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1 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Maintenon, 1635-1719 » pp. 138-145
ereuse. Si vous mettez toute votre confiance en Dieu, mes très-chères filles , sans vous appuyer sur vous-mêmes, ni sur aucun t
ute vérité, selon les termes de l’Écriture. Ne craignez point que des filles instruites avec cette simplicité soient incapable
s : la charité vaut mieux que toute la politesse du siècle. Quand une fille aura du bon sens avec une grande piété, elle sera
ison de Saint-Louis soit la maison de Dieu. (Esprit de l’Institut des Filles de Saint-Louis.) À M. l’abbé Gobelin 1 27 
de Saint-Cyr, je vous négligeais, vous que je regarde comme ma propre fille . Je ne sais si c’est vous qui leur inspirez la fi
us devez du respect à vos cousines2. Je vous parle comme à une grande fille , parce que vous avez l’esprit fort avancé ; mais
ont vous avez besoin1. (Mme¨de Maintenon, Lettres sur l’éducation des filles .) À madame de Glapion 2. Ce 9 novembre 1702
ressource en nous-mêmes. Non, vous ne serez jamais contente, ma chère fille , qu’au jour où vous aimerez Dieu de tout votre cœ
e l’esprit ; je suis venue à la faveur, et je vous proteste, ma chère fille , que ces états laissent un vide affreux, une inqu
dites pas : « Se peut-on faire dévote quand on veut ? » Oui, ma chère fille , on le peut, et il ne nous est pas permis de croi
tre cœur et à la délicatesse de votre esprit ; allez à Dieu, ma chère fille , et tout vous sera donné. Adressez-vous à moi tan
avec Louis XIV, il crut devoir changer de ton avec sa pénitente. 2. Fille unique du frère de madame de Maintenon. — Le text
2 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
ligé de payer ses funérailles, et de pourvoir à la subsistance de ses filles . (Voyez le mot Thémistocle.) Ascàlon, ville vois
re d’Apollon, vint, revêtu de ses habits pontificaux, lui demander sa fille Chryséis, qui avait été faite prisonnière à la pr
né à Rome, l’an 63 avant J.-C., fils d’Octave, sénateur, et d’Accie, fille de Julie, sœur de Jules César. Il n’avait que 10 
4, et avoir adopté Tibère, qu’il s’était associé à l’Empire. Aurore, fille , selon la fable, de Titan et de la Terre. Les poè
e dans la terre promise. Bavière (Marie-Anne-Christine Victoire de), fille de Ferdinand de Bavière, et née à Munich en 1660.
enceinte. Céphale, fils, selon la fable, du dieu Mercure et d’Hersé, fille de Cécrops, premier roi d’Athènes. L’Aurore l’aim
é sur le trône en 768, et mourut en 814. Circé, fameuse magicienne ; fille , selon la fable, du Soleil et de la nymphe Persa.
it fait naître. Clytie, une des nymphes qui, selon la fable, étaient filles de l’Océan et de Thétys, qu’il ne faut pas confon
’hui Cérigo), dans la mer Ionienne, ou mer de Grèce. D Daphné, fille , selon la fable, du fleuve Pénée, Poursuivie à la
e pétrée, en descendaient. Esther, juive de la tribu de Benjamin, et fille d’Abigaïl, frère de Mardochée, d’une famille cons
cès, lorsqu’il mourut en 1100, après un règne d’un an. H Hébé, fille de Junon, suivant la fable, et déesse de la Jeune
e homme couronné de roses, avec un flambeau à la main. I Iris, fille de Thaumas, suivant la fable, et messagère de Jun
fruits, et fait partie de la Sourie, dans la Turquie d’Asie. Junon, fille , selon la fable, de Saturne et de Rhée, ou Cybèle
us, fils d’Octavie, sœur d’Auguste, qui, en le mariant avec Julie, sa fille , l’adopta pour son fils et son successeur à l’Emp
bsolument nécessaire dans l’étude des sciences et des arts. Mémoire ( filles de). Nom que l’on donne souvent aux neuf muses, c
Mémoire (filles de). Nom que l’on donne souvent aux neuf muses, comme filles , selon la fable, de Mnémosyne, ou la déesse de mé
ujourd’hui le mot Olympe signifie également en poésie le ciel. Onde ( fille de l’). On appelle ainsi quelquefois Vénus, parce
rce qu’elle naquit, suivant la fable, de l’écume de la mer. Orithie, fille d’Érecthée, roi d’Athènes. Elle fut enlevée, suiv
le foie, à mesure qu’il renaissait. R Rambouillet (Julie de), fille de Catherine de Vivonne, et de Charles d’Angennes
e l’eussent fait assassiner. Il était fils de la vestale Rhéa Sylvia, fille de Numitor, roi d’Albe ; et les Romains lui donna
petit bourg, nommé Tiva ou Stives. Thémis, déesse de la Justice, et fille , selon la fable, du Ciel et de la Terre. On la re
’un pouvoir vraiment monarchique. Thétis, une des déesses de la mer, fille de Nérée et de Doria, et petite fille de Théthys,
tis, une des déesses de la mer, fille de Nérée et de Doria, et petite fille de Théthys, femme de l’Océan. Elle était si belle
passa ensuite à la maison de Praslin, qui lui donna le sien. Vénus, fille , suivant plusieurs poètes, de Jupiter, et de la n
3 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
racheter les captifs de sa religion ; il retrouvera en même temps sa fille dans Zaïre, qui, tombée au pouvoir de l’ennemi co
larmes que le temps Ne peut encor tarir dans mes yeux expirants. Une fille , trois fils, ma superbe espérance3, Me furent arr
mes autres enfants, s’ils sont vivants encore : Mon dernier fils, ma fille , aux chaînes réservés, Par de barbares mains pour
lon. Il est vrai, dans l’horreur de ce péril nouveau, Je tenais votre fille à peine en son berceau : Ne pouvant la sauver, se
usignan. Moi, votre fils ! Seigneur !Heureux jour qui m’éclaire ! Ma fille , mon cher fils, embrassez votre père1. Châtillon
e et triste famille, Mon fils, digne héritier… vous… hélas ! vous, ma fille  ! Dissipez mes soupçons, ôtez-moi cette horreur,
e. Je ne puis vous tromper : sous les lois d’Orosmane… Punissez votre fille … elle était musulmane. Lusignan. Que la foudre e
fants : Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve une fille , elle est ton ennemie ! Je suis bien malheureux…
st ton père, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta foi. Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au m
e sang des héros, défenseurs de ma loi ; C’est le sang des martyrs… O fille encor trop chère, Connais-tu ton destin ? sais-tu
repentir : Je vois la vérité dans ton cœur descendue ; Je retrouve ma fille après l’avoir perdue, Et je reprends ma gloire et
4 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
près de l’île Eubée (aujourd’hui Nègrepont), il sacrifia aux Dieux sa fille Iphigénie, qui, suivant plusieurs auteurs, ne fut
, les représente sous la figure de petits enfants ailés. Amphitrite, fille de Nérée, dieu marin, et de sa sœur Doris. Neptun
sur ses bords beaucoup de bitume, que les Arabes ramassent. Athalie, fille d’Achab et de Jézabel, et femme de Joram, roi de
déesse des fruits. Autriche (Marie - Thérèse d’), infante d’Espagne, fille de Philippe IV et d’Élisabeth de France, sœur de
l’adorèrent. Bacchus, fils, selon la fable, de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus, qui fonda la ville de Thèbes en Béotie
it eu la générosité de lui donner la vie. C. Camille, amazone, fille de Metabus, et reine des Volsques, peuple d’Itali
(aujourd’hui la Janna ou Jannina, dans la Turquie d’Europe). Cérès, fille , selon la fable, de Saturne et de Cybèle, et dées
Balès ; rétabli l’an 131 avant J.-C., et mort deux ans après. Diane, fille , selon la fable, de Jupiter et de Latone, et dées
arquois rempli de flèches, et ayant sur sa tête un croissant. Didon, fille de Bélus, roi de Tyr, dans la Phénicie, qui fait
cueillait. Il mourut si pauvre, que le sénat fut obligé de marier ses filles aux dépens du trésor public. Il vivait l’an 282 a
une lieue de la Loire, non loin de Saumur, avec une célèbre abbaye de filles , qui est chef d’ordre. France (Henriette Marie d
abbaye de filles, qui est chef d’ordre. France (Henriette Marie de), fille de Henri IV et de Marie de Médicis, et femme de C
e nom passa dans la suite à tous les peuples de la Germanie. Grâces, filles , selon la fable, de Jupiter et de Vénus, déesse d
er, fils, selon la fable, de Saturne et de Rhée, ou Cybèle, qui était fille du Ciel et de la Terre. Aussitôt qu’il fut parven
enfermés Constant d’Aubigné, son père, et Anne de Cardillac, sa mère, fille du gouverneur du Château-Trompette à Bordeaux. De
rd’hui Candie), fils de Jupiter, selon la fable, et mari de Pasiphaë, fille du Soleil. La sagesse de ses lois, et son équité
après le passage du Rhin, d’un coup de mousquet à la tête. Nymphes, filles de Nérée, dieu marin, et de sa sœur Doris. Elles
on, et dernier roi de Troie. Les poètes lui donnent cinquante fils ou filles , dont il en eut dix-neuf d’Hécube. Il recula par
li, dans le cimetière de la paroisse de Saint-Paul. R. Rachel, fille de Laban, habitant de la Mésopotamie dans le pays
5 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43
peut-être que vous êtes d’habiles gens1. M. Jourdain refusant sa fille à Cléonte, parce qu’il n’est pas gentilhomme
e ne suis point gentilhomme1. M. Jourdain. Touchez là, monsieur, ma fille n’est pas pour vous2. Cléonte. Comment ? M. J
? M. Jourdain. Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez point ma fille . Madame Jourdain. Que voulez-vous donc dire ave
veux avoir un gendre gentilhomme. Madame Jourdain. Il faut à votre fille un mari qui lui soit propre ; et il vaut mieux po
us fourrez3 toujours dans la conversation. J’ai du bien assez pour ma fille  ; je n’ai besoin que d’honneurs, et je veux la fa
ux inconvénients. Je ne veux point qu’un gendre puisse reprocher à ma fille ses parents, et qu’elle ait des enfants qui aient
it-on, cette madame la marquise qui fait tant la glorieuse ? c’est la fille de M. Jourdain qui était trop heureuse, étant pet
s caquets, et je veux un homme, en un mot, qui m’ait obligation de ma fille , et à qui je puisse dire ; Mettez-vous là, mon ge
emeurer toujours dans la bassesse. Ne me répliquez pas davantage ; ma fille sera marquise, en dépit de tout le monde, et, si
e à toute occasion, et qu’on met sous son chevet. 1. Valére aime la fille d’Harpagon, il s’est insinué dans la demeure, à t
m de sa servante. 5. On lit dans madame de Sévigné : « Comment, ma fille , j’ai donc fait un sermon sans y penser ! J’en su
6 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Sévigné. (1626-1696.) » pp. 48-53
de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surtout avec sa fille , c’est en les entretenant des nouvelles de la cou
Séjour de madame de Sévigné dans sa terre des Rochers. Enfin, ma fille , me voici dans ces pauvres Rochers : peut-on revo
hier en l’honneur des paresseux : Bella cosa far niente 1. Hélas ! ma fille , que mes lettres sont sauvages ! Où est le temps
, je suis persuadée que vous aimez mieux celles-là que les autres… Ma fille , aimez-moi toujours : c’est ma vie, c’est mon âme
1 mai 1671. A la même. Inquiétudes de madame de Sévigné pour sa fille et son fils. Mort du jeune duc de Longueville.
une santé qui m’est si chère ! Qui m’eût dit en ce temps-là : « Votre fille est plus en danger que si elle était à l’armée »,
sa témérité, on peut voir une autre lettre de madame de Sévigné à sa fille , datée du 3 juillet 1672.
7 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Sévigné 1626-1696 » pp. 52-64
rer les brèches d’une fortune compromise, établir son fils, adorer sa fille , madame de Grignan, se lamenter sur son éloigneme
indre ; je ne l’entreprendrai pas1 aussi. J’ai beau chercher ma chère fille , je ne la trouve plus, et tous les pas qu’elle fa
tes ; mais je vis tout démeublé, tout dérangé, et votre pauvre petite fille qui me représentait la mienne. Comprenez-vous bie
aucune fantaisie, mais sa main est un creuset où l’argent se fond. Ma fille , il faut que vous essuyiez tout ceci. Toutes ces
aurais rompu les bras et coupé les oreilles4. » Une noce À sa fille J’ai été à cette noce de Madame de Louvois. Q
une santé qui m’est si chère ! qui m’eût dit dans ce temps-là : Votre fille est plus en danger que4 si elle était à l’armée ?
lle puisse vivre après une telle perte2. Mort de Turenne À sa fille A Paris, mercredi 28 août 1675. Vraiment, ma
renne À sa fille A Paris, mercredi 28 août 1675. Vraiment, ma fille , je m’en vais bien encore vous parler de M. de Tu
8 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
page 203. Compositions. N° 11 Au nom d’une mère, souhaitez à sa fille une heureuse année, Avis. Cette lettre n’aura qu
ompliment l’amitié de la mère comme devant concourir au bonheur de la fille , pour varier agréablement la forme du souhait.
→ Préceptes particuliers, tome 1er, page 205. N° 4. — Une mère à sa fille La mère félicitera sa fille d’une très belle l
1er, page 205. N° 4. — Une mère à sa fille La mère félicitera sa fille d’une très belle lettre qu’elle a reçue pendant l
leuse. Avis. Recourez à l’énumération pour parler de la lettre de la fille  ; une quinzaine de lignes pour toute la lettre.
le bonheur réel qui vous reste ? — ….. Pour qui regrettez-vous votre fille  ? — ….. Est-ce pour vous ? À la bonne heure ; mai
ez-en par les maux que vous souffrez — Elle eût pu devenir mère d’une fille et ne pas avoir un fils pour se consoler. —  Avi
— A Mme de Grignan. Madame de Sévigné a demandé des nouvelles à sa fille . Celle-ci lui a répondu point par point et avec u
e attention, que madame de Sévigné en est enchantée. Elle remercie sa fille  ; mais après cette effusion cordiale, elle la pri
amants et d’une tête de mort de corail. Madame de Sévigné remercie sa fille . Avis. Jouez d’abord la surprise, comme si vous
an. Madame de Sévigné ne recevait pas exactement les lettres de sa fille , et l’avait chagrinée à ce sujet. Elle s’excuse e
tre dégoût pour ses divines senteurs ; cependant, je le comprends, ma fille , la chose du monde la plus malsaine, c’est de dor
t si agréable que je la reçois à bras ouverts. Adieu, ma très aimable fille , n’espérez pas que je puisse jamais vous aimer pl
gné à Mme de Grignan. Quand on compte sans la providence, ma chère fille , on court risque souvent de se mécompter. J’étais
es remontrances. Ainsi, coffres qu’on rapporte, mulets qu’on dételle, filles et laquais qui se sèchent pour avoir seulement tr
isons qui me font souhaiter passionnément d’être à Grignan. Enfin, ma fille , me voilà, ne m’attendez plus ; je vous surprendr
r terre et dans les deux, N° 39. — La Violette. La violette est fille du printemps, — elle se plaît dans les bocages ;
ir, lui demande de ses nouvelles, de celles de sa femme, de sa petite fille , de son petit Colin, de son chien Brusquet, l’ass
re à la maison et bientôt reparaît à la fenêtre avec une autre de ses filles , plus jeune que Cécile, et vivante encore, quoiqu
que Cécile, et vivante encore, quoique la mort fût sur son visage — … Fille regarde, la pauvre femme, les indignes obsèques d
isage — … Fille regarde, la pauvre femme, les indignes obsèques de sa fille aînée — … Dénouement. Puis elle alla replacer su
61. — Loïs Exposition. Cérès, ayant cherché par toute la terre sa fille Proserpine, s’en retournait en Sicile, lorsqu’ell
més à l’Abbaye. Le père de Mlle Sombreuil allait périr. Sa courageuse fille s’élance, le dispute à ses meurtriers, lui fait u
aissée, chassée du palais de mon père et réduite à être esclave, moi, fille d’un roi ! Et la mort ne termine pas mes douleurs
uronne de roses, et remporta dans les cieux — … N° 213. — La Jeune Fille et sa Mère Une jeune fille et sa mère avancée
e dit doucement : Ma mère, vous n’avez pas toujours été pauvre — … Ma fille , Dieu est le maître — … Il m’a enlevé votre pore,
me plaindre — … Et la jeune fille embrassait sa mère — … Ecoutez, ma fille , reprit encore la mère, tout passe ici-bas, un mo
roses blanches — … C’était vous — … L’hiver n’était pas fini, que la fille et la mère moururent dans les bras l’une de l’aut
ait demandé Mathilde en mariage ; mais il fut refusé du père et de la fille — … Peu après fut tué un banneret de Berne — … Kœ
e Après plusieurs jours de marche incertaine ; Œdipe et sa pieuse fille parvinrent au pied du Cythéron. Cette montagne es
, que je croyais être ma patrie. Je me dirigeai du côté de Thèbes. Ma fille , le chemin n’est-il pas étroit ? Ne tourne-t-il p
rs consacrée aux Muses, et qui maintenant est chère aux Euménides. Ma fille , conduis-moi sous les deux chênes qui prêtent à l
n, je vois les remparts de Thèbes. — Tu vois la ville de Cadmus, ô ma fille  ! Je la voyais aussi ; et j’étais loin de croire
on pardon. Mon Antigone, viens sur mon sein, entoure-moi de tes bras, fille chérie, je me mets sous ta protection. Ah ! Prie
t lui son trouble s’apaise, et, d’une voix pleine de tendresse : « Ma fille , dit-il, tu vois en moi une victime destinée au s
ernier acte de la justice des dieux ; mais a enfin je vais mourir, ma fille , coupe sur mon front une boucle de mes cheveux et
posée sans pompe, et comme à la dérobée, dans le sein de la terre. Ma fille , rien ne pourra t’empêcher de remplir ce pieux de
ur recevoir l’homme qui connut toutes les misères ! et toi, Antigone, fille courageuse et magnanime implore de nouveau la clé
nt, lui dit Œdipe, retire-toi. » Antigone se jeta à ses pieds. « O ma fille , lui dit le roi, je te laisse seule sur la terre 
as encore former, il se souviendra de l’hospitalité qui nous unit. Ma fille , rends-toi dans l’illustre cité de Minerve, avec
mes frères pour que le malheur cesse de s’appesantir sur moi-même. Ma fille , reprend Œdipe, pourquoi parler ainsi ? Âme subli
la conscience, les louanges des hommes et l’amour des dieux ! Va, ma fille , je t’ai devinée, tu n’as parlé de toi qu’à cause
le sacrifice. Non, tant de vertu ne restera pas sans récompense ; ma fille , crois en les paroles d’Œdipe qui va mourir ; adi
nèbres mystérieuses, sort ce dernier cri : « Hélas ! Hélas ! Adieu ma fille  ! » A l’instant même renaît la clarté du jour. An
ant dans l’Olympe ? Les dieux se sont réservé ce secret. La généreuse fille d’Œdipe, testée seule, partagée entre l’étonnemen
epoussant ainsi que son enfant, ou qu’ils accueillent et protègent la fille et le fus de leurs rois. Avis. Style relevé et s
crime et leur lâcheté. Ils ont enfin ce qu’ils désiraient. La pauvre fille près de mourir ne les épouvante plus sans doute ?
couronne au roi de France, et ils font mourir dans les supplices une fille innocente ; ils sont lâches et injustes ; mais Di
pour la couronne d’Elisabeth. Le peuple songera à la vengeance de la fille de ses rois ; il retirera à la reine ses respects
POSITIONS. →Le modèle, tome 1er, page 502. N° 242. — Lusignan à sa Fille Lusignan, vieux guerrier octogénaire, retrouve
rier octogénaire, retrouve, dans le palais d’un empereur musulman, sa fille qu’il croyait perdue depuis longues années, Sa jo
nfants, Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve une fille , elle est ton ennemie ; Je suis bien malheureux !
