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1 (1875) Poétique
s mimes, du nome, du dithyrambe, etc. Il devait parler de différentes espèces de vers, de chants, de rythmes, et de leur emploi
ition exacte de la poésie prise en général, et les différences de ses espèces . On y trouve la nécessité de mettre dans un poème
tes, deviennent des vues à peu près suffisantes pour juger des autres espèces . Ch. Batteux. Poétique. Chapitre I. La
die, la mesure. Je vais traiter de la poésie en elle-même, de ses espèces , de l’effet que doit produire chaque espèce, et d
sie en elle-même, de ses espèces, de l’effet que doit produire chaque espèce , et de la manière dont les fables doivent être co
le dithyrambe, la plupart des airs de flûte et de cithare, toutes ces espèces sont, en général, des imitations. Mais, dans ces
res par l’habitude seule, quelques-uns par la voix ; de même dans les espèces dont nous venons de parler, et qui imitent avec l
y a que la parole, soit en prose, soit en vers ; en vers de plusieurs espèces ou d’une seule, comme on a fait jusqu’ici. Car no
émon dans son Centaure, de mêler dans un poème des vers de toutes les espèces , mériterait-il le nom de poète ? Conservons en co
u’elle envoie, et il est reconnu d’elle par un autre moyen. Voilà des espèces de fables marquées par la péripétie et par la rec
t quelles sont les parties de la tragédie qui la constituent dans ses espèces  : celles qui constituent son étendue et dans lesq
endue ; on a parlé précédemment de celles qui la constituent dans son espèce . Chapitre XIII. Du choix des personnages prin
oètes ont la complaisance de se prêter quelquefois. La joie que cette espèce de dénouement produit appartient au comique et no
n et n’achève point. La seconde manière est d’achever ; et dans cette espèce , il est mieux d’achever sans connaître et de reco
rages qu’on a publiés sur cette matière. Chapitre XVI. Des quatre espèces de reconnaissances. Nous avons dit ci-dessus
essus ce que c’est que la reconnaissance ; ici nous en marquerons les espèces . La première, qui ne demande point d’art, et que
colliers, les bracelets, le petit berceau dans Tyro. Mais dans cette espèce il y a deux manières, dont l’une est meilleure qu
oyen d’une péripétie comme celle du Bain sont préférables. La seconde espèce est de celles qui sont imaginées par le poète, et
reconnaissance se fait par une navette qui rend un son. La troisième espèce est par le souvenir ; lorsqu’à la vue d’un objet
lle un souvenir, et pleure ; ce qui le fait reconnaître. La quatrième espèce est par le raisonnement, comme dans les Choëphore
i se fait aux enfers. Le poète doit tâcher de réussir dans ces quatre espèces , ou du moins dans le plus d’espèces qu’il lui ser
tâcher de réussir dans ces quatre espèces, ou du moins dans le plus d’ espèces qu’il lui sera possible, et dans les plus importa
maticaux du langage. Des mots, de leurs parties composantes, de leurs espèces . Dans ce qui concerne les mots, on distingue
divisibles, et ne sont point des éléments. Les éléments sont de trois espèces  : sonores, demi-sonores, non sonores13. Les sonor
ents sonores, comme γ, δ. Les différences de ces éléments, dans leurs espèces , viennent des configurations de la bouche, des en
re à une autre signification : ce qui se fait en passant du genre à l’ espèce , ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’espè
ignification : ce qui se fait en passant du genre à l’espèce, ou de l’ espèce au genre, ou de l’espèce à l’espèce, ou par analo
fait en passant du genre à l’espèce, ou de l’espèce au genre, ou de l’ espèce à l’espèce, ou par analogie. Du genre à l’espèce,
sant du genre à l’espèce, ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’ espèce , ou par analogie. Du genre à l’espèce, comme dans
ce au genre, ou de l’espèce à l’espèce, ou par analogie. Du genre à l’ espèce , comme dans Homère, mon vaisseau s’est arrêté ic
ici  : car être dans le port est une des manières d’être arrêté. De l’ espèce au genre : Ulysse a fait mille belles actions : m
enre : Ulysse a fait mille belles actions : mille pour beaucoup. De l’ espèce à l’espèce : il lui arracha la vie, il lui tranch
se a fait mille belles actions : mille pour beaucoup. De l’espèce à l’ espèce  : il lui arracha la vie, il lui trancha la vie :
i personne n’avait usé. Nous en avons plusieurs qui semblent de cette espèce , comme ἐρνύτας pour κέρατα (cornes) et ἀρητῆρα po
ores, les mots étrangers, les épithètes d’ornement, et par les autres espèces que nous avons indiquées ; et elle sera claire pa
aphores aux poèmes ïambiques17 : avec cette différence que toutes ces espèces entrent également dans le vers héroïque, et que l
ut complet, comme l’est un animal, et qui nous donne un plaisir d’une espèce particulière, sans ressembler aucunement aux comp
. L’épopée et la tragédie comparées. L’épopée a encore les mêmes espèces que la tragédie ; car elle est ou simple, ou impl
peut même chanter, comme faisait Mnasithée d’Oponte ; que toutes les espèces de gestes ne sont pas à blâmer, non plus que tout
s les espèces de gestes ne sont pas à blâmer, non plus que toutes les espèces de danses, mais seulement ceux qui seraient indéc
l’effet qu’elle produit (car les tragédies donnent à l’âme, non toute espèce de plaisir, mais celui qu’on a dit), il est clair
t de la manière d’y répondre. 1. C’est-à-dire philosophiques ; l’ espèce pour le genre. 2. Poème sur la poltronnerie, par
, son, auquel il a ajouté par degré les différences propres de chaque espèce . On n’a pu conserver cette précision logique dans
2 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86
s mots qui composent le discours, sont compris dans l’une de ces huit espèces  : voilà pourquoi on les appelle parties de l’orai
x-mêmes, ou avec quelques qualités dont ils sont revêtus : delà, deux espèces de nom ; le substantif, et l’adjectif. Le nom sub
. Lorsqu’un nom substantif peut convenir à tous les objets d’une même espèce , il est commun. Tel est le mot homme, qui convien
uisé toutes leurs cartouches. Couple, signifiant deux choses de même espèce qu’on met ensemble, est féminin : = une couple d’
-fous. Cependant la même académie ajoute, dans quelques noms de cette espèce , une s à la fin du premier mot. Elle écrit un cha
Il y a des noms qui n’ont point de pluriel. Les substantifs de cette espèce sont, aide (secours) ; bercail, bien-être, butin,
i donnant une signification générale, puisque je parle ici de toute l’ espèce de pain. Si je dis : le pain de ce boulanger est
, soit que l’on veuille par ces noms exprimer déterminément toute une espèce de choses ou de personnes ; comme les hommes sont
igner qu’une ou plusieurs parties, un ou plusieurs individus de cette espèce  ; comme, les hommes vertueux ne se laissent point
compagnés de l’article. Si on le met avant des mots d’une toute autre espèce , ces mots deviennent alors de véritables substant
s, indéfinis, absolus, et démonstratifs. En admettant ces différentes espèces de pronoms, je ne m’attacherai cependant pas à ce
e celle de l’abbé d’Olivet, pour démêler ce que les pronoms de chaque espèce ont de particulier. Ils sont de vrais noms ; les
rbes ; l’actif, le passif, le réciproque, et le neutre. Différentes espèces de verbes. Le verbe actif exprime une action q
x : = ce jeune fat se vante toujours. On voit que les verbes de cette espèce sont accompagnés de deux pronoms de la même perso
omettre de ce qui peut empêcher les jeunes gens de confondre ces deux espèces de verbes, voici un moyen facile et sûr de les di
t semblables à celui que nous venons de conjuguer, il y en a de trois espèces , qui ont des terminaisons différentes aux mêmes t
erait superflu de conjuguer ici tous les verbes de ces deux dernières espèces . Il suffira de dire un mot des moins connus, conc
s sont des mots, qui marquent les différens rapports, c’est-à-dire, l’ espèce de liaison et de relation, que les choses ont les
n les place toujours avant ces mots qu’elles régissent. Différentes espèces de prépositions. Il serait bien difficile, ou
fficile, ou du moins bien long, d’indiquer exactement les différentes espèces de prépositions. Il y en a autant qu’il y a de ma
 ; et c’est pour cette raison qu’il est appelé adverbe. Différentes espèces d’adverbes. On peut réduire toutes les espèces
erbe. Différentes espèces d’adverbes. On peut réduire toutes les espèces d’adverbes à cinq. Ce sont, 1°. les adverbes de m
ours. J’en vais citer des exemples, en faisant connaître les diverses espèces de conjonctions que distinguent les grammairiens.
nguent les grammairiens. Ils en comptent jusqu’à douze. Différentes espèces de conjonctions. 1°. Les conjonctions copulati
observer ici qu’une conjonction se rapporte bien souvent à plusieurs espèces , suivant le sens dans lequel elle est employée :
Récapitulation des huit parties de l’oraison. Telles sont les huit espèces de mots qui composent le discours, et dont on ne
3 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
grés, organiquement ou accidentellement, dans l’immense majorité de l’ espèce humaine, et elles sont perfectibles par la méthod
l’ensemble du sujet. On peut les réduire aux suivants : Le genre et l’ espèce  ; Les antécédents et les conséquents ; La cause e
du dans son état normal et habituel, l’étude des passions considère l’ espèce dans les accidents identiques qui l’affectent, en
essentielle à donner à ce plan c’est l’unité. On distingue plusieurs espèces d’unités : unité d’action, d’intérêt, de mœurs, d
andeur, ou la faiblesse et l’indignité. D’où il suit qu’on admet deux espèces d’amplification, celle qui agrandit, et celle qui
ents, à réfuter les objections des adversaires, à dévoiler toutes les espèces de paralogismes et de sophismes. La réfutation es
t, ne doit pas être recherchée ; il faut s’appliquer spécialement à l’ espèce d’harmonie imitative qui représente l’idée par le
étudiée. Chapitre XIX. Outre ces qualités essentielles à toute espèce d’écrits, les différents genres exigent chacun de
lui qui les emploie, on peut rattacher à la métaphore : La métonymie, espèce de métaphore dans laquelle les expressions substi
ccasions. Seulement il n’en faut pas abuser. On en distingue diverses espèces  : La réversion qui fait revenir les mots sur eux-
nsée, on produit de l’effet seulement en la répétant. Il y a diverses espèces de répétitions : Ou l’on reproduit plusieurs fois
me et la vue de l’esprit. Ces dernières figures sont : L’exclamation, espèce d’élan du cœur, qui substitue l’expression d’un s
4 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIII. du corps de l’ouvrage. — argumentation, confirmation, réfutation  » pp. 175-188
cipes d’argumentation, et les principaux termes affectés aux diverses espèces d’arguments. Avant tout, il faut bien savoir quel
ou nié universellement d’une idée peut être affirmé ou nié de chaque espèce particulière et de chaque individu compris dans c
appelle sorite cette suite de syllogismes tronqués. Enfin la dernière espèce de syllogisme est le dilemme. Il s’agit, dans le
voulez prouver par le dilemme que Dieu a créé le monde parfait en son espèce  : — « Majeure : Si Dieu n’a pas créé le monde par
rait pas Dieu ; — Conclusion : donc il a créé le monde parfait en son espèce . » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce li
: donc il a créé le monde parfait en son espèce. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce livre n’est pas un traité de log
’aise dans le vaste champ des universaux. « Qui ne sait traiter que l’ espèce , dit Vico, diffère autant de celui qui s’élève ju
n proverbe : Comparaison n’est pas raison ; dévoilez enfin toutes les espèces de sophismes et de paralogismes. Le paralogisme,
vent de même de l’éloge ou du blâme, qui ne sont en définitive qu’une espèce de jugement, sauf la sanction pénale ; d’où il su
5 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
rtout également travaillée, également éclatante, causerait plutôt une espèce d’éblouissement qu’une véritable admiration. Il e
e grâce, de vivacité ou de noblesse. — Blair définit les figures, une espèce de langage suggéré par l’imagination et par les p
nt l’idée comme le fait l’expression simple, y ajoute une parure, une espèce de vêtement qui la fait remarquer et qui la décor
les qui donnent à la poésie et à l’éloquence la vie, l’âme, comme une espèce d’action et de mouvement. D’abord, les figures en
e figuré, ne devra pas tenter de le faire. 192. Combien compte-t-on d’ espèces de figures ? Les rhéteurs divisent ordinairement
03. N’y a-t-il pas plusieurs sortes de répétitions ? Les principales espèces de répétitions sont : 1° La conversion, qui consi
cheveux… La charrue écorche la plaine.  — On peut rapporter à la même espèce celles qui sont empruntées des sciences. 5° Les m
e l’allégorie ? L’allégorie n’est qu’une métaphore prolongée, ou une espèce de fiction qui consiste à présenter un objet à l’
tonomase supposant une comparaison qui se fait dans l’esprit, est une espèce de métaphore par laquelle on se sert d’un nom com
0. Qu’est-ce que la synecdoque ? La synecdoque ou synecdoche est une espèce de métonymie par laquelle un mot prend un nouveau
le Tibre, pour les Romains ; la Seine, pour Paris. 2° Le genre pour l’ espèce , et l’espèce pour le genre : Les mortels pour les
r les Romains ; la Seine, pour Paris. 2° Le genre pour l’espèce, et l’ espèce pour le genre : Les mortels pour les hommes : Se
les Fénelon, les Massillon, pour Bossuet, Fénelon, Massillon. A cette espèce de synecdoque se rapporte l’emploi d’un nombre ce
Lamartine. 222. Qu’est-ce que la métalepse ? La métalepse est une espèce de métonymie par laquelle on prend l’antécédent p
effet, toutes les figures peuvent se rencontrer dans les différentes espèces de style ; et il en est plusieurs qui paraissent
. 235. En quoi consiste la litote ? La litote ou diminution est une espèce d’atténuation qui consiste à se servir, par modes
on, surtout dans le genre sérieux. Voici des exemples de ces diverses espèces . J.-B. Rousseau raille finement, dans son épître
l’esprit quand l’oreille est blessée. 265. Combien distingue-t-on d’ espèces d’harmonie ? On distingue deux espèces d’harmoni
265. Combien distingue-t-on d’espèces d’harmonie ? On distingue deux espèces d’harmonie : l’une qui consiste dans l’arrangemen
des expressions et par la coupe et l’enchaînement des périodes. Cette espèce d’harmonie a pour but de donner de l’agrément et
cise ne détruit pas le sens de la période. 273. Combien compte-t-on d’ espèces de périodes ? Il y a des périodes de deux, de tr
de près à notre âme par le rapport des sons avec les pensées. Cette espèce d’harmonie se rencontre dans les ouvrages en pros
anse. Le poète a donc en son pouvoir de rappeler vivement l’idée de l’ espèce de mouvement qu’il veut décrire, en employant des
imitative peut-elle exprimer les mouvements de l’âme ? La troisième espèce d’objets que les mots peuvent imiter par le son,
tristes et mélancoliques. 286. Faites connaître des exemples de cette espèce d’harmonie. Peinture de lieux agréables. Deve
ions ? — Transitions communes ? Si l’on veut considérer les diverses espèces de transitions, on pourra les réduire à deux clas
s piquante et produisent beaucoup d’effet dans le discours. C’est une espèce de métaphore plus hardie que les autres ; mais on
6 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »
muet, n’est comptée pour rien. Voici des exemples de ces différentes espèces de vers. Vers masculin alexandrin. La-ver-tu-doi
lines et les féminines, de manière que deux différentes rimes de même espèce ne se trouvent jamais ensemble dans une même suit
s, de manière que le premier et le dernier vers d’une stance soient d’ espèce différente. Sans cette attention, l’oreille du le
mêmes ? Le voici. Le poète rassemble les plus beaux traits de la même espèce , qu’il voit épars dans la nature, et qui peuvent
ein de la belle nature. Si ce sont des actions, il faut que dans leur espèce , elles soient aussi belles qu’on puisse l’imagine
e réellement faites. Si ce sont des sentiments, il faut que dans leur espèce , ils soient aussi beaux qu’on puisse l’imaginer,
semblable circonstance. Si ce sont des images, il faut que dans leur espèce , elles soient aussi belles qu’on puisse l’imagine
ne des sentiments infiniment au-dessus de l’être le plus grand de son espèce  ; s’il présente l’image d’un objet que notre espr
ne, parvient à ébranler doucement notre âme, et à la plonger dans une espèce de ravissement. Cette harmonie, un des plus puiss
nt séparées de deux autres rimes semblables, que par deux rimes d’une espèce différente, comme dans ces vers de Voltaire : So
ent quelque sujet dans le dessein d’instruire : de là naissent quatre espèces de poésies. Quand le poète raconte une action, c’
7 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre V. des topiques ou lieux. — lieux applicables aux parties du sujet  » pp. 64-74
lles ; étudiez-la donc sous le rapport du genre, sous le rapport de l’ espèce . Revenons, par exemple, à l’idée république. L’id
ci aidera puissamment à traiter celle-là. Puis viendront les diverses espèces de républiques : aristocratique, démocratique, ol
traiter tel sujet par les circonstances, tel autre par le genre et l’ espèce , et ainsi de suite. « L’esprit, dit avec raison M
ent treize autres que l’on peut réduire aux suivants : Le genre et l’ espèce  ; Les antécédents et les conséquents ; La cause e
pas tout à fait la même idée que les rhéteurs anciens. Le genre et l’ espèce . Vous voulez exhorter à une vertu spéciale, recom
et nous espérons que nos empires seront éternels ! » Ce sera le lieu espèce . Massillon pense que la première tentation à laqu
aquelle les grands soient exposés est le plaisir. Les grands sont une espèce relativement au genre humain ; il établit d’abord
8 (1852) Précis de rhétorique
les goûts naturels et délicats se passionnent volontiers pour toutes espèces de fleurs, soit qu’elles croissent dans les jardi
et au style, l’autre les préceptes particuliers qui régissent chaque espèce de composition. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que l
tirées du fond même du sujet. Tels sont : la définition, le genre, l’ espèce , l’énumération des parties d’une chose, etc., etc
éfinition ; je continuerai en nommant sa famille, ou son genre et son espèce  ; je m’animerai en parlant de l’élégance de sa fo
l’occasion d’entrer plus convenablement en matière. 6. Il y a quatre espèces d’exorde que l’orateur emploie suivant les circon
arques à faire sur l’exorde ? — 5. Continuez. — 6. Combien y a-t-il d’ espèces d’exorde ? — 7. Qu’énonce la proposition ? — 8. Q
être correct ? — 5. Qu’est-ce que la phrase ? — 4. Y a-t-il plusieurs espèces de phrases ? — 5. Quand la phrase est-elle compos
ode peuvent-ils contenir des incidences ? — 10. Enumérez les diverses espèces de périodes. — 11. Donnez-nous un exemple d’une p
ec celui auquel il se rapporte dans la phrase. 11. On distingue trois espèces de syllepse : 1° Syllepse du genre ; c’est celle
ux ? — 10. Qu’est-ce que la syllepse ? — 11. Combien distingue-t-on d’ espèces de syllepse ? — 12. Qu’est-ce que l’hyperbate ? —
mot dont on se sert ne signifie dans le sens propre. 10. Il y a sept espèces de synecdoque : 1° du genre pour l’espèce : la cr
ns propre. 10. Il y a sept espèces de synecdoque : 1° du genre pour l’ espèce  : la créature pour l’homme ; 2° de l’espèce pour
oque : 1° du genre pour l’espèce : la créature pour l’homme ; 2° de l’ espèce pour le genre : l’homme pour l’homme et la femme 
tonymie ? — 9. Qu’est-ce que la synecdoque ? — 10. Combien y a-t-il d’ espèces de synecdoques ? — 11. Les exemples de synecdoque
dirai par ironie : Vous êtes bien aimable ! 12. L’euphémisme est une espèce de litote ; elle supprime l’expression qui rend u
e la pensée badine. — 15. À quoi servent les transitions et combien d’ espèces en comptez-vous ? (17e Leçon) — Moyens de décou
a disposition et ses éléments ; 2° la forme y qui comprend toutes les espèces d’ornements que nous avons passés en revue jusqu’
nie imitative, enfin à tout ce qui choque l’oreille. 9. Rejeter toute espèce d’ornement, renoncer à l’emploi des figures les p
2. Le boursouflé, l’ampoulé, l’emphatique, sont trois défauts de même espèce , indiquant en général tout ce qui est outré dans
la voix, qui indique à l’auditeur comment il doit répondre. Quant à l’ espèce d’accent qu’on fait entendre pour varier l’harmon
osition doit rester la même que pour les lettres. 7. Il y a vingt-une espèces de lettres ; mais nous ne pouvons traiter ici que
ial particulier à observer dans les lettres ? — 7. Combien y a-t-il d’ espèces de lettres ? — 8. À quelles occasions écrit-on un
que l’apologue est plus noble, c’est le genre ; la fable n’est que l’ espèce . 12. Tout apologue doit contenir une action avec
ais classiques elle est beaucoup plus restreinte, et se réduit à deux espèces  : la harangue historique, et la harangue militair
déterminée par le nombre des syllabes ; c’est elle qui indique chaque espèce devers. Si une syllabe manque à un vers, il y a d
Nus De leurs provinces. [Panard.] La fable suivante renferme les dix espèces de mesure. 12. O mort ! viens terminer ma misère
ourne sans bruit — autour de son berceau. [Amable Tastu.] Les autres espèces de vers n’exigent point cette division. Il faut p
ce, etc., parce que les consonances our, or, vi, pa, n’offrent aucune espèce d’analogie. 3. Pour distinguer une rime féminine
râce n’est clans cette césure produite forcément par l’enjambement. L’ espèce d’enjambement la plus commune aux poètereaux, c’e
9 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
oit se peindre comme la vérité, ce qui demande un vraisemblable d’une espèce particulière au drame, le jugement des yeux étant
touchante ; ou bien elle est commune, enjouée et légère. De là, deux espèces de drames : la tragédie et la comédie. 413. Comme
rs pièces qui se terminent par un trait lumineux et frappant, par une espèce de moralité, comme Athalie et Sémiramis. § II.
