l est son but, et je préciserai ses rapports. Ce ne sera pas sous une
forme
aride que je ferai une définition digne d’un bon
le fond les rapports, le genre et la différence des objets ; dans la
forme
, la clarté et la précision des mots. Voir Canevas
ent s’il a oublié quelque chose et dans quel but. On verra si dans la
forme
il a observé la clarté et la précision. Voir Cane
! Elle se nomme l’Espérance. Chateaubriand, (Les Martyrs.) ANALYSE.
Forme
. — Tous les détails de cette définition concouren
a à quel genre il appartient et ce qu’il en pense comme juge. Dans la
forme
, il examinera les détails et fera ressortir les t
me a des accents moins fiers. Delille. (L’imagination.) ANALYSE.
Forme
, — Aux traits caractéristiques de ce portrait, il
ière saillante et naturelle. Voir Canevas n° 59 à 62. Décomposition.
Forme
. — Faites remarquer les contrastes les plus saill
nnocence ou du repentir, montez au ciel ! Chateaubriand. ANALYSE.
Forme
. — Les deux premiers mots de ce court parallèle,
ement à ces préparatifs d’un drame solennel. L’antithèse acquiert une
forme
palpable et une singularité qui frappe et émeut.
Préceptes au genre. Le dialogue est un ouvrage d’esprit qui a la
forme
d’un entretien, d’une conversation entre deux ou
ntretien, d’une conversation entre deux ou plusieurs personnes. Cette
forme
donne plus de vivacité au discours, plus de sel à
nc du fond et du sujet qu’elles tirent leur dénomination et non de la
forme
du langage. Le dialogue philosophique ou littérai
logueurs sont rares. Voir Canevas n° 64 à 69. Décomposition. Dans la
forme
, on examinera si l’exposition est simple, quels s
Que n’ai-je des témoins ! (Racine.) ANALYSE.
Forme
. — L’exposition est ce qu’elle doit être, claire
ple métaphore ; L’allégorie continue l’image, en représentant par les
formes
matérielles les qualités morales, c’est-à-dire en
bien différents en cela des peuples orientaux, dont cette composition
forme
presque toute la rhétorique. On peut, dans l’allé
le ne fait parler que les animaux et les choses inanimées. Voilà leur
forme
et leurs différences. Les personnages de l’apolog
clopédie des gens du monde.) Voir Canevas n° 87 à 97. Décomposition
Forme
, — Détaillez les ornements. Fonds, — Examinez l’i
t les pieds touchaient à l’empire des morts. (Lafontaine.) ANALYSE.
Forme
. — Il faudrait tout citer, si l’on voulait faire
t violent s’élève et déracine le chêne. Il est plus facile sous cette
forme
simple et découvrir la moralité ; elle se trouve
onnerez plus d’éclat. Voici deux vers qui empruntent au contraste une
forme
touchante : Furieuse elle vole avec un coutelas
Les phrases seront tantôt courtes, tantôt périodiques, et toujours de
formes
variées. (Voyez variété, page 166.) Voir Canevas
dre de vue. On peut rapporter à la narration badine, du moins pour la
forme
légère et familière, l’historiette et l’anecdote.
rration historique pour le fond et pour les détails ainsi que pour la
forme
, on se conforme aux préceptes de la narration poé
é quitte, heureusement, pour la peur » je mande une nouvelle sous une
forme
simple, sans détails, sans ornements. Mais Madame
nevas n° 212 à 221. Décomposition de la narration. En général :
Forme
.— On détaillera les principaux ornements. Fond.
arration appartient. En particulier : On fera remarquer 1° si dans la
forme
la narration historique est grave, sérieuse, sout
triviale ; mais Châteaubriand le sait, et il va lui donner une de ces
formes
colossales qui la feront admirer. Quelle variété
critique contemporaine que la doctrine s’est produite sous une autre
forme
. Auteurs. Dates. Nés en — Morts en Ouvrages.
s mêmes pour toutes les œuvres de l’esprit humain. Quelle que soit la
forme
qu’un écrivain donne au développement d’un sujet,
uves sont les raisons elles-mêmes, dont les arguments ne sont que les
formes
. Les rhéteurs distinguent deux espèces de preuves
ns. I° Arguments proprement dits Les preuves revêtent toutes les
formes
de raisonnement. On en compte neuf principales, q
e, elles tirent leur origine des lois même de notre intelligence. Ces
formes
de raisonnement ou arguments proprement dits, son
, dont ils ne sont que des conséquences. Ces principes sont une autre
forme
de la preuve. Les anciens rhéteurs les appelaient
au sens dérivé, et dans une acception plus étendue, il est devenu la
forme
personnelle et vivante que l’écrivain donne à sa
ions de la période s’appellent membres. Lorsque chacun de ces membres
forme
une ou plusieurs phrases indépendantes, il prend
e que cette classification a le grave inconvénient de s’occuper de la
forme
indépendamment du fond, et d’oublier qu’il existe
érents, et permettent d’éviter la répétition ; 5° Les équivalents, ou
formes
différentes que peuvent prendre certains mots ou
t donné à ces dernières expressions le nom de figures ; leur ensemble
forme
ce qu’on appelle le style figuré. Les figures son
tribunaux, et dans laquelle le chœur des juges est représenté sous la
forme
de mouches armées d’un aiguillon) ; — quelques pe
elle la plume semble courir. Le genre épistolaire comporte toutes les
formes
et toutes les variétés de style. Ses principales
gentilhomme de Molière ; mais quand il a voulu donner à sa pensée une
forme
plus vive, capable d’entraîner et de charmer l’im
un rythme à sa parole et a fait de la poésie. Le vers est la première
forme
littéraire de l’esprit humain. Conditions d’un
est la faculté naturelle de créer et de donner à ses conceptions une
forme
originale et puissante. Cette supériorité d’espri
c habileté les éléments d’une œuvre littéraire et à les revêtir d’une
forme
élégante et agréable. L’esprit est cette qualité
ntiment et la vie ; 3° Elle matérialise le monde moral en donnant des
formes
visibles aux êtres spirituels. Outre ces principa
ète indépendance de la quantité et des accents. Quant aux différentes
formes
de vers, les poètes n’ont employé que l’hexamètre
s, t. III, p. 21, édit. Gouffé, — Vaudeville en écho.) Ces dernières
formes
de vers, de cinq, de quatre, de trois, de deux et
etranchement de l’e muet devant une voyelle. À la fin des vers, où il
forme
les rimes féminines, l’e muet ne compte pas ; il
plus ou moins directement, ou par la nature de leur sujet, ou par la
forme
qu’ils revêtent. Nous avons terminé par quelques
plus tard, dans celui de Marcel. L’Ode, ses diverses espèces La
forme
la plus ordinaire de la poésie lyrique est l’ode
nthousiasme et les élans passionnés de l’ode, ont cependant, sous les
formes
variées des stances, emprunté quelque chose de ce
ies. Voici le tableau de ces petits poèmes, dont quelques-uns ont une
forme
fixe : PETITS POÈMES LYRIQUES à forme libre à
, dont quelques-uns ont une forme fixe : PETITS POÈMES LYRIQUES à
forme
libre à forme fixe 1° L’élégie, 2° L’épithalam
s-uns ont une forme fixe : PETITS POÈMES LYRIQUES à forme libre à
forme
fixe 1° L’élégie, 2° L’épithalame, 3° Le madri
ade, 10° Le chant royal, 12° Le sonnet. Petits poèmes lyriques à
forme
libre 1° Élégie L’élégie (ἐλεγέια) est un
à-dire le distique. Les poètes grecs n’ont pas toujours employé cette
forme
de vers, qui est antérieure au viie siècle av. J
ος ; ait eu aussi le sens de plainte, sans rapport déterminé avec mie
forme
métrique. Bien qu’elle soit écrite quelquefois en
sentiment tendre, on l’appelle romance. Petits poèmes lyriques à
forme
fixe Le lai et le virelai ne sont que des vari
te jusqu’à la fin du poème. Les vers du virelai nouveau ne sont pas à
forme
fixe ni coupés par strophes régulières. Ils s’ent
yé de faire revivre, a été complètement modifiée comme sujet et comme
forme
. Elle n’a de commun avec l’ancienne qu’une certai
de commun avec l’ancienne qu’une certaine simplicité dans le ton, une
forme
presque lyrique, et la répétition fréquente d’une
s de l’adolescence.) 11° Sonnet Le sonnet est un petit poème à
forme
fixe composé de deux quatrains et de deux tercets
e huit syllabes, il est régulier ou irrégulier. Il n’y a qu’une seule
forme
de sonnet régulier, c’est celui que nous venons d
sourit au nouveau-né ! (J. Soulary, Œuvres poétiques, — Sonnets.) La
forme
du sonnet est une des plus belles de la poésie fr
de nos jours, entre les mains d’ingénieux et habiles poètes, une des
formes
les plus achevées de la poésie française. (Cf. Le
à distinguer dans l’épopée : 1° l’action ; 2° les personnages ; 3° la
forme
; 4° le style. 1° L’action doit être vraisemblabl
ume l’inspiration des siècles passés et donne à leurs conceptions une
forme
parfaite et définitive (Virgile, dans l’Énéide).
dans les traditions et les légendes des peuples ; elle a été la seule
forme
poétique qui pût leur servir d’expression ; mais,
souvent l’un et l’autre à la fois, a de bonne heure inspiré les deux
formes
principales de l’art dramatique : les genres trag
Le nœud de l’action, qui prend le nom d’intrigue, dans la comédie, se
forme
au premier acte et se resserre graduellement dans
ut d’action. Ex. le monologue d’Auguste, dans Cinna de Corneille.
Formes
de la poésie dramatique Les deux genres princi
ipaux de la poésie dramatique, tragique et comique prennent plusieurs
formes
, dont voici le tableau : Genres Tragique. Com
vie. Ce genre de pièces, sérieux par le fond, souvent familier par la
forme
, admet tous les sentiments et tous les tons compa
comédie est la représentation d’une action de la vie commune sous une
forme
plaisante. Son but est de corriger nos défauts pa
a comédie doit être simple, vif et enjoué. Le vers n’est pas la seule
forme
appliquée à un sujet comique. Il y a aussi beauco
. Revue La revue est une pièce dans laquelle défilent, sous une
forme
bouffonne, les principaux événements de l’année.
la tragédie d’Eschyle et de Sophocle. Elle affecta d’en parodier les
formes
générales, et mêla tous les tons. La comédie anci
te des classiques et des romantiques a fait presque disparaître cette
forme
un peu surannée de la tragédie purement fictive,
nos jours la comédie est en grande faveur ; elle est presque la seule
forme
littéraire qui existe encore sur nos théâtres. Ma
onquêtes de la science moderne. Poésie philosophique, ses diverses
formes
Outre les œuvres dont la forme est purement di
Poésie philosophique, ses diverses formes Outre les œuvres dont la
forme
est purement didactique ou descriptive, on peut f
la simplicité dans le ton, la finesse, la grâce et la légèreté de la
forme
. 3° Épître L’épître en vers est en général
tantôt les vices et les ridicules généraux de l’humanité sous quelque
forme
qu’ils se présentent, tantôt les vices et les tra
satire morale et la satire littéraire. La satire se présente sous des
formes
bien différentes. Elle prend quelquefois les prop
x rimes orné. Elle est quelquefois beaucoup mieux que cela. Sous une
forme
caustique, elle peut avoir une plus grande étendu
sur un monument pour transmettre à la postérité, quelquefois sous une
forme
ironique, la mémoire d’un fait. 7° Épitaphe
les autres genres littéraires, par les grands écrivains. Sa double
forme
: l’Idylle et l’Églogue La poésie pastorale a
le forme : l’Idylle et l’Églogue La poésie pastorale a une double
forme
, l’églogue et l’idylle. Idylle L’idylle (εἱδ
un sujet champêtre. Elle renferme ordinairement une action, prend la
forme
dramatique ou épique, c’est-à-dire qu’elle est en
e la vie des champs dans un style simple et naturel. À cause de sa
forme
, elle a plus de mouvement que l’idylle. Voici ses
hes, — nus et vêtus, — commentés, — rapportés, etc. Cette dernière
forme
était variée jusqu’à l’infini dans les sonnets se
rouve dans Rabelais et dont la disposition typographique reproduit la
forme
d’une bouteille. Rappelons le sonnet baroque dont
. Nous avons passé en revue la poésie dans toutes les variétés de ses
formes
, depuis les plus sublimes créations du génie jusq
e, héroïque, morale, badine. Odelette, Cantate. Petits poèmes : 1° À
forme
libre. Élégie ; Épithalame ; Madrigal ; Chanson.
es : 1° À forme libre. Élégie ; Épithalame ; Madrigal ; Chanson. 2° À
forme
fixe. Lai ; Virelai ; Villanelle ; Rondel ; Ronde
). Pour traiter tant de sujets si différents, la prose a besoin de sa
forme
libre, dégagée de cette mesure rigoureuse, qui es
se les facultés de l’âme, quand il démontre la vérité sous toutes ses
formes
. C’est ce que n’ont pas oublié Fénelon et Bossuet
e, on a dû, pour conserver les œuvres de la pensée, les revêtir d’une
forme
qui put les fixer d’une manière durable dans la m
chef-d’œuvre, comme une oraison funèbre de Bossuet ; sous sa modeste
forme
, elle est supérieure à un lourd traité de philoso
tif l’une des grandes divisions de l’éloquence, n’en ont pas connu la
forme
la plus élevée. Chez eux, il consistait seulement
uffon dans son Discours sur le style. Aujourd’hui, sans abandonner sa
forme
primitive, on passe en revue et on apprécie les œ
l’histoire sacrée celle de toutes les religions qui, sous différentes
formes
et avec des sectes variées, se sont établies de t
istoires littéraires pour les noms des plus célèbres historiens).
Formes
de l’histoire Les principales formes de l’hist
lus célèbres historiens). Formes de l’histoire Les principales
formes
de l’histoire sont : 1° Annales ou chroniques
ux dans ses Principes de littérature, se sont occupés seulement de la
forme
. La critique a été pour eux une partie de la rhét
le domaine de la critique littéraire est plus vaste. Les questions de
forme
sont secondaires ; on étudie plutôt ce qui est la
a critique littéraire du dix-neuvième siècle prend un grand nombre de
formes
, suivant les sujets qu’elle traite et le genre d’
re la pratique par la théorie. Quels que soient l’objet, le but et la
forme
de ce genre d’ouvrages, ses principales qualités
és proprement dits, se rattachent plus ou moins par le fond et par la
forme
au genre didactique. 1° On appelle traités des ou
es et scientifiques, de caractères, de maximes et pensées, etc. — Les
formes
que revêtent les œuvres qui ne sont pas purement
générales, et universelles de l’être, abstraction faite des diverses
formes
qu’il peut revêtir. Elle recherche les principes
e, d’intérêt à leurs théories, les philosophes ont souvent employé la
forme
du dialogue. Le dialogue philosophique est un ent
e de l’écrivain. Par la grande variété des sujets qu’il traite et des
formes
qu’il revêt, ce genre échappe à des règles précis
les allégories dont il s’enveloppe, le roman est en général, sous des
formes
diverses, la peinture de la société contemporaine
, quinzième et seizième siècles. Il est devenu de nos jours l’une des
formes
les plus ordinaires du roman. Ex. Les Nouvelles
. Le roman s’en est ressenti ; aussi, avec le théâtre sous toutes ses
formes
, ce genre, de tout temps adoré dans notre pays et
ys et immortalisé par des chefs-d’œuvre, est-il devenu aujourd’hui la
forme
de littérature la plus populaire et la plus goûté
er qu’une lettre, sérieuse pour le fond, peut être présentée sous une
forme
légère, agressive et polie tout à la fois. Gen
ainte, ecclésiastique. 2° Profane : ancienne, du moyen âge, moderne.
Formes
de l’histoire : Annales ou chroniques, Mémoires,
écits. Le roman est donc à la fois fiction et vérité : fiction par la
forme
, vérité par l’expression. Il peint l’homme comme
la nature lui appartient ; il peut prendre tous les tons, toutes les
formes
, aborder toutes les matières, les étendre, les dé
a même plus réelle, plus attrayante que l’épopée héroïque- Sous cette
forme
, le romancier peut donner à son aise des leçons d
uples ingénieux qui donnaient à toutes les œuvres de l’imagination la
forme
de l’allégorie et du symbole. Leurs récits cachen
t du symbole. Leurs récits cachent toujours une leçon morale sous une
forme
embellie de toutes les richesses de la fiction ;
entendre Hérodote lire son histoire. « Sous d’autres rapports, cette
forme
de société fournissait peu à l’imitation des mœur
losophique, comme le remarque Cicéron ; c’est le Télémaque réduit aux
formes
de l’histoire. La belle fiction de l’Atlantide, d
ns et d’histoires. Citons seulement le roman historique comme une des
formes
les plus nouvelles et les plus importantes. Rien
ous voyons que s’il paraît d’abord chez les peuples orientaux sous la
forme
de contes, c’est surtout dans le Nord qu’il se dé
, les différents noms que l’on a donnés aux divers romans, selon leur
forme
ou leur objet. C’est ainsi que l’on a les romans
Chapitre Ier. Considérations générales. § 1.
Formes
du langage. — Division des ouvrages de littératur
es du langage. — Division des ouvrages de littérature. Il y a deux
formes
générales du langage : le discours libre, ou la p
rrons ailleurs. Les poètes sont les auteurs de poèmes : eu égard à la
forme
de langage qu’ils emploient, c’est-à-dire à ce qu
rs d’écrits sont des écrivains : les uns et les autres, eu égard à la
forme
de langage qu’ils emploient, sont des prosateurs.
Bacon, fait consister la poésie dans le fond des choses, non dans la
forme
. « Nous n’entendons ici par poésie, dit d’Alember
xviie siècle. La Calprenède, en copiant, dans ses romans, toutes les
formes
usitées par les poètes épiques, n’osa pourtant pa
c’est-à-dire que quand la grammaire s’est occupée du langage, de ses
formes
, de ses qualités et de ses défauts, la littératur
s chaque espèce d’ouvrages en a de particulières, qui dépendent de sa
forme
, sans cesser pourtant de se rapporter à celles qu
On serait tenté de regarder la pastorale comme une des plus anciennes
formes
de la poésie, et de croire que la vie champêtre d
rer ce bonheur dans leurs vers, et que la poésie pastorale revêtit sa
forme
actuelle. Ce fut à la cour de Ptolémée que Théocr
poète doit tenir un juste milieu entre ces extrêmes. Il faut qu’il se
forme
l’idée d’une vie champêtre telle qu’elle a pu exi
r comme n’ayant que de tels malheurs à déplorer. 145. Sous combien de
formes
la poésie pastorale peut-elle se présenter ? La
elle se présenter ? La poésie pastorale peut se présenter sous trois
formes
différentes. Quelquefois le poète parle lui-même
ses personnages, comme dans la deuxième églogue de Virgile : c’est la
forme
épique ou narrative. D’autres fois, le poète se c
t fait parler ses acteurs, comme dans la septième bucolique, et cette
forme
est dite mixte. 146. Quel doit être le lieu de la
que le sujet est triste ou gai, il convient de donner à la nature des
formes
et des couleurs qui correspondent aux sentiments
mplicité et la douceur du style de la pastorale ? La simplicité, qui
forme
ici la qualité fondamentale, consiste à n’employe
ble demander plus d’action et de mouvement, et en ce qu’elle prend la
forme
dramatique ou la forme épique, c’est-à-dire qu’el
ion et de mouvement, et en ce qu’elle prend la forme dramatique ou la
forme
épique, c’est-à-dire qu’elle est en dialogue ou e
ut que ce que l’on dit prépare à ce que l’on va dire, et que le poème
forme
un tout qui excite l’intérêt et satisfasse la cur
et harmonieuses, ni dans la composition d’ouvrages ayant le nom et la
forme
d’Églogues, d’Odes, de Satires, d’Épopées, de Tra
rêts vulgaires, il se plaît à animer la nature physique, à prêter des
formes
sensibles au monde moral, et à s’élancer dans un
profondes. Si sa pensée se porte sur le monde moral, il lui prête des
formes
matérielles et palpables. Mais ce n’est pas assez
oral. Un autre caractère essentiel de la poésie, c’est de prêter des
formes
sensibles et palpables au monde moral, de le maté
purement spirituelle, et il est naturellement amené à leur donner des
formes
palpables. C’est là ce que fit la mythologie qui,
é la nature de puissances invisibles, elle donna à ces puissances des
formes
corporelles. Tous les grands phénomènes de la nat
servée de ce danger. Guidée par la religion véritable, elle donne une
forme
sensible aux êtres invisibles, au monde moral ; m
s invisibles, au monde moral ; mais il y a, dans sa pensée et dans sa
forme
, quelque chose de moins grossier et de moins terr
e en présenter une nouvelle, je crois pouvoir définir les figures des
formes
particulières de langage qui manifestent l’idée d
’idée d’une manière plus noble, plus énergique, plus élégante que les
formes
ordinaires, ou qui indiquent mieux que celles-ci
rbole, etc. ; les mots ou les phrases dont elles se composent ont une
forme
ou figure qui leur est propre, toujours la même e
titre sont celles qui se reproduisent à chaque pas sous une foule de
formes
diverses, que l’écrivain peut traiter librement,
prennent : 1° Les figures de diction ou de grammaire qui modifient la
forme
matérielle des mots ; 2° Les figures de construct
st modifiée, devrait comprendre l’apostrophe, l’exclamation et autres
formes
que l’on a mal à propos rangées parmi les figures
ance, ou l’opposition : à la première classe appartiennent toutes les
formes
de la comparaison, métaphore, métonymie, synecdoq
ion, l’ellipse, la syllepse, l’anacoluthe ; 3° Enfin, en changeant la
forme
de l’idée, et en substituant à l’énonciation simp
tion de M. Fontanier ? « Les figures du discours sont les traits, les
formes
ou les tours plus ou moins remarquables et d’un e
durée de son existence, la philosophie de la nature se dépouille des
formes
vagues et poétiques qui lui ont appartenu dès son
’une heureuse inspiration des temps primitifs, prennent peu a peu des
formes
moins vagues ; mieux interprétés, ils se conserve
pocrite, un ange, le Temps. A quels genres littéraires convient cette
forme
? La poésie, l’éloquence, l’histoire, le roman ad
urenne et les relève ainsi tous deux par le contraste. Cette dernière
forme
prend le nom de parallèle. Plutarque est classiqu
r le même précepte ; c’est que si le paradoxe est un Protée aux mille
formes
, il n’est rien d’uni et de monotone comme la véri
produire le bourgeois de la conversation ordinaire, qu’il évite toute
forme
antipathique au langage commun, toute emphase, to
ns pas le dialogue sans dire un mot du dialogue didactique. C’est une
forme
que l’argumentation adopte quelquefois dans les s
n dirait né à Paris au xviie siècle, semblent, sous le rapport de la
forme
, une imitation, plutôt qu’une œuvre originale. Au
eur langage la variété et les contrastes. Ce précepte s’applique à la
forme
épistolaire quand on en revêt le roman ou la thès
olographie, terminons ce que nous avons à dire de la narration et des
formes
qui s’y rattachent, par quelques remarques sur un
. » Le grand mérite de ces portraits est la précision originale de la
forme
unie à la vérité du fond. Voici un portrait litté
historiques, si brillants d’ailleurs, pèchent par la monotonie de la
forme
. Cette forme cependant est la meilleure ; c’est l
si brillants d’ailleurs, pèchent par la monotonie de la forme. Cette
forme
cependant est la meilleure ; c’est le portrait mi
r de ce moyen naturel et préférer l’action au récit descriptif. Cette
forme
dramatique, en effet, est la plus concise, la plu
ins exactement nommé fable, est l’exposé d’une vérité morale sous une
forme
allégorique. L’enseignement y est presque toujour
personne. » Arnault a donc à la fois inventé ses sujets et changé la
forme
de l’apologue. Ce n’est pas par la naïveté que se
naître les degrés des passions qui mènent à de tels emportements. Les
formes
générales de la poésie pastorales sont le dialogu
ne, Mes chères brebis90. Là, en effet, le fond est aussi vrai que la
forme
est originale. Il est fâcheux que Mme Deshoulière
asyllabe ; elle prend alors, quoique le fond reste aussi sérieux, une
forme
un peu plus légère. On peut en juger par ce passa
ntine Qui, par des tuyaux différents, Dans l’onde où le savon domine,
Forme
des globes transparents. Un souffle à ces boules
un style fin et enjoué, mais toujours simple, naturel et facile97. La
forme
de la satire est assez indifférente par elle-même
efois celui d’épître, quand elle est adressée à quelqu’un. Toutes ces
formes
ne font rien au fond ; c’est toujours satire, dès
e nom de satire) n’a pas toujours représenté le même fond, ni la même
forme
. Elle a été différente chez les Grecs et chez les
entassé sans ordre, sans régularité, soit pour le fond, soit pour la
forme
. De là elle prit ce nom de Satura, qui signifiait
ine, ayant donné à Rome des spectacles en règle, la satire changea de
forme
et de nom ; elle prit quelque chose de dramatique
lque temps après Andronicus. Mais ce ne fut qu’à cause du mélange des
formes
ou des différentes sortes de vers qu’ils employai
c de l’élégie, non d’après le caractère de la poésie, mais d’après la
forme
de la versification. Il importe de se le bien rap
les Romains à cet égard. Il est bien vrai, d’un autre côté, que cette
forme
servit d’abord à exprimer les plaintes, les chagr
rime le sentiment ou la passion actuelle du poète. Qu’on y ajoute une
forme
de versification qui soit chantante, elle aura to
s’amollir quelquefois jusqu’à passer au sentiment opposé110. § 57.
