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1 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
(aujourd’hui la Janna ou Jannina, dans la Turquie d’Europe). Il était fils de Pélée, à qui la fable a donné pour épouse Thét
ndant sa vie, et un chantre tel qu’Homère, après sa mort. Agamemnon, fils d’Atrée et d’Érope, suivant Homère, et roi d’Argo
parer un grand festin, au milieu duquel il fut assassiné par Égysthe, fils de Thieste, frère d’Atrée, l’an 1209 avant J.-C.
tôt après. Albe, ancienne ville d’Italie, bâtie par Ascagne ou Iule, fils d’Énée, environ 300 ans avant la fondation de Rom
Rhin. Amour (l’) ou Cupidon, que les poètes font dieu de l’amour, et fils de Mars et de Vénus. Ils le représentent sous la
ta une sédition contre ses meurtriers. On lui opposa le jeune Octave, fils adoptif et héritier de César. Après quelques comb
ahi par Cléopâtre, il se donna la mort, l’an 30 avant J.-C. Apollon, fils , selon la fable, de Jupiter et de Latone. Il étai
ivant la fable, tué les Cyclopes qui avaient forgé la foudre dont son fils Esculape avait été frappé par Jupiter, fut chassé
la soif de régner la porta à faire massacrer tous les enfants de son fils Ochosias qui n’existait plus. Le seul Joas, encor
raélites lui dressèrent souvent des autels, et l’adorèrent. Bacchus, fils , selon la fable, de Jupiter et de Sémélé, fille d
t, pour animer les troupes au carnage. Benjamin. Douzième et dernier fils du patriarche Jacob et de Rachel, né l’an 1738 av
s de la mer. Bourbon (Charles de). Il mourut en 1537, laissant trois fils , Antoine, roi de Navarre, et père de Henri IV ; L
, sœur de Caton d’Utique. Il en fut du moins toujours traité comme un fils chéri qui lui dut sa fortune et sa vie. César com
uelle Pompée ne survécut pas longtemps. César battit ensuite les deux fils de ce même Pompée, et parvint enfin à la souverai
ns. II. Condé(Henri Jules de Bourbon, duc d’Enguien, puis prince de), fils du grand Condé. Il se signala à côté de son père
l’un des plus grands et des plus vertueux monarques qui aient existé. Fils d’Isaï ou Jessé, de la tribu de Juda, il naquit à
l’an 146 avant J.C ; chassé du trône l’année suivante par Antiochus, fils de Balès ; rétabli l’an 131 avant J.-C., et mort
es héros et des gens de bien. Enguien. Voyez le mot Condé II. Éole, fils de Jupiter selon la fable et dieu des vents qu’il
s feux de la foudre qu’Encelade vomit. Selon la fable aussi, Vulcain, fils de Jupiter et de Junon, et dieu du feu, a ses for
Il mourut en 1547. G. Géants. Voyez le mot Etna. Germanicus, fils de l’estimable Drusus et de la vertueuse Antonia,
l’estimable Drusus et de la vertueuse Antonia, nièce d’Auguste. Digne fils d’un tel père et d’une telle mère, il s’acquit be
tes qui font la douceur de la société. Grammont (le comte de Guiche, fils aîné du maréchal de). Il était lieutenant-général
e sommet en était appelé gargare. Ilion. Voyez le mot Troie. Isaïe, fils d’Amos, de la famille royale de David, né dans le
aissèrent que le crâne, les pieds et les extrémités des mains. Joas, fils d’Ochosias, roi de Juda. Il naquit l’an 890 avant
du culte de l’idolâtrie, et par le meurtre du grand-prêtre Zacharie, fils de ce même Joad, son ancien bienfaiteur. Jonatha
au grand-prêtre toute la plénitude de l’autorité souveraine. Joseph, fils du patriarche Jacob et de Rachel, né l’an 1745 av
es au lieu de sa naissance, comme il l’avait lui-même ordonné. Juda, fils du patriarche Jacob et de Lia, sœur de Rachel, né
a plus puissante de toutes. Il mourut l’an 1636 avant J.-C. Jupiter, fils , selon la fable, de Saturne et de Rhée, ou Cybèle
a une bonne citadelle, où l’on enferme les prisonniers d’état. Mars, fils , selon la fable, de Jupiter et de Junon, Dieu de
mples de Minerve. Minos, roi de l’île de Crète (aujourd’hui Candie), fils de Jupiter, selon la fable, et mari de Pasiphaë,
mains une urne, où sont renfermées les destinées des hommes. Momus, fils du Sommeil et de la Nuit, et regardé par les poèt
, ainsi que les latins, prennent souvent pour ce même Dieu. Celui-ci, fils de l’Érèbe et de la Nuit, habitait un antre profo
che de pavot, et présentait les songes sous diverses figures. Moyse, fils d’Amram et de Jocabed, né en Égypte l’an 1571 ava
le titre de primat, et présidait aux États de la province. Neptune, fils , selon la fable, de Saturne et de Rhée, et frère
ter et de Pluton. Après que Saturne eut été chassé du ciel, ses trois fils se partagèrent l’Empire du monde ; et Neptune eut
n char traîné par quatre chevaux marins, ou par des dauphins. Néron, fils de Domitius Œnobarbus et d’Agrippine, adopté par
1250 ans avant Jésus-Christ. Les poètes anciens ont feint qu’il était fils d’Apollon et de la muse Calliope, et que son père
la regarder jusqu’à ce qu’il fût arrivé sur la terre. P. Pan, fils de Mercure suivant la fable, et dieu des bergers,
présent Janna ou Jannina, contrée de la Turquie d’Europe. Philippe, fils d’Amyntas, et roi de Macédoine (aujourd’hui Comén
s qu’il se fit donner, et prépara ainsi les immenses conquêtes de son fils Alexandre. Il mourut assassiné l’an 335 avant Jés
l fit démolir lorsqu’il la rendit au duc de Savoie, en 1696. Pluton, fils , selon la fable, de Saturne et de Rhée, et frère
aujourd’hui le gouvernement de Sivas dans la Turquie d’Asie). Priam, fils de Laomédon, et dernier roi de Troie. Les poètes
e Laomédon, et dernier roi de Troie. Les poètes lui donnent cinquante fils ou filles, dont il en eut dix-neuf d’Hécube. Il r
me égorgé dans son palais, l’an 1209 avant Jésus-Christ, par Pirrhus, fils d’Achille, au pied de l’autel de Jupiter, qu’il t
’en fit nommer dictateur perpétuel, devint un Empire sou Auguste, son fils adoptif, qui en fut reconnus le premier empereur
s Turcs, qui l’ont divisée en six gouvernements. T. Télémaque, fils d’Ulysse, roi d’Ithaque, et de la vertueuse Pénél
d’Orviette, et dans Rome, se jette dans la mer à Ostie. Triptolème, fils de Celeus, roi d’Éleusis (aujourd’hui Liesina, da
s-uns, Teucrie, et suivant d’autres, Dardante. À Dardanus succéda son fils Érichton, et à celui-ci son fils Tros, qui donna
es, Dardante. À Dardanus succéda son fils Érichton, et à celui-ci son fils Tros, qui donna à cette ville le nom de Troie. Ap
on fils Tros, qui donna à cette ville le nom de Troie. Après lui, son fils Ilus voulut qu’elle fût appelée Ilion. Il eut pou
ils Ilus voulut qu’elle fût appelée Ilion. Il eut pour successeur son fils Laomédon, qui la fit entourer de plus fortes mura
e dix ans, par les princes unis de la Grèce, irrités de ce que Pâris, fils de Priam, avait enlevé Hélène, femme de Ménélas,
nement de Seyde, Turquie d’Asie, et s’appelle Sour. U. Ulysse, fils de Laërte, et roi des îles d’Ithaque et de Dulich
ordre dans son royaume. Peu de temps après, il laissa ses États à son fils Télémaque, et fut tué, dans une émeute, par Télég
ses victoires, la couronne d’Espagne sur la tête de Philippe V, petit fils de Louis XIV. Le chevalier de Vendôme n’avait pas
. Le principal, qui vient du couchant équinoxial est, selon la fable, fils d’Éole et de l’Aurore. On le représente sous la f
2 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
ntelligence des exemples cités dans ce second volume. A Abel, fils d’Adam et d’Ève nos premiers parents. Il immolait
. C’est au pied de cette montagne que le Rhin prend sa source. Ajax, fils de Télamon, roi de Salamine, et le plus brave des
ches, l’an 404 avant J.-C. Alcide. Voyez le mot Hercule. Alexandre, fils de Philippe, roi de Macédoine, et d’Olympias, né
colère et l’excès du vin. Il avait la manie de vouloir passer pour le fils d’un Dieu, et de se faire adorer comme tel. Il fi
urs et de toutes sortes de fruits, avec une pointe au milieu. Ammon, fils de Loth, neveu d’Abraham. Les Ammonites, peuples
même nom. Asdrubal-Barca, un des plus grands généraux Carthaginois, fils d’Amilcar-Barca, et frère du fameux Annibal, qu’i
ste ( Caius Julius César Octavianus), né à Rome, l’an 63 avant J.-C., fils d’Octave, sénateur, et d’Accie, fille de Julie, s
pprit la mort funeste de son grand-oncle, qui l’avait adopté pour son fils et son héritier. Il se rendit à Rome, où il trouv
née à Munich en 1660. Elle épousa, en 1680, Louis, dauphin de France, fils de Louis XIV. Cette princesse, qui avait un espri
sse y fait sa résidence ordinaire, Berri (Charles duc de), troisième fils du grand dauphin et de Marie-Anne de Bavière, et
ans les notes à la fin du premier volume. Bourgogne (Louis, duc de), fils aîné du grand dauphin et de Marie-Anne de Bavière
tier du trône par la mort du grand dauphin. Bretagne (Louis duc de), fils du duc de Bourgogne, et frère aîné de Louis XV. I
 ; une des montagnes que Rome renfermait dans son enceinte. Céphale, fils , selon la fable, du dieu Mercure et d’Hersé, fill
nge et se jette dans l’Océan, vis-à-vis l’île d’Oléron. Charlemagne, fils de Pépin, et le deuxième de la seconde race de no
s consacré. Dauphin. Louis, dauphin de France, dit le grand dauphin, fils de Louis XIV et de Marie-Thérèse d’Autriche, né e
Flandres en 1694. On assure que lorsque le duc d’Anjou, son deuxième fils , fut appelé à la couronne d’Espagne en 1700, il d
t : Je n’aspire qu’à dire toute ma vie, le roi mon père et le roi mon fils . Cette espèce de proverbe qui, même longtemps ava
de proverbe qui, même longtemps avant sa mort, courut sur ce prince, fils de roi, père de roi, sans être roi, était fondé s
sur la santé de Louis XIV, qui était bien meilleure que celle de son fils . Il mourut de la petite vérole en 1711, âgé de 50
é, nom que l’on donne à Vénus, comme étant celui de sa mère. Drusus, fils de Claude Tibère Néron et de Livie Drusille, qui
le quatrième empereur de Rome, et Livie, qui épousa un autre Drusus, fils de l’empereur Tibère. E Ésaü, fils d’Isaac
qui épousa un autre Drusus, fils de l’empereur Tibère. E Ésaü, fils d’Isaac, et frère jumeau de Jacob. Les Iduméens,
laquelle avait épousé Thomas-François de Savoie, prince de Carignan, fils de Charles-Emmanuel duc de Savoie. Eugène fut d’a
nes dans sa main. Godefroi de Bouillon, duc de la Basse-Lorraine, et fils d’Eustache II, comte de Boulogne. Ses exploits en
nesse. Elle versait le nectar à Jupiter et aux autres Dieux. Hector, fils de Priam, roi de Troie, et d’Hécube. Durant le si
r Hector, et une trêve de onze jours pour les funérailles. Henri IV, fils d’Antoine de Bourbon, roi de Navarre par Jeanne d
mmé Alcide, parce qu’il descendait d’Alcée. Il était, selon la fable, fils de Jupiter et d’Alcmène, épouse d’Amphitrion, roi
vadie). Elle était consacrée à Apollon et aux neuf Muses. Hippolyte, fils de Thésée, roi d’Athènes, et d’Antiope, reine des
ance la porta jusqu’à montrer cette épée à son époux, en accusant son fils d’avoir voulu attenter à son honneur. La fable di
ou Hyménée, Dieu, qui, selon la fable, présidait au mariage. Il était fils de Bacchus et de Vénus. On le représente sous la
i Hérode, devant lequel l’Homme-Dieu fut envoyé par Pilate, était son fils . Judée, contrée célèbre de l’ancienne Syrie, en
n : à la plus belle. Junon, Pallas et Vénus se la disputèrent. Pâris, fils de Priam, roi de Troie, gardait alors des troupea
n 1270, sous les murs de Tunis, qu’il assiégeait. Robert, son sixième fils , fut le chef de la maison de Bourbon. Je dirai ic
vait été appelé le bouclier. Il fut le grand-père du jeune Marcellus, fils d’Octavie, sœur d’Auguste, qui, en le mariant ave
d’Auguste, qui, en le mariant avec Julie, sa fille, l’adopta pour son fils et son successeur à l’Empire. Ce dernier, mort à
yenne (Charles de Lorraine, duc de), né en 1554. Il était le deuxième fils de François de Lorraine, duc de Guise, qui dans n
l’Île-de-France. Mayenne mourut à Soissons en 1611, ne laissant qu’un fils , mort, en 1621, sans postérité. Mécène (Caius Cl
orphée dans les notes, à la fin du premier volume. N Narcisse, fils , selon la fable, du fleuve Céphise et de la nymph
anches, dont la plus distinguée fut celle qui descendait du quatrième fils du dictateur Appius Cæcus ; et le plus illustre d
du Parnasse, et servait de monture à Apollon et aux muses. Périclès, fils de Xanthippe, illustre athénien. C’est un des plu
lutus, dieu des richesses, suivant la fable, et que quelques-uns font fils de Cérès, et d’autres de la fortune On le représe
rdent comme le dieu des richesses et des mines souterraines. Pollux, fils , selon la fable, de Jupiter et de Léda, femme de
le, c’est que ces deux étoiles paraissent rarement ensemble. Pompée, fils de Pompée Strabon et de Lucilia, d’une famille no
Il y a tout auprès une grande et belle ville du même nom. Prométhée, fils de Japet, qui, suivant la fable, était lui-même f
nom. Prométhée, fils de Japet, qui, suivant la fable, était lui-même fils du Ciel et de la Terre. Après avoir formé de terr
t d’autres, les sénateurs de Rome l’eussent fait assassiner. Il était fils de la vestale Rhéa Sylvia, fille de Numitor, roi
de), née à Turin, en 1585. Elle épousa, en 1697, le duc de Bourgogne, fils aîné du grand dauphin. Sa beauté, son esprit, son
ans. Peu de temps après, il fut assassiné dans ses États par ses deux fils aînés. Sigée, promontoire de la Troade, non loin
e de la Béotie, qui fait aujourd’hui le milieu de la Livadie. Cadmus, fils d’Agénor, roi de Phénicie, en fut le fondateur et
en riant à ses amis : Ce petit garçon que vous voyez-là, (c’était son fils ) est l’arbitre de toute la Grèce ; car il gouvern
rent à l’épouser, lorsqu’ils apprirent par l’oracle qu’elle aurait un fils , qui serait plus grand et plus illustre que son p
’elle mit au monde, est Achille. Titans, enfants de Titan, qui était fils du Ciel et de la Terre. Ce sont les mêmes géants
nt elle était la mère. On la représente avec l’Amour, ou Cupidon, son fils , sur un char traîné par des colombes ou des cygne
, portant d’une main une couronne, et de l’autre une palme. Vulcain, fils , selon la fable, de Jupiter et de Junon, et Dieu
3 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241
s artifices             Des enfers conjurés. Règne, ô Père éternel, Fils , sagesse incréée ;             Esprit saint, Dieu
s délices             Sur tes seules bontés. Règne, ô Père éternel, Fils , sagesse incréée,             Esprit saint, Dieu
i elle consent à lui donner sa main, il prendra sous sa protection le fils qu’elle a eu d’Hector, Astyanax, dont la mort est
t tes discours sont suivis ! Il ne me restait plus qu’à condamner mon fils . Céphise. Madame, à votre époux c’est être assez
e lui donnerais Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut son fils que les Grecs vous ravissent. Pensez-vous qu’aprè
eraient asservis ! Céphise. Hé bien ! allons donc voir expirer votre fils  : On n’attend plus que vous… Vous frémissez, mada
ens-tu frapper mon âme ! Quoi ! Céphise, j’irai voir expirer encor Ce fils , ma seule joie et l’image d’Hector ? Ce fils, que
ai voir expirer encor Ce fils, ma seule joie et l’image d’Hector ? Ce fils , que de sa flamme il me laissa pour gage ? Hélas 
courage Lui fit chercher Achille, ou plutôt le trépas, Il demanda son fils et le prit dans ses bras : « Chère épouse, dit-il
es, J’ignore quel succès le sort garde à mes armes ; Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : S’il me perd, je prétends q
rouve en toi. Si d’un heureux hymen la mémoire t’est chère, Montre au fils à quel point tu chérissais le père1. » Et je puis
il plaint à tes yeux des maux qu’il ne sent pas ? Mais cependant, mon fils , tu meurs si je n’arrête Le fer que le cruel tien
. Céphise. Que faut-il que je dise ? Andromaque. Dis-lui que de mon fils l’amour est assez fort… Crois-tu que dans son cœu
encore à moi ? O cendres d’un époux ! ô Troyens ! ô mon père ! O mon fils , que tes jours coûtent cher à ta mère ! Allons.
otre âme : Il veut que Troie encor se puisse relever Avec cet heureux fils qu’il vous fait conserver. Pyrrhus vous l’a promi
e ? Déjà contre les Grecs plein d’un noble courroux, Le soin de votre fils le touche autant que vous : Il prévient leur fure
avez promis… Andromaque. Oui, je m’y trouverai. Mais allons voir mon fils . Céphise. Madame, qui vous presse ? Il suffit qu
le leur ? Est-ce là cette ardeur tant promise à sa cendre ? Mais son fils périssait, il l’a fallu défendre. Pyrrhus en m’ép
roux des Grecs je m’en repose encor ; Leur haine va donner un père au fils d’Hector. Je vais donc, puisqu’il faut que je me
ma vie ; Je vais, en recevant sa foi sur les autels, L’engager à mon fils par des nœuds immortels : Mais aussitôt ma main,
le reste, Et, sauvant ma vertu, rendra ce que je doi A Pyrrhus, à mon fils , à mon époux, à moi. Voilà de mon amour l’innocen
ie à tes soins mon unique trésor : Si tu vivais pour moi, vis pour le fils d’Hector. De l’espoir des Troyens seule dépositai
; Que ses ressentiments doivent être effacés ; Qu’en lui laissant mon fils , c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon fils
en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras cond
e ce prince a ressentie pour Andromaque, n’a pas craint de confier au fils d’Agamemnon, à Oreste qui l’aime, le soin de la v
emis ou sujets, Il poursuit seulement ses amoureux projets. Autour du fils d’Hector il a rangé sa garde, Et croit que c’est
t ma foi ; Andromaque, régnez sur l’Epire et sur moi. Je voue à votre fils une amitié de père ; J’en atteste les dieux, je l
es travaux de ce poëte, des Mémoires que nous devons au second de ses fils , à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés ave
qui pleure son mari ; dans Racine, c’est une mère qui veut sauver son fils , et l’amour maternel la rapproche de nos mœurs, s
4 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
11. Les deux pommiers. Sujet et plan. Un laboureur avait deux fils . À la naissance du second, il avait planté deux p
u empereur après la mort de Rodolphe de Habsbourg. Albert d’Autriche, fils de Rodolphe, disputa la couronne au nouvel empere
artenant à la peuplade sauvage des Abenakis, regrettait sans cesse un fils unique qu’il avait perdu. Dans un engagement entr
insolences de cet enfant. Un jour, sa nourrice vient le voir avec son fils Jacquot, frère de lait de Gaston ; Gaston les rep
lorval, jusque-là trop indulgents ; ils tremblent que le cœur de leur fils ne se gâte ; ils tentent, pour le corriger, une é
scène qui s’ensuit. M. et Mme de Florval reçoivent Jacquot comme leur fils  ; il prend la place et le nom de Gaston ; on rend
parents ; mais il se montre docile envers ceux dont il croit être le fils , affectueux envers les enfants qu’il croit ses fr
e l’épreuve est complet : M. et Mme de Florval viennent chercher leur fils et lui apprendre la vérité. Larmes de joie et de
ttendait sur la route, le ramène, et l’adopte solennellement pour son fils . 25. Le jeune orgueilleux. Sujet et plan. S
de ce dessin ainsi changé, il devine le retour et le repentir de son fils . Tableau de réconciliation. 29. Les deux souha
rcher et le rend à son père. Décrivez la reconnaissance du père et du fils , et la joie de l’honnête négociant, heureux de re
Le laboureur qui cultivait la ferme annexée à cette maison, avait un fils nommé André, âgé de quatorze ans, enfant élevé av
chambre, à la ferme. Pendant la nuit, on le réveille : c’est Adolphe, fils du comte : « Tu sais, lui dit-il, un secret que m
t, le comte lui annonce qu’il va lui faire partager les études de son fils et qu’il le prendra ensuite pour secrétaire. Quel
ur. L’accusé, avant de répondre, présente au prêteur et au peuple ses fils , pleins d’ardeur et de force, ses bœufs robustes
ugal, a eu lieu dans le xie siècle. Robert était duc de Normandie et fils aîné de Guillaume le Conquérant. Sa femme se nomm
. Leçon donnée par un père. Sujet et plan. Un homme riche avait un fils unique, nommé Eugène, qui, comptant sur la fortun
ène qu’une banqueroute l’a ruiné. Discours du père : il annonce à son fils qu’il va vendre sa maison et ses domaines ; qu’il
jours il n’aura probablement de ressource que dans le travail de son fils . Ces paroles, les dernières surtout, émeuvent pro
age de faire durer cette épreuve. Enfin, sûr que le changement de son fils est complet, il lui révèle la vérité. Supposez qu
oueur corrigé. Sujet et plan. Ariste apprend que le jeune Adolphe, fils d’un ami bien cher qu’il avait perdu, s’abandonne
sion jetait ce jeune homme. Le sage Ariste tremble pour la fortune du fils de son ami, pour son honneur même et pour sa vie.
rembarquer, une pauvre femme vient supplier l’évêque de délivrer son fils unique, âgé de quinze ans. L’évêque, touché de se
quinze ans. L’évêque, touché de ses larmes, s’engage à lui rendre son fils . Mais toutes ses ressources sont épuisées ; pour
ans, et se montra aussi habile administrateur que grand guerrier. Son fils Mathias Corvin fut roi de Hongrie. La famille des
sse (de 1713 à 1740), était un homme grossier, farouche et cruel. Son fils Frédéric (qui, depuis, régna avec beaucoup de glo
tifs ; on les arrêta ; on les ramena à Berlin. Le tyran fit jeter son fils dans une prison ; il voulait le faire condamner à
le rendre témoin de son supplice. Dialogue animé entre le père et le fils . Frédéric est traîné vers le lieu fatal : Ernest
citée, ne soit satisfaite qu’à la fin. 51. Le père délivré par son fils . Sujet. On lit dans les Mémoires de Saint-Simo
Gaëte, étant vice-roi de Naples, les armes à la main. « Ce père et ce fils illustres étaient, le père, surtout, la valeur, l
nts qu’on lui fait souffrir, et reportant toutes ses pensées vers son fils  ; on peindra ensuite San-Estevan qui, ayant obten
de mots l’échange des prisonniers et le retour du père auprès de son fils . Ce fait a eu lieu en 1710, le 9 décembre. L’Espa
puissance illimitée sous sa veuve Catherine Iere, et ensuite sous son fils Pierre II. Mais, au moment même où la fille de ce
cissement à leurs maux. Ce n’est point avec Menzikoff, c’est avec son fils , que Dolgorouki eut cette célèbre rencontre dans
s supposons qu’il vécut un an de plus, et nous substituons le père au fils . 60. Léopold de Brunswick. Sujet et plan. V
ée sont en proie à la désolation et au désespoir. Arrivée de Léopold, fils du souverain de la contrée : il est accouru pour
ice apparent lui est bientôt révélée : la comtesse avait à l’armée un fils , qui était colonel, et qu’on lui avait dit avoir
la haine qu’elle éprouvait pour Jules. Elle vient d’apprendre que son fils est vivant et prisonnier, que la générosité d’un
vait récemment embrassée. Enfin, il lui envoie demander l’aîné de ses fils , avec menace de faire périr ce jeune homme dans l
si Keoven ne consentait pas à sacrifier aux idoles. Keoven livre son fils . Adieux touchants du fils et du père. Le lendemai
as à sacrifier aux idoles. Keoven livre son fils. Adieux touchants du fils et du père. Le lendemain, Keoven reçoit l’ordre o
eoven reçoit l’ordre ou de sacrifier aux idoles, ou de livrer le seul fils qui lui restait, enfant de douze ans. Dialogue de
Keoven et de l’envoyé de l’empereur, qui lui apprend que son premier fils n’est plus. Séparation de Keoven et de son enfant
menaces furieuses de l’empereur, qui lui jure de le réunir à ses deux fils s’il n’abjure pas sa religion. Vous mettrez dans
de pratiquer sa religion, et, fidèle à son serment, lui rend ses deux fils dont il lui avait faussement annoncé la mort. Ce
, l’indignation, l’effroi de Gabinien à la nouvelle du danger que son fils a couru. Apollonius lui fait un court récit de l’
et de douleur ; il court avec Apollonius au-devant du sauveur de son fils  : il remercie le philosophe et lui demande commen
Archidamus fut roi de Sparte de -469 à 427 avant J.-C. ; il eut pour fils Agésilas. Sujet et plan. Trois mois après la nais
t les raisons que dut faire valoir Eupolia pour obtenir la vie de son fils . Agésilas fut roi de Sparte de -400 à 361 avant J
horrible usage a subsisté longtemps à la cour de Constantinople. Deux fils du sultan Mahomet III, Achmet et Osmin, élevés en
arrivée en 1617, son frère Mustapha lui succéda, et servit de père au fils d’Achmet, Othman II, qu’une révolution de palais
la tente du général. On lui ôte son casque, le général reconnaît son fils Ladislas, qu’il avait banni quelques années aupar
: ses blessures n’étaient pas mortelles ; l’heureux père et l’heureux fils confondent leurs embrassements. Ce fait a eu lieu
r des Romains (de 193 à 211), laissa, en mourant, l’empire à ses deux fils Géta, âgé de 22 ans, et Caracalla, âgé de 20 ans.
u crime qui doit suivre. 79. Mort de Carloman. Carloman, second fils de Louis le Bègue, régna sur les Français de 879
rnement russe de Vitepsk. Ivan IV Wasilievitch (c’est-à-dire Jean IV, fils de Basile) fut czar de Russie ou de Moscovie de 1
de Lancastre. Sujet et plan. Henri de Lancastre, prince de Galles, fils du roi d’Angleterre, étant encore fort jeune, se
présence tous ceux qui avaient favorisé et partagé ses désordres. Le fils aîné des rois d’Angleterre porte le titre de prin
(1343.) Sujet. Humbert, dauphin de Viennois, en jouant avec son fils André, le laissa tomber dans le Rhône, l’enfant s
s. Dans la première, on peindra la tendresse réciproque du père et du fils , et les jeux de l’enfant sur la terrasse le long
ne. En cédant sa province à la France, il y mit pour condition que le fils aîné des rois de France porterait toujours le tit
rance porterait toujours le titre de dauphin. Jean, duc de Normandie, fils du roi Philippe de Valois qui régnait alors, fut
u d’arrondissement du département de l’Isère. Humbert II, né en 1312, fils du dauphin Jean II, avait succédé en 1333, à son
de Dauphiné, et fonda une université à Grenoble. Après la mort de son fils , il vécut trois ans dans une profonde retraite ;
es plus célèbres lieutenants de Henri IV. Ce jeune duc de Guise était fils de celui que Henri III fit périr ; Henri IV, ayan
cation et de son avenir, et prend rengagement de le traiter comme son fils . La guinée est une pièce d‘or anglaise qui vaut 2
r succès ; Wallace avait péri, Robert Bruce n’était plus, et ses deux fils , Robert et Edmond étaient retenus captifs à Londr
faire roi à sa place, l’assassina l’an 471 avant J.-C. Artaxerce 1er, fils de Xerxès, punit Artabane et succéda à son père.
ui d’Artaxerce pour lui faire éprouver le même sort. Il rencontre son fils Arbace, qui s’indigne du crime commis par son pèr
ne : aux premières lueurs de l’aurore, rencontre d’Artabane et de son fils dans un vestibule du palais ; inquiétude du jeune
nquiétude du jeune homme ; trouble du coupable ; enfin il avoue à son fils ce qu’il a fait et ce qu’il va faire ; « c’est da
ononcer son arrêt. Paroles d’Artabane, qui avoue tout pour sauver son fils . 97. Cicéron et Roscius. Après la guerre ci
ependant Chrysogonus n’était pas tranquille : Roscius avait laissé un fils , nommé Sextus ; il se pouvait que ce jeune homme
it dans la personne de Sigismond-Auguste. 99. Ilfrid. Sujet. Un fils naturel de Charlemagne, jaloux de ses frères, à q
ns l’ombre. Le chef des conjurés (Ilfrid l’a reconnu, c’est Lothaire, fils de l’empereur) s’adresse à ses complices. Discour
’empereur lui promet la vie des coupables, il va lui tout révéler. Ce fils criminel se nommait Pépin ; nous l’appelons Lotha
nous l’appelons Lothaire, pour éviter la confusion, à cause de Pépin, fils légitime de Charlemagne. Les trois fils légitimes
confusion, à cause de Pépin, fils légitime de Charlemagne. Les trois fils légitimes, à qui Charlemagne avait assuré des roy
z les sentiments qui l’agitent. Il fait venir Lothaire. Arrivée de ce fils coupable. Scène d’abord terrible, ensuite touchan
d’abord terrible, ensuite touchante et pathétique entre le père et le fils  ; indulgence, pardon ; remords. La grâce des comp
y pleurer son crime. Adieux ; séparation. 101. Clodoald. Un des fils de Clovis, qui, après la mort de leur père, avaie
uignons ou Burgondes, sur les bords du Rhône. Clodomir laissait trois fils en bas âge. Ces trois enfants furent confiés à le
ire se trouva partagé entre quatre princes, dont l’un, Maxence, était fils de Maximien ; l’autre, Constantin, était son gend
évoré d’ambition, Maximien se rendit à Rome et essaya de détrôner son fils  ; mais la peuple et les soldais prirent parti pou
ge et la mort dans les rangs ennemis. Malheureusement ses deux jeunes fils sont faits prisonniers dans une sortie. Le cruel
endre à l’aide de ces projectiles meurtriers, il fera placer ses deux fils à l’endroit le plus exposé. Douleur et agitation
t de remords : il lève le siège, et renvoie à Roger celui de ses deux fils qui avait survécu, et le corps de celui qui avait
ui le royaume de Naples était resté fidèle. Don Jayme était le second fils de Pierre III. Il devint roi après son père et so
ans la parabole suivante tirée de l’Évangile18. « Un homme avait deux fils . Le plus jeune dit à son père : « Mon père, donne
ers le ciel et envers vous. Je ne suis plus digne d’être appelé votre fils  ; traitez-moi comme l’un des serviteurs qui sont
de compassion, et, courant à lui, se jeta à son cou et l’embrassa. Le fils lui dit : « Mon père, j’ai péché contre le ciel e
re le ciel et contre vous : je ne suis plus digne d’être appelé votre fils . » Et le père dit à ses serviteurs : « Hâtez-vous
tuez-le ; faisons un grand festin et livrons-nous à la joie. Car mon fils était mort, et il est revenu à la vie ; mon fils
s à la joie. Car mon fils était mort, et il est revenu à la vie ; mon fils était perdu, et il est retrouvé. » 111. Discou
ophe et comme historien. Il s’était retiré à Scillonte, en Elide. Son fils Gryllus était resté à Athènes. Gryllus fut nommé
signe de réjouissance. Les députés arrivent et lui annoncent que son fils n’est plus. Il ôte la couronne de sa tête et leur
ourt exorde convenable à la circonstance. Il regarde le trépas de son fils comme un véritable triomphe : Gryllus, en s’expos
tout révéler à Cicéron 113. Discours du comte Julien mourant à son fils Alphonse. Le comte Julien, pour se venger du r
rin et de remords. Au moment de mourir, il fait appeler Alphonse, son fils unique ; il épanche dans son sein sa douleur et s
trahi ! Il meurt désespéré ; faut-il que sa honte rejaillisse sur son fils  ? Il lui reste un espoir : sur les rochers des As
Sujet et plan. Nous supposons qu’après la mort du comte Julien, son fils Alphonse s’est rendu auprès de Pélage. Alphonse c
llement puni, et d’oublier le crime du père eu faveur des services du fils . 115. Discours de Selim à Roxelane. Roxelan
Roxelane, épouse de Soliman II, sultan des Turcs, lui avait donné un fils , nommé Sélim, qu’elle idolâtrait, et qu’il aimait
Mais Soliman, avant d’épouser Roxelane, avait eu d’une autre femme un fils nommé Zéangir, qui donnait les plus belles espéra
elane, dans les illusions de sa tendresse maternelle, fait part à son fils de son dessein et de l’heureux succès qu’elle esp
is 1er. On l’a surnommé le Grand, le Magnifique, le Législateur. Son fils aîné s’appelait Mustapha, et non Zéangir ; mais c
ridicule, nous avons cru devoir le changer. Malgré les prières de son fils , Roxelane persévéra dans ses cruels desseins ; el
rent en Asie. Rhadamiste, jeune homme d’un caractère fier et sauvage, fils d’un souverain barbare qui régnait au pied du Cau
er dans un cachot et paraît disposé à les envoyer au supplice. Fédor, fils du czar et ami d’Owinsko, supplie son père de l’é
out valoir contre lui l’extrême rigueur avec laquelle il traitait son fils Titus, qu’il tenait à la campagne, occupé aux tra
al des Romains, a défendu tout combat avant la bataille générale. Son fils Titus est rencontré par un cavalier ennemi qui l’
oie, apporte ses dépouilles à son père. Le sévère consul repousse son fils , et veut le condamner à mort, comme ayant enfrein
e toute l’armée, au général la grâce du soldat et au père la grâce du fils . Ce fait a eu lieu l’an 340 avant Jésus-Christ. L
ouïe. Voici, selon Tite-Live, les paroles que le consul adressa à son fils . « Au mépris des ordres de ton général, au mépris
l’âme de ceux qui écoutent, et opérer enfin la persuasion. Agathocle, fils d’un potier, s’était élevé, par sa bravoure et pa
dans l’esprit de l’empereur, qui lui accordait sa confiance. Mais le fils aîné de l’empereur, Léon, qui, à l’âge de dix-neu
dit-il avec tous les signes du plus grand effroi, sauvez-vous ; votre fils , impatient de régner, s’est armé contre vous. » B
Basile s’abandonne alors à toute sa colère ; il se précipite sur son fils sans vouloir l’écouter, lui arrache de ses propre
ses appartements tout ce qui pouvait lui rappeler le souvenir de son fils  ; le nom de Léon ne sort plus de sa bouche ; il n
soutire pas qu’en sa présence se fasse la plus légère allusion à son fils  ; il semble que Léon n’existe plus, ou plutôt qu’
as mis le pied. Auprès d’une des fenêtres était une volière garnie de fils d’argent, où Léon, qui avait conservé les goûts s
ncer quelques paroles, et l’obtient. Il veut prouver à Basile que son fils est innocent. Le matin du jour fatal, Eudoxe avai
rs été le jeune homme le plus sage et le plus généreux, et surtout le fils le plus pieux et le plus tendre. Dans cette secon
il maudit sa fatale précipitation. Il courut à la prison chercher son fils  ; le fils et le père confondirent leurs larmes. S
sa fatale précipitation. Il courut à la prison chercher son fils ; le fils et le père confondirent leurs larmes. Santabarène
e discours d’Eudoxe, s’était échappé de la galerie. L’empereur et son fils étaient trop heureux pour se résoudre à sévir ; l
ur Flavianus. Sujet. Un sénateur romain, nommé Flavianus, avait un fils unique dont la tendresse et la piété faisait tout
la piété faisait toute sa consolation. On vient lui apprendre que ce fils chéri a été tué dans une bataille ; cette nouvell
avianus était évidemment de ne laisser sa fortune à Labéon que si son fils était mort, ce que prouvent les considérants même
..., etc. D’après la loi, un acte aussi grave que l’exhérédation d’un fils ne doit jamais être présumé et ne peut être recon
brouillée avec son mari, s’était retirée auprès de son frère. Yvain, fils du comte et de la comtesse, âgé de quatorze ans,
ssemble ses amis et ses conseillers pour délibérer sur le sort de son fils . Un des conseillers parle en faveur d’Yvain, dont
r sa valeur et par sa magnificence. Né en 1331, il mourut en 1391. Le fils de Gaston Phœbus (il s’appelait Gaston comme son
offroi avait épousé Constance, comtesse de Bretagne, et eut d’elle un fils nommé Arthur ; Geoffroi mourut avant Richard. Jea
uchés et comtés de France, et s’empara de tout au préjudice d’Arthur, fils de son frère aîné. Arthur réclama ses droits et t
Cloris II mourut en 626 ; âgé seulement de vingt-deux ans. Ses trois fils , Childéric II, Clotaire III, Thierri, qui, après
te. 150 Discours en faveur d’Inès de Castro. (1355) Sujet. Le fils unique du roi de Portugal Alphonse IV, don Pèdre,
égo, dans les environs de Coïmbre ; elle ignorait que son mari fut le fils du roi, et croyait qu’il n’était qu’un simple off
qu’il n’était qu’un simple officier. Le roi Alphonse voulait que son fils épousât une princesse d’Aragon : étonné de ses re
s’il le croit légitime, qu’il protège la femme et les enfants de son fils . Mais la faire assassiner !… Dans l’un ou dans l’
d sénéchal : « Les enfants d’Inès raviraient peut-être la couronne au fils aîné de don Pèdre. » Cette crainte est sans fonde
e s’exposera pas à perdre pour jamais le cœur et l’estime même de son fils . Ce discours n’eut pas de succès. Avec l’autorisa
it et détrôna Mainfroi, roi de Naples et de Sicile. Ce Mainfroi était fils naturel de l’empereur Frédéric II, roi de Naples
de Sicile ; il s’était fait couronner roi après la mort de Conrad II, fils légitime de Frédéric, et au préjudice du Conradin
de Conrad II, fils légitime de Frédéric, et au préjudice du Conradin, fils de Conrad. Charles d’Anjou se rendit maître de to
Sujet et plan. Ivan IV30, czar de Russie ou Moscovie, laissa deux fils , Fédor31 et Démétrius32. Fédor régna après son pè
dont cinq au moins, évidemment, étaient des imposteurs. Boris et son fils périrent dans ces troubles. 156. Discours du p
t plan. On vit sous le règne de Tibère les deux Vibius, le père et le fils , introduits ensemble dans le sénat, l’un comme ac
cusateur ; le père, restant chargé de fers pendant le discours de son fils , dont l’allégresse et la brillante parure semblai
ayme. Sujet. Don Jayme vient d’annoncer à son conseil que les deux fils de Roger de Sanguinet, emportés par leur ardeur,
e soutien de sa famille : mais la loi ne dispensant du service que le fils aîné de veuve, Huc fut obligé de quitter la maiso
nt alors, surtout dans l’empire d’Orient. 25. Vespasien ; c’est son fils Titus qui prit Jérusalem l’an 70. 26. Quelques
5 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — André de Chénier 1762-1794 » pp. 480-487
André de Chénier 1762-1794 [Notice] Fils du consul général de France en Turquie, né d’une
eu vainqueur de Python, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de mon fils , de mon unique enfant ! Prends pitié de sa mère a
ui, qui meurt abandonnée, Qui n’a pas dû rester2 pour voir mourir son fils  ; Dieu jeune, viens aider sa jeunesse. Assoupis,
eau mugissant La hache à ton autel fera couler le sang. Eh bien ! mon fils , es-tu toujours impitoyable ? Ton funeste silence
tu toujours impitoyable ? Ton funeste silence est-il inexorable ? Mon fils , veux-tu mourir ? Tu veux, dans ses vieux ans, La
x1, Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. Parle, parle, mon fils , quel chagrin te consume ? Les maux qu’on dissimu
ces yeux appesantis ? — Ma mère, adieu, je meurs, et tu n’as plus de fils . Non, tu n’as plus de fils, ma mère bien-aimée. J
mère, adieu, je meurs, et tu n’as plus de fils. Non, tu n’as plus de fils , ma mère bien-aimée. Je te perds. Une plaie arden
lanc. Ah ! j’expire ! ô douleurs2 ! — Tiens, mon unique enfant, mon fils , prends ce breuvage ; Sa chaleur te rendra ta for
du soleil, Sans connaître Cérès, ni tes yeux le sommeil ! Prends, mon fils , laisse-toi fléchir à ma prière ; C’est ta mère,
ite retrouvée dans les cendres de Pompéia. 1. Évandre, pleurant son fils Pallas, disait : Sors ista senectæ Debita erat no
6 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
sa poitrine la redoutable égide. Enfin, elle prononce ces paroles : «  Fils d’Ulysse, écoutez-moi pour la dernière fois. Je n
iberté, la douce abondance, la gloire sans tache. « Je vous quitte, ô fils d’Ulysse ; mais ma sagesse ne vous quittera point
ap. J.-C. (La Pharsale). IX. Marc-Aurèle recommande à ses amis son fils Commode. Marc-Aurèle était monté sur le trône,
us n’avez pas oublié les faveurs que vous avez reçues. Vous voyez mon fils qui a été élevé par vous-mêmes. Il commence à fai
sions, quand on possède une autorité souveraine. Si vous soutenez mon fils de vos conseils, mes amis, et si vous lui rappele
iment une dépense fastueuse ? » Fénelon (Télémaque). XI. Commode, fils et successeur de Marc-Aurèle aux soldats avant de
à quelles cruautés, à quelles débauches se livra l’empereur Commode, fils bien indigne de Marc-Aurèle. Il périt empoisonné
oi seul. Il aimait à m’appeler votre compagnon d’armes plutôt que son fils  : il regardait ce dernier nom comme venant de la
l personnel, une douleur privée ? Qui ne pleure ou des frères, ou des fils morts dans les plaines de la Thessalie ? Aujourd’
nt à la Pharsale de Lucain). XIV. Charles-Quint à Philippe II, son fils en abdiquant la couronne d’Espagne (1555). Suje
écédente, il avait abandonné la couronne d’Espagne à Philippe II, son fils . On sait qu’il se retira dans le monastère de Sai
t devenue ton partage par ma mort, j’aurais certes bien mérité de mon fils , en lui laissant un patrimoine si riche et augmen
u gouvernement. Les autres rois se réjouissent de donner la vie à des fils , et pensent avec joie qu’un jour ils leur remettr
. En finissant, je n’ai plus qu’un vœu à former : puisses-tu avoir un fils tel, que tu lui transmettes ton royaume spontaném
de Munda en Espagne livrée par J. César, (45 ans av. J.-C.) aux deux fils de Pompée, mit fin à la guerre civile. Cette bata
faisceaux et les haches, il se jeta dans les bras de sa mère : « Mon fils , dit Véturie, renonce au projet d’apporter dans l
ille dans ta maison ? de ta maison dans les temples ? Pardonne, ô mon fils , pardonne et à moi et à la patrie, qui par ma bou
e ciel que désormais aucune mère, essuyant un refus de la part de son fils , ne se voie réduite à la douloureuse nécessité de
ré d’attendrissement, il s’écrie : « Tu l’emportes, ma mère, mais ton fils est perdu. » Traduit d’Appien, historien grec du
la bouche de Volumnie : « Même quand nous garderions le silence, mon fils , tu peux conjecturer d’après les vêtements que no
être pour nous le plus doux à contempler : moi, ta mère, je vois mon fils , et ton épouse voit son époux prêt à mettre le si
je n’attendrai pas le jour où je verrais les Romains triompher de mon fils ou mon fils triompher des Romains. » Traduit de
ai pas le jour où je verrais les Romains triompher de mon fils ou mon fils triompher des Romains. » Traduit de Plutarque (V
s le camp de Coriolan. Deuxième partie. « Si je te demandais, mon fils , de sauver Rome en détruisant les Volsques, je te
lle eut cessé de parler, comme il ne répondait rien : « Eh bien ! mon fils , ajouta-t-elle, pourquoi garder le silence ? Est-
ont comblés par les auteurs de leurs jours ? C’est à toi surtout, mon fils , à toi qui veux sévir contre les ingrats avec tan
ieux. » XXIX. Lettre de Cornélie, mère des Gracques, à son second fils Caïus Gracchus. Le sang d’un citoyen romain a
pas poursuivre les projets de son frère (122 av. J.-C.). « Oui, mon fils , j’en jure par les Dieux : après les meurtriers d
me restent à vivre ne m’empêchent pas de trouver en toi un ennemi, un fils qui médite la ruine de sa patrie ! Où donc s’arrê
à la fin de la carrière mortelle, participent à toutes les vertus. «  Fils d’Israël, la base, le principe du bonheur pour to
ment) dans les malheurs que la guerre actuelle a causés. Père de deux fils , je n’ai pas hésité à les exposer aux périls qu’i
je regarde ma position comme bien affligeante et bien déplorable. Mes fils , en effet, sacrifiant pour leur patrie une existe
lé d’un double deuil, puisqu’il ne m’est plus permis d’espérer de mes fils la propagation de ma race et les fruits que me pr
guidé et soutenu par les bras de mes esclaves, et non par ceux de mes fils . Si les conseils que je viens vous offrir avaient
uand ils ont rendu sa vieillesse si douloureuse, en le privant de ses fils  ! Il paraît devant vous avec des vêtements de deu
Serment d’Annibal : Paroles d’Amilcar. Amilcar vient d’amener son fils , âgé de neuf ans, dans le temple consacré aux mân
me permettent pas de venger ma patrie d’un tel affront, du moins, mon fils , réclame pour toi cette gloire ! Fais serment d’a
ler déjà en sachant que tu existes, et qu’en te voyant grandir, ô mon fils , les mères du Latium refusent de donner des enfan
termes à ses enfants : « Gardez-vous bien de croire, mes très chers fils , que, lorsque je vous aurai quittés, je ne serai
s les peuples, si tous refusaient de s’associer à vos destinées, quel fils , à la vue de son père, n’abaisserait pas son glai
ot, arrive au camp, et s’exprime ainsi : « Tu as en ton pouvoir, mon fils , deux moyens d’apaiser des hostilités implacables
moi, je vous prie de considérer, mon père, que les Samnites, dont les fils , les pères, les frères ont succombé dans les guer
rs légions taillées en pièces, la terre jonchée de leurs cadavres, le fils de Crassus percé de traits sous les yeux de son p
Cousin). LXX. Priam supplie Achille de lui rendre le corps de son fils Hector. Ce sujet a été donné à la Sorbonne le 1
Priam aux genoux d’Achille, le supplie de lui rendre le corps de son fils Hector.   Priam, sans être aperçu, a pénétré dans
ros et couvre de baisers ces mains terribles qui lui ont ravi tant de fils . Achille étonné frémit à l’aspect du noble vieill
ant, son cœur se remplit de joie, et chaque jour il espère revoir son fils , revenu du siège de Troie : mais moi, vieillard b
roie, et je crois qu’il ne m’en reste plus un seul. J’avais cinquante fils , quand les Grecs ont abordé sur ce rivage ; le cr
es enfants ! » Traduit d’Homère. LXXI. Philoctète. Neoptolème, fils d’Achille, vient d’annoncer à Philoctète qu’il va
loctète lui adresse la prière suivante : « Au nom de ton père, ô mon fils , au nom de ta mère, par tout ce que tu as de plus
ter la gloire dans tout ce qui est honnête. Si tu me repousses, ô mon fils , un déshonneur éternel rejaillira sur toi ; mais
e moins être un embarras pour tes compagnons. Laisse-toi toucher, mon fils , au nom de Jupiter, le dieu des suppliants ; je t
igé mes instructions et sont retournés dans leur patrie. Aujourd’hui, fils d’Achille, sois mon libérateur, mon guide, sauve-
, jusqu’à frapper du poing le visage d’un de ses esclaves. Enfin, son fils tout en larmes, se précipitant dans ses bras, le
Caton se levant avec vivacité et jetant des regards menaçants sur son fils et sur les amis qui l’entouraient : « Eh quoi !