st ton père, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta foi. Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au m
le sang des héros défenseurs de ma loi, C’est le sang des martyrs. Ô fille encor trop chère ! Connais-tu ton destin ? Sais-t
repentir ; Je vois la vérité dans ton cœur descendue, Je retrouve ma fille après l’avoir perdue ; Et je reprends ma gloire e
es femmes, de robes d’étoffes des plus vives couleurs. 114. Electre, fille d’Agamemnon et de Clytemnestre, fut témoin de la
9 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
quelque légion ; Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille , femme, sœur et mère de vos maîtres ! Que prétend
vec moi sa haine et sa famille, Il me demande un fils pour époux à sa fille . Cet honneur vous regarde, et j’ai fait choix de
PHIGÉNIE, à son père. AGAMEMNON. Que vois-je ! Quel discours ! Ma fille , vous pleurez, Et baissez devant moi vos yeux mal
ant moi vos yeux mal assurés : Quel trouble ! Mais tout pleure, et la fille et la mère. Ah ! malheureux Arcas, tu m’as trahi 
ant, un sévère destin, Si près de ma naissance, en eût marqué la fin. Fille d’Agamemnon, c’est moi qui, la première, Seigneur
se ? AGAMEMNON. Seigneur, je ne rends point compte de mes desseins Ma fille ignore encor mes ordres souverains ; Et, quand il
ensez qu’approuvant vos desseins odieux, Je vous laisse immoler votre fille à mes yeux ? Que ma foi, mon amour, mon honneur y
argé du soin de ma famille ? Ne pourrai-je, sans vous, disposer de ma fille  ? Ne suis-je plus son père ? Êtes-vous son époux 
t votre frère blessé A-t-il droit de venger son amour offensé ? Votre fille me plut, je prétendis lui plaire ; Elle est de me
ng réservée. Je ne connais Priam, Hélène, ni Pâris ; Je voulais votre fille , et ne pars qu’à ce prix. AGAMEMNON. Fuyez donc :
is. Je ne dis plus qu’un mot ; c’est à vous de m’entendre. J’ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jus
ur réparer des ans l’irréparable outrage : « Tremble, m’a-t-elle dit, fille digne de moi ; Le cruel Dieu des Juifs l’emporte
aussi sur toi. Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, Ma fille . » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre
10 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Maintenon 1635-1719 » pp. 94-99
de Saint-Cyr, je vous négligeais, vous que je regarde comme ma propre fille . Je ne sais si c’est vous qui leur inspirez la fi
us devez du respect à vos cousines2. Je vous parle comme à une grande fille , parce que vous avez l’esprit fort avancé ; mais
ont vous avez besoin3. (Mme de Maintenon, Lettres sur l’éducation des filles .) Sur les malheurs de la guerre À M. le d
e l’espris ; je suis venue à la faveur, et je vous proteste, ma chère fille , que ces états laissent un vide affreux, une inqu
avec Louis XIV, il crut devoir changer de ton avec sa pénitente. 1. Fille unique du frère de madame de Maintenon. — Le text
11 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
dans Israël en chantant des hymnes de reconnaissance envers Dieu. La fille de Jephté s’offre la première à son père, qu’elle
vue, Jephté est saisi de douleur et laisse éclater son désespoir. Sa fille en comprend la cause et se résigne à son sort ave
reçoit la mort. Lecture. — Vœu de Jephté. Vol. II, nº 115. La Jeune Fille et la Naïade. Argument. Une jeune fille le sortit
s dans ce miroir. Trouver une conclusion morale. Lecture. — La jeune Fille et la Naïade. Vol. II, nº 116. Section II. — 
la prétention. C’est ce langage que madame de Sévigné recommande à sa fille , quand elle lui écrit : « Vous me dites plaisamme
de Molière, qui s’essuyait le front pour avoir rendu la parole à une fille qui n’était pas muette. » 2° La métaphore est un
et qu’on finit ensuite par lui dévoiler. Madame de Sévigné écrit à sa fille  : « Il y a aujourd’hui bien des années, ma fille
Sévigné écrit à sa fille : « Il y a aujourd’hui bien des années, ma fille qu’il vint au monde une créature destinée à vous
n a point dans ce monde ? Je suis bien aise que vous reveniez pour ma fille . Demandez à M. de C… combien elle est jolie. Mont
oureuse, telle que la mort d’un père, d’une mère, d’un ami ; ou d’une fille  ; soit aussi la perte de la fortune, d’un procès,
de Maintenon. Vol. II, nº 138. — 3° Lettre de madame de Sévigné à sa fille . Vol. II, nº 139. 12° Des Lettres de Devoirs e
utte de notre sang. »   Lettre de sentiment de madame de Sévigné à sa fille Livry, lundi 27 mai 1676. « Quel jour, ma fille,
adame de Sévigné à sa fille Livry, lundi 27 mai 1676. « Quel jour, ma fille , que celui qui ouvre l’absence ! Comment vous a-t
12 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
rer les brèches d’une fortune compromise, établir son fils, adorer sa fille , Madame de Grignan, se lamenter sur son éloigneme
que je ferai beaucoup mieux que tout cela, c’est de penser à vous, ma fille  ; je n’ai pas encore cessé depuis que je suis arr
aucune fantaisie, mais sa main est un creuset où l’argent se fond. Ma fille , il faut que vous essuyiez tout ceci. Toutes ces
: il est vrai qu’il ne s’appelle pas Rabutin comme moi. La plus jolie fille de France vous fait des compliments ; ce nom me p
pourtant lasse d’en faire les honneurs2. Mort de turenne À sa fille À Paris, mercredi 28 août 1675. Si l’on pouvo
e on voudroit avoir écrit, et c’est parce qu’on le doit. Vraiment, ma fille , je m’en vais bien encore vous parler de M. de Tu
ne. C’est dit avec fierté et modestie. 5. Madame de Sévigné était la fille unique de Celse-Bénigne de Rabutin, baron de Chan
13 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
isage,           Elle s’avançait à pas lents.           Ah ! pleure, fille infortunée !           Ta jeunesse va se flétrir
. Je ne dis plus qu’un mot ; c’est à vous de m’entendre ; J’ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jus
bole. Dans le premier, Ulysse, pour déterminer Agamemnon à immoler sa fille Iphigénie, diminue la grandeur de ce sacrifice, e
t ainsi que Lusignan insiste avec force sur la naissance de Zaïre, sa fille , pour la ramener à la religion de ses pères : Ma
de Zaïre, sa fille, pour la ramener à la religion de ses pères : Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au m
ards,                  Et la sœur et le frère,                  Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son père !
cer. Racine, Athalie, acte II, sc. v. Lectures. — 1° Lusignan à sa fille . Vol. II, nº 26. — 2° Songe d’Athalie. Vol. II, n
intitulée Moïse sauvé des eaux, en fournit un exemple. Nous voyons la fille de Pharaon dire à ses compagnes, qui sont venues
e vois-je ? Regardez à l’horizon lointain…          Ne craignez rien, filles timides : C’est sans doute par l’onde entraîné ve
s la tragédie d’Iphigénie, Agamemnon ne peut se résoudre à immoler sa fille  ; Ulysse combat sa tendresse paternelle en employ
oire. Lecture. — Ulysse à Agamemnon, pour le déterminer à immoler sa fille . Vol. II, nº 48. § IX. Communication La Com
olutions romaines. Ulysse, pour déterminer Agamemnon à sacrifier sa, fille , fait usage de cette figure dans son discours. Ce
Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère, Les époux expirants sous leurs toit
fants ; Et, lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve ma fille , elle est ton ennemie. Voltaire, Zaïre, acte II,
14 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
N° 4. — À Mme de Grignan. Ne me parlez plus de mes lettres, ma fille  ; je viens d’en recevoir une de vous, qui enlève,
orsqu’à peine elle commençait à briller de tout son éclat !… Avec une fille si accomplie, et un fils que vous-même n’auriez p
l ne s’accrût d’avoir produit un homme semblable à votre fils, ou une fille digne de lui. Oh ! que vous étiez vraiment heureu
ble à celles que votre fils répand sur vous... ? Vous regrettez votre fille , est-ce pour elle-même ou pour vous ? Je veux dir
rait de la peine à comprendre de quoi vous les accusez. Quant à votre fille , si c’est elle dont vous déplorez le sort, à cet
rouve bien mieux parce que vous me mandez que par les relations de ma fille . J’ai pleuré comme elle : car je ne soutiens pas
cela fait une conversation toute réglée et très délicieuse. Mais, ma fille , en vérité, ne vous tuez pas ; cette crainte me f
tude. J’en ai bien importuné le pauvre d’Acqueville, et vous-même, ma fille . Je m’en repens, et je voudrais bien ne l’avoir p
euse d’avoir commencé ma journée par vous. Je vous embrasse, ma chère fille . Si vous pouvez, aimez-moi toujours, puisque c’es
a bonne vieille l’ayant appris, a eu la simplicité de vous envoyer sa fille , avec la lettre d’avis, vous redemander son beurr
e gracieux abandon. Mme de Sévigné commence par faire compliment à sa fille de son talent à faire des relations. Deux lignes
re, n’aura jamais tort. A ce propos, Mme de Sévigné fait hommage à sa fille d’une pensée qui lui avait été communiquée aupara
tendant les bras à la flatterie, qui lui dit qu’elle est aimée de sa fille . Il serait difficile de classer cette lettre dans
messager l’attendait, et que Mme de Sévigné avait hâte de rassurer sa fille . L’ellipse de verbe (était), dans tous les adieu
as : la gloire, qui en est l’expression, ne se conteste pas non plus. Fille de faits grands et évidents, elle est elle-même u
est votre servante, Monsieur. Je venais... DON JUAN. Et votre petite fille , Claudine, comment se porte-t-elle ? M. DIMANCHE.
te-t-elle ? M. DIMANCHE. Le mieux du monde. DON JUAN. La jolie petite fille que c’est ! je l’aime de tout mon cœur. M. DIMANC
tels pieux pourraient-ils ne pas désirer la félicité céleste ! Petite fille du sage vieillard, Marie avait vécu quinze ans se
ter chez elle, et qui ne peut pas emmener avec elle ou son fils ou sa fille  ? Comment venir au secours des enfants du pauvre,
e maison, Qui suivit dans le temps son vieux maître en prison. Pauvre fille , à ces murs trente ans enracinée, Partageant leur
rouillard environne, elle foule la pourpre et l’or des raisins. Cette fille bienfaisante de l’été prépare ainsi elle-même la
vous laissiez des enfants ! -Je laisse, répondit-il en expirant, deux filles immortelles : la victoire de Leuctres et celle de
nt dans presque tous les cœurs. Elle portait dans ses bras une petite fille d’environ neuf ans, morte, mais parée, dont les c
ette intéressante créature. L’infortunée mère, après avoir donné à sa fille un baiser sur le front, la plaça sur le char comm
après, elle parut à la fenêtre, tenant dans ses bras une autre de ses filles , plus jeune et encore vivante, mais dont le visag
amille ; Est-ce vous que je dois nourrir ? » Nous avons vu pleurer sa fille , Et pourtant nous allons mourir. » Et sa voix tou
N° 161. — Loïs. Cérès venait de chercher par toute la terre sa fille Proserpine. Elle retournait dans la Sicile, où el
ère aimait beaucoup. Ce père n’était jamais si heureux que lorsque sa fille était bien contente ; il se plaisait à lui donner
une habitante, La houlette à la main, se montre devant moi : « Humble fille des champs, dit-elle, lève-toi ! Du souverain des
repos, Je vois les mêmes traits, j’entends les mêmes mots : « Humble fille des champs, lève-toi, Dieu t’appelle ; Au ciel, à
ait. Eh bien ! achevez votre horrible tâche ; massacrez le père et la fille , et l’histoire portera avec terreur vos noms à la
’héritage de mes pères, je me vois réduite à la condition d’esclave ! Fille d’un roi puissant, issu lui-même d’une race illus
s douleurs ! Adieu, gloire, honneurs : vous n’êtes plus faits pour la fille d’Agamemnon. Ah ! chère ombre de mon père, j’impl
ore ton secours : vois l’état où la coupable Clytemnestre a réduit ta fille chérie ; viens la défendre des fureurs de sa mère
. Le comte de ***. N° 206. — Mort de Turenne. Mme de Sévigné à sa fille . M. de Turenne monta à cheval le samedi à deu
rt. Boufflers. N° 208 — Le jeune Prédicateur. Mme de Sévigné à sa fille . Ma fille, il faut que je vous conte ; c’est
N° 208 — Le jeune Prédicateur. Mme de Sévigné à sa fille. Ma fille , il faut que je vous conte ; c’est une radoterie
r. Mme de Sévigné. N° 209. — Le Passementier. Mme de Sévigné à sa fille . Voici une petite histoire qui s’est passée,
es anges, la vierge l’emporta aux cieux. P. C. N° 213. — La jeune Fille et sa Mère. C’était une nuit d’hiver. Le vent
e tendresse inexprimables. Et la femme à cheveux blancs répondit : ma fille , Dieu est le maître ; ce qu’il fait est bien fait
combien ne l’ont pas, combien ne savent où se retirer ? Il vous a, ma fille , donnée à moi ; de quoi me plaindrai-je ? A ces d
in en pleurant. Et la mère faisant un effort pour élever la voix : ma fille , dit-elle, le bonheur n’est pas de posséder beauc
e viens ici pour soutenir par la lance et l’épée la cause de Rebecca, fille d’Isaac d’York, pour faire déclarer injuste et il
e haine ferait place à un sentiment des plus autres, Tellis avait une fille , cette fameuse Mathilde, belle, riche et de vingt
e vingt ans. Kœpf la fit demander en mariage : il fut refusé et de la fille et du père. Ce n’était pas pour les raccommoder.
voir le même œil couvert. Or, comment faire la partie égale entre une fille de vingt ans et un homme de guerre qui en avait p
ment mourir le seigneur de Tellis, et que ce n’était pas une méchante fille qui avait vaincu un brave soldat comme lui, mais
a grand deuil de cette mort sur toute la montagne. Les garçons et les filles cherchèrent le corps de leur infortuné compagnon,
, il le sait, vers les lieux où il doit mourir. Aveugle, il a pris sa fille Antigone pour son guide ; elle sera le seul témoi
ils sont dépouillés de la force de l’interrogation. Œdipe répond à sa fille  : Ah ! c’est ici je le sens . Ces simples mots so
ne serait attendri de voir un père se mettre sous la protection de sa fille , et ne se croire en sûreté que sur son sein ? c’e
prépare le dénoument, et le nœud finit à : Hélas ! hélas ! adieu, ma fille  !    Il est facile de réduire le récit à quelque
ant tous les discours d’Œdipe. Ainsi, on pourrait dire : Œdipe, et sa fille Antigone, s’étaient rendus sur les lieux où avait
gone, et après avoir offert un sacrifice, il disparaît aux yeux de sa fille . On ne put retrouver ses restes. Guyet. Exho
ce, me voici : sans fuir plus longtemps, je remets entre vos mains la fille et le fils de vos rois ! J. C. N° 227. — Sain
ter, comme l’aveugle, les arbres de la voie publique. Vos fils et vos filles seront traînés captifs chez les peuples étrangers
 serai plus redoutable ? Lâches que vous êtes, qui avez eu peur d’une fille , et qui, n’ayant pu être soldats, êtes devenus bo
une reine esclave au mépris de ses droits ; Mais le sang de Henri, la fille de leurs rois. Demain entrez dans Londres, où nag
mpositions d’Exhortations etc Harangues. N° 242. — Lusignan à sa fille . Forme. Un vieillard à cheveux blancs, qui a
orts, combattu toute sa vie pour la religion chrétienne, reconnaît sa fille dans le palais d’un prince musulman. Sa fille ! i
hrétienne, reconnaît sa fille dans le palais d’un prince musulman. Sa fille  ! il a cru qu’elle était restée chrétienne, mais
ent se combattre dans l’âme du père et du chrétien. Son discours à sa fille est un petit chef-d’œuvre d’éloquence. D’un bout
e premier mouvement du cœur. Lusignan a trop vécu, car il arrive à sa fille , à son nom, à son honneur le plus grand de tous l
nant ce père infortuné ? Il compte peu sur ses forces pour ramener sa fille à Dieu. D’ailleurs le temps presse ; il ne pourra
porter longtemps la vue de son malheur. Avant donc que de parler à sa fille , il s’adresse à Dieu, et lui rappelle ses combats
parce qu’il croit que c’est lui qui est la cause du changement de sa fille . C’est ton père, c’est moi, C’est ma seule priso
’est ma seule prison qui t’a ravi ta foi. Ces premières paroles à sa fille ne servent pas seulement à exprimer son désespoir
comme l’exorde de la nature la plus douce et la plus insinuante. Ma fille , tendre objet de mes dernières peines. Charmante
. Voici un premier effet de répétition ; pour abjurer son erreur, sa fille coupable doit avant tout songer au sang dont elle
llement gravée dans le cœur de Lusignan qu’il se l’est appropriée. O fille encore trop chère ! Connais-tu ton destin, sais-t
t personne qui ne se réjouisse à cette lecture de la soumission de la fille , du triomphe du père et du talent du poète. Fond
vieillard et un père n’aient guère besoin des mœurs pour parier à sa fille , l’e poète pourtant lui a donné la probité : c’es
a consacré sa vie à son Dieu ; la bienveillance : il aime toujours sa fille coupable ; la prudence : il est incapable de la t
’elle était inutile ici. Nous avons vu, plus haut, qu’en parlant à sa fille , Lusignan a pris ses précautions oratoires, en re
doux et touchants, imaginez l’emportement d’un père qui maudirait sa fille  ; croyez-vous qu’il la déciderait aussi victorieu
nt de l’invocation à Dieu, enfin insinuant, quand Lusignan regarde sa fille . Il y a aussi confirmation ou exposition des preu
15 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — H — article » p. 413
Hécude, fille de Dymas ou de Cissée, l’un et l’autre roi de Thr
nnière et esclave d’Ue. Elle ressentit une si vive douleur de voir sa fille Polyxène immolée sur le tombeau d’Achille, et son
16 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — P — article »
aujourd’hui l’Archipel), d’un mariage secret d’Achille avec Déidamie, fille de ce monarque. Il se signala à la prise de Troie
Basse-Albanie dans la Turquie d’Europe), il voulut épouser Hermione, fille de Ménélas, roi de Lacédémone. Mais Oreste, à qui
17 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — E — article » p. 411
 ; tenant par la main son fils Ascagne, et suivi de Creuse, sa femme, fille du roi Priam, laquelle s’égara et disparut dans l
pt ans sur les mers, et aborda enfin en Italie, où il épousa Lavinie, fille du roi Latinus, et fonda un nouvel empire des Lat
18 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
votre servante, Monsieur. Je venais.... Don Juan. — Et votre petite fille Claudine, comment se porte-t-elle ? M. Dimanche.
