dîner, avec la société de ma belle-mère. Elle était composée de sept
femmes
, les plus graves de la province ; deux d’entre el
, timides comme à quinze, mais beaucoup moins gaies qu’à cet âge. Une
femme
disait à l’autre : Ma chère, croyez-vous que l’ea
s froide ; et l’ennui soulevé retombait avec un nouveau poids sur ces
femmes
, que l’on aurait pu croire malheureuses, si l’hab
ttendu n’apportait pas un grand changement dans la manière d’être des
femmes
: les hommes continuaient leur conversation auprè
les hommes continuaient leur conversation auprès de la cheminée ; les
femmes
restaient dans le fond de la chambre, distribuaie
la trace des années, qui venait enfin s’imprimer sur le visage de ces
femmes
comme si elles eussent vécu pendant ce temps.1
sard.) Benjamin Constant a dit de Madame de Staël : « La vue de cette
femme
célèbre remplit d’abord d’une excessive timidité.
i concilient presque tous ceux qui l’approchent. Je ne connais aucune
femme
et même aucun homme qui soit plus convaincu de so
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une
femme
se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une
femme
se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
qu’avec Bélise il est du premier bien. Célimène. Le pauvre esprit de
femme
, et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir,
4, (Le Misanthrope, acte III, sc. v.) Chrysale dit leur fait aux
femmes
savantes Chrysale, à Bélise. C’est à vous q
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une
femme
étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu’une
femme
en sait toujours assez, Quand la capacité de son
aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les
femmes
d’à présent sont bien loin de ces mœurs. Elles ve
’il a parlé ; Et je lui crois, pour moi, le timbre un peu fêlé1. (Les
Femmes
savantes, acte II, sc. vii.) La fresque
esclave d’Amphitryon, qui l’a chargé de la part du butin destiné à sa
femme
Alcmène, s’essaye au discours dans lequel il doit
à trouver à redire, Et ne verrons que nous qui sachent bien écrire. (
Femmes
savantes, acte III, sc, ii.) 1. Alceste a son
r la bonne bouche. 2. « Nous avons deux sortes d’esprit, nous autres
femmes
. Nous avons d’abord le nôtre, qui est celui que n
re un autre, qui est à part du nôtre, et qui peut se trouver dans les
femmes
les plus sottes. C’est l’esprit que la vanité de
lomnie ou de la haine. Comparez la Prude et la Sage. (La Bruyère, des
Femmes
, p. 78.) 7. Déportements. Conduite. 1. « La pe
1. « La perfidie est un mensonge de toute la personne : c’est dans la
femme
l’art de placer un mot ou une action qui donne le
touché ! Comparez le portrait de Lise, la coquette. (La Bruyère, des
Femmes
, p. 68.) 2. Vie exemplaire. Oui, prêcher d’exem
Molière était trop éclairé pour refuser l’instruction à l’esprit des
femmes
. Il ne combat ici que le ridicule de la science p
jour : Ce sont les arts qui font le charme de la vie, Et par eux une
femme
est toujours embellie. Votre sexe avec nous peut
ici un fragment : « La science est une chose très-dangereuse pour les
femmes
. On ne connaît presque pas de femmes savantes qui
e chose très-dangereuse pour les femmes. On ne connaît presque pas de
femmes
savantes qui n’aient été ou malheureuses, ou ridi
s expose habituellement au petit danger de déplaire aux hommes et aux
femmes
(pas davantage) : aux hommes qui ne veulent pas ê
s (pas davantage) : aux hommes qui ne veulent pas être égalés par les
femmes
, et aux femmes qui ne veulent pas être surpassées
e) : aux hommes qui ne veulent pas être égalés par les femmes, et aux
femmes
qui ne veulent pas être surpassées. La science, d
aître ; car nous sommes tous orgueilleux. Or, voilà le danger, car la
femme
ne peut être savante impunément qu’à la charge de
ure et Jean qui rit Du dueil que mena1 Gargantua de la mort de sa
femme
Badebec 2 Quand Pantagruel fut né, qui3 fut b
hy et perplex, ce fut Gargantua son pere ; car voyant d’un cousté1 sa
femme
Badebec morte, et de l’aultre son filz Pantagruel
entendement estoit, assauoir3 s’il deuoit plorer4 pour le dueil de sa
femme
, ou rire pour la ioye5 de son filz ? D’un costé e
sant ouyt la letanie13 et les mementos des prebstres qui portoyent sa
femme
en terre, dont14 laissa son bon propos15 et tout
gentil homme, il vault mieulx pleurer moins et boire d’aduantaige. Ma
femme
est morte : et bien, par Dieu (da jurandi20) ie n
n2 trouuer vne aultre. Mais voicy que3 vous ferez, dict il es4 saiges
femmes
(ou sont elles ? Bonnes gens, ie ne vous peulx ve
cte Dodin en pleine eau la teste au fond. (Livre III, ch. xxiii.)
Femme
mute 11 et mari sourd Le bon12 mary voulut qu
respondit en son art bien auoir remedes propres pour faire parler les
femmes
: n’en avoir pour les faire taire. Remede2 vnicqu
icque estre surdité du mary, contre cestuy interminable parlement3 de
femme
. Le paillard4 deuint sourd par ne sçay quelz char
paillard4 deuint sourd par ne sçay quelz charmes5 qu’ilz feirent. Sa
femme
voyant qu’il estoit sourd deuenu, qu’elle parloit
e, par vertus de laquelle il deuint fol. Adoncques7 le fol mary et la
femme
enragée se raslierent8 ensemble et tant bastirent
s mots ceci, cela remplacent les épithètes qu’il pourrait donner à sa
femme
. 15. Retrouverai ; du verbe recouvrer (recupera
très employés. 19. Dame, de domina, était le nom qu’on donnait aux
femmes
des seigneurs, par opposition à demoiselle (domin
s des seigneurs, par opposition à demoiselle (dominicella), titre des
femmes
de bourgeois. 20. Fausse, perâde. 1. Tu es asse
et riche d’étoffe. La robe était le vêtement commun des hommes et des
femmes
. 12. Festoyer, forme augmentative de fêter. 13
eilleuse que. 4. Il crut. 5. Hercule, fils de Jupiter et d’Alcmène,
femme
d’Amphitryon, roi de Tyrinthe. Junon envoya deux
Chapitre XV. Une
femme
peut être bonne, etc.] « Les poëtes, dans la pein
a foiblesse de l’âge, et celle du sexe dans la peinture des mœurs des
femmes
: elles sont moins propres que les hommes, soit à
nt ce qu’a entendu Aristote quand il a dit dans sa Poétique que « les
femmes
sont communément plus mauvaises que les hommes ».
me écrit dans un passage de ses Problèmes (XXIX, 11) où il appelle la
femme
un être inférieur (πολὺ ἦττον) et plus faible (ἀσ
té de Dieu, ch. xxv. On sait de quelle manière Périclès s’adresse aux
femmes
d’Athènes dans l’oraison funèbre que lui prête Th
est perpétuée depuis le vieux poëte Simonide d’Amorgos (poëme Sur les
Femmes
, dans les Lyrici varii de la collection de Boisso
ens aient toujours, et en tout point, méconnu la dignité morale de la
femme
. Aristote, à lui seul, nous offre beaucoup de bel
nomique, nous représente avec une délicatesse charmante le rôle de la
femme
dans le ménage d’un riche campagnard Athénien. La
qu’il ne prend ni genre ni nombre. EXEMPLES. Un homme lisant. Une
femme
lisant. Des hommes lisant. Des femmes lisant.
ES. Un homme lisant. Une femme lisant. Des hommes lisant. Des
femmes
lisant. Remarque. Ce qu’on appelle gérondif
éfléchis, le participe ne s’accorde pas avec son sujet ; on dit d’une
femme
: elle s’est mis cela dans la tête (et non pas mi
est-à-dire qui viennent des verbes). On dit : un homme obligeant, une
femme
obligeante ; ce ne sont pas des participes, parce
rticipes, parce qu’ils n’ont pas de régime : mais quand je dis, cette
femme
est d’un bon caractère, obligeant tout le monde q
hacun fuit ou se cache ; quelques-uns sont arrachés des bras de leurs
femmes
ou de leurs enfants ; mais la plupart nus, dans l
tre, et, au moyen de mesures si bien prises, on parvient à saisir une
femme
, un barbier, un sabotier, quatre ou cinq laboureu
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa
femme
parler et se disputer ; et, prêtant l’oreille par
Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux ? » A quoi la
femme
répondit : Oui. » Et je n’entendis plus rien. Que
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa
femme
après lui, moi, derrière la porte : il ouvrit ; m
la porte : il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe, que sa
femme
vint prendre, puis il entra pieds nus ; et elle,
ulle part aussi fécond, aussi varié, aussi parfait que chez nous. Les
femmes
s’y sont particulièrement distinguées, et pour ne
Une imagination active et mobile, comme l’est ordinairement celle des
femmes
, l’attache successivement à tous ces objets, et n
tous ces objets, et nous nous y attachons avec elle. Donnons de cette
femme
célèbre une lettre écrite à sa fille, le 20 févri
; il voulait aller sauver sa mère, qui brûlait au troisième étage. Sa
femme
s’attachait à lui et le retenait avec violence ;
tre la douleur de ne pas secourir sa mère et la crainte de blesser sa
femme
, grosse de cinq mois. Enfin il me pria de tenir s
e blesser sa femme, grosse de cinq mois. Enfin il me pria de tenir sa
femme
; je le fis : il trouva que sa mère avait passé a
ent. Enfin il revint à nous dans cette rue où j’avais fait asseoir sa
femme
. Des capucins, pleins de charité et d’adresse, tr
ue, moins captive et moins contrariée, elle n’a point, comme dans les
femmes
, le ressort que donne la contrainte aux passions
s ont souvent donné l’exception pour la règle. Pour ne parler que des
femmes
, voyez ces femmes toutes viriles de Corneille, qu
é l’exception pour la règle. Pour ne parler que des femmes, voyez ces
femmes
toutes viriles de Corneille, que Balzac appelait
cour du roi de Pont et des empereurs de Rome ; parcourez ensuite les
femmes
idéales et vaporeuses du drame allemand ou anglai
irants, résignés, célestes et infernaux, quel écrivain nous montre la
femme
tout entière, comme Homère, par exemple, a montré
Télémaque, père dans Priam ? Homère lui-même n’a pas voulu aborder la
femme
; Andromaque et Pénélope ne sont que l’épouse. Le
nes ont mieux réussi, assurément ; le christianisme, qui assigne à la
femme
son véritable rang, les a mieux éclairés sur sa n
n homme, d’un quadragénaire, d’un soldat, d’un bourgeois, et dont une
femme
, un jeune homme, un magistrat, un prêtre, devront
imé, la nouvelle. Un jeu de mots Un homme, devisant1 avec une
femme
de Paris, laquelle se vantoit d’estre la maistres
t il, asseurez vous que je scais deux poincts pour avoir raison d’une
femme
. — Vites-vous3 ? dit-elle ; et qui sont ces deux
l’aultre main, « et voilà l’aultre. » De quoy il fut bien ri. Car la
femme
attendoit qu’il luy alloit descouvrir deux raison
it qu’il luy alloit descouvrir deux raisons nouvelles pour mettre les
femmes
au pas4. Le Pot au lait Comparaison des a
rsqu’ils en font les fonctions : = je connais des hommes savants, des
femmes
prudentes : = j’ai lu un discours bien écrit, une
pris adverbialement, et alors ils sont toujours au masculin : = cette
femme
chante faux : = elle parle haut : = elles restère
on dira : voilà un des hommes qui ont le mieux servi l’État ; une des
femmes
qui ont le plus d’esprit ; un des plus beaux ouvr
ses inanimées. On dira donc, en parlant d’un homme, d’un arbre, d’une
femme
, d’une prairie : il est beau ; elle est belle.
e heure le goût du travail. Si, néanmoins, on parle précisément d’une
femme
, ou de son sexe en général, l’adjectif doit être
rtant à un ou à plusieurs adjectifs, ne prend ni genre ni nombre. Une
femme
à qui l’on demande si elle est malade, doit donc
ce là votre pensée ? doutez-vous que ce ne la fût ? Si l’on dit à une
femme
: êtes-vous la malade dont on m’a parlé : elle do
s des enfants, les supplications des vieillards, les gémissements des
femmes
, rien ne put arrêter sa barbare furie. Dans ces e
ronom, avec lequel ils se conjuguent, est en régime composé : = cette
femme
, dans l’excès de sa douleur, se déchirait le visa
uveaux attentats, nous avons tous frémi, frissonné d’horreur ; et nos
femmes
auraient même tremblé pour leur propre vie, si no
ous nous sommes lamentés inutilement : = cet homme s’est moqué, cette
femme
s’est moquée mal à propos de ce malheureux ; = vo
x, etc ; nous avons lamenté nous, etc. ; cet homme a moqué lui, cette
femme
a moqué elle, etc. ; vos frères ont tu eux, vos s
dire : j’ai vu la maison bâtir. Ainsi, on dirait, par exemple, d’une
femme
qui aurait été battue : on l’a laissé battre : la
comme si l’on disait : on a laissé battre elle. Mais on dirait d’une
femme
qui aurait battu son enfant : on l’a laissé battr
; c’est-à-dire, j’ai vu peindre elle. Il faudra également dire d’une
femme
: on l’a laissée tomber, mourir, parce que le pro
serez l’un et l’autre déterminés à le finir : = doutez-vous que cette
femme
ne se soit réduite, par ses folles dépenses, à un
on disait : nous avons réuni nous ; vous aurez déterminé vous ; cette
femme
ait réduit elle ; ces troupes auroient défendu el
tte affaire est douteux. = Vous vous êtes tous les deux imaginé ; vos
femmes
se sont figuré que la chose pourrait arriver autr
à nous ; vous avez tous les deux imaginé à vous, ou, dans vous ; vos
femmes
ont figuré à elles, ou, dans elles. On dira donc
rèce s’est donné la mort, c’est-à-dire, a donné la mort à elle. Cette
femme
se sera mise à la tête des cabaleurs ; c’est-à-di
ise à la tête des cabaleurs ; c’est-à-dire, aura mis elle ; et, cette
femme
se sera mis des chimères dans l’esprit, c’est-à-d
ois espèces de mots, suffira pour l’explication de cette règle. = Ces
femmes
se sont déclarées les maîtresses de la maison : e
, après Duclos, l’abbé d’Olivet, et l’Académie, qu’il faut dire d’une
femme
: on l’a laissée tomber, mourir : elle s’est lais
mnon rentra dans sa patrie, après la prise de Troie, Clytemnestre, sa
femme
, lui fit préparer un grand festin, au milieu duqu
présentée ayant la partie supérieure du corps semblable à celle de la
femme
, et le reste semblable à celle d’un poisson. Ang
, que les Arabes ramassent. Athalie, fille d’Achab et de Jézabel, et
femme
de Joram, roi de Juda. Après la mort de son mari,
ns les douze quartiers de Rome. Cicéron, alors consul, averti par une
femme
nommée Fulvia, prévint l’effet de cet horrible co
ses colosses, ses sphinx (figures qui ont le visage et le sein d’une
femme
, et le reste du corps d’un lion), ses statues, se
ce (Henriette Marie de), fille de Henri IV et de Marie de Médicis, et
femme
de Charles I, roi d’Angleterre. Les troubles de c
u près les mêmes que les Amours personnifiés. Voyez ce mot. Jezabel,
femme
de l’impie Achab, roi d’Israël, et digne d’un tel
on royale ; mais Joas fut sauvé de ce massacre par Josabet, sa tante,
femme
du grand-prêtre Joïada ou Joad. Élevé secrètement
en Égypte, à Putiphar, général des armées de Pharaon. Calomnié par la
femme
de ce seigneur, aux désirs de laquelle il n’avait
s du grand prêtre Joad vers l’an 880 avant J.-C. Médicis (Marie de),
femme
de Henri IV, et mère de Louis XIII. Elle mourut à
ait le souffle des vents. La fable dit aussi qu’Orphée ayant perdu sa
femme
Euridice, descendit aux enfers, où, par les accor
a Grèce, irrités de ce que Pâris, fils de Priam, avait enlevé Hélène,
femme
de Ménélas, roi de Sparte. L’énorme cheval de boi
chille, que la déesse Thétis, sa mère, y avait envoyé sous l’habit de
femme
, et l’amena au camp, où il apporta en même temps
je ne sais meilleur (homme) en France : — il est mon fils (né) de ma
femme
la noble, — et certes tiendra mes marches (pays f
s ; — à un moutier (monastère) de non-nains (Aude) est portée, — (les
femmes
) la veillent la nuit jusqu’au lever du jour. — Le
ue Michel.) Ah ! Si j’avais cru Théophraste, — jamais je n’eusse pris
femme
; — il ne regarde pas comme homme sage — celui qu
is femme ; — il ne regarde pas comme homme sage — celui qui prend une
femme
en mariage. — Celui-là a une vie trop lourde, — p
ine, — et de contestations et de disputes, — à cause de l’orgueil des
femmes
sottes, — et des dangers et des reproches — qu’el
, — pour s’opposer à leurs folles volontés. — Et qui veut prendre une
femme
pauvre, — il lui faut songer à la nourrir — et à
rci. » Li rois attendi un petit de parler et regarda la bonne dame sa
femme
, qui ploroit devant lui en jenoulz moult tenremen
mes. » Le roi attendit un peu pour parler et regarda la bonne dame sa
femme
, qui pleurait devant lui à genoux très tendrement
ait apparente et connue, une dame romaine, sage au demeurant392, mais
femme
pourtant, importuna son mari, et le pria très ins
re. » Après qu’il lui eut dit cela, il s’en alla au palais401 : et sa
femme
incontinent402, tirant à part la première de ses
Lors le Romain en se souriant410 : « Vraiment,, dit-il à part soi, ma
femme
, tu n’as pas beaucoup attendu, quand411 la parole
alla parler aux consuls pour les ôter du trouble. Et pour châtier sa
femme
, incontinent qu’il fut de retour en sa maison : «
châtier sa femme, incontinent qu’il fut de retour en sa maison : « Ma
femme
, dit-il, tu m’as détruit : car il s’est trouvé qu
ver. » Ce sénateur fut homme sage et bien avisé, qui, pour essayer sa
femme
, comme un vaisseau mal relié415, ne versa pas du
un vaisseau espagnol où était le gouverneur de l’île d’Havane499. Sa
femme
, en étant avertie, mit incontinent500 tant d’homm
les (1659), l’Ecole des maris (1661), les Fâcheux (1661), l’Ecole des
Femmes
(1662), Don Juan (1665), le Misanthrope (1666), l
le Bourgeois gentilhomme (1670), les Fourberies de Scapin (1671), les
Femmes
savantes 1672), le Malade imaginaire (1673). C’es
nche. — Fort bien, Monsieur, Dieu merci. Don Juan. — C’est une brave
femme
. M. Dimanche. — Elle est votre servante, Monsieu
utres, de la côte de saint Louis634 ? M. Jourdain. — Taisez-vous, ma
femme
, je vous vois venir. Mme Jourdain. — Descendons-
pas marchand aussi bien que le mien ? M. Jourdain. — Peste soit de la
femme
! Elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
e s’il en était originaire ; il discourt des mœurs de cette cour, des
femmes
du pays, de ses lois et de ses coutumes ; il réci
ervi, il se met le premier à table et dans823 la première place ; les
femmes
sont à sa droite et à sa gauche824. Il mange, il
l’âme du singe fut introduite dans ce nouveau métier, qu’une vieille
femme
causeuse l’acheta. Il fit ses délices ; elle le m
qu’il avait confiées à un ami ; mais il fut encore plus funeste à la
femme
de son seul héritier, fils de sa sœur, qui était
de sa sœur, qui était curé963 d’une paroisse près de Leipsick. Cette
femme
, en voyant tant d’argent ensemble qui lui apparte
près du Roi et de Mme de Maintenon. Brissac1024, fatigué d’y voir des
femmes
qui n’avaient pas le bruit1025de se soucier beauc
mure dans les travées qui étaient pleines ; et un moment après chaque
femme
souffle sa bougie, et s’en va, tant et si bien qu
’y trouver en tout et pour tout que Mme de Dangeau et ces deux autres
femmes
. Il en parla, dès en sortant de sa travée, avec u
fus regardé comme si j’avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes,
femmes
, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais,
Tuileries, je voyais aussitôt un cercle se former autour de moi ; les
femmes
même faisaient un arc-en-ciel nuancé de mille cou
récompenses pour lui avoir rapporté le corps sanglant de son fils. Sa
femme
, ses filles et l’épouse du mort, en pleurs, lui r
ommis auprès de sa maison, tandis qu’il dormait profondément entre sa
femme
et ses sept enfants. On confronte l’accusé avec u
de ses assesseurs. Il ne leur tombe pas dans l’esprit d’interroger la
femme
, les enfants, les voisins, de chercher si l’argen
cusé expire sur la roue devant sa porte ; son bien est confisqué ; sa
femme
s’enfuit en Autriche avec ses petits enfants. Hui
r fils unique à leur amie intime. Le jeune marquis allait épouser une
femme
qu’il adorait et dont il était aimé ; les amis de
us faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? Allez chez cette pauvre
femme
, et dites-lui que je lui veux toujours du bien :
isage rond et frais, qui respirait la douceur et la gaieté. Sa petite
femme
, brune et assez grossièrement agréable, était cah
rie où je loge me conter le reste, lui dit Colin ; embrasse ma petite
femme
et allons dîner ensemble. » Ils vont tous trois à
out cet attirail ? Vous appartient-il ? — Oui, tout est à moi et à ma
femme
. Nous arrivons du pays ; je suis à la tête d’une
menade.) Les oublies1180 Un dimanche1181 nous étions allés, ma
femme
et moi, dîner à la porte Maillot : après le dîner
, ni marquer des préférences qui produiraient des mécontentements. Ma
femme
insinua à celles qui avaient de bons lots d’en fa
hoisie que nombreuse, d’amis aimant le plaisir et s’y connaissant, de
femmes
qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
nds que Mlle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille
femme
, nommée madame Le Vasseur1199 et si pauvre qu’ell
r de ma mère, cette tante qui m’est restée ; c’était au milieu de ces
femmes
et d’un essaim d’enfants que mon père se trouvait
u de la bergerie de Saint-Thomas1248 habillait de sa laine tantôt les
femmes
et tantôt les enfants ; mes tantes la filaient ;
qu’avait notre grand’mère à le partager entre nous. La plus sobre des
femmes
nous rendait tous gourmands. Ainsi, dans un ménag
dans la voiture publique, avait donné de temps en temps le bras à sa
femme
malade ». Ce même homme avait un fils de dix-huit
encore, quoiqu’il soit obligé de le faire manger lui-même, et que sa
femme
soit souvent malade. Je me suis arrêté une fois a
e lui donnaient jamais rien ; mais il y avait peu de servantes, ou de
femmes
chargées de hottes, qui ne s’arrêtassent pour lui
6, et une estampe du roi d’Angleterre, son ancien bienfaiteur1327. Sa
femme
était assise, occupée à coudre du linge ; un seri
te qui devint l’une de nos stations. C’était le logis d’une laitière,
femme
veuve, qui vivait là avec deux vaches et quelques
lard, était le grand-père ; que les soins de la famille occupaient la
femme
, tandis qu’il cultivait ce jardin, dont son fils
etits enfants ; je témoignai de la vénération au vieillard ; la jeune
femme
parut bien aise de nous avoir reçus : on parla de
nondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu, si une
femme
, des enfants, des frères séparés de moi depuis lo
’admiration et presque de fanatisme la foule qui le considérait ; les
femmes
surtout s’exprimaient avec cette imagination qui
e talent seul enflammait : l’amour de la liberté, le respect pour les
femmes
, l’enthousiasme des beaux-arts, l’adoration pour
e ; je trouvai dans cette grange une vingtaine de sauvages, hommes et
femmes
, barbouillés comme des sorciers, le corps demi-nu
ence. Je trouvai en sortant tout le village assemblé à la porte ; les
femmes
fondirent sur moi en criant : Crasi ! crasi ! « D
ui composaient jadis sa cour, lui dit : « Pleure maintenant comme une
femme
un royaume que tu n’as pas su défendre comme un h
l’âme, il franchit le seuil du cachot. Cyrille s’écrie : « Fils de la
femme
, on vous a donné un front de diamant1415 : ne les
ui donnaient l’absolution du milieu de la foule, des jeunes gens, des
femmes
qui criaient : « Nous demandons à mourir avec lui
mblable à un marché de laboureurs et de pêcheurs ; il était rempli de
femmes
et d’enfants, et retranché avec des bateaux de cu
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa
femme
parler et se disputer ; et prêtant l’oreille par
ari : Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? À quoi la
femme
répondit : Oui. Et je n’entendis plus rien. Que v
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa
femme
après lui ; moi derrière la porte : il ouvrit ; m
la porte : il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe, que sa
femme
vint prendre ; puis il entre pieds nus, et elle,
nd de fortune1445 passent Pierre Houry d’Azai1446, Louis Bezard et sa
femme
, Jean Proust, la petite Bodin, allant à l’assembl
s, et tous les passants regardant. M. le maire est gentilhomme par sa
femme
, née demoiselle1453 : voilà pourquoi il nous tuto
nne hache, et qui vivait pauvrement du produit de ses fagots, avec sa
femme
, qui s’appelait Brisquette. Le bon Dieu leur avai
s les loups, à cause de sa bonne hache, dit un matin à Brisquette : «
Femme
, je vous prie de ne laisser courir ni Biscotin, n
t pour nous, voilà la charité. Un homme vivait de son labeur, lui, sa
femme
et ses petits enfants ; et comme il avait une bon
a trouver le premier et il lui dit : « Nous manquons de tout, moi, ma
femme
et mes enfants ; ayez pitié de nous. » Le riche l
uets, toujours entre deux haies de troupes ; une foule d’hommes et de
femmes
s’y étaient précipités au péril de leur vie, immo
ne sont pas sûrs des sentiments qu’on y a pour eux. Le pêcheur et sa
femme
nous précédaient de quelques marches ; Graziella,
ouleur s’échapper à la fois de la bouche du pêcheur et de celle de sa
femme
. Nous les vîmes élever leurs bras nus au ciel, se
sur la plage, les uns à genoux, les autres à la renverse, la vieille
femme
le visage dans ses mains et la tête dans le sable
s, qu’ils s’efforçaient de diriger vers le rivage. Quant à la vieille
femme
, elle ne cessait de gémir et de parler en gémissa
mment est-il montré reconnaissant ? Qu’a-t-il fait de mon fils, de sa
femme
et de la barque qu’il nous avait laissée après lu
lat du bateau laissé à sec par une lame, voilà le saint ! » La pauvre
femme
oublia toute sa colère et tous ses blasphèmes, s’
nombre de trois cents personnes, parmi lesquelles il y avait dix-huit
femmes
. Deux hommes seulement se retinrent à la grande v
irent une vive impression sur l’esprit du roi Hilperik. Au milieu des
femmes
qu’il avait épousées à la manière des anciens che
avec eux, si le roi ne s’engageait par serment à congédier toutes ses
femmes
et à vivre selon la loi de Dieu avec sa nouvelle
e d’abandonner tout ce qu’il avait de reines, pourvu qu’il obtînt une
femme
digne de lui et fille d’un roi.... A travers tous
roi et prendre ses ordres pour le départ ; mais, à la vue de ces deux
femmes
sanglotant sur le sein l’une de l’autre, et se se
nord.... Cependant, Hilperik, fidèle à sa promesse, avait répudié ses
femmes
. Fredegonde elle-même ne put échapper à cette pro
degonde tous les droits d épouse et de reine. Ainsi périt cette jeune
femme
, qu’une sorte de révélation intérieure semblait a
ent d’affreux sillons, et arrachaient des cris de terreur aux pauvres
femmes
, cantinières ou fugitives, qui étaient sur les vo
u’on parvenait à se faire écouter, et qu’arrachant quelques victimes,
femmes
, enfants ou blessés, on réussissait à les amener
s convulsifs s’apercevaient sur l’autre rive. Des blessés, de pauvres
femmes
tendaient les bras vers leurs compatriotes, qui s
n. On ne sait si ce furent six, sept ou huit mille individus, hommes,
femmes
, enfants, militaires ou fugitifs, cantiniers ou s
urgents. L’aveuglement alla au point qu’on les força d’emmener leurs
femmes
et leurs enfants, qu’on eût pu garder comme otage
réunirent aux mercenaires jusqu’au nombre de soixante-dix mille. Les
femmes
mêmes, qui avaient vu tant de fois traîner en pri
-vous voir deux choses étonnamment analogues ? Regardez d’une part la
femme
au premier pas de l’enfant, et d’autre part l’hir
e ; et le dimanche, après la messe, tous les gens du village, hommes,
femmes
, enfants, vont dans le champ du pauvre homme lui
raissait à tout moment sur le point de s’évanouir, déclara à la jeune
femme
qu’il la priait de le tenir pour son serviteur ;
îner et le bal qui le suivit, il se rendit tellement aimable, que les
femmes
avaient les larmes aux yeux en pensant qu’un auss
eune, mieux on s’entend avec ceux qui le sont. J’ai grand’peur qu’une
femme
de trente ans, qui ne sait pas encore ce que c’es
main ? Je ne sais pourquoi vous avez une mauvaise idée touchant cette
femme
; vous en reviendrez ! — Au diable la femme ! dit
vaise idée touchant cette femme ; vous en reviendrez ! — Au diable la
femme
! dit Germain, je voudrais en être revenu1648 pou
ais en être revenu1648 pour n’y plus retourner. Qu’ai-je besoin d’une
femme
que je ne connais pas ? — Mon petit père, dit l’e
père, dit l’enfant, pourquoi donc est-ce que tu parles toujours de ta
femme
aujourd’hui, puisqu’elle est morte ? — Hélas ! tu
Lundis, Portraits littéraires, Portraits contemporains, Portraits de
femmes
, sont également remarquables par la variété de l’
ateur et du causeur ingénieux qui se révèle dans l’Histoire morale de
femmes
(1847), dans les Pères et les enfants au xixe si
affable que son accueil. Il m’avait même admis dans sa famille, et sa
femme
, sa fille, me montraient la même bienveillance qu
nd la porte latérale du salon s’ouvrit et que je vis entrer une autre
femme
beaucoup plus jeune et pourtant presque aussi vie
ai, se disaient les Gaulois, jamais, dans nos pays, on n’avait vu une
femme
tant souffrir1703. » (Marc-Aurèle et la fin du mo
et en mouvement ; mon oncle Joseph, le charron, arrivait, suivi de sa
femme
; une demi-douzaine de voisins et de voisines ent
demi-douzaine de voisins et de voisines entraient successivement, les
femmes
avec leur tricot, les hommes avec leurs grands br
de ma grand’mère, il s’échappa la nuit, comme un voleur, laissant sa
femme
et ses enfants, courut à pied jusqu’au fond de la
trop vite… Tout à coup il me passa une idée folle. Je savais la chère
femme
très pieuse, catholique enragée comme une Romaine
e suspendue. Cris d’hommes, cris rauques, plus sinistres que ceux des
femmes
, parce qu’on est moins habitué à les entendre ; c
’un fardeau qui lui charge la main. Pour ce1970 on dit que Thétis, la
femme
de Pélée, Après avoir la peau de son enfant brûlé
par sagesse et raison : Le prince qui ne peut gouverner sa maison, Sa
femme
, ses enfants, et son bien domestique, Ne saurait
le Prince2204 ; Allez, venez, courez ; demeurez en province ; Prenez
femme
, abbaye, emploi, gouvernement : Les gens en parle
ryon ne m’a-t-il pas commis2284 A venir en ces lieux vers Alcméne sa
femme
? Ne lui2285 dois-je pas faire, en lui vantant sa
rage. Sosie. A qui destine-t-il un si riche présent ? Mercure. À sa
femme
; et sur elle il le veut voir paraître. Sosie. M
qu’avec Bélise il est du dernier bien. Célimène. Le pauvre esprit de
femme
, et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir,
otin en personne, Et je vis qu’en effet la gageure était bonne. (Les
Femmes
savantes, acte I, sc.iii.) Les deux pédants
es, acte I, sc.iii.) Les deux pédants Trissotin, Vadius, Les
Femmes
Savantes. Vadius. Le défaut des auteurs, dans
ssotin. Hé bien, nous nous verrons seul à seul chez Barbin2351. (Les
Femmes
savantes, acte III, sc. iii.) Le poète a sa m
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs
femmes
, leurs enfants pourront-ils m’arrêter ? Marchons
u’on te voit paraître. Noble, bourgeois, clerc, prélat, petit-maitre,
Femme
surtout, chacun met son espoir Dans tes cartons p
oit libre enlaçant Daïdha, Il s’enfuit emportant ses fils morts et sa
femme
, Comme un spectre emportant les trois parts de so
avant qu’il soit dix jours ». J’emportais les brillants ; mais est-il
femme
ou fille Qui se puisse tenir d’admirer ce qui bri
d’Aaron2706, Entre les vieux créneaux tout brunis par la rouille, Les
femmes
s’asseyaient en filant leur quenouille, Et se moq
ammes veillent Rougit le plafond sombre, et, le front sur le lit, Une
femme
à genoux prie, et songe, et pâlit. C’est la mère.