moi, pour m’empêcher de les exécuter, on me désarme ! Eh bien ! noble fils , pourquoi n’enchaînes-tu pas ton père ? Pourquoi
ion, ou en me brisant la tête contre la muraille ? » À ces mots, son fils et quelques amis sortirent, en versant des pleurs
que dans votre philosophie. Retirez-vous sans crainte, et dites à mon fils de ne pas employer la violence envers moi, s’il n
me cause aucune douleur ; mais si j’avais abandonné sans sépulture le fils de ma mère, je serais justement affligée, tandis
contre, accompagné de la nourrice qui portait sur son sein leur jeune fils , Astyanax. Le guerrier jette sur lui un regard ca
eure ici, sur cette tour, si tu ne veux laisser ta femme veuve et ton fils orphelin. Arrête tes guerriers près de ce figuier
ois fois les Ajax, le vaillant Idoménée, les deux Atrides et le brave fils de Tydée ont essayé de s’ouvrir un passage, soit
ILIPPE. Maintenant, Alexandre, tu ne saurais dire que tu n’es pas mon fils  ; car si tu avais été celui d’Ammon, tu ne serais
ort. ALEXANDRE. Assurément, mon père, je n’ignorais pas que Philippe, fils d’Amyntas, était l’auteur de mes jours ; mais com
p de bataille, couvert de sang, gémissant comme un simple mortel, toi fils d’un Dieu, n’aurais-tu pas prêté à rire aux spect
7 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
rté les armes ; Biron, dont le seul nom répandait les alarmes, Et son fils , jeune encore, ardent, impétueux, Qui depuis… mai
liberté par le soudan qui y commande, Orosmane, il va reconnaître son fils dans Nérestan, chevalier chrétien, qui était venu
bles yeux. Châtillon. C’est ici le palais qu’ont bâti vos aïeux : Du fils de Noradin c’est le séjour profane2. Zaïre. Le m
e temps Ne peut encor tarir dans mes yeux expirants. Une fille, trois fils , ma superbe espérance3, Me furent arrachés dès le
nnier avec moi dans Césarée en flamme, Tes yeux virent périr mes deux fils et ma femme, Châtillon. Mon bras, chargé de fers
lore, Sur mes autres enfants, s’ils sont vivants encore : Mon dernier fils , ma fille, aux chaînes réservés, Par de barbares
ts, Revinrent l’arracher à mes bras tout sanglants1. Votre plus jeune fils , à qui les destinées Avaient à peine encore accor
, seigneur ! ah, Zaïre !Approchez, mes enfants. Nérestan. Moi, votre fils  ! Zaïre. Moi, votre fils !Seigneur ! Lusignan.
rochez, mes enfants. Nérestan. Moi, votre fils ! Zaïre. Moi, votre fils  !Seigneur ! Lusignan. Moi, votre fils ! Seigneu
re fils ! Zaïre. Moi, votre fils !Seigneur ! Lusignan. Moi, votre fils  ! Seigneur !Heureux jour qui m’éclaire ! Ma fille
otre fils ! Seigneur !Heureux jour qui m’éclaire ! Ma fille, mon cher fils , embrassez votre père1. Châtillon. Que d’un bonh
e puis m’arracher. Je vous revois enfin, chère et triste famille, Mon fils , digne héritier… vous… hélas ! vous, ma fille ! D
e. Lusignan. Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi ! Ah ! mon fils , à ces mots j’eusse expiré sans toi. Mon Dieu ! j
8 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
au fond de sain et de substantiel1. Conseils de d’Aguesseau à son fils aîné sur la religion. Vous venez, mon cher fil
d’Aguesseau à son fils aîné sur la religion. Vous venez, mon cher fils , d’achever le cercle ordinaire de l’étude des hum
e la nature comme dans celui de la grâce… L’étude de la religion, mon fils , doit être le fondement, le motif et la règle de
trembler un père qui vous aime tendrement, si je ne croyais, mon cher fils , que vous le craignez vous-même. Vous ne sauriez
e la religion, je ne crois pas avoir besoin de vous avertir, mon cher fils , que la persuasion, ou la conviction à laquelle o
e ces pensées et de ces sentiments, dans l’âge où vous êtes, mon cher fils . Vous aller entrer dans le monde, et vous n’y tro
au large, en secouant le joug de la religion. Ce n’est pas, mon cher fils , que je veuille vous conseiller d’entrer en lice
a règle de notre conduite, c’est l’étude de toute notre vie, mon cher fils  : vous en êtes déjà aussi instruit qu’on le peut
9 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
même, c’est dans le personnage héroïque du vieil Horace défendant son fils  ; et pour cela il a suffi au poète de mettre en b
chaque page. Voyez, entre autres, le beau discours de Pacuvius à son fils Pérolla, qui avait formé le projet de tuer Anniba
l’horreur du forfait, et pénétrée en même temps de tendresse pour un fils qu’égare son admiration fanatique pour les Romain
Agrippine quitte donc l’armée de son époux, portant dans ses bras son fils encore en bas âge, et traînant à sa suite les fem
. Cyrus, dit Xénophon, sentant sa fin approcher, fit appeler ses deux fils , avec ses amis, et les principaux magistrats des
ation de voir que vous me survivrez, vous que le ciel m’a donnés pour fils . Je laisse mon pays florissant, et mes amis dans
t, mes enfants, les doux nœuds dont le ciel a voulu lier ensemble les fils d’un même père : resserrez-les plutôt, par les ac
ne s’élèvent contre l’opprobre d’un pareil supplice » ! 76. « Mon fils , au nom des nœuds sacrés qui unissent les pères e
crés qui unissent les pères et les enfants, je l’en conjure, mon cher fils  ! ne souille point, ne laisse point souiller les
lui qui t’y reçoit ? Eh quoi ! j’ai pu rendre Annibal favorable à mon fils , et je ne pourrai rien sur mon fils pour Annibal 
pu rendre Annibal favorable à mon fils, et je ne pourrai rien sur mon fils pour Annibal ! — Mais si la foi du serment, si la
une victoire dont je rougirais ; et que mes prières puissent sur mon fils ce qu’elles ont pu aujourd’hui sur d’autres en sa
veur » ! (Tite-Li v e, Liv. xxiii, c. 9). 77. « Mon épouse et mon fils ne me sont pas plus chers que mon père et la répu
i m’environne ? Vous appellerai-je soldats ? vous qui avez assiégé le fils de votre empereur dans son propre camp ; citoyens
10 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
t-cinq ans. Réparer les brèches d’une fortune compromise, établir son fils , adorer sa fille, madame de Grignan, se lamenter
dation de cette terre : il y avait les plus vieux bois du monde ; mon fils , dans son dernier voyage, y a fait donner les der
reste3. Douleur de madame de Longueville apprenant la mort de son fils À madame de Grignan Paris, 20 juin 1672.
qui sont présentement en mon cœur ? Le péril extrême où se trouve mon fils , la guerre qui s’échauffe5 tous les jours, les co
adame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat… Et mon fils  ? On ne lui répondit rien6. — Ah ! Mademoiselle,
bat… Et mon fils ? On ne lui répondit rien6. — Ah ! Mademoiselle, mon fils , mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
— Madame, je n’ai point de parole pour vous répondre. — Ah ! mon cher fils  ! Est-il mort sur-le-champ ? n’a-t-il pas eu un s
te contre une tendresse si juste et si naturelle. » 1. Terre de son fils , dans le pays Nantais. 2. Nous dirions : Qui éta
bleau très-éloquent de la douleur d’une mère apprenant la mort de son fils . Madame de Sévigné, qui pourtant n’a pas vu cette
Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne ; le fils de Saint-Hilaire se jette à son père, et se met à
11 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440
es sens sont saisis. (Montrant Joas.) Épouse de Joad, est-ce là votre fils  ? Josabeth. Qui ? lui, madame2 ? Athalie. Lui.
. Josabeth. Je ne suis point sa mère. (Montrant Zacharie.) Voilà mon fils . Athalie, à Joas. Et vous, quel est donc votre p
, Je prétends vous traiter comme mon propre fils3. Joas. Comme votre fils  ! Athalie. Oui… Vous vous taisez ? Joas. Quel p
ême jour égorger à la fois (Quel spectacle d’horreur !) quatre-vingts fils de rois2 ; Et pourquoi ? Pour venger je ne sais q
s deux maisons rompit toute alliance : David m’est en horreur, et les fils de ce roi, Quoique nés de mon sang, sont étranger
s humains. Vous-même, consultez vos premières années : Claudius à son fils les avait destinées ; Mais c’était en un temps où
uvre animal6. Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire : Son fils ne souffre plus qu’on lui parle d’affaire. Il nou
-avancé pour son âge. 2. Assis, par un tour inversif, se rapporte à fils . 3. Voltaire a osé dire que Joad et Josabeth aur
bite et pathétique réponse ! 1. Athalie, mère d’Ochozias, voyant son fils mort, s’eleva contre les princes de la race royal
s, liv. IV, ch. xi, v. 1.) 2. Or, le roi Achab avait soixante et dix fils , qui étaient nourris chez les premières personnes
es curent reçu les lettres de Jéhu, elles prirent les soixante et dix fils du roi et les tuèrent. (Rois, liv. IV, ch. x, v. 
érieures.) 1. Il s’agit d’un chien qui a mangé un chapon. — Léandre, fils de Dandin qui a la manie de juger, métamorphose e
12 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
été reçue à Grignan. Ils avaient fait ici une manière d’entrée à mon fils  ; Vaillant avait mis plus de quinze cents hommes
ui vous convenait : voici un mot que j’ai écrit sur un arbre pour mon fils , qui est revenu de Candie : Vago di fama 3 ; n’es
A la même. Inquiétudes de madame de Sévigné pour sa fille et son fils . Mort du jeune duc de Longueville. Il m’est im
i sont présentement dans mon cœur ! Le péril extrême où se trouve mon fils  ; la guerre qui s’échauffe tous les jours ; les c
dame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat ! Et mon fils  ? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle,
t ! Et mon fils ? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle, mon fils , mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
 Madame, je n’ai point de paroles pour vous répondre. — Ah ! mon cher fils  ! est-il mort sur-le-champ3 ? n’a-t-il pas eu un
13 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
efforts, Jamais rien de grand n’a paru sur tes bords. Voiture était fils d’un marchand de vin. Un jour qu’il jouait aux pr
  Et la sœur et le frère,                  Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son père ! Racine, Esther, acte
os pas, Si pour sauver son peuple il ne vous gardait pas ? Racine le fils a traité le même sujet que Massillon, l’existence
crifice d’Abraham Une noble dame vénitienne venait de voir mourir son fils unique, et s’abandonnait aux plus cruelles douleu
qui Dieu commanda de plonger lui-même le couteau dans le sein de son fils , et qui obéit sans murmurer. » — Ah ! mon père, r
si le temps où une malheureuse mère vient pleurer sur la tombe de son fils  : C’était l’heure où lassé des longs travaux du
i de la veuve d’Hector à Phénix, son gouverneur : Je puis perdre son fils  ; peut-être je le dois ; Étrangère… Que dis-je ?
dois ; Étrangère… Que dis-je ? esclave dans l’Épire, Je lui donne son fils , mon âme, mon empire ; Et je ne puis gagner dans
, vient reprocher à Burrhus le soin qu’il prend d’éloigner d’elle son fils , et Burrhus, dans sa réponse aux reproches de l’i
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
t l’éloge du vertueux Marc Aurèle, il adresse ses conseils à Commode, fils de l’empereur, en présence du corps inanimé de so
tre du monde, tu peux ni ordonner de mourir, mais non de t’estimer. Ô fils de Marc-Aurèle ! pardonne : je te parle au nom de
ise et l’admiration. Voltaire se sert de cette figure lorsqu’Égisthe, fils de Mérope, attaque Polyphonie au pied de l’autel
t ses pas ! Sa mère… elle s’élance au milieu des soldats. « C’est mon fils  ! arrêtez ; cessez, troupe inhumaine, C’est mon f
ats. « C’est mon fils ! arrêtez ; cessez, troupe inhumaine, C’est mon fils  ! déchirez sa mère et votre reine, Ce sein qui l’
encore un bel exemple dans le poème de la Religion, lorsque Racine le fils met en opposition la grandeur et la bassesse de l
e prix au crime encouragé, Le mari par sa femme en son lit égorgé, Le fils tout dégouttant du meurtre de son père, Et, sa tê
a douleur du vieux d’Ailly qui, d’un coup d’épée, vient d’abattre son fils à ses lieds : Ses yeux sont pour jamais fermés à
désespoir ! ô cris : Il le voit, il l’embrasse : hélas ! c’était son fils . Henriade, ch. VIII. J.-J. Rousseau emploie cet
e j’ai craint de livrer aux flammes, au pillage. Qu’il règne donc, ce fils , ton soin et ton ouvrage ! Et que, pour signaler
, Au nom de tes vertus, de Rome et de toi-même, Dirai-je au nom si un fils qui frémit et qui t’aime  Qui te préfère au monde
14 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43
[Notice] Jamais vocation ne fut plus irrésistible que la sienne. Fils et petit-fils d’un tapissier du roi, élevé au col
gentilhomme gueux et malbâti. Nicole 1. Cela est vrai. Nous avons le fils d’un gentilhomme de notre village qui est le plus
is son père1 ; mais je puis dire que j’ai sujet d’être content de mon fils , et que tous ceux qui le voient en parlent comme
II, scène vi, le Malade imaginaire.) Un père fait la leçon à son fils Don Louis. Je vois bien que je vous embarra
ar nos vœux aveugles et nos demandes inconsidérées ! J’ai souhaité un fils avec des ardeurs non pareilles ; je l’ai demandé
je l’ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils , que j’obtiens en fatiguant le ciel de mes prière
u’on signe qu’aux actions qu’on fait, et que je ferais plus d’état du fils d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du
plus d’état du fils d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du fils d’un monarque qui vivrait comme vous1. Don Juan
is bien que toutes mes paroles ne font rien sur ton âme ; mais sache, fils indigne, que la tendresse paternelle est poussée
ri. 4. Que, d’autre source que de… 5. M. Jourdain rougit d’être le fils de son père.. 1. Nicole est la servante, qui gl
15 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XIV. » pp. 106-108
plutôt tué, dans un combat sur le rivage d’Ithaque, par Télégonus, le fils qu’il avait eu jadis de Circé. Voy. Hygin, Fable
elle, ne balance pas à dire que la reconnaissance de Mérope et de son fils était le moment le plus intéressant de toute la s
e fragments. Mais, d’après le récit d’Hygin, Fable 8, ce n’est pas un fils d’Antiope qui va la livrer à la mort, mais ses de
n’est pas un fils d’Antiope qui va la livrer à la mort, mais ses deux fils , qui, la reconnaissant sur les indices d’un berge
16 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338
ma maison à la vôtre. Vous n’avez qu’une fille, et moi je n’ai qu’un fils  ; Leur hymen nous peut rendre à jamais plus qu’am
illeurs mains. (Scène iv.) Don Diègue fait appel à l’épée de son fils D. Diègue. Rodrigue, as-tu du cœur1 ? Rodr
e courroux ; Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils , viens, mon sang, viens réparer ma honte, Viens m
nce : Je ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi. Montre-toi digne fils d’un père tel que moi. Accablé des malheurs où le
Va, cours, vole, et nous venge. (Scène.v.) Don Diègue defend son fils D. Diègue. Qu’on est digne d’envie Lorsqu’o
cendaient au tombeau tout chargés d’infamie, Si je n’eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays, et digne de son
sse. 4. Il l’interrompt au moment où, sous le coup de l’affront, son fils allait oublier qu’il parle à un père. 1. Nous d
on Juan de Molière. Lisez cette lettre de madame de Staël à un de ses fils , et rapprochez la fiction de la réalité : « Je cr
entiment de fierté m’empêchât de le faire avec tout autre qu’avec mon fils . « Voici le tableau de votre conduite : Vous avez
tifient Corneille. 2. « La réponse de don Diègue, qui défend ici son fils contre Chimène devant le roi justicier, est d’une
l s’offre lui-même en, victime pour apaiser le sang qui crie. Que son fils vive, pour continuer l’honneur de sa race, pour s
tant de fois Entoura de respect l’autorité des lois : Venez, généreux fils , en qui l’affront d’un père Ferait encor du Cîd b
17 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
Saint-Simon 1675-1755 [Notice] Fils d’un ancien favori de Louis XIII, qui prétendait
ec rage à rabaisser le parlement et à précipiter d’un rang usurpé les fils illégitimes de Louis XIV. Après son ambassade d’E
c’est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d’un si bon fils . Les plus fins d’entre eux, ou les plus considéra
le attend encore et soupire après le Messie1 1. Le grand dauphin, fils aîné de Louis XIV, né en 1661, mort en 1711. On p
de madame de Maintenon, adressée au duc de Noailles, le 27 avril. Son fils , le duc de Bourgogne, mourut l’année suivante, 17
mourut l’année suivante, 1712. 2. Le duc de Berry était le troisième fils de Monseigneur. Il ne joua aucun rôle politique,
taient leur cabale (leur parti) frappée dans son chef. 1. C’était le fils bien-aimé de Monseigneur, qui avait moins d’affec
18 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des figures » pp. 324-354
l’injuste condamnation du vieillard pour s’écrier : « Hommes justes, fils religieux et soumis, c’est vous que j’invoque. Te
iens-tu ! O jeune homme ! brûle-moi tout à l’heure comme je brûlai le fils de Jupiter. O terre ! ô terre ! reçois un mourant
s jouait autrefois à Rouen la Mort d’Abel, tragédie en cinq actes. Le fils d’un notable demande à en faire partie. Mais tous
ur donner de l’élégance et de l’ampleur au discours : — Tels que des fils d’Io, l’un à l’autre attachés, Sont portés dans u
, Sont portés dans un char aux plus voisins marchés. (Voltaire.) Ces fils d’Io, en vile prose, sont tout bonnement des veau
acine.) Agrippine ne peut pas donner à entendre plus clairement à son fils qu’elle a hâté les derniers moments de Claude pou
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ? non, c’est de l’avoir faite reine malheureuse !
19 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
nt. C’est ce qu’on admire dans le poëme de la Religion, par Racine le fils . Il conduit son plan, comme il le dit lui - même,
Boscovich, jésuite. Il s’agit des couleurs qu’offrent à nos yeux les fils de la lumière séparés par la réfraction. « Quoiq
éparés par la réfraction. « Quoique nous vous ayons déjà annoncé ces fils lumineux comme innombrables, et comme ayant chacu
le prodigue un suc jusqu’alors réservé. En longs cercles d’abord, des fils qu’elle ménage, Elle forme un duvet, appui de son
son ouvrage : Bientôt elle décrit des mouvemens plus courts ; Et ses fils plus serrés, unis par mille tours, D’un tissu mer
loison ; Celui-ci, que déjà cache un épais nuage, Laisse encor de ses fils entrevoir l’assemblage : D’autres se renfermant d
fort bien traduits par le P. Avril, de la même compagnie. Racine le fils a chanté ln. On a vu le plan de ce poëme, non moi
si entre-t-on moins vivement dans les sentimens d’Andromaque pour son fils Astianax. Mais d’un autre côté cet amour d’Oreste
on même ; et Cléopâtre avale le poison qu’elle avoit préparé pour son fils . Cet empoisonnement de Cléopâtre est aussi vraise
eux ou malheureux : heureux, tel que celui d’Andromaque qui sauve son fils  ; malheureux, tel que celui d’Hippolyte qui meurt
la première scène contient des discours relatifs au sujet. Hippolyte, fils de Thésée, roi d’Athènes, y laisse entrevoir son
se présente à Hippolyte pour lui demander son appui en faveur de son fils . Mais se laissant emporter par sa passion, elle l
lyte par l’offre de l’empire d’Athènes qu’elle croit appartenir à son fils , et qu’elle veut lui céder, lorsqu’on annonce l’a
cuse Hippolyte auprès de Thésée. Celui ci furieux voyant paroître son fils , l’accable de reproches : il invoque Neptune qui
touchée de repentir vient trouver Thésée pour le prier d’épargner son fils . Mais aussitôt qu’elle apprend qu’Aricie en est a
a reine. Alors ce malheureux père ne doute plus de l’innocence de son fils , et ordonne qu’on le rappelle. Voilà le nœud auss
ocence d’Hippolyte à Thésée, qui va joindre ses larmes au sang de son fils , et qui veut qu’Aricie lui tienne désormais lieu
chante qu’elle est, ont la bonne poétique. Elle a poignardé un de ses fils  ; elle veut empoisonner l’autre et la princesse s
ithridate, dans la tragédie de ce nom, résolu à se venger de ses deux fils , aussitôt qu’il apprend leur amour pour Monime, v
es qui ne vont point au fait, ressemble à une mère qui, cherchant son fils dans les campagnes, s’amuseroit à cueillir des fl
absolue, tin mari pusillanime et soumis ; à côté d’un père avare, un fils prodigue. Le second, c’est d’opposer le ridicule
uivant l’expression d’Horace ; c’est lorsqu’il est indigné contre son fils . Venons à un exemple sensible que m’offre la bell
ar Poinsinet de Sivry, qui y a joint ceux de Philémon, poëte comique, fils d’un autre Philémon, contemporain et rival de Mén
t une parodie d’Inès de Castro, tragédie de le. Dans Inès, on voit le fils d’un roi, marié secrètement avec une fille d’honn
ec la propre fille de la reine même : dans la parodie, c’est Pierrot, fils d’un bailli, et qui est marié secrètement avec la
ée qui égorge ses enfans ; celle de Cléopâtre qui poignarde un de ses fils et veut empoisonner l’autre ; personnages atroces
sur le faux rapport de la malheureuse Œnone, ne doutant point que son fils ne soit coupable, lui dit avec colère : Fuis, tr
ien assez pour moi de l’opprobre éternel D’avoir pu mettre au jour un fils si criminel, Sans que ta mort encor, honteuse à m
pas moins attendrissante. Cette veuve d’Hector étoit esclave avec son fils Astyanax à la cour de Pyrrhus, fils du meurtrier
e d’Hector étoit esclave avec son fils Astyanax à la cour de Pyrrhus, fils du meurtrier de son époux. Les Grecs demandoient
sse, dit dans un transport de colère : …… Allons aux Grecs livrer le fils d’Hector(a). Andromaque ss. Ah, seigneur, arrêt
Ah, seigneur, arrêtez ! que prétendez-vous faire ? Si vous livrez le fils , livrez-leur donc la mère. Vos sermens m’ont tant
a famille entière, Et mon époux sanglant trainé sur la poussière, Son fils , seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne
e, Son fils, seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne peut un fils  ! je respire, je sers ; J’ai fait plus : je me su
tôt qu’ailleurs le sort m’eût exilée ; Qu’heureux dans son malheur le fils de tant de rois, Puisqu’il devoit servir, fût tom
Jadis Priam(a) soumis fut respecté d’Achille(b) : J’attendois de son fils encor plus de bonté. Pardonne, cher Hector, à ma
aisse à Andromaque le triste choix de l’épouser, ou de voir périr son fils . Dans cette cruelle perplexité, elle dit à sa con
le dit à sa confidente : Quoi, Céphise, j’irai voir expirer encor Ce fils , ma seule joie, et l’image d’Hector, Ce fils que
ai voir expirer encor Ce fils, ma seule joie, et l’image d’Hector, Ce fils que de sa flamme il me laissa pour gage, Hélas, i
courage Lui fit chercher Achille, ou plutôt le trépas, Il demanda son fils , et le prit dans ses bras : « Chère épouse, dit-i
mes, J’ignore quel succès le sort garde à mes armes. Je te laisse mon fils pour gage de ma foi ; S’il me perd, je prétends q
ouve en toi. Si d’un heureux hymen la mémoire t’est chère ; Montre au fils à quel point tu chérissois le père. » Et je puis
il plaint à tes yeux des maux qu’il ne sent pas ? Mais cependant, mon fils , tu meurs, si je n’arrête Le fer que le cruel tie
on. L’histoire dit que Cléopâtre, reine de Syrie, après avoir tué son fils Seleucus, présenta un breuvage empoisonné à son a
ir tué son fils Seleucus, présenta un breuvage empoisonné à son autre fils Antiochus, au retour de la chasse. Ce prince soup
voit voulu, à l’instigation de sa seconde femme, faire assassiner son fils Nicomède, pour laisser sa couronne à son autre fi
re assassiner son fils Nicomède, pour laisser sa couronne à son autre fils . Nicomède qui commandoit alors l’armée, en ayant
romaque, lui offre de relever les murs de Troie, et d’y couronner son fils  ; cette princesse, fidèle à la cendre de son épou
pu conserver mon Hector ! Que le vieil Horace plaide la cause de son fils vainqueur, qui, par le meurtre de sa sœur, se tro
st l’effroi de l’Asie. Et, loin de l’y chercher, C’est à Rome(c), mes fils , que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
Pharasmane, roi d’Ibérie, méditoit la conquête de l’Arménie, dont son fils Rhadamisthe, qu’on croyoit mort après une longue
er quelques débris ; J’en approche en tremblant…. Hélas ! c’étoit mon fils ….. Le dialogue est une partie du poème dramatiqu
ccompagnent si fréquemment ». Le même dit dans une autre lettre à son fils  : « Je vous recommande les représentations théâtr
Caron, et enchaîne Cerbère. Pluton touché du courage et de l’amour du fils de Jupiter, lui rend Alceste, et les fait placer
président aux astres, aux fleuves, aux montagnes ; nous représente le fils de Dieu s’offrant à son père pour racheter le gen
qu’il avoit consacré. Ce palais magnifique où logeoient les cinquante fils du roi, ce palais enrichi de l’or et des dépouill
eur que nous avons besoin aujourd’hui. Hector(b) lui-même, Hector mon fils , ne pourroit nous garantir du sort qui nous menac
gent l’action inhumaine que tu viens de commettre ! Tu as osé tuer un fils sous les yeux de son père ! Autrefois Achille(a),
yeux de son père ! Autrefois Achille(a), dont tu te vantes d’être le fils , n’en usa pas ainsi avec moi. Je l’allai trouver
voir à ses pieds, il me rendit généreusement le corps défiguré de mon fils Hector : fidèle à sa parole et au droit des gens,
it Pyrrhus ; raconte-lui mes honteuses actions, et dis-lui qu’il a un fils qui déshonore son sang. A ces mots, sans respecte
illard, dont les pas chanceloient sur le marbre inondé du sang de son fils  : il saisit d’une main ses cheveux blancs, et de
par trois officiers. La première est sous les ordres du jeune Priam, fils de Polite, et petit-fils du dernier roi de Troie,
e, Dont l’habitant nouveau comblé des dons du ciel, Sera le favori du Fils de l’Eternel. C’est là que nous devons diriger no
s qui de toi doivent naître. Le premier qui paroit, c’est ton auguste fils (h). Il soutiendra long-temps la gloire de nos lis
phateur heureux du Belge(i) et de l’Ibèrek : Mais il n’égalera ni son fils ni son père ? Henri dans ce moment voit sur des f
. Vénus va se plaindre à Jupiter de l’acharnement de Junon contre son fils Enée. Le père des Dieux la console, en lui dévoil
Dieux la console, en lui dévoilant ce que les destins réservent à ce fils , et envoie Mercure à Carthage, pour qu’il dispose
te à Didon, qui lui fait un accueil favorable. Il envoie chercher son fils Ascagne. Mais Vénus, pour prévenir l’inconstance
et la perfidie des Carthaginois, substitue au jeune prince troyen son fils Cupidon. La reine caresse cet enfant ; et peu à p
e prince donne à Enée quatre cents chevaux, commandés par Pallas, son fils unique, et lui conseille en même temps d’aller se
nt à sa descente. Il se livre un sanglant combat, dans lequel Pallas, fils du roi Evandre, est tué par Turnus. Enée, qui veu
ce, qui prend la place de ce prince dans le combat, est tué, avec son fils Lausus, par le héros troyen. XI. Livre. Les deux
Le sujet de ce poëme est la guerre que se firent Etéocle et Polynice, fils du fameux Œdipe. Il y a un assez grand nombre de
20 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
qui ne nous mettent pas en péril de mort49. » Cette chaste épouse du Fils de Dieu (l’Église), qui, à l’imitation de son épo
rbouillé. D’où vient que cet homme qui a perdu depuis peu de mois son fils unique, et qui, accablé de procès et de querelles
et douze ans ; qu’elle suppliait Sa Majesté de lui donner son dernier fils , pour l’assister sur la fin de sa vie, qui appare
Lépide et du jeune César Octavien, petit-neveu de Jules César et son fils par adoption, trois insupportables tyrans, dont l
a donné un sens pour connaître le vrai Dieu et pour être en son vrai fils . Dedit nobis sensum, ut cognoscamus verum Deum et
ffet de son absolue puissance. En sorte que jamais il n’a fait, comme Fils de Dieu et comme Dieu, un plus grand effort de ce
eut détruit l’empire des Perses, il voulut que l’on crût qu’il était fils de Jupiter. Les Macédoniens étaient indignés de v
uir. Alexandre mourut ; et toutes les nations furent sans maître. Les fils du roi étaient dans l’enfance : son frère Aridée
, le 2 février, il part de Saint-Germain avec le jeune duc d’Enghien, fils du grand Condé, et quelques courtisans ; les autr
rtagea leur péril pour les en tirer. Ce prince était partout avec son fils , et venait ensuite rendre compte de tout au roi,
révolution qui eût épouvanté sa vieillesse et qui devait immoler son fils unique367. Contraste de la nature sauvage et d
t ou quelle mauvaise foi ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque399 au fils de Marie ? Quelle dist
faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque399 au fils de Marie ? Quelle distance de l’un à l’autre ! So
comme par hasard à cette princesse, laisse éclater son amour pour le fils de Créon421. Euripide multiplia les sentences et
ces frayeurs alors que je te prie ; Je te fais d’autres vœux que ces fils d’Israël, Et, plein de confiance, humblement je m
ts au combat. Acte II, scène VII. Le vieil Horace ; Horace, son fils  ; Curiace, amant de Camille ; Sabine, femme d’Hor
ous nos efforts, vous en devez attendre Ce que vous souhaitez et d’un fils et d’un gendre ; Et, si notre faiblesse avait pu
lutôt du combat les funestes effets : Rome est sujette d’Albe, et vos fils sont défaits ; Des trois, les481 deux sont morts,
’est point : on vous trompe, Julie ; Rome n’est point sujette, ou mon fils est sans vie : Je connais mieux mon sang, il sait
r. J’en romprai bien le cours ; et ma juste colère, Contre un indigne fils usant des droits d’un père488, Saura bien faire v
au crime encouragé ; « Le mari par sa femme en son lit égorgé ; « Le fils tout dégouttant du meurtre de son père, « Et, sa
et devoirs d’un roi. Acte I, scène I. Venceslas : Ladislas, son fils ainé ; Alexandre, son second fils ; des gardes. V
ne I. Venceslas : Ladislas, son fils ainé ; Alexandre, son second fils  ; des gardes. VENCESLAS. Prenez un siège, prince 
fruit Que pour me succéder ma couche m’a produit ; Et je croyais, mon fils , votre mère immortelle, Par le reste qu’en vous e
; Et pour vous l’on confond le murmure et les vœux. Ah ! méritez, mon fils , que cet amour vous dure : Pour conserver les vœu
ts. Par ce genre de règne il faut mériter l’autre : Par ce degré, mon fils , mon trône sera vôtre. Mes États, mes sujets, tou
s.) Agrippine avait conçu l’espérance de régner sous le nom de son fils Néron, qu’elle avait fait empereur ; mais son amb
e donc élevé si haut votre fortune Pour mettre une barrière entre mon fils et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde ; Ce n’est plus votre fils , c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
, Et que tout l’univers apprenne avec terreur A ne confondre plus mon fils et l’empereur. Il le peut. Toutefois j’ose encore
itique d’Agrippine l’engage à combattre les mauvaises passions de son fils , parce que, dans ces passions, elle voit une mena
ien : jamais, sans ses avis, Claude qu’il gouvernait n’eût adopté mon fils . Que dis-je ? à son épouse724 on donne une rivale
ppui d’Agrippine : Le ciel m’en laisse assez pour venger ma ruine. Le fils de Claudius commence à ressentir725 Des crimes d
Leur faire, à mon exemple, expier leur erreur. On verra d’un côté le fils d’un empereur Redemandant la foi jurée à sa famil
lle, Et de Germanicus on entendra la fille ; De l’autre l’on verra le fils d’Enobarbus726, Appuyé de Sénèque et du tribun Bu
ses mains, Je ne me repens pas de ce zèle sincère : Madame, c’est un fils qui succède à son père. En adoptant Néron, Claudi
succède à son père. En adoptant Néron, Claudius par son choix De son fils et du vôtre a confondu les droits : Rome l’a pu c
flots vont me submerger. Sois mon vengeur, sois mon refuge Contre les fils de l’étranger ; Venge-toi d’un peuple infidèle De
es, des travaux, un faible cœur s’étonne ; Apprenons toutefois que le fils de Latone,             Dont nous suivons la cour,
rent, du Jourdain souillant les saintes ondes, Profaner le tombeau du fils de l’Éternel, L’Occident, réveillé par ce coup de
ser ? Qu’un soupçon si cruel a droit de m’offenser ! Croyez que votre fils vous respecte, vous aime. LYCANDHE. Vous ? Prouve
paraît. Acte V, scène VI. Lycandre, Lisimon, le comte, Valère ( fils de Lisimon), Isabelle, Lisette, M. Josse (notaire
c’est monsieur l’intendant. LYCANDRE, au comte. Je viens savoir, mon fils … VALÈRE et ISABELLE.                             
VALÈRE et ISABELLE.                                               Son fils  ! LE COMTE, à part.                              
cœur, tout fier qu’il est, ne vous méconnaît plus. Oui, je suis votre fils et vous êtes mon père. Rendez votre tendresse à c
nt terminer vos alarmes, Oublier vos écarts qui sont assez punis. Mon fils , rassurez-vous : nos malheurs sont finis. Le ciel
x. Je n’ai pas attendu ce que je viens d’apprendre Pour choisir votre fils en qualité de gendre, Parce qu’à l’orgueil près,
blement. LISIMON. Comment ? LYCANDRE.                      Pour votre fils je vous offre ma fille. VALÈRE, à Lisette. Je sui
aire ? Vos goûts, vos sentiments, feront mon caractère. LYCANDRE. Mon fils est glorieux ; mais il a le cœur bon : Cela répar
rit, hors ta gloire et ton nom802. C’est là le sort heureux des vrais fils d’Apollon : Tes vers en tout pays sont cités d’âg
e, veuve de Cresphonte, roi de Messène, tout entière au regret de son fils Égisthe, dont le sort lui est inconnu, et à son a
on et son caractère : Quoi ! Narbas ne vient point ? Reverrai-je mon fils  ? Ce qui ajoute à sa douleur, c’est que Polyphon
. Or, c’est ce tyran qui a tué Cresphonte en secret, avec deux de ses fils , dans une sédition qu’il avait perfidement foment
t de plus en plus Mérope à son sort ; mais bientôt on lui dit que son fils a péri et que ce jeune étranger a été son assassi
ère ! Je serais mère encor sans toi, sans ta fureur. Tu m’as ravi mon fils . ÉGISTHE.                                        
                             Si tel est mon malheur, S’il était votre fils , je suis trop condamnable. Mon cœur est innocent,
                                   Je vous jure Par vous, par ce cher fils , par vos divins aïeux, Que mon père en mes mains
mbeau ce monstre, ce perfide. (Levant le poignard.) Mânes de mon cher fils  ! mes bras ensanglantés… NARBAS, paraissant avec
                        Vous me faites trembler : J’allais venger mon fils . NARBAS, se jetant à genoux.                     
ÉROPE. Il vivrait ! NARBAS.                    C’est lui, c’est votre fils . MÉROPE, tombant dans les bras d’Isménie.        
st-ce vous ? est-ce un songe trompeur ? Quoi ! c’est vous ! c’est mon fils  ! qu’il vienne, qu’il paraisse. NARBAS. Redoutez,
cher jusqu’alors ; il lui a dévoilé tous les dangers qui menacent son fils . Qu’elle s’arme de dissimulation : par là seuleme
        Vous-même829. De cet égarement sortirez-vous enfin ? De votre fils , madame, est-ce ici l’assassin ? MÉROPE. Mon fils
us enfin ? De votre fils, madame, est-ce ici l’assassin ? MÉROPE. Mon fils , de tant de rois le déplorable reste, Mon fils, e
assassin ? MÉROPE. Mon fils, de tant de rois le déplorable reste, Mon fils , enveloppé dans un piège funeste, Sous les coups
                   Barbare ! il est mon fils830. ÉGISTHE. Moi ! votre fils  ? MÉROPE, en l’embrassant.                       
qui ? vous, qui demandiez sa mort ? ÉGISTHE831. Ah ! si je meurs son fils , je rends grâce à mon sort. MÉROPE. Je suis sa mè
rahie. Oui, tu tiens dans tes mains le secret de ma vie ; Tu tiens le fils des dieux enchaîné devant toi, L’héritier de Cres
re ; Ton cœur, nourri de sang, n’en peut être frappé : Oui, c’est mon fils , te dis-je, au carnage échappé. POLYPHONTE. Que p
dez-vous dire ? et sur quelles alarmes ? ÉGISTHE. Va, je me crois son fils  : mes preuves sont ses larmes, Mes sentiments, mo
mère. Jugez de mes tourments : ma détestable erreur, Ce matin, de mon fils allait percer le cœur. Je pleure à vos genoux mon
assinez ! Son père est mort, hélas ! par un crime funeste ; Sauvez le fils  : je puis oublier tout le reste ; Sauvez le sang
sent ne sont point éblouis : Je me sens né des rois, je me sens votre fils . Hercule ainsi que moi commença sa carrière : Il
d’accepter Polyphonte pour époux. Il faut que ce jeune homme soit le fils ou la victime du tyran. La cérémonie nuptiale va
perdue. Acte V, scène VI. Narbas, Isménie, peuple. NARBAS. Mon fils est-il vivant ? Que devient notre reine ? ISMÉNIE
ait Égisthe ? ISMÉNIE.                                Il est le digne fils des dieux ; Égisthe ! il a frappé le coup le plus
invincible N’a d’un exploit si rare étonné les humains. NARBAS. Ô mon fils  ! ô mon roi, qu’ont élevé mes mains ! ISMÉNIE. La
t ses pas ! Sa mère… Elle s’élance au milieu des soldats. « C’est mon fils  ! arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! C’est mon f
ats. « C’est mon fils ! arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! C’est mon fils  ! déchirez sa mère et votre reine, Ce sein qui l’
s yeux. Venez. J’ignore encor si la reine est sauvée, Si de son digne fils la vie est conservée, Si le tyran n’est plus. Le
a ses mains. Cresphonte mon époux, mon appui, votre maître ; Mes deux fils , sont tombés sous les coups de ce traître. Il opp
e à la main.) Celui que vous voyez, vainqueur de Polyphonte, C’est le fils de vos rois, c’est le sang de Cresphonte, C’est l
t pour eux. ÉGISTHE. Amis, pouvez-vous bien méconnaître une mère ? Un fils qu’elle défend ? un fils qui venge un père ? Un r
, pouvez-vous bien méconnaître une mère ? Un fils qu’elle défend ? un fils qui venge un père ? Un roi vengeur du crime ? MÉR
                               Et si vous en doutez, Reconnaissez mon fils aux coups qu’il a portés, À votre délivrance, à s
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France, qui à une haute insp
les anciens. Ce travail a été fait sous la direction de M. G. Feugère fils (Note de l’éditeur.) 3. Cet exercice est des plu
Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne : le fils de Saint-Hilaire se jette à son père, et se met à
e Turenne, dans sa lettre du 12 août 1675 : « Il aimait tendrement le fils de M. d’Elbeuf ; c’est un prodige de valeur à qua
celles de Bourdaloue, on lira une lettre de François de Lamoignon, le fils ainé du premier président, l’un de ces magistrats
armi les plus brillantes des étoiles. D’après John Herschel (c’est le fils de William), Sirius, qui par son éclat, il est vr
secret dont il sut en général couvrir ses desseins. 341. C’était le fils posthume du comte de Bouteville, décapité sous Lo
xe et détermine nettement… 421. Antigone, qui devait épouser Hémon, fils de Créon, est condamnée à périr pour avoir, contr
’Antigone, demande grâce au tyran pour la femme qu’il destinait à son fils . Créon répond avec dureté qu’il ne veut point pou
avait sur ses enfants droit de vie et de mort. Il pouvait vendre son fils , et ce n’était qu’après trois ventes successives
sives que son droit expirait. Le mariage même n’affranchissait pas le fils de l’obéissance qu’il devait à son père. « Le sen
re que les magistrats n’osent poursuivie le crime, soupçonnant que le fils du roi n’y est pas étranger, ce qui accroît l’aud
s. 545. Cf. dans Claudien les conseils de l’empereur Théodose à son fils Honorius, de Cons. IV Honorii, v. 270 :         
es travaux de ce poète, des Mémoires que nous devons au second de ses fils , à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés ave
 » elle eut d’abord auprès des spectateurs un très faible succès. Son fils nous en donne la raison : pour apprécier la puret
., XIII, 19, dès qu’aurait éclaté la mésintelligence de la mère et du fils . 721. Cf. Virgile, En., I, 52. 722. Il serait i
re, honnête artisan, ne sut pas, comme Horace son maître, être un bon fils  ? En cela, J.-B. Rousseau porta la peine des faut
çon). Une belle édition des Œuvres de Destouches a été donnée par son fils à l’Imprimerie royale, en 1757. On signalera de p
re en effet ; mais nous savons gré à l’auteur de ne pas le changer en fils sacrilège, maudit par son père : autrement la com
n aise, dit-il, que le père, rétabli dans ses biens, l’apprenne à son fils , qui a vaincu son orgueil, et que sa tille soit r
udence maternelle qui révèle ce qu’elle veut cacher et qui expose, le fils qu’elle veut défendre, est d’une vérité sublime. 
the vient-elle d’échapper au péril d’être la meurtrière de son propre fils , qu’elle se voit sur le point de le perdre par le
, lorsqu’il place ce vers dans la bouche d’Andromaque, parlant de son fils , I, 4 : Il m’aurait tenu lieu d’un père et d’un
21 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
au-devant du char funèbre. Le peuple et l’armée l’accompagnaient. Le fils de Marc-Aurèle suivait le char. La pompe marchait
na des conseils, tels que Marc-Aurèle mourant devait les donner à son fils  ; et bientôt après Rome et l’univers le perdirent
au-dessus de tout ce que l’on vient de voir. Apollonius s’adresse au fils et à l’héritier de Marc-Aurèle : « Mais toi qui
ier de Marc-Aurèle : « Mais toi qui vas succéder à ce grand homme, ô fils de Marc-Aurèle ! ô mon fils ! permets ce nom à un
toi qui vas succéder à ce grand homme, ô fils de Marc-Aurèle ! ô mon fils  ! permets ce nom à un vieillard qui t’a vu naître
faut que tu sois ou le plus juste ou le plus coupable des hommes : le fils de Marc-Aurèle aurait-il à choisir ? On te dira b
ître du monde, tu peux m’ordonner de mourir, mais non de t’estimer. Ô fils de Marc-Aurèle ! pardonne ; je te parle au nom de
22 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article » p. 403
Ascagne, appelé aussi Ilus ou Iulus, fils d’Enée et de Ce. Il succéda à son père dans le no
ransféra le siége de son royaume. Il régna 38 ans ; et voyant que son fils Julius Sylvius étoit peu habile à lui succéder, i
r, il laissa ses états à Julius Sylvius Enéas, son frère posthume, et fils de Lavinie, seconde femme d’Enée.
