Métonymie Du
grec
Metônymia, changement de nom. Ce plat est pour A
e. — Exemples de Métonymie. Vol. II, nº 45. § IV. Synecdoque Du
grec
Synekdokhè, compréhension. La Synecdoque fait con
. — 2° Mort de Jeanne d’Arc. Vol. II, nº 43. § VI. Hyperbole Du
grec
Hyper, au-delà, et Ballô, jeter. L’Hyperbole exag
opographie : nous y joindrons la Chronographie. 1° Hypotypose Du
grec
Hypotyposis, mettre sous les yeux. L’Hypotypose d
Dévouement de Mlle de Sombreuil. Vol. II, nº 34. 2° Éthopée Du
grec
Ethos, mœurs, et Poiéô, faire. L’Éthopée décrit l
2° Le Magister de village. Vol. II, nº 36. 3° Prosopographie Du
grec
Prosôpon, visage, physionomie, et Graphô, décrire
de Versailles et de Marly. Vol. II, nº 43. 5° Chronographie Du
grec
Chronos, temps, et Graphô, je décris. La Chronogr
ancienne. Les premiers poètes formèrent le génie de leur langue ; les
Grecs
et les Latins employèrent d’abord la poésie à pei
nt resserré les agréments dans des bornes un peu trop étroites. » Les
Grecs
n’écrivirent l’histoire que quatre cents ans aprè
n’écrivirent l’histoire que quatre cents ans après Homère. La langue
grecque
reçut de ce grand peintre de la nature la supério
e, chap. xxv Aristide, Rhétorique I, 10, t. IX, p. 393, des Rhéteurs
grecs
de Walz. Cléophon.] Déjà cité plus haut, chap. ii
ημάτων publiés par Valckenaër à la suite de son édition des Synonymes
grecs
d’Ammonius, p. 184-204 les deux petits traités s
la plainte. Son ton habituel est la : mélancolie : pourtant chez les
Grecs
, elle eut d’abord un caractère guerrier, comme da
nt des élégies au large essor26. 26. Principaux poètes élégiaques.
Grecs
. Callinus, Mimnerme, Simonide. Latins. Properce,
ulu parler ici de l’accent circonflexe. Voy. le traité d’Accentuation
grecque
que j’ai publié avec M. Ch. Galusky, p. 4. Alexan
genre, les ingénieuses observations de Letronne sur les Noms propres
grecs
(Paris, 1846), IIe partie. Il marche.] Exemple fa
adins, soit littéraires, soit scientifiques. On verra bientôt que les
Grecs
, les Latins, et les écrivains de notre nation l’o
; dialogueurs. Tous les ouvrages didactiques qui nous restent des
Grecs
, sont excellents, et méritent qu’on en fasse l’ét
thènes dans le troisième siècle de l’ère chrétienne, avait composé en
grec
des Remarques critiques sur les anciens auteurs,
t dut à la protection de Jacques Colin, lecteur du roi, une chaire de
grec
à l’université de Bourges. Sa traduction des Amou
ts du siècle. Ronsard lui-même en prit ombrage. « Les beaux dicts des
Grecs
et Romains, rémémorés par le doux Plutarchus », m
même pour les lettrés ; car si le latin était alors très-répandu, le
grec
ne comptait encore que de rares interprètes dans
peu discipliné, assez récalcitrant, et plus passionné pour l’étude du
grec
que pour son métier de soldat. Après la chute de
Cupidon dérobant les armes d’Hercule, morceau d’un travail exquis et
grec
, si je ne me trompe. Il n’en reste que la base su
in Vénus accourue au secours de son fils Enée, poursuivi par le héros
grec
. 3. « Crime monstrueux ! » 4. Cette gracieuse p
représenter aux yeux tous les mots dont une langue est composée. Les
Grecs
faisaient honneur de cette invention aux Phénicie
rable, leur nombre dut s’augmenter en proportion des idées. La langue
grecque
est de toutes les langues celle où l’on en rencon
angues celle où l’on en rencontre le plus grand nombre, parce que les
Grecs
étaient le peuple chez lequel l’intelligence étai
ision du discours ; les langues qui sont pourvues d’articles comme le
grec
, l’italien, le français, l’allemand et l’anglais,
pretium, prix, etc. A peine resta-t-il quelques vestiges de la langue
grecque
, qu’on avait si longtemps parlée à Marseille. On
phie d’Aristote ; et, vers le xvie siècle, on exprima par des termes
grecs
toutes les parties du corps humain, les maladies
asthmatique, et tant d’autres. Quoique la langue s’enrichit alors du
grec
, et que depuis Charles VIII elle tirât beaucoup d
gâta la langue en transportant dans la poésie française les composés
grecs
dont se servaient les philosophes et les médecins
s que deux nombres, le singulier et le pluriel ; mais en hébreu et en
grec
ils y a non-seulement un pluriel, mais encore un
vement celui qu’ont adopté la plupart des langues anciennes, comme le
grec
et le latin ; c’est celui que suivent encore aujo
avons vu, conservé l’usage de ces terminaisons diverses, qui, dans le
grec
et dans le latin, distinguent les cas des substan
ruction plus simple, a moins d’harmonie et de vivacité que celles des
Grecs
et des Latins, elle est aussi plus claire et plus
terre, et la marche de ces troupes romaines, gantoises, germaniques,
grecques
, africaines, chacune différemment armée et vêtue.