lle ? M. Dimanche. — Le mieux du monde. Don Juan. — La jolie petite fille que c’est ! je l’aime de tout mon cœur. M. Diman
suis point gentilhomme. M. Jourdain. — Touchez là632, monsieur ; ma fille n’est pas pour vous. Cléonte. — Comment ? M. Jo
je veux avoir un gendre gentilhomme. Mme Jourdain. — Il faut à votre fille un mari qui lui soit propre ; et il vaut mieux po
ous fourrez toujours dans la conversation. J’ai du bien assez pour ma fille  ; je n’ai besoin que d’honneurs, et je la veux fa
à de fâcheux inconvénients. Je ne veux point qu’un gendre puisse à ma fille reprocher ses parents, et qu’elle ait des enfants
it-on, cette madame la marquise qui fait tant la glorieuse ? C’est la fille de M. Jourdain, qui était trop heureuse, étant pe
s caquets, et je veux un homme, en un mot, qui m’ait obligation de ma fille , et à qui je puisse dire : « Mettez-vous là, mon
ours demeurer dans la bassesse640. Ne me répliquez pas davantage ; ma fille sera marquise en dépit de tout le monde ; et, si
de Sévigné, a laissé des lettres, dont la plupart sont adressées à sa fille , Mme de Grignan, qu’elle aima toujours d’une affe
eindre ; je ne l’entreprendrai pas aussi. J’ai beau chercher ma chère fille , je ne la trouve plus, et tous les pas qu’elle fa
e A Mme De Grignan A Paris, mercredi 28e août [1675]. Vraiment, ma fille , je m’en vais bien vous parler encore716 de M. de
mte de Guiche739, avec qui il causait : vous n’eussiez jamais cru, ma fille , qu’il eût été si bon d’être un peu de travers740
emiers ouvrages, avait composé un important Traité de l’Education des filles , fut nommé en 1689 précepteur du duc de Bourgogne
ût de ceux qui ne l’ont pas tel qu’il doit être. (De l’Éducation des filles , chap. v.) Le jeune Bacchus et le faune Un
pour lui avoir rapporté le corps sanglant de son fils. Sa femme, ses filles et l’épouse du mort, en pleurs, lui reprochèrent
te d’une bonne manufacture de fer étamé et de cuivre : j’ai épousé la fille d’un riche négociant en ustensiles nécessaires au
ec un filet de voix fort douce. La sérénité d’âme de cette excellente fille éloignait d’elle et de tout ce qui l’environnait
ourner ensuite tout doucement par Passy1182. Une vingtaine de petites filles , conduites par une manière1183 de religieuse, vin
t son tourniquet1184, qui cherchait pratique : je vis que les petites filles convoitaient fort les oublies, et deux ou trois d
l y eut des disputes qu’on porta devant mon tribunal ; et ces petites filles , venant plaider tour à tour leur cause, me donnèr
bonne vieille, l’ayant appris, a eu la simplicité de vous envoyer sa fille , avec la lettre d’avis1200, vous demander son beu
édifie, qui renverse, qui vide les coffres des pères, qui laisse les filles sans dot, les fils sans éducation, qui fait tant
n au Supplément du Mémoire à consulter.) L’audience Une vieille fille , Marceline, veut se faire épouser par Figaro, val
ent.) — « Barbe-Agar-Raab-Madeleine-Nicole-Marceline de Verte-Allure, fille majeure (Marceline se lève et salue), contre Figa
ien.) Madame de Staël (1766-1817) Anne-Louise-Germaine Necker, fille du célèbre ministre de Louis XVI, naquit à Paris
famille dans la joie. Un Grec vint donc me chercher1379 pour voir sa fille . Je trouvai une pauvre créature étendue à terre s
ue pourtant on blâmait. Tu auras à apprendre cette vertu-là, ma chère fille . Pascal, je crois, dit quelque part : « Je n’esti
uête du fils d’Étienne, il confierait à sa conduite ses deux fils, sa fille et tout leur cortège. Le vaisseau qui devait port
chargée d’aller demander au roi des Goths la main de GalesTinthe, sa fille aînée. Mais cette demande rencontra des obstacles
utement que le roi Hilperik menait la vie d’un païen. De son côté, la fille aînée d’Athanaghild, naturellement timide et d’un
qu’il avait de reines, pourvu qu’il obtînt une femme digne de lui et fille d’un roi.... A travers tous les incidents de cett
roi et de la longueur du chemin. La reine pleura, et demanda pour sa fille encore un jour de délai ; mais le lendemain, quan
, et je ne demanderai plus rien. Savez-vous que là où vous emmenez ma fille il n’y aura plus de mère pour elle. » Mais tous l
irigea vers la porte du nord. Le roi suivit à cheval le cortège de sa fille jusqu’à un pont jeté sur le Tage, à quelque dista
cènes de tendresse, mais plus calmes, eurent lieu entre la mère et la fille . La reine exprima, en paroles douces, sa tristess
« Sois heureuse, dit-elle, mais j’ai peur pour toi ; prends garde, ma fille , prends bien garde… » A ces mots, qui s’accordaie
s’arrêta au bord de la route et fixant ses yeux vers le chariot de sa fille , elle ne cessa de le regarder debout et immobile,
sante, fit des protestations de repentir et d’amour qui trompèrent la fille de d’Athanaghild. Elle ne parlait plus de séparat
uette, comme l’hirondelle, au besoin, nourrira ses sœurs.... C’est la fille du jour. Dès qu’il commence, quand l’horizon s’em
mille, au temps de la récolte, a son fils au service à l’armée et ses filles en service à la ville, et qu’il soit malade et em
ille, les garçons s’en vont chercher fortune, et laissent le bien aux filles , afin qu’elles puissent trouver des maris. » Aux
. Il dansa, il chanta, il se fit tout à tous. Vers minuit, une petite fille de douze ans, à demi vêtue de mauvaises guenilles
il faut tuer la picorée1621 tandis « qu’elle n’est encore que petite fille  ; si nous la laissons « devenir grande dame, c’es
e son accueil. Il m’avait même admis dans sa famille, et sa femme, sa fille , me montraient la même bienveillance que lui. N’i
ue j’avais perdues de vue depuis bien longtemps. Quel changement ! La fille , quand je les avais quittées, avait dix-huit ans,
ces chers amis d’autrefois n’était là pour m’entendre ; la mère et la fille avaient disparu toutes deux comme le père ; c’est
e voulut écouter aucun sentiment de pitié. On fit épuiser à la pauvre fille et à son jeune ami tout le cycle hideux des suppl
pris, en entrant, de voir dans une grande chambre cinq ou six petites filles et une douzaine de petits garçons qui riaient, fa
ance ; à la pensée que j’allais partager le sort de plusieurs petites filles , peu à peu, toutes mes craintes s’évanouirent. Ml
aux métiers1978 que les Muses nous donnent. Quand les Muses, qui sont filles de Jupiter, Dont les rois sont issus1979, les roi
it l’amitié2028 paternelle L’augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue, Par un commun2029 trépas, E
 » L’enfant met pied à terre, et puis le vieillard monte, Quand trois filles passant, l’une dit : « C’est grand’honte « Qu’il
t le meunier, plus de veaux à mon âge2197 ; « Passez votre chemin, la fille , et m’en croyez. » Après maints quolibets coup su
vec moi sa haine et sa famille, Il me demande un fils pour époux à sa fille . Cet honneur vous regarde, et j’ai fait choix de
e famille, Mon fils, digne héritier..., vous2485..., hélas ! vous, ma fille , Dissipez mes soupçons, ôtez-moi cette horreur, C
e. Je ne puis vous tromper : sous les lois d’Orosmane… Punissez votre fille … elle était musulmane. Lusignan. Que la foudre e
fants : Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve une fille , elle est ton ennemie ! Je suis bien malheureux…
on père, c’est moi, C’est ma seule prison qui t’a ravi ta foi2487. Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au m
e sang des héros, défenseurs de ma loi ; C’est le sang des martyrs. O fille encore trop chère, Connais-tu ton destin ? Sais-t
repentir : Je vois la vérité dans ton cœur descendue ; Je retrouve ma fille après l’avoir perdue ; Et je reprends ma gloire e
cheveux. » (Bucoliques : Idylles marines, iv.) A l’hirondelle Fille de Pandion2570 ô jeune Athénienne, La cigale est
ouvent soutenues par une versification forte et sans négligence. La fille du Cid Le Cid, Elvire, sa fille. « A nou
n forte et sans négligence. La fille du Cid Le Cid, Elvire, sa fille . « A nous, Campéador2635, m’avait écrit le ro
il soit dix jours ». J’emportais les brillants ; mais est-il femme ou fille Qui se puisse tenir d’admirer ce qui brille ? Non
aisant ; Mais tu n’en as plus peur : elle est blanche à présent. (La Fille du Cid, acte I, sc. iv.) Louis XI et Saint Fr
nous. (Poésies. Livre moderne : la Frégate la Sérieuse, XVI.) La fille de Jephté Tous les guerriers d’Ammon2656 sont
tés au seul bruit de vos pas ? « — C’est vous, hélas ! c’est vous, ma fille bien-aimée ? Dit le père en rouvrant sa paupière
r du sang qui plaît au Dieu jaloux2663 ! Je lui dois une hostie, ô ma fille  ! et c’est vous ! « — Moi ? » dit-elle. Et ses ve
elle vint s’offrir au couteau paternel. — Voilà ce qu’ont chanté les filles d’Israël. (Poésies : Livre antique.) Le Cor
, qui dote les familles, Donne à vos fils la force, et la grâce à vos filles  ; Afin que votre vigne ait toujours un doux fruit
gisait la mère de famille, Deux tout petits enfants, le garçon et la fille , Dans le même berceau souriaient endormis. La mèr
utres. Quand il verra qu’il faut nourrir avec les nôtres Cette petite fille et ce petit garçon, Le bon Dieu nous fera prendre
. Vous, vous êtes sans famille. Être madame Harou, quel sort pour une fille  ! Avoir six cents arpents de blé, trois cents de
œurs2782, Et les pleurs et les chants sont les voix éternelles De ces filles de Dieu qui s’appellent entre elles. Frank. Chan
célébrait les exploits de l’armée française conquérant l’Algérie ; la Fille d’Eschyle, étude antique en cinq actes (1848), mi
ens. D’un si honteux revers que pensera la Grèce ? Qu’en diras-tu, ma fille , ô ma seule tendresse, Quand je reparaîtrai devan
? meganire, se précipitant vers lui. O mon père ! à vos pieds votre fille inclinée Dira que tout revers tient à la destinée
trahit en ce jour, Et que votre malheur fait croître mon amour. (La Fille d’Eschyle, acte IV, sc. iv.) Réhabilitation de
’en garde le ciel ! que j’absolve leurs crimes, Moi, leur victime, et fille et femme des victimes ; Mais il faut avouer qu’on
grèves de Normandie, Où travaille une race âpre au gain, mais hardie, Fille des conquérants qui vinrent les premiers, Sous le
arler d’œuvres moins importantes, comédies, à-propos, le succès de sa Fille de Roland (1875) a rendu sa popularité au genre l
’Apôtre, Mahomet (1889), France… d’abord (1899). Dénouement de « la fille de Roland » Gérald, Charlemagne, Berthe, Le
’est dans ce conseil que ma voix proclama L’union d’Eginhard et de ma fille Emma2907. Ce qu’ils furent jadis, vous le serez s
ld ! Tous Les Seigneurs. Sois fier ! charlemagne. Et toi, Berthe, ma fille , Toi qui maintiens si haut l’honneur de la famill
contre ma conscience ; Tout espoir me rendrait à moi-même odieux : La fille de Roland au fils de… Justes dieux ! Non, jamais 
clinez-vous Devant celui qui part : il est plus grand que nous ! (La Fille de Roland 2915, acte IV, sc. iii.) André The
du vannier. Vous serez le panier plein de fraises vermeilles Que les filles s’en vont cueillir dans les taillis ; Elles rentr
Et de me souvenir, chaque fois que j’écris, Que ma plume rustique est fille de ta hache. (La Poésie des Bêtes.) Les genêt
son petit-fils, Marie-Anne, bru de Legoëz et tante de Pierre, Janik, fille de Marie-Anne. Legoëz Eh bien ! J’ai tort. Parlon
ropos d’écrire. 596. Valère, qui, plus tard, demandera à Harpagon sa fille en mariage, a par là même des raisons particulièr
et plein de complaisance pour lui-même. 678. Le 20 janvier 1669, la fille de Mme de Sévigné avait épousé M. de Grignan, qui
uld, voir page 51. 683. Degré, escalier. 684. Votre pauvre petite fille , Marie-Blanche de Grignan, qui était née le 15 no
œur. Arnauld d’Andilly voulait dire que Mme de Sévigné, en adorant sa fille , montrait à l’égard d’une créature des sentiments
, l’aîné et le plus jeune de tous ses enfants, Racine eut encore cinq filles . 814. Réserver à, suivi d’un infinitif, est une
cit. 862. La reine d’Angleterre, Catherine de Bragance (1638-1705), fille de Jean IV, roi de Portugal. 863. Mascarade, da
Dionysos. Il était fils de Zeus (le Jupiter des Latins) et de Sémélé, fille de Cadmos, roi de Thèbes. C’était le dieu de la v
1676, avait eu d’un premier mariage deux fils, Fœdor et Ivan, et six filles , parmi lesquelles la princesse Sophie ; deux autr
es la princesse Sophie ; deux autres entants, un fils, Pierre, et une fille , Nathalie, étaient nés d’un second mariage. Fœdor
rs colonel. 1199. Mme Le Vasseur, dont Rousseau épousa plus tard la fille , ancienne servante d’auberge. 1200. La lettre d
faire reconnaître comme roi. 1368. Elisabeth de Valois (1545-1568), fille de Henri II et de Catherine de Médicis, dont le m
étique description, que, suivant la Fable, l’alcyon, c’était Alcyone, fille d’Éole, qui, ainsi que son époux Céyx, avait été
Conseil, plan, dessein. 1425. Cymodocée, qu’il aime, et qui est la fille d’un descendant d’Homère, le vieux Démodocus. 1
ustrasie (561-575), frère de Hilperik, avait épousé en 566 Brunehaut, fille cadette d’Athanaghild, roi des Wisigoths d’Espagn
du trône d’Angleterre, étant, par sa mère, l’arrière-petit-fils d’une fille de Henri YI1, grand-père d’Élisabeth. C’est à par
demeure à quelques lieues. Par complaisance, il a emmené avec lui la fille d’une voisine, la petite Marie, presque une enfan
t un grand ami de Malherbe, qui en parle souvent dans ses lettres. Sa fille s’appelait Marguerite. » (Ludovic Lalanne, éditio
sorte de piège à ressorts pour les petits oiseaux. 2156. Cassandre, fille de Priam, roi de Troie, avait, suivant la légende
2347. Philaminte (voir la note 1 de la page 553) assiste, avee sa fille Armande et sa belle-sœur Bélise, qui, comme elle,
signan vient de reconnaître son fils dans le chevalier Nérestan et sa fille dans Zaïre. – L’action se passe à Jérusalem, à l’
Jérusalem, à l’époque de saint Louis. 2485. Vous. Il va dire de sa fille qu’elle est aussi la digne héritière de sa race,
tèze, roi d’une partie du pays, n’a pas osé lui refuser en mariage sa fille Alzire quoiqu’elle eut été autrefois promise à Za
(1725-1793) était le fils du comte de Toulouse, fils de Louis XIV. Sa fille épousa le duc d’Orléans, père du roi Louis-Philip
forêt est celle de l’hermine, et l’étang, du castor. 2549. Lavinie, fille de Latinus, roi du Latium. Le Troyen Enée, après
cèdre, dans un coffre en bois de cèdre. 2567. Néréides, divinités, filles de Nérée, dieu de la mer. 2568. Monument, tombe
Comme un enfant je l’aimais. » Et encore : « Ma frégate était ma fille . « Va », lui disais-je, Elle allait... » 265
’il ait versées de sa vie. 2661. La voix la plus aimée, celle de sa fille . On sait que Jephté, neuvième juge d’Israël (xiii
a bouche d’un de ses amis. 2684. Enfant, jeune fille, allusion à la fille et au fils ainés du poëte Léopoldine et Charles (
lon. 2692. Cette pièce est consacrée au souvenir de Léopoldine Hugo, fille du poète, qui mourut tragiquement avec son mari C
s ; Je ne veux pas, ils sont à moi. S’il me fallait, etc. Quand notre fille sera grande, Si le fils de notre régent En mariag
ur dot il veut qu’on donne Les grands bœufs blancs marqués de roux Ma fille , laissons la couronne, Et ramenons les bœufs chez
re. 2787. Voir la note 4 de la page 556. 2788. Le duc Laërte a deux filles jumelles, Ninette et Ninon. 2789. Il faut entend
t au premier départ d’Eschyle. 2847. Il entre sans voir Méganire, sa fille . 2848. Jamais vaincu. Dans une scène précédent
mais vaincu. Dans une scène précédente (I, I), Eschyle avait dit à sa fille quelle douleur c’était pour lui de sentir son gén
t Méganire lui ayant demandé s’il se connaissait un rival : « Non, ma fille , répond-il, pas un ; ou du moins, je l’espère, Ca
ur le sol français. 2905. Gérald, fils du comte Amaury, aime Berthe, fille de Roland (voir page 673, note 3), et il en est a
ard, l’historien et l’un des favoris de Charlemagne, aurait épousé la fille de l’empereur. 2908. Épisode raconté aux vers 34
19 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
sang de son fils, et qui veut qu’Aricie lui tienne désormais lieu de fille . Voilà Je dénouement. Dans la tragédie de Cinna p
Voilà le sujet exposé. C’est Emilie qui vient de parler : elle étoit fille de Toranius, tuteur d’Auguste, qui l’avoit lui-mê
innocent amour. Et un peu après, en s’en allant : Je fais pour une fille un projet bien hardi : Mais l’injuste rigueur don
r, dit Isabelle. Lui voulez-vous donner à croire que c’est moi ? Une fille d’honneur doit toujours se défendre De lire les b
la mort. ......................... ……… Je sais qu’il est honteux Aux filles d’expliquer si librement leurs vœux. ……Mais en l’
fil et des aiguilles, Dont elles travailloient au trousseau de leurs filles . Les femmes d’à - présent sont bien loin de ces m
nne de face ? Moi, je te chercherois ? Ma foi, l’on t’en fricasse Des filles comme nous. Gros-René. Oui, tu le prends par-là 
et des expressions licencieuses. De toutes les pièces de ce poëte, la Fille Capitaine, et la Femme juge et partie sont les se
e le. Dans Inès, on voit le fils d’un roi, marié secrètement avec une fille d’honneur de la reine, tandis que ce roi veut le
’honneur de la reine, tandis que ce roi veut le marier avec la propre fille de la reine même : dans la parodie, c’est Pierrot
la servante de la maison, tandis que son père veut le marier avec la fille de la baillive. Les actions héroïques travesties
dans Iphigénie en Aulide, où la Grèce assemblée demande le sang de la fille d’Agamemnon ; tantôt sur les intérêts particulier
mais ils sont un peu coupables ; le premier, parce qu’il aime Aricie, fille et sœur des Pallantides, ennemis de Thésée ; le s
ieucte. Mais n’ayant pu en venir à bout, il fit agir auprès de lui sa fille Pauline, qui n’eut pas un meilleur succès. Félix
amemnon, Ulysse, Achille, Clitemnestre, femme d’Agamemnon, Iphigénie, fille d’Agamemnon, et Eriphile, fille d’Hélène et de Th
nestre, femme d’Agamemnon, Iphigénie, fille d’Agamemnon, et Eriphile, fille d’Hélène et de Thésée. La scène est en Aulide, pe
ie une puissance vaine, Si dans un sacrifice auguste et solennel, Une fille du sang d’Hélène De Diaue en ces lieux n’ensangla
it menaçans pendant son sommeil, écrivit à Argos, pour faire venir sa fille , sous prétexte qu’Achille à qui elle avoit été pr
arde qu’en soupirant, et dont il reçoit à peine les embrassemens. Ma fille , je vous vois toujours des mêmes yeux ; Mais les
’éclaircirez-vous point ce front chargé d’ennuis ? Agamemnon. Ah, ma fille  ! Iphigénie. Seigneur, poursuivez. Agamemnon. J
. Hélas ! Iphigénie. Vous vous taisez ? Agamemnon. Vous y serez, ma fille . Adieu. Que doit soupçonner Iphigénie de cet ac
ndre ces paroles d’Agamemnon en parlant du sacrifice, vous y serez ma fille , sans trembler pour cette jeune princesse. AI. C
juste courroux Laissoit bientôt Achille et le camp loin de nous ; Ma fille dans Argos couroit pleurer sa honte. Mais lui-mêm
troubloient notre joie. Agamemnon feint de consentir à l’hymen de sa fille . Mais il ordonne à la reine de la laisser aller à
r à l’armée la sœur d’Hélène, se résout à obéir ; et le bonheur de sa fille la console de tout. Elle voit paroître Achille qu
orer le secours d’Achille, qui lui jure que, tant qu’il respirera, sa fille ne sera point immolée, et qui va tout disposer à
orde dans tout le camp. Cependant Agamemnon ne voyant pas paroître sa fille à l’autel, vient la demander à Clitemnestre, qui
ois. Je ne dis plus qu’un mot, c’est à vous de m’entendre. J’ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre. Pour aller jusq
passer. Agamemnon sl. Et voilà ce qui rend sa perte inévitable ! Ma fille toute seule étoit plus redoutable. Ton insolent a
verrai mes soldats moins barbares que moi, Respecter dans ses bras la fille de leur roi. Achille nous menace, Achille nous mé
fille de leur roi. Achille nous menace, Achille nous méprise. Mais ma fille en est-elle à mes loix moins soumise ? Ma fille,
nous méprise. Mais ma fille en est-elle à mes loix moins soumise ? Ma fille , de l’autel cherchant à s’échapper ; Gémit-elle d
it s’embarrasse ? Ne puis-je pas d’Achille humilier l’audace ? Que ma fille à ses yeux soit un sujet d’ennui ; Il l’aime. Ell
comme Homère dans son Iliade a personnifié les prières. « Elles sont filles du maître des dieux ; elles marchent tristement,
Je vis Hécube (b) plongée dans le désespoir, au milieu de toutes ses filles désolées, et le sang de Priam éteindre le feu qu’
par un vieux laurier. C’étoit au pied de cet autel, qu’Hécube et ses filles s’étoient réfugiées, telles que de timides colomb
es humains, Colbert(c) ; c’est sous tes pas que l’heureuse abondance, Fille de tes travaux, vient enrichir la France. Bienfai
leur aspect s’enfuit, Et vers la vérité le doute les conduit. Et toi, Fille du ciel, toi, puissante harmonie, Art charmant, q
Ce monarque reçoit favorablement les Troyens, et offre à leur chef sa fille en mariage. Mais la furie Alecto, évoquée des enf
unon, souffle sa rage dans le cœur de la reine Amate, qui a promis sa fille à Turnus son neveu, roi d’Ardée. Elle inspire de
20 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
ts domaines, Savouraient le repos et l’oubli de leurs peines, Mais la fille de Tyr veille avec ses ennuis110. Sans doute, vo
e d’Asie à la Grèce promis ; De quel front immolant tout l’Etat à ma fille , Roi sans gloire, j’irais vieillir dans ma famill
exemple, ces vers du vieux Maynard. Un père veut dire qu’il pleure sa fille morte, tandis que, selon les lois de la nature, c
de la nature, c’est elle qui devrait le pleurer : Sur mon tombeau ma fille devrait faire Ce que je fais maintenant sur le si
21 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fléchier, 1632-1710 » pp. 124-132
chier, Lettres choisies, lettre 288.) À un père sur la mort de sa fille J’apprends avec déplaisir, monsieur, mais en
même temps avec beaucoup d’édification, la mort de mademoiselle votre fille cadette, et je ne sais si je dois vous consoler d
sfaction intérieure les grâces que Dieu a faites à mademoiselle votre fille , et le bonheur dont elle jouit. Dans ces sortes d
22 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère. (Voltaire.) 20° La réticence est u
à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur et le frère, Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son père. (R
ibles de la campagne peut être de son domaine. la violette. Aimable fille du printemps, Timide amante des bocages, Ton doux
brillantes, mais il ne doit être ni guindé ni diffus. lusignan a sa fille . Mon Dieu, j'ai combattu soixante ans pour ta glo
ants ; Et, lorsque ma famille est par toi réunie, Quand je trouve une fille elle est ton ennemie. Je suis bien malheureux !…
st ton père, c'est moi, C'est ma seule prison qui t'a ravi ta foi. Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au m
e sang des héros, défenseurs de ma loi ; C'est le sang des martyrs. O fille encor trop chère, Connais-tu ton destin ? Sais-tu
repentir ; Je vois la vérité dans ton cœur descendue, Je retrouve ma fille après l'avoir perdue, Et je reprends ma gloire et
uvrage qui a pour titre : Difficultés de la syntaxe.) une mère a sa fille . Écoute, enfant, les conseils d'une mère ; De sa
on automne ou son beau printemps ? Qui que tu sois, ô bienfaisance ! Fille de la terre ou du ciel, Dans la coupe de l'indige
23 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — De Maistre 1753-1821 » pp. 210-213
urs elle fait bien, mais jamais plus visiblement à mon avis. À sa fille constance Saint-Pétersbourg, 18 décembre 1810
ourg, avait dû se séparer de sa famille ; il n’avait pas encore vu sa fille Constance, née quelques mois après son départ. El
24 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
humains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée Lorsqu’il verra sa fille à ses yeux présentée. Contrainte d’avouer tant de
u cruel a perdu ta famille ; Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta fille . Hélas ! du crime affreux dont la honte me suit,
rand prêtre Chrysès que nous voyons, dans l’Iliade, venir racheter sa fille au prix de tous ses trésors ; l’amour maternel, s
nce thessalien apprend que le roi d’Argos a décidé le sacrifice de sa fille Iphigénie. Achille, à Agamemnon. Juste ciel ! p
t votre frère blessé A-t-il droit de venger son amour offensé ? Voire fille me plut ; je prétendis lui plaire ; Elle est de m
g réservée : Je ne connais Priant, Hélène, ni Paris, Je voulais votre fille , et ne pars qu’à ce prix. Racine, Iphigénie.
