ritiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron Chanoine, Vicaire
général
, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Profess
me un tout complet), intitulé le Style, l’auteur expose les principes
généraux
de l’art d’écrire, principes qui sont communs à t
z. Saint-Jean-de-Maurienne, le 23 janvier 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Mes occupations ne m’ayant pas permis, à mon gra
vêque de Maurienne. Coutances, le 14 mars 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Après avoir pris connaissance de votre Cours de
s à toutes celles que vous avez déjà reçues. Oui, Monsieur le Vicaire
général
, votre ouvrage, par l’exactitude et la netteté de
ès qu’ils méritent si bien. Agréez, je vous prie, Monsieur le Vicaire
général
, l’assurance de mon religieux dévouement. ✝ Abel,
s. Archevêché de Besançon, le 3 septembre 1880. Monsieur le Vicaire
général
, Je suis heureux de pouvoir vous adresser mes fél
de Besançon. Évêché de Laval, le 9 avril 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Les qualités que vous avez voulu mettre dans vot
nis, Évêque de Laval. Blois, le 22 avril 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Je viens d’examiner votre Cours de littérature,
ue de Blois. Évêché de Rodez, le 12 avril 1879. Monsieur le Vicaire
général
, J’ai pris connaissance, sur l’invitation de Mgr
nos maisons d’éducation ecclésiastiques. Agréez, Monsieur le Vicaire
général
, l’assurance de mes sentiments respectueux et dév
l de Rodez. Évêché de Troyes, le 19 avril 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Mgr l’Évêque de Troyes a chargé M. le Supérieur
même temps ses félicitations. Veuillez agréer, etc. Vosdey, Vicaire
général
. Monseigneur, Le Cours complet de littérature,
obéissant serviteur. Pontié, Supérieur du Petit-Séminaire, Vicaire
général
. Évêché de Langres, le 18 septembre 1879. Monsi
néral. Évêché de Langres, le 18 septembre 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Les travaux incessants de mon ministère ne me pe
ngres. Petit-Séminaire d’Agen, 17 juillet 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Aussitôt que j’ai eu votre Traité de littérature
-Séminaire de Pont-à-Mousson, le 31 juillet 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Je connais et je pratique depuis longtemps votre
ate, Lucullus venait d’être rappelé par le sénat, et il s’agissait du
général
que l’on enverrait à sa place. Le tribun Manilius
ure de cette guerre, la nécessité de n’en confier la conduite qu’à un
général
habile, et le choix de ce général ; voilà le plan
de n’en confier la conduite qu’à un général habile, et le choix de ce
général
; voilà le plan et la division naturelle de ce di
la réputation et le bonheur, telles sont les qualités qui forment un
général
parfait, et Cicéron va nous prouver que Pompée le
bonheur : voilà ce qui, selon moi, constitue essentiellement le grand
général
. » Or, qui fut, ou dut être jamais plus habile, q
homme qui, à peine sorti de l’enfance, s’est vu lieutenant d’un grand
général
et, à peine entré dans la jeunesse, lui-même géné
enant d’un grand général et, à peine entré dans la jeunesse, lui-même
général
d’une grande armée ? — Est-il une espèce de guerr
au pour vous, ou inconnu pour qui que ce soit ? Les vertus d’un grand
général
ne se bornent pas à celles qu’on leur attribue po
; vertus que Pompée réunit seul dans un plus haut degré qu’aucun des
généraux
que nous ayons vus, ou dont nous ayons entendu pa
euse pour nous, pût être terminée ou en une seule année par plusieurs
généraux
, ou par un seul général, en une longue suite d’an
terminée ou en une seule année par plusieurs généraux, ou par un seul
général
, en une longue suite d’années ? Quelle province,
on éloquence, qualités qui relèvent si avantageusement le mérite d’un
général
, vous les connaissez, Romains, vous qui l’avez si
ttention ; puisqu’enfin nous en pouvons remettre le commandement à un
général
qui réunit à une connaissance profonde de l’art m
ritiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron Chanoine, Vicaire
général
, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Profess
ne, Évêque de Bâle. Coutances, le 14 mars 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Après avoir pris connaissance de votre Cours de
s à toutes celles que vous avez déjà reçues. Oui, Monsieur le Vicaire
général
, votre ouvrage par l’exactitude et la netteté des
ès qu’ils méritent si bien. Agréez, je vous prie, Monsieur le Vicaire
général
, l’assurance de mon religieux dévoûment. ✝ Abel,
s. Saint-Jean-de-Maurienne, le 23 janvier 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Mes occupations ne m’ayant pas permis, à mon gra
Évêque de Maurienne. Blois, le 22 avril 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Je viens d’examiner votre Cours de littérature,
s. Archevêché de Besançon, le 3 septembre 1880. Monsieur le Vicaire
général
, Je suis heureux de pouvoir vous adresser mes fél
-Séminaire de Pont-à-Mousson, le 31 juillet 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Je connais et je pratique depuis longtemps votre
conde. Petit-Séminaire d’Agen, 17 juillet 1879. Monsieur le Vicaire
général
, Aussitôt que j’ai eu votre Traité de littérature
quelque temps le commandement de son armée au comte de Schullembourg,
général
très-habile, et qui avait besoin de toute son exp
inspiraient aux Saxons. Il avait toujours prétendu, malgré l’avis des
généraux
allemands, que l’infanterie pouvait résister en p
tte cavalerie victorieuse, commandée par deux rois et par l’élite des
généraux
suédois. Il se posta si avantageusement qu’il ne
t vers le fleuve de l’Oder, était un bois épais, au travers duquel le
général
saxon sauva son infanterie fatiguée. Les Suédois,
lembourg nous a vaincus. » C’est ce même Schullembourg qui fut depuis
général
des Vénitiens, et à qui la république a érigé une
Fabre sur la littérature française de cette même époque, etc. 2. Ce
général
, né près de Magdebourg en 1661, avait d’abord ser
le, et qui, si fréquemment répétée depuis, est aujourd’hui d’un usage
général
. 1. « Le héros suédois, a dit M. Villemain, ne
oir remporté plusieurs fois le prix aux jeux olympiques, il fut nommé
général
de la flotte des Athéniens en Sicile, et s’empara
ine la manière de vivre sobre et dure des Spartiates. La jalousie des
généraux
de cette république fit encore condamner à mort A
ra dans la province du satrape Pharnabaze, qui, à la sollicitation du
général
lacédémonien, eut la lâche cruauté de le faire tu
m, que les juges étaient appelés Amphictyons. Annibal, le plus grand
général
carthaginois, et un des plus grands capitaines de
à Platée, et remporta sur eux une victoire complète, avec Pausanias,
général
des Lacédémoniens. Ce grand homme, que rien ne po
e, elle porte encore le même nom. Asdrubal-Barca, un des plus grands
généraux
Carthaginois, fils d’Amilcar-Barca, et frère du f
able. Octave en effet lui fit lever le siège de Modène, et resta seul
général
des troupes, par la mort des deux consuls, Hirtiu
ns sanglantes, Octave et Antoine marchèrent contre Brutus et Cassius,
généraux
de l’armée de la République, et les défirent près
eur l’illustre Fénelon 334, qui composa pour lui son Télémaque. Nommé
général
des armées d’Allemagne en 1701, et généralissime
cession à la couronne d’Espagne, il gagna plusieurs batailles sur les
généraux
français. Mais il fut toujours battu lorsqu’il eu
Philippes, entre Octave et Marc-Antoine réunis, et Brutus et Cassius,
généraux
de la république Romaine. La Macédoine d’aujourd’
pour le culte du vrai Dieu, et tout à la fois un de leurs plus grands
généraux
. Il battit plusieurs fois, avec des forces très i
nd-chancelier de l’Empire, a le droit de présider dans les assemblées
générales
. C’est à Mayence que l’imprimerie fut inventée, v
es, il se déclara le chef de la ligue, et prit le titre de lieutenant
général
de l’État et couronne de France. Henri IV le batt
es étaient nées sur le mont Pierius. Mercy, né à Longuy en Lorraine,
général
de l’armée du duc de Bavière, et digne de se mesu
es, fut entièrement défait l’an 479 avant Jésus-Christ, par Aristide,
général
des Athéniens, et Pausanias, général des Spartiat
vant Jésus-Christ, par Aristide, général des Athéniens, et Pausanias,
général
des Spartiates. Plutus, dieu des richesses, suiv
nna une retraite dans ses états, et le nomma bientôt après commandant
général
de ses armées contre les Grecs. Mais Thémistocle,
re, en soit souverain. Il s’y est tenu plusieurs diètes ou assemblées
générales
de l’Empire, entre autres, celle de 1521, au suje
inon développer ? Et qu’est-ce que développer, sinon tirer d’une idée
générale
tout ce qu’elle contient ? Nous avons trié entre
e générale tout ce qu’elle contient ? Nous avons trié entre les idées
générales
celles qui sont propres à l’amplification oratoir
rand philosophe dédaigne cette gloire et se borne à tracer les lignes
générales
où d’autres promèneront leur pinceau), mais en ob
re avoir établi deux genres de causes : l’un comprenant les questions
générales
, l’autre les questions déterminées ? Car, comment
oir que toutes les causes particulières peuvent se ramener à une idée
générale
à laquelle se rattachent tous les fils de l’argum
autant de genres que d’individus différents. Voilà pour les préceptes
généraux
qu’ils nous donnent. Mais si nous entrons dans le
sur tous les champs de bataille, se sont fait souvent battre par des
généraux
de vingt ans. Il est vrai qu’ils ont eu la consol
apable de les contenir toutes), qu’il en possède au moins des notions
générales
. Que son intelligence, nourrie de fortes études,
e, il y a plusieurs demeures dans la maison de mon père. VI idée
générale
du discours Nous avons esquissé l’artiste : vo
éside à ce grand tout que le moindre changement détruirait l’harmonie
générale
; telle en est la beauté, que l’imagination ne sa
ent le suivre sur le terrain. Notre rhétorique se borne aux principes
généraux
de l’éloquence et laisse à la pratique le soin de
pleur, et essayons de tracer, non pas les règles, mais les caractères
généraux
de cette partie du discours. Nous opposerons un h
aire les questions particulières peuvent se ramener à une proposition
générale
, que le bon sens et la réflexion trouvent aisémen
e, et jusqu’où s’étendent les limites de ce droit ? Voilà la question
générale
dans laquelle peuvent rentrer tous les cas partic
use. Pour peu qu’il ait l’esprit étendu et orné, autour de cette idée
générale
les preuves accourent d’elles-mêmes se placer — l
en, direz-vous ; mais l’art oratoire se bornera-t-il à des réflexions
générales
? Ne tracera-t-il pas à l’argumentation les route
rain de l’expérience21. X la péroraison L’action terminée, le
général
rallie ses forces pour les mener à la poursuite.
que ce vieillard qu’il voit triste et abattu, il l’a vu jadis consul,
général
, honoré du sénat, triomphant au Capitole. D’un él
it un chef à un officier, tu l’attaqueras avec tes hommes. — Oui, mon
général
. — Tu te feras tuer. — Oui, mon général. Tel prou
s avec tes hommes. — Oui, mon général. — Tu te feras tuer. — Oui, mon
général
. Tel prouve à ses soldats que la victoire est cer
proportionnées au discours ; elles doivent en reproduire le caractère
général
, comme les molécules, selon quelques physiciens,
lications : « Quoi ! un homme qu’il aurait pu tuer avec l’approbation
générale
; un homme qu’il aurait pu tuer justement, impuné
dien, qui accentue tous les mots, mais un geste qui rend l’impression
générale
, sans s’arrêter au détail, et qui fait comprendre
jusqu’à un certain point, commune à tous les hommes ; et rien de plus
général
que l’espèce de plaisir qui résulte de tout ce qu
d’harmonie dans les proportions, produisent également une impression
générale
de dégoût. Ce goût naturel se développe de bonne
nes funèbres, leurs harangues enfin, et leurs orateurs. Les principes
généraux
du goût sont donc profondément gravés dans l’homm
la raison peut les rectifier ; et c’est en le comparant avec le goût
général
, que l’on peut juger s’ils sont ou ne sont pas da
e son qui lui est propre. De là, ces témoignages nombreux de l’estime
générale
que les peuples les plus éclairés ont accordée, d
ont recueillis, dans l’immensité des siècles, les preuves de ce goût
général
pour les beautés qui procurent à l’homme le plus
ds de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canon, vingt
généraux
, plus de trente mille prisonniers, sont le résult
e expédition. Soldats, nous ne déposerons point les armes que la paix
générale
n’ait affermi et assuré la puissance de nos allié
Adieux de Napoléon Ier à sa garde Fontainebleau, 21 avril 1814.
Généraux
, officiers, sous-officiers et soldats de ma vieil
avons fait. Je ne puis vous embrasser tous, mais j’embrasserai votre
général
… Venez, général… (il serre le général Petit dans
ne puis vous embrasser tous, mais j’embrasserai votre général… Venez,
général
… (il serre le général Petit dans ses bras). Qu’on
nations. (Correspondance de Napoléon Ier , t. XI, n° 9562.) À un
général
qui la priait d’écrire son histoire Que la po
ortune était faite. Il fallait toute la passion que lui inspirait son
général
pour la décider à s’embarquer et à courir vers un
dévouement à l’armée et au pays, le plus puissant des liens entre le
général
et le soldat. » (M. Nisard.) 1. Le meilleur com
pareil outrage. Ce n’est pas dans les plaines de la Champagne que ce
général
a pu acquérir le droit de traiter le drapeau fran
tion ne fût abrutie par cinquante ans d’ignorance. Ce n’est pas comme
général
que je gouverne, c’est parce que la nation croit
iviles propres au gouvernement. Je savais ce que je faisais, lorsque,
général
d’armée, je prenais la qualité de membre de l’Ins
les arts, le commerce, l’industrie, l’économie politique, des notions
générales
et suffisantes. Car l’histoire n’est pas seulemen
taine influence, et ils tendent toujours vers un but : c’est à ce fil
général
que l’historien se rattachera pour grouper les me
ffrent de beaux modèles : le premier donne pour centre à son Histoire
générale
l’agrandissement de la puissance romaine ; le sec
ir sur ses pas. C’est ce qui se rencontre fréquemment dans l’histoire
générale
, où les événements séparés et multiples, ne peuve
l’origine du monde jusqu’à nos jours (Bossuet, de Ségur). L’histoire
générale
, qui comprend les faits de toute une époque ou de
récit chronologique et suivi des événements ; elle présente des vues
générales
sur l’histoire ; elle considère spécialement l’es
cs appelaient φράτις. Diction s’emploie quand il s’agit des qualités
générales
du discours, clarté, pureté, harmonie, ou de cell
uel on aura porté ses pensées. Si l’on s’est élevé aux idées les plus
générales
, et si l’objet en lui-même est grand, le ton pour
jet commun et léger, et en même temps que là où l’on s’élève aux vues
générales
, on ne peut garder un ton simple et vulgaire. Que
santerie, c’est qu’il n’aura pas eu l’intention de s’élever aux idées
générales
, et s’il lui arrive, chemin faisant, d’agrandir s
individualisant, pour ainsi dire, le style ne perd pas ses caractères
généraux
. On peut fort bien dire que celui de certains écr
ous les appliquerez aux idées du vôtre, et les fondrez dans la teinte
générale
de votre âge dont vous êtes forcément imbu. Enfin
ts dont l’élocution est susceptible, et que l’on comprend sous le nom
général
de figures. 63. Un des génies les plus sagaces
pre de l’intelligence qui le produit. La pensée est, pour ainsi dire,
générale
et impersonnelle, elle relève de l’humanité ; le
que ? Selon les uns, et c’est l’opinion que l’institution du concours
général
a fait prévaloir à Paris, il ne se distingue en r
usivement quand on a en perspective une lutte comme celle du concours
général
, où ces exercices seront seuls comptés pour quelq
extrêmement utiles, il est bon de les lier entre eux par une théorie
générale
; en d’autres termes, que faire sa rhétorique, ce
, à classer dans leur mémoire ces distinctions d’ouvrages, ces règles
générales
de composition qui font le sujet de la conversati
nt ouvragé. Voici le plan et le contenu du livre. Après un coup d’œil
général
sur les deux formes de langage (la prose et les v
e de l’histoire, et nous devons faire connaître d’abord ces principes
généraux
. Nous ajouterons quelques détails sur la manière
on d’un grand politique, quoiqu’il n’eût point été populaire, et d’un
général
à craindre, quoiqu’il eût perdu beaucoup de batai
e et le chef de la moitié de l’Europe, d’avoir eu les ressources d’un
général
et la valeur d’un soldat, de n’avoir jamais persé
sont plus frappés de cette hauteur avec laquelle des ministres et des
généraux
ont ajouté des provinces à la France, sur un ordr
onc de l’y conduire. Il doit être proportionné au sujet. Une histoire
générale
ne s’écrit point du même ton que l’histoire d’un
veaux rapports entre les êtres ; tandis que l’histoire, dans son sens
général
, ne s’applique qu’aux événements passés et rappor
ences, etc. Par rapport à l’étendue du sujet, elle est universelle ou
générale
, s’il est question du genre humain tout entier ;
; et l’histoire moderne, de cette date jusqu’à nos jours. L’Histoire
générale
est l’histoire du genre humain répandu sur la ter
ez les anciens, les auteurs qui se sont proposé d’écrire une histoire
générale
sont surtout Polybe, Diodore de Sicile, et Trogue
ustin, écrivain latin, peu connu d’ailleurs. Chez nous, les histoires
générales
sont souvent des œuvres collectives produites par
éparatifs consternaient la Suède et alarmaient le conseil. Les grands
généraux
étaient morts ; on avait tout à craindre sous un
’État. Elles peuvent joindre alors au récit des événements publics et
généraux
, les particularités de leur vie ou de leurs princ
lorsqu’ils sont bien faits. Les ignorants y puisent des connaissances
générales
et indispensables, quoique superficielles ; et le
r. De la composition en général. 328. Quelles sont les règles
générales
de la composition ? La définition de la composit
réceptes du style, les qualités des mots et des phrases, les qualités
générales
et particulières du style, les ornements, etc. C’
t vague et confuse, et ses expressions sont en conséquence faibles et
générales
. L’homme de génie, au contraire, vivement impress
n deux paragraphes. Dans le premier, nous ferons connaître les règles
générales
du genre ; dans le second, nous nous occuperons d
cuperons des différentes espèces de descriptions. § I. — Des règles
générales
de la description. 344. Faites connaître les r
gles générales de la description. 344. Faites connaître les règles
générales
de la description. Les règles générales de la de
Faites connaître les règles générales de la description. Les règles
générales
de la description peuvent se réduire à quatre che
ns avec d’autres objets. C’est ainsi qu’on évitera ces peintures trop
générales
, qui pouvant convenir également à plusieurs chose
ance est d’éviter, dans la description, tout ce qui est vague ou trop
général
. Une description qui se borne à des généralités n
rivière, une certaine colline, que lorsqu’on se sert d’une expression
générale
. Les bons écrivains, surtout chez les anciens, on
int sur ce que nous avons dit des couleurs épuisées par un usage trop
général
, et de la nécessité d’éviter tout ce qui est vagu
enres ? Les deux premières sortes de descriptions suivent les règles
générales
. C’est sous cette double forme que les compositio
ir dans le récit du cortége funèbre de Germanicus. Parmi les qualités
générales
de la description, il en est une qui est regardée
celle qui fait partie d’un discours. Elle doit toujours tendre au but
général
que se propose l’orateur, c’est-à-dire concourir
moins d’ornements dans le style, qui d’ailleurs doit s’adapter au ton
général
du discours. Autant le poète est prodigue de desc
la chaire de vérité, un prêtre seul vêtu de blanc au milieu du deuil
général
, le front chauve, la figure pâle, les yeux fermés
l veut réussir, devra encore connaître parfaitement toutes les règles
générales
et particulières qui concernent ce genre de compo
en quatre paragraphes : dans le premier, nous exposerons les qualités
générales
de la narration ; dans le second, nous parlerons
trième sera consacré aux ornements et au style. § I. — Des qualités
générales
de la narration. 395. Quelles sont les qualité
les qualités propres à la narration historique ? Outre les qualités
générales
de la narration, et surtout la clarté, l’ordre et
use n’est pas pour cela affranchie de toute règle. Outre les qualités
générales
de la narration, elle demande une vraisemblance f
ssez grande importance pour former un nœud, et pour anéantir le sujet
général
du récit, s’ils venaient à disparaître. Les épiso
ut-on diviser cet article ? Dans cet article, nous traiterons du ton
général
et du style de la lettre ; puis, nous parlerons d
puis, nous parlerons des différentes espèces de lettre. § I. Du ton
général
et du style de la lettre. 454. Quels doivent ê
dant la nuit dans la place de Saint-Pierre à côté du Vatican. Tableau
général
de l’incendie. Ici, c’est un jeune homme qui sauv
iétudes de la ville. On peut considérer le sujet sous un point de vue
général
. On peut le considérer sous divers rapports parti
comme lui. » Le préteur le déclare absous, au milieu des acclamations
générales
, et profite de cette occasion pour adresser une e
on voit entrer l’évêque, vieillard de soixante et dix ans. Étonnement
général
; toutes les danses s’arrêtent. Au milieu du plus
rihuega, le comte de San-Estevan de Gormaz, grand d’Espagne, officier
général
et gouverneur d’Andalousie, vint se mettre avec l
entendre à aucune rançon ; qu’il y avait dans Brihuega des officiers
généraux
autrichiens et anglais ; qu’il était résolu à les
c le détachement, fit merveilles, prit de sa main quelques-uns de ces
généraux
, et immédiatement en obtint l’échange avec son pè
c l’agrément du roi et du duc de Vendôme, emmène dans son château les
généraux
qu’il a faits prisonniers, et les traite aussi ho
huega, qui était tombée au pouvoir des ennemis, était assiégée par un
général
français, le célèbre duc de Vendôme, et par le ro
le roi Philippe IV en personne. En prenant cette ville, où plusieurs
généraux
autrichiens s’étaient réfugiés, le duc de Vendôme
e était alors réunie à l’Angleterre. Jean de Grailly, captal de Buch,
général
des troupes anglaises, fut souvent vaincu par Dug
dant les guerres de Charles-Quint et de François en Italie. Pescaire,
général
espagnol, avait formé un corps d’élite de douze c
nse noble et modeste du jeune homme résigné à son sort. Consternation
générale
. Le maréchal reprend la parole. Investi par le ro
Sujet et plan. Les Hongrois, malgré l’habileté et la valeur de leur
général
, sont sur le point d’être vaincus par l’armée ott
d’être vaincus par l’armée ottomane ; enveloppé par les Ottomans, le
général
hongrois ne se défend plus qu’avec peine, il va s
lier couvert d’armes noires ; il rallie les Hongrois, il délivre leur
général
; toute l’armée hongroise, se précipitant sur ses
leur chef, les officiers hongrois se félicitent de leur victoire : le
général
s’étonne et s’inquiète de ne pas voir au milieu d
monceau d’ennemis qu’il avait immolés ; on le porte dans la tente du
général
. On lui ôte son casque, le général reconnaît son
lés ; on le porte dans la tente du général. On lui ôte son casque, le
général
reconnaît son fils Ladislas, qu’il avait banni qu
provisions en abondance ; on demande grâce. Décrivez la consternation
générale
. Colomb se montre inflexible jusqu’au moment où i
loman qui est atteint par le trait de Leuthold. Tableau de la douleur
générale
; désespoir de Leuthold, qui veut se percer de so
le, viennent de s’emparer de Marseille ; qu’il reste à peine aux deux
généraux
le temps de sauver leurs personnes ; qu’il faut f
et Bonchamp étaient grièvement blessés. Les Vendéens emportent leurs
généraux
mourants et se retirent à Beaupréau. Le lendemain
blés de douleur et enflammés du désir de la vengeance, entourent leur
général
expirant. On peut quitter un instant cette scène
, sachant ou soupçonnant ce qui s’est passé, accuse, dans une réunion
générale
des conspirateurs, Flavio d’avoir sauvé un proscr
le à Vienne, auprès de sa tante la duchesse d’Autriche. Consternation
générale
. Hedwige va partir ; mais au moment où elle veut
, né l’an 445, mort l’an 355 avant l’ère vulgaire, est illustre comme
général
, comme philosophe et comme historien. Il s’était
, en Elide. Son fils Gryllus était resté à Athènes. Gryllus fut nommé
général
de la cavalerie athénienne, et, en cette qualité,
ligués ensemble. Le champ de bataille resta aux Thébains ; mais leur
général
, Epaminondas, fut tué. Le chef de la cavalerie at
sèrent. Sujet. Athènes, attaquée par les Doriens, choisit Eudoxe pour
général
. Eudoxe va en secret consulter l’oracle sur le so
cultés de cette entreprise, et surtout les talents de Narsès. Narsès,
général
de l’empire d’Orient, avait reconquis l’Italie su
Sujet. Les chefs de l’armée victorieuse s’assemblent en conseil ; le
général
napolitain, pour assurer le triomphe du parti imp
rémir à cette seule idée ! lre partie : Rinaldi réfute les raisons du
général
napolitain ; il prouve que cette mesure, bien loi
rs de Rinaldi eut un plein succès. 126. Discours adressé aux états
généraux
de Hollande en faveur d’un enfant de quatorze ans
: la digue est réparée ; la Hollande est sauvée. Un membre des états
généraux
demande pour cet enfant une récompense nationale.