les peuples barbares qui en étaient voisins, et achevé d’accabler les
Grecs
; il ne se servit de cet accablement que pour l’e
e passage du Granique fit qu’ Alexandre se rendit maître des colonies
grecques
; la bataille d’Isus lui donna Tyr et l’Egypte ;
nt il les conserva. Il résista à ceux qui voulaient qu’il traitât les
Grecs
comme maîtres et les Perses comme esclaves ; il n
pour ne pas désoler les Perses en leur faisant prendre les mœurs des
Grecs
. C’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect po
la troisième conclusion. L’ensemble se nomme syllogisme, mot tiré du
grec
qui signifie proposition déduite. De l’épiché
nt le raisonnement. Cette espéce d’argument s’appelle sorite d’un mot
grec
qui signifie accumulation. Montaigne raconte que
unes des autres : ici, c’est la querelle des chefs ; là, ce sont les
Grecs
vaincus, et Achille vengé ; plus loin, c’est ce h
peut déplaire a Pyrrhus sous un début insinuant : Avant que tons les
Grecs
vous parlent par ma voix, Souffrez que j’ose ici
oivent décider Pyrrhus à livrer le fils d’Hector : Enfin de tous les
Grecs
satisfaites l’envie ; Assurez leur vengeance, ass
t plus qu’un lieu d’exil. » Cette figure s’appelle analogie, d’un mot
grec
qui signifie contradiction, Dans Cinna, Auguste,
e pour entrer dans celui de la poésie, s’appelle prosopopée, d’un mot
grec
qui signifie personnification. Bossuet, après avo
s la forme d’un reproche, l’ironie prend le nom d’’astéisme, d’un mot
grec
qui signifie enjouement, urbanité. C’est un artif
gloire ; Et, dès le premier pas se laissant effrayer, Ne commande les
Grecs
que pour les renvoyer ! Il n’y a presque pas un
l qui est la cause de la guerre de Troie, c’est l’interêt général des
Grecs
, insultés dans la personne de Ménélas ; tous les
sang ; Agamemnon ne refuse point la victoire, et n’a pas commandé les
Grecs
exprès pour les renvoyer. Ulysse sait que tout ce
es rois. Cette figure est connue sous le nom d’hyperbole, mot tiré du
grec
qui signifie exagération. De la litote. À c
dans la crainte d’effrayer son auditoire, s’appelle litote, d’un mot
grec
qui veut dire diminution. On a pu remarquer une l
signification des mots, et fait ce qu’on appelle des tropes (d’un mot
grec
qui signifie ou ment). De là deux espèces de figu
osé à les confondre. Cette figure prend le nom de métonymie, d’un mot
grec
qui signifie changement de nom. Il y a plusieurs
s voyez les Assyriens anciens et nouveaux, les Mèdes, les Perses, les
Grecs
, les Romains, se présenter devant vous successive
ier, La Bruyère, madame de Sévigné elle-même, choisissaient parmi les
Grecs
ou les Romains, ceux qui avaient le plus d’analog
temps modernes. Ils rapportaient de ce commerce avec les Hébreux, les
Grecs
, les Romains, quelque chose d’étranger, une grâce
die des plus beaux temps d’Athènes ; ils choisissaient même parmi les
Grecs
; ils avaient le goût et l’âme de Virgile. Bossue
écessaire : il est seulement vraisemblable. D’ailleurs, le philosophe
grec
dit dans un autre endroit, que tout ce qui se pas
ères. Les mœurs générales sont les mœurs des différentes nations, des
Grecs
, des Romains, celles d’un peuple civilisé, celles
t point pour raconter un événement, et pour dire ce qui arrivera. Les
Grecs
et les Latins ont suivi cet usage, que nous avons
ègnent dans tous les temps, où il dessinera ces caractères communs au
Grec
, au Romain, à l’Espagnol, au Français, à l’Italie
ace aux Romains, en parlant des excellens ouvrages de théâtre que les
Grecs
ont laissés. Différens genres de Comique. L
re. Style de la Comédie. Le style familier est celui auquel les
Grecs
et les Latins se sont toujours attachés dans la c
, soit anciens, soit modernes. Poëtes comiques. Nous devons aux
Grecs
l’invention de l’art dramatique. La comédie et la
rs ouvrages. On distingue trois espèces ou trois âges dans la comédie
grecque
; la vieille, la moyenne et la ne. Dans la vieill
par principe. Aussi le P. Brumoi s’est contenté, dans son Théâtre des
Grecs
, de donner une analyse de ses pièces. Nulle plume
se rendit célèbre dans la même espèce de comédie. Livius Andronicus,
grec
de naissance, fut à Rome le créateur du théâtre c
x imitateur de Me. On voit même, en comparant les fragmens du comique
grec
et les comédies du poëte latin, que celui-ci a so
érite de la première. L’art dramatique a eu chez nous, comme chez les
Grecs
, des commencemens informes et grossiers. Jodelle,
partialité. Il réunit au plus haut degré tous les talens des comiques
grecs
et des latins ; le sel et la gaîlé d’Aristophane,
ls Astyanax à la cour de Pyrrhus, fils du meurtrier de son époux. Les
Grecs
demandoient à ce prince le jeune Astyanax pour le
de cette princesse, dit dans un transport de colère : …… Allons aux
Grecs
livrer le fils d’Hector(a). Andromaque ss. Ah,
ns nos mœurs, qui en cela, plus conformes à l’humanité que celles des
Grecs
et des Romains, ne veulent point que la scène soi
s, capitale de l’île Eubée, aujourd’hui Négrepont. AI. La flotte des
Grecs
qui alloient faire le siége de Troie, ayant été a
n mariage secret de Thésée avec Hélène : elle me voit, a-t-il dit aux
Grecs
; elle m’entend ; elle est devant vos yeux. Aussi
esprits ces fortes impressions que faisoient autrefois les tragédies
grecques
, qui déchiroient les entrailles par les seuls obj
ssent. Cette passion est donc nécessaire dans la tragédie. 2°. Si les
Grecs
et les Romains n’en ont point fait usage, c’est p
le caractère et le génie de ces trois tragiques dans son Théâtre des
Grecs
, qui contient des traductions ou des analyses de
qui contient des traductions ou des analyses de toutes les tragédies
grecques
, avec des discours concernant le théâtre d’Athène
édition de ce théâtre, augmentée de la traduction entière des pièces
grecques
dont il n’existe que des extraits dans toutes les
d’observations et de remarques nouvelles. Les tragédies de ces poëtes
Grecs
sont admirables par leur simplicité, et conduites
flexions que le P. Brumoi a eu occasion de faire dans son Théâtre des
Grecs
sur la plupart de ces tragédies, en font connoîtr
de ses dénouemens : car il ne s’est pas toujours assujéti au goût des
Grecs
et à leur grande simplicité. Il a aimé au contrai
l manie le ressort de la terreur avec autant de force que le tragique
grec
, mais avec plus d’art, de goût et de régularité.
Philoctète et ses Troyennes ; pièces très-bien imitées des tragiques
grecs
. Dans la première, sur-tout, il y a de belles scè
finition du Poëme épique. Le nom d’épopée est composé de deux mots
grecs
ἕπος, qui signifie récit, et πωεῖω, qui signifie
ples de ces temps-là, et l’intérêt de nation par rapport aux anciens.
