/ 202
1 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Staël 1766-1817 » pp. 218-221
dîner, avec la société de ma belle-mère. Elle était composée de sept femmes , les plus graves de la province ; deux d’entre el
, timides comme à quinze, mais beaucoup moins gaies qu’à cet âge. Une femme disait à l’autre : Ma chère, croyez-vous que l’ea
s froide ; et l’ennui soulevé retombait avec un nouveau poids sur ces femmes , que l’on aurait pu croire malheureuses, si l’hab
ttendu n’apportait pas un grand changement dans la manière d’être des femmes  : les hommes continuaient leur conversation auprè
les hommes continuaient leur conversation auprès de la cheminée ; les femmes restaient dans le fond de la chambre, distribuaie
la trace des années, qui venait enfin s’imprimer sur le visage de ces femmes comme si elles eussent vécu pendant ce temps.1
sard.) Benjamin Constant a dit de Madame de Staël : « La vue de cette femme célèbre remplit d’abord d’une excessive timidité.
i concilient presque tous ceux qui l’approchent. Je ne connais aucune femme et même aucun homme qui soit plus convaincu de so
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une femme se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une femme se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
2 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Molière 1622-1672 » pp. 379-400
qu’avec Bélise il est du premier bien. Célimène. Le pauvre esprit de femme , et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir,
4, (Le Misanthrope, acte III, sc. v.) Chrysale dit leur fait aux femmes savantes Chrysale, à Bélise. C’est à vous q
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu’une femme en sait toujours assez, Quand la capacité de son
aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœurs. Elles ve
’il a parlé ; Et je lui crois, pour moi, le timbre un peu fêlé1. (Les Femmes savantes, acte II, sc. vii.) La fresque
esclave d’Amphitryon, qui l’a chargé de la part du butin destiné à sa femme Alcmène, s’essaye au discours dans lequel il doit
à trouver à redire, Et ne verrons que nous qui sachent bien écrire. ( Femmes savantes, acte III, sc, ii.) 1. Alceste a son
r la bonne bouche. 2. « Nous avons deux sortes d’esprit, nous autres femmes . Nous avons d’abord le nôtre, qui est celui que n
re un autre, qui est à part du nôtre, et qui peut se trouver dans les femmes les plus sottes. C’est l’esprit que la vanité de
lomnie ou de la haine. Comparez la Prude et la Sage. (La Bruyère, des Femmes , p. 78.) 7. Déportements. Conduite. 1. « La pe
1. « La perfidie est un mensonge de toute la personne : c’est dans la femme l’art de placer un mot ou une action qui donne le
touché ! Comparez le portrait de Lise, la coquette. (La Bruyère, des Femmes , p. 68.) 2. Vie exemplaire. Oui, prêcher d’exem
Molière était trop éclairé pour refuser l’instruction à l’esprit des femmes . Il ne combat ici que le ridicule de la science p
jour : Ce sont les arts qui font le charme de la vie, Et par eux une femme est toujours embellie. Votre sexe avec nous peut
ici un fragment : « La science est une chose très-dangereuse pour les femmes . On ne connaît presque pas de femmes savantes qui
e chose très-dangereuse pour les femmes. On ne connaît presque pas de femmes savantes qui n’aient été ou malheureuses, ou ridi
s expose habituellement au petit danger de déplaire aux hommes et aux femmes (pas davantage) : aux hommes qui ne veulent pas ê
s (pas davantage) : aux hommes qui ne veulent pas être égalés par les femmes , et aux femmes qui ne veulent pas être surpassées
e) : aux hommes qui ne veulent pas être égalés par les femmes, et aux femmes qui ne veulent pas être surpassées. La science, d
aître ; car nous sommes tous orgueilleux. Or, voilà le danger, car la femme ne peut être savante impunément qu’à la charge de
3 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Rabelais, 1483-1553 » pp. -
ure et Jean qui rit Du dueil que mena1 Gargantua de la mort de sa femme Badebec 2 Quand Pantagruel fut né, qui3 fut b
hy et perplex, ce fut Gargantua son pere ; car voyant d’un cousté1 sa femme Badebec morte, et de l’aultre son filz Pantagruel
entendement estoit, assauoir3 s’il deuoit plorer4 pour le dueil de sa femme , ou rire pour la ioye5 de son filz ? D’un costé e
sant ouyt la letanie13 et les mementos des prebstres qui portoyent sa femme en terre, dont14 laissa son bon propos15 et tout
gentil homme, il vault mieulx pleurer moins et boire d’aduantaige. Ma femme est morte : et bien, par Dieu (da jurandi20) ie n
n2 trouuer vne aultre. Mais voicy que3 vous ferez, dict il es4 saiges femmes (ou sont elles ? Bonnes gens, ie ne vous peulx ve
cte Dodin en pleine eau la teste au fond. (Livre III, ch. xxiii.) Femme mute 11 et mari sourd Le bon12 mary voulut qu
respondit en son art bien auoir remedes propres pour faire parler les femmes  : n’en avoir pour les faire taire. Remede2 vnicqu
icque estre surdité du mary, contre cestuy interminable parlement3 de femme . Le paillard4 deuint sourd par ne sçay quelz char
paillard4 deuint sourd par ne sçay quelz charmes5 qu’ilz feirent. Sa femme voyant qu’il estoit sourd deuenu, qu’elle parloit
e, par vertus de laquelle il deuint fol. Adoncques7 le fol mary et la femme enragée se raslierent8 ensemble et tant bastirent
s mots ceci, cela remplacent les épithètes qu’il pourrait donner à sa femme . 15. Retrouverai ; du verbe recouvrer (recupera
très employés. 19. Dame, de domina, était le nom qu’on donnait aux femmes des seigneurs, par opposition à demoiselle (domin
s des seigneurs, par opposition à demoiselle (dominicella), titre des femmes de bourgeois. 20. Fausse, perâde. 1. Tu es asse
et riche d’étoffe. La robe était le vêtement commun des hommes et des femmes . 12. Festoyer, forme augmentative de fêter. 13
eilleuse que. 4. Il crut. 5. Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène, femme d’Amphitryon, roi de Tyrinthe. Junon envoya deux
4 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
Chapitre XV. Une femme peut être bonne, etc.] « Les poëtes, dans la pein
a foiblesse de l’âge, et celle du sexe dans la peinture des mœurs des femmes  : elles sont moins propres que les hommes, soit à
nt ce qu’a entendu Aristote quand il a dit dans sa Poétique que « les femmes sont communément plus mauvaises que les hommes ».
me écrit dans un passage de ses Problèmes (XXIX, 11) où il appelle la femme un être inférieur (πολὺ ἦττον) et plus faible (ἀσ
té de Dieu, ch. xxv. On sait de quelle manière Périclès s’adresse aux femmes d’Athènes dans l’oraison funèbre que lui prête Th
est perpétuée depuis le vieux poëte Simonide d’Amorgos (poëme Sur les Femmes , dans les Lyrici varii de la collection de Boisso
ens aient toujours, et en tout point, méconnu la dignité morale de la femme . Aristote, à lui seul, nous offre beaucoup de bel
nomique, nous représente avec une délicatesse charmante le rôle de la femme dans le ménage d’un riche campagnard Athénien. La
5 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VI. Sixième espèce de mots.  » pp. 38-40
qu’il ne prend ni genre ni nombre. EXEMPLES. Un homme lisant. Une femme lisant. Des hommes lisant. Des femmes lisant.
ES. Un homme lisant. Une femme lisant. Des hommes lisant. Des femmes lisant.   Remarque. Ce qu’on appelle gérondif
éfléchis, le participe ne s’accorde pas avec son sujet ; on dit d’une femme  : elle s’est mis cela dans la tête (et non pas mi
est-à-dire qui viennent des verbes). On dit : un homme obligeant, une femme obligeante ; ce ne sont pas des participes, parce
rticipes, parce qu’ils n’ont pas de régime : mais quand je dis, cette femme est d’un bon caractère, obligeant tout le monde q
6 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Courier 1773-1825 » pp. 238-242
hacun fuit ou se cache ; quelques-uns sont arrachés des bras de leurs femmes ou de leurs enfants ; mais la plupart nus, dans l
tre, et, au moyen de mesures si bien prises, on parvient à saisir une femme , un barbier, un sabotier, quatre ou cinq laboureu
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et, prêtant l’oreille par
Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux ? » A quoi la femme répondit : Oui. » Et je n’entendis plus rien. Que
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi, derrière la porte : il ouvrit ; m
la porte : il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe, que sa femme vint prendre, puis il entra pieds nus ; et elle,
7 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre III. Lettres missives. Genre épistolaire. »
ulle part aussi fécond, aussi varié, aussi parfait que chez nous. Les femmes s’y sont particulièrement distinguées, et pour ne
Une imagination active et mobile, comme l’est ordinairement celle des femmes , l’attache successivement à tous ces objets, et n
tous ces objets, et nous nous y attachons avec elle. Donnons de cette femme célèbre une lettre écrite à sa fille, le 20 févri
; il voulait aller sauver sa mère, qui brûlait au troisième étage. Sa femme s’attachait à lui et le retenait avec violence ;
tre la douleur de ne pas secourir sa mère et la crainte de blesser sa femme , grosse de cinq mois. Enfin il me pria de tenir s
e blesser sa femme, grosse de cinq mois. Enfin il me pria de tenir sa femme  ; je le fis : il trouva que sa mère avait passé a
ent. Enfin il revint à nous dans cette rue où j’avais fait asseoir sa femme . Des capucins, pleins de charité et d’adresse, tr
8 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
ue, moins captive et moins contrariée, elle n’a point, comme dans les femmes , le ressort que donne la contrainte aux passions
s ont souvent donné l’exception pour la règle. Pour ne parler que des femmes , voyez ces femmes toutes viriles de Corneille, qu
é l’exception pour la règle. Pour ne parler que des femmes, voyez ces femmes toutes viriles de Corneille, que Balzac appelait
cour du roi de Pont et des empereurs de Rome ; parcourez ensuite les femmes idéales et vaporeuses du drame allemand ou anglai
irants, résignés, célestes et infernaux, quel écrivain nous montre la femme tout entière, comme Homère, par exemple, a montré
Télémaque, père dans Priam ? Homère lui-même n’a pas voulu aborder la femme  ; Andromaque et Pénélope ne sont que l’épouse. Le
nes ont mieux réussi, assurément ; le christianisme, qui assigne à la femme son véritable rang, les a mieux éclairés sur sa n
n homme, d’un quadragénaire, d’un soldat, d’un bourgeois, et dont une femme , un jeune homme, un magistrat, un prêtre, devront
9 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Bonaventure Desperriers. Mort en 1544 » pp. -
imé, la nouvelle. Un jeu de mots Un homme, devisant1 avec une femme de Paris, laquelle se vantoit d’estre la maistres
t il, asseurez vous que je scais deux poincts pour avoir raison d’une femme . — Vites-vous3 ? dit-elle ; et qui sont ces deux
l’aultre main, « et voilà l’aultre. » De quoy il fut bien ri. Car la femme attendoit qu’il luy alloit descouvrir deux raison
it qu’il luy alloit descouvrir deux raisons nouvelles pour mettre les femmes au pas4. Le Pot au lait Comparaison des a
10 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
rsqu’ils en font les fonctions : = je connais des hommes savants, des femmes prudentes : = j’ai lu un discours bien écrit, une
pris adverbialement, et alors ils sont toujours au masculin : = cette femme chante faux : = elle parle haut : = elles restère
on dira : voilà un des hommes qui ont le mieux servi l’État ; une des femmes qui ont le plus d’esprit ; un des plus beaux ouvr
ses inanimées. On dira donc, en parlant d’un homme, d’un arbre, d’une femme , d’une prairie : il est beau ; elle est belle.
e heure le goût du travail. Si, néanmoins, on parle précisément d’une femme , ou de son sexe en général, l’adjectif doit être
rtant à un ou à plusieurs adjectifs, ne prend ni genre ni nombre. Une femme à qui l’on demande si elle est malade, doit donc
ce là votre pensée ? doutez-vous que ce ne la fût ? Si l’on dit à une femme  : êtes-vous la malade dont on m’a parlé : elle do
s des enfants, les supplications des vieillards, les gémissements des femmes , rien ne put arrêter sa barbare furie. Dans ces e
ronom, avec lequel ils se conjuguent, est en régime composé : = cette femme , dans l’excès de sa douleur, se déchirait le visa
uveaux attentats, nous avons tous frémi, frissonné d’horreur ; et nos femmes auraient même tremblé pour leur propre vie, si no
ous nous sommes lamentés inutilement : = cet homme s’est moqué, cette femme s’est moquée mal à propos de ce malheureux ; = vo
x, etc ; nous avons lamenté nous, etc. ; cet homme a moqué lui, cette femme a moqué elle, etc. ; vos frères ont tu eux, vos s
dire : j’ai vu la maison bâtir. Ainsi, on dirait, par exemple, d’une femme qui aurait été battue : on l’a laissé battre : la
comme si l’on disait : on a laissé battre elle. Mais on dirait d’une femme qui aurait battu son enfant : on l’a laissé battr
 ; c’est-à-dire, j’ai vu peindre elle. Il faudra également dire d’une femme  : on l’a laissée tomber, mourir, parce que le pro
serez l’un et l’autre déterminés à le finir : = doutez-vous que cette femme ne se soit réduite, par ses folles dépenses, à un
on disait : nous avons réuni nous ; vous aurez déterminé vous ; cette femme ait réduit elle ; ces troupes auroient défendu el
tte affaire est douteux. = Vous vous êtes tous les deux imaginé ; vos femmes se sont figuré que la chose pourrait arriver autr
à nous ; vous avez tous les deux imaginé à vous, ou, dans vous ; vos femmes ont figuré à elles, ou, dans elles. On dira donc 
rèce s’est donné la mort, c’est-à-dire, a donné la mort à elle. Cette femme se sera mise à la tête des cabaleurs ; c’est-à-di
ise à la tête des cabaleurs ; c’est-à-dire, aura mis elle ; et, cette femme se sera mis des chimères dans l’esprit, c’est-à-d
ois espèces de mots, suffira pour l’explication de cette règle. = Ces femmes se sont déclarées les maîtresses de la maison : e
, après Duclos, l’abbé d’Olivet, et l’Académie, qu’il faut dire d’une femme  : on l’a laissée tomber, mourir : elle s’est lais
11 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
mnon rentra dans sa patrie, après la prise de Troie, Clytemnestre, sa femme , lui fit préparer un grand festin, au milieu duqu
présentée ayant la partie supérieure du corps semblable à celle de la femme , et le reste semblable à celle d’un poisson. Ang
, que les Arabes ramassent. Athalie, fille d’Achab et de Jézabel, et femme de Joram, roi de Juda. Après la mort de son mari,
ns les douze quartiers de Rome. Cicéron, alors consul, averti par une femme nommée Fulvia, prévint l’effet de cet horrible co
ses colosses, ses sphinx (figures qui ont le visage et le sein d’une femme , et le reste du corps d’un lion), ses statues, se
ce (Henriette Marie de), fille de Henri IV et de Marie de Médicis, et femme de Charles I, roi d’Angleterre. Les troubles de c
u près les mêmes que les Amours personnifiés. Voyez ce mot. Jezabel, femme de l’impie Achab, roi d’Israël, et digne d’un tel
on royale ; mais Joas fut sauvé de ce massacre par Josabet, sa tante, femme du grand-prêtre Joïada ou Joad. Élevé secrètement
en Égypte, à Putiphar, général des armées de Pharaon. Calomnié par la femme de ce seigneur, aux désirs de laquelle il n’avait
s du grand prêtre Joad vers l’an 880 avant J.-C. Médicis (Marie de), femme de Henri IV, et mère de Louis XIII. Elle mourut à
ait le souffle des vents. La fable dit aussi qu’Orphée ayant perdu sa femme Euridice, descendit aux enfers, où, par les accor
a Grèce, irrités de ce que Pâris, fils de Priam, avait enlevé Hélène, femme de Ménélas, roi de Sparte. L’énorme cheval de boi
chille, que la déesse Thétis, sa mère, y avait envoyé sous l’habit de femme , et l’amena au camp, où il apporta en même temps
12 (1912) Morceaux choisis des auteurs français XVIe, XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles
je ne sais meilleur (homme) en France : — il est mon fils (né) de ma femme la noble, — et certes tiendra mes marches (pays f
s ; — à un moutier (monastère) de non-nains (Aude) est portée, — (les femmes ) la veillent la nuit jusqu’au lever du jour. — Le
ue Michel.) Ah ! Si j’avais cru Théophraste, — jamais je n’eusse pris femme  ; — il ne regarde pas comme homme sage — celui qu
is femme ; — il ne regarde pas comme homme sage — celui qui prend une femme en mariage. — Celui-là a une vie trop lourde, — p
ine, — et de contestations et de disputes, — à cause de l’orgueil des femmes sottes, — et des dangers et des reproches — qu’el
, — pour s’opposer à leurs folles volontés. — Et qui veut prendre une femme pauvre, — il lui faut songer à la nourrir — et à
rci. » Li rois attendi un petit de parler et regarda la bonne dame sa femme , qui ploroit devant lui en jenoulz moult tenremen
mes. » Le roi attendit un peu pour parler et regarda la bonne dame sa femme , qui pleurait devant lui à genoux très tendrement
ait apparente et connue, une dame romaine, sage au demeurant392, mais femme pourtant, importuna son mari, et le pria très ins
re. » Après qu’il lui eut dit cela, il s’en alla au palais401 : et sa femme incontinent402, tirant à part la première de ses
Lors le Romain en se souriant410 : « Vraiment,, dit-il à part soi, ma femme , tu n’as pas beaucoup attendu, quand411 la parole
alla parler aux consuls pour les ôter du trouble. Et pour châtier sa femme , incontinent qu’il fut de retour en sa maison : «
châtier sa femme, incontinent qu’il fut de retour en sa maison : « Ma femme , dit-il, tu m’as détruit : car il s’est trouvé qu
ver. » Ce sénateur fut homme sage et bien avisé, qui, pour essayer sa femme , comme un vaisseau mal relié415, ne versa pas du
un vaisseau espagnol où était le gouverneur de l’île d’Havane499. Sa femme , en étant avertie, mit incontinent500 tant d’homm
les (1659), l’Ecole des maris (1661), les Fâcheux (1661), l’Ecole des Femmes (1662), Don Juan (1665), le Misanthrope (1666), l
le Bourgeois gentilhomme (1670), les Fourberies de Scapin (1671), les Femmes savantes 1672), le Malade imaginaire (1673). C’es
nche. — Fort bien, Monsieur, Dieu merci. Don Juan. — C’est une brave femme . M. Dimanche. — Elle est votre servante, Monsieu
utres, de la côte de saint Louis634 ? M. Jourdain. — Taisez-vous, ma femme , je vous vois venir. Mme Jourdain. — Descendons-
pas marchand aussi bien que le mien ? M. Jourdain. — Peste soit de la femme  ! Elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
e s’il en était originaire ; il discourt des mœurs de cette cour, des femmes du pays, de ses lois et de ses coutumes ; il réci
ervi, il se met le premier à table et dans823 la première place ; les femmes sont à sa droite et à sa gauche824. Il mange, il
l’âme du singe fut introduite dans ce nouveau métier, qu’une vieille femme causeuse l’acheta. Il fit ses délices ; elle le m
qu’il avait confiées à un ami ; mais il fut encore plus funeste à la femme de son seul héritier, fils de sa sœur, qui était
de sa sœur, qui était curé963 d’une paroisse près de Leipsick. Cette femme , en voyant tant d’argent ensemble qui lui apparte
près du Roi et de Mme de Maintenon. Brissac1024, fatigué d’y voir des femmes qui n’avaient pas le bruit1025de se soucier beauc
mure dans les travées qui étaient pleines ; et un moment après chaque femme souffle sa bougie, et s’en va, tant et si bien qu
’y trouver en tout et pour tout que Mme de Dangeau et ces deux autres femmes . Il en parla, dès en sortant de sa travée, avec u
fus regardé comme si j’avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes, femmes , enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais,
Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi ; les femmes même faisaient un arc-en-ciel nuancé de mille cou
récompenses pour lui avoir rapporté le corps sanglant de son fils. Sa femme , ses filles et l’épouse du mort, en pleurs, lui r
ommis auprès de sa maison, tandis qu’il dormait profondément entre sa femme et ses sept enfants. On confronte l’accusé avec u
de ses assesseurs. Il ne leur tombe pas dans l’esprit d’interroger la femme , les enfants, les voisins, de chercher si l’argen
cusé expire sur la roue devant sa porte ; son bien est confisqué ; sa femme s’enfuit en Autriche avec ses petits enfants. Hui
r fils unique à leur amie intime. Le jeune marquis allait épouser une femme qu’il adorait et dont il était aimé ; les amis de
us faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? Allez chez cette pauvre femme , et dites-lui que je lui veux toujours du bien :
isage rond et frais, qui respirait la douceur et la gaieté. Sa petite femme , brune et assez grossièrement agréable, était cah
rie où je loge me conter le reste, lui dit Colin ; embrasse ma petite femme et allons dîner ensemble. » Ils vont tous trois à
out cet attirail ? Vous appartient-il ? — Oui, tout est à moi et à ma femme . Nous arrivons du pays ; je suis à la tête d’une
menade.) Les oublies1180 Un dimanche1181 nous étions allés, ma femme et moi, dîner à la porte Maillot : après le dîner
, ni marquer des préférences qui produiraient des mécontentements. Ma femme insinua à celles qui avaient de bons lots d’en fa
hoisie que nombreuse, d’amis aimant le plaisir et s’y connaissant, de femmes qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
nds que Mlle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille femme , nommée madame Le Vasseur1199 et si pauvre qu’ell
r de ma mère, cette tante qui m’est restée ; c’était au milieu de ces femmes et d’un essaim d’enfants que mon père se trouvait
u de la bergerie de Saint-Thomas1248 habillait de sa laine tantôt les femmes et tantôt les enfants ; mes tantes la filaient ;
qu’avait notre grand’mère à le partager entre nous. La plus sobre des femmes nous rendait tous gourmands. Ainsi, dans un ménag
dans la voiture publique, avait donné de temps en temps le bras à sa femme malade ». Ce même homme avait un fils de dix-huit
encore, quoiqu’il soit obligé de le faire manger lui-même, et que sa femme soit souvent malade. Je me suis arrêté une fois a
e lui donnaient jamais rien ; mais il y avait peu de servantes, ou de femmes chargées de hottes, qui ne s’arrêtassent pour lui
6, et une estampe du roi d’Angleterre, son ancien bienfaiteur1327. Sa femme était assise, occupée à coudre du linge ; un seri
te qui devint l’une de nos stations. C’était le logis d’une laitière, femme veuve, qui vivait là avec deux vaches et quelques
lard, était le grand-père ; que les soins de la famille occupaient la femme , tandis qu’il cultivait ce jardin, dont son fils
etits enfants ; je témoignai de la vénération au vieillard ; la jeune femme parut bien aise de nous avoir reçus : on parla de
nondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu, si une femme , des enfants, des frères séparés de moi depuis lo
’admiration et presque de fanatisme la foule qui le considérait ; les femmes surtout s’exprimaient avec cette imagination qui
e talent seul enflammait : l’amour de la liberté, le respect pour les femmes , l’enthousiasme des beaux-arts, l’adoration pour
e ; je trouvai dans cette grange une vingtaine de sauvages, hommes et femmes , barbouillés comme des sorciers, le corps demi-nu
ence. Je trouvai en sortant tout le village assemblé à la porte ; les femmes fondirent sur moi en criant : Crasi ! crasi ! « D
ui composaient jadis sa cour, lui dit : « Pleure maintenant comme une femme un royaume que tu n’as pas su défendre comme un h
l’âme, il franchit le seuil du cachot. Cyrille s’écrie : « Fils de la femme , on vous a donné un front de diamant1415 : ne les
ui donnaient l’absolution du milieu de la foule, des jeunes gens, des femmes qui criaient : « Nous demandons à mourir avec lui
mblable à un marché de laboureurs et de pêcheurs ; il était rempli de femmes et d’enfants, et retranché avec des bateaux de cu
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l’oreille par
ari : Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? À quoi la femme répondit : Oui. Et je n’entendis plus rien. Que v
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui ; moi derrière la porte : il ouvrit ; m
la porte : il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe, que sa femme vint prendre ; puis il entre pieds nus, et elle,
nd de fortune1445 passent Pierre Houry d’Azai1446, Louis Bezard et sa femme , Jean Proust, la petite Bodin, allant à l’assembl
s, et tous les passants regardant. M. le maire est gentilhomme par sa femme , née demoiselle1453 : voilà pourquoi il nous tuto
nne hache, et qui vivait pauvrement du produit de ses fagots, avec sa femme , qui s’appelait Brisquette. Le bon Dieu leur avai
s les loups, à cause de sa bonne hache, dit un matin à Brisquette : «  Femme , je vous prie de ne laisser courir ni Biscotin, n
t pour nous, voilà la charité. Un homme vivait de son labeur, lui, sa femme et ses petits enfants ; et comme il avait une bon
a trouver le premier et il lui dit : « Nous manquons de tout, moi, ma femme et mes enfants ; ayez pitié de nous. » Le riche l
uets, toujours entre deux haies de troupes ; une foule d’hommes et de femmes s’y étaient précipités au péril de leur vie, immo
ne sont pas sûrs des sentiments qu’on y a pour eux. Le pêcheur et sa femme nous précédaient de quelques marches ; Graziella,
ouleur s’échapper à la fois de la bouche du pêcheur et de celle de sa femme . Nous les vîmes élever leurs bras nus au ciel, se
sur la plage, les uns à genoux, les autres à la renverse, la vieille femme le visage dans ses mains et la tête dans le sable
s, qu’ils s’efforçaient de diriger vers le rivage. Quant à la vieille femme , elle ne cessait de gémir et de parler en gémissa
mment est-il montré reconnaissant ? Qu’a-t-il fait de mon fils, de sa femme et de la barque qu’il nous avait laissée après lu
lat du bateau laissé à sec par une lame, voilà le saint ! » La pauvre femme oublia toute sa colère et tous ses blasphèmes, s’
nombre de trois cents personnes, parmi lesquelles il y avait dix-huit femmes . Deux hommes seulement se retinrent à la grande v
irent une vive impression sur l’esprit du roi Hilperik. Au milieu des femmes qu’il avait épousées à la manière des anciens che
avec eux, si le roi ne s’engageait par serment à congédier toutes ses femmes et à vivre selon la loi de Dieu avec sa nouvelle
e d’abandonner tout ce qu’il avait de reines, pourvu qu’il obtînt une femme digne de lui et fille d’un roi.... A travers tous
roi et prendre ses ordres pour le départ ; mais, à la vue de ces deux femmes sanglotant sur le sein l’une de l’autre, et se se
nord.... Cependant, Hilperik, fidèle à sa promesse, avait répudié ses femmes . Fredegonde elle-même ne put échapper à cette pro
degonde tous les droits d épouse et de reine. Ainsi périt cette jeune femme , qu’une sorte de révélation intérieure semblait a
ent d’affreux sillons, et arrachaient des cris de terreur aux pauvres femmes , cantinières ou fugitives, qui étaient sur les vo
u’on parvenait à se faire écouter, et qu’arrachant quelques victimes, femmes , enfants ou blessés, on réussissait à les amener
s convulsifs s’apercevaient sur l’autre rive. Des blessés, de pauvres femmes tendaient les bras vers leurs compatriotes, qui s
n. On ne sait si ce furent six, sept ou huit mille individus, hommes, femmes , enfants, militaires ou fugitifs, cantiniers ou s
urgents. L’aveuglement alla au point qu’on les força d’emmener leurs femmes et leurs enfants, qu’on eût pu garder comme otage
réunirent aux mercenaires jusqu’au nombre de soixante-dix mille. Les femmes mêmes, qui avaient vu tant de fois traîner en pri
-vous voir deux choses étonnamment analogues ? Regardez d’une part la femme au premier pas de l’enfant, et d’autre part l’hir
e ; et le dimanche, après la messe, tous les gens du village, hommes, femmes , enfants, vont dans le champ du pauvre homme lui
raissait à tout moment sur le point de s’évanouir, déclara à la jeune femme qu’il la priait de le tenir pour son serviteur ;
îner et le bal qui le suivit, il se rendit tellement aimable, que les femmes avaient les larmes aux yeux en pensant qu’un auss
eune, mieux on s’entend avec ceux qui le sont. J’ai grand’peur qu’une femme de trente ans, qui ne sait pas encore ce que c’es
main ? Je ne sais pourquoi vous avez une mauvaise idée touchant cette femme  ; vous en reviendrez ! — Au diable la femme ! dit
vaise idée touchant cette femme ; vous en reviendrez ! — Au diable la femme  ! dit Germain, je voudrais en être revenu1648 pou
ais en être revenu1648 pour n’y plus retourner. Qu’ai-je besoin d’une femme que je ne connais pas ? — Mon petit père, dit l’e
père, dit l’enfant, pourquoi donc est-ce que tu parles toujours de ta femme aujourd’hui, puisqu’elle est morte ? — Hélas ! tu
Lundis, Portraits littéraires, Portraits contemporains, Portraits de femmes , sont également remarquables par la variété de l’
ateur et du causeur ingénieux qui se révèle dans l’Histoire morale de femmes (1847), dans les Pères et les enfants au xixe si
affable que son accueil. Il m’avait même admis dans sa famille, et sa femme , sa fille, me montraient la même bienveillance qu
nd la porte latérale du salon s’ouvrit et que je vis entrer une autre femme beaucoup plus jeune et pourtant presque aussi vie
ai, se disaient les Gaulois, jamais, dans nos pays, on n’avait vu une femme tant souffrir1703. » (Marc-Aurèle et la fin du mo
et en mouvement ; mon oncle Joseph, le charron, arrivait, suivi de sa femme  ; une demi-douzaine de voisins et de voisines ent
demi-douzaine de voisins et de voisines entraient successivement, les femmes avec leur tricot, les hommes avec leurs grands br
de ma grand’mère, il s’échappa la nuit, comme un voleur, laissant sa femme et ses enfants, courut à pied jusqu’au fond de la
trop vite… Tout à coup il me passa une idée folle. Je savais la chère femme très pieuse, catholique enragée comme une Romaine
e suspendue. Cris d’hommes, cris rauques, plus sinistres que ceux des femmes , parce qu’on est moins habitué à les entendre ; c
’un fardeau qui lui charge la main. Pour ce1970 on dit que Thétis, la femme de Pélée, Après avoir la peau de son enfant brûlé
par sagesse et raison : Le prince qui ne peut gouverner sa maison, Sa femme , ses enfants, et son bien domestique, Ne saurait
le Prince2204 ; Allez, venez, courez ; demeurez en province ; Prenez femme , abbaye, emploi, gouvernement : Les gens en parle
ryon ne m’a-t-il pas commis2284 A venir en ces lieux vers Alcméne sa femme  ? Ne lui2285 dois-je pas faire, en lui vantant sa
rage. Sosie. A qui destine-t-il un si riche présent ? Mercure. À sa femme  ; et sur elle il le veut voir paraître. Sosie. M
qu’avec Bélise il est du dernier bien. Célimène. Le pauvre esprit de femme , et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir,
otin en personne, Et je vis qu’en effet la gageure était bonne. (Les Femmes savantes, acte I, sc.iii.) Les deux pédants
es, acte I, sc.iii.) Les deux pédants Trissotin, Vadius, Les Femmes Savantes. Vadius. Le défaut des auteurs, dans
ssotin. Hé bien, nous nous verrons seul à seul chez Barbin2351. (Les Femmes savantes, acte III, sc. iii.) Le poète a sa m
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes , leurs enfants pourront-ils m’arrêter ? Marchons 
u’on te voit paraître. Noble, bourgeois, clerc, prélat, petit-maitre, Femme surtout, chacun met son espoir Dans tes cartons p
oit libre enlaçant Daïdha, Il s’enfuit emportant ses fils morts et sa femme , Comme un spectre emportant les trois parts de so
avant qu’il soit dix jours ». J’emportais les brillants ; mais est-il femme ou fille Qui se puisse tenir d’admirer ce qui bri
d’Aaron2706, Entre les vieux créneaux tout brunis par la rouille, Les femmes s’asseyaient en filant leur quenouille, Et se moq
ammes veillent Rougit le plafond sombre, et, le front sur le lit, Une femme à genoux prie, et songe, et pâlit. C’est la mère.