Formes
de l’ode et ses diverses espèces. La forme de
nt opposé110. § 57. Formes de l’ode et ses diverses espèces. La
forme
de l’ode est différente suivant le goût des peupl
e était d’abord partagée en petites strophes égales qu’ils appelaient
formes
. Plus tard, on allongea ces formes ; elles ne fur
strophes égales qu’ils appelaient formes. Plus tard, on allongea ces
formes
; elles ne furent plus toutes égales et prirent d
des circonstances où le poète ayant pris au commencement une certaine
forme
de stances, en change le système un peu plus tard
re d’une suite de vers inégaux, divisés en stances inégales. C’est la
forme
ordinaire des dithyrambes, dont nous parlerons to
il sacrifie l’intérêt de la poésie à un autre intérêt. De là vient la
forme
des cantates. On y distingue deux parties, les ré
la pièce entière par des écarts souvent incompréhensibles, et dans la
forme
par une liberté entière dans le choix des vers et
te pièce tout entière dans le § 54 du Petit traité des figures et des
formes
du style. 91. Batteux, de l’Épître en vers. 92.
but de l’ode, de ses écarts, de ses digressions. 111. Batteux, de la
Forme
de l’ode. 112. Batteux, ibid. 113. Benedic, a
d’hui l’art d’écrire tout entier, quel que soit le sujet traité et la
forme
employée. La rhétorique suppose donc : La nature
e dans les idées ; Ceux de l’élocution à l’imagination pour donner la
forme
aux idées. L’invention consiste donc dans l’acqui
l’ouvrage, et entre elles, et dans leur rapport avec l’ensemble et la
forme
adoptée ; Épisodes et digressions, admissibles,
n entre immédiatement dans le fait ou dans la passion. Cette dernière
forme
s’appelle exorde ex abrupto. Quand l’exorde est i
llogisme est catégorique, conditionnel ou disjonctif. Les principales
formes
de raisonnement qui se rattachent au syllogisme s
struction des périodes, dont les anciens rhéteurs distinguaient trois
formes
principales : la période carrée, la période ronde
identelles du style il faut étudier les figures. Les figures sont des
formes
particulières de langage qui manifestent l’idée d
’idée d’une manière plus noble, plus énergique, plus élégante que les
formes
ordinaires, ou qui indiquent mieux que celles-ci
on des expressions, pléonasme et ellipse ; Figures par changement des
formes
de l’idée, mutation ou inversion. Chapitre XXI
e, ou qu’on prétend ne pas dire ce que l’on dit réellement. Voici ces
formes
d’antithèses : L’ironie, quand on loue en apparen
tres. Chapitre XXVI. Enfin on range parmi les figures certaines
formes
de langage ou tours de phrase qui modifient la ma
estation de l’idée, en faisant saisir d’une manière plus vive que les
formes
simples et positives le mouvement de l’âme et la
entiment à celle d’une opinion ; L’épiphonème, qui donne à l’idée une
forme
sentencieuse ; L’apostrophe, qui détourne la paro
pement à celui que j’offre aujourd’hui aux jeunes personnes, sous une
forme
un peu restreinte et peut-être un peu aride : car
autant qu’il m’a été possible, non seulement le sens, mais encore la
forme
de la question avec la réponse, afin que l’élève
on genre et son espèce ; je m’animerai en parlant de l’élégance de sa
forme
, de la fraîcheur, de la grâce, de la beauté de so
période est une phrase composée de plusieurs membres, dont la réunion
forme
un sens complet et un ensemble harmonieux. 8. Tou
ments du style10. 1. Les ornements du style se montrent sous trois
formes
distinctes, qui sont : i" les figures, 2° les spl
t dans les mots et dans les pensées. Dans le premier cas, le mot seul
forme
la figure ; dans le second, la figure est indépen
courir que dans de rares occasions. Questionnaire. 1. Sous combien de
formes
se montrent les ornements du style ? — 2. Qu’est-
l’Onomatopée est dépeint par glou-glou. Tropes. La Métaphore veut des
formes
décidées, Elle unit et compare ensemble deux idée
unir tous les détails d’une chose dans une même période, sous la même
forme
et dans le même mouvement. 4. L’interrogation est
endeurs du style15. 1. J’entends par splendeurs du style certaines
formes
majestueuses qui peuvent accompagner les figures,
rbres les arbrisseaux. 2. Les splendeurs du style se réduisent à neuf
formes
principales, qui sont : 1° le Sublime, 2° la Maje
i a droit à nos hommages et à nos respects. 8. La magnificence est la
forme
qui convient aux sujets relevés. L’on parle avec
fond quand la pensée a plus d’éclat que de vérité ; elle est dans la
forme
quand on remplace à propos une expression trop co
aire. 1. Qu’entendez-vous par splendeurs du style ? — 2. À combien de
formes
se réduisent les splendeurs du style ? — 3. Qu’es
e la pompe ? — 10. Quand la noblesse est-elle dans le fond et dans la
forme
? 11. En quoi consistent la richesse et la profon
ion III. Secrets du style16. 1. On entend par secrets du style des
formes
tantôt douces, tantôt pittoresques, qu’il faut ch
s bons écrivains seuls peuvent les trouver. 2. On peut réduire à neuf
formes
les secrets du style : 1° l’Harmonie, 2° l’Euphon
par excellence, le nom de pensées à celles qui sont énoncées dans une
forme
précise et sentencieuse. Elles donnent de l’éclat
estionnaire. 1. Qu’entend-on par secrets du style ? — 2. À combien de
formes
peut-on réduire les secrets du style ? — 3. Y a-t
l’invention et ses ressources, la disposition et ses éléments ; 2° la
forme
y qui comprend toutes les espèces d’ornements que
u’ici. 3. Dans la décomposition, on commence toujours par analyser la
forme
, afin de dépouiller une œuvre de tous les ornemen
qui enseigne à penser juste, à raisonner avec méthode ; elle a trois
formes
principales, qui sont : le Syllogisme, l’Enthymèm
propres, une recherche solide du fond, sans égards minutieux pour la
forme
, le tout combiné de manière à ne point tomber dan
re ses impressions, ses sentiments, ses projets, etc., etc., sous une
forme
aimable et familière ; C’est le genre de composit
cette raison, on doit apprendre dans un cours spécial22. 3. La lettre
forme
avec sa réponse une véritable conversation écrite
à étudier dans la jeunesse ? — 2. Qu’entend-on par lettre ? — 3. Que
forme
la lettre avec sa réponse, et quel genre d’élocut
ants ni petites circonstances. Il faut joindre ici à la naïveté de la
forme
la vérité et la certitude du fond, ne raconter qu
lleur goût et les tournures les plus naturelles. Cela suffira pour la
forme
. Au fond, l’on examinera la disposition des pensé
cherchera au fond les rapports, le genre et la différence, et dans la
forme
la clarté et la précision des mots. § II. — Po
rait, on doit examiner au fond à quel genre il appartient, et dans la
forme
quelles sont les expressions qui reproduisent les
édés de décomposition qu’aux portraits. On fait de plus ressortir les
formes
de l’antithèse. Questionnaire. 1. Que comprend-on
IV. — Dialogues25. 1. Le dialogue est un ouvrage d’esprit qui a la
forme
d’un entretien entre deux ou plusieurs personnes.
Le dialogue et l’allégorie ne sont pas difficiles à analyser. Dans la
forme
on s’attache à faire ressortir les beautés des to
exclut les périodes et les grandes figures ; il admet les images, les
formes
pittoresques, l’harmonie, la variété, l’épithète,
examine l’exposition, le nœud, le dénouement et la moralité ; dans la
forme
on détaille les ornements. On termine en réduisan
rieuse. 14. On peut rapporter à la narration badine, du moins pour la
forme
légère et familière, l’historiette et l’anecdote.
ire observer la vérité, l’impartialité et l’unité ; 2° suivre pour la
forme
et dans l’arrangement des circonstances les règle
érité et la certitude à la convenance, l’intérêt à la discrétion ; la
forme
tirera son mérite d’un style familier, rempli d’a
s, il faudra considérer d’abord la narration en général, voir dans la
forme
quels sont les ornements du style, et dans le fon
ration analysée, et dire si elle est conforme pour le fond et pour la
forme
aux préceptes particuliers aux six genres dont no
es sont les qualités de ce genre de narration dans le fond et dans la
forme
? — 6. Il nous reste à parler de la narration mer
n’est-il rien qui la distingue ? — 5. Quelles sont au fond et dans la
forme
les qualités de l’exhortation ? — 6. Qu’est-ce qu
Rien. [Anonyme cité par Lemare.] Chaque réunion de deux syllabes
forme
un pied. On dit vers de six pieds, de trois pieds
sion Enfin les rhéteurs rangent encore parmi les figures certaines
formes
de langage, certains tours de phrase par lesquels
utre, mais seulement modifiée dans sa manifestation. Ces tours et ces
formes
font saisir d’une manière plus vive que les forme
. Ces tours et ces formes font saisir d’une manière plus vive que les
formes
positives et les tours habituels, le mouvement de
sentiment, mais c’est l’expression la plus faible. « En changeant la
forme
du discours, on modifie le sentiment, et on le re
’imagination se détache de l’ensemble en affectant le plus souvent la
forme
exclamative115, cette espèce d’exclamation se nom
s l’esprit à l’état de simple concept, elle est une et indivise, elle
forme
un tout qui n’a point de parties et n’en a pas be
peut-elle pas dire : Vos yeux M. Jourdain font mourir ? C’est que la
forme
me au lieu de je ou moi indiquant nécessairement
usuelle, vos yeux me font mourir, s’en écarte, c’est que, grâce à la
forme
toute speciale de me, elle satisfait à l’harmonie
es. Nous voici à la construction figurée à laquelle appartiennent les
formes
dont il me reste à parler. L’hyperbate ou inversi
le renard, et flatteurs d’applaudir. Quelques-uns expliquent cette
forme
par l’ellipse. L’énallage de nombre et de personn
e, j’ai cru utile d’y ajouter un résumé de tout l’ouvrage. 115. La
forme
exclamative n’est pas même nécessaire pour consti
ue, puisqu’il faut le dire, croyez-m’en, le dirai-je, etc. Toutes ces
formes
, quoi qu’il en dise. ne me paraissent rien autre
idée fausse et inconvenante plaise, jusqu’à un certain point, par sa
forme
; qu’un même sens, comme l’a remarqué Pascal, cha
dent par là l’exercice de la composition, le travail préparatoire qui
forme
ce que nous nommons en français le style. C’est e
e de songer surtout au fond, parce que le plus souvent il entraîne la
forme
, n’allez point pour cela mépriser la forme ; n’im
lus souvent il entraîne la forme, n’allez point pour cela mépriser la
forme
; n’imitez pas le superbe dédain qu’affectent pou
ce. Imiter n’est pas s’arrêter à une vaine ressemblance de mots et de
formes
, prendre l’apparence pour la réalité, l’ombre pou
esser aux trois derniers, je les recommande pour l’excellence de leur
forme
; au xviiie , les quatre maîtres, Voltaire, Rouss
on. Mais songez que, par la pensée et jusqu’à un certain point par la
forme
, tout écrivain appartient toujours à son siècle,
o ou Lamartine ; vous aviez déjà leurs idées, vous aurez encore leurs
formes
, vous serez imitateur en dépit de vous. Au contra
rez imitateur en dépit de vous. Au contraire, étudiez obstinément les
formes
d’un autre siècle, et vous ne serez jamais amené
ources antiques, et par cette alliance des idées d’aujourd’hui et des
formes
d’autrefois, l’étude si utile du modèle compromet
t pour l’amplifier comme pour la condenser, la rhétorique emploie des
formes
spéciales dont il est utile de connaître le nom e
écision en général, il ne s’agira plus ici que d’en énumérer quelques
formes
spéciales. Un des premiers moyens d’amplification
scription utile et opportune. Périphrase analytique, bonne et louable
forme
; périphrase emphatique, faute à mon gré, toujour
supprime dans le courant ou même dès le commencement du dialogue les
formes
qui expriment qu’un interlocuteur prend la parole
aticalement, ne se rapporte qu’au dernier des deux. Ils nomment cette
forme
zeugme. Est-ce à elle qu’il faut rapporter ces lo
ur valeur réelle, que pour ne pas laisser ignorer aux jeunes gens des
formes
et des noms qu’ils pourraient rencontrer. Pour aj
it, je vais, je me sauve là où je puis. » Mais, en vérité, toutes ces
formes
sont-elles autre chose que des idiotismes que l’o
e de la Fontaine, le nom d’un port pour un nom d’homme, je préfère sa
forme
, Phénisse veille et pleure !… 111. Je deman
faut lire toute cette remarque de Vaugelas, qui est la 160e, sur les
formes
, unir ensemble, voler en l’air, etc. 113. On re
atuo vestra est… pour urbs quam statuo. J’aimerais mieux appeler ces
formes
antiptose, un cas ou une désinence pour une entre
lénismes, de latinismes, de germanismes, etc. Rangera-t-on toutes ces
formes
parmi les figures ? C’est augmenter inutilement u
et leur application à l’art d’écrire en général, le discours étant la
forme
littéraire par excellence ; 3° L’autorité de la r
s souvent à l’art de parler. Mais la différence n’est ici que dans la
forme
; au fond, les deux choses sont identiques. Tout
ues comme la meilleure et la pire chose qui soit au monde : l’art qui
forme
l’orateur et l’écrivain porte avec lui son remède
rhétorique est donc aussi l’art d’écrire, puisque le discours est la
forme
littéraire la plus achevée et la plus riche ; le
comporte tous les sujets, tous les tons, tous les styles ; il est la
forme
suprême de la prose, comme le drame est la forme
s styles ; il est la forme suprême de la prose, comme le drame est la
forme
suprême de la poésie. Les grands esprits du dix-s
oëte, pour l’historien que pour l’orateur. De plus l’éloquence est la
forme
la plus élevée, la plus complète, la plus express
tir ; aussi semble-t-il que le discours ait précédé toutes les autres
formes
littéraires. L’intérêt et la passion ont fait les
dans quel ordre les moyens doivent être rangés ; enfin quelle est la
forme
qui peut ajouter à la puissance de ces moyens. Le
e, à la proposition qu’on veut établir ; l’ouvrage a de l’ensemble et
forme
un tout régulier et complet. 4. Division de cett
e moyen le plus sûr de paraître, c’est d’être. Et Boileau, sous une
forme
vive : Le vers se sent toujours des bassesses du
x choses : les arguments et les lieux communs. Les arguments sont les
formes
diverses du raisonnement. Raisonner, c’est faire
— Ce mot, d’origine grecque et qui signifie raisonnement, désigne la
forme
rigoureuse et, logique de l’argumentation. On déf
agination d’ornements qui en dissimulent la sécheresse. Toutefois, la
forme
rigoureuse du syllogisme convient mieux à la démo
e. — Les noms qui précèdent ont été donnés aux arguments d’après leur
forme
; mais ils reçoivent encore d’autres noms, quand
ssitôt ma maison ; et vous ne croyez pas devoir quitter Rome ! Cette
forme
de raisonnement est très éloquente et très popula
ment que fait Boileau dans sa quatrième satire. Il énumère toutes les
formes
de folie, trace les portraits du pédant, du bigot
de tout raisonnement, si l’esprit humain ne peut s’en affranchir, sa
forme
rigoureuse ne convient qu’au logicien et au géomè
vient qu’au logicien et au géomètre. Dans une œuvre littéraire, cette
forme
a besoin d’être brisée ou voilée pour éviter la s
s une réfutation rigoureuse que l’orateur pourrait avoir recours à la
forme
logique réduite à sa rigoureuse nudité. 12. Util
un exemple qui a de plus l’avantage d’offrir un syllogisme presque en
forme
: Comme il est nécessaire que chaque chose soit
est donc par adresse qu’il faut ramener les esprits : cet art délicat
forme
les précautions oratoires, 3.Desprécautions orat
e dans un autre, le rende inutile en présentant la même idée sous une
forme
différente, et produise la confusion en cherchant
ct à la vérité, mais ils ont le devoir de présenter la vérité sous la
forme
la plus favorable à leur cause. Un exemple fera b
s détails, les temps, les lieux, les personnes si clairement qu’on en
forme
un tableau où l’esprit distingue tous les objets
es preuves les plus fortes doivent être isolées et présentées sous la
forme
la plus simple. VI. Les preuves les plus faibles
souviens, et veux m’assassiner. Le redoublement d’idée emploie deux
formes
différentes pour présenter deux fois une même pen
me pensée : ainsi Molière après avoir exprimé sou idée morale sous sa
forme
simple et directe, la redouble plusieurs fois, so
sous sa forme simple et directe, la redouble plusieurs fois, sous des
formes
figurées. C’est d’abord : Eh quoi ! vous ne fere
i met un substantif comme qualificatif à un autre substantif, est une
forme
particulière du redoublement l’idées. Ainsi Louis
toire honorable et solide. A cet égard l’analyse et la discussion des
formes
vicieuses du raisonnement offre un sérieux intérê
ou particulier. Par exemple à ce principe de sens commun : La lecture
forme
l’esprit et le caractère, il faut ajouter pour pr
e les, noix doivent être bonnes pour le cerveau parce qu’elles ont la
forme
de la tête ; — que le cristal devait guérir les i
mble de la cause. On a surtout besoin pour ces résumés, de varier les
formes
et tes tournures du style. Au lieu de faire vous-
ntré... ? et vous poursuivez ainsi votre récapitulation. Sous quelque
forme
que vous la présentiez, comme vous ne pouvez repr
ort de l’âme sur l’âme. C’est ici surtout qu’il est bon de varier les
formes
et les tournures, et que l’orateur peut ou bien s
morceau de musique bien composé le motif du début revient à la fin et
forme
ce qu’on nomme ritournelle, de même, suivant la b
st dans les faits et dans les idées, puis vient la disposition qui en
forme
le contour, enfin l’élocution achève l’ouvrage et
oses qu’il est impossible de jamais séparer aussi bien à propos de la
forme
que par rapport au fond des idées et des sentimen
s qui contiennent : l° Des observations générales sur les différentes
formes
grammaticales, sur les constructions, enfin sur l
e traiter les sujets littéraires. 3° Une classification raisonnée des
formes
de style et la détermination précise des caractèr
tinuateurs jusqu’à M. Guizot et à M. Lafaye. L’esprit s’aiguise et se
forme
dans des analyses telles que celles-ci : Demand
rempli, etc. 4. Des équivalents. — On nomme équivalents ou bien les
formes
différentes que peuvent prendre certains mots ou
isance, à la facilité, etc. Qui ne sent la différence entre ces deux
formes
de la même pensée : Un enfant souffrant, dénué d
ussi conjonctives ou relatives, parce qu’elles commencent par une des
formes
du pronom relatif ou conjonctif, qui, que, dont,
touchées de sa crainte. Une admirable pensée morale est gâtée par la
forme
que l’écrivain lui a donnée : Le sang appelle le
étails, en tenir la conclusion suspendue jusqu’à un dernier repos qui
forme
la conclusion, et cela dans le cadre d’une seule
t suivre a gradation croissante des idées. VI. Le dernier membre qui
forme
la cadence ou chute le doit pas être plus court q
ens dans son temple adorer l’Éternel. peut se rendre encore sous les
formes
: Non je ne veux ici qu’adorer l’Éternel. Commen
dans son temple adorer l’Éternel. Il va sans dire que de toutes ces
formes
la meilleure est celle que le poëte a choisie ; m
ais il est telle disposition du sujet qui pourrait faire préférer une
forme
différente. Il y a donc un grand intérêt pour l’é
a l’air de répondre à une opinion pour la combattre ; par suite cette
forme
est plus vive et plus dramatique : Rien n’est du
ouvelle que Madame se mourait, que Madame était morte. Mais plus une
forme
est passionnée, plus elle a besoin d’être employé
la circonstance23. 3. Des tours particuliers les plus simples. — Aux
formes
les plus simples de la proposition se rattachent
le mal qu’ils ordonnent, Beaumarchais. Le tour emphatique est une
forme
secondaire du tour exclamatif : Qu’ai-je fait ?
eurs jours de réunion académique. Ainsi le style figuré n’est pas une
forme
extraordinaire du style, c’est au contraire une d
vements de style qui tiennent au sentiment et à la pensée, et dont la
forme
est très-variable ; 2° les mouvements de style qu
ée et le sentiment que les mots veulent exprimer. Ainsi, sous quelque
forme
que viennent s’offrir ou l’interrogation, ou l’ex
ption, dont les rhéteurs grecs avaient désigné toutes les différentes
formes
par différents noms composés, comme l’hypotypose,
ent. 1. De la comparaison. — 2. Qualités qu’elle doit réunir. — 3.
Formes
diverses de la comparaison. — 4. Du parallèle. —
éable tout à la fois, comme se souvenir des plaisirs passés. 3. Des
formes
diverses de la comparaison. — Les poëtes et les o
Les poëtes et les orateurs offrent l’exemple d’une grande variété de
formes
pour exprimer la comparaison. Elle se rend d’une
rdu son printemps. » Chateaubriand a réuni comme à plaisir toutes les
formes
de la comparaison dans le morceau suivant des Mar
émunération complète des qualités de deux objets ou de deux personnes
forme
ce qu’on nomme un parallèle. Tel est ce passage d
Voltaire dit à propos de son voyage à Berlin : On m’a cédé en bonne
forme
au roi de Prusse. Mon mariage est donc fait ; ser
t de la vérité je fais ma seule étude. Bossuet présente sous la même
forme
l’éloge de la fermeté déployée par le roi Charles
t antilogie ou paradoxe, et qui se produisent dans le langage sous la
forme
des alliances de mots. Par exemple, Hippolyte, po
plus frappante. II. Elle doit être claire, juste et sobre. III. Les
formes
en doivent être très-variées, pour échapper à la
ir simple, ainsi la périphrase sert d’accompagnement au mot propre cl
forme
avec lui un bel accord, dès qu’on n’y mêle rien d
ma simplicité De conserver encor pour vous quelque bonté ; tantôt la
forme
détournée d’un éloge ou d’un blâme qu’on rendrait
! L’atténuation peut même aller jusqu’à dissimuler le blâme sous la
forme
de l’éloge, c’est alors ce que les Grecs appelaie
traire de ce qu’on pense et de ce qu’on veut faire entendre. C’est la
forme
la plus piquante de la raillerie. Aussi, en trouv
, l’atténuation, l’euphémisme et l’atéisme donnent au blâme une
forme
moins blessante, à l’éloge plus de poids et pl
, à l’éloge plus de poids et plus de charme. VI. L’ironie est une
forme
de plaisanterie gui doit être employée avec
1. De l’interrogation. — L’interrogation présente l’idée sous une
forme
dubitative, afin de provoquer une attention plus
et le mien. Remarquez comme, après ces interrogations accumulées, la
forme
affirmative prend une vigueur imprévue ; elle reç
Qu’un doyen au Palais ne monte les degrés ; Or cette égalité dont se
forme
le sage, Qui jamais moi us que l’homme en a connu
ut à la discrétion de son juge. - — Tel est le mouvement touchant qui
forme
le début de la réponse adressée par Iphigénie aux
l’en plaindre. La correction donne donc un moyen de traiter sous une
forme
dramatique le lieu commun des contraires : Rougi
ort ! Dans tous les cas, la sentence a le mérite de résumer sous une
forme
saisissante tout un développement ; elle donne au
eprochaient à Euripide ; quelque chose de haché et de décousu dans ta
forme
, c’est ce dont lés Latins accusaient Sénèque. Qua
re de noire faiblesse et l’image de notre mort. Joubert. Enfin la
forme
sentencieuse, comme l’apologue, est une arme qui
n dernier mot. » 6. De la dubitation. — La dubitation est une
forme
de dialogisme. L’orateur ou l’écrivain ne sai
s. Il donne à son hésitation une vivacité bien plus dramatique par la
forme
d’un dialogue avec lui-même : Misérable ! où ira
ence résume les pensées, les raisonnements ou les sentiments sous une
forme
générale. III. L’apostrophe donne une vivacité to
l’exposition ou à la narration toute la vivacité de l’action sous la
forme
du drame. VI. La dubitation est une sorte de dia
s, etc. Développée et tournée vers l’enseignement moral, l’allégorie
forme
l’apologue ou la fable, la leçon la plus élémenta
ogis ; ou bien au lieu du pigeon, la volatile malheureuse. Sous cette
forme
, la synecdoque est une figure précieuse pour le s
ont vécu, pour ils ont été tués. Ces deux tropes ne sont que des
formes
de la figure de pensée étudiée sous le nom d’iron
ègles suivantes : I. La métaphore parle à l’imagination en donnant la
forme
et le mouvement aux choses spirituelles. II. Les
n plus vive. Aussi les moralistes dont la pensée prend volontiers une
forme
sentencieuse en font un grand usage : Il y a de
champs de carnage où triomphe la mort. Corneille. Cette, dernière
forme
de répétition reçoit parfois le titre même de Con
assent de notre esprit dans l’esprit de nos semblables que grâce à la
forme
dont nous savons les revêtir. Ecrire avec néglige
, mais Michaud. Joubert a dit avec beaucoup de sens : Toutes les
formes
du style sont bonnes, pourvu qu’elles soient empl
devenir plus terrible pour le duc d’Enghien que le combat. Ces deux
formes
très-simples de transition ont le premier mérite
de ta Grèce Chatouillait de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse. Ces
formes
vives et ingénieuses de la poésie frappent l’imag
comme son nom l’indique une manière unie de dire les choses. C’est la
forme
qui se présente à l’esprit par son mouvement le p
olyeucte A la gloire. sont des modèles de concision. C’est sous une
forme
laconique qu’une mère Lacédémonienne armant son f
il est souvent nécessaire de présenter le raisonnement sous plusieurs
formes
différentes… Peut-on faire entrer le lecteur dans
catesse ; Dieux plus doux ! vous n’aviez demandé que ma vie. Quelle
forme
plus délicate de consolation et d’éloge que les v
ns un état d’excitation et d’extase auquel doit répondre une nouvelle
forme
de style ; ce n’est plus le simple et le tempéré
ouvent lorsqu’on cherche le sublime. Leçon XLIIL. Des différentes
formes
de style : poésie et prose. 1. Des différentes
différentes formes de style : poésie et prose. 1. Des différentes
formes
du style. — 2. De la poésie. — 3. De la prose poé
. — 9. Des genres secondaires. — 10. Règles relatives aux différentes
formes
de style. 1. Des différentes formes de style.