s du musoir2712. Il gouverne à lui seul sa barque à quatre voiles. La
femme
est au logis, cousant les vieilles toiles, Remmai
des trous d’un crible. Au fond était couchée une forme terrible ; Une
femme
immobile et renversée, ayant Les pieds nus, le re
a sa veste avec emportement. Tandis que le marin disait : « Me voici,
femme
! » Et montrait sur son front qu’éclairait l’âtre
avoir fait ses études. Si petits ! on ne peut leur dire : Travaillez.
Femme
, va les chercher. S’ils se sont réveillés, Ils do
’amuse pas les gens qui sont méchants De voir que je vous prends pour
femme
. Ça les fâche : Vous n’étiez qu’une pauvre ouvriè
Et vivre ainsi pieds nus et riche, heureuse en somme D’être une brave
femme
et d’avoir un brave homme. Nos bans sont publiés.
ête blanche. Écoutez-la, Seigneur, et pour elle, et pour nous ! Cette
femme
, ô mon Dieu, qui vous prie à genoux, Ne la repous
u-pieds, Sur le pont des vaisseaux près de mettre à la voile, Hommes,
femmes
, enfants, nous allons par milliers Chercher aux c
s le fond de son âme Aux cheveux blonds d’un fils, à l’œil bleu de sa
femme
, Trouve au ventre du gouffre un éternel tombeau.
a terre enflammée. Il cherche autour de lui la place accoutumée Où sa
femme
l’attend sur le seuil entr’ouvert ; Il voit un pe
e Quand mon mari2858 combat en bon soldat de Rome, Je dois agir en
femme
ainsi qu’il fait en homme. Nourrice, nous avons t
he tunique2859, Et rendre grâce aux dieux de trouver sur le seuil Une
femme
soigneuse et qui lui fasse accueil.... Tu me pres
fidèle, Par mon aïeule instruite, aux mœurs que je tiens d’elle. Les
femmes
de son temps mettaient tout leur souci A surveill
le ciel ! que j’absolve leurs crimes, Moi, leur victime, et fille et
femme
des victimes ; Mais il faut avouer qu’on les pous
révolution du 9 Thermidor (27 juillet). Dans le salon de Mme Tallien,
femme
de l’un des chefs du parti victorieux, un général
V.) Le retour de Morin L’ouvrier Morin a autrefois abandonné sa
femme
Jeanne, après l’avoir frappée d’un coup de coutea
adoptés, le hasard l’a ramené au bout de vingt ans, en présence de sa
femme
et de son fils Marcel. Il fait l’aveu de son crim
ncline en silence, Ne prennent pas garde aux berceaux Que la main des
femmes
balance. Mais viendra le jour des adieux ; Car il
femmes balance. Mais viendra le jour des adieux ; Car il faut que les
femmes
pleurent Et que les hommes curieux Tentent les ho
de ce prince, Jeanne de Navarre, héritière des comtes de Champagne et
femme
de Philippe le Bel, lui demanda plus tard, d’écri
tour à tour au service de la reine d’Angleterre, Philippe de Hainaut,
femme
d’Edouard III, de Wenceslas de Luxembourg, duc de
e la beauté proverbiale de ce personnage, avaient pris pour un nom de
femme
. Flora, nom romain Thaïs, nom grec, portés par pl
été précipité dans la Seine par ordre de la reine Jeanne de Navarre,
femme
de Philippe le Bel, ou de la reine Marguerite de
rre, femme de Philippe le Bel, ou de la reine Marguerite de Bourgogne
femme
de Louis X le Hutin. 76. Jeu de mots sur le nom
lle, mère de saint Louis. 77. Avec une voix de sirène. 78. Berthe,
femme
de Pépin le Bref, mère de Charlemagne. 79. Peut-
pin le Bref, mère de Charlemagne. 79. Peut-être Béatrix de Provence,
femme
de Charles de France, fils de Louis VIII, et Alix
femme de Charles de France, fils de Louis VIII, et Alix de Champagne,
femme
de Louis VII roi de France. 80. Eremburges, à qu
our malversations, par ordre de Louis XIV (1661-1664). Un oncle de la
femme
de La Fontaine, M. Jeanmart, substitut de Fouquet
rurintendant. La Fontaine l’accompagna dans son exil, et adressa à sa
femme
une suite de six lettres (prose et vers mêlés) qu
e Don Quichotte (voir page 443, note 3), où Cervantès fait tenir à la
femme
de Sancho Pança, Thérèse, des propos de bon sens
urgeoisie ? 636. Nicole, comme la Dorine du Tartuffe, la Martine des
Femmes
savantes, la Toinette du Malade imaginaire, est u
ts de leurs maîtres. 637. Malitorne se dit d’une personne, homme ou
femme
, mal bâtie ou de mauvaises manières. Au féminin o
est la première condition de l’existence de la société. 754. Ruth,
femme
du pays de Moab, qui, devenue veuve, ne voulut pa
tte place, mais qu’il la remplisse. 824. Soit qu’il n’y ait que deux
femmes
dans la société, soit que, plus nombreuses, elles
able et la plus recherchée de toutes est celle qui est entre ces deux
femmes
ou ces deux groupes. 825. Ni des conviés. Il ne
oi de Prusse sous le nom de Frédéric Ier en 1701 ; mort en 1713. — Sa
femme
Sophie-Charlotte (1668-1705). 962. Duc de Wolfen
tation. 1026. Poster, mettre des gardes à différents postes. 1027.
Femme
du marquis de Dangeau, auteur d’un célèbre Journa
Nariskin, grande famille de Russie, à laquelle appartenait la seconde
femme
du tsar Alexis. 1095. Pierre 1er. C’est sous ce
di. 1183. Une manière de religieuse, une espèce de religieuse, une
femme
qui paraissait appartenir à un ordre religieux. —
un meublier plus convenable. Sur Mme Geoffrin (1699-1777), l’une des
femmes
les plus distinguées de la société du xviiie , vo
e et la mère de son mari, et prodiguait ses soins à ces deux vieilles
femmes
de manière à donner à tous dans la maison (c’est
ment du mot espagnol cimarron (sauvage), désigne un esclave, homme ou
femme
, qui s’est enfui de chez son maître et qui est ai
que, disait Sainte-Beuve, dans une étude sur Mme Roland (Portraits de
Femmes
), foisonnante, pour ainsi dire. » 1340. Tempore
n favori Séjan. 1343. La raison. C’est un mot de Chrysale dans les
Femmes
savantes (II, vii) Raisonner est l’emploi de tout
nt Courier appréciait vivement l’esprit et l’humeur enjouée, était la
femme
d’un de ses cousins, administrateur général des é
la page 8. 1453. Demoiselle se disait, sous l’ancien régime, ou des
femmes
mariées non nobles, ou des jeunes filles de naiss
493. Dillon, nom de famille de Mme Élisa Guizot (1804-1835), seconde
femme
de Guizot. 1494. Guizot cite ici de mémoire et l
ple, sont communément appelés Sigebert et Chilpéric. 1512. Parmi ces
femmes
se trouvait une ancienne servante du palais, la c
poétique figure de Galeswinthe on peut rapprocher celle de Radegonde,
femme
de Clotaire Ier, qu’Augustin Thierry met en scène
multitude d’hommes sans armes, de blessés, de malades, d’enfants, de
femmes
, au lieu de se hâter de passer les ponts établis
, enfants des Hellènes, délivrez la patrie, délivrez vos enfants, vos
femmes
, les temples des dieux nationaux, les tombeaux de
s, fait entendre certaines vérités importantes. 1596. Deux vieilles
femmes
: sa sœur, Mlle Baptistine ; et sa servante, Mme
toriser de l’exemple de cet homme célèbre, que, comme le dit Molière (
Femmes
savantes, I, i) : Quand sur une personne on prét
avec trois enfants, est parti, sur le conseil même des parents de sa
femme
défunte, pour aller demander la main d’une riche
d, je voudrais en être revenu, c’est-à-dire être revenu de chez cette
femme
. 1649. Je vas. Cette forme, qui n’est pas incor
i figurent, ainsi que Phi laminte, dont il va être question, dans les
Femmes
savantes : Molière les met aux prises dans une sc
use. On appela d’abord précieux et précieuses (c’est-à-dire hommes et
femmes
d’un grand prix) les personnages distingués qui,
auteur d’un petit poème qui eut son heure de célébrité, le Mérite des
femmes
, et de tragédies qui eurent quelque succès en leu
e Charles-Quint). 1845. Possession particulière de Claude de France,
femme
de François Ier, la Bretagne ne devait être offic
isons n’en faisaient qu’une ; Les clés, la bourse était commune ; Les
femmes
n’étaient jamais deux. Tous les vœux étaient unan
eurs jeux, Les pères se prêtaient leurs rimes. (Poésies : les Bonnes
Femmes
.) 2096. Le timide Prusias, roi de Bithynie (192
Amphitryon, général des Thébains, a envoyé son esclave Sosie vers sa
femme
Alcmène pour lui annoncer sa récente victoire et
désignent ici des personnages imaginaires. 2290. Prude se dit d’une
femme
dont la vertu a quelque chose de hautain ou d’aff
la pièce de Molière est en vers libres. 2300. Célimène est une jeune
femme
que sa beauté et son esprit, non moins que son hu
atière d’ouvrages de l’esprit. 2317. Madame votre mère, Philaminte,
femme
de Chrysale, bourgeois de Paris, qui a le tort de
hrysale, bourgeois de Paris, qui a le tort de vouloir passer pour une
femme
savante. 2318. Aux encens qu’elle donne. Assez
mande et sa belle-sœur Bélise, qui, comme elle, se vantent d’être des
femmes
savantes, à l’entretien des deux pédants. La scèn
place dans la galerie de ses personnages (la Critique de l’École des
femmes
, l’Impromptu de Versailles, le Misanthrope), fut
ut rester fidèle au souvenir d’Hector, ne peut accepter de devenir la
femme
de Pyrrhus : elle s’adresse une dernière fois, da
en secondes noces sa nièce Agrippine, avait adopté le fils que cette
femme
avait eu d’un premier mariage, Néron, et l’avait
: il a retrouvé Alzire mariée, et, plein de respect pour cette noble
femme
, il eût triomphé de sa passion, s’il n’avait revu
alors une satire de l’ambition de Napoléon. 2594. Par Jeanneton, sa
femme
, une paysanne. — Les autres rois sont couronnés d
préhistoriques, dans les premiers âges du monde. Cédar et Daïdha, sa
femme
, avec leurs deux enfants, traversent le désert, g
douce châtelaine, Chimène, l’héroïne du Cid de Corneille, devenue la
femme
de Rodrigue. 2638. François de Paule (1416-1507)
eille légende racontait comment Turpin, ayant enlevé au cadavre d’une
femme
jadis aimée par Charlemagne un anneau magique, pa
me fallait les vendre, J’aimerais mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma
femme
: eh bien ! j’aimerais mieux La voir mourir, que
ve, déesse de la sagesse, est aussi celle qui préside aux travaux des
femmes
, tapisserie, broderie, etc. 2862. Montagnards,
ps auparavant, lâchement vanté d’avoir fouetté des « Jacobines », des
femmes
attachées au parti des Jacobins. 2867. Infâmes
uvient de Fénelon aidant la paysanne à retrouver sa vache ? La pauvre
femme
pleurait, l’ayant perdue, et Fénelon essayait de
: « Je vous en achèterai une autre. — Ah ! monsieur l’abbé, disait la
femme
, qui ne connaissait pas son archevêque, ce ne ser
stupide ; d’autres se livraient à toute la frénésie du désespoir. Les
femmes
et les enfants des soldats étaient venus chercher
supérieurs, et là ils priaient et lisaient l’Écriture sainte avec les
femmes
des officiers et des passagers. Parmi elles, deux
t une injustice épouvantable que de vouloir condamner Olimpe, qui est
femme
de bien, parce qu’il y a une Olimpe qui est une d
u’on ne peut pas nier. Demande-lui ce qu’il lui semble de l’École des
Femmes
, tu verras qu’il te dira qu’elle ne lui plaît pas
c, il l’eût trouvée la plus belle du monde1. (Critique de l’École des
Femmes
.) Contre l’abus des règles Lysidas, poèt
Lysidas. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’École des
Femmes
a plu ; et vous ne vous souciez point qu’elle ne
e contre aucune des règles dont vous parlez. (Critique de l’Ecole des
Femmes
, sc. vii.) 1. Platon disait : « On ne peut con
t incurable dans sa froide perversité. 3. Cette comédie, l’École des
femmes
.. 4. Ce marquis représente ces gens du monde qui
si bien le portrait. (Voir le Misanthrope, acte II.) 2. L’Ecole des
femmes
. 3. Les poëmes comiques. 1. « Je sais bon gré
1888.) Énumérer et caractériser les personnages mis en scène dans les
Femmes
savantes. Quelle est la conclusion morale à tirer
analyse de quelques scènes de l’ouvrage. (Rennes, novembre 1888.) Les
femmes
dans la comédie des Femmes savantes. (Poitiers, d
de l’ouvrage. (Rennes, novembre 1888.) Les femmes dans la comédie des
Femmes
savantes. (Poitiers, décembre 1890.) Déterminer e
ner et apprécier la moralité de la comédie de Molière intitulée : Les
femmes
savantes. (Clermont, août 1888.) Quelle est la co
la à la tradition de nos conteurs gaulois, a parlé malicieusement des
femmes
, en qui il relève la manie de contredire (La Femm
alicieusement des femmes, en qui il relève la manie de contredire (La
Femme
noyée), – l’amour du bavardage et l’indiscrétion
edire (La Femme noyée), – l’amour du bavardage et l’indiscrétion (Les
Femmes
et le Secret). – la pruderie dédaigneuse (La Fill
nité, au nom de sa renommée de gentilhomme et de chevalier. C’est une
femme
, c’est une vaincue. 3° Qu’il laisse donc cette fi
refuse : une grève se déclare. – Rassemblements tumultueux : hommes,
femmes
, enfants. – Discours animés des différents groupe
mons du xvii e siècle ? – La Bruyère a-t-il eu raison de dire que les
femmes
allaient plus loin que les hommes dans l’art d’éc
ière s’attaque-t-il surtout dans les Précieuses ridicules et dans les
Femmes
savantes ? – Apprécier les caractères de Belise,
e dans une lettre à une de ses amies montre ce qu’est la maison d’une
femme
savante. – Quelles sont les qualités qui vous ont
il songeait aussi à lui plaire quand il donnait le Misanthrope et les
Femmes
savantes. L’influence personnelle du roi est surt
lât d’un crime dont elle n’aurait pas à subir les conséquences. Cette
femme
égoïste et ambitieuse n’a pas les sentiments d’un
plus haut ; il voulait que l’auteur du Misanthrope, de Tartufe et des
Femmes
savantes ne fit rien d’indigne de son génie. Main
attaques injustes et ridicules que l’envie dirige contre l’Ecole des
Femmes
, il le proclame un maître en l’art d’écrire, il l
uple. Le comique du Malade imaginaire n’est pas le même que celui des
Femmes
savantes. L’un et l’autre sont vrais et ils naiss
ge de la haute comédie. Éliante, enfin, parle comme doit le faire une
femme
bien élevée, aimable et sincère. Les caractères n
te pièce, avec toutes ces qualités, en est-elle le chef-d’œuvre ? Les
Femmes
savantes et Tartufe, pourraient seuls, peut-être,
y regarde bien, on reconnaît vite que malgré de grandes beautés, les
Femmes
savantes sont inférieures au Misanthrope. Le comi
et de la mère, mais elle ne dépasse pas ce qu’on peut attendre d’une
femme
, de son cœur et de sa condition ; Pyrrhus, qui ai
ême est le trait distinctif de ce caractère. On comprend qu’une telle
femme
, poussée à bout, ne recule point devant le crime
orme une âme insensible à la pitié, « il ne pleure ni ses amis, ni sa
femme
, ni ses enfants ». S’enrichir est sa seule étude
de Paris, il ne parle que d’aunage, de tarif et de sou pour livre. Sa
femme
n’aime que le luxe, elle ne fait cas que des gens
it-on, la noblesse, la force d’âme. Mais il nous semble que certaines
femmes
de Racine ne sont pas dépourvues de cette grandeu
le retour de Mithridate. En cette circonstance, tout en restant bien
femme
, c’est-à-dire troublée, plaintive et passionnée,
vec les ruses de Mithridate. Là, elle montre l’intuition aiguisée des
femmes
et la confiance des âmes honnêtes et jeunes ; ell
uchant de son infortune en l’accompagnant des accents de sa lyre ; sa
femme
bien-aimée, sa chère Eurydice, a disparu, il l’a
) Concours de 1887. Littérature. Analyser, dans la comédie des
Femmes
savantes, les caractères, à la fois semblables et
posthume de cet ouvrage de la marquise), Voltaire a écrit : « Jamais
femme
ne fut si savante qu’elle et jamais personne ne m
’elle et jamais personne ne mérita moins qu’on dit d’elle : c’est une
femme
savante. » (Section des Sciences.) Concours d
tres Mme du Deffand, qui lisait beaucoup, ne savait pas ce qu’une
femme
doit savoir en fait de littérature. Sainte-Beuve
beaucoup lu. Mais, en fait de lectures, frivole comme la plupart des
femmes
mondaines, elle préférait ce qui plait à ce qui s
vons plus les mêmes humeurs, les mêmes opinions, les mêmes mœurs… Une
femme
qui voudrait écrire comme Mme de Sévigné serait r
s avoir parlé d’Alceste, de Philinte, elle insistera sur les rôles de
femme
(Célimène, Arsinoé, Éliante, etc.). Enfin, elle t
faite. – Comment Molière a-t-il conçu et décrit le caractère de « la
femme
savante » ? – Une dame qui vient d’entendre prono
liquer cette phrase dans laquelle La Bruyère donne la supériorité aux
femmes
en ce qui concerne le genre épistolaire : « Ce se
cette réflexion. – Apprécier et commenter le mot de Lamennais : « La
femme
est une fleur qui ne donne son parfum qu’à l’ombr
vous paraissent avoir été les plus dignes de l’occuper ? – Dans les
Femmes
savantes, Molière se montre-t-il l’ennemi de l’in
s savantes, Molière se montre-t-il l’ennemi de l’instruction chez les
femmes
? – L’amour maternel dans le théâtre de Corneille
ntiers : « Voulez-vous faire prévaloir une opinion, adressez-vous aux
femmes
: elles la reçoivent aisément parce qu’elles sont
Réfutez ce jugement peu aimable ; montrez qu’aujourd’hui surtout les
femmes
exercent leur influence par d’autres moyens, grâc
lis, non pour m’instruire, mais pour m’élever. » – « La plupart des
femmes
, dit Fénelon, sont passionnées sur presque tout c
parler beaucoup : cependant on ne peut espérer rien de fort bon d’une
femme
, si on ne la réduit à réfléchir de suite, à exami
ix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui convient à la
femme
en général ? Lui suffiraient-elles, en tout cas,
e influence exercée par les gens du monde et particulièrement par les
femmes
sur le développement de la littérature française
corrigent, Harpagon reste avare. – Quelles sont, auxvii e siècle, les
femmes
qui se sont fait un nom dans les lettres ? Dites
arre, de plus déconcertant que celle de Mme de Maintenon. Tour à tour
femme
de Scarron, gouvernante des enfants de Mme de Mon
elle fut vraiment mère, ce qui est peut-être le premier devoir d’une
femme
, comme c’est son charme le plus pur. Si cette mor
s-lui ces taches en faveur de mille aimables qualités ; il y a peu de
femmes
écrivant beaucoup, qui pourraient supporter comme
nal que cette galanterie sans objet qui voit une merveille dans toute
femme
, pourvu qu’elle soit précieuse de mise et de lang
triotisme est-il un sentiment ? Le patriotisme est-il un devoir ? Les
femmes
ont-elles des devoirs de patriotisme ? Comment pe
e les pages où réponse est donnée sur ces points intéressants : « Les
femmes
ont-elles des devoirs de patriotisme ? Comment pe
ni à la simplicité du langage. En parlant surtout des services que la
femme
peut rendre au pays dans l’accomplissement des de
struite, sans rien perdre, pour cela, des grâces les meilleures de la
femme
, ni céder aux atteintes de la vanité et du pédant
que sincère y ajoute ; et, dans le monde, comme la délicate figure de
femme
esquissée par le poète, qui sait ignorer les chos
n’abandonne pas au hasard, ou au vulgaire ignorant, ou à la mode des
femmes
, l’introduction des termes, de peur qu’il n’en vi
er. » Ordre des sciences Littérature. Faire le portrait d’une
femme
instruite suivant le vœu de Molière, c’est-à-dire
lons brillants et choisis, les cercles polis et lettrés, auxquels une
femme
, digne de ce rôle, préside. – A quelles condition
érudition, poussé jusqu’au pédantisme, s’était répandu même parmi les
femmes
. « Les femmes et filles, dit avec enthousiasme un
ssé jusqu’au pédantisme, s’était répandu même parmi les femmes. « Les
femmes
et filles, dit avec enthousiasme un personnage de
férence des temps, n’y a-t-il pas lieu de recommander aujourd’hui aux
femmes
d’autres études que celles-là, notamment certaine
ndule n’est pas d’aller vite, mais d’être réglée. » – La plupart des
femmes
, dit Fénelon, sont passionnées sur presque tout c
parler beaucoup : cependant on ne peut espérer rien de fort bon d’une
femme
, si on ne la réduit à réfléchir de suite, à exami
ix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui convient à la
femme
en général ? Lui suffiraient-elles, en tout cas,
ture de poètes anciens pouvait occuper une place dans l’éducation des
femmes
. Vous supposerez que Fénelon lui écrit pour rassu
issent le plus souvent d’un contraste, d’une opposition. – Comment la
femme
peut-elle servir son pays ? – Mme de Sévigné a di
e l’Académie française, a écrit : « Un peu de science peut rendre une
femme
pédante ; beaucoup de science la rend modeste. »
rité de cette parole de Mme Dacier : « La modestie est l’ornement des
femmes
. » – « Je pleurs, disait Jeanne d’Arc, quand je
d’un Français. » Montrer que depuis Jeanne d’Arc, le patriotisme des
femmes
n’a pas changé et qu’il est devenu plus grand dep
on.) G. Merlet Études littéraires. (Hachette.) Gréard L’Éducation des
femmes
par les femmes. (Hachette.) Jacquinet Les Femmes
Études littéraires. (Hachette.) Gréard L’Éducation des femmes par les
femmes
. (Hachette.) Jacquinet Les Femmes écrivains. (Bel
écessité pour tous les professeurs, mais surtout pour les professeurs
femmes
que la délicatesse de leur organe vocal, et parfo
tte ignorance et ces erreurs de jugement, à peine excusables dans les
femmes
du monde, pourraient-elles se justifier chez cell
té est surtout faite de nuances, et c’est à la finesse ingénieuse des
femmes
qu’il appartiendrait de s’en souvenir… » Ordr
duisait dans l’enseignement des jeunes filles, et si elle gagnait les
femmes
. Sans vouloir en aucune façon les priver du gain
ii e siècle, l’influence de la société polie, et particulièrement des
femmes
? – A partir de quel moment, et dans quels genres
sident du jury : « 1° Composition littéraire. – …Cette influence des
femmes
sur les idées et les sentiments de nos bons auteu
llet et à Voiture, refaire l’histoire des Précieuses pour aboutir aux
Femmes
savantes, ne quitter Mme de Sévigné que pour Mme
ujet, sans le pénétrer bien avant. Il ne s’agissait ni uniquement des
femmes
qui ont écrit, ni uniquement des auteurs qui ont
femmes qui ont écrit, ni uniquement des auteurs qui ont écrit sur les
femmes
; mais, comme l’a heureusement dit, avec une rare
cette influence était appréciable dans tous les genres qui ont eu les
femmes
pour auteurs, pour inspiratrices ou pour juges ».
