sur sa tête. Son air était plus sérieux encore que de coutume. — Mon
frère
, dit-elle, je vous prierai de sortir avec moi. —
Orso en lui offrant son bras. — Je n’ai pas besoin de votre bras, mon
frère
, mais prenez votre fusil, et votre boîte à cartou
autour de sa tête, appela le chien de garde, et sortit suivie de son
frère
. S’éloignant à grands pas du village, elle prit u
éclaireur. — Si Muschetto aboie, dit Colomba1, armez votre fusil, mon
frère
, et tenez-vous immobile. A un demi-mille du villa
dit-elle, c’est ici que notre père est mort. Prions pour son âme, mon
frère
! » Et elle se mit à genoux. Orso l’imita aussitô
ccompagne d’ordinaire leurs serments solennels ; puis, entraînant son
frère
, elle reprit le chemin du village. Ils rentrèrent
rappé. » Et elle posa sur la chemise deux balles oxydées. « Orso, mon
frère
! cria-t-elle en se précipitant dans ses bras, et
baisa les balles et la chemise, et sortit de la chambre, laissant son
frère
comme pétrifié sur sa chaise. Orso resta quelque
sur sa tête. Son air était plus sérieux encore que de coutume. — Mon
frère
, dit-elle, je vous prierai de sortir avec moi. —
Orso en lui offrant son bras. — Je n’ai pas besoin de votre bras, mon
frère
, mais prenez votre fusil et votre boîte à cartouc
autour de sa tête, appela le chien de garde, et sortit suivie de son
frère
. S’éloignant à grands pas du village, elle prit u
’éclaireur. — Si Muschetto aboie, dit Colomba, armez votre fusil, mon
frère
, et tenez-vous immobile. À un demi-mille du villa
dit-elle, c’est ici que notre père est mort. Prions pour son âme, mon
frère
! » Et elle se mit à genoux. Orso l’imita aussitô
ccompagne d’ordinaire leurs serments solennels ; puis, entraînant son
frère
, elle reprit le chemin du village. Ils rentrèrent
rappé. » Et elle posa sur la chemise deux balles oxydées. « Orso, mon
frère
! cria-t-elle en se précipitant dans ses bras et
baisa les balles et la chemise, et sortit de la chambre, laissant son
frère
comme pétrifié sur sa chaise. Orso resta quelque
t. Électre. Étranger, au nom des dieux ! ne m’ôte pas l’urne de mon
frère
… Oreste. Il n’y a rien d’Oreste dans cette urne
Qui demande plus sème pour soi et non pour son Dieu, et non pour ses
frères
. La parole de Jésus, fructifiant de siècle en siè
mple sur le passereau et sur l’hirondelle. Celui qui se sépare de ses
frères
, la crainte le suit quand il marche, s’assied prè
l’on vous demande : « Combien êtes-vous ? » « Nous sommes un, car nos
frères
, c’est nous, et nous, c’est nos frères. » Dieu n’
? » « Nous sommes un, car nos frères, c’est nous, et nous, c’est nos
frères
. » Dieu n’a fait ni petits ni grands, ni maîtres
s, lorsque l’orgueil ou la convoitise étouffe en eux l’amour de leurs
frères
. Et Dieu savait qu’il en serait ainsi, et c’est p
crainte à tous était grande. Enfin l’un d’eux dit aux autres : « Mes
frères
, prions notre Père qui est dans les cieux ; peut-
ils eurent prié, celui qui avait dit : « Prions », dit encore : « Mes
frères
, ce qu’aucun de nous n’a pu faire seul, qui sait
à considérer, après quelques siècles, l’espèce de rage qui armait les
frères
contre les frères pour des questions aujourd’hui
s quelques siècles, l’espèce de rage qui armait les frères contre les
frères
pour des questions aujourd’hui pacifiées ? Ces pl
mûrs pour les cieux… 1. Essai sur l’Indifférence (édition Garnier
frères
). Comparer à un très-beau passage de Balzac : Les
iré des Commentaires de l’Évangile selon saint Marc. (Édition Garnier
frères
.) Comparez cette belle page de madame de Staël :
, qui est votre père. » 2. Paroles d’un croyant. (Édition Garnier
frères
.) 1. Je ne vous laisserai pas orphelins ; je vie
érona a conçu l’horrible dessein de faire empoisonner Britannicus son
frère
. Burrhus, ancien gouverneur de cet empereur, veut
nsommation de son crime, disant qu’il voulait se réconcilier avec son
frère
. Voilà la véritable éloquence et ses heureux effe
é que scélérat, il aurait étouffé toute sa haine dans les bras de son
frère
. Cette objection n’affaiblirait en rien le pouvoi
abord à ses serviteurs : avez-vous encore votre père et quelque autre
frère
? Et nous avons répondu à mon Seigneur : Nous avo
ons répondu à mon Seigneur : Nous avons un père fort âgé, et un jeune
frère
qui est né dans sa vieillesse ; son frère qui est
père fort âgé, et un jeune frère qui est né dans sa vieillesse ; son
frère
qui est né de la même mère est mort : il est rest
lui, son père mourra. Et vous dîtes à vos serviteurs : Si votre jeune
frère
ne vient avec vous, vous ne paraîtrez plus devant
etez-nous des vivres. Nous lui répondîmes : Nous irons si notre jeune
frère
vient avec nous ; sans cela nous n’irons point, p
pouvons paraître devant celui qui commande en Égypte, que notre jeune
frère
ne soit avec nous. Et notre père votre serviteur
Seigneur en la place du jeune homme, et qu’il s’en retourne avec ses
frères
; car comment retournerai-je sans lui, pour être
le sujet est féminin, et s, si le sujet est pluriel. EXEMPLES. Mon
frère
a été puni. Ma sœur a été punie. Mes frères o
riel. EXEMPLES. Mon frère a été puni. Ma sœur a été punie. Mes
frères
ont été punis. Mes sœurs ont été punies1. Mon
unie. Mes frères ont été punis. Mes sœurs ont été punies1. Mon
frère
est tombé. Ma sœur est tombée. Mes frères son
ont été punies1. Mon frère est tombé. Ma sœur est tombée. Mes
frères
sont tombés. Mes sœurs sont tombées. 87. — E
ES. Mon père a écrit une lettre. Ma mère a écrit une lettre. Mes
frères
ont écrit une lettre. Mes sœurs ont écrit une le
ces sortes de lettres, dans celle-ci de Mademoiselle de Barry, à son
frère
, Élève de l’École Royale Militaire. Je l’ai trouv
e je doive craindre de la citer tout entière. « J’apprends, mon cher
frère
, que vous allez sortir de l’École Militaire, pour
cet appui, les mânes plaintifs de leurs pères. « Bénissons, mon cher
frère
, les circonstances qui ont fait éclore un acte au
ué ses soins les plus précieux et les plus chers. En vérité, mon cher
frère
, je considère avec joie tant d’avantages : mais j
l’amitié me suggère sur votre conduite et vos devoirs. « 1°. Mon cher
frère
, je me figurerais en votre place, qu’en tout état
s perdre de l’autre à l’exacte vertu. « J’allais mettre 5°., mon cher
frère
; mais la crainte de faire un sermon m’arrête ; e
la seule réponse que le Général Espagnol en reçut. « Voilà, mon cher
frère
, deux Barry qui n’ont point eu d’École Militaire
; mais c’est moins de crainte que de courage. « Entrez donc, mon cher
frère
, de l’École dans la carrière militaire. Portez le
vous sentez par-là ce que mon ambition vous demande. Adieu, mon cher
frère
, pardonnez à ma jeunesse ces réflexions ; mais sa
. L’aîné donne des soins assidus à son arbre. Décrivez ces soins. Son
frère
, au lieu d’imiter cet exemple, ne pense point à s
rapidement. L’automne étant arrivé, le plus jeune voit l’arbre de son
frère
chargé de beaux fruits. Décrivez en peu de mots.
fant se plaint à son père. Il a été, dit-il, « moins favorisé que son
frère
. Le pommier qui lui a été donné ne valait rien. »
cet enfant. Un jour, sa nourrice vient le voir avec son fils Jacquot,
frère
de lait de Gaston ; Gaston les repousse tous deux
il croit être le fils, affectueux envers les enfants qu’il croit ses
frères
et sœurs, poli et obligeant envers tout le monde.
s chaînes d’argent au profit de ses soldats. Le comte d’Enghien était
frère
du père de Henri IV. 41. Ézilda. Sujet et p
C. 46. Clairval le fier et le bon Clairval. Sujet et plan. Deux
frères
, propriétaires dans le même village, avaient un c
Vous raconterez ensuite ce qui arriva à l’un et à l’autre de ces deux
frères
dans deux circonstances où ils eurent besoin du s
é et de manière à faire rire à ses dépens. Ceux qui ont rapport à son
frère
devront être retracés de manière à exciter l’atte
ais la nuit vous nous laissez en paix ; nous vous regardons comme nos
frères
, et nous venons vous secourir. » Ravi de cette ac
is que, si l’un deux montait sur le trône, au lieu de faire périr son
frère
, il le traiterait toujours comme son meilleur ami
l le traiterait toujours comme son meilleur ami. Ils avaient alors un
frère
aîné, qui mourut avant leur père. Mahomet III meu
des Domitien, fut tué en 217. Sujet. Après avoir donné la mort à son
frère
, Caracalla s’adressa à Papinien, ancien ministre
les Français de 879 à 884, d’abord conjointement avec Louis III, son
frère
, puis seul, après la mort de Louis III, arrivée e
l’église s’ouvrent pour eux ; ils sont libres d’aller rejoindre leurs
frères
d’armes. Ces quatre mille hommes arrivèrent à Cho
il demande des armes, il veut s’élancer sur les assassins, venger ses
frères
et périr comme eux, Flavio parvient à le calmer.
is, surnommé le Grand, de la maison royale de France, descendant d’un
frère
de saint Louis, était roi de Hongrie et de Pologn
99. Ilfrid. Sujet. Un fils naturel de Charlemagne, jaloux de ses
frères
, à qui des royaumes étaient promis, et mécontent
il leur promet le pillage du palais et de la ville ; il veut que ses
frères
soient immolés ; quant à Charlemagne, il doit êtr
ait le second fils de Pierre III. Il devint roi après son père et son
frère
aîné, Alphonse, en 1291. Belvédère est une ville
qu’il ne consentira jamais à monter sur le trône par le meurtre d’un
frère
qu’il chérit et dont il est tendrement aimé. Roxe
de Pâques, au premier coup de la cloche de vêpres22. Charles d’Anjou,
frère
de saint Louis, roi de France, avait conquis Napl
. La comtesse, brouillée avec son mari, s’était retirée auprès de son
frère
. Yvain, fils du comte et de la comtesse, âgé de q
ain, dont le seul crime est d’avoir cru à la sincérité de l’exécrable
frère
de sa mère. 1re partie : L’innocence de Gaston e
re, fille de Guillaume le Conquérant. Richard Cœur de Lion avait deux
frères
, Geoffroi et Jean. Geoffroi avait épousé Constanc
tés de France, et s’empara de tout au préjudice d’Arthur, fils de son
frère
aîné. Arthur réclama ses droits et trouva des déf
u palais le gouvernement du royaume et le commandement des armées. Un
frère
de sa mère lui adresse à ce sujet un discours dic
enaient à sa communion, et leur propose d’aller avec lui venger leurs
frères
. Plan. Dominique de Gourgues retrace en peu de mo
naviguer vers la Floride, reconquérir le territoire usurpé sur leurs
frères
et punir les assassins. Peuvent-ils faire un plus
par les Romains. 152. Discours pour Conradin. Charles d’Anjou,
frère
de saint Louis, appelé en Italie par le pape, vai
u czar qu’il fallait imiter les souverains d’Orient, et sacrifier son
frère
à la sûreté du trône. Fédor, inquiet et troublé,
tête de Turc pris ou tué les armes à la main. Un soldat grec dont le
frère
, fait prisonnier par les Turcs dans l’affaire du
à vouloir tuer le jeune Turc qui déjà avait apporté les têtes de ses
frères
. Et ce ne fut qu’avec beaucoup de peine que nous
les lois punissent si sévèrement ? Son père presque septuagénaire, un
frère
aîné attaqué d’une maladie grave, un frère puîné
presque septuagénaire, un frère aîné attaqué d’une maladie grave, un
frère
puîné trop jeune encore étaient tous les trois da
de son absence, il a travaillé jour et nuit pour les siens ; le jeune
frère
qui n’avait que onze ans à l’époque de son départ
u’il l’a eu mis à même de le remplacer auprès de leur père et de leur
frère
, et que l’enfant parvenu à l’âge de seize ans a e
ous déserté ? Le prévenu. J’avais laissé mon vieux père infirme, mon
frère
aîné atteint d’une violente maladie et mon petit
e infirme, mon frère aîné atteint d’une violente maladie et mon petit
frère
encore hors d’état de gagner sa misérable vie ; i
ue, et toutes les fois que j’avais ramassé un peu d’argent, mon jeune
frère
venait le chercher pour soulager la famille. Souv
ais aussi exercé au tir, et j’étais devenu chasseur assez habile. Mon
frère
me suivait et il allait dans les auberges vendre
ion pour lui ; je lui avais promis de me présenter dès que mon second
frère
serait en âge de travailler ; c’est ce que j’ai f
ant, amis, épouses, mères ! Venez compter vos fils, vos amants et vos
frères
; Venez sur ces débris disputer aux vautours L’es
mien l’ineffable bonté, Comme on doit respecter sa moindre créature,
Frère
à quelque degré qu’ait voulu la nature1. Ah ! mon
che, ni pauvre, ni petit, ni grand, mais des hommes, c’est-à-dire des
frères
en misères et en espérances. « Comme homme, le
and se trouve une scène analogue : c’est la visite d’Amélie et de son
frère
au manoir paternel. Dans le journal d’Eugénie d
Guérin.) 1. Comparez le Chien du Louvre. (Casimir Delavigne,) 1.
