d’une nuit sombre ou d’un rêve agité ! Sur le tombeau d’un petit
enfant
Nature d’où tout sort, nature où tout retomb
e effleurer, Ne faites pas de bruit autour de cette tombe ; Laissez l’
enfant
dormir et la mère pleurer4 ! La voie du segn
ien loin de la voie Où marche le pécheur, Chemine1 où Dieu t’envoie !
Enfant
, garde ta joie ! Lis, garde ta blancheur. Sois hu
e te fais étude Que de l’éternité3 ! Espoir en dieu Espère,
enfant
! demain ! et puis demain encore Et puis toujours
che avec ses jeunes faons, Elle avait sous le ventre un beau groupe d’
enfants
, D’enfants aux dents de marbre, aux cheveux en br
s jeunes faons, Elle avait sous le ventre un beau groupe d’enfants, D’
enfants
aux dents de marbre, aux cheveux en broussailles,
re, Tout raidi par l’hiver, en vain tombe à genoux ; Quand les petits
enfants
, les mains de froid rougies, Ramassent sous vos p
— Infortuné ! Le bonheur, ô mon Dieu, vous me l’avez donné ! Les
enfants
4 Lorsque l’enfant5, paraît, le cercle de fa
tes fronts, les plus souillés peut-être, Se dérident soudain à voir l’
enfant
paraître, Innocent6 et joyeux. Soit que juin
rand feu vacillant dans la chambre Les chaises se toucher, Quand l’
enfant
vient, la joie arrive et nous éclaire1. On rit, o
e patrie et de Dieu, des poëtes, de l’âme Qui s’élève en priant ; L’
enfant
paraît, adieu le ciel et la patrie Et les poëtes
aints ! la grave causerie S’arrête en souriant. Il est si beau, l’
enfant
, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa vo
et bon, au regard réchauffant4, Naïf comme un savant, malin comme un
enfant
, Qui m’embrassait, disant (car un éloge excite) :
nt touchant presque au Gradus, Je croyais (car toujours l’esprit de l’
enfant
veille) Ouïr confusément, tout près de mon oreill
s l’ombre obscure, Enseignait la musique à toute la nature, Tandis qu’
enfant
jaseur, aux gestes étourdis, Jetant partout mes y
rrivais chez ma mère, souvent, Grâce au hasard taquin qui joue avec l’
enfant
, J’avais de grands chagrins et de grandes colères
te Secoue au vent du soir la poussière du jour ! C’est l’heure où les
enfants
parlent avec les anges. Tandis que nous courons à
nges. Tandis que nous courons à nos plaisirs étranges, Tous les petis
enfants
, les yeux levés au ciel, Mains jointes et pieds n
la nuit solennelle ! Ainsi que l’oiseau met sa tête sous son aile, L’
enfant
dans la prière endort son jeune esprit ! Ma fille
aissa les rameaux inférieurs, de l’autre elle y plaça le corps de son
enfant
; laissant alors échapper la branche, la branche
ravie Ou la crème ou le lait, nous prodigue sa vie ; La vache, ô doux
enfants
, qui lui refuserait Un regard, un sourire, et qui
même recueil.) 4. Le toit s’égaye et rit. (André Chénier) 5. Les
enfants
ont toujours porté bonheur à la muse de M. Victor
point fait mal encore. 1. Comparez ces vers de M. de Laprade : L’
enfant
est roi parmi nous Sitôt qu’il respire ; Son tr
ôt qu’il respire ; Son trône est sur nos genoux. Il est roi, le bel
enfant
! Son caprice est triomphant Dès qu’il veut sou
Dès qu’il veut sourire. 2. M. Victor Hugo dit ailleurs : Venez,
enfants
! A vous, jardins, cours, escaliers ! Ebranlez et
lui donnerai-je en retour d’aussi pur, d’aussi doux que son baiser d’
enfant
? Il me semble qu’un lis m’a touché la joue. Qu
Il me semble qu’un lis m’a touché la joue. Que ne puis-je accourir,
enfant
, quand tu m’appelles, Quand tu me dis : je t’aime
ue patrem non passibus æquis. (Virgile.) 1. Voilà bien le regard des
enfants
. 2. Ces vers sont autant d’allusions aux classiq
classiques latins de l’enfance. 3. Rappelez-vous Horace disant de l’
enfant
: Iras colligil, ac ponit temere. « Sa colère s’é
.) 3. Le contour des coteaux : tour inversif. 1. Puissent tous les
enfants
se reconnaître dans les traits de ce tableau ! 2
i sauve son père ; là, une mère qui, du haut d’une terrasse, tend son
enfant
à son mari qui est en bas ; ailleurs, une femme c
femme couverte d’habits magnifiques qui se sauve avec ses deux petits
enfants
. Une foule immense se précipite sur la place, ent
... Racontez dans quel état était cet arbre négligé par son maître. L’
enfant
se plaint à son père. Il a été, dit-il, « moins f
endre à cet étourdi quels sont sur les arbres, comme sur l’esprit des
enfants
, les effets de la culture et du travail. 12. L
avorites. Sujet et plan. Par une belle matinée du printemps, trois
enfants
, Gustave, Alphonse, et leur sœur Alvina, se promè
romènent dans la campagne. Courte description : joie innocente de ces
enfants
, qui admirent et célèbrent la beauté de la nature
. Éloge de cette fleur, qui est le symbole de la tendresse. Les trois
enfants
font de ces fleurs unies ensemble deux guirlandes
e retour à la maison, ils en couronnent la tête de leurs parents. Les
enfants
, par cet hommage, font comprendre qu’ils reconnai
et hautain à l’excès. Décrivez les caprices et les insolences de cet
enfant
. Un jour, sa nourrice vient le voir avec son fils
pieds et s’accuser d’un grand crime : elle a, dit-elle, substitué son
enfant
au leur ; celui qu’on appelle Jacquot et qu’elle
e petit paysan ; il garde les moutons ; il reçoit de dures leçons des
enfants
envers qui il veut se montrer orgueilleux, Détail
docile envers ceux dont il croit être le fils, affectueux envers les
enfants
qu’il croit ses frères et sœurs, poli et obligean
27 et 28. Faute et repentir. Sujet et plan. 1re partie. Alexis,
enfant
très-heureusement élevé, donnait beaucoup de sati
x trouve sa perte dans l’accomplissement même de ses désirs. 30. L’
enfant
perdu. Sujet et plan. Un habitant de Damas, no
erdu. Sujet et plan. Un habitant de Damas, nommé Hussein, avait un
enfant
unique, nommé Ali, encore très-jeune, dont l’heur
isait tout le bonheur de son père. Donnez quelques détails. Un jour l’
enfant
se perd. Dites par quel hasard. Décrivez en peu d
malheur. Le négociant fait des questions à Hussein, et s’assure que l’
enfant
perdu n’est autre qu’un jeune esclave qu’on lui a
nexée à cette maison, avait un fils nommé André, âgé de quatorze ans,
enfant
élevé avec beaucoup de soin et plein d’heureuses
ous vous contenterez d’énoncer et de motiver la résolution que prit l’
enfant
. Sur-le-champ, il rapporte le papier au comte, qu
ate est inquiet et affligé de voir que son secret est au pouvoir d’un
enfant
; il lui recommande la plus grande discrétion. Ce
scène de la nuit n’était qu’une épreuve. Ravi de la discrétion de cet
enfant
, et certain de trouver en lui, par la suite, un s
t et plan. Au premier rang des braves qui défendent contre les cruels
enfants
de Rome la liberté expirante de la Gaule, se dist
en état. « Romains, dit-il ensuite en montrant ses propres bras, ses
enfants
, ses instruments, ses bœufs : mes sortilèges, les
à sa place pour esclave. Le barbare préfère volontiers un homme à un
enfant
. L’échange est accepté. Deux tableaux feront cont
Huneric, gendre du roi des Vandales, de lui accorder la liberté de l’
enfant
. Refus dur et insultant du barbare. Douleur et em
s’offre comme esclave. Son offre est acceptée. On ôte les chaînes à l’
enfant
pour en charger l’évêque ; sentiments éprouvés pa
entiments éprouvés par tous les témoins de cette scène ; paroles de l’
enfant
, qui ne voulait point accepter la liberté à un te
un tel prix. Insistance héroïque de Paulin ; ses recommandations à l’
enfant
qu’il a délivré ; ses adieux à ses concitoyens. P
on vient, mais on ne le retire que moyennant une forte récompense. Un
enfant
du bon Clairval tombe malade : toutes les personn
ont ensuite reçus chez une veuve charitable qui leur donne son neveu,
enfant
de quatorze ans, pour leur servir de guide dans u
pour leur servir de guide dans un chemin difficile. L’ermite jette l’
enfant
dans le fleuve. L’indignation d’Almanzor, jusque-
priétaire a trouvé un trésor immense. Elle a mis fin aux jours de cet
enfant
, parce que, s’il eût vécu, il serait devenu malhe
u de sacrifier aux idoles, ou de livrer le seul fils qui lui restait,
enfant
de douze ans. Dialogue de Keoven et de l’envoyé d
prend que son premier fils n’est plus. Séparation de Keoven et de son
enfant
. Le troisième jour, Keoven est mandé lui-même aup
légèrement ému. Apollonius ajoute que ce vieillard a sauvé la vie à l’
enfant
unique de Gabinien ; que si les esclaves dont la
que si les esclaves dont la négligence avait compromis les jours de l’
enfant
, empêchent le vieillard de venir réclamer le prix
ublique de la Grèce, un visage inhumain. On ne laissait vivre que les
enfants
d’une constitution robuste et qui paraissaient ca
issaient capables de supporter un jour les fatigues de la guerre. Les
enfants
délicats et faibles étaient jetés dans un abîme,
s mois après la naissance d’Agésilas, les éphores viennent examiner l’
enfant
. Son père, Archidamus, commandait alors l’armée,
Son père, Archidamus, commandait alors l’armée, loin de Lacédémone. L’
enfant
leur paraît trop faible ; ils le condamnent à pér
sentations, de prières et de larmes, obtient qu’on laissera vivre cet
enfant
. Agésilas devint un héros et fut le sauveur de so
hommes et maudissant le ciel. En ce moment arrive dans les ruines un
enfant
qui s’est égaré : inquiet, mais plein de confianc
e en Dieu, il se met à genoux et prie. A la vue de l’innocence de cet
enfant
, tous les bons sentiments se réveillent dans le c
abîme. Une femme d’une beauté fière et sauvage, tenant d’une main son
enfant
, ordonne d’un air menaçant à ce chef d’épargner l
le jeune homme sous sa protection ; elle l’a vu se faire l’ami de son
enfant
et lui enseigner le dessin ; elle demande, ou plu
ois, en jouant avec son fils André, le laissa tomber dans le Rhône, l’
enfant
se noya. Le père, désespéré, renonça pour jamais
peindra la tendresse réciproque du père et du fils, et les jeux de l’
enfant
sur la terrasse le long du fleuve par une belle s
le désespoir d’Humbert quand on lui rapporte les tristes restes de l’
enfant
qu’il chérissait et dont il a involontairement ca
Sujet et plan. 1re partie. Dans la partie méridionale de l’Écosse, un
enfant
de seize ans, nommé James, était chargé de garder
rcher et n’avait pas mangé depuis quarante-huit heures. Dialogue de l’
enfant
avec lord William (c’était le nom du proscrit). W
avec lord William (c’était le nom du proscrit). William se confie à l’
enfant
et ne lui laisse pas ignorer que, s’il veut le li
peu près guéri ; il veut sortir de sa triste retraite ; il donne à l’
enfant
quinze guinées pour lui acheter un cheval. Le dim
en prison. Cependant lord William s’inquiète de ne pas voir revenir l’
enfant
; il tremble qu’il ne lui soit arrivé quelque mal
une berger qui a volé des pièces d’or. Il comprend tout : le généreux
enfant
qui lui a sauvé la vie va perdre son honneur pour
entre dans la salle du tribunal. Décrivez ce qui se passait alors. L’
enfant
protestait de son innocence, mais refusait opiniâ
âtrement de dire d’où lui venait cet or. William s’élance, il serre l’
enfant
dans ses bras et l’arrose de ses larmes ; il raco
ante mille combattants. Avec eux sont plus de cinquante mille femmes,
enfants
et vieillards. À leur tête sont d’Elbée, Bonchamp
mée vendéenne, laissant à Beaupréau les vieillards, les femmes et les
enfants
, vient attaquer Chollet. Le combat commence à deu
es bords du Rhône. Clodomir laissait trois fils en bas âge. Ces trois
enfants
furent confiés à leur grand ‘mère, la reine Cloti
roi de Soissons, jaloux de la tendresse que Clotilde témoignait à ces
enfants
, et craignant qu’elle ne redemandât pour eux les
x les États de leur père, qu’ils s’étaient partagés, s’emparèrent des
enfants
par ruse, puis ils envoyèrent à Clotilde une épée
ormé sur-le-champ de cette réponse, le barbare Clotaire saisit un des
enfants
et l’immole ; Childebert ne pouvant se résoudre à
re. Sujet et plan. Nous supposons que quinze ans après le meurtre des
enfants
de Clodomir eut lieu le fait suivant : Childebert
enfants de Clodomir eut lieu le fait suivant : Childebert n’a point d’
enfants
; il est brouillé avec Clotaire ; il voit avec ef
doit passer la nuit dans une chambre reculée du palais, auprès de son
enfant
malade ; il exige qu’elle lui donne la clef d’une
eune sourd-muet. 1er dialogue. M. DELVILLE ; ÉDOUARD ET ÉLISA, SES
ENFANTS
. La scène est dans le jardin. Édouard et Élisa ac
he à échapper au travail et à abuser les personnes bienfaisantes. Les
enfants
ne peuvent croire à une si indigne conduite. Ils
logue, imagineront trois ou quatre ruses à l’aide desquelles les deux
enfants
avec l’agrément de leur père, annoncent qu’ils s’
n infirmité paraît certaine à M. Delville lui-même. Il se joint à ses
enfants
pour le combler de bienfaits. Alors André parait
lheurs immérités, elle avait bien de la peine à vivre et à élever ses
enfants
; elle était obligée de suppléer a l’exiguïté de
la moitié de sa fortune et de lui permettre de devenir le père de ses
enfants
. L’exquise bonté du cœur de madame Milville devra
onc sur Jérusalem. C’est le moment, ou jamais. 110. Monologue de l’
enfant
prodigue. On appelle vulgairement l’Enfant pro
110. Monologue de l’enfant prodigue. On appelle vulgairement l’
Enfant
prodigue le jeune homme dont il est question dans
le partage de son bien. Peu de jours après, le plus jeune de ces deux
enfants
, ayant amassé ce qu’il avait, s’en alla dans un p
oi comme l’un des serviteurs qui sont à vos gages. » Sujet et plan. L’
enfant
prodigue, dans un monologue, développera le sens
126. Discours adressé aux états généraux de Hollande en faveur d’un
enfant
de quatorze ans. (Discours contenant une narrat
st pour le prévenir, nullement pour s’en effrayer. Sujet. Un soir, un
enfant
de quatorze ans, passant au pied des digues pour
tait un orage terrible. Il appelle ; personne ne répond à ses cris. L’
enfant
se couche contre l’ouverture que la mer avait fai
la Hollande est sauvée. Un membre des états généraux demande pour cet
enfant
une récompense nationale. Plan. Le discours se co
récit vif et animé de ce qu’a fait et de ce qu’a souffert ce généreux
enfant
pendant cette nuit terrible. Dans la seconde, l’o
era possible qu’un tribun ait eu peur d’un jeune homme ou plutôt d’un
enfant
? Quand Pomponius le dirait lui-même, qui voudrai
exion ; Et le bel exemple de piété filiale qu’il venait de donner aux
enfants
maltraités par des parents injustes. Le peuple, l
un dommage doit le réparer ; les parents sont responsables pour leurs
enfants
mineurs ; donc c’est aux parents d’Auguste à répa
on n’est possible, le coup qui les a frappés dans la personne de leur
enfant
détruit toutes les ressources de leur avenir, et
scours peut avoir pour base les motifs suivants : 1° L’innocence de l’
enfant
qui n’était pas coupable, si ses parents l’avaien
l’erreur ; 2° les nœuds qui unissaient le principal du collège à cet
enfant
, dont il était devenu comme le second père en l’a
autres motifs n’auraient pas existé, l’engageait à prendre pitié d’un
enfant
dans un tel danger. Maximilien de Béthune était e
ie, un abominable usage. Dans les dangers publics, ou choisissait les
enfants
de la ville les plus distingués par les qualités
e à la colère des dieux, à qui l’on a cessé d’offrir en sacrifice les
enfants
des premières familles de l’État. Au lieu de pren
ont tourner contre l’ennemi cette fureur qui les animait contre leurs
enfants
. Plan. Dans son exode, l’orateur commence par pro
dévouement et aux lois et à la religion de la patrie. S’il avait des
enfants
et que leur mort dût être utile au pays, il serai
n de ceux qui suivent l’empereur à la chasse ne porte des armes ; ses
enfants
eux-mêmes sont soumis à cette loi. Je tremble pou
ar la perversité de son oncle et par les dispositions heureuses que l’
enfant
a toujours montrées pour la vertu. 2e partie : S
Jean sans Terre (1203). Richard, surnommé Cœur de Lion, mort sans
enfants
en 1199 (Voir les exercices 87 et 88), était à la
, a commis ce forfait sur la terre de France, et sur la personne d’un
enfant
de la France. Il finit en demandant l’arrêt de mo
.) Il lui prédit les suites qu’aura cette excessive mollesse pour ses
enfants
qui voudront suivre son exemple, l’abâtardissemen
ires ; qu’il se mette à la tête des armées ; qu’il fasse donner à ses
enfants
une éducation mâle et forte : la conservation de
assez d’hommes pour se défendre ; elle n’a pas besoin du secours des
enfants
. La tâche de défenseur, plus douce, n’est guère p
t le plus heureux en prouvant aux ennemis qu’à défaut des hommes, les
enfants
, à Sparte, suffiraient pour les repousser. Le sén
fasse annuler ; s’il le croit légitime, qu’il protège la femme et les
enfants
de son fils. Mais la faire assassiner !… Dans l’u
es circonstances. Il réfute les allégations du grand sénéchal : « Les
enfants
d’Inès raviraient peut-être la couronne au fils a
use femme, qui n’avait pour défense que ses larmes et les cris de ses
enfants
. À cette nouvelle, don Pèdre, au désespoir, march
’Anjou se rendit maître de tout le pays. Conradin n’était alors qu’un
enfant
; il était élevé en Allemagne. Conradin était le
ne se fit un jour un parti dans l’État, il relégua ce prince, encore
enfant
, dans un château fort. Son premier ministre, nomm
eux. Boris l’emporta, et, avec la permission de Fédor, il fit tuer l’
enfant
par un officier à qui il fit sur-le-champ subir l
é depuis l’an 14 jusqu’à l’an 37. 158. Plaidoyer pour ou contre un
enfant
de douze ans. Une foule nombreuse était réunie
fin la fauvette, dans son effroi, vient se réfugier dans le sein d’un
enfant
; l’enfant la saisit et la tue en la jetant avec
ette, dans son effroi, vient se réfugier dans le sein d’un enfant ; l’
enfant
la saisit et la tue en la jetant avec force contr
ce contre le pavé. Un cri général d’indignation s’élève ; on traîne l’
enfant
devant l’aréopage ; on demande qu’il soit banni,
u importante, ou même entièrement innocente, vous demanderez ou que l’
enfant
subisse le châtiment demandé par la clameur publi
à même de le remplacer auprès de leur père et de leur frère, et que l’
enfant
parvenu à l’âge de seize ans a eu assez de forces
aux propriétés des animaux et à la diversité de leurs caractères. Les
enfants
y reconnaissent les mœurs du chien qu’ils caresse
re leur a dit des bêtes féroces : le loup dont on menace les méchants
enfants
, le renard qui rôde autour du poulailler, le lion
es et leur vie inépuisable1. Ils sont trop superbes pour goûter ce qu’
enfants
on leur a donné à lire. C’était une lecture de pè
ise, en se retrouvant parmi ces animaux auxquels il s’était intéressé
enfant
, de reconnaître par sa propre réflexion, non plus
aractères des animaux, auxquels nous prenons le même plaisir qu’étant
enfants
, soit ressouvenir des imperfections des hommes, s
nos humeurs, il joue avec la même grâce pour le vieillard que pour l’
enfant
. Le maître du chien n’a ni âge, ni condition, ni
pour le chien le seul puissant de ce monde ; le vieillard lui est un
enfant
aux fraîches couleurs ; le pauvre lui est roi. Il
outenait la thèse paradoxale que voici : « Je demande si c’est à des
enfants
de six ans qu’il faut apprendre qu’il y a des hom
mon second paradoxe, et ce n’est pas le moins important. « Suivez les
enfants
apprenant leurs fables, et vous verrez que, quand
est un des personnages, comme c’est d’ordinaire, le plus brillant, l’
enfant
ne manque point de se faire lion, et, quand il pr
uand le moucheron terrasse le lion, c’est une autre affaire : alors l’
enfant
n’est plus lion, il est moucheron ; il apprend à
t peine à savoir la cause de ses pleurs ; on la sut enfin : la pauvre
enfant
s’ennuyait d’être à la chaîne ; elle se sentait l
as loup. « Ainsi donc la morale de la première fable citée est pour l’
enfant
une leçon de la plus basse flatterie ; celle de l
ique, y a donné à Esope une place très-honorable. Il souhaite que les
enfants
sucent ces fables avec le lait ; il recommande au
méthode y peut contribuer plus utilement que les fables ? Dites à un
enfant
que Crassus, allant contre les Parthes, s’engagea
et son armée, quelque effort qu’il fit pour se retirer. Dites au même
enfant
que le renard et le bouc descendirent au fond d’u
demande lequel de ces deux exemples fera le plus d’impression sur cet
enfant
: ne s’arrêtera-t-il pas au dernier, comme plus c
* Prière. Notre Père des cieux, père de tout le monde, De vos petits
enfants
c’est vous qui prenez soin ; Mais à tant de bonté
Afin qu’ils soient heureux, donnez-moi la sagesse ; Et puissent leurs
enfants
les contenter sans cesse, Pour être ai
a glorieuse école : Il n’est point conquérant, mais il est agricole ;
Enfant
, il a sa grâce et ses folâtres jeux ; Jeune, il e
, j’y pleure bien souvent ; Donnez : peu me suffit ; je ne suis qu’un
enfant
; Un petit sou me rend la vie. On m’a
à demi, Lorsqu’une douce voix, à travers la tempête, Vint réveiller l’
enfant
par le froid endormi. Qu’il vienne à n
L’heure du péril est notre heure ; Les orphelins sont nos
enfants
, Et deux femmes en deuil recueillaient sa misère
leurs doigts Briller la croix d’argent au bout du long rosaire ; Et l’
enfant
les suivit, en se signant deux fois. A. Guiraud
e et bon, au regard réchauffant, Naïf comme un savant, malin comme un
enfant
, Qui m’embrassait, disant, car un éloge excite :
ont touchant presqu’au Gradus, Je croyais, car toujours l’esprit de l’
enfant
veille, Ouïr, confusément, tout près de mon oreil
l’ombre obscure, Enseignait la musique à toute la nature ; Tandis qu’
enfant
jaseur, aux gestes étourdis, Jetant partout mes y
rvant son fraisier. On l’admire à force de l’aimer1. Une visite d’
enfant
Le 14. — Une visite d’enfant me vint couper m
force de l’aimer1. Une visite d’enfant Le 14. — Une visite d’
enfant
me vint couper mon histoire hier. Je la quittai s
ouper mon histoire hier. Je la quittai sans regret. J’aime autant les
enfants
que les pauvres vieux. Un de ces enfants est fort
ns regret. J’aime autant les enfants que les pauvres vieux. Un de ces
enfants
est fort gentil, vif, éveillé, questionneur ; il
s. Je n’ai donc rien obtenu qu’un baiser. Ils sont doux les baisers d’
enfant
: il me semble qu’un lis s’est posé sur ma joue3.