25 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
ux, sans enfants, veut retourner mourir dans sa patrie, et presse ses filles Ruth et Orpha de la laisser suivre son projet. Qu
sse dans ce sentiment, qui suppose autant d’amour dans la mère que la fille lui en a voué, et la même impossibilité de surviv
s dans l’or sont enchâssés ; Le père en ses atours ne connaît plus sa fille , Et sur des fronts hâlés le ruban partout brille.
ples appas, N’éclôt-il pas assez d’ornements sous vos pas ? Vous, mes filles , gardez les mœurs de votre mère ; C’est non par d
26 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338
e : Joignons d’un sacré nœud ma maison à la vôtre. Vous n’avez qu’une fille , et moi je n’ai qu’un fils ; Leur hymen nous peut
assurance J’ose appuyer encore un reste d’espérance. Jetez sur votre fille un regard paternel : Ma mort suivra la mort de ce
leurs, Et d’un œil paternel vous regardez mes pleurs. Félix. Oui, ma fille , il est vrai qu’un père est toujours père7 : Rie
— Quelle es-tu, dis-le moy, si povrement vestue ? — Je suis Religion, fille de Dieu connue. — Pourquoy l’habit as-tu d’une si
loyé dans ce sens. 5. Par vos mains. Félix a autrefois voulu que sa fille fit un mariage de raison. 6. Déchire. Jamais la
27 (1867) Rhétorique nouvelle « Deuxième partie. L’éloquence du barreau » pp. 146-
je t’ai donné mes caresses et j’ai reçu les tiennes. « — Eh bien, ma fille , me disais-tu, te verrons-nous bientôt au foyer d
Regarde, mon père, il te prie en silence. Allons, ne repousse pas ta fille  ; aie pitié de sa vie ! » On admire l’art des po
ce Virginius qui brandit dans la foule le couteau teint du sang de sa fille  ; ce Camille qui renverse la balance où Brennus a
famille du laboureur, de beaux et solides garçons, la fermière et ses filles , mains calleuses, teint brûlé, forte lignée de pa
28 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) «  Chapitre XXIV. des figures. — figures par rapprochement d’idées opposées  » pp. 339-352
d’une lettre. Clytemnestre va retourner en Argos après la mort de sa fille qu’elle avait amenée pour l’hymen d’Achille ; Et
assassiné sur le corps de son père, le frère mort avec la sœur et la fille avec mère Je ne vous peindrai point le tumulte e
Le fils assassiné sur le corps de son père Le frère avec la sœur, la fille avec sa mère… Voltaire, Henriade. Correction
29 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
ieu que nous servons le tombeau profané ! Nos pères, nos enfants, nos filles et nos femmes, Au pied de nos autels expirant dan
ant, de revoir la famille. « Ah ! monseigneur, lui dit la plus petite fille , Si vous vouliez pour nous la demander à Dieu, No
vous rends. » On accourt. Ô surprise ! ô joie ! ô doux spectacle ! La fille croit que Dieu fait pour eux un miracle : « Ce n’
Là tombent condamnés et la sœur et le frère, Le père avec le fils, la fille avec la mère ; Les amis, les amants, et la femme
éveillera : tu dormiras toujours. Quand, pour bénir l’enfant dont sa fille est la mère,        Viendra mon père en cheveux b
end tous heureux.        Charmante Paix, délices de la terre,         Fille du ciel, et mère des plaisirs,        Tu reviens
a chanté ce peuple industrieux ; Mais comment sans transport voir ces filles des cieux ? Quel art bâtit leurs murs, quel trava
verts d’une simple tunique, et parés de leurs grâces naturelles ; des filles enfin qui appartenaient aux premières familles d’
es, et de l’autre tenaient un pliant. C’est une servitude imposée aux filles des étrangers établis à Athènes, servitude que pa
lle éclater ? Ne puis-je… Agamemnon.                     Hé bien ! ma fille , embrassez votre père ; Il vous aime toujours. Ip
x ! avec quel amour la Grèce vous révère ! Quel bonheur de me voir la fille d’un tel père ! Agamemnon. Vous méritiez, ma fill
heur de me voir la fille d’un tel père ! Agamemnon. Vous méritiez, ma fille , un père plus heureux. Iphigénie. Quelle félicité
peine : Avons-nous sans votre ordre abandonné Mycène ? Agamemnon. Ma fille , je vous vois toujours des mêmes yeux ; Mais les
éclaircirez-vous point ce front couvert d’ennuis ? Agamemnon. Ah ! ma fille  ! Iphigénie.                        Seigneur, pou
Agamemnon.                                          Vous y serez, ma fille . Adieu ! Racine. Retour d’Ulysse à Ithaque
ivier ! — C’est moi ! c’est votre Ulysse ! Et vous, Nymphes des eaux, filles de Jupiter, Autant qu’aux jours passés votre asil
de ma douleur captive !… Proserpine et Pluton, Mercure souterrain,     Filles des dieux, Érinnyes vengeresses, Terrible Némésis
quelque légion ; Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille , femme, sœur et mère de vos maîtres ! Que prétend
en toi l’honneur de la Castille, Mon âme avec plaisir te destinait ma fille . Je sais ta passion, et suis ravi de voir Que tou
qui judicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille , femme, mère de rois si puissants, et souveraine
lit de douleur le malade m’attend.          Là, naguère, une pauvre fille Me disait en pleurant : « Dieu finit mes malheurs
ntre de la nuit j’entends la voix touchante ;                C’est la fille de Pandion,                C’est Philomèle gémiss
e sourcil et regardent si on croit qu’ils réfléchissent ; les petites filles écarquillent leurs yeux et poussent de profonds s
d’excellentes mères de famille. On pourrait citer un grand nombre de filles élevées dans ce monastère, qui ont depuis édifié
que de vos lettres, qui me feront encore bien soupirer. En un mot, ma fille , je ne vis que pour vous. Dieu me fusse la grâce
nfant, aimez-moi toujours : hélas ! nous revoilà dans les lettres. Ma fille , plaignez-moi de vous avoir quittée. Mme de Sévi
! ma foi jurée ! Mademoiselle, la grande Mademoiselle ; Mademoiselle, fille de feu Monsieur ; Mademoiselle, petite-fille de H
uelque esprit que nous ayons. Vous ne serez jamais contente, ma chère fille , que lorsque vous aimerez Dieu de tout votre cœur
e l’esprit, je suis venue à la faveur ; et je vous proteste, ma chère fille , que tous les états laissent un vide affreux, une
s ; toi seule es ma famille Et tu me quitterais, toi mon sang, toi ma fille  ! Non, tu vivras pour moi : Dieu voudra te guérir
père ! Hélas ! pour espérer est-il jamais trop tard ? Jeune âme de ma fille , oh ! suspends ton départ, Et pour quitter ce mon
e dut souffrir ta mère,               Et tu prendras pitié de moi. La fille de Jaïr à ta voix fut sauvée, Tu lui dis : Levez-
. La fille de Jaïr à ta voix fut sauvée, Tu lui dis : Levez-vous ; la fille s’est levée. De l’éternel sommeil elle dormait po
             Et vers le lit revient soudain     Pour s’assurer que sa fille respire ; Puis, sous les blancs rideaux qu’a soul
leurs ; Ce nom, ce vêtement m’étaient d’un doux présage ; Et quand ma fille et moi, nous tenant par la main, Nous allions à l
e monde nouveau, paisible, exempt de soins, D’étoiles et de fleurs ta fille couronnée, Cherchait ta main pour guide et tes ye
e. Votre très humble, B. Franklin. Les Bijoux. Récit du Cid a sa fille Elvire.                         C’est une vi
u’il soit dix jours. » J’emportai les brillants. Mais est-il femme ou fille Qui se puisse tenir d’admirer ce qui brille ? Non
i que la misère et l’erreur. Pascal. La Prière pour tous Ma fille , va prier. — Vois, la nuit est venue. Une planète
e sous son aile, L’enfant dans la prière endort son jeune esprit. Ma fille , va prier ! — D’abord, surtout, pour celle Qui be
30 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Sainte-Beuve 1804-1870 » pp. 291-295
eil ; le théologal Charron6 et mademoiselle de Gournay7, celle-ci, sa fille d’alliance, en guise de pleureuse solennelle, son
. Femme célèbre, née en 1566, morte en 1645 ; Montaigne l’appelait sa fille d’alliance. 8. Bayle, auteur du Dictionnaire his
31 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
Madame de Vendôme ne se lassait point de voir danser mademoiselle sa fille ,161 qui dansait pourtant toute seule ; enfin, l’o
e Vendôme voulait se confesser à M. de Lisieux, qui lui disait : « Ma fille n’ayez point do peur, vous êtes en la main de Die
onner la question à toute ma maison, à servantes, à valets, à fils, à fille , et à moi aussi ;..210 Que de gens assemblés ! Je
-t-elle ? M. dimanche. Le mieux du monde. don juan. La jolie petite fille que c’est ! je l’aime de tout mon cœur220. m. di
peut-être que vous êtes d’habiles gens226. M. Jourdain refusant sa fille à Cléonte, parce qu’il n’est pas gentilhomme
ne suis point gentilhomme229. m, Jourdain. Touchez là, monsieur, ma fille n’est pas pour vous230. c léonte. Comment ? m.
 ? m. Jourdain. Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez point ma fille . m adame Jourdain. Que voulez-vous donc dire ave
veux avoir un gendre gentilhomme. m adame Jourdain. Il faut à votre fille un mari qui lui soit propre ; et il vaut mieux po
fourrez236 toujours dans la conversation. J’ai du bien assez pour ma fille  ; je n’ai besoin que d’honneurs, et je veux la fa
ux inconvénients. Je ne veux point qu’un gendre puisse reprocher à ma fille ses parents, et qu’elle ait des enfants qui aient
n, cette « madame la marquise qui fait tant la glorieuse ? c’est la «  fille de M. Jourdain qui était trop heureuse, étant pet
s caquets, et je veux un homme, en un mot, qui m’ait obligation de ma fille , et à qui je puisse dire : Mettez-vous là, mon ge
emeurer toujours dans la bassesse. Ne me répliquez pas davantage ; ma fille sera marquise, en dépit de tout le monde, et, si
rer les brèches d’une fortune compromise, établir son fils, adorer sa fille , madame de Grignan, se lamenter sur son éloigneme
dre ; je ne l’entreprendrai pas391 aussi. J’ai beau chercher ma chère fille , je ne la trouve plus, et tous les pas qu’elle fa
tes ; mais je vis tout démeublé, tout dérangé, et votre pauvre petite fille qui me représentait la mienne. Comprenez-vous bie
 ; cela me déplaît fort. Votre frère n’y sera plus en ce temps-là. Ma fille , vous souhaitez que le temps marche pour nous rev
ntenant en Provence, et à Paris, et à la cour, et à Livry ; enfin, ma fille , il faut bien que vous soyez ingrate ; le moyen d
que ce ne fût ici ; je crus même entendre qu’on parlait de ma petite fille  ; je ne doutai pas438 qu’elle ne fût brûlée. Je m
ie Dieu qu’il vous garantisse de tous les maux. Une noce A sa fille J’ai été à cette noce de Madame de Louvois. Qu
une santé qui m’est si chère ! qui m’eût dit dans ce temps-là : Votre fille est plus en danger que469 si elle était à l’armée
! ma foi jurée ! Mademoiselle, la grande Mademoiselle ; Mademoiselle, fille de feu Monsieur, Mademoiselle, petite-fille de He
aisse pas588. A Mignard, premier peintre du roi, sur la mort de sa fille Je ne puis vous dire, Monsieur, combien je sui
perte que vous avez faite. Comment donc vous a été ravie cette chère fille , dont j’ai plutôt appris fa mort que la maladie58
r pour lui, et madame de Mailly le désire pour faire le mariage de sa fille . Ce qui m’arrive en cette occasion n’est point ce
6 mais je vois madame de Mailly bien persuadée que je dois marier ses filles  ; ses garçons viendront ensuite au nombre de troi
entôt en état de parler pour lui. Madame de Vilette pense à marier sa fille  ; les petits de Murçay croissent ; le père préten
ui vaque ; madame de Sainte-Hermine me présente tristement une grande fille que j’ai grand tort de ne pas établir, et qui ser
ie, et voulant bien être où Dieu me met. Je vous embrasse, mes chères filles , toutes en général et en particulier698. Il y a d
te d’une bonne manufacture de fer étamé et de cuivre ; j’ai épousé la fille d’un riche négociant en ustensiles nécessaires au
rmit, pour ne plus se réveiller, dans un fauteuil, entre son fils, sa fille et quelques-uns de ses amis. Il s’échappa d’au mi
bonne vieille, l’ayant appris, a eu la simplicité de vous envoyer sa fille , avec la lettre d’avis, vous redemander son beurr
C’est la tendresse multipliée par la compassion1500. Un père a sa fille Sans doute, ma très-chère enfant, tu as fort b
e a la faculté d’aimer toujours1518. Madame de Staël 1766-1817 Fille d’un philosophe et d’un ministre populaire, madem
ait que les plaintes de la souveraine, faisait tomber la fortune à la fille du lieu et au fils du voisin, dernièrement arrivé
sur sa tête la couronne de Charlemagne, voit les rois lui offrir leur fille , choisit celle des Césars, dont il obtient un fil
le théologal Charron1804 et mademoiselle de Gournay1805, celle-ci, sa fille d’alliance, en guise de pleureuse solennelle, son
t par le tour délicat de son urbanité courtoise et respectueuse. 90. Fille de madame de Rambouillet, elle fut chantée par to
à toute occasion et qu’on met sous son chevet. 184. Valère aime la fille d’Harpagon, il s’est insinué dans la demeure, à t
de sa servante. 262. On lit dans madame de Sévigné : « Comment, ma fille , j’ai donc fait un sermon sans y penser ! J’en su
lle veut parler de son cousin Bussy, chez lequel se trouvait alors sa fille . C’est un compliment gracieux à l’adresse d’un pa
trois ans. 409. Ce mot s’explique par ce qui suit ; elle idolâtre sa fille . 410. Arnaud d’Andilly était janséniste : il ava
une place fort belle, on a un livre, ou prie Dieu, on rêve à sa chère fille , on fait des châteaux en Espagne, en Provence, ta
: vraiment elles sont belles ; il fait sabler son parterre. Enfin, ma fille , c’est une chose étrange comme avec cette vie tou
figuré, c’est le retour fréquent des mêmes discours. 422. Sa petite fille . Quelle charmante grand’mère ! 423. Triomphe :
jardinier. 426. Madame de Sévigné décrivait ainsi le château de sa fille  : « J’ai reçu plusieurs de vos lettres, mon cher
puisse imaginer ; je ne dis point grand, ni magnifique, parce que ma fille n’ayant pas voulu jeter tous les appartements par
ier effarement. 443. La curiosité s’en mêle. On n’est pas impunément fille d’Eve, et Parisienne. 444. Ile ; elle veut dire
e Sévigné, nous ne saurions mieux faire que de citer la lettre que sa fille , Madame de Grignan, écrivit, après la mort de sa
peur des mots simples. 560. Il dit ailleurs : « Si un roi épouse une fille de basse extraction, elle devient reine ; on en m
s et ces petites barquettes, que jamais elles ne renversent. « O ma fille  ! que je souhaite que nos cœurs soient comme cela
spirer à notre Sauveur ! Et ce nid, pour qui serait-il fait, ma chère fille  ? Pour les petits poussins de celui qui l’a fait
st pitoyable, empêchant la mer de les enlever et saisir ! O Dieu ! ma fille , de même, cette souveraine bonté assurera le nid
du côté d’un bas, pour les affermir contre les vagues. O ma sœur, ma fille  ! le doux Jésus veuille nous rendre tels, qu’envi
de l’esprit ; je suis venue à la faveur et je vous proteste, ma chère fille , que ces états laissent un vide affreux, une inqu
oire contre bien des calomnies. 675. Ces conseils s’adressaient à la fille aînée du duc de Savoie, mariée au duc de Bourgogn
res. 844. Pan, dieu des bergers et des troupeaux. 845. Philomèle, fille du roi d’Athènes Pandion ; attirée par Térée, roi
nom à cet oiseau. 846. Les Muses, déesses des sciences et des arts, filles de Jupiter et de Mnémosyne, sœurs d’Apollon. 847
nt des monstres moitié hommes, moitié chèvres. 852.  . Echo, nymphe, fille de l’Air et de la Terre, ne répétait que les dern
ins. 864. Bacchus, dieu du vin, était fils de Jupiter et de Sémélé, fille de Cadmus et d’Harmonia. 865. Silène, vieux sat
prêt à s’envoler vers les régions où l’invite cette espérance divine, fille de la vertu et de la mort. Cependant l’ange de pa
à côté de Goldsmith, au dessous des Cervantes et des Molière. 967. Fille du duc de Savoie, elle épousa le petit-fils de Lo
ourg, avait dû se séparer de sa famille ; il n’avait pas encore vu sa fille Constance, née quelques mois après son départ. El
ortense, qui venait de perdre son fils aîné, âgé de quatre ans : « Ma fille , «  Tout ce qui me vient de la Haye m’apprend q
dans le temple de Bacchus. 1739. Erechthée, roi d’Athènes, immola sa fille pour obtenir la victoire sur les habitants d’Eleu
. Femme célèbre, née en 1566, morte en 1645 : Montaigne l’appelait sa fille d’alliance. 1806. Bayle, auteur du Dictionnaire
32 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
modèle parfait de ce genre de style. Lettre de madame de Sévigné à sa fille . Elle rend compte à sa fille d’un agréable voyage
style. Lettre de madame de Sévigné à sa fille. Elle rend compte à sa fille d’un agréable voyage qu’elle vient de faire à Pom
 : cela me déplaît fort. Votre frère n’y sera plus en ce temps-là. Ma fille , vous souhaitez que le temps marche ; vous ne sav
ntenant en Provence, et à Paris, et à la cour, et à Livry ; enfin, ma fille , il faut bien que vous soyez ingrate ; le moyen d
ent, s’appelle délicatesse. Tel est ce mot de madame de Sévigné à, sa fille  : J’ai mal à votre poitrine ; expression de génie
ent et caressent la main qui les protège ou qui leur donne la pâture. Fille aimable du bienfait, tu te fais reconnaître à ton
33 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
victoire. Au premier rang se distingua une femme, Mlle de Gournay, la fille adoptive de Montaigne. Elle était savante. Non se
cles, Achille, à qui le ciel promet tant de miracles, Recherche votre fille , et d’un hymen si beau Veut dans Troie embrasée a
issance vaine, « Si, dans un sacrifice auguste et solennel,     « Une fille du sang d’Hélène « De Diane en ces lieux n’ensang
ts que le ciel vous dénie,     « Sacrifiez Iphigénie. » Arcas. Votre fille  ! Agamemnon.                    Surpris, comme t
e d’Asie à la Grèce promis : De quel front, immolant tout l’État à ma fille , Roi sans gloire j’irais vieillir dans ma famille
açaient mes refus. Je me rendis, Arcas ; et, vaincu par Ulysse, De ma fille , en pleurant, j’ordonnai le supplice, Mais des br
oyage, Que ce guerrier, pressé de partir avec nous, Voulait revoir ma fille , et partir son époux. Arcas. Et ne craignez-vous
dans l’armée. Mais des nœuds plus puissants me retiennent le bras. Ma fille , qui s’approche, et court à son trépas ; Qui, loi
un arrêt si sévère, Peut-être s’applaudit des bontés de son père ; Ma fille … Ce nom seul, dont les droits sont si saints. Sa
uit de la résolution de ce héros ; Agamemnon en gémit en pensant à sa fille . Ulysse lui reproche sa faiblesse. Entre un messa
proche sa faiblesse. Entre un messager qui annonce que la reine et sa fille viennent d’arriver au camp ; ainsi Agamemnon a pr
e éclater ? Ne puis-je… Agamemnon.                      Hé bien ! ma fille , embrassez votre père ; Il vous aime toujours. I
x ! avec quel amour la Grèce vous révère ! Quel bonheur de me voir la fille d’un tel père ! Agamemnon. Vous méritiez, ma fil
eur de me voir la fille d’un tel père ! Agamemnon. Vous méritiez, ma fille , un père plus heureux. Iphigénie. Quelle félicit
peine : Avons-nous sans votre ordre abandonné Mycène ? Agamemnon. Ma fille , je vous vois toujours des mêmes yeux : Mais les
’éclaircirez-vous point ce front chargé d’ennuis ? Agamemnon. Ah, ma fille  ! Iphigénie.                       Seigneur, pou
Agamemnon.                                          Vous y serez, ma fille . Adieu ! Projets de Mithridate. (Les Plaideu
fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles . Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœu
lorieux, acte IV, scène VII.) Le Comte de Tuflères doit épouser la fille du financier Lisimon ; mais, comme il désire cett
méfier d’une honnête famille ? Allons voir Lisimon, menez-moi chez sa fille . Le Comte. De grâce, à vous montrer ne soyez pas
Lisimon.                                       À peu près. C’est ma fille … M. Josse. Où donc est le futur ? Isabelle.    