Frère
: c’est un mot que La Fontaine n’aurait pas prono
imaux ; et la légende raconte qu’un jour, voyageant en compagnie d’un
frère
dans la marche d’Ancône, il rencontra un homme qu
ues, et, s’approchant, il dit à l’homme : “Pourquoi tourmentes-tu mes
frères
les agneaux en les portant ainsi “liés et suspend
est de la bonté divine que nous séjournions ici quelque peu, tant nos
frères
les petits oiseaux semblent consolés de notre pré
lle jugé par Racine 1 Vous, monsieur, qui non-seulement étiez son
frère
, mais qui avez couru longtemps une même carrière
ux dire, dans ce chaos du poëme dramatique parmi nous, votre illustre
frère
, après avoir quelque temps cherché le bon chemin,
t, s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux de monsieur votre
frère
, quelque étrange inégalité que, durant leur vie,
1. Racine répond au discours de Thomas Corneille qui succède à son
frère
(1685) dans son fauteuil académique. Il y trouve
ux dire, dans ce chaos du poëme dramatique parmi nous, votre illustre
frère
, après avoir quelque temps cherché le bon chemin
inguent, s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux de M. votre
frère
, quelque étrange inégalité que, durant leur vie,
Grand. Voilà, monsieur, comme la postérité parlera de votre illustre
frère
; voilà une partie des excellentes qualités qui l
lui donna le surnom de Grand non-seulement pour le distinguer de son
frère
, mais du reste des hommes ». 4. C’est-à-dire poi
r d’un grand homme. 2. Outre Thomas Corneille, qui succédait à son
frère
, Racine reçut dans cette séance un littérateur fo
œur d’Horace, qui, à l’aspect des dépouilles de son amant tué par son
frère
, s’abandonne à l’excès de son désespoir : solvit
la Médie, de l’Arménie, et du pays des Cadusiens. Si je lègue à votre
frère
une autorité plus étendue, avec le titre de roi,
’on travaille pour ses propres intérêts, en s’occupant de ceux de son
frère
: l’illustration d’un frère devient pour nous une
es intérêts, en s’occupant de ceux de son frère : l’illustration d’un
frère
devient pour nous une décoration personnelle, et
r qui un homme constitué en dignité sera-t-il plus révéré que par son
frère
? Est-il quelqu’un qu’on craigne plus d’offenser,
e ? Est-il quelqu’un qu’on craigne plus d’offenser, que celui dont le
frère
est puissant ? Que personne donc ne soit disposé
eux de ne pas aimer, et plus louable d’honorer. Enfin, Cambyse, votre
frère
est le seul qui puisse occuper la première place
s cœurs que je dépose mes derniers vœux. Racontez à mon père et à mon
frère
quelles amertumes ont empoisonné, quels pièges on
u parvenir A placer son second étage, S’écrie : « Il est fini ! » Son
frère
, murmurant, Se fâche, et d’un seul coup détruit s
pleurant. « Mon fils, répond alors le père, Le fondateur, c’est votre
frère
, Et vous êtes le conquérant8. » L’aveugle et
J’ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres. Unissons-les, mon
frère
, ils seront moins affreux. — Hélas ! dit le percl
ils seront moins affreux. — Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon
frère
, Que je ne puis faire un seul pas ; Vous-même vou
dans l’établissement qu’elle avait fondé4. Au comte d’Aubigné, son
frère
. Notre bonheur dépend de nous-mêmes. On n’e
ce envers les protestants. On m’a porté sur votre compte, mon cher
frère
, des plaintes qui ne vous font pas honneur. Vous
né, et combien, par ces motifs, ses premières années et celles de son
frère
furent errantes et tourmentées. 3. A cette époqu
ui est de 1676, celle que Mme de Maintenon écrivit sur la mort de son
frère
au duc de Noailles, le 9 juin 1703 : on y voit «
ux aux dieux de l’onde amère ! Que de vœux à Neptune, à Castor, à son
frère
! Glaucus ne te vit point ; car sans doute avec l
it ailleurs : Je meurs, avant le soir j’ai fini ma journée. 1. Son
frère
, Marie-Joseph Chénier, écrivait ces vers en répon
é ; Mais ils vous ressemblaient, ils étaient sans pitié. ……………… O mon
frère
, je viens, relisant tes écrits, Chanter l’hymne f
tes manes proscrits. Là, souvent tu verras près de ton mausolée, Tes
frères
gémissants, ta mère désolée, Quelques amis des ar
lle aurait des lecteurs. Le charme de ces confidences destinées à son
frère
tient à la sincérité qui les inspira. Rappelons q
’avenir, elle avait concentré toutes ses espérances de bonheur sur le
frère
absent qu’elle ne revit que pour lui clore à jama
inspiration de ses épanchements. Elle eut l’âme triste ainsi que son
frère
, mais cette mélancolie n’avait rien d’énervant ;
une de ces princesses de la Bible qui lavaient les tuniques de leurs
frères
. Nous avons un lavoir, que tu n’as pas vu, à la M
tous les blessés furent secourus comme s’ils l’avaient été par leurs
frères
. L’ordre, la prévoyance, l’attention, la propreté
. Les ennemis prisonniers et blessés devenaient nos compatriotes, nos
frères
. Jamais tant d’humanité ne succéda si promptement
un brave officier, que j’estimais et que j’aimais. Je sais qu’il a un
frère
dans l’état ecclésiastique ; donnez-lui le premie
et de Henriette-Marie de France. Elle fut mariée, en 1661 à Monsieur,
frère
unique de Louis XIV, et mourut en 1670 à l’âge de
avait épousé un des plus riches Tyriens, nommé Sichée, que Pygmalion,
frère
de cette princesse, égorgea au pied des autels po
signifie homme. D’autres prétendent que ce nom de Germains signifiant
frères
, ne fut d’abord donné qu’à cinq peuples, qui, sem
a prédilection que son père avait pour lui, et sa supériorité sur ses
frères
, qui lui fut annoncée dans un songe, excitèrent l
nt Jésus-Christ, après avoir fait venir auprès de lui son père et ses
frères
, à qui le roi donna la grande terre de Gessen. Se
Jacob et de Lia, sœur de Rachel, né l’an 1755 avant J.-C. Lorsque ses
frères
eurent jeté Joseph dans une citerne, à dessein de
parvenu à l’âge de régner, il détrôna son père, et partagea avec ses
frères
, Neptune et Pluton, l’empire du monde, se réserva
autant d’arcades. Revel (le marquis de), colonel des cuirassiers, et
frère
du comte de Broglie. Il reçut trois coups d’épée
France, arrière-petit-fils de Henri IV et de Gabrielle d’Estrées, et
frère
de ce fameux duc de Vendôme qui, dans la guerre d
et généreuse, les premiers-nés de ses troupeaux, tandis que Caïn, son
frère
aîné, lui offrait, avec une piété avare, les prém
a, un des plus grands généraux Carthaginois, fils d’Amilcar-Barca, et
frère
du fameux Annibal, qu’il remplaça dans le command
s cette victoire, il passa en Italie, pour apporter des secours à son
frère
. Mais il lut arrêté près du fleuve Métaure, l’an
grand dauphin. Bretagne (Louis duc de), fils du duc de Bourgogne, et
frère
aîné de Louis XV. Il naquit en 1707, et mourut âg
Bourbon, prince de), né en 1664 d’Armand de Bourbon, prince de Conti,
frère
du grand Condé. Son courage et sa valeur parurent
re Drusus, fils de l’empereur Tibère. E Ésaü, fils d’Isaac, et
frère
jumeau de Jacob. Les Iduméens, peuples qui occupa
enots ; et après la mort tragique du duc et du cardinal de Guise, ses
frères
, il se déclara le chef de la ligue, et prit le ti
Péloponèse (aujourd’hui Morée). On ne le sépare point de Castor, son
frère
jumeau, avec lequel il était uni de l’amitié la p
vait donné l’immortalité à Pollux, qui obtint de la partager avec son
frère
; de sorte qu’ils passaient alternativement six m
l’Allemagne Camp impérial, Géra, le 12 octobre 1806. Monsieur mon
frère
, Je n’ai reçu que le 7 la lettre de Votre Majest
ant de facilité parmi les peuples. Sur ce, je prie Dieu, monsieur mon
frère
, qu’il vous ait en sa sainte et digne garde. De V
qu’il vous ait en sa sainte et digne garde. De Votre Majesté, le bon
frère
, Napoléon. (Correspondance de Napoléon Ier, t. XI
t est dans ces vers de Béranger : (Le Vieux Sergent. — Édit. Garnier
frères
, p. 384.) « Qui nous rendra, dit cet homme héroï
le Vieux Drapeau, dont voici les premières strophes (édition Garnier
frères
, p. 284) : De mes vieux compagnons de gloire Je
a chanson de Béranger qui commence par cette strophe (édition Garnier
frères
) : On parlera de sa gloire Sous le chaume bien
s’asseoir Un pauvre enfant vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un
frère
. Son visage était triste et beau ; A la lueur de
nt s’asseoir Un jeune homme vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un
frère
. Je lui demandai mon chemin ; Il tenait un luth d
vint s’asseoir Un orphelin vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un
frère
. Lorsque plus tard, las de souffrir, Pour renaîtr
enu s’asseoir Un malheureux vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un
frère
L’incendie Lorsque le laboureur, regagn
A aron, né en Egypte l’an 1574 avant Jésus-Christ, et
frère
aîné de Moyse, dont il partagea tous les travaux
fs. Il mourut âgé de 123 ans, l’an 1452 avant J. C., privé, comme son
frère
, du bonheur d’entrer dans la terre promise, aujou
V1. (Exorde.) La grandeur de Dieu. Dieu seul est grand2, mes
frères
, et dans ces derniers moments surtout où il prési
t, et l’homme n’est plus rien de tout ce qu’il croyait être. Oui, mes
frères
, la grandeur et les victoires du roi que nous ple
et la violence1 qui nous l’assurent. Voyons-nous des mêmes yeux, mes
frères
, la vicissitude des choses humaines ? Sans remont
ience de la direction. Le bonheur A M. Charles d’Aubigné, son
frère
On n’est malheureux que par sa faute : ce s
ujours mon texte1, et ma réponse à vos lamentations. Songez, mon cher
frère
, au voyage d’Amérique, aux malheurs de notre père
il crut devoir changer de ton avec sa pénitente. 1. Fille unique du
frère
de madame de Maintenon. — Le texte de cette lettr
rs d’enfance, Comme on renaît au souffle du printemps. (Édit. Garnier
frères
.) Projets ambitieux J’ai le sujet d’un
sons, laisse à peine un quatrain4. (Chansons posthumes, édit. Garnier
frères
.) Mon vieil habit Sois-moi fidèle, ô pa
t : « Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas ! » (Édit. Garnier
frères
.) Les souvenirs du peuple On parlera
e chérir ? Comment ne pas en croire un ami qui nous dit : « Ah ! mes
frères
, si nous sentions les misères de notre âme, comme
ponds : Pourquoi voulez-vous ajouter à tous les autres maux que votre
frère
vous a faits, celui de le haïr, et qui est le plu
e haïr, et qui est le plus grand de tous ? — Votre haine envers votre
frère
vous restitue-t-elle les avantages qu’il vous a r
de lui obéir ; que les titres qui, dans un ennemi, lui découvrent un
frère
; que l’espérance de retrouver devant le juge éte
ant dans la tombe, si tu ne veux pas te laisser attendrir. Viens, mon
frère
, tu es encore bien petit pour me défendre ; viens
trictions si sévères. Un exemple vous le montrera. Lysias avait eu un
frère
proscrit par les trente tyrans. Quand la ville le
qui avait ordonné cette exécution. Quelle cause pour un orateur ! Un
frère
plaidant pour son frère contre un homme détesté,
exécution. Quelle cause pour un orateur ! Un frère plaidant pour son
frère
contre un homme détesté, devant des juges encore
s de la rhétorique tout ce qu’il nous importe d’en savoir. 15. Son
frère
. 16. « Si j’avais été invité au repas des Ides,
tte couronne à un fratricide ; car, pour en jouir, il a assassiné son
frère
, en lui versant du suc de ciguë dans l’oreille, c
ge 242. COMPOSITIONS. N° 72. — Le Tigre. Je vais chanter, ô mes
frères
, le courage d’une mère — … Déjà le printemps rena
e prit naissance. L’envoyé d’en haut était accompagné de trois de ses
frères
, Espérance, Foi, Charité : tels sont leurs noms q
u printemps. Cette fois encore le lion ange fut suivi de trois de ses
frères
, l’amour fraternel, l’amour paternel, et le plus
l’agneau, je tette encore ma mère. — Si ce n’est toi, c’est donc ton
frère
. — Je n’en ai point. — C’est donc, quelqu’un des
u ciel la chose la plus précieuse aux yeux de Dieu — … Les anges, ses
frères
, intercèdent pour lui, mais inutilement — … Nœud
r la muraille pour regarder avec le peuple cet affreux combat de deux
frères
l’un contre l’autre — … Nœud, En ce moment, Méné
Ils se tenaient embrasses, l’aîné avait la main sur la bouche de son
frère
— … Dénouement, Le bon prêtre les appela, mais i
songeant à la position fortunée de son frère Abel. Abel aperçoit son
frère
; il accourt et l’engage à s’abriter pendant l’or
proches ; du côté de Caïn, fureur et menaces.) Caïn irrité frappe son
frère
au front, puis s’épouvante de son action. (Tablea
Ô mon père ! Viens me défendre ; Dieux puissants, vengez-moi. Oreste,
frère
chéri, où es-tu ? Mais c’est en vain me je pleure
bris dispersés, Les enfants écrasés dans les bras de leurs mères, Les
frères
méconnus égorgés par leurs frères, Soldats, prêtr
s dans les bras de leurs mères, Les frères méconnus égorgés par leurs
frères
, Soldats, prêtres, amis, l’un sur l’autre expiran
le roi, je te laisse seule sur la terre ; je ne puis te confier à tes
frères
barbares. Tu ne trouveras d’appui qu’en toi-même,
les dernières paroles d’Œdipe, elle ne songe qu’au triste sort de ses
frères
. Sa propre misère et son délaissement l’occupent
lle. « Mon père, s’écriait-elle, avant que de mourir, pardonnez à mes
frères
, les dieux, n’en doutez pas, ferment l’oreille au
sque ces vœux n’embrassent pas tous les enfants. Ah ! Pardonnez à mes
frères
pour que le malheur cesse de s’appesantir sur moi
arrêté, implorer pour eux le secours des incas. C’est donc un ami, un
frère
, qu’on va dévorer. Le permettront-elles ? — N
la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu l’es donnée ; Tes
frères
, ces martyrs égorgés à mes yeux, T’ouvrent leurs
N° 243. — Sur le petit nombre des Elus Je m’arrête à vous, mes
frères
, qui êtes ici assemblés. Je ne parle plus du rest
et les larmes, et ne fait rien pour l’en tirer. Pendant ce temps son
frère
gémit dans les fers. Que fait au contraire Callid
rs de peines, de malheurs, enfants d’un même père, vivons du moins en
frères
. Aidons-nous les uns les autres à porter nos char
rir le roi des rois au retour du siège de Troie. Elle sut dérober son
frère
, le jeune Oreste, à la barbarie d’Egisthe. Elle f
ison funèbre que lui consacra Massillon : « Dieu seul est grand, mes
frères
, et dans ces derniers moments surtout, où il prés
que l’adulation semblait le mettre au-dessus de l’homme ! « Oui, mes
frères
, la grandeur et les victoires du roi que nous ple
ns Paris ; on trouvait le fils assassiné sur le corps de son père, le
frère
mort avec la sœur et la fille avec mère Je ne vo
ruisselant dans Paris ; Le fils assassiné sur le corps de son père Le
frère
avec la sœur, la fille avec sa mère… Voltaire, H
qu’ils espéraient. Mais quel usage plus doux et plus flatteur, mes.
frères
, pourriez-vous faire de votre élévation et de vot
pièces de canon qui appartenaient à un prince qui est oncle du roi et
frère
de la reine4, avec qui vous n’aviez jamais eu de
pour qu’on puisse le… 4. De la reine mère Anne d’Autriche, dont le
frère
, Philippe IV, était roi d’Espagne.
pas que des hommes qui doivent servir la cause publique en véritables
frères
d’armes aient bonne grâce à se combattre en vils
défendre, aux femmes qui, pour elle, consentent aux dangers de leurs
frères
, de leurs époux et de leurs fils. À l’approche de
art avec ses voisins, avec son père et sa mère, avec ses sœurs et ses
frères
; il ne laisse rien après lui : il emporte tout s
e cruelle, mais encore vivant, se tenait à demi soulevé auprès de son
frère
d’armes. Il lui dirait : « Guerrier, tu dors aprè
it par cette lettre : Napoléon au roi de Prusse 119. Monsieur mon
frère
, je n’ai reçu que le 7 la lettre de Votre Majesté
de facilité parmi les peuples120. Sur ce, je prie Dieu, monsieur mon
frère
, qu’il vous ait en sa sainte et digne garde, etc.
