(aujourd’hui la Janna ou Jannina, dans la Turquie d’Europe). Il était
fils
de Pélée, à qui la fable a donné pour épouse Thét
ndant sa vie, et un chantre tel qu’Homère, après sa mort. Agamemnon,
fils
d’Atrée et d’Érope, suivant Homère, et roi d’Argo
parer un grand festin, au milieu duquel il fut assassiné par Égysthe,
fils
de Thieste, frère d’Atrée, l’an 1209 avant J.-C.
tôt après. Albe, ancienne ville d’Italie, bâtie par Ascagne ou Iule,
fils
d’Énée, environ 300 ans avant la fondation de Rom
Rhin. Amour (l’) ou Cupidon, que les poètes font dieu de l’amour, et
fils
de Mars et de Vénus. Ils le représentent sous la
ta une sédition contre ses meurtriers. On lui opposa le jeune Octave,
fils
adoptif et héritier de César. Après quelques comb
ahi par Cléopâtre, il se donna la mort, l’an 30 avant J.-C. Apollon,
fils
, selon la fable, de Jupiter et de Latone. Il étai
ivant la fable, tué les Cyclopes qui avaient forgé la foudre dont son
fils
Esculape avait été frappé par Jupiter, fut chassé
la soif de régner la porta à faire massacrer tous les enfants de son
fils
Ochosias qui n’existait plus. Le seul Joas, encor
raélites lui dressèrent souvent des autels, et l’adorèrent. Bacchus,
fils
, selon la fable, de Jupiter et de Sémélé, fille d
t, pour animer les troupes au carnage. Benjamin. Douzième et dernier
fils
du patriarche Jacob et de Rachel, né l’an 1738 av
s de la mer. Bourbon (Charles de). Il mourut en 1537, laissant trois
fils
, Antoine, roi de Navarre, et père de Henri IV ; L
, sœur de Caton d’Utique. Il en fut du moins toujours traité comme un
fils
chéri qui lui dut sa fortune et sa vie. César com
uelle Pompée ne survécut pas longtemps. César battit ensuite les deux
fils
de ce même Pompée, et parvint enfin à la souverai
ns. II. Condé(Henri Jules de Bourbon, duc d’Enguien, puis prince de),
fils
du grand Condé. Il se signala à côté de son père
l’un des plus grands et des plus vertueux monarques qui aient existé.
Fils
d’Isaï ou Jessé, de la tribu de Juda, il naquit à
l’an 146 avant J.C ; chassé du trône l’année suivante par Antiochus,
fils
de Balès ; rétabli l’an 131 avant J.-C., et mort
es héros et des gens de bien. Enguien. Voyez le mot Condé II. Éole,
fils
de Jupiter selon la fable et dieu des vents qu’il
s feux de la foudre qu’Encelade vomit. Selon la fable aussi, Vulcain,
fils
de Jupiter et de Junon, et dieu du feu, a ses for
Il mourut en 1547. G. Géants. Voyez le mot Etna. Germanicus,
fils
de l’estimable Drusus et de la vertueuse Antonia,
l’estimable Drusus et de la vertueuse Antonia, nièce d’Auguste. Digne
fils
d’un tel père et d’une telle mère, il s’acquit be
tes qui font la douceur de la société. Grammont (le comte de Guiche,
fils
aîné du maréchal de). Il était lieutenant-général
e sommet en était appelé gargare. Ilion. Voyez le mot Troie. Isaïe,
fils
d’Amos, de la famille royale de David, né dans le
aissèrent que le crâne, les pieds et les extrémités des mains. Joas,
fils
d’Ochosias, roi de Juda. Il naquit l’an 890 avant
du culte de l’idolâtrie, et par le meurtre du grand-prêtre Zacharie,
fils
de ce même Joad, son ancien bienfaiteur. Jonatha
au grand-prêtre toute la plénitude de l’autorité souveraine. Joseph,
fils
du patriarche Jacob et de Rachel, né l’an 1745 av
es au lieu de sa naissance, comme il l’avait lui-même ordonné. Juda,
fils
du patriarche Jacob et de Lia, sœur de Rachel, né
a plus puissante de toutes. Il mourut l’an 1636 avant J.-C. Jupiter,
fils
, selon la fable, de Saturne et de Rhée, ou Cybèle
a une bonne citadelle, où l’on enferme les prisonniers d’état. Mars,
fils
, selon la fable, de Jupiter et de Junon, Dieu de
mples de Minerve. Minos, roi de l’île de Crète (aujourd’hui Candie),
fils
de Jupiter, selon la fable, et mari de Pasiphaë,
mains une urne, où sont renfermées les destinées des hommes. Momus,
fils
du Sommeil et de la Nuit, et regardé par les poèt
, ainsi que les latins, prennent souvent pour ce même Dieu. Celui-ci,
fils
de l’Érèbe et de la Nuit, habitait un antre profo
che de pavot, et présentait les songes sous diverses figures. Moyse,
fils
d’Amram et de Jocabed, né en Égypte l’an 1571 ava
le titre de primat, et présidait aux États de la province. Neptune,
fils
, selon la fable, de Saturne et de Rhée, et frère
ter et de Pluton. Après que Saturne eut été chassé du ciel, ses trois
fils
se partagèrent l’Empire du monde ; et Neptune eut
n char traîné par quatre chevaux marins, ou par des dauphins. Néron,
fils
de Domitius Œnobarbus et d’Agrippine, adopté par
1250 ans avant Jésus-Christ. Les poètes anciens ont feint qu’il était
fils
d’Apollon et de la muse Calliope, et que son père
la regarder jusqu’à ce qu’il fût arrivé sur la terre. P. Pan,
fils
de Mercure suivant la fable, et dieu des bergers,
présent Janna ou Jannina, contrée de la Turquie d’Europe. Philippe,
fils
d’Amyntas, et roi de Macédoine (aujourd’hui Comén
s qu’il se fit donner, et prépara ainsi les immenses conquêtes de son
fils
Alexandre. Il mourut assassiné l’an 335 avant Jés
l fit démolir lorsqu’il la rendit au duc de Savoie, en 1696. Pluton,
fils
, selon la fable, de Saturne et de Rhée, et frère
aujourd’hui le gouvernement de Sivas dans la Turquie d’Asie). Priam,
fils
de Laomédon, et dernier roi de Troie. Les poètes
e Laomédon, et dernier roi de Troie. Les poètes lui donnent cinquante
fils
ou filles, dont il en eut dix-neuf d’Hécube. Il r
me égorgé dans son palais, l’an 1209 avant Jésus-Christ, par Pirrhus,
fils
d’Achille, au pied de l’autel de Jupiter, qu’il t
’en fit nommer dictateur perpétuel, devint un Empire sou Auguste, son
fils
adoptif, qui en fut reconnus le premier empereur
s Turcs, qui l’ont divisée en six gouvernements. T. Télémaque,
fils
d’Ulysse, roi d’Ithaque, et de la vertueuse Pénél
d’Orviette, et dans Rome, se jette dans la mer à Ostie. Triptolème,
fils
de Celeus, roi d’Éleusis (aujourd’hui Liesina, da
s-uns, Teucrie, et suivant d’autres, Dardante. À Dardanus succéda son
fils
Érichton, et à celui-ci son fils Tros, qui donna
es, Dardante. À Dardanus succéda son fils Érichton, et à celui-ci son
fils
Tros, qui donna à cette ville le nom de Troie. Ap
on fils Tros, qui donna à cette ville le nom de Troie. Après lui, son
fils
Ilus voulut qu’elle fût appelée Ilion. Il eut pou
ils Ilus voulut qu’elle fût appelée Ilion. Il eut pour successeur son
fils
Laomédon, qui la fit entourer de plus fortes mura
e dix ans, par les princes unis de la Grèce, irrités de ce que Pâris,
fils
de Priam, avait enlevé Hélène, femme de Ménélas,
nement de Seyde, Turquie d’Asie, et s’appelle Sour. U. Ulysse,
fils
de Laërte, et roi des îles d’Ithaque et de Dulich
ordre dans son royaume. Peu de temps après, il laissa ses États à son
fils
Télémaque, et fut tué, dans une émeute, par Télég
ses victoires, la couronne d’Espagne sur la tête de Philippe V, petit
fils
de Louis XIV. Le chevalier de Vendôme n’avait pas
. Le principal, qui vient du couchant équinoxial est, selon la fable,
fils
d’Éole et de l’Aurore. On le représente sous la f
ntelligence des exemples cités dans ce second volume. A Abel,
fils
d’Adam et d’Ève nos premiers parents. Il immolait
. C’est au pied de cette montagne que le Rhin prend sa source. Ajax,
fils
de Télamon, roi de Salamine, et le plus brave des
ches, l’an 404 avant J.-C. Alcide. Voyez le mot Hercule. Alexandre,
fils
de Philippe, roi de Macédoine, et d’Olympias, né
colère et l’excès du vin. Il avait la manie de vouloir passer pour le
fils
d’un Dieu, et de se faire adorer comme tel. Il fi
urs et de toutes sortes de fruits, avec une pointe au milieu. Ammon,
fils
de Loth, neveu d’Abraham. Les Ammonites, peuples
même nom. Asdrubal-Barca, un des plus grands généraux Carthaginois,
fils
d’Amilcar-Barca, et frère du fameux Annibal, qu’i
ste ( Caius Julius César Octavianus), né à Rome, l’an 63 avant J.-C.,
fils
d’Octave, sénateur, et d’Accie, fille de Julie, s
pprit la mort funeste de son grand-oncle, qui l’avait adopté pour son
fils
et son héritier. Il se rendit à Rome, où il trouv
née à Munich en 1660. Elle épousa, en 1680, Louis, dauphin de France,
fils
de Louis XIV. Cette princesse, qui avait un espri
sse y fait sa résidence ordinaire, Berri (Charles duc de), troisième
fils
du grand dauphin et de Marie-Anne de Bavière, et
ans les notes à la fin du premier volume. Bourgogne (Louis, duc de),
fils
aîné du grand dauphin et de Marie-Anne de Bavière
tier du trône par la mort du grand dauphin. Bretagne (Louis duc de),
fils
du duc de Bourgogne, et frère aîné de Louis XV. I
; une des montagnes que Rome renfermait dans son enceinte. Céphale,
fils
, selon la fable, du dieu Mercure et d’Hersé, fill
nge et se jette dans l’Océan, vis-à-vis l’île d’Oléron. Charlemagne,
fils
de Pépin, et le deuxième de la seconde race de no
s consacré. Dauphin. Louis, dauphin de France, dit le grand dauphin,
fils
de Louis XIV et de Marie-Thérèse d’Autriche, né e
Flandres en 1694. On assure que lorsque le duc d’Anjou, son deuxième
fils
, fut appelé à la couronne d’Espagne en 1700, il d
t : Je n’aspire qu’à dire toute ma vie, le roi mon père et le roi mon
fils
. Cette espèce de proverbe qui, même longtemps ava
de proverbe qui, même longtemps avant sa mort, courut sur ce prince,
fils
de roi, père de roi, sans être roi, était fondé s
sur la santé de Louis XIV, qui était bien meilleure que celle de son
fils
. Il mourut de la petite vérole en 1711, âgé de 50
é, nom que l’on donne à Vénus, comme étant celui de sa mère. Drusus,
fils
de Claude Tibère Néron et de Livie Drusille, qui
le quatrième empereur de Rome, et Livie, qui épousa un autre Drusus,
fils
de l’empereur Tibère. E Ésaü, fils d’Isaac
qui épousa un autre Drusus, fils de l’empereur Tibère. E Ésaü,
fils
d’Isaac, et frère jumeau de Jacob. Les Iduméens,
laquelle avait épousé Thomas-François de Savoie, prince de Carignan,
fils
de Charles-Emmanuel duc de Savoie. Eugène fut d’a
nes dans sa main. Godefroi de Bouillon, duc de la Basse-Lorraine, et
fils
d’Eustache II, comte de Boulogne. Ses exploits en
nesse. Elle versait le nectar à Jupiter et aux autres Dieux. Hector,
fils
de Priam, roi de Troie, et d’Hécube. Durant le si
r Hector, et une trêve de onze jours pour les funérailles. Henri IV,
fils
d’Antoine de Bourbon, roi de Navarre par Jeanne d
mmé Alcide, parce qu’il descendait d’Alcée. Il était, selon la fable,
fils
de Jupiter et d’Alcmène, épouse d’Amphitrion, roi
vadie). Elle était consacrée à Apollon et aux neuf Muses. Hippolyte,
fils
de Thésée, roi d’Athènes, et d’Antiope, reine des
ance la porta jusqu’à montrer cette épée à son époux, en accusant son
fils
d’avoir voulu attenter à son honneur. La fable di
ou Hyménée, Dieu, qui, selon la fable, présidait au mariage. Il était
fils
de Bacchus et de Vénus. On le représente sous la
i Hérode, devant lequel l’Homme-Dieu fut envoyé par Pilate, était son
fils
. Judée, contrée célèbre de l’ancienne Syrie, en
n : à la plus belle. Junon, Pallas et Vénus se la disputèrent. Pâris,
fils
de Priam, roi de Troie, gardait alors des troupea
n 1270, sous les murs de Tunis, qu’il assiégeait. Robert, son sixième
fils
, fut le chef de la maison de Bourbon. Je dirai ic
vait été appelé le bouclier. Il fut le grand-père du jeune Marcellus,
fils
d’Octavie, sœur d’Auguste, qui, en le mariant ave
d’Auguste, qui, en le mariant avec Julie, sa fille, l’adopta pour son
fils
et son successeur à l’Empire. Ce dernier, mort à
yenne (Charles de Lorraine, duc de), né en 1554. Il était le deuxième
fils
de François de Lorraine, duc de Guise, qui dans n
l’Île-de-France. Mayenne mourut à Soissons en 1611, ne laissant qu’un
fils
, mort, en 1621, sans postérité. Mécène (Caius Cl
orphée dans les notes, à la fin du premier volume. N Narcisse,
fils
, selon la fable, du fleuve Céphise et de la nymph
anches, dont la plus distinguée fut celle qui descendait du quatrième
fils
du dictateur Appius Cæcus ; et le plus illustre d
du Parnasse, et servait de monture à Apollon et aux muses. Périclès,
fils
de Xanthippe, illustre athénien. C’est un des plu
lutus, dieu des richesses, suivant la fable, et que quelques-uns font
fils
de Cérès, et d’autres de la fortune On le représe
rdent comme le dieu des richesses et des mines souterraines. Pollux,
fils
, selon la fable, de Jupiter et de Léda, femme de
le, c’est que ces deux étoiles paraissent rarement ensemble. Pompée,
fils
de Pompée Strabon et de Lucilia, d’une famille no
Il y a tout auprès une grande et belle ville du même nom. Prométhée,
fils
de Japet, qui, suivant la fable, était lui-même f
nom. Prométhée, fils de Japet, qui, suivant la fable, était lui-même
fils
du Ciel et de la Terre. Après avoir formé de terr
t d’autres, les sénateurs de Rome l’eussent fait assassiner. Il était
fils
de la vestale Rhéa Sylvia, fille de Numitor, roi
de), née à Turin, en 1585. Elle épousa, en 1697, le duc de Bourgogne,
fils
aîné du grand dauphin. Sa beauté, son esprit, son
ans. Peu de temps après, il fut assassiné dans ses États par ses deux
fils
aînés. Sigée, promontoire de la Troade, non loin
e de la Béotie, qui fait aujourd’hui le milieu de la Livadie. Cadmus,
fils
d’Agénor, roi de Phénicie, en fut le fondateur et
en riant à ses amis : Ce petit garçon que vous voyez-là, (c’était son
fils
) est l’arbitre de toute la Grèce ; car il gouvern
rent à l’épouser, lorsqu’ils apprirent par l’oracle qu’elle aurait un
fils
, qui serait plus grand et plus illustre que son p
’elle mit au monde, est Achille. Titans, enfants de Titan, qui était
fils
du Ciel et de la Terre. Ce sont les mêmes géants
nt elle était la mère. On la représente avec l’Amour, ou Cupidon, son
fils
, sur un char traîné par des colombes ou des cygne
, portant d’une main une couronne, et de l’autre une palme. Vulcain,
fils
, selon la fable, de Jupiter et de Junon, et Dieu
s artifices Des enfers conjurés. Règne, ô Père éternel,
Fils
, sagesse incréée ; Esprit saint, Dieu
s délices Sur tes seules bontés. Règne, ô Père éternel,
Fils
, sagesse incréée, Esprit saint, Dieu
i elle consent à lui donner sa main, il prendra sous sa protection le
fils
qu’elle a eu d’Hector, Astyanax, dont la mort est
t tes discours sont suivis ! Il ne me restait plus qu’à condamner mon
fils
. Céphise. Madame, à votre époux c’est être assez
e lui donnerais Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut son
fils
que les Grecs vous ravissent. Pensez-vous qu’aprè
eraient asservis ! Céphise. Hé bien ! allons donc voir expirer votre
fils
: On n’attend plus que vous… Vous frémissez, mada
ens-tu frapper mon âme ! Quoi ! Céphise, j’irai voir expirer encor Ce
fils
, ma seule joie et l’image d’Hector ? Ce fils, que
ai voir expirer encor Ce fils, ma seule joie et l’image d’Hector ? Ce
fils
, que de sa flamme il me laissa pour gage ? Hélas
courage Lui fit chercher Achille, ou plutôt le trépas, Il demanda son
fils
et le prit dans ses bras : « Chère épouse, dit-il
es, J’ignore quel succès le sort garde à mes armes ; Je te laisse mon
fils
pour gage de ma foi : S’il me perd, je prétends q
rouve en toi. Si d’un heureux hymen la mémoire t’est chère, Montre au
fils
à quel point tu chérissais le père1. » Et je puis
il plaint à tes yeux des maux qu’il ne sent pas ? Mais cependant, mon
fils
, tu meurs si je n’arrête Le fer que le cruel tien
. Céphise. Que faut-il que je dise ? Andromaque. Dis-lui que de mon
fils
l’amour est assez fort… Crois-tu que dans son cœu
encore à moi ? O cendres d’un époux ! ô Troyens ! ô mon père ! O mon
fils
, que tes jours coûtent cher à ta mère ! Allons.
otre âme : Il veut que Troie encor se puisse relever Avec cet heureux
fils
qu’il vous fait conserver. Pyrrhus vous l’a promi
e ? Déjà contre les Grecs plein d’un noble courroux, Le soin de votre
fils
le touche autant que vous : Il prévient leur fure
avez promis… Andromaque. Oui, je m’y trouverai. Mais allons voir mon
fils
. Céphise. Madame, qui vous presse ? Il suffit qu
le leur ? Est-ce là cette ardeur tant promise à sa cendre ? Mais son
fils
périssait, il l’a fallu défendre. Pyrrhus en m’ép
roux des Grecs je m’en repose encor ; Leur haine va donner un père au
fils
d’Hector. Je vais donc, puisqu’il faut que je me
ma vie ; Je vais, en recevant sa foi sur les autels, L’engager à mon
fils
par des nœuds immortels : Mais aussitôt ma main,
le reste, Et, sauvant ma vertu, rendra ce que je doi A Pyrrhus, à mon
fils
, à mon époux, à moi. Voilà de mon amour l’innocen
ie à tes soins mon unique trésor : Si tu vivais pour moi, vis pour le
fils
d’Hector. De l’espoir des Troyens seule dépositai
; Que ses ressentiments doivent être effacés ; Qu’en lui laissant mon
fils
, c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon fils
en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon
fils
les héros de sa race ; Autant que tu pourras cond
e ce prince a ressentie pour Andromaque, n’a pas craint de confier au
fils
d’Agamemnon, à Oreste qui l’aime, le soin de la v
emis ou sujets, Il poursuit seulement ses amoureux projets. Autour du
fils
d’Hector il a rangé sa garde, Et croit que c’est
t ma foi ; Andromaque, régnez sur l’Epire et sur moi. Je voue à votre
fils
une amitié de père ; J’en atteste les dieux, je l
es travaux de ce poëte, des Mémoires que nous devons au second de ses
fils
, à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés ave
qui pleure son mari ; dans Racine, c’est une mère qui veut sauver son
fils
, et l’amour maternel la rapproche de nos mœurs, s
11. Les deux pommiers. Sujet et plan. Un laboureur avait deux
fils
. À la naissance du second, il avait planté deux p
u empereur après la mort de Rodolphe de Habsbourg. Albert d’Autriche,
fils
de Rodolphe, disputa la couronne au nouvel empere
artenant à la peuplade sauvage des Abenakis, regrettait sans cesse un
fils
unique qu’il avait perdu. Dans un engagement entr
insolences de cet enfant. Un jour, sa nourrice vient le voir avec son
fils
Jacquot, frère de lait de Gaston ; Gaston les rep
lorval, jusque-là trop indulgents ; ils tremblent que le cœur de leur
fils
ne se gâte ; ils tentent, pour le corriger, une é
scène qui s’ensuit. M. et Mme de Florval reçoivent Jacquot comme leur
fils
; il prend la place et le nom de Gaston ; on rend
parents ; mais il se montre docile envers ceux dont il croit être le
fils
, affectueux envers les enfants qu’il croit ses fr
e l’épreuve est complet : M. et Mme de Florval viennent chercher leur
fils
et lui apprendre la vérité. Larmes de joie et de
ttendait sur la route, le ramène, et l’adopte solennellement pour son
fils
. 25. Le jeune orgueilleux. Sujet et plan. S
de ce dessin ainsi changé, il devine le retour et le repentir de son
fils
. Tableau de réconciliation. 29. Les deux souha
rcher et le rend à son père. Décrivez la reconnaissance du père et du
fils
, et la joie de l’honnête négociant, heureux de re
Le laboureur qui cultivait la ferme annexée à cette maison, avait un
fils
nommé André, âgé de quatorze ans, enfant élevé av
chambre, à la ferme. Pendant la nuit, on le réveille : c’est Adolphe,
fils
du comte : « Tu sais, lui dit-il, un secret que m
t, le comte lui annonce qu’il va lui faire partager les études de son
fils
et qu’il le prendra ensuite pour secrétaire. Quel
ur. L’accusé, avant de répondre, présente au prêteur et au peuple ses
fils
, pleins d’ardeur et de force, ses bœufs robustes
ugal, a eu lieu dans le xie siècle. Robert était duc de Normandie et
fils
aîné de Guillaume le Conquérant. Sa femme se nomm
. Leçon donnée par un père. Sujet et plan. Un homme riche avait un
fils
unique, nommé Eugène, qui, comptant sur la fortun
ène qu’une banqueroute l’a ruiné. Discours du père : il annonce à son
fils
qu’il va vendre sa maison et ses domaines ; qu’il
jours il n’aura probablement de ressource que dans le travail de son
fils
. Ces paroles, les dernières surtout, émeuvent pro
age de faire durer cette épreuve. Enfin, sûr que le changement de son
fils
est complet, il lui révèle la vérité. Supposez qu
oueur corrigé. Sujet et plan. Ariste apprend que le jeune Adolphe,
fils
d’un ami bien cher qu’il avait perdu, s’abandonne
sion jetait ce jeune homme. Le sage Ariste tremble pour la fortune du
fils
de son ami, pour son honneur même et pour sa vie.
rembarquer, une pauvre femme vient supplier l’évêque de délivrer son
fils
unique, âgé de quinze ans. L’évêque, touché de se
quinze ans. L’évêque, touché de ses larmes, s’engage à lui rendre son
fils
. Mais toutes ses ressources sont épuisées ; pour
ans, et se montra aussi habile administrateur que grand guerrier. Son
fils
Mathias Corvin fut roi de Hongrie. La famille des
sse (de 1713 à 1740), était un homme grossier, farouche et cruel. Son
fils
Frédéric (qui, depuis, régna avec beaucoup de glo
tifs ; on les arrêta ; on les ramena à Berlin. Le tyran fit jeter son
fils
dans une prison ; il voulait le faire condamner à
le rendre témoin de son supplice. Dialogue animé entre le père et le
fils
. Frédéric est traîné vers le lieu fatal : Ernest
citée, ne soit satisfaite qu’à la fin. 51. Le père délivré par son
fils
. Sujet. On lit dans les Mémoires de Saint-Simo
Gaëte, étant vice-roi de Naples, les armes à la main. « Ce père et ce
fils
illustres étaient, le père, surtout, la valeur, l
nts qu’on lui fait souffrir, et reportant toutes ses pensées vers son
fils
; on peindra ensuite San-Estevan qui, ayant obten
de mots l’échange des prisonniers et le retour du père auprès de son
fils
. Ce fait a eu lieu en 1710, le 9 décembre. L’Espa
puissance illimitée sous sa veuve Catherine Iere, et ensuite sous son
fils
Pierre II. Mais, au moment même où la fille de ce
cissement à leurs maux. Ce n’est point avec Menzikoff, c’est avec son
fils
, que Dolgorouki eut cette célèbre rencontre dans
s supposons qu’il vécut un an de plus, et nous substituons le père au
fils
. 60. Léopold de Brunswick. Sujet et plan. V
ée sont en proie à la désolation et au désespoir. Arrivée de Léopold,
fils
du souverain de la contrée : il est accouru pour
ice apparent lui est bientôt révélée : la comtesse avait à l’armée un
fils
, qui était colonel, et qu’on lui avait dit avoir
la haine qu’elle éprouvait pour Jules. Elle vient d’apprendre que son
fils
est vivant et prisonnier, que la générosité d’un
vait récemment embrassée. Enfin, il lui envoie demander l’aîné de ses
fils
, avec menace de faire périr ce jeune homme dans l
si Keoven ne consentait pas à sacrifier aux idoles. Keoven livre son
fils
. Adieux touchants du fils et du père. Le lendemai
as à sacrifier aux idoles. Keoven livre son fils. Adieux touchants du
fils
et du père. Le lendemain, Keoven reçoit l’ordre o
eoven reçoit l’ordre ou de sacrifier aux idoles, ou de livrer le seul
fils
qui lui restait, enfant de douze ans. Dialogue de
Keoven et de l’envoyé de l’empereur, qui lui apprend que son premier
fils
n’est plus. Séparation de Keoven et de son enfant
menaces furieuses de l’empereur, qui lui jure de le réunir à ses deux
fils
s’il n’abjure pas sa religion. Vous mettrez dans
de pratiquer sa religion, et, fidèle à son serment, lui rend ses deux
fils
dont il lui avait faussement annoncé la mort. Ce
, l’indignation, l’effroi de Gabinien à la nouvelle du danger que son
fils
a couru. Apollonius lui fait un court récit de l’
et de douleur ; il court avec Apollonius au-devant du sauveur de son
fils
: il remercie le philosophe et lui demande commen
Archidamus fut roi de Sparte de -469 à 427 avant J.-C. ; il eut pour
fils
Agésilas. Sujet et plan. Trois mois après la nais
t les raisons que dut faire valoir Eupolia pour obtenir la vie de son
fils
. Agésilas fut roi de Sparte de -400 à 361 avant J
horrible usage a subsisté longtemps à la cour de Constantinople. Deux
fils
du sultan Mahomet III, Achmet et Osmin, élevés en
arrivée en 1617, son frère Mustapha lui succéda, et servit de père au
fils
d’Achmet, Othman II, qu’une révolution de palais
la tente du général. On lui ôte son casque, le général reconnaît son
fils
Ladislas, qu’il avait banni quelques années aupar
: ses blessures n’étaient pas mortelles ; l’heureux père et l’heureux
fils
confondent leurs embrassements. Ce fait a eu lieu
r des Romains (de 193 à 211), laissa, en mourant, l’empire à ses deux
fils
Géta, âgé de 22 ans, et Caracalla, âgé de 20 ans.
u crime qui doit suivre. 79. Mort de Carloman. Carloman, second
fils
de Louis le Bègue, régna sur les Français de 879
rnement russe de Vitepsk. Ivan IV Wasilievitch (c’est-à-dire Jean IV,
fils
de Basile) fut czar de Russie ou de Moscovie de 1
de Lancastre. Sujet et plan. Henri de Lancastre, prince de Galles,
fils
du roi d’Angleterre, étant encore fort jeune, se
présence tous ceux qui avaient favorisé et partagé ses désordres. Le
fils
aîné des rois d’Angleterre porte le titre de prin
(1343.) Sujet. Humbert, dauphin de Viennois, en jouant avec son
fils
André, le laissa tomber dans le Rhône, l’enfant s
s. Dans la première, on peindra la tendresse réciproque du père et du
fils
, et les jeux de l’enfant sur la terrasse le long
ne. En cédant sa province à la France, il y mit pour condition que le
fils
aîné des rois de France porterait toujours le tit
rance porterait toujours le titre de dauphin. Jean, duc de Normandie,
fils
du roi Philippe de Valois qui régnait alors, fut
u d’arrondissement du département de l’Isère. Humbert II, né en 1312,
fils
du dauphin Jean II, avait succédé en 1333, à son
de Dauphiné, et fonda une université à Grenoble. Après la mort de son
fils
, il vécut trois ans dans une profonde retraite ;
es plus célèbres lieutenants de Henri IV. Ce jeune duc de Guise était
fils
de celui que Henri III fit périr ; Henri IV, ayan
cation et de son avenir, et prend rengagement de le traiter comme son
fils
. La guinée est une pièce d‘or anglaise qui vaut 2
r succès ; Wallace avait péri, Robert Bruce n’était plus, et ses deux
fils
, Robert et Edmond étaient retenus captifs à Londr
faire roi à sa place, l’assassina l’an 471 avant J.-C. Artaxerce 1er,
fils
de Xerxès, punit Artabane et succéda à son père.
ui d’Artaxerce pour lui faire éprouver le même sort. Il rencontre son
fils
Arbace, qui s’indigne du crime commis par son pèr
ne : aux premières lueurs de l’aurore, rencontre d’Artabane et de son
fils
dans un vestibule du palais ; inquiétude du jeune
nquiétude du jeune homme ; trouble du coupable ; enfin il avoue à son
fils
ce qu’il a fait et ce qu’il va faire ; « c’est da
ononcer son arrêt. Paroles d’Artabane, qui avoue tout pour sauver son
fils
. 97. Cicéron et Roscius. Après la guerre ci
ependant Chrysogonus n’était pas tranquille : Roscius avait laissé un
fils
, nommé Sextus ; il se pouvait que ce jeune homme
it dans la personne de Sigismond-Auguste. 99. Ilfrid. Sujet. Un
fils
naturel de Charlemagne, jaloux de ses frères, à q
ns l’ombre. Le chef des conjurés (Ilfrid l’a reconnu, c’est Lothaire,
fils
de l’empereur) s’adresse à ses complices. Discour
’empereur lui promet la vie des coupables, il va lui tout révéler. Ce
fils
criminel se nommait Pépin ; nous l’appelons Lotha
nous l’appelons Lothaire, pour éviter la confusion, à cause de Pépin,
fils
légitime de Charlemagne. Les trois fils légitimes
confusion, à cause de Pépin, fils légitime de Charlemagne. Les trois
fils
légitimes, à qui Charlemagne avait assuré des roy
z les sentiments qui l’agitent. Il fait venir Lothaire. Arrivée de ce
fils
coupable. Scène d’abord terrible, ensuite touchan
d’abord terrible, ensuite touchante et pathétique entre le père et le
fils
; indulgence, pardon ; remords. La grâce des comp
y pleurer son crime. Adieux ; séparation. 101. Clodoald. Un des
fils
de Clovis, qui, après la mort de leur père, avaie
uignons ou Burgondes, sur les bords du Rhône. Clodomir laissait trois
fils
en bas âge. Ces trois enfants furent confiés à le
ire se trouva partagé entre quatre princes, dont l’un, Maxence, était
fils
de Maximien ; l’autre, Constantin, était son gend
évoré d’ambition, Maximien se rendit à Rome et essaya de détrôner son
fils
; mais la peuple et les soldais prirent parti pou
ge et la mort dans les rangs ennemis. Malheureusement ses deux jeunes
fils
sont faits prisonniers dans une sortie. Le cruel
endre à l’aide de ces projectiles meurtriers, il fera placer ses deux
fils
à l’endroit le plus exposé. Douleur et agitation
t de remords : il lève le siège, et renvoie à Roger celui de ses deux
fils
qui avait survécu, et le corps de celui qui avait
ui le royaume de Naples était resté fidèle. Don Jayme était le second
fils
de Pierre III. Il devint roi après son père et so
ans la parabole suivante tirée de l’Évangile18. « Un homme avait deux
fils
. Le plus jeune dit à son père : « Mon père, donne
ers le ciel et envers vous. Je ne suis plus digne d’être appelé votre
fils
; traitez-moi comme l’un des serviteurs qui sont
de compassion, et, courant à lui, se jeta à son cou et l’embrassa. Le
fils
lui dit : « Mon père, j’ai péché contre le ciel e
re le ciel et contre vous : je ne suis plus digne d’être appelé votre
fils
. » Et le père dit à ses serviteurs : « Hâtez-vous
tuez-le ; faisons un grand festin et livrons-nous à la joie. Car mon
fils
était mort, et il est revenu à la vie ; mon fils
s à la joie. Car mon fils était mort, et il est revenu à la vie ; mon
fils
était perdu, et il est retrouvé. » 111. Discou
ophe et comme historien. Il s’était retiré à Scillonte, en Elide. Son
fils
Gryllus était resté à Athènes. Gryllus fut nommé
signe de réjouissance. Les députés arrivent et lui annoncent que son
fils
n’est plus. Il ôte la couronne de sa tête et leur
ourt exorde convenable à la circonstance. Il regarde le trépas de son
fils
comme un véritable triomphe : Gryllus, en s’expos
tout révéler à Cicéron 113. Discours du comte Julien mourant à son
fils
Alphonse. Le comte Julien, pour se venger du r
rin et de remords. Au moment de mourir, il fait appeler Alphonse, son
fils
unique ; il épanche dans son sein sa douleur et s
trahi ! Il meurt désespéré ; faut-il que sa honte rejaillisse sur son
fils
? Il lui reste un espoir : sur les rochers des As
Sujet et plan. Nous supposons qu’après la mort du comte Julien, son
fils
Alphonse s’est rendu auprès de Pélage. Alphonse c
llement puni, et d’oublier le crime du père eu faveur des services du
fils
. 115. Discours de Selim à Roxelane. Roxelan
Roxelane, épouse de Soliman II, sultan des Turcs, lui avait donné un
fils
, nommé Sélim, qu’elle idolâtrait, et qu’il aimait
Mais Soliman, avant d’épouser Roxelane, avait eu d’une autre femme un
fils
nommé Zéangir, qui donnait les plus belles espéra
elane, dans les illusions de sa tendresse maternelle, fait part à son
fils
de son dessein et de l’heureux succès qu’elle esp
is 1er. On l’a surnommé le Grand, le Magnifique, le Législateur. Son
fils
aîné s’appelait Mustapha, et non Zéangir ; mais c
ridicule, nous avons cru devoir le changer. Malgré les prières de son
fils
, Roxelane persévéra dans ses cruels desseins ; el
rent en Asie. Rhadamiste, jeune homme d’un caractère fier et sauvage,
fils
d’un souverain barbare qui régnait au pied du Cau
er dans un cachot et paraît disposé à les envoyer au supplice. Fédor,
fils
du czar et ami d’Owinsko, supplie son père de l’é
out valoir contre lui l’extrême rigueur avec laquelle il traitait son
fils
Titus, qu’il tenait à la campagne, occupé aux tra
al des Romains, a défendu tout combat avant la bataille générale. Son
fils
Titus est rencontré par un cavalier ennemi qui l’
oie, apporte ses dépouilles à son père. Le sévère consul repousse son
fils
, et veut le condamner à mort, comme ayant enfrein
e toute l’armée, au général la grâce du soldat et au père la grâce du
fils
. Ce fait a eu lieu l’an 340 avant Jésus-Christ. L
ouïe. Voici, selon Tite-Live, les paroles que le consul adressa à son
fils
. « Au mépris des ordres de ton général, au mépris
l’âme de ceux qui écoutent, et opérer enfin la persuasion. Agathocle,
fils
d’un potier, s’était élevé, par sa bravoure et pa
dans l’esprit de l’empereur, qui lui accordait sa confiance. Mais le
fils
aîné de l’empereur, Léon, qui, à l’âge de dix-neu
dit-il avec tous les signes du plus grand effroi, sauvez-vous ; votre
fils
, impatient de régner, s’est armé contre vous. » B
Basile s’abandonne alors à toute sa colère ; il se précipite sur son
fils
sans vouloir l’écouter, lui arrache de ses propre
ses appartements tout ce qui pouvait lui rappeler le souvenir de son
fils
; le nom de Léon ne sort plus de sa bouche ; il n
soutire pas qu’en sa présence se fasse la plus légère allusion à son
fils
; il semble que Léon n’existe plus, ou plutôt qu’
as mis le pied. Auprès d’une des fenêtres était une volière garnie de
fils
d’argent, où Léon, qui avait conservé les goûts s
ncer quelques paroles, et l’obtient. Il veut prouver à Basile que son
fils
est innocent. Le matin du jour fatal, Eudoxe avai
rs été le jeune homme le plus sage et le plus généreux, et surtout le
fils
le plus pieux et le plus tendre. Dans cette secon
il maudit sa fatale précipitation. Il courut à la prison chercher son
fils
; le fils et le père confondirent leurs larmes. S
sa fatale précipitation. Il courut à la prison chercher son fils ; le
fils
et le père confondirent leurs larmes. Santabarène
e discours d’Eudoxe, s’était échappé de la galerie. L’empereur et son
fils
étaient trop heureux pour se résoudre à sévir ; l
ur Flavianus. Sujet. Un sénateur romain, nommé Flavianus, avait un
fils
unique dont la tendresse et la piété faisait tout
la piété faisait toute sa consolation. On vient lui apprendre que ce
fils
chéri a été tué dans une bataille ; cette nouvell
avianus était évidemment de ne laisser sa fortune à Labéon que si son
fils
était mort, ce que prouvent les considérants même
..., etc. D’après la loi, un acte aussi grave que l’exhérédation d’un
fils
ne doit jamais être présumé et ne peut être recon
brouillée avec son mari, s’était retirée auprès de son frère. Yvain,
fils
du comte et de la comtesse, âgé de quatorze ans,
ssemble ses amis et ses conseillers pour délibérer sur le sort de son
fils
. Un des conseillers parle en faveur d’Yvain, dont
r sa valeur et par sa magnificence. Né en 1331, il mourut en 1391. Le
fils
de Gaston Phœbus (il s’appelait Gaston comme son
offroi avait épousé Constance, comtesse de Bretagne, et eut d’elle un
fils
nommé Arthur ; Geoffroi mourut avant Richard. Jea
uchés et comtés de France, et s’empara de tout au préjudice d’Arthur,
fils
de son frère aîné. Arthur réclama ses droits et t
Cloris II mourut en 626 ; âgé seulement de vingt-deux ans. Ses trois
fils
, Childéric II, Clotaire III, Thierri, qui, après
te. 150 Discours en faveur d’Inès de Castro. (1355) Sujet. Le
fils
unique du roi de Portugal Alphonse IV, don Pèdre,
égo, dans les environs de Coïmbre ; elle ignorait que son mari fut le
fils
du roi, et croyait qu’il n’était qu’un simple off
qu’il n’était qu’un simple officier. Le roi Alphonse voulait que son
fils
épousât une princesse d’Aragon : étonné de ses re
s’il le croit légitime, qu’il protège la femme et les enfants de son
fils
. Mais la faire assassiner !… Dans l’un ou dans l’
d sénéchal : « Les enfants d’Inès raviraient peut-être la couronne au
fils
aîné de don Pèdre. » Cette crainte est sans fonde
e s’exposera pas à perdre pour jamais le cœur et l’estime même de son
fils
. Ce discours n’eut pas de succès. Avec l’autorisa
it et détrôna Mainfroi, roi de Naples et de Sicile. Ce Mainfroi était
fils
naturel de l’empereur Frédéric II, roi de Naples
de Sicile ; il s’était fait couronner roi après la mort de Conrad II,
fils
légitime de Frédéric, et au préjudice du Conradin
de Conrad II, fils légitime de Frédéric, et au préjudice du Conradin,
fils
de Conrad. Charles d’Anjou se rendit maître de to
Sujet et plan. Ivan IV30, czar de Russie ou Moscovie, laissa deux
fils
, Fédor31 et Démétrius32. Fédor régna après son pè
dont cinq au moins, évidemment, étaient des imposteurs. Boris et son
fils
périrent dans ces troubles. 156. Discours du p
t plan. On vit sous le règne de Tibère les deux Vibius, le père et le
fils
, introduits ensemble dans le sénat, l’un comme ac
cusateur ; le père, restant chargé de fers pendant le discours de son
fils
, dont l’allégresse et la brillante parure semblai
ayme. Sujet. Don Jayme vient d’annoncer à son conseil que les deux
fils
de Roger de Sanguinet, emportés par leur ardeur,
e soutien de sa famille : mais la loi ne dispensant du service que le
fils
aîné de veuve, Huc fut obligé de quitter la maiso
nt alors, surtout dans l’empire d’Orient. 25. Vespasien ; c’est son
fils
Titus qui prit Jérusalem l’an 70. 26. Quelques
André de Chénier 1762-1794 [Notice]
Fils
du consul général de France en Turquie, né d’une
eu vainqueur de Python, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de mon
fils
, de mon unique enfant ! Prends pitié de sa mère a
ui, qui meurt abandonnée, Qui n’a pas dû rester2 pour voir mourir son
fils
; Dieu jeune, viens aider sa jeunesse. Assoupis,
eau mugissant La hache à ton autel fera couler le sang. Eh bien ! mon
fils
, es-tu toujours impitoyable ? Ton funeste silence
tu toujours impitoyable ? Ton funeste silence est-il inexorable ? Mon
fils
, veux-tu mourir ? Tu veux, dans ses vieux ans, La
x1, Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. Parle, parle, mon
fils
, quel chagrin te consume ? Les maux qu’on dissimu
ces yeux appesantis ? — Ma mère, adieu, je meurs, et tu n’as plus de
fils
. Non, tu n’as plus de fils, ma mère bien-aimée. J
mère, adieu, je meurs, et tu n’as plus de fils. Non, tu n’as plus de
fils
, ma mère bien-aimée. Je te perds. Une plaie arden
lanc. Ah ! j’expire ! ô douleurs2 ! — Tiens, mon unique enfant, mon
fils
, prends ce breuvage ; Sa chaleur te rendra ta for
du soleil, Sans connaître Cérès, ni tes yeux le sommeil ! Prends, mon
fils
, laisse-toi fléchir à ma prière ; C’est ta mère,
ite retrouvée dans les cendres de Pompéia. 1. Évandre, pleurant son
fils
Pallas, disait : Sors ista senectæ Debita erat no
sa poitrine la redoutable égide. Enfin, elle prononce ces paroles : «
Fils
d’Ulysse, écoutez-moi pour la dernière fois. Je n
iberté, la douce abondance, la gloire sans tache. « Je vous quitte, ô
fils
d’Ulysse ; mais ma sagesse ne vous quittera point
ap. J.-C. (La Pharsale). IX. Marc-Aurèle recommande à ses amis son
fils
Commode. Marc-Aurèle était monté sur le trône,
us n’avez pas oublié les faveurs que vous avez reçues. Vous voyez mon
fils
qui a été élevé par vous-mêmes. Il commence à fai
sions, quand on possède une autorité souveraine. Si vous soutenez mon
fils
de vos conseils, mes amis, et si vous lui rappele
iment une dépense fastueuse ? » Fénelon (Télémaque). XI. Commode,
fils
et successeur de Marc-Aurèle aux soldats avant de
à quelles cruautés, à quelles débauches se livra l’empereur Commode,
fils
bien indigne de Marc-Aurèle. Il périt empoisonné
oi seul. Il aimait à m’appeler votre compagnon d’armes plutôt que son
fils
: il regardait ce dernier nom comme venant de la
l personnel, une douleur privée ? Qui ne pleure ou des frères, ou des
fils
morts dans les plaines de la Thessalie ? Aujourd’
nt à la Pharsale de Lucain). XIV. Charles-Quint à Philippe II, son
fils
en abdiquant la couronne d’Espagne (1555). Suje
écédente, il avait abandonné la couronne d’Espagne à Philippe II, son
fils
. On sait qu’il se retira dans le monastère de Sai
t devenue ton partage par ma mort, j’aurais certes bien mérité de mon
fils
, en lui laissant un patrimoine si riche et augmen
u gouvernement. Les autres rois se réjouissent de donner la vie à des
fils
, et pensent avec joie qu’un jour ils leur remettr
. En finissant, je n’ai plus qu’un vœu à former : puisses-tu avoir un
fils
tel, que tu lui transmettes ton royaume spontaném
de Munda en Espagne livrée par J. César, (45 ans av. J.-C.) aux deux
fils
de Pompée, mit fin à la guerre civile. Cette bata
faisceaux et les haches, il se jeta dans les bras de sa mère : « Mon
fils
, dit Véturie, renonce au projet d’apporter dans l
ille dans ta maison ? de ta maison dans les temples ? Pardonne, ô mon
fils
, pardonne et à moi et à la patrie, qui par ma bou
e ciel que désormais aucune mère, essuyant un refus de la part de son
fils
, ne se voie réduite à la douloureuse nécessité de
ré d’attendrissement, il s’écrie : « Tu l’emportes, ma mère, mais ton
fils
est perdu. » Traduit d’Appien, historien grec du
la bouche de Volumnie : « Même quand nous garderions le silence, mon
fils
, tu peux conjecturer d’après les vêtements que no
être pour nous le plus doux à contempler : moi, ta mère, je vois mon
fils
, et ton épouse voit son époux prêt à mettre le si
je n’attendrai pas le jour où je verrais les Romains triompher de mon
fils
ou mon fils triompher des Romains. » Traduit de
ai pas le jour où je verrais les Romains triompher de mon fils ou mon
fils
triompher des Romains. » Traduit de Plutarque (V
s le camp de Coriolan. Deuxième partie. « Si je te demandais, mon
fils
, de sauver Rome en détruisant les Volsques, je te
lle eut cessé de parler, comme il ne répondait rien : « Eh bien ! mon
fils
, ajouta-t-elle, pourquoi garder le silence ? Est-
ont comblés par les auteurs de leurs jours ? C’est à toi surtout, mon
fils
, à toi qui veux sévir contre les ingrats avec tan
ieux. » XXIX. Lettre de Cornélie, mère des Gracques, à son second
fils
Caïus Gracchus. Le sang d’un citoyen romain a
pas poursuivre les projets de son frère (122 av. J.-C.). « Oui, mon
fils
, j’en jure par les Dieux : après les meurtriers d
me restent à vivre ne m’empêchent pas de trouver en toi un ennemi, un
fils
qui médite la ruine de sa patrie ! Où donc s’arrê
à la fin de la carrière mortelle, participent à toutes les vertus. «
Fils
d’Israël, la base, le principe du bonheur pour to
ment) dans les malheurs que la guerre actuelle a causés. Père de deux
fils
, je n’ai pas hésité à les exposer aux périls qu’i
je regarde ma position comme bien affligeante et bien déplorable. Mes
fils
, en effet, sacrifiant pour leur patrie une existe
lé d’un double deuil, puisqu’il ne m’est plus permis d’espérer de mes
fils
la propagation de ma race et les fruits que me pr
guidé et soutenu par les bras de mes esclaves, et non par ceux de mes
fils
. Si les conseils que je viens vous offrir avaient
uand ils ont rendu sa vieillesse si douloureuse, en le privant de ses
fils
! Il paraît devant vous avec des vêtements de deu
Serment d’Annibal : Paroles d’Amilcar. Amilcar vient d’amener son
fils
, âgé de neuf ans, dans le temple consacré aux mân
me permettent pas de venger ma patrie d’un tel affront, du moins, mon
fils
, réclame pour toi cette gloire ! Fais serment d’a
ler déjà en sachant que tu existes, et qu’en te voyant grandir, ô mon
fils
, les mères du Latium refusent de donner des enfan
termes à ses enfants : « Gardez-vous bien de croire, mes très chers
fils
, que, lorsque je vous aurai quittés, je ne serai
s les peuples, si tous refusaient de s’associer à vos destinées, quel
fils
, à la vue de son père, n’abaisserait pas son glai
ot, arrive au camp, et s’exprime ainsi : « Tu as en ton pouvoir, mon
fils
, deux moyens d’apaiser des hostilités implacables
moi, je vous prie de considérer, mon père, que les Samnites, dont les
fils
, les pères, les frères ont succombé dans les guer
rs légions taillées en pièces, la terre jonchée de leurs cadavres, le
fils
de Crassus percé de traits sous les yeux de son p
Cousin). LXX. Priam supplie Achille de lui rendre le corps de son
fils
Hector. Ce sujet a été donné à la Sorbonne le 1
Priam aux genoux d’Achille, le supplie de lui rendre le corps de son
fils
Hector. Priam, sans être aperçu, a pénétré dans
ros et couvre de baisers ces mains terribles qui lui ont ravi tant de
fils
. Achille étonné frémit à l’aspect du noble vieill
ant, son cœur se remplit de joie, et chaque jour il espère revoir son
fils
, revenu du siège de Troie : mais moi, vieillard b
roie, et je crois qu’il ne m’en reste plus un seul. J’avais cinquante
fils
, quand les Grecs ont abordé sur ce rivage ; le cr
es enfants ! » Traduit d’Homère. LXXI. Philoctète. Neoptolème,
fils
d’Achille, vient d’annoncer à Philoctète qu’il va
loctète lui adresse la prière suivante : « Au nom de ton père, ô mon
fils
, au nom de ta mère, par tout ce que tu as de plus
ter la gloire dans tout ce qui est honnête. Si tu me repousses, ô mon
fils
, un déshonneur éternel rejaillira sur toi ; mais
e moins être un embarras pour tes compagnons. Laisse-toi toucher, mon
fils
, au nom de Jupiter, le dieu des suppliants ; je t
igé mes instructions et sont retournés dans leur patrie. Aujourd’hui,
fils
d’Achille, sois mon libérateur, mon guide, sauve-
, jusqu’à frapper du poing le visage d’un de ses esclaves. Enfin, son
fils
tout en larmes, se précipitant dans ses bras, le
Caton se levant avec vivacité et jetant des regards menaçants sur son
fils
et sur les amis qui l’entouraient : « Eh quoi !
