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1 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
ritiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron Chanoine, Vicaire général , Membre de l’Académie des Arcades, ancien Profess
me un tout complet), intitulé le Style, l’auteur expose les principes généraux de l’art d’écrire, principes qui sont communs à t
z. Saint-Jean-de-Maurienne, le 23 janvier 1879. Monsieur le Vicaire général , Mes occupations ne m’ayant pas permis, à mon gra
vêque de Maurienne. Coutances, le 14 mars 1879. Monsieur le Vicaire général , Après avoir pris connaissance de votre Cours de
s à toutes celles que vous avez déjà reçues. Oui, Monsieur le Vicaire général , votre ouvrage, par l’exactitude et la netteté de
ès qu’ils méritent si bien. Agréez, je vous prie, Monsieur le Vicaire général , l’assurance de mon religieux dévouement. ✝ Abel,
s. Archevêché de Besançon, le 3 septembre 1880. Monsieur le Vicaire général , Je suis heureux de pouvoir vous adresser mes fél
de Besançon. Évêché de Laval, le 9 avril 1879. Monsieur le Vicaire général , Les qualités que vous avez voulu mettre dans vot
nis, Évêque de Laval. Blois, le 22 avril 1879. Monsieur le Vicaire général , Je viens d’examiner votre Cours de littérature,
ue de Blois. Évêché de Rodez, le 12 avril 1879. Monsieur le Vicaire général , J’ai pris connaissance, sur l’invitation de Mgr
nos maisons d’éducation ecclésiastiques. Agréez, Monsieur le Vicaire général , l’assurance de mes sentiments respectueux et dév
l de Rodez. Évêché de Troyes, le 19 avril 1879. Monsieur le Vicaire général , Mgr l’Évêque de Troyes a chargé M. le Supérieur
même temps ses félicitations. Veuillez agréer, etc. Vosdey, Vicaire général . Monseigneur, Le Cours complet de littérature,
obéissant serviteur. Pontié, Supérieur du Petit-Séminaire, Vicaire général . Évêché de Langres, le 18 septembre 1879. Monsi
néral. Évêché de Langres, le 18 septembre 1879. Monsieur le Vicaire général , Les travaux incessants de mon ministère ne me pe
ngres. Petit-Séminaire d’Agen, 17 juillet 1879. Monsieur le Vicaire général , Aussitôt que j’ai eu votre Traité de littérature
-Séminaire de Pont-à-Mousson, le 31 juillet 1879. Monsieur le Vicaire général , Je connais et je pratique depuis longtemps votre
2 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
ate, Lucullus venait d’être rappelé par le sénat, et il s’agissait du général que l’on enverrait à sa place. Le tribun Manilius
ure de cette guerre, la nécessité de n’en confier la conduite qu’à un général habile, et le choix de ce général ; voilà le plan
de n’en confier la conduite qu’à un général habile, et le choix de ce général  ; voilà le plan et la division naturelle de ce di
la réputation et le bonheur, telles sont les qualités qui forment un général parfait, et Cicéron va nous prouver que Pompée le
bonheur : voilà ce qui, selon moi, constitue essentiellement le grand général . » Or, qui fut, ou dut être jamais plus habile, q
homme qui, à peine sorti de l’enfance, s’est vu lieutenant d’un grand général et, à peine entré dans la jeunesse, lui-même géné
enant d’un grand général et, à peine entré dans la jeunesse, lui-même général d’une grande armée ? — Est-il une espèce de guerr
au pour vous, ou inconnu pour qui que ce soit ? Les vertus d’un grand général ne se bornent pas à celles qu’on leur attribue po
 ; vertus que Pompée réunit seul dans un plus haut degré qu’aucun des généraux que nous ayons vus, ou dont nous ayons entendu pa
euse pour nous, pût être terminée ou en une seule année par plusieurs généraux , ou par un seul général, en une longue suite d’an
terminée ou en une seule année par plusieurs généraux, ou par un seul général , en une longue suite d’années ? Quelle province,
on éloquence, qualités qui relèvent si avantageusement le mérite d’un général , vous les connaissez, Romains, vous qui l’avez si
ttention ; puisqu’enfin nous en pouvons remettre le commandement à un général qui réunit à une connaissance profonde de l’art m
3 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
ritiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron Chanoine, Vicaire général , Membre de l’Académie des Arcades, ancien Profess
ne, Évêque de Bâle. Coutances, le 14 mars 1879. Monsieur le Vicaire général , Après avoir pris connaissance de votre Cours de
s à toutes celles que vous avez déjà reçues. Oui, Monsieur le Vicaire général , votre ouvrage par l’exactitude et la netteté des
ès qu’ils méritent si bien. Agréez, je vous prie, Monsieur le Vicaire général , l’assurance de mon religieux dévoûment. ✝ Abel,
s. Saint-Jean-de-Maurienne, le 23 janvier 1879. Monsieur le Vicaire général , Mes occupations ne m’ayant pas permis, à mon gra
Évêque de Maurienne. Blois, le 22 avril 1879. Monsieur le Vicaire général , Je viens d’examiner votre Cours de littérature,
s. Archevêché de Besançon, le 3 septembre 1880. Monsieur le Vicaire général , Je suis heureux de pouvoir vous adresser mes fél
-Séminaire de Pont-à-Mousson, le 31 juillet 1879. Monsieur le Vicaire général , Je connais et je pratique depuis longtemps votre
conde. Petit-Séminaire d’Agen, 17 juillet 1879. Monsieur le Vicaire général , Aussitôt que j’ai eu votre Traité de littérature
4 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
quelque temps le commandement de son armée au comte de Schullembourg, général très-habile, et qui avait besoin de toute son exp
inspiraient aux Saxons. Il avait toujours prétendu, malgré l’avis des généraux allemands, que l’infanterie pouvait résister en p
tte cavalerie victorieuse, commandée par deux rois et par l’élite des généraux suédois. Il se posta si avantageusement qu’il ne
t vers le fleuve de l’Oder, était un bois épais, au travers duquel le général saxon sauva son infanterie fatiguée. Les Suédois,
lembourg nous a vaincus. » C’est ce même Schullembourg qui fut depuis général des Vénitiens, et à qui la république a érigé une
Fabre sur la littérature française de cette même époque, etc. 2. Ce général , né près de Magdebourg en 1661, avait d’abord ser
le, et qui, si fréquemment répétée depuis, est aujourd’hui d’un usage général . 1. « Le héros suédois, a dit M. Villemain, ne
5 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
oir remporté plusieurs fois le prix aux jeux olympiques, il fut nommé général de la flotte des Athéniens en Sicile, et s’empara
ine la manière de vivre sobre et dure des Spartiates. La jalousie des généraux de cette république fit encore condamner à mort A
ra dans la province du satrape Pharnabaze, qui, à la sollicitation du général lacédémonien, eut la lâche cruauté de le faire tu
m, que les juges étaient appelés Amphictyons. Annibal, le plus grand général carthaginois, et un des plus grands capitaines de
à Platée, et remporta sur eux une victoire complète, avec Pausanias, général des Lacédémoniens. Ce grand homme, que rien ne po
e, elle porte encore le même nom. Asdrubal-Barca, un des plus grands généraux Carthaginois, fils d’Amilcar-Barca, et frère du f
able. Octave en effet lui fit lever le siège de Modène, et resta seul général des troupes, par la mort des deux consuls, Hirtiu
ns sanglantes, Octave et Antoine marchèrent contre Brutus et Cassius, généraux de l’armée de la République, et les défirent près
eur l’illustre Fénelon 334, qui composa pour lui son Télémaque. Nommé général des armées d’Allemagne en 1701, et généralissime
cession à la couronne d’Espagne, il gagna plusieurs batailles sur les généraux français. Mais il fut toujours battu lorsqu’il eu
Philippes, entre Octave et Marc-Antoine réunis, et Brutus et Cassius, généraux de la république Romaine. La Macédoine d’aujourd’
pour le culte du vrai Dieu, et tout à la fois un de leurs plus grands généraux . Il battit plusieurs fois, avec des forces très i
nd-chancelier de l’Empire, a le droit de présider dans les assemblées générales . C’est à Mayence que l’imprimerie fut inventée, v
es, il se déclara le chef de la ligue, et prit le titre de lieutenant général de l’État et couronne de France. Henri IV le batt
es étaient nées sur le mont Pierius. Mercy, né à Longuy en Lorraine, général de l’armée du duc de Bavière, et digne de se mesu
es, fut entièrement défait l’an 479 avant Jésus-Christ, par Aristide, général des Athéniens, et Pausanias, général des Spartiat
vant Jésus-Christ, par Aristide, général des Athéniens, et Pausanias, général des Spartiates. Plutus, dieu des richesses, suiv
nna une retraite dans ses états, et le nomma bientôt après commandant général de ses armées contre les Grecs. Mais Thémistocle,
re, en soit souverain. Il s’y est tenu plusieurs diètes ou assemblées générales de l’Empire, entre autres, celle de 1521, au suje
6 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
inon développer ? Et qu’est-ce que développer, sinon tirer d’une idée générale tout ce qu’elle contient ? Nous avons trié entre
e générale tout ce qu’elle contient ? Nous avons trié entre les idées générales celles qui sont propres à l’amplification oratoir
rand philosophe dédaigne cette gloire et se borne à tracer les lignes générales où d’autres promèneront leur pinceau), mais en ob
re avoir établi deux genres de causes : l’un comprenant les questions générales , l’autre les questions déterminées ? Car, comment
oir que toutes les causes particulières peuvent se ramener à une idée générale à laquelle se rattachent tous les fils de l’argum
autant de genres que d’individus différents. Voilà pour les préceptes généraux qu’ils nous donnent. Mais si nous entrons dans le
sur tous les champs de bataille, se sont fait souvent battre par des généraux de vingt ans. Il est vrai qu’ils ont eu la consol
apable de les contenir toutes), qu’il en possède au moins des notions générales . Que son intelligence, nourrie de fortes études,
e, il y a plusieurs demeures dans la maison de mon père. VI idée générale du discours Nous avons esquissé l’artiste : vo
éside à ce grand tout que le moindre changement détruirait l’harmonie générale  ; telle en est la beauté, que l’imagination ne sa
ent le suivre sur le terrain. Notre rhétorique se borne aux principes généraux de l’éloquence et laisse à la pratique le soin de
pleur, et essayons de tracer, non pas les règles, mais les caractères généraux de cette partie du discours. Nous opposerons un h
aire les questions particulières peuvent se ramener à une proposition générale , que le bon sens et la réflexion trouvent aisémen
e, et jusqu’où s’étendent les limites de ce droit ? Voilà la question générale dans laquelle peuvent rentrer tous les cas partic
use. Pour peu qu’il ait l’esprit étendu et orné, autour de cette idée générale les preuves accourent d’elles-mêmes se placer — l
en, direz-vous ; mais l’art oratoire se bornera-t-il à des réflexions générales  ? Ne tracera-t-il pas à l’argumentation les route
rain de l’expérience21. X la péroraison L’action terminée, le général rallie ses forces pour les mener à la poursuite.
que ce vieillard qu’il voit triste et abattu, il l’a vu jadis consul, général , honoré du sénat, triomphant au Capitole. D’un él
it un chef à un officier, tu l’attaqueras avec tes hommes. — Oui, mon général . — Tu te feras tuer. — Oui, mon général. Tel prou
s avec tes hommes. — Oui, mon général. — Tu te feras tuer. — Oui, mon général . Tel prouve à ses soldats que la victoire est cer
proportionnées au discours ; elles doivent en reproduire le caractère général , comme les molécules, selon quelques physiciens,
lications : « Quoi ! un homme qu’il aurait pu tuer avec l’approbation générale  ; un homme qu’il aurait pu tuer justement, impuné
dien, qui accentue tous les mots, mais un geste qui rend l’impression générale , sans s’arrêter au détail, et qui fait comprendre
7 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre premier. Du Goût. »
jusqu’à un certain point, commune à tous les hommes ; et rien de plus général que l’espèce de plaisir qui résulte de tout ce qu
d’harmonie dans les proportions, produisent également une impression générale de dégoût. Ce goût naturel se développe de bonne
nes funèbres, leurs harangues enfin, et leurs orateurs. Les principes généraux du goût sont donc profondément gravés dans l’homm
la raison peut les rectifier ; et c’est en le comparant avec le goût général , que l’on peut juger s’ils sont ou ne sont pas da
e son qui lui est propre. De là, ces témoignages nombreux de l’estime générale que les peuples les plus éclairés ont accordée, d
ont recueillis, dans l’immensité des siècles, les preuves de ce goût général pour les beautés qui procurent à l’homme le plus
8 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Napoléon Ier , 1769-1821 » pp. 428-446
ds de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canon, vingt généraux , plus de trente mille prisonniers, sont le résult
e expédition. Soldats, nous ne déposerons point les armes que la paix générale n’ait affermi et assuré la puissance de nos allié
Adieux de Napoléon Ier à sa garde Fontainebleau, 21 avril 1814. Généraux , officiers, sous-officiers et soldats de ma vieil
avons fait. Je ne puis vous embrasser tous, mais j’embrasserai votre général … Venez, général… (il serre le général Petit dans
ne puis vous embrasser tous, mais j’embrasserai votre général… Venez, général … (il serre le général Petit dans ses bras). Qu’on
nations. (Correspondance de Napoléon Ier , t. XI, n° 9562.) À un général qui la priait d’écrire son histoire Que la po
ortune était faite. Il fallait toute la passion que lui inspirait son général pour la décider à s’embarquer et à courir vers un
dévouement à l’armée et au pays, le plus puissant des liens entre le général et le soldat. » (M. Nisard.) 1. Le meilleur com
pareil outrage. Ce n’est pas dans les plaines de la Champagne que ce général a pu acquérir le droit de traiter le drapeau fran
tion ne fût abrutie par cinquante ans d’ignorance. Ce n’est pas comme général que je gouverne, c’est parce que la nation croit
iviles propres au gouvernement. Je savais ce que je faisais, lorsque, général d’armée, je prenais la qualité de membre de l’Ins
9 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
les arts, le commerce, l’industrie, l’économie politique, des notions générales et suffisantes. Car l’histoire n’est pas seulemen
taine influence, et ils tendent toujours vers un but : c’est à ce fil général que l’historien se rattachera pour grouper les me
ffrent de beaux modèles : le premier donne pour centre à son Histoire générale l’agrandissement de la puissance romaine ; le sec
ir sur ses pas. C’est ce qui se rencontre fréquemment dans l’histoire générale , où les événements séparés et multiples, ne peuve
l’origine du monde jusqu’à nos jours (Bossuet, de Ségur). L’histoire générale , qui comprend les faits de toute une époque ou de
récit chronologique et suivi des événements ; elle présente des vues générales sur l’histoire ; elle considère spécialement l’es
10 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
cs appelaient φράτις. Diction s’emploie quand il s’agit des qualités générales du discours, clarté, pureté, harmonie, ou de cell
uel on aura porté ses pensées. Si l’on s’est élevé aux idées les plus générales , et si l’objet en lui-même est grand, le ton pour
jet commun et léger, et en même temps que là où l’on s’élève aux vues générales , on ne peut garder un ton simple et vulgaire. Que
santerie, c’est qu’il n’aura pas eu l’intention de s’élever aux idées générales , et s’il lui arrive, chemin faisant, d’agrandir s
individualisant, pour ainsi dire, le style ne perd pas ses caractères généraux . On peut fort bien dire que celui de certains écr
ous les appliquerez aux idées du vôtre, et les fondrez dans la teinte générale de votre âge dont vous êtes forcément imbu. Enfin
ts dont l’élocution est susceptible, et que l’on comprend sous le nom général de figures. 63. Un des génies les plus sagaces
pre de l’intelligence qui le produit. La pensée est, pour ainsi dire, générale et impersonnelle, elle relève de l’humanité ; le
11 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
que ? Selon les uns, et c’est l’opinion que l’institution du concours général a fait prévaloir à Paris, il ne se distingue en r
usivement quand on a en perspective une lutte comme celle du concours général , où ces exercices seront seuls comptés pour quelq
extrêmement utiles, il est bon de les lier entre eux par une théorie générale  ; en d’autres termes, que faire sa rhétorique, ce
, à classer dans leur mémoire ces distinctions d’ouvrages, ces règles générales de composition qui font le sujet de la conversati
nt ouvragé. Voici le plan et le contenu du livre. Après un coup d’œil général sur les deux formes de langage (la prose et les v
12 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
e de l’histoire, et nous devons faire connaître d’abord ces principes généraux . Nous ajouterons quelques détails sur la manière
on d’un grand politique, quoiqu’il n’eût point été populaire, et d’un général à craindre, quoiqu’il eût perdu beaucoup de batai
e et le chef de la moitié de l’Europe, d’avoir eu les ressources d’un général et la valeur d’un soldat, de n’avoir jamais persé
sont plus frappés de cette hauteur avec laquelle des ministres et des généraux ont ajouté des provinces à la France, sur un ordr
onc de l’y conduire. Il doit être proportionné au sujet. Une histoire générale ne s’écrit point du même ton que l’histoire d’un
veaux rapports entre les êtres ; tandis que l’histoire, dans son sens général , ne s’applique qu’aux événements passés et rappor
ences, etc. Par rapport à l’étendue du sujet, elle est universelle ou générale , s’il est question du genre humain tout entier ;
 ; et l’histoire moderne, de cette date jusqu’à nos jours. L’Histoire générale est l’histoire du genre humain répandu sur la ter
ez les anciens, les auteurs qui se sont proposé d’écrire une histoire générale sont surtout Polybe, Diodore de Sicile, et Trogue
ustin, écrivain latin, peu connu d’ailleurs. Chez nous, les histoires générales sont souvent des œuvres collectives produites par
éparatifs consternaient la Suède et alarmaient le conseil. Les grands généraux étaient morts ; on avait tout à craindre sous un
’État. Elles peuvent joindre alors au récit des événements publics et généraux , les particularités de leur vie ou de leurs princ
lorsqu’ils sont bien faits. Les ignorants y puisent des connaissances générales et indispensables, quoique superficielles ; et le
13 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
r. De la composition en général. 328. Quelles sont les règles générales de la composition ? La définition de la composit
réceptes du style, les qualités des mots et des phrases, les qualités générales et particulières du style, les ornements, etc. C’
t vague et confuse, et ses expressions sont en conséquence faibles et générales . L’homme de génie, au contraire, vivement impress
n deux paragraphes. Dans le premier, nous ferons connaître les règles générales du genre ; dans le second, nous nous occuperons d
cuperons des différentes espèces de descriptions. § I. — Des règles générales de la description. 344. Faites connaître les r
gles générales de la description. 344. Faites connaître les règles générales de la description. Les règles générales de la de
Faites connaître les règles générales de la description. Les règles générales de la description peuvent se réduire à quatre che
ns avec d’autres objets. C’est ainsi qu’on évitera ces peintures trop générales , qui pouvant convenir également à plusieurs chose
ance est d’éviter, dans la description, tout ce qui est vague ou trop général . Une description qui se borne à des généralités n
rivière, une certaine colline, que lorsqu’on se sert d’une expression générale . Les bons écrivains, surtout chez les anciens, on
int sur ce que nous avons dit des couleurs épuisées par un usage trop général , et de la nécessité d’éviter tout ce qui est vagu
enres ? Les deux premières sortes de descriptions suivent les règles générales . C’est sous cette double forme que les compositio
ir dans le récit du cortége funèbre de Germanicus. Parmi les qualités générales de la description, il en est une qui est regardée
celle qui fait partie d’un discours. Elle doit toujours tendre au but général que se propose l’orateur, c’est-à-dire concourir
moins d’ornements dans le style, qui d’ailleurs doit s’adapter au ton général du discours. Autant le poète est prodigue de desc
la chaire de vérité, un prêtre seul vêtu de blanc au milieu du deuil général , le front chauve, la figure pâle, les yeux fermés
l veut réussir, devra encore connaître parfaitement toutes les règles générales et particulières qui concernent ce genre de compo
en quatre paragraphes : dans le premier, nous exposerons les qualités générales de la narration ; dans le second, nous parlerons
trième sera consacré aux ornements et au style. § I. — Des qualités générales de la narration. 395. Quelles sont les qualité
les qualités propres à la narration historique ? Outre les qualités générales de la narration, et surtout la clarté, l’ordre et
use n’est pas pour cela affranchie de toute règle. Outre les qualités générales de la narration, elle demande une vraisemblance f
ssez grande importance pour former un nœud, et pour anéantir le sujet général du récit, s’ils venaient à disparaître. Les épiso
ut-on diviser cet article ? Dans cet article, nous traiterons du ton général et du style de la lettre ; puis, nous parlerons d
puis, nous parlerons des différentes espèces de lettre. § I. Du ton général et du style de la lettre. 454. Quels doivent ê
14 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
dant la nuit dans la place de Saint-Pierre à côté du Vatican. Tableau général de l’incendie. Ici, c’est un jeune homme qui sauv
iétudes de la ville. On peut considérer le sujet sous un point de vue général . On peut le considérer sous divers rapports parti
comme lui. » Le préteur le déclare absous, au milieu des acclamations générales , et profite de cette occasion pour adresser une e
on voit entrer l’évêque, vieillard de soixante et dix ans. Étonnement général  ; toutes les danses s’arrêtent. Au milieu du plus
rihuega, le comte de San-Estevan de Gormaz, grand d’Espagne, officier général et gouverneur d’Andalousie, vint se mettre avec l
entendre à aucune rançon ; qu’il y avait dans Brihuega des officiers généraux autrichiens et anglais ; qu’il était résolu à les
c le détachement, fit merveilles, prit de sa main quelques-uns de ces généraux , et immédiatement en obtint l’échange avec son pè
c l’agrément du roi et du duc de Vendôme, emmène dans son château les généraux qu’il a faits prisonniers, et les traite aussi ho
huega, qui était tombée au pouvoir des ennemis, était assiégée par un général français, le célèbre duc de Vendôme, et par le ro
le roi Philippe IV en personne. En prenant cette ville, où plusieurs généraux autrichiens s’étaient réfugiés, le duc de Vendôme
e était alors réunie à l’Angleterre. Jean de Grailly, captal de Buch, général des troupes anglaises, fut souvent vaincu par Dug
dant les guerres de Charles-Quint et de François en Italie. Pescaire, général espagnol, avait formé un corps d’élite de douze c
nse noble et modeste du jeune homme résigné à son sort. Consternation générale . Le maréchal reprend la parole. Investi par le ro
Sujet et plan. Les Hongrois, malgré l’habileté et la valeur de leur général , sont sur le point d’être vaincus par l’armée ott
d’être vaincus par l’armée ottomane ; enveloppé par les Ottomans, le général hongrois ne se défend plus qu’avec peine, il va s
lier couvert d’armes noires ; il rallie les Hongrois, il délivre leur général  ; toute l’armée hongroise, se précipitant sur ses
leur chef, les officiers hongrois se félicitent de leur victoire : le général s’étonne et s’inquiète de ne pas voir au milieu d
monceau d’ennemis qu’il avait immolés ; on le porte dans la tente du général . On lui ôte son casque, le général reconnaît son
lés ; on le porte dans la tente du général. On lui ôte son casque, le général reconnaît son fils Ladislas, qu’il avait banni qu
provisions en abondance ; on demande grâce. Décrivez la consternation générale . Colomb se montre inflexible jusqu’au moment où i
loman qui est atteint par le trait de Leuthold. Tableau de la douleur générale  ; désespoir de Leuthold, qui veut se percer de so
le, viennent de s’emparer de Marseille ; qu’il reste à peine aux deux généraux le temps de sauver leurs personnes ; qu’il faut f
et Bonchamp étaient grièvement blessés. Les Vendéens emportent leurs généraux mourants et se retirent à Beaupréau. Le lendemain
blés de douleur et enflammés du désir de la vengeance, entourent leur général expirant. On peut quitter un instant cette scène
, sachant ou soupçonnant ce qui s’est passé, accuse, dans une réunion générale des conspirateurs, Flavio d’avoir sauvé un proscr
le à Vienne, auprès de sa tante la duchesse d’Autriche. Consternation générale . Hedwige va partir ; mais au moment où elle veut
, né l’an 445, mort l’an 355 avant l’ère vulgaire, est illustre comme général , comme philosophe et comme historien. Il s’était
, en Elide. Son fils Gryllus était resté à Athènes. Gryllus fut nommé général de la cavalerie athénienne, et, en cette qualité,
ligués ensemble. Le champ de bataille resta aux Thébains ; mais leur général , Epaminondas, fut tué. Le chef de la cavalerie at
sèrent. Sujet. Athènes, attaquée par les Doriens, choisit Eudoxe pour général . Eudoxe va en secret consulter l’oracle sur le so
cultés de cette entreprise, et surtout les talents de Narsès. Narsès, général de l’empire d’Orient, avait reconquis l’Italie su
Sujet. Les chefs de l’armée victorieuse s’assemblent en conseil ; le général napolitain, pour assurer le triomphe du parti imp
rémir à cette seule idée ! lre partie : Rinaldi réfute les raisons du général napolitain ; il prouve que cette mesure, bien loi
rs de Rinaldi eut un plein succès. 126. Discours adressé aux états généraux de Hollande en faveur d’un enfant de quatorze ans
 : la digue est réparée ; la Hollande est sauvée. Un membre des états généraux demande pour cet enfant une récompense nationale.