nt à quelques amis, un père à ses enfants, une épouse à son époux, un
frère
à son frère, en un mot, le cœur ; c’est là ce qu’
s amis, un père à ses enfants, une épouse à son époux, un frère à son
frère
, en un mot, le cœur ; c’est là ce qu’il veut pour
! Arrivé au pied de l’échafaud, il y monta sur-le-champ, suivi de son
frère
, des ministres de l’Église et de plusieurs de ses
5… Envoyé de Constantinople en France, André Chénier, l’aîné des deux
frères
, fut placé dans un collège de Paris. Son goût vif
enant son talent pour le fortifier, et ne se hâtant pas d’écrire. Son
frère
, plus jeune que lui, se précipita plus vite vers
éparait sa tragédie de Charles IX pour cette époque nouvelle, que son
frère
ne salua pas d’abord avec moins d’ardeur. Les voi
éance de l’âge ; il a eu celle de l’échafaud. La destinée de ces deux
frères
offre d’ailleurs un tragique intérêt. En repoussa
d’ardeur pour la réformation sociale où s’étaient précipités les deux
frères
, ils ne la suivirent pas longtemps du même pas ni
ute grecque se répandait dans des poésies d’une grâce ravissante, son
frère
obtenait la célébrité bruyante du théâtre, devenu
ient lui-même. Il vit plus tard sa gloire littéraire s’accroître. Son
frère
fut plus heureux : il ne fut que victime ; il por
nence de l’empire sur les royaumes se débattit à main armée entre les
frères
; et, dès le commencement de la guerre, les Frank
e que sur ceux de la Seine et de la Loire. « Sachez, mandait-il à ses
frères
qui le priaient de les laisser en paix chacun dan
ous ses soldats prirent la fuite ; et lui-même apprenant que ses deux
frères
marchaient sur la capitale de l’empire, il l’aban
t courir les chances d’une nouvelle bataille, il envoya vers ses deux
frères
des messagers pour traiter de la paix221. Extra
ps. Guillaume eut son cheval tué sous lui ; le roi Harold et ses deux
frères
tombèrent morts, au pied de leur étendard, qui fu
la fit étrangler. Ce fut le signal d’une longue guerre entre les deux
frères
, Chilpéric et Frédegonde enfermés dans Tournay ét
Roi Sighebert, dit-il, si tu pars sans intention de mettre à mort ton
frère
, tu reviendras vivant et victorieux ; mais si tu
dit par la bouche de Salomon : La fosse que tu prépares afin que ton
frère
y tombe te fera tomber toi-même. » Le roi ne fut
perik vit ce cadavre sans remords et sans haine, et il voulut que son
frère
eût des funérailles dignes d’un roi. Par son ordr
senter au baptême ; l’enfant parut se trouver mieux, mais bientôt son
frère
, Chlodobert, âgé de quinze ans, fut pris comme lu
’ait qu’à choisir entre Étéocle et toi288. Le trône t’est ravi par un
frère
infidèle : Hé ! ne régnais-tu pas, quand ta voix
eur, couché sur la poussière, Mourir, mais en sujet, et bravé par ton
frère
! Adieu, tu peux partir. Raconte à tes amis Et l’
ffermis-la plutôt. ANTIGONE. Affermis-la plutôt.Seigneur, il est mon
frère
. ŒDIPE. Qu’entends-je ? où suis-je ?… Ô ciel ! si
ce] Né à Constantinople en 1764, deux ans après André Chénier, son
frère
, Marie-Joseph manifesta dès son enfance cette nat
ph ; Les dissentiments politiques qui s’étaient élevés entre les deux
frères
n’avaient altéré que peu de jours leur ancienne e
se réveilla plus vive à l’approche du danger. Marie-Joseph cacha son
frère
à Versailles, et quand celui-ci, victime d’une gé
victime d’une généreuse imprudence344, fut arrêté comme suspect, son
frère
, dénoncé lui-même à la tribune par Robespierre, f
-là même, dans l’ombre armant la calomnie, Me reprochent le sort d’un
frère
infortuné Qu’avec la calomnie ils ont assassiné !
dor la septième journée Sous les feux du Lion ramènera l’année, Ô mon
frère
! je veux, relisant tes écrits, Chanter l’hymne f
à tes mânes proscrits. Là, souvent tu verras près de ton mausolée Tes
frères
gémissants, ta mère désolée387, Quelques amis des
onfessez ; mauvais fils, n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un
frère
. FRANÇOIS DE PAULE. J’avais un frère.Eh bien ? L
vos fautes ! LOUIS. J’avais un frère. FRANÇOIS DE PAULE. J’avais un
frère
.Eh bien ? LOUIS. J’avais un frère. Eh bien ?Qui
re. FRANÇOIS DE PAULE. J’avais un frère.Eh bien ? LOUIS. J’avais un
frère
. Eh bien ?Qui fut… empoisonné. FRANÇOIS DE PAULE.
contre ses remords ton cœur cherche un refuge ! Tremble ! j’étais ton
frère
et je deviens ton juge. Écrasé sous ta faute au p
a fois ! » Enfant, quand tout le jour vous avez en famille, Tes deux
frères
et toi, joué sous la charmille, Le soir vous êtes
nte, Harold s’était rendu auprès de Guillaume pour réclamer son jeune
frère
et son neveu, livrés comme otages par le roi Édou
t de la guerre civile, de s’interposer comme médiateur entre les deux
frères
. « C’était, dit M. Augustin Thierry, un homme de
le. V. les vers 1274 à 1335. Dans Sophocle, c’est la haine contre son
frère
bien plutôt qu’un retour de vraie tendresse pour
ragédie d’Atrée et Thyeste de Sénèque, lorsque Atrée a présenté à son
frère
l’horrible festin composé des membres de ses fils
yenne mourut le 24 mai 1472. « Louis XI, dit Brantôme, empoisonna son
frère
par gentille industrie, lorsqu’il y pensait le mo
autres Sismondi, ont nié que Louis XI eût participé à la mort de son
frère
. 430. « On mit sous l’échafaud, dans les halles
ps marqué par ce verbe : = j’entends, j’ai entendu, j’entendrai votre
frère
chanter. Participe. Le participe a la significat
ie aussi souvent pour l’un que pour l’autre : = croyez-vous que votre
frère
vienne ? Le verbe vienne marque un présent, si l’
enne ? Le verbe vienne marque un présent, si l’on veut dire que votre
frère
est en chemin, et un futur, si l’on veut dire qu’
i je dis simplement : le soleil brille ; les arts fleurissent ; votre
frère
est parti : je considérerai le soleil, les arts,
; votre frère est parti : je considérerai le soleil, les arts, votre
frère
, sans aucun rapport avec d’autres objets. Mais si
nos contrées ; les arts fleurissent chez les peuples policés ; votre
frère
est parti pour la campagne ; j’exprimerai, par ce
tre le soleil et nos contrées, les arts et les peuples policés, votre
frère
et la campagne. Par conséquent, ces mots, sur, ch
en se promenant reconnaître, là où l’on s’y attendrait le moins, des
frères
ou des maîtres. Lucrèce par exemple aimerait à di
ommes et avec nous-mêmes1. (Causeries du lundi, t. III. Édit. Garnier
frères
.) L’amour de l’antique C’est dans la jeun
à la première série des Causeries du lundi, publiée chez MM. Garnier
frères
. L’ensemble de cette collection vaut toute une bi
ang en rang. L’un poursuit un parent dans le parti contraire ; Là, le
frère
en fuyant meurt de la main d’un frère4. La nature
a main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t’est donnée ? Tes
frères
, ces martyrs égorgés à mes yeux, T’ouvrent leurs
inta illi thalami, spes tanta nepotum ; et Racine, Phèdre, II : Six
frères
… quel espoir d’une illustre maison ! 1. Nouve
-ci seul a eu à sa naissance le ciel favorable. Il est le seul de ses
frères
qui a réussi. Tous les autres ont fait généraleme
que vous aurez bientôt l’honneur de voir Picard 81 ; et comme il est
frère
du laquais de madame de Coulanges, je suis bien a
à Vitré84 sur la fin du mois de juillet ; cela me déplaît fort. Votre
frère
n’y sera plus en ce temps-là. Ma fille, vous souh
rougissait point, mais il s’en glorifiait. Car, à Dieu ne plaise, mes
frères
, écrivait-il aux Galates163, que je fasse jamais
issant, de cette croix ? Christum crucifixum, Dei virtutem. Ah ! mes
frères
, les pharisiens voyaient les miracles de ce Dieu
envole au-delà des mers ; un nouveau peuple nous l’enlève… Jetez, mes
frères
, des yeux baignés de larmes sur ces vastes région
ais l’Église a des promesses d’éternité ; et nous, qu’avons-nous, mes
frères
, sinon des menaces qui nous montrent à chaque pas
homme en présence de son juge suprême298. Je m’arrête à vous, mes
frères
, qui êtes ici assemblés : je ne parle plus du res
ieu ! où sont vos élus, et que reste-t-il pour votre partage299 ? Mes
frères
, notre perte est presque assurée, et nous n’y pen
ance offre aux grands. Quel usage plus doux et plus flatteur, mes
frères
, pourriez-vous faire de votre élévation et de vot
vous prolongiez vos jours au-delà même de vos espérances. Hélas ! mes
frères
, ce qui doit finir doit-il vous paraître long ? R
accordaient la paix à quelque prince, ils prenaient quelqu’un de ses
frères
ou de ses enfants en otage317 : ce qui leur donna
résents et des espérances ; on s’assura de l’abbé Jean de Vatteville,
frère
de celui qui, ayant insulté à Londres l’ambassade
ait de quelque lâcheté. LE VIEIL HORACE. J’en aurai soin. Allez : vos
frères
vous attendent ; Ne pensez qu’aux devoirs que vos
s comme moi l’ont pu voir. Il s’est fait admirer tant qu’ont duré ses
frères
; Mais quand il s’est vu seul contre trois advers
! JULIE. Je n’ai rien voulu voir après cette défaite. CAMILLE. Ô mes
frères
! LE VIEIL HORACE. Tout beau482, ne les pleurez p
encor de part à nos misères, Le ciel vous a sauvé votre époux, et vos
frères
; Si nous sommes sujets, c’est de votre pays : Vo
oux, et vos frères ; Si nous sommes sujets, c’est de votre pays : Vos
frères
sont vainqueurs quand nous sommes trahis ; Et, vo
op peu : votre aveugle colère Le hait en autrui même et passe à votre
frère
; Votre jalouse humeur ne lui saurait souffrir La
ortelles, Et soyez généreux en de justes querelles. Mais contre votre
frère
et contre un favori Nécessaire à son roi plus qu’
e lui dit : « Qu’allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre
frère
? L’absence est le plus grand des maux :
e, Que faucons, que réseaux. Hélas ! dirai-je, il pleut : Mon
frère
a-t-il tout ce qu’il veut, Bon soupé, bon
iendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon
frère
; Je le désennuîrai. Quiconque ne voit guère N’a
nt que l’avoir vu. Acte II, scène III. Chrysale ; Ariste, son
frère
; Bélise, leur sœur : celle-ci entre doucement et
e, entre nous, est un amusement, Un voile ingénieux, un prétexte, mon
frère
, À couvrir d’autres feux dont je sais le mystère
Vraiment, chimères est fort bon ! Je me réjouis fort de chimères, mes
frères
; Et je ne savais pas que j’eusse des chimères.
pour gendre. ARISTE. Oui ; mais, pour appuyer votre consentement. Mon
frère
, il n’est pas mal d’avoir son agrément. Allons… C
guenille m’est chère. BÉLISE. Le corps avec l’esprit fait figure, mon
frère
: Mais, si vous en croyez tout le monde savant, L
scène IX. Ariste, Chrysale. ARISTE. Hé bien ! la femme sort, mon
frère
, et je vois bien Que vous venez d’avoir ensemble
taquer ce qu’elle a résolu ? CHRYSALE. Mon Dieu ! vous en parlez, mon
frère
, bien à l’aise, Et vous ne savez pas comme le bru
s que j’ai tort. Allons, il faut enfin montrer un cœur plus fort, Mon
frère
. ARISTE. C’est bien dit. CHRYSA
s êtes pour Clitandre, et savez sa demeure : Faites-le-moi venir, mon
frère
, tout à l’heure. ARISTE. J’y cours tout de ce pas
erfides Qui vous osent donner ces conseils parricides ; Appelez votre
frère
, oubliez dans ses bras… NÉRON. Ah ! que demandez-
ssée. D’un empoisonnement vous craignez la noirceur ? Faites périr le
frère
, abandonnez la sœur ; Rome, sur les autels prodig
errez mettre au rang des jours infortunés Ceux où jadis la sœur et le
frère
sont nés. NÉRON. Narcisse, encore un coup744, je
ris dispersés ; Les enfants écrasés dans les bras de leurs mères, Les
frères
méconnus, immolés par leurs frères : Soldats, prê
dans les bras de leurs mères, Les frères méconnus, immolés par leurs
frères
: Soldats, prêtres, amis, l’un sur l’autre expira
mérité l’encens ; Qui, dépouillés d’eux-mêmes843 et vivant pour leurs
frères
, Les ont soumis au frein des règles salutaires, A
nfin qui d’un pays ont fait une patrie. Et que de fois pourtant leurs
frères
envieux Ont d’affronts insensés, de mépris odieux
96. Le chevalier de Grignan, dont parle très souvent Mme de Sévigné,
frère
du mari de sa fille. Il servit avec distinction e
ie française le 2 janvier 1685 pour la réception de Thomas Corneille,
frère
du grand poète, a retracé le tableau de la scène
ulait dire là-dedans. 596. Le contraste de la rude bonhomie des deux
frères
fait mieux ressortir l’affectation précieuse de l
ité, qui nous montre dans es pauvres des créanciers et des juges, des
frères
dans nos ennemis, dans l’Etre suprême un père ; l
est un orgueil secret qui nous découvre la paille dans l’œil de notre
frère
, et nous cache la poutre qui est dans le nôtre ;
sure qui sait plaire : une barbarie de sang-froid qui va percer notre
frère
absent. La médisance est un mal inquiet, qui trou
r leurs largesses l’intervalle que la misère a mis entre eux et leurs
frères
. Cambacérès. N° 60. — Corneille et Racine.