s du musoir2712. Il gouverne à lui seul sa barque à quatre voiles. La femme est au logis, cousant les vieilles toiles, Remmai
des trous d’un crible. Au fond était couchée une forme terrible ; Une femme immobile et renversée, ayant Les pieds nus, le re
a sa veste avec emportement. Tandis que le marin disait : « Me voici, femme  ! » Et montrait sur son front qu’éclairait l’âtre
avoir fait ses études. Si petits ! on ne peut leur dire : Travaillez. Femme , va les chercher. S’ils se sont réveillés, Ils do
’amuse pas les gens qui sont méchants De voir que je vous prends pour femme . Ça les fâche : Vous n’étiez qu’une pauvre ouvriè
Et vivre ainsi pieds nus et riche, heureuse en somme D’être une brave femme et d’avoir un brave homme. Nos bans sont publiés.
ête blanche. Écoutez-la, Seigneur, et pour elle, et pour nous ! Cette femme , ô mon Dieu, qui vous prie à genoux, Ne la repous
u-pieds, Sur le pont des vaisseaux près de mettre à la voile, Hommes, femmes , enfants, nous allons par milliers Chercher aux c
s le fond de son âme Aux cheveux blonds d’un fils, à l’œil bleu de sa femme , Trouve au ventre du gouffre un éternel tombeau.
a terre enflammée. Il cherche autour de lui la place accoutumée Où sa femme l’attend sur le seuil entr’ouvert ; Il voit un pe
e Quand mon mari2858 combat en bon soldat de Rome, Je dois agir en femme ainsi qu’il fait en homme. Nourrice, nous avons t
he tunique2859, Et rendre grâce aux dieux de trouver sur le seuil Une femme soigneuse et qui lui fasse accueil.... Tu me pres
fidèle, Par mon aïeule instruite, aux mœurs que je tiens d’elle. Les femmes de son temps mettaient tout leur souci A surveill
le ciel ! que j’absolve leurs crimes, Moi, leur victime, et fille et femme des victimes ; Mais il faut avouer qu’on les pous
révolution du 9 Thermidor (27 juillet). Dans le salon de Mme Tallien, femme de l’un des chefs du parti victorieux, un général
V.) Le retour de Morin L’ouvrier Morin a autrefois abandonné sa femme Jeanne, après l’avoir frappée d’un coup de coutea
adoptés, le hasard l’a ramené au bout de vingt ans, en présence de sa femme et de son fils Marcel. Il fait l’aveu de son crim
ncline en silence, Ne prennent pas garde aux berceaux Que la main des femmes balance. Mais viendra le jour des adieux ; Car il
femmes balance. Mais viendra le jour des adieux ; Car il faut que les femmes pleurent Et que les hommes curieux Tentent les ho
de ce prince, Jeanne de Navarre, héritière des comtes de Champagne et femme de Philippe le Bel, lui demanda plus tard, d’écri
tour à tour au service de la reine d’Angleterre, Philippe de Hainaut, femme d’Edouard III, de Wenceslas de Luxembourg, duc de
e la beauté proverbiale de ce personnage, avaient pris pour un nom de femme . Flora, nom romain Thaïs, nom grec, portés par pl
été précipité dans la Seine par ordre de la reine Jeanne de Navarre, femme de Philippe le Bel, ou de la reine Marguerite de
rre, femme de Philippe le Bel, ou de la reine Marguerite de Bourgogne femme de Louis X le Hutin. 76. Jeu de mots sur le nom
lle, mère de saint Louis. 77. Avec une voix de sirène. 78. Berthe, femme de Pépin le Bref, mère de Charlemagne. 79. Peut-
pin le Bref, mère de Charlemagne. 79. Peut-être Béatrix de Provence, femme de Charles de France, fils de Louis VIII, et Alix
femme de Charles de France, fils de Louis VIII, et Alix de Champagne, femme de Louis VII roi de France. 80. Eremburges, à qu
our malversations, par ordre de Louis XIV (1661-1664). Un oncle de la femme de La Fontaine, M. Jeanmart, substitut de Fouquet
rurintendant. La Fontaine l’accompagna dans son exil, et adressa à sa femme une suite de six lettres (prose et vers mêlés) qu
e Don Quichotte (voir page 443, note 3), où Cervantès fait tenir à la femme de Sancho Pança, Thérèse, des propos de bon sens
urgeoisie ? 636. Nicole, comme la Dorine du Tartuffe, la Martine des Femmes savantes, la Toinette du Malade imaginaire, est u
ts de leurs maîtres. 637. Malitorne se dit d’une personne, homme ou femme , mal bâtie ou de mauvaises manières. Au féminin o
est la première condition de l’existence de la société. 754. Ruth, femme du pays de Moab, qui, devenue veuve, ne voulut pa
tte place, mais qu’il la remplisse. 824. Soit qu’il n’y ait que deux femmes dans la société, soit que, plus nombreuses, elles
able et la plus recherchée de toutes est celle qui est entre ces deux femmes ou ces deux groupes. 825. Ni des conviés. Il ne
oi de Prusse sous le nom de Frédéric Ier en 1701 ; mort en 1713. — Sa femme Sophie-Charlotte (1668-1705). 962. Duc de Wolfen
tation. 1026. Poster, mettre des gardes à différents postes. 1027. Femme du marquis de Dangeau, auteur d’un célèbre Journa
Nariskin, grande famille de Russie, à laquelle appartenait la seconde femme du tsar Alexis. 1095. Pierre 1er. C’est sous ce
di. 1183. Une manière de religieuse, une espèce de religieuse, une femme qui paraissait appartenir à un ordre religieux. —
un meublier plus convenable. Sur Mme Geoffrin (1699-1777), l’une des femmes les plus distinguées de la société du xviiie , vo
e et la mère de son mari, et prodiguait ses soins à ces deux vieilles femmes de manière à donner à tous dans la maison (c’est
ment du mot espagnol cimarron (sauvage), désigne un esclave, homme ou femme , qui s’est enfui de chez son maître et qui est ai
que, disait Sainte-Beuve, dans une étude sur Mme Roland (Portraits de Femmes ), foisonnante, pour ainsi dire. » 1340. Tempore
n favori Séjan. 1343. La raison. C’est un mot de Chrysale dans les Femmes savantes (II, vii) Raisonner est l’emploi de tout
nt Courier appréciait vivement l’esprit et l’humeur enjouée, était la femme d’un de ses cousins, administrateur général des é
la page 8. 1453. Demoiselle se disait, sous l’ancien régime, ou des femmes mariées non nobles, ou des jeunes filles de naiss
493. Dillon, nom de famille de Mme Élisa Guizot (1804-1835), seconde femme de Guizot. 1494. Guizot cite ici de mémoire et l
ple, sont communément appelés Sigebert et Chilpéric. 1512. Parmi ces femmes se trouvait une ancienne servante du palais, la c
poétique figure de Galeswinthe on peut rapprocher celle de Radegonde, femme de Clotaire Ier, qu’Augustin Thierry met en scène
multitude d’hommes sans armes, de blessés, de malades, d’enfants, de femmes , au lieu de se hâter de passer les ponts établis
, enfants des Hellènes, délivrez la patrie, délivrez vos enfants, vos femmes , les temples des dieux nationaux, les tombeaux de
s, fait entendre certaines vérités importantes. 1596. Deux vieilles femmes  : sa sœur, Mlle Baptistine ; et sa servante, Mme
toriser de l’exemple de cet homme célèbre, que, comme le dit Molière ( Femmes savantes, I, i) : Quand sur une personne on prét
avec trois enfants, est parti, sur le conseil même des parents de sa femme défunte, pour aller demander la main d’une riche
d, je voudrais en être revenu, c’est-à-dire être revenu de chez cette femme . 1649. Je vas. Cette forme, qui n’est pas incor
i figurent, ainsi que Phi laminte, dont il va être question, dans les Femmes savantes : Molière les met aux prises dans une sc
use. On appela d’abord précieux et précieuses (c’est-à-dire hommes et femmes d’un grand prix) les personnages distingués qui,
auteur d’un petit poème qui eut son heure de célébrité, le Mérite des femmes , et de tragédies qui eurent quelque succès en leu
e Charles-Quint). 1845. Possession particulière de Claude de France, femme de François Ier, la Bretagne ne devait être offic
isons n’en faisaient qu’une ; Les clés, la bourse était commune ; Les femmes n’étaient jamais deux. Tous les vœux étaient unan
eurs jeux, Les pères se prêtaient leurs rimes. (Poésies : les Bonnes Femmes .) 2096. Le timide Prusias, roi de Bithynie (192
Amphitryon, général des Thébains, a envoyé son esclave Sosie vers sa femme Alcmène pour lui annoncer sa récente victoire et
désignent ici des personnages imaginaires. 2290. Prude se dit d’une femme dont la vertu a quelque chose de hautain ou d’aff
la pièce de Molière est en vers libres. 2300. Célimène est une jeune femme que sa beauté et son esprit, non moins que son hu
atière d’ouvrages de l’esprit. 2317. Madame votre mère, Philaminte, femme de Chrysale, bourgeois de Paris, qui a le tort de
hrysale, bourgeois de Paris, qui a le tort de vouloir passer pour une femme savante. 2318. Aux encens qu’elle donne. Assez
mande et sa belle-sœur Bélise, qui, comme elle, se vantent d’être des femmes savantes, à l’entretien des deux pédants. La scèn
place dans la galerie de ses personnages (la Critique de l’École des femmes , l’Impromptu de Versailles, le Misanthrope), fut
ut rester fidèle au souvenir d’Hector, ne peut accepter de devenir la femme de Pyrrhus : elle s’adresse une dernière fois, da
en secondes noces sa nièce Agrippine, avait adopté le fils que cette femme avait eu d’un premier mariage, Néron, et l’avait
 : il a retrouvé Alzire mariée, et, plein de respect pour cette noble femme , il eût triomphé de sa passion, s’il n’avait revu
alors une satire de l’ambition de Napoléon. 2594. Par Jeanneton, sa femme , une paysanne. — Les autres rois sont couronnés d
préhistoriques, dans les premiers âges du monde. Cédar et Daïdha, sa femme , avec leurs deux enfants, traversent le désert, g
douce châtelaine, Chimène, l’héroïne du Cid de Corneille, devenue la femme de Rodrigue. 2638. François de Paule (1416-1507)
eille légende racontait comment Turpin, ayant enlevé au cadavre d’une femme jadis aimée par Charlemagne un anneau magique, pa
me fallait les vendre, J’aimerais mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma femme  : eh bien ! j’aimerais mieux La voir mourir, que
ve, déesse de la sagesse, est aussi celle qui préside aux travaux des femmes , tapisserie, broderie, etc. 2862. Montagnards,
ps auparavant, lâchement vanté d’avoir fouetté des « Jacobines », des femmes attachées au parti des Jacobins. 2867. Infâmes 
13 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Marc Girardin Né en 1801 » pp. 275-278
uvient de Fénelon aidant la paysanne à retrouver sa vache ? La pauvre femme pleurait, l’ayant perdue, et Fénelon essayait de
: « Je vous en achèterai une autre. — Ah ! monsieur l’abbé, disait la femme , qui ne connaissait pas son archevêque, ce ne ser
stupide ; d’autres se livraient à toute la frénésie du désespoir. Les femmes et les enfants des soldats étaient venus chercher
supérieurs, et là ils priaient et lisaient l’Écriture sainte avec les femmes des officiers et des passagers. Parmi elles, deux
14 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55
t une injustice épouvantable que de vouloir condamner Olimpe, qui est femme de bien, parce qu’il y a une Olimpe qui est une d
u’on ne peut pas nier. Demande-lui ce qu’il lui semble de l’École des Femmes , tu verras qu’il te dira qu’elle ne lui plaît pas
c, il l’eût trouvée la plus belle du monde1. (Critique de l’École des Femmes .) Contre l’abus des règles Lysidas, poèt
Lysidas. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’École des Femmes a plu ; et vous ne vous souciez point qu’elle ne
e contre aucune des règles dont vous parlez. (Critique de l’Ecole des Femmes , sc. vii.) 1. Platon disait : « On ne peut con
t incurable dans sa froide perversité. 3. Cette comédie, l’École des femmes .. 4. Ce marquis représente ces gens du monde qui
si bien le portrait. (Voir le Misanthrope, acte II.) 2. L’Ecole des femmes . 3. Les poëmes comiques. 1. « Je sais bon gré
15 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
1888.) Énumérer et caractériser les personnages mis en scène dans les Femmes savantes. Quelle est la conclusion morale à tirer
analyse de quelques scènes de l’ouvrage. (Rennes, novembre 1888.) Les femmes dans la comédie des Femmes savantes. (Poitiers, d
de l’ouvrage. (Rennes, novembre 1888.) Les femmes dans la comédie des Femmes savantes. (Poitiers, décembre 1890.) Déterminer e
ner et apprécier la moralité de la comédie de Molière intitulée : Les femmes savantes. (Clermont, août 1888.) Quelle est la co
la à la tradition de nos conteurs gaulois, a parlé malicieusement des femmes , en qui il relève la manie de contredire (La Femm
alicieusement des femmes, en qui il relève la manie de contredire (La Femme noyée), – l’amour du bavardage et l’indiscrétion
edire (La Femme noyée), – l’amour du bavardage et l’indiscrétion (Les Femmes et le Secret). – la pruderie dédaigneuse (La Fill
nité, au nom de sa renommée de gentilhomme et de chevalier. C’est une femme , c’est une vaincue. 3° Qu’il laisse donc cette fi
refuse : une grève se déclare. – Rassemblements tumultueux : hommes, femmes , enfants. – Discours animés des différents groupe
mons du xvii e siècle ? – La Bruyère a-t-il eu raison de dire que les femmes allaient plus loin que les hommes dans l’art d’éc
ière s’attaque-t-il surtout dans les Précieuses ridicules et dans les Femmes savantes ? – Apprécier les caractères de Belise,
e dans une lettre à une de ses amies montre ce qu’est la maison d’une femme savante. – Quelles sont les qualités qui vous ont
il songeait aussi à lui plaire quand il donnait le Misanthrope et les Femmes savantes. L’influence personnelle du roi est surt
lât d’un crime dont elle n’aurait pas à subir les conséquences. Cette femme égoïste et ambitieuse n’a pas les sentiments d’un
plus haut ; il voulait que l’auteur du Misanthrope, de Tartufe et des Femmes savantes ne fit rien d’indigne de son génie. Main
attaques injustes et ridicules que l’envie dirige contre l’Ecole des Femmes , il le proclame un maître en l’art d’écrire, il l
uple. Le comique du Malade imaginaire n’est pas le même que celui des Femmes savantes. L’un et l’autre sont vrais et ils naiss
ge de la haute comédie. Éliante, enfin, parle comme doit le faire une femme bien élevée, aimable et sincère. Les caractères n
te pièce, avec toutes ces qualités, en est-elle le chef-d’œuvre ? Les Femmes savantes et Tartufe, pourraient seuls, peut-être,
y regarde bien, on reconnaît vite que malgré de grandes beautés, les Femmes savantes sont inférieures au Misanthrope. Le comi
et de la mère, mais elle ne dépasse pas ce qu’on peut attendre d’une femme , de son cœur et de sa condition ; Pyrrhus, qui ai
ême est le trait distinctif de ce caractère. On comprend qu’une telle femme , poussée à bout, ne recule point devant le crime 
orme une âme insensible à la pitié, « il ne pleure ni ses amis, ni sa femme , ni ses enfants ». S’enrichir est sa seule étude 
de Paris, il ne parle que d’aunage, de tarif et de sou pour livre. Sa femme n’aime que le luxe, elle ne fait cas que des gens
it-on, la noblesse, la force d’âme. Mais il nous semble que certaines femmes de Racine ne sont pas dépourvues de cette grandeu
le retour de Mithridate. En cette circonstance, tout en restant bien femme , c’est-à-dire troublée, plaintive et passionnée,
vec les ruses de Mithridate. Là, elle montre l’intuition aiguisée des femmes et la confiance des âmes honnêtes et jeunes ; ell
uchant de son infortune en l’accompagnant des accents de sa lyre ; sa femme bien-aimée, sa chère Eurydice, a disparu, il l’a
) Concours de 1887. Littérature. Analyser, dans la comédie des Femmes savantes, les caractères, à la fois semblables et
posthume de cet ouvrage de la marquise), Voltaire a écrit : « Jamais femme ne fut si savante qu’elle et jamais personne ne m
’elle et jamais personne ne mérita moins qu’on dit d’elle : c’est une femme savante. » (Section des Sciences.) Concours d
tres Mme du Deffand, qui lisait beaucoup, ne savait pas ce qu’une femme doit savoir en fait de littérature. Sainte-Beuve
beaucoup lu. Mais, en fait de lectures, frivole comme la plupart des femmes mondaines, elle préférait ce qui plait à ce qui s
vons plus les mêmes humeurs, les mêmes opinions, les mêmes mœurs… Une femme qui voudrait écrire comme Mme de Sévigné serait r
s avoir parlé d’Alceste, de Philinte, elle insistera sur les rôles de femme (Célimène, Arsinoé, Éliante, etc.). Enfin, elle t
faite. – Comment Molière a-t-il conçu et décrit le caractère de « la femme savante » ? – Une dame qui vient d’entendre prono
liquer cette phrase dans laquelle La Bruyère donne la supériorité aux femmes en ce qui concerne le genre épistolaire : « Ce se
cette réflexion. – Apprécier et commenter le mot de Lamennais : « La femme est une fleur qui ne donne son parfum qu’à l’ombr
vous paraissent avoir été les plus dignes de l’occuper ? – Dans les Femmes savantes, Molière se montre-t-il l’ennemi de l’in
s savantes, Molière se montre-t-il l’ennemi de l’instruction chez les femmes  ? – L’amour maternel dans le théâtre de Corneille
ntiers : « Voulez-vous faire prévaloir une opinion, adressez-vous aux femmes  : elles la reçoivent aisément parce qu’elles sont
Réfutez ce jugement peu aimable ; montrez qu’aujourd’hui surtout les femmes exercent leur influence par d’autres moyens, grâc
lis, non pour m’instruire, mais pour m’élever. » – « La plupart des femmes , dit Fénelon, sont passionnées sur presque tout c
parler beaucoup : cependant on ne peut espérer rien de fort bon d’une femme , si on ne la réduit à réfléchir de suite, à exami
ix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui convient à la femme en général ? Lui suffiraient-elles, en tout cas,
e influence exercée par les gens du monde et particulièrement par les femmes sur le développement de la littérature française
corrigent, Harpagon reste avare. – Quelles sont, auxvii e siècle, les femmes qui se sont fait un nom dans les lettres ? Dites
arre, de plus déconcertant que celle de Mme de Maintenon. Tour à tour femme de Scarron, gouvernante des enfants de Mme de Mon
elle fut vraiment mère, ce qui est peut-être le premier devoir d’une femme , comme c’est son charme le plus pur. Si cette mor
s-lui ces taches en faveur de mille aimables qualités ; il y a peu de femmes écrivant beaucoup, qui pourraient supporter comme
nal que cette galanterie sans objet qui voit une merveille dans toute femme , pourvu qu’elle soit précieuse de mise et de lang
triotisme est-il un sentiment ? Le patriotisme est-il un devoir ? Les femmes ont-elles des devoirs de patriotisme ? Comment pe
e les pages où réponse est donnée sur ces points intéressants : « Les femmes ont-elles des devoirs de patriotisme ? Comment pe
ni à la simplicité du langage. En parlant surtout des services que la femme peut rendre au pays dans l’accomplissement des de
struite, sans rien perdre, pour cela, des grâces les meilleures de la femme , ni céder aux atteintes de la vanité et du pédant
que sincère y ajoute ; et, dans le monde, comme la délicate figure de femme esquissée par le poète, qui sait ignorer les chos
n’abandonne pas au hasard, ou au vulgaire ignorant, ou à la mode des femmes , l’introduction des termes, de peur qu’il n’en vi
er. » Ordre des sciences Littérature. Faire le portrait d’une femme instruite suivant le vœu de Molière, c’est-à-dire
lons brillants et choisis, les cercles polis et lettrés, auxquels une femme , digne de ce rôle, préside. – A quelles condition
érudition, poussé jusqu’au pédantisme, s’était répandu même parmi les femmes . « Les femmes et filles, dit avec enthousiasme un
ssé jusqu’au pédantisme, s’était répandu même parmi les femmes. « Les femmes et filles, dit avec enthousiasme un personnage de
férence des temps, n’y a-t-il pas lieu de recommander aujourd’hui aux femmes d’autres études que celles-là, notamment certaine
ndule n’est pas d’aller vite, mais d’être réglée. » – La plupart des femmes , dit Fénelon, sont passionnées sur presque tout c
parler beaucoup : cependant on ne peut espérer rien de fort bon d’une femme , si on ne la réduit à réfléchir de suite, à exami
ix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui convient à la femme en général ? Lui suffiraient-elles, en tout cas,
ture de poètes anciens pouvait occuper une place dans l’éducation des femmes . Vous supposerez que Fénelon lui écrit pour rassu
issent le plus souvent d’un contraste, d’une opposition. – Comment la femme peut-elle servir son pays ? – Mme de Sévigné a di
e l’Académie française, a écrit : « Un peu de science peut rendre une femme pédante ; beaucoup de science la rend modeste. »
rité de cette parole de Mme Dacier : « La modestie est l’ornement des femmes . » – « Je pleurs, disait Jeanne d’Arc, quand je
d’un Français. » Montrer que depuis Jeanne d’Arc, le patriotisme des femmes n’a pas changé et qu’il est devenu plus grand dep
on.) G. Merlet Études littéraires. (Hachette.) Gréard L’Éducation des femmes par les femmes. (Hachette.) Jacquinet Les Femmes
Études littéraires. (Hachette.) Gréard L’Éducation des femmes par les femmes . (Hachette.) Jacquinet Les Femmes écrivains. (Bel
écessité pour tous les professeurs, mais surtout pour les professeurs femmes que la délicatesse de leur organe vocal, et parfo
tte ignorance et ces erreurs de jugement, à peine excusables dans les femmes du monde, pourraient-elles se justifier chez cell
té est surtout faite de nuances, et c’est à la finesse ingénieuse des femmes qu’il appartiendrait de s’en souvenir… » Ordr
duisait dans l’enseignement des jeunes filles, et si elle gagnait les femmes . Sans vouloir en aucune façon les priver du gain
ii e siècle, l’influence de la société polie, et particulièrement des femmes  ? – A partir de quel moment, et dans quels genres
sident du jury : « 1° Composition littéraire. – …Cette influence des femmes sur les idées et les sentiments de nos bons auteu
llet et à Voiture, refaire l’histoire des Précieuses pour aboutir aux Femmes savantes, ne quitter Mme de Sévigné que pour Mme
ujet, sans le pénétrer bien avant. Il ne s’agissait ni uniquement des femmes qui ont écrit, ni uniquement des auteurs qui ont
femmes qui ont écrit, ni uniquement des auteurs qui ont écrit sur les femmes  ; mais, comme l’a heureusement dit, avec une rare
cette influence était appréciable dans tous les genres qui ont eu les femmes pour auteurs, pour inspiratrices ou pour juges ».
