s mimes, du nome, du dithyrambe, etc. Il devait parler de différentes
espèces
de vers, de chants, de rythmes, et de leur emploi
ition exacte de la poésie prise en général, et les différences de ses
espèces
. On y trouve la nécessité de mettre dans un poème
tes, deviennent des vues à peu près suffisantes pour juger des autres
espèces
. Ch. Batteux. Poétique. Chapitre I. La
die, la mesure. Je vais traiter de la poésie en elle-même, de ses
espèces
, de l’effet que doit produire chaque espèce, et d
sie en elle-même, de ses espèces, de l’effet que doit produire chaque
espèce
, et de la manière dont les fables doivent être co
le dithyrambe, la plupart des airs de flûte et de cithare, toutes ces
espèces
sont, en général, des imitations. Mais, dans ces
res par l’habitude seule, quelques-uns par la voix ; de même dans les
espèces
dont nous venons de parler, et qui imitent avec l
y a que la parole, soit en prose, soit en vers ; en vers de plusieurs
espèces
ou d’une seule, comme on a fait jusqu’ici. Car no
émon dans son Centaure, de mêler dans un poème des vers de toutes les
espèces
, mériterait-il le nom de poète ? Conservons en co
u’elle envoie, et il est reconnu d’elle par un autre moyen. Voilà des
espèces
de fables marquées par la péripétie et par la rec
t quelles sont les parties de la tragédie qui la constituent dans ses
espèces
: celles qui constituent son étendue et dans lesq
endue ; on a parlé précédemment de celles qui la constituent dans son
espèce
. Chapitre XIII. Du choix des personnages prin
oètes ont la complaisance de se prêter quelquefois. La joie que cette
espèce
de dénouement produit appartient au comique et no
n et n’achève point. La seconde manière est d’achever ; et dans cette
espèce
, il est mieux d’achever sans connaître et de reco
rages qu’on a publiés sur cette matière. Chapitre XVI. Des quatre
espèces
de reconnaissances. Nous avons dit ci-dessus
essus ce que c’est que la reconnaissance ; ici nous en marquerons les
espèces
. La première, qui ne demande point d’art, et que
colliers, les bracelets, le petit berceau dans Tyro. Mais dans cette
espèce
il y a deux manières, dont l’une est meilleure qu
oyen d’une péripétie comme celle du Bain sont préférables. La seconde
espèce
est de celles qui sont imaginées par le poète, et
reconnaissance se fait par une navette qui rend un son. La troisième
espèce
est par le souvenir ; lorsqu’à la vue d’un objet
lle un souvenir, et pleure ; ce qui le fait reconnaître. La quatrième
espèce
est par le raisonnement, comme dans les Choëphore
i se fait aux enfers. Le poète doit tâcher de réussir dans ces quatre
espèces
, ou du moins dans le plus d’espèces qu’il lui ser
tâcher de réussir dans ces quatre espèces, ou du moins dans le plus d’
espèces
qu’il lui sera possible, et dans les plus importa
maticaux du langage. Des mots, de leurs parties composantes, de leurs
espèces
. Dans ce qui concerne les mots, on distingue
divisibles, et ne sont point des éléments. Les éléments sont de trois
espèces
: sonores, demi-sonores, non sonores13. Les sonor
ents sonores, comme γ, δ. Les différences de ces éléments, dans leurs
espèces
, viennent des configurations de la bouche, des en
re à une autre signification : ce qui se fait en passant du genre à l’
espèce
, ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’espè
ignification : ce qui se fait en passant du genre à l’espèce, ou de l’
espèce
au genre, ou de l’espèce à l’espèce, ou par analo
fait en passant du genre à l’espèce, ou de l’espèce au genre, ou de l’
espèce
à l’espèce, ou par analogie. Du genre à l’espèce,
sant du genre à l’espèce, ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’
espèce
, ou par analogie. Du genre à l’espèce, comme dans
ce au genre, ou de l’espèce à l’espèce, ou par analogie. Du genre à l’
espèce
, comme dans Homère, mon vaisseau s’est arrêté ic
ici : car être dans le port est une des manières d’être arrêté. De l’
espèce
au genre : Ulysse a fait mille belles actions : m
enre : Ulysse a fait mille belles actions : mille pour beaucoup. De l’
espèce
à l’espèce : il lui arracha la vie, il lui tranch
se a fait mille belles actions : mille pour beaucoup. De l’espèce à l’
espèce
: il lui arracha la vie, il lui trancha la vie :
i personne n’avait usé. Nous en avons plusieurs qui semblent de cette
espèce
, comme ἐρνύτας pour κέρατα (cornes) et ἀρητῆρα po
ores, les mots étrangers, les épithètes d’ornement, et par les autres
espèces
que nous avons indiquées ; et elle sera claire pa
aphores aux poèmes ïambiques17 : avec cette différence que toutes ces
espèces
entrent également dans le vers héroïque, et que l
ut complet, comme l’est un animal, et qui nous donne un plaisir d’une
espèce
particulière, sans ressembler aucunement aux comp
. L’épopée et la tragédie comparées. L’épopée a encore les mêmes
espèces
que la tragédie ; car elle est ou simple, ou impl
peut même chanter, comme faisait Mnasithée d’Oponte ; que toutes les
espèces
de gestes ne sont pas à blâmer, non plus que tout
s les espèces de gestes ne sont pas à blâmer, non plus que toutes les
espèces
de danses, mais seulement ceux qui seraient indéc
l’effet qu’elle produit (car les tragédies donnent à l’âme, non toute
espèce
de plaisir, mais celui qu’on a dit), il est clair
t de la manière d’y répondre. 1. C’est-à-dire philosophiques ; l’
espèce
pour le genre. 2. Poème sur la poltronnerie, par
, son, auquel il a ajouté par degré les différences propres de chaque
espèce
. On n’a pu conserver cette précision logique dans
s mots qui composent le discours, sont compris dans l’une de ces huit
espèces
: voilà pourquoi on les appelle parties de l’orai
x-mêmes, ou avec quelques qualités dont ils sont revêtus : delà, deux
espèces
de nom ; le substantif, et l’adjectif. Le nom sub
. Lorsqu’un nom substantif peut convenir à tous les objets d’une même
espèce
, il est commun. Tel est le mot homme, qui convien
uisé toutes leurs cartouches. Couple, signifiant deux choses de même
espèce
qu’on met ensemble, est féminin : = une couple d’
-fous. Cependant la même académie ajoute, dans quelques noms de cette
espèce
, une s à la fin du premier mot. Elle écrit un cha
Il y a des noms qui n’ont point de pluriel. Les substantifs de cette
espèce
sont, aide (secours) ; bercail, bien-être, butin,
i donnant une signification générale, puisque je parle ici de toute l’
espèce
de pain. Si je dis : le pain de ce boulanger est
, soit que l’on veuille par ces noms exprimer déterminément toute une
espèce
de choses ou de personnes ; comme les hommes sont
igner qu’une ou plusieurs parties, un ou plusieurs individus de cette
espèce
; comme, les hommes vertueux ne se laissent point
compagnés de l’article. Si on le met avant des mots d’une toute autre
espèce
, ces mots deviennent alors de véritables substant
s, indéfinis, absolus, et démonstratifs. En admettant ces différentes
espèces
de pronoms, je ne m’attacherai cependant pas à ce
e celle de l’abbé d’Olivet, pour démêler ce que les pronoms de chaque
espèce
ont de particulier. Ils sont de vrais noms ; les
rbes ; l’actif, le passif, le réciproque, et le neutre. Différentes
espèces
de verbes. Le verbe actif exprime une action q
x : = ce jeune fat se vante toujours. On voit que les verbes de cette
espèce
sont accompagnés de deux pronoms de la même perso
omettre de ce qui peut empêcher les jeunes gens de confondre ces deux
espèces
de verbes, voici un moyen facile et sûr de les di
t semblables à celui que nous venons de conjuguer, il y en a de trois
espèces
, qui ont des terminaisons différentes aux mêmes t
erait superflu de conjuguer ici tous les verbes de ces deux dernières
espèces
. Il suffira de dire un mot des moins connus, conc
s sont des mots, qui marquent les différens rapports, c’est-à-dire, l’
espèce
de liaison et de relation, que les choses ont les
n les place toujours avant ces mots qu’elles régissent. Différentes
espèces
de prépositions. Il serait bien difficile, ou
fficile, ou du moins bien long, d’indiquer exactement les différentes
espèces
de prépositions. Il y en a autant qu’il y a de ma
; et c’est pour cette raison qu’il est appelé adverbe. Différentes
espèces
d’adverbes. On peut réduire toutes les espèces
erbe. Différentes espèces d’adverbes. On peut réduire toutes les
espèces
d’adverbes à cinq. Ce sont, 1°. les adverbes de m
ours. J’en vais citer des exemples, en faisant connaître les diverses
espèces
de conjonctions que distinguent les grammairiens.
nguent les grammairiens. Ils en comptent jusqu’à douze. Différentes
espèces
de conjonctions. 1°. Les conjonctions copulati
observer ici qu’une conjonction se rapporte bien souvent à plusieurs
espèces
, suivant le sens dans lequel elle est employée :
Récapitulation des huit parties de l’oraison. Telles sont les huit
espèces
de mots qui composent le discours, et dont on ne
grés, organiquement ou accidentellement, dans l’immense majorité de l’
espèce
humaine, et elles sont perfectibles par la méthod
l’ensemble du sujet. On peut les réduire aux suivants : Le genre et l’
espèce
; Les antécédents et les conséquents ; La cause e
du dans son état normal et habituel, l’étude des passions considère l’
espèce
dans les accidents identiques qui l’affectent, en
essentielle à donner à ce plan c’est l’unité. On distingue plusieurs
espèces
d’unités : unité d’action, d’intérêt, de mœurs, d
andeur, ou la faiblesse et l’indignité. D’où il suit qu’on admet deux
espèces
d’amplification, celle qui agrandit, et celle qui
ents, à réfuter les objections des adversaires, à dévoiler toutes les
espèces
de paralogismes et de sophismes. La réfutation es
t, ne doit pas être recherchée ; il faut s’appliquer spécialement à l’
espèce
d’harmonie imitative qui représente l’idée par le
étudiée. Chapitre XIX. Outre ces qualités essentielles à toute
espèce
d’écrits, les différents genres exigent chacun de
lui qui les emploie, on peut rattacher à la métaphore : La métonymie,
espèce
de métaphore dans laquelle les expressions substi
ccasions. Seulement il n’en faut pas abuser. On en distingue diverses
espèces
: La réversion qui fait revenir les mots sur eux-
nsée, on produit de l’effet seulement en la répétant. Il y a diverses
espèces
de répétitions : Ou l’on reproduit plusieurs fois
me et la vue de l’esprit. Ces dernières figures sont : L’exclamation,
espèce
d’élan du cœur, qui substitue l’expression d’un s
cipes d’argumentation, et les principaux termes affectés aux diverses
espèces
d’arguments. Avant tout, il faut bien savoir quel
ou nié universellement d’une idée peut être affirmé ou nié de chaque
espèce
particulière et de chaque individu compris dans c
appelle sorite cette suite de syllogismes tronqués. Enfin la dernière
espèce
de syllogisme est le dilemme. Il s’agit, dans le
voulez prouver par le dilemme que Dieu a créé le monde parfait en son
espèce
: — « Majeure : Si Dieu n’a pas créé le monde par
rait pas Dieu ; — Conclusion : donc il a créé le monde parfait en son
espèce
. » Je passe d’autres espèces d’arguments ; ce li
: donc il a créé le monde parfait en son espèce. » Je passe d’autres
espèces
d’arguments ; ce livre n’est pas un traité de log
’aise dans le vaste champ des universaux. « Qui ne sait traiter que l’
espèce
, dit Vico, diffère autant de celui qui s’élève ju
n proverbe : Comparaison n’est pas raison ; dévoilez enfin toutes les
espèces
de sophismes et de paralogismes. Le paralogisme,
vent de même de l’éloge ou du blâme, qui ne sont en définitive qu’une
espèce
de jugement, sauf la sanction pénale ; d’où il su
rtout également travaillée, également éclatante, causerait plutôt une
espèce
d’éblouissement qu’une véritable admiration. Il e
e grâce, de vivacité ou de noblesse. — Blair définit les figures, une
espèce
de langage suggéré par l’imagination et par les p
nt l’idée comme le fait l’expression simple, y ajoute une parure, une
espèce
de vêtement qui la fait remarquer et qui la décor
les qui donnent à la poésie et à l’éloquence la vie, l’âme, comme une
espèce
d’action et de mouvement. D’abord, les figures en
e figuré, ne devra pas tenter de le faire. 192. Combien compte-t-on d’
espèces
de figures ? Les rhéteurs divisent ordinairement
03. N’y a-t-il pas plusieurs sortes de répétitions ? Les principales
espèces
de répétitions sont : 1° La conversion, qui consi
cheveux… La charrue écorche la plaine. — On peut rapporter à la même
espèce
celles qui sont empruntées des sciences. 5° Les m
e l’allégorie ? L’allégorie n’est qu’une métaphore prolongée, ou une
espèce
de fiction qui consiste à présenter un objet à l’
tonomase supposant une comparaison qui se fait dans l’esprit, est une
espèce
de métaphore par laquelle on se sert d’un nom com
0. Qu’est-ce que la synecdoque ? La synecdoque ou synecdoche est une
espèce
de métonymie par laquelle un mot prend un nouveau
le Tibre, pour les Romains ; la Seine, pour Paris. 2° Le genre pour l’
espèce
, et l’espèce pour le genre : Les mortels pour les
r les Romains ; la Seine, pour Paris. 2° Le genre pour l’espèce, et l’
espèce
pour le genre : Les mortels pour les hommes : Se
les Fénelon, les Massillon, pour Bossuet, Fénelon, Massillon. A cette
espèce
de synecdoque se rapporte l’emploi d’un nombre ce
Lamartine. 222. Qu’est-ce que la métalepse ? La métalepse est une
espèce
de métonymie par laquelle on prend l’antécédent p
effet, toutes les figures peuvent se rencontrer dans les différentes
espèces
de style ; et il en est plusieurs qui paraissent
. 235. En quoi consiste la litote ? La litote ou diminution est une
espèce
d’atténuation qui consiste à se servir, par modes
on, surtout dans le genre sérieux. Voici des exemples de ces diverses
espèces
. J.-B. Rousseau raille finement, dans son épître
l’esprit quand l’oreille est blessée. 265. Combien distingue-t-on d’
espèces
d’harmonie ? On distingue deux espèces d’harmoni
265. Combien distingue-t-on d’espèces d’harmonie ? On distingue deux
espèces
d’harmonie : l’une qui consiste dans l’arrangemen
des expressions et par la coupe et l’enchaînement des périodes. Cette
espèce
d’harmonie a pour but de donner de l’agrément et
cise ne détruit pas le sens de la période. 273. Combien compte-t-on d’
espèces
de périodes ? Il y a des périodes de deux, de tr
de près à notre âme par le rapport des sons avec les pensées. Cette
espèce
d’harmonie se rencontre dans les ouvrages en pros
anse. Le poète a donc en son pouvoir de rappeler vivement l’idée de l’
espèce
de mouvement qu’il veut décrire, en employant des
imitative peut-elle exprimer les mouvements de l’âme ? La troisième
espèce
d’objets que les mots peuvent imiter par le son,
tristes et mélancoliques. 286. Faites connaître des exemples de cette
espèce
d’harmonie. Peinture de lieux agréables. Deve
ions ? — Transitions communes ? Si l’on veut considérer les diverses
espèces
de transitions, on pourra les réduire à deux clas
s piquante et produisent beaucoup d’effet dans le discours. C’est une
espèce
de métaphore plus hardie que les autres ; mais on
muet, n’est comptée pour rien. Voici des exemples de ces différentes
espèces
de vers. Vers masculin alexandrin. La-ver-tu-doi
lines et les féminines, de manière que deux différentes rimes de même
espèce
ne se trouvent jamais ensemble dans une même suit
s, de manière que le premier et le dernier vers d’une stance soient d’
espèce
différente. Sans cette attention, l’oreille du le
mêmes ? Le voici. Le poète rassemble les plus beaux traits de la même
espèce
, qu’il voit épars dans la nature, et qui peuvent
ein de la belle nature. Si ce sont des actions, il faut que dans leur
espèce
, elles soient aussi belles qu’on puisse l’imagine
e réellement faites. Si ce sont des sentiments, il faut que dans leur
espèce
, ils soient aussi beaux qu’on puisse l’imaginer,
semblable circonstance. Si ce sont des images, il faut que dans leur
espèce
, elles soient aussi belles qu’on puisse l’imagine
ne des sentiments infiniment au-dessus de l’être le plus grand de son
espèce
; s’il présente l’image d’un objet que notre espr
ne, parvient à ébranler doucement notre âme, et à la plonger dans une
espèce
de ravissement. Cette harmonie, un des plus puiss
nt séparées de deux autres rimes semblables, que par deux rimes d’une
espèce
différente, comme dans ces vers de Voltaire : So
ent quelque sujet dans le dessein d’instruire : de là naissent quatre
espèces
de poésies. Quand le poète raconte une action, c’
lles ; étudiez-la donc sous le rapport du genre, sous le rapport de l’
espèce
. Revenons, par exemple, à l’idée république. L’id
ci aidera puissamment à traiter celle-là. Puis viendront les diverses
espèces
de républiques : aristocratique, démocratique, ol
traiter tel sujet par les circonstances, tel autre par le genre et l’
espèce
, et ainsi de suite. « L’esprit, dit avec raison M
ent treize autres que l’on peut réduire aux suivants : Le genre et l’
espèce
; Les antécédents et les conséquents ; La cause e
pas tout à fait la même idée que les rhéteurs anciens. Le genre et l’
espèce
. Vous voulez exhorter à une vertu spéciale, recom
et nous espérons que nos empires seront éternels ! » Ce sera le lieu
espèce
. Massillon pense que la première tentation à laqu
aquelle les grands soient exposés est le plaisir. Les grands sont une
espèce
relativement au genre humain ; il établit d’abord
les goûts naturels et délicats se passionnent volontiers pour toutes
espèces
de fleurs, soit qu’elles croissent dans les jardi
et au style, l’autre les préceptes particuliers qui régissent chaque
espèce
de composition. Questionnaire. 1. Qu’est-ce que l
tirées du fond même du sujet. Tels sont : la définition, le genre, l’
espèce
, l’énumération des parties d’une chose, etc., etc
éfinition ; je continuerai en nommant sa famille, ou son genre et son
espèce
; je m’animerai en parlant de l’élégance de sa fo
l’occasion d’entrer plus convenablement en matière. 6. Il y a quatre
espèces
d’exorde que l’orateur emploie suivant les circon
arques à faire sur l’exorde ? — 5. Continuez. — 6. Combien y a-t-il d’
espèces
d’exorde ? — 7. Qu’énonce la proposition ? — 8. Q
être correct ? — 5. Qu’est-ce que la phrase ? — 4. Y a-t-il plusieurs
espèces
de phrases ? — 5. Quand la phrase est-elle compos
ode peuvent-ils contenir des incidences ? — 10. Enumérez les diverses
espèces
de périodes. — 11. Donnez-nous un exemple d’une p
ec celui auquel il se rapporte dans la phrase. 11. On distingue trois
espèces
de syllepse : 1° Syllepse du genre ; c’est celle
ux ? — 10. Qu’est-ce que la syllepse ? — 11. Combien distingue-t-on d’
espèces
de syllepse ? — 12. Qu’est-ce que l’hyperbate ? —
mot dont on se sert ne signifie dans le sens propre. 10. Il y a sept
espèces
de synecdoque : 1° du genre pour l’espèce : la cr
ns propre. 10. Il y a sept espèces de synecdoque : 1° du genre pour l’
espèce
: la créature pour l’homme ; 2° de l’espèce pour
oque : 1° du genre pour l’espèce : la créature pour l’homme ; 2° de l’
espèce
pour le genre : l’homme pour l’homme et la femme
tonymie ? — 9. Qu’est-ce que la synecdoque ? — 10. Combien y a-t-il d’
espèces
de synecdoques ? — 11. Les exemples de synecdoque
dirai par ironie : Vous êtes bien aimable ! 12. L’euphémisme est une
espèce
de litote ; elle supprime l’expression qui rend u
e la pensée badine. — 15. À quoi servent les transitions et combien d’
espèces
en comptez-vous ? (17e Leçon) — Moyens de décou
a disposition et ses éléments ; 2° la forme y qui comprend toutes les
espèces
d’ornements que nous avons passés en revue jusqu’
nie imitative, enfin à tout ce qui choque l’oreille. 9. Rejeter toute
espèce
d’ornement, renoncer à l’emploi des figures les p
2. Le boursouflé, l’ampoulé, l’emphatique, sont trois défauts de même
espèce
, indiquant en général tout ce qui est outré dans
la voix, qui indique à l’auditeur comment il doit répondre. Quant à l’
espèce
d’accent qu’on fait entendre pour varier l’harmon
osition doit rester la même que pour les lettres. 7. Il y a vingt-une
espèces
de lettres ; mais nous ne pouvons traiter ici que
ial particulier à observer dans les lettres ? — 7. Combien y a-t-il d’
espèces
de lettres ? — 8. À quelles occasions écrit-on un
que l’apologue est plus noble, c’est le genre ; la fable n’est que l’
espèce
. 12. Tout apologue doit contenir une action avec
ais classiques elle est beaucoup plus restreinte, et se réduit à deux
espèces
: la harangue historique, et la harangue militair
déterminée par le nombre des syllabes ; c’est elle qui indique chaque
espèce
devers. Si une syllabe manque à un vers, il y a d
Nus De leurs provinces. [Panard.] La fable suivante renferme les dix
espèces
de mesure. 12. O mort ! viens terminer ma misère
ourne sans bruit — autour de son berceau. [Amable Tastu.] Les autres
espèces
de vers n’exigent point cette division. Il faut p
ce, etc., parce que les consonances our, or, vi, pa, n’offrent aucune
espèce
d’analogie. 3. Pour distinguer une rime féminine
râce n’est clans cette césure produite forcément par l’enjambement. L’
espèce
d’enjambement la plus commune aux poètereaux, c’e
oit se peindre comme la vérité, ce qui demande un vraisemblable d’une
espèce
particulière au drame, le jugement des yeux étant
touchante ; ou bien elle est commune, enjouée et légère. De là, deux
espèces
de drames : la tragédie et la comédie. 413. Comme
rs pièces qui se terminent par un trait lumineux et frappant, par une
espèce
de moralité, comme Athalie et Sémiramis. § II.