23 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
orts mêmes. Tel est cet endroit du Poème de la Religion par Racine le fils  : La voix de l’univers à ce Dieu me rappelle. La
Enfin à des êtres insensibles : tels sont ces beaux vers de Racine le fils , dans son Poème sur la Religion. Quel bras peut
les événements, avait secrètement envoyé le jeune Polydore, un de ses fils , avec beaucoup d’or, au roi de Thracea, pour le f
arthes, où Cléopâtre, reine de Syrie, étant près d’expirer, dit à son fils Antiochus et à la princesse son épouse : Puisse
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un fils qui me ressemble ! Celui-ci est pris de la tragé
s, Au nom de tes vertus, de Rome et de toi-même, Dirai-je au nom d’un fils qui frémit et qui t’aime Qui te préfère au monde
ains ; Mais tout n’est pas détruit et vous en laissez vivre Un… votre fils , Seigneur, me défend de poursuivre. Suspensio
ui n’en avait pas vu la fin, annonce au vieil Horace, que deux de ses fils ont été tués, et que le troisième a pris la fuite
le troisième a pris la fuite. Le père est outré de la lâcheté de son fils . Cette femme lui dit alors : Que vouliez-vous qu
iption du jugement dernier dans le poème de la Religion par Racine le fils . Il est plein de grandes idées et d’images sublim
24 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
— c’est Louis ; je ne sais meilleur (homme) en France : — il est mon fils (né) de ma femme la noble, — et certes tiendra me
prié-je humblement et vous demande en présent personnel que, pour le Fils de sainte Marie et pour l’amour de moi, vous veui
os souhaits aveugles et nos demandes inconsidérées ! J’ai souhaité un fils avec des ardeurs non pareilles : je l’ai demandé
je l’ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils , que j’obtiens en fatiguant le ciel de vœux, est
us d’état du fils577 d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du fils d’un monarque qui vivrait comme vous. (Don Juan
ilhomme gueux et mal bâti. Nicole. — Cela est vrai636. Nous avons le fils du gentilhomme de notre village, qui est le plus
de la sorte, lui en montre un si serein et si doux. Jésus-Christ, le Fils unique du Père céleste, est le grand pacificateur
ils unique du Père céleste, est le grand pacificateur… A l’exemple du Fils unique, les enfants d’adoption doivent prendre le
uelques impositions en certains cas, comme lorsque eux-mêmes ou leurs fils aînés se marient ; mais le marquis savait l’art d
ourra me mettre en état de vous revoir bientôt après… Adieu, mon cher fils . Offrez bien au bon Dieu tout le mal que vous sou
ous donne la permission de recommencer votre travail… Adieu, mon Cher fils  : faites bien mes compliments à vos sœurs813; je
ucation des filles, fut nommé en 1689 précepteur du duc de Bourgogne, fils du grand Dauphin903, et écrivit pour lui ses Fabl
l lui dit d’un ton fier et impatient : « Comment oses-tu te moquer du fils de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir 
de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir : « Hé ! comment le fils de Jupiter ose-t-il faire quelque faute921 ? » (
mi ; mais il fut encore plus funeste à la femme de son seul héritier, fils de sa sœur, qui était curé963 d’une paroisse près
et de ma mère, dont il ne pouvait assez vanter le bonheur d’avoir un fils tel que moi. En même temps, il versait du vin dan
onna des récompenses pour lui avoir rapporté le corps sanglant de son fils . Sa femme, ses filles et l’épouse du mort, en ple
t chercher partout le médecin hollandais Vangad : ils rencontrent son fils , ils lui demandent où est son père ; le jeune hom
ns tout l’univers par son collège et par ses chaudrons. Jeannot était fils d’un marchand de mulets très renommé ; Colin deva
e ; c’était un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son fils à Paris. Jeannot monta en chaise en tendant la ma
un marquisat au bout de six mois, retira de l’école M. le marquis son fils pour le mettre à Paris dans le beau monde. Colin,
t rien, ne put rien enseigner à son pupille. Monsieur voulait que son fils apprît le latin, madame ne le voulait pas. Ils pr
 ; le père était très indécis. « Que faudra-t-il donc apprendre à mon fils  ? disait-il. — A être aimable, répondit l’ami que
t bien, monsieur, que vous êtes l’homme du monde le plus savant ; mon fils vous devra toute son éducation… » Enfin, après av
iments plus nobles, se chargea de solliciter un régiment1127 pour son fils .... Une jeune veuve de qualité, leur voisine, qui
e alliance, acceptèrent avec joie la proposition ; ils donnèrent leur fils unique à leur amie intime. Le jeune marquis allai
, de sa beauté, de ses fautes et de ses folles dépenses. Après que le fils eut longtemps pleuré avec la mère, il lui dit enf
très heureux. Et Jeannot le père, et Jeannotte la mère, et Jeannot le fils virent que le bonheur n’est pas dans la vanité.  
, qui vide les coffres des pères, qui laisse les filles sans dot, les fils sans éducation, qui fait tant de belles choses et
ndant, pressé par ma mère, qui désirait passionnément qu’au moins son fils aîné fît ses études, il consentit à me mener au c
ttit de frayeur quand mon père me dit ces mots : « On m’a promis, mon fils , que vous seriez reçu en quatrième ; si vous ne l
rien ne peut me laver du juste reproche que vous me faites d’être le fils de mon père… Mais je m’arrête ; car je le sens de
(Le greffier écrit.) Figaro. — Si le ciel l’eût voulu, je serais le fils d’un prince.    Le Comte, au greffier. — Allez.
de temps en temps le bras à sa femme malade ». Ce même homme avait un fils de dix-huit ans, né paralytique et imbécile, qu’i
mille occupaient la femme, tandis qu’il cultivait ce jardin, dont son fils allait vendre les produits à la ville, dans ses m
ession du porteur. Ainsi la religion n’était occupée qu’à renouer les fils sociaux, que la barbarie rompait sans cesse. En g
. Le gardien de la prison s’avance à la porte du cachot et appelle le fils de Lasthénès. « Me voici, dit Eudore ; que voulez
de Mantinée1413. Le peuple et les prétoriens impatients appellent le fils de Lasthénès à grands cris. « Allons ! » dit le m
a force de l’âme, il franchit le seuil du cachot. Cyrille s’écrie : «  Fils de la femme, on vous a donné un front de diamant1
que l’on aperçoit au milieu des nuages pendant une tempête. Clodion, fils de Pharamond et père de Mérovée1433, brillait à l
ée 1467.) Marbot (1782-1854) Marcellin, baron de Marbot, était fils du général Antoine de Marbot, qui, après avoir si
ir roi sous le nom de Louis-Philippe, de l’éducation militaire de son fils aîné. Aussi fut-il nommé général après la révolut
 L’officier à marcher ». — C’était mon tour !… En voyant approcher le fils de son ancien ami, et, j ose le dire, son aide de
-Jean, habitait une respectable famille de Caen, nommée Lacouture. Le fils de la maison, passionné pour la musique, consacra
e après la dernière pêche du thon ? Était-ce pour cela que mon pauvre fils , avant de mourir et de me laisser ses trois enfan
toyable ! Comment est-il montré reconnaissant ? Qu’a-t-il fait de mon fils , de sa femme et de la barque qu’il nous avait lai
dans l’eau, vers l’enfant, prit le morceau de planche sculpté par son fils , et le colla sur ses lèvres en le couvrant de lar
dans le port de Barfleur1506. Au moment du départ, un certain Thomas, fils d’Étienne, vint trouver le roi, et, lui offrant u
er le roi, et, lui offrant un marc d’or, lui parla ainsi : « Étienne, fils d’Érard, mon père, a servi toute sa vie le tien s
lequel il voulait passer, mais que, pour faire droit à la requête du fils d’Étienne, il confierait à sa conduite ses deux f
à la requête du fils d’Étienne, il confierait à sa conduite ses deux fils , sa fille et tout leur cortège. Le vaisseau qui d
n. Le vaisseau était manœuvré par cinquante rameurs habiles ; Thomas, fils d’Étienne, tenait le gouvernail, et ils naviguaie
érauld, et un jeune homme de naissance plus relevée, appelé Godefroi, fils de Gilbert de l’Aigle. Thomas, le patron de la Bl
apercevant les têtes des deux hommes qui tenaient la vergue : « Et le fils du roi, leur dit-il, qu’est-il arrivé de lui ? — 
a sœur, ni personne de leur compagnie. — Malheur à moi ! » s’écria le fils d’Étienne, et il replongea volontairement. Cette
e au haut de sa tour sa première leçon de vol, a peine à enhardir son fils , à s’enhardir peut-être elle-même à ce moment déc
z ceux d’Embrun. Si un père de famille, au temps de la récolte, a son fils au service à l’armée et ses filles en service à l
lexandre Dumas (1803-1870) Né en 1805 à Villers-Cotterets (Aisne), fils d’un général renommé pour sa bravoure et son habi
ais de cet homme. — Mais enfin, si Alexandre..... — Si monsieur votre fils , madame, est un jour empereur des Français, comme
utions apparentes. C’était un homme qui avait le génie du mal, et ses fils , à défaut de l’affection dont ils étaient incapab
uste, j’en ai honte. Tiens, ça m’ôte la faim ; je ne veux pas que mon fils soupe, si tu ne soupes pas. — Laissez-nous tranqu
07-1903) Né à Paris en 1807, mort en 1903, Gabriel-Ernest Legouvé, fils du poète Gabriel-Jean-Baptiste Legouvé1666, s’est
n’avait jamais été mère ; cet enfant torturé à côté d’elle devint son fils , enfanté dans les supplices. Uniquement attentive
e s’envisageait comme une mère qui a vu proclamer vainqueurs tous ses fils , et les présente au grand Roi pour être couronnés
ée au collège, c’est que j’étais le seul avec une blouse. A Lyon, les fils de riches ne portent pas de blouses ; il n’y a qu
SIE Mellin de Saint-Gelais (1487-1558) Mellin de Saint-Gelais, fils ou neveu du poète Octavien de Saint-Gelais (1466-
osper Blanchemain, tome II, p. 228.) Clément Marot (1495-1544) Fils du poète Jehan des Mares, dit Marot, de Caen (146
voie1877 ; Va te cacher, que le chat ne te voie. — Sire lion, dit le fils de souris, De ton propos certes je me souris1878 
d’une épopée, la Franciade, consacrée à célébrer un certain Francus, fils d’Hector, prétendu fondateur de la nation françai
, la force est inutile. (Discours.) J.-A. de Baïf (1532-1589) Fils du savant Lazare de Baïf, qui fut ambassadeur de
encor pour elle une demande. Elle a nourri vingt ans un prince, votre fils  ; Et vous pouvez juger les soins qu’elle en a pri
ède. Je ne puis voir sous eux les rois humiliés ; Et quel que soit ce fils que Rome vous renvoie, Seigneur, je lui2102 rendr
ous pouvez l’en guérir, Seigneur, et promptement ; Mais n’exigez d’un fils aucun consentement : Le maître qui prit soin d’in
n comme devant2181. (Fables, livre VII, fable x.) Le meunier, son fils et l’âne L’invention des arts étant un droit d
que je réponde. J’ai lu dans quelque endroit2190 qu’un meunier et son fils , L’un vieillard, l’autre enfant, non pas des plus
t, On lui lia les pieds, on vous le suspendit ; Puis cet homme et son fils le portent comme un lustre Pauvres gens, idiots,
plaint en son patois. Le meunier n’en a cure2193; Il fait monter son fils , il suit, et d’aventure2194 Passent trois bons m
 : « C’est grand’honte « Qu’il faille voir ainsi clocher2196 ce jeune fils , « Tandis que ce nigaud, comme un évêque assis, «
quolibets coup sur coup renvoyés, L’homme crut avoir tort, et mit son fils en croupe. Au bout de trente pas, une troisième t
mis le chef à bas ; C’est moi qui suis Sosie enfin, de certitude2288, Fils de Dave, honnête berger ; Frère d’Arpage2289 mort
t son exemple à suivre. Mais bientôt amoureux d’un plus noble métier, Fils , frère, oncle, cousin, beau-frère de greffier, Po
a famille entière, Et mon époux sanglant traîné sur la poussière, Son fils seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne
re, Son fils seul avec moi réservé pour les fers. Mais que ne peut un fils  ? Je respire, je sers2409. J’ai fait plus : je me
ôt qu’ailleurs, le sort m’eût exilée ; Qu’heureux dans son malheur le fils de tant de rois, Puisqu’il devait servir, fût tom
e. Jadis Priam soumis fut respecté d’Achille2410 : J’attendais de son fils encor plus de bonté. Pardonne, cher Hector, à ma
nner2416. (.Andromaque, acte III, sc. viii.) Andromaque confie son fils à Céphise2417 Je confie à tes soins mon uniqu
ie à tes soins mon unique trésor : Si tu vivais pour moi, vis pour le fils d’Hector. De l’espoir des Troyens seule dépositai
e, Que ses ressentiments doivent être effacés, Qu’en lui laissant mon fils , c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon fils
en lui laissant mon fils, c’est l’estimer assez. Fais connaître à mon fils les héros de sa race ; Autant que tu pourras, con
C’est l’effroi de l’Asie ; et loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes fils , que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
ureur ; Prêt d’unir avec moi sa haine et sa famille, Il me demande un fils pour époux à sa fille. Cet honneur vous regarde,
63) Né à Paris en 1692, mort en 1763, Louis Racine, le dernier des fils du grand poète, mérite de ne pas être tout à fait
quelle rage Peut à l’oint du Seigneur2481 arracher votre hommage ? Le fils de saint Louis, parjure à ses serments, Vient-il
nan. Lusignan. Je vous revois enfin, chère et triste famille, Mon fils , digne héritier..., vous2485..., hélas ! vous, ma
e. Lusignan. Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi ! Ah ! mon fils , à ces mots j’eusse expiré sans toi2486. Mon Dieu
the. Polyphonte. De cet égarement, sortirez-vous enfin ? De votre fils , madame, est-ce ici l’assassin ? mérobe. Mon fil
s enfin ? De votre fils, madame, est-ce ici l’assassin ? mérobe. Mon fils , de tant de rois le déplorable reste, Mon fils, e
ssassin ? mérobe. Mon fils, de tant de rois le déplorable reste, Mon fils , enveloppé dans un piège funeste, Sous les coups
Mérope, se jetant entre Égisthe et les soldats. Barbare ! il est mon fils . Égisthe. Moi ! votre fils ? Mérope, en l’embras
the et les soldats. Barbare ! il est mon fils. Égisthe. Moi ! votre fils  ? Mérope, en l’embrassant. Tu l’es : et ce ciel
 ? Qui ? vous, qui demandiez sa mort ? Égisthe. Ah ! si je meurs son fils , je rends grâce à mon sort. Mérope. Je suis sa m
ahie. Oui, tu tiens dans tes mains le secret de ma vie ; Tu tiens le fils des dieux2492 enchaîné devant toi. L’héritier de
vous dire ? Et sur quelles alarmes... ? Égisthe. Va, je me crois son fils  ; mes preuves sont ses larmes, Mes sentiments, mo
mère, Jugez de mes tourments : ma détestable erreur, Ce matin, de mon fils allait percer le cœur. Je pleure à vos genoux mon
inez ! Son père est mort, hélas ! par un crime funeste2494; Sauvez le fils  : je puis oublier tout le reste ; Sauvez le sang
.... Ne faites rien d’indigne et de vous et de moi : Si je suis votre fils , je sais mourir en roi. (Mérope, acte IV, sc. ii
Non, qu’une affreuse mort tous trois2497 nous réunisse. Alvarez. Mon fils mourant, mon fils, ô comble de douleur ! Zamore,
se mort tous trois2497 nous réunisse. Alvarez. Mon fils mourant, mon fils , ô comble de douleur ! Zamore, à Gusman. Tu veux
. M’ordonne de te plaindre et de te pardonner2500. Alvarez. Ah ! mon fils , tes vertus égalent ton courage. Alzire. Quel ch
 ! Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre fils , et répare ma perte. Zamore. Je demeure immobile
eux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées, Le Rhône impétueux, fils des Alpes glacées, La Seine au flot royal, la Loi
elle est belle, et vois l’été vermeil, Prodigue de trésors, brillants fils du soleil, Qui vient, fertile amant d’une heureus
t, de son bras droit libre enlaçant Daïdha, Il s’enfuit emportant ses fils morts et sa femme, Comme un spectre emportant les
genoux d’espérance et d’effroi. François De Paule. Relevez-vous, mon fils  ! Louis. J’y reste pour attendre La faveur qui s
s. Vous dites à nos maux : Guérissez !... François De Paule. Moi, mon fils  ! Louis. Soudain nos maux guérissent. Que votre
vont effacer mes rides. François De Paule. Que me demandez-vous, mon fils  ? Vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
e de vous. Donnez ! afin que Dieu, qui dote les familles, Donne à vos fils la force, et la grâce à vos filles ; Afin que vot
aise qu’au sien, Et le seuil paternel qui tressaille de joie Quand du fils qui revient le chien fidèle aboie ! Le grand arbr
ans leur trompe, imitaient le clairon. Au quatrième tour, bravant les fils d’Aaron2706, Entre les vieux créneaux tout brunis
sur les moyens de faire disparaître Nuño, le petit roi de Galice, le fils du feu roi, leur frère, qui vient de mourir et do
ieu près de moi. Vous êtes cent contre un ! Pardieu ! le bel effroi ! Fils , cent maravédis valent-ils une piastre2729 ? Cent
plus d’un qui rêvait dans le fond de son âme Aux cheveux blonds d’un fils , à l’œil bleu de sa femme, Trouve au ventre du go
iver, qu’un groupe d’enfants A son fuseau sourie, Comme les anges aux fils blancs De la vierge Marie ! Que tous, par la main
ieux. Le misérable écoute et comprend sa ruine, Il serre, désolé, ses fils sur sa poitrine ; Il ne lui reste plus, s’il ne t
abreuvoir est public, et qui veut vient y boire. J’ai vu les paysans, fils de la Foret-Noire, Leurs bâtons à la main, entrer
au des hardis volontaires, Non Xerxès mais Léonidas2827 ; Lorsque vos fils , armés pour les droits de leurs villes, Vont tein
lons pas d’eux, amis, en gémissant : A ces nobles vaincus, vous leurs fils , ou leurs frères, Ne donnez pas de pleurs ; vous
it tout ce qui tombe, Et j’ai planté dans mon jardin L’humble rosier, fils de la tombe ! Parmi les autres confondu, Nul rega
engés : car je reste ! Il suffit d’un. — Nous serons deux ! Mes trois fils sont là, sous la terre, Sans avoir eu même un lin
ainte, — Un homme enfin, — le seul de son nom qui restât, Son dernier fils , sous Metz2903, étant mort en soldat. — « Bon ! d
rd l’a ramené au bout de vingt ans, en présence de sa femme et de son fils Marcel. Il fait l’aveu de son crime, demande l’ou
s droits, et c’est assez d’aveux ! Je veux ma place ici ! je veux mon fils  ! je veux.... Marcel, qui a gardé jusque-là le s
j’étais un brave homme, on m’aimait ; Je ne sais de quels noms votre fils me nommait ; J’étais une belle âme, un protecteur
. Honneur à toi, Gérald ! — Messire2909 chevalier, Je suis le dernier fils du baron Angelier, Au champ de Roncevaux mort pou
ainsi que je l’avais promis, Sur les marches du trône, à côté de mes fils  ! Le Duc Nayme. Sois fier, Gérald ! Tous Les Seig
tre digne. J’entends là cette voix qui ne saurait mentir : Je suis le fils du crime, et non du repentir ! Afin qu’aux yeux d
s grand que la faute ; Et le père sera d’autant mieux pardonné Que le fils innocent se sera condamné ! Sans cela l’on dirait
e ; Tout espoir me rendrait à moi-même odieux : La fille de Roland au fils de… Justes dieux ! Non, jamais ! Sa pitié ne voit
lle et crie : « Allez-vous-en ! » Il les pousse du pied. — « Ho ! mes fils , qu’on se lève ! » Et chacun, se dressant d’un ef
, hélas ! et toi qui fis Tant d’efforts pour donner des maîtres à ton fils , On ne te mit jamais à l’école primaire ; Car, pe
e te mit jamais à l’école primaire ; Car, petit-fils d’un serf2947 et fils d’un artisan, Dès que ton pauvre bras fut tout ju
de ce fossé ; Là, j’avais pris un nid, et plus loin des cigales. » Au fils devenu grand, longtemps abandonné, La mère conte
leau Tu nous fais là, commère l’Eau ! Je suis donc bien méchant, moi, fils des bonnes vignes ? Tes propos sont désobligeants
c’est-à-dire à peu près 9 fr. 48). 49. Dans cette situation. 50.  . Fils de Louis, duc d’Orléans, assassiné par Jean sans
agne. 79. Peut-être Béatrix de Provence, femme de Charles de France, fils de Louis VIII, et Alix de Champagne, femme de Lou
François Ier à la branche cadette de la maison de Lorraine. François, fils du premier duc, Claude de Lorraine, est celui don
r les deux célèbres navigateurs vénitiens Jean Cabot (Gabotto) et son fils Sébastien, qui, établis à Bristol, en Angleterre,
nne d’Autriche, mère de Louis XIV, régente pendant la minorité de son fils . — Paul de Gondi voulait aller lui représenter l’
n flambeau pour éclairer ta honte. » 577. Je ferais plus d’état du fils , j’estimerais plus le fils. 578. Harpagon. Ce n
honte. » 577. Je ferais plus d’état du fils, j’estimerais plus le fils . 578. Harpagon. Ce nom se rattache étymologique
int-Hilaire, lieutenant-général de l’artillerie, officier de fortune, fils d’un savetier de Nérac. 722. Ce héros, Turenne.
. 722. Ce héros, Turenne. Ce gentilhomme. Saint-Hilaire. — Quand le fils de ce gentilhomme voit son père blessé, il « se j
ants, les notables, les magistrats. 731. Louis-Provence de Grignan, fils de M. et de Mme de Grignan, et par conséquent pet
ébordante de joie : « Philippsbourg est pris, ma chère enfant ; votre fils se porte bien. Je n’ai qu’à tourner cette phrase
n’est point question d’un autre siège ; jouissez du plaisir que votre fils ait vu celui de Philisbourg ; c’est une date admi
mont, comte de Guiche. et plus tard duc de Gramont (1672-1723), petit fils du maréchal (voir page 82, note 1). 740. Être u
bole de ce qu’il y avait de plus petit au monde. » (Littré.) 810. Ce fils est Jean-Baptiste (1678-1747), l’aîné des sept en
de juin 1692. 812. Votre maladie, la petite vérole. 813. Outre ses fils Jean-Baptiste et Louis, l’aîné et le plus jeune d
du cœur plutôt que celle de la condition. 903. Le grand dauphin, le fils aîné de Louis XIV. En 1349, le Dauphiné avait été
1349, le Dauphiné avait été acquis par la France à condition que les fils aînés de nos rois porteraient désormais le titre
nom latin du dieu que les Grecs pomment Bacchos ou Dionysos. Il était fils de Zeus (le Jupiter des Latins) et de Sémélé, fil
omptueux duquel il eut, dans le principe, à lutter. Le jeune Bacchus, fils de Jupiter, c’est le duc, de Bourgogne lui-même,
ni aux Turcs. 939. Martin Ruland (1532-1611), médecin à Ratisbonne, fils d’un médecin du même nom (mort en 1602), qui avai
088. Le tsar Alexis, mort en 1676, avait eu d’un premier mariage deux fils , Fœdor et Ivan, et six filles, parmi lesquelles l
illes, parmi lesquelles la princesse Sophie ; deux autres entants, un fils , Pierre, et une fille, Nathalie, étaient nés d’un
vait, en 1722, à la suite d’une querelle, quitté Genève, laissant son fils aux soins de son beau-frère, l’ingénieur Bernard.
-Neuf. 1334. Le parc du château de Meudon, construit par le Dauphin, fils de Louis XIV. 1335. Galèse (aujourd’hui Galeso)
célèbre du quatrième livre des Géorgiques. 1336. Bosc (1759-1828), fils d’un médecin de Louis XV et lui-même naturaliste
où, [...] tradition, saint Pierre avait été enfermé. 1411. Eudore, fils de Lasthénès, personnage imaginaire, héros [...]
ue Cuvillier-Fleury (1802-1887), ancien précepteur du duc d’Aumale et fils lui-même d’un officier de l’Empire, disait dans u
e France, Louis VI, à Brenneville (Eure), Henri Ier roi d’Angleterre, fils de Guillaume le Conquérant, retournait chez lui,
ote 2. 1528. Ce sont les psaumes LVI, LXX et XCI. 1529. Le roi son fils . Jacques VI (1566-1625), qui, quand Élisabeth fut
age 677 la notice sur Victor Hugo. 1599. Alexandre Dumas a laissé un fils , né en 1824, qui est l’un des plus illustres aute
r ces féroces soldats ! Ils viennent jusque dans nos bras Égorger nos fils , nos compagnes ! 1640. . Aux armes, citoyens
la fin de la journée. En route ils ont rencontré le petit Pierre, le fils aîné de Germain, que son père n’avait pas voulu e
es tuer. 1736. Le prince de Condé (1736-1818), arrière-petit-fils du fils du grand Condé, avait, dès le début de la Révolut
mime, que Baïf donna ce nom à son livre. 2027. « François du Périer, fils de Laurent du Périer, avocat au parlement d’Aix,
Femmes.) 2096. Le timide Prusias, roi de Bithynie (192-148), a deux fils  : l’un, Attale, a été élevé à Rome, et les Romain
, et qui voltigent en serpentant. 2136. Il vient d’apprendre que son fils l’a trompé par un récit mensonger. 2137. Géront
a famille. 2190. Dans quelque endroit. L’histoire du meunier et son fils était connue longtemps avant Malherbe ; plusieurs
2382. Chrétien-François de Lamoignon, marquis de Basville, était le fils aîné du président Guillaume de Lamoignon (1617-16
er la fête en chômant. 2407. Andromaque, veuve de l’illustre Hector, fils du roi de Troie, Priam, est devenue, après la pri
après la prise de cette ville, la captive de Pyrrhus, roi d’Epire et fils d’Achille. Elle a gardé avec elle, dans sa captiv
ire et fils d’Achille. Elle a gardé avec elle, dans sa captivité, son fils Astyanax. Tous les Grecs réclamant à grands cris
s du vieux roi demandant au vainqueur de lui rendre le cadavre de son fils . 2411. Remarquez combien tout ce petit discours
t éloge qu’elle vient de faire de lui : car le danger imminent de son fils ne permet plus à cette princesse captive de garde
essein à Céphise, sa confidente, et lui recommande de veiller sur son fils . 2418. Où je me suis rangée. Ranger à, se rang
), ayant épousé en secondes noces sa nièce Agrippine, avait adopté le fils que cette femme avait eu d’un premier mariage, Né
, et l’avait institué héritier de l’empire au détriment de son propre fils Britannicus. Devenu empereur, Néron se montra d’a
a conçu contre Rome le dessein le plus hardi : il l’expose à ses deux fils , Pharnace et Xipharès (63 av. J. C.). 2424. Un
s italiens), 90-88. 2433. Guerre de Spartacus. 73-71. 2434. Darius, fils d’Hystaspe, dont Mithridate descendait, était gen
oreilles, vous tous, habitants de l’univers ; — enfants de la terre, fils des hommes, tous ensemble, pauvres et riches. — M
ingt ans. A des signes non douteux, Lusignan vient de reconnaître son fils dans le chevalier Nérestan et sa fille dans Zaïre
ar l’usurpateur Polyphonte (xiie siècle av. J.-C.). Elle a encore un fils , qui a été sauvé du massacre dans sa première enf
re enfance et qu’elle n’a pas revu depuis. Polyphonte, qui redoute ce fils , a fait croire à Mérope qu’il était mort assassin
au moment où elle allait le frapper, que ce prétendu meurtrier le son fils était son fils lui-même. Polyphonte, sachant qu’e
le allait le frapper, que ce prétendu meurtrier le son fils était son fils lui-même. Polyphonte, sachant qu’elle l’a épargné
e le jeune homme qui est devant eux est en réalité Egisthe 2492. Le fils des dieux. Cresphonte, père d’Egisthe, était de l
département du Gard. 2545. Le duc de Penthièvre (1725-1793) était le fils du comte de Toulouse, fils de Louis XIV. Sa fille
Le duc de Penthièvre (1725-1793) était le fils du comte de Toulouse, fils de Louis XIV. Sa fille épousa le duc d’Orléans, p
IV. Sa fille épousa le duc d’Orléans, père du roi Louis-Philippe. Son fils était le prince de Lamballe, dont la veuve fut la
n de ses amis. 2684. Enfant, jeune fille, allusion à la fille et au fils ainés du poëte Léopoldine et Charles (voir page 6
ont à moi. S’il me fallait, etc. Quand notre fille sera grande, Si le fils de notre régent En mariage la demande, Je lui pro
tter l’Alsace pour aller demeurer sur le sol français. 2905. Gérald, fils du comte Amaury, aime Berthe, fille de Roland (vo
t qui depuis a cherché à mériter de Dieu son pardon en faisant de son fils le modèle du chevalier plein d’honneur et de vail
ion. 2906. Je savais tout hier. Je savais dès hier que Gérald était fils de Ganelon. 2907. Allusion à une légende romanes
25 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
nce chrétienne seront surpris par une ruine prompte et inévitable. Le Fils de Dieu se sert, dans l’Évangile, des plus sensib
votre Église feront passer d’âge en âge jusqu’à l’avènement de votre Fils . La gloire et la puissance de ces tyrans s’est év
de Saint-Simon, naquit le 16 janvier 1675, et mourut le 2 mars 1755. Fils d’un ancien ami de Louis XIII et filleul de Louis
otre langue littéraire292. Mort du grand Dauphin, dit Monseigneur, fils de Louis XIV293. Monseigneur se trouva plus m
uelques courtisans à le retenir, disant qu’il voulait voir encore son fils , et s’il n’y avait plus de remède. Comme il était
arde, dont il avait trois enfants321, il épousa Judith ; il en eut un fils  ; et bientôt, mêlant les complaisances d’un vieux
ières, qui aimait naturellement le bien, et, pour tout dire enfin, le fils de Charlemagne, put avoir des ennemis si nombreux
 ; je répondrai à tous ceux qui viendront me demander leur père, leur fils ou leur frère328.” Tous les Romains se sont tus d
e, qui m’a si bien servi contre Mithridate, contre Marius, contre son fils , contre Thélésinus, contre le peuple, qui a soute
aume doit servir à jamais d’exemple. Il chargea de l’éducation de son fils et de son petit-fils les plus éloquents et les pl
ison dont il savait bien que le maître n’était pas de son parti. « Le fils de votre roi, lui dit-il, vient vous demander du
révolution qui eût épouvanté sa vieillesse et qui devait immoler son fils unique360. Comparaison de l’histoire politique
ement.) Animée d’une haine mortelle contre Rodogune, dont ses deux fils se sont disputé la main, Cléopâtre a conspiré non
Cléopâtre (reine de Syrie, veuve de Démétrius Nicanor), Antiochus ( fils de Démétrius et de Cléopâtre), Rodogune (sœur de
           Quoi ! je vous suis suspecte ? ANTIOCHUS. Je suis amant et fils , je vous aime et respecte ; Mais, quoi que sur mo
RE. Puisque le même jour que ma main vous couronne Je perds un de mes fils et l’autre me soupçonne, Qu’au milieu de mes pleu
e ; mais, ô dieux ! quelle rage est la vôtre ! Quand je vous donne un fils , vous assassinez l’autre, Et m’enviez soudain l’u
cherché leur gloire, et vous leur infamie ; Et si je n’eusse aimé ces fils que vous m’ôtez, Votre abord en ces lieux les eût
ccusiez pourtant, quand votre âme alarmée Craignait qu’en expirant ce fils vous eût nommée : Mais de ses derniers mots voyan
le mien ; Et qui sur un époux fit son apprentissage A bien pu sur un fils achever son ouvrage. Je ne dénierai point, puisqu
un frère Je ne veux point juger entre vous et ma mère : Assassinez un fils , massacrez un époux, Je ne veux me garder ni d’el
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un fils qui me ressemble ! ANTIOCHUS. Ah ! vivez pour cha
, ma vie et ma fortune, Contez-lui qu’allié d’assez hauts magistrats, Fils d’un père greffier, né d’aïeux avocats, Dès le be
thridate, sur le point d’épouser Monime, la soupçonne d’être pour son fils Xipharès l’objet d’un amour partagé : en feignant
uoi donc, seigneur, me l’avez-vous rendu ? MITHRIDATE. Quoi ! pour un fils ingrat toujours préoccupée, Vous croiriez. MONIME
ous l’ordonne. N’attirez point sur vous des périls superflus, Pour un fils insolent que vous ne verrez plus. Sans vous parer
le hyménée ; Et, malgré mon penchant et mes premiers desseins Pour un fils , après vous, le plus grand des humains, Du jour q
t sortie. Vous vous êtes servi de ma funeste main Pour mettre à votre fils un poignard dans le sein : De ses feux innocents
ts, Se baigne impunément dans le sang de nos rois, Des enfants de son fils détestable homicide, Et même contre Dieu lève son
t628, Vous, nourri dans les camps du saint roi Josaphat, Qui sous son fils Joram commandiez nos armées, Qui rassurâtes seul
es honneurs à David tant promis, Et prédits même encore à Salomon son fils  ? Hélas ! nous espérions que de leur race heureus
e. JOAD. Aux promesses du ciel pourquoi renoncez-vous ? ABNER. Ce roi fils de David, où le chercherons-nous ? Le ciel même p
nts ; Par les traits de Jéhu je vis percer le père : Vous avez vu les fils massacrés par la mère. JOAD. Je ne m’explique poi
u ? ABNER. Deux enfants à l’autel prêtaient leur ministère : L’un est fils de Joad, Josabeth est sa mère ; L’autre m’est inc
règne en tous mes avis : Mais lui-même, après tout, fût-ce son propre fils , Voudrait-il un moment laisser vivre un coupable 
es sens sont saisis. (Montrant Joas.) Épouse de Joad, est-ce là votre fils  ? JOSABETH. Qui ? lui, madame ! ATHALIE.         
             Je ne suis point sa mère. (Montrant Zacharie.) Voilà mon fils . ATHALIE, à Joas.                           Et vo
partout, à mes côtés assis, Je prétends vous traiter comme mon propre fils . JOAS. Comme votre fils ! ATHALIE.               
is, Je prétends vous traiter comme mon propre fils. JOAS. Comme votre fils  ! ATHALIE.                                Oui… Vo
ême jour égorger à la fois (Quel spectacle d’horreur !) quatre-vingts fils de rois656 ; Et pourquoi ? pour venger je ne sais
deux maisons rompit toute alliance : David m’est en horreur ; et les fils de ce roi, Quoique nés de mon sang, sont étranger
s, Azarias, Imaël, et les trois autres chefs des lévites. JOAD. Ô mon fils  ! de ce nom j’ose encor vous nommer676 ! Souffrez
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils , que, caché sous ce lin, Comme eux678 vous fûtes
autres chefs des lévites, le chœur. JOSABETH, embrassant Joas. Ô roi, fils de David ! JOAS. Ô mon unique mère ! Venez, cher
re. JOSABETH, à Zacharie. Aux pieds de votre roi prosternez-vous, mon fils . (Zacharie se jette aux pieds de Joas.) JOAD, pen
ue j’ai craint de livrer aux flammes, au pillage. Qu’il règne donc ce fils , ton soin et ton ouvrage683 ; Et que, pour signal
par le châtiment du personnage qu’il croit associé aux projets de son fils , et il commande qu’on amène l’ambassadeur, pour c
… Qui peut lui rendre encor cette perte si chère ? Des larmes de mon fils quel est donc le mystère ? Mais, moi-même, d’où v
me : Éclaircissez le trouble où vous jetez mon âme ; Écoutez-moi, mon fils , et reprenez vos sens. ARSAME. Que vous servent,
es père ! PHARASMANE. Ah ! c’est trop m’alarmer : expliquez-vous, mon fils . De quel effroi nouveau frappez-vous mes esprits 
uel crime ai-je commis ! Nature, ah ! venge-toi, c’est le sang de mon fils . RHADAMISTE. La soif que votre cœur avait de le r
el, pourquoi vengeais-tu la mort de Mithridate706 ? PHARASMANE. Ô mon fils , ô Romains ? êtes-vous satisfaits ? (À Arsame.) V
 ; Avec mon amitié je vous rends Zénobie : Je dois ce sacrifice à mon fils malheureux. De ces lieux cependant éloignez-vous
cte 1, scène 1. Alvarez (ancien gouverneur du Pérou), Gusman (son fils , nouveau gouverneur). ALVAREZ. Du conseil de Madr
onseil de Madrid l’autorité suprême Pour successeur enfin me donne un fils que j’aime. Faites régner le prince et le Dieu qu
, Qui produit les trésors et les crimes du monde. Je vous remets, mon fils , ces honneurs souverains Que la vieillesse arrach
s ! Mais qui peut arrêter l’abus de la victoire ? Leurs cruautés, mon fils , ont obscurci leur gloire ; Et j’ai pleuré longte
royez-moi, les humains, que j’ai trop su connaître, Méritent peu, mon fils , qu’on veuille être leur maître. Je consacre à mo
le me sera chère : Je l’attends comme ami, je la demande en père. Mon fils , remettez-moi ces esclaves obscurs Aujourd’hui pa
é par la clémence, et non par la justice. GUSMAN. Quand vous priez un fils , seigneur, vous commandez ; Mais daignez voir au
age Qui mord en frémissant le frein de l’esclavage… ALVAREZ. Ah ! mon fils , que je hais ces rigueurs tyranniques ! Les pouve
tais seul, sans secours, et j’attendais la mort : Mais à mon nom, mon fils , je vis tomber leurs armes. Un jeune Américain, l
Qu’à vos sanglantes mains la fortune a livrées ? Prétendez-vous, mon fils , cimenter ces liens Par le sang répandu de ses co
t sous un seul Dieu comme sous un seul roi. ALVAREZ. Écoutez-moi, mon fils  ; plus que vous je désire Qu’ici la vérité fonde
’en ai gagné plus d’un, je n’ai forcé personne ; Et le vrai Dieu, mon fils , est un Dieu qui pardonne. Alzire, vaincue par l
, scène V. Alvarez, Gusman, Zamore, Alzire, suite. ALVAREZ, à son fils 722. Tu vois mon bienfaiteur, il est auprès d’Alz
re, Viens, ajoute à ma joie en cet auguste jour : Viens avec mon cher fils partager mon amour. ZAMORE. Qu’entends-je ? lui,
ls partager mon amour. ZAMORE. Qu’entends-je ? lui, Gusman ! lui, ton fils , ce barbare ? ALZIRE. Ciel ! détourne les coups q
         Quoi ! le ciel a permis Que ce vertueux père eût cet indigne fils  ! GUSMAN. Esclave, d’où te vient cette aveugle fu
s mortels et les dieux pour amis, En révérant le père et punissant le fils . ALVAREZ, à Gusman. De ce discours, ô ciel ! que
              Cruel ! ALVAREZ.                                    Mon fils , qu’allez-vous faire ? Respectez ses bienfaits, r
e me vois ! L’un tient de moi la vie, à l’autre je la dois ! Ah ! mes fils  ! de ce nom ressentez la tendresse, D’un père inf
IRE. Non, qu’une affreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon fils, ô comble de douleur ! ZAMORE,
ffreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon fils , ô comble de douleur ! ZAMORE, à Gusman. Tu veux
er, M’ordonne de te plaindre et de te pardonner726. ALVAREZ. Ah ! mon fils , tes vertus égalent ton courage. ALZIRE. Quel cha
x. Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre fils , et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile,
se Où, dans un loisir studieux, Les doctes arts forment l’enfance Des fils des héros et des dieux763 : Là, du toit d’un cinq
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France, qui à une haute insp
esse sacrée, Qu’il laisse avec ses biens ses vertus pour appui Et des fils , s’il se peut, encor meilleurs que lui782. — Hôte
……………… Les douleurs de son âme Avaient changé ses traits784. Ses deux fils et sa femme, À Delphes, confiés au ministre du di
les anciens. Ce travail a été fait sous la direction de M. G. Feugère fils . (Note de l’éditeur.) 3. Cet exercice est des pl
à l’usage de la classe de cinquième, p. 38. 161. M. de Seignelay, le fils aîné de Colbert, était mort l’année précédente, a
cabale frappée par la mort du prince. 306. Le duc de Berry était le fils bien-aimé de Monseigneur ; celui-ci avait au cont
322. Judith était fille d’un seigneur bavarois, Elle obtint pour son fils Charles un apanage composé de quelques parties de
Tourcoing, comme l’indique M. Beuchot. 351. Charles-Édouard était le fils de Jacques III, connu sous le nom de chevalier de
tait allé vivre en Italie, où il mourut en 1766. Charles-Édouard, son fils , était né à Rome, en 1720. 352. En Écosse, dans
de Cumberland, qui commandait les troupes royales, était le troisième fils de Georges II, roi d’Angleterre : ce fut lui qui
énie de Corneille. 425. Séleucus. 426. Cléopâtre avait exigé de ses fils la mort de Rodogune, coupable à ses yeux de préte
riminelle est très peu digne de la passion que lui ont vouée les deux fils de Cléopâtre. 427. « Il n’y a point, observe La 
. 438. « Cléopâtre, avalant elle-même le poison préparé pour son fils et pour Rodogune, et se flattant encore de vivre
gricola, ou à Racine lorsqu’il nous montre Mithridate annonçant à ses fils son projet de marcher contre Rome. Plus d’un de s
ue de la procédure 549. Jean-Baptiste Colbert, marquis de Seignelay, fils aîné de Colbert, né en 1651, mourut en 1690 : il
es travaux de ce poète, des Mémoires que nous devons au second de ses fils , à Louis Racine, quoiqu’ils aient été rédigés ave
n Italie comme Annibal, lorsqu’il périt victime de la trahison de son fils Pharnace, 65 ans av. J.-C. 580. Tour vif et rap
détail l’annonce, Racine a jugé qu’Assuérus était le même que Darius, fils d’Hystaspe, dont l’avènement au trône des Perses
it Carême, sermon pour le second dimanche de carême, et par Racine le fils , dans son imitation du cantique d’haïe sur la mor
changement de Joas, qui fut par la suite un tyran et fit massacrer le fils de son bienfaiteur. — Le mot qui commence cette n
ce la plus intéressante ; on ne tue point Athalie sur le théâtre ; le fils des rois est sauvé et reconnu roi : merveilleux e
et l’âme pure d’Arsame, toujours fidèle à ses devoirs de sujet et de fils , produisent d’ailleurs elles-mêmes, dans cette tr
rmes contre son frère, contre ce même Mithridate, qui avait élevé son fils et lui avait promis Zénobie ». 707. Voilà un car
us ces vers sont nombreux. En un mot, cette ode et celle de Racine le fils sur l’Harmonie sont sans contredit les deux plus
(Odyssée, liv. X, v. 348 et suiv.) et l’accueil que Cyrène fait à son fils Aristée (Géorgiques, liv. IV, v. 378 et suiv.) :
dresse aux dieux la même prière, et demande qu’un jour on dise de son fils au retour des combats : Oui ! ce héros surpasse
26 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — E — article » p. 411
Énée, fils de la déesse Vénus, suivant la fable, et d’Anchis
e, fils de la déesse Vénus, suivant la fable, et d’Anchise, qui étoit fils de Capys, dont le père étoit Assaracus, frère d’I
ère, qui s’étoit chargé de ses dieux Pénates ; tenant par la main son fils Ascagne, et suivi de Creuse, sa femme, fille du r
27 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55
[Notice] Jamais vocation ne fut plus irrésistible que la sienne. Fils et petit-fils d’un tapissier du roi, élevé au col
(L’Impromptu de Versailles, sc. iii.) Un père fait la leçon à son fils Don Louis. Je vois bien que je vous embarra
ar nos vœux aveugles et nos demandes inconsidérées ! J’ai souhaité un fils avec des ardeurs nonpareilles ; je l’ai demandé s
je l’ai demandé sans relâche avec des transports incroyables ; et ce fils , que j’obtiens en fatiguant le ciel de mes prière
’on signe qu’aux actions qu’on fait ; et que je ferais plus d’état du fils d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du
plus d’état du fils d’un crocheteur qui serait honnête homme, que du fils d’un monarque qui vivrait comme vous1. Don Juan
is bien que toutes mes paroles ne font rien sur ton âme ; mais sache, fils indigne, que la tendresse paternelle est poussée
28 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
tecte et l’ouvrier du monde, est éternel. — 2. Cambyse, roi de Perse, fils de Cyrus, roi de Perse, tua le bœuf Apis, divinit
urel. — 9. Brutus, premier consul Romain, avait chassé les rois ; les fils de Brutus regrettaient les Tarquins, expulsés par
fs, fonda la ville de Lavinie dans le Latium ; bientôt après Ascagne, fils d’Enée, fonda Albe la Longue dans la même région
da Albe la Longue dans la même région de l’Italie. Plus tard Romulus, fils de Rhéa Silvia, vierge Vestale, et du dieu Mars,
iennes adoraient des dieux presque innombrables. Saturne passait pour fils du Ciel et de la Terre ; l’épouse de Saturne fut
turne eut quatre enfants, Jupiter, Junon, Neptune et Pluton. Jupiter, fils de Saturne et d’Ops, fut appelé le très-bon et le
se du blé, fut aussi, dit-on, fille de Saturne et de Cybèle. Apollon, fils de Jupiter et de Latone, passait pour le dieu de
Minerve, fille de Jupiter, a été surnommée la déesse belliqueuse. Les fils de Jupiter et de Junon furent : Mars, qui présida
me, il devint en outre boiteux. Bacchus, inventeur du vin, passe pour fils de Jupiter et de Proserpine. Vénus, déesse des am
nus, déesse des amours et des plaisirs, fut mère de Cupidon. Mercure, fils de Maïa, la fille d’Atlas, était le messager et l
arius fut le principe et la cause d’une guerre civile. — 8. Miltiade, fils de Cimon, était d’Athènes. — 9. Alexandrie fut fo
1. La terre a la forme d’un globe ou d’une sphère. — 2. Aristide, fils de Lysimaque, était à peu près du même âge que Th
minondas ne fut pas plus avide de gloire que d’argent. — 7. Timothée, fils de Conon, ne fut pas inférieur à son père. — 8. L
s régna Tarquin l’Ancien, d’une origine étrangère ; en effet il était fils de Démarate de Corinthe. Le gouvernail de l’État
. Le gouvernail de l’État passa ensuite aux mains de Servius Tullius, fils d’une captive, homme d’un caractère distingué, et
la seconde. Tibère, beau-fils d’Auguste, puis son gendre et enfin son fils adoptif, fut d’une grande lâcheté, d’une cruauté
acédoine. Les plus célèbres des rois de Macédoine furent Philippe, fils d’Amyntas, et Alexandre, fils de Philippe et d’Ol
des rois de Macédoine furent Philippe, fils d’Amyntas, et Alexandre, fils de Philippe et d’Olympias. Le second se fit encor
r femme Olympias, fille de Néoptolème, roi des Molosses ; il eut pour fils Alexandre ; Alexandre eut pour maître le philosop
es maladies les plus graves par des remèdes dangereux. — 13. Salomon, fils de David, bâtit un temple à Dieu. — 14. Le baume
us fut surnommé Coriolan. — 14. Le surnom d’Iule fut donné à Ascagne, fils d’Énée. — 15. Métellus, vainqueur des Numides, re
r. — 4. L’instruction contribue au bonheur de la vie. — 5. Démophoon, fils de Thésée, porta du secours aux Grecs contre les
et ne servent qu’au bien-être du corps. — 12. Pharnace, roi de Pont, fils de Mithridate, fut vaincu sans le moindre délai ;
1. Rome fut fondée par des pâtres, dont les chefs Romulus et Rémus, fils de Mars et de Rhéa Silvia, avaient été nourris pa
Pompée interdit l’administration de son patrimoine à Fabius Maximus, fils de Fabius Maximus Allobrogicus, citoyen et généra
evées à Crassus vaincu. — 10. Thésée demanda à Neptune la mort de son fils Hippolyte ; mais il ne tarda pas à se repentir de
corrigé. Exil de Saturne. Saturne, dépouillé de l’empire par son fils Jupiter, fut d’abord chargé de chaînes, puis envo
ublier jamais la retenue. — 8. Le père a plus de sollicitude pour son fils que le fils lui-même. — 9. Les hommes croient vol
s la retenue. — 8. Le père a plus de sollicitude pour son fils que le fils lui-même. — 9. Les hommes croient volontiers ce q
ses élèves des choses bonnes et justes. — 13. Ariobarzane céda à son fils le royaume de Cappadoce. — 14. Je n’envie pas aux
m, difficili transitu flumen, superavit. corrigé. 1. Polynice, fils d’Œdipe roi de Thèbes, vint assiéger sa patrie. —
une lettre à porter à Priam. — 15. Les Argonautes confièrent à Ancée, fils de Neptune, le commandement du navire Argo. §
Ops. — 3. Bacchus naquit de Jupiter et de Sémélé. — 4. Pacuvius était fils d’une sœur d’Ennius. — 5. Tanaquil, femme du roi
 — 5. Tanaquil, femme du roi Tarquin l’Ancien, éleva comme son propre fils , Servius Tullius, né d’une esclave. — 6. Les homm
s. — 5. Orode, roi des Parthes, détruisit le général Crassus avec son fils et toute l’armée Romaine. — 6. La fertilité de la
in ; dans son triomphe, il fit marcher devant son char le roi Persée, fils de Philippe. Au milieu de cette joie, il perdit s
Persée, fils de Philippe. Au milieu de cette joie, il perdit ses deux fils  : le plus jeune, âgé de douze ans environ, mourut
de a été créé par le Seigneur il y a près de sept mille ans. Abraham, fils de Thara, naquit mille soixante-douze ans après l
Sédécias. Les plus puissants de ces rois furent David et Salomon son fils  ; ce dernier est antérieur de cent quarante ans à
ates et son père Anchise sur ses épaules, et traînant par la main son fils en bas âge, sortit de Troie pendant la nuit, et,
la population commençant à devenir surabondante à Lavinium, Ascagne, fils d’Énée, fonda une nouvelle ville au pied d’une mo
ons blancs. Cette ville fut appelée Albe la Longue. Romulus et Rémus, fils du Dieu Mars et de Rhéa Silvia, vierge Vestale, f
e vivante sur le bûcher avec son époux mort. — 8. L’Arcadien Évandre, fils de Mercure et de la nymphe Carmente, vint en Ital
engagèrent la bataille contre César. — 19. Le consul Brutus et Aruns, fils de Tarquin, s’entretuèrent. — 20. Les hommes peuv
gé. 1. L’aimant est une pierre qui attire le fer à soi. — 2. Égée, fils de Neptune, se précipita dans la mer qui prit le
us orateurs ? Nous le sommes. — 2. Êtes-vous en colère ? Non. — 3. Le fils d’un de mes amis est venu me faire une visite. « 
. Que le grand ne méprise pas le petit. — 24. Attale, roi de Pergame, fils du roi Eumène, laissa un testament ainsi conçu :
s’était échappé vivant. — 7. Manlius Torquatus frappa de la hache son fils vainqueur, parce qu’il avait, contrairement à ses
son armée par une forte chaleur. — 7. Adam, après la mort d’Abel, son fils cadet, eut un autre fils, Seth, lorsqu’il avait a
haleur. — 7. Adam, après la mort d’Abel, son fils cadet, eut un autre fils , Seth, lorsqu’il avait accompli déjà sa deux cent
chose, il ne la croyait pas faite pour cela. — 10. Quoique Timothée, fils de Conon, ne fût pas au-dessous de son père pour
ta à cette gloire celle de la science et de l’esprit. — 11. Philippe, fils d’Amyntas et roi de Macédoine, fut tué par Pausan
l fut dans la force de l’âge. — 4. Agrippine périt par l’ordre de son fils Néron, et tant qu’il fut empereur, elle n’obtint
à Thésée le choix entre trois vœux, celui-ci souhaita la mort de son fils Hippolyte ; si Neptune n’avait pas tenu la promes
promesse qu’il lui avait faite, Thésée n’aurait pas été privé de son fils  — 9. Si ce que nous désirons arrive, nous nous ré
avait deux filles, l’une violente, l’autre débonnaire. Comme les deux fils de Tarquin l’Ancien, son prédécesseur, présentaie
on se rompre. — 5. Personne ne nie qu’il y ait un Dieu. — 6. Penthée, fils d’Échion et d’Agavé, nia que Bacchus fût un dieu.