pays mal exploré encore. Causer agréablement de la société polie, des femmes , du genre épistolaire, des salons à la mode, bon
e un moyen, non un but ; nous voulons former des âmes, et des âmes de femmes  ; tous nos exercices y doivent aboutir, et cette
es appliqueraient à elles-mêmes ces théories irréfléchies. Elles sont femmes , et elles nieraient le goût ? Elles n’accepteraie
réforme de l’orthographe, ni à rechercher s’il est indispensable aux femmes de savoir le latin, ni à imaginer l’origine du la
lui. …………………………… Chrétiens, que la mémoire d’une grande Reine, Fille, Femme , Mère de Rois si puissans, et Souveraine de trois
ceux où la société ne s’est point perfectionnée, où les hommes et les femmes ne se rassemblent point ; où certains arts, comme
– Développer et commenter cette parole : « Toute la destinée de la femme se résume en ces mots : épouse et mère d’un citoy
) – Que pensez-vous du préjugé que l’on nourrit d’ordinaire contre la femme lettrée et contre la femme auteur ? – Développer
ugé que l’on nourrit d’ordinaire contre la femme lettrée et contre la femme auteur ? – Développer et apprécier cette pensée d
aire. Concours de 1888. Littérature. Étudier les caractères de femmes dans le Misanthrope (Célimène, Éliante, Arsinoé).
la Révolution française. La vie, et quelquefois la mort de plusieurs femmes de cette époque vous ont beaucoup intéressée. Vou
vez éprouvées et vous lui racontez l’histoire de quelques-unes de ces femmes . – En 1760, Voltaire ayant appris qu’une petite-n
la correspondance de Mme de Sévigné et de Voltaire. – Caractères des femmes dans les pièces de Corneille. Indiquer les avanta
e Polyeucte et d’Andromaque. Vous vous attacherez surtout au rôle des femmes dans ces deux tragédies. – Mme de Sévigné admirai
t ailleurs dans les autres auteurs. – Comparer entre eux les rôles de femmes dans le Misanthrope en faisant ressortir les qual
est nécessaire. » – Vous direz en quoi consiste le patriotisme. Les femmes doivent-elles être patriotes ? – Pour quelles rai
s exemples de patriotisme féminin. – Caractère du patriotisme chez la femme . Place que ce sentiment tient dans son existence
s, n’y devraient pas être. – Répondez-lui. – Faites le portrait de la femme charitable. – Dites quel est son rôle dans la soc
Expliquer et apprécier cette pensée de Mme Roland sur l’éducation des femmes  : « Nous sommes plus utiles par nos vertus que pa
onne éducation. – Quelle est l’opinion de Molière sur l’éducation des femmes  ? Où et comment la manifeste-t-il ? Apprécier son
– Que pensez-vous de l’opinion exprimée par Molière dans ce vers des Femmes savantes : « Je consens qu’une femme ait des cla
e par Molière dans ce vers des Femmes savantes : « Je consens qu’une femme ait des clartés de tout » ? – On dit quelquefois
ur langue maternelle ? – Un enseignement approprié à la condition des femmes doit développer et diriger l’instinct domestique
ime, que vous pourrez rapprocher de celle de Mme de Maintenon : « Les femmes font et défont les maisons. » – Que pensez-vous
ne demi-vertu » ? – « Pourquoi s’en prendre aux hommes de ce que les femmes ne sont pas savantes ? Par quelles lois, par quel
s, à quelque cause que les hommes puissent devoir cette ignorance des femmes , ils sont heureux que les femmes, qui les dominen
puissent devoir cette ignorance des femmes, ils sont heureux que les femmes , qui les dominent d’ailleurs par tant d’endroits,
tant d’endroits, aient sur eux cet avantage de moins. On regarde une femme savante comme on fait une belle arme : elle est c
t sous forme de récit ou sous forme de lettre. – Quel est le rôle des femmes en général dans la défense nationale en temps de
quand ils vous voient et qu’ils ne vous voient pas. » – La vie d’une femme dans les divers rôles que la nature lui prépare :
esse de maison. – Quelle est l’opinion de Molière sur l’éducation des femmes  ? Où et comment la manifeste-t-il ? Apprécier cet
r simple et modeste. – Montrez la vérité de ce mot de Proudhon : « La femme qui sera vigilante aura toutes les vertus. » – D
se et expliquez les motifs de votre choix. – Faites le portrait de la femme telle que vous rêvez de la former chez vos future
des conseils. – Discuter et apprécier cette opinion de Rollin : « Une femme peut n’être pas fort instruite de tout le reste e
État contemporain, M. J. Simon : « Chaque fois que l’on instruit une femme , c’est une petite école qu’on fonde. » – Une de
rité sur vos élèves. – Que pensez-vous de ce proverbe : « Ce sont les femmes qui font et qui défont les maisons » ? Tirez-en q
remier Consul. Pour sortir d’embarras, il songe à écrire à Joséphine, femme du Premier Consul, qu’il avait eu l’honneur de re
pitaine John Franklin reçut l’ordre de quitter l’Angleterre, sa jeune femme , atteinte d’une maladie mortelle, touchait à ses
r fixé. Vous donnerez une idée des paroles prononcées alors par cette femme héroïque : elle termine, en remettant à son mari,
aussitôt qu’il aura atteint la mer polaire. Le capitaine part, et sa femme meurt le lendemain du jour où il l’a quittée. Déb
souvenir du passé, et, levant les yeux vers le ciel, il adresse à sa femme quelques paroles, entrecoupées de larmes. Conc
Concours de 1876. Après la bataille d’Hastings, les mères et les femmes de ceux qui étaient venus de la contrée voisine c
un jour dans la Forèt-Noire, entendit auprès d’un moulin des cris de femme en mal d’enfant. Pendant que ses gens allaient au
souvenir que Louis XI décida, en 1473, par lettres patentes, que les femmes devaient précéder les hommes à la procession comm
écrire cette scène, ce tumulte d’une populace en délire : montrer les femmes elles-mêmes perverties par la corruption et non m
qui attendent leur proie….. Entrée des martyrs dans l’arène ; hommes, femmes et jeunes filles, tous calmes et résignés. Ils s’
votre courage, tout serait perdu ; ils massacreraient vos mères, vos femmes , vos enfants, vos prètres, et planteraient sur no
. Un combat de gladiateurs où figurent dans l’arène des hommes et des femmes du plus haut rang, remplit la seconde partie du j
onnière une jeune princesse d’une merveilleuse beauté. C’est Panthée, femme d’Abradate, roi de la Susiane, et allié du roi d’
ège contre la passion d’Araspe, un de ses généraux. – Instruit par sa femme de la magnanimité de Cyrus, Abradate, pénétré de
dans la fabrique voisine. – Détails et péripéties de l’accident. – Sa femme et ses deux enfants sont arrivés à la première no
8 mai 1824, Harris partit de Londres en ballon accompagné de sa jeune femme . Arrivé au plus haut de sa course et voulant rede
n voyageur, son salut serait assuré. Harris n’hésite pas, embrasse sa femme , et se précipite dans le vide. Son corps se brise
se précipite dans le vide. Son corps se brise dans sa chute, mais sa femme est sauvée. – Quels sont les bienfaits dus à la v
eltiques, la langue Cornique, n’était plus parlée que par une vieille femme du district de Cornouailles, près de Penzance. El
e quelques savants qui prirent le deuil, non pas de la pauvre vieille femme , mais de la pauvre vieille langue qui était morte
physique et chimie, etc. 1. Nous recommandons tout spécialement les Femmes Écrivains (notices et extraits) de M. Jacquinet (
16 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Ponsard 1814-1868 » pp. 583-600
Lucrèce. Quand mon mari combat en bon soldat de Rome, Je dois agir en femme ainsi qu’il fait en homme. Nourrice, nous avons t
blanche tunique, Et rende grâce aux dieux de trouver sur le seuil Une femme soigneuse, et qui lui fasse accueil1. — Laisse à
fidèle, Par mon aïeule instruite2, aux mœurs que je tiens d’elle. Les femmes de son temps mettaient tout leur souci A surveill
nt ! Cette vertu qui fuit longtemps après les autres, La pudeur de la femme a péri chez les nôtres. Enfin Rome se meurt, si,
ouille de la matrone. Quelle noble et douce figure que celle de cette femme aux yeux baissés, assise au milieu de ses esclave
n dirait le lis des champs filant lui-même sa tunique ; on pense à la femme forte de Salomon, et l’on respire je ne sais quel
Lucrèce, ils mènent l’action jusqu’à son terme, jusqu’à l’heure où la femme outragée lave l’involontaire souillure dans son p
17 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Calvin, 1509-1564 » pp. -
ue ce bon Dieu poursuyve à conduire son œuvre8. 1. Il s’agit de la femme de Laurent de Normandie, d’une famille noble de l
emps après son arrivée en cette ville, il eut le chagrin de perdre sa femme . 2. C’est le langage mystique. 1. Le jour qui p
’interjection bah ! qui exprime l’étonnement. 4. Sa bonne moitié, sa femme . 5. Les propos que je viens de citer se produisi
ns celle qui interdisait aux hommes les chaînes d’or et d’argent, aux femmes les dorures et les broderies. Elles ne pouvaient
18 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
Mais ils1 étaient bien disposés à la défense : ils avaient mis leurs femmes et leurs enfants au milieu d’eux ; ils furent éto
ée de leur cœur : l’un voulait mourir pour son père, un autre pour sa femme et ses enfants, celui-ci pour ses frères, celui-l
urs des Grecs : c’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect pour la femme et pour la mère de Darius, et qu’il montra tant d
ion qui se fait des deux peuples par les mariages. Alexandre prit des femmes de la nation qu’il avait vaincue1 : il voulut que
l épousa, suivant la loi des Perses, qui permettait d’avoir plusieurs femmes , Statire, fille de Darius, et Roxane, fille d’un
19 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
L’Aurore l’aima et l’enleva ; mais Céphale, constamment attaché à sa femme Procris, ne voulut jamais se rendre aux désirs de
érus (nommé dans l’histoire profane Artaxerxès), qui avait répudié sa femme Vasthi. Aman, favori de ce monarque, irrité de ce
V, fils d’Antoine de Bourbon, roi de Navarre par Jeanne d’‘Albret, sa femme . Devenu roi de France, en 1589, il ne fut sacré q
y était enchaîné sur une pierre, pour avoir voulu enlever Proserpine, femme de Pluton ; et la seconde fois, il ramena sur la
ine de Lydie, que, pour lui plaire, il s’avilit jusqu’à s’habiller en femme , et à filer auprès d’elle. Placé au rang des Dieu
e, de Saturne et de Rhée, ou Cybèle. Elle était sœur et en même temps femme de Jupiter, déesse des empires, et reine des Dieu
s souterraines. Pollux, fils, selon la fable, de Jupiter et de Léda, femme de Tyndare, roi de Laconie dans le Péloponèse (au
avoir chassés, plaça son palais. Sirènes, monstres fabuleux, moitié femmes et moitié oiseaux, suivant les plus savants mytho
-C. Sphinx (le), monstre, qui, suivant la fable, avait la tête d’une femme , le corps d’un chien, et les griffes d’un lion, a
es de la mer, fille de Nérée et de Doria, et petite fille de Théthys, femme de l’Océan. Elle était si belle, qu’elle fut rech
20 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Canevas
sser par ses valets. Voilà un vilain procédé. Comme cette malheureuse femme ne sait pas écrire, elle vous prie décrire au com
hrétiens Vous parlez de Régulus — … mais, sans parler des hommes, nos femmes , nos enfants… Vous nous dites : « Les païens sont
liant, le fait asseoir, lui demande de ses nouvelles, de celles de sa femme , de sa petite fille, de son petit Colin, de son c
 Apparition de Boèce. Note. Boèce est enfermé dans un cachot. Une femme majestueuse lui apparaît. Tout-à-coup apparaît un
cachot. Une femme majestueuse lui apparaît. Tout-à-coup apparaît une femme majestueuse, son aspect était vénérable. — Ses re
main elle portait des livres, de l’autre un sceptre. —  Avis. Cette femme est la philosophie, science respectable et profon
trait allégorique de la discorde. Représentez-la sous la figure d’une femme hideuse, dont l’habillement, les traits, la cheve
ouvernée, soit par un vieillard qui aime les enfants — … soit par une femme douce qui leur sert de mère — Le matin, leurs par
relève de lui.  Il lègue à ses enfants des trônes, des provinces, Sa femme est une reine, et ses fils sont des princes. Il t
l’égorgea. — Les païens admirèrent tant de courage, surtout dans une femme — … Narrations poétiques → Préceptes du ge
aconte l’épisode suivant de ta peste de Milan. Exposition. Une jeune femme sort d’une maison — … Sa démarche attristée — … S
core, quoique la mort fût sur son visage — … Fille regarde, la pauvre femme , les indignes obsèques de sa fille aînée — … Dén
r les sauvages, il était défendu de sortir sous peine de mort — … Une femme nommée Maldonata, préférant la mort à la faim, se
e commandant, instruit de tout, laissa la vie et pardonna à la pauvre femme . N° 183. — Le Palmier bleu  (Forme épistola
arrive dans le verger. Désespoir de ces braves gens. Désolation de la femme de Guillaume. Avis. Voilà un sujet fécond en inc
l’abri d’un orage, j’entrai dans une chapelle, et je m’endormis. Une femme céleste m’apparut : « Lève-toi, dit-elle, je suis
portrait moral de ce prince, en consultant votre histoire moderne. Sa femme Ulrique-Eléonore venait de mourir. Quoique dur en
liction le son peuple, entrer dans la cabane. Il vit le mort, dont la femme , suivant les usages de l’Orient, avait lavé la tê
ait reproché de quitter la terre où il était si bien, d’abandonner sa femme et ses enfants. Le cercueil était prêt à recevoir
ire et pendant qu’il renaît peu à peu à la vie, l’empereur console la femme , fait enlever les apprêts funèbres, et placer le
nêtre. L’air frais ranime le malade, qui d’une voix faible demande sa femme , derrière laquelle, par surcroît de bonté, l’empe
iet — … Vers le jour j’entends du bruit ; le charbonnier demande à sa femme s’il faut les tuer tous deux. Sur la réponse affi
re quinze armés jusqu’aux dents ! — … Déjà on monte par l’échelle, la femme éclaire l’horrible charbonnier, en lui disant : d
it, on vend son mobilier ; désespéré, il tue trois de ses enfants Isa femme s’enfuit avec le quatrième — … Le pauvre homme es
page 270. COMPOSITIONS N° 212. — La Couronne de Marie Une jeune femme avait élevé un petit autel à Marie, au fond d’une
, arrivèrent en lieu sûr — … Alors ils prièrent — … En ce moment, une femme entourée d’un groupe d’anges, descendit sur eux —
là le jugement de Dieu — … N° 216. — Le Chasseur des Alpes Une femme de Val-Rosa tâchait de retenir à la maison son fi
Le prêtre prononçait les paroles sacrées, Et la reine, au milieu des femmes éplorée, S’avançant tristement, tremblante entre
e entreprise, il sera obligé de passer sur le corps de sa mère, et sa femme et ses enfants seront laits esclaves. Pourquoi ne
re les noms de Léonidas et de ses compagnons. N° 239. — Alonzo aux Femmes Indiennes Note. Alonzo, fait prisonnier par u
evait être rais à mort et mangé par les sauvages. Il était entouré de femmes , qui devaient prendre part elles-mêmes à cet horr
ec plus de succès, il faudrait qu’il fût libre et sans soucis pour sa femme et ses enfants. Or, dans les circonstances présen
rimes croisées, neuf strophes. N° 256. — La Mendiante La pauvre femme est là devant le cimetière, bien âgée et ne pouva
de gîte, reçoivent un secours inutile trop souvent, ouvre-toi. Là des femmes , qu’on nomme sœurs, prodiguent les douceurs d’un
x que soulage leur bonté, sentent avec joie, dans ce — séjour, qu’une femme est l’ami qui les ramène à la vie. Avis. Outre
de robe bleue, serrée autour du corps par une ceinture rouge pour les femmes , de robes d’étoffes des plus vives couleurs. 114
21 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
ants assemblés dans une maison ; étonné, il s’avance : le corps d’une femme était placé dans un cercueil, paré de beaux vêtem
ntour, et l’une d’elles disait plusieurs choses à la louange de cette femme morte, racontant ses vertus, puis s’arrachant les
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune femme mourante au milieu des pompes et des dangers de l
22 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Diderot, 1713-1784 » pp. 303-312
t échappé du naufrage est porté sur les épaules de son père ; là, une femme étendue morte sur le rivage, et son époux qui se
a qui ont allumé du feu sous une roche ; ils s’occupent à ranimer une femme expirante, et j’espère1 qu’ils y réussiront. Tour
celui-ci qu’il commence par créer le pays, et qu’il a des hommes, des femmes , des enfants en réserve, dont il peuple sa toile
avec sa vivacité ; mais trop jeune, tête trop petite, joli comme une femme , lorgnant, souriant, mignard, faisant le petit be
23 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Mme de Maintenon. (1635-1719.) » pp. 76-82
tice] La Bruyère a dit, avec vérité, qu’il ne manquait parfois aux femmes que la correction du style pour écrire mieux que
u bout aux maux physiques dont il était assiégé. Bientôt il laissa sa femme veuve ; et celle-ci, quoique demeurée sans fortun
ment sévère d’un célèbre écrivain de nos jours qui, en peignant « les femmes illustres du dix-septième siècle », a représenté
24 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
ie et qui double mon âme ; Mais pour lui conserver sa chaste ombre de femme , Je ne l’écrirais que pour toi. Lit d’ombrage et
d’automne, Que ces feuilles tombent sur toi ! Je conçois que, si la femme aimée vous rend parfaitement heureux, vous puissi
ous prétendiez conserver à ce chiffre ou à ce nom une chaste ombre de femme . Je conçois que la femme dans laquelle vous avez
à ce chiffre ou à ce nom une chaste ombre de femme. Je conçois que la femme dans laquelle vous avez mis toute votre existence
rmure de ce flot puisse monter au lit du fleuve. Je conçois que cette femme , nom de bonheur et lit d’ombrage, puisse encore ê
25 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Modèles
nds que Mlle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille femme , nommée Mme Levasseur, et si pauvre qu’elle demeu
des hommes avec un Scévola, un Aquilius, un Régulus, nos enfants, nos femmes mêmes ne bravent-ils pas avec une constance qui n
DIMANCHE. Fort bien, Monsieur, Dieu merci. DON JUAN. C’est une brave femme . M. DIMANCHE. Elle est votre servante, Monsieur.
Guyet. N° 76. — Apparition de Boèce. Tout-à-coup apparaît une femme majestueuse. Son aspect inspirait la vénération l
que chacun en avait arraché des lambeaux. Dans la main droite, cette femme majestueuse portait des livres, et dans la main g
hrem. N° 78 — La Discorde. L’archange rencontre d’abord une femme hideuse. Ses habits composés de bandes inégales,
métal ; ces sons aigus et plaintifs ressemblent aux lamentations des femmes grecques aux convois de leurs morts  ; nous ne po
me ; je descends de temps en temps sous l’entre-pont pour rassurer ma femme couchée dans son hamac. Le second capitaine, au m
es secours que son état exige : homme de fer pour le péril et cœur de femme pour la pitié. Toute la nuit se passe ainsi. Le l
pas. Quelques gouttes de bouillon froid soutiennent les forces de ma femme et de mes compagnons toujours couchés dans leurs
is. Son trône est un vieux banc ; il met un diadème sur la tête de sa femme , il distribue des parchemins à ses enfants, il es
ourage ; ils avouaient qu’il ne s était jamais rencontre parmi eux de femme qui eût souffert une si étrange et si longue suit
, ni des vases de bronze et d’or, ni de ces joyaux brillants dont les femmes et les jeunes filles étaient parées. Soixante mil
sse, Trad. de Lebrun. N° 157. — La Mère infortunée. Une jeune femme , dont l’aspect annonçait une jeunesse avancée, ma
de l’existence. Tout-à-coup un affreux appariteur s’approche de cette femme et cherche à lui enlever son précieux fardeau, ma
sort du taillis voisin. O voyageur ! ta perte est trop certaine ; Ta femme est veuve, et ton fils orphelin. « Traître, a-t-i
rentes et à courir sur ses pelouses solitaires. Dès qu’il aperçut une femme , il fut se cacher sous une touffe de roseaux. Mon
a Cérès en soupirant, venez à moi, mon bel enfant ! — À la voix d’une femme affligée, Loïs sort des roseaux. Il met en rougis
ais vue, et qui ne se reverra probablement jamais, sous un chapeau de femme  !… un rat !… Oui, un énorme rat qui s’était intro
et. L’intendant des bâtiments royaux, irrité de l’entêtement de cette femme , l’expropria par force de son petit domaine, et l
peine de la vie, de sortir de l’enceinte du nouvel établissement. Une femme , à qui la faim sans doute avait donné le courage
’êtres vivants, mais dont sa pitié avait su lui faire un asile. Cette femme , privée avec douleur d’une société chérie, ne fut
sses et de doux gémissements les prodiges de reconnaissance que cette femme racontait à ses libérateurs. La lionne suivit que
che avait dépouillés sans doute en passant les mers, laissa vivre une femme que le ciel avait si visiblement protégée. Raynal
le sang glacé dans les veines, se couvre le visage de ses mains : les femmes et l’enfant périront. Un nègre avait ouï la sente
re de ce que fit Guillaume dans la soirée. A dix heures et demie,  sa femme le vit prendre son fusil, rouler un sac de toile
il allait, car Guillaume n’était pas homme à rendre des comptes à une femme . François, de son côté, avait véritablement trouv
Bientôt tout le village fut rassemblé dans le verger de Guillaume. Sa femme vint avec les autres. Ce fut une scène horrible.