élude à une pièce dramatique. Chez les anciens, le prologue était une espèce de préface, dans laquelle un acteur spécial qui p
et des scènes ? Horace a fixé à cinq le nombre des actes pour toute espèce de pièce dramatique. Neve minor, neu sit quinto
e manière naturelle et logique. Or, le dialogue a deux formes et deux espèces  : il est soutenu, quand l’acteur développe ce qu’
ses arguments, en une réplique suivie, d’une certaine étendue. Cette espèce , ordinaire à nos théâtres, n’est pas si commune à
est l’auteur dont les personnages se répondent le mieux dans les deux espèces de dialogue. Dans le comique, Molière est un modè
l délibère tout haut s’il immolera ou non Iphigénie. Il y a alors une espèce de dialogue de deux hommes en un seul. Le roi et
e genre tragique ? Le genre tragique ou genre sérieux comprend trois espèces de compositions dramatiques : la tragédie proprem
le ton uniformément sérieux qu’il garde quelquefois : car il y a deux espèces , l’une qui ne se compose que d’un sujet sombre do
ra-comique qui admet le dialogue parlé. 490. Combien distingue-t-on d’ espèces d’opéra lyrique ? D’après notre définition, le m
ace au moins à un autre genre ; et, en effet, on peut distinguer deux espèces d’opéra lyrique : l’un pris dans l’hypothèse du m
va puiser ce merveilleux quelle étale, pour plonger nos sens dans une espèce d’enchantement. On peut voir, pour le genre mytho
t-à-dire l’entretien uni, le simple dialogue des personnages, par une espèce de chant qui approche beaucoup de l’accent nature
ou hiérodrame, que l’on a appelé quelquefois opéra spirituel, est une espèce de drame religieux qu’on exécute à grand orchestr
e deux ridicules ou de deux vices opposés. 511. Combien compte-t-on d’ espèces de comique ? Marmontel distingue trois espèces d
Combien compte-t-on d’espèces de comique ? Marmontel distingue trois espèces de comique : le haut comique ou comique noble, le
ce qu’on voit dans le Festin de Pierre. 513. Combien distingue-t-on d’ espèces de comédie ? On distingue trois espèces principa
13. Combien distingue-t-on d’espèces de comédie ? On distingue trois espèces principales de comédie proprement dite ; la coméd
étachées ou à tiroir. 524. Qu’est-ce que la farce ? La farce est une espèce de comédie grossière et bouffonne, qui a pour but
l en a de particulières que nous indiquerons. 530. Combien y a-t-il d’ espèces d’opéra comique ? On compte deux sortes d’opéra
10 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
raison pour ceux qui n’en ont point, fourmillent de fautes de toutes espèce  : il est impossible à un homme de lettres d’en li
rle et son propre désespoir, son devoir particulier. Il y a une autre espèce de syllepse qu’on nomme oratoire par laquelle un
sert de qualificatif.        Attila, fléau de Dieu. Ici il y a une espèce d’ellipse, on sous-entend surnommé le ou qui se f
grammaticales, pour les distinguer des Tropes, qui sont une deuxième espèce de figures de mots. Tropes. Le mot Tropes
de là vient que presque toutes les métaphores sont des images, et des espèces de similitudes et de comparaisons. Quand je dis d
upprime le mot propre et en met un autre à la place. Il y a plusieurs espèces de métonymies. 1° Métonymie de la cause pour l’ef
ion de la créature et le malheur de l’homme déchu. 2° Synecdoque de l’ espèce . L’homme, pour l’homme et la femme. C’est le moin
et la femme. C’est le moins pour le plus. L’attention se porte sur l’ espèce la plus noble du genre. 3° La Synecdoque dans le
raité. VI. Antonomase. — Nom remplacé. 15. L’antonomase est une espèce de synecdoque ; mais les rhéteurs en ont fait un
VII. Métalepse. — Marque de changement. 16. La métalepse est une espèce de métonymie par laquelle on explique ce qui préc
faire pour punir ou se venger. Comme on le voit, l’euphémisme est une espèce de litote, et suppose dans celui qui sait habilem
on, la définition et l’amplification. Je les regarde plutôt comme des espèces particulières de composition, dont je parlerai qu
pour exprimer un doute que pour rendre sensible une vérité. C’est une espèce de défi de nier ce qu’on dit ; il n’y a rien qui
le nom d’Epitrope. XII. Subjection. 37. La subjection est une espèce de prolepse. Dans cette figure on interroge son a
rtifice, et « comme il est naturel à l’homme  de se défier de toute espèce d’artifice, la meilleure figure est celle qui est
Elle est comme transportée au-dessus d’elle-même, et se remplit d’une espèce de joie orgueilleuse, comme si elle avait produit
ction suffit pour qu’on puisse l’appliquer convenablement. La seconde espèce d’harmonie est d’harmonie imitative. Cette derni
ensées. Tantôt elle peint par le son l’idée qu’on exprime ; c’est une espèce d’onomatopée, mais plus riche et plus difficile à
ndance et de vivacité ; mais belliqueux reste adjectif en précisant l’ espèce de feu dont le coursier est animé. Comme un tigr
exemple remarquable de dureté. La sécheresse. — Rejeter toutes espèces d’ornements, renoncer aux figures, même les plus
Le boursoufflé, l’ampoulé, l’emphatique. — Trois défauts de même espèce indiquant en général tout ce qui est outré clans
drait être toujours sublime, ne serait que ridicule et insensé. Cette espèce de définition est donc vague et même futile, et i
12. Division de l’école. I— Figures de mots proprement dites : 1ère Espèce . — Figures grammaticales. — 1. Ellipse. — 2. Pléo
ales. — 1. Ellipse. — 2. Pléonasme. — 3. Syllepse. — 4. Hyperbate. 2e Espèce . — Figures oratoires. — 1. Répétition. — 2. Disjo
ie. — 5. Synecdoque. — 6. Antonomase. III. — Figures de pensées : 1re Espèce . — Figures par développement. — 1. Exposition. — 
. Description. — 4. Définition. — 5. Périphrase ou circonlocution, 2e Espèce . — Figure par raisonnement. — 1. Exténuation. — 2
— 7. Prolepse. — 8. Subjection. — 9. Epiphonème. — 10. Permission. 3e Espèce . — Figures par combinaison. — 1. Comparaison. — 2
thèse. — 4. Pointe ou jeux de mots. — 5. Allusion. — 6. Gradation. 4e Espèce . — Figures par fiction. — 1. Interrogation. — 2.
. Prétermission. — 4. Réticence. — 5. Correction. — 6. Suspension. 5e Espèce . — Figures par mouvement. — 1. Commination. — 2 O
mouvement ! 13. Lemercier. 14. Les rhéteurs distinguent plusieurs espèces de sublime : — le sublime de style. — Le sublime
11 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
profonde, et décida son goût pour l’étude de la littérature. Par une espèce de sentiment de reconnaissance, il conserva toute
araît que de faibles lueurs ; les beautés qui les affectent sont de l’ espèce la plus grossière, et encore n’en ressentent-ils
tte perfection ne se rencontre point, et qu’il n’est personne à qui l’ espèce humaine puisse rendre cet hommage, quelle sera l’
et sublimes, mais chacun s’en forme une idée. Elle consiste dans une espèce d’admiration, dans une sorte d’épanchement de not
s’il n’est à la fois vaste et élevé. Il y a aussi en architecture une espèce de grandeur, qu’on appelle grandeur de manière, e
nt notre admiration. Il arrive bien souvent encore qu’il n’y a aucune espèce de grandeur dans ce qui est douloureux ou terribl
harmonie, n’en ont pas plus avec le style sublime qu’avec toute autre espèce de style, et peut-être même bien moins encore, pa
essus d’elle-même ; tant que dure cette émotion, nous jouissons d’une espèce d’enthousiasme ; mais l’âme néanmoins tend sans c
personnes croient que des mots pompeux, des épithètes accumulées, une espèce d’enflure dans les expressions, enflure qui consi
mêlant aux cris douloureux des mourants. » Une introduction de cette espèce est un effort pénible de l’écrivain pour émouvoir
s figures ; mais si nous voulons l’appliquer à des objets d’une autre espèce , comme aux couleurs et aux mouvements, nous verro
et que l’art s’efforce en vain d’imiter, comme le plumage de quelques espèces d’oiseaux, la corolle des fleurs, et cette magnif
seul but un si grand nombre de parties diverses et compliquées. Cette espèce de sentiment de la beauté a sur la plupart de nos
ni le sublime, ni le pathétique, ni le brillant, mais seulement cette espèce d’émotion que le lecteur éprouve, émotion douce e
gnes sont les mots et l’écriture. Les paroles, en effet, n’ont aucune espèce de ressemblance avec les pensées qu’elles exprime
l comme arbitraires et conventionnels, et on doit les attribuer à une espèce d’accord que les hommes ont fait entre eux. La pr
le de mots qui évidemment ont été construits d’après ce principe. Une espèce d’oiseau s’appelle coucou d’après le cri qu’il je
e avec les choses signifiées, les hommes, tant que ce langage fut une espèce de peinture pour laquelle on employait des sons,
d’en avoir imaginé pour exprimer les dispositions de l’âme, ou aucune espèce d’idée morale ou intellectuelle. Ainsi la langue
foule d’autres exemples semblables. Nous appelons ordinairement cette espèce de style, style oriental, parce qu’il plaît surto
us venons de faire peuvent apporter quelque éclaircissement sur cette espèce de paradoxe, que la poésie est plus ancienne que
comme la seconde période de l’art d’écrire. Les hiéroglyphes sont des espèces de symboles faits pour représenter des objets inv
té, qui n’a ni commencement ni fin. Les hiéroglyphes étaient donc des espèces de peintures dont le sens était plus recherché et
désuétude, les prêtres continuèrent encore à s’en servir comme d’une espèce d’écriture sacrée ; elle leur devint exclusive, e
avec lesquels ils se communiquaient leurs pensées. Telle est encore l’ espèce de caractères dont on se sert aujourd’hui dans le
us avons empruntées des Arabes, sont des marques significatives d’une espèce parfaitement analogue aux caractères chinois ; el
doptée par tous les peuples de l’Europe. L’écriture fut longtemps une espèce de gravure. On y employa d’abord des colonnes ou
e, donnent de la chaleur aux expressions, et opèrent sur nous par une espèce de sympathie, qui est un des plus puissants moyen
apprit ensuite à diviser les objets compris sous ce nom générique en espèces particulières, comme le chêne, le pin, le frêne e
d’objets individuels, mais bien des noms de genres très étendus ou d’ espèces nombreuses d’objets, comme : « homme, lion, maiso
e et, par conséquent, à les confondre sous la dénomination d’une même espèce . Nous observons tous les jours que les enfants pr
que le même que one, un24, et indique seulement un des individus de l’ espèce , lequel demeure inconnu ou indéterminé ; comme :
e l’article, indique un individu connu et déterminé parmi ceux de son espèce , comme le lion, le roi. Les articles sont des mot
On peut, avec beaucoup de vraisemblance, attribuer l’origine de cette espèce de nombre à ce que, les hommes n’ayant point d’ab
s sur les principes de la grammaire, à une certaine ressemblance, une espèce d’analogie entre les choses inanimées et les qual
le génitif, le datif et l’ablatif, cas qui expriment et le nom et les espèces de relations de ce nom déterminées en anglais par
place avant le substantif. Les noms anglais n’ont d’autre cas qu’une espèce de génitif, marqué le plus ordinairement par l’ad
oire que leur invention remonte bien haut, car ce sont des mots d’une espèce particulière que l’art seul a pu trouver. Il faut
nis dans l’objet. La liberté des transpositions exigeait encore cette espèce de rapprochement ; car, en permettant que, dans u
ecture IX. Structure du langage. — Langue anglaise. De toutes les espèces de mots auxquels on a donné le nom d’attributifs,
a dans ce pays, jusqu’à l’invasion des Francs et des Normands, qu’une espèce de latin corrompu, mélangé de celtique, et auquel
x soient si intimement liés, puisque le style n’est autre chose que l’ espèce d’expression que nos pensées prennent au moment o
n jour. La clarté dans le style ne peut pas être considérée comme une espèce de mérite négatif, c’est-à-dire comme l’absence d
peuvent rendre la pensée avec autant de force et d’énergie que cette espèce d’anglais latinisé. Examinons actuellement ce qu’
vous faites ensuite paraître devant moi plusieurs animaux de la même espèce , qui se ressemblent sous quelques rapports, mais
de l’écrivain. Quintilien nous donne une définition parfaite de cette espèce de style : Est in quibusdam turba inanium verbor
. » Une chose est unique lorsqu’il n’y en a point d’autres de la même espèce  ; elle est seule lorsqu’elle n’est accompagnée d’
er le sens de la manière la plus distincte, il semble dédaigner toute espèce d’embellissement, ce qui, de temps à autre, donne
rapide qui imprime à la pensée une sorte d’énergie, et lui donne une espèce d’éclat momentané ; mais le plus souvent elles pr
es avantages de la fortune. » L’on éprouve une sorte de peine à cette espèce de détour, à cette séparation violente de deux ch
es les plus médiocres, et est en langage vulgaire appelée discrétion, espèce de prudence, etc. » En mettant et est, au lieu de
p souvent dans des sujets qui n’exigent aucune pompe. Mais il est une espèce de gradation à laquelle il ne faut jamais manquer
ens, leurs tragédies comme leurs comédies, étaient accompagnées d’une espèce de musique. Voilà pourquoi l’on trouve à la tête
ux Romains assemblés, il avait un musicien derrière lui qui, avec une espèce de flûte, lui donnait le ton qu’il devait prendre
Mais premièrement, nos mots ne sont pas divisibles en pieds de cette espèce  ; car notre quantité, c’est-à-dire la brièveté ou
nous voyons combien ces anciens critiques différaient entre eux sur l’ espèce de pied qui convenait le mieux à la fin, ou dans
ême temps placées à des intervalles égaux pour former entre elles une espèce de proportion musicale. Ceci va s’éclaircir par d
tout se prononce aisément, tout s’entend avec plaisir, et c’est cette espèce de mesure facile, c’est cette division régulière
genre de style employé par l’écrivain ; dans le second, il prend une espèce de ressemblance avec l’objet qu’il sert à exprime
et exige surtout que ces mots terminent les périodes. C’est par cette espèce de mélodie que les premiers versets sont particul
de style employé par l’écrivain, on peut encore lui faire prendre une espèce de ressemblance avec l’objet qu’il exprime. On n’
’âme. Le son, au premier coup d’œil, semble n’avoir avec elles aucune espèce d’analogie ; mais le contraire est assez prouvé p
ens une ressemblance qui échappe à d’autres lecteurs ; il se crée une espèce de mélodie conforme à sa disposition morale, et l
ion ne transmet que notre idée, les figures ajoutent à cette idée une espèce de vêtement, vêtement qui la rend plus sensible e
ue nous leur supposons avec ces conditions de la vie humaine. L’autre espèce de figures, appelée figures de pensées, suppose q
ouva qu’il y avait entre ces situations et les situations de lieu une espèce de ressemblance ou d’analogie, et l’on employa de
semble. Toutes les langues ont une grande quantité de tropes de cette espèce , que l’on n’a formés que parce que le mot propre
froide, un cœur dur, etc. Il en est d’autres qui sont restés dans une espèce d’état mixte, qui n’ont pas entièrement perdu leu
es phrases se multiplient sans cesse pour exprimer des idées de toute espèce , pour faire sentir les différences les plus légèr
nt précisément fondés que sur des relations ou des analogies de cette espèce . Lorsque, par exemple, au lieu de « la jeunesse, 
des tropes, je devrais actuellement passer en revue leurs différentes espèces , et les classes diverses dans lesquelles on les r
« prendre l’autorité royale. » L’on a donné le nom de métonymie à ces espèces de tropes qui sont fondés sur les rapports des ca
est pris pour la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’ espèce , ou l’espèce pour le genre ; le singulier pour le
r la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’espèce, ou l’ espèce pour le genre ; le singulier pour le pluriel, ou
rait eu en se présentant toute seule. Je n’ai point encore parlé de l’ espèce de relation la plus féconde en tropes, celle que
x blancs sont produits par la vieillesse, mais n’ont avec elle aucune espèce de ressemblance. Aristote, dans sa Poétique, donn
t est mis pour la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’ espèce , ou l’espèce pour le genre, etc. Mais il serait i
r la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’espèce, ou l’ espèce pour le genre, etc. Mais il serait injuste d’en p
es métaphores ; ces règles sont presque toutes applicables aux autres espèces de tropes. La première, c’est que les métaphores
me servir d’une expression française. La métaphore, comme les autres espèces d’ornements, perd toute sa grâce lorsqu’elle semb
longtemps l’écrivain, s’il entre dans les moindres détails, c’est une espèce d’allégorie qu’il nous présente, et non pas une m
l’allégorie eût cessé d’exister, et l’on n’eût plus trouvé que cette espèce de confusion, dont j’ai donné des exemples en par
s paraboles est l’explication de l’allégorie. L’énigme est encore une espèce d’allégorie, puisque c’est une chose représentée
est toujours fatiguée ou blessée ; car il semble qu’on lui fasse une espèce de violence et qu’on la contraigne à sortir de sa
nt ces vers d’un de nos poètes tragiques49, ne fasse pas éprouver une espèce de dégoût : « Je la trouvai étendue sur le planch
ment, une action ; et sans doute tout le plaisir que nous cause cette espèce de style figuré vient de ce qu’il nous met en rap
quelques occasions rien ne nous semble plus naturel, cependant cette espèce de personnification est celle dont l’usage est le
Il faut observer deux règles bien essentielles dans l’emploi de cette espèce de personniifcation. La première, c’est de ne s’e
yle51. Nous ne nous arrêterons pas plus longtemps sur les différentes espèces de personnifications ou prosopopées. L’apostrophe
, et l’on peut lui assigner trois causes. Premièrement, il vient de l’ espèce de satisfaction que notre esprit trouve naturelle
rence entre deux objets qui se ressemblent ; la cause finale de cette espèce de satisfaction est de nous encourager à regarder
paraison est heureuse et délicate. Cependant il est certain qu’aucune espèce de musique ne ressemble en rien aux impressions d
une métaphore, pourvu qu’elle ne soit pas poussée trop loin ; mais l’ espèce de pompe et de solennité d’une comparaison n’est
ssion. En un mot, la véritable place d’une comparaison est dans cette espèce de style qui tient le milieu entre le style ordin
ant de maximes subtiles et symétriquement arrangées. Il y a une autre espèce d’antithèse dont la beauté consiste à nous surpre
inte d’une épigramme, n’est le plus souvent qu’une antithèse de cette espèce , elle nous surprend par le tour piquant et imprév
n effet, sans le secours de ce point d’admiration, que prodiguent ces espèces d’écrivains toujours en extase, nous ne saurions
vers, sont presque toujours du style le, plus simple, et sans aucune espèce de figure. J’en ai cité un grand nombre d’exemple
s dont nous allons nous occuper. Denys d’Halicarnasse en compte trois espèces  : l’austère, le fleuri et le moyen. Le style aust
ièveté des phrases soient le caractère distinctif de l’une ou l’autre espèce de style. Un écrivain, en ne se servant que de fo
llons suivre cet ordre dans notre examen. Le style sec n’admet aucune espèce d’ornement. C’est assez pour lui qu’il soit enten
, c’est parce que telle est sa manière naturelle de s’exprimer. Cette espèce de style admet encore une sorte de négligence qui
ue français, M. Marmontel ; voici comme il s’explique : « C’est cette espèce d’ingénuité aimable, d’abandon et de franchise, q
mes entrés dans ces détails, que pour donner une idée plus juste de l’ espèce de simplicité dont il est ici question. Il est à
rt du cœur. Il aime à la fureur les figures et les ornements de toute espèce  : quelquefois il est heureux dans l’emploi qu’il
ituel et savant, mais épris de l’amour le plus extravagant pour cette espèce de style artificiel, cette parade de langage qui
écrire avec simplicité, sans que pour cela ses ouvrages aient aucune espèce de beauté. On peut être sans affectation, et n’en
’écouter que l’inspiration de la nature. Cependant il y a dans chaque espèce de style des qualités qu’il ne faut jamais perdre
it faire en sorte qu’une seule domine, afin de prendre telle ou telle espèce de style : je n’essayerai pas, non plus, d’indiqu
à ce que l’ardeur de la composition soit calmée, jusqu’à ce que cette espèce d’attachement que nous avons pour les expressions
erche pas à fixer l’attention sur son sujet, et ne se sert que de ces espèces d’ornements qui, au lieu de lui donner de la forc
es assemblées populaires, offrent une belle et vaste carrière à cette espèce d’éloquence, que la chaire même admet quelquefois
oquent ; il ne manque alors ni d’arguments ni d’expressions ; par une espèce de sympathie, il embrase les autres de l’ardeur d
ue Égypte. Sans doute il existait déjà, dans ces siècles reculés, une espèce d’éloquence ; mais elle approchait plus de la poé
t ; ils indiquaient l’art, ou, pour mieux dire, ils fournissaient des espèces de recettes pour faire toutes sortes de discours,
ige les grâces minutieuses, et semble n’aspirer qu’à s’élever à cette espèce de sublime qui naît de la pensée. On s’accorde à
resque, en Angleterre surtout, à la simple argumentation. C’est cette espèce d’éloquence que les anciens appelaient tenuis ou
erai alors dans de plus grands détails. Lecture XXVII. Différentes espèces de discours. — Éloquence des assemblées populaire
écédents et chez les peuples divers, je vais examiner les différentes espèces de discours, assigner les caractères qui les dist
re lui ; s’il ne les tient pas, pour ainsi dire, à son unisson, cette espèce de dissonance sera vivement sentie et produira l’
nature et la conduite des questions discutées au barreau exigent une espèce d’éloquence bien différente de celle qui convient