gles relatives aux différentes formes de style. 1. Des différentes
formes
de style. — A considérer les faits tels que nous
s l’état de civilisation où il se présente à nous, peut employer deux
formes
littéraires pour exposer sa pensée : l’une qui re
e la poésie. L’histoire nous atteste que les vers ont été la première
forme
littéraire, parce que le rhythme a été le premier
s tiennent plutôt à la nature des sujets traités par le poëte qu’à la
forme
littéraire de son langage. Ce qui caractérise la
a forme littéraire de son langage. Ce qui caractérise la poésie comme
forme
littéraire c’est le rhythme : Montaigne a dit exc
naître en dehors de là’ versification une langue de l’imagination qui
forme
la prose poétique. 3. De la prose poétique. — Da
èles d’une grandeur et d’une sublimité à laquelle il ne manque.que la
forme
du vers pour égaler la plus haute poésie. Il y a
s être qu’une exception ; la poésie peut malaisément se séparer de la
forme
du vers. Voltaire semble avoir deviné notre Babel
esprits le dédaignent. 4. De la prose. — L’emploi de la prose comme
forme
littéraire date du jour où l’homme a connu l’écri
pensées et les sentiments, le vers, ami de la mémoire, a été la seule
forme
durable de la pensée. Alors l’oreille et la caden
gage de la pensée et du raisonnement. Elle n’avait été d’abord que la
forme
spontanée de la conversation et de relations fami
e dans l’esprit, à la faire aimer en la faisant connaître. Toutes les
formes
de la prose, toutes les nuances du style doivent
simple et familier, dans lés Mémoires ; elle doit s’élever jusqu’aux
formes
les plus nobles du style élevé dans la Philosophi
la variété infinie ; enfin elle comporte tous les tons et toutes les
formes
du langage, parce qu’elle est le reflet de tous l
inué et dépassé ses devanciers. 10. Règles relatives aux différentes
formes
de style. — Ces observations très-sommaires et qu
t née du besoin de fixer l’expression de la pensée par le rhythme, sa
forme
essentielle est le vers. II. Par suite de la rig
rument que la voix, qui des trois tons, l’aigu, le grave et le moyen,
forme
cette riche variété, cette élégante harmonie du c
battue, languissante, sans cesse entrecoupée, et qui revêt toutes les
formes
pour attendrir. Maury ajoute à ces excellentes p
le père de toutes choses, c’est le créateur de l’art sous toutes ses
formes
; il a été le premier professeur de poésie et d’é
t des arts étaient les passions nationales, le soin et le culte de la
forme
avaient fait oublier et négliger un objet bien au
ts est un secours de plus pour l’imagination ; elle l’assouplit et la
forme
à tous les tons et à tous les genres de pensée et
son enseignement la variété d’où naîtra l’intérêt ; à lui de fixer la
forme
dans laquelle les matières doivent être rédigées
à rendre leur pensée. Lorsqu’une fois une idée a revêtu pour eux une
forme
, cette forme leur apparaît comme définitive et im
r pensée. Lorsqu’une fois une idée a revêtu pour eux une forme, cette
forme
leur apparaît comme définitive et immuable ; il l
toutes les autres ; il faut avoir arrêtée et écrite d’avance sous une
forme
précise et rigoureuse, qui demeure sous les yeux
er dans lequel les idées doivent être présentées, il faut songer à la
forme
qui convient au sujet. Le style doit avoir un car
ogue est le moyen le plus sur de donner la vie à ce récit ; c’est une
forme
dramatique qui met l’action sous les yeux d’une f
e dans une lettre qui réunit l’exemple au précepte il résume sous une
forme
charmante toutes les règles du genre : Lettre a
e du genre épistolaire est à peu près inimité, il comporte toutes les
formes
de style ; ce n’est donc pas un exemple, ce sont
Ainsi que la lettre, le discours comporte tous les tons et toutes les
formes
de style. Voici comme modèle une des compositions
n et la fatigue. 3. Modèles de caractères. — Voici, comme preuve des
formes
diverses qu’on peut donner à cette étude littérai
rnit un dernier modèle : Le fat. C’est un homme dont la vanité seule
forme
le caractère ; qui ne fait rien par goût, qui n’a
sont, assorties et liées par la suite et l’ordre des pensées, par la
forme
du style ; elles nous présentent par ce moyen un
ision et d’une rigueur scientifiques ; elles peuvent donc revêtir une
forme
littéraire et se prêtent volontiers à ces sobres
ans la société humaine. Outre l’éducation générale et essentielle qui
forme
l’homme avant tout, qui l’initie de loin à toutes
ent historique sera simple, clair et précis dans la pensée et dans la
forme
. II. Le développement littéraire doit y ajouter
ode s’en va de fleurs dépouiller le rivage. 189. Faites connaître la
forme
de l’ode antique. La forme de l’ode a varié suiv
ller le rivage. 189. Faites connaître la forme de l’ode antique. La
forme
de l’ode a varié suivant le goût des différents p
recs, elle était ordinairement partagée en stances, qu’ils appelaient
formes
εἴδη. Ces stances avaient différents noms. Il y a
mouvements sans tourner ni d’un côté ni de l’autre. C’est dans cette
forme
que sont faites les odes de Pindare, et la plupar
ée, Sapho et d’autres lyriques avaient inventé avant Pindare d’autres
formes
, où on mêlait des vers de différentes espèces, av
es, avec une symétrie qui revenait beaucoup plus souvent. Ce sont ces
formes
qu’Horace a suivies. 190. Quelle est la forme de
s souvent. Ce sont ces formes qu’Horace a suivies. 190. Quelle est la
forme
de l’ode moderne Chez les modernes, et chez les
liberté d’allure. Il faut en conclure que la règle véritable pour la
forme
de l’ode, est qu’elle soit bien adaptée au sentim
giques. Ce sont des poèmes lyriques d’un caractère moins élevé, d’une
forme
grave, mais ordinairement simple, et qui sont des
e. L’enthousiasme y est moins élevé, l’inspiration moins soudaine, la
forme
moins séduisante et moins pompeuse ; mais pour pe
Fontaine sur la disgrâce de Fouquet. 217. Qu’avez-vous à dire sur la
forme
de l’élégie ? La forme de l’élégie, chez les Gre
e de Fouquet. 217. Qu’avez-vous à dire sur la forme de l’élégie ? La
forme
de l’élégie, chez les Grecs et les Latins, était
ètres et pentamètres entrelacés, et le nom d’élégie tenait alors à la
forme
du poème aussi bien qu’au fond des choses. Chez n
poème aussi bien qu’au fond des choses. Chez nous, il n’y a point de
forme
particulière pour ce genre de poésie ; et on ne l
tement libre dans le choix du mètre ; mais assez souvent il adopte la
forme
de l’ode. 218. Combien distingue-t-onde sortes d’
dont elle jouissait alors. C’est ainsi que nous la voyons prendre la
forme
de la pastorale dans l’idylle de Moschus sur la m
euvage, qui se recommande par la douce mélancolie de la pensée, et la
forme
ingénieuse sous laquelle elle est présentée : Seu
ause de leurs qualités et de leurs vertus ; l’autre les vœux que l’on
forme
pour leur bonheur. Ces louanges doivent être ingé
casion du mariage de Louis XIV avec Marie-Thérèse, et qui a plutôt la
forme
d’une ode que d’un épithalame, parce qu’il ne s’y
is derniers, en présentant quelque chose de frappant et de relevé. La
forme
mécanique ou artificielle du sonnet, qui consiste
oit avoir le sonnet ? Outre les règles précédentes, qui regardent la
forme
mécanique du sonnet, il y a des règles très impor
nique du sonnet, il y a des règles très importantes qui concernent sa
forme
naturelle. Boileau nous apprend, en effet, que le
orgueil des ennemis, et rabattre leurs coups. Un seul point de vous
forme
la différence : C’est qu’il fut autrefois légat d
res, parce que nous nous croyons plus fins qu’eux. 127. Quelle est la
forme
du rondeau ? Le rondeau est composé de treize ve
e il répond. Ce petit poème a de la grâce et de la régularité dans sa
forme
; et quand le refrain en est heureusement amené à
uise de refrain, après le sixième, pour terminer la pièce. L’idée qui
forme
le fond du triolet doit être agréable. 132. Quel
grâce et de naïveté, et le couplet ne peut guère avoir de plus jolie
forme
que celle-ci. Son mérite consiste dans l’applicat
t dont on divise les syllabes, de manière que chacune de ces syllabes
forme
un autre mot. On caractérise chacun de ces mots e
t qu’ils présentent une expression distincte pour chaque division que
forme
le mot. 138. Éclaircissez cette définition par de
l’éloquence, l’histoire, et aussi la philosophie quand elle revêt des
formes
dignes des sujets sublimes qu’elle embrasse. — On
s des œuvres littéraires. 3. Qu’est-ce que le beau ? Le beau est la
forme
du vrai. S. Ambroise. Le beau exige la splendeu
t exprimer la définition du beau littéraire, nous dirons que c’est la
forme
ou l’expression du vrai présenté d’une manière ag
our ce qui regarde les belles-lettres, le talent consiste à donner un
forme
agréable et une disposition heureuse aux idées qu
nature de plus général que le sentiment de la beauté sous toutes ses
formes
variées d’ordre et de proportion, de grandeur, d’
téraires se divisent naturellement en deux grands genres, d’après les
formes
que peut revêtir la pensée humaine : la prose et
ose et les vers. La prose est le discours qui n’est assujéti à aucune
forme
régulière, mais qui est seulement soumis aux règl
urés et cadencés d’après des règles déterminées. Mais, outre ces deux
formes
de la pensée, il y a des principes généraux qui s
blement ses pensées et ses sentiments au moyen de la parole. C’est la
forme
extérieure et soignée des pensées ; c’est la paro
scribendi recte, sapere est et principium et fons ; sans doute, une
forme
vide, tant gracieuse qu’elle soit, ne peut tenir
te que la beauté se trouve tout d’abord dans la chose exprimée, et la
forme
ne doit être qu’une enveloppe transparente qui la
la réalité qu’elle met en rapport avec nous ; mais il faut que cette
forme
soit belle aussi, et qu’elle ne masque point par
che, ce qui entraîne et séduit, c’est plus souvent la nouveauté de la
forme
ou du style que celle des choses elles-mêmes, tan
nt les hommes, mais les hommes qui honorent les places. — Pourquoi la
forme
de la phrase ne chercherait-elle pas à exprimer u
ndre le malheur ! De Belloy, profitant de l’idée de Virgile et de la
forme
de Molière, en a fait dans le Siége de Calais un
at cessa faute de combattants ; et polypiote, quand ce sont diverses
formes
du même mot : Il plaît à tout le monde, et ne sa
ble outrage… etc. Les heureux paradoxismes de ce genre sont une des
formes
antithétiques les plus ingénieuses. Mais, qu’on m
e, au facile travail de cette interprétation. Voilà donc de nouvelles
formes
d’antithèses. Ce sont celles qu’on nomme, en rhét
éisme du premier mot au dernier. J’ai dit qu’il y a beaucoup d’autres
formes
où la pensée contraste avec la parole. Ici l’on a
te ; c’est lui qui justifie non-seulement le rang que j’assigne à ces
formes
du discours, mais le nom même de figures que je l
re des élus, interroge et répond en même temps, tout en conservant la
forme
interrogative : « Quelle est, selon l’Ecriture, l
récation, le serment, la dubitation, la licence, en un mot toutes les
formes
consacrées pour exprimer un sentiment réel. Soyez
a poésie diffère de la versification, et quelles sont les principales
formes
de vers en latin et en français. 2. Des principau
a poésie diffère de la versification, et quelles sont les principales
formes
de vers en français. I. En quoi la poésie d
mpérieuse loi de la cadence, réduit et circonscrit la pensée dans des
formes
régulières et harmonieuses, qu’on appelle les ver
usif. Affranchir la poésie de la gêne du Vers, ce serait consacrer la
forme
fausse et fatigante qu’on appelle prose poétique.
e ; le poëte, c’est l’homme même. II. Quelles sont les principales
formes
de vers en français ? Les vers français sont s
ont consacrées avec une perfection désespérante, comme la plus belle
forme
de la poésie dramatique. Quand elles se mêlent ré
est autre chose que le langage de l’âme, les genres correspondent aux
formes
diverses de la pensée et aux mouvements de la sen
réflexion, si l’intelligence et la raison dominent, elles adoptent la
forme
et créent le genre de la prose, dont la liberté e
s passés. De là est née la poésie, changée dans la suite en plusieurs
formes
, dont la plus ancienne se conserve encore dans le
et des mœurs, ces deux genres dramatiques sont restés au théâtre les
formes
impérissables du beau. « La tragédie, a dit Féne
a satire morale, qui, chez Boileau, ne diffère de l’épître que par la
forme
et le nom, et n’est d’ailleurs qu’une leçon perpé
s et l’enthousiasme de l’ode ; mais sous le nom de Méditations et les
formes
variées des stances, dans un cadre commode aux c
ence, du raisonnement, de la discussion : elle a donc besoin de cette
forme
libre et dégagée, pour venir au-devant de l’audit
t par bien des points. Le juste, l’utile et le beau ne sont que trois
formes
du vrai. V. Histoire. L’éloquence persuad
origines, et qui explique par quel chemin les peuples ont passé d’une
forme
de gouvernement à une autre. »(Fénelon, Lettre à
la mer, si on la considère comme la science de la parole et l’art qui
forme
l’orateur et l’écrivain, porte son remède avec el
r la vie dans cette matière inanimée. La preuve se présente sous deux
formes
: les Arguments et les Lieux communs. Arguments
les Lieux communs. Arguments, Syllogisme. — Les Arguments sont les
formes
du raisonnement. Raisonner, c’est comparer deux p
e de France.) Voilà le texte de Bossuet, que nous avions ramené à la
forme
technique du syllogisme. 1. Si mourir pour son p
sion du sorite, c’est-à-dire le dernier anneau de la chaîne. Ces deux
formes
amples et puissantes de l’argument sont plus rare
ont plus rares, à cause même de leur ampleur, et souvent cachent leur
forme
didactique sous le tour oratoire du style. Le tex
x dont ils ne sont que les conséquences. Les principes sont une autre
forme
de la preuve : la Rhétorique ancienne les appelai
ur, limpide, parfaitement exact à son centre ; il doit reproduire les
formes
des objets telles qu’il les reçoit, sans en altér
telles qu’il les reçoit, sans en altérer les traits, la couleur et la
forme
. » (Lucien, De la manière d’écrire l’histoire, li
on sûrs et solides, pourvu qu’ils soient employés à propos. Une autre
forme
d’amplification, qui est souvent nécessaire, touj
ication, pour se laisser moins voir, et pour être plus variée dans la
forme
, n’en est pas moins féconde et puissante. L’exord
dans les esprits rebelles ? Le lieu commun des contraires est une des
formes
les plus favorables à la démonstration philosophi
e du monde. L’histoire, il est vrai, ne fait guère usage des diverses
formes
de la preuve ; car elle expose et raconte la véri
expression brève et sèche ; il faut la redoubler, la ramener sous des
formes
nouvelles pour la présenter dans tout son jour :
ublime éloquence. C’est par là que le commerce de ces sublimes génies
forme
notre langage, par le choix excellent des termes,
la naïveté. Plus difficile à définir que le naturel, elle en est la
forme
la plus accomplie et la plus inimitable. On peut,
ille, Polyeucte, acte II, scène vi. Mais cette extrême simplicité de
forme
, ce rapport presque invariable des trois termes,
le, le parallèle des deux princes, en développant la pensée, amène la
forme
périodique : « Le père, toujours en paix, est tou
période. Le style constamment périodique deviendrait monotone. Cette
forme
flexible et brillante convient à l’éloquence et s
ne faut pas, dit Cicéron, employer toujours la phrase soutenue et la
forme
périodique ; souvent il convient de procéder par
ue, livre Ier.) Division du style en trois genres. — La variété des
formes
et des qualités du style avait conduit les ancien
de l’orateur et de l’écrivain consiste à employer a propos toutes les
formes
de la pensée et du langage, selon la différence d
classiques, hérita des qualités essentielles de la langue latine ; la
forme
heureuse et expressive des mots, la fermeté, la p
este des vieux dialectes parisien et picard, soit par l’imitation des
formes
antiques. On sait aussi combien elle gagnait de v
ains de génie, Pascal et Descartes, fixèrent par des chefs-d’œuvre la
forme
de la prose française. Pascal, Descartes. — Pasc
sens figuré. C’est une métaphore. Figure, dans le sens propre, est la
forme
extérieure d’un corps. Tous les corps sont étendu
té générale d’être étendus, ils ont encore chacun leur figure et leur
forme
particulière, qui fait que chaque corps paraît à
anciens donnaient aux figures. Ils les appelaient tour, physionomie,
formes
de la pensée ou des mots, manière d’être, extérie
les tours et les transformations de la pensée et de l’expression. La
forme
primitive et essentielle de la pensée est, comme
ette de France.) « Averti qu’il fallait écrire et ordonner dans les
formes
: Quand je devrais, Monseigneur, renouveler vos d
chaque pas dans la conversation et l’usage commun, les procédés, les
formes
, les figures employées par les écrivains les plus
période est une phrase composée de plusieurs membres, dont la réunion
forme
un sens complet et un ensemble harmonieux. La pre
et que j’appellerai volontiers splendeurs du style ; enfin, diverses
formes
connues seulement des bons écrivains et qu’on ne
it appeler figures, ou expressions figurées, » c’est-à-dire ayant une
forme
extérieure. Il ajoute que « les figures ne sont j
5 La conjonction est une figure qui tire son nom du mot même qui la
forme
. Elle consiste dans la répétition de la conjoncti
ique une chose intellectuelle, à laquelle il a donné par ce moyen une
forme
, une figure. La gloire de Dieu ressemble alors au
par l’eau, et ces lignes courbées tantôt en haut, tantôt en bas, que
forme
une longue chevelure. Je ne blâmerais donc pas la
st tout entier dans l’esprit du lecteur, et nullement dans le mot qui
forme
la figure. Il faut en ce sens que la métaphore so
yauté. C’est encore la suite du même principe. Ce qui frappe les yeux
forme
la figure, 6° Métonymie des organes. Les parties
Onomatopée est dépeint par glou glou. TROPES. La Métaphore veut des
formes
décidées, Elle unit et compare ensemble deux idée
nommées par les rhéteurs figures dépensées, se montrent sous diverses
formes
qui aident l’orateur à produire des effets remarq
t que le cas qu’il mérite, afin de pouvoir distinguer seulement telle
forme
de telle autre. Je ne reconnais point pour figure
es ; l’accumulation les rassemble dans une même période, sous la même
forme
et dans le même mouvement. Fléchier fait une bell
n, qui sert à la précédente de réponse ou de modification. Sous cette
forme
, l’art est plus caché, et il faut une certaine ha
erai point une tête innocente. (Cré.) Souvent le serment est sous
forme
d’imprécation. Si je viens à l’oublier, dit le Ps
alem, que ma main se dessèche. Quelquefois enfin le serment prend une
forme
religieuse par Y invocation de Dieu ou des saints
s splendeurs du style. J’entends par splendeurs du style certaines
formes
majestueuses qui peuvent accompagner les figures,
yle comme les grands arbres les arbrisseaux. A la tête de ces grandes
formes
exceptionnelles du style est le sublime. I. Sub
à de moins grands sujets. Si l’écrivain sait joindre à l’éclat de la
forme
, de la parole, la grandeur du fond, de la pensée,
nte un grand objet avec plus d’éclat que de vérité ; elle est dans la
forme
quand on remplace à propos une expression trop co
est fort important que les jeunes gens sachent distinguer toutes ces
formes
de l’élocution afin de ne point les confondre dan
on troisième. Des secrets du Style. Les secrets du style sont des
formes
tantôt douces, tantôt pittoresques, qu’il faut ch
fs ou sujets des propositions. En agissant ainsi, on force presque la
forme
à se varier, et à se présenter à l’esprit sous un
es fait un effet d’autant plus remarquable qu’il est plus imprévu, et
forme
des beautés neuves qu’il n’est pas donné à tout l
une description courte et vive. Vous ne serez plus à mes yeux qu’une
forme
aérienne rehaussée d’azur, qu’un esprit céleste e
par excellence le nom de pensées à celles qui sont énoncées dans une
forme
précise et sententieuse. Elles donnent de l’éclat
use prétention de tourner toutes leurs phrases en maximes. Plus cette
forme
est imposante, plus il faut la réserver pour ce q
veux faire remarquer aux élèves. II est d’autres pensées qui ont des
formes
douces et pleines d’urbanité, quand elles sont ex
la Rhétorique. L’analyse est de deux sortes. La première considère la
forme
, et fait distinguer les figures et tous les ornem
à penser juste, à raisonner avec méthode. Elle se produit sous trois
formes
principales : le syllogisme, l’entymême et le dil
t la majeure : La vertu nous rend heureux Donc il faut l’aimer. Cette
forme
de raisonnement est plus rapide que le syllogisme
l’oubli. (L.) peuvent être ramenés au syllogisme suivant, malgré la
forme
brillante qui cache le raisonnement : Tout ce qui
r Abner et n’ai point d’autre crainte. On commencera par examiner la
forme
. 1° Le dernier vers contient une figure grammatic
ules ; elles sentent la pauvreté. Nous sommes déjà venus à bout de la
forme
. Voyons le fond : 1° examinons s’il y a lieu l’in
qu’elle a déjà été employée de toutes les manières et sous toutes les
formes
. Il faudrait un grand talent d’expressions pour l
ériodes, expressions propres, recherche solide du fond, abandon de la
forme
, le tout combiné de manière à ne point tomber dan
ces du langage avant tout ; il multiplie les épithètes, il cadence la
forme
des phrases. C’est un vêtement de grand seigneur
t par ses sens que par son cœur s’accoutumera-t-il à ne plus voir ces
formes
sensibles, qui gravent si bien les objets en son
nt en même temps tout ce qui est subtil, vaporeux, mélancolique, sans
forme
déterminée, on réussirait à composer un style mix
qui a suivi le nostre jusques à ceste heure, qui peut espérer que sa
forme
présente soit en usage d’icy à cinquante ans ? Il
ser ceux dont elle croit suivre pieusement les traces. Voilà les deux
formes
sous lesquelles se continua la Renaissance durant
e païenne, il épura, il humanisa un âge fanatique et corrompu. Par la
forme
, par le fond, il fut le précurseur de Montaigne ;
cabulaire latin des érudits ou des lettrés, énumérons les principales
formes
latines que nous offrent les écrivains de ce temp
in plurield’amour. 2° A la même analogie remonte la persistance d’une
forme
unique pour les deux genres, dans les adjectifs q
ement du latin, prime, tiers, quart, quint ; et, si, depuis lors, ces
formes
ont à peu près succombé, ce ne fut pas sans résis
s… Bien est vray que… M’est advis que… Faut estre sage. » Cette jolie
forme
, nous avons eu tort de la laisser à nos villageoi
cette antiquité romaine dont il disait : « Quand je veois ces braves
formes
de s’expliquer, si visves et si profondes, je ne
aient ses experts et ses contrôleurs. Faisons donc un retour vers ces
formes
oubliées ; et, sans en dresser l’inventaire compl
ous avons besoin pour la refonte d’une monnaie trop usée ? VI. Des
formes
archaïques et de l’orthographe au XVIe siècle
ivaliser ; indiquons donc certains écueils à éviter, je veux dire les
formes
surannées, dont nous n’avons que faire, et une or
onnait un sens réfléchi à toute une famille de verbes dépourvus de la
forme
pronominale : affaiblir, escrimer, ourvoyer, fair
pour chèrement, hautement, premièrement, et, dans ce cas, gardent les
formes
variables d’un adjectif, comme dans cette phrase
ntre les mots ». Se bornant à expliquer la prononciation de certaines
formes
« trop esloignées de la manière dont elles sont e
n loin ; car, en 1675, un certain Bérain avait proposé d’abolir cette
forme
désagréable : mais on s’était moqué de sa requête
cho, non pas une voix. De là une indigence qui, du fonds, allait à la
forme
, et que déguisèrent mal des ambitions aussi bruya
à coup par une imagination vive et ardente, il se représenta sous une
forme
visible les attributs du souverain créateur : il
un observateur imagina de donner à un morceau d’argile ou de cire, la
forme
d’un objet qu’il avait sous les yeux. De là, l’or
it, en effet, que l’éloquence et la poésie l’imitent par les diverses
formes
et les divers agréments du discours ; l’architect
rement imaginé. Personne n’en a jamais vu de semblable à celui-ci. La
forme
en est toute singulière ; la disposition de ses c
artiments est tout à fait neuve et originale, sans que pourtant cette
forme
, cette disposition choquent en rien la raison et
pposons que ce jardin existant, ou ce jardin possible, offre, dans sa
forme
, la plus exacte régularité dans ses compartiments
Chapitre III. De la
forme
extérieure de la poésie 27. Que comprend la for
tre III. De la forme extérieure de la poésie 27. Que comprend la
forme
de la poésie ? Nous avons vu quels sont les cara
nous avons à dire sur la poésie en général, nous allons parler de la
forme
de la poésie. Or, cette partie de la poétique com
r constituer la poésie ? Il ne faut pas confondre la poésie avec ses
formes
matérielles. Le vers est une de ces formes, et la
nfondre la poésie avec ses formes matérielles. Le vers est une de ces
formes
, et la plus générale ; mais il n’est pas la seule
μʹ ἔπεμψε… a de la vitesse et de la légèreté ; la gaieté surtout en
forme
le caractère. Quoique moins harmonieux que celui
ncontre d’une diphthongue nasale (an, in, on, un) et d’une voyelle ne
forme
pas hiatus, Celui qui met un frein à la fureur d
s. Ainsi, dans la fable, la comédie et les poésies dont la simplicité
forme
le caractère, l’enjambement donne souvent au styl
nce est grande, plus la rime est parfaite : ainsi le mot plaideur qui
forme
une rime suffisante avec pêcheur, formera une rim
par une poésie rimée et fondée sur la numération des syllabes. Cette
forme
poétique, éminemment populaire et musicale, après
u’au xive , fut adoptée définitivement par les poètes français. Cette
forme
de la poésie latine du moyen âge, si calomniée, p
finis, ou que le sens n’en est que suspendu ; mais considérée dans sa
forme
la plus régulière, au gré de l’oreille comme au g
e glaive brille en ses mains. Dans le genre gracieux et badin, cette
forme
a quelque chose de plus libre et de plus léger qu
ppelle stances régulières une suite de stances qui ont toutes la même
forme
, soit pour la mesure et le nombre des vers, soit
appelle stances irrégulières une suite de stances qui ont chacune une
forme
différente. On donne le nom de stances mixtes à u
On donne le nom de stances mixtes à une suite de stances qui ont une
forme
différente, mais symétrique. Jean-Baptiste Rousse
Tableau des arguments I La
forme
principale du raisonnement, celle dont toutes les
l faut se garder de conclure de là que toute vérité présentée sous la
forme
du syllogisme soit par le fait même suffisamment
lles-mêmes d’être appuyées sur d’autres prémisses. Les syllogismes en
forme
, comme celui dont vous venez de voir un exemple,
ositions, le syllogisme s’appelle enthymème. L’enthymème est la vraie
forme
oratoire du raisonnement. Dans son discours sur l
ainsi développées, pèsent de tout leur poids sur la conclusion. Cette
forme
de syllogisme s’appelle épichérème. — « Un scélér
présente. — Le dilemme est une suite d’enthymèmes présentés sous une
forme
vive et pressante. L’exemple est un enthymème, où
es à l’adresse du public : de la lettre, elles n’ont que le nom. Sous
forme
épistolaire, on traite de morale, de philosophie,
spenser de polir parfaitement son élocution. La lettre en effet a une
forme
un peu négligée que n’admet pas aussi aisément to
oi-même dans la banalité, si l’on voulait donner à son compliment une
forme
trop développée. Le meilleur parti à prendre est
comprendre quand on le peut en une seule phrase les souhaits que l’on
forme
. Cela est souvent facile, parce qu'il est assez r
est accompagnée d’une fleur ou d’un présent, il fait une comparaison,
forme
un souhait en rapport avec l’objet offert. Tout c
les pensées, les affections, et rendent une lettre charmante dans sa
forme
, en lui donnant ce naturel et cet à propos qui fo
our méprisé est fort. Adieu. Uzès, 24 novembre 1661 Racine. ANALYSE.
Forme
. — L’écrivain débute par une prétermission ; il n
ile qui déguise les leçons de l’auteur. Ce genre embrasse tout ce qui
forme
le domaine de l’intelligence, comme les sciences,
ouvrages qui rentrent dans ce genre sont susceptibles de différentes
formes
. Le poète peut faire choix d’un sujet instructif,
que proprement dit, est d’instruire sans donner à son instruction une
forme
allégorique, sans la couvrir du voile de la ficti
ujétir la mémoire. Aussi voit-on la poésie prêter ses ornements et sa
forme
aux plus anciens traités didactiques. Tels sont l
solidité et l’intérêt du fond, l’ordre dans le plan, l’agrément de la
forme
, telles sont les qualités d’un bon poème didactiq
tiellement requis pour le poème didactique ; non à la vérité sous une
forme
aussi stricte que dans les traités écrits en pros
re qualité du poème didactique, c’est la variété et la richesse de la
forme
. Sans doute, le principal mérite de ce genre de p
, tirés de son poème sur l’agriculture : Des restes les plus vils se
forme
cet engrais, Qui va porter la vie au fond de vos
, consiste à peindre les préceptes, c’est-à-dire à les présenter sous
forme
d’images, et à les revêtir des couleurs naturelle
unie et monotone, plus le poète doit s’appliquer à le varier dans ses
formes
, à l’enrichir dans ses détails, à y répandre la c
on. La frivolité du fond ne peut passer que moyennant la beauté de la
forme
. Ovide fut l’inventeur de ce genre de poésie. Il
et, n’est pas un récit destiné seulement à plaire ; c’est surtout une
forme
d’instruction et de critique, une narration qui d
rphose ? La métamorphose (μετὰ, qui indique le changement, et μορφὴ,
forme
), est une espèce de fable où l’on raconte le chan
On ne doit donc choisir que des sujets dans lesquels le changement de
forme
soit la punition du crime ou la récompense de la
e science ou une partie de science, sans donner à son instruction une
forme
allégorique, sans la couvrir du voile de la ficti
composer un ouvrage, d’en assortir si bien les diverses parties qu’il
forme
un tout indivisible, manquait à ce poète. Il n’av
cette partie du talent poétique qui s’adresse au cœur du lecteur. La
forme
était donc tout chez lui. Mais il faut avouer que
s lecteurs, sont précisément le langage qui lui convient136. § 65.