bon ami, et prendre soin de ta guérison, comme si tu étais mon propre
frère
. Ainsi tu ne dois point être fâché de me voir. BA
oreille cet homicide poison. Ainsi, pendant mon sommeil, la main d’un
frère
trancha mes jours au sein de mes erreurs, avant q
Allégories. — Modèles. N° 72. — Le Tigre. Que mes
frères
quittent leurs livres et leurs jeux ; que ma sœur
t, à coté de sa mère, Un ange, le plus beau des habitants du ciel, Un
frère
adolescent, de ceux que Raphaël Entre ses bras di
ud jouait avec Raton, Mais sans gronder, sans mordre, en camarade, en
frère
. Les chiens sont bonnes gens : mais les chats, no
loup pose alors un dernier argument : Si ce n’est toi c’est donc ton
frère
. Le mot donc fait là un effet étourdissant : le
loup enrage, il pose un dernier syllogisme. Ou c’est toi ou c’est ton
frère
. Or, ce n’est pas toi. Donc c’est ton frère. Si l
Ou c’est toi ou c’est ton frère. Or, ce n’est pas toi. Donc c’est ton
frère
. Si l’agneau avait eu un frère, il pouvait accord
. Or, ce n’est pas toi. Donc c’est ton frère. Si l’agneau avait eu un
frère
, il pouvait accorder cet argument, et discuter su
loup prétendit que l’agneau troublait son breuvage, et que lui ou son
frère
avait médit de lui l’année auparavant. L’agneau r
vait au-dessous du loup, qu’il n’avait que quelques mois, et point de
frère
. Le loup, irrité, fit sa proie de l’agneau. La me
coup-d’œil sur la nature. Effrayé et ravi, il se précipite parmi ses
frères
qui n’ont point encore vu ce spectacle ; mais, ra
ce que c’est qu’une salle d’asile, pour vous rassurer sur vos petits
frères
qui sont malheureux. Dans chaque arrondissement d
e sur l’ennemi qu’elle avait déjà vaincu plusieurs fois, et anima ses
frères
à marcher sur ses traces. Ainsi une esclave pauvr
ne mère pleine de tendresse pour ses enfants ; elle avait exhorté ses
frères
à souffrir avec patience, et les avait envoyé dev
es que résulta l’acte d’accusation d’Azaël. Ce fut en vain que ses
frères
intercédèrent pour lui : son exil fut prononcé ;
ges, ses compagnons de lumière, désespérèrent de revoir l’ami de leur
frère
au milieu d’eux. Azaël, après avoir interrogé les
orps couvrant l’autre à moitié, Avait porte la main aux lèvres de son
frère
, Comme pour arrêter l’inutile prière, Comme pour
d’Anglais. Le vieux sauvage en observant sa contenance : « Voilà tes
frères
, lui dit-il, les voilà qui nous attendent pour no
is rien, tu me dois tout. Serais-tu assez ingrat pour te réunir à tes
frères
et pour lever la hache contre nous ? » L’Anglais
riront. Un nègre avait ouï la sentence, il frappe sur l’épaule de son
frère
de couleur ; il échange avec lui quelques paroles
fidèle, Et qu’au fort du combat une troupe rebelle. Par ordre de son
frère
, avait enveloppé, Mais qui, d’entre leurs mains à
’être infidèle ! » Je cède enfin ; je pars, respirant les combats. Le
frère
de ma sœur accompagnait mes pas. J’avais atteint
me demandent du pain. Tu ne fais rien pour moi, tu fais tout pour mon
frère
, Ses fils, l’amour de Dieu, la fierté d’une mère,
l’empreinte, Il aperçoit Caïn, et vole plein de crainte ! « Oh ! mon
frère
! mon frère ! ah ! viens donc m’embrasser ! — Rec
, Il aperçoit Caïn, et vole plein de crainte ! « Oh ! mon frère ! mon
frère
! ah ! viens donc m’embrasser ! — Recule, vil ser
m’embrasser ! — Recule, vil serpent, tu viens pour m’enlacer ! — Mon
frère
, sauvons-nous des fureurs de l’orage. — Lâche, va
e. — Dieu, Dieu m’a rejeté comme je le rejette ! — Mais ta haine, mon
frère
, est un crime à ses yeux. — Le crime est pour Ada
e front d’Abel abat un coup mortel. Il tombe !… juste Dieu ! pour son
frère
il t’implore, Et son dernier regard lui pardonnai
ur le tyran le glaive sous lequel ils voient chaque jour tomber leurs
frères
. Étrange illusion ! Ces Romains, ces Gaulois surt
sont pas nos enfants, nous n’étions pas aussi barbares ! Non, mes
frères
, vous ne mêlerez pas vos cendres à celles de
ai compte du troupeau qu’il m’a confié ; et moi, votre père, votre
frère
, votre ami par la charité, moi ministre de paix e
ux. Voulez-vous dévorer la chair de votre ami, boire le sang de votre
frère
? » MARMONTEL. N° 240.— Servilius au peuple r
cteurs, au moment où elle te donna le jour : ils ont aussi égorgé tes
frères
, je l’ai vu, et tous ces martyrs sont là-haut qui
me paraît à peu près impossible de rendre. « Je m’arrête à vous, mes
frères
, qui êtes ici assemblés. » Cette simple phrase e
explosion. Un autre se fut contenté de dire : Je m’arrête à vous, mes
frères
; mais qui êtes ici assemblés isole davantage l’a
oduit déjà un mouvement dans son âme. Il n’aura pas le secours de ses
frères
, il sera seul et livré à ses propres ressources.
ers de peines, de misères, Enfants d’un même Dieu, vivons du moins en
frères
; Aidons-nous l’un et l’autre à porter nos fardea
nnée par Énée. Voici la traduction en vers de ce morceau par Boileau,
frère
de l’auteur du Lutrin. Hélas ! s’écria-t-elle au
st pris de la tragédie d’Horace, C’est Camille qui parle à Horace son
frère
. Romeb, l’unique objet de mon ressentiment, Rome
Zénobie déclare à Arsame qu’elle est mariée, et que son époux est le
frère
de ce même Arsame : dans la troisième scène du ci
Tragédie d’Horace, le Héros de la pièce ayant été nommé avec ses deux
frères
pour combattre contre les trois guerriers qu’Albe
plus précieuses facultés, et entre autres celle de transmettre à son
frère
les pensées et les sentiments qui l’animaient, ch
ie : l’enlèvement de la belle Europe par Jupiter. On sait que Cadmus,
frère
de la princesse phénicienne, se mit à la poursuit
s légué un deuil personnel, une douleur privée ? Qui ne pleure ou des
frères
, ou des fils morts dans les plaines de la Thessal
ne, roi d’Espagne et des deux Siciles, céda l’empire à Ferdinand, son
frère
, en 1556. L’année précédente, il avait abandonné
e des Gracques, supplie Caïus de ne pas poursuivre les projets de son
frère
(122 av. J.-C.). « Oui, mon fils, j’en jure par
eine, autant de mal que toi, en voulant marcher sur les traces de ton
frère
, toi qui devais me tenir lieu de tous les enfants
ts attestent plus d’une douleur. Et combien parmi vous regrettent des
frères
, des parents, des amis perdus dans les combats !
quel fils, à la vue de son père, n’abaisserait pas son glaive ? quel
frère
songerait à lancer un javelot contre son frère ?
pas son glaive ? quel frère songerait à lancer un javelot contre son
frère
? Quant à nous, voici la seule prière que nous t’
considérer, mon père, que les Samnites, dont les fils, les pères, les
frères
ont succombé dans les guerres contre Rome, qui, e
lus belle puis-je acquérir, que celle d’avoir donné la sépulture à un
frère
? Tous ceux qui sont ici présents applaudiraient
nt Jupiter, plantèrent des peupliers autour du monument. J’avais sept
frères
, habitant notre palais ; tous, en un seul et même
s le palais de mon père. Hector, tu es pour moi un père, une mère, un
frère
; tu es bien plus encore, tu es mon époux. Que to
i belliqueux. Mais le malheur des Troyens, d’Hécube, de Priam, de mes
frères
, qui, malgré leur nombre et leur valeur, doivent
génie de Corneille, il se surpassa lui-même, lorsqu’à la réception du
frère
de ce grand homme, il parla en ces termes des obl
ux dire, dans ce chaos du poème dramatique parmi nous, votre illustre
frère
, après avoir quelque temps cherché le bon chemin,
du verbe lis, et en même temps régissant du substantif ami : = Votre
frère
veut un peu trop tard apprendre à danser. Voilà l
s autres, et la seconde est plus noble que la troisième : = vous, mon
frère
et moi devons terminer cette affaire. Il ne faut
moqué, cette femme s’est moquée mal à propos de ce malheureux ; = vos
frères
se sont tus, vos sœurs se sont tues sur ce sujet.
s, etc. ; cet homme a moqué lui, cette femme a moqué elle, etc. ; vos
frères
ont tu eux, vos sœurs ont tu elles, etc. Voilà po
je vis. Par la raison contraire, on ne dirait pas bien : je vis votre
frère
cette semaine, ce mois-ci, cette année. La semain
ion, on doit dire : à la campagne : = l’armée est en campagne : = mon
frère
est à la campagne. Le substantif, précédé de la p
régime ni d’un que. Ne dites donc pas : il est arrivé auparavant son
frère
; auparavant que l’affaire fût terminée ; mais, a
t son frère ; auparavant que l’affaire fût terminée ; mais, avant son
frère
; avant que l’affaire fût terminée. On ne doit pa
é l’est en eux, et qu’elle nous fît autant appréhender de blesser nos
frères
, que nous devons regarder comme nos supérieurs da
nstances qui les font naître, et la crainte charitable de choquer nos
frères
qui nous les fait trouver. Mais il y a certains d
dant le séjour qu’il y avait fait en 1796. 2. Voir l’édition Garnier
frères
. 1. Du pain et les jeux du cirque. 2. La colonn
de plus merveilleux comme art. » (Essais sur sa vie. Édition Garnier
frères
.)
dre ce ton lugubre ? Vous allez croire sûrement que je veux que votre
frère
devienne un stoïcien, et qu’il se tue comme Caton
is de Mirabeau ; parlant des conférences morales qu’il avait avec son
frère
, il vient à disserter sur les livres anciens. 2
dramatiques excès. L’amour cruellement éprouvé d’une sœur y maudit un
frère
meurtrier de son amant et libérateur de la patrie
on amant et libérateur de la patrie ; et, par amour pour son pays, un
frère
verse le sang d’une sœur qui s’est laissé emporte
x reines, et, à la fin, devenant mari de l’une, en étant reconnu pour
frère
de l’autre. Le style de cette pièce intéressante
quis ce grand nom de soldat : J’en avais pour témoin le feu roi votre
frère
, Madame ; et par trois fois… Don Manrique.
ébuta au théâtre, à l’âge de vingt-quatre ans, par la Thébaïde ou les
Frères
ennemis. Celui qu’on devait un jour appeler le pe
sse annonce déjà l’auteur des futurs chefs-d’œuvre. La haine des deux
frères
est peinte avec énergie, et la scène de l’entrevu
tation trop visible des défauts de Corneille. Un an à peine après les
Frères
ennemis, en 1665, Alexandre le Grand donne naissa
nte, Dorine. Orgon. Ah ! mon
frère
, bonjour ! Cléante. Je sortais, et j’ai joie à v
le sort.) Scène VI. Orgon, Cléante. Cléante. À votre nez, mon
frère
, elle se rit de vous, Et, sans avoir dessein de v
voulez ; Mais enfin, pour savoir quel homme ce peut être… Orgon. Mon
frère
, vous seriez charmé de le connaître enfin, Et vos
ur rien ; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir
frère
, enfants, mère et femme, Que je m’en soucierais a
soucierais autant que de cela. Cléante. Les sentiments humains, mon
frère
, que voilà ! Orgon. Ah ! si vous aviez vu comme
voir tuée avec trop de colère. Cléante. Parbleu ! vous êtes fou, mon
frère
, que je crois. Avec de tels discours, vous moquez
us de moi ? Et que prétendez-vous ? Que tout ce badinage… Orgon. Mon
frère
, ce discours sent le libertinage78 ; Vous en êtes
ce sont des sots que tous les hommes. Cléante. Je ne suis point, mon
frère
, un docteur révéré, Et le savoir chez moi n’est p
upeaux comme il avait vécu dans la solitude de Béroé au milieu de ses
frères
; il médite, il prie, il fuit les hommes et même
…………………………………………………… ……………… Dissimulez, feignez, comportez-vous Comme
frère
en secret, en public comme époux. » Ils feignire
uaire, monsieur ? Vingt mille francs de rente. Lisette, à part. Mon
frère
est magnifique. En tout cas, je sais bien Que s’i
. La goutte le retient au lit depuis six mois. Lisette, à part. Mon
frère
, en vérité, ment fort bien quelquefois. Le Comte
de dix-huit ans et se mit à tailler la pierre, pour faire vivre deux
frères
dont il était l’aîné, et sa mère veuve et pauvre.
Artistes, comédie en trois actes (1796) ; les Mœurs du jour ou le bon
Frère
, en cinq actes (1800), Malice pour malice, en tro
ues, la plus ardente admiration : Lamartine et Victor Hugo seront ses
frères
et ses contemporains. Fils d’une Grecque remplie
opulente ; Joseph, qui dans Sichem cherche et retrouve, hélas Ses dix
frères
pasteurs qui ne l’attendaient pas ; Rachel, objet
, Florence, Ou les Pays-Bas. « Adieu donc, mon père, Adieu donc, mon
frère
; Adieu donc, ma mère, Adieu, mes petits. » Les c
e S’éteint dans l’horreur du danger ; Sans accourir pour le venger Le
frère
voit frapper son frère ; Aux tyrans qu’il n’atten
ur du danger ; Sans accourir pour le venger Le frère voit frapper son
frère
; Aux tyrans qu’il n’attendait pas Le vieillard l
rs l’oisiveté des cours ; Et nous sommes chrétiens, et nous avons des
frères
. Et nous expirons sans secours ! « L
Confessez, mauvais fils, n’excusez pas vos fautes. Louis. J’avais un
frère
. François de Paule. Eh
contre ses remords ton cœur cherche un refuge. Tremble ! j’étais ton
frère
, et je deviens ton juge. Écrasé sous ta faute au
ux. Elle veut descendre vers la vallée de misère, pour y chercher son
frère
déchu. Cependant, seule, un jour, leur timide co
vingt ans, dans le Conservateur littéraire qu’il avait fondé avec ses
frères
, et par ses premières Odes. Les Odes et Ballades
; Moi, je n’ouvrais pas ma croisée, De peur de la faire envoler. Ses
frères
riaient. — Aube pure ! Tout chantait sous ces fra
ruisit une ville énorme et surhumaine. Pendant qu’il travaillait, ses
frères
, dans la plaine, Chassaient les fils d’Énos et le
souvent, pour me distraire, Son enfance et les jeux de mon père, son
frère
, Que je n’ai pas connu ; car je naquis en deuil,
Il court, il va le long du corridor, Interrogeant tour à tour chaque
frère
. « Que s’est-il donc passé dans vos esprits, Et
suis allé du cloître à la forêt ; Voyez ! je suis Paul Gontran, votre
frère
! — Toi, Paul Gontran ! dit un moine bien vieux
20, Gaston Paris.) Par Dieu, beaus niés, trop parestes hardis ! Mon
frère
sembles et de boche et de vis. (Garin le Loherain
Renart le prent et si li nueue Entour la queue au miex qu’il puet. «
Frère
, » fait-il, « or vous esteut Moult sagement a con
prend et ainsi le noue — autour de la queue, du mieux qu’il peut. — «
Frère
, fait-il, maintenant il vous convient — de vous m
a levé la tête ; — il se tient sur ses gardes et ouvre les yeux. — «
Frère
, fait-il, or çà laissez votre œuvre ; — allons-no
, que vous aurez bientôt l’honneur de voir Picard709; et comme il est
frère
du laquais de Mme de Coulanges, je suis bien aise
t de tendresse et de compassion, qui nous fait sentir les maux de nos
frères
, entrer dans leurs intérêts, souffrir de tous leu
e parole. Ce lui est une douceur, en mourant, d’espérer de suivre ses
frères
dans la terre que Dieu leur donne pour leur patri
l se lève, la bonté de Dieu qui pardonne, et ne témoignez pas à votre
frère
un visage chagrin, pendant que le ciel, et Dieu m
paroles de réconciliation et de paix, pour adoucir l’amertume que nos
frères
témoigneront contre nous ou contre les autres, ch
blier, ou par des paroles piquantes et dédaigneuses, aigrissent leurs
frères
et leurs sœurs déjà émus et infirmes773 par leurs
ège de Rouen1037, homme de beaucoup d’esprit de détail et de travail,
frère
d’un conseiller au parlement de Normandie, qui de
famille des Nariskin1094, et principalement contre les deux Nariskin,
frères
de la jeune czarine douairière, mère de Pierre le
rière, mère de Pierre ler 1095. On persuade aux strélitz qu’un de ces
frères
, nommé Jean, a pris la robe du czar, qu’il s’est
lais, ils y trouvent un des oncles du czar Pierre, Athanase Nariskin,
frère
de la jeune czarine ; ils le massacrent de la mêm
n. Il épousa une sœur de Colin, laquelle, étant de même humeur que le
frère
, le rendit très heureux. Et Jeannot le père, et J
resse, je vous suivrai partout où vous voudrez. » Virginie appela son
frère
et le pria de l’accompagner. L’esclave marronne l
e bonheur extraordinaire et inattendu, si une femme, des enfants, des
frères
séparés de moi depuis longtemps et sans espoir de
, Eudore1411, selon les ordres de Galérius, devait être séparé de ses
frères
, et choisi pour combattre le premier : ainsi, dan
re où il était couché. Cyrille1412, Gervais, Protais, Rogatien et son
frère
, Victor, Genès, Perséus, l’ermite du Vésuve, ne p
d, ces élans de la vertu, et ne paraissait occupé que du péril de ses
frères
. L’enfer l’attendait à la porte de l’arène, pour
rquoi, lui dit l’autre, vous désoler de la sorte ? Ne sommes-nous pas
frères
? et comment pourrais-je délaisser mon frère en s
te ? Ne sommes-nous pas frères ? et comment pourrais-je délaisser mon
frère
en sa détresse ? Venez, et nous partagerons ce qu
ul les biens qui t’avaient été départis ; tu n’en as rien donné à tes
frères
: il ne te sera rien donné non plus. Tu n’as song
té pénétra ton cœur, parce que ta main s’ouvrit pour répandre sur tes
frères
moins heureux les biens dont tu étais dépositaire
précédaient de quelques marches ; Graziella, tenant un de ses petits
frères
par la main et portant l’autre sur le bras, venai
t-il, qu’est-il arrivé de lui ? — Il n’a point reparu, ni lui, ni son
frère
, ni sa sœur, ni personne de leur compagnie. — Mal
qu’il menait une vie moins noble, moins royale que celle de son jeune
frère
. Il résolut de prendre, comme lui, une épouse de
anité, joyeux d’avoir en elle une épouse aussi noble que celle de son
frère
; puis, lorsqu’il fut un peu blasé sur ce content
’égard des siens et des infortunes d’autrui. Il aimait tendrement ses
frères
et ses neveux, et leur en donna des preuves touch
lants. Aussi s’élança-t-elle dans l’âpre carrière de tortures que ses
frères
avaient parcourue, comme s’il se fût agi d’un fes
ées plusieurs fois depuis. Mon père ajouta : « Cet enfant, qui n’a ni
frères
ni sœurs, développe ici, dans l’isolement, un goû
e ne fera que me les ouvrir mieux. Si j’avais jusqu’ici vécu comme ce
frère
, Avec une vertu qui fût imaginaire (Car je l’appe
exemple à suivre. Mais bientôt amoureux d’un plus noble métier, Fils,
frère
, oncle, cousin, beau-frère de greffier, Pouvant c
. Il fit représenter en 1664 sa première tragédie, la Thébaïde ou les
Frères
ennemis, et, en 1665, la seconde, Alexandre. Son
étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes
frères
morts se faisant un passage, Et, de sang tout cou
Valois votre juste colère ! Bourbon n’a point versé le sang de votre
frère
. Le ciel, le juste ciel, qui vous chérit tous deu
la main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t’es donnée ! Tes
frères
, ces martyrs égorgés à mes yeux, T’ouvrent leurs
ssez. Heureuse en mes misères, Lui seul il me rendra mon époux et ses
frères
. Vous voyez avec moi ses aïeux à genoux, Votre ro
charge des malheurs en sera plus légère ; Le bien que l’on fait à son
frère
Pour le mal que l’on souffre est un soulagement.
’ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres ; Unissons-les, mon
frère
, ils seront moins affreux. — Hélas ! dit le percl
ils seront moins affreux. — Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon
frère
, Que je ne puis faire un seul pas ; Vous-même vou
leur bouche a si souvent nommé, Entends pour eux les larmes de leurs
frères
! Prions pour eux, nous qu’ils ont tant aimé2619
ur criait : « Volontaires, Mourez pour délivrer tous les peuples, vos
frères
! » Contents, ils disaient : oui. « Allez, mes vi
s, Cela nous grimpera le soir sur les genoux. Ils vivront, ils seront
frère
et sœur des cinq autres. Quand il verra qu’il fau
re disparaître Nuño, le petit roi de Galice, le fils du feu roi, leur
frère
, qui vient de mourir et dont ils veulent se parta
ne, et, comme il est dangereux de se brouiller avec lui, l’un des dix
frères
lui a proposé, s’il voulait s’associer à eux, de
la vierge Marie ! Que tous, par la main, pas à pas, Guidant un petit
frère
, Réjouissent de leurs ébats La ferme et la fermiè
mon coursier s’abat, j’y mettrai l’éperon. Mais du moins j’aurai pu,
frère
, quoi qu’il m’arrive, De mon cachet de deuil scel
ions avec peine ; Amis, reposons-nous ; — déjà, le verre en main, Nos
frères
sous ce toit commencent leur festin. Frank. Moi,
amis, en gémissant : A ces nobles vaincus, vous leurs fils, ou leurs
frères
, Ne donnez pas de pleurs ; vous leur devez du san
e ! Sur le tombeau d’un pauvre enfant, D’un pauvre enfant qui fut mon
frère
! Il avait ses fleurs à tout vent, Et ses racines
t, je ne sais dans quelle horrible rue, Des parents sans travail, des
frères
au berceau, La famille du pauvre, à peine secouru
ain serre la tienne ! Geoffroy, descendant vers Gérald avec son jeune
frère
. Le soir à Roncevaux, l’archevêque Turpin2910, Ta
on et moi, Gérald, nous sommes les neveux De Turpin ; nous serons tes
frères
, si tu veux. richard, allant à pas lents vers Gé
passa, se surpassa. 539. Monsieur. On sait qu’on appelait ainsi le
frère
du roi. Il s’agit ici de Gaston d’Orléans, frère
on appelait ainsi le frère du roi. Il s’agit ici de Gaston d’Orléans,
frère
du défunt roi Louis XIII et oncle de Louis XIV.
Port-Royal (voir la note 1 de la page 77). Arnauld d’Andilly était le
frère
du célèbre théologien Antoine Arnauld (1612-1694)
e dernier fut tué pendant l’opération. 729. Le chevalier de Grignan,
frère
du gendre de Mme de Sévigné, qui s’était conduit
ade, pas rentrée chez moi. 734. Son oncle. Le chevalier de Grignan,
frère
du marquis (1644-1713), officier de grand mérite
la lettre de Mme de Sévigné : « Si ce n’est lui-même, c’est donc son
frère
, ou bien quelqu’un des siens. Me voilà donc arriv
sse dont il croyait hériter. 861. Le chevalier Philibert de Gramont,
frère
du maréchal Antoine de Gramont (voir page 82, not
Suzanne Rousseau, était alors venue s’installer dans la maison de son
frère
, pour tenir son ménage et élever l’enfant qui ven
ate, dit à son tour Sainte-Beuve parlant de la collaboration des deux
frères
; déférence touchante ! Il s’agissait d’un paysag
or, en 303 ; Gervais et son frère Protais [...] tien et Donatien, son
frère
, l’ont subi sous Dioclétien, [...] 1413. Mantin
es « petits enfants » dont il va être question sont leurs deux petits
frères
. Le père et la mère sont morts. 1504. On appelle
n. 1588. Flammarion, éditeur. 1589. Œuvres publiées par Poussielgue
frères
. 1590. Né en 1774, mort en 1817. Après les Cent-
ne qui les avaient obligés de venir s’établir à Lyon. 1752. Jacques,
frère
aîné de Daniel, d’une nature affectueuse et tendr
ote 2 de la page 477. 1956. Odet de Coligny, cardinal de Châtillon,
frère
de l’amiral Coligny (voir page 387, note 3), l’un
Tout le monde sait d’ailleurs quelle inaltérable amitié unit les deux
frères
; le poète Ducis (1733-1816) l’a célébrée en vers
e 4 de la page 497. 2107. En, de régner. 2108. Le fut bien de son
frère
. En 190, dans la guerre contre Antiochus, Publius
ans le département de Seine-et-Oise, près de Montmorency. 2696. Ses
frères
: Charles (1826-1871) et François-Victor (1828-18
la Pour mes droits et pour mes chimères ; Si tous les hommes sont mes
frères
, Que me sont désormais ceux-là ? 2836. Sectat
es. 2850. Marathon. Eschyle y combattit (490) en même temps que son
frère
, l’héroïque Cynégire. 2851. Avec un œil d’envie
3 qui vous reste, ce sont la sagesse, la piété et les bonnes mœurs du
frère
et de la sœur, qui ont rendu tous les offices qu’
3. Le sang de Turenne peut-il crier comme celui d’Abel, tué par son
frère
? Que de rhétorique ! 1. Comparez Mascaron et j
abile à lui succéder, il laissa ses états à Julius Sylvius Enéas, son
frère
posthume, et fils de Lavinie, seconde femme d’Ené
u de ses sujets, et assura cette couronne à Henri de Transtamare, son
frère
. Le prix de tous ces services fut le double honne
lantées, dans toutes les parties du Forum, voulaient se jeter sur mon
frère
, sur un frère rempli de vertus, de courage et d’a
toutes les parties du Forum, voulaient se jeter sur mon frère, sur un
frère
rempli de vertus, de courage et d’attachement pou
es autels que pour demander la santé de leurs pères, l’union de leurs
frères
, l’amour et l’obéissance de leurs enfants. Le soi
ur son père, un autre pour sa femme et ses enfants, celui-ci pour ses
frères
, celui-là pour ses amis, tous pour le peuple Trog
stant hommage Et leur ravit un suc qui n’était pas pour lui, Chez ses
frères
rampants qu’il méprise aujourd’hui, Sur la terre
e chaîne, Le Rhône suit vers nous le penchant qui l’entraîne ; Et son
frère
emporté par un contraire choix2, Sorti du même se
uté du dernier de ces Tarquins, qui avoit fait mourir son père et son
frère
aîné. Mais après l’outrage fait à Lucrèce par Sex
σεν θεός. Qu’elle envoie.] Elle ne l’envoie pas, elle la remet à son
frère
. Quant à la première espèce de reconnaissance, do
e et grand dans ses misères ; Il n’était attendri que des maux de ses
frères
. Seigneur, depuis ce temps, ce père des chrétiens
ns le cœur que Dieu et son devoir ; n’être touché que des maux de ses
frères
; être toujours en présence de son Dieu ; n’entre
e son cœur, qui, après avoir inondé son épouse chérie, sa mère et ses
frères
, dont il pleurait si amèrement la mort, allait ch
; qui savait pour lui rester fidèle être si sévère contre son propre
frère
; qui n’avait pas rougi, avant de s’embarquer pou
es ont plongés dans les enfers. Là tombent condamnés et la sœur et le
frère
, Le père avec le fils, la fille avec la mère ; Le
dieux, dans leur colère, Accablent sans remords un dieu qui fut leur
frère
! Jours sans espoir, tourments cruels
ourez-moi ! punissez l’adultère ! Vengez Agamemnon !… Envoyez-moi mon
frère
! Dans le sein d’un ami que je verse mes pleurs !
étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes
frères
morts se faisant un passage, Et, de sang tout cou
ait de quelque lâcheté. Le Vieil Horace. J’en aurai soin. Allez : vos
frères
vous attendent ; Ne pensez qu’aux devoirs que vos
, comme moi l’ont pu voir. Il s’est fait admirer tant qu’ont duré ses
frères
; Mais, comme il s’est vu seul contre trois adver
! Julie. Je n’ai rien voulu voir après cette défaite. Camille. Ô mes
frères
! Le Vieil Horace. Tout be
-Quint et un jeune Moine de Saint-Just Charles-Quint. Allons, mon
frère
, il est temps de se lever ; vous dormez trop pour
esté ; mais au mien on dort tout debout. Charles-Quint. Hé bien ! mon
frère
, c’est aux gens de mon âge à éveiller la jeunesse
récit et du poids de ces horribles profanations. Il y avait donc, mes
frères
, très loin d’ici, dans une ville que je ne dois p
mit donc à l’œuvre, et la sentence fut exécutée. Vous frémissez, mes
frères
! À la bonne heure ! Mais je suppose que vous me
qui vient de mourir en quelque sorte devant vous pour le salut de ses
frères
, savez-vous qui c’est ? C’est Jésus-Christ en son
lui dit : « Qu’allez-vous faire ? Vous voulez quitter votre
frère
? L’absence est le plus grand des maux
Que faucons, que réseaux. Hélas ! dirai-je, il pleut : Mon
frère
a-t-il tout ce qu’il veut, Bon souper,
drai dans peu compter de point en point Mes aventures à mon
frère
; Je le désennuierai. Quiconque ne voit guère N’a
J’ai mes maux, lui dit-il, et vous avez les vôtres. Unissons-les, mon
frère
, ils seront moins affreux. — Hélas ! dit le percl
ils seront moins affreux. — Hélas ! dit le perclus, vous ignorez, mon
frère
, Que je ne puis faire un seul pas ;
dre ce ton lugubre ? Vous allez croire sûrement que je veux que votre
frère
devienne un stoïcien, et qu’il se tue comme Caton
tel qu’il aime, Qui ne trouve des pleurs dans les yeux attendris D’un
frère
ou d’une sœur, d’une épouse ou d’un fils ? L’info
ermis de parler ainsi, héréditaire et domestique, et où pères, mères,
frères
, sœurs, aïeuls de côté et d’autre, étaient tous d
sse profonde. Le pauvre petit Sedaine, resté seul avec son plus jeune
frère
, le prend par la main et se met en route pour Par
ur tout bien dix-huit francs ; il les emploie à payer la place de son
frère
dans la lourde diligence de ce temps, lui donne s
dant ainsi à la subsistance de sa mère et à l’éducation de ses jeunes
frères
. Tandis qu’il travaillait gaiement, les larmes ve
ise les eaux : Toi, Lamprakis, digne sang d’un héros, Fils de mon
frère
, approche et sois leur capitaine ; Prends, revêts
ne consternation qui fit le panégyrique de cette distinction des deux
frères
. Je triomphai en moi-même d’un succès si évidemme
s un serviteur dont il fût aimé ; se défiant de sa femme ; haï de son
frère
; trahi par ses favoris, abandonné sur le trône ;
ecture où mon cœur écoutait avidement le vôtre, vous aimant comme mon
frère
, vous honorant comme mon maître, me flattant enfi
fils aîné de la maison peut être à son vieux père, à sa mère et à ses
frères
, il s’est enrôlé ; mais il ne s’en ira point sans
est entouré de l’aînée de ses sœurs, de sa mère et d’un de ses petits
frères
. Sa mère le tient embrassé par le corps ; le brut
’air accablé, désolé ; la sœur aînée s’est aussi interposée entre son
frère
et son père ; la mère et la sœur semblent, par le
attitude, chercher à les cacher l’un à l’autre. Celle-ci a saisi son
frère
par son habit, et lui dit, par la manière dont el
ton père ; mets-toi à genoux et demande pardon. » Cependant le petit
frère
pleure, porte une main à ses yeux, et, pendu au b
eure, porte une main à ses yeux, et, pendu au bras droit de son grand
frère
, il s’efforce à l’entraîner hors de la maison. De
e ce ton lugubre ? Vous allez croire, sûrement, que je veux que votre
frère
devienne un stoïcien, et qu’il se tue, comme Cato
Le Beaumarchais du dedans, et qui n’est plus en scène, le fils et le
frère
, le père et l’ami, ont été pour beaucoup une révé
bonheur extraordinaire et inattendu ; si une femme, des enfants, des
frères
, séparés de moi depuis longtemps, et sans espoir
es nous, tu vas dire : « Est-ce que vous êtes ensemble, messieurs mes
frères
? » Nous l’étions, mon cher ami, lorsque ta lettr
tiquette, je crie : « Qu’est-ce que c’est donc que cela ? » C’est ton
frère
, me répond Xavier, en ouvrant mes rideaux. Comme
s de Moscou l’a entraîné au bout de seize jours bien comptés ; et mon
frère
, qui lui avait promis de ne pas l’abandonner, a d
défendre, aux femmes qui, pour elle, consentent aux dangers de leurs
frères
, de leurs époux et de leurs fils. A l’approche de
armes et des douleurs. Correspondance, 1811. Découragement. A son
frère
, l’abbé Jean. La Chênaie, 1811. « Cette triste
» Arrivé au pied de l’échafaud, il y monta sur-le-champ, suivi de son
frère
, des ministres de l’Église et de plusieurs de ses
enter au baptême ; l’enfant parut se trouver mieux ; mais bientôt son
frère
, Chlodobert, âgé de quinze ans, fut pris comme lu
ps. Guillaume eut son cheval tué sous lui ; le roi Harold et ses deux
frères
tombèrent morts, au pied de leur étendard, qui fu
qu’il décrit en vers souvent admirables, le poète entend deux voix :
Frères
, de ces deux voix étranges, inouïes, Sans cesse r
point central, du cœur de l’Asie, sont reconnues aujourd’hui pour des
frères
et sœurs de la même famille, et d’une famille emp
ire. Par ce trait, il ressemble à André Chénier, qui l’annonce. Vrais
frères
, et noms de vrais poètes, aussi imposants qu’aima
! Votre cœur s’attendrit : je vois couler vos pleurs. (A Arsame.) Mon
frère
, approchez-vous ; embrassez-moi : je meurs603. ZÉ
’ait qu’à choisir entre Étéocle et toi658. Le trône t’est ravi par un
frère
infidèle : Hé ! ne régnais-tu pas, quand ta voix
eur, couché sur la poussière, Mourir, mais en sujet, et bravé par ton
frère
! Adieu, tu peux partir. Raconte à tes amis Et l’
utiens ma colère. Affermis-la plutôt. Antigone. Seigneur, il est mon
frère
. ŒDIPE. Qu’entends-je ? où suis-je ?… O Ciel ! si
1.) Né à Constantinople en 1764, deux ans après André Chénier, son
frère
, Marie-Joseph manifesta dès son enfance cette nat
eph. Les dissentiments politiques qui s’étaient élevés entre les deux
frères
n’avaient altéré que peu de jours leur ancienne a
se réveilla plus vive à l’approche du danger. Marie-Joseph cacha son
frère
à Versailles, et quand celui-ci, victime d’une gé
ci, victime d’une généreuse imprudence, fut arrêté comme suspect, son
frère
, dénoncé lui-même à la tribune par Robespierre, f
-là même, dans l’ombre armant la calomnie, Me reprochent le sort d’un
frère
infortuné Qu’avec la calomnie ils ont assassiné !