erminera son discours par une péroraison convenable. On appelle états
généraux
, en Hollande, l’assemblée des représentants de la
gnaient pas de la ville. Les tribuns militaires étaient des officiers
généraux
. 130. Défense de Titus Torquatus. Sujet. L’
ine et l’armée ennemie sont en présence. Le consul Manlius Torquatus,
général
des Romains, a défendu tout combat avant la batai
rquatus, général des Romains, a défendu tout combat avant la bataille
générale
. Son fils Titus est rencontré par un cavalier enn
à vouloir juger le coupable, il demande, au nom de toute l’armée, au
général
la grâce du soldat et au père la grâce du fils. C
roles que le consul adressa à son fils. « Au mépris des ordres de ton
général
, au mépris de l’autorité de ton père, tu as comba
on renouvelle ces sacrifices sanglants. Asdrubal, sénateur respecté,
général
illustre, s’élance à la tribune ; il conjure les
de prononcer, retentit aux oreilles des convives, un attendrissement
général
éclata ; l’empereur parut comme frappé au cœur, e
tiré de l’incident inattendu qui vient de provoquer l’attendrissement
général
. Il fera ensuite une narration vive et animée de
il faut le rejeter. 136. Monologue de Camille. Camille était un
général
romain qui avait rendu les plus grands services à
es ténèbres, ce crime affreux fut bientôt connu et excita une horreur
générale
. Constance, mûre de la victime, courut à Paris de
tra à Rome en triomphe. 149. Discours pour ou contre Isadas. Le
général
thébain Epaminondas, à la tête d’une nombreuse ar
milieu de l’agitation universelle, le roi assemble à Blois les états
généraux
. Guise a l’audace d’y paraître et de l’y braver.
le perdit ; car ce meurtre souleva tout le monde ; la révolte devint
générale
, et Henri III fut assassiné à son tour devant Par
nt la saisit et la tue en la jetant avec force contre le pavé. Un cri
général
d’indignation s’élève ; on traîne l’enfant devant
te à deux de ces infortunés et les fit apporter chez Ypsilanti, notre
général
, par le troisième, en réclamant le prix des trois
rotéger la famille de son roi, fut obligé de lutter contre les autres
généraux
. L’ambitieux Antigone fut son plus terrible adver
nez les yeux vers moi, ô vous les plus cruels des Macédoniens ! Votre
général
prisonnier, se tenant debout en votre présence, e
pour racheter ces bagages, faut-il livrer en échange la tête de votre
général
? Ainsi donc, moi, sans avoir été vaincu, je suis
fidèles et les plus innocents de tous les soldats à l’égard de votre
général
. » Traduit des œuvres latines de C. Lebeau (1701
« Vous voyez, soldats, en quel appareil se présente à vos yeux votre
général
: les chaînes que voici, ce n’est pas un ennemi q
solation pour moi. C’est vous qui de vainqueur m’avez fait vaincu, de
général
, prisonnier. Quatre fois, dans le cours de cette
u serment par lequel vous vous êtes tant de fois engagés envers votre
général
; ou si vous avez honte d’employer la violence co
s vous réserver un sort pareil à celui que vous avez fait subir à vos
généraux
! C’est vous, oui c’est vousmêmes qui vous êtes s
ellent aux plus brillantes destinées, on nous défie ! Qu’il vienne ce
général
amolli par une longue paix, avec ses soldats levé
espérance du Sénat, le seul rempart de la patrie, si les paroles d’un
général
pouvaient ajouter quelque courage à vos cœurs, qu
ur dans de si nombreux combats ? Cette vile multitude abandonnera son
général
qu’elle a suivi par hasard, et non par l’impulsio
ai donné la mienne ; il m’a inscrit au nombre des citoyens, m’a nommé
général
et m’a confié la direction de ses intérêts ; par
rie peut les anéantir chaque jour : de plus, quand il s’agit du salut
général
, on doit savoir mettre de côté ses intérêts privé
-C. (Expédition d’Alexandre en Asie.) XXVII. Discours de Cyrus aux
généraux
de son armée qui viennent de le proclamer chef de
e titre ? » Traduit de Xénophon (La Cyropédie). XXVIII. Cyrus aux
généraux
de son armée. Deuxième partie. « Quant à nous
de fatigues, et il est juste aussi que vous teniez compte des autres
généraux
. Avez-vous oublié toutes les souffrances que j’ai
ues et que je ne périsse pas épuisé de fatigue. Chargez donc un autre
général
de la guerre contre les pirates ; parmi ceux qui
e continuer la guerre, d’y persévérer, quand Démosthène et les autres
généraux
Athéniens désiraient lever le siège ! Les paroles
mite, veillez sur la république, Sénateurs, et faites de Pompée votre
général
. » Traduit de Lucain (Pharsale). XLII. August
nviolable. » Traduit de Cicéron. XLIV. Memnon, le plus habile des
généraux
de Darius, donne aux chefs des Perses le conseil
l’honneur et de la gloire, quand ils combattent sous les yeux de leur
général
. Enfin on ne peut douter qu’il ne soit plus avant
lu, jusqu’à ce que les traités aient été ratifiés par un consentement
général
. En agissant ainsi, je croirai avoir usé des droi
ques qui nous étaient hostiles ? Si je ne m’associais pas, moi, votre
général
, à tous vos dangers, à toutes vos fatigues, je co
la guerre en Afrique. Pas un des soldats ne connaissait les plans du
général
. À peine débarqué, il dévoile ses desseins au mil
fia le commandement d’une armée nombreuse à Suréna. On suppose que le
général
adresse à ses soldats le discours suivant : « Br
ge nous auront assuré. Mon plus vif regret est d’avoir à combattre un
général
sans mérite, sans capacité militaire, un homme vi
ourrions acquérir plus de gloire. » Extrait des Annales des concours
généraux
, traduit du discours de J. V. Le Clerc (année 180
LXV. Discours de Suréna. Deuxième fragment. « Mais bientôt ce
général
que ses propres concitoyens ont chargé de leurs i
déroute ; vous ne pourrez remplir ces devoirs si nécessaires pour un
général
, et vous serez vaincu avant de vous apercevoir de
ude qu’ils avaient contractée de ne rien faire qu’en vue de l’utilité
générale
de la patrie, est tombée chez eux en désuétude !…
z me faire subir contre le droit des nations. » Extrait des concours
généraux
. Fragment traduit du prix d’honneur de 1810 (Vict
ite portion de terre dont ils pussent faire leur habitation ; que les
généraux
romains avaient grand tort, lorsqu’ils les animai
aux volontés d’un maître ? Thémistocle, auteur de ce conseil, fut élu
général
: Cyrsile, qui était d’avis de recevoir Xerxès, f
pidé. Car autrefois les Athéniens ne cherchaient ni un orateur, ni un
général
qui leur procurât une paisible servitude ; ils au
urius Dentatus, le vainqueur des Sabins ; en voyant que tant d’autres
généraux
illustres parmi les Romains, se sont toujours imp
l la gloire militaire de Jules César. — « Les hauts faits de tous les
généraux
de Rome, ceux des souverains les plus célèbres, n
é dont je me plais à occuper ma pensée, c’est que les hauts faits des
généraux
de Rome, des nations étrangères, des peuples les
, plus de correction dans le style. La rhétorique doit cette autorité
générale
et souveraine à ce qu’elle est fondée sur l’obser
ons funèbres, les compliments ou remercîments académiques. Règles
générales
: I. Il ne faut louer que par les faits. Bossuet
ce genre d’éloquence. Enfin les discours prononcés dans les conseils
généraux
ou municipaux, dans les assemblées d’actionnaires
s assemblées d’actionnaires, etc., sont du genre délibératif. Règle
générale
. Respecter et soutenir uniquement ce qui est jus
nition d’un crime, il défend la fortune ou la vie d’un accusé. Règle
générale
. — Rattacher l’autorité des lois civiles à l’auto
ou de dissuader, d’accuser ou de défendre ; et les règles simples et
générales
suggérées par l’étude des grands modèles s’appliq
— Rattacher le droit civil au droit naturel. Leçon III. Division
générale
de la rhétorique. 1. Division de la rhétorique
— 2. Origine de cette division. — 3. Utilité de cette division. Règle
générale
. — 4. De l’invention. — 5. De la disposition. — 6
De la disposition. — 6. De l’élocution. — 7. De l’action. — 8. Règles
générales
. 1. Division de la rhétorique. — Les règles de
leur objet, leurs moyens, leurs effets ; ils disposent dans un ordre
général
les conceptions, les personnages ou les motifs un
le et l’expérience et le bon sens. La rhétorique proclame cette règle
générale
: qu’il h faut concevoir un sujet, en disposer le
e qui n’est plus guère pour nous qu’un objet de curiosité. 8. Règles
générales
. — En résumé la raison pose les trois règles suiv
1. Objet de l’invention. — 2. Utilité de cette partie. — 3. Règles
générales
. — 4. Division de cette partie. — 5. Des mœurs. —
ité du sujet d’où jailliront des idées d’abord inaperçues. 3. Règles
générales
. — Pour trouver ce qu’on doit dire sur un sujet d
aux plus pratiques de la vie. C’est seulement après cette préparation
générale
qu’on sera en état d’aborder l’analyse de la mati
. 9. De l’induction. — C’est un raisonnement qui tire une conclusion
générale
de plusieurs exemples particuliers. Tel est le ra
ts du pédant, du bigot, du libertin, et conclut par cette observation
générale
: N’en déplaise à ces fous nommés sages de Grèce
ments ou lieux communs. Les lieux communs sont donc les points de vue
généraux
sous lesquels tous les sujets peuvent être envisa
alité, disent-ils, à propos de tout fait élémentaire, de toute vérité
générale
; c’est un principe rebattu. Rebattu, oui, rebatt
en lumière toute la supériorité de Tu renne en l’opposant d’abord aux
généraux
qui n’ont pas eu toutes ses vertus. Si M. de Tur
mourir. Tite Live. Enfin, M. Thiers veut peindre la vie d’un grand
général
d’armée ; c’est encore par les circonstances qu’i
nservation de la ville. Enfin le sénat voyait de près la conduite des
généraux
, et leur ôtait la pensée de rien faire contre leu
le plus souvent invoqués devant les tribunaux, ont une autorité plus
générale
et peuvent fournir des arguments qui ne sont pas
cultés du doigté. Les lieux communs, dit Cicéron, sont des principes
généraux
d’où ! se tirent les raisonnements pour tous les
e siècle. Tout périt par l’excès ; ne rien dire de trop est une règle
générale
, mais nulle part elle n’est plus impérieuse qu’au
t de la passion. 7. Du pathétique chez lesanciens. — Une observation
générale
qu’il ne faut pas négliger, c’est que dans l’anti
ée du chien Citron. 8. Résumé et règles. En résumé, ces observations
générales
peuvent être ramenées aux six règles suivantes :
accueillie, Mais ces circonstances-là étant des exceptions, la règle
générale
de la disposition reste toujours de ranger ses mo
. 3. Des parties du discours. — C’est en s’inspirant de cette pensée
générale
et en tenant compte des exigences naturelles de l
. 6. Règles de la disposition. — En résumé, toutes ces observations
générales
peuvent être réduites aux sept règles suivantes :
et le succès le plus mérité. L’exorde est comme un sommaire, une idée
générale
, et aussi une recommandation du discours ; il doi
la curiosité que peut provoquer le sujet. Plus le sujet est élevé et
général
, plus l’esprit de ceux auxquels nous nous adresso
Ainsi la narration étant déjà un moyen de preuve, un premier argument
général
en faveur de l’objet qu’on se propose, tous les d
t accumulera entre deux les preuves médiocres. De cette façon la loi
générale
de progression croissante sera observée puisque l
iguïté des mots, c’est de prendre le même mot dans un sens composé ou
général
, puis dans un sens divisé ou particulier. Par exe
hons à toutes choses une cause ; et par une disposition presque aussi
générale
de notre vanité nous aimons à croire que nous l’a
stant, un abus passager, présenté comme un état de choses habituel et
général
; voilà le grand moyen des révolutions. D
açon régulière en trois parties qui contiennent : l° Des observations
générales
sur les différentes formes grammaticales, sur les
mots et de pensée. 2° Des observations particulières sur les qualités
générales
du style et sur les qualités spéciales que réclam
s qui distinguent la prose de la poésie. Leçon XXIII. Observations
générales
sur les mots. — Synonymes, équivalents, épithètes
s, équivalents, épithètes. 1. Objet et utilité de ces observations
générales
. — 2. Des synonymes. — 3. Des mots qui ne comport
gens ; le juge interroge les criminels ; le soldat demande l’ordre du
général
. Un homme est indolent par indifférence, nonchala
VI. Des tours de phrase. 1. Des tours de phrase. — 2. Des tours
généraux
. — 3. Des tours particuliers les plus simples. —
Les tours de phrase peuvent être divisés en deux groupes : les tours
généraux
et les tours particuliers. 2. Les tours généra
oupes : les tours généraux et les tours particuliers. 2. Les tours
généraux
ou communs. — Les tours généraux ou communs sont
tours particuliers. 2. Les tours généraux ou communs. — Les tours
généraux
ou communs sont ceux qui, dépendant du mouvement
vantage est d’offrir un excellent moyen de varier le style. Ces tours
généraux
peuvent être ramenés a quatre principaux, derrièr
4. Des tours particuliers les plus vifs. — Aux deux derniers tours
généraux
, qui sont les plus passionnés et les plus express
n… Voilà l’éloquence des images. Mais dans tous les cas, la règle
générale
est de ne pas prodiguer les figures et de préveni
aux explications de détail relatives au style figuré, les remarques
générales
que provoquent les figures peuvent être résumées
ne veut reprocher aux Athéniens leur frivolité dans le choix de leurs
généraux
: Vous ressemblez à des mouleurs en argile : qua
x : Vous ressemblez à des mouleurs en argile : quand vous faites des
généraux
, c’est pour l’étalage et non pour l’action. Mithr
hardiesse et de violence à vous d’avoir, à votre âge, battu de vieux
généraux
que vous deviez respecter, tué le comte de Fontai
ne exclamation qui résume une situation morale et renferme une vérité
générale
ou une réflexion profonde condensée en peu de mot
es règles relatives aux figures ‘sont dominées "par cette observation
générale
qu’il faut éviter la recherche et la profusion de
ésume les pensées, les raisonnements ou les sentiments sous une forme
générale
. III. L’apostrophe donne une vivacité toute drama
nnaît et raille la métaphore de Tertullien : le déluge fut la lessive
générale
de là nature, et la traduction trop exacte de Ben
ar Buffon qui recommande de nommer les choses par les termes les plus
généraux
Ou l’espèce pour le genre. — La Fontaine dit du l
le nom d’ironie, litote, atténuation, astéisme, etc. Une observation
générale
doit compléter cette étude su les tropes, c’est q
a règle de Buffon qui veut que le style élevé use des termes les plus
généraux
. VI. l’emploi de ces figures doit être subordonn
ar l’élan spontané de la passion. Leçon XXXV. Du style. — Qualités
générales
du style. 1. Du style. — 2. Distinction des qu
tés générales du style. 1. Du style. — 2. Distinction des qualités
générales
et des qualités particulières, — 3. De la correct
e la clarté. — 5. De la précision. — 6. Règles relatives aux qualités
générales
du style. 1. Du style. — Le mot style est un
s générales du style. 1. Du style. — Le mot style est un terme si
général
qu’il est difficile d’en fixer le sens par une dé
Il faut distinguer deux sortes de qualités du style : 1° des qualités
générales
qui sont essentielles à toute expression de la pe
ux différents objets que se proposent les écrivains. Les six qualités
générales
du style sont la correction, la clarté, la précis
répétition n’est pas faute en cet endroit, car il n’y a pas de règle
générale
. L’obscurité naît souvent du désir de paraître f
uffé par ces longueries d’apprêts. 6. Règles relatives aux qualités
générales
du style. — En cette matière, comme dans toutes l
s les observations qui précèdent peuvent fournir matière à six règles
générales
: I. Le style sera le reflet naturel des qualités
anche tous les termes superflus. Leçon XXXVI. Suite des qualités
générales
du style. 1. Du naturel. — 2. De la noblesse.
leur langue est composée de termes exacts, nobles, tirés de la langue
générale
, ni techniques, ni abstraits ; ils usent de métap
agination le plus heureux effet. Leçon XXXVII. Suite des qualités
générales
du style. . De la convenance. —2. De l’unité e
de la propriété de chacune des expressions que résulte la convenance
générale
du style. La réflexion et l’intelligence du sujet
spectateur, elles se fondent avec tant d’harmonie dans la composition
générale
, que les plus grandes audaces passent inaperçues
saurait trop étudier. 8. Règles. — Les observations sur ces qualités
générales
de style peuvent être ramenées à cinq règles élém
naissance réfléchie du sujet. II. L’unité est le reflet du caractère
général
écrit ou d’un discours, la varieté en le charme e
s de style. 1. Des qualités particulières du style. — Les qualités
générales
du style sont partout indispensables ; partout le
ive : c’est le ton qui s’adapte tout naturellement aux idées les plus
générales
de la raison, aux conceptions religieuses, esthét
e, c’est la poésie. Dans l’ordre des faits dont se compose l’histoire
générale
de l’humanité, la prose a bien évidemment précédé
s à chercher les lois des faits historiques et les principes les plus
généraux
du droit ; enfin les critiques ou juges du mérite
traité devant eux, pour leur servir de modèles, toutes les questions
générales
qui leur étaient accessibles, ils leur donnaient
ment de la rhétorique en latin et lit traiter à ses élèves des sujets
généraux
et factices propres à les préparer à parler sur t
— 6. Classification des différents genres de composition. — 7. Règles
générales
de composition littéraire. 1. Exercice prélimi
e qu’il puisse être gâté par des modèles imparfaits. 2. Observation
générale
sur les compositions littéraires. — Quel que soit
travail littéraire auquel l’esprit s’applique, il y a quelques règles
générales
de son sens et de bon goût qui doivent dominer to
vision élémentaire empruntée à l’art oratoire, convient d’une manière
générale
à toutes les compositions ; a différence des suje
er à la forme qui convient au sujet. Le style doit avoir un caractère
général
en harmonie avec le caractère même du sujet, et c
faudra pas oublier que, tout en respectant et conservant le caractère
général
du style, on doit tenir compte-dans le détail, de
ts genres de composition. — Les observations qui précèdent sont assez
générales
pour s’appliquer sans distinction à toutes les es
ement d’un mot historique — d’une vérité morale — Analyse. 7. Règles
générales
de composition. — Ces observations sur les compos
’objet pour lequel ont été inventées les lettres en fixe le caractère
général
; la lettre est le moyen d’informer les absents d
grammaire et par le bon goût. Saint Grégoire a marqué les caractères
généraux
du style épistolaire dans une lettre qui réunit l
Helvidius ; vous n’avez pas vu le vainqueur des Bretons, votre ancien
général
, Agricola, expier sa gloire et la vôtre par une m
pain comme ta cendre, loin d’être ingénieux, est faux ; 3° que le ton
général
est celui du bel esprit, et non de l’éloquence re
olonté libre dans l’homme ou de ses rapports avec Dieu. D’une manière
générale
, ces compositions réclament une méthode très-rigo
, le menteur, le prodigue, le brave, le philanthrope, etc. Les règles
générales
relatives à la description et au tableau peuvent
des pensées plus fines et des tours plus délicats. Cette observation
générale
doit être rappelée à notre pays et à notre temps
l’origine et la source des autres. L’examen de quelqu’une de ces lois
générales
de l’humanité est un travail très-propre à dévelo
rce au profit de tous. Il ne s’en tient pas là : les besoins réels et
généraux
de son temps à peu près satisfaits, la pensée et
s sa haute intelligence, sa puissante volonté au service de la pensée
générale
, du vœu.commun ; maintenant il veut employer la f
e a été développée. 3° Examiner et juger le style dans ses caractères
généraux
, dans ses qualités particulières et dans son rapp
achever une maison qu’il fait bâtir, car c’est aujourd’hui la fureur
générale
. Je suis las de vains prétextes pour prolonger un
s qu’il aura à remplir plus tard sur la terre. Mais, à côté de ce but
général
, de cette préparation éloignée, l’éducation doit
me honnête et intelligent, habile et vertueux ; c’est la fin commune,
générale
, nécessaire. Mais, de plus, il a toujours une voc
ir telle ou telle fonction dans la société humaine. Outre l’éducation
générale
et essentielle qui forme l’homme avant tout, qui
e de loin à toutes choses, qui développe en lui et élève les facultés
générales
de la nature, et en fait par là un homme digne de
’achèvent l’une par l’autre. 9. Résumé et règles. — Les observations
générales
sur ces sujets peuvent être résumées dans les cin
logismes. 3° Péroraison : Récapitulation ou Conclusion. 1° Qualités
générales
du style. 2° Ancienne division du style. 1° Style
s jusqu’à une simple lettre d’affaires, il doit satisfaire aux règles
générales
de l’invention, de la disposition et de l’élocuti
e v.) 7° Induction L’induction (inductio) tire une proposition
générale
de plusieurs faits particuliers (in-ducere). Ex.
La déduction (deductio) tire une vérité particulière d’une vérité
générale
(de-ducere). Ex. L’homme attaqué peut sans crime
es arguments que nous venons d’énumérer se rapportent à des principes
généraux
, dont ils ne sont que des conséquences. Ces princ
tout entière, et persuade en déterminant le sens des mots ; elle est
générale
ou partielle. Ex. Définition du crime par le vie
propres au genre judiciaire, où l’on cherche à prouver que les textes
généraux
de la loi sont applicables dans l’espèce à un suj
st un sophisme par induction dans lequel on conclut du particulier au
général
d’un fait accidentel à une loi universelle. Ex.
ffon, seront les seuls qui passeront à la postérité. Ses qualités
générales
Les qualités générales du style sont : 1° La c
passeront à la postérité. Ses qualités générales Les qualités
générales
du style sont : 1° La clarté ; 2° La propriété ;
des sons dont l’accord est flatteur pour l’oreille ; c’est la qualité
générale
du style qui couronne l’œuvre. Les rhéteurs disti
lée dans la période, et que l’on peut enlever sans en changer le sens
général
. Il y a pour l’incise, comme pour la période, une
e division du style ; qualités particulières du style Les qualités
générales
du style sont partout les mêmes ; les qualités pa
critiques de détail ; il nous suffira de faire remarquer d’une façon
générale
que cette classification a le grave inconvénient
lure est libre et dégagée. Il ne suffit pas de connaître les qualités
générales
et particulières du style, il faut aussi savoir l
7.) Élocution. Résumé synoptique STYLE. FIGURES Qualités
générales
. Ancienne division. de pensée. de mots. Clarté
analyse, il faut satisfaire à trois conditions ; 1° déterminer l’idée
générale
de la composition qu’on analyse ; on le fait ordi
érer les pensées principales qui ont servi au développement de l’idée
générale
; 3° indiquer les idées ou faits accessoires qui
La Littérature est, dans le sens le plus étendu du mot, la théorie
générale
et l’histoire critique des œuvres de l’esprit hum
de la science et de l’érudition pure, dont elle exprime les résultats
généraux
et qu’elle ne fait qu’effleurer. Les productions
les œuvres poétiques, et les œuvres en prose. Dans l’ordre des faits
généraux
de l’humanité, la prose a précédé les vers, mais
a peinture ( ut pictura, poesis , a dit Horace). Outre les conditions
générales
communes à toutes les productions de l’esprit hum
ision en cinq genres Nous nous sommes bornés à diviser d’une façon
générale
les œuvres poétiques en cinq genres : 1° lyrique,
ont les conditions essentielles de toute poésie lyrique. Le caractère
général
de la poésie lyrique est d’être toujours libre et
plissent un poème sans l’animer. Indiquons en passant quelques règles
générales
dictées par le bon sens et le goût. Horace dit q
gédie d’Eschyle et de Sophocle. Elle affecta d’en parodier les formes
générales
, et mêla tous les tons. La comédie ancienne se pr
sa de l’être avec Antiphane et Alexis dans la moyenne ; elle redevint
générale
et morale (comédie de mœurs et de caractère) avec
par le style et le nom. Elle peint tantôt les vices et les ridicules
généraux
de l’humanité sous quelque forme qu’ils se présen
artient au genre délibératif. Elle comprend les discours de politique
générale
, les discours d’affaires particulières ou locales
ulaires que se rendaient les orateurs et qu’on discutait les intérêts
généraux
. Chez les Grecs, elle avait pour théâtre l’agora
Éloquence militaire L’éloquence militaire est celle qu’emploie un
général
pour soutenir ou exciter le courage, de ses solda
étaient fort en usage. Dans les républiques d’Athènes et de Rome, les
généraux
avaient souvent occasion de parler à la multitude
se de la patrie. Cela explique la présence de nombreuses harangues de
généraux
chez les historiens grecs et latins. Elles n’ont
expose les dogmes de la morale et de la religion. Outre les qualités
générales
qui conviennent à tous les discours sacrés, l’uni
es autres, tous les historiens de la Grèce furent des hommes publics,
généraux
ou orateurs. Il en fut de même à Rome, Chez les m
Martin, etc. 3° Elle est philosophique quand elle recherche les lois
générales
de la vie des nations. Science nouvelle, à peine
s de chaque nation, elle s’élève à la conception d’une seule histoire
générale
. Elle embrasse d’un coup d’œil la génération des
ratry, La Philosophie de l’histoire, etc. 2° Histoire universelle,
générale
, particulière Considérée sous le rapport de l’
a été le théâtre, chez tous les peuples et dans tous les siècles. 2°
Générale
, quand elle fait connaître les origines, les prog
littéraire la bibliographie qui en est le complément. Elle peut être
générale
, spéciale, ou particulière. La bibliographie géné
Elle peut être générale, spéciale, ou particulière. La bibliographie
générale
est l’étude critique et raisonnée des différents
° La métaphysique est la science des causes premières, des conditions
générales
, et universelles de l’être, abstraction faite des
rivains qui ont exposé des théories, des doctrines ayant des rapports
généraux
ou particuliers avec la philosophie, et qui se so
About, etc., ont étudié, dans leurs œuvres ou leur articles, les lois
générales
des peuples, les principes du droit public et les
e, p. 2 et 3.) 4° Genre romanesque Sa définition, ses règles
générales
; origine du roman, son utilité, son domaine et s
peut toutefois en indiquer quelques-unes qui ne peuvent être que très
générales
: vraisemblance des événements, vérité des caract
rique. 3° Didactique, etc. 4° Romanesque. Éloquence 1° Politique :
générale
, particulière, Discussion des lois, etc. 2° Milit
s d’histoire : 1° narrative, critique, philosophique. 2° universelle,
générale
, particulière. 3° 1° Sacrée : sainte, ecclésiasti
obligé de se contrefaire, et cette hypocrisie lui méritera un mépris
général
. Si le créateur nous a distingués du reste des a
ouvrage, que je devise en deux parties, renfermant une les préceptes
généraux
, l’autre les préceptes particuliers. Les précepte
préceptes généraux, l’autre les préceptes particuliers. Les préceptes
généraux
s’appliquent à tous les genres de composition qu’
général, 2° le Style, 3° la Composition, 4° la Poésie. Cette division
générale
me semble vicieuse en ce que la Rhétorique en gén
C’est l’arrangement des pensées fournies par le sujet. Trois qualités
générales
sont requises dans la disposition : 1. L’ordre. —
arlé déjà des pensées intrinsèques et extrinsèques. C’est la division
générale
; mais telle pensée peut être puisée dans l’ordre
s détachées de l’ensemble s’isolent et annulent la majesté de l’effet
général
. Elle se lie tellement à l’unité d’action, qu’on
assurer des dispositions de son auditoire, s’attirer la bienveillance
générale
, et repousser les préventions défavorables qui po
est-à-dire du partage en plusieurs points d’une partie de la division
générale
. Narration. La narration oratoire est l’exp
il entre dans des détails intéressants, il sait joindre à chaque idée
générale
toutes les idées accessoires qu’elle fait naître,
— C’est l’invention d’un sujet fécond, heureux. 2° Il fait un dessin
général
de son œuvre. — C’est le plan de la composition.
