/ 296
1 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
double avantage. Il n’en est du moins aucun qui parvienne à ces deux fins par une voie plus courte, plus agréable, et en mê
au Lion et au Léopard ; de peindre le Lièvre fier et courageux, l’Âne fin et rusé, le Renard simple et stupide, le Singe ma
; et je n’entasse guère       Un jour sur l’autre : il suffit qu’à la fin                J’attrape le bout de l’année :    
rapporte exactement à la vérité énoncée. Lorsqu’elle est placée à la fin , il goûte le plaisir de la suspension. Si le sens
nne. Approche-t-il du bât, quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin  ; c’est le soir d’un beau jour. Philémon204 et Ba
comme des modèles dans le genre pastoral. Longepierre publia vers la fin du 17e siècle une traduction de ces trois poètes
employer un style ferme, plein et nerveux ; dans le second, un style fin , agréable et enjoué ; mais toujours simple, natur
haut que son début. Mais on veut que le poète se soutienne jusqu’à la fin à la même élévation. C’est un athlète qui s’est é
rage de l’art ; tout y est sagement distribué, tout y tend à une même fin  ; toutes les parties enchaînées s’y prêtent des b
à l’imitation de David, durant la captivité des Juifs à Babylone. La fin de cette ode est une prédiction du châtiment des
iv. 6. 195. Préf. des Fabl. 196. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 197. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 197. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 198. Voyez ce mot, ibid. 199. Vo
. 198. Voyez ce mot, ibid. 199. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 200. Voyez ce mot, ibid. 20
. 201. Voyez ce mot, ibid. 202. Voyez ce mot, dans les notes à la fin de ce Volume. 203. Voyez ce mot, dans les notes,
notes à la fin de ce Volume. 203. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 204. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 204. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 205. Orthographié Bannier (NdE).
Boileau, Art. Poét., ch. II. 207. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 208. Voyez ce mot, ibid. 20
209. Voyez ce mot, ibid. 210. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 211. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 211. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de premier Volume. 212. Voyez, ce mot dans les n
à la fin de premier Volume. 212. Voyez, ce mot dans les notes, à la fin de ce Volume. 213. Voyez ce mot, ibid. 214. Or
graphié Des Fontaines (NdE). 215. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 216. Voyez ce mot, ibid. 217. Vo
Orthographié De Lille (NdE). 220. Voyez ce mot, dans les noter, à la fin de ce Volume. 221. Voyez ce mot, ibid. 222. Vo
. 221. Voyez ce mot, ibid. 222. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 223. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 223. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 224. Voyez ce mot, ibid. 225. Vo
. 224. Voyez ce mot, ibid. 225. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 226. Voyez ce mot, ibid. 22
228. Voyez ce mot, ibid. 229. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 230. Voyez ce mot, ibid. 231. Vo
. 230. Voyez ce mot, ibid. 231. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 232. Voyez ce mot, dans les notes
tes, à la fin de ce Volume. 232. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 233. Voyez ce mot, ibid. 234. Vo
. 233. Voyez ce mot, ibid. 234. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 235. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 235. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 236. Voyez ce mot, ibid. 237. Vo
. 236. Voyez ce mot, ibid. 237. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 238. Il y a ici une faute trop gra
loge étant du genre féminin. 239. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 240. Voyez ce mot, ibid. 241. Vo
241. Voyez ce mot, ibid. 242. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 243. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 243. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 244. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 244. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 245. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 245. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 246. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 246. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 247. Voyez ce mot, ibid. 248
e. 247. Voyez ce mot, ibid. 248. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 249. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 249. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 250. Boileau, Satire IX. 251. Il
très fréquentée en temps-là. 252. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 253. Voyez ce mot, ibid. 25
. 253. Voyez ce mot, ibid. 254. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 255. Voyez ce mot, ibid. 256. Or
 II. 260. Art Poét., Ch. II 261. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce volume. 262. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce volume. 262. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 263. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 263. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 264. Voyez ce mot, ibid. 265. Vo
. 264. Voyez ce mot, ibid. 265. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 266. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 266. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 267. Art. Poét., Ch. II. 268. Voy
e. 267. Art. Poét., Ch. II. 268. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 269. Sat. IV, L. 1. 270. Voyez ce
Volume. 269. Sat. IV, L. 1. 270. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 271. L’Aigle, oiseau consacré à Ju
, oiseau consacré à Jupiter. 272. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 273. Voyez ce mot, ibid. 274. Vo
275. Voyez ce mot, ibid. 276. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 277. Voyez ce mot, ibid. 278. Vo
. 277. Voyez ce mot, ibid. 278. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 279. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 279. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 280. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 280. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 281. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 281. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 282. Voyez ce mot, ibid. 283. Vo
285. Voyez ce mot, ibid. 286. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 287. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 287. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 288. Voyez ce mot, dans les notes
tes, à la fin de ce Volume. 288. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 289. Voyez ce mot, ibid. 290. Ar
. Art Poét. Ch. II. 291. Voyez le mot, Pégasse, dans les notes, à la fin de ce Volume. 292. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 292. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 293. Voyez ce mot, ibid. 294. Vo
. 293. Voyez ce mot, ibid. 294. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 295. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 295. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 296. Voyez ce mot, ibid. 297. Vo
. 296. Voyez ce mot, ibid. 297. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 298. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 298. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 299. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 299. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 300. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 300. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 301. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 301. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 302. Voyez ce mot, ibid. 303. Vo
. 302. Voyez ce mot, ibid. 303. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 304. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 304. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 305. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 305. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 306. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 306. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 307. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 307. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 308. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 308. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce volume. 309. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce volume. 309. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce volume. 310. Voyez ce mot, ibid. 311. Vo
. 310. Voyez ce mot, ibid. 311. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 312. Voyez ce mot, ibid. 313. Vo
313. Voyez ce mot, ibid. 314. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 315. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 315. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 316. Voyez le mot Mémoire (Dé
Volume. 316. Voyez le mot Mémoire (Déesse de), dans les notes, à la fin de ce Volume. 317. Voyez ce mot, dans les notes
notes, à la fin de ce Volume. 317. Voyez ce mot, dans les notes à la fin de ce Volume. 318. Voyez le mot Renommée, ibid.
oyez le mot Renommée, ibid. 319. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 320. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 320. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 321. Voyez ce mot, ibid. 322. Vo
Mémoire (Filles de), ibid. 323. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 324. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 324. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce volume. 325. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce volume. 325. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce volume. 326. Préf. de ses Œuvres. 327. Vo
. 326. Préf. de ses Œuvres. 327. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 328. Voyez ce mot dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 328. Voyez ce mot dans les notes, à la fin du premier Volume. 329. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 329. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier volume. 330. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier volume. 330. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 331. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 331. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 332. Voyez ce mot, ibid. 333. V
332. Voyez ce mot, ibid. 333. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier volume.
2 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
De l’Épigramme. L’Épigramme n’est autre chose qu’une pensée fine et saillante, présentée heureusement et en peu de
que Entre deux draps sans aucun mouvement. Prends-moi deux brocs d’un fin jus de sarment, Puis lis comment on les met en pr
sentir. Chaque couplet d’une chanson doit être terminé par une pensée fine , ou un sentiment délicat. Il y en a qui ont un re
ue et de mordant. Mais qu’on ne passe point les bornes d’une critique fine , et d’une raillerie délicate. Il faut se contente
sens moral de la pièce. 155. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 156. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 156. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 157. Orthographié Pelisson (NdE).
Orthographié Pelisson (NdE). 158. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 159. Voyez ce mot dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 159. Voyez ce mot dans les notes, à la fin du premier Volume. 160. Orthographié des Barreau
ographié des Barreaux (NdE). 161. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 162. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 162. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 163. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 163. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 164. Voyez ce mot, ibid. 165. Vo
. 164. Voyez ce mot, ibid. 165. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 166. Voyez ce mot, ibid. 167. Vo
167. Voyez ce mot, ibid. 168. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 169. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 169. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 170. Voyez ce mot, ibid. 171. Vo
172. Voyez ce mot, ibid. 173. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 174. Voyez ce mot, ibid. 175. Vo
177. Voyez ce mot, ibid. 178. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 179. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 179. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 180. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 180. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce volume. 181. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce volume. 181. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 182. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 182. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 183. Voyez ce mot, ibid. 184. V
, ibid. 184. Voyez le mot Mémoire (Déesse de), dans les notes, à la fin de ce Volume. 185. Voyez ce mot dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 185. Voyez ce mot dans les notes, à 1a fin du premier Volume. 186. Voyez ce mot dans les no
, à 1a fin du premier Volume. 186. Voyez ce mot dans les notes, à la fin de ce Volume. 187. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 187. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 188. Voyez ce mot dans les n
à la fin du premier Volume. 188. Voyez ce mot dans les notes, à la fin de ce Volume. 189. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 189. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier volume. 190. Voyez le mot Onde, dans
fin du premier volume. 190. Voyez le mot Onde, dans les notes, à la fin de ce Volume. 191. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 191. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 192. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 192. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 193. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 193. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume.
3 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »
n des vices qu’elle a coutume de donner… Les sociétés du goût le plus fin , le plus délicat et le plus difficile, le reçoive
udains ; des changements inouïs, la rébellion longtemps retenue, à la fin tout à fait maîtresse ; nul frein à la licence ;
i demande une grande sagacité dans l’esprit, un discernement juste et fin , un goût sûr et exquis. Il faut choisir un ou plu
n plus figuré et plus vif, et celui du Français, plus naturel et plus fin . Quelquefois l’imitateur, enchérissant sur son mo
autorité et de leur puissance ? etc. ». Cette imitation est des plus fines et des plus délicates. Je croirais même qu’elle p
es louables, et n’emploie que des moyens légitimes pour parvenir à sa fin , prend le nom d’émulation ; c’est une vertu. Se s
s plus de vérités dans la religion, capables de vous toucher ». À la fin de l’exorde, l’orateur distribue son sujet en ses
les moins convaincantes dans le milieu ; et les plus décisives, à la fin . Mais comme il est des circonstances, qui obligen
t plaidée devant toute la Grèce. « Vous donc, messieurs, lorsqu’à la fin de sa harangue, Démosthène invitera les confident
z ces derniers efforts d’une, voix qui vous fut connue ; vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort
sont ornées par les paroles. 6. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 7. Voyez ce mot, dans les not
s, à la fin du premier Volume. 7. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 8. Voyez ce mot, dans les not
s, à la fin du premier Volume. 8. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 9. Voyez ce mot, dans les not
s, à la fin du premier Volume. 9. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 10. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 10. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 11. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 11. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 12. Voyez le mot Bavière, dan
in du premier Volume. 12. Voyez le mot Bavière, dans les notes, à la fin de ce Volume. 13. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 13. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 14. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 14. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 15. Voyez ce mot, ibid. 16. Voye
me. 15. Voyez ce mot, ibid. 16. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 17. Voyez ces mots, dans les notes
tes, à la fin de ce Volume. 17. Voyez ces mots, dans les notes, à la fin du premier Volume. 18. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 18. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 19. Orthographié Enguien (NdE). 2
. Orthographié Enguien (NdE). 20. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 21. Voyez ce mot, ibid. 22.
me. 21. Voyez ce mot, ibid. 22. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 23. Voyez ce mot, ibid. 24. Voye
L. 2. 35. Inst. L. VI, c. 2. 36. Voyez ce mot dans les notes, à la fin de ce Volume. 37. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 37. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 38. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 38. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 39. Voyez le mot Sempronia, ibid.
ibid. 41. De Orat., n° 122. 42. Voyez ce mot, dans les notes à la fin du premier Volume. 43. Voyez ce mot, dans les no
s à la fin du premier Volume. 43. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 44. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 44. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 45. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 45. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 46. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 46. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 47. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 47. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 48. Voyez, ce mot dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 48. Voyez, ce mot dans les notes, à la fin du premier Volume. 49. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 49. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 50. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 50. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 51. Voyez le mot Juda (royaum
ier Volume. 51. Voyez le mot Juda (royaume de), dans les notes, à la fin de ce Volume. 52. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 52. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 53. Voyez ce mot, ibid. 54. Voye
d. 54. Voyez ce mot, ibid. 55. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 56. Voyez ce mot, ibid. 57.
me. 56. Voyez ce mot, ibid. 57. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 58. Voyez ce mot, dans tes notes,
notes, à la fin de ce Volume. 58. Voyez ce mot, dans tes notes, à la fin de ce Volume. 59. Voyez ce mot, ibid. 60. Voye
me. 59. Voyez ce mot, ibid. 60. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 61. Orthographié Fénélon (NdE
62. Dialogue sur l’Éloquence. 63. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 64. Voyez le mot Dauphin, dan
in du premier Volume. 64. Voyez le mot Dauphin, dans les notes, à la fin de ce Volume. 65. Voyez le mot Savoie, ibid. 6
mot Savoie, ibid. 66. Voyez le mot Bourgogne, dans les notes, à la fin de ce Volume. 67. Voyez ce mot, ibid. 68. Voye
le mot Bretagne, ibid. 70. Voyez le mot Berri dans les notes, à la fin de ce Volume. 71. De Orat. L. 2, Nº 87. 72. Voy
e. 71. De Orat. L. 2, Nº 87. 72. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 73. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 73. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 74. Voyez ce mot, ibid. 75. Voye
me. 74. Voyez ce mot, ibid. 75. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 76. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 76. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 77. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 77. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 78. Voyez ce mot, ibid. 79. Voye
me. 78. Voyez ce mot, ibid. 79. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 80. Voyez ce mot dans les not
s, à la fin du premier Volume. 80. Voyez ce mot dans les notes, à la fin de ce Volume. 81. Voyez ce mot, ibid. 82. Voye
d. 82. Voyez ce mot, ibid. 83. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 84. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 84. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 85. Voyez ce mot, dans les notes l
es notes, à la fin de ce Volume. 85. Voyez ce mot, dans les notes la fin du premier Volume. 86. Voyez ce mot, dans les no
tes la fin du premier Volume. 86. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 87. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 87. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 88. Voyez ce mot, dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. 88. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 89. De Orat. L. 3, Nº 12.
4 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
tu ne sais comment assouvir ta rage impuissante. Mais nous verrons la fin de tes brigandages. Les pilotes étonnés s’écrient
ème est une espèce d’exclamation ou une réflexion courte et vive à la fin d’un récit, comme on va le voir dans cet endroit
surément mademoiselle de Créqui. Vous n’y êtes pas. Il faut donc à la fin vous le dire. Il épouse dimanche au Louvre, avec
rois Horaces contre les trois Curiaces, mais qui n’en avait pas vu la fin , annonce au vieil Horace, que deux de ses fils on
oit le même Dieu, qu’il a cru, sans le voir, L’objet de son amour, la fin de son espoir. Mais il n’a plus besoin de foi ni
d’homme vraiment éloquent. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez le mot Autriche, ibid.
Voyez le mot Autriche, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
yez ce mot, ibid. a. Voyez le mot Polymnestor, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. e. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez le mot Angleterre, dans l
a fin de ce Volume. a. Voyez le mot Angleterre, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
. Voyez le mot Athalie, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez le mot Thomas, dans les n
à la fin de ce Volume. a. Voyez le mot Thomas, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. Man. de bien pens. II. Dial. (
mentaires de Voltaire, tom. I. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. d. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
5 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. » pp. 238-278
 Quelles pensez-vous que furent les voies qui le conduisirent à cette fin  ? La faveur ? Il n’avait eu d’autres relations à
rien leur immuable félicité. Une jeunesse éternelle, un bonheur sans fin , une gloire toute divine est peinte sur leur visa
actitude dans les matières. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez le mot Diogène, ibid. a
. Voyez le mot Diogène, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez César (nom de), ibid. a
César (nom de), ibid. a. Voyez le mot France, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
oyez ce mot, ibid. a. Voyez le mot Angleterre, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez le mot asphaltite, dans l
a fin de ce Volume. a. Voyez le mot asphaltite, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
marcher à la tête des ennemis. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. d. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. d. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. d. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. r. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez le mot Médicis, dans les
à la fin de ce Volume. a. Voyez le mot Médicis, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume.
6 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
tendu, ferme, et qui ait assez de vigueur pour se soutenir jusqu’à la fin . Je vais faire connoître ces grands poëmes, en ex
e révélation. Le troisième chant poursuit la proposition avancée à la fin du précédent, en faisant voir, par l’histoire du
ie comme Jérusalem l’avoit été, mais relevée, pour devenir jusqu’à la fin des siècles, le centre de la religion chrétienne.
montre dans l’étendue des plaines ses épis jaunissans, et annonce la fin de ses travaux. Au milieu vous voyez ce vert, ami
son premier objet : tous les moyens qu’elle emploie, tendent à cette fin . On a défini le poëme dramatique en général, l’im
ne doit bâtir le plan de son ouvrage, et conduire l’action jusqu’à sa fin , qu’en employant des moyens de la première espèce
une juste grandeur, elle doit avoir un commencement, ùn milieu et une fin  : elle ne peut pas, par conséquent, être momentan
ccomplissement de l’action : c’est ce qu’on appelle aussi le nœud. La fin , c’est la cessation de ces mêmes difficultés, de
Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli1. C’est le précepte qu’ont don
quand le principal personnage est, depuis le commencement jusqu’à la fin , dans le même péril. Si ce péril cesse, l’action
e dénouement. Cet épisode ne se lie à l’action principale que vers la fin du quatrième acte, où Phèdre paroît portée à just
r, de même que l’action principale, un commencement, un milieu et une fin . L’acte doit donc être composé de plusieurs parti
t été annoncés dans le premier ; ce qui ôte la surprise de voir, à la fin de la pièce, des personnages dont on n’auroit poi
as être remplie d’un même sentiment depuis le commencement jusqu’à la fin . Si c’étoit un sentiment de tristesse, il seroit
ou catastrophe. Le dénouement est un événement particulier qui met fin à l’action, et qui en est le complément. Il doit
les moeurs sont égales, lorsque les personnages paroissent jusqu’à la fin de l’ouvrage, avec le même caractère qu’ils ont e
pour nous divertir, qu’elle a été inventée. Elle parvient à ces deux fins , en représentant une action prise dans la vie com
santeries grossières du financier font presque disparoître les traits fins et délicats du Glorieux. Il est donc essentiel qu
ractères sont le principe de l’action. Le poëte les a choisis à cette fin , et leur en a opposé d’autres d’une force à-peu-p
ns tout le cours de la pièce, entre Célimène et Julie, et s’être à la fin décidé pour celle-ci, dit en sortant pour aller s
fonds d’instruction, et un sujet réel d’amusement, qui sont les deux fins de la bonne comédie. Son esprit ne peut certainem
tiens qu’elle n’a rien de déplaisant pour vous ; Qu’un mystère assez fin est caché là-dessous, Et qu’enfin cet avis n’est
ue les caractères s’y développent successivement pour se montrer à la fin dans tout leur jour ; que l’action y est vive, pr
sont intéressés à préférer un dialogue insipide à cette plaisanterie fine qui attaque les mœurs : rien n’est plus désolant
s, point de figures éclatantes et soutenues. Les pensées doivent être fines et délicates, mais toujours justes, toujours vrai
x une peinture toujours vive, exacte et décente ; une satire toujours fine et délicate des vices et des ridicules. Ils ont é
de la comédie étoit encore dans le chaos. Brueys le rajeunit vers la fin du siècle dernier, et en fit une pièce charmante.
Brueys, et n’eut aucune part à ses travaux littéraires. Une peinture fine et délicate de caractères souvent neufs, et toujo
la chaleur de l’action, la vivacité du dialogue, mais par une satire fine de nos ridicules passagers, de nos modes nouvelle
ans Arlequin-Phaéton, parodies jouées par les Comédiens Italiens à la fin du 17 siècle. Ce qui rend les parodies de cette e
ns plusieurs pièces de ce genre. Si le poëte place un vaudeville à la fin , il le composera de manière qu’il paroisse faire
orreur des grands crimes, et l’amour des grandes vertus, telle est la fin morale de la tragédie. Pour y parvenir, elle nous
un personnage tout-à-fait méchant, pourvu que celui-ci succombe à la fin de la pièce, comme Athalie et Cléopatre. Ce que j
peut, ce me semble, servir à prouver que la tragédie a réellement une fin morale. D’un côté en effet seroit-il possible que
oître sur notre scène encore grossière sa Cléopâtre et sa Dn. Vers la fin de ce même siècle, Shakespeare créa la tragédie e
tégrité d’une action consiste dans son commencement, son milieu et sa fin  ; ce qui veut dire exposition du sujet, nœud et d
funestes effets. Mais cette réconciliation ne devrait pas en être la fin , parce qu’on auroit pu demander si elle avait cha
llence, excitent en nous cette grande admiration, qui est la dernière fin de l’épopée. Si le poëme épique est l’action de p
i-même ! Dieu, la religion, le bien public, l’homme, ses passions, sa fin dernière, son vrai bonheur, les biens et les maux
ecté ; pourvu que le ton qu’y prend le poëte, soit soutenu jusqu’à la fin , et remplisse l’attente du lecteur. Tel est celui
si nouveau : partagé entre la crainte et l’espérance, il en attend la fin  : leurs regards suivent les mouvemens des guerrie
l’autre tirant son épée, il la lui plonge dans le sein. Telle fut la fin de Priam, de ce puissant roi de l’Asie, à qui tan
é, Qui tourne autour de soi sur son axe enflammé. De lui partent sans fin des torrens de lumière : Il donne, eu se montrant
pour se rendre les maîtres de Troie, le siège du palais de Priam, la fin malheureuse de ce monarque, la destruction totale
impuissante liberté. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voy
e. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes
tes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez le mot Pollux, da
n du premier Volume. (a). Voyez le mot Pollux, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les
la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez le mot Chevaux, ibid.
Voyez le mot Chevaux, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c). Voye
). Voyez ce mot, ibid. d. Voyez le mot Neptune, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (c). Voyez ce mot, id. (a).
me. (c). Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes,
le, et celle de Philippe. Voyez le mot Macédoine dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin do premier Volume. (b). Voyez ce mot, id. (a).
(b). Voyez ce mot, id. (a). Voyez le mot Pont, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (c). Vo
. (b). Voyez ce mot, ibid. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. d. Voyez ce mot, id. (a).
ume. d. Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez le mot Ecluses, ibid.
bid. (c). Voyez ce mot, id. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (1). Boileau, Art Poét., cha
man de Mademoiselle Scudéri. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. 3. Boile
rt Poét.,chap. III. (a). Voyez le mot Antiope, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. 1. Desto
oileau, Art Poét, chap. III. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (c). Voy
e. (b). Voyez ce mot, ibid. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. d. Voyez ce mot, id. (a). V
olume. d. Voyez ce mot, id. (a). Voy. ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. d. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du deuxième Volume. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez le mot Planètes, dans l
a fin de ce Volume. (a). Voyez le mot Planètes, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. Mém. de l’Acad. des Bel. Lett.,
Acad. des Bel. Lett., t. VI. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier volume. 1. La Veuve de Cancale, paro
ileau, Art Poét., chap. III. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez le mot Styx dans l
a fin du premier Volume. (a). Voyez le mot Styx dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c).
. (c). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, id. (a).
me. (b). Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. Roman de Mademoiselle Scudéri.
Boileau, Art Poét. chap. III. (a). Voyez ce mot dans les notes, à la fin du premier volume. (b). Voyez ce mot, id. (a).
ume. (b). Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot dans les notes, à la fin du deuxième volume. (b). Voyez le mot Thétis, ib
). Voyez le mot Thétis, ibid. (c). Voyez ce mot dans les notes, à la fin du premier volume. (a). Voyez ce mot dans les no
, à la fin du premier volume. (a). Voyez ce mot dans les notes, à la fin de ce volume. (b). Voyez ce mot dans les notes,
notes, à la fin de ce volume. (b). Voyez ce mot dans les notes, à la fin du premier volume. (a). Voyez ce mot dans les no
, à la fin du premier volume. (a). Voyez ce mot dans les notes, à la fin du deuxième volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (c). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. d. Voyez ce mot, dans les not
s, à la fin du premier Volume. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (e). Voyez ce mot, id. (f). Voye
d. (f). Voyez ce mot, id. (g). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voy
e. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (c). Voyez ce mot, ibid. d.
ume. (c). Voyez ce mot, ibid. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c). Voye
id. (c). Voyez ce mot, id. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (e). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (e). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c). Voye
. (c). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier volume. 1. Art Poét., chap. III. 1.
chap. III. 1. N°. 48, 1783. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (c). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. d. Voyez ce mot, id. (e). V
d. (e). Voyez ce mot, id. (f). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (i). Boileau, Art Poét., chap. III
ileau, Art Poét., chap. III. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez le mot Premiers-nés, ib
ibid. (c). Voyez ce mot, ibid. d. Voyez ce mot dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. Boileau, Art Poét., chap. III.
Art Poét., chap. III. (a). Voyez le mot Géans, dans les notes, à la fin du premier Volume. 1. Boileau, Art. Poét., ch. I
Boileau, Art Poét., ch. III. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez le mot Lavinium, ibid.
. Voyez le mot Lavinium, ibid. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (e). Voyez ce mot, ibid. (a)
. (e). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mont, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voy
e. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les
la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot dans les notes,
notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot dans les notes, à la fin du premier Volume. d. Voyez ce mot, dans les not
s, à la fin du premier Volume. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot dans les n
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot dans les n
à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez le mot Pénates, dans le
la fin de ce Volume. (a). Voyez le mot Pénates, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (a)
e. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. (a). Voye
me. (b). Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voy
e. (b). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c). Voye
d. (c). Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez le mot Maure, dans
fin du premier Volume. (b). Voyez le mot Maure, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, id. d. Voyez
id. d. Voyez ce mot, id. (e). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (f). Voyez ce mot, ibid. (a)
e. (f). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voy. ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. (b). Voy. ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez le mot Louis XII, dans
fin de ce Volume. (c). Voyez le mot Louis XII, dans les notes, à la fin de ce volume. d. Voyez ce mot, id. (a). Voyez
lume. d. Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c). Voye
bid. k. Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (c). Voyez ce mot, id. d. Voyez
(c). Voyez ce mot, id. d. Voyez le mot Moyse dans les notes, à la fin du premier Volume. (a). Voyez le mot Louis XIV d
du premier Volume. (a). Voyez le mot Louis XIV dans les notes, à la fin de ce Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c). Voye
Voyez le mot Académie, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, id. (c).
me. (b). Voyez ce mot, id. (c). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. d. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (e). Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. (e). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (f). Voyez ce mot, ibid. (g). Voy
d. (g). Voyez ce mot, ibid. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. (b). Voyez ce mot, ibid. (c)
ibid. (c). Voyez ce mot, id. d. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (e). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (e). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. (f). Voyez ce mot, id. (a). Voye
me. (f). Voyez ce mot, id. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les
à la fin du deuxième Volume. (a). Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume.
7 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »
os, sommeil, obtenir, puissant, rendu, etc., pourraient être mis à la fin d’un vers masculin. Les vers féminins sont ceux,
raient terminer un vers féminin. Ces sortes de vers ont toujours à la fin une syllabe de plus que les masculins ; en sorte
r plus grande beauté de la rime. Elle est une convenance de sons à la fin des mots qui terminent plusieurs vers. La rime qu
     Et reprends ta splendeur première. Les chemins de Sion sont à la fin ouverts :                       Rompez vos fers,
excellence grands Poèmes. 133. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 134. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 134. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 135. Voyez ce mot, ibid. 13
. 135. Voyez ce mot, ibid. 136. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 137. Voyez ce mot, ibid. 138. Vo
. 137. Voyez ce mot, ibid. 138. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 139. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 139. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 140. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 140. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 141. Voyez ce mot, ibid. 142. Vo
142. Voyez ce mot, ibid. 143. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 144. Voyez le mot Mémoire (Fi
Volume. 144. Voyez le mot Mémoire (Filles de), dans les notes, à la fin de ce Volume. 145. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 145. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 146. Voyez ce mot, ibid. 147. Vo
147. Voyez ce mot, ibid. 148. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 149. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 149. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 150. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 150. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 151. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 151. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 152. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 152. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 153. Voyez ce mot, ibid. 154. Vo
. 153. Voyez ce mot, ibid. 154. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume.