pays mal exploré encore. Causer agréablement de la société polie, des
femmes
, du genre épistolaire, des salons à la mode, bon
e un moyen, non un but ; nous voulons former des âmes, et des âmes de
femmes
; tous nos exercices y doivent aboutir, et cette
es appliqueraient à elles-mêmes ces théories irréfléchies. Elles sont
femmes
, et elles nieraient le goût ? Elles n’accepteraie
réforme de l’orthographe, ni à rechercher s’il est indispensable aux
femmes
de savoir le latin, ni à imaginer l’origine du la
lui. …………………………… Chrétiens, que la mémoire d’une grande Reine, Fille,
Femme
, Mère de Rois si puissans, et Souveraine de trois
ceux où la société ne s’est point perfectionnée, où les hommes et les
femmes
ne se rassemblent point ; où certains arts, comme
– Développer et commenter cette parole : « Toute la destinée de la
femme
se résume en ces mots : épouse et mère d’un citoy
) – Que pensez-vous du préjugé que l’on nourrit d’ordinaire contre la
femme
lettrée et contre la femme auteur ? – Développer
ugé que l’on nourrit d’ordinaire contre la femme lettrée et contre la
femme
auteur ? – Développer et apprécier cette pensée d
aire. Concours de 1888. Littérature. Étudier les caractères de
femmes
dans le Misanthrope (Célimène, Éliante, Arsinoé).
la Révolution française. La vie, et quelquefois la mort de plusieurs
femmes
de cette époque vous ont beaucoup intéressée. Vou
vez éprouvées et vous lui racontez l’histoire de quelques-unes de ces
femmes
. – En 1760, Voltaire ayant appris qu’une petite-n
la correspondance de Mme de Sévigné et de Voltaire. – Caractères des
femmes
dans les pièces de Corneille. Indiquer les avanta
e Polyeucte et d’Andromaque. Vous vous attacherez surtout au rôle des
femmes
dans ces deux tragédies. – Mme de Sévigné admirai
t ailleurs dans les autres auteurs. – Comparer entre eux les rôles de
femmes
dans le Misanthrope en faisant ressortir les qual
est nécessaire. » – Vous direz en quoi consiste le patriotisme. Les
femmes
doivent-elles être patriotes ? – Pour quelles rai
s exemples de patriotisme féminin. – Caractère du patriotisme chez la
femme
. Place que ce sentiment tient dans son existence
s, n’y devraient pas être. – Répondez-lui. – Faites le portrait de la
femme
charitable. – Dites quel est son rôle dans la soc
Expliquer et apprécier cette pensée de Mme Roland sur l’éducation des
femmes
: « Nous sommes plus utiles par nos vertus que pa
onne éducation. – Quelle est l’opinion de Molière sur l’éducation des
femmes
? Où et comment la manifeste-t-il ? Apprécier son
– Que pensez-vous de l’opinion exprimée par Molière dans ce vers des
Femmes
savantes : « Je consens qu’une femme ait des cla
e par Molière dans ce vers des Femmes savantes : « Je consens qu’une
femme
ait des clartés de tout » ? – On dit quelquefois
ur langue maternelle ? – Un enseignement approprié à la condition des
femmes
doit développer et diriger l’instinct domestique
ime, que vous pourrez rapprocher de celle de Mme de Maintenon : « Les
femmes
font et défont les maisons. » – Que pensez-vous
ne demi-vertu » ? – « Pourquoi s’en prendre aux hommes de ce que les
femmes
ne sont pas savantes ? Par quelles lois, par quel
s, à quelque cause que les hommes puissent devoir cette ignorance des
femmes
, ils sont heureux que les femmes, qui les dominen
puissent devoir cette ignorance des femmes, ils sont heureux que les
femmes
, qui les dominent d’ailleurs par tant d’endroits,
tant d’endroits, aient sur eux cet avantage de moins. On regarde une
femme
savante comme on fait une belle arme : elle est c
t sous forme de récit ou sous forme de lettre. – Quel est le rôle des
femmes
en général dans la défense nationale en temps de
quand ils vous voient et qu’ils ne vous voient pas. » – La vie d’une
femme
dans les divers rôles que la nature lui prépare :
esse de maison. – Quelle est l’opinion de Molière sur l’éducation des
femmes
? Où et comment la manifeste-t-il ? Apprécier cet
r simple et modeste. – Montrez la vérité de ce mot de Proudhon : « La
femme
qui sera vigilante aura toutes les vertus. » – D
se et expliquez les motifs de votre choix. – Faites le portrait de la
femme
telle que vous rêvez de la former chez vos future
des conseils. – Discuter et apprécier cette opinion de Rollin : « Une
femme
peut n’être pas fort instruite de tout le reste e
État contemporain, M. J. Simon : « Chaque fois que l’on instruit une
femme
, c’est une petite école qu’on fonde. » – Une de
rité sur vos élèves. – Que pensez-vous de ce proverbe : « Ce sont les
femmes
qui font et qui défont les maisons » ? Tirez-en q
remier Consul. Pour sortir d’embarras, il songe à écrire à Joséphine,
femme
du Premier Consul, qu’il avait eu l’honneur de re
pitaine John Franklin reçut l’ordre de quitter l’Angleterre, sa jeune
femme
, atteinte d’une maladie mortelle, touchait à ses
r fixé. Vous donnerez une idée des paroles prononcées alors par cette
femme
héroïque : elle termine, en remettant à son mari,
aussitôt qu’il aura atteint la mer polaire. Le capitaine part, et sa
femme
meurt le lendemain du jour où il l’a quittée. Déb
souvenir du passé, et, levant les yeux vers le ciel, il adresse à sa
femme
quelques paroles, entrecoupées de larmes. Conc
Concours de 1876. Après la bataille d’Hastings, les mères et les
femmes
de ceux qui étaient venus de la contrée voisine c
un jour dans la Forèt-Noire, entendit auprès d’un moulin des cris de
femme
en mal d’enfant. Pendant que ses gens allaient au
souvenir que Louis XI décida, en 1473, par lettres patentes, que les
femmes
devaient précéder les hommes à la procession comm
écrire cette scène, ce tumulte d’une populace en délire : montrer les
femmes
elles-mêmes perverties par la corruption et non m
qui attendent leur proie….. Entrée des martyrs dans l’arène ; hommes,
femmes
et jeunes filles, tous calmes et résignés. Ils s’
votre courage, tout serait perdu ; ils massacreraient vos mères, vos
femmes
, vos enfants, vos prètres, et planteraient sur no
. Un combat de gladiateurs où figurent dans l’arène des hommes et des
femmes
du plus haut rang, remplit la seconde partie du j
onnière une jeune princesse d’une merveilleuse beauté. C’est Panthée,
femme
d’Abradate, roi de la Susiane, et allié du roi d’
ège contre la passion d’Araspe, un de ses généraux. – Instruit par sa
femme
de la magnanimité de Cyrus, Abradate, pénétré de
dans la fabrique voisine. – Détails et péripéties de l’accident. – Sa
femme
et ses deux enfants sont arrivés à la première no
8 mai 1824, Harris partit de Londres en ballon accompagné de sa jeune
femme
. Arrivé au plus haut de sa course et voulant rede
n voyageur, son salut serait assuré. Harris n’hésite pas, embrasse sa
femme
, et se précipite dans le vide. Son corps se brise
se précipite dans le vide. Son corps se brise dans sa chute, mais sa
femme
est sauvée. – Quels sont les bienfaits dus à la v
eltiques, la langue Cornique, n’était plus parlée que par une vieille
femme
du district de Cornouailles, près de Penzance. El
e quelques savants qui prirent le deuil, non pas de la pauvre vieille
femme
, mais de la pauvre vieille langue qui était morte
physique et chimie, etc. 1. Nous recommandons tout spécialement les
Femmes
Écrivains (notices et extraits) de M. Jacquinet (
Lucrèce. Quand mon mari combat en bon soldat de Rome, Je dois agir en
femme
ainsi qu’il fait en homme. Nourrice, nous avons t
blanche tunique, Et rende grâce aux dieux de trouver sur le seuil Une
femme
soigneuse, et qui lui fasse accueil1. — Laisse à
fidèle, Par mon aïeule instruite2, aux mœurs que je tiens d’elle. Les
femmes
de son temps mettaient tout leur souci A surveill
nt ! Cette vertu qui fuit longtemps après les autres, La pudeur de la
femme
a péri chez les nôtres. Enfin Rome se meurt, si,
ouille de la matrone. Quelle noble et douce figure que celle de cette
femme
aux yeux baissés, assise au milieu de ses esclave
n dirait le lis des champs filant lui-même sa tunique ; on pense à la
femme
forte de Salomon, et l’on respire je ne sais quel
Lucrèce, ils mènent l’action jusqu’à son terme, jusqu’à l’heure où la
femme
outragée lave l’involontaire souillure dans son p
ue ce bon Dieu poursuyve à conduire son œuvre8. 1. Il s’agit de la
femme
de Laurent de Normandie, d’une famille noble de l
emps après son arrivée en cette ville, il eut le chagrin de perdre sa
femme
. 2. C’est le langage mystique. 1. Le jour qui p
’interjection bah ! qui exprime l’étonnement. 4. Sa bonne moitié, sa
femme
. 5. Les propos que je viens de citer se produisi
ns celle qui interdisait aux hommes les chaînes d’or et d’argent, aux
femmes
les dorures et les broderies. Elles ne pouvaient
Mais ils1 étaient bien disposés à la défense : ils avaient mis leurs
femmes
et leurs enfants au milieu d’eux ; ils furent éto
ée de leur cœur : l’un voulait mourir pour son père, un autre pour sa
femme
et ses enfants, celui-ci pour ses frères, celui-l
urs des Grecs : c’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect pour la
femme
et pour la mère de Darius, et qu’il montra tant d
ion qui se fait des deux peuples par les mariages. Alexandre prit des
femmes
de la nation qu’il avait vaincue1 : il voulut que
l épousa, suivant la loi des Perses, qui permettait d’avoir plusieurs
femmes
, Statire, fille de Darius, et Roxane, fille d’un
L’Aurore l’aima et l’enleva ; mais Céphale, constamment attaché à sa
femme
Procris, ne voulut jamais se rendre aux désirs de
érus (nommé dans l’histoire profane Artaxerxès), qui avait répudié sa
femme
Vasthi. Aman, favori de ce monarque, irrité de ce
V, fils d’Antoine de Bourbon, roi de Navarre par Jeanne d’‘Albret, sa
femme
. Devenu roi de France, en 1589, il ne fut sacré q
y était enchaîné sur une pierre, pour avoir voulu enlever Proserpine,
femme
de Pluton ; et la seconde fois, il ramena sur la
ine de Lydie, que, pour lui plaire, il s’avilit jusqu’à s’habiller en
femme
, et à filer auprès d’elle. Placé au rang des Dieu
e, de Saturne et de Rhée, ou Cybèle. Elle était sœur et en même temps
femme
de Jupiter, déesse des empires, et reine des Dieu
s souterraines. Pollux, fils, selon la fable, de Jupiter et de Léda,
femme
de Tyndare, roi de Laconie dans le Péloponèse (au
avoir chassés, plaça son palais. Sirènes, monstres fabuleux, moitié
femmes
et moitié oiseaux, suivant les plus savants mytho
-C. Sphinx (le), monstre, qui, suivant la fable, avait la tête d’une
femme
, le corps d’un chien, et les griffes d’un lion, a
es de la mer, fille de Nérée et de Doria, et petite fille de Théthys,
femme
de l’Océan. Elle était si belle, qu’elle fut rech
sser par ses valets. Voilà un vilain procédé. Comme cette malheureuse
femme
ne sait pas écrire, elle vous prie décrire au com
hrétiens Vous parlez de Régulus — … mais, sans parler des hommes, nos
femmes
, nos enfants… Vous nous dites : « Les païens sont
liant, le fait asseoir, lui demande de ses nouvelles, de celles de sa
femme
, de sa petite fille, de son petit Colin, de son c
Apparition de Boèce. Note. Boèce est enfermé dans un cachot. Une
femme
majestueuse lui apparaît. Tout-à-coup apparaît un
cachot. Une femme majestueuse lui apparaît. Tout-à-coup apparaît une
femme
majestueuse, son aspect était vénérable. — Ses re
main elle portait des livres, de l’autre un sceptre. — Avis. Cette
femme
est la philosophie, science respectable et profon
trait allégorique de la discorde. Représentez-la sous la figure d’une
femme
hideuse, dont l’habillement, les traits, la cheve
ouvernée, soit par un vieillard qui aime les enfants — … soit par une
femme
douce qui leur sert de mère — Le matin, leurs par
relève de lui. Il lègue à ses enfants des trônes, des provinces, Sa
femme
est une reine, et ses fils sont des princes. Il t
l’égorgea. — Les païens admirèrent tant de courage, surtout dans une
femme
— … Narrations poétiques → Préceptes du ge
aconte l’épisode suivant de ta peste de Milan. Exposition. Une jeune
femme
sort d’une maison — … Sa démarche attristée — … S
core, quoique la mort fût sur son visage — … Fille regarde, la pauvre
femme
, les indignes obsèques de sa fille aînée — … Dén
r les sauvages, il était défendu de sortir sous peine de mort — … Une
femme
nommée Maldonata, préférant la mort à la faim, se
e commandant, instruit de tout, laissa la vie et pardonna à la pauvre
femme
. N° 183. — Le Palmier bleu (Forme épistola
arrive dans le verger. Désespoir de ces braves gens. Désolation de la
femme
de Guillaume. Avis. Voilà un sujet fécond en inc
l’abri d’un orage, j’entrai dans une chapelle, et je m’endormis. Une
femme
céleste m’apparut : « Lève-toi, dit-elle, je suis
portrait moral de ce prince, en consultant votre histoire moderne. Sa
femme
Ulrique-Eléonore venait de mourir. Quoique dur en
liction le son peuple, entrer dans la cabane. Il vit le mort, dont la
femme
, suivant les usages de l’Orient, avait lavé la tê
ait reproché de quitter la terre où il était si bien, d’abandonner sa
femme
et ses enfants. Le cercueil était prêt à recevoir
ire et pendant qu’il renaît peu à peu à la vie, l’empereur console la
femme
, fait enlever les apprêts funèbres, et placer le
nêtre. L’air frais ranime le malade, qui d’une voix faible demande sa
femme
, derrière laquelle, par surcroît de bonté, l’empe
iet — … Vers le jour j’entends du bruit ; le charbonnier demande à sa
femme
s’il faut les tuer tous deux. Sur la réponse affi
re quinze armés jusqu’aux dents ! — … Déjà on monte par l’échelle, la
femme
éclaire l’horrible charbonnier, en lui disant : d
it, on vend son mobilier ; désespéré, il tue trois de ses enfants Isa
femme
s’enfuit avec le quatrième — … Le pauvre homme es
page 270. COMPOSITIONS N° 212. — La Couronne de Marie Une jeune
femme
avait élevé un petit autel à Marie, au fond d’une
, arrivèrent en lieu sûr — … Alors ils prièrent — … En ce moment, une
femme
entourée d’un groupe d’anges, descendit sur eux —
là le jugement de Dieu — … N° 216. — Le Chasseur des Alpes Une
femme
de Val-Rosa tâchait de retenir à la maison son fi
Le prêtre prononçait les paroles sacrées, Et la reine, au milieu des
femmes
éplorée, S’avançant tristement, tremblante entre
e entreprise, il sera obligé de passer sur le corps de sa mère, et sa
femme
et ses enfants seront laits esclaves. Pourquoi ne
re les noms de Léonidas et de ses compagnons. N° 239. — Alonzo aux
Femmes
Indiennes Note. Alonzo, fait prisonnier par u
evait être rais à mort et mangé par les sauvages. Il était entouré de
femmes
, qui devaient prendre part elles-mêmes à cet horr
ec plus de succès, il faudrait qu’il fût libre et sans soucis pour sa
femme
et ses enfants. Or, dans les circonstances présen
rimes croisées, neuf strophes. N° 256. — La Mendiante La pauvre
femme
est là devant le cimetière, bien âgée et ne pouva
de gîte, reçoivent un secours inutile trop souvent, ouvre-toi. Là des
femmes
, qu’on nomme sœurs, prodiguent les douceurs d’un
x que soulage leur bonté, sentent avec joie, dans ce — séjour, qu’une
femme
est l’ami qui les ramène à la vie. Avis. Outre
de robe bleue, serrée autour du corps par une ceinture rouge pour les
femmes
, de robes d’étoffes des plus vives couleurs. 114
ants assemblés dans une maison ; étonné, il s’avance : le corps d’une
femme
était placé dans un cercueil, paré de beaux vêtem
ntour, et l’une d’elles disait plusieurs choses à la louange de cette
femme
morte, racontant ses vertus, puis s’arrachant les
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune
femme
mourante au milieu des pompes et des dangers de l
t échappé du naufrage est porté sur les épaules de son père ; là, une
femme
étendue morte sur le rivage, et son époux qui se
a qui ont allumé du feu sous une roche ; ils s’occupent à ranimer une
femme
expirante, et j’espère1 qu’ils y réussiront. Tour
celui-ci qu’il commence par créer le pays, et qu’il a des hommes, des
femmes
, des enfants en réserve, dont il peuple sa toile
avec sa vivacité ; mais trop jeune, tête trop petite, joli comme une
femme
, lorgnant, souriant, mignard, faisant le petit be
tice] La Bruyère a dit, avec vérité, qu’il ne manquait parfois aux
femmes
que la correction du style pour écrire mieux que
u bout aux maux physiques dont il était assiégé. Bientôt il laissa sa
femme
veuve ; et celle-ci, quoique demeurée sans fortun
ment sévère d’un célèbre écrivain de nos jours qui, en peignant « les
femmes
illustres du dix-septième siècle », a représenté
ie et qui double mon âme ; Mais pour lui conserver sa chaste ombre de
femme
, Je ne l’écrirais que pour toi. Lit d’ombrage et
d’automne, Que ces feuilles tombent sur toi ! Je conçois que, si la
femme
aimée vous rend parfaitement heureux, vous puissi
ous prétendiez conserver à ce chiffre ou à ce nom une chaste ombre de
femme
. Je conçois que la femme dans laquelle vous avez
à ce chiffre ou à ce nom une chaste ombre de femme. Je conçois que la
femme
dans laquelle vous avez mis toute votre existence
rmure de ce flot puisse monter au lit du fleuve. Je conçois que cette
femme
, nom de bonheur et lit d’ombrage, puisse encore ê
nds que Mlle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille
femme
, nommée Mme Levasseur, et si pauvre qu’elle demeu
des hommes avec un Scévola, un Aquilius, un Régulus, nos enfants, nos
femmes
mêmes ne bravent-ils pas avec une constance qui n
DIMANCHE. Fort bien, Monsieur, Dieu merci. DON JUAN. C’est une brave
femme
. M. DIMANCHE. Elle est votre servante, Monsieur.
Guyet. N° 76. — Apparition de Boèce. Tout-à-coup apparaît une
femme
majestueuse. Son aspect inspirait la vénération l
que chacun en avait arraché des lambeaux. Dans la main droite, cette
femme
majestueuse portait des livres, et dans la main g
hrem. N° 78 — La Discorde. L’archange rencontre d’abord une
femme
hideuse. Ses habits composés de bandes inégales,
métal ; ces sons aigus et plaintifs ressemblent aux lamentations des
femmes
grecques aux convois de leurs morts ; nous ne po
me ; je descends de temps en temps sous l’entre-pont pour rassurer ma
femme
couchée dans son hamac. Le second capitaine, au m
es secours que son état exige : homme de fer pour le péril et cœur de
femme
pour la pitié. Toute la nuit se passe ainsi. Le l
pas. Quelques gouttes de bouillon froid soutiennent les forces de ma
femme
et de mes compagnons toujours couchés dans leurs
is. Son trône est un vieux banc ; il met un diadème sur la tête de sa
femme
, il distribue des parchemins à ses enfants, il es
ourage ; ils avouaient qu’il ne s était jamais rencontre parmi eux de
femme
qui eût souffert une si étrange et si longue suit
, ni des vases de bronze et d’or, ni de ces joyaux brillants dont les
femmes
et les jeunes filles étaient parées. Soixante mil
sse, Trad. de Lebrun. N° 157. — La Mère infortunée. Une jeune
femme
, dont l’aspect annonçait une jeunesse avancée, ma
de l’existence. Tout-à-coup un affreux appariteur s’approche de cette
femme
et cherche à lui enlever son précieux fardeau, ma
sort du taillis voisin. O voyageur ! ta perte est trop certaine ; Ta
femme
est veuve, et ton fils orphelin. « Traître, a-t-i
rentes et à courir sur ses pelouses solitaires. Dès qu’il aperçut une
femme
, il fut se cacher sous une touffe de roseaux. Mon
a Cérès en soupirant, venez à moi, mon bel enfant ! — À la voix d’une
femme
affligée, Loïs sort des roseaux. Il met en rougis
ais vue, et qui ne se reverra probablement jamais, sous un chapeau de
femme
!… un rat !… Oui, un énorme rat qui s’était intro
et. L’intendant des bâtiments royaux, irrité de l’entêtement de cette
femme
, l’expropria par force de son petit domaine, et l
peine de la vie, de sortir de l’enceinte du nouvel établissement. Une
femme
, à qui la faim sans doute avait donné le courage
’êtres vivants, mais dont sa pitié avait su lui faire un asile. Cette
femme
, privée avec douleur d’une société chérie, ne fut
sses et de doux gémissements les prodiges de reconnaissance que cette
femme
racontait à ses libérateurs. La lionne suivit que
che avait dépouillés sans doute en passant les mers, laissa vivre une
femme
que le ciel avait si visiblement protégée. Raynal
le sang glacé dans les veines, se couvre le visage de ses mains : les
femmes
et l’enfant périront. Un nègre avait ouï la sente
re de ce que fit Guillaume dans la soirée. A dix heures et demie, sa
femme
le vit prendre son fusil, rouler un sac de toile
il allait, car Guillaume n’était pas homme à rendre des comptes à une
femme
. François, de son côté, avait véritablement trouv
Bientôt tout le village fut rassemblé dans le verger de Guillaume. Sa
femme
vint avec les autres. Ce fut une scène horrible.
sueur mon bras opiniâtre Fatiguer sans relâche une terre marâtre ! Ma
femme
… Ah ! la misère a desséché son sein, Et mes fils
, positif, entièrement dépourvu d’imagination. Il venait de perdre sa
femme
Ulrique Éléonore. Quoique sa dureté pour cette pr
rande robe bleue, serrée autour du corps par une ceinture rouge ; ces
femmes
dont le costume oriental brille de l’éclat des pl
e dans la cabane : le mort était sur son lit, et semblait dormir ; sa
femme
était immobile à son chevet, s’efforçant de conte
tu nous a abandonnés ? étais-tu donc malheureux sur cette terre ? ta
femme
n’était-elle point douce et belle ? pourquoi donc
léger soupir paraît sortir de sa poitrine. « Il vit, dit l’empereur,
femme
, vous ne serez point veuve. Enlevez tous ces obje
s, et l’on entend une voix encore faible murmurer : « O mon Dieu ! ma
femme
! où suis-je ? » Sa femme était déjà dans ses bra
encore faible murmurer : « O mon Dieu ! ma femme ! où suis-je ? » Sa
femme
était déjà dans ses bras ; car l’empereur s’était
cle, et portent leurs mains profanes sur les merveilles des arts. Les
femmes
tremblantes se précipitent dans les temples ; les
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa
femme
parler et se disputer : et prêtant l’oreille par
mari : Eh bien enfin, voyons, faut-il les tuer tous deux ? à quoi la
femme
répondit : Oui ; et je n’entendis plus rien. Que
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa
femme
après lui, moi derrière la porte ; il ouvrit ; ma
e la porte ; il ouvrit ; mais avant d’entrer, il posa la lampe que sa
femme
vint prendre, puis il entra pieds nus, et elle de
ture qui tiendrait sa place dans le meilleur roman. J’ai été chez une
femme
qu’on m’avait indiquée, pour lui demander de voul
onne à madame votre portrait en pur don. Le pauvre homme et la pauvre
femme
tombèrent des nues. J’ai ajoute beaucoup de chose
; il coupa la gorge à trois enfants qui étaient dans sa chambre ; sa
femme
sauva le quatrième et s’enfuit. Le pauvre homme e
r ou deux : il dit que tout son déplaisir c’est de n’avoir pas tué sa
femme
, et l’enfant qu’elle a sauvé. Songez que cela est
oussons chemin, et bientôt l’auberge est cernée. On arrête l’hôte, sa
femme
et ses garçons d’écurie ! on les interroge, on le
cœurs vers a reine du ciel, du sein de cette lumière miraculeuse une
femme
apparaît entourée d’un groupe angélique, et elle
une chambre étroite étaient assises, travaillant de leurs mains, une
femme
à cheveux blancs et une jeune fille. Et, de temps
cheveux blancs et une jeune fille. Et, de temps en temps, la vieille
femme
réchauffait à un petit brasier ses mains pâles. U
ille levant les yeux regarda en silence, pendant quelques moments, la
femme
à cheveux blancs ; puis elle lui dit : ma mère, v
avait dans sa voix une douceur et une tendresse inexprimables. Et la
femme
à cheveux blancs répondit : ma fille, Dieu est le
tes, et la douce vision était toujours devant mes yeux. Ce disant, la
femme
aux cheveux blancs tressaillit, et serra sur son
urtant, se tournant vers Mathilde, il jura ainsi, non sans effort : «
Femme
que je tiens par la main gauche, et qui as reçu a
t’est-il pas venu dans l’esprit que tes dieux, ta maison, ta mère, ta
femme
et tes enfants étaient renfermés dans ses muraill
tende paisiblement que tes armes aient décidé de notre destinée ? Une
femme
romaine sait mourir quand il le faut ; et, si je
rêter la fureur, songe au moins qu’en voulant mettre Rome aux fers, t
femme
et tes enfants ne peuvent éviter la mort ou une p
’auront pas oublié les grands noms. Pichat. N° 239. — Alonzo aux
femmes
Indiennes. Attaché à un poteau, Alonzo va êtr
ndiennes. Attaché à un poteau, Alonzo va être égorgé. Il prie les
femmes
qui l’entourent de lui sauver la vie. Lorsque vos
suis un homme innocent et paisible qui ne vous ai fait aucun mal. Une
femme
semblable à vous m’a porté dans ses flancs et nou
et long voyage, au danger d’être pris, d’être déchiré par vos mains.