dor la septième journée Sous les feux du Lion ramènera l’année, O mon
frère
! je veux, relisant tes écrits, Chanter l’hymne f
à tes mânes proscrits. Là, souvent tu verras près de ton mausolée Tes
frères
gémissants, ta mère désolée747, Quelques amis des
Confessez, mauvais fils, n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un
frère
. FRANÇOIS DE PAULE. J’avais un frère. Eh bien ?
vos fautes ! LOUIS. J’avais un frère. FRANÇOIS DE PAULE. J’avais un
frère
. Eh bien ? LOUIS. J’avais un frère. Eh bien ?Qui
e. FRANÇOIS DE PAULE. J’avais un frère. Eh bien ? LOUIS. J’avais un
frère
. Eh bien ?Qui fut… empoisonné. FRANÇOIS DE PAULE.
contre ses remords ton cœur cherche un refuge ! Tremble ! j’étais ton
frère
, et je deviens ton juge. Écrasé sous ta faute au
re, Il avait près de lui son frère Cynégire, Son frère Amynias, trois
frères
, qui, tous trois, Aux honneurs du triomphe eurent
rdonnez qu’on prépare un immense linceul : Car la mort frappera trois
frères
en un seul... O peuple athénien, plus mobile que
, Marat. MARAT, toujours assis. Ah ! Tu t’abaisses donc jusqu’à moi,
frère
ingrat ? Et Marat n’est donc plus ce maniaque ace
t, je ne sais dans quelle horrible rue, Des parents sans travail, des
frères
au berceau, La famille du pauvre, à peine secouru
rince de la Boche-sur-Yon, était le deuxième fils du prince de Conti,
frère
cadet du grand Condé. Né en 1664, il mourut en 17
(le grand-dauphin), 1711, de son père (le duc de Bourgogne) et de son
frère
aîné (1712). 94. Sur ces soupçons, « si diamétra
lète des Œuvres de Diderot a été donnée par M. As-sézat, chez Garnier
frères
(1876). — Lire sur Diderot : Tableau de la Littér
sur la Société française au dix-huitième siècle. 271. Il s’agit du
frère
du marquis, le chevalier, depuis bailli de Mirabe
t le premier Empire français de 1792 à 1814. 338. Xavier de Maistre,
frère
cadet de Joseph, naquit à Chambéry en 1764 et mou
ingué dans les lettres françaises, mais à un tout autre titre que son
frère
: comme conteur plein de naturel et de grâce, d’u
Lamennais tenait ce bien de sa famille. Il s’y était retiré avec son
frère
, entré dans les ordres avant lui. 418. C’est une
nte, Harold s’était rendu auprès de Guillaume pour réclamer son jeune
frère
et son neveu, livrés comme ôtages par le roi Édou
533. Les Conférences de Lacordaire ont été publiées chez Poussielgue
frères
; les Lettres à des Jeunes gens, chez J. Gervais.
pour le fond de l’âme, les plaisirs et les allures. » C’est le propre
frère
du comte d’Argenson qui parle ainsi. La comédie d
. Voir les vers 1274 à 1335. Dans Sophocle, c’est la haine contre son
frère
bien plutôt qu’un retour de vraie tendresse pour
ragédie d’Atrée et Thyeste de Sénèque, lorsque Atrée a présenté à son
frère
l’horrible festin composé des membres de ses fils
-18. — Les Œuvres complètes de Béranger ont été publiées chez Garnier
frères
. 749. Sainte-Beuve, dans un article sur Bérange
yenne mourut le 24 mai 1472. « Louis XI, dit Brantôme, empoisonna son
frère
par gentille industrie, lorsqu’il y pensait le mo
autres Sismondi, ont nié que Louis XI eût participé à la mort de son
frère
. 783. Ce fut en 1475 que Louis XI fit assiéger N
p. 353. 855. Les œuvres de Ponsard ont été publiées par Michel-Lévy
frères
. 856. Sur le rôle et l’attitude de Danton à part
quéroit à la France des droits à la couronne d’Espagne, si le prince,
frère
de l’infante, venoit à mourir sans enfans, comme
r de Langey, et Martin Du Bellay, tous deux capitaines et diplomates,
frères
du cardinal et cousins du poète ; et beaucoup d’a
mil livres de rentes ou revenu. Et, comme j’ai esté le premier de six
frères
que nous avons estés, il a falleu que je fisse co
annullée, et par conséquent le peu de bien que les Rois mes peres et
frères
mont laissé pour dot à l’abandon : indignité et c
donna, après lui, aux lettres françaises Vaugelas, Saint-Réal et les
frères
de Maistre. Avocat, conseiller au sénat de Chambé
n petit ménage », disait-il des enfants ; il disait des oiseaux « mes
frères
». Il fonda à Annecy l’ordre de la Visitation, di
nstances qui les font naître, et la crainte charitable de choquer nos
frères
qui nous les fait trouver. Mais il y a plusieurs
pondant à Thomas Corneille, qui prenait le fauteuil académique de son
frère
, il a prononcé un éloge du grand Corneille, qui e
e un homme de ce mérite ? Vous, monsieur, qui non-seulement étiez son
frère
, mais qui avez couru longtemps une même carrière
ux dire, dans ce chaos du poëme dramatique parmi nous, votre illustre
frère
, après avoir quelque temps cherché le bon chemin
inguent, s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux de M. votre
frère
, quelque étrange inégalité que, durant leur vie,
Grand. Voilà, monsieur, comme la postérité parlera de votre illustre
frère
; voilà une partie des excellentes qualités qui l
fines, sont offensés de la dureté de son style irrégulier. Mais, mes
frères
, n’en rougissons pas. Le discours de l’Apôtre est
dame la marquise de Sablé lui donne, la réputation que M. Pascal, son
frère
, s’étoit acquise, et sa propre vertu la rendent t
e chez mon oncle de Sévigné. Vous étiez derrière une vitre avec votre
frère
, plus belle, dit-il, qu’un ange ; vous disiez que
onnière, que vous étiez une princesse chassée de chez son père. Votre
frère
étoit beau comme vous ; vous aviez neuf ans. Il m
oujours mon texte, et ma réponse à vos lamentations. Songez, mon cher
frère
, au voyage d’Amérique, aux malheurs de notre enfa
bien. Nous lui avons de grandes obligations. Je vous répète, mon cher
frère
, que M. de Ruvigny430 ne se plaigne plus de vous.
e MM. Walkenaer (1845) et Chassang (1876, 2 vol. gr. 8°, chez Garnier
frères
). Des ouvrages de l’esprit Il y a de certa
elle de Louis XIV (1715) est resté célèbre : Dieu seul est grand, mes
frères
!« C’est un beau mot que celui-là, devant la tomb
s sa mort, en 1745. Le jugement dernier Je m’arrête à vous, mes
frères
, qui êtes ici assemblés : je ne parle plus du res
pourrait pourvoir à tout en ferait plus en un an que tout l’ordre des
frères
prêcheurs n’en a fait depuis son institution. Lyc
5 janvier 1759). — Voyez l’édition de M. Laboulaye, cher MM. Garnier
frères
. Rica à ***. Le vaniteux. Je vois de tou
de la science. Voir l’édition de M. Flourens, publiée par MM. Garnier
frères
. Le premier homme raconte ses premières impres
dre ce ton lugubre ? Vous allez croire sûrement que je veux que votre
frère
devienne un stoïcien, et qu’il se tue comme Caton
fils aîné de la maison peut être à son vieux père, à sa mère et à ses
frères
, il s’est enrôlé ; mais il ne s’en ira point sans
est entouré de l’aînée de ses sœurs, de sa mère et d’un de ses petits
frères
. Sa mère le tient embrassé par le corps ; le brut
’air accablé, désolé ; la sœur aînée s’est aussi interposée entre son
frère
et son père ; la mère et la sœur semblent, par le
attitude, chercher à les cacher l’un à l’autre. Celle-ci a saisi son
frère
par son habit, et lui dit, par la manière dont el
ton père ; mets-toi à genoux et demande pardon. » Cependant le petit
frère
pleure, porte une main à ses yeux, et, pendu au b
eure, porte une main à ses yeux, et, pendu au bras droit de son grand
frère
, il s’efforce à l’entraîner hors de la maison. De
s ruines ! Au camp donc, citoyens, au camp ! Eh quoi ! tandis que vos
frères
, que vos concitoyens, par un dévouement héroïque,
te avilissante mollesse ! Au camp, citoyens, au camp ! Tandis que nos
frères
, pour notre défense, arrosent peut-être de leur s
de Witt615 ? qu’est-ce, dans un moment de guerre où j’ai eu mes deux
frères
hachés pour la liberté, qu’est-ce que la guilloti
re, XX.) À la vue d’un auditoire si nouveau pour moi, il semble, mes
frères
, que je ne devrois ouvrir la bouche que pour vous
l’Éloq. de la chaire, XX.) Eh ! sur quoi vous fondez-vous donc, mes
frères
, pour croire votre dernier jour si éloigné ? Est-
e tu es adoré de tes peuples. Écoute : Quand Néron eut empoisonné son
frère
, on lui dit qu’il avoit sauvé Rome ; quand il eut
licates de deux morts d’avant-hier ou d’hier, Joubert (1754-1824), le
frère
de l’illustre général républicain, et M. Doudan,
bonheur extraordinaire et inattendu ; si une femme, des enfants, des
frères
, séparés de moi depuis longtemps, et sans espoir
ces nous tu vas dire : « Est-ce que vous êtes ensemble, messieurs mes
frères
? » Nous l’étions, mon cher ami, lorsque ta lettr
l’étiquette, je crie : Qu’est-ce que c’est donc que cela ? C’est ton
frère
, me répond Xavier, en ouvrant mes rideaux. Comme
ésavouerait. Vos victoires, votre courage, vos succès, le sang de nos
frères
morts aux combats, tout serait perdu, même l’honn
llards ne m’appelait son fils, aucun de ces enfants ne m’appelait son
frère
. L’exilé partout est seul. J’ai vu des jeunes hom
ré la main. L’exilé partout est seul. Il n’y a d’amis, de pères et de
frères
que dans la patrie. L’exilé partout est seul. Pau
: tous sont bannis comme toi, tous voient passer et s’évanouir pères,
frères
, amis. La patrie n’est point ici-bas ; l’homme va
sa maison, la couche sur son lit, et la veille et la soigne comme le
frère
soigne son frère et l’ami son ami. De ces deux ho
uche sur son lit, et la veille et la soigne comme le frère soigne son
frère
et l’ami son ami. De ces deux hommes, lequel a vr
vous-même, étendez votre main entre l’oppresseur et l’opprimé. Votre
frère
, c’est vous, et, quand on l’opprime, n’êtes-vous
-précoce instinct. Agé de trois ans, il allait frapper à la porte des
Frères
des écoles chrétiennes et, comme on lui en refusa
d’appeler autour de votre tombeau les mânes chrétiens de vos anciens
frères
d’armes, et de mêler votre gloire avec la leur da
d’abord officier sarde, prit du service dans l’armée russe. Comme son
frère
aîné, il écrivit, mais quelques pages. Fines et d
ur, ou rêvant tout haut. Son Lépreux de la Cité d’Aoste (1811) est le
frère
du paria de la Chaumière indienne, mais un frère
’Aoste (1811) est le frère du paria de la Chaumière indienne, mais un
frère
solitaire et attristé, dont les confidences doulo
harles IX des œuvres parfaites et durables. La Ballata953 Mon
frère
, dit Colomba, vous savez peut-être que Charles-Ba
pas ; cela est inconvenant à ton âge, et… je t’en prie, ma sœur. Mon
frère
, j’ai promis. C’est la coutume, ici, vous le save
rs. Demain j’en serai malade ; mais il le faut. Permettez-le-moi, mon
frère
. Souvenez-vous qu’à Ajaccio vous m’avez dit d’imp
pas la perdre. — Non, je ne pourrais pas composer cela d’avance, mon
frère
. Je me mets devant le mort, et je pense à ceux qu
eux sur le collet de dentelle de Mergy et sur une chaîne d’or que son
frère
lui avait prêtée, ne fit aucune difficulté de l’i
rabattues, de ces vieux travailleurs qu’une longue habitude a rendus
frères
, comme on les appelle dans nos campagnes. Le vieu
eaux de Spa, fit un voyage politique pour gagner des partisans à son
frère
le duc d’Alençon dans le projet d’enlever les Pay
luto (tire-nous du bourbier) 231. Allusion au prévôt des marchands,
frère
du curé Boucher, déjà cité. 232. Henri III, assa
. Le duc de Beaufort, petit-fils de Henri IV. 339. Gaston d’Orléans,
frère
du roi. 340. Le prince de Condé, père du grand C
médisance. 344. Beau-frère du duc d’Enghien (le grand Condé). 345.
Frère
cadet du duc d’Enghien. 346. En tout cas il n’ét
un au monde aussi brave que le prince de Condé, c’étoit le prince son
frère
. Jamais homme n’a eu l’âme plus belle sur l’intér
ndice). 396. Madame Périer (Gilberte Pascal) a laissé une Vie de son
frère
(voir dans l’édition de M. Havet). — Madame de Sa
» 415. Avec Mme de Lafayette rue de Vaugirard. 416. A. de Monteil,
frère
de M. de Grignan. 417. Romans de madame de Lafay
Chartres (duc de), depuis le Régent. — Vendôme (le grand prieur de),
frère
du maréchal. 447. On n’hésite pas. Cf. Molière (
grand orateur. Voir, infra, la Notice sur ce dernier. 570. L’âge du
frère
du marquis, encore fort jeune. 571. Fénelon, dan
autres du Voyage autour de ma chambre (1794), de X. de Maistre. 648.