8 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
ses agréments et ses charmes possibles, la poésie, pour arriver à sa fin , a dû ajouter au style de la prose un nouveau deg
llabes qui finissent par des rimes, c’est-à-dire par un même son à la fin des mots. Nous avons dit précédemment que notre v
ur l’e muet. L’e muet peut se trouver dans le corps d’un mot, ou à la fin , suivi ou non de s ou de nt. 52. Quelle est la rè
ait de sa vie ! 53. Comment s’élide l’e muet quand il se trouve à la fin d’un mot ? L’e muet placé à la fin d’un mot peut
l’e muet quand il se trouve à la fin d’un mot ? L’e muet placé à la fin d’un mot peut se trouver dans trois circonstances
, et suivi ou non de s ou de nt. Dans le premier cas, il s’élide à la fin du vers, et devant une voyelle ou un h non aspiré
ne voyelle ou un h non aspiré ; dans le second, il ne s’élide qu’à la fin du vers, et ailleurs il compte pour une syllabe ;
inal est suivi de s ou de nt, ces mots ne peuvent être placés qu’à la fin du vers. Nous allons exposer les règles relatives
. Quelle est la règle de l’élision quand l’e muet se trouve seul à la fin d’un mot ? L’e muet placé seul à la fin d’un mot
l’e muet se trouve seul à la fin d’un mot ? L’e muet placé seul à la fin d’un mot s’élide à la fin du vers, et devant une
la fin d’un mot ? L’e muet placé seul à la fin d’un mot s’élide à la fin du vers, et devant une voyelle ou un h non aspiré
elle ou un h non aspiré. 1° L’e muet s’élide lorsqu’il se trouve à la fin d’un vers. Ainsi, dans ce vers de Boileau, l’e mu
N’offrez rien au lecteur que ce qui peut lui plaire. 2° Placé à la fin d’un mot, l’e muet s’élide dans le corps du vers
nt comme dans foulent, fourmillent, pétillent, il ne s’élide qu’à la fin du vers ; partout ailleurs il compte pour une syl
és de temps en temps pétillent. 56. Que faire lorsque l’e muet, à la fin d’un mot, est précédé d’une voyelle et suivi ou n
est un fardeau pour l’homme désœuvré. Ces mots s’emploient bien à la fin d’un vers, parce qu’alors l’e muet s’élide : Cie
mais entrer dans le corps d’un vers ; on ne peut les employer qu’à la fin . Les vers suivants ne valent rien : Ces femmes o
s prosodique, consiste dans la suspension des sons et de la voix à la fin du vers. Il est plus nécessaire encore que l’hémi
e qui concerne la mesure. Du reste, un repos, même léger, suffit à la fin du vers, comme nous avons vu qu’il suffit à l’hém
d toute noblesse si on le fait marcher par sauts et par bonds ; si la fin d’un vers se rejoint souvent au commencement de l
me de ρὑθμός, nombre, cadence, mesure, est le retour du même son à la fin de deux ou de plusieurs vers en rapport l’un avec
sse rime la convenance de sons qui se trouve entre l’hémistiche et la fin du vers, ou entre les hémistiches de deux vers qu
oit riche ou heureuse ? La rime est riche lorsqu’elle présente à la fin de deux vers deux ou trois sons semblables, comme
lins qui riment entre eux. Il faut aussi un repos assez sensible à la fin du premier tercet, c’est-à-dire à la fin du 7e ve
un repos assez sensible à la fin du premier tercet, c’est-à-dire à la fin du 7e vers. C’est en stances de ce genre que Jean
9 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
, affligé de la mort de sa fille. Le père s’adresse au ciel. Hâte ma fin que ta rigueur diffère ; Je hais le monde et n’y
t liées entre elles, que le sens demeure toujours suspendu jusqu’à la fin . Chacune de ces parties, prise séparément, se nom
aire lire avec un plaisir et un intérêt qui se soutiennent jusqu’à la fin . Le style périodique a plus de noblesse, d’harmon
lois de la langue qu’on parle ; lois fondées sur une dialectique très fine et très solide, sur cette logique naturelle, avec
imagination, l’écrivain cherche à plaire : il faut que son style soit fin , gracieux, élégant, varié. Il cherche à plaire pa
athétique, lorsqu’il remue, agite, transporte, subjugue. Le style est fin , quand il montre, sous des expressions simples, d
e diverses interprétations. Dans cette phrase : l’orateur arrive à sa fin , qui est de persuader, d’une façon toute particul
be persuader, quoiqu’en effet ils se rapportent aux mots, arrive à sa fin . La phrase serait nette et sans la moindre obscur
truite ainsi : l’orateur arrive, d’une façon toute particulière, à sa fin , qui est de persuader. Remarquez la même faute da
dans le Chapitre qui suit. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. d. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. 1. Man. d
. de bien penser. II.e Dialog. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
. Ch. I. 1. Art. Poét. Ch. 1. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce volume. b. Voyez ce mot ibid. c. Voyez l
oyez le mot prisonnier, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. e. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
bid. c. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume.
10 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VIII. Petites pièces anciennes. »
Fut le plus heureux de ma vie. Cet exemple montre qu’on répète à la fin le second vers avec le premier, tandis qu’on ne l
lui à ramener le premier ou les deux premiers vers au milieu et à la fin de la pièce : seulement, au lieu de se borner à h
ue, Entre deux draps sans aucun mouvement, Prends-moi deux brocs d’un fin jus de sarment, Puis lis comment on les met en pr
ajoutait, sous le nom d’envoi, un sixième quatrain qui ramenait à la fin et en dehors du dernier vers les premiers mots du
une ballade à deux refrains ; l’un se plaçait au milieu, l’autre à la fin de chaque stance, et ils se retrouvaient encore d
t si bien dans l’opinion commune au xviie  siècle, que Lancelot, à la fin de son Traité de versification française, n’hésit
ssurément d’exactitude ; mais il est vrai qu’on cherche à mettre à la fin du sonnet, et même dans ses différentes sections,
, et dont l’agrément consiste surtout dans la suspension rapide de la fin . Ci-gît qui fut de belle taille, Qui savait dans
11 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Cousin, 1792-1867 » pp. 492-503
e, en ordonne, en soutient toutes les parties. Mais peu à peu vers la fin du règne de Louis XIV, la langue s’épuise comme l
e autre sentiment qui tempère ceux-là ou les fasse servir à une autre fin . Si celle de l’art dramatique était seulement d’e
Le besoin de l’infini et l’immortalité de l’âme Toute chose a sa fin . Ce principe est aussi absolu que celui qui rappo
que celui qui rapporte tout événement à une cause. L’homme a donc une fin . Cette fin se révèle dans toutes ses pensées, dan
ui rapporte tout événement à une cause. L’homme a donc une fin. Cette fin se révèle dans toutes ses pensées, dans toutes se
oit, il le sent, il le porte pour ainsi dire en lui-même : comment sa fin serait-elle ailleurs ? De là cet instinct indompt
Cette espérance serait-elle trompée ? Tous les êtres atteignent leur fin  ; l’homme seul n’atteindrait pas la sienne ! La p
être qui demeurerait incomplet et inachevé, qui n’atteindrait pas la fin que tous ses instincts proclament, serait un mons
é avec poids et mesure, et dont les œuvres sont excellentes, dont les fins sont adorables, alors même qu’elles sont voilées
la tradition de la peinture moitié française, moitié italienne de la fin du seizième siècle ; il rompt avec cette traditio
12 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143
e une telle mansuétude, une clémence si extraordinaire. Cicéron, à la fin de son plaidoyer pour Milon, après avoir exhorté
les mots complétifs ou circonstanciels, et qu’ils réservaient pour la fin la partie du discours qui excite plus vivement l’
rincipal, si le verbe, ou d’autres mots essentiels sont renvoyés à la fin , il est obligé de soutenir son attention jusqu’au
entiment, nos âmes en sont pénétrées. 6° Il ne faut point mettre à la fin d’une phrase la fin d’un vers hexamètre, comme da
n sont pénétrées. 6° Il ne faut point mettre à la fin d’une phrase la fin d’un vers hexamètre, comme dans cet exemple : Ubi
a suite du discours ; mais c’est au commencement, et plus encore à la fin de la phrase qu’elle doit se faire sentir davanta
rque mieux les beautés et les défauts des premières expressions. A la fin de la phrase, parce que l’oreille, entraînée dans
voir soin de placer au commencement, mais surtout de réserver pour la fin de la phrase les mots les plus nombreux16 et les
suffisent pour faire voir combien un mot plus ou moins nombreux, à la fin d’une phrase, combien même une syllabe de plus ou
ention. Quant aux verbes, nous voyons le premier, contineat, mis à la fin de la proposition. Ceci, nous l’avons dit, est ha
on est due surtout à l’harmonie, afin qu’il n’y ait pas un verbe à la fin de chaque proposition ; ce qui serait monotone et
tribut superiores, qui exprime une idée principale, ressort bien à la fin de la proposition. Le verbe exæquare, qui fait su
e la proposition principale, et l’on renvoie l’autre partie tout à la fin , comme dans cette période de Cicéron : Nolite, si
e des membres qui la composent, cette mélodie qui se fait sentir à la fin de chaque membre, et surtout cette belle chute au
nt ceux répondant à la question quo, par la raison bien simple que la fin doit aller après le commencement. exemple : Equi
, va beaucoup mieux au commencement ou au milieu de la phrase qu’à la fin . exemples : Caritate benevolentiâque sublatâ, om
re le sujet au commencement de la phrase et de renvoyer le verbe à la fin , en plaçant entre les deux tous les mots compléti
ompléments, — le premier au commencement de la phrase, le second à la fin , et les autres dans le milieu, — tient en haleine
ns des autres, il faudrait éviter de renvoyer le verbe principal à la fin , pour ne pas embrouiller le sens, ni fatiguer l’a
III Le verbe sum se met élégamment soit au commencement, soit à la fin de la phrase, après les noms et les adjectifs de
s émotions, ce sentiment s’appelle de la joie. 3° En mettant tùm à la fin de la première proposition, et quùm au commenceme
centre de la phrase et avant le verbe videbatur, qui, étant mis à la fin , après ses modificatifs durum admodùm, frappe aus
. Les termes principaux y sont placés soit au commencement, soit à la fin de chaque proposition. Les compléments accessoire
avec symétrie, de manière à former des espaces à peu près égaux, à la fin desquels l’esprit et la voix se reposent agréable
13 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre V. Du Roman. »
ur, que le romancier habile semble se proposer pour but, n’est qu’une fin subordonnée à la principale, qui est l’instructio
t un récit de diverses aventures, imaginées seulement pour amuser. La fin que l’écrivain doit s’y proposer, est d’instruire
es particuliers soient bien marqués, parfaitement soutenus jusqu’à la fin  ; et que le dénouement amené naturellement et par
intérêt pour dédommager le lecteur de l’impatience qu’il a de voir la fin des aventures. Je ne m’étendrai pas davantage sur
is de Gaule ; et un Corps d’extraits de romans de chevalerie. Vers la fin du seizième siècle, d’Urfé donna dans son Astrée
14 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
hrétiennes. Ainsi, suivant un grand docteur90, la prédication a trois fins , que la vérité soit connue, qu’elle soit écoutée
étendez pas réussir, en nous flattant l’oreille par un bel étalage de fins mots. Si vous allez par le chemin du bel esprit,
ne permet pas à l’Orateur de se borner, dans l’éloge des Héros, à des fins purement humaines. Son but doit être de nous inst
ination et de salut par où il lui a plu de le conduire, et l’heureuse fin dont, malgré les puissances de l’enfer, elle a te
sanctuaire de la divinité que la religion doit être le principe et la fin de tous leurs éloges ; et que s’ils rehaussent pa
reconnus pour être authentiques. Le célèbre du Guesclin, mort vers la fin du quatorzième siècle, et enterré à Saint-Denis,
’Académie des sciences par Fontenelle, étincellent de beautés, tantôt fines , tantôt frappantes. On y trouve beaucoup de pensé
e Doctr. Christ. L. 4. 91. Voyez le mot France, dans les notes, à la fin du premier Volume. 92. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 92. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 93. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 93. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 94. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 94. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 95. Voyez ce mot, dans les no
, à la fin du premier Volume. 95. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 96. Orthographié Belisle (NdE
. Orthographié Fénélon (NdE). 98. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 99. Voyez ce mot, ibid. 100. Voy
100. Voyez ce mot, ibid. 101. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 102. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 102. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 103. Voyez ce mot, dans, les notes
tes, à la fin de ce Volume. 103. Voyez ce mot, dans, les notes, à la fin de ce Volume. 104. Voyez ce mot, dans les notes,
otes, à la fin de ce Volume. 104. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin du premier Volume. 105. Voyez ce mot, dans les n
à la fin du premier Volume. 105. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 106. Voyez ce mot, ibid. 107. Vo
108. Voyez ce mot, ibid. 109. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 110. Voyez ce mot, ibid. 111. Vo
. 110. Voyez ce mot, ibid. 111. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume.
15 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
Chapitre XIV. de la fin En lisant certains prosateurs et surtout certa
rien à dire ? Non ; c’est uniquement qu’il leur a plu d’écrire le mot Fin . Anacréon et Horace offrent, il est vrai, quelque
ère est épuisée et que toute addition serait superflue. Sans doute la fin d’un ouvrage, quelque nom qu’on lui donne, épilog
de trop ; le récit n’est et ne peut être complétement terminé qu’à la fin du vingt-quatrième chant60 Il n’en est pas de mêm
σις ; je conçois cependant que l’achèvement puisse nous conduire à la fin du vingt-deuxième ; mais quant aux deux derniers,
s celles qu’il nomme implexes, où le sort des personnages change à la fin par une péripétie. Socrate, au contraire, et Plat
ermeté. Dans l’autre, c’est la péroraison véhémente, indignatio. A la fin de l’admirable harangue De suppliciis, l’orateur
antes : ainsi la paraphrase du De profundis par le même orateur, à la fin de sa belle homélie sur le Lazare. C’est sans dou
16 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »
t la rencontre dans un même vers de deux voyelles sonores, l’une à la fin d’un mot, l’autre au commencement du mot suivant,
e qu’ils riment ensemble. La rime est, en général, un son pareil à la fin de deux ou plusieurs vers. Toutefois, pour que la
s rimes suffisantes que les poètes doivent constamment chercher leurs fins de vers. Les rimes, quant à leur arrangement entr
français tour. Mais le sens n’était pas nécessairement suspendu à la fin des strophes, en sorte qu’elles enjambaient fort
uvent chacune sur la suivante. Chez nous, au contraire, le repos à la fin de la stance, et par conséquent le sens terminé o
a stance, et par conséquent le sens terminé ou au moins suspendu à la fin de chaque, groupe, est une condition indispensabl
17 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VI. » pp. 89-94
on. »Racine lisait δρώντος, et non δρώντων. La Fontaine a inséré à la fin du premier livre de sa Psyché une comparaison de
les mœurs et les pensées.] Mêmes distinctions dans la Morale Nicom., fin du livre Ier. Et il n’y a rien au delà.] De même,
dans la Physique, II, 6, un chapitre tout classique sur ce sujet. La fin est ce qu’il y a de plus important.] Τέλος. Voyez
terpolation tout le morceau qui s’étend depuis παραπλήσιον jusqu’à la fin du chapitre  on retrouve pourtant quelques idées
et dont traite le philosophe. Voyez des exemples : Métaphysique, XIV, fin  : οἱ ἀρχαῖοι οµηριϰοί, et cf. XII, 1  Réfut. soph
18 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
L’action est entière quand elle a son commencement, son milieu et sa fin , que l’on appelle aussi, comme nous l’avons vu po
était tendu : elle est mise à mort et Joas est reconnu roi : voilà la fin ou le dénouement. L’action est complétement achev
Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. C’est là ce qu’on appelle les
t pas invincible. » Ces derniers mots nous conduisent à parler de la fin morale ou moralité de la tragédie. On entend, par
parler de la fin morale ou moralité de la tragédie. On entend, par la fin morale d’un poème, ce qui doit nécessairement en
t pour la conduite de la vie. Heureusement, il n’en est pas ainsi. La fin morale de l’apologue est une maxime instructive ;
nesses de l’artiste, et non l’objet de l’art, contribuent encore à la fin morale de la tragédie, et concourent, avec les gr
alogue, qui doit être en rapport avec le sujet et les personnages. La fin morale de la comédie est de nous corriger de nos
on l’aime mieux, de divers degrés dans le comique. Il y a un comique fin , délicat, qui ne chatouille que l’esprit. Tel est
duquel on ne rit plus, au moins les honnêtes gens. Plus on a le goût fin et exercé sur les bons modèles, plus on le sent ;
tant être jamais ni bas, ni rampant, ni lâche ; assaisonné de pensées fines et délicates, d’expressions plus vives qu’éclatan
lus souvent sur des airs connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la pièce, sous le nom de vaudeville final, une
iron, de l’Amour dans la tragédie. 159. Batteux, Quelle peut être la fin morale de la tragédie. 160. Domairon, Récapitula
19 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — NOTIONS PRÉLIMINAIRES. » pp. 264-266
nne césure. Remarque. — Les enclitiques, ou particules ajoutées à la fin d’un mot, comme que, ve, ne, sont censées être la
, détruire) est le retranchement ou la suppression d’une syllabe à la fin d’un mot. L'élision a lieu quand un mot finit par
ulum hic ades. Hor. On trouve même des polysyllabes sans élision à la fin d’un dactyle. Ex. : Vàlê, vàlê, înquit Iôla. Virg
rs et de l’agrément au style. Celles des particules que, ve, ne, à la fin des mots, sont les plus douces.
20 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XII. Abrégé des règles de la versification française. »
e de vers : il faut noter que toute syllabe muette ne compte pas à la fin des vers. Douze Syllabes. 1    2     3   4   5  
u’on tremble | en comparant l’offense | et le supplice ! Racine. La fin de chaque vers doit aussi être marquée par un rep
I. De l’enjambement. Il y a enjambement quand le repos manque à la fin du vers, et qu’il y a un rejet du sens au commenc
parce que l’élision est impossible ; ils ne peuvent se mettre qu’à la fin du vers, où la syllabe muette ne compte pas ; tel
§ IX. De la rime. La rime est le retour de la même consonance à la fin de deux ou de plusieurs vers. La rime est un son
e prouver plus fortement la nécessité de cette répétition du son à la fin du vers. Il y a deux sortes de rimes : la rime ma
les fausses rimes ou consonances semblables entre l’hémistiche et la fin du vers, ou entre les deux hémistiches des vers q
21 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
peu d’attention en écrivant. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. Bossuet, précepteur du Grand D
mé depuis à l’évêché de Meaux. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez
lume. b. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
d. Voyez ce mot, ibid. a. Voyez le mot Verney, dans les notes, à la fin de ce Volume.
22 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52
oïsme, on dit : l’héroïsme de la vertu.   109. — L, au milieu et à la fin des mots, quand elle est précédée d’un i, est ord
récédée d’un i, est ordinairement mouillée, et se prononce comme à la fin de ces mots, soleil, orgueil, famille, bouillir.
upposer 1, où l’on conserve la prononciation de l’s.   112. — D, à la fin du mot grand, se prononce comme t, devant une voy
e comme dans ignorance, magnanime.   114. — T ne se prononce pas à la fin de ces mots, respect, aspect, même quand le mot s
n adjectif entre quelque et que, alors quelque ne prend jamais s à la fin . Exemple : Les rois, quelque puissants qu’ils so
23 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
nètre, la subjugue et la maîtrise. Mais celle ci ne peut arriver à sa fin , que par le secours des deux autres, parce que po
bserver. 1. De Orat, n° 8. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. De Orat., n° 77. a. Voyez ce m
e Volume. 1. De Orat., n° 77. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. b. Voyez ce mot, ibid. c. Voyez
ancienne langue des Égyptiens. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. De Inst., L. 12, c. 10. a. Voy
e. 1. De Inst., L. 12, c. 10. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à
notes, à la fin de ce Volume. a. Voyez ce mot, dans les notes, à la fin de ce Volume. 1. De Orat., n° 97. 2. De Inst.,
24 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
ont la première édition parut en 1535, et qu’il transforma jusqu’à la fin de sa vie, pour en faire le code de ses fidèles.
sible qu’il n’y avoit que la veue qui donnast apparence de vie. En la fin , pensant qu’elle fust passee, je dis : « Or prion
battus. Mesmes il nous est expedient2 que telles choses adviennent, à fin que la constance et la fermeté de nostre foy en s
arler que la decoupure de leurs chausses, et avons tendu à une aultre fin , qui estoit de les brider et reprimer leurs folli
er que d’esmouveoir toute la rasge des meschans contre nous, et en la fin qu’il luy plaise d’apaiser tous les tumultes qui
25 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
elle a un commencement ou exposition du sujet, un milieu ou nœud, une fin ou dénoûment. Par là sont exclues les actions mom
fait avertir Auguste voilà le milieu ; Auguste lui pardonne, c’est la fin . 420. En quoi consiste l’unité dramatique ? Une
u’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli, Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. Les autres, formant ce qu’on
e soit toujours dans le même péril, depuis le commencement jusqu’à la fin . En effet, si le péril cesse, l’action est finie,
on qui fait le sujet de la pièce se passe, tout entière et jusqu’à la fin , dans le lieu où elle a commencé. C’est ce que l’
au lieu de le continuer sans interruption du commencement jusqu’à la fin , comme dans les tragédies grecques, a rendu moins
achons dès le commencement à en suivre la direction et à en savoir la fin , soit pour sortir de notre perplexité momentanée,
 ? La poésie dramatique, comme toute poésie sérieuse, doit avoir une fin utile, un but moral. Il faut donc non seulement é
ns toute composition, consiste dans un commencement, un milieu et une fin . Ces trois parties de l’action prennent le nom d’
car l’âme ne pourrait pas être remplie d’un même sentiment jusqu’à la fin . Un héros, par exemple, est en danger. Quoique ce
utit et se résout l’intrigue ; c’est la cessation des difficultés, la fin de l’action. Le dénoûment a lieu lorsqu’un événem
ment a lieu par révolution ou par péripétie, lorsqu’il arrive, sur la fin de l’action, un événement qui change la face des
enfermant une action subordonnée qui sert de moyen pour arriver à une fin ultérieure, qui suppose d’autres actions avant ou
tions tendent de près ou de loin, médiatement ou immédiatement, à une fin commune. C’est par cette division de l’action tot
t avoir, comme l’action principale, un commencement, un milieu et une fin . L’acte doit donc être composé de plusieurs parti
e interruption totale dans la représentation, qui mettrait réellement fin à l’acte ; car, dès que la scène est vide, l’acte
trouve aucun drame remarquable en quatre actes ou en six. Comme à la fin de chaque acte il y a dans la représentation un r
qu’au second. Sans cette précaution, on serait surpris de voir, à la fin de la pièce, des personnages dont on n’aurait poi
es meilleurs comiques. Pour exceller en ce genre, il faut un jugement fin , un goût sûr, et une imagination vive et enjouée.
présent ; il abonde en tableaux délicats, gracieux, en plaisanteries fines , décentes et agréablement exprimées par des coupl
26 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE V. Autres sortes de vers. » pp. 332-338
parfait, auquel il manque une syllabe soit au commencement, soit à la fin . Trū | dĭtūr | dĭēs | dĭē. Quōnām | crŭēn | tă M
s auxquels il manque une syllabe au commencement, et les autres, à la fin . Pān | gĕ , līn | guă, glō| rĭō | sī pr[ATTcarac
ose de quatre vers ; seulement le troisième vers a deux trochées à la fin , au lieu de deux dactyles, et le quatrième compre
x petits vers, dont trois forment le commencement, et trois autres la fin de ce vers. Ce sont : 1° Le petit archiloquien, c
27 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
on.] Parmi les pensées, les unes sont simples, naturelles, naïves, fines , délicates, tendres, agréables, gracieuses, enjou
eur lui répondit aussitôt : J’y avais songé, madame. 4° Pensées fines Les pensées fines déguisent par un tour adroit
itôt : J’y avais songé, madame. 4° Pensées fines Les pensées fines déguisent par un tour adroit un sentiment ou une
it à se montrer dans tout son jour. La Fontaine est rempli de pensées fines et spirituelles. Nous citerons entre autres cette
s brebis, jouissez de la joie           Que le ciel vous envoie. À la fin sa clémence a pitié de vos pleurs ; Allez dans la
pérance, toute trompeuse qu’elle est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable. Andrieux, vou
ouvantables           Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin . Les acteurs cessent ici leur dialogue.        
28 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre III. Lettres missives. Genre épistolaire. »
t, être regardée comme un tout ayant son commencement, son milieu, sa fin  ; alors on pourrait essayer de la rapporter à l’u
arité, se jeter à côté, et traiter un autre sujet, pour revenir, à la fin de sa lettre, aux souhaits de bonheur qu’on a d’a
pour qu’on évite avec elle la seconde personne, on écrit de même à la fin , en mettant à la ligne toutes les sections de phr
feu était si allumé qu’on n’osait en approcher, et l’on n’espérait la fin de cet embrasement qu’avec la fin de la maison de
en approcher, et l’on n’espérait la fin de cet embrasement qu’avec la fin de la maison de ce pauvre Guitaut. Il faisait pit
29 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre XI. De l’orthographe. » pp. 53-58
ier l’action de chanter. 6° On écrit ainsi faim, besoin de manger, et fin , le terme où finit une chose : la mort est la fin
esoin de manger, et fin, le terme où finit une chose : la mort est la fin de la vie. Mots en ace et en asse. 152. — On
secondes personnes plurielles des verbes ont ordinairement un z à la fin . Remarques sur l’orthographe des pronoms ; ad
noms ; adverbes et autres mots. 164. — Leur ne prend jamais s à la fin , quand il est joint à un verbe ; alors il signifi
30 (1875) Poétique
heur ou leur malheur. Car le bonheur de l’homme est dans l’action. La fin même est action et n’est pas qualité. La qualité
; ils imitent les mœurs pour produire l’action : l’action est donc la fin de la tragédie. Or en toutes choses la fin est ce
ion : l’action est donc la fin de la tragédie. Or en toutes choses la fin est ce qu’il y a de plus important. Sans action,
’étendue. J’appelle entier ce qui a un commencement, un milieu et une fin . Le commencement est ce qui ne suppose rien avant
qui ne suppose rien avant soi, mais qui veut quelque chose après. La fin , au contraire, est ce qui ne demande rien après s
lis : car Iphigénie est faible et suppliante au commencement, et à la fin elle est pleine de force et de courage. Le poète,
, tout ce qui est depuis le commencement de la catastrophe jusqu’à la fin . Ainsi dans le Lyncée de Théodecte, le nœud est t
ement, et le dénouement est depuis l’accusation de meurtre jusqu’à la fin . Nous avons dit ci-dessus qu’il y a quatre caract
article est un mot non significatif, qui marque le commencement ou la fin , ou la distinction dans le discours, comme τὸ φήμ
ion qui soit une et entière ; qui ait un commencement, un milieu, une fin  ; en un mot, qui soit un tout complet, comme l’es
, les choses se font les unes après les autres, sans aller à une même fin . Il y a même bien des poètes qui n’en usent pas a
e en entier, quoique, dans cette entreprise, il y eût commencement et fin . Le sujet eût été trop vaste et trop difficile à
s dit qu’il faut pouvoir en embrasser à la fois le commencement et la fin d’une seule vue. Ce qui se fera si les fables son
31 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
ne fûtes pas réalisés ! Le jeune homme s’était mis en marche vers la fin de l’hiver de 1709 ; le Rhin était glacé à plusie
la mienne par les États, qui viendront me tourmenter à Vitré, sur la fin du mois de juillet : cela me déplaît fort. Votre
sorte, et je n’entasse guère Un jour sur L’autre : il suffit qu’à la fin           J’attrape le bout de l’année.          