Grecs
. Mais revenons à dire que l’intérêt de religion s
voyons dans l’Iliade tous les dieux partagés entre les Troyens et les
Grecs
, mais obligés enfin de se soumettre à l’arrêt du
t les juger par le goût de notre siècle et de notre nation ? Le poëte
grec
les a peints tels qu’ils étoient de son temps : i
le siège du palais de Priam. Le héros qui parle, étoit au milieu des
Grecs
, affamés de carnage. Le poëte qui le fait parler,
et endroit un combat si furieux, qu’il sembloit que toute l’armée des
Grecs
y fut rassemblée ; qu’on ne combattît point aille
s découvrions ce qui se passoit dans le camp et sur les vaisseaux des
Grecs
. Nous entreprenons d’arracher la charpente de cet
chant. Le voici. « Lorsque Priam eut vu la ville de Troie livrée aux
Grecs
, et l’ennemi vainqueur au milieu de son palais, i
renversé, son empire détruit, et sa capitale réduite en cendres. Les
Grecs
lui coupèrent la tête ; et son corps étendu sur l
te ville. II. Livre. Le héros raconte à Didon le stratagême dont les
Grecs
se servirent pour se rendre les maîtres de Troie,
s toute la vigueur, toute la sublimité, tout le feu du génie du poëte
grec
; mais il a plus d’art, plus de jugement, et sait
lienne, espagnole, allemande, anglaise, sont choquantes dans les vers
grecs
et dans les vers latins ; et, de même, la mesure
vers grecs et dans les vers latins ; et, de même, la mesure des vers
grecs
et des vers latins , qui dépend de la quantité de
que nous appelons la rime. La première de ces méthodes fut celle des
Grecs
et des Latins, dont les Grecs furent les modèles
première de ces méthodes fut celle des Grecs et des Latins, dont les
Grecs
furent les modèles ; la seconde est la nôtre, et
e ou basé sur une combinaison de syllabes longues et brèves, comme en
grec
et en latin. Le vers français se distingue de la
utre voyelle ou un h non aspiré. Cette suppression, en usage chez les
Grecs
et les Latins, s’est conservée dans la langue fra
otre langue. Nos anciens poètes et surtout Ronsard, voulant imiter le
grec
et le latin, ont souvent transgressé la loi du re
prison de Socrate ou le promontoire de Sunium. Les premiers rhéteurs
grecs
, les sophistes, purent donc, sans mentir à l’étym
omains s’aperçurent bien vite de ce ridicule : moins artistes que les
Grecs
, ils méprisèrent dans l’enseignement tout ce qui
lité de préceptes applicables à tous les genres littéraires, dont les
Grecs
avaient donné l’exemple, et que la plupart des rh
tout où elle se trouve. 29. Principaux orateurs chrétiens : Pères
grecs
. Saint Athanase, saint Grégoire de Nazianze, sain
, Cœur, Ravignan, Lacordaire. 30. Principaux orateurs politiques :
Grecs
. Périclès, Eschine, Démosthène. Latins. Caton, Cr
l, R. Peel, J. Russel, Stanley. 31. Orateurs célèbres du barreau :
Grecs
. Lysias, Isocrate, Isée, Démosthène, Eschine. Lat
modernes ont puisé sans scrupule dans les poètes et dans les orateurs
grecs
et latins. C’est dans les bons orateurs, dit Quin
is de beaucoup de personnes, dit Pline le Jeune, c’est de traduire du
grec
en latin et du latin en grec. Par là on acquiert
dit Pline le Jeune, c’est de traduire du grec en latin et du latin en
grec
. Par là on acquiert la justesse et la beauté de l
r génie particulier et le goût de leur siècle… Les ouvrages des Pères
grecs
sont également solides et agréables. Saint Grégoi
rtus. Les anciens avaient aussi leurs Orateurs Panégyristes. Chez les
Grecs
, on faisait publiquement l’éloge des grands homme
s de peuples : c’est là l’origine du mot Panégyrique, qui signifie en
grec
toute Assemblée. Le même usage fut observé à Rome
vivants : ils louaient aussi les morts. On croit communément que les
Grecs
commencèrent à le faire après la bataille de Mara
pas été portée parmi nous au degré d’élévation où on l’a vue chez les
Grecs
et chez les Romains. Cela n’est pas surprenant. D
nt d’être distingués, sont le Discours dans lequel il excite tous les
Grecs
à faire la guerre aux Perses, et sa Harangue sur
n est très estimée, ainsi que celle de tous les ouvrages de l’orateur
grec
par l’abbé Auger. Eschine, né à Athènes vers l’a
ide, dont Cicéron, qui avait fait une étude particulière des orateurs
grecs
, vante la justesse et la pénétration. Nous devons
ours où, en rassemblant mille circonstances, il prouve la cruauté des
Grecs
à son égard : Les Grecs, en partant, me laissère
ille circonstances, il prouve la cruauté des Grecs à son égard : Les
Grecs
, en partant, me laissèrent quelques provisions, m
déserte pendant son sommeil ! car ce fut pendant mon sommeil que les
Grecs
partirent. Jugez quelle fut ma surprise et combie
re pour me ramener ; ils craignaient la colère des dieux et celle des
Grecs
. Depuis dix ans je souffrais la honte, la douleur
tombe de ceux qu’on porte au cimetière. On croit communément que les
Grecs
commencèrent à user de ces éloges après la batail
e du barreau a produit, de tout temps, d’illustres orateurs. Chez les
Grecs
, Périclès fut comme le fondateur de cette éloquen
; ce dernier est sans contredit le plus grand orateur qu’aient eu les
Grecs
. Chez les Romains, l’éloquence du barreau fut cul
é plusieurs modèles admirables30. Mais ce sont surtout les historiens
grecs
et romains qui nous en donnent de nombreux exempl
impétueux, un style toujours noble, persuadèrent enfin aux sophistes
grecs
que les chrétiens avaient leur Platon et leur Dém
eurs de l’église latine sont en général inférieurs à ceux de l’église
grecque
. Ils paraissent s’être ressentis davantage de la
re chrétienne. Celui qui passe pour en avoir été l’inventeur chez les
Grecs
, est Hésiode, né à Cumes en Éolie, province de l’
t imitateur d’Ésope, est bien plus orné, plus fleuri que le fabuliste
grec
. Il peint en racontant : sa poésie est soignée, s
trée, fut le premier poète bucoliste, qui se rendit célèbre parmi les
Grecs
. Probablement ce berger Daphnis, né avec une imag
une houlette, une panetière. Quoi qu’il en soit, le plus ancien poète
grec
, connu par des ouvrages dans le genre pastoral, e
e publia vers la fin du 17e siècle une traduction de ces trois poètes
grecs
. Mais à peine eut-elle vu le jour, qu’elle tomba
es idylles de Théocrite, avec quelques imitations en vers de ce poète
grec
. Moutonnet de Clairfons a traduit Moschus et Bion
urs de la critique. Poètes satiriques. La satire était chez les
Grecs
une espèce de drame qui tenait de la tragédie et
e de l’élégie se trouve marqué dans le mot même, composé de deux mots
grecs
, qui signifient dire hélas. Ce petit poème, en ef
ur la poésie pastorale. Poètes élégiaques. Il ne nous reste des
Grecs
aucun poème connu sous le nom d’élégie. Mais on p
n Béotie, vers l’an 500 avant J.-C., fut le plus célèbre des lyriques
grecs
par la grandeur des idées, la beauté des images,
t personnel ou ad hominem ; et 7° le Sorite. 1° Le Syllogisme Du
grec
Syllogismos, réunion de jugements. Le syllogisme
l. Donc, c’est un crime de tuer un meurtrier. 2° L’Enthymème Du
grec
En thymô, dans l’esprit. L’Enthymème est un syllo
faire en un gîte, à moins que l’on ne songe ? 3° Le Dilemme Du
grec
dis, deux fois, et lambanô, prendre ; prendre des
as Vous-même, ici, tantôt ordonné son trépas ? 7° Le Sorite Du
grec
Sôros, monceau. Le Sorite, ou accumulation, est u
perfide, Et n’impute qu’à toi ton lâche parricide. Va faire chez tes
Grecs
admirer ta fureur, Va, je la désavoue, et tu me f
n’y vais que pour vous, barbare que vous êtes ; Pour vous, à qui des
Grecs
moi seul je ne dois rien, Vous que j’ai fait nomm
é à Salomon, il est d’un auteur inconnu. Nous mentionnerons, chez les
Grecs
, Hésiode, qui nous a laissé les Travaux et les Jo