Forme
de l’épopée régulière. — Style. — Ornements. L
nements. Les poètes épiques anciens ayant donné à leurs poèmes une
forme
particulière et pleine de majesté, tous ceux qui
es ont imités ; et ainsi se sont établies les règles suivantes sur la
forme
de l’épopée. Avant que le récit de l’épopée comme
e du poème héroï-comique en ce que l’on n’y affecte pas du tout cette
forme
héroïque et majestueuse dont Boileau nous donne l
regards de la stupide cour, La déité plaisamment versatile Change de
forme
à chaque instant du jour. Ainsi l’on voit sa burl
l’univers Un petit nez troussé pour les déserts. Mais, revenant à sa
forme
première, On la revoit sous les traits de Lemierr
s à pas Tite-Live pour les détails du récit, et copie servilement les
formes
de l’Énéide ; c’est dire assez que ce poème est d
ersonnages et de la morale dans le poème épique. 137. Batteux, de la
Forme
de l’épopée. 138. Batteux, de la Forme de l’épop
épique. 137. Batteux, de la Forme de l’épopée. 138. Batteux, de la
Forme
de l’épopée. 139. Batteux, Traité de la poésie é
sives. Genre épistolaire. § 17. Infinie variété des sujets et des
formes
des lettres. — Classification. Ce n’est que pa
, ensemble, toute définition ? Des lettres n’ont ni sujet spécial, ni
forme
particulière, ni ton qui leur soit propre ; ni gr
pprochant des discours prononcés. Leur champ est aussi illimité, leur
forme
et leur étendue aussi libres, leur ton aussi vari
fférence dans le moyen employé peut entraîner des différences dans la
forme
des ouvrages mêmes et dans l’expression ; mais la
l’on enveloppe ce que l’on dit sous des compliments ingénieux et des
formes
d’une politesse recherchée ; les lettres de compl
ur, Monsieur le comte de, etc.36 On ne tient plus aujourd’hui à cette
forme
, qui, d’ailleurs, n’était fondée sur aucune raiso
puissances, le sentiment, la volonté, l’intelligence, dont la réunion
forme
l’identité mystérieuse qu’on appelle l’âme. Ces t
blit l’ordre dans les idées ; par l’élocution, l’imagination donne la
forme
aux idées. Cela posé, on conçoit que si l’écrivai
ne pour principe l’imitation et presque la reproduction littérale des
formes
de l’antiquité. L’étude approfondie de la langue
recevant telles qu’on nous les donne, c’est presque toujours sous une
forme
qui n’est pas la nôtre. » Jean Jacques a raison,
hie et surtout de la logique, qui enseigne la nature, les lois et les
formes
du raisonnement. Aussi voudrais-je, au rebours de
ation, la dissertation, le discours. Par là il se familiarise avec la
forme
, et apprend à couler ses idées dans un moule donn
s constate comme existant, et je dis que, quelque opinion que l’on se
forme
de leur origine et de leur nature, il n’en est pa
Formation des temps dérivés 1. 62. — I. Du présent de l’indicatif se
forme
l’impératif, en ôtant seulement le pronom je. Exe
is, impératif, va ; je sais, impératif, sache. II. Du passé défini se
forme
l’imparfait du subjonctif, en changeant ai en ass
e reçusse ; je rendis, je rendisse. III. Du présent de l’infinitif on
forme
: 1° Le futur de l’indicatif, en changeant r ou r
aire, futur, je ferai ; être, je serai. 2° Du futur de l’indicatif on
forme
le conditionnel présent, en changeant rai en rais
, je recevrais ; je rendrai, je rendrais. IV. Du participe présent on
forme
: 1° L’imparfait de l’indicatif, en changeant ant
e deux : ayant, j’avais ; sachant, je savais. 2° Du même participe on
forme
la première personne plurielle du présent de l’in
é : étant, nous sommes ; ayant, nous avons ; sachant, nous savons. On
forme
aussi la seconde personne plurielle en ez : vous
ent :ils aiment, ils finissent, etc. 3° Du même participe présent on
forme
le présent du subjonctif, en changeant ant en e m
faisant, que je fasse ; étant, que je sois. V. Du participe passé on
forme
tous les temps composés (de deux mots)1, en y joi
Verbe passif. 71. — Tout verbe actif a un passif : ce passif se
forme
en prenant le régime direct de l’actif pour en fa
ancien définissait : l’ordre dans la grandeur. Si donc la disposition
forme
la seconde partie de la rhétorique, ce n’est, pou
dique la pensée commune qui régit, l’idée finale où tendent, sous des
formes
et par des voies différentes, toutes les pensées
: — « Le meurtre de Clodius fut un acte licite. » Nous avons blâmé la
forme
brusque et tranchante des premiers mots de l’Emil
utre tous les anneaux, à mesure qu’on les reconnaît, sinon de la même
forme
, au moins du même métal. Interrogez chaque idée q
les, mais je retrancherais la cinquième, toute gracieuse qu’en est la
forme
et l’expression : Je n’ai point l’heureux don de
les prairies et les bois. Quant à la dernière strophe, si pompeuse de
forme
, elle ne fait, comme pensée, que ramener assez ga
r un écrivain aussi irréprochable dans la pensée qu’admirable dans la
forme
, qu’on lise l’ode de Lamartine à l’Enthousiasme ;
le — « Inventer, dit-il, Ce n’est pas entasser sans dessein et sans
forme
, Des membres ennemis en un colosse énorme… Delire
Où partout confondus, la vie et le trépas, Les ténébres, le jour, la
forme
et la matière Luttent sans être unis ; mais l’esp
es, les vers sont des membres ou des incises de périodes soumis à une
forme
particulière et constante. Cette forme particuliè
cises de périodes soumis à une forme particulière et constante. Cette
forme
particulière dépend, chez nous, de trois conditio
mes en général. — Classification. On vient de voir les différentes
formes
du discours mesuré, les règles générales qui rega
comme le rondeau, la ballade, le sonnet, etc. ; ce sont là plutôt des
formes
particulières que des genres de poèmes, et qui ap
arties appelées chants ou livres. 5º. Les poèmes dramatiques, dont la
forme
est absolument différente de celle des précédents
à fait nouveau, au moins comme peu ancien, où l’on donne surtout une
forme
ou des détails inconnus jusqu’ici. Ainsi, ce que
différences qu’entraîne nécessairement le changement de dimension. La
forme
essentielle du roman ou du conte étendu consiste
uits avec plus de soin. On distingue d’abord les romans, quant à leur
forme
, en romans suivis ou continus, et romans par lett
quelque chose d’héroïque, et où surtout l’auteur affecte en prose les
formes
de style et les idées généralement réservées à la
up d’imitateurs, et enfin, se modifiant successivement, il arriva aux
formes
variées reconnues aujourd’hui. On ne peut guère c
e, comme le vestibule ou le portail avec l’édifice ou le temple. » Sa
forme
même se réglera sur celle du reste de l’œuvre, ca
’éloge qu’il lui donne dès l’abord ; attentif, par la nouveauté de la
forme
, prise dans les lieux externes, et dans une circo
cdote ; docile enfin et intelligent, par le parti qu’il tire de cette
forme
nouvelle pour amener avec clarté et dignité l’exp
anières : par le plaisir, par l’adulation, par l’ambition. » Ces deux
formes
ou compléments d’exorde se rencontrent chez presq
e plus libre en son allure, je reconnais aussi les avantages de cette
forme
. Elle soutient l’attention, soulage la mémoire de
; par le troisième, on l’accuse de brigues46. » Au reste, toutes les
formes
de l’exorde rentrent dans l’éloquence du barreau
exorde, qu’on nomme ex abrupto, n’est encore qu’une absence d’exorde,
forme
rare d’ailleurs, et qui doit être amenée par quel
as oublier non plus les dimensions proportionnelles pour les diverses
formes
employées dans un écrit. Vous composez, par exemp
mes employées dans un écrit. Vous composez, par exemple, un roman. La
forme
naturelle est la narration ; mais pour donner plu
z la parole à vos personnages. Rappelez-vous alors que cette nouvelle
forme
introduite subsidiairement doit être en proportio
la France victorieuse dans les deux journées, etc. L’antithèse est la
forme
la plus ordinaire de ces transitions ; continuez
z donc votre ouvrage de manière à y faire contraster les idées et les
formes
. L’âme, comme le corps, ne supporte ni une longue
r des processions de goules, de dogues, de gnomes, de démons de toute
forme
autour de nos frises et de nos corniches. Ne donn
istoire ou le roman, mais quelques préceptes sur la disposition et la
forme
de la narration en général, qu’elle constitue le
age et les fabriques, ou encore d’après les impressions des sens, les
formes
, les couleurs, les bruits, les odeurs ; si le suj
s détails se présentent un à un à la pensée, et se traduisent sous la
forme
la plus naïve, sous une forme toujours la même. C
n à la pensée, et se traduisent sous la forme la plus naïve, sous une
forme
toujours la même. Ce n’est donc qu’à force d’adre
êcher enfin l’intérêt de décroître et de s’amortir. L’originalité des
formes
y contribuera. Comme l’invention des figures en p
us verrez, quand il sera question des figures, pourquoi de toutes ces
formes
la prosopopée qui substitue des êtres fantastique
deux genres sont si étendus, si analogues par leur fonds et par leurs
formes
avec les autres genres, ils sont traités avec tan
anière dont les fables doivent être composées pour avoir la meilleure
forme
: j’examinerai quelle est la nature- des parties
s, des tragédies au lieu de poèmes héroïques, parce que ces nouvelles
formes
avaient plus d’éclat et donnaient aux poètes plus
pouvait lui convenir ; et après divers changements, elle se fixa à la
forme
qu’elle a maintenant, et qui est sa véritable for
elle se fixa à la forme qu’elle a maintenant, et qui est sa véritable
forme
. Elle n’avait d’abord qu’un acteur, Eschyle lui e
acteurs volontaires4. Mais quand une fois elle a eu pris une certaine
forme
, elle a eu aussi ses auteurs, qui sont renommés.
e, une imitation du beau par le discours. Mais elle en diffère par la
forme
, qui est le récit ; par le vers, qui est toujours
s revêtu de divers agréments, accompagné dans ses diverses parties de
formes
dramatiques, et non par un simple récit, qui, en
, de diminuer. Or il est évident que dans les drames on use des mêmes
formes
lorsqu’il s’agit de rendre le terrible, le pitoya
e vraisemblable. Il y a seulement cette différence que, de toutes ces
formes
, les unes doivent se manifester en dehors de la m
ie entre eux une suite de mots, comme l’Iliade. Chapitre XXI. Des
formes
du nom. Des métaphores. Des figures de grammaire.
anger des lettres, des syllabes. Comme alors les mots n’ont plus leur
forme
usitée, ils paraissent extraordinaires ; et cepen
gédie et de l’épopée ; de la nature de l’une et de l’autre ; de leurs
formes
et de leurs parties ; du nombre et des différence
’un genre collectif, qui renferme des ouvrages bien différents par la
forme
et par l’objet. Les ouvrages didactiques sont en
et qui ont pour but de communiquer directement des connaissances sous
forme
d’enseignement. Ce genre n’a donc pas de bornes d
arle sujet même ; c’est de son goût, de son jugement que dépendent la
forme
, le plan et le style convenables. Ce que nous avo
maître, à sacrifier aux Grâces. En effet, non-seulement il a imité la
forme
de ses dialogues, mais, ce qui est plus difficile
ette étude sera stérile pour son génie ? De même, si la rhétorique ne
forme
pas les grands orateurs, elle entretient la vigue
incipes, l’art ne fait que polir l’orateur, et c’est la nature qui le
forme
. — N’en doutez pas. — Eh bien, soit. Voilà un hom
lus merveilleux. Voyez maintenant l’homme et les autres animaux, leur
forme
, leur structure. Pas une partie de leur corps qui
utes les ondulations du discours, comme une étoffe légère dessine les
formes
du corps. Les idées sont un fonds commun que chac
mune de l’éloquence : mais chaque orateur en varie l’ordonnance et la
forme
, et les teint, pour ainsi dire, des couleurs de s
abeau, esprits pratiques, hommes d’action, le tissu transparent de la
forme
laisse voir toutes les saillies des muscles : Cic
est de prouver, la veut plus ample et plus étoffée. La période est sa
forme
naturelle. Elle seule, en effet, est assez vaste
ériode pour résister au fardeau de tant d’incidentes explicatives. La
forme
périodique ne satisfait pas seulement l’esprit :
récit et la vivacité de la réfutation s’accommoderaient peu de cette
forme
grave et majestueuse. Le style doit rendre exacte
la veut dire combat, bataille. Donc la réunion de ces deux caractères
forme
cette devise que je trouve assez belle : La vie e
eculer ! La rhétorique a finement et curieusement analysé toutes les
formes
du style oratoire. Elle distingue deux sortes de
Quant aux figures de pensées, ce sont l’interrogation, la subjection,
forme
interrogative par laquelle l’orateur prévient les
plus sobre et plus discret : le sentiment moderne des convenances, la
forme
du vêtement, la composition de l’auditoire, les b
la lyre et se sépara de la musique. On continua pourtant d’imiter les
formes
et les expressions de l’antique poésie ; on laiss
re rosée, Et que la terre enfante son Sauveur ! 4° Différentes
formes
de la poésie lyrique. La poésie lyrique n’a pa
z les modernes, le chant lyrique est- souvent libre, mais l’ode a une
forme
déterminée, le poète arrange à son gré la strophe
aime surtout le plaisir, l’enjouement et l’esprit. La chanson, par la
forme
multiple de son inspiration, se rapproche tour à
madame Deshoulières et La Fontaine. La ballade allemande à une autre
forme
et un autre caractère : c’est un petit poème d’un
st un petit poème d’un genre capricieux et fantastique, qui, sous une
forme
presque lyrique, contient ordinairement un récit
ons ici, c’est pour être complet, et suivre toutes les variétés de la
forme
poétique, depuis les plus sublimes conceptions ju
ner un mot dont on divise les syllabes, quand chacune de ces syllabes
forme
un mot : Quoique je porte un nom vulgaire, Chacu
ordinairement dans ces sortes d’assemblées ; il faut qu’il étudie les
formes
reçues, le mode de procédure adopté, et soit en é
ent à des débats analogues à ceux des assemblées populaires. L’on s’y
forme
une juste idée de ses propres moyens, l’on prend
en de leurs principes ils formeront mécaniquement un orateur comme on
forme
un charpentier ; tandis que tout ce qu’il est vra
e ou l’art de parler en public ; je me suis efforcé de lui donner une
forme
aussi régulière que le sujet le permettait. Il me
es se présentent naturellement : ce sont celles qui se rattachent aux
formes
du gouvernement et aux mœurs, telles que les enco
gouvernement, parce que nous l’avons observée sous presque toutes ses
formes
, et à travers de nombreuses révolutions. Le monde
. Les autres genres de compositions qui me semblent assujetties à des
formes
assez régulières pour être du domaine de la criti
à un certain point : car, bien que l’ouvrage, pris dans son ensemble,
forme
un tout complet, cependant chacune des parties qu
forme un tout complet, cependant chacune des parties qui le composent
forme
par elle-même un tout subordonné à l’ensemble, le
ème livre. Il observe que le sujet sur lequel il a entrepris d’écrire
forme
dans son ensemble un tout complet, une seule acti
al dont on n’examinerait que les membres séparés, sans voir jamais sa
forme
ou sa structure. Ceux qui écrivent l’histoire de
qu’il a blessés]. Cette observation est juste et à sa place, mais la
forme
en est abstraite et philosophique. Une pensée à p
observation très profonde, mais il la fait sans vouloir lui donner la
forme
d’une réflexion morale ; elle se présente dans le
ents de l’antiquité. Chez lui, à la vérité, le fond vaut mieux que la
forme
, et l’on ne peut vanter ni sa beauté ni son éléga
qu’on l’étudie moins pour s’amuser que pour s’instruire, le style, la
forme
et les ornements ne sont point, dans ces sortes d
it rigoureusement. Les écrits philosophiques prennent quelquefois une
forme
sous laquelle ils se rapprochent des ouvrages de
un entretien, méthode que Cicéron a le plus généralement suivie. Les
formes
de chacune ne sont pas tout à fait les mêmes, mai
ur pour atteindre à ce qui est au-dessus de sa portée. On y trouve la
forme
d’une conversation, mais l’esprit y manque. Le di
ous instruire), au moins nous ne pouvons refuser notre admiration aux
formes
qu’il emprunte ; elles nous donnent une haute opi
ers sujets de morale, auxquels l’auteur a jugé à propos de donner une
forme
épistolaire. Lorsqu’on écrit une lettre sur un su
ions sur l’origine et les progrès de l’histoire fabuleuse, et sur les
formes
diverses qu’elle a revêtues en différents pays. S
de l’ignorance couvraient l’Europe, ce genre de composition prit une
forme
nouvelle et singulière, qui le soutint longtemps
enses et fort ennuyeux. Les romans prirent donc bientôt une troisième
forme
, et de simples contes ou nouvelles familières rem
u siècle qui précéda celui d’Hérodote, l’histoire n’avait pas d’autre
forme
que celle des fables poétiques. C’est ainsi que n
l paraît que chez les Grecs la poésie reçut presque à son origine une
forme
philosophique ; au moins c’est ce que nous porten
Job. Il paraît que ce sont les Grecs qui, les premiers, donnèrent une
forme
régulière aux ouvrages de poésie. Dans l’enfance
ogrès de la société et des sciences qu’ils prirent successivement des
formes
plus régulières, et qu’on leur donna les noms par
les plus grossières. Les premières compositions eurent sans doute la
forme
des odes et des hymnes, et c’est en effet celle q
s de la littérature, en se détachant les unes des autres, prirent une
forme
plus régulière, et contribuèrent mutuellement à l
ièrement détruite16. Notre vers héroïque anglais se rapproche, par sa
forme
, du vers ïambique, c’est-à-dire qu’il est composé
de barbare en latin ; mais des vers anglais auxquels on donnerait la
forme
des hexamètres, des pentamètres ou des saphiques,
invention des moines ; on la retrouve, au contraire, sous différentes
formes
, dans la poésie des nations qui nous sont le mieu
re que son oreille est organisée d’une manière toute particulière. La
forme
actuelle des vers héroïques anglais, coupés de de
la poésie pastorale, non pas que je la considère comme revêtue de la
forme
la plus ancienne que la poésie ait prise ; car je
s objets d’une jouissance journalière. La poésie pastorale ne prit sa
forme
actuelle que lorsque, rassemblés dans les grandes
le nom. Il doit donc savoir tenir un juste milieu ; il faut qu’il se
forme
l’idée d’une vie champêtre telle qu’elle a pu exi
ants que nous ayons en anglais. Je n’ai pas encore fait mention d’une
forme
particulière que la pastorale a prise dans nos te
un accompagnement de musique. La poésie a donc conservé dans l’ode sa
forme
primitive, cette forme sous laquelle les plus anc
sique. La poésie a donc conservé dans l’ode sa forme primitive, cette
forme
sous laquelle les plus anciens bardes donnaient e
e les connaissances et l’instruction. Elle ne diffère donc que par la
forme
, et non par son but et par sa nature, des traités
n prose de morale, de philosophie et de critique. D’un autre côté, sa
forme
même lui donne des avantages sur les écrits instr
donner à son ouvrage didactique sur les Plaisirs de l’Imagination la
forme
la plus riche et la plus poétique ; et, quoique d
te de pedestris. La satire, à son origine, avait chez les Romains une
forme
différente de celle qu’elle a prise depuis. Les c
Lucilius en corrigèrent la rudesse, et Horace finit par lui donner la
forme
sous laquelle sont présentés les poèmes auxquels
la satire. L’on peut traiter un grand nombre d’autres sujets sous la
forme
d’une épître ; car on peut faire prendre cette fo
s sujets sous la forme d’une épître ; car on peut faire prendre cette
forme
à des poésies amoureuses, des élégies ; telles so
. Par poésie descriptive, je ne veux point désigner une espèce ou une
forme
particulière de composition, parce qu’il n’en est
ement voulu que décrire, sans qu’un récit, une action ou un sentiment
forme
le sujet principal de son ouvrage. Les descriptio
dans l’objet dont il essaye de tracer l’image ; les idées qu’il s’en
forme
sont vagues et obscures, ses expressions sont néc
pements minutieux et recherchés. « Ses traits étaient obscurs et sans
formes
, » dit Ossian en parlant d’un esprit ; « on disti
articularisé d’une manière assez exacte pour que l’idée que l’on s’en
forme
fût à la fois complète et distincte. L’imaginatio
truction et presque le même nombre de mots. Telle est, en général, la
forme
de la poésie des Hébreux. Il suffit d’ouvrir l’An
it orbem terrarum in justitia, et populos in æquitate. C’est à cette
forme
particulière que nos versions, même en prose, son
it opposée à la poésie des Grecs et des Romains. Indépendamment de sa
forme
particulière, la poésie sacrée est encore remarqu
ces que les lois avaient mises entre les choses pures et impures, aux
formes
du service dans leur temple ; au costume de leurs
s usages, la pompe des cérémonies se reproduisent sans cesse sous des
formes
nouvelles. Les comparaisons dont se servent les p
irituel, c’est indubitablement une allégorie mystique ; mais, dans sa
forme
, on n’y trouve qu’une pastorale dramatique et un
mme une recueil d’odes sacrées. Dans ce livre, l’ode revêt toutes les
formes
de la poésie lyrique, et s’élève jusqu’à ses plus
sé ni étendard ni limite, et la beauté peut s’y reproduire sous mille
formes
diverses. La critique appliquée à de semblables d
lent, notre esprit se dégage de toutes les petitesses de la vie et se
forme
à l’idée des entreprises grandes et héroïques. C’
a caractérise essentiellement. Elle se distingue de l’histoire par sa
forme
poétique et en même temps parce qu’elle admet la
tière, comme dans l’Iliade et la Jérusalem. Il est libre de donner la
forme
qu’il lui plaît à l’exposition, à l’invocation et
en grande partie les couleurs vives et animées de ses portraits à la
forme
dramatique qu’il aimait si souvent à prendre ; ce
onnages que dans les occasions les plus importantes. Toutefois, cette
forme
dramatique qu’Homère aimait à prendre, a ses avan
lla, où les cruautés les plus atroces se reproduisent sous toutes les
formes
. Un autre défaut, c’est que le sujet célébré par
comme la Discorde, la Politique, l’Amour ; tous trois, revêtus d’une
forme
humaine, se mêlent aux actions des hommes, et jou
ges introduits sur la scène. Le drame commença dès lors à prendre une
forme
régulière ; Sophocle et Euripide le conduisirent
e ; elles sont, au contraire, écrites sur un ton fort licencieux, qui
forme
un parfait contraste avec la bienséance observée
tel que la nature l’a formé, et à l’originalité de prendre toutes les
formes
; tandis qu’en France, l’influence d’une cour plu
ordination des rangs mieux établie, l’observation plus rigoureuse des
formes
de la politesse et des règles de la bienséance, m
conversion, ou qu’on ne la considérait que comme une affaire de pure
forme
. On peut se faire aisément une idée de la directi
mposition, qui admet l’enjouement et la vivacité. En général, quelque
forme
que prenne la comédie, qu’elle soit gaie ou série
d’élégance ; tantôt avec un soin industrieux de polir, d’arrondir les
formes
du discours. Nam et grandiloqui, ut ita dicam, fu
aucoup moins qu’aux Latins et aux Grecs. Leurs constructions et leurs
formes
poétiques sont plus hardies et plus maniables que
nt qu’il y a du trop. On a remarqué aussi qu’il affectionne certaines
formes
de construction ou d’harmonie qui reviennent souv
suffrage en entraîna plusieurs. Depuis, le célèbre Addison écrivit en
forme
pour prouver que ce poème égalait ceux de Virgile
idon. Après soixante-douze ans, Mairet donna, dans sa Sophonisbe, une
forme
et un style un peu plus convenables à la tragédie
ene, c’est à-dire, « l’entrée d’un nouveau personnage sur le théâtre,
forme
ce qu’on appelle une nouvelle scène. » Nous n’avo
endent représenter une pensée, une image, un sentiment, soit sous les
formes
vagues et souples de la musique, soit dans le lan
de ces circonstances et de la nature, et l’ensemble de ces habitudes
forme
ce qu’on appelle le génie de la langue. Les règle
les plaines d’Arbelle, et voilà que, brusquement, sans transition, la
forme
interrogative nous arrache aussi au lit du duc d’
harmonieusement imitatives. Les premières phrases commençaient par la
forme
adverbiale, l’apostrophe interrogative a succédé,
e la règle est trop rigoureuse. Pourquoi n’admet-on pas en vers cette
forme
si française, il y a, il y aurait… puisqu’on trou
ité la même pensée, l’un dans un langage harmonieux, l’autre avec des
formes
rudes et sifflantes, je dis tout mérite d’express
a place. On dira fort bien en effet que, selon la nature du sujet, la
forme
adoptée, la classe de lecteurs ou d’auditeurs aux
l. Présentez l’histoire des dieux païens et de leur entourage sous la
forme
de Lettres à Emilie, je le veux bien, le correspo
icence. Songez bien que ces deux qualités ne sont admissibles dans la
forme
que quand elles existent dans le fond. Jeter des
ceaux, c’est que la véhémence était dans le fond avant d’être dans la
forme
: rien de plus ridicule que de s’échauffer à froi
ien de plus ridicule que de s’échauffer à froid ; le second, c’est la
forme
elle-même, les brusques mouvements de phrase, les
evaux ? » Sans doute, et le tableau est saisissant de vérité. Mais la
forme
à part, quel père n’eût fait de même88 ? Le subli
te à donner aux sujets que l’on traite et aux idées qu’on exprime une
forme
que l’art approuve et où le goût se complaît. 13.
ainsi dire accessible aux sens ; c’est par elle que le poète revêt de
formes
palpables et corporelles des êtres invisibles, ab
on. Le plus ou moins d’habileté dans ces trois opérations de l’esprit
forme
ce qu’on appelle le style. 33. Les œuvres littéra
division est fondée sur ce que les vers et la prose constituent deux
formes
de style essentiellement distinctes. Nous exposer
ée (είδω, je vois) n’est que la simple représentation que l’esprit se
forme
des objets. La pensée est l’affirmation d’un rapp
et les compare, et lorsqu’il affirme que la bonté convient à Dieu, il
forme
une pensée ou un jugement. 44. Il faut observer c
ement dits. Mais la pensée littéraire, dans un sens rigoureux, est la
forme
extérieure sous laquelle le jugement se manifeste
ntit rien ; on ne retrace pas le néant, parce que le néant n’a aucune
forme
. On peut encore prendre comme sujet d’exercice la
aloir les pensées, les sentiments, les images d’un écrivain, c’est la
forme
qu’on leur donne, ce sont les mots qu’on emploie.
he quand elle renferme beaucoup de sens en peu de mots, ou quand elle
forme
une sorte de tableau. Salluste, parlant de Catili
ne grâce, un mouvement qu’ils n’auraient pas présentés sous une autre
forme
. 165. Pour reconnaître les figures dans une phras
représente l’idée nouvelle avec les couleurs de son premier objet et
forme
une espèce de tableau. On demandait à Agésilas po
; tantôt elle sert à appeler sur soi-même la punition du ciel sous la
forme
d’un souhait ou d’un serment : Si oblitus fuero
en effet quelque chose d’un peu frivole à donner un nom à toutes les
formes
de la pensée et à toutes les attitudes du discour
doivent être trop soutenus ; et c’est de l’habile mélange de ces deux
formes
opposées que résultent l’harmonie et le charme du
lui qui soumet cette œuvre à son examen : la substance, l’ordre et la
forme
. L’analyse réduit à leurs éléments primitifs les
. Dans le premier âge surtout, le mérite du fond et les beautés de la
forme
échappent presque toujours à l’œil distrait de ce
lables. Elle diffère de la narration historique par le fond et par la
forme
. Celle-ci prend la vérité pour guide ; celle-là,
s bornes que celles de la vraisemblance et de la possibilité. Dans la
forme
et le style, la première est plus simple et plus
ités religieux, philosophiques et littéraires, où l’on a adopté cette
forme
, n’appartiennent pas aux compositions épistolaire
st une charpente solide qu’il faut revêtir de quelques ornements. Les
formes
nues et les idées abstraites nous rebutent et nou
ns opposées, ce conflit trouble la conversation et ne l’anime pas. La
forme
du dialogue, dit Marmontel, doit être réservée po
les choses, même à celles qui sont immatérielles et insensibles, une
forme
et un visage, et les montre toujours sous des ima
ance finale. Cet assemblage de mots, qu’on appelle vers, est donc une
forme
particulière à la poésie, un vêtement qui ajoute
r de la peinture, puisqu’elle donne à tous les objets une figure, une
forme
, une couleur : ut pictura poesis . Elle ne racon
e, en général, est l’expression animée du sentiment présentée sous la
forme
d’un chant. On l’appelle lyrique, parce qu’autref
es, d’antistrophes, d’épodes. Ces trois sortes de stances avaient une
forme
différente et étaient toujours accompagnées du ch
est le créateur de ce genre, mais aujourd’hui on a modifié un peu la
forme
qu’il lui avait donnée. Casimir Delavigne a rempl
de degrés, comme il y a une infinité de sujets susceptibles de cette
forme
, depuis la grande épopée jusqu’au plus simple réc
à trois objets : les qualités de l’action épique, les personnages, la
forme
ou disposition du poème. Qualités de l’action é
is Priam est timide et tremblant, Nestor plus ferme et plus hardi.