s premiers principes du goût. Il n’y a rien dans notre nature de plus
général
que le sentiment de la beauté sous toutes ses for
’éclaire et devient plus sûr ; il discerne non seulement le caractère
général
de l’ouvrage, mais les beautés et les défauts de
seulement soumis aux règles de la grammaire et à ce qu’il y a de plus
général
dans les préceptes littéraires ; en un mot, c’est
inées. Mais, outre ces deux formes de la pensée, il y a des principes
généraux
qui sont propres à toutes les productions littéra
à la composition. C’est l’art d’exprimer sa pensée d’après ces règles
générales
que l’on appelle style. 23. Quelle est la divisio
éduire à trois points fondamentaux. On devra d’abord poser les règles
générales
de l’art d’écrire ou du style, règles qui, nous v
gt-deuxième année, avocat général au parlement de Paris, et procureur
général
six ans après, il fut l’un de ceux qui, au moment
remarque ses Mercuriales : néanmoins on regrette qu’une absence trop
générale
de simplicité, de naturel et de verve se mêle à c
e sauriez mieux réussir à l’éviter qu’en vous attachant aux deux vues
générales
que je viens de vous marquer : l’une, de vous con
de tous les hommes contre leur condition, une espèce de conspiration
générale
dans laquelle ils semblent être tous convenus de
es parlements, en novembre et après Pâques, les procureurs ou avocats
généraux
, et quelquefois les chanceliers, pour entretenir
tinction peu lumineuse. Mais sans nous occuper d’établir ici un terme
général
plus convenable, ou de chercher une division plus
est tiré du grec : il signifie inscription ; et dans son sens le plus
général
il veut dire des pièces de vers tellement courtes
ne pensée, une réflexion ; et quoiqu’elle rentre dans cette catégorie
générale
des petites pièces, on ne la confond pas avec les
ou attaquer des personnages imaginaires, ou s’armer contre les vices
généraux
de la société, et faire des épigrammes morales, t
Tout le monde trouva cette fonction d’agent de police, peu digne d’un
général
aussi élevé ; et Condé lui-même improvisa contre
n ne peut guère rapporter qu’à l’épigramme prise dans le sens le plus
général
deux ou trois petites pièces de poésie où l’on do
délicate. Il faut se contenter d’attaquer les vices et les ridicules
généraux
, sans jamais donner dans l’odieux des personnalit
légal appuyé sur la liberté. Elle assiste aux funérailles de ce noble
général
dont les mâles accents faisaient tressaillir tout
dition et de philosophie, ne puissent pas être proposées comme modèle
général
de prédication, parce qu’elles ne conviendront ja
t ? L’on entend en général, par modèle, ce que, d’après l’assentiment
général
et presque universel, on peut considérer comme un
iné par sa comparaison avec celui des autres hommes, et l’approbation
générale
est, en définitive, juge souverain en cette matiè
s du génie, en remontant des applications particulières aux principes
généraux
. La critique n’a pour fondement que l’expérience
sentiment sont nécessaires pour guider dans l’application des règles
générales
aux cas particuliers ; mais parce que la critique
ependant produisent en nous cette impression. Sans fonder une théorie
générale
, il faut reconnaître que le sublime a diverses so
nd écrivain. C’est la difficulté du genre. Si la description est trop
générale
, si elle est trop chargée d’accessoires, ou accom
imes ; mais il ne suffirait pas de les peindre d’une manière vague et
générale
, il faut échauffer la scène par des expressions v
si elle est déplacée, si elle est n’est pas en harmonie avec le plan
général
, la beauté se convertit immédiatement en difformi
excitées. (On peut lire avec fruit, sur ce sujet, les considérations
générales
sur la formation des langues et sur leurs progrès
rminé ses propriétés avec soin. Sans chercher un système de grammaire
générale
, ou particulièrement de grammaire française, je m
bles ou opposées. Ainsi, quoique la formation des idées abstraites et
générales
soit supposée être une opération difficile de l’e
me nom tous les objets qui ont de l’analogie entre eux. Mais ces noms
généraux
n’étaient pas suffisants, il fallait parvenir à s
x n’étaient pas suffisants, il fallait parvenir à séparer de la masse
générale
, des objets spéciaux et à les déterminer. C’est p
rapportent ; en sorte que ce sont à la fois les expressions les plus
générales
et les plus spéciales de la langue ; ce sont auss
pas ici le lieu d’examiner cette question. En parlant des caractères
généraux
du style, il est d’usage de le diviser en nerveux
sont pas bien distinctes dans son esprit, elles sont diffuses et trop
générales
, et par conséquent ne peuvent être exprimées avec
netteté ; il suffit, en certaines occasions, que nous ayons une idée
générale
de l’objet. Si le sujet est connu et familier, l’
e peu judicieux de ces mots appelés synonymes, qui expriment une idée
générale
, mais le plus souvent ont quelque légère variété
vifs et faciles. Cependant, dans presque tous les écrits, le principe
général
est que ces deux genres de style doivent être mêl
tion. Les règles que l’on pourrait indiquer à cet égard seraient trop
générales
: cependant quelques principes peuvent être utile
ujours une grande beauté. Maintenant, nous devons nous occuper du ton
général
de l’oraison. Si la pompe, si la plénitude convie
u ton qu’exigent les sentiments que nous voulons exprimer. Cette idée
générale
doit diriger les modulations de nos périodes. Que
r l’oreille par une variété mélodieuse. Mais, outre la correspondance
générale
entre le ton du style et le cours des pensées, on
figures ; mais avant de procéder à cette recherche deux observations
générales
vont nous servir d’introduction. La première, c’e
t, surtout dans les peines d’autrui. Du langage figuré, caractères
généraux
du style. Style diffus, concis, faible, nerveux,
font un mauvais effet. C’est une idée très fausse, et cependant assez
générale
, que de considérer les ornements du style comme d
rmine le caractère spécial du style, que l’on qualifie par ces termes
généraux
: vigoureux, faible, sec, affecté, et autres semb
, figures, et autres artifices du discours. Ce sont de ces caractères
généraux
du style dont il nous reste à parler comme complé
’est l’homme . Les anciens critiques n’ont pas négligé ces caractères
généraux
du style. Denis d’Halicarnasse le divise en trois
s divisions et les explications qu’ils donnent sont si diffuses et si
générales
, qu’elles ne peuvent fixer nos idées sur cet obje
in qui, ne consultant que son génie, s’approprie un de ces caractères
généraux
, peut posséder de grandes beautés. Pour préciser
ait trop prémunir les auteurs contre ce vice séduisant. Caractères
généraux
du style. Style simple, affecté, véhément. Consei
terai pas davantage sur les diverses manières d’écrire, ou caractères
généraux
du style ; je pourrais sans doute signaler d’autr
mais je sens qu’il serait très difficile d’offrir des considérations
générales
sur le style des auteurs, en les séparant du tour
r ses idées d’une certaine manière. Il y a, il est vrai, des qualités
générales
qui sont d’une telle importance qu’il est nécessa
us qu’orateur ; il réunissait les qualités d’habile politique, de bon
général
, d’homme adroit consommé aux affaires ; aussi gou
urs ne se contentaient plus de donner à leurs disciples des préceptes
généraux
d’éloquence, et de former leur goût ; ils profess
s accents du général Foy, annonça à la France un grand orateur, et le
général
a justifié ses présages. Des orateurs recommandab
’il exprime ; et ce ton est un puissant moyen de faire une impression
générale
. La faiblesse ou l’hésitation annonce toujours qu
vaient Démosthène et Cicéron, les statuts municipaux étaient simples,
généraux
, et peu nombreux. Les décisions étaient, à bien d
e que l’unité que je recommande peut être mieux conservée. Des sujets
généraux
, tels que l’excellence des plaisirs de la religio
nt plus brillants et plus aisés à manier ; et sans doute les matières
générales
de la religion ne doivent pas être négligées, et
effet prodigieux. Tant que le prédicateur se borne à des observations
générales
, et ne s’applique point à tracer des peintures et
aleur du débit ; je pense qu’on ne peut à cet égard tracer des règles
générales
. J’en laisserai le choix aux prédicateurs, suivan
nstruction du discours qui sont communes à ces trois genres. Les vues
générales
que j’ai offertes pour distinguer l’esprit et le
xemples d’exorde par insinuation. « Tout exorde doit donner une idée
générale
de la cause, la préparer, en faciliter l’accès, o
raîner. » (Cicéron, de Orat., lib. ii.) Après avoir présenté ces vues
générales
sur la nature et le but de l’exorde, je vais offr
re, sed ex fumo dare lucem . (Hor.) C’est infailliblement un principe
général
qu’il ne faut pas d’abord déployer toute sa force
ge. Toutes celles qui sont puisées dans des lieux communs ou matières
générales
offrent cet inconvénient. Ce début ne manque jama
lète : vous présenteriez un des coins du tableau sans donner une idée
générale
de sa composition. 4º Que les termes énonciatifs
ientôt oubliée. Pour arriver à cette clarté, outre l’étude des règles
générales
que nous avons indiquées, la narration exige une
relativement aux différents degrés d’énergie des arguments, la règle
générale
est d’avancer par la voie de la gradation, ut au
teurs, préparés déjà par ce qui a précédé. Mais cette règle n’est pas
générale
; car, s’il se méfie de sa cause, et s’il n’a qu’
ellement de l’accent prosodique, ou grammatical, que la prononciation
générale
détermine ; il est le signe de l’émotion qu’éprou
ur en parlant doit être vrai ; pour y parvenir il doit moduler le ton
général
de ses discours sur celui d’une conversation anim
M. Delamalle et tous les gens de goût blâment cette habitude presque
générale
au barreau d’accompagner chaque phrase, souvent m
mais avant de terminer, il me semble utile de présenter quelques vues
générales
sur les moyens les plus propres à perfectionner l
ique, la géographie, la statistique, la physiologie, quelques notions
générales
de mathématiques et d’astronomie, entreront dans
e l’étude philosophique de l’anatomie du corps humain. Quelques idées
générales
d’astronomie élèveront l’âme de l’orateur au-dess
rait que ses règles et ses observations fussent moins vagues et moins
générales
; mais toujours est-il qu’on peut en tirer beauco
Chapitre Ier. Considérations
générales
. § 1. Formes du langage. — Division des ouvra
angage. — Division des ouvrages de littérature. Il y a deux formes
générales
du langage : le discours libre, ou la prose, et l
l’Académie, qui est en même temps celle de la raison et de l’opinion
générale
, et dire que la poésie est l’art de composer des
r mathématique ; mais personne ne doutera qu’au nombre des conditions
générales
de la bonté dans les ouvrages, on ne doive compte
les ornements du style, et de clore par là notre étude sur les règles
générales
de l’art d’écrire, nous examinerons les différent
par les rhéteurs. Le style a deux espèces de qualités : les qualités
générales
et les qualités particulières. On appelle qualité
qualités générales et les qualités particulières. On appelle qualités
générales
celles qui sont invariables et essentielles, et q
ttérateurs contre les défauts opposés. Article Ier Des qualités
générales
du style 112. Quelles sont les qualités génér
Des qualités générales du style 112. Quelles sont les qualités
générales
ou essentielles du style ? Les qualités générale
sont les qualités générales ou essentielles du style ? Les qualités
générales
du style peuvent se réduire à six, savoir : la pu
’est-ce que la pureté du style ? La pureté, considérée comme qualité
générale
du style, consiste à écrire correctement, c’est-à
ent d’espèces de style ? Nous venons de passer en revue les qualités
générales
du style, c’est-à-dire celles qui sont toujours i
eut dire aussi, avec tous les rhéteurs, qu’il n’y a que trois espèces
générales
de style : le style simple, le style tempéré ou f
tre toujours. Chaque ouvrage, comme chaque tableau, doit avoir un ton
général
; mais les nuances intermédiaires peuvent être fo
e fausse ou puérile ; Tout sujet qui ne présente pas un intérêt assez
général
. Chapitre IV. Le sujet une fois choisi, il
x communs. La théorie des topiques consiste en trois points : Études
générales
pour préparer aux spécialités ; Lieux externes,
t pas moins indispensable que l’invention. On se fait d’abord un plan
général
dans lequel n’entrent que les premières vues et l
s vérités d’expérience, Les vérités de témoignage. La formule la plus
générale
de démonstration, qui pose les universaux et en d
le du style est l’harmonie. Il y a deux sortes d’harmonie, l’harmonie
générale
qui ne considére les sons qu’en eux-mêmes et abst
eurs rapports avec les pensées et les sentiments exprimés. L’harmonie
générale
dépend, soit de la nature individuelle des sons,
elon les circonstances, consiste à n’employer que les termes les plus
généraux
et les tournures les plus polies et les plus dign
es qui s’appliquent à toute composition. 7. Quelles sont les qualités
générales
du style, et parmi ces qualités, celles qui carac
t les caractères, les mœurs et les passions des hommes à leurs traits
généraux
, universels, communs à toute l’humanité, indépend
sont particulières à chaque peuple et à chaque époque. De ces traits
généraux
et universels, elle compose cet idéal que le xvii
’histoire qui juge les hommes se place la science qui étudie les lois
générales
de la vie des peuples et l’origine des révolution
nature ; les publicistes qui, comme Montesquieu, ont étudié les lois
générales
des peuples et les principes du droit ; à plus fo
, les plans de son tableau ; il les dispose et en arrête l’ordonnance
générale
avant de commencer l’ébauche ; il peint enfin, et
sme. La première proposition s’appelle majeure : c’est la proposition
générale
; la seconde, mineure : c’est la proposition part
ras obéissant ? L’Induction est un argument qui tire une proposition
générale
de plusieurs faits particuliers. Après avoir fait
que nous venons de passer en revue se rapportent à certains principes
généraux
dont ils ne sont que les conséquences. Les princi
propre au genre judiciaire, où l’on cherche à prouver que les textes
généraux
de la loi sont applicables dans l’ espèce au suje
rité. Aussi la Rhétorique attribue-t-elle aux Mœurs un caractère plus
général
. Pour faire bien entendre la puissance des mœurs
s exemples, un cri du cœur, un élan de la passion, se tire de vérités
générales
et imposantes, comme les paroles que nous avons c
ut de l’oraison funèbre de Henriette de France. Le danger des maximes
générales
est de tourner au lieu commun, dans le sens fâche
e un sophisme par induction. Il consiste à conclure du particulier au
général
, d’un fait accidentel, d’une vérité partielle et
rreur. Disposition. — Les règles de la Disposition ne sont pas moins
générales
que celles de l’invention. Une lettre et un rappo
souplesse et la vigueur. Il ne faut pas croire non plus que les lois
générales
du goût et du style ne servent qu’aux écrivains.
uble titre, de deux académies, il exposait à ses auditeurs les règles
générales
de l’éloquence, telles qu’il les comprenait après
r toute l’étendue de leur génie. » VII. Quelles sont les qualités
générales
du style, et parmi ces qualités, celles qui carac
l et original du style n’en exclut pas les qualités et les caractères
généraux
; car le bon sens et le goût le soumettent, comme
le. C’est l’étude des uns et des autres qui nous apprend les qualités
générales
et éternelles de style. 1° Clarté. — La première
sent exagérer les avantages de la concision. Ce n’est pas une qualité
générale
du style ; car elle n’est pas nécessaire et quelq
ndustrie et à la science. Le Naturel et la Noblesse sont des qualités
générales
du style qui relèvent à la fois de la pensée et d
ans travail sensible. Le naturel n’est donc autre chose que la vérité
générale
, universelle, impérissable. Il fait passer dans l
. » (Dialog. sur l’Éloquence.) Harmonie. — La dernière des qualités
générales
du style, celle qui couronne les autres, c’est l’
style. » (M. Villemain, Préface déjà citée) Ce fut dans ce mouvement
général
des intelligences vers la raison et la vérité que
écrivains du xviie siècle s’embarrassaient quelquefois. L’étude plus
générale
des sciences et des arts, l’exemple et l’autorité
olennelle, sa majesté que rien n’adoucit, et son goût pour les termes
généraux
; Rousseau, par son éloquence souvent mise au ser
d’un corps. Tous les corps sont étendus ; mais, outre cette propriété
générale
d’être étendus, ils ont encore chacun leur figure
d’abord connaître ce qu’on pense ; elles ont d’abord cette propriété
générale
qui convient à toutes les phrases et à tous les a
ceux qui le suivent sont ses soldats et ses domestiques, et qu’il est
général
et père de famille tout ensemble. » (Fléchier, Or
rivain l’attention à ne nommer les choses que par les termes les plus
généraux
. La partie pour le tout, et quelquefois le tou
s jugements déjà connus, en les comparant entre eux. La forme la plus
générale
du raisonnement se nomme syllogisme ; on peut y j
le prouver qu’il faut aimer la vertu ; j’établis d’abord cette vérité
générale
, que personne ne conteste : Il faut aimer ce qui
n : on l’a appelé poignard à double lame, qui frappe en deux sens. Un
général
faisait ce dilemme à une sentinelle qui avait lai
ion. L’induction est un argument par lequel on tire une conclusion
générale
de plusieurs faits particuliers. Exemple : La san
eux ? Parce que je n’aime pas le travail. Conclure du particulier au
général
, ou du relatif à l’absolu. Exemple : La médecine
er à un semblable inconvénient, c’est de subordonner l’exorde au plan
général
du discours, et de ne s’en occuper qu’en dernier
iscours pour Milon, lorsque, dans le résumé qui va suivre ces notions
générales
, nous chercherons dans ce magnifique plaidoyer le
oit convaincu, pour que le cœur se laisse persuader ; et que la règle
générale
est que : L’esprit n’est point ému de ce qu’il n
iaison ajoute à leur solidité. Quant à leur force graduelle, la règle
générale
veut que l’on procède du plus faible au plus fort
i ont l’avantage de réunir, sous un seul et même point de vue, l’état
général
de la cause, les lois dont elle s’appuie, et les
ces d’affaires domestiques lui firent prendre la charge de lieutenant
général
au présidial2 d’Angoulême, qui lui venait de son
A Paris il fut bientôt connu de M. de Pontchartrain, alors contrôleur
général
, qui, pour s’assurer de ce qu’il valait, n’eut be
ur la foi de son mérite ; et, au bout de trois ans, il fut lieutenant
général
de police de la ville de Paris, en 1697. Les cito
de la porte Saint-Bernard1, il fallait, pour prévenir un embrasement
général
, traverser un espace de chemin occupé par les fla
parlements. Le président de ce tribunal avait le titre de lieutenant
général
. 3. Sorte d’assises extraordinaires : c’était un
spécial Sujets littéraires Histoire littéraire. – Critique
générale
. Usage de la langue mythologique des anciens d
sur son siècle. (Marseille, juillet 1888.) Quels sont les caractères
généraux
de notre littérature au xviii e siècle ? Quels ge
ccupations de l’Académie française, quels en sont le plan et l’esprit
général
, s’arrêter au chapitre sur l’Histoire, indiquer l
lation criminelle. (Rennes, juillet 1886.) Le Théâtre. Sujets
généraux
Expliquer par des exemples, empruntés aux trag
(mars 1637). – Le Cid avait, à son apparition, excité un enthousiasme
général
. Cependant les poètes, rivaux de Corneille, résis
e Saxe. Indiquer rapidement ce que vous savez de la vie de ces grands
généraux
. Quelle a été leur carrière ? Quelles victoires o
amené Louis XVI à convoquer à Versailles pour le 5 mai 1789 les États
généraux
? Comment les États généraux sont-ils devenus l’A
Versailles pour le 5 mai 1789 les États généraux ? Comment les États
généraux
sont-ils devenus l’Assemblée nationale constituan
M. de Fontanes. Il rappellera le rôle joué par Washington, soit comme
général
dans la guerre de l’Indépendance, soit comme homm
aréchal annonce la victoire de nos troupes et loue l’intelligence des
généraux
qui servaient sous ses ordres et le courage de se
rofit. (Besançon, juillet 1891.) Rôle du xix e siècle dans l’histoire
générale
de la civilisation. De quelle nature sont les pro
ours. (Lyon, juillet 1889.) Le régime parlementaire : transformations
générales
de ce régime en France, de 1815 à 1875. (Poitiers
series du Lundi, t. I, p. 333.) Développer cette pensée d’une manière
générale
. Rappeler aussi quels sont ceux de nos grands écr
tilité. (Dijon, octobre 1889.) Quel est le sens, quelle est la portée
générale
de ces lignes de La Bruyère (Du mérite personnel)
onné au xvii e siècle le nom de siècle de Louis XIV ? Donner une idée
générale
de la grandeur de ce siècle sous le rapport des a
s faire aucun récit historique, en vous tenant à ce qu’il y a de plus
général
dans le sujet. (Paris, octobre 1883.) Concour
ltats de la guerre de Trente ans ? A qui les devons-nous ? – Cromwell
général
et administrateur. – Expliquer les causes de la d
fférents genres. Sa méthode est bonne ; il donne d’abord des conseils
généraux
, puis il aborde les genres, etc….. Il termine par
tablissement de l’Edit de Nantes (1764). C’est une opinion presque
générale
aujourd’hui que Louis XIV a commis une grave faut
simplement afin d’être entendu de tous, ce sont là des conseils très
généraux
. Si l’on y regarde attentivement, on reconnaît vi
ie, le secret de son excellence. Caractériser par quelques traits
généraux
chacun des orateurs de la chaire au XVIIe siècle.
aron quelque chose de plus large et de plus grand. Fénelon, de l’avis
général
, était plus apte que personne à rivaliser avec Bo
t Louis XIV lui-même et tout ce qui s’agite autour de lui, ministres,
généraux
, courtisans, princesses et dames d’honneur qu’on
ns, il n’y ait eu dans les Gaules, que des rois, des ministres et des
généraux
; mais nos mœurs, nos lois, nos coutumes, notre e
, tout ce qu’il devait être. Si l’on essaye de se faire une idée plus
générale
de ce style, il semble qu’il apparaisse d’abord c
ministration des finances ont rendu difficile la charge de contrôleur
général
. Le temps des expédients financiers n’est plus, c
ne des formes essentielles dont tous les peuples ont revêtu les idées
générales
qu’ils avaient acquises. Mais dès l’origine et pa
e est quelquefois même répréhensible, mais elle est d’une application
générale
: tous peuvent la goûter et la comprendre. C’est
e d’être vraie pour le plus grand nombre, il faudrait la rendre aussi
générale
que possible, la dépouiller de toute considératio
nt facilité par les renseignements qui sont relatés dans les Conseils
généraux
que nous avons mis en tête de chaque école. Mais
une école d’agriculture, etc. École normal de Sèvres Conseils
généraux
Les aspirantes ont à faire preuve de qualités
d’influence que la poésie. 2 e Paragraphe. – Insister sur les causes
générales
de leur suprématie : espoir et désir de réformes
es œuvres. 1 er Paragraphe. – L’écrivain classique traduit les idées
générales
, dans une mesure exacte d’équilibre, d’harmonie,
’est l’ensemble des œuvres consacrées par le temps. Ce sont les idées
générales
, c’est le fonds commun où puise l’humanité pour s
s pouvaient frapper les contemporains ; une raillerie qui nous parait
générale
et par conséquent innocente, allait sans doute s’
’aptitude a l’enseignement secondaire des jeunes filles Conseils
généraux
Nous renvoyons pour les conseils généraux à ce
nes filles Conseils généraux Nous renvoyons pour les conseils
généraux
à ceux que nous donnons aux aspirantes à l’Ecole
e même langue. » – Extrait du rapport de M. Eugène Manuel, inspecteur
général
, président du jury : « La plupart des aspirantes
upart des aspirantes ont prouvé qu’elles possédaient une connaissance
générale
de ce qui a été écrit sur le sujet ; elles en ont
que Bossuet condamne. Extrait du rapport de M. Jacquinet1, inspecteur
général
de l’instruction publique, président du jury. C’e
t qu’elle ait abordé les questions les plus essentielles de la morale
générale
ou théorique (principe du devoir, fondement et ca
, les souvenirs expressifs se sont utilement mêlés aux considérations
générales
, moins complètement toutefois et avec moins d’exa
bien saisir la question, y répondre par des indications de grammaire
générale
ou historique, justes et précises, comme aussi se
ple, la plus commode même, presque toujours on s’est borné à des vues
générales
, qui, d’ailleurs, appartenaient au sujet, sur les
dres de travaux, et le mutuel concours qu’ils se prètent dans l’œuvre
générale
de la civilisation, particulièrement à notre époq
dans aucun détail technique. Ce sera comme un chapitre de l’histoire
générale
de cette période, sous une forme vive et animée.