     Si quelque chut faisait du bruit. Le chat prenait l’argent. À la fin le pauvre homme S’en courut chez celui qu’il ne r
ution et de l’esprit. Il comprend : 1° Le style élégant ; 2° Le style fin ou spirituel ; 3° Le style pittoresque ; 4° Le st
Une Nuit d’été à Saint-Pétersbourg. Vol. II, nº 98. § II. Le Style fin ou spirituel « Le style fin ou spirituel mont
rg. Vol. II, nº 98. § II. Le Style fin ou spirituel « Le style fin ou spirituel montre la pensée à travers un voile,
’année, où, à propos de rien, il jeûne ou fait abstinence ; mais à la fin de l’hiver, il tousse, il a une mauvaise poitrine
re, dans le récit d’une aventure plaisante, etc. Il admet les pensées fines et délicates, qui, déguisées sous un air de bonho
idérer les choses. Il proscrit de la véritable éloquence les pensées fines , les idées légères, l’esprit mince et brillant, q
core plus opposé à la véritable éloquence que l’emploi de ces pensées fines , et la recherche de ces idées légères, déliées, s
du travail nécessaire pour les augmenter. On y voit de tous côtés le fin lin d’Égypte, et la pourpre tyrienne deux fois te
si vive, que le temps ne peut l’effacer. On s’en sert pour des laines fines , qu’on rehausse d’une broderie d’or et d’argent.
32 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
r partout le bon sens et le bon droit, la justice et la vérité. 8. La fin suprême et véritable des belles-lettres est de pe
ression et l’amour du beau, enfin rendre l’homme plus homme, c’est la fin de toutes les lettres, c’est la fin même de l’hom
ndre l’homme plus homme, c’est la fin de toutes les lettres, c’est la fin même de l’homme. De là vient que les belles-lettr
sous le foudroyant génie de César. (Voir le nº 1er des citations à la fin du volume.) 15. L’esprit, dit M. Pérennès, est ce
-vous ? lui demande-t-on. — Hélas ! je n’ai plus faim. 56. La pensée fine ne montre la vérité que sous un côté pour laisser
rès une légère » suspension, vous réserverez le mot principal pour la fin de la phrase. Ce vaillant homme, poussant enfin
triomphe. (Fléchier.) Dans cette phrase, l’orateur a réservé pour la fin les mots qui doivent produire un effet plus décis
un naufrage. 110. L’obscurité vient encore de ce qu’on veut paraître fin , délicat, profond, mystérieux ; on croit par là e
uellement donner à notre langue cette grâce naïve, cet abandon, cette fine délicatesse qu’on trouve dans Joinville, Froissar
  Ranime presque de la joie. Mon beau voyage encor est si loin de sa fin  ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin  
guerre. Cedant arma togæ, concedant laurea linguæ. (Cicéron.) À la fin j’ai quitté la robe pour l’épée. (Corneille.) 5º
Néanmoins, puisque toute parole humaine se propose l’une de ces trois fins , instruire, plaire et toucher, il semble qu’il es
mutuelle des pensées et cette suspension de sens qui dure jusqu’à la fin . La période est déterminée par les particules qui
à le devancer. Si on saute du commencement au milieu, du milieu à la fin , la lecture produira peu de fruits. Rien de propr
t : Je suis chrétien ! La résolution d’Eudore est ignorée jusqu’à la fin . On frémit lorsqu’il demande les aigles ; mais qu
e haute, mais un peu penchée vers l’épaule gauche, la taille moyenne, fine et dégagée, le corps bien proportionné et fortifi
mples et naïves, ces traits d’esprit, ces mots heureux, ces allusions fines , ces ingénieuses citations qui donnent tant d’agr
ur. Corrompre avec le bien, c’est le plus grand des crimes. 386. La fin immédiate de la poésie est sans doute de plaire e
sans doute de plaire et de charmer les esprits et les cœurs ; mais sa fin dernière et principale, comme celle de tous les b
it épurer le goût et corriger les mœurs. Tous les genres ont donc une fin honnête ; et s’il est des poètes dangereux et cor
r l’e muet, et par conséquent ces mots ne doivent être placés qu’à la fin du vers ; 2º Quand il est seul, il s’élide devant
ot, elle est femme. 3º Suivi de s ou nt, l’e muet ne s’élide qu’à la fin du vers, ailleurs il compte pour une syllabe. C’
la pénultième ai. 394. Toute autre voyelle que l’e muet, placée à la fin d’un mot, produit ce qu’on appelle un hiatus, lor
ble. 397. Le repos final est la suspension du sens et de la voix à la fin du vers, et il augmente ou diminue selon que les
ernes donne peut-être à la poésie quelque chose de plus égal, de plus fin et de plus délicat ; mais elle lui ôte ce caractè
servant du ministère de ses anges pour conduire toutes choses à leur fin . L’histoire de la religion, les conquêtes de ses
e ait une juste étendue, c’est-à-dire un commencement, un milieu, une fin . Le commencement, qu’on appelle aussi exposition
qu’il faut vaincre pour arriver à l’accomplissement de l’action ; la fin , qu’on appelle aussi dénouement, est la cessation
et du motif qui la déterminent, d’après l’étendue de l’objet et de la fin qu’elle embrasse. La gravité des obstacles vaincu
le poète doit enchaîner les actions particulières qui concourent à la fin de l’entreprise. La beauté du poème dépend, pour
a fois préparé ou imprévu. Pour que l’intérêt se soutienne jusqu’à la fin , il faut que l’âme du lecteur reste comme suspend
iennent eux-mêmes agir et parler sous les yeux du spectateur. 485. La fin du drame, comme de toute poésie sérieuse, est d’i
le ait un commencement ou exposition du sujet, un milieu ou nœud, une fin ou dénouement. Ce que nous avons dit à ce sujet,
u’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli, Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. 493. L’action est une par le
uement. 499. Le dénouement a lieu lorsqu’un événement particulier met fin à l’action et fait connaître le sort des principa
s généreux envers nos semblables. Tout poète tragique doit avoir pour fin d’inspirer l’admiration et l’amour des hautes ver
de Racine, parce que l’éloquence de Petit-Jean et de l’Intimé est une fine critique d’un défaut autrefois commun chez les av
lus souvent sur des airs connus. Autrefois, on mettait seulement à la fin de la pièce, sous le nom de vaudeville final, une
orable abus de leur talent que dans la poésie dramatique. Oubliant la fin essentielle de ces sortes d’ouvrages, qui est d’i
l’apologue se met quelquefois avant le récit, mais plus souvent à la fin . Placée au début, elle guide l’esprit du lecteur 
n. Placée au début, elle guide l’esprit du lecteur ; réservée pour la fin , elle le tient en suspens, ménage l’intérêt et la
se le sujet dans les premiers, et que le dernier contienne une pensée fine qu’on appelle pointe ou bon mot. Cette exposition
urs à la plaisanterie ; le madrigal, au contraire, a quelque chose de fin et de gracieux, et il est spécialement consacré à
ène à droite et à gauche, le pousse, le retient comme elle veut. À la fin , il est dompté ; il ne fait que ce qu’on lui dema
recs pour se rendre maîtres de Troie, le siège du palais de Priam, la fin malheureuse de ce monarque, la destruction totale
de leur montrer le vrai ? 6. Qu’est-ce que le beau ? 7. Quelle est la fin immédiate des belles-lettres ? 8. Quelle est la f
7. Quelle est la fin immédiate des belles-lettres ? 8. Quelle est la fin suprême et véritable des belles-lettres ? 9. Quel
Quel est le défaut voisin de la naïveté ? 56. Qu’est-ce que la pensée fine  ? 57. Quel est le défaut voisin de la finesse ? 5
portant au commencement de la phrase ? 103. Quand faut-il placer à la fin le mot principal ? 104. Comment se divisent les q
de la poésie ne doit-il pas être toujours moral ? 386. Quelle est la fin immédiate de la poésie et quelle est sa fin princ
oral ? 386. Quelle est la fin immédiate de la poésie et quelle est sa fin principale ? 387. Tous les genres de poésie n’ont
sa fin principale ? 387. Tous les genres de poésie n’ont-ils pas une fin utile ? 388. En combien de genres peuvent se divi
que le drame et en quoi diffère-t-il de l’épopée ? 485. Quelle est la fin du drame ? 486. Que faut-il faire pour embrasser
la loi des trois unités ? 497. Que renferme l’action et quelle est la fin de l’exposition du sujet ? 498. En quoi consiste
33 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
e ménage adroitement notre esprit, pour s’emparer de notre cœur. La fin de l’industrie est l’entière absorption de la nat
ferme une pensée on ne peut plus triviale. 46. Qu’appelle-t-on pensée fine  ? La pensée fine est celle qui ne représente l’o
n ne peut plus triviale. 46. Qu’appelle-t-on pensée fine ? La pensée fine est celle qui ne représente l’objet qu’en partie,
c’est-à-dire qui se montre tout entière à la première vue, n’est pas fine , quelque spirituelle qu’elle soit d’ailleurs. La
’est pas fine, quelque spirituelle qu’elle soit d’ailleurs. La pensée fine est très souvent satirique : elle appartient à la
chères brebis, jouissez de la joie     Que le ciel vous envoie : A la fin sa clémence a pitié de nos pleurs. Allez dans la
un historien au sujet de Pompée est outré et excessif : Telle fut la fin du grand Pompée, après trois consulats et autant
e sentiment délicat est celui qui flatte le cœur par quelque chose de fin , d’extraordinaire, ou d’un peu mystérieux qu’on n
accommoderait pas plus de sentiments naïfs et délicats que de pensées fines et gracieuses. Nous devons ajouter que, malgré la
oir un seul et même sujet qui gouverne la phrase du commencement à la fin . 2° N’accumulez jamais dans une même phrase des c
la plus complète. On les place ordinairement au commencement ou à la fin de chaque phrase ou de chaque membre. Mis à la pr
et la clarté sans nuire à la force. Il ne faut jamais les placer à la fin , ni les entasser confusément ; mais, au contraire
34 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XI. Poésies fugitives. »
uline et deux féminines, ou réciproquement. Le sens est suspendu à la fin de chaque stance ; le même mot ne doit pas repara
m’y mette. Puis, que jamais ballade je promette ! Dussé-je entrer au fin fond d’une tour, Nenni, ma foi ! car je suis déjà
nq vers. Les premiers mots du rondeau sont répétés comme refrain à la fin du second et du troisième couplet. Voici un ronde
le fut, ou le doit être. Depuis, l’épigramme est devenue une pensée fine , ingénieuse, souvent satirique et mordante. L’épi
35 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
dans les montagnes, on s’empare de ses munitions, et on le voit à la fin de la phrase franchir le Rhin en fugitif. Voyez
joie ont successivement occupé notre âme, et nous sommes arrivés à la fin du récit aussi éclairés et satisfaits que si l’ac
ne phrase d’en charger les expressions les plus remarquables, et à la fin de le placer assez avant pour laisser à la voix l
eindre que dans son état le plus expressif, et son commencement et sa fin demeurent abandonnés au goût de l’élève. [Modè
deux et une syllabe, est fatigant. Aussi ne les emploie-t-on qu’à la fin des strophes et des couplets. Cependant on les pl
que vers. Cette habitude, dont on ignore l’origine, sert à marquer la fin du mètre, de telle sorte qu’on reconnaîtrait des
craint rien autre chose. (G.) En plaçant les mots vraiment Dieu à la fin des deux premiers hémistiches, le poète a une int
repos sert à marquer l’ hémistiche, soit au milieu du vers soit à la fin . Le repos du premier hémistiche ne doit pas être
si que l’indique son étymologie latine, coupe le vers, non point à la fin du premier hémistiche, — ce qui n’est qu’un repos
ui est défendu ; il devient alors nécessaire de rejeter ces mots à la fin du vers. On ne pourrait pas dire : Tes perfidies
s, il faut bannir du vers ces syllabes parasites, et les rejeter à la fin . C’est là, à la fin, que sont bien placés ces sor
vers ces syllabes parasites, et les rejeter à la fin. C’est là, à la fin , que sont bien placés ces sortes de mots. Les ver
re du rhythme. Quand l’e muet suivi ou non de consonnes, est mis à la fin du vers, il n’y a pas proprement élision, mais le
le voir. 4. De la rime. La rime est le retour du même son à la fin de deux ou de plusieurs vers mis en rapport. La r
it en moins d’une minute. VERS A MESURER. Voir Canevas n° 252 à 260. FIN DU TOME PREMIER. 20. Les rhéteurs donnent spé
36 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
es de l’esprit humain, depuis le cèdre jusqu’à l’hysope. Son bon sens fin et malicieux va d’un sûr instinct chercher en tou
invention, sous une forme, n’importe laquelle, mais large et grande, fine et serrée, saine et belle en soi ; qui a parlé à
r, Horace présiderait à son tour (autant qu’un poëte et qu’un sage si fin peut présider) le groupe des poëtes de la vie civ
se fixer. Rien ne blase et n’éteint plus le goût que les voyages sans fin  ; l’esprit poétique n’est pas le Juif errant. Ma
ntes conquêtes de l’art et du génie, et qu’impatiente, qu’ennuie à la fin cet éternel passé qu’on déclare inimitable, veuil
rins du génie, comme Byron les appelle, viennent encore et jusqu’à la fin se succéderont alentour ; mais la société en mass
37 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
qui présente, exprimée avec grâce et précision, une pensée délicate, fine , ingénieuse, quelquefois naïve, mais le plus souv
s rare d’en trouver de très délicates, de très ingénieuses et de très fines . Nous n’en citerons ici que deux : une sur la ros
us supposons volontiers à nos pères, parce que nous nous croyons plus fins qu’eux. 127. Quelle est la forme du rondeau ? Le
égaux, avec un refrain, c’est-à-dire avec le retour du même vers à la fin des couplets, ainsi qu’à la fin de l’envoi. Les t
dire avec le retour du même vers à la fin des couplets, ainsi qu’à la fin de l’envoi. Les trois couplets sont symétriquemen
té dans sa forme ; et quand le refrain en est heureusement amené à la fin des couplets, il leur donne un tour très piquant.
38 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Introduction. » p. 4
a trois sortes d’e : e muet, é fermé, è ouvert. L’e muet, comme à la fin de ces mots, homme, monde : on l’appelle muet, pa
parce que le son en est sourd et peu sensible. L’é fermé, comme à la fin de ces mots, bonté, café : cet é se prononce la b
 : cet é se prononce la bouche presque fermée. L’è ouvert, comme à la fin de ces mots, procès, accès, succès : pour bien pr
39 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
inition 1’incertitude de la chose définie dont le nom est rejeté à la fin . Mais pour excuser l’auteur, on peut dire avec ra
e l’espérance, ses moyens de plaire, et ses effets. Le genre est à la fin , La foi et la charité lui disent : ma sœur ! C’es
as à les rencontrer à chaque instant. Ils ne sont bien placés qu’à la fin d’un règne ou d’un siècle, pour en faire connaîtr
ortira naturellement du sujet, on la place ou au commencement ou à la fin , soit dans la bouche d’un des personnages, soit e
s épouvantables,       Résisté sans courber le dos. Mais attendons la fin . Comme il disait ces mots, Du bout de l’horizon a
acs, fleuves, etc. Votre compassion part d’un bon naturel, répartie fine et transition habile. On voit bien que le roseau
z ce souci ; il se complique à la menace du roseau, mais attendons la fin  ; le dénouement est préparé par l’arrivée impétue
l’action doit offrir fort nettement un commencement, un milieu et une fin  ; mais, soit pour éviter les longueurs, soit pour
des personnages doivent être soutenus, c’est-à-dire se présenter à la fin , tels qu’au commencement. Si les circonstances so
s’abat et s’enfonce. Deux petites taches se rencontrent encore à la fin . La cîme d’un pin est une image fausse. On attaqu
r de l’orbite mais non pas s’en détacher ainsi ; sauf ces réserves la fin du drame est digne du tableau précédant ; les pet
40 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
commençants. Il faut d’abord avoir le début, le corps du sujet et la fin , pour bien déterminer l’ensemble et l’étendue du
e milieu ou corps du sujet, nommé nœud, intrigue ou confirmation ; la fin ou conclusion, qui prend le nom de dénoûment ou d
nde que toutes les parties de la description se rapportent à une même fin . Elle écarte tout ce qui serait inutile à la conn
lus favorable ; et ces détails seront les plus propres à atteindre la fin que l’on se propose. Comme presque toute la natur
escription considérée d’après le but de l’auteur ? Si on envisage la fin que peut se proposer l’écrivain, on trouve cinq e
it donc une faute d’employer des traits qui ne tendraient pas à cette fin  ; ce serait une faute bien plus grossière d’admet
e de traits isolés, ou présentant un milieu sans commencement ou sans fin , ne pourrait offrir aucun intérêt. L’ennui, la fa
essentielle, c’est que l’intérêt aille toujours croissant jusqu’à la fin . Le grand art consiste donc à faire naître et à a
…… Faisait aux animaux la guerre. … Le lion tint conseil, et dit… La fin de l’exposition est indiquée par le changement de
du récit, et surtout tenir les esprits vivement en suspens jusqu’à la fin , parce que, lorsque le dénoûment est prévu, on ne
is. III. 414. Qu’est-ce que le dénoûment ? Le dénoûment ou la fin est le point où l’on voit s’accomplir la solution
fait mieux ressortir, comme l’aventure du joaillier de Gallien, et la fin du sonnet de Scarron sur une montagne gigantesque
! On voit que la résolution que prend Eudore est ignorée jusqu’à la fin . On frémit quand il demande les aigles ; on est p
Le trait qui la termine doit être, comme un grain de sel, piquant et fin . Un récit de cette espèce qui n’a point de trait
t dans une conversation. Parmi ces ornements, on remarque les pensées fines , les traits piquants, les comparaisons neuves ou
les suspensions badines, les citations faites à propos, les allusions fines , les descriptions, les contes, les anecdotes, etc
rnements épistolaires. Nous n’en citerons que quelques-uns : Pensée fine . Nous fîmes bien tous deux notre devoir de vous
41 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
e est éternelle et puissante comme Dieu même2. Douzième Provinciale ( fin ). L’homme ne sait pas vivre dans le présent.
la lumière2, pour disposer de l’avenir. Le présent n’est jamais notre fin  : le passé et le présent sont nos moyens ; le seu
n : le passé et le présent sont nos moyens ; le seul avenir est notre fin . Ainsi nous ne vivons jamais, mais nous espérons
-ils rien de plus fort et de plus sublime que ces paroles jetées à la fin d’une lettre polémique ? » 1. C’est-à-dire : lai
42 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296
ombien il en savait reproduire les mœurs et parler le langage. Sur la fin de sa vie, retiré dans sa ville natale3, il aband
nt toujours les poches de nos sœurs. Les petits soins, les attentions fines , Sont nés, dit-on, chez les Visitandines : L’heur
eau Ver-Vert ne bougeait du parloir. Sœur Mélanie, en guimpe toujours fine , Portait l’oiseau : d’abord aux spectacteurs Elle
tte année trois éditions. C’est en réalité, comme on l’a dit, le plus fin et le plus joli de nos contes en vers. Jusque-là
43 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Brizeux, 1803-1858 » pp. 557-563
res poétiques sont un écrin où brillent des joyaux exquis. Élégant et fin , comme la fleur sauvage des bruyères, il rappelle
a de sa poitrine ; Puis, fermant ses yeux clairs, quittant la branche fine , Dans les joncs et les buis de son meurtre souill
a fournaise flambe, et que les lourds marteaux, Nuit et jour, et sans fin , tourmentent les métaux ! Rien n’est harmonieux c
palpable. 6. Nous sommes bien en pleine Bretagne. 1. Peinture vive, fine et discrète. 2. Ici la muse à l’air de causer.
44 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Rochefoucauld, 1613-1680 » pp. 32-37
qui lui prouva son estime par son amitié. L’écrivain est supérieur ; fin , poli, profond, il excelle par la science du mond
emède n’est point pire que le mal et si je ne vous prierai point à la fin de me laisser ma goutte. Après tout, je serai dan
se levât et ne se couchât que pour nous seuls. Nous voudrions être la fin de tous les desseins de Dieu, comme nous nous éta
e la fin de tous les desseins de Dieu, comme nous nous établissons la fin unique de tous nos projets sur la terre. » 1.
45 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
particuliers soient bien marqués et parfaitement soutenus jusqu’à la fin  ; que le dénouement soit amené naturellement et p
ecteur du retard qu’on met à satisfaire son impatience d’arriver à la fin des aventures. Telles sont les règles littéraires
ranches, dans son savant Traité de l’origine des romans, n’est qu’une fin subordonnée à la principale, qui est l’instructio
de toute sorte, furent l’origine de nos romans de chevalerie. Vers la fin du xvie  siècle, Honoré d’Urfé, par son roman d’A
46 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
e choix dépend d’un esprit sage et judicieux, d’un discernement aussi fin que juste. Les choses grandes et dignes d’être ra
ntrigues des cours et le manège des courtisans ? Que votre style soit fin , saillant, précis et varié. Si vous avez à célébr
autres, à l’établissement des monarchies modernes, c’est-à-dire, à la fin du quatrième siècle, époque de la division de l’e
dans ses circonstances et dans ses progrès, et le conduise jusqu’à sa fin . Dans la vie d’un homme illustre, l’historien ne
ue les histoires du premier et du dernier, à peu près entières, et la fin de celle de Claude. Le savant et judicieux P. Bro
. Quinte-Curce, qui, suivant l’opinion la plus probable, vivait à la fin du premier siècle de l’ère chrétienne, avait comp
e-Grand en dix livres. Les deux premiers ont été perdus, ainsi que la fin du cinquième et le commencement du sixième : Frei
le moyen de saisir toute la justesse, toute la vérité des réflexions fines et profondes dont il est rempli. Le Beau, dans s
ins. Les tomes 21e et 22e n’ont paru qu’après la mort de l’auteur. La fin du dernier de ces deux volumes ainsi que le 23e e
47 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VI. »
nvenable, mais sans longueurs, avec un commencement, un milieu et une fin . L’action de la fable est allégorique, et couvre
de sentence courte et frappante, qu’il place au commencement ou à la fin du récit. Le plus souvent la moralité termine l’a
et d’un style très pur. La fable convenait singulièrement à l’esprit fin et naïf de nos pères : outre les nombreux fabliau
48 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
dieux, dit-on, se nourrissent. Tout son corps délicat, doué d’un tact fin et léger, sent délicieusement la mollesse des lan
de son être, et de tous ses Êtres, il est à lui-même son principe, sa fin , sa félicité. Lamennais, Essai sur l’Indifférenc
secondaire avant tout ce qui est principal, et enfin le milieu ou la fin avant ce qui est le commencement des choses. L’or
flexions. L’obscurité dépend encore de ce qu’on veut parfois paraître fin , délicat, profond, mystérieux même ; on croit ain
ne sont qu’astragales. » Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin , Et je me sauve à peine au travers du jardin. Fuy
tellement liées entre elles, que le sens demeure suspendu jusqu’à la fin . Chacune de ces pensées, prise séparément, se nom
’arrêter ; à savoir dispenser les chutes masculines et féminines à la fin de chaque membre ; à bannir les mots qui riment e
49 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
s genres élevés qui s’éloignent trop de cet aimable abandon, de cette fine délicatesse, de cette naïveté gracieuse de nos an
oie des termes équivoques. Dans cette phrase : L’orateur arrive à sa fin qui est de persuader, d’une manière toute particu
uite ainsi : L’orateur arrive, d’une manière toute particulière, à sa fin qui est de persuader. L’abbé d’Olivet a fait rema
imagination, l’écrivain cherche à plaire : il faut que son style soit fin , gracieux, élégant, varié. 132. D’où provient la
a précision des phrases. Il n’exclut point une certaine élégance, une fine délicatesse, un agréable enjouement ; il admet mê
regarde comme très opposé au mérite du style l’emploi de ces pensées fines et la recherche de ces idées légères, déliées, sa
une mère sur le tombeau de son enfant, par Alexandre Soumet. Voici la fin de ce récit que distingue la délicatesse la plus
ettres sur la mythologie, et pour ne pas tomber dans des fadeurs plus fines que délicates, comme cela est arrivé à Fontenelle
50 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
etc. Si de tels mots s’y trouvent, on commencera par les écrire à la fin du vers, en faisant de la première syllabe la fin
par les écrire à la fin du vers, en faisant de la première syllabe la fin du cinquième pied, et le sixième pied des deux au
raison de ces trois divisions que nous venons d’indiquer, savoir : la fin du vers qui comprend les deux derniers pieds, le
e se transposer sans difficulté, on commencera par placer ce mot à la fin du vers, avec une séparation entre les deux sylla
antes in gurgite vasto, il a eu soin de placer l’épithète vasto à la fin du vers, afin que l’image fût plus sensible et of
: 1° De faire rimer une partie d’un vers avec une autre partie, ou la fin d’un vers avec le suivant. 2° De donner au troisi
même cadence qu’au cinquième et au sixième. 3° De finir le sens à la fin de chaque vers ; ce serait une monotonie insuppor
itions séparées de leurs compléments, des conjonctions renvoyées à la fin du vers, quand elles devraient être au commenceme
51 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IX. » pp. 98-101
proverbe, leur subject entrepris du premier commencement jusques à la fin . » (Ronsard, Préface de la Franciade.) Il se souv
prouve. Or, s’il est vrai que la satisfaction des spectateurs soit la fin que se proposent les spectacles, et que les maîtr
que la Fleur du poëte grec, ne seroit-il point vrai qu’il a obtenu la fin de la représentation, et qu’il est arrivé à son b
52 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
légance, et ont dit à ce propos des choses non-seulement justes, mais fines et délicates ; et peut-être, malgré tout, ne font
nu son premier ministre ; Fontenelle lui adressa ce compliment, aussi fin que déplacé : « Monseigneur, vous avez travaillé
’analyse à donner la formule générale de ces pensées qui veulent être fines et ingénieuses, et ne sont dans le fait que commu
t tout près, selon Boileau, du plat et du bouffon ; De ce style à la fin la cour désabusée Dédaigna de ces vers l’extravag
vialité épaisse, originale, érudite ; au xviie une plaisanterie plus fine , plus décente, d’une application plus universelle
53 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
es. Questions mécaniques.   Théophile Buhle, qui avait entrepris à la fin du dernier siècle une édition grecque-latine des
 ; et en effet, le bonheur, le malheur, réside dans une action, et la fin est une action, non une qualité. XII. C’est par r
tions ; de sorte que ce sont les faits et la fable qui constituent la fin de la tragédie ; or la fin est tout ce qu’il y a
t les faits et la fable qui constituent la fin de la tragédie ; or la fin est tout ce qu’il y a de plus important. XIII. Je
ne chose parfaite34 est celle qui a un commencement, un milieu et une fin . Le commencement est ce qui ne vient pas nécessai
après cela, il est naturel qu’autre chose existe ou se produise ; la fin , c’est cela même qui, au contraire, vient après a
e qui a une constitution double, comme l’Odyssée, et qui présente une fin opposée et pour les bons et pour les méchants. VI
ds ennemis, tels qu’Oreste et Égisthe, en arrivent à être amis sur la fin de la pièce, et personne ne donne ni ne reçoit la
t. II. J’appelle nœud ce qui a lieu depuis le commencement jusqu’à la fin de la partie de laquelle il résulte que l’on pass
; et dénouement, ce qui part du commencement de ce passage jusqu’à la fin de la pièce. Ainsi, dans le Lyncée de Théodecte,
l’enfant, et le dénouement va depuis l’accusation de mort jusqu’à la fin . III. Il y a quatre espèces de tragédies, c’est-à
. L’article est un son non significatif qui montre ou le début, ou la fin , ou la division d’une proposition ; par exemple,
unique, entière et complète, ayant un commencement, un milieu et une fin , pour que, semblable à un animal unique et entier
emps, tel événement prend place après tel autre sans qu’ils aient une fin commune. III. C’est ce que font la presque généra
oute la guerre (de Troie), bien qu’elle ait eu un commencement et une fin  ; car elle devait être trop étendue et difficile
aut que l’on puisse embrasser dans son ensemble le commencement et la fin  ; et c’est ce qui pourrait avoir lieu si les comp
celui qui délibère est l’utile, et que le débat porte non pas sur la fin que l’on a en vue, mais sur les moyens qui condui
la fin que l’on a en vue, mais sur les moyens qui conduisent à cette fin  ; que ces moyens résident dans les actions, et qu
y voit un bien ; une chose arrivée à ce point est regardée comme une fin et comme la fin de beaucoup de choses ; or la fin
; une chose arrivée à ce point est regardée comme une fin et comme la fin de beaucoup de choses ; or la fin est un bien219.