sueur mon bras opiniâtre Fatiguer sans relâche une terre marâtre ! Ma femme … Ah ! la misère a desséché son sein, Et mes fils
, positif, entièrement dépourvu d’imagination. Il venait de perdre sa femme Ulrique Éléonore. Quoique sa dureté pour cette pr
rande robe bleue, serrée autour du corps par une ceinture rouge ; ces femmes dont le costume oriental brille de l’éclat des pl
e dans la cabane : le mort était sur son lit, et semblait dormir ; sa femme était immobile à son chevet, s’efforçant de conte
tu  nous a abandonnés ? étais-tu donc malheureux sur cette terre ? ta femme n’était-elle point douce et belle ? pourquoi donc
léger soupir paraît sortir de sa poitrine. « Il vit, dit l’empereur, femme , vous ne serez point veuve. Enlevez tous ces obje
s, et l’on entend une voix encore faible murmurer : « O mon Dieu ! ma femme  ! où suis-je ? » Sa femme était déjà dans ses bra
encore faible murmurer : « O mon Dieu ! ma femme ! où suis-je ? » Sa femme était déjà dans ses bras ; car l’empereur s’était
cle, et portent leurs mains profanes sur les merveilles des arts. Les femmes tremblantes se précipitent dans les temples ; les
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer : et prêtant l’oreille par
mari : Eh bien enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? à quoi la femme répondit : Oui ; et je n’entendis plus rien. Que
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi derrière la porte ; il ouvrit ; ma
e la porte ; il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe que sa femme vint prendre, puis il entra pieds nus, et elle de
ture qui tiendrait sa place dans le meilleur roman. J’ai été chez une femme qu’on m’avait indiquée, pour lui demander de voul
onne à madame votre portrait en pur don. Le pauvre homme et la pauvre femme tombèrent des nues. J’ai ajoute beaucoup de chose
 ; il coupa la gorge à trois enfants qui étaient dans sa chambre ; sa femme sauva le quatrième et s’enfuit. Le pauvre homme e
r ou deux : il dit que tout son déplaisir c’est de n’avoir pas tué sa femme , et l’enfant qu’elle a sauvé. Songez que cela est
oussons chemin, et bientôt l’auberge est cernée. On arrête l’hôte, sa femme et ses garçons d’écurie ! on les interroge, on le
cœurs vers a reine du ciel, du sein de cette lumière miraculeuse une femme apparaît entourée d’un groupe angélique, et elle
une chambre étroite étaient assises, travaillant de leurs mains, une femme à cheveux blancs et une jeune fille. Et, de temps
cheveux blancs et une jeune fille. Et, de temps en temps, la vieille femme réchauffait à un petit brasier ses mains pâles. U
ille levant les yeux regarda en silence, pendant quelques moments, la femme à cheveux blancs ; puis elle lui dit : ma mère, v
avait dans sa voix une douceur et une tendresse inexprimables. Et la femme à cheveux blancs répondit : ma fille, Dieu est le
tes, et la douce vision était toujours devant mes yeux. Ce disant, la femme aux cheveux blancs tressaillit, et serra sur son
urtant, se tournant vers Mathilde, il jura ainsi, non sans effort : «  Femme que je tiens par la main gauche, et qui as reçu a
t’est-il pas venu dans l’esprit que tes dieux, ta maison, ta mère, ta femme et tes enfants étaient renfermés dans ses muraill
tende paisiblement que tes armes aient décidé de notre destinée ? Une femme romaine sait mourir  quand il le faut ; et, si je
rêter la fureur, songe au moins qu’en voulant mettre Rome aux fers, t femme et tes enfants ne peuvent éviter la mort ou une p
’auront pas oublié les grands noms. Pichat. N° 239. — Alonzo aux femmes Indiennes. Attaché à un poteau, Alonzo va êtr
ndiennes. Attaché à un poteau, Alonzo va être égorgé. Il prie les femmes qui l’entourent de lui sauver la vie. Lorsque vos
suis un homme innocent et paisible qui ne vous ai fait aucun mal. Une femme semblable à vous m’a porté dans ses flancs et nou
et long voyage, au danger d’être pris, d’être déchiré par vos mains. Femmes indiennes, croyez que je suis votre ami, celui de
est mort !... Jean Reboul. N° 256. — La Mendiante. La pauvre femme est là devant le cimetière, Bien vieille et ne po
n’a point d’asile, Reçoivent un secours trop souvent inutile. Là, des femmes , portant le nom chéri de sœurs. D’un zèle affectu
eur bonté soulage Sentent avec bonheur, dans ce triste séjour, Qu’une femme est l’ami qui les ramène au jour. Legouvé. N
26 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
ils ont été plus qu’hommes au commencement ; ils deviennent moins que femmes dans la suite de leur action ; et comme s’ils sor
ina sa carrière en 1673. Appréciation de la comédie de l’École des Femmes . Le marquis, le chevalier ou Dorante. DORANTE
beaucoup. LE MARQUIS. Demande-lui ce qu’il lui semble de l’École des Femmes  ; tu verras qu’il te dira qu’elle ne lui plaît pa
ant la satire de ceux qui la condamnent. La Critique de l’École des femmes (1663), sc. VI. Jusqu’à quel point faut-il obs
. LYSIDAS. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’École des Femmes a plu ; et vous ne vous souciez point qu’elle ne
oue et qui se divertit. De là vient que le jeu et la conversation des femmes , la guerre, les grands emplois, sont si recherché
nt, quoique je n’y eusse d’autre société que celle du receveur, de sa femme et de ses domestiques, qui tous étaient, à la vér
e. J’employais le reste de la matinée à aller, avec le receveur et sa femme , visiter leurs ouvriers et leur récolte, mettant
vieil Horace ; Horace, son fils ; Curiace, amant de Camille ; Sabine, femme d’Horace et sœur de Curiace ; Camille, amante de
. Le vieil Horace, Horace, Curiace. HORACE. Mon père, retenez des femmes qui s’emportent Et, de grâce, empêchez surtout qu
ques ; « Le méchant par le prix au crime encouragé ; « Le mari par sa femme en son lit égorgé ; « Le fils tout dégouttant du
u laissez-moi périr ou laissez-moi régner511. Les conseils de Livie, femme d’Auguste, lui ont persuadé d’embrasser le parti
emier des comiques aussi bien que le modèle des fabulistes584. Les Femmes savantes585. (Extraits.) Acte I, scène III.
est né sincère, Même dans votre sœur, flatter leur caractère ; Et les femmes docteurs ne sont point de mon goût. Je consens qu
; Et les femmes docteurs ne sont point de mon goût. Je consens qu’une femme ait des clartés de tout : Mais je ne lui veux poi
emportements d’une jalouse rage. ARISTE. Cléonte et Lycidas ont pris femme tous deux. BÉLISE. C’est par un désespoir où j’ai
ne fois, reprenons le discours. Clitandre vous demande Henriette pour femme  : Voyez quelle réponse on doit faire à sa flamme.
son père et moi n’étions qu’un en deux corps. ARISTE. Parlons à votre femme , et voyons à la rendre Favorable… CHRYSALE.      
         Vous moquez-vous ? il n’est pas nécessaire. Je réponds de ma femme , et prends sur moi l’affaire598. ARISTE. Mais… CH
                            C’est une affaire faite ; Et je vais à ma femme en parler sans délai. Acte II, scène V. C
nt coups. CHRYSALE. Non, vous demeurerez :je suis content de vous. Ma femme bien souvent a la tête un peu chaude ; Et je ne v
e tournant vers Martine. Aussi fais-je.                       Oui, ma femme avec raison vous chasse, Coquine ; et votre crime
 L’affaire est donc considérable ? PHILAMINTE. Sans doute, me voit-on femme déraisonnable ? CHRYSALE. Est-ce qu’elle a laissé
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu’une femme en sait toujours assez Quand la capacité de son e
uilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles620. Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœurs : Elles v
te. Acte II, scène IX. Ariste, Chrysale. ARISTE. Hé bien ! la femme sort, mon frère, et je vois bien Que vous venez d
 ! Et se peut-il qu’un homme ait assez de faiblesse Pour laisser à sa femme un pouvoir absolu Et n’oser attaquer ce qu’elle a
le bruit me pèse. J’aime fort le repos, la paix et la douceur, Et ma femme est terrible avec que son humeur. Du nom de philo
’appelle et mon cœur et ma mie. ARISTE. Allez, c’est se moquer. Votre femme , entre nous, Est, par vos lâchetés, souveraine su
s résoudre une fois à vouloir être un homme, À faire condescendre une femme à vos vœux, Et prendre assez de cœur pour dire un
e latin qu’il leur fait sonner haut ; Un pédant, qu’à tout coup votre femme apostrophe Du nom de bel esprit et de grand philo
         C’est une chose infâme Que d’être si soumis au pouvoir d’une femme . ARISTE. Fort bien. CHRYSALE.                  De
’orgueilleux savoir nous traite avec mépris, Que de science aussi les femmes sont meublées ; Qu’on peut faire comme eux de doc
légion ; Et moi, qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille, femme , sœur et mère de vos maîtres709, Que prétendez-vo
i-même, et nourrir dans son âme Le mépris de sa mère et l’oubli de sa femme  ! BURRHUS. Madame, jusqu’ici c’est trop tôt m’acc
’étonne ; Car il est temps d’agir. Je crois, Dieu me pardonne, Que ma femme devient raisonnable. LE COMTE.                   
arence, Cet homme n’a pas fait fortune à l’intendance. (Au comte.) Ma femme vous attend. Venez, d’un air soumis, Prévenant, l
Le prêtre prononçait les paroles sacrées ; Et la reine, au milieu des femmes éplorées, S’avançant tristement, tremblante entre
tième siècle, comme substantif. Molière a dit encore dans l’École des femmes , I, 5 : Et l’on en a parlé comme d’un ridicule.
et Boileau, à la fin de son Discours sur la satire. 39. L’École des femmes . 40. Les comédies… 41. La Bruyère dit également
jour dans la composition de l’œuvre qu’il méditait. » 68. Sur cette femme qui fut, comme l’a dit M. Villemain, « un grand é
de lieu où était souvent employé pour le relatif. Ainsi Molière (les Femmes savantes, II, 3) : C’est par un désespoir où j’a
91. Rapprochez de cette pensée la scène de la Critique de l’École des Femmes citée dans le même recueil, page 20. 192. Ellips
acé par Molière (le Misanthrope, II, 5). 194. Cf. Molière, dans les Femmes savantes : Nul n’aura de l’esprit, hors nous et
: ils saccagèrent toute cette province, massacrant les prêtres et les femmes . Saint Augustin refusa de quitter Hippone assiégé
Alexandre, suivant la loi des Perses qui permettait d’avoir plusieurs femmes , avait épousé Statire, fille de Darius, et Roxane
r plusieurs femmes, avait épousé Statire, fille de Darius, et Roxane, femme d’un satrape. Quant à Olympias, on sait qu’elle é
eli Polynice. Ismène, sœur d’Antigone, demande grâce au tyran pour la femme qu’il destinait à son fils. Créon répond avec dur
ils. Créon répond avec dureté qu’il ne veut point pour ses enfants de femmes perverses. A ce nouvel outrage, Antigone s’écrie
mauvaise part ; c’est ce que l’on voit encore dans Molière, École des Femmes , V, 7 : C’est de mon jugement avoir mauvaise est
ges de Molière : « C’est dans sa cinquantième année qu’il a écrit les Femmes savantes, effort suprême de son génie, que sans d
sé, lors même que la mort l’eût épargné pendant dix ans. Le style des Femmes savantes me semble réunir toutes les conditions d
vier 1831. Molière lui-même disait, à ce que l’on rapporte : « Si les Femmes savantes ne me conduisent pas à la postérité, je
esprit et aux travers du faux savoir, plus choquants encore dans les femmes que dans les hommes. Mais ce qui prouve qu’il n’a
tel de Rambouillet, c’est qu’à la date où furent jouées notamment les Femmes savantes ce salon célèbre, qu’avait fréquenté Mol
nant Martine pour que Chrysale pût blâmer librement la conduite de sa femme . 612. Oraison garde ici le sens du mot latin or
isante des mots sied fort bien pour mettre en lumière la folie de ces femmes , oublieuses des soins de leur ménage, et la raiso
a été relevé : ajoutons que, pur un goût tout contraire à celui de sa femme , Chrysale, partisan des vieilles mœurs, a quelque
sages de ce chapitre peuvent encore être rapprochés de la comédie des Femmes savantes. 634. . On écrirait aujourd’hui tercets
27 (1863) Discours choisis ; traduction française par W. Rinn et B. Villefore. Première partie.
ébauche ? Et dernièrement encore, quand par le meurtre de ta première femme tu eus fait place dans ta maison à une nouvelle é
r de testament, un fripon, un libertin, un débauché, un adultère, une femme perdue, un corrupteur de la jeunesse, un être sou
i en plein sénat, et engage tous les citoyens à se rendre, avec leurs femmes et leurs enfants, dans les temples des dieux pour
, et, avec elle, votre existence à tous, vos biens, vos fortunes, vos femmes , vos enfants, ce siège même du plus glorieux empi
aient partout rendues aux dieux, célébrez ces jours de fêtes avec vos femmes et vos enfants. Si souvent les dieux immortels on
pères conscrits, et le peuple romain, au plus horrible carnage ; vos femmes , vos enfants, les vestales, aux outrages les plus
veillez sur vous-mêmes, songez à la patrie, sauvez vos personnes, vos femmes , vos enfants, vos biens ; défendez le nom et l’ex
de, si un père de famille, voyant ses enfants tués par un esclave, sa femme égorgée, sa maison incendiée, ne tirait point de
s sommes en présence d’hommes qui ont voulu nous massacrer, nous, nos femmes et nos enfants ; qui ont entrepris de détruire à
, s’est montré trop cruel avant-hier envers l’époux de sa sœur, cette femme si distinguée, envers Lentulus qui était présent,
est sur vous qu’elle se repose. Enfin, votre existence, la vie de vos femmes et de vos enfants, votre fortune, la conservation
donc votre existence, pères conscrits, celle du peuple romain, de vos femmes et de vos enfants, la conservation de vos autels
de gravures et de figures des dieux, un encensoir, une coupe dont les femmes se servaient pour les sacrifices et les cérémonie
ensoirs. Quels gémissements ! quelles larmes ces pertes coûtaient aux femmes  ! Peut-être regardez-vous ces choses comme de pet
ts ; mais qu’elles causent de cruelles douleurs, surtout à de faibles femmes , lorsqu’elles se voient arracher ces vases, qui l
e que cet ordre causa dans la ville, les cris et les lamentations des femmes  ! Ceux qui en auraient été témoins auraient dit q
se. On emportait des vases sans étuis ; on en arrachait des mains des femmes  ; on brisait les portes, on enlevait les verrous.
le où il n’eût établi une manufacture d’étoffes. Il y a à Ségeste une femme très riche et très distinguée, nommée Lamia. Sa m
la ville, au milieu des larmes et des lamentations des hommes et des femmes , on fait prix pour ôter de sa place la statue de
eur salaire. Représentez-vous à ce moment l’alarme et le concours des femmes de la ville ; les pleurs et les gémissements des
Diane, seront placés par Verrès dans ce repaire d’hommes perdus et de femmes déhontées ! XXXIX. N’avez-vous déshonoré qu
dite, et il est d’usage que les sacrifices ne s’y fassent que par les femmes et les jeunes filles. Les esclaves de Verrès enlè
n. Le lendemain, les jeunes et les anciennes prêtresses de ce temple, femmes vertueuses et de qualité, dénoncent aux magistrat
aucun homme n’a pu vous en parler ? Vous l’aviez donc appris par une femme , puisque les hommes n’ont jamais vu, n’ont jamais
connu l’intérieur de ce lieu saint ? Juges, que pensez-vous de cette femme  ? quelle idée vous formez-vous de sa vertu et de
Mais faut-il être surpris que des mystères auxquels des hommes et des femmes d’une éminente chasteté président aient été profa
ndant trois ans elle ait possédé une fabrique d’étoffes à l’usage des femmes . Assez près de cette ville est un ancien temple d
de la Cilicie ; qu’en persécutant les citoyens, en déshonorant leurs femmes , il les a accablés de maux qu’ils n’ont point eu
s le désir de voir les registres, d’être arrêté par les intrigues des femmes les plus nobles et les plus belles de la ville, q
éteurs ont coutume de séjourner et de tenir conseil, Verrès avait une femme de quelque famille distinguée destinée à ses plai
stinée à ses plaisirs. Il admettait ouvertement plusieurs d’entre ces femmes à sa table. Celles qui étaient retenues par un re
s associés ou les ministres de ses passions. Là, se rassemblaient les femmes qui avaient commerce avec lui, et Syracuse en ren
partager ses orgies et ses festins. Au milieu de ces hommes et de ces femmes paraissait son fils, déjà grand. Une société de c
teau de pourpre et d’une tunique traînante, il était à table avec des femmes , les habitants ne s’en plaignaient pas. On ne tro
e jugement, ni que toute cette partie du rivage retentit des voix des femmes et du bruit des instruments de musique, pendant q
r votre cœur pour lui conserver la vie, que n’en avaient celles d’une femme prostituée pour sauver Cléomène. » Il dit encore
de nuit à Héraclée, vint au-devant de moi, accompagnée de toutes les femmes les plus distinguées de la ville, avec un grand n
28 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
40, qui peut être supporté des yeux malades et cacher les défauts des femmes qui sont fardées. Les arbres y sont verts jusqu’à
e date pour ainsi dire la création du premier homme et de la première femme dignes de figurer à jamais sur la scène française
dimanche. Fort bien, monsieur, Dieu merci. don juan. C’est une brave femme . M. dimanche. Elle est votre servante, monsieur.
autres, de la côte de saint Louis231 ? m. Jourdain. Taisez-vous, ma femme  ; je vous vois venir. m adame Jourdain. Descendo
l pas marchand aussi bien que le mien ? m Jourdain. Peste soit de la femme  ! elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
; il voulait aller sauver sa mère qui brûlait au troisième étage ; sa femme s’attachait à lui, qui le retenait avec violence4
ait avec violence445 ; il faisait pitié. Enfin il me pria de tenir sa femme , je le fis : il trouva que sa mère avait passé au
ent. Enfin il revint à nous dans cette rue où j’avais fait asseoir sa femme . Des capucins446 pleins de charité et d’adresse,
r pour un seul homme. Et, en effet, pensez-vous, messieurs, que cette femme vaine et ambitieuse puisse se renfermer en elle-m
rédestinée ; car vous avez beaucoup à souffrir. Vous êtes la première femme du monde ; mais il ne faut point vous flatter : q
autres. M. de Sainte-Hermine n’est pas assez établi : il lui faut une femme , et un gouvernement687. Le petit de Vilette viend
ent été chacun dans leur chaumière716 et dans leur maison, avec leurs femmes et leurs enfants, et moi dans ma rue des Maçons a
servi, il se met le premier à table, et dans la première place ; les femmes sont à sa droite et à sa gauche ; il mange, il bo
tombe presque dans le même instant : aujourd’hui elle est courue, les femmes s’en parent ; demain elle est négligée et rendue
uand il trouvait à l’exercer994 ; et il était tout seul chez lui sans femme et enfants995. Charnecé l’envoie chercher, lui di
er la raison sous les agréments, comme on ensevelissait autrefois les femmes sous leurs ornements et leurs parures. Vous les c
us faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? Allez chez cette pauvre femme , et dites-lui que je lui veux toujours du bien ;
sage rond et frais, qui respirait la douceur et la gaieté ; sa petite femme , brune et assez grossièrement agréable, était cah
ut cet attirail ?… Vous appartient-il ? — Oui, tout est à moi et à ma femme  ; nous arrivons du pays ; je suis à la tête d’une
à midi remplir le théâtre. La pièce est jugée avant qu’on l’ait vue. Femmes contre femmes, petits-maîtres1139 contre petits-m
r le théâtre. La pièce est jugée avant qu’on l’ait vue. Femmes contre femmes , petits-maîtres1139 contre petits-maîtres, sociét
ie que nombreuse d’amis1323 aimant le plaisir, et s’y connaissant, de femmes qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
Mademoiselle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille femme , nommée madame Le Vasseur1394, et si pauvre qu’el
dans la grande allée, se presse et se heurte une foule d’hommes et de femmes sans passions, je rencontre, dans les allées déto
pas assez pour soutenir une demi-heure de conversation, même avec des femmes , et ne pas s’ennuyer d’abord les uns les autres.
ondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une femme , des enfants, des frères séparés de moi depuis lo
dîner, avec la société de ma belle-mère. Elle était composée de sept femmes , les plus graves de la province ; d’eux d’entre e
, timides comme à quinze, mais beaucoup moins gaies qu’à cet âge. Une femme disait à l’autre : Ma chère, croyez-vous que l’ea
s froide ; et l’ennui soulevé retombait avec un nouveau poids sur ces femmes , que l’on aurait pu croire malheureuses, si l’hab
ttendu n’apportait pas un grand changement dans la manière d’être des femmes  : les hommes continuaient leur conversation auprè
les hommes continuaient leur conversation auprès de la cheminée ; les femmes restaient dans le fond de la chambre, distribuant
la trace des années, qui venait enfin s’imprimer sur le visage de ces femmes comme si elles eussent vécu pendant ce temps1521.
nt ; la farine qui allait être pétrie est encore là. Les restes d’une femme sont encore ornés do parures qu’elle portait dans
de-Briques, le 2 thermidor an XII (21 juillet 1804). Madame et chère femme , depuis quatre jours que je suis loin de vous, j’
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa femme parler et se disputer ; et prêtant l’oreille par
Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux ? » A quoi la femme répondit : Oui. » Et je n’entendis plus rien. Que
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa femme après lui, moi, derrière la porte : il ouvrit ; m
e la porte : il ouvrit ; mais avant d’entrer il posa la lampe, que sa femme vint prendre, puis il entra pieds nus, et elle de
hacun fuit ou se cache ; quelques-uns sont arrachés des bras de leurs femmes ou de leurs enfants ; mais la plupart nus, dans l
tre, et, au moyen de mesures si bien prises, on parvient à saisir une femme , un barbier, un sabotier, quatre ou cinq laboureu
uets, toujours entre deux haies de troupes ; une foule d’hommes et de femmes s’y étaient précipités au péril de leur vie, immo
ieu qui les a sauvés. Du navire sortent des enfants, des blessés, des femmes . Couvertes de longues robes blanches, le visage c
uvertes de longues robes blanches, le visage caché sous un voile, ces femmes , immobiles sur le rivage, semblaient par la beaut
ants assemblés dans une maison ; étonné, il s’avance : le corps d’une femme était placé dans un cercueil, paré de beaux vêtem
ntour, et l’une d’elles disait plusieurs choses à la louange de cette femme morte, racontant ses vertus, puis, s’arrachant le
e s’observait au milieu des horreurs d’une ville assiégée1664. Les femmes Souliotes1665 A peine cantonnés sur les haute
e cantonnés sur les hauteurs de Zalomgos, avec beaucoup d’enfants, de femmes , de vieillards, de malades, les Souliotes virent
uvre entre deux pointes de rochers, le gouffre d’un torrent, soixante femmes se sont rassemblées avec leurs petits enfants dan
’une fois cette ronde funéraire d’où se détachait, à chaque tour, une femme qui s’élançait dans l’abîme, tandis que la chaîne
tomber une nouvelle victime, jusqu’à la dernière. Cependant d’autres femmes souliotes combattaient à côté de leurs pères et d
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune femme mourante au milieu des pompes et des dangers de l
reprendre ses forces pour le dernier moment, elle se mit au lit. Ses femmes continuaient à prier, et pendant ce dernier repos
en souriant qu’elle n’avait jamais eu de pareil valet de chambre. Ses femmes , qui étaient restées à genoux au pied de l’échafa
; elle répondit qu’elle l’accordait atout le monde. Elle embrassa ses femmes , les bénit en faisant le signe de la croix sur el
le ménage de Rouen ou de Paris, dans son paisible intérieur, entre sa femme et ses enfants. Machiavel1743 raconte que le mati
stupide ; d’autres se livraient à toute la frénésie du désespoir. Les femmes et les enfants des soldats étaient venus chercher
supérieurs, et là ils priaient et lisaient l’Écriture sainte avec les femmes des officiers et des passagers. Parmi elles, deux
tête du mort se tenait sa veuve, et derrière elle un grand nombre de femmes occupaient tout un côté de la chambre ; de l’autr
e rabattit son mezzaro sur sa figure, et on l’entendit sangloter. Les femmes en pleurs s’empressèrent autour de l’improvisatri
ue disparue. 239. Comparer l’entretien comique de Sancho Pansa et sa femme . (Don Quichotte, part. II, ch. V.) 240. La Font
us expédiera ; et il ne fera, en vous tuant, que ce qu’il a fait à sa femme et à ses enfants, et ce qu’en un besoin il ferait
s supérieures.) 379. Je lis ces réflexions dans Madame de Lambert, femme d‘esprit dont les ouvrages ont quelque ressemblan
allière. 514. On    lit    ailleurs dans Bossuet : « Voyez-moi cette femme dans    sa superbe beauté, dans son ostentation,
contre lequel Bossuet fut si dur et si injuste, disait aussi dans les Femmes savantes : Il semble à trois gredins, dans leur
étions toujours à comparer les faits des uns et des autres. Une telle femme , lui disais-je, s’est plus signalée qu’un tel hom
dîner, il refusa, disant qu’il n’avait point vu depuis huit jours sa femme ni ses enfants, qui comptaient sur lui pour mange
petit ménage de Rouen, écrivait Polyeucte au bruit des fuseaux de sa femme  ; où Racine, faisant la procession dans sa chambr
ns. 834. Les Harpies sont des monstres ailés, moitié oiseaux, moitié femmes , qu’imagina la mythologie. 835. Turpiter atrum d
« Quand il trouvait à l’exercer. » Restriction ironique. 995. « Sans femme et enfants. » La grammaire voudrait : « Sans femm
ique. 995. « Sans femme et enfants. » La grammaire voudrait : « Sans femme et sans enfants, » ou bien « sans femme ni enfant
a grammaire voudrait : « Sans femme et sans enfants, » ou bien « sans femme ni enfants. » Ces détails vont ajouter à la vrais
e borne à décacheter les lettres des amis qui me restent, et c’est ma femme qui m’en fait la lecture, comme elle peut. Pauvre
, et c’est ma femme qui m’en fait la lecture, comme elle peut. Pauvre femme  ! nous mettons ensemble nos douleurs, nos résigna
ns ému, sans pouvoir dire de quoi. Un saint évêque trouva une vieille femme qui, pour toute prière, ne savait dire que O ; et
sard). Benjamin Constant a dit de Madame de Staël : « La vue de cette femme célèbre remplit d’abord d’une excessive timidité.
i concilient presque tous ceux qui l’approchent. Je ne connais aucune femme et même aucun homme qui soit plus convaincu de so
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une femme se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
lettres celle qu’on simple soldat anglais, Lamard Race, écrivait à sa femme la veille de l’assaut de Pétropawlowski, en 1854.
e Pétropawlowski, en 1854. A bord de la Pique, 25 août 1854. « Chère femme , chers enfants, « Je m’assois un instant pour v
serai plus ; car, si je survis au combat, elle ne partira pas. Chère femme , je vous fais mon éternel adieu, si c’est la volo
masque ; on joue un rôle, plutôt qu’on n’est un personnage. Mais une femme qui voudrait écrire comme madame de Sévigné serai
se. On dirait un ciel encore voilé qui se souvient de l’orage. 1631. Femme d’un ancien ambassadeur de Saxe près de Napoléon.