le la marche rapide de l’iambe chez les anciens. Les iambes, chez les
Grecs
et chez les Latins, étaient ordinairement d’usage
es principaux poètes épistolaires ? Nous n’avons point d’épîtres des
Grecs
: nous ne savons même pas si ce genre était culti
tion. Celui qui passe pour avoir été l’inventeur de la fable chez les
Grecs
est Hésiode, né à Cumes, en Éolie, province de l’
rissait l’an 944 avant J.-C. On attribue à Stésichore, poète lyrique,
grec
, né en Sicile, dans le vie siècle avant l’ère ch
citerons comme ayant excellé dans la fable, Ésope et Babrius chez les
Grecs
, Phèdre à Rome, et chez nous, La Fontaine, Lamott
phe se nomment en latin gryphus et logogryphus ; mots qui viennent du
grec
. Le premier signifie, énigme sur une chose, et le
rs latins, dont l’auteur, nommé Bourbon, était professeur d’éloquence
grecque
au Collège Royal et fut ensuite de l’Académie fra
e la Chanson. De l’Épithalame. L’Épithalame, mot qui vient du
grec
, et qui signifie chant nuptial, est un petit poèm
parvenu que quelques petits fragments, passe pour avoir été chez, les
Grecs
l’inventeur de l’épithalame. On trouve dans les I
nsi que l’on dit : la littérature du siècle d’Auguste, la littérature
grecque
, la littérature sacrée, la littérature légère. Ai
r et de justesse sans posséder son génie et sans savoir faire un vers
grec
. On n’a pas besoin d’être éloquent pour comprendr
ce. Première partie. Du style3. 34. Le mot style, qui vient du
grec
(στύλοϛ), désignait primitivement une sorte d’aig
tudier et observer les convenances particulières à chaque peuple. Les
Grecs
disaient dans un chœur de tragédie : Que les ara
mpositions, et qu’ils traduisent avec si peu d’exactitude les auteurs
grecs
et latins. 97. La correction défend encore de pas
réussir dans ces innovations, il faut puiser des mots dans l’étude du
grec
et du latin ; faire quelques emprunts tantôt à la
e plongée, De votre propre main Polyxène égorgée Aux yeux de tous les
Grecs
, indignés contre vous, Que peut-on refuser à ces
ie (ποίησις) signifie création, œuvre par excellence. Il vient du mot
grec
ποίεν, faire, feindre, créer, imiter : ces divers
assujettie à un mécanisme particulier qu’on appelle rythme. Chez les
Grecs
et les Latins, c’est la mesure et la quantité des
ure est le nombre de syllabes dont se compose le vers. Dans la langue
grecque
et dans la langue latine, le vers est basé sur un
uste de lui assigner le premier rang. 417. Dans la poésie lyrique des
Grecs
, il y a beaucoup plus d’enthousiasme et d’inspira
es de poésie lyrique sont compris sous le nom d’ode, qui vient du mot
grec
ὠδῂ, chant. Nous allons parler d’abord de l’ode e
nt, et qui est partagé en un certain nombre de stances. 420. Chez les
Grecs
, l’ode était divisée en stances qui portaient le
n dans Horace et les modernes que dans Pindare et les autres lyriques
grecs
. 424. On entend par écarts, dans une ode, les vid
s à célébrer la Divinité. 433. Le dithyrambe était autrefois chez les
Grecs
un hymne en l’honneur de Bacchus, dans lequel les
plus célèbres sont, chez les Hébreux, Moïse, Job et David ; chez les
Grecs
, Alcée, Tyrtée, Simonide et Pindare ; Horace, che
un caractère sacré, ne connurent jamais ni drame ni théâtre. Chez les
Grecs
, le drame ne fut d’abord qu’un poème lyrique en l
me de sa passion. 517. Les principaux poètes tragiques sont, chez les
Grecs
, Eschyle, Sophocle et Euripide ; chez les Latins,
unesse chrétienne. 530. Les principaux poètes comiques sont, chez les
Grecs
, Aristophane et Ménandre ; chez les Latins, Plaut
rées par la nature. 567. Les modèles du genre pastoral sont, chez les
Grecs
, Théocrite, Bion, Moschus : chez les Latins, Virg
lles arrivèrent à prendre la forme qu’elles eurent plus tard chez les
Grecs
et les Latins, où nous voyons les poésies élégiaq
Les poètes élégiaques n’ont pas manqué dans l’antiquité profane. Les
Grecs
nous présentent Mimnerme, Simonide et Callimaque
énieuse, mordante, présentée heureusement et en peu de mots. Chez les
Grecs
, ce mot signifiait une inscription qu’on pinçait
ivre II. Le héros raconte à Didon le stratagème dont se servirent les
Grecs
pour se rendre maîtres de Troie, le siège du pala
se trouve-t-il pas surtout dans le genre lyrique ? 417. Les lyriques
grecs
n’ont-ils pas plus d’enthousiasme que les autres
est-ce que l’ode en général ? 420. Comment se divisait l’ode chez les
Grecs
? 421. Quels sont les caractères de l’ode ? 422.
nt-ils laissé des odes sacrées ? 433. Qu’était le dithyrambe chez les
Grecs
et qu’est-il aujourd’hui ? 434. Qu’est-ce que l’o
Manuel de la Traduction, ou Cours théorique et pratique de la version
grecque
et latine, suivi d’études critiques sur diverses
de la mer Rouge et les Psaumes de David. La poésie lyrique, chez les
Grecs
, était née également de la religion. Elle chanta
é promptement deux genres dramatiques, la tragédie et la comédie. Les
Grecs
, dans les fêtes de Bacchus, firent paraître sur u
nés du théâtre tragique Dans Athènes naquit la comédie antique. Là le
Grec
, né moqueur, par nulle jeux plaisants, Distilla l
s poètes et les critiques du xviie siècle, exagérant la poétique des
Grecs
, ajoutèrent à cette règle deux autres conditions
geste. Cette partie a perdu pour nous de son importance. L’action des
Grecs
et des Romains était bien plus passionnée et plus
donc perdu naturellement le caractère théâtral qu’elle avait chez les
Grecs
et chez les Romains. Cependant on peut voir, dans
d’Anne de Gonzague.) On voit que ces formules anciennes et ces noms
grecs
, dont on se fait une peur puérile, ont un sens pr
élevé Ne vous punisse un jour de l’avoir conservé. Enfin, de tous les
Grecs
satisfaites l’envie ; Assurez leur vengeance, ass
s’appliquait surtout au genre judiciaire, genre si important chez les
Grecs
et chez les Romains qu’ils y rapportaient toutes
maine. Fénelon, dans le Télémaque, a la grâce facile et charmante des
Grecs
. Combien de fois pourrions-nous citer nos grands
e manquer à la précision par surabondance, à la manière des tragiques
grecs
: Trois sceptres à son trône attachés par mon br
rop amoureux des chimères, comme l’en accusait Louis XIV, enviait aux
Grecs
et aux Latins leur facilité à composer les mots,
première étymologie des mots. Ce n’est pas seulement par imitation du
grec
ou du latin, que nous avons fait le mot frémir ;
ions composées et de tournures, la conformité de notre langue avec la
grecque
, et il en avait conclu « qu’elle tenoit le second
moins familiers, n’ont rien de plus étrange que les mots empruntés au
grec
par les mathématiques ou les sciences naturelles.
es torts qu’ils ont soufferts ; mais il n’est pas juste aussi que les
Grecs
, qui font sur cette côte des colonies, soient sus
nom d’éloquence de telle ou telle nation. Ainsi, un cours d’éloquence
grecque
, un cours d’éloquence française, font entendre l’
uence française, font entendre l’étude de tous les ouvrages en prose,
grecs
ou français. On comprend enfin sous le nom de lit
enait beaucoup d’autres dont la mesure avait été empruntée aux poëtes
grecs
. Nous ne mentionnerons ici que ceux dont l’usage
rs iambiques : ceux de quatre pieds, appelés diamètres, parce que les
Grecs
les mesuraient de deux à deux pieds ; ceux de six
mes d’une autorité si respectable : nous avons transcrit les rhéteurs
grecs
et romains avec une exactitude qu’il sera facile
t regardé comme peu fondée cette division si célèbre, adoptée par les
Grecs
et les Latins. Cependant cette classification, ét
à la majeure, et l’autre à la mineure, quand elles en ont besoin. Les
Grecs
appelaient cette forme de syllogisme épichérème.