vous conduisez bien. — 5. Agrippine consultant des Chaldéens sur son fils Néron, ils lui répondirent qu’il serait empereur,
ux a-t-il quelque part une épouse qui l’attend sans inquiétude, ou un fils qui ne sait pas encore ce que c’est qu’une tempêt
ndit impénétrable aux eaux : il s’y renferma avec sa femme, ses trois fils et ses trois brus. Deux couples de toutes les esp
la guerre contre les Gaulois, Titus Manlius Torquatus fit mourir son fils (2), pour avoir, contrairement à ses ordres, comba
tères de Cérès. — 11. Philippe, dans une de ses lettres, a accusé son fils Alexandre de capter par des largesses la faveur d
On demandait à Socrate s’il ne regardait pas comme heureux Archélaüs, fils de Perdiccas, qui passait alors pour un mortel tr
ait livré plusieurs batailles avec succès au delà de l’Èbre. — 6. Les fils du roi Tarquin le Superbe, envoyés à Delphes, dem
dit qu’une femme, à qui l’on avait annoncé faussement la mort de son fils , fut suffoquée par l’excès de la joie en le voyan
ysse de son côté prétendait qu’elles devaient être à lui. — 6. Antée, fils de la Terre, forçait les étrangers à lutter avec
plus grandes douleurs. — 2. Mithridate, réduit par la révolte de son fils Pharnace à la nécessité de mourir, prit du poison
revers humilie même les braves. — 4. Claudius Vitellius vit ses deux fils consuls, et même année. — 5. Nous jouissons de la
ecs prirent pour général contre les Perses Cimon d’Athènes ; il était fils de Miltiade, sous la conduite duquel on avait com
st-il davantage de les embrasser toutes ? — 3. Tibère ayant perdu son fils Drusus, et les envoyés des habitants d’Ilion étan
perfectionné un peu cette science encore grossière. Ensuite ses deux fils , Podalire et Machaon, ayant suivi Agamemnon au si
tant qu’il était en lui, ce qu’on lui a commandé. — 2. Niobé eut sept fils et autant de filles. — 3. Pythagore, homme d’un e
que les dieux en ont jugé ainsi. Ils citent d’abord Cléobis et Biton, fils d’une prêtresse d’Argos. Comme elle devait se ren
prêtresse, étant ainsi arrivée au temple dans un char traîné par ses fils , pria, dit-on, la déesse de leur donner, en récom
le sanctuaire de Jupiter Capitolin ; c’est pour cela qu’on le croyait fils de Jupiter. — 6. Darius régna trente-six ans ; qu
t d’Alexandre, que personne n’était si porté à la colère. — 6. Œdipe, fils de Laïus et de Jocaste, tua son père et épousa sa
l’y laisse fermenter. — 3. Non-seulement Alexandre se laissa appeler fils de Jupiter ; mais encore il se fit donner ce titr
fabuleux. (2). Monstres fabuleux. (1). Sous-entendununtians. (1). Fils et neveu des précédents. (1). On a pu se dispen
onça ces mots ; il changea bien dans la suite. (2). Ou condamna son fils à périr. (1). Virtus équivaut à virtute prœditu
29 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article »
Brutus (Lucius Junius), fils de Marcus Junius, et de Tarquinie, fille de Tarqu
rère aîné. Mais après l’outrage fait à Lucrèce par Sextus Tarquinius, fils du tyran, il arracha lui-même du sein de cette da
é consul avec Lucius Tarquinius Collatinus, mari de Lucrèce. Les deux fils de Brutus ayant conspiré pour remettre les Tarqui
30 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
oethe se plaît, dans ses écrits comme dans ses discours, à briser les fils qu’il a tissus lui-même, à déjouer les émotions q
e, consentent aux dangers de leurs frères, de leurs époux et de leurs fils . À l’approche des périls qui la menacent, une fiè
rations des oiseaux40 On connaît ces vers charmants de Racine le fils sur les migrations des oiseaux :   Ceux qui, de n
ont le lait soit du sang, et qui remplissent de valeur le cœur de nos fils . Pharamond, le bardit est achevé, les heures de l
point d’admirer à leur tête trois générations de héros : l’aïeul, le fils et le père. Mérovée, rassasié de meurtres, contem
repos insultant et superbe. Sa fureur s’allume ; il s’avance vers le fils de Pharamond ; il lui crie d’un ton ironique : « 
s recourbés, s’engage dans le bouclier du Gaulois. Au même instant le fils de Clodion bondit comme un léopard, met le pied s
bras brisés du coup d’une massue, et ne pressera plus sur son sein le fils qu’une épouse porte encore à la mamelle. Celui-ci
martyrs ; il se lève debout et enfonce ses ongles dans les flancs du fils de Lasthénès, il déchire avec ses dents les épaul
rbe crèche91. » Aussi, tout voyageur que je suis, je ne suis point le fils d’Ulysse, quoique je préfère, comme Télémaque, me
iés. Tous les hommes étant d’une même race, Alexandre a pu se dire le fils de Jupiter. Mais toute la Grèce a souri de cette
ue est plus avérée que toutes celles des temps où il a vécu, lui seul fils d’un charpentier, se donne-t-il tout d’abord pour
dans les papiers du secrétaire d’État Vane, et livrées à Pym par son fils , furent produites comme supplément de preuve suff
de la tour, 20 000 livres sterling et une fille de Strafford pour son fils , s’il voulait se prêter à l’évasion : il s’y refu
d’une joie infinie. Je vous demande seulement d’accorder à mon pauvre fils et à ses trois sœurs autant de bienveillance, ni
mières années. De plus cruels souvenirs ont fait oublier cet intérêt. Fils d’un homme savant qui passa la plus grande part d
aisse tomber aux pieds d’Achille en lui redemandant le cadavre de son fils , plus d’un vers de Virgile, des scènes entières d
tate l’existence par des faits positifs est Chlodio ; car Faramond198 fils de Markomir, quoique son nom soit bien germanique
empereur Lodewig ou Louis214 et ses enfants, guerre où le père et les fils étaient poussés à leur insu par des mouvements na
en l’année 830 les partisans de la réconciliation entre le père et le fils proposèrent, comme moyen d’y parvenir, une assemb
en mourant, eut laissé la domination franke partagée entre ses trois fils , Lother, Lodewig et Karl, quoique le premier eût
ble par cette fameuse bataille de Fontanet, près d’Auxerre218, où les fils des Welskes et des Teutskes combattirent sous les
ait, en mourant (1086), désigné pour son successeur son neveu Harold, fils de ce Godwin qui avait combattu avec énergie l’in
bière et de vin. Au matin, dans le camp normand, l’évêque de Bayeux, fils de la mère du duc Guillaume, célébra la messe et
sage au duc Guillaume pour lui demander la permission de rendre à son fils les derniers honneurs : elle offrait, disent les
ent les historiens normands, de donner en or le poids du corps de son fils . Mais le duc refusa durement, et dit que l’homme
terre par les Normands, liv. III. Mort de Sighebert (575) Les fils de Clotaire Ier s’étaient partagé le royaume aprè
se trouvait enceinte et presque à terme ; bientôt elle accoucha d’un fils au milieu du tumulte d’un siège et de la crainte
nt empreint que dans celle des rois de la dynastie mérovingienne. Ces fils de conquérants à demi sauvages, nés avec les idée
ptement. À peine il entrait en convalescence que le plus jeune de ses fils , Dagobert, qui n’était pas encore baptisé, tomba
ans, fut pris comme lui de la maladie régnante. À la vue de ses deux fils en péril de mort, Frédegonde fut saisie des cruel
rédegonde se trouvait un jour avec le roi dans la pièce où leurs deux fils étaient couchés, en proie à l’accablement de la f
aux, et nous ne nous sommes pas amendés. « Voilà que nous perdons nos fils  ; voilà que les larmes des pauvres, les plaintes
périeux ; fais ce que tu me vois faire, afin que, si nous perdons nos fils , nous échappions du moins aux peines éternelles. 
ens de se distinguer parmi leurs semblables. Ils y verront comment le fils d’un pauvre artisan, ayant lui-même travaillé lon
nt, aussi vertueusement, aussi glorieusement remplies que celle de ce fils d’un teinturier de Boston, qui commença par coule
s roi ! » Ces apparitions ont éveillé l’ambition de Macbeth. Malcome, fils de Duncan, passe pour avoir été massacré par Cado
geai, cher Macbeth, que j’étais encor mère ; Quand revoyant enfin mon fils et la lumière, Lorsque277 je crus, hélas ! au dou
mez votre âme. L’hymen qui nous unit par la plus tendre flamme, Votre fils au berceau, ce nom de mon époux, Tous ces titres
Sur quelque bord désert la faim m’eût consumé. Va, tu n’es point mon fils  : seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi
Que le jour un moment rentre encor dans mes yeux, Pour embrasser mon fils à la clarté des cieux295 ! Épitre à l’Amitié2
ipices ; Et comme, en le frappant d’une sévère main, La mère sent son fils se presser sur son sein, Leurs horreurs même en l
ravaux, variez vos hommages, Nébuleuses vapeurs, sombres exhalaisons, Fils humides des lacs, des marais et des monts, Soit q
Tibère.) Pison 346, sénateur et gouverneur de la Syrie ; Cnéius, son fils . PISON. On ne t’a point donné d’infidèles avis ;
point donné d’infidèles avis ; Et Pison de retour embrasse encor son fils . Au palais de César, quand le jour luit à peine,
l’épée, Tombait victorieux aux pieds du grand Pompée352. PISON. Ô mon fils  ! ton aïeul, dont tu me rends les traits, Vit not
es vertus consolent ma disgrâce, Exemple des Romains, modèle des bons fils , Seul appui, seul honneur de mes cheveux blanchis
. CNÉIUS. J’y vole, et j’ose encore espérer quelque zèle ; Mais votre fils au moins vous restera fidèle. Agrippine a dénonc
x, Où Canne et Trasimène excitaient tant d’alarmes, Où les mères, les fils , les veuves, dans les larmes, À l’ombre de Varus
rie, Est-on coupable encor quand on sert la patrie ? De Caïus, de mes fils , les droits sont-ils perdus ? Quoi ! le nom de Cé
si, comme leur père, ils étaient malheureux, Dieux ! veillez sur mes fils  ! Dieux, protégez leur mère ! Germanicus expire,
e à la constance. Obéissez du moins aux conseils d’un époux. Pour ses fils toutefois que me demandez-vous ? Parlez : qu’espè
usus, près de vous réunis TIBÈRE. Avez-vous oublié que Drusus est mon fils  ? AGRIPPINE. Non, mais Rome a connu deux enfants
son père. TIBÈRE. Lui ! ce rival de gloire à Tibère opposé ! Lui mon fils  !… Par Auguste il me fut imposé. AGRIPPINE. Par A
n pouvoir ? AGRIPPINE. Dût ce pouvoir un jour accabler Agrippine, Des fils de votre fils voudrait-il la ruine ? Quel mal vou
RIPPINE. Dût ce pouvoir un jour accabler Agrippine, Des fils de votre fils voudrait-il la ruine ? Quel mal vous ont-ils fait
t sévère, mais juste, à l’égard de Pison. AGRIPPINE. À l’égard de mes fils serez-vous donc moins juste ? Et les punirez-vous
: Cet entretien vous pèse, et Séjan vient à nous. Je vais trouver mes fils . Déjà privés d’un père, Ah ! doivent-ils longtemp
donne mes jours ; elle a fini pour moi381. TIBÈRE. Non ; vous avez un fils  ; vous la craindrez encore382. PISON. Oseriez-vou
ruel ! TIBÈRE. Oseriez-vous, cruel !                              Un fils qui vous honore ; Un fils qui vous chérit, que vo
us, cruel !                              Un fils qui vous honore ; Un fils qui vous chérit, que vous devez chérir. PISON. S’
peine est horrible, et pourtant je l’affronte ; Pour l’honneur de mon fils , j’en dois subir la honte. Rome, l’empire entier,
mps ! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel bea
irs, tous ses sentiments étaient images. » Ce fut elle qui initia son fils à la poésie en lui lisant la bible : elle eut d’a
ieux ! Roi des chants immortels, reconnais-toi toi-même ! Laisse aux fils de la nuit le doute et le blasphème ; Dédaigne un
cifix : « Voilà le souvenir, et voilà l’espérance : Emportez-les, mon fils . » Oui, tu me resteras, ô funèbre héritage ! Sep
attends ! » Secondes Messéniennes. Louis XI. (Extraits) Le fils de ce duc de Nemours que Louis XI avait fait péri
genoux d’espérance et d’effroi. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous, mon fils  ! LOUIS. Relevez-vous, mon fils !J’y reste pour
FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous, mon fils ! LOUIS. Relevez-vous, mon fils  !J’y reste pour attendre La faveur qui sur moi de
moi !Vous dites à nos maux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE. Moi, mon fils  ! LOUIS. Moi, mon fils !Soudain nos maux guériss
ux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE. Moi, mon fils ! LOUIS. Moi, mon fils  !Soudain nos maux guérissent. Que votre voix l’or
nt effacer mes rides425. FRANÇOIS DE PAULE. Que me demandez-vous, mon fils  ? vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
it mourir le feu roi de langueur et de faim427. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! LOUIS. Un f
OIS DE PAULE. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! LOUIS. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! Le Dauphin…
brégé la vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! Le Dauphin…
ère abrégé la vieillesse ! Le Dauphin… c’était moi. Vous ! LOUIS. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! Le Dauphin…
sont des raisons si hautes !… FRANÇOIS DE PAULE. Confessez ; mauvais fils , n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un frè
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
 : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils . Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise ; L’e
 : Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon fils , du répit qu’il t’accorde : Pleure, conjure, obti
ue. 8. Les œuvres complètes de Mme de Staël ont été publiées par son fils , en 17 vol. in-8°, Paris, Treuttel et Wurtz, 1821
ée des Perses y avaient leur statue en marbre. 86. Castor et Pollux, fils de Jupiter. 87. Chap. XLI. 88. On peut lire sur
cette fable. Cf. Cicéron, de Oratore. III, 2. 89. Castor et Pollux, fils de Tyndare, forment au ciel le signe des Gémeaux,
que à Ménélas dans son palais de Lacédémone. Hélène, qui a reconnu le fils d’Ulysse, le renvoie chargé de riches présents. C
oivent se soutenir par l’espérance d’une autre postérité. De nouveaux fils feront oublier ceux qui ne sont plus… Pour vous d
a court, et consolez votre douleur par la pensée de la gloire que vos fils ont obtenue. » 150. Voir dans la 14me Philippiq
ppuyant sur une tradition sans valeur historique, a fait de Brutus le fils de César ; mais le spectacle du patriotisme pouss
e, que Brutus ait été comblé de bienfaits par César. Si Brutus est le fils de l’homme qu’il va frapper, ce n’est plus qu’un
n dit kaiser. (A. T.) 217. Nithard, Histoire des divisions entre les fils de Louis le Débonnaire, livre II, ch. x. 218. En
s saints dont la cuve était remplie jusqu’au bord, et sur lesquels le fils de Godwin avait juré à son insu. » 223. Voir le
re ceux qui l’accusaient de l’avoir fait périr. Tacite ajoute que son fils le précéda avec des instructions pour s’assurer l
on, arrivé dans le palais de l’empereur, se trouve en présence de son fils . Cette rencontre forme l’exposition de la pièce.
ls. Cette rencontre forme l’exposition de la pièce. 347. Germanicus, fils de Drusus et d’Antonia, nièce d’Auguste, avait ét
lussent la fausseté de leurs cœurs. » (Trad. de M. Burnouf.) 350. Un fils devait ainsi parler à son père ; mais la vérité,
xcite vivement l’intérêt par l’opposition établie entre le père et le fils . Chaque parole de Cnéius est pour Pison un cruel
arti après sa victoire et devint gouverneur de Pamphylie. C’est à ses fils qu’Horace adressa son Art poétique. 354. Hérite
e a présenté à son frère l’horrible festin composé des membres de ses fils , Thyeste s’écrie (v. 1106) : Agnosco fratrem………
famille Dans la nuit des cachots creusés sous la Bastille. Un de ses fils , un seul, voit la clarté des cieux : J’ai soustra
hoses. » 427. Charles VII avait formé le projet d’appeler son second fils à la couronne ; mais il n’eut pas la force de pre
surtout dans Napoléon l’homme de génie ; chez C. Delavigne, il est le fils ingrat de la liberté. Enfin dans les vers célèbre
31 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
ait à briller de tout son éclat !… Avec une fille si accomplie, et un fils que vous-même n’auriez pu souhaiter plus parfait,
t dont orgueil ne s’accrût d’avoir produit un homme semblable à votre fils , ou une fille digne de lui. Oh ! que vous étiez v
; car enfin, ou sont les parents qui ne se contentassent d’avoir pour fils Édouard ? Vous-même, tous vos désirs seraient sat
rrosez une cendre inanimée vous rendent insensible à celles que votre fils répand sur vous... ? Vous regrettez votre fille,
se mille fois. Mme de Sévigné. 23 février 1689. N° 25. — A Racine fils . Vous me faites plaisir de me rendre compte d
vous exciter à faire de votre mieux en toutes choses. Adieu, mon cher fils . Racine. Le 3 juin 1693. N° 26. — A M. de Gr
APIN. Monsieur…    GÉRONTE.     Quoi ?     SCAPIN.     Monsieur votre fils ... GÉRONTE. Eh bien ! mon fils ?     SCAPIN.    .
Quoi ?     SCAPIN.     Monsieur votre fils... GÉRONTE. Eh bien ! mon fils  ?     SCAPIN.    . Est tombé dans une disgrâce, l
oyez par moi tout-à-l’heure cinq cents écus, il va vous emmener votre fils en Alger. GÉRONTE. Comment diantre ! Cinq cent éc
vous, Monsieur, d’aviser promptement au  moyen de sauver des fers un fils que vous aimez avec tant de tendresse. GÉRONTE. Q
Monsieur ? GÉRONTE. Que tu ailles dire à ce Turc qu’il me renvoie mon fils , et que tu te mettes à sa place, jusqu’à ce que j
sens que d’aller recevoir un misérable comme moi à la place de votre fils  ? GÉRONTE. Que diable allait-il faire dans cette
grande malle, et tu les vendras aux fripiers pour aller racheter mon fils . SCAPIN, en lui rendant la clé. Hé, Monsieur, rê
songez que le temps presse, et que vous courez risque de perdre votre fils . Hélas ! mon pauvre maître, peut-être que je ne t
e de sa poche et la présentant à Scapin.) Viens, va-t-en racheter mon fils . SCAPIN. tendant la main. Oui, Monsieur. GÉRONTE
ant sa bourse dans sa poche et s’en allant. Va, va vite requérir mon fils . SCAPIN, recourant après Géronte. Holà, Monsieur 
e paie en une autre monnaie l’imposture qu’il m’a faite auprès de son fils .     Molière. N° 69. — Don Juan et M. Diman
sents ; toute la province lui donna une fête, et l’inscription que le fils du ciel, que l’empereur a écrite lui -même, appre
té, je te salue ! Ainsi l’aborda l’homme vertueux. Comment, dit-elle, fils du péché, tu ne trembles pas devant moi ? Non, ce
eut pas rester chez elle, et qui ne peut pas emmener avec elle ou son fils ou sa fille ? Comment venir au secours des enfant
l venait redemander à l’impitoyable vainqueur le corps meurtri de son fils  ; et lui ayant baisé la main, il lui dit : « Juge
ge la grandeur de mon malheur, puisque je baise la main qui a tué mon fils  ! » Achille pleura, et rendit le corps à son enne
face de la nature est renouvelée. Girodet N° 133. — L’Été. Le fils brillant du soleil, le radieux été règne à son to
and étonnement d’Azaël, qui croyait tout faire pour le mieux. De deux fils , espoir de la famille, l’un s’engagea comme solda
Ménécée, en un mot, digne frère d’Hémon, Et trop indigne aussi d’être fils de Créon. De l’amour du pays ra montant son âme a
’on fermait la porte au bas de l’horrible tour. Alors je regardai mes fils sans dire une parole, je ne pleurai point ; je me
O voyageur ! ta perte est trop certaine ; Ta femme est veuve, et ton fils orphelin. « Traître, a-t-il dit, nous sommes seul
Loïs, et le noie au fond des eaux. La mère de Loïs ne revoit plus son fils . Elle s’en va dans les bois, et s’écrie : « Où êt
on cœur ; mais le cœur de la mère ne peut plus réchauffer le corps du fils , et le corps du fils glacé déjà le cœur de la mèr
r de la mère ne peut plus réchauffer le corps du fils, et le corps du fils glacé déjà le cœur de la mère ; elle est près de
outa : « Sais-tu que j’ai été père ?… je ne le suis plus. J’ai vu mon fils tomber dans le combat ; il était à mon côté, je l
côté, je l’ai vu mourir en homme ; il était couvert de blessures, mon fils , quand il est tombé ; mais je l’ai vengé… oui je
heureux dans toutes ses injustes entreprises. Un poète gagé le nomma fils de la victoire : les peuples l’appelèrent fils de
Un poète gagé le nomma fils de la victoire : les peuples l’appelèrent fils des fléaux : car le nombre de ses crimes avait su
arque accorde à ses sujets. Ekber était sur son trône, entouré de ses fils et de plusieurs eunuques. Les uns, armés de longu
m’interromps point. Gloire à Dieu et à Mahomet, son prophète ! Ekber, fils du sage Humaioun, père de ses sujets, tu es deven
int ce qu’il avait été, heureux et puissant tout à la fois, Ekber, le fils des fléaux, obtint le nom de père du peuple, et c
’un donnait l’avantage à Abdallah, cousin de Mahomet, l’autre à Kaïr, fils de Saad, et le troisième à Arabah. Aucun ne voula
famille fait éclater, quand elle accompagne au vaisseau un père ou un fils chéri qui s’embarque d’un port de l’Europe pour l
être comparé à leur attrayante beauté. Par Mahomet et son gendre Ali, fils d’Aboutalib ! mon imagination ne peut se représen
le vôtre ! capitaine. » La pauvre mère, tout en larmes, arrachant son fils au sein de sa nourrice, l’ élevait en ce moment d
dence. Schiller. N° 187. — Guillaume Tell. _ Il regarde son fils , s’arrête, lève les yeux vers le ciel, jette son
t demande à parler à Gemmi. Quatre soldats le mènent vers lui : « Mon fils , dit-il, j’ai besoin de venir t’embrasser encore,
mbrasser encore, de te répéter ce que je t’ai dit. Sois immobile, mon fils  ; pose un genou en terre, tu seras plus sûr, ce m
, ce me semble, de ne point faire de mouvement ; tu prieras Dieu, mon fils , de protéger ton malheureux père. Ah ! ne le prie
ointe, ce fer brillant dirigé contre ton front. Détourne la tête, mon fils , et ne me regarde pas. — Non, non, lui répond l’e
ne verrai point la flèche, je ne verrai que mon père. — Ah ! mon cher fils , s’écrie Tell, ne me parle pas ; ta voix, ton acc
eul instant, aussi rapide que la pensée, où il parvient à oublier son fils , il vise, tire, lance son trait, et la pomme empo
armes, Et, désormais, certain du malheur de ses armes, Par un rebelle fils de toutes parts pressé, Sans espoir de secours, t
e pleurait d’avance son époux, la jeune fille priait pour sa mère, le fils alarmé pour la vie de son père allait recueillir
aurez compassion de son innocence et de mes larmes. Vous êtes encore fils sans doute : car vous êtes tous jeunes et robuste
terre marâtre ! Ma femme… Ah ! la misère a desséché son sein, Et mes fils affamés me demandent du pain. Tu ne fais rien pou
t du pain. Tu ne fais rien pour moi, tu fais tout pour mon frère, Ses fils , l’amour de Dieu, la fierté d’une mère, L’attende
la tempête, Et sur le front d’Abel un feu divin s’arrête. Tu portes, fils d’Adam, sur ce front ingénu, L’ineffable beauté q
elle : ô Dieu ! c’est la voix de sa mère ! « Viens, viens, ô mon cher fils  ! ramène mon Abel ! Fuyez tous deux, fuyez la tem
igné Ankastrom. Le cadavre couronné serait Gustave III. L’enfant, son fils et son successeur. Gustave-Adolphe IV., Le vieill
ié son enfance, s’approcha de lui, et avec une grande douceur : « Mon fils , ! lui dit-il, ne pleurez plus ; regardez le Ciel
es yeux. Le vieillard ajouta, en le pressant contre son sein :  « Mon fils , voici une autre couronne qu’il vous faut désorma
dire combien de larmes il respandit, contemplant celles desquelles le Fils de Dieu, petit enfant de la Vierge, avoit arrousé
loit, descendoit la voix du Père éternel, disant : C’estuy-ci est mon fils bien-aimé auquel je me complais. De Béthanie, il
t. N° 216. — Le Chasseur des Alpes.     « Que j’abhorre, mon fils , tes projets intrépides !     Tu vas donc confier
élever sur les nues, Tombent et portent le trépas ! Reste, reste, mon fils , reste auprès de la mère ! Du déclin de mes jours
. D’un vieux chêne noirci par les feux de l’orage ; Un corbeau de son fils lui prédit le trépas ; Cet aspect lui ravit un re
e ne ment pas ! Le jour tombe.., Elle crie, inquiète, éperdue : « Mon fils  !... » A ses regards il ne vint pas s’offrir. L’a
t d’abord à Mathilde ses noms de baptême, si elle croyait au Père, au Fils et au Saint-Esprit, et si elle tenait à la foi de
ur, tant que dura leur travail retint les rochers chancelants par des fils de la Vierge accrochés aux brins d’herbe et aux b
étiennes, aussi intacte que les apôtres l’ont reçue de Dieu. Meinrad, fils du prince Berthold Hohenzollern, allié par son il
le avait d’ailleurs une toute autre énergie que s’avance. C’est mon fils , arrêtez, cessez, troupe inhumaine. Sage emploi
ntant aux soldats le motif pour lequel ils doivent arrêter. C’est mon fils , et ce cri d’ailleurs est si naturel à une mère !
u’elle doit pousser ; elle est sûre qu’il va tout arrêter. C’est mon fils , déchirez sa mère et votre reine. Voici le cri r
int d’être égorgé par les soldats, quand Mérope leur crie : c’est mon fils  ! Les amis de la reine voient au secours d’Egyste
mps encore cet instant désiré, où vous deviendrez, par le baptême, le fils chéri de l’église ? Les Parisiens, les Armoriques
lieu de vous dût paraître au moins une témérité, pour le salut de mon fils et le mien, je le trouve, moi, le plus puissant m
 : sans fuir plus longtemps, je remets entre vos mains la fille et le fils de vos rois ! J. C. N° 227. — Saint Maurice à
us irez heurter, comme l’aveugle, les arbres de la voie publique. Vos fils et vos filles seront traînés captifs chez les peu
. N° 230. — Anthusa à Saint Jean-Chrysostome. Elle conjure son fils de ne point s’éloigner d’elle. Mon enfant, les v
ages ; mais Dieu veillait sur moi ; je m’attachais tout entière à mon fils , et mon cœur était plein de force. Te voir sans c
2. — Véturie à Coriolan. Véturie vient de demander à Coriolan, son fils , le salut de Rome. Le guerrier a refusé. Véturie
n fils, le salut de Rome. Le guerrier a refusé. Véturie insiste. Mon fils  ! Pouvez-vous refuser une proposition si équitabl
a mort ou une prompte servitude. Pourquoi ne me réponds-tu point, mon fils  ? Méconnais-tu ta mère ? As-tu déjà oublié les so
oposition. Mais Véturie est incapable de proposer rien de lâche à son fils , et ta gloire m’est encore plus chère que ma vie.
el temps on puisse travailler à une paix solide. Je l’en conjure, mon fils , par Jupiter tout bon et tout puissant, qui prési
ien ne serait pas cruel celui qui viendrait dans vos bras déchirer le fils et le père, comme vous m’allez déchirer ! La natu
remblante, vous conjurer par vos entrailles d’épargner son malheureux fils . Résisteriez-vous à ses pleurs et laisseriez-vous
eux fils. Résisteriez-vous à ses pleurs et laisseriez-vous égorger un fils dans les bras de sa mère ? La vie est pour moi pe
e syracusain les funestes effets de cette guerre, qui lui a ravi deux fils , la consolation  et l’espoir de sa vieillesse. Je
eur le plus grand de tous les malheurs, la perte de la foi. Ah ! mon fils , à ces mots j’eusse expiré sans toi. L’exclamati
s, à ces mots j’eusse expiré sans toi. L’exclamation le ramène à son fils qui seul peut lui faire supporter la vie, puisqu’
as aux blessures qu’ils ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur général mort. L’armée en deuil e
dans une famille les complaisances et les tendresses qu’on a pour un fils aîné. C’est à votre cœur que j’en appelle, pères
on d’un œil étranger : tout cela nous dit assez que le premier de nos fils , dans notre cœur plus que dans nos biens, partage
 ? Non, Messieurs : un père voit avec complaisance dans l’aîné de ses fils l’espérance et l’héritier de son nom ; il franchi
s années, et perce dans l’avenir le plus reculé ; il aperçoit dans ce fils bien-aimé une postérité nombreuse qui fera parler
e jeunesse fougueuse : je sais qu’il en est qui savent rendre avec un fils ce ton mâle et dominant qui commande le respect,
r, la tendresse échappe à travers les nuages d’un front courroucé. Le fils s’en aperçoit, et se rit de la tempête, parce qu’
ur durer longtemps : bientôt les caresses de la mère et la licence du fils prendront leur cours, et les dédommageront avec u
itres de tendresse capable de l’intéresser à leur délivrance : il est fils , il est père tout-à-la-fois ; l’amour filial, la
mots a pris l’essor Vers les demeures éternelles... Pauvre mère, ton fils est mort !... Jean Reboul. N° 256. — La Mendi
32 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
s le temple voisin chacun cherche un asile. Hippolyte lui seul, digne fils d'un héros, Arrête ses coursiers, saisit ses jave
urs une source éternelle. J'ai vu, seigneur, j'ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
ie….. Cher ami, si mon père, un jour désabusé, Plaint le malheur d'un fils faussement accusé, Pour apaiser mon sang et mon o
le chrétien révère, Ma faible voix s'anime en t'implorant ; Ton divin Fils est né pauvre et souffrant, Ah ! prends pitié des
ue fait le vieil Horace quand on lui dit qu'on a vu fuir celui de ses fils que la mort avait épargné, est sublime : Que voul
à toucher ses auditeurs. Philoctète parle ainsi à Néoptolème : O mon fils , je te conjure par les mânes de ton père, par ta
qu'attendez-vous ? peut-être d'avoir rétabli les affaires du roi son fils  ; non, c'est de l'avoir fait reine malheureuse. 1
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
s ; Mais tout n'est pas détruit, et vous en laissez vivre Un….. Votre fils , seigneur, me défend de poursuivre. (Racine.) 21
r ! et qu'est-ce que je dis ! Tu vas sacrifier… qui, malheureux ? Ton fils  ! Ce fils que Rome craint ! qui peut venger son p
est-ce que je dis ! Tu vas sacrifier… qui, malheureux ? Ton fils ! Ce fils que Rome craint ! qui peut venger son père ! Pour
ours des propositions de et à ; on ne dirait pas : Je n'ai pu de mon fils consentir à la mort. 4° La syllepse ou synthèse
le peuple et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon fils , que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
s, les vieillards, Et la sœur et le frère, Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son père. (Racine.) 7° La disj
ceptible ouvrage, Que l'art de l'ouvrier me frappe davantage. (Racine fils .) Faisons observer au poëte que, pour lui, toute
in que la prairie, Revient-elle baigner cette rive fleurie ? » — Mon fils , cette eau fuit pour toujours : Après mille et mi
homme de fiel abreuvé, Pour celui que la mort menace Ou qui pleure un fils bien aimé. Sous un ombrage solitaire, Près d'un r
ur nous envoie Athalide ? (Racine.) Haletante, de loin : « Mon cher fils , tu vivras ! » « Tu vivras !…  » Elle vient s'ass
33 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
Don Diègue est offensé par Gomès, comte de Gormas : il confie à son fils , don Rodrigue, que ses exploits feront plus tard
ma maison à la vôtre. Vous n’avez qu’une fille3, et moi je n’ai qu’un fils  ; Leur hymen nous peut rendre à jamais plus qu’am
e courroux : Ma jeunesse revit en cette ardeur si prompte. Viens, mon fils , viens, mon sang, viens réparer ma honte ; Viens
ance : Je ne te dis plus rien. Venge-moi, venge-toi. Montre-toi digne fils d’un père tel que moi. Accablé des malheurs où le
e ?As-tu peur de mourir ? Le comte. Viens, tu fais ton devoir, et le fils dégénère Qui survit un moment à l’honneur de son
cendaient au tombeau tout chargés d’infamie, Si je n’eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son r
. Don Diègue aura ma cour et sa foi pour prison. Qu’on me cherche son fils . Je vous ferai justice. Chimène. Il est juste, g
e Dorante) vient de reconnaître qu’il a été dupe des mensonges de son fils .   Géronte, seul. O vieillesse facile1 ! ô jeune
vec une syllabe longue. 2. Allusion de Géronte aux mensonges que son fils lui a faits, et qu’il va rappeler ensuite plus en
34 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
ec deux enfants si accomplis — Vous étiez doublement heureuse — Votre fils ne peut-il faire votre consolation ? — .… Quels s
us souffrez — Elle eût pu devenir mère d’une fille et ne pas avoir un fils pour se consoler. —  Avis. Celle lettre mérite d
e Sévigné lui recommande Monsieur de la Brosse, homme fort estimable, fils d’un ami de la famille, et que madame de Grignan
de ciguë dans l’oreille, ce forfait est resté profondément caché. Le fils du roi assassiné l’ignore comme tout le monde, ma
fois loin du port, le turc changea de manières, déclara prisonnier le fils de Géronte, et envoya Scapin chercher cinq cents
vais envoyer la justice à sa poursuite. —  Mets-toi à la place de mon fils . —  Le turc ne sait pas ce que c’est que cinq cen
pleine mer. — Qu’on ne l’accepterait pas, lui valet, à la place d’un fils de famille. — Que le turc sait fort bien ce que c
Tu m’as fait, que je veux que tu sortes. LAFLÈCHE. Mon maître, votre fils m’a donné ordre de de l’attendre. HARPAGON. Va-t-
Je jeune homme de ses écarts. La mère est la Religion qui défend ses fils et les conserve à la vertu. N° 73. — L’Ange.
mé se présenta le soir à Achille, pour lui demander le cadavre de son fils . — Et, lui avant baisé la main, il lui dit : « Ju
de la grandeur de mon malheur, puisque je baise la main qui a tué mon fils . » Achille se laissa toucher, — Quelle force avai
dans les trois compositions qui vont suivre. N° 133. — L’Eté Le fils brillant du soleil… vient régner à son tour… Ses
ses enfants des trônes, des provinces, Sa femme est une reine, et ses fils sont des princes. Il triomphe au milieu de cet en
s les récoltes — … Après douze ans la famille fut ruinée — … L’un des fils se fit soldat, l’autre marin, la jeune fille disp
’oracle de Thèbes avait prédit, que pour terminer la guerre entre les fils d’Œdipe, le dernier prince de la maison royale de
dis qu’on fermait la porte au bas de l’horrible tour. Je regardai mes fils sans mot dire, mais avec une expression apparemme
… Sur sa réponse affirmative, le vieux Abenaki dit qu’il avait eu un fils , que les Anglais avaient tué — … il lui montra le
s — … A cause de ses guerres injustes, il fut nommé par les peuples : fils des fléaux — … Nœud. Lin jour qu’il avait reçu l
condamné par le tyran Gessler à abattre une pomme sur la tête de son fils Gemmi. L’habile archer tremble ; il veut voir son
la tête de son fils Gemmi. L’habile archer tremble ; il veut voir son fils , l’embrasser encore et lui faire ses recommandati
— Mort de Mithridate Mithridate a la douleur de voir Pharnace son fils , se joindre aux Romains pour combattre contre lui
is il se perce le sein de son épée. En ce moment Xipharès, son second fils , resté fidèle à sa cause, accourt victorieux aprè
ronne des plus belles fleurs de la vallée — … Elle avait appris à son fils , dès la plus tendre enfance, à honorer ainsi Mari
des Alpes Une femme de Val-Rosa tâchait de retenir à la maison son fils prêt à partir pour la chasse périlleuse du chamoi
dans des routes inconnues et semées de précipices — … Reste ici, mon fils , ton père est mort dans les glaciers » — … Le cha
e — … N° 221. — Saint Meinrad Au temps de Charlemagne, Meinrad, fils du prince Berthold Hohenzollern, se fit bénédicti
ses pas ! Sa mère-, elle s’avance au milieu des soldats : « C’est mon fils , arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! « C’est mon
s : « C’est mon fils, arrêtez, cessez, troupe inhumaine ! « C’est mon fils , déchirez sa mère et votre reine, Ce sein qui l’a
e parole articulée sur ses lèvres mourantes… Dieux ! Il a reconnu son fils , visage auguste, pourquoi es-tu sur moi ? Tes yeu
e, je t’ai devinée, tu n’as parlé de toi qu’à cause de mes malheureux fils . Hélas ! c’est à eux maintenant que tu vas te con
rgée ; il ne restait plus rien d’Œdipe. Ainsi disparut de la terre le fils de Laïus ; fut-il consumé par la foudre ? Fut-il
nt eux. Elle leur dit qu’elle vient se jeter dans leurs bras avec son fils qui n’a que quelques mois. Elle fait appel à leur
me Note. Anthusa, mère de saint Jean-Chrysostome, apprend que son fils se propose de la quitter pour faire un voyage loi
le ne voulut point se remarier afin de consacrer tout son temps à son fils unique ; c’est lui qui jusqu’à présent a fait son
onsolation et a dissipé les douleurs de la solitude et du veuvage. Ce fils veut-il renouveler ses peines, abandonner sa viei
en lui disant do la voir à ses pieds, elle qui prie pour l’honneur du fils , la vie de la mère, et le salut de la patrie.
t généralement d’avis de les faire mourir. Un vieillard, père de deux fils qui ont perdu la vie dans le dernier combat, pren
se. Le vieillard expose son triste sort ; il admire le courage de ses fils  ; mais il pleure leur mort, et a les plus grands
juré sa foi. Que la foudre en éclats ne tombe que sur moi ! Ah ! Mon fils  !… à ces mots j’eusse expiré sans toi. Mon Dieu !