Son Traité de la sagesse continue les traditions de Montaigne. 1805. Femme célèbre, née en 1566, morte en 1645 : Montaigne l
29 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Amyot, 1513-1593 » pp. -
nse qu’ils luy eussent faitte : car pour se mocquer de Sylla et de sa femme Metella2, ils venoient sur la muraille et disoien
es. Les maladies, les debtes, les mauvais mesnages avec leurs propres femmes , sont plus tost incogneus à ceux à qui ils touche
ife Métellus, que Sylla épousa après avoir répudié Cœlia, sa première femme . 3. Une mûre. Sa figure, dit Plutarque, était d’
30 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Eugénie de Guérin , 1805-1848. » pp. 578-584
rité de ces paroles de l’Imitation ! Ta berceuse est venue, la pauvre femme , tout en larmes, et portant gâteaux et figues que
ut cela qui te charmerait me désole. Dans tout je vois la mort. Cette femme , cette berceuse qui t’a veillé et tenu un an mala
1. On peut voir deux Études sur Eugénie de Guérin, Causeries sur les femmes et les livres, in-12, par Gustave Merlet ; Portra
31 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
nt à son accomplissement. Polieucte, malgré les prières de Pauline sa femme , sort du palais, et va recevoir le baptême. Il en
ésignées avec quelques traits qui les caractérisent. Dans l’Ecole des Femmes , Enrique et Oronte ne se montrent qu’au cinquième
autre ridicule, un vice à un autre vice ; de représenter à côté d’une femme altière et absolue, tin mari pusillanime et soumi
’Isa-r belle, de Sganarelle, d’Ariste et de Léonor ; dans l’Ecole des Femmes , ceux d’Agnès et d’Arnolphe. Aucun de ces caractè
e et de Sganarelle sont le fondement de l’intrigue ; dans l’Ecole des Femmes , ce sont les caractères d’Agnès et d’Arnolphe. C’
eprésente que les soins défians et la gêne ne font point la vertu des femmes  ; mais que l’honneur doit les tenir dans le devoi
s’écrie qu’il aura bien du plaisir, lorsqu’il le verra trompé par sa femme . Léonor lui proteste qu’Ariste n’aura point à cra
e cette famille, composée, suivant lui, d’un vieillard insensé, d’une femme coquette, et de valets impudens, prend la résolut
, ont germé dans son cœur, et qu’enfin elle se montre digne d’être sa femme . Il va frapper à la porte de Valère, remet à Erga
ût blesser son honneur, et que tout son desir étoit de l’obtenir pour femme . Sganarelle rapporte ce discours à Isabelle, qui
la plus grande joie, s’applaudissant toujours d’avoir trouvé dans sa femme future une personne si sage et si vertueuse. Valè
dans mon cœur De secrets mouvemens et de haine et d’horreur. Me voir femme de l’un est toute mon envie ; Et plutôt qu’être à
étoit plongé, que pour lancer les plus fortes malédictions contre les femmes , et se retire comme un furieux. L’analyse d’une p
hrope est tout entier dans le haut comique. La comédie de l’Ecole des Femmes , et celle du Bourgeois Gentilhomme, offrent le co
qu’avec Bélise il est du dernier bien. Célimène. Le pauvre esprit de femme et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir,
ous, vers moi, moins coupable en effet ? Célimène. Mais si c’est une femme à qui va ce billet, En quoi vous blesse-t-il, et
tenir un mensonge si clair ; Et comment vous pourrez tourner pour une femme Tous les mots d’un billet, qui montre tant de fla
este. De grâce, montrez-moi, je serai satisfait, Qu’on peut, pour une femme , expliquer ce billet. Célimène. Non, il est pour
lle, et prendre mon courroux. Chrisale. (se.) Aussi fais-je. Oui, ma femme avec raison vous chasse, Coquine ; et votre crime
L’affaire est donc considérable ? Philaminte. Sans doute. Me voit-on femme déraisonnable ? Chrisale. Est-ce qu’elle a laiss
ctère pusillanime, adresse à sa sœur ce qu’il n’ose dire en face à sa femme . …….. C’est à vous que je parle, ma sœur. Le moi
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étoient gens bien sensés, Qui disoient qu’une femme en sait toujours assez, Quand la capacité de son
aiguilles, Dont elles travailloient au trousseau de leurs filles. Les femmes d’à - présent sont bien loin de ces mœurs ; Elles
beaucoup de fautes : mais le style du Misanthrope, du Tartuffe et des Femmes savantes, est, à peu de chose près, aussi pur, au
lternes, ainsi que de l’affectation des précieuses, du pédantisme des femmes savantes, de la robe et du latin des médecins. Mo
ncieuses. De toutes les pièces de ce poëte, la Fille Capitaine, et la Femme juge et partie sont les seules qu’on joue encore
ts l’un de l’autre ; comme lorsqu’un mari tue, ou est près de tuer sa femme , une mère ses enfans, un frère sa sœur ; c’est ce
Prusias, roi de Bithynie, avoit voulu, à l’instigation de sa seconde femme , faire assassiner son fils Nicomède, pour laisser
ages de cette tragédie sont Agamemnon, Ulysse, Achille, Clitemnestre, femme d’Agamemnon, Iphigénie, fille d’Agamemnon, et Eri
is il ordonne à la reine de la laisser aller à l’autel, suivie de ses femmes seulement. Clitemnestre s’imaginant qu’Agamemnon
heureux. D’ailleurs ils n’avoient point de comédiennes : les rôles de femmes étoient joués par des hommes masqués ; et l’amour
emens qui leur sont les plus familiers. D’ailleurs il faut plaire aux femmes , qui jugent des ouvrages de théâtre par sentiment
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes , leurs enfans pourront-ils m’arrêter ? Marchons,
soi-même, Attaquer un parti, qui prend pour défenseur Le frère d’une femme , et l’amant d’une sœur ; Et rompant tous ces nœud
confusion, et où l’on entendoit des gémissemens de toutes parts. Les femmes éplorées poussoient des cris lamentables : elles
jeux funèbres. Iris, envoyée par Junon, sous la figure d’une vieille femme troyenne, fait envisager à ses compagnes de nouve
onne de la part des Dieux, de laisser en Sicile les vieillards et les femmes , et de ne conduire en Italie que l’élite des Troy
On peut se moquer de la princesse Nausicaa, qui, suivie de toutes ses femmes , va laver ses robes et celles du roi et de la rei
32 (1853) Exercices de composition et de style ou sujets de descriptions, de narrations de dialogues et de discours
e terrasse, tend son enfant à son mari qui est en bas ; ailleurs, une femme couverte d’habits magnifiques qui se sauve avec s
erre et en sort ; quatre soldats emportent sur des sabres croisés une femme évanouie. La fureur de l’incendie parait redouble
lace. Accablé d’un sommeil léthargique, il est étendu sur son lit. Sa femme , Ézilda, se glisse furtivement dans sa tente et s
plaie. Quand Robert se réveille, il se sent guéri, et il aperçoit sa femme assise au pied de son lit ; elle le regarde avec
rt était duc de Normandie et fils aîné de Guillaume le Conquérant. Sa femme se nommait Sibylle. Nous avons substitué à ce nom
nt partir pour rejoindre leurs vaisseaux et se rembarquer, une pauvre femme vient supplier l’évêque de délivrer son fils uniq
ue d’un honnête commerçant et le pria de le sauver. Le marchand et sa femme , malgré la rigueur des lois de cette époque, qui
e partie de sa fortune ; mais, vers la même époque, le marchand et sa femme furent ruinés par une faillite, et leurs créancie
n ordre et se disputèrent vivement les portraits du marchand et de sa femme qui étaient criés à l’encan comme le reste du mob
tune, rentre en France dénuée de toute ressource. Elle apprend que la femme d’un des plus grands personnages de l’époque dési
ription. Il pénètre dans un pavillon entouré de jardins, où une jeune femme était venue de bien loin pour soigner son père at
calme, que le chef des bandits menace de précipiter dans l’abîme. Une femme d’une beauté fière et sauvage, tenant d’une main
hef et de ses compagnons, il est aisé de voir que les ordres de cette femme ne seront pas méprisés et que la vie du jeune hom
ron quarante mille combattants. Avec eux sont plus de cinquante mille femmes , enfants et vieillards. À leur tête sont d’Elbée,
aquelein. L’armée vendéenne, laissant à Beaupréau les vieillards, les femmes et les enfants, vient attaquer Chollet. Le combat
drement. Mais Soliman, avant d’épouser Roxelane, avait eu d’une autre femme un fils nommé Zéangir, qui donnait les plus belle
salut qu’à la vitesse des chevaux sur lesquels il se sauva, lui et sa femme Zénobie. Ils fuyaient à travers des lieux déserts
d par le courant. Des hommes de la campagne, apercevant sur l’eau une femme qui donnait des signes de vie, s’empressèrent d’a
régnait en Orient le faible et lâche Justin II, qui abandonnait à sa femme Sophie le gouvernement de l’État. Sophie voulut o
t plus capable d’administrer ni de combattre, et que les ouvrages des femmes étaient les seuls qui lui convinssent. Narsès, ju
d’une princesse de Castille, avait épousé secrètement Inès de Castro, femme aussi vertueuse que belle. Inès habitait une mais
me, qu’il le fasse annuler ; s’il le croit légitime, qu’il protège la femme et les enfants de son fils. Mais la faire assassi
es trois hommes assassinèrent de sang-froid cette licite et vertueuse femme , qui n’avait pour défense que ses larmes et les c
33 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
eval ; et Milon, qui allait à Lanuvium, était dans un chariot avec sa femme  ; mais sa suite était plus nombreuse et mieux arm
hangea de vêtement et de chaussure, attendit, suivant l’usage, que sa femme eût fait tous ses préparatifs, et partit si tard
ttre un meurtre prémédité ; Milon, enfermé dans une litière, ayant sa femme à ses côtés, enveloppé d’un ample manteau, traîna
oir délivré la patrie au péril de ses jours) ; j’ai tué celui que des femmes de la première distinction ont surpris voulant so
34 (1862) Cours complet et gradué de versions latines adaptées à la méthode de M. Burnouf… à l’usage des classes de grammaire (sixième, cinquième, quatrième) pp. -368
un jour au philosophe Favorinus, en présence de ses disciples, que la femme d’un de ceux qui suivaient son école venait tout
, et s’assied à ses côtés ; puis il demande des nouvelles de la jeune femme  ; et, apprenant que, fatiguée par les travaux de
, c’est elle qui nourrira son fils ? » Mais comme la mère de la jeune femme faisait observer qu’il fallait ménager sa fille,
ns l’enfantement, les soins laborieux et pénibles de la nutrition : «  Femme , reprit-il, je vous en prie, laissez-la donc être
èrent du côté de Théophraste. Version XII. Moyen employé par la femme de Pythès pour guérir la cupidité de son mari.
cupidité de son mari. 12. Dans son livre intitulé : Du Mérite des femmes , Plutarque raconte qu’un certain Pythès, gouverne
érir un grand nombre d’hommes, et le reste était découragé, quand des femmes , députées par leur sexe, portant dans leurs mains
te, et priant pour épargner à tout leur sexe un semblable malheur. La femme de Pythès fit à la députation l’accueil le plus a
au bout de quelques jours ; et, prenant à peine le temps de saluer sa femme , car la route lui avait donné grand appétit, il d
, car la route lui avait donné grand appétit, il demanda à manger. Sa femme lui fit servir les mets dont nous avons parlé tou
les mets dont nous avons parlé tout à l’heure. Version XIII. La femme de Pythès (suite). 13. Je crois qu’il n’est pa
n’avaient pu obtenir les larmes et les gémissements des citoyens, une femme l’obtint par un ingénieux expédient : si les mine
tation qui régnait dans la ville ! les clameurs, les lamentations des femmes  ! On eût dit, à cette vue, que le cheval de Troie
tés sans leurs étuis ; là, d’autres vases sont arrachés aux mains des femmes  ; on enfonce les portes, on brise les verroux. Si
que les gens de la dernière classe lui fissent des remontrances. Une femme lui demandait une audience. L’empereur lui ayant
elle impression sur Adrien, qu’il donna sur-le-champ audience à cette femme , à une pauvre vieille, et l’écouta attentivement.
rié, comme les lois l’y obligeaient. Le chevalier dit qu’il avait une femme et trois enfants. Puis il ajouta : « Dorénavant,
détruit les villes, s’attendaient à cette satisfaction. L’avis d’une femme impudique, donné dans la chaleur de l’ivresse, su
les cheveux, avec des coquilles de noix tout embrasées. Il avait deux femmes , Aristomaque, comme lui de Syracuse, et Doris de
tir ; car il ne voulait plus de la félicité. Version LXVII. Une femme de l’île de Céos s’empoisonne en présence de Sext
était entré à Julis, dans l’île de Céos. Il arriva par hasard qu’une femme de la plus haute distinction, mais fort avancée e
, il prit enfin le parti de la laisser accomplir sa résolution. Cette femme , plus que nonagénaire, et jouissant d’une parfait
s maisons de leurs maîtres, envahissent le gouvernement, prennent des femmes , et, sans être libres eux-mêmes, donnent le jour
les jeunes filles se mariassent sans dot, afin qu’en choisissant une femme , on épousât sa personne et non ses biens, et que
par la dot, exerçassent plus sévèrement l’autorité à l’égard de leurs femmes . La plus haute considération fut attachée, non pa
dans le même lieu. Leur existence est un déplacement perpétuel. Leurs femmes sont des mercenaires qu’ils prennent pour un temp
i. Cependant, jusqu’à la fin, leur existence est si vagabonde, que la femme se marie dans un endroit, devient mère dans [illi
hars][texte coupé]aire, en se précipitant du haut des murs avec leurs femmes et [illisible chars][texte coupé]eurs enfants ; d
té ébranlées. Et vous, serez-vous si violemment ému de la perte d’une femme , être faible et chétif, dont le sort, si elle n’a
les villes n’ont plus d’habitants ; les terres, de cultivateurs ; nos femmes mêmes et nos enfants sont à la suite de cette arm
osthène, lorsqu’il avoue qu’il se sentait chatouillé en entendant une femme qui portait de l’eau dire tout bas à une autre :
cien palais des [illisible chars][texte coupé]ois ; la seconde, leurs femmes , avec leurs enfants et leurs [illisible chars][te
isible chars][texte coupé]oupes d’argent ; à leur suite, marchent des femmes respectables et des jeunes filles, qui chantent u
mpire sur lui. L’historien Timagène avait tenu sur l’empereur, sur sa femme et sur toute sa famille, certains discours qui ne
célèbre, comme des fêtes religieuses, par des chants et des jeux. Les femmes mêmes n’y ont pas cette mollesse de cœur qui cara
u qu’elles croient pouvoir faire ; et comme un seul homme a plusieurs femmes , elles se disputent vivement l’honneur d’être cho
 : ils affranchirent tous les esclaves en âge de puberté ; toutes les femmes se coupèrent les cheveux, et on en fit des câbles
ble chars][texte coupé] leurs ennemis étaient éloignés), mirent leurs femmes et [illisible chars][texte coupé]urs enfants sur
tement au fléau qui frappait tout le monde. On rapporte encore que sa femme Xanthippe avait l’humeur fantasque et querelleuse
biade demanda à Socrate comment il ne chassait point de sa maison une femme si acariâtre : « C’est, répondit le philosophe, q
urs larmes. On entendait aussi des cris lamentables, surtout ceux des femmes , lorsque, passant à côté des temples, objets de l
que ses armes avaient dompté, il permit à ses soldats de prendre pour femmes celles qu’ils voulaient parmi leurs captives : il
guer les proches des étrangers, les plaintes des hommes de celles des femmes  : seulement, le cortége d’Agrippine étant épuisé
; les autres, que c’était maintenant surtout qu’il fallait vivre. Les femmes mêmes se réjouirent plus que jamais de leur fécon
t près d’eux ; ils peuvent entendre les hurlements plaintifs de leurs femmes , les cris de leurs enfants : ce sont là pour chac
. On a vu, dit-on, des armées chancelantes et à demi rompues, que des femmes ont ramenées à la charge à force de prières, en p
a captivité, que les Germains redoutent bien plus vivement pour leurs femmes que pour eux-mêmes. Ce sentiment est tel, que les
r Aristote pour désigner son successeur. 32 12. Moyen employé par la femme de Pythès pour guérir la cupidité de son mari. 34
. 114 65. Denys l’Ancien. 116 66. Suite du même sujet. 118 67. Une femme de l’île de Céos s’empoisonne en présence de Sext
35 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre IV. Quatrième espèce de mots.  » pp. 12-15
enres : masculin, si c’est un homme qui parle ; féminin, si c’est une femme . Singulier. Je ou moi. Me pour à moi, moi. Exe
; masculin, si c’est à un homme qu’on parle ; féminin, si c’est à une femme . Singulier. Tu ou toi. Te pour à toi, toi. Exe
36 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338
date, pour ainsi dire, la création du premier homme et de la première femme dignes de figurer à jamais sur la scène française
nte. Qui me le dit, infâme ? Dis-moi, si tu le peux, dis le nom de ta femme . Le conte qu’hier au soir tu m’en fis publier… C
Je ne te parlais point de l’état déplorable Où ta mort va laisser ta femme inconsolable ; Je croyais que l’amour t’en parler
t d’amour sans en être touché ? Ne reconnais-tu plus ni beau-père, ni femme , Sans amitié pour l’un, et pour l’autre sans flam
on tombeau. 2. Sonnet sur la mort de demoiselle Élisabeth Ranquet, femme de M. du Chevreul, écuyer, seigneur d’Esturnville
37 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
e8. Une petite ville Corinne était née en Italie de la première femme de lord Edgermond ; elle y avait été élevée jusqu
dîner, avec la société de ma belle-mère. Elle était composée de sept femmes , les plus graves de la province ; deux d’entre el
, timides comme à quinze, mais beaucoup moins gaies qu’à cet âge. Une femme disait à l’autre : Ma chère, croyez-vous que l’ea
s froide ; et l’ennui soulevé retombait avec un nouveau poids sur ces femmes , que l’on aurait pu croire malheureuses, si l’hab
ttendu n’apportait pas un grand changement dans la manière d’être des femmes  : les hommes continuaient leur conversation auprè
les hommes continuaient leur conversation auprès de la cheminée ; les femmes restaient dans le fond de la chambre, distribuant
la trace des années, qui venait enfin s’imprimer sur le visage de ces femmes comme si elles eussent vécu pendant ce temps. Tel
aisirs semblables : l’on prenait le thé, l’on jouait au whist, et les femmes vieillissaient en faisant toujours la même chose,
urs les moyens d’occuper dignement leur loisir ; mais l’existence des femmes , dans le coin isolé de la terre que j’habitais, é
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une femme se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
t en vain qu’on se dit : tel homme n’est pas digne de me juger, telle femme n’est pas capable de me comprendre ; le visage hu
mêlée de plaisir et de regret. Je demandais l’autre jour à une pauvre femme que je rencontrai, où elle demeurait : À la Roche
ce sont eux qui désormais doivent garder le feu sacré, car de faibles femmes ne suffiraient plus comme jadis pour le défendre.
talent seul enflammait : l’amour de la liberté34, le respect pour les femmes , l’enthousiasme des beaux-arts, l’adoration pour
. Atteint, jeune encore, par une maladie sans espoir, ses enfants, sa femme , qui méritait par mille qualités touchantes l’att
ieu l’a donnée, cette patrie, aux hommes qui peuvent la défendre, aux femmes qui, pour elle, consentent aux dangers de leurs f
s gradins plus élevés se pressaient une foule de spectateurs, hommes, femmes , presque tous de haut rang, émus d’avance par la
, et faisait déjà ses préparatifs de départ. Troublé des pleurs de sa femme , hors d’état de se résoudre seul, Charles convoqu
nseils : « J’ai presque fini, leur dit-il ; un seul coup va rendre ma femme veuve, mes chers enfants orphelins, mes pauvres s
uets, toujours entre deux haies de troupes ; une foule d’hommes et de femmes s’y étaient précipités au péril de leur vie, immo
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune femme mourante au milieu des pompes et des dangers de l
consulats d’Orient, ils étaient nés tous deux à Constantinople d’une femme belle et spirituelle, d’une Grecque164. Il est re
les, parjures et traîtres. Ils ont tué sans cause les Danois, hommes, femmes et enfants, dans la nuit de Saint-Brice ; ils ont
nscrit le premier sur le livre noir des conquérants. Les mères et les femmes de ceux qui étaient venus de la contrée voisine c
passa outre, et bientôt il perdit de vue les portes de la ville où sa femme et ses trois enfants restaient pour attendre son
i l’obsédaient. Dans un pareil état de l’âme, il arrivait souvent aux femmes germaines de prendre la parole en vers improvisés
nt Crépin et saint Crépinien. Les hommes versaient des larmes, et les femmes , vêtues de noir, donnaient les mêmes signes de do
reprendre ses forces pour le dernier moment, elle se mit au lit. Ses femmes continuaient à prier, et pendant ce dernier repos
en souriant qu’elle n’avait jamais eu de pareil valet de chambre. Ses femmes , qui étaient restées à genoux au pied de l’échafa
elle répondit qu’elle l’accordait à tout le monde. Elle embrassa ses femmes , les bénit en faisant le signe de la croix sur el
y s’était enflammée pour la cause de la révolution, comme beaucoup de femmes de son temps, et elle était enivrée de l’idée d’u
uses de sa vie. Après avoir vu périr sous l’étreinte d’un même mal sa femme et ses deux filles, il avait fermé les yeux à Tho
oi d’Écosse, Comme il revenait triomphant à la tête de son armée, une femme s’est montrée à lui la couronne au front, et la n
itime de la couronne. De retour dans son palais, Macbeth raconte à sa femme Frédegonde (c’est le nom que Ducis a donné à lady
u de ces roches Qui de ce palais sombre attristent les approches, Une femme a paru, fuyant sur mon chemin, Un diadème au fron
’épouvantent. Près d’un chêne enflammé devant moi se présentent Trois femmes . Quel aspect ! Non, l’œil humain jamais Ne vit d’
Vos soins hospitaliers et leur modeste asile, Des hameaux d’alentour femmes , enfants, vieillards, Vers ces hôtes sacrés courr
a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre femme , À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour :
doux chants de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murmure une femme À l’enfant qui s’endort. De son pieux espoir son
iment maternel se trouveront comme égarées dans l’âme corrompue d’une femme souillée de vices et de crimes (Lucrèce Borgia, 1
création le hasard m’a jeté ; Heureux ou malheureux, je suis né d’une femme , Et je ne puis m’enfuir hors de l’humanité450… Si
ais-tu, ni mon corps ni mon âme, « Et ne me marîrai que pour aimer ma femme . » Ah ! tu trouvais alors des accents convaincus 
hard468 est un brutal infâme ; Qui maltraite, dit-on, la pauvre jeune femme . GEORGE. J’en suis charmé. RODOLPHE. J’en suis c
l avait cependant une excuse plus forte : Il fallait qu’il nourrit sa femme , au lieu que, toi, Tu vis seul, et l’on a toujour
nd il montre emportée par le fleuve la tête d’Orphée massacré par les femmes thraces, dit : … Marmorea caput a corvice revuls
ire en retraçant la belle scène des adieux de la reine d’Écosse à ses femmes . 254. Le shérif remplissait les offices du prévô
et son orgueil héréditaire était encore accru par les richesses de sa femme Plancine. Germanicus mort, Pison revint à Rome po
n’avait que sa place au parterre ». 410. La Critique de l’École des femmes , sc. VII. 411. La librairie Didier a publié les
38 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
oment se croire sûrs de la victoire. Au premier rang se distingua une femme , Mlle de Gournay, la fille adoptive de Montaigne.