erminera son discours par une péroraison convenable. On appelle états généraux , en Hollande, l’assemblée des représentants de la
gnaient pas de la ville. Les tribuns militaires étaient des officiers généraux . 130. Défense de Titus Torquatus. Sujet. L’
ine et l’armée ennemie sont en présence. Le consul Manlius Torquatus, général des Romains, a défendu tout combat avant la batai
rquatus, général des Romains, a défendu tout combat avant la bataille générale . Son fils Titus est rencontré par un cavalier enn
à vouloir juger le coupable, il demande, au nom de toute l’armée, au général la grâce du soldat et au père la grâce du fils. C
roles que le consul adressa à son fils. « Au mépris des ordres de ton général , au mépris de l’autorité de ton père, tu as comba
on renouvelle ces sacrifices sanglants. Asdrubal, sénateur respecté, général illustre, s’élance à la tribune ; il conjure les
de prononcer, retentit aux oreilles des convives, un attendrissement général éclata ; l’empereur parut comme frappé au cœur, e
tiré de l’incident inattendu qui vient de provoquer l’attendrissement général . Il fera ensuite une narration vive et animée de
il faut le rejeter. 136. Monologue de Camille. Camille était un général romain qui avait rendu les plus grands services à
es ténèbres, ce crime affreux fut bientôt connu et excita une horreur générale . Constance, mûre de la victime, courut à Paris de
tra à Rome en triomphe. 149. Discours pour ou contre Isadas. Le général thébain Epaminondas, à la tête d’une nombreuse ar
milieu de l’agitation universelle, le roi assemble à Blois les états généraux . Guise a l’audace d’y paraître et de l’y braver.
le perdit ; car ce meurtre souleva tout le monde ; la révolte devint générale , et Henri III fut assassiné à son tour devant Par
nt la saisit et la tue en la jetant avec force contre le pavé. Un cri général d’indignation s’élève ; on traîne l’enfant devant
te à deux de ces infortunés et les fit apporter chez Ypsilanti, notre général , par le troisième, en réclamant le prix des trois
15 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
rotéger la famille de son roi, fut obligé de lutter contre les autres généraux . L’ambitieux Antigone fut son plus terrible adver
nez les yeux vers moi, ô vous les plus cruels des Macédoniens ! Votre général prisonnier, se tenant debout en votre présence, e
pour racheter ces bagages, faut-il livrer en échange la tête de votre général  ? Ainsi donc, moi, sans avoir été vaincu, je suis
fidèles et les plus innocents de tous les soldats à l’égard de votre général . » Traduit des œuvres latines de C. Lebeau (1701
« Vous voyez, soldats, en quel appareil se présente à vos yeux votre général  : les chaînes que voici, ce n’est pas un ennemi q
solation pour moi. C’est vous qui de vainqueur m’avez fait vaincu, de général , prisonnier. Quatre fois, dans le cours de cette
u serment par lequel vous vous êtes tant de fois engagés envers votre général  ; ou si vous avez honte d’employer la violence co
s vous réserver un sort pareil à celui que vous avez fait subir à vos généraux  ! C’est vous, oui c’est vousmêmes qui vous êtes s
ellent aux plus brillantes destinées, on nous défie ! Qu’il vienne ce général amolli par une longue paix, avec ses soldats levé
espérance du Sénat, le seul rempart de la patrie, si les paroles d’un général pouvaient ajouter quelque courage à vos cœurs, qu
ur dans de si nombreux combats ? Cette vile multitude abandonnera son général qu’elle a suivi par hasard, et non par l’impulsio
ai donné la mienne ; il m’a inscrit au nombre des citoyens, m’a nommé général et m’a confié la direction de ses intérêts ; par
rie peut les anéantir chaque jour : de plus, quand il s’agit du salut général , on doit savoir mettre de côté ses intérêts privé
-C. (Expédition d’Alexandre en Asie.) XXVII. Discours de Cyrus aux généraux de son armée qui viennent de le proclamer chef de
e titre ? » Traduit de Xénophon (La Cyropédie). XXVIII. Cyrus aux généraux de son armée. Deuxième partie. « Quant à nous
de fatigues, et il est juste aussi que vous teniez compte des autres généraux . Avez-vous oublié toutes les souffrances que j’ai
ues et que je ne périsse pas épuisé de fatigue. Chargez donc un autre général de la guerre contre les pirates ; parmi ceux qui
e continuer la guerre, d’y persévérer, quand Démosthène et les autres généraux Athéniens désiraient lever le siège ! Les paroles
mite, veillez sur la république, Sénateurs, et faites de Pompée votre général . » Traduit de Lucain (Pharsale). XLII. August
nviolable. » Traduit de Cicéron. XLIV. Memnon, le plus habile des généraux de Darius, donne aux chefs des Perses le conseil
l’honneur et de la gloire, quand ils combattent sous les yeux de leur général . Enfin on ne peut douter qu’il ne soit plus avant
lu, jusqu’à ce que les traités aient été ratifiés par un consentement général . En agissant ainsi, je croirai avoir usé des droi
ques qui nous étaient hostiles ? Si je ne m’associais pas, moi, votre général , à tous vos dangers, à toutes vos fatigues, je co
la guerre en Afrique. Pas un des soldats ne connaissait les plans du général . À peine débarqué, il dévoile ses desseins au mil
fia le commandement d’une armée nombreuse à Suréna. On suppose que le général adresse à ses soldats le discours suivant : « Br
ge nous auront assuré. Mon plus vif regret est d’avoir à combattre un général sans mérite, sans capacité militaire, un homme vi
ourrions acquérir plus de gloire. » Extrait des Annales des concours généraux , traduit du discours de J. V. Le Clerc (année 180
LXV. Discours de Suréna. Deuxième fragment. « Mais bientôt ce général que ses propres concitoyens ont chargé de leurs i
déroute ; vous ne pourrez remplir ces devoirs si nécessaires pour un général , et vous serez vaincu avant de vous apercevoir de
ude qu’ils avaient contractée de ne rien faire qu’en vue de l’utilité générale de la patrie, est tombée chez eux en désuétude !…
z me faire subir contre le droit des nations. » Extrait des concours généraux . Fragment traduit du prix d’honneur de 1810 (Vict
ite portion de terre dont ils pussent faire leur habitation ; que les généraux romains avaient grand tort, lorsqu’ils les animai
aux volontés d’un maître ? Thémistocle, auteur de ce conseil, fut élu général  : Cyrsile, qui était d’avis de recevoir Xerxès, f
pidé. Car autrefois les Athéniens ne cherchaient ni un orateur, ni un général qui leur procurât une paisible servitude ; ils au
urius Dentatus, le vainqueur des Sabins ; en voyant que tant d’autres généraux illustres parmi les Romains, se sont toujours imp
l la gloire militaire de Jules César. — « Les hauts faits de tous les généraux de Rome, ceux des souverains les plus célèbres, n
é dont je me plais à occuper ma pensée, c’est que les hauts faits des généraux de Rome, des nations étrangères, des peuples les
16 (1873) Principes de rhétorique française
, plus de correction dans le style. La rhétorique doit cette autorité générale et souveraine à ce qu’elle est fondée sur l’obser
ons funèbres, les compliments ou remercîments académiques.    Règles générales  : I. Il ne faut louer que par les faits. Bossuet
ce genre d’éloquence. Enfin les discours prononcés dans les conseils généraux ou municipaux, dans les assemblées d’actionnaires
s assemblées d’actionnaires, etc., sont du genre délibératif. Règle générale . Respecter et soutenir uniquement ce qui est jus
nition d’un crime, il défend la fortune ou la vie d’un accusé. Règle générale . — Rattacher l’autorité des lois civiles à l’auto
ou de dissuader, d’accuser ou de défendre ; et les règles simples et générales suggérées par l’étude des grands modèles s’appliq
— Rattacher le droit civil au droit naturel. Leçon III. Division générale de la rhétorique. 1. Division de la rhétorique
— 2. Origine de cette division. — 3. Utilité de cette division. Règle générale . — 4. De l’invention. — 5. De la disposition. — 6
De la disposition. — 6. De l’élocution. — 7. De l’action. — 8. Règles générales . 1. Division de la rhétorique. — Les règles de
leur objet, leurs moyens, leurs effets ; ils disposent dans un ordre général les conceptions, les personnages ou les motifs un
le et l’expérience et le bon sens. La rhétorique proclame cette règle générale  : qu’il h faut concevoir un sujet, en disposer le
e qui n’est plus guère pour nous qu’un objet de curiosité. 8. Règles générales . — En résumé la raison pose les trois règles suiv
1. Objet de l’invention. — 2. Utilité de cette partie. — 3. Règles générales . — 4. Division de cette partie. — 5. Des mœurs. —
ité du sujet d’où jailliront des idées d’abord inaperçues. 3. Règles générales . — Pour trouver ce qu’on doit dire sur un sujet d
aux plus pratiques de la vie. C’est seulement après cette préparation générale qu’on sera en état d’aborder l’analyse de la mati
. 9. De l’induction. — C’est un raisonnement qui tire une conclusion générale de plusieurs exemples particuliers. Tel est le ra
ts du pédant, du bigot, du libertin, et conclut par cette observation générale  : N’en déplaise à ces fous nommés sages de Grèce
ments ou lieux communs. Les lieux communs sont donc les points de vue généraux sous lesquels tous les sujets peuvent être envisa
alité, disent-ils, à propos de tout fait élémentaire, de toute vérité générale  ; c’est un principe rebattu. Rebattu, oui, rebatt
en lumière toute la supériorité de Tu renne en l’opposant d’abord aux généraux qui n’ont pas eu toutes ses vertus. Si M. de Tur
mourir. Tite Live. Enfin, M. Thiers veut peindre la vie d’un grand général d’armée ; c’est encore par les circonstances qu’i
nservation de la ville. Enfin le sénat voyait de près la conduite des généraux , et leur ôtait la pensée de rien faire contre leu
le plus souvent invoqués devant les tribunaux, ont une autorité plus générale et peuvent fournir des arguments qui ne sont pas
cultés du doigté. Les lieux communs, dit Cicéron, sont des principes généraux d’où ! se tirent les raisonnements pour tous les
e siècle. Tout périt par l’excès ; ne rien dire de trop est une règle générale , mais nulle part elle n’est plus impérieuse qu’au
t de la passion. 7. Du pathétique chez lesanciens. — Une observation générale qu’il ne faut pas négliger, c’est que dans l’anti
ée du chien Citron. 8. Résumé et règles. En résumé, ces observations générales peuvent être ramenées aux six règles suivantes :
accueillie, Mais ces circonstances-là étant des exceptions, la règle générale de la disposition reste toujours de ranger ses mo
. 3. Des parties du discours. — C’est en s’inspirant de cette pensée générale et en tenant compte des exigences naturelles de l
. 6. Règles de la disposition. — En résumé, toutes ces observations générales peuvent être réduites aux sept règles suivantes :
et le succès le plus mérité. L’exorde est comme un sommaire, une idée générale , et aussi une recommandation du discours ; il doi
la curiosité que peut provoquer le sujet. Plus le sujet est élevé et général , plus l’esprit de ceux auxquels nous nous adresso
Ainsi la narration étant déjà un moyen de preuve, un premier argument général en faveur de l’objet qu’on se propose, tous les d
t accumulera entre deux les preuves médiocres. De cette façon la loi générale de progression croissante sera observée puisque l
iguïté des mots, c’est de prendre le même mot dans un sens composé ou général , puis dans un sens divisé ou particulier. Par exe
hons à toutes choses une cause ; et par une disposition presque aussi générale de notre vanité nous aimons à croire que nous l’a
stant, un abus passager, présenté comme un état de choses habituel et général  ; voilà le grand moyen des révolutions.      D
açon régulière en trois parties qui contiennent : l° Des observations générales sur les différentes formes grammaticales, sur les
mots et de pensée. 2° Des observations particulières sur les qualités générales du style et sur les qualités spéciales que réclam
s qui distinguent la prose de la poésie. Leçon XXIII. Observations générales sur les mots. — Synonymes, équivalents, épithètes
s, équivalents, épithètes. 1. Objet et utilité de ces observations générales . — 2. Des synonymes. — 3. Des mots qui ne comport
gens ; le juge interroge les criminels ; le soldat demande l’ordre du général . Un homme est indolent par indifférence, nonchala
VI. Des tours de phrase.    1. Des tours de phrase. — 2. Des tours généraux . — 3. Des tours particuliers les plus simples. — 
Les tours de phrase peuvent être divisés en deux groupes : les tours généraux et les tours particuliers.   2. Les tours généra
oupes : les tours généraux et les tours particuliers.   2. Les tours généraux ou communs. — Les tours généraux ou communs sont
tours particuliers.   2. Les tours généraux ou communs. — Les tours généraux ou communs sont ceux qui, dépendant du mouvement
vantage est d’offrir un excellent moyen de varier le style. Ces tours généraux peuvent être ramenés a quatre principaux, derrièr
4. Des tours particuliers les plus vifs. — Aux deux derniers tours généraux , qui sont les plus passionnés et les plus express
n… Voilà l’éloquence des images.    Mais dans tous les cas, la règle générale est de ne pas prodiguer les figures et de préveni
aux explications de détail  relatives au style figuré, les remarques générales que provoquent les figures peuvent être résumées
ne veut reprocher aux Athéniens leur frivolité dans le choix de leurs généraux  : Vous ressemblez à des mouleurs en argile : qua
x : Vous ressemblez à des mouleurs en argile : quand vous faites des généraux , c’est pour l’étalage et non pour l’action. Mithr
hardiesse et de violence à vous d’avoir, à votre âge, battu de vieux généraux que vous deviez respecter, tué le comte de Fontai
ne exclamation qui résume une situation morale et renferme une vérité générale ou une réflexion profonde condensée en peu de mot
es règles relatives aux figures ‘sont dominées "par cette observation générale qu’il faut éviter la recherche et la profusion de
ésume les pensées, les raisonnements ou les sentiments sous une forme générale . III. L’apostrophe donne une vivacité toute drama
nnaît et raille la métaphore de Tertullien : le déluge fut la lessive générale de là nature, et la traduction trop exacte de Ben
ar Buffon qui recommande de nommer les choses par les termes les plus généraux Ou l’espèce pour le genre. — La Fontaine dit du l
le nom d’ironie, litote, atténuation, astéisme, etc. Une observation générale doit compléter cette étude su les tropes, c’est q
a règle de Buffon qui veut que le style élevé use des termes les plus généraux . VI. l’emploi de ces figures doit être subordonn
ar l’élan spontané de la passion. Leçon XXXV. Du style. — Qualités générales du style. 1. Du style. — 2. Distinction des qu
tés générales du style. 1. Du style. — 2. Distinction des qualités générales et des qualités particulières, — 3. De la correct
e la clarté. — 5. De la précision. — 6. Règles relatives aux qualités générales du style. 1. Du style. —  Le mot style est un
s générales du style. 1. Du style. —  Le mot style est un terme si général qu’il est difficile d’en fixer le sens par une dé
Il faut distinguer deux sortes de qualités du style : 1° des qualités générales qui sont essentielles à toute expression de la pe
ux différents objets que se proposent les écrivains. Les six qualités générales du style sont la correction, la clarté, la précis
répétition n’est pas faute en cet endroit, car il n’y a pas de règle générale . L’obscurité naît souvent du désir de paraître f
uffé par ces longueries d’apprêts. 6. Règles relatives aux qualités générales du style. — En cette matière, comme dans toutes l
s les observations qui précèdent peuvent fournir matière à six règles générales  : I. Le style sera le reflet naturel des qualités
anche tous les termes superflus.  Leçon XXXVI. Suite des qualités générales du style. 1. Du naturel. — 2. De la noblesse.
leur langue est composée de termes exacts, nobles, tirés de la langue générale , ni techniques, ni abstraits ; ils usent de métap
agination le plus heureux effet. Leçon XXXVII. Suite des qualités générales du style. . De la convenance. —2. De l’unité e
de la propriété de chacune des expressions que résulte la convenance générale du style. La réflexion et l’intelligence du sujet
spectateur, elles se fondent avec tant d’harmonie dans la composition générale , que les plus grandes audaces passent inaperçues 
saurait trop étudier. 8. Règles. — Les observations sur ces qualités générales de style peuvent être ramenées à cinq règles élém
naissance réfléchie du sujet. II. L’unité est le reflet du caractère général écrit ou d’un discours, la varieté en le charme e
s de style. 1. Des qualités particulières du style. — Les qualités générales du style sont partout indispensables ; partout le
ive : c’est le ton qui s’adapte tout naturellement aux idées les plus générales de la raison, aux conceptions religieuses, esthét
e, c’est la poésie. Dans l’ordre des faits dont se compose l’histoire générale de l’humanité, la prose a bien évidemment précédé
s à chercher les lois des faits historiques et les principes les plus généraux du droit ; enfin les critiques ou juges du mérite
traité devant eux, pour leur servir de modèles, toutes les questions générales qui leur étaient accessibles, ils leur donnaient
ment de la rhétorique en latin et lit traiter à ses élèves des sujets généraux et factices propres à les préparer à parler sur t
— 6. Classification des différents genres de composition. — 7. Règles générales de composition littéraire. 1. Exercice prélimi
e qu’il puisse être gâté par des modèles imparfaits. 2. Observation générale sur les compositions littéraires. — Quel que soit
travail littéraire auquel l’esprit s’applique, il y a quelques règles générales de son sens et de bon goût qui doivent dominer to
vision élémentaire empruntée à l’art oratoire, convient d’une manière générale à toutes les compositions ; a différence des suje
er à la forme qui convient au sujet. Le style doit avoir un caractère général en harmonie avec le caractère même du sujet, et c
faudra pas oublier que, tout en respectant et conservant le caractère général du style, on doit tenir compte-dans le détail, de
ts genres de composition. — Les observations qui précèdent sont assez générales pour s’appliquer sans distinction à toutes les es
ement d’un mot historique — d’une vérité morale — Analyse. 7. Règles générales de composition. — Ces observations sur les compos
’objet pour lequel ont été inventées les lettres en fixe le caractère général  ; la lettre est le moyen d’informer les absents d
grammaire et par le bon goût. Saint Grégoire a marqué les caractères généraux du style épistolaire dans une lettre qui réunit l
Helvidius ; vous n’avez pas vu le vainqueur des Bretons, votre ancien général , Agricola, expier sa gloire et la vôtre par une m
pain comme ta cendre, loin d’être ingénieux, est faux ; 3° que le ton général est celui du bel esprit, et non de l’éloquence re
olonté libre dans l’homme ou de ses rapports avec Dieu. D’une manière générale , ces compositions réclament une méthode très-rigo
, le menteur, le prodigue, le brave, le philanthrope, etc. Les règles générales relatives à la description et au tableau peuvent
des pensées plus fines et des tours plus délicats. Cette observation générale doit être rappelée à notre pays et à notre temps 
l’origine et la source des autres. L’examen de quelqu’une de ces lois générales de l’humanité est un travail très-propre à dévelo
rce au profit de tous. Il ne s’en tient pas là : les besoins réels et généraux de son temps à peu près satisfaits, la pensée et
s sa haute intelligence, sa puissante volonté au service de la pensée générale , du vœu.commun ; maintenant il veut employer la f
e a été développée. 3° Examiner et juger le style dans ses caractères généraux , dans ses qualités particulières et dans son rapp
achever une maison qu’il fait bâtir, car c’est aujourd’hui la fureur générale . Je suis las de vains prétextes pour prolonger un
s qu’il aura à remplir plus tard sur la terre. Mais, à côté de ce but général , de cette préparation éloignée, l’éducation doit
me honnête et intelligent, habile et vertueux ; c’est la fin commune, générale , nécessaire. Mais, de plus, il a toujours une voc
ir telle ou telle fonction dans la société humaine. Outre l’éducation générale et essentielle qui forme l’homme avant tout, qui
e de loin à toutes choses, qui développe en lui et élève les facultés générales de la nature, et en fait par là un homme digne de
’achèvent l’une par l’autre. 9. Résumé et règles. — Les observations générales sur ces sujets peuvent être résumées dans les cin
17 (1881) Rhétorique et genres littéraires
logismes. 3° Péroraison : Récapitulation ou Conclusion. 1° Qualités générales du style. 2° Ancienne division du style. 1° Style
s jusqu’à une simple lettre d’affaires, il doit satisfaire aux règles générales de l’invention, de la disposition et de l’élocuti
e v.) 7° Induction L’induction (inductio) tire une proposition générale de plusieurs faits particuliers (in-ducere). Ex.
La déduction (deductio) tire une vérité particulière d’une vérité générale (de-ducere). Ex. L’homme attaqué peut sans crime
es arguments que nous venons d’énumérer se rapportent à des principes généraux , dont ils ne sont que des conséquences. Ces princ
tout entière, et persuade en déterminant le sens des mots ; elle est générale ou partielle. Ex. Définition du crime par le vie
propres au genre judiciaire, où l’on cherche à prouver que les textes généraux de la loi sont applicables dans l’espèce à un suj
st un sophisme par induction dans lequel on conclut du particulier au général d’un fait accidentel à une loi universelle. Ex.
ffon, seront les seuls qui passeront à la postérité. Ses qualités générales Les qualités générales du style sont : 1° La c
passeront à la postérité. Ses qualités générales Les qualités générales du style sont : 1° La clarté ; 2° La propriété ;
des sons dont l’accord est flatteur pour l’oreille ; c’est la qualité générale du style qui couronne l’œuvre. Les rhéteurs disti
lée dans la période, et que l’on peut enlever sans en changer le sens général . Il y a pour l’incise, comme pour la période, une
e division du style ; qualités particulières du style Les qualités générales du style sont partout les mêmes ; les qualités pa
critiques de détail ; il nous suffira de faire remarquer d’une façon générale que cette classification a le grave inconvénient
lure est libre et dégagée. Il ne suffit pas de connaître les qualités générales et particulières du style, il faut aussi savoir l
7.) Élocution. Résumé synoptique STYLE. FIGURES Qualités générales . Ancienne division. de pensée. de mots. Clarté
analyse, il faut satisfaire à trois conditions ; 1° déterminer l’idée générale de la composition qu’on analyse ; on le fait ordi
érer les pensées principales qui ont servi au développement de l’idée générale  ; 3° indiquer les idées ou faits accessoires qui
La Littérature est, dans le sens le plus étendu du mot, la théorie générale et l’histoire critique des œuvres de l’esprit hum
de la science et de l’érudition pure, dont elle exprime les résultats généraux et qu’elle ne fait qu’effleurer. Les productions
les œuvres poétiques, et les œuvres en prose. Dans l’ordre des faits généraux de l’humanité, la prose a précédé les vers, mais
a peinture ( ut pictura, poesis , a dit Horace). Outre les conditions générales communes à toutes les productions de l’esprit hum
ision en cinq genres Nous nous sommes bornés à diviser d’une façon générale les œuvres poétiques en cinq genres : 1° lyrique,
ont les conditions essentielles de toute poésie lyrique. Le caractère général de la poésie lyrique est d’être toujours libre et
plissent un poème sans l’animer. Indiquons en passant quelques règles générales dictées par le bon sens et le goût. Horace dit q
gédie d’Eschyle et de Sophocle. Elle affecta d’en parodier les formes générales , et mêla tous les tons. La comédie ancienne se pr
sa de l’être avec Antiphane et Alexis dans la moyenne ; elle redevint générale et morale (comédie de mœurs et de caractère) avec
par le style et le nom. Elle peint tantôt les vices et les ridicules généraux de l’humanité sous quelque forme qu’ils se présen
artient au genre délibératif. Elle comprend les discours de politique générale , les discours d’affaires particulières ou locales
ulaires que se rendaient les orateurs et qu’on discutait les intérêts généraux . Chez les Grecs, elle avait pour théâtre l’agora 
Éloquence militaire L’éloquence militaire est celle qu’emploie un général pour soutenir ou exciter le courage, de ses solda
étaient fort en usage. Dans les républiques d’Athènes et de Rome, les généraux avaient souvent occasion de parler à la multitude
se de la patrie. Cela explique la présence de nombreuses harangues de généraux chez les historiens grecs et latins. Elles n’ont
expose les dogmes de la morale et de la religion. Outre les qualités générales qui conviennent à tous les discours sacrés, l’uni
es autres, tous les historiens de la Grèce furent des hommes publics, généraux ou orateurs. Il en fut de même à Rome, Chez les m
 Martin, etc. 3° Elle est philosophique quand elle recherche les lois générales de la vie des nations. Science nouvelle, à peine
s de chaque nation, elle s’élève à la conception d’une seule histoire générale . Elle embrasse d’un coup d’œil la génération des
ratry, La Philosophie de l’histoire, etc. 2° Histoire universelle, générale , particulière Considérée sous le rapport de l’
a été le théâtre, chez tous les peuples et dans tous les siècles. 2° Générale , quand elle fait connaître les origines, les prog
littéraire la bibliographie qui en est le complément. Elle peut être générale , spéciale, ou particulière. La bibliographie géné
Elle peut être générale, spéciale, ou particulière. La bibliographie générale est l’étude critique et raisonnée des différents
° La métaphysique est la science des causes premières, des conditions générales , et universelles de l’être, abstraction faite des
rivains qui ont exposé des théories, des doctrines ayant des rapports généraux ou particuliers avec la philosophie, et qui se so
About, etc., ont étudié, dans leurs œuvres ou leur articles, les lois générales des peuples, les principes du droit public et les
e, p. 2 et 3.) 4° Genre romanesque Sa définition, ses règles générales  ; origine du roman, son utilité, son domaine et s
peut toutefois en indiquer quelques-unes qui ne peuvent être que très générales  : vraisemblance des événements, vérité des caract
rique. 3° Didactique, etc. 4° Romanesque. Éloquence 1° Politique : générale , particulière, Discussion des lois, etc. 2° Milit
s d’histoire : 1° narrative, critique, philosophique. 2° universelle, générale , particulière. 3° 1° Sacrée : sainte, ecclésiasti
18 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Définition et division. »
obligé de se contrefaire, et cette hypocrisie lui méritera un mépris général . Si le créateur nous a distingués du reste des a
ouvrage, que je devise en deux parties, renfermant une les préceptes généraux , l’autre les préceptes particuliers. Les précepte
préceptes généraux, l’autre les préceptes particuliers. Les préceptes généraux s’appliquent à tous les genres de composition qu’
général, 2° le Style, 3° la Composition, 4° la Poésie. Cette division générale me semble vicieuse en ce que la Rhétorique en gén
19 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre second. De la disposition. »
C’est l’arrangement des pensées fournies par le sujet. Trois qualités générales sont requises dans la disposition : 1. L’ordre. —
arlé déjà des pensées intrinsèques et extrinsèques. C’est la division générale  ; mais telle pensée peut être puisée dans l’ordre
s détachées de l’ensemble s’isolent et annulent la majesté de l’effet général . Elle se lie tellement à l’unité d’action, qu’on
assurer des dispositions de son auditoire, s’attirer la bienveillance générale , et repousser les préventions défavorables qui po
est-à-dire du partage en plusieurs points d’une partie de la division générale . Narration. La narration oratoire est l’exp
il entre dans des détails intéressants, il sait joindre à chaque idée générale toutes les idées accessoires qu’elle fait naître,
— C’est l’invention d’un sujet fécond, heureux. 2° Il fait un dessin général de son œuvre. — C’est le plan de la composition.