moi, pour m’empêcher de les exécuter, on me désarme ! Eh bien ! noble
fils
, pourquoi n’enchaînes-tu pas ton père ? Pourquoi
ion, ou en me brisant la tête contre la muraille ? » À ces mots, son
fils
et quelques amis sortirent, en versant des pleurs
que dans votre philosophie. Retirez-vous sans crainte, et dites à mon
fils
de ne pas employer la violence envers moi, s’il n
me cause aucune douleur ; mais si j’avais abandonné sans sépulture le
fils
de ma mère, je serais justement affligée, tandis
contre, accompagné de la nourrice qui portait sur son sein leur jeune
fils
, Astyanax. Le guerrier jette sur lui un regard ca
eure ici, sur cette tour, si tu ne veux laisser ta femme veuve et ton
fils
orphelin. Arrête tes guerriers près de ce figuier
ois fois les Ajax, le vaillant Idoménée, les deux Atrides et le brave
fils
de Tydée ont essayé de s’ouvrir un passage, soit
ILIPPE. Maintenant, Alexandre, tu ne saurais dire que tu n’es pas mon
fils
; car si tu avais été celui d’Ammon, tu ne serais
ort. ALEXANDRE. Assurément, mon père, je n’ignorais pas que Philippe,
fils
d’Amyntas, était l’auteur de mes jours ; mais com
p de bataille, couvert de sang, gémissant comme un simple mortel, toi
fils
d’un Dieu, n’aurais-tu pas prêté à rire aux spect
rté les armes ; Biron, dont le seul nom répandait les alarmes, Et son
fils
, jeune encore, ardent, impétueux, Qui depuis… mai
liberté par le soudan qui y commande, Orosmane, il va reconnaître son
fils
dans Nérestan, chevalier chrétien, qui était venu
bles yeux. Châtillon. C’est ici le palais qu’ont bâti vos aïeux : Du
fils
de Noradin c’est le séjour profane2. Zaïre. Le m
e temps Ne peut encor tarir dans mes yeux expirants. Une fille, trois
fils
, ma superbe espérance3, Me furent arrachés dès le
nnier avec moi dans Césarée en flamme, Tes yeux virent périr mes deux
fils
et ma femme, Châtillon. Mon bras, chargé de fers
lore, Sur mes autres enfants, s’ils sont vivants encore : Mon dernier
fils
, ma fille, aux chaînes réservés, Par de barbares
ts, Revinrent l’arracher à mes bras tout sanglants1. Votre plus jeune
fils
, à qui les destinées Avaient à peine encore accor
, seigneur ! ah, Zaïre !Approchez, mes enfants. Nérestan. Moi, votre
fils
! Zaïre. Moi, votre fils !Seigneur ! Lusignan.
rochez, mes enfants. Nérestan. Moi, votre fils ! Zaïre. Moi, votre
fils
!Seigneur ! Lusignan. Moi, votre fils ! Seigneu
re fils ! Zaïre. Moi, votre fils !Seigneur ! Lusignan. Moi, votre
fils
! Seigneur !Heureux jour qui m’éclaire ! Ma fille
otre fils ! Seigneur !Heureux jour qui m’éclaire ! Ma fille, mon cher
fils
, embrassez votre père1. Châtillon. Que d’un bonh
e puis m’arracher. Je vous revois enfin, chère et triste famille, Mon
fils
, digne héritier… vous… hélas ! vous, ma fille ! D
e. Lusignan. Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi ! Ah ! mon
fils
, à ces mots j’eusse expiré sans toi. Mon Dieu ! j
au fond de sain et de substantiel1. Conseils de d’Aguesseau à son
fils
aîné sur la religion. Vous venez, mon cher fil
d’Aguesseau à son fils aîné sur la religion. Vous venez, mon cher
fils
, d’achever le cercle ordinaire de l’étude des hum
e la nature comme dans celui de la grâce… L’étude de la religion, mon
fils
, doit être le fondement, le motif et la règle de
trembler un père qui vous aime tendrement, si je ne croyais, mon cher
fils
, que vous le craignez vous-même. Vous ne sauriez
e la religion, je ne crois pas avoir besoin de vous avertir, mon cher
fils
, que la persuasion, ou la conviction à laquelle o
e ces pensées et de ces sentiments, dans l’âge où vous êtes, mon cher
fils
. Vous aller entrer dans le monde, et vous n’y tro
au large, en secouant le joug de la religion. Ce n’est pas, mon cher
fils
, que je veuille vous conseiller d’entrer en lice
a règle de notre conduite, c’est l’étude de toute notre vie, mon cher
fils
: vous en êtes déjà aussi instruit qu’on le peut
même, c’est dans le personnage héroïque du vieil Horace défendant son
fils
; et pour cela il a suffi au poète de mettre en b
chaque page. Voyez, entre autres, le beau discours de Pacuvius à son
fils
Pérolla, qui avait formé le projet de tuer Anniba
l’horreur du forfait, et pénétrée en même temps de tendresse pour un
fils
qu’égare son admiration fanatique pour les Romain
Agrippine quitte donc l’armée de son époux, portant dans ses bras son
fils
encore en bas âge, et traînant à sa suite les fem
. Cyrus, dit Xénophon, sentant sa fin approcher, fit appeler ses deux
fils
, avec ses amis, et les principaux magistrats des
ation de voir que vous me survivrez, vous que le ciel m’a donnés pour
fils
. Je laisse mon pays florissant, et mes amis dans
t, mes enfants, les doux nœuds dont le ciel a voulu lier ensemble les
fils
d’un même père : resserrez-les plutôt, par les ac
ne s’élèvent contre l’opprobre d’un pareil supplice » ! 76. « Mon
fils
, au nom des nœuds sacrés qui unissent les pères e
crés qui unissent les pères et les enfants, je l’en conjure, mon cher
fils
! ne souille point, ne laisse point souiller les
lui qui t’y reçoit ? Eh quoi ! j’ai pu rendre Annibal favorable à mon
fils
, et je ne pourrai rien sur mon fils pour Annibal
pu rendre Annibal favorable à mon fils, et je ne pourrai rien sur mon
fils
pour Annibal ! — Mais si la foi du serment, si la
une victoire dont je rougirais ; et que mes prières puissent sur mon
fils
ce qu’elles ont pu aujourd’hui sur d’autres en sa
veur » ! (Tite-Li v e, Liv. xxiii, c. 9). 77. « Mon épouse et mon
fils
ne me sont pas plus chers que mon père et la répu
i m’environne ? Vous appellerai-je soldats ? vous qui avez assiégé le
fils
de votre empereur dans son propre camp ; citoyens
t-cinq ans. Réparer les brèches d’une fortune compromise, établir son
fils
, adorer sa fille, madame de Grignan, se lamenter
dation de cette terre : il y avait les plus vieux bois du monde ; mon
fils
, dans son dernier voyage, y a fait donner les der
reste3. Douleur de madame de Longueville apprenant la mort de son
fils
À madame de Grignan Paris, 20 juin 1672.
qui sont présentement en mon cœur ? Le péril extrême où se trouve mon
fils
, la guerre qui s’échauffe5 tous les jours, les co
adame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat… Et mon
fils
? On ne lui répondit rien6. — Ah ! Mademoiselle,
bat… Et mon fils ? On ne lui répondit rien6. — Ah ! Mademoiselle, mon
fils
, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
— Madame, je n’ai point de parole pour vous répondre. — Ah ! mon cher
fils
! Est-il mort sur-le-champ ? n’a-t-il pas eu un s
te contre une tendresse si juste et si naturelle. » 1. Terre de son
fils
, dans le pays Nantais. 2. Nous dirions : Qui éta
bleau très-éloquent de la douleur d’une mère apprenant la mort de son
fils
. Madame de Sévigné, qui pourtant n’a pas vu cette
Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne ; le
fils
de Saint-Hilaire se jette à son père, et se met à
es sens sont saisis. (Montrant Joas.) Épouse de Joad, est-ce là votre
fils
? Josabeth. Qui ? lui, madame2 ? Athalie. Lui.
. Josabeth. Je ne suis point sa mère. (Montrant Zacharie.) Voilà mon
fils
. Athalie, à Joas. Et vous, quel est donc votre p
, Je prétends vous traiter comme mon propre fils3. Joas. Comme votre
fils
! Athalie. Oui… Vous vous taisez ? Joas. Quel p
ême jour égorger à la fois (Quel spectacle d’horreur !) quatre-vingts
fils
de rois2 ; Et pourquoi ? Pour venger je ne sais q
s deux maisons rompit toute alliance : David m’est en horreur, et les
fils
de ce roi, Quoique nés de mon sang, sont étranger
s humains. Vous-même, consultez vos premières années : Claudius à son
fils
les avait destinées ; Mais c’était en un temps où
uvre animal6. Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire : Son
fils
ne souffre plus qu’on lui parle d’affaire. Il nou
-avancé pour son âge. 2. Assis, par un tour inversif, se rapporte à
fils
. 3. Voltaire a osé dire que Joad et Josabeth aur
bite et pathétique réponse ! 1. Athalie, mère d’Ochozias, voyant son
fils
mort, s’eleva contre les princes de la race royal
s, liv. IV, ch. xi, v. 1.) 2. Or, le roi Achab avait soixante et dix
fils
, qui étaient nourris chez les premières personnes
es curent reçu les lettres de Jéhu, elles prirent les soixante et dix
fils
du roi et les tuèrent. (Rois, liv. IV, ch. x, v.
érieures.) 1. Il s’agit d’un chien qui a mangé un chapon. — Léandre,
fils
de Dandin qui a la manie de juger, métamorphose e
été reçue à Grignan. Ils avaient fait ici une manière d’entrée à mon
fils
; Vaillant avait mis plus de quinze cents hommes
ui vous convenait : voici un mot que j’ai écrit sur un arbre pour mon
fils
, qui est revenu de Candie : Vago di fama 3 ; n’es
A la même. Inquiétudes de madame de Sévigné pour sa fille et son
fils
. Mort du jeune duc de Longueville. Il m’est im
i sont présentement dans mon cœur ! Le péril extrême où se trouve mon
fils
; la guerre qui s’échauffe tous les jours ; les c
dame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat ! Et mon
fils
? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle,
t ! Et mon fils ? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle, mon
fils
, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
Madame, je n’ai point de paroles pour vous répondre. — Ah ! mon cher
fils
! est-il mort sur-le-champ3 ? n’a-t-il pas eu un
efforts, Jamais rien de grand n’a paru sur tes bords. Voiture était
fils
d’un marchand de vin. Un jour qu’il jouait aux pr
Et la sœur et le frère, Et la fille et la mère, Le
fils
dans les bras de son père ! Racine, Esther, acte
os pas, Si pour sauver son peuple il ne vous gardait pas ? Racine le
fils
a traité le même sujet que Massillon, l’existence
crifice d’Abraham Une noble dame vénitienne venait de voir mourir son
fils
unique, et s’abandonnait aux plus cruelles douleu
qui Dieu commanda de plonger lui-même le couteau dans le sein de son
fils
, et qui obéit sans murmurer. » — Ah ! mon père, r
si le temps où une malheureuse mère vient pleurer sur la tombe de son
fils
: C’était l’heure où lassé des longs travaux du
i de la veuve d’Hector à Phénix, son gouverneur : Je puis perdre son
fils
; peut-être je le dois ; Étrangère… Que dis-je ?
dois ; Étrangère… Que dis-je ? esclave dans l’Épire, Je lui donne son
fils
, mon âme, mon empire ; Et je ne puis gagner dans
, vient reprocher à Burrhus le soin qu’il prend d’éloigner d’elle son
fils
, et Burrhus, dans sa réponse aux reproches de l’i
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le
fils
assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
t l’éloge du vertueux Marc Aurèle, il adresse ses conseils à Commode,
fils
de l’empereur, en présence du corps inanimé de so
tre du monde, tu peux ni ordonner de mourir, mais non de t’estimer. Ô
fils
de Marc-Aurèle ! pardonne : je te parle au nom de
ise et l’admiration. Voltaire se sert de cette figure lorsqu’Égisthe,
fils
de Mérope, attaque Polyphonie au pied de l’autel
t ses pas ! Sa mère… elle s’élance au milieu des soldats. « C’est mon
fils
! arrêtez ; cessez, troupe inhumaine, C’est mon f
ats. « C’est mon fils ! arrêtez ; cessez, troupe inhumaine, C’est mon
fils
! déchirez sa mère et votre reine, Ce sein qui l’
encore un bel exemple dans le poème de la Religion, lorsque Racine le
fils
met en opposition la grandeur et la bassesse de l
e prix au crime encouragé, Le mari par sa femme en son lit égorgé, Le
fils
tout dégouttant du meurtre de son père, Et, sa tê
a douleur du vieux d’Ailly qui, d’un coup d’épée, vient d’abattre son
fils
à ses lieds : Ses yeux sont pour jamais fermés à
désespoir ! ô cris : Il le voit, il l’embrasse : hélas ! c’était son
fils
. Henriade, ch. VIII. J.-J. Rousseau emploie cet
e j’ai craint de livrer aux flammes, au pillage. Qu’il règne donc, ce
fils
, ton soin et ton ouvrage ! Et que, pour signaler
, Au nom de tes vertus, de Rome et de toi-même, Dirai-je au nom si un
fils
qui frémit et qui t’aime Qui te préfère au monde
[Notice] Jamais vocation ne fut plus irrésistible que la sienne.
Fils
et petit-fils d’un tapissier du roi, élevé au col
gentilhomme gueux et malbâti. Nicole 1. Cela est vrai. Nous avons le
fils
d’un gentilhomme de notre village qui est le plus
is son père1 ; mais je puis dire que j’ai sujet d’être content de mon
fils
, et que tous ceux qui le voient en parlent comme
II, scène vi, le Malade imaginaire.) Un père fait la leçon à son
fils
Don Louis. Je vois bien que je vous embarra
ar nos vœux aveugles et nos demandes inconsidérées ! J’ai souhaité un
fils
avec des ardeurs non pareilles ; je l’ai demandé
je l’ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce
fils
, que j’obtiens en fatiguant le ciel de mes prière
u’on signe qu’aux actions qu’on fait, et que je ferais plus d’état du
fils
d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du
plus d’état du fils d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du
fils
d’un monarque qui vivrait comme vous1. Don Juan
is bien que toutes mes paroles ne font rien sur ton âme ; mais sache,
fils
indigne, que la tendresse paternelle est poussée
ri. 4. Que, d’autre source que de… 5. M. Jourdain rougit d’être le
fils
de son père.. 1. Nicole est la servante, qui gl
plutôt tué, dans un combat sur le rivage d’Ithaque, par Télégonus, le
fils
qu’il avait eu jadis de Circé. Voy. Hygin, Fable
elle, ne balance pas à dire que la reconnaissance de Mérope et de son
fils
était le moment le plus intéressant de toute la s
e fragments. Mais, d’après le récit d’Hygin, Fable 8, ce n’est pas un
fils
d’Antiope qui va la livrer à la mort, mais ses de
n’est pas un fils d’Antiope qui va la livrer à la mort, mais ses deux
fils
, qui, la reconnaissant sur les indices d’un berge
ma maison à la vôtre. Vous n’avez qu’une fille, et moi je n’ai qu’un
fils
; Leur hymen nous peut rendre à jamais plus qu’am
illeurs mains. (Scène iv.) Don Diègue fait appel à l’épée de son
fils
D. Diègue. Rodrigue, as-tu du cœur1 ? Rodr
e courroux ; Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon
fils
, viens, mon sang, viens réparer ma honte, Viens m
nce : Je ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi. Montre-toi digne
fils
d’un père tel que moi. Accablé des malheurs où le
Va, cours, vole, et nous venge. (Scène.v.) Don Diègue defend son
fils
D. Diègue. Qu’on est digne d’envie Lorsqu’o
cendaient au tombeau tout chargés d’infamie, Si je n’eusse produit un
fils
digne de moi, Digne de son pays, et digne de son
sse. 4. Il l’interrompt au moment où, sous le coup de l’affront, son
fils
allait oublier qu’il parle à un père. 1. Nous d
on Juan de Molière. Lisez cette lettre de madame de Staël à un de ses
fils
, et rapprochez la fiction de la réalité : « Je cr
entiment de fierté m’empêchât de le faire avec tout autre qu’avec mon
fils
. « Voici le tableau de votre conduite : Vous avez
tifient Corneille. 2. « La réponse de don Diègue, qui défend ici son
fils
contre Chimène devant le roi justicier, est d’une
l s’offre lui-même en, victime pour apaiser le sang qui crie. Que son
fils
vive, pour continuer l’honneur de sa race, pour s
tant de fois Entoura de respect l’autorité des lois : Venez, généreux
fils
, en qui l’affront d’un père Ferait encor du Cîd b
Saint-Simon 1675-1755 [Notice]
Fils
d’un ancien favori de Louis XIII, qui prétendait
ec rage à rabaisser le parlement et à précipiter d’un rang usurpé les
fils
illégitimes de Louis XIV. Après son ambassade d’E
c’est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d’un si bon
fils
. Les plus fins d’entre eux, ou les plus considéra
le attend encore et soupire après le Messie1 1. Le grand dauphin,
fils
aîné de Louis XIV, né en 1661, mort en 1711. On p
de madame de Maintenon, adressée au duc de Noailles, le 27 avril. Son
fils
, le duc de Bourgogne, mourut l’année suivante, 17
mourut l’année suivante, 1712. 2. Le duc de Berry était le troisième
fils
de Monseigneur. Il ne joua aucun rôle politique,
taient leur cabale (leur parti) frappée dans son chef. 1. C’était le
fils
bien-aimé de Monseigneur, qui avait moins d’affec
l’injuste condamnation du vieillard pour s’écrier : « Hommes justes,
fils
religieux et soumis, c’est vous que j’invoque. Te
iens-tu ! O jeune homme ! brûle-moi tout à l’heure comme je brûlai le
fils
de Jupiter. O terre ! ô terre ! reçois un mourant
s jouait autrefois à Rouen la Mort d’Abel, tragédie en cinq actes. Le
fils
d’un notable demande à en faire partie. Mais tous
ur donner de l’élégance et de l’ampleur au discours : — Tels que des
fils
d’Io, l’un à l’autre attachés, Sont portés dans u
, Sont portés dans un char aux plus voisins marchés. (Voltaire.) Ces
fils
d’Io, en vile prose, sont tout bonnement des veau
acine.) Agrippine ne peut pas donner à entendre plus clairement à son
fils
qu’elle a hâté les derniers moments de Claude pou
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
? non, c’est de l’avoir faite reine malheureuse !
nt. C’est ce qu’on admire dans le poëme de la Religion, par Racine le
fils
. Il conduit son plan, comme il le dit lui - même,
Boscovich, jésuite. Il s’agit des couleurs qu’offrent à nos yeux les
fils
de la lumière séparés par la réfraction. « Quoiq
éparés par la réfraction. « Quoique nous vous ayons déjà annoncé ces
fils
lumineux comme innombrables, et comme ayant chacu
le prodigue un suc jusqu’alors réservé. En longs cercles d’abord, des
fils
qu’elle ménage, Elle forme un duvet, appui de son
son ouvrage : Bientôt elle décrit des mouvemens plus courts ; Et ses
fils
plus serrés, unis par mille tours, D’un tissu mer
loison ; Celui-ci, que déjà cache un épais nuage, Laisse encor de ses
fils
entrevoir l’assemblage : D’autres se renfermant d
fort bien traduits par le P. Avril, de la même compagnie. Racine le
fils
a chanté ln. On a vu le plan de ce poëme, non moi
si entre-t-on moins vivement dans les sentimens d’Andromaque pour son
fils
Astianax. Mais d’un autre côté cet amour d’Oreste
on même ; et Cléopâtre avale le poison qu’elle avoit préparé pour son
fils
. Cet empoisonnement de Cléopâtre est aussi vraise
eux ou malheureux : heureux, tel que celui d’Andromaque qui sauve son
fils
; malheureux, tel que celui d’Hippolyte qui meurt
la première scène contient des discours relatifs au sujet. Hippolyte,
fils
de Thésée, roi d’Athènes, y laisse entrevoir son
se présente à Hippolyte pour lui demander son appui en faveur de son
fils
. Mais se laissant emporter par sa passion, elle l
lyte par l’offre de l’empire d’Athènes qu’elle croit appartenir à son
fils
, et qu’elle veut lui céder, lorsqu’on annonce l’a
cuse Hippolyte auprès de Thésée. Celui ci furieux voyant paroître son
fils
, l’accable de reproches : il invoque Neptune qui
touchée de repentir vient trouver Thésée pour le prier d’épargner son
fils
. Mais aussitôt qu’elle apprend qu’Aricie en est a
a reine. Alors ce malheureux père ne doute plus de l’innocence de son
fils
, et ordonne qu’on le rappelle. Voilà le nœud auss
ocence d’Hippolyte à Thésée, qui va joindre ses larmes au sang de son
fils
, et qui veut qu’Aricie lui tienne désormais lieu
chante qu’elle est, ont la bonne poétique. Elle a poignardé un de ses
fils
; elle veut empoisonner l’autre et la princesse s
ithridate, dans la tragédie de ce nom, résolu à se venger de ses deux
fils
, aussitôt qu’il apprend leur amour pour Monime, v
es qui ne vont point au fait, ressemble à une mère qui, cherchant son
fils
dans les campagnes, s’amuseroit à cueillir des fl
absolue, tin mari pusillanime et soumis ; à côté d’un père avare, un
fils
prodigue. Le second, c’est d’opposer le ridicule
uivant l’expression d’Horace ; c’est lorsqu’il est indigné contre son
fils
. Venons à un exemple sensible que m’offre la bell
ar Poinsinet de Sivry, qui y a joint ceux de Philémon, poëte comique,
fils
d’un autre Philémon, contemporain et rival de Mén
t une parodie d’Inès de Castro, tragédie de le. Dans Inès, on voit le
fils
d’un roi, marié secrètement avec une fille d’honn
ec la propre fille de la reine même : dans la parodie, c’est Pierrot,
fils
d’un bailli, et qui est marié secrètement avec la
ée qui égorge ses enfans ; celle de Cléopâtre qui poignarde un de ses
fils
et veut empoisonner l’autre ; personnages atroces
sur le faux rapport de la malheureuse Œnone, ne doutant point que son
fils
ne soit coupable, lui dit avec colère : Fuis, tr
ien assez pour moi de l’opprobre éternel D’avoir pu mettre au jour un
fils
si criminel, Sans que ta mort encor, honteuse à m
pas moins attendrissante. Cette veuve d’Hector étoit esclave avec son
fils
Astyanax à la cour de Pyrrhus, fils du meurtrier
e d’Hector étoit esclave avec son fils Astyanax à la cour de Pyrrhus,
fils
du meurtrier de son époux. Les Grecs demandoient
sse, dit dans un transport de colère : …… Allons aux Grecs livrer le
fils
d’Hector(a). Andromaque ss. Ah, seigneur, arrêt
Ah, seigneur, arrêtez ! que prétendez-vous faire ? Si vous livrez le
fils
, livrez-leur donc la mère. Vos sermens m’ont tant
a famille entière, Et mon époux sanglant trainé sur la poussière, Son
fils
, seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne
e, Son fils, seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne peut un
fils
! je respire, je sers ; J’ai fait plus : je me su
tôt qu’ailleurs le sort m’eût exilée ; Qu’heureux dans son malheur le
fils
de tant de rois, Puisqu’il devoit servir, fût tom
Jadis Priam(a) soumis fut respecté d’Achille(b) : J’attendois de son
fils
encor plus de bonté. Pardonne, cher Hector, à ma
aisse à Andromaque le triste choix de l’épouser, ou de voir périr son
fils
. Dans cette cruelle perplexité, elle dit à sa con
le dit à sa confidente : Quoi, Céphise, j’irai voir expirer encor Ce
fils
, ma seule joie, et l’image d’Hector, Ce fils que
ai voir expirer encor Ce fils, ma seule joie, et l’image d’Hector, Ce
fils
que de sa flamme il me laissa pour gage, Hélas, i
courage Lui fit chercher Achille, ou plutôt le trépas, Il demanda son
fils
, et le prit dans ses bras : « Chère épouse, dit-i
mes, J’ignore quel succès le sort garde à mes armes. Je te laisse mon
fils
pour gage de ma foi ; S’il me perd, je prétends q
ouve en toi. Si d’un heureux hymen la mémoire t’est chère ; Montre au
fils
à quel point tu chérissois le père. » Et je puis
il plaint à tes yeux des maux qu’il ne sent pas ? Mais cependant, mon
fils
, tu meurs, si je n’arrête Le fer que le cruel tie
on. L’histoire dit que Cléopâtre, reine de Syrie, après avoir tué son
fils
Seleucus, présenta un breuvage empoisonné à son a
ir tué son fils Seleucus, présenta un breuvage empoisonné à son autre
fils
Antiochus, au retour de la chasse. Ce prince soup
voit voulu, à l’instigation de sa seconde femme, faire assassiner son
fils
Nicomède, pour laisser sa couronne à son autre fi
re assassiner son fils Nicomède, pour laisser sa couronne à son autre
fils
. Nicomède qui commandoit alors l’armée, en ayant
romaque, lui offre de relever les murs de Troie, et d’y couronner son
fils
; cette princesse, fidèle à la cendre de son épou
pu conserver mon Hector ! Que le vieil Horace plaide la cause de son
fils
vainqueur, qui, par le meurtre de sa sœur, se tro
st l’effroi de l’Asie. Et, loin de l’y chercher, C’est à Rome(c), mes
fils
, que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
Pharasmane, roi d’Ibérie, méditoit la conquête de l’Arménie, dont son
fils
Rhadamisthe, qu’on croyoit mort après une longue
er quelques débris ; J’en approche en tremblant…. Hélas ! c’étoit mon
fils
….. Le dialogue est une partie du poème dramatiqu
ccompagnent si fréquemment ». Le même dit dans une autre lettre à son
fils
: « Je vous recommande les représentations théâtr
Caron, et enchaîne Cerbère. Pluton touché du courage et de l’amour du
fils
de Jupiter, lui rend Alceste, et les fait placer
président aux astres, aux fleuves, aux montagnes ; nous représente le
fils
de Dieu s’offrant à son père pour racheter le gen
qu’il avoit consacré. Ce palais magnifique où logeoient les cinquante
fils
du roi, ce palais enrichi de l’or et des dépouill
eur que nous avons besoin aujourd’hui. Hector(b) lui-même, Hector mon
fils
, ne pourroit nous garantir du sort qui nous menac
gent l’action inhumaine que tu viens de commettre ! Tu as osé tuer un
fils
sous les yeux de son père ! Autrefois Achille(a),
yeux de son père ! Autrefois Achille(a), dont tu te vantes d’être le
fils
, n’en usa pas ainsi avec moi. Je l’allai trouver
voir à ses pieds, il me rendit généreusement le corps défiguré de mon
fils
Hector : fidèle à sa parole et au droit des gens,
it Pyrrhus ; raconte-lui mes honteuses actions, et dis-lui qu’il a un
fils
qui déshonore son sang. A ces mots, sans respecte
illard, dont les pas chanceloient sur le marbre inondé du sang de son
fils
: il saisit d’une main ses cheveux blancs, et de
par trois officiers. La première est sous les ordres du jeune Priam,
fils
de Polite, et petit-fils du dernier roi de Troie,
e, Dont l’habitant nouveau comblé des dons du ciel, Sera le favori du
Fils
de l’Eternel. C’est là que nous devons diriger no
s qui de toi doivent naître. Le premier qui paroit, c’est ton auguste
fils
(h). Il soutiendra long-temps la gloire de nos lis
phateur heureux du Belge(i) et de l’Ibèrek : Mais il n’égalera ni son
fils
ni son père ? Henri dans ce moment voit sur des f
. Vénus va se plaindre à Jupiter de l’acharnement de Junon contre son
fils
Enée. Le père des Dieux la console, en lui dévoil
Dieux la console, en lui dévoilant ce que les destins réservent à ce
fils
, et envoie Mercure à Carthage, pour qu’il dispose
te à Didon, qui lui fait un accueil favorable. Il envoie chercher son
fils
Ascagne. Mais Vénus, pour prévenir l’inconstance
et la perfidie des Carthaginois, substitue au jeune prince troyen son
fils
Cupidon. La reine caresse cet enfant ; et peu à p
e prince donne à Enée quatre cents chevaux, commandés par Pallas, son
fils
unique, et lui conseille en même temps d’aller se
nt à sa descente. Il se livre un sanglant combat, dans lequel Pallas,
fils
du roi Evandre, est tué par Turnus. Enée, qui veu
ce, qui prend la place de ce prince dans le combat, est tué, avec son
fils
Lausus, par le héros troyen. XI. Livre. Les deux
Le sujet de ce poëme est la guerre que se firent Etéocle et Polynice,
fils
du fameux Œdipe. Il y a un assez grand nombre de
qui ne nous mettent pas en péril de mort49. » Cette chaste épouse du
Fils
de Dieu (l’Église), qui, à l’imitation de son épo
rbouillé. D’où vient que cet homme qui a perdu depuis peu de mois son
fils
unique, et qui, accablé de procès et de querelles
et douze ans ; qu’elle suppliait Sa Majesté de lui donner son dernier
fils
, pour l’assister sur la fin de sa vie, qui appare
Lépide et du jeune César Octavien, petit-neveu de Jules César et son
fils
par adoption, trois insupportables tyrans, dont l
a donné un sens pour connaître le vrai Dieu et pour être en son vrai
fils
. Dedit nobis sensum, ut cognoscamus verum Deum et
ffet de son absolue puissance. En sorte que jamais il n’a fait, comme
Fils
de Dieu et comme Dieu, un plus grand effort de ce
eut détruit l’empire des Perses, il voulut que l’on crût qu’il était
fils
de Jupiter. Les Macédoniens étaient indignés de v
uir. Alexandre mourut ; et toutes les nations furent sans maître. Les
fils
du roi étaient dans l’enfance : son frère Aridée
, le 2 février, il part de Saint-Germain avec le jeune duc d’Enghien,
fils
du grand Condé, et quelques courtisans ; les autr
rtagea leur péril pour les en tirer. Ce prince était partout avec son
fils
, et venait ensuite rendre compte de tout au roi,
révolution qui eût épouvanté sa vieillesse et qui devait immoler son
fils
unique367. Contraste de la nature sauvage et d
t ou quelle mauvaise foi ne faut-il point avoir pour oser comparer le
fils
de Sophronisque399 au fils de Marie ? Quelle dist
faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque399 au
fils
de Marie ? Quelle distance de l’un à l’autre ! So
comme par hasard à cette princesse, laisse éclater son amour pour le
fils
de Créon421. Euripide multiplia les sentences et
ces frayeurs alors que je te prie ; Je te fais d’autres vœux que ces
fils
d’Israël, Et, plein de confiance, humblement je m
ts au combat. Acte II, scène VII. Le vieil Horace ; Horace, son
fils
; Curiace, amant de Camille ; Sabine, femme d’Hor
ous nos efforts, vous en devez attendre Ce que vous souhaitez et d’un
fils
et d’un gendre ; Et, si notre faiblesse avait pu
lutôt du combat les funestes effets : Rome est sujette d’Albe, et vos
fils
sont défaits ; Des trois, les481 deux sont morts,
’est point : on vous trompe, Julie ; Rome n’est point sujette, ou mon
fils
est sans vie : Je connais mieux mon sang, il sait
r. J’en romprai bien le cours ; et ma juste colère, Contre un indigne
fils
usant des droits d’un père488, Saura bien faire v
au crime encouragé ; « Le mari par sa femme en son lit égorgé ; « Le
fils
tout dégouttant du meurtre de son père, « Et, sa
et devoirs d’un roi. Acte I, scène I. Venceslas : Ladislas, son
fils
ainé ; Alexandre, son second fils ; des gardes. V
ne I. Venceslas : Ladislas, son fils ainé ; Alexandre, son second
fils
; des gardes. VENCESLAS. Prenez un siège, prince
fruit Que pour me succéder ma couche m’a produit ; Et je croyais, mon
fils
, votre mère immortelle, Par le reste qu’en vous e
; Et pour vous l’on confond le murmure et les vœux. Ah ! méritez, mon
fils
, que cet amour vous dure : Pour conserver les vœu
ts. Par ce genre de règne il faut mériter l’autre : Par ce degré, mon
fils
, mon trône sera vôtre. Mes États, mes sujets, tou
s.) Agrippine avait conçu l’espérance de régner sous le nom de son
fils
Néron, qu’elle avait fait empereur ; mais son amb
e donc élevé si haut votre fortune Pour mettre une barrière entre mon
fils
et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde ; Ce n’est plus votre
fils
, c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
, Et que tout l’univers apprenne avec terreur A ne confondre plus mon
fils
et l’empereur. Il le peut. Toutefois j’ose encore
itique d’Agrippine l’engage à combattre les mauvaises passions de son
fils
, parce que, dans ces passions, elle voit une mena
ien : jamais, sans ses avis, Claude qu’il gouvernait n’eût adopté mon
fils
. Que dis-je ? à son épouse724 on donne une rivale
ppui d’Agrippine : Le ciel m’en laisse assez pour venger ma ruine. Le
fils
de Claudius commence à ressentir725 Des crimes d
Leur faire, à mon exemple, expier leur erreur. On verra d’un côté le
fils
d’un empereur Redemandant la foi jurée à sa famil
lle, Et de Germanicus on entendra la fille ; De l’autre l’on verra le
fils
d’Enobarbus726, Appuyé de Sénèque et du tribun Bu
ses mains, Je ne me repens pas de ce zèle sincère : Madame, c’est un
fils
qui succède à son père. En adoptant Néron, Claudi
succède à son père. En adoptant Néron, Claudius par son choix De son
fils
et du vôtre a confondu les droits : Rome l’a pu c
flots vont me submerger. Sois mon vengeur, sois mon refuge Contre les
fils
de l’étranger ; Venge-toi d’un peuple infidèle De
es, des travaux, un faible cœur s’étonne ; Apprenons toutefois que le
fils
de Latone, Dont nous suivons la cour,
rent, du Jourdain souillant les saintes ondes, Profaner le tombeau du
fils
de l’Éternel, L’Occident, réveillé par ce coup de
ser ? Qu’un soupçon si cruel a droit de m’offenser ! Croyez que votre
fils
vous respecte, vous aime. LYCANDHE. Vous ? Prouve
paraît. Acte V, scène VI. Lycandre, Lisimon, le comte, Valère (
fils
de Lisimon), Isabelle, Lisette, M. Josse (notaire
c’est monsieur l’intendant. LYCANDRE, au comte. Je viens savoir, mon
fils
… VALÈRE et ISABELLE.
VALÈRE et ISABELLE. Son
fils
! LE COMTE, à part.
cœur, tout fier qu’il est, ne vous méconnaît plus. Oui, je suis votre
fils
et vous êtes mon père. Rendez votre tendresse à c
nt terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis. Mon
fils
, rassurez-vous : nos malheurs sont finis. Le ciel
x. Je n’ai pas attendu ce que je viens d’apprendre Pour choisir votre
fils
en qualité de gendre, Parce qu’à l’orgueil près,
blement. LISIMON. Comment ? LYCANDRE. Pour votre
fils
je vous offre ma fille. VALÈRE, à Lisette. Je sui
aire ? Vos goûts, vos sentiments, feront mon caractère. LYCANDRE. Mon
fils
est glorieux ; mais il a le cœur bon : Cela répar
rit, hors ta gloire et ton nom802. C’est là le sort heureux des vrais
fils
d’Apollon : Tes vers en tout pays sont cités d’âg
e, veuve de Cresphonte, roi de Messène, tout entière au regret de son
fils
Égisthe, dont le sort lui est inconnu, et à son a
on et son caractère : Quoi ! Narbas ne vient point ? Reverrai-je mon
fils
? Ce qui ajoute à sa douleur, c’est que Polyphon
. Or, c’est ce tyran qui a tué Cresphonte en secret, avec deux de ses
fils
, dans une sédition qu’il avait perfidement foment
t de plus en plus Mérope à son sort ; mais bientôt on lui dit que son
fils
a péri et que ce jeune étranger a été son assassi
ère ! Je serais mère encor sans toi, sans ta fureur. Tu m’as ravi mon
fils
. ÉGISTHE.
Si tel est mon malheur, S’il était votre
fils
, je suis trop condamnable. Mon cœur est innocent,
Je vous jure Par vous, par ce cher
fils
, par vos divins aïeux, Que mon père en mes mains
mbeau ce monstre, ce perfide. (Levant le poignard.) Mânes de mon cher
fils
! mes bras ensanglantés… NARBAS, paraissant avec
Vous me faites trembler : J’allais venger mon
fils
. NARBAS, se jetant à genoux.
ÉROPE. Il vivrait ! NARBAS. C’est lui, c’est votre
fils
. MÉROPE, tombant dans les bras d’Isménie.
st-ce vous ? est-ce un songe trompeur ? Quoi ! c’est vous ! c’est mon
fils
! qu’il vienne, qu’il paraisse. NARBAS. Redoutez,
cher jusqu’alors ; il lui a dévoilé tous les dangers qui menacent son
fils
. Qu’elle s’arme de dissimulation : par là seuleme
Vous-même829. De cet égarement sortirez-vous enfin ? De votre
fils
, madame, est-ce ici l’assassin ? MÉROPE. Mon fils
us enfin ? De votre fils, madame, est-ce ici l’assassin ? MÉROPE. Mon
fils
, de tant de rois le déplorable reste, Mon fils, e
assassin ? MÉROPE. Mon fils, de tant de rois le déplorable reste, Mon
fils
, enveloppé dans un piège funeste, Sous les coups
Barbare ! il est mon fils830. ÉGISTHE. Moi ! votre
fils
? MÉROPE, en l’embrassant.
qui ? vous, qui demandiez sa mort ? ÉGISTHE831. Ah ! si je meurs son
fils
, je rends grâce à mon sort. MÉROPE. Je suis sa mè
rahie. Oui, tu tiens dans tes mains le secret de ma vie ; Tu tiens le
fils
des dieux enchaîné devant toi, L’héritier de Cres
re ; Ton cœur, nourri de sang, n’en peut être frappé : Oui, c’est mon
fils
, te dis-je, au carnage échappé. POLYPHONTE. Que p
dez-vous dire ? et sur quelles alarmes ? ÉGISTHE. Va, je me crois son
fils
: mes preuves sont ses larmes, Mes sentiments, mo
mère. Jugez de mes tourments : ma détestable erreur, Ce matin, de mon
fils
allait percer le cœur. Je pleure à vos genoux mon
assinez ! Son père est mort, hélas ! par un crime funeste ; Sauvez le
fils
: je puis oublier tout le reste ; Sauvez le sang
sent ne sont point éblouis : Je me sens né des rois, je me sens votre
fils
. Hercule ainsi que moi commença sa carrière : Il
d’accepter Polyphonte pour époux. Il faut que ce jeune homme soit le
fils
ou la victime du tyran. La cérémonie nuptiale va
perdue. Acte V, scène VI. Narbas, Isménie, peuple. NARBAS. Mon
fils
est-il vivant ? Que devient notre reine ? ISMÉNIE
ait Égisthe ? ISMÉNIE. Il est le digne
fils
des dieux ; Égisthe ! il a frappé le coup le plus
invincible N’a d’un exploit si rare étonné les humains. NARBAS. Ô mon
fils
! ô mon roi, qu’ont élevé mes mains ! ISMÉNIE. La
t ses pas ! Sa mère… Elle s’élance au milieu des soldats. « C’est mon
fils
! arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! C’est mon f
ats. « C’est mon fils ! arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! C’est mon
fils
! déchirez sa mère et votre reine, Ce sein qui l’
s yeux. Venez. J’ignore encor si la reine est sauvée, Si de son digne
fils
la vie est conservée, Si le tyran n’est plus. Le
a ses mains. Cresphonte mon époux, mon appui, votre maître ; Mes deux
fils
, sont tombés sous les coups de ce traître. Il opp
e à la main.) Celui que vous voyez, vainqueur de Polyphonte, C’est le
fils
de vos rois, c’est le sang de Cresphonte, C’est l
t pour eux. ÉGISTHE. Amis, pouvez-vous bien méconnaître une mère ? Un
fils
qu’elle défend ? un fils qui venge un père ? Un r
, pouvez-vous bien méconnaître une mère ? Un fils qu’elle défend ? un
fils
qui venge un père ? Un roi vengeur du crime ? MÉR
Et si vous en doutez, Reconnaissez mon
fils
aux coups qu’il a portés, À votre délivrance, à s
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce
fils
de la Grèce et de la France, qui à une haute insp
les anciens. Ce travail a été fait sous la direction de M. G. Feugère
fils
(Note de l’éditeur.) 3. Cet exercice est des plu
Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne : le
fils
de Saint-Hilaire se jette à son père, et se met à
e Turenne, dans sa lettre du 12 août 1675 : « Il aimait tendrement le
fils
de M. d’Elbeuf ; c’est un prodige de valeur à qua
celles de Bourdaloue, on lira une lettre de François de Lamoignon, le
fils
ainé du premier président, l’un de ces magistrats
armi les plus brillantes des étoiles. D’après John Herschel (c’est le
fils
de William), Sirius, qui par son éclat, il est vr
secret dont il sut en général couvrir ses desseins. 341. C’était le
fils
posthume du comte de Bouteville, décapité sous Lo
xe et détermine nettement… 421. Antigone, qui devait épouser Hémon,
fils
de Créon, est condamnée à périr pour avoir, contr
’Antigone, demande grâce au tyran pour la femme qu’il destinait à son
fils
. Créon répond avec dureté qu’il ne veut point pou
avait sur ses enfants droit de vie et de mort. Il pouvait vendre son
fils
, et ce n’était qu’après trois ventes successives
sives que son droit expirait. Le mariage même n’affranchissait pas le
fils
de l’obéissance qu’il devait à son père. « Le sen
re que les magistrats n’osent poursuivie le crime, soupçonnant que le
fils
du roi n’y est pas étranger, ce qui accroît l’aud
s. 545. Cf. dans Claudien les conseils de l’empereur Théodose à son
fils
Honorius, de Cons. IV Honorii, v. 270 :
es travaux de ce poète, des Mémoires que nous devons au second de ses
fils
, à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés ave
» elle eut d’abord auprès des spectateurs un très faible succès. Son
fils
nous en donne la raison : pour apprécier la puret
., XIII, 19, dès qu’aurait éclaté la mésintelligence de la mère et du
fils
. 721. Cf. Virgile, En., I, 52. 722. Il serait i
re, honnête artisan, ne sut pas, comme Horace son maître, être un bon
fils
? En cela, J.-B. Rousseau porta la peine des faut
çon). Une belle édition des Œuvres de Destouches a été donnée par son
fils
à l’Imprimerie royale, en 1757. On signalera de p
re en effet ; mais nous savons gré à l’auteur de ne pas le changer en
fils
sacrilège, maudit par son père : autrement la com
n aise, dit-il, que le père, rétabli dans ses biens, l’apprenne à son
fils
, qui a vaincu son orgueil, et que sa tille soit r
udence maternelle qui révèle ce qu’elle veut cacher et qui expose, le
fils
qu’elle veut défendre, est d’une vérité sublime.
the vient-elle d’échapper au péril d’être la meurtrière de son propre
fils
, qu’elle se voit sur le point de le perdre par le
, lorsqu’il place ce vers dans la bouche d’Andromaque, parlant de son
fils
, I, 4 : Il m’aurait tenu lieu d’un père et d’un
au-devant du char funèbre. Le peuple et l’armée l’accompagnaient. Le
fils
de Marc-Aurèle suivait le char. La pompe marchait
na des conseils, tels que Marc-Aurèle mourant devait les donner à son
fils
; et bientôt après Rome et l’univers le perdirent
au-dessus de tout ce que l’on vient de voir. Apollonius s’adresse au
fils
et à l’héritier de Marc-Aurèle : « Mais toi qui
ier de Marc-Aurèle : « Mais toi qui vas succéder à ce grand homme, ô
fils
de Marc-Aurèle ! ô mon fils ! permets ce nom à un
toi qui vas succéder à ce grand homme, ô fils de Marc-Aurèle ! ô mon
fils
! permets ce nom à un vieillard qui t’a vu naître
faut que tu sois ou le plus juste ou le plus coupable des hommes : le
fils
de Marc-Aurèle aurait-il à choisir ? On te dira b
ître du monde, tu peux m’ordonner de mourir, mais non de t’estimer. Ô
fils
de Marc-Aurèle ! pardonne ; je te parle au nom de
Ascagne, appelé aussi Ilus ou Iulus,
fils
d’Enée et de Ce. Il succéda à son père dans le no
ransféra le siége de son royaume. Il régna 38 ans ; et voyant que son
fils
Julius Sylvius étoit peu habile à lui succéder, i
r, il laissa ses états à Julius Sylvius Enéas, son frère posthume, et
fils
de Lavinie, seconde femme d’Enée.
orts mêmes. Tel est cet endroit du Poème de la Religion par Racine le
fils
: La voix de l’univers à ce Dieu me rappelle. La
Enfin à des êtres insensibles : tels sont ces beaux vers de Racine le
fils
, dans son Poème sur la Religion. Quel bras peut
les événements, avait secrètement envoyé le jeune Polydore, un de ses
fils
, avec beaucoup d’or, au roi de Thracea, pour le f
arthes, où Cléopâtre, reine de Syrie, étant près d’expirer, dit à son
fils
Antiochus et à la princesse son épouse : Puisse
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un
fils
qui me ressemble ! Celui-ci est pris de la tragé
s, Au nom de tes vertus, de Rome et de toi-même, Dirai-je au nom d’un
fils
qui frémit et qui t’aime Qui te préfère au monde
ains ; Mais tout n’est pas détruit et vous en laissez vivre Un… votre
fils
, Seigneur, me défend de poursuivre. Suspensio
ui n’en avait pas vu la fin, annonce au vieil Horace, que deux de ses
fils
ont été tués, et que le troisième a pris la fuite
le troisième a pris la fuite. Le père est outré de la lâcheté de son
fils
. Cette femme lui dit alors : Que vouliez-vous qu
iption du jugement dernier dans le poème de la Religion par Racine le
fils
. Il est plein de grandes idées et d’images sublim
— c’est Louis ; je ne sais meilleur (homme) en France : — il est mon
fils
(né) de ma femme la noble, — et certes tiendra me
prié-je humblement et vous demande en présent personnel que, pour le
Fils
de sainte Marie et pour l’amour de moi, vous veui
os souhaits aveugles et nos demandes inconsidérées ! J’ai souhaité un
fils
avec des ardeurs non pareilles : je l’ai demandé
je l’ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce
fils
, que j’obtiens en fatiguant le ciel de vœux, est
us d’état du fils577 d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du
fils
d’un monarque qui vivrait comme vous. (Don Juan
ilhomme gueux et mal bâti. Nicole. — Cela est vrai636. Nous avons le
fils
du gentilhomme de notre village, qui est le plus
de la sorte, lui en montre un si serein et si doux. Jésus-Christ, le
Fils
unique du Père céleste, est le grand pacificateur
ils unique du Père céleste, est le grand pacificateur… A l’exemple du
Fils
unique, les enfants d’adoption doivent prendre le
uelques impositions en certains cas, comme lorsque eux-mêmes ou leurs
fils
aînés se marient ; mais le marquis savait l’art d
ourra me mettre en état de vous revoir bientôt après… Adieu, mon cher
fils
. Offrez bien au bon Dieu tout le mal que vous sou
ous donne la permission de recommencer votre travail… Adieu, mon Cher
fils
: faites bien mes compliments à vos sœurs813; je
ucation des filles, fut nommé en 1689 précepteur du duc de Bourgogne,
fils
du grand Dauphin903, et écrivit pour lui ses Fabl
l lui dit d’un ton fier et impatient : « Comment oses-tu te moquer du
fils
de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir
de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir : « Hé ! comment le
fils
de Jupiter ose-t-il faire quelque faute921 ? » (
mi ; mais il fut encore plus funeste à la femme de son seul héritier,
fils
de sa sœur, qui était curé963 d’une paroisse près
et de ma mère, dont il ne pouvait assez vanter le bonheur d’avoir un
fils
tel que moi. En même temps, il versait du vin dan
onna des récompenses pour lui avoir rapporté le corps sanglant de son
fils
. Sa femme, ses filles et l’épouse du mort, en ple
t chercher partout le médecin hollandais Vangad : ils rencontrent son
fils
, ils lui demandent où est son père ; le jeune hom
ns tout l’univers par son collège et par ses chaudrons. Jeannot était
fils
d’un marchand de mulets très renommé ; Colin deva
e ; c’était un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son
fils
à Paris. Jeannot monta en chaise en tendant la ma
un marquisat au bout de six mois, retira de l’école M. le marquis son
fils
pour le mettre à Paris dans le beau monde. Colin,
t rien, ne put rien enseigner à son pupille. Monsieur voulait que son
fils
apprît le latin, madame ne le voulait pas. Ils pr
; le père était très indécis. « Que faudra-t-il donc apprendre à mon
fils
? disait-il. — A être aimable, répondit l’ami que
t bien, monsieur, que vous êtes l’homme du monde le plus savant ; mon
fils
vous devra toute son éducation… » Enfin, après av
iments plus nobles, se chargea de solliciter un régiment1127 pour son
fils
.... Une jeune veuve de qualité, leur voisine, qui
e alliance, acceptèrent avec joie la proposition ; ils donnèrent leur
fils
unique à leur amie intime. Le jeune marquis allai
, de sa beauté, de ses fautes et de ses folles dépenses. Après que le
fils
eut longtemps pleuré avec la mère, il lui dit enf
très heureux. Et Jeannot le père, et Jeannotte la mère, et Jeannot le
fils
virent que le bonheur n’est pas dans la vanité.