irez point ? Est-il temps que l’on cause ? Valère, ici. Laissez cette fille , et pour cause. M. Josse, au comte. Votre nom,
es jours de vengeance Dans les trésors de ta fureur ! Ô Lisbonne ! ô fille du Tage ! Ô superbe reine des mers ! L’Océan avec
ambroisie, Ni dans le ciel ni dans ses vers : Sa nébuleuse poésie Est fille des rocs et des mers. Son génie errant et sauvag
retraite où il ne s’occupait que de botanique et de l’éducation d’une fille chérie, il fut exécuté le 27 juillet 1794. La C
tant de revoir la famille. « Ah ! Monseigneur, lui dit la plus petite fille , Si vous vouliez pour nous la demander à Dieu, No
ous rends. » On accourt ; ô surprise ! ô joie ! ô doux spectacle ! La fille croit que Dieu fait pour eux un miracle : « Ce n’
de Delille, qu’il remplaça en 1814 à l’Académie française. La jeune Fille malade. L’huile sainte a touché les pieds de
 ; toi seule es ma famille. Et tu me quitterais, toi mon sang, toi ma fille  ! Non, tu vivras pour moi ; Dieu voudra te guérir
spère. Hélas ! pour espérer est-il jamais trop tard ? Jeune âme de ma fille , oh ! suspends ton départ ; Et, pour quitter ce m
e dut souffrir ta mère,               Et tu prendras pitié de moi. La fille de Jaïr à ta voix fut sauvée. Tu lui dis : Levez-
i. La fille de Jaïr à ta voix fut sauvée. Tu lui dis : Levez-vous, la fille s’est levée. De l’éternel sommeil elle dormait po
              Et vers le lit revient soudain S’assurer qu’en effet sa fille encor respire ; Puis sous les blancs rideaux qu’a
leurs. Ce nom, ce vêtement, m’étaient d’un doux présage ; Et quand ma fille et moi, nous tenant par la main, Nous allions à l
e monde nouveau, paisible, exempt de soins, D’étoiles et de fleurs ta fille couronnée Cherchait ta main pour guide et tes yeu
a famille ; Et la mère, au bruit de leurs pas. Maudit la beauté de sa fille . ……………………………………… « Les rois, quand il faut nous
sentiment, principalement dans les pièces où il pleure la mort de sa fille . La preuve que dans ces incomparables élégies il
e plomb, « Vous ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’enfant blond, La fille de ses fils, douce comme l’aurore ; Et Caïn répon
calme et de fraîcheur ! Les prières aussi revinrent, les prières Sont filles du bonheur autant que des misères ; Heureux ou ma
lutôt si l’on ne savait pas, par ses propres aveux, qu’il sacrifie sa fille , non à la patrie ni à la volonté des dieux, mais
on cœur l’orgueilleuse faiblesse ! Aussi la rencontre du père avec la fille est bien moins touchante dans Racine que dans Eur
tait contraint par la nécessité. En effet, il avait des enfants d’une fille d’Ap. Claudius, et il avait marié sa fille, à Rom
il avait des enfants d’une fille d’Ap. Claudius, et il avait marié sa fille , à Rome, à un Livius ; mais un événement bien plu
e tradition dénuée de certitude historique, Ju­lien voulait venger sa fille Florinde, vulgairement appelée la Cava, que le ro
34 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
umains. Ah ! combien frémira son ombre épouvantée, Lorsqu’il verra sa fille à ses yeux présentée, Contrainte d’avouer tant de
eu cruel a perdu ta famille, Reconnais sa vengeance aux fureurs de ta fille . À des villes, à des provinces : tel est cet end
à Josabet : Où suis-je ? de Baala ne vois-je pas le Prêtre ? Quoi ! fille de Davidb, vous parlez à ce traître ? Vous souffr
oi, ma foi jurée, Mademoiselle, la grande Mademoiselle, Mademoiselle, fille de feu Monsieur, Mademoiselle, petite-fille de He
35 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
en toi l’honneur de la Castille, Mon âme avec plaisir te destinait ma fille . Je sais ta passion, et suis ravi de voir Que tou
fils dégénère Qui survit un moment à l’honneur de son père. Chimène, fille du comte, vient demander au roi d’Espagne le chât
s soupirs vous diront mieux le reste. D. Fernand. Prends courage, ma fille , et sache qu’aujourd’hui Ton roi te veut servir d
grand roi, qu’un meurtrier périsse. D. Fernand. Prends du repos, ma fille , et calme tes douleurs. Chimène. M’ordonner du r
36 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556
, qui dote les familles, Donne à vos fils la force, et la grâce à vos filles  ; Afin que votre vigne ait toujours un doux fruit
n ce monde, et tout finit ailleurs2. La prière pour tous Ma fille  ! va prier ! vois, la nuit est venue ; Une planèt
e sous son aile, L’enfant dans la prière endort son jeune esprit ! Ma fille , va prier ! — D’abord, surtout pour celle Qui ber
37 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
in, associe le sacré au profane et donne le nom de « Nymphettes » aux filles de Sion. Ainsi s’échappait l’imagination affolée 
d’Urfé, les La Mothe le Vayer, les G. Colletet, les Hardy, unis à la fille adoptive de Montaigne, la belliqueuse Mlle de Gou
uventes-fois207 retansé de mon pere Voyant que j’aimois trop les deux filles d’Homere208 Et les enfans209 de ceux qui docteme
Bibl. Elzévirienne). Chant de la paix237 Je te salue, ô Paix, fille de Dieu. Fille de Dieu, tu sois la bien venuë… D
nne). Chant de la paix237 Je te salue, ô Paix, fille de Dieu. Fille de Dieu, tu sois la bien venuë… Donc que l’on vo
’ombrage l’on voit s’egaïer en la dance, Trepignant pellemelle280, et filles et garçons, Tantost au flageolet, et tantost aux
u théâtre. Docteur en médecine il fut attaché à Marguerite de France, fille de François Ier et femme du duc de Savoie ; il la
Conduis si constamment332, mon soutien, mon addresse333, Antigone ma fille , helas ! retire toy, Laisse moy malheureux soupir
e mes pas, La fleur de ta jeunesse avec moy n’use pas, Retire toy, ma fille . Et dequoy me profite, Me voulant fourvoyer335, t
de mon corps, digne de son tonnerre… Las ! pourquoy me tiens tu ? ma fille  : vois tu pas Que mon pere m’appelle et m’attire
jeune Saintemarthe, et ses vers enchanteurs Apres eux attiroient les filles et pasteurs.     Et di, qu’ayant encor sans cotto
aille… On n’use point pour son manger et boire De tous les chants des filles de Memoire416 Ni d’Apollon, lequel le plus souve
Mais le vice n’a point pour mere la science, Et la vertu n’est point fille de l’ignorance. (Ibid., livre II). Prière
oirci, Diables du Rhin, n’approchés point d’ici : C’est le séjour des Filles de Memoire. Je vous conjure en lisant le grimoire
rites de la Marguerite des Princesses. — Jeanne d’Albret (1531-1572), fille de la précédente, « qui, dit d’Aubigné, n’avoit d
., IV, 5.) Un père [I] Les conseils du vieux Silène à sa fille Arténice sont un mélange de bon sens et de bonté.
nné ses vœux et son affection. (Ibid., 1, 4.) [II] Quand sa fille veut le quitter pour le couvent, sa douleur est g
n frere eust part à ma douleur : Il n’avoit comme moy que ceste seule fille , Il perd en la perdant l’espoir de sa famille ; E
istes destinées Qui destordent desja le fil de mes années. Helas ! ma fille , helas ? qui me clorra les yeux Mais que766 mon p
s maisons une seule maison. Nous y verrons un jour nos gendres et nos filles Dans un mesme foyer eslever nos familles, Et vous
nous eussions eu beau chanter, Avant que vous faire revivre, Les Neuf filles de Jupiter Qui sçavent tant d’autres merveilles,
oi, père de Psyché, Psyché 934. LE ROI. ……………………………………………………… Ah ! ma fille , à ces pleurs laisse mes yeux ouverts ; Mon deuil
tte vive douleur dont je ressens les coups, Je veux bien l’étaler, ma fille , aux yeux de tous, Et dans le cœur d’un roi montr
rendre Bien plus que ce qu’ils m’ont donné. Je reçus d’eux en toi, ma fille , Un présent que mon cœur ne leur demandoit pas ;
715. Son mariage, la naissance et l’éducation de deux fils et de cinq filles , des poésies chrétiennes, l’Histoire de Port-Roya
d plaisir à prolonger son cours, Ce fut sur ce charmant rivage Que sa fille volage Me promit de m’aimer toujours. Le Zéphyr f
éjà, je vous prie, Vous repentiriez-vous d’avoir fait œuvre pie ? Une fille nubile, exposée au malheur, Qui veut faire une fi
n cher comte, Si tu fais tant le fier, ce n’est pas là mon compte. Ma fille te plaît fort, à ce que l’on m’a dit : Elle est r
te, Lycandre 1120.   LYCANDRE. Allons voir Lisimon. Menez-moi chez sa fille . LE COMTE. De grâce, à vous montrer ne soyez pas
eux. (Macbeth 1145, II, 6.) En Arabie1146 I. Abufar à sa fille Saléma Pourquoi dans le désert, avec un regar
s fleurs, c’est sa douce famille, Et Jupiter se plaît à contempler sa fille , Cette terre où partout, sous tes doigts gracieux
ssauts, mortels aux épouses plaintives, Et les mères en deuil, et les filles captives ; Puis aussi les moissons joyeuses, les
e là, dans le sein frais d’une roche azurée, En foule il appelait les filles de Nérée, Qui bientôt, à ses cris s’élevant sur l
andre Soumet (1786-1845) débuta en 1816 par cette élégie de la Pauvre fille , qui est restée pour lui ce que la Feuille est po
ay, déjà goûtée pour ses romans, bientôt célèbre de la renommée de sa fille , Delphine Gay, depuis Mme de Girardin. C’est en c
ste charmant de tête grise et de têtes blondes : Près du rouet de sa fille chérie Le vieux sergent se distrait de ses maux,
, 1829), à Shakespeare (les Enfants d’Édouard, 1833), sans compter la Fille du Cid (1840), qui est une excursion à la suite d
ouvelé la poésie lyrique ; il a donné à la nouvelle école dramatique, fille de Shakespeare, de Goethe et de Schiller, un code
plomb : « Vous ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’enfant blond, La fille de ses fils, douce comme l’aurore ; Et Caïn répon
fanterie, il avait déjà publié les poésies (livre antique : Moïse, la Fille de Jephté, le Déluge, Eloa, etc. ; livre moderne 
ra à l’Académie française en 1868. À part son heureuse tragédie de la Fille d’Eschyle (1848), trois mots peuvent résumer son
eret qu’elle allaicte. Ainsi fit plus tard Mme Deshoulières pour ses filles , ses « chères brebis ». Il avait déjà mis la reli
. Ronsard, les Poèmes, liv. IIe : la Paix, au roy Henri II : O Paix, fille de Dieu ! nous viens réjouyr Comme l’aube du jour
anti mente. 333. Il n’a d’adresse à se guider que par les yeux de sa fille . 334. Mot disparu. Heur vient de augurium. 335.
rnier : Oed. Va, crois-moi, prends pitié de ton malheureux père. Ma fille , assez longtemps j’ai gémi sur la terre. Ma vie e
347. Le prince de Grèce leur a demandé la main de Bradamante, leur fille , sans dot. 348. Vous est régime. Vous sujet est
ses nées de Jupiter et de Mnémosyne (Μνημοσύνη de μνήμη, de mémoire), fille du Ciel et de la Terre. 417. Cf. Molière, Femme
arer d’Alidor, et qui par désespoir se jette dans un « couvent » de «  filles dévotes consacrées à Diane » ; un jeune berger, l
fils (Horace, III, 6), et, dans Racine (Iphig, IV, 4), Agamemnon à sa fille  : Du coup qui vous attend vous mourrez moins que
tion fait partie des fêtes que Dioclétien donne pour le mariage de sa fille avec Maximin : elle a pour sujet le martyre d’Adr
s prétendent a sa main. Elle les réunit, avec la reine d’Aragon et sa fille , et d’autres grands de Castille, en un conseil au
passion, deviens un peu moins forte ; héroïque, du vieil Horace à sa fille (Horace, III, 6) : Ô mes frères ! Tout beau, ne
rentes sur l’éducation des jeunes gens, des garçons chez Térence, des filles chez Molière. Mais là s’arrête la ressemblance. D
u lui dédia sa ve  satire 937. . Cf. les paroles du Roi à Psyché, sa fille . 938. Ce sonnet était accompagné de la lettre d
comme l’expression pour l’esprit. 1001. Méduse, l’une des Gorgones, fille de Phorcus et de Céto, était surtout célèbre par
u’elle manque aujourd’hui d’amour ou de mémoire. 1021. Sophonisbe, fille d’Asdrubai, avait détaché de l’alliance des Romai
mparaison de la Lune et des Estoiles avec une princesse suivie de ses filles  » ; le sixième, une « comparaison de Nuës rougeas
Pérou, a obtenu de Montèze, roi d’une partie du Potoze, la main de sa fille Alzire. Alzire aimait et aime encore Zamore, roi
père est de retour. LE COMTE. C’est à lui de venir et de m’offrir sa fille ., Le père se présente précisément quelques insta
ant avec l’amiral… » 1119. Le comte de Tufière recherche Isabelle, fille d’un riche bourgeois, et réponse. La pièce, dont
             Suivi de ma famille. Dois-je venir ici vous présenter ma fille , Vous priant à genoux de vouloir l’accepter ? Si
vouloir l’accepter ? Si tu te l’es promis, tu n’as qu’à décompter. Ma fille vaut bien peu, si l’on ne la demande. Je te baise
Bucol., LXXVI.) Et il la recueille partout, en Suisse, en Normandie : Fille du vieux pasteur, qui d’une main agile Le soir em
lit, où, sous les yeux de sa mère éplorée, se meurt un jeune Grec, sa fille , dont l’hymen lui rendra la vie. Dans une pastora
légie, paraissait une autre élégie qui·lui dispute le prix, La pauvre fille d’Alex. Soumet. La pauvre fille. J’ai fui ce pén
e qui·lui dispute le prix, La pauvre fille d’Alex. Soumet. La pauvre fille . J’ai fui ce pénible sommeil Qu’aucun songe heure
itaire ; Mais pour moi les tombeaux sont tous indifférents, La pauvre fille est sans parents Au milieu des cercueils, ainsi q
ucheries ; Je ne veux pas, ils sont à moi. S’il me, etc. Quant notre fille sera grande, Si le fils de notre régent En mariag
r dot il veut qu’on donne Les grands bœufs blancs marques de roux, Ma fille , laissons la couronne, Et ramenons les bœufs chez
l’air sain d’une vie laborieuse et honnête. Il ne se tue pas, dote la fille du fermier, et va servir en Afrique. 1496. Expre
mpie, pour la dernière un père qui rêve au lieu de faire une dot à sa fille . Son génie n’est reconnu que de quelques disciple
génie n’est reconnu que de quelques disciples enthousiastes, et de sa fille , qui sacrifie un honnête et ardent amour pour le
Milan, Et répètent sans fin cette magique histoire, Où chaque nom de fille est un nom de victoire… Cependant autour d’eux le
38 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
us séparons pas. Le vieux sergent (1823) Près du rouet de sa fille chérie, Le vieux sergent se distrait de ses maux,
ure nos larmes1 : Dieu, mes enfants, vous donne un beau trépas ! Sa fille alors, interrompant sa plainte, Tout en filant, l
39 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
es. 169. Quelle a été l’origine de la poésie lyrique ? La poésie est fille du ciel, dit M. de Riancey, et l’hymne a été son
ans sa prison ; les Stances de Malherbe à Duperrier sur la mort de sa fille  ; Aux Nymphes de Vaux, par La Fontaine ; A Philom
et délicat. La timide romance exhale mollement Une plainte sans art, fille du sentiment ; Elle aime à parcourir le domaine d
des Germains, nos ancêtres : Cantilenis infortunia sua solantur. Fille aimable de la folie, La chanson naquit parmi nous
ues, qui a dû être composé à l’occasion du mariage de Salomon avec la fille du roi d’Égypte, a mérité d’être considéré par le
40 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VII. Des différents exercices de composition. »
rs avec le même esprit et la même grâce. Tendre et passionnée avec sa fille  ; légère et piquante avec Bussy-Rabutin ou avec M
er un jour votre amie dans la plus respectueuse et la plus tendre des filles . Joséphine d’H… * Madame de Sévigné à sa fille.
la plus tendre des filles. Joséphine d’H… * Madame de Sévigné à sa fille . Vous me dites mille douceurs sur le commencement
Une dame très respectable étant un jour au chevet du lit d’une de ses filles qui était en danger de mort, s’écriait, en fondan
prenez tous mes autres enfants. Un homme qui avait épousé une de ses filles , t’approcha d’elle, et la tira par sa manche : Ma
ade ; tout à coup il fut accusé d’une faute assez grave par une bonne fille nommée Marie Talbot, dont, malgré cette aventure,
41 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — André de Chénier 1762-1794 » pp. 480-487
, et tes bras avec peine Cherchant à repousser la vague ionienne. Les filles de Nérée ont volé près de toi. Leur sein fut moin
sculpté par Phidias. 1. Ces vers sont imités de Properce. 2. Hellé, fille du roi de Thèbes, traversa, sur un bélier, le dét
42 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
tes ; et sous prétexte de conduire en Hollande la princesse royale sa fille aînée2, qui avait été mariée à Guillaume, prince
ement, en 1642. Charles Ier avait épousé en 1625 Henriette de France, fille de Henri IV : c’était le dernier enfant de ce pri
lesquelles il faut citer Anne d’Autriche. 2. Henriette d’Angleterre, fille de Henriette de France et de Charles Ier, roi d’A
43 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre III. Lettres missives. Genre épistolaire. »
hons avec elle. Donnons de cette femme célèbre une lettre écrite à sa fille , le 20 février 1671, sur un incendie dont elle a
e ne fût ici. Je crus même entendre qu’on parlait de ma pauvre petite fille  ; je m’imaginai qu’elle était brûlée. Je me levai
44 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
près la mort de Mme de Rambouillet et le mariage de Julie d’Angennes, fille de celle-ci, le rendez-vous de la société élégant
indiscrétion (Les Femmes et le Secret). – la pruderie dédaigneuse (La Fille ), – la mobilité et l’inconstance (La Jeune Veuve)
le plus de confiance. Il voulait savoir ce qu’était en réalité cette fille étrange qui, dans son camp et celui de ses alliés
alier. C’est une femme, c’est une vaincue. 3° Qu’il laisse donc cette fille , désormais inoffensive, retourner dans son villag
otre fils est bègue ; ne le faites point monter sur la tribune. Votre fille est née pour le monde ; ne l’enfermez pas parmi l
le sort de son enfant. Andromaque et Clytemnestre aiment, celle-ci sa fille et celle-là son fils, d’un amour désintéressé ; A
st le trait principal du caractère d’Andromaque. Clytemnestre aime sa fille et elle la défend contre Agamemnon. Celui-ci song
vec emportement et avec éloquence ; elle excite Achille à défendre sa fille . La reine et l’épouse disparaissent et ne laissen
de premier ordre. Non seulement le public ne regarde pas cette noble fille comme « une impudique et un monstre », mais il s’
ne et sans expérience, il attaque un guerrier renommé dont il aime la fille . Chimène, elle aussi, met le devoir au-dessus de
les plus grands seigneurs, il achète leurs châteaux ou leur donne ses filles en mariage. Le bourgeois vit dans une ignorance p
7-1733) avait écrit à Fénelon qu’elle s’était inspirée pour élever sa fille et son fils des idées de l’auteur du Traité sur l
fille et son fils des idées de l’auteur du Traité sur l’éducation des filles et du Télémaque. On supposera que Fénelon répond
us supposerez que Mme de Pomponne, « qui n’en usait pas ainsi avec sa fille Félicité, à qui elle faisait apprendre tout ce qu
», etc. – Une réception à l’hôtel de Rambouillet. – La marquise et sa fille . – Les principaux hôtes. – Imaginez une conversat
re qui va au devant de l’instruction. » – Mme de Lambert disait à sa fille  : « Approuvez, mais admirez rarement ; l’admirati
es écrivains qui, auxvii e siècle, se sont occupés de l’éducation des filles  ? – Dans quelle mesure peut-on dire que « la comé
t de longues années, elle ne s’occupe guère que de ses enfants, de sa fille , la marie assez tard, et s’en sépare douloureusem
époque, les seules joies de sa vie sont les séjours trop rares de sa fille , les seules douleurs sont les séparations. Rien d
pas insister tout d’abord sur sa grande et dominante passion pour sa fille . Mme de Sévigné est, avant tout, la mère de cette
ses lettres. Rien de plus sincère que ce mot. Dans son amour pour sa fille , dans ses amitiés si nombreuses, et si solides da
recommande la morale de Mme de Sévigné. Si parfois son amour pour sa fille l’emporte un peu trop loin, si elle nous paraît t
rand’mère va jusqu’à lui permettre d’approuver la mise au couvent des filles aînées de M. de Grignan, afin que ses petits-enfa
ans cette vie, comme leur salut dans l’autre. On peut dire aussi que, fille de protestants, comptant des protestants dans sa
e de cœur que donne parfois la vie, déflorer les illusions de pauvres filles dont c’est la seule richesse ! Il est difficile d
au pédantisme, s’était répandu même parmi les femmes. « Les femmes et filles , dit avec enthousiasme un personnage de Rabelais,
uvilliers que Fénelon composa, en 1687, son Traité de l’éducation des filles . Avant la publication de ce traité, Fénelon, dans
mais assez frivole, tout compte fait, et, si elle se trouvait être la fille même de la marquise, rendue parfaitement égoïste
e de ses lettres, s’exprime ainsi : « Cultivez soigneusement dans vos filles les sentiments d’honneur, qui sont comme naturels
gne de lui. …………………………… Chrétiens, que la mémoire d’une grande Reine, Fille , Femme, Mère de Rois si puissans, et Souveraine d
omment élever nos enfants ? Que feront nos garçons ? Que faire de nos filles  ? Les volumes de Gausseron, encore trop peu connu
ette pensée de Mme de Maintenon : « En quelque condition que soit une fille , le goût de l’ouvrage lui est nécessaire. » – Vo
ne mère reconnaissante des bons soins et de la bonne direction que sa fille reçoit à l’école, écrit à l’institutrice pour l’e
dans les occupations du ménage. – Dans son traité De l’éducation des filles , Fénelon demande qu’on leur apprenne les quatre r
quand elle écrit à Mme de Berval (6 août 1698) : « Je crois, ma chère fille , que, dans le choix des sujets pour votre maison,
z les discoureuses, défaites-vous de ce que j’entends souvent : Cette fille , dit-on, n’a pas de talents pour l’instruction, e
; ces caractères sont mauvais et se portent en tout. Aimez les bonnes filles qui se donnent tout entières à ce qu’elles font….