né ; il en appelle aux cœurs des pères et mères. Le père voit dans ce fils chéri l’héritier de son nom ; la mère le trouve p
la patrie éplorée qui réclame Polidore comme un de ses plus vaillants fils  ; puis il s’adjuge la victoire et regarde comme c
en faisant le tableau désolant d’une famille privée de son chef ; les fils dissipent les biens du père et déshonorent quelqu
à ces mois s’est envolé vers les demeures célestes… Pauvre mère, ton fils n’est plus. Avis. Même observation qu’au nº 254
35 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
’hui vaines ombres, Des vierges que l’hymen attendait aux autels, Des fils mis au bûcher sous les yeux paternels, Victimes q
droit au grand-prêtre ; et leur corps tortueux D’abord vers ses deux fils en orbe se déploie, Dans un cercle écaillé saisit
ond de son âme Tirant un long soupir : « Fuis les Grecs et la flamme, Fils de Vénus, dit-il ; le destin t’a vaincu ; Fuis, h
que l’on aperçoit au milieu des nuages pendant une tempête. Clodion, fils de Pharamond et père de Mérovée, brillait à la tê
ce des tournois s’ouvrait à nos guerriers. Oh qu’on aimait à voir ces fils de la patrie Suspendre la bannière aux palmiers d
otre dernier roi, courbé du faix des ans, Massacré sans pitié sur ses fils expirants ! Lusignan, le dernier de cette auguste
e, et le seul trépas digne de lui. Sur son lit de mort il dicte à son fils ses mémorables instructions, les plus belles paro
ligion, mère autrefois sensible, S’arme d’un cœur d’airain contre ses fils ingrats.            Sortez de la nuit éternelle,
enfers. Là tombent condamnés et la sœur et le frère, Le père avec le fils , la fille avec la mère ; Les amis, les amants, et
mers l’empire redouté !            D’Athène élevant la fortune,       Fils de Saturne, ô glorieux Neptune,            Par to
e. Ce long regret, dix ans ne l’ont point adouci ; Je ne puis voir un fils dans les bras de son père, Sans dire en soupirant
illeront ton front pâle, en arrosant les fleurs, Aussi longtemps, mon fils , ta mère qui t’adore        Te viendra baigner de
ronc des chênes.        Nos guerriers ne me diront pas :        « Ton fils est digne de son père : Il porte sans frémir la l
a guerre.        Je vivrai comme une étranger », Et l’on dira : « Son fils est le jouet du vent ; Il n’est point mort en bra
egard attristé Se remplira des pleurs dont ici je t’arrose.        Le fils que j’ai porté repose        Sur le palmier qu’il
ux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées ; Le Rhône impétueux, fils des Alpes glacées ; La Seine au flot royal, la Lo
ésors ; Et qu’oubliant le mal qui déchire son corps, Elle doive à son fils un quart d’heure de joie ! Puis, qu’elle prie et
rs,              Malheureux enfants de la guerre.        Tu rends le fils à sa tremblante mère ;              Par toi la je
t du buisson paternel. À quelles cruelles épreuves Seront soumis les fils ingrats ! L’affection, comme les fleuves, Descend
vrage ; il sait le nom des architectes. Dirai-je qu’il croit Henri IV fils de Henri III ? Il néglige du moins de rien connaî
a que Sémiramis, ou, selon quelques-uns, Sérimaris, parlait comme son fils Ninias ; qu’on ne les distinguait pas à la parole
a parole : si c’était parce que la mère avait une voix mâle comme son fils , ou le fils une voix efféminée comme sa mère, qu’
i c’était parce que la mère avait une voix mâle comme son fils, ou le fils une voix efféminée comme sa mère, qu’il n’ose pas
bruit de vos coups, Déjà de son travail se reposait sur vous. Et moi, fils inconnu d’un si glorieux père, Je suis même encor
es jours si noblement finis, Prouve à tout l’avenir que j’étais votre fils . Racine. Nœud d’Iphigénie en Aulide L’arr
a famille entière, Et mon époux sanglant traîné sur la poussière, Son fils , seul avec moi, réservé pour les fers ; Mais que
Son fils, seul avec moi, réservé pour les fers ; Mais que ne peut un fils  ! je respire, je sers. J’ai fait plus ; je me sui
tôt qu’ailleurs le sort m’eût exilée ; Qu’heureux dans son malheur le fils de tant de rois, Puisqu’il devait servir, fût tom
asile. Jadis Priam soumis fut respecté d’Achille : J’attendais de son fils encor plus de bonté. Pardonne, cher Hector ! à ma
                       Madame, demeurez, On peut vous rendre encor ce fils que vous pleurez. Oui, je sens à regret qu’en exc
re. Pourquoi me forcez-vous vous-même à vous trahir ? Au nom de votre fils cessons de nous haïr. À le sauver enfin c’est moi
s laisse, et je viendrai vous prendre Pour vous mener au temple où ce fils doit m’attendre ; Et là vous me verrez, soumis ou
t tes discours sont suivis ! Il ne me restait plus qu’à condamner mon fils . Céphise. Madame, à votre époux c’est être assez
je lui donnerais Pyrrhus pour successeur ? Céphise. Ainsi le veut son fils , que les Grecs vous ravissent. Pensez-vous qu’apr
seraient asservis ! Céphise. Eh bien, allons donc voir expirer votre fils  : On n’attend plus que vous… Vous frémissez, mada
ens-tu frapper mon âme ! Quoi ! Céphise, j’irai voir expirer encor Ce fils , ma seul joie et l’image d’Hector ? Ce fils que d
rai voir expirer encor Ce fils, ma seul joie et l’image d’Hector ? Ce fils que de sa flamme il me laissa pour gage ? Hélas !
courage Lui fit chercher Achille ou plutôt le trépas, Il demanda son fils , et le prit dans ses bras32 : « Chère épouse, dit
« J’ignore quel succès le sort garde à mes armes ; « Je te laisse mon fils pour gage de ma foi : « S’il me perd je prétends
ve en toi. « Si d’un heureux hymen la mémoire t’est chère « Montre au fils à quel point tu chérissais le père. » Et je puis
il plaint à tes yeux des maux qu’il ne sent pas ? Mais cependant, mon fils , tu meurs si je n’arrête Le fer que le cruel tien
ous nos efforts, vous en devez attendre Ce que vous souhaitez et d’un fils et d’un gendre ; Et, si notre faiblesse avait pu
lutôt du combat les funestes effets : Rome est sujette d’Albe, et vos fils sont défaits ; Des trois les deux sont morts, son
n’est point, on vous trompe, Julie ; Rome n’est point sujette, ou mon fils est sans vie : Je connais mieux mon sang, il sait
ur. J’en romprai bien le cours, et ma juste colère, Contre un indigne fils usant des droits d’un père, Saura bien faire voir
e donc élevé si haut votre fortune Pour mettre une barrière entre mon fils et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde ; Ce n’est plus votre fils , c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
ènent tous les ans ses premières années ! Agrippine jugée par son fils Néron. Et ne connais-tu pas l’implacable Agri
    As-tu peur de mourir ? Le Comte. Viens, tu fais ton devoir, et le fils dégénère Qui survit un moment â l’honneur de son
cendaient au tombeau tout chargés d’infamie, Si je n’eusse produit un fils digne de moi, Digne de son pays et digne de son r
i cent mille écus de pension. Le Moine. Assez mal payés. Le roi votre fils n’en a guère de soin. Charles-Quint. Il est vrai
s, et laissez reposer les autres. Charles-Quint. Mais je vois que mon fils , après la bataille de Saint-Quentin, n’a pas su p
glais, voilà ce même duc qui a pris Thionville pour couvrir Metz. Mon fils gouverne mal : il ne suit aucun de mes conseils ;
hercher le repos dans cette retraite, qu’à condition que le roi votre fils ferait des conquêtes, croirait tous vos conseils,
e en repos, demeurez-y, quoi qu’il arrive, laissez faire le roi votre fils comme il voudra. Ne faites point dépendre votre t
Molière. Le Ménage d’un parvenu Strepsiade. Il me naquit un fils , et voilà le ménage En guerre, pour donner un nom
pauvre animal. Depuis ce bel arrêt, le pauvre homme a beau faire, Son fils ne souffre plus qu’on lui parle d’affaire. Il nou
her petit front l’autre essuyait le sang… Béni soit Dieu qui rend mon fils à ma vieillesse ! Tiens, je pleure et n’ai pas ho
a donné un sens pour connaître le vrai Dieu, et pour être en son vrai Fils . Dedit nobis sensum ut cognoscamus verum Deum, et
enj. Constant. L’Éducation politique Dès ses jeunes années, le fils du patricien, c’est-à-dire de l’homme public, env
ui jouissait dans tout le pays de la meilleure réputation. C’était un fils unique connu par son excellent cœur, et qui faisa
malheureux. Ce n’est pas tout : il faut vous dire encore qu’il était fils du seigneur du lieu ; il poussa donc la charité j
otre nature, non plus que lui-, et non-seulement vous ne vous trouvez fils d’un duc, mais vous ne vous trouvez au monde que
pect pour les dieux. Les nœuds que forment les serpents autour de ses fils , les soulèvent et les attachent contre lui : il r
ans les yeux attendris D’un frère ou d’une sœur, d’une épouse ou d’un fils  ? L’infortuné qu’il est ! à son heure dernière, S
il possède ; au surplus, bon et honnête homme. Ce misérable père a un fils qui le soulageait dans sa vieillesse, il s’est av
moi tout en larmes, je lui ai dit tente l’impossibilité de revoir ce fils  ; il lésait, il m’a montré cette lettre que je vo
s : et je vous avertis que je vous fatiguerai beaucoup au sujet de ce fils galérien ; prenez courage, et armez-vous de patie
Sedaine Le 4 juillet 1719, était né à Paris Michel-Jean Sedaine, fils de l’un des architectes les plus honorés de la vi
e rivage,        Et semblait à regret fuir un ciel sans nuage ; À ses fils attentifs Dimos, le vieux Dimos,        Donnait d
ir qu’on épuise les eaux :     Toi, Lamprakis, digne sang d’un héros, Fils de mon frère, approche et sois leur capitaine ; P
hasard, et je tombe, en l’ouvrant, sur ces paroles ; « Me voici, mon fils  ! Je viens à vous parce que vous m’avez invoqué. 
plus violent et de plus délicieux, et que ces mots : « Me voici, mon fils  ! » ne cessaient de retentir dans mon âme et d’en
soucis dévorants c’est l’éternel asile ; Véritables vautours, que le fils de Japet Représente, enchaîné sur son triste somm
Irène, c’est de mourir, comme ont fait votre mère et votre aïeule. —  Fils d’Apollon, s’écrie Irène, quel conseil me donnez-
Ton âme est-elle anéantie ? as-tu cessé d’exister ? Ô Brutus ! ô mon fils  ! ne souille point ta noble vie en la finissant ;
e Sophocle lut devant ses juges, pour répondre aux imputations de son fils Iophon qui l’accusait d’être tombé en enfance. Vo
36 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
e ne savait mordre. À quoi36, glouton oiseau, du ventre renaissant Du fils du bon Japet te vas-tu repaissant37 ? Assez et tr
e Que lui cavaient41 les destins. Il est bas le parricide ; Un Alcide fils d’Alcide42, À qui la France a prêté Son invincibl
rober aux victoires du père, Nous la verrons captive aux triomphes du fils . Pour le roi allant châtier la rébellion des
,            Que tu vas triompher ! Telle en ce grand assaut, où des fils de la Terre La rage ambitieuse à leur honte parut
l remords n’est ressenti par cette mère qui veut faire périr ses deux fils pour faire périr sa rivale. Il n’y a de merveille
ue la jalousie, l’ambition et la rivalité poussent jusqu’à égorger un fils , à vouloir en faire périr un autre par le poison,
e don Sanche, soldat de fortune, aventurier inconnu, regardé comme le fils d’un pêcheur, aimé de deux reines, et, à la fin,
 Eh bien ! je l’anoblis, Quelle que soit sa race et de qui qu’il soit fils . Qu’on ne conteste plus. Don Manrique.          
nt aux siens une fierté sincère ; On n’entend que soupirs : « Ah, mon fils  ! Ah, mon père ! « Ô jour trois fois heureux ! mo
êcheur, En dépit de Carlos, passe pour imposteur. Dans les bras de ce fils on lui fait mille hontes : C’est un fourbe, un mé
le fait criminel ! On attache à son nom un opprobre éternel ! Je suis fils d’un pêcheur, mais non pas d’un infâme ; La basse
de comte et de marquis Avec bien plus d’honneur qu’aux sentiments de fils  ; Rien n’en peut effacer le sacré caractère. De g
ns tache. Puisque vous la savez, je veux bien qu’on la sache. Sanche, fils d’un pêcheur, et non d’un imposteur, De deux comt
non d’un imposteur, De deux comtes jadis fut le libérateur ; Sanche, fils d’un pêcheur, mettait naguère en peine Deux illus
e en peine Deux illustres rivaux sur le choix de leur reine ; Sanche, fils d’un pêcheur, tient encore en sa main De quoi fai
souverain ; Sanche enfin, malgré lui, dedans cette province, Quoique fils d’un pêcheur, a passé pour un prince.     Voilà,
nt-ils méconnaître et haïr leurs présents ? Roi, père, époux heureux, fils du puissant Atrée, Vous possédez des Grecs la plu
C’est l’effroi de l’Asie. Et loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes fils , que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
il échappe par tous les côtés à la pitié. Sa passion le rend mauvais fils , menteur improbe et amant infidèle. Cependant il
Gérante aurait tantôt promis, Et promet maintenant de payer pour son fils . Géronte. Que je les paye ou non, ce n’est pas t
auquel il découvre son projet cherche en vain à le dissuader. « Mon fils , dit le vieillard, il faut qu’avec franchise Je v
jà mérité Les reproches d’un Dieu justement irrité. Fuyez, fuyez, mon fils , le monde et ses amorces : Il est plein de danger
Lucifer garde toujours sa haine. « Dieu tout bon, disait Malc, si ton Fils par sa peine M’a sauvé de l’enfer, m’a remis dans
ug le plus rude, J’ignore ici la servitude De louer qui je dois haïr. Fils des dieux, qui de flatteries Repaissez votre vani
erres. Malheureusement ce père arrive à Paris et se présente chez son fils . Il est vêtu simplement, d’une manière plus confo
ment, d’une manière plus conforme à sa fortune qu’aux discours de son fils . Pour achever la déconvenue du glorieux, le finan
t que bientôt il me sera permis De me faire connaître et de punir mon fils  ; Et mon juste dépit lui prépare une scène Où je
irardin, le père se contente de se jouer de la fierté ridicule de son fils  ; il tire de ses dédains une vengeance appropriée
e nous montrer ce père qui met plaisamment en défaut l’orgueil de son fils , Destouches avait su aussi nous le montrer sous d
ser ? Qu’un soupçon si cruel a droit de m’offenser ! Croyez que votre fils vous respecte, vous aime. Lycandre. Vous ! Prouv
e plus bel endroit de la pièce, la situation de Zopire embrassant son fils dans son meurtrier et lui pardonnant sa mort, est
du genre. D’Ailly, à la bataille d’Ivry, tue sans le connaître son fils qui combattait dans les rangs opposés. (La Henria
désespoir ! ô cris ! Il le voit, il l’embrasse : hélas ! c’était son fils . Le père infortuné, les yeux baignés de larmes, T
it redire aux échos attendris Le nom, le triste nom de son malheureux fils . Du héros expirant la jeune et tendre amante, Par
la veuve expire, Le vieillard fuit, tombe, soupire, Et meurt sur ses fils écrasés ! Leur roi, plein d’un trouble funeste,
ts et détruit la vertu. L’univers, si l’on croit ce novateur moderne, Fils du hasard, n’a point de Dieu qui le gouverne ; La
mais pu l’être. Le spectre d’un père assassiné demande vengeance à un fils , et Hamlet, ce fils, s’anime et s’excite à accomp
pectre d’un père assassiné demande vengeance à un fils, et Hamlet, ce fils , s’anime et s’excite à accomplir cette épouvantab
par l’aveu tacite de la coupable elle-même, il se rappelle qu’il est fils , tombe aux genoux de sa mère évanouie, et s’effor
appé, Toujours d’un vain effroi serez-vous occupé ? Ignorez-vous, mon fils , avec tant de courage, Que vers des jours nouveau
Qu’à des ennuis secrets votre force succombe ? Vous tairez-vous, mon fils , sur le bord de la tombe ? Votre cœur avec moi cr
uillé ; mes vœux sont légitimes. Gertrude. D’où vous vient donc, mon fils , cet air sombre, abattu ? Cette triste langueur s
est pur, que me fait l’apparence ? Gertrude. Eh ! quel est donc, mon fils , ce secret important ? Mon trouble, ma terreur au
fatale présence ? Je ne puis… Gertrude.                     Hé, mon fils  ! Hamlet.                                       
e donc le pouvoir d’exécuter ses lois… Gertrude. Quelles lois, ô mon fils  ! Hamlet.                                       
-tu ? De frapper ? J’obéis. Mon père, tu la vois, grâce ! je suis son fils . Gertrude. Mon fils ! Hamlet.                 E
obéis. Mon père, tu la vois, grâce ! je suis son fils. Gertrude. Mon fils  ! Hamlet.                 Eh bien, ma mère !… Ah
on : Lamartine et Victor Hugo seront ses frères et ses contemporains. Fils d’une Grecque remplie de charmes et d’esprit, And
re                 Sur tant de justes massacrés ! Pour consoler leurs fils , leurs veuves, leurs mémoires,                 Po
Entendez-vous un Dieu dont la voix inconnue Vous dit tout bas : « Mon fils , viens ici, viens à moi. Marche au fond du désert
pire, Gravit jusqu’à la bouche où l’appelle un sourire. Un aussi bon fils que Millevoye devait trouver les accents de l’âme
! « Le ciel toujours le protège. » Son sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel bea
genoux d’espérance et d’effroi. François de Paule. Relevez-vous, mon fils  ! Louis.                                        
« Guérissez ! » François de Paule.                         Moi, mon fils  ? Louis.                                        
vont effacer mes rides. François de Paule. Que me demandez-vous, mon fils  ? Vous m’étonnez ! Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
Fit mourir le feu roi de langueur et de faim. François de Paule. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! Louis. Le d
t sont des raisons si hautes ! François de Paule. Confessez, mauvais fils , n’excusez pas vos fautes. Louis. J’avais un frè
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi ; fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
 ; fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils . Je n’ai pas un ami ; je hais ou je méprise ; L’e
 ; Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon fils , du répit qu’il t’accorde ; Pleure, conjure, obti
            Ô mon pays ! Je t’ai rendu l’honneur, mais j’ai perdu mon fils  ; Pardonne-moi ces pleurs qu’à peine je dévore. (
t de voir en imagination dans son livre. Peu à peu il devenait un des fils du barde, une des ombres héroïques, amoureuses, p
ppartient plus. Elle veut y embrasser un moment, encore une fois, son fils , qui abandonne pour quelque temps Valneige. Jocel
à Besançon le 26 février 1802, dans d’honorables conditions sociales. Fils d’un officier supérieur ancien volontaire de la R
, le don suprême de l’écrivain, l’originalité, et qu’entre tous « les fils de la lyre » il fut sans conteste l’un des plus r
Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d’haleine Lui dirent : « Couchons-nous sur l
t. « Je suis trop près, » dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses fils dormants, sa femme lasse, Et se remit à fuir, sin
on. « Cachez-moi ! » cria-t-il ; et, le doigt sur la bouche, Tous ses fils regardaient trembler l’aïeul farouche. Caïn dit à
us ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’enfant blond, La fille de ses fils , douce comme l’aurore ; Et Caïn répondit : « Je v
Pendant qu’il travaillait, ses frères, dans la plaine, Chassaient les fils d’Énos et les enfants de Seth ; Et l’on crevait l
ses genoux ; Aux yeux des grands-parents élever sa famille, Voir les fils de ses fils sous la même charmille Où jadis on av
; Aux yeux des grands-parents élever sa famille, Voir les fils de ses fils sous la même charmille Où jadis on avait joué dev
mpe de nuit dont la lueur ondule, Adorant saintement et la Mère et le Fils , Et pour remède aux maux baisant le crucifix : Vo
mour de ton cœur s’appelle d’un beau nom : La liberté ! Qu’importe au fils de la montagne Pour quel despote obscur envoyé d’
Plus de rites sacrés sous les grands dômes verts ! Nous léguons à nos fils la terre dévastée, Car nos pères nous ont légué d
écarta les plis Du voile en s’écriant : « C’est vous, c’est vous, mon fils  ! » Mais lui, d’un ton glacé : « Que faites-vous
votre histoire ; Pour être ensanglantée, elle n’est pas sans gloire. Fils de quatre-vingt-neuf, pourquoi vous outrager ? Ne
ndré Chénier, et cependant il rend souvent avec plus de vérité que le fils de Santi l’Homaka la couleur de l’Iliade et de l’
protestation contre des défauts ; ce n’est pas la grande poésie. Un fils acceptant l’héritage de son père avec toutes ses
George. Et nos lois ont permis que le nom paternel Fût souillé par un fils d’un opprobre éternel ! Le Notaire. C’est un mal
s aurez droit d’aller partout le front levé, Et je fais peu de cas du fils qui délibéré, Quand il faut acquitter les dettes
égna de 1356 à 1364, et le roi Charles, c’est Charles V, dit le Sage, fils de Jean II, qui eut la régence pendant la captivi
est rare. 37. Allusion au vautour qui rongeait le foie de Prométhée, fils de Japet, l’un des Titans, lui-même fils d’Uranus
ngeait le foie de Prométhée, fils de Japet, l’un des Titans, lui-même fils d’Uranus et frère de Saturne. Il régna en Thessal
andées par le duc de Guise. 41. Creusaient, de cavare. 42. Charles, fils d’Henri, duc de Guise, surnommé le Balafré. 43.
duc d’Armagnac, enfermé dans une cage de fer, mis à mort en 1477. Ses fils , forcés d’assister à son supplice, reçurent le sa
’est-à-dire l’Assyrie, Assur (heureux en hébreu) est le nom du second fils de Sem, qui, chassé par Nemrod des plaines de Sen
sur vingt hommes, un homme équipé. 260. Rodrigue, ou Roderic, était fils d’un duc de Cordoue qui eut les yeux crevés par o
roi Witiza. Il arma contre ce prince, et le renversa en 710. Mais les fils et parents de Witiza, unis au comte Julien, gouve
37 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
 Ne pourrons-nous jamais, unis dans le saint lieu, » Du retour de tes fils remercier ton Dieu » ? Ainsi pleurait l’Hébreu, e
e. Des murs de Bethléem chassés par la famine, Noémi, son époux, deux fils de leur amour, Dans les champs de Moab vont fixer
Dans les champs de Moab vont fixer leur séjour. Bientôt de Noémi les fils n’ont plus de père : Chacun d’eux prit pour femme
out réponde. Belle comme Rachel, comme Lia féconde, Son épouse eut un fils  ; et cet enfant si beau Des bienfaits du Seigneur
174C’est l’aïeul de David. Noémi le caresse ; Elle ne peut quitter ce fils de sa tendresse, Et dit, en le montrant sur son s
ières. Seul, morne, et l’œil aride, accablé sous le poids, L’aîné des fils restait sans larmes et sans voix. Mais l’azime cé
t consacré leurs chants à la religion : il a été traité par Racine le fils , par MM. de Pompignan et de Bologne. 165. C’est
38 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre I. » pp. 73-74
rtait ce nom et qu’il ne faut sans doute pas confondre avec Xénarque, fils de Sophron  ce dernier semble indiqué par Suidas,
ayant écrit des ’Іωνɩϰοì λόγοɩ. Si ce rapprochement est juste, dès le fils de Sophron la comédie syracusaine aurait admis l’
de Photius, au mot ’Рηγίνους dit, en propres termes, que Xénarque, «  fils de Sophron le mimographe, » avait joué les Rhégin
39 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
Paris Imprimerie et Librairie classiques Maison Jules DELALAIN et Fils DELALAIN FRÈRES, Successeurs 56, rue des écoles
» Les orateurs de nos assemblées révolutionnaires sont, en effet, les fils du dix-huitième siècle. Disciples de Montesquieu,
âme destinée à vous servir, appelée à la société immortelle de votre Fils et de vos Saints, enrichie de vos dons, et par eu
t vilain qu’il est, je voudrais l’avoir commencé plus tôt. — Ah ! Mon fils , répliqua le bon religieux, qui n’avait garde de
in ce qu’il trouva de Barbares, il parut dans le Bosphore, devant son fils Maccharès, qui avait fait sa paix avec les Romain
même chemin qu’elles tinrent146. Trahi par Pharnace, un autre de ses fils , et par une armée effrayée de la grandeur de ses
les deux empires tributaires. « Théodose, disait-il insolemment, est fils d’un père très noble, aussi bien que moi ; mais,
reine mère, longtemps errante, mourut à Cologne dans la pauvreté. Le fils , maître d’un beau royaume, ne goûta jamais ni les
us légères, pour atteindre de loin ? Un nerf, un tendon d’animal, des fils d’aloès, ou l’écorce souple d’une plante ligneuse
u caractère, ce qui est la vue la plus opposée à celle de Molière. Le Fils naturel et le Père de famille, loin d’être un arg
. Assézat, tome X, p. 321. Deux esquisses de Greuze253. I. Le fils ingrat254. Imaginez une chambre où le jour n’e
cuir noir, où l’on peut être commodément assis : asseyez-y le père du fils ingrat. Attenant à la porte, placez un bas d’armo
sur laquelle on vient de servir un potage. Malgré le secours dont le fils aîné de la maison peut être à son vieux père, à s
a scène, vers la porte, le vieux soldat qui a enrôlé et accompagné le fils ingrat chez ses parents s’en va, le dos tourné à
pproche pourtant pas, à mon gré, de celle qui suit. II. Le mauvais fils puni. Il a fait la campagne. Il revient, et da
et ses genoux se dérobant sous elle. Voilà le spectacle qui attend le fils ingrat. Il s’avance ; le voilà sur le pas de la p
disent : « Tiens, vois, regarde : voilà l’état où tu l’as mis ! » Le fils ingrat paraît consterné ; la tête lui teinte en d
le même chien, qui est incertain s’il reconnaîtra cet éclopé pour le fils de la maison, ou s’il le prendra pour un gueux. J
moment : il me semble que, pour se dérober à elle-même la vue de son fils et celle du cadavre de son époux, elle a dû porte
iquée que la vie de Beaumarchais. Né à Paris en 1732 et mort en 1799, fils d’un horloger, introduit à la cour par la protect
ntreprises. Le Beaumarchais du dedans, et qui n’est plus en scène, le fils et le frère, le père et l’ami, ont été pour beauc
l allait s’élancer à la mer, lorsque je le saisis par le bras : « Mon fils , lui dis-je, voulez-vous périr ? » — « Que j’aill
ur de la consolation, qui arrivera bien tôt ou tard. Amen. Pour mon fils . — Et mon cher petit Rodolphe, où est-il ? Qu’il
Gœthe se plaît, dans ses écrits comme dans ses discours, à briser les fils qu’il a tissus lui-même, à déjouer les émotions q
e, consentent aux dangers de leurs frères, de leurs époux et de leurs fils . A l’approche des périls qui la menacent, une fiè
ont le lait soit du sang, et qui remplissent de valeur le cœur de nos fils . Pharamond, le bardit est achevé, les heures de l
dans les papiers du secrétaire d’État Vane, et livrées à Pym par son fils , furent produites comme supplément de preuve suff
de la Tour, 20000 livres sterling et une fille de Strafford pour son fils , s’il voulait se prêter à l’évasion : il s’y refu
d’une joie infinie. Je vous demande seulement d’accorder à mon pauvre fils et à ses trois sœurs autant de bienveillance, ni
aisse tomber aux pieds d’Achille en lui redemandant le cadavre de son fils , plus d’un vers de Virgile, des scènes entières d
ptement. A peine il entrait en convalescence que le plus jeune de ses fils , Dagobert, qui n’était pas encore baptisé, tomba
ans, fut pris comme lui de la maladie régnante. A la vue de ses deux fils en péril de mort, Frédégonde fut saisie des cruel
rédégonde se trouvait un jour avec le roi dans la pièce où leurs deux fils étaient couchés, en proie à l’accablement de la f
x, et nous ne nous sommes pas « amendés. « Voilà que nous perdons nos fils  ; voilà que les larmes « des pauvres, les plainte
eux ; « fais ce que tu me vois faire, afin que, si nous perdons « nos fils , nous échappions du moins aux peines éternelles. 
ait, en mourant (1066), désigné pour son successeur son neveu Harold, fils de ce Godwin qui avait combattu avec énergie l’in
bière et de vin. An matin, dans le camp normand, l’évêque de Bayeux, fils de la mère du duc Guillaume, célébra la messe et
sage au duc Guillaume pour lui demander la permission de rendre à son fils les derniers honneurs : elle offrait, disent les
ent les historiens normands, de donner en or le poids du corps de son fils . Mais le duc refusa durement, et dit que l’homme
ens de se distinguer parmi leurs semblables. Ils y verront comment le fils d’un pauvre artisan, ayant lui-même travaillé lon
nt, aussi vertueusement, aussi glorieusement remplies que celle de ce fils d’un teinturier de Boston, qui commença par coule
e vous voyez là-haut, ce passage tempétueux, où, comme ils disent, le fils n’attend pas le père, c’est la porte de l’Espagne
illant de la plaine, qui a la langue si prompte, la main aussi, et le fils de la montagne, qui la mesure rapidement de ses g
réputation de collège ; il est lauréat, comme l’étaient Stace père et fils  ; il ne veut pas plus être avoué ou notaire que M
lui qui, rougissant de son père, honnête artisan, ne sut pas être bon fils  ? Déjà célèbre comme poète et destiné à occuper l
es, des travaux, un faible cœur s’étonne ; Apprenons toutefois que le fils de Latone, Dont nous suivons la cour, Ne nous ven
à un hymen odieux, encourage l’amour que ressent pour elle le second fils de Pharasmane, Arsame, et elle l’anime à secouer
se. Rhadamiste, porté par des soldats, va lui apprendre qu’il est son fils . Pharasmane, Rhadamiste (porté par des soldats),
uel crime ai-je commis ! Nature, ah ! venge-toi, c’est le sang de mon fils . RHADAMISTE. La soif que votre cœur avait de le r
el, pourquoi vengeais-tu la mort de Mithridate604 ? PHARASMANE. O mon fils  ! ô Romains ! êtes-vous satisfaits ! (A Arsame).
 ; Avec mon amitié je vous rends Zénobie : Je dois ce sacrifice à mon fils malheureux. De ces lieux cependant éloignez-vous
p écouté D’un oracle imposteur la fausse obscurité. Il m’en coûta mon fils . Oracles que j’abhorre ! Sans vos ordres, sans vo
ûta mon fils. Oracles que j’abhorre ! Sans vos ordres, sans vous, mon fils vivrait encore. ŒDIPE. Votre fils ! par quel coup
e ! Sans vos ordres, sans vous, mon fils vivrait encore. ŒDIPE. Votre fils  ! par quel coup l’avez-vous donc perdu ? Quel ora
n oracle faux ne vous alarmez plus. Seigneur, vous le savez, j’eus un fils de Laïus. Sur le sort de mon fils ma tendresse in
. Seigneur, vous le savez, j’eus un fils de Laïus. Sur le sort de mon fils ma tendresse inquiète Consulta de nos dieux la fa
i dû les retenir ; Pardonnez si je tremble à ce seul souvenir : « Ton fils tuera son père, et ce fils sacrilège, « Inceste e
z si je tremble à ce seul souvenir : « Ton fils tuera son père, et ce fils sacrilège, « Inceste et parricide… » O dieux achè
me ? JOCASTE. Eh bien, Madame ?Enfin, seigneur, on me prédit Que mon fils , que ce monstre entrerait dans mon lit ; Que je l
père ; Et que, tous deux unis par ces liens affreux, Je donnerais des fils à mon fils malheureux. Vous vous troublez, seigne
ue, tous deux unis par ces liens affreux, Je donnerais des fils à mon fils malheureux. Vous vous troublez, seigneur, à ce ré
us les dieux, seigneur, et saintement cruelle611, J’étouffai pour mon fils mon amour maternelle. En vain de cet amour l’impé
ères, Il fut assassiné par des mains étrangères : Ce ne fut point son fils qui lui porta ces coups ; Et j’ai perdu mon fils
Ce ne fut point son fils qui lui porta ces coups ; Et j’ai perdu mon fils sans sauver mon époux ! Que cet exemple affreux p
blage affreux des forfaits inouïs Dont le Ciel autrefois menaça votre fils  ; Me dit que je serais l’assassin de mon père...
ez, ancien gouverneur du Pérou, a été remplacé dans sa charge par son fils Gusman. Celui-ci aime Alzire, la fille de Montèze
IRE. Non, qu’une affreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon fils, ô comble de douleur ! ZAMORE.
ffreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon fils , ô comble de douleur ! ZAMORE. à Gusman. Tu veux
er, M’ordonne de te plaindre et de te pardonner621. ALVAREZ. Ah ! mon fils , tes vertus égalent ton courage. ALZIRE. Quel cha
x. Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre fils , et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile,
endit jusqu’à moi de la voûte des cieux : Car on voit quelquefois ces fils de la lumière Éclairer d’un mondain l’âme simple
Sur quelque bord désert la faim m’eût consumé. Va, tu n’es point mon fils  : seule elle est ma famille. Antigone, est-ce toi
Que le jour un moment rentre encor dans mes yeux, Pour embrasser mon fils à la clarté des cieux665 ! Œdipe à Colone (1797
s roi ! » Ces apparitions ont éveillé l’ambition de Macbeth. Malcome, fils de Duncan, passe pour avoir été massacré par Cado
794.) André Chénier, né le 29 octobre 1762 à Constantinople, était fils de Louis Chénier, consul de France en Turquie, et
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France avait paru à un momen
re708 ; Et tous, l’œil étonné, se taisent pour l’entendre. — « Lycus, fils d’Évenor, que les dieux et le temps N’osent jamai
esse sacrée, Qu’il laisse avec ses biens ses vertus pour appui Et des fils , s’il se peut, encor meilleurs que lui715. » — « 
……  Les    douleurs de son âme Avaient changé ses traits717. Ses deux fils et sa femme, A Delphes, confiés au ministre du di
tendrir l’histoire Sur tant de justes massacrés ! Pour consoler leurs fils , leurs veuves, leur mémoire ! Pour que des brigan
donne mes jours ; elle a fini pour moi740. TIBÈRE. Non ; vous avez un fils  : vous la craindrez encore741. PISON. Oseriez-vou
e741. PISON. Oseriez-vous, cruel !… TIBÈRE. Oseriez-vous, cruel !…Un fils qui vous honore ; Un fils qui vous chérit, que vo
cruel !… TIBÈRE. Oseriez-vous, cruel !…Un fils qui vous honore ; Un fils qui vous chérit, que vous devez chérir. PISON. S’
ine est horrible, et pourtant je l’affronte ; ‘ Pour l’honneur de mon fils , j’en dois subir la honte. Rome, l’empire entier,
mps ! Le Ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux ; D’un fils Dieu le rendait père, Le rendait père. — Quel bea
irs, tous ses sentiments étaient images. » Ce fut elle qui initia son fils à la poésie en lui lisant la Bible : elle eut d’a
ieux ! Roi des chants immortels ; reconnais-toi toi-même ! Laisse aux fils de la nuit le doute et le blasphème ; Dédaigne un
ucifix : « Voilà le souvenir, et voilà l’espérance : Emportez-les mon fils . » Oui, tu me resteras, ô funèbre héritage ! Sept
, livre II777. Entrevue de Louis XI et de François de Paule. Le fils de ce duc de Nemours, que Louis XI avait fait pér
s genoux d’espérance et d’effroi. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous mon fils  ! LOUIS. Relevez-vous mon fils !J’y reste pour a
. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous mon fils ! LOUIS. Relevez-vous mon fils  !J’y reste pour attendre La faveur qui sur moi de
es à nos maux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE. Guérissez !…Moi, mon fils  ! LOUIS. Guérissez !… Moi, mon fils !Soudain nos
DE PAULE. Guérissez !…Moi, mon fils ! LOUIS. Guérissez !… Moi, mon fils  !Soudain nos maux guérissent. Que votre voix l’or
vont effacer mes rides778. FRANÇOIS DE PAULE. Que demandez-vous, mon fils  ? vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
it mourir le feu roi de langueur et de faim780. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ? LOUIS. Le Da
t sont des raisons si hautes !… FRANÇOIS DE PAULE. Confessez, mauvais fils , n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un frè
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
 : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils . Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise. L’ef
 : Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon fils , du répit qu’il t’accorde : Pleure, conjure, obti
ez des hôtes, Et les larges vaisseaux ouverts sur ces brisants, A vos fils dévoués, bon saint, sont vos présents. Ah ! Comme
ruse en notre vieux pays : Nos pères en vivaient, qu’elle profite aux fils . Sur le vaisseau maudit encor quelques rafales, D
’un instant. Surpris par le roulis, Un marin disparut, criant : « Mon fils Louis ! » Le navire, aussitôt qu’il eut touché le
. Il fallait, vierge et veuve, être chef de famille, Avoir le bras du fils et le cœur de la fille, Veiller, jusqu’au moment
Veuve. J. Autran.(1813-1877). Né à Marseille en 1813, vraiment fils de la Provence par ses riches et souples facultés
, Autran a rencontré là un sujet qui l’a heureusement inspiré. Si, en fils de la Provence, il préféré la Méditerranée à l’Oc
lai, mon Père, vos avis : D’autres devoirs me sont imposés : j’ai mon fils  ! RADBERT. Comte, votre récit n’a rien dont je m’
neuve ; L’instant de l’adieu fut l’instant d’épreuve : « Courage, mon fils  ! — Courage, maman ! » Elle prit au front son voi
te. » Et l’enfant pensait : « Ma mère est vaillante, « Et je suis son fils , et je n’ai pas peur ! » Mais lorsque l’armée eut
Louis de Conti, d’abord prince de la Boche-sur-Yon, était le deuxième fils du prince de Conti, frère cadet du grand Condé. N
pris que le trône était occupé par Auguste II, électeur de Saxe. 90. Fils unique du grand Condé, né en 1643, mort en 1709.
1709. 91. Petit-fils du grand Condé, né en 1668, mort en 1710. 92. Fils du précédent, né à Versailles en 1692. 93. On sa
érèse. 103. 26 août 1718. — Louis-Auguste de Bourbon, duc du Maine, fils de Louis XIV et de madame de Montespan, était né
1554, mort en 1642. 106. César, duc de Vendôme, dit César Monsieur, fils aîné de Henri IV et de Gabrielle d’Estrées, né en
IV lui avait donné rang immédiat après les princes du sang. Ses deux fils furent Louis, duc de Vendôme (1612-1669), qui por
rquées. » 109. Pris comme nom propre, ce titre servait à désigner le fils aîné du prince de Condé. Celui dont il est ici qu
15. Louis-Alexandre de Bourbon, comte de Toulouse, était le troisième fils légitimé de Louis XIV et de madame de Montespan,
usa en 1723 la marquise de Gondrin (mademoiselle de Noailles), et son fils , le duc de Penthièvre, né en 1725, mourut en 1793
de Mithridate (1673) de Racine, acte III, sc. I : C’est à Rome, mes fils , que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
6. Théodose Ier partagea avant sa mort l’empire romain entre ses deux fils . Arcadius fut le premier empereur d’Orient (395-4
évation au trône, il fit plus tard sa soumission à Auguste II, et son fils fut le dernier roi de Pologne sous le nom de Stan
m, trame. Ce mot se dit proprement de l’assemblage de plusieurs longs fils de soie ou de laine établis sur les métiers de ta
es métiers de tapisserie. « Quand la chaîne est horizontale, tous les fils de la trame sont également dans un même plan hori
ntal, ce qui fait la basse lice ; et, si la chaîne est verticale, les fils de la trame forment aussi un plan vertical, d’où
le but de détacher Henri IV de l’alliance des Provinces-Unies. 185. Fils de Maximilien II et de Marie d’Autriche, fille de
alédiction paternelle. Il a été acquis pour le Louvre en 1820 avec le Fils puni. Tous deux ont été gravées par Robert Gailla
mes bons déportements et ne vouloit pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les m
e discours à la marquise de Costa pour la consoler de la perte de son fils tué à la guerre. La vie du marquis de Costa a été
» 361. Les Œuvres complètes de Mme de Staël ont été publiées par son fils , le baron Auguste de Staël-Holstein (Paris, 1821
ette-fable. Cf. Cicéron, De Oratore, III, il. 385. Castor et Pollux, fils de Tyndare, forment au ciel le signe des Gémeaux,
des archéologiques. 407. C'est-à-dire mutilés comme le fut Deiphobe, fils de Priam, qu’Enée retrouve aux Enfers. (Enéide li
oivent se soutenir par l’espérance d’une autre postérité. De nouveaux fils feront oublier ceux qui ne sont plus Pour vous, d
a court, et consolez votre douleur par la pensée de la gloire que vos fils ont obtenue. » 443. Voir, dans la XIVe Philippiq
ppuyant sur une tradition sans valeur historique, a fait de Brutus le fils de César ; mais le spectacle du patriotisme pouss
e, que Brutus ait été comblé de bienfaits par César. Si Brutus est le fils de l’homme qu’il va frapper, ce n’est plus qu’un
s saints dont la cuve était remplie jusqu’au bord, et sur lesquels le fils de Godwin avait juré à son insu. 478. Voir le li
istianisme. Les caractères naturels sont ceux du père, de la mère, du fils et de la fille ; les caractères sociaux, ceux du
il indomptable, cette même dureté jalouse qui le fait redouter de ses fils  ; mais, selon Voltaire lui-même, qui n’est pas po
et l’âme pure d’Arsame, toujours fidèle à ses devoirs de sujet et de fils , produisent d’ailleurs elles-mêmes, dans cette tr
dresse aux dieux la même prière, et demande qu’un jour on dise de son fils au retour des combats : Oui ! ce héros surpasse e
e a présenté à son frère l’horrible festin composé des membres de ses fils , Thyeste s’écrie (v. 1106) : Agnosco fratrem…………
noms de choses. 741. Tacite (Annales, liv. II) dit seulement que le fils de Pison le précéda à Rome avec des instructions
on, arrivé dans le palais de l’empereur, se trouve en présence de son fils , et cette rencontre forme l’exposition de la pièc
’exposition de la pièce (Voir acte I, scène i). D’ailleurs Cnéius, le fils de Pison, est un jeune homme plein de loyauté, d’
ses.  » 780. Charles VII avait formé le projet d’appeler son second fils à la couronne ; mais il n’eut pas la force de pre
s Nouvelles Méditations poétiques. Chez C. Delavigne, Napoléon est le fils ingrat de la liberté. M. V. Hugo est ébloui par l
Des longs travaux du jour, des soins de la maison, C’est assez à son fils de dire une chanson ; D’ailleurs, en parcourant c
, la fille de Roland, est sauvée d’une attaque des Saxons par Gérald, fils de Ganelon, le faux Amaury. Ou verra comment l’am
r particulièrement la scène ii de l’acte IV, où Amaury confesse à son fils qu’il est Ganelon. Berthe, cependant, n’a pas vou
40 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. » pp. 238-278
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Parisa, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde : Ce n’est plus votre fils  ; c’est le Maître du monde. J’en dois compte, Mad
e sa tragédie d’Atrée, où Thieste, après avoir reconnu le sang de son fils dans la coupe qui lui a été présentée par Atrée,
r dont ton cœur est épris : Joins un malheureux père à son malheureux fils , À ses mânes sanglants donne cette victime, Et ne
p mortel : Si lorsque le Sénat eût condamné ce traître, Catilina pour fils t’eût voulu reconnaître ; Entre ce monstre et nou
ans le même saisissement de cœur où est une mère, qui revoit son cher fils qu’elle avait cru mort ; et cette joie qui échapp
he ; et sa belle tête se penche ne pouvant plus se soutenir. Ainsi le fils d’Ulyssec était aux portes de la mort. » La comp
es ; de l’autre elle portait sur ses genoux le petit Dieu Palémon son fils pendant à sa mamelle. Elle avait un visage serein
41 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
D’Aubigné 1550-1630 [Notice] Fils d’un gentilhomme calviniste, né à Saint-Maurice,
parlement, il se maria pour prouver qu’il vivait encore. Trahi par un fils apostat qu’il maudit, il assista de loin à la chu
embrassa le calvinisme et devint ministre de l’Évangile à Genève. Son fils a composé le Moyen de parvenir. 2. Vatable était
t de créer. 3. Louis Ier, prince de Condé, chef du parti calviniste, fils de Charles de Bourbon (1530-1569). Après la conju
42 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
e donc élevé si haut votre fortune Pour mettre une barrière entre mon fils et moi ? Ne l’osez-vous laisser un moment sur sa
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde : Ce n’est plus votre fils , c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
es ! (Racine, Britannicus, acte I, sc. 2.) 2° MITHRIDATE, à ses fils . Approchez, mes enfants. Enfin l’heure est ve
’est l’effroi de l’Asie ; et, loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes fils , que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
ureur ; Prêt d’unir avec moi sa haine et sa famille, Il me demande un fils pour époux à sa fille. Cet honneur vous regarde,
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils  ? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre.
s ; Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre Un... Votre fils , Seigneur, me défend de poursuivre. Instruite du
ps que les Grecs ne l’ont pris, Dans ses murs relevés couronner votre fils . (Andr., acte I, sc. 4.) Pyrrhus (en parlant d’
ton cœur je sais que tu me hais. (Br., acte V, sc. 7.) Thésée. Mon fils n’est plus ? Hé quoi ! quand je lui tends les bra
43 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
Exemple : … Un brouillard glacé, rasant les pics sauvages, Comme un fils de Morven me vêtissait d’orages. de Lamartine,
, et l’on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître de fils . Sortons, je veux aller quérir la justice, et fai
faire donner la question à toute ma maison : à servante, à valets, à fils , à fille, et à moi aussi. Que de gens assemblés !
au cimetière, Est-ce pour bien longtemps qu’il dort ? — Jamais, mon fils , il ne s’éveille ; Toujours il reste aux mêmes li
« la mort nous délivre Pour nous faire vivre toujours ? » — Oui, mon fils  ; nous avons une âme Qui par la mort ne périt pas
ôt prend son essor « Vers les demeures éternelles… « Pauvre mère, ton fils est mort ! 7° Style riche, fleuri, pittoresqu
gin. Elle ne croyait pas être sublime, cette mère qui avait perdu son fils , et à qui l’on citait, pour la consoler, l’exempl
citait, pour la consoler, l’exemple d’Abraham obligé de sacrifier son fils Isaac, quand elle s’écriait : « Dieu n’aurait jam
de Corneille dans Horace, au moment où le vieil Horace croit que son fils a fui devant l’ennemi : Julie. Que vouliez-vous
qu’attendez-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ? Non ; c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
44 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
me l’effet ressort de la cause, l’auteur, s’il a disposé avec art les fils de son drame, n’a rien à chercher quand il en arr
dès le moment où l’action s’engage, comment elle se déliera : si les fils sont embrouillés, si l’intrigue est chargée de co
econnu son maître, Télémaque son père, Pénélope son époux, Laërte son fils , le peuple entier son roi. Le dénoûment et l’achè
de solennel et de pompeux dans le dernier jour. Il est appuyé sur son fils , William Pitt, qui devait être un si grand homme.