élude à une pièce dramatique. Chez les anciens, le prologue était une
espèce
de préface, dans laquelle un acteur spécial qui p
et des scènes ? Horace a fixé à cinq le nombre des actes pour toute
espèce
de pièce dramatique. Neve minor, neu sit quinto
e manière naturelle et logique. Or, le dialogue a deux formes et deux
espèces
: il est soutenu, quand l’acteur développe ce qu’
ses arguments, en une réplique suivie, d’une certaine étendue. Cette
espèce
, ordinaire à nos théâtres, n’est pas si commune à
est l’auteur dont les personnages se répondent le mieux dans les deux
espèces
de dialogue. Dans le comique, Molière est un modè
l délibère tout haut s’il immolera ou non Iphigénie. Il y a alors une
espèce
de dialogue de deux hommes en un seul. Le roi et
e genre tragique ? Le genre tragique ou genre sérieux comprend trois
espèces
de compositions dramatiques : la tragédie proprem
le ton uniformément sérieux qu’il garde quelquefois : car il y a deux
espèces
, l’une qui ne se compose que d’un sujet sombre do
ra-comique qui admet le dialogue parlé. 490. Combien distingue-t-on d’
espèces
d’opéra lyrique ? D’après notre définition, le m
ace au moins à un autre genre ; et, en effet, on peut distinguer deux
espèces
d’opéra lyrique : l’un pris dans l’hypothèse du m
va puiser ce merveilleux quelle étale, pour plonger nos sens dans une
espèce
d’enchantement. On peut voir, pour le genre mytho
t-à-dire l’entretien uni, le simple dialogue des personnages, par une
espèce
de chant qui approche beaucoup de l’accent nature
ou hiérodrame, que l’on a appelé quelquefois opéra spirituel, est une
espèce
de drame religieux qu’on exécute à grand orchestr
e deux ridicules ou de deux vices opposés. 511. Combien compte-t-on d’
espèces
de comique ? Marmontel distingue trois espèces d
Combien compte-t-on d’espèces de comique ? Marmontel distingue trois
espèces
de comique : le haut comique ou comique noble, le
ce qu’on voit dans le Festin de Pierre. 513. Combien distingue-t-on d’
espèces
de comédie ? On distingue trois espèces principa
13. Combien distingue-t-on d’espèces de comédie ? On distingue trois
espèces
principales de comédie proprement dite ; la coméd
étachées ou à tiroir. 524. Qu’est-ce que la farce ? La farce est une
espèce
de comédie grossière et bouffonne, qui a pour but
l en a de particulières que nous indiquerons. 530. Combien y a-t-il d’
espèces
d’opéra comique ? On compte deux sortes d’opéra
raison pour ceux qui n’en ont point, fourmillent de fautes de toutes
espèce
: il est impossible à un homme de lettres d’en li
rle et son propre désespoir, son devoir particulier. Il y a une autre
espèce
de syllepse qu’on nomme oratoire par laquelle un
sert de qualificatif. Attila, fléau de Dieu. Ici il y a une
espèce
d’ellipse, on sous-entend surnommé le ou qui se f
grammaticales, pour les distinguer des Tropes, qui sont une deuxième
espèce
de figures de mots. Tropes. Le mot Tropes
de là vient que presque toutes les métaphores sont des images, et des
espèces
de similitudes et de comparaisons. Quand je dis d
upprime le mot propre et en met un autre à la place. Il y a plusieurs
espèces
de métonymies. 1° Métonymie de la cause pour l’ef
ion de la créature et le malheur de l’homme déchu. 2° Synecdoque de l’
espèce
. L’homme, pour l’homme et la femme. C’est le moin
et la femme. C’est le moins pour le plus. L’attention se porte sur l’
espèce
la plus noble du genre. 3° La Synecdoque dans le
raité. VI. Antonomase. — Nom remplacé. 15. L’antonomase est une
espèce
de synecdoque ; mais les rhéteurs en ont fait un
VII. Métalepse. — Marque de changement. 16. La métalepse est une
espèce
de métonymie par laquelle on explique ce qui préc
faire pour punir ou se venger. Comme on le voit, l’euphémisme est une
espèce
de litote, et suppose dans celui qui sait habilem
on, la définition et l’amplification. Je les regarde plutôt comme des
espèces
particulières de composition, dont je parlerai qu
pour exprimer un doute que pour rendre sensible une vérité. C’est une
espèce
de défi de nier ce qu’on dit ; il n’y a rien qui
le nom d’Epitrope. XII. Subjection. 37. La subjection est une
espèce
de prolepse. Dans cette figure on interroge son a
rtifice, et « comme il est naturel à l’homme de se défier de toute
espèce
d’artifice, la meilleure figure est celle qui est
Elle est comme transportée au-dessus d’elle-même, et se remplit d’une
espèce
de joie orgueilleuse, comme si elle avait produit
ction suffit pour qu’on puisse l’appliquer convenablement. La seconde
espèce
d’harmonie est d’harmonie imitative. Cette derni
ensées. Tantôt elle peint par le son l’idée qu’on exprime ; c’est une
espèce
d’onomatopée, mais plus riche et plus difficile à
ndance et de vivacité ; mais belliqueux reste adjectif en précisant l’
espèce
de feu dont le coursier est animé. Comme un tigr
exemple remarquable de dureté. La sécheresse. — Rejeter toutes
espèces
d’ornements, renoncer aux figures, même les plus
Le boursoufflé, l’ampoulé, l’emphatique. — Trois défauts de même
espèce
indiquant en général tout ce qui est outré clans
drait être toujours sublime, ne serait que ridicule et insensé. Cette
espèce
de définition est donc vague et même futile, et i
12. Division de l’école. I— Figures de mots proprement dites : 1ère
Espèce
. — Figures grammaticales. — 1. Ellipse. — 2. Pléo
ales. — 1. Ellipse. — 2. Pléonasme. — 3. Syllepse. — 4. Hyperbate. 2e
Espèce
. — Figures oratoires. — 1. Répétition. — 2. Disjo
ie. — 5. Synecdoque. — 6. Antonomase. III. — Figures de pensées : 1re
Espèce
. — Figures par développement. — 1. Exposition. —
. Description. — 4. Définition. — 5. Périphrase ou circonlocution, 2e
Espèce
. — Figure par raisonnement. — 1. Exténuation. — 2
— 7. Prolepse. — 8. Subjection. — 9. Epiphonème. — 10. Permission. 3e
Espèce
. — Figures par combinaison. — 1. Comparaison. — 2
thèse. — 4. Pointe ou jeux de mots. — 5. Allusion. — 6. Gradation. 4e
Espèce
. — Figures par fiction. — 1. Interrogation. — 2.
. Prétermission. — 4. Réticence. — 5. Correction. — 6. Suspension. 5e
Espèce
. — Figures par mouvement. — 1. Commination. — 2 O
mouvement ! 13. Lemercier. 14. Les rhéteurs distinguent plusieurs
espèces
de sublime : — le sublime de style. — Le sublime
profonde, et décida son goût pour l’étude de la littérature. Par une
espèce
de sentiment de reconnaissance, il conserva toute
araît que de faibles lueurs ; les beautés qui les affectent sont de l’
espèce
la plus grossière, et encore n’en ressentent-ils
tte perfection ne se rencontre point, et qu’il n’est personne à qui l’
espèce
humaine puisse rendre cet hommage, quelle sera l’
et sublimes, mais chacun s’en forme une idée. Elle consiste dans une
espèce
d’admiration, dans une sorte d’épanchement de not
s’il n’est à la fois vaste et élevé. Il y a aussi en architecture une
espèce
de grandeur, qu’on appelle grandeur de manière, e
nt notre admiration. Il arrive bien souvent encore qu’il n’y a aucune
espèce
de grandeur dans ce qui est douloureux ou terribl
harmonie, n’en ont pas plus avec le style sublime qu’avec toute autre
espèce
de style, et peut-être même bien moins encore, pa
essus d’elle-même ; tant que dure cette émotion, nous jouissons d’une
espèce
d’enthousiasme ; mais l’âme néanmoins tend sans c
personnes croient que des mots pompeux, des épithètes accumulées, une
espèce
d’enflure dans les expressions, enflure qui consi
mêlant aux cris douloureux des mourants. » Une introduction de cette
espèce
est un effort pénible de l’écrivain pour émouvoir
s figures ; mais si nous voulons l’appliquer à des objets d’une autre
espèce
, comme aux couleurs et aux mouvements, nous verro
et que l’art s’efforce en vain d’imiter, comme le plumage de quelques
espèces
d’oiseaux, la corolle des fleurs, et cette magnif
seul but un si grand nombre de parties diverses et compliquées. Cette
espèce
de sentiment de la beauté a sur la plupart de nos
ni le sublime, ni le pathétique, ni le brillant, mais seulement cette
espèce
d’émotion que le lecteur éprouve, émotion douce e
gnes sont les mots et l’écriture. Les paroles, en effet, n’ont aucune
espèce
de ressemblance avec les pensées qu’elles exprime
l comme arbitraires et conventionnels, et on doit les attribuer à une
espèce
d’accord que les hommes ont fait entre eux. La pr
le de mots qui évidemment ont été construits d’après ce principe. Une
espèce
d’oiseau s’appelle coucou d’après le cri qu’il je
e avec les choses signifiées, les hommes, tant que ce langage fut une
espèce
de peinture pour laquelle on employait des sons,
d’en avoir imaginé pour exprimer les dispositions de l’âme, ou aucune
espèce
d’idée morale ou intellectuelle. Ainsi la langue
foule d’autres exemples semblables. Nous appelons ordinairement cette
espèce
de style, style oriental, parce qu’il plaît surto
us venons de faire peuvent apporter quelque éclaircissement sur cette
espèce
de paradoxe, que la poésie est plus ancienne que
comme la seconde période de l’art d’écrire. Les hiéroglyphes sont des
espèces
de symboles faits pour représenter des objets inv
té, qui n’a ni commencement ni fin. Les hiéroglyphes étaient donc des
espèces
de peintures dont le sens était plus recherché et
désuétude, les prêtres continuèrent encore à s’en servir comme d’une
espèce
d’écriture sacrée ; elle leur devint exclusive, e
avec lesquels ils se communiquaient leurs pensées. Telle est encore l’
espèce
de caractères dont on se sert aujourd’hui dans le
us avons empruntées des Arabes, sont des marques significatives d’une
espèce
parfaitement analogue aux caractères chinois ; el
doptée par tous les peuples de l’Europe. L’écriture fut longtemps une
espèce
de gravure. On y employa d’abord des colonnes ou
e, donnent de la chaleur aux expressions, et opèrent sur nous par une
espèce
de sympathie, qui est un des plus puissants moyen
apprit ensuite à diviser les objets compris sous ce nom générique en
espèces
particulières, comme le chêne, le pin, le frêne e
d’objets individuels, mais bien des noms de genres très étendus ou d’
espèces
nombreuses d’objets, comme : « homme, lion, maiso
e et, par conséquent, à les confondre sous la dénomination d’une même
espèce
. Nous observons tous les jours que les enfants pr
que le même que one, un24, et indique seulement un des individus de l’
espèce
, lequel demeure inconnu ou indéterminé ; comme :
e l’article, indique un individu connu et déterminé parmi ceux de son
espèce
, comme le lion, le roi. Les articles sont des mot
On peut, avec beaucoup de vraisemblance, attribuer l’origine de cette
espèce
de nombre à ce que, les hommes n’ayant point d’ab
s sur les principes de la grammaire, à une certaine ressemblance, une
espèce
d’analogie entre les choses inanimées et les qual
le génitif, le datif et l’ablatif, cas qui expriment et le nom et les
espèces
de relations de ce nom déterminées en anglais par
place avant le substantif. Les noms anglais n’ont d’autre cas qu’une
espèce
de génitif, marqué le plus ordinairement par l’ad
oire que leur invention remonte bien haut, car ce sont des mots d’une
espèce
particulière que l’art seul a pu trouver. Il faut
nis dans l’objet. La liberté des transpositions exigeait encore cette
espèce
de rapprochement ; car, en permettant que, dans u
ecture IX. Structure du langage. — Langue anglaise. De toutes les
espèces
de mots auxquels on a donné le nom d’attributifs,
a dans ce pays, jusqu’à l’invasion des Francs et des Normands, qu’une
espèce
de latin corrompu, mélangé de celtique, et auquel
x soient si intimement liés, puisque le style n’est autre chose que l’
espèce
d’expression que nos pensées prennent au moment o
n jour. La clarté dans le style ne peut pas être considérée comme une
espèce
de mérite négatif, c’est-à-dire comme l’absence d
peuvent rendre la pensée avec autant de force et d’énergie que cette
espèce
d’anglais latinisé. Examinons actuellement ce qu’
vous faites ensuite paraître devant moi plusieurs animaux de la même
espèce
, qui se ressemblent sous quelques rapports, mais
de l’écrivain. Quintilien nous donne une définition parfaite de cette
espèce
de style : Est in quibusdam turba inanium verbor
. » Une chose est unique lorsqu’il n’y en a point d’autres de la même
espèce
; elle est seule lorsqu’elle n’est accompagnée d’
er le sens de la manière la plus distincte, il semble dédaigner toute
espèce
d’embellissement, ce qui, de temps à autre, donne
rapide qui imprime à la pensée une sorte d’énergie, et lui donne une
espèce
d’éclat momentané ; mais le plus souvent elles pr
es avantages de la fortune. » L’on éprouve une sorte de peine à cette
espèce
de détour, à cette séparation violente de deux ch
es les plus médiocres, et est en langage vulgaire appelée discrétion,
espèce
de prudence, etc. » En mettant et est, au lieu de
p souvent dans des sujets qui n’exigent aucune pompe. Mais il est une
espèce
de gradation à laquelle il ne faut jamais manquer
ens, leurs tragédies comme leurs comédies, étaient accompagnées d’une
espèce
de musique. Voilà pourquoi l’on trouve à la tête
ux Romains assemblés, il avait un musicien derrière lui qui, avec une
espèce
de flûte, lui donnait le ton qu’il devait prendre
Mais premièrement, nos mots ne sont pas divisibles en pieds de cette
espèce
; car notre quantité, c’est-à-dire la brièveté ou
nous voyons combien ces anciens critiques différaient entre eux sur l’
espèce
de pied qui convenait le mieux à la fin, ou dans
ême temps placées à des intervalles égaux pour former entre elles une
espèce
de proportion musicale. Ceci va s’éclaircir par d
tout se prononce aisément, tout s’entend avec plaisir, et c’est cette
espèce
de mesure facile, c’est cette division régulière
genre de style employé par l’écrivain ; dans le second, il prend une
espèce
de ressemblance avec l’objet qu’il sert à exprime
et exige surtout que ces mots terminent les périodes. C’est par cette
espèce
de mélodie que les premiers versets sont particul
de style employé par l’écrivain, on peut encore lui faire prendre une
espèce
de ressemblance avec l’objet qu’il exprime. On n’
’âme. Le son, au premier coup d’œil, semble n’avoir avec elles aucune
espèce
d’analogie ; mais le contraire est assez prouvé p
ens une ressemblance qui échappe à d’autres lecteurs ; il se crée une
espèce
de mélodie conforme à sa disposition morale, et l
ion ne transmet que notre idée, les figures ajoutent à cette idée une
espèce
de vêtement, vêtement qui la rend plus sensible e
ue nous leur supposons avec ces conditions de la vie humaine. L’autre
espèce
de figures, appelée figures de pensées, suppose q
ouva qu’il y avait entre ces situations et les situations de lieu une
espèce
de ressemblance ou d’analogie, et l’on employa de
semble. Toutes les langues ont une grande quantité de tropes de cette
espèce
, que l’on n’a formés que parce que le mot propre
froide, un cœur dur, etc. Il en est d’autres qui sont restés dans une
espèce
d’état mixte, qui n’ont pas entièrement perdu leu
es phrases se multiplient sans cesse pour exprimer des idées de toute
espèce
, pour faire sentir les différences les plus légèr
nt précisément fondés que sur des relations ou des analogies de cette
espèce
. Lorsque, par exemple, au lieu de « la jeunesse,
des tropes, je devrais actuellement passer en revue leurs différentes
espèces
, et les classes diverses dans lesquelles on les r
« prendre l’autorité royale. » L’on a donné le nom de métonymie à ces
espèces
de tropes qui sont fondés sur les rapports des ca
est pris pour la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’
espèce
, ou l’espèce pour le genre ; le singulier pour le
r la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’espèce, ou l’
espèce
pour le genre ; le singulier pour le pluriel, ou
rait eu en se présentant toute seule. Je n’ai point encore parlé de l’
espèce
de relation la plus féconde en tropes, celle que
x blancs sont produits par la vieillesse, mais n’ont avec elle aucune
espèce
de ressemblance. Aristote, dans sa Poétique, donn
t est mis pour la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’
espèce
, ou l’espèce pour le genre, etc. Mais il serait i
r la partie, ou la partie pour le tout ; le genre pour l’espèce, ou l’
espèce
pour le genre, etc. Mais il serait injuste d’en p
es métaphores ; ces règles sont presque toutes applicables aux autres
espèces
de tropes. La première, c’est que les métaphores
me servir d’une expression française. La métaphore, comme les autres
espèces
d’ornements, perd toute sa grâce lorsqu’elle semb
longtemps l’écrivain, s’il entre dans les moindres détails, c’est une
espèce
d’allégorie qu’il nous présente, et non pas une m
l’allégorie eût cessé d’exister, et l’on n’eût plus trouvé que cette
espèce
de confusion, dont j’ai donné des exemples en par
s paraboles est l’explication de l’allégorie. L’énigme est encore une
espèce
d’allégorie, puisque c’est une chose représentée
est toujours fatiguée ou blessée ; car il semble qu’on lui fasse une
espèce
de violence et qu’on la contraigne à sortir de sa
nt ces vers d’un de nos poètes tragiques49, ne fasse pas éprouver une
espèce
de dégoût : « Je la trouvai étendue sur le planch
ment, une action ; et sans doute tout le plaisir que nous cause cette
espèce
de style figuré vient de ce qu’il nous met en rap
quelques occasions rien ne nous semble plus naturel, cependant cette
espèce
de personnification est celle dont l’usage est le
Il faut observer deux règles bien essentielles dans l’emploi de cette
espèce
de personniifcation. La première, c’est de ne s’e
yle51. Nous ne nous arrêterons pas plus longtemps sur les différentes
espèces
de personnifications ou prosopopées. L’apostrophe
, et l’on peut lui assigner trois causes. Premièrement, il vient de l’
espèce
de satisfaction que notre esprit trouve naturelle
rence entre deux objets qui se ressemblent ; la cause finale de cette
espèce
de satisfaction est de nous encourager à regarder
paraison est heureuse et délicate. Cependant il est certain qu’aucune
espèce
de musique ne ressemble en rien aux impressions d
une métaphore, pourvu qu’elle ne soit pas poussée trop loin ; mais l’
espèce
de pompe et de solennité d’une comparaison n’est
ssion. En un mot, la véritable place d’une comparaison est dans cette
espèce
de style qui tient le milieu entre le style ordin
ant de maximes subtiles et symétriquement arrangées. Il y a une autre
espèce
d’antithèse dont la beauté consiste à nous surpre
inte d’une épigramme, n’est le plus souvent qu’une antithèse de cette
espèce
, elle nous surprend par le tour piquant et imprév
n effet, sans le secours de ce point d’admiration, que prodiguent ces
espèces
d’écrivains toujours en extase, nous ne saurions
vers, sont presque toujours du style le, plus simple, et sans aucune
espèce
de figure. J’en ai cité un grand nombre d’exemple
s dont nous allons nous occuper. Denys d’Halicarnasse en compte trois
espèces
: l’austère, le fleuri et le moyen. Le style aust
ièveté des phrases soient le caractère distinctif de l’une ou l’autre
espèce
de style. Un écrivain, en ne se servant que de fo
llons suivre cet ordre dans notre examen. Le style sec n’admet aucune
espèce
d’ornement. C’est assez pour lui qu’il soit enten
, c’est parce que telle est sa manière naturelle de s’exprimer. Cette
espèce
de style admet encore une sorte de négligence qui
ue français, M. Marmontel ; voici comme il s’explique : « C’est cette
espèce
d’ingénuité aimable, d’abandon et de franchise, q
mes entrés dans ces détails, que pour donner une idée plus juste de l’
espèce
de simplicité dont il est ici question. Il est à
rt du cœur. Il aime à la fureur les figures et les ornements de toute
espèce
: quelquefois il est heureux dans l’emploi qu’il
ituel et savant, mais épris de l’amour le plus extravagant pour cette
espèce
de style artificiel, cette parade de langage qui
écrire avec simplicité, sans que pour cela ses ouvrages aient aucune
espèce
de beauté. On peut être sans affectation, et n’en
’écouter que l’inspiration de la nature. Cependant il y a dans chaque
espèce
de style des qualités qu’il ne faut jamais perdre
it faire en sorte qu’une seule domine, afin de prendre telle ou telle
espèce
de style : je n’essayerai pas, non plus, d’indiqu
à ce que l’ardeur de la composition soit calmée, jusqu’à ce que cette
espèce
d’attachement que nous avons pour les expressions
erche pas à fixer l’attention sur son sujet, et ne se sert que de ces
espèces