Forme
de l’épopée. 468. La forme ou disposition de l
nt, Nestor plus ferme et plus hardi. Forme de l’épopée. 468. La
forme
ou disposition de l’épopée est l’ordre d’après le
teur reste comme suspendue entre la crainte et l’espérance. 475. À la
forme
de l’épopée se rattache la question du style que
e épique. Ce que nous avons dit de l’action, des personnages et de la
forme
de l’épopée, s’applique donc, avec quelques restr
-comique donne à une action simple, commune, souvent même risible, la
forme
et le merveilleux de l’épopée. En prenant le ton
’appelait un intermède dansant ; et c’est presque toujours sous cette
forme
qu’on la trouve dans les comédies-ballets de Moli
glogue de Virgile, et la mixte, où le poète mélange ensemble ces deux
formes
différentes, comme dans la septième églogue du mê
comme un charmant tableau du genre pastoral, l’histoire de Ruth, qui
forme
un des livres de nos saintes Écritures. (Voir le
t pas, comme l’ode, destinée à être chantée ou du moins revêtue d’une
forme
chantante. 570. L’élégie a vraisemblablement comm
sans ordre, sans liaison, et peu à peu elles arrivèrent à prendre la
forme
qu’elles eurent plus tard chez les Grecs et les L
rs pentamètres et hexamètres entrelacés. Chez nous, il n’y a point de
forme
particulière pour ce genre, et on ne le distingue
er un mot dont on divise les syllabes, de manière que chacune d’elle,
forme
un autre mot, on caractérise chacun de ces mots p
à donner aux sujets que l’on traite, et aux idées qu’on exprime, une
forme
que l’art approuve et dont le goût soit satisfait
st en état de le sentir. La production du talent consiste à donner la
forme
, et la création du génie à donner l’être ; le mér
Confondant à nos yeux et montagne et vallon, D’un monde entier ne
forme
qu’une plaine, Et rassemble en un point un immens
est-ce que l’ode badine prend le nom de chanson ? 442. Quels sont la
forme
et le style de la chanson ? 443. Qu’est-ce que la
le de la chanson ? 443. Qu’est-ce que la cantate ? 444. Quelle est la
forme
de la cantate ? 445. Quels sont les principaux po
plutôt par des discours que par des portraits ? 468. Qu’entend-on par
forme
ou disposition de l’épopée ? 469. Que doit faire
669. En quoi l’élégie diffère-t-elle de l’ode ? 570. Quelle a été la
forme
de l’élégie chez les différents peuples ? 571. Qu
et selon que nous aurons su, par d’heureuses combinaisons, donner une
forme
gracieuse aux expressions les plus simples, aux t
t au contraire le rendre plus clair, en présentant les idées sous une
forme
plus sensible, plus animée, et en suivant, dans l
ns qui composent la phrase ou la période, enfin de la variété dans la
forme
et l’étendue des périodes qui composent le discou
qu’il tourne comme il veut, et à laquelle il fait prendre toutes les
formes
qu’il lui plaît. Par la différente disposition qu
effet, qui a introduit dans la prose ce nombre, cette délicatesse de
formes
, cette mélodie cadencée qui a tous les charmes du
s l’un de ces mots :nullus, nihil, nemo, ou d’autres avec lesquels il
forme
une consonnance agréable. exemples : Fuit ista q
qui pour cela même n’a pu s’attacher entièrement les cœurs. De là ces
formes
gracieuses : his de rebus, his in terris, multos
, à patre. Ab devant les voyelles et les consonnes avec lesquelles il
forme
une heureuse liaison. Telles sont les lettres l,
e plus souvent après un monosyllabe ou d’autres mots avec lesquels il
forme
une agréable consonnance. Ainsi l’on dit bien : s
a éviter de placer à la suite les unes des autres des phrases de même
forme
et de même longueur, des périodes dont les membre
nt les pauses reviendraient aux mêmes intervalles. Mouler sur la même
forme
toute une suite de périodes n’est pas moins fasti
c. C'est l’usage le plus naturel de ce genre de beauté. La liaison se
forme
aisément entre des sensations qui affectent le mê
ention du spectateur. Gemini… Ce sont deux serpents jumeaux, d’égale
forme
et d’égale grosseur ; ce qui rend la chose plus e
reptiles. Virgile sait profiter du moment où ils offrent à la vue les
formes
les plus saisissantes, pour nous en retracer les
possible, le charlatanisme des termes techniques et l’affectation des
formes
étranges, il sera compris de tous les hommes inte
e, plus encore que de l’idée. Je prise fort, je l’avoue, ces vieilles
formes
, à l’aide desquelles la langue remonte à ses orig
venté quelque chose de plus précieux. Il employait dans son récit les
formes
contemporaines, même les plus avancées, et dans s
e ou du calcul intégral ? ou faut-il croire, avec ses ennemis, que la
forme
n’est barbare que parce que le fond est absurde ?
et parler Vaugelas, ce sont deux choses. M. Villemain, comparant les
formes
du xvie siècle à celles du xviie , conclut que d
ute belle composition, c’est-à-dire de toute composition dont le beau
forme
le principal caractère, sont l’unité, la variété,
près saint Augustin, c’est l’unité qui constitue, pour ainsi dire, la
forme
et l’essence du beau en tout genre : Omnis porro
t ouvrage, et le style ne serait rien par lui-même s’il ne servait de
forme
aux idées ; mais cette forme doit être belle auss
ait rien par lui-même s’il ne servait de forme aux idées ; mais cette
forme
doit être belle aussi, le style doit être soigné,
n de particulier dans l’objet qu’il veut peindre : l’image qu’il s’en
forme
est vague et confuse, et ses expressions sont en
à rajeunir, par l’expression ou par le tour, des circonstances et des
formes
très souvent employées. Il y a, en effet, des cir
ularisé autant qu’il est possible de le faire, afin que l’esprit s’en
forme
une image distincte et complète. Une colline, une
la place qu’elle occupe ? Considérée sous ce rapport, la description
forme
un morceau à part, une composition descriptive is
de descriptions suivent les règles générales. C’est sous cette double
forme
que les compositions descriptives sont données en
est l’œuvre de l’imagination : le fond des choses, la disposition, la
forme
, tout est à la disposition de l’écrivain. La narr
ur exercer les jeunes gens à la composition. En effet, l’élève qui se
forme
à l’art d’écrire ne cherche pas seulement à acqué
narration badine ? Le mérite de la narration badine consiste dans la
forme
, dans l’art de dire des riens d’une manière graci
ettre. Sénèque, Pascal, Bossuet et beaucoup d’autres, ont donné cette
forme
à des traités de philosophie, de religion, de mor
ports délicats et cachés, et qui se manifeste dans le discours par la
forme
de la pensée et le tour ingénieux de l’expression
lées. Une réponse doit être analogue, soit pour le fond, soit pour la
forme
, à la lettre qui la détermine, puisqu’elle est la
tres ; Voltaire qui, à défaut de sentiments honorables, brille par la
forme
; Et M. de Maistre, dont la correspondance présen
s à la poésie, à sa nature, aux qualités qu’elle exige du poète, à sa
forme
, ainsi qu’aux caractères, aux tons distincts des
ètes latins, il ne pense qu’avec ses expressions, il imite toutes ses
formes
, et quelquefois, dans ses beaux moments, il réuni
poésie considérée d’une manière générale, c’est-à-dire, sa nature, sa
forme
, et les qualités qu’elle exige du poète ; et la s
a nature et les circonstances du fait, le caractère de l’accusé et la
forme
du jugement, tout se réunit pour faire de cette c
à l’orateur ou à l’ami. Celle d’un tribunal si extraordinaire, et de
formes
si nouvelles, si étrangères aux formes habituelle
bunal si extraordinaire, et de formes si nouvelles, si étrangères aux
formes
habituelles du barreau, devaient inspirer naturel
suppliant. Mais le fier, l’intrépide Milon, avait dédaigné toutes ces
formes
humiliantes ; il ne témoignait aucune crainte, et
rer en le défendant la même fermeté. L’avouerai-je, cependant ? cette
forme
nouvelle d’un tribunal si nouveau jusqu’ici m’int
ntrent de toutes parts qu’un appareil inouï, et cherchent en vain les
formes
accoutumées du barreau. Ce n’est plus en effet, c
ements de l’in-8°. Car dans le choix du sujet est compris celui de la
forme
, qui appelle également toute l’attention de l’écr
l, intéressant, fécond, proportionné aux forces de l’écrivain et à la
forme
adoptée, qualités souveraines du sujet, auxquelle
ériaux eux-mêmes. Mais il est des matériaux tout à fait rebelles à la
forme
, permettez-nous au moins de dire qu’il ne faut ja
urité de l’ensemble. Est-elle puérile, la puérilité du fond rendra la
forme
plate et niaise, ou pédantesque et alambiquée. 4°
gine, mais qui lui a été donné par analogie 5, pour exprimer sous une
forme
sensible des objets spirituels avec lesquels il a
fre plus à l’esprit l’idée d’un feu matériel ; mais il peint sous une
forme
sensible l’ardeur d’une âme qui éprouve de vifs s
eux dernières qui soient à remarquer. Ainsi, quand de la racine am on
forme
amabilis, il n’y a à considerer que la désinence
ce spécificative abil et la declinative is. Et, lorsque d’amabilis on
forme
amabilitatis, il n’y a à remarquer que la spécifi
ence, l’expérience et la méditation donnent le fond, et la logique la
forme
de l’argumentation. Pour cette dernière partie no
nt constitue donc la raison du syllogisme, considéré du moins dans sa
forme
ordinaire : Tout ce qui peut être affirmé ou nié
tc., donc, etc. Syllogisme disjonctif. On voit que ces deux dernières
formes
peuvent se ramener toujours à la première. Souven
ion contraire dans toute hypothèse possible. La majeure du dilemme se
forme
d’une proposition conditionnelle dont l’antécéden
écrivain, logicien toujours sévère pour le fond, emploie rarement les
formes
rigoureuses de l’école. Peu de sujets en admetten
és. Si je dis : là sont des pins, des noyers sauvages, des rochers de
forme
fantastique —, il est clair que les mots pins, no
, et de l’aisance dans le style. 6. Quant aux canevas, donnés sous la
forme
de simples résumés, sans aucuns signes, l’imagina
devant concourir au bonheur de la fille, pour varier agréablement la
forme
du souhait. N° 2. Ecrivez à un ami comblé d
se fera pardonner par le ton amical et la familiarité plaisante de la
forme
. N° 18. — A Mme de Grignan. Madame de Sévig
ore ou rembrunit le tableau de la vie. Chênedollé Avis. Sous quelle
forme
cette définition est-elle présentée ? Est-ce une
a dit plus haut : elle fait plus ? Faites vos autres remarques sur la
forme
. Pourriez-vous, au fond, indiquer les passages qu
eau-Mouche De tous les êtres animés, voici le plus élégant pour la
forme
et le plus brillant pour les couleurs. Les pierre
hes courts. N° 57. — Le Fat C’est un homme dont la vanité seule
forme
le caractère, qui ne fait rien par goût, qui n’ag
esse se joue dans l’univers, eût voulu nous les montrer en toutes les
formes
, et nous montrer ensemble ce qu’il peut faire des
tères de ses héros ? Faites remarquer le jeu de l’antithèse, sous des
formes
tantôt brèves, tantôt développées et même périodi
. Style grave et sévère, mêlé d’expressions poétiques convenables aux
formes
allégoriques. N° 82. — La cuve. Il est en F
s jugements de cour vous rendront blanc ou noir. LA FONTAINE. Avis.
Forme
, — Indiquez où se trouve une suspension et son ef
s, au fond des forêts, Le loup l’emporte et puis le mange, Sans autre
forme
de procès. La Fontaine. Avis. Forme. Quelle est
te et puis le mange, Sans autre forme de procès. La Fontaine. Avis.
Forme
. Quelle est la figure le plus facile à apercevoir
39, tu ne cesses pas d’être sublime — … Avis. Cette description sous
forme
d’apostrophes à l’Océan, est riche en détails de
a partie de l’ouest, s’arrêtèrent et se groupèrent entre eux sous les
formes
d’un paysage. Vous ne changerez rien à ce commenc
e n’est rien en comparaison de l’avalanche du printemps ; celle-ci se
forme
, lorsque les sommets des montagnes sont couverts
tagnes, etc., etc. N° 119. — Marseille. Description plaisante sous
forme
épistolaire LE DUC DE PLAISANCE AU COMTE DE TU
Niagara, sort du lac Erié, et avant de se jeter dans le lac Ontario,
forme
une cataracte de cent quarante-quatre pieds63. Le
l’ombre64 — … Là sont des pins, des noyers sauvages et des rochers de
forme
fantastique. — Des aigles, tombent dans l’abîme,
out est consommé, et meurt — … N° 124. — La Grande-Chartreuse. (
Forme
épislolaire.) Note. La Grande-Chartreuse est à q
e quelquefois dans le Nouveau-Monde. N° 132. — Les Quatre Saisons (
forme
allégorique). Le Printemps L’aimable déesse d
on sang. Ménécée, le plus jeune et le dernier des princes se dévoue. (
Forme
épistolaire.) Exposition. Je courais pour arrête
— … Les barbares sont effrayés — … Eponamon se présente à eux sous la
forme
d’un dragon — … et leur dit : (harangue du monstr
t… glisse et arrive brisé sur la place — … N° 163. — Habibrach (
Forme
épistolaire) Exposition. Le nain Habibrach et mo
ant le tyran — … celui-ci raconte son songe -… NOUVELLE NARRATION. (
Forme
épistolaire) Exposition. Je dormais — … Une voix
vie et pardonna à la pauvre femme. N° 183. — Le Palmier bleu (
Forme
épistolaire) Exposition. La nuit venait — … J’ét
rès celui de Charles XI. N° 198. — Dénouement Alors, toutes les
formes
fantastiques de l’assemblée s’obscurcissent, bien
la mère moururent dans les bras l’une de l’autre — … et l’on vit deux
formes
lumineuses s’élever dans les airs au milieu des c
eux Roule et dérobe Egysthe et la reine à mes yeux. Voltaire. Avis.
Forme
. Trouvez-vous l’exposition grave ? Le commencemen
n char ; ses mains défaillantes abandonnent les rênes ; un son qui se
forme
en vain dans sa poitrine et qui ne peut devenir u
e l’on connaisse. Il faudra au contraire vous restreindre beaucoup, -
Forme
. Vous ne ferez aucune attention aux tropes, car v
ma félicité, En dérobant mon sang à à l’infidélité. VOLTAIRE. Avis.
Forme
. Exposez la situation de Lusignan, et dites-nous
. Vous ne séparerez pas, dans la décomposition de ce chef-d’œuvre, la
forme
du fond.[Vous y verrez peu de figures de mots ; i
oient aux modèles du tome troisième. 2. L’Italie a, sur la carte, la
forme
d’une botte. 3. Beauté de l’ange. 4. Cantiques
fleuve naissant, qui heurte les rocs avec impétuosité, tourbillonne,
forme
des gouffres. 41. Loin des villes et de leur tum
’humide, qui forment les orages. 91. L’Iris est l’arc-en-ciel qui se
forme
assez souvent à la suite des orages. 92. Détaill
, d’apprendre à juger sainement les ouvrages d’esprit. La littérature
forme
donc la base essentielle de toutes nos connaissan
; J.-B. Rousseau, Lamartine, si l’on n’a pas étudié la nature et les
formes
de la poésie lyrique ; Bernardin de Saint-Pierre,
étique générale. Nous y parlons de la poésie, non pas seulement comme
forme
littéraire, mais aussi comme expression suprême d
rcices oratoires n’avaient certainement ni la même étendue ni la même
forme
que les discours de Démosthènes : et quand Plotiu
t en justice. Ce genre, ainsi que les deux autres, n’a pas eu la même
forme
parmi nous que chez les anciens, car quoi qu’il s
ect ; lorsque le procès paraît juste et le procédé malhonnête, que la
forme
est nuisible au fond, que l’esprit et la lettre d
et la grande habileté de l’avocat consiste à tirer avantage de cette
forme
de plaidoyers. Nous en avons vu dans ce siècle un
barreau, à la tribune politique et les assemblées scientifiques, sous
forme
d’instruction familière, de mercuriale et admonit
Les anciens entendaient par harangues presque toutes les variétés de
formes
de l’éloquence. Eloge, accusation, défense. délib
. On ramènera toute l’exhortation à une suite de syllogismes. Pour la
forme
, on suivra les mêmes procédés que pour les décomp
, pour que l’on vous réponde voilà un brave ! (Bonaparte.) ANALYSE.
Forme
. — Un langage simple, où respirent la fierté et l
e. On ne peut guères ramener une suite de faits et de mouvements à la
forme
du syllogisme ; néanmoins ce morceau peut se résu
ement à la narration en général, puis reviennent dans l’élocution aux
formes
plutôt oratoires que narratives. Modèle de déco
défendre et ne paraît plus devant son vainqueur.(Bossuet.) ANALYSE.
Forme
. — Arrêtez-ici vos regards. C’est Bossuet qui par
ttant pour un moment à sa place. Fond, — D’après cette analyse de la
forme
, il est facile de remarquer que Bossuet, sans fai
Eh bien ! 1. Rien. Chaque réunion de deux syllabes
forme
un pied. On dit vers de six pieds, de trois pieds
nt, l’éloquence est le talent de persuader par le discours revêtu des
formes
oratoires. C’est ainsi que la considéraient les a
teurs indiquent pour les trouver, et en second lieu la solidité ou la
forme
qu’on leur donne en les présentant dans le discou
1º des sources des preuves, qu’on appelle lieux oratoires ; 2º de la
forme
des preuves, ou argumentation. Article premier.
démontrer clairement la vérité, l’orateur doit connaître les diverses
formes
que la preuve peut revêtir dans le langage ; et,
rencontrent le plus fréquemment. Nous parlerons donc, 1º des diverses
formes
de preuves ou arguments, 2º des raisonnements vic
mème et le syllogisme se présentent dans une œuvre littéraire avec la
forme
exacte de l’école. D’ordinaire on change l’ordre
te conserver, aurais-je pu te perdre ? Qu’on mette ces vers sous la
forme
d’un syllogisme ou d’un enthymème, et l’on verra
e du logicien. Mais l’orateur donne à ce même argument une tout autre
forme
: Non, s’écrie Bossuet, d’après ce que nous veno
et il suffit d’ailleurs de légères modifications pour leur donner une
forme
oratoire. 74. L’argument personnel, qu’on appelle
montrer la vérité dans tout son éclat. Nous verrons plus loin quelles
formes
il faut donner à ses preuves pour plaire aux audi
solu. Les épicuriens prouvaient ainsi que les dieux devaient avoir la
forme
humaine : Les dieux doivent avoir la forme la pl
s dieux devaient avoir la forme humaine : Les dieux doivent avoir la
forme
la plus belle ; Or la forme humaine est la plus b
rme humaine : Les dieux doivent avoir la forme la plus belle ; Or la
forme
humaine est la plus belle, Donc les dieux doivent
r la forme humaine est la plus belle, Donc les dieux doivent avoir la
forme
humaine. Ils faisaient un sophisme, parce que la
vent avoir la forme humaine. Ils faisaient un sophisme, parce que la
forme
humaine est la plus belle seulement par rapport a
arce que la forme humaine est la plus belle seulement par rapport aux
formes
visibles, mais non d’une manière absolue, et ils
: 1º à la personne de l’orateur ; 2º à celle des auditeurs ; 3º à la
forme
du discours lui-même, Nous allons les considérer
les murs de Moscou ! » 101. L’orateur doit varier ses moyens et les
formes
de son langage selon le génie des nations auxquel
. » 184. Dans un discours, la narration peut se présenter sous trois
formes
différentes. On peut avoir à citer certains faits
même un peu fragiles. Quelques-unes veulent être présentées sous une
forme
rigoureuse ; le plus souvent il faut voiler cette
tées sous une forme rigoureuse ; le plus souvent il faut voiler cette
forme
aride et compassée sous un tour rapide et gracieu
antageuse. 206. Il est rare qu’on doive présenter les preuves sous la
forme
sèche et didactique que nous avons indiquée dans
e fait qu’il semble multiplier ce crime en le présentant sous tant de
formes
diverses. Car enfin, Tubéron, à qui enroulait ce
re ceux de l’adversaire. Dans tous les cas, il est certain qu’elle ne
forme
une partie distincte que dans les plaidoyers et l
un court parallèle, tout l’ensemble de la cause. Variez beaucoup les
formes
et les tournures, et, si vous le pouvez, mettez c
e, ces péroraisons touchantes sont beaucoup plus rares, parce que nos
formes
juridiques sont plus simples et plus austères. Né
re la vérité plus aimable aux yeux des hommes, il faut lui donner une
forme
agréable et polie. La vérité revêtue de politesse
’oraison funèbre. Nous allons donner quelques règles sur ces diverses
formes
de la prédication. Article premier. De l’homéli
particulier ; il diffère du sermon en ce qu’il n’est pas soumis à des
formes
régulières et à tous les préceptes de l’art orato
st presque toujours sans éclat. 346. On peut donner au panégyrique la
forme
morale ou la forme historique. La forme morale co
sans éclat. 346. On peut donner au panégyrique la forme morale ou la
forme
historique. La forme morale consiste à diviser le
peut donner au panégyrique la forme morale ou la forme historique. La
forme
morale consiste à diviser le panégyrique d’après
ont brillé dans le saint et qui forment le fond de son caractère. La
forme
historique consiste à diviser le discours d’après
; mais d’autres, parmi lesquels il faut compter Fénelon, préfèrent la
forme
historique, et pensent que le meilleur moyen de l
l’assemblée, l’importance des matières qu’on discute, la nature et la
forme
des débats, tout contribue à élever l’âme de l’or
ions dans l’âme des auditeurs. Ils se prêtent d’ailleurs à toutes les
formes
et à tous les mouvements oratoires. Le magistrat
par Cicéron. Du reste, les Romains donnèrent aussi plus de soin à la
forme
oratoire qu’à l’étude du droit. 395. L’éloquence
olument pour modèles les plaidoyers de Cicéron et de Démosthènes. Les
formes
sont plus simples et les juges moins nombreux. Ce
u’on s’adresse à une assemblée et qu’on emploie un discours revêtu de
formes
oratoires. Dans un sens plus large, on dit qu’il
nce de cette argumentation oratoire, qu’on essaye de donner une autre
forme
aux raisons de Démosthènes ; on verra qu’il n’en
colère et de prévention ; que cet acte solennel n’est point une vaine
forme
; que le temps de la liberté est aussi celui de l
qui vient d’être dit sur le choix des preuves, leur arrangement, leur
forme
et leur liaison par des transitions. Cette analys
et de déduire chaque preuve dans son entier, en suivant exactement la
forme
scolastique. Cette opération fait sentir tout le
être présentées d’une manière plus sèche et moins agréable que par la
forme
usitée dans l’école ? Mais voyons comment Tite-Li
leurs paroles ! devant eux avec une mâle vigueur ; non, la langue les
forme
tout doucement, et les amène posément sur le bord
quoi diffère-t-elle de la narration historique ? 184. Sous combien de
formes
la narration peut-elle se présenter dans un disco
le talent de l’orateur ? 206. Doit-on présenter les preuves sous une
forme
didactique ? 207. Comment faut-il traiter les pre
s la jeunesse ? 221. Qu’est-ce que la réfutation ? 222. La réfutation
forme-t
-elle une partie distincte de la confirmation ? 22
quelle manière faut-il présenter l’éloge des saints ? 346. Combien de
formes
diverses peut-on donner au panégyrique ? 347. Que
genres se marque ordinairement par la dernière lettre. Comment se
forme
le féminin dans les adjectifs. 19. Règle gé
e, etc., cependant doux fait douce ; roux fait rousse. Comment se
forme
le pluriel dans les adjectifs. 21. — Le pluri
riel dans les adjectifs. 21. — Le pluriel, dans les adjectifs, se
forme
comme dans les noms, en ajoutant s à la fin : bon
ar l’analyse des pensées où se rencontrent ces qualités, sous quelles
formes
elles se produisent. Tantôt c’est une métaphore o
se prêtent à l’enjouement du style, que la langue de la plaisanterie
forme
presque la moitié de la langue populaire, qu’il f
blié dans la dernière année du règne de Louis XIV, appartient pour la
forme
comme pour le fond au xviie siècle plutôt qu’au
ités essentielles et accidentelles, il est, avons-nous dit, certaines
formes
de langage qui ajoutent beaucoup à la grâce ou à
re impitoyablement sacrifiée. Le droit de tout dire sans exception de
forme
serait une dispense de talent. Il est vrai qu’on
e, sans doute, mais aussi nulle chance d’erreur, dans l’emploi de ces
formes
consacrées, aussi vieilles, semble-t-il, que le f
lui qui les a créées, et peuvent, en conséquence, être étudiées comme
formes
à imiter ou à fuir. Parmi les tropes d’usage ou d
tème poétique du dernier siècle. M. Delille y retombe sans cesse. Ces
formes
, sobrement admises, contribuent sans doute à l’él
ents ad hominem, tournés de manière à pouvoir nier l’application, ces
formes
des comiques : Je ne dis pas cela… Oh ! moi, c’es
cations, la plus ingénieuse, et en même temps la plus hardie, à cette
forme
par laquelle un écrivain semble effectuer lui-mêm
e l’harmonie des bons auteurs ; on s’enrichit la mémoire ; le goût se
forme
; on acquiert le sentiment du beau, qui est l’idé
idées. Tout ce que nous apprenons, à mesure que nous avançons en âge,
forme
ce qu’on appelle l’instruction. Le mot éducation
développe le fond de nos connaissances, elle les agrandit ; elle nous
forme
à la fois le cœur et l’esprit ; elle nous initie
tout moment sur ce qu’on lit, et des réflexions que l’on fait, il se
forme
une conversation la plus agréable du monde et la
u goût ; c’est par l’étude et par la comparaison des modèles qu’il se
forme
: l’enseignement du maître consiste à faire resso
alent qu’ils exigent, des pièces précédentes ; mais comme ils ont une
forme
et des dimensions à peu près pareilles, on a été
de remarquable, c’est qu’elles sont presque toutes bonnes, tant cette
forme
acérée d’une pensée moqueuse est dans le goût du
rs ; mais le fond y a si peu de valeur, qu’il faut bien en relever la
forme
; et, de fait, chez nous, elles ne sont jamais en
ecret a naturellement beaucoup de rapport, et dans le fond et dans la
forme
, avec la précédente : Je suis difficile à tr
c’est en quoi elle diffère de l’ode, qui s’élève jusqu’au sublime. La
forme
de la chanson n’est pas toujours la même : sous L
mouvement animé, le courant rapide d’un discours. Habile à varier les
formes
de l’admiration, comme à insinuer le blâme, il ex
et du beau, ne devaient pas exercer moins d’influence sur toutes les
formes
que prit alors le génie littéraire. Ce génie devi
r, par une tradition de modestie, vous opposeriez à ce long succès la
forme
un peu frivole de vos ouvrages. En général, ce qu
genre de comédie dont vous renouvelez sans cesse les intentions ou la
forme
. Il ne vous reprocherait pas même vos divers et i
le se monter au ton des grands écrivains qu’elle juge, et prendre les
formes
de leur talent pour en mieux faire sentir le char
le à toute contagion. Au lieu de nous imposer ses préférences sous la
forme
d’une doctrine, il nous les propose comme un plai
types s’épuisent ; l’art même, qui les saisit et qui les fixe sous la
forme
la plus parfaite, les retranche du fonds commun ;
urnir à la consommation de tout un peuple, renouvelant sans cesse ses
formes
et essayant de toutes, voyant naître et mourir en
Ce bien, ce beau, dont les faibles images me ravissent encore sous la
forme
imparfaite de nos vertus, de notre science, de no
ge tout le monde à défendre la liberté. Au moment où le triumvirat se
forme
entre Octave, Antoine et Lépide, il écrivait enco
le d’Aristote et de celui de Platon. « L’un exprime ses idées sous la
forme
du dialogue, dans un style plein d’imagination, d
it écrit d’autres ouvrages pour le plus grand nombre ; ils avaient la
forme
du dialogue. — « Le mot dialectique n’a pas le mê
t trop souvent obtenue au détriment de l’exactitude. L’élégance de la
forme
nous entraîne, elle nous jette contre l’écueil de
ntiment : un respect religieux de la pensée aristotélique comme de la
forme
qu’elle revêt, et une soumission absolue aux légi
à en contempler l’exacte représentation, telles, par exemple, que les
formes
des bêtes les plus viles et celles des cadavres.
tations propres au drame), de même il fut le premier à faire voir les
formes
de la comédie, en dramatisant non seulement le bl
s, parce qu’il y a plus de grandeur et de dignité dans cette dernière
forme
que dans l’autre. XI. Pour ce qui est d’examiner
la tragédie est, ou non, dès maintenant, en pleine possession de ses
formes
, à la juger en elle-même ou par rapport à la scèn
rmations15, la tragédie y a mis un terme, puisqu’elle avait revêtu sa
forme
naturelle16. XIV. Vint ensuite Eschyle qui, le pr
e ; car, primitivement, on employait le tétramètre, attendu que cette
forme
poétique est celle de la satire et plus propre à
n ; puis c’est tout. X. Un grand nombre d’entre eux28 ont employé ces
formes
; et, en effet, tout (poème tragique) comporte en
, ni qu’elles finissent n’importe où, mais qu’elles fassent usage des
formes
précitées. V. De plus, comme le beau, que ce soit
I Divisions de la tragédie. I. Pour ce qui est de la qualité des
formes
que doivent employer les parties de la tragédie50
s70, imiter les bons portraitistes. Ceux-ci, tout en reproduisant une
forme
particulière, tout en observant la ressemblance a
dans les livres précédemment publiés71. Chapitre XVI Des quatre
formes
de la reconnaissance. I. En quoi consiste la re
. En quoi consiste la reconnaissance, on l’a dit plus haut. Quant aux
formes
de la reconnaissance, la première et celle qui em
e qui a lieu dans la scène du bain76, sont préférables. V. La seconde
forme
comprend les reconnaissances inventées par le poè
dans le Térée de Sophocle, le langage de la toile79. VI. La troisième
forme
, c’est la reconnaissance par souvenir, lorsqu’on
en a une catégorie qui rentre dans la théorie actuelle ; ce sont les
formes
d’élocution dont la connaissance appartient et à
ar exemple, le G et le D. VI. Les éléments diffèrent entre eux par la
forme
de la bouche, par les lieux (d’émission), par l’a
phores, barbarisme, si elles l’étaient à des gloses. V. En effet, une
forme
de l’énigme, c’est de relier entre elles des chos
es127. VI. En effet, la glose, la métaphore, l’ornement et les autres
formes
précitées ôteront au style la vulgarité et la bas
oupures) et les altérations (des noms) ; car (un mot), présenté comme
forme
insolite, perdra de sa vulgarité en devenant autr
arties ; en effet, se servir des métaphores, des gloses et des autres
formes
sans observer la convenance, ou s’appliquer à fai
ms dans un mètre. Pour la glose, pour la métaphore et pour les autres
formes
, en y substituant le terme propre, on pourrait re
n, comme, par exemple, δωμάτων ἄπο, et non pas ἀπὸ δωμάτων135, ou les
formes
σέθεν136, ἐγὼ δέ νιν137, Ἀχιλλέως πέρι, et non pa
γὼ δέ νιν137, Ἀχιλλέως πέρι, et non pas περὶ Ἀχιλλέως138, ou d’autres
formes
analogues. Comme elles ne rentrent pas dans les t
t certes pas indifférent de faire un emploi convenable de chacune des
formes
précitées, noms doubles et noms étrangers ou glos
objections et de leurs solutions, du nombre et de la nature de leurs
formes
, on verra clairement ce qu’il en est par les cons
it nécessairement qu’il imite les choses sous quelqu’une de ces trois
formes
, ou telles qu’elles existaient ou existent, ou te
mais laid de figure, car, chez les Crétois, on dit εὐειδὲς (de belle
forme
) pour exprimer la beauté du visage. Et dans ce ve
e la dénomination de politique. Voilà pourquoi la rhétorique revêt la
forme
de la politique et qu’en font autant ceux qui s’e
ais encore, si le nez est excessivement crochu ou camus, il prend une
forme
telle qu’il semble qu’il n’y ait plus de narines.