, qui vide les coffres des pères, qui laisse les filles sans dot, les
fils
sans éducation, qui fait tant de belles choses et
ndant, pressé par ma mère, qui désirait passionnément qu’au moins son
fils
aîné fît ses études, il consentit à me mener au c
ttit de frayeur quand mon père me dit ces mots : « On m’a promis, mon
fils
, que vous seriez reçu en quatrième ; si vous ne l
rien ne peut me laver du juste reproche que vous me faites d’être le
fils
de mon père… Mais je m’arrête ; car je le sens de
(Le greffier écrit.) Figaro. — Si le ciel l’eût voulu, je serais le
fils
d’un prince. Le Comte, au greffier. — Allez.
de temps en temps le bras à sa femme malade ». Ce même homme avait un
fils
de dix-huit ans, né paralytique et imbécile, qu’i
mille occupaient la femme, tandis qu’il cultivait ce jardin, dont son
fils
allait vendre les produits à la ville, dans ses m
ession du porteur. Ainsi la religion n’était occupée qu’à renouer les
fils
sociaux, que la barbarie rompait sans cesse. En g
. Le gardien de la prison s’avance à la porte du cachot et appelle le
fils
de Lasthénès. « Me voici, dit Eudore ; que voulez
de Mantinée1413. Le peuple et les prétoriens impatients appellent le
fils
de Lasthénès à grands cris. « Allons ! » dit le m
a force de l’âme, il franchit le seuil du cachot. Cyrille s’écrie : «
Fils
de la femme, on vous a donné un front de diamant1
que l’on aperçoit au milieu des nuages pendant une tempête. Clodion,
fils
de Pharamond et père de Mérovée1433, brillait à l
ée 1467.) Marbot (1782-1854) Marcellin, baron de Marbot, était
fils
du général Antoine de Marbot, qui, après avoir si
ir roi sous le nom de Louis-Philippe, de l’éducation militaire de son
fils
aîné. Aussi fut-il nommé général après la révolut
L’officier à marcher ». — C’était mon tour !… En voyant approcher le
fils
de son ancien ami, et, j ose le dire, son aide de
-Jean, habitait une respectable famille de Caen, nommée Lacouture. Le
fils
de la maison, passionné pour la musique, consacra
e après la dernière pêche du thon ? Était-ce pour cela que mon pauvre
fils
, avant de mourir et de me laisser ses trois enfan
toyable ! Comment est-il montré reconnaissant ? Qu’a-t-il fait de mon
fils
, de sa femme et de la barque qu’il nous avait lai
dans l’eau, vers l’enfant, prit le morceau de planche sculpté par son
fils
, et le colla sur ses lèvres en le couvrant de lar
dans le port de Barfleur1506. Au moment du départ, un certain Thomas,
fils
d’Étienne, vint trouver le roi, et, lui offrant u
er le roi, et, lui offrant un marc d’or, lui parla ainsi : « Étienne,
fils
d’Érard, mon père, a servi toute sa vie le tien s
lequel il voulait passer, mais que, pour faire droit à la requête du
fils
d’Étienne, il confierait à sa conduite ses deux f
à la requête du fils d’Étienne, il confierait à sa conduite ses deux
fils
, sa fille et tout leur cortège. Le vaisseau qui d
n. Le vaisseau était manœuvré par cinquante rameurs habiles ; Thomas,
fils
d’Étienne, tenait le gouvernail, et ils naviguaie
érauld, et un jeune homme de naissance plus relevée, appelé Godefroi,
fils
de Gilbert de l’Aigle. Thomas, le patron de la Bl
apercevant les têtes des deux hommes qui tenaient la vergue : « Et le
fils
du roi, leur dit-il, qu’est-il arrivé de lui ? —
a sœur, ni personne de leur compagnie. — Malheur à moi ! » s’écria le
fils
d’Étienne, et il replongea volontairement. Cette
e au haut de sa tour sa première leçon de vol, a peine à enhardir son
fils
, à s’enhardir peut-être elle-même à ce moment déc
z ceux d’Embrun. Si un père de famille, au temps de la récolte, a son
fils
au service à l’armée et ses filles en service à l
lexandre Dumas (1803-1870) Né en 1805 à Villers-Cotterets (Aisne),
fils
d’un général renommé pour sa bravoure et son habi
ais de cet homme. — Mais enfin, si Alexandre..... — Si monsieur votre
fils
, madame, est un jour empereur des Français, comme
utions apparentes. C’était un homme qui avait le génie du mal, et ses
fils
, à défaut de l’affection dont ils étaient incapab
uste, j’en ai honte. Tiens, ça m’ôte la faim ; je ne veux pas que mon
fils
soupe, si tu ne soupes pas. — Laissez-nous tranqu
07-1903) Né à Paris en 1807, mort en 1903, Gabriel-Ernest Legouvé,
fils
du poète Gabriel-Jean-Baptiste Legouvé1666, s’est
n’avait jamais été mère ; cet enfant torturé à côté d’elle devint son
fils
, enfanté dans les supplices. Uniquement attentive
e s’envisageait comme une mère qui a vu proclamer vainqueurs tous ses
fils
, et les présente au grand Roi pour être couronnés
ée au collège, c’est que j’étais le seul avec une blouse. A Lyon, les
fils
de riches ne portent pas de blouses ; il n’y a qu
SIE Mellin de Saint-Gelais (1487-1558) Mellin de Saint-Gelais,
fils
ou neveu du poète Octavien de Saint-Gelais (1466-
osper Blanchemain, tome II, p. 228.) Clément Marot (1495-1544)
Fils
du poète Jehan des Mares, dit Marot, de Caen (146
voie1877 ; Va te cacher, que le chat ne te voie. — Sire lion, dit le
fils
de souris, De ton propos certes je me souris1878
d’une épopée, la Franciade, consacrée à célébrer un certain Francus,
fils
d’Hector, prétendu fondateur de la nation françai
, la force est inutile. (Discours.) J.-A. de Baïf (1532-1589)
Fils
du savant Lazare de Baïf, qui fut ambassadeur de
encor pour elle une demande. Elle a nourri vingt ans un prince, votre
fils
; Et vous pouvez juger les soins qu’elle en a pri
ède. Je ne puis voir sous eux les rois humiliés ; Et quel que soit ce
fils
que Rome vous renvoie, Seigneur, je lui2102 rendr
ous pouvez l’en guérir, Seigneur, et promptement ; Mais n’exigez d’un
fils
aucun consentement : Le maître qui prit soin d’in
n comme devant2181. (Fables, livre VII, fable x.) Le meunier, son
fils
et l’âne L’invention des arts étant un droit d
que je réponde. J’ai lu dans quelque endroit2190 qu’un meunier et son
fils
, L’un vieillard, l’autre enfant, non pas des plus
t, On lui lia les pieds, on vous le suspendit ; Puis cet homme et son
fils
le portent comme un lustre Pauvres gens, idiots,
plaint en son patois. Le meunier n’en a cure2193; Il fait monter son
fils
, il suit, et d’aventure2194 Passent trois bons m
: « C’est grand’honte « Qu’il faille voir ainsi clocher2196 ce jeune
fils
, « Tandis que ce nigaud, comme un évêque assis, «
quolibets coup sur coup renvoyés, L’homme crut avoir tort, et mit son
fils
en croupe. Au bout de trente pas, une troisième t
mis le chef à bas ; C’est moi qui suis Sosie enfin, de certitude2288,
Fils
de Dave, honnête berger ; Frère d’Arpage2289 mort
t son exemple à suivre. Mais bientôt amoureux d’un plus noble métier,
Fils
, frère, oncle, cousin, beau-frère de greffier, Po
a famille entière, Et mon époux sanglant traîné sur la poussière, Son
fils
seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne
re, Son fils seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne peut un
fils
? Je respire, je sers2409. J’ai fait plus : je me
ôt qu’ailleurs, le sort m’eût exilée ; Qu’heureux dans son malheur le
fils
de tant de rois, Puisqu’il devait servir, fût tom
e. Jadis Priam soumis fut respecté d’Achille2410 : J’attendais de son
fils
encor plus de bonté. Pardonne, cher Hector, à ma
nner2416. (.Andromaque, acte III, sc. viii.) Andromaque confie son
fils
à Céphise2417 Je confie à tes soins mon uniqu
ie à tes soins mon unique trésor : Si tu vivais pour moi, vis pour le
fils
d’Hector. De l’espoir des Troyens seule dépositai
e, Que ses ressentiments doivent être effacés, Qu’en lui laissant mon
fils
, c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon fils
en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon
fils
les héros de sa race ; Autant que tu pourras, con
C’est l’effroi de l’Asie ; et loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes
fils
, que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
ureur ; Prêt d’unir avec moi sa haine et sa famille, Il me demande un
fils
pour époux à sa fille. Cet honneur vous regarde,
63) Né à Paris en 1692, mort en 1763, Louis Racine, le dernier des
fils
du grand poète, mérite de ne pas être tout à fait
quelle rage Peut à l’oint du Seigneur2481 arracher votre hommage ? Le
fils
de saint Louis, parjure à ses serments, Vient-il
nan. Lusignan. Je vous revois enfin, chère et triste famille, Mon
fils
, digne héritier..., vous2485..., hélas ! vous, ma
e. Lusignan. Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi ! Ah ! mon
fils
, à ces mots j’eusse expiré sans toi2486. Mon Dieu
the. Polyphonte. De cet égarement, sortirez-vous enfin ? De votre
fils
, madame, est-ce ici l’assassin ? mérobe. Mon fil
s enfin ? De votre fils, madame, est-ce ici l’assassin ? mérobe. Mon
fils
, de tant de rois le déplorable reste, Mon fils, e
ssassin ? mérobe. Mon fils, de tant de rois le déplorable reste, Mon
fils
, enveloppé dans un piège funeste, Sous les coups
Mérope, se jetant entre Égisthe et les soldats. Barbare ! il est mon
fils
. Égisthe. Moi ! votre fils ? Mérope, en l’embras
the et les soldats. Barbare ! il est mon fils. Égisthe. Moi ! votre
fils
? Mérope, en l’embrassant. Tu l’es : et ce ciel
? Qui ? vous, qui demandiez sa mort ? Égisthe. Ah ! si je meurs son
fils
, je rends grâce à mon sort. Mérope. Je suis sa m
ahie. Oui, tu tiens dans tes mains le secret de ma vie ; Tu tiens le
fils
des dieux2492 enchaîné devant toi. L’héritier de
vous dire ? Et sur quelles alarmes... ? Égisthe. Va, je me crois son
fils
; mes preuves sont ses larmes, Mes sentiments, mo
mère, Jugez de mes tourments : ma détestable erreur, Ce matin, de mon
fils
allait percer le cœur. Je pleure à vos genoux mon
inez ! Son père est mort, hélas ! par un crime funeste2494; Sauvez le
fils
: je puis oublier tout le reste ; Sauvez le sang
.... Ne faites rien d’indigne et de vous et de moi : Si je suis votre
fils
, je sais mourir en roi. (Mérope, acte IV, sc. ii
Non, qu’une affreuse mort tous trois2497 nous réunisse. Alvarez. Mon
fils
mourant, mon fils, ô comble de douleur ! Zamore,
se mort tous trois2497 nous réunisse. Alvarez. Mon fils mourant, mon
fils
, ô comble de douleur ! Zamore, à Gusman. Tu veux
. M’ordonne de te plaindre et de te pardonner2500. Alvarez. Ah ! mon
fils
, tes vertus égalent ton courage. Alzire. Quel ch
! Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre
fils
, et répare ma perte. Zamore. Je demeure immobile
eux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées, Le Rhône impétueux,
fils
des Alpes glacées, La Seine au flot royal, la Loi
elle est belle, et vois l’été vermeil, Prodigue de trésors, brillants
fils
du soleil, Qui vient, fertile amant d’une heureus
t, de son bras droit libre enlaçant Daïdha, Il s’enfuit emportant ses
fils
morts et sa femme, Comme un spectre emportant les
genoux d’espérance et d’effroi. François De Paule. Relevez-vous, mon
fils
! Louis. J’y reste pour attendre La faveur qui s
s. Vous dites à nos maux : Guérissez !... François De Paule. Moi, mon
fils
! Louis. Soudain nos maux guérissent. Que votre
vont effacer mes rides. François De Paule. Que me demandez-vous, mon
fils
? Vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
e de vous. Donnez ! afin que Dieu, qui dote les familles, Donne à vos
fils
la force, et la grâce à vos filles ; Afin que vot
aise qu’au sien, Et le seuil paternel qui tressaille de joie Quand du
fils
qui revient le chien fidèle aboie ! Le grand arbr
ans leur trompe, imitaient le clairon. Au quatrième tour, bravant les
fils
d’Aaron2706, Entre les vieux créneaux tout brunis
sur les moyens de faire disparaître Nuño, le petit roi de Galice, le
fils
du feu roi, leur frère, qui vient de mourir et do
ieu près de moi. Vous êtes cent contre un ! Pardieu ! le bel effroi !
Fils
, cent maravédis valent-ils une piastre2729 ? Cent
plus d’un qui rêvait dans le fond de son âme Aux cheveux blonds d’un
fils
, à l’œil bleu de sa femme, Trouve au ventre du go
iver, qu’un groupe d’enfants A son fuseau sourie, Comme les anges aux
fils
blancs De la vierge Marie ! Que tous, par la main
ieux. Le misérable écoute et comprend sa ruine, Il serre, désolé, ses
fils
sur sa poitrine ; Il ne lui reste plus, s’il ne t
abreuvoir est public, et qui veut vient y boire. J’ai vu les paysans,
fils
de la Foret-Noire, Leurs bâtons à la main, entrer
au des hardis volontaires, Non Xerxès mais Léonidas2827 ; Lorsque vos
fils
, armés pour les droits de leurs villes, Vont tein
lons pas d’eux, amis, en gémissant : A ces nobles vaincus, vous leurs
fils
, ou leurs frères, Ne donnez pas de pleurs ; vous
it tout ce qui tombe, Et j’ai planté dans mon jardin L’humble rosier,
fils
de la tombe ! Parmi les autres confondu, Nul rega
engés : car je reste ! Il suffit d’un. — Nous serons deux ! Mes trois
fils
sont là, sous la terre, Sans avoir eu même un lin
ainte, — Un homme enfin, — le seul de son nom qui restât, Son dernier
fils
, sous Metz2903, étant mort en soldat. — « Bon ! d
rd l’a ramené au bout de vingt ans, en présence de sa femme et de son
fils
Marcel. Il fait l’aveu de son crime, demande l’ou
s droits, et c’est assez d’aveux ! Je veux ma place ici ! je veux mon
fils
! je veux.... Marcel, qui a gardé jusque-là le s
j’étais un brave homme, on m’aimait ; Je ne sais de quels noms votre
fils
me nommait ; J’étais une belle âme, un protecteur
. Honneur à toi, Gérald ! — Messire2909 chevalier, Je suis le dernier
fils
du baron Angelier, Au champ de Roncevaux mort pou
ainsi que je l’avais promis, Sur les marches du trône, à côté de mes
fils
! Le Duc Nayme. Sois fier, Gérald ! Tous Les Seig
tre digne. J’entends là cette voix qui ne saurait mentir : Je suis le
fils
du crime, et non du repentir ! Afin qu’aux yeux d
s grand que la faute ; Et le père sera d’autant mieux pardonné Que le
fils
innocent se sera condamné ! Sans cela l’on dirait
e ; Tout espoir me rendrait à moi-même odieux : La fille de Roland au
fils
de… Justes dieux ! Non, jamais ! Sa pitié ne voit
lle et crie : « Allez-vous-en ! » Il les pousse du pied. — « Ho ! mes
fils
, qu’on se lève ! » Et chacun, se dressant d’un ef
, hélas ! et toi qui fis Tant d’efforts pour donner des maîtres à ton
fils
, On ne te mit jamais à l’école primaire ; Car, pe
e te mit jamais à l’école primaire ; Car, petit-fils d’un serf2947 et
fils
d’un artisan, Dès que ton pauvre bras fut tout ju
de ce fossé ; Là, j’avais pris un nid, et plus loin des cigales. » Au
fils
devenu grand, longtemps abandonné, La mère conte
leau Tu nous fais là, commère l’Eau ! Je suis donc bien méchant, moi,
fils
des bonnes vignes ? Tes propos sont désobligeants
c’est-à-dire à peu près 9 fr. 48). 49. Dans cette situation. 50. .
Fils
de Louis, duc d’Orléans, assassiné par Jean sans
agne. 79. Peut-être Béatrix de Provence, femme de Charles de France,
fils
de Louis VIII, et Alix de Champagne, femme de Lou
François Ier à la branche cadette de la maison de Lorraine. François,
fils
du premier duc, Claude de Lorraine, est celui don
r les deux célèbres navigateurs vénitiens Jean Cabot (Gabotto) et son
fils
Sébastien, qui, établis à Bristol, en Angleterre,
nne d’Autriche, mère de Louis XIV, régente pendant la minorité de son
fils
. — Paul de Gondi voulait aller lui représenter l’
n flambeau pour éclairer ta honte. » 577. Je ferais plus d’état du
fils
, j’estimerais plus le fils. 578. Harpagon. Ce n
honte. » 577. Je ferais plus d’état du fils, j’estimerais plus le
fils
. 578. Harpagon. Ce nom se rattache étymologique
int-Hilaire, lieutenant-général de l’artillerie, officier de fortune,
fils
d’un savetier de Nérac. 722. Ce héros, Turenne.
. 722. Ce héros, Turenne. Ce gentilhomme. Saint-Hilaire. — Quand le
fils
de ce gentilhomme voit son père blessé, il « se j
ants, les notables, les magistrats. 731. Louis-Provence de Grignan,
fils
de M. et de Mme de Grignan, et par conséquent pet
ébordante de joie : « Philippsbourg est pris, ma chère enfant ; votre
fils
se porte bien. Je n’ai qu’à tourner cette phrase
n’est point question d’un autre siège ; jouissez du plaisir que votre
fils
ait vu celui de Philisbourg ; c’est une date admi
mont, comte de Guiche. et plus tard duc de Gramont (1672-1723), petit
fils
du maréchal (voir page 82, note 1). 740. Être u
bole de ce qu’il y avait de plus petit au monde. » (Littré.) 810. Ce
fils
est Jean-Baptiste (1678-1747), l’aîné des sept en
de juin 1692. 812. Votre maladie, la petite vérole. 813. Outre ses
fils
Jean-Baptiste et Louis, l’aîné et le plus jeune d
du cœur plutôt que celle de la condition. 903. Le grand dauphin, le
fils
aîné de Louis XIV. En 1349, le Dauphiné avait été
1349, le Dauphiné avait été acquis par la France à condition que les
fils
aînés de nos rois porteraient désormais le titre
nom latin du dieu que les Grecs pomment Bacchos ou Dionysos. Il était
fils
de Zeus (le Jupiter des Latins) et de Sémélé, fil
omptueux duquel il eut, dans le principe, à lutter. Le jeune Bacchus,
fils
de Jupiter, c’est le duc, de Bourgogne lui-même,
ni aux Turcs. 939. Martin Ruland (1532-1611), médecin à Ratisbonne,
fils
d’un médecin du même nom (mort en 1602), qui avai
088. Le tsar Alexis, mort en 1676, avait eu d’un premier mariage deux
fils
, Fœdor et Ivan, et six filles, parmi lesquelles l
illes, parmi lesquelles la princesse Sophie ; deux autres entants, un
fils
, Pierre, et une fille, Nathalie, étaient nés d’un
vait, en 1722, à la suite d’une querelle, quitté Genève, laissant son
fils
aux soins de son beau-frère, l’ingénieur Bernard.
-Neuf. 1334. Le parc du château de Meudon, construit par le Dauphin,
fils
de Louis XIV. 1335. Galèse (aujourd’hui Galeso)
célèbre du quatrième livre des Géorgiques. 1336. Bosc (1759-1828),
fils
d’un médecin de Louis XV et lui-même naturaliste
où, [...] tradition, saint Pierre avait été enfermé. 1411. Eudore,
fils
de Lasthénès, personnage imaginaire, héros [...]
ue Cuvillier-Fleury (1802-1887), ancien précepteur du duc d’Aumale et
fils
lui-même d’un officier de l’Empire, disait dans u
e France, Louis VI, à Brenneville (Eure), Henri Ier roi d’Angleterre,
fils
de Guillaume le Conquérant, retournait chez lui,
ote 2. 1528. Ce sont les psaumes LVI, LXX et XCI. 1529. Le roi son
fils
. Jacques VI (1566-1625), qui, quand Élisabeth fut
age 677 la notice sur Victor Hugo. 1599. Alexandre Dumas a laissé un
fils
, né en 1824, qui est l’un des plus illustres aute
r ces féroces soldats ! Ils viennent jusque dans nos bras Égorger nos
fils
, nos compagnes ! 1640. . Aux armes, citoyens
la fin de la journée. En route ils ont rencontré le petit Pierre, le
fils
aîné de Germain, que son père n’avait pas voulu e
es tuer. 1736. Le prince de Condé (1736-1818), arrière-petit-fils du
fils
du grand Condé, avait, dès le début de la Révolut
mime, que Baïf donna ce nom à son livre. 2027. « François du Périer,
fils
de Laurent du Périer, avocat au parlement d’Aix,
Femmes.) 2096. Le timide Prusias, roi de Bithynie (192-148), a deux
fils
: l’un, Attale, a été élevé à Rome, et les Romain
, et qui voltigent en serpentant. 2136. Il vient d’apprendre que son
fils
l’a trompé par un récit mensonger. 2137. Géront
a famille. 2190. Dans quelque endroit. L’histoire du meunier et son
fils
était connue longtemps avant Malherbe ; plusieurs
2382. Chrétien-François de Lamoignon, marquis de Basville, était le
fils
aîné du président Guillaume de Lamoignon (1617-16
er la fête en chômant. 2407. Andromaque, veuve de l’illustre Hector,
fils
du roi de Troie, Priam, est devenue, après la pri
après la prise de cette ville, la captive de Pyrrhus, roi d’Epire et
fils
d’Achille. Elle a gardé avec elle, dans sa captiv
ire et fils d’Achille. Elle a gardé avec elle, dans sa captivité, son
fils
Astyanax. Tous les Grecs réclamant à grands cris
s du vieux roi demandant au vainqueur de lui rendre le cadavre de son
fils
. 2411. Remarquez combien tout ce petit discours
t éloge qu’elle vient de faire de lui : car le danger imminent de son
fils
ne permet plus à cette princesse captive de garde
essein à Céphise, sa confidente, et lui recommande de veiller sur son
fils
. 2418. Où je me suis rangée. Ranger à, se rang
), ayant épousé en secondes noces sa nièce Agrippine, avait adopté le
fils
que cette femme avait eu d’un premier mariage, Né
, et l’avait institué héritier de l’empire au détriment de son propre
fils
Britannicus. Devenu empereur, Néron se montra d’a
a conçu contre Rome le dessein le plus hardi : il l’expose à ses deux
fils
, Pharnace et Xipharès (63 av. J. C.). 2424. Un
s italiens), 90-88. 2433. Guerre de Spartacus. 73-71. 2434. Darius,
fils
d’Hystaspe, dont Mithridate descendait, était gen
oreilles, vous tous, habitants de l’univers ; — enfants de la terre,
fils
des hommes, tous ensemble, pauvres et riches. — M
ingt ans. A des signes non douteux, Lusignan vient de reconnaître son
fils
dans le chevalier Nérestan et sa fille dans Zaïre
ar l’usurpateur Polyphonte (xiie siècle av. J.-C.). Elle a encore un
fils
, qui a été sauvé du massacre dans sa première enf
re enfance et qu’elle n’a pas revu depuis. Polyphonte, qui redoute ce
fils
, a fait croire à Mérope qu’il était mort assassin
au moment où elle allait le frapper, que ce prétendu meurtrier le son
fils
était son fils lui-même. Polyphonte, sachant qu’e
le allait le frapper, que ce prétendu meurtrier le son fils était son
fils
lui-même. Polyphonte, sachant qu’elle l’a épargné
e le jeune homme qui est devant eux est en réalité Egisthe 2492. Le
fils
des dieux. Cresphonte, père d’Egisthe, était de l
département du Gard. 2545. Le duc de Penthièvre (1725-1793) était le
fils
du comte de Toulouse, fils de Louis XIV. Sa fille
Le duc de Penthièvre (1725-1793) était le fils du comte de Toulouse,
fils
de Louis XIV. Sa fille épousa le duc d’Orléans, p
IV. Sa fille épousa le duc d’Orléans, père du roi Louis-Philippe. Son
fils
était le prince de Lamballe, dont la veuve fut la
n de ses amis. 2684. Enfant, jeune fille, allusion à la fille et au
fils
ainés du poëte Léopoldine et Charles (voir page 6
ont à moi. S’il me fallait, etc. Quand notre fille sera grande, Si le
fils
de notre régent En mariage la demande, Je lui pro
tter l’Alsace pour aller demeurer sur le sol français. 2905. Gérald,
fils
du comte Amaury, aime Berthe, fille de Roland (vo
t qui depuis a cherché à mériter de Dieu son pardon en faisant de son
fils
le modèle du chevalier plein d’honneur et de vail
ion. 2906. Je savais tout hier. Je savais dès hier que Gérald était
fils
de Ganelon. 2907. Allusion à une légende romanes
nce chrétienne seront surpris par une ruine prompte et inévitable. Le
Fils
de Dieu se sert, dans l’Évangile, des plus sensib
votre Église feront passer d’âge en âge jusqu’à l’avènement de votre
Fils
. La gloire et la puissance de ces tyrans s’est év
de Saint-Simon, naquit le 16 janvier 1675, et mourut le 2 mars 1755.
Fils
d’un ancien ami de Louis XIII et filleul de Louis
otre langue littéraire292. Mort du grand Dauphin, dit Monseigneur,
fils
de Louis XIV293. Monseigneur se trouva plus m
uelques courtisans à le retenir, disant qu’il voulait voir encore son
fils
, et s’il n’y avait plus de remède. Comme il était
arde, dont il avait trois enfants321, il épousa Judith ; il en eut un
fils
; et bientôt, mêlant les complaisances d’un vieux
ières, qui aimait naturellement le bien, et, pour tout dire enfin, le
fils
de Charlemagne, put avoir des ennemis si nombreux
; je répondrai à tous ceux qui viendront me demander leur père, leur
fils
ou leur frère328.” Tous les Romains se sont tus d
e, qui m’a si bien servi contre Mithridate, contre Marius, contre son
fils
, contre Thélésinus, contre le peuple, qui a soute
aume doit servir à jamais d’exemple. Il chargea de l’éducation de son
fils
et de son petit-fils les plus éloquents et les pl
ison dont il savait bien que le maître n’était pas de son parti. « Le
fils
de votre roi, lui dit-il, vient vous demander du
révolution qui eût épouvanté sa vieillesse et qui devait immoler son
fils
unique360. Comparaison de l’histoire politique
ement.) Animée d’une haine mortelle contre Rodogune, dont ses deux
fils
se sont disputé la main, Cléopâtre a conspiré non
Cléopâtre (reine de Syrie, veuve de Démétrius Nicanor), Antiochus (
fils
de Démétrius et de Cléopâtre), Rodogune (sœur de
Quoi ! je vous suis suspecte ? ANTIOCHUS. Je suis amant et
fils
, je vous aime et respecte ; Mais, quoi que sur mo
RE. Puisque le même jour que ma main vous couronne Je perds un de mes
fils
et l’autre me soupçonne, Qu’au milieu de mes pleu
e ; mais, ô dieux ! quelle rage est la vôtre ! Quand je vous donne un
fils
, vous assassinez l’autre, Et m’enviez soudain l’u
cherché leur gloire, et vous leur infamie ; Et si je n’eusse aimé ces
fils
que vous m’ôtez, Votre abord en ces lieux les eût
ccusiez pourtant, quand votre âme alarmée Craignait qu’en expirant ce
fils
vous eût nommée : Mais de ses derniers mots voyan
le mien ; Et qui sur un époux fit son apprentissage A bien pu sur un
fils
achever son ouvrage. Je ne dénierai point, puisqu
un frère Je ne veux point juger entre vous et ma mère : Assassinez un
fils
, massacrez un époux, Je ne veux me garder ni d’el
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un
fils
qui me ressemble ! ANTIOCHUS. Ah ! vivez pour cha
, ma vie et ma fortune, Contez-lui qu’allié d’assez hauts magistrats,
Fils
d’un père greffier, né d’aïeux avocats, Dès le be
thridate, sur le point d’épouser Monime, la soupçonne d’être pour son
fils
Xipharès l’objet d’un amour partagé : en feignant
uoi donc, seigneur, me l’avez-vous rendu ? MITHRIDATE. Quoi ! pour un
fils
ingrat toujours préoccupée, Vous croiriez. MONIME
ous l’ordonne. N’attirez point sur vous des périls superflus, Pour un
fils
insolent que vous ne verrez plus. Sans vous parer
le hyménée ; Et, malgré mon penchant et mes premiers desseins Pour un
fils
, après vous, le plus grand des humains, Du jour q
t sortie. Vous vous êtes servi de ma funeste main Pour mettre à votre
fils
un poignard dans le sein : De ses feux innocents
ts, Se baigne impunément dans le sang de nos rois, Des enfants de son
fils
détestable homicide, Et même contre Dieu lève son
t628, Vous, nourri dans les camps du saint roi Josaphat, Qui sous son
fils
Joram commandiez nos armées, Qui rassurâtes seul
es honneurs à David tant promis, Et prédits même encore à Salomon son
fils
? Hélas ! nous espérions que de leur race heureus
e. JOAD. Aux promesses du ciel pourquoi renoncez-vous ? ABNER. Ce roi
fils
de David, où le chercherons-nous ? Le ciel même p
nts ; Par les traits de Jéhu je vis percer le père : Vous avez vu les
fils
massacrés par la mère. JOAD. Je ne m’explique poi
u ? ABNER. Deux enfants à l’autel prêtaient leur ministère : L’un est
fils
de Joad, Josabeth est sa mère ; L’autre m’est inc
règne en tous mes avis : Mais lui-même, après tout, fût-ce son propre
fils
, Voudrait-il un moment laisser vivre un coupable
es sens sont saisis. (Montrant Joas.) Épouse de Joad, est-ce là votre
fils
? JOSABETH. Qui ? lui, madame ! ATHALIE.
Je ne suis point sa mère. (Montrant Zacharie.) Voilà mon
fils
. ATHALIE, à Joas. Et vo
partout, à mes côtés assis, Je prétends vous traiter comme mon propre
fils
. JOAS. Comme votre fils ! ATHALIE.
is, Je prétends vous traiter comme mon propre fils. JOAS. Comme votre
fils
! ATHALIE. Oui… Vo
ême jour égorger à la fois (Quel spectacle d’horreur !) quatre-vingts
fils
de rois656 ; Et pourquoi ? pour venger je ne sais
deux maisons rompit toute alliance : David m’est en horreur ; et les
fils
de ce roi, Quoique nés de mon sang, sont étranger
s, Azarias, Imaël, et les trois autres chefs des lévites. JOAD. Ô mon
fils
! de ce nom j’ose encor vous nommer676 ! Souffrez
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon
fils
, que, caché sous ce lin, Comme eux678 vous fûtes
autres chefs des lévites, le chœur. JOSABETH, embrassant Joas. Ô roi,
fils
de David ! JOAS. Ô mon unique mère ! Venez, cher
re. JOSABETH, à Zacharie. Aux pieds de votre roi prosternez-vous, mon
fils
. (Zacharie se jette aux pieds de Joas.) JOAD, pen
ue j’ai craint de livrer aux flammes, au pillage. Qu’il règne donc ce
fils
, ton soin et ton ouvrage683 ; Et que, pour signal
par le châtiment du personnage qu’il croit associé aux projets de son
fils
, et il commande qu’on amène l’ambassadeur, pour c
… Qui peut lui rendre encor cette perte si chère ? Des larmes de mon
fils
quel est donc le mystère ? Mais, moi-même, d’où v
me : Éclaircissez le trouble où vous jetez mon âme ; Écoutez-moi, mon
fils
, et reprenez vos sens. ARSAME. Que vous servent,
es père ! PHARASMANE. Ah ! c’est trop m’alarmer : expliquez-vous, mon
fils
. De quel effroi nouveau frappez-vous mes esprits
uel crime ai-je commis ! Nature, ah ! venge-toi, c’est le sang de mon
fils
. RHADAMISTE. La soif que votre cœur avait de le r
el, pourquoi vengeais-tu la mort de Mithridate706 ? PHARASMANE. Ô mon
fils
, ô Romains ? êtes-vous satisfaits ? (À Arsame.) V
; Avec mon amitié je vous rends Zénobie : Je dois ce sacrifice à mon
fils
malheureux. De ces lieux cependant éloignez-vous
cte 1, scène 1. Alvarez (ancien gouverneur du Pérou), Gusman (son
fils
, nouveau gouverneur). ALVAREZ. Du conseil de Madr
onseil de Madrid l’autorité suprême Pour successeur enfin me donne un
fils
que j’aime. Faites régner le prince et le Dieu qu
, Qui produit les trésors et les crimes du monde. Je vous remets, mon
fils
, ces honneurs souverains Que la vieillesse arrach
s ! Mais qui peut arrêter l’abus de la victoire ? Leurs cruautés, mon
fils
, ont obscurci leur gloire ; Et j’ai pleuré longte
royez-moi, les humains, que j’ai trop su connaître, Méritent peu, mon
fils
, qu’on veuille être leur maître. Je consacre à mo
le me sera chère : Je l’attends comme ami, je la demande en père. Mon
fils
, remettez-moi ces esclaves obscurs Aujourd’hui pa
é par la clémence, et non par la justice. GUSMAN. Quand vous priez un
fils
, seigneur, vous commandez ; Mais daignez voir au
age Qui mord en frémissant le frein de l’esclavage… ALVAREZ. Ah ! mon
fils
, que je hais ces rigueurs tyranniques ! Les pouve
tais seul, sans secours, et j’attendais la mort : Mais à mon nom, mon
fils
, je vis tomber leurs armes. Un jeune Américain, l
Qu’à vos sanglantes mains la fortune a livrées ? Prétendez-vous, mon
fils
, cimenter ces liens Par le sang répandu de ses co
t sous un seul Dieu comme sous un seul roi. ALVAREZ. Écoutez-moi, mon
fils
; plus que vous je désire Qu’ici la vérité fonde
’en ai gagné plus d’un, je n’ai forcé personne ; Et le vrai Dieu, mon
fils
, est un Dieu qui pardonne. Alzire, vaincue par l
, scène V. Alvarez, Gusman, Zamore, Alzire, suite. ALVAREZ, à son
fils
722. Tu vois mon bienfaiteur, il est auprès d’Alz
re, Viens, ajoute à ma joie en cet auguste jour : Viens avec mon cher
fils
partager mon amour. ZAMORE. Qu’entends-je ? lui,
ls partager mon amour. ZAMORE. Qu’entends-je ? lui, Gusman ! lui, ton
fils
, ce barbare ? ALZIRE. Ciel ! détourne les coups q
Quoi ! le ciel a permis Que ce vertueux père eût cet indigne
fils
! GUSMAN. Esclave, d’où te vient cette aveugle fu
s mortels et les dieux pour amis, En révérant le père et punissant le
fils
. ALVAREZ, à Gusman. De ce discours, ô ciel ! que
Cruel ! ALVAREZ. Mon
fils
, qu’allez-vous faire ? Respectez ses bienfaits, r
e me vois ! L’un tient de moi la vie, à l’autre je la dois ! Ah ! mes
fils
! de ce nom ressentez la tendresse, D’un père inf
IRE. Non, qu’une affreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon
fils
mourant, mon fils, ô comble de douleur ! ZAMORE,
ffreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon
fils
, ô comble de douleur ! ZAMORE, à Gusman. Tu veux
er, M’ordonne de te plaindre et de te pardonner726. ALVAREZ. Ah ! mon
fils
, tes vertus égalent ton courage. ALZIRE. Quel cha
x. Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre
fils
, et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile,
se Où, dans un loisir studieux, Les doctes arts forment l’enfance Des
fils
des héros et des dieux763 : Là, du toit d’un cinq
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce
fils
de la Grèce et de la France, qui à une haute insp
esse sacrée, Qu’il laisse avec ses biens ses vertus pour appui Et des
fils
, s’il se peut, encor meilleurs que lui782. — Hôte
……………… Les douleurs de son âme Avaient changé ses traits784. Ses deux
fils
et sa femme, À Delphes, confiés au ministre du di
les anciens. Ce travail a été fait sous la direction de M. G. Feugère
fils
. (Note de l’éditeur.) 3. Cet exercice est des pl
à l’usage de la classe de cinquième, p. 38. 161. M. de Seignelay, le
fils
aîné de Colbert, était mort l’année précédente, a
cabale frappée par la mort du prince. 306. Le duc de Berry était le
fils
bien-aimé de Monseigneur ; celui-ci avait au cont
322. Judith était fille d’un seigneur bavarois, Elle obtint pour son
fils
Charles un apanage composé de quelques parties de
Tourcoing, comme l’indique M. Beuchot. 351. Charles-Édouard était le
fils
de Jacques III, connu sous le nom de chevalier de
tait allé vivre en Italie, où il mourut en 1766. Charles-Édouard, son
fils
, était né à Rome, en 1720. 352. En Écosse, dans
de Cumberland, qui commandait les troupes royales, était le troisième
fils
de Georges II, roi d’Angleterre : ce fut lui qui
énie de Corneille. 425. Séleucus. 426. Cléopâtre avait exigé de ses
fils
la mort de Rodogune, coupable à ses yeux de préte
riminelle est très peu digne de la passion que lui ont vouée les deux
fils
de Cléopâtre. 427. « Il n’y a point, observe La
. 438. « Cléopâtre, avalant elle-même le poison préparé pour son
fils
et pour Rodogune, et se flattant encore de vivre
gricola, ou à Racine lorsqu’il nous montre Mithridate annonçant à ses
fils
son projet de marcher contre Rome. Plus d’un de s
ue de la procédure 549. Jean-Baptiste Colbert, marquis de Seignelay,
fils
aîné de Colbert, né en 1651, mourut en 1690 : il
es travaux de ce poète, des Mémoires que nous devons au second de ses
fils
, à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés ave
n Italie comme Annibal, lorsqu’il périt victime de la trahison de son
fils
Pharnace, 65 ans av. J.-C. 580. Tour vif et rap
détail l’annonce, Racine a jugé qu’Assuérus était le même que Darius,
fils
d’Hystaspe, dont l’avènement au trône des Perses
it Carême, sermon pour le second dimanche de carême, et par Racine le
fils
, dans son imitation du cantique d’haïe sur la mor
changement de Joas, qui fut par la suite un tyran et fit massacrer le
fils
de son bienfaiteur. — Le mot qui commence cette n
ce la plus intéressante ; on ne tue point Athalie sur le théâtre ; le
fils
des rois est sauvé et reconnu roi : merveilleux e
et l’âme pure d’Arsame, toujours fidèle à ses devoirs de sujet et de
fils
, produisent d’ailleurs elles-mêmes, dans cette tr
rmes contre son frère, contre ce même Mithridate, qui avait élevé son
fils
et lui avait promis Zénobie ». 707. Voilà un car
us ces vers sont nombreux. En un mot, cette ode et celle de Racine le
fils
sur l’Harmonie sont sans contredit les deux plus
(Odyssée, liv. X, v. 348 et suiv.) et l’accueil que Cyrène fait à son
fils
Aristée (Géorgiques, liv. IV, v. 378 et suiv.) :
dresse aux dieux la même prière, et demande qu’un jour on dise de son
fils
au retour des combats : Oui ! ce héros surpasse
Énée,
fils
de la déesse Vénus, suivant la fable, et d’Anchis
e, fils de la déesse Vénus, suivant la fable, et d’Anchise, qui étoit
fils
de Capys, dont le père étoit Assaracus, frère d’I
ère, qui s’étoit chargé de ses dieux Pénates ; tenant par la main son
fils
Ascagne, et suivi de Creuse, sa femme, fille du r
[Notice] Jamais vocation ne fut plus irrésistible que la sienne.