’une femme dans les divers rôles que la nature lui prépare : celle de fille , de sœur, d’épouse et de mère, se résume en deux
.) – Quel parti tirerez-vous, dans la première éducation d’une petite fille , de l’intérêt et de l’amour-propre ? (Gausseron,
n, id. , chap. XV.) – Comment utiliserez-vous, pour élever une petite fille , le sentiment et la raison ? (Gausseron, chap. XV
lle, le sentiment et la raison ? (Gausseron, chap. XVI.) – Ce que les filles doivent savoir. (Gausseron, chap. XXV.) – Dans un
le mesure ? Dire comment elle se conduit avec les garçons et avec les filles , avec les plus âgés et avec les plus petits. Plai
ité une exposition scolaire où les travaux à l’aiguille des écoles de filles vous ont particulièrement intéressée. Vous décriv
tés qu’un père peut souhaiter de voir réunies dans le caractère de sa fille  ? Corrigé1. Si tu veux que la société répande
uveau sur les mers, recommencent leurs déprédations, s’emparent de la fille de l’orateur Antonius, ne la relâchent que pour u
et la renferma soigneusement. La reine y trouva l’ordre de donner sa fille au porteur de la lettre et de célébrer le mariage
d à l’orient des bouches du Rhône. Le chef gaulois du pays mariait sa fille . Il fit bon accueil aux étrangers, et les invita
endants assis autour de la table de son père. Sur la fin du repas, la fille du chef entra, une coupe à la main ; elle promena
es Gaulois crut que le ciel protégeait l’étranger et avait inspiré sa fille . Il donna pour dot au chef grec la plage devant l
e petite bourse de cuir, remplie de la terre du sol natal. Une petite fille vêtue d’habits de deuil s’avance et la prend. Apr
échanger leurs jouets les plus beaux contre ce dernier lot. La petite fille refuse et serre précieusement la bourse de cuir.
irablement aux grands effets de son austère éloquence. Ici, c’est la fille de Henri IV, la veuve de Charles Ier, qui meurt a
traités 85 Devoirs d’élèves 131 ENSEIGNEMENT SECONDAIRE DES JEUNES FILLES École normale de Sèvres. Conseils généraux 157
45 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
e, ou la récompense de la vertu ; tels que Philémon et Baucis, et les filles de Minée, que La Fontaine a si bien traités. Voye
é de ces revers, Au bas du mont de la docte Aonie230, Précipitant ces filles des enfers, Les replongea dans leur ignominie, Et
rbe à François du Perrier, son ami, pour le consoler de la mort de sa fille , et dans laquelle il lui dit avec autant de délic
ple aux fers abandonné, Des mères pâles et sanglantes Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d’un soldat effréné. Voyez
          Du Dieu qui sauva leurs jours ;                      Et nos filles triomphantes                      Mêlent leurs vo
                   Malheur à tes peuples pervers, Reine des nations, fille de Babylone314                    La foudre gron
de ce Volume. 321. Voyez ce mot, ibid. 322. Voyez le mot Mémoire ( Filles de), ibid. 323. Voyez ce mot, dans les notes, à
46 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
s de Mme Deshoulières, que celle qu’elle a faite pour recommander ses filles à Louis XIV après la mort de son mari, et qui com
ce genre, a donné à son recueil. Ce poète a supposé que des femmes ou filles de héros, séparées de leurs maris ou de leurs pèr
e la consolation adressée par Malherbe à Du Perrier sur la mort de sa fille , où l’on trouve ces beaux vers : Ta douleur, Du
amitié paternelle         L’augmenteront toujours ? Le malheur de ta fille au tombeau descendue         Par un commun trépas
le baissa la tête         Et se prit à pleurer.         Ah ! pleure, fille infortunée !         Ta jeunesse va se flétrir   
47 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
sa réputation. Le Paria, Marino, Louis XI, les Enfants d’Édouard, la Fille du Cid, etc., sont des ouvrages qui restent dans
e dragons. Dans Inès, le fils d’un roi est marié secrètement avec une fille d’honneur de la reine, tandis que ce roi veut le
’honneur de la reine, tandis que ce roi veut le marier avec la propre fille de cette même reine : dans la parodie, c’est Pier
la servante de la maison, tandis que son père veut le marier avec la fille de la baillive. Les actions héroïques travesties
48 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »
est l’image des ingrats. ——————————— Non, non, sans le secours des filles de mémoire144, Vous vous flattez en vain, partisa
e très beaux vers en ce genre, tels que ceux-ci de Racine : Hé bien, filles d’enfer, vos mains sont-elles prêtes ? Pour qui s
ns les notes, à la fin du premier Volume. 144. Voyez le mot Mémoire ( Filles de), dans les notes, à la fin de ce Volume. 145.
49 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Racine 1639-1699 » pp. 415-440
nt elle avait puni les fureurs indiscrètes : Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d’une lâche et frivole pitié
quefois expliquer ses désirs. Il n’a point détourné ses regards d’une fille , Seul reste du débris d’une illustre famille6 : P
neur, ni cette indignité5. Et pouvez-vous, seigneur, souhaiter qu’une fille Qui vit presque en naissant éteindre sa famille,
50 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
menteur. Il a promis à un de mes sujets « de lui donner en mariage la fille de Saturninus ; s’il ne veut « pas tenir sa parol
erine II de n’être pas obligé de vendre sa bibliothèque pour doter sa fille . De retour d’un voyage de Russie, il vécut retiré
’aucun d’eux lui manquât, fait effort pour se lever ; mais une de ses filles , à genoux devant lui, le retient par les basques
ne escabelle de paille, le cierge bénit qui brûle, et le bénitier. La fille aînée, assise dans le vieux confessionnal de cuir
ue le fond de son sujet. A ce livre placé sur une table, devant cette fille aînée, je devine qu’elle a été chargée, la pauvre
ils d’un horloger, introduit à la cour par la protection de Mesdames, filles de Louis XV, auxquelles il apprenait la guitare,
contre, ses adversaires, d’une tendresse passionnée à l’égard de ses filles , dont il ne connut la dernière qu’en 1814, attent
t les garanties de sa liberté politique. Anne-Louise-Germaine Necker, fille du ministre de Louis XVI, naquit à Paris en 1766.
uizot s’éteignit le 12 septembre 1874, au Val-Richer, en dictant à sa fille les dernières pages du quatrième volume de l’Hist
ième volume de l’Histoire de France racontée à mes petits-enfants. Sa fille , Mme de Witt, a terminé cet ouvrage sur le plan e
William Balfour, gouverneur de la Tour, 20000 livres sterling et une fille de Strafford pour son fils, s’il voulait se prête
’à paraître devant Dieu. Elle chercha dans la Vie des Saints, que ses filles avaient coutume de lui lire tous les soirs, un gr
éprouvait de ne pouvoir, faute d’un peu d’aisance, épouser l’une des filles de cette vallée. Le premier consul, tantôt l’écou
du règne de Louis XI (1483). Après la mort de Marie de Bourgogne, fille de Charles le Téméraire (27 mars 1482), les Flama
’Arras (23 décembre 1482), aux termes duquel la princesse Marguerite, fille de Marie, devait épouser le dauphin Charles et lu
lle l’était encore par l’Écosse. Deux mariages rompus à la fois, deux filles d’Édouard dédaignées ; il s’en consola à table, e
s vous taire ? » Le foyer est à elles. Où la mère a niché, nichent la fille et la petite-fille. Elles y reviennent chaque ann
ains des ennemis, poignardé et jeté dans un fleuve Zénobie, sa femme, fille de Mithridate, qu’il avait déjà fait périr. Zénob
remplacé dans sa charge par son fils Gusman. Celui-ci aime Alzire, la fille de Montèze, souverain d’une partie du Potose, qui
cte manoir Tous les secours qui mènent au savoir. Il était là maintes filles savantes Qui mot pour mots portaient dans leurs c
rès avoir vu périr sous l’étreinte d’un même mal sa femme et ses deux filles , il avait fermé les yeux à Thomas, dont la toucha
son frère Étéocle, vient demander à Œdipe, son père, réfugié avec sa fille Antigone auprès du temple des Euménides655, le pa
trésors, soldats, famille : J’ai fondé nos traités sur l’hymen de sa fille . Sept intrépides chefs vont, au premier signal, D
ère, Rien n’a pu t’attendrir sur ton malheureux père : Et si ma digne fille , en consolant mes jours, A mes pas chancelants n’
lle est ma famille. Antigone, est-ce toi ? Viens, mon sang, viens, ma fille  ; Soutiens mon faible corps dans tes bras généreu
s la souffrance ; La joie est loin encor ; le désespoir a fui ; Mais, fille du malheur, elle a des traits de lui. Quels sont
Le mendiant698. C’était quand le printemps a reverdi les prés. La fille de Lycus, vierge aux cheveux dorés, Sous les mont
ins, Ou si c’est quelque front porteur d’une couronne Qui te nomme sa fille et te destine au trône, Souviens-toi, jeune enfan
e ma mère ! Garde que nul mortel n’insulte à sa misère. » — « Oui, ma fille  ; chacun fera ce que tu veux, Dit l’esclave en ba
s’étend sur les lits teints de mille couleurs705 ; Près de Lycus, sa fille , idole de la fête, Est admise706. La rose a couro
pudeur peut nuire à qui vit de bienfaits. Lycus, par Jupiter, par ta fille innocente, Qui m’a seule indiqué ta porte bienfai
rme son cœur avare. Je rends grâce à l’enfant qui t’a conduit ici. Ma fille , c’est bien fait ; poursuis toujours ainsi. Respe
tu franchis le seuil de ma famille A l’heure qui jadis a vu naître ma fille . Salut ! Vois, l’on t’apporte et la table et le p
ux regards des humains. Veillez sur Cléotas ! Qu’une fleur éternelle, Fille d’une âme pure, en ces traits étincelle ; Que nom
la main : « Car c’est toi, lui dit-il, c’est toi qui la première, Ma fille , m’as ouvert la porte hospitalière. » Idylles.
s de la République, puis général de l’Empire, et de Sophie Trébuchet, fille d’un armateur de Nantes, royaliste ardente, d’un
allades. La prière pour tous.(Fragment.) Ora pro nobis. I Ma fille  ! va prier ! — Vois, la nuit est venue. Une planè
s son aile, L’enfant dans la prière endort son jeune esprit ! II Ma fille , va prier ! — D’abord, surtout pour celle Qui ber
même à boire, » dit mon père. Légende des Siècles. Le poète à sa fille . Tout enfant, tu dormais près de moi, rose et
t chante et fleurit ; c’est l’aurore ! Je veux chanter aussi : blonde fille du ciel, Ainsi, de fleur en fleur, va butinant so
! À grands coups de faucille, Lâches ! Vous me tuez ! Vous tuez cette fille Que je viens de sauver ! Infâmes, à genoux ! Ou m
’une main pieuse, En passant chaque ami soulevait son chapeau, Et les filles jetaient sur la fleur un peu d’eau. Cette fleur,
t veuve, être chef de famille, Avoir le bras du fils et le cœur de la fille , Veiller, jusqu’au moment de les voir endormis, E
uble pour le cœur. Une fois seulement Autran aborda le théâtre, et la Fille d’Eschyle (1848) eut un succès mérité ; mais le p
lle revêt846. Eschyle défendu par Sophocle devant l’Aréopage. La fille d’Eschyle est aimée par Sophocle. Celui-ci appren
l’entends crier : Grâce pour le poète en faveur du guerrier849 ! La Fille d’Eschyle, acte III, scène iv. La mer Morte850
uvait seul, en s’inspirant du maître, peindre Charlotte Corday, cette fille , elle aussi, de Corneille par l’âme et par le san
faiblir et écoute la proposition qu’on lui fait d’épouser une vieille fille dont la fortune doit lui rendre l’aisance. Rodolp
que c’est, morbleu ! — je ne peux pas y croire, —   Que cette vieille fille et cette sotte histoire ? GEORGE. Depuis quand ce
es. Il méritait de couronner son œuvre par cette belle création de la Fille de Roland, vraiment cornélienne et du sang de Chi
dire : Jamais ! — Les morts sont plus cléments ! de Bornier 865, La Fille de Roland (acte I, scène ii). La chanteuse (E.
144. Roi d’Arménie (95-60 av. J. C.), et qui avait épousé Cléopâtre, fille de Mithridate. 145. « Mithridate l’avait fait ro
Provinces-Unies. 185. Fils de Maximilien II et de Marie d’Autriche, fille de Charles-Quint, règne de 1576 à 1611. Il attira
d’explications adressée à la partie adverse. 285. C’était le nom de fille de madame Goëzmann. 286. Le sieur Lejay était le
rs fois dans sa correspondance. Écrivant à un père qui avait perdu sa fille , il dit, avec non moins de grâce : « Il n’y a qu’
nue par l’Ecosse confédérée sous la loi du covenant. 431. C’était la fille de Henri IV, la reine Henriette de France, celle
ain du seizième siècle a écrit les paroles du Psalmiste maudissant la fille de Babylone : Filia Babylonis misera, beatus qui
quam retribuisti nobis. A la suite on lit cette traduction en vers : Fille de Babylon, race ingrate et maudite, Heureux qui
e des conditions du traité de Pecquigny (1475) était le mariage de la fille d’Edouard IV avec le dauphin. 521. Les Grandes C
s caractères naturels sont ceux du père, de la mère, du fils et de la fille  ; les caractères sociaux, ceux du prêtre et du gu
ictime de Rhadamiste : c’était parce qu’il avait voulu lui enlever sa fille et la donner à un autre. 605. Voilà un caractère
17. 849. Il n’est pas besoin de dire que l’amour de Sophocle pour la fille d’Eschyle est une simple fiction. Mais le poète e
heureux effets et même plusieurs situations dramatiques. Mégarine, la fille d’Eschyle, voit l’amour dont elle est fière cruel
L’extrait donné ici invitera à lire la pièce tout entière. Berthe, la fille de Roland, est sauvée d’une attaque des Saxons pa
51 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Alfred de Musset 1810-1857 » pp. 564-575
e inhabité Garde de Phidias2 la mémoire éternelle, Et la jeune Vénus, fille de Praxitèle, Sourit encor, debout dans sa divini
07, morte en 1836. Elle débuta en 1825, à l’opéra italien de Londres. Fille de Manuel Garcia, elle suivit son père à Mexico e
52 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Staël, 1766-1817 » pp. 399-408
Madame de Staël 1766-1817 [Notice] Fille d’un homme d’État philosophe, d’un ministre popul
uirait-on pas avec transport des talents de son fils, du charme de sa fille  ? Quelle singulière ingratitude envers la Divinit
53 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surtout avec sa fille , c’est en les entretenant des nouvelles de la cou
 ; cela me déplaît fort. Votre frère n’y sera plus en ce temps-là. Ma fille , vous souhaitez que le temps marche, pour nous re
ment et si distinctement marqué, lorsqu’allant au calvaire il dit aux filles de Jérusalem : Ne pleurez point sur moi, mais sur
ce l’Université de Paris285, dont le plus glorieux titre est celui de fille aînée des rois, nos rois ont voulu que l’on trouv
emmes savantes585. (Extraits.) Acte I, scène III. Henriette, fille du bourgeois Chrysale et de la savante Philaminte
son cœur est épris des grâces d’Henriette592. CHRYSALE. Quoi ! de ma fille  ? ARISTE.                                 Oui : C
voilà partie ; Mais je n’approuve point une telle sortie : C’est une fille propre aux choses qu’elle fait, Et vous me la cha
s plus de querelles, c’est fait : Discourons d’autre affaire. À votre fille aînée On voit quelque dégoût pour les nœuds d’hym
ésolue. Au moins ne dites mot du choix de cet époux : Je veux à votre fille en parler avant vous. J’ai des raisons à625 faire
cœur pour dire un Je le veux ! Vous laisserez sans honte immoler une fille Aux folles visions qui tiennent la famille, Et de
                    Et je lui veux faire aujourd’hui connaître Que ma fille est ma fille, et que j’en suis le maître, Pour lu
       Et je lui veux faire aujourd’hui connaître Que ma fille est ma fille , et que j’en suis le maître, Pour lui prendre un
. Acte III, scène II. Henriette, Philaminte, Bélise, Armande ( fille de Philaminte), Trissotin, Lapine (valet). PHILAM
quelque légion ; Et moi, qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille , femme, sœur et mère de vos maîtres709, Que préte
edemandant la foi jurée à sa famille, Et de Germanicus on entendra la fille  ; De l’autre l’on verra le fils d’Enobarbus726, A
Ainsi qu’une tige naissante, Croît et s’élève sous leurs yeux ; Leurs filles couronnent leurs têtes De tout ce qu’en nos jours
.) Le comte de Tufière et Philinte recherchent la main d’Isabelle, fille de Lisimon, riche bourgeois, fort commun quoique
n cher comte, Si tu fais tant le fier, ce n’est pas là mon compte. Ma fille te plaît fort, à ce que l’on m’a dit : Elle est r
délier d’une honnête famille ? Allons voir Lisimon. Menez-moi chez sa fille . LE COMTE. De grâce, à vous montrer ne soyez pas
ent ? LYCANDRE.                      Pour votre fils je vous offre ma fille . VALÈRE, à Lisette. Je suis perdu798. LISIMON.   
s me voyez surpris. J’accepte le projet. Mais est-elle à Paris, Votre fille  ? LYCANDRE.                        Sans doute ; a
ANDRE.                         Ce nom a causé votre erreur. Venez, ma fille  ; comte, embrassez votre sœur. LISIMON. Sa sœur,
gment est emprunté : « Bon Dieu, quel charme ! Je songe toujours à ma fille , et combien cet excès de justesse et de raisonnem
rir bien d’autres preuves que cette lettre. Ailleurs, elle écrit à sa fille , le 15 novembre 1671 : « Vous voulez savoir si no
énalque. On peut voir sur lui une autre lettre de Mme de Sévigné à sa fille , du 10 avril 1671. 90. C’était le jardinier de L
Grignan, dont parle très souvent Mme de Sévigné, frère du mari de sa fille . Il servit avec distinction et devint maréchal de
oya des députés demander pardon et recevoir la paix. 115. Elle était fille de Philippe IV et d’Isabelle (ou Élisabeth) de Bo
e était fille de Philippe IV et d’Isabelle (ou Élisabeth) de Bourbon, fille de Henri IV : morte à quarante-cinq ans, en 1683.
noncée en son honneur par Fléchier. 116. Anne de Gonzague de Clèves, fille de Charles de Gonzague, duc de Nevers, et de Cath
ttres des 26 et 27 mars 1671). Elle écrivait vers le même moment à sa fille  : « Le père Bourdaloue prêche : bon Dieu ! tout e
Perses qui permettait d’avoir plusieurs femmes, avait épousé Statire, fille de Darius, et Roxane, femme d’un satrape. Quant à
on Iphigénie en Aulide, par la bouche d’Ardélie qui, s’adressant à la fille d’Agamemnon, déplore le malheur de cette jeune pr
ssuet, n’existait plus. Mme de Rambouillet était morte en 1665, et sa fille , Mme de Montausier, en 1671. 586. Il faut remarq
, elle n’avait pas cessé d’être simple et naïve : or, pour être bonne fille ou bonne mère, ainsi que bonne épouse, il faut, a
ecommande encore Fénelon, dans son excellent livre de l’Éducation des filles . — N’y a-t-il pas, d’ailleurs, tout un traité de
tera une force merveilleuse à l’éloquence d’Agrippine. 724. Octavie, fille de l’empereur Claude et sœur de Britannicus. 725
54 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article »
Muses (les) Voyez le mot Mémoire ( Filles de).