Femmes
indiennes, croyez que je suis votre ami, celui de
est mort !... Jean Reboul. N° 256. — La Mendiante. La pauvre
femme
est là devant le cimetière, Bien vieille et ne po
n’a point d’asile, Reçoivent un secours trop souvent inutile. Là, des
femmes
, portant le nom chéri de sœurs. D’un zèle affectu
eur bonté soulage Sentent avec bonheur, dans ce triste séjour, Qu’une
femme
est l’ami qui les ramène au jour. Legouvé. N
ils ont été plus qu’hommes au commencement ; ils deviennent moins que
femmes
dans la suite de leur action ; et comme s’ils sor
ina sa carrière en 1673. Appréciation de la comédie de l’École des
Femmes
. Le marquis, le chevalier ou Dorante. DORANTE
beaucoup. LE MARQUIS. Demande-lui ce qu’il lui semble de l’École des
Femmes
; tu verras qu’il te dira qu’elle ne lui plaît pa
ant la satire de ceux qui la condamnent. La Critique de l’École des
femmes
(1663), sc. VI. Jusqu’à quel point faut-il obs
. LYSIDAS. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’École des
Femmes
a plu ; et vous ne vous souciez point qu’elle ne
oue et qui se divertit. De là vient que le jeu et la conversation des
femmes
, la guerre, les grands emplois, sont si recherché
nt, quoique je n’y eusse d’autre société que celle du receveur, de sa
femme
et de ses domestiques, qui tous étaient, à la vér
e. J’employais le reste de la matinée à aller, avec le receveur et sa
femme
, visiter leurs ouvriers et leur récolte, mettant
vieil Horace ; Horace, son fils ; Curiace, amant de Camille ; Sabine,
femme
d’Horace et sœur de Curiace ; Camille, amante de
. Le vieil Horace, Horace, Curiace. HORACE. Mon père, retenez des
femmes
qui s’emportent Et, de grâce, empêchez surtout qu
ques ; « Le méchant par le prix au crime encouragé ; « Le mari par sa
femme
en son lit égorgé ; « Le fils tout dégouttant du
u laissez-moi périr ou laissez-moi régner511. Les conseils de Livie,
femme
d’Auguste, lui ont persuadé d’embrasser le parti
emier des comiques aussi bien que le modèle des fabulistes584. Les
Femmes
savantes585. (Extraits.) Acte I, scène III.
est né sincère, Même dans votre sœur, flatter leur caractère ; Et les
femmes
docteurs ne sont point de mon goût. Je consens qu
; Et les femmes docteurs ne sont point de mon goût. Je consens qu’une
femme
ait des clartés de tout : Mais je ne lui veux poi
emportements d’une jalouse rage. ARISTE. Cléonte et Lycidas ont pris
femme
tous deux. BÉLISE. C’est par un désespoir où j’ai
ne fois, reprenons le discours. Clitandre vous demande Henriette pour
femme
: Voyez quelle réponse on doit faire à sa flamme.
son père et moi n’étions qu’un en deux corps. ARISTE. Parlons à votre
femme
, et voyons à la rendre Favorable… CHRYSALE.
Vous moquez-vous ? il n’est pas nécessaire. Je réponds de ma
femme
, et prends sur moi l’affaire598. ARISTE. Mais… CH
C’est une affaire faite ; Et je vais à ma
femme
en parler sans délai. Acte II, scène V. C
nt coups. CHRYSALE. Non, vous demeurerez :je suis content de vous. Ma
femme
bien souvent a la tête un peu chaude ; Et je ne v
e tournant vers Martine. Aussi fais-je. Oui, ma
femme
avec raison vous chasse, Coquine ; et votre crime
L’affaire est donc considérable ? PHILAMINTE. Sans doute, me voit-on
femme
déraisonnable ? CHRYSALE. Est-ce qu’elle a laissé
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une
femme
étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu’une
femme
en sait toujours assez Quand la capacité de son e
uilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles620. Les
femmes
d’à présent sont bien loin de ces mœurs : Elles v
te. Acte II, scène IX. Ariste, Chrysale. ARISTE. Hé bien ! la
femme
sort, mon frère, et je vois bien Que vous venez d
! Et se peut-il qu’un homme ait assez de faiblesse Pour laisser à sa
femme
un pouvoir absolu Et n’oser attaquer ce qu’elle a
le bruit me pèse. J’aime fort le repos, la paix et la douceur, Et ma
femme
est terrible avec que son humeur. Du nom de philo
’appelle et mon cœur et ma mie. ARISTE. Allez, c’est se moquer. Votre
femme
, entre nous, Est, par vos lâchetés, souveraine su
s résoudre une fois à vouloir être un homme, À faire condescendre une
femme
à vos vœux, Et prendre assez de cœur pour dire un
e latin qu’il leur fait sonner haut ; Un pédant, qu’à tout coup votre
femme
apostrophe Du nom de bel esprit et de grand philo
C’est une chose infâme Que d’être si soumis au pouvoir d’une
femme
. ARISTE. Fort bien. CHRYSALE. De
’orgueilleux savoir nous traite avec mépris, Que de science aussi les
femmes
sont meublées ; Qu’on peut faire comme eux de doc
légion ; Et moi, qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille,
femme
, sœur et mère de vos maîtres709, Que prétendez-vo
i-même, et nourrir dans son âme Le mépris de sa mère et l’oubli de sa
femme
! BURRHUS. Madame, jusqu’ici c’est trop tôt m’acc
’étonne ; Car il est temps d’agir. Je crois, Dieu me pardonne, Que ma
femme
devient raisonnable. LE COMTE.
arence, Cet homme n’a pas fait fortune à l’intendance. (Au comte.) Ma
femme
vous attend. Venez, d’un air soumis, Prévenant, l
Le prêtre prononçait les paroles sacrées ; Et la reine, au milieu des
femmes
éplorées, S’avançant tristement, tremblante entre
tième siècle, comme substantif. Molière a dit encore dans l’École des
femmes
, I, 5 : Et l’on en a parlé comme d’un ridicule.
et Boileau, à la fin de son Discours sur la satire. 39. L’École des
femmes
. 40. Les comédies… 41. La Bruyère dit également
jour dans la composition de l’œuvre qu’il méditait. » 68. Sur cette
femme
qui fut, comme l’a dit M. Villemain, « un grand é
de lieu où était souvent employé pour le relatif. Ainsi Molière (les
Femmes
savantes, II, 3) : C’est par un désespoir où j’a
91. Rapprochez de cette pensée la scène de la Critique de l’École des
Femmes
citée dans le même recueil, page 20. 192. Ellips
acé par Molière (le Misanthrope, II, 5). 194. Cf. Molière, dans les
Femmes
savantes : Nul n’aura de l’esprit, hors nous et
: ils saccagèrent toute cette province, massacrant les prêtres et les
femmes
. Saint Augustin refusa de quitter Hippone assiégé
Alexandre, suivant la loi des Perses qui permettait d’avoir plusieurs
femmes
, avait épousé Statire, fille de Darius, et Roxane
r plusieurs femmes, avait épousé Statire, fille de Darius, et Roxane,
femme
d’un satrape. Quant à Olympias, on sait qu’elle é
eli Polynice. Ismène, sœur d’Antigone, demande grâce au tyran pour la
femme
qu’il destinait à son fils. Créon répond avec dur
ils. Créon répond avec dureté qu’il ne veut point pour ses enfants de
femmes
perverses. A ce nouvel outrage, Antigone s’écrie
mauvaise part ; c’est ce que l’on voit encore dans Molière, École des
Femmes
, V, 7 : C’est de mon jugement avoir mauvaise est
ges de Molière : « C’est dans sa cinquantième année qu’il a écrit les
Femmes
savantes, effort suprême de son génie, que sans d
sé, lors même que la mort l’eût épargné pendant dix ans. Le style des
Femmes
savantes me semble réunir toutes les conditions d
vier 1831. Molière lui-même disait, à ce que l’on rapporte : « Si les
Femmes
savantes ne me conduisent pas à la postérité, je
esprit et aux travers du faux savoir, plus choquants encore dans les
femmes
que dans les hommes. Mais ce qui prouve qu’il n’a
tel de Rambouillet, c’est qu’à la date où furent jouées notamment les
Femmes
savantes ce salon célèbre, qu’avait fréquenté Mol
nant Martine pour que Chrysale pût blâmer librement la conduite de sa
femme
. 612. Oraison garde ici le sens du mot latin or
isante des mots sied fort bien pour mettre en lumière la folie de ces
femmes
, oublieuses des soins de leur ménage, et la raiso
a été relevé : ajoutons que, pur un goût tout contraire à celui de sa
femme
, Chrysale, partisan des vieilles mœurs, a quelque
sages de ce chapitre peuvent encore être rapprochés de la comédie des
Femmes
savantes. 634. . On écrirait aujourd’hui tercets
ébauche ? Et dernièrement encore, quand par le meurtre de ta première
femme
tu eus fait place dans ta maison à une nouvelle é
r de testament, un fripon, un libertin, un débauché, un adultère, une
femme
perdue, un corrupteur de la jeunesse, un être sou
i en plein sénat, et engage tous les citoyens à se rendre, avec leurs
femmes
et leurs enfants, dans les temples des dieux pour
, et, avec elle, votre existence à tous, vos biens, vos fortunes, vos
femmes
, vos enfants, ce siège même du plus glorieux empi
aient partout rendues aux dieux, célébrez ces jours de fêtes avec vos
femmes
et vos enfants. Si souvent les dieux immortels on
pères conscrits, et le peuple romain, au plus horrible carnage ; vos
femmes
, vos enfants, les vestales, aux outrages les plus
veillez sur vous-mêmes, songez à la patrie, sauvez vos personnes, vos
femmes
, vos enfants, vos biens ; défendez le nom et l’ex
de, si un père de famille, voyant ses enfants tués par un esclave, sa
femme
égorgée, sa maison incendiée, ne tirait point de
s sommes en présence d’hommes qui ont voulu nous massacrer, nous, nos
femmes
et nos enfants ; qui ont entrepris de détruire à
, s’est montré trop cruel avant-hier envers l’époux de sa sœur, cette
femme
si distinguée, envers Lentulus qui était présent,
est sur vous qu’elle se repose. Enfin, votre existence, la vie de vos
femmes
et de vos enfants, votre fortune, la conservation
donc votre existence, pères conscrits, celle du peuple romain, de vos
femmes
et de vos enfants, la conservation de vos autels
de gravures et de figures des dieux, un encensoir, une coupe dont les
femmes
se servaient pour les sacrifices et les cérémonie
ensoirs. Quels gémissements ! quelles larmes ces pertes coûtaient aux
femmes
! Peut-être regardez-vous ces choses comme de pet
ts ; mais qu’elles causent de cruelles douleurs, surtout à de faibles
femmes
, lorsqu’elles se voient arracher ces vases, qui l
e que cet ordre causa dans la ville, les cris et les lamentations des
femmes
! Ceux qui en auraient été témoins auraient dit q
se. On emportait des vases sans étuis ; on en arrachait des mains des
femmes
; on brisait les portes, on enlevait les verrous.
le où il n’eût établi une manufacture d’étoffes. Il y a à Ségeste une
femme
très riche et très distinguée, nommée Lamia. Sa m
la ville, au milieu des larmes et des lamentations des hommes et des
femmes
, on fait prix pour ôter de sa place la statue de
eur salaire. Représentez-vous à ce moment l’alarme et le concours des
femmes
de la ville ; les pleurs et les gémissements des
Diane, seront placés par Verrès dans ce repaire d’hommes perdus et de
femmes
déhontées ! XXXIX. N’avez-vous déshonoré qu
dite, et il est d’usage que les sacrifices ne s’y fassent que par les
femmes
et les jeunes filles. Les esclaves de Verrès enlè
n. Le lendemain, les jeunes et les anciennes prêtresses de ce temple,
femmes
vertueuses et de qualité, dénoncent aux magistrat
aucun homme n’a pu vous en parler ? Vous l’aviez donc appris par une
femme
, puisque les hommes n’ont jamais vu, n’ont jamais
connu l’intérieur de ce lieu saint ? Juges, que pensez-vous de cette
femme
? quelle idée vous formez-vous de sa vertu et de
Mais faut-il être surpris que des mystères auxquels des hommes et des
femmes
d’une éminente chasteté président aient été profa
ndant trois ans elle ait possédé une fabrique d’étoffes à l’usage des
femmes
. Assez près de cette ville est un ancien temple d
de la Cilicie ; qu’en persécutant les citoyens, en déshonorant leurs
femmes
, il les a accablés de maux qu’ils n’ont point eu
s le désir de voir les registres, d’être arrêté par les intrigues des
femmes
les plus nobles et les plus belles de la ville, q
éteurs ont coutume de séjourner et de tenir conseil, Verrès avait une
femme
de quelque famille distinguée destinée à ses plai
stinée à ses plaisirs. Il admettait ouvertement plusieurs d’entre ces
femmes
à sa table. Celles qui étaient retenues par un re
s associés ou les ministres de ses passions. Là, se rassemblaient les
femmes
qui avaient commerce avec lui, et Syracuse en ren
partager ses orgies et ses festins. Au milieu de ces hommes et de ces
femmes
paraissait son fils, déjà grand. Une société de c
teau de pourpre et d’une tunique traînante, il était à table avec des
femmes
, les habitants ne s’en plaignaient pas. On ne tro
e jugement, ni que toute cette partie du rivage retentit des voix des
femmes
et du bruit des instruments de musique, pendant q
r votre cœur pour lui conserver la vie, que n’en avaient celles d’une
femme
prostituée pour sauver Cléomène. » Il dit encore
de nuit à Héraclée, vint au-devant de moi, accompagnée de toutes les
femmes
les plus distinguées de la ville, avec un grand n
40, qui peut être supporté des yeux malades et cacher les défauts des
femmes
qui sont fardées. Les arbres y sont verts jusqu’à
e date pour ainsi dire la création du premier homme et de la première
femme
dignes de figurer à jamais sur la scène française
dimanche. Fort bien, monsieur, Dieu merci. don juan. C’est une brave
femme
. M. dimanche. Elle est votre servante, monsieur.
autres, de la côte de saint Louis231 ? m. Jourdain. Taisez-vous, ma
femme
; je vous vois venir. m adame Jourdain. Descendo
l pas marchand aussi bien que le mien ? m Jourdain. Peste soit de la
femme
! elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
; il voulait aller sauver sa mère qui brûlait au troisième étage ; sa
femme
s’attachait à lui, qui le retenait avec violence4
ait avec violence445 ; il faisait pitié. Enfin il me pria de tenir sa
femme
, je le fis : il trouva que sa mère avait passé au
ent. Enfin il revint à nous dans cette rue où j’avais fait asseoir sa
femme
. Des capucins446 pleins de charité et d’adresse,
r pour un seul homme. Et, en effet, pensez-vous, messieurs, que cette
femme
vaine et ambitieuse puisse se renfermer en elle-m
rédestinée ; car vous avez beaucoup à souffrir. Vous êtes la première
femme
du monde ; mais il ne faut point vous flatter : q
autres. M. de Sainte-Hermine n’est pas assez établi : il lui faut une
femme
, et un gouvernement687. Le petit de Vilette viend
ent été chacun dans leur chaumière716 et dans leur maison, avec leurs
femmes
et leurs enfants, et moi dans ma rue des Maçons a
servi, il se met le premier à table, et dans la première place ; les
femmes
sont à sa droite et à sa gauche ; il mange, il bo
tombe presque dans le même instant : aujourd’hui elle est courue, les
femmes
s’en parent ; demain elle est négligée et rendue
uand il trouvait à l’exercer994 ; et il était tout seul chez lui sans
femme
et enfants995. Charnecé l’envoie chercher, lui di
er la raison sous les agréments, comme on ensevelissait autrefois les
femmes
sous leurs ornements et leurs parures. Vous les c
us faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? Allez chez cette pauvre
femme
, et dites-lui que je lui veux toujours du bien ;
sage rond et frais, qui respirait la douceur et la gaieté ; sa petite
femme
, brune et assez grossièrement agréable, était cah
ut cet attirail ?… Vous appartient-il ? — Oui, tout est à moi et à ma
femme
; nous arrivons du pays ; je suis à la tête d’une
à midi remplir le théâtre. La pièce est jugée avant qu’on l’ait vue.
Femmes
contre femmes, petits-maîtres1139 contre petits-m
r le théâtre. La pièce est jugée avant qu’on l’ait vue. Femmes contre
femmes
, petits-maîtres1139 contre petits-maîtres, sociét
ie que nombreuse d’amis1323 aimant le plaisir, et s’y connaissant, de
femmes
qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
Mademoiselle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille
femme
, nommée madame Le Vasseur1394, et si pauvre qu’el
dans la grande allée, se presse et se heurte une foule d’hommes et de
femmes
sans passions, je rencontre, dans les allées déto
pas assez pour soutenir une demi-heure de conversation, même avec des
femmes
, et ne pas s’ennuyer d’abord les uns les autres.
ondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une
femme
, des enfants, des frères séparés de moi depuis lo
dîner, avec la société de ma belle-mère. Elle était composée de sept
femmes
, les plus graves de la province ; d’eux d’entre e
, timides comme à quinze, mais beaucoup moins gaies qu’à cet âge. Une
femme
disait à l’autre : Ma chère, croyez-vous que l’ea
s froide ; et l’ennui soulevé retombait avec un nouveau poids sur ces
femmes
, que l’on aurait pu croire malheureuses, si l’hab
ttendu n’apportait pas un grand changement dans la manière d’être des
femmes
: les hommes continuaient leur conversation auprè
les hommes continuaient leur conversation auprès de la cheminée ; les
femmes
restaient dans le fond de la chambre, distribuant
la trace des années, qui venait enfin s’imprimer sur le visage de ces
femmes
comme si elles eussent vécu pendant ce temps1521.
nt ; la farine qui allait être pétrie est encore là. Les restes d’une
femme
sont encore ornés do parures qu’elle portait dans
de-Briques, le 2 thermidor an XII (21 juillet 1804). Madame et chère
femme
, depuis quatre jours que je suis loin de vous, j’
r ne pouvait être loin, j’entendis au-dessous de moi notre hôte et sa
femme
parler et se disputer ; et prêtant l’oreille par
Eh bien ! enfin, voyons, faut-il les tuer tous les deux ? » A quoi la
femme
répondit : Oui. » Et je n’entendis plus rien. Que
dans une main, dans l’autre un de ses grands couteaux. Il montait, sa
femme
après lui, moi, derrière la porte : il ouvrit ; m
e la porte : il ouvrit ; mais avant d’entrer il posa la lampe, que sa
femme
vint prendre, puis il entra pieds nus, et elle de
hacun fuit ou se cache ; quelques-uns sont arrachés des bras de leurs
femmes
ou de leurs enfants ; mais la plupart nus, dans l
tre, et, au moyen de mesures si bien prises, on parvient à saisir une
femme
, un barbier, un sabotier, quatre ou cinq laboureu
uets, toujours entre deux haies de troupes ; une foule d’hommes et de
femmes
s’y étaient précipités au péril de leur vie, immo
ieu qui les a sauvés. Du navire sortent des enfants, des blessés, des
femmes
. Couvertes de longues robes blanches, le visage c
uvertes de longues robes blanches, le visage caché sous un voile, ces
femmes
, immobiles sur le rivage, semblaient par la beaut
ants assemblés dans une maison ; étonné, il s’avance : le corps d’une
femme
était placé dans un cercueil, paré de beaux vêtem
ntour, et l’une d’elles disait plusieurs choses à la louange de cette
femme
morte, racontant ses vertus, puis, s’arrachant le
e s’observait au milieu des horreurs d’une ville assiégée1664. Les
femmes
Souliotes1665 A peine cantonnés sur les haute
e cantonnés sur les hauteurs de Zalomgos, avec beaucoup d’enfants, de
femmes
, de vieillards, de malades, les Souliotes virent
uvre entre deux pointes de rochers, le gouffre d’un torrent, soixante
femmes
se sont rassemblées avec leurs petits enfants dan
’une fois cette ronde funéraire d’où se détachait, à chaque tour, une
femme
qui s’élançait dans l’abîme, tandis que la chaîne
tomber une nouvelle victime, jusqu’à la dernière. Cependant d’autres
femmes
souliotes combattaient à côté de leurs pères et d
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune
femme
mourante au milieu des pompes et des dangers de l
reprendre ses forces pour le dernier moment, elle se mit au lit. Ses
femmes
continuaient à prier, et pendant ce dernier repos
en souriant qu’elle n’avait jamais eu de pareil valet de chambre. Ses
femmes
, qui étaient restées à genoux au pied de l’échafa
; elle répondit qu’elle l’accordait atout le monde. Elle embrassa ses
femmes
, les bénit en faisant le signe de la croix sur el
le ménage de Rouen ou de Paris, dans son paisible intérieur, entre sa
femme
et ses enfants. Machiavel1743 raconte que le mati
stupide ; d’autres se livraient à toute la frénésie du désespoir. Les
femmes
et les enfants des soldats étaient venus chercher
supérieurs, et là ils priaient et lisaient l’Écriture sainte avec les
femmes
des officiers et des passagers. Parmi elles, deux
tête du mort se tenait sa veuve, et derrière elle un grand nombre de
femmes
occupaient tout un côté de la chambre ; de l’autr
e rabattit son mezzaro sur sa figure, et on l’entendit sangloter. Les
femmes
en pleurs s’empressèrent autour de l’improvisatri
ue disparue. 239. Comparer l’entretien comique de Sancho Pansa et sa
femme
. (Don Quichotte, part. II, ch. V.) 240. La Font
us expédiera ; et il ne fera, en vous tuant, que ce qu’il a fait à sa
femme
et à ses enfants, et ce qu’en un besoin il ferait
s supérieures.) 379. Je lis ces réflexions dans Madame de Lambert,
femme
d‘esprit dont les ouvrages ont quelque ressemblan
allière. 514. On lit ailleurs dans Bossuet : « Voyez-moi cette
femme
dans sa superbe beauté, dans son ostentation,
contre lequel Bossuet fut si dur et si injuste, disait aussi dans les
Femmes
savantes : Il semble à trois gredins, dans leur
étions toujours à comparer les faits des uns et des autres. Une telle
femme
, lui disais-je, s’est plus signalée qu’un tel hom
dîner, il refusa, disant qu’il n’avait point vu depuis huit jours sa
femme
ni ses enfants, qui comptaient sur lui pour mange
petit ménage de Rouen, écrivait Polyeucte au bruit des fuseaux de sa
femme
; où Racine, faisant la procession dans sa chambr
ns. 834. Les Harpies sont des monstres ailés, moitié oiseaux, moitié
femmes
, qu’imagina la mythologie. 835. Turpiter atrum d
« Quand il trouvait à l’exercer. » Restriction ironique. 995. « Sans
femme
et enfants. » La grammaire voudrait : « Sans femm
ique. 995. « Sans femme et enfants. » La grammaire voudrait : « Sans
femme
et sans enfants, » ou bien « sans femme ni enfant
a grammaire voudrait : « Sans femme et sans enfants, » ou bien « sans
femme
ni enfants. » Ces détails vont ajouter à la vrais
e borne à décacheter les lettres des amis qui me restent, et c’est ma
femme
qui m’en fait la lecture, comme elle peut. Pauvre
, et c’est ma femme qui m’en fait la lecture, comme elle peut. Pauvre
femme
! nous mettons ensemble nos douleurs, nos résigna
ns ému, sans pouvoir dire de quoi. Un saint évêque trouva une vieille
femme
qui, pour toute prière, ne savait dire que O ; et
sard). Benjamin Constant a dit de Madame de Staël : « La vue de cette
femme
célèbre remplit d’abord d’une excessive timidité.
i concilient presque tous ceux qui l’approchent. Je ne connais aucune
femme
et même aucun homme qui soit plus convaincu de so
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une
femme
se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
lettres celle qu’on simple soldat anglais, Lamard Race, écrivait à sa
femme
la veille de l’assaut de Pétropawlowski, en 1854.
e Pétropawlowski, en 1854. A bord de la Pique, 25 août 1854. « Chère
femme
, chers enfants, « Je m’assois un instant pour v
serai plus ; car, si je survis au combat, elle ne partira pas. Chère
femme
, je vous fais mon éternel adieu, si c’est la volo
masque ; on joue un rôle, plutôt qu’on n’est un personnage. Mais une
femme
qui voudrait écrire comme madame de Sévigné serai
se. On dirait un ciel encore voilé qui se souvient de l’orage. 1631.
Femme
d’un ancien ambassadeur de Saxe près de Napoléon.
Son Traité de la sagesse continue les traditions de Montaigne. 1805.