20 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
s premiers principes du goût. Il n’y a rien dans notre nature de plus général que le sentiment de la beauté sous toutes ses for
’éclaire et devient plus sûr ; il discerne non seulement le caractère général de l’ouvrage, mais les beautés et les défauts de
seulement soumis aux règles de la grammaire et à ce qu’il y a de plus général dans les préceptes littéraires ; en un mot, c’est
inées. Mais, outre ces deux formes de la pensée, il y a des principes généraux qui sont propres à toutes les productions littéra
à la composition. C’est l’art d’exprimer sa pensée d’après ces règles générales que l’on appelle style. 23. Quelle est la divisio
éduire à trois points fondamentaux. On devra d’abord poser les règles générales de l’art d’écrire ou du style, règles qui, nous v
21 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
gt-deuxième année, avocat général au parlement de Paris, et procureur général six ans après, il fut l’un de ceux qui, au moment
remarque ses Mercuriales : néanmoins on regrette qu’une absence trop générale de simplicité, de naturel et de verve se mêle à c
e sauriez mieux réussir à l’éviter qu’en vous attachant aux deux vues générales que je viens de vous marquer : l’une, de vous con
de tous les hommes contre leur condition, une espèce de conspiration générale dans laquelle ils semblent être tous convenus de
es parlements, en novembre et après Pâques, les procureurs ou avocats généraux , et quelquefois les chanceliers, pour entretenir
22 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »
tinction peu lumineuse. Mais sans nous occuper d’établir ici un terme général plus convenable, ou de chercher une division plus
est tiré du grec : il signifie inscription ; et dans son sens le plus général il veut dire des pièces de vers tellement courtes
ne pensée, une réflexion ; et quoiqu’elle rentre dans cette catégorie générale des petites pièces, on ne la confond pas avec les
ou attaquer des personnages imaginaires, ou s’armer contre les vices généraux de la société, et faire des épigrammes morales, t
Tout le monde trouva cette fonction d’agent de police, peu digne d’un général aussi élevé ; et Condé lui-même improvisa contre
n ne peut guère rapporter qu’à l’épigramme prise dans le sens le plus général deux ou trois petites pièces de poésie où l’on do
délicate. Il faut se contenter d’attaquer les vices et les ridicules généraux , sans jamais donner dans l’odieux des personnalit
23 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
légal appuyé sur la liberté. Elle assiste aux funérailles de ce noble général dont les mâles accents faisaient tressaillir tout
dition et de philosophie, ne puissent pas être proposées comme modèle général de prédication, parce qu’elles ne conviendront ja
t ? L’on entend en général, par modèle, ce que, d’après l’assentiment général et presque universel, on peut considérer comme un
iné par sa comparaison avec celui des autres hommes, et l’approbation générale est, en définitive, juge souverain en cette matiè
s du génie, en remontant des applications particulières aux principes généraux . La critique n’a pour fondement que l’expérience
sentiment sont nécessaires pour guider dans l’application des règles générales aux cas particuliers ; mais parce que la critique
ependant produisent en nous cette impression. Sans fonder une théorie générale , il faut reconnaître que le sublime a diverses so
nd écrivain. C’est la difficulté du genre. Si la description est trop générale , si elle est trop chargée d’accessoires, ou accom
imes ; mais il ne suffirait pas de les peindre d’une manière vague et générale , il faut échauffer la scène par des expressions v
si elle est déplacée, si elle est n’est pas en harmonie avec le plan général , la beauté se convertit immédiatement en difformi
excitées. (On peut lire avec fruit, sur ce sujet, les considérations générales sur la formation des langues et sur leurs progrès
rminé ses propriétés avec soin. Sans chercher un système de grammaire générale , ou particulièrement de grammaire française, je m
bles ou opposées. Ainsi, quoique la formation des idées abstraites et générales soit supposée être une opération difficile de l’e
me nom tous les objets qui ont de l’analogie entre eux. Mais ces noms généraux n’étaient pas suffisants, il fallait parvenir à s
x n’étaient pas suffisants, il fallait parvenir à séparer de la masse générale , des objets spéciaux et à les déterminer. C’est p
rapportent ; en sorte que ce sont à la fois les expressions les plus générales et les plus spéciales de la langue ; ce sont auss
pas ici le lieu d’examiner cette question. En parlant des caractères généraux du style, il est d’usage de le diviser en nerveux
sont pas bien distinctes dans son esprit, elles sont diffuses et trop générales , et par conséquent ne peuvent être exprimées avec
netteté ; il suffit, en certaines occasions, que nous ayons une idée générale de l’objet. Si le sujet est connu et familier, l’
e peu judicieux de ces mots appelés synonymes, qui expriment une idée générale , mais le plus souvent ont quelque légère variété
vifs et faciles. Cependant, dans presque tous les écrits, le principe général est que ces deux genres de style doivent être mêl
tion. Les règles que l’on pourrait indiquer à cet égard seraient trop générales  : cependant quelques principes peuvent être utile
ujours une grande beauté. Maintenant, nous devons nous occuper du ton général de l’oraison. Si la pompe, si la plénitude convie
u ton qu’exigent les sentiments que nous voulons exprimer. Cette idée générale doit diriger les modulations de nos périodes. Que
r l’oreille par une variété mélodieuse. Mais, outre la correspondance générale entre le ton du style et le cours des pensées, on
figures ; mais avant de procéder à cette recherche deux observations générales vont nous servir d’introduction. La première, c’e
t, surtout dans les peines d’autrui. Du langage figuré, caractères généraux du style. Style diffus, concis, faible, nerveux,
font un mauvais effet. C’est une idée très fausse, et cependant assez générale , que de considérer les ornements du style comme d
rmine le caractère spécial du style, que l’on qualifie par ces termes généraux  : vigoureux, faible, sec, affecté, et autres semb
, figures, et autres artifices du discours. Ce sont de ces caractères généraux du style dont il nous reste à parler comme complé
’est l’homme . Les anciens critiques n’ont pas négligé ces caractères généraux du style. Denis d’Halicarnasse le divise en trois
s divisions et les explications qu’ils donnent sont si diffuses et si générales , qu’elles ne peuvent fixer nos idées sur cet obje
in qui, ne consultant que son génie, s’approprie un de ces caractères généraux , peut posséder de grandes beautés. Pour préciser
ait trop prémunir les auteurs contre ce vice séduisant. Caractères généraux du style. Style simple, affecté, véhément. Consei
terai pas davantage sur les diverses manières d’écrire, ou caractères généraux du style ; je pourrais sans doute signaler d’autr
mais je sens qu’il serait très difficile d’offrir des considérations générales sur le style des auteurs, en les séparant du tour
r ses idées d’une certaine manière. Il y a, il est vrai, des qualités générales qui sont d’une telle importance qu’il est nécessa
us qu’orateur ; il réunissait les qualités d’habile politique, de bon général , d’homme adroit consommé aux affaires ; aussi gou
urs ne se contentaient plus de donner à leurs disciples des préceptes généraux d’éloquence, et de former leur goût ; ils profess
s accents du général Foy, annonça à la France un grand orateur, et le général a justifié ses présages. Des orateurs recommandab
’il exprime ; et ce ton est un puissant moyen de faire une impression générale . La faiblesse ou l’hésitation annonce toujours qu
vaient Démosthène et Cicéron, les statuts municipaux étaient simples, généraux , et peu nombreux. Les décisions étaient, à bien d
e que l’unité que je recommande peut être mieux conservée. Des sujets généraux , tels que l’excellence des plaisirs de la religio
nt plus brillants et plus aisés à manier ; et sans doute les matières générales de la religion ne doivent pas être négligées, et
effet prodigieux. Tant que le prédicateur se borne à des observations générales , et ne s’applique point à tracer des peintures et
aleur du débit ; je pense qu’on ne peut à cet égard tracer des règles générales . J’en laisserai le choix aux prédicateurs, suivan
nstruction du discours qui sont communes à ces trois genres. Les vues générales que j’ai offertes pour distinguer l’esprit et le
xemples d’exorde par insinuation. « Tout exorde doit donner une idée générale de la cause, la préparer, en faciliter l’accès, o
raîner. » (Cicéron, de Orat., lib. ii.) Après avoir présenté ces vues générales sur la nature et le but de l’exorde, je vais offr
re, sed ex fumo dare lucem . (Hor.) C’est infailliblement un principe général qu’il ne faut pas d’abord déployer toute sa force
ge. Toutes celles qui sont puisées dans des lieux communs ou matières générales offrent cet inconvénient. Ce début ne manque jama
lète : vous présenteriez un des coins du tableau sans donner une idée générale de sa composition. 4º Que les termes énonciatifs
ientôt oubliée. Pour arriver à cette clarté, outre l’étude des règles générales que nous avons indiquées, la narration exige une
relativement aux différents degrés d’énergie des arguments, la règle générale est d’avancer par la voie de la gradation, ut au
teurs, préparés déjà par ce qui a précédé. Mais cette règle n’est pas générale  ; car, s’il se méfie de sa cause, et s’il n’a qu’
ellement de l’accent prosodique, ou grammatical, que la prononciation générale détermine ; il est le signe de l’émotion qu’éprou
ur en parlant doit être vrai ; pour y parvenir il doit moduler le ton général de ses discours sur celui d’une conversation anim
M. Delamalle et tous les gens de goût blâment cette habitude presque générale au barreau d’accompagner chaque phrase, souvent m
mais avant de terminer, il me semble utile de présenter quelques vues générales sur les moyens les plus propres à perfectionner l
ique, la géographie, la statistique, la physiologie, quelques notions générales de mathématiques et d’astronomie, entreront dans
e l’étude philosophique de l’anatomie du corps humain. Quelques idées générales d’astronomie élèveront l’âme de l’orateur au-dess
rait que ses règles et ses observations fussent moins vagues et moins générales  ; mais toujours est-il qu’on peut en tirer beauco
24 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
Chapitre Ier. Considérations générales . § 1. Formes du langage. — Division des ouvra
angage. — Division des ouvrages de littérature. Il y a deux formes générales du langage : le discours libre, ou la prose, et l
l’Académie, qui est en même temps celle de la raison et de l’opinion générale , et dire que la poésie est l’art de composer des
r mathématique ; mais personne ne doutera qu’au nombre des conditions générales de la bonté dans les ouvrages, on ne doive compte
25 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
les ornements du style, et de clore par là notre étude sur les règles générales de l’art d’écrire, nous examinerons les différent
par les rhéteurs. Le style a deux espèces de qualités : les qualités générales et les qualités particulières. On appelle qualité
qualités générales et les qualités particulières. On appelle qualités générales celles qui sont invariables et essentielles, et q
ttérateurs contre les défauts opposés. Article Ier Des qualités générales du style 112. Quelles sont les qualités génér
Des qualités générales du style 112. Quelles sont les qualités générales ou essentielles du style ? Les qualités générale
sont les qualités générales ou essentielles du style ? Les qualités générales du style peuvent se réduire à six, savoir : la pu
’est-ce que la pureté du style ? La pureté, considérée comme qualité générale du style, consiste à écrire correctement, c’est-à
ent d’espèces de style ? Nous venons de passer en revue les qualités générales du style, c’est-à-dire celles qui sont toujours i
eut dire aussi, avec tous les rhéteurs, qu’il n’y a que trois espèces générales de style : le style simple, le style tempéré ou f
tre toujours. Chaque ouvrage, comme chaque tableau, doit avoir un ton général  ; mais les nuances intermédiaires peuvent être fo
26 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
e fausse ou puérile ; Tout sujet qui ne présente pas un intérêt assez général . Chapitre IV. Le sujet une fois choisi, il
x communs. La théorie des topiques consiste en trois points : Études générales pour préparer aux spécialités ; Lieux externes,
t pas moins indispensable que l’invention. On se fait d’abord un plan général dans lequel n’entrent que les premières vues et l
s vérités d’expérience, Les vérités de témoignage. La formule la plus générale de démonstration, qui pose les universaux et en d
le du style est l’harmonie. Il y a deux sortes d’harmonie, l’harmonie générale qui ne considére les sons qu’en eux-mêmes et abst
eurs rapports avec les pensées et les sentiments exprimés. L’harmonie générale dépend, soit de la nature individuelle des sons,
elon les circonstances, consiste à n’employer que les termes les plus généraux et les tournures les plus polies et les plus dign
27 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
es qui s’appliquent à toute composition. 7. Quelles sont les qualités générales du style, et parmi ces qualités, celles qui carac
t les caractères, les mœurs et les passions des hommes à leurs traits généraux , universels, communs à toute l’humanité, indépend
sont particulières à chaque peuple et à chaque époque. De ces traits généraux et universels, elle compose cet idéal que le xvii
’histoire qui juge les hommes se place la science qui étudie les lois générales de la vie des peuples et l’origine des révolution
nature ; les publicistes qui, comme Montesquieu, ont étudié les lois générales des peuples et les principes du droit ; à plus fo
, les plans de son tableau ; il les dispose et en arrête l’ordonnance générale avant de commencer l’ébauche ; il peint enfin, et
sme. La première proposition s’appelle majeure : c’est la proposition générale  ; la seconde, mineure : c’est la proposition part
ras obéissant ? L’Induction est un argument qui tire une proposition générale de plusieurs faits particuliers. Après avoir fait
que nous venons de passer en revue se rapportent à certains principes généraux dont ils ne sont que les conséquences. Les princi
propre au genre judiciaire, où l’on cherche à prouver que les textes généraux de la loi sont applicables dans l’ espèce au suje
rité. Aussi la Rhétorique attribue-t-elle aux Mœurs un caractère plus général . Pour faire bien entendre la puissance des mœurs
s exemples, un cri du cœur, un élan de la passion, se tire de vérités générales et imposantes, comme les paroles que nous avons c
ut de l’oraison funèbre de Henriette de France. Le danger des maximes générales est de tourner au lieu commun, dans le sens fâche
e un sophisme par induction. Il consiste à conclure du particulier au général , d’un fait accidentel, d’une vérité partielle et
rreur. Disposition. — Les règles de la Disposition ne sont pas moins générales que celles de l’invention. Une lettre et un rappo
souplesse et la vigueur. Il ne faut pas croire non plus que les lois générales du goût et du style ne servent qu’aux écrivains.
uble titre, de deux académies, il exposait à ses auditeurs les règles générales de l’éloquence, telles qu’il les comprenait après
r toute l’étendue de leur génie. » VII. Quelles sont les qualités générales du style, et parmi ces qualités, celles qui carac
l et original du style n’en exclut pas les qualités et les caractères généraux  ; car le bon sens et le goût le soumettent, comme
le. C’est l’étude des uns et des autres qui nous apprend les qualités générales et éternelles de style. 1° Clarté. — La première
sent exagérer les avantages de la concision. Ce n’est pas une qualité générale du style ; car elle n’est pas nécessaire et quelq
ndustrie et à la science. Le Naturel et la Noblesse sont des qualités générales du style qui relèvent à la fois de la pensée et d
ans travail sensible. Le naturel n’est donc autre chose que la vérité générale , universelle, impérissable. Il fait passer dans l
. » (Dialog. sur l’Éloquence.) Harmonie. — La dernière des qualités générales du style, celle qui couronne les autres, c’est l’
style. » (M. Villemain, Préface déjà citée) Ce fut dans ce mouvement général des intelligences vers la raison et la vérité que
écrivains du xviie siècle s’embarrassaient quelquefois. L’étude plus générale des sciences et des arts, l’exemple et l’autorité
olennelle, sa majesté que rien n’adoucit, et son goût pour les termes généraux  ; Rousseau, par son éloquence souvent mise au ser
d’un corps. Tous les corps sont étendus ; mais, outre cette propriété générale d’être étendus, ils ont encore chacun leur figure
d’abord connaître ce qu’on pense ; elles ont d’abord cette propriété générale qui convient à toutes les phrases et à tous les a
ceux qui le suivent sont ses soldats et ses domestiques, et qu’il est général et père de famille tout ensemble. » (Fléchier, Or
rivain l’attention à ne nommer les choses que par les termes les plus généraux . La partie pour le tout, et quelquefois le tou
28 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
s jugements déjà connus, en les comparant entre eux. La forme la plus générale du raisonnement se nomme syllogisme ; on peut y j
le prouver qu’il faut aimer la vertu ; j’établis d’abord cette vérité générale , que personne ne conteste : Il faut aimer ce qui
n : on l’a appelé poignard à double lame, qui frappe en deux sens. Un général faisait ce dilemme à une sentinelle qui avait lai
ion. L’induction est un argument par lequel on tire une conclusion générale de plusieurs faits particuliers. Exemple : La san
eux ? Parce que je n’aime pas le travail. Conclure du particulier au général , ou du relatif à l’absolu. Exemple : La médecine
29 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
er à un semblable inconvénient, c’est de subordonner l’exorde au plan général du discours, et de ne s’en occuper qu’en dernier
iscours pour Milon, lorsque, dans le résumé qui va suivre ces notions générales , nous chercherons dans ce magnifique plaidoyer le
oit convaincu, pour que le cœur se laisse persuader ; et que la règle générale est que : L’esprit n’est point ému de ce qu’il n
iaison ajoute à leur solidité. Quant à leur force graduelle, la règle générale veut que l’on procède du plus faible au plus fort
i ont l’avantage de réunir, sous un seul et même point de vue, l’état général de la cause, les lois dont elle s’appuie, et les
30 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fontenelle. (1657-1757). » pp. 110-119
ces d’affaires domestiques lui firent prendre la charge de lieutenant général au présidial2 d’Angoulême, qui lui venait de son
A Paris il fut bientôt connu de M. de Pontchartrain, alors contrôleur général , qui, pour s’assurer de ce qu’il valait, n’eut be
ur la foi de son mérite ; et, au bout de trois ans, il fut lieutenant général de police de la ville de Paris, en 1697. Les cito
de la porte Saint-Bernard1, il fallait, pour prévenir un embrasement général , traverser un espace de chemin occupé par les fla
parlements. Le président de ce tribunal avait le titre de lieutenant général . 3. Sorte d’assises extraordinaires : c’était un
31 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
spécial Sujets littéraires Histoire littéraire. – Critique générale . Usage de la langue mythologique des anciens d
sur son siècle. (Marseille, juillet 1888.) Quels sont les caractères généraux de notre littérature au xviii e siècle ? Quels ge
ccupations de l’Académie française, quels en sont le plan et l’esprit général , s’arrêter au chapitre sur l’Histoire, indiquer l
lation criminelle. (Rennes, juillet 1886.) Le Théâtre. Sujets généraux Expliquer par des exemples, empruntés aux trag
(mars 1637). – Le Cid avait, à son apparition, excité un enthousiasme général . Cependant les poètes, rivaux de Corneille, résis
e Saxe. Indiquer rapidement ce que vous savez de la vie de ces grands généraux . Quelle a été leur carrière ? Quelles victoires o
amené Louis XVI à convoquer à Versailles pour le 5 mai 1789 les États généraux  ? Comment les États généraux sont-ils devenus l’A
Versailles pour le 5 mai 1789 les États généraux ? Comment les États généraux sont-ils devenus l’Assemblée nationale constituan
M. de Fontanes. Il rappellera le rôle joué par Washington, soit comme général dans la guerre de l’Indépendance, soit comme homm
aréchal annonce la victoire de nos troupes et loue l’intelligence des généraux qui servaient sous ses ordres et le courage de se
rofit. (Besançon, juillet 1891.) Rôle du xix e siècle dans l’histoire générale de la civilisation. De quelle nature sont les pro
ours. (Lyon, juillet 1889.) Le régime parlementaire : transformations générales de ce régime en France, de 1815 à 1875. (Poitiers
series du Lundi, t. I, p. 333.) Développer cette pensée d’une manière générale . Rappeler aussi quels sont ceux de nos grands écr
tilité. (Dijon, octobre 1889.) Quel est le sens, quelle est la portée générale de ces lignes de La Bruyère (Du mérite personnel)
onné au xvii e siècle le nom de siècle de Louis XIV ? Donner une idée générale de la grandeur de ce siècle sous le rapport des a
s faire aucun récit historique, en vous tenant à ce qu’il y a de plus général dans le sujet. (Paris, octobre 1883.) Concour
ltats de la guerre de Trente ans ? A qui les devons-nous ? – Cromwell général et administrateur. – Expliquer les causes de la d
fférents genres. Sa méthode est bonne ; il donne d’abord des conseils généraux , puis il aborde les genres, etc….. Il termine par
tablissement de l’Edit de Nantes (1764). C’est une opinion presque générale aujourd’hui que Louis XIV a commis une grave faut
simplement afin d’être entendu de tous, ce sont là des conseils très généraux . Si l’on y regarde attentivement, on reconnaît vi
ie, le secret de son excellence. Caractériser par quelques traits généraux chacun des orateurs de la chaire au XVIIe siècle.
aron quelque chose de plus large et de plus grand. Fénelon, de l’avis général , était plus apte que personne à rivaliser avec Bo
t Louis XIV lui-même et tout ce qui s’agite autour de lui, ministres, généraux , courtisans, princesses et dames d’honneur qu’on
ns, il n’y ait eu dans les Gaules, que des rois, des ministres et des généraux  ; mais nos mœurs, nos lois, nos coutumes, notre e
, tout ce qu’il devait être. Si l’on essaye de se faire une idée plus générale de ce style, il semble qu’il apparaisse d’abord c
ministration des finances ont rendu difficile la charge de contrôleur général . Le temps des expédients financiers n’est plus, c
ne des formes essentielles dont tous les peuples ont revêtu les idées générales qu’ils avaient acquises. Mais dès l’origine et pa
e est quelquefois même répréhensible, mais elle est d’une application générale  : tous peuvent la goûter et la comprendre. C’est
e d’être vraie pour le plus grand nombre, il faudrait la rendre aussi générale que possible, la dépouiller de toute considératio
nt facilité par les renseignements qui sont relatés dans les Conseils généraux que nous avons mis en tête de chaque école. Mais
une école d’agriculture, etc. École normal de Sèvres Conseils généraux Les aspirantes ont à faire preuve de qualités
d’influence que la poésie. 2 e Paragraphe. – Insister sur les causes générales de leur suprématie : espoir et désir de réformes
es œuvres. 1 er Paragraphe. – L’écrivain classique traduit les idées générales , dans une mesure exacte d’équilibre, d’harmonie,
’est l’ensemble des œuvres consacrées par le temps. Ce sont les idées générales , c’est le fonds commun où puise l’humanité pour s
s pouvaient frapper les contemporains ; une raillerie qui nous parait générale et par conséquent innocente, allait sans doute s’
’aptitude a l’enseignement secondaire des jeunes filles Conseils généraux Nous renvoyons pour les conseils généraux à ce
nes filles Conseils généraux Nous renvoyons pour les conseils généraux à ceux que nous donnons aux aspirantes à l’Ecole
e même langue. » – Extrait du rapport de M. Eugène Manuel, inspecteur général , président du jury : « La plupart des aspirantes
upart des aspirantes ont prouvé qu’elles possédaient une connaissance générale de ce qui a été écrit sur le sujet ; elles en ont
que Bossuet condamne. Extrait du rapport de M. Jacquinet1, inspecteur général de l’instruction publique, président du jury. C’e
t qu’elle ait abordé les questions les plus essentielles de la morale générale ou théorique (principe du devoir, fondement et ca
, les souvenirs expressifs se sont utilement mêlés aux considérations générales , moins complètement toutefois et avec moins d’exa
bien saisir la question, y répondre par des indications de grammaire générale ou historique, justes et précises, comme aussi se
ple, la plus commode même, presque toujours on s’est borné à des vues générales , qui, d’ailleurs, appartenaient au sujet, sur les
dres de travaux, et le mutuel concours qu’ils se prètent dans l’œuvre générale de la civilisation, particulièrement à notre époq
dans aucun détail technique. Ce sera comme un chapitre de l’histoire générale de cette période, sous une forme vive et animée.