d’ornements qui, au lieu de lui donner de la forc
es assemblées populaires, offrent une belle et vaste carrière à cette
espèce
d’éloquence, que la chaire même admet quelquefois
oquent ; il ne manque alors ni d’arguments ni d’expressions ; par une
espèce
de sympathie, il embrase les autres de l’ardeur d
ue Égypte. Sans doute il existait déjà, dans ces siècles reculés, une
espèce
d’éloquence ; mais elle approchait plus de la poé
t ; ils indiquaient l’art, ou, pour mieux dire, ils fournissaient des
espèces
de recettes pour faire toutes sortes de discours,
ige les grâces minutieuses, et semble n’aspirer qu’à s’élever à cette
espèce
de sublime qui naît de la pensée. On s’accorde à
resque, en Angleterre surtout, à la simple argumentation. C’est cette
espèce
d’éloquence que les anciens appelaient tenuis ou
erai alors dans de plus grands détails. Lecture XXVII. Différentes
espèces
de discours. — Éloquence des assemblées populaire
écédents et chez les peuples divers, je vais examiner les différentes
espèces
de discours, assigner les caractères qui les dist
re lui ; s’il ne les tient pas, pour ainsi dire, à son unisson, cette
espèce
de dissonance sera vivement sentie et produira l’
nature et la conduite des questions discutées au barreau exigent une
espèce
d’éloquence bien différente de celle qui convient
yle d’argumentation qui caractérise les sermons de l’Église anglaise,
espèce
de style d’autant moins persuasif, qu’il se rappr
ujet sur lequel on veuille parler, on commence toujours par faire une
espèce
d’introduction, pour préparer l’esprit des audite
s, l’art s’y fait plus sentir. Les anciens critiques distinguent deux
espèces
d’introduction auxquelles ils ont donné les noms
t qu’il se propose. Nous avons un exemple admirable de cette dernière
espèce
d’introduction dans la seconde harangue de Cicéro
remier titre renferme évidemment le second, comme le genre renferme l’
espèce
. Une telle méthode jetterait la plus grande confu
e dans le texte, donner une juste idée de la nature du devoir ou de l’
espèce
de vertu qui fait le sujet du discours ; voilà ce
a formation des mots ; mais d’un autre côté, des conjectures de cette
espèce
ouvrent un si libre champ à l’imagination, qu’on
avantage les Éléments de critique, dans lesquels on trouve sur chaque
espèce
de figures des observations judicieuses, éclairci
l’ode et des autres poèmes lyriques Le genre lyrique renferme six
espèces
de poèmes : l’ode qui est la plus haute expressio
é avant Pindare d’autres formes, où on mêlait des vers de différentes
espèces
, avec une symétrie qui revenait beaucoup plus sou
ent produit des variations dans la marche. 191. Combien compte-t-on d’
espèces
d’odes ? On compte quatre espèces d’odes : dans
marche. 191. Combien compte-t-on d’espèces d’odes ? On compte quatre
espèces
d’odes : dans le genre religieux, l’ode sacrée, à
eux, mais il est toujours élégant et varié. Le poète peut, dans cette
espèce
d’ode, répandre avec grâce des traits de morale,
; et l’élégie proprement dite, qui s’étend à tout le reste. Ces deux
espèces
d’élégies suivent également les règles que nous a
verba). Du reste, l’antiquité ne nous a laissé aucun modèle de cette
espèce
de poésie lyrique. 224. Quel a été le sort du dit
’est-ce que la cantate ? La cantate est une composition lyrique, une
espèce
d’ode dans le genre héroïque ou gracieux, faite p
enre gracieux. J.-B. Rousseau nous offre de parfaits modèles des deux
espèces
. Nous citerons, dans le premier genre, colle de C
e la chanson. 232. Qu’est-ce que la chanson ? La chanson est une
espèce
d’ode au caractère ordinairement badin, léger, am
aque strophe, et toujours amenée avec art. 235. Combien compte-t-on d’
espèces
de chanson ? La chanson n’a point de caractère f
ent un danger réel : c’est d’amollir le cœur et de l’accoutumer à une
espèce
de sensiblerie pour des choses futiles, et à une
ou deux vers intercalaires répétés par intervalles, et qui forment un
espèce
de refrain. 244. Quels sont les poètes qui se son
on, comme la disposition et l’élocution, est indispensable dans toute
espèce
de composition. 330. L’invention ne demande-t-ell
eaient réciproquement leurs écrits. 339. Quelles sont les différentes
espèces
de compositions littéraires ? Il y a autant d’es
es différentes espèces de compositions littéraires ? Il y a autant d’
espèces
de compositions littéraires qu’il y a d’objets di
rales du genre ; dans le second, nous nous occuperons des différentes
espèces
de descriptions. § I. — Des règles générales de
es murs de Jérusalem et de celle du camp des Grecs ! Il y a une autre
espèce
de mobilité, qui est d’un bon secours pour déterm
uvent le dégoût et l’ennui que l’intérêt. § II. — Des différentes
espèces
de descriptions. 364. De combien de manières p
s du fond qui doit les recevoir. II. 367. Combien compte-t-on d’
espèces
dans la description considérée d’après le but de
Si on envisage la fin que peut se proposer l’écrivain, on trouve cinq
espèces
de descriptions : la description philosophique, l
s la cinquième des Verrines. III. 372. Combien distingue-t-on d’
espèces
de compositions dans la description considérée d’
ux modèles : N’avez-vous jamais remarqué… — On peut rapporter à cette
espèce
de description le portrait littéraire, dans leque
non pas une personne en particulier, comme dans le portrait, mais une
espèce
d’hommes, une classe d’individus ayant les mêmes
composent ; dans le troisième, nous ferons connaître ses différentes
espèces
; enfin, le quatrième sera consacré aux ornements
est déchargé d’un poids qui l’accablait. § III. — Des différentes
espèces
de narration. 420. Combien peut-on distinguer
ifférentes espèces de narration. 420. Combien peut-on distinguer d’
espèces
de narration ? La définition de la narration, en
fabuleuse. A ces deux genres de récits se rattachent plusieurs autres
espèces
de narration, parmi lesquelles nous citerons la n
e doit être, comme un grain de sel, piquant et fin. Un récit de cette
espèce
qui n’a point de trait semblable, est ce qu’il y
néral et du style de la lettre ; puis, nous parlerons des différentes
espèces
de lettre. § I. Du ton général et du style de l
, de l’éducation de la personne qui écrit. § II. — Des différentes
espèces
de lettres. 466. En combien de classes peut-on
ce personne. Nous allons réunir sous ces trois titres les différentes
espèces
de lettres, pour en faire connaître la nature et
mme un objet parfait auquel on peut comparer toutes choses de la même
espèce
. Ainsi la nature est le type suprême et la source
les écrits. La vue des objets grands et sublimes produit en nous une
espèce
d’élévation et d’expansion instinctives. Elle por
l’élève beaucoup au-dessus de sa sphère ordinaire. Il en résulte une
espèce
d’enthousiasme qui produit, pendant sa durée, une
s appliquer ce principe à d’autres objets également beaux, mais d’une
espèce
différente, comme la couleur et le mouvement, nou
s n’étaient pas réunis dans le même lieu. Ces caractères sont de deux
espèces
, les signes des choses et ceux des mots : les pre
te de l’écriture alphabétique, continuèrent à s’en servir comme d’une
espèce
d’écriture sacrée qui n’était plus connue que d’e
l’expérience leur apprit bientôt à subdiviser ces genres en diverses
espèces
, suivant que l’observation leur démontra qu’ils p
pas des objets individuels, mais bien des noms qui s’appliquent à des
espèces
entières d’êtres. Ces idées d’abstraction sont mo
nombre détermine, si l’objet est isolé ou joint à d’autres de la même
espèce
; on le distingue en singulier et pluriel. On ret
règle que j’indique pour parvenir à ce but est de s’abstenir de toute
espèce
de mots redondants, ils affaiblissent toujours la
t égard. Fléchier et Bossuet font un usage fréquent et heureux de ces
espèces
d’inversions. Les Grecs et les Latins avaient un
ent de fréquents exemples de cette beauté de construction. Mais cette
espèce
de gradation ne convient qu’aux discours qui exig
l rende parfaitement le sentiment que l’on veut exprimer. La première
espèce
d’harmonie est la plus commune ; la deuxième est
ien davantage à se laisser charmer par la mélodie du discours ; toute
espèce
de déclamation, tout discours public étaient pron
ent prononcés d’un ton bien plus musical que parmi nous ; c’était une
espèce
de récitatif chanté. On sait que C. Gracchus, lor
d nombre de sons particuliers sont formés de manière à manifester une
espèce
d’affinité avec les sons qu’ils représentent : ai
campum, imite parfaitement le mouvement qu’il exprime. La troisième
espèce
d’objets que les sons des mots peuvent représente
le signification pour exprimer la force jointe à l’audace. La seconde
espèce
, appelée figures de pensées, suppose que les mots
spicit, et dulces moriens reminiscitur Argos. Un seul trait de cette
espèce
, tracé avec le pinceau de la nature, est préférab
e : cet homme est en danger, en santé, en colère. Les tropes de cette
espèce
abondent dans toutes les langues. De même, les af
our la partie, ou la partie pour le tout, si le genre est pris pour l’
espèce
, et réciproquement le singulier pour le pluriel,
nsi dire, en quelque manière, si j’ose m’exprimer ainsi ; ce sont des
espèces
de parenthèses grossières, et toute métaphore qui
considérer comment les diverses parties s’accommoderaient, et quelle
espèce
de figure le tout offrirait lorsque le pinceau l’
cumulées l’une sur l’autre, elles produisent une confusion de la même
espèce
que la métaphore mêlée ; nous en pouvons juger pa
yperboles. Si quelque chose est remarquablement bon et grand dans son
espèce
, nous sommes ordinairement portés à y ajouter une
stote ne la permet que dans la colère et dans la passion. Il y a deux
espèces
d’hyperbole, celle qui résulte de la description,
un examen et un soin particuliers. On en distingue trois différentes
espèces
: la première, lorsque quelques-unes des qualités
nous ferions nous-mêmes. C’est peut-être le charme principal de cette
espèce
de style figuré ; nous nous trouvons en rapport a
que d’un petit nombre. » On voit qu’une heureuse comparaison est une
espèce
d’ornement brillant qui n’ajoute pas peu de lustr
n charme. En général, les comparaisons peuvent être réduites aux deux
espèces
suivantes : celles qui tendent à expliquer, celle
iment, si ce n’est celui de l’indignation. Il existe encore une autre
espèce
de figure propre à animer la composition ; c’est
rs est d’un effet puissant dans l’amplification. On en distingue deux
espèces
, l’ascendante et la descendante. L’exemple le plu
caractères généraux du style. Denis d’Halicarnasse le divise en trois
espèces
, qu’il appelle le grave ou élevé, l’orné et le te
r ce sujet. La première et la plus naturelle division des différentes
espèces
de style est celle qui résulte du développement p
upplée à la force ; il aime la magnificence et les ornements de toute
espèce
. Chacun de ces genres a ses avantages, et offre d
iter successivement. Le premier genre repousse les ornements de toute
espèce
. Satisfait de se faire comprendre, l’auteur ne ch
le cours de ses œuvres, et n’offrit autant d’instruction sans aucune
espèce
d’ornements. Doué du plus profond génie, avec les
autre le fatigue et le dégoûte. Je vais parler maintenant d’une autre
espèce
de style dont le caractère est différent de ceux
des fourberies des sophistes. L’on peut diviser l’éloquence en trois
espèces
ou degrés. Le premier degré, qui est le moins par
, des inaugurations, épîtres dédicatoires ou autres discours de cette
espèce
. Ce genre agréable de composition ne doit pas êtr
, se présentent à lui avec rapidité ; il transmet aux autres, par une
espèce
de sympathie contagieuse, les sentiments brûlants
, la plus remarquable pour l’éloquence et même pour les arts de toute
espèce
, fut sans contredit celle d’Athènes. Les Athénien
t à l’art de la rhétorique une logique subtile et dégénérèrent en une
espèce
de métaphysiciens sceptiques. Gorgias fut cependa
rages de Démosthène et de Cicéron qu’on trouvait des modèles de cette
espèce
d’éloquence. La tribune était muette. La forme de
gouvernement purement monarchique n’avait pas ouvert le champ à cette
espèce
d’éloquence, la plus auguste de toutes et la plus
nds modèles, elle se montrera digne de leur succéder. Des diverses
espèces
d’éloquence. Éloquence des Assemblées popula
, de suivre la division que nous indiquent naturellement les diverses
espèces
de discours modernes, et de déterminer les genres
assée sous aucun des genres admis par les anciens rhéteurs. Ces trois
espèces
d’éloquence ont des règles qui leur sont communes
angereux, pour les jeunes praticiens, de faire ainsi l’essai de cette
espèce
de parade qui peut, avant qu’ils s’en aperçoivent
des discussions, lorsque les parties s’animent, des discours de cette
espèce
deviennent déplacés ; ils manquent de naturel : o
opose de dire au public ; mais aussitôt que quelques travaux de cette
espèce
lui auront donné de la confiance, il trouvera plu
s avec ordre et méthode. Ceci me conduit à remarquer que, dans toutes
espèces
d’oraisons publiques, rien n’est plus important q
faire produire tout leur effet sur les auditeurs ? Enfin, dans toute
espèce
de discours oratoire, mais surtout dans les haran
ordinairement beaucoup plus nombreux que parmi nous, et formaient une
espèce
d’assemblée populaire. Le fameux aréopage d’Athèn
’ordre et l’arrangement de toutes les parties du discours. Dans toute
espèce
d’oraison, une méthode claire est de la plus haut
’ai offertes pour distinguer l’esprit et le caractère des différentes
espèces
de l’éloquence étaient nécessaires pour l’applica
sont les éléments naturels d’un discours régulier, et que, dans toute
espèce
de discours, quelques-unes de ces parties existen
abondantes et plus élaborées. Les anciens critiques distinguent deux
espèces
d’exorde qu’ils appellent principium et insinuati
ollection d’introductions ou préfaces, prêtes à être adaptées à toute
espèce
d’ouvrage qu’il publiait. Par suite de cette sing
premier chef comprend évidemment le second, comme le genre contient l’
espèce
. Cette méthode de procéder envelopperait le sujet
oit résulter nécessairement de ce qui précède, et ne pas paraître une
espèce
de superfétation ajoutée au corps principal du di
ap. 4.) Un travail assidu, et jamais interrompu par les plaisirs, une
espèce
d’enthousiasme continuel pour l’art ou la profess
t les arguments ne sont que les formes. Les rhéteurs distinguent deux
espèces
de preuves : 1° les arguments proprement dits ; 2
. 1° Intrinsèques Définition, Énumération des parties, Genre et
Espèce
, Comparaison, Contraires, Choses qui répugnent en
cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours ? etc. Genre et
espèce
Le genre et l’espèce sont des lieux communs pr
ux accomplis en nos jours ? etc. Genre et espèce Le genre et l’
espèce
sont des lieux communs propres au genre judiciair
e à prouver que les textes généraux de la loi sont applicables dans l’
espèce
à un sujet particulier. Ce qui est vrai du premie
est vrai du premier (le genre) l’est nécessairement de la seconde (l’
espèce
). Comparaison et dissemblance La comparaiso
em). 1° Intrinsèques, Définition, Énumération des parties, Genre et
espèce
, Comparaison, Contraires, Choses qui répugnent en
r adroitement leur attention ou s’en emparer brusquement. De là, deux
espèces
d’exordes : 1° par insinuation (exorde du Pro Mil
brupto (exorde de la première Catilinaire). Il y a encore deux autres
espèces
d’exorde : 1° le simple, ou exposition courte et
sur la mort d’Henri IV : « Je vins, vis et vainquis. » Il y a trois
espèces
de narration : 1° oratoire, 2° historique, 3° poé
énérale du style qui couronne l’œuvre. Les rhéteurs distinguent trois
espèces
d’harmonie : 1° L’harmonie des mots, 2° L’harmoni
nt sur vos têtes ? (Andromaque, acte V, scène v.) est de la première
espèce
. Ex. de la seconde : Dans un chemin montant, sa
Elles leur donnent de la force, de la grâce et de la variété. Deux
espèces
de figures : 1° de pensées. 2° de mots On dist
x espèces de figures : 1° de pensées. 2° de mots On distingue deux
espèces
de figures : 1° les figures de pensée ; 2° les fi
eurs divisent généralement les principales figures de pensée en trois
espèces
, qui correspondent, comme celles du style, au tri
ots D’après les rhéteurs, les figures de mots se divisent en trois
espèces
: 1° Figures de grammaire. 2° Figures de cons
restreindre le sens propre des mots. Elle prend : 1° le genre pour l’
espèce
(rarement le contraire) : les mortels pour les ho
ortrait du chien dans Buffon. 5° Parallèle Le parallèle est une
espèce
de comparaison appliquée aux personnes ou aux car
complet, son style doit être simple et sobre. On distingue plusieurs
espèces
de dissertations, suivant l’objet de la pensée qu
ur double prosodie comprenait à peu près les mêmes pieds et les mêmes
espèces
de vers. Les principaux pieds étaient : 1° Le
ième pied. Elle n’est ni obligatoire, ni déterminée dans aucune autre
espèce
de vers. Nos grands poètes n’ont pas toujours obs
sure, Élision. Nature des syllabes muettes, sonores. Différentes
espèces
de vers Hexamètre, Pentamètre, Asclépiade, Saphi
’Elkovan, et, plus tard, dans celui de Marcel. L’Ode, ses diverses
espèces
La forme la plus ordinaire de la poésie lyriqu
s stances curieusement ouvragées. 6° Cantate La cantate est une
espèce
d’ode, tantôt du genre héroïque, tantôt du genre
nger, de Pierre Dupont, de Nadaud, etc. On distingue presque autant d’
espèces
de chansons qu’il y a de sentiments divers capabl
e rarement par un envoi. 10° Chant royal Le chant royal est une
espèce
de ballade de grande dimension et d’un caractère
de mœurs, d’intrigue, à tiroir. 1° Genre tragique, ses diverses
espèces
Tragédie La tragédie est la représentatio
ments et tous les tons compatibles avec le bon goût. Il y a plusieurs
espèces
de drame : 1° le drame satyrique ; 2° le drame la
ide. 2° Le drame larmoyant, appelé aussi tragédie bourgeoise, est une
espèce
de composition intermédiaire et de compromis entr
forcé de Molière (comédie-ballet). 2° Genre comique, ses diverses
espèces
La comédie est la représentation d’une action
mes d’une époque ou à l’humanité tout entière. On distingue plusieurs
espèces
de satires ; la satire personnelle, la satire pol
n, le P. Félix, le P. Hyacinthe, le P. Monsabré, etc. Les différentes
espèces
de discours sacré sont : 1° le sermon, 2° le prôn
c., n’ont jamais été chez nous que des hommes d’étude. Différentes
espèces
d’histoire 1° Histoire narrative, critique e
ature française du Moyen Âge. 2° Mémoires Les mémoires sont des
espèces
d’histoires individuelles où l’auteur raconte sa
is aussi le caractère. Divers genres de romans Il y a plusieurs
espèces
de romans : le roman proprement dit, le conte et
erreur et de combattre un préjugé. Ex. Les romans de Voltaire. Cette
espèce
de roman est quelquefois sceptique, antireligieux
quelquefois d’instruire, toujours d’amuser. On en distingue plusieurs
espèces
: les contes orientaux (Les Mille et Une Nuits) ;
rosopographie, l’éthopée et la topographie. La prosopographie est une
espèce
de description qui a pour objet de peindre l’exté
On peut y ajouter la description des animaux et de leurs différentes
espèces
. Ex. celle du cheval dans le Livre de Job, dans l
Mémoires sur les lettres, les arts, Discours funèbres Différentes
espèces
d’histoire : 1° narrative, critique, philosophiqu
ogues à la pensée, au sentiment que la parole exprime. On compte deux
espèces
principales de versification : la versification r
ar la rime ; enfin, il rejette l’hiatus. 43. Combien distingue-t-on d’
espèces
de vers fiançais ? Il y a, dans la langue frança
n d’espèces de vers fiançais ? Il y a, dans la langue française, dix
espèces
de vers que l’on distingue d’après le nombre des
eux ou trois syllabes. Citez un exemple qui renferme les différentes
espèces
de vers français. Voici un exemple où l’on trouv
es repos. 61. Qu’entendez-vous par repos et combien y en a-t-il d’
espèces
? On entend par repos, dans les vers, certaines
s qu’il faut observer dans le sens et dans la voix. On distingue deux
espèces
de repos : la césure, qui se trouve dans le corps
d. Par conséquent, il peut être faible dans les cinq ou six dernières
espèces
de vers. On le néglige même entièrement dans les
s : Un vrai sire Châtelain Laisse écrire Le vilain. Pour les autres
espèces
de vers, on peut voir ce qui concerne la mesure.