yle d’argumentation qui caractérise les sermons de l’Église anglaise, espèce de style d’autant moins persuasif, qu’il se rappr
ujet sur lequel on veuille parler, on commence toujours par faire une espèce d’introduction, pour préparer l’esprit des audite
s, l’art s’y fait plus sentir. Les anciens critiques distinguent deux espèces d’introduction auxquelles ils ont donné les noms
t qu’il se propose. Nous avons un exemple admirable de cette dernière espèce d’introduction dans la seconde harangue de Cicéro
remier titre renferme évidemment le second, comme le genre renferme l’ espèce . Une telle méthode jetterait la plus grande confu
e dans le texte, donner une juste idée de la nature du devoir ou de l’ espèce de vertu qui fait le sujet du discours ; voilà ce
a formation des mots ; mais d’un autre côté, des conjectures de cette espèce ouvrent un si libre champ à l’imagination, qu’on
avantage les Éléments de critique, dans lesquels on trouve sur chaque espèce de figures des observations judicieuses, éclairci
12 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
l’ode et des autres poèmes lyriques Le genre lyrique renferme six espèces de poèmes : l’ode qui est la plus haute expressio
é avant Pindare d’autres formes, où on mêlait des vers de différentes espèces , avec une symétrie qui revenait beaucoup plus sou
ent produit des variations dans la marche. 191. Combien compte-t-on d’ espèces d’odes ? On compte quatre espèces d’odes : dans
marche. 191. Combien compte-t-on d’espèces d’odes ? On compte quatre espèces d’odes : dans le genre religieux, l’ode sacrée, à
eux, mais il est toujours élégant et varié. Le poète peut, dans cette espèce d’ode, répandre avec grâce des traits de morale,
 ; et l’élégie proprement dite, qui s’étend à tout le reste. Ces deux espèces d’élégies suivent également les règles que nous a
verba). Du reste, l’antiquité ne nous a laissé aucun modèle de cette espèce de poésie lyrique. 224. Quel a été le sort du dit
’est-ce que la cantate ? La cantate est une composition lyrique, une espèce d’ode dans le genre héroïque ou gracieux, faite p
enre gracieux. J.-B. Rousseau nous offre de parfaits modèles des deux espèces . Nous citerons, dans le premier genre, colle de C
e la chanson. 232. Qu’est-ce que la chanson ? La chanson est une espèce d’ode au caractère ordinairement badin, léger, am
aque strophe, et toujours amenée avec art. 235. Combien compte-t-on d’ espèces de chanson ? La chanson n’a point de caractère f
ent un danger réel : c’est d’amollir le cœur et de l’accoutumer à une espèce de sensiblerie pour des choses futiles, et à une
ou deux vers intercalaires répétés par intervalles, et qui forment un espèce de refrain. 244. Quels sont les poètes qui se son
13 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
on, comme la disposition et l’élocution, est indispensable dans toute espèce de composition. 330. L’invention ne demande-t-ell
eaient réciproquement leurs écrits. 339. Quelles sont les différentes espèces de compositions littéraires ? Il y a autant d’es
es différentes espèces de compositions littéraires ? Il y a autant d’ espèces de compositions littéraires qu’il y a d’objets di
rales du genre ; dans le second, nous nous occuperons des différentes espèces de descriptions. § I. — Des règles générales de
es murs de Jérusalem et de celle du camp des Grecs ! Il y a une autre espèce de mobilité, qui est d’un bon secours pour déterm
uvent le dégoût et l’ennui que l’intérêt. § II. — Des différentes espèces de descriptions. 364. De combien de manières p
s du fond qui doit les recevoir. II. 367. Combien compte-t-on d’ espèces dans la description considérée d’après le but de
Si on envisage la fin que peut se proposer l’écrivain, on trouve cinq espèces de descriptions : la description philosophique, l
s la cinquième des Verrines. III. 372. Combien distingue-t-on d’ espèces de compositions dans la description considérée d’
ux modèles : N’avez-vous jamais remarqué… — On peut rapporter à cette espèce de description le portrait littéraire, dans leque
non pas une personne en particulier, comme dans le portrait, mais une espèce d’hommes, une classe d’individus ayant les mêmes
composent ; dans le troisième, nous ferons connaître ses différentes espèces  ; enfin, le quatrième sera consacré aux ornements
est déchargé d’un poids qui l’accablait. § III. — Des différentes espèces de narration. 420. Combien peut-on distinguer
ifférentes espèces de narration. 420. Combien peut-on distinguer d’ espèces de narration ? La définition de la narration, en
fabuleuse. A ces deux genres de récits se rattachent plusieurs autres espèces de narration, parmi lesquelles nous citerons la n
e doit être, comme un grain de sel, piquant et fin. Un récit de cette espèce qui n’a point de trait semblable, est ce qu’il y
néral et du style de la lettre ; puis, nous parlerons des différentes espèces de lettre. § I. Du ton général et du style de l
, de l’éducation de la personne qui écrit. § II. — Des différentes espèces de lettres. 466. En combien de classes peut-on
ce personne. Nous allons réunir sous ces trois titres les différentes espèces de lettres, pour en faire connaître la nature et
14 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
mme un objet parfait auquel on peut comparer toutes choses de la même espèce . Ainsi la nature est le type suprême et la source
les écrits. La vue des objets grands et sublimes produit en nous une espèce d’élévation et d’expansion instinctives. Elle por
l’élève beaucoup au-dessus de sa sphère ordinaire. Il en résulte une espèce d’enthousiasme qui produit, pendant sa durée, une
s appliquer ce principe à d’autres objets également beaux, mais d’une espèce différente, comme la couleur et le mouvement, nou
s n’étaient pas réunis dans le même lieu. Ces caractères sont de deux espèces , les signes des choses et ceux des mots : les pre
te de l’écriture alphabétique, continuèrent à s’en servir comme d’une espèce d’écriture sacrée qui n’était plus connue que d’e
l’expérience leur apprit bientôt à subdiviser ces genres en diverses espèces , suivant que l’observation leur démontra qu’ils p
pas des objets individuels, mais bien des noms qui s’appliquent à des espèces entières d’êtres. Ces idées d’abstraction sont mo
nombre détermine, si l’objet est isolé ou joint à d’autres de la même espèce  ; on le distingue en singulier et pluriel. On ret
règle que j’indique pour parvenir à ce but est de s’abstenir de toute espèce de mots redondants, ils affaiblissent toujours la
t égard. Fléchier et Bossuet font un usage fréquent et heureux de ces espèces d’inversions. Les Grecs et les Latins avaient un
ent de fréquents exemples de cette beauté de construction. Mais cette espèce de gradation ne convient qu’aux discours qui exig
l rende parfaitement le sentiment que l’on veut exprimer. La première espèce d’harmonie est la plus commune ; la deuxième est
ien davantage à se laisser charmer par la mélodie du discours ; toute espèce de déclamation, tout discours public étaient pron
ent prononcés d’un ton bien plus musical que parmi nous ; c’était une espèce de récitatif chanté. On sait que C. Gracchus, lor
d nombre de sons particuliers sont formés de manière à manifester une espèce d’affinité avec les sons qu’ils représentent : ai
campum, imite parfaitement le mouvement qu’il exprime. La troisième espèce d’objets que les sons des mots peuvent représente
le signification pour exprimer la force jointe à l’audace. La seconde espèce , appelée figures de pensées, suppose que les mots
spicit, et dulces moriens reminiscitur Argos. Un seul trait de cette espèce , tracé avec le pinceau de la nature, est préférab
e : cet homme est en danger, en santé, en colère. Les tropes de cette espèce abondent dans toutes les langues. De même, les af
our la partie, ou la partie pour le tout, si le genre est pris pour l’ espèce , et réciproquement le singulier pour le pluriel,
nsi dire, en quelque manière, si j’ose m’exprimer ainsi ; ce sont des espèces de parenthèses grossières, et toute métaphore qui
considérer comment les diverses parties s’accommoderaient, et quelle espèce de figure le tout offrirait lorsque le pinceau l’
cumulées l’une sur l’autre, elles produisent une confusion de la même espèce que la métaphore mêlée ; nous en pouvons juger pa
yperboles. Si quelque chose est remarquablement bon et grand dans son espèce , nous sommes ordinairement portés à y ajouter une
stote ne la permet que dans la colère et dans la passion. Il y a deux espèces d’hyperbole, celle qui résulte de la description,
un examen et un soin particuliers. On en distingue trois différentes espèces  : la première, lorsque quelques-unes des qualités
nous ferions nous-mêmes. C’est peut-être le charme principal de cette espèce de style figuré ; nous nous trouvons en rapport a
que d’un petit nombre. » On voit qu’une heureuse comparaison est une espèce d’ornement brillant qui n’ajoute pas peu de lustr
n charme. En général, les comparaisons peuvent être réduites aux deux espèces suivantes : celles qui tendent à expliquer, celle
iment, si ce n’est celui de l’indignation. Il existe encore une autre espèce de figure propre à animer la composition ; c’est
rs est d’un effet puissant dans l’amplification. On en distingue deux espèces , l’ascendante et la descendante. L’exemple le plu
caractères généraux du style. Denis d’Halicarnasse le divise en trois espèces , qu’il appelle le grave ou élevé, l’orné et le te
r ce sujet. La première et la plus naturelle division des différentes espèces de style est celle qui résulte du développement p
upplée à la force ; il aime la magnificence et les ornements de toute espèce . Chacun de ces genres a ses avantages, et offre d
iter successivement. Le premier genre repousse les ornements de toute espèce . Satisfait de se faire comprendre, l’auteur ne ch
le cours de ses œuvres, et n’offrit autant d’instruction sans aucune espèce d’ornements. Doué du plus profond génie, avec les
autre le fatigue et le dégoûte. Je vais parler maintenant d’une autre espèce de style dont le caractère est différent de ceux
des fourberies des sophistes. L’on peut diviser l’éloquence en trois espèces ou degrés. Le premier degré, qui est le moins par
, des inaugurations, épîtres dédicatoires ou autres discours de cette espèce . Ce genre agréable de composition ne doit pas êtr
, se présentent à lui avec rapidité ; il transmet aux autres, par une espèce de sympathie contagieuse, les sentiments brûlants
, la plus remarquable pour l’éloquence et même pour les arts de toute espèce , fut sans contredit celle d’Athènes. Les Athénien
t à l’art de la rhétorique une logique subtile et dégénérèrent en une espèce de métaphysiciens sceptiques. Gorgias fut cependa
rages de Démosthène et de Cicéron qu’on trouvait des modèles de cette espèce d’éloquence. La tribune était muette. La forme de
gouvernement purement monarchique n’avait pas ouvert le champ à cette espèce d’éloquence, la plus auguste de toutes et la plus
nds modèles, elle se montrera digne de leur succéder. Des diverses espèces d’éloquence. Éloquence des Assemblées popula
, de suivre la division que nous indiquent naturellement les diverses espèces de discours modernes, et de déterminer les genres
assée sous aucun des genres admis par les anciens rhéteurs. Ces trois espèces d’éloquence ont des règles qui leur sont communes
angereux, pour les jeunes praticiens, de faire ainsi l’essai de cette espèce de parade qui peut, avant qu’ils s’en aperçoivent
des discussions, lorsque les parties s’animent, des discours de cette espèce deviennent déplacés ; ils manquent de naturel : o
opose de dire au public ; mais aussitôt que quelques travaux de cette espèce lui auront donné de la confiance, il trouvera plu
s avec ordre et méthode. Ceci me conduit à remarquer que, dans toutes espèces d’oraisons publiques, rien n’est plus important q
faire produire tout leur effet sur les auditeurs ? Enfin, dans toute espèce de discours oratoire, mais surtout dans les haran
ordinairement beaucoup plus nombreux que parmi nous, et formaient une espèce d’assemblée populaire. Le fameux aréopage d’Athèn
’ordre et l’arrangement de toutes les parties du discours. Dans toute espèce d’oraison, une méthode claire est de la plus haut
’ai offertes pour distinguer l’esprit et le caractère des différentes espèces de l’éloquence étaient nécessaires pour l’applica
sont les éléments naturels d’un discours régulier, et que, dans toute espèce de discours, quelques-unes de ces parties existen
abondantes et plus élaborées. Les anciens critiques distinguent deux espèces d’exorde qu’ils appellent principium et insinuati
ollection d’introductions ou préfaces, prêtes à être adaptées à toute espèce d’ouvrage qu’il publiait. Par suite de cette sing
premier chef comprend évidemment le second, comme le genre contient l’ espèce . Cette méthode de procéder envelopperait le sujet
oit résulter nécessairement de ce qui précède, et ne pas paraître une espèce de superfétation ajoutée au corps principal du di
ap. 4.) Un travail assidu, et jamais interrompu par les plaisirs, une espèce d’enthousiasme continuel pour l’art ou la profess
15 (1881) Rhétorique et genres littéraires
t les arguments ne sont que les formes. Les rhéteurs distinguent deux espèces de preuves : 1° les arguments proprement dits ; 2
. 1° Intrinsèques Définition, Énumération des parties, Genre et Espèce , Comparaison, Contraires, Choses qui répugnent en
cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours ? etc. Genre et espèce Le genre et l’espèce sont des lieux communs pr
ux accomplis en nos jours ? etc. Genre et espèce Le genre et l’ espèce sont des lieux communs propres au genre judiciair
e à prouver que les textes généraux de la loi sont applicables dans l’ espèce à un sujet particulier. Ce qui est vrai du premie
est vrai du premier (le genre) l’est nécessairement de la seconde (l’ espèce ). Comparaison et dissemblance La comparaiso
em). 1° Intrinsèques, Définition, Énumération des parties, Genre et espèce , Comparaison, Contraires, Choses qui répugnent en
r adroitement leur attention ou s’en emparer brusquement. De là, deux espèces d’exordes : 1° par insinuation (exorde du Pro Mil
brupto (exorde de la première Catilinaire). Il y a encore deux autres espèces d’exorde : 1° le simple, ou exposition courte et
sur la mort d’Henri IV : « Je vins, vis et vainquis. » Il y a trois espèces de narration : 1° oratoire, 2° historique, 3° poé
énérale du style qui couronne l’œuvre. Les rhéteurs distinguent trois espèces d’harmonie : 1° L’harmonie des mots, 2° L’harmoni
nt sur vos têtes ? (Andromaque, acte V, scène v.) est de la première espèce . Ex. de la seconde : Dans un chemin montant, sa
Elles leur donnent de la force, de la grâce et de la variété. Deux espèces de figures : 1° de pensées. 2° de mots On dist
x espèces de figures : 1° de pensées. 2° de mots On distingue deux espèces de figures : 1° les figures de pensée ; 2° les fi
eurs divisent généralement les principales figures de pensée en trois espèces , qui correspondent, comme celles du style, au tri
ots D’après les rhéteurs, les figures de mots se divisent en trois espèces  : 1° Figures de grammaire. 2° Figures de cons
restreindre le sens propre des mots. Elle prend : 1° le genre pour l’ espèce (rarement le contraire) : les mortels pour les ho
ortrait du chien dans Buffon. 5° Parallèle Le parallèle est une espèce de comparaison appliquée aux personnes ou aux car
complet, son style doit être simple et sobre. On distingue plusieurs espèces de dissertations, suivant l’objet de la pensée qu
ur double prosodie comprenait à peu près les mêmes pieds et les mêmes espèces de vers. Les principaux pieds étaient : 1° Le
ième pied. Elle n’est ni obligatoire, ni déterminée dans aucune autre espèce de vers. Nos grands poètes n’ont pas toujours obs
sure, Élision. Nature des syllabes muettes, sonores. Différentes espèces de vers Hexamètre, Pentamètre, Asclépiade, Saphi
’Elkovan, et, plus tard, dans celui de Marcel. L’Ode, ses diverses espèces La forme la plus ordinaire de la poésie lyriqu
s stances curieusement ouvragées. 6° Cantate La cantate est une espèce d’ode, tantôt du genre héroïque, tantôt du genre
nger, de Pierre Dupont, de Nadaud, etc. On distingue presque autant d’ espèces de chansons qu’il y a de sentiments divers capabl
e rarement par un envoi. 10° Chant royal Le chant royal est une espèce de ballade de grande dimension et d’un caractère
de mœurs, d’intrigue, à tiroir. 1° Genre tragique, ses diverses espèces Tragédie La tragédie est la représentatio
ments et tous les tons compatibles avec le bon goût. Il y a plusieurs espèces de drame : 1° le drame satyrique ; 2° le drame la
ide. 2° Le drame larmoyant, appelé aussi tragédie bourgeoise, est une espèce de composition intermédiaire et de compromis entr
forcé de Molière (comédie-ballet). 2° Genre comique, ses diverses espèces La comédie est la représentation d’une action
mes d’une époque ou à l’humanité tout entière. On distingue plusieurs espèces de satires ; la satire personnelle, la satire pol
n, le P. Félix, le P. Hyacinthe, le P. Monsabré, etc. Les différentes espèces de discours sacré sont : 1° le sermon, 2° le prôn
c., n’ont jamais été chez nous que des hommes d’étude. Différentes espèces d’histoire 1° Histoire narrative, critique e
ature française du Moyen Âge. 2° Mémoires Les mémoires sont des espèces d’histoires individuelles où l’auteur raconte sa
is aussi le caractère. Divers genres de romans Il y a plusieurs espèces de romans : le roman proprement dit, le conte et
erreur et de combattre un préjugé. Ex. Les romans de Voltaire. Cette espèce de roman est quelquefois sceptique, antireligieux
quelquefois d’instruire, toujours d’amuser. On en distingue plusieurs espèces  : les contes orientaux (Les Mille et Une Nuits) ;
rosopographie, l’éthopée et la topographie. La prosopographie est une espèce de description qui a pour objet de peindre l’exté
 On peut y ajouter la description des animaux et de leurs différentes espèces . Ex. celle du cheval dans le Livre de Job, dans l
Mémoires sur les lettres, les arts, Discours funèbres Différentes espèces d’histoire : 1° narrative, critique, philosophiqu
16 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
ogues à la pensée, au sentiment que la parole exprime. On compte deux espèces principales de versification : la versification r
ar la rime ; enfin, il rejette l’hiatus. 43. Combien distingue-t-on d’ espèces de vers fiançais ? Il y a, dans la langue frança
n d’espèces de vers fiançais ? Il y a, dans la langue française, dix espèces de vers que l’on distingue d’après le nombre des
eux ou trois syllabes. Citez un exemple qui renferme les différentes espèces de vers français. Voici un exemple où l’on trouv
es repos. 61. Qu’entendez-vous par repos et combien y en a-t-il d’ espèces  ? On entend par repos, dans les vers, certaines
s qu’il faut observer dans le sens et dans la voix. On distingue deux espèces de repos : la césure, qui se trouve dans le corps
d. Par conséquent, il peut être faible dans les cinq ou six dernières espèces de vers. On le néglige même entièrement dans les
s : Un vrai sire Châtelain Laisse écrire Le vilain. Pour les autres espèces de vers, on peut voir ce qui concerne la mesure.
tant ; mais instant et attend riment ensemble. 69. Combien y a-t-il d’ espèces de rimes ? Il y a deux espèces de rimes dans la
ment ensemble. 69. Combien y a-t-il d’espèces de rimes ? Il y a deux espèces de rimes dans la versification française : la rim
la mollesse. Au moyen du retour alternatif ou périodique de ces deux espèces de vers, la dureté de l’un et la mollesse de l’au
es qui présentent le mélange de différentes mesures, ou même de toute espèce de mesures, depuis le vers héroïque jusqu’aux plu
17 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262
imés dans une autre phrase, ou dans une autre proposition. PREMIÈRE ESPÈCE D'ELLIPSE. I ellipse des substantifs. T
es dernières extrémités, et de se soumettre au vainqueur. SECONDE ESPÈCE D'ELLIPSE. Jusqu’ici, nous avons parlé de la p
CONDE ESPÈCE D'ELLIPSE. Jusqu’ici, nous avons parlé de la première espèce d’ellipse, celle où l’on sous-entend des mots qui
ures qu’il lui importe peu de connaître à ce moment. Il y a plusieurs espèces de syllepses : 1° Syllepse dans le genre, quand u
déplacement, le mélange, la confusion naturelle des mots. Il y a cinq espèces d’hyperbates, qui sont : 1° L'anastrophe ou renve
necdoche. La synecdoche (du grec συνεχδοϰὴ, compréhension) est une espèce de métonymie qui consiste à prendre : 1° La parti
’eau de la Saône, ou le Germain de l’eau du Tigre. 3° Le genre pour l’ espèce , ou l’espèce pour le genre. Quand on dit les mort
ône, ou le Germain de l’eau du Tigre. 3° Le genre pour l’espèce, ou l’ espèce pour le genre. Quand on dit les mortels pour les
enre. Quand on dit les mortels pour les hommes, c’est le genre pour l’ espèce  ; car les animaux sont sujets à la mort comme les
quelconque, la vallée de Tempé pour désigner un beau vallon, c’est l’ espèce pour le genre. 4° Le singulier pour le pluriel e
le moins pour le plus, comme la partie pour le tout, le genre pour l’ espèce , etc. V l’antonomase. L'antonomase (du
omase (du grec ἁντί, pour, au lieu de, et ονοµα, nom) est une seconde espèce de métonymie qui consiste à employer un nom commu
e des objets insensibles. Fléchier nous offre un bel exemple de cette espèce de prosopopée dans l’oraison funèbre du duc de Mo
pointe, ou de αγειρειν, rassembler) désigne un amas de choses de même espèce . Acervus frumenti, acervus scutorum. — Congeries
s. Virg. — Vesanus est celui qui, esclave d’une passion, est dans une espèce de délire. Homo vesanus et furiosus. Cic. XIX.