i qui la détient ; or les conditions de l’autorité varient suivant la
forme
de gouvernement. Autant d’espèces de gouvernement
x que l’on doit voir les meilleurs citoyens, et c’est de là que cette
forme
de gouvernement238 a pris son nom. La monarchie,
tyrannie. V. On ne doit pas laisser ignorer la fin de chacune de ces
formes
gouvernementales ; car on se détermine toujours e
suivant le pays où l’on parle. Les arguments seront produits sous une
forme
en rapport avec les mêmes (mœurs). En effet, les
si ces genres247. XXXV. La louange et les délibérations possèdent une
forme
commune, car ce que tu établiras en principe dans
emble être la marque d’une vertu. XL. Généralement parlant, parmi les
formes
communes à tous les genres de discours, l’amplifi
mme les objets d’alimentation, ou celles dont on modifie aisément les
formes
, ou les couleurs, ou la composition. XXXIV. De mê
re n’aime celui qui inspire de la crainte. XXVIII. Quant aux diverses
formes
de l’amitié, ce sont la camaraderie, la familiari
oncé est comme le siège d’un enthymème, et cette apparence tient à la
forme
de l’expression. Pour parler d’une façon syllogis
i où il faut puiser pour fournir des enthymèmes, car on distingue les
formes
d’enthymèmes et les lieux. II. C’est maintenant l
En effet, la substitution d’un mot à un autre donne à l’élocution une
forme
plus élevée, car l’effet différent que produisent
ut apporter d’autant plus de travail dans leur application, que cette
forme
de langage a moins de ressources, comparée à la v
cisme que de ne pas attribuer, dans la liaison des mots entre eux, la
forme
qui convient. Par exemple, le mot voyant, qui n’a
s cordes, le chant sans lyre558 ». Et ils les obtiennent au moyen des
formes
privatives. Ce procédé fait bon effet dans les mé
II Sur le rythme oratoire. I. L’élocution ne doit ni affecter la
forme
métrique, ni être dépourvue de rythme. Si elle es
tes choses sont déterminées par le nombre, et le nombre appliqué à la
forme
de 1’élocution, c’est le rythme, duquel font part
ge ordinaire ; aussi, de tous les mètres, ce sont les ïambes que l’on
forme
le plus souvent en parlant. Mais il faut nécessai
t ; mais il faut que le début et la fin diffèrent573. VI. Il y a deux
formes
de péans opposées l’une à l’autre : l’une d’elles
et retours quand elle consiste en périodes. Or j’appelle période une
forme
d’élocution qui renferme en elle-même un commence
en parallèle n’en sont que plus faciles à saisir. Ajoutons que cette
forme
ressemble à un syllogisme ; car la réfutation n’e
des paroles énoncées, et aussi d’après l’expression envisagée dans sa
forme
, si l’on parle par antithèse. Dans cette phrase :
on ne fait pas des actions dignes de la mort651 ». IX. Ici, c’est la
forme
de l’expression qui est la même. Plus l’expressio
les discours démonstratifs, il faut placer çà et là des louanges sous
forme
d’épisodes comme le fait Isocrate ; car toujours
ons, ils obtiendront les plus grands avantages713. » Maintenant, sous
forme
d’enthymème : « En effet, si c’est au moment où l
chapitre xxvi et dernier. 15. Résumé d’une note de G. Hermann. — 1re
forme
de la tragédie : La tragédie est issue de ceux qu
ie : La tragédie est issue de ceux qui chantaient le dithyrambe. — 2e
forme
: Improvisations satiriques. — 3e : Thepsis, inve
attici, nos 922-927. 19. Où ce genre a fourni certaines œuvres d’une
forme
arrêtée. 20. Où dominaient les attaques personne
la fable de Philomèle, envoyant à Procné, sa sœur, un message sous la
forme
d’un tissu avec lettres brodées. (Bibliothèque d’
allusion à ses trilogies ; mais chacune des pièces qui les composent
forme
une œuvre à part, instituée conformément aux règl
Cette parole d’Iphicrate reparaît plus loin (chap. ix, 31), sous une
forme
plus complète : ἐξ οἵων εἰς οἷα ! 235. Hom., Od
aconte le même fait en détail et dont la vulgate donne cette dernière
forme
. 430. L’avis d’Apollon, fils de Jupiter. 431. P
disait juste. Dans leur poésie lyrique, par exemple, chaque verset se
forme
de deux parties, dont la seconde ne fait le plus
ien n’indique la recherche, l’embarras, le parti pris d’adopter telle
forme
, de produire tel effet, de faire un sort, selon l
rent ; mais il resta, sous le nom de style soutenu, je ne sais quelle
forme
guindée, officielle, académique. On caressa la pé
fication continuelle des substantifs abstraits, l’emploi de certaines
formes
conventionnelles qui revinrent sans cesse et ajou
ucture des vers. Le discours mesuré, que je considère ici dans sa
forme
seulement, par opposition à la prose, consiste da
et imparfait, ne peut jamais terminer le repos ; soit que cet e muet
forme
la sixième syllabe du vers, soit qu’il forme une
os ; soit que cet e muet forme la sixième syllabe du vers, soit qu’il
forme
une syllabe surabondante. Ainsi ces vers ne vaudr
pelle stances régulières, une suite de stances qui ont toutes la même
forme
, soit pour la mesure et le nombre des vers, depui
ppelle stances irrégulières, une suite de stances qui ont chacune une
forme
différente. En voici un exemple : Déplorable Sio
II. De la Poésie en général. On vient de voir les différentes
formes
du discours mesuré, les règles générales qui rega
aissé tant de ruines. Les martyrs (1809), épopée en prose, fidèle aux
formes
consacrées, nous montrent l’application souvent a
ntagnes qui le terminent. Souvent les vallées dans la campagne ont la
forme
d’une arène, d’un cirque, d’un hippodrome ; les c
t dissimule ce qu’ils pourraient avoir de dur ou de heurté dans leurs
formes
. Les ombres ne sont jamais lourdes et noires ; il
ord occidental ; mais elle change tout à coup sur la rive opposée, et
forme
avec la première un admirable contraste2. Suspend
r les montagnes, dispersés dans les vallées, des arbres de toutes les
formes
, de toutes les couleurs, de tous les parfums, se
tend dans les bois de confuses clameurs. Mariant leurs parfums, leurs
formes
, leurs couleurs, Suspendus sur les eaux, groupés
est pas jusqu’à la philosophie qui ne présentât ses doctrines sous la
forme
dramatique du dialogue ; le lien de la scène étai
phistes, ce fut de toucher au fond, quand ils devaient se borner à la
forme
, et, si j’ose employer cette expression, de compo
e des bons modèles, et les travaux qui ont pour but de reproduire les
formes
de leur style. Sans le travail, et un travail obs
raire. Dès qu’on la veut forger, dès qu’on la coule dans une certaine
forme
, l’opération est soumise à des lois rigoureuses.
scènes où l’éloquence peut aujourd’hui se développer avec succès. La
forme
de notre gouvernement, l’esprit d’indépendance qu
complaisant pour ses ridicules préjugés. Chez un peuple civilisé, la
forme
du gouvernement, des troubles, des factions, des
llantes. Si du coloris nous passons aux figures qui nous montrent les
formes
de la beauté plus complexes et plus diversifiées,
nce de propriété et d’usage qui ont toujours plus d’analogie avec des
formes
régulières et proportionnées, qu’avec des corps q
es proportionnés dans toutes leurs parties, et qui, à raison de leurs
formes
simples, sont plus appropriés à nos usages journa
ité d’exemples ingénieux. Le mouvement, qui n’a aucun rapport avec la
forme
, est aussi une nouvelle source du beau. Le mouvem
qui étudient la grâce du geste et de l’action. Quoique la couleur, la
forme
et le mouvement soient des principes distincts du
ux, nous sommes charmés de la délicatesse du coloris, de la grâce des
formes
, et quelquefois même des mouvements qu’exécutent
t par comparaison et par métaphores ou allégories, et au moyen de ces
formes
empruntées qui rendent le langage figuré ; et com
C’est surtout en Égypte que cet art fut perfectionné et réduit à des
formes
régulières. Les prêtres égyptiens, sous ces emblè
, ces deux méthodes parvenant au même but, et ne différant que par la
forme
, l’une ne paraît pas offrir plus d’avantages que
tteignit la perfection où il est parvenu. Smith pense que la première
forme
du verbe fut l’impersonnel, il pleut, il tonne, e
forme du verbe fut l’impersonnel, il pleut, il tonne, etc., ce fut sa
forme
radicale, parce qu’elle sert simplement à affirme
ffirmation est passé, enfin qu’il existe une condition suspensive. La
forme
des conjugaisons se modifie, il est vrai, dans to
s ne nous occuperons maintenant que des plus simples, dont l’ensemble
forme
en grande partie ses qualités plus complexes. Tou
mposition. Cicéron en offre de fréquents exemples. Le style coupé est
forme
de propositions courtes et indépendantes qui offr
es critiques et des rhéteurs a toujours été fortement appliquée à ces
formes
du discours, c’est qu’ils ont observé que ce sont
l’employer avec habileté ! avec quelle facilité il prend les diverses
formes
qu’on veut lui donner ! Il ne se borne pas à comm
tout son poids sur les talents vulgaires éblouit par sa splendeur, »
forme
un mélange hétérogène d’idées métaphoriques.
et suivre mon passage. La puissance romaine est représentée sous la
forme
d’un torrent qui, s’il n’est arrêté, se débordera
ment nos passions pour nous la faire goûter. La poésie, même dans ses
formes
les plus délicates et les plus humbles, en présen
style, et le rendent à la fois vif et vigoureux. Mais si cette figure
forme
souvent une beauté de la prose, elle est la vie d
es sujets, et demandent un examen plus circonstancié. La ressemblance
forme
la base de cette figure ; mais il ne faut pas pre
s cieux un regard puissant ; il découvre dans les objets de nouvelles
formes
qui n’avaient pas encore été remarquées, et donne
ce défaut. Les maximes ou règles de morale reçoivent volontiers cette
forme
, parce qu’elles sont supposées être le fruit de l
ls affirment ou nient avec véhémence, ils s’énoncent toujours dans la
forme
interrogative, exprimant ainsi la plus forte conf
Philippe. » (Longin, Traité du sublime, traduction de Boileau.) Cette
forme
interrogative éveille l’auditeur et le frappe plu
lus mauvais effet que l’emploi trop fréquent et mal appliqué de cette
forme
du discours. C’est le défaut de l’écrivain jeune
pétition, à la suspension, à la réticence, à la supposition et autres
formes
figuratives du discours que les rhéteurs énumèren
de la passion, qui affecte rarement une marche aussi régulière. Cette
forme
est même moins propre à déterminer la conviction
dant il n’est rien moins que concis. Il revêt la même pensée de mille
formes
différentes, et présente la même idée comme nouve
résente, a toujours ce désavantage qu’elle nous montre un écrivain en
forme
, c’est un homme en habit de cour, où la splendeur
omposition. Caput autem est quam plurimum scribere : « la plume nous
forme
à bien dire ; c’est le plus habile des maîtres. »
leur coupe et les particules conjonctives, et de donner au style une
forme
régulière et correcte. Le limæ labor doit être em
des modèles de cette espèce d’éloquence. La tribune était muette. La
forme
de notre gouvernement purement monarchique n’avai
thène un front audacieux, un regard sombre et plein d’expression, des
formes
athlétiques, une voix retentissante et impérieuse
es œuvres judiciaires méritent d’être lues : une dialectique nerveuse
forme
le caractère dominant de son style. Vers cette mê
utes les lois que la cause exigeait ; il les arrangeait alors dans la
forme
populaire, les parait de toutes les couleurs de l
rdre ; il n’y a point de raison pour s’attacher aussi strictement aux
formes
, en toute occasion ; et ce serait même une faute
e cette partie du discours, qui est de plaire et de persuader par les
formes
adroites sous lesquelles on la présente. » (Cic.,
r effet. La seconde : de ne pas séparer un des chefs d’un discours en
forme
, pour faire naître quelque passion ; de ne jamais
qui doit toujours diriger les pauses de la voix ; et si l’orateur se
forme
arbitrairement une certaine mélodie ou ton qui ex
du ressort de l’assemblée à laquelle il appartient ; il étudiera les
formes
, les usages, et portera une attention scrupuleuse
l’aide d’une cause feinte, deux jeunes défenseurs viennent, dans les
formes
même de l’audience, et avec le ton qui lui convie
timables écrivains puissent être d’une grande utilité, aucun d’eux ne
forme
un traité complet d’art oratoire. Les essais d’in
stimées, ont le défaut de porter presque toujours l’attention sur les
formes
extérieures du discours. Considérant un peu trop
torique les règles de la logique. J’ai fait connaître les différentes
formes
de raisonnement dont on a coutume de faire usage
. Idee de l’éloquence. L’ éloquence nous apparaît sous tant de
formes
différentes, qu’au premier abord il semble diffic
forcer de rendre ses discours intéressans pour la classe d’hommes qui
forme
son auditoire. C’est la marque la plus certaine d
ble et rapproche les détails qui se rapportent à chacune d’elles ; il
forme
par ce moyen des tableaux oratoires. Diverses es
ls peuvent être contestés sous plusieus rapports : 1°. Sous celui des
formes
; 2°. en ce qui concerne les termes, le sens des
ltés distinctes. Les objets se peignent à notre esprit sous certaines
formes
, c’est ce qu’on appelle avoir des idées ; nous co
yeux, se peint-il dans mon esprit, j’ai l’idée d’un cercle. Est-ce la
forme
d’un triangle qui s’y dessine, j’ai l’idée d’un t
ond, revêtu de toutes les parures de l’éloquence. Sous cette dernière
forme
il prend le nom d’amplification. Deux formes d’a
nce. Sous cette dernière forme il prend le nom d’amplification. Deux
formes
d’argumentation. Nous allons indiquer quelles so
Deux formes d’argumentation. Nous allons indiquer quelles sont les
formes
les plus ordinaires des raisonnemens. Cicéron n’e
inv. Rh. l. I, n. 31.) 1°. Du syllogism. Le syllogisme est une
forme
de raisonnement qui nous est donnée par la nature
rapprochement de ces deux propositions qu’on tire une conséquence qui
forme
le jugement. Pour que le syllogisme soit concluan
r, qui parle autant au cœur qu’à l’esprit, ne peut s’accommoder de la
forme
syllogistique. « L’éloquence, dit Quintilien, est
’enchaînons dans une multitude de syllogismes qui aient toujours même
forme
et même chute. Rampante, elle tombera dans le mép
éloquence dont il fait la force et la solidité, mais seulement que la
forme
doit en être ressentie sans dureté, sans sécheres
es mouvemens dont le discours est animé. Cependant on en retrouve la
forme
dans le discours oratoire. Il est aisé de retrou
e la forme dans le discours oratoire. Il est aisé de retrouver cette
forme
, pour peu qu’on y fasse attention, chez les orate
te la première, la mineure la seconde, et la majeure la troisième. La
forme
logique de ce raisonnement serait : Il faut aime
que son client ait tué son père. Il se sert d’un syllogisme auquel la
forme
interrogative donne beaucoup de force : « Quand
r d’elle-même ; Donc le premier mouvement, etc. Massillon emploie la
forme
conditionnelle pour prouver aux grands qu’ils son
à l’élocution oratoire. Le retour fréquent d’une conclusion tirée en
forme
, qui vient frapper sur un antécédent, ordinaireme
Les orateurs amplifient l’enthymème et le présentent sous différentes
formes
. L’interrogation lui donne beaucoup d’énergie et
ensuite l’argument aux règles du syllogisme. Du Dilemme. Une
forme
de raisonnement beaucoup plus pressante encore qu
i que tous ceux que nous pourrions rapporter, sont susceptibles d’une
forme
dialectique qui est très-peu éloignée de la forme
susceptibles d’une forme dialectique qui est très-peu éloignée de la
forme
oratoire ; et la raison en est sensible : un dile
s sont méchans, etc ; …. s’ils sont bons, etc… Donc, etc.… Mais cette
forme
est lente, et l’auditeur supplée aisément la disj
r le défunt, revient presser les juges par une nouvelle induction qui
forme
une autre chaîne de probabilités, d’où l’on peut
ue celui qu’on veut prouver ou persuader ; au lieu que l’induction se
forme
de plusieurs rapports plus ou moins prochains, de
t la chose qu’on veut prouver par cet exemple. Nous avons indiqué les
formes
de raisonnement les plus connues, sans prétendre
peut nous donner autant de sortes d’argumens qu’elle peut admettre de
formes
différentes. De la Méthode. Définition d
rassemble les traits caractéristiques et les plus saillans, et il en
forme
un ensemble qui fixe les idées et le jugement de
arreau. Il est aisé de voir que chacune de ces circonstances veut une
forme
d’éloquence particulière. C’est ainsi que les act
donnent du prix aux plus belles choses. « Voyez, dit Quintilien, ces
formes
isolées, ces membres épars, mais finis et parfait
ncipale. Du plan. La proposition avec la division et la subdivision
forme
ce qu’on appelle le plan du discours. Il ne doit
mater. (De inv. Rh., l. I, n. 41.) Comment on parvient à varier les
formes
de l’argumentation. La variété brille dans l’élo
ans la composition, en diversifiant la marche de la discussion et les
formes
de l’argumentation : tantôt annonçant la proposit
ns, sans qu’ils perdent rien de leur force, et les présenter avec des
formes
nouvelles. En répétant les mêmes choses, il faut
ui n’ont pas besoin de péroraison distincte, non plus que d’exorde en
forme
, et qui se terminent aussi bien par la simple con
obtenu aide à établir le second, et ainsi de suite, jusqu’à ce qu’on
forme
un corps de preuves capable de renverser de son p
te et jouant la franchise et le courage de la vérité. Telles sont les
formes
dont se revêt le sophisme de la tribune, le parad
le se prend pour la manière d’écrire. Ce mot vient de l’instrument en
forme
d’aiguille dont les anciens se servaient pour tra
seau nous en offrent des modèles. Du style coupé. Le style coupé se
forme
de phrases plus courtes et détachées les unes des
à dire sur le style ; savoir : 1°. Quelles sont les qualités dont se
forme
un bon style ? 2°. Quels sont les moyens qu’il fa
divisions principales. Chapitre premier. Des qualités dont se
forme
un bon style. Nous distinguerons dans le styl
des Fénélon, des Bossuet, des Massillon. » (Dict. phil.) Montesquieu
forme
les mêmes plaintes en ces termes : « Ce que je tr
vaines figures ? D’un autre côté, lui pardonnerait-on d’employer les
formes
triviales d’une diction sans goût, ignoble ou bar
résente, l’autorité du magistrat, la majesté du lieu, la sévérité des
formes
, tout inspire le respect dans le sanctuaire de la
que de la discussion d’un titre ou de l’éclaircissement d’un point de
forme
, ou d’un article de loi. An non pudeat certam cr
; ils doivent donc les rendre comme un tableau rend la couleur et la
forme
de l’objet qu’il représente. Résumé de ce qui a
il est souvent nécessaire de présenter un raisonnement sous plusieurs
formes
différentes. Veut-on faire entrer le lecteur ou l
vons vu dans la chapitre précédent, quelles sont les qualités dont se
forme
un bon style ; cherchons actuellement par quels m
iode la réunion de plusieurs propositions ou phrases, dont l’ensemble
forme
un sens complet. Chaque phrase est alors un membr
ue des mots qui doivent l’énoncer, elle indique au moins vaguement la
forme
qui lui est analogue. Ainsi, si la pensée n’est q
r dans le style. On appelle tours, en fait de style, les différentes
formes
qu’on donne à l’expression de ses pensées : le to
sensible et la fait remarquer, ainsi qu’on remarque un corps dont la
forme
extérieure paraît plus gracieuse, plus élégante o
Elle sert aussi à déguiser une idée pénible, à la présenter sous une
forme
moins désagréable. Cicéron après avoir raconté l’
es figures sont les véritables organes de l’éloquence. Les figures ou
formes
de pensées varient à l’infini selon l’esprit et l
aut bien que les rhéteurs aient pu spécifier et déterminer toutes les
formes
de pensées qui résultent de la combinaison de tan
l multiplie pour ainsi dire son crime en le présentant sous plusieurs
formes
différentes. « Car enfin, Tubéron, à qui en voul
Qu’un doyen au palais ne monte les degrés ; Or, cette égalité dont se
forme
le sage, Qui jamais moins que l’homme en a connu
ion profonde, d’un grand sens et exprimée en peu de paroles, laquelle
forme
comme le résultat et la dernière conséquence tiré
ue. Il suit de là que l’orateur doit rarement les employer, sous leur
forme
propre. Il est un art de les enchâsser dans la ph
dinaires du style. Avoir indiqué les qualités principales dont se
forme
un bon style, c’est avoir fait connaître implicit
en reconnaît le faux. Dans une églogue de Fontenelle, une bergère qui
forme
le dessein de rompre avec son amant, dit : Quand
le génie différent de chaque langue ; ils se familiariseront avec les
formes
, les ressources et les beautés de leur langue mat
Livre troisième. De l’élocution 187 Chap. Ier. Des qualités dont se
forme
un bon style 199 Art. Ier. Des qualités général
, car le verbe εἴδω, veut dire je vois, je sais. De là εἴδεα ou ἰδέα,
forme
, espèce, image, idée. Définition du jugement. 1.
mes. Deux sortes de raisonnement, l’un logique l’autre oratoire. Deux
formes
d’argumentation. Définition du syllogisme. 1. Il
oyée dans le discours oratoire. Pourquoi. Cependant on en retrouve la
forme
dans le discours oratoire. Exemples. Première Phi
on, n. 54. Importance de la variété. Comment on parvient à varier les
formes
de l’argumentation. En quoi consiste la preuve da
eur les publie aujourd’hui, et c’est pour cela qu’il leur conserve la
forme
sous laquelle elles furent présentées dans ses le
nces profondes doivent seules fournir les matériaux dont l’assemblage
forme
le fond de toute composition estimable. C’est le
usqu’à dire que tout ce qui concourt au perfectionnement du goût nous
forme
en même temps à la vertu, et que l’un et l’autre
’œil ne saisit pas tout d’un coup les beautés de la peinture ; il s’y
forme
peu à peu en voyant souvent des tableaux, et en é
ances ont le pouvoir d’entraver les progrès du goût : la religion, la
forme
du gouvernement peuvent le pervertir ; une cour l
les hommes. Mais, comme nous l’avons observé, l’opinion du public se
forme
le plus souvent avec trop de précipitation ; auss
produire une vive impression sur l’esprit des autres. Un goût délicat
forme
un judicieux critique ; mais il faut du génie pou
’expérience nous apprend, par exemple, que, dans les corps, certaines
formes
nous semblent plus belles que d’autres ; en réflé
fait sur nous la vue des objets grands et sublimes, mais chacun s’en
forme
une idée. Elle consiste dans une espèce d’admirat
tion vive et gaie que produisent les objets qui ne sont que beaux. La
forme
la plus simple sous laquelle nous puissions appré
ablement sublime, et le sublime vient de l’idée imposante que l’on se
forme
de la grandeur d’un pouvoir qui se manifeste avec
nal, le mouvement de ses cheveux est l’effet produit par le signe, et
forme
dans la description une circonstance heureuse et
COMME le sublime est un genre particulier de composition, et qu’il
forme
un des plus beaux attributs de l’éloquence et de
le ne leur convient en aucune manière ; et même sous le rapport de la
forme
extérieure, on ne peut pas soutenir que la beauté
criptions poétiques. Après les couleurs, nous allons nous occuper des
formes
des corps. Elles nous offrent des beautés plus co
iées. Chez elles, la régularité est une première cause de beauté. Une
forme
régulière est celle qui nous paraît établie d’apr
l n’y a ni incertitude ni confusion. C’est ainsi qu’en fait de belles
formes
, un cercle, un carré, un triangle, un hexagone, f
elles plaisent parce qu’étant destinées à un usage particulier, cette
forme
les rend plus propres à remplir leur destination.
es lignes droites. Il y a, selon lui, deux lignes dont l’agrément des
formes
dépend essentiellement, et il appuie cette propos
dans une grande erreur lorsqu’il dit que l’art de produire de belles
formes
est l’art de les varier heureusement. Quant à la
jets que la nature puisse offrir à notre vue ; mais s’il se gonfle et
forme
une immense rivière, le beau se perd insensibleme
ceux qui veulent agir ou déclamer avec grâce. Quoique la couleur, la
forme
et le mouvement soient chacun une cause particuli
té des couleurs dans les nuances délicates du teint, et la beauté des
formes
dans les contours des divers traits de la figure.
diffère entièrement de celui que produit la beauté des couleurs, des
formes
, des variétés, et des autres objets dont nous nou
d’abord, et j’admire des couleurs brillantes, un fini superbe, et des
formes
agréables et gracieuses ; mais lorsque j’examine
bservations au sujet de la beauté ; nous l’avons suivie à travers ses
formes
diverses, parce qu’après le sublime, c’est la sou
est-à-dire tous ceux où se rencontrent le sublime, la beauté sous ses
formes
diverses, la convenance, les proportions, les sen
eintures et des figures hiéroglyphiques. Avec le temps, on abrégea la
forme
de ces figures, afin qu’on pût les tracer plus ai
des Phéniciens, et ils seront presque les mêmes. D’un autre côté, la
forme
des figures, les noms ou appellations des lettres
de ceux-ci par quelques qualités particulières, comme la grosseur, la
forme
, cependant ils avaient aussi avec eux des rapport
le nom substantif, et nous voyons qu’en anglais comme en français, on
forme
ordinairement le pluriel par l’addition d’un s. E
s deux méthodes remplissent le même objet, et ne diffèrent que par la
forme
; car le sens, dans le latine n’eût point été alt
avons affranchie de tout l’embarras qu’occasionnaient les différentes
formes
des déclinaisons ; et les Romains, comme on sait,
e singularité des langues grecque et latine, de leur faire prendre la
forme
des noms substantifs, et de les rendre comme ceux
ms substantifs et en noms adjectifs, division fondée bien plus sur la
forme
des mots que sur leur sens et leur valeur ; car l
t paraître étrange et bizarre que les adjectifs aient si bien pris la
forme
des substantifs dans chacune de ces deux langues
ssent plus ou moins séparés, il devenait nécessaire d’indiquer par la
forme
ou par la terminaison, la relation des adjectifs
obable, selon l’opinion du docteur Smith, que le verbe radical, ou la
forme
première qu’il prit dans toutes les langues, fut
is agreeable [il convient], et autres semblables ; c’est en effet la
forme
la plus simple, c’est celle qui ne fait qu’affirm
à l’actif comme au passif, servent à exprimer l’affirmation sous les
formes
diverses qu’elle est susceptible de prendre. Le m
, s’il le fallait]. Cette manière d’exprimer une affirmation sous ses
formes
diverses, et avec la distinction des trois person
ption, je crois, dans toutes les langues du monde. Il est vrai que la
forme
des conjugaisons, ou la manière d’exprimer toutes
ns des verbes, a dans chaque langue des différences très marquées. La
forme
la plus exacte des conjugaisons est celle qui, sa
ue fut la base de notre langue actuelle. On nous l’apporta sous trois
formes
différentes, le saxon, le danois et le normand ;
gue. La langue anglaise possède sans doute l’avantage d’être, dans sa
forme
et dans sa structure, la plus simple de toutes le
es mots sont moins sujets que ceux d’aucune autre langue à changer de
forme
; ses substantifs n’admettent de genres que ceux
nt, il est vrai, s’appliquer à notre langue. La plupart tiennent à la
forme
particulière d’un idiome dans lequel des verbes e
à moi ; c’est, je suppose, un animal dont je désire connaître bien la
forme
; je veux qu’on lui ôte tout ce qui le recouvre :
s ; il s’adresse la parole, il entre en association avec lui-même, il
forme
à lui seul le nombre deux pratique. » Dans quelqu
u’on se fait à soi-même, c’est « altérer sa constitution, mutiler ses
formes
, ses membres naturels ou son corps. » Une telle p
membre n’est que l’écho du premier, n’est que sa répétition sous une
forme
une peu différente. M. Addison, par exemple, en p
les unit, la particule lui échappe, et ce qu’elle devrait séparer ne
forme
pour lui qu’un seul tout. Lorsqu’au contraire on
e toucher peut, il est vrai, nous donner une idée de l’étendue, de la
forme
et de quelques autres qualités qui frappent les y
modulations des phrases doivent varier à l’infini comme le sens et la
forme
du discours. Quoique je sois d’avis qu’il n’est p
d’admiration et d’étonnement. Quoique le style figuré s’écarte de la
forme
la plus simple du discours, il n’en faut cependan
el motif a pu fixer l’attention des critiques et des rhéteurs sur ces
formes
du discours ? C’est qu’ils ont remarqué que c’éta
sses, sous diverses dénominations ; et c’est à cela peut-être que ces
formes
doivent leur nom de figures. De même que la figur
e ces formes doivent leur nom de figures. De même que la figure ou la
forme
d’un corps le distingue d’un autre corps, de même
auquel on les applique ; et effectivement elles donnent à l’objet une
forme
pittoresque, elles rendent sensible en quelque so
nt doux et flexible, qui, dans une main adroite, se plie à toutes les
formes
. Non content de transmettre nos idées, il les pei
e pensée eût perdu de sa force, si l’auteur l’avait présentée sous la
forme
d’une similitude : « En effet, il dut s’en repent
, puis faisant voile sur l’air, et même dans le sein de l’air, ce qui
forme
un tableau si confus, qu’il est impossible que l’
un vaisseau, et l’imagination ne peut la voir au même instant sous la
forme
d’un cheval et sous la forme d’un navire ; ne peu
ne peut la voir au même instant sous la forme d’un cheval et sous la
forme
d’un navire ; ne peut la voir bridée pour l’empêc
ière à en remplir toutes ses pages en la reproduisant sous toutes ses
formes
; « elle décharge les crudités, et pousse au-deho
artiennent qu’à des créatures vivantes. Lorsqu’on l’emploie (et on le
forme
le plus ordinairement par un ou deux mots, ou par
l embrasse d’un coup d’œil le ciel et la terre, découvre de nouvelles
formes
, et saisit des ressemblances inaperçues jusqu’à l
m vives, nunquam eris pauper ; si ad opinionem, nunquam dives. Cette
forme
convient parfaitement à une maxime ou à une sente
veuillent nier fortement, ils sont naturellement portés à employer la
forme
de l’interrogation ; ils expriment de cette maniè
bien loin d’avoir cette qualité. Il donne à la même pensée toutes les
formes
qu’elle est susceptible de prendre, et ne la fait
méritée de ses ouvrages, contribua le plus à donner à notre style la
forme
qu’il a conservée jusque aujourd’hui, c’est Dryde
il a toujours ce désavantage qu’il ne nous montre de l’auteur que la
forme
qu’il a voulu prendre, comme un courtisan qui, so
ecours des productions de ceux qui ont écrit avant nous. C’est ce qui
forme
notre goût et nous fournit des mots sur toutes so
l se sent plus de force et d’audace, conçoit de plus grandes pensées,
forme
de plus vastes desseins, et les exécute avec une
réussir à les persuader. Telles sont les idées principales que je me
forme
de l’éloquence en général. J’ai dû commencer par
rappelle à ses souvenirs la gloire de ses ancêtres, lui prouve qu’il
forme
encore une nation forte et florissante, que c’est
nnaître est le résultat d’une étude si pénible, si difficile, qu’elle
forme
en quelque sorte le seul objet de l’éducation et
e le cours de la discussion, et comme il est impossible de prévoir la
forme
qu’elle doit prendre, l’homme qui se fiera sur un
aux travaux et aux dangers de tout genre ? et peut-on croire qu’il ne
forme
aucun dessein sur vos arsenaux, vos flottes et vo
devait plaider ; il employait ensuite son éloquence à leur donner la
forme
et la couleur qu’il jugeait la plus convenable, e
t que possible, s’adresser tout entier aux auditeurs, non pas dans la
forme
d’une dissertation, mais dans le style que doit p
ême temps sa chaleur, son énergie touchante, et adopta tout à fait la
forme
du froid raisonnement et de l’instruction pastora
qu’il lui inspire ; qu’il les assemble, qu’il les dispose ; qu’il se
forme
ensuite le plan dont il ne doit plus s’écarter, e
tu qui fait le sujet du discours ; voilà ce qui, à proprement parler,
forme
la partie didactique d’un sermon ; et c’est de la
é dans son extension la plus grande, embrasse tout récit poétique qui
forme
une composition à part, une œuvre distincte. C’es
à part, une œuvre distincte. C’est donc la narration ou le récit qui
forme
le fondement et la base de cette espèce de poésie
ile de voir qu’il y a un grand nombre de sujets susceptibles de cette
forme
, depuis le poème épique proprement dit jusqu’au r
, les Prières, les Grâces, les Jeux, etc. Il présente aussi, sous une
forme
visible, les passions, les vertus et les vices. T
aisie humaine, et qui ne se tire ni des croyances religieuses, ni des
formes
allégoriques. Il comprend tous les êtres fantasti
ée ? Le début terminé, le poète commence immédiatement le récit, qui
forme
ce qu’on appelle le nœud ou intrigue de l’action.