ns un sentiment unique qui les anime tous ; il met en scène des idées
générales
, exposées logiquement, presque scolastiquement, d
et ne s’arrête pas au détail. Son esprit, habitué à saisir les idées
générales
, a une grande étendue : comment apporterait-il da
régation de l’enseignement secondaire des jeunes filles Conseils
généraux
Nous ne donnerons pas d’autre conseil aux aspi
détail de nos opérations, et je me bornerai à signaler les résultats
généraux
. « Un premier point que nous avons constaté avec
ience dans l’effort, et le succès de ces efforts. Les défauts ont été
généraux
comme les qualités. Ce qui manque, même chez la p
Monsieur le Ministre, le rapport de l’an passé signalait, d’une façon
générale
, un certain défaut de sens critique, qui s’était
qui permit, en même temps, d’apprécier chez les concurrentes les vues
générales
, dans les questions de littérature, et les connai
erses littératures, la place faite aux races, aux mœurs, à l’histoire
générale
, à la biographie, à l’influence des milieux, etc.
ent primaire semblent un peu trop détourner nos aspirantes de l’étude
générale
de la littérature et de l’histoire littéraire pro
du rapport de M. Eugène Manuel, président du jury : « …. D’une façon
générale
, il ne faut pas que nos aspirantes (et nous songe
r le sens esthétique ; le goût est autre chose encore que le jugement
général
que nous portons sur les choses belles ; c’est un
histoire littéraire. N’est-elle pas chez nous le reflet de l’histoire
générale
? Le prouver par des exemples pris dans chaque si
emps, dans presque tous les genres et toutes les œuvres, un caractère
général
de paix et de sérénité qui charme et repose aujou
normale de fontenay-aux-roses Section des lettres Conseils
généraux
Deux sujets sont proposés pour la section des
essionnels ? Citez des exemples. En quoi consistent-ils d’une manière
générale
? Montrer qu’ils exigent, dans certains cas, jusq
élève de Fontenay-aux-Roses. Section des sciences Conseils
généraux
Nous ne pouvons que renvoyer aux renseignement
École normale de Saint-Cloud Section des lettres Conseils
généraux
Le caractère du concours a bien des analogies
le de précieuses ressources ? Section des sciences Conseils
généraux
Les sujets donnés dans la section des sciences
eur de l’ordre des sciences. École des Beaux-Arts Conseils
généraux
Les candidats à l’École des beaux-arts ont bes
isir. Il convient de laisser de côté tout ce qui n’a pas un caractère
général
, tout ce qui ne s’impose pas à l’attention, tout
Ceux qui résident à Paris auront intérêt à suivre le Cours d’histoire
générale
, institué dans l’École même et où, avec les élève
onneurs qui leur sont décernés, la récompense qui attend toujours les
généraux
et les soldats imitateurs de leur courage ? PLAN
ssembler à une nomenclature, mais s’attacher à dégager des caractères
généraux
. PLAN Préambule. – Intérêt que présente l’étude
une merveilleuse souplesse, très fine, très nuancée, apte à saisir le
général
, l’idée, au-dessus des formes changeantes, pleine
-il signés ? A-t-il protégé les arts ? École Navale Conseils
généraux
Les sujets de concours, comme en s’en rendra f
ns, il arriva une éclipse totale de soleil. Vous peindrez l’épouvante
générale
qui se répand sur le vaisseau. Le pilote refuse d
n est en face d’une Ile. Te Deum des marins… 3e Paragraphe. – Remords
général
… Regrets particuliers de Guttierez. Il se jette a
r la montagne. Après une assez vive canonnade, vers trois heures, les
généraux
italiens se décidèrent à attaquer, en voyant les
és les uns des autres. Le marquis de Mantoue, oubliant ses devoirs de
général
, chargea brillamment, avec les gens d’armes vénit
s réflexions sur les nécessités politiques, qui durent contraindre le
général
romain à une exécution si contraire à ses habitud
composition est la lettre du roi. Concours de 1872. Rapport des
généraux
Datis et Artapherne au roi de Perse, sur leur exp
e Marathon. « Qui écrit ? » doit-on se demander comme toujours. Deux
généraux
vaincus. – « A qui ? » – A Darius, souverain tout
s, les cavaliers se livrent un violent combat. 3° Tableau de la mêlée
générale
. 4° Les rangs des barbares sont rompus et s’ouvre
enjoignit l’exécution immédiate de son arrêt à Rouen, avec procession
générale
et sermon solennel en la place et cimetière de Sa
’accomplit. 1er Paragraphe. – Décrire le char funèbre. Bonaparte, les
généraux
, les soldats invalides, la haie des troupes, les
t : or il aimait passionnément l’état militaire. Pendant la revue, le
général
le fit sortir des rangs et déclara au colonel que
rs, après avoir communié dans l’église de Sainte-Sophie, assemble les
généraux
, les officiers, les principaux citoyens, et cherc
ois et j’ai défendu contre l’intrigue, l’injustice et la calomnie les
généraux
vainqueurs aux Arginuses. Aujourd’hui, Melitus et
ivent douter ni d’eux-mêmes, qui valent bien les Germains, ni de leur
général
qui n’a jamais donné le droit d’accuser son incap
à lui annoncer la plus funeste nouvelle, la mort soudaine de ce grand
général
au milieu de ses succès, à la veille d’une batail
manteau, et on le porte dans sa tente où se rassemblent les officiers
généraux
tout troublés. Au moment où le canon qui le tua e
cris ; mais le père s’oubliant lui-même, lui dit, en lui montrant le
général
mort, que c’était là ce qu’il fallait pleurer. En
des hauteurs qui dominaient le passage. Le tribun Cédicius montre au
général
un mamelon qui n’était pas occupé, et propose d’e
chaque jour davantage la grandeur de Dieu qui l’a créée. (Metz.) le
général
au moment de la bataille. Placé sur une éminence
respecte lui-même et la protège contre la passion d’Araspe, un de ses
généraux
. – Instruit par sa femme de la magnanimité de Cyr
uil et les craintes des Macédoniens et des Perses, les espérances des
généraux
et la douleur de la mère de Darius. Concours d
née par un bombardement, une députation des habitants soit envoyée au
général
commandant la place, pour essayer de l’apitoyer s
er sur le sort de la ville qu’il est chargé de défendre. – Réponse du
général
. – Dans cette réponse (qui fait seule l’objet de
anches de la science : elles tendent manifestement à un adoucissement
général
des mœurs, à un développement plus libre et plus
ité de jugements ? École des mines de Saint-Étienne Conseils
généraux
Les sujets donnés à l’École des Mines de Saint
et une préparation spéciales. Il faut s’attacher à acquérir des idées
générales
sur la philosophie scientifique. Il faut voir de
a matière, plus on la dirige à son gré. » La pensée est vraie au sens
général
et dans le détail des applications particulières.
École de physique et de chimie industrielles de Paris Conseils
généraux
Nous engageons vivement les candidats à prendr
prouverait que toutes les inventions découlent de quelques principes
généraux
. CORRIGÉ 1° L’histoire scientifique contribuerait
ntions qui nous éblouissent dérivent d’un certain nombre de principes
généraux
, en ramenant sans cesse la pensée vers les vérité
rmi ses enfants. De Loménie Institut agronomique Conseils
généraux
Le niveau des concours est devenu plus élevé à
brasser la carrière agricole ? Examens de 1882 et 1883. Notions
générales
sur la géographie physique du département où le c
es agricoles. Examen de 1889. Indiquer quels sont les avantages
généraux
que le candidat attribue à la carrière agricole.
p nos concitoyens. Écoles nationales vétérinaires Conseils
généraux
Le niveau du concours s’élève d’année en année
tie de l’ensemble. Les détails oiseux étaient à écarter. C’est l’idée
générale
de santé, d’harmonie, d’aisance, qu’il convenait
e fils de ses œuvres. » Est-elle plus vraie et d’une application plus
générale
aujourd’hui qu’autrefois ? – Vous avez été témoin
t pas après tout ce qui leur arrive parfois. Puis, d’une manière plus
générale
, vous examinez quelle conduite nous devons tenir
ales Écoles supérieures de commerce Institut commercial Conseils
généraux
Nous avons réuni assez de sujets, tant donnés
s, d’exposer tout au long les réformes. Il faut esquisser des aperçus
généraux
, grouper, condenser….. Deux idées doivent dominer
es luttes civiles et religieuses – les Guises – l’Espagne – la misère
générale
– la conquête du royaume sur les sujets, sur l’ét
alisée par la loi du travail. 1er Paragraphe. – La loi du travail est
générale
. Elle s’impose au riche comme au pauvre, au puiss
e Louis XIV est-il appelé le grand siècle ? – Comparer les caractères
généraux
du xviie et du xviiie siècles au point de vue pol
s à la philosophie, à la poésie, à la science du droit et d’une façon
générale
à toutes les manifestations de la pensée humaine,
é de la France ! Aussi bien le goût de l’expansion extérieure devient
général
. Toutes les nations fondent des comptoirs, établi
ondaire spécial. Sujet littéraires 1 Histoire littéraire. – Critique
générale
1 Le théâtre (Sujets généraux. – Corneille – Rac
res 1 Histoire littéraire. – Critique générale 1 Le théâtre (Sujets
généraux
. – Corneille – Racine – Molière) 6 La Fontaine 1
EMENT SECONDAIRE DES JEUNES FILLES École normale de Sèvres. Conseils
généraux
157 Sujets de concours (Section des lettres et s
at d’aptitude a l’enseignement Secondaire des Jeunes filles. Conseils
généraux
188 Sujets d’examens (Ordre des lettres et ordre
Agrégation de l’enseignement Secondaire des Jeunes filles. Conseils
généraux
226 Sujets de concours (Ordre des lettres et ord
Ecole normale de Fontenay-aux-Roses. Section des Lettres. Conseils
généraux
268 Sujets de concours 271 Sujets proposés. Lit
e et morale 280 Copies d’élèves 291 Section des Sciences. Conseils
généraux
296 Sujets de concours 296 Sujets proposés 298
és 298 Ecole normale de Saint-Cloud. Section des Lettres. Conseils
généraux
304 Sujets de concours 304 Sujets proposés 309
de concours 304 Sujets proposés 309 Section des Sciences. Conseils
généraux
316 Sujets de concours 317 Ecole des Beaux-Art
préparation du concours. 1. Nous indiquons des sujets d’un caractère
général
dans le genre de ceux que l’on propose au Concour
) 1. Nous jugeons inutile de faire précéder ces sujets de « conseils
généraux
» car avec les nouveaux programmes des baccalauré
ns sur le penchant de sa ruine. Comment résister à une si forte et si
générale
conjuration4 ? Quel moyen, je ne dis pas d’être s
qu’il ne se confirme point, il ne vous écoute pas ; il ajoute que tel
général
a été tué ; et bien qu’il soit vrai qu’il n’a reç
ne seule brigade ; il a la liste des escadrons et des bataillons, des
généraux
et des officiers ; il n’oublie pas l’artillerie n
-t-il, une grande nouvelle ! ils sont défaits et à plate couture ; le
général
, les chefs, du moins une bonne partie, tout est t
la préviennent sur toutes les démarches des hommes. Ils conduisent un
général
par la main ; et, après l’avoir loué de mille sot
ervation de la ville3 ; enfin le sénat voyait de près la conduite des
généraux
, et leur ôtait la pensée de rien faire contre leu
s qu’on soumettait, perdirent peu à peu l’esprit de citoyens ; et les
généraux
, qui disposèrent des armées et des royaumes, sent
t plus obéir. Les soldats commencèrent donc à ne reconnaître que leur
général
, à fonder sur lui toutes leurs espérances, et à v
si celui qui était à la tête d’une armée dans une province était son
général
ou son ennemi. Tandis que1 le peuple de Rome ne f
s dans la paix, c’est vouloir des choses impossibles ; et, pour règle
générale
, toutes les fois qu’on verra tout le monde tranqu
arties, quelque opposées qu’elles nous paraissent, concourent au bien
général
de la société, comme des dissonances dans la musi
ou sur les frontières de l’Italie. Dans ce cas on faisait des levées
générales
de soldats, et aucune cause d’exemption n’était a
et dans la faiblesse4. Il passe le Rhin5 et trompe la vigilance d’un
général
habile et prévoyant6 ; il observe les mouvements
s ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur
général
mort3. L’armée en deuil est occupée à lui rendre
ns effœtum corpus tradit senectuti. » 5. 1675. 6. De Montécuculli,
général
au service de l’Autriche, qui parut digne d’avoir
up qui tua Turenne avait emporté le bras de Saint-Hilaire, lieutenant
général
de l’artillerie. Son fils s’était jeté sur lui av
ranger l’idée individuelle : Milon, meurtrier de Clodius, dans l’idée
générale
innocent. Pour obtenir votre assentiment, je cher
mière prémisse s’appelle majeure, parce qu’elle énonce la proposition
générale
, ou, en considérant les termes, parce que, avec l
oposition à démontrer, et celle-ci une fois classée, arriver à l’idée
générale
dont il déduira l’hypothèse avec netteté et préci
aiter les preuves, je devancerai par une seule observation les règles
générales
de style applicables à l’argumentation comme à to
’écrivain, comme, dans les préceptes de la tactique, au coup d’œil du
général
. C’est une observation commune à toute la rhétori
de opération importante de la rhétorique. Quand on a trouvé les idées
générales
qui doivent entrer dans un sujet, il faut ensuite
rapports qu’elles ont entre elles]. Nous parlerons seulement du Plan
général
qui convient à toute composition sérieuse. Sec
également aux ouvrages de l’esprit. Le plan détermine la disposition
générale
et particulière des différentes parties d’un ouvr
sition habile dans l’emploi des preuves. « Il faut imiter, dit-il, le
général
prudent qui range son armée en bataille ; il met
er ou éteindre les passions selon le besoin. Telle est la disposition
générale
du discours dont les parties principales qui le c
ficielle : « La rhétorique actuelle doit être un cours de littérature
générale
. » Je ne confonds point avec la théorie d’un art
t et enivrant du monde ; les pères se laissent aller à l’entrainement
général
, et oublient de quel immense avantage ont été pou
sent en germe dans l’atmosphère glacée dont les enveloppent l’apathie
générale
et les préoccupations exclusives de la politique.
vance, recule, s’arrête avant de reprendre sa course, d’après une loi
générale
, que j’ai désignée ailleurs1 par les noms d’actio
de l’Étrurie ; de jour en jour le nombre des ennemis s’accroît, et le
général
de cette armée, le chef de ces ennemis est dans n
pars. Depuis trop longtemps ton armée, celle de Mallius, réclame son
général
. Emmène aussi avec toi tous tes complices, ou du
belles attendent, tu le sais, dans leur camp, pour saluer en lui leur
général
; qui, auteur de la plus criminelle entreprise, c
euple romain ; cette armée, ce n’est pas Catilina qu’elle attend pour
général
; et lui, contraint de s’exiler, c’est à Marseill
ur quoi donc comptez-vous ? sur la guerre ? Mais, dans la dévastation
générale
, pouvez-vous espérer que vos propriétés seules so
t d’abord, à ce gladiateur épuisé, blessé, opposez vos consuls et vos
généraux
; ensuite, contre cette poignée de naufragés, jet
ommes aient gardé le souvenir, il ne faudra pas d’autre chef, d’autre
général
que moi, et je n’aurai pas besoin de quitter la t
vous n’avez pas quitté la toge, vous n’avez eu d’autre chef, d’autre
général
que moi, qui ne l’ai pas quittée non plus, et vou
ne resterait de Romains que ceux qui auraient pu échapper au massacre
général
, et de Rome elle-même que ce que les flammes n’au
itions bien différentes les succès que je viens d’obtenir et ceux des
généraux
victorieux au-dehors : tandis que mon sort, à moi
oi, est de vivre au milieu des hommes que j’ai vaincus et domptés, le
général
laisse ses ennemis ou morts ou soumis, et s’éloig
les esclaves, on appelle Catilina ; on forme le projet d’un massacre
général
, auquel pas un de nous ne doit survivre, même pou
de côté leurs préoccupations personnelles pour ne songer qu’au salut
général
. Tous les hommes libres sont accourus ici, même l
plus remarquables. — L’orateur annonce son sujet par une proposition
générale
. Il présente Verrès comme un brigand qui a enlevé
e qu’ils ont de plus précieux. La crainte et la consternation étaient
générales
, car le tyran ne s’éloignait pas : couché dans sa
dernier jour leur paraissait différent de ce temps heureux ! Alors un
général
de l’armée romaine, et l’un de nos plus illustres
le fut remise en place et consacrée au nom et sous les auspices de ce
général
; que Verrès, en la faisant ôter et transporter,
issez seulement ce piédestal ; qu’on y grave le nom de cet invincible
général
; qu’on replace cette magnifique statue reprise à
ayant été placé dans cette ville au nom et sous les auspices de notre
général
; crime contre la majesté de notre empire : il n’
venir de Scipion. Ainsi les dépouilles des ennemis, les monuments des
généraux
, les ornements des temples, vont désormais perdre
actuelle avec cette guerre ; l’arrivée du préteur avec la conquête du
général
; l’infâme cohorte de l’un avec l’armée victorieu
, l’arrivée et la suite du préteur avec les troupes et la victoire du
général
. LV. Le temple de Minerve est dans l’île do
jouté à la vérité ; il n’en est pas moins vrai que la modération d’un
général
qui laisse à des ennemis, contre qui il a les arm
la visite que me firent à Rome les Siciliens, qui, par une députation
générale
, vinrent me demander mon secours et me prier de m
us mes assauts on oppose comme un mur impénétrable le nom d’excellent
général
. Je connais le terrain. Je vois le champ où Horte
la guerre, la situation fâcheuse de la république, la disette de bons
généraux
. Il vous conjurera, et il vous pressera même, s’a
les dépositions de quelques Siciliens, on enlève au peuple romain un
général
de ce mérite, et qu’on efface par des accusations
érat, le plus débauché de tous les hommes ; mais, dira-t-on, c’est un
général
heureux et vaillant, et qui mérite d’être conserv
dans vos rapines ; il s’agit d’examiner quel éloge vous est dû comme
général
. VI. Qu’avancez-vous, heureux gardien et dé
rime qui menaçait la vie de toutes les personnes libres. Ô l’illustre
général
! ce n’est plus avec le vaillant Aquilius, mais a
as comme un préteur du commun, mais que l’on vante comme un excellent
général
. Lorsque l’on craignait la guerre des esclaves, i
ince, vous sont suffisamment connus. Comme il y a plusieurs sortes de
généraux
, ce qui est essentiel au sujet se réduit à vous f
capitaines étant aujourd’hui si rares, vous n’ignoriez le mérite d’un
général
si distingué. Mais ne prenez pour terme de compar
point passer un jour sans que ses habitants voient le soleil. Ce bon
général
y passait l’hiver, de façon qu’il n’était pas fac
pas supprimer ici la belle et singulière attention de notre excellent
général
. Vous saurez donc que, dans toutes les villes de
t point avec ce silence observé ordinairement par les préteurs et les
généraux
, ni avec cette décence qui règne d’ordinaire à la
ations ; lors, dis-je, que les autres préteurs font leurs courses, ce
général
de nouvelle espèce campait dans les plus beaux bo
igne et affreux pillage de tous les biens. Voilà donc, Hortensius, le
général
d’armée que vous défendez ? Quant à son avarice,
tâchez de les couvrir par la grandeur des exploits et par l’éloge du
général
? Je crains, en effet, de vous voir, à la fin de
gation d’en fournir leur part, quoique cette obligation fût légère et
générale
. Vous direz que les Mamertins ne nous en doivent
i, devant triompher dans Rome, conservent par cette raison la vie aux
généraux
ennemis, afin que le peuple, en les voyant, puiss
our rapporter ce qui s’est passé autrefois. Ce grand homme, ce fameux
général
, M. Marcellus, dont la valeur conquit Syracuse, e
lore, moins pour fuir les insultes des corsaires que pour suivre leur
général
. Celui qui voguait le dernier était toujours le p
’avait abandonné au gré des flots. Les autres capitaines, voyant leur
général
à terre, et ne pouvant ni résister ni se défendre
pût le consoler dans sa disgrâce. Il régnait dans la maison de notre
général
une discipline si exacte, que pour un événement d
crime de la perte, de la flotte romaine, tandis que plusieurs braves
généraux
ont souvent échoué au milieu des chances communes
a, d’Agyre, de Tyndaris, de Locres ; enfin votre propre témoin, votre
général
, votre hôte, Cléomène, déclare qu’il était descen
pes de Sertorius se réfugièrent vers Pompée, cet illustre et vaillant
général
. Ne les a-t-il pas conservés tous avec le plus gr
rdé comme mêlé et confondu, c’est un principe que réclament la sûreté
générale
et la vérité. En cette occasion, tous les citoyen
re les idées fournies par l’invention, c’est-à-dire de tracer le plan
général
que l’on doit suivre, de manière que chaque chose
e rapportent à un centre commun, c’est-à-dire à une idée ou à un fait
général
. On ne doit jamais perdre le sujet de vue ; il fa
un corps maigre et fluet. Pour éviter cet écueil, tracez-vous un plan
général
, et entrez aussitôt dans le vif de la question.
ceux qui écoutent. 15. Les règles de rhétorique se divisent en règles
générales
et règles particulières. Les règles générales emb
e se divisent en règles générales et règles particulières. Les règles
générales
embrassent les principes communs à toutes sortes
ence. Dans la première partie de ce Traité, nous parlerons des règles
générales
, et dans la seconde, des règles particulières. Co
n recueil de préceptes. (Voir le nº ii.) Première partie. Règles
générales
de rhétorique 16. Les règles générales de rhét
Première partie. Règles générales de rhétorique 16. Les règles
générales
de rhétorique se divisent en autant de parties qu
ppelle lieux oratoires, et quelquefois lieux communs, certaines idées
générales
propres à diriger l’esprit dans la recherche des
les principaux aspects d’une idée pour faire mieux sentir une vérité
générale
. Racine nous en fournit un exemple dans les vers
hantons, publions ses bienfaits. Les bienfaits de Dieu, voilà l’idée
générale
; en voici le développement par l’énumération des
nsonge. On a souvent recours à cet argument, parce que les principes
généraux
sont toujours plus sensibles que les conséquences
nque feriens, parce qu’il frappe comme une épée à deux tranchants. Un
général
disait à la sentinelle qui avait laissé surprendr
t. 72. L’induction est un argument par lequel on tire une conclusion
générale
de plusieurs faits ou de plusieurs vérités partic
er, tandis que l’induction conclut de plusieurs faits particuliers au
général
. Les orateurs et les poètes font un fréquent usag
la cause, le dénombrement imparfait, la conclusion du particulier au
général
, et l’ambiguïté des mots. 79. L’ignorance du suje
out un certain nombre de ses parties, et vous en tirez une conclusion
générale
, mais vous avez négligé un élément essentiel qui
christianisme. 83. On fait aussi un sophisme en tirant une conclusion
générale
d’un fait particulier ou de ce qui n’est, vrai qu
æ fundamentum sapientia . Nous donnerons toutefois quelques principes
généraux
qui feront éviter les fautes les plus grossières.