ns ce dénoûment antidramatique. Les esprits élevés savent démêler les fils les plus déliés d’un événement à travers la trame
45 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
modifiés par l’éducation et compliqués d’un entrecroisement de petits fils presque imperceptibles, qui échappent à une obser
ils trouveront sa chevelure séchant au foyer d’un Paunie ! Où est le fils de Bohréchina ? Ses os sont plus blancs que les v
compagnons décident par acclamation qu’il faut marcher. Thierry, son fils , dit aux Francs : « — Rappelez-vous, je vous prie
il leur parle : « — Amis, héros grecs, compagnons de Mars ; Jupiter, fils de Saturne, m’a lié à la lourde chaîne de la fata
de décades manqueraient d’échanson. Voilà dans quelle proportion les fils des Grecs l’emportent sur les Troyens. — Je dis s
nt le fond de la pensée d’Atride. — Il a voulu tenter aujourd’hui les fils des Grecs, demain il les châtiera peut-être. — No
du tout ce qu’il a dit dans le conseil. — Ah ! que je crains pour les fils des Grecs les effets de sa colère ! — Elle est te
recs les effets de sa colère ! — Elle est terrible, la colère du roi, fils de Jupiter. — Son pouvoir vient de Jupiter, et Ju
e l’action à la parole ? Achille est beau, brave, éloquent, puissant, fils d’une déesse, mais son orgueil intraitable ne peu
on père, lui adressait au moment de son départ pour l’armée ? « — Mon fils , lui disait-il, je ne te recommande pas le courag
ecques. — « Aujourd’hui celui qui commande en maître, ce n’est pas le fils légitime de la maison, c’est un intrus, un homme
nsi, ou n’est-ce pas plutôt un peintre qui vous offre le portrait des fils dégénérés de la vieille Athènes ? De semblables i
46 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
as fut permis Jamais on n’eût osé me dire, Renonce aux baisers de ton fils . Il faut prononcer fi plutôt que fisse. L’exac
e, —  Jamais — on n’eût osé me dire : / Renonce aux baisers de ton fils . Mais je suis veuve ; — on perd la force avec la
er, /             viens / qu’il nous réunisse. Une mère bénit son fils en l’embrassant ; —        Mon fils, qu’un baiser
nous réunisse. Une mère bénit son fils en l’embrassant ; —        Mon fils , qu’un baiser te bénisse.     Vois-tu, ce gran
ans déjà passés, / j’y conduisis ton père ;           Mais lui, / mon fils , / ne revint pas. Encor, / s’il était là pour gui
défense — Que je vais — prier Dieu pour toi ! Que feras-tu, / mon fils , / si Dieu ne te seconde, —  Seul, — parmi les mé
pour t’apprendre à souffrir ? —  Oh ! que n’ai-je du pain, / mon fils , / pour te nourrir,   Mais Dieu le veut ainsi : —
Déjà la rapide journée Fait place aux heures du sommeil Et du dernier fils de l’année S’est enfui le dernier soleil. (M. a.
as. es ferait une syllabe de trop, quoique muette. Tes folies, mon fils , causeront mon trépas. es ne compterait pas pou
és ces sortes de mots. Les vers suivants seraient bons ; Mon trépas, fils cruel, vient de tes perfidies Mon trépas est caus
trépas, fils cruel, vient de tes perfidies Mon trépas est causé, mon fils , par les folies. Voilà donc les trésors que les m
istiches bien proportionnés, et il condamne le vers. Dans Mon trépas, fils cruel, vient de tes perfidies, la mesure et le rh
s’ensuit une prononciation dure et désagréable : En m’arrachant mon fils , m’avait punie assez. (Scar.) Condamne-le à l’ame
47 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
valet de chambre de François Ier, et qui écrivit, comme après lui son fils , des rondeaux, des épîtres, des élégies, des églo
on Temps, qu’il se donnait ; — Victor Brodeau, que Marot appelait son fils  ; — le sieur de La Borderie, qu’il appelait son m
un cachet d’afféterie et de mignardise son ami Melin de Saint-Gelais, fils de gentilhomme, abbé et aumônier de cour, poète d
grie, après avoir été page de cour auprès du duc d’Orléans, troisième fils de François Ier, et de Jacques V, roi d’Écosse, a
228…     Et vous, nobles aussi, qui n’avez renoncee La foy de pere en fils qui vous est annoncee, Soustenez votre roy, mette
ans, l’histoire de sa vie tient en deux lignes. Il fut précepteur des fils de Remy de Lorraine, marquis d’Elbeuf, le suivit
.) Épitaphe du comte de Brissac. Sonnet Brissac, le vaillant fils d’un sage vaillant pere, Pouveit bien, casanant29
ontchrestien (mort en 1521) Notice Antoine de Montchrestien, fils d’un apothicaire de Falaise, cultiva la poésie au
C’est à sa tragédie de L’Escossaise (1605) qu’il dut la protection du fils de son héroïne, Jacques Ier, et les lettres de gr
re ; il dira aussi bien que d’Aubigné en son Jugement dernier, que le Fils de Dieu Descendra glorieux des voûtes étoilées ;
ieu de soi-même étoit et l’hête et le palais. Puis Dieu engendre son Fils ,     … sa Vois362, son Conseil eternel, De qui l
e la Normandie, voilà toute sa vie, sa joie et son rêve. Faire de ses fils des amis des champs fut son dernier but. L’un d’e
toy. (Ibid., p. 485). Sonnet au sommeil Sommeil, paisible fils de la nuict solitaire, Pere-alme530 nourricier de
u, si tu les veux voir, voy-les teints et couvers Du beau sang de ton fils , ma grâce et ma justice. (Poésies chrestiennes
écrivit des vers sur les dames de sa cour et à sa sœur. Henri II, son fils , en adressa à Diane de Poitiers. Charles IX, son
s choses de l’esprit. Elle l’a transmis au sang des Bourbons dans son fils Henri IV, dont on sait l’originalité épistolaire
inalité épistolaire et oratoires ; on cite de la mère des sonnets, du fils des chansons. — Ne séparons pas de cette lignée r
ligieux, comme Théophile, et les épicuriens Des Yveteaux (1560-1649), fils de Vauquelin de la Fresnaye, Des Barreaux (1602-1
Signalé à Henri IV comme « excellent poète » par Des Yveteaux, un des fils de Vauquelin de la Fresnaye, et par le cardinal D
ir si parée, Que tu vas triompher ! Telle, en ce grand assaut où des fils de la Terre La rage ambitieuse à leur honte parut
ses desirs764. (Ibid. III, 1.) Un druide Prenez garde, mon fils , d’accuser l’innocence. Les Dieux, justes et bons
? VENCESLAS.                                        Répondez-moi, mon fils  ; Quel fatal accident… LADISLAS.                 
ous, mon père, ou ma mort ou ma grâce ? VENCESLAS. Embrassez-moi, mon fils . LADISLAS.                                       
ieux Géronte de la Comédie lui-même est leur frère, et son étourdi de fils a aussi de l’honneur. Tous les siècles et toute l
, Tendresse dangereuse autant comme importune ? Je ne veux point pour fils l’époux de Rodogune, Et ne vois plus en lui les r
bien, je l’ennoblis819, Quelle que soit sa race, et de qui qu’il soit fils . Qu’on ne conteste plus. D. MANRIQUE.            
r et de Mme d’Hervart ; toujours rêveur, oublieux de sa femme, de son fils , de son Florentin, dont la première représentatio
oucis dévorans c’est l’éternel asile859 ; Véritables vautours, que le fils de Japet860 Représente, enchaîné sur son triste
nt, Nous présentant aussi, pour surcroît de colère, Un grand benêt de fils aussi sot que son père905. Il s’est dit grand cha
yché, II, 1.) Sonnet à M. la Mothe Le Vayer. Sur la mort de son fils 936 Aux larmes, Le Vayer, laisse tes yeux ou
tu suprême937. On sait bien que les pleurs ne ramoneront pas Ce cher fils que t’enlève un imprévu trépas ; Mais la perte pa
uis à son nom celui de Despréaux, de vieille bourgeoisie parisienne. Fils , frère, oncle, cousin, beau-frère de greffiers,
français qu’en 1715. Son mariage, la naissance et l’éducation de deux fils et de cinq filles, des poésies chrétiennes, l’His
sont pas des tyrans ; Et, de quelque façon qu’un esclave le nomme, Le fils de Jupiter passe ici pour un homme. Nous n’allons
utre993. Quinault (1635-1688) Notice Philippe Quinàult, fils d’un boulanger de Paris, tout en exerçant avec di
, III, 1.) Regnard (1655-1709) Notice François Regnard, fils d’un riche bourgeois de Paris, voyagea de bonne h
donne le précepte (Traité théorique sur le drame) et l’exemple par le Fils Naturel et le Père de Famille (1758), en prose, «
J.-B. Rousseau (1670-1741) Notice Jean-Baptiste Rousseau, fils d’un cordonnier de Paris, dont il eut, dit-on, le
des travaux, un foible cœur s’étonne1054 : Apprenons toutefois que le fils de Latone, Dont nous suivons la cour, Ne nous ven
Crébillon (1674-1762) Notice Prosper Jolyot de Crébillon, fils d’un notaire de Dijon, écrivit, comme tant d’autr
it hanter avec lui les héros les plus sinistres : un père qui tue son fils (Idoménée, 1705), un oncle qui fait boire le sang
it boire le sang de son neveu à son père (Atrée et Thyeste, 1707), un fils qui assassine sa mère (Électre, 1708). Sur ce der
n plus. (Poésies mêlées, CXVI.) Les adieux de Brutus et de son fils Brutus, Titus, Proculus, licteurs.   TITUS.
uivie, À cet infortuné daignez ouvrir les bras ; Dites du moins : mon fils , Brutus ne te hait pas. Ce mot seul, me rendant m
s remords ; Que vous l’aimiez encore, et que, malgré son crime, Votre fils dans la tombe emporia votre estime. BRUTUS. Son r
’arrache. Ô Rome ! ô mon pays ! Proculus… à la mort que l’on mène mon fils . Lève-toi, triste objet d’horreur et de tendresse
IRE. Non, qu’une affreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon fils, ô comble de douleur ! ZAMORE,
ffreuse mort tous trois nous réunisse. ALVAREZ. Mon fils mourant, mon fils , ô comble de douleur ! ZAMORE, à Gusman. Tu veux
r, M’ordonne de te plaindre et de te pardonner1113. ALVAREZ. Ah ! mon fils , tes vertus égalent ton courage. ALZIRE. Quel cha
x. Aux clartés des chrétiens si son âme est ouverte, Zamore est votre fils , et répare ma perte. ZAMORE. Je demeure immobile,
(Ibid., IV, 7.) Piron (1689-1773) Notice Alexis Piron, fils d’un apothicaire de Dijon, qui était l’ami et, en
S, gaiement. Répétons donc en paix. Voyons, mon camarade : Je suis un fils … (M. Baliveau rit.) M. BALIVEAU, à part.        
se Où, dans un loisir studieux, Les doctes arts forment l’enfance Des fils des héros et des dieux1139 : Là, du toit d’un cin
ne ainsi ton courage abattu ? (Abufar, I, 3.) II. Abufar à son fils Farhan1147 La nuit, quand nous levons nos ma
: « Quel talent, disoient-ils, cet insecte déploie En composant ces fils si doux, si fins, si beaux, Qui de l’homme font l
ls au sacré Vallon, Bravant les droits les plus augustes, Mutiler les fils d’Apollon ? Le croirez-vous, races futures ? J’ai
te profonde, La génisse traînant sa mamelle féconde, Prodiguant à ses fils ce trésor indulgent, À pas lents agiter sa cloche
ent suspendus, Emplissent l’air des sons de leur voix éthérée. 0 lac, fils des torrents ! ô Thun, onde sacrée ! Salut, monts
Veulent parler aux dieux, et voient où reluit L’enthousiasme errant, fils de la belle nuit. Accours, grande nature, ô mère
ain « J’ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. « Cymé, puique tes fils dédaignent Mnémosyne1216, « Puisqu’ils ont fait o
de douleurs De la triste Aédon l’imprudence et les pleurs, Qui, d’un fils inconnu marâtre involontaire, Vola, doux rossigno
urynome l’arrête. D’un érable noueux il va fendre sa tête, Lorsque le fils d’Egée, invincible, sanglant, L’aperçoit, à l’aut
eux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées, Le Rhône impétueux, fils des Alpes glacées, La Seine au flot royal, la Loi
ie. Marin comme Duval et vaillant marin, Mercier-Du-paty (1775-1851), fils de l’auteur des Lettres sur l’Italie, écrivit sou
, et, avec Méry (1798-1866), chantre de Napoléon en Égypte (1828), du Fils de l’homme, de Waterloo (1829) : tous romantiques
tardé à prendre, sous la prose de MM. Émile Augier et Alexandre Dumas fils , des visées plus hautes. Elle procède alors de Ba
olière n’est plus celle des jeunes filles raisonneuses de M. A. Dumas fils . Elle descend de ces hauteurs avec MM. Gondinet e
mains ! deux encor sont dignes de ce nom, Cette fière Agrippine et le fils de Pison. Cnéius est vertueux ; c’est un héros pe
s. La Chute des Feuilles est classique ; l’Anniversaire tait aimer le fils dans le poète. L’anniversaire. Élégie Héla
ère. Ce long regret, dix ans ne l’ont pas adouci ; Je ne puis voir un fils dans les bras de son père, Sans dire en soupirant
Notice Pierre de Béranger, né à Paris, petit-fils d’un tailleur et fils d’un teneur de livres, d’abord ouvrier imprimeur,
montrait l’Occident1292. Du roi des Huns c’était l’ombre immortelle : Fils d’Attila1293, j’obéis à sa voix. Hennis d’orgueil
emps ! Le ciel toujours le protège. Son sourire était bien doux, D’un fils Dieu le rendait père1297, Le rendait père. — Quel
r ; Mais elle s’assied libre à l’ombre de sa voile. Hydra donne à ses fils les vagues pour berceaux, Pour jeux et pour plais
tres Qui vient redemander le toit de ses ancêtres ; Je ne suis pas un fils trente ans déshérité Qui rentre dans le lieu par
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
 : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils . Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise ; L’e
—  Mais les cœurs de lion sont les vrais cœurs de père. Il aimait son fils , ce vainqueur ! Deux choses lui restaient dans sa
Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d’haleine Lui dirent : « Couchons-nous sur l
t. « Je suis trop près », dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses fils dormant, sa femme lasse, Et se remit à fuir sinis
on. « Cachez-moi ! » cria-t-il ; et, le doigt sur la bouche, Tous ses fils regardaient trembler l’aïeul farouche. Caïn dit à
us ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’enfant blond, La fille de ses fils , douce comme l’aurore ; Et Caïn répondit : « Je v
es barons. Remonte1394 maintenant, chasseur du cerf timide ; Remonte, fils du Rhin, compagnon intrépide ; Tes enfants sur to
abreuvoir est public, et qui veut vient y boire. J’ai vu les paysans, fils de la Forêt Noire, Leurs bâtons à la main, entrer
on cœur. Sombre et silencieux, étendu sur la pierre, Partageant à ses fils ses entrailles de père, Dans son amour sublime il
ève en fermentant sortait de chaque branche ; L’araignée étendait ses fils dans les sentiers, Et ses toiles d’argent au-dess
frances : Pauvre Gilbert, que tu devais souffrir ! Ils me disaient : Fils des Muses, courage ! Nous veillerons sur ta lyre
fane, Saints temples des forêts, arbres que j’aime en vain ! Pour mes fils allâmes dans ma pauvre cabane, Chaque arbre, héla
u combat, Si nous pressons du cœur la terre maternelle Qui relève son fils dès que l’ennui l’abat. Armons-nous, mes amis, p
de bergers. Le plan de la pièce comprend les adieux de la mère et du fils , les apprêts du sacrifice, le sacrifice, l’interv
ne me reste plus que l’espoir de mourir… Ant., Que Thèbe a vos deux fils offre un trône en partage ; Vous suivre et vous a
le Que les feux de la nuit avoient fait devant vous 795. Ladislas, fils du roi de Pologne Venceslas, âme ambitieuse, cara
gue pour trouver place ici, met, dès le début, en scène le roi et son fils , et en action le caractère de Ladislas. 796. « 
.) 801. Cf. dans Corneille, la séparation du vieil Horace et de son fils (Horace, III, 6), et, dans Racine (Iphig, IV, 4),
Rodogune, qu’il a ramenée, et pour conserver l’autorité. Elle a deux fils jumeaux qui, après leur père, aiment Rodogune. El
a tête de leur maîtresse ; au troisième acte, Rodogune demande à deux fils la tête de leur mère. Il faut les entendre au cin
nnée, préparée en secret par une mère, présentée solennellement à son fils dans une cérémonie religieuse et nuptiale, portée
omphe, c’est une mère qui les pousse, après avoir assassiné un de ses fils  ! 810. Le poison est son serviteur, son confiden
e dépit et de menace à la « sotte vertu » ; un cri de rage contre son fils  ; un élan passionné pour le trône et le pouvoir.
eur de qui s’abuse. 835. Sophocle était poursuivi en justice par ses fils . — Le cerf est aux abois quand il est poursuivi e
Psyché avait irrité la jalousie de Vénus. Elle ordonna à l’Amour, son fils , de la venger en faisant épouser Psyché par un mo
r du frère de Louis XIV, historiographe de France, académicien. — Son fils , l’abbé Le Vayer, mourut à trente-cinq ans, l’ann
« n’a point de reconfort », dit-il dans son sonnet sur la mort de son fils . — Voltaire croit à la douleur et à la consolatio
ême un peu trop prompte : «  … Le lendemain, le philosophe perdit son fils unique, et fut sur le point d’en mourir de douleu
rêter Britannicus qui l’aime et qu’elle aime : Agrippine, sentant son fils lui échapper, avait imaginé, pour le retenir par
le retenir par la crainte d’une compétition, de fiancer Britannicus, fils et héritier légitime de l’empereur Claude, avec J
t de situation, refrain de la scène capitale, où aboutissent tous les fils de la pièce. Éraste, aidé par son valet Grispin,
oire (Tacite, Ann., XII, 44-51) apprenait à Crébillon que Rhadamiste, fils de Pharasmane, roi d’Ibérie, neveu et gendre de M
ller quelques débris. Je m’approche en tremblant… hélas ! c’étoit mon fils , On sait que pour conjurer l’orage, il avait fai
seulement à ma haine. Il lui présente la coupe pleine du sang de son fils  : Méconnois-tu ce sang. — Je reconnois mon frère
e ; c’est le dernier. Tufière est honnête homme : Oui, je suis votre fils , et vous êtes mon père, dit-il aux genoux de Lyc
re, dit-il aux genoux de Lycandre, heureux de dire à son tour : Mon fils est glorieux, mais il a le cœur bon. La pièce fi
le et éloigne son valet. Vous rougissez de moi, dit le vieillard. Son fils proteste. — Osez me reconnaître dans cette maison
, au xviie  siècle, était rabattu sur le col du pourpoint. 1139. Les fils de familles princières et nobles étaient élevés d
mpoisonneurs fatigue au moins les yeux. (Ibid., II, 6.) Mais moi, fils du désert, moi, fils de la nature. Qui dois tout
au moins les yeux. (Ibid., II, 6.) Mais moi, fils du désert, moi, fils de la nature. Qui dois tout à moi-même, et rien à
e. 1157. Voyez p. 355, note 4. 1158. Lally-Tollendal (le comte de), fils d’un Irlandais qui avait suivi Jacques II en Fran
vie, aux pervers unie, Te poursuive de ses clameurs, Ton noble essor, fils du Génie, T’enlève à ces vaines rumeurs. Tel l’oi
que bat en vain le torrent (Ibid., XIX, le Génie) : Tel un torrent, fils de l’orage, En roulant du sommet des monts, S’il
ncontres, qui ne sont pas rares : Ô Muse ! dans l’onde infernale Ton fils (Orphée) plonge ses pas vivans : Moi sur les aile
a sœur Niobé, voulut tuer l’aîné de ses neveux ; mais elle frappa son fils Ityle, élevé avec lui. Dans son désespoir elle vo
t subtils ; J’ai vu la Justice en balance, Et qui ne tenoit qu’à deux fils . J’ai vu le Soleil et la Lune Qui faisoient des
1262. Cf. Voltaire, l’Indiscret, comédie (1725) : …À la cour, mon fils , l’art le plus nécessaire N’est pas de bien parle
dit celui d’autrui doit passer pour un traître ; Qui dit le sien, mon fils , passe ici pour un sot. Act. I, sc. 1. 1263.
lui, en révélant au Sénat les ordres secrets de Tibère, Cnéius Pison, fils de Pison, a seul encore, Tibère le sait, la confi
gne un traité pour faire assassiner le porteur ; défiant, même de son fils , auquel il lui est impossible de ne pas supposer
plète d’une des odes magistrales de la poésie française. Napoléon II, fils unique de Napoléon Ier et de Marie-Louise d’Autri
e Vienne, en 1832. Voyez Les deux cousins, chanson de Béranger, et le Fils de l’homme, épître de Barthélémy et Méry. 1344
nesse, Quand un brouillard glacé, rasant les pics sauvages, Comme un fils de Morven le vêtissait d’orages, et que le solei
ourit au nouveau-né. (Soulary). Le Berceau. Quel temple pour son fils elle a rêvé neuf mois ! Comme elle fêtera l’enfan
êtera l’enfant dont Dieu dispose ! Il lui faut un berceau tel que les fils des rois N’en ont point de pareil, si beaux qu’on
pure, Dans le lit qu’on apprête à son calme sommeil. Il est venu, le fils dont elle était si fière ! Il est fait, le bercea
don comme son compatriote du roman de d’Urfé, ni Pernette une Astrée. Fils d’un vieux soldat de la république de 1792, il s’
ne leçon pour ses enfants. Ainsi la mère de Lamartine instruisait son fils (Voyez les Confidences). 1490. Voilà des vers v
, ils sont à moi. S’il me, etc. Quant notre fille sera grande, Si le fils de notre régent En mariage la demande, Je lui pro
il vient : avoir, biens. Autres sens : épargne du père de famille, du fils de famille, de l’esclave. Pécule n’a, proprement,
bonheur se fonde. (Corneille, le Menteur, IV, 4.) Vous avez vu ce fils où mon espoir se fonde. (Molière, l’Étourdi, IV
ur l’exemple du passé, et confirmées mainte fois par l’histoire : les fils de Pisistrate, les Tarquins, les Décemvirs, la ro
 ; on parle chapeau bas De ces grands ouvriers que tu ne connais pas… Fils rebelles déjà des sauveurs de la France, etc.
48 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
es soucis dévorants c’est l’éternel asile, Véritables vautours que le fils de Japet Représente, enchaîné sur son triste somm
avorables au sujet qu’il traite. Fénelon raconte la mort tragique du fils d’Idoménée, et il nous la rend fort touchante par
la rend fort touchante par l’emploi d’une belle comparaison. Mort du Fils d’Idoménée L’enfant tombe dans son sang ; ses yeu
x, mais la terre ne le nourrit plus, et sa vie est éteinte : ainsi le fils d’Idoménée, comme une jeune et tendre fleur, est
tiori, ou de supériorité : Bossuet veut faire comprendre au dauphin, fils de Louis XIV, qu’il faut de la fermeté et de l’at
urs une source éternelle. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris, Il
fuit épouvanté ; Isaure sans effroi brave un air infecté. Près de ce fils mourant elle veille assidue. Mais le poison s’éte
se ces yeux, Que ferme un voile impur à la clarté des cieux ; Et d’un fils , par degrés, dégageant la paupière, Une seconde f
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils  ? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre
49 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
i de la découvrir. Télémaque, en remettant les cendres de Pisistrate, fils de Nestor, à Nicomaque, gouverneur du jeune princ
q cents ans jusqu’aux jours du Messie. Dieu donna à la majesté de son Fils de faire taire les prophètes durant tout ce temps
que, sur le point de se rendre au combat, il tient entre ses bras son fils bien-aimé : Dieux immortels, faites que cet enfa
ns ce dialogue : Athalie. Je prétends vous traiter comme mon propre fils . Joas. Comme votre fils ! Athalie. Comme votre
e. Je prétends vous traiter comme mon propre fils. Joas. Comme votre fils  ! Athalie. Comme votre fils !Oui : vous vous ta
mme mon propre fils. Joas. Comme votre fils ! Athalie. Comme votre fils  !Oui : vous vous taisez ! Joas. Comme votre fil
alie. Comme votre fils !Oui : vous vous taisez ! Joas. Comme votre fils  ! Oui : vous vous taisez !Quel père Je quitterais
peut-être plus attendrissants encore, lorsque, craignant de voir son fils Astyanax livré aux Grecs par Pyrrhus, elle s’écri
est là le sublime du courage. On dit au vieil Horace, indigné que son fils eût pris la fuite : Que vouliez-vous qu’il fît c
aroles à l’infortuné monarque, immédiatement avant le moment fatal : Fils de saint Louis, montez au ciel ! 72. Qu’avez-vo
50 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
ux, variez vos hommages.     Nébuleuses vapeurs, sombres exhalaisons, Fils humides des lacs, des marais et des monts, Soit q
 ! La justice a conduit la main dont je suis née ; Or, le Père, et le Fils , et l’Esprit souverain, Font, depuis le chaos, to
aître, dis-je en tremblant, ces paroles sont dures ! » Et lui : « Mon fils , il faut qu’en ton cœur tu t’assures, Nous sommes
s amères ; Elles maudissaient Dieu, leurs pères et leurs mères, Leurs fils , le genre humain, le temps et le moment, Le pays
tomber, Et que la branche enfin rend son bien à la terre ; Ainsi les fils d’Adam, par ce champ solitaire, Se jettent dans l
pareil nombre Attend déjà la barque au bord qu’ils ont quitté. « Mon fils , me dit alors Virgile avec bonté, Ceux qui laisse
a main J’ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes fils dédaignent Mnémosyne, Puisqu’ils ont fait outrage
tant de fois Entoura de respect l’autorité des lois. Venez, généreux fils , en qui l’affront d’un père Ferait encor du Cid b
eu vainqueur de Python, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de mon fils , de mon unique enfant ! Prends pitié de sa mère a
lui, qui meurt abandonnée, Qui n’a pas dû rester pour voir mourir son fils  ; Dieu jeune, viens aider sa jeunesse. Assoupis,
in cette fièvre brûlante Qui dévore la fleur de sa vie innocente. Mon fils , tu veux mourir ? Tu veux dans ses vieux ans, Lai
ux, Et ma tombe attendait tes pleurs et tes adieux. Parle, parle, mon fils , quel chagrin te consume ? Les maux qu’on dissimu
ces yeux appesantis ? — Ma mère, adieu ; je meurs, et tu n’as plus de fils . Non, tu n’as plus de fils, ma mère bien-aimée. J
mère, adieu ; je meurs, et tu n’as plus de fils. Non, tu n’as plus de fils , ma mère bien-aimée. Je te perds. Une plaie arden
e flanc. Ah ! j’expire ! ô douleurs ! — Tiens, mon unique enfant, mon fils , prends ce breuvage, Sa chaleur te rendra ta forc
pavots, Mêlé leurs sucs puissants qui donnent le repos : Prends, mon fils , laisse-toi fléchir à ma prière ; C’est ta mère,
es, Dire sur mon tombeau : « Les Parques sont cruelles ! » — Ah ! mon fils , c’est l’amour, c’est l’amour insensé Qui t’a jus
nsé Qui t’a jusqu’à ce point cruellement blessé ? Ah ! mon malheureux fils  ! Oui, faibles que nous sommes, C’est toujours ce
leur cœur Verra que cet amour est toujours leur vainqueur. Mais, mon fils , mais dis-moi, quelle nymphe charmante, Quelle vi
prends-lui qui je suis ; Dis-lui que je me meurs, que tu n’as plus de fils . Tombe aux pieds du vieillard, gémis, implore, pr
ens sans les avoir fléchis, Adieu, ma mère, adieu, tu n’auras plus de fils . — J’aurai toujours un fils ; va, la belle espéra
Adieu, ma mère, adieu, tu n’auras plus de fils. — J’aurai toujours un fils  ; va, la belle espérance Me dit… » Elle s’incline
ve ; et bientôt revenant sur ses pas, Haletante, de loin : « Mon cher fils , tu vivras, Tu vivras. » Elle vient s’asseoir prè
ir ; Vis, et formons ensemble une seule famille : Que mon père ait un fils , et ta mère une fille. » A. Chénier. Hist
and’peine cette presse importune, y est admis, quand il lui plaît, un fils d’affranchi, grand poète, présenté par d’autres g
c’est-à-dire de bonté, et plaignaient le roi de la perte d’un si bon fils . Les plus fins d’entre eux, ou les plus considéra
des passions du jour, règne une loi toute-puissante qui punit sur les fils les fautes de leurs pères, et qui ne permet à per
eut-être il est mort, sans amis, sans secours, Mon pauvre enfant, mon fils  !… ma vie et mes amours, Que je portais aux champ
nt plus de cœur. Grâce à Dieu, nous valons toute cette noblesse ; Mon fils combat pour moi, je n’ai point de vieillesse. Je
il s’en parlait tout haut à lui-même dans les accès de la fièvre. Son fils aîné arriva d’Angleterre ; malgré l’affection qu’
fils aîné arriva d’Angleterre ; malgré l’affection qu’il portait à ce fils , il ne se laissa aller à aucun attendrissement, n
roule son flot rapide, Et dans cette contrée aride Où sur d’agrestes fils des champs Daunus étendit sa puissance, Illustran
mour de ton cœur s’appelle d’un beau nom : La liberté ! Qu’importe au fils de la montagne Pour quel despote obscur, envoyé d
re, Criait aux citoyens : Mourons ! II Quant à tous ces beaux fils aux tricolores flammes. Au beau linge, au frac él
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils  ? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre
C’est l’effroi de l’Asie. Et, loin de l’y chercher, C’est à Rome, mes fils , que je prétends marcher. Ce dessein vous surpren
ureur : Près d’unir avec moi sa haine et sa famille, Il me demande un fils pour époux à sa fille. Cet honneur vous regarde e
genoux d’espérance et d’effroi. FRANÇOIS DE PAULE. Relevez-vous, mon fils  ! LOUIS.                                         
aux : Guérissez !… FRANÇOIS DE PAULE.                        Moi, mon fils  ! LOUIS.                                         
vont effacer mes rides. FRANÇOIS DE PAULE. Que me demandez-vous, mon fils  ? vous m’étonnez. Suis-je l’égal de Dieu ? C’est
n Fit mourir le feu roi de langueur et de faim. FRANÇOIS DE PAULE. Un fils a de son père abrégé la vieillesse ! LOUIS. Le da
t sont des raisons si hautes !… FRANÇOIS DE PAULE. Confessez, mauvais fils  ; n’excusez pas vos fautes ! LOUIS. J’avais un fr
e plais qu’aux lieux où je ne puis pas être. En vain je sors de moi : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me cra
 : fils rebelle jadis, Je me vois dans mon père et me crains dans mon fils . Je n’ai pas un ami : je hais ou je méprise ; L’e
 : Lorsqu’il hésite encor, dois-je te condamner ? Mais profite, ô mon fils , du répit qu’il t’accorde : Pleure, conjure, obti
être ! RICHELIEU.                  C’est certain : vous êtes trop bon fils Pour la traiter aussi durement que je fis. Une fo
pays. Race guerrière et forte ; en toute circonstance, Athènes de ses fils a connu la vaillance. Le Barbare l’atteste, et pe
er toutes les Espagnes. Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ? Fils de je ne sais qui, volé par des bandits, élevé da
ieu ; Le robin, enhardi par un succès facile, Envoie imprudemment son fils dans la grand’ville ; La France s’y bouscule ; et
DE. Et comment se fait-il, voilà ce que j’admire, Qu’aucun père à son fils ne s’avise de dire : « Paris est encombré de hard
abattre la pomme fatale qu’un monstre avait placée sur la tête de son fils il s’écriait : Périssent mon nom et ma mémoire, p
e. Aussi les grands siècles scientifiques furent-ils presque toujours fils des grands siècles littéraires, et la renaissance
aissa tomber aux pieds d’Achille en lui redemandant le cadavre de son fils , puis certains vers de Virgile, des scènes entièr
t tout ensemble la figure du Messie ; voyez-le détrôné par son propre fils , sortant de Jérusalem, traversant le torrent de C
é de l’Égypte. Dieu va punir l’orgueil du Pharaon et de son peuple. «  Fils de l’homme, dis-lui : Tu as été comparé au lion d
es nations, en des contrées que tu ignores. — Et le Seigneur me dit : Fils de l’homme, commence le chant lugubre sur la mult
et il a habité parmi nous : et nous avons vu sa gloire, la gloire du fils aîné du père, plein de grâce et de vérité. » Tout
que les jours de son enfantement s’accomplirent, et elle enfanta son fils premier-né, et elle l’enveloppa de langes, et ell
recevez cet ouvrage avec quelque indulgence, et regardez-moi comme un fils qui vient, après plusieurs années, présenter à so
é le défend, Cet âge frêle ; au mal lorsque ta main s’apprête, De ton fils au berceau que l’image t’arrête. Car du censeur u
Car du censeur un jour éveillant les clameurs, S’il est vraiment ton fils , plus encor par les mœurs Que par la ressemblance
ère : Mais il t’importe peu de montrer ta maison Pure aux yeux de ton fils , vierge de tout poison ! Jules Lacroix (Trad.
utiles, plus de gouverneurs dévoués dans l’éducation publique, qu’un fils de roi dans réduction particulière. Dans une éduc
ens de se distinguer parmi leurs semblables. Ils y verront comment le fils d’un pauvre artisan, ayant lui-même travaillé lon
nt, aussi vertueusement, aussi glorieusement remplies que celle de ce fils d’un teinturier de Boston, qui commença par coule
témoignage qu’il ne doit rien à personne. Nous ne connaissons pas de fils qui se soit jamais acquitté envers sa mère, pas d
gs de l’être il peut tirer des dieux ; Mais ces dieux de sa main, ces fils de sa puissance, Mesurent d’eux à lui l’éternelle
de prouver ton existence, Et de faire épeler ton nom. Le dernier des fils de la terre Te rend grâces du fond du cœur, Dès q
51 (1839) Manuel pratique de rhétorique
e cités comme modèles du pathétique doux : Discours de Pacuvius à son fils qui veut assassiner Annibal. L’entrée qui tient l
ibal. L’entrée qui tient lieu d’exorde est vive et touchante : « Mon fils , je vous prie et je vous conjure par tous les dro
de votre hôte ! Hélas ! après avoir obtenu d’Annibal la grâce de mon fils , ne pourrais-je point obtenir de mon fils celle d
u d’Annibal la grâce de mon fils, ne pourrais-je point obtenir de mon fils celle d’Annibal ? « Mais ne respectons rien, j’y
as aux blessures qu’ils ont reçues. Les pères mourants envoient leurs fils pleurer sur leur général mort. « Que de soupirs a
, les vieillards, Et la sœur et le frère ; Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son père. 3° La disjonction, qu
ulte et les cris, « Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, « Le fils assassiné sur le corps de son père, « Le frère av
qu’attendez-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ? Non : c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
« Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre, « Un… votre fils , seigneur, me défend de poursuivre : « Instruite
le temple voisin, chacun cherche un asile ; Hippolyte lui seul, digne fils d’un héros, Arrête ses-coursiers, saisit ses jave
urs une source éternelle. J’ai vu, seigneur, j’ai vu votre malheureux fils Traîné par les chevaux que sa main a nourris. Il
ie. « Cher ami, si mon père un jour désabusé « Plaint le malheur d’un fils faussement accusé, « Pour apaiser mon sang et mon
dmiration l’emploient également. Horace, apprenant la victoire de son fils qu’il avait cru déshonoré par une fuite honteuse,
ls qu’il avait cru déshonoré par une fuite honteuse, s’écrie : Ô mon fils  ! ô ma joie ! ô l’honneur de mes jours ! D’un Éta
affaibli par les armes d’un peuple belliqueux, chassé des bras de son fils , il mendie le secours des peuples étrangers ! Qu’
rent encore ! » Dans Athalie, celle de cette mère barbare contre son fils  : Oui, ma juste fureur, et j’en fais vanité, A v
même jour égorger à la fois (Quel spectacle d’horreur) quatre-vingts fils de rois, Et pourquoi ? pour venger je ne sais que
deux maisons rompit toute alliance : David m’est en horreur ; et les fils de ce roi, Quoique nés de mon sang, sont étranger
s… »]. 18. Voir page 44 [= § Style élevé, discours de Pacuvius à son fils qui veut assassiner Annibal : « Mon fils, je vous
, discours de Pacuvius à son fils qui veut assassiner Annibal : « Mon fils , je vous prie et je vous conjure… »].
52 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
Loire, en Touraine, près de Chinon, dans la métairie de la Devinière, fils d’un apothicaire suivant les uns, d’un cabaretier
en pieces ceulx qui estoient en icelluy. (Livre I, ch. xxxvi.) Le fils d’un géant De l’enfance de Pantagruel 13
pleurer. 5. Le sens est : la joie que lui donnait la naissance d’un fils . 6. Un sophisme est un raisonnement qui paraît c
ent les œufs. 12. Défaits. Roupte signifiait déroute. 13. Il est le fils de Gargantua. 1. Qu’il serait trop long de racon
en fût né d’une façon si merveilleuse que. 4. Il crut. 5. Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi
53 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
domestique. Réparer les brèches d’une fortune compromise, établir son fils , adorer sa fille, Madame de Grignan, se lamenter
dation de cette terre : il y avait les plus vieux bois du monde ; mon fils , dans son dernier voyage, y a fait donner les der
ille amitiés, et la bonne d’Elbeuf, qui perd tout, aussi bien que son fils . Voilà une belle chose de m’être embarquée à vous
la grâce de l’aimer un jour comme je vous aime ! » 2. Terre de son fils , dans le pays nantais. 3. Nous dirions : Qui éta
Saint-Hilaire qui montrait cette batterie, et tue M. de Turenne ; le fils de Saint-Hilaire se jette à son père, et se met à
54 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
Première partie : prose Paris Librairie Classique de Ch. Fouraut et Fils 47, Rue Saint-André-des-Arts, 47 1870 Préfa
ue je suis votre humble et dévoué serviteur. Voiture 1598-1648 Fils d’un fermier des vins qui fut échevin d’Amiens, p
1622-1673 Jamais vocation ne fut plus irrésistible que la sienne. Fils et petit-fils d’un tapissier du roi, élevé au col
t l’on a choisi justement le temps que je parlais à mon traître209 de fils . Sortons. Je veux aller quérir la justice, et fai
faire donner la question à toute ma maison, à servantes, à valets, à fils , à fille, et à moi aussi ;..210 Que de gens assem
tilhomme gueux et mal bâti. Nicole 234. Cela est vrai. Nous avons le fils d’un gentilhomme de notre village qui est le plus
s son père266; mais je puis dire que j’ai sujet d’être content de mon fils , et que tous ceux qui le voient en parlent comme
vertu suprême. On sait bien que les pleurs ne ramèneront pas Ce cher fils que t’enlève un imprévu trépas ; Mais la perte pa
chasse D’où vient que cet homme qui a perdu depuis peu de mois son fils unique321, et qui, accablé de procès et de querel
uissante comme Dieu339. Epitaphe D’Étienne Pascal Composée par son fils Blaise Pascal340 Ci-gît, Etienne Pascal. Illu
il traitait avec lui-même350. Nicole 1625-1695 Né à, Chartres, fils d’un avocat au Parlement, professeur de belles le
t-cinq ans. Réparer les brèches d’une fortune compromise, établir son fils , adorer sa fille, madame de Grignan, se lamenter
e468. La douleur de Madame de Longueville apprenant la mort de son fils A Madame De Grignan Paris, 20 juin 1672.
nt présentement    en    mon cœur ? Le péril extrême où se trouve mon fils , la guerre qui s’échauffe470 tous les jours, les
adame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat… Et mon fils  ? » On ne lui répondit rien476. — « Ah ! mademois
t mon fils ? » On ne lui répondit rien476. — « Ah ! mademoiselle, mon fils , mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
— Madame, je n’ai point de parole pour vous répondre. — Ah ! mon cher fils  ! Est-il mort sur-le-champ ? n’a-t-il pas eu un s
out exercice que l’obéissance, et n’étant connu au monde que comme le fils d’un charpentier. Oh ! quel secret, oh ! quel mys
plus difficile que Dieu vous propose. Méditez, Sire, cette parole du Fils de Dieu ; elle semble être prononcée pour les gra
sa vie : c’est le plus bel éloge qu’on en puisse faire. Né à Bourges, fils d’un avocat, tourmenté dès l’enfance par le désir
ber dans la détresse, quand Louis XIV lui confia le soin d’élever les fils de madame de Montespan, alors toute-puissante. So
es bons déportements, et ne vouloir pas, ce disoit-elle, faire de son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les m
et que tous les princes reviennent de l’armée de Flandre722. À son fils convalescent Au camp devant Namur723, le 10 jui
château de Namur suivra de près celle de la ville725. Adieu, mon cher fils , faites bien mes compliments à vos sœurs. Je ne s
, quand vous serez en état de les voir726. Sur les versions de son fils Fontainebleau, 8 octobre 1697. Je voulais pres
, Irène, c’est de mourir comme ont fait votre mère et votre aïeule. —  Fils d’Apollon, s’écrie Irène, quel conseil me donnez-
traîne après lui tout ce qui paraît le plus immobile. Toi-même, ô mon fils  ! mon Cherfils ! toi-même qui jouis maintenant d’
à la douleur. Ce temps te paraît éloigné. Hélas ! tu te trompes, mon fils  ; il se hâte, le voilà qui arrive : ce qui vient
us parlons, et ne peut plus se rapprocher. Ne compte donc jamais, mon fils , sur le présent ; mais soutiens-toi dans le senti
iquité. Quelques-uns soutiennent qu’elle présente Caligula qui, étant fils de Germanicus, avait donné dans son temps de haut
l lui dit d’un ton fier et impatient : « Comment oses-tu te moquer du fils de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir 
de Jupiter ? » Le faune répondit sans s’émouvoir : « Hé ! comment le fils de Jupiter ose-t-il faire quelque faute ? » Fé
de ma mère955, dont il ne pouvait assez vanter le bonheur d’avoir un fils tel que moi. En même temps il versait du vin dans
ait mon chemin : je suis à l’hôpital966. Saint-Simon 1625-1695 Fils d’un ancien favori de Louis XIII, qui prétendait
in apprenaient à lire chez le magister1081 du village ; Jeannot était fils d’un marchand de mulets, et Colin devait le jour
notière : c’était un ordre de M. son père de faire revenir M.1086 son fils à Paris. Jeannot monta en chaise de poste en tend
it acheté un marquisat, lorsqu’il retira de l’école M. le marquis son fils , pour le mettre à Paris dans le beau monde. Colin
ur. M. de la Jeannotière voulait donner une éducation brillante à son fils  ; mais madame la marquise ne voulut pas qu’il app
que le souvenir de sa fortune et de ses folles dépenses. Après que le fils eut longtemps pleuré avec sa mère, il lui dit enf
très-heureux : et Jeannot le père, et Jeannote la mère, et Jeannot le fils , virent que le bonheur n’est pas dans la vanité11
Adieu ; je vous embrasse tendrement ; je vous aime comme on aime son fils 1130. Conseils à une demoiselle Sur la l
cette lettre et ces mêmes sentiments soient aussi pour monsieur votre fils , à qui je fais mille tendres compliments, Rec
s ancienne famille de Genève ; ils se font tuer pour nous, de père en fils , depuis Henri IV. L’oncle de celui-ci a été tué d
aperçues, viennent ravager les campagnes1184. Buffon 1707-1788 Fils d’un conseiller au parlement, Georges-Louis Lecle
il s’endormit, pour ne plus se réveiller, dans un fauteuil, entre son fils , sa fille et quelques-uns de ses amis. Il s’échap
éjugés, quel aveuglement ne faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque1372 au fils de Marie ! quelle dis
faut-il point avoir pour oser comparer le fils de Sophronisque1372 au fils de Marie ! quelle distance de l’un à l’autre ! So
472 allait s’élancer à la mer, lorsque je le saisis parle bras. « Mon fils , lui dis-je, voulez-vous périr ? » — « Que j’aill
de la souveraine, faisait tomber la fortune à la fille du lieu et au fils du voisin, dernièrement arrivé de l’armée. Les je
rtier général, au Caire, 18 fructidor an IV (4 septembre 1798). Votre fils est mort d’un coup de canon sur son banc de quart
hi, Citoyen Général, dans la carrière des armes ; vous regretterez un fils digne de vous et de la patrie ; en accordant quel
, c’est commencer à posséder Dieu, Le père connaît les besoins de son fils  : faut-il à cause de cela que le fils n’ait jamai
père connaît les besoins de son fils : faut-il à cause de cela que le fils n’ait jamais une parole de demande et d’action de
uent pour saisir, attirer, maîtriser l’attention du genre humain ! Ce fils d’un gentilhomme corse1712, qui vient demander à
nouveau la coalition et lui impose la belle paix de Lunéville1716, ce fils du pauvre gentilhomme corse a déjà parcouru à tre
s lui offrir leur fille, choisit celle des Césars, dont il obtient un fils qui semble destiné à porter la plus brillante cou
hé comme Prométhée sur un rocher par la haine et la peur des rois. Ce fils du pauvre gentilhomme corse a bien fait dans le m
, il faut qu’il file la toison de ses moutons, qu’il en rapproche les fils par. le tissage, pour en faire une toile continue
s. Silvestre de Sacy Né en 1804 Né à Paris le 17 octobre 1801, fils d’un orientaliste célèbre, membre de l’Académie f
es vignes pour le guider vers le lieu du meurtre impuni. Un réseau de fils imperceptibles, mais puissants par leur réunion,
embrassait le mort1772, faisait un signe de tête à sa veuve et à son fils , puis prenait place dans le cercle sans proférer
 ? Pourquoi ne pas attendre un mois encore ? ta bru t’aurait donné un fils . » Un grand jeune homme, fils de Pietri, serrant
mois encore ? ta bru t’aurait donné un fils. » Un grand jeune homme, fils de Pietri, serrant la main froide de son père, s’
ont des dimanches. —  Charles-Baptiste, le Christ ait ton âme ! — Ton fils gouverne ta maison. — J’ai vu tomber le chêne — d
. Retiré dans un coin obscur de la salle, il pleura comme pleurait le fils de Pietri. Tout à coup un léger mouvement se fit
vocat Barricini1779, le maire de Pietranera, qui venait avec ses deux fils donner au préfet la représentation d’une ballata.