Frère
puîné de Joseph et de Xavier. 649. Mot du xve s
de Mademoiselle, comme disaient les contemporains, fille de Monsieur,
frère
du roi Louis XIII, revenue en 1657 de l’exil dans
1520), né à Urbin, estimé le plus grand des peintres modernes. — Fra (
frère
) Bartolomeo (de son vrai nom Baccio della Porta),
ort, avant les funérailles. — La scène suivante se passe es Corse. Le
frère
de l’improvisatrice, qui, selon le romancier, ava
ncu par le duc d’Anjou (depuis Henri III). 966. François de Coligny,
frère
de l’amiral ; s’illustra à la défense de Saint-Qu
estament dans Caïn et Abel, Abraham et les patriarches, Joseph et ses
frères
, Moïse protégeant dans le désert les tilles de Je
êt sombre. Des symétries : Il m’appelait sa sœur, je l’appelais mon
frère
; Nous mangions même pain au logis de mon père ;
e un nuage espais, Qui des ondes d’oubly vont lavant nos pensées ? O
frère
de la mort, que tu m’es ennemy ! Je t’invoque au
te intempérance dans le plaisir qu’on lui reprochait. C’est un de ses
frères
en plaisir, en paresse et en poésie qui a dit :
nçois Ier ). Marguerite d’Angoulême Prière a Dieu pour son
frère
malade702 De touttes ses graces et dons A vo
es Boileau (1681-1669), qui voyageait toujours avec Régnier en poche,
frère
aîné du satirique, de l’Aca-démie avant lui, mali
lement leurs traces. Thomas Corneille (1625-1709), successeur de son
frère
à l’Académie en 1684, donne trente-huit pièces, t
ville, que désolait une maladie contagieuse, En vain ses amis et son
frère
le pressaient : “Ce n’est pas que le péril où je
st pas que le péril où je me trouve ne soit grand, répondait-il à son
frère
, puisqu’au moment où je vous écris on sonne pour
ble, et qui craint a failli. N’avez-vous point ou prise avecque votre
frère
? Votre mauvaise humeur lui fut toute contraire,
e, À ma propre vertu ce généreux effort, Cette grande victime à votre
frère
mort. J’ai craint de prononcer autant que vous d’
ur qu’il vouloit satisfaire Portoient le coup au duc et non pas à mon
frère
. J’alléguerois encor que ce coup part d’un bras D
aise, dans sa réponse à Thomas Corneille, qui prenait la place de son
frère
, un éloge qui n’est pas une oraison funèbre, mais
eur air de grandeur. Le vieux Géronte de la Comédie lui-même est leur
frère
, et son étourdi de fils a aussi de l’honneur. Tou
e Séleucus m’a vengée à demi. Son ombre, en attendant Rodogune et son
frère
, Peut déjà de ma part les promettre à son père. I
Et, te faisant mon roi, c’est trop me négliger Que te laisser sur moi
frère
et père à venger. Qui se venge à demi court lui-m
cquis ce grand nom de soldat. J’en avois pour témoin le feu roi votre
frère
. Madame, et par trois fois… D. MANRIQUE. Nous vou
son nom celui de Despréaux, de vieille bourgeoisie parisienne. Fils,
frère
, oncle, cousin, beau-frère de greffiers, était l
erfides Qui vous osent donner ces conseils parricides ; Appelez votre
frère
, oubliez dans ses bras… NÉRON. Ah ! que demandez-
ntive au soin de son trépas, Lui montrer à la fois, et l’ordre de son
frère
, Et de sa trahison ce gage trop sincère. Toi, Zat
Réponds-moi, Rhadamiste, et de quoi te plains-tu ? De l’amour de ton
frère
? ah ! barbare ! quand même Mon cœur eût pu se re
que j ai dû te garder. Il est vrai que, sensible aux malheurs de ton
frère
, De ton sort et du mien j’ai trahi le mystère. J’
le faire connoître, Et de mon sort après je te laisse le maître. Ton
frère
me fut cher ; je ne le puis nier ; Je ne cherche
! Votre cœur s’attendrit ; je vois couler vos pleurs. (À Arsame.) Mon
frère
, approchez-vous ; embrassez-moi : je meurs1069
s d’un zèle atrabilaire ; « Ce mortel qui s’égare est un homme et ton
frère
: « Sois sage pour toi seul, compatissant pour lu
a retraite. On disait que l’ennui De ce repos trompeur est l’insipide
frère
. Oui, la retraite pèse à qui ne sait rien faire ;
des entrailles de père1129 ; Et ce fut le seul bien que te laissa mon
frère
. Quel usage en fais-tu ? qu’ont servi tous mes so
court, de naïf, de hardi, de vif et de passionné » que regrettait son
frère
en Homère, Fénelon. C’est ainsi qu’il créa une la
its, héritage de famille, le recueil primitif ; Louis Moland (Garnier
frères
, 2 vol.), 1878. — Nous citons cette dernière édit
(1764-1811) Notice Marie-Joseph Chénier n’est pas, comme son
frère
aîné, un novateur, mais seulement un brillant con
là mêmes, dans l’ombre armant la calomnie, Me reprochent le sort d’un
frère
infortuné, Qu’avec la calomnie ils ont assassiné
eur puissance, arbitraire, Des fers et de la mort je n’ai sauvé qu’un
frère
Qu’au fond des noirs cachots Dumont avait plongé,
dor la septième journée Sous les feux du Lion ramènera l’année, Ô mon
frère
! je veux, relisant tes écrits, Chanter l’hymne f
tes manes proscrits. Là, souvent tu verras, près de ton mausolée, Tes
frères
gémissans, ta mère désolée, Quelques amis des art
du vent contraire, Le ver fût devenu fourmi ; Je vous aurais chéri en
frère
. Vieux vagabond, je meurs votre ennemi1302. (Ib
ur » dans le Marais lui suffit. — Il sait aussi d’ailleurs, comme ses
frères
en poésie, rêver sur le sentier où a passé un ami
s, aux glaciers. L’air des montagnes l’enivre ; les chênes sont ses «
frères
», il leur prête une « âme » qu’il envie. La cont
trouve une veine franche et vraie. Les laboureurs de ses Idylles sont
frères
de ceux de Jocelyn ; les paysans de son roman, fr
es Idylles sont frères de ceux de Jocelyn ; les paysans de son roman,
frères
de ceux de G. Sand. Et puis, heureusement encore,
par Madame·Marguerite dans sa litière, durant la maladye du Roy, son
frère
, auprès duquel elle se rendait. — On donne aussi
ministre de son père ; elle est en réalité fiancée secrètement à son
frère
puiné. Une nuit, agité par sa jalousie et ses sou
re puiné. Une nuit, agité par sa jalousie et ses soupçons, il tue son
frère
, croyant frapper le ministre. Condamné à mort par
’homme. Il ne se récrie pas sur l’horreur d’attenter aux jours de son
frère
, mais sur ce qu’il en est incapable après avoir r
a qu’une éclaircie, l’affection touchante que le poète prête aux deux
frères
. Corneille avoue sa prédilection pour cette tragé
rte ; héroïque, du vieil Horace à sa fille (Horace, III, 6) : Ô mes
frères
! Tout beau, ne les pleurez pas tous. 817. El
s des Ἀδελφοί de Ménandre. Chacune des deux comédies nous montre deux
frères
qui ont des idées différentes sur l’éducation des
ux dire, dans ce chaos du poème dramatique parmi nous, votre illustre
frère
, après avoir quelque temps cherché le bon chemin
ce ; Je le sens au plaisir que me fait la vengeance. Il découvre son
frère
sous un déguisement ; Je le reconnoîtrois seulem
leine du sang de son fils : Méconnois-tu ce sang. — Je reconnois mon
frère
. Cf. Sénèque, Thyestes, v. 1006 :
t ce qu’établit, à l’encontre de Valère, Ariste, le sage de la pièce,
frère
des Aristes de Molière. 1136. Bon nombre de ver
ens terroristes, l’accusaient de ne s’être pas employé pour tirer son
frère
de prison. La vérité est, nous dit A. de Vigny (S
ce. 1278. C’est-à-dire, aurait péri. André et M. Joseph avaient deux
frères
aînés. 1279. Cf. le Semper florentis Homeri de
t et ce qu’il souffre ; mais l’éloquence du cœur ne les fait-elle pas
frères
? Et A. de Musset ne prétendait-il pas lui-même r
grand feuillage, Un Breton chevelu dans la force de l’âge, Sont deux
frères
jumeaux au corps dur et noueux, Deux frères plein
force de l’âge, Sont deux frères jumeaux au corps dur et noueux, Deux
frères
pleins de sève et de vigueur tous deux ; et le r
ixante siècles de naufrages… « Plaignez-nous ! plaignez-nous ! ô nos
frères
vivante, Qui restez loin des flots, des écueils e
de un remède à ses tourments ; je citerais Néron, le meurtrier de son
frère
, de sa mère, de ses femmes, de ses maîtres, l’aut
les états, les conditions, les diverses occupations des hommes : « Le
frère
dresse des embûches au frère ; le père est séparé
s diverses occupations des hommes : « Le frère dresse des embûches au
frère
; le père est séparé de ses enfants, l’époux de s
liations sont des feintes, et jamais on ne regarde un ennemi comme un
frère
: on se déchire, on se dévore les uns les autres.
étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes
frères
morts se faisant un passage, Et, de sang tout cou
s, s’était rendue à Annibal, qui bientôt après y fit son entrée. Deux
frères
, qui étaient les plus considérables de la ville,
mes enfants qui te regardent comme un second père ? Ô Quintus ! ô mon
frère
! absent aujourd’hui, alors compagnon de mes disg
t l’oppose aux plus beaux traits d’Homère. Dieu seul est grand, mes
frères
! Voilà, dans Massillon, les premières paroles de
gorge à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur et le
frère
, Et la fille et la mère, Le fils dans
ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le
frère
avec la sœur, la fille avec la mère ; Les époux e
quel asile me reste-t-il ? Le Capitole ? il est inondé du sang de mon
frère
. Ma maison ?j’y verrais ma malheureuse mère fondr
aucun asile. Le Capitole est le lieu où l’on a répandu le sang de mon
frère
ma maison est un lieu où je verrais ma mère gémir
stoire des faits son mouvement et sa naïveté ; Joseph reconnu par ses
frères
, Moïse sur la montagne, les derniers conseils de
u sang, des prétentions douteuses sur des peuples qui ne sont pas nos
frères
, et fatiguer l’Europe du bruit de nos armes ? On
Ô Scythes ! ô vous que la nature a faits vertueux, écoutez un de vos
frères
qui arrive d’un pays où les philosophes se demand
est-il encore notre ennemi ? il nous tend la main, n’est-il pas notre
frère
? Peuple généreux, toi qui hais les tyrans, par q
un dieu sans pitié ? as-tu soif du sang des hommes ? Ô Scythes, ô mes
frères
, ne faites pas cette injure aux immortels ; tout
table tyrannie ; voyez ce monstre, ce fléau du genre humain, dont son
frère
fut les délices, se baigner à la fois dans le san
racalla, du fond de son palais tout sanglant encore du meurtre de son
frère
, promener dans l’univers ses terribles folies ; l
t à la ville de Paris. Discours227. Mes amis, mes compagnons, mes
frères
d’armes, que me demandez-vous ? que veulent ces s
Mais si le malheur arrive à des personnes qui s’aiment ; si c’est un
frère
qui tue ou qui est au moment de tuer son frère, u
s’aiment ; si c’est un frère qui tue ou qui est au moment de tuer son
frère
, un fils son père, une mère son fils, un fils sa
reconnaît : et dans Iphigénie, la sœur était au moment d’immoler son
frère
: et dans Hellé, Phryxus allait livrer sa mère :
l’usage de sacrifier tous les étrangers qui y arrivaient par mer. Son
frère
y arrive : et cela, parce qu’un dieu le lui avait
L’autre lui dit : Qu’allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre
frère
? L’absence est le plus grand des maux ; Non
neste, Que faucons, que réseaux. Hélas ! dirai-je, il pleut : Mon
frère
a-t-il tout ce qu’il veut, Bon souper, bon gî
reviendrai dans peu conter de point en point, Mes aventures à mon
frère
; Je le desennuîrai. Quiconque ne voit guère N’a g
tes hyperboles, dans une strophe sur la Naissance du duc de Bretagne,
frère
aîné de Louis XV : Où suis-je ? quel nouveau mir
à Vitré, sur la fin du mois de juillet : cela me déplaît fort. Votre
frère
n’y sera plus en ce temps-là. Ma fille, vous souh
et la paix qui doit régner entre les peuples. Hommes, vous êtes tous
frères
: jusques à quand différerez-vous de vous reconna
eu y avait passé ! Encore, si vous aviez la modération de ménager vos
frères
et de ne pas les ruiner entièrement ! Mais, après
’ai suivi avec des yeux attentifs et jaloux tout ce qui était à votre
frère
, et que vous lui avez enlevé. Je le vois, malgré
. L’autre lui dit : « Qu’allez-vous faire ? Voulez-vous quitter votre
frère
? L’absence4 est le plus grand des maux : Non pas
e funeste, Que faucons, que réseaux. Hélas ! dirai-je, il pleut : Mon
frère
a-t-il tout ce qu’il veut, Bon souper, bon gîte,
: Je reviendrai dans peu conter de point en point Mes aventures à mon
frère
; Je le désennuîrai6. Quiconque ne voit guère N’a
ivant de ce vers dans cette lettre écrite par Victor Jacquemont à son
frère
, quelque temps avant sa mort : « Oh ! qu’il sera
eau de votre conduite : Vous avez insulté une personne qui n’a ici ni
frère
, ni mari, que je protège seule, et qui, dans sa n
Cependant la vie s’avance, et vous aliénez de vous votre mère, votre
frère
, votre sœur. Je ne vous connais pas un lien série
aires. Ni l’esprit de votre mère, ni la dignité des manières de votre
frère
, ni le charme de votre sœur, ni les lumières de M
n de réclamer une faveur dont il est assuré d’avance, car c’est à des
frères
qu’il s’adresse, ni de se concilier les esprits p
ime en face du cercueil de Louis le Grand :« Dieu seul est grand, mes
frères
! » Malheureusement il ne se soutient pas à cette
Rends-nous, peuple cruel, nos époux et nos pères, Nos enfants et nos
frères
; Fais sortir Ilion de ses débris fumants. Mais p
esclave, le faible, le pauvre, l’étranger, devinrent les égaux et les
frères
du maître, du puissant, du riche, du citoyen. Il
a condition humaine, n’avait pas même songé à venir au secours de ses
frères
souffrants. On ne trouve pas chez les anciens l’o
es essaims. De nos discords enfin nous pleurons les victimes, Et nos
frères
meurtris en d’horribles combats. Age de fer, héla
laisse ravir une épouse que j’aime ? Seul, d’un honteux affront votre
frère
blessé, A-t-il droit de venger son amour offensé
de Pylade l’urne où elle croit que sont enfermées les cendres de son
frère
. Restes chéris !… Ô reste !… Ô Destins trop jalo
roide poussière ; J’embrasse un vain fantôme, une ombre… et c’est mon
frère
! Triste dépouille, ô dieux !… Urne sainte, ouvre
ssée. D’un empoisonnement vous craignez la noirceur ? Faites périr le
frère
, abandonnez la sœur ; Rome, sur les autels prodig
errez mettre au rang des jours infortunés Ceux où jadis la sœur et le
frère
sont nés. NÉRON. Narcisse, encore un coup, je ne
onfessez, mauvais fils ; n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un
frère
. FRANÇOIS DE PAULE. Eh
contre ses remords ton cœur cherche un refuge ! Tremble ! j’étais ton
frère
et je deviens ton juge. Écrasé sous ta faute au p
t que je fis. Une fois revenue, au conseil avec elle Rentreront votre
frère
et toute sa… séquelle ; Parmi cet entourage à l’E
. — Voyons, parle, Marat. MARAT. Ah ! tu t’abaisses donc jusqu’à moi,
frère
ingrat ? Et Marat n’est donc plus ce maniaque ace
s étouffants, L’ornement du foyer, le respect des enfants. Mon pauvre
frère
, avec les produits de sa charge, Aura-t-il à Pari
cour À la vue d’un auditoire si nouveau pour moi, il semble, mes
frères
, que je ne devrais ouvrir la bouche que pour vous
idaine. Sur le petit nombre des Élus Je m’arrête à vous, mes
frères
, qui êtes ici assemblés : je ne parle plus du res
fines, sont offensés de la dureté de son style irrégulier. Mais, mes
frères
, n’en rougissons pas. Le discours de l’Apôtre est
en se promenant reconnaître, là où l’on s’y attendrait le moins, des
frères
ou des maîtres. Lucrèce par exemple aimerait à di
in, que vous aurez bientôt l’honneur de voir Picard ; et comme il est
frère
du laquais de madame de Coulanges, je suis bien a
z enterrée, et j’y choisirai ma sépulture. » Joseph mourant dit à ses
frères
: « Dieu vous visitera et vous établira dans la t
e parole. Ce lui est une douceur, en mourant, d’espérer de suivre ses
frères
dans la terre que Dieu leur donne pour leur patri
ance humilie, si elle n’a rien de réciproque, si vous ne portez à vos
frères
qu’un morceau de pain, un vêtement, une poignée d
rimait plus que ce nom même si populaire de fraternité : car tous les
frères
ne s’aiment pas, et charité signifie amour. C’est
ire à la pourriture : Vous êtes ma mère ; et aux vers : Vous êtes mes
frères
et mes sœurs ; peut-être qu’il se persuaderait ré
dans le malheur il n’est plus d’amis. » 63. Théâtre. (Michel Lévy
frères
, édit.) 64. La Jeunesse. (Mich. Lévy, édit.) 6
étincelants, Entrant à la lueur de nos palais brûlants, Sur tous mes
frères
morts se faisant un passage, Et, de sang tout cou
mme poëte distingué par ses deux premières pièces, la Thébaïde ou les
Frères
ennemis, et Alexandre, lorsqu’il fit son véritabl
chi ses sens. Elle sourit et nomme ses enfants. Adèle accourt, de son
frère
suivie ; Tous deux du lit assiègent le chevet ; L
és qu’il a faites, ou destinée pour le soulagement et le salut de ses
frères
; voilà, des âmes égarées qu’il a ramenées à vous
ière D’un mendiant puissant au ciel ! La meilleraie 2 Mon
frère
, la tempête a donc été bien forte ; Le vent impét
aux baisers ! Seigneur ! préservez-moi, préservez ceux que j’aime,
Frères
, parents, amis et mes ennemis même Dans le mal
etirées dans l’intérieur de leurs maisons, et redemandent au ciel des
frères
, des époux, des enfants. Les paisibles habitants
hait sur Vienne. Il écrivit cette lettre avant d’attaquer l’archiduc,
frère
de l’empereur d’Allemagne. Il avait été victorieu
, Marat. marat, toujours assis. Ah ! tu t’abaisses donc jusqu’à moi,
frère
ingrat ? Et Marat n’est donc plus ce maniaque ace
C’est le nom de Brutus francisé. On sait qu’ayant vu son père et son
frère
assassinés par Tarquin le Superbe, et craignant l
quel asile me reste-t-il ? Le Capitole ; il est inondé du sang de mon
frère
. Ma maison ; j'y verrais une mère fondre en larme
uisselant dans Paris ; Le fils assassiné sur le corps de son père, Le
frère
avec la sœur, la fille avec la mère. (Voltaire.)