violence et la force ouverte. On a quelquefois comparé l’orateur à un
général
qui fait le siège d’une ville ; rien de plus ingé
s un jour favorable et intéressant ; mais il n’en donnera qu’une idée
générale
et sommaire, sans rien approfondir, parce qu’en e
irigés. Néanmoins, nous croyons utile de poser ici quelques principes
généraux
consacrés par l’usage. 1º Les mains tournées en d
es bras, mais mollement et sans presser la poitrine. 294. Un principe
général
dans les gestes des bras et des mains, c’est que
ègles particulières de rhétorique ou éloquence. 296. Les préceptes
généraux
sur la rhétorique ont une grande importance, et c
ours que peut faire le prédicateur. Nous parlerons donc 1º des règles
générales
de la prédication, 2º des différentes espèces de
ifférentes espèces de discours sacrés. Chapitre premier. Des règles
générales
de la prédication31. 307. D’après saint August
ropres à élever l’éloquence à une haute perfection. 366. Le caractère
général
de l’éloquence politique chez les Grecs, c’est l’
e, l’éloquence politique a commencé seulement à l’ouverture des états
généraux
. Alors presque toutes les grandes questions socia
les discours solennels que les premiers présidents ou les procureurs
généraux
prononcent à la rentrée des cours ou des tribunau
397. L’éloquence militaire comprend les harangues prononcées par un
général
d’armée pour enflammer le courage des soldats. L’
s de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canons, vingt
généraux
, plus de trente mille prisonniers, sont le résult
mot sérieux à une saillie. Tous contribuent pour leur part au plaisir
général
; et, à chaque instant, il jaillit de la discussi
nd dans ses vues, et s’élevant toujours par ces notions abstraites et
générales
qui sont pour lui comme des livres abrégés, il éc
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles
généraux
des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
de vérité ; on fait décider par cette commission de judicature qu’un
général
d’armée, a mal ordonné une bataille, a mal souten
forger un délit, dresser un arrêt, prononcer une condamnation. Et ce
général
d’armée, après avoir confondu ses calomniateurs d
s, citoyens les plus considérables de la ville, donnèrent à manger au
général
carthaginois. Torrea et Pacuvius, seuls de tous l
u premier coup de canon, et j’ai entendu dire qu’un des plus célèbres
généraux
de l’empire, qu’on avait surnommé le brave des br
ar l’ascendant de sa parole. Napoléon prit tout à coup, sur les vieux
généraux
de la république, sur son armée et sur la nation,
r et le sens profond et délié du politique. Ce n’est pas seulement un
général
qui parle, ce n’est pas un roi, ce n’est pas un h
révèle surtout Napoléon ; il s’improvisa orateur comme il s’improvisa
général
. Ce qui étonne surtout dans un jeune homme, c’est
en généralissime de l’armée qu’il débute, c’est en maître. Les vieux
généraux
frémissent devant ce guerrier adolescent ; ils ne
puissances de l’Europe se sont armées contre moi. Quelques-uns de mes
généraux
ont trahi leur devoir et la France. Elle-même a v
s avons faites… Je ne puis vous embrasser tous, mais j’embrasse votre
général
. Venez, général Petit, que je vous presse sur mon
e perte, M. de Louvois proposa au roi de le remplacer en faisant huit
généraux
au lieu d’un… Jamais homme n’a été si près d’être
se divisent les préceptes de rhétorique ? Première partie. Règles
générales
de rhétorique. 16. Comment se divisent les règ
Règles générales de rhétorique. 16. Comment se divisent les règles
générales
de rhétorique ? 17. Les trois opérations de l’ora
-on dans le dénombrement imparfait ? 83. Peut-on tirer une conclusion
générale
d’un fait particulier ? 84. En quoi consiste l’am
de gestes faits avec la main ? 291. Peut-on donner quelques principes
généraux
pour les gestes des mains ? 292. Quelles sont les
ième partie. Éloquence. 296. Quelle est l’importance des préceptes
généraux
sur la rhétorique ? 297. Combien de genres d’éloq
rer l’éloquence politique chez les Grecs ? 366. Quel est le caractère
général
de l’éloquence politique chez les Grecs ? 367. D’
parlaient ceux d’Athènes et de Rome. Il suit de là que les principes
généraux
de l’art, restant toujours les mêmes quant au fon
e est susceptible et à les développer avec énergie ? Quoi ! ces idées
générales
qu’on appelle lieux et qu’on peut employer dans t
qu’il les ait reçus ; et c’est surtout dans une ample récolte d’idées
générales
que consiste sa richesse. D’ailleurs, puisque les
rt ! s’écriaient les Arabes éperdus de frayeur d’avoir vu tomber leur
général
. Qu’importe que Dérar soit mort, leur dit Rasi,
ivait presque dans tous les discours. On délibérait sur le choix d’un
général
; l’éloge de Pompée déterminait les suffrages en
quelles on peut envisager un sujet donné, ou, si l’on veut, des idées
générales
applicables à un très-grand nombre de sujets et q
re continuellement présentes à l’esprit de l’orateur toutes les idées
générales
qui rentrent ordinairement dans les questions par
propres à la cause. Cependant il ne faut pas perdre de vue ces points
généraux
, ces lieux dont j’ai souvent parlé et qui fournis
Elle admet les trois moyens de persuasion. Nous posons en principe
général
que pour persuader les hommes, il faut s’adresser
t en est plus précis et plus particulier. Ce n’est pas que les sujets
généraux
, comme l’excellence de la religion, le bonheur qu
es accordées à la vertu, les belles actions honorées de l’approbation
générale
, sont de dignes sujets d’éloges. On ne doit pas o
eur crée par le raisonnement, qu’ils comprennent sous la dénomination
générale
d’argumens, et qui se tirent des circonstances et
ne de ces preuves, pour les savoir traiter d’une manière abstraite et
générale
, ou singulièrement selon le temps, les hommes et
par un texte positif, on en recherche l’esprit, on remonte aux idées
générales
, l’on détermine l’application de la loi par la co
présomptions est de préjuger les cas particuliers d’après les notions
générales
; de juger qu’une chose est arrivée ou qu’elle ar
tions relatives aux actions des hommes se forment sur la connaissance
générale
du cœur humain ; ou sur le caractère, les qualité
es aient de la convenance entre elles. Axiomes. Il y a deux axiomes
généraux
, dont l’évidence ne peut être contestée, et qu’il
stesse dans ses raisonnemens. 1°. On ne conclut pas du particulier au
général
, et l’on ne peut conclure légitimement que du gén
particulier au général, et l’on ne peut conclure légitimement que du
général
au particulier. 2°. De l’acte au pouvoir la cons
e le syllogisme soit concluant, il faut que la majeure ou proposition
générale
contienne la conclusion, et que la mineure fasse
e, le courage, la réputation et le bonheur ; donc Pompée est un grand
général
. » Et dans le discours pour Rabirius : « Si c’e
; qui combattit, tout enfant qu’il était encore, sous le plus fameux
général
de son temps, et, dès sa première jeunesse, fut g
e plus fameux général de son temps, et, dès sa première jeunesse, fut
général
lui-même ; lui qui a livré plus de batailles que
nduction. La 2e. espèce d’induction consiste à tirer une conséquence
générale
d’un dénombrement de beaucoup de cas particuliers
mération des vérités partielles qui concourent à former la conclusion
générale
s’est faite d’une manière stricte et sèche, telle
e d’induction, comme nous l’avons dît, sert à prouver une proposition
générale
par l’énumération des parties. Si l’on veut qu’el
ans quoi on tombera dans l’inconvénient de conclure du particulier au
général
, ce qui est mal raisonner. De l’exemple. C
du singulier au singulier, et l’induction de plusieurs singuliers au
général
. Trois espèces d’exemple. Ce genre de raisonnem
ue les acquéreurs et les sicaires n’auraient pu égorger ? Les habiles
généraux
, avant que d’engager une action, observent les dé
ur humain. Aristote (Rh., l. II, c. 12 et suivans) a fait, des mœurs
générales
des hommes de tout âge et de toute condition, une
éfinition des passions. Le mot de passion dans son acception la plus
générale
, désigne les mouvemens de l’âme qui nous emporten
es où il y allait de l’honneur et de la vie de ses magistrats, de ses
généraux
et quelquefois même des rois. Alors le ressort de
eurs, du temps de Démosthène et de Cicéron, les lois étaient simples,
générales
, et en petit nombre ; ce qui faisait que la décis
ué qu’il puisse être, à un petit nombre de pensées ou de propositions
générales
qui le dominent tout entier. Un plan qui a de la
quelles on va la considérer. (Ibid.) Tout exorde doit donner une idée
générale
de la cause, ou lui servir d’introduction. (De Or
sprit, la preuve n’est qu’une argumentation établie sur des principes
généraux
. Alors la marche est à peu près uniforme ; voici
e deux sortes de questions, l’une qu’il appelle thèse, ou proposition
générale
, et l’autre hypothèse, ou proposition particulièr
utant qu’il pourra de la question particulière, et qu’il remonte à la
générale
; et cela pour deux raisons : la première, parce
crime de Catilina, et l’orateur se sera ouvert, au moyen de ces idées
générales
, un champ aussi riche que vaste. Ce qui est pur r
rse de l’éloquence du barreau ; celle-ci doit sans cesse descendre du
général
au particulier ; celle-là doit s’élever sans cess
au particulier ; celle-là doit s’élever sans cesse du particulier au
général
. L’une ramène les maximes au fait, l’autre étend
us impérieuses. Précepte fondamental. Nous finirons par un principe
général
, commun à toutes les péroraisons, de quelque genr
t que des faits et des exemples particuliers on tire des conséquences
générales
. C’est ainsi que l’impie attribue à la religion l
ve au genre simple ; la péroraison au genre sublime. Mais ce précepte
général
souffre tant d’exceptions, qu’il devient à peu pr
ue d’en présenter une série complète. Cependant il est des caractères
généraux
dont il est possible de fixer l’idée ; ils se rap
plus clair et fatigue moins l’attention. Nous terminerons ces notions
générales
sur le style, en donnant une idée de ce que l’on
forme un bon style. Nous distinguerons dans le style les qualités
générales
et les qualités particulières. Qualités générale
style les qualités générales et les qualités particulières. Qualités
générales
du style. Les qualités générales du style sont c
s qualités particulières. Qualités générales du style. Les qualités
générales
du style sont celles qui constituent son essence,
ifférens sujets que l’on traite. Article premier. Des qualités
générales
du style. Quelles sont les qualités générale
. Des qualités générales du style. Quelles sont les qualités
générales
du style. Les qualités générales du style peuven
yle. Quelles sont les qualités générales du style. Les qualités
générales
du style peuvent se réduire à deux, qui sont la c
ion du principe de la convenance du style, on doit avoir égard au ton
général
(1) qui convient au genre d’éloquence auquel appar
de convenable à la persuasion. » (Dialog. sur l’éloq.) Le caractère
général
du style du barreau ainsi determiné, on sentira a
sont au fond que cette convenance diversement modifiée. Les qualités
générales
du style sont invariables ; mais les qualités par
veut faire éprouver au lecteur. Cette qualité est d’un usage presque
général
. Lors même qu’on n’a aucune résistance à vaincre,
ent à la subordonnée du premier. Il à maréchal, le à ennemi. La règle
générale
est donc que, toutes les fois que dans le premier
emple : » Les pères mourant | envoient leurs fils pleurer | sur leur
général
mort. » Quelquefois il y a progression ascendant
il cite pour exemple le passage suivant d’Hérodote dans lequel Denys,
général
des Phocéens, engage les alliés à lui déférer le
volontiers que le style simple et familier ; cela résulte du précepte
général
de la convenance. Il arrive aujourd’hui qu’on gât
à prouver et à émouvoir. « L’utilité, dit-il, en est si grande et si
générale
, qu’il n’y a pas un seul genre d’éloquence où ell
les, en même temps qu’ils aident au développement, augmentent l’effet
général
du discours, parce que l’idée accessoire qu’on pr
nom grec d’épiphonème. C’est une exclamation qui renferme une maxime
générale
, ou une réflexion profonde, d’un grand sens et ex
juger de la pensée. Sentences. Les sentences sont des propositions
générales
, des pensées morales universellement vraies, même
ent on appuie un raisonnement, un discours tout entier sur une maxime
générale
. Exemple. César, parlant au sénat pour la punit
lina et voulant adoucir les esprits irrités, commence par des maximes
générales
: « Lorsqu’il s’agit de délibérer, P. C., sur de
Cat.) Moyen de les rendre plus vives. Quintilien dit qu’une maxime
générale
est plus vive lorsqu’elle devient propre et parti
l’emploi des expressions populaires et proverbiales : Exemples. Le
général
poursuivit sa pointe. Les ennemis furent battus à
l’habitude de plaider de mémoire ou sur de simples notes est devenue
générale
(1). La lecture d’un plaidoyer écrit, outre qu’ell
lité que la première ; on peut dire même qu’elle est d’un usage plus
général
. Méthode pour apprendre facilement un long disco
faut s’appliquer à prendre les tons syllabiques que la prononciation
générale
détermine(1). L’accent oratoire ou pathétique est
ence de cet accent avec l’intonation. Celle-ci est l’élévation du ton
général
de la prononciation nécessaire pour que l’orateur
un pour former son action, ne doit pas seulement consulter les règles
générales
, mais encore étudier avec soin son naturel propre
Des qualités dont se forme un bon style 199 Art. Ier. Des qualités
générales
du style 200 § Ier. De la correction ibid. § II
ou écrire sur un sujet donné, il faut d’abord avoir des connaissances
générales
sur la matière à laquelle le sujet appartient ; e
ublime et le style élevé. Principales divisions de ce livre. Qualités
générales
du style. Qualités particulières. Quelles sont le
générales du style. Qualités particulières. Quelles sont les qualités
générales
du style. Ce que c’est que la correction. Son imp
er des arts agréables, nous exposerons, dans ce volume, les principes
généraux
de l’art d’écrire, principes qui sont communs à t
lques notions sur les pensées et sur les mots, un aperçu des qualités
générales
du style, une connaissance assez exacte des règle
rire. Après avoir exposé avec le plus de clarté possible les qualités
générales
et particulières du style, ainsi que les différen
que ; j’ai fait en sorte qu’il fût susceptible d’une application plus
générale
, c’est-à-dire qu’il résumât pour les élevés de no
en se rattache nécessairement à l’art de bien dire ; sur la grammaire
générale
, dont l’étude est très-propre à former le jugemen
e développait, dissipa les illusions ; on apprit à sacrifier au repos
général
l’impétuosité de ses penchants naturels ; les rel
de l’être à tout ce qui appartient à l’homme. III. De la grammaire
générale
. La grammaire suivit de près l’écriture. Quand
dans la société : elle mit chaque chose à sa place, et assura l’ordre
général
en restreignant l’indépendance individuelle. Les
mble de ces principes invariables forme ce qu’on appelle la grammaire
générale
. Après les exclamations ou interjections, qui on
existence particulière des choses qui l’entouraient, s’éleva à l’idée
générale
d’existence ; il inventa le mot être, qui n’était
alyse de ces espèces de mots forme la première partie de la grammaire
générale
. Dans cette nomenclature, nous n’avons point plac
a construction d’une phrase : c’est la seconde partie de la grammaire
générale
, celle qui constitue la syntaxe ou l’arrangement
ces de mots essentielles, il existe chez tous les peuples une syntaxe
générale
qui est invariable. IV. Des principaux caractè
tit nombre de mots, qui, mêlés à la langue latine, formèrent l’idiome
général
de la nation. Le latin corrompu dominait dans ce
nier, qu’on appelle indéterminé ou indéfini, a une signification plus
générale
et plus étendue : il indique, sans le déterminer,
que n’exprimait pas la déclinaison des noms, ils conçurent des idées
générales
, et inventèrent successivement des mots particuli
quand des citoyens, réunis en corps politique, discutent les intérêts
généraux
de leur pays, leurs discours appartiennent au gen
sujet est simple, la définition peut suffire pour en donner une idée
générale
; quand il est complexe, il faut, pour en bien co
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles
généraux
des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
nde proposition vous servira d’intermédiaire pour passer de la maxime
générale
: l’homme doit rechercher ce qui lui est utile, à
on accumule plusieurs faits particuliers pour en tirer une conclusion
générale
, le raisonnement prend le nom d’induction. Buffo
jà je la vois paraître dans un nouvel appareil. Mlle marche, comme un
général
, à la tête d’une armée royale, pour traverser les
ecommandait aux orateurs d’imiter, dans l’arrangement des preuves, un
général
prudent qui met aux premiers rangs les soldats br
enoncer aux petites raisons qui ne feraient qu’affaiblir l’impression
générale
du discours. Les orateurs du barreau n’ont pas to
ouvrage, si nous n’ajoutions à ce que nous avons dit quelques règles
générales
, applicables à tous les genres de composition. Qu
Il y a trois choses à examiner dans les pensées : 1° Les qualités
générales
des pensées considérées en elles-mêmes ; 2° les r
idée, c’est la netteté. Il ne suffit pas d’avoir, dans la disposition
générale
, bien conçu l’ensemble de son sujet ; il faut que
ive ou profonde : ils ont désigné ces formes privilégiées sous le nom
général
de figures de pensées, et ils ont donné à chacune
memnon ! seul qui est la cause de la guerre de Troie, c’est l’interêt
général
des Grecs, insultés dans la personne de Ménélas ;
la division que nous avons adoptée pour les pensées : l° les qualités
générales
de la phrase ; 2° les rapports des phrases entre
; 3° les formes particulières ou figures de mots. I. Des qualités
générales
de la phrase. De la clarté. La première q
écision. De l’harmonie. L’harmonie est la dernière des qualités
générales
de la phrase. Le mérite du son est bien inférieur
les propositions. III. Des figures de mots. Outre les qualités
générales
que doivent avoir chaque phrase en particulier et
dit. Le style simple proprement dit se borne à réunir les qualités
générales
, indispensables dans toute espèce de composition
us les regards se tournent vers lui : alors, profitant de l’attention
générale
qu’il a excitée, il traverse toute l’étendue de l
utres parties de la rhétorique, on peut l’aire plus d’une application
générale
. Si les circonstances vous amènent à parler en pu
sur ces différents objets des notions élémentaires. Ces connaissances
générales
, que Cicéron exigeait de l’orateur, seraient util
voyant le succès de ses efforts. Oswald entendit, à travers la rumeur
générale
, des cris plus horribles que tous les autres : il
es ont peur, ils cessent d’être jaloux. « Oswald, à travers la rumeur
générale
, distingua cependant des cris plus horribles que
tituante. (Séance du 26 septembre 1789.) Argument. En 1789, les états
généraux
avaient été convoqués pour remédier aux maux du p
ceux qui lui parlent aujourd’hui pour M. Foucquet, naguère procureur
général
, surintendant des finances, ministre d’État, l’ob
acre ; ordonnances fondées sur l’esprit de la monarchie, sur la forme
générale
d’administrer la justice en France, qui réclame m
au public et à la postérité quelque soupçon d’innocence ; qu’enfin le
général
du monde regarde ces deux sortes de juges comme d
equel on présentera ses pensées, il faut s’en être fait un autre plus
général
et plus fixe, où ne doivent entrer que les premiè
s remplir. Par la force du génie, on se représentera toutes les idées
générales
et particulieres sous leur véritable point de vue
ns, de l’attention à ne nommer les choses que par les termes les plus
généraux
, le style aura de la noblesse. Si l’on y joint en
mple correspondance offre l’occasion de mettre en pratique les règles
générales
de l’art d’écrire. Mais il serait difficile de do
dans leurs observations personnelles ce qui peut exciter la curiosité
générale
? Je ne dis pas qu’on ne puisse, de temps en temp
lui-là le côté plaisant. Tous contribuent, pour leur part, au plaisir
général
; et, à chaque instant, il jaillit de la discussi
ses preuves ? L’invention les lui indique : ce sont de certains chefs
généraux
, appelés lieux communs, parce qu’ils appartiennen
unèbre de Turenne 6, veut faire voir combien il faut de prudence à un
général
, pour conduire ses soldats ; pour se faire craind
faire connaître. Imitation. Le mot imiter, dans le sens le plus
général
et le plus étendu, signifie ici, prendre l’esprit
n discernement juste, un cœur droit et pur, dévoré de l’amour du bien
général
. Pleins d’estime, pénétrés d’une vénération affec
x armées rangées en bataille, sont au moment d’en venir aux mains. Un
général
connu par sa bravoure, et couvert d’honorables bl
de. Il est, sans doute, à propos que je donne ici une notion au moins
générale
de ces mœurs. Je ne saurais mieux y réussir qu’en
cle, dans chaque nation, dans chaque individu, mais de ces caractères
généraux
, fondés sur la nature, et qui sont comme l’apanag
pitié pour les malheureux, s’il ne la ressent lui-même ? Quel est le
général
d’armée qui fera naître dans le cœur de ses solda
ou éteindre les passions, selon le besoin. Voilà donc la disposition
générale
du discours. Les principales parties qui le compo
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles
généraux
des rois de Syrie56, venait tous les ans, comme l
d’où découle naturellement la conclusion qui renferme la proposition
générale
. Il s’appliquera surtout à les développer avec ne
ommunément aux orateurs d’imiter, dans l’arrangement des preuves, les
généraux
d’armée, qui placent, aux premiers rangs, les sol
toutes en un seul corps, et d’en faire sentir le faux, par une raison
générale
et victorieuse. IV. De la Péroraison. La pé
pliquent. Il y a donc deux sortes d’harmonie : celle que j’appellerai
générale
, qui ne considère les sons qu’en eux-mêmes et abs
ports avec les pensées et les sentiments qu’ils expriment. L’harmonie
générale
dépend soit de la nature individuelle des sons, c
ppelé à l’émettre. Voilà le principe de toutes les lois de l’harmonie
générale
en littérature. Et bien entendu que je parle ici
limat, l’éducation, le libre essor de la vie extérieure et l’instinct
général
de l’art ? Par la continuelle habitude de l’harmo
xpression, de concilier la vérité et l’unité, l’unité dans l’harmonie
générale
, la vérité dans l’harmonie spéciale. Ici an exemp
philosophique. « Je le trouve dans le talent de saisir les principes
généraux
, et d’enchaîner les idées entre elles par la forc
s les labyrinthes. Nous le voyons, c’est un petit nombre de principes
généraux
et féconds qui a donné la clef de la nature, et q
nd dans ses vues, et s’élevant toujours par ses notions abstraites et
générales
, qui sont pour lui comme des livres abrégés, il é
incipe en principe, et former de toute la religion une chaîne d’idées
générales
et précises que l’on pût saisir d’un coup d’œil ;
es n’ont pas tous le même degré d’intérêt. Les uns sont essentiels et
généraux
; ils tiennent à la nature même de l’art, viennen
e, qui nous fait discerner et sentir le beau, en dehors même des lois
générales
et des prévisions de l’art. « Quoique les règles,
ec Montesquieu : « Comme les lois sont toujours justes dans leur être
général
, mais presque toujours injustes dans l’applicatio
ir fausses dans l’hypothèse. Quoique chaque effet dépende d’une cause
générale
, il s’y mêle tant d’autres causes particulières,
; l’on amena le roi à Paris. Monsieur1 se contenta d’être lieutenant
général
de l’Etat ; M. le prince fut déclaré chef du cons
c force le péril où le public se trouvait par la prise tumultuaire et
générale
des armes. La reine, qui ne craignait rien parce
incapacité absolue. 5. Le père de l’auteur était Emmanuel de Gondy,
général
des galères de France. 1. C’était le frère de Lo
-à-dire devant les anciens soldats de Bernard, duc de Saxe-Weimar. Ce
général
, dans la guerre de Trente ans, acquit, malgré que
satiriques français. (13 novembre 1882). • Quels sont les caractères
généraux
de la réforme entreprise dans la poésie au xvie
aise au xvie siècle. (20 novembre 1882). • Quels sont les caractères
généraux
de la réforme accomplie dans la poésie française
iodes de la littérature au xviie siècle et en décrire les caractères
généraux
. (3 novembre 1881). • Donner une idée de la quere
’Art poétique de Boileau ; ses divisions principales et ses préceptes
généraux
. (27 octobre 1883). • Exposer et discuter les thé
chontes, les cours de justice, le sénat des cinq cents, les officiers
généraux
de l’armée, et les ministres des autels venir occ
juillet 1884) et (15 novembre 1884) Comparer, dans leurs caractères
généraux
, la littérature grecque et la littérature romaine
toutes les nuances, et est excellemment apte à l’expression des idées
générales
: la langue grecque est par nature une langue phi
tion universelle ratifiée, voulue même par la divinité ; pacification
générale
et établissement de l’ordre partout, couronnement
vent signalée dans Tacite ; elle rentre, il est vrai, dans la qualité
générale
, que Racine lui reconnaît, d’être un grand peintr
Plaute. L’Art poétique de Boileau est le type du genre ; il est plus
général
, plus complet que celui d’Horace. Il fait la théo
e de ceux qu’ils revendiquaient pour ancêtres. Il faut donc, en thèse
générale
, pour que l’épopée soit possible à une certaine é
a voulu, non seulement suivre le récit de Tite-Live dans ses données
générales
, mais bien mettre en relief l’esprit romain dans
orrige la médisance en se mêlant, quoique discrètement, à l’entretien
général
pour modérer l’ardeur de l’un, prêcher les ménage
de la Cour surtout a eu une influence considérable sur la physionomie
générale
de son œuvre. C’est donc en observant, finement e
énelon songeait surtout à celle de la chaire, mais ses préceptes sont
généraux
et embrassent l’art de bien dire tout entier. Ils
e animé et sobre à la fois. [32] (9 novembre 1884) Plan et idée
générale
du Discours sur le style. Développement. — Il
se, qui consiste « à ne nommer les choses que par les termes les plus
généraux
, » théorie chère à Buffon ; 2º la gravité et la s
agné à être présentée avec plus d’ordre et de rigueur. Quant à l’idée
générale
du discours, elle est étroite et exclusive. Buffo
pourtant sa noblesse », et prêche à tort l’emploi des termes les plus
généraux
. L’horreur du mot propre nuit à la clarté du styl
tant faites, et ces différences établies, il reste vrai, dans un sens
général
, que le précepte de Ronsard est juste. La seconde
ant, la vénalité corrompant les vertus politiques, la disette de bons
généraux
, les excès d’une démocratie mal réglée, telles ét
s faits avec l’ordre philosophique des idées, et j’exposerai des vues
générales
sur les événements. Cependant on remarquera dans
comte a été le moment le plus tragique de la pièce : un frémissement
général
a manifesté combien l’auditoire, absorbé dans l’a
littéraire des deux pièces, qui diffèrent entièrement par la couleur
générale
, la conception, la marche de l’action, l’expressi
nous réservait des beautés qu’on n’imaginait pas, et l’admiration fut
générale
. Les comédiens, qui faisaient merveille, ont eu u
in d’Arcadie ou maître Aliboron, qui n’en peut mais sous l’oppression
générale
dont il est la victime résignée ; le loup, vagabo
ossuet a fait un admirable mélange de détails précis et d’expressions
générales
et nobles ; il en fait un tableau saisissant, où
de Saxe auraient triomphé de la résistance des assiégés, si les états
généraux
des sept provinces n’avaient pris une résolution
t rentrer dans Authoin le régiment de Piémont, et ordonne une attaque
générale
sur les flancs. En un clin d’œil, la colonne angl
eurs appréciations en ce qu’elles auront de relatif soit à la méthode
générale
du Stagirite, soit aux deux traités qu’on va lire
avant la Rhétorique, contrairement à l’usage suivi dans les éditions
générales
d’Aristote. Elle est citée dans ce dernier ouvrag
style comme il avait fait du raisonnement, il en a recherché les lois
générales
et les principes essentiels. » (P. 93.) Au commen
ng qui lui convient dans, l’art renferme, en quelque sorte, la pensée
générale
qui a présidé à la composition de l’ouvrage. « Un
e suivre un autre plan que celui qui semble annoncé par ses divisions
générales
. Mais ces irrégularités sont très fréquentes dans
sont parfaitement à leur place, et, dans chacun d’eux, il y a un plan
général
très régulier. Rien de plus facile à faire que le