, de l’agriculture et du commerce, suivirent assez tard l’exemple des
Grecs
pour cultiver les lettres : cependant, si l’on en
ne parlons encore ici que de l’exorde par insinuation, nommé par les
Grecs
ἔφοδος56, aditus ad causam, et qui consiste surto
eux, il regarde d’un œil farouche le rivage de Sigée et la flotte des
Grecs
; ensuite, levant les mains, il s’écrie : Grands
maintenant Ulysse, Ulysse, le plus adroit comme le plus éloquent des
Grecs
: « Il se lève, et, après avoir tenu quelque tem
e l’entendre ; il parle, et la grâce vient embellir son éloquence : Ô
Grecs
! si vos vœux et les miens avaient été remplis, l
e l’héritage du grand Achille, si ce n’est celui qui a fait jouir les
Grecs
d’Achille et de sa gloire58 ? » On ne voit rien
e la Passion sur ce texte : Les Juifs demandent des miracles, et les
Grecs
cherchent la sagesse ; pour nous, nous prêchons J
; mais cette forme orientale, transportée quelquefois dans la poésie
grecque
et latine, n’affaiblit pas toujours la pensée. Ov
conviennent, et ce qui le distingue enfin, c’est l’art de plaire. Les
Grecs
en ont eu plusieurs modèles ; mais, selon moi, Dé
ont les fait qui louent, et la manière de les raconter159. Les poètes
grecs
et les latins n’étaient pas aussi sévères que nou
hangent la signification des mots, et on les nomme tropes, d’un verbe
grec
(τρέπω, τέτροπα) qui signifie changer. C’est ains
nimaux sont sujets à la mort aussi bien que nous. Et quand les poètes
grecs
et latins, pour représenter un beau vallon, nomme
la fureur du soldat. Les Latins nommaient cette figure connexum ; les
Grecs
, πολυσύνδετον. La disjonction (ἀσύνδετον, διάλυτο
e figure du même genre ; la régression ou réplication, nommée par les
Grecs
épanastrophe ou anadiplose, espèce de répétition,
un autre ; l’hellénisme et le latinisme, imitation des constructions
grecques
ou latines ; et beaucoup d’autres figures de mots
de ces négligences, et les grammairiens en ont fait des figures. Les
Grecs
n’ont pas moins multiplié les mots pour caractéri
Nous avons vu que c’était l’expression de Cicéron (Orat., c. 25). Les
Grecs
les concevaient de même, puisqu’ils les nommaient
ont rassemblées. Longtemps la poésie régna seule dans les écoles des
Grecs
, comme dans leur littérature. Homère, disciple du
savoir. Hippias (de Orat., III, 32), aux jeux olympiques, étonna les
Grecs
eux-mêmes de sa vanité puérile ; et plus tard le
es les richesses oratoires. » Cette variété infinie que les rhéteurs
grecs
cherchaient à répandre dans leurs leçons, cette e
pensées ingénieuses, touchantes ou sublimes. Les écoles des rhéteurs
grecs
, même quand on s’y occupa davantage de délibérati
ophiste ayant retrouvé quelque gloire sous les Antonins, les rhéteurs
grecs
, fiers de ce titre, se remirent à parler de tout,
s de Lucien. Les Romains, qui furent toujours bien moins amis que les
Grecs
des longs discours, et surtout des discours inuti
(c. 34) approuve l’ancien usage. Après avoir entendu les philosophes
grecs
, on s’attachait à quelque orateur célèbre, on l’a
s : des jurisconsultes, et plusieurs fréquentaient aussi les rhéteurs
grecs
; Cicéron, jusqu’à sa préture, s’était exercé le
recs ; Cicéron, jusqu’à sa préture, s’était exercé le plus souvent en
grec
, parce que ses parents, attachés à l’ancienne dis
ler ses méditations. Sans retomber dans le babil infini des sophistes
grecs
, il semble qu’on peut se permettre quelques-uns d
s Dix Mille ? Mais s’il nous instruit et nous plaît dans son Histoire
grecque
en nous redisant les harangues de ses contemporai
nera qu’on veuille, en ce moment même, placer l’empire dans une ville
grecque
. Il reconnaîtra les avantages de la situation de
l. 18. 44. Nous donnons une traduction nouvelle de tous les morceaux
grecs
et latins. 45. Fénelon. 46. Quousque tandem ig
t des historiens très-médisants. — 13. Myron et Polyclète, sculpteurs
Grecs
, furent contemporains et condisciples. — 14. L’av
bien osé dire cela ! — 7. Il est difficile de comprendre les ouvrages
grecs
. — 8. Le poëte Simonide fit fortune. — 9. Le fabu
cythes, les Sarmates, les Germains, les Thraces, les Macédoniens, les
Grecs
, les Italiens, les Gaulois, les Espagnols ; en Li
est la plus pleine. — 2. Thémistocle fut le plus célèbre de tous les
Grecs
. — 3. Pyrrhus fut de tous les Grecs le plus habil
e fut le plus célèbre de tous les Grecs. — 3. Pyrrhus fut de tous les
Grecs
le plus habile dans la tactique militaire. — 4. L
e Syracuse était la plus grande et la plus belle de toutes les villes
grecques
. — 5. De toutes les étoiles, la lune paraît la pl
acédémone, vint au secours des habitants de l’Attique. — 20. Chez les
Grecs
, il n’y avait point de honte à monter sur la scèn
nheur de la vie. — 5. Démophoon, fils de Thésée, porta du secours aux
Grecs
contre les Troyens. — 6. Les Helvétiens envoyèren
force. — 2. Les militaires se glorifient de leurs blessures. — 3. Les
Grecs
s’emparèrent de Troie. — 4. Les Numides se nourri
t. — 6. Annibal eut Sosile de Lacédemone pour maître dans les lettres
grecques
. — 7. Le peuple se réjouit de la mort de Tibère.
des vers, et de Calliphron à danser. — 15. Les Gaulois apprirent des
Grecs
à entourer les villes de murailles. — 16. L’emper
’orateur est un homme de bien, qui a le talent de la parole. — 4. Les
Grecs
appellent dialectique l’art de bien discuter et d
e plus larges que la muraille d’un demi-pied de chaque côté. — 9. Les
Grecs
allongeaient quelquefois le mois d’un ou deux jou
s défenses contre un arbre, les rhinocéros contre un rocher. — 5. Les
Grecs
ont été au-dessus des Romains par l’éloquence, le
ocle pour apprendre à parler parfaitement la langue persane. — 4. Les
Grecs
prirent Troie au bout de dix ans ; Troie détruite
é. Arrivée des Troyens en Italie. Après la ruine d’Ilion par les
Grecs
, Énée, portant ses dieux pénates et son père Anch
es que les couronnes civiques. — 9. Il est utile de traduire, soit du
grec
en latin, soit du latin en grec. — 10. Que les ho
9. Il est utile de traduire, soit du grec en latin, soit du latin en
grec
. — 10. Que les hommes recherchent la vertu. — 11.