Fils
et petit-fils d’un tapissier du roi, élevé au col
(L’Impromptu de Versailles, sc. iii.) Un père fait la leçon à son
fils
Don Louis. Je vois bien que je vous embarra
ar nos vœux aveugles et nos demandes inconsidérées ! J’ai souhaité un
fils
avec des ardeurs nonpareilles ; je l’ai demandé s
je l’ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce
fils
, que j’obtiens en fatiguant le ciel de mes prière
’on signe qu’aux actions qu’on fait ; et que je ferais plus d’état du
fils
d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du
plus d’état du fils d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du
fils
d’un monarque qui vivrait comme vous1. Don Juan
is bien que toutes mes paroles ne font rien sur ton âme ; mais sache,
fils
indigne, que la tendresse paternelle est poussée
tecte et l’ouvrier du monde, est éternel. — 2. Cambyse, roi de Perse,
fils
de Cyrus, roi de Perse, tua le bœuf Apis, divinit
urel. — 9. Brutus, premier consul Romain, avait chassé les rois ; les
fils
de Brutus regrettaient les Tarquins, expulsés par
fs, fonda la ville de Lavinie dans le Latium ; bientôt après Ascagne,
fils
d’Enée, fonda Albe la Longue dans la même région
da Albe la Longue dans la même région de l’Italie. Plus tard Romulus,
fils
de Rhéa Silvia, vierge Vestale, et du dieu Mars,
iennes adoraient des dieux presque innombrables. Saturne passait pour
fils
du Ciel et de la Terre ; l’épouse de Saturne fut
turne eut quatre enfants, Jupiter, Junon, Neptune et Pluton. Jupiter,
fils
de Saturne et d’Ops, fut appelé le très-bon et le
se du blé, fut aussi, dit-on, fille de Saturne et de Cybèle. Apollon,
fils
de Jupiter et de Latone, passait pour le dieu de
Minerve, fille de Jupiter, a été surnommée la déesse belliqueuse. Les
fils
de Jupiter et de Junon furent : Mars, qui présida
me, il devint en outre boiteux. Bacchus, inventeur du vin, passe pour
fils
de Jupiter et de Proserpine. Vénus, déesse des am
nus, déesse des amours et des plaisirs, fut mère de Cupidon. Mercure,
fils
de Maïa, la fille d’Atlas, était le messager et l
arius fut le principe et la cause d’une guerre civile. — 8. Miltiade,
fils
de Cimon, était d’Athènes. — 9. Alexandrie fut fo
1. La terre a la forme d’un globe ou d’une sphère. — 2. Aristide,
fils
de Lysimaque, était à peu près du même âge que Th
minondas ne fut pas plus avide de gloire que d’argent. — 7. Timothée,
fils
de Conon, ne fut pas inférieur à son père. — 8. L
s régna Tarquin l’Ancien, d’une origine étrangère ; en effet il était
fils
de Démarate de Corinthe. Le gouvernail de l’État
. Le gouvernail de l’État passa ensuite aux mains de Servius Tullius,
fils
d’une captive, homme d’un caractère distingué, et
la seconde. Tibère, beau-fils d’Auguste, puis son gendre et enfin son
fils
adoptif, fut d’une grande lâcheté, d’une cruauté
acédoine. Les plus célèbres des rois de Macédoine furent Philippe,
fils
d’Amyntas, et Alexandre, fils de Philippe et d’Ol
des rois de Macédoine furent Philippe, fils d’Amyntas, et Alexandre,
fils
de Philippe et d’Olympias. Le second se fit encor
r femme Olympias, fille de Néoptolème, roi des Molosses ; il eut pour
fils
Alexandre ; Alexandre eut pour maître le philosop
es maladies les plus graves par des remèdes dangereux. — 13. Salomon,
fils
de David, bâtit un temple à Dieu. — 14. Le baume
us fut surnommé Coriolan. — 14. Le surnom d’Iule fut donné à Ascagne,
fils
d’Énée. — 15. Métellus, vainqueur des Numides, re
r. — 4. L’instruction contribue au bonheur de la vie. — 5. Démophoon,
fils
de Thésée, porta du secours aux Grecs contre les
et ne servent qu’au bien-être du corps. — 12. Pharnace, roi de Pont,
fils
de Mithridate, fut vaincu sans le moindre délai ;
1. Rome fut fondée par des pâtres, dont les chefs Romulus et Rémus,
fils
de Mars et de Rhéa Silvia, avaient été nourris pa
Pompée interdit l’administration de son patrimoine à Fabius Maximus,
fils
de Fabius Maximus Allobrogicus, citoyen et généra
evées à Crassus vaincu. — 10. Thésée demanda à Neptune la mort de son
fils
Hippolyte ; mais il ne tarda pas à se repentir de
corrigé. Exil de Saturne. Saturne, dépouillé de l’empire par son
fils
Jupiter, fut d’abord chargé de chaînes, puis envo
ublier jamais la retenue. — 8. Le père a plus de sollicitude pour son
fils
que le fils lui-même. — 9. Les hommes croient vol
s la retenue. — 8. Le père a plus de sollicitude pour son fils que le
fils
lui-même. — 9. Les hommes croient volontiers ce q
ses élèves des choses bonnes et justes. — 13. Ariobarzane céda à son
fils
le royaume de Cappadoce. — 14. Je n’envie pas aux
m, difficili transitu flumen, superavit. corrigé. 1. Polynice,
fils
d’Œdipe roi de Thèbes, vint assiéger sa patrie. —
une lettre à porter à Priam. — 15. Les Argonautes confièrent à Ancée,
fils
de Neptune, le commandement du navire Argo. §
Ops. — 3. Bacchus naquit de Jupiter et de Sémélé. — 4. Pacuvius était
fils
d’une sœur d’Ennius. — 5. Tanaquil, femme du roi
— 5. Tanaquil, femme du roi Tarquin l’Ancien, éleva comme son propre
fils
, Servius Tullius, né d’une esclave. — 6. Les homm
s. — 5. Orode, roi des Parthes, détruisit le général Crassus avec son
fils
et toute l’armée Romaine. — 6. La fertilité de la
in ; dans son triomphe, il fit marcher devant son char le roi Persée,
fils
de Philippe. Au milieu de cette joie, il perdit s
Persée, fils de Philippe. Au milieu de cette joie, il perdit ses deux
fils
: le plus jeune, âgé de douze ans environ, mourut
de a été créé par le Seigneur il y a près de sept mille ans. Abraham,
fils
de Thara, naquit mille soixante-douze ans après l
Sédécias. Les plus puissants de ces rois furent David et Salomon son
fils
; ce dernier est antérieur de cent quarante ans à
ates et son père Anchise sur ses épaules, et traînant par la main son
fils
en bas âge, sortit de Troie pendant la nuit, et,
la population commençant à devenir surabondante à Lavinium, Ascagne,
fils
d’Énée, fonda une nouvelle ville au pied d’une mo
ons blancs. Cette ville fut appelée Albe la Longue. Romulus et Rémus,
fils
du Dieu Mars et de Rhéa Silvia, vierge Vestale, f
e vivante sur le bûcher avec son époux mort. — 8. L’Arcadien Évandre,
fils
de Mercure et de la nymphe Carmente, vint en Ital
engagèrent la bataille contre César. — 19. Le consul Brutus et Aruns,
fils
de Tarquin, s’entretuèrent. — 20. Les hommes peuv
gé. 1. L’aimant est une pierre qui attire le fer à soi. — 2. Égée,
fils
de Neptune, se précipita dans la mer qui prit le
us orateurs ? Nous le sommes. — 2. Êtes-vous en colère ? Non. — 3. Le
fils
d’un de mes amis est venu me faire une visite. «
. Que le grand ne méprise pas le petit. — 24. Attale, roi de Pergame,
fils
du roi Eumène, laissa un testament ainsi conçu :
s’était échappé vivant. — 7. Manlius Torquatus frappa de la hache son
fils
vainqueur, parce qu’il avait, contrairement à ses
son armée par une forte chaleur. — 7. Adam, après la mort d’Abel, son
fils
cadet, eut un autre fils, Seth, lorsqu’il avait a
haleur. — 7. Adam, après la mort d’Abel, son fils cadet, eut un autre
fils
, Seth, lorsqu’il avait accompli déjà sa deux cent
chose, il ne la croyait pas faite pour cela. — 10. Quoique Timothée,
fils
de Conon, ne fût pas au-dessous de son père pour
ta à cette gloire celle de la science et de l’esprit. — 11. Philippe,
fils
d’Amyntas et roi de Macédoine, fut tué par Pausan
l fut dans la force de l’âge. — 4. Agrippine périt par l’ordre de son
fils
Néron, et tant qu’il fut empereur, elle n’obtint
à Thésée le choix entre trois vœux, celui-ci souhaita la mort de son
fils
Hippolyte ; si Neptune n’avait pas tenu la promes
promesse qu’il lui avait faite, Thésée n’aurait pas été privé de son
fils
— 9. Si ce que nous désirons arrive, nous nous ré
avait deux filles, l’une violente, l’autre débonnaire. Comme les deux
fils
de Tarquin l’Ancien, son prédécesseur, présentaie
on se rompre. — 5. Personne ne nie qu’il y ait un Dieu. — 6. Penthée,
fils
d’Échion et d’Agavé, nia que Bacchus fût un dieu.
vous conduisez bien. — 5. Agrippine consultant des Chaldéens sur son
fils
Néron, ils lui répondirent qu’il serait empereur,
ux a-t-il quelque part une épouse qui l’attend sans inquiétude, ou un
fils
qui ne sait pas encore ce que c’est qu’une tempêt
ndit impénétrable aux eaux : il s’y renferma avec sa femme, ses trois
fils
et ses trois brus. Deux couples de toutes les esp
la guerre contre les Gaulois, Titus Manlius Torquatus fit mourir son
fils
(2), pour avoir, contrairement à ses ordres, comba
tères de Cérès. — 11. Philippe, dans une de ses lettres, a accusé son
fils
Alexandre de capter par des largesses la faveur d
On demandait à Socrate s’il ne regardait pas comme heureux Archélaüs,
fils
de Perdiccas, qui passait alors pour un mortel tr
ait livré plusieurs batailles avec succès au delà de l’Èbre. — 6. Les
fils
du roi Tarquin le Superbe, envoyés à Delphes, dem
dit qu’une femme, à qui l’on avait annoncé faussement la mort de son
fils
, fut suffoquée par l’excès de la joie en le voyan
ysse de son côté prétendait qu’elles devaient être à lui. — 6. Antée,
fils
de la Terre, forçait les étrangers à lutter avec
plus grandes douleurs. — 2. Mithridate, réduit par la révolte de son
fils
Pharnace à la nécessité de mourir, prit du poison
revers humilie même les braves. — 4. Claudius Vitellius vit ses deux
fils
consuls, et même année. — 5. Nous jouissons de la
ecs prirent pour général contre les Perses Cimon d’Athènes ; il était
fils
de Miltiade, sous la conduite duquel on avait com
st-il davantage de les embrasser toutes ? — 3. Tibère ayant perdu son
fils
Drusus, et les envoyés des habitants d’Ilion étan
perfectionné un peu cette science encore grossière. Ensuite ses deux
fils
, Podalire et Machaon, ayant suivi Agamemnon au si
tant qu’il était en lui, ce qu’on lui a commandé. — 2. Niobé eut sept
fils
et autant de filles. — 3. Pythagore, homme d’un e
que les dieux en ont jugé ainsi. Ils citent d’abord Cléobis et Biton,
fils
d’une prêtresse d’Argos. Comme elle devait se ren
prêtresse, étant ainsi arrivée au temple dans un char traîné par ses
fils
, pria, dit-on, la déesse de leur donner, en récom
le sanctuaire de Jupiter Capitolin ; c’est pour cela qu’on le croyait
fils
de Jupiter. — 6. Darius régna trente-six ans ; qu
t d’Alexandre, que personne n’était si porté à la colère. — 6. Œdipe,
fils
de Laïus et de Jocaste, tua son père et épousa sa
l’y laisse fermenter. — 3. Non-seulement Alexandre se laissa appeler
fils
de Jupiter ; mais encore il se fit donner ce titr
fabuleux. (2). Monstres fabuleux. (1). Sous-entendununtians. (1).
Fils
et neveu des précédents. (1). On a pu se dispen
onça ces mots ; il changea bien dans la suite. (2). Ou condamna son
fils
à périr. (1). Virtus équivaut à virtute prœditu
Brutus (Lucius Junius),
fils
de Marcus Junius, et de Tarquinie, fille de Tarqu
rère aîné. Mais après l’outrage fait à Lucrèce par Sextus Tarquinius,
fils
du tyran, il arracha lui-même du sein de cette da
é consul avec Lucius Tarquinius Collatinus, mari de Lucrèce. Les deux
fils
de Brutus ayant conspiré pour remettre les Tarqui
oethe se plaît, dans ses écrits comme dans ses discours, à briser les
fils
qu’il a tissus lui-même, à déjouer les émotions q
e, consentent aux dangers de leurs frères, de leurs époux et de leurs
fils
. À l’approche des périls qui la menacent, une fiè
rations des oiseaux40 On connaît ces vers charmants de Racine le
fils
sur les migrations des oiseaux : Ceux qui, de n
ont le lait soit du sang, et qui remplissent de valeur le cœur de nos
fils
. Pharamond, le bardit est achevé, les heures de l
point d’admirer à leur tête trois générations de héros : l’aïeul, le
fils
et le père. Mérovée, rassasié de meurtres, contem
repos insultant et superbe. Sa fureur s’allume ; il s’avance vers le
fils
de Pharamond ; il lui crie d’un ton ironique : «
s recourbés, s’engage dans le bouclier du Gaulois. Au même instant le
fils
de Clodion bondit comme un léopard, met le pied s
bras brisés du coup d’une massue, et ne pressera plus sur son sein le
fils
qu’une épouse porte encore à la mamelle. Celui-ci
martyrs ; il se lève debout et enfonce ses ongles dans les flancs du
fils
de Lasthénès, il déchire avec ses dents les épaul
rbe crèche91. » Aussi, tout voyageur que je suis, je ne suis point le
fils
d’Ulysse, quoique je préfère, comme Télémaque, me
iés. Tous les hommes étant d’une même race, Alexandre a pu se dire le
fils
de Jupiter. Mais toute la Grèce a souri de cette
ue est plus avérée que toutes celles des temps où il a vécu, lui seul
fils
d’un charpentier, se donne-t-il tout d’abord pour
dans les papiers du secrétaire d’État Vane, et livrées à Pym par son
fils
, furent produites comme supplément de preuve suff
de la tour, 20 000 livres sterling et une fille de Strafford pour son
fils
, s’il voulait se prêter à l’évasion : il s’y refu
d’une joie infinie. Je vous demande seulement d’accorder à mon pauvre
fils
et à ses trois sœurs autant de bienveillance, ni
mières années. De plus cruels souvenirs ont fait oublier cet intérêt.
Fils
d’un homme savant qui passa la plus grande part d
aisse tomber aux pieds d’Achille en lui redemandant le cadavre de son
fils
, plus d’un vers de Virgile, des scènes entières d
tate l’existence par des faits positifs est Chlodio ; car Faramond198
fils
de Markomir, quoique son nom soit bien germanique
empereur Lodewig ou Louis214 et ses enfants, guerre où le père et les
fils
étaient poussés à leur insu par des mouvements na
en l’année 830 les partisans de la réconciliation entre le père et le
fils
proposèrent, comme moyen d’y parvenir, une assemb
en mourant, eut laissé la domination franke partagée entre ses trois
fils
, Lother, Lodewig et Karl, quoique le premier eût
ble par cette fameuse bataille de Fontanet, près d’Auxerre218, où les
fils
des Welskes et des Teutskes combattirent sous les
ait, en mourant (1086), désigné pour son successeur son neveu Harold,
fils
de ce Godwin qui avait combattu avec énergie l’in
bière et de vin. Au matin, dans le camp normand, l’évêque de Bayeux,
fils
de la mère du duc Guillaume, célébra la messe et
sage au duc Guillaume pour lui demander la permission de rendre à son
fils
les derniers honneurs : elle offrait, disent les
ent les historiens normands, de donner en or le poids du corps de son
fils
. Mais le duc refusa durement, et dit que l’homme
terre par les Normands, liv. III. Mort de Sighebert (575) Les
fils
de Clotaire Ier s’étaient partagé le royaume aprè
se trouvait enceinte et presque à terme ; bientôt elle accoucha d’un
fils
au milieu du tumulte d’un siège et de la crainte
nt empreint que dans celle des rois de la dynastie mérovingienne. Ces
fils
de conquérants à demi sauvages, nés avec les idée
ptement. À peine il entrait en convalescence que le plus jeune de ses
fils
, Dagobert, qui n’était pas encore baptisé, tomba
ans, fut pris comme lui de la maladie régnante. À la vue de ses deux
fils
en péril de mort, Frédegonde fut saisie des cruel
rédegonde se trouvait un jour avec le roi dans la pièce où leurs deux
fils
étaient couchés, en proie à l’accablement de la f
aux, et nous ne nous sommes pas amendés. « Voilà que nous perdons nos
fils
; voilà que les larmes des pauvres, les plaintes
périeux ; fais ce que tu me vois faire, afin que, si nous perdons nos
fils
, nous échappions du moins aux peines éternelles.
ens de se distinguer parmi leurs semblables. Ils y verront comment le
fils
d’un pauvre artisan, ayant lui-même travaillé lon
nt, aussi vertueusement, aussi glorieusement remplies que celle de ce
fils
d’un teinturier de Boston, qui commença par coule
s roi ! » Ces apparitions ont éveillé l’ambition de Macbeth. Malcome,
fils
de Duncan, passe pour avoir été massacré par Cado
geai, cher Macbeth, que j’étais encor mère ; Quand revoyant enfin mon
fils
et la lumière, Lorsque277 je crus, hélas ! au dou
mez votre âme. L’hymen qui nous unit par la plus tendre flamme, Votre
fils
au berceau, ce nom de mon époux, Tous ces titres
Sur quelque bord désert la faim m’eût consumé. Va, tu n’es point mon
fils
: seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi
Que le jour un moment rentre encor dans mes yeux, Pour embrasser mon
fils
à la clarté des cieux295 ! Épitre à l’Amitié2
ipices ; Et comme, en le frappant d’une sévère main, La mère sent son
fils
se presser sur son sein, Leurs horreurs même en l
ravaux, variez vos hommages, Nébuleuses vapeurs, sombres exhalaisons,
Fils
humides des lacs, des marais et des monts, Soit q
Tibère.) Pison 346, sénateur et gouverneur de la Syrie ; Cnéius, son
fils
. PISON. On ne t’a point donné d’infidèles avis ;
point donné d’infidèles avis ; Et Pison de retour embrasse encor son
fils
. Au palais de César, quand le jour luit à peine,
l’épée, Tombait victorieux aux pieds du grand Pompée352. PISON. Ô mon
fils
! ton aïeul, dont tu me rends les traits, Vit not
es vertus consolent ma disgrâce, Exemple des Romains, modèle des bons
fils
, Seul appui, seul honneur de mes cheveux blanchis
. CNÉIUS. J’y vole, et j’ose encore espérer quelque zèle ; Mais votre
fils
au moins vous restera fidèle. Agrippine a dénonc
x, Où Canne et Trasimène excitaient tant d’alarmes, Où les mères, les
fils
, les veuves, dans les larmes, À l’ombre de Varus
rie, Est-on coupable encor quand on sert la patrie ? De Caïus, de mes
fils
, les droits sont-ils perdus ? Quoi ! le nom de Cé
si, comme leur père, ils étaient malheureux, Dieux ! veillez sur mes
fils
! Dieux, protégez leur mère ! Germanicus expire,
e à la constance. Obéissez du moins aux conseils d’un époux. Pour ses
fils
toutefois que me demandez-vous ? Parlez : qu’espè
usus, près de vous réunis TIBÈRE. Avez-vous oublié que Drusus est mon
fils
? AGRIPPINE. Non, mais Rome a connu deux enfants
son père. TIBÈRE. Lui ! ce rival de gloire à Tibère opposé ! Lui mon
fils
!… Par Auguste il me fut imposé. AGRIPPINE. Par A
n pouvoir ? AGRIPPINE. Dût ce pouvoir un jour accabler Agrippine, Des
fils
de votre fils voudrait-il la ruine ? Quel mal vou
RIPPINE. Dût ce pouvoir un jour accabler Agrippine, Des fils de votre
fils
voudrait-il la ruine ? Quel mal vous ont-ils fait
t sévère, mais juste, à l’égard de Pison. AGRIPPINE. À l’égard de mes
fils
serez-vous donc moins juste ? Et les punirez-vous
: Cet entretien vous pèse, et Séjan vient à nous. Je vais trouver mes
fils
. Déjà privés d’un père, Ah ! doivent-ils longtemp
donne mes jours ; elle a fini pour moi381. TIBÈRE. Non ; vous avez un
fils
; vous la craindrez encore382. PISON. Oseriez-vou
ruel ! TIBÈRE. Oseriez-vous, cruel ! Un
fils
qui vous honore ; Un fils qui vous chérit, que vo
us, cruel ! Un fils qui vous honore ; Un
fils
qui vous chérit, que vous devez chérir. PISON. S’
peine est horrible, et pourtant je l’affronte ; Pour l’honneur de mon
fils
, j’en dois subir la honte. Rome, l’empire entier,
mps ! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux ; D’un
fils
Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel bea
irs, tous ses sentiments étaient images. » Ce fut elle qui initia son
fils
à la poésie en lui lisant la bible : elle eut d’a
ieux ! Roi des chants immortels, reconnais-toi toi-même ! Laisse aux
fils
de la nuit le doute et le blasphème ; Dédaigne un
cifix : « Voilà le souvenir, et voilà l’espérance : Emportez-les, mon
fils
. » Oui, tu me resteras, ô funèbre héritage ! Sep
attends ! » Secondes Messéniennes. Louis XI. (Extraits) Le
fils
de ce duc de Nemours que Louis XI avait fait péri
genoux d’espérance et d’effroi. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous, mon
fils
! LOUIS. Relevez-vous, mon fils !J’y reste pour
FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous, mon fils ! LOUIS. Relevez-vous, mon
fils
!J’y reste pour attendre La faveur qui sur moi de
moi !Vous dites à nos maux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE. Moi, mon
fils
! LOUIS. Moi, mon fils !Soudain nos maux guériss
ux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE. Moi, mon fils ! LOUIS. Moi, mon
fils
!Soudain nos maux guérissent. Que votre voix l’or
nt effacer mes rides425. FRANÇOIS DE PAULE. Que me demandez-vous, mon
fils
? vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
it mourir le feu roi de langueur et de faim427. FRANÇOIS DE PAULE. Un
fils
a de son père abrégé la vieillesse ! LOUIS. Un f
OIS DE PAULE. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! LOUIS. Un
fils
a de son père abrégé la vieillesse ! Le Dauphin…
brégé la vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. FRANÇOIS DE PAULE. Un
fils
a de son père abrégé la vieillesse ! Le Dauphin…
ère abrégé la vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. Vous ! LOUIS. Un
fils
a de son père abrégé la vieillesse ! Le Dauphin…
sont des raisons si hautes !… FRANÇOIS DE PAULE. Confessez ; mauvais
fils
, n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un frè
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi :
fils
rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
: fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon
fils
. Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise ; L’e
: Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon
fils
, du répit qu’il t’accorde : Pleure, conjure, obti
ue. 8. Les œuvres complètes de Mme de Staël ont été publiées par son
fils
, en 17 vol. in-8°, Paris, Treuttel et Wurtz, 1821
ée des Perses y avaient leur statue en marbre. 86. Castor et Pollux,
fils
de Jupiter. 87. Chap. XLI. 88. On peut lire sur
cette fable. Cf. Cicéron, de Oratore. III, 2. 89. Castor et Pollux,
fils
de Tyndare, forment au ciel le signe des Gémeaux,
que à Ménélas dans son palais de Lacédémone. Hélène, qui a reconnu le
fils
d’Ulysse, le renvoie chargé de riches présents. C
oivent se soutenir par l’espérance d’une autre postérité. De nouveaux
fils
feront oublier ceux qui ne sont plus… Pour vous d
a court, et consolez votre douleur par la pensée de la gloire que vos
fils
ont obtenue. » 150. Voir dans la 14me Philippiq
ppuyant sur une tradition sans valeur historique, a fait de Brutus le
fils
de César ; mais le spectacle du patriotisme pouss
e, que Brutus ait été comblé de bienfaits par César. Si Brutus est le
fils
de l’homme qu’il va frapper, ce n’est plus qu’un
n dit kaiser. (A. T.) 217. Nithard, Histoire des divisions entre les
fils
de Louis le Débonnaire, livre II, ch. x. 218. En
s saints dont la cuve était remplie jusqu’au bord, et sur lesquels le
fils
de Godwin avait juré à son insu. » 223. Voir le
re ceux qui l’accusaient de l’avoir fait périr. Tacite ajoute que son
fils
le précéda avec des instructions pour s’assurer l
on, arrivé dans le palais de l’empereur, se trouve en présence de son
fils
. Cette rencontre forme l’exposition de la pièce.
ls. Cette rencontre forme l’exposition de la pièce. 347. Germanicus,
fils
de Drusus et d’Antonia, nièce d’Auguste, avait ét
lussent la fausseté de leurs cœurs. » (Trad. de M. Burnouf.) 350. Un
fils
devait ainsi parler à son père ; mais la vérité,
xcite vivement l’intérêt par l’opposition établie entre le père et le
fils
. Chaque parole de Cnéius est pour Pison un cruel
arti après sa victoire et devint gouverneur de Pamphylie. C’est à ses
fils
qu’Horace adressa son Art poétique. 354. Hérite
e a présenté à son frère l’horrible festin composé des membres de ses
fils
, Thyeste s’écrie (v. 1106) : Agnosco fratrem………
famille Dans la nuit des cachots creusés sous la Bastille. Un de ses
fils
, un seul, voit la clarté des cieux : J’ai soustra
hoses. » 427. Charles VII avait formé le projet d’appeler son second
fils
à la couronne ; mais il n’eut pas la force de pre
surtout dans Napoléon l’homme de génie ; chez C. Delavigne, il est le
fils
ingrat de la liberté. Enfin dans les vers célèbre
ait à briller de tout son éclat !… Avec une fille si accomplie, et un
fils
que vous-même n’auriez pu souhaiter plus parfait,
t dont orgueil ne s’accrût d’avoir produit un homme semblable à votre
fils
, ou une fille digne de lui. Oh ! que vous étiez v
; car enfin, ou sont les parents qui ne se contentassent d’avoir pour
fils
Édouard ? Vous-même, tous vos désirs seraient sat
rrosez une cendre inanimée vous rendent insensible à celles que votre
fils
répand sur vous... ? Vous regrettez votre fille,
se mille fois. Mme de Sévigné. 23 février 1689. N° 25. — A Racine
fils
. Vous me faites plaisir de me rendre compte d
vous exciter à faire de votre mieux en toutes choses. Adieu, mon cher
fils
. Racine. Le 3 juin 1693. N° 26. — A M. de Gr
APIN. Monsieur… GÉRONTE. Quoi ? SCAPIN. Monsieur votre
fils
... GÉRONTE. Eh bien ! mon fils ? SCAPIN. .
Quoi ? SCAPIN. Monsieur votre fils... GÉRONTE. Eh bien ! mon
fils
? SCAPIN. . Est tombé dans une disgrâce, l
oyez par moi tout-à-l’heure cinq cents écus, il va vous emmener votre
fils
en Alger. GÉRONTE. Comment diantre ! Cinq cent éc
vous, Monsieur, d’aviser promptement au moyen de sauver des fers un
fils
que vous aimez avec tant de tendresse. GÉRONTE. Q
Monsieur ? GÉRONTE. Que tu ailles dire à ce Turc qu’il me renvoie mon
fils
, et que tu te mettes à sa place, jusqu’à ce que j
sens que d’aller recevoir un misérable comme moi à la place de votre
fils
? GÉRONTE. Que diable allait-il faire dans cette
grande malle, et tu les vendras aux fripiers pour aller racheter mon
fils
. SCAPIN, en lui rendant la clé. Hé, Monsieur, rê
songez que le temps presse, et que vous courez risque de perdre votre
fils
. Hélas ! mon pauvre maître, peut-être que je ne t
e de sa poche et la présentant à Scapin.) Viens, va-t-en racheter mon
fils
. SCAPIN. tendant la main. Oui, Monsieur. GÉRONTE
ant sa bourse dans sa poche et s’en allant. Va, va vite requérir mon
fils
. SCAPIN, recourant après Géronte. Holà, Monsieur
e paie en une autre monnaie l’imposture qu’il m’a faite auprès de son
fils
. Molière. N° 69. — Don Juan et M. Diman
sents ; toute la province lui donna une fête, et l’inscription que le
fils
du ciel, que l’empereur a écrite lui -même, appre
té, je te salue ! Ainsi l’aborda l’homme vertueux. Comment, dit-elle,
fils
du péché, tu ne trembles pas devant moi ? Non, ce
eut pas rester chez elle, et qui ne peut pas emmener avec elle ou son
fils
ou sa fille ? Comment venir au secours des enfant
l venait redemander à l’impitoyable vainqueur le corps meurtri de son
fils
; et lui ayant baisé la main, il lui dit : « Juge
ge la grandeur de mon malheur, puisque je baise la main qui a tué mon
fils
! » Achille pleura, et rendit le corps à son enne
face de la nature est renouvelée. Girodet N° 133. — L’Été. Le
fils
brillant du soleil, le radieux été règne à son to
and étonnement d’Azaël, qui croyait tout faire pour le mieux. De deux
fils
, espoir de la famille, l’un s’engagea comme solda
Ménécée, en un mot, digne frère d’Hémon, Et trop indigne aussi d’être
fils
de Créon. De l’amour du pays ra montant son âme a
’on fermait la porte au bas de l’horrible tour. Alors je regardai mes
fils
sans dire une parole, je ne pleurai point ; je me
O voyageur ! ta perte est trop certaine ; Ta femme est veuve, et ton
fils
orphelin. « Traître, a-t-il dit, nous sommes seul
Loïs, et le noie au fond des eaux. La mère de Loïs ne revoit plus son
fils
. Elle s’en va dans les bois, et s’écrie : « Où êt
on cœur ; mais le cœur de la mère ne peut plus réchauffer le corps du
fils
, et le corps du fils glacé déjà le cœur de la mèr
r de la mère ne peut plus réchauffer le corps du fils, et le corps du
fils
glacé déjà le cœur de la mère ; elle est près de
outa : « Sais-tu que j’ai été père ?… je ne le suis plus. J’ai vu mon
fils
tomber dans le combat ; il était à mon côté, je l
côté, je l’ai vu mourir en homme ; il était couvert de blessures, mon
fils
, quand il est tombé ; mais je l’ai vengé… oui je
heureux dans toutes ses injustes entreprises. Un poète gagé le nomma
fils
de la victoire : les peuples l’appelèrent fils de
Un poète gagé le nomma fils de la victoire : les peuples l’appelèrent
fils
des fléaux : car le nombre de ses crimes avait su
arque accorde à ses sujets. Ekber était sur son trône, entouré de ses
fils
et de plusieurs eunuques. Les uns, armés de longu
m’interromps point. Gloire à Dieu et à Mahomet, son prophète ! Ekber,
fils
du sage Humaioun, père de ses sujets, tu es deven
int ce qu’il avait été, heureux et puissant tout à la fois, Ekber, le
fils
des fléaux, obtint le nom de père du peuple, et c
’un donnait l’avantage à Abdallah, cousin de Mahomet, l’autre à Kaïr,
fils
de Saad, et le troisième à Arabah. Aucun ne voula
famille fait éclater, quand elle accompagne au vaisseau un père ou un
fils
chéri qui s’embarque d’un port de l’Europe pour l
être comparé à leur attrayante beauté. Par Mahomet et son gendre Ali,
fils
d’Aboutalib ! mon imagination ne peut se représen
le vôtre ! capitaine. » La pauvre mère, tout en larmes, arrachant son
fils
au sein de sa nourrice, l’ élevait en ce moment d
dence. Schiller. N° 187. — Guillaume Tell. _ Il regarde son
fils
, s’arrête, lève les yeux vers le ciel, jette son
t demande à parler à Gemmi. Quatre soldats le mènent vers lui : « Mon
fils
, dit-il, j’ai besoin de venir t’embrasser encore,
mbrasser encore, de te répéter ce que je t’ai dit. Sois immobile, mon
fils
; pose un genou en terre, tu seras plus sûr, ce m
, ce me semble, de ne point faire de mouvement ; tu prieras Dieu, mon
fils
, de protéger ton malheureux père. Ah ! ne le prie
ointe, ce fer brillant dirigé contre ton front. Détourne la tête, mon
fils
, et ne me regarde pas. — Non, non, lui répond l’e
ne verrai point la flèche, je ne verrai que mon père. — Ah ! mon cher
fils
, s’écrie Tell, ne me parle pas ; ta voix, ton acc
eul instant, aussi rapide que la pensée, où il parvient à oublier son
fils
, il vise, tire, lance son trait, et la pomme empo
armes, Et, désormais, certain du malheur de ses armes, Par un rebelle
fils
de toutes parts pressé, Sans espoir de secours, t
e pleurait d’avance son époux, la jeune fille priait pour sa mère, le
fils
alarmé pour la vie de son père allait recueillir
aurez compassion de son innocence et de mes larmes. Vous êtes encore
fils
sans doute : car vous êtes tous jeunes et robuste
terre marâtre ! Ma femme… Ah ! la misère a desséché son sein, Et mes
fils
affamés me demandent du pain. Tu ne fais rien pou
t du pain. Tu ne fais rien pour moi, tu fais tout pour mon frère, Ses
fils
, l’amour de Dieu, la fierté d’une mère, L’attende
la tempête, Et sur le front d’Abel un feu divin s’arrête. Tu portes,
fils
d’Adam, sur ce front ingénu, L’ineffable beauté q
elle : ô Dieu ! c’est la voix de sa mère ! « Viens, viens, ô mon cher
fils
! ramène mon Abel ! Fuyez tous deux, fuyez la tem
igné Ankastrom. Le cadavre couronné serait Gustave III. L’enfant, son
fils
et son successeur. Gustave-Adolphe IV., Le vieill
ié son enfance, s’approcha de lui, et avec une grande douceur : « Mon
fils
, ! lui dit-il, ne pleurez plus ; regardez le Ciel
es yeux. Le vieillard ajouta, en le pressant contre son sein : « Mon
fils
, voici une autre couronne qu’il vous faut désorma
dire combien de larmes il respandit, contemplant celles desquelles le
Fils
de Dieu, petit enfant de la Vierge, avoit arrousé
loit, descendoit la voix du Père éternel, disant : C’estuy-ci est mon
fils
bien-aimé auquel je me complais. De Béthanie, il
t. N° 216. — Le Chasseur des Alpes. « Que j’abhorre, mon
fils
, tes projets intrépides ! Tu vas donc confier
élever sur les nues, Tombent et portent le trépas ! Reste, reste, mon
fils
, reste auprès de la mère ! Du déclin de mes jours
. D’un vieux chêne noirci par les feux de l’orage ; Un corbeau de son
fils
lui prédit le trépas ; Cet aspect lui ravit un re
e ne ment pas ! Le jour tombe.., Elle crie, inquiète, éperdue : « Mon
fils
!... » A ses regards il ne vint pas s’offrir. L’a
t d’abord à Mathilde ses noms de baptême, si elle croyait au Père, au
Fils
et au Saint-Esprit, et si elle tenait à la foi de
ur, tant que dura leur travail retint les rochers chancelants par des
fils
de la Vierge accrochés aux brins d’herbe et aux b
étiennes, aussi intacte que les apôtres l’ont reçue de Dieu. Meinrad,
fils
du prince Berthold Hohenzollern, allié par son il
le avait d’ailleurs une toute autre énergie que s’avance. C’est mon
fils
, arrêtez, cessez, troupe inhumaine. Sage emploi
ntant aux soldats le motif pour lequel ils doivent arrêter. C’est mon
fils
, et ce cri d’ailleurs est si naturel à une mère !
u’elle doit pousser ; elle est sûre qu’il va tout arrêter. C’est mon
fils
, déchirez sa mère et votre reine. Voici le cri r
int d’être égorgé par les soldats, quand Mérope leur crie : c’est mon
fils
! Les amis de la reine voient au secours d’Egyste
mps encore cet instant désiré, où vous deviendrez, par le baptême, le
fils
chéri de l’église ? Les Parisiens, les Armoriques
lieu de vous dût paraître au moins une témérité, pour le salut de mon
fils
et le mien, je le trouve, moi, le plus puissant m
: sans fuir plus longtemps, je remets entre vos mains la fille et le
fils
de vos rois ! J. C. N° 227. — Saint Maurice à
us irez heurter, comme l’aveugle, les arbres de la voie publique. Vos
fils
et vos filles seront traînés captifs chez les peu
. N° 230. — Anthusa à Saint Jean-Chrysostome. Elle conjure son
fils
de ne point s’éloigner d’elle. Mon enfant, les v
ages ; mais Dieu veillait sur moi ; je m’attachais tout entière à mon
fils
, et mon cœur était plein de force. Te voir sans c
2. — Véturie à Coriolan. Véturie vient de demander à Coriolan, son
fils
, le salut de Rome. Le guerrier a refusé. Véturie
n fils, le salut de Rome. Le guerrier a refusé. Véturie insiste. Mon
fils
! Pouvez-vous refuser une proposition si équitabl
a mort ou une prompte servitude. Pourquoi ne me réponds-tu point, mon
fils
? Méconnais-tu ta mère ? As-tu déjà oublié les so
oposition. Mais Véturie est incapable de proposer rien de lâche à son
fils
, et ta gloire m’est encore plus chère que ma vie.
el temps on puisse travailler à une paix solide. Je l’en conjure, mon
fils
, par Jupiter tout bon et tout puissant, qui prési
ien ne serait pas cruel celui qui viendrait dans vos bras déchirer le
fils
et le père, comme vous m’allez déchirer ! La natu
remblante, vous conjurer par vos entrailles d’épargner son malheureux
fils
. Résisteriez-vous à ses pleurs et laisseriez-vous
eux fils. Résisteriez-vous à ses pleurs et laisseriez-vous égorger un
fils
dans les bras de sa mère ? La vie est pour moi pe
e syracusain les funestes effets de cette guerre, qui lui a ravi deux
fils
, la consolation et l’espoir de sa vieillesse. Je
eur le plus grand de tous les malheurs, la perte de la foi. Ah ! mon
fils
, à ces mots j’eusse expiré sans toi. L’exclamati
s, à ces mots j’eusse expiré sans toi. L’exclamation le ramène à son
fils
qui seul peut lui faire supporter la vie, puisqu’
as aux blessures qu’ils ont reçues. Les pères mourants envoient leurs
fils
pleurer sur leur général mort. L’armée en deuil e
dans une famille les complaisances et les tendresses qu’on a pour un
fils
aîné. C’est à votre cœur que j’en appelle, pères
on d’un œil étranger : tout cela nous dit assez que le premier de nos
fils
, dans notre cœur plus que dans nos biens, partage
? Non, Messieurs : un père voit avec complaisance dans l’aîné de ses
fils
l’espérance et l’héritier de son nom ; il franchi
s années, et perce dans l’avenir le plus reculé ; il aperçoit dans ce
fils
bien-aimé une postérité nombreuse qui fera parler
e jeunesse fougueuse : je sais qu’il en est qui savent rendre avec un
fils
ce ton mâle et dominant qui commande le respect,
r, la tendresse échappe à travers les nuages d’un front courroucé. Le
fils
s’en aperçoit, et se rit de la tempête, parce qu’
ur durer longtemps : bientôt les caresses de la mère et la licence du
fils
prendront leur cours, et les dédommageront avec u
itres de tendresse capable de l’intéresser à leur délivrance : il est
fils
, il est père tout-à-la-fois ; l’amour filial, la
mots a pris l’essor Vers les demeures éternelles... Pauvre mère, ton
fils
est mort !... Jean Reboul. N° 256. — La Mendi
s le temple voisin chacun cherche un asile. Hippolyte lui seul, digne
fils
d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses jave
urs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
ie….. Cher ami, si mon père, un jour désabusé, Plaint le malheur d'un
fils
faussement accusé, Pour apaiser mon sang et mon o
le chrétien révère, Ma faible voix s'anime en t'implorant ; Ton divin
Fils
est né pauvre et souffrant, Ah ! prends pitié des
ue fait le vieil Horace quand on lui dit qu'on a vu fuir celui de ses
fils
que la mort avait épargné, est sublime : Que voul
à toucher ses auditeurs. Philoctète parle ainsi à Néoptolème : O mon
fils
, je te conjure par les mânes de ton père, par ta
qu'attendez-vous ? peut-être d'avoir rétabli les affaires du roi son
fils
; non, c'est de l'avoir fait reine malheureuse. 1
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le
fils
assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
s ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un….. Votre
fils
, seigneur, me défend de poursuivre. (Racine.) 21
r ! et qu'est-ce que je dis ! Tu vas sacrifier… qui, malheureux ? Ton
fils
! Ce fils que Rome craint ! qui peut venger son p
est-ce que je dis ! Tu vas sacrifier… qui, malheureux ? Ton fils ! Ce
fils
que Rome craint ! qui peut venger son père ! Pour
ours des propositions de et à ; on ne dirait pas : Je n'ai pu de mon
fils
consentir à la mort. 4° La syllepse ou synthèse
le peuple et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon
fils
, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
s, les vieillards, Et la sœur et le frère, Et la fille et la mère, Le
fils
dans les bras de son père. (Racine.) 7° La disj
ceptible ouvrage, Que l'art de l'ouvrier me frappe davantage. (Racine
fils
.) Faisons observer au poëte que, pour lui, toute
in que la prairie, Revient-elle baigner cette rive fleurie ? » — Mon
fils
, cette eau fuit pour toujours : Après mille et mi
homme de fiel abreuvé, Pour celui que la mort menace Ou qui pleure un
fils
bien aimé. Sous un ombrage solitaire, Près d'un r
ur nous envoie Athalide ? (Racine.) Haletante, de loin : « Mon cher
fils
, tu vivras ! » « Tu vivras !… » Elle vient s'ass
Don Diègue est offensé par Gomès, comte de Gormas : il confie à son
fils
, don Rodrigue, que ses exploits feront plus tard
ma maison à la vôtre. Vous n’avez qu’une fille3, et moi je n’ai qu’un
fils
; Leur hymen nous peut rendre à jamais plus qu’am
e courroux : Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon
fils
, viens, mon sang, viens réparer ma honte ; Viens
ance : Je ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi. Montre-toi digne
fils
d’un père tel que moi. Accablé des malheurs où le
e ?As-tu peur de mourir ? Le comte. Viens, tu fais ton devoir, et le
fils
dégénère Qui survit un moment à l’honneur de son
cendaient au tombeau tout chargés d’infamie, Si je n’eusse produit un
fils
digne de moi, Digne de son pays et digne de son r
. Don Diègue aura ma cour et sa foi pour prison. Qu’on me cherche son
fils
. Je vous ferai justice. Chimène. Il est juste, g
e Dorante) vient de reconnaître qu’il a été dupe des mensonges de son
fils
. Géronte, seul. O vieillesse facile1 ! ô jeune
vec une syllabe longue. 2. Allusion de Géronte aux mensonges que son
fils
lui a faits, et qu’il va rappeler ensuite plus en
ec deux enfants si accomplis — Vous étiez doublement heureuse — Votre
fils
ne peut-il faire votre consolation ? — .… Quels s
us souffrez — Elle eût pu devenir mère d’une fille et ne pas avoir un
fils
pour se consoler. — Avis. Celle lettre mérite d
e Sévigné lui recommande Monsieur de la Brosse, homme fort estimable,
fils
d’un ami de la famille, et que madame de Grignan
de ciguë dans l’oreille, ce forfait est resté profondément caché. Le
fils
du roi assassiné l’ignore comme tout le monde, ma
fois loin du port, le turc changea de manières, déclara prisonnier le
fils
de Géronte, et envoya Scapin chercher cinq cents
vais envoyer la justice à sa poursuite. — Mets-toi à la place de mon
fils
. — Le turc ne sait pas ce que c’est que cinq cen
pleine mer. — Qu’on ne l’accepterait pas, lui valet, à la place d’un
fils
de famille. — Que le turc sait fort bien ce que c
Tu m’as fait, que je veux que tu sortes. LAFLÈCHE. Mon maître, votre
fils
m’a donné ordre de de l’attendre. HARPAGON. Va-t-
Je jeune homme de ses écarts. La mère est la Religion qui défend ses
fils
et les conserve à la vertu. N° 73. — L’Ange.
mé se présenta le soir à Achille, pour lui demander le cadavre de son
fils
. — Et, lui avant baisé la main, il lui dit : « Ju
de la grandeur de mon malheur, puisque je baise la main qui a tué mon
fils
. » Achille se laissa toucher, — Quelle force avai
dans les trois compositions qui vont suivre. N° 133. — L’Eté Le
fils
brillant du soleil… vient régner à son tour… Ses
ses enfants des trônes, des provinces, Sa femme est une reine, et ses
fils
sont des princes. Il triomphe au milieu de cet en
s les récoltes — … Après douze ans la famille fut ruinée — … L’un des
fils
se fit soldat, l’autre marin, la jeune fille disp
’oracle de Thèbes avait prédit, que pour terminer la guerre entre les
fils
d’Œdipe, le dernier prince de la maison royale de
dis qu’on fermait la porte au bas de l’horrible tour. Je regardai mes
fils
sans mot dire, mais avec une expression apparemme
… Sur sa réponse affirmative, le vieux Abenaki dit qu’il avait eu un
fils
, que les Anglais avaient tué — … il lui montra le
s — … A cause de ses guerres injustes, il fut nommé par les peuples :
fils
des fléaux — … Nœud. Lin jour qu’il avait reçu l
condamné par le tyran Gessler à abattre une pomme sur la tête de son
fils
Gemmi. L’habile archer tremble ; il veut voir son
la tête de son fils Gemmi. L’habile archer tremble ; il veut voir son
fils
, l’embrasser encore et lui faire ses recommandati
— Mort de Mithridate Mithridate a la douleur de voir Pharnace son
fils
, se joindre aux Romains pour combattre contre lui
is il se perce le sein de son épée. En ce moment Xipharès, son second
fils
, resté fidèle à sa cause, accourt victorieux aprè
ronne des plus belles fleurs de la vallée — … Elle avait appris à son
fils
, dès la plus tendre enfance, à honorer ainsi Mari
des Alpes Une femme de Val-Rosa tâchait de retenir à la maison son
fils
prêt à partir pour la chasse périlleuse du chamoi
dans des routes inconnues et semées de précipices — … Reste ici, mon
fils
, ton père est mort dans les glaciers » — … Le cha
e — … N° 221. — Saint Meinrad Au temps de Charlemagne, Meinrad,
fils
du prince Berthold Hohenzollern, se fit bénédicti
ses pas ! Sa mère-, elle s’avance au milieu des soldats : « C’est mon
fils
, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! « C’est mon
s : « C’est mon fils, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! « C’est mon
fils
, déchirez sa mère et votre reine, Ce sein qui l’a
e parole articulée sur ses lèvres mourantes… Dieux ! Il a reconnu son
fils
, visage auguste, pourquoi es-tu sur moi ? Tes yeu
e, je t’ai devinée, tu n’as parlé de toi qu’à cause de mes malheureux
fils
. Hélas ! c’est à eux maintenant que tu vas te con
rgée ; il ne restait plus rien d’Œdipe. Ainsi disparut de la terre le
fils
de Laïus ; fut-il consumé par la foudre ? Fut-il
nt eux. Elle leur dit qu’elle vient se jeter dans leurs bras avec son
fils
qui n’a que quelques mois. Elle fait appel à leur
me Note. Anthusa, mère de saint Jean-Chrysostome, apprend que son
fils
se propose de la quitter pour faire un voyage loi
le ne voulut point se remarier afin de consacrer tout son temps à son
fils
unique ; c’est lui qui jusqu’à présent a fait son
onsolation et a dissipé les douleurs de la solitude et du veuvage. Ce
fils
veut-il renouveler ses peines, abandonner sa viei
en lui disant do la voir à ses pieds, elle qui prie pour l’honneur du
fils
, la vie de la mère, et le salut de la patrie.
t généralement d’avis de les faire mourir. Un vieillard, père de deux
fils
qui ont perdu la vie dans le dernier combat, pren
se. Le vieillard expose son triste sort ; il admire le courage de ses
fils
; mais il pleure leur mort, et a les plus grands
juré sa foi. Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi ! Ah ! Mon
fils
!… à ces mots j’eusse expiré sans toi. Mon Dieu !