regardée comme une fin et comme la fin de beaucoup de choses ; or la fin est un bien219. De là ce mot : Quelle gloire res
encore la conséquence de cette faculté, et la chose qui détermine la fin de nos actes ; comme, d’autre part, la fin, c’est
la chose qui détermine la fin de nos actes ; comme, d’autre part, la fin , c’est ce en vue de quoi s’accomplissent les autr
, le caractère du bien. IX. (Il y a avantage), si telle chose est une fin , par rapport à telle autre qui n’en serait pas un
première pour elle-même ; par exemple, l’exercice gymnastique a pour fin le bon état du corps. X. (Il y a avantage) dans c
que l’autre est un principe (elle semblera encore supérieure), car la fin est supérieure et le principe ne l’est pas. C’est
ieu s’il n’y avait pas eu quelqu’un pour agir, vu que l’action est la fin pour laquelle on délibère. XIV. Ce qui est plus r
lus grand que ce qui n’est pas vice. Car la vertu et le vice sont des fins , et ce qui n’est ni vice ni vertu n’est pas une f
le vice sont des fins, et ce qui n’est ni vice ni vertu n’est pas une fin . XVII. Les choses dont les effets sont plus beaux
e-même ; or, c’est dans ces termes qu’ont été définis ; le bien et la fin . Une chose est plus agréable, soit qu’elle coûte
entre deux choses, la meilleure est celle qui est le plus près de la fin proposée ; la chose utile pour telle personne en
’impossible, non. Sont préférables aussi les choses comprises dans la fin de la vie236, car ce qui est une fin vaut mieux q
ssi les choses comprises dans la fin de la vie236, car ce qui est une fin vaut mieux que ce qui n’est qu’un acheminement ve
est une fin vaut mieux que ce qui n’est qu’un acheminement vers cette fin . XXXVI. Ce qui tient à la réalité vaut mieux que
ainsi de la santé, XXXVIII. De même une chose plus utile à plusieurs fins , comme ce qui l’est à la fois pour vivre et pour
tre VIII Du nombre et de la nature des divers gouvernements. De la fin de chacun d’eux. I. La condition la plus import
ir est illimité, ou la tyrannie. V. On ne doit pas laisser ignorer la fin de chacune de ces formes gouvernementales ; car o
s formes gouvernementales ; car on se détermine toujours en vue de la fin proposée. La fin de la démocratie, c’est la liber
mentales ; car on se détermine toujours en vue de la fin proposée. La fin de la démocratie, c’est la liberté ; celle de l’o
distinguer les mœurs, les lois et les intérêts qui se rapportent à la fin de chacun de ces gouvernements, puisque la déterm
ements, puisque la détermination à prendre sera prise en vue de cette fin . VI. Comme les preuves résultent non seulement de
t par le principe d’action ; or le principe d’action se rapporte à la fin (de chaque gouvernement). VII. Du reste, à quoi n
ils sont les amis et tantôt prononcent, pur et simple, le renvoi des fins de la plainte, tantôt infligent une peine légère.
apport avec les mœurs. II. Mais, comme chaque genre de discours a une fin différente, et que, pour tous ces discours, on a
e. V. La chose dont le commencement peut exister peut avoir aussi une fin  ; car il n’existe rien, et rien ne peut commencer
conférence) ne peut commencer à exister, ni exister. La chose dont la fin est possible peut aussi avoir un commencement ; c
t à Thèbes410 et sur le cas duquel on prescrivit une enquête, à cette fin de savoir s’il méritait de mourir, étant allégué
colère, ou par l’affection. C’est ainsi qu’Isocrate par exemple, à la fin du Panégyrique, met en œuvre les mots de « gloire
n emploie un péan, et cela au début ; mais il faut que le début et la fin diffèrent573. VI. Il y a deux formes de péans opp
’est le petit nombre. J’appelle élocution continue celle qui ne prend fin que lorsque la chose à dire est terminée. Elle ma
raison de son caractère indéfini ; car tout le monde aime à saisir la fin . C’est ainsi que, (dans les courses) arrivé aux b
ne forme d’élocution qui renferme en elle-même un commencement et une fin , ainsi qu’une étendue qu’on peut embrasser d’un c
cela doit nécessairement avoir lieu soit au commencement, soit sur la fin . Le commencement comprend toujours les mots (en e
fin. Le commencement comprend toujours les mots (en entier), mais la fin (seulement) les dernières syllabes, ou les désine
, παράρρητοί τ’ἐπέεσσιν599 ; et des exemples de ce qui a lieu sur la fin  : Ωἰήθησαν αὐτὸν παιδίον τετοκέναι, ἀλλ’ αὐτοῦ α
isolément sur les divers points du discours de l’adversaire. VI. À la fin (de la péroraison), il convient de parler un lang
onvient de parler un langage dépourvu de conjonctions, afin que cette fin soit bien un épilogue, mais non pas un nouveau di
ire : « c’est le dernier mot de la question ». 201. Cp. Pr. Analyt., fin du livre II. 202. Voir Aristote, Polit., V, 5, o
264. Euripide, Oreste, v. 234. Cp. Morale à Nicomaque, liv. VII, à la fin , où cette citation est reproduite. 265. La plupa
. Cp. chap. ii, § 1. 339. L’édition de Buhle place cette phrase à la fin du chapitre précédent, mais elle appartient évide
serationes (De Oratore, iii, 32). 499. Cp. Cicéron, De Oratore, iii, fin . 500. Allusion indirecte, croit-on, aux discours
pale ou à l’incidence. 553. Périphrase. 554. Λιμένας εἰς Ἀχαῖκοὺς. Fin de vers ïambique d’un poète inconnu. 555. Eurip.
mettra, au début, le péan (commençant) par la longue — υυυ, et, à la fin , le péan par les brève ; υυυ —. 574. Delogene, o
54 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
t entré au conseil. Borée. Voyez le mot Aquilons dans les notes à la fin du premier volume. Bourgogne (Louis, duc de), fi
itement sa gloire, dans une nouvelle guerre contre les Turcs, Mais la fin de sa carrière ne fut pas, à beaucoup près, aussi
ort à la fleur de son âge, est le même dont Virgile fait l’éloge à la fin du sixième livre de l’Énéide. Mayence, ville d’A
la sœur du dieu du sommeil. Voyez le mot Morphée dans les notes, à la fin du premier volume. N Narcisse, fils, selon
oyez le mot Judée. Pallas. Voyez le mot Minerve dans les notes, à la fin du premier volume. Parnasse, montagne dans la Ph
eu des sciences et des arts Voyez le mot Apollon dans les notes, à la fin du premier volume. Pise, ville de la Grèce dans
lui offraient des sacrifices. Voyez le mot Rome dans les notes, à la fin du premier volume. S Samarie, nom de la ca
clarèrent la guerre à Jupiter. Voyez le mot Etna dans les notes, à la fin du premier volume. Tribuns, magistrats créés à R
ât Vénus, déesse de la beauté. Voyez le mot Etna dans les notes, à la fin du premier volume. Worms, ville d’Allemagne, dan
55 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440
tons l’auteur de la lumière Jusqu’au jour où son ordre a marqué notre fin  ; Et qu’en le bénissant notre aurore dernière Se
sortez7 ? Josabeth. Vous avez entendu sa fortune8. Sa présence à la fin pourrait être importune. athalie, à Joas. Non :
ner a l’esprit d’un courtisan, d’un avocat et d’un diplomate. — Cette fine ironie est plus française que biblique. 7. Cette
ration voilée et discrète de ses sentiments. 6. Candeur charmante et fine . 1. Louis XIV n’avait pas plus de noblesse et d’
logue mélancolique d’Auguste, dans Corneille (Cinna). 3. Qui veut la fin veut les moyens. L’opinion publique, le sénat, le
qui régnait alors au barreau. 2. Ce monosyllabe criard, rejeté à la fin du vers, va bien à la voix glapissante de l’avoca
56 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
la perfection des écrivains qu’il analyse. Son style serré, savant et fin , unit la correction à l’agrément, l’art des nuanc
ntre la mort, il nous en rappelle le commencement et nous en cache la fin . Tout nous y plaît : la morale qui se confond ave
fabuliste, c’est ruminer ; l’art, dont nous sommes touchés jusqu’à la fin de notre vie, comme d’une vérité supérieure et im
l’expérience même, du résultat moral de la vie, du bon sens pratique, fin et profond, universel et divers, égayé de railler
de prévoyance, et par conséquent il faut considérer en toute chose la fin . Je demande lequel de ces deux exemples fera le p
57 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Prosper Mérimée Né en 1803 » pp. 286-290
nte. Pendant de longues années, aussi longtemps que le souvenir de sa fin tragique demeure dans la mémoire des hommes, cett
devant lui sans savoir où il allait1. Un brouillard Une pluie fine et froide, qui était tombée sans interruption pen
Électre, (Choéphores.) 1. Que de réalité sobre et expressive dans ce fin paysage !
58 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
s : l’aurore de la Renaissance, qui avait jeté quelques lueurs dès la fin du xve  siècle, se leva radieuse sur le xvie . Un
e quatre ans au chef et aux beaux jours de l’école, et produisit sans fin , et, souvent aussi, sans goût : — Remi Belleau, l
ées n’étaient plus ; l’étoile du chef de la pléiade avait pâli sur la fin de sa vie, et l’avortement de la Franciade avait
nent latiniste du collège de France, ami de la vigne et de la poésie, fin chansonnier des Pastoureaux et Pastourelles, vert
e, né en son plein hiver. Enfin, dans le voisinage de ces franches et fines physionomies du vieux temps, demi-gaies demi-grav
i je puis) du retour : Et vous feray encores ung bon tour44 ; A celle fin qu’il n’y ayt faulte nulle, Je vous feray une bel
soudain l’en ostoye, Puis l’y remis, et puis l’en recullay. Mais à la fin à regret la bruslay En disant : Lettre (apres l’a
elle du madrigal italien, qu’il, rapporta de l’Italie avec le sonnet. Fin et avisé, il sut ménager à sa renommée vieillissa
un déclin doux et souriant. Il ne perdit le vent qu’une fois, sur la fin de sa vie, et le reprit habilement. Le vieil enfa
A Dieu me plains, qui seul me peut entendre Et qui congnoist quelle fin doyvent prendre Tant de travaux, de ce commenceme
e De masque ou de tournoy, avoir force desseings143 Desquelz à ceste fin tes coffres144 seront pleins, Je veux qu’aux gran
s des devises, Je veux que tes chansons en musique soyent mises, Et à fin que les grands parlent souvent de toy, Je veux qu
Dieux, que veritable est la philosophie, Qui dit que toute chose à la fin perira, Et qu’en Changeant de forme une autre ves
Une heùre en tout le jour qui ne vous soit moleste : Et tout à celle fin qu’un Roy vous tienne cher. Que maudit soit l’hon
r211 tout un jour au bord d’une fontaine, Ou dedans un vieil antre, à fin d’y reposer Ton cerveau malrassis, et beant compo
ique des Cantiques (1556), détonnent dans les sujets élevés. C’est un fin artiste qui aime tout ce qui brille et chatoie da
n nouveau distille Dedans la tonne écumant jusqu’au bord… Doncques à fin que jamais n’esperions240 Guerre ici bas, que l’
e l’estendart fleurisse En verds rameaux et que l’araigne ourdisse Sa fine trame ès vuides morions241 : Que des brassarts et
ra mon ombre. Tu me tourmentes, mais, en l’effroyable trouble Où sans fin tu seras, tu me rendras au double. Le loyer de me
le. Le loyer de mes maux. La peine est bien plus grande Qui voit sans fin son fait : telle je la demande ; Et si les Dieux
J’esmouvrois, j’esmouvrois l’infernale maison. Mon deuil n’a’point de fin . Une mort inhumaine. Peut vaincre mon amour, non
comme un corps de sa biere. Tu penses me bien faire en prolongeant ma fin , Mais je n’ay rien si cher qu’accourcir mon desti
ins ne durent qu’un matin : Mais ces roses du ciel n’auront jamais de fin . » Elle disoit ces mots à ses tristes servantes D
liard Le bon Virgile, au prix d’estre gaillard Comme Vaumord, dont la fine ignorance, A vingt pour cent, double son abondanc
mme pedants, Les grands vanteurs414 avisez et prudants, Accorts415 et fins  : comme à poure canaille Du pain au docte à grand
cœur ne s’esmeut plus ; vous estes odieux. Mais n’esperez-vous point fin à vostre souffrance ? Poinct n’eclaire aux enfers
oinct n’eclaire aux enfers l’aube de l’esperance. Dieu auroit-il sans fin esloigné sa merci ? Qui a peché sans fin souffre
perance. Dieu auroit-il sans fin esloigné sa merci ? Qui a peché sans fin souffre sans fin aussi. La clemence de Dieu fait
oit-il sans fin esloigné sa merci ? Qui a peché sans fin souffre sans fin aussi. La clemence de Dieu fait au ciel son offic
me embrasée, Et ne maudit sa jeunesse abusée. Quand il ne trouve à la fin que du vant. Il ne fremist, quand la mer courrou
beau dire de lui, nous raconte Racan, que pour mettre une pointe à la fin des stances il faisait les trois premiers vers in
à ta rigueur, me fait pallir d’effroy. Aussi (las !) n’est-ce pas à fin que tu les sçaches Qu’en me les reprochant d’horr
me les reprochant d’horreur je me remply : Mais je te les découvre à fin que tu les caches, Et te les ramentoy543 pour t’e
, Apprendre dans le monde, et lire dans la vie, D’autres secrets plus fins que de Philosophie ; Et qu’avecq’ la science il f
rant que l’oreille il me flate, (Le bon Dieu sçait comment) à chasque fin de vers, Tout exprès je disois quelque mot de tra
Il se porte au devant, luy parle, le cageolle ; Mais cest autre, à la fin , se monta de parole : « Monsieur, c’est trop long
isième, méritent un souvenir. Tels sont Bonaventure des Périers, qui, fin prosateur, eut une heureuse rencontre en vers ; O
us sa coëffe verte ; L’autre monstroit sa creste descouverte, Dont le fin bout un petit rougissoit : De ce bouton la prime
Que tu ne peux, en ce faisant, mal faire. » Ces mots finis, le loup, fin de nature, Vint reciter les maux par luy commis :
mettre, — O quel forfait ! ô la fausse practique ! Ce dit670 le loup fin et malicieux ; Au monde n’est rien plus pernicieu
j’ay de m’avancer desir. O ! qu’elle est longue, la carriere Où à la fin gist mon plaisir ! Je regarde de tous costés Pou
burlesque en France et de la Mazarinade, Scarron (1611-1660), gai et fin conteur en prose, plus d’une fois marotiste en ve
eille, des chœurs dans deux tragédies de Racine, en attendant, sur sa fin , les odes plus industrieuses qu’inspirées de J.-B
Marche, va les destruire, esteins en la semence ; Et suis jusqu’à la fin ton courroux genereux, Sans jamais escouter ni pi
ceront leur cours : Je les possedai jeune, et les possede encore A la fin de mes jours. Ce que j’en ai receu, je veux te l
nu De tous vos combats d’Allemagne : Et du mal qui vous a tenu Sur la fin de cette campagne… Mais dites-nous, je vous suppl
plus cruelle mort me sera trop humaine, Je me résous sans peine à la fin de ma peine ; Elle m’affranchira de votre autorit
             Encore un mot, de grâce. D. ISABELLE. Don Manrique, à la fin c’est prendre trop d’audace. Ne puis-je l’ennobli
onne. Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour, Rien ne trouble sa fin , c’est le soir d’un beau jour861. (Philémon et
e le sais, et je cours encore à des biens faux… Si872 faut-il qu’à la fin de tels pensers nous quittent ; Je ne vois plus d
ertain auteur autrefois pour mon maître883 : Il pensa me gâter ; à la fin , grâce aux dieux, Horace, par bonheur, me dessill
Et nous fûmes coucher sur le pays exprès, C’est-à-dire, mon cher, en fin fond des forêts. Comme cet exercice est mon plais
roideur du public l’avait blessé en 1677 ; la froideur du roi hâta sa fin en 1699. Louis XIV l’admirait et le goûtait ; il
ndi de ces salons patriciens, spirituels et lettrés, où l’on avait en fins entretiens tant analysé le cœur et ses passions,
œuvre pie ? Une fille nubile, exposée au malheur, Qui veut faire une fin en tout bien, tout honneur, Lui refuseriez-vous c
oint, Qu’on me fasse raison. Quelles friponneries ! Je suis las, à la fin , de tant de léthargies. (Le Légataire universel
dois avecque mespris Regarder ces petits débris. Le temps amènera la fin de toutes choses, Et ce beau ciel, ce lambris azu
ée, Et son bonheur secret n’a que lui de témoin… Cependant vers leur fin s’envolent ses années ; Mais il attend sans peur
Chaussée a passé avec ses comédies en vers ; — Marivaux (1688-1763), fin prosateur, père de la comédie subtile et raffinée
rian composèrent pour eux nombre d’« arlequinades », dont le dialogue fin et souvent délicat s’écarte singulièrement, par s
n, est arrêté par la mort. Pour qu’elle soit reprise et menée à bonne fin , il faut attendre encore un quart de siècle. Heur
avec Mme Dacier, où le mérite de l’urbanité lui resta : il fut assez fin pour se faire injurier et ne pas se fâcher en aya
… Des ouvrages vantés qui n’ont ni pieds ni têtes ; Faire des soupers fins où l’on périt d’ennui ; Veiller par air, enfin se
ment, l’aigreur, la jalousie, Ce ton mystérieux, ces petits mots sans fin , Toujours avec un air qui voudroit être fin ; Ces
eux, ces petits mots sans fin, Toujours avec un air qui voudroit être fin  ; Ces indiscrétions, ces rapports infidèles, Ces
disoient-ils, cet insecte déploie En composant ces fils si doux, si fins , si beaux, Qui de l’homme font la richesse ! » To
Lemnos, sur l’enclume divine, Il forgeait cette trame irrésistible et fine Autant que d’Arachné les pièges inconnus, Et dans
énier Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphire Animent la fin d’un beau jour, Au pied de l’échafaud j’essaye en
tionnelles du style de son temps. Son Poète mourant, où il prévoit sa fin (Cf. Tibulle, III, 5), est une des plus citées, n
uent un patriotisme ardent, une émotion sincère, un bon sens droit et fin . Il a surtout le don du genre où il s est tenu ;
eurt pas de faim. J’espérais voir de ma détresse L’hôpital adoucir la fin . Mais tout est plein dans chaque hospice, Tant le
ong frémissement qui court sous les ombrages, Semblable au bruit sans fin qui montait des rivages, Et cette odeur de mousse
chevreaux et des ânes broutée, Épaissit sous leurs troncs ses duvets fins et courts, Dont mille filets d’onde humectent le
ton diamant pur, Qui conserve si bien leurs splendeurs condensées, Ce fin miroir solide, étincelant et dur ? (Les Destiné
; Leurs larges escaliers aux marches colossales, Leurs corridors sans fin et leurs immenses salles, Où comme une voix faibl
à travers les grands pins1446 La beauté de la mer aux murmures sans fins , Le silence des monts balayés par la houle, L’esp
our, lorsque, sur la colline, La fleur lève vers toi sa tige verte et fine , Que mille bruits confus se répandent dans l’air,
Le flot, qui va gronder, s’écoule en murmurant. Comme un soupir sans fin qui remplit tout l’espace, Dans les sapins trembl
ette urne, à ces toges blanches qui, avec le poignard classique de la fin , suffisaient au nouveau poète. Ponsard eut le dou
aits, Et nous allons passer des discours aux effets. On se lasse à la fin de trembler sous un homme. J’ai visité plusieurs
aux pentes des ravines, Et de leurs becs pourprés lissant leurs ailes fines , Les blonds sénégalis dans les gérofliers1542, D’
où les pampas sauvages1557 Sous les monts étagés s’élargissent sans fin  ; Elle endort le Chili, les villes, les rivages,
n. La ballade redoublée a deux refrains, l’un au milieu, l’autre à la fin de chaque stance. — On appelle aussi ballade, dan
rte l’Amour. 89. « C’est, ce me semble, dit Marmontel le sel le plus fin , le plus délicat de l’épigramme ; mais sous une a
focarium (basse latinité), de focus, qui a donné feu. 160. Cf. la fin de l’ode qui suit. — Cf. La bonne Vieille, de Bér
prairies, J’occupe ma raison d’utiles rêveries : Tantôt, cherchant la fin d’un vers que je construi, Je trouve au coin d’un
: pungere, d’où poigner et poindre. 322. C’est là une analyse juste, fine , faite de verve. 323. Nous choisissons et rappr
nteur. 415. Accort (Étym. : italien accorto), tient de avisé et de fin . 416. Les Muses nées de Jupiter et de Mnémosyne
celle-ci, par exemple, qu’on a retenue de Menot, le prédicateur de la fin du xve  siècle : « Nous sommes comme l’oiseau sur
es jetées, en passant, dans cette âpre et sombre poésie. Et ailleurs ( fin du chant IIe) :                                 
nt : en sait quelque chose, en aurait long à dire. 507. Allonge sans fin mon procès, même jugé. 508. Ou villoner, tromper
nse avoir esté maintefois agréable. Mais instruict par le temps, à la fin j’ai connu Que la fidélité n’est pas grand revenu
llement et impersonnellement. 595. Malherbe n’y manqua pas. Voyez la fin de sa notice. 596. Qui fait des morsures cuisan
té bien souvent exprimée dans les mêmes termes. Cf. supra, Vauquelin, fin de son portrait par lui-même ; Desportes, La vie
outes, la plus hardie de composition, de style, d’images, et vers, la fin , la plus virilement touchante. » (Sainte-Beuve, C
ous chantiez mes plaisirs : Mais aujourd’huy que mes années Vers leur fin s’en vont terminées, Siéroit-il bien à mes escrit
atin, edidit. 749. Quel simple et terme accent ! Je le retrouve à la fin de la strophe suivante. 750. Culter, le couteau
cavalier inconnu, qu’elle aime en secret — Carlos sera reconnu, à la fin de la pièce, pour Don Sanche, roi d’Aragon, et ép
souriante au commencement, et de fierté simple, franche et haute à la fin  ! Corneille n’avait que faire de s’excuser sur le
matière d’une comparaison avec l’Éloge de la vie champêtre (IIe liv.  fin ). La Fontaine n’avait pas besoin de puiser dans l
s scènes pleines et sans langueur, l’action attachante, et jusqu’à la fin en suspens, le style surtout dru, ample, aisé, dé
valier de Cailly (1604-1673), qui publia, sous le nom de d’Aceilly de fines épigrammes. À Monseigneur Colbert, ministre d’Ét
ais consacrée par le souvenir d’un passage devenu proverbe ; c’est la fin de la strophe douzième : Montrez-nous, guerriers
e qu’il veut dire. Il fallait trop. 1069. Tout attendrit dans cette fin , plus touchante que celle du Mithridate de Racine
. Qui tourne autour de soi sur son axe enflammé ; De lui partent sans fin des torrens de lumière ; Il donne, en se montrant
Dieu seul embrasse, Sont des soleils sans nombre, et des mondes sans fin Dans cet abîme immense il leur ouvre un chemin ;
lais je naquis ton voisin ; De ton siècle brillant mes yeux virent la fin … Je vis le jardinier dota maison d’Auteuil, Qui c
chez les autres ; la sienne est la seule qu’il ne voie pas. — Cf. la fin de la dernière note. 1122. Il y a certainement d
tyle du Méchant, son aisance et sa grâce, sa désinvolture élégante et fine , et le bon ton qui y déguise la malignité et le c
meurt victime Du doux regard qui l’a séduit. Ou, s’il voit luire en fin l’aurore Du jour promis à ses efforts, Vivant, si
ne minéral ; VI, le règne végétal ; VII, VIII, le règne animal). À la fin du Ier chant se trouve le tableau, souvent cité,
pé des parfums que respirent les fleurs…, L’air du soir si suave à la fin d’un beau jour… Et le dormir suave au bord d’une
s détruit. 1256. La Harpe, en citant la strophe, en change ainsi la fin  : Et, quoi que fasse le grand homme, Il n’est gr
ence ; Là, comme l’avenir, dans son Immensité S’ouvre et grandit sans fin l’espace illimité ; Là l’infini. Le bruit du mond
ieux, reste le roi de France, matant les rebelles, et déployant (III, fin ), au bord de la tombe où il glisse, l’ardente act
t mort ! » courut le long des rivages de la mer Égée. Il annonçait la fin du paganisme. 1361. Platon a moins de solennité
’ombre des coteaux s’allonge dans les plaines. Racan. 1364. La fin du vers est dure ; l’expression est juste. Virgil
[saint Jean] dans la fournaise a pu rester vivant. Autour ne lui sans fin le silence et le vide, Et du sable éternel la mer
ine. Approche-t-il du but, quitte-t-il ce séjour, Rien ne trouble sa fin , c’est le soir d’un beau jour. (Philémon et Bau
nse, Cette nappe d’épis dont les flots onduleux Roulent, roulent sans fin jusqu’aux horizons bleus Avec le frôlement d’un l
die aboutit à l’embrasement, l’embrasement à la consomption qui y met fin . Incendie, éveillant l’idée de continuité, est ic
rapide élan, De Crémone à Lodi, de Mantoue à Milan, Et répètent sans fin cette magique histoire, Où chaque nom de fille es
i, auprès, wachen, veiller). 1554. Le poète semble avoir (voyez la fin du Désert), avec V. Hugo et A. de Vigny, le secre
59 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
c’est-à-dire, des actions de l’homme, considérées par rapport à leur fin . Ces actions sont bonnes lorsqu’elles sont confor
s devoient tendre. Ils ne connoissoient pas la nature, la dignité, la fin de l’homme ; et c’est cette ignorance qui les jet
te morale de l’Evangile dans ses principes, dans ses motifs ; dans sa fin  ; vous la trouverez la plus sage, la plus pure, l
’est la Conversion du Pécheur, par le P. Salazar, jésuite. Les quatre fins dernières de l’homme y sont traitées avec cette r
bien propre à nous inspirer les réflexions les plus sérieuses sur la fin pour laquelle nous avons été créés. Le P. Griffet
60 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre II. »
est inimitable dans ce genre qui convenait admirablement à son esprit fin , souple et gracieux. Chaulieu et Gresset s’y sont
et la difficulté. Les strophes de la chanson se nomment couplets ; la fin de chaque couplet est ordinairement aiguisée par
 ; la fin de chaque couplet est ordinairement aiguisée par une pensée fine et délicate. On distingue plusieurs espèces de ch
61 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
es parties soient liées, dont le milieu réponde an commencement et la fin au milieu, d’après le précepte d’Aristote et d’Ho
rs d’un poète et jamais d’un rhéteur. La satire badine veut un style fin , agréable et enjoué. Quelque ton que prenne le po
qu’on puisse distinguer sans peine un commencement, un milieu et une fin . Le commencement présente l’entreprise, les cause
l faut vaincre pour arriver à son accomplissement, c’est le nœud ; la fin montre la cessation de ces difficultés et de ces
rapporte exactement à la vérité énoncée. Lorsqu’elle est placée à la fin , ce qui arrive le plus souvent, il goûte le plais
sujets les plus ordinaires, il est bon de laisser deviner une pensée fine , et de relever le style par des traits piquants e
yle familier de l’apologue doit être un choix de ce qu’il y a de plus fin et de plus délicat dans le langage des conversati
On décrit tantôt les mœurs :         Un vieux renard, mais des plus fins , Grand croqueur de poulets, grand mangeur de lapi
62 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
re, cette lettre injurieuse lui conseille, pour conclusion, de mettre fin par une mort volontaire à tant de maux qu’il souf
Démosthène. La souveraine éloquence gouverna longtemps la plus fine partie du genre humain et présida aux affaires de
ir regardé encore beaucoup d’autres choses, vous ne vous lassiez à la fin du repos et de la tranquillité de Rome. Il est be
aisant servir de vieilles murailles qui avaient été bâties à d’autres fins  : ainsi je pensai que les sciences des livres, s’
’ils ne vont justement où ils désirent, ils arriveront au moins, à la fin , quelque part où vraisemblablement ils seront mie
e choisit pour son sujet doit avoir un commencement, un milieu et une fin  ; et ces trois parties non seulement sont autant
teur dans une agréable suspension. C’est ce qu’il faut pratiquer à la fin de chaque acte pour rendre l’action continue. Il
nnes sages à ne s’y engager qu’autant qu’elles peuvent servir à cette fin , et à n’en faire que l’essai et non l’emploi des
e qu’elles ont d’aimable, en feignant de le vouloir cacher. Un esprit fin et un esprit de finesse sont très différents. Le
pérance, toute trompeuse qu’elle est, sert au moins à nous mener à la fin de la vie par un chemin agréable. Les vertus se p
ion. Mais pour ceux qui passent leur vie sans penser à cette dernière fin de la vie, et qui, par cette seule raison qu’ils
e plus terrible. Faisons tant que nous voudrons les braves : voilà la fin qui attend la plus belle vie du monde. Qu’on fass
rs ont donné ; et trouvant encore dans les autres la même chose, sans fin et sans repos, qu’il se perde dans ces merveilles
entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinci
oses, dans un désespoir éternel de connaître ni leur principe ni leur fin  ? Toutes choses sont sorties du néant et portées
ntraire. Ils se sont portés les uns sur les autres par un cercle sans fin  : étant certain qu’à mesure que les hommes ont de
’ordre de la pensée est de commencer par soi, et par son auteur et sa fin . Or, à quoi pense le monde ? Jamais à cela ; mais
vérité et l’importance, Votre Majesté les lise sans dégoût jusqu’à la fin , et que, donnant tant de temps aux moindres suppl
e jugement de son époque. Grâce à elle, grâce à sa plume naturelle et fine , délicate et ferma, courant toujours et ne s’égar
est assurément Mlle de Créqui. — Vous n’y êtes pas. Il faut donc à la fin vous la dire. Il épouse dimanche, au Louvre, avec
udains, des changements inouïs ; la rébellion longtemps retenue, à la fin tout à fait maîtresse ; nul frein à la licence ;
e, ses services qu’il y passait si légèrement au commencement et à la fin de sa vie, et dans le milieu ses fautes dont il f
ces derniers efforts d’une voix qui vous fut connue224. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort
écident pas par vos demi-mots et par vos branlements de tête, par ces fines railleries que vous nous vantez et par ce dédaign
durant le voyage qu’à cause du glorieux et immuable repos qui sera la fin de sa course. Voilà l’image de l’Église pendant q
e bête plus difforme246 ; c’est un monstrueux assemblage d’une morale fine et ingénieuse et d’une sale corruption. Où il est
se résoudre à mourir de bon cœur. Ainsi on s’avance toujours vers la fin de sa vie, sans pouvoir l’envisager de près ; et
pouvons pas ignorer que plus nous nous attacherons à la vie, plus la fin en sera amère. Nous savons qu’il est de foi que t
conservée dans tous les temps : c’est le royaume qui n’aura point de fin . Toutes les autres puissances s’élèvent et tomben
uvrage qui fait revivre à nos yeux, avec une incroyable puissance, la fin du dix-septième et le commencement du dix-huitièm
é303, et plaignaient le roi de la perte d’un si bon fils304. Les plus fins d’entre eux, ou les plus considérables, s’inquiét
ltueux appartement. Cette sorte de désordre dura bien une beure. À la fin , M. le duc de Beauvilliers s’avisa qu’il était te
ommencements du règne de Louis XVI, après que sa jeunesse avait vu la fin de celui de Louis XIV. Né en effet le 20 février 
ses calamités ; car étant réfugié en France, et se voyant obligé à la fin d’en sortir pour satisfaire les Anglais, qui l’ex
pelle esprit est tantôt une comparaison nouvelle, tantôt une allusion fine  : ici, l’abus d’un mot qu’on présente dans un sen
lettre, on vous vous égayerez, pour égayer vos amis. Mais une pensée fine , ingénieuse ; une comparaison juste et fleurie, e
core plus opposé à la véritable éloquence que l’emploi de ces pensées fines et la recherche de ces idées légères, déliées, sa
s fautes, ils se laissent abattre à la douleur : le repos, qui est la fin naturelle des peines, fomente leurs inquiétudes ;
jets et les vœux outrés, des erreurs de l’esprit qui l’humilient sans fin , des difformités corporelles qu’on ne peut ni cac
it, j’en veux une immortelle : Un bonheur assuré, sans mesure et sans fin , Au-dessus de l’envie, au-dessus du destin. Est-c
prairies, J’occupe ma raison d’utiles rêveries : Tantôt, cherchant la fin d’un vers que je construi540, Je trouve au coin d
Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli568.     Jamais au spectateur n’
ère : Mais je demande, au moins, que, pour grâce dernière, Jusqu’à la fin , seigneur, vous m’entendiez parler, Et que surtou
,         Et reprends la splendeur première. Les chemins de Sion à la fin sont ouverts :                 Rompez vos fers,  
Il voit sans intérêt leur grandeur terrassée ; Et sa miséricorde à la fin s’est lassée : On ne voit plus pour nous ses redo
                      Vous avez entendu sa fortune : Sa présence à la fin pourrait être importune. ATHALIE. Non : revenez.