sure régulière. Ces paroles, qui montrent que la versification est la
forme
naturelle et ordinaire, quoique non absolument es
e de la grande épopée, pour qu’il y ait contraste entre le fond et la
forme
, et pour que l’action paraisse ainsi plus comique
e, et qui se fit un système de l’archaïsme dans la langue et dans les
formes
de la poésie. Les anciens genres renouvelés obtin
oètes s’élevèrent qui imposèrent à la langue et à la littérature leur
forme
et leur manière. L’école de Ronsard et de Baïf, p
res, la littérature du dix-septième siècle, presque toujours belle de
forme
et riche de style, est trop souvent pauvre d’inve
efois, malgré la rapidité de la composition, il revêt sa pensée de la
forme
la plus irréprochable. Mais souvent aussi l’absen
ants de madame Lippée31, Et l’autre chevalier de la petite épée32. En
forme
d’échiquier les plats rangés sur table, N’avaient
froides et fastidieuses et des exagérations touchant au ridicule, la
forme
en est brillante et le rythme superbe, on sent qu
la partie toute négative et critique. Il eut peu d’invention dans la
forme
, peu de conception dans les idées et encore moins
r au théâtre. Cette sorte de comédie, dont il emprunta le sujet et la
forme
aux Italiens, et principalement à l’auteur du Pas
fondeur des idées, à la solidité du raisonnement qu’au brillant de la
forme
et aux séductions du style. Cependant sa diction
son absolu pouvoir, Qui du sang le plus vil tire une âme si belle, Et
forme
une vertu qui n’a lustre que d’elle, Parle, Blanc
lement. Racine, en produisant Andromaque, inaugurait sur la scène une
forme
de tragédie nouvelle, pleine de sensibilité et de
tre sujet tiré de même de l’Écriture sainte, et de le traiter dans la
forme
et suivant les règles prescrites par les anciens
isant comédien, est le véritable créateur, pour le fond comme pour la
forme
, de la comédie de caractère, où non seulement les
peut être regardée comme une comédie de caractère ; la distraction ne
forme
pas, à proprement parler, un caractère. Il n’y a
ontespan, et le troisième, composé à l’intention du duc de Bourgogne,
forme
le douzième livre. À partir du septième livre, La
oète français ne brille par le naturel autant que lui. Il n’a pas une
forme
de convention, il ne cherche pas à faire des phra
té non moins merveilleuse à faire prendre au vers français toutes les
formes
imaginables. Personne aussi bien que lui ne possé
nelles comme un hymne, tantôt folâtres comme une chanson. Et, quelque
forme
qu’il adopte, il la maîtrise avec la même aisance
e ne consiste guère qu’à se servir avec plus ou moins de facilité des
formes
connues de la poésie, à revêtir de plus ou moins
teurs osaient à peine reprendre quelques légers défauts, sont, par la
forme
comme par le fond, infiniment inférieures aux che
médie l’élément de l’intérêt, et créa, le drame sous sa plus agréable
forme
dans l’Enfant prodigue (1786), représenté deux an
popée. Il pèche à la fois par la conception, par l’ordonnance, par la
forme
, par le style qui est étonnamment négligé : c’éta
x si, dans sa clémence, Il écoute avec complaisance Les chants que je
forme
pour lui. Fidèle à marcher dans sa voie, En lui s
re et Ossian : cela est d’une grande, ferme et majestueuse poésie, et
forme
un petit poème charmant d’inspiration, de savoir
objet, va droit à la victime, L’atteint, recule, et de terre élancé,
Forme
cent nœuds autour d’elle enlacé, La tient, la ser
angue d’Homère. Il introduit tout naturellement dans notre poésie les
formes
les plus heureuses du génie grec et les aisances
quis, de plus délicat dans tous les arts, et se donner à lui-même une
forme
digne de son talent. André Chénier fut passionném
je suis ce fondeur, de mes écrits en foule Je prépare longtemps et la
forme
et le moule ; Puis, sur tous à la fois je fais co
uguste que tous ces enjolivements recherchés, et en particulier cette
forme
périodique, ce balancement perpétuel de deux memb
n utilité ; Volutes, chapiteaux, fuseaux, navette, aiguilles, Quelles
formes
n’ont pas leurs nombreuses familles ! Partout le
utre en vis tortueuse élégamment se roule, L’autre de l’araignée a la
forme
et le nom ; Un autre imite aux yeux la trompe et
les tableaux de Raphaël, dans la Belle Jardinière, par exemple, où il
forme
un arrière-plan et une perspective agréable, mais
ay, le Cimetière du village ; mais Fontanes a donné à son ouvrage une
forme
plus dramatique que Gray, qui s’est surtout appli
ra des tombeaux la sombre région ; Oui, tous ces habitants, sous leur
forme
première, S’éveilleront surpris de revoir la lumi
nature ; enfin se considérant comme être social, et cherchant quelle
forme
de gouvernement donne la plus grande mesure de bi
e dans cette prétention à l’ignorance. Après avoir essayé de diverses
formes
, il s’appliqua à tirer parti d’un genre trop déda
l visait à faire plus que des chansons, Béranger a beaucoup soigné la
forme
. Ces chansons, qu’on pourrait croire produites d’
aire, bien définie, aisément compréhensible, et de l’exprimer par des
formes
simples. Il pensa aux illettrés qu’oublient trop
bre. La clarté lui plaît encore plus que l’élégance ; il vise à « une
forme
précise, ennemie de l’indécision217 ». Cependant,
e plus étroit, quoique l’auteur entrevoie la nécessité d’une nouvelle
forme
théâtrale. De retour de l’Italie où il avait voya
une grâce légère des sites, des mœurs et des scènes de l’Italie. Les
formes
rajeunies de la ballade y sont souvent employées
ux. J’ai des nuits plus terribles ; L’ombre, pour m’abuser, prend des
formes
visibles ; Le silence me parle, et mon Sauveur me
, dans lesquelles une pensée philosophique est mise en scène sous une
forme
épique ou dramatique. Alfred de Vigny est de fait
du rapporteur académique, M. Raynouard, tout à fait classique par la
forme
et par la pensée. Le même mérite recommandait tro
il s’opère de transformation bien sensible dans son talent et dans sa
forme
. C’est à peine si, de temps en temps, se manifest
ce recueil, et la muse sceptique n’y reparaît que par intervalles. La
forme
est moins brillante que dans les Orientales ; mai
de Roland, Aymerillot, le Petit Roi de Galice, — dont la pensée et la
forme
offrent, malgré certaines inégalités et certaines
t les défauts du grand romantique. Sentant la nécessité de sortir des
formes
littéraires du siècle de Louis XIV, qui avaient f
escendre Le long des coteaux dans les bois. Là, du plaisir tout a la
forme
: L’arbre a des fruits, l’herbe a des fleurs ; Il
ant que je jetais sur l’ombre un œil d’alarme, Et ce fantôme avait la
forme
d’une larme : C’était un front de vierge avec des
tres en s’inspirant de toutes les chroniques du temps. Il conserve la
forme
lyrique des romances, en prenant soin de varier l
, dit notre auteur, des choses qui peuvent paraître surannées pour la
forme
comme pour le fond, et d’une tout autre famille q
ges. Mais il n’a pas eu assez d’originalité dans la pensée et dans la
forme
pour devenir l’un des maîtres de l’école romantiq
e de ces noms célèbres, Sainte-Beuve s’applique à être sévère dans la
forme
, et, pour ainsi dire, religieux dans la facture.
’imiter Ronsard et les autres poètes du seizième siècle, soit dans la
forme
et dans la langue, soit dans l’ordre des idées. C
française décerna à Pécontal un de ses prix Montyon pour un poème de
forme
encyclopédique intitulé : la Divine Odyssée. Se s
ure Qu’il avançait, le bois, à chaque instant, Changeait d’aspect, de
forme
et de verdure. Au lieu de pins, de chênes et d’o
en tournant), sur le bahut énorme, Pêle-mêle, bassins, vases de toute
forme
, Pain de seigle, laitage, écuelles de noyer. Enfi
est loin de condamner absolument le romantisme290. Quelle que soit la
forme
du drame ou de la tragédie ; qu’elle procède de S
sieurs pays, et se prolonge pendant des années, il accepte toutes ces
formes
si diverses ; il admet qu’elles varient selon, le
s antiques, il a voulu renouveler la poésie moderne par le retour aux
formes
de l’antiquité et de lui vient, en première ligne
iquité et de lui vient, en première ligne, ce mouvement néo-païen qui
forme
comme un courant à part dans notre littérature co
ant l’hippopotame énorme, Où, blanchis par la lune, et projetant leur
forme
, Ils descendaient pour boire en écrasant les jonc
eillie, vient de sic. 20. La phrase n’est pas achevée. 21. Ancienne
forme
picarde et angoumoise pour canaille. On a dit aus
le dans l’endroit le plus apparent du visage. 34. Point graisseux en
forme
d’étoile qui se voit dans le bouillon ; on dit da
. 52. Les anciens avaient donné le nom de Syrtes aux deux golfes que
forme
la Méditerranée, sur la côte septentrionale de l’
r Jupiter à triompher des Titans. 55. Put, pour pue, est l’ancienne
forme
de la troisième personne de puer, primitivement p
en parlant de la maison où l’on se trouve. De çai, une des anciennes
formes
de ça composé lui-même de ecce hac, voilà par ici
et se jette dans la Manche, près d’Isigny. Vau-de-Vire est l’ancienne
forme
de Vaudeville. 209. Les Progrès de l’âge. 210.
ivision générale. Les œuvres littéraires peuvent choisir entre deux
formes
bien distinctes : la prose et les vers. Il ne f
me de comprendre par le mot poésie l’expression de la pensée sous une
forme
rythmique ; mais chacun sait que ce mot se prend
nt réellement poète. Ainsi le génie peut se manifester sous plusieurs
formes
, dans les arts et même dans les sciences : Homère
ux yeux par la grandeur, la noblesse, la grâce des proportions et des
formes
; la peinture, par la vérité de la composition, l
’elles et lire ce qu’en ont écrit les principaux critiques. Un peu de
forme
n’y suffit pas, il y faut aussi du fond, et c’est
istorique est un travail d’art autant que d’érudition : le soin de la
forme
et du style n’y est pas moins nécessaire que la r
aen, juillet 1888.) Qu’est-ce que l’éloquence politique ? Sous quelle
forme
de gouvernement peut-elle se produire avec le plu
e 1891.) La doctrine utilitaire. – Quelles en ont été les principales
formes
? Quelle en est la valeur ? (Lyon, octobre 1890.)
é, au moyen âge et chez les nations modernes ? Si vous en trouvez des
formes
différentes à travers l’histoire, analyser et dét
s formes différentes à travers l’histoire, analyser et déterminer ces
formes
d’après des exemples. (Nancy, juillet 1891.) Ori
du style. Paris, août 1877.) Qu’est-ce que l’éloquence ? Sous quelle
forme
et pour quel objet s’est-elle surtout manifestée
les principales cultures, etc… Vous pourrez donner à votre voyage la
forme
d’une lettre. (Paris, octobre 1875.) Voyage dans
spects, les cultures, les industries, les souvenirs. Vous prendrez la
forme
d’une lettre. (Paris, août 1883.) Décrivez le cou
trine morale. Vous insisterez sur le côté pratique de la question. La
forme
doit être vive et animée. (Paris, août 1880.) Amo
pressions l’homme leur doit-il ? Vous pourrez donner à votre sujet la
forme
d’une lettre de voyage. (Paris, août 1884.) Quell
otifs de votre préférence. Vous pourrez donner à cette composition la
forme
d’une lettre à un ami. (Paris, août 1881.) Un jeu
spect et de leur reconnaissance. Vous développerez cette idée sous la
forme
d’une lettre, écrite par un voyageur qui a parcou
t-il surtout manifesté au Moyen-Age ? – Quelles ont été les premières
formes
de la poésie dramatique en France ? On en expliqu
a poésie philosophique. Il y manque souvent de force et surtout d’une
forme
originale, mais il lui arrive aussi d’exprimer de
tout ce qui faisait obstacle aux idées nouvelles ; il lui fallait une
forme
de langage rapide qui se prètât à ses desseins. L
ses idées, convaincu de leur excellence, trouvera, tout de suite, la
forme
qui leur convient. La parole viendra, comme d’ell
quelque sorte, que la phase dernière ou le résultat. Le secret de la
forme
, on le voit, réside bien moins dans des préceptes
s et qui ne craignait pas de répéter les mots, a voulu subordonner la
forme
au fond, convaincu qu’il était, qu’agir ainsi, c’
orme au fond, convaincu qu’il était, qu’agir ainsi, c’était servir la
forme
elle-même. Il semble qu’il ait attaché surtout du
donc écrire que simplement. La vérité du fond et la simplicité de la
forme
, voilà le naturel. Les préceptes de Pascal, on le
surtout « la rhétorique », se préoccupe, à la fois, du fond et de la
forme
et elle fait à chacun d’eux sa juste part. Les gr
l’introduisit chez les Grecs ou l’inventa. Il lui donna, du moins, la
forme
qu’il a toujours gardée depuis, et il en fit une
partisan ne songe qu’à affliger le peuple pour faire fortune ; il se
forme
une âme insensible à la pitié, « il ne pleure ni
un de ses critiques, l’art du style familier, il lui donna toutes les
formes
, tout l’agrément, toute la beauté même dont il es
e, celle qui ne s’adresse qu’à l’orgueil, à l’arrogance, à toutes les
formes
de la sottise, est, au contraire, légitime ; elle
résume et complète celle de ses devanciers et donne à sa matière une
forme
définitive. Ceux-là sont les vrais génies créateu
ciétés humaines, chez les Chinois, chez les Indous ; elle est une des
formes
essentielles dont tous les peuples ont revêtu les
isants récits, plus de rapides et de brillantes images ; le récit qui
forme
l’action de la fable est court et sentencieux, on
à l’état d’accessoire pour amener la morale. Celle-ci ne revêt pas la
forme
élégante des maximes de La Fontaine ; elle est én
forme élégante des maximes de La Fontaine ; elle est énoncée dans la
forme
sèche et concise propre aux proverbes populaires.
même vérité. La Fontaine emploie tous les tons, tantôt le récit a la
forme
sombre du drame comme dans les Animaux malades. d
nt sous l’élégance fleurie du langage. Mais sous cette élégance de la
forme
, quelle vérité profonde, éternelle ! Faut-il don
ns nulle idée neuve dans le fond, sans nulle touche originale dans la
forme
; un assemblage de lieux communs exprimés par des
eté à traduire les réalités matérielles, soit encore par un art de la
forme
tel, que les choses nous plaisent uniquement par
mes d’allure vulgaire, dont l’oreille est vite lasse ; banalité de la
forme
, dans ces variations « brillantes », véritables a
rce même de l’idée et du sentiment, par l’adaptation nécessaire de la
forme
au fond, est fait de main d’ouvrier. Il est d’un
sensible de celui qu’il combat ; il sait varier ses attaques ; toutes
formes
, toutes armes lui sont bonnes. Parfois, la raille
une peste, semble gagner les plus sages esprits ! Ce clinquant de la
forme
, je l’excuserais, Monsieur, sans le comprendre, s
ait toujours un emploi judicieux de ce qui leur avait été dit sur les
formes
similaires appartenant aux différents dialectes d
ans les idées qui contraste avec l’indécision et l’inexpérience de la
forme
. Le plan est souvent défectueux ; les développeme
t les yeux, la prononciation est pour l’oreille. L’orthographe est la
forme
visible et durable des mots, la prononciation n’e
ature. Qu’entend-on par un écrivain moraliste ? Sous quelles diverses
formes
le talent du moraliste peut-il se produire ? Féco
re toujours serré d’assez près, le sujet a été mieux saisi et dont la
forme
plus soignée offre quelques mérites de style. »
° On se demandera toutefois si l’auteur ne s’est pas exprimé sous une
forme
trop absolue ; et, prenant par exemple une quelco
prochables quant à l’esprit et pour le fond de la doctrine, mais sans
forme
précise, sans physionomie distincte, où le sujet
fond que je viens de relever, nous eussions voulu trouver celui d’une
forme
plus mesurée, plus choisie, plus appropriée, plus
exacte justesse d’expression, nous eussions désiré plus de style, une
forme
plus châtiée, plus choisie, tout au moins plus ja
ant trop souvent, par l’indigente sagesse, par la sèche précision des
formes
, par toute une veine de prosaïsme, à cet article
a comme un chapitre de l’histoire générale de cette période, sous une
forme
vive et animée. Copies d’élèves Donner u
émotion esthétique, plutôt qu’intime ; nous n’avons pas idée que cela
forme
une philosophie. Peut-être, de nos jours, allons-
t le respect de la vérité et le vif sentiment du beau sous toutes ses
formes
, nous sommes tout à fait de son avis. La culture
e d’instructions appropriées à la nature du concours, c’est, sous une
forme
charmante, toute une doctrine, toute une méthode,
est nécessaire à chaque degré d’enseignement, et le présenter sous la
forme
la plus accessible. Que de choses utiles et attra
exemple, que sa signification fondamentale, en lui faisant perdre ses
formes
simples remplacées par des locutions verbales, au
es plus hautes intelligences et, se trompant sur le fond comme sur la
forme
de la poésie, la tarissaient systématiquement à s
nt une tendance qui a de graves inconvénients, quand on s’arrête à la
forme
extérieure des langues et au vêtement de la pensé
voir suffisamment quel corps vivant ce vêtement couvre, et combien la
forme
et le fond, dans les œuvres les plus accomplies,
ment déduites. Il est regrettable que dans un bon nombre de copies la
forme
ne vaille pas le fond. On sait beaucoup, mais on
n est pas trouvé un assez grand nombre présentant, pour le fond et la
forme
, des qualités réelles, ni que les copies réservée
ammaire de la parure, qui a été écrite, ne tiendraient nul compte des
formes
et des couleurs, et accorderaient toute licence a
ale, et que l’heure où nous sommes l’exige impérieusement. Quant à la
forme
et au style de la plupart de ces compositions, il
même après les chefs-d’œuvre des littératures ; et que les mots, les
formes
, les tours, les syntaxes ne sont que les évolutio
ir à tous les genres d’études ? Est-elle même applicable à toutes les
formes
de la recherche scientifique ? Ou bien la diversi
que si, poussant à l’extrémité l’antique distinction du fond et de la
forme
, nous cherchons dans les œuvres graves une galté
une harmonie étroite entre les mots et les idées, entre le fond et la
forme
. Quelle pouvait donc être, avec de pareilles théo
ns fort intéressante, non seulement pour le fond, mais encore pour la
forme
. Il est entendu que le siècle de Louis XIV a été
e tout le monde, pour être nouveau, sinon par le fond du moins par la
forme
; mais le triomphe de la forme qu’il a employée t
eau, sinon par le fond du moins par la forme ; mais le triomphe de la
forme
qu’il a employée tient au tour d’esprit du xviii
comme le reste. Les idées étaient nouvelles, on les exprima sous une
forme
nouvelle, et c’est ainsi que l’esprit et le style
etc. 2e Paragraphe. – Il faut pourtant reconnaître qu’il y a dans la
forme
de l’affirmation quelque chose de trop absolu, qu
ours de 1887. Littérature et grammaire. I. – Expliquer quant à la
forme
grammaticale, à la versification, au tour littéra
le sens, pour les principales particularités grammaticales et pour la
forme
littéraire, les vers suivants : « Quant aux volo
plus distrait ; mettre de l’animation dans ses leçons et en varier la
forme
. Par conséquent l’instituteur doit avoir de la mé
aire. Elle s’ajoutera à la précision. Elle empruntera à la poésie ses
formes
animées et vives pour donner aux faits et aux êtr
procher ». (La Bruyère.) – Développez, commentez cette pensée sous la
forme
et dans le cadre qui vous conviendront le mieux.
en marbre du Pentélique, le Pirée, si régulier, l’Odéon, qui, par sa
forme
, rappelle la tente de Xerxès, l’Erechthéion, ce c
Ses qualités sont l’harmonie, la grâce, la légèreté, l’adaptation des
formes
et des couleurs au climat, etc… Ex. : Le Parthén
s fine, très nuancée, apte à saisir le général, l’idée, au-dessus des
formes
changeantes, pleine d’une imagination vive et spo
mercie des sentiments si nobles et si généreux qu’elle contient de la
forme
délicate qu’ils affectent. Il est fier d’avoir pu
orient.) sur le percement de l’isthme de suez. L’isthme de Suez, qui
forme
le point de contact de l’Asie et de l’Afrique, a
enir pour la rédaction de l’épitre. Tel détail qui, présenté sous une
forme
narrative, ferait hors d’œuvre, deviendra d’une g
age. La flotte des Venètes, d’abord réunie dans le vaste estuaire que
forme
la rivière d’Auray dans la baie de Quiberon, sort
nt, surtout persévérant. Il est rusé, plus pacifique que guerrier. Il
forme
un parfait contraste avec son rival. C’est le typ
qu’éprouvent les nations commerçantes et industrielles. L’agriculture
forme
toujours des populations saines et vigoureuses. T
umaines, l’orateur sacré s’attache avant tout à reproduire sous mille
formes
différentes cette idée austère que devant Dieu, i
en histoire, il semble en effet que le temps se borne à renouveler la
forme
et que le fond reste à peu près le même pour la p
1. Développer la pensée suivante : Le culte de la vérité prend des
formes
différentes avec les époques. De notre temps, le
: l’un qui est vertical est terminé par une tige de fer, l’autre a la
forme
arrondie d’une aile. Une corde de chanvre reliée
– Développer la pensée suivante : « Le culte de la vérité prend des
formes
différentes avec les époques. De notre temps le n
terre à son tour et se plie maintenant à toutes nos volontés. Sous sa
forme
inquiétante et magique, elle met en fusion, volat
ns les études de M. Biot, Galilée, persécuté pour ses découvertes, ne
forme-t
-il pas un contraste plein d’enseignements avec Ne
ents qui lui sont donnés. Longtemps avant d’avoir été énoncée sous la
forme
pittoresque et imagée qu’il lui a donnée, la maxi
. – Vous devez passer vos vacances dans les montagnes. Dites, sous la
forme
de lettre à un ami, comment vous pensez employer
s comptez y voir et y apprendre. Vous donnerez à votre composition la
forme
d’une lettre adressée à un ami avant de partir
ait ? – du cheval d’attelage ? – du cheval de course ? Comparez leurs
formes
, – leurs aptitudes, – l’emploi qu’on en fait. – U
t de son discours l’homme de lettres citoyen. Voici l’idée qu’il s’en
forme
, et de quels traits il le caractérise : « J’aime
l est possible, quelque chose à ce qui suit : « Comment anéantir des
formes
qui ne sont point notre ouvrage, et qui sont le r
préférence le terme abstrait, il donne trop souvent à ses phrases une
forme
métaphysique qui peut fatiguer l’attention du lec
. Le style sera clair, précis, grave et naturel ; il variera dans ses
formes
, suivant le sujet et les circonstances. § VI.
s formes, suivant le sujet et les circonstances. § VI. Différentes
formes
de l’histoire. Histoire primitive. Légendes,
réflexion et de vastes connaissances. On peut la diviser, quant à la
forme
et au sujet, en plusieurs espèces. D’abord on dis
ux mariés de danser ou de chanter le jour de leurs noces. Il régla la
forme
des habits, fixa les dépenses de la table, interd
Dieu, 2° de Jésus médiateur, 3° des effets de cette médiation, 4° des
formes
extérieures de l’Église. C’est la première fois,
sorte de mandement adressé aux réformés de France. Par le fond et la
forme
, elle nous révèle le caractère de Calvin, et les
e les mains des juges pour les faire punir selon les lois et dans les
formes
de la justice. Tout le monde sait qu’il n’est jam
ger que selon les dépositions des témoins, et selon toutes les autres
formes
qui leur sont prescrites ; ensuite desquelles1 il
ssi bien mesurées il y a mille ans qu’aujourd’hui, et chacune d’elles
forme
cet hexagone aussi exactement la première fois qu
ensuite ne s’emploie plus aujourd’hui comme préposition que dans les
formes
suivantes, ensuite de cela, ensuite de quoi. 1.