Femme
célèbre, née en 1566, morte en 1645 : Montaigne l
nse qu’ils luy eussent faitte : car pour se mocquer de Sylla et de sa
femme
Metella2, ils venoient sur la muraille et disoien
es. Les maladies, les debtes, les mauvais mesnages avec leurs propres
femmes
, sont plus tost incogneus à ceux à qui ils touche
ife Métellus, que Sylla épousa après avoir répudié Cœlia, sa première
femme
. 3. Une mûre. Sa figure, dit Plutarque, était d’
rité de ces paroles de l’Imitation ! Ta berceuse est venue, la pauvre
femme
, tout en larmes, et portant gâteaux et figues que
ut cela qui te charmerait me désole. Dans tout je vois la mort. Cette
femme
, cette berceuse qui t’a veillé et tenu un an mala
1. On peut voir deux Études sur Eugénie de Guérin, Causeries sur les
femmes
et les livres, in-12, par Gustave Merlet ; Portra
nt à son accomplissement. Polieucte, malgré les prières de Pauline sa
femme
, sort du palais, et va recevoir le baptême. Il en
ésignées avec quelques traits qui les caractérisent. Dans l’Ecole des
Femmes
, Enrique et Oronte ne se montrent qu’au cinquième
autre ridicule, un vice à un autre vice ; de représenter à côté d’une
femme
altière et absolue, tin mari pusillanime et soumi
’Isa-r belle, de Sganarelle, d’Ariste et de Léonor ; dans l’Ecole des
Femmes
, ceux d’Agnès et d’Arnolphe. Aucun de ces caractè
e et de Sganarelle sont le fondement de l’intrigue ; dans l’Ecole des
Femmes
, ce sont les caractères d’Agnès et d’Arnolphe. C’
eprésente que les soins défians et la gêne ne font point la vertu des
femmes
; mais que l’honneur doit les tenir dans le devoi
s’écrie qu’il aura bien du plaisir, lorsqu’il le verra trompé par sa
femme
. Léonor lui proteste qu’Ariste n’aura point à cra
e cette famille, composée, suivant lui, d’un vieillard insensé, d’une
femme
coquette, et de valets impudens, prend la résolut
, ont germé dans son cœur, et qu’enfin elle se montre digne d’être sa
femme
. Il va frapper à la porte de Valère, remet à Erga
ût blesser son honneur, et que tout son desir étoit de l’obtenir pour
femme
. Sganarelle rapporte ce discours à Isabelle, qui
la plus grande joie, s’applaudissant toujours d’avoir trouvé dans sa
femme
future une personne si sage et si vertueuse. Valè
dans mon cœur De secrets mouvemens et de haine et d’horreur. Me voir
femme
de l’un est toute mon envie ; Et plutôt qu’être à
étoit plongé, que pour lancer les plus fortes malédictions contre les
femmes
, et se retire comme un furieux. L’analyse d’une p
hrope est tout entier dans le haut comique. La comédie de l’Ecole des
Femmes
, et celle du Bourgeois Gentilhomme, offrent le co
qu’avec Bélise il est du dernier bien. Célimène. Le pauvre esprit de
femme
et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir,
ous, vers moi, moins coupable en effet ? Célimène. Mais si c’est une
femme
à qui va ce billet, En quoi vous blesse-t-il, et
tenir un mensonge si clair ; Et comment vous pourrez tourner pour une
femme
Tous les mots d’un billet, qui montre tant de fla
este. De grâce, montrez-moi, je serai satisfait, Qu’on peut, pour une
femme
, expliquer ce billet. Célimène. Non, il est pour
lle, et prendre mon courroux. Chrisale. (se.) Aussi fais-je. Oui, ma
femme
avec raison vous chasse, Coquine ; et votre crime
L’affaire est donc considérable ? Philaminte. Sans doute. Me voit-on
femme
déraisonnable ? Chrisale. Est-ce qu’elle a laiss
ctère pusillanime, adresse à sa sœur ce qu’il n’ose dire en face à sa
femme
. …….. C’est à vous que je parle, ma sœur. Le moi
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une
femme
étudie et sache tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étoient gens bien sensés, Qui disoient qu’une
femme
en sait toujours assez, Quand la capacité de son
aiguilles, Dont elles travailloient au trousseau de leurs filles. Les
femmes
d’à - présent sont bien loin de ces mœurs ; Elles
beaucoup de fautes : mais le style du Misanthrope, du Tartuffe et des
Femmes
savantes, est, à peu de chose près, aussi pur, au
lternes, ainsi que de l’affectation des précieuses, du pédantisme des
femmes
savantes, de la robe et du latin des médecins. Mo
ncieuses. De toutes les pièces de ce poëte, la Fille Capitaine, et la
Femme
juge et partie sont les seules qu’on joue encore
ts l’un de l’autre ; comme lorsqu’un mari tue, ou est près de tuer sa
femme
, une mère ses enfans, un frère sa sœur ; c’est ce
Prusias, roi de Bithynie, avoit voulu, à l’instigation de sa seconde
femme
, faire assassiner son fils Nicomède, pour laisser
ages de cette tragédie sont Agamemnon, Ulysse, Achille, Clitemnestre,
femme
d’Agamemnon, Iphigénie, fille d’Agamemnon, et Eri
is il ordonne à la reine de la laisser aller à l’autel, suivie de ses
femmes
seulement. Clitemnestre s’imaginant qu’Agamemnon
heureux. D’ailleurs ils n’avoient point de comédiennes : les rôles de
femmes
étoient joués par des hommes masqués ; et l’amour
emens qui leur sont les plus familiers. D’ailleurs il faut plaire aux
femmes
, qui jugent des ouvrages de théâtre par sentiment
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs
femmes
, leurs enfans pourront-ils m’arrêter ? Marchons,
soi-même, Attaquer un parti, qui prend pour défenseur Le frère d’une
femme
, et l’amant d’une sœur ; Et rompant tous ces nœud
confusion, et où l’on entendoit des gémissemens de toutes parts. Les
femmes
éplorées poussoient des cris lamentables : elles
jeux funèbres. Iris, envoyée par Junon, sous la figure d’une vieille
femme
troyenne, fait envisager à ses compagnes de nouve
onne de la part des Dieux, de laisser en Sicile les vieillards et les
femmes
, et de ne conduire en Italie que l’élite des Troy
On peut se moquer de la princesse Nausicaa, qui, suivie de toutes ses
femmes
, va laver ses robes et celles du roi et de la rei
e terrasse, tend son enfant à son mari qui est en bas ; ailleurs, une
femme
couverte d’habits magnifiques qui se sauve avec s
erre et en sort ; quatre soldats emportent sur des sabres croisés une
femme
évanouie. La fureur de l’incendie parait redouble
lace. Accablé d’un sommeil léthargique, il est étendu sur son lit. Sa
femme
, Ézilda, se glisse furtivement dans sa tente et s
plaie. Quand Robert se réveille, il se sent guéri, et il aperçoit sa
femme
assise au pied de son lit ; elle le regarde avec
rt était duc de Normandie et fils aîné de Guillaume le Conquérant. Sa
femme
se nommait Sibylle. Nous avons substitué à ce nom
nt partir pour rejoindre leurs vaisseaux et se rembarquer, une pauvre
femme
vient supplier l’évêque de délivrer son fils uniq
ue d’un honnête commerçant et le pria de le sauver. Le marchand et sa
femme
, malgré la rigueur des lois de cette époque, qui
e partie de sa fortune ; mais, vers la même époque, le marchand et sa
femme
furent ruinés par une faillite, et leurs créancie
n ordre et se disputèrent vivement les portraits du marchand et de sa
femme
qui étaient criés à l’encan comme le reste du mob
tune, rentre en France dénuée de toute ressource. Elle apprend que la
femme
d’un des plus grands personnages de l’époque dési
ription. Il pénètre dans un pavillon entouré de jardins, où une jeune
femme
était venue de bien loin pour soigner son père at
calme, que le chef des bandits menace de précipiter dans l’abîme. Une
femme
d’une beauté fière et sauvage, tenant d’une main
hef et de ses compagnons, il est aisé de voir que les ordres de cette
femme
ne seront pas méprisés et que la vie du jeune hom
ron quarante mille combattants. Avec eux sont plus de cinquante mille
femmes
, enfants et vieillards. À leur tête sont d’Elbée,
aquelein. L’armée vendéenne, laissant à Beaupréau les vieillards, les
femmes
et les enfants, vient attaquer Chollet. Le combat
drement. Mais Soliman, avant d’épouser Roxelane, avait eu d’une autre
femme
un fils nommé Zéangir, qui donnait les plus belle
salut qu’à la vitesse des chevaux sur lesquels il se sauva, lui et sa
femme
Zénobie. Ils fuyaient à travers des lieux déserts
d par le courant. Des hommes de la campagne, apercevant sur l’eau une
femme
qui donnait des signes de vie, s’empressèrent d’a
régnait en Orient le faible et lâche Justin II, qui abandonnait à sa
femme
Sophie le gouvernement de l’État. Sophie voulut o
t plus capable d’administrer ni de combattre, et que les ouvrages des
femmes
étaient les seuls qui lui convinssent. Narsès, ju
d’une princesse de Castille, avait épousé secrètement Inès de Castro,
femme
aussi vertueuse que belle. Inès habitait une mais
me, qu’il le fasse annuler ; s’il le croit légitime, qu’il protège la
femme
et les enfants de son fils. Mais la faire assassi
es trois hommes assassinèrent de sang-froid cette licite et vertueuse
femme
, qui n’avait pour défense que ses larmes et les c
eval ; et Milon, qui allait à Lanuvium, était dans un chariot avec sa
femme
; mais sa suite était plus nombreuse et mieux arm
hangea de vêtement et de chaussure, attendit, suivant l’usage, que sa
femme
eût fait tous ses préparatifs, et partit si tard
ttre un meurtre prémédité ; Milon, enfermé dans une litière, ayant sa
femme
à ses côtés, enveloppé d’un ample manteau, traîna
oir délivré la patrie au péril de ses jours) ; j’ai tué celui que des
femmes
de la première distinction ont surpris voulant so
un jour au philosophe Favorinus, en présence de ses disciples, que la
femme
d’un de ceux qui suivaient son école venait tout
, et s’assied à ses côtés ; puis il demande des nouvelles de la jeune
femme
; et, apprenant que, fatiguée par les travaux de
, c’est elle qui nourrira son fils ? » Mais comme la mère de la jeune
femme
faisait observer qu’il fallait ménager sa fille,
ns l’enfantement, les soins laborieux et pénibles de la nutrition : «
Femme
, reprit-il, je vous en prie, laissez-la donc être
èrent du côté de Théophraste. Version XII. Moyen employé par la
femme
de Pythès pour guérir la cupidité de son mari.
cupidité de son mari. 12. Dans son livre intitulé : Du Mérite des
femmes
, Plutarque raconte qu’un certain Pythès, gouverne
érir un grand nombre d’hommes, et le reste était découragé, quand des
femmes
, députées par leur sexe, portant dans leurs mains
te, et priant pour épargner à tout leur sexe un semblable malheur. La
femme
de Pythès fit à la députation l’accueil le plus a
au bout de quelques jours ; et, prenant à peine le temps de saluer sa
femme
, car la route lui avait donné grand appétit, il d
, car la route lui avait donné grand appétit, il demanda à manger. Sa
femme
lui fit servir les mets dont nous avons parlé tou
les mets dont nous avons parlé tout à l’heure. Version XIII. La
femme
de Pythès (suite). 13. Je crois qu’il n’est pa
n’avaient pu obtenir les larmes et les gémissements des citoyens, une
femme
l’obtint par un ingénieux expédient : si les mine
tation qui régnait dans la ville ! les clameurs, les lamentations des
femmes
! On eût dit, à cette vue, que le cheval de Troie
tés sans leurs étuis ; là, d’autres vases sont arrachés aux mains des
femmes
; on enfonce les portes, on brise les verroux. Si
que les gens de la dernière classe lui fissent des remontrances. Une
femme
lui demandait une audience. L’empereur lui ayant
elle impression sur Adrien, qu’il donna sur-le-champ audience à cette
femme
, à une pauvre vieille, et l’écouta attentivement.
rié, comme les lois l’y obligeaient. Le chevalier dit qu’il avait une
femme
et trois enfants. Puis il ajouta : « Dorénavant,
détruit les villes, s’attendaient à cette satisfaction. L’avis d’une
femme
impudique, donné dans la chaleur de l’ivresse, su
les cheveux, avec des coquilles de noix tout embrasées. Il avait deux
femmes
, Aristomaque, comme lui de Syracuse, et Doris de
tir ; car il ne voulait plus de la félicité. Version LXVII. Une
femme
de l’île de Céos s’empoisonne en présence de Sext
était entré à Julis, dans l’île de Céos. Il arriva par hasard qu’une
femme
de la plus haute distinction, mais fort avancée e
, il prit enfin le parti de la laisser accomplir sa résolution. Cette
femme
, plus que nonagénaire, et jouissant d’une parfait
s maisons de leurs maîtres, envahissent le gouvernement, prennent des
femmes
, et, sans être libres eux-mêmes, donnent le jour
les jeunes filles se mariassent sans dot, afin qu’en choisissant une
femme
, on épousât sa personne et non ses biens, et que
par la dot, exerçassent plus sévèrement l’autorité à l’égard de leurs
femmes
. La plus haute considération fut attachée, non pa
dans le même lieu. Leur existence est un déplacement perpétuel. Leurs
femmes
sont des mercenaires qu’ils prennent pour un temp
i. Cependant, jusqu’à la fin, leur existence est si vagabonde, que la
femme
se marie dans un endroit, devient mère dans [illi
hars][texte coupé]aire, en se précipitant du haut des murs avec leurs
femmes
et [illisible chars][texte coupé]eurs enfants ; d
té ébranlées. Et vous, serez-vous si violemment ému de la perte d’une
femme
, être faible et chétif, dont le sort, si elle n’a
les villes n’ont plus d’habitants ; les terres, de cultivateurs ; nos
femmes
mêmes et nos enfants sont à la suite de cette arm
osthène, lorsqu’il avoue qu’il se sentait chatouillé en entendant une
femme
qui portait de l’eau dire tout bas à une autre :
cien palais des [illisible chars][texte coupé]ois ; la seconde, leurs
femmes
, avec leurs enfants et leurs [illisible chars][te
isible chars][texte coupé]oupes d’argent ; à leur suite, marchent des
femmes
respectables et des jeunes filles, qui chantent u
mpire sur lui. L’historien Timagène avait tenu sur l’empereur, sur sa
femme
et sur toute sa famille, certains discours qui ne
célèbre, comme des fêtes religieuses, par des chants et des jeux. Les
femmes
mêmes n’y ont pas cette mollesse de cœur qui cara
u qu’elles croient pouvoir faire ; et comme un seul homme a plusieurs
femmes
, elles se disputent vivement l’honneur d’être cho
: ils affranchirent tous les esclaves en âge de puberté ; toutes les
femmes
se coupèrent les cheveux, et on en fit des câbles
ble chars][texte coupé] leurs ennemis étaient éloignés), mirent leurs
femmes
et [illisible chars][texte coupé]urs enfants sur
tement au fléau qui frappait tout le monde. On rapporte encore que sa
femme
Xanthippe avait l’humeur fantasque et querelleuse
biade demanda à Socrate comment il ne chassait point de sa maison une
femme
si acariâtre : « C’est, répondit le philosophe, q
urs larmes. On entendait aussi des cris lamentables, surtout ceux des
femmes
, lorsque, passant à côté des temples, objets de l
que ses armes avaient dompté, il permit à ses soldats de prendre pour
femmes
celles qu’ils voulaient parmi leurs captives : il
guer les proches des étrangers, les plaintes des hommes de celles des
femmes
: seulement, le cortége d’Agrippine étant épuisé
; les autres, que c’était maintenant surtout qu’il fallait vivre. Les
femmes
mêmes se réjouirent plus que jamais de leur fécon
t près d’eux ; ils peuvent entendre les hurlements plaintifs de leurs
femmes
, les cris de leurs enfants : ce sont là pour chac
. On a vu, dit-on, des armées chancelantes et à demi rompues, que des
femmes
ont ramenées à la charge à force de prières, en p
a captivité, que les Germains redoutent bien plus vivement pour leurs
femmes
que pour eux-mêmes. Ce sentiment est tel, que les
r Aristote pour désigner son successeur. 32 12. Moyen employé par la
femme
de Pythès pour guérir la cupidité de son mari. 34
. 114 65. Denys l’Ancien. 116 66. Suite du même sujet. 118 67. Une
femme
de l’île de Céos s’empoisonne en présence de Sext
enres : masculin, si c’est un homme qui parle ; féminin, si c’est une
femme
. Singulier. Je ou moi. Me pour à moi, moi. Exe
; masculin, si c’est à un homme qu’on parle ; féminin, si c’est à une
femme
. Singulier. Tu ou toi. Te pour à toi, toi. Exe
date, pour ainsi dire, la création du premier homme et de la première
femme
dignes de figurer à jamais sur la scène française
nte. Qui me le dit, infâme ? Dis-moi, si tu le peux, dis le nom de ta
femme
. Le conte qu’hier au soir tu m’en fis publier… C
Je ne te parlais point de l’état déplorable Où ta mort va laisser ta
femme
inconsolable ; Je croyais que l’amour t’en parler
t d’amour sans en être touché ? Ne reconnais-tu plus ni beau-père, ni
femme
, Sans amitié pour l’un, et pour l’autre sans flam
on tombeau. 2. Sonnet sur la mort de demoiselle Élisabeth Ranquet,
femme
de M. du Chevreul, écuyer, seigneur d’Esturnville
e8. Une petite ville Corinne était née en Italie de la première
femme
de lord Edgermond ; elle y avait été élevée jusqu
dîner, avec la société de ma belle-mère. Elle était composée de sept
femmes
, les plus graves de la province ; deux d’entre el
, timides comme à quinze, mais beaucoup moins gaies qu’à cet âge. Une
femme
disait à l’autre : Ma chère, croyez-vous que l’ea
s froide ; et l’ennui soulevé retombait avec un nouveau poids sur ces
femmes
, que l’on aurait pu croire malheureuses, si l’hab
ttendu n’apportait pas un grand changement dans la manière d’être des
femmes
: les hommes continuaient leur conversation auprè
les hommes continuaient leur conversation auprès de la cheminée ; les
femmes
restaient dans le fond de la chambre, distribuant
la trace des années, qui venait enfin s’imprimer sur le visage de ces
femmes
comme si elles eussent vécu pendant ce temps. Tel
aisirs semblables : l’on prenait le thé, l’on jouait au whist, et les
femmes
vieillissaient en faisant toujours la même chose,
urs les moyens d’occuper dignement leur loisir ; mais l’existence des
femmes
, dans le coin isolé de la terre que j’habitais, é
musique. Une fois le jour était pris pour cela ; mais tout à coup une
femme
se rappela qu’il y avait trois semaines qu’elle é
t en vain qu’on se dit : tel homme n’est pas digne de me juger, telle
femme
n’est pas capable de me comprendre ; le visage hu
mêlée de plaisir et de regret. Je demandais l’autre jour à une pauvre
femme
que je rencontrai, où elle demeurait : À la Roche
ce sont eux qui désormais doivent garder le feu sacré, car de faibles
femmes
ne suffiraient plus comme jadis pour le défendre.
talent seul enflammait : l’amour de la liberté34, le respect pour les
femmes
, l’enthousiasme des beaux-arts, l’adoration pour
. Atteint, jeune encore, par une maladie sans espoir, ses enfants, sa
femme
, qui méritait par mille qualités touchantes l’att
ieu l’a donnée, cette patrie, aux hommes qui peuvent la défendre, aux
femmes
qui, pour elle, consentent aux dangers de leurs f
s gradins plus élevés se pressaient une foule de spectateurs, hommes,
femmes
, presque tous de haut rang, émus d’avance par la
, et faisait déjà ses préparatifs de départ. Troublé des pleurs de sa
femme
, hors d’état de se résoudre seul, Charles convoqu
nseils : « J’ai presque fini, leur dit-il ; un seul coup va rendre ma
femme
veuve, mes chers enfants orphelins, mes pauvres s
uets, toujours entre deux haies de troupes ; une foule d’hommes et de
femmes
s’y étaient précipités au péril de leur vie, immo
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune
femme
mourante au milieu des pompes et des dangers de l
consulats d’Orient, ils étaient nés tous deux à Constantinople d’une
femme
belle et spirituelle, d’une Grecque164. Il est re
les, parjures et traîtres. Ils ont tué sans cause les Danois, hommes,
femmes
et enfants, dans la nuit de Saint-Brice ; ils ont
nscrit le premier sur le livre noir des conquérants. Les mères et les
femmes
de ceux qui étaient venus de la contrée voisine c
passa outre, et bientôt il perdit de vue les portes de la ville où sa
femme
et ses trois enfants restaient pour attendre son
i l’obsédaient. Dans un pareil état de l’âme, il arrivait souvent aux
femmes
germaines de prendre la parole en vers improvisés
nt Crépin et saint Crépinien. Les hommes versaient des larmes, et les
femmes
, vêtues de noir, donnaient les mêmes signes de do
reprendre ses forces pour le dernier moment, elle se mit au lit. Ses
femmes
continuaient à prier, et pendant ce dernier repos
en souriant qu’elle n’avait jamais eu de pareil valet de chambre. Ses
femmes
, qui étaient restées à genoux au pied de l’échafa
elle répondit qu’elle l’accordait à tout le monde. Elle embrassa ses
femmes
, les bénit en faisant le signe de la croix sur el
y s’était enflammée pour la cause de la révolution, comme beaucoup de
femmes
de son temps, et elle était enivrée de l’idée d’u
uses de sa vie. Après avoir vu périr sous l’étreinte d’un même mal sa
femme
et ses deux filles, il avait fermé les yeux à Tho
oi d’Écosse, Comme il revenait triomphant à la tête de son armée, une
femme
s’est montrée à lui la couronne au front, et la n
itime de la couronne. De retour dans son palais, Macbeth raconte à sa
femme
Frédegonde (c’est le nom que Ducis a donné à lady
u de ces roches Qui de ce palais sombre attristent les approches, Une
femme
a paru, fuyant sur mon chemin, Un diadème au fron
’épouvantent. Près d’un chêne enflammé devant moi se présentent Trois
femmes
. Quel aspect ! Non, l’œil humain jamais Ne vit d’
Vos soins hospitaliers et leur modeste asile, Des hameaux d’alentour
femmes
, enfants, vieillards, Vers ces hôtes sacrés courr
a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre
femme
, À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour :
doux chants de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murmure une
femme
À l’enfant qui s’endort. De son pieux espoir son
iment maternel se trouveront comme égarées dans l’âme corrompue d’une
femme
souillée de vices et de crimes (Lucrèce Borgia, 1
création le hasard m’a jeté ; Heureux ou malheureux, je suis né d’une
femme
, Et je ne puis m’enfuir hors de l’humanité450… Si
ais-tu, ni mon corps ni mon âme, « Et ne me marîrai que pour aimer ma
femme
. » Ah ! tu trouvais alors des accents convaincus
hard468 est un brutal infâme ; Qui maltraite, dit-on, la pauvre jeune
femme
. GEORGE. J’en suis charmé. RODOLPHE. J’en suis c
l avait cependant une excuse plus forte : Il fallait qu’il nourrit sa
femme
, au lieu que, toi, Tu vis seul, et l’on a toujour
nd il montre emportée par le fleuve la tête d’Orphée massacré par les
femmes
thraces, dit : … Marmorea caput a corvice revuls
ire en retraçant la belle scène des adieux de la reine d’Écosse à ses
femmes
. 254. Le shérif remplissait les offices du prévô
et son orgueil héréditaire était encore accru par les richesses de sa
femme
Plancine. Germanicus mort, Pison revint à Rome po
n’avait que sa place au parterre ». 410. La Critique de l’École des
femmes
, sc. VII. 411. La librairie Didier a publié les
oment se croire sûrs de la victoire. Au premier rang se distingua une
femme
, Mlle de Gournay, la fille adoptive de Montaigne.