derrière le contrevent, pour reparaître ensuite et se cacher comme un
enfant
qui joue à clignette1. Le 24. — Je vois un beau s
erci sans rien prendre, parce que nous étions après dîner. Les petits
enfants
sont venus à nous comme des poulets. Je leur ai f
is quoi lui répond et fait qu’elle s’apaise à peu près comme quand un
enfant
pleure et qu’il voit sa mère. C’est que la compas
rois jours, je n’ai pas quitté l’aiguille. C’était d’abord une robe d’
enfant
, que nous faisions, jolie petite robe rose que j’
rond remplira ces manches, une si jolie petite main en sortira, et l’
enfant
est si jolie et s’appelle Angèle ! C’est avec cha
travaillé pour elle ! » 1. Clignette ou cligne-musette, jeu où un
enfant
ferme les yeux, tandis que les autres se cachent.
Le véritable bonheur de l’enfance O bienheureux mille fois L’
enfant
que le Seigneur aime, Qui de bonne heure entend s
n4, Un jeune lis, l’amour de la nature. Heureux, heureux mille fois L’
enfant
que le Seigneur rend docile à ses lois ! Int
œur, suite d’athalie. Josabeth 5, aux deux lévites. O vous ! sur ces
enfants
si chers, si précieux, Ministres du Seigneur, aye
mon fils. Athalie, à Joas. Et vous, quel est donc votre père ? Jeune
enfant
, répondez. Josabeth. Le Ciel jusqu’aujourd’hui3…
ans quelles mains ont pris soin ? Joas. Dieu laissa-t-il jamais ses
enfants
au besoin2 ? Aux petits des oiseaux il donne leur
’avez point de passe-temps plus doux1 ? Je plains le triste sort d’un
enfant
tel que vous. Venez dans mon palais, vous y verre
alie. Ces méchants, qui sont-ils ? Josabeth. Hé, madame ! excusez Un
enfant
… athalie, à Josabeth. J’aime à voir comme vous l
in, Éliacin, vous avez su me plaire ; Vous n’êtes point sans doute un
enfant
ordinaire1. Vous voyez, je suis reine, et n’ai po
de ses prédictions ? Qu’il vous donne ce roi promis aux nations, Cet
enfant
de David, votre espoir, votre attente… Mais nous
présentant des petits chiens. Venez, famille désolée ; Venez, pauvres
enfants
qu’on veut rendre orpheline, Venez faire parler v
onfesse. Mais s’il est condamné, l’embarras est égal : Voilà bien des
enfants
réduits à l’hôpital. Plaintes d’un chrétien
terre une vallée de larmes. 1. La voix de Dieu se fait entendre aux
enfants
par la bouche de ses ministres, par les instructi
rudente, et elle parle pour lui. 4. La vérité sort de la bouche des
enfants
, dit le proverbe. Voyez comme le style relève une
. 12.) — L’Écriture dit encore : « Vous avez formé dans la bouche des
enfants
, et de ceux qui sont encore à la mamelle, une lou
ge d’instruction. 5. Athalie peut ne pas prendre ceci pour elle. Cet
enfant
, qui parle comme un ange, a bien profité des leço
re la perfidie et la ruse des questions insidieuses que déjone de cet
enfant
. 5. Le charme opère un miracle. 6. Abner a l’es
t pour inspirer confiance à Joas. 2. Admirons le courage naïf de cet
enfant
qui parle ici presque comme Polyeucte. 3. Il rép
— A une dame veuve Une dame perdit son mari ; mais elle avait deux
enfants
qui faisaient sa consolation, Edouard et Sophie.
us pouviez vous considérer comme la plus heureuse des mères avec deux
enfants
si accomplis — Vous étiez doublement heureuse — V
des nouvelles ou me trouvera par les chemins, ou, en un mot, ma chère
enfant
, il arrivera jeudi au lieu de moi ; et moi, je pa
dons. — Sans doute ces hommes durent-ils raconter ces choses à leurs
enfants
. — Avis. La fidélité d’un portrait particulier
s parlez de Régulus — … mais, sans parler des hommes, nos femmes, nos
enfants
… Vous nous dites : « Les païens sont honorés. — L
e — …En vain les chiens lui ferment le passage — … Il s’élance sur un
enfant
de six ans — … La mère accourt et se jette sur le
trépidité de la mère, sa lutte avec le tigre. Joie de la mère et de l’
enfant
. Sens de l’allégorie. Le tigre est le symbole du
eux mille ans, toute la fange de l’ancienne république romaine28… Les
enfants
qui s’agitent dans cette cuve sont paresseux, flâ
N° 89. — L’Ecolier, l’Abeille, l’Hirondelle et le Chien. Un jeune
enfant
s’en allait à l’école, triste et pleurant, car il
e et qu’il faut travailler — … Plus loin une hirondelle voltigeait, l’
enfant
lui fait la même proposition qu’à l’abeille, mais
la certitude du printemps et qu’il faut qu’elle songe à son nid — … L’
enfant
reste pensif, et laisse tomber son livre — … Un g
s les occupations de son maître, et les siennes propres ; il engage l’
enfant
à étudier pour devenir savant — … L’écolier l’éco
ours de Stentor, qui, après avoir exposé ses occupations, parlera à l’
enfant
des douceurs de la scicnce, du bonheur qui l’atte
grave et tempéré par quelques expressions douces propres à flatter l’
enfant
N° 90. — La Brebis. C’était la fête de Jupi
que rien n’est vicié ni déformé par les travaux pénibles — … Ainsi, l’
enfant
a les membres bien proportionnés — … Sa main, son
d’Asile Ne sentez-vous pas le vent qui souffle ? Voici l’hiver — …
Enfants
riches, je veux vous parler des enfants pauvres —
i souffle ? Voici l’hiver — … Enfants riches, je veux vous parler des
enfants
pauvres — … Vous, si heureux… Vous ne vous doutez
te… La mère, forcée de travailler au dehors, ne sait que faire de ses
enfants
pendant le jour58 — … Et puis, l’enfant ne peut p
rs, ne sait que faire de ses enfants pendant le jour58 — … Et puis, l’
enfant
ne peut pas rester seul… il a besoin d’une mère59
l’enfant ne peut pas rester seul… il a besoin d’une mère59 — Seul, l’
enfant
se perd60 — …Mais, comment venir au secours de ce
oisse, on a choisi une maison bien saine — … C’est un palais pour les
enfants
des mansardes — … Cette maison est gouvernée, soi
es — … Cette maison est gouvernée, soit par un vieillard qui aime les
enfants
— … soit par une femme douce qui leur sert de mèr
leur sert de mère — Le matin, leurs parents vont travailler — … et l’
enfant
, leur disant adieu pour toute la journée, entre d
iver, c’est de l’ombre en été. Grâce à ces touchantes institutions, l’
enfant
du pauvre62… N° 121. — Un Cimetière de Campagn
maîtres par des aboiements plaintifs. On les a vus charger de jeunes
enfants
sur leur dos et les transporter seuls jusqu’à l’h
douce — … où il n’y a ni querelles, ni fracas domestiques — … où les
enfants
sont bons et sages — … Où le vieillard et la jeun
nt son appui Dépend de son domaine et relève de lui. Il lègue à ses
enfants
des trônes, des provinces, Sa femme est une reine
s s’écrie : — Vous mourez, Epaminondas, si du moins vous laissiez des
enfants
. — Le général répond qu’il en laisse deux célèbre
Tibériade, Gui de Lusignan, roi de Jérusalem, fait prisonnier, et des
enfants
avec quelques soldats fugitifs, étaient les seuls
, et condamne par Roger, son ennemi, à mourir de faim avec ses quatre
enfants
. Il raconte dans ! es enfers à un visiteur, son s
et fit déchirer par des chiennes maigres — … Quand je m’éveillai, mes
enfants
demandaient du pain — … Nœud. C’était l’heure du
la faim peinte sur ces quatre visages, je me mordis les mains — … Mes
enfants
croyant que c’était l’effet de la faim, me propos
t de la faim, me proposèrent de me nourrir de leur chair (paroles des
enfants
.) — … Deux jours durant, nous fûmes silencieux. —
eur, elle lui fait promettre qu’on ne touchera point aux parures de l’
enfant
— … Le char s’approche, la mère y place sa Cécile
sa fille aînée — … Dénouement. Puis elle alla replacer sur le lit l’
enfant
mourante et rendit le dernier soupir avec elle —
ombait — … Courte description des rigueurs de l’hiver, de la joie des
enfants
riches, et de la tristesse des enfants pauvres et
urs de l’hiver, de la joie des enfants riches, et de la tristesse des
enfants
pauvres et orphelins. Deux enfants demandaient l’
nts riches, et de la tristesse des enfants pauvres et orphelins. Deux
enfants
demandaient l’aumône sur le seuil d’une chapelle
antait. — L’aîné tendait en vain la main, et disait : Allocution de l’
enfant
aux passants : notre mère est morte, notre père a
chapelle — Elle ne s’ouvrit point — … L’horloge sonna minuit — … Les
enfants
s endormirent — … À l’aube du jour, un prêtre les
u’elle fut arrêtée dans sa marche par les eaux de la seine — … Un bel
enfant
, nommé Loïs se baignait dans le fleuve — … Nœud.
, sois la plus belle fleur des Gaules. » Et elle change en lis le bel
enfant
— … Puis se tournant vers le druide, — elle lui c
nds sur les meubles et sur le parquet — … Grande frayeur de la pauvre
enfant
— … Son père vient à ses cris — … Il réussit à s’
8. — La Leçon maternelle Exposition. Dans le bois de St-Cloud, un
enfant
frappait sa bonne en présence d’une dame — … Nœu
onne en présence d’une dame — … Nœud. La dame le réprimanda — … et l’
enfant
tout honteux alla se cacher — … Dénouement. Peti
malgré la légèreté de mon poids, — j’enlevai le lourd plateau, qu’un
enfant
ailé, charmant, empêcha avec son pied de monter t
… La terrible voix s’écria qu’un de plus suffirait — … Dénouement. L’
enfant
me regarda tristement — … Des monstres voisins gr
l a vue — … Il ne faut plus qu’une faute pour combler la mesure — … L’
enfant
c’est une bonne action qu’il a faite la veille, e
x nègres, domestiques de Mme Malfit, ou Mme Malfit elle-même avec son
enfant
. Les nègres entendent la sentence, ils se débatte
Ces nègres qui montrent le ciel, qui embrassent leur jeune maître, l’
enfant
de Mme Malfit, pour la dernière fois, qui font ju
resse cette pauvre mère qui consent à mourir si l’on veut adopter son
enfant
: ce sont tà de beaux sentiments à peindre. N°
ône royal était assis un cadavre « Costumé en roi ; à droite était un
enfant
avec les insignes de la royauté, à gauche un viei
ce d’Ankastrom. — Le prisonnier décapité. Le règne de Gustave IV. — L’
enfant
. L’élévation au trône du duc de Sudermanie. Le vi
ent les exploits de leurs pères, des vieillards qui racontent à leurs
enfants
les hauts faits de l’héroïne ; les voyageurs vien
de quitter la terre où il était si bien, d’abandonner sa femme et ses
enfants
. Le cercueil était prêt à recevoir le corps, avec
, on le saisit, on vend son mobilier ; désespéré, il tue trois de ses
enfants
Isa femme s’enfuit avec le quatrième — … Le pauvr
n fils, dès la plus tendre enfance, à honorer ainsi Marie, et quand l’
enfant
fut grand, c’est lui qui allait porter la couronn
nsion- — … Ce jour-là la couronne de Marie ne fut pas renouvelée et l’
enfant
fut triste — … Il porta ses douleurs au sein du p
dans mon sein, la vierge Marie m’apparut et déposa entre mes bras un
enfant
couronné de roses blanches — … C’était vous — … L
dans l’humble chapelle, un religieux qui l’avait suivi, vit un petit
enfant
qui récitait l’office avec lut — … Cette vie dura
utels renversés, Dans des ruisseaux de sang les débris dispersés, Les
enfants
écrasés dans les bras de leurs mères, Les frères
de la bonté et de l’amour, lorsque ces vœux n’embrassent pas tous les
enfants
. Ah ! Pardonnez à mes frères pour que le malheur
e. Qu’ils la punissent de sa confiance en la repoussant ainsi que son
enfant
, ou qu’ils accueillent et protègent la fille et l
dans les Champs-Elysées, mais dans la région de l’air habitée par ¡es
enfants
des dieux. S’il est implacable au contraire, que
il sera obligé de passer sur le corps de sa mère, et sa femme et ses
enfants
seront laits esclaves. Pourquoi ne répond-il pas
habitations ; voudraient-ils, après leur mort, causer celle de leurs
enfants
? Leurs ancêtres eux-mêmes ne se réveilleraient-i
êlées à celles de leurs pères, elles seront réunies à celles de leurs
enfants
, et à celles de leur curé ; car il veut, lui, êtr
ie de le délivrer. Celui qui viendrait déchirer dans leurs bras leurs
enfants
et leurs époux, serait un monstre cruel. — Les In
ffreux abandonné vingt ans, Mes larmes t’imploraient pour mes tristes
enfants
, Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand
ccès, il faudrait qu’il fût libre et sans soucis pour sa femme et ses
enfants
. Or, dans les circonstances présentes, Philippe,
’une maison • l’homme mûr assure aux vieillards, aux jeunes gens, aux
enfants
des ressources contre l’infortune, soit par son i
. — La Fraternité Dans nos jours passagers de peines, de malheurs,
enfants
d’un même père, vivons du moins en frères. Aidons
s italiques. Vers alexandrins, rimes plaies. N° 255. — L’Ange et l’
Enfant
Un ange au visage rayonnant, penché sur le bor
tte, semblait contempler son image comme dans les eaux d’un lac. Bel
enfant
qui me ressembles, oh ! Viens avec moi, disait-il
vient la jeune personne, et puis la pauvre mère, avec l’aïeul avec l’
enfant
. Elle voit les pleurs, les chagrins et les regret
eu agréable. 58. Emploi de la dubitation. Que fera cette mère de ses
enfants
?… Personne près d’eux ! etc. 59. Faiblesse de l
iettes. 62. Récapitulation de la composition ; joie et bien-être des
enfants
des salles d’asile, — Style naïf, gracieux et fle
oi est son charme, et lui assure un long avenir1. Le sommeil d’un
enfant
Le cher ange dormait, les lèvres demi-closes
Le cher ange dormait, les lèvres demi-closes. — (Les lèvres des
enfants
s’ouvrent, comme les roses, Au souffle de la nuit
mes lèvres sur les tiennes, Et puis je suis parti, pleurant comme un
enfant
. À une étoile Etoile qui descends sur l
Dans notre salle solitaire. Devant ma table vint s’asseoir Un pauvre
enfant
vêtu de noir, Qui me ressemblait comme un frère.