tant ; mais instant et attend riment ensemble. 69. Combien y a-t-il d’
espèces
de rimes ? Il y a deux espèces de rimes dans la
ment ensemble. 69. Combien y a-t-il d’espèces de rimes ? Il y a deux
espèces
de rimes dans la versification française : la rim
la mollesse. Au moyen du retour alternatif ou périodique de ces deux
espèces
de vers, la dureté de l’un et la mollesse de l’au
es qui présentent le mélange de différentes mesures, ou même de toute
espèce
de mesures, depuis le vers héroïque jusqu’aux plu
imés dans une autre phrase, ou dans une autre proposition. PREMIÈRE
ESPÈCE
D'ELLIPSE. I ellipse des substantifs. T
es dernières extrémités, et de se soumettre au vainqueur. SECONDE
ESPÈCE
D'ELLIPSE. Jusqu’ici, nous avons parlé de la p
CONDE ESPÈCE D'ELLIPSE. Jusqu’ici, nous avons parlé de la première
espèce
d’ellipse, celle où l’on sous-entend des mots qui
ures qu’il lui importe peu de connaître à ce moment. Il y a plusieurs
espèces
de syllepses : 1° Syllepse dans le genre, quand u
déplacement, le mélange, la confusion naturelle des mots. Il y a cinq
espèces
d’hyperbates, qui sont : 1° L'anastrophe ou renve
necdoche. La synecdoche (du grec συνεχδοϰὴ, compréhension) est une
espèce
de métonymie qui consiste à prendre : 1° La parti
’eau de la Saône, ou le Germain de l’eau du Tigre. 3° Le genre pour l’
espèce
, ou l’espèce pour le genre. Quand on dit les mort
ône, ou le Germain de l’eau du Tigre. 3° Le genre pour l’espèce, ou l’
espèce
pour le genre. Quand on dit les mortels pour les
enre. Quand on dit les mortels pour les hommes, c’est le genre pour l’
espèce
; car les animaux sont sujets à la mort comme les
quelconque, la vallée de Tempé pour désigner un beau vallon, c’est l’
espèce
pour le genre. 4° Le singulier pour le pluriel e
le moins pour le plus, comme la partie pour le tout, le genre pour l’
espèce
, etc. V l’antonomase. L'antonomase (du
omase (du grec ἁντί, pour, au lieu de, et ονοµα, nom) est une seconde
espèce
de métonymie qui consiste à employer un nom commu
e des objets insensibles. Fléchier nous offre un bel exemple de cette
espèce
de prosopopée dans l’oraison funèbre du duc de Mo
pointe, ou de αγειρειν, rassembler) désigne un amas de choses de même
espèce
. Acervus frumenti, acervus scutorum. — Congeries
s. Virg. — Vesanus est celui qui, esclave d’une passion, est dans une
espèce
de délire. Homo vesanus et furiosus. Cic. XIX.
onum, munus, præmium. Donum est un don pur, indépendant de toute
espèce
d’obligation. Dona quæ conveniunt regi, vasa aure
t, d’airain, ou de bois, ou de corne. Clangorque tubarum. V. — Cornu,
espèce
de trompette faite de corne. Rauco strepuerunt co
procerus, vastus. Magnus est le terme général qui désigne toute
espèce
de grandeur. Magnus acervus. Cic. Magnum ingenium
ræda se dit non seulement des effets enlevés à l’enemi, mais de toute
espèce
de butin. — Spolium désigne aussi les dépouilles
l ennemi qu’il avait tué dans le combat. Il se prend aussi pour toute
espèce
de dépouilles. Aliorum spoliis suas opes augere.
nis est le terme employé pour désigner tous les individus, toutes les
espèces
, toutes les parties d’une chose, soit qu’on les c
— Cunctus se dit de l’assemblage de tous les individus, de toutes les
espèces
. Cuncta civitas, cuncta familia. — Universus ajou
patina ; il servait pour les viandes rôties ou bouillies. — Patella,
espèce
d’assiette. — Patera (de patere) était la coupe d
ssa, pique à l’usage des Macédoniens. — Sparus (de σπείρω, spargere),
espèce
de dard à l’usage des gens de la campagne. — Lanc
s femmes de condition. — Peplum (de πεπλος, voile d’une fine étoffe),
espèce
de robe à l’usage des dames. On en ornait les sta
obe ou manteau à l’usage des Grecs, surtout des philosophes. — Sagum,
espèce
de saye rouge que l’on mettait sur la tunique. C'
onteux d’être frappé de cet instrument que d’être flagellé. — Ferula,
espèce
de plante. La tige servait d’instrument pour chât
les, afin de pouvoir en sûreté saper les murs des ennemis. — Pluteus,
espèce
de machine de guerre en forme de casque, faite d’
nes s’appliquaient aussi aux tours et aux remparts. — Crates, claies,
espèce
de treillis d’osier que l’on couvrait de terre, e
les forêts décrépites qui couvrent les terres élevées, s’étendent des
espèces
de landes, des savanes qui n’ont rien de commun a
rs, les fruits, les grains perfectionnés, multipliés à l’infini ; les
espèces
utiles d’animaux transportées, propagées, augment
tiles d’animaux transportées, propagées, augmentées sans nombre ; les
espèces
nuisibles réduites, confinées, reléguées ; l’or,
évorant de la guerre ne fera plus tarir la source des générations ; l’
espèce
humaine, maintenant affaiblie, mutilée, moissonné
contrées les plus chaudes du nouveau monde que se trouvent toutes les
espèces
d’oiseaux-mouches ; elles sont assez nombreuses,
ur avaient donné les noms de rayons ou cheveux du soleil… Les petites
espèces
sont au-dessous de la grande mouche asile2 pour l
lieux qu’il fréquente ; on l’aime, on l’applaudit, on l’admire. Nulle
espèce
ne le mérite mieux : la nature en effet n’a répan
’univers, mais, avec le temps, changer, modifier et perfectionner les
espèces
: c’est le plus beau droit qu’il ait sur la natur
ait sur la nature. Avoir transformé une herbe stérile en blé est une
espèce
de création dont cependant il ne doit pas s’enorg
endre le métier de cordonnier, nous donnerait des chaussures de toute
espèce
. » (Études sur Aristote, p. 196.) Aristote, au ra
tation. I. Nous allons parler et de la poétique elle-même et de ses
espèces
; dire quel est le rôle de chacune d’elles et com
à désirer, est au moins le plus tragique des poètes. VII. La seconde
espèce
, mise au premier rang par quelques-uns, est celle
ent va depuis l’accusation de mort jusqu’à la fin. III. Il y a quatre
espèces
de tragédies, c’est-à-dire un nombre égal aux par
isième est morale, comme dans les Phthiotides et Pélée ; la quatrième
espèce
est tout unie, par exemple : les Phorcides, Promé
e sens qu’elle désigne un seul objet. Chapitre XXI Des diverses
espèces
de noms. I. Les espèces de noms sont : Le nom s
seul objet. Chapitre XXI Des diverses espèces de noms. I. Les
espèces
de noms sont : Le nom simple ; or j’appelle « nom
a métaphore est le transfert d’un nom d’autre nature, ou du genre à l’
espèce
ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’espèc
le transfert d’un nom d’autre nature, ou du genre à l’espèce ou de l’
espèce
au genre, ou de l’espèce à l’espèce, ou un transf
autre nature, ou du genre à l’espèce ou de l’espèce au genre, ou de l’
espèce
à l’espèce, ou un transfert par analogie. VII. J’
e, ou du genre à l’espèce ou de l’espèce au genre, ou de l’espèce à l’
espèce
, ou un transfert par analogie. VII. J’appelle tra
, ou un transfert par analogie. VII. J’appelle transfert du genre à l’
espèce
, par exemple : Ce mien navire resta immobile107.
En effet, être à l’ancre, pour un vaisseau, c’est être immobile. De l’
espèce
au genre (par exemple) : Oui, certes, Ulysse acc
re, et c’est dans ce sens que cette expression est employée ici. De l’
espèce
à l’espèce, par exemple : Ayant arraché la vie p
t dans ce sens que cette expression est employée ici. De l’espèce à l’
espèce
, par exemple : Ayant arraché la vie par l’airain
die. — Nombreux mérites d’Homère. I. Il y a nécessairement autant d’
espèces
d’épopée que de tragédie ; car elle est nécessair
Ménélas dans Oreste. XXIV. Ainsi donc les critiques se tirent de cinq
espèces
(d’idées), présentées soit comme impossibles, com
Nous avons dit, dans les livres de la Poétique, combien il y avait d’
espèces
de choses risibles. » (Rhétorique, l. III, chap.
orte quel sujet ; et, cependant, toutes ces questions diffèrent par l’
espèce
. Mais les enthymèmes particuliers sont tous ceux
ceux que l’on tire de propositions propres à chaque genre et à chaque
espèce
. Par exemple, il existe, sur la physique, des pro
de les principes. XXII. La plupart des enthymèmes se rapportent à des
espèces
particulières et individuelles ; ceux qui provien
dans les Topiques, il faut ici distinguer, parmi les enthymèmes, les
espèces
et les lieux qui les fournissent. Or j’appelle es
nthymèmes, les espèces et les lieux qui les fournissent. Or j’appelle
espèces
205 les propositions prises pour chaque genre par
eux 206 ce qui est commun à tous indistinctement. Parlons d’abord des
espèces
et abordons les genres de la rhétorique ; voyons
e : le délibératif, le judiciaire, le démonstratif. I. Il y a trois
espèces
de rhétorique ; autant que de classes d’auditeurs
le salut du pays. Aussi est-il nécessaire de savoir combien il y a d’
espèces
de gouvernements, quels sont les avantages de cha
le premier terme) est surpassé. IV. Si le plus grand (individu d’une
espèce
) surpasse le plus grand individu (d’une autre esp
(individu d’une espèce) surpasse le plus grand individu (d’une autre
espèce
), tell individu (de la première espèce) surpasser
us grand individu (d’une autre espèce), tell individu (de la première
espèce
) surpassera tel autre (de la seconde) ; et (récip
e (de la seconde) ; et (réciproquement), si tous les individus (d’une
espèce
surpassent) ceux (d’une autre), le plus grand (de
grand que la plus grande femme. En effet, les différences en plus des
espèces
sont dans le même rapport que les plus grands ind
persuader et délibérer convenablement, c’est de connaître toutes les
espèces
de gouvernement et de distinguer les mœurs, les l
ions de l’autorité varient suivant la forme de gouvernement. Autant d’
espèces
de gouvernement, autant d’espèces d’autorité. III
la forme de gouvernement. Autant d’espèces de gouvernement, autant d’
espèces
d’autorité. III. Il y a quatre espèces de gouvern
èces de gouvernement, autant d’espèces d’autorité. III. Il y a quatre
espèces
de gouvernement : la démocratie, l’oligarchie, l’
car le meilleur moyen de persuader est d’observer les mœurs de chaque
espèce
de gouvernement, suivant le pays où l’on parle. L
t, soit au sujet ; des mœurs et des institutions propres aux diverses
espèces
de gouvernement ; pour quels motifs et par quels
idée de notre caractère moral ; ce qui est, on l’a vu242, la seconde
espèce
de preuves. En effet, nous aurons les mêmes moyen
nourriture, la soif, la faim et les désirs relatifs à telle ou telle
espèce
de nourriture ; ceux que provoque le goût, les dé
tre supérieur à lui-même. XXIX. Semblablement, comme le jeu et toute
espèce
de relâchement comptent parmi les choses agréable
njuste, communs de par la nature, que tout le monde reconnaît par une
espèce
de divination, lors même qu’il n’y a aucune commu
es justes, ainsi que les choses injustes, sont, on l’a vu287, de deux
espèces
, c’est-à-dire ce qui est écrit et ce qui ne s’écr
en sommes expliqués. Pour les choses non écrites, elles sont de deux
espèces
. XII. Les unes sont celles qui se produisent par
sque le cas leur a échappé ; avec, lorsqu’ils ne peuvent déterminer l’
espèce
, étant forcés de généraliser ou, du moins, de bea
nviennent proprement aux affaires judiciaires. II. Elles sont de cinq
espèces
: les lois, les témoins, les conventions, la tort
qu’il faut combattre sur mer304. Les proverbes sont encore comme une
espèce
de témoignage305. Par exemple, si l’on veut conse
s points de vue sont également à considérer. XXVI. La torture est une
espèce
de témoignage. Elle semble porter en elle la conv
t insignifiantes, nous ne leur supposons aucune valeur), il y a trois
espèces
de mépris : le dédain, la vexation et l’outrage.
ntre ceux qui ne nous payent pas de reconnaissance ; car c’est là une
espèce
de mépris, qui est, en même temps, l’oubli d’un d
ar c’est par indifférence que l’on oublie ; or l’indifférence est une
espèce
de dédain. XXVII. Contre qui se met-on en colère
ou brave, ou vertueux, qui suscitera l’indignation (car les diverses
espèces
de pitié n’auront pas de raison d’être à propos d
e sont aussi382. XI. De même, si le genre tout entier est possible, l’
espèce
l’est pareillement ; et si l’espèce l’est, le gen
genre tout entier est possible, l’espèce l’est pareillement ; et si l’
espèce
l’est, le genre l’est aussi. Par exemple, si un n
le à l’induction ; or l’induction est un point de départ. Il y a deux
espèces
d’exemples : l’une consiste à relater des faits a
urement ; dans l’autre, on produit l’exemple lui-même. Cette dernière
espèce
est tantôt une parabole, tantôt un récit, comme l
iques ou les récits libyques. III. Il y aurait exemple de la première
espèce
si l’on disait qu’il faut faire des préparatifs (
st ce que nous avons dit, il s’ensuit nécessairement qu’il y a quatre
espèces
de sentences. Il y aura des sentences avec épilog
l. VII. On voit clairement, d’après ce qui précède, combien il y a d’
espèces
de sentences, et à quel objet il convient d’en ap
pèces de sentences, et à quel objet il convient d’en appliquer chaque
espèce
. Sur des matières controversées ou paradoxales, l
insi donc, voilà qui est dit sur la sentence, sa nature, ses diverses
espèces
, ses applications et son utilité. Chapitre XXI
s chercher ; puis, après les enthymèmes, des lieux ; car ce sont deux
espèces
de choses différentes. II. L’enthymème est un syl
arguments qui servent à résoudre un enthymème ne sont pas d’une autre
espèce
que ceux qui servent à en établir ; car il est év
omme le discours est formé de noms et de verbes et qu’il y a autant d’
espèces
de noms qu’on l’a exposé dans la Poétique 508, il
st-ce que signifie chacune de ces qualifications ; combien y a-t-il d’
espèces
de métaphores ; quelle en est la valeur, soit en
res, mais les emprunter à des objets de la même famille et de la même
espèce
, de façon que, si les choses ne sont pas nommées,
Les proverbes aussi sont des métaphores par lesquelles on passe d’une
espèce
à une autre espèce. Ainsi, que l’on introduise ch
sont des métaphores par lesquelles on passe d’une espèce à une autre
espèce
. Ainsi, que l’on introduise chez soi une chose av
e des débats se prête le mieux à l’action. Cette dernière est de deux
espèces
: elle est morale, elle est pathétique. Aussi les
t que délibération. La péroraison, en outre, n’appartient pas à toute
espèce
de discours judiciaire, à celui, par exemple, qui
onnelle ; mais alors il faut nécessairement que celui qui parle d’une
espèce
et d’une différence établisse autant de dénominat
mportance, il n’y a pas lieu de recourir au préambule. VIL Les autres
espèces
(d’exorde) mis en usage sont des expédients d’une
n. Aussi s’efforce-t-on souvent de provoquer l’hilarité. Il y a toute
espèce
de moyens d’instruire l’auditoire, si tel est le
Les arguments qui s’attaquent à l’adversaire ne sont pas d’une autre
espèce
que de celle des preuves ; destinés qu’ils sont à
la Poétique, ch. xxi. La métaphore est : 1º Le transport du genre à l’
espèce
; 2º de l’espèce au genre ; 3º de l’espèce à une
xxi. La métaphore est : 1º Le transport du genre à l’espèce ; 2º de l’
espèce
au genre ; 3º de l’espèce à une autre espèce ; 4º
Le transport du genre à l’espèce ; 2º de l’espèce au genre ; 3º de l’
espèce
à une autre espèce ; 4º celui d’un terme à son co
nre à l’espèce ; 2º de l’espèce au genre ; 3º de l’espèce à une autre
espèce
; 4º celui d’un terme à son corrélatif, ce qui es
maintenant passer en revue, dans les onze articles suivants, les onze
espèces
de poésies fugitives que nous avons citées plus h
faut pour n’être pas fade. On peut donc dire que le madrigal est une
espèce
d’épigramme dont la pointe, sans satire comme san
Du rondeau 126. Qu’est-ce que le rondeau ? Le rondeau est une
espèce
de sonnet dont le principal caractère est la naïv
Qu’est-ce que la ballade ? La ballade, de Βαλλείν, envoyer, est une
espèce
de rondeau composé de trois couplets et d’un envo
, ainsi appelé à cause de la répétition qu’il renferme, est aussi une
espèce
de rondeau. Il se compose de huit vers de huit sy
à-dire, énigme sur un mot, ou même sur les parties de ce mot, est une
espèce
d’énigme qui donne à deviner, non pas une chose,
satire, l’élégie et l’ode. Nous verrons d’ailleurs que chacune de ces
espèces
admet, selon le cas, quelques sous-divisions. L’a
L’enseignement y est presque toujours donné par une assimilation de l’
espèce
humaine aux êtres que l’on fait agir ou parler. O
qu’on y voit quelquefois des végétaux ou des êtres dépourvus de toute
espèce
de vie : tels sont le Chêne, le Roseau, le Pot de
u’il ne faut rien attendre de bon du peuple imitateur, et que la pire
espèce
des imitateurs est celle des auteurs. Comment peu
é de la chaleur du sentiment94. § 52. Satire. La satire est une
espèce
de poème dans lequel on attaque directement les v
aita un sujet déterminé et bien circonscrit, en y employant une seule
espèce
de vers. Nous n’avons malheureusement de lui que
it de joie. Elle ne peut point embrasser les sentiments de toutes les
espèces
et de tous les degrés réservés à l’ode, et rejett
; les Grecs et les Latins jugeaient tout autrement que nous de cette
espèce
de poésie, ou plutôt, ici comme pour l’épigramme,
ute pénétrée des malheurs qu’il s’agit de déplorer. Un poème de cette
espèce
, si on y met de l’esprit, sera nécessairement fro
ères Que l’Asie opposait à leurs bras indomptés. Les écarts sont une
espèce
de vide entre deux idées qui n’ont point de liais
sser au sentiment opposé110. § 57. Formes de l’ode et ses diverses
espèces
. La forme de l’ode est différente suivant le g
e nom générique, et les autres qu’on nomme cantates. Dans la première
espèce
, l’assortiment et le nombre des vers est à peu pr
gouvé, etc., c’est autre chose encore. La périphrase est pour eux une
espèce
d’énigme proposée au lecteur. Ils ont l’air de lu
t appuyer énergiquement sur cette preuve. Il y a d’ailleurs plusieurs
espèces
de pléonasme, et l’on a dû le pressentir d’après
nt ou qui lui semblent inutiles. Mais dès que l’on distingue ces deux
espèces
, la rhétorique doit employer, pour les exprimer,
ont, dans le fait, de vrais pléonasmes que l’on peut analyser, ou des
espèces
d’interjections, communes à toutes les langues. C
arration familière. Ecoutez le commencement d’un petit récit de cette
espèce
: Un jour un trafiquant persan, s’en allant en co
r. — Votre fer, il n’est plus… Plusieurs appellent dialogisme cette
espèce
d’ellipse qui supprime dans le courant ou même dè
e au combat. C’est l’éloquence d’inspiration. Tantôt repoussant toute
espèce
d’artifice, sans autre parure que sa propre force
gent qu’autant qu’il est possible l’orateur ne soit étranger à aucune
espèce
de connaissances : il aurait besoin, disent-ils,
t parlé et qui fournissent tous les moyens qui se rapportent à chaque
espèce
de discours. Tout cela, qu’on le nomme art, obser
une d’elles ; il forme par ce moyen des tableaux oratoires. Diverses
espèces
de panégyriques. Nous connaissons parmi nous le
ndaire, qui ne constituent pas le point principal de la cause2. Deux
espèces
de questions. L’état de la cause comprend les qu
des preuves qui se rattachent à chacune de ces deux questions. Deux
espèces
de preuves selon les anciens. Les anciens distin
e des choses. Preuves non artificielles. Les preuves de la première
espèce
sont appelées non artificielles, ἀτεϰνους, parce
s qui ne soit fourni par la cause. Nouvelle dénomination de ces deux
espèces
de preuves. Un magistrat de nos jours, aussi dis
; pourquoi elles peuvent tomber en discussion. Les preuves de cette
espèce
portent avec elles, à la vérité, la manifestation
t des exemples qui ont plus ou moins de poids selon la similitude des
espèces
, la dignité et la renommée des juges qui les ont
, de la définition et de la destination de la chose, du genre ou de l’
espèce
, de ce qui lui est propre ou étranger, de ce qui
tude préliminaire recommandée par Quintilien a son utilité, ou aucune
espèce
d’étude élémentaire n’est utile. Sans ralentir la
indices probables, signa non necessaria. (Quint.) Il y en a de deux
espèces
. Un signe ne peut être certain que lorsqu’il est
auvaise foi. Justesse de raisonnement nécessaire aux écrits de toute
espèce
. La justesse du raisonnement peut seule donner d
es, etc… 2° De l’induction et de l’exemple. On distingue deux
espèces
d’inductions1 : Première espèce d’induction. La
de l’exemple. On distingue deux espèces d’inductions1 : Première
espèce
d’induction. La première est une conséquence tir
d’en indiquer les conclusions par la différence des caractères. Cette
espèce
d’induction n’est bonne qu’autant que les raisons
art. Ier. § III, des preuves indirectes ou par l’analogie. Deuxième
espèce
d’induction. La 2e. espèce d’induction consiste
s indirectes ou par l’analogie. Deuxième espèce d’induction. La 2e.