né ; il en appelle aux cœurs des pères et mères. Le père voit dans ce
fils
chéri l’héritier de son nom ; la mère le trouve p
la patrie éplorée qui réclame Polidore comme un de ses plus vaillants
fils
; puis il s’adjuge la victoire et regarde comme c
en faisant le tableau désolant d’une famille privée de son chef ; les
fils
dissipent les biens du père et déshonorent quelqu
à ces mois s’est envolé vers les demeures célestes… Pauvre mère, ton
fils
n’est plus. Avis. Même observation qu’au nº 254
’hui vaines ombres, Des vierges que l’hymen attendait aux autels, Des
fils
mis au bûcher sous les yeux paternels, Victimes q
droit au grand-prêtre ; et leur corps tortueux D’abord vers ses deux
fils
en orbe se déploie, Dans un cercle écaillé saisit
ond de son âme Tirant un long soupir : « Fuis les Grecs et la flamme,
Fils
de Vénus, dit-il ; le destin t’a vaincu ; Fuis, h
que l’on aperçoit au milieu des nuages pendant une tempête. Clodion,
fils
de Pharamond et père de Mérovée, brillait à la tê
ce des tournois s’ouvrait à nos guerriers. Oh qu’on aimait à voir ces
fils
de la patrie Suspendre la bannière aux palmiers d
otre dernier roi, courbé du faix des ans, Massacré sans pitié sur ses
fils
expirants ! Lusignan, le dernier de cette auguste
e, et le seul trépas digne de lui. Sur son lit de mort il dicte à son
fils
ses mémorables instructions, les plus belles paro
ligion, mère autrefois sensible, S’arme d’un cœur d’airain contre ses
fils
ingrats. Sortez de la nuit éternelle,
enfers. Là tombent condamnés et la sœur et le frère, Le père avec le
fils
, la fille avec la mère ; Les amis, les amants, et
mers l’empire redouté ! D’Athène élevant la fortune,
Fils
de Saturne, ô glorieux Neptune, Par to
e. Ce long regret, dix ans ne l’ont point adouci ; Je ne puis voir un
fils
dans les bras de son père, Sans dire en soupirant
illeront ton front pâle, en arrosant les fleurs, Aussi longtemps, mon
fils
, ta mère qui t’adore Te viendra baigner de
ronc des chênes. Nos guerriers ne me diront pas : « Ton
fils
est digne de son père : Il porte sans frémir la l
a guerre. Je vivrai comme une étranger », Et l’on dira : « Son
fils
est le jouet du vent ; Il n’est point mort en bra
egard attristé Se remplira des pleurs dont ici je t’arrose. Le
fils
que j’ai porté repose Sur le palmier qu’il
ux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées ; Le Rhône impétueux,
fils
des Alpes glacées ; La Seine au flot royal, la Lo
ésors ; Et qu’oubliant le mal qui déchire son corps, Elle doive à son
fils
un quart d’heure de joie ! Puis, qu’elle prie et
rs, Malheureux enfants de la guerre. Tu rends le
fils
à sa tremblante mère ; Par toi la je
t du buisson paternel. À quelles cruelles épreuves Seront soumis les
fils
ingrats ! L’affection, comme les fleuves, Descend
vrage ; il sait le nom des architectes. Dirai-je qu’il croit Henri IV
fils
de Henri III ? Il néglige du moins de rien connaî
a que Sémiramis, ou, selon quelques-uns, Sérimaris, parlait comme son
fils
Ninias ; qu’on ne les distinguait pas à la parole
a parole : si c’était parce que la mère avait une voix mâle comme son
fils
, ou le fils une voix efféminée comme sa mère, qu’
i c’était parce que la mère avait une voix mâle comme son fils, ou le
fils
une voix efféminée comme sa mère, qu’il n’ose pas
bruit de vos coups, Déjà de son travail se reposait sur vous. Et moi,
fils
inconnu d’un si glorieux père, Je suis même encor
es jours si noblement finis, Prouve à tout l’avenir que j’étais votre
fils
. Racine. Nœud d’Iphigénie en Aulide L’arr
a famille entière, Et mon époux sanglant traîné sur la poussière, Son
fils
, seul avec moi, réservé pour les fers ; Mais que
Son fils, seul avec moi, réservé pour les fers ; Mais que ne peut un
fils
! je respire, je sers. J’ai fait plus ; je me sui
tôt qu’ailleurs le sort m’eût exilée ; Qu’heureux dans son malheur le
fils
de tant de rois, Puisqu’il devait servir, fût tom
asile. Jadis Priam soumis fut respecté d’Achille : J’attendais de son
fils
encor plus de bonté. Pardonne, cher Hector ! à ma
Madame, demeurez, On peut vous rendre encor ce
fils
que vous pleurez. Oui, je sens à regret qu’en exc
re. Pourquoi me forcez-vous vous-même à vous trahir ? Au nom de votre
fils
cessons de nous haïr. À le sauver enfin c’est moi
s laisse, et je viendrai vous prendre Pour vous mener au temple où ce
fils
doit m’attendre ; Et là vous me verrez, soumis ou
t tes discours sont suivis ! Il ne me restait plus qu’à condamner mon
fils
. Céphise. Madame, à votre époux c’est être assez
je lui donnerais Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut son
fils
, que les Grecs vous ravissent. Pensez-vous qu’apr
seraient asservis ! Céphise. Eh bien, allons donc voir expirer votre
fils
: On n’attend plus que vous… Vous frémissez, mada
ens-tu frapper mon âme ! Quoi ! Céphise, j’irai voir expirer encor Ce
fils
, ma seul joie et l’image d’Hector ? Ce fils que d
rai voir expirer encor Ce fils, ma seul joie et l’image d’Hector ? Ce
fils
que de sa flamme il me laissa pour gage ? Hélas !
courage Lui fit chercher Achille ou plutôt le trépas, Il demanda son
fils
, et le prit dans ses bras32 : « Chère épouse, dit
« J’ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon
fils
pour gage de ma foi : « S’il me perd je prétends
ve en toi. « Si d’un heureux hymen la mémoire t’est chère « Montre au
fils
à quel point tu chérissais le père. » Et je puis
il plaint à tes yeux des maux qu’il ne sent pas ? Mais cependant, mon
fils
, tu meurs si je n’arrête Le fer que le cruel tien
ous nos efforts, vous en devez attendre Ce que vous souhaitez et d’un
fils
et d’un gendre ; Et, si notre faiblesse avait pu
lutôt du combat les funestes effets : Rome est sujette d’Albe, et vos
fils
sont défaits ; Des trois les deux sont morts, son
n’est point, on vous trompe, Julie ; Rome n’est point sujette, ou mon
fils
est sans vie : Je connais mieux mon sang, il sait
ur. J’en romprai bien le cours, et ma juste colère, Contre un indigne
fils
usant des droits d’un père, Saura bien faire voir
e donc élevé si haut votre fortune Pour mettre une barrière entre mon
fils
et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde ; Ce n’est plus votre
fils
, c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
ènent tous les ans ses premières années ! Agrippine jugée par son
fils
Néron. Et ne connais-tu pas l’implacable Agri
As-tu peur de mourir ? Le Comte. Viens, tu fais ton devoir, et le
fils
dégénère Qui survit un moment â l’honneur de son
cendaient au tombeau tout chargés d’infamie, Si je n’eusse produit un
fils
digne de moi, Digne de son pays et digne de son r
i cent mille écus de pension. Le Moine. Assez mal payés. Le roi votre
fils
n’en a guère de soin. Charles-Quint. Il est vrai
s, et laissez reposer les autres. Charles-Quint. Mais je vois que mon
fils
, après la bataille de Saint-Quentin, n’a pas su p
glais, voilà ce même duc qui a pris Thionville pour couvrir Metz. Mon
fils
gouverne mal : il ne suit aucun de mes conseils ;
hercher le repos dans cette retraite, qu’à condition que le roi votre
fils
ferait des conquêtes, croirait tous vos conseils,
e en repos, demeurez-y, quoi qu’il arrive, laissez faire le roi votre
fils
comme il voudra. Ne faites point dépendre votre t
Molière. Le Ménage d’un parvenu Strepsiade. Il me naquit un
fils
, et voilà le ménage En guerre, pour donner un nom
pauvre animal. Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire, Son
fils
ne souffre plus qu’on lui parle d’affaire. Il nou
her petit front l’autre essuyait le sang… Béni soit Dieu qui rend mon
fils
à ma vieillesse ! Tiens, je pleure et n’ai pas ho
a donné un sens pour connaître le vrai Dieu, et pour être en son vrai
Fils
. Dedit nobis sensum ut cognoscamus verum Deum, et
enj. Constant. L’Éducation politique Dès ses jeunes années, le
fils
du patricien, c’est-à-dire de l’homme public, env
ui jouissait dans tout le pays de la meilleure réputation. C’était un
fils
unique connu par son excellent cœur, et qui faisa
malheureux. Ce n’est pas tout : il faut vous dire encore qu’il était
fils
du seigneur du lieu ; il poussa donc la charité j
otre nature, non plus que lui-, et non-seulement vous ne vous trouvez
fils
d’un duc, mais vous ne vous trouvez au monde que
pect pour les dieux. Les nœuds que forment les serpents autour de ses
fils
, les soulèvent et les attachent contre lui : il r
ans les yeux attendris D’un frère ou d’une sœur, d’une épouse ou d’un
fils
? L’infortuné qu’il est ! à son heure dernière, S
il possède ; au surplus, bon et honnête homme. Ce misérable père a un
fils
qui le soulageait dans sa vieillesse, il s’est av
moi tout en larmes, je lui ai dit tente l’impossibilité de revoir ce
fils
; il lésait, il m’a montré cette lettre que je vo
s : et je vous avertis que je vous fatiguerai beaucoup au sujet de ce
fils
galérien ; prenez courage, et armez-vous de patie
Sedaine Le 4 juillet 1719, était né à Paris Michel-Jean Sedaine,
fils
de l’un des architectes les plus honorés de la vi
e rivage, Et semblait à regret fuir un ciel sans nuage ; À ses
fils
attentifs Dimos, le vieux Dimos, Donnait d
ir qu’on épuise les eaux : Toi, Lamprakis, digne sang d’un héros,
Fils
de mon frère, approche et sois leur capitaine ; P
hasard, et je tombe, en l’ouvrant, sur ces paroles ; « Me voici, mon
fils
! Je viens à vous parce que vous m’avez invoqué.
plus violent et de plus délicieux, et que ces mots : « Me voici, mon
fils
! » ne cessaient de retentir dans mon âme et d’en
soucis dévorants c’est l’éternel asile ; Véritables vautours, que le
fils
de Japet Représente, enchaîné sur son triste somm
Irène, c’est de mourir, comme ont fait votre mère et votre aïeule. —
Fils
d’Apollon, s’écrie Irène, quel conseil me donnez-
Ton âme est-elle anéantie ? as-tu cessé d’exister ? Ô Brutus ! ô mon
fils
! ne souille point ta noble vie en la finissant ;
e Sophocle lut devant ses juges, pour répondre aux imputations de son
fils
Iophon qui l’accusait d’être tombé en enfance. Vo
e ne savait mordre. À quoi36, glouton oiseau, du ventre renaissant Du
fils
du bon Japet te vas-tu repaissant37 ? Assez et tr
e Que lui cavaient41 les destins. Il est bas le parricide ; Un Alcide
fils
d’Alcide42, À qui la France a prêté Son invincibl
rober aux victoires du père, Nous la verrons captive aux triomphes du
fils
. Pour le roi allant châtier la rébellion des
, Que tu vas triompher ! Telle en ce grand assaut, où des
fils
de la Terre La rage ambitieuse à leur honte parut
l remords n’est ressenti par cette mère qui veut faire périr ses deux
fils
pour faire périr sa rivale. Il n’y a de merveille
ue la jalousie, l’ambition et la rivalité poussent jusqu’à égorger un
fils
, à vouloir en faire périr un autre par le poison,
e don Sanche, soldat de fortune, aventurier inconnu, regardé comme le
fils
d’un pêcheur, aimé de deux reines, et, à la fin,
Eh bien ! je l’anoblis, Quelle que soit sa race et de qui qu’il soit
fils
. Qu’on ne conteste plus. Don Manrique.
nt aux siens une fierté sincère ; On n’entend que soupirs : « Ah, mon
fils
! Ah, mon père ! « Ô jour trois fois heureux ! mo
êcheur, En dépit de Carlos, passe pour imposteur. Dans les bras de ce
fils
on lui fait mille hontes : C’est un fourbe, un mé
le fait criminel ! On attache à son nom un opprobre éternel ! Je suis
fils
d’un pêcheur, mais non pas d’un infâme ; La basse
de comte et de marquis Avec bien plus d’honneur qu’aux sentiments de
fils
; Rien n’en peut effacer le sacré caractère. De g
ns tache. Puisque vous la savez, je veux bien qu’on la sache. Sanche,
fils
d’un pêcheur, et non d’un imposteur, De deux comt
non d’un imposteur, De deux comtes jadis fut le libérateur ; Sanche,
fils
d’un pêcheur, mettait naguère en peine Deux illus
e en peine Deux illustres rivaux sur le choix de leur reine ; Sanche,
fils
d’un pêcheur, tient encore en sa main De quoi fai
souverain ; Sanche enfin, malgré lui, dedans cette province, Quoique
fils
d’un pêcheur, a passé pour un prince. Voilà,
nt-ils méconnaître et haïr leurs présents ? Roi, père, époux heureux,
fils
du puissant Atrée, Vous possédez des Grecs la plu
C’est l’effroi de l’Asie. Et loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes
fils
, que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
il échappe par tous les côtés à la pitié. Sa passion le rend mauvais
fils
, menteur improbe et amant infidèle. Cependant il
Gérante aurait tantôt promis, Et promet maintenant de payer pour son
fils
. Géronte. Que je les paye ou non, ce n’est pas t
auquel il découvre son projet cherche en vain à le dissuader. « Mon
fils
, dit le vieillard, il faut qu’avec franchise Je v
jà mérité Les reproches d’un Dieu justement irrité. Fuyez, fuyez, mon
fils
, le monde et ses amorces : Il est plein de danger
Lucifer garde toujours sa haine. « Dieu tout bon, disait Malc, si ton
Fils
par sa peine M’a sauvé de l’enfer, m’a remis dans
ug le plus rude, J’ignore ici la servitude De louer qui je dois haïr.
Fils
des dieux, qui de flatteries Repaissez votre vani
erres. Malheureusement ce père arrive à Paris et se présente chez son
fils
. Il est vêtu simplement, d’une manière plus confo
ment, d’une manière plus conforme à sa fortune qu’aux discours de son
fils
. Pour achever la déconvenue du glorieux, le finan
t que bientôt il me sera permis De me faire connaître et de punir mon
fils
; Et mon juste dépit lui prépare une scène Où je
irardin, le père se contente de se jouer de la fierté ridicule de son
fils
; il tire de ses dédains une vengeance appropriée
e nous montrer ce père qui met plaisamment en défaut l’orgueil de son
fils
, Destouches avait su aussi nous le montrer sous d
ser ? Qu’un soupçon si cruel a droit de m’offenser ! Croyez que votre
fils
vous respecte, vous aime. Lycandre. Vous ! Prouv
e plus bel endroit de la pièce, la situation de Zopire embrassant son
fils
dans son meurtrier et lui pardonnant sa mort, est
du genre. D’Ailly, à la bataille d’Ivry, tue sans le connaître son
fils
qui combattait dans les rangs opposés. (La Henria
désespoir ! ô cris ! Il le voit, il l’embrasse : hélas ! c’était son
fils
. Le père infortuné, les yeux baignés de larmes, T
it redire aux échos attendris Le nom, le triste nom de son malheureux
fils
. Du héros expirant la jeune et tendre amante, Par
la veuve expire, Le vieillard fuit, tombe, soupire, Et meurt sur ses
fils
écrasés ! Leur roi, plein d’un trouble funeste,
ts et détruit la vertu. L’univers, si l’on croit ce novateur moderne,
Fils
du hasard, n’a point de Dieu qui le gouverne ; La
mais pu l’être. Le spectre d’un père assassiné demande vengeance à un
fils
, et Hamlet, ce fils, s’anime et s’excite à accomp
pectre d’un père assassiné demande vengeance à un fils, et Hamlet, ce
fils
, s’anime et s’excite à accomplir cette épouvantab
par l’aveu tacite de la coupable elle-même, il se rappelle qu’il est
fils
, tombe aux genoux de sa mère évanouie, et s’effor
appé, Toujours d’un vain effroi serez-vous occupé ? Ignorez-vous, mon
fils
, avec tant de courage, Que vers des jours nouveau
Qu’à des ennuis secrets votre force succombe ? Vous tairez-vous, mon
fils
, sur le bord de la tombe ? Votre cœur avec moi cr
uillé ; mes vœux sont légitimes. Gertrude. D’où vous vient donc, mon
fils
, cet air sombre, abattu ? Cette triste langueur s
est pur, que me fait l’apparence ? Gertrude. Eh ! quel est donc, mon
fils
, ce secret important ? Mon trouble, ma terreur au
fatale présence ? Je ne puis… Gertrude. Hé, mon
fils
! Hamlet.
e donc le pouvoir d’exécuter ses lois… Gertrude. Quelles lois, ô mon
fils
! Hamlet.
-tu ? De frapper ? J’obéis. Mon père, tu la vois, grâce ! je suis son
fils
. Gertrude. Mon fils ! Hamlet. E
obéis. Mon père, tu la vois, grâce ! je suis son fils. Gertrude. Mon
fils
! Hamlet. Eh bien, ma mère !… Ah
on : Lamartine et Victor Hugo seront ses frères et ses contemporains.
Fils
d’une Grecque remplie de charmes et d’esprit, And
re Sur tant de justes massacrés ! Pour consoler leurs
fils
, leurs veuves, leurs mémoires, Po
Entendez-vous un Dieu dont la voix inconnue Vous dit tout bas : « Mon
fils
, viens ici, viens à moi. Marche au fond du désert
pire, Gravit jusqu’à la bouche où l’appelle un sourire. Un aussi bon
fils
que Millevoye devait trouver les accents de l’âme
! « Le ciel toujours le protège. » Son sourire était bien doux ; D’un
fils
Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel bea
genoux d’espérance et d’effroi. François de Paule. Relevez-vous, mon
fils
! Louis.
« Guérissez ! » François de Paule. Moi, mon
fils
? Louis.
vont effacer mes rides. François de Paule. Que me demandez-vous, mon
fils
? Vous m’étonnez ! Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
Fit mourir le feu roi de langueur et de faim. François de Paule. Un
fils
a de son père abrégé la vieillesse ! Louis. Le d
t sont des raisons si hautes ! François de Paule. Confessez, mauvais
fils
, n’excusez pas vos fautes. Louis. J’avais un frè
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi ;
fils
rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
; fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon
fils
. Je n’ai pas un ami ; je hais ou je méprise ; L’e
; Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon
fils
, du répit qu’il t’accorde ; Pleure, conjure, obti
Ô mon pays ! Je t’ai rendu l’honneur, mais j’ai perdu mon
fils
; Pardonne-moi ces pleurs qu’à peine je dévore. (
t de voir en imagination dans son livre. Peu à peu il devenait un des
fils
du barde, une des ombres héroïques, amoureuses, p
ppartient plus. Elle veut y embrasser un moment, encore une fois, son
fils
, qui abandonne pour quelque temps Valneige. Jocel
à Besançon le 26 février 1802, dans d’honorables conditions sociales.
Fils
d’un officier supérieur ancien volontaire de la R
, le don suprême de l’écrivain, l’originalité, et qu’entre tous « les
fils
de la lyre » il fut sans conteste l’un des plus r
Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses
fils
hors d’haleine Lui dirent : « Couchons-nous sur l
t. « Je suis trop près, » dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses
fils
dormants, sa femme lasse, Et se remit à fuir, sin
on. « Cachez-moi ! » cria-t-il ; et, le doigt sur la bouche, Tous ses
fils
regardaient trembler l’aïeul farouche. Caïn dit à
us ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’enfant blond, La fille de ses
fils
, douce comme l’aurore ; Et Caïn répondit : « Je v
Pendant qu’il travaillait, ses frères, dans la plaine, Chassaient les
fils
d’Énos et les enfants de Seth ; Et l’on crevait l
ses genoux ; Aux yeux des grands-parents élever sa famille, Voir les
fils
de ses fils sous la même charmille Où jadis on av
; Aux yeux des grands-parents élever sa famille, Voir les fils de ses
fils
sous la même charmille Où jadis on avait joué dev
mpe de nuit dont la lueur ondule, Adorant saintement et la Mère et le
Fils
, Et pour remède aux maux baisant le crucifix : Vo
mour de ton cœur s’appelle d’un beau nom : La liberté ! Qu’importe au
fils
de la montagne Pour quel despote obscur envoyé d’
Plus de rites sacrés sous les grands dômes verts ! Nous léguons à nos
fils
la terre dévastée, Car nos pères nous ont légué d
écarta les plis Du voile en s’écriant : « C’est vous, c’est vous, mon
fils
! » Mais lui, d’un ton glacé : « Que faites-vous
votre histoire ; Pour être ensanglantée, elle n’est pas sans gloire.
Fils
de quatre-vingt-neuf, pourquoi vous outrager ? Ne
ndré Chénier, et cependant il rend souvent avec plus de vérité que le
fils
de Santi l’Homaka la couleur de l’Iliade et de l’
protestation contre des défauts ; ce n’est pas la grande poésie. Un
fils
acceptant l’héritage de son père avec toutes ses
George. Et nos lois ont permis que le nom paternel Fût souillé par un
fils
d’un opprobre éternel ! Le Notaire. C’est un mal
s aurez droit d’aller partout le front levé, Et je fais peu de cas du
fils
qui délibéré, Quand il faut acquitter les dettes
égna de 1356 à 1364, et le roi Charles, c’est Charles V, dit le Sage,
fils
de Jean II, qui eut la régence pendant la captivi
est rare. 37. Allusion au vautour qui rongeait le foie de Prométhée,
fils
de Japet, l’un des Titans, lui-même fils d’Uranus
ngeait le foie de Prométhée, fils de Japet, l’un des Titans, lui-même
fils
d’Uranus et frère de Saturne. Il régna en Thessal
andées par le duc de Guise. 41. Creusaient, de cavare. 42. Charles,
fils
d’Henri, duc de Guise, surnommé le Balafré. 43.
duc d’Armagnac, enfermé dans une cage de fer, mis à mort en 1477. Ses
fils
, forcés d’assister à son supplice, reçurent le sa
’est-à-dire l’Assyrie, Assur (heureux en hébreu) est le nom du second
fils
de Sem, qui, chassé par Nemrod des plaines de Sen
sur vingt hommes, un homme équipé. 260. Rodrigue, ou Roderic, était
fils
d’un duc de Cordoue qui eut les yeux crevés par o
roi Witiza. Il arma contre ce prince, et le renversa en 710. Mais les
fils
et parents de Witiza, unis au comte Julien, gouve
Ne pourrons-nous jamais, unis dans le saint lieu, » Du retour de tes
fils
remercier ton Dieu » ? Ainsi pleurait l’Hébreu, e
e. Des murs de Bethléem chassés par la famine, Noémi, son époux, deux
fils
de leur amour, Dans les champs de Moab vont fixer
Dans les champs de Moab vont fixer leur séjour. Bientôt de Noémi les
fils
n’ont plus de père : Chacun d’eux prit pour femme
out réponde. Belle comme Rachel, comme Lia féconde, Son épouse eut un
fils
; et cet enfant si beau Des bienfaits du Seigneur
174C’est l’aïeul de David. Noémi le caresse ; Elle ne peut quitter ce
fils
de sa tendresse, Et dit, en le montrant sur son s
ières. Seul, morne, et l’œil aride, accablé sous le poids, L’aîné des
fils
restait sans larmes et sans voix. Mais l’azime cé
t consacré leurs chants à la religion : il a été traité par Racine le
fils
, par MM. de Pompignan et de Bologne. 165. C’est
rtait ce nom et qu’il ne faut sans doute pas confondre avec Xénarque,
fils
de Sophron ce dernier semble indiqué par Suidas,
ayant écrit des ’Іωνɩϰοì λόγοɩ. Si ce rapprochement est juste, dès le
fils
de Sophron la comédie syracusaine aurait admis l’
de Photius, au mot ’Рηγίνους dit, en propres termes, que Xénarque, «
fils
de Sophron le mimographe, » avait joué les Rhégin
Paris Imprimerie et Librairie classiques Maison Jules DELALAIN et
Fils
DELALAIN FRÈRES, Successeurs 56, rue des écoles
» Les orateurs de nos assemblées révolutionnaires sont, en effet, les
fils
du dix-huitième siècle. Disciples de Montesquieu,
âme destinée à vous servir, appelée à la société immortelle de votre
Fils
et de vos Saints, enrichie de vos dons, et par eu
t vilain qu’il est, je voudrais l’avoir commencé plus tôt. — Ah ! Mon
fils
, répliqua le bon religieux, qui n’avait garde de
in ce qu’il trouva de Barbares, il parut dans le Bosphore, devant son
fils
Maccharès, qui avait fait sa paix avec les Romain
même chemin qu’elles tinrent146. Trahi par Pharnace, un autre de ses
fils
, et par une armée effrayée de la grandeur de ses
les deux empires tributaires. « Théodose, disait-il insolemment, est
fils
d’un père très noble, aussi bien que moi ; mais,
reine mère, longtemps errante, mourut à Cologne dans la pauvreté. Le
fils
, maître d’un beau royaume, ne goûta jamais ni les
us légères, pour atteindre de loin ? Un nerf, un tendon d’animal, des
fils
d’aloès, ou l’écorce souple d’une plante ligneuse
u caractère, ce qui est la vue la plus opposée à celle de Molière. Le
Fils
naturel et le Père de famille, loin d’être un arg
. Assézat, tome X, p. 321. Deux esquisses de Greuze253. I. Le
fils
ingrat254. Imaginez une chambre où le jour n’e
cuir noir, où l’on peut être commodément assis : asseyez-y le père du
fils
ingrat. Attenant à la porte, placez un bas d’armo
sur laquelle on vient de servir un potage. Malgré le secours dont le
fils
aîné de la maison peut être à son vieux père, à s
a scène, vers la porte, le vieux soldat qui a enrôlé et accompagné le
fils
ingrat chez ses parents s’en va, le dos tourné à
pproche pourtant pas, à mon gré, de celle qui suit. II. Le mauvais
fils
puni. Il a fait la campagne. Il revient, et da
et ses genoux se dérobant sous elle. Voilà le spectacle qui attend le
fils
ingrat. Il s’avance ; le voilà sur le pas de la p
disent : « Tiens, vois, regarde : voilà l’état où tu l’as mis ! » Le
fils
ingrat paraît consterné ; la tête lui teinte en d
le même chien, qui est incertain s’il reconnaîtra cet éclopé pour le
fils
de la maison, ou s’il le prendra pour un gueux. J
moment : il me semble que, pour se dérober à elle-même la vue de son
fils
et celle du cadavre de son époux, elle a dû porte
iquée que la vie de Beaumarchais. Né à Paris en 1732 et mort en 1799,
fils
d’un horloger, introduit à la cour par la protect
ntreprises. Le Beaumarchais du dedans, et qui n’est plus en scène, le
fils
et le frère, le père et l’ami, ont été pour beauc
l allait s’élancer à la mer, lorsque je le saisis par le bras : « Mon
fils
, lui dis-je, voulez-vous périr ? » — « Que j’aill
ur de la consolation, qui arrivera bien tôt ou tard. Amen. Pour mon
fils
. — Et mon cher petit Rodolphe, où est-il ? Qu’il
Gœthe se plaît, dans ses écrits comme dans ses discours, à briser les
fils
qu’il a tissus lui-même, à déjouer les émotions q
e, consentent aux dangers de leurs frères, de leurs époux et de leurs
fils
. A l’approche des périls qui la menacent, une fiè
ont le lait soit du sang, et qui remplissent de valeur le cœur de nos
fils
. Pharamond, le bardit est achevé, les heures de l
dans les papiers du secrétaire d’État Vane, et livrées à Pym par son
fils
, furent produites comme supplément de preuve suff
de la Tour, 20000 livres sterling et une fille de Strafford pour son
fils
, s’il voulait se prêter à l’évasion : il s’y refu
d’une joie infinie. Je vous demande seulement d’accorder à mon pauvre
fils
et à ses trois sœurs autant de bienveillance, ni
aisse tomber aux pieds d’Achille en lui redemandant le cadavre de son
fils
, plus d’un vers de Virgile, des scènes entières d
ptement. A peine il entrait en convalescence que le plus jeune de ses
fils
, Dagobert, qui n’était pas encore baptisé, tomba
ans, fut pris comme lui de la maladie régnante. A la vue de ses deux
fils
en péril de mort, Frédégonde fut saisie des cruel
rédégonde se trouvait un jour avec le roi dans la pièce où leurs deux
fils
étaient couchés, en proie à l’accablement de la f
x, et nous ne nous sommes pas « amendés. « Voilà que nous perdons nos
fils
; voilà que les larmes « des pauvres, les plainte
eux ; « fais ce que tu me vois faire, afin que, si nous perdons « nos
fils
, nous échappions du moins aux peines éternelles.
ait, en mourant (1066), désigné pour son successeur son neveu Harold,
fils
de ce Godwin qui avait combattu avec énergie l’in
bière et de vin. An matin, dans le camp normand, l’évêque de Bayeux,
fils
de la mère du duc Guillaume, célébra la messe et
sage au duc Guillaume pour lui demander la permission de rendre à son
fils
les derniers honneurs : elle offrait, disent les
ent les historiens normands, de donner en or le poids du corps de son
fils
. Mais le duc refusa durement, et dit que l’homme
ens de se distinguer parmi leurs semblables. Ils y verront comment le
fils
d’un pauvre artisan, ayant lui-même travaillé lon
nt, aussi vertueusement, aussi glorieusement remplies que celle de ce
fils
d’un teinturier de Boston, qui commença par coule
e vous voyez là-haut, ce passage tempétueux, où, comme ils disent, le
fils
n’attend pas le père, c’est la porte de l’Espagne
illant de la plaine, qui a la langue si prompte, la main aussi, et le
fils
de la montagne, qui la mesure rapidement de ses g
réputation de collège ; il est lauréat, comme l’étaient Stace père et
fils
; il ne veut pas plus être avoué ou notaire que M
lui qui, rougissant de son père, honnête artisan, ne sut pas être bon
fils
? Déjà célèbre comme poète et destiné à occuper l
es, des travaux, un faible cœur s’étonne ; Apprenons toutefois que le
fils
de Latone, Dont nous suivons la cour, Ne nous ven
à un hymen odieux, encourage l’amour que ressent pour elle le second
fils
de Pharasmane, Arsame, et elle l’anime à secouer
se. Rhadamiste, porté par des soldats, va lui apprendre qu’il est son
fils
. Pharasmane, Rhadamiste (porté par des soldats),
uel crime ai-je commis ! Nature, ah ! venge-toi, c’est le sang de mon
fils
. RHADAMISTE. La soif que votre cœur avait de le r
el, pourquoi vengeais-tu la mort de Mithridate604 ? PHARASMANE. O mon
fils
! ô Romains ! êtes-vous satisfaits ! (A Arsame).
; Avec mon amitié je vous rends Zénobie : Je dois ce sacrifice à mon
fils
malheureux. De ces lieux cependant éloignez-vous
p écouté D’un oracle imposteur la fausse obscurité. Il m’en coûta mon
fils
. Oracles que j’abhorre ! Sans vos ordres, sans vo
ûta mon fils. Oracles que j’abhorre ! Sans vos ordres, sans vous, mon
fils
vivrait encore. ŒDIPE. Votre fils ! par quel coup
e ! Sans vos ordres, sans vous, mon fils vivrait encore. ŒDIPE. Votre
fils
! par quel coup l’avez-vous donc perdu ? Quel ora
n oracle faux ne vous alarmez plus. Seigneur, vous le savez, j’eus un
fils
de Laïus. Sur le sort de mon fils ma tendresse in
. Seigneur, vous le savez, j’eus un fils de Laïus. Sur le sort de mon
fils
ma tendresse inquiète Consulta de nos dieux la fa
i dû les retenir ; Pardonnez si je tremble à ce seul souvenir : « Ton
fils
tuera son père, et ce fils sacrilège, « Inceste e
z si je tremble à ce seul souvenir : « Ton fils tuera son père, et ce
fils
sacrilège, « Inceste et parricide… » O dieux achè
me ? JOCASTE. Eh bien, Madame ?Enfin, seigneur, on me prédit Que mon
fils
, que ce monstre entrerait dans mon lit ; Que je l
père ; Et que, tous deux unis par ces liens affreux, Je donnerais des
fils
à mon fils malheureux. Vous vous troublez, seigne
ue, tous deux unis par ces liens affreux, Je donnerais des fils à mon
fils
malheureux. Vous vous troublez, seigneur, à ce ré
us les dieux, seigneur, et saintement cruelle611, J’étouffai pour mon
fils
mon amour maternelle. En vain de cet amour l’impé
ères, Il fut assassiné par des mains étrangères : Ce ne fut point son
fils
qui lui porta ces coups ; Et j’ai perdu mon fils
Ce ne fut point son fils qui lui porta ces coups ; Et j’ai perdu mon
fils
sans sauver mon époux ! Que cet exemple affreux p
blage affreux des forfaits inouïs Dont le Ciel autrefois menaça votre
fils
; Me dit que je serais l’assassin de mon père...
ez, ancien gouverneur du Pérou, a été remplacé dans sa charge par son
fils
Gusman. Celui-ci aime Alzire, la fille de Montèze
IRE. Non, qu’une affreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon
fils
mourant, mon fils, ô comble de douleur ! ZAMORE.
ffreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon
fils
, ô comble de douleur ! ZAMORE. à Gusman. Tu veux
er, M’ordonne de te plaindre et de te pardonner621. ALVAREZ. Ah ! mon
fils
, tes vertus égalent ton courage. ALZIRE. Quel cha
x. Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre
fils
, et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile,
endit jusqu’à moi de la voûte des cieux : Car on voit quelquefois ces
fils
de la lumière Éclairer d’un mondain l’âme simple
Sur quelque bord désert la faim m’eût consumé. Va, tu n’es point mon
fils
: seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi
Que le jour un moment rentre encor dans mes yeux, Pour embrasser mon
fils
à la clarté des cieux665 ! Œdipe à Colone (1797
s roi ! » Ces apparitions ont éveillé l’ambition de Macbeth. Malcome,
fils
de Duncan, passe pour avoir été massacré par Cado
794.) André Chénier, né le 29 octobre 1762 à Constantinople, était
fils
de Louis Chénier, consul de France en Turquie, et
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce
fils
de la Grèce et de la France avait paru à un momen
re708 ; Et tous, l’œil étonné, se taisent pour l’entendre. — « Lycus,
fils
d’Évenor, que les dieux et le temps N’osent jamai
esse sacrée, Qu’il laisse avec ses biens ses vertus pour appui Et des
fils
, s’il se peut, encor meilleurs que lui715. » — «
…… Les douleurs de son âme Avaient changé ses traits717. Ses deux
fils
et sa femme, A Delphes, confiés au ministre du di
tendrir l’histoire Sur tant de justes massacrés ! Pour consoler leurs
fils
, leurs veuves, leur mémoire ! Pour que des brigan
donne mes jours ; elle a fini pour moi740. TIBÈRE. Non ; vous avez un
fils
: vous la craindrez encore741. PISON. Oseriez-vou
e741. PISON. Oseriez-vous, cruel !… TIBÈRE. Oseriez-vous, cruel !…Un
fils
qui vous honore ; Un fils qui vous chérit, que vo
cruel !… TIBÈRE. Oseriez-vous, cruel !…Un fils qui vous honore ; Un
fils
qui vous chérit, que vous devez chérir. PISON. S’
ine est horrible, et pourtant je l’affronte ; ‘ Pour l’honneur de mon
fils
, j’en dois subir la honte. Rome, l’empire entier,
mps ! Le Ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux ; D’un
fils
Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel bea
irs, tous ses sentiments étaient images. » Ce fut elle qui initia son
fils
à la poésie en lui lisant la Bible : elle eut d’a
ieux ! Roi des chants immortels ; reconnais-toi toi-même ! Laisse aux
fils
de la nuit le doute et le blasphème ; Dédaigne un
ucifix : « Voilà le souvenir, et voilà l’espérance : Emportez-les mon
fils
. » Oui, tu me resteras, ô funèbre héritage ! Sept
, livre II777. Entrevue de Louis XI et de François de Paule. Le
fils
de ce duc de Nemours, que Louis XI avait fait pér
s genoux d’espérance et d’effroi. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous mon
fils
! LOUIS. Relevez-vous mon fils !J’y reste pour a
. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous mon fils ! LOUIS. Relevez-vous mon
fils
!J’y reste pour attendre La faveur qui sur moi de
es à nos maux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE. Guérissez !…Moi, mon
fils
! LOUIS. Guérissez !… Moi, mon fils !Soudain nos
DE PAULE. Guérissez !…Moi, mon fils ! LOUIS. Guérissez !… Moi, mon
fils
!Soudain nos maux guérissent. Que votre voix l’or
vont effacer mes rides778. FRANÇOIS DE PAULE. Que demandez-vous, mon
fils
? vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
it mourir le feu roi de langueur et de faim780. FRANÇOIS DE PAULE. Un
fils
a de son père abrégé la vieillesse ? LOUIS. Le Da
t sont des raisons si hautes !… FRANÇOIS DE PAULE. Confessez, mauvais
fils
, n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un frè
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi :
fils
rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
: fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon
fils
. Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise. L’ef
: Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon
fils
, du répit qu’il t’accorde : Pleure, conjure, obti
ez des hôtes, Et les larges vaisseaux ouverts sur ces brisants, A vos
fils
dévoués, bon saint, sont vos présents. Ah ! Comme
ruse en notre vieux pays : Nos pères en vivaient, qu’elle profite aux
fils
. Sur le vaisseau maudit encor quelques rafales, D
’un instant. Surpris par le roulis, Un marin disparut, criant : « Mon
fils
Louis ! » Le navire, aussitôt qu’il eut touché le
. Il fallait, vierge et veuve, être chef de famille, Avoir le bras du
fils
et le cœur de la fille, Veiller, jusqu’au moment
Veuve. J. Autran.(1813-1877). Né à Marseille en 1813, vraiment
fils
de la Provence par ses riches et souples facultés
, Autran a rencontré là un sujet qui l’a heureusement inspiré. Si, en
fils
de la Provence, il préféré la Méditerranée à l’Oc
lai, mon Père, vos avis : D’autres devoirs me sont imposés : j’ai mon
fils
! RADBERT. Comte, votre récit n’a rien dont je m’
neuve ; L’instant de l’adieu fut l’instant d’épreuve : « Courage, mon
fils
! — Courage, maman ! » Elle prit au front son voi
te. » Et l’enfant pensait : « Ma mère est vaillante, « Et je suis son
fils
, et je n’ai pas peur ! » Mais lorsque l’armée eut
Louis de Conti, d’abord prince de la Boche-sur-Yon, était le deuxième
fils
du prince de Conti, frère cadet du grand Condé. N
pris que le trône était occupé par Auguste II, électeur de Saxe. 90.
Fils
unique du grand Condé, né en 1643, mort en 1709.
1709. 91. Petit-fils du grand Condé, né en 1668, mort en 1710. 92.
Fils
du précédent, né à Versailles en 1692. 93. On sa
érèse. 103. 26 août 1718. — Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine,
fils
de Louis XIV et de madame de Montespan, était né
1554, mort en 1642. 106. César, duc de Vendôme, dit César Monsieur,
fils
aîné de Henri IV et de Gabrielle d’Estrées, né en
IV lui avait donné rang immédiat après les princes du sang. Ses deux
fils
furent Louis, duc de Vendôme (1612-1669), qui por
rquées. » 109. Pris comme nom propre, ce titre servait à désigner le
fils
aîné du prince de Condé. Celui dont il est ici qu
15. Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, était le troisième
fils
légitimé de Louis XIV et de madame de Montespan,
usa en 1723 la marquise de Gondrin (mademoiselle de Noailles), et son
fils
, le duc de Penthièvre, né en 1725, mourut en 1793
de Mithridate (1673) de Racine, acte III, sc. I : C’est à Rome, mes
fils
, que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
6. Théodose Ier partagea avant sa mort l’empire romain entre ses deux
fils
. Arcadius fut le premier empereur d’Orient (395-4
évation au trône, il fit plus tard sa soumission à Auguste II, et son
fils
fut le dernier roi de Pologne sous le nom de Stan
m, trame. Ce mot se dit proprement de l’assemblage de plusieurs longs
fils
de soie ou de laine établis sur les métiers de ta
es métiers de tapisserie. « Quand la chaîne est horizontale, tous les
fils
de la trame sont également dans un même plan hori
ntal, ce qui fait la basse lice ; et, si la chaîne est verticale, les
fils
de la trame forment aussi un plan vertical, d’où
le but de détacher Henri IV de l’alliance des Provinces-Unies. 185.