il entr’ouvert1 ; Il voit un peu de cendre au milieu d’un désert. Ses
enfants
demi-nus sortent de la bruyère, Et viennent lui c
issée ; Et, pour que le néant ne touche point à lui, C’est assez d’un
enfant
sur sa mère endormi1. Comme dans une lampe une fl
fini. Eh bien, prions ensemble, — abjurons la misère De vos calculs d’
enfants
, de tant de vains travaux. Maintenant que vos cor
ces vers une grâce légère qui ne s’analyse pas. 3. C’est le nom de l’
enfant
. 1. Il y a là comme une cascade de génitifs : c’
x vers lui. Avec Dieu, il ne faut être ni savant, ni philosophe, mais
enfant
, écolier, et tout au plus poëte. Joubert. 5. Fer
elles narrations. Puis, pour ne pas mettre à la torture l’esprit des
enfants
, j’ai fait suivre d’avis les canevas le moins dév
d d’un goût nom pareil. (Suivent quelques autres détails.) Adieu, mon
enfant
, je ne finis point. Je vous défie de comprendre c
put montrer rien de semblable à ce qu’offrait la vôtre dans ces deux
enfants
. Que dis-je ? à présent même, il n’y en a point d
favoris… Vous ne désireriez rien si vous n’eussiez jamais eu d’autre
enfant
qu’Édouard, et vous trouveriez en lui tout ce qu’
e, pour un trésor perdu, vous négligiez ceux qui vous restent ; qu’un
enfant
qui n’est plus vous fasse oublier celui qui vous
de Lettres de Conseils. N° 24. — A Mme de Grignan. Ma chère
enfant
, votre vie de Marseille me ravit ; j’aime cette v
de comparer des hommes avec un Scévola, un Aquilius, un Régulus, nos
enfants
, nos femmes mêmes ne bravent-ils pas avec une con
amé déchire la colombe qu’il a surprise dans les plaines de l’air. Un
enfant
de six ans jouait avec son moineau sur le seuil d
ule, sans armes et glacée d’effroi, que peut-elle faire pour sauver l’
enfant
?… O miracle de l’amour maternel ! cette intrépid
croit à peine à scs yeux ; elle oublie ses blessures pour prendre son
enfant
entre ses bras. L’enfant, ivre de tendresse, se c
; elle oublie ses blessures pour prendre son enfant entre ses bras. L’
enfant
, ivre de tendresse, se colle à ses joues… Tous le
voyou Au corps chétif, au teint jaune comme un vieux sou ; C’est cet
enfant
criard que l’on voit à toute heure Paresseux et A
ng des grands murs Charbonnant en sifflant mille croquis impurs ; Cet
enfant
ne croit pas, il crache sur sa mère, Le nom du ci
. — L’Ecolier, l’Abeille, l’Hirondelle et le Chien. Un tout petit
enfant
s’en allait à l’école ; On avait dit : Allez… il
tressaillir l’écho qui dort au fond des bois. « Oh ! bonjour ! dit l’
enfant
, qui se souvenait d’elle ; Je t’ai vue a l’automn
ère, Je vais chercher mes sœurs là-bas sur le chemin. Ainsi que nous,
enfant
, la vie est passagère, Il en faut profiter. Je me
la vie est passagère, Il en faut profiter. Je me sauve. A demain ! L’
enfant
reste muet ; et, la tête baissée, Rêve et compte
e l’effrayer, retient sa grosse voix. Hélas ! peut-on crier contre un
enfant
qui pleure ? « Bon dogue, voulez-vous que je m’ap
ervitude. L’homme est fin, l’homme est sage, il nous défend l’étude !
Enfant
, vous serez homme, et vous serez heureux : Les ch
s serez homme, et vous serez heureux : Les chiens vous serviront. » L’
enfant
l’écouta dire, Et même il le baisa. Son livre éta
bles, mes craintes me charmaient encore ; car j’étais comme un de tes
enfants
; je me confiais gaiement à tes vagues et je posa
Saint-Pierre (Harmonies de la nature.) N° 103. — L’Enfance. L’
enfant
peut être rempli d’agréments, de grâces et de cha
er de ses champs contemplent les ravages, Et presse dans ses bras ses
enfants
effrayés. La foudre éclate, tombe, et des monts f
rt de sa forêt ; les mères, fermant leur cabanes, arrivent avec leurs
enfants
, et les jeunes filles laissent leurs fuseaux, leu
r par les larmes de l’assistance. On lui entend souvent répéter : Mes
enfants
, mes chers enfants, et c’est là tout le secret de
l’assistance. On lui entend souvent répéter : Mes enfants, mes chers
enfants
, et c’est là tout le secret de l’éloquence du Chr
gens, le froid jette partout son manteau de glace ; j’ai donc pensé,
enfants
, qu’il serait bien à moi de laisser de côté les h
raconte, pour vous entretenir de la misère de tant de pauvres petits
enfants
comme vous, qui ont froid et qui ont faim. Hélas
ail de ses mains, le pain de sa famille, se trouve embarrassée de ses
enfants
. Qu’en fera-t-elle tout le long du jour ? qui en
ur garder sa famille, pas de vieille grand’mère à qui elle confie ses
enfants
, pas une bonne voisine qui les surveille car le p
ées de chez elles par le travail, et retenues en même temps par leurs
enfants
, se sont vues dans la cruelle nécessité, ou de mo
donner leur petite famille : cruelle et dure alternative ! Et puis, l’
enfant
ne peut pas rester seul. C’est un petit être sans
ien, ou d’un regard sévère qui l’arrête quand il fait mal. Laisser un
enfant
tout seul, c’est le perdre. Tout seul, l’enfant a
fait mal. Laisser un enfant tout seul, c’est le perdre. Tout seul, l’
enfant
apprend à ne pas aimer ses semblables ; il devien
Il n’est pas bon que l’homme soit seul. » — et à plus forte raison un
enfant
. Mais, comment venir au secours de cette pauvre m
ener avec elle ou son fils ou sa fille ? Comment venir au secours des
enfants
du pauvre, qui chez eux n’ont ni feu, ni pain, ni
les instruire et les secourir tant que dure le jour ? Rassurez-vous,
enfants
, la charité est ingénieuse, la bienfaisance est u
auvre. C’est la bienfaisance, c’est la charité qui a inventé pour les
enfants
des pauvres, les salles d’asile. Je vais vous dir
lage, les bienfaiteurs de l’enfance ont imaginé d’assigner aux petits
enfants
qui n’ont pas de maison à eux, une maison, sinon
tous les temps. Cette maison est un véritable élysée pour de pauvres
enfants
habitués à toutes les obscurités de ces tristes p
sons est gouvernée, soit par un vieil invalide, bonhomme qui aime les
enfants
par instinct, comme il aime son chien caniche, so
le jour, la mère qui suit son mari dans la campagne, conduisent leur
enfant
à la salle d’asile. Là, le petit enfant dit adieu
la campagne, conduisent leur enfant à la salle d’asile. Là, le petit
enfant
dit adieu à sa mère pour tout le jour ; en même t
son petit seigneur et maître. Il entre ; il se voit au milieu petits
enfants
comme lui. Déjà la société commence pour ces enfa
au milieu petits enfants comme lui. Déjà la société commence pour ces
enfants
qui étaient destinés à vivre seul. Ils se regarde
ettent en commun leur pauvre misère. Et dans cette salle d’asile, ces
enfants
, si pauvres le matin ; riches à présent, n’ont pl
dant ce temps-là, le père et la mère, tranquilles sur le sort de leur
enfant
, travaillent de toutes leurs forces, heureux de p
nfant, travaillent de toutes leurs forces, heureux de penser que leur
enfant
s’amuse, qu’il grandit entouré de soins bienveill
t un trésor. Pauvre ou riche, elle est toujours mère, elle a pour son
enfant
le même amour. Voilà ce que c’est qu’une salle d’
hiver, c’est de l’ombre en été. Grâce ces touchantes institutions, l’
enfant
du pauvre, lui aussi, connaît le printemps en fle
urs : il respire, chante, il grandit, il s’anime comme tous les autre
enfants
, il ne sait pas ce que c’est que la misère, est a
pas ce que c’est que la misère, est aussi heureux que peut l’être un
enfant
: il a de l’air, des fleurs, du soleil et des ami
Demande à tes rayons de blanchir la demeure Où de son long retard ses
enfants
comptent l’heure ; Ou quelque malheureux qui, l’œ
s. Là, dans sa dernière pensée, Il songe à son épouse, il songe à ses
enfants
; Sur sa couche affreuse et glacée Cette image a
, et en fait jaillir une liqueur douce et vermeille, dont les heureux
enfants
de Cybèle seront bientôt abreuvés. Son vêtement s
fférent. Comme un tigre affamé, ou comme une âme frivole, ou comme un
enfant
, il les prend, il les saisit avec une joie délira
un diadème sur la tête de sa femme, il distribue des parchemins à ses
enfants
, il est enchanté, et veut qu’on dresse en son hon
douleur : « Vous mourez, Spaminondas ! si du moins vous laissiez des
enfants
! -Je laisse, répondit-il en expirant, deux fille
chef et ses défenseurs les plus intrépides ; une reine en pleurs, les
enfants
de ceux qui étaient morts a la bataille de Tibéri
la dernière qui souffrit comme une mère pleine de tendresse pour ses
enfants
; elle avait exhorté ses frères à souffrir avec p
it une jeune fille ; Azaël la reconnut. Pendant plus de douze ans son
enfant
lui avait été confiée ; il l’aimait bien alors, c
pui de ta vieillesse, et je l’ai laissée seule. Malheur ! malheur aux
enfants
ingrats ! Hélas ! abandonnée à moi-même, et sans
dmirait l’expression divine qu’elles donnaient au visage de la pauvre
enfant
. Puis ses yeux se dessillant, il sentit combien s
ouvrir les flancs. Quand je m’éveillai vers le matin, j’entendis mes
enfants
, qui étaient auprès de moi, pleurer en dormant, e
sparut. Et que pouvait-elle faire sinon de poser sur son lit l’unique
enfant
qui lui restait, s‘y placer et mourir avec elle,
de bonheur visitait la chaumière. Au seuil d’une chapelle assis, Deux
enfants
presque nus et pâles de souffrance, Appelaient de
mes, L’autre tendait la main au refus des heureux : « Nous voici deux
enfants
; nous n’avons plus de mère, Elle mourut hier en
en fleuve. Sur la rive opposée de la Seine, se baignait alors un bel
enfant
aux cheveux blonds, appelé Loïs. Il aimait à nage
erçut une femme, il fut se cacher sous une touffe de roseaux. Mon bel
enfant
, lui cria Cérès en soupirant, venez à moi, mon be
ux. Mon bel enfant, lui cria Cérès en soupirant, venez à moi, mon bel
enfant
! — À la voix d’une femme affligée, Loïs sort des
un chemin au milieu des eaux. Cérès, ayant passé le fleuve, donne à l’
enfant
Loïs un gâteau, une gerbe d’épis et un baiser, pu
e vos leçons et vos doux présents. » La mère de Loïs partage avec son
enfant
et son époux le gâteau et le baiser. Le père, rav
n va dans les bois, et s’écrie : « Où êtes-vous, Loïs, Loïs, mon cher
enfant
?... » Les seuls échos répètent : Loïs, Lois, mon
on cher enfant ?... » Les seuls échos répètent : Loïs, Lois, mon cher
enfant
: elle court tout éperdue le long de la Seine, el
oilà ses blanches marguerites. » Hélas ! c’était Loïs, Loïs, son cher
enfant
. Elle pleure, elle gémit, elle soupire ; elle pre
Maternelle. A Saint-Cloud, sous le bois, tout rouge de colère, Un
enfant
poursuivait sa bonne en la frappant ; Une dame pa
t faire ; — « Ah ! c’est mal, et toujours du mal on se repent. » Et l’
enfant
, à ces mots, crut entendre sa mère, Et derrière u
ère, D’un muet repentir signe doux et charmant. La vie a des écueils,
enfant
, où le pied glisse, Mais, si tu sens un jour que
Seine, C’est la voix de ton ange, il te suivra partout, Et ce matin,
enfant
, il se nommait : LA REINE ! A. DE LATOUR. N°
orsque je t’ai conduit dans ma cabane ? tes mains étaient celles d’un
enfant
; elles ne servaient ni à te nourrir ni à te défe
ence si léger, souleva le plateau opposé ; j’aperçus auprès de moi un
enfant
ailé dont le sourire doux et le regard pur pénétr
ses et variées, s’agiter avec rage et chercher à détacher l’intrépide
enfant
. C’est bien ? dit la voix avec un son terrible et
e et qui retentit encore à mon oreille, un de plus suffirait. Alors l’
enfant
me jeta un regard plein de tristesse, les monstre
avait écouté Ekber avec attention : il était vieux, sans père et sans
enfants
, il n’avait plus rien à craindre, il n’avait plus
est celle de la justice divine, ces poids énormes sont tes crimes, l’
enfant
dont le pied relient la masse fatale, c’est la bo
ance sur les buissons odorants de l’Arabie. « Approchez, leur dit-il,
enfants
de la poussière ; ne fuyez pas votre bienfaiteur.
j’espérais en tirer un bon parti, pour vivre de son produit avec mes
enfants
, et voilà qu’un officier du sultan vient de me l’
eur maîtresse, qui, mourante au fond du canot, tendait les bras à son
enfant
q’ une nourrice allaitait près d’elle. Les regard
ctimes est fait. Mais comment jeter impunément à la mer ces vigoureux
enfants
du Sénégal, dont le corps pesant et la force athl
é dans les veines, se couvre le visage de ses mains : les femmes et l’
enfant
périront. Un nègre avait ouï la sentence, il frap
ir. Veuve… je m’offre je suis prête : une prière seulement ! que mon
enfant
du moins soit sauvé !… qu’il soit le vôtre ! capi
tait au chef du navire. Ah ! passagers et matelots, tous adoptaient l’
enfant
de la veuve. « Pauvre petit ! nous t’embrasser !
eux nègres, en pressant de leurs noirs visages la blanche figure de l’
enfant
. « Adieu ! petit maître ! à là-haut ! » Et du doi
affaiblir peut-être ce mâle courage que j’admire sans l’imiter. O mon
enfant
! oui, je ne puis me montrer aussi grand que toi
fermeté dont je voudrais te donner l’exemple. Oui, demeure ainsi, mon
enfant
, te voilà comme je te veux… comme je te veux, mal
rne la tête, mon fils, et ne me regarde pas. — Non, non, lui répond l’
enfant
, ne craignez rien, je veux vous regarder, je ne v
crassanes à tous les autres fruits. Il crut d’abord que c’étaient des
enfants
qui venaient faire du dégât dans son clos ; il pr
chamois ? — Peut-être, répondit Guillaume. — Tu sais que je suis bon
enfant
, reprit François (c’était le nom du voisin). Et b
fut une scène horrible. Tous ceux qui étaient là pleuraient comme des
enfants
. On fit pour elle dans toute la vallée du Rhône u
s regards et du fer des tyrans, L’Église encore naissante y cacha ses
enfants
, Jusqu’au jour où, du sein de cette nuit profonde
Vous le jurez. » — Ils lèvent machinalement la main. Alors l’héroïque
enfant
, se tournant du côté de son père, pour puiser dan
cadavre sanglant, revêtu des insignes de la royauté. A sa droite, un
enfant
, debout et la couronne en tête, tenait un sceptre
s aurait désigné Ankastrom. Le cadavre couronné serait Gustave III. L’
enfant
, son fils et son successeur. Gustave-Adolphe IV.,
urs yeux brillent d’enthousiasme ; les vieillards la montrent à leurs
enfants
en versant des larmes d’attendrissement, et les v
e village où nous l’aimons tous comme si nous l’avions connue, où les
enfants
savent son histoire avant d’apprendre à lire, je
es arts. Les femmes tremblantes se précipitent dans les temples ; les
enfants
répondent par des cris aux gémissements de leurs
a fait rire Guittaut sans aucun respect de la pompe funèbre. Ma chère
enfant
, quelle espèce de lettre est-ce ici : je pense qu
en cet état, la rage s’empara de son cœur ; il coupa la gorge à trois
enfants
qui étaient dans sa chambre ; sa femme sauva le q
il dit que tout son déplaisir c’est de n’avoir pas tué sa femme, et l’
enfant
qu’elle a sauvé. Songez que cela est vrai, comme
eurs une image de la Vierge-Mère. Dans ses bras elle portait un jeune
enfant
qu’elle contemplait avec amour, et sur son front
ré, il y avait un autre toit, et, sous ce toit, une mère et un tendre
enfant
; et quand celui-ci ne bégayait pas encore le dou
s bras au sanctuaire vénéré ; elle lui montrait la Vierge et le petit
enfant
, et alors, en voyant son premier sourire, il se p
urire, il se passait dans son cœur des choses ineffables. Cependant l’
enfant
avait grandi. Comme un jeune lis, il s’était épan
à travers l’aubépine en fleurs, auprès de sa mère du ciel et du petit
enfant
. Et quand il entrait dans le solitaire parvis, un
enait à contempler dans de saintes délices la Vierge-Mère et le petit
enfant
. Puis, quand il s’était enivré d’extase et d’amou
a, et la couronne de la veille resta fanée sur son front. Et le jeune
enfant
pleurait lui aussi ; car il n’était plus auprès d
r. Et dans ses rêves de la nuit, il revoyait encore et la Vierge et l’
enfant
, qui lui tendait les bras. Or, un jour, tandis qu
!… Ah ! elle se souvient de vos couronnes ! » Et à ces mots le jeune
enfant
tressaillit et de nouvelles larmes vinrent mouill
; celle-ci ne se flétrit jamais. » Et il déposa dans la main du jeune
enfant
un brillant rosaire, cette couronne mystique, tre
e mystique, tressée d’abord par la main des Anges. Dès lors le tendre
enfant
l’offrit tous les jours à Marie ; et il put sans
et à son vallon. A quelque temps de là, ils traversaient tous deux, l’
enfant
et le vieillard, une forêt sombre, immense, la nu
’en est fait de leur vie s’ils ne retrouvent leur chemin. Et le jeune
enfant
se pressait contre le vieillard, et il disait : M
allait éclairant leurs pas et dirigeant leur marche incertaine. Et l’
enfant
consolé récitait avec sa douce voix la prière à M
t avec sa douce voix la prière à Marie, et le vieillard répondait à l’
enfant
: et à travers le silence de la forêt vous n’euss
litaire habitation ; et la douce lumière était toujours devant eux. L’
enfant
et le vieillard tombent à genoux sur le seuil, et
vin et de consolant. Et elle vint poser sa main sur le front du jeune
enfant
; puis elle prit le signe sacré, le saint rosaire
l me semblait qu’avec un sourire céleste, elle me présentait un petit
enfant
. Et je pris l’entant qu’elle me présentait, et lo
es il respandit, contemplant celles desquelles le Fils de Dieu, petit
enfant
de la Vierge, avoit arrousé ce sainct estable, ba
ns de miel plus grands que des portes de ville. L’heureux temps ! les
enfants
se couchaient dans les calices des fleurs, et san
, manants et gentils- hommes, le prêtre, le seigneur, le vieillard, l’
enfant
. l’humble moine et le prince-évêque, allaient con
ère angélique des chrétiens, toujours prête à demander grâce pour ses
enfants
. Meinrad l’implorait sans cesse, il conduisait à
ur les degrés de l’autel où Meinrad était agenouillé, il vit un jeune
enfant
au front céleste qui récitait l’office avec lui.