: On égorge à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur et le
frère
, Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de
a main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t'es donnée ?… Tes
frères
, ces martyrs égorgés à mes yeux, T'ouvrent leurs
au jour en passant, Parmi les grands conserve ta simplesse Et vois un
frère
en l'honnête indigent. (Une élève de M. Jubien.)
ale ? Entre plutôt à mon service ; je te ferai sous-lieutenant. — Mon
frère
est au service de Votre Majesté depuis six ans, e
te sur les rives de l’Euphrate, et ne voie plus dans les Français ses
frères
, que les tristes Israélites, nous pourrons avoir
aintes ; Abel, le juste Abel, de son sang les a teintes. Où peut d’un
frère
aller la jalouse fureur ? Pourquoi le meurtrier f
nous soit parvenu. Ce Persés, à qui il adresse ses leçons, étoit son
frère
. Persés, veux-tu jouir d’un plus tranquille sor
nous voyons Néron, sous les apparences d’une réconciliation avec son
frère
, cacher la haine, la plus envenimée et le dessein
presqu’également. Les principaux personnages sont Sganarelle, Ariste
frères
, Isabelle, Léonor sœurs, et Valère amant d’Isabel
e d’Isabelle, et Sganarelle de Léonor, signe cependant, ainsi que son
frère
. Aussitôt arrive Léonor avec sa suivante. Ariste
la tragédie de Rodogune, la situation d’Antiochus et de Seleucus son
frère
. Nous craignons pour ces deux princes, lorsque no
qu’un mari tue, ou est près de tuer sa femme, une mère ses enfans, un
frère
sa sœur ; c’est ce qui convient merveilleusement
s ou de personnes, comme dans Iphigénie en Tauride, qui reconnoît son
frère
et qui en est reconnue, dans Œdipe, qui se reconn
un emportement qui ne conviendroit point à Sabine qui n’a perdu qu’un
frère
. Mais je répéterai encore ici, que quand il s’agi
sque Curiace, en le félicitant de ce que Rome l’a nommé avec ses deux
frères
pour le combat, ne peut s’empêcher de lui témoign
x étincelans, Entrant à la lueur de nos palais brûlans ; Sur tous mes
frères
morts se faisant un passage, Et de sang tout couv
sentimens. Curiace vient d’apprendre qu’il a été nommé avec ses deux
frères
pour le combat, et maudit ce fatal honneur, qui l
tre un autre soi-même, Attaquer un parti, qui prend pour défenseur Le
frère
d’une femme, et l’amant d’une sœur ; Et rompant t
e à vous percer le flanc ; Prêt d’épouser la sœur, qu’il faut tuer le
frère
, Et que pour mon pays j’ai le sort si contraire.
resse aussi pleine et sincère Que j’épousai la sœur, je combattrai le
frère
; Et pour trancher enfin ces discours superflus,
à Corneille le nom de Grand, non-seulement pour le distinguer de son
frère
, mais du reste des hommes. Veut-on un dialogue vi
ne, tant que le goût du beau subsistera parmi nous. Thomas Corneille,
frère
du grand Corneille, suivit la même carrière que l
s plus fiers adversaires Réunis dans ces lieux, n’y sont plus que des
frères
. Le sage Louis douze(c), au milieu de ces rois, S
de lâches complaisances ; les hommes, en qui il ne doit voir que, des
frères
égarés, que l’indulgence ramènera, et que trop de
ès de son cœur, comme pour le réchauffer, sa famille, son enfant, ses
frères
, quelques amis. Il avait le goût charmant de l’ob
r crainte à tous était grande. Enfin, l’un d’eux dit aux autres : mes
frères
, prions notre père qui est dans les deux, peut-êt
quand ils eurent prié, celui qui avait dit : Prions, dit encore : Mes
frères
, ce qu’aucun de nous n’a pu faire seul, qui sait
ous désespérons. Invoquons le secours du ciel, et unissons-nous à nos
frères
pour prier et travailler. Seuls nous ne pourrions
du moins ce qu’il faut en croire ? La parole de Dieu Oui, mes
frères
, c’est aux auditeurs de faire3 les prédicateurs ;
es, sont offensés de la dureté de son style irrégulier. Pourtant, mes
frères
, n’en rougissons pas. Le discours de l’Apôtre est
es parents sur ma postérité. J’aurais vu massacrer et mon père et mon
frère
, Du haut de son palais précipiter ma mère, Et dan
t laissons le mystère : La sœur vous touche ici beaucoup moins que le
frère
; Et pour Britannicus… Junie. Il a su me toucher
lousie et le mépris de ceux qu’on loue. L’intérêt le plus vil arme le
frère
contre le frère, l’ami contre l’ami, rompt tous l
ris de ceux qu’on loue. L’intérêt le plus vil arme le frère contre le
frère
, l’ami contre l’ami, rompt tous les liens du sang
ent pour la cause commune. Ce furent de l’un et de l’autre côté trois
frères
, les Horaces, romains, et les Curiaces, albains.
ophe de l’ode de J.-B. Rousseau, sur la naissance du duc de Bretagne (
frère
aîné de Louis XV). Où suis-je ? Quel nouveau mir
a main forcenée, Par la main des brigands à qui tu t’es donnée ? Tes
frères
, ces martyrs égorgés à mes yeux, T’ouvrent leurs
survit, mais c’est la passion de l’honneur. » Et vous, enfants, vous,
frères
des guerriers que je célèbre, quelle laborieuse c
is seize pièces de canon qui appartenoient à un prince, oncle du roi,
frère
de la reine, et avec qui vous n’aviez jamais eu d
and vous serez établis dans votre patrie ! Il n’est pas possible, mes
frères
, qu’à la vue de cette auguste assemblée, vous n’e
Dieu habite ! Esprit saint, esprit pacifique, qui faites habiter les
frères
unanimement dans votre maison, affermissez-y la p
ses ennemis. La crainte qu’il en eut le détermina à faire tondre ses
frères
; cela en augmenta encore le nombre. Ces deux art
Parthes), Timagène (ancien gouverneur d’Antiochus et de Séleucus son
frère
). TIMAGÈNE (À Antiochus). Avec assez de peine il4
rant ; Et, ce reste égare de lumière incertaine Lui peignant son cher
frère
au lieu de Timagène, Rempli de votre idée, il m’a
d’un coup trop inhumain426. « Régnez ; et surtout, mon cher
frère
, « Gardez-vous de la même main. « C’est…
vraiment tragique, Qui va changer en pleurs l’allégresse publique. Ô
frère
, plus aimé que la clarté du jour ! Ô rival, aussi
un moyen de vous être bien chère Que pour don nuptial vous immoler un
frère
; On fait plus : on m’impute un coup si plein d’h
t ma triste destinée : Pour m’exposer à tout achevons l’hyménée. Cher
frère
, c’est pour moi le chemin du trépas : La main qui
crime en crime enfin te voilà roi. Je t’ai défait d’un père, et d’un
frère
, et de moi : Puisse le ciel tous deux vous prendr
visage, Et crois voir en nous deux, sous mêmes soins nourris Ces deux
frères
que peint l’École des maris 494. Dont… ALCESTE.
ar vous joindre à mes premiers écrits. C’est là qu’à la faveur de vos
frères
chéris, Peut-être enfin soufferts comme enfants d
Il restait seul de notre famille : Mon père était son
frère
. Il descend comme moi Du sang infortuné de notre
es parents sur ma postérité. J’aurais vu massacrer et mon père et mon
frère
, Du haut de son palais précipiter ma mère, Et dan
Dieu sommes-nous étrangères ? Vous avez près de vous nos pères et nos
frères
. UNE AUTRE. Hélas ! si, pour venger l’opprobre d’
vid ! JOAS. Ô mon unique mère ! Venez, cher Zacharie, embrasser votre
frère
. JOSABETH, à Zacharie. Aux pieds de votre roi pro
ffensants de Rhadamiste, qui redoute un rival dans Arsame, son propre
frère
, et termine par ces beaux vers : Pour toi, dès q
Votre cœur s’attendrit ; je vois couler vos pleurs. (À Arsame.) Mon
frère
, approchez-vous ; embrassez-moi : je meurs705 ZÉ
orde de son oraison funèbre de Louis XIV : « Dieu seul est grand, mes
frères
. » 178. « On a loué cent fois, et avec toute
abeth de Bavière, deuxième femme et veuve de Monsieur, duc d’Orléans,
frère
unique de Louis XIV. Cette princesse, fort honnêt
. I, p. 506 et suiv. 320. Il lui ordonna d’avoir pour ses sœurs, ses
frères
et ses neveux une clémence sans bornes, indeficie
oltaire, pour rendre impérissable la renommée de son auteur. Les deux
frères
sont Sganarelle et Ariste, dont les opinions sont
a perfide ambition de Pharasmane, qui avait pris les armes contre son
frère
, contre ce même Mithridate, qui avait élevé son f
e a deux sujets singuliers, on met ce verbe au pluriel. Exemple. Mon
frère
et ma sœur lisent. 67. — Deuxième remarque. Qua
que la troisième. Exemples. Vous et moi nous lisons. Vous et votre
frère
vous lisez. (La politesse française veut qu’on no
dans, je te les donne. Prends-les, mon fils, et n’en donne rien à ton
frère
. « Le fils tressaillit, et resta quelque temps im
on père, dit-il, si je reçois tout de vous, que deviendra ensuite mon
frère
? — Lui ! dit son père, l’interrompant ; je ne su
en cent propos contraires, Moi, d’un pas inégal je suivais mes grands
frères
; Et les astres sereins s’allumaient dans les cie
quefois ils sont articles : l’article est toujours suivi d’un nom, le
frère
, la sœur, les hommes : au lieu que le pronom est
toujours passionnément votre dévoué serviteur6. Sur la mort d’un
frère
. [Ce 10e jour de janvier 1641.] Monsieur, Je
1. Le sang de Turenne peut-il crier comme celui d’Abel, tué par son
frère
? Que de rhétorique ! 2. Comparez Mascaron et j
-précoce instinct. Agé de trois ans, il allait frapper à la porte des
frères
de la doctrine chrétienne, et comme on lui en ref
oilà le nœud qui inquiète le spectateur. Si elle savait que c’est son
frère
, il n’y a pas de doute qu’elle ne l’épargnât : ai
par la connaissance de ce qui était inconnu : Iphigénie reconnaît son
frère
, et le sauve. Celui qui vient de la force opposée
la tragédie de Rodogune, la situation d’Antiochus et de Séleucus, son
frère
; telle est encore celle d’Hippolyte, lorsque Thé
sque Curiace, en le félicitant de ce que Home l’a nommé avec ses deux
frères
pour le combat, ne peut s’empêcher de lui témoign
uisselant dans Parisa, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le
frère
avec la sœur, la fille avec la mère, Les époux ex
sang de son fils dans la coupe qui lui a été présentée par Atrée, son
frère
, lui parle ainsi : Monstre, que les enfers ont v
nt perdue. Le vieil Horace croit que son fils, après la mort des deux
frères
, a fui devant les trois Curiaces, et il ignore la
iser les âmes par la parole. Vous me tenez lieu de père, de mère, de
frère
, disait saint Chrysostome à son peuple ; je n’ai
pourquoi vous êtes parti, pourquoi vous avez quitté votre ordre, vos
frères
, votre sainte retraite, moi-même enfin qui vous s
et touchantes : Le voilà donc encore sous nos yeux, cet incomparable
frère
; voici, du moins, sa cendre précieuse et sa dépo
’était donc pour vous-même que devaient éclater ses premiers accents…
Frère
vénérable et chéri ! puisse ta bienheureuse âme ê
acuvius, s’était rendue à Annibal et l’avait reçu dans ses murs. Deux
frères
, citoyens les plus considérables de la ville, don
ci comment l’illustre religieux répond à cette accusation : Ah ! mes
frères
, nous l’avouons sans peine : nous n’avons ni les
des reproches bien plus amers et plus accablants, non pas à vous, mes
frères
, mais à un grand nombre de ceux qui témoignent ta
ses forces ? As-tu droit d’exiger que nous, les tristes restes de nos
frères
morts, faibles et derniers débris de cette Église
eur, pour ses brebis. Le devoir du soldat est de donner, comme un bon
frère
, sa vie pour ses frères. Si vous considérez l’âpr
e devoir du soldat est de donner, comme un bon frère, sa vie pour ses
frères
. Si vous considérez l’âpreté de la vie du prêtre,
ité, aux haineux le pardon des injures, aux égoïstes l’amour de leurs
frères
. Soit qu’il traîne les âmes épouvantées au bord d
anité appelle la gloire ; il ne voit dans tous les malheureux que des
frères
, dans les étrangers comme dans les concitoyens, q
hrist, dit l’Apôtre1 ; et je puis dire comme lui2 : « Vous savez, mes
frères
, que la flatterie jusqu’ici n’a pas régné dans le
lui fit jurer, sous peine de malédiction, de venger le meurtre de ses
frères
. L’homme n’oublia jamais le serment de l’enfant.
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