Pauline, sont des hommes. La modestie et la simplicité manquent à ces
femmes
qui n’ont de féminin que le nom. Elles font valoi
e sublime sans être au-dessus de l’humain, héroïne sans cesser d’être
femme
: voilà quelle était la véritable nouveauté de ce
titre de gloire, sa création la plus originale, ce sont les rôles de
femmes
. Plus des deux tiers de ses pièces ont pour premi
e femmes. Plus des deux tiers de ses pièces ont pour premier rôle une
femme
dont elles portent ou pourraient porter le nom, e
e femme dont elles portent ou pourraient porter le nom, et toutes les
femmes
de son théâtre remplissent de grands rôles, mais
Personne n’a su aussi bien que Racine peindre toutes les passions des
femmes
; mais le peintre de Néron, d’Acomat, de Joad, sa
la puissent défendre. Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs
femmes
, leurs enfants, pourront-ils m’arrêter ? Marchons
t flattés d’avoir servi de modèles au grand comique. Dans l’École des
femmes
(1662), en cinq actes, il combattit les idées éta
combattit les idées établies sur l’infériorité et la soumission de la
femme
. Rien de plus piquant que l’intrigue de cette aim
, ne donna que des pièces en prose. Mais quatre ans après l’École des
femmes
, il produisit enfin sur la scène un véritable che
d’en vouloir si mortellement et si brutalement aux gens de cour, aux
femmes
du grand monde, à l’humanité tout entière ? Évide
, il nous a confessé les tortures de cœur que lui faisait éprouver sa
femme
, la séduisante et légère Armande Béjart. Molière
stronomie ; Molière tomba rudement sur ce nouveau travers, et fit les
Femmes
savantes, où, comme dans Tartuffe, la raillerie r
leur éducation, à leur caractère, à leur sexe et à leur rang. Les
Femmes
savantes. (Les Femmes savantes, acte II, scène VI
r caractère, à leur sexe et à leur rang. Les Femmes savantes. (Les
Femmes
savantes, acte II, scène VII.) Chrysale. Le m
essous. Il n’est pas bien honnête, et pour beaucoup de causes, Qu’une
femme
étudie et fasse tant de choses. Former aux bonnes
os pères, sur ce point, étaient gens bien sensés, Qui disaient qu’une
femme
en sait toujours assez, Quand la capacité de son
aiguilles, Dont elles travaillaient au trousseau de leurs filles. Les
femmes
d’à présent sont bien loin de ces mœurs ; Elles v
iés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère, enfants, mère et
femme
, Que je m’en soucierais autant que de cela. Cléa
. Valère. On le voit à votre air. Le Marquis aspire à la main d’une
femme
du plus haut rang ; et, dit le noble fanfaron, vo
res. Scènes d’Alceste. Alcide va chercher dans les enfers Alceste,
femme
d’Admète, qui s’est volontairement offerte à la m
ile innocence. Peu de jeunesse entre eux, force vieillards craintifs,
Femmes
, famille, enfants aux cœurs déjà captifs, Ils tra
ans les fers fut réduite. Le mari se sauva, regrettant sa moitié ; La
femme
alla servir un maître sans pitié ; Au chef de ces
ont cessé : Colletet est trépassé. Dès qu’il eut la bouche close, Sa
femme
ne dit plus rien ; Elle enterra vers et prose Ave
que dans certaines satires, en particulier dans la Satire contre les
femmes
. Quand un interlocuteur est introduit dans les Ép
. Or çà, je vous ai dit une bonne nouvelle ; Ne la négligeons pas. Ma
femme
veut vous voir. Pour gagner son esprit, faites vo
u’on te voit paraître, Noble, bourgeois, clerc, prélat, petit-maître,
Femme
surtout, chacun met son espoir Dans tes cartons p
aisants détestables, Des jeunes gens d’un ton, d’une stupidité !… Des
femmes
d’un caprice et d’une fausseté !… De prétendus es
J’eus le droit d’y parler, et parler sans rien dire. Cette
femme
à grands falbalas Me consulta sur l’air de so
personnage théâtral que ce pusillanime et tout passif Macbeth, que sa
femme
décide à assassiner son roi, son bienfaiteur et s
rit de son côté, En songeant qu’un matin du bonhomme il hérite. Telle
femme
se croit sultane favorite ; Un commis est ministr
ment du nord, Annonçait dans les airs la fête de la mort. Vieillards,
femmes
, enfants accouraient vers le temple : Là préside
a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre
femme
, À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour :
les pleurs du hameau ! Là, quand l’ange voilé sous les traits d’une
femme
Dans le Dieu sa lumière eut exhalé son âme, Comme
ardin recueillie, Nous regardait jouer avec mélancolie ? Cette digne
femme
, affaiblie par la fatigue et par la souffrance, d
qu’il prévoit avec désespoir de quelle perte il est menacé. La pauvre
femme
parcourt une dernière fois la maison natale en l’
-né grandit sur ses genoux. Où ces anges gardiens du printemps de la
femme
Laissèrent en partant leur rayon dans son âme. H
nous traînâmes ses pas. Le concierge, attendri par ces deux voix de
femmes
, Ouvrit furtivement la porte, et nous entrâmes. S
uand par un soir d’été Grenade dans ses plaines Répand ses
femmes
et ses fleurs. L’Arabie est son aïeule ; Les Mau
l’homme sombre arriva Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa
femme
fatiguée et ses fils hors d’haleine Lui dirent :
près, » dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses fils dormants, sa
femme
lasse, Et se remit à fuir, sinistre, dans l’espac
aisir. Pour héros il n’a que des débauchés impies et fanfarons et des
femmes
de mauvaise vie. Sa muse folle multiplie à plaisi
des mers de feuillage, Une grêle fumée au-dessus, dans un champ, Une
femme
de loin appelant son enfant ; Ou bien un jeune pâ
pères, des enfants, Ils voulurent toucher et voir ces arrivants. Les
femmes
! Dans leur cœur si la crainte est bien forte, Su
t vous, mon fils ! » Mais lui, d’un ton glacé : « Que faites-vous, ô
femme
? Si mon corps est sauvé, faut-il perdre mon âme
blanche tunique, Et rende grâce aux dieux de trouver sur le seuil Une
femme
soigneuse et qui lui fasse accueil ; » enfin que
ouser le refusera pour sa pauvreté, et que sa fiancée sera bientôt la
femme
d’un autre. George réplique : George. Je la conn
, fût aussi correct dans sa conduite que dans ses ouvrages, rendit sa
femme
heureuse, élevát bien ses enfants, et fit des éco
petit ménage de Rouen, écrivant Polyeucte au bruit des fuseaux de sa
femme
, ni Racine faisant la procession dans sa chambre,
qui veut parvenir il la célébrité à tout prix ; Une Médée, pour une
femme
furieuse ; Un Bossuet, pour désigner un grand or
es hommes sont si efféminés, leur parure est si semblable à celle des
femmes
, ils composent si bien leur teint, ils se frisent
t Jacques Tardieu, lieutenant criminel de Paris, et Marie Ferrier, sa
femme
, tous les deux célèbres par leur avarice sordide.
stique séjour ; Je visitais des morts la couche triste et sainte. Une
femme
apparut………………………… La Vaccine. Voltaire nous fai
ère, on lui dit qu’il avait sauvé Rome ; quand il eut fait égorger sa
femme
, on loua devant lui sa justice ; quand il eut ass
dans une page de Chateaubriand, écrite sur l’Amour maternel : Cette
femme
si faible a tout à coup acquis des forces… etc.
mestiques ; Le méchant par le prix au crime encouragé, Le mari par sa
femme
en son lit égorgé, Le fils tout dégouttant du meu
tre faut-il, avant de finir, m’arrêter un instant sur les devoirs des
femmes
réduites au veuvage. » Voici cc qu’en peu de mots
e. » Voici cc qu’en peu de mots leur intérêt m’ordonne de leur dire :
Femmes
, votre gloire est de vous ressembler à vous-mêmes
modes : on invente pour une princesse une parure nouvelle, toutes les
femmes
l’adoptent ; on veut ensuite renchérir, et on inv
ns Shakespeare, quand Macduff apprend que Macbeth a fait massacrer sa
femme
et ses enfants, et que, se cherchant une vengeanc
Pierre, dit le plus jeune à son camarade, c’est à moi. Toi, tu as une
femme
et des enfants. » Et il se précipite sur le pavé.
s Français si vanté, peux-tu reconnaître ? Jadis peuple héros, peuple
femme
en nos jours, La vertu qu’ils avaient n’est plus
e en miracles ? 6. Molière avait parlé à peu près de même dans les
Femmes
savantes. Voir les Morceaux choisis pour la class
ien qui la suivait accueillait mon retour3 ! D’un air indifférent une
femme
est venue, Du château, maintenant, habitante inco
e dans tes chansons. 1. Dans un volume intitulé Causcries sur les
Femmes
et les Livres, par Gustave Merlet, on peut lire u
ivinité ; et que les habitants d’Égine avaient institué des chœurs de
femmes
pour honorer deux antiques statues enlevées aux É
plus qu’elle ne l’est chez les nations modernes, et à l’habitude des
femmes
de mener une vie plus retirée, ce qui eût rendu l
amour déplacé sur la scène. D’ailleurs, l’usage ne permettant pas aux
femmes
de monter sur le théâtre, il n’y avait pas de com
monter sur le théâtre, il n’y avait pas de comédiennes : les rôles de
femmes
étaient joués par des hommes masqués, et l’amour
uations très touchantes ; une grêle, une inondation, un incendie, une
femme
et ses enfants prêts à périr ou dans les eaux ou
nairement à corriger quelques travers, comme cela est arrivé pour les
Femmes
savantes, les Précieuses, etc., que Molière a fai
autre ridicule, un vice à un autre vice, comme si on représentait une
femme
altière et absolue à côté d’un mari pusillanime e
adapté à son rôle. Un bon modèle du style comique est le passage des
Femmes
savantes où le bourgeois Chrysale se plaint de l’
arité de caractère ou de destinée, enfin, la condition inférieure des
femmes
, leur vie retirée, affaiblissaient la puissance d
u cœur qu’il tire ses plus grandes ressources. La position élevée des
femmes
dans la société moderne, leur action puissante da
st marié et le plus jeune est fils unique. Ils vont rendre l’âme ; la
femme
de l’un et le père de l’autre, avertis de ce fune
ue ce n’est pas ma faute si tu péris misérablement. » De son côté, la
femme
se désespère. Quoique son époux ait perdu au jeu
ur que vous ne soyez pas trop contente du rôle d’Aurélie. Vous autres
femmes
, vous êtes accoutumées à être le premier mobile d
onner de la consolation. « J’ai le malheur, m’a-t-elle dit, d’être la
femme
d’un poëte. — Votre mari est-il jeune, madame ? f
d’obtenir un privilége, qu’à un homme qui n’a point la protection des
femmes
d’avoir un emploi dans les finances. Enfin, après
Paris un grand nombre de petites sociétés où préside toujours quelque
femme
qui, dans le déclin de sa beauté, fait briller l’
s brigué ; on court en poste à Versailles ; on fait parler toutes les
femmes
; on fait agir tous les intrigants ; on fait mouv
ans le Gascon et dans le roi, et Marguerite de Valois (1553-1615), sa
femme
, dont les Mémoires sont l’œuvre charmante d’une «
de pays (France, Allemagne) ; — devant certains noms communs (homme,
femme
, chose, mort, fortune, etc.) ; — devant le superl
octes que les docteurs et prescheurs de mon temps. Que diray ie ? Les
femmes
et filles ont aspiré a ceste louange et manne cel
gueux. A l’endroict du siege principal estoyt l’imaige d’une vieille
femme
, tenant en main dextre un fourreau de faulcille,
poete194, Il ne te fault d’autre chose mesler, Que d’enseigner tes
femmes
à filer. Car il est bien vray que la naturelle
ient dedans des bois : mais comme ilz estoient descouvertz, hommes et
femmes
les couroient sus, et ne sçavoient où se cacher.
ur de la première Marguerite, sœur de François Ier, et de la seconde,
femme
de Henri IV. Il vit et connut nombre de personnag
onner de soubçon ; que je les priois de me laisser entrer, moy et mes
femmes
et si peu de mes gens, dans la ville, qu’ils voul
un avoit sa vaisselle d’argent, et sa tapisserie et ses meubles ; les
femmes
avoient encore leur demiceint234 ; les reliques é
isez par des esperances fausses : ils ne craignent que Dieu, vous une
femme
, devant laquelle vous joignez les mains quand vos
de bons et grands esprits, marchent Pellisson et Saint-Évremond. Deux
femmes
enfin, Mme de Sévigné et Mme de Maintenon donnent
mes nous n’attrapons point » ; à La Bruyère qui dit de toutes : « Les
femmes
vont plus loin que nous dans le genre épistolaire
palais pour pleurer les misères de l’État et faire des vœux avec les
femmes
? Au contraire, s’il me croit, il se fera voir da
: Bossuet, Leibnitz, Arnauld et Spinoza, jansénistes et protestants,
femmes
et poètes, Mme de Sévigné et La Fontaine (voir Fa
ctres326, soit moins digne d’elle que l’assassinat d’Agamemnon par sa
femme
, et la vengeance de cette mort par Oreste sur sa
a ville ; mais vous m’en répondrez, messieurs du parlement, vous, vos
femmes
et vos enfans. » En prononçant cette dernière syl
. LYSIDAS. Enfin, monsieur, toute votre raison, c’est que l’École des
femmes
a plu ; et vous ne vous souciez point qu’elle ne
nous autres, de la côte de saint Louis ? M. JOURDAIN. Taisez-vous, ma
femme
; je vous vois venir. MADAME JOURDAIN. Descendons
l pas marchand aussi bien que le mien ? M. JOURDAIN. Peste soit de la
femme
! Elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
dicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille,
femme
, mère de rois si puissans376, et souveraine de tr
prétentions ? c’est de quoi régler les vôtres. Veni, et vide : venez,
femme
mondaine, venez ; vous avez pour votre personne d
era toujours. On avait trouvé en eux des auteurs ; on eut en elle une
femme
et une mère. Le sel qui a conservé sa corresponda
empêche de suivre la droiture de vos sentimens, par une tendresse de
femme
; mais j’avois cru que vous pourriez faire ce voy
s la direction de Saint-Cyr les merveilleux talents d’institutrice de
femmes
, dont témoignent ses écrits divers sur l’éducatio
sprit), il s’avance, à travers la cour et la ville, les salons et les
femmes
, les grands et les bourgeois, les particularités,
années qui l’ont suivi. Supérieur, à vingt-sept ans, d’un couvent de
femmes
, les Nouvelles Converties, il écrit, entre autres
monie, en pleine nuit, pour venir pleurer et crier parmi une foule de
femmes
en déshabillé de nuit, presque en mascarade. Mme
était un fort honnête homme, modeste, brave, mais des plus épais. Sa
femme
qui était Boucher-d’Orsay, étoit une grande créat
nt la dupe de tout. Elle étoit pourtant la surveillante de toutes les
femmes
de la cour, et de son témoignage dépendoiont les
te (1633-1692), élève de Ménage, comme Mme de Sévigné, fut une de ces
femmes
spirituelles et instruites sans pédanterie qui sa
Walpole est un des hôtes les plus goûtés, puis le correspondant de la
femme
d’esprit, Mme Du Deffand, qui tient le salon le p
eux où la société ne s’est point perfectionnée ; où les hommes et les
femmes
ne se réunissent point ; où certains arts, comme
urs des Grecs : c’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect pour la
femme
et pour la mère de Darius, et qu’il montra tant d
ion qui se fait des deux peuples par les mariages. Alexandre prit des
femmes
de la nation qu’il avoit vaincue : il voulut que
ces grands desseins ont abouti à s’aller faire tuer par la main d’une
femme
; au lieu d’admirer cet héroïsme prétendu, que ve
nt, quoique je n’y eusse d’autre société que celle du receveur, de sa
femme
et de ses domestiques, qui tous étoient, à la vér
e. J’employois le reste de ma matinée à aller, avec le receveur et sa
femme
, visiter leurs ouvriers et leur récolte, mettant
mademoiselle de Cléry a envoyé de Blois un panier à une bonne vieille
femme
, nommée madame Le Vasseur, et si pauvre qu’elle d
. Que signifie, à côté de ce porte-faix étendu sur des ballots, cette
femme
qui conduit un lion par la crinière ? La femme et
sur des ballots, cette femme qui conduit un lion par la crinière ? La
femme
et l’animal s’en vont du côté du porte-faix endor
faix endormi ; et je suis sûr qu’un enfant s’écrieroit : Maman, cette
femme
va faire manger ce pauvre homme-là, qui dort, par
dessein ; mais cela arrivera, si cet homme ne s’éveille, et que cette
femme
fasse un pas de plus. Pigalle, mon ami, prends to
rds qui vous sont dus personnellement, le souvenir que je parle à une
femme
contiendra la juste indignation que j’aurois pein
rendre l’épée pour le repousser, vous engage à égorger froidement des
femmes
et des citoyens désarmés, celui-là est un ennemi
e, abandonnent ce que la nature doit leur faire chérir le plus, leurs
femmes
, leurs enfants, demeurerez-vous plongés dans une
lui-même, de l’abbé Prévost (1697-1763). Dans le genre du roman, les
femmes
apportent leur tribut, comme le xviie siècle : i
ère, on lui dit qu’il avoit sauvé Rome ; quand il eut fait égorger sa
femme
, on loua devant lui sa justice ; quand il eut ass
mis une injustice, il est prêt à la réparer. Tout se tait : une seule
femme
ose réclamer une petite somme de monnoie. Il meur
t les précède, qui, tout troublé, de temps en temps les regarde ; une
femme
, vieille, l’air indifférent, emportant les vêteme
est bien la clarté d’un incendie ! Comme du haut d’une terrasse cette
femme
tendoit à son mari, qui étoit en bas, leur enfant
magnifiques, et tenant par la main devant elle deux enfants nus, une
femme
grande, d’une beauté et d’une taille majestueuse.
rné au Vatican et au pontife, ne pleurant point, ne priant point, une
femme
, d’un air étonné, la regardoit. Son enfant jouoit
ondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une
femme
, des enfants, des frères, séparés de moi depuis l
la coquetterie ; cette coquetterie n’appartient pas exclusivement aux
femmes
; il y en a dans toutes les manières qui servent
r plaire aux autres émousse bientôt en soi-même ce qu’on ressent. Une
femme
d’esprit a dit que Paris était le lieu du monde «
r la patrie de Proserpine, et savoir un peu pourquoi le diable a pris
femme
en ce pays-là. Je ne balance point, madame, entre
idence719 Deux hommes étaient voisins, et chacun d’eux avait une
femme
et plusieurs petits enfants, et son seul travail
me, disant : « Si je meurs ou que je tombe malade, que détiendront ma
femme
et mes enfants ? » Et cette pensée ne le quittait
créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma
femme
, et sur mes enfants. » Et celui-ci vivait tranqui
clamé à quelques oreilles amies, et souvent à sa noble et spirituelle
femme
, chacun de ses discours était aussi un rude et pa
d’abandonner sa famille, M. de Lacépède fit tenir régulièrement à sa
femme
500 francs par mois, jusqu’à ce que son fils fût
s ; mais c’est là aussi qu’il trouva les peines les plus cruelles. Sa
femme
, qu’il adorait, passa les dix-huit derniers mois
de grâces, formaient encore pour lui une société douce : cette jeune
femme
périt d’une mort subite. Au milieu de ces nouvell
regard à jeter en arrière. » Le dernier regard de Bailly fut pour sa
femme
. Un gendarme de l’escorte recueillit avec sensibi
Louis XIV, finissant comme il avait voulu commencer820, avait fait sa
femme
. Louis XIV restait seul de son siècle. Vieillard
s toujours, Français, que la Patrie, chez nous, est née du cœur d’une
femme
, de sa tendresse et de ses larmes, du sang qu’ell
modernes, contemporains, poètes ou prosateurs, français ou étrangers,
femmes
de lettres, hommes de lettres, hommes d’État, hom
ire au plus beau moment de notre passé, l’âge d’or de l’urbanité, les
femmes
réussirent mieux encore que les hommes à en offri
ettres, où plutôt il n’en est pas une qui ne soit toute cette aimable
femme
un moment. Je ne sache pas d’écrits où se voient
tre, contemporain d’Alexandre. À leurs pieds sont assises deux jeunes
femmes
, images de l’art grec et de l’art romain ; debout
rec et de l’art romain ; debout sur le devant des degrés, deux autres
femmes
représentent l’art du moyen âge et l’art moderne.
ez ; et ceux dont on ne voyait pas la barbe ressemblaient ainsi à des
femmes
maigres et basanées ; d’autres, plus étrangement
Juifs montés sur des ânes, tenant deux enfants sur chaque bras ; des
femmes
enveloppées de voiles blancs, à cheval, marchant
he du village voisin commençait à sonner le glas de la sépulture. Les
femmes
et les petits enfants sortaient des portes de leu
fait les commissions de chacun. L’arrivée d’une voiture, soit quelque
femme
qui passe à Guérande par la voie de terre pour ga
fût dévoué pour vous, l’abandonneriez-vous ? ne vous… — Vous êtes une
femme
, dit-il avec une teinte de raillerie. — Et vous u
tête du mort se tenait sa veuve, et derrière elle un grand nombre de
femmes
occupaient tout un côté de la chambre ; de l’autr
222. En ces alarmes. 223. Destiné à préserver le teint du hâle. Les
femmes
en portaient encore sous Louis XIV. 224. Auxquel
589. 233. (Damnum) à tes dépens. 234. Ceinture d’argent, parure des
femmes
. — Le mot se trouve dans Regnier, et encore dans
ctobre 1605. Son père dit : « J’ai perdu mon fils, j’ai donc perdu ma
femme
. » Elle mourut de chagrin le 15 mai suivant. Henr
es d’Angennes, marquis de Rambouillet, et de Catherine de Vivonne, sa
femme
. Ils moururent, l’un en 1653, l’autre en 1665. Ju
rdinal de Retz.) 357. Il défend Molière et sa comédie de l’École des
Femmes
(1662). 358. Dans le sens du siècle, les gens éc
a conservé. 360. Voyez la défense de la Cour par Clitandre dans les
Femmes
savantes (IV, 3). 361. Qui a mauvaise façon et m
. page 125, note 1. 375. I ad Cor. vii, 31. 376. Fille de Henri IV,
femme
de Charles Ier, mère de Charles II 377. Anne de
e Charles Ier, mère de Charles II 377. Anne de Gonzague (1616-1684),
femme
de Frédéric V, électeur palatin. 378. La Fronde,
mière surnaturelle entr’ouvrit les nuées ; au milieu d’une gloire une
femme
céleste… » (Chateaubriand, Martyrs, XIX). 469.
ince Armand de Conti et neveu du grand Condé. — Madame est la seconde
femme
du frère de Louis XIV, Éléonore de Bavière, qui a
ler Goëzman, une audience, donne cent louis, une montre destinée à la
femme
du conseiller, et quinze louis destinés à son sec
d’un lieutenant et de trois Arabes, rencontra cette tribu. 900. Les
femmes
musulmanes le relèvent jusque sous les yeux. 901
Chaque classe de personnes a son genre de bonté : il y a celle de la
femme
, celle de l’esclave, bien que le caractère moral
ure62 est un trait de caractère, mais il ne convient pas à un rôle de
femme
d’être brave ou terrible. V. Le troisième point,
ui, après un court prélude, introduit bientôt un personnage, homme ou
femme
, ou quelque autre élément moral, et jamais person
e les Céphalléniens le racontent. Ils prétendent qu’Ulysse épousa une
femme
de chez eux et qu’il s’agit d’Icade167, et non pa
de, et qu’on reproche aujourd’hui à d’autres de ce qu’ils imitent des
femmes
de bas étage. VII. De plus, la tragédie, même san
n. La noblesse, pour les particuliers, provient ou des hommes, ou des
femmes
: la naissance légitime des uns et des autres, et
onsidération et qu’une longue suite de personnages illustres, hommes,
femmes
, jeunes gens, vieillards, se sont succédé dans un
uples chez lesquels il y a de mauvaises institutions relativement aux
femmes
, comme les Lacédémoniens, ne possèdent guère que
i a obtenu la préférence d’une personne sensée ou honorable, homme ou
femme
; ainsi Athénée donnait sa préférence à Ulysse ;
r exemple, si l’homme le plus grand est plus grand que la plus grande
femme
, les hommes, pris en masse, seront plus grands qu
s grande femme, les hommes, pris en masse, seront plus grands que les
femmes
; et (réciproquement), si les hommes, pris en mas
ciproquement), si les hommes, pris en masse, sont plus grands que les
femmes
, l’homme le plus grand sera plus grand que la plu
les femmes, l’homme le plus grand sera plus grand que la plus grande
femme
. En effet, les différences en plus des espèces so
us grand nombre d’objets. C’est ainsi que le Poète fait énumérer à la
femme
de Méléagre, qui veut persuader au héros d’aller
us de valeur ; par exemple, celles d’un homme plutôt que celles d’une
femme
. XXIII. Sont plus belles aussi les vertus capable
es à raisonner. V. De même ceux qui ont des parents, des enfants, une
femme
, car ce sont des êtres qui les touchent de près e
t. De là cette réponse de Simonide, sur les sages et les riches, à la
femme
de Hiéron qui lui demandait lequel valait mieux d
éthienne 424 où il était établi que, sur la question des enfants, les
femmes
, partout, déterminent la vraie situation. À Athèn
est ainsi qu’Isocrate, dans l’Éloge d’Hélène, a écrit qu’elle fut une
femme
de valeur, puisque Thésée la jugea telle ; il en
se qui fit naître cette calomnie. Exemple : (une mère) dont une autre
femme
a ravi le fils par substitution445 semblait, en r
cte dans Oreste, qui procède par division : Il est juste, lorsqu’une
femme
a fait périr son époux, qu’elle meure à son tour,
joindre (les mots), mais les faire succéder chacun à chacun : « de la
femme
qui est la nôtre », et, si l’on recherche la conc
, et, si l’on recherche la concision, faire le contraire : « de notre
femme
». VI. Parier avec conjonctions, et, si l’on veut
t, ou un homme mûr, ou un vieillard ; j’entends aussi un homme ou une
femme
, un Lacédémonien ou un Thessalien. VII. J’appelle
mis aucune faute. Cet exemple n’a rien de piquant. « Il faut qu’une
femme
digne épouse un homme qui soit digne. » Celui-ci
uver la plupart de ces indices dans Homère : Elle dit, et la vieille
femme
tenait son visage dans ses mains700. En effet, c
— 4e : Phrynichus, disciple de Thepsis, introduit les personnages de
femmes
. — 5e : Pratinas, de Phlionte, inventeur du drame
p. vi, § 8. 60. Chap. vii, § 12. 61. Aristote semble contester à la
femme
et à l’esclave non pas la capacité et la bonté, m
sa cinquante tragédies et remporta treize fois le prix. — Alphésibée,
femme
d’Alcméon. Celui-ci avait tué sa mère Ériphyle, p
te (Antidosis, § 217), sont le plaisir, le profit et l’honneur. 424.
Femme
de l’île de Péparèthe, une des Cyclades. 425. Il
aux Égyptiens à propos de leurs divinités. 450. Comme qui dirait la
femme
de fer. 451. Θρασύϐουλος. 452. Θρασύμαχος. 453
Peut-être n’est-il pas juste que la main qui venge un père frappe la
femme
qui a tué son époux. 468. Cp., dans Platon, Banq
v. VIII, ch. x, et surtout Analyt. pr., ibid. 482. Celui de Byblis,
femme
originaire de Bubasos, en Carie, pour son frère j
Spengel.) 691. Fille de Laomédon, roi de Troie, devenue la troisième
femme
de Télamon. Explication conjecturale : Résidant à
mblable à un marché de laboureurs et de pêcheurs : il était rempli de
femmes
et d’enfants, et retranché avec des bateaux de cu
ervons le tombeau profané ! Nos pères, nos enfants, nos filles et nos
femmes
, Au pied de nos autels expirant dans les flammes,
par quelques propos piquants, soit aussi, dit-on, par une relation de
femme
, l’inimitié jalouse de Cromwell. Le comte de Norw
ère avec le fils, la fille avec la mère ; Les amis, les amants, et la
femme
et l’époux, Le roi près du flatteur, l’esclave av
Enfin, lorsque le besoin est extrême, il s’expose à tout, attaque les
femmes
et les enfants, se jette même quelquefois sur les
ur les hommes, attaquer le berger plutôt que le troupeau, dévorer des
femmes
, emporter des enfants, etc. On a appelé ces mauva
jamais été marié ; mais personne ne lui apprendra que Ninus a eu deux
femmes
. On lui dit que le roi jouit d’une santé parfaite
s ? écoulez-vous vos flammes ? Et perdez-vous encor le temps avec des
femmes
? Prêts à verser du sang, regardez-vous des pleur
lez combattre ; et nous, allons mourir. Horace. Mon père, retenez des
femmes
qui s’emportent Et, de grâce, empêchez surtout qu
e légion ; Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille,
femme
, sœur et mère de vos maîtres ! Que prétendez-vous
r fâcheux, quand par un trait d’esprit, Pour ramener la paix entre la
femme
et l’homme, J’inventai « Phidippide » — « Écuyer
point de faiblesse humaine ! Molière. La Critique de l’École des
femmes
LE MARQUIS, DORANTE. Dorante. Jamais on n’a
beaucoup. Le marquis. Demande-lui ce qu’il lui semble de l’École des
femmes
; tu verras qu’il te dira qu’elle ne lui plaît pa
isais-tu, ni mon corps ni mon Âme, Et ne me marirai que pour aimer ma
femme
. » Ali ! tu trouvais alors des accents convaincus
dicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille,
femme
, mère de rois si puissants, et souveraine de troi
ux voisins Deux hommes étaient voisins, et chacun d’eux avait une
femme
et plusieurs petits enfants, et son seul travail
en disant : « Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma
femme
et mes enfants ? » Et cette pensée ne le quittait
créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma
femme
, et sur mes enfants. » Et celui-ci vivait tranqui
trouvé l’homme ayant sa demeure particulière ; dans cette demeure sa
femme
, ses enfants, formant de premières agglomérations
publique, des citoyens entraient dans les temples, allaient voir des
femmes
ou visitaient leurs amis, avec ¿es armes offensiv
fût aussi correct dans sa conduite que dans ses ! ouvrages, rendit sa
femme
heureuse, élevât bien ses enfants, et fit des éco
petit ménage de Rouen, écrivant Polyeucte au bruit des fuseaux de sa
femme
, ni Racine faisant la procession dans sa chambre,
large, composent l’auditoire de Florimond ; les trois quarts sont des
femmes
. D’où viennent ces visages-là ? Personne ne pont
l parle bien, il écrit mieux ; les hommes en font cas et il plaît aux
femmes
; il a tout ce qu’il faut pour réussir, mais il n
plois et mes pensions ; vous m’avez maltraité à Francfort, moi et une
femme
innocente, une femme considérée, qui a été traîné
; vous m’avez maltraité à Francfort, moi et une femme innocente, une
femme
considérée, qui a été traînée dans la boue, et mi
d’obtenir un privilège, qu’à un homme qui n’a point la protection des
femmes
d’avoir un emploi dans les finances. Enfin, après
Paris un grand nombre de petites sociétés où préside toujours quelque
femme
qui, dans le déclin de sa beauté, fait briller l’
brigué ; on court en poste à, Versailles ; on fait parler toutes les
femmes
; on fait agir tous les intrigants ; on l’ait mou
ertations sans méthode. On vient d’imprimer dans un journal l’article
Femme
, qu’on tourne horriblement en ridicule. Il semble
n avant qu’il soit dix jours. » J’emportai les brillants. Mais est-il
femme
ou fille Qui se puisse tenir d’admirer ce qui bri
frais qu’une pomme, Mon Paul, un gros baiser. Encore un ! encore un !