le temple d’Apollon, comme s’il eût fait la guerre non-seulement aux
Grecs
, mais encore aux dieux immortels. — 3. L’orateur
bres, de sorte qu’elle ressemble à un verger. — 5. Atticus parlait le
grec
de telle façon qu’il paraissait né à Athènes. — 6
montra plus d’ardeur que Pyrrhus, qui, pour défendre une ville à demi
grecque
par son origine lacédémonienne, arrivait avec tou
. Cicéron a pensé que la langue latine était plus riche que la langue
grecque
. — 6. Possidonius prétend qu’il y a deux millions
d’Athènes ou Linus de Thèbes, et aux temps de la guerre de Troie, le
Grec
Palamède, inventèrent les formes de seize lettres
orme des lettres latines ressemble à celle des plus anciennes lettres
grecques
. version 159. Reguli fides. Primo punico
te ville, protestant qu’elle lui serait fatale. — 7. Les législateurs
grecs
voulurent que les jeunes gens se fortifiassent le
ent sa vieillesse se terminerait ? — 2. Agamemnon, ce fameux chef des
Grecs
, souhaitait d’avoir dix hommes semblables à Nesto
tre lui-même. — 4. La vertu nous attire à elle. — 5. Ajax demanda aux
Grecs
de lui donner les armes d’ Achille ; Ulysse de so
nfant, étouffa de ses mains deux serpents envoyés par Junon. — 2. Les
Grecs
, ne pouvant prendre Troie, construisirent, par le
et s’enfuit de Thèbes sous la conduite de sa fille Antigone. — 8. Les
Grecs
prirent pour général contre les Perses Cimon d’At
us la gloire d’avoir pris la plus fameuse et la plus belle des villes
grecques
. — 2. Publius Clodius fit rendre dans son tribuna
des maladie. Cependant cet art a été poussé un peu plus loin chez les
Grecs
que chez les autres peuples. On vante comme un de
’assemblée se réunissait, il ne pouvait s’empêcher de lire des livres
grecs
. — 5. Solon donna aux Athéniens des lois si belle
le plutôt qu’un animal muet, ensuite un homme plutôt qu’une femme, un
Grec
plutôt qu’un barbare, enfin de l’avoir fait naîtr
l livra près de Marathon cette bataille si fameuse dans les histoires
grecques
et romaines : cela se passa environ deux cent soi
e de ce philosophe. Le Carthaginois répondit, sinon dans un excellent
grec
, du moins avec franchise, qu’il avait vu bien des
e avec le peuple Romain vainqueur de toutes les nations, un misérable
Grec
, qui de sa vie n’avait vu ni camp ni ennemi, qui
issaient pas un aussi grand nombre que les modernes. (2). D’un verbe
grec
qui signifie errer. (1). Les anciens ne connaiss
(1). Sous-entendu vos devant qui. (1). Comme nonne. (1). D’un verbe
grec
qui signifie se promener. (1). Pour aliquid. Voy
e de l’Iliade. La fatale colère d’Achille, qui causa tant de maux aux
Grecs
, s’apaise au dix-neuvième chant, que les vieux te
tre d’où l’exécrable Charles IX tira sur ses sujets ; c’est l’orateur
grec
levant le voile de Phryné, ou Marc-Antoine compta
l’éternité ? » L’éloquence de la chaire, dans les pères de l’Eglise
grecque
et dans les prédicateurs français, abonde en péro
rter à Rome où ils furent copiés et révisés par un ami de Cicéron, le
Grec
Tyrannion. En 39 ils prirent place dans la biblio
r principal représentant Édouard Zeller, auteur de la Philosophie des
Grecs
considérée dans son développement historique dont
et commentaire, dans son Essai sur l’histoire de la critique chez les
Grecs
. Cette édition a été réimprimée plusieurs fois, n
d (= Z). On considère aussi comme élément utile pour établir le texte
grec
le manuscrit qu’avait sous les yeux l’auteur d’un
st la copie. On a cru pendant un temps à l’existence d’une paraphrase
grecque
« très ancienne » de la Rhétorique ; mais il para
raît établi que, si elle a jamais existé, ce serait une traduction en
grec
de la paraphrase écrite en latin par Antoine Ricc
ographique (Annuaire de l’Association pour l’encouragement des études
grecques
, année 1881, p. 192), professa la littérature, la
e M. Egger, en 1819, a fait suivre son Essai sur la critique chez les
Grecs
d’une traduction de la Poétique, qu’il a rééditée
ois avec un riche commentaire. Elle est entrée en 1875, avec le texte
grec
, dans la collection entreprise par la librairie H
se par la librairie Hachette des traductions juxtalinéaires d’auteurs
grecs
et latins. (Poétique expliquée littéralement et a
is de divers orateurs et poetes, dont la grace consiste en la diction
grecque
et y est tellement attachée qu’elle ne passe poin
ndre a mis en relief presque toutes les idées contenues dans l’auteur
grec
. Parfois même, il a glissé des interpolations dan
envoyé au moulin quand, il avoit fait quelque friponnerie. » Le texte
grec
, au même endroit (liv. III, ch. x, § 7), dit simp
a traduction de Cassandre. En 1822, parut la Rhétorique d’Aristote en
grec
et en français ; traduction nouvelle par M. Gros,
liothèque nationale doit une assez nombreuse collection de manuscrits
grecs
, donna aussi, en 1837, une édition de ce traité a
proposé. Rien ne le prouve mieux que la traduction latine des auteurs
grecs
. Leur moindre défaut est de laisser subsister l’o
’Hector seraient ridicules à la scène, où l’on verrait d’une part les
Grecs
s’arrêtant court et cessant de le poursuivre et d
ma devant le peuple. Il prétendait que les Athéniens supposassent les
Grecs
placés tout autour d’eux pour les observer, et no
té, soit en apparence ; celui-ci, par exemple, qu’ils ont asservi les
Grecs
, même après les avoir eus pour alliés contre le B
uci de votre gloire, vous devez, vous aussi, avoir souci de celle des
Grecs
. » VI. Un autre lieu se tire de la considération
Ainsi : « Il a sauvé les uns, il a vengé les autres, il a libéré les
Grecs
. » Car chacun de ces termes a été démontré par d’
ments dont se compose le discours546. Chapitre V Il faut parler
grec
. I. La principale condition à remplir, c’est de
parler grec. I. La principale condition à remplir, c’est de parler
grec
. Cela consiste en cinq choses. II. Premièrement,
, il te convient635… » il y a une action. Dans celle-ci : « Alors les
Grecs
s’étant élancés de là636… », il y a action et mét
nt il faut posséder ce double talent : d’abord celui de savoir parler
grec
, ensuite de ne pas être réduit à se taire lorsqu’
ux aux recherches de M. Constantin Sathas. (Annuaire de l’Association
grecque
, année 1882.) 2. Traiter les sujets poétiques.
apitre. 24. Voir Egger, Essai sur l’histoire de la critique chez les
Grecs
, suivi de la Poétique d’Aristote et d’Extraits de
de Deus ex machina (vers 1319-22). 68. Voir Egger (Critique chez les
Grecs
, p. 136 et suiv.). 69. Le meurtre de Laïus par Œ
le troisième τέλος. 220. Hom., Il., ii, 160 et 176. La retraite des
Grecs
serait pour Priam un dénouement heureux, glorieux
ait que les Corinthiens étaient autant les alliés des Troyens que des
Grecs
. Voir, pour les détails et le rapprochement, l’éd
dème, viii, 1, et Plutarque, De placit. philos., iv, 19. 269. Le mot
grec
est plus énergique. 270. La suite du raisonnemen
sions ne sont jamais prises dans un sens favorable, tandis que le mot
grec
peut l’être. C’est ainsi que nous disons : « Je n
té ». 403. Cp. Ovide, Métamorph., xii, v. 64 et suiv. 404. Le texte
grec
dit : « si le contraire a son contraire ». 405.