eonhard Spengel place la date en question entre 336, année de la paix
générale
qui résulta de la bataille de Chéronée, et 330, c
mbique20, commença à composer des sujets ou des fables sur une donnée
générale
. VII. L’épopée marche avec la tragédie jusqu’au m
sés, ou qu’on les compose soi-même, il faut les exposer d’une manière
générale
, puis les disposer en épisodes et les développer
nière suivante. V. Voici ce que j’entends par « exposer d’une manière
générale
». Prenons pour exemple Iphigénie. La jeune fille
oracle de s’y rendre, pour une certaine raison prise en dehors du cas
général
et dans un but étranger à la fable. Donc, venu là
slateur ne porte pas sur un point spécial, mais sur des cas futurs et
généraux
, tandis que les membres d’une assemblée et le jug
place pour la malignité que dans une plaidoirie, l’intérêt étant plus
général
. Lorsqu’on prononce une harangue, l’auditeur est
i est, vis-à-vis des choses contingentes, dans le même rapport que le
général
est au particulier. XVI. Quant aux signes (σημεῖα
x signes (σημεῖα), l’un se comporte comme concluant du particulier au
général
, l’autre comme concluant du général au particulie
comme concluant du particulier au général, l’autre comme concluant du
général
au particulier. Le signe nécessaire, c’est la pre
De plus, parmi les signes, l’un (avons-nous dit) va du particulier au
général
; voici dans quel sens : par exemple, si on disai
rréfutable, c’est d’être vrai. Voyons, maintenant, le signe qui va du
général
au particulier. Si l’on disait, par exemple : « U
e en faisant la même demande ; mais tout cela tend à cette conclusion
générale
que celui qui conspire en vue de la tyrannie dema
ceux sur lesquels nous faisons des lieux. Ceux-ci sont, d’une manière
générale
, relatifs aux questions de droit, de physique, de
actions, et que ce qui est utile est bon, il faut donc, d’une manière
générale
, prendre les éléments de ce débat dans leurs rapp
que la bravoure doit surtout être utile à ses citoyens. XX. En thèse
générale
, étant donné ce que veulent les ennemis d’un tel,
ugent. En effet, le premier cas a lieu lorsque l’opinion exprimée est
générale
, et le second lorsque cette opinion est celle de
chez les Lacédémoniens, ou devant des philosophes ; et, d’une manière
générale
, présenter ce qui est en honneur en le ramenant à
juste pour certains et injuste pour certains autres. Mais cette loi
générale
s’étend par tout le vaste éther et aussi par la t
qu’il soit nécessaire d’établir une loi, il faut s’exprimer en termes
généraux
. Ainsi, qu’il s’agisse d’un individu qui, portant
I. C’est de ne pas s’arrêter au cas particulier, mais à l’application
générale
; de ne pas envisager le caractère de la personne
s les personnes de la même condition que nous-mêmes. X. D’une manière
générale
, il faut examiner, d’après les circonstances cont
xquels il n’y en a pas d’une application facile. Pour parler en thèse
générale
, sont des sujets de crainte tous les événements q
ne sont pas en position de nous faire peur. XXI. Enfin, d’une manière
générale
, si les desseins des dieux tournent à notre avant
emple, leurs serviteurs, leurs amis. XXIII. Maintenant, d’une manière
générale
, nous n’avons honte ni devant ceux pour l’opinion
es personnes dont les intérêts sont liés aux nôtres et, d’une manière
générale
, de ceux pour qui nous avons honte. À cette derni
rsonne on trouve toujours que le malheur est mérité. Et d’une manière
générale
, lorsqu’on sera disposé à s rappeler que la même
x voir que la même épreuve pourrait nous atteindre, et, d’une manière
générale
, il faut observer, à ce propos, que ce que l’on c
autres seraient précisément indignes. XV. En un mot, et d’une manière
générale
, ceux qui prétendent mériter telle chose dont ils
r leur ambition est tournée du côté de la sagesse ; et, d’une manière
générale
, ceux qui recherchent la renommée en quelque chos
ion avec ses concurrents, avec ses rivaux en amour, et, d’une manière
générale
, avec ceux qui convoitent le même objet que nous,
cherchent la société ou l’amitié ; ceux qui provoquent une admiration
générale
, ou la nôtre propre. VII. Ceux dont l’éloge et le
e ; la vieillesse tempérante, mais timorée. Pour parler d’une manière
générale
, les qualités avantageuses que possèdent séparéme
tenir à une chose, il est possible aussi qu’elle existe d’une manière
générale
. Car il est plus difficile qu’une liaison soit be
eur et la petitesse des choses, le plus et le moins et, d’une manière
générale
, les choses grandes et petites, c’est facile à re
iez le même sort que le cheval. Vous avez déjà le mors, ayant pris un
général
dictateur ; mais, si vous lui donnez une garde et
egmes. X. L’énoncé d’une généralité, à propos d’un fait qui n’est pas
général
, est de mise dans un mouvement oratoire où l’on c
ut employer des sentences consacrées par l’usage et d’une application
générale
, si l’on peut le faire utilement ; car leur carac
cation générale, si l’on peut le faire utilement ; car leur caractère
général
, justifié par le consentement unanime, en fait re
nces. La sentence, comme on l’a dit plus haut398, est une affirmation
générale
. Or on se complaît à entendre dire d’une façon gé
e affirmation générale. Or on se complaît à entendre dire d’une façon
générale
ce que l’on se trouvait déjà penser d’avance à pr
ce résultat en faisant paraître l’orateur comme énonçant une sentence
générale
à propos de l’objet particulier de ses intentions
nt donné les dieux n’existent pas. » Il consiste aussi, d’une manière
générale
, à considérer le résultat de chaque fait comme ét
une certaine vraisemblance. Du reste, il n’est pas d’une application
générale
, et, comme le dit Agathon : On dirait volontiers
é, ou de la pluralité, lorsque, après avoir considéré le point de vue
général
, on argumente ensuite sur des particularités, au
re propre à la circonstance présente, qui n’est pas d’une application
générale
, mais qui met les choses devant les yeux. Car, Ch
gias, dans son discours olympique : « Ils sont dignes de l’admiration
générale
, Athéniens… » En effet, il va louer ceux qui orga
8) propose une modification du texte qui donnerait au passage ce sens
général
: Mieux on choisira les propositions spéciales, m
άζειν par « admirer » ; mais ce mot est, ici, d’une application moins
générale
. 266. Ce proverbe est aussi dans le Phèdre de Pl
e Démosthène sur la fausse ambassade. 328. Ergophile et Callisthène,
généraux
athéniens qui furent accusés de trahison. 329. C
il s’évade. 349. Fait inconnu d’ailleurs. Il s’agit probablement du
général
athénien dont parle Démosthène dans la troisième
aurait été assassiné par les amis de ce Démosthène, lequel serait le
général
athénien mentionné dans la quatrième Olynthienne
consacré plus tard pour les figures de pensée, mais dans un sens plus
général
, à peu près comme Denys d’Halicarnasse (Sur Thucy
1, et VII, 3, des exemples du mot ἀρχιτεϰτονιϰός employé dans de sens
général
, ainsi que ἀρχιτέϰτων. Cf. Grande Morale, II, 7 :
ois-Henri de Montmorenci duc de), né en 1628, et l’un des plus grands
généraux
de ce beau siècle de Louis XIV. Il fit ses premiè
Il mourut en 1695, couvert de gloire et regretté comme le plus grand
général
qu’eut alors la France.
griculture ; quand Boileau, dans son Art poétique, indique les règles
générales
auxquelles sont soumises les compositions en vers
qu’on nomme l’achèvement. Ce mot, dont tout le monde comprend le sens
général
et ordinaire, est pris en poésie dans un sens par
décide ce qui a été en suspens jusqu’alors. Mais après cette décision
générale
, on peut encore désirer de savoir ce que deviendr
mis un second achèvement, et qui ne regarde plus du tout ni l’action
générale
, ni les autres personnages du poème, en ajoutant
pensent pas. Boileau même est de ce nombre. Mais le sentiment le plus
général
est qu’on le peut. Et en effet, sans recourir à a
au milieu de ces inventions, il doit toujours conserver les qualités
générales
de la narration, savoir la brièveté, la clarté, l
t la première croisade ; son héros est Godefroi de Bouillon, qui, élu
général
des croisés, vient mettre le siège devant la vill
r la pensée de l’auteur. Il les a cependant puisés tous dans la masse
générale
des mots français ; mais il n’a été ni heureux ni
ton néant tes superbes discours15. (M. de Fontanes). Ces caractères
généraux
du style sont indispensables à l’écrivain, quelqu
crivains à leur style et à leur manière particulière. C’est une règle
générale
, dont on compte les exceptions. Denys d’Halicarna
ceptions. Denys d’Halicarnasse divise en trois espèces les caractères
généraux
du style, et les nomme le style austère, le fleur
date l’ère de la science proprement dite. » Le goût des spéculations
générales
, la profondeur et la gravité des maximes, des vue
ême fidélité à son propre jugement, qu’il portait dans l’appréciation
générale
des choses, l’accompagnaient dans la pratique des
hommes et de moi-même, plus j’ai senti en même temps mes convictions
générales
s’affermir et mes impressions personnelles se cal
extrait d’un discours prononcé à la distribution des prix du Concours
général
. — 17 août 1835. — Didier. (Discours académiques,
yale, visitant le Prytanée de Paris, ordonna l’usage de ces Principes
Généraux
des Belles-Lettres, pour les Écoliers de Rhétoriq
des Membres de la Commission, se chargea d’extraire, de ses Principes
Généraux
des Belles-Lettres, une Rhétorique et une Poétiqu
un devoir du chrétien, mais elle est un désordre qui nuit au bonheur
général
. Toujours prête à céder aux opinions qu’on lui di
erce de la vie, celui qui veut avoir part à l’estime, à l’approbation
générale
, s’attache à prendre le langage et l’extérieur de
e et le charme. Je ne m’étendrai pas davantage sur ces considérations
générales
. Les lectures suivantes seront divisées en cinq p
grec reprit ensuite toute sa faveur, et s’empara seul de l’admiration
générale
. En éloquence et en poésie, les Asiatiques ne don
sions de la majorité. Il faut trouver beau ce qui enlève l’admiration
générale
. Le seul goût que l’on doive regarder comme juste
s. C’est là l’étendard sous lequel nous devons nous ranger. L’opinion
générale
doit nous guider dans ce qui concerne les ouvrage
eux sur lesquels s’exerce le sens interne, la manière de voir la plus
générale
obtient la même autorité, et a le droit de servir
gés, la raison peut encore les ramener. C’est en le comparant au goût
général
, qu’on peut reconnaître que le goût d’un individu
beau ou défectueux ; elle remonte des cas particuliers aux principes
généraux
, et, de cette manière, établit des règles qui ser
èle à presque toute une nation. C’est alors que, malgré l’approbation
générale
, une juste critique condamne avec raison ; et le
ont ouvertement violées, aient été néanmoins l’objet d’une admiration
générale
et même durable, telles que les tragédies de Shak
de pensées originales et ingénieuses sur ce sujet, avance en théorie
générale
que la terreur est la source du sublime, et que r
production. Cependant je ne donne pas cette opinion comme une théorie
générale
; il me suffit d’avoir fait connaître en quoi con
non pour apprendre à connaître le sublime, mais pour avoir des idées
générales
sur les différents genres de beautés dans le styl
ant d’analogie, qu’elles se mêlent et se confondent en une perception
générale
de beauté que nous attribuons à l’objet tout enti
rtant de pousser plus loin cet examen. J’ai établi quelques principes
généraux
dont il est temps de faire l’application au sujet
truction grammaticale du langage ou sur les principes de la grammaire
générale
, et je terminerai en appliquant plus particulière
ler, en modifiant les tons et en multipliant les gestes, devint moins
générale
; l’intelligence, en se développant, dissipait le
ement traiter de sa structure, ou de ce que l’on appelle la grammaire
générale
. Cette structure est le fruit d’un art poussé trè
erficiels peuvent la dédaigner parce qu’elle rentre dans ces éléments
généraux
de nos connaissances que l’on nous inculque dans
de précision philosophique dans ce qu’ils ont écrit sur la grammaire
générale
, et ce qu’on doit encore plus regretter, c’est qu
ces Lectures. Mais je me propose d’entrer en quelques considérations
générales
sur les principes les plus essentiels ; en passan
ment fondée sur la logique, puisqu’elle comprend sous la dénomination
générale
de noms les adjectifs et les substantifs, qui son
les. Il forma dans son esprit une seule idée de toutes ces propriétés
générales
, rangea dans la même classe tous les objets qui r
dividus distincts. Ainsi, quoiqu’il semble que la formation des idées
générales
ou abstraites soit pour notre esprit une opératio
Il ne faut cependant pas croire que cette découverte des expressions
générales
ou abstraites fût le fruit des recherches d’une m
us avons deux articles : a, un, une, et the, le, la, les ; a est plus
général
et plus indéterminé, the est spécial et défini ;
: Es-ne tu rex ? Thou art a man [tu es un homme], est une proposition
générale
et à peu près insignifiante ; mais Thou art the
rent donc être bien longtemps avant d’arriver à des expressions aussi
générales
; au lieu de considérer les relations abstractive
que n’exprimait pas la déclinaison des noms, ils conçurent des idées
générales
ou métaphysiques, et inventèrent successivement d
ains, comme on sait, n’en avaient pas moins que cinq, dont les règles
générales
étaient encore soumises à une foule d’exceptions.
vant les circonstances. It (neutre) [il ou elle] est le terme le plus
général
que l’on puisse imaginer, et tient la place de to
et. Les verbes auxiliaires sont, ainsi que les prépositions, des mots
généraux
et abstraits ; ils expriment les diverses modific
les séparer l’une de l’autre ! Je traiterai plus tard des caractères
généraux
du style ; il me semble indispensable de commence
dans tous les sujets ; il suffit quelquefois que nous ayons une idée
générale
de la pensée d’un écrivain, parce qu’il est proba
voyageur remarque les objets les plus frappants qu’il rencontre ; un
général
observe les mouvements de l’ennemi. « Équivoque,
je discuterai cette matière à fond. Quoique la clarté soit le rapport
général
sous lequel je considère en ce moment le langage,
cet égard qu’il mérite essentiellement d’être lu. De ces observations
générales
, nous en viendrons à des considérations particuli
se succédant, ne produisent pas d’hiatus. On peut établir en principe
général
qu’un son est d’autant plus désagréable à l’oreil
uide le plus sûr, parce qu’on ne peut donner que quelques règles très
générales
, Mais, attendu qu’il en est quelques-unes qui peu
vant d’entamer ce sujet, je crois devoir placer ici deux observations
générales
. La première est relative à l’utilité des règles
propose, c’est de jeter, avant la fin de cette Lecture, un coup d’œil
général
sur les sources du sens figuré dans les mots ; le
nous ne la nommerons pas autrement. Cette figure est d’un usage fort
général
, et c’est dans la nature même de l’homme qu’elle
’elles ne produisent aucune impression sur notre esprit. Le caractère
général
des comparaisons, dans un ouvrage, est une marque
a dignité ou la bassesse des objets dépend en grande partie des idées
générales
et des mœurs du siècle dans lequel nous vivons. V
renions à sa cause. Lecture XVIII. Du style figuré, des caractères
généraux
du style ; du style étendu, concis, faible, énerg
toujours exister un rapport très intime entre le style et la tournure
générale
de l’esprit d’un homme, et qu’il prenait le carac
les déduit de l’ensemble de son langage, et elles comprennent l’effet
général
produit par chacune des parties du style que nous
. Mais ces divisions, et les définitions qu’ils leur donnent, sont si
générales
, et même si vagues, qu’elles ne peuvent presque r
ndes beautés dans sa composition. Pour faire connaître ces caractères
généraux
du style, je ne puis qu’indiquer les auteurs dign
dépourvus de sens, ses épithètes oiseuses, ses expressions vagues et
générales
; ses phrases se suivront mal ; nous verrons bien
ées solides et du style simple et nerveux. Lecture XIX. Caractères
généraux
des styles simple, affecté, véhément. — Conseils
la Lecture précédente, j’ai commencé à faire connaître les caractères
généraux
du style ; j’ai traité du style concis et dévelop
ur les différents styles des écrivains anglais, et sur les caractères
généraux
du style. Il en est encore quelques-uns dont je n
it en lui plus qu’un orateur, car il était encore homme d’État, grand
général
, et d’une habileté consommée dans les affaires. P
u’il employa presque toutes, il est vrai, à des travaux d’une utilité
générale
. On dit qu’en mourant, ce dont il se félicitait l
eurs ne se contentaient pas de donner à leurs élèves des instructions
générales
sur l’éloquence, et de former leur goût ; ils ind
e le sentiment de la véritable éloquence ; la France, à cause du goût
général
qui y règne pour les beaux-arts, et des encourage
tes. La première est, je crois, le changement qu’a éprouvé la manière
générale
de penser, qui, chez les modernes, est bien plus
sance est essentielle pour appliquer à chaque genre celles des règles
générales
qui ne conviennent qu’à lui. L’éloquence d’un avo
solution dont le résultat est le bien commun. Nous posons en principe
général
que, pour persuader les hommes, il faut s’adresse
passages de deux ou trois d’entre elles, afin de montrer le caractère
général
du style de cet orateur dans les principales part
tait-ce le résultat d’une politique raffinée ? non ; c’était la haine
générale
contre tout homme qui acceptait des présents de c
de pardon. On ne pouvait acheter de la main, ni des orateurs, ni des
généraux
, les occasions favorables que la fortune ménage q
l est convaincu. Tel est le point auquel est parvenue cette contagion
générale
. « Si quelques-uns de nous, quoiqu’incapables d’ê
ce athénienne que vous placiez votre confiance ; et, quel que soit le
général
que vous donnerez à cette armée, qu’il ait sur el
étaient en petit nombre, d’une grande simplicité et d’une application
générale
, en sorte que la décision des causes était remise
. De l’éloquence de la chaire. Avant de traiter de la disposition
générale
d’un discours régulier, et des parties diverses q
édente. Quoiqu’on puisse observer encore l’unité en traitant un sujet
général
, cependant cette unité ne peut jamais être aussi
directe, et nécessairement moins convaincante. Cependant, les sujets
généraux
, comme l’excellence de la religion, le bonheur qu
tteindre, écartez tous les raisonnements compliqués, les propositions
générales
uniquement spéculatives, et les vérités pratiques
eux. Tant que le prédicateur se tient retranché dans les observations
générales
, et ne descend pas jusqu’à faire sentir les nuanc
ctures xx, xxi, xxii, xxiii, xxiv. Lecture XXXI. De la composition
générale
d’un discours. — Exorde, division, narration, exp
es de discours. Pour rendre plus sensible l’application de ces règles
générales
, il était nécessaire que je fisse préalablement c
peuple, d’une voix unanime, rejeta la loi agraire. Après ces données
générales
sur la nature et le but d’un exorde, je vais expo
imer pendant le reste de son discours. Cinquièmement, c’est une règle
générale
, qu’une introduction ne doit pas anticiper sur le
bé de Condillac. — Principes de Grammaire, par Dumarsais. — Grammaire
générale
et raisonnée. — Traité de la formation mécanique
urs sur l’inégalité parmi les hommes, par J.-J. Rousseau. — Grammaire
générale
, par Beauzée. — Principes de la traduction, par L
’y saurait mettre trop de réserve lorsqu’on veut en former un système
général
. 18. Voyez le Cratyle de Platon. — Nomina verba
humain’, il ne paraît pas douteux qu’avant de trouver des expressions
générales
, on commença par indiquer les particularités qui
que de la rapide simplicité de Démosthène. » 56. L’opinion la plus
générale
l’a laissé à ce dernier. 57. M. Hume, dans son E
suivante, dans la seconde bataille de ce nom qu’ils gagnèrent sur nos
généraux
. Villars étoit alors dans les Cévennes, où il réd
t envoyé en Italie, où le duc de Savoie l’honora du titre de maréchal
général
de ses camps et de ses armées. Après plusieurs co
mérite de la perfection oratoire : le véritable motif de ce concours
général
de toute la Grèce, était bien moins encore la gra
Ctésiphon avait violé les lois, et attenté par conséquent à la sûreté
générale
, passe à l’examen de l’administration de Démosthè
te que l’inscription parût être faite pour le peuple, et non pour les
généraux
. Transportez-vous en esprit dans la galerie des p
es peintures : on y a représenté le combat de Marathon. Quel était le
général
? C’était Miltiade, répondriez-vous, si on vous l
cela les passions de la nature ? Enfin, à ces deux grands caractères
généraux
, éthique et pathétique, encore une fois qu’on me
divers éléments que je viens d’énumérer comme modifiant le caractère
général
de l’humanité. Les deux plus puissants sont l’âge
remarques sont d’une vérité évidente. Mais si l’on admet ces théories
générales
sur les mœurs d’après le sexe, on verra que les p
rveau, organe manifeste de l’intelligence, participe à cette habitude
générale
du système, et tous les actes intellectuels s’exé
assemblées extraordinaires étaient indistinctement convoquées par les
généraux
ou par les prytanes : quelquefois le peuple s’ass
s d’adresse des motifs d’encouragement, de la cause même du désespoir
général
. L’orateur continue : « Il fut un temps où nous
our celui de tous les avis qui vous paraîtra le plus conforme au bien
général
». La seconde Catilinaire. Le sujet des Ca
trouve cependant des citoyens qui, animés de ce zèle qui eût dû être
général
, me fassent un crime d’avoir laissé fuir Catilina
na. Opposez d’abord à ce vieux gladiateur estropié vos consuls et vos
généraux
; armez et conduisez toute la fleur et la force d
ire mourir, sans autres formalités, des scélérats chargés de la haine
générale
. Le peuple se réjouit et applaudit à leur sévère
alors son avis est inconséquent : ou il est seul exempt de la terreur
générale
; et c’est pour moi et pour vous une raison de pl
serait susceptible. Je ne peux que tracer succinctement les préceptes
généraux
sur la manière d’écrire l’histoire, et en ajouter
vec la divinité, et dans leurs rapports entre eux. De là deux espèces
générales
d’histoire ; l’histoire sacrée et l’histoire prof
e privé que l’homme public. Si, par exemple, on écrit l’histoire d’un
général
, on doit rapporter en détail toutes ses actions g
r assez légèrement sur sa conduite privée. Si l’on écrit la vie de ce
général
, on doit y joindre, au récit circonstancié de tou
lorsqu’ils sont bien faits. Les ignorants y puisent des connaissances
générales
, et les savants y retrouvent certains faits dont
moins oculaires. Elles y joignent, au récit des événements publics et
généraux
, les particularités de leur vie, ou leurs princip
ide, Xénophon et Polybe. Ces écrivains étaient eux-mêmes de très bons
généraux
; et la description qu’ils font des batailles, en
habitudes bonnes ou mauvaises de chacun. On entend par mœurs ou mœurs
générales
, les habitudes qui appartiennent à une nation, à
entiments qu’ils excitent, d’après le rang des personnages, et le ton
général
du style. On a ainsi la tragédie, le drame propre
s excellents. Mais il peut être utile d’en récapituler ici les règles
générales
et pratiques. Ce sont les paroles mêmes de Voltai
non plus la satire personnelle des citoyens, mais attaquant les vices
généraux
sans désigner personne. C’est ce qu’on appela la
s, chœurs, etc. Les opéras se distinguent ensuite, selon le caractère
général
de la pièce et la condition des personnages, en t
viennent représenter l’action. Ce que l’on appelle opéra dans le sens
général
du mot, est une pièce qui réunit toutes les séduc
iennent, si l’on veut, à la littérature par le fond, par la charpente
générale
; pour le reste, le talent du poète y est si peu
’École Royale Militaire, je me suis attaché à leur donner des notions
générales
, mais précises, de tous les objets importants qu’
ision de la première Partie, j’ai cru devoir ajouter des Observations
générales
sur l’Art d’écrire les Lettres, et sur le cérémon
livres. Comment se forme le pluriel dans les noms. 14. — Règle
générale
. Pour former le pluriel, ajoutez s à la fin du no
sonne. 1. Les noms en ou prennent une s au pluriel, suivant la règle
générale
: un clou, des clous ; un trou, des trous. Il n’y
e Quintilien. Ces topiques n’étaient autre chose qu’une série d’idées
générales
, applicables à un grand nombre de sujets différen
tres étaient particuliers à tel ou tel genre. Les topiques communs ou
généraux
étaient pris dans la différence entre le genre et
idérations par lesquelles il était possible de recommander une mesure
générale
, ou d’en dissuader, comme sa convenance, sa justi
n réussit plus rarement), qu’elles soient assez bien assorties au ton
général
du discours pour ne pas en rompre l’unité. Quelqu
e l’ennui, si cette attente n’est point remplie. Mais l’usage le plus
général
des pauses, est de marquer les divisions que le s
r ce qui est grand, et à tourner en ridicule ce qui fait l’admiration
générale
. Une telle disposition s’oppose à presque tous le
les observations et les règles y sont quelquefois trop vagues et trop
générales
. Cependant il y a un grand nombre de choses très
aurai occasion de considérer leurs ouvrages sous un point de vue plus
général
. En conséquence, et avant d’aller plus loin, je c
hæreret nigro fuligo Maroni. (Sat. VII, v. 226.) D’après ce principe
général
, lorsque la réputation des grands écrivains de l’
ation universelle et trop aveugle pour les anciens. C’est un principe
général
que j’ai posé ; son application nous mènerait tro
de faiblesse. Si cette observation est susceptible d’une application
générale
, il ne faut pas perdre de vue qu’elle est aussi s
qu’il est difficile que cette unité soit parfaite dans les histoires
générales
où sont rassemblés tous les faits qui intéressent
té, doit avoir un commencement, un milieu et une fin liés à la marche
générale
des affaires publiques, en sorte que nous voyions
e tous les écrivains de l’antiquité qui nous ont laissé des histoires
générales
, Polybe, quoique d’ailleurs peu élégant, paraît ê
t. Aussi je crois qu’il est utile de jeter, avant tout, un coup d’œil
général
sur les parties différentes qui forment ce vaste
ses sur l’utilité d’adopter dans les compositions historiques un plan
général
; il compare la faible instruction que l’on retir
jamais apercevoir l’influence des causes politiques sur les affaires
générales
. La lecture attentive des historiens grecs ne nou
ait été longtemps simple soldat, ensuite centurion, et enfin officier
général
, rétablissait l’ancienne discipline dans toute sa
qu’il en avait plus supporté]. L’on pouvait ici dire, en observation
générale
, que ceux qui ont été élevés et endurcis à la pei
ien ne peut y parvenir qu’en observant scrupuleusement, dans son plan
général
et dans le détail de son sujet, cette unité que j
iverses qui se rapportent à l’événement qu’il raconte. Les faits trop
généraux
ne produisent sur l’esprit qu’une impression faib
être simple dans son style ; non content de nous donner une esquisse
générale
, il nous fera voir distinctement chaque trait d’u
méritait cet ingénieux et éloquent ouvrage. Son Essai sur l’Histoire
générale
de l’Europe depuis Charlemagne, ne peut être cons
ncrédulité aux effets de la magie et des enchantements, le changement
général
opéré dans les mœurs de l’Europe entière, commenc
oins, ait quelque chose de vraisemblable. Telle est, je crois, l’idée
générale
que l’on doit avoir de la poésie pastorale ; mais
; mais il ne doit pas débiter des subtilités, se perdre en réflexions
générales
et en raisonnements abstraits, et encore moins fa
mplet et plus régulier, que si on veut le regarder, suivant l’opinion
générale
, comme un système entier de l’art poétique. Les p
forte et prononcée. Une description qui ne comprend que des qualités
générales
, ne saurait avoir aucun mérite ; car des abstract
oute beaucoup à la vivacité. Quelques exemples vont rendre ces règles
générales
plus sensibles. Je ne connais, en aucune langue,
les entrailles de la terre. » Dans tout ce passage, point de termes
généraux
, point d’expressions insignifiantes. Tout est par
nt désignés, qu’une colline, un lac ou une rivière, pris dans un sens
général
. C’est ce qu’ont bien senti plusieurs écrivains d
es et plus distinctes. Il est des épithètes que l’on pourrait appeler
générales
, qui paraissent d’abord ajouter quelque chose à l
ue. Nous emploierons cette Lecture à en faire connaître les principes
généraux
; nous examinerons ensuite le caractère et le gén