Femme
, entre vos deux bras serrez donc mieux votre homm
ieux votre homme, Songez que jusqu’au soir je vais rester à jeun. La
femme
. Vous, Vincent, veillez mieux sur vos échafaudage
nce, On entendit sur l’échafaud : « J’ai trois enfants, Jacques, une
femme
! » Jacques un instant le regarda : « C’est juste
zélée de la religion, et forment le projet de s’y établir avec leurs
femmes
et leurs enfants, persuadés que rien ne pourra le
mp ennemi. Marcius (Coriolan) admirant le courage d’une ville, où les
femmes
elles-mêmes étaient douées d’une âme si énergique
: « Jusqu’à ce jour, dit-elle, deux fois dans de grands malheurs, des
femmes
sont sorties de Rome en députation : la première,
emi des Romains, céda par respect aux prières que lui adressaient des
femmes
, et Marcius repousse les supplications des dames
is sur son tribunal avec les autres chefs des Volsques. En voyant les
femmes
romaines qui s’approchaient, il fut d’abord surpr
maître de son émotion, il ne put supporter de rester assis devant les
femmes
qui s’avançaient ; descendant de son tribunal, il
iciter en même temps ton salut et la victoire de notre pays, quand ta
femme
et tes enfants sont placés dans l’alternative d’ê
est-il pas encore bien plus douloureux de penser que vos enfants, vos
femmes
seront traînés en esclavage et que vous êtes dest
le incendiée, en foulant aux pieds les cadavres des vieillards et des
femmes
, en détruisant nos pénates et les temples de nos
re à la pitié ; demeure ici, sur cette tour, si tu ne veux laisser ta
femme
veuve et ton fils orphelin. Arrête tes guerriers
et les citoyens romains, étaient obligés à errer çà et là avec leurs
femmes
et leurs enfants, sans avoir aucun lieu où ils pu
r de l’enfance, eut une vision, dans laquelle, sous la figure de deux
femmes
, la Vertu et la Mollesse cherchaient à l’attirer
ave. Il l’est aussi, employé comme adjectif : = un homme esclave, une
femme
esclave. Le nom pluriel gens exige plusieurs rema
re d’usage qu’au participe : = il est épris d’un fol amour pour cette
femme
. Frire. Participe, frit. Présent absolu, je fris
s : Accoucher, signifiant enfanter, est neutre, et prend être : = la
femme
de mon ami est accouchée heureusement. Il est act
sement. Il est actif, et prend avoir, lorsqu’il signifie, aider à une
femme
à accoucher : = cette sage-femme a accouché plusi
s tombé, elle est décédée, parce qu’on peut dire, un homme tombé, une
femme
décédée. Si le participe, au contraire, ne peut p
i ; elle a tremblé, parce qu’on ne peut pas dire, un homme frémi, une
femme
tremblée. Cette règle est généralement sûre : mai
t les têtes de leurs ennemis scalpées, leurs huttes incendiées, leurs
femmes
emmenées en servitude, il réduira les partisans d
reçoivent à leur foyer l’étranger suppliant. Ils ne condamnent pas la
femme
au labeur humiliant de l’esclave et de la bête de
vaisseaux se pourrissent, et leurs cordages tombent en lambeaux. Nos
femmes
et nos petits enfants languissent dans nos maison
à marcher sur les têtes des Grecs. O mes amis, si vous n’êtes pas des
femmes
, si vous êtes des Grecs, partons, retournons chez
ablonneuse d’Ithaque : il lui en a coûté beaucoup de laisser sa jeune
femme
et son enfant à la merci des chefs ambitieux de s
’impatience qu’ils ont de retourner dans leur patrie, auprès de leurs
femmes
et de leurs enfants. « — Rien que pour un mois d’
s autres, de la côte de saint Louis3 ? M. Jourdain. Taisez-vous, ma
femme
; je vous vois venir. Madame Jourdain. Descendo
pas marchand aussi bien que le mien ? M. Jourdain. Peste soit de la
femme
! elle n’y a jamais manqué. Si votre père a été m
esque disparue 6. Comparer l’entretien comique de Sancho Pansa et sa
femme
(Don Quichotte, part. II, ch. V.) 1. Nous lison
rande multitude lançait des pierres et des traits. — 7. Une troupe de
femmes
se rendirent au sénat. — 8. La ville de Corioles
is. Les poëtes Virgile et Varius furent chéris d’Auguste. Sa première
femme
fut Scribonie, fille de Libon ; Livie fut la seco
gnominavêre. corrigé. 1. Philippe, roi de Macédoine, prit pour
femme
Olympias, fille de Néoptolème, roi des Molosses ;
ie ; elle fut ensuite surnommée Sicanie. — 17. Dieu fit l’homme et la
femme
: l’homme eut nom Adam, et la femme Ève. vers
nie. — 17. Dieu fit l’homme et la femme : l’homme eut nom Adam, et la
femme
Ève. version 34. 1. Columbis inest quidam
des ennemis. — 3. Le champ qui me nourrit est à moi. — 4. Lorsqu’une
femme
se marie, tout ce qui lui appartenait devient la
unesse n’est pas épargnée par la mort. — 3. Ni les vieillards, ni les
femmes
, ni les enfants ne furent épargnés par l’ennemi.
le à un mendiant ; il n’était reconnu ni par ses serviteurs ni par sa
femme
. Mais le chien reconnut aussitôt et caressa son m
faut agir et non délibérer. — 10. Autrefois il n’était pas permis aux
femmes
romaines de boire du vin. — 11. Il importe à l’or
de l’eau à boire aux enfants. — 13. La nature a donné en partage à la
femme
le soin des choses domestiques. — 14. Ulysse remi
ister aux assemblées. Les Germains ne dédaignent pas les conseils des
femmes
. Ils rapportent leurs blessures à leurs mères, à
la désolation se répandirent aussitôt de toutes parts : on voyait les
femmes
consternées lever au ciel des mains suppliantes,
ez les Germains, les hommes avaient droit de vie et de mort sur leurs
femmes
et sur leurs enfants. — 5. Notre but est de vivre
Sémélé. — 4. Pacuvius était fils d’une sœur d’Ennius. — 5. Tanaquil,
femme
du roi Tarquin l’Ancien, éleva comme son propre f
la nature de dieux, à partir de Thalès de Milet. — 7. Dans l’Inde la
femme
était mise toute vivante sur le bûcher avec son é
Sémiramis, épouse de Ninus, surpassait en courage, non-seulement les
femmes
, mais encore les hommes. — 4. L’Indus ne nourrit
bitume, il la rendit impénétrable aux eaux : il s’y renferma avec sa
femme
, ses trois fils et ses trois brus. Deux couples d
ar les plus mauvais citoyens. — 8. La loi Oppia ne permettait pas aux
femmes
romaines de se servir d’étoffes de diverses coule
la trahissaient ; il montre que les prêtres, étant entrés avec leurs
femmes
et leurs enfants par un passage souterrain, avaie
dos faciliùs labores muneri dedisse. corrigé. 1. On dit qu’une
femme
, à qui l’on avait annoncé faussement la mort de s
, ne but pas d’autre vin que les rameurs. — 4. Chez les Germains, les
femmes
ne portent pas un autre costume que les hommes, s
es immenses, ne laissa pas en mourant de quoi rembourser la dot de sa
femme
. — 10. Un homme s’est-il une fois parjuré, on ne
s étonné. — 4. Un jeune homme demandait à Socrate s’il devait prendre
femme
ou rester célibataire ; Socrate répondit que, quo
u des orgies, son armée à moitié ivre. Il eût avoué que c’étaient des
femmes
qu’il avait eu à combattre en Asie, et qu’en Ital
s ne se nourrissent que par leurs racines. — 8. La langue bavarde des
femmes
ne peut taire que ce qu’elles ignorent. — 9. La n
une maison de campagne située non loin de cette ville. — 2. Xantippe,
femme
du philosophe Socrate, était, dit-on, très-acariâ
emanda un jour à Socrate pourquoi il ne chassait pas de sa maison une
femme
si insupportable. « C’est, répondit-il, parce qu’
upportable. « C’est, répondit-il, parce qu’en supportant chez moi une
femme
de cette humeur, je m’accoutume et je m’exerce [i
raisonnable plutôt qu’un animal muet, ensuite un homme plutôt qu’une
femme
, un Grec plutôt qu’un barbare, enfin de l’avoir f
illisible chars][texte coupé]lui dit-elle, écouter les conseils d’une
femme
? [illisible chars][texte coupé] comme les médeci
à ta renommée. » Auguste [illisible chars][texte coupé]mé remercia sa
femme
; il ordonna de contreman[illisible chars][texte
vère, sec, silencieux autant que Louis était affable. Il haïssait les
femmes
autant que Louis les aimait. Louis faisait la gue
n simple soldat. On l’avait soupçonné d’avoir eu une passion pour une
femme
de sa cour ; soit que cette intrigue fut vraie ou
que cette intrigue fut vraie ou non, il est certain qu’il renonça aux
femmes
pour jamais, non seulement de peur d’en être gouv
qu’il avait commis, et d’un affront qu’il avait fait, à table, à une
femme
en présence même de la reine sa mère. Si cela est
ultiva l’allégorie mystique et l’allégorie mythologique ; — une antre
femme
, Louise Labé, « la Belle cordière » de Lyon (1526
uand il présenta au président de Verdun les Stances sur la mort de sa
femme
, qui lui avaient coûté trois ans, il le trouva re
Mais je suis saoul lorsqu’il me plaist de l’estre, Et si97 nourris ma
femme
et mon mesnage ! », D’un charlatan Un cha
e coup bons serviteurs du roy. Je suis plein de despit, quand les
femmes
fragiles Interpretent en vain le sens des evangil
ecine il fut attaché à Marguerite de France, fille de François Ier et
femme
du duc de Savoie ; il la suivit à Turin et y mour
Messager. Par Paulet, son geolier, la reine estoit conduite, Ses
femmes
se plaignoient et marchoient à sa suite, Mais ell
ant sa douce gloire A montrer le beau fruict de sa belle victoire. Sa
femme
l’accolant l’admire et le cherit, Tous les siens
eignent leur defaux de couleur et de fard. Aussi je les compare à ces
femmes
jolies, Qui par les affiquets582 se rendent embel
arles IX, son petit-fils, célèbre la royauté poétique de Ronsard. Les
femmes
aussi ont tenu la plume ; l’une d’elles, n’eût-el
(1531-1572), fille de la précédente, « qui, dit d’Aubigné, n’avoit de
femme
que le sexe, l’âme entiere aux choses viriles, l’
Que douleur brise dans nos cueurs : Dont louenge vous sera faicte De
femme
, enffans et serviteurs. Par Jesus-Christ, nostre
je avoir place : L’un gisoit au maillot, l’autre dans le berceau ; Ma
femme
, en les baisant, devidoit son fuseau. Le temps s’
son. Mais, helas ! ce bonheur fut de peu de durée : Aussi-tost que ma
femme
eut sa vie expirée, Tous mes petits enfans la sui
eillesse, de Mr et de Mme d’Hervart ; toujours rêveur, oublieux de sa
femme
, de son fils, de son Florentin, dont la première
la machine ronde ? Point de pain quelquefois, et jamais de repos : Sa
femme
, ses enfans, les soldats, les impôts, Le créancie
cheux), — jusqu’à la comédie de mœurs (l’École des Maris, l’École des
Femmes
, Sganarelle et Georges Dandin, qui sont l’école d
emmes, Sganarelle et Georges Dandin, qui sont l’école des jaloux, les
Femmes
Savantes, le Bourgeois Gentilhomme, la Comtesse d
t, tout du long, t’ouïr sur ta commission. Il faut, avant que voir ma
femme
, Que je débrouille ici cette confusion. Rappelle
C’est un drôle qui fait des rages. AMPHITRYON. Achevons. As-tu vu ma
femme
? SOSIE.
’a pas trouvé Regnard « médiocrement gai » ; il a défendu l’École des
Femmes
contre la cour, l’Avare contre Racine, Racine con
emens de rage. Allons, poursuis, achève. HECTOR. « L’or est comme une
femme
; on n’y sauroit toucher, « Que le cœur, par amou
e poète idiot », elle écrivit, au milieu de la gêne qui attristait la
femme
et inquiétait la mère, des églogues et des idylle
par ses petits poèmes de la Mélancolie, les Souvenirs, le Mérite des
Femmes
. De tous ces noms, un nom est resté longtemps pop
laisans détestables, Des jeunes gens d’un ton, d’une stupidité !… Des
femmes
d’un caprice et d’une fausseté ! Des prétendus es
rir des gens brouillés, ou brouiller des amis, Calomnier, flétrir des
femmes
estimables, Faire du mal d’autrui ses plaisirs dé
’épouvantent. Près d’un chêne enflammé devant moi se présentent Trois
femmes
. Quel aspect ! non, l’œil humain jamais Ne vit d’
us vont s’armer de flamme, Et le bois porte au loin des hurlements de
femme
L’ongle1240 frappant la terre, et les guerriers m
t des collines. Et, partout accourus, dansant sur son chemin, Hommes,
femmes
, enfants, les rameaux à la main, Et vierges et gu
encore, si ce n’est de multiplier, à son imitation, les élégies. Les
femmes
s’y distinguèrent : Mme Desbordes-Valmore (1787-1
us a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! L’an d’après, moi, pauvre
femme
, À Paris étant un jour, Je le vis avec sa cour :
ous, lieux témoins de mes plus donx loisirs… D’un air indifférent une
femme
est venue, Du château, maintenant, habitante inco
de sa main essuie La sueur du sentier sur son front mâle et doux ; La
femme
et les enfans tout petits, à genoux Devant les bœ
les tranche ; Le timon plonge et tremble, et déchire ses doigts ; La
femme
parle aux bœufs du geste et de la voix ; Les anim
font bondir le sol jusqu’en sa profondeur. L’homme presse le pas, la
femme
suit à peine ; Tous au bout du sillon arrivent ho
l’homme sombre arriva Au bas d’une montagne en une grande plaine ; Sa
femme
fatiguée et ses fils hors d’haleine Lui dirent :
près », dit-il avec un tremblement. Il réveilla ses fils dormant, sa
femme
lasse, Et se remit à fuir sinistre dans l’espace.
le1424, Il y trouverait mieux, pour émouvoir sa bile, Qu’une méchante
femme
et qu’un méchant sonnet1425 ; Nous avons autre ch
s des mers de feuillage, Une grêle fumée au-dessus, dans un champ Une
femme
de loin appelant son enfant, Ou bien un jeune pât
jour, tu n’as point ta pareille1457 ! Ainsi tout s’animait : hommes,
femmes
, enfants, Sortaient de leur village et s’en allai
le. Quinze ans il opprima, quinze ans on le souffrit : Il outrage une
femme
, et, ce jour, il périt1501. VALÈRE. Mais quand en
spérités s’endormaient dans leur paix Où l’orgueilleux monarque et la
femme
étrangère Échangeant des plaisirs la coupe menson
es ont bu, Et les brebis bêlant, et les bœufs à leurs crèches, Et les
femmes
causant près des citernes fraîches, Ou sur le sab
μνήμη, de mémoire), fille du Ciel et de la Terre. 417. Cf. Molière,
Femmes
Sav., III 7 : Juvénal a exprimé le premier ces pl
plié par Marcelle, sa « camarade » de théâtre, comme polyeucte par sa
femme
, de rétracter sa profession de foi chrétienne. —
e promet le trône à celui des deux qui lui apportera la tête de cette
femme
; sur leur refus, elle se débarrasse de l’un par
le poète lui adresse de préférence une fable philosophique, était la
femme
d’un riche financier, ami des lettres, qui écrivi
i lui laisse une honnête liberté. La charmante comédie de l’École des
Femmes
(1662) pourrait aussi être appelée une école des
l leur répondit et en appela au public par la Critique de l’École des
Femmes
(1663). Voir nos Morceaux choisis des Prosateurs.
dies de Molière, représentent le bon sens, Chrysalde dans l’École des
Femmes
, Cléante dans Tartufe, Béralde dans le Malade ima
aginaire. Ajoutez le bonhomme Chrysale et le jeune Clitandre dans les
Femmes
savantes. 899. Scène des Fâcheux, comédie-balle
aute, s’inspirant des mœurs romaines dans un sujet grec, a donné à la
femme
d’Amphitryon la chaste dignité de la matrone, Mol
phitryon ne m’a-t-il pas commis À venir en ces lieux vers Alcmène, sa
femme
? Ne lui dois-je pas faire, en lui vantant sa fla
Broussin, son ami, qui sortit en effet au second acte de l’École des
Femmes
en se récriant contre la « violation de toutes le
et en scène les ennemis de sa comédie dans la Critique de l’École des
Femmes
. 960. Les vers excellents de Boileau contiennen
sion éloquente de la passion, sait, â propos, donner au langage d’une
femme
violente. C’est ainsi que, rival heureux de Corne
Britannicus. (Britann., III, 8.) 985. Restée seule, pendant que ses
femmes
donnent leurs soins à sa rivale évanouie, elle éc
re, puis, poursuivi, avait poignardé et jeté dans l’Araxe Zénobie, sa
femme
, pour l’empêcher de tomber vivante aux mains de s
ulon, et ambassadeur des Romains auprès de Pharasmane. Il retrouve sa
femme
, l’enlève, et poursuivi, atteint et frappé à mort
énobie, dit Villermain, est après Pauline, une de ces physionomies de
femmes
belles et pures, d’une vertu plus touchante que n
és à l’église. L’un est morne : il conduit la bière d’un enfant ; Une
femme
le suit, presque folle, étouffant Dans sa poitrin
d triomphant ! On baptise, on absout, et le temple se vide. Les deux
femmes
, alors, se croisant sous l’abside, Échangent un c
’inspire la prière, — La Jeune mère pleure en regardant la bière. La
femme
qui pleurait sourit au nouveau-né. (Soulary).
s gerbes ; puis, le soir venu, a la peinture du repos goûte, entre sa
femme
qui file et son enfant qui joue, par le paysan,
me fallait les vendre, J’aimerais mieux me pendre ; J’aime Jeanne ma
femme
; eh bien, j’aimerais, mieux La voir mourir que v
eprendre sa première l’épouse. Le roi refuse l’abandon de sa nouvelle
femme
et au moine inflexible qui l’ordonne, et à la fem
on de sa nouvelle femme et au moine inflexible qui l’ordonne, et à la
femme
désespérée qui l’offre, et au peuple mutiné qui l
anquent pas. Agnès prête à partir recommande ses enfants à une de ses
femmes
(III, 7) dans un langage qui est loin de la perfe
À Florence (actes Ier et IIe), les savants routiniers, les moines, sa
femme
, sont ligués contre lui : pour les uns c’est un f
eschappe. » Je croy fermement que les bonnes prieres de ces honnestes
femmes
me tirarent8 de l’extremité et langueur où j’esto
ons avoir sans sortir à l’escaramouche6 ; et alors tous les enfans et
femmes
de la ville sortoient au long des murailles ; mai
x hurlements se prolongent dans l’ombre ! Quel épouvantable réveil !
Femmes
, enfants, vieillards, sous le fer tout succombe ;
er et le vigneron, le laboureur et le berger, remplissent, avec leurs
femmes
et leurs enfants, les salles de spectacle ; c’est
omme, presque un enfant, il avait dix-neuf ans, quitte sa famille, sa
femme
qui allait le rendre père, il s’embarque sur un p
ient ce long rêve Qu’on appelle la vie, et que la mort achève ! Et la
femme
disait : « Voici bientôt un an Qu’il n’est plus a
ns la souffrance... » Et l’homme répondait après un long silence : «
Femme
, pour être juste, il faut se souvenir ! Tu gémis
penche tout le jour, « L’arbre, le fruit, la fleur, et toi-même et ta
femme
, « Le seigneur y prétend, le moine les réclame !
l’égalité des droits. Et tu gémis !… Ton sort te paraît misérable !…
Femme
, écoute… Avant tout, il faut être équitable : C’e
rrain, Qui profite de tout et ne rend pas un grain. » « Oui, dit la
femme
, un an !… Depuis toute une année, Je suis là, mis
Au beau linge, au frac élégant, Ces hommes en corset, ces visages de
femmes
, Héros du boulevard de Gand, Que faisaient-ils, t
? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma
femme
ou ma sœur ? Qu’ai-je à me plaindre ? Où sont les
sous les murs de Pergame, Lorsque, de mon vivant, vous poursuiviez ma
femme
, Sans pudeur, sans remords, sans avoir sous les y
temple, Et n’osaient le poursuivre en ces lieux redoutés ; Lorsqu’une
femme
, une ombre aux bras ensanglantés, Menaçante, appa
cée, J’embrassais ses genoux, palpitante d’effroi ; Ce spectre… cette
femme
, Électre, c’était moi ! J’ai reconnu mes traits,
e. Quinze ans il opprima : quinze ans on le souffrit : Il outrage une
femme
, et ce jour, il périt. VALÈRE. Mais quand en vien
nt ! Cette vertu qui fuit longtemps après les autres, La pudeur de la
femme
a péri chez les nôtres. Enfin Rome se meurt, si p
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs
femmes
, leurs enfants, pourront-ils m’arrêter ? Marc
uriez ! Pourquoi N’extermine-t-on pas la famille du roi ? DANTON. Des
femmes
! MARAT. Que fait-on, l’éch
qu’avec Bélise il est du dernier bien. CÉLIMÈNE. Le pauvre esprit de
femme
et le sec entretien ! Lorsqu’elle vient me voir j
l avait cependant une excuse plus forte ; Il fallait qu’il nourrît sa
femme
, au lieu que toi, Tu vis seul, et l’on a toujours
Est un leurre en ce cas : Sa
femme
aura du luxe, et lui n’en aura pas. Elle passe so
; Ma journée est trop courte à tout ce que je fais. Je rapporte à ma
femme
, heureuse et souriante, La fatigue des champs sai
ne veut pas que nous puissions les assassiner dans les bras de leurs
femmes
et de leurs enfants. Eh bien ! ayons recours aux
qui va être trahie par sa sœur, à cette scène pathétique où la pauvre
femme
, qui déjà se sent moins aimée, demande qui donc l
nçais si vantés, peux-tu les reconnaître ? Jadis peuple héros, peuple
femme
en nos jours, La vertu qu’ils avaient n’est plus
Au reste, pourvu que tu saches combien je t’aime, que Delaroche et sa
femme
soient persuadés qu’ils sont tout pour moi, que m
mable, poli, toujours prêt à faire ce que ses maîtres, ses amis ou sa
femme
lui ordonnent. Voyez l’histoire de notre glorieus
féerie, Pour arriver au ciel prenons par la mairie. Ou plutôt, jeune
femme
, avec de doux propos, Puisque dans les salons vou
i ait jamais trouvé le jour où il ne devait plus rien à l’amour de sa
femme
et à la jeunesse de ses enfants. Quand nous aurio
têtes, dans le paratonnerre de nos toits que dans la prière de cette
femme
et de ces petits enfants qui dorment sur une bott
sur tous les membres de la tribu, et qu’il a besoin d’avoir à lui sa
femme
, ses enfants, qu’il aime, soigne, protége, sur le
n enlèvent les voûtes, et font sauter en l’air, avec vos maisons, vos
femmes
, l’enfant et la nourrice, et c’est là encore où g
création le hasard m’a jeté ; Heureux ou malheureux, je suis né d’une
femme
, Et je ne puis m’enfuir hors de l’humanité...
eintre, cela aurait fait un beau tableau. Sa mère est la plus aimable
femme
du monde. Le grand-père, Carie Vernet (celui qui
œurs des Grecs. C’est ce qui fit qu’il marqua tant de respect pour la
femme
et pour la mère de Darius. Qu’est-ce que ce conqu
il s’exprime à ce sujet : « Le consul vint dernièrement à Téanum. Sa
femme
dit qu’elle voulait aller aux bains des hommes. M
e la ville de faire sortir des bains tous ceux qui s’y trouvaient. La
femme
du consul se plaignit à son mari de la lenteur qu
les uns contre les autres pour ne pas mourir de froid ; là, c’est une
femme
tremblante et sans voix pour se plaindre. Les pas
ant à de nouvelles flammes, Nous avez fait laisser nos enfants et nos
femmes
; Et quand, de toutes parts assemblés en ces lieu
res dans le langage familier d’un homme du peuple en colère contre sa
femme
: « Si je dis oui, elle dit non ; soir et matin,
ar exemple, dans cette phrase du P. d’Orléans sur Marguerite d’Anjou,
femme
de Henri VI : « Si cette princesse n’eut pas la g
C’est par le même artifice que l’on dit, en décrivant la beauté d’une
femme
: l’ivoire de ses dents, l’albâtre de son cou, le
e allait le dévorer. Lord Nelvil, malgré les réclamations de quelques
femmes
superstitieuses, envoie quatre matelots anglais b
nnaient de toutes parts ; les prêtres faisaient des processions ; les
femmes
pleuraient, en se prosternant devant quelques ima
dée, et demanda qu’à l’instant le quartier fût ouvert ; mais quelques
femmes
du peuple qui l’entendirent se jetèrent à ses pie
avaient demandé un acte de clémence. Ce n’étaient point de méchantes
femmes
, mais des imaginations superstitieuses, vivement
’admiration et presque de fanatisme la foule qui le considérait ; les
femmes
surtout s’exprimaient avec cette imagination qui
us faire ici ? abandonne-t-on ainsi sa mère ? Allez chez cette pauvre
femme
, et dites-lui que je lui veux toujours du bien :
sage rond et frais, qui respirait la douceur et la gaieté ; sa petite
femme
brune était cahotée à côté de lui. La voiture n’a
rie où je loge me conter le reste, lui dit Colin ; embrasse ma petite
femme
, et allons dîner ensemble. » « Ils vont tous troi
out cet attirail ? vous appartient-il ? — Oui, tout est à moi et à ma
femme
. Nous arrivons du pays ; je suis à la tête d’une
cœur est expert en tromperies ; quiconque a été nourri au sein de la
femme
a bu à la coupe des illusions. Tantôt c’est une c
privées, soit dans l’accomplissement de leurs devoirs politiques. Les
femmes
elles-mêmes ont intérêt à cultiver l’art de bien
a cause une lumière inattendue. Ne voyons-nous pas tous les jours des
femmes
même appelées en témoignage devant la justice, et
de leur vie privée, d’une humeur insupportable, et font payer à leur
femme
et à leurs enfants l’intérêt de cette gaieté pass
une marchande d’herbes de cette ville ; et comme on demandait à cette
femme
à quoi elle s’en était aperçue : « C’est, dit-ell
de pis que la sottise toute pure. « Pour réussir en parlant, dit une
femme
qui était elle-même accoutumée à ces sortes de su
and le peuple se fut placé, non sans bruit, les hommes d’un côté, les
femmes
d’un autre, et qu’on eut vu successivement les ne
posent le chœur ; suivant que le sujet l’exige, il peut être formé de
femmes
, de jeunes gens, de citoyens, d’esclaves, de prêt
iste. Ce sont toujours des hommes, aussi, quand ils font des rôles de
femmes
, le son mâle de leur voix constitue une invraisem
a satire, assez médiocre au point de vue littéraire, d’une courageuse
femme
, Sulpicia, contre Domitien ; — et les invectives
e de complainte sur ses malheurs et ses souffrances qu’il envoie à sa
femme
ou à ses amis. Les Pontiques, ainsi nommées à cau
ie d’intérieur, il n’est que juste ici de reconnaître que souvent les
femmes
réussissent mieux que les hommes dans le genre ép
e citerons que les principaux. Dans l’antiquité, le rôle social de la
femme
étant bien moindre qu’il ne l’est de nos jours, n
plus célèbres dans notre langue ; sans rien avoir des ridicules de la
femme
savante, ce fut une des personnes les plus instru
ntiment inconnu de son temps, et que n’admettait pas la condition des
femmes
dans la société grecque. On le voit, tous ces rep
âme du spectateur les vertus et la piété sublime de Polyeucte. Et les
femmes
ne le cèdent en rien aux hommes : témoins Sabine,
et Pauline. [15] (5 novembre 1885) Apprécier les caractères de
femmes
dans l’Horace de Corneille. Développement. — D
ts humains, il a également fait contraster entre elles les figures de
femmes
et varié les expressions de leurs sentiments et d
e mâle assurance. Quant à Junie, c’est une des plus belles figures de
femme
que Racine ait esquissées. Elle est réduite à dis
figure charmante qui contraste heureusement avec les autres types de
femmes
que nous y voyons. Philinte représente aussi, dan
res, et il n’est rien de plus doux, de plus suave, que ses figures de
femmes
, tracées d’un trait pur et discret ; malgré ces q
bonté de mœurs peut être dans tout sexe et dans toute condition : une
femme
peut être bonne, même un esclave ; quoique d’ordi
une femme peut être bonne, même un esclave ; quoique d’ordinaire les
femmes
qu’on met sur les théâtres soient plus mauvaises
ravoure est un caractère de mœurs ; mais elle ne convient point à une
femme
, qui ne doit être ni brave ni hardie. Troisièmeme
te seul. D’un autre côté, sa maison est au pillage ; les amants de sa
femme
dissipent son bien et veulent faire périr son fil
s un mot de préparation, fait aussitôt parler soit un homme, soit une
femme
, ou quelque autre agent caractérisé : car chez lu
tous les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche.