onum, munus, præmium. Donum est un don pur, indépendant de toute espèce d’obligation. Dona quæ conveniunt regi, vasa aure
t, d’airain, ou de bois, ou de corne. Clangorque tubarum. V. — Cornu, espèce de trompette faite de corne. Rauco strepuerunt co
procerus, vastus. Magnus est le terme général qui désigne toute espèce de grandeur. Magnus acervus. Cic. Magnum ingenium
ræda se dit non seulement des effets enlevés à l’enemi, mais de toute espèce de butin. — Spolium désigne aussi les dépouilles
l ennemi qu’il avait tué dans le combat. Il se prend aussi pour toute espèce de dépouilles. Aliorum spoliis suas opes augere.
nis est le terme employé pour désigner tous les individus, toutes les espèces , toutes les parties d’une chose, soit qu’on les c
— Cunctus se dit de l’assemblage de tous les individus, de toutes les espèces . Cuncta civitas, cuncta familia. — Universus ajou
patina ; il servait pour les viandes rôties ou bouillies. — Patella, espèce d’assiette. — Patera (de patere) était la coupe d
ssa, pique à l’usage des Macédoniens. — Sparus (de σπείρω, spargere), espèce de dard à l’usage des gens de la campagne. — Lanc
s femmes de condition. — Peplum (de πεπλος, voile d’une fine étoffe), espèce de robe à l’usage des dames. On en ornait les sta
obe ou manteau à l’usage des Grecs, surtout des philosophes. — Sagum, espèce de saye rouge que l’on mettait sur la tunique. C'
onteux d’être frappé de cet instrument que d’être flagellé. — Ferula, espèce de plante. La tige servait d’instrument pour chât
les, afin de pouvoir en sûreté saper les murs des ennemis. — Pluteus, espèce de machine de guerre en forme de casque, faite d’
nes s’appliquaient aussi aux tours et aux remparts. — Crates, claies, espèce de treillis d’osier que l’on couvrait de terre, e
18 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Buffon, 1707-1788 » pp. 282-302
les forêts décrépites qui couvrent les terres élevées, s’étendent des espèces de landes, des savanes qui n’ont rien de commun a
rs, les fruits, les grains perfectionnés, multipliés à l’infini ; les espèces utiles d’animaux transportées, propagées, augment
tiles d’animaux transportées, propagées, augmentées sans nombre ; les espèces nuisibles réduites, confinées, reléguées ; l’or,
évorant de la guerre ne fera plus tarir la source des générations ; l’ espèce humaine, maintenant affaiblie, mutilée, moissonné
contrées les plus chaudes du nouveau monde que se trouvent toutes les espèces d’oiseaux-mouches ; elles sont assez nombreuses,
ur avaient donné les noms de rayons ou cheveux du soleil… Les petites espèces sont au-dessous de la grande mouche asile2 pour l
lieux qu’il fréquente ; on l’aime, on l’applaudit, on l’admire. Nulle espèce ne le mérite mieux : la nature en effet n’a répan
’univers, mais, avec le temps, changer, modifier et perfectionner les espèces  : c’est le plus beau droit qu’il ait sur la natur
ait sur la nature. Avoir transformé une herbe stérile en blé est une espèce de création dont cependant il ne doit pas s’enorg
19 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
endre le métier de cordonnier, nous donnerait des chaussures de toute espèce . » (Études sur Aristote, p. 196.) Aristote, au ra
tation. I. Nous allons parler et de la poétique elle-même et de ses espèces  ; dire quel est le rôle de chacune d’elles et com
à désirer, est au moins le plus tragique des poètes. VII. La seconde espèce , mise au premier rang par quelques-uns, est celle
ent va depuis l’accusation de mort jusqu’à la fin. III. Il y a quatre espèces de tragédies, c’est-à-dire un nombre égal aux par
isième est morale, comme dans les Phthiotides et Pélée ; la quatrième espèce est tout unie, par exemple : les Phorcides, Promé
e sens qu’elle désigne un seul objet. Chapitre XXI Des diverses espèces de noms. I. Les espèces de noms sont : Le nom s
seul objet. Chapitre XXI Des diverses espèces de noms. I. Les espèces de noms sont : Le nom simple ; or j’appelle « nom
a métaphore est le transfert d’un nom d’autre nature, ou du genre à l’ espèce ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’espèc
le transfert d’un nom d’autre nature, ou du genre à l’espèce ou de l’ espèce au genre, ou de l’espèce à l’espèce, ou un transf
autre nature, ou du genre à l’espèce ou de l’espèce au genre, ou de l’ espèce à l’espèce, ou un transfert par analogie. VII. J’
e, ou du genre à l’espèce ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’ espèce , ou un transfert par analogie. VII. J’appelle tra
, ou un transfert par analogie. VII. J’appelle transfert du genre à l’ espèce , par exemple : Ce mien navire resta immobile107.
En effet, être à l’ancre, pour un vaisseau, c’est être immobile. De l’ espèce au genre (par exemple) : Oui, certes, Ulysse acc
re, et c’est dans ce sens que cette expression est employée ici. De l’ espèce à l’espèce, par exemple : Ayant arraché la vie p
t dans ce sens que cette expression est employée ici. De l’espèce à l’ espèce , par exemple : Ayant arraché la vie par l’airain
die. — Nombreux mérites d’Homère. I. Il y a nécessairement autant d’ espèces d’épopée que de tragédie ; car elle est nécessair
Ménélas dans Oreste. XXIV. Ainsi donc les critiques se tirent de cinq espèces (d’idées), présentées soit comme impossibles, com
 Nous avons dit, dans les livres de la Poétique, combien il y avait d’ espèces de choses risibles. » (Rhétorique, l. III, chap. 
orte quel sujet ; et, cependant, toutes ces questions diffèrent par l’ espèce . Mais les enthymèmes particuliers sont tous ceux
ceux que l’on tire de propositions propres à chaque genre et à chaque espèce . Par exemple, il existe, sur la physique, des pro
de les principes. XXII. La plupart des enthymèmes se rapportent à des espèces particulières et individuelles ; ceux qui provien
dans les Topiques, il faut ici distinguer, parmi les enthymèmes, les espèces et les lieux qui les fournissent. Or j’appelle es
nthymèmes, les espèces et les lieux qui les fournissent. Or j’appelle espèces 205 les propositions prises pour chaque genre par
eux 206 ce qui est commun à tous indistinctement. Parlons d’abord des espèces et abordons les genres de la rhétorique ; voyons
e : le délibératif, le judiciaire, le démonstratif. I. Il y a trois espèces de rhétorique ; autant que de classes d’auditeurs
le salut du pays. Aussi est-il nécessaire de savoir combien il y a d’ espèces de gouvernements, quels sont les avantages de cha
le premier terme) est surpassé. IV. Si le plus grand (individu d’une espèce ) surpasse le plus grand individu (d’une autre esp
(individu d’une espèce) surpasse le plus grand individu (d’une autre espèce ), tell individu (de la première espèce) surpasser
us grand individu (d’une autre espèce), tell individu (de la première espèce ) surpassera tel autre (de la seconde) ; et (récip
e (de la seconde) ; et (réciproquement), si tous les individus (d’une espèce surpassent) ceux (d’une autre), le plus grand (de
grand que la plus grande femme. En effet, les différences en plus des espèces sont dans le même rapport que les plus grands ind
persuader et délibérer convenablement, c’est de connaître toutes les espèces de gouvernement et de distinguer les mœurs, les l
ions de l’autorité varient suivant la forme de gouvernement. Autant d’ espèces de gouvernement, autant d’espèces d’autorité. III
la forme de gouvernement. Autant d’espèces de gouvernement, autant d’ espèces d’autorité. III. Il y a quatre espèces de gouvern
èces de gouvernement, autant d’espèces d’autorité. III. Il y a quatre espèces de gouvernement : la démocratie, l’oligarchie, l’
car le meilleur moyen de persuader est d’observer les mœurs de chaque espèce de gouvernement, suivant le pays où l’on parle. L
t, soit au sujet ; des mœurs et des institutions propres aux diverses espèces de gouvernement ; pour quels motifs et par quels
idée de notre caractère moral ; ce qui est, on l’a vu242, la seconde espèce de preuves. En effet, nous aurons les mêmes moyen
nourriture, la soif, la faim et les désirs relatifs à telle ou telle espèce de nourriture ; ceux que provoque le goût, les dé
tre supérieur à lui-même. XXIX. Semblablement, comme le jeu et toute espèce de relâchement comptent parmi les choses agréable
njuste, communs de par la nature, que tout le monde reconnaît par une espèce de divination, lors même qu’il n’y a aucune commu
es justes, ainsi que les choses injustes, sont, on l’a vu287, de deux espèces , c’est-à-dire ce qui est écrit et ce qui ne s’écr
en sommes expliqués. Pour les choses non écrites, elles sont de deux espèces . XII. Les unes sont celles qui se produisent par
sque le cas leur a échappé ; avec, lorsqu’ils ne peuvent déterminer l’ espèce , étant forcés de généraliser ou, du moins, de bea
nviennent proprement aux affaires judiciaires. II. Elles sont de cinq espèces  : les lois, les témoins, les conventions, la tort
qu’il faut combattre sur mer304. Les proverbes sont encore comme une espèce de témoignage305. Par exemple, si l’on veut conse
s points de vue sont également à considérer. XXVI. La torture est une espèce de témoignage. Elle semble porter en elle la conv
t insignifiantes, nous ne leur supposons aucune valeur), il y a trois espèces de mépris : le dédain, la vexation et l’outrage.
ntre ceux qui ne nous payent pas de reconnaissance ; car c’est là une espèce de mépris, qui est, en même temps, l’oubli d’un d
ar c’est par indifférence que l’on oublie ; or l’indifférence est une espèce de dédain. XXVII. Contre qui se met-on en colère 
ou brave, ou vertueux, qui suscitera l’indignation (car les diverses espèces de pitié n’auront pas de raison d’être à propos d
e sont aussi382. XI. De même, si le genre tout entier est possible, l’ espèce l’est pareillement ; et si l’espèce l’est, le gen
genre tout entier est possible, l’espèce l’est pareillement ; et si l’ espèce l’est, le genre l’est aussi. Par exemple, si un n
le à l’induction ; or l’induction est un point de départ. Il y a deux espèces d’exemples : l’une consiste à relater des faits a
urement ; dans l’autre, on produit l’exemple lui-même. Cette dernière espèce est tantôt une parabole, tantôt un récit, comme l
iques ou les récits libyques. III. Il y aurait exemple de la première espèce si l’on disait qu’il faut faire des préparatifs (
st ce que nous avons dit, il s’ensuit nécessairement qu’il y a quatre espèces de sentences. Il y aura des sentences avec épilog
l. VII. On voit clairement, d’après ce qui précède, combien il y a d’ espèces de sentences, et à quel objet il convient d’en ap
pèces de sentences, et à quel objet il convient d’en appliquer chaque espèce . Sur des matières controversées ou paradoxales, l
insi donc, voilà qui est dit sur la sentence, sa nature, ses diverses espèces , ses applications et son utilité. Chapitre XXI
s chercher ; puis, après les enthymèmes, des lieux ; car ce sont deux espèces de choses différentes. II. L’enthymème est un syl
arguments qui servent à résoudre un enthymème ne sont pas d’une autre espèce que ceux qui servent à en établir ; car il est év
omme le discours est formé de noms et de verbes et qu’il y a autant d’ espèces de noms qu’on l’a exposé dans la Poétique 508, il
st-ce que signifie chacune de ces qualifications ; combien y a-t-il d’ espèces de métaphores ; quelle en est la valeur, soit en
res, mais les emprunter à des objets de la même famille et de la même espèce , de façon que, si les choses ne sont pas nommées,
Les proverbes aussi sont des métaphores par lesquelles on passe d’une espèce à une autre espèce. Ainsi, que l’on introduise ch
sont des métaphores par lesquelles on passe d’une espèce à une autre espèce . Ainsi, que l’on introduise chez soi une chose av
e des débats se prête le mieux à l’action. Cette dernière est de deux espèces  : elle est morale, elle est pathétique. Aussi les
t que délibération. La péroraison, en outre, n’appartient pas à toute espèce de discours judiciaire, à celui, par exemple, qui
onnelle ; mais alors il faut nécessairement que celui qui parle d’une espèce et d’une différence établisse autant de dénominat
mportance, il n’y a pas lieu de recourir au préambule. VIL Les autres espèces (d’exorde) mis en usage sont des expédients d’une
n. Aussi s’efforce-t-on souvent de provoquer l’hilarité. Il y a toute espèce de moyens d’instruire l’auditoire, si tel est le
Les arguments qui s’attaquent à l’adversaire ne sont pas d’une autre espèce que de celle des preuves ; destinés qu’ils sont à
la Poétique, ch. xxi. La métaphore est : 1º Le transport du genre à l’ espèce  ; 2º de l’espèce au genre ; 3º de l’espèce à une
xxi. La métaphore est : 1º Le transport du genre à l’espèce ; 2º de l’ espèce au genre ; 3º de l’espèce à une autre espèce ; 4º
Le transport du genre à l’espèce ; 2º de l’espèce au genre ; 3º de l’ espèce à une autre espèce ; 4º celui d’un terme à son co
nre à l’espèce ; 2º de l’espèce au genre ; 3º de l’espèce à une autre espèce  ; 4º celui d’un terme à son corrélatif, ce qui es
20 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
maintenant passer en revue, dans les onze articles suivants, les onze espèces de poésies fugitives que nous avons citées plus h
faut pour n’être pas fade. On peut donc dire que le madrigal est une espèce d’épigramme dont la pointe, sans satire comme san
Du rondeau 126. Qu’est-ce que le rondeau ? Le rondeau est une espèce de sonnet dont le principal caractère est la naïv
Qu’est-ce que la ballade ? La ballade, de Βαλλείν, envoyer, est une espèce de rondeau composé de trois couplets et d’un envo
, ainsi appelé à cause de la répétition qu’il renferme, est aussi une espèce de rondeau. Il se compose de huit vers de huit sy
à-dire, énigme sur un mot, ou même sur les parties de ce mot, est une espèce d’énigme qui donne à deviner, non pas une chose,
21 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
satire, l’élégie et l’ode. Nous verrons d’ailleurs que chacune de ces espèces admet, selon le cas, quelques sous-divisions. L’a
L’enseignement y est presque toujours donné par une assimilation de l’ espèce humaine aux êtres que l’on fait agir ou parler. O
qu’on y voit quelquefois des végétaux ou des êtres dépourvus de toute espèce de vie : tels sont le Chêne, le Roseau, le Pot de
u’il ne faut rien attendre de bon du peuple imitateur, et que la pire espèce des imitateurs est celle des auteurs. Comment peu
é de la chaleur du sentiment94. § 52. Satire. La satire est une espèce de poème dans lequel on attaque directement les v
aita un sujet déterminé et bien circonscrit, en y employant une seule espèce de vers. Nous n’avons malheureusement de lui que
it de joie. Elle ne peut point embrasser les sentiments de toutes les espèces et de tous les degrés réservés à l’ode, et rejett
 ; les Grecs et les Latins jugeaient tout autrement que nous de cette espèce de poésie, ou plutôt, ici comme pour l’épigramme,
ute pénétrée des malheurs qu’il s’agit de déplorer. Un poème de cette espèce , si on y met de l’esprit, sera nécessairement fro
ères Que l’Asie opposait à leurs bras indomptés. Les écarts sont une espèce de vide entre deux idées qui n’ont point de liais
sser au sentiment opposé110. § 57. Formes de l’ode et ses diverses espèces . La forme de l’ode est différente suivant le g
e nom générique, et les autres qu’on nomme cantates. Dans la première espèce , l’assortiment et le nombre des vers est à peu pr
22 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
gouvé, etc., c’est autre chose encore. La périphrase est pour eux une espèce d’énigme proposée au lecteur. Ils ont l’air de lu
t appuyer énergiquement sur cette preuve. Il y a d’ailleurs plusieurs espèces de pléonasme, et l’on a dû le pressentir d’après
nt ou qui lui semblent inutiles. Mais dès que l’on distingue ces deux espèces , la rhétorique doit employer, pour les exprimer,
ont, dans le fait, de vrais pléonasmes que l’on peut analyser, ou des espèces d’interjections, communes à toutes les langues. C
arration familière. Ecoutez le commencement d’un petit récit de cette espèce  : Un jour un trafiquant persan, s’en allant en co
r. —  Votre fer, il n’est plus… Plusieurs appellent dialogisme cette espèce d’ellipse qui supprime dans le courant ou même dè
23 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
e au combat. C’est l’éloquence d’inspiration. Tantôt repoussant toute espèce d’artifice, sans autre parure que sa propre force
gent qu’autant qu’il est possible l’orateur ne soit étranger à aucune espèce de connaissances : il aurait besoin, disent-ils,
t parlé et qui fournissent tous les moyens qui se rapportent à chaque espèce de discours. Tout cela, qu’on le nomme art, obser
une d’elles ; il forme par ce moyen des tableaux oratoires. Diverses espèces de panégyriques. Nous connaissons parmi nous le
ndaire, qui ne constituent pas le point principal de la cause2. Deux espèces de questions. L’état de la cause comprend les qu
des preuves qui se rattachent à chacune de ces deux questions. Deux espèces de preuves selon les anciens. Les anciens distin
e des choses. Preuves non artificielles. Les preuves de la première espèce sont appelées non artificielles, ἀτεϰνους, parce
s qui ne soit fourni par la cause. Nouvelle dénomination de ces deux espèces de preuves. Un magistrat de nos jours, aussi dis
 ; pourquoi elles peuvent tomber en discussion. Les preuves de cette espèce portent avec elles, à la vérité, la manifestation
t des exemples qui ont plus ou moins de poids selon la similitude des espèces , la dignité et la renommée des juges qui les ont
, de la définition et de la destination de la chose, du genre ou de l’ espèce , de ce qui lui est propre ou étranger, de ce qui
tude préliminaire recommandée par Quintilien a son utilité, ou aucune espèce d’étude élémentaire n’est utile. Sans ralentir la
indices probables, signa non necessaria. (Quint.) Il y en a de deux espèces . Un signe ne peut être certain que lorsqu’il est
auvaise foi. Justesse de raisonnement nécessaire aux écrits de toute espèce . La justesse du raisonnement peut seule donner d
es, etc… 2° De l’induction et de l’exemple. On distingue deux espèces d’inductions1 : Première espèce d’induction. La
de l’exemple. On distingue deux espèces d’inductions1 : Première espèce d’induction. La première est une conséquence tir
d’en indiquer les conclusions par la différence des caractères. Cette espèce d’induction n’est bonne qu’autant que les raisons
art. Ier. § III, des preuves indirectes ou par l’analogie. Deuxième espèce d’induction. La 2e. espèce d’induction consiste
s indirectes ou par l’analogie. Deuxième espèce d’induction. La 2e. espèce d’induction consiste à tirer une conséquence géné
onfondent l’exemple avec l’induction ; et il faut avouer que ces deux espèces d’argumens se ressemblent beaucoup. Cependant nou
singulier, et l’induction de plusieurs singuliers au général. Trois espèces d’exemple. Ce genre de raisonnement se subdivise
spèces d’exemple. Ce genre de raisonnement se subdivise en plusieurs espèces  ; car on peut, d’après un exemple cité, conclure,
xprime d’une manière bien éloquente, lorsque, par un exemple de cette espèce , il met en opposition la sécurité du vertueux Sés
ment les plus connues, sans prétendre épuiser la matière ; car chaque espèce de rapport peut fournir une espèce de preuve, et
re épuiser la matière ; car chaque espèce de rapport peut fournir une espèce de preuve, et chaque espèce de preuve peut nous d
chaque espèce de rapport peut fournir une espèce de preuve, et chaque espèce de preuve peut nous donner autant de sortes d’arg
ls particuliers : par exemple, expliquer le genre avant de passer aux espèces et aux individus. Différence qu’il y a entre l’u
les faux raisonnemens, les vaines ergoteries, les sophismes de toute espèce , naissent ordinairement des vices ou de l’omissio
§ III. Moyens que l’orateur trouve dans son propre fonds. Deux espèces de moyens de plaire dans l’orateur. Deux sortes
ce partout où il s’agit de l’opinion : il peut trouver place en toute espèce de cause. Ses effets. « Nul doute, dit Cicéron
ignation et de fureur contre les meurtriers. Il faut réunir ces deux espèces de pathétique. Le pathétique direct, pour frappe
a plusieurs sortes d’exorde. Selon le sujet, Cicéron distingue deux espèces d’exorde : le début simple et l’insinuation. Exo
auvais choix de sujet, pour ôter à un discours comme à un drame toute espèce d’intérêt, et pour égarer et entraîner à une chut
emière, parce qu’il est plus aisé de s’étendre sur le genre que sur l’ espèce  ; la seconde, parce que ce qui a été une fois éta
u’on a imaginé. On peut le faire encore lorsque la cause est de telle espèce que les objections que nous nous faisons, sont le
uestion. Un exemple très-simple fera sentir quel est le vice de cette espèce de sophisme. S’il s’agit de prouver la justice de
s, n’en est pas moins véritable. Celui-là ferait un sophisme de cette espèce , qui, pour prouver que l’homme ne saurait être he
le change. 2°. L’ambiguïté des mots. Port-Royal comprend dans cette espèce de sophisme les argumens qui sont vicieux, parce