Pauline, sont des hommes. La modestie et la simplicité manquent à ces femmes qui n’ont de féminin que le nom. Elles font valoi
e sublime sans être au-dessus de l’humain, héroïne sans cesser d’être femme  : voilà quelle était la véritable nouveauté de ce
titre de gloire, sa création la plus originale, ce sont les rôles de femmes . Plus des deux tiers de ses pièces ont pour premi
e femmes. Plus des deux tiers de ses pièces ont pour premier rôle une femme dont elles portent ou pourraient porter le nom, e
e femme dont elles portent ou pourraient porter le nom, et toutes les femmes de son théâtre remplissent de grands rôles, mais
Personne n’a su aussi bien que Racine peindre toutes les passions des femmes  ; mais le peintre de Néron, d’Acomat, de Joad, sa
la puissent défendre. Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes , leurs enfants, pourront-ils m’arrêter ? Marchons
t flattés d’avoir servi de modèles au grand comique. Dans l’École des femmes (1662), en cinq actes, il combattit les idées éta
combattit les idées établies sur l’infériorité et la soumission de la femme . Rien de plus piquant que l’intrigue de cette aim
, ne donna que des pièces en prose. Mais quatre ans après l’École des femmes , il produisit enfin sur la scène un véritable che
d’en vouloir si mortellement et si brutalement aux gens de cour, aux femmes du grand monde, à l’humanité tout entière ? Évide
, il nous a confessé les tortures de cœur que lui faisait éprouver sa femme , la séduisante et légère Armande Béjart. Molière
stronomie ; Molière tomba rudement sur ce nouveau travers, et fit les Femmes savantes, où, comme dans Tartuffe, la raillerie r
leur éducation, à leur caractère, à leur sexe et à leur rang. Les Femmes savantes. (Les Femmes savantes, acte II, scène VI
r caractère, à leur sexe et à leur rang. Les Femmes savantes. (Les Femmes savantes, acte II, scène VII.) Chrysale. Le m
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une femme étudie et fasse tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu’une femme en sait toujours assez, Quand la capacité de son
aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les femmes d’à présent sont bien loin de ces mœurs ; Elles v
iés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfants, mère et femme , Que je m’en soucierais autant que de cela. Cléa
. Valère. On le voit à votre air. Le Marquis aspire à la main d’une femme du plus haut rang ; et, dit le noble fanfaron, vo
res. Scènes d’Alceste. Alcide va chercher dans les enfers Alceste, femme d’Admète, qui s’est volontairement offerte à la m
ile innocence. Peu de jeunesse entre eux, force vieillards craintifs, Femmes , famille, enfants aux cœurs déjà captifs, Ils tra
ans les fers fut réduite. Le mari se sauva, regrettant sa moitié ; La femme alla servir un maître sans pitié ; Au chef de ces
ont cessé : Colletet est trépassé. Dès qu’il eut la bouche close, Sa femme ne dit plus rien ; Elle enterra vers et prose Ave
que dans certaines satires, en particulier dans la Satire contre les femmes . Quand un interlocuteur est introduit dans les Ép
. Or çà, je vous ai dit une bonne nouvelle ; Ne la négligeons pas. Ma femme veut vous voir. Pour gagner son esprit, faites vo
u’on te voit paraître, Noble, bourgeois, clerc, prélat, petit-maître, Femme surtout, chacun met son espoir Dans tes cartons p
aisants détestables, Des jeunes gens d’un ton, d’une stupidité !… Des femmes d’un caprice et d’une fausseté !… De prétendus es
J’eus le droit d’y parler, et parler sans rien dire.           Cette femme à grands falbalas     Me consulta sur l’air de so
personnage théâtral que ce pusillanime et tout passif Macbeth, que sa femme décide à assassiner son roi, son bienfaiteur et s
rit de son côté, En songeant qu’un matin du bonhomme il hérite. Telle femme se croit sultane favorite ; Un commis est ministr
ment du nord, Annonçait dans les airs la fête de la mort. Vieillards, femmes , enfants accouraient vers le temple : Là préside
a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre femme , À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour :
les pleurs du hameau ! Là, quand l’ange voilé sous les traits d’une femme Dans le Dieu sa lumière eut exhalé son âme, Comme
ardin recueillie, Nous regardait jouer avec mélancolie ? Cette digne femme , affaiblie par la fatigue et par la souffrance, d
qu’il prévoit avec désespoir de quelle perte il est menacé. La pauvre femme parcourt une dernière fois la maison natale en l’
-né grandit sur ses genoux. Où ces anges gardiens du printemps de la femme Laissèrent en partant leur rayon dans son âme. H
nous traînâmes ses pas. Le concierge, attendri par ces deux voix de femmes , Ouvrit furtivement la porte, et nous entrâmes. S
uand par un soir d’été Grenade dans ses plaines            Répand ses femmes et ses fleurs. L’Arabie est son aïeule ; Les Mau
l’homme sombre arriva Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d’haleine Lui dirent :
près, » dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses fils dormants, sa femme lasse, Et se remit à fuir, sinistre, dans l’espac
aisir. Pour héros il n’a que des débauchés impies et fanfarons et des femmes de mauvaise vie. Sa muse folle multiplie à plaisi
des mers de feuillage, Une grêle fumée au-dessus, dans un champ, Une femme de loin appelant son enfant ; Ou bien un jeune pâ
pères, des enfants, Ils voulurent toucher et voir ces arrivants. Les femmes  ! Dans leur cœur si la crainte est bien forte, Su
t vous, mon fils ! » Mais lui, d’un ton glacé : « Que faites-vous, ô femme  ? Si mon corps est sauvé, faut-il perdre mon âme 
blanche tunique, Et rende grâce aux dieux de trouver sur le seuil Une femme soigneuse et qui lui fasse accueil ; » enfin que
ouser le refusera pour sa pauvreté, et que sa fiancée sera bientôt la femme d’un autre. George réplique : George. Je la conn
39 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
, fût aussi correct dans sa conduite que dans ses ouvrages, rendit sa femme heureuse, élevát bien ses enfants, et fit des éco
petit ménage de Rouen, écrivant Polyeucte au bruit des fuseaux de sa femme , ni Racine faisant la procession dans sa chambre,
40 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
qui veut parvenir il la célébrité à tout prix ; Une Médée, pour une femme furieuse ; Un Bossuet, pour désigner un grand or
es hommes sont si efféminés, leur parure est si semblable à celle des femmes , ils composent si bien leur teint, ils se frisent
t Jacques Tardieu, lieutenant criminel de Paris, et Marie Ferrier, sa femme , tous les deux célèbres par leur avarice sordide.
stique séjour ; Je visitais des morts la couche triste et sainte. Une femme apparut………………………… La Vaccine. Voltaire nous fai
ère, on lui dit qu’il avait sauvé Rome ; quand il eut fait égorger sa femme , on loua devant lui sa justice ; quand il eut ass
dans une page de Chateaubriand, écrite sur l’Amour maternel : Cette femme si faible a tout à coup acquis des forces… etc.
mestiques ; Le méchant par le prix au crime encouragé, Le mari par sa femme en son lit égorgé, Le fils tout dégouttant du meu
41 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VI. Des éloges funèbres. »
tre faut-il, avant de finir, m’arrêter un instant sur les devoirs des femmes réduites au veuvage. » Voici cc qu’en peu de mots
e. » Voici cc qu’en peu de mots leur intérêt m’ordonne de leur dire : Femmes , votre gloire est de vous ressembler à vous-mêmes
42 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
modes : on invente pour une princesse une parure nouvelle, toutes les femmes l’adoptent ; on veut ensuite renchérir, et on inv
ns Shakespeare, quand Macduff apprend que Macbeth a fait massacrer sa femme et ses enfants, et que, se cherchant une vengeanc
Pierre, dit le plus jeune à son camarade, c’est à moi. Toi, tu as une femme et des enfants. » Et il se précipite sur le pavé.
43 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Gilbert. (1751-1780.) » pp. 297-303
s Français si vanté, peux-tu reconnaître ? Jadis peuple héros, peuple femme en nos jours, La vertu qu’ils avaient n’est plus
e en miracles ? 6. Molière avait parlé à peu près de même dans les Femmes savantes. Voir les Morceaux choisis pour la class
44 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
ien qui la suivait accueillait mon retour3 ! D’un air indifférent une femme est venue, Du château, maintenant, habitante inco
e dans tes chansons. 1. Dans un volume intitulé Causcries sur les Femmes et les Livres, par Gustave Merlet, on peut lire u
45 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
ivinité ; et que les habitants d’Égine avaient institué des chœurs de femmes pour honorer deux antiques statues enlevées aux É
plus qu’elle ne l’est chez les nations modernes, et à l’habitude des femmes de mener une vie plus retirée, ce qui eût rendu l
amour déplacé sur la scène. D’ailleurs, l’usage ne permettant pas aux femmes de monter sur le théâtre, il n’y avait pas de com
monter sur le théâtre, il n’y avait pas de comédiennes : les rôles de femmes étaient joués par des hommes masqués, et l’amour
uations très touchantes ; une grêle, une inondation, un incendie, une femme et ses enfants prêts à périr ou dans les eaux ou
nairement à corriger quelques travers, comme cela est arrivé pour les Femmes savantes, les Précieuses, etc., que Molière a fai
autre ridicule, un vice à un autre vice, comme si on représentait une femme altière et absolue à côté d’un mari pusillanime e
adapté à son rôle. Un bon modèle du style comique est le passage des Femmes savantes où le bourgeois Chrysale se plaint de l’
46 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XVI. Genre du roman. »
arité de caractère ou de destinée, enfin, la condition inférieure des femmes , leur vie retirée, affaiblissaient la puissance d
u cœur qu’il tire ses plus grandes ressources. La position élevée des femmes dans la société moderne, leur action puissante da
47 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
st marié et le plus jeune est fils unique. Ils vont rendre l’âme ; la femme de l’un et le père de l’autre, avertis de ce fune
ue ce n’est pas ma faute si tu péris misérablement. » De son côté, la femme se désespère. Quoique son époux ait perdu au jeu
48 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
ur que vous ne soyez pas trop contente du rôle d’Aurélie. Vous autres femmes , vous êtes accoutumées à être le premier mobile d
onner de la consolation. « J’ai le malheur, m’a-t-elle dit, d’être la femme d’un poëte. — Votre mari est-il jeune, madame ? f
d’obtenir un privilége, qu’à un homme qui n’a point la protection des femmes d’avoir un emploi dans les finances. Enfin, après
Paris un grand nombre de petites sociétés où préside toujours quelque femme qui, dans le déclin de sa beauté, fait briller l’
s brigué ; on court en poste à Versailles ; on fait parler toutes les femmes  ; on fait agir tous les intrigants ; on fait mouv
49 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
ans le Gascon et dans le roi, et Marguerite de Valois (1553-1615), sa femme , dont les Mémoires sont l’œuvre charmante d’une «
de pays (France, Allemagne) ; — devant certains noms communs (homme, femme , chose, mort, fortune, etc.) ; — devant le superl
octes que les docteurs et prescheurs de mon temps. Que diray ie ? Les femmes et filles ont aspiré a ceste louange et manne cel
gueux. A l’endroict du siege principal estoyt l’imaige d’une vieille femme , tenant en main dextre un fourreau de faulcille,
poete194,   Il ne te fault d’autre chose mesler, Que d’enseigner tes femmes à filer.   Car il est bien vray que la naturelle
ient dedans des bois : mais comme ilz estoient descouvertz, hommes et femmes les couroient sus, et ne sçavoient où se cacher.
ur de la première Marguerite, sœur de François Ier, et de la seconde, femme de Henri IV. Il vit et connut nombre de personnag
onner de soubçon ; que je les priois de me laisser entrer, moy et mes femmes et si peu de mes gens, dans la ville, qu’ils voul
un avoit sa vaisselle d’argent, et sa tapisserie et ses meubles ; les femmes avoient encore leur demiceint234 ; les reliques é
isez par des esperances fausses : ils ne craignent que Dieu, vous une femme , devant laquelle vous joignez les mains quand vos
de bons et grands esprits, marchent Pellisson et Saint-Évremond. Deux femmes enfin, Mme de Sévigné et Mme de Maintenon donnent
mes nous n’attrapons point » ; à La Bruyère qui dit de toutes : « Les femmes vont plus loin que nous dans le genre épistolaire
palais pour pleurer les misères de l’État et faire des vœux avec les femmes  ? Au contraire, s’il me croit, il se fera voir da
 : Bossuet, Leibnitz, Arnauld et Spinoza, jansénistes et protestants, femmes et poètes, Mme de Sévigné et La Fontaine (voir Fa
ctres326, soit moins digne d’elle que l’assassinat d’Agamemnon par sa femme , et la vengeance de cette mort par Oreste sur sa
a ville ; mais vous m’en répondrez, messieurs du parlement, vous, vos femmes et vos enfans. » En prononçant cette dernière syl
. LYSIDAS. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’École des femmes a plu ; et vous ne vous souciez point qu’elle ne
nous autres, de la côte de saint Louis ? M. JOURDAIN. Taisez-vous, ma femme  ; je vous vois venir. MADAME JOURDAIN. Descendons
l pas marchand aussi bien que le mien ? M. JOURDAIN. Peste soit de la femme  ! Elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
dicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme , mère de rois si puissans376, et souveraine de tr
prétentions ? c’est de quoi régler les vôtres. Veni, et vide : venez, femme mondaine, venez ; vous avez pour votre personne d
era toujours. On avait trouvé en eux des auteurs ; on eut en elle une femme et une mère. Le sel qui a conservé sa corresponda
empêche de suivre la droiture de vos sentimens, par une tendresse de femme  ; mais j’avois cru que vous pourriez faire ce voy
s la direction de Saint-Cyr les merveilleux talents d’institutrice de femmes , dont témoignent ses écrits divers sur l’éducatio
sprit), il s’avance, à travers la cour et la ville, les salons et les femmes , les grands et les bourgeois, les particularités,
années qui l’ont suivi. Supérieur, à vingt-sept ans, d’un couvent de femmes , les Nouvelles Converties, il écrit, entre autres
monie, en pleine nuit, pour venir pleurer et crier parmi une foule de femmes en déshabillé de nuit, presque en mascarade. Mme 
était un fort honnête homme, modeste, brave, mais des plus épais. Sa femme qui était Boucher-d’Orsay, étoit une grande créat
nt la dupe de tout. Elle étoit pourtant la surveillante de toutes les femmes de la cour, et de son témoignage dépendoiont les
te (1633-1692), élève de Ménage, comme Mme de Sévigné, fut une de ces femmes spirituelles et instruites sans pédanterie qui sa
Walpole est un des hôtes les plus goûtés, puis le correspondant de la femme d’esprit, Mme Du Deffand, qui tient le salon le p
eux où la société ne s’est point perfectionnée ; où les hommes et les femmes ne se réunissent point ; où certains arts, comme
urs des Grecs : c’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect pour la femme et pour la mère de Darius, et qu’il montra tant d
ion qui se fait des deux peuples par les mariages. Alexandre prit des femmes de la nation qu’il avoit vaincue : il voulut que
ces grands desseins ont abouti à s’aller faire tuer par la main d’une femme  ; au lieu d’admirer cet héroïsme prétendu, que ve
nt, quoique je n’y eusse d’autre société que celle du receveur, de sa femme et de ses domestiques, qui tous étoient, à la vér
e. J’employois le reste de ma matinée à aller, avec le receveur et sa femme , visiter leurs ouvriers et leur récolte, mettant
mademoiselle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille femme , nommée madame Le Vasseur, et si pauvre qu’elle d
. Que signifie, à côté de ce porte-faix étendu sur des ballots, cette femme qui conduit un lion par la crinière ? La femme et
sur des ballots, cette femme qui conduit un lion par la crinière ? La femme et l’animal s’en vont du côté du porte-faix endor
faix endormi ; et je suis sûr qu’un enfant s’écrieroit : Maman, cette femme va faire manger ce pauvre homme-là, qui dort, par
dessein ; mais cela arrivera, si cet homme ne s’éveille, et que cette femme fasse un pas de plus. Pigalle, mon ami, prends to
rds qui vous sont dus personnellement, le souvenir que je parle à une femme contiendra la juste indignation que j’aurois pein
rendre l’épée pour le repousser, vous engage à égorger froidement des femmes et des citoyens désarmés, celui-là est un ennemi
e, abandonnent ce que la nature doit leur faire chérir le plus, leurs femmes , leurs enfants, demeurerez-vous plongés dans une
lui-même, de l’abbé Prévost (1697-1763). Dans le genre du roman, les femmes apportent leur tribut, comme le xviie  siècle : i
ère, on lui dit qu’il avoit sauvé Rome ; quand il eut fait égorger sa femme , on loua devant lui sa justice ; quand il eut ass
mis une injustice, il est prêt à la réparer. Tout se tait : une seule femme ose réclamer une petite somme de monnoie. Il meur
t les précède, qui, tout troublé, de temps en temps les regarde ; une femme , vieille, l’air indifférent, emportant les vêteme
est bien la clarté d’un incendie ! Comme du haut d’une terrasse cette femme tendoit à son mari, qui étoit en bas, leur enfant
magnifiques, et tenant par la main devant elle deux enfants nus, une femme grande, d’une beauté et d’une taille majestueuse.
rné au Vatican et au pontife, ne pleurant point, ne priant point, une femme , d’un air étonné, la regardoit. Son enfant jouoit
ondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une femme , des enfants, des frères, séparés de moi depuis l
la coquetterie ; cette coquetterie n’appartient pas exclusivement aux femmes  ; il y en a dans toutes les manières qui servent
r plaire aux autres émousse bientôt en soi-même ce qu’on ressent. Une femme d’esprit a dit que Paris était le lieu du monde «
r la patrie de Proserpine, et savoir un peu pourquoi le diable a pris femme en ce pays-là. Je ne balance point, madame, entre
idence719 Deux hommes étaient voisins, et chacun d’eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail
me, disant : « Si je meurs ou que je tombe malade, que détiendront ma femme et mes enfants ? » Et cette pensée ne le quittait
créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma femme , et sur mes enfants. » Et celui-ci vivait tranqui
clamé à quelques oreilles amies, et souvent à sa noble et spirituelle femme , chacun de ses discours était aussi un rude et pa
d’abandonner sa famille, M. de Lacépède fit tenir régulièrement à sa femme 500 francs par mois, jusqu’à ce que son fils fût
s ; mais c’est là aussi qu’il trouva les peines les plus cruelles. Sa femme , qu’il adorait, passa les dix-huit derniers mois
de grâces, formaient encore pour lui une société douce : cette jeune femme périt d’une mort subite. Au milieu de ces nouvell
regard à jeter en arrière. » Le dernier regard de Bailly fut pour sa femme . Un gendarme de l’escorte recueillit avec sensibi
Louis XIV, finissant comme il avait voulu commencer820, avait fait sa femme . Louis XIV restait seul de son siècle. Vieillard
s toujours, Français, que la Patrie, chez nous, est née du cœur d’une femme , de sa tendresse et de ses larmes, du sang qu’ell
modernes, contemporains, poètes ou prosateurs, français ou étrangers, femmes de lettres, hommes de lettres, hommes d’État, hom
ire au plus beau moment de notre passé, l’âge d’or de l’urbanité, les femmes réussirent mieux encore que les hommes à en offri
ettres, où plutôt il n’en est pas une qui ne soit toute cette aimable femme un moment. Je ne sache pas d’écrits où se voient
tre, contemporain d’Alexandre. À leurs pieds sont assises deux jeunes femmes , images de l’art grec et de l’art romain ; debout
rec et de l’art romain ; debout sur le devant des degrés, deux autres femmes représentent l’art du moyen âge et l’art moderne.
ez ; et ceux dont on ne voyait pas la barbe ressemblaient ainsi à des femmes maigres et basanées ; d’autres, plus étrangement
Juifs montés sur des ânes, tenant deux enfants sur chaque bras ; des femmes enveloppées de voiles blancs, à cheval, marchant
he du village voisin commençait à sonner le glas de la sépulture. Les femmes et les petits enfants sortaient des portes de leu
fait les commissions de chacun. L’arrivée d’une voiture, soit quelque femme qui passe à Guérande par la voie de terre pour ga
fût dévoué pour vous, l’abandonneriez-vous ? ne vous… — Vous êtes une femme , dit-il avec une teinte de raillerie. — Et vous u
tête du mort se tenait sa veuve, et derrière elle un grand nombre de femmes occupaient tout un côté de la chambre ; de l’autr
222. En ces alarmes. 223. Destiné à préserver le teint du hâle. Les femmes en portaient encore sous Louis XIV. 224. Auxquel
589. 233. (Damnum) à tes dépens. 234. Ceinture d’argent, parure des femmes . — Le mot se trouve dans Regnier, et encore dans
ctobre 1605. Son père dit : « J’ai perdu mon fils, j’ai donc perdu ma femme . » Elle mourut de chagrin le 15 mai suivant. Henr
es d’Angennes, marquis de Rambouillet, et de Catherine de Vivonne, sa femme . Ils moururent, l’un en 1653, l’autre en 1665. Ju
rdinal de Retz.) 357. Il défend Molière et sa comédie de l’École des Femmes (1662). 358. Dans le sens du siècle, les gens éc
a conservé. 360. Voyez la défense de la Cour par Clitandre dans les Femmes savantes (IV, 3). 361. Qui a mauvaise façon et m
. page 125, note 1. 375. I ad Cor. vii, 31. 376. Fille de Henri IV, femme de Charles Ier, mère de Charles II 377. Anne de
e Charles Ier, mère de Charles II 377. Anne de Gonzague (1616-1684), femme de Frédéric V, électeur palatin. 378. La Fronde,
mière surnaturelle entr’ouvrit les nuées ; au milieu d’une gloire une femme céleste… » (Chateaubriand, Martyrs, XIX). 469.
ince Armand de Conti et neveu du grand Condé. — Madame est la seconde femme du frère de Louis XIV, Éléonore de Bavière, qui a
ler Goëzman, une audience, donne cent louis, une montre destinée à la femme du conseiller, et quinze louis destinés à son sec
d’un lieutenant et de trois Arabes, rencontra cette tribu. 900. Les femmes musulmanes le relèvent jusque sous les yeux. 901
50 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
Chaque classe de personnes a son genre de bonté : il y a celle de la femme , celle de l’esclave, bien que le caractère moral
ure62 est un trait de caractère, mais il ne convient pas à un rôle de femme d’être brave ou terrible. V. Le troisième point,
ui, après un court prélude, introduit bientôt un personnage, homme ou femme , ou quelque autre élément moral, et jamais person
e les Céphalléniens le racontent. Ils prétendent qu’Ulysse épousa une femme de chez eux et qu’il s’agit d’Icade167, et non pa
de, et qu’on reproche aujourd’hui à d’autres de ce qu’ils imitent des femmes de bas étage. VII. De plus, la tragédie, même san
n. La noblesse, pour les particuliers, provient ou des hommes, ou des femmes  : la naissance légitime des uns et des autres, et
onsidération et qu’une longue suite de personnages illustres, hommes, femmes , jeunes gens, vieillards, se sont succédé dans un
uples chez lesquels il y a de mauvaises institutions relativement aux femmes , comme les Lacédémoniens, ne possèdent guère que
i a obtenu la préférence d’une personne sensée ou honorable, homme ou femme  ; ainsi Athénée donnait sa préférence à Ulysse ;
r exemple, si l’homme le plus grand est plus grand que la plus grande femme , les hommes, pris en masse, seront plus grands qu
s grande femme, les hommes, pris en masse, seront plus grands que les femmes  ; et (réciproquement), si les hommes, pris en mas
ciproquement), si les hommes, pris en masse, sont plus grands que les femmes , l’homme le plus grand sera plus grand que la plu
les femmes, l’homme le plus grand sera plus grand que la plus grande femme . En effet, les différences en plus des espèces so
us grand nombre d’objets. C’est ainsi que le Poète fait énumérer à la femme de Méléagre, qui veut persuader au héros d’aller
us de valeur ; par exemple, celles d’un homme plutôt que celles d’une femme . XXIII. Sont plus belles aussi les vertus capable
es à raisonner. V. De même ceux qui ont des parents, des enfants, une femme , car ce sont des êtres qui les touchent de près e
t. De là cette réponse de Simonide, sur les sages et les riches, à la femme de Hiéron qui lui demandait lequel valait mieux d
éthienne 424 où il était établi que, sur la question des enfants, les femmes , partout, déterminent la vraie situation. À Athèn
est ainsi qu’Isocrate, dans l’Éloge d’Hélène, a écrit qu’elle fut une femme de valeur, puisque Thésée la jugea telle ; il en
se qui fit naître cette calomnie. Exemple : (une mère) dont une autre femme a ravi le fils par substitution445 semblait, en r
cte dans Oreste, qui procède par division : Il est juste, lorsqu’une femme a fait périr son époux, qu’elle meure à son tour,
joindre (les mots), mais les faire succéder chacun à chacun : « de la femme qui est la nôtre », et, si l’on recherche la conc
, et, si l’on recherche la concision, faire le contraire : « de notre femme  ». VI. Parier avec conjonctions, et, si l’on veut
t, ou un homme mûr, ou un vieillard ; j’entends aussi un homme ou une femme , un Lacédémonien ou un Thessalien. VII. J’appelle
mis aucune faute. Cet exemple n’a rien de piquant. « Il faut qu’une femme digne épouse un homme qui soit digne. » Celui-ci
uver la plupart de ces indices dans Homère : Elle dit, et la vieille femme tenait son visage dans ses mains700. En effet, c
— 4e : Phrynichus, disciple de Thepsis, introduit les personnages de femmes . — 5e : Pratinas, de Phlionte, inventeur du drame
p. vi, § 8. 60. Chap. vii, § 12. 61. Aristote semble contester à la femme et à l’esclave non pas la capacité et la bonté, m
sa cinquante tragédies et remporta treize fois le prix. — Alphésibée, femme d’Alcméon. Celui-ci avait tué sa mère Ériphyle, p
te (Antidosis, § 217), sont le plaisir, le profit et l’honneur. 424. Femme de l’île de Péparèthe, une des Cyclades. 425. Il
aux Égyptiens à propos de leurs divinités. 450. Comme qui dirait la femme de fer. 451. Θρασύϐουλος. 452. Θρασύμαχος. 453
Peut-être n’est-il pas juste que la main qui venge un père frappe la femme qui a tué son époux. 468. Cp., dans Platon, Banq
v. VIII, ch. x, et surtout Analyt. pr., ibid. 482. Celui de Byblis, femme originaire de Bubasos, en Carie, pour son frère j
Spengel.) 691. Fille de Laomédon, roi de Troie, devenue la troisième femme de Télamon. Explication conjecturale : Résidant à
51 (1883) Morceaux choisis des classiques français (prose et vers). Classe de troisième (nouvelle édition) p. 