gnant Artaxate, Défier Corbulon jusqu’aux bords de l’Euphrate692… La fin de cette entrevue est facile à prévoir. Pharasman
pçons jaloux ; Mais j’ai trop de vertu pour craindre mon époux. À la fin du quatrième acte, Arsame, que l’on a peint à Pha
ombien il en savait reproduire les mœurs et parler le langage. Sur la fin de sa vie, retiré dans sa ville natale756, il aba
us commodément à la philosophie et aux expériences. » Il devait, à la fin de sa carrière, se rendre auprès de la reine de S
Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. L’unité de temps, en particul
plusieurs considérations de Montesquieu, dans un morceau où des vues fines et justes sont mêlées à quelques idées paradoxale
sse que de grâce. Il suffirait de rappeler pour son éloge que, sur la fin de sa belle vie, M. Royer-Collard, cet excellent
On aimerait à penser que ce passage, d’un tour si délicat et d’une si fine observation, a été inspiré par la lecture des let
et tant de néant de ce que vous hasardez, que vous reconnaîtrez à la fin que vous avez parié pour une chose certaine, infi
une odeur de soufre : l’image est donc juste et neuve. 288. Vers la fin de sa vie Massillon ne monta plus en chaire, où d
les redoutaient qu’ils ne parussent pas du tout. C’est seulement à la fin du dix-huitième siècle qu’il en a été donné un ab
rivains. 372. « Ipsæ, res verba rapiunt », dit en effet Cicéron, de Fin ., III, 5. Au contraire, ajoute-t-il, « Nisi subes
fut un des grands succès de Corneille. Le sujet en est tiré d’Appien, fin des guerres de Syrie, et de Justin. On assure que
très digne de cette belle récompense : rien de plus juste et de plus fin n’a été écrit sur La Fontaine. Entre les nombreus
n, à la légère. 452. Encore une belle imitation d’Horace ; voy. la fin de la première de ses Satires :         Exacto c
aison de dire de Boileau qu’il n’était cruel qu’en vers. 559. Sur la fin de sa vie, Boileau répétait souvent : « C’est une
eurs et d’une excellente éducation. Ainsi, parmi nous, dans la triste fin du règne de Louis XIV, et grâce aux leçons du mei
es hommes. » Études historiques de Chateaubriand : Henri III, vers la fin . Cf. Pascal, p. 67 de l’édit. des Pensées choisie
nts et très-heureusement rapportée ici, en ce qu’elle communique à la fin de cet acte, un peu lent vers le début, d’après l
Cours de littérature de La Harpe, les Mémoires de Marmontel, vers la fin du livre IV, les feuilletons de Geoffroy et une l
car, suivant la réflexion de La Harpe, « depuis ce moment jusqu’à la fin de la pièce, les situations, la conduite, les car
outenir Alzire devant Zamore dans une semblable situation. » 718. La fin de ce beau vers est singulièrement affaiblie par
rnetæ… 734. Cet effroi chimérique ne cesse guère d’exister qu’à la fin du xviie  siècle. L’un des premiers livres qui le
63 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
embre 1883). • Louis XIV, présidant le conseil des ministres, vers la fin de l’année 1710, expose la situation politique et
ses Caractères. Le satirique est malade ; il écoute pourtant, et à la fin , après l’avoir félicité : « Vous n’avez oublié qu
droite, dans un temps égal ; et ils continuent de la sorte jusqu’à la fin du chant, à moins qu’ils ne le terminent, comme d
-mêmes leur éducation littéraire, avec le goût le plus sûr et le plus fin qui fut jamais. 2º Nous voyons donc combien est r
e Lucilius ; son ton habituel est une raillerie douce, spirituelle et fine , discrète, persuasive, indulgente : Horace, à ce
être joués pendant l’office, s’en détachèrent et furent reportés à la fin . Ce jour-là, le drame fut créé ; en s’isolant des
z loin son modèle Sequitur… non passibus æquis, les observations si fines et si délicates que nous a laissées Montaigne, so
génieux critique l’a dit, « La Rochefoucauld est certainement le plus fin et peut-être le plus profond des moralistes qui o
viie  siècle a amassé une riche moisson d’observations psychologiques fines , ingénieuses et profondes, non sur l’homme contem
lequel on veut agir par la parole. Il faut en général, garder pour la fin ce qui doit frapper le plus fortement les auditeu
de lui accorder. D’ailleurs, les oracles le guident, lui prédisent la fin de ses tribulations dès qu’il aura touché terre e
son éternité promise par le père des dieux lui-même : Imperium sine fine dedi… sa domination légitimée par le destin : T
yé en exil à Tomes, sur les bords glacés du Pont-Euxin, et y passa la fin de sa vie. Il ne cessa, pendant ce temps, de cont
ments littéraires nous trouvons dans cette correspondance élégante et fine  ! Arrivons promptement aux modernes, chez lesquel
il est mis en jugement. Horace reste semblable à lui-même jusqu’à la fin  ; après son crime, il ne semble pas se croire cou
qu’elle avait inspirées, et Bossuet eut à déplorer en termes émus sa fin douloureusement mystérieuse quelques semaines ava
t le talent de Térence. Ses comédies sont des peintures délicates, de fines miniatures, et il n’est rien de plus doux, de plu
çus dans l’enchevêtrement des incidents et des situations. Puis, à la fin du xvie  siècle, la farce disparaît peu à peu et
lutte d’un caractère et d’une passion. « Le théâtre comique, vers la fin du xvie  siècle, se traîne misérablement, et il f
u cœur de l’hiver (début du chap. IX) ; belle défense de la Hollande ( fin du chap. X) ; bataille de Senef et mort de Turenn
style son véritable mouvement, Buffon conseille d’éviter les pensées fines , les idées légères, déliées, « qui comme la feuil
sance déjà décisive de l’opinion publique ? « Saint-Évremond, dit un fin critique, est l’homme de société par excellence…
de haines trop récentes. Je dirai donc peu de mots d’Auguste et de sa fin seulement. Ensuite je raconterai le règne de Tibè
une chose fort embarrassante, soit qu’elles se soient faites avant la fin de la pièce, soit que le corps ait demeuré en pré
déjà rendus à Votre Majesté, les négociations qu’il a menées à bonne fin , les traités qu’il a conclus, entre autres, celui
fois, et je doute qu’il puisse jamais faire mieux : quel gracieux et fin morceau que celui qui ouvre le recueil par la lou
d’ailleurs, dans votre ouvrage, on remarque un goût sûr, une critique fine et profonde, une science que votre modestie cherc
64 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — De la ponctuation. »
’assurer d’être toujours heureux ?   180. — Le point (.) se met à la fin des phases, quand le sens est entièrement fini.
as de tous les vices.   181. — Le point interrogatif (?) se met à la fin des phrases qui expriment une interrogation. Exe
65 (1839) Manuel pratique de rhétorique
lessé. » Ces paroles de Constantin expriment sa pensée d’une manière fine et délicate ; elles laissent quelque chose à devi
a de plus difficile dans la rhétorique, l’élève les réservera pour la fin . Après cet examen des faits, après les observatio
’il est utile ou nécessaire de les émouvoir, seront réservées pour la fin , où elles achèveront de déterminer l’auditeur. Ai
e du discours où l’orateur prouve la proposition qu’il a établie à la fin de l’exorde. De là autant de parties qu’il y a de
er de l’esprit par des moyens forts, en réserver quelques-uns pour la fin de la confirmation, et laisser ainsi une impressi
lus serré, aiguisé quelquefois par quelqu’une de ces plaisanteries ou fines ou piquantes — qui produisent, souvent plus d’eff
laisse une vive et forte impression. Mais ce n’est pas seulement à la fin du discours qu’il est nécessaire de faire des réc
ons ; quand la cause est longue et compliquée, on trouve souvent à la fin des grandes parties un résumé qui rappelle en gro
ux de ce genre, on trouvera que les pensées sont simples, naturelles, fines sans être trop ingénieuses ; toujours l’expressio
il admet les ornements légers, les mouvements doux, les plaisanteries fines , les saillies qui piquent et soutiennent l’attent
e doit être ni fade ni trop piquant) doit être rare, placée à propos, fine plus encore que mordante, également éloignée de l
e compose, ou des mouvements qu’il veut produire ; il y a des pensées fines , ingénieuses ; il y en a de grandes, de nobles et
s reines même à la France. » Quelquefois aussi, quand les idées sont fines et délicates, les pensées importantes et difficil
épens de sa vie ? Ironie et Sarcasme. Il y a des plaisanteries fines et délicates, des mots heureux, des tours piquant
de lieux, de personnes. La satire est pleine d’ironies plus ou moins fines ou mordantes. On cite la rétractation ironique de
ux exemples dans le discours de Cicéron pro Ligario ; le premier à la fin de l’exorde, où l’orateur, qui parlait à César, a
éez ces derniers efforts d’une voix qui vous fut connue. Vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de pleurer la mort d
e, qui imprime dans l’âme un sentiment profond ; elle est placée à la fin d’un morceau. Il faut remarquer l’épiphonème qui
66 (1852) Précis de rhétorique
t même idée ; ils doivent être d’une longueur à peu près égale, et la fin ou la chute de la période doit être soignée et ha
ois pour très souvent ; soit en les diminuant : ex. : cette plume est fine comme une patte de mouche. 9. La litote est une f
plus récents au commencement de la phrase, et les plus éloignés à la fin . 8. On fait une alliance de mots quand on joint é
nt toujours un excellent effet dans le style. Telles sont les pensées fine , délicate, naïve et badine. 13. La pensée fine na
elles sont les pensées fine, délicate, naïve et badine. 13. La pensée fine naît de l’esprit ; la pensée délicate, du cœur. O
a-t-il pas un autre genre de pensées ? — 13. Parlez-nous de la pensée fine et de la pensée délicate. — 14. Dites un mot de l
deux et une syllabe, est fatigant. Aussi ne les emploie-t-on qu’à la fin des strophes et des couplets. Cependant on les pl
que vers. Cette habitude, dont on ignore l’origine, sert à marquer la fin du mètre, de telle sorte qu’on reconnaîtrait des
craint rien autre chose. (G.) En plaçant les mots vraiment Dieu à la fin des deux premiers hémistiches, le poète a une int
e repos sert à marquer l’hémistiche, soit au milieu du vers soit à la fin . Le repos du premier hémistiche ne doit pas être
si que l’indique son étymologie latine, coupe le vers, non point à la fin du premier hémistiche, — ce qui n’est qu’un repos
ui est défendu ; il devient alors nécessaire de rejeter ces mots à la fin du vers. On ne pourrait pas dire : Tes perfidies
s, il faut bannir du vers ces syllabes parasites, et les rejeter à la fin . C’est là, à la fin, que sont bien placés ces sor
vers ces syllabes parasites, et les rejeter à la fin. C’est là, à la fin , que sont bien placés ces sortes de mots. Les ver
re du rythme. Quand l’e muet, suivi ou non de consonnes, est mis à la fin du vers, il n’y a pas proprement élision, mais le
le voir. 4. De la rime. La rime est le retour du même son à la fin de deux ou de plusieurs vers mis en rapport. La r
67 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avertissement de l’auteur sur la seconde édition. » pp. -
otes historiques, mythologiques, géographiques, que j’ai portées à la fin de chaque volume, en les rangeant par ordre alpha
s j’ai eu soin de renvoyer en citant l’exemple même. On trouvera à la fin du troisième volume, une Lettre, qui n’a été écri
68 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
es, VIII, 14. Cf. ὑπόϰειται : Économique, I, 3. Commencement, milieu, fin .] Cf. des subtilités analogues et souvent inutile
ntations théâtrales à Athènes, les auteurs cités dans la note C, à la fin de l’Histoire de la Critique. — Dacier : « comme
69 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
a Taille, Vauqueun de la Fresnaye, qui moururent, comme lui, avant la fin du siècle, Desportes et Bertaut, que sa chute, di
r lui donnait le collège de France (1531) en même temps qu’il mettait fin , par un arrêt du Parlement, aux mystères du moyen
dernier coup à la Ligue, c’est la Satire Ménippée (1593). Il mettrait fin à ces écrits de fièvre et de guerre civile, si, l
n (1557). À leur suite, Brantôme (1540-1514) raconte dans un des plus fins langages du siècle bien des anecdotes, et, dans p
passé ou de : Plût à Dieu que (voy. Rabelais, les Moutons de Panurge, fin .). IV. adverbes et locutions adverbiales à
auprès de. pour = à cause de. sus = sur. VI. conjonctions a fin que = afin que. a ce que = afin que. adonc = al
er de bien en mieulx. Et ce que presentement t’es-cripz, n’est tant a fin qu’en ce train vertueux tu vives, que de ainsi vi
e marchant, mon voysin, de la toyson de ces moutons seront faictz les fins draps de Rouen ; les louschets des balles de Lime
s iours diffamee envers vous : c’est asçavoir qu’elle ne tend à autre fin sinon que tous regnes et polices soyent ruinees,
ent de son royaume, et au contraire, celuy qui ne regne point à ceste fin de servir à la gloire de Dieu, n’exerce pas regne
faict meilleur ailleurs, mais l’ouvrage eust esté moins mien : et sa fin principale et perfection, c’est d’estre exactemen
ndoit rien, de reprendre en Epicurus la simplicité de ses mots, et la fin de son art oratoire, qui estoit perspicuité de la
i ardente attection, et de pareille affection descouvertes iusques au fin fond des entrailles l’une de l’autre, que non seu
qui vous tue, et traistres de vous mesmes ? Vous semez vos fruicts, à fin qu’il en face le degast ; vous meublez et remplis
maisons, pour fournir à ses voleries ; vous nourrissez vos enfans, à fin qu’il les mene, pour le mieulx qu’il face, en ses
xecuteurs de ses vengeances ; vous rompez à la peine vos personnes, à fin qu’il se puisse mignarder155 en ses delices ; vou
le scandale mieux lavé et reparé : attends, dis-ie, la catastrophe et fin de la tragedie ; tu verras ce fendant, ce brave a
qu’elle en portoit en son cueur ; mais un tableau la descouvrit à la fin quoy qu’elle se fust au demourant iusques à là to
nt l’odeur du corps d’une Fee immortelle, present qu’elle luy feit, à fin qu’il eust à tout iamais memoire de l’amitié qu’e
eur pesanteur, ne se peult sauver à nage, ny eschapper, ains est à la fin tiré à fond avec ses amis, qui l’ont plegé et res
dée de la saveur de son style, qu’au commencement de notre siècle, un fin amateur du langage du xvie , P.-L. Courier, le pr
ir encore regardé beaucoup d’autres choses, vous ne vous lassiez à la fin du repos et de la tranquillité de Rome, qui sont
e voulussent enterrer. Considérez donc, je vous prie, quelle a été la fin de l’expédition, qui a tant fait de bruit. Il y a
aisant servir de vieilles murailles qui avoient été bâties à d’autres fins . Ainsi ces anciennes cités qui, n’ayant été au co
ayant été inventées que par un seul, elles tendoient toutes à la même fin . Et ainsi je pensai que les sciences des livres,
s ont donné ; et, trouvant encore dans les autres la même chose, sans fin et sans repos, qu’il se perde dans ces merveilles
entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinci
oses, dans un désespoir éternel de connoître ni leur principe ni leur fin  ? Toutes choses sont sorties du néant et portées
on connoissoit d’abord348 qu’il n’avoit pas assez d’esprit pour cette fin . Il étoit brave de sa personne, et plus qu’il n’a
docte et la curieuse par de bizarres raffinemens, ne laisseroit à la fin aucun lieu à l’art. Faites paroître à sa place un
étré ; et les délicats de la terre, qui ont, disent-ils, les oreilles fines , sont offensés de la dureté de son style irréguli
mbûches ; si nous échappons l’une, nous tomberons en une autre ; à la fin , il faut venir entre ses mains. Il me semble que
parmi tant de périls, ils la vont trouver eux-mêmes, et tombent à la fin de leur course : leur vie s’éteint d’elle-même co
oudains, des changemens inouïs : la rébellion longtemps retenue, à la fin tout à fait maîtresse ; nul frein à la licence ;
t : C’est assez ? Quel voluptueux esclave de ses sens a jamais mis de fin à ses plaisirs ? La nature, dit ingénieusement Sa
ésitant pas sur cela, s’offrant à tout, pourvu qu’ils arrivent à leur fin , et se promettant tout d’eux-mêmes, sans être en
puter en repos et à loisir s’il a tous les talens nécessaires pour la fin qu’il se propose ? Et quel est celui qui, ne les
à Narbonne et simple catéchiste à Paris, fut un bel esprit, des plus fins et des plus goûtés à l’hôtel de Rambouillet vieil
Il parle peu, mais on s’aperçoit qu’il pense beaucoup. Certains airs fins et spirituels marquent sur son visage ce qu’il ap
vérité et l’importance, Votre Majesté les lise sans dégoût jusqu’à la fin , et que, donnant tant de temps aux moindres suppl
eurs chemins à prendre pour le chancelier, s’il vouloit parvenir à sa fin . Les affaires se font ou se     1. ruinent souven
qui le souffrirent l’un après l’autre, sans que la certitude de cette fin les fît fuir ni refuser cette place où la mort ét
ses écrits divers sur l’éducation, et ses lettres d’un style naturel, fin , délicat, pleines des qualités de justesse et de
s ou historiques, etc., fut mieux qu’un bel esprit ; il fut un esprit fin et ferme, qui eût pu être profond. Le plus étendu
 ; et tant d’artifices furent employés à sa perte qu’on se défit à la fin d’un homme qui vouloit bien obéir, mais qui mérit
e, et si paisiblement à notre égard, que personne n’a l’oreille assez fine pour les entendre marcher, et que le vulgaire ne
u (1713) et une Lettre à l’Académie française (1714), qui est le plus fin et le plus charmant ouvrage de critique du siècle
ien leur immuable félicité. Une jeunesse éternelle, une félicité sans fin , une gloire toute divine est peinte sur leurs vis
nent en foule reconnoitre le Christ qu’ils ont percé, et montrer à la fin des temps une résurrection. En voilà assez, monse
s serez bien aise d’apprendre que c’est ici ma dernière lettre, et la fin de mes enthousiasmes, qui vous importunent peut-ê
e la grâce y opère. Au reste, ce cher ami est mort avec une vue de sa fin , qui étoit si simple et si paisible, que vous en
qui m’épouvante. Je suppose que c’est ici votre dernière heure et la fin de l’univers ; que les cieux vont s’ouvrir sur vo
uront égalé ses désirs ; et tout cet amas de gloire ne sera plus à la fin qu’un monceau de boue qui ne laissera après elle
Fontenelle (1657-1757) Notice Il y eut deux hommes dans ce fin et froid Normand qui, à force de garder son cœur
on temps les choses alloient déjà bien de travers. Je croyois qu’à la fin elles prendroient un train plus raisonnable, et q
i, en 1704, un gros manuscrit qui contenoit tout ce qu’il y a de plus fin et de plus secret dans la conduite de l’attaque d
e bonté, et plaignoient le roi de la perte d’un si bon fils. Les plus fins d’entre eux, ou les plus considérables, s’inquiét
ltueux appartement. Cette sorte de désordre dura bien une heure. À la fin , M. le duc de Beauvilliers s’avisa qu’il étoit te
ort goûté du coadjuteur (depuis cardinal de Retz), poète, bel esprit, fin critique, qui, dans son Discours sur la tragédie,
’expression qu’appliquait aux siens Marguerite de Valois, où sa plume fine , légère et sûre, a semé de piquants récits et tra
e. Un style du meilleur aloi, net et brillant, et de l’esprit le plus fin , ont fait vivre ses Lettres et ses Mémoires. Il f
simple, quelquefois piquant, des Mémoires où le détail abonde, où les fins portraits ne manquent pas, où l’énergie perce par
it faire un conte, c’étoit avec des grâces infinies, un tour noble et fin que je n’ai vu qu’à lui. (Mme de Caylus.)