us une princesse qui se sent la volonté de vous rendre heureux, et un
enfant
de quelques jours dont il dépend de vous de faire
sostome. Elle conjure son fils de ne point s’éloigner d’elle. Mon
enfant
, les vertus de ton père n’ont pas fait longtemps
nt même que ta langue put répéter ce nom de ta mère, à cet âge où les
enfants
sont la joie de ceux qui leur ont donné la vie, t
usqu’aux fondements, réduisez-la en cendres, faites périr jusqu’à nos
enfants
par le tranchant de l’épée ; nous méritons de plu
cette région pure et sublime de l’air, qu’on dit être habitée par les
enfants
des dieux. Mais je m’abandonne trop à des idées s
venu dans l’esprit que tes dieux, ta maison, ta mère, ta femme et tes
enfants
étaient renfermés dans ses murailles ? Crois-tu q
ur, songe au moins qu’en voulant mettre Rome aux fers, t femme et tes
enfants
ne peuvent éviter la mort ou une prompte servitud
scrivent d’établir les cimetières hors de l’enceinte des villes. Mes
enfants
, j’entends votre piété qui murmure et qui dit : P
leurs ! Afin qu’après votre mort vous ne fassiez pas de mal à vos
enfants
, à qui vous voulez tant de bien pendant votre vie
dans leurs sépulcres ; je les entends s’écrier : Ils ne sont pas nos
enfants
, nous n’étions pas aussi barbares ! Non, mes
res à celles de vos pères ; mais vous les mêlerez à celles de vos
enfants
, de vos amis, de vos parents qui vivent encore :
Il prie les femmes qui l’entourent de lui sauver la vie. Lorsque vos
enfants
, leur dit-il, sont suspendus à vos mamelles, et q
s mains. Femmes indiennes, croyez que je suis votre ami, celui de vos
enfants
, celui même de vos époux. Voulez-vous dévorer la
ette malheureuse guerre, comme les homicides et les meurtriers de mes
enfants
! Cependant, je ne puis le dissimuler, je suis mo
ancs, qui a souffert tous les maux d’une longue captivité, pleuré ses
enfants
qu’il croyait morts, combattu toute sa vie pour l
appelle ses combats, ses douleurs, sa captivité, ses prières pour ses
enfants
; il ne manque pour couronner cette apostrophe to
a désirer : car tu vas combler mes vœux, n’est-il pas vrai ? ma chère
enfant
. » Qu’on rapproche aussi les expressions tendre e
allions perdre. O Dieu terrible ! mais juste en vos conseils sur les
enfants
des hommes, vous disposez et des vainqueurs et de
appelle, pères et mères, qui voyez croître sous vos yeux vos premiers
enfants
; dites nous si vous avez quelque chose de plus p
x intérêts ; avais compté que votre clairvoyante équité sauverait mon
enfant
, mon Polidore. C’est votre arrêt qui me l’a ravi.
contre les îlots, tantôt cède avec sagesse à l’effort de la tempête ?
enfant
et vieillard, tout dort dans le vaisseau, il veil
ne du monde ne présente que trop souvent le spectacle douloureux. Des
enfants
s’élevaient à l’ombre et sous les ailes d’un père
restes lamentables d’une maison chancelante ? qu’allez-vous devenir,
enfants
malheureux, désormais sans guide, sans frein et s
— La Fraternité. Dans nos jours passagers de peines, de misères,
Enfants
d’un même Dieu, vivons du moins en frères ; Aidon
es fers dont ils sont enchaînés. Voltaire. N° 255. — L’Ange et l’
Enfant
. Un ange au radieux visage Penché sur le bord
ait contempler son image, Comme dans l’onde d’un ruisseau. — Charmant
enfant
qui me ressemble, Disait-il, oh ! viens avec moi,
c linceul, Là vient la jeune fille, et puis la pauvre mère, Et puis l’
enfant
, et puis l’aïeul ! Elle voit les regrets, les dou
i pût accuser son père, mais au moment où les forces de ce malheureux
enfant
l’abandonnent, sa raison s’égare, et, par ce mouv
l’abandonnent, sa raison s’égare, et, par ce mouvement naturel à tout
enfant
qui attend de son père protection et secours, Gad
angue maternelle que doivent commencer les études, dit M. Rollin. Les
enfants
comprennent plus aisément les principes de la Gra
iers éléments ne sauraient être trop simplifiés. Quand on parle à des
enfants
, il y a une mesure de connaissances à laquelle on
istinguer1. On sent que, pour exécuter ce plan, il faut connaître les
enfants
. Appliqué, pendant vingt années, aux fonctions de
résente une idée générale, qui suppose des idées particulières ; et l’
enfant
, n’ayant pas encore acquis ces idées particulière
us ceux que l’on appelle démonstratifs, possessifs, etc., parce que l’
enfant
a vu ce qui se nomme adjectifs, et parce qu’il co
our la langue française un excellent professeur de rhétorique1. L’
Enfant
Jésus. Une étable, une crèche, un bœuf et un â
ne soyons pas honteux de l’objet de notre adoration : nous adorons un
enfant
; mais cet enfant est plus ancien que le temps. I
eux de l’objet de notre adoration : nous adorons un enfant ; mais cet
enfant
est plus ancien que le temps. Il se trouva à la n
t d’un si grand dessin2 jusqu’à la dernière pièce de sa fabrique. Cet
enfant
fit taire les oracles, avant qu’il commençât à pa
ant celles qui doivent arriver, il se trouve que nous avons imité les
enfants
, qui se donnent beaucoup de peine à faire des mai
touchant. Saint Bernard est autrement ému quand il dit : « Le voilà
enfant
et sans voix ; et si ses vagissements doivent ins
t déluge, tout est Alexandre, tout est César ; elle peut faire par un
enfant
, par un nain, par un eunuque ce qu’elle a fait pa
combats5, Il dit parfois : « Ce n’est pas tout de naître ; Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! » Mais qu’entend-i
e ne connais pas2 ! » Ah ! si jamais vous vengez la patrie, Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! Qui nous rendra, d
nt du même pas. Le Rhin lui seul peut retremper5 nos armes. Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! De quel éclat bril
t de nos soldats. Heureux celui qui mourut dans ces fêtes ! Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! Tant de vertu trop
offrir leurs bras ; A notre gloire on mesure nos larmes1 : Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! Sa fille alors, in
i tout bas3 ; Puis il répète à ses fils qui sommeillent : « Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! » (Édit. Garnier frè
vère. Parlez-nous de lui, grand’mère ; Parlez-nous de lui4. Mes
enfants
, dans ce village, Suivi de rois, il passa5. Vo
ux viscissitudes de la fortune. » Heureux donc ceux qui, ou comme vos
enfants
, ont trouvé dans la mort, ou comme vous, dans le
’âge laisse encore l’espoir d’être pères, trouveront dans de nouveaux
enfants
un adoucissement aux larmes qu’ils répandent aujo
concours unanime au bien général. Ceux en effet qui, n’ayant point d’
enfants
à offrir à la patrie, n’ont pas les mêmes risques
richesses qui survit, mais c’est la passion de l’honneur. » Et vous,
enfants
, vous, frères des guerriers que je célèbre, quell
s que nous pleurons. Le reste sera payé par la reconnaissance à leurs
enfants
, devenus dès ce moment les vôtres, devenus les en
ssance à leurs enfants, devenus dès ce moment les vôtres, devenus les
enfants
de la république qui les nourrira jusqu’à ce que
que prête Xénophon à Cyrus mourant. Ces derniers avis d’un père à ses
enfants
, ces réflexions si sages d’un grand conquérant su
es ; et les voyant tous rassemblés, il leur tint ce discours : « Mes
enfants
, et vous tous, mes amis, qui êtes ici présents, j
as me regarder comme parfaitement heureux ? » Il faut maintenant, mes
enfants
, que je nomme mon successeur à l’empire, afin de
e et non par la contrainte qu’on y parvient. » Ne relâchez point, mes
enfants
, les doux nœuds dont le ciel a voulu lier ensembl
ans que l’envie ait droit de se plaindre. » Je vous conjure donc, mes
enfants
, au nom des dieux, de votre patrie, d’avoir des é
mais à ses opérations, vous reconnaissiez qu’elle existait. Non, mes
enfants
, jamais je n’ai pu me persuader que l’âme, qui vi
os ennemis, attachez-vous vos amis par votre bienfaisance. Adieu, mes
enfants
! Portez mes adieux à votre mère… Adieu » ! À ce
. « Mon fils, au nom des nœuds sacrés qui unissent les pères et les
enfants
, je l’en conjure, mon cher fils ! ne souille poin
s autres armées défendront la république. Quant à mon épouse et à mes
enfants
, je les exposerais volontiers à la mort, s’il y a
députés, à l’empereur votre obéissance, à Germanicus sa femme et ses
enfants
, éloignez-vous de la contagion de l’exemple ; sép
prématurée m’enlèverait, dans la force de l’âge, à mes parents, à mes
enfants
, à ma patrie. Mais, victime de la perfidie de Pis
etite-fille d’Auguste, la veuve de Germanicus ; présentez-lui nos six
enfants
: le cri de la pitié publique s’élèvera avec la v
ncé à mettre, comme nous l’avions toujours fait, sous les yeux de nos
enfant
quelques pages de notre ancienne littérature, de
; j’étais endetté en plusieurs lieux, et avais ordinairement307 deux
enfants
aux nourrices, ne pouvant payer leur salaire pers
ssivement abbé de Bellozane, dans le diocèse de Rouen, précepteur des
enfants
de Henri II, évêque d’Auxerre et grand aumônier d
que ceux-là. » (Essais, livre I, chap. xxiii.) Sur l’éducation des
enfants
contre les collèges du temps de Montaigne Cett
par une sévère douceur, non comme il se fait : au lieu de convier les
enfants
aux lettres440, on ne leur présente, à la vérité4
Arrivez-y sur le point de leur office450 : vous n’oyez que cris, et d’
enfants
suppliciés, et de maîtres enivrés en leur colère.
au fil de l’épée tout ce qu’ils rencontrèrent dans le fort, jusqu’aux
enfants
à la mamelle. Mais quelle horrible cruauté ces pe
dès le second. La tristesse ou plutôt l’abattement saisit jusques aux
enfants
; l’on se regardait et l’on ne se disait rien. L’
tête des gardes, qui, bien qu’il n’eût encore en tête529 que quelques
enfants
qui disaient des injures et qui jetaient des pier
un gendre puisse à ma fille reprocher ses parents, et qu’elle ait des
enfants
qui aient honte de m’appeler leur grand’maman. S’
auprès de la porte Saint-Innocent639. Ils ont amassé du bien à leurs
enfants
, qu’ils payent maintenant peut-être bien cher en
, lorsque dans la tranchée tout en était en peine. Au reste, ma chère
enfant
, s’il avait retenu vos leçons, et qu’il se fût te
pacifiques ! « Bienheureux les pacifiques, car ils seront appelés
enfants
de Dieu768. » Dieu est appelé769 le Dieu de paix
e céleste, est le grand pacificateur… A l’exemple du Fils unique, les
enfants
d’adoption doivent prendre le caractère de leur P
option doivent prendre le caractère de leur Père, et se montrer vrais
enfants
de Dieu par l’amour de la paix.... Soyons donc vr
eux qui seront divisés. C’est faire l’œuvre de Dieu et se montrer ses
enfants
en imitant sa bonté. Combien sont éloignés de cet
terres la taille792 de Monsieur, celle de Madame et celle de tous les
enfants
de la maison, que ses sujets étaient obligés de p
camp devant Namur811, le 31e mai [1692]. Vous aurez pu voir, mon cher
enfant
, par les lettres que j’écris à votre mère, combie
vrai que ce qu’il dépense d’un côté, il l’épargne de l’autre, car ses
enfants
sont sans maîtres et sans éducation. Il se renfer
avoir écrits dans la première partie de sa carrière littéraire. Les
enfants
indolents Il faut avouer que, de toutes les pe
s peines de l’éducation, aucune n’est comparable à celle d’élever des
enfants
qui manquent de sensibilité904. Les naturels vifs
ctions : ils écoutent tout et ne sentent rien. Cette indolence rend l’
enfant
négligent et dégoûté de tout ce qu’il fait. C’est
leurs commencements. Il faut encore observer qu’il y a des naturels d’
enfants
auxquels on se trompe beaucoup. Ils paraissent d’
ertaine vivacité du corps, qui ne manque jamais de paraître, dans les
enfants
, pour celle de l’esprit. De là vient que l’enfanc
neux. Il faut donc remuer promptement tous les ressorts de l’âme de l’
enfant
pour le tirer de cet assoupissement. Si vous prév
ère et impatient ; car rien ne renfonce tant au dedans de lui-même un
enfant
mou et timide que la rudesse. Au contraire, redou
Enfin il faut tâcher de donner du goût910 à l’esprit de ces sortes d’
enfants
, comme on tâche d’en donner au corps de certains
Le soleil n’en pouvait, avec ses rayons, percer la sombre verdure. L’
enfant
de Sémélé, pour étudier la langue des dieux914, s
hait un jeune faune917, qui prêtait l’oreille aux vers que chantait l’
enfant
, et qui marquait à Silène, par un ris moqueur, to
arler ici. En 1593, le bruit courut que, les dents étant tombées à un
enfant
de Silésie âgé de sept ans, il lui en était venu
le, en partie miraculeuse, et qu’elle avait été envoyée de Dieu à cet
enfant
pour consoler les chrétiens affligés par les Turc
rdé comme si j’avais été envoyé du ciel : vieillards, hommes, femmes,
enfants
, tous voulaient me voir. Si je sortais, tout le m
maison, tandis qu’il dormait profondément entre sa femme et ses sept
enfants
. On confronte l’accusé avec un passant qui avait
sseurs. Il ne leur tombe pas dans l’esprit d’interroger la femme, les
enfants
, les voisins, de chercher si l’argent volé se tro
on bien est confisqué ; sa femme s’enfuit en Autriche avec ses petits
enfants
. Huit jours après, le scélérat qui avait commis l
est à la garde de Dieu. Je vous prie de le prendre sous la vôtre. Cet
enfant
est ou va être transplanté de Paris à Lyon par le
s conseils. Celui-ci lui proposa de se faire, comme lui, gouverneur d’
enfants
. « Hélas ! je ne sais rien, vous ne m’avez rien a
, abandonné à la grossièreté du dernier des valets ou à la malice des
enfants
, bien loin d’acquérir, ne peut que perdre par son
e soucis et de peines, je me surprends quelquefois à pleurer comme un
enfant
en marmottant ces petits airs d’une voix déjà cas
vec plaisir ses Mémoires d’un père pour servir à l’instruction de ses
enfants
, œuvre dont toutes les parties ne sont pas égalem
mme sage, et je dois le justifier. J’étais l’aîné d’un grand nombre d’
enfants
,… Ajoutez au ménage trois sœurs de mon aïeule1246
e qui m’est restée ; c’était au milieu de ces femmes et d’un essaim d’
enfants
que mon père se trouvait seul1247 : avec très peu
es, confits au miel de nos abeilles, étaient durant l’hiver, pour les
enfants
et pour les bonnes vieilles, les déjeuners les pl
aint-Thomas1248 habillait de sa laine tantôt les femmes et tantôt les
enfants
; mes tantes la filaient ; elles filaient aussi l
et moins incertaine, pensait-il à laisser en moi un second père à ses
enfants
. Cependant, pressé par ma mère, qui désirait pass
tes insolubles pour moi. Je le fis mal ; et, après l’avoir lu : « Mon
enfant
, me dit-il, vous ôtes bien loin d’être en état d’
régent, qui, du bout du doigt, me fit signe de monter chez lui. « Mon
enfant
, me dit-il, vous avez besoin d’une instruction pa
derrière eux. D’abord, l’habitant ne fit pas grand compte de ces deux
enfants
pauvrement vêtus ; mais quand il eut remarqué la
ux étages, fort proprement bâtie. « Qu’est-ce que cela ? » Deux jolis
enfants
jouaient devant la porte ouverte : ils n’avaient
ce soutenaient en partie un jeune ménage dont nous voyions les petits
enfants
, et dont lui, vieillard, était le grand-père ; qu
et la joie d’une situation charmante. Je caressai beaucoup les petits
enfants
; je témoignai de la vénération au vieillard ; la
ie par quelque bonheur extraordinaire et inattendu, si une femme, des
enfants
, des frères séparés de moi depuis longtemps et sa
rmille d’abeilles et d’oiseaux ; les essaims et les nids arrêtent les
enfants
à chaque pas. Dans certains abris, le myrte et le
marché de laboureurs et de pêcheurs ; il était rempli de femmes et d’
enfants
, et retranché avec des bateaux de cuir et des cha
s’appelait Brisquette. Le bon Dieu leur avait donné deux jolis petits
enfants
, un garçon de sept ans, qui était brun, et qui s’
ent. Et crie fort : Brisquet ! Brisquet !… Paix ! la Bichonne ! » Les
enfants
allèrent, allèrent, et quand ils se furent rejoin
ait une hottée de cotrets à fournir chez Jean Paquier. « As-tu vu nos
enfants
? lui dit Brisquette. — Nos enfants ? dit Brisque
chez Jean Paquier. « As-tu vu nos enfants ? lui dit Brisquette. — Nos
enfants
? dit Brisquet. Nos enfants ? mon Dieu ! sont-ils
u nos enfants ? lui dit Brisquette. — Nos enfants ? dit Brisquet. Nos
enfants
? mon Dieu ! sont-ils sortis ? — Je les ai envoyé
ondait pas. Alors il se prit à pleurer, parce qu’il s’imagina que ses
enfants
étaient perdus. Après avoir couru longtemps, long
aux allures douces, légère comme une biche, et si bien dressée qu’un
enfant
pouvait la conduire. Mais cette jument, lorsqu’on
de l’Imitation de Jésus-Christ (1824) et des Evangiles (1848). Aux
enfants
Vous êtes à vos parents un gr and sujet de sou
où la vie décline, où le corps s’affaiblit, les forces s’éteignent ;
enfants
, vous devez alors à vos vieux parents les soins q
a charité. Un homme vivait de son labeur, lui, sa femme et ses petits
enfants
; et comme il avait une bonne santé, des bras rob
premier et il lui dit : « Nous manquons de tout, moi, ma femme et mes
enfants
; ayez pitié de nous. » Le riche lui répondit : «
a pourtant un autre conseil que je veux te donner en même temps, mon
enfant
, et qui semble contraire à celui-là. Il faut savo
s mérites qu’il demande sont difficiles. Mais en fait de mérites, mon
enfant
, la difficulté n’est jamais une raison de renonce
e sortit pour ne plus rentrer. Au pied de l’escalier elle rencontra l’
enfant
d’un pauvre ouvrier, nommé Robert, qui logeait da
uvre ouvrier, nommé Robert, qui logeait dans la maison, sur la rue. L’
enfant
jouait habituellement dans la cour. Elle lui donn
sage et embrasse-moi ; tu ne me reverras jamais ». Et elle embrassa l’
enfant
en lui laissant une larme sur la joue. Ce fut sa
le pêcheur, la vieille mère, Beppo, Graziella1503 et jusqu’aux petits
enfants
, qui se disposaient à descendre vers la côte pour
t emportait en tournoyant contre les rochers. Graziella et les petits
enfants
mêlèrent bientôt leurs voix à ces cris. Tous se p
in. Graziella pleurait, assise à terre, la tête dans son tablier. Les
enfants
, leurs jambes nues dans la mer, couraient en cria
cela que mon pauvre fils, avant de mourir et de me laisser ses trois
enfants
sans père ni mère, l’avait bâtie avec tant de soi
qu’il nous avait laissée après lui pour gagner la vie de ses pauvres
enfants
? Comment s’est-il protégé lui-même et où est-ell
où est-elle, son image, jouet des flots ? — Mère ! mère ! cria un des
enfants
en ramassant sur la grève, entre deux rochers, un
colère et tous ses blasphèmes, s’élança, les pieds dans l’eau, vers l’
enfant
, prit le morceau de planche sculpté par son fils,
lle courut vers sa mère, et, jetant ses bras autour d’elle, comme une
enfant
qui cherche du secours, elle la tint embrassée pl
es cercles de fer du grand mât, je me mis à fondre en larmes comme un
enfant
. — Le capitaine de l’Océan, me voyant dans cet ét
es, cantinières ou fugitives, qui étaient sur les voitures avec leurs
enfants
. On se serrait, on se foulait, on montait sur ceu
venait à se faire écouter, et qu’arrachant quelques victimes, femmes,
enfants
ou blessés, on réussissait à les amener jusqu’à l
sait si ce furent six, sept ou huit mille individus, hommes, femmes,
enfants
, militaires ou fugitifs, cantiniers ou soldats de
glement alla au point qu’on les força d’emmener leurs femmes et leurs
enfants
, qu’on eût pu garder comme otages. Là, inactifs s
ie. Sainte poésie, fraîche comme l’aube, pure et gaie comme un cœur d’
enfant
! Cette voix sonore et puissante donne le signal
nnamment analogues ? Regardez d’une part la femme au premier pas de l’
enfant
, et d’autre part l’hirondelle au premier vol du p
de l’avenir, je le sentais. D’ailleurs, le présent est tout pour les
enfants
. Quand nous avions de quoi dîner, j’étais aussi t
r qu’elle ne trouvait en moi que bien peu de consolations. Comme tout
enfant
unique et gâté, j’étais volontaire, dur même, irr
a du regret, disant qu’il aurait eu du plaisir à le transmettre à ses
enfants
. « Mon neveu, répondit le général, je vous l’aura
ral, je vous l’aurais donné volontiers ; mais j’aurais craint que vos
enfants
, en voyant l’uniforme de leur oncle, ne fussent t
e dimanche, après la messe, tous les gens du village, hommes, femmes,
enfants
, vont dans le champ du pauvre homme lui faire sa
». Le malheureux notaire croyait avaler un cent d’épingles. « Allons,
enfants
! s’écria le voleur, de la gaieté, vive la mariée
! Monseigneur, est-ce qu’on pend ainsi un homme « qui a commandé les
Enfants
perdus à Dreux1623 ? » Je le vis cracher son cure
ravers les places, çà et là une filandière farouche sur son seuil, un
enfant
suspendu à la mamelle, un pécheur qui tresse sa n
e, tu cherches ton ciel de lit ? Il est fait de verdure, ce soir, mon
enfant
: mais ton père n’en soupe pas moins. Veux-tu sou
uis, quand il n’eut plus faim, se trouvant excité comme il arrive aux
enfants
qui rompent leurs habitudes, il eut plus d’esprit
? Tu n’as pas peur, toi ? Tu taperais bien dessus ? — Oui, oui, dit l’
enfant
enorgueilli, en prenant une pose héroïque. Nous l
ue. Nous les tuerions ! — Il n’y a personne comme toi pour parler aux
enfants
, dit Germain1646 à la petite Marie, et pour leur
Il est vrai qu’il n’y a pas longtemps que tu étais toi-même un petit
enfant
, et tu te souviens de ce que te disait ta mère. J
je besoin d’une femme que je ne connais pas ? — Mon petit père, dit l’
enfant
, pourquoi donc est-ce que tu parles toujours de t
dans le ciel. Crois-tu qu’elle y soit à présent ? — Je l’espère, mon
enfant
, mais il faut toujours prier, ça fait voir à ta m
voir à ta mère que tu l’aimes. — Je vas1649 dire ma prière, reprit l’
enfant
, je n’ai pas pensé à la dire ce soir. Mais je ne
’aider, dit la jeune fille. Viens là, te mettre à genoux sur moi. » L’
enfant
s’agenouilla sur la jupe de la jeune fille, joign
le recoucher, puisque le voilà reparti pour les rêves du paradis. » L’
enfant
se laissa coucher, mais, en s’étendant sur la pea
révèle dans l’Histoire morale de femmes (1847), dans les Pères et les
enfants
au xixe siècle (1867), dans les Conférences pari
ck. — Cinquante. Valentin. — Soixante, mon oncle ; vous n’avez pas d’
enfants
, et vous êtes plein de bonté pour moi. Si j’en pr
it de jurer. Blandine fut sublime. Elle n’avait jamais été mère ; cet
enfant
torturé à côté d’elle devint son fils, enfanté da
ique. Nous embarquions une demi-douzaine de marchands de bétail, tous
enfants
d’Israël, et le train se précipitait vers la gran
taient bouleversées par une charge à la baïonnette. Mon imagination d’
enfant
s’allumait aux récits de la délivrance nationale.