e n’a pas comptés. Les comparaisons, les images, les figures de toute espèce , la pompe de l’élocution, l’air de sentence et de
urâ ducimur ad modos. (Quint.) Pour introduire dans les langues cette espèce de concert, il n’a fallu que consulter la nature,
servé souvent dans nos théâtres qui sont remplis d’auditeurs de toute espèce , ignorans et grossiers ; j’ai vu qu’il y a en nou
pompeuses et magnifiques, coupées et brusques selon le besoin. Cette espèce d’harmonie ajoute beaucoup au sens des mots. « 
ée. Il faut éviter l’affectation à ce sujet. Cicéron proscrit toute espèce de recherche et d’affectation à ce sujet : « Cett
té, où tout frappe, où tout brille ; un tel discours cause plutôt une espèce d’éblouissement qu’une véritable admiration. Il l
entir ; puis examiner la nature du sujet qu’on veut traiter, à quelle espèce d’éloquence il appartient, ensuite quels en sont
tion pressante, aux mouvemens passionnés. L’un ou l’autre de ces deux espèces de style doit donc dominer suivant le genre et le
le fondement de la religion. » (Bossuet.) Ici du peuple détermine l’ espèce d’histoire, et de Dieu détermine l’espèce de peup
Ici du peuple détermine l’espèce d’histoire, et de Dieu détermine l’ espèce de peuple. Ces deux mots étant suffisamment déter
nt traité de l’art d’écrire par Condillac. Unité. 2°. Si dans toute espèce de composition, il faut, comme nous l’avons déjà
employées dans des sujets qui n’exigent aucune pompe. Mais il est une espèce de gradation à laquelle il ne faut jamais manquer
l. IX, c. 4.) Des intervalles à peu près égaux forment entre eux une espèce de proportion musicale ; comme dans cette phrase 
e borne à présenter la pensée toute nue : les figures lui donnent une espèce de vêtement qui la pare, la rend plus sensible et
figuré. Le sens figuré est celui auquel on transporte le mot par une espèce de comparaison. Exemples. Par exemple, le mot c
s vainqueurs. Syncodoque. La synecdoque emploie 1°. le genre pour l’ espèce , ou l’espèce pour le genre. Exemples : Seigneur,
Syncodoque. La synecdoque emploie 1°. le genre pour l’espèce, ou l’ espèce pour le genre. Exemples : Seigneur, dans ta gloi
x la Grèce, pour exprimer toutes sortes de belles campagnes ; c’est l’ espèce pour le genre. 2°. Un nombre pour un autre ; comm
re, la figure, le port, le maintien d’une personne. Lorsque c’est une espèce d’hommes que l’on peint, comme l’avare, le jaloux
la duchesse d’Orléans.) Épiphonème. Les rhéteurs ont distingué une espèce particulière d’exclamation dont ils font une figu
mire ces enfans dont il n’est pas le père. (Trad. de Delille.) Cette espèce de prosopopée ajoute de la beauté et de la vivaci
elle fait parler ces objets ou des personnes absentes. Une troisième espèce de prosopopée consiste à faire parler les présens
ets où l’âme ne s’émeut pas, sont des mouvemens contre nature, et des espèces de convulsions. » Et au contraire, lorsque la mat
e essentiellement la poésie, c’est le rhythme, l’harmonie ; c’est une espèce de chant qui anime et soutient l’essor du poëte,
 ; mais l’auteur n’y emploie pas les licences, le ton exalté et cette espèce de désordre qui sont les fruits du rhythme et les
e pensées, de mots, de tours de phrase, d’images, de figures de toute espèce  ; la facilité de définir les choses, et d’en expl
improvisation. Il n’admet pas la possibilité d’un discours qu’aucune espèce de préparation n’aurait précédé. Il suppose que l
e a deux parties, la voix et le geste. Cicéron appelle l’action une espèce d’éloquence du corps, qui se compose de la voix e
ue lui avec le seul secours du geste. On n’est point surpris de cette espèce de prodige, si on examine de près, combien les mo
sans la moindre expression de son geste, n’a l’air de prendre aucune espèce d’intérêt aux affaires qu’il discute, et se place
ut embellir les faits. Marche propre à ce genre de discours. Diverses espèces de panégyriques. Panégyrique des saints. Oraison
cation, l’état de translation, etc… Il subdivise ensuite ces diverses espèces d’état en d’autres qui ont moins d’étendue. Mais
u procès, c’est-à-dire, l’état de la cause. » (L. III, c. II.) Deux espèces de questions. Question de fait. Question de droit
Deux espèces de questions. Question de fait. Question de droit. Deux espèces de preuves selon les anciens. Preuves non artific
tificielles. Preuves artificielles. Nouvelle dénomination de ces deux espèces de preuves. 1. M. Delamalle, conseiller d’état,
une attention particulière. Définition des indices. Il y en a de deux espèces . Principe qui doit nous diriger dans cette sorte
t la logique. Justesse de raisonnement nécessaire aux écrits de toute espèce . Notre âme a deux facultés principales. Entendeme
e verbe εἴδω, veut dire je vois, je sais. De là εἴδεα ou ἰδέα, forme, espèce , image, idée. Définition du jugement. 1. Le mot
sme conditionnel. 1. Virgile nous fournit deux raisonnemens de cette espèce remarquables par leur énergie ; l’un est dans le
et qu’on recueille plusieurs parties pour en faire un tout. Première espèce d’induction. 1. Eschine, dans le discours où il
de Cannes. Quœ tamen nunc quoque, etc. (Ibid., l. XXIII.) Deuxième espèce d’induction. 1. Le discours de Canuléius renferm
raison n’est quelquefois qu’un ornement de style ; mais il y en a une espèce qui sert de preuve, et c’est de celle-ci que nous
de preuve, et c’est de celle-ci que nous parlons présentement. Trois espèces d’exemple. A pari. 1. Fabius opine pour qu’on r
agit. in vitâ Agricol.) Cicéron, offre beaucoup d’exemples des trois espèces . Voyez Pro Milone, n°. 7, 74 et 83 : In verrem de
ens qu’on peut produire à découvert. Moyens qu’il faut deguiser. Deux espèces de moyens de plaire dans l’orateur. Facultés phys
athétique indirect a plus de force. Exemples. Il faut réunir ces deux espèces de pathétique. Les modernes font moins usage du p
riche. (2). L’Ile de la Conférence. Exemples tirés de Bossuet. Cette espèce d’harmonie ajoute beaucoup au sens des mots. Les
premier coup d’œil, semble n’avoir avec les émotions de l’âme aucune espèce d’analogie. Mais le contraire est assez prouvé pa
24 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
genre judiciaire. Mais chacun de ces genres a sous lui une infinité d' espèces . Le genre démonstratif a pour objet la louange ou
ur n'est pas le partage des méchants. 8° L'argument personnel est une espèce d'enthymème qui renverse, par les propres faits d
sèques sont : la définition, l'énumération des parties, le genre et l' espèce , la comparaison, les contraires, les choses qui r
est défini. (Voyez, dans la Grammaire, la définition des différentes espèces de mots.) 2° L'énumération des parties est un dén
e Est le plus riche don qu'il ait fait aux humains. 3° Le genre et l' espèce constituent un argument qui prouve que ce qui est
argument qui prouve que ce qui est vrai du genre est vrai aussi de l' espèce , et réciproquement. Exemple : Il faut aimer la mo
s titres sont du domaine de la jurisprudence. Observez qu'il y a deux espèces de droits ou lois : le droit naturel, qui est écr
ment, tous les sophismes ou arguments captieux. La péroraison est une espèce d'analyse du discours ; elle renferme le résumé d
ées naïves ont une ingénuité qui éloigne la défiance ou qui cause une espèce de surprise : Pour charmer l'ennui de la route,
font, à nous, les discours de l'envie ? Le pléonasme donne lieu à une espèce de comique dont le poëme dramatique fait souvent
ion des parties ? Que prouve l'argument que constituent le genre et l' espèce  ? Qu'est ce que la comparaison ? En quoi consiste
s caractères principaux de l'élocution ? Quelles sont les différentes espèces de pensées ? Où sont puisées les pensées naturell
se rendre plus simplement. Remarques sur le style des différentes espèces de lettres. Dans les lettres d'affaires, il fa
chés à des préjugés ou à des devoirs. L'opéra. L'opéra est une espèce de poëme mis en action. Il emprunte, pour charmer
à la musique, il est de toute nécessité que les personnages de cette espèce de drame expriment leurs peines et meurent en cha
irs quand la toile tombe. Le vaudeville. Le vaudeville est une espèce de comédie en prose mêlée de couplets ; il tient
25 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. On réduit ordinairement
la division de ces trois genres, pour faire connaître les différentes espèces de discours, que chacun d’eux peut renfermer. Je
r, et faire voir ce qu’il est et ce qu’il doit être. Il y a plusieurs espèces de discours sacrés : ce sont les sermons, les pan
, etc. Il suffira que je fasse connaître ici ceux des trois premières espèces . I. Du Sermon. L’objet de l’orateur, dans le
les soldats romains, pour être incorporés dans la milice, fusent une espèce d’abjuration et de père et de mère, entre les mai
es Tribunaux de la justice, peuvent servir de matière aux différentes espèces de discours du barreau, qu’on réduit ordinairemen
t nullement permis d’exciter celle des autres. Il y a quelques autres espèces de discours, qui font partie de l’éloquence du ba
ien public. Les trois genres d’éloquence entrent dans ces différentes espèces de discours. L’orateur doit y être tour à tour si
s dignes de vous obéir. Vous les avez conquis aux sciences ; et cette espèce de conquête, aussi utile pour eux, que glorieuse
démie française le récipiendaire et le directeur, sont de la première espèce . Ces orateurs n’entrent dans aucun détail sur la
tions sur l’établissement des lois, il faut connaître les différentes espèces de gouvernement, et ce que leur constitution a de
er les troupes. Il y a d’autres discours qui sont du ressort d’une espèce d’éloquence qu’on peut appeler militaire, et qui
26 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
mmuns ou généraux étaient pris dans la différence entre le genre et l’ espèce , entre la cause et l’effet, l’antécédent et le co
’en viens à ce qui est d’une utilité bien plus réelle, j’en viens à l’ espèce de secours que l’art peut présenter à l’orateur,
aux pauses que l’orateur doit donner son attention. Il y en a de deux espèces , les pauses expressives, et celles qui servent à
bligé de s’arrêter à contresens. Se former, en parlant en public, une espèce de récitatif qui exige d’autres repos que ceux in
léger repos, mais en même temps se bien garder de leur appliquer une espèce de récitatif uniforme, ce qu’on appelle ordinaire
sser ni baisser la voix, et surtout sans interrompre le sens. L’autre espèce de pause particulière à la poésie est celle qui t
urs, a donné au débit en général, et surtout à celui des sermons, une espèce de chant si fatigant et si monotone. On s’est éca
ans la moindre expression dans son geste, n’a l’air de prendre aucune espèce d’intérêt aux affaires qu’il discute, et se place
uterai encore que pour débiter avec succès il faut se garder de cette espèce de trouble et d’agitation qui s’empare de l’orate
rticle sans recommander encore de bien se tenir en garde contre toute espèce d’affectation, car rien n’est plus nuisible au dé
y seraient déplacées dans la bouche d’un orateur ! peut-être quelques espèces de discours, comme ceux de la chaire, que l’on pe
en prose. Je crois en avoir dit assez sur les harangues et les autres espèces de discours. Les autres genres de compositions qu
de, la noblesse et la gravité. Je n’ai jusqu’à présent parlé que de l’ espèce d’unité qui appartient à ce genre de composition,
d’hui des dialogues de ce genre semblent n’avoir aucune idée de cette espèce de composition ; et, à cela près que, comme dans
des compositions poétiques. Avant de passer en revue les différentes espèces d’écrits en vers, je me propose de faire de cette
à peine les distinguer de la prose ; et, d’un autre côté, il y a une espèce de prose si mesurée, si cadencée, et d’un ton si
ngés avec plus d’art que dans la prose, ont un ton particulier et une espèce de mélodie. L’inversion, ou la liberté des transp
iers de leurs compositions poétiques, et qu’ils en distinguaient deux espèces , l’une qu’ils comparaient à des perles détachées,
t le dernier un spondée15. La poésie anglaise ne pouvait admettre ces espèces de pieds, parce qu’à cet égard, le génie de notre
nte dans la poésie anglaise ; la seule distinction sensible est cette espèce de renforcement de la voix avec lequel nous prono
de la césure, qui toujours tombe à peu près au milieu du vers. Cette espèce de pause, commandée par la mélodie, se trouve dan
tacher le lecteur, si l’on mêlait aux descriptions que comporte cette espèce de poésie un plus grand nombre de récits, auxquel
; ce sont six pastorales dont le but est de tourner en ridicule cette espèce de simplicité que vantaient si fort Philips et se
tation dans les sentiments ; quoiqu’elle ne soit pas exempte de cette espèce de raffinement ou de recherche qui caractérise es
ent. Cette distinction, dans l’origine, n’était particulière à aucune espèce de poésie ; car, ainsi que je l’ai fait observer
e ne sont pas les sujets qu’on y traite qui le distinguent des autres espèces de poèmes, car ces sujets sont infiniment variés,
berté accordée au poète, liberté que ne lui permettrait pas une autre espèce de poésie. De là cette négligence des règles, ces
ferme une classe d’ouvrages fort nombreuse. Le principal but de toute espèce de poésie, et même de toute espèce de composition
mbreuse. Le principal but de toute espèce de poésie, et même de toute espèce de composition littéraire, est de produire sur l’
elques réflexions sur la vie ou le caractère de l’homme. Ces diverses espèces d’ouvrages se rangent sous la dénomination de poé
ar écrit les pensées que lui suggère telle ou telle matière. Dans ces espèces de poésies didactiques, il importe d’observer rig
ue ou une tragédie ; cependant aucun poète ne l’a surpassé dans cette espèce de poésie qui, sans s’élever trop haut, se soutie
rière au génie. Par poésie descriptive, je ne veux point désigner une espèce ou une forme particulière de composition, parce q
ent puiser leur sublime apprêté. Ces épithètes donnent au langage une espèce d’emphase qui le fait sortir du ton de la prose o
cette partie des livres sacrés fut écrite en vers, ou du moins en une espèce de prose soumise à une cadence déterminée. La pro
n’indiquent qu’un seul point de ressemblance, et n’en font jamais des espèces d’épisodes. À cet égard, ils ont peut-être un ava
gne. Les écrits des prophètes sont remplis de paraboles, qui sont des espèces d’allégories ; et si quelquefois elles nous parai
Lecture XLII. De la poésie épique. Il nous reste à parler de deux espèces de poésie du genre le plus élevé, la poésie épiqu
la plus riche et la plus haute poésie. Il n’est aucun sujet de cette espèce qui n’emporte naturellement avec lui quelque inst
caractères sensibles et invariables qui nous aident à rapprocher les espèces analogues ; mais il est absurde de vouloir mettre
nt et s’accumulent par degrés ; il nous laisse quelque temps dans une espèce d’hésitation et d’anxiété ; enfin la route est pr
de vertueux. Les caractères particuliers ont pour base telle ou telle espèce de sagesse, de bravoure ou de vertu ; ils font vo
s humains, il n’en a pas moins rempli les règles principales de cette espèce de composition, et ne méritera pas moins d’être r
sacré les événements, la tradition les avait enveloppés déjà de cette espèce d’obscurité si favorable à la poésie, et qui perm
ue. Le sujet et les incidents sont pleins de grandeur ; à travers une espèce de désordre, on reconnaît une verve éminemment po
ux d’Homère. Il est vrai qu’à la fin de l’ouvrage, l’auteur donne une espèce de correctif à sa mythologie ; mais ce correctif
cipal. Ce principe, fondé sur l’évidence, exclut de la tragédie toute espèce de merveilleux ; il en exclut même l’intervention
des représentations théâtrales, elle ne consista longtemps qu’en une espèce d’ode ou d’hymne que l’on chantait ordinairement
qu’elle a éprouvé. Cependant ce n’est, la plupart du temps, que cette espèce de description secondaire que nous donnent les po
es modulations particulières, susceptibles d’être notées. C’était une espèce de récitatif soutenu par des instruments. Le même
rnaturels. Ses sorciers, ses fantômes, ses fées, ses esprits de toute espèce sont environnés d’un mystérieux si extraordinaire
agédies ni des comédies, mais bien des compositions dramatiques d’une espèce toute particulière, dans lesquelles l’auteur n’av
urs de la Grèce par le nom de comœdia palliata. On peut admettre deux espèces différentes de comédies. Dans l’une, c’est l’intr
dialogue est toujours décent, et il possède au plus haut degré cette espèce de talent, toujours si sûr de plaire, celui de pe
storiques, et tirées des annales de sa patrie. Ce sont en général des espèces de tragi-comédies, où l’on trouve un mélange biza
s dans la société, vieillit beaucoup plus promptement qu’aucune autre espèce de composition, et perd bientôt tout son charme e
onnêtes et vertueuses ; et d’ailleurs il n’y en a presque que de deux espèces qui figurent dans leurs pièces, des femmes totale
s l’objet de ses plus cuisants remords, c’est qu’il avait perdu toute espèce de sentiment vertueux. » (Vol. i, p. 57.) Je me t
amais prétendu fixer, d’une manière invariable, les limites de chaque espèce de composition. Assurément il n’est pas nécessair
avec une austérité triste, une âpreté sauvage et dédaigneuse de toute espèce d’élégance ; tantôt avec un soin industrieux de p
fait qu’on est convenu de s’entendre lorsqu’on dirait, en parlant des espèces collectivement prises, l’homme, le cheval, le lio
e lecteur, nous allons la rapporter ici. « Pour donner une idée de l’ espèce d’éloquence employée par les prédicateurs françai
’eût été que bizarre et non intéressante, il imagina un poème épique, espèce d’ouvrage dans lequel les hommes sont convenus d’
ntinue-t-il, quelques efforts qu’on ait faits pour faire tomber cette espèce de drame, vraiment terrible et tragique, on n’a p
genre de merveilleux aussi dégoûtant ? Ce n’est certainement pas là l’ espèce de perfectionnement que l’art dramatique réclame
ique, et qui a seul approché Molière de près, nous n’avons eu que des espèces de monstres. Des auteurs qui étaient incapables d
encore le même après cinquante ans ; mais son mérite est toujours une espèce de problème, et j’oserai dire d’abord qu’il ne de
onciation des vers rendait sensibles. S’il en avait été ainsi, chaque espèce de vers aurait eu un ordre de pieds particulier.
ticulier. Mais les règles de la prosodie nous apprennent que quelques espèces de vers pouvaient être indifféremment mesurées pa
vait employer diverses sortes de pieds, il fallait bien que les mêmes espèces de vers fussent susceptibles d’être scandées de d
ndées pour mesurer le vers hexamètre, parce qu’il sembla que ces deux espèces de pieds lui convenaient mieux ; mais, à la lectu
27 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
abus le font redouter des personnes de goût. On appelle mélodrame une espèce de drame mêlé de chant, qui sert d’intermédiaire
la magie, le monde des chimères et des merveilles : de là une foule d’ espèces d’opéras que nous n’essayerons pas de classer. On
dividualités morales, animées par le souffle du génie. 4° Diverses espèces de comique. On distingue généralement trois es
4° Diverses espèces de comique. On distingue généralement trois espèces de comique ; le haut comique, ou le comique noble
r. Boileau. Art poét. La combinaison de l’action varie suivant les espèces de comédie : elle est simple dans les pièces de m
quatrième acte que Molière porte ses grands coups. 6° Différentes espèces de comédies. La comédie emploie différents moy
ies. La comédie emploie différents moyens pour amuser ; de là deux espèces de comédies : la comédie de mœurs et la comédie d
28 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
pitre II. Des qualités du style 111. Combien le style a-t-il d’ espèces de qualités ? Nous venons d’étudier le style dan
tes qualités qui lui sont assignées par les rhéteurs. Le style a deux espèces de qualités : les qualités générales et les quali
nvariables et essentielles, et qui conviennent par conséquent à toute espèce de composition. Les qualités particulières varien
ure de l’ouvrage ou la différence du genre. Nous examinerons ces deux espèces de qualités dans les deux articles suivants, et n
ou des différents genres. 134. Combien compte-t-on généralement d’ espèces de style ? Nous venons de passer en revue les qu
re, on peut dire aussi, avec tous les rhéteurs, qu’il n’y a que trois espèces générales de style : le style simple, le style te
e monde sait par cœur, sont des chefs-d’œuvre de naïveté. — Une autre espèce de naïveté, qu’on nommerait mieux ingénuité, est
ces genres ne se trouve ordinairement seul dans un ouvrage. Ces trois espèces de style se touchent, et les meilleures compositi
29 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
e pourtant que le reste puisse être aisément deviné. Le sens de cette espèce de pensées n’est ni bien visible, ni bien marqué.