. Nous lisons ὅσ’ εἴρηται avec Spengel. 435. Rapprocher de ce dicton
grec
, avec M. Bonafous, le proverbe italien : « Compra
cours perdu de Démosthène, au sujet de la paix conclue entre tous les
Grecs
, — les Lacédémoniens exceptés, — et le roi Alexan
, cp. Poétique, ch. xxv. Voir Egger, Histoire de la critique chez les
Grecs
, p. 22. 495. La grandeur se rapporte à la force
3e série, t. II, 1875, p. 618), et traduit (Annuaire de l’Association
grecque
, 1874, p. 140). 498. Sur Thrasymaque de Chalcédo
e disciple d’Isocrate. 617. Décret ayant pour objet l’expédition des
Grecs
contre Xerxès. Cp. Démosthène, Fausse ambassade,
ocle. » (Voir Spengel, notes, et Egger, Hist. de la critique chez les
Grecs
, p. 226.) 676. En dehors de la cause que l’on pl
Troie pendant la guerre, Télamon n’a pas dénoncé les espions que les
Grecs
introduisaient dans la ville. — Teucer, pièce d’u
et à chacun comme la raison et la vérité le demandent. Dans le monde
grec
et romain, le discours était le plus puissant moy
une proposition nouvelle. 2. Du syllogisme 4. — Ce mot, d’origine
grecque
et qui signifie raisonnement, désigne la forme ri
us vive ; c’est l’enthymème. 3. De l’enthymème. — Ce mot signifie en
grec
conception, pensée intime ; c’est un syllogisme d
le développement syllogistique. 4. De l’épichérème. — Ce mot, qui en
grec
signifie simplement un raisonnement, désigne en f
ce sont des syllogismes composés. Le dilemme, comme l’indique son nom
grec
, est un double syllogisme dans lequel, en partant
je ne te devrai rien en vertu de leur arrêt. 6. Du sorite. — Ce mot
grec
, qui signifie amas, désigne un enchaînement de pr
homme de courage ; il n’y a que moi qui ne puis mourir ! L’antiquité
grecque
elle-même est atteinte et surpassée par le poëte
x, Ajax regarde d’un œil farouche le rivage de Sigée et la flotte des
Grecs
; ensuite levant les mains il s’écrie : Grands Di
hent sous ce beau nom leurs ambitieux desseins, il loue hautement les
Grecques
, zélés défenseurs de la loi agraire et objets d’u
Passion prend pour texte : Les Juifs demandent des miracles, et les
Grecs
cherchent la sagesse ; pour nous, nous prêchons J
fié qui est un sujet de scandale aux Juifs et qui paraît une folie au
Grecs
, mais qui est la force de Dieu et la sagesse de D
ème chant de l’Illiade, quand le sage Nestor, le plus expérimenté des
Grecs
, range ses troupes : Au premier rang il place le
f au singulier : La Grèce a triomphé de Rome triomphante, au lieu des
Grecs
et des Romains, De même Fléchier signale les écue
ise est tout à fait opposé au génie des langues synthétiques comme le
grec
, le latin ou l’allemand ; d’ordinaire le français
se ramènent toutes à deux espèces : la description, dont les rhéteurs
grecs
avaient désigné toutes les différentes formes par
clarté ou à l’ornement ; De la description. — La description que les
Grecs
appelaient hypotypose, c’est-à-dire image, met le
a coupe, c’est le soleil du printemps, c’est le matin d’un beau jour.
Grec
d’origine et de goût le poëte semble avoir présen
de ses flancs. Non moins braves et plus habiles que les Gaulois, les
Grecs
font pleuvoir sur les : Sicambres une grée de flè
e produit parfois ces effets de contraste ou de contradiction que les
Grecs
appelaient antilogie ou paradoxe, et qui se produ
action attribuée à Dieu dans la fin de chacune des deux périodes. Les
Grecs
du siécle de Périclès se moquaient déjà de l’abus
la réalité, à dépasser le but, afin d’être sûr de l’atteindre. Ce mot
grec
signifie lancer au-delà ; au effet l’hyperbole em
dissimuler le blâme sous la forme de l’éloge, c’est alors ce que les
Grecs
appelaient astéisme ou euphémisme, indiquant par
n’y vais que pour vous, barbare que vous êtes ; Pour vous, à qui des
Grecs
, moi seul je ne dois rien, Vous que j’ai fait nom
it prouvée avec -évidence. 2. De la sentence. — La sentence que les
Grecs
appelaient épiphonème est une exclamation qui rés
e au style quelque chose de pédantesque dans le ton, c’est ce que les
Grecs
reprochaient à Euripide ; quelque chose de haché
ensée. 4. De la prosopopée. — La prosopopée, comme l’indique son nom
grec
, est une personnification des choses. Rien de plu
rée par l’épouvante et la douleur maternelle : Quoi ! pour noyer les
Grecs
et leurs mille vaisseaux Mer, tu n’ouvriras pas d
communes des figures de mots sont les tropes. Ce nom, qui signifie en
grec
tourner, désigne une figure qui détourne un mot d
igence. Les trois principaux tropes ont été désignés par les rhéteurs
grecs
sous les noms de métaphore, métonymie et synecdoq
ie et synecdoque. 2. De la métaphore. — La métaphore d’un mot
grec
qui signifie transporter, transporte en effet
e le cacha dans ses asiles mystérieux, où elle le nourrit des lettres
grecques
et latines ; elle lui enseigna tout ce qu’elle sa
e inévitable ; résultat forcé de la pauvreté de la langue ; aussi les
Grecs
l’appelaient du nom de catachrèse, qui signifie a
nseignée sous le portique. 8. De la synecdoque. — Ce mot signifie en
grec
compréhension ; il désigne une métonymie qui fait
t ni une licence ni une figure pour les langues synthétiques comme le
grec
, le latin et l’allemand : ces langues n’ont aucun
r. Quelques écrivains français ont cru bon d’imiter certains orateurs
grecs
qui introduisaient des vers dans leur prose ; c’e
aits seront pris dans la nature. Quand Lamotte présente toute l’armée
grecque
, s’écriant à propos d’Achille : Que ne vaincra-t
un style plus noble et plus, élevé le fléau répandu dans le camp des
Grecs
par la juste colère d’Apollon. Et plus loin : Le
lication des règles de l’art d’écrire. — 2. De la rhétorique chez les
grecs
. — 3. De la rhétorique chez les romains. — 4. De
exercices préparatoires de la rhétorique connus et pratiqués chez les
Grecs
. 2. De la rhétorique chez les Grecs. — Homère es
que connus et pratiqués chez les Grecs. 2. De la rhétorique chez les
Grecs
. — Homère est en Grèce le père de toutes choses,
était pour eux une arme à deux tranchants, et le modèle de l’orateur
grec
d’alors fut ce Carnéade également propre à faire
audiences des jurisconsultes et parfois même aux leçons des rhéteurs
grecs
qui continuaient à professer dans leur langue et