Fils
de Maximilien II et de Marie d’Autriche, fille de
alédiction paternelle. Il a été acquis pour le Louvre en 1820 avec le
Fils
puni. Tous deux ont été gravées par Robert Gailla
mes bons déportements et ne vouloit pas, ce disoit-elle, voir en son
fils
un illustre ignorant, me mit ce livre entre les m
e discours à la marquise de Costa pour la consoler de la perte de son
fils
tué à la guerre. La vie du marquis de Costa a été
» 361. Les Œuvres complètes de Mme de Staël ont été publiées par son
fils
, le baron Auguste de Staël-Holstein (Paris, 1821
ette-fable. Cf. Cicéron, De Oratore, III, il. 385. Castor et Pollux,
fils
de Tyndare, forment au ciel le signe des Gémeaux,
des archéologiques. 407. C'est-à-dire mutilés comme le fut Deiphobe,
fils
de Priam, qu’Enée retrouve aux Enfers. (Enéide li
oivent se soutenir par l’espérance d’une autre postérité. De nouveaux
fils
feront oublier ceux qui ne sont plus Pour vous, d
a court, et consolez votre douleur par la pensée de la gloire que vos
fils
ont obtenue. » 443. Voir, dans la XIVe Philippiq
ppuyant sur une tradition sans valeur historique, a fait de Brutus le
fils
de César ; mais le spectacle du patriotisme pouss
e, que Brutus ait été comblé de bienfaits par César. Si Brutus est le
fils
de l’homme qu’il va frapper, ce n’est plus qu’un
s saints dont la cuve était remplie jusqu’au bord, et sur lesquels le
fils
de Godwin avait juré à son insu. 478. Voir le li
istianisme. Les caractères naturels sont ceux du père, de la mère, du
fils
et de la fille ; les caractères sociaux, ceux du
il indomptable, cette même dureté jalouse qui le fait redouter de ses
fils
; mais, selon Voltaire lui-même, qui n’est pas po
et l’âme pure d’Arsame, toujours fidèle à ses devoirs de sujet et de
fils
, produisent d’ailleurs elles-mêmes, dans cette tr
dresse aux dieux la même prière, et demande qu’un jour on dise de son
fils
au retour des combats : Oui ! ce héros surpasse e
e a présenté à son frère l’horrible festin composé des membres de ses
fils
, Thyeste s’écrie (v. 1106) : Agnosco fratrem…………
noms de choses. 741. Tacite (Annales, liv. II) dit seulement que le
fils
de Pison le précéda à Rome avec des instructions
on, arrivé dans le palais de l’empereur, se trouve en présence de son
fils
, et cette rencontre forme l’exposition de la pièc
’exposition de la pièce (Voir acte I, scène i). D’ailleurs Cnéius, le
fils
de Pison, est un jeune homme plein de loyauté, d’
ses. » 780. Charles VII avait formé le projet d’appeler son second
fils
à la couronne ; mais il n’eut pas la force de pre
s Nouvelles Méditations poétiques. Chez C. Delavigne, Napoléon est le
fils
ingrat de la liberté. M. V. Hugo est ébloui par l
Des longs travaux du jour, des soins de la maison, C’est assez à son
fils
de dire une chanson ; D’ailleurs, en parcourant c
, la fille de Roland, est sauvée d’une attaque des Saxons par Gérald,
fils
de Ganelon, le faux Amaury. Ou verra comment l’am
r particulièrement la scène ii de l’acte IV, où Amaury confesse à son
fils
qu’il est Ganelon. Berthe, cependant, n’a pas vou
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Parisa, Le
fils
assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde : Ce n’est plus votre
fils
; c’est le Maître du monde. J’en dois compte, Mad
e sa tragédie d’Atrée, où Thieste, après avoir reconnu le sang de son
fils
dans la coupe qui lui a été présentée par Atrée,
r dont ton cœur est épris : Joins un malheureux père à son malheureux
fils
, À ses mânes sanglants donne cette victime, Et ne
p mortel : Si lorsque le Sénat eût condamné ce traître, Catilina pour
fils
t’eût voulu reconnaître ; Entre ce monstre et nou
ans le même saisissement de cœur où est une mère, qui revoit son cher
fils
qu’elle avait cru mort ; et cette joie qui échapp
he ; et sa belle tête se penche ne pouvant plus se soutenir. Ainsi le
fils
d’Ulyssec était aux portes de la mort. » La comp
es ; de l’autre elle portait sur ses genoux le petit Dieu Palémon son
fils
pendant à sa mamelle. Elle avait un visage serein
D’Aubigné 1550-1630 [Notice]
Fils
d’un gentilhomme calviniste, né à Saint-Maurice,
parlement, il se maria pour prouver qu’il vivait encore. Trahi par un
fils
apostat qu’il maudit, il assista de loin à la chu
embrassa le calvinisme et devint ministre de l’Évangile à Genève. Son
fils
a composé le Moyen de parvenir. 2. Vatable était
t de créer. 3. Louis Ier, prince de Condé, chef du parti calviniste,
fils
de Charles de Bourbon (1530-1569). Après la conju
e donc élevé si haut votre fortune Pour mettre une barrière entre mon
fils
et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde : Ce n’est plus votre
fils
, c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
es ! (Racine, Britannicus, acte I, sc. 2.) 2° MITHRIDATE, à ses
fils
. Approchez, mes enfants. Enfin l’heure est ve
’est l’effroi de l’Asie ; et, loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes
fils
, que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
ureur ; Prêt d’unir avec moi sa haine et sa famille, Il me demande un
fils
pour époux à sa fille. Cet honneur vous regarde,
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur
fils
? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre.
s ; Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre Un... Votre
fils
, Seigneur, me défend de poursuivre. Instruite du
ps que les Grecs ne l’ont pris, Dans ses murs relevés couronner votre
fils
. (Andr., acte I, sc. 4.) Pyrrhus (en parlant d’
ton cœur je sais que tu me hais. (Br., acte V, sc. 7.) Thésée. Mon
fils
n’est plus ? Hé quoi ! quand je lui tends les bra
Exemple : … Un brouillard glacé, rasant les pics sauvages, Comme un
fils
de Morven me vêtissait d’orages. de Lamartine,
, et l’on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître de
fils
. Sortons, je veux aller quérir la justice, et fai
faire donner la question à toute ma maison : à servante, à valets, à
fils
, à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés !
au cimetière, Est-ce pour bien longtemps qu’il dort ? — Jamais, mon
fils
, il ne s’éveille ; Toujours il reste aux mêmes li
« la mort nous délivre Pour nous faire vivre toujours ? » — Oui, mon
fils
; nous avons une âme Qui par la mort ne périt pas
ôt prend son essor « Vers les demeures éternelles… « Pauvre mère, ton
fils
est mort ! 7° Style riche, fleuri, pittoresqu
gin. Elle ne croyait pas être sublime, cette mère qui avait perdu son
fils
, et à qui l’on citait, pour la consoler, l’exempl
citait, pour la consoler, l’exemple d’Abraham obligé de sacrifier son
fils
Isaac, quand elle s’écriait : « Dieu n’aurait jam
de Corneille dans Horace, au moment où le vieil Horace croit que son
fils
a fui devant l’ennemi : Julie. Que vouliez-vous
qu’attendez-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
? Non ; c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
me l’effet ressort de la cause, l’auteur, s’il a disposé avec art les
fils
de son drame, n’a rien à chercher quand il en arr
dès le moment où l’action s’engage, comment elle se déliera : si les
fils
sont embrouillés, si l’intrigue est chargée de co
econnu son maître, Télémaque son père, Pénélope son époux, Laërte son
fils
, le peuple entier son roi. Le dénoûment et l’achè
de solennel et de pompeux dans le dernier jour. Il est appuyé sur son
fils
, William Pitt, qui devait être un si grand homme.
ns ce dénoûment antidramatique. Les esprits élevés savent démêler les
fils
les plus déliés d’un événement à travers la trame
modifiés par l’éducation et compliqués d’un entrecroisement de petits
fils
presque imperceptibles, qui échappent à une obser
ils trouveront sa chevelure séchant au foyer d’un Paunie ! Où est le
fils
de Bohréchina ? Ses os sont plus blancs que les v
compagnons décident par acclamation qu’il faut marcher. Thierry, son
fils
, dit aux Francs : « — Rappelez-vous, je vous prie
il leur parle : « — Amis, héros grecs, compagnons de Mars ; Jupiter,
fils
de Saturne, m’a lié à la lourde chaîne de la fata
de décades manqueraient d’échanson. Voilà dans quelle proportion les
fils
des Grecs l’emportent sur les Troyens. — Je dis s
nt le fond de la pensée d’Atride. — Il a voulu tenter aujourd’hui les
fils
des Grecs, demain il les châtiera peut-être. — No
du tout ce qu’il a dit dans le conseil. — Ah ! que je crains pour les
fils
des Grecs les effets de sa colère ! — Elle est te
recs les effets de sa colère ! — Elle est terrible, la colère du roi,
fils
de Jupiter. — Son pouvoir vient de Jupiter, et Ju
e l’action à la parole ? Achille est beau, brave, éloquent, puissant,
fils
d’une déesse, mais son orgueil intraitable ne peu
on père, lui adressait au moment de son départ pour l’armée ? « — Mon
fils
, lui disait-il, je ne te recommande pas le courag
ecques. — « Aujourd’hui celui qui commande en maître, ce n’est pas le
fils
légitime de la maison, c’est un intrus, un homme
nsi, ou n’est-ce pas plutôt un peintre qui vous offre le portrait des
fils
dégénérés de la vieille Athènes ? De semblables i
as fut permis Jamais on n’eût osé me dire, Renonce aux baisers de ton
fils
. Il faut prononcer fi plutôt que fisse. L’exac
e, — Jamais — on n’eût osé me dire : / Renonce aux baisers de ton
fils
. Mais je suis veuve ; — on perd la force avec la
er, / viens / qu’il nous réunisse. Une mère bénit son
fils
en l’embrassant ; — Mon fils, qu’un baiser
nous réunisse. Une mère bénit son fils en l’embrassant ; — Mon
fils
, qu’un baiser te bénisse. Vois-tu, ce gran
ans déjà passés, / j’y conduisis ton père ; Mais lui, / mon
fils
, / ne revint pas. Encor, / s’il était là pour gui
défense — Que je vais — prier Dieu pour toi ! Que feras-tu, / mon
fils
, / si Dieu ne te seconde, — Seul, — parmi les mé
pour t’apprendre à souffrir ? — Oh ! que n’ai-je du pain, / mon
fils
, / pour te nourrir, Mais Dieu le veut ainsi : —
Déjà la rapide journée Fait place aux heures du sommeil Et du dernier
fils
de l’année S’est enfui le dernier soleil. (M. a.
as. es ferait une syllabe de trop, quoique muette. Tes folies, mon
fils
, causeront mon trépas. es ne compterait pas pou
és ces sortes de mots. Les vers suivants seraient bons ; Mon trépas,
fils
cruel, vient de tes perfidies Mon trépas est caus
trépas, fils cruel, vient de tes perfidies Mon trépas est causé, mon
fils
, par les folies. Voilà donc les trésors que les m
istiches bien proportionnés, et il condamne le vers. Dans Mon trépas,
fils
cruel, vient de tes perfidies, la mesure et le rh
s’ensuit une prononciation dure et désagréable : En m’arrachant mon
fils
, m’avait punie assez. (Scar.) Condamne-le à l’ame
valet de chambre de François Ier, et qui écrivit, comme après lui son
fils
, des rondeaux, des épîtres, des élégies, des églo
on Temps, qu’il se donnait ; — Victor Brodeau, que Marot appelait son
fils
; — le sieur de La Borderie, qu’il appelait son m
un cachet d’afféterie et de mignardise son ami Melin de Saint-Gelais,
fils
de gentilhomme, abbé et aumônier de cour, poète d
grie, après avoir été page de cour auprès du duc d’Orléans, troisième
fils
de François Ier, et de Jacques V, roi d’Écosse, a
228… Et vous, nobles aussi, qui n’avez renoncee La foy de pere en
fils
qui vous est annoncee, Soustenez votre roy, mette
ans, l’histoire de sa vie tient en deux lignes. Il fut précepteur des
fils
de Remy de Lorraine, marquis d’Elbeuf, le suivit
.) Épitaphe du comte de Brissac. Sonnet Brissac, le vaillant
fils
d’un sage vaillant pere, Pouveit bien, casanant29
ontchrestien (mort en 1521) Notice Antoine de Montchrestien,
fils
d’un apothicaire de Falaise, cultiva la poésie au
C’est à sa tragédie de L’Escossaise (1605) qu’il dut la protection du
fils
de son héroïne, Jacques Ier, et les lettres de gr
re ; il dira aussi bien que d’Aubigné en son Jugement dernier, que le
Fils
de Dieu Descendra glorieux des voûtes étoilées ;
ieu de soi-même étoit et l’hête et le palais. Puis Dieu engendre son
Fils
, … sa Vois362, son Conseil eternel, De qui l
e la Normandie, voilà toute sa vie, sa joie et son rêve. Faire de ses
fils
des amis des champs fut son dernier but. L’un d’e
toy. (Ibid., p. 485). Sonnet au sommeil Sommeil, paisible
fils
de la nuict solitaire, Pere-alme530 nourricier de
u, si tu les veux voir, voy-les teints et couvers Du beau sang de ton
fils
, ma grâce et ma justice. (Poésies chrestiennes
écrivit des vers sur les dames de sa cour et à sa sœur. Henri II, son
fils
, en adressa à Diane de Poitiers. Charles IX, son
s choses de l’esprit. Elle l’a transmis au sang des Bourbons dans son
fils
Henri IV, dont on sait l’originalité épistolaire
inalité épistolaire et oratoires ; on cite de la mère des sonnets, du
fils
des chansons. — Ne séparons pas de cette lignée r
ligieux, comme Théophile, et les épicuriens Des Yveteaux (1560-1649),
fils
de Vauquelin de la Fresnaye, Des Barreaux (1602-1
Signalé à Henri IV comme « excellent poète » par Des Yveteaux, un des
fils
de Vauquelin de la Fresnaye, et par le cardinal D
ir si parée, Que tu vas triompher ! Telle, en ce grand assaut où des
fils
de la Terre La rage ambitieuse à leur honte parut
ses desirs764. (Ibid. III, 1.) Un druide Prenez garde, mon
fils
, d’accuser l’innocence. Les Dieux, justes et bons
? VENCESLAS. Répondez-moi, mon
fils
; Quel fatal accident… LADISLAS.
ous, mon père, ou ma mort ou ma grâce ? VENCESLAS. Embrassez-moi, mon
fils
. LADISLAS.
ieux Géronte de la Comédie lui-même est leur frère, et son étourdi de
fils
a aussi de l’honneur. Tous les siècles et toute l
, Tendresse dangereuse autant comme importune ? Je ne veux point pour
fils
l’époux de Rodogune, Et ne vois plus en lui les r
bien, je l’ennoblis819, Quelle que soit sa race, et de qui qu’il soit
fils
. Qu’on ne conteste plus. D. MANRIQUE.
r et de Mme d’Hervart ; toujours rêveur, oublieux de sa femme, de son
fils
, de son Florentin, dont la première représentatio
oucis dévorans c’est l’éternel asile859 ; Véritables vautours, que le
fils
de Japet860 Représente, enchaîné sur son triste
nt, Nous présentant aussi, pour surcroît de colère, Un grand benêt de
fils
aussi sot que son père905. Il s’est dit grand cha
yché, II, 1.) Sonnet à M. la Mothe Le Vayer. Sur la mort de son
fils
936 Aux larmes, Le Vayer, laisse tes yeux ou
tu suprême937. On sait bien que les pleurs ne ramoneront pas Ce cher
fils
que t’enlève un imprévu trépas ; Mais la perte pa
uis à son nom celui de Despréaux, de vieille bourgeoisie parisienne.
Fils
, frère, oncle, cousin, beau-frère de greffiers,
français qu’en 1715. Son mariage, la naissance et l’éducation de deux
fils
et de cinq filles, des poésies chrétiennes, l’His
sont pas des tyrans ; Et, de quelque façon qu’un esclave le nomme, Le
fils
de Jupiter passe ici pour un homme. Nous n’allons
utre993. Quinault (1635-1688) Notice Philippe Quinàult,
fils
d’un boulanger de Paris, tout en exerçant avec di
, III, 1.) Regnard (1655-1709) Notice François Regnard,
fils
d’un riche bourgeois de Paris, voyagea de bonne h
donne le précepte (Traité théorique sur le drame) et l’exemple par le
Fils
Naturel et le Père de Famille (1758), en prose, «
J.-B. Rousseau (1670-1741) Notice Jean-Baptiste Rousseau,
fils
d’un cordonnier de Paris, dont il eut, dit-on, le
des travaux, un foible cœur s’étonne1054 : Apprenons toutefois que le
fils
de Latone, Dont nous suivons la cour, Ne nous ven
Crébillon (1674-1762) Notice Prosper Jolyot de Crébillon,
fils
d’un notaire de Dijon, écrivit, comme tant d’autr
it hanter avec lui les héros les plus sinistres : un père qui tue son
fils
(Idoménée, 1705), un oncle qui fait boire le sang
it boire le sang de son neveu à son père (Atrée et Thyeste, 1707), un
fils
qui assassine sa mère (Électre, 1708). Sur ce der
n plus. (Poésies mêlées, CXVI.) Les adieux de Brutus et de son
fils
Brutus, Titus, Proculus, licteurs. TITUS.
uivie, À cet infortuné daignez ouvrir les bras ; Dites du moins : mon
fils
, Brutus ne te hait pas. Ce mot seul, me rendant m
s remords ; Que vous l’aimiez encore, et que, malgré son crime, Votre
fils
dans la tombe emporia votre estime. BRUTUS. Son r
’arrache. Ô Rome ! ô mon pays ! Proculus… à la mort que l’on mène mon
fils
. Lève-toi, triste objet d’horreur et de tendresse
IRE. Non, qu’une affreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon
fils
mourant, mon fils, ô comble de douleur ! ZAMORE,
ffreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon
fils
, ô comble de douleur ! ZAMORE, à Gusman. Tu veux
r, M’ordonne de te plaindre et de te pardonner1113. ALVAREZ. Ah ! mon
fils
, tes vertus égalent ton courage. ALZIRE. Quel cha
x. Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre
fils
, et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile,
(Ibid., IV, 7.) Piron (1689-1773) Notice Alexis Piron,
fils
d’un apothicaire de Dijon, qui était l’ami et, en
S, gaiement. Répétons donc en paix. Voyons, mon camarade : Je suis un
fils
… (M. Baliveau rit.) M. BALIVEAU, à part.
se Où, dans un loisir studieux, Les doctes arts forment l’enfance Des
fils
des héros et des dieux1139 : Là, du toit d’un cin
ne ainsi ton courage abattu ? (Abufar, I, 3.) II. Abufar à son
fils
Farhan1147 La nuit, quand nous levons nos ma
: « Quel talent, disoient-ils, cet insecte déploie En composant ces
fils
si doux, si fins, si beaux, Qui de l’homme font l
ls au sacré Vallon, Bravant les droits les plus augustes, Mutiler les
fils
d’Apollon ? Le croirez-vous, races futures ? J’ai
te profonde, La génisse traînant sa mamelle féconde, Prodiguant à ses
fils
ce trésor indulgent, À pas lents agiter sa cloche
ent suspendus, Emplissent l’air des sons de leur voix éthérée. 0 lac,
fils
des torrents ! ô Thun, onde sacrée ! Salut, monts
Veulent parler aux dieux, et voient où reluit L’enthousiasme errant,
fils
de la belle nuit. Accours, grande nature, ô mère
ain « J’ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. « Cymé, puique tes
fils
dédaignent Mnémosyne1216, « Puisqu’ils ont fait o
de douleurs De la triste Aédon l’imprudence et les pleurs, Qui, d’un
fils
inconnu marâtre involontaire, Vola, doux rossigno
urynome l’arrête. D’un érable noueux il va fendre sa tête, Lorsque le
fils
d’Egée, invincible, sanglant, L’aperçoit, à l’aut
eux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées, Le Rhône impétueux,
fils
des Alpes glacées, La Seine au flot royal, la Loi
ie. Marin comme Duval et vaillant marin, Mercier-Du-paty (1775-1851),
fils
de l’auteur des Lettres sur l’Italie, écrivit sou
, et, avec Méry (1798-1866), chantre de Napoléon en Égypte (1828), du
Fils
de l’homme, de Waterloo (1829) : tous romantiques
tardé à prendre, sous la prose de MM. Émile Augier et Alexandre Dumas
fils
, des visées plus hautes. Elle procède alors de Ba
olière n’est plus celle des jeunes filles raisonneuses de M. A. Dumas
fils
. Elle descend de ces hauteurs avec MM. Gondinet e
mains ! deux encor sont dignes de ce nom, Cette fière Agrippine et le
fils
de Pison. Cnéius est vertueux ; c’est un héros pe
s. La Chute des Feuilles est classique ; l’Anniversaire tait aimer le
fils
dans le poète. L’anniversaire. Élégie Héla
ère. Ce long regret, dix ans ne l’ont pas adouci ; Je ne puis voir un
fils
dans les bras de son père, Sans dire en soupirant
Notice Pierre de Béranger, né à Paris, petit-fils d’un tailleur et
fils
d’un teneur de livres, d’abord ouvrier imprimeur,
montrait l’Occident1292. Du roi des Huns c’était l’ombre immortelle :
Fils
d’Attila1293, j’obéis à sa voix. Hennis d’orgueil
emps ! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux, D’un
fils
Dieu le rendait père1297, Le rendait père. — Quel
r ; Mais elle s’assied libre à l’ombre de sa voile. Hydra donne à ses
fils
les vagues pour berceaux, Pour jeux et pour plais
tres Qui vient redemander le toit de ses ancêtres ; Je ne suis pas un
fils
trente ans déshérité Qui rentre dans le lieu par
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi :
fils
rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
: fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon
fils
. Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise ; L’e
— Mais les cœurs de lion sont les vrais cœurs de père. Il aimait son
fils
, ce vainqueur ! Deux choses lui restaient dans sa
Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses
fils
hors d’haleine Lui dirent : « Couchons-nous sur l
t. « Je suis trop près », dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses
fils
dormant, sa femme lasse, Et se remit à fuir sinis
on. « Cachez-moi ! » cria-t-il ; et, le doigt sur la bouche, Tous ses
fils
regardaient trembler l’aïeul farouche. Caïn dit à
us ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’enfant blond, La fille de ses
fils
, douce comme l’aurore ; Et Caïn répondit : « Je v
es barons. Remonte1394 maintenant, chasseur du cerf timide ; Remonte,
fils
du Rhin, compagnon intrépide ; Tes enfants sur to
abreuvoir est public, et qui veut vient y boire. J’ai vu les paysans,
fils
de la Forêt Noire, Leurs bâtons à la main, entrer
on cœur. Sombre et silencieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses
fils
ses entrailles de père, Dans son amour sublime il
ève en fermentant sortait de chaque branche ; L’araignée étendait ses
fils
dans les sentiers, Et ses toiles d’argent au-dess
frances : Pauvre Gilbert, que tu devais souffrir ! Ils me disaient :
Fils
des Muses, courage ! Nous veillerons sur ta lyre
fane, Saints temples des forêts, arbres que j’aime en vain ! Pour mes
fils
allâmes dans ma pauvre cabane, Chaque arbre, héla
u combat, Si nous pressons du cœur la terre maternelle Qui relève son
fils
dès que l’ennui l’abat. Armons-nous, mes amis, p
de bergers. Le plan de la pièce comprend les adieux de la mère et du
fils
, les apprêts du sacrifice, le sacrifice, l’interv
ne me reste plus que l’espoir de mourir… Ant., Que Thèbe a vos deux
fils
offre un trône en partage ; Vous suivre et vous a
le Que les feux de la nuit avoient fait devant vous 795. Ladislas,
fils
du roi de Pologne Venceslas, âme ambitieuse, cara
gue pour trouver place ici, met, dès le début, en scène le roi et son
fils
, et en action le caractère de Ladislas. 796. «
.) 801. Cf. dans Corneille, la séparation du vieil Horace et de son
fils
(Horace, III, 6), et, dans Racine (Iphig, IV, 4),
Rodogune, qu’il a ramenée, et pour conserver l’autorité. Elle a deux
fils
jumeaux qui, après leur père, aiment Rodogune. El
a tête de leur maîtresse ; au troisième acte, Rodogune demande à deux
fils
la tête de leur mère. Il faut les entendre au cin
nnée, préparée en secret par une mère, présentée solennellement à son
fils
dans une cérémonie religieuse et nuptiale, portée
omphe, c’est une mère qui les pousse, après avoir assassiné un de ses
fils
! 810. Le poison est son serviteur, son confiden
e dépit et de menace à la « sotte vertu » ; un cri de rage contre son
fils
; un élan passionné pour le trône et le pouvoir.
eur de qui s’abuse. 835. Sophocle était poursuivi en justice par ses
fils
. — Le cerf est aux abois quand il est poursuivi e
Psyché avait irrité la jalousie de Vénus. Elle ordonna à l’Amour, son
fils
, de la venger en faisant épouser Psyché par un mo
r du frère de Louis XIV, historiographe de France, académicien. — Son
fils
, l’abbé Le Vayer, mourut à trente-cinq ans, l’ann
« n’a point de reconfort », dit-il dans son sonnet sur la mort de son
fils
. — Voltaire croit à la douleur et à la consolatio
ême un peu trop prompte : « … Le lendemain, le philosophe perdit son
fils
unique, et fut sur le point d’en mourir de douleu
rêter Britannicus qui l’aime et qu’elle aime : Agrippine, sentant son
fils
lui échapper, avait imaginé, pour le retenir par
le retenir par la crainte d’une compétition, de fiancer Britannicus,
fils
et héritier légitime de l’empereur Claude, avec J
t de situation, refrain de la scène capitale, où aboutissent tous les
fils
de la pièce. Éraste, aidé par son valet Grispin,
oire (Tacite, Ann., XII, 44-51) apprenait à Crébillon que Rhadamiste,
fils
de Pharasmane, roi d’Ibérie, neveu et gendre de M
ller quelques débris. Je m’approche en tremblant… hélas ! c’étoit mon
fils
, On sait que pour conjurer l’orage, il avait fai
seulement à ma haine. Il lui présente la coupe pleine du sang de son
fils
: Méconnois-tu ce sang. — Je reconnois mon frère
e ; c’est le dernier. Tufière est honnête homme : Oui, je suis votre
fils
, et vous êtes mon père, dit-il aux genoux de Lyc
re, dit-il aux genoux de Lycandre, heureux de dire à son tour : Mon
fils
est glorieux, mais il a le cœur bon. La pièce fi
le et éloigne son valet. Vous rougissez de moi, dit le vieillard. Son
fils
proteste. — Osez me reconnaître dans cette maison
, au xviie siècle, était rabattu sur le col du pourpoint. 1139. Les
fils
de familles princières et nobles étaient élevés d
mpoisonneurs fatigue au moins les yeux. (Ibid., II, 6.) Mais moi,
fils
du désert, moi, fils de la nature. Qui dois tout
au moins les yeux. (Ibid., II, 6.) Mais moi, fils du désert, moi,
fils
de la nature. Qui dois tout à moi-même, et rien à
e. 1157. Voyez p. 355, note 4. 1158. Lally-Tollendal (le comte de),
fils
d’un Irlandais qui avait suivi Jacques II en Fran
vie, aux pervers unie, Te poursuive de ses clameurs, Ton noble essor,
fils
du Génie, T’enlève à ces vaines rumeurs. Tel l’oi
que bat en vain le torrent (Ibid., XIX, le Génie) : Tel un torrent,
fils
de l’orage, En roulant du sommet des monts, S’il
ncontres, qui ne sont pas rares : Ô Muse ! dans l’onde infernale Ton
fils
(Orphée) plonge ses pas vivans : Moi sur les aile
a sœur Niobé, voulut tuer l’aîné de ses neveux ; mais elle frappa son
fils
Ityle, élevé avec lui. Dans son désespoir elle vo
t subtils ; J’ai vu la Justice en balance, Et qui ne tenoit qu’à deux
fils
. J’ai vu le Soleil et la Lune Qui faisoient des
1262. Cf. Voltaire, l’Indiscret, comédie (1725) : …À la cour, mon
fils
, l’art le plus nécessaire N’est pas de bien parle
dit celui d’autrui doit passer pour un traître ; Qui dit le sien, mon
fils
, passe ici pour un sot. Act. I, sc. 1. 1263.
lui, en révélant au Sénat les ordres secrets de Tibère, Cnéius Pison,
fils
de Pison, a seul encore, Tibère le sait, la confi
gne un traité pour faire assassiner le porteur ; défiant, même de son
fils
, auquel il lui est impossible de ne pas supposer
plète d’une des odes magistrales de la poésie française. Napoléon II,
fils
unique de Napoléon Ier et de Marie-Louise d’Autri
e Vienne, en 1832. Voyez Les deux cousins, chanson de Béranger, et le
Fils
de l’homme, épître de Barthélémy et Méry. 1344
nesse, Quand un brouillard glacé, rasant les pics sauvages, Comme un
fils
de Morven le vêtissait d’orages, et que le solei
ourit au nouveau-né. (Soulary). Le Berceau. Quel temple pour son
fils
elle a rêvé neuf mois ! Comme elle fêtera l’enfan
êtera l’enfant dont Dieu dispose ! Il lui faut un berceau tel que les
fils
des rois N’en ont point de pareil, si beaux qu’on
pure, Dans le lit qu’on apprête à son calme sommeil. Il est venu, le
fils
dont elle était si fière ! Il est fait, le bercea
don comme son compatriote du roman de d’Urfé, ni Pernette une Astrée.
Fils
d’un vieux soldat de la république de 1792, il s’
ne leçon pour ses enfants. Ainsi la mère de Lamartine instruisait son
fils
(Voyez les Confidences). 1490. Voilà des vers v
, ils sont à moi. S’il me, etc. Quant notre fille sera grande, Si le
fils
de notre régent En mariage la demande, Je lui pro
il vient : avoir, biens. Autres sens : épargne du père de famille, du
fils
de famille, de l’esclave. Pécule n’a, proprement,
bonheur se fonde. (Corneille, le Menteur, IV, 4.) Vous avez vu ce
fils
où mon espoir se fonde. (Molière, l’Étourdi, IV
ur l’exemple du passé, et confirmées mainte fois par l’histoire : les
fils
de Pisistrate, les Tarquins, les Décemvirs, la ro
; on parle chapeau bas De ces grands ouvriers que tu ne connais pas…
Fils
rebelles déjà des sauveurs de la France, etc.
es soucis dévorants c’est l’éternel asile, Véritables vautours que le
fils
de Japet Représente, enchaîné sur son triste somm
avorables au sujet qu’il traite. Fénelon raconte la mort tragique du
fils
d’Idoménée, et il nous la rend fort touchante par
la rend fort touchante par l’emploi d’une belle comparaison. Mort du
Fils
d’Idoménée L’enfant tombe dans son sang ; ses yeu
x, mais la terre ne le nourrit plus, et sa vie est éteinte : ainsi le
fils
d’Idoménée, comme une jeune et tendre fleur, est
tiori, ou de supériorité : Bossuet veut faire comprendre au dauphin,
fils
de Louis XIV, qu’il faut de la fermeté et de l’at
urs une source éternelle. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris, Il
fuit épouvanté ; Isaure sans effroi brave un air infecté. Près de ce
fils
mourant elle veille assidue. Mais le poison s’éte
se ces yeux, Que ferme un voile impur à la clarté des cieux ; Et d’un
fils
, par degrés, dégageant la paupière, Une seconde f
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur
fils
? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre
i de la découvrir. Télémaque, en remettant les cendres de Pisistrate,
fils
de Nestor, à Nicomaque, gouverneur du jeune princ
q cents ans jusqu’aux jours du Messie. Dieu donna à la majesté de son
Fils
de faire taire les prophètes durant tout ce temps
que, sur le point de se rendre au combat, il tient entre ses bras son
fils
bien-aimé : Dieux immortels, faites que cet enfa
ns ce dialogue : Athalie. Je prétends vous traiter comme mon propre
fils
. Joas. Comme votre fils ! Athalie. Comme votre
e. Je prétends vous traiter comme mon propre fils. Joas. Comme votre
fils
! Athalie. Comme votre fils !Oui : vous vous ta
mme mon propre fils. Joas. Comme votre fils ! Athalie. Comme votre
fils
!Oui : vous vous taisez ! Joas. Comme votre fil
alie. Comme votre fils !Oui : vous vous taisez ! Joas. Comme votre
fils
! Oui : vous vous taisez !Quel père Je quitterais
peut-être plus attendrissants encore, lorsque, craignant de voir son
fils
Astyanax livré aux Grecs par Pyrrhus, elle s’écri
est là le sublime du courage. On dit au vieil Horace, indigné que son
fils
eût pris la fuite : Que vouliez-vous qu’il fît c
aroles à l’infortuné monarque, immédiatement avant le moment fatal :
Fils
de saint Louis, montez au ciel ! 72. Qu’avez-vo
ux, variez vos hommages. Nébuleuses vapeurs, sombres exhalaisons,
Fils
humides des lacs, des marais et des monts, Soit q
! La justice a conduit la main dont je suis née ; Or, le Père, et le
Fils
, et l’Esprit souverain, Font, depuis le chaos, to
aître, dis-je en tremblant, ces paroles sont dures ! » Et lui : « Mon
fils
, il faut qu’en ton cœur tu t’assures, Nous sommes
s amères ; Elles maudissaient Dieu, leurs pères et leurs mères, Leurs
fils
, le genre humain, le temps et le moment, Le pays
tomber, Et que la branche enfin rend son bien à la terre ; Ainsi les
fils
d’Adam, par ce champ solitaire, Se jettent dans l
pareil nombre Attend déjà la barque au bord qu’ils ont quitté. « Mon
fils
, me dit alors Virgile avec bonté, Ceux qui laisse
a main J’ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes
fils
dédaignent Mnémosyne, Puisqu’ils ont fait outrage
tant de fois Entoura de respect l’autorité des lois. Venez, généreux
fils
, en qui l’affront d’un père Ferait encor du Cid b
eu vainqueur de Python, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de mon
fils
, de mon unique enfant ! Prends pitié de sa mère a
lui, qui meurt abandonnée, Qui n’a pas dû rester pour voir mourir son
fils
; Dieu jeune, viens aider sa jeunesse. Assoupis,
in cette fièvre brûlante Qui dévore la fleur de sa vie innocente. Mon
fils
, tu veux mourir ? Tu veux dans ses vieux ans, Lai
ux, Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. Parle, parle, mon
fils
, quel chagrin te consume ? Les maux qu’on dissimu
ces yeux appesantis ? — Ma mère, adieu ; je meurs, et tu n’as plus de
fils
. Non, tu n’as plus de fils, ma mère bien-aimée. J
mère, adieu ; je meurs, et tu n’as plus de fils. Non, tu n’as plus de
fils
, ma mère bien-aimée. Je te perds. Une plaie arden
e flanc. Ah ! j’expire ! ô douleurs ! — Tiens, mon unique enfant, mon
fils
, prends ce breuvage, Sa chaleur te rendra ta forc
pavots, Mêlé leurs sucs puissants qui donnent le repos : Prends, mon
fils
, laisse-toi fléchir à ma prière ; C’est ta mère,
es, Dire sur mon tombeau : « Les Parques sont cruelles ! » — Ah ! mon
fils
, c’est l’amour, c’est l’amour insensé Qui t’a jus
nsé Qui t’a jusqu’à ce point cruellement blessé ? Ah ! mon malheureux
fils
! Oui, faibles que nous sommes, C’est toujours ce
leur cœur Verra que cet amour est toujours leur vainqueur. Mais, mon
fils
, mais dis-moi, quelle nymphe charmante, Quelle vi
prends-lui qui je suis ; Dis-lui que je me meurs, que tu n’as plus de
fils
. Tombe aux pieds du vieillard, gémis, implore, pr
ens sans les avoir fléchis, Adieu, ma mère, adieu, tu n’auras plus de
fils
. — J’aurai toujours un fils ; va, la belle espéra
Adieu, ma mère, adieu, tu n’auras plus de fils. — J’aurai toujours un
fils
; va, la belle espérance Me dit… » Elle s’incline
ve ; et bientôt revenant sur ses pas, Haletante, de loin : « Mon cher
fils
, tu vivras, Tu vivras. » Elle vient s’asseoir prè
ir ; Vis, et formons ensemble une seule famille : Que mon père ait un
fils
, et ta mère une fille. » A. Chénier. Hist
and’peine cette presse importune, y est admis, quand il lui plaît, un
fils
d’affranchi, grand poète, présenté par d’autres g
c’est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d’un si bon
fils
. Les plus fins d’entre eux, ou les plus considéra
des passions du jour, règne une loi toute-puissante qui punit sur les
fils
les fautes de leurs pères, et qui ne permet à per
eut-être il est mort, sans amis, sans secours, Mon pauvre enfant, mon
fils
!… ma vie et mes amours, Que je portais aux champ
nt plus de cœur. Grâce à Dieu, nous valons toute cette noblesse ; Mon
fils
combat pour moi, je n’ai point de vieillesse. Je
il s’en parlait tout haut à lui-même dans les accès de la fièvre. Son
fils
aîné arriva d’Angleterre ; malgré l’affection qu’
fils aîné arriva d’Angleterre ; malgré l’affection qu’il portait à ce
fils
, il ne se laissa aller à aucun attendrissement, n
roule son flot rapide, Et dans cette contrée aride Où sur d’agrestes
fils
des champs Daunus étendit sa puissance, Illustran
mour de ton cœur s’appelle d’un beau nom : La liberté ! Qu’importe au
fils
de la montagne Pour quel despote obscur, envoyé d
re, Criait aux citoyens : Mourons ! II Quant à tous ces beaux
fils
aux tricolores flammes. Au beau linge, au frac él
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur
fils
? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre
C’est l’effroi de l’Asie. Et, loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes
fils
, que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
ureur : Près d’unir avec moi sa haine et sa famille, Il me demande un
fils
pour époux à sa fille. Cet honneur vous regarde e
genoux d’espérance et d’effroi. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous, mon
fils
! LOUIS.
aux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE. Moi, mon
fils
! LOUIS.
vont effacer mes rides. FRANÇOIS DE PAULE. Que me demandez-vous, mon
fils
? vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
n Fit mourir le feu roi de langueur et de faim. FRANÇOIS DE PAULE. Un
fils
a de son père abrégé la vieillesse ! LOUIS. Le da
t sont des raisons si hautes !… FRANÇOIS DE PAULE. Confessez, mauvais
fils
; n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un fr
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi :
fils
rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
: fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon
fils
. Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise ; L’e
: Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon
fils
, du répit qu’il t’accorde : Pleure, conjure, obti
être ! RICHELIEU. C’est certain : vous êtes trop bon
fils
Pour la traiter aussi durement que je fis. Une fo
pays. Race guerrière et forte ; en toute circonstance, Athènes de ses
fils
a connu la vaillance. Le Barbare l’atteste, et pe
er toutes les Espagnes. Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ?
Fils
de je ne sais qui, volé par des bandits, élevé da
ieu ; Le robin, enhardi par un succès facile, Envoie imprudemment son
fils
dans la grand’ville ; La France s’y bouscule ; et
DE. Et comment se fait-il, voilà ce que j’admire, Qu’aucun père à son
fils
ne s’avise de dire : « Paris est encombré de hard
abattre la pomme fatale qu’un monstre avait placée sur la tête de son
fils
il s’écriait : Périssent mon nom et ma mémoire, p
e. Aussi les grands siècles scientifiques furent-ils presque toujours
fils
des grands siècles littéraires, et la renaissance
aissa tomber aux pieds d’Achille en lui redemandant le cadavre de son
fils
, puis certains vers de Virgile, des scènes entièr
t tout ensemble la figure du Messie ; voyez-le détrôné par son propre
fils
, sortant de Jérusalem, traversant le torrent de C
é de l’Égypte. Dieu va punir l’orgueil du Pharaon et de son peuple. «
Fils
de l’homme, dis-lui : Tu as été comparé au lion d
es nations, en des contrées que tu ignores. — Et le Seigneur me dit :
Fils
de l’homme, commence le chant lugubre sur la mult
et il a habité parmi nous : et nous avons vu sa gloire, la gloire du
fils
aîné du père, plein de grâce et de vérité. » Tout
que les jours de son enfantement s’accomplirent, et elle enfanta son
fils
premier-né, et elle l’enveloppa de langes, et ell
recevez cet ouvrage avec quelque indulgence, et regardez-moi comme un
fils
qui vient, après plusieurs années, présenter à so
é le défend, Cet âge frêle ; au mal lorsque ta main s’apprête, De ton
fils
au berceau que l’image t’arrête. Car du censeur u
Car du censeur un jour éveillant les clameurs, S’il est vraiment ton
fils
, plus encor par les mœurs Que par la ressemblance
ère : Mais il t’importe peu de montrer ta maison Pure aux yeux de ton
fils
, vierge de tout poison ! Jules Lacroix (Trad.
utiles, plus de gouverneurs dévoués dans l’éducation publique, qu’un
fils
de roi dans réduction particulière. Dans une éduc
ens de se distinguer parmi leurs semblables. Ils y verront comment le
fils
d’un pauvre artisan, ayant lui-même travaillé lon
nt, aussi vertueusement, aussi glorieusement remplies que celle de ce
fils
d’un teinturier de Boston, qui commença par coule
témoignage qu’il ne doit rien à personne. Nous ne connaissons pas de
fils
qui se soit jamais acquitté envers sa mère, pas d
gs de l’être il peut tirer des dieux ; Mais ces dieux de sa main, ces
fils
de sa puissance, Mesurent d’eux à lui l’éternelle
de prouver ton existence, Et de faire épeler ton nom. Le dernier des
fils
de la terre Te rend grâces du fond du cœur, Dès q
e cités comme modèles du pathétique doux : Discours de Pacuvius à son
fils
qui veut assassiner Annibal. L’entrée qui tient l
ibal. L’entrée qui tient lieu d’exorde est vive et touchante : « Mon
fils
, je vous prie et je vous conjure par tous les dro
de votre hôte ! Hélas ! après avoir obtenu d’Annibal la grâce de mon
fils
, ne pourrais-je point obtenir de mon fils celle d
u d’Annibal la grâce de mon fils, ne pourrais-je point obtenir de mon
fils
celle d’Annibal ? « Mais ne respectons rien, j’y
as aux blessures qu’ils ont reçues. Les pères mourants envoient leurs
fils
pleurer sur leur général mort. « Que de soupirs a
, les vieillards, Et la sœur et le frère ; Et la fille et la mère, Le
fils
dans les bras de son père. 3° La disjonction, qu
ulte et les cris, « Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, « Le
fils
assassiné sur le corps de son père, « Le frère av
qu’attendez-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
? Non : c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
« Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre, « Un… votre
fils
, seigneur, me défend de poursuivre : « Instruite
le temple voisin, chacun cherche un asile ; Hippolyte lui seul, digne
fils
d’un héros, Arrête ses-coursiers, saisit ses jave
urs une source éternelle. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux
fils
Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
ie. « Cher ami, si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d’un
fils
faussement accusé, « Pour apaiser mon sang et mon
dmiration l’emploient également. Horace, apprenant la victoire de son
fils
qu’il avait cru déshonoré par une fuite honteuse,
ls qu’il avait cru déshonoré par une fuite honteuse, s’écrie : Ô mon
fils
! ô ma joie ! ô l’honneur de mes jours ! D’un Éta
affaibli par les armes d’un peuple belliqueux, chassé des bras de son
fils
, il mendie le secours des peuples étrangers ! Qu’
rent encore ! » Dans Athalie, celle de cette mère barbare contre son
fils
: Oui, ma juste fureur, et j’en fais vanité, A v
même jour égorger à la fois (Quel spectacle d’horreur) quatre-vingts
fils
de rois, Et pourquoi ? pour venger je ne sais que
deux maisons rompit toute alliance : David m’est en horreur ; et les
fils
de ce roi, Quoique nés de mon sang, sont étranger
s… »]. 18. Voir page 44 [= § Style élevé, discours de Pacuvius à son
fils
qui veut assassiner Annibal : « Mon fils, je vous
, discours de Pacuvius à son fils qui veut assassiner Annibal : « Mon
fils
, je vous prie et je vous conjure… »].
Loire, en Touraine, près de Chinon, dans la métairie de la Devinière,
fils
d’un apothicaire suivant les uns, d’un cabaretier
en pieces ceulx qui estoient en icelluy. (Livre I, ch. xxxvi.) Le
fils
d’un géant De l’enfance de Pantagruel 13
pleurer. 5. Le sens est : la joie que lui donnait la naissance d’un
fils
. 6. Un sophisme est un raisonnement qui paraît c
ent les œufs. 12. Défaits. Roupte signifiait déroute. 13. Il est le
fils
de Gargantua. 1. Qu’il serait trop long de racon
en fût né d’une façon si merveilleuse que. 4. Il crut. 5. Hercule,
fils
de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi
domestique. Réparer les brèches d’une fortune compromise, établir son
fils
, adorer sa fille, Madame de Grignan, se lamenter
dation de cette terre : il y avait les plus vieux bois du monde ; mon
fils
, dans son dernier voyage, y a fait donner les der
ille amitiés, et la bonne d’Elbeuf, qui perd tout, aussi bien que son
fils
. Voilà une belle chose de m’être embarquée à vous
la grâce de l’aimer un jour comme je vous aime ! » 2. Terre de son
fils
, dans le pays nantais. 3. Nous dirions : Qui éta
Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne ; le
fils
de Saint-Hilaire se jette à son père, et se met à
Première partie : prose Paris Librairie Classique de Ch. Fouraut et
Fils
47, Rue Saint-André-des-Arts, 47 1870 Préfa
ue je suis votre humble et dévoué serviteur. Voiture 1598-1648
Fils
d’un fermier des vins qui fut échevin d’Amiens, p
1622-1673 Jamais vocation ne fut plus irrésistible que la sienne.
Fils
et petit-fils d’un tapissier du roi, élevé au col
t l’on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître209 de
fils
. Sortons. Je veux aller quérir la justice, et fai
faire donner la question à toute ma maison, à servantes, à valets, à
fils
, à fille, et à moi aussi ;..210 Que de gens assem
tilhomme gueux et mal bâti. Nicole 234. Cela est vrai. Nous avons le
fils
d’un gentilhomme de notre village qui est le plus
s son père266; mais je puis dire que j’ai sujet d’être content de mon
fils
, et que tous ceux qui le voient en parlent comme
vertu suprême. On sait bien que les pleurs ne ramèneront pas Ce cher
fils
que t’enlève un imprévu trépas ; Mais la perte pa
chasse D’où vient que cet homme qui a perdu depuis peu de mois son
fils
unique321, et qui, accablé de procès et de querel
uissante comme Dieu339. Epitaphe D’Étienne Pascal Composée par son
fils
Blaise Pascal340 Ci-gît, Etienne Pascal. Illu
il traitait avec lui-même350. Nicole 1625-1695 Né à, Chartres,
fils
d’un avocat au Parlement, professeur de belles le
t-cinq ans. Réparer les brèches d’une fortune compromise, établir son
fils
, adorer sa fille, madame de Grignan, se lamenter
e468. La douleur de Madame de Longueville apprenant la mort de son
fils
A Madame De Grignan Paris, 20 juin 1672.
nt présentement en mon cœur ? Le péril extrême où se trouve mon
fils
, la guerre qui s’échauffe470 tous les jours, les
adame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat… Et mon
fils
? » On ne lui répondit rien476. — « Ah ! mademois
t mon fils ? » On ne lui répondit rien476. — « Ah ! mademoiselle, mon
fils
, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
— Madame, je n’ai point de parole pour vous répondre. — Ah ! mon cher
fils
! Est-il mort sur-le-champ ? n’a-t-il pas eu un s
out exercice que l’obéissance, et n’étant connu au monde que comme le
fils
d’un charpentier. Oh ! quel secret, oh ! quel mys
plus difficile que Dieu vous propose. Méditez, Sire, cette parole du
Fils
de Dieu ; elle semble être prononcée pour les gra
sa vie : c’est le plus bel éloge qu’on en puisse faire. Né à Bourges,
fils
d’un avocat, tourmenté dès l’enfance par le désir
ber dans la détresse, quand Louis XIV lui confia le soin d’élever les
fils
de madame de Montespan, alors toute-puissante. So
es bons déportements, et ne vouloir pas, ce disoit-elle, faire de son
fils
un illustre ignorant, me mit ce livre entre les m
et que tous les princes reviennent de l’armée de Flandre722. À son
fils
convalescent Au camp devant Namur723, le 10 jui
château de Namur suivra de près celle de la ville725. Adieu, mon cher
fils
, faites bien mes compliments à vos sœurs. Je ne s
, quand vous serez en état de les voir726. Sur les versions de son
fils
Fontainebleau, 8 octobre 1697. Je voulais pres
, Irène, c’est de mourir comme ont fait votre mère et votre aïeule. —
Fils
d’Apollon, s’écrie Irène, quel conseil me donnez-
traîne après lui tout ce qui paraît le plus immobile. Toi-même, ô mon
fils
! mon Cherfils ! toi-même qui jouis maintenant d’
à la douleur. Ce temps te paraît éloigné. Hélas ! tu te trompes, mon
fils
; il se hâte, le voilà qui arrive : ce qui vient
us parlons, et ne peut plus se rapprocher. Ne compte donc jamais, mon
fils
, sur le présent ; mais soutiens-toi dans le senti
iquité. Quelques-uns soutiennent qu’elle présente Caligula qui, étant
fils
de Germanicus, avait donné dans son temps de haut
l lui dit d’un ton fier et impatient : « Comment oses-tu te moquer du
fils
de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir
de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir : « Hé ! comment le
fils
de Jupiter ose-t-il faire quelque faute ? » Fé
de ma mère955, dont il ne pouvait assez vanter le bonheur d’avoir un
fils
tel que moi. En même temps il versait du vin dans
ait mon chemin : je suis à l’hôpital966. Saint-Simon 1625-1695
Fils
d’un ancien favori de Louis XIII, qui prétendait
in apprenaient à lire chez le magister1081 du village ; Jeannot était
fils
d’un marchand de mulets, et Colin devait le jour
notière : c’était un ordre de M. son père de faire revenir M.1086 son
fils
à Paris. Jeannot monta en chaise de poste en tend
it acheté un marquisat, lorsqu’il retira de l’école M. le marquis son
fils
, pour le mettre à Paris dans le beau monde. Colin
ur. M. de la Jeannotière voulait donner une éducation brillante à son
fils
; mais madame la marquise ne voulut pas qu’il app
que le souvenir de sa fortune et de ses folles dépenses. Après que le
fils
eut longtemps pleuré avec sa mère, il lui dit enf
très-heureux : et Jeannot le père, et Jeannote la mère, et Jeannot le
fils
, virent que le bonheur n’est pas dans la vanité11
Adieu ; je vous embrasse tendrement ; je vous aime comme on aime son
fils
1130. Conseils à une demoiselle Sur la l
cette lettre et ces mêmes sentiments soient aussi pour monsieur votre
fils
, à qui je fais mille tendres compliments, Rec
s ancienne famille de Genève ; ils se font tuer pour nous, de père en
fils
, depuis Henri IV. L’oncle de celui-ci a été tué d
aperçues, viennent ravager les campagnes1184. Buffon 1707-1788
Fils
d’un conseiller au parlement, Georges-Louis Lecle
il s’endormit, pour ne plus se réveiller, dans un fauteuil, entre son
fils
, sa fille et quelques-uns de ses amis. Il s’échap
éjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le
fils
de Sophronisque1372 au fils de Marie ! quelle dis
faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque1372 au
fils
de Marie ! quelle distance de l’un à l’autre ! So
472 allait s’élancer à la mer, lorsque je le saisis parle bras. « Mon
fils
, lui dis-je, voulez-vous périr ? » — « Que j’aill
de la souveraine, faisait tomber la fortune à la fille du lieu et au
fils
du voisin, dernièrement arrivé de l’armée. Les je
rtier général, au Caire, 18 fructidor an IV (4 septembre 1798). Votre
fils
est mort d’un coup de canon sur son banc de quart
hi, Citoyen Général, dans la carrière des armes ; vous regretterez un
fils
digne de vous et de la patrie ; en accordant quel
, c’est commencer à posséder Dieu, Le père connaît les besoins de son
fils
: faut-il à cause de cela que le fils n’ait jamai
père connaît les besoins de son fils : faut-il à cause de cela que le
fils
n’ait jamais une parole de demande et d’action de
uent pour saisir, attirer, maîtriser l’attention du genre humain ! Ce
fils
d’un gentilhomme corse1712, qui vient demander à
nouveau la coalition et lui impose la belle paix de Lunéville1716, ce
fils
du pauvre gentilhomme corse a déjà parcouru à tre
s lui offrir leur fille, choisit celle des Césars, dont il obtient un
fils
qui semble destiné à porter la plus brillante cou
hé comme Prométhée sur un rocher par la haine et la peur des rois. Ce
fils
du pauvre gentilhomme corse a bien fait dans le m
, il faut qu’il file la toison de ses moutons, qu’il en rapproche les
fils
par. le tissage, pour en faire une toile continue
s. Silvestre de Sacy Né en 1804 Né à Paris le 17 octobre 1801,
fils
d’un orientaliste célèbre, membre de l’Académie f
es vignes pour le guider vers le lieu du meurtre impuni. Un réseau de
fils
imperceptibles, mais puissants par leur réunion,
embrassait le mort1772, faisait un signe de tête à sa veuve et à son
fils
, puis prenait place dans le cercle sans proférer
? Pourquoi ne pas attendre un mois encore ? ta bru t’aurait donné un
fils
. » Un grand jeune homme, fils de Pietri, serrant
mois encore ? ta bru t’aurait donné un fils. » Un grand jeune homme,
fils
de Pietri, serrant la main froide de son père, s’
ont des dimanches. — Charles-Baptiste, le Christ ait ton âme ! — Ton
fils
gouverne ta maison. — J’ai vu tomber le chêne — d
. Retiré dans un coin obscur de la salle, il pleura comme pleurait le
fils
de Pietri. Tout à coup un léger mouvement se fit
vocat Barricini1779, le maire de Pietranera, qui venait avec ses deux
fils
donner au préfet la représentation d’une ballata.