espèce
d’induction consiste à tirer une conséquence géné
onfondent l’exemple avec l’induction ; et il faut avouer que ces deux
espèces
d’argumens se ressemblent beaucoup. Cependant nou
singulier, et l’induction de plusieurs singuliers au général. Trois
espèces
d’exemple. Ce genre de raisonnement se subdivise
spèces d’exemple. Ce genre de raisonnement se subdivise en plusieurs
espèces
; car on peut, d’après un exemple cité, conclure,
xprime d’une manière bien éloquente, lorsque, par un exemple de cette
espèce
, il met en opposition la sécurité du vertueux Sés
ment les plus connues, sans prétendre épuiser la matière ; car chaque
espèce
de rapport peut fournir une espèce de preuve, et
re épuiser la matière ; car chaque espèce de rapport peut fournir une
espèce
de preuve, et chaque espèce de preuve peut nous d
chaque espèce de rapport peut fournir une espèce de preuve, et chaque
espèce
de preuve peut nous donner autant de sortes d’arg
ls particuliers : par exemple, expliquer le genre avant de passer aux
espèces
et aux individus. Différence qu’il y a entre l’u
les faux raisonnemens, les vaines ergoteries, les sophismes de toute
espèce
, naissent ordinairement des vices ou de l’omissio
§ III. Moyens que l’orateur trouve dans son propre fonds. Deux
espèces
de moyens de plaire dans l’orateur. Deux sortes
ce partout où il s’agit de l’opinion : il peut trouver place en toute
espèce
de cause. Ses effets. « Nul doute, dit Cicéron
ignation et de fureur contre les meurtriers. Il faut réunir ces deux
espèces
de pathétique. Le pathétique direct, pour frappe
a plusieurs sortes d’exorde. Selon le sujet, Cicéron distingue deux
espèces
d’exorde : le début simple et l’insinuation. Exo
auvais choix de sujet, pour ôter à un discours comme à un drame toute
espèce
d’intérêt, et pour égarer et entraîner à une chut
emière, parce qu’il est plus aisé de s’étendre sur le genre que sur l’
espèce
; la seconde, parce que ce qui a été une fois éta
u’on a imaginé. On peut le faire encore lorsque la cause est de telle
espèce
que les objections que nous nous faisons, sont le
uestion. Un exemple très-simple fera sentir quel est le vice de cette
espèce
de sophisme. S’il s’agit de prouver la justice de
s, n’en est pas moins véritable. Celui-là ferait un sophisme de cette
espèce
, qui, pour prouver que l’homme ne saurait être he
le change. 2°. L’ambiguïté des mots. Port-Royal comprend dans cette
espèce
de sophisme les argumens qui sont vicieux, parce
e n’a pas comptés. Les comparaisons, les images, les figures de toute
espèce
, la pompe de l’élocution, l’air de sentence et de
urâ ducimur ad modos. (Quint.) Pour introduire dans les langues cette
espèce
de concert, il n’a fallu que consulter la nature,
servé souvent dans nos théâtres qui sont remplis d’auditeurs de toute
espèce
, ignorans et grossiers ; j’ai vu qu’il y a en nou
pompeuses et magnifiques, coupées et brusques selon le besoin. Cette
espèce
d’harmonie ajoute beaucoup au sens des mots. «
ée. Il faut éviter l’affectation à ce sujet. Cicéron proscrit toute
espèce
de recherche et d’affectation à ce sujet : « Cett
té, où tout frappe, où tout brille ; un tel discours cause plutôt une
espèce
d’éblouissement qu’une véritable admiration. Il l
entir ; puis examiner la nature du sujet qu’on veut traiter, à quelle
espèce
d’éloquence il appartient, ensuite quels en sont
tion pressante, aux mouvemens passionnés. L’un ou l’autre de ces deux
espèces
de style doit donc dominer suivant le genre et le
le fondement de la religion. » (Bossuet.) Ici du peuple détermine l’
espèce
d’histoire, et de Dieu détermine l’espèce de peup
Ici du peuple détermine l’espèce d’histoire, et de Dieu détermine l’
espèce
de peuple. Ces deux mots étant suffisamment déter
nt traité de l’art d’écrire par Condillac. Unité. 2°. Si dans toute
espèce
de composition, il faut, comme nous l’avons déjà
employées dans des sujets qui n’exigent aucune pompe. Mais il est une
espèce
de gradation à laquelle il ne faut jamais manquer
l. IX, c. 4.) Des intervalles à peu près égaux forment entre eux une
espèce
de proportion musicale ; comme dans cette phrase
e borne à présenter la pensée toute nue : les figures lui donnent une
espèce
de vêtement qui la pare, la rend plus sensible et
figuré. Le sens figuré est celui auquel on transporte le mot par une
espèce
de comparaison. Exemples. Par exemple, le mot c
s vainqueurs. Syncodoque. La synecdoque emploie 1°. le genre pour l’
espèce
, ou l’espèce pour le genre. Exemples : Seigneur,
Syncodoque. La synecdoque emploie 1°. le genre pour l’espèce, ou l’
espèce
pour le genre. Exemples : Seigneur, dans ta gloi
x la Grèce, pour exprimer toutes sortes de belles campagnes ; c’est l’
espèce
pour le genre. 2°. Un nombre pour un autre ; comm
re, la figure, le port, le maintien d’une personne. Lorsque c’est une
espèce
d’hommes que l’on peint, comme l’avare, le jaloux
la duchesse d’Orléans.) Épiphonème. Les rhéteurs ont distingué une
espèce
particulière d’exclamation dont ils font une figu
mire ces enfans dont il n’est pas le père. (Trad. de Delille.) Cette
espèce
de prosopopée ajoute de la beauté et de la vivaci
elle fait parler ces objets ou des personnes absentes. Une troisième
espèce
de prosopopée consiste à faire parler les présens
ets où l’âme ne s’émeut pas, sont des mouvemens contre nature, et des
espèces
de convulsions. » Et au contraire, lorsque la mat
e essentiellement la poésie, c’est le rhythme, l’harmonie ; c’est une
espèce
de chant qui anime et soutient l’essor du poëte,
; mais l’auteur n’y emploie pas les licences, le ton exalté et cette
espèce
de désordre qui sont les fruits du rhythme et les
e pensées, de mots, de tours de phrase, d’images, de figures de toute
espèce
; la facilité de définir les choses, et d’en expl
improvisation. Il n’admet pas la possibilité d’un discours qu’aucune
espèce
de préparation n’aurait précédé. Il suppose que l
e a deux parties, la voix et le geste. Cicéron appelle l’action une
espèce
d’éloquence du corps, qui se compose de la voix e
ue lui avec le seul secours du geste. On n’est point surpris de cette
espèce
de prodige, si on examine de près, combien les mo
sans la moindre expression de son geste, n’a l’air de prendre aucune
espèce
d’intérêt aux affaires qu’il discute, et se place
ut embellir les faits. Marche propre à ce genre de discours. Diverses
espèces
de panégyriques. Panégyrique des saints. Oraison
cation, l’état de translation, etc… Il subdivise ensuite ces diverses
espèces
d’état en d’autres qui ont moins d’étendue. Mais
u procès, c’est-à-dire, l’état de la cause. » (L. III, c. II.) Deux
espèces
de questions. Question de fait. Question de droit
Deux espèces de questions. Question de fait. Question de droit. Deux
espèces
de preuves selon les anciens. Preuves non artific
tificielles. Preuves artificielles. Nouvelle dénomination de ces deux
espèces
de preuves. 1. M. Delamalle, conseiller d’état,
une attention particulière. Définition des indices. Il y en a de deux
espèces
. Principe qui doit nous diriger dans cette sorte
t la logique. Justesse de raisonnement nécessaire aux écrits de toute
espèce
. Notre âme a deux facultés principales. Entendeme
e verbe εἴδω, veut dire je vois, je sais. De là εἴδεα ou ἰδέα, forme,
espèce
, image, idée. Définition du jugement. 1. Le mot
sme conditionnel. 1. Virgile nous fournit deux raisonnemens de cette
espèce
remarquables par leur énergie ; l’un est dans le
et qu’on recueille plusieurs parties pour en faire un tout. Première
espèce
d’induction. 1. Eschine, dans le discours où il
de Cannes. Quœ tamen nunc quoque, etc. (Ibid., l. XXIII.) Deuxième
espèce
d’induction. 1. Le discours de Canuléius renferm
raison n’est quelquefois qu’un ornement de style ; mais il y en a une
espèce
qui sert de preuve, et c’est de celle-ci que nous
de preuve, et c’est de celle-ci que nous parlons présentement. Trois
espèces
d’exemple. A pari. 1. Fabius opine pour qu’on r
agit. in vitâ Agricol.) Cicéron, offre beaucoup d’exemples des trois
espèces
. Voyez Pro Milone, n°. 7, 74 et 83 : In verrem de
ens qu’on peut produire à découvert. Moyens qu’il faut deguiser. Deux
espèces
de moyens de plaire dans l’orateur. Facultés phys
athétique indirect a plus de force. Exemples. Il faut réunir ces deux
espèces
de pathétique. Les modernes font moins usage du p
riche. (2). L’Ile de la Conférence. Exemples tirés de Bossuet. Cette
espèce
d’harmonie ajoute beaucoup au sens des mots. Les
premier coup d’œil, semble n’avoir avec les émotions de l’âme aucune
espèce
d’analogie. Mais le contraire est assez prouvé pa
genre judiciaire. Mais chacun de ces genres a sous lui une infinité d'
espèces
. Le genre démonstratif a pour objet la louange ou
ur n'est pas le partage des méchants. 8° L'argument personnel est une
espèce
d'enthymème qui renverse, par les propres faits d
sèques sont : la définition, l'énumération des parties, le genre et l'
espèce
, la comparaison, les contraires, les choses qui r
est défini. (Voyez, dans la Grammaire, la définition des différentes
espèces
de mots.) 2° L'énumération des parties est un dén
e Est le plus riche don qu'il ait fait aux humains. 3° Le genre et l'
espèce
constituent un argument qui prouve que ce qui est
argument qui prouve que ce qui est vrai du genre est vrai aussi de l'
espèce
, et réciproquement. Exemple : Il faut aimer la mo
s titres sont du domaine de la jurisprudence. Observez qu'il y a deux
espèces
de droits ou lois : le droit naturel, qui est écr
ment, tous les sophismes ou arguments captieux. La péroraison est une
espèce
d'analyse du discours ; elle renferme le résumé d
ées naïves ont une ingénuité qui éloigne la défiance ou qui cause une
espèce
de surprise : Pour charmer l'ennui de la route,
font, à nous, les discours de l'envie ? Le pléonasme donne lieu à une
espèce
de comique dont le poëme dramatique fait souvent
ion des parties ? Que prouve l'argument que constituent le genre et l'
espèce
? Qu'est ce que la comparaison ? En quoi consiste
s caractères principaux de l'élocution ? Quelles sont les différentes
espèces
de pensées ? Où sont puisées les pensées naturell
se rendre plus simplement. Remarques sur le style des différentes
espèces
de lettres. Dans les lettres d'affaires, il fa
chés à des préjugés ou à des devoirs. L'opéra. L'opéra est une
espèce
de poëme mis en action. Il emprunte, pour charmer
à la musique, il est de toute nécessité que les personnages de cette
espèce
de drame expriment leurs peines et meurent en cha
irs quand la toile tombe. Le vaudeville. Le vaudeville est une
espèce
de comédie en prose mêlée de couplets ; il tient
Chapitre II. Des différentes
espèces
de Discours Oratoires. On réduit ordinairement
la division de ces trois genres, pour faire connaître les différentes
espèces
de discours, que chacun d’eux peut renfermer. Je
r, et faire voir ce qu’il est et ce qu’il doit être. Il y a plusieurs
espèces
de discours sacrés : ce sont les sermons, les pan
, etc. Il suffira que je fasse connaître ici ceux des trois premières
espèces
. I. Du Sermon. L’objet de l’orateur, dans le
les soldats romains, pour être incorporés dans la milice, fusent une
espèce
d’abjuration et de père et de mère, entre les mai
es Tribunaux de la justice, peuvent servir de matière aux différentes
espèces
de discours du barreau, qu’on réduit ordinairemen
t nullement permis d’exciter celle des autres. Il y a quelques autres
espèces
de discours, qui font partie de l’éloquence du ba
ien public. Les trois genres d’éloquence entrent dans ces différentes
espèces
de discours. L’orateur doit y être tour à tour si
s dignes de vous obéir. Vous les avez conquis aux sciences ; et cette
espèce
de conquête, aussi utile pour eux, que glorieuse
démie française le récipiendaire et le directeur, sont de la première
espèce
. Ces orateurs n’entrent dans aucun détail sur la
tions sur l’établissement des lois, il faut connaître les différentes
espèces
de gouvernement, et ce que leur constitution a de
er les troupes. Il y a d’autres discours qui sont du ressort d’une
espèce
d’éloquence qu’on peut appeler militaire, et qui
mmuns ou généraux étaient pris dans la différence entre le genre et l’
espèce
, entre la cause et l’effet, l’antécédent et le co
’en viens à ce qui est d’une utilité bien plus réelle, j’en viens à l’
espèce
de secours que l’art peut présenter à l’orateur,
aux pauses que l’orateur doit donner son attention. Il y en a de deux
espèces
, les pauses expressives, et celles qui servent à
bligé de s’arrêter à contresens. Se former, en parlant en public, une
espèce
de récitatif qui exige d’autres repos que ceux in
léger repos, mais en même temps se bien garder de leur appliquer une
espèce
de récitatif uniforme, ce qu’on appelle ordinaire
sser ni baisser la voix, et surtout sans interrompre le sens. L’autre
espèce
de pause particulière à la poésie est celle qui t
urs, a donné au débit en général, et surtout à celui des sermons, une
espèce
de chant si fatigant et si monotone. On s’est éca
ans la moindre expression dans son geste, n’a l’air de prendre aucune
espèce
d’intérêt aux affaires qu’il discute, et se place
uterai encore que pour débiter avec succès il faut se garder de cette
espèce
de trouble et d’agitation qui s’empare de l’orate
rticle sans recommander encore de bien se tenir en garde contre toute
espèce
d’affectation, car rien n’est plus nuisible au dé
y seraient déplacées dans la bouche d’un orateur ! peut-être quelques
espèces
de discours, comme ceux de la chaire, que l’on pe
en prose. Je crois en avoir dit assez sur les harangues et les autres
espèces
de discours. Les autres genres de compositions qu
de, la noblesse et la gravité. Je n’ai jusqu’à présent parlé que de l’
espèce
d’unité qui appartient à ce genre de composition,
d’hui des dialogues de ce genre semblent n’avoir aucune idée de cette
espèce
de composition ; et, à cela près que, comme dans
des compositions poétiques. Avant de passer en revue les différentes
espèces
d’écrits en vers, je me propose de faire de cette
à peine les distinguer de la prose ; et, d’un autre côté, il y a une
espèce
de prose si mesurée, si cadencée, et d’un ton si
ngés avec plus d’art que dans la prose, ont un ton particulier et une
espèce
de mélodie. L’inversion, ou la liberté des transp
iers de leurs compositions poétiques, et qu’ils en distinguaient deux
espèces
, l’une qu’ils comparaient à des perles détachées,
t le dernier un spondée15. La poésie anglaise ne pouvait admettre ces
espèces
de pieds, parce qu’à cet égard, le génie de notre
nte dans la poésie anglaise ; la seule distinction sensible est cette
espèce
de renforcement de la voix avec lequel nous prono
de la césure, qui toujours tombe à peu près au milieu du vers. Cette
espèce
de pause, commandée par la mélodie, se trouve dan
tacher le lecteur, si l’on mêlait aux descriptions que comporte cette
espèce
de poésie un plus grand nombre de récits, auxquel
; ce sont six pastorales dont le but est de tourner en ridicule cette
espèce
de simplicité que vantaient si fort Philips et se
tation dans les sentiments ; quoiqu’elle ne soit pas exempte de cette
espèce
de raffinement ou de recherche qui caractérise es
ent. Cette distinction, dans l’origine, n’était particulière à aucune
espèce
de poésie ; car, ainsi que je l’ai fait observer
e ne sont pas les sujets qu’on y traite qui le distinguent des autres
espèces
de poèmes, car ces sujets sont infiniment variés,
berté accordée au poète, liberté que ne lui permettrait pas une autre
espèce
de poésie. De là cette négligence des règles, ces
ferme une classe d’ouvrages fort nombreuse. Le principal but de toute
espèce
de poésie, et même de toute espèce de composition
mbreuse. Le principal but de toute espèce de poésie, et même de toute
espèce
de composition littéraire, est de produire sur l’
elques réflexions sur la vie ou le caractère de l’homme. Ces diverses
espèces
d’ouvrages se rangent sous la dénomination de poé
ar écrit les pensées que lui suggère telle ou telle matière. Dans ces
espèces
de poésies didactiques, il importe d’observer rig
ue ou une tragédie ; cependant aucun poète ne l’a surpassé dans cette
espèce
de poésie qui, sans s’élever trop haut, se soutie
rière au génie. Par poésie descriptive, je ne veux point désigner une
espèce
ou une forme particulière de composition, parce q
ent puiser leur sublime apprêté. Ces épithètes donnent au langage une
espèce
d’emphase qui le fait sortir du ton de la prose o
cette partie des livres sacrés fut écrite en vers, ou du moins en une
espèce
de prose soumise à une cadence déterminée. La pro
n’indiquent qu’un seul point de ressemblance, et n’en font jamais des
espèces
d’épisodes. À cet égard, ils ont peut-être un ava
gne. Les écrits des prophètes sont remplis de paraboles, qui sont des
espèces
d’allégories ; et si quelquefois elles nous parai
Lecture XLII. De la poésie épique. Il nous reste à parler de deux
espèces
de poésie du genre le plus élevé, la poésie épiqu
la plus riche et la plus haute poésie. Il n’est aucun sujet de cette
espèce
qui n’emporte naturellement avec lui quelque inst
caractères sensibles et invariables qui nous aident à rapprocher les
espèces
analogues ; mais il est absurde de vouloir mettre
nt et s’accumulent par degrés ; il nous laisse quelque temps dans une
espèce
d’hésitation et d’anxiété ; enfin la route est pr
de vertueux. Les caractères particuliers ont pour base telle ou telle
espèce
de sagesse, de bravoure ou de vertu ; ils font vo
s humains, il n’en a pas moins rempli les règles principales de cette
espèce
de composition, et ne méritera pas moins d’être r
sacré les événements, la tradition les avait enveloppés déjà de cette
espèce
d’obscurité si favorable à la poésie, et qui perm
ue. Le sujet et les incidents sont pleins de grandeur ; à travers une
espèce
de désordre, on reconnaît une verve éminemment po
ux d’Homère. Il est vrai qu’à la fin de l’ouvrage, l’auteur donne une
espèce
de correctif à sa mythologie ; mais ce correctif
cipal. Ce principe, fondé sur l’évidence, exclut de la tragédie toute
espèce
de merveilleux ; il en exclut même l’intervention
des représentations théâtrales, elle ne consista longtemps qu’en une
espèce
d’ode ou d’hymne que l’on chantait ordinairement
qu’elle a éprouvé. Cependant ce n’est, la plupart du temps, que cette
espèce
de description secondaire que nous donnent les po
es modulations particulières, susceptibles d’être notées. C’était une
espèce
de récitatif soutenu par des instruments. Le même
rnaturels. Ses sorciers, ses fantômes, ses fées, ses esprits de toute
espèce
sont environnés d’un mystérieux si extraordinaire
agédies ni des comédies, mais bien des compositions dramatiques d’une
espèce
toute particulière, dans lesquelles l’auteur n’av
urs de la Grèce par le nom de comœdia palliata. On peut admettre deux
espèces
différentes de comédies. Dans l’une, c’est l’intr
dialogue est toujours décent, et il possède au plus haut degré cette
espèce
de talent, toujours si sûr de plaire, celui de pe
storiques, et tirées des annales de sa patrie. Ce sont en général des
espèces
de tragi-comédies, où l’on trouve un mélange biza
s dans la société, vieillit beaucoup plus promptement qu’aucune autre
espèce
de composition, et perd bientôt tout son charme e
onnêtes et vertueuses ; et d’ailleurs il n’y en a presque que de deux
espèces
qui figurent dans leurs pièces, des femmes totale
s l’objet de ses plus cuisants remords, c’est qu’il avait perdu toute
espèce
de sentiment vertueux. » (Vol. i, p. 57.) Je me t
amais prétendu fixer, d’une manière invariable, les limites de chaque
espèce
de composition. Assurément il n’est pas nécessair
avec une austérité triste, une âpreté sauvage et dédaigneuse de toute
espèce
d’élégance ; tantôt avec un soin industrieux de p
fait qu’on est convenu de s’entendre lorsqu’on dirait, en parlant des
espèces
collectivement prises, l’homme, le cheval, le lio
e lecteur, nous allons la rapporter ici. « Pour donner une idée de l’
espèce
d’éloquence employée par les prédicateurs françai
’eût été que bizarre et non intéressante, il imagina un poème épique,
espèce
d’ouvrage dans lequel les hommes sont convenus d’
ntinue-t-il, quelques efforts qu’on ait faits pour faire tomber cette
espèce
de drame, vraiment terrible et tragique, on n’a p
genre de merveilleux aussi dégoûtant ? Ce n’est certainement pas là l’
espèce
de perfectionnement que l’art dramatique réclame
ique, et qui a seul approché Molière de près, nous n’avons eu que des
espèces
de monstres. Des auteurs qui étaient incapables d
encore le même après cinquante ans ; mais son mérite est toujours une
espèce
de problème, et j’oserai dire d’abord qu’il ne de
onciation des vers rendait sensibles. S’il en avait été ainsi, chaque
espèce
de vers aurait eu un ordre de pieds particulier.
ticulier. Mais les règles de la prosodie nous apprennent que quelques
espèces
de vers pouvaient être indifféremment mesurées pa
vait employer diverses sortes de pieds, il fallait bien que les mêmes
espèces
de vers fussent susceptibles d’être scandées de d
ndées pour mesurer le vers hexamètre, parce qu’il sembla que ces deux
espèces
de pieds lui convenaient mieux ; mais, à la lectu
abus le font redouter des personnes de goût. On appelle mélodrame une
espèce
de drame mêlé de chant, qui sert d’intermédiaire
la magie, le monde des chimères et des merveilles : de là une foule d’
espèces
d’opéras que nous n’essayerons pas de classer. On
dividualités morales, animées par le souffle du génie. 4° Diverses
espèces
de comique. On distingue généralement trois es
4° Diverses espèces de comique. On distingue généralement trois
espèces
de comique ; le haut comique, ou le comique noble
r. Boileau. Art poét. La combinaison de l’action varie suivant les
espèces
de comédie : elle est simple dans les pièces de m
quatrième acte que Molière porte ses grands coups. 6° Différentes
espèces
de comédies. La comédie emploie différents moy
ies. La comédie emploie différents moyens pour amuser ; de là deux
espèces
de comédies : la comédie de mœurs et la comédie d
pitre II. Des qualités du style 111. Combien le style a-t-il d’
espèces
de qualités ? Nous venons d’étudier le style dan
tes qualités qui lui sont assignées par les rhéteurs. Le style a deux
espèces
de qualités : les qualités générales et les quali
nvariables et essentielles, et qui conviennent par conséquent à toute
espèce
de composition. Les qualités particulières varien
ure de l’ouvrage ou la différence du genre. Nous examinerons ces deux
espèces
de qualités dans les deux articles suivants, et n
ou des différents genres. 134. Combien compte-t-on généralement d’
espèces
de style ? Nous venons de passer en revue les qu
re, on peut dire aussi, avec tous les rhéteurs, qu’il n’y a que trois
espèces
générales de style : le style simple, le style te
e monde sait par cœur, sont des chefs-d’œuvre de naïveté. — Une autre
espèce
de naïveté, qu’on nommerait mieux ingénuité, est
ces genres ne se trouve ordinairement seul dans un ouvrage. Ces trois
espèces
de style se touchent, et les meilleures compositi
e pourtant que le reste puisse être aisément deviné. Le sens de cette
espèce
de pensées n’est ni bien visible, ni bien marqué.