55 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — H — article »
inairement la pluie et le mauvais temps. La fable dit que les Hyades, filles d’Atlas, roi de Mauritanie, moururent de douleur
56 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article »
s, né l’an 599 avant J.C., de Cambyse, roi des Perses, et de Mandane, fille d’Astiages, roi des Mèdes. C’est un des plus gran
57 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
la loi des Perses, qui permettait d’avoir plusieurs femmes, Statire, fille de Darius, et Roxane, fille d’un satrape. 1. Dès
ettait d’avoir plusieurs femmes, Statire, fille de Darius, et Roxane, fille d’un satrape. 1. Dès sa première jeunesse, Monte
58 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
de Paris ou de la Bretagne, avec ses amis absents et surtout avec sa fille , c’est en les entretenant des nouvelles de la cou
… mademoiselle… de, devinez le nom ; il épouse dimanche Mademoiselle, fille de feu Monsieur ; Mademoiselle, petite-fille de H
1678. À madame de Grignan. Tendresse de madame de Sévigné pour sa fille  ; regrets sur son absence. Si vous étiez ici,
3 mars 1671. À la même. Funérailles du chancelier Séguier. Ma fille , il faut que je vous conte ; c’est une radoterie
ampagne158. Guitaut m’a montré votre lettre : envoyez-moi ma mère. Ma fille , que vous êtes aimable ! et que vous justifiez ag
qui judicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille , femme, mère de rois si puissants175 et souverain
ix, sénateur romain et gouverneur de l’Arménie, a marié depuis peu sa fille Pauline à Polyeucte, jeune homme illustre de ce p
ton ouvrage ; Cette seconde hostie420 est digne de ta rage : Joins ta fille à ton gendre : ose : que tardes-tu ? Tu vois le m
are et sordide famille Chercher un monstre affreux sous l’habit d’une fille  ; Et, sans trop s’enquérir d’où la laide venait,
r et partout redouté. Songez de quelle ardeur dans Éphèse adorée, Aux filles de cent rois je vous ai préférée580 ; Et, néglige
e prince. Acte II, scène VII. Assuérus (roi de Perse) ; Esther ( fille adoptive du juif Mardochée, devenue, à cause de s
Gardes… C’est vous, Esther ? Quoi ! sans être attendue ? ESTHER. Mes filles , soutenez votre reine éperdue : Je me meurs. (Ell
dieux ! ASSUÉRUS. Ah ! de quel coup me percez-vous le cœur ! Vous la fille d’un Juif ! Hé quoi ! tout ce que j’aime, Cette E
t prêts à vous percer le sein. Hélas ! ce Juif jadis m’adopta pour sa fille . ASSUÉRUS. Mardochée ? ESTHER.                   
ue sur vous son courroux ne soit près d’éclater, Et que de Jézabel la fille sanguinaire Ne vienne attaquer Dieu jusqu’en son
ur réparer des ans l’irréparable outrage : « Tremble, m’a-t-elle dit, fille digne de moi ; « Le cruel Dieu des Juifs l’emport
si sur toi. « Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, « Ma fille . » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre
nt elle avait puni les fureurs indiscrètes : Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d’une lâche et frivole pitié
otre ouvrage. Mais qui retient encor ces enfants parmi nous ? UNE DES FILLES DU CHŒUR. Hé ! pourrions-nous, seigneur, nous sép
ez-vous vous offrir Au vertueux objet qu’il vous faut attendrir, À la fille des rois de ces tristes contrées715 Qu’à vos san
pisodes de nos discordes civiles771. Le Mendiant. (Extrait.) La fille du riche Lycus errait sur les bords du Crathis772
tu franchis le seuil de ma famille À l’heure qui jadis a vu naître ma fille . Salut ! Vois, l’on t’apporte et la table et le p
ux regards des humains. Veillez sur Cléotas ! Qu’une fleur éternelle, Fille d’une âme pure, en ses traits étincelle. Que nomb
a main : — « Car c’est toi, lui dit-il, c’est toi qui la première, Ma fille , m’as ouvert la porte hospitalière786. » Idylle
Rochers. 140. La Grande Mademoiselle, duchesse de Montpensier, était fille de Gaston d’Orléans, frère de Louis XIII. Mêlée a
er de cette lettre plusieurs autres lettres de madame de Sévigné à sa fille , celles qui sont datées du 6 et du 9 février, du
igné. » 149. Séguier. Madame de Verneuil, citée plus loin, était sa fille . 150. Célèbre peintre de Louis XIV. 151. Espèce
oy. Thomas, Essai sur les éloges, c. xxvi. 175. Henriette de France, fille de Henri IV et de Marie de Médicis, femme de Char
ermé dans les Mélanges de M. Villemain. 181. Henriette d’Angleterre, fille d’Henriette de France et de Charles Ier, femme de
dans sa lettre du 11 janvier 1690 : « Nous relisons, écrit-elle à sa fille , toutes les belles oraisons funèbres de M. Bossue
est point vieux, cela est divin. » 193. Anne de Gonzague de Clèves, fille de Charles de Gonzague, duc de Nevers, et de Cath
trie ; à Pépin, l’Aquitaine ; à Louis, la Bavière. 322. Judith était fille d’un seigneur bavarois, Elle obtint pour son fils
ictime de Rhadamiste : c’était parce qu’il avait voulu lui enlever sa fille et la donner à un autre. Mais, comme le remarque
sentiments se joint souvent à l’éclat des vers. 709. Alzire est la fille de Montèze, souverain d’une partie du Potoze, qui
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
fil et des aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles . Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœu
archand le plus mince Élève ses enfants comme des fils de prince ; Sa fille , qu’en tous lieux il se plaît à vanter, N’entend
ette tirade d’une lettre fort vive que Joseph de Maistre adresse à sa fille sur le même sujet. En voici un fragment : « La sc
60 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article »
Brutus (Lucius Junius), fils de Marcus Junius, et de Tarquinie, fille de Tarquin l’ancien, et sœur de Tarquin le superb
61 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
onner la question à toute ma maison : à servante, à valets, à fils, à fille , et à moi aussi. Que de gens assemblés ! Je ne je
force à la pensée, en reproduisant plusieurs fois les mêmes mots. Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au
m’ose avoir frappée, Souviens-toi que je suis veuve du grand Pompée, Fille de Scipion, et, pour dire encor plus. Romaine… m
terrogations : Où suis-je ? De Baal ne vois-je pas le prêtre? Quoi ! fille de David, vous parlez à ce traître ? Que veut-il 
62 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
it point de ta joue éteint la jeune fleur ? Parle. Est-ce cette Églé, fille du roi des ondes, Ou cette jeune Irène aux longue
ensemble une seule famille : Que mon père ait un fils, et ta mère une fille . » A. Chénier. Histoire morale de l’human
irant son courage, Me disaient en riant : « Jeanne, réjouis-toi, « La fille du bailli va couronner le roi… » Comme tout me re
re inhabité Garde de Phidias la mémoire éternelle, Et la jeune Vénus, fille de Praxitèle, Sourit encore, debout dans sa divin
ujours devant toi marche le front rigide ? C’est la Nécessité, sombre fille d’Enfer : Les clous, les durs crampons, les coins
ple au fer abandonné ; Des mères pâles et sanglantes, Arrachant leurs filles tremblantes Des bras d’un soldat effréné. Juges
route accoutumée ? Nul astre à tes côtés n’élève un front rival ; Les filles de la nuit à ton éclat pâlissent ; La lune devant
le une mère, son enfant dans les bras ; les lèvres roses de la petite fille qui parlent en même temps que les flots ; quelque
e ? AGAMEMNON. Seigneur, je ne rends point compte de mes desseins, Ma fille ignore encor mes ordres souverains ; Et, quand il
ensez qu’approuvant vos desseins odieux, Je vous laisse immoler votre fille à mes yeux ? Que ma foi, mon amour, mon honneur y
argé du soin de ma famille ? Ne pourrai-je, sans vous, disposer de ma fille  ? Ne suis-je plus son père ? Êtes-vous son époux 
votre frère blessé, A-t-il droit de venger son amour offensé ? Votre fille me plut, je prétendis lui plaire ; Elle est de me
g réservée ; Je ne connais Priam, Hélène, ni Paris : Je voulais votre fille , et ne pars qu’à ce prix. AGAMEMNON. Fuyez donc :
s. Je ne dis plus qu’un mot : c’est à vous de m’entendre : J’ai votre fille ensemble et ma gloire à défendre : Pour aller jus
ourt, l’air gémit, le fer brille. Achille fait ranger autour de votre fille Tous ses amis, pour lui prêts à se dévouer. Le tr
J’irai partout… Mais, dieux ! ne vois-je pas Ulysse ? C’est lui : ma fille est morte ! Arcas, il n’est plus temps ! ULYSSE.
ma fille est morte ! Arcas, il n’est plus temps ! ULYSSE. Non, votre fille vit, et les dieux sont contents. Rassurez-vous :
t apaisé, Réparer tout l’ennui que je vous ai causé. CLYTEMNESTRE. Ma fille  ! Ah ! prince ! Ô ciel ! je demeure éperdue. Quel
, Et donné du combat le funeste signal. De ce spectacle affreux votre fille alarmée Voyait pour elle Achille, et contre elle
ec Hélène uni secrètement Fit succéder l’hymen à son enlèvement : Une fille en sortit, que sa mère a celée ; Du nom d’Iphigén
vec moi sa haine et sa famille, Il me demande un fils pour époux à sa fille . Cet honneur vous regarde et j’ai fait choix de v
ire Qu’on ne voie, en dépit de la faim et du froid, Plus d’une pauvre fille honnête et marchant droit. CLORINDE. Ah ! celle-l
ntre les lis, jusqu’à ce que l’aurore se lève et que l’ombre diminue. Filles de Sion, sortez, et voyez le roi Salomon le front
e le chant lugubre sur la multitude d’Égypte ; traîne-la, elle et les filles des nations puissantes, au fond de la terre, avec
us vertueuses dames de la cour et de Paris l’ont reçue et caressée en fille d’honneur ? Pour me faire croire ignorant, vous a
es personnes, si parfait et si complet, qu’on n’y souhaite rien ; les filles qui font des rois et des personnages sont faites
i m’attend, mon âme est assez ferme Pour en porter le poids… Mais si, fille sans cœur, J’avais au malheureux qui m’appelait s
philosophie païenne, et la philosophie moderne est essentiellement la fille d’une société chrétienne. Je fais donc profession
63 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
encore celle-ci du même auteur sur un père, affligé de la mort de sa fille . Le père s’adresse au ciel. Hâte ma fin que ta r
fère ; Je hais le monde et n’y prétends plus rien. Sur mon tombeau ma fille devrait faire Ce que je fais maintenant sur le si
tragédie de Zaïre par Voltaire. C’est Lusignan qui parle à Zaïre. Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au
sang des Héros défenseurs de ma loi ; C’est le sang des martyrs…… ô fille encor trop chère, Connais-tu ton destin ? Sais-tu
64 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
Fils d’un horloger, mécanicien habile, maître de musique auprès des filles de Louis XV, spéculateur audacieux qui se jette d
lèvent. « Barbe-Agar-Raab-Madeleine-Nicole-Marceline de Verte-Allure, fille majeure (Marceline se lève et salue) ; contre Fig
65 (1839) Manuel pratique de rhétorique
ue tu as droit d’attendre de tes parents. Aussi recommanderai-je à ta fille , ainsi qu’à ton épouse, de révérer la mémoire de
à la fois les enfants, les vieillards, Et la sœur et le frère ; Et la fille et la mère, Le fils dans les bras de son père. 3
fils assassiné sur le corps de son père, « Le frère avec la sœur, la fille avec la mère ; « Les époux expirant sous leurs to
des humains, « Colbert, c’est sur tes pas que l’heureuse abondance, «  Fille de tes travaux, vient enrichir la France ; « Bien
our réparer des ans l’irréparable outrage. « Tremble, m’a-t-elle dit, fille digne de moi ! « Le cruel Dieu des Juifs l’emport
si sur toi. « Je te plains de tomber dans ses mains redoutables, « Ma fille . » En achevant ces mots épouvantables, Son ombre
ans Athalie : Où suis-je ? de Baal ne vois-je pas le prêtre ? Quoi ! fille de David vous parlez à ce traître ! Vous souffrez
nt elle avait puni les fureurs indiscrètes ; Et moi, reine sans cœur, fille sans amitié, Esclave d’une lâche et frivole pitié
66 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
me de Staël (1766-1817) [Notice] Anne-Louise-Germaine Necker, fille du ministre de Louis XVI, naquit à Paris en 1766.
-gorge s’adresse aux cabanes ; l’hirondelle frappe aux palais : cette fille de roi semble encore aimer les grandeurs, mais le
nt, se repoussent ; partout règne la douleur, le désespoir, la fuite. Filles des Francs, c’est en vain que vous préparez le ba
r chercher leur compagne : le tigre avait brisé le cou d’ivoire de la fille d’Homère69. L’ange de la mort coupe en souriant l
ul poète que Lacédémone ait produit, et la couronne de fleurs que les filles de Sparte cueillirent pour Hélène dans l’île du P
Ce soleil, qui peut-être éclairait les derniers soupirs de la pauvre fille de Mégare100, avait vu mourir la brillante Aspasi
William Balfour, gouverneur de la tour, 20 000 livres sterling et une fille de Strafford pour son fils, s’il voulait se prête
le du vasselage territorial, régnait d’un bout à l’autre de la Gaule. Fille des anciennes mœurs germaniques appliquées à un é
aribert, l’Aquitaine. Sighebert avait demandé et obtenu en mariage la fille du roi des Wisigoths d’Espagne, Brunehaut. La sœu
’à paraître devant Dieu. Elle chercha dans la Vie des Saints, que ses filles avaient coutume de lui lire tous les soirs, un gr
ce, Cependant tous ne l’outrageaient pas ; beaucoup plaignaient cette fille si jeune, si belle, si désintéressée dans son act
éprouvait de ne pouvoir, faute d’un peu d’aisance, épouser l’une des filles de cette vallée. Le Premier Consul, tantôt l’écou
rès avoir vu périr sous l’étreinte d’un même mal sa femme et ses deux filles , il avait fermé les yeux à Thomas, dont la toucha
combattre Étéocle, vient demander à Œdipe, son père, réfugié avec sa fille Antigone auprès du temple des Euménides285, le pa
trésors, soldats, famille : J’ai fondé nos traités sur l’hymen de sa fille . Sept intrépides chefs vont, au premier signal, D
ère, Rien n’a pu t’attendrir sur ton malheureux père : Et si ma digne fille , en consolant mes jours, À mes pas chancelants n’
lle est ma famille. Antigone, est-ce toi ? Viens, mon sang, viens, ma fille  ; Soutiens mon faible corps dans tes bras généreu
s la souffrance ; La joie est loin encor ; le désespoir a fui ; Mais, fille du malheur, elle a des traits de lui. Quels sont
) [Notice] M. Victor Hugo naquit à Besançon en 1802. Sa mère, fille d’un armateur de Nantes et Vendéenne exaltée, cou
                                           Ora pro nobis. I Ma fille  ! va prier ! — Vois, la nuit est venue. Une planè
e, L’enfant dans la prière endort son jeune esprit442 ! II Ma fille , va prier ! — D’abord, surtout pour celle Qui ber
uvait seul, en s’inspirant du maître, peindre Charlotte Corday, cette fille , elle aussi, de Corneille par l’âme et par le san
faiblir et écoute la proposition qu’on lui fait d’épouser une vieille fille dont la fortune doit lui rendre l’aisance. Rodolp
que c’est, morbleu ! — je ne peux pas y croire, —  Que cette vieille fille et cette sotte histoire ? GEORGE. Depuis quand ce
médecin malgré lui. Un Grec était venu le chercher pour qu’il vit sa fille mourante et l’avait supplié de prescrire des remè
nue par l’Écosse confédérée sous la loi du covenant. 132. C’était la fille de Henri IV, la reine Henriette de France, celle
ain du seizième siècle a écrit les paroles du psalmiste maudissant la fille de Babylone : Filia Babylonis misera, beatus qui
uam retribuisti nobis. À la suite on lit cette traduction en vers :   Fille de Babylon, race ingrate et maudite, Heureux qui
e Et dévouas les jours à punir des forfaits. Le glaive arma ton bras, fille grande et sublime, Pour faire honte aux dieux, po
67 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre II. Éloge de Démosthène par Lucien. »
épens des prisonniers que j’ai rachetés, des pères dont j’ai doté les filles , des citoyens indigents dont j’ai acquitté les de
68 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
les docteurs et prescheurs de mon temps. Que diray ie ? Les femmes et filles ont aspiré a ceste louange et manne celeste de bo
nier livre, fut publiée par lui à Paris en 1588. Mme de Gournay, sa «  fille d’alliance », qu’il connut à Paris en 1588, publi
déclarant si authentique qui tient lieu de contract de mariage d’une fille de France, veuslent attirer sur votre majesté le
mme, par l’artisan, par le valet, par le prince, par la veuve, par la fille , par la mariée : et non-seulement cela, mais il f
us vertueuses dames de la cour et de Paris l’ont reçue et caressée en fille d’honneur. Quand vous m’avez reproché mes vanités
er ; et je ne puis croire que l’hospitalité violée en la personne des filles de Scédase, qui n’étoit qu’un paysan de Leuctres3
l’École des Femmes, sc. vii.) Comment M. Jourdain veut marier sa fille M. Jourdain, madame Jourdain, Cléonte, Lucile
je ne suis point gentilhomme, M. JOURDAIN. Touchez-là, monsieur ; ma fille n’est pas pour vous. CLÉONTE. Comment ? M. JOURDA
t ? M. JOURDAIN. Vous n’êtes point gentilhomme, vous n’aurez point ma fille . MADAME JOURDAIN. Que voulez-vous dire avec votre
je veux avoir un gendre gentilhomme. MADAME JOURDAIN. Il faut à votre fille un mari qui lui soit propre ; et il vaut mieux, p
ous fourrez toujours dans la conversation. J’ai du bien assez pour ma fille  ; je n’ai besoin que d’honneurs, et je la veux fa
à de fâcheux inconvéniens. Je ne veux point qu’un gendre puisse à ma fille reprocher ses parens, et qu’elle ait des enfans q
it-on, cette madame la marquise qui fait tant la glorieuse ! c’est la fille de M. Jourdain, qui étoit trop heureuse, étant pe
s caquets, et je veux un homme, en un mot, qui m’ait obligation de ma fille , et à qui je puisse dire : Mettez-vous là, mon ge
emeurer toujours dans la bassesse. Ne me répliquez pas davantage ; ma fille sera marquise en dépit de tout le monde ; et, si
qui judicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille , femme, mère de rois si puissans376, et souverain
léchier. « L’abbé Fléchier veut la surpasser, dit Mme de Sévigné à sa fille , mais je l’en défie. » Mascaron fut successivemen
s de Sévigné, qui la laissa veuve à vingt-six ans avec un fils et une fille . Belle, spirituelle, instruite, elle fut recherch
et dévouée. Elle parut avec éclat à la cour de Louis XIV, et maria sa fille avec le comte de Grignan, gouverneur de la Proven
e de la correspondance qui l’a immortalisée. Elle mourut auprès de sa fille . La belle et froide Mme de Grignan, qui appelait
eindre ; je ne l’entreprendrai pas aussi. J’ai beau chercher ma chère fille , je ne la trouve plus, et tous les pas qu’elle fa
tes ; mais je vis tout démeublé, tout dérangé, et votre pauvre petite fille qui me représentoit la mienne. Comprenez-vous bie
qui enlève, point de ces tirades de Corneille qui font frissonner. Ma fille , gardons-nous bien de lui comparer Racine ; sento
, que pour moi j’en suis accablée. Je sais le ton que vous prenez, ma fille , je n’en ai point au-dessus du vôtre ; et surtout
ir entendre. M. de Pompone se souvient d’un jour où vous étiez petite fille chez mon oncle de Sévigné. Vous étiez derrière un
s’il étoit pour mes intérêts comme il est pour les vôtres. Enfin, ma fille , vous venez, c’est tout ce que je désirois le plu
Madame de la Maison-Fort433 … 1692. Dieu veuille bénir, ma chère fille , le dessein que vous avez de devenir une parfaite
point tort et que l’on est prévenu contre vous. Quant à moi, ma chère fille , je vous proteste que je vous aime tendrement, qu
éférence à ce qui touche mon goût naturel. Il est donc vrai, ma chère fille , que dans le temps que vous me plaisez vous me fa
res qui ne se soumet jamais à celles des autres. Croyez-moi, ma chère fille , prenez un confesseur arrêté, laissez-vous condui
. Vous ne vous contentez point par exemple de dire en opinant : Cette fille ne me paroît avoir les qualités qui nous sont néc
int cette unité d’intention qui est la vraie simplicité. … Ô ma chère fille , que la force qui vient de la présomption est foi
ressource en nous-mêmes. Non, vous ne serez jamais contente, ma chère fille , qu’au jour où vous aimerez Dieu de tout votre cœ
e l’esprit ; je suis venue à la faveur, et je vous proteste, ma chère fille , que ces états laissent un vide affreux, une inqu
dites pas : « Se peut-on faire dévote quand on veut ? » Oui, ma chère fille , on le peut, et il ne nous est pas permis de croi