M. Cousin dit de Pascal (Études sur les Pensées) : « Dans Pascal, la
forme
n’est pas autre chose que le vêtement le plus tra
ce les germes de ses productions ; elle ébauche par un acte unique la
forme
primitive de tout être vivant ; elle la développe
érités les plus sublimes, s’il les réunit, s’il les enchaîne, s’il en
forme
un tout, un système par la réflexion, il établira
u-mouche De tous les êtres animés1, voici le plus élégant pour la
forme
et le plus brillant pour les couleurs. Les pierre
veut que calme et liberté2. Les grâces de la figure, la beauté de la
forme
, répondent dans le cygne à la douceur du naturel
lent l’idée de ses plus charmants ouvrages ; coupe de corps élégante,
formes
arrondies, gracieux contours, blancheur éclatante
ns ma jeunesse, j’ai gravi les hautes montagnes. Elles ont sous leurs
formes
sévères un charme qui nous plaît. Il semble qu’en
récédé l’éclosion des poèmes homériques, et leur auteur, trouvant les
formes
de l’épopée déjà plus ou moins arrêtées et une ma
époque de leurs origines, un poète de génie pour les chanter sous une
forme
durable et digne de passer à la postérité. Puisqu
e littérature nationale, expression de la vie grecque sous toutes ses
formes
; — en outre, elle est sortie de la religion. — D
civilisation grecque tout entière, la pensée grecque sous toutes ses
formes
est pénétrée d’idéal : il est remarquable que la
é des trois dialectes, ionien, éolien, dorien, le dialecte attique se
forme
et restera, après la disparition des autres, la l
i que les Latins, Lucilius, Horace, Juvénal, ont donné à la satire sa
forme
propre et définitive ; en outre le genre correspo
où l’harmonie semble méconnue à plaisir ; c’est que, en effet, cette
forme
qui n’est rien moins qu’apprêtée, est elle-même u
t, pour les fidèles, autant de drames pieux où se déroulait, sous une
forme
saisissante, l’histoire des saintes croyances qui
emprunta les éléments de la Réforme qu’il méditait, et, rejetant les
formes
de notre ancienne poésie française, il introduisi
t citer : les Sentiments de l’Académie sur le Cid (1637), jugement en
forme
provoqué par les Observations sur le Cid, de Scud
pique, tant pour la nature des faits qui y sont rapportés que pour la
forme
majestueuse et presque poétique que l’auteur lui
de célèbres auteurs, dans lesquelles, indépendamment du charme de la
forme
, nous trouvons de précieux documents historiques
épître en vers doit l’être de même ; la seule différence est dans la
forme
; les épîtres de Marot sont un incomparable modèl
de chacune d’elles sont injustes, parce que, bien qu’opposées dans la
forme
, elles n’en procèdent pas moins d’une même erreur
L’épopée, dont Homère est généralement regardé comme le père, est la
forme
la plus ancienne de la poésie ; la poésie gnomiqu
out nous trouvons dans son théâtre la peinture de l’héroïsme sous ses
formes
les plus variées, et l’on ne pouvait mieux le car
comme lui notre vieille littérature, et tient en certaine estime les
formes
poétiques du moyen âge même, qu’il croit mériter
anque pas d’un certain charme ; mais il est trop loin de nous par les
formes
de la pensée et de la langue, et le véritable Art
mpte ainsi de la révolution immense qu’il a opérée dans le fond et la
forme
de la comédie. La comédie d’Aristophane n’est qu’
il ne l’a pas transformée seulement pour le fond, mais encore pour la
forme
; car après Corneille même la langue de la comédi
u’afin de rendre plus sensible cette grande vérité : que la langue se
forme
dans le peuple, et que les écrivains et les savan
en, je comprends maintenant votre pensée ; mais alors si la langue se
forme
dans le peuple, comment se fait-il que vous ayez
on ne saurait trop égayer les narrations25. Mais ce n’est pas tant la
forme
de mon ouvrage que je tiens à vous faire apprécie
º De tout temps d’ailleurs l’esprit humain s’est plu à présenter sous
forme
allégorique ses réflexions morales : apologue des
as moins à tout jamais un monument de notre langue aussi bien pour la
forme
que pour la matière, qui est un modèle de bon goû
rnes, la littérature étrangère et contemporaine, en un mot toutes les
formes
de l’esprit humain, depuis le cèdre jusqu’à l’hys
é ; qui a rendu sa pensée, son observation ou son invention, sous une
forme
, n’importe laquelle, mais large et grande, fine e
odernes, tout change, tout s’agrandit et se modifie incessamment. Des
formes
nouvelles de talents se produisent chaque jour ;
autés simples, de ces sentiments humains bien ménagés, dont, sous des
formes
plus ou moins neuves et durables, les âges futurs
désir. Telle est l’origine du langage figuré ; ainsi ont commencé ces
formes
de langage que les grammairiens et les rhéteurs o
t dans son langage, pour donner à ses sentiments et à ses pensées une
forme
vive et pittoresque : c’étaient autant de métapho
eut son génie particulier ; mais, quelle que fût la différence de la
forme
; le fond resta partout le même, parce qu’il tena
ture même de l’esprit humain. L’ensemble de ces principes invariables
forme
ce qu’on appelle la grammaire générale. Après le
es prépositions et les conjonctions. L’analyse de ces espèces de mots
forme
la première partie de la grammaire générale. Dans
e légere variation dans le nom substantif. En français, le pluriel se
forme
ordinairement par l’addition d’un s. Les Latins n
n ou d’un traité de paix, parce que sa construction rigoureuse et ses
formes
précises préviennent ces phrases équivoques qui r
bigus qui font couler le sang humain. Sans doute la raison exacte qui
forme
le principe essentiel de notre langue, fait qu’el
. Cette dernière partie enseigne à bien débiter un discours. C’est la
forme
extérieure de l’art, et, comme disaient les ancie
our et le devient bientôt. La lumière décomposée peint les nuages, et
forme
ces couleurs brillantes qui précèdent le lever du
son, dans un de ses écrits en faveur de Fouquet, veut prouver que les
formes
de la justice doivent toujours être religieusemen
ueuse. — Si c’est justement, répliqua Phocion, vous ne le pouvez sans
formes
et sans nous avoir entendus. » Un homme de bien e
oratoire, où les trois propositions sont également développées. Cette
forme
de raisonnement s’appelle épichérème ou argument
mme. La réunion de deux arguments séparés qui tendent au même but,
forme
un dilemme ou double argument : c’est une hache à
assez épaisse pour me porter. » Après avoir parcouru les principales
formes
d’argumentation, nous devons rappeler aux jeunes
rées en elles-mêmes ; 2° les rapports des pensées entre elles ; 3° la
forme
particulière de chaque idée, c’est-à-dire, le tou
e, que le peuple se règle sur l’exemple des grands. Cette phrase, qui
forme
un ensemble si régulier, est elle-même la partie
Des figures de pensées. Il serait impossible d’énumérer toutes les
formes
que la pensée peut revêtir. Comment prévoir toute
oujours incomplète. Cependant les rhéteurs ont remarqué que certaines
formes
, toutes les fois qu’elles se présentaient, produi
nt sur l’esprit une impression vive ou profonde : ils ont désigné ces
formes
privilégiées sous le nom général de figures de pe
ité ; car le but qu’on se proposé, quand on produit sa pensée sous la
forme
de l’antithèse, est de rendre une chose plus sens
une toute contraire. Ainsi le blâme se présentera quelquefois sous la
forme
obséquieuse de l’éloge et du compliment. Boileau
l’astéisme. Quand c’est une louange détournée qui se cache sous la
forme
d’un reproche, l’ironie prend le nom d’’astéisme,
gures que la méditation, la dissimulation, etc. Nous avons choisi les
formes
qui donnent à la pensée une force ou une grâce pa
rales de la phrase ; 2° les rapports des phrases entre elles ; 3° les
formes
particulières ou figures de mots. I. Des quali
xprimer ses idées en phrases séparées, on les réunit en une seule qui
forme
un tout harmonieux, on fait ce qu’on appelle une
rminaison, une consonance dont on profite pour donner à la phrase une
forme
plus piquante, et la graver plus sûrement dans la
pensée une seule fois, il la reproduit successivement sous plusieurs
formes
; au lieu de résumer, il analyse ; il procède, no
à tout moment sur ce qu’on lit, et des réflexions que l’on fait il se
forme
une conversation la plus agréable du monde et la
tait le visage animé des Italiens, qui peignait la crainte sous mille
formes
. Les habitants, couchés par terre dans les rues,
us les maux de la vie, ou tant de douleur au fond de l’âme, qu’aucune
forme
de la mort ne peut plus épouvanter. Un frissonnem
tation purement philosophique ; les arguments doivent être revêtus de
formes
oratoires qui les rendent non pas plus justes, ma
rique. La narration développe surtout l’imagination ; la dissertation
forme
le raisonnement. Le discours exerce à la fois ces
les élèves aux phrases vides et sonores, leur apprendra à donner une
forme
éloquente aux connaissances historiques qu’ils on
son sacre ; ordonnances fondées sur l’esprit de la monarchie, sur la
forme
générale d’administrer la justice en France, qui
les germes de ses productions ; elle ébauche, par un acte unique, la
forme
primitive de tout être vivant ; elle la développe
rités les plus sublimes ; s’il les réunit, s’il les enchaîne, s’il en
forme
un tout, un système par la réflexion, il établira
l faut choisir, et ceux qu’il faut éviter, il me reste à parler de la
forme
qu’on doit donner à son langage, et de ce qu’on p
tendres et épris de la perfection qui ont cherché le naturel dans les
formes
les plus nobles et les plus choisies. Il est notr
, entassés, ne faisaient qu’un monceau, Une confusion, une masse sans
forme
, Un désordre, un chaos, une cohue énorme : Unus
lle, une louange parfaite. » 1. La tournure est toute latine ; cette
forme
a de la grâce. 2. Dit-on. Il ne ment pas, et es
e. 6. Elle a l’air de croire que l’amour de Britannicus n’est qu’une
forme
de la pitié. Quelle grâce et quelle délicatesse d
ents de l’accusé. 5. Nous disons maintenant des avoués. 6. Celui ;
formes
usitées alors dans le langage du Palais ; c’est p
res, tels que des romans, des traités philosophiques et religieux. La
forme
ici peut faire illusion, mais on comprend bien vi
Louvois et la mort de Turenne, elle prend tous les tons et toutes les
formes
, sans effort, sans contrainte, par l’instinct nat
en a répandu à pleines mains dans sa correspondance, dont le recueil
forme
environ le quart de ses œuvres ; malheureusement
uses, de recommandation, de reproches, de demandes, etc. Le ton et la
forme
de ces lettres ne peuvent être indiqués à l’avanc
ul genre, c’est n’avoir qu’une arme à sa disposition. La pensée a des
formes
multiples dont il faut soigner toutes les faces ;
littérature et aux modèles des bons écrivains. Le goût des élèves se
forme
en partie sur la foi du maître et sur celle des c
mais la composition est païenne par le fond, comme elle l’est par la
forme
. À quoi cela tient-il ? Au caractère de Chénier,
sous sa plume. Cette strophe se termine par une double image sous la
forme
de l’interrogation : Hélas ! quel miel jamais n’
tercets terminés chacun par un vers de huit syllabes ; chaque tercet
forme
une phrase harmonieuse, suivie d’un repos que la
irier. Moule, signifiant une matière creusée, et propre à donner une
forme
précise à une autre matière que l’on y verse tout
. Indicatif. L’indicatif exprime l’action d’une manière positive, et
forme
un sens par lui-même. Présent absolu. Le présent
t dépend tellement de ce qui le précède, que si on l’en sépare, il ne
forme
plus de sens clair. Présent ou Futur. Ce temps e
qui servent à en former d’autres. Les verbes composés sont ceux qu’on
forme
d’un verbe simple, en y ajoutant une ou plusieurs
les sont les mêmes dans tous les verbes. Du présent de l’infinitif on
forme
le futur en changeant r ou re en rai, ras, ra, ro
je tiendrais. = Recevoir. Je recevrai ; je recevrais. Du participe on
forme
tous les temps composés, en y joignant les temps
ez, ent ; = sentant. Nous sentons ; vous sentez ; ils sentent. On en
forme
encore l’imparfait de l’indicatif, = je sentais ;
e, différent de la préposition, n’est point susceptible de régime, et
forme
, de lui-même, un sens complet. Tels sont les adve
’adverbe. La plupart des adjectifs ont chacun leur adverbe, qui se
forme
1°. du masculin, lorsqu’il se termine par une voy
délicatesse des expressions, la structure de la phrase, il revête ces
formes
gracieuses, ces tournures élégantes qui donnent d
ieux écrit en cette langue, de bien saisir le caractère propre et les
formes
diverses de leur style, de concevoir une idée exa
te répugnance a deux causes : presque tous ces ouvrages affectent une
forme
sèche et exclusivement didactique, qui rebute l’é
stant la robe doctorale et se faire quelque peu de leur temps pour la
forme
ou pour le fond soit une sorte de sacrilège. En s
que tout livre didactique ennuie par lui-même et quelle qu’en soit la
forme
; mais de jeunes gens qui comparent, distinguent,
et la manière de les raconter, voilà ce qui constitue la nature et la
forme
de l’histoire, et nous devons faire connaître d’a
’ordre le plus convenable pour son dessein. C’est en quoi consiste la
forme
de l’histoire. L’ordre chronologique est toujours
25. Style de l’histoire. Le texte de l’histoire doit être dans la
forme
indirecte, c’est-à-dire que l’historien raconte c
us vif et plus animé, les historiens ont employé de temps en temps la
forme
dramatique pour égayer la monotonie du récit. C’é
ire s’est établi ; quels sont ses statuts, les lieux, les jours et la
forme
de ses assemblées ; ce qui s’y est passé de-remar
lus incorrigibles, et, par cette raison, les plus immuables dans leur
forme
. Cette idée, exécutée avec tout l’esprit que M. d
par l’usage, et existent encore. » Quant au grec, il l’étudia « sous
forme
d’ébats ». « Nous pelotions, écrit-il, nos déclin
asies et usances4, et luy faire gouster une si perpetuelle varieté de
formes
de nostre nature. Le corps n’y est ny oisif, ny t
us. 10. J’enregistre, c-à-d. je prends des notes. (Registre est une
forme
altérée de regestum, journal, qui dérive de reges
fondément, sous un monceau de terre si lourd. 12. Cela multiplie les
formes
de sa seconde vie (de cette immortalité terrestre
nes, nul n’est plus propre à diriger, à féconder les esprits ; nul ne
forme
plus sûrement le goût par la ferveur de ses convi
pour la méthode, cette critique est celle qui s’éloigne le plus de la
forme
de l’enseignement, et qui a l’allure la plus libr
fables se jouer dans la maison paternelle. L’esprit de comparaison se
forme
insensiblement dans leurs tendres intelligences.
nnements et les conséquences que l’on peut tirer de ces fables, on se
forme
le jugement et les mœurs, ou se rend capable de g
première déclinaison n’a de crément au singulier que dans l’ancienne
forme
de génitif en aï, comme aulaï, pictaï, où a créme
: Venturæ memores jam nunc estōte senectæ. Ov. Il faut excepter la
forme
irrégulière fŏre, fŏrem, du verbe sum et de ses c
leurs composés quarē, hodiē, etc. Ajoutez famē, ablatif de l’ancienne
forme
fam-es, ei. et les noms qui ont en grec un η, com
cta fluentes, etc. 43. Ces deux noms, qui ont pris à tous les cas la
forme
latine, en ont pris aussi la quantité. 44. Audî
e de Marc-Aurèle, que date la méthode, si vantée depuis, d’allier les
formes
dramatiques aux formes oratoires, et de faire d’u
ate la méthode, si vantée depuis, d’allier les formes dramatiques aux
formes
oratoires, et de faire d’un discours un petit dra
omment douteuses. La réunion de plusieurs syllabes brèves et longues
forme
ce qu’on appelle un pied. On distingue six pieds
ubi | ti mala | semina | morbi. Ov. Dans ce vers, le monosyllabe sunt
forme
une bonne césure. Remarque. — Les enclitiques, o
, toute française dans sa philosophie, ses jugements historiques, ses
formes
de langage. » Dans cet échange, le génie clair et
Allemagne, si la littérature française transforme peu le goût et les
formes
du talent, elle a une action considérable sur le
e donc des soixante-quatorze années qui s’écoulent entre 1715 et 1789
forme
proprement le dix-huitième siècle. Les trois pér
pte d’un enfant, sont celles qui répondent le moins à l’idée qu’on se
forme
généralement du dix-huitième siécle. Les maximes
ie, en parlant de la poésie didactique au dix-huitième siècle, et des
formes
diverses qui s’y rattachent. Nulle part le déclin
us, cette philosophie ne s’enferme plus dans l’école ; elle prend une
forme
populaire pour pénétrer partout. Ses principaux r
de dignité humaine, de philanthropie, qu’elle répand sous toutes les
formes
, ne peuvent emprunter qu’au principe spiritualist
t désintéressée. Le plus souvent même, quand elle se présente sous 1a
forme
d’un simple récit, elle est, au fond, la défense
hez Rousseau le roman est, avant tout, un moyen de répandre, sous une
forme
populaire, ses idées de réforme morale et pédagog
euses et morales, il en reste souvent le fidèle continuateur dans les
formes
poétiques et littéraires24. » Didactique, sensée
arpe, la critique semble trop peu touchée par le fond des choses : la
forme
est trop souvent l’objet comme la mesure de ses j
émenti. En dépit de la faiblesse de ses mœurs, de la frivolité de ses
formes
, de la sécheresse de telle ou telle doctrine, en
curiosité et avec bienveillance toutes les productions et toutes les
formes
de la pensée. Un autre caractère de cette philoso
rès, de sorte que tous les systèmes, selon cette croyance, toutes les
formes
de la pensée, deviennent comme des côtés particul
nferme de bien autres périls, soit qu’il se présente sous sa première
forme
, celle d’une séparation systématique entre la sci
ltiplie en une infinité de manières, de sorte pourtant que sous mille
formes
différentes, en prose ou en vers, dans un style é
ompre, si c’était à un pair, afin d’ôter les plus légers prétextes de
formes
aux bâtards pour en revenir, mais je ne fus pas e
el on a joint la Seine et la Loire. Paris est agrandi et embelli : il
forme
la Place-Royale ; il restaure tous les ponts. Le
ecté au beau simple et naturel : c’est une maladie de l’esprit. On se
forme
le goût des arts beaucoup plus que le goût sensue
’un coup avec plaisir ce qu’il ne démêlait pas auparavant. Le goût se
forme
insensiblement dans une nation qui n’en avait pas
Le chien et le chat. Le chien, indépendamment de la beauté de sa
forme
, de la vivacité, de la force, de la légèreté, a p
ond d’un désert plutôt qu’à Lisbonne243. Peut-on douter qu’il ne s’en
forme
aussi dans les déserts ? Mais nous n’en parlons p
jugements, il est impossible de lui refuser un sens remarquable de la
forme
et de la couleur, toutes sortes d’idées justes et
ient toutes distinguées les unes des antres par leurs couleurs, leurs
formes
et leurs allures. Il y en avait de dorées, d’arge
es espèces de plantes, ces poils et ces canaux se présentent avec des
formes
, des couleurs et des fluides différents. Il y a m
confondue avec le ciel. Il s’en détachait sans cesse des nuages d’une
forme
horrible, qui traversaient le zénith avec la vite
reçues de sa plume. L’année 1789 montra le talent de Rivarol sous une
forme
nouvelle, celle d’écrivain politique. On a réédit
archie absolue, il avait reconnu cependant comme légitimes toutes les
formes
politiques, pourvu que, plaçant en Dieu le princi
ient ébranlé l’univers. L’empire de cette langue ne tient point à ses
formes
actuelles : il est aussi ancien que la langue mêm
ncipaux écrivains du dix-huitième siècle343. Montesquieu avait les
formes
propres à s’exprimer en peu de mots ; il savait f
qui, après la dictature de Napoléon, deviendront dans notre pays les
formes
et les garanties de sa liberté politique. Anne-Lo
trangères, échauffée par l’admiration désintéressée du beau, sous les
formes
les plus diverses que lui donne le génie des peup
cret : l’ennui, la honte et la fatigue qu’elle cause sont revêtus des
formes
de l’impertinence et du dédain par la vanité ; ma
ntagnes qui le terminent. Souvent les vallées dans la campagne ont la
forme
d’une arène, d’un cirque, d’un hippodrome ; les c
t dissimule ce qu’ils pourraient avoir de dur ou de heurté dans leurs
formes
. Les ombres ne sont jamais lourdes et noires ; il
rayssinous, inaugurait dans la chaire de Notre-Dame de Paris, sous la
forme
nouvelle de conférences, un enseignement religieu
es rares facultés, et son cours marque l’avènement définitif de cette
forme
supérieure de critique dont Mme de Staël avait la
ur nouveau les grandes époques de l’histoire, et montra ainsi que les
formes
mobiles de l’art justifient, loin de les contredi
dans les choses d’art et de goût. Cette élévation n’a pas toujours la
forme
de la liberté civile proprement dite : elle peut,
en effet, que la littérature ? Une étude plus ou moins ingénieuse des
formes
du langage, une glose anecdotique ; on bien la tr
es de ses perceptions, et les réalisant par la parole, il a peint les
formes
extérieures et les grâces sauvages, les instincts
es matières, en y pensant toujours ; mais son style, l’ordonnance, la
forme
, l’expression de sa pensée, l’occupaient sans ces
t du bon sens ? Cette méthode ne fonderait pas la science : c’est une
forme
inférieure et vulgaire de l’éclectisme. Pour sépa
sque aussi touchante que l’autre. Comme la sculpture, elle marque les
formes
visibles des objets, mais en y ajoutant la vie ;
outes deux, parce qu’elle exprime davantage la beauté sous toutes ses
formes
, l’âme humaine dans toute la richesse et la varié
immatériel, de fini, de clair et de précis, comme les contours et les
formes
les plus arrêtés, de vivant et d’animé comme la c
ement séparée des sens et même du sentiment, la pensée qui n’a pas de
formes
, la pensée qui n’a pas de couleur, la pensée qui
justesse la plus exquise, Homère au plus parfait sculpteur, tant les
formes
que ce ciseau merveilleux donne à tous les êtres
turel ; mais il faut regretter qu’il n’ait eu le loisir de donner une
forme
définitive et personnelle qu’aux deux premières p
pression harmonieuse de la force libre apparaissant dans les diverses
formes
ou symboles de la nature. Le côté supérieur de l’
les couleurs, blancs, noirs, rouges, cuivrés, à crânes de toutes les
formes
, à civilisation de tous les degrés, à idées de to
e d’une glace qui reproduit les objets sans la moindre atténuation de
forme
ou de couleur. Nous ne placerons pas Thiers, co
nce a remplacé le sermon- Le nom qui a jeté le plus d’éclat sur cette
forme
nouvelle de la prédication est celui de Lacordair
tion et imagination, il aborde les contrées où la foi commence, où se
forme
l’alliance divine de toutes les lumières, de tout
er ! J’y ai bien souvent rêvé, et je me suis demandé, sous toutes les
formes
, et en prenant quantité d’exemples particuliers,
changées en chevaux, dans Cendrillon, gardent à leur robe, sous leur
forme
nouvelle, « un beau gris de souris pommelé. » Le
ces de vues et d’aperçus, et une extrême habileté de style, enfin une
forme
originale de la critique549. » De ces parties si
touchant, et de ces mots, si rebelles aux mains les plus habiles, se
forme
une langue musicale comme celle de l’antiquité. L
tre poésie. Si tout est chant dans le premier, dans celui-ci tout est
forme
et couleur. La pensée ne s’y joue pas autour du c
ions les plus tragiques, et souvent un langage de fade galanterie qui
forme
un contraste choquant avec la rudesse des caractè
che, éclaire les nuits : tes bornes sont prescrites. Terre, change de
forme
; et que la pesanteur, En abaissant le pôle, élèv
sement copié par Mignard ; » jugement plein de finesse, qui, sous une
forme
ingénieuse, laisse entrevoir les défauts en relev
l lit avec passion les poètes grecs, il tente de reproduire ces pures
formes
du génie antique, qui est le sien ; il note tout
L’encens vole en longs flots vaporeux ; Sur leurs bases d’argent, des
formes
animées Élèvent dans leurs mains des torches enfl
êmes ils vont chercher un nœud qui les rassemble : Tout s’allie et se
forme
et tout va naître ensemble. Sous l’insecte vengeu
xtérieure, le cadre artificiel. Mais, par un singulier contraste, ces
formes
traditionnelles de l’art classique sont observées
riosité publique et assurèrent la fortune d’une œuvre qui, malgré une
forme
souvent ferme et éclatante, avait tous les défaut
vait à ses habitudes d’orateur et de poète politique. Ce mérite d’une
forme
nouvelle, soutenue par une forte conception, assi
e aux puissants. Mais ces refrains satiriques, dénués du mérite de la
forme
, n’ont guère survécu aux événements qui les ont i
e 750, a remarqué que l’épopée et la poésie lyrique, du moins dans sa
forme
personnelle étaient, comme les deux points extrêm
symbole ; le seul réel, le seul visible, c’est le monde intérieur. La
forme
lyrique devait dominer au dix-neuvième siècle. Pl
ourrait mêler quelques regrets à ses éloges. La pureté première de la
forme
s’est parfois altérée, l’idée surchargée d’images
eux ; j’ai des nuits plus terribles ! L’ombre pour m’abuser prend des
formes
visibles ; Le silence me parle, et mon Sauveur me
, dans lesquelles une pensée philosophique est mise en scène sous une
forme
épique ou dramatique. » A de Vigny, en effet, Sai
Symétha, Eloa. » Ainsi, sous le voile d’une allégorie mystique, où la
forme
seule est religieuse, le poète dans Eloa divinisa
, en ramant, l’eau tournoyante et douce, Tandis que sur ses flancs se
forme
un lit de mousse, De feuilles et de joncs, et d’h
pollon, où le sublime et le hideux figurent au même titre, comme deux
formes
de l’extraordinaire. » Né avec le siècle, grandis
cordes de la lyre, de maîtriser le rythme, d’en varier à l’infini la
forme
et le mouvement. Mais, on le comprend, une étude
re lyrique de M. Victor Hugo dépasserait de beaucoup des questions de
formes
, de nombre et de couleur. Il faudrait, pour avoir
espéce d’insurrection a éclaté presque partout à la fois, et sous des
formes
bien différentes. Ici, elle se mêlait aux événeme
tions de l’âme. Son premier poème, Psyché (1840), par la pureté de la
forme
et l’élévation de l’idée, reste l’une de ses meil
res recueils où se retrouve, sous l’extrême variété du sujet et de la
forme
, le caractère constamment élevé d’une poésie aust
sez pour que le poète garde une couronne encore digne d’envie. Par la
forme
, le nombre et l’harmonie de sa phrase poétique, p
des accents fiers ou douloureux honorent le patriotisme du poète. La
forme
cependant garde les traces d’une exécution trop r
i loin son drapeau triomphant. Il ne me suffit pas d’un changement de
forme
; Au sein des profondeurs j’enfonce la réforme. J
et un premier président. Le mortier (ainsi appelé par assimilation de
forme
avec un mortier) était le bonnet que portaient le
se objection, en niant que le despotisme puisse être compté parmi les
formes
de gouvernement distinctes et durables. 158. On
r un double écueil : celui d’une ridicule infatuation, ou cette autre
forme
de la vanité qui consiste à faire montre de son e
odifia quelques parties du plan primitif, et ce fut lui qui arrêta la
forme
de la coupole. 363. « Les cités tombent, les emp
de l’art et s’attache à l’idée classique de la beauté grecque sous sa
forme
la plus sévère et la plus pure. » Ch. Bénard, Que
: « Votre Majesté est maintenant affranchie de toute règle, de toute
forme
de gouvernement ; ayant essayé de toutes les voie
’attainder, ou loi de proscription, avait pour effet de suspendre les
formes
légales de la juridiction commune et de priver l’
e à son œuvre. C’est la pensée invisible et idéale cachée derrière la
forme
matérielle. Au début de cette même leçon, Cousin
ette propriété d’exprimer les idées. L’obstacle à l’expression est la
forme
, et c’est le mérite du génie de convertir l’obsta
: nihil nisi fluctus et arma. » 480. Flèches courtes, épaisses et de
forme
carrée. 481. Discours prononcé aux funérailles d
’homme ; chaque notion, chaque faculté, se révèle tour à tour sous la
forme
d’un parti, d’une nation, d’une doctrine, et fait
ieuse idée, pour en faire accepter quelque chose, de traduire sous la
forme
d’un songe la scène magique qui ouvre l’expositio
700. Mouvement imité d’Homère. Voir Odyssée, VI, 150. 701. Une des
formes
de supplication cliez les anciens. Ainsi, dans l’
de l’empereur, se trouve en présence de son fils, et cette rencontre
forme
l’exposition de la pièce (Voir acte I, scène i).
, citée tout entière par C. Delavigne en tête de son Louis XI, et qui
forme
la préface de cette tragédie. L’histoire n’a fait
: C’est un autre nous-même. La Fontaine donnera à sa définition cette
forme
gracieuse : Qu’un ami véritable est une douce ch
gement d’autres jugements déjà connus, en les comparant entre eux. La
forme
la plus générale du raisonnement se nomme syllogi
composition littéraire, on présente rarement le raisonnement sous la
forme
de l’enthymème, plus rarement encore sous celle d
squ’aux défauts, tout se montre héroïque. Boileau, Art poét. 7°
Forme
de l’épopée. L’épopée peut varier dans sa form
, Art poét. 7° Forme de l’épopée. L’épopée peut varier dans sa
forme
: nous ne faisons que constater ici l’usage génér
quelque héros14. § IV. Poème héroï-comique. Ce poème a toute la
forme
extérieure de la grande épopée, tandis qu’il ne p
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