laissoit enfiler, que c’étoit une bénédiction. Brinon arriva, sur la fin de la troisième partie, pour me mener coucher. Il
un tour unique. Il en fit quelque difficulté ; mais il se rendit à la fin , et les regagna. J’en fus piqué ; j’en rejouai un
re publique, et donner les derniers coups à la tyrannie. Telle fut la fin de Michel Vasconcellos, Portugais de naissance, m
doit finir qu’avec sa vie. Voilà ce que j’ay cru devoir ajouter à la fin de ces mémoires, afin de ne rien laisser en arriè
st plus, et d’une vie toute prête à lui échapper. Mais à la vue d’une fin qui s’avance à grands pas, on diroit souvent qu’i
à l’occasion, sut être fière et désintéressée, en faisant, jusqu’à la fin , pour les libraires des romans imités de l’espagn
défilent nombre d’originaux piquants et vrais, sont une satire gaie, fine , instructive, sans fiel et sans âpreté, écrite d’
reproche inutilement : c’est l’estime que le monde a pour les écrits fins et limés. L’honneur de passer pour un parfait ora
sons de réforme, réformez vos vertus, dont les effets pourraient à la fin préjudicier à la prospérité de l’État. Cette réfo
, etc. Condamné par les pouvoirs civils et religieux, il se crut à la fin l’objet d’une persécution systématique et univers
et humanité sont des mots roturiers, je lui ai fait comprendre. à la fin , qu’elle est trop honorée qu’un comte GAP PARÀ (4
ur en reprendre : je sentis que je possédois un odorat intérieur plus fin , plus délicat encore que le premier ; enfin je go
cherchai à me reconnoître. « Dans cet instant l’astre du jour, sur la fin de sa course, éteignoit son flambeau. Je m’aperçu
eillé, très-industrieux ; il a les yeux pleins de feu, la physionomie fine , le corps nerveux, les membres très-dispos : sa j
rrasse, en courant de toute ma force, jusqu’à ce que la lassitude mît fin à la convulsion. C’est là ce qui m’a donné cet ai
de moi, dégoûté des autres, abîmé de dettes et léger d’argent ; à la fin convaincu que l’utile revenu du rasoir est préfér
e sera lu, et l’affaire n’en marchera pas mieux. Il faut pourtant une fin , messieurs ; car toutes vos intrigues, vos cabale
sages, lorsqu’il y introduit un sujet mêlé de tristesse. Telle est la fin de l’églogue où il a peint les malheurs de Mélibé
on590. Tibulle, Properce, Catulle, se ressentent de la mollesse de la fin du siècle d’Auguste, où ils vivoient. Leurs peint
and nombre de personnes avoient péri, la plupart doutant, d’après une fin aussi funeste d’une fille si vertueuse, qu’il exi
rance, est un historien exact et judicieux de Louis XI, et un peintre fin de son temps dans ses Considérations sur les mœur
 : il était député à la Constituante. — Sénac de Meilhan (1736-1803), fin observateur, juge en historien et en moraliste le
, l’imagination est représentée, dans le domaine de la prose, par les fines et subtiles comédies de Marivaux (1688-1763), don
tomber la plume des mains. (Id., ibid., LVIII.)   Thomas Fin de l’éloge funèbre de Marc-Aurèle624 « Il vo
vre pas, mais il y est ardent d’une jolie ardeur, comme on l’est à la fin d’un souper. Ce n’est que lorsqu’il porte un ordr
t à Byron, dont le nom grandit tous les jours. Lamartine écrit dès la fin de l’Empire ses Méditations dont il ne publie qu’
sur les confins de la morale et de la critique littéraire, aux plumes fines et délicates de deux morts d’avant-hier ou d’hier
elle de Théophile Gautier est pittoresque ; celle de M. Vitet, sobre, fine et savante. La critique artistique reflète l’espr
remonté le Tibre à Ponte-Mole, pour jouir de cette grande scène de la fin du jour. Les sommets des montagnes de la Sabine a
hommes, de se centir une âme élevée, une imagination forte, un esprit fin et juste, un cœur compatissant et sincère ; il fa
çaise avait fait connaître à Sa Majesté l’Empereur le désir de mettre fin à la guerre qui désole les deux peuples. L’interv
s nations Lorsqu’une déplorable faiblesse et une versatilité sans fin se manifestent dans les conseils du pouvoir ; lor
aphnis et Chloé ; à Rome, il remania et publia la traduction d’Amyot. Fin connaisseur, admirateur passionné, imitateur sava
s Pamphlets, ses nombreuses lettres, sont des modèles de plaisanterie fine , souvent acérée, et de style net, vif, alerte et
conquérant ; sans cela on y renoncerait. Tant y a que nous sommes au fin fond de la botte, dans le plus beau pays du monde
que vous êtes résolu de ne la point quitter que vous ne l’ayez mise à fin . Voilà parler comme il faut. Vous voulez qu’on vo
nséquences de la vérité. Partout et toujours, au commencement et à la fin , la lumière qui éclaire l’ombre, l’ombre qui obsc
l’époque où il avait cessé de combattre pour elle, et le bruit de sa fin ne devait, ce semble, éveiller dans les nouvelles
sque universelle des États de l’Europe depuis l’année 1322 jusqu’à la fin du quatorzième siècle. Je dis presque universelle
e ; dans le gouvernement des affaires de son pays, par la durée et la fin tragique de son plus long ministère (1840-1848) ;
r et type de l’humanité, qui, après l’avoir faite évidemment pour une fin excellente, ne l’abandonnera pas dans le développ
es qui s’en allaient. Napoléon assistait ainsi tout vivante sa propre fin . Qui n’a vu souvent, à l’entrée de l’hiver, au mi
n, avaient cessé leurs travaux, bien que la mort n’eût pas encore mis fin à leur existence. Un boulet perdu avait enlevé da
usticité ; mais il manquait de talent oratoire, et quoiqu’il fût très fin et connût bien les hommes au milieu desquels il a
rnardin de Saint-Pierre, à qui la plupart de ces jolies lettres de la fin sont adressées, je suis seul dans ma chambre : la
de joie et d’enjouement dans toute urbanité, il y a du sourire. À la fin du dix-septième siècle, c’est-à-dire au plus beau
ement des témoignages de cette familiarité décente, de cette moquerie fine , et de cette aisance à tout dire, qui remplit d’a
mot d’Horace :                                   Sunt certi denique fines Quos ultra citraque nequit consistere rectum. Il
ferme, aisé sans mollesse, élégant sans apprêt, précis sans aridité, fin sans recherche, qui ne se dément jamais dans ses
nnaissances propres à leur époque, recommençaient leurs études sur la fin de leur vie, et allaient en cheveux blancs aux éc
ravité ; une voix vibrante, maladive, mais assez animée ; avec un nez fin , une bouche d’une belle forme, quoique légèrement
critique artistique, modèles de goût sûr et élevé, de style sobre et fin . Son étude sur Lesueur (1843), qui contient un ta
es vipères, regagnant leur trou, raient de traînées obliques le sable fin de la route ; les aloès commencent à brandir leur
toute sa personne, soigneusement enveloppée dans un burnous blanc de fine laine, on ne voyait que l’extrémité de ses bottes
ant la prière ; un peu plus loin, les collines désertes de sable sans fin qui se teignent d’or aux rayons du soleil du soir
promettant de revenir le lendemain et tous les jours, pour adoucir la fin de Raphaël par les soins et les entretiens d’un a
ampanille916 romane de Saint-Denis-du-Pas (carcer Glaucini) jusqu’aux fines aiguilles de Saint-Pierre-aux-Bœufs et de Saint-L
l’armée russe. Comme son frère aîné, il écrivit, mais quelques pages. Fines et délicates, avec une pointe de sel, de fantaisi
humeur et de saillies ; les goûts et les aptitudes variés d’un esprit fin et curieux, ont fait à Charles Nodier une origina
L’empereur releva gracieusement la suppliante en lui jetant un regard fin et lui dit : — Serez-vous sage enfin ? Comprenez-
oire de Russie lui ont fourni le sujet d’études épisodiques à la fois fines et savantes. Mais c’est surtout dans ses romans,
ic., De Senect., IV.) 166. Cf. Balzac, les Fléaux de Dieu ; Bossuet, fin du Discours sur l’Histoire universelle. 167. Ce
ien joué la farce de la vie applaudissez. » (C’était la formule de la fin des comédies). Voir Suétone, 98. — « Notre existe
0 sermons (Dimanches et Vendredi saint du carême de 1718). — C’est la fin de ce morceau que Voltaire cite (Dictionnaire phi
e Rousseau, et était du langage génevois. 558. Remarquez l’art de la fin de cette phrase qui dispose et déroule les plans
onze espèces de fauvettes en France. 564. « C’est dans ces parties fines et transparentes que Buffon se rejoint comme pein
s’est enfui jusqu’à Mérope et jusqu’à Zaïre. 588. Bucoliq., Egl. I. fin . 589. Ibid., VIII, 15 et 16. 590. Par exemple
cé deux discours sur ce sujet avant l’éloquente improvisation qui mit fin aux débats. 599. Jacques Necker (1732 1804), de
ance. 607. Depuis l’arrestation des Girondins (2 juin 1793), qui mit fin à l’existence politique de leur parti et laissa l
terre, d’Écosse et d’Espagne a été publiée pour la première fois à la fin du xve siècle. — L’auteur a conservé à la rédact
it. 745. Voir la notice générale sur les prosateurs du xixe  siècle, fin . 746. Sic. Il fut élu par l’Académie. Napoléon
6-1742). 777. François Bacon, philosophe anglais (1560-1626). 778. Fin d’une strophe de l’Ode sur la mort de J.-B. Rouss
cette strophe, restée célèbre. 779. Lamartine répondit à Arago. La fin de son exorde, qui suit, provoqua d’unanimes appl
es, etc. 832. Cette causerie sur Ducis est un modèle de ces analyses fines et pénétrantes du fond et du caractère de l’homme
âchicoulis, flanqués de tours qui dntent de 1431. — Le traité qui mit fin à la guerre de Charles de Blois, contre Jean de M
par Thomas (Éloge du maréchal de Saxe), qui a quelque rapport avec la fin . Pendant la nuit qui précéda la bataille de Rauco
ert de fond aux scènes des romans. Les citations pourraient être sans fin . Voici quelques exemples, empruntés à Jules Sande
la hache. Les bois deviennent alors silencieux et mornes ; une pluie fine et froide ruisselle sur les feuillages qui vont s
70 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
es qui avaient fréquenté l’hôtel de Rambouillet, ou acquis, durant la fin du règne de Louis XIII et la minorité de Louis XI
tin. Ajoutons que les ennemis de Despréaux demeurèrent jusque vers la fin du siècle assez influents et assez nombreux pour
riomphe du pur classique et du goût antique devait être complet. À la fin du siècle se ralluma une nouvelle querelle inquié
es rimes défectueuses ; la rime de consonance de l’hémistiche avec la fin du vers, et de la fin d’un vers avec l’hémistiche
; la rime de consonance de l’hémistiche avec la fin du vers, et de la fin d’un vers avec l’hémistiche du précédent ; les in
ra les faucilles, Et les fruits passeront la promesse des fleurs. La fin de tant d’ennuis dont nous fumes la proie Nous ra
s. Marche, va les détruire, éteins-en la semence, Et suis jusqu’à la fin ton courroux généreux, Sans jamais écouter ni pit
cours ; Je les possédais jeune, et les possède encor            À la fin de mes jours. Ce que j’en ai reçu, je veux te le
nu, regardé comme le fils d’un pêcheur, aimé de deux reines, et, à la fin , devenant mari de l’une, en étant reconnu pour fr
          Encore un mot, de grâce. Dona Isabelle. Don Manrique, à la fin c’est prendre trop d’audace. Ne puis-je l’anoblir
Orgon. Le pauvre homme ! Dorine.                                À la fin , par nos raisons gagnée, Elle se résolut à souffr
mé de le connaître enfin, Et vos ravissements ne prendraient point de fin . C’est un homme… qui… ah !… un homme… un homme, Q
étexte au récit, au conte, à la rêverie ; la moralité s’y ajuste à la fin comme elle peut 85 . » Ainsi que le remarque M. T
de les perdre une seconde fois. Fais qu’un jour mes travaux par leur fin se couronnent. Je suis dans les périls ; mille ma
is certain auteur autrefois pour mon maître ; Il pensa me gâter. À la fin , grâce aux dieux, Horace, par bonheur, me dessill
es charmantes fictions de la Nuit, de la Mollesse, de la Chicane ; la fin du poème ne semble faite que pour amener l’éloge
lle la solidité, la netteté, la justesse de ses modèles, leur manière fine et vive de s’exprimer, et le tour précis qu’ils s
irique. Dans la pièce intitulée Épître à mon esprit, composée à la fin de l’année 1668, et imitée de la première Satire
en courroux tout le peuple latin, L’un ou l’autre fit-il une tragique fin  ? Et que craindre, après tout, d’une fureur si va
ans l’ingrate Byzance On n’entendra jamais d’éléphant discourir. À la fin , par bonté souffrant qu’on le délivre, Pour plair
r en lui beaucoup de verve et d’originalité, ni une connaissance bien fine et bien perspicace des hommes et de la société. C
qui, selon ses propres expressions, forment quelquefois un livre à la fin des pièces. La diction n’est pas la partie la moi
it, moitié prose, moitié vers, est une des plus agréables et des plus fines productions de Voltaire. Il le donnait comme une
ieilli conserva le mieux le charme de ses premiers écrits. Jusqu’à la fin de sa vie il mania le vers de dix syllabes comme
ar les arts, et surtout par la guerre ; Le temps de l’Arabie est à la fin venu. Ce peuple généreux trop longtemps inconnu,
en plaisir déguisée. De ces exploits le beau monde occupé Quitte à la fin le jeu pour le soupé. Chaque convive en liberté d
… Des ouvrages vantés qui n’ont ni pieds ni têtes ; Faire des soupers fins où l’on périt d’ennui ; Veiller par air, enfin se
nt toujours les poches de nos sœurs. Les petits soins, les attentions fines , Sont nés, dit-on, chez les Visitandines ; L’heur
au Vert-Vert ne bougeait du parloir. Sœur Mélanie, en guimpe toujours fine , Portait l’oiseau : d’abord aux spectateurs Elle
f et enjoué, mais il est vrai, naturel, raisonnable ; la plaisanterie fine et délicate ne dégénère point en calembours145 ».
relevait guère qu’à la sixième ou à la septième. Sa touche était trop fine pour le parterre. Cependant le grand succès de Ri
trêve. Nous en avons besoin : nous sommes assiégés De maux dont à la fin nous serions surchargés, Sans ce délire heureux q
ète qu’il n’y avait qu’à laisser vivre pour que son génie éclairât la fin du dix-huitième siècle et le commencement du dix-
un dernier rayon, comme un dernier zéphir,                 Animent la fin d’un beau jour, Au pied de l’échafaud, j’essaye e
anime presque de la joie. « Mon beau voyage encore est si loin de sa fin  ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin  
me siècle ; c’est essentiellement le poète de la description. Vers sa fin , dit-on, il se vantait d’avoir fait douze chameau
une entreprise difficile, qui avait déjà été osée par un poète de la fin du seizième siècle, R. Le Blanc : celle de tradui
nombreuses lectures dans les salons, excita dès son apparition, à la fin de 1769, un enthousiasme que le sévère critique C
oème, comme l’a dit Sainte-Beuve, « un des plus frais ornements de la fin du dix-huitième siècle ». De là, le grand succès
vant une pensée de Béranger, il les usa lui-même en les répétant sans fin dans ses trop nombreux ouvrages. Ce poète du beau
gentil bagatellier ». On sent partout l’homme qui conserva jusqu’à la fin de sa vie la méthode antipoétique de composer cha
nciens, les acteurs s’y introduiraient plus naturellement186. » À la fin du dix-huitième siècle, un Allemand, nommé par se
u’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli, Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli187. » Et cette attaque était l
re la poésie dramatique produite par le mouvement shakespearien de la fin de la Restauration et du commencement du règne de
rement froide, parce que la nature semble n’y avoir qu’elle-même pour fin , que c’est de l’art pour l’art, selon une express
es d’or, l’immortel séraphin Aux pieds de Jéhovah chante l’hymne sans fin . C’est alors que sans peine un Dieu se fait enten
a Restauration et sous le gouvernement de Juillet fut toute sa vie un fin et exquis littérateur. Il a laissé plusieurs cont
soi, Ne connaissait personne à mettre en cet emploi. Cependant, à la fin , quelqu’un de l’assistance, Voyant qu’on ne dit m
urtri, défiguré.     Ô vous ! sensibles créatures     Aux traits bien fins , bien réguliers,               Des noirs huissier
le mauvais goût. Le goût, chez Béranger, n’était ni bien sûr ni bien fin . Croirait-on qu’il ne distinguait pas la manière
Qu’un tourbillon toujours emporte. Sans vieillir accablé de jours, La fin du monde est mon seul rêve, Chaque soir j’espère
t pour l’éternité la mort seule est féconde. Louis. Je me lasse à la fin  : moine, fais ton devoir ; Exerce en ma faveur to
qu’il se résolve en un hymne ou en une invocation à celui qui est la fin de tous nos sentiments, à celui qui les produit e
n parcourt pour accomplir ses destinées perfectibles et arriver à ses fins par les voies de la Providence et par ses épreuve
ison, Qui contemple sa gloire et murmure son nom. Salut, principe et fin de toi-même et du monde, Toi qui rends d’un regar
re. Témoin de ta puissance et sûr de ta bonté, J’attends le jour sans fin de l’immortalité. La mort m’entoure en vain de se
le scepticisme. Le « point d’interrogation » se dresse pour lui à la fin de tout. Il a beau dire qu’il est de ceux qui esp
eignent les temps écoulés jusqu’à nos jours ou à s’écouler d’ici à la fin des temps, le poète s’est permis de mêler parfois
né, Le dégoût qui te prit des choses de ce monde, Ce mal de cœur sans fin , cette haine profonde, Qui te faisant atroce en t
prêtre : « Ô Seigneur ! ô Vierge, il n’est pas mort ! Je dépose à la fin le fardeau du remord ! Je n’ai plus à marquer un
race. 38. Allusion à un ouvrage plaisant, composé en italien vers la fin du seizième siècle et intitulé : Della famosissim
re préposition. 47. On dirait aujourd’hui l’opprimaient. 48. Cette fin de strophe est une imitation du vers : Oderunt p
tère et église, de monasterium. 280. Escalader a été formé, vers la fin du seizième siècle, sur l’italien scalata, de sal
un article de Louis Veuillot : c’est l’un des plus mordants, des plus fins et des plus sensés qu’il ait écrits. 290. Voir l
71 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
pelle esprit est tantôt une comparaison nouvelle, tantôt une allusion fine  : ici, l’abus d’un mot qu’on présente dans un sen
tous ceux qui n’ont songé qu’à être admis à quelques soupers ; que la fin d’une vieillesse inutile, infirme, est une chose
is paraître en sa présence. Je lui conseillerais, s’il voulait mettre fin à cette étrange aventure, de prendre à peu près s
garée qui est à table depuis quatre-vingts ans, et qui demande sur la fin du repas de mauvaises liqueurs, après avoir bu au
. Voltaire, comme au plupart des vieillards, croyait, volontiers à la fin du monde c’est-à-dire se lamentait souvent sur la
72 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
de la même sorte, et à leur exemple en faire les moyens et non pas la fin de notre étude, et ainsi tâcher de les surpasser
s ont donné ; et, trouvant encore dans les autres la même chose, sans fin et sans repos, qu’il se perde dans ces merveilles
entre rien et tout. Infiniment éloigné de comprendre les extrêmes, la fin des choses et leur principe sont pour lui invinci
’ordre de la pensée est de commencer par soi, et par son auteur et sa fin . Or, à quoi pense le monde ? Jamais à cela ; mais
c’est la terre qui tourne autour du soleil. 2. Ce verbe, rejeté à la fin de la phrase, produit un effet grandiose. 3. Pas
73 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
e jugement de son époque. Grâce à elle, grâce à sa plume naturelle et fine , délicate et ferme, courant toujours et ne s’égar
evoir dans ma vie ; mais quelles pensées tristes, de ne point voir de fin à votre séjour ! J’admire et je loue de plus en p
sse que de grâce. Il suffirait de rappeler pour son éloge que, sur la fin de sa belle vie, M. Royer-Collard, cet excellent
74 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Malherbe 1555-1628 » pp. 302-309
qui a plus de chaleur que de flamme. Ses imitations des anciens sont fines et adroites. Il se distingue par une brusquerie m
En quelque haut dessein que ton esprit s’égare, Tes jours sont à leur fin , ta chute se prépare,   Regarde-moi pour la derni
Marche, va les détruire, éteins-en la semence ; Et suis jusqu’à la fin ton courroux généreux, Sans jamais écouter ni pit
75 (1873) Principes de rhétorique française
dées ; elle dit ce qu’il faut mettre au commencement, au milieu, à la fin . 6. Le l’élocution. — L’Élocution indique le ton
pelle esprit est tantôt une comparaison nouvelle, tantôt une allusion fine  ; ici l’abus d’un mot qu’on présente. dans un sen
udains, des changements inouïs ; la rébellion longtemps retenue, à la fin tout à fait maîtresse ; nul frein à la licence ;
homme ivre au milieu d’une assemblée à jeun. C’est donc surtout à la fin que la passion a le droit d’éclater ; alors qu’il
qui m’épouvante. Je suppose que c’est ici votre dernière heure et la fin de l’univers ; que les cieux vont s’ouvrir sur vo
mportent le pathétique.    IL Réserver, en général, cet effet pour la fin de la composition. III. Éviter le trop qui expose
Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ; Que le début, la fin répondent au milieu ; Que d’un art délicat les pi
, une exposition et une conclusion, un commencement, un milieu et une fin , tels sont les éléments essentiels et permanents
eur morale : Milon, ce jour-là même, était resté au Sénat jusqu’à la fin de la séance ; il rentra chez lui, changea de cha
e haute, mais un peu penchée vers l’épaule gauche, la taille moyenne, fine et dégagée, le corps bien proportionné et fortifi
sir vivement les esprits dès les premiers mots ; il réservera pour la fin ce qu’il a de plus décisif, ce qu’il croit irrési
oudains, des changements inouïs, la rébellion longtemps retenue, à la fin tout à fait maîtresse ; nul frein à la licence ;
n a justement reproché à l’école descriptive des versificateurs de la fin du dix-huitième siècle. Massillon lui-même n’est
langage clair, son ton assuré ; l’adversaire déloyal est astucieux et fin , il élude les explications : Vous le reconnaître
ans un morceau de musique bien composé le motif du début revient à la fin et forme ce qu’on nomme ritournelle, de même, sui
omme ritournelle, de même, suivant la bonne expression de Joubert, la fin d’un ouvrage doit faire souvenir de.son commencem
ce l’a prévenu ; les bataillons enfoncés demandent quartier. Dans la fin de cette période et le mélange du passé au présen
le. Pour atteindre ce but ce serait d’abord, au commencement ou à la, fin des phrases, puis aux divers repos indiqués par l
le monde, naissait sur la paille, par une froide nuit d’hiver, sur la fin du règne d’Auguste. Sur la fin du règne d Auguste
e, par une froide nuit d’hiver, sur la fin du règne d’Auguste. Sur la fin du règne d Auguste, par une froide nuit d’hiver,
irconstanciés, et surtout de retarder et de faire attendre jusqu’à la fin , pour frapper un grand coup et produire un effet
e : Comme la main de Dieu était sur Joram, son règne fut court et sa fin fut affreuse.   Les hommes agissent mollement dan
Elle nous plaît, dit Aristote, parce qu’elle a un commencement et une fin , parce qu’il nous semble que nous tenons quelque
métrie et qu’elles présentent un sens qui demeure suspendu jusqu’à la fin . Le caractère essentiel de la période est la susp
d’une âme qui ne se possède plus. Tel est le mouvement d’Oreste à la fin de la tragédie d’Andromaque : Grâce au Dieu ! m
ntrent la chose plus grande, ou, s’il ne s’agit pas de grandeur, plus fine et plus délicate. Mais on doit bien se donner de
dans la nature. C’est le vice de la conclusion que Thomas a mise à la fin de son parallèle entre Sully et Colbert : Tous d
ilius traçant un cercle autour du roi Antiochus. De même Fénelon à la fin d’une critique du faux philanthrope : Le misanth
lles ne seront plus on rapport avec l’action attribuée à Dieu dans la fin de chacune des deux périodes. Les Grecs du siécle
n avec ce qu’on croyait d’abord pouvoir attendre. Ainsi Bossuet, à la fin de l’oraison funèbre de la reine d’Angleterre :
ur ainsi dire, que les hommes du peuple ! Au lieu de se rejeter à la fin d’un développement, la sentence peut se placer da
lme comme le soir d’un beau jour ; le poëte dit : Rien ne trouble sa fin , c’est le soir d’un beau jour. Fénelon emploie u
ceptre à la houlette Tout est sujet au même sort. LaFontaine. A la fin , j’ai quitté la robe pour l’épée ; au lieu de la
; synthétiques de pouvoir placer les mots importants au début et à la fin des propositions38. On peut encore désigner comme
os, même avec un léger changement, se placent au commencement ou à la fin de la phrase, lorsque plusieurs membres de phrase
’être infaillibles : — « Quand Crésus aura passé l’Halys, ce sera la fin d’un grand empire. » — Lequel ? L’événement décid
pas de règle générale. L’obscurité naît souvent du désir de paraître fin , délicat, mystérieux, profond. Dès longtemps Mayn
e de la pensée. Pour les phrases, elle résulte du soin avec lequel la fin en est préparée, de manière à ce que tous les rep
ent sur des notes sonores ou harmonieuses. Les syllabes muettes, à la fin d’une proposition principale, sont un des écueils
ontribue à augmenter la terreur : c’est d’abord : Tremble ; puis à la fin , cette longue épithète redoutable ; enfin ce reje
la composition : un style simple pour plaire dans l’exorde, un style fin et pénétrant pour convaincre dans la confirmation
’orateur ; témoin ce tableau de la mort du sage ; Rien ne trouble sa fin , c’est le soir d’un beau jour. Quelle richesse a
’est plus opposé à la véritable éloquence que l’emploi de ces pensées fines et la recherche de ces idées légères, déliées, sa
nseignement jusqu’à l’âge de trente-neuf ans. Exemple mémorable, à la fin de sa préture, c’est-à-dire à puis de quarante an
e ne sont qu’astragales ; Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin Et je me sauve à peine au travers du jardin. , Fu
uront égalé ses désirs ; et tout cet amas de gloire ne sera plus à la fin qu’un monceau de boue qui ne laissera après elle
nd art de savoir bien louer, et nul genre ne demande des pensées plus fines et des tours plus délicats. Cette observation gén
propre renommée et se précipite vers la gloire dans tous les sens. La fin de ces deux hommes a été le juste salaire de leur
coups épouvantables, Résisté sans courber le dos ; Mais attendons la fin . » Le propos n’est pas long, mais il est énergiq
dans leurs prières. Les prières des hommes. Sujet : Lucien, sur la fin de sa vie, alla passer quelque temps chez le phil
er la trappe, et Lucien se réveille. Développement. — Lucien, sur la fin de sa carrière, passa quelque temps auprès du phi
evenir un homme honnête et intelligent, habile et vertueux ; c’est la fin commune, générale, nécessaire. Mais, de plus, il
ie dans telle ou telle profession, par laquelle il devra atteindre sa fin particulière et se rendre en même temps utile à s
l’élève au-dessus de tout en ce monde, le rend capable d’atteindre la fin la plus haute dans un monde meilleur, en même tem
doit tout subordonner à la justesse des idées et des raisonnements. FIN DE LA RHETORIQUE. 1. Voir Morceaux choisis d
76 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IX. Poésies fugitives. »
ramme, prise dans son sens restreint, n’est autre chose qu’une pensée fine et mordante, dirigée contre quelqu’un ou quelque
, il gagna le rivage, Et rappela ses esprits doucement ; Tant qu’à la fin , ayant repris courage : « Beau sire Dieu ! cria-t
sentir. Chaque couplet d’une chanson doit être terminé par une pensée fine ou un sentiment délicat. Il y a des chansons qui
ue ou de mordant. Mais qu’on ne passe point les bornes d’une critique fine et d’une raillerie délicate. Il faut se contenter
77 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
res imprévues qui piquent la curiosité, l’art d’aiguiser en ironie la fin d’un compliment, un goût délicat et sûr, un color
prétends pas en nier l’empire ni le mérite. C’est ce jugement pur et fin , composé de connaissances et de réflexions, que p
ublic, et lui rendant ce qu’il vous donnait, que de vues heureuses et fines , que d’intentions comiques, quel vif et piquant d
ux faire sentir le charme. En appréciant Fontenelle, M. Villemain est fin et délicat comme lui. Son expression est grave, b
78 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
faussement sur des principes connus. Tous les géomètres seraient donc fins , s’ils avaient la vue bonne, car ils ne raisonnen
onnent pas faux sur les principes qu’ils connaissent ; et les esprits fins seraient géomètres, s’ils pouvaient plier leur vu
s inaccoutumés de géométrie. Ce qui fait donc que de certains esprits fins ne sont pas géomètres, c’est qu’ils ne peuvent du
incipes de géométrie ; mais ce qui fait que des géomètres ne sont pas fins , c’est qu’ils ne voient pas ce qui est devant eux
jusque un certain degré. Et ainsi d est rare que les géomètres soient fins , et que les lins soient géomètres, à cause que le
à cause que les géomètres veulent traiter géométriquement les choses fines et se rendent ridicules, voulant commencer par le
es, et le sentiment n’en appartient qu’à peu d’hommes. Et les esprits fins au contraire, ayant ainsi accoutume à juger d’une
n rebutent et s’en dégoûtent. Mais les esprits faux ne sont jamais ni fins ni géomètres. Les géomètres qui ne sont que géomè
; car ils ne sont droits que sur les principes bien éclaircis. Et les fins qui ne sont que fins ne peuvent avoir la patience
its que sur les principes bien éclaircis. Et les fins qui ne sont que fins ne peuvent avoir la patience de descendre jusque
u, en quoi il y a peu de principes ; mais les conséquences en sont si fines , qu’il n’y a qu’une extrême droiture d’esprit qui
l et par ses veilles. Il porte plus haut ses projets et agit pour une fin plus relevée : il demande des hommes un plus gran
utre bête plus difforme ; c’est un monstrueux assemblage d’une morale fine et ingénieuse et d’une sale corruption. Où il est
laissent en désirer d’autres. Il échappe quelque fois de souhaiter la fin de tout le spectacle : c’est faute de théâtre, d’
trainte de la mesure. Issu prospère, et vient d’issir, qui est aboli. Fin subsiste sans conséquence pour finer, qui vient d
le malin esprit, Qu’il épousa sous feminin visage. Si piteux cas à la fin descouvrit Sans un seul brin de peur ny de dommag
les grâces et les richesses de la latine, fait des romans qui ont une fin , en bannit le prolixe et l’incroyable, pour y sub
lui soit égalé : ils en appellent à l’autre siècle, ils attendent la fin de quelques vieillards qui, touchés indifféremmen
ue ces arts dégénèrent toutes les fois qu’on les rapporte à une autre fin qu’à tonner les hommes à la vertu. Il prouve que
ui, manquant des vrais principes pour le bien public, tendent à leurs fins particulières. A la jurisprudence, dit-il encore,
s il doit parler : ainsi, il faut savoir ce que c’est que l’homme, sa fin , ses intérêts véritables ; de quoi il est composé
mieux, il en sera meilleur orateur ; ses transitions ne seront pas si fines  : n’importe : outre qu’il peut les avoir préparée
on jour. Il faut laisser quelquefois une vérité enveloppée jusqu’à la fin  : c’est Cicéron qui nous l’assure. Il doit y avoi
s il faut terminer le discours. Il est souvent à propos de faire à la fin une récapitulation qui recueille en peu de mots t
e le second livre des Machabées, le livre de la Sagesse, surtout à la fin , et celui de l’Ecclésiastique, surtout au commenc
et craint encore après sa mort : prenez-y garde, vous en trouverez la fin sublime. Saint Léon est enflé : mais il est grand
stés, Des mains de la nature exactement notés : L’oreille heureuse et fine en sent la différence. Sur le ton des Français, i
J’y vois tout ce que j’y demande ; Et les torchons y sont pour moi De fine toile de Hollande. Il n’est point de lecteur qui
eux nations contemporaines, l’une a un goût rude et grossier, l’autre fin et naturel. Le malheur est que, quand on prononce
s autres théâtres. Du goût des connaisseurs En général, le goût fin et sûr consiste dans le sentiment· prompt d’une b
mmes trouvèrent établie de leur temps. Nous n’avons à présent, sur la fin de notre beau siècle, ni de Massillon, ni de Bour
urment D’aimer sans eupêrance-eu 82 ! La gloire et la victoire, à la fin d’une tirade, font presque toujours la gloire-eu,
ien lumineuses. Je ne m’étonne point qu’un esprit aussi sage et aussi fin donne la préférence à l’art de Racine, à cette sa
u’il ait choisi des personnages et des sujets trop bas. Les ridicules fins et déliés dont vous parlez ne sont agréables que
sit les rapports, les circonscrit et les met à leur place ; un esprit fin les analyse, et en aperçoit les nuances ; un espr
as entendu ; mais le soin de l’être est sacrifié au désir de paraître fin , délicat, mystérieux, profond. Pour ne pas tout d
vouloir briller à ses dépens, et ne rien soigner avant elle. Le style fin a son demi-jour, le style délicat a son voile ; m
les ombres diaphanes, le voile transparent, que consiste l’art d’être fin et délicat, sans être obscur. C’est peu d’être cl
u’elle se montre au barreau ; et cette distinction, il l’exprime à la fin du passage que je viens de citer : Quœ in veritat
ligence qu’il fait paraître de son art ; et on admire qu’un esprit si fin ait été en même temps si naturel. Il serait super
ser à l’esprit humain mais rien ne cèle plus parfaitement aux esprits fins une hauteur fausse et contrefaite, qu’un discours
de Corneille ne me surprend point : le bon goût n’est qu’un sentiment fin et fidèle de la belle nature, et n’appartient qu’
une espèce de médiocrité. S’il m’est permis d’être sincère jusqu’à la fin , j’avouerai que je trouve encore des pensées bien
d acte pour comprendre ce que je dis. Qu’on me permette d’en citer la fin , quoiqu’on pût trouver dans la même pièce de plus
core plus opposé à la véritable éloquence que l’emploi de ces pensées fines et la recherche de ces idées légères, déliées, sa
rimes ; là un mot vient à la suite de l’autre, et il en résulte à la fin quelque chose qui n’est rien, mais qui néanmoins
point. Dans le style, au contraire, chaque chose est si déliée et si fine , qu’elle échappe, en quelque sorte, au contact. E
ambouillet pour la défense de cette particule, vivement attaquée à la fin du seizième siècle, et que l’Académie fut sur le
48. Ces deux rondeaux, selon M. Paulin Paris, ont été composés à la fin du seizième siècle ou même plus tard. 49. Ogier
e Charlemagne. 50. Richard sans peur, duc de Normandie, vivant à la fin du Xe siècle. 51. Segrais, traducteur des Géorg
, et les défauts moins avoués de l’autre. Si l’on trouve, dit-il à la fin de cet article, en parlant des jugements qu’il a
79 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
istoire des progrès littéraires accomplis par notre langue jusqu’à la fin du XVIe siècle Il convient maintenant de résum
’époque même annoncée par de sinistres prophètes comme devant être la fin du monde. Encore faut-il attendre le xie  siècle,
entit, la chevalerie est encore bien vivante, et c’est seulement à la fin du siècle suivant que s’enhardiront les audacieux
ne page de Molière. La prose abonde dans ce siècle vulgaire, dont la fin est assombrie par l’ombrageuse, mais habile tyran
qui dégénérèrent en romans d’aventures. Ce fut le commencement de la fin . Dès lors, le temps approche où ces poëmes seront
80 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
μὲν φορτιϰωτέρας ἔχουσι τάς ϰινήσεις, οἱ δὲ ἐλευθεριωτέρας  ibid., 6, fin  : ἀρετή est opposé à φορτιϰὴ ἡδονἠ  ibid., 7 : Θε
istote des moyens grossiers de produire l’intérêt. Voyez plus haut la fin du chap. vi et le commencement du chap. xiv. Il s
81 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
sympathique de la France donne plus qu’il ne reçoit, et partout, à la fin du siècle, l’influence des idées françaises sera
res nouveaux, complexes, qui marquent en même temps le triomphe et la fin du dix-huitième siècle. « La révolution, a dit Sa
s aux cantiques sacrés de Le Franc de Pompignan. Sans doute, avant la fin du siècle, il y eut pour ranimer la poésie lyriqu
s assez sèche, si l’auteur n’y avait mêlé d’agréables anecdotes et de fines réflexions. Rulhière a des parties d’éclat dans s
premier qui traduisit les idées sévères de la science dans une langue fine , spirituelle, souvent d’une heureuse netteté ; et
Merlet, le double caractère de cette période. Elle est à la fois une fin et un commencement, par conséquent une transition
n, dans le même temps, compose son chef-d’œuvre, la Petite Ville, une fine peinture détachée de La Bruyère et agrandie. Dans
le n’a pas laissé d’enrichir notre littérature de pages brillantes et fines  : les noms de Raoul-Rochette, de Vitet surtout, e
sont faibles souvent ; ils sont assez nombreux et variés, mais moins fins , moins fouillés, d’une observation bien moins ori
ux que son style a plus de séduction, de charme, sa pensée de nuances fines et discrètes. La doctrine elle-même du pessimisme
droit d’en attendre, et ne nous conduirait pas à une des principales fins pour lesquelles nous sommes nés. Pour peu qu’on e
és. Pour peu qu’on examine la nature de l’homme, ses inclinations, sa fin , il est aisé de reconnaître qu’il n’est pas fait
les, est de les rendre meilleurs ; et que quiconque s’écarte de cette fin , quelque mérite qu’il paraisse avoir d’ailleurs,
t le fruit qu’on en doit attendre ; à les considérer, non comme notre fin , mais comme des moyens qui peuvent nous y conduir
différentes circonstances. Et pendant qu’il remarque par un sentiment fin et exquis les grâces, les tours, les manières, le
e qu’un goût épuré et sûr a de plus juste, de plus délicat et de plus fin , et y entraîner peu à peu tous les autres. Ibid.