lus riche en produits de toute sorte, et, pour tout dire en un mot, l’
enfant
gâté de la nature. C’est pourquoi le premier devo
re défensive, telle que je la vois encore à travers mes impressions d’
enfant
et ses souvenirs de vieillard. J’en rêve encore q
mère, il s’échappa la nuit, comme un voleur, laissant sa femme et ses
enfants
, courut à pied jusqu’au fond de la Champagne et s
Lyon, les fils de riches ne portent pas de blouses ; il n’y a que les
enfants
de la rue, les gones, comme on dit. Moi, j’en ava
.... Ce n’était pas seulement ma blouse qui me distinguait des autres
enfants
. Les autres avaient de beaux cartables en cuir ja
a-t-elle. Dites-moi ce qu’il peut tenir de diableries dans une tête d’
enfant
. Je n’avais rien trouvé, rien préparé. J’étais ve
pendant quelques instants ; puis il haussa les épaules et dit : « Cet
enfant
ne sait que faire ici. Il faut le mettre en pensi
les m’ont été répétées plusieurs fois depuis. Mon père ajouta : « Cet
enfant
, qui n’a ni frères ni sœurs, développe ici, dans
nation et j’ai observé que déjà sa tète était pleine de chimères. Les
enfants
de son âge qu’il fréquentera à l’école lui donner
mère, j’irai dès demain à la recherche d’une bonne pension pour notre
enfant
. » A la suite de cette conversation, Mme Noziére
, qui tenait dans le faubourg Saint-Germain1778, une pension pour des
enfants
en bas âge, consentit à me recevoir de dix heures
ans un rêve. La douceur de cette demoiselle affligée et la gaieté des
enfants
m’inspirèrent de la confiance ; à la pensée que j
ardent dans l’âge de l’ambition la curiosité désintéressée des petits
enfants
.... Je continuai donc à regarder ma maîtresse et,
u’un crépitement continu remplissait la salle. Seuls, les plus jeunes
enfants
, les pieds dans les mains et la langue tirée hors
de Fontanet, trouvant cette pédagogie insuffisante, retirent les deux
enfants
. Nous allons les retrouver un peu plus tard, vers
1970 on dit que Thétis, la femme de Pélée, Après avoir la peau de son
enfant
brûlée1971 Pour le rendre immortel, le prit en s
et raison : Le prince qui ne peut gouverner sa maison, Sa femme, ses
enfants
, et son bien domestique, Ne saurait gouverner une
uelque endroit2190 qu’un meunier et son fils, L’un vieillard, l’autre
enfant
, non pas des plus petits, Mais garçon de quinze a
de monter. — « Messieurs, dit le meunier, il vous faut contenter. » L’
enfant
met pied à terre, et puis le vieillard monte, Qua
cor de bâtir ; mais planter à cet âge ! » Disaient trois jouvenceaux,
enfants
du voisinage ; Assurément il radotait. « Car, au
Dans le calme odieux de sa sombre paresse, Tous les honteux plaisirs,
enfants
de la mollesse, Sur leurs pas, sans tarder, amène
cte III, sc. iv.) Les projets de Mithridate2423 Approchez, mes
enfants
. Enfin l’heure est venue Qu’il faut que mon secre
fendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes, leurs
enfants
pourront-ils m’arrêter ? Marchons ; et dans son s
ffreux abandonné vingt ans, Mes larmes t’imploraient pour mes tristes
enfants
: Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand
rit mes remords, il m’arme de constance2540 : Les malheureux sont ses
enfants
. Mes ennemis riant ont dit dans leur colère : « Q
Tu ranimes ces feux rapides Par leur éternel mouvement2604 ; Tous ces
enfants
de ta parole, Balancés sur leur double pôle, Nage
nsée, Et, tenant par la main les plus jeunes de nous, A la veuve, à l’
enfant
, qui tombaient à genoux, Disait, en essuyant les
ndelle Qui rase du bout de l’aile L’eau dormante des marais ; Voilà l’
enfant
des chaumières Qui glane sur les bruyères Le bois
tent les orages Au tronc qui les a portés. C’est une mère ravie A ses
enfants
dispersés, Qui leur tend, de l’autre vie, Ces bra
verte ! Sur cette terre déserte Qu’attends-tu ? je n’y suis pas ! » L’
enfant
dont la mort cruelle Vient de vider le berceau, Q
portés sans ornière2623 et tournent sans essieu ? Courbons-nous, mes
enfants
, c’est la force de Dieu ! (Jocelyn, IXe époque.)
La puissance de dieu s’étend sur les plus humbles Ne dites pas,
enfants
, comme d’autres ont dit : « Dieu ne me connaît pa
feu fendit le firmament, Ils furent éveillés par le gazouillement Des
enfants
assoupis : Gédar soudain se lève ; Il promène d’e
avait bu, Mordait le sable sec d’une lèvre farouche ; Approchant les
enfants
, leur y collait la bouche, Espérant que le sol, d
doute Pour qu’un guide invisible illuminât leur route, Cédar prit un
enfant
sur chacun de ses bras, Et marcha sans savoir où
leur courage fondre Chacun d’eux dévorait ce que l’autre pensait. Des
enfants
sur leurs bras le cri s’affaiblissait, Leur cœür
(1819), le Paria (1821), Marino Faliero (1829), Louis XI (1832), les
Enfants
d’Édouard (1833), tragédies, dans la plupart desq
est ce que fit Elvire ; et j’eus beau me fâcher : Dans son courroux d’
enfant
qui la rendait plus belle, Tenant toujours sa pro
sse ; La pitié l’emporta. Jamais, c’est ma faiblesse, Aux larmes d’un
enfant
je n’ai su résister ; Et je dis à Chimène : « Il
aule. Les rois et les sujets sont égaux devant lui : Comme à tous ses
enfants
il vous doit son appui ; Mais ces secours divins
e à parer les cheveux de sa tête ; C’est mon père, et jamais un autre
enfant
que moi N’augmenta la famille heureuse sous sa lo
re, Tout roidi par l’hiver, en vain tombe à genoux ; Quand les petits
enfants
, les mains de froid rougies, Ramassent sous vos p
rriers ! plus de beaux cheveux blancs A faire caresser par les petits
enfants
! Hélas ! il a perdu la moitié de sa vie, L’orgue
aïeul disparaît du sein de la famille, Tout le groupe orphelin, mère,
enfant
, jeune fille2684, Se rallie inquiet autour du pèr
Tout chantait sous ces frais berceaux, Ma famille avec la nature, Mes
enfants
avec les oiseaux ! Je toussais, on devenait brave
it à petits pas, Et me disait d’un air très grave : « J’ai laissé les
enfants
en bas. » Qu’elle fût bien ou mal coiffée, Que mo
nt, Puis les trompettes, puis toute l’armée en marche ; Et les petits
enfants
venaient cracher sur l’arche, Et, soufflant dans
nts. Tout près, un matelas s’étend sur de vieux bancs, Et cinq petits
enfants
, nid d’âmes, y sommeillent. La haute cheminée où
bourrasque, il faut qu’il sorte, il faut qu’il aille ; Car les petits
enfants
ont faim. Il part le soir, Quand l’eau profonde m
âtre où bout la soupe de poisson, Puis priant Dieu sitôt que les cinq
enfants
dorment. Lui, seul, battu des flots qui toujours
On dirait que le jour tremble et doute, incertain, Et qu’ainsi que l’
enfant
l’aube pleure de naître. Elle va, l’on ne voit lu
ne Ne répond. Et Jeannie au vent de mer frissonne : « Malade ! Et ses
enfants
! comme c’est mal nourri ! Elle n’en a que deux,
éternité ! Près du lit où gisait la mère de famille, Deux tout petits
enfants
, le garçon et la fille, Dans le même berceau sour
il dire ? il a Déjà tant de souci ! Qu’est-ce que j’ai fait là ? Cinq
enfants
sur les bras ! ce père qui travaille ! Il n’avait
te, Dans la soirée, après que vous fûtes partis. Elle laisse ses deux
enfants
, qui sont petits. L’un s’appelle Guillaume et l’a
« Diable ! diable ! dit-il, en se grattant la tête, Nous avions cinq
enfants
, cela va faire sept. Déjà, dans la saison mauvais
. C’est la mère, vois-tu, qui frappe à notre porte ; Ouvrons aux deux
enfants
. Nous les mêlerons tous, Cela nous grimpera le so
l’héritage. Tout d’un coup un cavalier passe près d’eux et aperçoit l’
enfant
qu’ils ont enlevé. C’est Roland, le neveu de Char
de sentir trembler sous l’ongle inexorable Toute la pauvre chair de l’
enfant
misérable. Il vient, et sur Roland il jette un lo
rois morts. Et, pendant ce temps-là, lâchant rênes et mors, Le pauvre
enfant
sauvé fuyait vers Compostelle. Durandal brille et
chaque cloison ; Le couvert s’élargit ; comme des fruits d’automne, D’
enfants
beaux et vermeils la table se couronne, Et puis m
t Qui craque, et l’on se croit au milieu de l’hiver. Les yeux sur ses
enfants
, et rêveuse, la mère Sur leur sort à venir invent
uil ; Un seul prêtre en priant conduisit le cercueil ; Puis venait un
enfant
qui d’espace en espace, Aux saintes oraisons répo
Sur le pont des vaisseaux près de mettre à la voile, Hommes, femmes,
enfants
, nous allons par milliers Chercher aux cieux loin
iques laines ? Pourquoi ne pouvons-nous rester au même coin, Et, tous
enfants
, puiser à la même mamelle ? Pourquoi les moins he
de remplir nos mains de l’or des potentats ; Ce dont nous te prions,
enfants
de la misère, C’est d’amollir le cœur des puissan
aît Loin du bruit, dans ta mousse ; Vieux vagabond qui tends la main,
Enfant
pauvre et sans mère, Puissiez-vous trouver en che
et des pleurs La ferme et la fermière ! Chaque hiver, qu’un groupe d’
enfants
A son fuseau sourie, Comme les anges aux fils bla
verrait passer morte.... Hélas ! si j’avais su !... Je t’aurais fait,
enfant
, l’existence bien douce ; Sous chacun de tes pas
la fois de fantaisie et de sensibilité, un roman, la Confession d’un
enfant
du siècle (1836), des Contes et Nouvelles, et div
uil entr’ouvert ; Il voit un peu de cendre au milieu d’un désert. Ses
enfants
demi-nus sortent de la bruyère, Et viennent lui c
2761, et j’en suis convaincu : Bien des choses auront vécu, Quand nos
enfants
liront encore Ce que le bonhomme a conté, Fleur d
, il est nouveau2764. (Poésies nouvelles : Sylvia.) Le joueur et l’
enfant
Me voici donc à Bade2765 ; et vous pensez sans
us à moi qu’un grand mal à la tête.... Une bonne passa, qui tenait un
enfant
. Je crus m’apercevoir que le pauvre innocent Avai
l veut, je veux qu’on le lui donne. » (C’est mon opinion de gâter les
enfants
.) Le marmot là-dessus, m’accueillant d’un sourire
ouver à tâtons les murs de la chaumière, L’aïeule au coin du feu, les
enfants
au berceau. (Poésies nouvelles : Une bonne fortun
son visage charmant. Pas de courtines2809 festonnées Pour préserver l’
enfant
du froid ; Rien que les toiles d’araignées Qui pe
des poutres du toit. Il tremble sur la paille fraîche, Ce cher petit
enfant
Jésus, Et, pour réchauffer dans sa crèche, L’âne
une forte passion l’anime2816. Pernette2817 I pernette et les
enfants
du village Elle aimait entre tous, de son amou
it de la rose2818. C’était près d’elle à qui se ferait écolier ; Tout
enfant
chérissait son toit hospitalier. Plus de grossier
ix d’honneur !... C’est, je crois, un plus grand bonheur D’être un
enfant
aimant et tendre. Lorsqu’on a fait tout son devoi
éclame. Je suis poète, Dieu merci ! Et j’ai pour principal souci, Mes
enfants
, de vous faire une âme. Avant de savoir l’alleman
lleux, douze fois triomphant, A dû courber le front sous le pied d’un
enfant
!... Cet enfant, je le hais ! — Devant l’Aréopage
s triomphant, A dû courber le front sous le pied d’un enfant !... Cet
enfant
, je le hais ! — Devant l’Aréopage Sa parole pour
urgs et des villages, Villages de marins et de pêcheurs normands. Les
enfants
sont couchés dans le charme des rêves : Ce long b
e fenêtre, Au calme intérieur descend un rayon bleu. Des brassières d’
enfant
, de petites vareuses Sèchent au soleil clair, tou
gs. Les yeux suivent longtemps ces barques fortunées, Riches de beaux
enfants
, et de fleurs et d’oiseaux, Qui vont avec lenteur
ue dirait-il ?) Et, refoulant en elle une sombre pensée, Elle rit aux
enfants
sans quitter son travail, Sur le fond clair du ci
froid caveau S’épanouit dans chaque rose ! Sur le tombeau d’un pauvre
enfant
, D’un pauvre enfant qui fut mon frère ! Il avait
uit dans chaque rose ! Sur le tombeau d’un pauvre enfant, D’un pauvre
enfant
qui fut mon frère ! Il avait ses fleurs à tout ve
l’autre monde ! (Pages intimes, VIII.) La chanteuse La pauvre
enfant
, le long des pelouses du bois, Mendiait : elle av
de sentir et de voir ! Enchantement divin qui sort de toute chose ! L’
enfant
, au renouveau, peut-il gémir longtemps ? Le brin
r qui ment ! Tu pleures maintenant : tu chantais tout à l’heure ! » L’
enfant
leva les yeux et me dit simplement : « C’est pour
ombe à ton gré : On y lira pourquoi tu n’as pas émigré2904, Après tes
enfants
morts et l’Alsace perdue, Et la France par toi ju
esse. Revenu au bien après une vie d’épreuves, bienfaiteur lui-même d’
enfants
orphelins qu’il a adoptés, le hasard l’a ramené a
us expliquait le bien : La mienne me battait et ne m’apprenait rien !