eur ou l’Auditeur de voir le sens terminé. Voici une période de cette
espèce
, tirée de la réponse de Buffon, au discours de La
Il y a deux sortes de figures de mots. Dans celles de la première
espèce
, les mots conservent leur signification propre :
ont sa vanité et sa folie. » Conversion. La Conversion est une
espèce
de répétition, qui termine les divers membres d’u
une qui est empruntée. Cependant on appelle métaphore seulement, une
espèce
de trope, par lequel on transporte un mot de sa s
eçons, pour sa doctrine même. Synecdoque. La Synecdoque est une
espèce
de métonymie : elle fait concevoir à l’esprit plu
a Seine ab des Bourbons, le Tibre ac des Césars. 2°. Le genre pour l’
espèce
; comme lorsque par le mot mortels, on entend seu
hommes, quoique tous les êtres animés soient sujets à la mort : ou l’
espèce
pour le genre ; comme lorsque les poètes Grecs et
in sur ces monts terribles Vomit le fer et la mort. Il y a une autre
espèce
de Synecdoque, par laquelle on prend un nom propr
de pensées, il y a un si grand rapport entre elles et les différentes
espèces
de style, que je crois devoir en parler conjointe
, mais ils ne forment qu’un tout. Qu’il s’agisse d’un individu, d’une
espèce
, d’un genre quelconque, la synecdoque suppose l’e
bre indéterminé de fois106. Souvent le genre est employé au lieu de l’
espèce
, et l’espèce au lieu du genre : dans la Fontaine,
né de fois106. Souvent le genre est employé au lieu de l’espèce, et l’
espèce
au lieu du genre : dans la Fontaine, le quadrupèd
pittoresque, moins métaphorique. Tout cela n’est que le genre pour l’
espèce
, l’espèce pour le genre, une fraction pour une au
ue, moins métaphorique. Tout cela n’est que le genre pour l’espèce, l’
espèce
pour le genre, une fraction pour une autre, dans
l veut parler de la mort, mais il n’ose prononcer le mot fatal. Cette
espèce
d’obscurité, loin d’être un défaut, est une beaut
la richesse, consiste à dire froidement les choses et à bannir toute
espèce
d’ornements. En ce cas, on ne cherche à flatter n
Un ouvrage qui serait partout brillant et fleuri causerait plutôt une
espèce
d’éblouissement qu’une véritable admiration. Il e
ynecdoque. L’allégorie, la catachrèse et l’antonomase ne sont que des
espèces
particulières de métaphore, et la synecdoque ress
e l’idée nouvelle avec les couleurs de son premier objet et forme une
espèce
de tableau. On demandait à Agésilas pourquoi Lacé
’Espérance. 177. La catachrèse (κατὰ, contre, χρᾔσις, usage) est une
espèce
de métaphore hardie et forcée à laquelle on a rec
n. 180. La synecdoque (σὺν, avec, ἐκδοχὴ, action de recevoir) est une
espèce
de métonymie qui met le plus pour le moins ou le
streint la signification ou compréhension des mots. 1º Elle emploie l’
espèce
pour le genre ou le genre pour l’espèce : Seigne
n des mots. 1º Elle emploie l’espèce pour le genre ou le genre pour l’
espèce
: Seigneur, dans ta gloire adorable Quel mortel
propres et des noms communs. Quant à la synecdoque, elle n’est qu’une
espèce
de métonymie qui augmente ou diminue la significa
eille.) 198. La sentence prend le nom d’épiphonème quand elle est une
espèce
d’exclamation qui sert de conclusion à un récit o
dans l’heureux accord des sons que l’on emploie, et convient à toute
espèce
de composition. Quelque sujet que l’on traite, il
ous ne parlerons point ici de l’analyse grammaticale, qui détermine l’
espèce
et la valeur de chaque mot d’une phrase ; de l’an
t qu’elles sont pour ainsi dire fondues dans le récit. Différentes
espèces
de narration. 314. Comme on peut raconter ou d
et véritables ou des événements feints et supposés, on distingue deux
espèces
de narration : la narration historique et la narr
ement lui-même, les traits extérieurs, le caractère. Il y a donc cinq
espèces
principales de descriptions : la chronographie, l
s règles sur les qualités du style épistolaire et sur les principales
espèces
de lettres. Qualités du style épistolaire. 3
livres spéciaux contiennent des règles à ce sujet. Des différentes
espèces
de lettres. 350. Il est impossible de compter
350. Il est impossible de compter exactement toutes les différentes
espèces
de lettres qu’on peut avoir à écrire, puisque la
on les compte. 392. D’après le nombre des syllabes, on distingue dix
espèces
de vers, savoir : des vers de une, deux, trois, q
la hardiesse des débuts, les écarts et les digressions produisent une
espèce
de désordre ; mais, sous ce désordre apparent, do
em… Cælo tonantem, et plusieurs autres. Article deuxième. Diverses
espèces
d’odes. 428. On distingue cinq espèces d’odes,
Article deuxième. Diverses espèces d’odes. 428. On distingue cinq
espèces
d’odes, l’ode sacrée, l’ode héroïque, l’ode moral
quelquefois le nom de romance. Cantate. 443. La cantate est une
espèce
d’ode faite pour être mise en musique. On disting
e dire un mot de chacun de ces poèmes. 480. Le poème héroïque est une
espèce
d’épopée imparfaite, sans fictions ni merveilleux
n général, et nous indiquerons ensuite les conditions qu’exige chaque
espèce
de drame. Article premier. Du drame en général.
: ou le vaisseau fait naufrage, ou il arrive au port, voilà la double
espèce
de dénouement. 500. Toute action dramatique se co
oïque, sérieuse, ou bien commune, bourgeoise et enjouée. De là, trois
espèces
principales dans le drame : le genre tragique, le
comique. 518. Dans le genre comique nous pouvons distinguer quatre
espèces
particulières de comédies : la comédie proprement
ité qui va jusqu’à la misanthropie. 523. Il y a, dit Marmontel, trois
espèces
de comique : le comique noble, qui peint les mœur
avantes. La comédie mixte est celle où se combinent ensemble les deux
espèces
dont nous venons de parler. Les situations amènen
sion d’un sentiment ou d’une passion modérée. 564. On distingue trois
espèces
d’églogues, l’épique ou narrative, dans laquelle
eulement de l’ode en ce que celle-ci embrasse les sentiments de toute
espèce
et de tout degré, tandis que l’élégie est consacr
, la manière dont il convient de distribuer le temps, les différentes
espèces
de culture, la description de la sphère, l’exposé
? 134. Qu’est-ce que la convenance du style ? 135. Combien y a-t-il d’
espèces
différentes de style ? 136. Les bons écrivains ne
ui forment l’agrément de la narration ? 314. Combien distingue-t-on d’
espèces
de narrations ? 315. Qu’est-ce que la narration h
u’exige la convenance dans la lettre ? 350. Combien peut-on compter d’
espèces
de lettres ? 351. Quel doit être le caractère des
91. Qu’est-ce que la mesure d’un vers ? 392. Combien distingue-t-on d’
espèces
de vers ? 393. Qu’est-ce que l’élision, et dans q
l’enjambement ? 399. Qu’est-ce que la rime, et combien y en a-t-il d’
espèces
? 400. Quelles sont les qualités de la rime ? 401
unité doit-elle se trouver dans l’ode ? 428. Combien distingue-t-on d’
espèces
d’odes ? 429. Qu’est-ce que l’ode sacrée ? 430. O
tragiques chez les différents peuples ? 518. Combien distingue-t-on d’
espèces
de comédies ? 519. Qu’est-ce que la comédie propr
églogue et l’idylle chez les modernes ? 504. Combien distingue-t-on d’
espèces
d’églogues ? 665. Quelles qualités doivent avoir
ont faites ; Le salpêtre, pour la poudre à canon. 4° Le genre pour l’
espèce
(l’espèce est la subdivision du genre), comme :
; Le salpêtre, pour la poudre à canon. 4° Le genre pour l’espèce (l’
espèce
est la subdivision du genre), comme : Les mortel
s, pour les hommes ; La créature, pour l’homme ; L’animal, pour une
espèce
particulière d’animaux ; L’insecte, pour une esp
animal, pour une espèce particulière d’animaux ; L’insecte, pour une
espèce
particulière d’insectes, etc. 5° L’abstrait pour
ense et de ce que l’on veut faire penser aux autres. Il y a plusieurs
espèces
d’ironies : 1° L’une badine et enjouée, qui raill
fine et pleine de sens était Parme habituelle de Socrate. 2° L’autre
espèce
d’ironie prend le langage de la gaieté et raille
sort est rempli. Racine, Andromaque, scène dernière. 4° Il y a une
espèce
d’ironie brève, mordante et envenimée, qui assais
adation, la périphrase, l’interrogation, la description et ses quatre
espèces
, la correction, la concession, la communication,
res, qui immortaliseront sa vanité et sa folie. Il existe encore une
espèce
de répétition qui donne beaucoup de précision et
mament, et qui sont autant de soleils immenses, attachés chacun à une
espèce
de monde nouveau qu’ils éclairent ? Quel est l’ou
ansporte Bien loin de la forêt, et des chiens, et du cor. Il y a une
espèce
de dubitation qui n’exprime pas l’irrésolution de
me. § VI. Des figures de mots. Les figures de mots sont de deux
espèces
: 1) celles où les mots conservent leur véritable
ie tour ou changement. Les principales figures de mots de la première
espèce
sont : l’ellipse, le pléonasme, la syllepse, l’in
ers suivant : Ce grand roi roule ici ses pas majestueux. Il y a une
espèce
de périphrase que l’on nomme euphémisme, et qui a
s paraboles. L’écriture hiéroglyphique des Égyptiens, était aussi une
espèce
d’allégorie. 3° Catachrèse. Le mot catachrè
Catachrèse. Le mot catachrèse signifie abus, extension. C’est une
espèce
de métaphore par laquelle on supplée à un mot qui
ns ; regagner son toit, son foyer, pour sa maison. 2° Le genre pour l’
espèce
, et l’espèce pour le genre : Si l’on dit les mort
son toit, son foyer, pour sa maison. 2° Le genre pour l’espèce, et l’
espèce
pour le genre : Si l’on dit les mortels pour les
: Si l’on dit les mortels pour les hommes, on emploie le genre pour l’
espèce
; car tous les animaux sont sujets à la mort. Si
mort. Si l’on dit la saison des roses pour le printemps, on emploie l’
espèce
rose pour le genre, c’est-à-dire, les fleurs. 3°
lieux qu’il fréquente ; on l’aime, on l’applaudit, on l’admire. Nulle
espèce
ne le mérite mieux ; la nature en effet n’a répan
’univers, mais, avec le temps, changer, modifier et perfectionner les
espèces
: c’est le plus beau droit qu’il ait sur la natur
ait sur la nature. Avoir transformé une herbe stérile en blé est une
espèce
de création dont cependant il ne doit pas s’enorg
e Buffon ne fait pas ici un portrait, mais idéalise le type même de l’
espèce
humaine ? Il trace une sorte d’exemplaire divin.
et vrai. C’est donc à l’entendement que s’adresse spécialement cette
espèce
d’éloquence. Ici l’orateur a affaire à un petit n
lus nombreux que dans nos tribunaux modernes, et qu’ils formaient une
espèce
d’assemblée populaire. Dans le fameux aréopage d’
ose que de savoir se taire ; res est magna tacere, Matho . Quant à l’
espèce
de verbosité dont il est question ici, les jeunes
cuirasse se terminait, suivant une mode alors assez commune, par une
espèce
de jupon de fer1 qui couvrait les cuisses et le v
ignant avec force, Orso ! tu le vengeras ! » Elle l’embrassa avec une
espèce
de fureur, baisa les balles et la chemise, et sor
, on pouvait cependant monter à cheval. Les selles sont garnies d’une
espèce
de petit tabouret qui entre sous le jupon, exhaus
Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres Il y a deux
espèces
de lettres ; les unes qu’on appelle philosophique
onnes absentes. Il n’est question ici que de celles de cette dernière
espèce
. Lettres familières. Tout ce qu’on peut dire
lir, briser même insensiblement les liens de l’amitié. Différentes
espèces
de Lettres familières. Le style ne saurait êtr
r le plus pur, et des plus belles lumières. Votre éducation a été une
espèce
de choix parmi les autres éducations, et l’État v
eaucoup à se faire un style agréable. Mais nous en avons peu de cette
espèce
. On ne parle plus des lettres de Balzac et de Voi
différences marquées, non seulement dans le degré, mais encore dans l’
espèce
. Rien de plus vague aussi que l’acception du mot
nature a recherché la variété dans tous ses ornements, et affecté une
espèce
de mépris pour la régularité. Quelle prodigieuse
r magique des sons : de là, le plaisir du nombre poétique et de cette
espèce
d’harmonie que l’on retrouve, quoique d’une maniè
c la narration ou le récit qui forme le fondement et la base de cette
espèce
de poésie. 329. Qu’est-ce qui distingue le genre
it le plus ordinaire. Il y a donc, dans ce genre de poésie, plusieurs
espèces
de poèmes, que l’on peut distinguer selon la natu
ans aucune autre distinction. Les seconds sont ceux où l’on indique l’
espèce
particulière de sagesse, de bravoure ou de vertu
de l’éclat. Les mœurs peuvent varier de trois manières : Dans la même
espèce
, et seulement par la différence des degrés : ains
Par l’addition d’une autre qualité qui, sans être dominante, altère l’
espèce
: Ajax est plus dur, Diomède plus brave, Achille
est plus ferme. Enfin, les mœurs sont opposées par la différence de l’
espèce
, comme Hector et Pâris. L’un des deux caractères
es. 401. Qu’est-ce que le poème héroïque ? Le poème héroïque est une
espèce
d’épopée qui n’expose que des actions et des évén
isanteries bouffonnes. C’est ce qu’a fait Scarron, inventeur de cette
espèce
de poème, dans son Énéide travestie, qui n’est au
dans l’apologue. Rien de plus propre à plaire et à attacher que cette
espèce
de contraste. Deux Coqs vivaient en paix : une P
e poésie pastorale, l’églogue et l’idylle, et n’en faisaient pas deux
espèces
particulières. Nos auteurs les confondent aussi,
eux, le désir de l’imiter, et de se donner même réciproquement de ces
espèces
de défis poétiques. Car après sa mort, ces berger
acieux, Et des cieux à la terre et de la terre aux cieux. Cette même
espèce
d’épître admet non seulement le récit des faits h
critique. Poètes satiriques. La satire était chez les Grecs une
espèce
de drame qui tenait de la tragédie et de la coméd
it de joie. Elle ne peut point embrasser les sentiments de toutes les
espèces
et de tous les degrés, réservés à l’ode, et rejet
déplorer, et se montrer tout entière dans l’élégie. Un poème de cette
espèce
, dicté par l’esprit, sera nécessairement froid, f
qui doivent être égales entre elles, exprime le sentiment, de quelque
espèce
et de quelque degré qu’il soit. Tout ce qui agite
convient essentiellement à l’ode. Ainsi l’on peut en distinguer deux
espèces
générales. La première est dans le genre noble et
tenir au corps de l’ouvrage. L’ode proprement dite se divise en trois
espèces
, qui sont l’ode sacrée, qu’on appelle particulièr
eux ; mais il est toujours élégant et varié. Le poète peut dans cette
espèce
d’ode répandre avec grâce des traits de morale, e
genres de poésie sont les mêmes. De la Cantate. Nous avons une
espèce
d’ode faite pour être mise en musique ; c’est la
e gracieux. J.-B. Rousseau nous en offre de parfaits modèles des deux
espèces
. Dans le premier genre, celle de Circé327 est un
les aient multipliés outre mesure, en subdivisant sans nécessité les
espèces
, je n’en disconviens pas ; mais ce n’est pas un m
ue certaines phrases stéréotypées, en quelque sorte, par l’usage, des
espèces
d’idiotismes dont il n’est pas permis de s’écarte
ps les plus anciens, les rhéteurs étaient divisés sur les genres, les
espèces
, le nombre, le nom même des figures ; ces questio
ne modification particulière, qui fait qu’on les réduit chacune à une
espèce
à part, et qui les rend ou plus vives, ou plus no
devaient par conséquent en reconnaître l’existence, et lui rendre une
espèce
de culte. Un d’entre eux admirant ces chefs-d’œuv
la plus grande beauté ; tout s’y réunit pour tenir nos yeux dans une
espèce
d’enchantement. Voilà une imitation de la belle n
ésentés avec tous les traits qui les rendent parfaits chacun dans son
espèce
. Il n’est point de serpent ni de monstre odieux.
ison même par celle de la foi. Mais quoique cette conviction et cette
espèce
de foi humaine qu’on acquiert par l’étude des pre
trait ingénieux, embrasse avidement un fantôme qui lui plaît. Par une
espèce
de possession anticipée, l’âme jouit d’un bien qu
n soulèvement universel de tous les hommes contre leur condition, une
espèce
de conspiration générale dans laquelle ils semble
des arbres. Le retroussis1 de leur feuillage faisait paraître chaque
espèce
de deux verts différents. Chacun a son mouvement.