ntendre La Bruyère et Fénelon, il semble que l’éloquence sacrée, à la fin du dix-septième siècle, soit en pleine décadence,
rang que Bossuet et Bourdaloue, sachons apprécier chez Massillon une fine connaissance du cœur humain, l’art de persuader p
la rappelle et qui la ramasse76. Grand Dieu ! Traînerai-je jusqu’à la fin mes jours dans cette triste inutilité, dans cet e
nvient d’observer cependant que, par fatigue et dégoût, il rompt à la fin avec les compagnies suspectes qu’il a trop longte
rands chemins. Gil Blas raconte sa première expédition. Ce fut sur la fin d’une nuit de septembre que je sortis du souterra
e conseille en ami de ne plus te jouer aux moines : ce sont gens trop fins et trop rusés pour toi. » Gil Blas, liv. I, ch. 
reproche inutilement : c’est l’estime que le monde a pour les écrits fins et limés. L’honneur de passer pour un parfait ora
faiblesse sous un domestique honteux, ténébreux, tyrannique ! Quelle fin d’un règne si longuement admiré, et jusque dans s
us ceux qui n’ont songé qu’à être admis à quelques soupers, et que la fin d’un vieil inutile, infirme, est une chose bien p
core plus opposé à la véritable éloquence que l’emploi de ces pensées fines et la recherche de ces idées légères, déliées, sa
fermeté avec laquelle Vauvenargues, comme Pascal, défendit jusqu’à la fin contre la maladie la liberté de son esprit. Il mo
venargues, sans égaler ceux de La Bruyère, sont souvent d’une analyse fine et pénétrante : parfois aussi (et leur intérêt n’
ligence qu’il fait paraître de son art ; et on admire qu’un esprit si fin ait été en même temps si naturel. Il serait super
errasse, en courant de toute ma force jusqu’à ce que la lassitude mît fin à la convulsion. C’est là ce qui m’a donné cet ai
de moi, dégoûté des autres, abîmé de dettes et léger d’argent ; à la fin convaincu que l’utile revenu du rasoir est préfér
naturellement à s’isoler ou à se donner le beau rôle. » Et jusqu’à la fin , en effet, il y aura chez Bernardin, avec des goû
nes, trente-sept espèces toutes différentes ; mais il y en vint, à la fin , en si grand nombre, et d’une si grande variété,
, de courtes et de larges, qui ressemblaient à des réseaux de la plus fine gaze. Chacune avait sa manière de les porter et d
l’un des premiers, l’avait indiqué comme un critique d’une race plus fine que celle de La Harpe et plus affranchi des tradi
Une nuit d’été à Saint-Pétersbourg. Au mois de juillet 1809, à la fin d’une journée des plus chaudes, je remontais la N
hristianisme, il lui donna (on en jugera tout à l’heure) des conseils fins et discrets. Il aida la fleur, si l’on peut dire,
crer, comme l’appelle La Fontaine, j’en tire parti pour une meilleure fin , et d’un état en apparence ennemi de toute étude,
aut pas se plaindre de souffrir ce que tant d’autres ont souffert. La fin d’ailleurs, quelle qu’elle soit, est toujours pro
sorte de « majorât annuellement électif469. » qui protégea jusqu’à la fin la retraite laborieuse du grand historien. Ce fut
on de la ville ; à l’impression de sympathie que cause d’ordinaire la fin prématurée des personnes royales se joignait, pou
anglaise, sans chef et sans drapeau, prolongèrent la lutte jusqu’à la fin du jour, tellement que les combattants des deux p
it à démontrer que les penchants de la nature humaine en indiquent la fin . La raison reconnaît ces tendances primitives, et
par la simplicité élégante de sa diction, par l’attrait d’une parole fine , mesurée et gracieuse, et surtout par cet accent
is que chez les êtres insensibles et inintelligents la nature va à sa fin sans qu’ils le sentent et sans qu’ils le sachent.
doués, examinez, et voyez laquelle ici-bas a son but et parvient à sa fin . Il semble que le monde qui nous entoure ait été
ce qu’ils veulent, c’est ce qu’elle veut ; ce qu’elle veut, c’est la fin pour laquelle elle a été faite, c’est sou bonheur
échoué mille fois, nous nous obstinons encore à le croire. Mais, à la fin , soit que quelque grand coup, venant à nous frapp
eu d’une immense nature, qu’il se trouve seul en face de ce ciel sans fin , en face de cet horizon qui s’étend au loin, et a
s la connaître, et qui l’emporte avec eux d’une origine ignorée à une fin ignorée : et de cette manière encore se pose pour
ue devait avoir peu d’attrait pour un esprit méditatif dont le talent fin , mesuré et abstrait, ne parvenait pas jusqu’à la
on souper, afin d’avoir toute la nuit pour écrire et pour prier. A la fin de son repas, elle appela tous ses serviteurs, et
s qui s’en allaient. Napoléon assistait ainsi tout vivant à sa propre fin . Qui n’a vu souvent, à l’entrée de l’hiver, au mi
, impressionnable, tout entière à l’objet présent ; intelligence plus fine que féconde, moins ferme que brillante, qui s’ébl
. » Histoire de France, tome II, liv. III (Tableau de la France). Fin et résultats du règne de Louis XI (1483). Aprè
à peine dans sa riche robe fourrée (il s’habillait richement vers la fin ), leur dit, en articulant difficilement, qu’il ét
ngue Saint-Marc Girardin, c’est un bon sens net et prompt, une raison fine et heureusement tempérée, une imagination facile,
dans cette région moyenne où la raison se suffit à elle-même, que de fines et piquantes remarques ! Par nature, Sainte-Beuve
ombien il en savait reproduire les mœurs et parler le langage. Sur la fin de sa vie, retiré dans sa ville natale, il abando
nt toujours les poches de nos sœurs. Les petits soins, les attentions fines , Sont nés, dit-on, chez les Visitandines : L’heur
eau Ver-Vert ne bougeait du parloir. Sœur Mélanie, en guimpe toujours fine , Portait l’oiseau : d’abord aux spectateurs Elle
, acte IV, scène iv. Ducis.(1733-1816.) Parmi les poètes de la fin du dix-huitième siècle qui méritent plus qu’une r
(1812), dans lequel on peut relever plusieurs portraits d’une touche fine et heureuse, Delille mourut à Paris en 1813. L’éc
bes. Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre, Animent la fin d’un beau jour, Au pied de l’échafaud j’essaye en
tre, pas même académicien ; du moins il la mit en pratique jusqu’à la fin . Quand, après la révolution de février, le départ
l’univers ; J’ai demandé sa cause à toute la nature, J’ai demandé sa fin à toute créature ; Dans l’abîme sans fond mon reg
igneur, quand je ne suis pas né ? Rien avant, rien après, gloire à la fin suprême ! Qui tira tout de soi se doit tout à soi
ni si bas, simple enfant de la terre, Mon sort est un problème, et ma fin un mystère ; Je ressemble, Seigneur, au globe de
leurs, méritait de plaire. Des traits d’un comique excellent et d’une fine observation morale firent le succès d’une comédie
peut changer pour vous l’ordre de la nature. LOUIS. Je me lasse à la fin  : moine, fais ton devoir ; Exerce en ma faveur to
de hasard ! L’âme en vivant s’altère ; et, quoique en toute chose La fin soit transparente et laisse voir la cause, On vie
Et d’un souffle il a tout dispersé sur les flots ! Nul ne saura leur fin dans l’abîme plongée. Chaque vague en passant d’
s, où son esprit charmant courait et se jouait avec aisance. Sa prose fine et poétique avait, d’ailleurs, le tour sobre et c
s la tempête et je suis le torrent ! Sur l’or d’un sable pur, sur les fines pelouses, Le flot n’a qu’un murmure et jamais de
tter nos visions ; Comme ces bois, en perdant ton mystère, Tu vois la fin de tes rares beaux jours ; L’automne, hélas ! si
espierre. Danton vient proposer à Marat et à Robespierre de mettre fin à la terreur et de constituer un gouvernement rég
avancement est votre seule loi ; Touchez-là ! — Vous, monsieur, à la fin de la lutte, Vous flattez la victoire et flétriss
ct aux yeux du monde, Il sent croître et pleurer tout bas Sa blessure fine et profonde : Il est brisé, n’y touchez pas. Su
, Mélanges biographiques (Mme la Comtesse de Rumford).— Cf. Caro : La Fin du dix-huitième Siècle, t. Ier, p. 17 et suiv.; —
r le goût dans le Dictionnaire philosophique ; ce En général, le goût fin et sûr consiste dans le sentiment prompt d’une be
on. 123. Ce portrait de Bossuet a été donné par M. P. Faugère, à la fin du tome II des Écrits inédits de Saint-Simon. Voi
ettres de Symmaque, livre X, lettre liv. 151. Né à Tarragone vers la fin du quatrième siècle. La date de sa mort est incer
dversus paganorum calumnias. » 152. Né à Cologne ou à Trèves vers la fin du quatrième siècle, mort en 484. Montesquieu fai
r le même sujet et donné dans ce volume, page 5. 189. Les réflexions fines et justes de Voltaire dans cet article sur le goû
nt disait plus vivement encore du souper « qu’il était une des quatre fins de l’homme. » 200. On connaît le célèbre aphoris
rie pendant que son père était chancelier. Exilé dans ses terres à la fin du règne de Louis XV, il fut rappelé par Louis XV
chap. xii, § 3 ; — Sainte-Beuve, Causeries du Lundi, tome III ; — La Fin du dix-huitième siècle, par E.Caro, tome I, cbap.
s ont donné ; et, trouvant encore dans les autres la même chose, sans fin et sans repos, qu’il se perde dans ces merveilles
lace il le couche. 318. Hegel a, sur ce point, une page curieuse et fine que l’on peut lire dans son Esthétique, tome II,
exions. » 345. Doudan définit ainsi la prose de Voltaire : « Coloris fin et léger. Vivacité contenue ; parfois quelque cho
te-Beuve : Caractères et Portraits littéraires, tome III. — Caro : La Fin du dix-huitième siècle, V. tome II : Coppet et Mm
René Taillandier. Voir aussi l’étude de M. Caro, citée plus haut : La Fin du dix-huitième siècle, t. II, p. 192 et suiv. 3
iles et trop nombreux, relisez, après cette page de Mme de Staël, les fines observations de La Bruyère sur le même sujet. Il
Caro, intitulé : Le Pessimisme dans l’histoire. On y trouvera de très fines remarques sur la différence entre le pessimisme r
signe fatal des littératures en décadence, qui a paru chez nous à la fin du siècle dernier et au commencement du nôtre. »
modes d’expression. 457. Sur ce même sujet, on pourra lire des pages fines et élevées dans le livre de M. Caro : Problèmes d
8, après la guerre de Crimée (1855). 536. Voir une note ajoutée à la fin du IIIe volume des Portraits littéraires : « Je s
érature française, tome IV, chap. v; Marmontel, ses Mémoires, vers la fin du livre IV. — Dijon, sa ville natale, con­serve
son auteur une place légitime parmi les maîtres de la scène. 616. La fin de ce beau vers est singulièrement affaiblie par
oger à la loi générale, qui ordonne qu’un caractère soit le même à la fin de la pièce, qu’il était au commencement. » 623
ometæ… 629. Cet effroi chimérique ne cesse guère d’exister qu’à la fin du dix-septième siècle. L’un des premiers livres
te année trois éditions. C’est, en réalité, comme on l’a dit, le plus fin et le plus joli de nos contes en vers. Jusque-là
Causeries du Lundi, tome IV, et Nouveaux Lundis, tome III ; Caro, la Fin du dix-huitième siècle, tome II. 698. M. Becq de
ntier, Michel Lévy et Didier. 841. Ce beau fragment justifierait les fines réflexions de Saint-Marc Girardin sur la poésie d
82 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
ne. Approche-t-il du but ? quitte-t-il ce séjour ? Rien ne trouble sa fin  : c’est le soir d’un beau jour2. La beauce 3
, il se repose ; Il s’amuse à tout autre chose Qu’à la gageure1 A la fin , quand il vit Que l’autre touchait presque au bou
s coups épouvantables Résisté sans courber le dos ; Mais attandons la fin . » Comme il disait ces mots, Du bout de l’horizon
sorte ; et je n’entasse guère Un jour sur l’autre : il suffit qu’à la fin J’attrappe le bout de l’année ; Chaque jour amène
it, Si quelque chat faisait du bruit, Le chat prenait l’argent5. A la fin , le pauvre homme S’en courut chez celui qu’il ne
rs, il l’appelle demoiselle ; ce mot va bien à l’élégance, au long et fin corsage de la belette. C’est ainsi qu’il applique
sons, nous abandonnons. Virgile a dit dans le même sens : Nos patriæ fines et dulcia linquimus arva. (Bucoliques, églogue 1,
n toussant et avec une voix frêle et débile, qu’on ne verra jamais la fin  ; il se promène tous les jours dans ses ateliers
83 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -
tis. Réduit à la misère, ce gai conteur termina sa vie légère par une fin tragique. Ce sceptique, habitué à rire de tout, s
ets de nature que tous les hommes ensemble ne sçavent pas ; mais à la fin tout leur cas s’en va en fumée…4 et ne les sçauro
84 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE III. Règles particulières de la quantité. » pp. 274-294
E III. des voyelles finales. I A final. A est bref à la fin des mots, comme dans rosă, templă, sanctă, etc.
, quadragint[ATTcaractere], etc. II E final. E est bref à la fin des mots, comme dans dominĕ, sororĕ, amarĕ, legit
ic) ; dans l’interjection ehŏ. V U final. U est long à la fin des mots, comme tū, diū, manū, cornū, (genit., da
ètes latins ont généralement élidé cette finale, ou l’ont placée à la fin du vers. Virgile l’a allongée dans plusieurs endr
85 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
Qu’en un lieu, qu’en un jour, un seul fait accompli Tienne jusqu’à la fin le théâtre rempli. L’unité de lieu exige que l’a
souffre, il fait souffrir les autres ; ce sont des alternatives sans fin  ; c’est la vie elle-même avec toutes les péripéti
e, qui ne s’atteint que par une observation profonde, par un jugement fin et une imagination vive. Elle résulte, soit d’une
moyens qui font rire, pour ne pas laisser languir le spectateur à la fin . C’est toujours au troisième et quatrième acte qu
la pompe et les grands mots en sont bannis. Les pensées doivent être fines , délicates, ingénieuses et piquantes, mais sans e
86 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IX. De quelques autres figures qui appartiennent plus particulièrement à l’éloquence oratoire. »
ute la beauté. « Je suppose que c’est ici votre dernière heure et la fin de l’univers ; que les cieux vont s’ouvrir sur vo
ême). La correction, ou plutôt l’épanorthose 52 corrige d’une manière fine et délicate ce que l’orateur vient de dire, quoiq
aines ! ne suspendras-tu jamais ton cours ! entraîneras-tu jusqu’à la fin les enfants d’Adam dans l’abîme immense et terrib
87 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239
pouillement et la lecture de plusieurs milliers de volumes, depuis la fin du xiie  siècle jusqu’au xixe . Sans demander ass
ite, les éternels modèles du naturel et de la vérité. En France, à la fin du xvie  siècle et au commencement du xviie , la
cision de l’esprit français. Les poëmes d’Ossian jetés en France à la fin du xviiie  siècle, et qui plaisaient tant à Napol
88 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
s frères qui a réussi. Tous les autres ont fait généralement mauvaise fin  ; ils ont tous été la ruine des marchands et le d
e voulussent enterrer. Considérez donc, je vous prie, quelle a été la fin de cette expédition, qui a tant fait de bruit. Il
sera possible ; et je les dauberai tant en toutes rencontres, qu’à la fin ils se rendront sages. LE MARQUIS. Dis-moi un peu
ue cette autorité que Dieu leur a donnée ne soit employée que pour la fin pour laquelle ils l’ont reçue. Concevez donc que,
e jugement de son époque. Grâce à elle, grâce à sa plume naturelle et fine , délicate et ferme, courant toujours et ne s’égar
ur notre pauvre ami. Lettres des 1er et 2 décembre 1664. Au même. Fin du procès de Fouquet. (Jeudi.) Tout le monde
ait Sa Majesté de lui donner son dernier fils, pour l’assister sur la fin de sa vie, qui apparemment ne serait pas longue.
la mienne par les états, qui me viendront tourmenter à Vitré84 sur la fin du mois de juillet ; cela me déplaît fort. Votre
les effets dans un même ordre. De cette sorte tout concourt à la même fin  ; et c’est faute d’entendre le tout que nous trou
de Cannes109. Même Discours, IIIe partie, les Empires, chap. VI. Fin de la république à Rome : naissance de Jésus-Chri
is et à quoi178 tous les autres miracles se rapportaient comme à leur fin , savoir, l’ouvrage de la rédemption des hommes qu
use pas ainsi par modestie. Cet autre qui, pour conserver une taille fine , s’abstient du vin et ne fait qu’un seul repas, n
’eaux jaillissantes ; là, des allées en palissade222 qui n’ont pas de fin , et qui vous couvrent des vents du nord ; d’un cô
e, et si paisiblement à notre égard, que personne n’a l’oreille assez fine pour les entendre marcher, et que le vulgaire ne
lui soit égalé. Ils en appellent à l’autre siècle ; ils attendent la fin de quelques vieillards, qui, touchés indifféremme
illants et façonnés imposent et éblouissent ; mais ils ont une pointe fine qui s’émousse bientôt. Ce n’est ni le difficile,
t l’amitié de plusieurs grands hommes du siècle de Louis XIV. Vers la fin du règne de ce prince et sous la régence du duc d
battus314. Il s’érigea en tribunal, qui jugea tous les peuples : à la fin de chaque guerre, il décidait des peines et des r
s par mes espérances, mais par mon courage, et de défendre jusqu’à la fin une vie sur laquelle il y avait de si grandes pro
ommencements du règne de Louis XVI, après que sa jeunesse avait vu la fin de celui de Louis XIV. Né en effet le 20 février,
On acheta peu cher quelques magistrats, quelques officiers ; et à la fin même le marquis d’Yenne, gouverneur général, devi
et depuis que j’entends raisonner sur le goût, je n’ai rien vu de si fin et de si approfondi que ce que vous m’avez fait l
herbes y surmontent, y étouffent les bonnes ; ce n’est point ce gazon fin qui semble faire le duvet de la terre, ce n’est p
4, Peste fatale aux potentats, Ne finit ses tragiques œuvres Qu’en la fin même des États. D’elle naquit la frénésie De la G
mière, Je n’aurais pas la peur d’une immortelle nuit460. Ô désirable fin de leurs peines passées ! Leurs pieds, qui n’ont
is, comme les douceurs, en savez-vous les peines ? A quelque heureuse fin que tendent ses projets, Jamais il ne fait bien a
t Il faut que chaque chose y soit mise en son lieu ; Que le début, la fin , répondent au milieu697 ; Que le début, délicat l
. BURRHUS. Elle va donc bientôt pleurer Britannicus ? NÉRON. Avant la fin du jour je ne le craindrai plus730. BURRHUS. Et q
trop déprimée de nos jours, la poésie lyrique devait trouver, vers la fin du dernier siècle et au commencement du nôtre, un
oursuivrai-je ? LE COMTE.                              Oui, voyons la fin de tout ceci. PASQUIN lit. « Vous ne manquez pas
anime presque de la joie. « Mon beau voyage encore est si loin de sa fin  ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin  
eimar, fort renommé toutefois comme capitaine, y furent vaincus, à la fin de 1634, par les Impériaux. Mais dans ce même lie
rlé comme d’un ridicule. Cf. le Misanthrope, II, 5, et Boileau, à la fin de son Discours sur la satire. 39. L’École des
sse que de grâce. Il suffirait de rappeler pour son éloge que, sur la fin de sa belle vie, M. Royer-Collard, cet excellent
la lettre de la Prairie est un modèle de grâce sémillante et d’esprit fin et délié, se jouant sur un fond léger à travers l
heureuse éternité ». V. encore, dans le Petit Carême de Massillon, la fin du sermon pour le quatrième dimanche, où l’orateu
s dans le sermon de Bourdaloue sur la passion de Notre-Seigneur, à la fin du morceau. 273. Ce mot conserve ici son sens ét
brillant. » En effet tout ce sermon, indépendamment de son admirable fin , par la composition, l’ordonnance, l’art de propo
303. Les mêmes idées se trouvent dans Télémaque, au liv. X, vers la fin des conseils adressés par Mentor à Idoménée. 304
agit ici et qui est le plus célèbre, Amerighi ou Morighi, vivait à la fin du seizième siècle : le Christ au tombeau est son
don ! 383. Le caractère du héron est heureusement soutenu jusque la fin . C’est le conseil du poète si bien suivi par La F
ction de la justice divine, dans son chapitre des Esprits forts, à la fin . 396. « Il est donc au fond des âmes, dit encore
hes illustres. 400. C’est ce que l’on peut voir dans le Phédon, à la fin . 401. Ces mêmes idées ont été aussi développées
e, du faux goût et de l’enflure. Il est un de ceux qui ont donné à la fin du dix-huitième siècle l’accent de tendresse décl
fluence singulière sur quelques-uns des écrivains qui ont illustré la fin du dernier siècle ou le nôtre. Bernardin de Saint
ce, contrastent aisément avec le ton noble et l’image frappante de la fin  ! Il faut voir dans Tibulle (Élég., I, 11) un tab
le vers divin de La Fontaine :                    Rien ne trouble sa fin  : c’est le soir d’un beau jour, Et moi j’ai dit
itable est une douce chose ! Voy. la 11e fable du liv. VIII, dont la fin , observe Chamfort, est au-dessus de tout éloge .