Enfant
, ai-je entendu quelque bonne parole ? Je n’ai jam
leçon, Pour mieux vaincre à jamais l’esprit de trahison. Songez à vos
enfants
! Songez que d’un tel crime Votre race serait l’é
ier. Brins d’osier, vous serez le lit frêle où la mère Berce un petit
enfant
aux sons d’un vieux couplet : L’enfant, la lèvre
rêle où la mère Berce un petit enfant aux sons d’un vieux couplet : L’
enfant
, la lèvre encor toute blanche de lait, S’endort e
ppes lustrées Tombent comme les grains défilés d’un collier. Doigts d’
enfants
, séparez, sans meurtrir la groseille, Les pépins
ir sirop frissonne et bout ; l’air se parfume D’une odeur framboisée…
Enfants
, spatule2924 en main, Enlevez doucement la savour
oésie de l’enfance : ses Poèmes de Provence (1874) et sa Chanson de l’
Enfant
(1876) furent, dès leur apparition, couronnés par
s cru, Lorsque tinta la cloche, à l’heure où de l’école La troupe des
enfants
avec des cris s’envole, Je m’en allai muet, trist
s sacrés, bon soleil réchauffant, Oh ! je t’aimais déjà, Nature, tout
enfant
; Mais j’ignorais alors, tremblant que tu ne meur
ys « On sait mieux le français au pays de la neige : Éloignons cet
enfant
de nous, se dirent-ils ; Il faut que les garçons
Et ceux qui m’ont revu m’en ont redit l’histoire : Plus de gaietés d’
enfant
, de jeux ni d’appétit. Et mes grands yeux, encore
es ont des yeux qui s’animent parfois ; Et c’est ce qui fait peur aux
enfants
dans les bois : Ils devinent dans tout des paupiè
mière, Quand je revis enfin la terre où je suis né. (La chanson de l’
enfant
2958, seconde partie : Impressions d’enfant, Souv
uis né. (La chanson de l’enfant 2958, seconde partie : Impressions d’
enfant
, Souvenirs.) En Provence, le soir Quand l
plus vieux, Car le long des chemins voici qu’ils sont en marche, Et l’
enfant
de douze ans devient un patriarche. (La Chanson
t enfantin dada, pour désigner un jeune homme niais et gauche, encore
enfant
d’esprit et de manières. 639. Près des Halles.
ssa aux soins de Mme de Sévigné, ne voulant pas faire supporter à une
enfant
si jeune les fatigues d’un aussi long voyage. 68
jette à son père, et se met à crier et à pleurer. « Taisez-vous, mon
enfant
, lui dit-il ; voyez (en lui montrant M. de Turenn
lettre toute débordante de joie : « Philippsbourg est pris, ma chère
enfant
; votre fils se porte bien. Je n’ai qu’à tourner
int changer de discours. Vous apprendrez donc par ce billet que votre
enfant
se porte bien et que Philisbourg est pris… On ne
détail, sinon qu’il n’y a point eu d’assaut… Respirez donc, ma chère
enfant
; remerciez Dieu premièrement : il n’est point qu
autrefois, cherchez-en d’autres, car Dieu vous a conservé votre cher
enfant
: nous en sommes transportés, et je vous embrasse
n’a jamais vu la France peut cependant et doit même l’aimer comme un
enfant
de la Beauce ou de la Normandie ; et ce dernier à
Littré.) 810. Ce fils est Jean-Baptiste (1678-1747), l’aîné des sept
enfants
de Racine. Jean-Baptiste Racine n’a rien écrit.
ses fils Jean-Baptiste et Louis, l’aîné et le plus jeune de tous ses
enfants
, Racine eut encore cinq filles. 814. Réserver à
taller dans la maison de son frère, pour tenir son ménage et élever l’
enfant
qui venait de naître. Suzanne Rousseau, qui avait
e, une fonction déterminée, désigne ici la religieuse qui conduit les
enfants
. 1187. Billet blanc, expression empruntée au je
L’un est petit-fils, l’autre la petite-fille du pêcheur. Les « petits
enfants
» dont il va être question sont leurs deux petits
son fils. Jacques VI (1566-1625), qui, quand Élisabeth fut morte sans
enfant
(1603), hérita, sous le nom de Jacques Ier, du tr
. 1557. Une multitude d’hommes sans armes, de blessés, de malades, d’
enfants
, de femmes, au lieu de se hâter de passer les pon
presque en même temps on put entendre une clameur immense : « Allez,
enfants
des Hellènes, délivrez la patrie, délivrez vos en
nse : « Allez, enfants des Hellènes, délivrez la patrie, délivrez vos
enfants
, vos femmes, les temples des dieux nationaux, les
s combattait Coligny, étaient commandés par le prince de Condé. — Les
Enfants
perdus étaient des compagnies d’infanterie légère
irable, pour l’expression d’un sentiment puissant. 1637. . Allons,
enfants
de la patrie : Le jour de gloire est arrivé ! 1
mot est inconnue. 1645. Le laboureur Germain, resté veuf avec trois
enfants
, est parti, sur le conseil même des parents de sa
emmené avec lui la fille d’une voisine, la petite Marie, presque une
enfant
(seize ans à peine), qui va se placer comme domes
de respect filial et de courage donnée par la jeune paysanne au petit
enfant
, d’un ton qui ne sent en rien le moraliste ou le
tion proférée contre les chrétiens, de tuer des hommes et surtout des
enfants
pour se nourrir de leur chair. 1703. L’Église cé
s et Souvenirs. 1751. La fabrique que possédaient les parents de l’
enfant
qui raconte ici son histoire avant les revers de
en mouvement par la machine du bateau. 1773. Le pape auquel pense l’
enfant
en faisant ce mensonge est Pie IX, qui mourut en
té usitée jusque dans le xviie siècle (voir encore p 474, note 6). L’
enfant
de Thétis et de Pélée est Achille, qui fut en eff
nir d’un passage où Virgile (Egl., IV, 62) s’adresse, lui aussi, à un
enfant
de grande naissance. 1986. [Leur] demander, les
Les femmes n’étaient jamais deux. Tous les vœux étaient unanimes. Les
enfants
confondaient leurs jeux, Les pères se prêtaient l
’ai fait confesser la vérité à ce traître ; j’ai fait parcourir d ces
enfants
une assez longue route. 2349. L’auteur des Sati
fils Astyanax. Tous les Grecs réclamant à grands cris la mort de cet
enfant
, Pyrrhus promet de sauver ses jours si Andromaque
, nations, ouvrez vos oreilles, vous tous, habitants de l’univers ; —
enfants
de la terre, fils des hommes, tous ensemble, pauv
et d’un passage de Louis Racine que nous avons cité page 593. 2621.
Enfants
. Tout ce développement est mis dans la bouche d’u
ment est mis dans la bouche d’un curé de campagne qui s’adresse à des
enfants
. 2622. Eux-même. I1 faudrait, de toute nécessit
es premiers âges du monde. Cédar et Daïdha, sa femme, avec leurs deux
enfants
, traversent le désert, guidés par un certain Stag
ile ; Elle parut indocile Aux ordres d’une autre voix. 2655. Mon
enfant
. « Étant son capitaine, a-t-il dit plus haut, C
Mon enfant. « Étant son capitaine, a-t-il dit plus haut, Comme un
enfant
je l’aimais. » Et encore : « Ma frégate était m
ère personne qui viendrait à sa rencontre. 2662. Et jamais un autre
enfant
… Entendez : et je suis son enfant unique. 2663.
ncontre. 2662. Et jamais un autre enfant… Entendez : et je suis son
enfant
unique. 2663. Au Dieu jaloux. Remarquons que ce
place tout ce développement dans la bouche d’un de ses amis. 2684.
Enfant
, jeune fille, allusion à la fille et au fils ainé
ier, dans une autre pièce du même poème (la Lyre d’airain), prête aux
enfants
pauvres des villes d’Angleterre : Ma mère, que d
sa vie au service des pauvres et des souffrants et à l’éducation des
enfants
du village. 2818. S’envolait de la rose, c’est-
e En nous prêchant l’amour de nos voisins jaloux. Réparez son erreur,
enfants
, à coups d’épée. Vous aimerez après : mais d’abor
respectable pour ceux même qu’aucune relation personnelle ne lie à l’
enfant
qui y entre, ou au vieillard qui en sort. Que ser
nspirer1 ? (Méditations et études morales.) L’amour-propre chez l’
enfant
L’amour-propre mécontent est très-difficile à
rce de nous aider à nous relever. Quel sentiment veut-on inspirer à l’
enfant
qui a mal fait ? Le besoin de faire mieux à l’ave
rd et les trois jeunes hommes. 1. Madame de Lambert a dit : « Les
enfants
aiment à être traités en personnes raisonnables ;
3. Toute vérité a ses écueils, aussi ajoutons : « Il faut rendre les
enfants
raisonnables, mais non pas raisonneurs. La premiè
; le singulier, quand on parle d’une seule personne, comme je lis, l’
enfant
dort ; le pluriel, quand on parle de plusieurs pe
luriel, quand on parle de plusieurs personnes, comme nous lisons, les
enfants
dorment. 50. — Il y a trois temps, le présent,
erbe. La réponse à cette question indique le sujet ; quand je dis : l’
enfant
est sage ; qui est-ce qui est sage ? Réponse, l’e
and je dis : l’enfant est sage ; qui est-ce qui est sage ? Réponse, l’
enfant
: voilà le sujet du verbe est. Le lièvre court ;
nd régime se marque par les mots à ou de : comme donner une image à l’
enfant
; enseigner la grammaire à l’enfant ; écrire une
u de : comme donner une image à l’enfant ; enseigner la grammaire à l’
enfant
; écrire une lettre à son ami : à l’enfant, est l
enseigner la grammaire à l’enfant ; écrire une lettre à son ami : à l’
enfant
, est le régime indirect des verbes donner, enseig
uit le verbe passif. Exemples. La souris est mangée par le chat. Un
enfant
sage est aimé de ses parents. Remarque. N’employ
’on ne peut pas mettre un nom à sa place ; car lorsqu’en parlant d’un
enfant
, on dit : il joue, ce n’est pas un impersonnel, p
t pas un impersonnel, parce qu’à la place du mot il, on peut mettre l’
enfant
, et dire : l’enfant joue. 1. Toutes les secon
, parce qu’à la place du mot il, on peut mettre l’enfant, et dire : l’
enfant
joue. 1. Toutes les secondes personnes du sin
us facile de détruire la grande capitale que de flétrir l’honneur des
enfants
du grand peuple et de ses alliés. Leurs projets f
s baisers retentissent dans le cœur de tous les braves1 !… Adieu, mes
enfants
… mes vœux vous accompagneront toujours ; conserve
ajesté d’écouter le cri de l’humanité, et de né pas permettre que les
enfants
de deux braves et puissantes nations s’entr’égorg
point une victoire qui sera achetée par la vie d’un bon nombre de mes
enfants
. Si j’étais à mon début dans la carrière militair
x mourir ; mais lorsque, après cette première pensée, l’on presse ses
enfants
sur son cœur, des larmes, des sentiments tendres
rmes, des sentiments tendres raniment la nature, et l’on vit pour ses
enfants
. Oui, madame, vous pleurerez avec eux, vous élève
est mort au champ d’honneur. La perte que vous faites et celle de vos
enfants
est grande sans doute, mais la mienne l’est davan
ion sans tache ; c’est le plus bel héritage qu’il ait pu léguer à ses
enfants
. Ma protection leur est acquise. Ils hériteront a
ent du même pas. Le Rhin lui seul peut retremper nos armes. Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! « De quel éclat br
t de nos soldats. Heureux celui qui mourut dans ces fêtes ! Dieu, mes
enfants
, vous donne un beau trépas ! » 2. 2 décembre
aux instincts des animaux, et à la diversité de leurs caractères. Les
enfants
y reconnaissent les mœurs du chien qu’ils caresse
re leur a dit des bêtes féroces : le loup dont on menace les méchants
enfants
, le renard qui rôde autour du poulailler, le lion
nes et leur vie inépuisable. Ils sont trop superbes pour goûter ce qu’
enfants
on leur a donné à lire. C’était une lecture de pè
rise en se retrouvant parmi ces animaux auxquels il s’était intéressé
enfant
, de reconnaître par sa propre réflexion, non plus
d’âge mûr qui s’entourent de joujoux, et qui, moins heureux que leurs
enfants
, ne peuvent pas les casser quand ils s’en dégoûte
i aimable qu’on est tenté de lui pardonner ses faiblesses, comme à un
enfant
auquel la raison n’est pas encore venue. Il a cré
té d’un esprit droit et d’un cœur excellent2. Le laboureur et ses
enfants
Travaillez, prenez de la peine, C’est le
le moins. Un riche laboureur sentant sa mort prochaine, Fit venir ses
enfants
, leur parla sans témoin. « Gardez-vous, leur dit-
eux arrivés Devant se majesté fourrée. Grippeminaud3 leur dit : « Mes
enfants
, approchez, Approchez, je suis sourd ; les ans en
e vanité, Et vaine curiosité, Ont ensemble étroit parentage3. Ce sont
enfants
tous d’un lignage4 Le chêne et le roseau
es mots, Du bout de l’horizon accourt avec furie Le plus terrible des
enfants
Que le nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
oup que ses malheurs Finiraient par cette aventure ; Mais un fripon d’
enfant
(cet âge est sans pitié)5, Prit sa fronde, et du
heureux, Et de peupler pour Rome un pays qu’elle opprime. Quant à nos
enfants
déjà nés, Nous souhaitons de voir leurs jours bie
encor de bâtir ! mais planter à cet âge ! Disaient trois jouvenceaux,
enfants
du voisinage7 : Assurément il radotait. Car, au
atal tribut ; tous sont de son domaine ; Et le premier instant où les
enfants
des rois Ouvrent les yeux à la lumière Est celui
t est grand pour les petits. 1. Comme un jeune rat. Il n’y a plus d’
enfants
, plus de souriceaux. Un jeune rat est un personna
ut dire : enlever dans ses serres. 5. La Fontaine, qui charme les
enfants
, ne les aime guère. Pourquoi ? La Bruyère a dit d
harme les enfants, ne les aime guère. Pourquoi ? La Bruyère a dit des
enfants
: « Les enfants sont hautains, dédaigneux, colère
s, ne les aime guère. Pourquoi ? La Bruyère a dit des enfants : « Les
enfants
sont hautains, dédaigneux, colères, envieux, curi
le vieux Laerte cultivant ses champs pour adoucir ses regrets. 7.
Enfants
du voisinage. Circonstance aggravante ; ce vieill
fait, et leur dit ce qu’il a dessein de faire. Ce n’est pas pour ses
enfants
qu’il bâtit ; car il n’en a point, ni pour ses hé
. Ainsi, quand l’aigle du tonnerre Enlevait Ganymède aux cieux, L’
enfant
, s’attachant à la terre, Luttait contre l’oiseau
n paix Se coucher loin du soc sous un feuillage épais. La mère et les
enfants
, qu’un peu d’ombre rassemble, Sur l’herbe, autour
ère, du berceau Qui repose couché dans un sillon nouveau, Tire un bel
enfant
nu qui tend ses mains vers elle, L’enlève, et, su
ait, au moindre bruit, s’enfuir de cette enceinte. Dans notre toit d’
enfant
presque rien de changé1 ; Le temps, si lent pour
re paternelle Et nous poussant du geste : « A genoux ! nous dit-elle,
Enfants
! Voilà le lit où votre père est mort ! » Puis to
te porte Se fermait doucement sous la main de ma sœur, J’entendis les
enfants
du nouveau possesseur, Sortant de la maison en jo
ter le vrai bonheur. Dans la demeure de mes chers parents, j’étais un
enfant
bien joyeux ; l’amer chagrin est mon partage depu
mptueuse ; le reste de sa vie doit se passer à l’autel, au milieu des
enfants
auxquels il apprend à balbutier le catéchisme, ce
la mort est venue prendre tour à tour le père et la mère, et dont les
enfants
se sont successivement envolés, ceux-ci pour un l
bois marchait, faible, et sur une pierre S’asseyait3. Trois pasteurs,
enfant
de cette terre, Le suivaient, accourus aux abois
fait des dieux ; Mais aux clartés du jour ils ont fermé tes yeux. » «
Enfants
, car votre voix est enfantine et tendre, Vos disc
Le sort, dit le vieillard, n’est pas toujours de fer. Je vous salue,
enfants
, venus de Jupiter ; Heureux sont les parents qui
ous honorés. Le plus âgé de vous aura vu treize années : A peine, mes
enfants
, vos mères étaient nées, Que j’étais presque vieu
donc point chanté ? Quelques sons de ta voix auraient tout acheté. —
Enfants
! du rossignol la voix pure et légère N’a jamais
merveilles3. — Oui, je le veux ; marchons. Mais où m’entraînez-vous ?