vec plaisir à voir des moucherons, après la pluie, danser en rond des
espèces
de ballets. Ils se divisent en quadrilles, qui s’
nés pour danser ; ils font aussi entendre, au milieu de leur bal, des
espèces
de chants. Leurs gosiers ne sont pas résonnants c
gères modifications, les règles de la rhétorique s’appliquent à toute
espèce
de composition écrite ou parlée, au style épistol
nonymes ; et cet exercice peut s’appliquer, nous le répétons, à toute
espèce
de composition littéraire. Soit, par exemple, à a
référence. » Ce dernier procédé, qui s’applique parfaitement à toute
espèce
de composition littéraire, depuis la rédaction de
tions auxquelles ils ont donné lieu, peuvent être regardées comme une
espèce
de logique pratique, puisqu’on a acquis des idées
ou réciproquement des effets on remonte à la cause ; 5° le genre et l’
espèce
: ce qui convient au genre se dit de toutes les e
le genre et l’espèce : ce qui convient au genre se dit de toutes les
espèces
qu’il renferme ; mais ce qui est particulier à ch
tes les espèces qu’il renferme ; mais ce qui est particulier à chaque
espèce
ne peut pas également se dire du genre. Il n’est
iles. Il doit d’abord examiner si le sujet prête aux passions, quelle
espèce
de passion il lui convient d’exciter. Ce n’est pa
sions. — Parties essentielles du discours. — Exorde ; ses différentes
espèces
. — Narration. — Confirmation. — Différentes sorte
i c’est le principe qui est sous-entendu. 3° Le dilemme est aussi une
espèce
de syllogisme dont la majeure renferme ordinairem
bien de la cause qui détermine ces différentes positions. Il y a une
espèce
de réfutation qui doit précéder la preuve ; c’est
apparente ; on divise, on sépare les circonstances qui faisaient une
espèce
de corps par leur réunion ; enfin, quant au style
orde est-il nécessaire ? — Quelles sont ses qualités ? — Ses diverses
espèces
? — Comment se lie-t-il au reste du discours ? —
que, qui restreint ou étend la signification, emploie le genre pour l’
espèce
, la partie pour le tout, la matière pour la chose
naissance, et par ces grandes pensées que le ciel envoie, et par une
espèce
d’instinct admirable dont les hommes ne connaisse
ableau, ou même d’un discours. Nous considérerons seulement ici cette
espèce
d’harmonie, qu’on appelle nombre oratoire. Le nom
e de beautés si l’orateur peut y trouver un moyen de donner à l’âme l’
espèce
de mouvement qui lui convient, de captiver l’orei
convenance du style ? — Quelles sont les qualités nécessaires à toute
espèce
de style ? — Que suppose la clarté ? — D’où résul
argument ; tout ce qui eût été défaut en général devient vertu dans l’
espèce
. Examinez de ce point de vue toute la narration d
urtant d’être du bleu et du vert. Trouvez sur votre palette ces mille
espèces
de vert et de bleu que vous donne la nature ; tro
toujours disposés à multiplier les subdivisions, ont assigné à chaque
espèce
de description un nom spécial, en les rangeant ma
classification des rhéteurs, je pense qu’on peut réduire toutes leurs
espèces
de description à deux, celle des choses, qui vien
Chapitre premier. Première
espèce
de mots. Le nom. 10. — Le Nom est un mot qu
à toutes les personnes, à toutes les choses semblables ou de la même
espèce
. Le nom propre convient à une ou à plusieurs pers
Chapitre VII. Septième
espèce
de mots. La préposition. 92. — La Prépositi
itions ; le mot qui suit s’appelle le régime de la préposition. Cette
espèce
de mots s’appelle préposition, parce qu’elle se m
oit faire sentir que chaque langue est plus ou moins susceptible de l’
espèce
d’harmonie dont nous nous occupons ici. C’est au
nôtre en particulier ? Vous venez d’entendre Cicéron proscrire toute
espèce
de recherche et d’affectation à ce sujet : Aristo
tote, sont plus que suffisantes pour donner une idée appréciable de l’
espèce
d’harmonie que comporte la prose, du charme qu’el
c’est un homme qui parle à des hommes : ici c’est un être d’une autre
espèce
, élevé entre le ciel et la terre, c’est un médiat
la raison même. Il est au milieu des accès de l’esprit d’innovation,
espèce
de fièvre la plus terrible, qui offusque le cerve
et les faire rentrer dans leur sujet. S’il y en avait eu un de cette
espèce
au palais, il aurait eu de l’ occupation. Au rest
ariété, où tout frappe, tout brille, un tel discours cause plutôt une
espèce
d’éblouissement qu’une véritable admiration : il
f fait compliment à ses troupes de leur valeur. Le mérite de ces deux
espèces
de harangues consiste dans la brièveté et l’à pro
déterminée par le nombre des syllabes ; c’est elle qui indique chaque
espèce
de vers. Si une syllabe manque à un vers, il y a
Nus De leurs provinces. La fable suivante renferme les dix
espèces
de mesures. 12. O mort ! viens terminer ma misèr
léger fuseau, Tourne sans bruit — autour de son berceau. Les autres
espèces
de vers n’exigent point cette division. Il faut p
e, etc., parce que les consonnances our, or, vi, pa, n’offrent aucune
espèce
d’analogie. 3. Pour distinguer une rime féminine
grâce n’est dans cette césure produite forcément par l’enjambement. L’
espèce
d’enjambement la plus commune aux poétereaux c’es
étranger et inconnu, pour ainsi dire, devant qui vous serez dans une
espèce
de gêne et de contrainte ; avec qui vous n’aurez
font sa force. Dans presque tous les discours de Massillon, c’est une
espèce
de dialogue entre lui et ses auditeurs : il inter
jusqu’à lui, avait ignorée ou détestée ». Les raisonnements de cette
espèce
de philosophie sont en conséquence de ses princip
vis ; allez donc chercher dans une autre terre des hommes d’une autre
espèce
, et semblables à la bête ; ou plutôt, ayez horreu
is bien rare, qui ne peut être qu’un don de la nature, et que l’autre
espèce
d’éloquence est un art qui ne peut s’acquérir que
ite, en parlant du discours oratoire en général et de ses différentes
espèces
. Persuader est le propre de l’éloquence : peindre
te harmonie de style qui charme l’oreille, et jette l’esprit dans une
espèce
d’enchantement. Néanmoins, dit Quintilien 1, il c
ce que l’art oratoire a de plus fort et de plus véhément. C’est cette
espèce
d’éloquence qui a enlevé les suffrages, qui s’est
more perculsum gravi. Hor. IV STANCES DE QUATRE VERS ET DE DEUX
ESPÈCES
DE VERS. Il y en a de deux sortes dans Horace
t invidendâ Sobrius aulâ. IV STANCES DE QUATRE VERS ET DE TROIS
ESPÈCES
DE VERS. Il n’y en a aussi que de deux sortes
jardins ; d’autres préfèrent les avenues et les bosquets ; plusieurs
espèces
s’enfoncent dans les grands bois, et quelques-une
contrées les plus chaudes du nouveau monde que se trouvent toutes les
espèces
d’oiseaux-mouches : elles sont assez nombreuses e
les noms de rayons ou cheveux du soleil. Pour le volume, les petites
espèces
de ces oiseaux sont au-dessous du taon pour la gr
ce principe. Dans la nôtre, par exemple, le mot tourterelle exprime l’
espèce
de gémissement que fait entendre l’oiseau qui por
n comme le second pas de l’art d’écrire. Les hiéroglyphes étaient des
espèces
de symboles, faits pour représenter les objets in
le ou future, comme quand on dit : grand arbre, haute montagne. Cette
espèce
de mots est désignée dans les grammaires sous le
l’on n’avait imaginé de lier les substantifs entre eux par une autre
espèce
de mots, qui sert à déterminer des circonstances
s, tels que mais, et, parce que, quoique, etc. La conjonction est une
espèce
de mot qui sert à lier ensemble les phrases ou le
enons de dire, qu’il y a dans toutes les grammaires trois principales
espèces
tic mots : 1° les substantifs, qui comprennent le
c’est-à-dire, les prépositions et les conjonctions. L’analyse de ces
espèces
de mots forme la première partie de la grammaire
es. Ce petit nombre d’exemples suffit pour montrer qu’outre certaines
espèces
de mots essentielles, il existe chez tous les peu
arder, aboyer, crier, coutume, ensemble, et plusieurs autres de cette
espèce
. La plupart des termes de guerre étaient francs o
plus étendue : il indique, sans le déterminer, un des individus de l’
espèce
, comme un lion, un roi. Le premier, qu’on nomme d
icle ; il indique spécialement un individu distinct parmi ceux de son
espèce
, comme le roi, le lion. Ou voit facilement l’avan
et article, d’une sévérité inflexible ; il repousse de la prose toute
espèce
de transposition, et en tolère à peine un petit n
, savoir : le génie, l’attention et la méthode. Le génie, c’est cette
espèce
de divination, cette faculté naturelle, départie
e faire observer que, dans une harangue judiciaire, on distingue deux
espèces
de circonstances, les circonstances atténuantes e
l’exorde. Quelque sujet qu’on traite, on commence toujours par une
espèce
d’introduction ; c’est ce qu’on appelle l’exorde.
’éteint ! » II. Des règles de la disposition applicables à toute
espèce
de sujets. Les principes que nous venons d’éta
de les classer entre elles. 1. Figures descriptives. La première
espèce
de figures se rapporte à la description des objet
ir trop tôt raison ? 2. Figures passionnées. Il y a une autre
espèce
de figures de pensées qui se rapporte moins à l’i
n appelle des tropes (d’un mot grec qui signifie ou ment). De là deux
espèces
de figures de mots : les figures de mots propreme
nymie, d’un mot grec qui signifie changement de nom. Il y a plusieurs
espèces
de métonymies ; 1° On prend la cause pour l’effet
Cette figure s’appelle synecdoque ou compréhension, il y a plusieurs
espèces
de synecdoques : 1° On prend une partie du tout p
u’on dit les mortels en parlant des hommes, l’animal en parlant d’une
espèce
particulière d’animaux. Delille dit, après avoir
homme fut barbare. L’insecte, nom du genre, est mis pour l’araignée,
espèce
d’insecte. 4° On prend le nom de l’espéce pour ce
division ancienne ; mais nous aurons soin de subdiviser en plusieurs
espèces
particulières chacun des genres dont elle se comp
t se borne à réunir les qualités générales, indispensables dans toute
espèce
de composition : pur, clair, précis, il ne se per
mplicité des mots. Marmontel définit ainsi la naïveté : « C’est cette
espèce
d’ingénuité aimable, d’abandon et de franchise qu
a puissance des mots, comme la répétition, la métaphore et les autres
espèces
de tropes, sont les éléments essentiels du style
me, quelque sonore et quelque flexible qu’elle soit, se change eu une
espèce
de chant monotone, et perd cette variété et ce na
xprimer les sentiments dont l’orateur est agité. Dans ces différentes
espèces
de gestes, il y a une mesure que le goût et la bi
successivement exposer les règles et donner des exemples de ces trois
espèces
d’exercices. I. De la narration. La narratio
bsurde, à mon avis, et celle qui est la plus capable d’anéantir toute
espèce
de génie, c’est la géométrie. Cette science ridic
lement du désespoir, il vit avancer une chaise roulante, à l’antique,
espèce
de tombereau couvert, accompagné de rideaux de cu
ouver, plaire et toucher. De là trois qualités indispensables à toute
espèce
de discours. 1° Un bon discours doit prouver quel
per avec art, et les exprimer avec élégance. Nous diviserons en trois
espèces
les principales applications possibles de la Rhét
rticuliers du style épistolaire ; car la qualité essentielle de toute
espèce
de lettre est d’être naturelle, et de représenter
. Les lettres écrites dans l’intimité roulent ordinairement sur trois
espèces
de sujets : ou l’on raconte des faits, ou l’on di
he de ces sciences qui travaillent à l’instruction et au bonheur de l’
espèce
humaine ? Pourquoi l’artiste, l’avocat, le médeci
’on appelle syntaxe. Avant d’exposer ces règles relativement à chaque
espèce
de mots, il est essentiel d’observer que, dans le
e je l’ai dit ailleurs, qu’on veuille par ces noms exprimer toute une
espèce
de choses, soit qu’on ne veuille désigner qu’une
, soit qu’on ne veuille désigner qu’une ou plusieurs parties de cette
espèce
, on le met cependant quelquefois avant les noms p
est sous-entendu après chaque substantif. Régimes des différentes
espèces
de verbes. Tous les verbes actifs ont un régim
t une vertu de se priver des plaisirs permis. Aucun verbe, de quelque
espèce
qu’il soit, ne peut avoir deux régimes, soit simp
queurs, et j’espère que nous le serons. Cette règle a lieu pour toute
espèce
de mots régissants, soit participes, soit adjecti
pe s’accorde avec le sujet. Au reste, il y a quelques verbes de cette
espèce
, mais en très petit nombre, dont le participe est
simple qui le précède. En voici un exemple, qui réunissant ces trois
espèces
de mots, suffira pour l’explication de cette règl
ne pouvant jamais être séparé du verbe dont il est suivi, de quelque
espèce
qu’il soit, ne présente avec cet infinitif qu’une
conseils intéressés. Dans le premier exemple, le gérondif marque une
espèce
d’état du sujet, et dans le second, la cause de l
ement assujettie à cette règle. Si l’on marque une affirmation ou une
espèce
de certitude, on met le second verbe à l’indicati
elle puisse se glorifier. Quelque… que, quoique, tout… que, sont des
espèces
de conjonctions, qui signifient à peu près la mêm
ifférentes manières dont les arbres sont produits ; leurs différentes
espèces
, et comment on doit les cultiver ; le terroir qui
mment on doit les cultiver ; le terroir qui convient à chacune de ces
espèces
; la manière de connoître la nature d’un sol, et
leurs essaims, de leurs combats ; des différentes abeilles et de leur
espèce
do police ; des temps où elles font le miel ; de
ore la couleur ardente du sang qui coule dans nos veines. La deuxième
espèce
dans l’ordre des rayons, a reçu de l’or le nom de
une, bourgeoise, enjouée ; ou illustre, héroïque, sérieuse. Delà deux
espèces
de drame, le comique et le tragique. Avant de fai
de faire voir ce qui caractérise particulièrement chacune de ces deux
espèces
, donnons une idée des règles communes à l’une et
es de l’art, on l’appelle besoin du poëte. Un moyen de cette dernière
espèce
est toujours une imperfection, et bien souvent un
re l’action jusqu’à sa fin, qu’en employant des moyens de la première
espèce
, c’est-à-dire, tirés du fond de l’action même.
uer à-la-fois l’objet de la tragédie et de la comédie ; ce seroit une
espèce
bâtarde, un monstre né de l’impuissance de faire
se borne au mépris des richesses ; A chanter des héros de toutes les
espèces
, A sauver, s’il se peut, par mes travaux constans
t Ps. Il ne nous est rien resté de leurs ouvrages. On distingue trois
espèces
ou trois âges dans la comédie grecque ; la vieill
perdus, ainsi que ceux de Diphile, qui se rendit célèbre dans la même
espèce
de comédie. Livius Andronicus, grec de naissance
amatiques. On peut faire des pièces à Scènes détachées de différentes
espèces
, quoique de la même nature ; sans action, comme l
origine et le caractère de ce genre de poésie1, en distingue de trois
espèces
. La première est des originaux parodiés en entier
odiés dans quelque partie seulement. Dans les parodies de la première
espèce
, le titre de l’original, les noms et le rang des
ens Italiens à la fin du 17 siècle. Ce qui rend les parodies de cette
espèce
très-difficiles à faire, c’est que le poëte doit
e, oublier le noble et le pathétique de l’ouvrage parodié. La seconde
espèce
de parodie, qui est celle des originaux parodiés
xpressions que ce prince pour déplorer son malheur. Dans la troisième
espèce
de parodie, qui est celle des originaux parodiés
fira d’indiquer. Opéra comique en vaudevilles. On distingue deux
espèces
d’opéra comique ; l’opéra comique en vaudevilles,
entiment ou une passion. De toutes les parties d’une comédie de cette
espèce
, c’est la plus difficile à faire. Il faut que la
te aucun combat dans l’âme de celui qui la fait. Les actions de cette
espèce
, suivant ce rhéteur, ne sont donc pas vraiment tr
t ce qui convient merveilleusement à la tragédie. Une action de cette
espèce
nous offre en effet un combat des plus vifs, entr
r étouffe en eux tout sentiment de haine. Telles sont les principales
espèces
, les principaux degrés de malheurs que la tragédi
isposition du sujet, pour le sujet même. Aristote en compte de quatre
espèces
dans la tragédie. Si dans un ouvrage de ce genre,
ns un danger de mort ; il lui sera sans doute permis de dire avec une
espèce
d’enthousiasme : Lauriers, sacrés rameaux qu’on
seurs, sans laquelle il n’y a jamais de réputation véritable. A cette
espèce
de récapitulation des préceptes généraux de la tr
es discours concernant le théâtre d’Athènes : ouvrage unique dans son
espèce
, (est-il dit dans l’avant-propos d’une nouvelle é
a puiser ce merveilleux qu’elle étale, pour plonger nos sens dans une
espèce
d’enchantement. Voyez, pour le genre mythologique
ui regardent la construction du poëme dramatique, conviennent à cette
espèce
de tragédie-lyrique, avec cette différence pourta
dieux : première branche du merveilleux de l’épopée. Dans toutes les
espèces
de culte, le dieu qui en étoit l’objet, a toujour
rain Créateur a établi. Qui n’admirera point un pareil trait de cette
espèce
de merveilleux dans ces beaux vers de la Henriade
res moraux ou métaphysiques personnifiés, et autres fictions de cette
espèce
: seconde branche du merveilleux de l’épopée. Ces
n, et ceux qui y sont pour le besoin de l’action. Ceux de la première
espèce
sont des épisodes de pur agrément : le poëte ne l
aine sur le dénouement. Telles sont à peu près toutes les différentes
espèces
d’épisodes qui conviennent à l’épopée. Cette noti
ses personnages, en rapportant leurs discours ; ce qui fait alors une
espèce
de dramatique. Lorsque le poëte raconte, il doit
eulement que régnassent le meurtre et le carnage. Les uns formant une
espèce
de tortue, assiégeoient la porte du palais : les
in. Du Poëme héroïque et du Poëme héroïcomique. Il y a quelques
espèces
de poëmes, qui, sans être proprement épiques, tie
aru ; les seuls vraiment épiques, d’après la définition même de cette
espèce
de poëme, sont l’Iliade, l’Odyssée, l’Enéide, l’I
ndre au cœur du méchant ; en vain se flatteroit-il d’acquérir quelque
espèce
de gloire. Jamais, non jamais, l’éclat le plus im
’ensemble en affectant le plus souvent la forme exclamative115, cette
espèce
d’exclamation se nomme épiphonème : Tant de fiel
si à l’harmonie imitative. Racine et Buffon sont les modèles de cette
espèce
de construction. Antithétique, elle s’adresse à
’harmonisme, etc. Et que serait-ce si des genres, j’en étais venu aux
espèces
! si dans le zeugme j’avais distingué le protozeu
nt que d’être malheureux ! 116. M. Fontanier propose une nouvelle
espèce
de parenthèse qu’il appelle incidence, et dans la
tirées du fond même du sujet. Tels sont : la définition, le genre, l’
espèce
, l’énumération des parties d’une chose, etc. Ils
ur, a amené des définitions de genres, et celles-ci des définitions d’
espèces
; de là est venue l’énumération des parties, qui
a fourni encore de nouvelles définitions et divisions de genres et d’
espèces
. Ce sont mes lieux intrinsèques. J’ai puisé des n
ns de voir ne sort pas de la généralité, et peut s’appliquer à toutes
espèces
de composition ; mais l’art de composer a deux br
que soit l’objet du discours, celui qui parle doit commencer par une
espèce
d’introduction, qui prépare l’esprit des auditeur
st la marche naturelle et la division plus ou moins sensible de toute
espèce
de discours. Nous allons voir ce que l’art a fait
fois que l’orateur, convaincu de la bonté de sa cause, ne voit aucune
espèce
d’obstacle à en démontrer l’évidence. Mais, dans
s sont convenablement et clairement exprimées. On distingue plusieurs
espèces
de lettres. Les principales sont les lettres de c
xpression des vœux, et de faire, si l’on peut, une lettre d’une autre
espèce
en mêlant ou des nouvelles ou quelques autres obj
tion. Préceptes particuliers. La lettre de recommandation est une
espèce
de lettre de demande, par laquelle on sollicite p
le leur2. Les hommes et les animaux. Il y a autant de diverses
espèces
d’hommes qu’il y a de diverses espèces d’animaux…
. Il y a autant de diverses espèces d’hommes qu’il y a de diverses
espèces
d’animaux… Il y a des oiseaux qui ne sont recomma
assifications régulières qu’il a introduites sont nécessaires à toute
espèce
d’enseignement. Nous avons donné, à l’exemple de
ou réel, ou prétendu réel. Un tort suppose un droit : or il y a deux
espèces
de droit ; l’un naturel, gravé dans le cœur de to
rgument oratoire à la main ouverte (Cic., Orat., c. 32). Les autres
espèces
d’arguments se rapportent au syllogisme ou à l’en
d’arguments se rapportent au syllogisme ou à l’enthymème. Dans toute
espèce
de syllogisme, il s’agit de montrer le rapport de
sé d’un tel crime, de ne pas même en parler ? » Il y a encore deux
espèces
de raisonnements qu’Aristote distingue du syllogi
oratoire. Enfin l’argument personnel (argumentum ad hominem) est une
espèce
d’enthymème qui renverse les moyens et les préten
ux communs. Les Lieux des Arguments, ou Lieux communs 24, sont des
espèces
de répertoires où les anciens rhéteurs trouvaient
sèques sont : la définition, l’énumération des parties, le genre et l’
espèce
, la comparaison, les contraires, les choses qui r
s riche don qu’il ait fait aux humains. 3º. On emploie le genre et l’
espèce
lorsqu’on prouve qu’il faut aimer la justice parc
roquement, qu’on doit aimer, par exemple, la justice, qui est une des
espèces
de la vertu. Nous ne parlerons point de la simili
eune homme, qui tremble pour lui ; vous tremblez avec elle. C’est une
espèce
de trahison : le poète ne vous attendrit avec tan
propriété, faculté, ne lui apprennent rien. Le cercle vicieux est une
espèce
de pétition de principe, lorsque, pour prouver un
ans la Guinée les hommes sont noirs. Celui-là ferait un sophisme de l’
espèce
dont nous parlons, qui, pour prouver que l’homme
divisé. 8. Abuser de l’ambiguïté des mots. On peut rapporter à cette
espèce
de sophisme tous les syllogismes vicieux. C’est a
ositions d’intérêts, les méprises, les fautes, les obstacles de toute
espèce
, trop ordinaires entre les républiques alliées et
ngues et laconiques. Laconique suppose une sorte d’affectation et une
espèce
de défaut ; concis emporte pour l’ordinaire une i
s auteurs qui, l’ayant étudiée avec soin, se sont acquis sur elle une
espèce
d’autorité dont ils n’usent qu’à son avantage ; e
le nom générique de figures. Celles-ci se distinguent encore en deux
espèces
: figures de mots, et figures de pensées. La figu
ns, qui voulaient donner des gardes à Phalaris. La catachrèse est une
espèce
de métaphore à laquelle on a recours par nécessit
tupor . III. La synecdoque se fait 1º lorsqu’on prend le genre pour l’
espèce
, ou l’espèce pour le genre. Quand on dit les mort
La synecdoque se fait 1º lorsqu’on prend le genre pour l’espèce, ou l’
espèce
pour le genre. Quand on dit les mortels pour les
enre. Quand on dit les mortels pour les hommes, c’est le genre pour l’
espèce
; car les animaux sont sujets à la mort aussi bie
ins, pour représenter un beau vallon, nomment celui de Tempé, c’est l’
espèce
pour le genre : Somnu
norma loquendi. (Horat., de Arte poet., v. 71.) L’antonomase est une
espèce
de synecdoque par laquelle on met un nom commun p
urs à venir165. On joint encore à ces principaux tropes la métalepse,
espèce
de métonymie, comme desideror pour absum ; l’anti
ge les mots selon leur degré de force ou de faiblesse ; l’expolition,
espèce
d’amplification en termes différents ; la synonym
sion ou réplication, nommée par les Grecs épanastrophe ou anadiplose,
espèce
de répétition, ainsi que la palilogie, l’épanalep
ion (διατύπωσις, ἐνάργεια, διαγραφή) rassemble quelquefois toutes les
espèces
d’hypotyposes, l’extérieur, les sentiments, les l
uise le blâme sous le voile de la louange, et réciproquement, est une
espèce
d’ironie. Ce tour, comme le mot l’exprime, porte
36.) La litote ou diminution, qui peut être regardée comme une autre
espèce
d’hyperbole, dit moins pour faire entendre plus.
philosophe de la plus grande autorité ; le second, que c’est par une
espèce
de pudeur que Corydon ne dit pas affirmativement
omme un trait déjà émoussé quand l’adversaire veut s’en servir. Cette
espèce
de triomphe, dont l’orateur jouit d’avance, augme
cès, mais avec l’intention secrète de plaire ; car il en est de cette
espèce
de liberté comme de la correction : si elle est f
apprend ce qu’il faut dire ou ce qui se passe dans la vie ; c’est une
espèce
d’oracle. Telles sont les maximes exprimées dans
r l’infortune pour les porter à la compassion. Nous allons indiquer l’
espèce
de prononciation que chaque circonstance demande.