son ouvrage est destiné à inculquer. Ensuite il invente une histoire
générale
ou une série de faits qu’il ne rattache à aucun p
persuader que la mésintelligence entre les princes amènerait la ruine
générale
. Pour donner plus de force à son instruction, il
a défaite complète des ennemis fut le fruit de cette réunion. Ce plan
général
une fois formé, dit toujours notre critique, il i
e elle-même l’a profondément gravé dans nos cœurs. L’esprit et le ton
général
de la poésie épique font suffisamment sentir la d
ussi vives, mais elles sont plus prolongées. Tels sont les caractères
généraux
de ce genre de composition ; mais pour en donner
. On peut diviser les caractères employés dans un poème en caractères
généraux
et en caractères particuliers. Les caractères gén
en caractères généraux et en caractères particuliers. Les caractères
généraux
sont ceux auxquels on attache indistinctement les
ment fictifs, dont les noms ne représentent autre chose que des idées
générales
, et auxquels l’imagination même se refuse à attri
LIII. L’Iliade et l’Odyssée. — L’Énéide. L’épopée, selon l’opinion
générale
, tient le premier rang parmi les ouvrages poétiqu
la critique trop loin. L’affectation n’est certainement pas le défaut
général
de la manière du Tasse ; il est, au contraire, pr
e plus qu’à parler de l’état de la tragédie parmi nous. Son caractère
général
est d’être plus animée, plus passionnée, mais aus
r des pièces modernes ni des auteurs vivants. En jetant un coup d’œil
général
sur les compositions tragiques des différents peu
e distingue assez de la tragédie par son esprit particulier et le ton
général
qui y domine. Tandis que la pitié, la terreur et
re de composition très moral et très utile, dans la nature et le plan
général
de laquelle la censure n’a rien à reprendre. Poli
les observations principales que présente l’application des principes
généraux
de l’art dramatique à la comédie. Pour avoir une
u’il permettait que les personnages les plus illustres de l’État, les
généraux
, les magistrats, comme Cléon, Lamachus, Nicias, A
étaient des satires politiques sur le gouvernement et la conduite des
généraux
et des hommes d’État pendant la guerre du Pélopon
hrate ; ou lorsqu’en parlant des armées, on ne ferait que nommer leur
général
, ou l’État, ou le roi qu’elles auraient servi. Cé
toujours exister un rapport très intime entre le style et la tournure
générale
de l’esprit d’un homme ; il prend le caractère de
1675.) 6. Je vais essayer de donner sur cette matière quelques avis
généraux
, qui peut-être ne seront pas tout à fait superflu
u’il lui fait éprouver. — S’il décrit de grandes scènes ou des objets
généraux
, il montre la nature dans toute sa magnificence ;
e mieux traité. » (Voltaire.) 54. « Ce Lachapelle était un receveur
général
des finances, qui traduisit très platement Tibull
les livres même qui, sous le nom de Caractères, présentent la satire
générale
de la société, je veux que, comme chez la Bruyère
comme celui de Théophraste et de M. de Doudeauville, où les portraits
généraux
ou individuels, étant le livre même, se succèdent
nions, de votre esprit, en appliquant seulement à ce genre les règles
générales
de l’art d’écrire. Ainsi donc, sans nous arrêter
« Chaque fois, dit M. Wey, qu’à l’aide d’un incident rattaché au plan
général
, on peut dépeindre un personnage, le caractériser
étude particulière, nous devons chercher à acquérir des connaissances
générales
, qui ne nous laissent rien ignorer de ce que tout
au, il y en a un qui est nécessairement vicieux. Quelle sera la règle
générale
à suivre pour juger sainement en fait de goût ? 1
e juger avec goût. 3° Enfin, le guide le plus sûr, c’est l’admiration
générale
: ce qui est regardé comme beau par tous les homm
ous avons voulu, dans ce qui précède, donner aux élèves des préceptes
généraux
de composition, et leur enseigner les principaux
lle. En quoi consiste-t-elle en définitive ? En trois points : Etudes
générales
pour préparer aux spécialités ; Lieux externes ;
s détails enfin que le hasard, sa fantaisie ou un plan suivi d’études
générales
lui auront suggérés ? Il y aurait, sans doute, in
es de cette sorte de définition. Fléchier veut relever le mérite d’un
général
par les difficultés à vaincre dans le commandemen
e, ou de présenter dès l’abord, pour le bien faire saisir, le dessein
général
, l’idée première d’un ouvrage. Mais on court risq
t lorsque, en dépit de la conscience de son crime et de l’indignation
générale
soulevée contre son infamie, Catilina a l’impudeu
dans la cause elle-même, dans son équité, son importance spéciale ou
générale
, sa nouveauté, etc. Il rentre, ainsi que l’exorde
te, il serait déjà blâmable, car il abuse le lecteur sur le caractère
général
, sur l’allure réelle de l’écrit qu’il va lire. Pl
on manque, n’ont aucun motif pour s’intéresser à des choses vagues et
générales
dont l’explication leur est inconnue… « Débuter
fs neutres, comme maj-us, ōris ; utili-us, ōris, qui suivent la règle
générale
. 2° dans les noms qui ont en grec un omicron au
la quatrième et de la cinquième déclinaison suivent la première règle
générale
qui dit qu’une voyelle suivie d’une voyelle dans
tĕti (de sto), stĭti (de sisto), tŭli (de fero), et, suivant la règle
générale
, ceux qui ont une voyelle devant i, comme rŭi, fŭ
recs en υς long46. ARTICLE V. 1° Des mots composés. règle
générale
. Les mots composés conservent généralement la qua
ns sont de deux sortes : les unes sont des lieux communs, des pensées
générales
souvent susceptibles des plus grandes beautés poé
sion très animée, et remplie d’écarts et de tours extraordinaires. Eu
général
, on demande quo le poète se soutienne jusqu’à la
s la suite. C’est pour cela que nous nous bornerons ici à des notions
générales
. Dans les sujets nobles et élevés, le poète, aprè
on de charité. Cette dernière composition s’éloigne encore des règles
générales
du genre, en ce qu’elle n’est empruntée ni à l’hi
délicate. On doit se contenter d’attaquer les vices et les ridicules
généraux
, sans donner dans l’odieux des personnalités. C’e
notre bonheur sans égal : Nous avons recouvré Crémone, Et perdu notre
général
. Ce tour d’esprit n’a rien perdu dans la suite,
uplet sur la déroute de Rosbach, si prompte et si imprévue ; c’est le
général
qui parle : Mardi, mercredi, jeudi, Sont trois j
ères qui attestent la liberté morale de l’homme, et l’action des lois
générales
de l’humanité vers des fins supérieures sous la d
ns périssables des hommes, elle transmet avec certitude les résultats
généraux
de la vie des nations et les grands motifs qui le
art de la fortune et celle de l’homme, c’est-à-dire l’action des lois
générales
et les limites des volontés particulières ; en un
Dans le premier chant et dans le quatrième, Boileau donne les règles
générales
de la poésie : qualités du style, versification,
remière comprendra ce qui concerne la poésie considérée d’une manière
générale
, c’est-à-dire, sa nature, sa forme, et les qualit
est explicative quand on pourrait la retrancher sans altérer le sens
général
d’une proposition. Ex.: « Les savants, qui sont p
riode peut former un sens partiel concourant au développement du sens
général
; ces petites phrases sont des incises. L’ incise
uvons ouvrir la bouche sans en faire, tant leur usage est vulgaire et
général
: J’ai pris souvent plaisir, dit de Bretlew, à
égée. La métaphore (qui transporte le sens d’un mot), est la plus
générale
, la plus variée et la plus belle des figures de m
l est comme un lion, c’est une similitude : j’exprime la ressemblance
générale
entre un homme irrité et un lion. Si je vais plus
sser l’amour propre des auditeurs en parlant de soi exclusivement. Un
général
modeste n’oserait pas s’attribuer seul la gloire
érente, et toutes ces pensées accessoires réunies autour de la pensée
générale
: habileté dans l’art militaire, seraient suscept
défaites habilement réparées, il eut fait une faute parce qu’un grand
général
doit prévoir une défaite, et plutôt que de s’y ex
din, où il peut faire quelquefois bon effet, on doit dire qu’en règle
générale
il est indigne d’un écrivain sérieux. XX. Comm
levé sur un char, dans l’appareil d’un triomphateur plutôt que d’un
général
, alors au travers des campagnes qu’il avait rempl
t. Il est trop sec, trop nu et frappe peu. Le placer au milieu après
général
, serait la ressource d’un traducteur ordinaire, q
tait avancé, au combat, élevé sur un char, moins dans l’appareil d’un
général
que d’un triomphateur, couvrant les campagnes de
se grâce à la repousser. Si Boileau avait dit à Louis XVI : Tous vos
généraux
sont des Achilles, il ne vous faut qu’une minute
sec dans l’expression. N’offrir que des idées principales, des traits
généraux
, écarter toutes idées accessoires qui pourraient
esprit comme sa physionomie particulière, il s’en suit que les règles
générales
sont presque inutiles. Je ne conseillerais pas ce
arle le langage du bon sens et de la sagesse ; elle contribue au bien
général
. Mais dans la bouche de ces hommes turbulents et
L’éloquence militaire s’adresse aux soldats avant la bataille. Un
général
, pour exciter l’ardeur de ses troupes, leur adres
uité. Celles que les historiens mettent si souvent dans la bouche des
généraux
n’ont pas toujours été prononcées telles qu’on le
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles
généraux
des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
Mort de Turenne Il passe le Rhin et trompe la vigilance d’un
général
habile et prévoyant2. Il observe les mouvements d
s ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur
général
mort. L’armée en deuil est occupée à lui rendre l
es qui se distinguent par un goût sûr et délicat, et que le sentiment
général
a classés parmi les modèles. Et lorsqu’on aura lo
ée Conception ; celle des difficultés qui pressent de toutes parts un
général
d’armée, par M. Thiers, et la suivante sur les av
enne, lorsque Fléchier rappelle les suites de la bonne fortune sur un
général
vainqueur ; dans celle de la reine d’Angleterre,
lui-ci prend alors le genre et le nombre du dernier substantif : = ce
général
avait dans son armée un pouvoir, et une autorité
grammairiens, qui a fait cette faute : = c’est un de nos plus grands
généraux
, qui a remporté cette victoire mémorable : = c’es
nos meilleurs grammairiens ont fait cette faute ; que nos plus grands
généraux
ont remporté cette victoire ; que nos plus habile
n et votre maison de campagne : ils sont fort beaux. Voilà les règles
générales
de construction. Mais il y a des remarques partic
. Si le pronom le se rapporte à un substantif, il suit alors la règle
générale
, et prend le genre et le nombre de ce substantif
et nettement. J’observerai, néanmoins, après l’Auteur de la Grammaire
générale
, et l’Abbé d’Olivet, que le pronom relatif qui pe
ronoms personnels, le verbe, suivant l’Académie, doit suivre la règle
générale
: = vous ou moi irons à la campagne. 2°. Plusieur
fie, en matière de guerre, conduire, faire marcher des troupes : = ce
général
a commandé une armée de cent mille hommes. Ce rég
gue, dit dans sa traduction de Tite-Live : la Légion qu’avait eue ce
général
romain , etc. Boileau, dans ses réflexions sur Lo
’Europe. = Les courtisans préférant leur avantage particulier au bien
général
, ne donnent que des conseils intéressés. Dans le
a davantage de brillant que de solidité, mais plus de brillant : = ce
général
travaillait davantage à rendre les peuples heureu
atines. Deuxième partie. — Syntaxe. Livre premier. Syntaxe
générale
. Chapitre I. Règles d’accord. § 120.
vagabonde, inconstante, incertaine, capricieuse. — 7. Caïus Marcius,
général
romain, prit la ville de Corioles, ce qui lui val
gants, enjoués, concis. Caton fut réputé excellent orateur, excellent
général
, excellent sénateur. On cite de lui un grand nomb
as moins méprisé que haï. — 13. Lucius Marcius, chevalier Romain, élu
général
en Espagne après la mort des deux Scipion, prit u
ur de l’Afrique, battit et mit en fuite, en Espagne, quatre illustres
généraux
Carthaginois, avec quatre armées ; il fit prisonn
e obéissait aux lois très-sévères de Lycurgue. — 4. Les armées et les
généraux
de Rome cédèrent au Lusitanien Viriate, chef de b
ine à Fabius Maximus, fils de Fabius Maximus Allobrogicus, citoyen et
général
très-illustre. — 16. L’eau et le feu furent inter
pitié de ses concitoyens abattus, il rentra dans sa patrie, fut nommé
général
, et rendit les Athéniens vainqueurs. — 6. Le cons
fureur a coutume de se repentir. — 9. Les Parthes écrasèrent Crassus,
général
romain ; mais bientôt ils se repentirent de leur
deux. — 3. Ce qui importe à l’État nous importe à nous tous. — 4. Le
général
habile prendra une position avantageuse ; cela im
passant, leur rappela les bienfaits de son père Philippe, et fut élu
général
de toute cette nation. Les Athéniens, qui avaient
ntercludebat. corrigé. 1.Annibal l’emporta sur tous les autres
généraux
. — 2. L’honneur est plus précieux que la vie. — 3
liis bono suo. corrigé. 1. Le médecin prévoit les maladies, le
général
les embûches, le pilote les tempêtes. — 2. C’est
adies, le général les embûches, le pilote les tempêtes. — 2. C’est au
général
de pourvoir aux approvisionnements. — 3. Anaxagor
traits de guerre, aux Étrusques les insignes de leurs magistrats. Le
général
décernait aux plus braves soldats des colliers et
litaire. Dans la guerre, il fut d’abord un soldat très-brave, puis un
général
éminent. Il fut sans doute d’un caractère âpre, d
ime capital, mais condamné à l’amende. — 4. Chez les Carthaginois, le
général
était puni quand il n’avait pas réussi. — 5. Dion
e de Falérie, et le siége paraissait devoir durer longtemps ; mais le
général
romain dut à la fortune, ou plutôt à sa vertu, un
de berger chasseur, de chasseur brigand, de brigand chef de guerre et
général
; bientôt il se rendit maître de toute la Lusitan
t rassemblé en Sicile une armée d’esclaves fugitifs, battit plusieurs
généraux
Romains. — 5. Tibère eut pour successeur Caïus Cé
oursuivit Jugurtha à travers les déserts de l’Afrique. — 9. Phébidas,
général
lacédémonien, conduisant une armée à Olynthe, pas
issons et sept mille oiseaux furent servis. Il fut mis à mort par les
généraux
de Vespasien, et ignominieusement traîné en publi
grande partie de leur armée par les forces carthaginoises, aucun des
généraux
Romains n’osait partir pour rétablir les affaires
faire des fromages. — 9. C’est une chose d’un mauvais exemple que les
généraux
soient élus par les armées. — 10. Inventer des fa
uadé que les paroles ne peuvent donner du cœur, et que la harangue du
général
ne fait pas d’un lâche un brave, ni d’une armée t
es Lacédémoniens. — 5. Les Romains pensaient qu’il importait au salut
général
qu’il y eût deux consuls dans la République. — 6.
le même jour qu’elle avait été assiégée. — 15. Chez les Romains, les
généraux
cultivaient autrefois les champs de leurs propres
e tout point. — 2. Artaxerxès, roi de Perse, demanda aux Athéniens un
général
qu’il pût mettre à la tête de son armée. — 3. Pui
tenant dans la guerre contre Jugurtha. Il en profita pour accuser son
général
devant le peuple Romain, en disant qu’il traînait
dre de Macédoine. Certes, je ne nie pas qu’Alexandre ait été un grand
général
; mais s’il eût, après avoir subjugué l’Asie, tou
’étaient des hommes. Cet invincible Alexandre aurait eu affaire à des
généraux
invincibles. Les Romains auraient eu un grand nom
es sous la conduite de sa fille Antigone. — 8. Les Grecs prirent pour
général
contre les Perses Cimon d’Athènes ; il était fils
portait autant en prudence [illisible chars][texte coupé]r les autres
généraux
, que le peuple Romain sur[illisible chars][texte
s, sous l’empire Romain, de jour plus mémorable que celui où les deux
généraux
les plus grands de tous, Annibal et Scipion, vain
n’avons plus rien à espérer. — 2. Les Carthaginois n’avaient point de
général
à opposer à Scipion. — 3. La mort n’est pas à cra
e que le prolixe orateur disserta plusieurs heures sur les devoirs du
général
et sur toutes les parties de l’art militaire. Tou
pierres pleuvent de toutes parts, et l’armée nocturne de cet illustre
général
prend la fuite. Ils emportent pourtant deux petit
poussé, et voyant que Pompée ne poussait pas son avantage, dit que ce
général
ne savait pas vaincre. — 7. Tibère craignait le t
— 3. Pompée, à peine au sortir de l’enfance, fut soldat sous un grand
général
; au commencement de sa jeunesse, il fut lui-même
us un grand général ; au commencement de sa jeunesse, il fut lui-même
général
d’une grande armée. — 4. Codrus se précipita au m
ins suer que s’ils avaient couru dans la carrière. § 254. Méthode
générale
pour traduire les gallicismes. version 278
par écrit et qu’on les fit circuler parmi la foule ; qu’à la demande
générale
, Androclus fut renvoyé absous ; que le lion lui f
omme les sources où l’orateur peut puiser ses preuves, certains chefs
généraux
appelés lieux ou lieux communs, parce qu’ils appa
ns préparation et éclater avec force dès le premier moment. Ainsi, un
général
vient de mourir : le temple s’ouvre, ses voûtes r
d’où découle naturellement la conclusion qui renferme la proposition
générale
. Il s’appliquera surtout à les développer avec ne
en faire sentir le faux, et les ruiner tout d’un coup par une raison
générale
et victorieuse19. L’important, c’est qu’on n’oubl
Pareillement, à l’époque de la rentrée des tribunaux, les procureurs
généraux
font souvent des discours où ils recommandent aux
it de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers elles plus habiles
généraux
des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
ttre qui ne se rattache précisément au sujet. Il n’y a rien à dire de
général
sur la narration, la confirmation et la réfutatio
st illimité. Aristote les a réduits, dans sa Rhétorique, à cinq chefs
généraux
: les finances, la paix et la guerre, la sûreté d
tes qui peuvent s’étudier simultanément : la première est une théorie
générale
de l’art d’écrire ; la seconde, une étude des gen
ui contient l’étude des genres, est précédée d’une sorte d’esthétique
générale
. Nous y parlons de la poésie, non pas seulement c
tique ; et s’il nous était permis d’ajouter une opinion à la décision
générale
, ce serait celle de M. de La Harpe lui-même, qui
ous avec Warvick, ce trait premier de ressemblance qui tient à l’idée
générale
du rôle ; et malgré les efforts de l’auteur pour
urs infiniment au-dessous de son auteur. Voilà quant aux dispositions
générales
: le plus ou moins de succès dans l’exécution dép
un ouvrage destiné à faire époque, et où l’on veut trouver des règles
générales
, et non pas des manières de voir particulières. M
e ses espérances. Le mérite de l’ouvrage fut contesté ; le succès fut
général
. Mais au milieu des critiques et des éloges égale
nt pesé avec lui-même dans le silence des passions, et dont l’utilité
générale
ne lui soit d’avance clairement démontrée. Qu’il
ronder l’opinion commune quand elle ne sera pas d’accord avec le bien
général
; braver les clameurs de ce même peuple, qu’il fa
a classe de rhétorique Précédés d’une introduction sur les caractères
généraux
des xviii e et xix e siècles et accompagnés de no
FRÈRES, Successeurs 56, rue des écoles Introduction. Caractères
généraux
de la littérature française au dix-huitième et au
nfin, comprend le règne de Louis XVI jusqu’à la convocation des états
généraux
(1774-1789). Première période (1715-1749). — La
e Sept ans comme le moment décisif du siècle. Une explosion de mépris
général
éclate contre un gouvernement qui a lassé la fidé
» Les classiques du dix-huitième siècle, en effet, au lieu des types
généraux
qu’ils n’osent plus aborder après Molière, metten
en effet, traduit sur la scène le parti philosophique, et à la satire
générale
mêle de blessantes personnalités. Mais c’est bien
angue de la prose française. Le dix-huitième en conserva le caractère
général
et la dégagea même de quelques lenteurs. Cependan
st la philosophie, avant tout, dont il importe de dire les caractères
généraux
, parce que la philosophie, en effet, marque de so
se patriotique que nous ont transmis les annales de nos anciens états
généraux
; mais le retour irrégulier de ces assemblées, le
aura donc quelque chose de plus hardi, de plus systématique, de plus
général
, que toutes les autres éloquences politiques qui
proclament les doctrines de leurs maîtres ; ils ont le goût des idées
générales
, des principes abstraits, des formules philosophi
trer ici dans un détail qui n’est pas de notre sujet ; mais cette vue
générale
suffit à faire comprendre quels devront être les
absolue pauvreté30. » Il convient cependant de le rappeler. Les vues
générales
risquent toujours d’être trop absolues, et l’étud
sophie dans notre siècle. Néanmoins, à s’en tenir aux traits les plus
généraux
, voici ce qui apparaît. D’abord la philosophie du
à sa gloire passée, il se trouvait sans secours, sans ministres, sans
généraux
, pour les avoir faits et soutenus par goût et par
mpression qu’il faisait sur les esprits. L’étonnement qu’il causa fut
général
; il fut tel, qu’il semblait, à voir ceux auxquel
été plus approfondies ; mais dans ses hautes parties, dans ses idées
générales
, l’œuvre de Montesquieu n’a pas fléchi, et c’est
ines, de ses enfants et de ses femmes ; enfin, s’il eut affaire à des
généraux
romains malhabiles, on envoya contre lui, en dive
rs temps, Sylla, Lucullus et Pompée. Ce prince, après avoir battu les
généraux
romains, et fait la conquête de l’Asie, de la Mac
ylla, réduit, par un traité, à ses anciennes limites, fatigué par les
généraux
romains, devenu encore une fois leur vainqueur et
ibut de deux mille cent livres d’or. Il recevait les appointements de
général
des armées romaines. Il envoyait à Constantinople
dit l’empire, ce furent toutes les invasions. Depuis celle qui fut si
générale
sous Gallus155, il sembla rétabli parce qu’il n’a
et un mille hommes, dont il y avait environ seize mille Suédois. Les
généraux
Rehnskold, Roos, Levenhaupt, Slipenbak, Hoorn, Sp
i, aidé de son feld-maréchal Rehnskold, ordonnait tout pour un combat
général
. Il rangea sur deux lignes ce qui lui restait de
le prince de Wurtemberg, le général Rehnskold et plusieurs officiers
généraux
étaient prisonniers, le camp devant Pultava forcé
il n’eût point de commandement dans l’armée, devenu en cette occasion
général
par nécessité, rallia cinq cents cavaliers auprès
en une assemblée des notables du royaume : c’était une espèce d’états
généraux
. Les paroles qu’il y prononça sont encore dans la
l’idée qu’il doit périr par un déluge universel ou par un embrasement
général
; le respect pour certaines montagnes, sur lesque
e musique, précepteur, secrétaire d’ambassade, caissier d’un receveur
général
des finances, il se détermine enfin à tout quitte
ure, et, dans ce dernier surtout, un intérêt violent, bien un et bien
général
. Avec tout cela, le goût est si misérable, si pet
Je formai, il y a quelques années, le projet d’écrire une histoire
générale
de la nature, à l’imitation d’Aristote, de Pline,
t étendue, et je suis un homme très borné. Non seulement son histoire
générale
, mais celle de la plus petite plante, est bien au
de la nature. Je n’eusse pu leur refuser une place dans son histoire
générale
, lorsqu’elle leur en avait donné une dans l’unive
on talent, avaient fixé sur lui l’attention publique, quand les États
généraux
furent convoqués (1789). Mirabeau fut envoyé par
à contempler que dans l’histoire les grandes révolutions, les guerres
générales
, les fièvres de l’opinion, les fureurs des partis
amour éternel. » (Jérémie). Cette parole doit nous servir de solution
générale
pour toutes les énigmes qui pourraient scandalise
un saint Pierre, en lui mettant une auréole sur la tète. L’expression
générale
de ce temple caractérise parfaitement le mélange
rances ; mais à ces causes particulières il faut ajouter le mouvement
général
des esprits, dont la tendance était de revenir au
, dont quelques brillantes parties ne sauraient racheter la faiblesse
générale
; la froide tragédie de Moïse, Milton et l’Essai
econder, assied sur tous les trônes la folie et la stupidité ; pas un
général
dans les camps, pas un ministre dans les conseils
x et de bien d’autres choses. Tout homme qui n’est ni commissaire, ni
général
, ni valet, ou courtisan des uns ou des autres, ne
orce d’être inconséquent, et de déférer à chaque instant à l’autorité
générale
comme à la règle infaillible du vrai415. Il ne fa
le à raisonner contre Dieu, puisqu’il commence par rejeter l’autorité
générale
de la raison. A la vue d’une folie si extrême et
. Je suis encore à certaines heures dans cette disposition d’amertume
générale
; et je sens bien que, si elle était sans interva
lassification. L’expression449 ne fournit pas seulement les règles
générales
des arts, elle donne encore le principe qui perme
est-elle sortie de terre, en tous lieux, au jour marqué par les lois
générales
de l’univers, pour y rentrer un autre jour avec e
es qui dominent une époque et expliquent son caractère, les résultats
généraux
qui marquent les progrès de la civilisation, en u
sent que dans la mesure où elles lui semblent l’expression d’une idée
générale
ou d’une loi historique. M. Mignet n’a même pas é
vénements publics ; il montre avec une heureuse rapidité le mouvement
général
des idées dans les ouvrages de ceux dont il racon
e Napoléon, les lettres non moins nombreuses de ses ministres, de ses
généraux
, de ses aides de camp, et même des agents de sa p
pli de l’héroïsme modeste, il pressa sur sa poitrine le drapeau et le
général
, au milieu des cris et des larmes des assistants,
grandes sentences présentent toujours deux faces : elles ont un sens
général
qui n’a rien que de vrai et d’innocent, et un sen
vice et la vertu, des épigrammes vives et mordantes ; pas de maximes
générales
, des mots piquants et qui frappent au but ; par-d
ne, mettez-vous là avec votre monde et faites-vous y tuer. — Oui, mon
général
. » Voilà l’obéissance, et, vous le sentez, une ob
lui fallut conquérir la Grèce pour être prise, en la personne de ses
généraux
et de ses chefs illustres, pour être touchée de c
tique le malade. » Le classique, en effet, dans son caractère le plus
général
et dans sa plus large définition, comprend les li
nt pour éclore ; on n’évite pas, surtout dans l’enfance, les courants
généraux
qui passent dans l’air, et qui soufflent le sec o
ère, celle de Villemain, partie nouvelle et essentielle de l’histoire
générale
, s’applique à faire ressortir l’influence de la s
de sorte de critique, celle de Sainte-Beuve, moins attentive aux lois
générales
de l’esprit qu’à ses diversités intellectuelles,
rceaux brillants et pathétiques ne rachètent pas la faiblesse du plan
général
, et la faute plus grave d’avoir établi deux intér
97), acte III, scène v. Le songe de Macbeth. Macbeth, prince et
général
écossais, a vaincu, à Inverness, Cador et Herford
e, en effet, dans les années qui précédèrent la convocation des Etats
généraux
, était devenu une tribune politique. Ne demandez
n public prompt à saisir les allusions contemporaines ; les sentences
générales
qui viennent sans cesse entraver et refroidir la
liantes même pour son orgueil, auprès des membres du comité de sûreté
générale
. Cette basse accusation eut du moins un résultat
roche de la poésie, quand d’un trait il faudra éclairer une situation
générale
, dessiner les grands horizons, Lamartine retrouve
ue de vastes et spécieux à peu près, où circule par endroits l’esprit
général
des choses, où vont et viennent ces grands couran
études brillantes, justifiées par un prix de philosophie au concours
général
, cherchait, vers 1830, dans des directions différ
ts empreints de fraîcheur et de grâce faisaient contraste avec le ton
général
: on eût dit le soupir à demi étouffé de la muse
rs à l’exil, aux bourreaux, Tes plus grands citoyens, tes plus grands
généraux
! A tes meilleurs enfants cité toujours marâtre,
son testament au premier président Mesmes et à Daguesseau, procureur
général
, leur aurait dit : « Je vous le remets pour le ga
3). 119. Tallart, né en 1652, mort en 1728, négociateur habile, mais
général
médiocre, devint ministre d’État en 1726. 120. N
quêtes et la chambre des requêtes. Ses membres étaient : un procureur
général
, deux avocats généraux, quatre-vingt-quatorze con
es requêtes. Ses membres étaient : un procureur général, deux avocats
généraux
, quatre-vingt-quatorze conseillers, deux présiden
it donné au tzar le conseil d’éviter avec Charles XII tout engagement
général
. Il mourut en 1719. 172. Sorte de garde du corps
tra au service de Thamasp, qu’il déposa, et se fit proclamer roi. Ses
généraux
le tuèrent dans une expédition contre les Kurdes.