; plusieurs hommes jetaient des regards farouches sur le maire et ses fils  ; quelques vieillards murmuraient contre le scand
nt contre le scandale qu’ils avaient occasionné par leur présence. Le fils du défunt fendit la presse, et se disposait à pri
t pas attendu cette invitation. Il gagnait la porte, et déjà ses deux fils étaient dans la rue, Le préfet adressa quelques c
un que je vois ; je ferais son portrait, je me prends à envier un tel fils à ses parents, et je félicite la société de ce qu
. Ici encore, il a comme le délire. 209. Traître ; il donnerait son fils pour son trésor. 210. Sur la scène, il faut exag
32. Que, d’autre source que de... 233. M. Jourdain rougit d’être le fils de son père. 234.  . Nicole est la servante, qui
reprocher à ses parents, s’ils n’eurent pas le moyen d’instruire leur fils  ; ma s, il y a encore du bon sens sous ce mouveme
lié avec la plupart des écrivains les plus illustres de son temps Son fils , dont la mort inspira cette lettre, était né en 1
0. Allusion aux chagrins domestiques de Molière, et à la perte de son fils , qui mourut en bas âge. Nous avons conservé l’ort
345. Admire, vois avec étonnement. 346. Un tel père méritait un tel fils . 347. En peine de, c’est-à-dire embarrassés pou
Livre des Proverbes. 369. Lisez les conseils que Racine donne à son fils sur la lecture. Le vase garde le parfum de la liq
es châteaux en Espagne, en Provence, tantôt gais, tantôt tristes. Mon fils nous lit des livres très-agréables : nous en avon
muse, et nous occupe ; nous raisonnons sur ce que nous avons lu ; mon fils est infatigable, il lit cinq heures de suite, si
, nous n’en souhaitons point ; quand il y en a, on est bien aise. Mon fils a des ouvriers, il a fait parer, comme on dit ici
bleau très-éloquent de la douleur d’une mère apprenant la mort de son fils . Madame de Sévigné, qui pourtant n’a pas vu cette
es, et ses enfants sont les héritiers du royaume. Ainsi, après que le fils de Dieu a épousé la pauvreté, bien qu’on y recule
tisme la faveur souvent scandaleuse des grands personnages pour leurs fils et leur famille. 690. Le maréchal de Luxembourg
e. 719. Il sait mêler l’utile à l’agréable et ne prétend pas que son fils soit un homme avant l’âge. 720. Il veut surtout
un homme avant l’âge. 720. Il veut surtout s’adresser au cœur de son fils . Il fait appel à sa confiance. 721. Quel accent
31. Ces détails familiers nous ouvrent l’intérieur du poëte. 732. Le fils de Racine était alors chargé par M. de Tracy de p
Fénelon veut inspirer à son élève le goût des arts. 849.  . Orphée, fils d’Apollon et de Clio jouait si bien de la lyre, q
it une faute dans ses vers latins. 864. Bacchus, dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus et d’Har
ëte que théologien. » 873. Le duc avait exprimé la crainte que son fils , mort subitement, ne fut pas en état de paraître
80. Fénélon terminait ainsi une autre  lettre sur la perte d’un autre fils de duc de Chevreuse : « Monsieur votre fils réuss
e sur la perte d’un autre fils de duc de Chevreuse : « Monsieur votre fils réussissait au milieu du monde empesté ; c’est ce
. 950. Accolade, bras jetés autour du cou. 951. « Anthée, » géant, fils de Neptune et de la Terre, étouffé par Hercule.
les derniers restes du parti de Marius, commandés par le neveu et le fils adoptif de Marius, qui s’enfuit à Prénestre, où i
tene, tenez-vous entre deux excès. 1040. On sait que Phaéton fut le fils présomptueux du Soleil ; il voulut mener tout seu
. 1085. Il monte en grade ; il est bombardé marquis. 1086. M. son fils . Ce Monsieur est gros d’intention ; on voit que c
quand il écrit aux dames, et dans les relations mondaines. 1263. Le Fils naturel, le Père de famille. 1264. Bien que Di
u vice-amiral Thevenard, auquel le général en chef annonce la mort de fils , capitaine de l’Aquiton. 1606. Cette consolati
uivante à sa belle-fille, la reine Hortense, qui venait de perdre son fils aîné, âgé de quatre ans : « Ma fille, «  Tout c
droit et plus vite que leur raisonnement. » 1645. Roi d’Angleterre, fils de Jacques Ier, monté sur le trône en 1625, Charl
648. Le prêtre qui assista Louis XVI à la dernière heure, lui dit : «  Fils de saint Louis, montez au ciel. » 1649. L’ordre
assiégée par Ali, pacha de Janina, et défendue par Tsavellas, et son fils Photos. 1666. M. Villemain a signalé l’influen
ge qui ne soit point le miroir de son cœur. » 1712. Il était le 2e fils de Charles Bonaparte, et de Letizia Ramolino. 17
é, plus ou moins, de son esprit et de ses sentiments. 1804. Charron, fils d’un libraire qui eut vingt-cinq enfants entra da
55 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — F — article » p. 412
Foix (Gaston de), duc de Nemours, fils de Jean de Foix, comte d’Etampes, et de Marie d’O
de Marie d’Orléans, sœur de Louis XII, qui l’aimoit comme son propre fils . Ce jeune prince donnoit les plus belles espéranc
56 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
sentiment doux et cher au cœur. Andromaque dit en parlant de son cher fils  : Je ne l’ai point encore embrassé d’aujourd’hui
s toujours la voir pour la première fois. Lorsqu’Andromaque voit son fils sur le point d’être livré aux Grecs, elle s’écrie
M. de Broglie qui a su lui donner un air de nouveauté. Il écrit à son fils qui lui proposait de quitter l’armée de Condé pou
er l’armée de Condé pour pactiser avec la révolution : « Monsieur mon fils , si les coups de bâton pouvaient s’écrire, vous t
e, Cent fois le nom d’Hector est sorti de sa bouche : Vainement à son fils j’assurais mon secours ; C’est Hector, disait-ell
57 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — I — article » p. 414
Icare, fils de Dédale, mécanicien fameux de la ville d’Athène
u’il s’en servit pour sortir avec Icare de l’île de Crète, et que son fils n’ayant pas dirigé les voiles, tomba dans la mer,
58 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
uffon, qui s’élève si haut dans son Discours sur le Style ; Racine le fils , dont les Réflexions semblent reproduire avec fid
s yeux sont fermés par l’éternelle nuit37. Virgile prend pour Pallas, fils d’Évandre, les mêmes soins de nous affliger, qu’H
puis, prenant le ton d’autorité et de reproche, il lui dit : « Lâche fils d’un père si généreux ! menez ici une vie molle,
orum, animant par ses pleurs le discours le plus touchant, il prit le fils de Flaccus entre ses bras, me présenta aux juges,
un endroit où il ne fallait être que touchant. Il avait à défendre un fils accusé de parricide ; était-ce le moment de s’amu
as ; et le dernier obtint avec beaucoup de peine cette grâce pour son fils Pérolla, dont les engagements avec Magius n’étaie
Annibal. Pacuvius, tout hors de lui-même, entreprend de détourner son fils d’une si funeste résolution (Tit. Liv., XXIII, 8,
, était d’imaginer des motifs capables de toucher et de convaincre le fils . Il s’en est présenté trois à son esprit : l’un e
tre regarde le père, qui est résolu de se mettre entre Annibal et son fils , et qu’il faudra percer le premier ; un troisième
i tient lieu d’exorde, est courte, mais vive et touchante93 : « Ô mon fils , au nom de tous les droits les plus sacrés de la
hôte ! Mes prières paternelles ont obtenu d’Annibal le pardon de mon fils , mon fils me refuse le pardon d’Annibal ! » IIe 
s prières paternelles ont obtenu d’Annibal le pardon de mon fils, mon fils me refuse le pardon d’Annibal ! » IIe motif, tir
traité ; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le respect qu’un fils doit à son père. La dernière pensée est fort bell
lime de sentiment : On vient annoncer au vieil Horace que deux de ses fils ont été tués et que le troisième a pris la fuite.
moi des boyaux de père. Il voulait dire des entrailles. Thésée à son fils  : Je t’aimais, et je sens que, malgré ton offens
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge ; Vous souvenant, mon fils , que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
       Et la sœur et le frère,         Et la fille et la mère,     Le fils dans les bras de son père ! la répétition de la
coup de rapport avec la subjection : « Roscius a voulu déshériter son fils  ! pour quelle raison ? — Je l’ignore. — L’a-t-il
ions. Ainsi, dans le Télémaque, Philoctète dit à Néoptolème : « Ô mon fils  ! je te conjure par les mânes de ton père, par ta
r vous souhaiter tous les malheurs ensemble, Puisse naître de vous un fils qui me ressemble ! (Corneille, Rodogune.) Il suf
nom, quand elle veut le rendre méprisable : D’un côté, l’on verra le fils d’un empereur Redemandant la foi jurée à sa famil
le, Et de Germanicus on entendra la fille ; De l’autre, l’on verra le fils d’Ænobarbus. Britannicus est ici le fils d’un em
; De l’autre, l’on verra le fils d’Ænobarbus. Britannicus est ici le fils d’un empereur ; Agrippine est la fille de Germani
a fille de Germanicus, tant chéri des Romains ; et Néron n’est que le fils de Domitius Ænobarbus190. Toutes les fois, dit Vo
ius de Corneille, voyant Héraclius et Martian se disputer le titre de fils de Maurice, et ne vouloir ni l’un ni l’autre être
fils de Maurice, et ne vouloir ni l’un ni l’autre être regardés comme fils de Phocas, s’écrie avec douleur : Ô malheureux P
r : Ô malheureux Phocas ! Ô trop heureux Maurice ! Tu recouvres deux fils pour mourir après toi, Et je n’en puis trouver po
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ? Non, c’est de l’avoir fait reine malheureuse. »
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
ins ; Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre Un… Votre fils , seigneur, me défend de poursuivre ; Instruite du
 ? Vous appellerai-je soldats, vous qui avez assiégé dans son camp le fils de votre empereur en le menaçant de vos armes ? C
e rendre aux captifs leur liberté219. » Alors le grand prêtre Josué, fils de Josédech, va porter au pied du trône les actio
ujets fidèles220. » Les tribus quittent la terre d’exil ; Zorobabel, fils de Salathiel, est à leur tête ; et tout ce peuple
ua la cendre qui souillait ses cheveux blancs. Le grand prêtre Josué, fils de Josédech, alla porter au pied du trône les act
endra nos vœux. » Alors on quitta la terre de l’étranger ; Zorobabel, fils de Salathiel, était à la tête des tribus. Ô jour
s, per quos restitutus sum ? (c. 37.) 109. Voltaire. 110. Racine le fils . 111. Buffon. 112. La Bruyère. 113. Expression
καὶ ἐν ἅπαντι λόγῳ καθάπερ τι ἥδυσμα ἐπίπαττε αὐτῶν. 127. Racine le fils . 128. Racine le fils. 129. Ἤδη δ᾽ ἔγωγε καὶ ἐν
άπερ τι ἥδυσμα ἐπίπαττε αὐτῶν. 127. Racine le fils. 128. Racine le fils . 129. Ἤδη δ᾽ ἔγωγε καὶ ἐν τοῖς πολυανθρωποτάτοι
Chateaubriand. 148. Duclos proposait : Sabine. Mais il est votre fils . Horace. Lui, mon fils !… il le fut. Nous croyon
Duclos proposait : Sabine. Mais il est votre fils. Horace. Lui, mon fils  !… il le fut. Nous croyons que La Harpe a justif
 16. 153. Oraison funèbre de la duchesse d’Orléans. 154. Racine le fils . 155. Racine le fils. 156. Crevier. 157. Racin
nèbre de la duchesse d’Orléans. 154. Racine le fils. 155. Racine le fils . 156. Crevier. 157. Racine le fils. 158. Maury
Racine le fils. 155. Racine le fils. 156. Crevier. 157. Racine le fils . 158. Maury. 159. La Bruyère. 160. Crevier. 1
. 160. Crevier. 161. Voltaire. 162. Orat., c. 25. 163. Racine le fils . 164. Batteux. 165. Dumarsais. 166. Gramm., l
et. » 175. Poetices, lib. III, qui et Idea, c. 31. 176. Racine le fils . 177. Crevier. 178. Rollin. 179. Rhetor. ad H
Herenn., IV, 64. 189. Voy. Aristote, Rhét., III, 2. 190. Racine le fils . 191. Longin, c. 24, al. 29. 192. Montesquieu.
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Florian 1755-1794 » pp. 473-479
feuillage, Dans l’hiver, devant leurs tisons, Ils prêchaient à leurs fils la vertu, la sagesse6, Leur parlaient du bonheur
ont-ils différents ? » Le père méditait une réponse sage, Lorsque son fils cadet, transporté de plaisir, Après tant de trava
ul coup détruit son long ouvrage7 ; Et voilà le cadet pleurant. « Mon fils , répond alors le père, Le fondateur, c’est votre
60 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
 de Bâville, dans laquelle il expose à madame de Maintenon qu’il a un fils auquel désirerait transmettre sa charge de consei
rie de m’accorder votre protection. Je demande au roi de donner à mon fils une place de conseiller d’État, remettant celle q
e ma surdité, j’étais devenu un serviteur inutile ; et, n’ayant qu’un fils , j’avoue que l’objet de mes vœux serait de lui vo
e que l’on remarque dans la lettre suivante : Lettre de Racine à son Fils « C’est tout de bon que nous parlons pour notre v
ir cet avis avec la même amitié que je vous le donne. Adieu, mon cher fils  ; donnez-moi souvent de vos nouvelles. » Lectur
s que je saurai aimer au-delà du tombeau. » Lecture. — Racine à son Fils . Vol. II, nº 130. 7° Des Lettres d’Excuses
, nº 133. — 2° Lettre de J.-B. Rousseau à M. D *** sur la mort de son fils aîné, 1720. Vol. II, nº 134. 9° Des Lettres de
mer la morale. Prenons pour modèle une lettre de Racine le père à son fils . « M. de Bonrepaux, qui est arrivé, nous a donné
61 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
es cris, le sang ruisselait de tous côtés dans Paris ; on trouvait le fils assassiné sur le corps de son père, le frère mort
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le fils assassiné sur le corps de son père Le frère avec
, Henriade. Correction, rétroaction, épanorthose : J’avais un fils que j’aimais plus que ma vie ; on me l’a dérobé,
que ma vie ; on me l’a dérobé, plaignez mon infortune. J’aimais un fils plus que ma vie, Je n’ai que lui ; que dis-je ? h
62 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
cole se lève tout entière, et accompagne en triomphe dans la ville le fils du boulanger de Nancy, le général Drouot6. Vingt
ffre jamais impunément d’éclipse, la vertu. Dès ses jeunes années, le fils du patricien, c’est-à-dire de l’homme public, env
’Empire. Napoléon l’appelait le Sage de la grande armée. 3. Il était fils d’un boulanger de Nancy, et le troisième de douze
63 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge : Vous souvenant, mon fils , que caché sous ce lin ; Comme eux vous fûtes pau
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris ; Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
n bel exemple de communication ; c’est le vieil Horace qui défend son fils contre Valère : Dis, Valère, dis-nous, puisqu’il
e n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde ; Ce n’est plus votre fils , c’est le maître du monde ; J’en dois compte, Mad
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ? Non, c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
qu’il veut faire encore. Thyeste, après avoir reconnu le sang de son fils dans la coupe qui lui a été présentée par Atrée,
r dont ton cœur est épris ; Joins un malheureux père à son malheureux fils . A ses mânes sanglants donne cette victime, Et ne
tor, avant d’aller au combat, appelle la protection des dieux sur son fils Astyanax : ………… Dieux, prenez sa défense ! D’un
son père : « Hector, tant qu’il vécut, des Troyens fut l’appui. « Son fils est aussi brave, et plus heureux que lui. » Luce
oux. Philoctète adresse à Néoptolème cette touchante prière : O mon fils  ! je t’en conjure par les mânes de ton père, par
ans toute leur force. Telle est l’imprécation de Cléopâtre contre son fils Antiochus, et contre la princesse son épouse : R
), Témoins accoutumés de ma plainte inutile, Voyez ce que m’a fait le fils du grand Achille. La Harpe. La voix de l’unive
64 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
ms terminés au singulier par s, z, x, n’ajoutent rien au pluriel : le fils , les fils ; le nez, les nez ; la voix, les voix.
s au singulier par s, z, x, n’ajoutent rien au pluriel : le fils, les fils  ; le nez, les nez ; la voix, les voix. Deuxième
65 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
’une grâce à demander à mes accusateurs, c’est de traiter un jour mes fils comme moi, s’ils vous donnent les mêmes sujets de
jour. Ton éducation, ta vie, ton âme, tout lui appartient. Tu es son fils , son esclave Qu’elle arme contre toi des bourreau
qui t’ont élevé, qui t’ont nourri ; et ne préfère à la justice ni tes fils , ni ta vie, ni rien au monde. — Ce n’est pas nous
66 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
omme héroïque, Aux bords du Rhin, à Jemmape3, à Fleurus, Ces paysans, fils de la république, Sur la frontière à sa voix acco
t ; Il en est temps ! » dit-il aussi tout bas3 ; Puis il répète à ses fils qui sommeillent : « Dieu, mes enfants, vous donne
  Le ciel toujours le protége.   Son sourire était bien doux,   D’un fils Dieu le rendait père3,     Le rendait père. — Que
67 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
ne puisse ressentir, celle d’une mère à la nouvelle de la mort de son fils  ? C’est toujours la même imagination vive, le mêm
dame, il se porte bien de sa blessure. — Il y a eu un combat ? Et mon fils  ! » On ne lui répondit rien. « Ah ! Mademoiselle,
t ? Et mon fils ! » On ne lui répondit rien. « Ah ! Mademoiselle, mon fils , mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort ? — M
? — Madame, je n’ai point de parole pour vous répondre. Ah ! mon cher fils  ! Est-il mort sur-le-champ ? n’a-t-il pas eu un s
Il faut venir dès qu’il fera beau. Conseils. J. Racine à son fils . C’est tout de bon que nous partons pour notre vo
ir cet avis avec la même amitié que je vous le donne. Adieu, mon cher fils  ; donnez-moi souvent de vos nouvelles. Reproc
morts. Accourez maintenant, amis, épouses, mères ! Venez compter vos fils , vos amants et vos frères ; Venez, sur ces débris
repos insultant et superbe. Sa fureur s’allume ; il s’avance vers le fils de Clodion ; il lui crie d’un ton ironique : « — 
recourbés, s’engage dans le bouclier du Gaulois. Au même instant, le fils de Clodion bondit comme un léopard, met le pied s
68 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
elicem nimium dilexit amicum. Æn., IX., v. 425. La condamnation des fils de Brutus eut un effet favorable à la République 
discours de Germanicus à ses légions révoltées. « Mon épouse, ni mon fils ne me sont pas plus chers que mon père et la chos
rai-je soldats, vous qui, les armes à la main, avez assiégé, cerné le fils de votre Empereur ! citoyens, vous qui avez foulé
es députés au Sénat, à l’empereur l’obéissance, à moi ma femme et mon fils , dérobez-vous à la contagion, rompez avec les séd
furie ! N’étendez pas mes maux au-delà de ma vie ; Prenez soin de vos fils , respectez votre sang, Ne les punissez pas d’être
parler qu’un début, qu’un commencement. Ainsi parle Mithridate à ses fils  : Approchez, mes enfants, enfin l’heure est venu
uâmes tous une tendre inquiétude sur son visage. Prince (Commode, son fils ), il parut se ranimer un moment pour toi. Sa main
rs que Pacuvius, suivant le récit deTite-Live, adressa à Pérolla, son fils , à l’occasion d’un festin offert à Annibal, lors
t trouver d’abord des motifs capables de convaincre et de toucher son fils , résolu à tuer le vainqueur de Rome. Or, il s’en
is, voudra-t-il méconnaître à la fois le respect et l’affection qu’un fils porte à son père, au point de le transpercer pour
’on devra finir. Telle est la disposition. « Par tous les liens, mon fils , qui unissent les enfants aux auteurs de leurs jo
a souiller du sang de ton hôte ? Père, j’ai pu obtenir grâce pour mon fils auprès d’Annibal, et je ne le puis pour Annibal a
on fils auprès d’Annibal, et je ne le puis pour Annibal auprès de mon fils  ? Mais, qu’il n’y ait rien de sacré, ni foi, ni r
l’intelligence d’Homère, comme dans les traits que vous offre ici son fils . Les beautés individuelles de tous les dieux sont
ieil Horace, lorsque Junie lui dit, parlant du survivant de ses trois fils , dans le duel des Horaces et des Curiaces : Que
mortel ; Si, lorsque le Sénat eut condamné ce traître, Catilina, pour fils , t’eût voulu reconnaître, Entre ce monstre et nou
Ce n’est plus à vous qu’il faut que j’en réponde. Ce n’est plus votre fils , c’est le maître du monde. J’en dois compte, mada
tumulte et les cris, Le sang de tous côtés ruisselant dans Paris, Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi, son fils  ? non, c’est de l’avoir fait reine malheureuse. »
x effrayés dérobe cette tête. Ah ! ma mère, épargnez votre malheureux fils . Ombre d’Agamemnon, sois sensible à mes cris !…
Au nom de tes vertus, de Rome et de toi-même, Dirai-je ? au nom d’un fils qui frémit et qui t’aime, Qui te préfère an monde
ns son Télémaque, fait parler ainsi Philoctète à Néoptolème : « Ô mon fils  ! je te conjure par les mânes de ton père, par ta
atque hostem supplex affare superbum… Le discours de Pacuvius à son fils Pérolla pour le détourner d’assassiner Annibal, e
ins ; Mais tout n’est pas détruit et vous en laissez vivre. Un… votre fils , seigneur, me défend de poursuivre. Cet autre en
69 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
honneur d’être choisi par le cardinal de Tournon comme précepteur des fils d’Henri II, et fit paraître en 1559, mais sans y
ième siècle. 8. Aristote, né à Stagyre en Macédoine (334 av. J.-C.), fils de Nicomaque, suivit les leçons de Platon ; il al
4. Ainsi. 5. Platon, né en 429 ou 430 av. J.-C. dans titre d’Égine, fils d’Ariston, descendait par son père de C drus, et
70 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
latiniste, savant imprimeur, dont toute la maison parlait latin ; son fils Henri Estienne, l’helléniste, qui se fit une bell
bstracteur de Quinte Essence. Lettre de Gargantua à Pantagruel son fils Trés chier filz,… non sans juste et equitable
mal faire. Car Dieu n’est point Dieu de division, mais de paix, et le fils de Dieu n’est point ministre de peché, qui est ve
aucoup de telles imitations, qu’est ceste Eglogue sur la naissance du fils de monseigneur le Dauphin, à mon gré un des meill
ement abbé de Bellozane par la faveur de François Ier, précepteur des fils de Henri II, grand-aumônier de France sous Charle
ueux et se sont trouvés si capables, qu’il y en a eu prou qu’estoient fils de pouvres laboreurs, et se sont mis par devant b
qu’aye esté de long temps en ce royaulme ; car je suis venu au monde fils d’ung gentilhomme, que son père avoict vendeu tou
mes bons deportemens, et ne vouloir pas, ce disoit-elle, voir en son fils un illustre ignorant, me mit ce livre entre les m
re 1605.] Monsieur du Plessis, Ayant sceu la fortune advenue à vostre fils , j’en ay receu par vostre considération le despla
y que doibt faire un bon maistre comme je suis du pere et l’estois du fils , espérant qu’il imiteroit vostre fidélité et dévo
D’Aubigné (1552-1630) Notice Théodore Agrippa d’Aubigné, fils d’un gentilhomme calviniste de la Saintonge, port
il s’escria : « Ils ont décapité la France, les bourreaux ! » Puis le fils ayant picqué près du pere, pour avoir veu à son v
roit Boileau qui « s’y connaît mieux que lui » ; il est le parrain du fils aîné de Molière, il fait asseoir à sa table celui
tiste Poquelin, qui prit au théâtre et immortalisa le nom de Molière, fils d’un tapissier-valet de chambre du roi, hérita de
n gentilhomme gueux et mal bâti. NICOLE. Cela est vrai. Nous avons le fils du gentilhomme de notre village, qui est le plus
de Port-Royal ; avec une gravité douce et touchante des lettres à ses fils  ; avec une affectueuse urbanité des lettres à La
de ne vouloir que ce que l’on doit. Pensez-y donc de bonne heure, mon fils , et si vous sentez maintenant quelque répugnance
ie et une humilité qui ne sont pas moins louables. Ne pensez pas, mon fils , que ces vertus ne soient point faites pour nous.
lévation et quelque grandeur dont il pourroit tirer vanité. Nous, mon fils , à qui toutes choses semblent inspirer ce défaut
rt pour ne vous remplir que de vous-même, ne vous comparez point, mon fils , à des princes moindres que vous, ou à ceux qui o
i est d’ordinaire l’écueil d’un mérite éclatant et connu. Par là, mon fils , et en cela, vous serez humble. Mais quand il s’a
rage, où la fortune n’a presque point eu de part. Soyez toujours, mon fils , en état de vous faire craindre par les armes, ma
heur, et l’industrie d’autrui du nom de bonne fortune. Pour voir, mon fils , comme vous devez reconnoître avec soumission une
44 le marquis de Sévigné, qui la laissa veuve à vingt-six ans avec un fils et une fille. Belle, spirituelle, instruite, elle
dation de cette terre : il y avoit les plus vieux bois du monde ; mon fils , dans son dernier voyage, lui a donné les dernier
u nom d’une terre qu’elle acheta, naquit dans une prison, à Niort, du fils du fameux calviniste Théodore Agrippa d’Aubigné.
ctes : les années qui ont précédé le préceptorat du duc de Bourgogne, fils aîné du grand dauphin, le préceptorat, les années
dans le même saisissement de cœur où est une mère qui revoit son cher fils qu’elle avoit cru mort ; et cette joie, qui échap
Saint-Simon (1675-1755) Notice Saint-Simon (le duc Louis de), fils d’un favori de Louis XIII, fil seul de Louis XIV,
c’est-à-dire de bonté, et plaignoient le roi de la perte d’un si bon fils . Les plus fins d’entre eux, ou les plus considéra
s. L’abbé Fleury (1640-1723), né et mort à Paris, sous-précepteur des fils du grand Dauphin, et plus tard confesseur de Loui
Babylone était mort aux Indes ; il avait fait ses héritiers ses deux fils par portions égales, après avoir marié leur sœur,
t mille excuses ; encore deux cents et deux mille excuses à Prault538 fils . Un louis d’or à d’Arnaud539, sur le champ. J’ai
e, qui m’a si bien servi contre Mithridate, contre Marius, contre son fils , contre Thélésinus, contre le peuple, qui a soute
J.-J. Rousseau (1712-1778. Notice Jean-Jacques Rousseau, fils d’un horloger de Genève, tour à tour vagabond, la
els préjugés, quel aveuglement ne faut-il point pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie ! Quelle distanc
lement ne faut-il point pour oser comparer le fils de Sophronisque au fils de Marie ! Quelle distance de l’un à l’autre ! So
Diderot (1713-1784) Notice Diderot (Denis), de Langres, ce fils de coutelier, qui alla un jour à Saint-Pétersbour
yons encore effrayés. (Salon 580 de 1765.) Greuze581 Le fils ingrat Imaginez une chambre où le jour n’entr
cuir noir où l’on peut être commodément assis : asseyez-y le père du fils ingrat. Attenant à la porte, placez un bas d’armo
sur laquelle on vient de placer un potage. Malgré le secours dont le fils aîné de la maison peut être à son vieux père, à s
a scène, vers la porte, le vieux soldat qui a enrôlé et accompagné le fils ingrat chez ses parens s’en va, le dos tourné à c
, n’approche pourtant pas, à mon gré, de ce qui suit. Le mauvais fils puni Il a fait la campagne. Il revient, et d
et ses genoux se dérobant sous elle. Voilà le spectacle qui attend le fils ingrat. Il s’avance ; le voilà sur le pas de la p
disent : « Tiens, vois, regarde ; voilà l’état où tu l’as mis ! » Le fils ingrat paroit consterné ; la tête lui tombe en de
le même chien, qui est incertain s’il reconnoîtra cet éclopé pour le fils de la maison, ou s’il le prendra pour un gueux. J
moment ; il me semble que, pour se dérober à elle-même la vue de son fils et celle du cadavre de son époux, elle a dû porte
ais (1732-1799) Notice Pierre-Augustin Caron de Beaumarchais, fils d’horloger, « horloger lui-même, musicien, chanso
rien ne peut me laver du juste reproche que vous me faites d’être le fils de mon père… Mais je m’arrête ; car je le sens de
es. Tout le monde aussi ne peut pas dire comme M. Goëzman :   Je suis fils d’un Bailli ;       Oui : Je ne suis pas Caron ;
l alloit s’élancer à la mer, lorsque je le saisis par le bras : « Mon fils , lui dis-je, voulez-vous périr ? — Que j’aille à
ice Né de cet étrange « ami des hommes », qui ne le fut pas de son fils , le comte Riquetti de Mirabeau était connu avant
a mère du consul Fusius Géminus d’avoir pleuré la mort funeste de son fils . Il fallait montrer de la joie de la mort de son
l’idée de progrès continu dans l’humanité ; — D’Alembert (1717-1783), fils adoptif d’un pauvre vitrier, par le vaste et sava
rles Bonnet (1620-1793) et son neveu, Horace de Saussure (1740-1799), fils et père de savants, auteur du Voyage dans les Alp
nna des conseils tels que Marc-Aurèle mourant devoit les donner à son fils  ; et bientôt après, Rome et l’univers le perdiren
elevant tout à coup : « Mais toi qui vas succéder à ce grand homme, ô fils de Marc-Aurèle ! ô mon fils, permets ce nom à un
toi qui vas succéder à ce grand homme, ô fils de Marc-Aurèle ! ô mon fils , permets ce nom à un vieillard qui t’a vu naître,
aut que tu sois, ou le plus juste ou le plus coupable des hommes : le fils de Marc-Aurèle aura-t-il à choisir ? « On te dira
aître du monde tu peux m’ordonner de mourir, mais non de t’estimer. Ô fils de Marc-Aurèle ! pardonne : je parle au nom des d
s Ier, le Grand Condé, et le maréchal de Saxe auroient voulu avoir un fils comme lui. Il est étourdi comme un hanneton au mi
la consolation 644 , qui arrivera bien tôt ou tard. Amen. Pour mon fils . — Et mon cher petit Rodolphe, où est-il ? Qu’il
on française, publiées (1818) après sa mort. — Mme de Staël a eu pour fils et petit-fils deux academiciens, orateurs et homm
u c’est commencer à posséder Dieu. Le père connaît les besoins de son fils  ; faut-il à cause de cela que le fils n’ait jamai
père connaît les besoins de son fils ; faut-il à cause de cela que le fils n’ait jamais une parole de demande et d’actions d
vier de ses rejetons ; mais aucun de ces vieillards ne m’appelait son fils , aucun de ces enfants ne m’appelait son frère. L’
s en couronne : je le reconnais. Les siècles ne t’ont pas changé, mon fils  ; tu portes le même manteau, le même sceptre, la
cole se lève tout entière, et accompagne en triomphe dans la ville le fils du boulanger de Nancy. Vingt ans après, La Place
les détails, malgré tout ce qui sépare le majestueux évêque français, fils de magistrat, magistrat lui-même, reçu dans la co
randes funérailles, et l’harmonieux Trouvère de la Grèce idolâtre, le fils d’un musicien de Béotie, habitant une petite mais
es symboles parlants qui remplissent les livres de Salomon et ceux du fils de Sirach. Par toutes ces préférences, Bossuet, l
ateur, il philosophait de même. Il était assez riche et fort bien né, fils d’un conseiller au parlement de Bretagne et lui-m
enir régulièrement à sa femme 500 francs par mois, jusqu’à ce que son fils fût assez âgé pour obtenir une place, et cette da
sieurs endroits de cet ouvrage dans les termes les plus touchants. Un fils qu’elle avait d’un premier mariage, et que M. de
ité avec un ancien tailleur de pierres ; mais Maury n’était-il pas le fils d’un cordonnier ? Ce très-petit incident de notre
en tranchantes. Dites-moi, de grâce, pour qui je dois être. » — « Mon fils , répondit le saint homme, il faut être pour Dieu 
rétiens, et aurait devancé dans le protectorat de la Méditerranée son fils immortel, l’héroïque vainqueur de Lépante819, s’i
oser avec l’hérésie victorieuse en Allemagne, trouvant à agrandir son fils en Angleterre, ayant soutenu une lutte et fait un
S’il devint désintéressé pour lui-même, il demeura ambitieux pour son fils . Se prononçant du fond de son monastère en 1557 c
démique Didier et Cie.) Ph. de Ségur (1780-1873) Notice Fils du général Louis-Philippe de Ségur, qui fut génér
la passion démocratique (Le Peuple, etc.), ont fait à Jules Michelet, fils d’un modeste imprimeur de Paris, une triple et éc
u moins un vif sentiment du pays. C’était une gaillarde population de fils de laboureurs, dont les grands-pères avaient fait
reportait à son enfance, aux années meilleures, à ses jouissances de fils , de père et d’époux :   « Les mœurs ne s’apprenne
chercher dans le désert le lieu marqué de Dieu où il doit immoler son fils  ; il marche pendant trois jours, ayant près de lu
moler son fils ; il marche pendant trois jours, ayant près de lui son fils , qui demande innocemment où est la victime ; et p
l’amour paternel est infini dans sa miséricorde ; mais le repentir du fils , pressenti et deviné par le père, ôte à cet amour
mable, et le père est à la fois juste et clément : juste, puisque son fils pleure sur ses fautes ; clément, puisque, pour pa
passion ; et, courant à lui, il se jeta à son cou et le baisa. Et son fils lui dit : « Mon père, j’ai péché contre le ciel e
tre le ciel et contre toi, et je ne suis plus digne d’être appelé ton fils . — Mais le père dit à ses serviteurs : « Apportez
un veau gras et le tuez. Mangeons, et réjouissons-nous, parce que mon fils , que voici, était mort, et il est revenu à la vie
tôt tout se devine, et combien le père a souffert de l’absence de son fils , et quels vœux il a faits pour son retour, car il
que Ménédème, et il n’est pas moins empressé que lui à accueillir son fils . Mais c’est ici qu’éclate la supériorité morale d
tu : Il était mort, et il est revenu à la vie. Ménédème reprendra son fils avec ses vices, s’il est revenu avec ses vices. I
voir et l’embrasser. Son instinct paternel le pousse, et il aime son fils , quel qu’il soit, bon ou mauvais. Dans l’Évangile
n enfant ; quoiqu’il n’ait pas entendu la résolution touchante que le fils a prise, dans la misère et dans la solitude, « d’
t avant qu’il ait parlé. Aussi, point de dialogue entre le père et le fils , point d’explication : tout s’accomplit dans un m
a fortune, le dédain de vivre petitement, dédain plus vif au cœur des fils de ceux qui ont fait de grandes choses. Ce sont c
là le ressort et le fil qui mettent en jeu tous ces hommes ; mais les fils sont cachés. De notre temps, il semble que c’est
aire : nous avons retourné la tapisserie, nous ne voyons plus que les fils  ; les personnages sont derrière et à peine visibl
de son cheval. Aussitôt qu’il aperçut ce vieux grand seigneur et son fils , le petit Ali fit un mouvement pour se jeter à te
rs habitations, ils dorment ou s’amusent, tandis qu’elle coupe un des fils de leur existence ; le lendemain, ils se lèvent g
, embrassait le mort958, faisait un signe de tête à sa veuve et à son fils , puis prenait place dans le cercle sans proférer
commère. N’avait-elle pas bien soin de toi ? » Un grand jeune homme, fils de Pietri, serrant la main froide de son père, s’
s sont des dimanches. — Jean-Baptiste ! le Christ ait ton âme ! — Ton fils gouverne ta maison. — J’ai vu tomber le chêne — d
e. Retiré dans un coin obcur de la salle, il pleura comme pleurait le fils de Pietri. (Colomba, XII. — Charpentier, éditeu
ées et soutenues, son sillon était aussi vite creusé que celui de son fils , qui menait à quelque distance quatre bœufs moins
porte les marchandises ; 2° chaland, acheteur. 24. Deuh ! Colas, mon fils , — patois lorrain. 25. Il fait bon vivre = il y
eurs. 210. Les gens de toute condition et de toute profession. 211. Fils du Maréchal Pierre Strozzi, Florentin au service
re, inhiare ont aussi le sens de aspirer à. 240. Philippe de Mornay, fils unique, fut, à 26 ans, tué d’un coup de canon sou
on sous Gueldres, le 23 octobre 1605. Son père dit : « J’ai perdu mon fils , j’ai donc perdu ma femme. » Elle mourut de chagr
nes épousa le duc de Montausier, qui fut gouverneur du grand dauphin, fils aîné de Louis XIV. 282. Le grand Condé pleura
dé, père du grand Condé, alors duc d’Enghien. 341. Le duc d’Enghien, fils du prince de Condé. 342. Le Palais de justice, o
t régente pendant la minorité de Louis XIV. 353. Ou Monsieur, second fils de Henri IV, beau-frère de la reine-mère. 354. R
les… ? 382. Psalm. lix, 4. 383. Régente pendant la minorité de son fils Louis XIV. 384. L’éloignement de madame de Monte
isi. » C’est lui qui engagea Boileau à écrire le Lutrin ; c’est à son fils que Boileau adresse sa VIe Épître. 394. Fléchier
u adresse sa VIe Épître. 394. Fléchier, devenu en 1662 précepteur da fils de M. de Caumartin, maître des requêtes, suivit l
ues, astronomiques ; théoricien de l’attraction universelle. 486. Le fils aîné de Louis XIV mourut de U petite vérole à Meu
avril 1711. Il est appelé Monseigneur. — Le roi, après la mort de son fils , se rendit avec madame de Maintenon à Marly, en p
assant par Versailles. — À Versailles résidaient le duc de Bourgogne, fils aîné, et le duc de Berry, troisième fils du Dauph
idaient le duc de Bourgogne, fils aîné, et le duc de Berry, troisième fils du Dauphin : le second était roi d’Espagne. — La
la duchesse de la Vallière, veuve en 1709 de François-Louis de Conti, fils prince Armand de Conti et neveu du grand Condé. —
mistes, qui s’appelait l’ami des hommes, et qui a été si dur pour son fils , le grand orateur. Voir, infra, la Notice sur ce
e mélange du récit au discours. 625. Apollonius s’adresse à Commode, fils de Marc-Aurèle. 626. Allusion à Averroès, philos
721. Le calcul des probabilités. 722. Antoine Drouot (1774-1847), fils d’un boulanger de Nancy, lieutenant d’artillerie
s en musique, l’un par Grétry, l’autre par Monsigny. 787. 1027-1087. Fils naturel de Robert le Diable, troisième duc de Nor
de Bohème et de Hongrie (Ferdinand Ier, empereur d’Allemagne), et son fils Philippe II, et se retira au monastère de Yuste o
71 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
s hommes. De même, les nobles cœurs applaudissent à l’enthousiasme du fils qui se croit capable de tout pour accomplir un de
lui fait Athalie. Athalie. Je prétends vous traiter comme mon propre fils . Joas. Comme votre fils ? Athalie.               
ie. Je prétends vous traiter comme mon propre fils. Joas. Comme votre fils  ? Athalie.                                Oui ; v
roles de Manlius et de Brutus, qui condamnent eux-mêmes leurs propres fils et les font exécuter sous leurs yeux. Ils pouvaie
uche le cœur. Hector, armé pour le combat et prêt à partir, prend son fils dans ses bras et fait cette prière : Dieux immor
i son Hector vivait encore, elle ne renoncerait pas à voir monter son fils sur le trône. 70. Un sentiment délicat est celui
e sorte divine. On demande au vieil Horace comment il voulait que son fils pût résister à trois adversaires ; Que vouliez-v
tte faute : …Un brouillard glacé, rasant les pics sauvages, Comme un fils de Morvan, me vêtissait d’orages. (Jocelyn.) Il
ne le premier. Voici une lettre de Jean Racine : il fait part à son fils du plaisir qu’il lui fait en lui rendant compte d
ble ou une trop pénible impression. Évandre, faisant ses adieux à son fils , consent à vivre s’il doit encore le revoir ; mai
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ? non, c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
au sur la noblesse, et dans le discours du vieil Horace défendant son fils condamné à mort. Tite Live et Corneille peuvent ê
auxquels on s’adresse. La mère des Machabées disait à son plus jeune fils qu’Antiochus voulait séduire : Fili mi, miserere
ne parle pas à un père sur le ton que celui-ci prend à l’égard de son fils . La convenance exige encore que l’on donne une gr
ssemblés ! Répondez, cieux et mers, et vous, terre, parlez ! (Racine fils .) Le vers de dix syllabes a moins de majesté que
es mots a pris l’essor Vers les demeures éternelles… Pauvre mère, ton fils est mort. (J. Reboul.) Ô Père qu’adore mon père
elles choses, ressemble, dit Marmontel, à une mère qui, cherchant son fils dans la campagne, s’amuserait à cueillir des fleu
es sont fondées sur le contraste de deux vices opposés. Ici, c’est un fils prodigue qui désole un père avare ; là, c’est une
e, l’Art poétique d’Horace et celui de Boileau, la Religion de Racine fils , sont des poèmes didactiques. 544. Pour réussir d
x autour de toi, regarde : tous ces peuples s’avancent vers toi ; tes fils viendront de loin, tes filles s’élèveront à tes c
et leurs trésors, pour honorer le Dieu qui t’a comblée de gloire. Les fils de l’étranger relèveront tes murs et leurs rois t
rs forment ton vêtement. Comment es-tu tombé du ciel, astre brillant, fils de l’aurore ? Comment es-tu renversé sur la terre
. Vénus va se plaindre à Jupiter de l’acharnement de Junon contre son fils Énée. Le père des dieux la console en lui dévoila
s dieux la console en lui dévoilant ce que les destins réservent à ce fils  ; il envoie Mercure à Carthage pour qu’il dispose
te à Didon, qui lui fait un accueil favorable. Il envoie chercher son fils Ascagne ; mais Vénus, pour prévenir l’inconstance
Didon et la perfidie des Carthaginois, substitue au jeune Troyen son fils Cupidon. La reine caresse cet enfant, et, peu apr
Ce prince donne à Énée quatre cents chevaux commandés par Pallas, son fils unique, et lui conseille en même temps d’aller se
s s’opposent à sa descente. Il se livre un combat dans lequel Pallas, fils du roi Évandre, est tué par Turnus ; Énée, qui ve
nce, qui prend la place de ce prince dans le combat, est tué avec son fils Lausus par le héros troyen. Livre XI. Les deux p
out réponde. Belle comme Rachel, comme Lia féconde, Son épouse eut un fils  : et cet enfant si beau Des bienfaits du Seigneur
 : C’est l’aïeul de David ; Néomi le caresse, Elle ne peut quitter ce fils de sa tendresse, Et dit, en le montrant sur son s
mots a pris l’essor Vers les demeures éternelles… Pauvre mère !… ton fils est mort ! (J. Reboul.) Questionnaire du cou
72 (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.