ue les rhéteurs grecs cherchaient à répandre dans leurs leçons, cette
espèce
d’universalité ambitieuse dans les compositions d
e tes flots expire sur tes bords. On voit encore un exemple de cette
espèce
d’apostrophe, dans ces vers du Poème des Quatre S
cées, fut obligé de s’arrêter. Épiphonème. L’Épiphonème est une
espèce
d’exclamation ou une réflexion courte et vive à l
rreur du crime et des scélérats. Racineen fournit un exemple de cette
espèce
dans la même tragédie. C’est encore Joad qui parl
le, le seul parti de France, qui fût digne de Monsieur. » Il y a une
espèce
de suspension qui badine et qui se joue de l’atte
ns, soit percé par le coude ? Voici encore un joli exemple de cette
espèce
de suspension. Après le malheur effroyab
, dont on compte les exceptions. Denys d’Halicarnasse divise en trois
espèces
les caractères généraux du style, et les nomme le
sec, simple, concis, élégant, fleuri. Le style sec ne comporte aucune
espèce
d’ornement. Content de se voir entendu, l’écrivai
yntaxe de sa propre langue. Cicéron caractérise parfaitement ces deux
espèces
de fautes dans le passage suivant : « La latinité
ions du xive , et réciproquement ; ce qui est une grande faute dans l’
espèce
? Enfin, ne court-on point risque de paraître gau
vec dégoût ! Auprès de cet immonde argot, les jargons de la troisième
espèce
, les ramages de société, sont un parler charmant
iste est l’esclave de la lettre. Non-seulement le purisme glace toute
espèce
d’élan, et donne au style une roideur pédantesque
ses vieilles pensées. « La vieillesse, voisine de l’éternité, est une
espèce
de sacerdoce, et quand elle est sans passions, el
e traités en personnes raisonnables ; il faut entretenir en eux cette
espèce
de fierté, et s’en servir comme d’un moyen pour l
e de l’imiter. Ainsi, tout est devenu sentimental, à mesure que toute
espèce
de sentiment s’est éteint ; et l’on a donné en mo
es, ni sentiments, et que la langue seule en fait les frais. Si cette
espèce
de néologisme se bornait à dénaturer le langage s
e de vague, il faut savoir parfaitement distinguer ce qui constitue l’
espèce
de beauté relative à l’objet auquel on l’applique
stances, la supposition du même degré de talent, pour qu’il y eût une
espèce
d’égalité de mérite entre le texte et la traducti
ciproquement : Le flot qui l’apporta recule épouvanté. De là quatre
espèces
de métaphores, auxquelles ou pourrait en ajouter
s oblige de parler de ce qu’ils ignorent ? Je ne leur pardonne qu’une
espèce
d’erreurs scientifiques, celles que consacre la f
ulation. Il va de soi qu’il ne s’agit pas ici des allégories de cette
espèce
, pas plus que de l’apologue ou de la fable ; ce s
en sont innombrables dans Voltaire lui-même. L’allusion est aussi une
espèce
d’allégorie ou de métaphore. L’écrivain, à propos
dans les poésies fugitives. Outre qu’elles exigent, chacune dans son
espèce
, un talent particulier, on n’y souffre pas les mo
la main de ce poète-menuisier . Du Triolet. Le Triolet est une
espèce
de rondeau, et n’a sur deux rimes que cinq vers,
ou deux vers intercalaires, répétés, par intervalles, et qui font une
espèce
de refrain. C’est ce qu’on va voir dans celui-ci,
s qui la précèdent, et toujours amenée avec art. On réduit toutes les
espèces
de chansons à trois, qui sont les érotiques, les
ens se sera suffisamment familiarisé avec le style et ses différentes
espèces
, il sera à propos alors de s’adonner l’art d’écri
Ces trois parties constituent un tout régulier, et appliquées à toute
espèce
de sujet, elles peuvent aider avec succès les élè
le style épistolaire, c’est la facilité, c’est une douce aisance, une
espèce
d’abandon de la pensée qui ne va pas jusqu’à l’in
tyle agréable. Nous allons maintenant passer en revue les différentes
espèces
de lettres que l’on est appelé à écrire dans ses
à écrire dans ses relations de société. Section V. — Différentes
espèces
de Lettres 1° Lettres d’Affaires Les Lett
de ce moment de repos pour remettre un peu ma tête, et reprendre une
espèce
de contenance. » Lectures. — 1° M. Caraccioli à
s et rapportés dans les écrits ou par les traditions. Ainsi les trois
espèces
énumérées ici se réduisent réellement à deux : l’
l’histoire profane. L’Histoire de la religion se sous-divise en deux
espèces
, dont l’une est l’Histoire sainte, écrite par des
de soi-même, et cette privation qu’il s’imposa toute sa vie, sont une
espèce
d’héroïsme non moins admirable. § 30. Mémoire
que les poètes et les philosophes, c’est-à-dire, selon lui, les deux
espèces
les plus incorrigibles, et, par cette raison, les
ue c’est dans le genre qui en a le moins besoin. C’est surtout dans l’
espèce
de la biographie que les abrégés, ou, comme on di
vec une joie secrète de voir la lumière ; je vois la lumière avec une
espèce
de ravissement, et tout le reste du jour je suis
passe la nuit sans m’éveiller ; et le soir, quand je vais au lit, une
espèce
d’engourdissement m’empêche de faire des réflexio
r un homme qui voulût prendre la peine de briller : un homme de cette
espèce
présente toujours le flanc, et tous les autres so
ma plus un tout ensemble ; et comme on n’en était citoyen que par une
espèce
de fiction, qu’on n’avait plus les mêmes magistra
tié. Cicéron, en effet, distingue, dans l’éloquence du barreau, deux
espèces
de péroraisons pathétiques : la péroraison véhéme
’esprit du lecteur ou de l’auditeur ; elle en indique les différentes
espèces
, les sources, les mérites et les défauts. Elle pr
de la tragédie s’applique parfaitement au roman, au poëme et à toute
espèce
d’ouvrage. 62. « La catastrophe véritable de ce
tain point, commune à tous les hommes ; et rien de plus général que l’
espèce
de plaisir qui résulte de tout ce qui est beau, g
le jour, commandent une admiration universelle et durable. Dans toute
espèce
de composition, ce qui intéresse l’imagination, o
iques de l’orient ou de l’Égypte. Il existait sans doute dès lors une
espèce
d’éloquence, mais elle tenait plus de l’élan poét
à son gré ; et ce qui le distingue de tous les orateurs, c’est que l’
espèce
de suffrage qu’il arrache est toujours pour l’aff
hez les Latins, nous a laissé d’admirables modèles de ces différentes
espèces
d’odes ; son génie facile se pliait à tous les to
ment aiguisée par une pensée fine et délicate. On distingue plusieurs
espèces
de chansons : la chanson érotique et la romance,
e chef-d’œuvre de Molière, le double portrait si savamment tracé de l’
espèce
faux dévot et de l’individu Tartufe ; voyez le Mi
its de fantaisie chez l’historien ; c’est le plus grand défaut dans l’
espèce
. Presque jamais de portraits en pied, le buste su
onséquence de cette double vertu qu’il distingue, avec Aristote, deux
espèces
d’amplification, celle qui agrandit et élève, et
te domaine de la nature vivante, il règne une violence manifeste, une
espèce
de rage prescrite qui arme tous les êtres pour le
e de la vie par des moyens violents. Dans chaque grande division de l’
espèce
animale, elle a choisi un certain nombre d’animau
voient plus la sienne. C’est au milieu de cette solitude et de cette
espèce
de vide formé autour de lui qu’il vit seul avec s
t ainsi nommée d’un mot grec qui signifie agir, parce que, dans cette
espèce
de poésie, on ne raconte point l’action comme dan
it se peindre comme la vérité ; ce qui demande un vraisemblable d’une
espèce
particulière au drame, que nous examinerons tout
rant vide, on entend le bruit de quelqu’un qui arrive. Cette dernière
espèce
de liaison ne suffit pas ; la troisième est absol
si la tragédie, le drame proprement dit, la comédie et ses nombreuses
espèces
. Parlons d’abord de la tragédie. C’est une pièce
e pièce entière et devient ainsi une véritable comédie d’une certaine
espèce
. Le titre de l’original, les noms et les rangs de
us attribuez les partis qu’on m’a vu prendre, depuis que je porte une
espèce
de nom dans le monde, me font peut-être plus d’ho
é que diminué, j’ai conclu qu’il venait d’une autre cause, et que ces
espèces
de jouissances n’étaient point celles qu’il me fa
grat, par cela seul que la reconnaissance est un devoir. En un mot, l’
espèce
de bonheur qu’il me faut n’est pas tant de faire
pour la patrie, pour le prince, pour les autels ? et n’est-ce pas une
espèce
du miracle que ces maximes constantes de courage,
n aperçus enfin ; je me couchai voluptueusement sur la tablette d’une
espèce
de niche ou de fausse porte enfoncée dans un mur
nt un ennemi avec lequel on ne pouvait guère alors acquérir que cette
espèce
de gloire. A peine arrivé dans le palatinat de Po
s soldats extrêmement serrés présentaient aux chevaux des ennemis une
espèce
de rempart hérissé de piques et de baïonnettes ;
parties, les contraires, les semblables, les accessoires, le genre, l’
espèce
, etc., et quand il avait appris à rapprocher un s
xordes détachés qui n’étaient probablement que des exercices de cette
espèce
. Telle est en deux mots la doctrine des anciens s
sés et même voisins. Les orateurs, les poëtes, les écrivains de toute
espèce
vous fourniront de nombreux exemples de cette sor
plexe, ou renferme-t-elle, quoique simple, des preuves ou arguments d’
espèce
diverse, la division la partage en plusieurs poin
out son discours d’un même jet. Fénelon va plus loin ; il blâme toute
espèce
de division. Tout en avouant avec lui que, sans l
’action, il y entraînera tout l’auditoire. A proprement parler, cette
espèce
d’exorde, qu’on nomme ex abrupto, n’est encore qu
etc., mais dans une série de tableaux rangés de manière à former une
espèce
de galerie, tableaux qui ne sont liés ensemble qu
1. Quelle est la matière de l’épître ? L’épître peut embrasser toute
espèce
de sujets. On y peut traiter de la morale, de la
tout sentiment trop relevé. Il n’est pas facile de réussir dans cette
espèce
de composition, parce qu’il faut une grande flexi
amorphose (μετὰ, qui indique le changement, et μορφὴ, forme), est une
espèce
de fable où l’on raconte le changement, la transf
bellis. 327. Quel doit être le style de la métamorphose ? Dans cette
espèce
de poème, on peut employer, selon la nature des s
genres de preuves : je me contenterai de les énumérer. Le genre et l’
espèce
. — Vous prouvez que ce qui est vrai du genre l’es
’espèce. — Vous prouvez que ce qui est vrai du genre l’est aussi de l’
espèce
, et réciproquement. Exemple : — Il faut aimer l’h
la plus indispensable des dispositions dans un traducteur, est cette
espèce
d’analogie naturelle qui le rapproche, à son insu
e factice, et qu’il est dans les mots, ainsi que dans les choses, une
espèce
de majesté d’emprunt), que de descendre à propos
e enfin fut reçu et traité par les appréciateurs éclairés, avec cette
espèce
de vénération qu’inspirerait un beau monument éch
mble les deux hémistiches du même vers, de sorte qu’il en résulte une
espèce
de choc, d’où jaillit nécessairement une étincell
Chapitre II. Des différentes
Espèces
de Style, et des Figures de Pensées. Tous les
, ou dans un genre sublime ; on peut dire aussi qu’il n’y a que trois
espèces
générales de style, le simple, le tempéré, le sub
peinture si riante et si animée. Les objets y sont présentés dans une
espèce
de contraste, qui ne fait qu’augmenter le charme
nt celui que l’histoire leur donne. Parmi tous les portraits de cette
espèce
, je n’en connais pas de mieux frappé que celui de
effroyable coup de vent qui emporte les toits et déracine les arbres,
espèce
d’ouragan mêlé de tonnerre, qui nous arrive après
tié que cela, lorsqu’on vient à considérer, après quelques siècles, l’
espèce
de rage qui armait les frères contre les frères p
t presque impossible. Les hasards, la maladie, les accidents de toute
espèce
disposant de notre sort malgré nous, comment donc
nement des actes. Quant au fond, on distingue les romans en plusieurs
espèces
, dont les principales sont le roman de mœurs, le
ite en les appelant des romans poétiques. Telles sont les principales
espèces
de romans reconnues par les littérateurs, et qui
ont ceux dans la formation desquels il entre deux ou plusieurs mots d’
espèce
différente. Ainsi, de la racine primitive re, cho
ifier le sens général du mot racine, et à former des dérivés de toute
espèce
: des noms, des adjectifs, des verbes, des adverb
9. Sens neutre, comme faiblir. 10. Embéguiné. Le béguin était une
espèce
de coiffe qui s’attachait sous le menton. Elle ét
tée par les béguines, hérétiques du treizième siècle. 11. Donner une
espèce
de vêtement en forme de caleçon. 12. Cramoisi.
bre de huit : la définition, l’énumération des parties, le genre et l’
espèce
, la cause et l’effet, la comparaison, les contrai
plus étendue qui renferme plusieurs idées particulières qu’on appelle
espèces
. Ainsi la vertu peut être considérée comme genre
être considérée comme genre : la tempérance et la justice seront des
espèces
par rapport à la vertu prise en général. Comme l’
e seront des espèces par rapport à la vertu prise en général. Comme l’
espèce
est contenue dans le genre, ce qui convient au ge
t contenue dans le genre, ce qui convient au genre convient aussi à l’
espèce
; ce qui convient à l’espèce convient quelquefois
qui convient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convient à l’
espèce
convient quelquefois, mais ne convient pas nécess
se fait connaître par la définition, par la division du genre en ses
espèces
, du tout en ses parties, par les similitudes et l
que nous avons désigné sous le nom de comparaison, et il y a autant d’
espèces
d’exemples qu’il y a de manières différentes de c
t et les dispositions de l’auditoire, on peut dire qu’il y a autant d’
espèces
d’exordes que de circonstances diverses où un ora
a parole. Néanmoins, on a ramené toutes ces nuances infinies à quatre
espèces
principales : l’exorde simple, l’exorde insinuant
carrière ; mais un mauvais plan suffit pour ôter à son discours toute
espèce
de force et d’intérêt ; il équivaut à un mauvais
p d’autres endroits il y a de légères suspensions à faire. La seconde
espèce
de repos consiste à s’arrêter avant ou après une
ns donc 1º des règles générales de la prédication, 2º des différentes
espèces
de discours sacrés. Chapitre premier. Des règle
ant les yeux ; on regarde celui qui parle comme un homme qui joue une
espèce
de comédie, on le laisse dire pour la cérémonie,
ir dans le cœur (Voir le nº xxii). Chapitre deuxième. Différentes
espèces
de discours sacrés. 324. Les principales espèc
ième. Différentes espèces de discours sacrés. 324. Les principales
espèces
de discours sacrés sont l’homélie, le prône, le s
aux causes justes et aux intérêts légitimes, exerce dans le monde une
espèce
de sacerdoce ; sa voix est considérée comme un or
la loi, et que les juges, plus nombreux que parmi nous, formaient une
espèce
d’assemblée populaire. De là, des mouvements d’él
re encore plus : car la jeunesse veut dominer, et la victoire est une
espèce
de domination. Ces deux passions les occupent bea
tteuses, d’abord parce que la chaleur du caractère les tient dans une
espèce
d’ivresse, ensuite parce que leur attente n’a pas
ément à soi, et il y a dans la politique, comme dans la religion, une
espèce
de pénitence plus glorieuse que l’innocence même,
’énumération des parties ? 33. Que faut-il entendre par le genre et l’
espèce
? 34. Comment raisonne-t-on par la cause et l’eff
-ils pas fréquents chez les jeunes orateurs ? 170. Combien y a-t-il d’
espèces
d’exordes ? 171. En quoi consiste l’exorde simple
dicateur obtiendra-t-il l’onction ? 324. Quelles sont les principales
espèces
de discours sacrés ? 325. Qu’est-ce que l’homélie
ême dans toutes les compositions : aussi devons-nous distinguer trois
espèces
de genres : le simple, le tempéré et le sublime.
expressions. La naïveté, si bien caractérisée par Marmontel, est une
espèce
d’ingénuité, de franchise enfantine que nous aimo
en donner une idée satisfaisante. Si l’on veut bien comprendre cette
espèce
de style, il faut que l’on reporte un instant ses
puissance des mots », comme la Répétition, la Métaphore et les autres
espèces
« de tropes qui sont les éléments essentiels du s
z l’existence a prescrit à votre population et à celles de toutes les
espèces
vivantes, des limites qui ne seront jamais franch
ortante, on fut obligé de remettre au jour suivant, pour éviter toute
espèce
de confusion au moment des suffrages. Porrexerun
sénat ces mots terribles, où respirent toute l’audace du crime, et l’
espèce
d’énergie qui le caractérise57 : Mes ennemis me
si j’avais cru la mort du perfide capable de vous affranchir de toute
espèce
de danger, j’aurais sacrifié ma tranquillité pers
te considération me paraît d’un grand poids pour nous interdire toute
espèce
d’innovation. On ne peut refuser sans doute une s
ite quelques-uns de particulier dans l’énumération de ses différentes
espèces
. Mais ces courtes réflexions suffiront pour nous
le plus mâle et le plus vigoureux. Article II. Des différentes
Espèces
d’Histoire. On peut considérer les hommes dans
pports avec la divinité, et dans leurs rapports entre eux. De là deux
espèces
générales d’histoire ; l’histoire sacrée et l’his
règne animal, c’est-à-dire, les mœurs et le caractère des différentes
espèces
d’animaux, leur formation, leur structure, leur m
’éloquence dans ses différentes applications. On peut distinguer cinq
espèces
d’éloquence : L’éloquence de la chaire, ou éloqu
aut qu’on reproche souvent au genre académique. Voici les différentes
espèces
de discours qui se rapportent à l’éloquence acadé
Chapitre X. Dixième
espèce
de mots. L’interjection. 107. — L’Interject
ller à le devenir. L’école de Zénon pensait, comme Socrate, que toute
espèce
d’artifice était indigne de l’éloquence ; et cett
ts de laine et sur tous ses penchants impétueux et déréglés ; que ses
espèces
sont la continence, la clémence et la modestie qu
ercer les enfants. Enfin, ce qui me semble décider en faveur de cette
espèce
de leçons que je propose pour la seconde classe,
peine de classer toutes les causes oratoires, et d’assigner à chaque
espèce
les moyens qui lui convenaient : c’est ce qu’on a
le dialogue de Gorgias contre les rhéteurs, c’est-à-dire contre cette
espèce
de gens qui s’étaient fait un art de bien parler
n homme plein d’un grand sentiment demeure un moment immobile ; cette
espèce
de saisissement tient et suspens l’âme de tous le
es endroits où elles s’élèveront à un enthousiasme soudain. C’est une
espèce
de musique : toute la beauté consiste dans la var
encé à se rapprocher de la musique des anciens. Cette musique est une
espèce
de déclamation passionnée ; elle agit fortement s
e entendre ce qui regarde l’éloquence : aussi faut-il qu’il y ait une
espèce
d’éloquence dans la musique même : on doit rejete
ien qui ne savait pas notre langue. En vain on lui remontra que cette
espèce
de musique, qui n’est qu’une déclamation notée, e
environné d’une foule de virtuoses, d’artistes, et de juges de toute
espèce
, qui s’efforçaient d’entrer, mais qui n’entraient
jeunesse. Et, quoique en robe, on l’écoutait, Chose assez rare à son
espèce
. Près de là, dans un cabinet Que Girardon et Le P
Hamilton, Toujours armé d’un trait qui blesse, Médisait de l’humaine
espèce
, Et même d’un peu mieux, dit-on. L’aisé, le t
our sur l’autel du dieu des livres, des dessins et des plans de toute
espèce
. On voit sur cet autel le plan de cette belle faç
ments est de choisir ceux qui dégoûtent les autres hommes ; c’est une
espèce
de maladie. Le goût dépravé dans les arts est de
indiscrétion ; et ces deux peuples conséquemment n’auront pas la même
espèce
de comédie. La poésie sera différente chez le peu
qui, par un mélange harmonieux de consonnes et de voyelles, était une
espèce
de musique vocale. Vous ne me condamnerez pas, sa
chacun des deux cède du sien, et s’accommode à l’autre ; et de cette
espèce
de conciliation se forme un style mitoyen, qui pa
avec une austérité triste, une âpreté sauvage et dédaigneuse de toute
espèce
d’élégance : tantôt avec un soin industrieux de p
plicité : Elegantia modo et munditia remanebit. Il lui interdit toute
espèce
de fard : Fucati vero medicamenta candoris et rub
ation plus fidèle de la nature, ce genre ne demeure enseveli dans une
espèce
de médiocrité. S’il m’est permis d’être sincère j
. XXXVII. Il y a des mots qui sont à d’autres ce que le genre est à l’
espèce
, ou ce que l’espèce est au genre. Les mots genre
mots qui sont à d’autres ce que le genre est à l’espèce, ou ce que l’
espèce
est au genre. Les mots genre ont un sens plus lar
’est pour cela qu’ils conviennent mieux au style très-noble. Les mots
espèce
conviennent au style concis, parce qu’ils pressen
et beautés chez les autres. LXVII. Il y a, dans la grande langue, une
espèce
de langue particulière et que j’appellerais volon
es, comme en une place publique, à l’attention universelle ; de cette
espèce
sont les lois, les inscriptions, les maximes, les
une énergie qui ne fortifie rien, une concision qui ne dessine aucune
espèce
de traits, un style dans lequel ne coulent ni sen
comparer celui de l’attente trompée, mais trompée agréablement. Cette
espèce
de jeu est ordinairement produite par des symétri
pas trop pourquoi il a retranché cette phrase, qui était au moins une
espèce
de correctif. S. 96. Alceste n’est certainement
Arche d’alliance ;
espèce
de coffre que le peuple Hébreu avoit construit, v
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