ns un sentiment unique qui les anime tous ; il met en scène des idées générales , exposées logiquement, presque scolastiquement, d
et ne s’arrête pas au détail. Son esprit, habitué à saisir les idées générales , a une grande étendue : comment apporterait-il da
régation de l’enseignement secondaire des jeunes filles Conseils généraux Nous ne donnerons pas d’autre conseil aux aspi
détail de nos opérations, et je me bornerai à signaler les résultats généraux . « Un premier point que nous avons constaté avec
ience dans l’effort, et le succès de ces efforts. Les défauts ont été généraux comme les qualités. Ce qui manque, même chez la p
Monsieur le Ministre, le rapport de l’an passé signalait, d’une façon générale , un certain défaut de sens critique, qui s’était
qui permit, en même temps, d’apprécier chez les concurrentes les vues générales , dans les questions de littérature, et les connai
erses littératures, la place faite aux races, aux mœurs, à l’histoire générale , à la biographie, à l’influence des milieux, etc.
ent primaire semblent un peu trop détourner nos aspirantes de l’étude générale de la littérature et de l’histoire littéraire pro
du rapport de M. Eugène Manuel, président du jury : « …. D’une façon générale , il ne faut pas que nos aspirantes (et nous songe
r le sens esthétique ; le goût est autre chose encore que le jugement général que nous portons sur les choses belles ; c’est un
histoire littéraire. N’est-elle pas chez nous le reflet de l’histoire générale  ? Le prouver par des exemples pris dans chaque si
emps, dans presque tous les genres et toutes les œuvres, un caractère général de paix et de sérénité qui charme et repose aujou
normale de fontenay-aux-roses Section des lettres Conseils généraux Deux sujets sont proposés pour la section des
essionnels ? Citez des exemples. En quoi consistent-ils d’une manière générale  ? Montrer qu’ils exigent, dans certains cas, jusq
élève de Fontenay-aux-Roses. Section des sciences Conseils généraux Nous ne pouvons que renvoyer aux renseignement
École normale de Saint-Cloud Section des lettres Conseils généraux Le caractère du concours a bien des analogies
le de précieuses ressources ? Section des sciences Conseils généraux Les sujets donnés dans la section des sciences
eur de l’ordre des sciences. École des Beaux-Arts Conseils généraux Les candidats à l’École des beaux-arts ont bes
isir. Il convient de laisser de côté tout ce qui n’a pas un caractère général , tout ce qui ne s’impose pas à l’attention, tout
Ceux qui résident à Paris auront intérêt à suivre le Cours d’histoire générale , institué dans l’École même et où, avec les élève
onneurs qui leur sont décernés, la récompense qui attend toujours les généraux et les soldats imitateurs de leur courage ? PLAN
ssembler à une nomenclature, mais s’attacher à dégager des caractères généraux . PLAN Préambule. – Intérêt que présente l’étude
une merveilleuse souplesse, très fine, très nuancée, apte à saisir le général , l’idée, au-dessus des formes changeantes, pleine
-il signés ? A-t-il protégé les arts ? École Navale Conseils généraux Les sujets de concours, comme en s’en rendra f
ns, il arriva une éclipse totale de soleil. Vous peindrez l’épouvante générale qui se répand sur le vaisseau. Le pilote refuse d
n est en face d’une Ile. Te Deum des marins… 3e Paragraphe. – Remords général … Regrets particuliers de Guttierez. Il se jette a
r la montagne. Après une assez vive canonnade, vers trois heures, les généraux italiens se décidèrent à attaquer, en voyant les
és les uns des autres. Le marquis de Mantoue, oubliant ses devoirs de général , chargea brillamment, avec les gens d’armes vénit
s réflexions sur les nécessités politiques, qui durent contraindre le général romain à une exécution si contraire à ses habitud
composition est la lettre du roi. Concours de 1872. Rapport des généraux Datis et Artapherne au roi de Perse, sur leur exp
e Marathon. « Qui écrit ? » doit-on se demander comme toujours. Deux généraux vaincus. – « A qui ? » – A Darius, souverain tout
s, les cavaliers se livrent un violent combat. 3° Tableau de la mêlée générale . 4° Les rangs des barbares sont rompus et s’ouvre
enjoignit l’exécution immédiate de son arrêt à Rouen, avec procession générale et sermon solennel en la place et cimetière de Sa
’accomplit. 1er Paragraphe. – Décrire le char funèbre. Bonaparte, les généraux , les soldats invalides, la haie des troupes, les
t : or il aimait passionnément l’état militaire. Pendant la revue, le général le fit sortir des rangs et déclara au colonel que
rs, après avoir communié dans l’église de Sainte-Sophie, assemble les généraux , les officiers, les principaux citoyens, et cherc
ois et j’ai défendu contre l’intrigue, l’injustice et la calomnie les généraux vainqueurs aux Arginuses. Aujourd’hui, Melitus et
ivent douter ni d’eux-mêmes, qui valent bien les Germains, ni de leur général qui n’a jamais donné le droit d’accuser son incap
à lui annoncer la plus funeste nouvelle, la mort soudaine de ce grand général au milieu de ses succès, à la veille d’une batail
manteau, et on le porte dans sa tente où se rassemblent les officiers généraux tout troublés. Au moment où le canon qui le tua e
cris ; mais le père s’oubliant lui-même, lui dit, en lui montrant le général mort, que c’était là ce qu’il fallait pleurer. En
des hauteurs qui dominaient le passage. Le tribun Cédicius montre au général un mamelon qui n’était pas occupé, et propose d’e
chaque jour davantage la grandeur de Dieu qui l’a créée. (Metz.) le général au moment de la bataille. Placé sur une éminence
respecte lui-même et la protège contre la passion d’Araspe, un de ses généraux . – Instruit par sa femme de la magnanimité de Cyr
uil et les craintes des Macédoniens et des Perses, les espérances des généraux et la douleur de la mère de Darius. Concours d
née par un bombardement, une députation des habitants soit envoyée au général commandant la place, pour essayer de l’apitoyer s
er sur le sort de la ville qu’il est chargé de défendre. – Réponse du général . – Dans cette réponse (qui fait seule l’objet de
anches de la science : elles tendent manifestement à un adoucissement général des mœurs, à un développement plus libre et plus
ité de jugements ? École des mines de Saint-Étienne Conseils généraux Les sujets donnés à l’École des Mines de Saint
et une préparation spéciales. Il faut s’attacher à acquérir des idées générales sur la philosophie scientifique. Il faut voir de
a matière, plus on la dirige à son gré. » La pensée est vraie au sens général et dans le détail des applications particulières.
École de physique et de chimie industrielles de Paris Conseils généraux Nous engageons vivement les candidats à prendr
prouverait que toutes les inventions découlent de quelques principes généraux . CORRIGÉ 1° L’histoire scientifique contribuerait
ntions qui nous éblouissent dérivent d’un certain nombre de principes généraux , en ramenant sans cesse la pensée vers les vérité
rmi ses enfants. De Loménie Institut agronomique Conseils généraux Le niveau des concours est devenu plus élevé à
brasser la carrière agricole ? Examens de 1882 et 1883. Notions générales sur la géographie physique du département où le c
es agricoles. Examen de 1889. Indiquer quels sont les avantages généraux que le candidat attribue à la carrière agricole.
p nos concitoyens. Écoles nationales vétérinaires Conseils généraux Le niveau du concours s’élève d’année en année
tie de l’ensemble. Les détails oiseux étaient à écarter. C’est l’idée générale de santé, d’harmonie, d’aisance, qu’il convenait
e fils de ses œuvres. » Est-elle plus vraie et d’une application plus générale aujourd’hui qu’autrefois ? – Vous avez été témoin
t pas après tout ce qui leur arrive parfois. Puis, d’une manière plus générale , vous examinez quelle conduite nous devons tenir
ales Écoles supérieures de commerce Institut commercial Conseils généraux Nous avons réuni assez de sujets, tant donnés
s, d’exposer tout au long les réformes. Il faut esquisser des aperçus généraux , grouper, condenser….. Deux idées doivent dominer
es luttes civiles et religieuses – les Guises – l’Espagne – la misère générale  – la conquête du royaume sur les sujets, sur l’ét
alisée par la loi du travail. 1er Paragraphe. – La loi du travail est générale . Elle s’impose au riche comme au pauvre, au puiss
e Louis XIV est-il appelé le grand siècle ? – Comparer les caractères généraux du xviie et du xviiie siècles au point de vue pol
s à la philosophie, à la poésie, à la science du droit et d’une façon générale à toutes les manifestations de la pensée humaine,
é de la France ! Aussi bien le goût de l’expansion extérieure devient général . Toutes les nations fondent des comptoirs, établi
ondaire spécial. Sujet littéraires 1 Histoire littéraire. – Critique générale 1 Le théâtre (Sujets généraux. – Corneille – Rac
res 1 Histoire littéraire. – Critique générale 1 Le théâtre (Sujets généraux . – Corneille – Racine – Molière) 6 La Fontaine 1
EMENT SECONDAIRE DES JEUNES FILLES École normale de Sèvres. Conseils généraux 157 Sujets de concours (Section des lettres et s
at d’aptitude a l’enseignement Secondaire des Jeunes filles. Conseils généraux 188 Sujets d’examens (Ordre des lettres et ordre
Agrégation de l’enseignement Secondaire des Jeunes filles. Conseils généraux 226 Sujets de concours (Ordre des lettres et ord
Ecole normale de Fontenay-aux-Roses. Section des Lettres. Conseils généraux 268 Sujets de concours 271 Sujets proposés. Lit
e et morale 280 Copies d’élèves 291 Section des Sciences. Conseils généraux 296 Sujets de concours 296 Sujets proposés 298
és 298 Ecole normale de Saint-Cloud. Section des Lettres. Conseils généraux 304 Sujets de concours 304 Sujets proposés 309
de concours 304 Sujets proposés 309 Section des Sciences. Conseils généraux 316 Sujets de concours 317 Ecole des Beaux-Art
préparation du concours. 1. Nous indiquons des sujets d’un caractère général dans le genre de ceux que l’on propose au Concour
) 1. Nous jugeons inutile de faire précéder ces sujets de « conseils généraux  » car avec les nouveaux programmes des baccalauré
32 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
ns sur le penchant de sa ruine. Comment résister à une si forte et si générale conjuration4 ? Quel moyen, je ne dis pas d’être s
qu’il ne se confirme point, il ne vous écoute pas ; il ajoute que tel général a été tué ; et bien qu’il soit vrai qu’il n’a reç
ne seule brigade ; il a la liste des escadrons et des bataillons, des généraux et des officiers ; il n’oublie pas l’artillerie n
-t-il, une grande nouvelle ! ils sont défaits et à plate couture ; le général , les chefs, du moins une bonne partie, tout est t
la préviennent sur toutes les démarches des hommes. Ils conduisent un général par la main ; et, après l’avoir loué de mille sot
33 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
ervation de la ville3 ; enfin le sénat voyait de près la conduite des généraux , et leur ôtait la pensée de rien faire contre leu
s qu’on soumettait, perdirent peu à peu l’esprit de citoyens ; et les généraux , qui disposèrent des armées et des royaumes, sent
t plus obéir. Les soldats commencèrent donc à ne reconnaître que leur général , à fonder sur lui toutes leurs espérances, et à v
si celui qui était à la tête d’une armée dans une province était son général ou son ennemi. Tandis que1 le peuple de Rome ne f
s dans la paix, c’est vouloir des choses impossibles ; et, pour règle générale , toutes les fois qu’on verra tout le monde tranqu
arties, quelque opposées qu’elles nous paraissent, concourent au bien général de la société, comme des dissonances dans la musi
ou sur les frontières de l’Italie. Dans ce cas on faisait des levées générales de soldats, et aucune cause d’exemption n’était a
34 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fléchier. (1632-1710.) » pp. 69-75
et dans la faiblesse4. Il passe le Rhin5 et trompe la vigilance d’un général habile et prévoyant6 ; il observe les mouvements
s ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur général mort3. L’armée en deuil est occupée à lui rendre
ns effœtum corpus tradit senectuti. » 5. 1675. 6. De Montécuculli, général au service de l’Autriche, qui parut digne d’avoir
up qui tua Turenne avait emporté le bras de Saint-Hilaire, lieutenant général de l’artillerie. Son fils s’était jeté sur lui av
35 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
ranger l’idée individuelle : Milon, meurtrier de Clodius, dans l’idée générale innocent. Pour obtenir votre assentiment, je cher
mière prémisse s’appelle majeure, parce qu’elle énonce la proposition générale , ou, en considérant les termes, parce que, avec l
oposition à démontrer, et celle-ci une fois classée, arriver à l’idée générale dont il déduira l’hypothèse avec netteté et préci
aiter les preuves, je devancerai par une seule observation les règles générales de style applicables à l’argumentation comme à to
’écrivain, comme, dans les préceptes de la tactique, au coup d’œil du général . C’est une observation commune à toute la rhétori
36 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »
de opération importante de la rhétorique. Quand on a trouvé les idées générales qui doivent entrer dans un sujet, il faut ensuite
rapports qu’elles ont entre elles]. Nous parlerons seulement du Plan général qui convient à toute composition sérieuse. Sec
également aux ouvrages de l’esprit. Le plan détermine la disposition générale et particulière des différentes parties d’un ouvr
sition habile dans l’emploi des preuves. « Il faut imiter, dit-il, le général prudent qui range son armée en bataille ; il met
er ou éteindre les passions selon le besoin. Telle est la disposition générale du discours dont les parties principales qui le c
37 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « PRÉFACE. » pp. -12
ficielle : « La rhétorique actuelle doit être un cours de littérature générale . » Je ne confonds point avec la théorie d’un art
t et enivrant du monde ; les pères se laissent aller à l’entrainement général , et oublient de quel immense avantage ont été pou
sent en germe dans l’atmosphère glacée dont les enveloppent l’apathie générale et les préoccupations exclusives de la politique.
vance, recule, s’arrête avant de reprendre sa course, d’après une loi générale , que j’ai désignée ailleurs1 par les noms d’actio
38 (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.
de l’Étrurie ; de jour en jour le nombre des ennemis s’accroît, et le général de cette armée, le chef de ces ennemis est dans n
pars. Depuis trop longtemps ton armée, celle de Mallius, réclame son général . Emmène aussi avec toi tous tes complices, ou du
belles attendent, tu le sais, dans leur camp, pour saluer en lui leur général  ; qui, auteur de la plus criminelle entreprise, c
euple romain ; cette armée, ce n’est pas Catilina qu’elle attend pour général  ; et lui, contraint de s’exiler, c’est à Marseill
ur quoi donc comptez-vous ? sur la guerre ? Mais, dans la dévastation générale , pouvez-vous espérer que vos propriétés seules so
t d’abord, à ce gladiateur épuisé, blessé, opposez vos consuls et vos généraux  ; ensuite, contre cette poignée de naufragés, jet
ommes aient gardé le souvenir, il ne faudra pas d’autre chef, d’autre général que moi, et je n’aurai pas besoin de quitter la t
vous n’avez pas quitté la toge, vous n’avez eu d’autre chef, d’autre général que moi, qui ne l’ai pas quittée non plus, et vou
ne resterait de Romains que ceux qui auraient pu échapper au massacre général , et de Rome elle-même que ce que les flammes n’au
itions bien différentes les succès que je viens d’obtenir et ceux des généraux victorieux au-dehors : tandis que mon sort, à moi
oi, est de vivre au milieu des hommes que j’ai vaincus et domptés, le général laisse ses ennemis ou morts ou soumis, et s’éloig
les esclaves, on appelle Catilina ; on forme le projet d’un massacre général , auquel pas un de nous ne doit survivre, même pou
de côté leurs préoccupations personnelles pour ne songer qu’au salut général . Tous les hommes libres sont accourus ici, même l
plus remarquables. — L’orateur annonce son sujet par une proposition générale . Il présente Verrès comme un brigand qui a enlevé
e qu’ils ont de plus précieux. La crainte et la consternation étaient générales , car le tyran ne s’éloignait pas : couché dans sa
dernier jour leur paraissait différent de ce temps heureux ! Alors un général de l’armée romaine, et l’un de nos plus illustres
le fut remise en place et consacrée au nom et sous les auspices de ce général  ; que Verrès, en la faisant ôter et transporter,
issez seulement ce piédestal ; qu’on y grave le nom de cet invincible général  ; qu’on replace cette magnifique statue reprise à
ayant été placé dans cette ville au nom et sous les auspices de notre général  ; crime contre la majesté de notre empire : il n’
venir de Scipion. Ainsi les dépouilles des ennemis, les monuments des généraux , les ornements des temples, vont désormais perdre
actuelle avec cette guerre ; l’arrivée du préteur avec la conquête du général  ; l’infâme cohorte de l’un avec l’armée victorieu
, l’arrivée et la suite du préteur avec les troupes et la victoire du général . LV. Le temple de Minerve est dans l’île do
jouté à la vérité ; il n’en est pas moins vrai que la modération d’un général qui laisse à des ennemis, contre qui il a les arm
la visite que me firent à Rome les Siciliens, qui, par une députation générale , vinrent me demander mon secours et me prier de m
us mes assauts on oppose comme un mur impénétrable le nom d’excellent général . Je connais le terrain. Je vois le champ où Horte
la guerre, la situation fâcheuse de la république, la disette de bons généraux . Il vous conjurera, et il vous pressera même, s’a
les dépositions de quelques Siciliens, on enlève au peuple romain un général de ce mérite, et qu’on efface par des accusations
érat, le plus débauché de tous les hommes ; mais, dira-t-on, c’est un général heureux et vaillant, et qui mérite d’être conserv
dans vos rapines ; il s’agit d’examiner quel éloge vous est dû comme général . VI. Qu’avancez-vous, heureux gardien et dé
rime qui menaçait la vie de toutes les personnes libres. Ô l’illustre général  ! ce n’est plus avec le vaillant Aquilius, mais a
as comme un préteur du commun, mais que l’on vante comme un excellent général . Lorsque l’on craignait la guerre des esclaves, i
ince, vous sont suffisamment connus. Comme il y a plusieurs sortes de généraux , ce qui est essentiel au sujet se réduit à vous f
capitaines étant aujourd’hui si rares, vous n’ignoriez le mérite d’un général si distingué. Mais ne prenez pour terme de compar
point passer un jour sans que ses habitants voient le soleil. Ce bon général y passait l’hiver, de façon qu’il n’était pas fac
pas supprimer ici la belle et singulière attention de notre excellent général . Vous saurez donc que, dans toutes les villes de
t point avec ce silence observé ordinairement par les préteurs et les généraux , ni avec cette décence qui règne d’ordinaire à la
ations ; lors, dis-je, que les autres préteurs font leurs courses, ce général de nouvelle espèce campait dans les plus beaux bo
igne et affreux pillage de tous les biens. Voilà donc, Hortensius, le général d’armée que vous défendez ? Quant à son avarice,
tâchez de les couvrir par la grandeur des exploits et par l’éloge du général  ? Je crains, en effet, de vous voir, à la fin de
gation d’en fournir leur part, quoique cette obligation fût légère et générale . Vous direz que les Mamertins ne nous en doivent
i, devant triompher dans Rome, conservent par cette raison la vie aux généraux ennemis, afin que le peuple, en les voyant, puiss
our rapporter ce qui s’est passé autrefois. Ce grand homme, ce fameux général , M. Marcellus, dont la valeur conquit Syracuse, e
lore, moins pour fuir les insultes des corsaires que pour suivre leur général . Celui qui voguait le dernier était toujours le p
’avait abandonné au gré des flots. Les autres capitaines, voyant leur général à terre, et ne pouvant ni résister ni se défendre
pût le consoler dans sa disgrâce. Il régnait dans la maison de notre général une discipline si exacte, que pour un événement d
crime de la perte, de la flotte romaine, tandis que plusieurs braves généraux ont souvent échoué au milieu des chances communes
a, d’Agyre, de Tyndaris, de Locres ; enfin votre propre témoin, votre général , votre hôte, Cléomène, déclare qu’il était descen
pes de Sertorius se réfugièrent vers Pompée, cet illustre et vaillant général . Ne les a-t-il pas conservés tous avec le plus gr
rdé comme mêlé et confondu, c’est un principe que réclament la sûreté générale et la vérité. En cette occasion, tous les citoyen
39 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre premier. De l’art de la composition en général. »
re les idées fournies par l’invention, c’est-à-dire de tracer le plan général que l’on doit suivre, de manière que chaque chose
e rapportent à un centre commun, c’est-à-dire à une idée ou à un fait général . On ne doit jamais perdre le sujet de vue ; il fa
un corps maigre et fluet. Pour éviter cet écueil, tracez-vous un plan général , et entrez aussitôt dans le vif de la question.