; plusieurs hommes jetaient des regards farouches sur le maire et ses
fils
; quelques vieillards murmuraient contre le scand
nt contre le scandale qu’ils avaient occasionné par leur présence. Le
fils
du défunt fendit la presse, et se disposait à pri
t pas attendu cette invitation. Il gagnait la porte, et déjà ses deux
fils
étaient dans la rue, Le préfet adressa quelques c
un que je vois ; je ferais son portrait, je me prends à envier un tel
fils
à ses parents, et je félicite la société de ce qu
. Ici encore, il a comme le délire. 209. Traître ; il donnerait son
fils
pour son trésor. 210. Sur la scène, il faut exag
32. Que, d’autre source que de... 233. M. Jourdain rougit d’être le
fils
de son père. 234. . Nicole est la servante, qui
reprocher à ses parents, s’ils n’eurent pas le moyen d’instruire leur
fils
; ma s, il y a encore du bon sens sous ce mouveme
lié avec la plupart des écrivains les plus illustres de son temps Son
fils
, dont la mort inspira cette lettre, était né en 1
0. Allusion aux chagrins domestiques de Molière, et à la perte de son
fils
, qui mourut en bas âge. Nous avons conservé l’ort
345. Admire, vois avec étonnement. 346. Un tel père méritait un tel
fils
. 347. En peine de, c’est-à-dire embarrassés pou
Livre des Proverbes. 369. Lisez les conseils que Racine donne à son
fils
sur la lecture. Le vase garde le parfum de la liq
es châteaux en Espagne, en Provence, tantôt gais, tantôt tristes. Mon
fils
nous lit des livres très-agréables : nous en avon
muse, et nous occupe ; nous raisonnons sur ce que nous avons lu ; mon
fils
est infatigable, il lit cinq heures de suite, si
, nous n’en souhaitons point ; quand il y en a, on est bien aise. Mon
fils
a des ouvriers, il a fait parer, comme on dit ici
bleau très-éloquent de la douleur d’une mère apprenant la mort de son
fils
. Madame de Sévigné, qui pourtant n’a pas vu cette
es, et ses enfants sont les héritiers du royaume. Ainsi, après que le
fils
de Dieu a épousé la pauvreté, bien qu’on y recule
tisme la faveur souvent scandaleuse des grands personnages pour leurs
fils
et leur famille. 690. Le maréchal de Luxembourg
e. 719. Il sait mêler l’utile à l’agréable et ne prétend pas que son
fils
soit un homme avant l’âge. 720. Il veut surtout
un homme avant l’âge. 720. Il veut surtout s’adresser au cœur de son
fils
. Il fait appel à sa confiance. 721. Quel accent
31. Ces détails familiers nous ouvrent l’intérieur du poëte. 732. Le
fils
de Racine était alors chargé par M. de Tracy de p
Fénelon veut inspirer à son élève le goût des arts. 849. . Orphée,
fils
d’Apollon et de Clio jouait si bien de la lyre, q
it une faute dans ses vers latins. 864. Bacchus, dieu du vin, était
fils
de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus et d’Har
ëte que théologien. » 873. Le duc avait exprimé la crainte que son
fils
, mort subitement, ne fut pas en état de paraître
80. Fénélon terminait ainsi une autre lettre sur la perte d’un autre
fils
de duc de Chevreuse : « Monsieur votre fils réuss
e sur la perte d’un autre fils de duc de Chevreuse : « Monsieur votre
fils
réussissait au milieu du monde empesté ; c’est ce
. 950. Accolade, bras jetés autour du cou. 951. « Anthée, » géant,
fils
de Neptune et de la Terre, étouffé par Hercule.
les derniers restes du parti de Marius, commandés par le neveu et le
fils
adoptif de Marius, qui s’enfuit à Prénestre, où i
tene, tenez-vous entre deux excès. 1040. On sait que Phaéton fut le
fils
présomptueux du Soleil ; il voulut mener tout seu
. 1085. Il monte en grade ; il est bombardé marquis. 1086. M. son
fils
. Ce Monsieur est gros d’intention ; on voit que c
quand il écrit aux dames, et dans les relations mondaines. 1263. Le
Fils
naturel, le Père de famille. 1264. Bien que Di
u vice-amiral Thevenard, auquel le général en chef annonce la mort de
fils
, capitaine de l’Aquiton. 1606. Cette consolati
uivante à sa belle-fille, la reine Hortense, qui venait de perdre son
fils
aîné, âgé de quatre ans : « Ma fille, « Tout c
droit et plus vite que leur raisonnement. » 1645. Roi d’Angleterre,
fils
de Jacques Ier, monté sur le trône en 1625, Charl
648. Le prêtre qui assista Louis XVI à la dernière heure, lui dit : «
Fils
de saint Louis, montez au ciel. » 1649. L’ordre
assiégée par Ali, pacha de Janina, et défendue par Tsavellas, et son
fils
Photos. 1666. M. Villemain a signalé l’influen
ge qui ne soit point le miroir de son cœur. » 1712. Il était le 2e
fils
de Charles Bonaparte, et de Letizia Ramolino. 17
é, plus ou moins, de son esprit et de ses sentiments. 1804. Charron,
fils
d’un libraire qui eut vingt-cinq enfants entra da
Foix (Gaston de), duc de Nemours,
fils
de Jean de Foix, comte d’Etampes, et de Marie d’O
de Marie d’Orléans, sœur de Louis XII, qui l’aimoit comme son propre
fils
. Ce jeune prince donnoit les plus belles espéranc
sentiment doux et cher au cœur. Andromaque dit en parlant de son cher
fils
: Je ne l’ai point encore embrassé d’aujourd’hui
s toujours la voir pour la première fois. Lorsqu’Andromaque voit son
fils
sur le point d’être livré aux Grecs, elle s’écrie
M. de Broglie qui a su lui donner un air de nouveauté. Il écrit à son
fils
qui lui proposait de quitter l’armée de Condé pou
er l’armée de Condé pour pactiser avec la révolution : « Monsieur mon
fils
, si les coups de bâton pouvaient s’écrire, vous t
e, Cent fois le nom d’Hector est sorti de sa bouche : Vainement à son
fils
j’assurais mon secours ; C’est Hector, disait-ell
Icare,
fils
de Dédale, mécanicien fameux de la ville d’Athène
u’il s’en servit pour sortir avec Icare de l’île de Crète, et que son
fils
n’ayant pas dirigé les voiles, tomba dans la mer,
uffon, qui s’élève si haut dans son Discours sur le Style ; Racine le
fils
, dont les Réflexions semblent reproduire avec fid
s yeux sont fermés par l’éternelle nuit37. Virgile prend pour Pallas,
fils
d’Évandre, les mêmes soins de nous affliger, qu’H
puis, prenant le ton d’autorité et de reproche, il lui dit : « Lâche
fils
d’un père si généreux ! menez ici une vie molle,
orum, animant par ses pleurs le discours le plus touchant, il prit le
fils
de Flaccus entre ses bras, me présenta aux juges,
un endroit où il ne fallait être que touchant. Il avait à défendre un
fils
accusé de parricide ; était-ce le moment de s’amu
as ; et le dernier obtint avec beaucoup de peine cette grâce pour son
fils
Pérolla, dont les engagements avec Magius n’étaie
Annibal. Pacuvius, tout hors de lui-même, entreprend de détourner son
fils
d’une si funeste résolution (Tit. Liv., XXIII, 8,
, était d’imaginer des motifs capables de toucher et de convaincre le
fils
. Il s’en est présenté trois à son esprit : l’un e
tre regarde le père, qui est résolu de se mettre entre Annibal et son
fils
, et qu’il faudra percer le premier ; un troisième
i tient lieu d’exorde, est courte, mais vive et touchante93 : « Ô mon
fils
, au nom de tous les droits les plus sacrés de la
hôte ! Mes prières paternelles ont obtenu d’Annibal le pardon de mon
fils
, mon fils me refuse le pardon d’Annibal ! » IIe
s prières paternelles ont obtenu d’Annibal le pardon de mon fils, mon
fils
me refuse le pardon d’Annibal ! » IIe motif, tir
traité ; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le respect qu’un
fils
doit à son père. La dernière pensée est fort bell
lime de sentiment : On vient annoncer au vieil Horace que deux de ses
fils
ont été tués et que le troisième a pris la fuite.
moi des boyaux de père. Il voulait dire des entrailles. Thésée à son
fils
: Je t’aimais, et je sens que, malgré ton offens
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon
fils
, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
Et la sœur et le frère, Et la fille et la mère, Le
fils
dans les bras de son père ! la répétition de la
coup de rapport avec la subjection : « Roscius a voulu déshériter son
fils
! pour quelle raison ? — Je l’ignore. — L’a-t-il
ions. Ainsi, dans le Télémaque, Philoctète dit à Néoptolème : « Ô mon
fils
! je te conjure par les mânes de ton père, par ta
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un
fils
qui me ressemble ! (Corneille, Rodogune.) Il suf
nom, quand elle veut le rendre méprisable : D’un côté, l’on verra le
fils
d’un empereur Redemandant la foi jurée à sa famil
le, Et de Germanicus on entendra la fille ; De l’autre, l’on verra le
fils
d’Ænobarbus. Britannicus est ici le fils d’un em
; De l’autre, l’on verra le fils d’Ænobarbus. Britannicus est ici le
fils
d’un empereur ; Agrippine est la fille de Germani
a fille de Germanicus, tant chéri des Romains ; et Néron n’est que le
fils
de Domitius Ænobarbus190. Toutes les fois, dit Vo
ius de Corneille, voyant Héraclius et Martian se disputer le titre de
fils
de Maurice, et ne vouloir ni l’un ni l’autre être
fils de Maurice, et ne vouloir ni l’un ni l’autre être regardés comme
fils
de Phocas, s’écrie avec douleur : Ô malheureux P
r : Ô malheureux Phocas ! Ô trop heureux Maurice ! Tu recouvres deux
fils
pour mourir après toi, Et je n’en puis trouver po
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
? Non, c’est de l’avoir fait reine malheureuse. »
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le
fils
assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
ins ; Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre Un… Votre
fils
, seigneur, me défend de poursuivre ; Instruite du
? Vous appellerai-je soldats, vous qui avez assiégé dans son camp le
fils
de votre empereur en le menaçant de vos armes ? C
e rendre aux captifs leur liberté219. » Alors le grand prêtre Josué,
fils
de Josédech, va porter au pied du trône les actio
ujets fidèles220. » Les tribus quittent la terre d’exil ; Zorobabel,
fils
de Salathiel, est à leur tête ; et tout ce peuple
ua la cendre qui souillait ses cheveux blancs. Le grand prêtre Josué,
fils
de Josédech, alla porter au pied du trône les act
endra nos vœux. » Alors on quitta la terre de l’étranger ; Zorobabel,
fils
de Salathiel, était à la tête des tribus. Ô jour
s, per quos restitutus sum ? (c. 37.) 109. Voltaire. 110. Racine le
fils
. 111. Buffon. 112. La Bruyère. 113. Expression
καὶ ἐν ἅπαντι λόγῳ καθάπερ τι ἥδυσμα ἐπίπαττε αὐτῶν. 127. Racine le
fils
. 128. Racine le fils. 129. Ἤδη δ᾽ ἔγωγε καὶ ἐν
άπερ τι ἥδυσμα ἐπίπαττε αὐτῶν. 127. Racine le fils. 128. Racine le
fils
. 129. Ἤδη δ᾽ ἔγωγε καὶ ἐν τοῖς πολυανθρωποτάτοι
Chateaubriand. 148. Duclos proposait : Sabine. Mais il est votre
fils
. Horace. Lui, mon fils !… il le fut. Nous croyon
Duclos proposait : Sabine. Mais il est votre fils. Horace. Lui, mon
fils
!… il le fut. Nous croyons que La Harpe a justif
16. 153. Oraison funèbre de la duchesse d’Orléans. 154. Racine le
fils
. 155. Racine le fils. 156. Crevier. 157. Racin
nèbre de la duchesse d’Orléans. 154. Racine le fils. 155. Racine le
fils
. 156. Crevier. 157. Racine le fils. 158. Maury
Racine le fils. 155. Racine le fils. 156. Crevier. 157. Racine le
fils
. 158. Maury. 159. La Bruyère. 160. Crevier. 1
. 160. Crevier. 161. Voltaire. 162. Orat., c. 25. 163. Racine le
fils
. 164. Batteux. 165. Dumarsais. 166. Gramm., l
et. » 175. Poetices, lib. III, qui et Idea, c. 31. 176. Racine le
fils
. 177. Crevier. 178. Rollin. 179. Rhetor. ad H
Herenn., IV, 64. 189. Voy. Aristote, Rhét., III, 2. 190. Racine le
fils
. 191. Longin, c. 24, al. 29. 192. Montesquieu.
feuillage, Dans l’hiver, devant leurs tisons, Ils prêchaient à leurs
fils
la vertu, la sagesse6, Leur parlaient du bonheur
ont-ils différents ? » Le père méditait une réponse sage, Lorsque son
fils
cadet, transporté de plaisir, Après tant de trava
ul coup détruit son long ouvrage7 ; Et voilà le cadet pleurant. « Mon
fils
, répond alors le père, Le fondateur, c’est votre
de Bâville, dans laquelle il expose à madame de Maintenon qu’il a un
fils
auquel désirerait transmettre sa charge de consei
rie de m’accorder votre protection. Je demande au roi de donner à mon
fils
une place de conseiller d’État, remettant celle q
e ma surdité, j’étais devenu un serviteur inutile ; et, n’ayant qu’un
fils
, j’avoue que l’objet de mes vœux serait de lui vo
e que l’on remarque dans la lettre suivante : Lettre de Racine à son
Fils
« C’est tout de bon que nous parlons pour notre v
ir cet avis avec la même amitié que je vous le donne. Adieu, mon cher
fils
; donnez-moi souvent de vos nouvelles. » Lectur
s que je saurai aimer au-delà du tombeau. » Lecture. — Racine à son
Fils
. Vol. II, nº 130. 7° Des Lettres d’Excuses
, nº 133. — 2° Lettre de J.-B. Rousseau à M. D *** sur la mort de son
fils
aîné, 1720. Vol. II, nº 134. 9° Des Lettres de
mer la morale. Prenons pour modèle une lettre de Racine le père à son
fils
. « M. de Bonrepaux, qui est arrivé, nous a donné
es cris, le sang ruisselait de tous côtés dans Paris ; on trouvait le
fils
assassiné sur le corps de son père, le frère mort
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le
fils
assassiné sur le corps de son père Le frère avec
, Henriade. Correction, rétroaction, épanorthose : J’avais un
fils
que j’aimais plus que ma vie ; on me l’a dérobé,
que ma vie ; on me l’a dérobé, plaignez mon infortune. J’aimais un
fils
plus que ma vie, Je n’ai que lui ; que dis-je ? h
cole se lève tout entière, et accompagne en triomphe dans la ville le
fils
du boulanger de Nancy, le général Drouot6. Vingt
ffre jamais impunément d’éclipse, la vertu. Dès ses jeunes années, le
fils
du patricien, c’est-à-dire de l’homme public, env
’Empire. Napoléon l’appelait le Sage de la grande armée. 3. Il était
fils
d’un boulanger de Nancy, et le troisième de douze
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge : Vous souvenant, mon
fils
, que caché sous ce lin ; Comme eux vous fûtes pau
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le
fils
assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
n bel exemple de communication ; c’est le vieil Horace qui défend son
fils
contre Valère : Dis, Valère, dis-nous, puisqu’il
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde ; Ce n’est plus votre
fils
, c’est le maître du monde ; J’en dois compte, Mad
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
? Non, c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
qu’il veut faire encore. Thyeste, après avoir reconnu le sang de son
fils
dans la coupe qui lui a été présentée par Atrée,
r dont ton cœur est épris ; Joins un malheureux père à son malheureux
fils
. A ses mânes sanglants donne cette victime, Et ne
tor, avant d’aller au combat, appelle la protection des dieux sur son
fils
Astyanax : ………… Dieux, prenez sa défense ! D’un
son père : « Hector, tant qu’il vécut, des Troyens fut l’appui. « Son
fils
est aussi brave, et plus heureux que lui. » Luce
oux. Philoctète adresse à Néoptolème cette touchante prière : O mon
fils
! je t’en conjure par les mânes de ton père, par
ans toute leur force. Telle est l’imprécation de Cléopâtre contre son
fils
Antiochus, et contre la princesse son épouse : R
), Témoins accoutumés de ma plainte inutile, Voyez ce que m’a fait le
fils
du grand Achille. La Harpe. La voix de l’unive
ms terminés au singulier par s, z, x, n’ajoutent rien au pluriel : le
fils
, les fils ; le nez, les nez ; la voix, les voix.
s au singulier par s, z, x, n’ajoutent rien au pluriel : le fils, les
fils
; le nez, les nez ; la voix, les voix. Deuxième
’une grâce à demander à mes accusateurs, c’est de traiter un jour mes
fils
comme moi, s’ils vous donnent les mêmes sujets de
jour. Ton éducation, ta vie, ton âme, tout lui appartient. Tu es son
fils
, son esclave Qu’elle arme contre toi des bourreau
qui t’ont élevé, qui t’ont nourri ; et ne préfère à la justice ni tes
fils
, ni ta vie, ni rien au monde. — Ce n’est pas nous
omme héroïque, Aux bords du Rhin, à Jemmape3, à Fleurus, Ces paysans,
fils
de la république, Sur la frontière à sa voix acco
t ; Il en est temps ! » dit-il aussi tout bas3 ; Puis il répète à ses
fils
qui sommeillent : « Dieu, mes enfants, vous donne
Le ciel toujours le protége. Son sourire était bien doux, D’un
fils
Dieu le rendait père3, Le rendait père. — Que
ne puisse ressentir, celle d’une mère à la nouvelle de la mort de son
fils
? C’est toujours la même imagination vive, le mêm
dame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat ? Et mon
fils
! » On ne lui répondit rien. « Ah ! Mademoiselle,
t ? Et mon fils ! » On ne lui répondit rien. « Ah ! Mademoiselle, mon
fils
, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
? — Madame, je n’ai point de parole pour vous répondre. Ah ! mon cher
fils
! Est-il mort sur-le-champ ? n’a-t-il pas eu un s
Il faut venir dès qu’il fera beau. Conseils. J. Racine à son
fils
. C’est tout de bon que nous partons pour notre vo
ir cet avis avec la même amitié que je vous le donne. Adieu, mon cher
fils
; donnez-moi souvent de vos nouvelles. Reproc
morts. Accourez maintenant, amis, épouses, mères ! Venez compter vos
fils
, vos amants et vos frères ; Venez, sur ces débris
repos insultant et superbe. Sa fureur s’allume ; il s’avance vers le
fils
de Clodion ; il lui crie d’un ton ironique : « —
recourbés, s’engage dans le bouclier du Gaulois. Au même instant, le
fils
de Clodion bondit comme un léopard, met le pied s
elicem nimium dilexit amicum. Æn., IX., v. 425. La condamnation des
fils
de Brutus eut un effet favorable à la République
discours de Germanicus à ses légions révoltées. « Mon épouse, ni mon
fils
ne me sont pas plus chers que mon père et la chos
rai-je soldats, vous qui, les armes à la main, avez assiégé, cerné le
fils
de votre Empereur ! citoyens, vous qui avez foulé
es députés au Sénat, à l’empereur l’obéissance, à moi ma femme et mon
fils
, dérobez-vous à la contagion, rompez avec les séd
furie ! N’étendez pas mes maux au-delà de ma vie ; Prenez soin de vos
fils
, respectez votre sang, Ne les punissez pas d’être
parler qu’un début, qu’un commencement. Ainsi parle Mithridate à ses
fils
: Approchez, mes enfants, enfin l’heure est venu
uâmes tous une tendre inquiétude sur son visage. Prince (Commode, son
fils
), il parut se ranimer un moment pour toi. Sa main
rs que Pacuvius, suivant le récit deTite-Live, adressa à Pérolla, son
fils
, à l’occasion d’un festin offert à Annibal, lors
t trouver d’abord des motifs capables de convaincre et de toucher son
fils
, résolu à tuer le vainqueur de Rome. Or, il s’en
is, voudra-t-il méconnaître à la fois le respect et l’affection qu’un
fils
porte à son père, au point de le transpercer pour
’on devra finir. Telle est la disposition. « Par tous les liens, mon
fils
, qui unissent les enfants aux auteurs de leurs jo
a souiller du sang de ton hôte ? Père, j’ai pu obtenir grâce pour mon
fils
auprès d’Annibal, et je ne le puis pour Annibal a
on fils auprès d’Annibal, et je ne le puis pour Annibal auprès de mon
fils
? Mais, qu’il n’y ait rien de sacré, ni foi, ni r
l’intelligence d’Homère, comme dans les traits que vous offre ici son
fils
. Les beautés individuelles de tous les dieux sont
ieil Horace, lorsque Junie lui dit, parlant du survivant de ses trois
fils
, dans le duel des Horaces et des Curiaces : Que
mortel ; Si, lorsque le Sénat eut condamné ce traître, Catilina, pour
fils
, t’eût voulu reconnaître, Entre ce monstre et nou
Ce n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde. Ce n’est plus votre
fils
, c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le
fils
assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi, son
fils
? non, c’est de l’avoir fait reine malheureuse. »
x effrayés dérobe cette tête. Ah ! ma mère, épargnez votre malheureux
fils
. Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes cris !…
Au nom de tes vertus, de Rome et de toi-même, Dirai-je ? au nom d’un
fils
qui frémit et qui t’aime, Qui te préfère an monde
ns son Télémaque, fait parler ainsi Philoctète à Néoptolème : « Ô mon
fils
! je te conjure par les mânes de ton père, par ta
atque hostem supplex affare superbum… Le discours de Pacuvius à son
fils
Pérolla pour le détourner d’assassiner Annibal, e
ins ; Mais tout n’est pas détruit et vous en laissez vivre. Un… votre
fils
, seigneur, me défend de poursuivre. Cet autre en
honneur d’être choisi par le cardinal de Tournon comme précepteur des
fils
d’Henri II, et fit paraître en 1559, mais sans y
ième siècle. 8. Aristote, né à Stagyre en Macédoine (334 av. J.-C.),
fils
de Nicomaque, suivit les leçons de Platon ; il al
4. Ainsi. 5. Platon, né en 429 ou 430 av. J.-C. dans titre d’Égine,
fils
d’Ariston, descendait par son père de C drus, et
latiniste, savant imprimeur, dont toute la maison parlait latin ; son
fils
Henri Estienne, l’helléniste, qui se fit une bell
bstracteur de Quinte Essence. Lettre de Gargantua à Pantagruel son
fils
Trés chier filz,… non sans juste et equitable
mal faire. Car Dieu n’est point Dieu de division, mais de paix, et le
fils
de Dieu n’est point ministre de peché, qui est ve
aucoup de telles imitations, qu’est ceste Eglogue sur la naissance du
fils
de monseigneur le Dauphin, à mon gré un des meill
ement abbé de Bellozane par la faveur de François Ier, précepteur des
fils
de Henri II, grand-aumônier de France sous Charle
ueux et se sont trouvés si capables, qu’il y en a eu prou qu’estoient
fils
de pouvres laboreurs, et se sont mis par devant b
qu’aye esté de long temps en ce royaulme ; car je suis venu au monde
fils
d’ung gentilhomme, que son père avoict vendeu tou
mes bons deportemens, et ne vouloir pas, ce disoit-elle, voir en son
fils
un illustre ignorant, me mit ce livre entre les m
re 1605.] Monsieur du Plessis, Ayant sceu la fortune advenue à vostre
fils
, j’en ay receu par vostre considération le despla
y que doibt faire un bon maistre comme je suis du pere et l’estois du
fils
, espérant qu’il imiteroit vostre fidélité et dévo
D’Aubigné (1552-1630) Notice Théodore Agrippa d’Aubigné,
fils
d’un gentilhomme calviniste de la Saintonge, port
il s’escria : « Ils ont décapité la France, les bourreaux ! » Puis le
fils
ayant picqué près du pere, pour avoir veu à son v
roit Boileau qui « s’y connaît mieux que lui » ; il est le parrain du
fils
aîné de Molière, il fait asseoir à sa table celui
tiste Poquelin, qui prit au théâtre et immortalisa le nom de Molière,
fils
d’un tapissier-valet de chambre du roi, hérita de
n gentilhomme gueux et mal bâti. NICOLE. Cela est vrai. Nous avons le
fils
du gentilhomme de notre village, qui est le plus
de Port-Royal ; avec une gravité douce et touchante des lettres à ses
fils
; avec une affectueuse urbanité des lettres à La
de ne vouloir que ce que l’on doit. Pensez-y donc de bonne heure, mon
fils
, et si vous sentez maintenant quelque répugnance
ie et une humilité qui ne sont pas moins louables. Ne pensez pas, mon
fils
, que ces vertus ne soient point faites pour nous.
lévation et quelque grandeur dont il pourroit tirer vanité. Nous, mon
fils
, à qui toutes choses semblent inspirer ce défaut
rt pour ne vous remplir que de vous-même, ne vous comparez point, mon
fils
, à des princes moindres que vous, ou à ceux qui o
i est d’ordinaire l’écueil d’un mérite éclatant et connu. Par là, mon
fils
, et en cela, vous serez humble. Mais quand il s’a
rage, où la fortune n’a presque point eu de part. Soyez toujours, mon
fils
, en état de vous faire craindre par les armes, ma
heur, et l’industrie d’autrui du nom de bonne fortune. Pour voir, mon
fils
, comme vous devez reconnoître avec soumission une
44 le marquis de Sévigné, qui la laissa veuve à vingt-six ans avec un
fils
et une fille. Belle, spirituelle, instruite, elle
dation de cette terre : il y avoit les plus vieux bois du monde ; mon
fils
, dans son dernier voyage, lui a donné les dernier
u nom d’une terre qu’elle acheta, naquit dans une prison, à Niort, du
fils
du fameux calviniste Théodore Agrippa d’Aubigné.
ctes : les années qui ont précédé le préceptorat du duc de Bourgogne,
fils
aîné du grand dauphin, le préceptorat, les années
dans le même saisissement de cœur où est une mère qui revoit son cher
fils
qu’elle avoit cru mort ; et cette joie, qui échap
Saint-Simon (1675-1755) Notice Saint-Simon (le duc Louis de),
fils
d’un favori de Louis XIII, fil seul de Louis XIV,
c’est-à-dire de bonté, et plaignoient le roi de la perte d’un si bon
fils
. Les plus fins d’entre eux, ou les plus considéra
s. L’abbé Fleury (1640-1723), né et mort à Paris, sous-précepteur des
fils
du grand Dauphin, et plus tard confesseur de Loui
Babylone était mort aux Indes ; il avait fait ses héritiers ses deux
fils
par portions égales, après avoir marié leur sœur,
t mille excuses ; encore deux cents et deux mille excuses à Prault538
fils
. Un louis d’or à d’Arnaud539, sur le champ. J’ai
e, qui m’a si bien servi contre Mithridate, contre Marius, contre son
fils
, contre Thélésinus, contre le peuple, qui a soute
J.-J. Rousseau (1712-1778. Notice Jean-Jacques Rousseau,
fils
d’un horloger de Genève, tour à tour vagabond, la
els préjugés, quel aveuglement ne faut-il point pour oser comparer le
fils
de Sophronisque au fils de Marie ! Quelle distanc
lement ne faut-il point pour oser comparer le fils de Sophronisque au
fils
de Marie ! Quelle distance de l’un à l’autre ! So
Diderot (1713-1784) Notice Diderot (Denis), de Langres, ce
fils
de coutelier, qui alla un jour à Saint-Pétersbour
yons encore effrayés. (Salon 580 de 1765.) Greuze581 Le
fils
ingrat Imaginez une chambre où le jour n’entr
cuir noir où l’on peut être commodément assis : asseyez-y le père du
fils
ingrat. Attenant à la porte, placez un bas d’armo
sur laquelle on vient de placer un potage. Malgré le secours dont le
fils
aîné de la maison peut être à son vieux père, à s
a scène, vers la porte, le vieux soldat qui a enrôlé et accompagné le
fils
ingrat chez ses parens s’en va, le dos tourné à c
, n’approche pourtant pas, à mon gré, de ce qui suit. Le mauvais
fils
puni Il a fait la campagne. Il revient, et d
et ses genoux se dérobant sous elle. Voilà le spectacle qui attend le
fils
ingrat. Il s’avance ; le voilà sur le pas de la p
disent : « Tiens, vois, regarde ; voilà l’état où tu l’as mis ! » Le
fils
ingrat paroit consterné ; la tête lui tombe en de
le même chien, qui est incertain s’il reconnoîtra cet éclopé pour le
fils
de la maison, ou s’il le prendra pour un gueux. J
moment ; il me semble que, pour se dérober à elle-même la vue de son
fils
et celle du cadavre de son époux, elle a dû porte
ais (1732-1799) Notice Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais,
fils
d’horloger, « horloger lui-même, musicien, chanso
rien ne peut me laver du juste reproche que vous me faites d’être le
fils
de mon père… Mais je m’arrête ; car je le sens de
es. Tout le monde aussi ne peut pas dire comme M. Goëzman : Je suis
fils
d’un Bailli ; Oui : Je ne suis pas Caron ;
l alloit s’élancer à la mer, lorsque je le saisis par le bras : « Mon
fils
, lui dis-je, voulez-vous périr ? — Que j’aille à
ice Né de cet étrange « ami des hommes », qui ne le fut pas de son
fils
, le comte Riquetti de Mirabeau était connu avant
a mère du consul Fusius Géminus d’avoir pleuré la mort funeste de son
fils
. Il fallait montrer de la joie de la mort de son
l’idée de progrès continu dans l’humanité ; — D’Alembert (1717-1783),
fils
adoptif d’un pauvre vitrier, par le vaste et sava
rles Bonnet (1620-1793) et son neveu, Horace de Saussure (1740-1799),
fils
et père de savants, auteur du Voyage dans les Alp
nna des conseils tels que Marc-Aurèle mourant devoit les donner à son
fils
; et bientôt après, Rome et l’univers le perdiren
elevant tout à coup : « Mais toi qui vas succéder à ce grand homme, ô
fils
de Marc-Aurèle ! ô mon fils, permets ce nom à un
toi qui vas succéder à ce grand homme, ô fils de Marc-Aurèle ! ô mon
fils
, permets ce nom à un vieillard qui t’a vu naître,
aut que tu sois, ou le plus juste ou le plus coupable des hommes : le
fils
de Marc-Aurèle aura-t-il à choisir ? « On te dira
aître du monde tu peux m’ordonner de mourir, mais non de t’estimer. Ô
fils
de Marc-Aurèle ! pardonne : je parle au nom des d
s Ier, le Grand Condé, et le maréchal de Saxe auroient voulu avoir un
fils
comme lui. Il est étourdi comme un hanneton au mi
la consolation 644 , qui arrivera bien tôt ou tard. Amen. Pour mon
fils
. — Et mon cher petit Rodolphe, où est-il ? Qu’il
on française, publiées (1818) après sa mort. — Mme de Staël a eu pour
fils
et petit-fils deux academiciens, orateurs et homm
u c’est commencer à posséder Dieu. Le père connaît les besoins de son
fils
; faut-il à cause de cela que le fils n’ait jamai
père connaît les besoins de son fils ; faut-il à cause de cela que le
fils
n’ait jamais une parole de demande et d’actions d
vier de ses rejetons ; mais aucun de ces vieillards ne m’appelait son
fils
, aucun de ces enfants ne m’appelait son frère. L’
s en couronne : je le reconnais. Les siècles ne t’ont pas changé, mon
fils
; tu portes le même manteau, le même sceptre, la
cole se lève tout entière, et accompagne en triomphe dans la ville le
fils
du boulanger de Nancy. Vingt ans après, La Place
les détails, malgré tout ce qui sépare le majestueux évêque français,
fils
de magistrat, magistrat lui-même, reçu dans la co
randes funérailles, et l’harmonieux Trouvère de la Grèce idolâtre, le
fils
d’un musicien de Béotie, habitant une petite mais
es symboles parlants qui remplissent les livres de Salomon et ceux du
fils
de Sirach. Par toutes ces préférences, Bossuet, l
ateur, il philosophait de même. Il était assez riche et fort bien né,
fils
d’un conseiller au parlement de Bretagne et lui-m
enir régulièrement à sa femme 500 francs par mois, jusqu’à ce que son
fils
fût assez âgé pour obtenir une place, et cette da
sieurs endroits de cet ouvrage dans les termes les plus touchants. Un
fils
qu’elle avait d’un premier mariage, et que M. de
ité avec un ancien tailleur de pierres ; mais Maury n’était-il pas le
fils
d’un cordonnier ? Ce très-petit incident de notre
en tranchantes. Dites-moi, de grâce, pour qui je dois être. » — « Mon
fils
, répondit le saint homme, il faut être pour Dieu
rétiens, et aurait devancé dans le protectorat de la Méditerranée son
fils
immortel, l’héroïque vainqueur de Lépante819, s’i
oser avec l’hérésie victorieuse en Allemagne, trouvant à agrandir son
fils
en Angleterre, ayant soutenu une lutte et fait un
S’il devint désintéressé pour lui-même, il demeura ambitieux pour son
fils
. Se prononçant du fond de son monastère en 1557 c
démique Didier et Cie.) Ph. de Ségur (1780-1873) Notice
Fils
du général Louis-Philippe de Ségur, qui fut génér
la passion démocratique (Le Peuple, etc.), ont fait à Jules Michelet,
fils
d’un modeste imprimeur de Paris, une triple et éc
u moins un vif sentiment du pays. C’était une gaillarde population de
fils
de laboureurs, dont les grands-pères avaient fait
reportait à son enfance, aux années meilleures, à ses jouissances de
fils
, de père et d’époux : « Les mœurs ne s’apprenne
chercher dans le désert le lieu marqué de Dieu où il doit immoler son
fils
; il marche pendant trois jours, ayant près de lu
moler son fils ; il marche pendant trois jours, ayant près de lui son
fils
, qui demande innocemment où est la victime ; et p
l’amour paternel est infini dans sa miséricorde ; mais le repentir du
fils
, pressenti et deviné par le père, ôte à cet amour
mable, et le père est à la fois juste et clément : juste, puisque son
fils
pleure sur ses fautes ; clément, puisque, pour pa
passion ; et, courant à lui, il se jeta à son cou et le baisa. Et son
fils
lui dit : « Mon père, j’ai péché contre le ciel e
tre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d’être appelé ton
fils
. — Mais le père dit à ses serviteurs : « Apportez
un veau gras et le tuez. Mangeons, et réjouissons-nous, parce que mon
fils
, que voici, était mort, et il est revenu à la vie
tôt tout se devine, et combien le père a souffert de l’absence de son
fils
, et quels vœux il a faits pour son retour, car il
que Ménédème, et il n’est pas moins empressé que lui à accueillir son
fils
. Mais c’est ici qu’éclate la supériorité morale d
tu : Il était mort, et il est revenu à la vie. Ménédème reprendra son
fils
avec ses vices, s’il est revenu avec ses vices. I
voir et l’embrasser. Son instinct paternel le pousse, et il aime son
fils
, quel qu’il soit, bon ou mauvais. Dans l’Évangile
n enfant ; quoiqu’il n’ait pas entendu la résolution touchante que le
fils
a prise, dans la misère et dans la solitude, « d’
t avant qu’il ait parlé. Aussi, point de dialogue entre le père et le
fils
, point d’explication : tout s’accomplit dans un m
a fortune, le dédain de vivre petitement, dédain plus vif au cœur des
fils
de ceux qui ont fait de grandes choses. Ce sont c
là le ressort et le fil qui mettent en jeu tous ces hommes ; mais les
fils
sont cachés. De notre temps, il semble que c’est
aire : nous avons retourné la tapisserie, nous ne voyons plus que les
fils
; les personnages sont derrière et à peine visibl
de son cheval. Aussitôt qu’il aperçut ce vieux grand seigneur et son
fils
, le petit Ali fit un mouvement pour se jeter à te
rs habitations, ils dorment ou s’amusent, tandis qu’elle coupe un des
fils
de leur existence ; le lendemain, ils se lèvent g
, embrassait le mort958, faisait un signe de tête à sa veuve et à son
fils
, puis prenait place dans le cercle sans proférer
commère. N’avait-elle pas bien soin de toi ? » Un grand jeune homme,
fils
de Pietri, serrant la main froide de son père, s’
s sont des dimanches. — Jean-Baptiste ! le Christ ait ton âme ! — Ton
fils
gouverne ta maison. — J’ai vu tomber le chêne — d
e. Retiré dans un coin obcur de la salle, il pleura comme pleurait le
fils
de Pietri. (Colomba, XII. — Charpentier, éditeu
ées et soutenues, son sillon était aussi vite creusé que celui de son
fils
, qui menait à quelque distance quatre bœufs moins
porte les marchandises ; 2° chaland, acheteur. 24. Deuh ! Colas, mon
fils
, — patois lorrain. 25. Il fait bon vivre = il y
eurs. 210. Les gens de toute condition et de toute profession. 211.
Fils
du Maréchal Pierre Strozzi, Florentin au service
re, inhiare ont aussi le sens de aspirer à. 240. Philippe de Mornay,
fils
unique, fut, à 26 ans, tué d’un coup de canon sou
on sous Gueldres, le 23 octobre 1605. Son père dit : « J’ai perdu mon
fils
, j’ai donc perdu ma femme. » Elle mourut de chagr
nes épousa le duc de Montausier, qui fut gouverneur du grand dauphin,
fils
aîné de Louis XIV. 282. Le grand Condé pleura
dé, père du grand Condé, alors duc d’Enghien. 341. Le duc d’Enghien,
fils
du prince de Condé. 342. Le Palais de justice, o
t régente pendant la minorité de Louis XIV. 353. Ou Monsieur, second
fils
de Henri IV, beau-frère de la reine-mère. 354. R
les… ? 382. Psalm. lix, 4. 383. Régente pendant la minorité de son
fils
Louis XIV. 384. L’éloignement de madame de Monte
isi. » C’est lui qui engagea Boileau à écrire le Lutrin ; c’est à son
fils
que Boileau adresse sa VIe Épître. 394. Fléchier
u adresse sa VIe Épître. 394. Fléchier, devenu en 1662 précepteur da
fils
de M. de Caumartin, maître des requêtes, suivit l
ues, astronomiques ; théoricien de l’attraction universelle. 486. Le
fils
aîné de Louis XIV mourut de U petite vérole à Meu
avril 1711. Il est appelé Monseigneur. — Le roi, après la mort de son
fils
, se rendit avec madame de Maintenon à Marly, en p
assant par Versailles. — À Versailles résidaient le duc de Bourgogne,
fils
aîné, et le duc de Berry, troisième fils du Dauph
idaient le duc de Bourgogne, fils aîné, et le duc de Berry, troisième
fils
du Dauphin : le second était roi d’Espagne. — La
la duchesse de la Vallière, veuve en 1709 de François-Louis de Conti,
fils
prince Armand de Conti et neveu du grand Condé. —
mistes, qui s’appelait l’ami des hommes, et qui a été si dur pour son
fils
, le grand orateur. Voir, infra, la Notice sur ce
e mélange du récit au discours. 625. Apollonius s’adresse à Commode,
fils
de Marc-Aurèle. 626. Allusion à Averroès, philos
721. Le calcul des probabilités. 722. Antoine Drouot (1774-1847),
fils
d’un boulanger de Nancy, lieutenant d’artillerie
s en musique, l’un par Grétry, l’autre par Monsigny. 787. 1027-1087.
Fils
naturel de Robert le Diable, troisième duc de Nor
de Bohème et de Hongrie (Ferdinand Ier, empereur d’Allemagne), et son
fils
Philippe II, et se retira au monastère de Yuste o
s hommes. De même, les nobles cœurs applaudissent à l’enthousiasme du
fils
qui se croit capable de tout pour accomplir un de
lui fait Athalie. Athalie. Je prétends vous traiter comme mon propre
fils
. Joas. Comme votre fils ? Athalie.
ie. Je prétends vous traiter comme mon propre fils. Joas. Comme votre
fils
? Athalie. Oui ; v
roles de Manlius et de Brutus, qui condamnent eux-mêmes leurs propres
fils
et les font exécuter sous leurs yeux. Ils pouvaie
uche le cœur. Hector, armé pour le combat et prêt à partir, prend son
fils
dans ses bras et fait cette prière : Dieux immor
i son Hector vivait encore, elle ne renoncerait pas à voir monter son
fils
sur le trône. 70. Un sentiment délicat est celui
e sorte divine. On demande au vieil Horace comment il voulait que son
fils
pût résister à trois adversaires ; Que vouliez-v
tte faute : …Un brouillard glacé, rasant les pics sauvages, Comme un
fils
de Morvan, me vêtissait d’orages. (Jocelyn.) Il
ne le premier. Voici une lettre de Jean Racine : il fait part à son
fils
du plaisir qu’il lui fait en lui rendant compte d
ble ou une trop pénible impression. Évandre, faisant ses adieux à son
fils
, consent à vivre s’il doit encore le revoir ; mai
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
? non, c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
au sur la noblesse, et dans le discours du vieil Horace défendant son
fils
condamné à mort. Tite Live et Corneille peuvent ê
auxquels on s’adresse. La mère des Machabées disait à son plus jeune
fils
qu’Antiochus voulait séduire : Fili mi, miserere
ne parle pas à un père sur le ton que celui-ci prend à l’égard de son
fils
. La convenance exige encore que l’on donne une gr
ssemblés ! Répondez, cieux et mers, et vous, terre, parlez ! (Racine
fils
.) Le vers de dix syllabes a moins de majesté que
es mots a pris l’essor Vers les demeures éternelles… Pauvre mère, ton
fils
est mort. (J. Reboul.) Ô Père qu’adore mon père
elles choses, ressemble, dit Marmontel, à une mère qui, cherchant son
fils
dans la campagne, s’amuserait à cueillir des fleu
es sont fondées sur le contraste de deux vices opposés. Ici, c’est un
fils
prodigue qui désole un père avare ; là, c’est une
e, l’Art poétique d’Horace et celui de Boileau, la Religion de Racine
fils
, sont des poèmes didactiques. 544. Pour réussir d
x autour de toi, regarde : tous ces peuples s’avancent vers toi ; tes
fils
viendront de loin, tes filles s’élèveront à tes c
et leurs trésors, pour honorer le Dieu qui t’a comblée de gloire. Les
fils
de l’étranger relèveront tes murs et leurs rois t
rs forment ton vêtement. Comment es-tu tombé du ciel, astre brillant,
fils
de l’aurore ? Comment es-tu renversé sur la terre
. Vénus va se plaindre à Jupiter de l’acharnement de Junon contre son
fils
Énée. Le père des dieux la console en lui dévoila
s dieux la console en lui dévoilant ce que les destins réservent à ce
fils
; il envoie Mercure à Carthage pour qu’il dispose
te à Didon, qui lui fait un accueil favorable. Il envoie chercher son
fils
Ascagne ; mais Vénus, pour prévenir l’inconstance
Didon et la perfidie des Carthaginois, substitue au jeune Troyen son
fils
Cupidon. La reine caresse cet enfant, et, peu apr
Ce prince donne à Énée quatre cents chevaux commandés par Pallas, son
fils
unique, et lui conseille en même temps d’aller se
s s’opposent à sa descente. Il se livre un combat dans lequel Pallas,
fils
du roi Évandre, est tué par Turnus ; Énée, qui ve
nce, qui prend la place de ce prince dans le combat, est tué avec son
fils
Lausus par le héros troyen. Livre XI. Les deux p
out réponde. Belle comme Rachel, comme Lia féconde, Son épouse eut un
fils
: et cet enfant si beau Des bienfaits du Seigneur
: C’est l’aïeul de David ; Néomi le caresse, Elle ne peut quitter ce
fils
de sa tendresse, Et dit, en le montrant sur son s
mots a pris l’essor Vers les demeures éternelles… Pauvre mère !… ton
fils
est mort ! (J. Reboul.) Questionnaire du cou
, les mesures que j’ai prises pour en suivre la trame et en tenir les
fils
, sont encore pour vous des mystères dont vous brû
e garder la mémoire de son consulat et de ne pas abandonner son jeune
fils
. C’est la seule récompense qu’il réclame pour son
ma maison, auprès d’une épouse éperdue, d’une fille tremblante, d’un
fils
encore au berceau, en qui la république semble av
propre aïeul Fulvius avait été tué par l’ordre d’un consul, et que le
fils
de Fulvius, malgré son extrême jeunesse, malgré l
ce à la violence des méchants, si je succombe, je vous recommande mon
fils
encore enfant. Certes, il est assuré de ne manque
ils de deux hommes aussi recommandables que L. Paulus et M. Caton, et
fils
de la sœur de P. Scipion, fut condamné à payer di
dont les mœurs ressemblent si bien aux vôtres, Apollonius de Drépane,
fils
de Nicon, et qui porte aujourd’hui le nom d’A. Cl
main, vivant noblement et jouissant de la faveur du peuple, avait son
fils
sénateur et juge à Rome ; quoique Verrès ne l’ign
, je n’en dirai pas davantage ; mais cette action était bien digne du
fils
de celui qui le premier porta une loi contre les
indisposés contre nous. Vous savez que les jeunes rois de Syrie, les
fils
d’Antiochus, étaient à Rome il n’y a pas longtemp
ge et l’appareil d’un roi ; ce prince, ami et allié du peuple romain,
fils
d’un père très attaché à la république, dont l’aï
fêtes communes à Apollon et à Esculape ; Aristée, que les Grecs font
fils
de Bacchus, et à qui ils attribuent la découverte
cement de cette affaire. Puis-je supprimer ce qui regarde Apollonius,
fils
de Dioclès de Palerme, et surnommé Géminus ? Y a-
rait le préteur. Apollonius, saisi de frayeur, accourt avec son jeune
fils
; car son père Dioclès, fort âgé, ne quittait poi
tout accès auprès de ce malheureux à son père chargé d’années, à son
fils
à peine sorti de l’enfance. J’oublierai même qu’à
r votre défense. Il avouera que la vieillesse du père, la jeunesse du
fils
, les larmes de l’un et de l’autre, ont fait moins
chaînes, d’être renfermé, d’être soustrait à la vue d’un père et d’un
fils
, privé de la lumière et de l’air dont jouissent l
ses festins. Au milieu de ces hommes et de ces femmes paraissait son
fils
, déjà grand. Une société de cette nature l’aurait
retient tous, en donne quelques-uns à ses secrétaires, d’autres à son
fils
et à ceux de sa suite ; il envoie à Rome six musi
e criminels festins : il n’y avait point d’autre homme que lui et son
fils
, vêtu de la prétexte. Je pourrais dire même qu’il
oce que nous avons à traiter ? Les larmes d’un père sur le péril d’un
fils
innocent ne vous touchaient-elles point ? Vous av
-elles point ? Vous aviez laissé votre père à Rome ; vous aviez votre
fils
avec vous ; la présence de celui-ci ne vous rappe
s ramenait-il pas à la tendresse paternelle ? Aristée, votre hôte, et
fils
de Dexion, portait des chaînes : et pour quelle r
ans sa province ; parce qu’il attaqua Cléomène dans la défense de son
fils
, il fut exposé presque nu sur la place publique,
r. « Que donnerez-vous, continuait-il, pour que je fasse mourir votre
fils
d’un seul coup de hache ? pour lui abréger ses pe
s’il est affligeant pour un père de voir en cet état le corps de son
fils
, qu’il achète la permission de lui donner la sépu
, dans leurs ressentiments, viennent se plaindre de la perte de leurs
fils
: c’est un homme illustre et du premier ordre qui
omme illustre et du premier ordre qui parle, et ce n’est point de son
fils
qu’il parle. D’ailleurs, quel homme fut alors à S
un jeune homme des plus estimables, et d’entre les bras de sa mère un
fils
innocent, pour les livrer à Sestius, bourreau de
out ce que vous avez pris au public et à lui dans Tyndaris ; c’est un
fils
unique, vertueux, innocent, que ce malheureux vou
que votre condamnation soulage les cendres et les restes de son cher
fils
. Eubulide, ce vieillard accablé d’années, ne s’es
ns. C’est pour que, de ces yeux dont il a vu la tête sanglante de son
fils
, il voie votre condamnation. Si Métellus ne s’y é
son libérateur et vous son bourreau ; cette infortunée, réclamant son
fils
à haute voix, tomba suppliante à mes pieds comme
juge, que pourriez-vous faire quand il vous aurait dit : « Vous, mon
fils
, préteur dans une province du peuple romain, lors
mpagnons et de vos amis. Vous faisiez asseoir au milieu d’elles votre
fils
, mon petit-fils, pour que, dans un âge si fragile
e langue de posséder deux articles. Ces trois manieres de parler : le
fils
d’un roi, le fils du roi, un fils du roi, présent
er deux articles. Ces trois manieres de parler : le fils d’un roi, le
fils
du roi, un fils du roi, présentent trois sens bie
. Ces trois manieres de parler : le fils d’un roi, le fils du roi, un
fils
du roi, présentent trois sens bien différents ; l
e vieux Priant, aux pieds du vainqueur, redemandant les restes de son
fils
. Tous ces tableaux se succèdent sans confusion ;
choix, Et qu’à vos yeux, seigneur, je montre quelque joie De voir le
fils
d’Achille et le vainqueur de Troie. Oui, comme se
pira sous vous ; Et vous avez montré, par une heureuse audace, Que le
fils
seul d’Achille a pu remplir sa place. Souvent au
is, termine son discours par ces simples paroles : « Crains donc, mon
fils
, crains une condition si périlleuse ; arme-toi de
résume les différents motifs qui doivent décider Pyrrhus à livrer le
fils
d’Hector : Enfin de tous les Grecs satisfaites l
pira sous vous ; Et vous avez montré, par une heureuse audace, Que le
fils
seul d’Achille a pu remplir sa place. Mats, ce qu
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
?… Non, c’est de l’avoir fait reine malheureuse.