, les mesures que j’ai prises pour en suivre la trame et en tenir les fils , sont encore pour vous des mystères dont vous brû
e garder la mémoire de son consulat et de ne pas abandonner son jeune fils . C’est la seule récompense qu’il réclame pour son
ma maison, auprès d’une épouse éperdue, d’une fille tremblante, d’un fils encore au berceau, en qui la république semble av
propre aïeul Fulvius avait été tué par l’ordre d’un consul, et que le fils de Fulvius, malgré son extrême jeunesse, malgré l
ce à la violence des méchants, si je succombe, je vous recommande mon fils encore enfant. Certes, il est assuré de ne manque
ils de deux hommes aussi recommandables que L. Paulus et M. Caton, et fils de la sœur de P. Scipion, fut condamné à payer di
dont les mœurs ressemblent si bien aux vôtres, Apollonius de Drépane, fils de Nicon, et qui porte aujourd’hui le nom d’A. Cl
main, vivant noblement et jouissant de la faveur du peuple, avait son fils sénateur et juge à Rome ; quoique Verrès ne l’ign
, je n’en dirai pas davantage ; mais cette action était bien digne du fils de celui qui le premier porta une loi contre les
indisposés contre nous. Vous savez que les jeunes rois de Syrie, les fils d’Antiochus, étaient à Rome il n’y a pas longtemp
ge et l’appareil d’un roi ; ce prince, ami et allié du peuple romain, fils d’un père très attaché à la république, dont l’aï
fêtes communes à Apollon et à Esculape ; Aristée, que les Grecs font fils de Bacchus, et à qui ils attribuent la découverte
cement de cette affaire. Puis-je supprimer ce qui regarde Apollonius, fils de Dioclès de Palerme, et surnommé Géminus ? Y a-
rait le préteur. Apollonius, saisi de frayeur, accourt avec son jeune fils  ; car son père Dioclès, fort âgé, ne quittait poi
tout accès auprès de ce malheureux à son père chargé d’années, à son fils à peine sorti de l’enfance. J’oublierai même qu’à
r votre défense. Il avouera que la vieillesse du père, la jeunesse du fils , les larmes de l’un et de l’autre, ont fait moins
chaînes, d’être renfermé, d’être soustrait à la vue d’un père et d’un fils , privé de la lumière et de l’air dont jouissent l
ses festins. Au milieu de ces hommes et de ces femmes paraissait son fils , déjà grand. Une société de cette nature l’aurait
retient tous, en donne quelques-uns à ses secrétaires, d’autres à son fils et à ceux de sa suite ; il envoie à Rome six musi
e criminels festins : il n’y avait point d’autre homme que lui et son fils , vêtu de la prétexte. Je pourrais dire même qu’il
oce que nous avons à traiter ? Les larmes d’un père sur le péril d’un fils innocent ne vous touchaient-elles point ? Vous av
-elles point ? Vous aviez laissé votre père à Rome ; vous aviez votre fils avec vous ; la présence de celui-ci ne vous rappe
s ramenait-il pas à la tendresse paternelle ? Aristée, votre hôte, et fils de Dexion, portait des chaînes : et pour quelle r
ans sa province ; parce qu’il attaqua Cléomène dans la défense de son fils , il fut exposé presque nu sur la place publique,
r. « Que donnerez-vous, continuait-il, pour que je fasse mourir votre fils d’un seul coup de hache ? pour lui abréger ses pe
s’il est affligeant pour un père de voir en cet état le corps de son fils , qu’il achète la permission de lui donner la sépu
, dans leurs ressentiments, viennent se plaindre de la perte de leurs fils  : c’est un homme illustre et du premier ordre qui
omme illustre et du premier ordre qui parle, et ce n’est point de son fils qu’il parle. D’ailleurs, quel homme fut alors à S
un jeune homme des plus estimables, et d’entre les bras de sa mère un fils innocent, pour les livrer à Sestius, bourreau de
out ce que vous avez pris au public et à lui dans Tyndaris ; c’est un fils unique, vertueux, innocent, que ce malheureux vou
que votre condamnation soulage les cendres et les restes de son cher fils . Eubulide, ce vieillard accablé d’années, ne s’es
ns. C’est pour que, de ces yeux dont il a vu la tête sanglante de son fils , il voie votre condamnation. Si Métellus ne s’y é
son libérateur et vous son bourreau ; cette infortunée, réclamant son fils à haute voix, tomba suppliante à mes pieds comme
juge, que pourriez-vous faire quand il vous aurait dit : « Vous, mon fils , préteur dans une province du peuple romain, lors
mpagnons et de vos amis. Vous faisiez asseoir au milieu d’elles votre fils , mon petit-fils, pour que, dans un âge si fragile
73 (1854) Éléments de rhétorique française
e langue de posséder deux articles. Ces trois manieres de parler : le fils d’un roi, le fils du roi, un fils du roi, présent
er deux articles. Ces trois manieres de parler : le fils d’un roi, le fils du roi, un fils du roi, présentent trois sens bie
. Ces trois manieres de parler : le fils d’un roi, le fils du roi, un fils du roi, présentent trois sens bien différents ; l
e vieux Priant, aux pieds du vainqueur, redemandant les restes de son fils . Tous ces tableaux se succèdent sans confusion ;
choix, Et qu’à vos yeux, seigneur, je montre quelque joie De voir le fils d’Achille et le vainqueur de Troie. Oui, comme se
pira sous vous ; Et vous avez montré, par une heureuse audace, Que le fils seul d’Achille a pu remplir sa place. Souvent au
is, termine son discours par ces simples paroles : « Crains donc, mon fils , crains une condition si périlleuse ; arme-toi de
résume les différents motifs qui doivent décider Pyrrhus à livrer le fils d’Hector : Enfin de tous les Grecs satisfaites l
pira sous vous ; Et vous avez montré, par une heureuse audace, Que le fils seul d’Achille a pu remplir sa place. Mats, ce qu
qu’attendez-vous ? peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ?… Non, c’est de l’avoir fait reine malheureuse. 
s Phèdre, pour effrayer Thésée qui s’était laissé prévenir contre son fils par les calomnies d’Œnone : Prenez garde, seigne
ver ; Mais tout n’est pas détruit, et vous en laissez vivre Un… Votre fils , seigneur, me défend de poursuivre. J’imite sa pu
la justice en votre cœur Règne aussi bien qu’en votre bouche, Parlez, fils des hommes, pourquoi Faut-il qu’une haine farouch
de à deux membres : Si la loi du Seigneur vous touche, etc. — Parlez, fils des hommes, etc. Le premier membre est composé de
n est considérée comme le siége. Ainsi, dans Racine, Thésée dit à son fils  : Je t’aimais, et je sens que, malgré ton offens
essentiels du style ment. C’est ainsi que le vieil Horace défend son fils , dans la tragédie de Corneille : Lauriers, sacré
l’école ensemble dans la ville d’Issoire, en Auvergne : Jeannot était fils d’un marchand de mulets très-renommé ; Colin avai
t bientôt marquis, sous le nom de M. de La Jeannotière, et retira son fils de l’école pour le produire dans le monde, à Pari
e, ébranlée par les folles dépenses de monsieur, de madame et de leur fils , s’écroula tout à coup. Le jeune homme se vit alo
fort jolis pour des Auvergnats, et s’aimaient beaucoup. Jeannot était fils d’un marchand de mulets très-renommé ; Colin deva
e : c’était un ordre de monsieur son père de faire venir monsieur son fils à Paris. Jeannot monta en chaise, en tendant la m
marquisat au bout de six mois, il retira de l’école M. le marquis son fils , pour le mettre à Paris dans le beau monde. « Col
t rien, ne put rien enseigner à son pupille. Monsieur voulait que son fils apprît le latin, madame ne le voulait pas. Ils pr
. « — Eh bien ! n’avais-je pas raison ? dit madame. « Je veux que mon fils soit un homme d’esprit, qu’il réussisse dans le m
joie ; le père était indécis. « Que faudra-t-il donc apprendre à mon fils  ? disait-il. — À être aimable, répondit l’ami que
t bien, monsieur, que vous êtes l’homme du monde le plus savant ; mon fils vous devra toute son éducation ; je m’imagine pou
c’est un chaos qu’on ne peut débrouiller. Qu’importe à monsieur votre fils que Charlemagne ait institué les douze pairs de F
e sa fortune, de ses fautes et de ses folles dépenses. « Après que le fils eut longtemps pleuré avec la mère ; il lui dit en
très-heureux. Et Jeannot le père, et Jeannotte la mère, et Jeannot le fils , virent que le bonheur n’est pas dans la vanité. 
onne à qui nous écrivons. M. de Montausier veut féliciter le Dauphin, fils de Louis XIV, sur la prise de Philipsbourg ; il n
ne puisse concevoir, celle d’une mère à la nouvelle de la mort de son fils  : « Madame de Longueville fait fendre le cœur, à
aller plus loin. « Madame, il se porte bien de sa blessure. — Et mon fils  ? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle,
. — Et mon fils ? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle, mon fils , mon cher enfant, répondez-moi, est-il mort sur-l
ns, qui n’avait pensé de sa vie qu’à la chasse, vint pour emmener mes fils dans ses bois ; il resta quelque temps assis à no
ment celui qui cause avec nous. C’est ce que Racine conseillait à son fils aîné : « Ne croyez pas, lui disait-il, que ce soi
74 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
oyant sa fin arriver, il se tourna tout troublé vers Christophe : Mon fils , lui dit-il, je me sens tourmenté par une triste
assette avec quelques bijoux dedans, je te les donne. Prends-les, mon fils , et n’en donne rien à ton frère. « Le fils tressa
les donne. Prends-les, mon fils, et n’en donne rien à ton frère. « Le fils tressaillit, et resta quelque temps immobile. Ah 
7. Horace a dit (sat. iii, 1. 1er) : « Ce que fait un père pour son fils , nous le devons faire pour nos amis, ne pas les p
tous les rangs. Le marchand le plus mince Élève ses enfants comme des fils de prince ; Sa fille, qu’en tous lieux il se plaî
75 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — A. Chénier. (1762-1794.) » pp. 304-312
longs souvenirs et de plus vifs regrets que celui d’André Chénier. Ce fils de la Grèce et de la France, qui à une haute insp
a main J’ai retenu le dieu courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes fils dédaignent Mnémosyne, Puisqu’ils ont fait outrage
eux : L’indomptable Garonne aux vagues insensées, Le Rhône impétueux, fils des Alpes glacées, La Seine au flot royal, la Loi
76 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
traîne après lui tout ce qui paraît le plus immobile. Toi-même, ô mon fils  ! mon cher fils ! toi-même qui jouis maintenant d
tout ce qui paraît le plus immobile. Toi-même, ô mon fils ! mon cher fils  ! toi-même qui jouis maintenant d’une jeunesse si
à la douleur. Ce temps te paraît éloigné. Hélas ! tu te trompes, mon fils  ; il se hâte, le voilà qui arrive : ce qui vient
us parlons, et ne peut plus se rapprocher. Ne compte donc jamais, mon fils , sur le présent ; mais soutiens-loi dans le senti
77 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143
posse. Pyrrhus, à qui il s’adressait, l’entendait de cette manière : Fils d’Eacide, je dis que tu pourras vaincre les Romai
uisse mortalem. On rapporte qu’Anaxagore, ayant appris la mort de son fils , dit : Je savais bien que je l’avais mis au monde
émouvant que le passage suivant, où le vénérable Anchise aperçoit son fils Enée qui vient à lui à travers la prairie ? Il lu
doit y avoir identité de pensées et de sentiments entre le père et le fils . Ce que le poète exprime si bien par les mots sui
ivants : exspectata parenti, piété déjà si connue du père, et dont le fils donnait alors une preuve si évidente. Vicit iter
notas audire et reddere voces. Pourquoi ces paroles d’Anchise à son fils  : Je puis encore vous voir, vous entendre et vous
vénérable vieillard. Il était donc naturel qu’il le manifestât à son fils en ces termes qui expriment si vivement les senti
on cœur : Datur ora tueri, nate, tua, etc. « Vous venez enfin, ô mon fils  ! votre piété, dont vous m’avez donné tant de pre
morsu depascitur artus. Les serpents se jettent d’abord sur les deux fils de Laocoon : Et primùm parva duorum, etc. Ces jeu
78 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Henri IV, 1553-1610 » pp. -
e vous, de ce que vous ne m’avez pas mandé que vous aviez fouetté mon fils  ; car je veulx et vous commande de le fouetter5 t
fort ce mode d’éducation qui excitait l’indignation de Montaigne. Les fils de France étaient soumis au même traitement que l
79 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
t a parlé de lui, et le public l’a applaudi avec attendrissement. Son fils était dans un transport inexprimable. Dans les jo
plénitude, quand on n’y a pas mêlé d’enthousiasme ? Comment aimer son fils sans se flatter qu’il sera noble et fier, sans so
épète ? Pourquoi ne jouirait-on pas avec transport des talents de son fils , du charme de sa fille ? Quelle singulière ingrat
80 (1875) Poétique
si c’est un frère qui tue ou qui est au moment de tuer son frère, un fils son père, une mère son fils, un fils sa mère, ou
u qui est au moment de tuer son frère, un fils son père, une mère son fils , un fils sa mère, ou quelque chose de semblable,
au moment de tuer son frère, un fils son père, une mère son fils, un fils sa mère, ou quelque chose de semblable, c’est alo
re : comme dans le Cresphonte, où Mérope est au moment de frapper son fils , qu’elle ne frappe pas, parce qu’elle le reconnaî
. » Et dans le Tydée de Théodecte : « Un roi allait pour chercher son fils , et lui-même il périt. » Et encore dans les Fille
les amants de sa femme dissipent son bien et veulent faire périr son fils . Cet homme, après des travaux infinis, revient ch
andé, au lieu de prier, lorsqu’il a dit : « Muse, chante la colère du fils de Pélée ? » Car, dit-il, commander, c’est ordonn
81 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Diderot, 1713-1784 » pp. 303-312
s-là ! » — Ce trait de fatuité patricienne mérite d’être noté. 1. Le Fils naturel, le Père de famille. 2. Vue du port de
. » 1. Michel Van-Loo, célèbre peintre de portraits, mort en 1765, fils de Jean-Baptiste Van-Loo, également renommé par s
en 1773. Son principal titre est un recueil de lettres écrites à son fils . 1. On dit encore : un homme très-répandu dans l
82 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
nt son école venait tout récemment d’accoucher, et lui avait donné un fils . « Allons donc, dit Favorinus, faire visite à l’a
r plus longuement : « Sans doute, dit-il, c’est elle qui nourrira son fils  ? » Mais comme la mère de la jeune femme faisait
, laissez-la donc être entièrement et sans restriction la mère de son fils . » En effet, c’est se mettre en opposition avec l
à ses crimes ; mais, après sa mort, il trouva dans l’opprobre de son fils la punition à laquelle il avait échappé pendant s
duite irréprochable. Comme il sentait sa fin approcher, il appela son fils , jeune homme profondément corrompu, et lui dit :
ne homme profondément corrompu, et lui dit : « Vous allez savoir, mon fils , à quel succès ont abouti les travaux d’une si lo
lle suite de jours. Ces instructions données, le vieillard expire. Le fils témoigne la plus violente douleur. Mais, venant à
son tour. Une maladie de fit songer à la fiole. Il avait lui-même un fils , plus semblable à son père qu’à son aïeul. Il ima
vies de point en point, son corps serait tout entier changé en or. Le fils pleurait, et protestait par les plus forts sermen
ble chars][texte coupé]re ! Dieux immortels, quel est votre dessein ? Fils de Léda, [illisible chars][texte coupé]oiles amie
us vives alarmes, ensuite de la plus grande affliction. Il avait deux fils , dont l’un, nommé Atys, supérieur à l’autre par u
homicide la main même à laquelle le père avait confié la garde de son fils , la main d’un suppliant, que le roi Crésus, dans
Aristote l’éducation d’Alexandre. 43. Philippe, devenu père d’un fils dont tant de présages lui avaient fait concevoir
es : « Philippe à Aristote, salut. Je vous apprends qu’il m’est né un fils  ; et je rends grâces aux dieux, non pas tant de m
taient plus estimés. Version XLIV. Instructions de Dédale à son fils . Chute et mort d’Icare. 44. « Vole à une égal
mes, et ses mains paternelles tremblèrent. Il donne des baisers à son fils , les derniers baisers, et porté sur ses ailes, il
e, Dédale agite ses ailes, et se retourne pour regarder celles de son fils . Bientôt l’enfant prit plaisir à son vol audacieu
ors il maudit ses inventions, enferma dans un tombeau le corps de son fils , et la terre reçut le nom de l’enfant, avec sa dé
médecins a perdu le roi. » Il fut enseveli au bord du Tibre ; et son fils adoptif, Antonin (surnommé le Pieux à cette occas
Les Parthes des élèvent avec autant de sollicitude que leurs propres fils , et s’épargnent aucun soin pour leur apprendre à
une fête militaire, pour célébrer l’anniversaire de Géta, son second fils . Il vit, au milieu de la foule, le jeune guerrier
umain, se laissa toucher aux malheurs de son vieux maître et du jeune fils de celui-ci ; et, loin de s’armer d’une cruauté i
tait seulement plus habile en fait de méchanceté. Le vieillard et son fils furent épargnés ; et, croyant qu’ils avaient été
2. Pompée fuyait avec les deux Lentulus, personnages consulaires, son fils Sextus, et Favonius, ancien préteur, que la fortu
s donnant l’exemple, tous à la fois saluent Romulus du titre de dieu, fils d’un dieu, roi et père de Rome ; ils le supplient
e ; elle lui procura la jouissance de voir en même temps trois de ses fils personnages consulaires, dont l’un avait même été
les bras des êtres qui lui étaient les plus chers ; et ce furent ses fils et ses gendres qui, après l’avoir porté dans Rome
r vigilant ou zélé cultivateur des vertus que comportait l’âge de son fils , il faisait retentir à ses oreilles, non pas comm
. Version XXII. Vices et vertus d’Alcibiade. 22. Alcibiade, fils de Clinias, était d’Athènes. La nature semble avo
ou la nature. Version XXIII. Thémistocle. 23. Thémistocle, fils de Néoclès, était d’Athènes. Les vices qui signal
XXVII. Discours de Charles-Quint, roi d’Espagne, à Philippe II son fils , en abdiquant la couronne. 37. Si c’était ma
n de ces provinces, j’aurais quelque titre à la reconnaissance de mon fils , en lui laissant un patrimoine si florissant, et
confie. Les autres monarques se félicitent d’avoir donné la vie à des fils , et de prévoir qu’ils leur légueront un jour la c
œu, le vœu d’un père : c’est que vous voyiez grandir sous vos yeux un fils en faveur duquel vous puissiez abdiquer la couron
pauvre, où Rome commençait ; alors qu’une humble cabane suffisait au fils de Mars, à Quirinus, et que les joncs du fleuve f
d’épuiser la Macédoine, quand les vétérans seraient remplacés par des fils élèves de leurs pères, qui serviraient dans les r
l assigna aux pères des récompenses proportionnées au nombre de leurs fils . Les orphelins continuaient à recevoir la solde d
Calabre, de l’Apulie et de la Campanie, de rendre à la mémoire de son fils les honneurs su prêmes. Les cendres étaient porté
e devant les chevaux, qui frémissent à son affreux aspect. Mais votre fils se lève fier et menaçant ; il n’a point changé de
t à se dérober au joug, se cabrent, et renversent leur fardeau. Votre fils est précipité de son char ; en tombant, il s’emba
t-être plutôt qu’il ne la mérita, mourut en laissant pour héritier le fils d’un homme qui avait été son ennemi. Version L
ysse, cet enfant, la terreur de mille vaisseaux. Joins tes mains, mon fils  ; prosterné devant un maître, presse en suppliant
ristote l’éducation d’Alexandre. 82 44. Instructions de Dédale à son fils . Chute et mort d’Icare. 84 45. Ælius Adrien. 84
244 37. Discours de Charles-Quint, roi d’Espagne, à Philippe II son fils , en abdiquant la couronne. 246 38. L’homme est i
ille du même nom ; mais César ne porta pas ses armes jusque-là. ***. Fils de Mithridate, dont la défaite fut annoncée par C
83 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
questibus implet. Dédale, relégué dans l’île de Crète avec son jeune fils Icare, fabrique des ailes à l’aide desquelles ils
erveille. Dédale attache ensuite les ailes fatales aux épaules de son fils . Il s’agit ici de peindre l’inquiétude de ce tend
lèrent de larmes, ses mains paternelles tremblèrent ; il embrassa son fils , mais, hélas ! c’était pour la dernière fois. »
mais qui n’avait pu, à cause de sa douleur, y graver la chute de son fils . Bis conatus erat casus effingere in auro, Bis
 ; l’indignation de ce roi à la vue de Pyrrhus qui égorge l’un de ses fils  ; le trait qu’il lui lance d’une main faible et t
84 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
tout entier, jeune dans Achille, mûr dans Ulysse, vieux dans Nestor, fils dans Télémaque, père dans Priam ? Homère lui-même
ai dit qu’Homère avait peint, dans l’Odyssée et l’Iliade, le père, le fils , l’épouse. L’étude des diverses relations naturel
ssions, les rapports de famille ou de société. Le Père de famille, le Fils naturel de Diderot, beaucoup d’autres drames de c
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Le Sage 1668-1747 » pp. 139-143
et de ma mère4, dont il ne pouvait assez vanter le bonheur d’avoir un fils tel que moi. En même temps, il versait du vin dan
ndre. 8. Accolade, bras jetés autour du cou. 9. « Anthée », géant, fils de Neptune et de la Terre, étouffé par Hercule.
86 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
r Louis le Grand. (Discours à l’Académie.) Lettre de Racine à son fils ainé 1 Au camp de Thieusies, le 2 juin 1693.
e mère vous fera part des nouvelles que je lui mande. Adieu, mon cher fils . Je ne sais pas bien si je serai en état d’écrire
87 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VI. Des éloges funèbres. »
s des guerriers dont nous célébrons la mémoire : ils savent que leurs fils naquirent soumis aux viscissitudes de la fortune.
heux lorsqu’ils y verront, empreinte à chaque pas, la gloire de leurs fils  : la gloire ! le seul sentiment qui jamais ne vie
88 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Massillon. (1663-1742.). » pp. 120-123
oraisons funèbres que prononça Massillon, on remarque aussi celle du fils unique de Louis XIV. 2. « C’est, a dit Châteaub
femme, la dauphine Marie-Adélaïde de Savoie. Le duc de Bretagne, leur fils , les suivit de près et mourut le 8 mars de la mêm
89 (1873) Principes de rhétorique française
l homme d’esprit et de cœur ne souhaiterait pour lui-même ou pour son fils de séjourner le plus possible dans ce milieu pur
tes-vous pas ici sur la montagne sainte, Où le père des Juifs sur son fils innocent Leva sans murmurer un bras obéissant ?
re même de la chose. Ainsi, le vieil Horace essayant de justifier son fils du meurtre de Camille et de présenter ce meurtre
r parler.   La douleur de Phérécyde qui vient de perdre Hippias, son fils d’adoption, n’est pas moins touchante : O cher e
, dans ces vers que Corneille prête au vieil Horace apprenant que son fils , qu’il avait soupçonné d’une lâcheté, est vainque
it soupçonné d’une lâcheté, est vainqueur des trois Curiaces : O mon fils  ! Ô ma joie ! ô l’honneur de nos jours ! O d’un É
u deviner les gémissements de l’amour paternel. Nestor pleure sur son fils Pisistrate : Malheureux d’avoir été père et d’av
pour les maux, je n’ai plus de sentiment que pour la tristesse. O mon fils , mon cher Pisistrate ! quand je perdis ton frère
le visage et la voix altérés par les larmes, il prit dans ses bras le fils de son client et le présenta aux juges pour implo
r tous ceux qui sont intéressés à cette consommation, Dieu, son divin fils et l’homme ; elle est opposée parla distinction e
ition, ne sont que le fond naturel et légitime de ce beau portrait du fils d’un héros qui seul reste inébranlable et pousse
les comprenant immenses, il ne pensa plus qu’à allier les devoirs de fils et de su ………   e voyait destiné. La Fontaine a d
s bons ‘ livres et les livres frivoles ou mauvais.    Quand    ses     fils    ingrats    l’accusaient d’être tombé en enfanc
les de Cléante : Sacrifiez à Dieu toute votre colère Et remettez le fils en grâce avec le père. Tartufe. Je vous ai d
ue de souffrir ainsi contre toute raison Qu’on en chasse pour vous le fils de la maison ? Croyez-moi, c’est donner de voire
te de faire périr une femme qui a tué son mari, qu’il est juste qu’un fils venge le meurtre de son père, et l’on absout Ores
son père, et l’on absout Oreste sans se demander s’il est juste qu’un fils assassine sa mère. Prendre pour cause ce qui n’e
ustice au malheureux Hippolyte se dit à lui-même : Allons de ce cher fils embrasser ce qui reste, Rendons-lui les honneurs
t l’Espagne seront désormais unies ; Louis XIV dit.à Philippe V : Mon fils , il n’y a plus de Pyrénées ; il suffit de rapproc
x ; mais la terre ne le nourrit plus et sa vie est éteinte : ainsi le fils d’Idoménée, comme une jeune et tendre fleur, est
ssèche et sa belle tête penche, ne pouvant plus se soutenir. Ainsi le fils d’Ulysse était aux portes de la mort.    Fénelon
passion a aussi ses périphrases. Quand Agrippine veut, déprécier son fils , elle n’est plus sa mère ; Néron n’est plus César
es expressives ont remplacé les mots propres : On verra d’un côté le fils d’un empereur,     Redemandant la foi jurée à sa
lle, Et de Germanicus on entendra la fille ; De l’autre l’on verra le fils d’Ænobarbus. C’est la flatterie qui substitue a
qu’attendez-vous ? Peut-être d’avoir rétabli les affaires du roi son fils  ? Non ; c’est de l’avoir faite reine malheureuse.
ins, Mais tout n’est pas détruit et vous en laissez vivre Un... Votre fils , seigneur, m’empêche de poursuivre. Quelle agita
u négligeant les avis, Vais-je y chercher la mort tant prédite à leur fils  ? Jamais vaisseaux partis des rives du Scamandre
Lâches ! qui pleins d’orgueil et faibles de courage Consumez, de mon fils le fertile héritage. Traduit par Boileau. 2. D
oire est dans nos propres mains, Racine. Horace veut prouver que son fils ne doit pas être puni : Dis, Valère, dis-nous, p
Et devez-vous souffrir, pour votre démêlé, Que du logis d’un père un fils soit exilé ? Molière Bossuet en a fait un très-b
 ? vous appellerai-je soldais, vous qui avez assiégé dans son camp le fils de votre empereur en le menaçant de vos armes ? C
Néoptolème de ne pas l’abandonner seul dans l’ile de Lemnos : O mon fils  ! je te prie, je te conjure par les mânes de ton
d’un beau jour. Fénelon emploie une comparaison quand i ! dit : Le fils d’Idoménée, comme une jeune et tendre fleur, est
elle que tout vit dans la poésie et dans l’éloquence. Aussi Racine le fils a-t-il justifié en poëte et en critique de goût c
ys n’en feront plus qu’un, n’auront plus de frontières : « Allez, mon fils , il n’y a plus de Pyrénées. »     5° Le possesseu
t : Que ton effronterie a surpris ma vieillesse ! dit Géronte à son fils le Menteur. De même Burrhus à Agrippine : Votre
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon fils , que, caché sous ce lin, Comme eux vous fûtes pau
les vignes de Poitiers contre le prince Noir, qui le prend lui et son fils , les mène à Londres où le maire, qui était marcha
C’est sous une forme laconique qu’une mère Lacédémonienne armant son fils du bouclier lui dit : « Ou dessus ou dessous. » L
ort des plaintes de David, renversé de son trône et persécuté par son fils Absalon, avec l’humiliation d’un chrétien qui se
e. Aussi les grands siècles scientifiques furent-ils presque toujours fils des grands siècles littéraires, et la renaissance
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
Beaumarchais 1732-1799 [Notice] Fils d’un horloger, mécanicien habile, maître de musiq
er toutes les Espagnes. Est-il rien de plus bizarre que ma destinée ? Fils de je ne sais qui, volé par des bandits, élevé da
(Le greffier écrit.) Figaro. Si le ciel l’eût voulu, je serais le fils d’un prince. Le comte au greffier. Allez. L’h
91 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52
u pluriel, mais l’adjectif suivant reste au singulier. Exemple : Mon fils , vous serez estimé, si vous êtes sage.   125. — L
n adverbe, et il n’a point de régime : il était sur son trône, et ses fils étaient à l’entour.   144. — Ne confondez pas ava
92 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
ait ces dames dans le salon, M. de Souvré survint ; à l’aspect de son fils paré des dépouilles de sa chambre, il recula deux
eut prendre pour exemple les paroles que la déesse Calypso adresse au fils d’Ulysse pour retenir ce jeune prince dans son îl
fut fini, la déesse prit Télémaque, et lui parla ainsi : Vous voyez, fils du grand Ulysse, avec quelle faveur je vous reçoi
aux chants de deuil, et l’on entendait les pleurs d’une femme et d’un fils se mêler aux hymnes du Christ sur la croix. Cepen
une réponse de Jupiter aux plaintes de Vénus sur le sort d’Énée, son fils  ; Ce dieu donc des dieux le plus sage. Se radouc
e et du pays latin. » Le deuxième est un dialogue entre Vénus et son fils Énée : « Vous sentez la dame divine, J’en jurera
93 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
de ses économies. Oh ! quelle fête ! quel jour de gloire pour un bon fils  ! quelle satisfaction de retourner, après un si l
le gouffre, voyant qu’il ne peut tarder à s’y voir engloutir, le bon fils veut signaler sa dernière heure par les pieux sen
e Syracusain les funestes effets de cette guerre, qui lui a ravi deux fils , la consolation et l’espoir de sa vieillesse. Je
ait trop longtemps que Vénus était la déesse de la beauté, et que son fils enfant depuis l’âge d’or, pouvait bien avoir aujo
nce et l’obtiendra : elle tombera sur vous et sur vos enfants ; et le fils d’un père injuste, et héritant de son crime, héri
e mère peut-elle oublier son enfant et n’avoir point de compassion du fils qu’elle a porté dans ses entrailles ? Mais, quand
94 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
) Un négociant français, établi à Boston, rappelle sommairement à son fils , officier dans l’armée française, les causes de l
e style de La Bruyère. (Grenoble, août 1886.) lettre d’un père a son fils pour le détourner des jeux de hasard. 1° Vous ave
générale de ces lignes de La Bruyère (Du mérite personnel) : « Votre fils est bègue ; ne le faites point monter sur la trib
son bienfaiteur. Il devint sous l’empereur d’Allemagne François Ier, fils de Léopold, un des numismates les plus distingués
Andromaque et Clytemnestre aiment, celle-ci sa fille et celle-là son fils , d’un amour désintéressé ; Agrippine n’aime son f
et celle-là son fils, d’un amour désintéressé ; Agrippine n’aime son fils que pour elle-même. De ces trois mères Andromaque
cruelle de manquer à la mémoire de son mari ou de laisser immoler son fils . Astyanax ne parait pas sur la scène, mais il est
elle entend gouverner sous son nom. Si elle essaye de réconcilier son fils avec Britannicus, c’est parce qu’elle a besoin qu
euse n’a pas les sentiments d’une mère réelle ; elle n’aime point son fils  ; on n’est pas touché de ses plaintes. Elle mérit
s principes. Elle est ambitieuse, elle veut régner sous le nom de son fils , elle n’attache aucun prix à la vertu pour elle-m
iderot eut moins de succès. Ses deux drames, le Père de Famille et le Fils Naturel sont déclamatoires et manquent d’intérêt.
ès la fatale révocation de l’Édit de Nantes sont morts en exil. Leurs fils n’ont pas tous oublié leur patrie. Il serait sage
n ne console pas les grandes douleurs, on les distrait. Il envoie son fils combattre les Maures. Le roi est plein de justice
èlement le souvenir de son mari, qui ne consent à suivre à l’autel le fils du vainqueur d’Hector et le destructeur de Troie,
, qui aime Andromaque et qui descend jusqu’à la menacer de livrer son fils aux Grecs, si elle s’obstine à le repousser, n’es
ces nouveaux auteurs que vous applaudissez maintenant ne sont que les fils ingrats du grand Corneille ! Avant lui, la scène
ndant resté presque seul de tous ses anciens admirateurs, il a vu les fils de ceux qu’il fit vaincre à Rocroi, en leur faisa
tantôt la verve comique la plus séduisante comme dans le Meunier, son fils et l’âne. Certains de ses personnages ont un cara
à la cour de Nymphée, que le mariage s’accomplisse. Mithridate a deux fils , dont l’un, Xipharès, aimait Monime avant ses fia
la pièce, le bruit court, de la mort de Mithridate. Pharnace, second fils du roi, accourt pour épouser Monime qui hait en l
e par l’annonce de son retour. Le roi, surpris de voir à sa cour, son fils Pharnace, devine ses attaques contre Monime et es
aques contre Monime et est confirmé dans ce soupçon ; il va punir son fils quand ce dernier lui dévoile les amours de Xiphar
ourir aux armes. Blessé mortellement, il expire entre les bras de son fils Xipharès, son hardi défenseur, auquel il accorde
écrit à Fénelon qu’elle s’était inspirée pour élever sa fille et son fils des idées de l’auteur du Traité sur l’éducation d
fortune et que cependant il lui fallait pourvoir à l’éducation de son fils , alors âgé de onze ans. Mme de la Sablière tira L
goûtait singulièrement les ouvrages de La Fontaine, se chargea de son fils et Mme de la Sablière retira chez elle le fabulis
parfois si froide, si dédaigneuse et toujours autant adorée. – Et son fils  ? Elle l’aima, plus et mieux, je crois, que beauc
t la femme peut-elle servir son pays ? – Mme de Sévigné a dit : « Mon fils a une qualité très commode, c’est qu’il est fort
nt Corneille a su varier dans trois personnages, le vieil Horace, son fils et Curiace, l’expression d’un même sentiment, le
de leurs bras. – Réponse de l’instituteur. – Un instituteur, dont le fils est sorti de l’École normale, lui écrit pour le m
écrit à un père de famille pour l’engager à envoyer régulièrement son fils à l’école. – Il fait ressortir les avantages de l
habitants résolus, partage cette troupe en trois bandes, donne à son fils la première de trente hommes, met à la tête de la
l’inauguration de ce monument. Jean Bouzard n’existait plus, mais son fils était là, digne héritier de son père. Vous peindr
le commandement des Athéniens et des Platéens à un certain Miltiade, fils de Cimon, qui est évidemment un héros, un demi-di
as brisés d’un coup d’une massue, et ne pressera plus sur son sein le fils qu’une épouse porte encore à la mamelle. Celui-ci
t de retour dans sa famille sans savoir à qui il doit sa liberté. Son fils seul croit connaître l’auteur de ce bienfait : c’
ragraphe. – Retour brusque de M. Robert. Dialogue entre le père et le fils . Quel est le bienfaiteur ? Ce ne peut être que l’
n arrivée. L’empereur, en apprenant à son retour que son gendre était fils d’un noble seigneur, proscrit pour avoir guerroyé
de divers côtés. Avec celui de Louis IX, rapporté de Tunisie par son fils Philippe, elle reçut les cercueils des cinq princ
étrangers. Quand il se fut assis sous le dais, ayant à sa droite son fils , à sa gauche sa sœur la gouvernante Marie, il pri
plus d’âge à continuer ses travaux et qu’il remettait ses états à son fils Philippe. En finissant, il recommanda aux assista
nts de rester fidèles au nouveau souverain. Puis se tournant vers son fils , il l’exhorta, dans les termes les plus pathétiqu
mbassadeurs….. Charles-Quint est vètu de deuil. Il est entouré de son fils , de son frère, de sa sœur, de ses neveux. Il s’ap
au seul vrai Dieu, créateur du ciel et de la terre, qui a envoyé son fils parmi nous, pour ramener les hommes au culte de l
francs, de ces hordes efféminées de l’Orient ?….. N’ètes-vous pas les fils de ces hommes qui ont conquis les Gaules ?… N’est
e canon qui le tua emportait le bras de M. de Saint-Hilaire, le jeune fils de celui-ci se mit à pousser des cris ; mais le p
ue parait dans le camp le jeune David. Son vieux père, dont les trois fils ainés servaient dans l’armée de Saül, l’avait env
tant qu’à la fin, ses mains lassées n’ont plus la force d’enlever les fils et qu’elle demeure prisonnière, n’espérant qu’en
émie ; ses soldats, inquiets, se pressent autour de sa tente….. ; son fils Philippe est à genoux près de son lit….. le saint
lculant la durée de la vie de Faraday, dit M. Tyndall, on voit que ce fils de forgeron, cet apprenti relieur, eut à choisir
fer. 2° Un orage éclate… Lancement du cerf-volant par Franklin et son fils … attente… déception… espoir… 3° Franklin touche l
s rendaient surtout hommage. En notre têmps positif, hélas ! Apollon, fils de Jupiter, dieu de la poésie et des arts, dont l
e auprès de vous l’office de secrétaire universel. Lorsque Prométhée, fils de Junon, dérobait le feu du ciel pour en faire l
naissez – le proverbe suivant : « Les étincelles n’effraient pas les fils des forgerons. » – Développer le récit suivant 
° dans la défense nationale. – Un de vos anciens camarades de classe, fils d’un cultivateur aisé, vous écrit qu’il ne veut p
et appréciez cette pensée. – Expliquer cette pensée : « Chacun est le fils de ses œuvres. » Est-elle plus vraie et d’une app
x en mettant en relief son importance. – Lettre d’un commerçant à son fils sur l’exactitude, l’ordre, la régularité. – Lettr
mille qui vous adresserait la question suivante : « Désirant que mon fils , qui est encore enfant, sache un jour parfaitemen
quelques arpents son mince patrimoine. Mais ce que le père a fait les fils le feront-ils, sur une parcelle amoindrie de la t
ndront-ils à mourir de faim sur un carré de plus en plus minime ? Les fils courent à la ville prochaine ; ils fuient les cam
ands centres, vers Paris, la ville des espérances… souvent déçues. Le fils du paysan laisse la pioche, dépose la charrue ; i
u paysan laisse la pioche, dépose la charrue ; il devient ouvrier. Le fils du commerçant et de l’industriel dédaigne et aban
s mots qui trompe les esprits les plus pondérés ! Alors que les vrais fils de la France emportaient avec eux au dehors les q
95 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
533, d’une famille originaire d’Angleterre, Michel de Montaigne était fils d’un loyal écuyer qui avait servi dans les guerre
elui là qui fouït11 mon iardin, il a ce matin enterré son pere ou son fils . Les noms mesme dequoy12 ils appellent les maladi
re des vertus. …………… C’est elle qui revêt d’une indomptable force Vos fils , durs à la neige, insensibles au feu ; Par elle v
96 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
férentes. 1º Du plus au moins : Si Dieu, dit saint Paul, a livré son Fils à la mort pour nous, que ne nous donnera-t-il pas
e père possédait de très belles terres, et qu’il laissait résider son fils dans ces terres pour les administrer. Expliquez
par inimitié que Roscius mettait ses richesses entre les mains de son fils , en se reposant sur lui de l’administration de ta
e, c’est une peine complètement perdue. Le vieil Horace croit que son fils , après la mort des deux frères, a fui devant les
j’ai pour vous. Et je ne parle point ainsi pour vous confondre, ô mon fils  ! mais pour vous avertir comme l’enfant bien-aimé
l a pour adversaires des personnes qui méritent beaucoup d’égards. Un fils est-il obligé de plaider contre son père, un infé
ius et sa mère. Quel que soit le caractère d’une mire, je le sais, un fils traduit en justice peut à peine dévoiler la honte
érences : Pendant que le dix-huitième siècle outrageait à plaisir le Fils de Dieu, il se trouva, dans le sein même de ce co
s et leurs ministres ; vous assisterez aux élévations et aux ruines ; fils du temps, le temps vous initiera aux secrets de l
pas, et le dernier obtint avec beaucoup de peine cette grâce pour son fils Pérolla, dont les engagements avec les Romains n’
tuer Annibal. Pacuvius, hors de lui-même, entreprend de détourner son fils d’une résolution si funeste, et lui adresse un di
de chercher les motifs par lesquels celui-ci pourrait déterminer son fils  : il s’en est présenté trois à son esprit ; le pr
ond regarde le père, qui est résolu de se mettre entre Annibal et son fils , et qu’il faudra par conséquent percer le premier
’orateur et du logicien : SYLLOGISMES. Première preuve. Majeure. Mon fils , vous ne devez pas entreprendre une action qui vo
les droits sacrés de l’hospitalité ; 3º l’autorité d’un père sur son fils . « Paucæ horæ sunt, intra quas jurantes per quidq
traité ; religio, pour l’hospitalité ; pietas, pour le respect qu’un fils doit à son père. La dernière pensée est fort bell
ieu ne plaise ! que vous descendiez aujourd’hui au tombeau, que votre fils soit dans un âge raisonnable, et que je poursuive
ccablé mon père et moi. Croyez que je lui demanderais pardon, à votre fils , de la nécessité cruelle à laquelle je serais réd
n’a pas connu la vérité. » Voilà, monsieur, ce que je dirais à votre fils . Mais faire une recherche barbare des injures les
otre tombeau, pour dire à ce malheureux enfant : Ne m’imitez pas, mon fils , ne me défendez pas… ; J’aimerais mieux mille foi
déchire, ses reproches m’accablent. Je l’entends qui me crie : « Mon fils  ! et tu étais présent, et j’ai été outragé à ce p
qu’est devenu ton courage ? N’ai-je plus de vengeur ? n’ai-je plus de fils  ?… » Arrêtez, ombre chère et sacrée, arrêtez ! Ou
fils ?… » Arrêtez, ombre chère et sacrée, arrêtez ! Oui, vous avez un fils , et il est toujours le même ; pénétré de vos vert
upplices qui peuvent accabler l’humanité se sont rassemblés sur votre fils , dans l’instant où vous avez été si cruellement o
blier, c’est méconnaître leur nature, leur génie et leur destinée. Le fils du Macédonien, l’élève d’Aristote, s’empara par s
dèles, les fautes naguère commises en Europe, les armes à la main, ce fils des croisés, pour rappeler un mot connu, se crois
nière, et, dans ses véhémentes philippiques, se repent aux dépens des fils de Voltaire, qu’il accable de ses traits acérés e
97 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
ivrée par son père. Agrippine arrache une dernière fois le pouvoir au fils qui doit la proscrire un jour. Un cri du cœur, l’
êtes-vous pas ici sur la montagne sainte Où le père des Juifs sur son fils innocent Leva sans murmurer un bras obéissant ?
l’Oraison funèbre de Turenne. Le vieil Horace, dans le procès de son fils , définit le crime en ces termes : Aimer nos enne
RODOGUNE. C’est à vous de choisir mon amour ou ma haine. J’aime les fils du roi, je hais ceux de la reine : Réglez-vous là
omaque, le ton pressant et impérieux d’Oreste, réclamant à Pyrrhus le fils d’Hector, produit un effet contraire à son but av
définition que Caton l’Ancien donnait de l’orateur : « l’orateur, mon fils Marcus, est l’homme de bien qui sait parler. » —
ile à votre gloire ; Et Rome, unique objet d’un désespoir si beau, Du fils de Mithridate est le digne tombeau. (Acte III, sc
l’auditeur dès les premiers mots. Ainsi raisonne Mithridate avec ses fils  : Ne vous figurez point que de cette contrée Par
ion ont été omises. Le brillant dilemme du vieil Horace défendant son fils pèche par un vice de ce genre. Où penses-tu choi
ours en paix, est toujours prêt dans le besoin à faire la guerre ; le fils est toujours en guerre, toujours prêt à donner la
le pauvre et vous, vous prendrez Dieu pour juge, Vous souvenant, mon fils , que cache sous ce lin, Comme eux vous fûtes pauv
funèbre de Marie-Thérèse, en rappelant la mort du duc d’Anjou, second fils de cette princesse, il emploie la même image, ave
c. iii. Vous vous êtes servi de ma funeste main Pour mettreà votre fils un poignardà la main. Mithridate, acte IV, sc.
un gendre. Mithridate, acte III, sc. i. De l’autre, l’on verra le fils d’Énobarbus. Britannicus, acte IV, sc. i. Ton
98 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
Calvin 1509-1564 [Notice] Né à Noyon, en 1509, fils d’un procureur fiscal, élevé dans l’Université de
eresse, mais je me confie en sa bonté et en la mort et passion de son Fils . Ainsi je ne doute point de mon salut puisqu’il m
99 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
composa la Politique. En 343, Philippe lui confia l’éducation de son fils Alexandre. Cette tâche terminée et son élève deve
(Au lecteur.) — Son neveu Robert (III) Estienne, avocat au Parlement, fils de Henri (III) Estienne, donna en 1630 (in-8º) un
ne ou soit sur le point de donner la mort à son frère, une mère à son fils , un fils à sa mère, ou qu’ils accomplissent quelq
t sur le point de donner la mort à son frère, une mère à son fils, un fils à sa mère, ou qu’ils accomplissent quelque action
ends celui, par exemple, où, dans Cresphonte, Mérope va pour tuer son fils et ne le tue pas, mais le reconnaît ; où, dans Ip
, sur le point de frapper son frère, le reconnaît, et, dans Hellé, le fils au moment de livrer sa mère. XIX. Voilà pourquoi
e de Théodecte, le personnage qui vient comme s’il allait trouver son fils est lui-même mis à mort. De même encore la reconn
t de telle sorte que sa fortune est dissipée par des prétendants, son fils est livré à leurs embûches et lui-même arrive ple
emple, les outrages subis par son épouse, ou par soi-même, ou par son fils  ; celles qui donneraient au poursuivant l’apparen
e fais pas de bien à un vieillard. » Pour conseiller de supprimer les fils , après avoir supprimé les pères, on citera cette
ecevoir. De là cette pensée : Il est grand le ressentiment des rois, fils de Jupiter318. Et cette autre : Mais aussi il r
r notre propre situation. Voilà pourquoi Amasis ne pleura pas sur son fils que l’on conduisait à la mort, et pleura sur son
e objet. De là ces vers : Il (Cébrion) déclinait la lutte avec Ajax, fils de Télamon ; Car Zeus se fût indigné contre lui s
t Stilbon étaient en contestation, Dodonis déclara que l’enfant était fils d’Isménias et, par suite, on décida que Thessalis
était fils d’Isménias et, par suite, on décida que Thessaliscus était fils d’Isménias. Autre exemple emprunté à la Loi, de T
es, après avoir consulté à Olympie, pour voir si l’avis donné (par le fils )430 serait conforme à celui du père, jugeant qu’i
es contraires. Exemple : une prêtresse ne voulait pas permettre à son fils de parler en public : « Si tu avances des choses
ertaine corrélation. Exemple : Iphicrate, comme on voulait forcer son fils à remplir et à supporter sa part des charges publ
e cette calomnie. Exemple : (une mère) dont une autre femme a ravi le fils par substitution445 semblait, en raison des cares
fait périr son époux, qu’elle meure à son tour, et que, du moins, le fils venge son père, Voilà donc ce que l’on a fait ;
s de sable ou de poussière, je n’épouserais pas la fille d’Agamemnon, fils d’Atrée ; non, quand même elle rivaliserait en be
 » Homère recherche cet effet dans ce passage. Nirée de Symé… Nirée, fils d’Aglaé… Nirée, le plus beau des hommes664… En e
és, ni vicieux, mais dont le mérite reste ignoré, comme Alexandre, le fils de Priam. Ici encore, l’orateur donne un conseil.
t toujours (des indications), quand l’interroge celui qui cherche son fils , et encore l’Hémon de Sophocle701. Chapitre XV
ûte de Pan. 7. Ou plutôt par des figures rythmées. 8. La prose. 9. Fils de Sophron. 10. Athénée appelle ce poème dramati
isme proprement, dit, celui de la dialectique. 196. Athlète célèbre, fils du Diagoras de Rhodes que Pindare a célébré (ol.
ochus est inconnu. On a proposé tour à tour de substituer Antilochus ( fils de Nestor) et Hippolytus (fils de Thésée). 249.
tour à tour de substituer Antilochus (fils de Nestor) et Hippolytus ( fils de Thésée). 249. Cp. Thucyd., vi, p. 379, d’H. E
e auquel Aristote fait allusion. 303. Critias, un des trente tyrans, fils de Dropidas, frère de Solon. Proclus (in Timæum,
léniques, vii, p. 630, éd. Leunclavius. 411. Thestius, dont les deux fils périrent par le fait de Méléagre. Le scoliaste cr
, 42-43), qui a presque traduit ces vers d’un poète inconnu. 413. Le fils de Priam. 414. Discours perdu, intitulé : περὶ τ
et collaborateur d’Aristote. C’est plus que douteux. 427. Autoclès, fils de Strombichide, qui fut mis à mort par les trent
t dont la vulgate donne cette dernière forme. 430. L’avis d’Apollon, fils de Jupiter. 431. Pâris. Cp. Isocr., Él. d’Hélène
ste. 446. C’est-à-dire comme on apprit que c’étaient une mère et son fils , non pas un amant et sa maîtresse. 447. Cp. Ovid
x gestes des athlètes qui vont lutter. 686. Probablement Iophon, son fils et poète tragique comme lui. 687. Antidosis, éc
100 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
ur de leurs maux : Comment es-tu tombé de ton char radieux, Brillant fils du matin ! Tu versais la lumière, Et tu dors main
ile son Pollion, à Pope sa belle églogue du Messie, et dont Racine le fils a réuni les traits principaux dans les vers suiva
e oublier l’enfant qu’elle allaite, et n’avoir point de compassion du fils qu’elle a porté dans son sein ? Mais quand même e
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