40 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
ceux qui écoutent. 15. Les règles de rhétorique se divisent en règles générales et règles particulières. Les règles générales emb
e se divisent en règles générales et règles particulières. Les règles générales embrassent les principes communs à toutes sortes
ence. Dans la première partie de ce Traité, nous parlerons des règles générales , et dans la seconde, des règles particulières. Co
n recueil de préceptes. (Voir le nº ii.) Première partie. Règles générales de rhétorique 16. Les règles générales de rhét
Première partie. Règles générales de rhétorique 16. Les règles générales de rhétorique se divisent en autant de parties qu
ppelle lieux oratoires, et quelquefois lieux communs, certaines idées générales propres à diriger l’esprit dans la recherche des
les principaux aspects d’une idée pour faire mieux sentir une vérité générale . Racine nous en fournit un exemple dans les vers
hantons, publions ses bienfaits. Les bienfaits de Dieu, voilà l’idée générale  ; en voici le développement par l’énumération des
nsonge. On a souvent recours à cet argument, parce que les principes généraux sont toujours plus sensibles que les conséquences
nque feriens, parce qu’il frappe comme une épée à deux tranchants. Un général disait à la sentinelle qui avait laissé surprendr
t. 72. L’induction est un argument par lequel on tire une conclusion générale de plusieurs faits ou de plusieurs vérités partic
er, tandis que l’induction conclut de plusieurs faits particuliers au général . Les orateurs et les poètes font un fréquent usag
la cause, le dénombrement imparfait, la conclusion du particulier au général , et l’ambiguïté des mots. 79. L’ignorance du suje
out un certain nombre de ses parties, et vous en tirez une conclusion générale , mais vous avez négligé un élément essentiel qui
christianisme. 83. On fait aussi un sophisme en tirant une conclusion générale d’un fait particulier ou de ce qui n’est, vrai qu
æ fundamentum sapientia . Nous donnerons toutefois quelques principes généraux qui feront éviter les fautes les plus grossières.
violence et la force ouverte. On a quelquefois comparé l’orateur à un général qui fait le siège d’une ville ; rien de plus ingé
s un jour favorable et intéressant ; mais il n’en donnera qu’une idée générale et sommaire, sans rien approfondir, parce qu’en e
irigés. Néanmoins, nous croyons utile de poser ici quelques principes généraux consacrés par l’usage. 1º Les mains tournées en d
es bras, mais mollement et sans presser la poitrine. 294. Un principe général dans les gestes des bras et des mains, c’est que
ègles particulières de rhétorique ou éloquence. 296. Les préceptes généraux sur la rhétorique ont une grande importance, et c
ours que peut faire le prédicateur. Nous parlerons donc 1º des règles générales de la prédication, 2º des différentes espèces de
ifférentes espèces de discours sacrés. Chapitre premier. Des règles générales de la prédication31. 307. D’après saint August
ropres à élever l’éloquence à une haute perfection. 366. Le caractère général de l’éloquence politique chez les Grecs, c’est l’
e, l’éloquence politique a commencé seulement à l’ouverture des états généraux . Alors presque toutes les grandes questions socia
les discours solennels que les premiers présidents ou les procureurs généraux prononcent à la rentrée des cours ou des tribunau
397. L’éloquence militaire comprend les harangues prononcées par un général d’armée pour enflammer le courage des soldats. L’
s de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canons, vingt généraux , plus de trente mille prisonniers, sont le résult
mot sérieux à une saillie. Tous contribuent pour leur part au plaisir général  ; et, à chaque instant, il jaillit de la discussi
nd dans ses vues, et s’élevant toujours par ces notions abstraites et générales qui sont pour lui comme des livres abrégés, il éc
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
de vérité ; on fait décider par cette commission de judicature qu’un général d’armée, a mal ordonné une bataille, a mal souten
forger un délit, dresser un arrêt, prononcer une condamnation. Et ce général d’armée, après avoir confondu ses calomniateurs d
s, citoyens les plus considérables de la ville, donnèrent à manger au général carthaginois. Torrea et Pacuvius, seuls de tous l
u premier coup de canon, et j’ai entendu dire qu’un des plus célèbres généraux de l’empire, qu’on avait surnommé le brave des br
ar l’ascendant de sa parole. Napoléon prit tout à coup, sur les vieux généraux de la république, sur son armée et sur la nation,
r et le sens profond et délié du politique. Ce n’est pas seulement un général qui parle, ce n’est pas un roi, ce n’est pas un h
révèle surtout Napoléon ; il s’improvisa orateur comme il s’improvisa général . Ce qui étonne surtout dans un jeune homme, c’est
en généralissime de l’armée qu’il débute, c’est en maître. Les vieux généraux frémissent devant ce guerrier adolescent ; ils ne
puissances de l’Europe se sont armées contre moi. Quelques-uns de mes généraux ont trahi leur devoir et la France. Elle-même a v
s avons faites… Je ne puis vous embrasser tous, mais j’embrasse votre général . Venez, général Petit, que je vous presse sur mon
e perte, M. de Louvois proposa au roi de le remplacer en faisant huit généraux au lieu d’un… Jamais homme n’a été si près d’être
se divisent les préceptes de rhétorique ? Première partie. Règles générales de rhétorique. 16. Comment se divisent les règ
Règles générales de rhétorique. 16. Comment se divisent les règles générales de rhétorique ? 17. Les trois opérations de l’ora
-on dans le dénombrement imparfait ? 83. Peut-on tirer une conclusion générale d’un fait particulier ? 84. En quoi consiste l’am
de gestes faits avec la main ? 291. Peut-on donner quelques principes généraux pour les gestes des mains ? 292. Quelles sont les
ième partie. Éloquence. 296. Quelle est l’importance des préceptes généraux sur la rhétorique ? 297. Combien de genres d’éloq
rer l’éloquence politique chez les Grecs ? 366. Quel est le caractère général de l’éloquence politique chez les Grecs ? 367. D’
41 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
parlaient ceux d’Athènes et de Rome. Il suit de là que les principes généraux de l’art, restant toujours les mêmes quant au fon
e est susceptible et à les développer avec énergie ? Quoi ! ces idées générales qu’on appelle lieux et qu’on peut employer dans t
qu’il les ait reçus ; et c’est surtout dans une ample récolte d’idées générales que consiste sa richesse. D’ailleurs, puisque les
rt ! s’écriaient les Arabes éperdus de frayeur d’avoir vu tomber leur général . Qu’importe que Dérar soit mort, leur dit Rasi,
ivait presque dans tous les discours. On délibérait sur le choix d’un général  ; l’éloge de Pompée déterminait les suffrages en
quelles on peut envisager un sujet donné, ou, si l’on veut, des idées générales applicables à un très-grand nombre de sujets et q
re continuellement présentes à l’esprit de l’orateur toutes les idées générales qui rentrent ordinairement dans les questions par
propres à la cause. Cependant il ne faut pas perdre de vue ces points généraux , ces lieux dont j’ai souvent parlé et qui fournis
Elle admet les trois moyens de persuasion. Nous posons en principe général que pour persuader les hommes, il faut s’adresser
t en est plus précis et plus particulier. Ce n’est pas que les sujets généraux , comme l’excellence de la religion, le bonheur qu
es accordées à la vertu, les belles actions honorées de l’approbation générale , sont de dignes sujets d’éloges. On ne doit pas o
eur crée par le raisonnement, qu’ils comprennent sous la dénomination générale d’argumens, et qui se tirent des circonstances et
ne de ces preuves, pour les savoir traiter d’une manière abstraite et générale , ou singulièrement selon le temps, les hommes et
par un texte positif, on en recherche l’esprit, on remonte aux idées générales , l’on détermine l’application de la loi par la co
présomptions est de préjuger les cas particuliers d’après les notions générales  ; de juger qu’une chose est arrivée ou qu’elle ar
tions relatives aux actions des hommes se forment sur la connaissance générale du cœur humain ; ou sur le caractère, les qualité
es aient de la convenance entre elles. Axiomes. Il y a deux axiomes généraux , dont l’évidence ne peut être contestée, et qu’il
stesse dans ses raisonnemens. 1°. On ne conclut pas du particulier au général , et l’on ne peut conclure légitimement que du gén
particulier au général, et l’on ne peut conclure légitimement que du général au particulier. 2°. De l’acte au pouvoir la cons
e le syllogisme soit concluant, il faut que la majeure ou proposition générale contienne la conclusion, et que la mineure fasse
e, le courage, la réputation et le bonheur ; donc Pompée est un grand général . » Et dans le discours pour Rabirius : « Si c’e
 ; qui combattit, tout enfant qu’il était encore, sous le plus fameux général de son temps, et, dès sa première jeunesse, fut g
e plus fameux général de son temps, et, dès sa première jeunesse, fut général lui-même ; lui qui a livré plus de batailles que
nduction. La 2e. espèce d’induction consiste à tirer une conséquence générale d’un dénombrement de beaucoup de cas particuliers
mération des vérités partielles qui concourent à former la conclusion générale s’est faite d’une manière stricte et sèche, telle
e d’induction, comme nous l’avons dît, sert à prouver une proposition générale par l’énumération des parties. Si l’on veut qu’el
ans quoi on tombera dans l’inconvénient de conclure du particulier au général , ce qui est mal raisonner. De l’exemple. C
du singulier au singulier, et l’induction de plusieurs singuliers au général . Trois espèces d’exemple. Ce genre de raisonnem
ue les acquéreurs et les sicaires n’auraient pu égorger ? Les habiles généraux , avant que d’engager une action, observent les dé
ur humain. Aristote (Rh., l. II, c. 12 et suivans) a fait, des mœurs générales des hommes de tout âge et de toute condition, une
éfinition des passions. Le mot de passion dans son acception la plus générale , désigne les mouvemens de l’âme qui nous emporten
es où il y allait de l’honneur et de la vie de ses magistrats, de ses généraux et quelquefois même des rois. Alors le ressort de
eurs, du temps de Démosthène et de Cicéron, les lois étaient simples, générales , et en petit nombre ; ce qui faisait que la décis
ué qu’il puisse être, à un petit nombre de pensées ou de propositions générales qui le dominent tout entier. Un plan qui a de la
quelles on va la considérer. (Ibid.) Tout exorde doit donner une idée générale de la cause, ou lui servir d’introduction. (De Or
sprit, la preuve n’est qu’une argumentation établie sur des principes généraux . Alors la marche est à peu près uniforme ; voici
e deux sortes de questions, l’une qu’il appelle thèse, ou proposition générale , et l’autre hypothèse, ou proposition particulièr
utant qu’il pourra de la question particulière, et qu’il remonte à la générale  ; et cela pour deux raisons : la première, parce
crime de Catilina, et l’orateur se sera ouvert, au moyen de ces idées générales , un champ aussi riche que vaste. Ce qui est pur r
rse de l’éloquence du barreau ; celle-ci doit sans cesse descendre du général au particulier ; celle-là doit s’élever sans cess
au particulier ; celle-là doit s’élever sans cesse du particulier au général . L’une ramène les maximes au fait, l’autre étend
us impérieuses. Précepte fondamental. Nous finirons par un principe général , commun à toutes les péroraisons, de quelque genr
t que des faits et des exemples particuliers on tire des conséquences générales . C’est ainsi que l’impie attribue à la religion l
ve au genre simple ; la péroraison au genre sublime. Mais ce précepte général souffre tant d’exceptions, qu’il devient à peu pr
ue d’en présenter une série complète. Cependant il est des caractères généraux dont il est possible de fixer l’idée ; ils se rap
plus clair et fatigue moins l’attention. Nous terminerons ces notions générales sur le style, en donnant une idée de ce que l’on
forme un bon style. Nous distinguerons dans le style les qualités générales et les qualités particulières. Qualités générale
style les qualités générales et les qualités particulières. Qualités générales du style. Les qualités générales du style sont c
s qualités particulières. Qualités générales du style. Les qualités générales du style sont celles qui constituent son essence,
ifférens sujets que l’on traite. Article premier. Des qualités générales du style. Quelles sont les qualités générale
. Des qualités générales du style. Quelles sont les qualités générales du style. Les qualités générales du style peuven
yle. Quelles sont les qualités générales du style. Les qualités générales du style peuvent se réduire à deux, qui sont la c
ion du principe de la convenance du style, on doit avoir égard au ton général (1) qui convient au genre d’éloquence auquel appar
de convenable à la persuasion. » (Dialog. sur l’éloq.) Le caractère général du style du barreau ainsi determiné, on sentira a
sont au fond que cette convenance diversement modifiée. Les qualités générales du style sont invariables ; mais les qualités par
veut faire éprouver au lecteur. Cette qualité est d’un usage presque général . Lors même qu’on n’a aucune résistance à vaincre,
ent à la subordonnée du premier. Il à maréchal, le à ennemi. La règle générale est donc que, toutes les fois que dans le premier
emple : » Les pères mourant | envoient leurs fils pleurer | sur leur général mort. » Quelquefois il y a progression ascendant
il cite pour exemple le passage suivant d’Hérodote dans lequel Denys, général des Phocéens, engage les alliés à lui déférer le
volontiers que le style simple et familier ; cela résulte du précepte général de la convenance. Il arrive aujourd’hui qu’on gât
à prouver et à émouvoir. « L’utilité, dit-il, en est si grande et si générale , qu’il n’y a pas un seul genre d’éloquence où ell
les, en même temps qu’ils aident au développement, augmentent l’effet général du discours, parce que l’idée accessoire qu’on pr
nom grec d’épiphonème. C’est une exclamation qui renferme une maxime générale , ou une réflexion profonde, d’un grand sens et ex
juger de la pensée. Sentences. Les sentences sont des propositions générales , des pensées morales universellement vraies, même
ent on appuie un raisonnement, un discours tout entier sur une maxime générale . Exemple. César, parlant au sénat pour la punit
lina et voulant adoucir les esprits irrités, commence par des maximes générales  : « Lorsqu’il s’agit de délibérer, P. C., sur de
Cat.) Moyen de les rendre plus vives. Quintilien dit qu’une maxime générale est plus vive lorsqu’elle devient propre et parti
l’emploi des expressions populaires et proverbiales : Exemples. Le général poursuivit sa pointe. Les ennemis furent battus à
l’habitude de plaider de mémoire ou sur de simples notes est devenue générale (1). La lecture d’un plaidoyer écrit, outre qu’ell
lité que la première  ; on peut dire même qu’elle est d’un usage plus général . Méthode pour apprendre facilement un long disco
faut s’appliquer à prendre les tons syllabiques que la prononciation générale détermine(1). L’accent oratoire ou pathétique est
ence de cet accent avec l’intonation. Celle-ci est l’élévation du ton général de la prononciation nécessaire pour que l’orateur
un pour former son action, ne doit pas seulement consulter les règles générales , mais encore étudier avec soin son naturel propre
Des qualités dont se forme un bon style 199 Art. Ier. Des qualités générales du style 200 § Ier. De la correction ibid. § II
ou écrire sur un sujet donné, il faut d’abord avoir des connaissances générales sur la matière à laquelle le sujet appartient ; e
ublime et le style élevé. Principales divisions de ce livre. Qualités générales du style. Qualités particulières. Quelles sont le
générales du style. Qualités particulières. Quelles sont les qualités générales du style. Ce que c’est que la correction. Son imp
42 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
er des arts agréables, nous exposerons, dans ce volume, les principes généraux de l’art d’écrire, principes qui sont communs à t
lques notions sur les pensées et sur les mots, un aperçu des qualités générales du style, une connaissance assez exacte des règle
rire. Après avoir exposé avec le plus de clarté possible les qualités générales et particulières du style, ainsi que les différen
43 (1854) Éléments de rhétorique française
que ; j’ai fait en sorte qu’il fût susceptible d’une application plus générale , c’est-à-dire qu’il résumât pour les élevés de no
en se rattache nécessairement à l’art de bien dire ; sur la grammaire générale , dont l’étude est très-propre à former le jugemen
e développait, dissipa les illusions ; on apprit à sacrifier au repos général l’impétuosité de ses penchants naturels ; les rel
de l’être à tout ce qui appartient à l’homme. III. De la grammaire générale . La grammaire suivit de près l’écriture. Quand
dans la société : elle mit chaque chose à sa place, et assura l’ordre général en restreignant l’indépendance individuelle. Les
mble de ces principes invariables forme ce qu’on appelle la grammaire générale . Après les exclamations ou interjections, qui on
existence particulière des choses qui l’entouraient, s’éleva à l’idée générale d’existence ; il inventa le mot être, qui n’était
alyse de ces espèces de mots forme la première partie de la grammaire générale . Dans cette nomenclature, nous n’avons point plac
a construction d’une phrase : c’est la seconde partie de la grammaire générale , celle qui constitue la syntaxe ou l’arrangement
ces de mots essentielles, il existe chez tous les peuples une syntaxe générale qui est invariable. IV. Des principaux caractè
tit nombre de mots, qui, mêlés à la langue latine, formèrent l’idiome général de la nation. Le latin corrompu dominait dans ce
nier, qu’on appelle indéterminé ou indéfini, a une signification plus générale et plus étendue : il indique, sans le déterminer,
que n’exprimait pas la déclinaison des noms, ils conçurent des idées générales , et inventèrent successivement des mots particuli
quand des citoyens, réunis en corps politique, discutent les intérêts généraux de leur pays, leurs discours appartiennent au gen
sujet est simple, la définition peut suffire pour en donner une idée générale  ; quand il est complexe, il faut, pour en bien co
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
nde proposition vous servira d’intermédiaire pour passer de la maxime générale  : l’homme doit rechercher ce qui lui est utile, à
on accumule plusieurs faits particuliers pour en tirer une conclusion générale , le raisonnement prend le nom d’induction. Buffo
jà je la vois paraître dans un nouvel appareil. Mlle marche, comme un général , à la tête d’une armée royale, pour traverser les
ecommandait aux orateurs d’imiter, dans l’arrangement des preuves, un général prudent qui met aux premiers rangs les soldats br
enoncer aux petites raisons qui ne feraient qu’affaiblir l’impression générale du discours. Les orateurs du barreau n’ont pas to
ouvrage, si nous n’ajoutions à ce que nous avons dit quelques règles générales , applicables à tous les genres de composition. Qu
Il y a trois choses à examiner dans les pensées : 1° Les qualités générales des pensées considérées en elles-mêmes ; 2° les r
idée, c’est la netteté. Il ne suffit pas d’avoir, dans la disposition générale , bien conçu l’ensemble de son sujet ; il faut que
ive ou profonde : ils ont désigné ces formes privilégiées sous le nom général de figures de pensées, et ils ont donné à chacune
memnon ! seul qui est la cause de la guerre de Troie, c’est l’interêt général des Grecs, insultés dans la personne de Ménélas ;
la division que nous avons adoptée pour les pensées : l° les qualités générales de la phrase ; 2° les rapports des phrases entre
 ; 3° les formes particulières ou figures de mots. I. Des qualités générales de la phrase. De la clarté. La première q
écision. De l’harmonie. L’harmonie est la dernière des qualités générales de la phrase. Le mérite du son est bien inférieur
les propositions. III. Des figures de mots. Outre les qualités générales que doivent avoir chaque phrase en particulier et
dit. Le style simple proprement dit se borne à réunir les qualités générales , indispensables dans toute espèce de composition 
us les regards se tournent vers lui : alors, profitant de l’attention générale qu’il a excitée, il traverse toute l’étendue de l
utres parties de la rhétorique, on peut l’aire plus d’une application générale . Si les circonstances vous amènent à parler en pu
sur ces différents objets des notions élémentaires. Ces connaissances générales , que Cicéron exigeait de l’orateur, seraient util
voyant le succès de ses efforts. Oswald entendit, à travers la rumeur générale , des cris plus horribles que tous les autres : il
es ont peur, ils cessent d’être jaloux. « Oswald, à travers la rumeur générale , distingua cependant des cris plus horribles que
tituante. (Séance du 26 septembre 1789.) Argument. En 1789, les états généraux avaient été convoqués pour remédier aux maux du p
ceux qui lui parlent aujourd’hui pour M. Foucquet, naguère procureur général , surintendant des finances, ministre d’État, l’ob
acre ; ordonnances fondées sur l’esprit de la monarchie, sur la forme générale d’administrer la justice en France, qui réclame m
au public et à la postérité quelque soupçon d’innocence ; qu’enfin le général du monde regarde ces deux sortes de juges comme d
equel on présentera ses pensées, il faut s’en être fait un autre plus général et plus fixe, où ne doivent entrer que les premiè
s remplir. Par la force du génie, on se représentera toutes les idées générales et particulieres sous leur véritable point de vue
ns, de l’attention à ne nommer les choses que par les termes les plus généraux , le style aura de la noblesse. Si l’on y joint en
mple correspondance offre l’occasion de mettre en pratique les règles générales de l’art d’écrire. Mais il serait difficile de do
dans leurs observations personnelles ce qui peut exciter la curiosité générale  ? Je ne dis pas qu’on ne puisse, de temps en temp
lui-là le côté plaisant. Tous contribuent, pour leur part, au plaisir général  ; et, à chaque instant, il jaillit de la discussi
44 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »
ses preuves ? L’invention les lui indique : ce sont de certains chefs généraux , appelés lieux communs, parce qu’ils appartiennen
unèbre de Turenne 6, veut faire voir combien il faut de prudence à un général , pour conduire ses soldats ; pour se faire craind
faire connaître. Imitation. Le mot imiter, dans le sens le plus général et le plus étendu, signifie ici, prendre l’esprit
n discernement juste, un cœur droit et pur, dévoré de l’amour du bien général . Pleins d’estime, pénétrés d’une vénération affec
x armées rangées en bataille, sont au moment d’en venir aux mains. Un général connu par sa bravoure, et couvert d’honorables bl
de. Il est, sans doute, à propos que je donne ici une notion au moins générale de ces mœurs. Je ne saurais mieux y réussir qu’en
cle, dans chaque nation, dans chaque individu, mais de ces caractères généraux , fondés sur la nature, et qui sont comme l’apanag
pitié pour les malheureux, s’il ne la ressent lui-même ? Quel est le général d’armée qui fera naître dans le cœur de ses solda
ou éteindre les passions, selon le besoin. Voilà donc la disposition générale du discours. Les principales parties qui le compo
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie56, venait tous les ans, comme l
d’où découle naturellement la conclusion qui renferme la proposition générale . Il s’appliquera surtout à les développer avec ne
ommunément aux orateurs d’imiter, dans l’arrangement des preuves, les généraux d’armée, qui placent, aux premiers rangs, les sol
toutes en un seul corps, et d’en faire sentir le faux, par une raison générale et victorieuse. IV. De la Péroraison. La pé
45 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVIII. des qualites essentielles du style. — harmonie  » pp. 240-256
pliquent. Il y a donc deux sortes d’harmonie : celle que j’appellerai générale , qui ne considère les sons qu’en eux-mêmes et abs
ports avec les pensées et les sentiments qu’ils expriment. L’harmonie générale dépend soit de la nature individuelle des sons, c
ppelé à l’émettre. Voilà le principe de toutes les lois de l’harmonie générale en littérature. Et bien entendu que je parle ici
limat, l’éducation, le libre essor de la vie extérieure et l’instinct général de l’art ? Par la continuelle habitude de l’harmo
xpression, de concilier la vérité et l’unité, l’unité dans l’harmonie générale , la vérité dans l’harmonie spéciale. Ici an exemp
46 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
philosophique. « Je le trouve dans le talent de saisir les principes généraux , et d’enchaîner les idées entre elles par la forc
s les labyrinthes. Nous le voyons, c’est un petit nombre de principes généraux et féconds qui a donné la clef de la nature, et q
nd dans ses vues, et s’élevant toujours par ses notions abstraites et générales , qui sont pour lui comme des livres abrégés, il é
incipe en principe, et former de toute la religion une chaîne d’idées générales et précises que l’on pût saisir d’un coup d’œil ;
47 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
es n’ont pas tous le même degré d’intérêt. Les uns sont essentiels et généraux  ; ils tiennent à la nature même de l’art, viennen
e, qui nous fait discerner et sentir le beau, en dehors même des lois générales et des prévisions de l’art. « Quoique les règles,
ec Montesquieu : « Comme les lois sont toujours justes dans leur être général , mais presque toujours injustes dans l’applicatio
ir fausses dans l’hypothèse. Quoique chaque effet dépende d’une cause générale , il s’y mêle tant d’autres causes particulières,
48 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
 ; l’on amena le roi à Paris. Monsieur1 se contenta d’être lieutenant général de l’Etat ; M. le prince fut déclaré chef du cons
c force le péril où le public se trouvait par la prise tumultuaire et générale des armes. La reine, qui ne craignait rien parce
incapacité absolue. 5. Le père de l’auteur était Emmanuel de Gondy, général des galères de France. 1. C’était le frère de Lo
-à-dire devant les anciens soldats de Bernard, duc de Saxe-Weimar. Ce général , dans la guerre de Trente ans, acquit, malgré que
49 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
satiriques français. (13 novembre 1882). • Quels sont les caractères généraux de la réforme entreprise dans la poésie au xvie
aise au xvie siècle. (20 novembre 1882). • Quels sont les caractères généraux de la réforme accomplie dans la poésie française
iodes de la littérature au xviie siècle et en décrire les caractères généraux . (3 novembre 1881). • Donner une idée de la quere
’Art poétique de Boileau ; ses divisions principales et ses préceptes généraux . (27 octobre 1883). • Exposer et discuter les thé
chontes, les cours de justice, le sénat des cinq cents, les officiers généraux de l’armée, et les ministres des autels venir occ
 juillet 1884) et (15 novembre 1884) Comparer, dans leurs caractères généraux , la littérature grecque et la littérature romaine
toutes les nuances, et est excellemment apte à l’expression des idées générales  : la langue grecque est par nature une langue phi
tion universelle ratifiée, voulue même par la divinité ; pacification générale et établissement de l’ordre partout, couronnement
vent signalée dans Tacite ; elle rentre, il est vrai, dans la qualité générale , que Racine lui reconnaît, d’être un grand peintr
Plaute. L’Art poétique de Boileau est le type du genre ; il est plus général , plus complet que celui d’Horace. Il fait la théo
e de ceux qu’ils revendiquaient pour ancêtres. Il faut donc, en thèse générale , pour que l’épopée soit possible à une certaine é
a voulu, non seulement suivre le récit de Tite-Live dans ses données générales , mais bien mettre en relief l’esprit romain dans
orrige la médisance en se mêlant, quoique discrètement, à l’entretien général pour modérer l’ardeur de l’un, prêcher les ménage
de la Cour surtout a eu une influence considérable sur la physionomie générale de son œuvre. C’est donc en observant, finement e
énelon songeait surtout à celle de la chaire, mais ses préceptes sont généraux et embrassent l’art de bien dire tout entier. Ils
e animé et sobre à la fois. [32] (9 novembre 1884) Plan et idée générale du Discours sur le style. Développement. — Il
se, qui consiste « à ne nommer les choses que par les termes les plus généraux , » théorie chère à Buffon ; 2º la gravité et la s
agné à être présentée avec plus d’ordre et de rigueur. Quant à l’idée générale du discours, elle est étroite et exclusive. Buffo
pourtant sa noblesse », et prêche à tort l’emploi des termes les plus généraux . L’horreur du mot propre nuit à la clarté du styl
tant faites, et ces différences établies, il reste vrai, dans un sens général , que le précepte de Ronsard est juste. La seconde
ant, la vénalité corrompant les vertus politiques, la disette de bons généraux , les excès d’une démocratie mal réglée, telles ét
s faits avec l’ordre philosophique des idées, et j’exposerai des vues générales sur les événements. Cependant on remarquera dans
comte a été le moment le plus tragique de la pièce : un frémissement général a manifesté combien l’auditoire, absorbé dans l’a
littéraire des deux pièces, qui diffèrent entièrement par la couleur générale , la conception, la marche de l’action, l’expressi
nous réservait des beautés qu’on n’imaginait pas, et l’admiration fut générale . Les comédiens, qui faisaient merveille, ont eu u
in d’Arcadie ou maître Aliboron, qui n’en peut mais sous l’oppression générale dont il est la victime résignée ; le loup, vagabo
ossuet a fait un admirable mélange de détails précis et d’expressions générales et nobles ; il en fait un tableau saisissant, où
de Saxe auraient triomphé de la résistance des assiégés, si les états généraux des sept provinces n’avaient pris une résolution
t rentrer dans Authoin le régiment de Piémont, et ordonne une attaque générale sur les flancs. En un clin d’œil, la colonne angl