Femmes
, moines, vieillards, tout était descendu : L’atte
aire. Le moine disait son bréviaire : Il prenait bien son temps ! Une
femme
chantait : C’était bien de chansons qu’alors il s
l juste qu’on meure Au pied levé ? dit-il : attendez quelque peu ; Ma
femme
ne veut pas que je parte sans elle2 ; Il me reste
encèrent à rire et me dirent qu’ils causaient à qui se remarierait la
femme
du sire de Landricourt. Je les réprimandai fort,
furent morts ou blessés à mort ; et ainsi il fallut que ce fût leurs
femmes
qui se remariassent toutes six. » « L’histoire es
e légion ; Et moi qui sur le trône ai suivi mes ancêtres, Moi, fille,
femme
, sœur et mère de vos maîtres ! Que prétendez -vou
la puissent défendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs
femmes
, leurs enfants, pourront-ils m’arrêter ? Marchons
? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma
femme
ou ma sœur ? Qu’ai-je à me plaindre ? Où sont les
e plus aimant dans le cœur humain, et spécialement dans le cœur de la
femme
, depuis la jeune fille jusqu’à la mère, depuis Ip
comédiennes, que c’étaient des hommes qui remplissaient les rôles de
femmes
, et que l’expression de l’amour eût été ridicule
joueur de trictrac qui vient lui tenir des propos impertinents ; une
femme
ménagère, à côté d’une savante ; un homme poli et
ouille que l’esprit. Tel est celui qui règne dans le Misanthrope, les
Femmes
savantes. Tout y est décent, régulier ; les mœurs
marquis, des comtes, en un mot des courtisans ; dans Tartuffe et les
Femmes
savantes, ce sont de simples bourgeois ; dans Tur
son berceau. Le roi son père, qui n’aimait ni n’estimait la reine sa
femme
, lui donna, en mourant, un conseil nécessaire pou
a ville ; mais vous m’en répondrez, messieurs du parlement, vous, vos
femmes
et vos enfants. » En prononçant cette dernière sy
fus regardé comme si j’avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes,
femmes
, enfants, tous voulaient me voir. Si je sortais,
uileries, je voyais aussitôt un cercle se former, autour de moi ; les
femmes
mêmes m’entouraient comme un arc-en-ciel nuancé d
de Jules César, fut mariée à M. Atius Balbus, et devint mère d’Atia,
femme
d’Octavius, qui en eut Oe.
Antiope, reine des Amazones,
femmes
guerrières, qui habitoient les bords du fleuve Th
Julius Sylvius Enéas, son frère posthume, et fils de Lavinie, seconde
femme
d’Enée.
écude, fille de Dymas ou de Cissée, l’un et l’autre roi de Thrace, et
femme
de Priam, roi de Troie. Après avoir vu son mari e
des gens d’un âge mur, à des militaires comme à des magistrats, à des
femmes
comme à des hommes graves. Notre judicieux Boilea
ttaque dont Mentor l’avait menacé. On ne voyait de tous côtés que des
femmes
tremblantes, des vieillards courbés, de petits en
hoisie que nombreuse d’amis, aimant le plaisir et s’y connaissant, de
femmes
qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
? Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma
femme
ou ma sœur ? Qu’ai-je à me plaindre ? Où sont les
et la plus sévère, et fit maintenir la loi Oppia contre la parure des
femmes
. On lui éleva une statue, avec cette inscription.
maximes, Puisque ignorant et sot sont termes synonymes. (Molière, Les
Femmes
savantes, acte IV, scène iii.) 7° Péroraison
ôtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche :
Femmes
, moines, vieillards, tout était descendu,
langage d’un homme du peuple. Il suppose celui-ci en colère contre sa
femme
: « Si je dis oui, elle dit non ; soir et matin,
ps ; Plaintive, elle mourut en priant pour sa mère. On dit qu’une
femme
étrangère Un jour, le front voilé, parut dans le
l’église. L’un est morne : — il conduit le cercueil d’un enfant ; Une
femme
le suit, presque folle, étouffant Dans sa poitrin
d triomphant ! On baptise, on absout, et le temple se vide. Les deux
femmes
, alors, se croisant sous l’abside, Échangent un c
qu’inspire la prière — La jeune mère pleure en regardant la bière, La
femme
qui pleurait sourit au nouveau-né ! (J. Soulary,
lles que Jules César prononça en l’honneur de sa tante Julie et de sa
femme
Cornélie. Antoine rendit hommage au cadavre sangl
ire l’éloge funèbre de Marcellus, son neveu, et de Drusus, fils de sa
femme
, Tibère celui d’Auguste, Caligula celui de Tibère
s inconnu chez les Grecs et les Romains, à cause du rôle effacé de la
femme
dans les sociétés antiques, se développe en Franc
ciétés antiques, se développe en France au moyen âge, à mesure que la
femme
, quoique encore tenue en tutelle, occupe une plac
Rose, celui du Renart, etc. Dans notre société moderne, le rôle de la
femme
a changé avec les mœurs. Son importance a augment
que nous appelons la vie du monde n’existait guère chez eux ; car la
femme
, vivant enfermée dans le gynécée, ne pouvait avoi
expansif, sa vanité même le prédestinaient à réussir en ce genre. Les
femmes
devaient surtout y apporter un charmé incomparabl
ècle, toujours un peu moralisant, ajoute : « On peut le pardonner aux
femmes
, il est indigne d’un homme. Plus un peuple est fu
arque une nuance de simplicité dans les mœurs, comme dans l’Ecole des
femmes
, par exemple, où il sert à distinguer la simplici
les côtés au soleil exposé, Six forts chevaux tiraient un coche6.
Femmes
, moine, vieillards, tout était descendu : L’attel
. Le moine disait son bréviaire : Il prenait bien son temps ! Une
femme
chantait : C’était bien de chansons qu’alors il s
suis point du tout né pour le mariage : Des parents, des enfants, une
femme
, un ménage, Tout cela me fait peur. J’aime la lib
de la destination qu’avait reçue son portrait, ne voudra plus être sa
femme
. Valère aura donc perdu avec son argent l’établis
hoisie que nombreuse d’amis3aimant le plaisir, et s’y connaissant, de
femmes
qui pussent sortir de leur fauteuil et se prêter
ns ému, sans pouvoir dire de quoi. Un saint évêque trouva une vieille
femme
qui, pour toute prière, ne savait dire que O ; et
Pénates ; tenant par la main son fils Ascagne, et suivi de Creuse, sa
femme
, fille du roi Priam, laquelle s’égara et disparut
dans ses bras son fils encore en bas âge, et traînant à sa suite les
femmes
de ses amis, éplorées comme elle. Attendris malgr
au sénat ses députés, à l’empereur votre obéissance, à Germanicus sa
femme
et ses enfants, éloignez-vous de la contagion de
appé à la fureur des combats, pour succomber sous les intrigues d’une
femme
! Portez hardiment vos plaintes au sénat, et récl
aractères, sans en présenter un seul dominant, comme Molière dans les
Femmes
savantes, l’École des Maris et l’École des Femmes
me Molière dans les Femmes savantes, l’École des Maris et l’École des
Femmes
: c’est alors une comédie mixte. Une comédie de c
l s’abaisse ou s’élève au besoin pour prendre tous les tons. Dans les
Femmes
savantes, la servante Martine parle tout autremen
, le seul des cinquante époux des Danaïdes qui eût été épargné par sa
femme
, en avait eu un fils nommé Abas. Cet enfant tomba
sure ; il attendit quelque temps, comme il arrive d’ordinaire, que sa
femme
fût prête ; enfin il partit. » Que de longueurs !
besoin de le dire, que la chaise de Milon ne stationnait pas, avec sa
femme
, à la porte du sénat ; qu’il dut rentrer chez lui
monie, en pleine nuit, pour venir pleurer et crier parmi une foule de
femmes
en déshabillé de nuit, presque en mascarade. Mada
s rapprochée du trône. Il s’agit ici d’Élisabeth de Bavière, deuxième
femme
et veuve de Monsieur, duc d’Orléans, frère unique
. Quand vous dites d’un coquin, c’est un bien honnête homme, ou d’une
femme
laide, c’est une Vénus, vous faites une antiphras
ctime ; vous vous êtes approché doucement du lit où dormait la pauvre
femme
; vous vous êtes penché sur elle pour vous assure
n, est le sublime de l’amour de la patrie. Dans la même Tragédie, une
femme
qui avait été témoin du combat des trois Horaces
e a pris la fuite. Le père est outré de la lâcheté de son fils. Cette
femme
lui dit alors : Que vouliez-vous qu’il fit contr
c’est de Pompée qu’il parle. Il reçoit les adieux des siens et de sa
femme
, Leur défend de le suivre, et s’avance au trépas
nt nous parle Buvat, et la manie de politiquer, qui a gagné jusqu’aux
femmes
, sans en excepter les cuisinières, ajoute la prin
les plus grands rois, ont toujours été les plus affables. Une simple
femme
thécuite64 venait exposer simplement à David ses
des perfidies de la part de ses capitaines, de ses enfants et de ses
femmes
; enfin, s’il eut affaire à des généraux romains
i-même ; n’ayant pas un serviteur dont il fût aimé ; se défiant de sa
femme
; haï de son frère ; trahi par ses favoris, aband
d’obtenir un privilège, qu’à un homme qui n’a point la protection des
femmes
d’avoir un emploi dans les finances. Enfin, après
Paris un grand nombre de petites sociétés où préside toujours quelque
femme
qui, dans le déclin de sa beauté, fait briller l’
s brigué ; on court en poste à Versailles ; on fait parler toutes les
femmes
; on fait agir tous les intrigants ; on fait mouv
t échappé du naufrage est porté sur les épaules de son père ; là, une
femme
étendue morte sur le rivage, et son époux qui se
a qui ont allumé du feu sous une roche ; ils s’occupent à ranimer une
femme
expirante, et j’espère qu’ils y réussiront. Tourn
celui-ci qu’il commence par créer le pays, et qu’il a des hommes, des
femmes
, des enfants en réserve, dont il peuple sa toile
e du châtain clair, il en faudrait conclure que ce perfide laquais de
femme
aurait remis la lettre à votre mari ; cette lettr
se serait cru, en galant homme, obligé de tenir les engagements de sa
femme
, et achevez la phrase, madame ; en honneur je n’a
-être devenu fou ; qu’il va écrire aussitôt dans le Morvan, où est sa
femme
, et dans le Hurepoix, où est son cher père, pour
ondé de joie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une
femme
, des enfants, des frères, séparés de moi depuis l
venu avec un jeune chambellan qui a ses affaires à Pétersbourg et sa
femme
à Moscou. Les projets n’ayant pu s’exécuter ici,
r plaire aux autres émousse bientôt en soi-même ce qu’on ressent. Une
femme
d’esprit a dit que Paris « était le lieu du monde
ieu l’a donnée, cette patrie, aux hommes qui peuvent la défendre, aux
femmes
qui, pour elle, consentent aux dangers de leurs f
n mérite. Sans argent, sans crédit, c’est en vendant les joyaux de sa
femme
qu’il fait vivre ses compagnons d’armes. Tantôt i
La Providence. Deux hommes étaient voisins, et chacun avait une
femme
et plusieurs petits enfants, et son seul travail
me, disant : « Si je meurs ou que je tombe malade, que deviendront ma
femme
et mes enfants ? » Et cette pensée ne le quittait
créatures et qui veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma
femme
, et sur mes enfants. » Et celui-ci vivait tranqui
s gradins plus élevés se pressaient une foule de spectateurs, hommes,
femmes
, presque tous de haut rang, émus d’avance par la
, et faisait déjà ses préparatifs de départ. Troublé des pleurs de sa
femme
, hors d’état de se résoudre seul, Charles convoqu
nseils : « J’ai presque fini, leur dit-il ; un seul coup va rendre ma
femme
veuve, mes chers enfants orphelins, mes pauvres s
ofondes des révolutions ; soit que tu verses des pleurs sur une jeune
femme
mourante au milieu des pompes et des dangers de l
i l’obsédaient. Dans un pareil état de l’âme, il arrivait souvent aux
femmes
germaines de prendre la parole en vers improvisés
nt Crépin et saint Crépinien. Les hommes versaient des larmes, et les
femmes
, vêtues de noir, donnaient les mêmes signes de do
s, parjures et traîtres. Ils ont tué sans cause les Danois, hommes, «
femmes
et enfants, dans la nuit de Saint-Brice ; ils ont
nscrit le premier sur le livre noir des conquérants. Les mères et les
femmes
de ceux qui étaient venus de la contrée voisine c
reprendre ses forces pour le dernier moment, elle se mit au lit. Ses
femmes
continuaient à prier, et pendant ce dernier repos
en souriant qu’elle n’avait jamais eu de pareil valet de chambre. Ses
femmes
, qui étaient restées à genoux au pied de l’échafa
elle répondit qu’elle l’accordait à tout le monde. Elle embrassa ses
femmes
, les bénit en faisant le signe de la croix sur el
ation calme du devoir. Le plus valeureux capitaine peut n’être qu’une
femme
le lendemain d’une victoire, et ses cicatrices ne
er les Premiers Lundis, les Portraits contemporains, les Portraits de
Femmes
, les Portraits littéraires. Il serait impossible
r aux mains des ennemis, poignardé et jeté dans un fleuve Zénobie, sa
femme
, fille de Mithridate, qu’il avait déjà fait périr
s’est faite chrétienne, et, malgré ses vives répugnances, devient la
femme
de Gusman. Mais bientôt elle apprend que son prem
uses de sa vie. Après avoir vu périr sous l’étreinte d’un même mal sa
femme
et ses deux filles, il avait fermé les yeux à Tho
oi d’Écosse. Comme il revenait triomphant à la tête de son armée, une
femme
s’est montrée à lui la couronne au front, et la n
itime de la couronne. De retour dans son palais, Macbeth raconte à sa
femme
Frédegonde (c’est le nom que Ducis a donné à lady
’épouvantent. Près d’un chêne enflammé devant moi se présentent Trois
femmes
. Quel aspect ! Non, l’œil humain jamais Ne vit d’
douleurs de son âme Avaient changé ses traits717. Ses deux fils et sa
femme
, A Delphes, confiés au ministre du dieu, Vivaient
s a parlé, grand’mère ! Il vous a parlé ! — L’an d’après, moi, pauvre
femme
, A Paris étant un jour, Je le vis avec sa c
doux chants de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murmure une
femme
A l’enfant qui s’endort. De son pieux espoir son
pue et criminelle (Lucrèce Borgia, 1833), aucune des souillures de la
femme
n’atteindra le cœur de la mère. Sans doute, la lo
rclant l’univers, La Mort, incessamment, coupe toutes ces choses ; Et
femmes
et bosquets, oiseaux, touffes de roses, Belles da
eurs bords, Semblables à des loups qui vont manger les morts, Hommes,
femmes
, poussant des hurlements de joie, Sont accourus,
création le hasard m’a jeté ; Heureux ou malheureux, je suis né d’une
femme
, Et je ne puis m’enfuir hors de l’humanité825… Si
ais-tu, ni mon corps ni mon âme, « Et ne me marîrai que pour aimer ma
femme
. » Ah ! tu trouvais alors des accents convaincus
chard862 est un brutal infâme, Qui maltraite, dit-on, la pauvre jeune
femme
. GEORGE. J’en suis charmé. RODOLPHE. J’en suis c
l avait cependant une excuse plus forte : Il fallait qu’il nourrît sa
femme
, au lieu que, toi, Tu vis seul, et l’on a toujour
ire en retraçant la belle scène des adieux de la reine d’Ecosse à ses
femmes
. 493. Le shérif remplissait l’office du prévôt d
….Toris jussi discumbere pictis. 706. Est admise, parce que les
femmes
n’assistaient pas généralement aux repas des homm
: Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma
femme
ou ma sœur ? 715. Hector, avant d’aller combat
n’avait que sa place au parterre. » 768. La Critique de l’Ecole des
Femmes
, scène vii. 769. La librairie Didier a publié le
et dirige ses coups vers un bosquet, où de jeunes hommes et de jeunes
femmes
, au retour de la chasse, écoutent les chants d’un
de mâles sont du genre masculin, comme un père, un lion ; les noms de
femmes
ou de femelles sont du genre féminin, comme une m
ux qui estiment que les larmes et la tristesse n’appartiennent qu’aux
femmes
, et que, pour paraître homme de cœur, on doive s’
sse encore tout autre. Il était demeuré d’accord avec Clytemnestre sa
femme
que, sitôt que cette ville serait prise, il le lu
dicatis terram. Chrétiens, que la mémoire d’une grande reine, fille,
femme
, mère de rois si puissants175 et souveraine de tr
e, l’autre qui établit sa grandeur… « Nous mourons tous, disait cette
femme
dont l’Écriture a loué la prudence au second livr
sentiments qui n’ont régné que depuis leur temps, et qui doivent aux
femmes
leur naissance. Ce sexe va plus loin que le nôtre
e qui se suit naturellement, et qui n’est lié que par le sens. Si les
femmes
étaient toujours correctes, j’oserais dire que le
e dire, inexplicable : c’est une chimère, c’est le visage d’une belle
femme
avec des pieds et une queue de serpent, ou de que
monie, en pleine nuit, pour venir pleurer et crier parmi une foule de
femmes
en déshabillé, presque en mascarade. Madame la du
t (je me souviens encor de vos paroles) Négliger, pour lui plaire, et
femme
, et biens, et rang, Exposer pour sa gloire et ver
x. Il a été arrêté : toutefois son beau-père cherche à le sauver : sa
femme
s’efforce de lui faire abjurer ce qu’elle appelle
Je ne te parlais point de l’état déplorable Où ta mort va laisser ta
femme
inconsolable ; Je croyais que l’amour t’en parler
uste qu’on meure Au pied levé451 ? dit-il ; attendez quelque peu : Ma
femme
ne veut pas que je parte sans elle ; Il me reste
de l’or, qui le brûlait dans l’âme, Le fit enfin songer à choisir une
femme
, Et l’honneur dans ce choix ne fut point regardé.
ure563 Le mari quelquefois des plaideurs extorquait… Ou de ce que la
femme
aux voisins escroquait564… Mais peut-être j’i
ces : Les prêtres ne pouvaient suffire aux sacrifices. L’audace d’une
femme
, arrêtant ce concours, En des jours ténébreux a c
temple ? JOAS. Une
femme
inconnue, Qui ne dit point son nom, et qu’on n’a
ce titre, elle n’avait pas été jusque-là plus connue que des autres :
femme
du roi d’Arménie Rhadamiste, lorsqu’elle fuyait a
douleurs de son âme Avaient changé ses traits784. Ses deux fils et sa
femme
, À Delphes, confiés au ministre du dieu, Vivaient
rtés errantes Par qui sont nos destins et nos mœurs différentes. Les
femmes
savantes s’adonnaient, comme on pense bien, à ces
gaudent ; Parce pater misero, læsus et ipse, reo… 139. Sur cette
femme
qui fut, comme l’a dit M. Villemain, « un grand é
175. Henriette de France, fille de Henri IV et de Marie de Médicis,
femme
de Charles Ier et mère de Charles II, morte en 16
enriette d’Angleterre, fille d’Henriette de France et de Charles Ier,
femme
de Philippe, frère de Louis XIV, morte en 1670, à
texte dans son discours pour Eutrope. 183. XII, 13, 14. 184. Cette
femme
, non désignée par son nom, était une veuve de la
endresse n’était guère possible. 307. Élisabeth de Bavière, deuxième
femme
et veuve de Monsieur, duc d’Orléans, frère unique
e ici, avec Louis Racine (voy. son Traité de la poésie), qu’une telle
femme
, qui se montre si criminelle est très peu digne d
écrit ailleurs : Du nom de philosophe elle fait grand mystère… (Les
Femmes
savantes, II, 9.) 513. « Devant l’infinitif, di
te vigoureuse peinture n’étaient pas imaginés ; c’est en pensant à la
femme
du lieutenant criminel que Racine disait dans les
ntrer au logis les mains nettes. 565. Le lieutenant criminel et sa
femme
furent en effet trouvés assassinés dans leur mais
d tout ce qu’elle lui doit : mais elle lui fait sentir tout ce qu’une
femme
délicate se doit à elle-même, et tous les avantag
dit. des Pensées choisies publiée par M. Prosper Faugère. 659. Cette
femme
juive, comme on le voit dans le Livre des Juges,
: Et jamais dans Larisse un lâche ravisseur Me vint-il enlever ou ma
femme
ou ma sœur ? 782. Hector, avant d’aller combat
une pensée d’une naïveté charmante : Un boucher moribond, voyant sa
femme
en pleurs, Lui dit : Ma femme, si je meurs, Comme
mante : Un boucher moribond, voyant sa femme en pleurs, Lui dit : Ma
femme
, si je meurs, Comme en notre métier un homme est
Pyrrhus : Ah ! je mourrais de honte d’avoir été tué de la main d’une
femme
. Un autre défaut voisin de la naïveté consiste da
acbeth, on vient dire à Macduff que son château a été pris, et que sa
femme
et ses enfants ont été massacrés par Macbeth. Mac
i de la famine qui a désolé l’Italie. Nous entendions les cris de nos
femmes
et de nos enfants qui nous demandaient du pain. N
ère, on lui dit qu’il avait sauvé Rome ; quand il eut fait égorger sa
femme
, on loua devant lui sa justice ; quand il eut ass
blessé 1 Paris, … mai 1784. Je n’ai nulle considération pour des
femmes
qui se permettent de voir un spectacle qu’elles j
t de son juge le conseiller Goezman : c’était de faire un cadeau à sa
femme
; cent sous d’or, une montre à répétition enrichi
de La Fontaine81 pèche contre cette règle. C’est un singe qui bat sa
femme
et qui la fait mourir de chagrin. La Fontaine con
; Je leur fais peur à tous. Hélas ! je le vois bien, Vieille
femme
n’obtient plus rien. — Vous êtes pourtant
enteur de ce genre, a donné à son recueil. Ce poète a supposé que des
femmes
ou filles de héros, séparées de leurs maris ou de
héroïdes ; ce qui signifie en français les héroïnes, c’est-à-dire les
femmes
qui étaient censées avoir écrit ces lettres. Nous
gmenter son malheur, et enfin sa triste et cruelle agonie, loin de sa
femme
et de ses enfants qui l’attendent en lui préparan
nature perce le cœur du malheureux expirant sans secours, loin de sa
femme
, de ses enfants, de ses amis. En vain sa femme, a
ns secours, loin de sa femme, de ses enfants, de ses amis. En vain sa
femme
, attendant soir retour, lui prépare un feu clair
les cris et les larmes de l’innocence. Hélas ! il ne verra plus ni sa
femme
, ni ses amis, ni ses enfants, ni sa maison hospit
robe, et de politique à un financier ; ils savent l’histoire avec les
femmes
; ils sont poëtes avec un docteur et géomètres av
me ressemble, Mais j’entends là-dessous un million de mots. (Molière,
Femmes
savantes, III, 2.) 2. Essuyer, subir : Ces
lle personne Afin de mal user des choses qu’il vous donne. (École des
femmes
, II, 6.) 1. Rappel, recours devant un juge su
moi dans Césarée en flamme, Tes yeux virent périr mes deux fils et ma
femme
, Châtillon. Mon bras, chargé de fers, ne les put
riade. Une seule édition de ce poëme, dédiee à la reine d’Angleterre,
femme
de Georges II, en 1727 (ce fut la première complè
Comme il sentit sa fin approcher, il pria, par un petit bulletin, sa
femme
de mander quelques gentilshommes, siens voisins,
ne moratus venter 4. Ne prenez jamais, et donnez encores moins à vos
femmes
, la charge de leur nourriture ; laissez les forme
fait ? » Voilà sur quoi je vous laisse, mon cher cousin.3. 1. Les
femmes
alors sortaient en masque, usage qu’on retrouve d
amis, c’est-à-dire de lâcheté à leur endroit. 3. Marie-Anne Mancini,
femme
du duc de Bouillon. 4. Elle resta fidèle au card
irez-vous que le beau rôle est à Angélique et que ce rôle tentera les
femmes
qui iront voir la comédie ? La femme qui voudra ê
ique et que ce rôle tentera les femmes qui iront voir la comédie ? La
femme
qui voudra être Angélique n’avait rien à apprendr
▲