s Phèdre, pour effrayer Thésée qui s’était laissé prévenir contre son
fils
par les calomnies d’Œnone : Prenez garde, seigne
ver ; Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre Un… Votre
fils
, seigneur, me défend de poursuivre. J’imite sa pu
la justice en votre cœur Règne aussi bien qu’en votre bouche, Parlez,
fils
des hommes, pourquoi Faut-il qu’une haine farouch
de à deux membres : Si la loi du Seigneur vous touche, etc. — Parlez,
fils
des hommes, etc. Le premier membre est composé de
n est considérée comme le siége. Ainsi, dans Racine, Thésée dit à son
fils
: Je t’aimais, et je sens que, malgré ton offens
essentiels du style ment. C’est ainsi que le vieil Horace défend son
fils
, dans la tragédie de Corneille : Lauriers, sacré
l’école ensemble dans la ville d’Issoire, en Auvergne : Jeannot était
fils
d’un marchand de mulets très-renommé ; Colin avai
t bientôt marquis, sous le nom de M. de La Jeannotière, et retira son
fils
de l’école pour le produire dans le monde, à Pari
e, ébranlée par les folles dépenses de monsieur, de madame et de leur
fils
, s’écroula tout à coup. Le jeune homme se vit alo
fort jolis pour des Auvergnats, et s’aimaient beaucoup. Jeannot était
fils
d’un marchand de mulets très-renommé ; Colin deva
e : c’était un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son
fils
à Paris. Jeannot monta en chaise, en tendant la m
marquisat au bout de six mois, il retira de l’école M. le marquis son
fils
, pour le mettre à Paris dans le beau monde. « Col
t rien, ne put rien enseigner à son pupille. Monsieur voulait que son
fils
apprît le latin, madame ne le voulait pas. Ils pr
. « — Eh bien ! n’avais-je pas raison ? dit madame. « Je veux que mon
fils
soit un homme d’esprit, qu’il réussisse dans le m
joie ; le père était indécis. « Que faudra-t-il donc apprendre à mon
fils
? disait-il. — À être aimable, répondit l’ami que
t bien, monsieur, que vous êtes l’homme du monde le plus savant ; mon
fils
vous devra toute son éducation ; je m’imagine pou
c’est un chaos qu’on ne peut débrouiller. Qu’importe à monsieur votre
fils
que Charlemagne ait institué les douze pairs de F
e sa fortune, de ses fautes et de ses folles dépenses. « Après que le
fils
eut longtemps pleuré avec la mère ; il lui dit en
très-heureux. Et Jeannot le père, et Jeannotte la mère, et Jeannot le
fils
, virent que le bonheur n’est pas dans la vanité.
onne à qui nous écrivons. M. de Montausier veut féliciter le Dauphin,
fils
de Louis XIV, sur la prise de Philipsbourg ; il n
ne puisse concevoir, celle d’une mère à la nouvelle de la mort de son
fils
: « Madame de Longueville fait fendre le cœur, à
aller plus loin. « Madame, il se porte bien de sa blessure. — Et mon
fils
? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle,
. — Et mon fils ? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle, mon
fils
, mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort sur-l
ns, qui n’avait pensé de sa vie qu’à la chasse, vint pour emmener mes
fils
dans ses bois ; il resta quelque temps assis à no
ment celui qui cause avec nous. C’est ce que Racine conseillait à son
fils
aîné : « Ne croyez pas, lui disait-il, que ce soi
oyant sa fin arriver, il se tourna tout troublé vers Christophe : Mon
fils
, lui dit-il, je me sens tourmenté par une triste
assette avec quelques bijoux dedans, je te les donne. Prends-les, mon
fils
, et n’en donne rien à ton frère. « Le fils tressa
les donne. Prends-les, mon fils, et n’en donne rien à ton frère. « Le
fils
tressaillit, et resta quelque temps immobile. Ah
7. Horace a dit (sat. iii, 1. 1er) : « Ce que fait un père pour son
fils
, nous le devons faire pour nos amis, ne pas les p
tous les rangs. Le marchand le plus mince Élève ses enfants comme des
fils
de prince ; Sa fille, qu’en tous lieux il se plaî
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce
fils
de la Grèce et de la France, qui à une haute insp
a main J’ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes
fils
dédaignent Mnémosyne, Puisqu’ils ont fait outrage
eux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées, Le Rhône impétueux,
fils
des Alpes glacées, La Seine au flot royal, la Loi
traîne après lui tout ce qui paraît le plus immobile. Toi-même, ô mon
fils
! mon cher fils ! toi-même qui jouis maintenant d
tout ce qui paraît le plus immobile. Toi-même, ô mon fils ! mon cher
fils
! toi-même qui jouis maintenant d’une jeunesse si
à la douleur. Ce temps te paraît éloigné. Hélas ! tu te trompes, mon
fils
; il se hâte, le voilà qui arrive : ce qui vient
us parlons, et ne peut plus se rapprocher. Ne compte donc jamais, mon
fils
, sur le présent ; mais soutiens-loi dans le senti
posse. Pyrrhus, à qui il s’adressait, l’entendait de cette manière :
Fils
d’Eacide, je dis que tu pourras vaincre les Romai
uisse mortalem. On rapporte qu’Anaxagore, ayant appris la mort de son
fils
, dit : Je savais bien que je l’avais mis au monde
émouvant que le passage suivant, où le vénérable Anchise aperçoit son
fils
Enée qui vient à lui à travers la prairie ? Il lu
doit y avoir identité de pensées et de sentiments entre le père et le
fils
. Ce que le poète exprime si bien par les mots sui
ivants : exspectata parenti, piété déjà si connue du père, et dont le
fils
donnait alors une preuve si évidente. Vicit iter
notas audire et reddere voces. Pourquoi ces paroles d’Anchise à son
fils
: Je puis encore vous voir, vous entendre et vous
vénérable vieillard. Il était donc naturel qu’il le manifestât à son
fils
en ces termes qui expriment si vivement les senti
on cœur : Datur ora tueri, nate, tua, etc. « Vous venez enfin, ô mon
fils
! votre piété, dont vous m’avez donné tant de pre
morsu depascitur artus. Les serpents se jettent d’abord sur les deux
fils
de Laocoon : Et primùm parva duorum, etc. Ces jeu
e vous, de ce que vous ne m’avez pas mandé que vous aviez fouetté mon
fils
; car je veulx et vous commande de le fouetter5 t
fort ce mode d’éducation qui excitait l’indignation de Montaigne. Les
fils
de France étaient soumis au même traitement que l
t a parlé de lui, et le public l’a applaudi avec attendrissement. Son
fils
était dans un transport inexprimable. Dans les jo
plénitude, quand on n’y a pas mêlé d’enthousiasme ? Comment aimer son
fils
sans se flatter qu’il sera noble et fier, sans so
épète ? Pourquoi ne jouirait-on pas avec transport des talents de son
fils
, du charme de sa fille ? Quelle singulière ingrat
si c’est un frère qui tue ou qui est au moment de tuer son frère, un
fils
son père, une mère son fils, un fils sa mère, ou
u qui est au moment de tuer son frère, un fils son père, une mère son
fils
, un fils sa mère, ou quelque chose de semblable,
au moment de tuer son frère, un fils son père, une mère son fils, un
fils
sa mère, ou quelque chose de semblable, c’est alo
re : comme dans le Cresphonte, où Mérope est au moment de frapper son
fils
, qu’elle ne frappe pas, parce qu’elle le reconnaî
. » Et dans le Tydée de Théodecte : « Un roi allait pour chercher son
fils
, et lui-même il périt. » Et encore dans les Fille
les amants de sa femme dissipent son bien et veulent faire périr son
fils
. Cet homme, après des travaux infinis, revient ch
andé, au lieu de prier, lorsqu’il a dit : « Muse, chante la colère du
fils
de Pélée ? » Car, dit-il, commander, c’est ordonn
s-là ! » — Ce trait de fatuité patricienne mérite d’être noté. 1. Le
Fils
naturel, le Père de famille. 2. Vue du port de
. » 1. Michel Van-Loo, célèbre peintre de portraits, mort en 1765,
fils
de Jean-Baptiste Van-Loo, également renommé par s
en 1773. Son principal titre est un recueil de lettres écrites à son
fils
. 1. On dit encore : un homme très-répandu dans l
nt son école venait tout récemment d’accoucher, et lui avait donné un
fils
. « Allons donc, dit Favorinus, faire visite à l’a
r plus longuement : « Sans doute, dit-il, c’est elle qui nourrira son
fils
? » Mais comme la mère de la jeune femme faisait
, laissez-la donc être entièrement et sans restriction la mère de son
fils
. » En effet, c’est se mettre en opposition avec l
à ses crimes ; mais, après sa mort, il trouva dans l’opprobre de son
fils
la punition à laquelle il avait échappé pendant s
duite irréprochable. Comme il sentait sa fin approcher, il appela son
fils
, jeune homme profondément corrompu, et lui dit :
ne homme profondément corrompu, et lui dit : « Vous allez savoir, mon
fils
, à quel succès ont abouti les travaux d’une si lo
lle suite de jours. Ces instructions données, le vieillard expire. Le
fils
témoigne la plus violente douleur. Mais, venant à
son tour. Une maladie de fit songer à la fiole. Il avait lui-même un
fils
, plus semblable à son père qu’à son aïeul. Il ima
vies de point en point, son corps serait tout entier changé en or. Le
fils
pleurait, et protestait par les plus forts sermen
ble chars][texte coupé]re ! Dieux immortels, quel est votre dessein ?
Fils
de Léda, [illisible chars][texte coupé]oiles amie
us vives alarmes, ensuite de la plus grande affliction. Il avait deux
fils
, dont l’un, nommé Atys, supérieur à l’autre par u
homicide la main même à laquelle le père avait confié la garde de son
fils
, la main d’un suppliant, que le roi Crésus, dans
Aristote l’éducation d’Alexandre. 43. Philippe, devenu père d’un
fils
dont tant de présages lui avaient fait concevoir
es : « Philippe à Aristote, salut. Je vous apprends qu’il m’est né un
fils
; et je rends grâces aux dieux, non pas tant de m
taient plus estimés. Version XLIV. Instructions de Dédale à son
fils
. Chute et mort d’Icare. 44. « Vole à une égal
mes, et ses mains paternelles tremblèrent. Il donne des baisers à son
fils
, les derniers baisers, et porté sur ses ailes, il
e, Dédale agite ses ailes, et se retourne pour regarder celles de son
fils
. Bientôt l’enfant prit plaisir à son vol audacieu
ors il maudit ses inventions, enferma dans un tombeau le corps de son
fils
, et la terre reçut le nom de l’enfant, avec sa dé
médecins a perdu le roi. » Il fut enseveli au bord du Tibre ; et son
fils
adoptif, Antonin (surnommé le Pieux à cette occas
Les Parthes des élèvent avec autant de sollicitude que leurs propres
fils
, et s’épargnent aucun soin pour leur apprendre à
une fête militaire, pour célébrer l’anniversaire de Géta, son second
fils
. Il vit, au milieu de la foule, le jeune guerrier
umain, se laissa toucher aux malheurs de son vieux maître et du jeune
fils
de celui-ci ; et, loin de s’armer d’une cruauté i
tait seulement plus habile en fait de méchanceté. Le vieillard et son
fils
furent épargnés ; et, croyant qu’ils avaient été
2. Pompée fuyait avec les deux Lentulus, personnages consulaires, son
fils
Sextus, et Favonius, ancien préteur, que la fortu
s donnant l’exemple, tous à la fois saluent Romulus du titre de dieu,
fils
d’un dieu, roi et père de Rome ; ils le supplient
e ; elle lui procura la jouissance de voir en même temps trois de ses
fils
personnages consulaires, dont l’un avait même été
les bras des êtres qui lui étaient les plus chers ; et ce furent ses
fils
et ses gendres qui, après l’avoir porté dans Rome
r vigilant ou zélé cultivateur des vertus que comportait l’âge de son
fils
, il faisait retentir à ses oreilles, non pas comm
. Version XXII. Vices et vertus d’Alcibiade. 22. Alcibiade,
fils
de Clinias, était d’Athènes. La nature semble avo
ou la nature. Version XXIII. Thémistocle. 23. Thémistocle,
fils
de Néoclès, était d’Athènes. Les vices qui signal
XXVII. Discours de Charles-Quint, roi d’Espagne, à Philippe II son
fils
, en abdiquant la couronne. 37. Si c’était ma
n de ces provinces, j’aurais quelque titre à la reconnaissance de mon
fils
, en lui laissant un patrimoine si florissant, et
confie. Les autres monarques se félicitent d’avoir donné la vie à des
fils
, et de prévoir qu’ils leur légueront un jour la c
œu, le vœu d’un père : c’est que vous voyiez grandir sous vos yeux un
fils
en faveur duquel vous puissiez abdiquer la couron
pauvre, où Rome commençait ; alors qu’une humble cabane suffisait au
fils
de Mars, à Quirinus, et que les joncs du fleuve f
d’épuiser la Macédoine, quand les vétérans seraient remplacés par des
fils
élèves de leurs pères, qui serviraient dans les r
l assigna aux pères des récompenses proportionnées au nombre de leurs
fils
. Les orphelins continuaient à recevoir la solde d
Calabre, de l’Apulie et de la Campanie, de rendre à la mémoire de son
fils
les honneurs su prêmes. Les cendres étaient porté
e devant les chevaux, qui frémissent à son affreux aspect. Mais votre
fils
se lève fier et menaçant ; il n’a point changé de
t à se dérober au joug, se cabrent, et renversent leur fardeau. Votre
fils
est précipité de son char ; en tombant, il s’emba
t-être plutôt qu’il ne la mérita, mourut en laissant pour héritier le
fils
d’un homme qui avait été son ennemi. Version L
ysse, cet enfant, la terreur de mille vaisseaux. Joins tes mains, mon
fils
; prosterné devant un maître, presse en suppliant
ristote l’éducation d’Alexandre. 82 44. Instructions de Dédale à son
fils
. Chute et mort d’Icare. 84 45. Ælius Adrien. 84
244 37. Discours de Charles-Quint, roi d’Espagne, à Philippe II son
fils
, en abdiquant la couronne. 246 38. L’homme est i
ille du même nom ; mais César ne porta pas ses armes jusque-là. ***.
Fils
de Mithridate, dont la défaite fut annoncée par C
questibus implet. Dédale, relégué dans l’île de Crète avec son jeune
fils
Icare, fabrique des ailes à l’aide desquelles ils
erveille. Dédale attache ensuite les ailes fatales aux épaules de son
fils
. Il s’agit ici de peindre l’inquiétude de ce tend
lèrent de larmes, ses mains paternelles tremblèrent ; il embrassa son
fils
, mais, hélas ! c’était pour la dernière fois. »
mais qui n’avait pu, à cause de sa douleur, y graver la chute de son
fils
. Bis conatus erat casus effingere in auro, Bis
; l’indignation de ce roi à la vue de Pyrrhus qui égorge l’un de ses
fils
; le trait qu’il lui lance d’une main faible et t
tout entier, jeune dans Achille, mûr dans Ulysse, vieux dans Nestor,
fils
dans Télémaque, père dans Priam ? Homère lui-même
ai dit qu’Homère avait peint, dans l’Odyssée et l’Iliade, le père, le
fils
, l’épouse. L’étude des diverses relations naturel
ssions, les rapports de famille ou de société. Le Père de famille, le
Fils
naturel de Diderot, beaucoup d’autres drames de c
et de ma mère4, dont il ne pouvait assez vanter le bonheur d’avoir un
fils
tel que moi. En même temps, il versait du vin dan
ndre. 8. Accolade, bras jetés autour du cou. 9. « Anthée », géant,
fils
de Neptune et de la Terre, étouffé par Hercule.
r Louis le Grand. (Discours à l’Académie.) Lettre de Racine à son
fils
ainé 1 Au camp de Thieusies, le 2 juin 1693.
e mère vous fera part des nouvelles que je lui mande. Adieu, mon cher
fils
. Je ne sais pas bien si je serai en état d’écrire
s des guerriers dont nous célébrons la mémoire : ils savent que leurs
fils
naquirent soumis aux viscissitudes de la fortune.
heux lorsqu’ils y verront, empreinte à chaque pas, la gloire de leurs
fils
: la gloire ! le seul sentiment qui jamais ne vie
oraisons funèbres que prononça Massillon, on remarque aussi celle du
fils
unique de Louis XIV. 2. « C’est, a dit Châteaub
femme, la dauphine Marie-Adélaïde de Savoie. Le duc de Bretagne, leur
fils
, les suivit de près et mourut le 8 mars de la mêm
l homme d’esprit et de cœur ne souhaiterait pour lui-même ou pour son
fils
de séjourner le plus possible dans ce milieu pur
tes-vous pas ici sur la montagne sainte, Où le père des Juifs sur son
fils
innocent Leva sans murmurer un bras obéissant ?
re même de la chose. Ainsi, le vieil Horace essayant de justifier son
fils
du meurtre de Camille et de présenter ce meurtre
r parler. La douleur de Phérécyde qui vient de perdre Hippias, son
fils
d’adoption, n’est pas moins touchante : O cher e
, dans ces vers que Corneille prête au vieil Horace apprenant que son
fils
, qu’il avait soupçonné d’une lâcheté, est vainque
it soupçonné d’une lâcheté, est vainqueur des trois Curiaces : O mon
fils
! Ô ma joie ! ô l’honneur de nos jours ! O d’un É
u deviner les gémissements de l’amour paternel. Nestor pleure sur son
fils
Pisistrate : Malheureux d’avoir été père et d’av
pour les maux, je n’ai plus de sentiment que pour la tristesse. O mon
fils
, mon cher Pisistrate ! quand je perdis ton frère
le visage et la voix altérés par les larmes, il prit dans ses bras le
fils
de son client et le présenta aux juges pour implo
r tous ceux qui sont intéressés à cette consommation, Dieu, son divin
fils
et l’homme ; elle est opposée parla distinction e
ition, ne sont que le fond naturel et légitime de ce beau portrait du
fils
d’un héros qui seul reste inébranlable et pousse
les comprenant immenses, il ne pensa plus qu’à allier les devoirs de
fils
et de su ……… e voyait destiné. La Fontaine a d
s bons ‘ livres et les livres frivoles ou mauvais. Quand ses
fils
ingrats l’accusaient d’être tombé en enfanc
les de Cléante : Sacrifiez à Dieu toute votre colère Et remettez le
fils
en grâce avec le père. Tartufe. Je vous ai d
ue de souffrir ainsi contre toute raison Qu’on en chasse pour vous le
fils
de la maison ? Croyez-moi, c’est donner de voire
te de faire périr une femme qui a tué son mari, qu’il est juste qu’un
fils
venge le meurtre de son père, et l’on absout Ores
son père, et l’on absout Oreste sans se demander s’il est juste qu’un
fils
assassine sa mère. Prendre pour cause ce qui n’e
ustice au malheureux Hippolyte se dit à lui-même : Allons de ce cher
fils
embrasser ce qui reste, Rendons-lui les honneurs
t l’Espagne seront désormais unies ; Louis XIV dit.à Philippe V : Mon
fils
, il n’y a plus de Pyrénées ; il suffit de rapproc
x ; mais la terre ne le nourrit plus et sa vie est éteinte : ainsi le
fils
d’Idoménée, comme une jeune et tendre fleur, est
ssèche et sa belle tête penche, ne pouvant plus se soutenir. Ainsi le
fils
d’Ulysse était aux portes de la mort. Fénelon
passion a aussi ses périphrases. Quand Agrippine veut, déprécier son
fils
, elle n’est plus sa mère ; Néron n’est plus César
es expressives ont remplacé les mots propres : On verra d’un côté le
fils
d’un empereur, Redemandant la foi jurée à sa
lle, Et de Germanicus on entendra la fille ; De l’autre l’on verra le
fils
d’Ænobarbus. C’est la flatterie qui substitue a
qu’attendez-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son
fils
? Non ; c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
ins, Mais tout n’est pas détruit et vous en laissez vivre Un... Votre
fils
, seigneur, m’empêche de poursuivre. Quelle agita
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur
fils
? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre
Lâches ! qui pleins d’orgueil et faibles de courage Consumez, de mon
fils
le fertile héritage. Traduit par Boileau. 2. D
oire est dans nos propres mains, Racine. Horace veut prouver que son
fils
ne doit pas être puni : Dis, Valère, dis-nous, p
Et devez-vous souffrir, pour votre démêlé, Que du logis d’un père un
fils
soit exilé ? Molière Bossuet en a fait un très-b
? vous appellerai-je soldais, vous qui avez assiégé dans son camp le
fils
de votre empereur en le menaçant de vos armes ? C
Néoptolème de ne pas l’abandonner seul dans l’ile de Lemnos : O mon
fils
! je te prie, je te conjure par les mânes de ton
d’un beau jour. Fénelon emploie une comparaison quand i ! dit : Le
fils
d’Idoménée, comme une jeune et tendre fleur, est
elle que tout vit dans la poésie et dans l’éloquence. Aussi Racine le
fils
a-t-il justifié en poëte et en critique de goût c
ys n’en feront plus qu’un, n’auront plus de frontières : « Allez, mon
fils
, il n’y a plus de Pyrénées. » 5° Le possesseu
t : Que ton effronterie a surpris ma vieillesse ! dit Géronte à son
fils
le Menteur. De même Burrhus à Agrippine : Votre
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon
fils
, que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
les vignes de Poitiers contre le prince Noir, qui le prend lui et son
fils
, les mène à Londres où le maire, qui était marcha
C’est sous une forme laconique qu’une mère Lacédémonienne armant son
fils
du bouclier lui dit : « Ou dessus ou dessous. » L
ort des plaintes de David, renversé de son trône et persécuté par son
fils
Absalon, avec l’humiliation d’un chrétien qui se
e. Aussi les grands siècles scientifiques furent-ils presque toujours
fils
des grands siècles littéraires, et la renaissance
Beaumarchais 1732-1799 [Notice]
Fils
d’un horloger, mécanicien habile, maître de musiq
er toutes les Espagnes. Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ?
Fils
de je ne sais qui, volé par des bandits, élevé da
(Le greffier écrit.) Figaro. Si le ciel l’eût voulu, je serais le
fils
d’un prince. Le comte au greffier. Allez. L’h
u pluriel, mais l’adjectif suivant reste au singulier. Exemple : Mon
fils
, vous serez estimé, si vous êtes sage. 125. — L
n adverbe, et il n’a point de régime : il était sur son trône, et ses
fils
étaient à l’entour. 144. — Ne confondez pas ava
ait ces dames dans le salon, M. de Souvré survint ; à l’aspect de son
fils
paré des dépouilles de sa chambre, il recula deux
eut prendre pour exemple les paroles que la déesse Calypso adresse au
fils
d’Ulysse pour retenir ce jeune prince dans son îl
fut fini, la déesse prit Télémaque, et lui parla ainsi : Vous voyez,
fils
du grand Ulysse, avec quelle faveur je vous reçoi
aux chants de deuil, et l’on entendait les pleurs d’une femme et d’un
fils
se mêler aux hymnes du Christ sur la croix. Cepen
une réponse de Jupiter aux plaintes de Vénus sur le sort d’Énée, son
fils
; Ce dieu donc des dieux le plus sage. Se radouc
e et du pays latin. » Le deuxième est un dialogue entre Vénus et son
fils
Énée : « Vous sentez la dame divine, J’en jurera
de ses économies. Oh ! quelle fête ! quel jour de gloire pour un bon
fils
! quelle satisfaction de retourner, après un si l
le gouffre, voyant qu’il ne peut tarder à s’y voir engloutir, le bon
fils
veut signaler sa dernière heure par les pieux sen
e Syracusain les funestes effets de cette guerre, qui lui a ravi deux
fils
, la consolation et l’espoir de sa vieillesse. Je
ait trop longtemps que Vénus était la déesse de la beauté, et que son
fils
enfant depuis l’âge d’or, pouvait bien avoir aujo
nce et l’obtiendra : elle tombera sur vous et sur vos enfants ; et le
fils
d’un père injuste, et héritant de son crime, héri
e mère peut-elle oublier son enfant et n’avoir point de compassion du
fils
qu’elle a porté dans ses entrailles ? Mais, quand
) Un négociant français, établi à Boston, rappelle sommairement à son
fils
, officier dans l’armée française, les causes de l
e style de La Bruyère. (Grenoble, août 1886.) lettre d’un père a son
fils
pour le détourner des jeux de hasard. 1° Vous ave
générale de ces lignes de La Bruyère (Du mérite personnel) : « Votre
fils
est bègue ; ne le faites point monter sur la trib
son bienfaiteur. Il devint sous l’empereur d’Allemagne François Ier,
fils
de Léopold, un des numismates les plus distingués
Andromaque et Clytemnestre aiment, celle-ci sa fille et celle-là son
fils
, d’un amour désintéressé ; Agrippine n’aime son f
et celle-là son fils, d’un amour désintéressé ; Agrippine n’aime son
fils
que pour elle-même. De ces trois mères Andromaque
cruelle de manquer à la mémoire de son mari ou de laisser immoler son
fils
. Astyanax ne parait pas sur la scène, mais il est
elle entend gouverner sous son nom. Si elle essaye de réconcilier son
fils
avec Britannicus, c’est parce qu’elle a besoin qu
euse n’a pas les sentiments d’une mère réelle ; elle n’aime point son
fils
; on n’est pas touché de ses plaintes. Elle mérit
s principes. Elle est ambitieuse, elle veut régner sous le nom de son
fils
, elle n’attache aucun prix à la vertu pour elle-m
iderot eut moins de succès. Ses deux drames, le Père de Famille et le
Fils
Naturel sont déclamatoires et manquent d’intérêt.
ès la fatale révocation de l’Édit de Nantes sont morts en exil. Leurs
fils
n’ont pas tous oublié leur patrie. Il serait sage
n ne console pas les grandes douleurs, on les distrait. Il envoie son
fils
combattre les Maures. Le roi est plein de justice
èlement le souvenir de son mari, qui ne consent à suivre à l’autel le
fils
du vainqueur d’Hector et le destructeur de Troie,
, qui aime Andromaque et qui descend jusqu’à la menacer de livrer son
fils
aux Grecs, si elle s’obstine à le repousser, n’es
ces nouveaux auteurs que vous applaudissez maintenant ne sont que les
fils
ingrats du grand Corneille ! Avant lui, la scène
ndant resté presque seul de tous ses anciens admirateurs, il a vu les
fils
de ceux qu’il fit vaincre à Rocroi, en leur faisa
tantôt la verve comique la plus séduisante comme dans le Meunier, son
fils
et l’âne. Certains de ses personnages ont un cara
à la cour de Nymphée, que le mariage s’accomplisse. Mithridate a deux
fils
, dont l’un, Xipharès, aimait Monime avant ses fia
la pièce, le bruit court, de la mort de Mithridate. Pharnace, second
fils
du roi, accourt pour épouser Monime qui hait en l
e par l’annonce de son retour. Le roi, surpris de voir à sa cour, son
fils
Pharnace, devine ses attaques contre Monime et es
aques contre Monime et est confirmé dans ce soupçon ; il va punir son
fils
quand ce dernier lui dévoile les amours de Xiphar
ourir aux armes. Blessé mortellement, il expire entre les bras de son
fils
Xipharès, son hardi défenseur, auquel il accorde
écrit à Fénelon qu’elle s’était inspirée pour élever sa fille et son
fils
des idées de l’auteur du Traité sur l’éducation d
fortune et que cependant il lui fallait pourvoir à l’éducation de son
fils
, alors âgé de onze ans. Mme de la Sablière tira L
goûtait singulièrement les ouvrages de La Fontaine, se chargea de son
fils
et Mme de la Sablière retira chez elle le fabulis
parfois si froide, si dédaigneuse et toujours autant adorée. – Et son
fils
? Elle l’aima, plus et mieux, je crois, que beauc
t la femme peut-elle servir son pays ? – Mme de Sévigné a dit : « Mon
fils
a une qualité très commode, c’est qu’il est fort
nt Corneille a su varier dans trois personnages, le vieil Horace, son
fils
et Curiace, l’expression d’un même sentiment, le
de leurs bras. – Réponse de l’instituteur. – Un instituteur, dont le
fils
est sorti de l’École normale, lui écrit pour le m
écrit à un père de famille pour l’engager à envoyer régulièrement son
fils
à l’école. – Il fait ressortir les avantages de l
habitants résolus, partage cette troupe en trois bandes, donne à son
fils
la première de trente hommes, met à la tête de la
l’inauguration de ce monument. Jean Bouzard n’existait plus, mais son
fils
était là, digne héritier de son père. Vous peindr
le commandement des Athéniens et des Platéens à un certain Miltiade,
fils
de Cimon, qui est évidemment un héros, un demi-di
as brisés d’un coup d’une massue, et ne pressera plus sur son sein le
fils
qu’une épouse porte encore à la mamelle. Celui-ci
t de retour dans sa famille sans savoir à qui il doit sa liberté. Son
fils
seul croit connaître l’auteur de ce bienfait : c’
ragraphe. – Retour brusque de M. Robert. Dialogue entre le père et le
fils
. Quel est le bienfaiteur ? Ce ne peut être que l’
n arrivée. L’empereur, en apprenant à son retour que son gendre était
fils
d’un noble seigneur, proscrit pour avoir guerroyé
de divers côtés. Avec celui de Louis IX, rapporté de Tunisie par son
fils
Philippe, elle reçut les cercueils des cinq princ
étrangers. Quand il se fut assis sous le dais, ayant à sa droite son
fils
, à sa gauche sa sœur la gouvernante Marie, il pri
plus d’âge à continuer ses travaux et qu’il remettait ses états à son
fils
Philippe. En finissant, il recommanda aux assista
nts de rester fidèles au nouveau souverain. Puis se tournant vers son
fils
, il l’exhorta, dans les termes les plus pathétiqu
mbassadeurs….. Charles-Quint est vètu de deuil. Il est entouré de son
fils
, de son frère, de sa sœur, de ses neveux. Il s’ap
au seul vrai Dieu, créateur du ciel et de la terre, qui a envoyé son
fils
parmi nous, pour ramener les hommes au culte de l
francs, de ces hordes efféminées de l’Orient ?….. N’ètes-vous pas les
fils
de ces hommes qui ont conquis les Gaules ?… N’est
e canon qui le tua emportait le bras de M. de Saint-Hilaire, le jeune
fils
de celui-ci se mit à pousser des cris ; mais le p
ue parait dans le camp le jeune David. Son vieux père, dont les trois
fils
ainés servaient dans l’armée de Saül, l’avait env
tant qu’à la fin, ses mains lassées n’ont plus la force d’enlever les
fils
et qu’elle demeure prisonnière, n’espérant qu’en
émie ; ses soldats, inquiets, se pressent autour de sa tente….. ; son
fils
Philippe est à genoux près de son lit….. le saint
lculant la durée de la vie de Faraday, dit M. Tyndall, on voit que ce
fils
de forgeron, cet apprenti relieur, eut à choisir
fer. 2° Un orage éclate… Lancement du cerf-volant par Franklin et son
fils
… attente… déception… espoir… 3° Franklin touche l
s rendaient surtout hommage. En notre têmps positif, hélas ! Apollon,
fils
de Jupiter, dieu de la poésie et des arts, dont l
e auprès de vous l’office de secrétaire universel. Lorsque Prométhée,
fils
de Junon, dérobait le feu du ciel pour en faire l
naissez – le proverbe suivant : « Les étincelles n’effraient pas les
fils
des forgerons. » – Développer le récit suivant
° dans la défense nationale. – Un de vos anciens camarades de classe,
fils
d’un cultivateur aisé, vous écrit qu’il ne veut p
et appréciez cette pensée. – Expliquer cette pensée : « Chacun est le
fils
de ses œuvres. » Est-elle plus vraie et d’une app
x en mettant en relief son importance. – Lettre d’un commerçant à son
fils
sur l’exactitude, l’ordre, la régularité. – Lettr
mille qui vous adresserait la question suivante : « Désirant que mon
fils
, qui est encore enfant, sache un jour parfaitemen
quelques arpents son mince patrimoine. Mais ce que le père a fait les
fils
le feront-ils, sur une parcelle amoindrie de la t
ndront-ils à mourir de faim sur un carré de plus en plus minime ? Les
fils
courent à la ville prochaine ; ils fuient les cam
ands centres, vers Paris, la ville des espérances… souvent déçues. Le
fils
du paysan laisse la pioche, dépose la charrue ; i
u paysan laisse la pioche, dépose la charrue ; il devient ouvrier. Le
fils
du commerçant et de l’industriel dédaigne et aban
s mots qui trompe les esprits les plus pondérés ! Alors que les vrais
fils
de la France emportaient avec eux au dehors les q
533, d’une famille originaire d’Angleterre, Michel de Montaigne était
fils
d’un loyal écuyer qui avait servi dans les guerre
elui là qui fouït11 mon iardin, il a ce matin enterré son pere ou son
fils
. Les noms mesme dequoy12 ils appellent les maladi
re des vertus. …………… C’est elle qui revêt d’une indomptable force Vos
fils
, durs à la neige, insensibles au feu ; Par elle v
férentes. 1º Du plus au moins : Si Dieu, dit saint Paul, a livré son
Fils
à la mort pour nous, que ne nous donnera-t-il pas
e père possédait de très belles terres, et qu’il laissait résider son
fils
dans ces terres pour les administrer. Expliquez
par inimitié que Roscius mettait ses richesses entre les mains de son
fils
, en se reposant sur lui de l’administration de ta
e, c’est une peine complètement perdue. Le vieil Horace croit que son
fils
, après la mort des deux frères, a fui devant les
j’ai pour vous. Et je ne parle point ainsi pour vous confondre, ô mon
fils
! mais pour vous avertir comme l’enfant bien-aimé
l a pour adversaires des personnes qui méritent beaucoup d’égards. Un
fils
est-il obligé de plaider contre son père, un infé
ius et sa mère. Quel que soit le caractère d’une mire, je le sais, un
fils
traduit en justice peut à peine dévoiler la honte
érences : Pendant que le dix-huitième siècle outrageait à plaisir le
Fils
de Dieu, il se trouva, dans le sein même de ce co
s et leurs ministres ; vous assisterez aux élévations et aux ruines ;
fils
du temps, le temps vous initiera aux secrets de l
pas, et le dernier obtint avec beaucoup de peine cette grâce pour son
fils
Pérolla, dont les engagements avec les Romains n’
tuer Annibal. Pacuvius, hors de lui-même, entreprend de détourner son
fils
d’une résolution si funeste, et lui adresse un di
de chercher les motifs par lesquels celui-ci pourrait déterminer son
fils
: il s’en est présenté trois à son esprit ; le pr
ond regarde le père, qui est résolu de se mettre entre Annibal et son
fils
, et qu’il faudra par conséquent percer le premier
’orateur et du logicien : SYLLOGISMES. Première preuve. Majeure. Mon
fils
, vous ne devez pas entreprendre une action qui vo
les droits sacrés de l’hospitalité ; 3º l’autorité d’un père sur son
fils
. « Paucæ horæ sunt, intra quas jurantes per quidq
traité ; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le respect qu’un
fils
doit à son père. La dernière pensée est fort bell
ieu ne plaise ! que vous descendiez aujourd’hui au tombeau, que votre
fils
soit dans un âge raisonnable, et que je poursuive
ccablé mon père et moi. Croyez que je lui demanderais pardon, à votre
fils
, de la nécessité cruelle à laquelle je serais réd
n’a pas connu la vérité. » Voilà, monsieur, ce que je dirais à votre
fils
. Mais faire une recherche barbare des injures les
otre tombeau, pour dire à ce malheureux enfant : Ne m’imitez pas, mon
fils
, ne me défendez pas… ; J’aimerais mieux mille foi
déchire, ses reproches m’accablent. Je l’entends qui me crie : « Mon
fils
! et tu étais présent, et j’ai été outragé à ce p
qu’est devenu ton courage ? N’ai-je plus de vengeur ? n’ai-je plus de
fils
?… » Arrêtez, ombre chère et sacrée, arrêtez ! Ou
fils ?… » Arrêtez, ombre chère et sacrée, arrêtez ! Oui, vous avez un
fils
, et il est toujours le même ; pénétré de vos vert
upplices qui peuvent accabler l’humanité se sont rassemblés sur votre
fils
, dans l’instant où vous avez été si cruellement o
blier, c’est méconnaître leur nature, leur génie et leur destinée. Le
fils
du Macédonien, l’élève d’Aristote, s’empara par s
dèles, les fautes naguère commises en Europe, les armes à la main, ce
fils
des croisés, pour rappeler un mot connu, se crois
nière, et, dans ses véhémentes philippiques, se repent aux dépens des
fils
de Voltaire, qu’il accable de ses traits acérés e
ivrée par son père. Agrippine arrache une dernière fois le pouvoir au
fils
qui doit la proscrire un jour. Un cri du cœur, l’
êtes-vous pas ici sur la montagne sainte Où le père des Juifs sur son
fils
innocent Leva sans murmurer un bras obéissant ?
l’Oraison funèbre de Turenne. Le vieil Horace, dans le procès de son
fils
, définit le crime en ces termes : Aimer nos enne
RODOGUNE. C’est à vous de choisir mon amour ou ma haine. J’aime les
fils
du roi, je hais ceux de la reine : Réglez-vous là
omaque, le ton pressant et impérieux d’Oreste, réclamant à Pyrrhus le
fils
d’Hector, produit un effet contraire à son but av
définition que Caton l’Ancien donnait de l’orateur : « l’orateur, mon
fils
Marcus, est l’homme de bien qui sait parler. » —
ile à votre gloire ; Et Rome, unique objet d’un désespoir si beau, Du
fils
de Mithridate est le digne tombeau. (Acte III, sc
l’auditeur dès les premiers mots. Ainsi raisonne Mithridate avec ses
fils
: Ne vous figurez point que de cette contrée Par
ion ont été omises. Le brillant dilemme du vieil Horace défendant son
fils
pèche par un vice de ce genre. Où penses-tu choi
ours en paix, est toujours prêt dans le besoin à faire la guerre ; le
fils
est toujours en guerre, toujours prêt à donner la
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon
fils
, que cache sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauv
funèbre de Marie-Thérèse, en rappelant la mort du duc d’Anjou, second
fils
de cette princesse, il emploie la même image, ave
c. iii. Vous vous êtes servi de ma funeste main Pour mettreà votre
fils
un poignardà la main. Mithridate, acte IV, sc.
un gendre. Mithridate, acte III, sc. i. De l’autre, l’on verra le
fils
d’Énobarbus. Britannicus, acte IV, sc. i. Ton
Calvin 1509-1564 [Notice] Né à Noyon, en 1509,
fils
d’un procureur fiscal, élevé dans l’Université de
eresse, mais je me confie en sa bonté et en la mort et passion de son
Fils
. Ainsi je ne doute point de mon salut puisqu’il m
composa la Politique. En 343, Philippe lui confia l’éducation de son
fils
Alexandre. Cette tâche terminée et son élève deve
(Au lecteur.) — Son neveu Robert (III) Estienne, avocat au Parlement,
fils
de Henri (III) Estienne, donna en 1630 (in-8º) un
ne ou soit sur le point de donner la mort à son frère, une mère à son
fils
, un fils à sa mère, ou qu’ils accomplissent quelq
t sur le point de donner la mort à son frère, une mère à son fils, un
fils
à sa mère, ou qu’ils accomplissent quelque action
ends celui, par exemple, où, dans Cresphonte, Mérope va pour tuer son
fils
et ne le tue pas, mais le reconnaît ; où, dans Ip
, sur le point de frapper son frère, le reconnaît, et, dans Hellé, le
fils
au moment de livrer sa mère. XIX. Voilà pourquoi
e de Théodecte, le personnage qui vient comme s’il allait trouver son
fils
est lui-même mis à mort. De même encore la reconn
t de telle sorte que sa fortune est dissipée par des prétendants, son
fils
est livré à leurs embûches et lui-même arrive ple
emple, les outrages subis par son épouse, ou par soi-même, ou par son
fils
; celles qui donneraient au poursuivant l’apparen
e fais pas de bien à un vieillard. » Pour conseiller de supprimer les
fils
, après avoir supprimé les pères, on citera cette
ecevoir. De là cette pensée : Il est grand le ressentiment des rois,
fils
de Jupiter318. Et cette autre : Mais aussi il r
r notre propre situation. Voilà pourquoi Amasis ne pleura pas sur son
fils
que l’on conduisait à la mort, et pleura sur son
e objet. De là ces vers : Il (Cébrion) déclinait la lutte avec Ajax,
fils
de Télamon ; Car Zeus se fût indigné contre lui s
t Stilbon étaient en contestation, Dodonis déclara que l’enfant était
fils
d’Isménias et, par suite, on décida que Thessalis
était fils d’Isménias et, par suite, on décida que Thessaliscus était
fils
d’Isménias. Autre exemple emprunté à la Loi, de T
es, après avoir consulté à Olympie, pour voir si l’avis donné (par le
fils
)430 serait conforme à celui du père, jugeant qu’i
es contraires. Exemple : une prêtresse ne voulait pas permettre à son
fils
de parler en public : « Si tu avances des choses
ertaine corrélation. Exemple : Iphicrate, comme on voulait forcer son
fils
à remplir et à supporter sa part des charges publ
e cette calomnie. Exemple : (une mère) dont une autre femme a ravi le
fils
par substitution445 semblait, en raison des cares
fait périr son époux, qu’elle meure à son tour, et que, du moins, le
fils
venge son père, Voilà donc ce que l’on a fait ;
s de sable ou de poussière, je n’épouserais pas la fille d’Agamemnon,
fils
d’Atrée ; non, quand même elle rivaliserait en be
» Homère recherche cet effet dans ce passage. Nirée de Symé… Nirée,
fils
d’Aglaé… Nirée, le plus beau des hommes664… En e
és, ni vicieux, mais dont le mérite reste ignoré, comme Alexandre, le
fils
de Priam. Ici encore, l’orateur donne un conseil.
t toujours (des indications), quand l’interroge celui qui cherche son
fils
, et encore l’Hémon de Sophocle701. Chapitre XV
ûte de Pan. 7. Ou plutôt par des figures rythmées. 8. La prose. 9.
Fils
de Sophron. 10. Athénée appelle ce poème dramati
isme proprement, dit, celui de la dialectique. 196. Athlète célèbre,
fils
du Diagoras de Rhodes que Pindare a célébré (ol.
ochus est inconnu. On a proposé tour à tour de substituer Antilochus (
fils
de Nestor) et Hippolytus (fils de Thésée). 249.
tour à tour de substituer Antilochus (fils de Nestor) et Hippolytus (
fils
de Thésée). 249. Cp. Thucyd., vi, p. 379, d’H. E
e auquel Aristote fait allusion. 303. Critias, un des trente tyrans,
fils
de Dropidas, frère de Solon. Proclus (in Timæum,
léniques, vii, p. 630, éd. Leunclavius. 411. Thestius, dont les deux
fils
périrent par le fait de Méléagre. Le scoliaste cr
, 42-43), qui a presque traduit ces vers d’un poète inconnu. 413. Le
fils
de Priam. 414. Discours perdu, intitulé : περὶ τ
et collaborateur d’Aristote. C’est plus que douteux. 427. Autoclès,
fils
de Strombichide, qui fut mis à mort par les trent
t dont la vulgate donne cette dernière forme. 430. L’avis d’Apollon,
fils
de Jupiter. 431. Pâris. Cp. Isocr., Él. d’Hélène
ste. 446. C’est-à-dire comme on apprit que c’étaient une mère et son
fils
, non pas un amant et sa maîtresse. 447. Cp. Ovid
x gestes des athlètes qui vont lutter. 686. Probablement Iophon, son
fils
et poète tragique comme lui. 687. Antidosis, éc
ur de leurs maux : Comment es-tu tombé de ton char radieux, Brillant
fils
du matin ! Tu versais la lumière, Et tu dors main
ile son Pollion, à Pope sa belle églogue du Messie, et dont Racine le
fils
a réuni les traits principaux dans les vers suiva
e oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir point de compassion du
fils
qu’elle a porté dans son sein ? Mais quand même e
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