50 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
eurs appréciations en ce qu’elles auront de relatif soit à la méthode générale du Stagirite, soit aux deux traités qu’on va lire
avant la Rhétorique, contrairement à l’usage suivi dans les éditions générales d’Aristote. Elle est citée dans ce dernier ouvrag
style comme il avait fait du raisonnement, il en a recherché les lois générales et les principes essentiels. » (P. 93.) Au commen
ng qui lui convient dans, l’art renferme, en quelque sorte, la pensée générale qui a présidé à la composition de l’ouvrage. « Un
e suivre un autre plan que celui qui semble annoncé par ses divisions générales . Mais ces irrégularités sont très fréquentes dans
sont parfaitement à leur place, et, dans chacun d’eux, il y a un plan général très régulier. Rien de plus facile à faire que le
eonhard Spengel place la date en question entre 336, année de la paix générale qui résulta de la bataille de Chéronée, et 330, c
mbique20, commença à composer des sujets ou des fables sur une donnée générale . VII. L’épopée marche avec la tragédie jusqu’au m
sés, ou qu’on les compose soi-même, il faut les exposer d’une manière générale , puis les disposer en épisodes et les développer
nière suivante. V. Voici ce que j’entends par « exposer d’une manière générale  ». Prenons pour exemple Iphigénie. La jeune fille
oracle de s’y rendre, pour une certaine raison prise en dehors du cas général et dans un but étranger à la fable. Donc, venu là
slateur ne porte pas sur un point spécial, mais sur des cas futurs et généraux , tandis que les membres d’une assemblée et le jug
place pour la malignité que dans une plaidoirie, l’intérêt étant plus général . Lorsqu’on prononce une harangue, l’auditeur est
i est, vis-à-vis des choses contingentes, dans le même rapport que le général est au particulier. XVI. Quant aux signes (σημεῖα
x signes (σημεῖα), l’un se comporte comme concluant du particulier au général , l’autre comme concluant du général au particulie
comme concluant du particulier au général, l’autre comme concluant du général au particulier. Le signe nécessaire, c’est la pre
De plus, parmi les signes, l’un (avons-nous dit) va du particulier au général  ; voici dans quel sens : par exemple, si on disai
rréfutable, c’est d’être vrai. Voyons, maintenant, le signe qui va du général au particulier. Si l’on disait, par exemple : « U
e en faisant la même demande ; mais tout cela tend à cette conclusion générale que celui qui conspire en vue de la tyrannie dema
ceux sur lesquels nous faisons des lieux. Ceux-ci sont, d’une manière générale , relatifs aux questions de droit, de physique, de
actions, et que ce qui est utile est bon, il faut donc, d’une manière générale , prendre les éléments de ce débat dans leurs rapp
que la bravoure doit surtout être utile à ses citoyens. XX. En thèse générale , étant donné ce que veulent les ennemis d’un tel,
ugent. En effet, le premier cas a lieu lorsque l’opinion exprimée est générale , et le second lorsque cette opinion est celle de
chez les Lacédémoniens, ou devant des philosophes ; et, d’une manière générale , présenter ce qui est en honneur en le ramenant à
juste pour certains et injuste pour certains autres. Mais cette loi générale s’étend par tout le vaste éther et aussi par la t
qu’il soit nécessaire d’établir une loi, il faut s’exprimer en termes généraux . Ainsi, qu’il s’agisse d’un individu qui, portant
I. C’est de ne pas s’arrêter au cas particulier, mais à l’application générale  ; de ne pas envisager le caractère de la personne
s les personnes de la même condition que nous-mêmes. X. D’une manière générale , il faut examiner, d’après les circonstances cont
xquels il n’y en a pas d’une application facile. Pour parler en thèse générale , sont des sujets de crainte tous les événements q
ne sont pas en position de nous faire peur. XXI. Enfin, d’une manière générale , si les desseins des dieux tournent à notre avant
emple, leurs serviteurs, leurs amis. XXIII. Maintenant, d’une manière générale , nous n’avons honte ni devant ceux pour l’opinion
es personnes dont les intérêts sont liés aux nôtres et, d’une manière générale , de ceux pour qui nous avons honte. À cette derni
rsonne on trouve toujours que le malheur est mérité. Et d’une manière générale , lorsqu’on sera disposé à s rappeler que la même
x voir que la même épreuve pourrait nous atteindre, et, d’une manière générale , il faut observer, à ce propos, que ce que l’on c
autres seraient précisément indignes. XV. En un mot, et d’une manière générale , ceux qui prétendent mériter telle chose dont ils
r leur ambition est tournée du côté de la sagesse ; et, d’une manière générale , ceux qui recherchent la renommée en quelque chos
ion avec ses concurrents, avec ses rivaux en amour, et, d’une manière générale , avec ceux qui convoitent le même objet que nous,
cherchent la société ou l’amitié ; ceux qui provoquent une admiration générale , ou la nôtre propre. VII. Ceux dont l’éloge et le
e ; la vieillesse tempérante, mais timorée. Pour parler d’une manière générale , les qualités avantageuses que possèdent séparéme
tenir à une chose, il est possible aussi qu’elle existe d’une manière générale . Car il est plus difficile qu’une liaison soit be
eur et la petitesse des choses, le plus et le moins et, d’une manière générale , les choses grandes et petites, c’est facile à re
iez le même sort que le cheval. Vous avez déjà le mors, ayant pris un général dictateur ; mais, si vous lui donnez une garde et
egmes. X. L’énoncé d’une généralité, à propos d’un fait qui n’est pas général , est de mise dans un mouvement oratoire où l’on c
ut employer des sentences consacrées par l’usage et d’une application générale , si l’on peut le faire utilement ; car leur carac
cation générale, si l’on peut le faire utilement ; car leur caractère général , justifié par le consentement unanime, en fait re
nces. La sentence, comme on l’a dit plus haut398, est une affirmation générale . Or on se complaît à entendre dire d’une façon gé
e affirmation générale. Or on se complaît à entendre dire d’une façon générale ce que l’on se trouvait déjà penser d’avance à pr
ce résultat en faisant paraître l’orateur comme énonçant une sentence générale à propos de l’objet particulier de ses intentions
nt donné les dieux n’existent pas. » Il consiste aussi, d’une manière générale , à considérer le résultat de chaque fait comme ét
une certaine vraisemblance. Du reste, il n’est pas d’une application générale , et, comme le dit Agathon : On dirait volontiers
é, ou de la pluralité, lorsque, après avoir considéré le point de vue général , on argumente ensuite sur des particularités, au
re propre à la circonstance présente, qui n’est pas d’une application générale , mais qui met les choses devant les yeux. Car, Ch
gias, dans son discours olympique : « Ils sont dignes de l’admiration générale , Athéniens… » En effet, il va louer ceux qui orga
8) propose une modification du texte qui donnerait au passage ce sens général  : Mieux on choisira les propositions spéciales, m
άζειν par « admirer » ; mais ce mot est, ici, d’une application moins générale . 266. Ce proverbe est aussi dans le Phèdre de Pl
e Démosthène sur la fausse ambassade. 328. Ergophile et Callisthène, généraux athéniens qui furent accusés de trahison. 329. C
il s’évade. 349. Fait inconnu d’ailleurs. Il s’agit probablement du général athénien dont parle Démosthène dans la troisième
aurait été assassiné par les amis de ce Démosthène, lequel serait le général athénien mentionné dans la quatrième Olynthienne
51 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIX. »
consacré plus tard pour les figures de pensée, mais dans un sens plus général , à peu près comme Denys d’Halicarnasse (Sur Thucy
1, et VII, 3, des exemples du mot ἀρχιτεϰτονιϰός employé dans de sens général , ainsi que ἀρχιτέϰτων. Cf. Grande Morale, II, 7 :
52 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — L — article » p. 416
ois-Henri de Montmorenci duc de), né en 1628, et l’un des plus grands généraux de ce beau siècle de Louis XIV. Il fit ses premiè
Il mourut en 1695, couvert de gloire et regretté comme le plus grand général qu’eut alors la France.
53 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
griculture ; quand Boileau, dans son Art poétique, indique les règles générales auxquelles sont soumises les compositions en vers
qu’on nomme l’achèvement. Ce mot, dont tout le monde comprend le sens général et ordinaire, est pris en poésie dans un sens par
décide ce qui a été en suspens jusqu’alors. Mais après cette décision générale , on peut encore désirer de savoir ce que deviendr
mis un second achèvement, et qui ne regarde plus du tout ni l’action générale , ni les autres personnages du poème, en ajoutant
pensent pas. Boileau même est de ce nombre. Mais le sentiment le plus général est qu’on le peut. Et en effet, sans recourir à a
au milieu de ces inventions, il doit toujours conserver les qualités générales de la narration, savoir la brièveté, la clarté, l
t la première croisade ; son héros est Godefroi de Bouillon, qui, élu général des croisés, vient mettre le siège devant la vill
54 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
r la pensée de l’auteur. Il les a cependant puisés tous dans la masse générale des mots français ; mais il n’a été ni heureux ni
ton néant tes superbes discours15. (M. de Fontanes). Ces caractères généraux du style sont indispensables à l’écrivain, quelqu
crivains à leur style et à leur manière particulière. C’est une règle générale , dont on compte les exceptions. Denys d’Halicarna
ceptions. Denys d’Halicarnasse divise en trois espèces les caractères généraux du style, et les nomme le style austère, le fleur
55 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
date l’ère de la science proprement dite. » Le goût des spéculations générales , la profondeur et la gravité des maximes, des vue
ême fidélité à son propre jugement, qu’il portait dans l’appréciation générale des choses, l’accompagnaient dans la pratique des
hommes et de moi-même, plus j’ai senti en même temps mes convictions générales s’affermir et mes impressions personnelles se cal
extrait d’un discours prononcé à la distribution des prix du Concours général . — 17 août 1835. — Didier. (Discours académiques,
56 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avis du libraire sur cette nouvelle édition » pp. -
yale, visitant le Prytanée de Paris, ordonna l’usage de ces Principes Généraux des Belles-Lettres, pour les Écoliers de Rhétoriq
des Membres de la Commission, se chargea d’extraire, de ses Principes Généraux des Belles-Lettres, une Rhétorique et une Poétiqu
57 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
un devoir du chrétien, mais elle est un désordre qui nuit au bonheur général . Toujours prête à céder aux opinions qu’on lui di
erce de la vie, celui qui veut avoir part à l’estime, à l’approbation générale , s’attache à prendre le langage et l’extérieur de
e et le charme. Je ne m’étendrai pas davantage sur ces considérations générales . Les lectures suivantes seront divisées en cinq p
grec reprit ensuite toute sa faveur, et s’empara seul de l’admiration générale . En éloquence et en poésie, les Asiatiques ne don
sions de la majorité. Il faut trouver beau ce qui enlève l’admiration générale . Le seul goût que l’on doive regarder comme juste
s. C’est là l’étendard sous lequel nous devons nous ranger. L’opinion générale doit nous guider dans ce qui concerne les ouvrage
eux sur lesquels s’exerce le sens interne, la manière de voir la plus générale obtient la même autorité, et a le droit de servir
gés, la raison peut encore les ramener. C’est en le comparant au goût général , qu’on peut reconnaître que le goût d’un individu
beau ou défectueux ; elle remonte des cas particuliers aux principes généraux , et, de cette manière, établit des règles qui ser
èle à presque toute une nation. C’est alors que, malgré l’approbation générale , une juste critique condamne avec raison ; et le
ont ouvertement violées, aient été néanmoins l’objet d’une admiration générale et même durable, telles que les tragédies de Shak
de pensées originales et ingénieuses sur ce sujet, avance en théorie générale que la terreur est la source du sublime, et que r
production. Cependant je ne donne pas cette opinion comme une théorie générale  ; il me suffit d’avoir fait connaître en quoi con
non pour apprendre à connaître le sublime, mais pour avoir des idées générales sur les différents genres de beautés dans le styl
ant d’analogie, qu’elles se mêlent et se confondent en une perception générale de beauté que nous attribuons à l’objet tout enti
rtant de pousser plus loin cet examen. J’ai établi quelques principes généraux dont il est temps de faire l’application au sujet
truction grammaticale du langage ou sur les principes de la grammaire générale , et je terminerai en appliquant plus particulière
ler, en modifiant les tons et en multipliant les gestes, devint moins générale  ; l’intelligence, en se développant, dissipait le
ement traiter de sa structure, ou de ce que l’on appelle la grammaire générale . Cette structure est le fruit d’un art poussé trè
erficiels peuvent la dédaigner parce qu’elle rentre dans ces éléments généraux de nos connaissances que l’on nous inculque dans
de précision philosophique dans ce qu’ils ont écrit sur la grammaire générale , et ce qu’on doit encore plus regretter, c’est qu
ces Lectures. Mais je me propose d’entrer en quelques considérations générales sur les principes les plus essentiels ; en passan
ment fondée sur la logique, puisqu’elle comprend sous la dénomination générale de noms les adjectifs et les substantifs, qui son
les. Il forma dans son esprit une seule idée de toutes ces propriétés générales , rangea dans la même classe tous les objets qui r
dividus distincts. Ainsi, quoiqu’il semble que la formation des idées générales ou abstraites soit pour notre esprit une opératio
Il ne faut cependant pas croire que cette découverte des expressions générales ou abstraites fût le fruit des recherches d’une m
us avons deux articles : a, un, une, et the, le, la, les ; a est plus général et plus indéterminé, the est spécial et défini ;
: Es-ne tu rex ? Thou art a man [tu es un homme], est une proposition générale et à peu près insignifiante ; mais Thou art the
rent donc être bien longtemps avant d’arriver à des expressions aussi générales  ; au lieu de considérer les relations abstractive
que n’exprimait pas la déclinaison des noms, ils conçurent des idées générales ou métaphysiques, et inventèrent successivement d
ains, comme on sait, n’en avaient pas moins que cinq, dont les règles générales étaient encore soumises à une foule d’exceptions.
vant les circonstances. It (neutre) [il ou elle] est le terme le plus général que l’on puisse imaginer, et tient la place de to
et. Les verbes auxiliaires sont, ainsi que les prépositions, des mots généraux et abstraits ; ils expriment les diverses modific
les séparer l’une de l’autre ! Je traiterai plus tard des caractères généraux du style ; il me semble indispensable de commence
dans tous les sujets ; il suffit quelquefois que nous ayons une idée générale de la pensée d’un écrivain, parce qu’il est proba
voyageur remarque les objets les plus frappants qu’il rencontre ; un général observe les mouvements de l’ennemi. « Équivoque,
je discuterai cette matière à fond. Quoique la clarté soit le rapport général sous lequel je considère en ce moment le langage,
cet égard qu’il mérite essentiellement d’être lu. De ces observations générales , nous en viendrons à des considérations particuli
se succédant, ne produisent pas d’hiatus. On peut établir en principe général qu’un son est d’autant plus désagréable à l’oreil
uide le plus sûr, parce qu’on ne peut donner que quelques règles très générales , Mais, attendu qu’il en est quelques-unes qui peu
vant d’entamer ce sujet, je crois devoir placer ici deux observations générales . La première est relative à l’utilité des règles
propose, c’est de jeter, avant la fin de cette Lecture, un coup d’œil général sur les sources du sens figuré dans les mots ; le
nous ne la nommerons pas autrement. Cette figure est d’un usage fort général , et c’est dans la nature même de l’homme qu’elle
’elles ne produisent aucune impression sur notre esprit. Le caractère général des comparaisons, dans un ouvrage, est une marque
a dignité ou la bassesse des objets dépend en grande partie des idées générales et des mœurs du siècle dans lequel nous vivons. V
renions à sa cause. Lecture XVIII. Du style figuré, des caractères généraux du style ; du style étendu, concis, faible, énerg
toujours exister un rapport très intime entre le style et la tournure générale de l’esprit d’un homme, et qu’il prenait le carac
les déduit de l’ensemble de son langage, et elles comprennent l’effet général produit par chacune des parties du style que nous
. Mais ces divisions, et les définitions qu’ils leur donnent, sont si générales , et même si vagues, qu’elles ne peuvent presque r
ndes beautés dans sa composition. Pour faire connaître ces caractères généraux du style, je ne puis qu’indiquer les auteurs dign
dépourvus de sens, ses épithètes oiseuses, ses expressions vagues et générales  ; ses phrases se suivront mal ; nous verrons bien
ées solides et du style simple et nerveux. Lecture XIX. Caractères généraux des styles simple, affecté, véhément. — Conseils
la Lecture précédente, j’ai commencé à faire connaître les caractères généraux du style ; j’ai traité du style concis et dévelop
ur les différents styles des écrivains anglais, et sur les caractères généraux du style. Il en est encore quelques-uns dont je n
it en lui plus qu’un orateur, car il était encore homme d’État, grand général , et d’une habileté consommée dans les affaires. P
u’il employa presque toutes, il est vrai, à des travaux d’une utilité générale . On dit qu’en mourant, ce dont il se félicitait l
eurs ne se contentaient pas de donner à leurs élèves des instructions générales sur l’éloquence, et de former leur goût ; ils ind
e le sentiment de la véritable éloquence ; la France, à cause du goût général qui y règne pour les beaux-arts, et des encourage
tes. La première est, je crois, le changement qu’a éprouvé la manière générale de penser, qui, chez les modernes, est bien plus
sance est essentielle pour appliquer à chaque genre celles des règles générales qui ne conviennent qu’à lui. L’éloquence d’un avo
solution dont le résultat est le bien commun. Nous posons en principe général que, pour persuader les hommes, il faut s’adresse
passages de deux ou trois d’entre elles, afin de montrer le caractère général du style de cet orateur dans les principales part
tait-ce le résultat d’une politique raffinée ? non ; c’était la haine générale contre tout homme qui acceptait des présents de c
de pardon. On ne pouvait acheter de la main, ni des orateurs, ni des généraux , les occasions favorables que la fortune ménage q
l est convaincu. Tel est le point auquel est parvenue cette contagion générale . « Si quelques-uns de nous, quoiqu’incapables d’ê
ce athénienne que vous placiez votre confiance ; et, quel que soit le général que vous donnerez à cette armée, qu’il ait sur el
étaient en petit nombre, d’une grande simplicité et d’une application générale , en sorte que la décision des causes était remise
. De l’éloquence de la chaire. Avant de traiter de la disposition générale d’un discours régulier, et des parties diverses q
édente. Quoiqu’on puisse observer encore l’unité en traitant un sujet général , cependant cette unité ne peut jamais être aussi
directe, et nécessairement moins convaincante. Cependant, les sujets généraux , comme l’excellence de la religion, le bonheur qu
tteindre, écartez tous les raisonnements compliqués, les propositions générales uniquement spéculatives, et les vérités pratiques
eux. Tant que le prédicateur se tient retranché dans les observations générales , et ne descend pas jusqu’à faire sentir les nuanc
ctures xx, xxi, xxii, xxiii, xxiv. Lecture XXXI. De la composition générale d’un discours. — Exorde, division, narration, exp
es de discours. Pour rendre plus sensible l’application de ces règles générales , il était nécessaire que je fisse préalablement c
peuple, d’une voix unanime, rejeta la loi agraire. Après ces données générales sur la nature et le but d’un exorde, je vais expo
imer pendant le reste de son discours. Cinquièmement, c’est une règle générale , qu’une introduction ne doit pas anticiper sur le
bé de Condillac. — Principes de Grammaire, par Dumarsais. — Grammaire générale et raisonnée. — Traité de la formation mécanique
urs sur l’inégalité parmi les hommes, par J.-J. Rousseau. — Grammaire générale , par Beauzée. — Principes de la traduction, par L
’y saurait mettre trop de réserve lorsqu’on veut en former un système général . 18. Voyez le Cratyle de Platon. —  Nomina verba
humain’, il ne paraît pas douteux qu’avant de trouver des expressions générales , on commença par indiquer les particularités qui
que de la rapide simplicité de Démosthène. » 56. L’opinion la plus générale l’a laissé à ce dernier. 57. M. Hume, dans son E
58 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — V — article » p. 425
suivante, dans la seconde bataille de ce nom qu’ils gagnèrent sur nos généraux . Villars étoit alors dans les Cévennes, où il réd
t envoyé en Italie, où le duc de Savoie l’honora du titre de maréchal général de ses camps et de ses armées. Après plusieurs co
59 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre III. Analyse et extraits des Harangues d’Eschine et de Démosthène, pour et contre Ctésiphon. »
mérite de la perfection oratoire : le véritable motif de ce concours général de toute la Grèce, était bien moins encore la gra
Ctésiphon avait violé les lois, et attenté par conséquent à la sûreté générale , passe à l’examen de l’administration de Démosthè
te que l’inscription parût être faite pour le peuple, et non pour les généraux . Transportez-vous en esprit dans la galerie des p
es peintures : on y a représenté le combat de Marathon. Quel était le général  ? C’était Miltiade, répondriez-vous, si on vous l
60 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
cela les passions de la nature ? Enfin, à ces deux grands caractères généraux , éthique et pathétique, encore une fois qu’on me
divers éléments que je viens d’énumérer comme modifiant le caractère général de l’humanité. Les deux plus puissants sont l’âge
remarques sont d’une vérité évidente. Mais si l’on admet ces théories générales sur les mœurs d’après le sexe, on verra que les p
rveau, organe manifeste de l’intelligence, participe à cette habitude générale du système, et tous les actes intellectuels s’exé
61 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre II. Application des principes à la première Philippique de Démosthène, et à la seconde Catilinaire de Cicéron. »
assemblées extraordinaires étaient indistinctement convoquées par les généraux ou par les prytanes : quelquefois le peuple s’ass
s d’adresse des motifs d’encouragement, de la cause même du désespoir général . L’orateur continue : « Il fut un temps où nous
our celui de tous les avis qui vous paraîtra le plus conforme au bien général  ». La seconde Catilinaire. Le sujet des Ca
trouve cependant des citoyens qui, animés de ce zèle qui eût dû être général , me fassent un crime d’avoir laissé fuir Catilina
na. Opposez d’abord à ce vieux gladiateur estropié vos consuls et vos généraux  ; armez et conduisez toute la fleur et la force d
ire mourir, sans autres formalités, des scélérats chargés de la haine générale . Le peuple se réjouit et applaudit à leur sévère
alors son avis est inconséquent : ou il est seul exempt de la terreur générale  ; et c’est pour moi et pour vous une raison de pl
62 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
serait susceptible. Je ne peux que tracer succinctement les préceptes généraux sur la manière d’écrire l’histoire, et en ajouter
vec la divinité, et dans leurs rapports entre eux. De là deux espèces générales d’histoire ; l’histoire sacrée et l’histoire prof
e privé que l’homme public. Si, par exemple, on écrit l’histoire d’un général , on doit rapporter en détail toutes ses actions g
r assez légèrement sur sa conduite privée. Si l’on écrit la vie de ce général , on doit y joindre, au récit circonstancié de tou
lorsqu’ils sont bien faits. Les ignorants y puisent des connaissances générales , et les savants y retrouvent certains faits dont
moins oculaires. Elles y joignent, au récit des événements publics et généraux , les particularités de leur vie, ou leurs princip
ide, Xénophon et Polybe. Ces écrivains étaient eux-mêmes de très bons généraux  ; et la description qu’ils font des batailles, en
63 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
habitudes bonnes ou mauvaises de chacun. On entend par mœurs ou mœurs générales , les habitudes qui appartiennent à une nation, à
entiments qu’ils excitent, d’après le rang des personnages, et le ton général du style. On a ainsi la tragédie, le drame propre
s excellents. Mais il peut être utile d’en récapituler ici les règles générales et pratiques. Ce sont les paroles mêmes de Voltai
non plus la satire personnelle des citoyens, mais attaquant les vices généraux sans désigner personne. C’est ce qu’on appela la
s, chœurs, etc. Les opéras se distinguent ensuite, selon le caractère général de la pièce et la condition des personnages, en t
viennent représenter l’action. Ce que l’on appelle opéra dans le sens général du mot, est une pièce qui réunit toutes les séduc
iennent, si l’on veut, à la littérature par le fond, par la charpente générale  ; pour le reste, le talent du poète y est si peu
64 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Préface de la première édition. » pp. -
’École Royale Militaire, je me suis attaché à leur donner des notions générales , mais précises, de tous les objets importants qu’
ision de la première Partie, j’ai cru devoir ajouter des Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres, et sur le cérémon
65 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
livres. Comment se forme le pluriel dans les noms. 14. — Règle générale . Pour former le pluriel, ajoutez s à la fin du no
sonne. 1. Les noms en ou prennent une s au pluriel, suivant la règle générale  : un clou, des clous ; un trou, des trous. Il n’y
66 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
e Quintilien. Ces topiques n’étaient autre chose qu’une série d’idées générales , applicables à un grand nombre de sujets différen
tres étaient particuliers à tel ou tel genre. Les topiques communs ou généraux étaient pris dans la différence entre le genre et
idérations par lesquelles il était possible de recommander une mesure générale , ou d’en dissuader, comme sa convenance, sa justi
n réussit plus rarement), qu’elles soient assez bien assorties au ton général du discours pour ne pas en rompre l’unité. Quelqu
e l’ennui, si cette attente n’est point remplie. Mais l’usage le plus général des pauses, est de marquer les divisions que le s
r ce qui est grand, et à tourner en ridicule ce qui fait l’admiration générale . Une telle disposition s’oppose à presque tous le
les observations et les règles y sont quelquefois trop vagues et trop générales . Cependant il y a un grand nombre de choses très
aurai occasion de considérer leurs ouvrages sous un point de vue plus général . En conséquence, et avant d’aller plus loin, je c
hæreret nigro fuligo Maroni. (Sat. VII, v. 226.) D’après ce principe général , lorsque la réputation des grands écrivains de l’
ation universelle et trop aveugle pour les anciens. C’est un principe général que j’ai posé ; son application nous mènerait tro
de faiblesse. Si cette observation est susceptible d’une application générale , il ne faut pas perdre de vue qu’elle est aussi s
qu’il est difficile que cette unité soit parfaite dans les histoires générales où sont rassemblés tous les faits qui intéressent
té, doit avoir un commencement, un milieu et une fin liés à la marche générale des affaires publiques, en sorte que nous voyions
e tous les écrivains de l’antiquité qui nous ont laissé des histoires générales , Polybe, quoique d’ailleurs peu élégant, paraît ê
t. Aussi je crois qu’il est utile de jeter, avant tout, un coup d’œil général sur les parties différentes qui forment ce vaste
ses sur l’utilité d’adopter dans les compositions historiques un plan général  ; il compare la faible instruction que l’on retir
jamais apercevoir l’influence des causes politiques sur les affaires générales . La lecture attentive des historiens grecs ne nou
ait été longtemps simple soldat, ensuite centurion, et enfin officier général , rétablissait l’ancienne discipline dans toute sa
qu’il en avait plus supporté]. L’on pouvait ici dire, en observation générale , que ceux qui ont été élevés et endurcis à la pei
ien ne peut y parvenir qu’en observant scrupuleusement, dans son plan général et dans le détail de son sujet, cette unité que j
iverses qui se rapportent à l’événement qu’il raconte. Les faits trop généraux ne produisent sur l’esprit qu’une impression faib
être simple dans son style ; non content de nous donner une esquisse générale , il nous fera voir distinctement chaque trait d’u
méritait cet ingénieux et éloquent ouvrage. Son Essai sur l’Histoire générale de l’Europe depuis Charlemagne, ne peut être cons
ncrédulité aux effets de la magie et des enchantements, le changement général opéré dans les mœurs de l’Europe entière, commenc
oins, ait quelque chose de vraisemblable. Telle est, je crois, l’idée générale que l’on doit avoir de la poésie pastorale ; mais
; mais il ne doit pas débiter des subtilités, se perdre en réflexions générales et en raisonnements abstraits, et encore moins fa
mplet et plus régulier, que si on veut le regarder, suivant l’opinion générale , comme un système entier de l’art poétique. Les p
forte et prononcée. Une description qui ne comprend que des qualités générales , ne saurait avoir aucun mérite ; car des abstract
oute beaucoup à la vivacité. Quelques exemples vont rendre ces règles générales plus sensibles. Je ne connais, en aucune langue,