nesse dans ce petit mot jeté négligemment, caché pour ainsi dire à la fin du vers, et qui cependant, pour un ami, renferme
u se trémousser, ils n’effaceront pas le bonhomme. » On sait qu’à la fin de sa vie, La Fontaine regretta sincèrement le sc
s quelque chose à penser. 697. « Il faut, observe Joubert, que la fin d’un ouvrage fasse toujours souvenir du commencem
hauteur des précédents : néanmoins on y remarque, principalement à la fin , de nobles accents et de beaux vers. 699. Horace
me généreux et sensible aux souffrances publiques qui composa vers la fin de sa carrière, et d’accord avec Mme de Maintenon
Vie d’Auguste, ch. 99.) C’était le compliment adressé au public à la fin des pièces de théâtre. 807. Voltaire avait alors
e, il mourut dans sa soixante-seizième année. 808. Voy. Horace à la fin de la première de ses Satires, liv. I, v. 117 :
89 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
.....  perdre ( Rime qui peut rimer en erdre ), Je le laisse à plus fin que moi. (Scarron.) Racine et Boileau n’ont empl
rrachant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin . Fille d’Agamemnon, c’est moi qui, la première, S
doit être évité avec le plus grand soin dans notre versification. La fin du vers français est marquée par un repos logique
. La fin du vers français est marquée par un repos logique : c’est la fin même de la phrase, ou d’une de ses parties princi
humains je vivais séparée, Et de mes tristes jours n’attendais que la fin , Quand tout-à-coup, madame, un prophète divin : «
l’élégie, (Art p., II) Ce n’est pas quelquefois qu’une muse un peu fine ... (Art p., II.) Ce qu’on ne doit point voir, q
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-10
’en va pas ainsi : il faut conserver à chaque chose la noblesse de sa fin et la dignité de son usage. Les biens de l’esprit
e1, cette lettre injurieuse lui conseille, pour conclusion, de mettre fin par une mort volontaire à tant de maux qu’il souf
Bossuet dans cette ampleur grandiose et solennelle de la phrase. 5. Fine  : exquise. 1. Transition vers le portrait de Dém
91 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — [Notice] Maurice de Guérin, 1810-1839. » pp. 598-606
aise, mais un petit trou pour m’y blottir et m’y tenir coi jusqu’à la fin . Ma prévision s’est ponctuellement réalisée : je
le enfile rapidement son ouverture étroite et ténébreuse, se tapit au fin fond, et là, tout accroupie et ramassée sur elle-
ce le croquis suivant : « Nous voulions voir quel est l’Océan sur la fin d’un jour de décembre gris et calme. La brume nou
92 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
le esprit, c’est tantôt une comparaison nouvelle, tantôt une allusion fine  ; ici, l’abus d’un mot que l’on présente dans un
tionnent l’analyse, ils aiment à se perdre dans des descriptions sans fin . Il ne faut pas oublier les préceptes suivants d
ce ne sont qu’astragales. Je saute vingt feuillets pour en trouver la fin , Et je me sauve à peine au travers du jardin. Fuy
fois qu’on a adopté un ton, il faut le soutenir fidèlement jusqu’à la fin . Comme exemple de narration, nous citerons trois
Parais, que je m’élance enfin Vers cet être inconnu, mon principe, ma fin . Qui m’en a détaché ? qui suis-je ? et que dois-j
ime presque de la joie. 5° Mon beau voyage encore est si loin de sa fin  ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin  
t leur âme rassérénée. 5° Mon beau voyage encore est si loin de sa fin  !… etc. Toute cette strophe est animée par les
 : Comme un dernier rayon, comme un dernier zéphyre         Anime la fin d’un beau jour, Au pied de l’échafaud j’essaye en
93 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
C’est ce qu’on appelle ironie socratique, parce que cette raillerie fine et pleine de sens était Parme habituelle de Socra
l’arrachant un sévère destin Si près de ma naissance en eût marqué la fin . Racine, Iphigénie, acte IV, sc. iv. On trouve
ne laisse rien à désirer : elle est parfaitement soutenue jusqu’à la fin  ; on croit voir une véritable bergère qui s’adres
ontaine l’emporte sur les fabulistes de l’antiquité par les allusions fines et spirituelles qu’il a semées dans ses fables.
phé, Etc., etc. « Ces traits, dis-je, et une infinité d’autres, aussi fins et aussi rapides, réveillent en passant une multi
e haute, mais un peu penchée vers l’épaule gauche, la taille moyenne, fine et dégagée, le corps bien proportionné et fortifi
iâtre, de les enfoncer ; j’ai mis en déroute leurs légions, qui, à la fin , ont pris la fuite. Pouvais-je me refuser à la vi
en seraient sortis sous leur conduite ? N’examinez donc point si à la fin de la bataille j’ai perdu quelques soldats, mais
94 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
e ; il le comparait à une cuisine, où l’on élabore savamment des mets fins qui excitent l’appétit des hommes, mais qui leur
es plus fortes au commencement, les autres au milieu, les autres à la fin , d’autres au commencement et à la fin. Les uns ve
tres au milieu, les autres à la fin, d’autres au commencement et à la fin . Les uns veulent que la narration soit courte, le
sait son monde, c’est-à-dire sa rhétorique sur le bout du doigt. Bien fin qui peut la surprendre et lui donner le change. J
Ulysse-là n’est pas le héros d’Homère, dont nous connaissons l’esprit fin et délié, mais un rhéteur qui a fait ses études à
de la rhétorique qui traite de l’élocution : elle abonde en remarques fines et en exemples intéressants. Étudiez-la, dis-je,
uence ; que le pied marque en frappant la terre le commencement et la fin des luttes animées. » Tout, chez les anciens, ju
ument dont les variations se règlent sur les mouvements de la pensée. FIN 18. Lisez le Phèdre et le Gorgias de Platon.
95 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168
Que de vous amuser à ces folles amours. Arténice. Mon père, à quelle fin tendent tous ces discours ? Si je vois Alcidas, e
ie française à la fondation de ce corps en 1635, et ce ne fut qu’à la fin de sa longue carrière qu’il s’occupa de la traduc
96 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Rochefoucauld 1613-1680 » pp. 18-21
qui lui prouva son estime par son amitié. L’écrivain est supérieur ; fin , poli, profond, il excelle par la science du mond
mède n’est point pire que le mal, et si je ne vous prierai point à la fin de me laisser ma goutte. Après tout, je serai dan
97 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Napoléon 1696-1821 » pp. 234-237
ds hommes Lorsqu’une déplorable faiblesse et une versatilité sans fin se manifestent dans les conseils du pouvoir ; lor
française avait fait connaître à S. M. l’Empereur le désir de mettre fin à la guerre qui désole les deux peuples ; l’inter
98 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
étré ; et les délicats de la terre, qui ont, disent-ils, les oreilles fines , sont offensés de la dureté de son style irréguli
a confondu la sagesse humaine2. Extrait du Panégyrique de saint Paul, fin du premier point. Oraison funèbre de la reine
t dans le corps humain, qu’auprès de ces opérations la chimie la plus fine n’est qu’une ignorance. De la Connaissance de Di
latin apte : il désigne l’exact rapport d’un objet avec son but et sa fin . 1. Saint Matthieu, chap. xviii, v. 15. 1. On s
99 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
successivement de plus solides, et ne déploie toute sa force qu’à la fin de son discours, lorsqu’il est sûr d’avoir bien p
ce qu’en cet endroit ils sont moins en vue qu’au commencement ou à la fin de la partie du discours consacrée à leur dévelop
attentat, chaque mot s’élève par gradation, et judices est placé à la fin avec beaucoup d’art. Cædebatur virgis in medio f
ez ces derniers efforts d’une voix qui vous fut connue : vous mettrez fin à tous ces discours. Au lieu de déplorer la mort
rompe pas non plus l’attente des auditeurs qui croyaient toucher à la fin . Il est maladroit de les fatiguer en prolongeant
ossible de ne pas la forcer, ou la baisser considérablement, avant la fin du discours. On se fatigue, on parle péniblement,
serait une erreur de croire qu’on ne doive reprendre haleine qu’à la fin d’une période. Il est, dans le cours de la périod
t respirer ; et lorsqu’on sait en profiter, on peut suivre jusqu’à la fin la phrase la plus longue, sans avoir été obligé d
ions successives, indique que l’on touche ou que l’on est arrivé à la fin de la période. Dans tous les cas, il faut parler
la poésie. L’harmonie poétique a deux repos particuliers, celui de la fin du vers et celui de l’hémistiche. Quant à celui d
celui de la fin du vers et celui de l’hémistiche. Quant à celui de la fin du vers, le retour de la rime l’indique assez, et
autres, sans suspendre le sens, l’on devrait marquer par un repos la fin de chaque vers. Au théâtre, où l’on doit éviter d
parler en vers, il est certain qu’il faut se garder d’en indiquer la fin par une pause. Mais il doit en être autrement par
termine pas avec le vers, il ne faut pas que le repos qui indique la fin du vers soit aussi long que celui qui indiquerait
i indique la fin du vers soit aussi long que celui qui indiquerait la fin d’une phrase ; mais on doit toujours marquer le p
et le coupe en deux hémistiches. Quoique moins longue que celle de la fin du vers, il faut cependant qu’elle soit sensible
la vérité sous les yeux. L’instruction est donc l’objet essentiel, la fin principale de l’histoire, et ce principe nous ind
ne doit avoir son unité, doit avoir un commencement, un milieu et une fin liés à la marche générale des affaires publiques,
es affaires publiques, et que les discussions journalières aient pris fin , je sais que vous vous occupez toujours des intér
; il fait preuve de beaucoup de tact, et plaisante d’une manière très fine . Son seul défaut est de courir trop ouvertement a
u vers la marche imposante de l’alexandrin, qui convient si bien à la fin d’un morceau : aussi on ne la rencontre presque j
u dixième chapitre est sensiblement plus bas, et reste tel jusqu’à la fin  ; mais on y observe toujours ce style sententieux
usalem font entendre tour à tour les accents de leur douleur, et à la fin le peuple entier adresse en chœur au Tout-Puissan
nalogue à celui des bergers ; aussi depuis le commencement jusqu’à la fin il est rempli d’images empruntées à la nature et
nous reste plus qu’à parler du Livre de Job, auquel je consacrerai la fin de cet article. On sait qu’il est fort ancien, et
uperbia ejus, et caput ejus nubes tetigeri t ; quasi sterquilinium in fine perdetur  : et qui eum viderant, dicent  : Ubi es
incontestablement dans l’Iliade, et peut même être regardée comme la fin morale du poème. Mais il est une autre fin que l’
ême être regardée comme la fin morale du poème. Mais il est une autre fin que l’on en peut déduire tout aussi naturellement
rocurer, que de croire qu’il lui suffit de nous faire recueillir à la fin quelque maxime vulgaire de morale. Son effet cons
issement d’Énée en Italie. Depuis le commencement du poème jusqu’à la fin , cet objet est constamment sous nos yeux, et embr
omme l’explique Aristote, qu’elle a un commencement, un milieu et une fin . Le poète doit nous faire connaitre tout ce qui a
isfaire notre curiosité sur tous les points, nous conduire jusqu’à la fin de l’action dont il a tracé le plan, et s’arrêter
e qu’un poète donne à ses acteurs, ils doivent le soutenir jusqu’à la fin , et ne jamais agir dans un sens opposé, afin que
n a supposé que le héros devait être celui qui paraît triomphant à la fin du poème. Milton a travaillé sur un plan tout à f
ni les funestes de la discorde entre des princes réunis pour mettre à fin une entreprise. J’avoue cependant qu’il me semble
arfaitement observée dans l’Énéide. Depuis le commencement jusqu’à la fin , le lecteur n’est occupé que d’un seul objet, l’é
re, pour entamer un récit, que le récit qui précède soit conduit à sa fin . On dirait que ce poète affecta de n’adopter aucu
d’épopée sans l’intervention des dieux d’Homère. Il est vrai qu’à la fin de l’ouvrage, l’auteur donne une espèce de correc
rame, qu’il borne à trois, savoir : le commencement, le milieu, et la fin  ; il les appelle le prologue, l’épisode, et l’exo
l’usage exige que chaque pièce soit divisée en cinq actes, et qu’à la fin de chaque acte la représentation soit tout à fait
résentée, sans aucune interruption, depuis le commencement jusqu’à la fin , qu’elle n’était point partagée en différents act
n’est pas nécessaire que la vertu se trouve toujours récompensée à la fin de la pièce, ou que les méchants soient confondus
on puisse lire avec un plaisir égal depuis le commencement jusqu’à la fin . Outre l’extrême irrégularité de sa marche, et l’
ctères qu’à bien conduire son sujet, il n’amenait pas d’assez loin la fin de son intrigue, et terminait même quelquefois d’
qui m’épouvante. Je suppose que c’est ici votre dernière heure, et la fin de l’univers ; que les cieux vont s’ouvrir sur vo
te rendait notre jeune homme encore plus fat ; le marin revenait à la fin de la pièce, et mettait ordre à tout. « Une actri
tuellement des beautés. Il n’y aurait n’y commencement, ni milieu, ni fin dans son ouvrage ; et cependant l’auteur se croir
100 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
Choix de textes antérieurs au xvie siècle Chanson de Roland 2 ( fin du xie siècle) Mort de la Belle Aude, La Fi
 ! Franceis baron en plorent, si la plaignent5. Alde la bele est a sa fin alee. Cuidet li reis qu’ele se seit pasmee : Piti
s français en pleurent, et ainsi la plaignent. Aude la belle est à sa fin allée. — Cuide [croit] le roi qu’elle s’est pâmée
511) Louis XI à Plessis-Lès102-Tours Ledict seigneur, vers la fin de ses jours, feit clorre, tout à l’entour de sa
ller remuer217. Il était en la plus grande peine du monde ; mais à la fin il se vint à reconnaître218, disant en soi-même :
font dire aux cochers De terribles patenôtres548. Des plus sages à la fin Ce chemin Épuise la patience. Qui n’v fait que mu
qu’il ne se mît point en peine, et que la grâce allait arriver. A la fin le pauvre diable s’aperçut de sa sottise ; mais i
Ce succès ne s’est pas démenti : les Caractères, où la société de la fin du xviie siècle revit, saisie et jugée par un es
et perspicace, sont en effet un des livres les mieux écrits, les plus fins et les plus variés de notre langue. Le bavard
l’on ne trouverait guère de narrations tout ensemble plus gaies, plus fines et qui semblent avoir coûté moins de peine à l’au
autant d’entrées. Il n’y avait pas d’apparence de retenir jusqu’à la fin d’un repas de noce un homme qui paraissait si pre
ellerie. Termes eût voulu qu’ils ne l’eussent point quitté jusqu’à la fin du voyage, tant il craignait de se trouver tête à
On dit que vous n’avez pas oublié mes petites dévotions, surtout à la fin de mes jours ; mon empressement à ramasser des re
cause de ce qui n’est point. Ce malheur arriva si plaisamment, sur la fin du siècle passé, à quelques savants d’Allemagne,
une prière publique tous les soirs dans la chapelle à Versailles à la fin de la journée, qui était suivie d’un salut avec l
nquait point les dimanches et très rarement les jeudis en hiver. A la fin de la prière, un garçon bleu1021, en attente dans
ur un fou, qu’ensuite il verrait qu’il méritait attention, et qu’à la fin il demeurerait content de son système. Pontchartr
nes, qui est très bonne à leur goût ; le poil de ces animaux, qui est fin et moelleux et qui se renouvelle tous les ans par
rien ; mais il m’est de toute impossibilité de la chanter jusqu’à la fin sans être arrêté par mes larmes. J’ai cent fois p
s folâtres jeux sont les premiers cuisiniers du monde, et les ragoûts fins sont bien ridicules à des gens en haleine depuis
humanité sont des mots roturiers1201, je lui ai fait comprendre, à la fin , qu’elle est trop honorée qu’un comte ait mangé s
der, je lui déclinais mon nom, et je lui faisais mon histoire. Sur la fin de cette histoire, mon homme s’arrête, et se trac
iche, il a rencontré un jeune émigré français (l’action se passe à la fin de 1794), le comte d’Erfeuil, qui sera son compag
sa miséricorde, et la conduit, par un merveilleux conseil1424, à une fin si glorieuse. Il songe avec attendrissement à son
ente, avec une bonne grâce qui auraient trompé un homme beaucoup plus fin que le roi Hilperik. Il semblait qu’elle reconnût
effusions de la victoire auxquelles ils ne s’étaient pas livrés à la fin de la sanglante journée de Borodino1543. Ce momen
res et ses neveux, et leur en donna des preuves touchantes jusqu’à la fin de sa vie. Mais cet attachement naturel ne diminu
ier blanc, nous taillions d’avance trois ou quatre plumes en gros, en fin , en moyen, et alors les pleins, les traits et les
plaine herbeuse, sorte de savane d’Europe, se déroulait au loin, sans fin , sans bornes, çà et là tachetée d’or, ou éclairée
la danse guerrière d’une nation dont tous les pas sont comptés. A la fin , comme un coup de tonnerre, tout se précipite. La
are au Diable, IX.) Les récits du broyeur de chanvre C’est à la fin de septembre, quand les nuits sont encore tièdes,
s de douleur, pour l’encourager et l’exhorter à persévérer jusqu’à la fin . Les spectateurs voyaient ce manège et en étaient
pays, on n’avait vu une femme tant souffrir1703. » (Marc-Aurèle et la fin du monde antique, chap. xix.) Erckmann-Chatri
tout à fait sûr. » Alors David, regardant Kobus d’un œil extrêmement fin , répondit : « Et tu feras bien, Schmoûle ; dans l
reçu une couche de poussière ; que l’herbe, qui doit disparaître à la fin de mai, s’élève verte et drue partout où elle tro
pourtant plus de vingt fois que je m’appelais Daniel Ey-sset-te. A la fin , mes camarades me surnommèrent « le petit Chose »
sseoir à côté d’un garçon de mon âge qui avait les yeux vifs et l’air fin . « Je m’appelle Fontanet, me dit-il, et toi ? » P
re. Les yeux noirs de Fontanet brillaient et toute sa figure brune et fine s’animait. Le soir, ce souvenir nous exaltait bea
s genoux, que n’est le mur Qui froidement vous environne. Ondes, sans fin vous promenez1966, Et vous menez et ramenez Vos f
II, scène iii.) Paris Dorante, Cliton2116. Dorante. A la fin j’ai quitté la robe pour l’épée2117 : L’attente o
ais beau m’en défendre, il a poussé sa chance2234, Et s’est devers la fin levé longtemps d’avance ; Car les gens du bel air
prairies, J’occupe ma raison d’utiles rêveries ; Tantôt, cherchant la fin d’un vers que je construi2387, Je trouve au coin
re, Sorcières dont l’amour sait d’abord les charmer, De fatigues sans fin viennent les consumer. Sans cesse poursuivant ces
laisir déguisée2515. De ces exploits le beau monde occupé Quitte à la fin le jeu pour le soupé2516 ; Chaque convive en libe
t pompeuse ou subtile : il est vrai que presque tous les poètes de la fin du xviiie siècle et surtout les poètes descripti
n’a point éteint la rage Du seigneur, qui remet au lendemain matin La fin de l’horrible carnage. Pendant ce temps, notre la
, Ranime presque de la joie. Mon beau voyage encore est si loin de sa fin  ! Je pars, et des ormeaux qui bordent le chemin J
prême, Aller et revenir, descendre et remonter Pendant des temps sans fin que lui seul peut compter, De l’espace et du poid
doute, hélas ! aussi de sa route égarée, Comme une longue flèche à la fin de son vol, Fendait l’air résonnant à quelques pi
t pour l’éternité la mort seule est féconde. Louis. Je me lasse à la fin  : moine, fais ton devoir ; Exerce en ma faveur to
ur sort à venir invente une chimère, Songe à l’époux absent depuis la fin du jour, Et prend garde que rien ne manque à son
 : Une heure de repos2740 avant le grand sommeil ! Avant le jour sans fin , quelques jours au soleil ! (Marie : le Mois d’ao
res, Passent comme les vents sur les ondes amères, Et sillonnent sans fin leur magnifique azur ; Que d’autres, chaque jour,
rigent, affamés, leurs cous au bord de l’aire. Par la steppe2878 sans fin , coteau, plaine et vallons. L’œil luisant à trave
, après l’habileté de la composition et la sincérité du sentiment, la fine précision du style, la simplicité savante de la v
ui vivront cinq ans, dix ans, vingt ans, Et plus ! Ceux-là verront la fin de ce martyre, Ce que vous savez bien, ce qu’on n
cevaux, l’archevêque Turpin2910, Tandis que la bataille arrivait à sa fin , Tomba près de Roland. Roland, cachant ses larmes
aient le cou ! Quel bonheur, quand le givre avait garni de perles Vos fins rameaux émus qui sifflaient dans le vent, — Préco
ourgeoise, le Père Lebonnard (1887). Souvenirs d’enfance i La fin du monde Sur les bancs de l’école un bruit ava
monde Sur les bancs de l’école un bruit avait couru : « Demain la fin du monde ! » Et moi qui l’avais cru, Lorsque tint
Puis, songeant à l’école, à l’air grave du maître : « Encor si cette fin du monde pouvait être Un jeudi ! Mais aller à l’é
si je raisonnais d’une façon profonde, Et je rêvai, la nuit, de cette fin du monde ! « Si grand-père voulait, me dis-je à m
voix douce et qui gronde. « Oh ! lui dis-je en pleurant, j’attends la fin du monde ! » Et comme il souriait, d’un grand air
ais les soirs, grelottant dans mon étroite couche, Je me livrais sans fin au regret défendu. Je voyais tour à tour les dépa
vieux marin Le vieux marin Legoëz (la scène est à Saint-Malo, à la fin du xviie siècle, et la large fenêtre du logis do
z Oh ! oh ! Plus loin qu’aucun bourg de Bretagne. Alors, même du plus fin haut2968 de la montagne, On ne la voit pas ? Pier
de dix syllabes, l’e muet ne comptant ni après la quatrième, ni à la fin des vers. Ces vers assonent entre eux : l’assonan
15. Me-noi-ent : trois syllabes. 16. L’e muet ne s’élide ni à la fin des deux que. ni à la fin du verbe voie. 17. Q
syllabes. 16. L’e muet ne s’élide ni à la fin des deux que. ni à la fin du verbe voie. 17. Queu-e, deux syllabes. 18
versification que s’interdirent les poètes postérieurs. 82. Envoi, fin ordinaire des pièces envoyées ou qu’on était cens
ussi strictement réglé dans l’ancienne langue qu’il l’a été depuis la fin du xviie siècle. 153. Mouches bovines, taons.
ité page 117 que la mode des tulipes était encore vivace à Paris à la fin du xviie siècle. 469. C’est-à-dire ceux-là même
rès lieutenant général en Provence, dut se rendre à son poste vers la fin d’avril 1670. Mme de Grignan resta encore quelque
 XIV. — L’idée d’introduire un faune, pour adresser au jeune dieu une fine et mordante leçon, est fort ingénieuse ; car le f
2. Au sénat romain. Allusion à un passage célèbre (lu poète Juvénal ( fin du ier siècle après J.-C.), qui, dans une de ses
sabelle de Castille et de Ferdinand d’Aragon, la prise de Grenade mit fin pour toujours à la domination des Maures en Espag
uerre, en se prolongeant, ne devint trop coûteuse. Cette paix mettait fin à la première guerre punique (264-241). — Rappelo
village où se rend le laboureur. Les deux voyageurs sont partis à la fin de la journée. En route ils ont rencontré le peti
elqu’un qui se perd par sa mauvaise conduite. 1678. Guingan, étoffe fine de coton, ainsi appelée du nom de la ville de Gui
vec la Prusse (5 avril 1795) et l’Espagne (22 juillet), et qui mirent fin à la première coalition. 1738. Chevrons, galons
illustres de la ville de Rome). 1793. Géant que l’historien Florus ( fin du ier siècle ap. J.-C.) donne comme roi aux Teut
leté assez puérile, mais à laquelle se complaisaient les poêles de la fin du xve siècle, dont Marot, qui leur est d’ailleu
est qu’il y songea, il est vrai qu’il y fut occupé. 1881. A la par fin , à la fin. Ce mot, qui se trouve encore employé d
y songea, il est vrai qu’il y fut occupé. 1881. A la par fin, à la fin . Ce mot, qui se trouve encore employé dans le sty
’une partie, est en effet une prière (voir l’indication du titre à la fin du morceau). 2048. Assez mal écrit. Malherbe par
ans ce sens après le xviie siècle. 2059. Heur, fréquent jusqu’à la fin de la première moitié du xviie siècle avec le se
, employé dans le style noble. 2066. Discords, vieilli dès avant la fin du xviie siècle. 2067. Vitupère, blâme, ou plu
vorites. 2078. Provinces, États, royaumes, sens fréquent jusqu’à la fin de la première moitié du xviie siècle. 2079. L
e d’une petite pièce célèbre du poète latin Claudien, qui a vécu à la fin du ive et au ve siècle ap. J.-C., le Vieillard de
nu à me le concilier. 2145. A = pour. Emploi fréquent jusque vers la fin du xviie siècle. 2146. Que je ne..., pour empê
ndaire. Les Grecs le faisaient naître en Phrygie ou en Thrace vers la fin du viie siècle avant l’ère chrétienne et lui att
Voir la note 7 de la page 20. 2188. Où buter, à quel but, à quelle fin je dois tendre. 2189. Les miens, les gens de ma
surtout des jeux de cartes, a été très répandue dans la société de la fin du xviie et de tout le xviiie siècle. 2514. A
’est le jeu de billard que le poète décrit ici. 2537. Voir page 602, fin de la note 2. 2538. Il n’est pas inutile de rapp
ophe de transition unit ces deux parties ; une dernière strophe, à la fin de la pièce, les résume. 2603. Harmonieux, qui
s’étant répandu qu’il faisait des miracles, Louis XI, qui sentait sa fin prochaine, l’appela auprès de lui pour lui demand
nage fantastique, qui joue un rôle dans le poème de Huon de Bordeaux ( fin du xiie siècle) dans lequel parait aussi Charlem
2845. Yeuse, espèce de chêne qui reste toujours vert. 2846. Vers la fin de sa vie, Eschyle (525-456), l’illustre poète tr
roisième vers du troisième groupe, et ainsi de suite ; on ajoute à la fin un vers qui rime avec le vers intermédiaire du de
es-des-prés, fleurs de la famille des rosacées. 2889. Embrun, pluie fine qui résulte du choc des lames. — Au vers précéden
seau, marmite pour la cuisine ou quelque besogne analogue). 2898. La fin de cette jolie pièce rappelle une courte et délic
t l’annexion de l’Alsace à l’empire d’Allemagne. 2903. Investie à la fin d’août 1870, la ville de Metz capitula le 27 octo
ivement t l’expression tout entière est employée par analogie avec le fin fond (le fond le plus extrême). 2969. Déformati
/ 296