mblable à un marché de laboureurs et de pêcheurs : il était rempli de femmes et d’enfants, et retranché avec des bateaux de cu
ervons le tombeau profané ! Nos pères, nos enfants, nos filles et nos femmes , Au pied de nos autels expirant dans les flammes,
par quelques propos piquants, soit aussi, dit-on, par une relation de femme , l’inimitié jalouse de Cromwell. Le comte de Norw
ère avec le fils, la fille avec la mère ; Les amis, les amants, et la femme et l’époux, Le roi près du flatteur, l’esclave av
Enfin, lorsque le besoin est extrême, il s’expose à tout, attaque les femmes et les enfants, se jette même quelquefois sur les
ur les hommes, attaquer le berger plutôt que le troupeau, dévorer des femmes , emporter des enfants, etc. On a appelé ces mauva
jamais été marié ; mais personne ne lui apprendra que Ninus a eu deux femmes . On lui dit que le roi jouit d’une santé parfaite
s ? écoulez-vous vos flammes ? Et perdez-vous encor le temps avec des femmes  ? Prêts à verser du sang, regardez-vous des pleur
lez combattre ; et nous, allons mourir. Horace. Mon père, retenez des femmes qui s’emportent Et, de grâce, empêchez surtout qu
e légion ; Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille, femme , sœur et mère de vos maîtres ! Que prétendez-vous
r fâcheux, quand par un trait d’esprit, Pour ramener la paix entre la femme et l’homme, J’inventai « Phidippide » — « Écuyer
point de faiblesse humaine ! Molière. La Critique de l’École des femmes LE MARQUIS, DORANTE. Dorante. Jamais on n’a
beaucoup. Le marquis. Demande-lui ce qu’il lui semble de l’École des femmes  ; tu verras qu’il te dira qu’elle ne lui plaît pa
isais-tu, ni mon corps ni mon Âme, Et ne me marirai que pour aimer ma femme . » Ali ! tu trouvais alors des accents convaincus
dicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme , mère de rois si puissants, et souveraine de troi
ux voisins Deux hommes étaient voisins, et chacun d’eux avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail
en disant : « Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes enfants ? » Et cette pensée ne le quittait
créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma femme , et sur mes enfants. » Et celui-ci vivait tranqui
trouvé l’homme ayant sa demeure particulière ; dans cette demeure sa femme , ses enfants, formant de premières agglomérations
publique, des citoyens entraient dans les temples, allaient voir des femmes ou visitaient leurs amis, avec ¿es armes offensiv
fût aussi correct dans sa conduite que dans ses ! ouvrages, rendit sa femme heureuse, élevât bien ses enfants, et fit des éco
petit ménage de Rouen, écrivant Polyeucte au bruit des fuseaux de sa femme , ni Racine faisant la procession dans sa chambre,
large, composent l’auditoire de Florimond ; les trois quarts sont des femmes . D’où viennent ces visages-là ? Personne ne pont
l parle bien, il écrit mieux ; les hommes en font cas et il plaît aux femmes  ; il a tout ce qu’il faut pour réussir, mais il n
plois et mes pensions ; vous m’avez maltraité à Francfort, moi et une femme innocente, une femme considérée, qui a été traîné
 ; vous m’avez maltraité à Francfort, moi et une femme innocente, une femme considérée, qui a été traînée dans la boue, et mi
d’obtenir un privilège, qu’à un homme qui n’a point la protection des femmes d’avoir un emploi dans les finances. Enfin, après
Paris un grand nombre de petites sociétés où préside toujours quelque femme qui, dans le déclin de sa beauté, fait briller l’
brigué ; on court en poste à, Versailles ; on fait parler toutes les femmes  ; on fait agir tous les intrigants ; on l’ait mou
ertations sans méthode. On vient d’imprimer dans un journal l’article Femme , qu’on tourne horriblement en ridicule. Il semble
n avant qu’il soit dix jours. » J’emportai les brillants. Mais est-il femme ou fille Qui se puisse tenir d’admirer ce qui bri
frais qu’une pomme, Mon Paul, un gros baiser. Encore un ! encore un ! Femme , entre vos deux bras serrez donc mieux votre homm
ieux votre homme, Songez que jusqu’au soir je vais rester à jeun. La femme . Vous, Vincent, veillez mieux sur vos échafaudage
nce, On entendit sur l’échafaud : « J’ai trois enfants, Jacques, une femme  ! » Jacques un instant le regarda : « C’est juste
52 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
zélée de la religion, et forment le projet de s’y établir avec leurs femmes et leurs enfants, persuadés que rien ne pourra le
mp ennemi. Marcius (Coriolan) admirant le courage d’une ville, où les femmes elles-mêmes étaient douées d’une âme si énergique
: « Jusqu’à ce jour, dit-elle, deux fois dans de grands malheurs, des femmes sont sorties de Rome en députation : la première,
emi des Romains, céda par respect aux prières que lui adressaient des femmes , et Marcius repousse les supplications des dames
is sur son tribunal avec les autres chefs des Volsques. En voyant les femmes romaines qui s’approchaient, il fut d’abord surpr
maître de son émotion, il ne put supporter de rester assis devant les femmes qui s’avançaient ; descendant de son tribunal, il
iciter en même temps ton salut et la victoire de notre pays, quand ta femme et tes enfants sont placés dans l’alternative d’ê
est-il pas encore bien plus douloureux de penser que vos enfants, vos femmes seront traînés en esclavage et que vous êtes dest
le incendiée, en foulant aux pieds les cadavres des vieillards et des femmes , en détruisant nos pénates et les temples de nos
re à la pitié ; demeure ici, sur cette tour, si tu ne veux laisser ta femme veuve et ton fils orphelin. Arrête tes guerriers
et les citoyens romains, étaient obligés à errer çà et là avec leurs femmes et leurs enfants, sans avoir aucun lieu où ils pu
r de l’enfance, eut une vision, dans laquelle, sous la figure de deux femmes , la Vertu et la Mollesse cherchaient à l’attirer
53 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86
ave. Il l’est aussi, employé comme adjectif : = un homme esclave, une femme esclave. Le nom pluriel gens exige plusieurs rema
re d’usage qu’au participe : = il est épris d’un fol amour pour cette femme . Frire. Participe, frit. Présent absolu, je fris
s : Accoucher, signifiant enfanter, est neutre, et prend être : = la femme de mon ami est accouchée heureusement. Il est act
sement. Il est actif, et prend avoir, lorsqu’il signifie, aider à une femme à accoucher : = cette sage-femme a accouché plusi
s tombé, elle est décédée, parce qu’on peut dire, un homme tombé, une femme décédée. Si le participe, au contraire, ne peut p
i ; elle a tremblé, parce qu’on ne peut pas dire, un homme frémi, une femme tremblée. Cette règle est généralement sûre : mai
54 (1867) Rhétorique nouvelle « Première partie. L’éloquence politique » pp. 34-145
t les têtes de leurs ennemis scalpées, leurs huttes incendiées, leurs femmes emmenées en servitude, il réduira les partisans d
reçoivent à leur foyer l’étranger suppliant. Ils ne condamnent pas la femme au labeur humiliant de l’esclave et de la bête de
vaisseaux se pourrissent, et leurs cordages tombent en lambeaux. Nos femmes et nos petits enfants languissent dans nos maison
à marcher sur les têtes des Grecs. O mes amis, si vous n’êtes pas des femmes , si vous êtes des Grecs, partons, retournons chez
ablonneuse d’Ithaque : il lui en a coûté beaucoup de laisser sa jeune femme et son enfant à la merci des chefs ambitieux de s
’impatience qu’ils ont de retourner dans leur patrie, auprès de leurs femmes et de leurs enfants. « — Rien que pour un mois d’
55 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Molière 1622-1673. » pp. 27-43
s autres, de la côte de saint Louis3 ? M. Jourdain. Taisez-vous, ma femme  ; je vous vois venir. Madame Jourdain. Descendo
pas marchand aussi bien que le mien ? M. Jourdain. Peste soit de la femme  ! elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
esque disparue 6. Comparer l’entretien comique de Sancho Pansa et sa femme (Don Quichotte, part. II, ch. V.) 1. Nous lison
56 (1858) Exercices latins adaptés à la Grammaire latine d’après Lhomond. Deuxième partie : Cours gradué de versions latines sur la syntaxe, à l’usage des classes de sixième, cinquième et quatrième. Livre du maître pp. -370
rande multitude lançait des pierres et des traits. — 7. Une troupe de femmes se rendirent au sénat. — 8. La ville de Corioles
is. Les poëtes Virgile et Varius furent chéris d’Auguste. Sa première femme fut Scribonie, fille de Libon ; Livie fut la seco
gnominavêre. corrigé. 1. Philippe, roi de Macédoine, prit pour femme Olympias, fille de Néoptolème, roi des Molosses ;
ie ; elle fut ensuite surnommée Sicanie. — 17. Dieu fit l’homme et la femme  : l’homme eut nom Adam, et la femme Ève. vers
nie. — 17. Dieu fit l’homme et la femme : l’homme eut nom Adam, et la femme Ève. version 34. 1. Columbis inest quidam
des ennemis. — 3. Le champ qui me nourrit est à moi. — 4. Lorsqu’une femme se marie, tout ce qui lui appartenait devient la
unesse n’est pas épargnée par la mort. — 3. Ni les vieillards, ni les femmes , ni les enfants ne furent épargnés par l’ennemi. 
le à un mendiant ; il n’était reconnu ni par ses serviteurs ni par sa femme . Mais le chien reconnut aussitôt et caressa son m
faut agir et non délibérer. — 10. Autrefois il n’était pas permis aux femmes romaines de boire du vin. — 11. Il importe à l’or
de l’eau à boire aux enfants. — 13. La nature a donné en partage à la femme le soin des choses domestiques. — 14. Ulysse remi
ister aux assemblées. Les Germains ne dédaignent pas les conseils des femmes . Ils rapportent leurs blessures à leurs mères, à
la désolation se répandirent aussitôt de toutes parts : on voyait les femmes consternées lever au ciel des mains suppliantes,
ez les Germains, les hommes avaient droit de vie et de mort sur leurs femmes et sur leurs enfants. — 5. Notre but est de vivre
Sémélé. — 4. Pacuvius était fils d’une sœur d’Ennius. — 5. Tanaquil, femme du roi Tarquin l’Ancien, éleva comme son propre f
la nature de dieux, à partir de Thalès de Milet. — 7. Dans l’Inde la femme était mise toute vivante sur le bûcher avec son é
Sémiramis, épouse de Ninus, surpassait en courage, non-seulement les femmes , mais encore les hommes. — 4. L’Indus ne nourrit
bitume, il la rendit impénétrable aux eaux : il s’y renferma avec sa femme , ses trois fils et ses trois brus. Deux couples d
ar les plus mauvais citoyens. — 8. La loi Oppia ne permettait pas aux femmes romaines de se servir d’étoffes de diverses coule
la trahissaient ; il montre que les prêtres, étant entrés avec leurs femmes et leurs enfants par un passage souterrain, avaie
dos faciliùs labores muneri dedisse. corrigé. 1. On dit qu’une femme , à qui l’on avait annoncé faussement la mort de s
, ne but pas d’autre vin que les rameurs. — 4. Chez les Germains, les femmes ne portent pas un autre costume que les hommes, s
es immenses, ne laissa pas en mourant de quoi rembourser la dot de sa femme . — 10. Un homme s’est-il une fois parjuré, on ne
s étonné. — 4. Un jeune homme demandait à Socrate s’il devait prendre femme ou rester célibataire ; Socrate répondit que, quo
u des orgies, son armée à moitié ivre. Il eût avoué que c’étaient des femmes qu’il avait eu à combattre en Asie, et qu’en Ital
s ne se nourrissent que par leurs racines. — 8. La langue bavarde des femmes ne peut taire que ce qu’elles ignorent. — 9. La n
une maison de campagne située non loin de cette ville. — 2. Xantippe, femme du philosophe Socrate, était, dit-on, très-acariâ
emanda un jour à Socrate pourquoi il ne chassait pas de sa maison une femme si insupportable. « C’est, répondit-il, parce qu’
upportable. « C’est, répondit-il, parce qu’en supportant chez moi une femme de cette humeur, je m’accoutume et je m’exerce [i
raisonnable plutôt qu’un animal muet, ensuite un homme plutôt qu’une femme , un Grec plutôt qu’un barbare, enfin de l’avoir f
illisible chars][texte coupé]lui dit-elle, écouter les conseils d’une femme  ? [illisible chars][texte coupé] comme les médeci
à ta renommée. » Auguste [illisible chars][texte coupé]mé remercia sa femme  ; il ordonna de contreman[illisible chars][texte
57 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
vère, sec, silencieux autant que Louis était affable. Il haïssait les femmes autant que Louis les aimait. Louis faisait la gue
n simple soldat. On l’avait soupçonné d’avoir eu une passion pour une femme de sa cour ; soit que cette intrigue fut vraie ou
que cette intrigue fut vraie ou non, il est certain qu’il renonça aux femmes pour jamais, non seulement de peur d’en être gouv
qu’il avait commis, et d’un affront qu’il avait fait, à table, à une femme en présence même de la reine sa mère. Si cela est
58 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
ultiva l’allégorie mystique et l’allégorie mythologique ; — une antre femme , Louise Labé, « la Belle cordière » de Lyon (1526
uand il présenta au président de Verdun les Stances sur la mort de sa femme , qui lui avaient coûté trois ans, il le trouva re
Mais je suis saoul lorsqu’il me plaist de l’estre, Et si97 nourris ma femme et mon mesnage ! », D’un charlatan Un cha
e coup bons serviteurs du roy.     Je suis plein de despit, quand les femmes fragiles Interpretent en vain le sens des evangil
ecine il fut attaché à Marguerite de France, fille de François Ier et femme du duc de Savoie ; il la suivit à Turin et y mour
Messager. Par Paulet, son geolier, la reine estoit conduite, Ses femmes se plaignoient et marchoient à sa suite, Mais ell
ant sa douce gloire A montrer le beau fruict de sa belle victoire. Sa femme l’accolant l’admire et le cherit, Tous les siens
eignent leur defaux de couleur et de fard. Aussi je les compare à ces femmes jolies, Qui par les affiquets582 se rendent embel
arles IX, son petit-fils, célèbre la royauté poétique de Ronsard. Les femmes aussi ont tenu la plume ; l’une d’elles, n’eût-el
(1531-1572), fille de la précédente, « qui, dit d’Aubigné, n’avoit de femme que le sexe, l’âme entiere aux choses viriles, l’
Que douleur brise dans nos cueurs : Dont louenge vous sera faicte De femme , enffans et serviteurs. Par Jesus-Christ, nostre
je avoir place : L’un gisoit au maillot, l’autre dans le berceau ; Ma femme , en les baisant, devidoit son fuseau. Le temps s’
son. Mais, helas ! ce bonheur fut de peu de durée : Aussi-tost que ma femme eut sa vie expirée, Tous mes petits enfans la sui
eillesse, de Mr et de Mme d’Hervart ; toujours rêveur, oublieux de sa femme , de son fils, de son Florentin, dont la première
la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos : Sa femme , ses enfans, les soldats, les impôts, Le créancie
cheux), — jusqu’à la comédie de mœurs (l’École des Maris, l’École des Femmes , Sganarelle et Georges Dandin, qui sont l’école d
emmes, Sganarelle et Georges Dandin, qui sont l’école des jaloux, les Femmes Savantes, le Bourgeois Gentilhomme, la Comtesse d
t, tout du long, t’ouïr sur ta commission. Il faut, avant que voir ma femme , Que je débrouille ici cette confusion. Rappelle
C’est un drôle qui fait des rages. AMPHITRYON. Achevons. As-tu vu ma femme  ? SOSIE.                                         
’a pas trouvé Regnard « médiocrement gai » ; il a défendu l’École des Femmes contre la cour, l’Avare contre Racine, Racine con
emens de rage. Allons, poursuis, achève. HECTOR. « L’or est comme une femme  ; on n’y sauroit toucher, « Que le cœur, par amou
e poète idiot », elle écrivit, au milieu de la gêne qui attristait la femme et inquiétait la mère, des églogues et des idylle
par ses petits poèmes de la Mélancolie, les Souvenirs, le Mérite des Femmes . De tous ces noms, un nom est resté longtemps pop
laisans détestables, Des jeunes gens d’un ton, d’une stupidité !… Des femmes d’un caprice et d’une fausseté ! Des prétendus es
rir des gens brouillés, ou brouiller des amis, Calomnier, flétrir des femmes estimables, Faire du mal d’autrui ses plaisirs dé
’épouvantent. Près d’un chêne enflammé devant moi se présentent Trois femmes . Quel aspect ! non, l’œil humain jamais Ne vit d’
us vont s’armer de flamme, Et le bois porte au loin des hurlements de femme L’ongle1240 frappant la terre, et les guerriers m
t des collines. Et, partout accourus, dansant sur son chemin, Hommes, femmes , enfants, les rameaux à la main, Et vierges et gu
encore, si ce n’est de multiplier, à son imitation, les élégies. Les femmes s’y distinguèrent : Mme Desbordes-Valmore (1787-1
us a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! L’an d’après, moi, pauvre femme , À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour :
ous, lieux témoins de mes plus donx loisirs… D’un air indifférent une femme est venue, Du château, maintenant, habitante inco
de sa main essuie La sueur du sentier sur son front mâle et doux ; La femme et les enfans tout petits, à genoux Devant les bœ
les tranche ; Le timon plonge et tremble, et déchire ses doigts ; La femme parle aux bœufs du geste et de la voix ; Les anim
font bondir le sol jusqu’en sa profondeur. L’homme presse le pas, la femme suit à peine ; Tous au bout du sillon arrivent ho
l’homme sombre arriva Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa femme fatiguée et ses fils hors d’haleine Lui dirent :
près », dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses fils dormant, sa femme lasse, Et se remit à fuir sinistre dans l’espace.
le1424, Il y trouverait mieux, pour émouvoir sa bile, Qu’une méchante femme et qu’un méchant sonnet1425 ; Nous avons autre ch
s des mers de feuillage, Une grêle fumée au-dessus, dans un champ Une femme de loin appelant son enfant, Ou bien un jeune pât
jour, tu n’as point ta pareille1457 ! Ainsi tout s’animait : hommes, femmes , enfants, Sortaient de leur village et s’en allai
le. Quinze ans il opprima, quinze ans on le souffrit : Il outrage une femme , et, ce jour, il périt1501. VALÈRE. Mais quand en
spérités s’endormaient dans leur paix Où l’orgueilleux monarque et la femme étrangère Échangeant des plaisirs la coupe menson
es ont bu, Et les brebis bêlant, et les bœufs à leurs crèches, Et les femmes causant près des citernes fraîches, Ou sur le sab
μνήμη, de mémoire), fille du Ciel et de la Terre. 417. Cf. Molière, Femmes Sav., III 7 : Juvénal a exprimé le premier ces pl
plié par Marcelle, sa « camarade » de théâtre, comme polyeucte par sa femme , de rétracter sa profession de foi chrétienne. — 
e promet le trône à celui des deux qui lui apportera la tête de cette femme  ; sur leur refus, elle se débarrasse de l’un par
le poète lui adresse de préférence une fable philosophique, était la femme d’un riche financier, ami des lettres, qui écrivi
i lui laisse une honnête liberté. La charmante comédie de l’École des Femmes (1662) pourrait aussi être appelée une école des
l leur répondit et en appela au public par la Critique de l’École des Femmes (1663). Voir nos Morceaux choisis des Prosateurs.
dies de Molière, représentent le bon sens, Chrysalde dans l’École des Femmes , Cléante dans Tartufe, Béralde dans le Malade ima
aginaire. Ajoutez le bonhomme Chrysale et le jeune Clitandre dans les Femmes savantes. 899. Scène des Fâcheux, comédie-balle
aute, s’inspirant des mœurs romaines dans un sujet grec, a donné à la femme d’Amphitryon la chaste dignité de la matrone, Mol
phitryon ne m’a-t-il pas commis À venir en ces lieux vers Alcmène, sa femme  ? Ne lui dois-je pas faire, en lui vantant sa fla
Broussin, son ami, qui sortit en effet au second acte de l’École des Femmes en se récriant contre la « violation de toutes le
et en scène les ennemis de sa comédie dans la Critique de l’École des Femmes . 960. Les vers excellents de Boileau contiennen
sion éloquente de la passion, sait, â propos, donner au langage d’une femme violente. C’est ainsi que, rival heureux de Corne
Britannicus. (Britann., III, 8.) 985. Restée seule, pendant que ses femmes donnent leurs soins à sa rivale évanouie, elle éc
re, puis, poursuivi, avait poignardé et jeté dans l’Araxe Zénobie, sa femme , pour l’empêcher de tomber vivante aux mains de s
ulon, et ambassadeur des Romains auprès de Pharasmane. Il retrouve sa femme , l’enlève, et poursuivi, atteint et frappé à mort
énobie, dit Villermain, est après Pauline, une de ces physionomies de femmes belles et pures, d’une vertu plus touchante que n
és à l’église. L’un est morne : il conduit la bière d’un enfant ; Une femme le suit, presque folle, étouffant Dans sa poitrin
d triomphant ! On baptise, on absout, et le temple se vide. Les deux femmes , alors, se croisant sous l’abside, Échangent un c
’inspire la prière, —  La Jeune mère pleure en regardant la bière. La femme qui pleurait sourit au nouveau-né. (Soulary).
s gerbes ; puis, le soir venu, a la peinture du repos goûte, entre sa femme qui file et son enfant qui joue, par le paysan,
me fallait les vendre, J’aimerais mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma femme  ; eh bien, j’aimerais, mieux La voir mourir que v
eprendre sa première l’épouse. Le roi refuse l’abandon de sa nouvelle femme et au moine inflexible qui l’ordonne, et à la fem
on de sa nouvelle femme et au moine inflexible qui l’ordonne, et à la femme désespérée qui l’offre, et au peuple mutiné qui l
anquent pas. Agnès prête à partir recommande ses enfants à une de ses femmes (III, 7) dans un langage qui est loin de la perfe
À Florence (actes Ier et IIe), les savants routiniers, les moines, sa femme , sont ligués contre lui : pour les uns c’est un f
59 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
eschappe. » Je croy fermement que les bonnes prieres de ces honnestes femmes me tirarent8 de l’extremité et langueur où j’esto
ons avoir sans sortir à l’escaramouche6 ; et alors tous les enfans et femmes de la ville sortoient au long des murailles ; mai
60 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
x hurlements se prolongent dans l’ombre ! Quel épouvantable réveil ! Femmes , enfants, vieillards, sous le fer tout succombe ;
er et le vigneron, le laboureur et le berger, remplissent, avec leurs femmes et leurs enfants, les salles de spectacle ; c’est
omme, presque un enfant, il avait dix-neuf ans, quitte sa famille, sa femme qui allait le rendre père, il s’embarque sur un p
ient ce long rêve Qu’on appelle la vie, et que la mort achève ! Et la femme disait : « Voici bientôt un an Qu’il n’est plus a
ns la souffrance... » Et l’homme répondait après un long silence : «  Femme , pour être juste, il faut se souvenir ! Tu gémis
penche tout le jour, « L’arbre, le fruit, la fleur, et toi-même et ta femme , « Le seigneur y prétend, le moine les réclame !
l’égalité des droits. Et tu gémis !… Ton sort te paraît misérable !… Femme , écoute… Avant tout, il faut être équitable : C’e
rrain, Qui profite de tout et ne rend pas un grain. »   « Oui, dit la femme , un an !… Depuis toute une année, Je suis là, mis
Au beau linge, au frac élégant, Ces hommes en corset, ces visages de femmes , Héros du boulevard de Gand, Que faisaient-ils, t
 ? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? Qu’ai-je à me plaindre ? Où sont les
sous les murs de Pergame, Lorsque, de mon vivant, vous poursuiviez ma femme , Sans pudeur, sans remords, sans avoir sous les y
temple, Et n’osaient le poursuivre en ces lieux redoutés ; Lorsqu’une femme , une ombre aux bras ensanglantés, Menaçante, appa
cée, J’embrassais ses genoux, palpitante d’effroi ; Ce spectre… cette femme , Électre, c’était moi ! J’ai reconnu mes traits,
e. Quinze ans il opprima : quinze ans on le souffrit : Il outrage une femme , et ce jour, il périt. VALÈRE. Mais quand en vien
nt ! Cette vertu qui fuit longtemps après les autres, La pudeur de la femme a péri chez les nôtres. Enfin Rome se meurt, si p
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes , leurs enfants, pourront-ils m’arrêter ?     Marc
uriez ! Pourquoi N’extermine-t-on pas la famille du roi ? DANTON. Des femmes  ! MARAT.                       Que fait-on, l’éch
qu’avec Bélise il est du dernier bien. CÉLIMÈNE. Le pauvre esprit de femme et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir j
l avait cependant une excuse plus forte ; Il fallait qu’il nourrît sa femme , au lieu que toi, Tu vis seul, et l’on a toujours
                                         Est un leurre en ce cas : Sa femme aura du luxe, et lui n’en aura pas. Elle passe so
 ; Ma journée est trop courte à tout ce que je fais. Je rapporte à ma femme , heureuse et souriante, La fatigue des champs sai
ne veut pas que nous puissions les assassiner dans les bras de leurs femmes et de leurs enfants. Eh bien ! ayons recours aux
qui va être trahie par sa sœur, à cette scène pathétique où la pauvre femme , qui déjà se sent moins aimée, demande qui donc l
nçais si vantés, peux-tu les reconnaître ? Jadis peuple héros, peuple femme en nos jours, La vertu qu’ils avaient n’est plus
Au reste, pourvu que tu saches combien je t’aime, que Delaroche et sa femme soient persuadés qu’ils sont tout pour moi, que m
mable, poli, toujours prêt à faire ce que ses maîtres, ses amis ou sa femme lui ordonnent. Voyez l’histoire de notre glorieus
féerie, Pour arriver au ciel prenons par la mairie. Ou plutôt, jeune femme , avec de doux propos, Puisque dans les salons vou
i ait jamais trouvé le jour où il ne devait plus rien à l’amour de sa femme et à la jeunesse de ses enfants. Quand nous aurio
têtes, dans le paratonnerre de nos toits que dans la prière de cette femme et de ces petits enfants qui dorment sur une bott
sur tous les membres de la tribu, et qu’il a besoin d’avoir à lui sa femme , ses enfants, qu’il aime, soigne, protége, sur le
n enlèvent les voûtes, et font sauter en l’air, avec vos maisons, vos femmes , l’enfant et la nourrice, et c’est là encore où g
création le hasard m’a jeté ; Heureux ou malheureux, je suis né d’une femme , Et je ne puis m’enfuir hors de l’humanité...    