les entrailles de la terre. » Dans tout ce passage, point de termes généraux , point d’expressions insignifiantes. Tout est par
nt désignés, qu’une colline, un lac ou une rivière, pris dans un sens général . C’est ce qu’ont bien senti plusieurs écrivains d
es et plus distinctes. Il est des épithètes que l’on pourrait appeler générales , qui paraissent d’abord ajouter quelque chose à l
ue. Nous emploierons cette Lecture à en faire connaître les principes généraux  ; nous examinerons ensuite le caractère et le gén
son ouvrage est destiné à inculquer. Ensuite il invente une histoire générale ou une série de faits qu’il ne rattache à aucun p
persuader que la mésintelligence entre les princes amènerait la ruine générale . Pour donner plus de force à son instruction, il
a défaite complète des ennemis fut le fruit de cette réunion. Ce plan général une fois formé, dit toujours notre critique, il i
e elle-même l’a profondément gravé dans nos cœurs. L’esprit et le ton général de la poésie épique font suffisamment sentir la d
ussi vives, mais elles sont plus prolongées. Tels sont les caractères généraux de ce genre de composition ; mais pour en donner
. On peut diviser les caractères employés dans un poème en caractères généraux et en caractères particuliers. Les caractères gén
en caractères généraux et en caractères particuliers. Les caractères généraux sont ceux auxquels on attache indistinctement les
ment fictifs, dont les noms ne représentent autre chose que des idées générales , et auxquels l’imagination même se refuse à attri
LIII. L’Iliade et l’Odyssée. — L’Énéide. L’épopée, selon l’opinion générale , tient le premier rang parmi les ouvrages poétiqu
la critique trop loin. L’affectation n’est certainement pas le défaut général de la manière du Tasse ; il est, au contraire, pr
e plus qu’à parler de l’état de la tragédie parmi nous. Son caractère général est d’être plus animée, plus passionnée, mais aus
r des pièces modernes ni des auteurs vivants. En jetant un coup d’œil général sur les compositions tragiques des différents peu
e distingue assez de la tragédie par son esprit particulier et le ton général qui y domine. Tandis que la pitié, la terreur et
re de composition très moral et très utile, dans la nature et le plan général de laquelle la censure n’a rien à reprendre. Poli
les observations principales que présente l’application des principes généraux de l’art dramatique à la comédie. Pour avoir une
u’il permettait que les personnages les plus illustres de l’État, les généraux , les magistrats, comme Cléon, Lamachus, Nicias, A
étaient des satires politiques sur le gouvernement et la conduite des généraux et des hommes d’État pendant la guerre du Pélopon
hrate ; ou lorsqu’en parlant des armées, on ne ferait que nommer leur général , ou l’État, ou le roi qu’elles auraient servi. Cé
toujours exister un rapport très intime entre le style et la tournure générale de l’esprit d’un homme ; il prend le caractère de
1675.) 6. Je vais essayer de donner sur cette matière quelques avis généraux , qui peut-être ne seront pas tout à fait superflu
u’il lui fait éprouver. — S’il décrit de grandes scènes ou des objets généraux , il montre la nature dans toute sa magnificence ;
e mieux traité. » (Voltaire.) 54. « Ce Lachapelle était un receveur général des finances, qui traduisit très platement Tibull
67 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
les livres même qui, sous le nom de Caractères, présentent la satire générale de la société, je veux que, comme chez la Bruyère
comme celui de Théophraste et de M. de Doudeauville, où les portraits généraux ou individuels, étant le livre même, se succèdent
nions, de votre esprit, en appliquant seulement à ce genre les règles générales de l’art d’écrire. Ainsi donc, sans nous arrêter
« Chaque fois, dit M. Wey, qu’à l’aide d’un incident rattaché au plan général , on peut dépeindre un personnage, le caractériser
68 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
étude particulière, nous devons chercher à acquérir des connaissances générales , qui ne nous laissent rien ignorer de ce que tout
au, il y en a un qui est nécessairement vicieux. Quelle sera la règle générale à suivre pour juger sainement en fait de goût ? 1
e juger avec goût. 3° Enfin, le guide le plus sûr, c’est l’admiration générale  : ce qui est regardé comme beau par tous les homm
ous avons voulu, dans ce qui précède, donner aux élèves des préceptes généraux de composition, et leur enseigner les principaux
69 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
lle. En quoi consiste-t-elle en définitive ? En trois points : Etudes générales pour préparer aux spécialités ; Lieux externes ;
s détails enfin que le hasard, sa fantaisie ou un plan suivi d’études générales lui auront suggérés ? Il y aurait, sans doute, in
es de cette sorte de définition. Fléchier veut relever le mérite d’un général par les difficultés à vaincre dans le commandemen
e, ou de présenter dès l’abord, pour le bien faire saisir, le dessein général , l’idée première d’un ouvrage. Mais on court risq
70 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
t lorsque, en dépit de la conscience de son crime et de l’indignation générale soulevée contre son infamie, Catilina a l’impudeu
dans la cause elle-même, dans son équité, son importance spéciale ou générale , sa nouveauté, etc. Il rentre, ainsi que l’exorde
te, il serait déjà blâmable, car il abuse le lecteur sur le caractère général , sur l’allure réelle de l’écrit qu’il va lire. Pl
on manque, n’ont aucun motif pour s’intéresser à des choses vagues et générales dont l’explication leur est inconnue… « Débuter
71 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE III. Règles particulières de la quantité. » pp. 274-294
fs neutres, comme maj-us, ōris ; utili-us, ōris, qui suivent la règle générale . 2° dans les noms qui ont en grec un omicron au
la quatrième et de la cinquième déclinaison suivent la première règle générale qui dit qu’une voyelle suivie d’une voyelle dans
tĕti (de sto), stĭti (de sisto), tŭli (de fero), et, suivant la règle générale , ceux qui ont une voyelle devant i, comme rŭi, fŭ
recs en υς long46. ARTICLE V. 1° Des mots composés. règle générale . Les mots composés conservent généralement la qua
72 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
ns sont de deux sortes : les unes sont des lieux communs, des pensées générales souvent susceptibles des plus grandes beautés poé
sion très animée, et remplie d’écarts et de tours extraordinaires. Eu général , on demande quo le poète se soutienne jusqu’à la
s la suite. C’est pour cela que nous nous bornerons ici à des notions générales . Dans les sujets nobles et élevés, le poète, aprè
on de charité. Cette dernière composition s’éloigne encore des règles générales du genre, en ce qu’elle n’est empruntée ni à l’hi
délicate. On doit se contenter d’attaquer les vices et les ridicules généraux , sans donner dans l’odieux des personnalités. C’e
notre bonheur sans égal : Nous avons recouvré Crémone, Et perdu notre général . Ce tour d’esprit n’a rien perdu dans la suite,
uplet sur la déroute de Rosbach, si prompte et si imprévue ; c’est le général qui parle : Mardi, mercredi, jeudi, Sont trois j
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
ères qui attestent la liberté morale de l’homme, et l’action des lois générales de l’humanité vers des fins supérieures sous la d
ns périssables des hommes, elle transmet avec certitude les résultats généraux de la vie des nations et les grands motifs qui le
art de la fortune et celle de l’homme, c’est-à-dire l’action des lois générales et les limites des volontés particulières ; en un
74 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — De la Poétique » pp. 2-4
Dans le premier chant et dans le quatrième, Boileau donne les règles générales de la poésie : qualités du style, versification,
remière comprendra ce qui concerne la poésie considérée d’une manière générale , c’est-à-dire, sa nature, sa forme, et les qualit
75 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
est explicative quand on pourrait la retrancher sans altérer le sens général d’une proposition. Ex.: « Les savants, qui sont p
riode peut former un sens partiel concourant au développement du sens général  ; ces petites phrases sont des incises. L’ incise
uvons ouvrir la bouche sans en faire, tant leur usage est vulgaire et général  : J’ai pris souvent plaisir, dit de Bretlew, à
égée. La métaphore (qui transporte le sens d’un mot), est la plus générale , la plus variée et la plus belle des figures de m
l est comme un lion, c’est une similitude : j’exprime la ressemblance générale entre un homme irrité et un lion. Si je vais plus
sser l’amour propre des auditeurs en parlant de soi exclusivement. Un général modeste n’oserait pas s’attribuer seul la gloire
érente, et toutes ces pensées accessoires réunies autour de la pensée générale  : habileté dans l’art militaire, seraient suscept
défaites habilement réparées, il eut fait une faute parce qu’un grand général doit prévoir une défaite, et plutôt que de s’y ex
din, où il peut faire quelquefois bon effet, on doit dire qu’en règle générale il est indigne d’un écrivain sérieux. XX. Comm
levé sur un  char, dans l’appareil d’un triomphateur plutôt que d’un   général , alors au travers des campagnes qu’il avait rempl
t.  Il est trop sec, trop nu et frappe peu. Le placer au milieu après général , serait la ressource d’un traducteur ordinaire, q
tait avancé, au combat, élevé sur un char, moins dans l’appareil d’un général que d’un triomphateur, couvrant les campagnes de
se grâce à la repousser. Si Boileau avait dit à Louis XVI : Tous vos généraux sont des Achilles, il ne vous faut qu’une minute
sec dans l’expression. N’offrir que des idées principales, des traits généraux , écarter toutes idées accessoires qui pourraient
esprit comme sa physionomie particulière, il s’en suit que les règles générales sont presque inutiles. Je ne conseillerais pas ce
76 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIII. Genre oratoire, ou éloquence. »
arle le langage du bon sens et de la sagesse ; elle contribue au bien général . Mais dans la bouche de ces hommes turbulents et
L’éloquence militaire s’adresse aux soldats avant la bataille. Un général , pour exciter l’ardeur de ses troupes, leur adres
uité. Celles que les historiens mettent si souvent dans la bouche des généraux n’ont pas toujours été prononcées telles qu’on le
77 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132
t de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers et les plus habiles généraux des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
Mort de Turenne Il passe le Rhin et trompe la vigilance d’un général habile et prévoyant2. Il observe les mouvements d
s ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur général mort. L’armée en deuil est occupée à lui rendre l
78 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
es qui se distinguent par un goût sûr et délicat, et que le sentiment général a classés parmi les modèles. Et lorsqu’on aura lo
ée Conception ; celle des difficultés qui pressent de toutes parts un général d’armée, par M. Thiers, et la suivante sur les av
enne, lorsque Fléchier rappelle les suites de la bonne fortune sur un général vainqueur ; dans celle de la reine d’Angleterre,
79 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
lui-ci prend alors le genre et le nombre du dernier substantif : = ce général avait dans son armée un pouvoir, et une autorité
grammairiens, qui a fait cette faute : = c’est un de nos plus grands généraux , qui a remporté cette victoire mémorable : = c’es
nos meilleurs grammairiens ont fait cette faute ; que nos plus grands généraux ont remporté cette victoire ; que nos plus habile
n et votre maison de campagne : ils sont fort beaux. Voilà les règles générales de construction. Mais il y a des remarques partic
. Si le pronom le se rapporte à un substantif, il suit alors la règle générale , et prend le genre et le nombre de ce substantif 
et nettement. J’observerai, néanmoins, après l’Auteur de la Grammaire générale , et l’Abbé d’Olivet, que le pronom relatif qui pe
ronoms personnels, le verbe, suivant l’Académie, doit suivre la règle générale  : = vous ou moi irons à la campagne. 2°. Plusieur
fie, en matière de guerre, conduire, faire marcher des troupes : = ce général a commandé une armée de cent mille hommes. Ce rég
gue, dit dans sa traduction de Tite-Live : la Légion qu’avait eue ce général romain , etc. Boileau, dans ses réflexions sur Lo
’Europe. = Les courtisans préférant leur avantage particulier au bien général , ne donnent que des conseils intéressés. Dans le
a davantage de brillant que de solidité, mais plus de brillant : = ce général travaillait davantage à rendre les peuples heureu
80 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
atines. Deuxième partie. — Syntaxe. Livre premier. Syntaxe générale . Chapitre I. Règles d’accord. § 120.
vagabonde, inconstante, incertaine, capricieuse. — 7. Caïus Marcius, général romain, prit la ville de Corioles, ce qui lui val
gants, enjoués, concis. Caton fut réputé excellent orateur, excellent général , excellent sénateur. On cite de lui un grand nomb
as moins méprisé que haï. — 13. Lucius Marcius, chevalier Romain, élu général en Espagne après la mort des deux Scipion, prit u
ur de l’Afrique, battit et mit en fuite, en Espagne, quatre illustres généraux Carthaginois, avec quatre armées ; il fit prisonn
e obéissait aux lois très-sévères de Lycurgue. — 4. Les armées et les généraux de Rome cédèrent au Lusitanien Viriate, chef de b
ine à Fabius Maximus, fils de Fabius Maximus Allobrogicus, citoyen et général très-illustre. — 16. L’eau et le feu furent inter
pitié de ses concitoyens abattus, il rentra dans sa patrie, fut nommé général , et rendit les Athéniens vainqueurs. — 6. Le cons
fureur a coutume de se repentir. — 9. Les Parthes écrasèrent Crassus, général romain ; mais bientôt ils se repentirent de leur
deux. — 3. Ce qui importe à l’État nous importe à nous tous. — 4. Le général habile prendra une position avantageuse ; cela im
passant, leur rappela les bienfaits de son père Philippe, et fut élu général de toute cette nation. Les Athéniens, qui avaient
ntercludebat. corrigé. 1.Annibal l’emporta sur tous les autres généraux . — 2. L’honneur est plus précieux que la vie. — 3
liis bono suo. corrigé. 1. Le médecin prévoit les maladies, le général les embûches, le pilote les tempêtes. — 2. C’est
adies, le général les embûches, le pilote les tempêtes. — 2. C’est au général de pourvoir aux approvisionnements. — 3. Anaxagor
traits de guerre, aux Étrusques les insignes de leurs magistrats. Le général décernait aux plus braves soldats des colliers et
litaire. Dans la guerre, il fut d’abord un soldat très-brave, puis un général éminent. Il fut sans doute d’un caractère âpre, d
ime capital, mais condamné à l’amende. — 4. Chez les Carthaginois, le général était puni quand il n’avait pas réussi. — 5. Dion
e de Falérie, et le siége paraissait devoir durer longtemps ; mais le général romain dut à la fortune, ou plutôt à sa vertu, un
de berger chasseur, de chasseur brigand, de brigand chef de guerre et général  ; bientôt il se rendit maître de toute la Lusitan
t rassemblé en Sicile une armée d’esclaves fugitifs, battit plusieurs généraux Romains. — 5. Tibère eut pour successeur Caïus Cé
oursuivit Jugurtha à travers les déserts de l’Afrique. — 9. Phébidas, général lacédémonien, conduisant une armée à Olynthe, pas
issons et sept mille oiseaux furent servis. Il fut mis à mort par les généraux de Vespasien, et ignominieusement traîné en publi
grande partie de leur armée par les forces carthaginoises, aucun des généraux Romains n’osait partir pour rétablir les affaires
faire des fromages. — 9. C’est une chose d’un mauvais exemple que les généraux soient élus par les armées. — 10. Inventer des fa
uadé que les paroles ne peuvent donner du cœur, et que la harangue du général ne fait pas d’un lâche un brave, ni d’une armée t
es Lacédémoniens. — 5. Les Romains pensaient qu’il importait au salut général qu’il y eût deux consuls dans la République. — 6.
le même jour qu’elle avait été assiégée. — 15. Chez les Romains, les généraux cultivaient autrefois les champs de leurs propres
e tout point. — 2. Artaxerxès, roi de Perse, demanda aux Athéniens un général qu’il pût mettre à la tête de son armée. — 3. Pui
tenant dans la guerre contre Jugurtha. Il en profita pour accuser son général devant le peuple Romain, en disant qu’il traînait
dre de Macédoine. Certes, je ne nie pas qu’Alexandre ait été un grand général  ; mais s’il eût, après avoir subjugué l’Asie, tou
’étaient des hommes. Cet invincible Alexandre aurait eu affaire à des généraux invincibles. Les Romains auraient eu un grand nom
es sous la conduite de sa fille Antigone. — 8. Les Grecs prirent pour général contre les Perses Cimon d’Athènes ; il était fils
portait autant en prudence [illisible chars][texte coupé]r les autres généraux , que le peuple Romain sur[illisible chars][texte
s, sous l’empire Romain, de jour plus mémorable que celui où les deux généraux les plus grands de tous, Annibal et Scipion, vain
n’avons plus rien à espérer. — 2. Les Carthaginois n’avaient point de général à opposer à Scipion. — 3. La mort n’est pas à cra
e que le prolixe orateur disserta plusieurs heures sur les devoirs du général et sur toutes les parties de l’art militaire. Tou
pierres pleuvent de toutes parts, et l’armée nocturne de cet illustre général prend la fuite. Ils emportent pourtant deux petit
poussé, et voyant que Pompée ne poussait pas son avantage, dit que ce général ne savait pas vaincre. — 7. Tibère craignait le t
— 3. Pompée, à peine au sortir de l’enfance, fut soldat sous un grand général  ; au commencement de sa jeunesse, il fut lui-même
us un grand général ; au commencement de sa jeunesse, il fut lui-même général d’une grande armée. — 4. Codrus se précipita au m
ins suer que s’ils avaient couru dans la carrière. § 254. Méthode générale pour traduire les gallicismes. version 278
par écrit et qu’on les fit circuler parmi la foule ; qu’à la demande générale , Androclus fut renvoyé absous ; que le lion lui f
81 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
omme les sources où l’orateur peut puiser ses preuves, certains chefs généraux appelés lieux ou lieux communs, parce qu’ils appa
ns préparation et éclater avec force dès le premier moment. Ainsi, un général vient de mourir : le temple s’ouvre, ses voûtes r
d’où découle naturellement la conclusion qui renferme la proposition générale . Il s’appliquera surtout à les développer avec ne
en faire sentir le faux, et les ruiner tout d’un coup par une raison générale et victorieuse19. L’important, c’est qu’on n’oubl
Pareillement, à l’époque de la rentrée des tribunaux, les procureurs généraux font souvent des discours où ils recommandent aux
it de nombreuses armées, déconcerté les plus fiers elles plus habiles généraux des rois de Syrie, venait tous les ans, comme le
ttre qui ne se rattache précisément au sujet. Il n’y a rien à dire de général sur la narration, la confirmation et la réfutatio
st illimité. Aristote les a réduits, dans sa Rhétorique, à cinq chefs généraux  : les finances, la paix et la guerre, la sûreté d
82 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »
tes qui peuvent s’étudier simultanément : la première est une théorie générale de l’art d’écrire ; la seconde, une étude des gen
ui contient l’étude des genres, est précédée d’une sorte d’esthétique générale . Nous y parlons de la poésie, non pas seulement c
83 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
tique ; et s’il nous était permis d’ajouter une opinion à la décision générale , ce serait celle de M. de La Harpe lui-même, qui
ous avec Warvick, ce trait premier de ressemblance qui tient à l’idée générale du rôle ; et malgré les efforts de l’auteur pour
urs infiniment au-dessous de son auteur. Voilà quant aux dispositions générales  : le plus ou moins de succès dans l’exécution dép
un ouvrage destiné à faire époque, et où l’on veut trouver des règles générales , et non pas des manières de voir particulières. M
e ses espérances. Le mérite de l’ouvrage fut contesté ; le succès fut général . Mais au milieu des critiques et des éloges égale
84 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre premier. »
nt pesé avec lui-même dans le silence des passions, et dont l’utilité générale ne lui soit d’avance clairement démontrée. Qu’il
ronder l’opinion commune quand elle ne sera pas d’accord avec le bien général  ; braver les clameurs de ce même peuple, qu’il fa
85 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
a classe de rhétorique Précédés d’une introduction sur les caractères généraux des xviii e et xix e siècles et accompagnés de no
FRÈRES, Successeurs 56, rue des écoles Introduction. Caractères généraux de la littérature française au dix-huitième et au
nfin, comprend le règne de Louis XVI jusqu’à la convocation des états généraux (1774-1789). Première période (1715-1749). — La
e Sept ans comme le moment décisif du siècle. Une explosion de mépris général éclate contre un gouvernement qui a lassé la fidé
 » Les classiques du dix-huitième siècle, en effet, au lieu des types généraux qu’ils n’osent plus aborder après Molière, metten
en effet, traduit sur la scène le parti philosophique, et à la satire générale mêle de blessantes personnalités. Mais c’est bien
angue de la prose française. Le dix-huitième en conserva le caractère général et la dégagea même de quelques lenteurs. Cependan
st la philosophie, avant tout, dont il importe de dire les caractères généraux , parce que la philosophie, en effet, marque de so
se patriotique que nous ont transmis les annales de nos anciens états généraux  ; mais le retour irrégulier de ces assemblées, le
aura donc quelque chose de plus hardi, de plus systématique, de plus général , que toutes les autres éloquences politiques qui
proclament les doctrines de leurs maîtres ; ils ont le goût des idées générales , des principes abstraits, des formules philosophi
trer ici dans un détail qui n’est pas de notre sujet ; mais cette vue générale suffit à faire comprendre quels devront être les
absolue pauvreté30. » Il convient cependant de le rappeler. Les vues générales risquent toujours d’être trop absolues, et l’étud
sophie dans notre siècle. Néanmoins, à s’en tenir aux traits les plus généraux , voici ce qui apparaît. D’abord la philosophie du
à sa gloire passée, il se trouvait sans secours, sans ministres, sans généraux , pour les avoir faits et soutenus par goût et par
mpression qu’il faisait sur les esprits. L’étonnement qu’il causa fut général  ; il fut tel, qu’il semblait, à voir ceux auxquel
été plus approfondies ; mais dans ses hautes parties, dans ses idées générales , l’œuvre de Montesquieu n’a pas fléchi, et c’est
ines, de ses enfants et de ses femmes ; enfin, s’il eut affaire à des généraux romains malhabiles, on envoya contre lui, en dive
rs temps, Sylla, Lucullus et Pompée. Ce prince, après avoir battu les généraux romains, et fait la conquête de l’Asie, de la Mac
ylla, réduit, par un traité, à ses anciennes limites, fatigué par les généraux romains, devenu encore une fois leur vainqueur et
ibut de deux mille cent livres d’or. Il recevait les appointements de général des armées romaines. Il envoyait à Constantinople
dit l’empire, ce furent toutes les invasions. Depuis celle qui fut si générale sous Gallus155, il sembla rétabli parce qu’il n’a
et un mille hommes, dont il y avait environ seize mille Suédois. Les généraux Rehnskold, Roos, Levenhaupt, Slipenbak, Hoorn, Sp
i, aidé de son feld-maréchal Rehnskold, ordonnait tout pour un combat général . Il rangea sur deux lignes ce qui lui restait de
le prince de Wurtemberg, le général Rehnskold et plusieurs officiers généraux étaient prisonniers, le camp devant Pultava forcé
il n’eût point de commandement dans l’armée, devenu en cette occasion général par nécessité, rallia cinq cents cavaliers auprès
en une assemblée des notables du royaume : c’était une espèce d’états généraux . Les paroles qu’il y prononça sont encore dans la
l’idée qu’il doit périr par un déluge universel ou par un embrasement général  ; le respect pour certaines montagnes, sur lesque
e musique, précepteur, secrétaire d’ambassade, caissier d’un receveur général des finances, il se détermine enfin à tout quitte
ure, et, dans ce dernier surtout, un intérêt violent, bien un et bien général . Avec tout cela, le goût est si misérable, si pet
Je formai, il y a quelques années, le projet d’écrire une histoire générale de la nature, à l’imitation d’Aristote, de Pline,
t étendue, et je suis un homme très borné. Non seulement son histoire générale , mais celle de la plus petite plante, est bien au
de la nature. Je n’eusse pu leur refuser une place dans son histoire générale , lorsqu’elle leur en avait donné une dans l’unive
on talent, avaient fixé sur lui l’attention publique, quand les États généraux furent convoqués (1789). Mirabeau fut envoyé par
à contempler que dans l’histoire les grandes révolutions, les guerres générales , les fièvres de l’opinion, les fureurs des partis
amour éternel. » (Jérémie). Cette parole doit nous servir de solution générale pour toutes les énigmes qui pourraient scandalise
un saint Pierre, en lui mettant une auréole sur la tète. L’expression générale de ce temple caractérise parfaitement le mélange
rances ; mais à ces causes particulières il faut ajouter le mouvement général des esprits, dont la tendance était de revenir au
, dont quelques brillantes parties ne sauraient racheter la faiblesse générale  ; la froide tragédie de Moïse, Milton et l’Essai
econder, assied sur tous les trônes la folie et la stupidité ; pas un général dans les camps, pas un ministre dans les conseils
x et de bien d’autres choses. Tout homme qui n’est ni commissaire, ni général , ni valet, ou courtisan des uns ou des autres, ne
orce d’être inconséquent, et de déférer à chaque instant à l’autorité générale comme à la règle infaillible du vrai415. Il ne fa
le à raisonner contre Dieu, puisqu’il commence par rejeter l’autorité générale de la raison. A la vue d’une folie si extrême et
. Je suis encore à certaines heures dans cette disposition d’amertume générale  ; et je sens bien que, si elle était sans interva
lassification. L’expression449 ne fournit pas seulement les règles générales des arts, elle donne encore le principe qui perme
est-elle sortie de terre, en tous lieux, au jour marqué par les lois générales de l’univers, pour y rentrer un autre jour avec e
es qui dominent une époque et expliquent son caractère, les résultats généraux qui marquent les progrès de la civilisation, en u
sent que dans la mesure où elles lui semblent l’expression d’une idée générale ou d’une loi historique. M. Mignet n’a même pas é
vénements publics ; il montre avec une heureuse rapidité le mouvement général des idées dans les ouvrages de ceux dont il racon
e Napoléon, les lettres non moins nombreuses de ses ministres, de ses généraux , de ses aides de camp, et même des agents de sa p
pli de l’héroïsme modeste, il pressa sur sa poitrine le drapeau et le général , au milieu des cris et des larmes des assistants,
grandes sentences présentent toujours deux faces : elles ont un sens général qui n’a rien que de vrai et d’innocent, et un sen
vice et la vertu, des épigrammes vives et mordantes ; pas de maximes générales , des mots piquants et qui frappent au but ; par-d
ne, mettez-vous là avec votre monde et faites-vous y tuer. — Oui, mon général . » Voilà l’obéissance, et, vous le sentez, une ob
lui fallut conquérir la Grèce pour être prise, en la personne de ses généraux et de ses chefs illustres, pour être touchée de c
tique le malade. » Le classique, en effet, dans son caractère le plus général et dans sa plus large définition, comprend les li
nt pour éclore ; on n’évite pas, surtout dans l’enfance, les courants généraux qui passent dans l’air, et qui soufflent le sec o
ère, celle de Villemain, partie nouvelle et essentielle de l’histoire générale , s’applique à faire ressortir l’influence de la s
de sorte de critique, celle de Sainte-Beuve, moins attentive aux lois générales de l’esprit qu’à ses diversités intellectuelles,
rceaux brillants et pathétiques ne rachètent pas la faiblesse du plan général , et la faute plus grave d’avoir établi deux intér
97), acte III, scène v. Le songe de Macbeth. Macbeth, prince et général écossais, a vaincu, à Inverness, Cador et Herford
e, en effet, dans les années qui précédèrent la convocation des Etats généraux , était devenu une tribune politique. Ne demandez
n public prompt à saisir les allusions contemporaines ; les sentences générales qui viennent sans cesse entraver et refroidir la
liantes même pour son orgueil, auprès des membres du comité de sûreté générale . Cette basse accusation eut du moins un résultat
roche de la poésie, quand d’un trait il faudra éclairer une situation générale , dessiner les grands horizons, Lamartine retrouve
ue de vastes et spécieux à peu près, où circule par endroits l’esprit général des choses, où vont et viennent ces grands couran
études brillantes, justifiées par un prix de philosophie au concours général , cherchait, vers 1830, dans des directions différ
ts empreints de fraîcheur et de grâce faisaient contraste avec le ton général  : on eût dit le soupir à demi étouffé de la muse
rs à l’exil, aux bourreaux, Tes plus grands citoyens, tes plus grands généraux  ! A tes meilleurs enfants cité toujours marâtre,
son testament au premier président Mesmes et à Daguesseau, procureur général , leur aurait dit : « Je vous le remets pour le ga
3). 119. Tallart, né en 1652, mort en 1728, négociateur habile, mais général médiocre, devint ministre d’État en 1726. 120. N
quêtes et la chambre des requêtes. Ses membres étaient : un procureur général , deux avocats généraux, quatre-vingt-quatorze con
es requêtes. Ses membres étaient : un procureur général, deux avocats généraux , quatre-vingt-quatorze conseillers, deux présiden
it donné au tzar le conseil d’éviter avec Charles XII tout engagement général . Il mourut en 1719. 172. Sorte de garde du corps
tra au service de Thamasp, qu’il déposa, et se fit proclamer roi. Ses généraux le tuèrent dans une expédition contre les Kurdes.