eur ou l’Auditeur de voir le sens terminé. Voici une période de cette espèce , tirée de la réponse de Buffon, au discours de La
Il y a deux sortes de figures de mots. Dans celles de la première espèce , les mots conservent leur signification propre :
ont sa vanité et sa folie. » Conversion. La Conversion est une espèce de répétition, qui termine les divers membres d’u
une qui est empruntée. Cependant on appelle métaphore seulement, une espèce de trope, par lequel on transporte un mot de sa s
eçons, pour sa doctrine même. Synecdoque. La Synecdoque est une espèce de métonymie : elle fait concevoir à l’esprit plu
a Seine ab des Bourbons, le Tibre ac des Césars. 2°. Le genre pour l’ espèce  ; comme lorsque par le mot mortels, on entend seu
hommes, quoique tous les êtres animés soient sujets à la mort : ou l’ espèce pour le genre ; comme lorsque les poètes Grecs et
in sur ces monts terribles Vomit le fer et la mort. Il y a une autre espèce de Synecdoque, par laquelle on prend un nom propr
de pensées, il y a un si grand rapport entre elles et les différentes espèces de style, que je crois devoir en parler conjointe
30 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
, mais ils ne forment qu’un tout. Qu’il s’agisse d’un individu, d’une espèce , d’un genre quelconque, la synecdoque suppose l’e
bre indéterminé de fois106. Souvent le genre est employé au lieu de l’ espèce , et l’espèce au lieu du genre : dans la Fontaine,
né de fois106. Souvent le genre est employé au lieu de l’espèce, et l’ espèce au lieu du genre : dans la Fontaine, le quadrupèd
pittoresque, moins métaphorique. Tout cela n’est que le genre pour l’ espèce , l’espèce pour le genre, une fraction pour une au
ue, moins métaphorique. Tout cela n’est que le genre pour l’espèce, l’ espèce pour le genre, une fraction pour une autre, dans
31 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
l veut parler de la mort, mais il n’ose prononcer le mot fatal. Cette espèce d’obscurité, loin d’être un défaut, est une beaut
la richesse, consiste à dire froidement les choses et à bannir toute espèce d’ornements. En ce cas, on ne cherche à flatter n
Un ouvrage qui serait partout brillant et fleuri causerait plutôt une espèce d’éblouissement qu’une véritable admiration. Il e
ynecdoque. L’allégorie, la catachrèse et l’antonomase ne sont que des espèces particulières de métaphore, et la synecdoque ress
e l’idée nouvelle avec les couleurs de son premier objet et forme une espèce de tableau. On demandait à Agésilas pourquoi Lacé
’Espérance. 177. La catachrèse (κατὰ, contre, χρᾔσις, usage) est une espèce de métaphore hardie et forcée à laquelle on a rec
n. 180. La synecdoque (σὺν, avec, ἐκδοχὴ, action de recevoir) est une espèce de métonymie qui met le plus pour le moins ou le
streint la signification ou compréhension des mots. 1º Elle emploie l’ espèce pour le genre ou le genre pour l’espèce : Seigne
n des mots. 1º Elle emploie l’espèce pour le genre ou le genre pour l’ espèce  : Seigneur, dans ta gloire adorable Quel mortel
propres et des noms communs. Quant à la synecdoque, elle n’est qu’une espèce de métonymie qui augmente ou diminue la significa
eille.) 198. La sentence prend le nom d’épiphonème quand elle est une espèce d’exclamation qui sert de conclusion à un récit o
dans l’heureux accord des sons que l’on emploie, et convient à toute espèce de composition. Quelque sujet que l’on traite, il
ous ne parlerons point ici de l’analyse grammaticale, qui détermine l’ espèce et la valeur de chaque mot d’une phrase ; de l’an
t qu’elles sont pour ainsi dire fondues dans le récit. Différentes espèces de narration. 314. Comme on peut raconter ou d
et véritables ou des événements feints et supposés, on distingue deux espèces de narration : la narration historique et la narr
ement lui-même, les traits extérieurs, le caractère. Il y a donc cinq espèces principales de descriptions : la chronographie, l
s règles sur les qualités du style épistolaire et sur les principales espèces de lettres. Qualités du style épistolaire. 3
livres spéciaux contiennent des règles à ce sujet. Des différentes espèces de lettres. 350. Il est impossible de compter
350. Il est impossible de compter exactement toutes les différentes espèces de lettres qu’on peut avoir à écrire, puisque la
on les compte. 392. D’après le nombre des syllabes, on distingue dix espèces de vers, savoir : des vers de une, deux, trois, q
la hardiesse des débuts, les écarts et les digressions produisent une espèce de désordre ; mais, sous ce désordre apparent, do
em… Cælo tonantem, et plusieurs autres. Article deuxième. Diverses espèces d’odes. 428. On distingue cinq espèces d’odes,
Article deuxième. Diverses espèces d’odes. 428. On distingue cinq espèces d’odes, l’ode sacrée, l’ode héroïque, l’ode moral
quelquefois le nom de romance. Cantate. 443. La cantate est une espèce d’ode faite pour être mise en musique. On disting
e dire un mot de chacun de ces poèmes. 480. Le poème héroïque est une espèce d’épopée imparfaite, sans fictions ni merveilleux
n général, et nous indiquerons ensuite les conditions qu’exige chaque espèce de drame. Article premier. Du drame en général.
: ou le vaisseau fait naufrage, ou il arrive au port, voilà la double espèce de dénouement. 500. Toute action dramatique se co
oïque, sérieuse, ou bien commune, bourgeoise et enjouée. De là, trois espèces principales dans le drame : le genre tragique, le
comique. 518. Dans le genre comique nous pouvons distinguer quatre espèces particulières de comédies : la comédie proprement
ité qui va jusqu’à la misanthropie. 523. Il y a, dit Marmontel, trois espèces de comique : le comique noble, qui peint les mœur
avantes. La comédie mixte est celle où se combinent ensemble les deux espèces dont nous venons de parler. Les situations amènen
sion d’un sentiment ou d’une passion modérée. 564. On distingue trois espèces d’églogues, l’épique ou narrative, dans laquelle
eulement de l’ode en ce que celle-ci embrasse les sentiments de toute espèce et de tout degré, tandis que l’élégie est consacr
, la manière dont il convient de distribuer le temps, les différentes espèces de culture, la description de la sphère, l’exposé
? 134. Qu’est-ce que la convenance du style ? 135. Combien y a-t-il d’ espèces différentes de style ? 136. Les bons écrivains ne
ui forment l’agrément de la narration ? 314. Combien distingue-t-on d’ espèces de narrations ? 315. Qu’est-ce que la narration h
u’exige la convenance dans la lettre ? 350. Combien peut-on compter d’ espèces de lettres ? 351. Quel doit être le caractère des
91. Qu’est-ce que la mesure d’un vers ? 392. Combien distingue-t-on d’ espèces de vers ? 393. Qu’est-ce que l’élision, et dans q
l’enjambement ? 399. Qu’est-ce que la rime, et combien y en a-t-il d’ espèces  ? 400. Quelles sont les qualités de la rime ? 401
unité doit-elle se trouver dans l’ode ? 428. Combien distingue-t-on d’ espèces d’odes ? 429. Qu’est-ce que l’ode sacrée ? 430. O
tragiques chez les différents peuples ? 518. Combien distingue-t-on d’ espèces de comédies ? 519. Qu’est-ce que la comédie propr
églogue et l’idylle chez les modernes ? 504. Combien distingue-t-on d’ espèces d’églogues ? 665. Quelles qualités doivent avoir
32 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre III. — Ornements du Style, qui consistent dans les Mots ou Figures »
ont faites ; Le salpêtre, pour la poudre à canon. 4° Le genre pour l’ espèce (l’espèce est la subdivision du genre), comme :
 ; Le salpêtre, pour la poudre à canon. 4° Le genre pour l’espèce (l’ espèce est la subdivision du genre), comme : Les mortel
s, pour les hommes ; La créature, pour l’homme ; L’animal, pour une espèce particulière d’animaux ; L’insecte, pour une esp
animal, pour une espèce particulière d’animaux ; L’insecte, pour une espèce particulière d’insectes, etc. 5° L’abstrait pour
ense et de ce que l’on veut faire penser aux autres. Il y a plusieurs espèces d’ironies : 1° L’une badine et enjouée, qui raill
fine et pleine de sens était Parme habituelle de Socrate. 2° L’autre espèce d’ironie prend le langage de la gaieté et raille
sort est rempli. Racine, Andromaque, scène dernière. 4° Il y a une espèce d’ironie brève, mordante et envenimée, qui assais
adation, la périphrase, l’interrogation, la description et ses quatre espèces , la correction, la concession, la communication,
res, qui immortaliseront sa vanité et sa folie. Il existe encore une espèce de répétition qui donne beaucoup de précision et
mament, et qui sont autant de soleils immenses, attachés chacun à une espèce de monde nouveau qu’ils éclairent ? Quel est l’ou
ansporte Bien loin de la forêt, et des chiens, et du cor. Il y a une espèce de dubitation qui n’exprime pas l’irrésolution de
33 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
me. § VI. Des figures de mots. Les figures de mots sont de deux espèces  : 1) celles où les mots conservent leur véritable
ie tour ou changement. Les principales figures de mots de la première espèce sont : l’ellipse, le pléonasme, la syllepse, l’in
ers suivant : Ce grand roi roule ici ses pas majestueux. Il y a une espèce de périphrase que l’on nomme euphémisme, et qui a
s paraboles. L’écriture hiéroglyphique des Égyptiens, était aussi une espèce d’allégorie. 3° Catachrèse. Le mot catachrè
Catachrèse. Le mot catachrèse signifie abus, extension. C’est une espèce de métaphore par laquelle on supplée à un mot qui
ns ; regagner son toit, son foyer, pour sa maison. 2° Le genre pour l’ espèce , et l’espèce pour le genre : Si l’on dit les mort
son toit, son foyer, pour sa maison. 2° Le genre pour l’espèce, et l’ espèce pour le genre : Si l’on dit les mortels pour les
: Si l’on dit les mortels pour les hommes, on emploie le genre pour l’ espèce  ; car tous les animaux sont sujets à la mort. Si
mort. Si l’on dit la saison des roses pour le printemps, on emploie l’ espèce rose pour le genre, c’est-à-dire, les fleurs. 3°
34 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184
lieux qu’il fréquente ; on l’aime, on l’applaudit, on l’admire. Nulle espèce ne le mérite mieux ; la nature en effet n’a répan
’univers, mais, avec le temps, changer, modifier et perfectionner les espèces  : c’est le plus beau droit qu’il ait sur la natur
ait sur la nature. Avoir transformé une herbe stérile en blé est une espèce de création dont cependant il ne doit pas s’enorg
e Buffon ne fait pas ici un portrait, mais idéalise le type même de l’ espèce humaine ? Il trace une sorte d’exemplaire divin.
35 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre premier. Objet du genre judiciaire. »
et vrai. C’est donc à l’entendement que s’adresse spécialement cette espèce d’éloquence. Ici l’orateur a affaire à un petit n
lus nombreux que dans nos tribunaux modernes, et qu’ils formaient une espèce d’assemblée populaire. Dans le fameux aréopage d’
ose que de savoir se taire ; res est magna tacere, Matho . Quant à l’ espèce de verbosité dont il est question ici, les jeunes
36 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Prosper Mérimée Né en 1803 » pp. 286-290
cuirasse se terminait, suivant une mode alors assez commune, par une espèce de jupon de fer1 qui couvrait les cuisses et le v
ignant avec force, Orso ! tu le vengeras ! » Elle l’embrassa avec une espèce de fureur, baisa les balles et la chemise, et sor
, on pouvait cependant monter à cheval. Les selles sont garnies d’une espèce de petit tabouret qui entre sous le jupon, exhaus
37 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres Il y a deux espèces de lettres ; les unes qu’on appelle philosophique
onnes absentes. Il n’est question ici que de celles de cette dernière espèce . Lettres familières. Tout ce qu’on peut dire
lir, briser même insensiblement les liens de l’amitié. Différentes espèces de Lettres familières. Le style ne saurait êtr
r le plus pur, et des plus belles lumières. Votre éducation a été une espèce de choix parmi les autres éducations, et l’État v
eaucoup à se faire un style agréable. Mais nous en avons peu de cette espèce . On ne parle plus des lettres de Balzac et de Voi
38 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre IV. Du Beau et des Plaisirs du Goût. »
différences marquées, non seulement dans le degré, mais encore dans l’ espèce . Rien de plus vague aussi que l’acception du mot
nature a recherché la variété dans tous ses ornements, et affecté une espèce de mépris pour la régularité. Quelle prodigieuse
r magique des sons : de là, le plaisir du nombre poétique et de cette espèce d’harmonie que l’on retrouve, quoique d’une maniè
39 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
c la narration ou le récit qui forme le fondement et la base de cette espèce de poésie. 329. Qu’est-ce qui distingue le genre
it le plus ordinaire. Il y a donc, dans ce genre de poésie, plusieurs espèces de poèmes, que l’on peut distinguer selon la natu
ans aucune autre distinction. Les seconds sont ceux où l’on indique l’ espèce particulière de sagesse, de bravoure ou de vertu
de l’éclat. Les mœurs peuvent varier de trois manières : Dans la même espèce , et seulement par la différence des degrés : ains
Par l’addition d’une autre qualité qui, sans être dominante, altère l’ espèce  : Ajax est plus dur, Diomède plus brave, Achille
est plus ferme. Enfin, les mœurs sont opposées par la différence de l’ espèce , comme Hector et Pâris. L’un des deux caractères
es. 401. Qu’est-ce que le poème héroïque ? Le poème héroïque est une espèce d’épopée qui n’expose que des actions et des évén
isanteries bouffonnes. C’est ce qu’a fait Scarron, inventeur de cette espèce de poème, dans son Énéide travestie, qui n’est au
40 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
dans l’apologue. Rien de plus propre à plaire et à attacher que cette espèce de contraste. Deux Coqs vivaient en paix : une P
e poésie pastorale, l’églogue et l’idylle, et n’en faisaient pas deux espèces particulières. Nos auteurs les confondent aussi,
eux, le désir de l’imiter, et de se donner même réciproquement de ces espèces de défis poétiques. Car après sa mort, ces berger
acieux, Et des cieux à la terre et de la terre aux cieux. Cette même espèce d’épître admet non seulement le récit des faits h
critique. Poètes satiriques. La satire était chez les Grecs une espèce de drame qui tenait de la tragédie et de la coméd
it de joie. Elle ne peut point embrasser les sentiments de toutes les espèces et de tous les degrés, réservés à l’ode, et rejet
déplorer, et se montrer tout entière dans l’élégie. Un poème de cette espèce , dicté par l’esprit, sera nécessairement froid, f
qui doivent être égales entre elles, exprime le sentiment, de quelque espèce et de quelque degré qu’il soit. Tout ce qui agite
convient essentiellement à l’ode. Ainsi l’on peut en distinguer deux espèces générales. La première est dans le genre noble et
tenir au corps de l’ouvrage. L’ode proprement dite se divise en trois espèces , qui sont l’ode sacrée, qu’on appelle particulièr
eux ; mais il est toujours élégant et varié. Le poète peut dans cette espèce d’ode répandre avec grâce des traits de morale, e
genres de poésie sont les mêmes. De la Cantate. Nous avons une espèce d’ode faite pour être mise en musique ; c’est la
e gracieux. J.-B. Rousseau nous en offre de parfaits modèles des deux espèces . Dans le premier genre, celle de Circé327 est un
41 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300
les aient multipliés outre mesure, en subdivisant sans nécessité les espèces , je n’en disconviens pas ; mais ce n’est pas un m
ue certaines phrases stéréotypées, en quelque sorte, par l’usage, des espèces d’idiotismes dont il n’est pas permis de s’écarte
ps les plus anciens, les rhéteurs étaient divisés sur les genres, les espèces , le nombre, le nom même des figures ; ces questio
ne modification particulière, qui fait qu’on les réduit chacune à une espèce à part, et qui les rend ou plus vives, ou plus no
42 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Origine et principe des beaux-arts »
devaient par conséquent en reconnaître l’existence, et lui rendre une espèce de culte. Un d’entre eux admirant ces chefs-d’œuv
la plus grande beauté ; tout s’y réunit pour tenir nos yeux dans une espèce d’enchantement. Voilà une imitation de la belle n
ésentés avec tous les traits qui les rendent parfaits chacun dans son espèce . Il n’est point de serpent ni de monstre odieux.
43 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
ison même par celle de la foi. Mais quoique cette conviction et cette espèce de foi humaine qu’on acquiert par l’étude des pre
trait ingénieux, embrasse avidement un fantôme qui lui plaît. Par une espèce de possession anticipée, l’âme jouit d’un bien qu
n soulèvement universel de tous les hommes contre leur condition, une espèce de conspiration générale dans laquelle ils semble
44 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
des arbres. Le retroussis1 de leur feuillage faisait paraître chaque espèce de deux verts différents. Chacun a son mouvement.
vec plaisir à voir des moucherons, après la pluie, danser en rond des espèces de ballets. Ils se divisent en quadrilles, qui s’
nés pour danser ; ils font aussi entendre, au milieu de leur bal, des espèces de chants. Leurs gosiers ne sont pas résonnants c
45 (1839) Manuel pratique de rhétorique
gères modifications, les règles de la rhétorique s’appliquent à toute espèce de composition écrite ou parlée, au style épistol
nonymes ; et cet exercice peut s’appliquer, nous le répétons, à toute espèce de composition littéraire. Soit, par exemple, à a
référence. » Ce dernier procédé, qui s’applique parfaitement à toute espèce de composition littéraire, depuis la rédaction de
tions auxquelles ils ont donné lieu, peuvent être regardées comme une espèce de logique pratique, puisqu’on a acquis des idées
ou réciproquement des effets on remonte à la cause ; 5° le genre et l’ espèce  : ce qui convient au genre se dit de toutes les e
le genre et l’espèce : ce qui convient au genre se dit de toutes les espèces qu’il renferme ; mais ce qui est particulier à ch
tes les espèces qu’il renferme ; mais ce qui est particulier à chaque espèce ne peut pas également se dire du genre. Il n’est
iles. Il doit d’abord examiner si le sujet prête aux passions, quelle espèce de passion il lui convient d’exciter. Ce n’est pa
sions. — Parties essentielles du discours. — Exorde ; ses différentes espèces . — Narration. — Confirmation. — Différentes sorte
i c’est le principe qui est sous-entendu. 3° Le dilemme est aussi une espèce de syllogisme dont la majeure renferme ordinairem
bien de la cause qui détermine ces différentes positions. Il y a une espèce de réfutation qui doit précéder la preuve ; c’est
apparente ; on divise, on sépare les circonstances qui faisaient une espèce de corps par leur réunion ; enfin, quant au style
orde est-il nécessaire ? — Quelles sont ses qualités ? — Ses diverses espèces  ? — Comment se lie-t-il au reste du discours ? — 
que, qui restreint ou étend la signification, emploie le genre pour l’ espèce , la partie pour le tout, la matière pour la chose
naissance, et par ces grandes pensées que le ciel envoie, et par une espèce d’instinct admirable dont les hommes ne connaisse
ableau, ou même d’un discours. Nous considérerons seulement ici cette espèce d’harmonie, qu’on appelle nombre oratoire. Le nom
e de beautés si l’orateur peut y trouver un moyen de donner à l’âme l’ espèce de mouvement qui lui convient, de captiver l’orei
convenance du style ? — Quelles sont les qualités nécessaires à toute espèce de style ? — Que suppose la clarté ? — D’où résul
46 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XI. du corps de l’ouvrage. — narration, description  » pp. 146-160
argument ; tout ce qui eût été défaut en général devient vertu dans l’ espèce . Examinez de ce point de vue toute la narration d
urtant d’être du bleu et du vert. Trouvez sur votre palette ces mille espèces de vert et de bleu que vous donne la nature ; tro
toujours disposés à multiplier les subdivisions, ont assigné à chaque espèce de description un nom spécial, en les rangeant ma
classification des rhéteurs, je pense qu’on peut réduire toutes leurs espèces de description à deux, celle des choses, qui vien
47 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
Chapitre premier. Première espèce de mots. Le nom. 10. — Le Nom est un mot qu
à toutes les personnes, à toutes les choses semblables ou de la même espèce . Le nom propre convient à une ou à plusieurs pers
48 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre VII. Septième espèce de mots.  » pp. 41-42
Chapitre VII. Septième espèce de mots. La préposition. 92. — La Prépositi
itions ; le mot qui suit s’appelle le régime de la préposition. Cette espèce de mots s’appelle préposition, parce qu’elle se m
49 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. »
oit faire sentir que chaque langue est plus ou moins susceptible de l’ espèce d’harmonie dont nous nous occupons ici. C’est au
nôtre en particulier ? Vous venez d’entendre Cicéron proscrire toute espèce de recherche et d’affectation à ce sujet : Aristo
tote, sont plus que suffisantes pour donner une idée appréciable de l’ espèce d’harmonie que comporte la prose, du charme qu’el
50 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
c’est un homme qui parle à des hommes : ici c’est un être d’une autre espèce , élevé entre le ciel et la terre, c’est un médiat
la raison même. Il est au milieu des accès de l’esprit d’innovation, espèce de fièvre la plus terrible, qui offusque le cerve
et les faire rentrer dans leur sujet. S’il y en avait eu un de cette espèce au palais, il aurait eu de l’ occupation. Au rest
ariété, où tout frappe, tout brille, un tel discours cause plutôt une espèce d’éblouissement qu’une véritable admiration : il
f fait compliment à ses troupes de leur valeur. Le mérite de ces deux espèces de harangues consiste dans la brièveté et l’à pro
déterminée par le nombre des syllabes ; c’est elle qui indique chaque espèce de vers. Si une syllabe manque à un vers, il y a
          Nus De leurs provinces. La fable suivante renferme les dix espèces de mesures. 12. O mort ! viens terminer ma misèr
léger fuseau, Tourne sans bruit — autour de son berceau. Les autres espèces de vers n’exigent point cette division. Il faut p
e, etc., parce que les consonnances our, or, vi, pa, n’offrent aucune espèce d’analogie. 3. Pour distinguer une rime féminine
grâce n’est dans cette césure produite forcément par l’enjambement. L’ espèce d’enjambement la plus commune aux poétereaux c’es
51 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre VI. Massillon. »
étranger et inconnu, pour ainsi dire, devant qui vous serez dans une espèce de gêne et de contrainte ; avec qui vous n’aurez
font sa force. Dans presque tous les discours de Massillon, c’est une espèce de dialogue entre lui et ses auditeurs : il inter
jusqu’à lui, avait ignorée ou détestée ». Les raisonnements de cette espèce de philosophie sont en conséquence de ses princip
vis ; allez donc chercher dans une autre terre des hommes d’une autre espèce , et semblables à la bête ; ou plutôt, ayez horreu
52 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
is bien rare, qui ne peut être qu’un don de la nature, et que l’autre espèce d’éloquence est un art qui ne peut s’acquérir que
ite, en parlant du discours oratoire en général et de ses différentes espèces . Persuader est le propre de l’éloquence : peindre
te harmonie de style qui charme l’oreille, et jette l’esprit dans une espèce d’enchantement. Néanmoins, dit Quintilien 1, il c
ce que l’art oratoire a de plus fort et de plus véhément. C’est cette espèce d’éloquence qui a enlevé les suffrages, qui s’est
53 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE VI. De l’emploi et du mélange des différentes sortes de vers. » pp. 339-342
more perculsum gravi. Hor. IV STANCES DE QUATRE VERS ET DE DEUX ESPÈCES DE VERS. Il y en a de deux sortes dans Horace 
t invidendâ Sobrius aulâ. IV STANCES DE QUATRE VERS ET DE TROIS ESPÈCES DE VERS. Il n’y en a aussi que de deux sortes
54 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Buffon. (1707-1788.) » pp. 146-152
jardins ; d’autres préfèrent les avenues et les bosquets ; plusieurs espèces s’enfoncent dans les grands bois, et quelques-une
contrées les plus chaudes du nouveau monde que se trouvent toutes les espèces d’oiseaux-mouches : elles sont assez nombreuses e
les noms de rayons ou cheveux du soleil. Pour le volume, les petites espèces de ces oiseaux sont au-dessous du taon pour la gr
55 (1854) Éléments de rhétorique française
ce principe. Dans la nôtre, par exemple, le mot tourterelle exprime l’ espèce de gémissement que fait entendre l’oiseau qui por
n comme le second pas de l’art d’écrire. Les hiéroglyphes étaient des espèces de symboles, faits pour représenter les objets in
le ou future, comme quand on dit : grand arbre, haute montagne. Cette espèce de mots est désignée dans les grammaires sous le
l’on n’avait imaginé de lier les substantifs entre eux par une autre espèce de mots, qui sert à déterminer des circonstances
s, tels que mais, et, parce que, quoique, etc. La conjonction est une espèce de mot qui sert à lier ensemble les phrases ou le
enons de dire, qu’il y a dans toutes les grammaires trois principales espèces tic mots : 1° les substantifs, qui comprennent le
c’est-à-dire, les prépositions et les conjonctions. L’analyse de ces espèces de mots forme la première partie de la grammaire
es. Ce petit nombre d’exemples suffit pour montrer qu’outre certaines espèces de mots essentielles, il existe chez tous les peu
arder, aboyer, crier, coutume, ensemble, et plusieurs autres de cette espèce . La plupart des termes de guerre étaient francs o
plus étendue : il indique, sans le déterminer, un des individus de l’ espèce , comme un lion, un roi. Le premier, qu’on nomme d
icle ; il indique spécialement un individu distinct parmi ceux de son espèce , comme le roi, le lion. Ou voit facilement l’avan
et article, d’une sévérité inflexible ; il repousse de la prose toute espèce de transposition, et en tolère à peine un petit n
, savoir : le génie, l’attention et la méthode. Le génie, c’est cette espèce de divination, cette faculté naturelle, départie
e faire observer que, dans une harangue judiciaire, on distingue deux espèces de circonstances, les circonstances atténuantes e
l’exorde. Quelque sujet qu’on traite, on commence toujours par une espèce d’introduction ; c’est ce qu’on appelle l’exorde.