peut être que superficiel et doit se borner à exprimer des sentiments
généraux
, des pensées et des images également générales. »
exprimer des sentiments généraux, des pensées et des images également
générales
. » 319. Notre prose est-elle supérieure à notre
sauraient être complets, on le comprend. Il n’y faut voir qu’un trait
général
vivement enlevé, et qui laisse à notre appréciati
ns dans des voies nouvelles ; mais madame de Staël, dans un sens plus
général
, M. de Chateaubriand dans une direction plus nati
. L’erreur de Lamennais, on le voit ici, esc de faire du consentement
général
le principe de toute certitude. Or cet argument n
les intérêts privés qu’il jugeait illégitimes, à servir les intérêts
généraux
qu’il ne redoutait pas. Despote fougueux, tout am
de l’audacieuse entreprise qu’il raconte ; il prête son éloquence au
général
carthaginois ; mais la partie critique est faible
la condition d’être dans l’esprit humain et d’aider au développement
général
de l’humanité. Ainsi est-elle toujours bonne, tou
, par la grâce et la simplicité des détails, par l’harmonie et le ton
général
, par la note mélancolique qui la termine, les mei
ort ouvre devant nous l’avenir, a permis au poète de déroger à la loi
générale
, qui ordonne qu’un caractère soit le même à la fi
lité toute shakspearienne, lui prend fortement le bras et lui dit : «
Général
, aimez-vous la chasse ? » Cette question inattend
Général, aimez-vous la chasse ? » Cette question inattendue laisse le
général
embarrassé. « Eh bien ! si vous aimez la chasse,
spoir, que rien ne prépare et n’explique, présente à l’esprit un sens
général
et indéterminé. 691. Cette suspension est d’un h
is est devenu une bête enragée. Ce par quoi cet amour tient à l’ordre
général
du monde en a été soustrait. Dans les vierges de
gisbert, comte Hugo, né en 1774, volontaire en 1791, colonel en 1803,
général
de brigade en 1809, gouverneur de province en 181
hommes et de moi-même, plus j’ai senti en même temps mes convictions
générales
s’affermir, et mes impressions personnelles se ca
extrait d’un discours prononcé à la distribution des prix du Concours
général
. — 17 août 1835. — Didier. (Discours académiques,
brièvement ces deux conditions, qui se rapportent aussi aux qualités
générales
du style. 87. La pureté consiste à éviter dans l’
deuxième. Des qualités du style8. 104. Les qualités du style sont
générales
ou particulières. On appelle qualités générales c
ualités du style sont générales ou particulières. On appelle qualités
générales
celles qui sont essentielles à toute composition
un mot des défauts qui leur sont opposés. Article premier. Qualités
générales
du style. 405. Certains rhéteurs comptent un g
style. 405. Certains rhéteurs comptent un grand nombre de qualités
générales
du style ; mais nous nous bornerons ici à citer l
ourte et vive, inspirée par le sujet même, et qui renferme une maxime
générale
que l’on veut graver dans l’esprit. Je suis jeun
consonances désagréables et blessantes pour l’oreille. Cette harmonie
générale
du discours résulte du choix et de l’arrangement
serons ensuite celles qui sont particulières à chaque genre. Règles
générales
de la narration. 299. Toute narration comprend
core cinq ou six vers qui n’ont plus aucun intérêt. 308. Les qualités
générales
de la narration sont l’unité, la clarté, la brièv
ion, si l’on s’arrête où il convient dans le dénouement. Ce caractère
général
de rapidité qui convient à la narration se modifi
incidents liés à l’action principale, ne doivent pas nuire à l’unité
générale
du récit, et doivent être amenés avec art et plac
s peindre et les rendre sensibles. Nous allons donner quelques règles
générales
sur la description, et nous indiquerons ensuite l
indiquerons ensuite les différentes sortes de descriptions. Règles
générales
de la description. 326. Pour bien faire une de
éniens contre Philippe ? Ce n’est plus un orateur qui parle, c’est un
général
, c’est un roi, c’est un prophète, c’est l’ange tu
ilité ou les devoirs de position nous obligent à écrire. Le caractère
général
de ces lettres est une politesse aisée, une éléga
auxquels elles se rapportent, nous allons présenter quelques notions
générales
sur la poésie. De la poésie en général20. 37
ons séparément. I. — De la disposition des rimes. 401. Une règle
générale
et sans exception, c’est que les rimes masculines
i-même le mécanisme des vers, on ne peut être sensible qu’aux beautés
générales
du style poétique ; et, toujours incapable de pén
pas assez d’importance pour que leur suppression anéantisse le sujet
général
du poème. Tels sont, dans l’Iliade, l’entretien d
Le succès dépend beaucoup du choix d’un sujet qui se lie aux intérêts
généraux
de la religion ou de l’humanité, et aux tradition
pays où l’on place les acteurs de l’épopée ; bonnes, mais d’une bonté
générale
qui souffre quelque faiblesse et quelques défauts
pourvu qu’ils soient bien amenés et qu’ils fassent partie du tableau
général
de l’action. 477. Puisque l’épopée est un des gen
. Du genre dramatique24. 484. Le drame, dans son acception la plus
générale
, est la représentation d’un fait par la parole et
à un autre palais de la même ville. Dans le Cid, Séville est le lieu
général
de l’action, mais le lieu particulier change pres
que est de combattre les mœurs corrompues, de lutter contre les vices
généraux
de la société, de frapper les méchants auteurs de
s monarchies d’Assur et de la Chaldée y ont envoyé sans relâche leurs
généraux
; Alexandre y fut arrêté devant Tyr, et vint lire
ivisent les qualités du style ? 105. Combien comptez-vous de qualités
générales
du style ? 106. Qu’est-ce que la clarté ? 107. La
400. Quelles sont les qualités de la rime ? 401. Quelle est la règle
générale
pour la disposition des rimes ? 402. Combien y a-
on talent, avaient fixé sur lui l’attention publique, quand les états
généraux
furent convoqués (1789). Mirabeau fut envoyé par
Je veux le concours du pouvoir exécutif à l’expression de la volonté
générale
en fait de paix et de guerre, comme la constituti
que le pouvoir exécutif serait étranger à la confection de la volonté
générale
, nous avions à délibérer sur le seul fait de la d
la plupart de ces énergiques citoyens qui, au commencement des états
généraux
(c’est ainsi que s’appelait alors cette conventio
un saint Pierre, en lui mettant une auréole sur la tête. L’expression
générale
de ce temple caractérise parfaitement le mélange
faut admirer les parties supérieures du poème, la beauté de la pensée
générale
, les brillants tableaux si heureusement opposés d
s dont quelques brillantes parties ne sauraient racheter la faiblesse
générale
; la froide tragédie de Moïse, Milton et l’Essai
pe paresseuse. Dans un sage conseil par les chefs assemblé, Du départ
général
le grand jour est réglé ; Il arrive ; tout part :
nte, ils s’abattent tout à coup sur les eaux qui retentissent. Un cri
général
, suivi d’un profond silence, s’élève dans les mar
is, on voyait aussi, à l’ensemble de son architecture et au caractère
général
des monuments, que la ville de Minerve n’était pl
traité d’alliance par lequel elles s’engageaient à fomenter une ligue
générale
contre la France. L’Autriche avait accédé à la li
ds de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canon, vingt
généraux
, plus de trente mille prisonniers, sont le résult
Je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre
général
, appelé au trône par le choix du peuple et élevé
’esprit ; mais je ne saurais le communiquer à personne ; aucun de mes
généraux
ne l’a reçu ou deviné de moi ; je n’ai pas davant
ncombré l’histoire, pour suivre d’une vue plus attentive le mouvement
général
des idées et de la civilisation. Grâce à cette di
critique du dix-huitième siècle, qui trop souvent, dépourvue d’idées
générales
et de science historique, aveuglée d’ailleurs par
sions, l’attention à ne nommer les choses que par les termes les plus
généraux
. Grand sujet de débat, messieurs ! c’est le préce
se, verba quibus deberent loqui, et n’ont cherché les termes les plus
généraux
que lorsque l’imagination ou la pudeur s’en accom
lassification L’expression173 ne fournit pas seulement les règles
générales
des arts, elle donne encore le principe qui perme
s rois franks. Aussitôt qu’ils se reconnurent astreints d’une manière
générale
, quoiqu’en termes vagues et mal définis, aux devo
ement de la destinée de chaque être concourt à la réalisation du plan
général
de la création. M. Jouffroy est ainsi amené par l
est-elle sortie de terre, en tous lieux, au jour marqué par les lois
générales
de l’univers, pour y rentrer un autre jour avec e
es qui dominent une époque et expliquent son caractère, les résultats
généraux
qui marquent les progrès de la civilisation, en u
sent que dans la mesure où elles lui semblent l’expression d’une idée
générale
ou d’une loi historique, M. Mignet n’a même pas é
vénements publics ; il montre avec une heureuse rapidité le mouvement
général
des idées dans les ouvrages de ceux dont il racon
e Napoléon, les lettres non moins nombreuses de ses ministres, de ses
généraux
, de ses aides de camp, et même des agents de sa p
rceaux brillants et pathétiques ne rachètent pas la faiblesse du plan
général
, et la faute plus grave d’avoir établi deux intér
r. Macbeth275. (Extrait). Acte II, Scène VII Macbeth, prince et
général
écossais a vaincu à Inverness Cador et Herford, e
e, en effet, dans les années qui précédèrent la convocation des états
généraux
, était devenu une tribune politique. Ne demandez
n public prompt à saisir les allusions contemporaines ; les sentences
générales
qui viennent sans cesse entraver et refroidir la
liantes même pour son orgueil, auprès des membres du comité de sûreté
générale
. Cette basse accusation eut du moins un résultat
roche de la poésie, quand d’un trait il faudra éclairer une situation
générale
, dessiner les grands horizons, M. de Lamartine re
que de vastes et spécieux à peu près où circule par endroits l’esprit
général
des choses, où vont et viennent ces grands couran
études brillantes, justifiées par un prix de philosophie au concours
général
, cherchait vers 1830, dans des directions différe
ts empreints de fraîcheur et de grâce faisaient contraste avec le ton
général
: on eût dit le soupir discret et à demi étouffé
de la nature et les évidences morales. » C’est ainsi que du spectacle
général
de l’univers il passe aux animaux, dont les merve
on et de solitude à Londres. 42. Héritage est pris ici dans le sens
général
de campagne, propriété particulière. Cette accept
l’armée siégeait au conseil de guerre, et ne recevait d’ordre que du
général
ou des tribuns. (Chateaubriand.) 47. Le victimai
haque camp romain un autel auprès du tribunal de gazon où siégeait le
général
. (Id.) 48. Cette image gracieuse s’oppose avec b
sion d’éléments divers et étrangers n’enlève rien à l’harmonie du ton
général
. 67. Gladiateurs qui combattaient avec un filet.
’après les communications du général Montholon. Le nom de l’honorable
général
en garantirait au besoin l’authenticité, s’il n’é
les intérêts privés qu’il jugeait illégitimes, à servir les intérêts
généraux
qu’il ne redoutait pas. Despote fougueux, tout am
me siècle : « Il y reste de la parole première une sorte de mouvement
général
, la facilité et le courant ; mais le style a déso
t représentant de la société gallo-romaine du cinquième siècle. 200.
Général
romain et gouverneur des Gaules. L’empereur Valen
de l’audacieuse entreprise qu’il raconte ; il prête son éloquence au
général
carthaginois, mais la partie critique est faible.
lité toute shakespearienne, lui prend fortement le bras et lui dit : “
Général
, aimez-vous la chasse ?” Cette question inattendu
“Général, aimez-vous la chasse ?” Cette question inattendue laisse le
général
embarrassé. “Eh bien ! si vous aimez la chasse, a
ntre la tragédie de Shakespeare et celle de Ducis. Des considérations
générales
sur l’esprit de la critique française au dix-huit
spoir, que rien ne prépare et n’explique, présente à l’esprit un sens
général
et indéterminé. 331. Cette suspension est d’un h
se (aujourd’hui la Morée, dans la Turquie européenne). Il fut le chef
général
des dix rois de la Grèce, qui assiégèrent la vill
toutes les batailles que livra Condé, il fut tout à la fois soldat et
général
. Tourmenté de la goutte, il passa les dernières a
, où est la bouche du volcan. F. Fabricius, un des plus grands
généraux
et des hommes les plus vertueux de la république
ait dévoré. Ces mêmes marchands le revendirent en Égypte, à Putiphar,
général
des armées de Pharaon. Calomnié par la femme de c
; à 38, le bâton de maréchal de France, et à 48, le titre de maréchal
général
des camps et armées du roi, titre dont il paraît
tna. Vivonne (Louis-Victor de Rochechouart, duc de Mortemart et de),
général
des galères de France. Il montra la plus grande i
rester sans réponse, nous nous bornerons ici à quelques observations
générales
. Ce serait une carrière bien intéressante à parco
rte, et n’ait pas sauvé ces hommes généreux de la honte d’une défaite
générale
: c’est qu’il y a bien loin de l’aveugle impétuos
ement avec elle ; tant qu’elle se soutient, il trouve dans le bonheur
général
les moyens de réparer ses propres disgrâces. Mais
r vos douleurs particulières, pour ne voir et ne chercher que le bien
général
. Quant à la guerre actuelle, dont vous redoutez e
plusieurs années à se faire un fond abondant. Après cette préparation
générale
, les préparations particulières coûtent peu ; au
apable de montrer l’étendue des vérités, parce que toutes les vérités
générales
ont un enchaînement nécessaire, et qu’il faut les
uckingham, regardait comme le chef-d’œuvre de la nature, non le grand
général
, ni le grand diplomate, ni le grand artiste, mais
nner l’action et la résistance avec l’habileté stratégique d’un grand
général
, et, comme l’écrivain a cet avantage sur le génér
égique d’un grand général, et, comme l’écrivain a cet avantage sur le
général
qu’il dispose à la fois des deux partis, ménager
séante devant un tribunal où siégeait Caton. Sans doute, et en thèse
générale
, vous raisonnez juste. Mais avant de condamner Ci
genres de matières que peut avoir à traiter l’orateur ? Division
générale
. Les préceptes de rhétorique ont pour objet la
parler de chaque chose d’une manière convenable. De là cette division
générale
: invention, disposition, élocution et action.
es juge convenables ou contraires à son bonheur. Il y a deux passions
générales
, l’amour et la haine, dont toutes les autres ne s
it pour y préparer. Il doit par conséquent se tirer de quelque pensée
générale
dont l’application se fasse naturellement à la pr
rigent ici plus sûrement que les règles, qui se réduisent à une seule
générale
: les bonnes preuves sont celles qui conviennent
éfutation comme une partie distincte, ou de la comprendre sous le nom
général
de confirmation. Cependant elle a quelques caract
u style qui viennent du sujet ; on les a rangées sous trois divisions
générales
qui sont relatives à l’effet que l’orateur veut p
, à la hardiesse des images, à la force des passions. Ces différences
générales
entre les trois styles sont déterminées par la di
s ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur
général
mort. « Que de soupirs alors ! que de plaintes !
érisent., et qui, de l’autre doivent être liés pour produire un effet
général
et commun. C’est par là qu’il y a unité dans l’en
chargé, les difficultés exagérées, le soldat sacrifié à la gloire du
général
; supposez que le mémorateur soit chargé de prono
de Mellos l’attend de pied ferme ; et, sans pouvoir reculer, les deux
généraux
et les deux armées semblent avoir Voulu se renfer
la mort de Turenne : « Il passe le Rhin et trompe la vigilance d’un
général
habile et prévoyant. Il observe les mouvements de
ir que les personnes qu’il met en scène. 415. Quelles sont les règles
générales
du drame ? On peut rapporter à trois chefs les r
gles générales du drame ? On peut rapporter à trois chefs les règles
générales
du drame : 1° Les qualités de l’action que le dra
que l’exposition dramatique ? L’exposition (πρότασις) donne une idée
générale
du sujet, et fait pressentir aux auditeurs l’acti
s des repos à l’esprit, cette division ne doit jamais nuire à l’unité
générale
du drame. Du reste, ce n’est pas seulement dans l
nérale du drame. Du reste, ce n’est pas seulement dans la composition
générale
de la fable que l’unité d’action doit être soigne
ux forme, sinon le caractère essentiel, au moins le caractère le plus
général
de ce poème, puisque l’action y est presque toujo
e ? La comédie est suffisamment distinguée de la tragédie par le ton
général
qui y règne. La pitié, la terreur, l’admiration,
société. 505. Quel doit être le but moral de la comédie ? Cette idée
générale
qu’on peut se faire de la comédie, comme étant un
as manquer d’utilité morale ; mais elle nous semble s’éloigner du ton
général
du genre comique, qui est de faire rire ; il para
es connaître les qualités des pensées. Les qualités des pensées sont
générales
ou essentielles, et particulières ou spéciales. C
nt ces qualités qui déterminent les caractères du style. Les qualités
générales
que la raison exige dans toute pensée comme dans
tuation des personnages qui sont en scène. C’est, en effet, une règle
générale
, dit Rollin, qu’il faut penser selon la matière q
es sentiments ? Comme les pensées, les sentiments ont des caractères
généraux
ou essentiels et des qualités particulières ou sp
les. Ces caractères déterminent également ceux du style. Les qualités
générales
sont la vérité et le naturel. Les qualités partic
ornements, et convient au genre simple. La précision est une qualité
générale
et essentielle, qui ne rejette que ce qui est inu
l’art ajoute à cette belle scène quelques ornements analogues au ton
général
du tableau, comme un pont jeté sur la rivière, la
e dire sur les plaisirs du goût. Nous avons établi quelques principes
généraux
; il est temps d’en faire l’application à l’objet
accoutumés à combattre sous une longue suite de rois guerriers, leurs
généraux
animés par le seul souvenir de leur histoire. Aus
et c’est ce qu’a fait Voltaire. Ainsi, quoiqu’il y ait des principes
généraux
, dont on ne saurait trop recommander l’observatio
antage de la leçon des manuscrits et qui s’accorde mieux avec le sens
général
de la remarque d’Aristote. La simple addition de
t οὐ ϰατὰ φύσιν ϰινήσεις. La musique.] Συμφωνία a quelquefois ce sens
général
voyez les Topiques, VI, 2. L’ordre nous est natu
. Ce mot s’employait déjà dans le sens de plaisanterie, de farce. 1.
Général
de l’armée espagnole. (Voy. Bossuet, Oraison funè
-Frédéric de Nassau, prince d’Orange, stathouder, capitaine et amiral
général
de la république des Provinces-Unies (Hollande).
donc chez lui ce charme irrésistible, dont l’effet est aussi sûr que
général
? Sacrifie-t-il quelquefois la dignité de son min
Qui pourrait se refuser, par exemple, à l’obligation si simple et si
générale
de la prière, quand elle nous est présentée comme
ffit que vous offriez à Dieu, ou que vous fassiez, avec une intention
générale
de le glorifier, les choses les plus communes que
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