eintre, cela aurait fait un beau tableau. Sa mère est la plus aimable femme du monde. Le grand-père, Carie Vernet (celui qui
61 (1854) Éléments de rhétorique française
œurs des Grecs. C’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect pour la femme et pour la mère de Darius. Qu’est-ce que ce conqu
il s’exprime à ce sujet : «  Le consul vint dernièrement à Téanum. Sa femme dit qu’elle voulait aller aux bains des hommes. M
e la ville de faire sortir des bains tous ceux qui s’y trouvaient. La femme du consul se plaignit à son mari de la lenteur qu
les uns contre les autres pour ne pas mourir de froid ; là, c’est une femme tremblante et sans voix pour se plaindre. Les pas
ant à de nouvelles flammes, Nous avez fait laisser nos enfants et nos femmes  ; Et quand, de toutes parts assemblés en ces lieu
res dans le langage familier d’un homme du peuple en colère contre sa femme  : « Si je dis oui, elle dit non ; soir et matin,
ar exemple, dans cette phrase du P. d’Orléans sur Marguerite d’Anjou, femme de Henri VI : « Si cette princesse n’eut pas la g
C’est par le même artifice que l’on dit, en décrivant la beauté d’une femme  : l’ivoire de ses dents, l’albâtre de son cou, le
e allait le dévorer. Lord Nelvil, malgré les réclamations de quelques femmes superstitieuses, envoie quatre matelots anglais b
nnaient de toutes parts ; les prêtres faisaient des processions ; les femmes pleuraient, en se prosternant devant quelques ima
dée, et demanda qu’à l’instant le quartier fût ouvert ; mais quelques femmes du peuple qui l’entendirent se jetèrent à ses pie
avaient demandé un acte de clémence. Ce n’étaient point de méchantes femmes , mais des imaginations superstitieuses, vivement
’admiration et presque de fanatisme la foule qui le considérait ; les femmes surtout s’exprimaient avec cette imagination qui
us faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? Allez chez cette pauvre femme , et dites-lui que je lui veux toujours du bien :
sage rond et frais, qui respirait la douceur et la gaieté ; sa petite femme brune était cahotée à côté de lui. La voiture n’a
rie où je loge me conter le reste, lui dit Colin ; embrasse ma petite femme , et allons dîner ensemble. » « Ils vont tous troi
out cet attirail ? vous appartient-il ? — Oui, tout est à moi et à ma femme . Nous arrivons du pays ; je suis à la tête d’une
cœur est expert en tromperies ; quiconque a été nourri au sein de la femme a bu à la coupe des illusions. Tantôt c’est une c
privées, soit dans l’accomplissement de leurs devoirs politiques. Les femmes elles-mêmes ont intérêt à cultiver l’art de bien
a cause une lumière inattendue. Ne voyons-nous pas tous les jours des femmes même appelées en témoignage devant la justice, et
de leur vie privée, d’une humeur insupportable, et font payer à leur femme et à leurs enfants l’intérêt de cette gaieté pass
une marchande d’herbes de cette ville ; et comme on demandait à cette femme à quoi elle s’en était aperçue : « C’est, dit-ell
de pis que la sottise toute pure. « Pour réussir en parlant, dit une femme qui était elle-même accoutumée à ces sortes de su
62 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
and le peuple se fut placé, non sans bruit, les hommes d’un côté, les femmes d’un autre, et qu’on eut vu successivement les ne
posent le chœur ; suivant que le sujet l’exige, il peut être formé de femmes , de jeunes gens, de citoyens, d’esclaves, de prêt
iste. Ce sont toujours des hommes, aussi, quand ils font des rôles de femmes , le son mâle de leur voix constitue une invraisem
a satire, assez médiocre au point de vue littéraire, d’une courageuse femme , Sulpicia, contre Domitien ; — et les invectives
e de complainte sur ses malheurs et ses souffrances qu’il envoie à sa femme ou à ses amis. Les Pontiques, ainsi nommées à cau
ie d’intérieur, il n’est que juste ici de reconnaître que souvent les femmes réussissent mieux que les hommes dans le genre ép
e citerons que les principaux. Dans l’antiquité, le rôle social de la femme étant bien moindre qu’il ne l’est de nos jours, n
plus célèbres dans notre langue ; sans rien avoir des ridicules de la femme savante, ce fut une des personnes les plus instru
ntiment inconnu de son temps, et que n’admettait pas la condition des femmes dans la société grecque. On le voit, tous ces rep
âme du spectateur les vertus et la piété sublime de Polyeucte. Et les femmes ne le cèdent en rien aux hommes : témoins Sabine,
et Pauline. [15] (5 novembre 1885) Apprécier les caractères de femmes dans l’Horace de Corneille. Développement. — D
ts humains, il a également fait contraster entre elles les figures de femmes et varié les expressions de leurs sentiments et d
e mâle assurance. Quant à Junie, c’est une des plus belles figures de femme que Racine ait esquissées. Elle est réduite à dis
figure charmante qui contraste heureusement avec les autres types de femmes que nous y voyons. Philinte représente aussi, dan
res, et il n’est rien de plus doux, de plus suave, que ses figures de femmes , tracées d’un trait pur et discret ; malgré ces q
63 (1875) Poétique
bonté de mœurs peut être dans tout sexe et dans toute condition : une femme peut être bonne, même un esclave ; quoique d’ordi
une femme peut être bonne, même un esclave ; quoique d’ordinaire les femmes qu’on met sur les théâtres soient plus mauvaises
ravoure est un caractère de mœurs ; mais elle ne convient point à une femme , qui ne doit être ni brave ni hardie. Troisièmeme
te seul. D’un autre côté, sa maison est au pillage ; les amants de sa femme dissipent son bien et veulent faire périr son fil
s un mot de préparation, fait aussitôt parler soit un homme, soit une femme , ou quelque autre agent caractérisé : car chez lu
64 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche. Femmes , moines, vieillards, tout était descendu : L’atte
aire. Le moine disait son bréviaire : Il prenait bien son temps ! Une femme chantait : C’était bien de chansons qu’alors il s
l juste qu’on meure Au pied levé ? dit-il : attendez quelque peu ; Ma femme ne veut pas que je parte sans elle2 ; Il me reste
encèrent à rire et me dirent qu’ils causaient à qui se remarierait la femme du sire de Landricourt. Je les réprimandai fort,
furent morts ou blessés à mort ; et ainsi il fallut que ce fût leurs femmes qui se remariassent toutes six. » « L’histoire es
65 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
e légion ; Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille, femme , sœur et mère de vos maîtres ! Que prétendez -vou
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes , leurs enfants, pourront-ils m’arrêter ? Marchons
 ? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? Qu’ai-je à me plaindre ? Où sont les
e plus aimant dans le cœur humain, et spécialement dans le cœur de la femme , depuis la jeune fille jusqu’à la mère, depuis Ip
66 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
comédiennes, que c’étaient des hommes qui remplissaient les rôles de femmes , et que l’expression de l’amour eût été ridicule
joueur de trictrac qui vient lui tenir des propos impertinents ; une femme ménagère, à côté d’une savante ; un homme poli et
ouille que l’esprit. Tel est celui qui règne dans le Misanthrope, les Femmes savantes. Tout y est décent, régulier ; les mœurs
marquis, des comtes, en un mot des courtisans ; dans Tartuffe et les Femmes savantes, ce sont de simples bourgeois ; dans Tur
67 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — De Retz. (1614-1679.) » pp. 20-28
son berceau. Le roi son père, qui n’aimait ni n’estimait la reine sa femme , lui donna, en mourant, un conseil nécessaire pou
a ville ; mais vous m’en répondrez, messieurs du parlement, vous, vos femmes et vos enfants. » En prononçant cette dernière sy
68 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
fus regardé comme si j’avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes, femmes , enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais,
uileries, je voyais aussitôt un cercle se former, autour de moi ; les femmes mêmes m’entouraient comme un arc-en-ciel nuancé d
69 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article »
de Jules César, fut mariée à M. Atius Balbus, et devint mère d’Atia, femme d’Octavius, qui en eut Oe.
70 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article »
Antiope, reine des Amazones, femmes guerrières, qui habitoient les bords du fleuve Th
71 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article » p. 403
Julius Sylvius Enéas, son frère posthume, et fils de Lavinie, seconde femme d’Enée.
72 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — H — article » p. 413
écude, fille de Dymas ou de Cissée, l’un et l’autre roi de Thrace, et femme de Priam, roi de Troie. Après avoir vu son mari e
73 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
des gens d’un âge mur, à des militaires comme à des magistrats, à des femmes comme à des hommes graves. Notre judicieux Boilea
ttaque dont Mentor l’avait menacé. On ne voyait de tous côtés que des femmes tremblantes, des vieillards courbés, de petits en
hoisie que nombreuse d’amis, aimant le plaisir et s’y connaissant, de femmes qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
 ? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? Qu’ai-je à me plaindre ? Où sont les
74 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article » p. 407
et la plus sévère, et fit maintenir la loi Oppia contre la parure des femmes . On lui éleva une statue, avec cette inscription.
75 (1881) Rhétorique et genres littéraires
maximes, Puisque ignorant et sot sont termes synonymes. (Molière, Les Femmes savantes, acte IV, scène iii.) 7° Péroraison
ôtés au soleil exposé,          Six forts chevaux tiraient un coche : Femmes , moines, vieillards, tout était descendu,        
langage d’un homme du peuple. Il suppose celui-ci en colère contre sa femme  : « Si je dis oui, elle dit non ; soir et matin,
ps ; Plaintive, elle mourut en priant pour sa mère.     On dit qu’une femme étrangère Un jour, le front voilé, parut dans le
l’église. L’un est morne : — il conduit le cercueil d’un enfant ; Une femme le suit, presque folle, étouffant Dans sa poitrin
d triomphant ! On baptise, on absout, et le temple se vide. Les deux femmes , alors, se croisant sous l’abside, Échangent un c
qu’inspire la prière — La jeune mère pleure en regardant la bière, La femme qui pleurait sourit au nouveau-né ! (J. Soulary,
lles que Jules César prononça en l’honneur de sa tante Julie et de sa femme Cornélie. Antoine rendit hommage au cadavre sangl
ire l’éloge funèbre de Marcellus, son neveu, et de Drusus, fils de sa femme , Tibère celui d’Auguste, Caligula celui de Tibère
s inconnu chez les Grecs et les Romains, à cause du rôle effacé de la femme dans les sociétés antiques, se développe en Franc
ciétés antiques, se développe en France au moyen âge, à mesure que la femme , quoique encore tenue en tutelle, occupe une plac
Rose, celui du Renart, etc. Dans notre société moderne, le rôle de la femme a changé avec les mœurs. Son importance a augment
que nous appelons la vie du monde n’existait guère chez eux ; car la femme , vivant enfermée dans le gynécée, ne pouvait avoi
expansif, sa vanité même le prédestinaient à réussir en ce genre. Les femmes devaient surtout y apporter un charmé incomparabl
76 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
ècle, toujours un peu moralisant, ajoute : « On peut le pardonner aux femmes , il est indigne d’un homme. Plus un peuple est fu
arque une nuance de simplicité dans les mœurs, comme dans l’Ecole des femmes , par exemple, où il sert à distinguer la simplici
77 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
les côtés au soleil exposé,     Six forts chevaux tiraient un coche6. Femmes , moine, vieillards, tout était descendu : L’attel
.     Le moine disait son bréviaire : Il prenait bien son temps ! Une femme chantait : C’était bien de chansons qu’alors il s
78 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
suis point du tout né pour le mariage : Des parents, des enfants, une femme , un ménage, Tout cela me fait peur. J’aime la lib
de la destination qu’avait reçue son portrait, ne voudra plus être sa femme . Valère aura donc perdu avec son argent l’établis
79 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 185-195
hoisie que nombreuse d’amis3aimant le plaisir, et s’y connaissant, de femmes qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
ns ému, sans pouvoir dire de quoi. Un saint évêque trouva une vieille femme qui, pour toute prière, ne savait dire que O ; et
80 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — E — article » p. 411
Pénates ; tenant par la main son fils Ascagne, et suivi de Creuse, sa femme , fille du roi Priam, laquelle s’égara et disparut
81 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre IV. Continuation du même sujet. Historiens latins. »
dans ses bras son fils encore en bas âge, et traînant à sa suite les femmes de ses amis, éplorées comme elle. Attendris malgr
au sénat ses députés, à l’empereur votre obéissance, à Germanicus sa femme et ses enfants, éloignez-vous de la contagion de
appé à la fureur des combats, pour succomber sous les intrigues d’une femme  ! Portez hardiment vos plaintes au sénat, et récl
82 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
aractères, sans en présenter un seul dominant, comme Molière dans les Femmes savantes, l’École des Maris et l’École des Femmes
me Molière dans les Femmes savantes, l’École des Maris et l’École des Femmes  : c’est alors une comédie mixte. Une comédie de c
l s’abaisse ou s’élève au besoin pour prendre tous les tons. Dans les Femmes savantes, la servante Martine parle tout autremen
83 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XI. » p. 102
, le seul des cinquante époux des Danaïdes qui eût été épargné par sa femme , en avait eu un fils nommé Abas. Cet enfant tomba
84 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
sure ; il attendit quelque temps, comme il arrive d’ordinaire, que sa femme fût prête ; enfin il partit. » Que de longueurs !
besoin de le dire, que la chaise de Milon ne stationnait pas, avec sa femme , à la porte du sénat ; qu’il dut rentrer chez lui
85 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
monie, en pleine nuit, pour venir pleurer et crier parmi une foule de femmes en déshabillé de nuit, presque en mascarade. Mada
s rapprochée du trône. Il s’agit ici d’Élisabeth de Bavière, deuxième femme et veuve de Monsieur, duc d’Orléans, frère unique
86 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des figures » pp. 324-354
. Quand vous dites d’un coquin, c’est un bien honnête homme, ou d’une femme laide, c’est une Vénus, vous faites une antiphras
ctime ; vous vous êtes approché doucement du lit où dormait la pauvre femme  ; vous vous êtes penché sur elle pour vous assure
87 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
n, est le sublime de l’amour de la patrie. Dans la même Tragédie, une femme qui avait été témoin du combat des trois Horaces
e a pris la fuite. Le père est outré de la lâcheté de son fils. Cette femme lui dit alors : Que vouliez-vous qu’il fit contr
c’est de Pompée qu’il parle. Il reçoit les adieux des siens et de sa femme , Leur défend de le suivre, et s’avance au trépas
88 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
nt nous parle Buvat, et la manie de politiquer, qui a gagné jusqu’aux femmes , sans en excepter les cuisinières, ajoute la prin
les plus grands rois, ont toujours été les plus affables. Une simple femme thécuite64 venait exposer simplement à David ses
des perfidies de la part de ses capitaines, de ses enfants et de ses femmes  ; enfin, s’il eut affaire à des généraux romains
i-même ; n’ayant pas un serviteur dont il fût aimé ; se défiant de sa femme  ; haï de son frère ; trahi par ses favoris, aband
d’obtenir un privilège, qu’à un homme qui n’a point la protection des femmes d’avoir un emploi dans les finances. Enfin, après
Paris un grand nombre de petites sociétés où préside toujours quelque femme qui, dans le déclin de sa beauté, fait briller l’
s brigué ; on court en poste à Versailles ; on fait parler toutes les femmes  ; on fait agir tous les intrigants ; on fait mouv
t échappé du naufrage est porté sur les épaules de son père ; là, une femme étendue morte sur le rivage, et son époux qui se
a qui ont allumé du feu sous une roche ; ils s’occupent à ranimer une femme expirante, et j’espère qu’ils y réussiront. Tourn
celui-ci qu’il commence par créer le pays, et qu’il a des hommes, des femmes , des enfants en réserve, dont il peuple sa toile
e du châtain clair, il en faudrait conclure que ce perfide laquais de femme aurait remis la lettre à votre mari ; cette lettr
se serait cru, en galant homme, obligé de tenir les engagements de sa femme , et achevez la phrase, madame ; en honneur je n’a
-être devenu fou ; qu’il va écrire aussitôt dans le Morvan, où est sa femme , et dans le Hurepoix, où est son cher père, pour
ondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une femme , des enfants, des frères, séparés de moi depuis l
venu avec un jeune chambellan qui a ses affaires à Pétersbourg et sa femme à Moscou. Les projets n’ayant pu s’exécuter ici,
r plaire aux autres émousse bientôt en soi-même ce qu’on ressent. Une femme d’esprit a dit que Paris « était le lieu du monde
ieu l’a donnée, cette patrie, aux hommes qui peuvent la défendre, aux femmes qui, pour elle, consentent aux dangers de leurs f
n mérite. Sans argent, sans crédit, c’est en vendant les joyaux de sa femme qu’il fait vivre ses compagnons d’armes. Tantôt i
La Providence. Deux hommes étaient voisins, et chacun avait une femme et plusieurs petits enfants, et son seul travail
me, disant : « Si je meurs ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes enfants ? » Et cette pensée ne le quittait
créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma femme , et sur mes enfants. » Et celui-ci vivait tranqui
s gradins plus élevés se pressaient une foule de spectateurs, hommes, femmes , presque tous de haut rang, émus d’avance par la
, et faisait déjà ses préparatifs de départ. Troublé des pleurs de sa femme , hors d’état de se résoudre seul, Charles convoqu
nseils : « J’ai presque fini, leur dit-il ; un seul coup va rendre ma femme veuve, mes chers enfants orphelins, mes pauvres s
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune femme mourante au milieu des pompes et des dangers de l
i l’obsédaient. Dans un pareil état de l’âme, il arrivait souvent aux femmes germaines de prendre la parole en vers improvisés
nt Crépin et saint Crépinien. Les hommes versaient des larmes, et les femmes , vêtues de noir, donnaient les mêmes signes de do
s, parjures et traîtres. Ils ont tué sans cause les Danois, hommes, «  femmes et enfants, dans la nuit de Saint-Brice ; ils ont
nscrit le premier sur le livre noir des conquérants. Les mères et les femmes de ceux qui étaient venus de la contrée voisine c
reprendre ses forces pour le dernier moment, elle se mit au lit. Ses femmes continuaient à prier, et pendant ce dernier repos
en souriant qu’elle n’avait jamais eu de pareil valet de chambre. Ses femmes , qui étaient restées à genoux au pied de l’échafa
elle répondit qu’elle l’accordait à tout le monde. Elle embrassa ses femmes , les bénit en faisant le signe de la croix sur el
ation calme du devoir. Le plus valeureux capitaine peut n’être qu’une femme le lendemain d’une victoire, et ses cicatrices ne
er les Premiers Lundis, les Portraits contemporains, les Portraits de Femmes , les Portraits littéraires. Il serait impossible
r aux mains des ennemis, poignardé et jeté dans un fleuve Zénobie, sa femme , fille de Mithridate, qu’il avait déjà fait périr
s’est faite chrétienne, et, malgré ses vives répugnances, devient la femme de Gusman. Mais bientôt elle apprend que son prem
uses de sa vie. Après avoir vu périr sous l’étreinte d’un même mal sa femme et ses deux filles, il avait fermé les yeux à Tho
oi d’Écosse. Comme il revenait triomphant à la tête de son armée, une femme s’est montrée à lui la couronne au front, et la n
itime de la couronne. De retour dans son palais, Macbeth raconte à sa femme Frédegonde (c’est le nom que Ducis a donné à lady
’épouvantent. Près d’un chêne enflammé devant moi se présentent Trois femmes . Quel aspect ! Non, l’œil humain jamais Ne vit d’
douleurs de son âme Avaient changé ses traits717. Ses deux fils et sa femme , A Delphes, confiés au ministre du dieu, Vivaient
s a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre femme , A Paris étant un jour,    Je    le vis avec sa c
doux chants de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murmure une femme A l’enfant qui s’endort. De son pieux espoir son
pue et criminelle (Lucrèce Borgia, 1833), aucune des souillures de la femme n’atteindra le cœur de la mère. Sans doute, la lo
rclant l’univers, La Mort, incessamment, coupe toutes ces choses ; Et femmes et bosquets, oiseaux, touffes de roses, Belles da
eurs bords, Semblables à des loups qui vont manger les morts, Hommes, femmes , poussant des hurlements de joie, Sont accourus,
création le hasard m’a jeté ; Heureux ou malheureux, je suis né d’une femme , Et je ne puis m’enfuir hors de l’humanité825… Si
ais-tu, ni mon corps ni mon âme, « Et ne me marîrai que pour aimer ma femme . » Ah ! tu trouvais alors des accents convaincus 
chard862 est un brutal infâme, Qui maltraite, dit-on, la pauvre jeune femme . GEORGE. J’en suis charmé. RODOLPHE. J’en suis c
l avait cependant une excuse plus forte : Il fallait qu’il nourrît sa femme , au lieu que, toi, Tu vis seul, et l’on a toujour
ire en retraçant la belle scène des adieux de la reine d’Ecosse à ses femmes . 493. Le shérif remplissait l’office du prévôt d
….Toris jussi discumbere pictis. 706. Est admise, parce que les femmes n’assistaient pas généralement aux repas des homm
: Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? 715. Hector, avant d’aller combat
n’avait que sa place au parterre. » 768. La Critique de l’Ecole des Femmes , scène vii. 769. La librairie Didier a publié le
et dirige ses coups vers un bosquet, où de jeunes hommes et de jeunes femmes , au retour de la chasse, écoutent les chants d’un
89 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
de mâles sont du genre masculin, comme un père, un lion ; les noms de femmes ou de femelles sont du genre féminin, comme une m
90 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
ux qui estiment que les larmes et la tristesse n’appartiennent qu’aux femmes , et que, pour paraître homme de cœur, on doive s’
sse encore tout autre. Il était demeuré d’accord avec Clytemnestre sa femme que, sitôt que cette ville serait prise, il le lu
dicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille, femme , mère de rois si puissants175 et souveraine de tr
e, l’autre qui établit sa grandeur… « Nous mourons tous, disait cette femme dont l’Écriture a loué la prudence au second livr
sentiments qui n’ont régné que depuis leur temps, et qui doivent aux femmes leur naissance. Ce sexe va plus loin que le nôtre
e qui se suit naturellement, et qui n’est lié que par le sens. Si les femmes étaient toujours correctes, j’oserais dire que le
e dire, inexplicable : c’est une chimère, c’est le visage d’une belle femme avec des pieds et une queue de serpent, ou de que
monie, en pleine nuit, pour venir pleurer et crier parmi une foule de femmes en déshabillé, presque en mascarade. Madame la du
t (je me souviens encor de vos paroles) Négliger, pour lui plaire, et femme , et biens, et rang, Exposer pour sa gloire et ver
x. Il a été arrêté : toutefois son beau-père cherche à le sauver : sa femme s’efforce de lui faire abjurer ce qu’elle appelle
Je ne te parlais point de l’état déplorable Où ta mort va laisser ta femme inconsolable ; Je croyais que l’amour t’en parler
uste qu’on meure Au pied levé451 ? dit-il ; attendez quelque peu : Ma femme ne veut pas que je parte sans elle ; Il me reste
de l’or, qui le brûlait dans l’âme, Le fit enfin songer à choisir une femme , Et l’honneur dans ce choix ne fut point regardé.
ure563 Le mari quelquefois des plaideurs extorquait… Ou de ce que la femme aux voisins escroquait564…     Mais peut-être j’i
ces : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices. L’audace d’une femme , arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a c
temple ? JOAS.                                                   Une femme inconnue, Qui ne dit point son nom, et qu’on n’a
ce titre, elle n’avait pas été jusque-là plus connue que des autres : femme du roi d’Arménie Rhadamiste, lorsqu’elle fuyait a
douleurs de son âme Avaient changé ses traits784. Ses deux fils et sa femme , À Delphes, confiés au ministre du dieu, Vivaient
rtés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes. Les femmes savantes s’adonnaient, comme on pense bien, à ces
gaudent ;  Parce pater misero, læsus et ipse, reo… 139. Sur cette femme qui fut, comme l’a dit M. Villemain, « un grand é
175. Henriette de France, fille de Henri IV et de Marie de Médicis, femme de Charles Ier et mère de Charles II, morte en 16
enriette d’Angleterre, fille d’Henriette de France et de Charles Ier, femme de Philippe, frère de Louis XIV, morte en 1670, à
texte dans son discours pour Eutrope. 183. XII, 13, 14. 184. Cette femme , non désignée par son nom, était une veuve de la
endresse n’était guère possible. 307. Élisabeth de Bavière, deuxième femme et veuve de Monsieur, duc d’Orléans, frère unique
e ici, avec Louis Racine (voy. son Traité de la poésie), qu’une telle femme , qui se montre si criminelle est très peu digne d
écrit ailleurs : Du nom de philosophe elle fait grand mystère… (Les Femmes savantes, II, 9.) 513. « Devant l’infinitif, di
te vigoureuse peinture n’étaient pas imaginés ; c’est en pensant à la femme du lieutenant criminel que Racine disait dans les
ntrer au logis les mains nettes. 565. Le lieutenant criminel et sa femme furent en effet trouvés assassinés dans leur mais
d tout ce qu’elle lui doit : mais elle lui fait sentir tout ce qu’une femme délicate se doit à elle-même, et tous les avantag
dit. des Pensées choisies publiée par M. Prosper Faugère. 659. Cette femme juive, comme on le voit dans le Livre des Juges,
: Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma femme ou ma sœur ? 782. Hector, avant d’aller combat
91 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
une pensée d’une naïveté charmante : Un boucher moribond, voyant sa femme en pleurs, Lui dit : Ma femme, si je meurs, Comme
mante : Un boucher moribond, voyant sa femme en pleurs, Lui dit : Ma femme , si je meurs, Comme en notre métier un homme est
Pyrrhus : Ah ! je mourrais de honte d’avoir été tué de la main d’une femme . Un autre défaut voisin de la naïveté consiste da
acbeth, on vient dire à Macduff que son château a été pris, et que sa femme et ses enfants ont été massacrés par Macbeth. Mac
92 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
i de la famine qui a désolé l’Italie. Nous entendions les cris de nos femmes et de nos enfants qui nous demandaient du pain. N
ère, on lui dit qu’il avait sauvé Rome ; quand il eut fait égorger sa femme , on loua devant lui sa justice ; quand il eut ass
93 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
blessé 1 Paris, … mai 1784. Je n’ai nulle considération pour des femmes qui se permettent de voir un spectacle qu’elles j
t de son juge le conseiller Goezman : c’était de faire un cadeau à sa femme  ; cent sous d’or, une montre à répétition enrichi
94 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
de La Fontaine81 pèche contre cette règle. C’est un singe qui bat sa femme et qui la fait mourir de chagrin. La Fontaine con
 ; Je leur fais peur à tous. Hélas ! je le vois bien,         Vieille femme n’obtient plus rien.         — Vous êtes pourtant
enteur de ce genre, a donné à son recueil. Ce poète a supposé que des femmes ou filles de héros, séparées de leurs maris ou de
héroïdes ; ce qui signifie en français les héroïnes, c’est-à-dire les femmes qui étaient censées avoir écrit ces lettres. Nous
95 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
gmenter son malheur, et enfin sa triste et cruelle agonie, loin de sa femme et de ses enfants qui l’attendent en lui préparan
nature perce le cœur du malheureux expirant sans secours, loin de sa femme , de ses enfants, de ses amis. En vain sa femme, a
ns secours, loin de sa femme, de ses enfants, de ses amis. En vain sa femme , attendant soir retour, lui prépare un feu clair
les cris et les larmes de l’innocence. Hélas ! il ne verra plus ni sa femme , ni ses amis, ni ses enfants, ni sa maison hospit
96 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — La Bruyère, 1646-1696 » pp. 155-177
robe, et de politique à un financier ; ils savent l’histoire avec les femmes  ; ils sont poëtes avec un docteur et géomètres av
me ressemble, Mais j’entends là-dessous un million de mots. (Molière, Femmes savantes, III, 2.) 2. Essuyer, subir : Ces
lle personne Afin de mal user des choses qu’il vous donne. (École des femmes , II, 6.) 1. Rappel, recours devant un juge su
97 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 277-290
moi dans Césarée en flamme, Tes yeux virent périr mes deux fils et ma femme , Châtillon. Mon bras, chargé de fers, ne les put
riade. Une seule édition de ce poëme, dédiee à la reine d’Angleterre, femme de Georges II, en 1727 (ce fut la première complè
98 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Michel de Montaigne, 1533-1592 » pp. -
Comme il sentit sa fin approcher, il pria, par un petit bulletin, sa femme de mander quelques gentilshommes, siens voisins,
ne moratus venter 4. Ne prenez jamais, et donnez encores moins à vos femmes , la charge de leur nourriture ; laissez les forme
99 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Madame de Sévigné, 1626-1696 » pp. 76-88
fait ? » Voilà sur quoi je vous laisse, mon cher cousin.3. 1. Les femmes alors sortaient en masque, usage qu’on retrouve d
amis, c’est-à-dire de lâcheté à leur endroit. 3. Marie-Anne Mancini, femme du duc de Bouillon. 4. Elle resta fidèle au card
100 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Nisard. Né en 1806. » pp. 585-597
irez-vous que le beau rôle est à Angélique et que ce rôle tentera les femmes qui iront voir la comédie ? La femme qui voudra ê
ique et que ce rôle tentera les femmes qui iront voir la comédie ? La femme qui voudra être Angélique n’avait rien à apprendr
/ 202