’éteint ! » II. Des règles de la disposition applicables à toute espèce de sujets. Les principes que nous venons d’éta
de les classer entre elles. 1. Figures descriptives. La première espèce de figures se rapporte à la description des objet
ir trop tôt raison ? 2. Figures passionnées. Il y a une autre espèce de figures de pensées qui se rapporte moins à l’i
n appelle des tropes (d’un mot grec qui signifie ou ment). De là deux espèces de figures de mots : les figures de mots propreme
nymie, d’un mot grec qui signifie changement de nom. Il y a plusieurs espèces de métonymies ; 1° On prend la cause pour l’effet
Cette figure s’appelle synecdoque ou compréhension, il y a plusieurs espèces de synecdoques : 1° On prend une partie du tout p
u’on dit les mortels en parlant des hommes, l’animal en parlant d’une espèce particulière d’animaux. Delille dit, après avoir
homme fut barbare. L’insecte, nom du genre, est mis pour l’araignée, espèce d’insecte. 4° On prend le nom de l’espéce pour ce
division ancienne ; mais nous aurons soin de subdiviser en plusieurs espèces particulières chacun des genres dont elle se comp
t se borne à réunir les qualités générales, indispensables dans toute espèce de composition : pur, clair, précis, il ne se per
mplicité des mots. Marmontel définit ainsi la naïveté : « C’est cette espèce d’ingénuité aimable, d’abandon et de franchise qu
a puissance des mots, comme la répétition, la métaphore et les autres espèces de tropes, sont les éléments essentiels du style
me, quelque sonore et quelque flexible qu’elle soit, se change eu une espèce de chant monotone, et perd cette variété et ce na
xprimer les sentiments dont l’orateur est agité. Dans ces différentes espèces de gestes, il y a une mesure que le goût et la bi
successivement exposer les règles et donner des exemples de ces trois espèces d’exercices. I. De la narration. La narratio
bsurde, à mon avis, et celle qui est la plus capable d’anéantir toute espèce de génie, c’est la géométrie. Cette science ridic
lement du désespoir, il vit avancer une chaise roulante, à l’antique, espèce de tombereau couvert, accompagné de rideaux de cu
ouver, plaire et toucher. De là trois qualités indispensables à toute espèce de discours. 1° Un bon discours doit prouver quel
per avec art, et les exprimer avec élégance. Nous diviserons en trois espèces les principales applications possibles de la Rhét
rticuliers du style épistolaire ; car la qualité essentielle de toute espèce de lettre est d’être naturelle, et de représenter
. Les lettres écrites dans l’intimité roulent ordinairement sur trois espèces de sujets : ou l’on raconte des faits, ou l’on di
he de ces sciences qui travaillent à l’instruction et au bonheur de l’ espèce humaine ? Pourquoi l’artiste, l’avocat, le médeci
56 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
’on appelle syntaxe. Avant d’exposer ces règles relativement à chaque espèce de mots, il est essentiel d’observer que, dans le
e je l’ai dit ailleurs, qu’on veuille par ces noms exprimer toute une espèce de choses, soit qu’on ne veuille désigner qu’une
, soit qu’on ne veuille désigner qu’une ou plusieurs parties de cette espèce , on le met cependant quelquefois avant les noms p
est sous-entendu après chaque substantif. Régimes des différentes espèces de verbes. Tous les verbes actifs ont un régim
t une vertu de se priver des plaisirs permis. Aucun verbe, de quelque espèce qu’il soit, ne peut avoir deux régimes, soit simp
queurs, et j’espère que nous le serons. Cette règle a lieu pour toute espèce de mots régissants, soit participes, soit adjecti
pe s’accorde avec le sujet. Au reste, il y a quelques verbes de cette espèce , mais en très petit nombre, dont le participe est
simple qui le précède. En voici un exemple, qui réunissant ces trois espèces de mots, suffira pour l’explication de cette règl
ne pouvant jamais être séparé du verbe dont il est suivi, de quelque espèce qu’il soit, ne présente avec cet infinitif qu’une
conseils intéressés. Dans le premier exemple, le gérondif marque une espèce d’état du sujet, et dans le second, la cause de l
ement assujettie à cette règle. Si l’on marque une affirmation ou une espèce de certitude, on met le second verbe à l’indicati
elle puisse se glorifier. Quelque… que, quoique, tout… que, sont des espèces de conjonctions, qui signifient à peu près la mêm
57 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
ifférentes manières dont les arbres sont produits ; leurs différentes espèces , et comment on doit les cultiver ; le terroir qui
mment on doit les cultiver ; le terroir qui convient à chacune de ces espèces  ; la manière de connoître la nature d’un sol, et
leurs essaims, de leurs combats ; des différentes abeilles et de leur espèce do police ; des temps où elles font le miel ; de
ore la couleur ardente du sang qui coule dans nos veines. La deuxième espèce dans l’ordre des rayons, a reçu de l’or le nom de
une, bourgeoise, enjouée ; ou illustre, héroïque, sérieuse. Delà deux espèces de drame, le comique et le tragique. Avant de fai
de faire voir ce qui caractérise particulièrement chacune de ces deux espèces , donnons une idée des règles communes à l’une et
es de l’art, on l’appelle besoin du poëte. Un moyen de cette dernière espèce est toujours une imperfection, et bien souvent un
re l’action jusqu’à sa fin, qu’en employant des moyens de la première espèce , c’est-à-dire, tirés du fond de l’action même.
uer à-la-fois l’objet de la tragédie et de la comédie ; ce seroit une espèce bâtarde, un monstre né de l’impuissance de faire
se borne au mépris des richesses ; A chanter des héros de toutes les espèces , A sauver, s’il se peut, par mes travaux constans
t Ps. Il ne nous est rien resté de leurs ouvrages. On distingue trois espèces ou trois âges dans la comédie grecque ; la vieill
perdus, ainsi que ceux de Diphile, qui se rendit célèbre dans la même espèce de comédie. Livius Andronicus, grec de naissance
amatiques. On peut faire des pièces à Scènes détachées de différentes espèces , quoique de la même nature ; sans action, comme l
origine et le caractère de ce genre de poésie1, en distingue de trois espèces . La première est des originaux parodiés en entier
odiés dans quelque partie seulement. Dans les parodies de la première espèce , le titre de l’original, les noms et le rang des
ens Italiens à la fin du 17 siècle. Ce qui rend les parodies de cette espèce très-difficiles à faire, c’est que le poëte doit
e, oublier le noble et le pathétique de l’ouvrage parodié. La seconde espèce de parodie, qui est celle des originaux parodiés
xpressions que ce prince pour déplorer son malheur. Dans la troisième espèce de parodie, qui est celle des originaux parodiés
fira d’indiquer. Opéra comique en vaudevilles. On distingue deux espèces d’opéra comique ; l’opéra comique en vaudevilles,
entiment ou une passion. De toutes les parties d’une comédie de cette espèce , c’est la plus difficile à faire. Il faut que la
te aucun combat dans l’âme de celui qui la fait. Les actions de cette espèce , suivant ce rhéteur, ne sont donc pas vraiment tr
t ce qui convient merveilleusement à la tragédie. Une action de cette espèce nous offre en effet un combat des plus vifs, entr
r étouffe en eux tout sentiment de haine. Telles sont les principales espèces , les principaux degrés de malheurs que la tragédi
isposition du sujet, pour le sujet même. Aristote en compte de quatre espèces dans la tragédie. Si dans un ouvrage de ce genre,
ns un danger de mort ; il lui sera sans doute permis de dire avec une espèce d’enthousiasme : Lauriers, sacrés rameaux qu’on
seurs, sans laquelle il n’y a jamais de réputation véritable. A cette espèce de récapitulation des préceptes généraux de la tr
es discours concernant le théâtre d’Athènes : ouvrage unique dans son espèce , (est-il dit dans l’avant-propos d’une nouvelle é
a puiser ce merveilleux qu’elle étale, pour plonger nos sens dans une espèce d’enchantement. Voyez, pour le genre mythologique
ui regardent la construction du poëme dramatique, conviennent à cette espèce de tragédie-lyrique, avec cette différence pourta
dieux : première branche du merveilleux de l’épopée. Dans toutes les espèces de culte, le dieu qui en étoit l’objet, a toujour
rain Créateur a établi. Qui n’admirera point un pareil trait de cette espèce de merveilleux dans ces beaux vers de la Henriade
res moraux ou métaphysiques personnifiés, et autres fictions de cette espèce  : seconde branche du merveilleux de l’épopée. Ces
n, et ceux qui y sont pour le besoin de l’action. Ceux de la première espèce sont des épisodes de pur agrément : le poëte ne l
aine sur le dénouement. Telles sont à peu près toutes les différentes espèces d’épisodes qui conviennent à l’épopée. Cette noti
ses personnages, en rapportant leurs discours ; ce qui fait alors une espèce de dramatique. Lorsque le poëte raconte, il doit
eulement que régnassent le meurtre et le carnage. Les uns formant une espèce de tortue, assiégeoient la porte du palais : les
in. Du Poëme héroïque et du Poëme héroïcomique. Il y a quelques espèces de poëmes, qui, sans être proprement épiques, tie
aru ; les seuls vraiment épiques, d’après la définition même de cette espèce de poëme, sont l’Iliade, l’Odyssée, l’Enéide, l’I
ndre au cœur du méchant ; en vain se flatteroit-il d’acquérir quelque espèce de gloire. Jamais, non jamais, l’éclat le plus im
58 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXVI. des figures. — figures par mutation et inversion  » pp. 370-387
’ensemble en affectant le plus souvent la forme exclamative115, cette espèce d’exclamation se nomme épiphonème : Tant de fiel
si à l’harmonie imitative. Racine et Buffon sont les modèles de cette espèce de construction. Antithétique, elle s’adresse à
’harmonisme, etc. Et que serait-ce si des genres, j’en étais venu aux espèces  ! si dans le zeugme j’avais distingué le protozeu
nt que d’être malheureux ! 116. M. Fontanier propose une nouvelle espèce de parenthèse qu’il appelle incidence, et dans la
59 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »
tirées du fond même du sujet. Tels sont : la définition, le genre, l’ espèce , l’énumération des parties d’une chose, etc. Ils
ur, a amené des définitions de genres, et celles-ci des définitions d’ espèces  ; de là est venue l’énumération des parties, qui
a fourni encore de nouvelles définitions et divisions de genres et d’ espèces . Ce sont mes lieux intrinsèques. J’ai puisé des n
ns de voir ne sort pas de la généralité, et peut s’appliquer à toutes espèces de composition ; mais l’art de composer a deux br
60 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
que soit l’objet du discours, celui qui parle doit commencer par une espèce d’introduction, qui prépare l’esprit des auditeur
st la marche naturelle et la division plus ou moins sensible de toute espèce de discours. Nous allons voir ce que l’art a fait
fois que l’orateur, convaincu de la bonté de sa cause, ne voit aucune espèce d’obstacle à en démontrer l’évidence. Mais, dans
61 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
s sont convenablement et clairement exprimées. On distingue plusieurs espèces de lettres. Les principales sont les lettres de c
xpression des vœux, et de faire, si l’on peut, une lettre d’une autre espèce en mêlant ou des nouvelles ou quelques autres obj
tion. Préceptes particuliers. La lettre de recommandation est une espèce de lettre de demande, par laquelle on sollicite p
62 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Rochefoucauld 1613-1680 » pp. 18-21
le leur2. Les hommes et les animaux. Il y a autant de diverses espèces d’hommes qu’il y a de diverses espèces d’animaux…
. Il y a autant de diverses espèces d’hommes qu’il y a de diverses espèces d’animaux… Il y a des oiseaux qui ne sont recomma
63 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
assifications régulières qu’il a introduites sont nécessaires à toute espèce d’enseignement. Nous avons donné, à l’exemple de
ou réel, ou prétendu réel. Un tort suppose un droit : or il y a deux espèces de droit ; l’un naturel, gravé dans le cœur de to
rgument oratoire à la main ouverte (Cic., Orat., c. 32).   Les autres espèces d’arguments se rapportent au syllogisme ou à l’en
d’arguments se rapportent au syllogisme ou à l’enthymème. Dans toute espèce de syllogisme, il s’agit de montrer le rapport de
sé d’un tel crime, de ne pas même en parler ? »   Il y a encore deux espèces de raisonnements qu’Aristote distingue du syllogi
oratoire. Enfin l’argument personnel (argumentum ad hominem) est une espèce d’enthymème qui renverse les moyens et les préten
ux communs. Les Lieux des Arguments, ou Lieux communs 24, sont des espèces de répertoires où les anciens rhéteurs trouvaient
sèques sont : la définition, l’énumération des parties, le genre et l’ espèce , la comparaison, les contraires, les choses qui r
s riche don qu’il ait fait aux humains. 3º. On emploie le genre et l’ espèce lorsqu’on prouve qu’il faut aimer la justice parc
roquement, qu’on doit aimer, par exemple, la justice, qui est une des espèces de la vertu. Nous ne parlerons point de la simili
eune homme, qui tremble pour lui ; vous tremblez avec elle. C’est une espèce de trahison : le poète ne vous attendrit avec tan
propriété, faculté, ne lui apprennent rien. Le cercle vicieux est une espèce de pétition de principe, lorsque, pour prouver un
ans la Guinée les hommes sont noirs. Celui-là ferait un sophisme de l’ espèce dont nous parlons, qui, pour prouver que l’homme
divisé. 8. Abuser de l’ambiguïté des mots. On peut rapporter à cette espèce de sophisme tous les syllogismes vicieux. C’est a
ositions d’intérêts, les méprises, les fautes, les obstacles de toute espèce , trop ordinaires entre les républiques alliées et
ngues et laconiques. Laconique suppose une sorte d’affectation et une espèce de défaut ; concis emporte pour l’ordinaire une i
s auteurs qui, l’ayant étudiée avec soin, se sont acquis sur elle une espèce d’autorité dont ils n’usent qu’à son avantage ; e
le nom générique de figures. Celles-ci se distinguent encore en deux espèces  : figures de mots, et figures de pensées. La figu
ns, qui voulaient donner des gardes à Phalaris. La catachrèse est une espèce de métaphore à laquelle on a recours par nécessit
tupor . III. La synecdoque se fait 1º lorsqu’on prend le genre pour l’ espèce , ou l’espèce pour le genre. Quand on dit les mort
La synecdoque se fait 1º lorsqu’on prend le genre pour l’espèce, ou l’ espèce pour le genre. Quand on dit les mortels pour les
enre. Quand on dit les mortels pour les hommes, c’est le genre pour l’ espèce  ; car les animaux sont sujets à la mort aussi bie
ins, pour représenter un beau vallon, nomment celui de Tempé, c’est l’ espèce pour le genre :                            Somnu
norma loquendi. (Horat., de Arte poet., v. 71.) L’antonomase est une espèce de synecdoque par laquelle on met un nom commun p
urs à venir165. On joint encore à ces principaux tropes la métalepse, espèce de métonymie, comme desideror pour absum ; l’anti
ge les mots selon leur degré de force ou de faiblesse ; l’expolition, espèce d’amplification en termes différents ; la synonym
sion ou réplication, nommée par les Grecs épanastrophe ou anadiplose, espèce de répétition, ainsi que la palilogie, l’épanalep
ion (διατύπωσις, ἐνάργεια, διαγραφή) rassemble quelquefois toutes les espèces d’hypotyposes, l’extérieur, les sentiments, les l
uise le blâme sous le voile de la louange, et réciproquement, est une espèce d’ironie. Ce tour, comme le mot l’exprime, porte
36.) La litote ou diminution, qui peut être regardée comme une autre espèce d’hyperbole, dit moins pour faire entendre plus.
philosophe de la plus grande autorité ; le second, que c’est par une espèce de pudeur que Corydon ne dit pas affirmativement
omme un trait déjà émoussé quand l’adversaire veut s’en servir. Cette espèce de triomphe, dont l’orateur jouit d’avance, augme
cès, mais avec l’intention secrète de plaire ; car il en est de cette espèce de liberté comme de la correction : si elle est f
apprend ce qu’il faut dire ou ce qui se passe dans la vie ; c’est une espèce d’oracle. Telles sont les maximes exprimées dans
r l’infortune pour les porter à la compassion. Nous allons indiquer l’ espèce de prononciation que chaque circonstance demande.