Enfants
du vieil aveugle, en quel lieu sommes-nous ? — Si
ent à la famille des René et des Oberman. Il en est pour ainsi dire l’
enfant
aimable, enseveli dans sa robe d’innocence, après
ne en face de l’autre. À quelques pas de nous, il y avait un groupe d’
enfants
abrités contre un rocher, et paissant un troupeau
l, la promenade au bord de la mer qui voit venir à elle une mère, son
enfant
dans les bras ; les lèvres roses de la petite fil
le rivage de la mer ; nos pensées à nous, en considérant la mère et l’
enfant
qui se sourient, ou l’enfant qui pleure et la mèr
sées à nous, en considérant la mère et l’enfant qui se sourient, ou l’
enfant
qui pleure et la mère qui tâche de l’apaiser avec
oix argentine, les ris, les petites moues pleines d’intelligence d’un
enfant
qui, j’en suis sûr, fait envie à plus d’un ange,
ines. On peut en dire autant de Saint-Amand lorsqu’il peint un petit
enfant
qui, au passage de la mer Rouge, va, saute, revie
pensée, que les forfaits des parents sont un triste héritage pour les
enfants
: Qui sent son père ou sa mère coupable De quelq
ont-Valérien, par Bernardin de Saint-Pierre ; le Sacrifice des petits
Enfants
, de Berquin ; l’histoire de Denise, par Laurent d
de rien. On vit heureux ailleurs ; ici, dans la souffrance. Pars, mon
enfant
: c’est pour ton bien. 138. A quels sujets convi
ns de Malherbe à son ami, les verselets de Clotilde de Surville à son
enfant
, cités plus haut (47-64), nous signalerons les pl
d’Hippolyte Violeau, et les plaintes d’une mère sur le tombeau de son
enfant
, par Alexandre Soumet. Voici la fin de ce récit q
Edgard mourut.… voilà sa pierre funéraire. Ce cyprès est le sien, cet
enfant
est son frère. Nous venons tous les soirs lui por
Nous regardons le ciel, et nous versons des pleurs. Toi, mon dernier
enfant
, souffre ma plainte amère ; Le ciel n’enferme pas
umer. Près du tombeau d’Edgard je puis encore aimer. Elle se tait…, l’
enfant
la suit dans les ténèbres. Mais on dit que bientô
ceaux les plus remarquables en ce genre, nous signalerons l’Ange et l’
Enfant
, de Reboul, modèle de délicatesse et de grâce ; l
te II d’Athalie : Quel astre à nos yeux vient de luire ? l’Hymne de l’
Enfant
à son réveil, de Lamartine, et les vers si gracie
t un railleur qui blâme. Oui, sur ce chanteur mort pour mon plaisir d’
enfant
, Mon cœur, à moi chanteur, s’attendrit bien souve
uil ; Un seul prêtre en priant conduisit le cercueil ; Puis venait un
enfant
qui, d’espace en espace, Aux saintes oraisons rép
le dis, Le devant de la porte où l’on jouait jadis, L’église, où tout
enfant
, et d’une voix légère, Vous chantiez à la messe a
e avec vous chanter au même banc, Et jouer à la porte, où l’on jouait
enfant
. Un bain de mer La mer ! j’aime la mer
vapeur, qui se dissipe dans les airs… » 1. Le poëte veut dire que l’
enfant
ne va guère à l’école d’un pas empressé. 2. Quan
la pièce suivante : Entre mes doigts guide ce lin docile, Pour mon
enfant
, tourne, léger fuseau ; Quand tu soutiens sa vie
orde-lui longtemps Ce doux repos qui n'est plus mon partage. Pour mon
enfant
, tourne, léger fuseau, Tourne sans bruit auprès d
e reste aujourd'hui Que mon amour, mes soins et mon courage. Pour mon
enfant
, tourne, léger fuseau, Tourne sans bruit auprès d
uvre et souffrant, Ah ! prends pitié des larmes d'une mère ! Pour mon
enfant
, tourne, léger fuseau, Tourne sans bruit auprès d
pui des malheureux, Que ma douleur jusqu'au matin sommeille. Pour mon
enfant
, tourne, léger fuseau, Tourne sans bruit auprès d
ction multiplie les particules copulatives : On égorge à la fois les
enfants
, les vieillards, Et la sœur et le frère, Et la fi
ira peut-être qu'il y a ici équivoque, que l'on peut entendre : il (l'
enfant
) foule le tapis vert de lui, au lieu de il foule
ont donné le sceptre de la fable. Il semble l'ignorer, et ce sublime
enfant
Au sommet du Parnasse arrive en se jouant : Là sa
es mots, Du bout de l'horizon accourt avec furie Le plus terrible des
enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs
t dont les pieds touchaient à l'empire des morts. (La Fontaine.) l'
enfant
et sa mère. Un jeune enfant près de sa mère, Joua
à l'empire des morts. (La Fontaine.) l'enfant et sa mère. Un jeune
enfant
près de sa mère, Jouant sur les bords d'un ruisse
endrement aimées. L'élégie s'écrit ordinairement en vers. la pauvre
enfant
trouvée sur une pierre. J'ai fui ce pénible somme
es parents exilée, De leurs embrassements j'ignore la douceur, Et les
enfants
de la vallée Ne m'appellent jamais leur sœur ! Je
le solitaire ; Mais pour moi les tombeaux sont tous indifférents : L'
enfant
qu'on abandonne est seul et sans parents Au milie
ffreux abandonné vingt ans, Mes larmes t'imploraient pour mes tristes
enfants
; Et, lorsque ma famille est par toi réunie, Quan
qu'elles ne sont pas un des moyens que nécessite la cause. mai. — l'
enfant
. O mai ! quand ta brise chérie Parfume en se joua
te Sur le courant d'un clair vivier. Il nous donna l'intelligence ; L'
enfant
lui doit son lait si doux ; Mais, pour ces biens,
ons : heureux l'homme qui prie ! Sa foi le sauve du péché ; Du crime,
enfant
de cette vie, Jamais son cœur n'est entaché. Prio
ur titre : Difficultés de la syntaxe.) une mère a sa fille. Écoute,
enfant
, les conseils d'une mère ; De sa parole un jour l
spoir, Que ton secret, dans le sein de ta mère, Soit déposé, ma chère
enfant
, le soir. Si le malheur te suit dans cette voie,
malheureux ! vous êtes perdu : vous sentez ce que vous dites ! » Les
enfants
et les jeunes gens sont fort exposés à cet entraî
es professeurs attachent un peu plus d’importance à la façon dont les
enfants
leur récitent les leçons. C’est vraiment une insu
and des héros, L’œil de larmes noyé, je parlais en ces mots : « Ô des
enfants
d’Ilus la gloire et l’espérance ! Quels lieux ont
ore assez profond. » Tel, réveillé plus tard que son accoutumance, L’
enfant
se précipite avec impatience, Sur le sein nourric
s. Par de tels sentiments, les anciens Romains avaient appris à leurs
enfants
à mépriser leur corps, à le sacrifier pour donner
Grecs, dans les bons temps de leurs républiques, nourrissaient2 leurs
enfants
dans le mépris du faste et de la mollesse : ils l
marché de laboureurs et de pêcheurs : il était rempli de femmes et d’
enfants
, et retranché avec des bateaux de cuir et des cha
n antique tableau de la Vierge, portant sur son bras gauche son divin
enfant
. Cette image, disait-on, venue de l’Orient, avait
t les genoux. Quel spectacle imposant s’est montré devant nous ! Quel
enfant
des combats et de la renommée Suspend autour de l
andonné, Du Dieu que nous servons le tombeau profané ! Nos pères, nos
enfants
, nos filles et nos femmes, Au pied de nos autels
milieu d’eux, Écoute le récit de peines qu’il soulage, Joue avec les
enfants
et goûte le laitage. Un jour, loin de la ville ay
se ; Il voit avec plaisir éclater leur tendresse. « Qu’avez-vous, mes
enfants
? D’où naît votre chagrin ? Ne puis-je le calmer
on, il faudra bien du temps ! Eh ! comment l’oublier, ni nous, ni nos
enfants
! Nous serions bien ingrats !… C’était notre nour
e dans la triste chaumière ; Il arrive à la porte : « Ouvrez-moi, mes
enfants
, Ouvrez-moi ; c’est Brunon, Brunon que je vous re
ssure, Bon ange !… » En ce moment, de leurs larmes noyés, Père, mère,
enfants
, tous sont tombés à ses pieds. « Levez-vous, mes
Des vents échappés de leurs fers, Hélas ! annoncent-ils aux
enfants
de la terre Le dernier jour de l’unive
élus du Seigneur Marcher d’un front riant au fond du sanctuaire. Des
enfants
doivent-ils connaître la terreur Lorsq
s Sous le joug de tes lois augustes ! Des vieillards ! des
enfants
! quelques infortunés ! À peine mon regard voit,
cueil. « Torquato, d’asile en asile L’envie ose en vain t’outrager ;
Enfant
des Muses, sois tranquille, Ton Renaud vivra comm
l’aurore, Je fus un instant mère : hélas ! à ma douleur, Cher
enfant
, je crois l’être encore. Au sommet du tri
nte L’oiseau s’éveillera : tu dormiras toujours. Quand, pour bénir l’
enfant
dont sa fille est la mère, Viendra mon pèr
sa gloire. Tout Bédouin libre était son hardi compagnon ; Les petits
enfants
, l’œil tourné vers nos rivages, Sur un tambour fr
l est absent, Ma mère ! et vous m’avez donné de votre sang Plus qu’un
enfant
jamais n’en reçut de la sienne. Ma vie est toute
mains et chérit ses lisières, Ô ma mère ! et qu’enfin je reste votre
enfant
. Vos jours pleins de travail, austères, soucieux
Tu bannis la terreur et les tristes soupirs, Malheureux
enfants
de la guerre. Tu rends le fils à sa tremb
ans doute un épervier rapide, Une couleuvre aux yeux perçants, Ou des
enfants
, troupe perfide, Auront surpris les innocents ?
! L’affection, comme les fleuves, Descend et ne remonte pas. Allez,
enfants
, douces chimères, Rêves menteurs qui nous charmez
Signal de la prière, Elle part du saint lieu, Appelant la première L’
enfant
de la chaumière À la maison de Dieu. Aux sons qu
de son butin, revient-il de la chasse, Il retrouve une épouse et des
enfants
chéris, Qu’il a vus s’élever, que leur mère a nou
au la fleur de sa farine. Quel plaisir lorsqu’à table, entre tous ses
enfants
, Leur père, chaque soir, voit revenir des champs
doux commerce à tous les cœurs si cher : Oui, l’instinct social est l’
enfant
de l’hiver. En cercle un même attrait rassemble a
ois, Et bien des chars ployant sous l’heureuse vendange, Escortés des
enfants
, sont partis pour la grange. Au pas lent des taur
es grappes écrasées ! Fêtez les raisins mûrs ! venez de toutes parts,
Enfants
! sur les tonneaux qui sonnent dans les chars
abandonné à la grossièreté du dernier des valets, ou à la malice des
enfants
, bien loin d’acquérir, ne peut que perdre par son
a glorieuse école ; Il n’est point conquérant, mais il est agricole ;
Enfant
, il a sa grâce et ses folâtres jeux ; Jeune, il e
condamnés à endurer la souffrance et destinés à éprouver la pénurie.
Enfants
disgraciés, nés dans le dénûment pour vivre dans
le besoin est extrême, il s’expose à tout, attaque les femmes et les
enfants
, se jette même quelquefois sur les hommes, devien
er le berger plutôt que le troupeau, dévorer des femmes, emporter des
enfants
, etc. On a appelé ces mauvais loups, loups garous
étrangère, et il est bientôt fatigué de l’intrigue. Le Français est l’
enfant
de l’Europe ; si l’on a quelquefois vu parmi nous
he conjugale, le lit de mort et le cercueil ; un homme que les petits
enfants
s’accoutument à aimer, à vénérer et à craindre ;
ant de ce livre divin. Sa vie doit se passer à l’autel, au milieu des
enfants
, auxquels il apprend à balbutier le catéchisme, c
e chose qu’une cloche entourée de cierges, habillée de blanc comme un
enfant
qu’on va baptiser. On lui fait des onctions, on c
el : Car Cybèle t’aimait, toi l’aîné de ses chênes, Comme un premier
enfant
que sa mère a nourri ; Du plus pur de sa sève ell
ns, et qui chantaient des hymnes en l’honneur de la déesse ; de jolis
enfants
couverts d’une simple tunique, et parés de leurs
acine Dévouement patriotique Le Vieil Horace. Qu’est ceci, mes
enfants
? écoulez-vous vos flammes ? Et perdez-vous encor
s rois que depuis cinq cents ans Avec le premier lait sucent tous ses
enfants
, Pour l’arracher des cœurs est trop enracinée. Ma
voix Ait fait un empereur pour m’en imposer trois ? Néron n’est plus
enfant
: n’est-il pas temps qu’il règne ? Jusqu’à quand
tude que vous avez désiré le repos. Charles-Quint. Hélas ! mon pauvre
enfant
, tu ne dis que trop vrai ; et Dieu veuille que tu
» — « Écuyer économe ! » Mais elle, le tenant dans ses bras : « Cher
enfant
, Dieux ! quel bonheur pour moi, lorsque tu seras
ns la rue on n’offense personne. Dormons ! Racine. Le Retour de l’
Enfant
prodigue MONTE-PRADE, FABRICE. Fabrice.
es bras… Quand je vivrais cent ans, je ne l’oublierais pas ! — Pauvre
enfant
! me voyant tout tremblant et tout blême Ce n’est
dieux, étaient punis comme les plus scélérats de tous les hommes. Les
enfants
qui avaient égorgé leurs pères et leurs mères, le
s malheurs Finiraient par cette aventure ; Mais un fripon d’
enfant
(cet âge est sans pitié) Prit sa fronde, et du co
étaient voisins, et chacun d’eux avait une femme et plusieurs petits
enfants
, et son seul travail pour les faire vivre. Et l’u
Si je meurs, ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes
enfants
? » Et cette pensée ne le quittait point, et elle
veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma femme, et sur mes
enfants
. » Et celui-ci vivait tranquille, tandis que le p
u’auparavant ; car, pensait-il, la mort de la mère, c’est la mort des
enfants
. Les miens n’ont que moi non plus : que deviendro
re route en paix. « Si je meurs avant vous, vous serez le père de mes
enfants
; si vous mourez avant moi, je serai le père des
eilleures ; Ta servante, ô mon Dieu, dans ces tristes demeures, Est l’
enfant
du vieillard, la mère de l’enfant. Et tandis que
u, dans ces tristes demeures, Est l’enfant du vieillard, la mère de l’
enfant
. Et tandis que mes sœurs à de nouvelles fêtes
r son repos ; De fantômes divers une cour mensongère, Vains et frôles
enfants
d’une vapeur légère, Troupe qui sait charmer le p
omme ayant sa demeure particulière ; dans cette demeure sa femme, ses
enfants
, formant de premières agglomérations qu’on appell
. de Platon). Du Naturel Ce qui fait que la plupart des petits
enfants
plaisent, c’est qu’ils sont encore renfermés dans
arges ou des pensions, mais par son champ, par ses troupeaux, par ses
enfants
et ses serviteurs ; sa nourriture était saine et
isons ; ses plaisirs innocents, une grande récolte, le mariage de ses
enfants
, l’union avec ses voisins, la paix dans sa famill
ur renferme des années ; Là souvent le héros d’un spectacle grossier,
Enfant
au premier acte, est barbon au dernier. Mais nous
ntent l’image de la beauté. Les sentiments différents qui agitent les
enfants
et le père produisent des mouvements variés, qui
te que dans ses ! ouvrages, rendit sa femme heureuse, élevât bien ses
enfants
, et fit des économies. Ni Corneille, dans son pet
t ses écrits sans connaître ses traits ; Le vieillard qui s’éteint, l’
enfant
simple et timide, Qui ne sait pas encor ce que c’
ur Verser sur ton cercueil les larmes de l’amour ; Vois ces groupes d’
enfants
se jouant sous l’ombrage Qui de leur liberté vien
lui qui soit assurée à celui qui la possède. Il pense faire grâce aux
enfants
, quand il se consente de vouloir partager avec eu
si triste que le nôtre ; nous ne disions pas un mot. Adieu, ma chère
enfant
, aimez-moi toujours : hélas ! nous revoilà dans l
cueil. « Torquato, d’asile en asile L’envie ose en vain t’assiéger ;
Enfant
des Muses, sois tranquille, Ton Renaud vivra comm
lle lui fit toucher. Ils avaient l’un et l’autre tout ce qui rend les
enfants
aimables : beauté de corps, agrément dans l’espri
répide témoin de ce moment suprême, La mère est seule enfin près de l’
enfant
qu’elle aime. Elle s’enferme alors sous les obscu
nt d’où découle une sueur mortelle, Et cet œil qui s’éteint ! « Ô mon
enfant
, dit-elle, Si tu vis, je vivrai ; et si tu meurs,
n’est qu’en ton secours maintenant que j’espère ; Oui, sur ma pauvre
enfant
j’appelle tes bontés ; Ses jours si peu nombreux
’est ce que fit Elvire ; et j’eus beau me fâcher, Dans son courroux d’
enfant
qui la rendait plus belle, Tenant toujours sa pro
se ; La pitié l’emporta : jamais, c’est ma faiblesse, Aux larmes d’un
enfant
je n’ai su résister ; Et je dis à Chimène : « Il
ruiné ; et, s’étant réfugié au fond du Berri, où il avait emmené ses
enfants
, y mourut en peu de temps, dévoré par une tristes
s, le vieux Dimos, Donnait des ordres en ces mots : ■ « Allez,
enfants
, allez, de la source prochaine Pour le repas du s
rs, dans le morne silence, On entendit sur l’échafaud : « J’ai trois
enfants
, Jacques, une femme ! » Jacques un instant le reg
e Secoue au vent du soir la poussière du jour ! C’est l’heure où les
enfants
parient avec les anges. Tandis que nous courons à
ges. Tandis que nous courons à nos plaisirs étranges, Tous les petits
enfants
, les yeux levés au ciel. Mains jointes et pieds n
la nuit solennelle ! Ainsi que l’oiseau met la tête sous son aile, L’
enfant
dans la prière endort son jeune esprit. Ma fille
imer l’impétueuse ardeur, Et d’âge en âge il nous guide au bonheur. L’
Enfant
. Dans cette vie obscure à mes regards voilée, Que
n De la main qui l’attend s’éloigne avec dédain L’Ange. Crains, jeune
enfant
, la tristesse sauvage Dont ton orgueil subit la v
un front triste et rêveur ; Sous l’œil de Dieu suis ta riante voie ;
Enfant
, crois-moi, je conduis au bonheur. Mme A. Tastu.
ante par l’emploi d’une belle comparaison. Mort du Fils d’Idoménée L’
enfant
tombe dans son sang ; ses yeux se couvrent des om
des tortures qui assiègent le malheureux Montaigu, renfermé avec ses
enfants
dans la Tour de la faim, à Pise ? Cet infortuné p
Cet infortuné père les voit successivement mourir sous ses yeux. Les
Enfants
de Montaigu. …………………… Renault me dit : « Mon père
la fin ; Et ne pouvant mourir de douleur, ni de faim. Je cherchai mes
enfants
avec des cris funèbres, Pleurant, rampant, hurlan
ette classe de passions rentrent l’amour qu’une mère éprouve pour ses
enfants
, la tendresse respectueuse que nous ressentons po
us ressentons pour les auteurs de nos jours, l’affection qui unit des
enfants
issus du même sang et nourris du même lait, l’ami
s côtés que des femmes tremblantes, des vieillards courbés, de petits
enfants
les larmes aux yeux, qui se retiraient dans la vi
aternel, si bien senti par M. Casimir Delavigne, dans sa tragédie les
Enfants
d’Édouard ; l’amour de la patrie, si profondément
arge festin que d’amis se récrient ! « Ce riche est bien heureux, ses
enfants
lui sourient ! « Rien que dans leurs jouets, que
il compare en son âme Son foyer où jamais ne rayonne une flamme, Ses
enfants
affamés, et leur mère en lambeau, Et sur un peu d
Legouvé nous raconte ainsi le Dévouement d’une mère pour sauver son
enfant
: La Tendresse maternelle Voyez la jeune Isaure,
resse maternelle Voyez la jeune Isaure, éclatante d’attraits ; Sur un
enfant
chéri, l’image de ses traits, Fond soudain ce flé
alheureux père ne put survivre à sa douleur. Capelle. Lecture. — L’
Enfant
volontaire. Vol. II, nº 95. § II. Style famili
us touchante. Un paysan, après avoir donné tout son bien à ses quatre
enfants
, qu’il avait établis, allait vivre chez eux succe
qu’un, — Ils me traitent, répondit le bonhomme, comme si j’étais leur
enfant
. » — Y a-t-il rien de plus délicat et de plus » s
eur, et enfin sa triste et cruelle agonie, loin de sa femme et de ses
enfants
qui l’attendent en lui préparant les vêtements ch
le cœur du malheureux expirant sans secours, loin de sa femme, de ses
enfants
, de ses amis. En vain sa femme, attendant soir re
’innocence. Hélas ! il ne verra plus ni sa femme, ni ses amis, ni ses
enfants
, ni sa maison hospitalière. Un froid mortel glace
ette malheureuse guerre, comme les homicides et les meurtriers de mes
enfants
! Cependant, je ne puis le dissimuler, je suis mo
rop longtemps que Vénus était la déesse de la beauté, et que son fils
enfant
depuis l’âge d’or, pouvait bien avoir aujourd’hui
nature, votre mère commune, présente également la nourriture tous ses
enfants
? Pourquoi faut-il que vous vous entre-déchiriez,
ur résister à son ennemie redoutable, Athalie, que des prêtres et des
enfants
, mais soutenus, il est vrai, par une confiance sa
t demande vengeance et l’obtiendra : elle tombera sur vous et sur vos
enfants
; et le fils d’un père injuste, et héritant de so
qui sont envoyés vers toi, combien de fois ai-je voulu rassembler tes
enfants
, comme une poule rassemble ses petits sous ses ai
abandonnée ; le Seigneur m’a oubliée ; une mère peut-elle oublier son
enfant
et n’avoir point de compassion du fils qu’elle a
chapitre : nous ajouterons le célèbre Cantique de Moïse, que tous les
enfants
des Israélites devaient apprendre par cœur, Ce be
. (1692-1763.) [Notice] Louis Racine était le dernier des sept
enfants
du grand poëte Jean Racine : né à Paris en 1692,
urs sont si courts : Toute plante en naissant déjà renferme en elle D’
enfants
qui la suivront une race immortelle2 ; Chacun de
n elle D’enfants qui la suivront une race immortelle2 ; Chacun de ces
enfants
, dans ma fécondité, Trouve un gage nouveau de sa
t ? Et pourquoi ces oiseaux, si remplis de prudence, Ont-ils de leurs
enfants
su prévoir la naissance ?… Ceux qui de nos hivers
ibal sut franchir, Indolent Ferrarais, le Pô va t’enrichir. Impétueux
enfants
de cette longue chaîne, Le Rhône suit vers nous l
e. Triste destin de l’homme ! il arrive au tombeau, Plus faible, plus
enfant
qu’il ne l’est au berceau La mort, du coup fatal,
j’étais père, et je ne pus mourir ! Veillez du haut des cieux, chers
enfants
que j’implore, Sur mes autres enfants, s’ils sont
eillez du haut des cieux, chers enfants que j’implore, Sur mes autres
enfants
, s’ils sont vivants encore : Mon dernier fils, ma
!… Ce sérail éleva votre enfance ?… (En le regardant.) Hélas ! de mes
enfants
auriez-vous connaissance ? Ils seraient de votre
lle… je voi Ce présent qu’une épouse avait reçu de moi, Et qui de mes
enfants
ornait toujours la tête, Lorsque de leur naissanc
ur ! ah, Zaïre ! Lusignan. Ah, seigneur ! ah, Zaïre !Approchez, mes
enfants
. Nérestan. Moi, votre fils ! Zaïre. Moi, votre
nheur si grand mon cœur se sent toucher ! Lusignan. De vos bras, mes
enfants
, je ne puis m’arracher. Je vous revois enfin, chè
ffreux abandonné vingt ans, Mes larmes t’imploraient pour mes tristes
enfants
: Et lorsque ma famille est par toi réunie, Quand
malheureux ! vous êtes perdu : vous sentez ce que vous dites ! » Les
enfants
et les jeunes gens sont fort exposés à cet entraî
es professeurs attachent un peu plus d’importance à la façon dont les
enfants
leur récitent les leçons. C’est vraiment une insu
ents se prolongent dans l’ombre ! Quel épouvantable réveil ! Femmes,
enfants
, vieillards, sous le fer tout succombe ; Par un m
dre nos chants, Rends-nous, peuple cruel, nos époux et nos pères, Nos
enfants
et nos frères ; Fais sortir Ilion de ses débris f
bois marchait, faible, et sur une pierre S’asseyait. Trois pasteurs,
enfants
de cette terre, Le suivaient, accourus aux abois
enfait des dieux ; Mais aux clartés du jour ils ont fermé tes yeux. —
Enfants
, car votre voix est enfantine et tendre, Vos disc
Le sort, dit le vieillard, n’est pas toujours de fer. Je vous salue,
enfants
, venus de Jupiter ; Heureux sont les parents qui
ous honorés. Le plus âgé de vous aura vu treize années : À peine, mes
enfants
, vos mères étaient nées, Que j’étais presque vieu
donc point chanté ? Quelques sons de ta voix auraient tout acheté. —
Enfants
! du rossignol la voix pure et légère N’a jamais
merveilles. — Oui, je le veux ; marchons. Mais où m’entraînez-vous ?