trius de Phalère, Hermogène, Denys d’Halicarnasse et Longin, chez les
Grecs
; Cicéron et Quintilien, chez les Romains. Mais c
rme de ses dialogues, mais, ce qui est plus difficile, il a dérobé au
Grec
son naturel, son tour aisé et la merveilleuse sou
goût, nourris aux luttes de la tribune et à la lecture des manuscrits
grecs
, tous hommes pratiques, la plupart ayant peu écri
ysse, lorsque ce héros dispute à Ajax les armes d’Achille, devant les
Grecs
assemblés. L’exorde surtout m’enchantait : « O G
e l’héritage du grand Achille, si ce n’est celui qui a fait jouir les
Grecs
d’Achille et de sa gloire20 ? » Tout dans ce déb
euves dispersées dans la lutte oratoire. Je vous ai dit que, chez les
Grecs
, elle était un simple résumé. Les Romains lui don
rtes de figures : les figures de mots, qu’elle appelle tropes, du mot
grec
τρίπω, tourner, parce qu’elles changent la signif
e. Nous verrons plus loin que c’est du dithyrambe que sortit chez les
Grecs
l’art dramatique. De nos jours ce genre est peu e
rotique et la romance, qui célèbrent l’amour (Anacréon, célèbre poète
grec
, a laissé son nom au genre anacréontique, qui cha
éoccupation involontaire de l’écrivain et du poëte. Racine, élève des
Grecs
, réfléchit dans l’éclat de ses vers l’élégance de
temps modernes. Ils rapportaient de ce commerce avec les Hébreux, les
Grecs
, les Romains, quelque chose d’étrange, une grâce
die des plus beaux temps d’Athènes ; ils choisissaient même parmi les
Grecs
; ils avaient le goût et l’âme de Virgile. Bossue
uripide. Je ne rapporterai qu’une partie de ce morceau. Dans le poète
grec
, Phèdre se reprochant son amour désordonné pour H
il regarde, d’un œil farouche, le rivage de Sigée46 et la flotte des
Grecs
; ensuite tendant les mains, il s’écrie : « Gran
t emportement d’Ajax, ces éclats, ce reproche indirect qu’il fait aux
Grecs
des services qu’ils en avaient reçus, étaient bie
e le simple auditeur. Ulysse, le plus rusé comme le plus éloquent des
Grecs
, après s’être levé, tient quelque temps ses yeux
ure l’armée, et d’un ton soumis et respectueux, il dit : « Illustres
Grecs
, si vos vœux et les miens eussent été exaucés, un
qui mérite mieux d’hériter du grand Achille, que celui par lequel les
Grecs
en ont joui, etc. » ? On veut que l’exorde n’ait
tant d’ordre et de justesse, répartir les contributions imposées aux
Grecs
pour la cause commune, ce sage dispensateur, qui
propre aveu, n’a cessé de conspirer avec les barbares à la ruine des
Grecs
? Pour moi, ô terre ! ô soleil ! ô vertu ! et vou
it sublime, de ces trois choses jointes ensemble. Le célèbre critique
grec
assigne cinq sources au sublime : 1º la grandeur
prononciation musicale et animée subsista au plus haut degré chez les
Grecs
et les Romains ; leur prosodie était bien plus ét
té de nos terminaisons doit encore nécessiter un ordre fixe. Chez les
Grecs
et chez les Latins, les divers cas des noms indiq
primés par le nom lui-même joint au signe de relation de, à, par. Les
Grecs
et les Latins n’avaient pas adopté ce mode d’expr
es langues. La seule particularité qui les distingue dans les langues
grecque
et latine, c’est la capacité qu’ils ont de prendr
du verbe, sans avoir recours aux auxiliaires : les langues hébraïque,
grecque
et latines sont les plus parfaites à cet égard. D
peuple spirituel et civilisé, avaient un style clair et châtié ; les
Grecs
de l’Asie, dissolus et nonchalants dans leurs mœu
et font un usage fréquent et heureux de ces espèces d’inversions. Les
Grecs
et les Latins avaient un avantage considérable su
u verbe auxiliaire moins fréquent. En second lieu, le génie du peuple
grec
le portait bien davantage à se laisser charmer pa
tant aures. Mais ce puissant effet que produisait l’harmonie sur les
Grecs
et les Romains serait difficilement obtenu chez d
s langues sont beaucoup moins harmonieuses. La doctrine des critiques
grecs
et romains sur ce point a égaré quelques esprits
bornes de l’honneur, et détruit parmi nous cette règle où les anciens
Grecs
faisaient consister toute leur félicité, de ne so
aux contes multipliés de l’Arioste ; la simplicité de l’architecture
grecque
en opposition à l’irrégulière variété de la gothi
p souvent n’engendre que l’affectation. Aussi trouvons-nous parmi les
Grecs
plus de modèles d’une belle simplicité que parmi
ns. Je préférai d’expliquer de mémoire les oraisons des plus célèbres
Grecs
, et alors j’eus le choix de tous les termes de ma
ne lui a été offert, même depuis cette époque ; et, comme l’éloquence
grecque
a toujours fait l’objet de l’admiration de ceux q
voir traité de l’origine et des divers états de l’éloquence parmi les
Grecs
, nous allons examiner ses progrès parmi les Romai
ti Latio. Hor. Epist. ad Aug., v. 156. Les Romains empruntèrent aux
Grecs
leur éloquence, leur poésie et leurs beaux-arts ;
de leurs maîtres. Ils n’avaient ni la vivacité, ni la sensibilité des
Grecs
, leurs passions étaient plus calmes, leur imagina
té qui formaient les caractères distinctifs et dominants de la langue
grecque
. Si nous comparons les productions analogues des
de la langue grecque. Si nous comparons les productions analogues des
Grecs
et des Romains, nous trouverons toujours plus de
emiers, plus d’art et de régularité dans ceux des seconds. Ce que les
Grecs
inventèrent, les Romains le perfectionnèrent. Le
ents les plus affectés et les plus faux. Entre les mains des rhéteurs
grecs
, l’éloquence des premiers orateurs avait dégénéré
e dans tout ce qui constitue les grands efforts de génie les anciens,
Grecs
et Romains, ne l’emportassent sur nous. Mais d’un
e et de civilisation, qui suivit la décadence de la haute littérature
grecque
, sont effacés par ces illustres prédicateurs, et
états-généraux, nous n’avions et ne pouvions rien avoir à opposer aux
Grecs
et aux Romains dans le genre qu’ils appelaient dé
ans les ouvrages d’Aristote, de Cicéron, de Quintilien. Les sophistes
grecs
furent les premiers inventeurs de ce système arti
es écrits, son extrême brièveté le rende souvent obscur. Les rhéteurs
grecs
qui lui succédèrent, et dont la plupart est ignor
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