ue les rhéteurs grecs cherchaient à répandre dans leurs leçons, cette espèce d’universalité ambitieuse dans les compositions d
64 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
e tes flots expire sur tes bords. On voit encore un exemple de cette espèce d’apostrophe, dans ces vers du Poème des Quatre S
cées, fut obligé de s’arrêter. Épiphonème. L’Épiphonème est une espèce d’exclamation ou une réflexion courte et vive à l
rreur du crime et des scélérats. Racineen fournit un exemple de cette espèce dans la même tragédie. C’est encore Joad qui parl
le, le seul parti de France, qui fût digne de Monsieur. » Il y a une espèce de suspension qui badine et qui se joue de l’atte
ns, soit percé par le coude ? Voici encore un joli exemple de cette espèce de suspension.         Après le malheur effroyab
65 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
, dont on compte les exceptions. Denys d’Halicarnasse divise en trois espèces les caractères généraux du style, et les nomme le
sec, simple, concis, élégant, fleuri. Le style sec ne comporte aucune espèce d’ornement. Content de se voir entendu, l’écrivai
yntaxe de sa propre langue. Cicéron caractérise parfaitement ces deux espèces de fautes dans le passage suivant : « La latinité
66 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
ions du xive , et réciproquement ; ce qui est une grande faute dans l’ espèce  ? Enfin, ne court-on point risque de paraître gau
vec dégoût ! Auprès de cet immonde argot, les jargons de la troisième espèce , les ramages de société, sont un parler charmant 
iste est l’esclave de la lettre. Non-seulement le purisme glace toute espèce d’élan, et donne au style une roideur pédantesque
67 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
ses vieilles pensées. « La vieillesse, voisine de l’éternité, est une espèce de sacerdoce, et quand elle est sans passions, el
e traités en personnes raisonnables ; il faut entretenir en eux cette espèce de fierté, et s’en servir comme d’un moyen pour l
68 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre III. Beautés de sentiment. »
e de l’imiter. Ainsi, tout est devenu sentimental, à mesure que toute espèce de sentiment s’est éteint ; et l’on a donné en mo
es, ni sentiments, et que la langue seule en fait les frais. Si cette espèce de néologisme se bornait à dénaturer le langage s
e de vague, il faut savoir parfaitement distinguer ce qui constitue l’ espèce de beauté relative à l’objet auquel on l’applique
stances, la supposition du même degré de talent, pour qu’il y eût une espèce d’égalité de mérite entre le texte et la traducti
69 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
ciproquement : Le flot qui l’apporta recule épouvanté. De là quatre espèces de métaphores, auxquelles ou pourrait en ajouter
s oblige de parler de ce qu’ils ignorent ? Je ne leur pardonne qu’une espèce d’erreurs scientifiques, celles que consacre la f
ulation. Il va de soi qu’il ne s’agit pas ici des allégories de cette espèce , pas plus que de l’apologue ou de la fable ; ce s
en sont innombrables dans Voltaire lui-même. L’allusion est aussi une espèce d’allégorie ou de métaphore. L’écrivain, à propos
70 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre I. Des Poésies fugitives. »
dans les poésies fugitives. Outre qu’elles exigent, chacune dans son espèce , un talent particulier, on n’y souffre pas les mo
la main de ce poète-menuisier . Du Triolet. Le Triolet est une espèce de rondeau, et n’a sur deux rimes que cinq vers,
ou deux vers intercalaires, répétés, par intervalles, et qui font une espèce de refrain. C’est ce qu’on va voir dans celui-ci,
s qui la précèdent, et toujours amenée avec art. On réduit toutes les espèces de chansons à trois, qui sont les érotiques, les
71 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
ens se sera suffisamment familiarisé avec le style et ses différentes espèces , il sera à propos alors de s’adonner l’art d’écri
Ces trois parties constituent un tout régulier, et appliquées à toute espèce de sujet, elles peuvent aider avec succès les élè
le style épistolaire, c’est la facilité, c’est une douce aisance, une espèce d’abandon de la pensée qui ne va pas jusqu’à l’in
tyle agréable. Nous allons maintenant passer en revue les différentes espèces de lettres que l’on est appelé à écrire dans ses
à écrire dans ses relations de société. Section V. — Différentes espèces de Lettres 1° Lettres d’Affaires Les Lett
de ce moment de repos pour remettre un peu ma tête, et reprendre une espèce de contenance. » Lectures. — 1° M. Caraccioli à
72 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
s et rapportés dans les écrits ou par les traditions. Ainsi les trois espèces énumérées ici se réduisent réellement à deux : l’
l’histoire profane. L’Histoire de la religion se sous-divise en deux espèces , dont l’une est l’Histoire sainte, écrite par des
de soi-même, et cette privation qu’il s’imposa toute sa vie, sont une espèce d’héroïsme non moins admirable. § 30. Mémoire
que les poètes et les philosophes, c’est-à-dire, selon lui, les deux espèces les plus incorrigibles, et, par cette raison, les
ue c’est dans le genre qui en a le moins besoin. C’est surtout dans l’ espèce de la biographie que les abrégés, ou, comme on di
73 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
vec une joie secrète de voir la lumière ; je vois la lumière avec une espèce de ravissement, et tout le reste du jour je suis
passe la nuit sans m’éveiller ; et le soir, quand je vais au lit, une espèce d’engourdissement m’empêche de faire des réflexio
r un homme qui voulût prendre la peine de briller : un homme de cette espèce présente toujours le flanc, et tous les autres so
ma plus un tout ensemble ; et comme on n’en était citoyen que par une espèce de fiction, qu’on n’avait plus les mêmes magistra
74 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIV. de la fin  » pp. 189-202
tié. Cicéron, en effet, distingue, dans l’éloquence du barreau, deux espèces de péroraisons pathétiques : la péroraison véhéme
’esprit du lecteur ou de l’auditeur ; elle en indique les différentes espèces , les sources, les mérites et les défauts. Elle pr
de la tragédie s’applique parfaitement au roman, au poëme et à toute espèce d’ouvrage. 62. « La catastrophe véritable de ce
75 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre premier. Du Goût. »
tain point, commune à tous les hommes ; et rien de plus général que l’ espèce de plaisir qui résulte de tout ce qui est beau, g
le jour, commandent une admiration universelle et durable. Dans toute espèce de composition, ce qui intéresse l’imagination, o
76 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »
iques de l’orient ou de l’Égypte. Il existait sans doute dès lors une espèce d’éloquence, mais elle tenait plus de l’élan poét
à son gré ; et ce qui le distingue de tous les orateurs, c’est que l’ espèce de suffrage qu’il arrache est toujours pour l’aff
77 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre II. »
hez les Latins, nous a laissé d’admirables modèles de ces différentes espèces d’odes ; son génie facile se pliait à tous les to
ment aiguisée par une pensée fine et délicate. On distingue plusieurs espèces de chansons : la chanson érotique et la romance,
78 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
e chef-d’œuvre de Molière, le double portrait si savamment tracé de l’ espèce faux dévot et de l’individu Tartufe ; voyez le Mi
its de fantaisie chez l’historien ; c’est le plus grand défaut dans l’ espèce . Presque jamais de portraits en pied, le buste su
onséquence de cette double vertu qu’il distingue, avec Aristote, deux espèces d’amplification, celle qui agrandit et élève, et
79 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — De Maistre, 1753-1821 » pp. 377-387
te domaine de la nature vivante, il règne une violence manifeste, une espèce de rage prescrite qui arme tous les êtres pour le
e de la vie par des moyens violents. Dans chaque grande division de l’ espèce animale, elle a choisi un certain nombre d’animau
voient plus la sienne. C’est au milieu de cette solitude et de cette espèce de vide formé autour de lui qu’il vit seul avec s
80 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
t ainsi nommée d’un mot grec qui signifie agir, parce que, dans cette espèce de poésie, on ne raconte point l’action comme dan
it se peindre comme la vérité ; ce qui demande un vraisemblable d’une espèce particulière au drame, que nous examinerons tout
rant vide, on entend le bruit de quelqu’un qui arrive. Cette dernière espèce de liaison ne suffit pas ; la troisième est absol
si la tragédie, le drame proprement dit, la comédie et ses nombreuses espèces . Parlons d’abord de la tragédie. C’est une pièce
e pièce entière et devient ainsi une véritable comédie d’une certaine espèce . Le titre de l’original, les noms et les rangs de
81 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Jean-Jacques Rousseau, 1712-1778 » pp. 313-335
us attribuez les partis qu’on m’a vu prendre, depuis que je porte une espèce de nom dans le monde, me font peut-être plus d’ho
é que diminué, j’ai conclu qu’il venait d’une autre cause, et que ces espèces de jouissances n’étaient point celles qu’il me fa
grat, par cela seul que la reconnaissance est un devoir. En un mot, l’ espèce de bonheur qu’il me faut n’est pas tant de faire
pour la patrie, pour le prince, pour les autels ? et n’est-ce pas une espèce du miracle que ces maximes constantes de courage,
n aperçus enfin ; je me couchai voluptueusement sur la tablette d’une espèce de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur
82 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Voltaire. (1694-1778.) » pp. 140-145
nt un ennemi avec lequel on ne pouvait guère alors acquérir que cette espèce de gloire. A peine arrivé dans le palatinat de Po
s soldats extrêmement serrés présentaient aux chevaux des ennemis une espèce de rempart hérissé de piques et de baïonnettes ;
83 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
parties, les contraires, les semblables, les accessoires, le genre, l’ espèce , etc., et quand il avait appris à rapprocher un s
xordes détachés qui n’étaient probablement que des exercices de cette espèce . Telle est en deux mots la doctrine des anciens s
sés et même voisins. Les orateurs, les poëtes, les écrivains de toute espèce vous fourniront de nombreux exemples de cette sor
84 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre X. du commencement  » pp. 131-145
plexe, ou renferme-t-elle, quoique simple, des preuves ou arguments d’ espèce diverse, la division la partage en plusieurs poin
out son discours d’un même jet. Fénelon va plus loin ; il blâme toute espèce de division. Tout en avouant avec lui que, sans l
’action, il y entraînera tout l’auditoire. A proprement parler, cette espèce d’exorde, qu’on nomme ex abrupto, n’est encore qu
85 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
etc., mais dans une série de tableaux rangés de manière à former une espèce de galerie, tableaux qui ne sont liés ensemble qu
1. Quelle est la matière de l’épître ? L’épître peut embrasser toute espèce de sujets. On y peut traiter de la morale, de la
tout sentiment trop relevé. Il n’est pas facile de réussir dans cette espèce de composition, parce qu’il faut une grande flexi
amorphose (μετὰ, qui indique le changement, et μορφὴ, forme), est une espèce de fable où l’on raconte le changement, la transf
bellis. 327. Quel doit être le style de la métamorphose ? Dans cette espèce de poème, on peut employer, selon la nature des s
86 (1867) Rhétorique nouvelle « Tableau des arguments » pp. 306-
genres de preuves : je me contenterai de les énumérer. Le genre et l’ espèce . — Vous prouvez que ce qui est vrai du genre l’es
’espèce. — Vous prouvez que ce qui est vrai du genre l’est aussi de l’ espèce , et réciproquement. Exemple : — Il faut aimer l’h
87 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
la plus indispensable des dispositions dans un traducteur, est cette espèce d’analogie naturelle qui le rapproche, à son insu
e factice, et qu’il est dans les mots, ainsi que dans les choses, une espèce de majesté d’emprunt), que de descendre à propos
e enfin fut reçu et traité par les appréciateurs éclairés, avec cette espèce de vénération qu’inspirerait un beau monument éch
mble les deux hémistiches du même vers, de sorte qu’il en résulte une espèce de choc, d’où jaillit nécessairement une étincell
88 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. » pp. 238-278
Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. Tous les
, ou dans un genre sublime ; on peut dire aussi qu’il n’y a que trois espèces générales de style, le simple, le tempéré, le sub
peinture si riante et si animée. Les objets y sont présentés dans une espèce de contraste, qui ne fait qu’augmenter le charme
nt celui que l’histoire leur donne. Parmi tous les portraits de cette espèce , je n’en connais pas de mieux frappé que celui de
89 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Lamennais, 1782-1854 » pp. 455-468
effroyable coup de vent qui emporte les toits et déracine les arbres, espèce d’ouragan mêlé de tonnerre, qui nous arrive après
tié que cela, lorsqu’on vient à considérer, après quelques siècles, l’ espèce de rage qui armait les frères contre les frères p
t presque impossible. Les hasards, la maladie, les accidents de toute espèce disposant de notre sort malgré nous, comment donc
90 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
nement des actes. Quant au fond, on distingue les romans en plusieurs espèces , dont les principales sont le roman de mœurs, le
ite en les appelant des romans poétiques. Telles sont les principales espèces de romans reconnues par les littérateurs, et qui
91 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE I. De la propriété des mots. » pp. 2-8
ont ceux dans la formation desquels il entre deux ou plusieurs mots d’ espèce différente. Ainsi, de la racine primitive re, cho
ifier le sens général du mot racine, et à former des dérivés de toute espèce  : des noms, des adjectifs, des verbes, des adverb
92 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « XVIe siècle — Prose — Montluc, 1503-1577 » pp. -
9. Sens neutre, comme faiblir. 10. Embéguiné. Le béguin était une espèce de coiffe qui s’attachait sous le menton. Elle ét
tée par les béguines, hérétiques du treizième siècle. 11. Donner une espèce de vêtement en forme de caleçon. 12. Cramoisi.
93 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
bre de huit : la définition, l’énumération des parties, le genre et l’ espèce , la cause et l’effet, la comparaison, les contrai
plus étendue qui renferme plusieurs idées particulières qu’on appelle espèces . Ainsi la vertu peut être considérée comme genre 
être considérée comme genre : la tempérance et la justice seront des espèces par rapport à la vertu prise en général. Comme l’
e seront des espèces par rapport à la vertu prise en général. Comme l’ espèce est contenue dans le genre, ce qui convient au ge
t contenue dans le genre, ce qui convient au genre convient aussi à l’ espèce  ; ce qui convient à l’espèce convient quelquefois
qui convient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convient à l’ espèce convient quelquefois, mais ne convient pas nécess
se fait connaître par la définition, par la division du genre en ses espèces , du tout en ses parties, par les similitudes et l
que nous avons désigné sous le nom de comparaison, et il y a autant d’ espèces d’exemples qu’il y a de manières différentes de c
t et les dispositions de l’auditoire, on peut dire qu’il y a autant d’ espèces d’exordes que de circonstances diverses où un ora
a parole. Néanmoins, on a ramené toutes ces nuances infinies à quatre espèces principales : l’exorde simple, l’exorde insinuant
carrière ; mais un mauvais plan suffit pour ôter à son discours toute espèce de force et d’intérêt ; il équivaut à un mauvais
p d’autres endroits il y a de légères suspensions à faire. La seconde espèce de repos consiste à s’arrêter avant ou après une
ns donc 1º des règles générales de la prédication, 2º des différentes espèces de discours sacrés. Chapitre premier. Des règle
ant les yeux ; on regarde celui qui parle comme un homme qui joue une espèce de comédie, on le laisse dire pour la cérémonie,
ir dans le cœur (Voir le nº xxii). Chapitre deuxième. Différentes espèces de discours sacrés. 324. Les principales espèc
ième. Différentes espèces de discours sacrés. 324. Les principales espèces de discours sacrés sont l’homélie, le prône, le s
aux causes justes et aux intérêts légitimes, exerce dans le monde une espèce de sacerdoce ; sa voix est considérée comme un or
la loi, et que les juges, plus nombreux que parmi nous, formaient une espèce d’assemblée populaire. De là, des mouvements d’él
re encore plus : car la jeunesse veut dominer, et la victoire est une espèce de domination. Ces deux passions les occupent bea
tteuses, d’abord parce que la chaleur du caractère les tient dans une espèce d’ivresse, ensuite parce que leur attente n’a pas
ément à soi, et il y a dans la politique, comme dans la religion, une espèce de pénitence plus glorieuse que l’innocence même,
’énumération des parties ? 33. Que faut-il entendre par le genre et l’ espèce  ? 34. Comment raisonne-t-on par la cause et l’eff
-ils pas fréquents chez les jeunes orateurs ? 170. Combien y a-t-il d’ espèces d’exordes ? 171. En quoi consiste l’exorde simple
dicateur obtiendra-t-il l’onction ? 324. Quelles sont les principales espèces de discours sacrés ? 325. Qu’est-ce que l’homélie
94 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
ême dans toutes les compositions : aussi devons-nous distinguer trois espèces de genres : le simple, le tempéré et le sublime.
expressions. La naïveté, si bien caractérisée par Marmontel, est une espèce d’ingénuité, de franchise enfantine que nous aimo
en donner une idée satisfaisante. Si l’on veut bien comprendre cette espèce de style, il faut que l’on reporte un instant ses
puissance des mots », comme la Répétition, la Métaphore et les autres espèces « de tropes qui sont les éléments essentiels du s
z l’existence a prescrit à votre population et à celles de toutes les espèces vivantes, des limites qui ne seront jamais franch
95 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre II. Application des principes à la première Philippique de Démosthène, et à la seconde Catilinaire de Cicéron. »
ortante, on fut obligé de remettre au jour suivant, pour éviter toute espèce de confusion au moment des suffrages. Porrexerun
sénat ces mots terribles, où respirent toute l’audace du crime, et l’ espèce d’énergie qui le caractérise57 : Mes ennemis me
si j’avais cru la mort du perfide capable de vous affranchir de toute espèce de danger, j’aurais sacrifié ma tranquillité pers
te considération me paraît d’un grand poids pour nous interdire toute espèce d’innovation. On ne peut refuser sans doute une s
96 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
ite quelques-uns de particulier dans l’énumération de ses différentes espèces . Mais ces courtes réflexions suffiront pour nous
le plus mâle et le plus vigoureux. Article II. Des différentes Espèces d’Histoire. On peut considérer les hommes dans
pports avec la divinité, et dans leurs rapports entre eux. De là deux espèces générales d’histoire ; l’histoire sacrée et l’his
règne animal, c’est-à-dire, les mœurs et le caractère des différentes espèces d’animaux, leur formation, leur structure, leur m
97 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIII. Genre oratoire, ou éloquence. »
’éloquence dans ses différentes applications. On peut distinguer cinq espèces d’éloquence : L’éloquence de la chaire, ou éloqu
aut qu’on reproche souvent au genre académique. Voici les différentes espèces de discours qui se rapportent à l’éloquence acadé
98 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre X. Dixième espèce de mots.  »
Chapitre X. Dixième espèce de mots. L’interjection. 107. — L’Interject
99 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
ller à le devenir. L’école de Zénon pensait, comme Socrate, que toute espèce d’artifice était indigne de l’éloquence ; et cett
ts de laine et sur tous ses penchants impétueux et déréglés ; que ses espèces sont la continence, la clémence et la modestie qu
ercer les enfants. Enfin, ce qui me semble décider en faveur de cette espèce de leçons que je propose pour la seconde classe,
peine de classer toutes les causes oratoires, et d’assigner à chaque espèce les moyens qui lui convenaient : c’est ce qu’on a
le dialogue de Gorgias contre les rhéteurs, c’est-à-dire contre cette espèce de gens qui s’étaient fait un art de bien parler
n homme plein d’un grand sentiment demeure un moment immobile ; cette espèce de saisissement tient et suspens l’âme de tous le
es endroits où elles s’élèveront à un enthousiasme soudain. C’est une espèce de musique : toute la beauté consiste dans la var
encé à se rapprocher de la musique des anciens. Cette musique est une espèce de déclamation passionnée ; elle agit fortement s
e entendre ce qui regarde l’éloquence : aussi faut-il qu’il y ait une espèce d’éloquence dans la musique même : on doit rejete
ien qui ne savait pas notre langue. En vain on lui remontra que cette espèce de musique, qui n’est qu’une déclamation notée, e
environné d’une foule de virtuoses, d’artistes, et de juges de toute espèce , qui s’efforçaient d’entrer, mais qui n’entraient
jeunesse. Et, quoique en robe, on l’écoutait, Chose assez rare à son espèce . Près de là, dans un cabinet Que Girardon et Le P
Hamilton, Toujours armé d’un trait qui blesse, Médisait de l’humaine espèce , Et même d’un peu mieux, dit-on.     L’aisé, le t
our sur l’autel du dieu des livres, des dessins et des plans de toute espèce . On voit sur cet autel le plan de cette belle faç
ments est de choisir ceux qui dégoûtent les autres hommes ; c’est une espèce de maladie. Le goût dépravé dans les arts est de
indiscrétion ; et ces deux peuples conséquemment n’auront pas la même espèce de comédie. La poésie sera différente chez le peu
qui, par un mélange harmonieux de consonnes et de voyelles, était une espèce de musique vocale. Vous ne me condamnerez pas, sa
chacun des deux cède du sien, et s’accommode à l’autre ; et de cette espèce de conciliation se forme un style mitoyen, qui pa
avec une austérité triste, une âpreté sauvage et dédaigneuse de toute espèce d’élégance : tantôt avec un soin industrieux de p
plicité : Elegantia modo et munditia remanebit. Il lui interdit toute espèce de fard : Fucati vero medicamenta candoris et rub
ation plus fidèle de la nature, ce genre ne demeure enseveli dans une espèce de médiocrité. S’il m’est permis d’être sincère j
. XXXVII. Il y a des mots qui sont à d’autres ce que le genre est à l’ espèce , ou ce que l’espèce est au genre. Les mots genre
mots qui sont à d’autres ce que le genre est à l’espèce, ou ce que l’ espèce est au genre. Les mots genre ont un sens plus lar
’est pour cela qu’ils conviennent mieux au style très-noble. Les mots espèce conviennent au style concis, parce qu’ils pressen
et beautés chez les autres. LXVII. Il y a, dans la grande langue, une espèce de langue particulière et que j’appellerais volon
es, comme en une place publique, à l’attention universelle ; de cette espèce sont les lois, les inscriptions, les maximes, les
une énergie qui ne fortifie rien, une concision qui ne dessine aucune espèce de traits, un style dans lequel ne coulent ni sen
comparer celui de l’attente trompée, mais trompée agréablement. Cette espèce de jeu est ordinairement produite par des symétri
pas trop pourquoi il a retranché cette phrase, qui était au moins une espèce de correctif. S. 96. Alceste n’est certainement
100 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — A — article »
Arche d’alliance ; espèce de coffre que le peuple Hébreu avoit construit, v
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