tre cœur et à la délicatesse de votre esprit ; allez à Dieu, ma chère fille , et tout vous sera donné. Adressez-vous à moi tan
erties, il écrit, entre autres ouvrages, un Traité de l’éducation des filles (1687), et, dans une forme imitée des anciens, tr
t par enchaînement les fortunes. Tout, jusqu’aux miuistres, jusqu’aux filles du roi, trembloit devant elle ; on ne l’approchoi
bonne vieille, l’ayant appris, a eu la simplicité de vous envoyer sa fille , avec la lettre d’avis, vous redemander son beurr
uffert qu’on lui manquât, fait effort pour se lever ; mais une de ses filles , à genoux devant lui, le retient par les basques
ne escabelle de paille, le cierge bénit qui brûle, et le bénitier. La fille aînée, assise dans le vieux confessionnal de cuir
ue le fond de son sujet. À ce livre placé sur une table, devant cette fille aînée, je devine qu’elle a été chargée, la pauvre
es le chagrin de penser que nous ne pourrions pas même rendre à cette fille infortunée les devoirs de la sépulture. Nous nous
avoient péri, la plupart doutant, d’après une fin aussi funeste d’une fille si vertueuse, qu’il existât une Providence ; car
iècle. Ce n’était pas voyager qu’aller, comme Mme de Sévigné, voir sa fille à Grignan ; comme Boileau, causer à Bâville avec
it que du vent, nous ferions comme Agamemnon : nous sacrifierions une fille . Mais pas une barque, et voilà l’embarras. Il nou
iquité et du moyen âge, et d’accroître ainsi le trésor de l’humanité. Fille de la Révolution française, la philosophie du dix
autes. Il semble que le jour où, pour la première fois, la servitude, fille de l’invasion armée, a mis le pied sur la terre q
et personne n’ose plus avoir peur de rien. Tout est sauvé ! La pauvre fille , de sa chair pure et sainte, de ce corps délicat
rtyr fort de ses doctrines, qui pour elles accepte la mort. C’est une fille , une enfant, qui n’a de force que son cœur. Le sa
i… Cette lueur est le regard de Dieu. » Quand on lui demanda, à cette fille jeune et simple qui n’avait rien fait que coudre
ois jours, il ne se trouble et ne s’attendrit pas. Jephté sacrifie sa fille au vœu qu’il a fait au Seigneur. Dans ces sacrifi
campées dans des attitudes héroïques et superbes ses deux immortelles filles , l’Iliade et l’Odyssée : l’Iliade, altière, regar
e Sévigné sur la mort de Louvois. 276. Désiré, amoureux de Laurence, fille de Séverin, a vu le vieillard enterrer sa bourse,
. 324. Horace, A. P., v. 223. 325. Horace, A. P., v. 286. 326. Ses filles , enlevées par de jeunes Spartiates, sous le règne
t recueil. 374. Cf. page 125, note 1. 375. I ad Cor. vii, 31. 376. Fille de Henri IV, femme de Charles Ier, mère de Charle
oise de Montallais, veuve du comte de Marans. Madame de Sévigné et sa fille lui avaient donné pour sobriquet, à cause de ses
n ; dans la suivante, sa joie. Dans l’une elle admire la raison de sa fille , dans l’autre elle proteste de la sienne ; il ne
d’Espagne. — La princesse de Conti, dont parle Saint-Simon, était une fille du roi et de la duchesse de la Vallière, veuve en
. Allusion à un mot célèbre de son amie Mme de Sévigné, écrivant à sa fille  : j’ai mal à votre poitrine. 647. Voyez chap. VI
alie, II, 7.) 712. Clavier (1762-1817) helléniste. Courier épousa sa fille en 1814. 713. Il eut un procès à propos de son S
215. 760. La grande Mademoiselle, comme disaient les contemporains, fille de Monsieur, frère du roi Louis XIII, revenue en
69 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
découvrit les moissons et était la déesse du blé, fut aussi, dit-on, fille de Saturne et de Cybèle. Apollon, fils de Jupiter
it pour le dieu de la divination, de la musique et des arts. Minerve, fille de Jupiter, a été surnommée la déesse belliqueuse
mours et des plaisirs, fut mère de Cupidon. Mercure, fils de Maïa, la fille d’Atlas, était le messager et l’interprète de Jup
le plus fameux, le plus grand et le plus beau du monde. — 7. Les deux filles de Fabius Ambustus étaient mariées, l’aînée à Sul
e et Varius furent chéris d’Auguste. Sa première femme fut Scribonie, fille de Libon ; Livie fut la seconde. Tibère, beau-fil
corrigé. 1. Philippe, roi de Macédoine, prit pour femme Olympias, fille de Néoptolème, roi des Molosses ; il eut pour fil
. — 8. Le loup rôde pendant la nuit autour des troupeaux. — 9. Julie, fille de César, était mariée à Pompée. — 10. La sœur d’
e. — 17. Sylla triompha de Mithridate. — 18. Pluton ravit Proserpine, fille de Cérès. Cérès, cherchant sa fille, alluma une t
e. — 18. Pluton ravit Proserpine, fille de Cérès. Cérès, cherchant sa fille , alluma une torche au sommet de l’Etna : c’est po
liquèrent tous leurs soins à la connaissance des astres. — 11. Circé, fille du Soleil, métamorphosait les hommes en bêtes sau
et de l’orgueil des magistrats Romains. — 4. Pacuvius avait donné sa fille en mariage à Livius. — 5. Ce qui est malhonnête à
nda la ville de Lavinium, ainsi appelée du nom de son épouse Lavinie, fille du roi Latinus. Trente ans après, la population c
morts, et les gardent dans leurs maisons. — 11. Apollon aima Daphné, fille du fleuve Pénée, et la métamorphosa en laurier. —
que celui-ci avait offert un sacrifice sept jours après la mort de sa fille . version 128. 1. Ingenti animo mors provoc
it. corrigé. Parricide de Tullie. Servius Tullius avait deux filles , l’une violente, l’autre débonnaire. Comme les de
prédécesseur, présentaient le même contraste, il donna en mariage la fille qui était violente au prince débonnaire, et la dé
ture de l’histoire. — 8. Chrysippe a dit que les trois Grâces étaient filles de Jupiter et d’Eurynome. — 9. Métilius, tribun d
n royaume pendant l’année, lui im[illisible chars][texte coupé]ola sa fille Iphigénie ; en effet, il n’était rien né de [illi
riva lui-même de la vue, et s’enfuit de Thèbes sous la conduite de sa fille Antigone. — 8. Les Grecs prirent pour général con
n lui, ce qu’on lui a commandé. — 2. Niobé eut sept fils et autant de filles . — 3. Pythagore, homme d’un esprit pénétrant, a c
gloire ne manque jamais de suivre la vertu. — 2. Fundanus a perdu sa fille  : si donc vous lui écrivez quelque lettre au suje
contre-cœur. — 4. Il y a des vices qui ont l’air de vertus. — 5. Les filles de Scipion furent dotées aux frais de l’État, par
70 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
s. Dans les Avis d’une mère à son fils, et dans ceux d’une mère à sa fille , la marquise de Lambert ne donne que des instruct
nte par les grâces du style, dont elle a su la revêtir. Le fils et la fille qui suivront les avis d’une telle mère, ne s’écar
71 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
preniez mieux quelques détails qui pourront se rencontrer. » 2. Sa fille venait de voir finir ses longues souffrances. 1
ose pour moi. » 2. Écrivant à M. de Vitrolles, qui avait perdu sa fille , Lamennais disait : « Il n’y a qu’un voile entre
72 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VI. »
es de son style. La Fontaine en a imité quelques-unes, telles que les Filles de Minée, Philémon et Baucis. § III. Conte.
73 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Jean-Baptiste Rousseau 1670-1741 » pp. 441-444
elle être Grand par soi-même : et voilà mon héros ! 1. Philomèle, fille de Pandion, poursuivie par Térée, roi de Thrace,
74 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
gardé de perdre de vue le côté moral et religieux des belles-lettres. Fille du ciel, la poésie comme tous les beaux-arts, n’a
75 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
. Le propriétaire, s’étant attaché à lui, va lui donner la main de sa fille unique, que Joseph aime et qui aime Joseph. Grand
56. Amour filial, tendresse conjugale. Sujet et plan. Chélonide, fille de Léonidas, chef de Sparte, avait épousé Cléombr
’an 243, et resta en exil jusqu’en 239. Pendant ces quatre années, sa fille Chélonide ne le quitta pas un seul moment, malgré
 Iere, et ensuite sous son fils Pierre II. Mais, au moment même où la fille de ce ministre tout-puissant allait épouser le je
éda à la toute-puissance de son rival. Mais, en 1730, au moment où sa fille allait épouser le czar, ce jeune monarque mourut 
e Fanchette, l’associe à la plupart des leçons que recevait sa propre fille , et, en lui donnant une belle dot, lui assure un
était roi de Hongrie et de Pologne. Il mourut en 1386, laissant deux filles , Marie et Hedwige. Les Hongrois choisirent Marie
régner à sa place. Sujet et plan. Un soir, Maximien vient trouver sa fille Fausta. Il sait qu’elle doit passer la nuit dans
Constantin ; il ne s’explique pas sur ses intentions ; il exige de sa fille un silence absolu : il lui laisse entendre qu’il
r les Normands, héritage que Henri Plantagenêt avait reçu de sa mère, fille de Guillaume le Conquérant. Richard Cœur de Lion
s, autre peuple barbare, tua leur roi de sa main, et força Rosamonde, fille de ce roi, à l’épouser. Il se fit faire, du crâne
76 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168
s1. (Fragment.) Acte I, Scène III. Un vieillard reproche à sa fille le goût frivole qu’elle éprouve pour un jeune dés
77 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voiture 1598-1648 » pp. 15-17
hardiesse qui se permet tout, avec un art qui sait tout dire. » 3. Fille de madame de Rambouillet, elle fut chantée par to
78 (1854) Éléments de rhétorique française
matin : elle ouvre les portes du jour avec ses doigts de rose, et la fille de l’air et du soleil a son trône dans l’atmosphè
es, et, sous prétexte de conduire en Hollande la princesse royale, sa fille aînée, qui avait été mariée à Guillaume, prince d
le parait se répéter, lorsque dans la même lettre elle dit adieu à sa fille jusqu’à cinq fois, c’est que cet adieu réitéré es
’est que cet adieu réitéré est dans son cœur ; c’est que l’idée de sa fille absente la domine à tel point, qu’elle ne peut ni
de Racine, Ulysse dit à Agamemnon, pour le décider au sacrifice de sa fille  : Vous seul, nous arrachant à de nouvelles flamm
toire, N’ose d’un peu de sang acheter tant de gloire ! Le sang d’une fille , un peu de sang ! Quelquefois l’orateur aime à pi
tion des mots destinés à l’exprimer. Ainsi Lusignan dit à Zaïre : Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au
a critiqué avec raison ces vers de Maynard sur un père qui a perdu sa fille  : Hâte ma fin, que ta rigueur diffère ; Je hais
ère ; Je hais le monde, et n’y prétends plus rien. Sur mon tombeau ma fille devrait faire Ce que je fais maintenant sur le si
enant sur le sien. Cela veut dire qu’il pleure sur le tombeau de sa fille , tandis que sa fille devrait pleurer sur le sien.
Cela veut dire qu’il pleure sur le tombeau de sa fille, tandis que sa fille devrait pleurer sur le sien. Le pauvre homme fera
somme si considérable, qu’il finit par céder. « Salut, s’écria-t-il, filles des cavales aux pieds ailés ! » Il aurait pu tout
cavales aux pieds ailés ! » Il aurait pu tout aussi bien les appeler filles des ânes ; mais le poëte faisait ce que font ordi
ête d’une bonne manufacture de fer étamé et de cuivre. J’ai épousé la fille d’un riche négociant en ustensiles nécessaires au
; et comment vous négligerais-je, vous que je regarde comme ma propre fille  ? je ne sais si c’est vous qui leur inspirez la f
peu de chose, et vous n’êtes rien. « Je vous parle comme à une grande fille , parce que vous en avez l’esprit. Je consentirais
79 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre IV. Quatrième espèce de mots.  » pp. 12-15
est un petit garçon qui joue ; il est du féminin, si c’est une petite fille .   45. — Il y a des pronoms interrogatifs : qui ?
80 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Simon 1625-1695 » pp. 144-147
euses, et comme houleuses7, à droite et à gauche, à Versailles. 1. Fille du duc de Savoie, elle épousa le petit-fils de Lo
81 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lamennais 1782-1854 » pp. 243-246
de vie morale2. 1. Écrivant à M. de Vitrolles, qui avait perdu sa fille , Lamennais disait : « Il n’y a qu’un voile entre
82 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
avec l’interprétation du devin Calchas, qui décida le sacrifice de la fille d’Agamemnon, d’Iphigénie. Les témoignages que ren
lus à sa personne qu’à sa fortune. Montrez au peuple romain la petite fille du divin Auguste, la veuve de Germanicus. Comptez
n cours,         Ce fut sur ce charmant rivage                 Que sa fille volage         Me promit de m’aimer toujours.    
désert !… Je n’entends que les flots ! Pleurez ! pleurez ma honte, ô filles de Lesbos ! Modèle de style : le groupe de L
Le fils assassiné sur le corps de son père, Le frère avec la sœur, la fille avec la mère, Les époux expirant sous leurs toits
auteur d’une triste famille, Toi, dont ma mère osait se vanter d’être fille , Qui peut-être rougis du trouble où tu me vois, S
ette figure : Où suis-je ? de Baal ne vois-je pas le prêtre ? Quoi ! fille de David, vous parlez à ce traître ? Vous souffre
i parle, avec toute l’effusion de la tendresse paternelle, à sa chère fille  : Ma fille, tendre objet de mes dernières peines
c toute l’effusion de la tendresse paternelle, à sa chère fille : Ma fille , tendre objet de mes dernières peines, Songe au m
sang des héros, défenseurs de leur foi ; C’est le sang des martyrs. Ô fille encor trop chère Connais-tu ton destin ! sais-tu
83 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Staël 1766-1817 » pp. 218-221
Madame de Staël 1766-1817 [Notice] Fille d’un philosophe et d’un ministre populaire, madem
84 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Malherbe. (1555-1628.) » pp. 160-164
n peut rapprocher ces stances de celles de Malherbe sur la mort de la fille de du Perrier : voy. nos Morceaux choisis des Cla
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Retz 614-1679 » pp. 22-26
e Vendôme voulait se confesser à M. de Lisieux, qui lui disait : « Ma fille , n’ayez point de peur, vous êtes en la main de Di
86 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre premier. Beautés de détail. »
que : il a tué tout ce qu’il y avait de beau dans le sanctuaire de la fille de Sion, et sa colère s’est répandue comme un feu
87 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gresset. (1709-1777.) » pp. 291-296
cte manoir Tous les secours qui mènent au savoir. Il était là maintes filles savantes Qui mot pour mot portaient dans leurs ce
88 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Descartes, 1596-1650 » pp. 9-14
ça en apprenant la condamnation de Galilée (1633). 1. Son père et sa fille morte en bas âge. 2. Ce mot signifie retour d’un
89 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
qui judicatis terram . Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille , femme, mère de rois si puissants, et souveraine
isé toutes les fois qu’on parle de Bossuet.) 3. Henriette de France, fille d’Henri IV, mariée à Charles Ier, mourut en 1669.
de Chaillot, où parlait Bossuet. 2. Henriette d’Angleterre, dernière fille de Charles Ier, mariée au duc d’Orléans, naquit e
90 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
l’honneur et la patrie... De quel front |, immolant tout l’État à ma fille , Roi sans gloire |, j’irais vieillir dans ma fami
eil Horace engage Camille à se consoler de la mort de son amant : Ma fille , il n’est plus temps de répandre des pleurs. Il s
e malgré eux. » (Iliade, iv, 297.) Ainsi Clytemnestre, disputant sa fille à la fatalité qui la réclame, fait parler d’abord
me d’Hélène on punit sa famille, Faites chercher a Sparte Hermione sa fille .... Que dis-je ? cet objet de tant de jalousie, C
lus forts : Un prêtre, environné d’une foule cruelle, Portera sur ma fille une main criminelle, etc. Amplification. — Il n
—  « Je touche au but du premier coup, et je vous apprends que votre fille est muette. — Oui ; mais je voudrais bien que vou
omède, acte III, sc. ii. Je vous nommai son gendre, et vous donnai sa fille . Silanus, qui l’aimait, s’en vit abandonné. Raci
91 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre V. Beautés oratoires. »
ter, comme l’aveugle, les arbres de la voie publique. Vos fils et vos filles seront traînés captifs chez les peuples étrangers
92 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Maintenon. (1635-1719.) » pp. 76-82
e l’esprit, je suis venue à la faveur ; et je vous proteste, ma chère fille , que tous les états laissent un vide affreux, une
93 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Corneille, 1606-1684 » pp. 26-31
us vertueuses dames de la cour et de Paris l’ont reçue et caressée en fille d’honneur ? Pour me faire croire ignorant, vous a
94 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — D’Aubigné, 1550-1630 » pp. -
euil d’un âge nouveau, qui réservait une si haute fortune à sa petite fille , Mme de Maintenon. Nul ne représente mieux toutes
95 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
aussitôt après que le πρόλογος, dialogue d’exposition entre les deux filles d’Œdipe, Antigone et Ismène, nous eut mis au cour
de toutes les qualités aimables sans mélange d’aucun défaut, dans la fille de Soranus, la piété filiale portée jusqu’à l’hér
vante, ce fut une des personnes les plus instruites de son temps ; sa fille qu’elle adorait fut son principal correspondant.
une inclination pour Iphigénie ? Sa froide générosité à l’égard de la fille d’Agamemnon se peut-elle concevoir sans invraisem
la scène familière où nous voyons, dans Euripide, Clytemnestre et sa fille arriver dans leur char, enfin qu’il a mis dans la
ine venait de publier (livres VII à XI). Développement. — Ma chère fille , — je vous écris tout exprès pour vous excitera l
a montrés en quelque sorte sur la scène. M. de La Fontaine, ma chère Fille , est encore autre chose que grand fabuliste ; il
onorifiques que lui a léguées son père ; il n’a pu établir une de ses filles , et a dû la faire entrer en religion ; enfin il v
96 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
et couvrait les pénates de son ombre hospitalière. Là, Hécube et ses filles , semblables à des colombes qu’une noire tempête a
n fuite et précipitées en troupe sur une terre abritée, Hécube et ses filles qui, poursuivies par Pyrrhus, vont se réfugier au
97 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
. Les confidences intimes et les récits inimitables qu’elle fait à sa fille n’ont pour nous tant de charme que parce qu’ils p
ît au souverain degré . « Vous me dites plaisamment, écrit-elle à sa fille , que vous croiriez m’ôter quelque chose en poliss
otre bibliothèque. Pour moi, j’écrirais jusqu’à demain, dit-elle à sa fille  ; mes pensées, ma plume, mon encre, tout vole. »
une maison qu’il voulait vendre. Cela me fit rire. Si vous croyez, ma fille , que cette invention soit bonne pour vendre votre
n de Molière qui s’essuyait le front pour avoir rendu la parole à une fille qui n’était pas muette. 353. Les lettres de conv
à cette époque les stances de Malherbe à Duperrier sur la mort de sa fille , et les plaintes de La Fontaine sur la disgrâce d
ous ces peuples s’avancent vers toi ; tes fils viendront de loin, tes filles s’élèveront à tes côtés. Alors tu verras, et ton
IV. Lettre familière. Le comte de Maistre à mademoiselle Constance sa fille . Mon très cher enfant, il faut absolument que
Ce monarque reçoit favorablement les Troyens et offre à leur chef sa fille en mariage. Mais la furie Alecto, évoquée des enf
unon, souffle sa rage dans le cœur de la reine Amate, qui a promis sa fille à Turnus, son neveu, roi d’Ardée. Alecto inspire
re me dit que je puis vous aimer. « De Néomi dans moi reconnaissez la fille  : « Est-il vrai que Booz soit de notre famille ?
98 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47
elle morale de Nicole, dont elle ne cesse de recommander l’étude à sa fille . Il lui semble que c’est de la même étoffe que Pa
99 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
ace. 1. Ceci est une sorte de participe absolu. 2. Cécilia Métella, fille du grand pontife Métellus, que Sylla épousa après
100 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
ours ; et plus bas, en petites lettres : Que la terre te soit légère, fille pieuse et bien-aimée ! … Fragment de conversa
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