peut être que superficiel et doit se borner à exprimer des sentiments généraux , des pensées et des images également générales. »
exprimer des sentiments généraux, des pensées et des images également générales . » 319. Notre prose est-elle supérieure à notre
sauraient être complets, on le comprend. Il n’y faut voir qu’un trait général vivement enlevé, et qui laisse à notre appréciati
ns dans des voies nouvelles ; mais madame de Staël, dans un sens plus général , M. de Chateaubriand dans une direction plus nati
. L’erreur de Lamennais, on le voit ici, esc de faire du consentement général le principe de toute certitude. Or cet argument n
les intérêts privés qu’il jugeait illégitimes, à servir les intérêts généraux qu’il ne redoutait pas. Despote fougueux, tout am
de l’audacieuse entreprise qu’il raconte ; il prête son éloquence au général carthaginois ; mais la partie critique est faible
la condition d’être dans l’esprit humain et d’aider au développement général de l’humanité. Ainsi est-elle toujours bonne, tou
, par la grâce et la simplicité des détails, par l’harmonie et le ton général , par la note mélancolique qui la termine, les mei
ort ouvre devant nous l’avenir, a permis au poète de déroger à la loi générale , qui ordonne qu’un caractère soit le même à la fi
lité toute shakspearienne, lui prend fortement le bras et lui dit : «  Général , aimez-vous la chasse ? » Cette question inattend
Général, aimez-vous la chasse ? » Cette question inattendue laisse le général embarrassé. « Eh bien ! si vous aimez la chasse,
spoir, que rien ne prépare et n’explique, présente à l’esprit un sens général et indéterminé. 691. Cette suspension est d’un h
is est devenu une bête enragée. Ce par quoi cet amour tient à l’ordre général du monde en a été soustrait. Dans les vierges de
gisbert, comte Hugo, né en 1774, volontaire en 1791, colonel en 1803, général de brigade en 1809, gouverneur de province en 181
86 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
hommes et de moi-même, plus j’ai senti en même temps mes convictions générales s’affermir, et mes impressions personnelles se ca
extrait d’un discours prononcé à la distribution des prix du Concours général . — 17 août 1835. — Didier. (Discours académiques,
87 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
brièvement ces deux conditions, qui se rapportent aussi aux qualités générales du style. 87. La pureté consiste à éviter dans l’
deuxième. Des qualités du style8. 104. Les qualités du style sont générales ou particulières. On appelle qualités générales c
ualités du style sont générales ou particulières. On appelle qualités générales celles qui sont essentielles à toute composition
un mot des défauts qui leur sont opposés. Article premier. Qualités générales du style. 405. Certains rhéteurs comptent un g
style. 405. Certains rhéteurs comptent un grand nombre de qualités générales du style ; mais nous nous bornerons ici à citer l
ourte et vive, inspirée par le sujet même, et qui renferme une maxime générale que l’on veut graver dans l’esprit. Je suis jeun
consonances désagréables et blessantes pour l’oreille. Cette harmonie générale du discours résulte du choix et de l’arrangement
serons ensuite celles qui sont particulières à chaque genre. Règles générales de la narration. 299. Toute narration comprend
core cinq ou six vers qui n’ont plus aucun intérêt. 308. Les qualités générales de la narration sont l’unité, la clarté, la brièv
ion, si l’on s’arrête où il convient dans le dénouement. Ce caractère général de rapidité qui convient à la narration se modifi
incidents liés à l’action principale, ne doivent pas nuire à l’unité générale du récit, et doivent être amenés avec art et plac
s peindre et les rendre sensibles. Nous allons donner quelques règles générales sur la description, et nous indiquerons ensuite l
indiquerons ensuite les différentes sortes de descriptions. Règles générales de la description. 326. Pour bien faire une de
éniens contre Philippe ? Ce n’est plus un orateur qui parle, c’est un général , c’est un roi, c’est un prophète, c’est l’ange tu
ilité ou les devoirs de position nous obligent à écrire. Le caractère général de ces lettres est une politesse aisée, une éléga
auxquels elles se rapportent, nous allons présenter quelques notions générales sur la poésie. De la poésie en général20. 37
ons séparément. I. — De la disposition des rimes. 401. Une règle générale et sans exception, c’est que les rimes masculines
i-même le mécanisme des vers, on ne peut être sensible qu’aux beautés générales du style poétique ; et, toujours incapable de pén
pas assez d’importance pour que leur suppression anéantisse le sujet général du poème. Tels sont, dans l’Iliade, l’entretien d
Le succès dépend beaucoup du choix d’un sujet qui se lie aux intérêts généraux de la religion ou de l’humanité, et aux tradition
pays où l’on place les acteurs de l’épopée ; bonnes, mais d’une bonté générale qui souffre quelque faiblesse et quelques défauts
pourvu qu’ils soient bien amenés et qu’ils fassent partie du tableau général de l’action. 477. Puisque l’épopée est un des gen
. Du genre dramatique24. 484. Le drame, dans son acception la plus générale , est la représentation d’un fait par la parole et
à un autre palais de la même ville. Dans le Cid, Séville est le lieu général de l’action, mais le lieu particulier change pres
que est de combattre les mœurs corrompues, de lutter contre les vices généraux de la société, de frapper les méchants auteurs de
s monarchies d’Assur et de la Chaldée y ont envoyé sans relâche leurs généraux  ; Alexandre y fut arrêté devant Tyr, et vint lire
ivisent les qualités du style ? 105. Combien comptez-vous de qualités générales du style ? 106. Qu’est-ce que la clarté ? 107. La
400. Quelles sont les qualités de la rime ? 401. Quelle est la règle générale pour la disposition des rimes ? 402. Combien y a-
88 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
on talent, avaient fixé sur lui l’attention publique, quand les états généraux furent convoqués (1789). Mirabeau fut envoyé par
Je veux le concours du pouvoir exécutif à l’expression de la volonté générale en fait de paix et de guerre, comme la constituti
que le pouvoir exécutif serait étranger à la confection de la volonté générale , nous avions à délibérer sur le seul fait de la d
la plupart de ces énergiques citoyens qui, au commencement des états généraux (c’est ainsi que s’appelait alors cette conventio
un saint Pierre, en lui mettant une auréole sur la tête. L’expression générale de ce temple caractérise parfaitement le mélange
faut admirer les parties supérieures du poème, la beauté de la pensée générale , les brillants tableaux si heureusement opposés d
s dont quelques brillantes parties ne sauraient racheter la faiblesse générale  ; la froide tragédie de Moïse, Milton et l’Essai
pe paresseuse. Dans un sage conseil par les chefs assemblé, Du départ général le grand jour est réglé ; Il arrive ; tout part :
nte, ils s’abattent tout à coup sur les eaux qui retentissent. Un cri général , suivi d’un profond silence, s’élève dans les mar
is, on voyait aussi, à l’ensemble de son architecture et au caractère général des monuments, que la ville de Minerve n’était pl
traité d’alliance par lequel elles s’engageaient à fomenter une ligue générale contre la France. L’Autriche avait accédé à la li
ds de la garde impériale de Russie, cent vingt pièces de canon, vingt généraux , plus de trente mille prisonniers, sont le résult
Je suis arrivé à travers tous les obstacles et tous les périls. Votre général , appelé au trône par le choix du peuple et élevé
’esprit ; mais je ne saurais le communiquer à personne ; aucun de mes généraux ne l’a reçu ou deviné de moi ; je n’ai pas davant
ncombré l’histoire, pour suivre d’une vue plus attentive le mouvement général des idées et de la civilisation. Grâce à cette di
critique du dix-huitième siècle, qui trop souvent, dépourvue d’idées générales et de science historique, aveuglée d’ailleurs par
sions, l’attention à ne nommer les choses que par les termes les plus généraux . Grand sujet de débat, messieurs ! c’est le préce
se, verba quibus deberent loqui, et n’ont cherché les termes les plus généraux que lorsque l’imagination ou la pudeur s’en accom
lassification L’expression173 ne fournit pas seulement les règles générales des arts, elle donne encore le principe qui perme
s rois franks. Aussitôt qu’ils se reconnurent astreints d’une manière générale , quoiqu’en termes vagues et mal définis, aux devo
ement de la destinée de chaque être concourt à la réalisation du plan général de la création. M. Jouffroy est ainsi amené par l
est-elle sortie de terre, en tous lieux, au jour marqué par les lois générales de l’univers, pour y rentrer un autre jour avec e
es qui dominent une époque et expliquent son caractère, les résultats généraux qui marquent les progrès de la civilisation, en u
sent que dans la mesure où elles lui semblent l’expression d’une idée générale ou d’une loi historique, M. Mignet n’a même pas é
vénements publics ; il montre avec une heureuse rapidité le mouvement général des idées dans les ouvrages de ceux dont il racon
e Napoléon, les lettres non moins nombreuses de ses ministres, de ses généraux , de ses aides de camp, et même des agents de sa p
rceaux brillants et pathétiques ne rachètent pas la faiblesse du plan général , et la faute plus grave d’avoir établi deux intér
r. Macbeth275. (Extrait). Acte II, Scène VII Macbeth, prince et général écossais a vaincu à Inverness Cador et Herford, e
e, en effet, dans les années qui précédèrent la convocation des états généraux , était devenu une tribune politique. Ne demandez
n public prompt à saisir les allusions contemporaines ; les sentences générales qui viennent sans cesse entraver et refroidir la
liantes même pour son orgueil, auprès des membres du comité de sûreté générale . Cette basse accusation eut du moins un résultat
roche de la poésie, quand d’un trait il faudra éclairer une situation générale , dessiner les grands horizons, M. de Lamartine re
que de vastes et spécieux à peu près où circule par endroits l’esprit général des choses, où vont et viennent ces grands couran
études brillantes, justifiées par un prix de philosophie au concours général , cherchait vers 1830, dans des directions différe
ts empreints de fraîcheur et de grâce faisaient contraste avec le ton général  : on eût dit le soupir discret et à demi étouffé
de la nature et les évidences morales. » C’est ainsi que du spectacle général de l’univers il passe aux animaux, dont les merve
on et de solitude à Londres. 42. Héritage est pris ici dans le sens général de campagne, propriété particulière. Cette accept
l’armée siégeait au conseil de guerre, et ne recevait d’ordre que du général ou des tribuns. (Chateaubriand.) 47. Le victimai
haque camp romain un autel auprès du tribunal de gazon où siégeait le général . (Id.) 48. Cette image gracieuse s’oppose avec b
sion d’éléments divers et étrangers n’enlève rien à l’harmonie du ton général . 67. Gladiateurs qui combattaient avec un filet.
’après les communications du général Montholon. Le nom de l’honorable général en garantirait au besoin l’authenticité, s’il n’é
les intérêts privés qu’il jugeait illégitimes, à servir les intérêts généraux qu’il ne redoutait pas. Despote fougueux, tout am
me siècle : « Il y reste de la parole première une sorte de mouvement général , la facilité et le courant ; mais le style a déso
t représentant de la société gallo-romaine du cinquième siècle. 200. Général romain et gouverneur des Gaules. L’empereur Valen
de l’audacieuse entreprise qu’il raconte ; il prête son éloquence au général carthaginois, mais la partie critique est faible.
lité toute shakespearienne, lui prend fortement le bras et lui dit : “ Général , aimez-vous la chasse ?” Cette question inattendu
“Général, aimez-vous la chasse ?” Cette question inattendue laisse le général embarrassé. “Eh bien ! si vous aimez la chasse, a
ntre la tragédie de Shakespeare et celle de Ducis. Des considérations générales sur l’esprit de la critique française au dix-huit
spoir, que rien ne prépare et n’explique, présente à l’esprit un sens général et indéterminé. 331. Cette suspension est d’un h
89 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
se (aujourd’hui la Morée, dans la Turquie européenne). Il fut le chef général des dix rois de la Grèce, qui assiégèrent la vill
toutes les batailles que livra Condé, il fut tout à la fois soldat et général . Tourmenté de la goutte, il passa les dernières a
, où est la bouche du volcan. F. Fabricius, un des plus grands généraux et des hommes les plus vertueux de la république
ait dévoré. Ces mêmes marchands le revendirent en Égypte, à Putiphar, général des armées de Pharaon. Calomnié par la femme de c
; à 38, le bâton de maréchal de France, et à 48, le titre de maréchal général des camps et armées du roi, titre dont il paraît
tna. Vivonne (Louis-Victor de Rochechouart, duc de Mortemart et de), général des galères de France. Il montra la plus grande i
90 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre III. De la partie oratoire dans les Historiens anciens. Historiens grecs. »
rester sans réponse, nous nous bornerons ici à quelques observations générales . Ce serait une carrière bien intéressante à parco
rte, et n’ait pas sauvé ces hommes généreux de la honte d’une défaite générale  : c’est qu’il y a bien loin de l’aveugle impétuos
ement avec elle ; tant qu’elle se soutient, il trouve dans le bonheur général les moyens de réparer ses propres disgrâces. Mais
r vos douleurs particulières, pour ne voir et ne chercher que le bien général . Quant à la guerre actuelle, dont vous redoutez e
91 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
plusieurs années à se faire un fond abondant. Après cette préparation générale , les préparations particulières coûtent peu ; au
apable de montrer l’étendue des vérités, parce que toutes les vérités générales ont un enchaînement nécessaire, et qu’il faut les
uckingham, regardait comme le chef-d’œuvre de la nature, non le grand général , ni le grand diplomate, ni le grand artiste, mais
92 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
nner l’action et la résistance avec l’habileté stratégique d’un grand général , et, comme l’écrivain a cet avantage sur le génér
égique d’un grand général, et, comme l’écrivain a cet avantage sur le général qu’il dispose à la fois des deux partis, ménager
séante devant un tribunal où siégeait Caton. Sans doute, et en thèse générale , vous raisonnez juste. Mais avant de condamner Ci
93 (1839) Manuel pratique de rhétorique
genres de matières que peut avoir à traiter l’orateur ? Division générale . Les préceptes de rhétorique ont pour objet la
parler de chaque chose d’une manière convenable. De là cette division générale  : invention, disposition, élocution et action.
es juge convenables ou contraires à son bonheur. Il y a deux passions générales , l’amour et la haine, dont toutes les autres ne s
it pour y préparer. Il doit par conséquent se tirer de quelque pensée générale dont l’application se fasse naturellement à la pr
rigent ici plus sûrement que les règles, qui se réduisent à une seule générale  : les bonnes preuves sont celles qui conviennent
éfutation comme une partie distincte, ou de la comprendre sous le nom général de confirmation. Cependant elle a quelques caract
u style qui viennent du sujet ; on les a rangées sous trois divisions générales qui sont relatives à l’effet que l’orateur veut p
, à la hardiesse des images, à la force des passions. Ces différences générales entre les trois styles sont déterminées par la di
s ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur général mort. « Que de soupirs alors ! que de plaintes !
érisent., et qui, de l’autre doivent être liés pour produire un effet général et commun. C’est par là qu’il y a unité dans l’en
chargé, les difficultés exagérées, le soldat sacrifié à la gloire du général  ; supposez que le mémorateur soit chargé de prono
de Mellos l’attend de pied ferme ; et, sans pouvoir reculer, les deux généraux et les deux armées semblent avoir Voulu se renfer
la mort de Turenne : « Il passe le Rhin et trompe la vigilance d’un général habile et prévoyant. Il observe les mouvements de
94 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
ir que les personnes qu’il met en scène. 415. Quelles sont les règles générales du drame ? On peut rapporter à trois chefs les r
gles générales du drame ? On peut rapporter à trois chefs les règles générales du drame : 1° Les qualités de l’action que le dra
que l’exposition dramatique ? L’exposition (πρότασις) donne une idée générale du sujet, et fait pressentir aux auditeurs l’acti
s des repos à l’esprit, cette division ne doit jamais nuire à l’unité générale du drame. Du reste, ce n’est pas seulement dans l
nérale du drame. Du reste, ce n’est pas seulement dans la composition générale de la fable que l’unité d’action doit être soigne
ux forme, sinon le caractère essentiel, au moins le caractère le plus général de ce poème, puisque l’action y est presque toujo
e ? La comédie est suffisamment distinguée de la tragédie par le ton général qui y règne. La pitié, la terreur, l’admiration,
société. 505. Quel doit être le but moral de la comédie ? Cette idée générale qu’on peut se faire de la comédie, comme étant un
as manquer d’utilité morale ; mais elle nous semble s’éloigner du ton général du genre comique, qui est de faire rire ; il para
95 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
es connaître les qualités des pensées. Les qualités des pensées sont générales ou essentielles, et particulières ou spéciales. C
nt ces qualités qui déterminent les caractères du style. Les qualités générales que la raison exige dans toute pensée comme dans
tuation des personnages qui sont en scène. C’est, en effet, une règle générale , dit Rollin, qu’il faut penser selon la matière q
es sentiments ? Comme les pensées, les sentiments ont des caractères généraux ou essentiels et des qualités particulières ou sp
les. Ces caractères déterminent également ceux du style. Les qualités générales sont la vérité et le naturel. Les qualités partic
ornements, et convient au genre simple. La précision est une qualité générale et essentielle, qui ne rejette que ce qui est inu
96 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. »
l’art ajoute à cette belle scène quelques ornements analogues au ton général du tableau, comme un pont jeté sur la rivière, la
e dire sur les plaisirs du goût. Nous avons établi quelques principes généraux  ; il est temps d’en faire l’application à l’objet
97 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
accoutumés à combattre sous une longue suite de rois guerriers, leurs généraux animés par le seul souvenir de leur histoire. Aus
et c’est ce qu’a fait Voltaire. Ainsi, quoiqu’il y ait des principes généraux , dont on ne saurait trop recommander l’observatio
98 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
antage de la leçon des manuscrits et qui s’accorde mieux avec le sens général de la remarque d’Aristote. La simple addition de
t οὐ ϰατὰ φύσιν ϰινήσεις. La musique.] Συμφωνία a quelquefois ce sens général   voyez les Topiques, VI, 2. L’ordre nous est natu
99 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voiture, 1598-1648 » pp. 21-25
. Ce mot s’employait déjà dans le sens de plaisanterie, de farce. 1. Général de l’armée espagnole. (Voy. Bossuet, Oraison funè
-Frédéric de Nassau, prince d’Orange, stathouder, capitaine et amiral général de la république des Provinces-Unies (Hollande).
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre VI. Massillon. »
donc chez lui ce charme irrésistible, dont l’effet est aussi sûr que général  ? Sacrifie-t-il quelquefois la dignité de son min
Qui pourrait se refuser, par exemple, à l’obligation si simple et si générale de la prière, quand elle nous est présentée comme
ffit que vous offriez à Dieu, ou que vous fassiez, avec une intention générale de le glorifier, les choses les plus communes que
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