Enfants
du vieil aveugle, en quel lieu sommes-nous ? — Si
on, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de mon fils, de mon unique
enfant
! Prends pitié de sa mère aux larmes condamnée, Q
ne-moi sur le flanc. Ah ! j’expire ! ô douleurs ! — Tiens, mon unique
enfant
, mon fils, prends ce breuvage, Sa chaleur te rend
ha pour ainsi dire son activité en projets arbitraires, gigantesques,
enfants
de sa seule pensée, étrangers aux besoins réels d
n, le laboureur et le berger, remplissent, avec leurs femmes et leurs
enfants
, les salles de spectacle ; c’est le seul où ils p
i de la sympathie. Tout à coup, en France, un jeune homme, presque un
enfant
, il avait dix-neuf ans, quitte sa famille, sa fem
icains : « La France est avec vous. » Deux ans après le départ de cet
enfant
perdu qu’on avait voulu rattraper à tout prix, la
ure ? Dois-je encore espérer, ou faut-il que je meure Sans revoir mon
enfant
? Les riches sont heureux, Ils gardent des enfant
ure Sans revoir mon enfant ? Les riches sont heureux, Ils gardent des
enfants
qui leur ferment les yeux ! Les pauvres, délaissé
r mon cœur. Et le soir, en rentrant dans ma pauvre chaumière, Quand l’
enfant
accourait, et me criait : « Mon père ! » Quand il
es bras, Tout mon corps frissonnait, je me disais tout bas : « Pauvre
enfant
, tu seras une bête de somme, « Ton père est un ma
oits que le peuple défend. Bien d’autres, comme nous, ont là-bas leur
enfant
. Celui qui ne sait pas faire de sacrifice, Qu’il
nnée… Lui, peut-être il est mort, sans amis, sans secours, Mon pauvre
enfant
, mon fils !… ma vie et mes amours, Que je portais
Le mépris des valets, notre cœur le surmonte ; C’est pour mon pauvre
enfant
que je buvais la honte ! La honte et les chagrins
où s’incline peut-être La grand’mère tremblante, appelant du regard L’
enfant
qu’il faut bénir, et qui viendra trop tard ! Comb
nouvelle France apparut belle et forte de son unité, et chacun de ses
enfants
s’élança dans la carrière, certain de s’avancer a
e à l’humanité Les rayons disparus de sa divinité ! Réveiller l’homme
enfant
emmaillotté de songes, Des instincts éternels sép
e trace : Et ce pied s’est arrêté là... Il est là… Sous trois pas un
enfant
le mesure. Son ombre ne rend pas même un léger mu
rent que se taire, Car ses deux bras levés présentaient à la terre Un
enfant
nouveau-né ! Quand il eut bien fait voir l’hérit
issée ; Et, pour que le néant ne touche point à lui, C’est assez d’un
enfant
sur sa mère endormi. Comme dans une lampe une fl
iens et moutons, toute la bergerie Ne s’informe plus de son sort. Les
enfants
qui suivaient ses ébats dans la plaine, Les vierg
vous désirez de le porter, avant de l’habiter vous et les princes vos
enfants
. N’y épargnez rien, grande reine : employez-y l’o
morts errent avec les vents, Bretagne ! d’où te vient l’amour de tes
enfants
? Des villes d’Italie, où j’osai, jeune et svelte
l, la promenade au bord de la mer qui voit venir à elle une mère, son
enfant
dans les bras ; les lèvres roses de la petite fil
le rivage de la mer ; nos pensées à nous, en considérant la mère et l’
enfant
qui se sourient, ou l’enfant qui pleure et la mèr
sées à nous, en considérant la mère et l’enfant qui se sourient, ou l’
enfant
qui pleure et la mère qui tâche de l’apaiser avec
oix argentine, les ris, les petites moues pleines d’intelligence d’un
enfant
qui, j’en suis sûr, fait envie à plus d’un ange,
les mœurs. Peignez de leurs couleurs la vieillesse et l’enfance. Cet
enfant
, qui déjà s’exprime avec aisance, Et dont le pied
dans l’art, n’égale la beauté, la pureté, la grâce incomparable de l’
enfant
. Et rien, non, rien dans la religion elle-même, n
n’attire vers Dieu, ne révèle Dieu, comme la foi et la bonne foi de l’
enfant
, comme son cœur, sa voix et son regard ; ce cœur
u sur le monde, rien n’est plus beau que le regard du vieillard sur l’
enfant
, regard si pur, si tendre, si désintéressé, et qu
rnité couronne la vie. Ge serait l’amour sans tache et plein, si de l’
enfant
au père il y avait le retour égal de l’ami à l’am
ami, de l’époux à l’épouse ; mais il n’en est rien. Quand nous étions
enfants
, on nous aimait plus que nous n’aimions, et, deve
tour plus que nous ne sommes aimés. Il ne faut pas s’en plaindre. Vos
enfants
reprennent le chemin que vous avez suivi vous-mêm
pelons la paternité. C’est l’honneur de l’homme de retrouver dans ses
enfants
l’ingratitude qu’il eut pour ses pères et de fini
int l’esprit. Priam et Hécube ne font point d’épigrammes, quand leurs
enfants
sont égorgés dans Troie embrasée. Didon ne soupir
nheur ; voilà mes espérances !… Lorsque de ce palais tu partis, noble
enfant
, Je te voyais de force et de santé brillant !… Po
neille. Projets de Mithridate MITHRIDATE. Approchez, mes
enfants
. Enfin l’heure est venue Qu’il faut que mon secre
fendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes, leurs
enfants
, pourront-ils m’arrêter ? Marchons, et dans s
AULE. Les rois et les sujets sont égaux devant lui : Comme à tous ses
enfants
il vous doit son appui ; Mais ces secours divins
s sa mort… son forfait du moins est avéré. Mais sous son échafaud ses
enfants
dont les larmes… Trois fois contre son maître il
oint ta doctrine ; Encor faut-il du temps avant qu’on l’enracine. Les
enfants
grandiront sans doute et leur raison Portera d’he
ique. — C’est mon nom. J’affirme que je suis Seul autochthone et seul
enfant
de ce pays. Race guerrière et forte ; en toute ci
, âme chaste et tranquille À qui la vie est douce et la vertu facile,
Enfant
qui pour gardiens de votre tendre honneur Avez un
d’air sous vos plombs étouffants, L’ornement du foyer, le respect des
enfants
. Mon pauvre frère, avec les produits de sa charge
us puissions les assassiner dans les bras de leurs femmes et de leurs
enfants
. Eh bien ! ayons recours aux mandats d’arrêt. Dén
vec non moins d’orgueil et non moins de folie, Un élève d’Euterpe, un
enfant
de Thalie, Qui dans ses vers pillés nous répète a
: Patrocles et Teucers, vrais lions, que j’ai peints Pour tailler nos
enfants
sur ces patrons hautains, Et pour qu’au premier s
saine Qu’un poète toujours doit bannir de la scène. Le respect qu’à l’
enfant
doit un instituteur, Le peuple, enfant aussi, l’a
de la scène. Le respect qu’à l’enfant doit un instituteur, Le peuple,
enfant
aussi, l’attend de chaque auteur. Le beau, le vra
he point ailleurs que dans l’Écriture. Ici, c’est Rachel pleurant ses
enfants
sur la montagne, et elle ne veut point être conso
et ceci sera le signe auquel vous le reconnaîtrez : Vous trouverez un
enfant
enveloppé de langes, et posé dans une crèche. » (
leur vieille jeunesse ; Courbés avant le temps, consumés de langueur,
Enfants
efféminés de pères sans vigueur ; Demi-dieux avor
Pulchérie, Agélisas et Suréna, Et sacrifiait sans faiblesse Tous ces
enfants
infortunés, Fruits languissants de sa vieillesse,
mple à la fois, Établit d’Apollon les rigoureuses lois. Il revoit ses
enfants
avec un œil sévère ; De la triste Équivoque il ro
elle. Grâce aux feux de l’été, grâce aux raisins nouveaux, Combien d’
enfants
déjà sont pleurés par leurs mères ! Rome voit tou
ait dîner tous les jours avec un roi en public. On m’a cédé, ma chère
enfant
, en bonne forme, au roi de Prusse. Mon mariage es
en juré que je ne m’en repentirais pas ; il vous a comprise, ma chère
enfant
, dans une espèce de contrat qu’il a signé avec mo
Voltaire. Deux ans après À la même. Je vous envoie, ma chère
enfant
, les deux contrats du duc de Wurtemberg ; c’est u
de même. Ma foi, sire, nous ne le sommes ni l’un ni l’autre. Ma chère
enfant
, je ne me croirai tel que quand je serai avec mes
s que lui-même, et qu’il n’avait nul besoin d’aller à Paris. Ma chère
enfant
, quand je considère un peu en détail tout ce qui
tueux que soit l’opérateur. C’est que, moi, je crois comme les petits
enfants
. J’en ai connu un qui avait un Jésus de cire ; sa
un Jésus de cire ; sa bonne, en touchant à la statuette, la brisa. L’
enfant
se mit à pleurer en disant : Je n’ai plus de bon
autre. Je n’ai plus vu que des bergers, des mages, de pauvres petits
enfants
égorgés et un berceau duquel est sorti une législ
ien ; de l’autre, la patrie vit du concours et du travail de tous ses
enfants
, et dans la mécanique de la société il n’y a poin
u sage. Ainsi le maître habile, à l’aide des bonbons, Fait goûter aux
enfants
ses premières leçons. P. Daru (Trad. d’Horace)
du buveur à la face rougie. Nous devons un respect doux et tendre à l’
enfant
! Oh ! ne méprise pas, la pitié le défend, Cet âg
tout le jour aux fonctions publiques, le soir à l’éducation de leurs
enfants
, partageant la nuit entre l’étude et la prière...
toute leur compassion. » Bossuet. L’Éducation publique L’
enfant
le plus vulgaire reçoit plus de soins intelligent
ation publique bien constituée, dans un collége où rien ne manque, un
enfant
a trente instituteurs et trois cents condisciples
ne pouvait l’être pour son élève. Il y a là plus d’esprit autour de l’
enfant
, j’entends plus d’esprit respirable pour lui, si
lables, croiraient devoir les imiter. » Ce que Franklin adresse à ses
enfants
peut être utile à tout le monde. Sa vie est un mo
cquittée quand ce vieillard, cette pieuse mère de famille, ces petits
enfants
, auront prié pour vous. Voilà pourquoi l’Église a
il ne devait plus rien à l’amour de sa femme et à la jeunesse de ses
enfants
. Quand nous aurions l’honneur de mourir pour notr
nerre de nos toits que dans la prière de cette femme et de ces petits
enfants
qui dorment sur une botte de paille au quatrième
es membres de la tribu, et qu’il a besoin d’avoir à lui sa femme, ses
enfants
, qu’il aime, soigne, protége, sur lesquels se con
les voûtes, et font sauter en l’air, avec vos maisons, vos femmes, l’
enfant
et la nourrice, et c’est là encore où gît la gloi
lent que la vie s’arrête là où s’arrêtent les yeux : semblables à des
enfants
qui, voyant le soleil descendre au-dessous de l’h
ini. Eh bien ! prions ensemble, — abjurons la misère De vos calculs d’
enfant
, de tant de vains travaux. Maintenant que vos cor
ait dire, il me répondit que c’était un secret ; mais il est comme un
enfant
: il ne put pas le garder un quart d’heure. Il re
uand il est joint à un verbe ; alors il signifie à eux, à elles : ces
enfants
ont été sages, je leur donnerai un prix. Leur, s
el, prend une s ; alors il signifie d’eux, d’elles : un père aime ses
enfants
, mais il n’aime pas leurs défauts. 165. — On ne
dans le, la, je, me, te, se, de, ne, que, ce. Le, on dit : l’ami, l’
enfant
, l’instinct, l’oiseau, l’univers, l’honneur, etc.
, l’enfant, l’instinct, l’oiseau, l’univers, l’honneur, etc., pour le
enfant
, etc. La, on dit : l’abeille, l’épée, l’intentio
igion, et forment le projet de s’y établir avec leurs femmes et leurs
enfants
, persuadés que rien ne pourra leur réussir, tant
e nous sommes si loin de nos foyers, séparés de nos épouses et de nos
enfants
par l’immensité des terres et des mers. » Extrai
les plus importantes ; elle donne des inclinations et des aversions d’
enfant
, au préjudice des plus grands intérêts ; elle fai
our vous accoutumer à être privé de cette douceur, comme on sèvre les
enfants
, lorsqu’il est temps de leur ôter le lait pour le
me une fraternité empruntée au courage. Bien souvent, me portant tout
enfant
dans ses bras au milieu de vous, il semblait me r
lle réputation de gloire, pour les autels, pour la religion, pour nos
enfants
, nos épouses, nos parents et nos amis, qui gémiss
ie, son épouse : toutes vêtues de deuil, accompagnées de leurs jeunes
enfants
, les conjurent de sortir de Rome avec elles et de
de sa mère, la tint longtemps embrassée, ainsi que son épouse et ses
enfants
, et ne pouvant plus retenir ses larmes, il les se
e temps ton salut et la victoire de notre pays, quand ta femme et tes
enfants
sont placés dans l’alternative d’être privés ou d
ingué et vertueux de reconnaître) de respecter les bienfaits dont les
enfants
sont comblés par les auteurs de leurs jours ? C’e
et dures, n’est-il pas encore bien plus douloureux de penser que vos
enfants
, vos femmes seront traînés en esclavage et que vo
sur les traces de ton frère, toi qui devais me tenir lieu de tous les
enfants
que j’ai perdus, afin que ma vieillesse fût exemp
robustes, d’une santé florissante, de l’exemption de tous maux ; ses
enfants
font sa joie. Et s’il parvient heureusement au te
vous aurai démontré comment vous pouvez être heureux, et léguer à vos
enfants
la possession à jamais durable de tous les biens,
ssé d’eux un souvenir qui double les regrets. Aussi, la pensée de mes
enfants
m’inspire une haine profonde pour le nom Athénien
ader qu’ils méritent de la compassion ces hommes qui ont massacré ses
enfants
! En vérité, on cesse d’être homme de bien, quand
a-t-il pas dans cette nombreuse assemblée qui pleurent eux aussi des
enfants
ayant succombé dans le cours de cette guerre ! »
oyant grandir, ô mon fils, les mères du Latium refusent de donner des
enfants
à leur patrie ! » C’est ainsi qu’Amilcar excite l
le philosophe (voir Corneille, Cinna). XLIII. Cyrus mourant à ses
enfants
. Dans Xénophon (Cyropédie) Cyrus l’ancien, au
opédie) Cyrus l’ancien, au lit de mort, s’adresse en ces termes à ses
enfants
: « Gardez-vous bien de croire, mes très chers f
ront entièrement détachées des liens du corps. S’il en est ainsi, mes
enfants
, honorez-moi comme un génie immortel ; mais si l’
é ou de l’autre, elle qui se joue des mortels comme s’ils étaient des
enfants
, je suis disposé à des arrangements pacifiques. «
du bien d’autrui, porter partout le glaive et l’incendie, emmener les
enfants
pour en faire des esclaves, voilà ce qu’ils appel
oi, vieillard bien malheureux, j’ai donné le jour à un grand nombre d’
enfants
au sein de la superbe Troie, et je crois qu’il ne
pprocher de mes lèvres la main de celui qui a été le meurtrier de mes
enfants
! » Traduit d’Homère. LXXI. Philoctète. Ne
des nobles et des prélats, il prononça le discours suivant : « Chers
enfants
du Sauveur du monde, vous savez tous, et vous ne
Malheureux époux ! ta valeur te perdra ! et tu n’as pas pitié de ton
enfant
en bas âge, de ton épouse infortunée, qui bientôt
romains, étaient obligés à errer çà et là avec leurs femmes et leurs
enfants
, sans avoir aucun lieu où ils pussent se retirer,
et homme qui défendait les villes de Juda, qui domptait l’orgueil des
enfants
d’Ammon et d’Esaü, qui revenait chargé des dépoui
allions perdre2. O Dieu terrible, mais juste en vos conseils sur les
enfants
des hommes, vous disposez et des vainqueurs et de
gnation, de son courage. Les pères doivent donner bon exemple à leurs
enfants
, mais ils doivent aussi profiter des bons exemple
nt aussi profiter des bons exemples qui viennent quelquefois de leurs
enfants
. La plus grande consolation3 qui vous reste, ce s
ne des principales est sans doute le bonheur d’avoir une femme et des
enfants
qui connaissent et qui aiment la vertu et la soli
. Le chateau de cartes Un bon mari, sa femme, et deux jolis
enfants
, Coulaient en paix leurs jours dans le simple hér
n conte égayait ses discours, La mère par une caresse7. L’aîné de ces
enfants
, né grave, studieux, Lisait et méditait sans cess
distinctes qui s’accordent avec leurs rôles. 2. Heureux temps où des
enfants
lisaient le bon Rollin, aujourd’hui si délaissé d
ollin. 4. Trait charmant de vérité. 5. Pourquoi ? c’est le mot des
enfants
. 6. Il est bien réfléchi, ce bambin. Il promet.
provisoire assez doux, que gouverne un vieillard pour le compte d’un
enfant
, sont celles qui répondent le moins à l’idée qu’o
llin, au plus éclairé et au plus aimable des maîtres. Le respect de l’
enfant
, la sollicitude pour tout ce qui intéresse l’éduc
e, citoyen ou étranger, esclave ou libre, à commencer par ses propres
enfants
, que Périclès eût rendu par ses soins plus sage e
et, seul depuis le commencement des choses, il a passé des pères aux
enfants
, et s’est toujours maintenu sur la terre. O vous
fut à Boulogne-sur-Mer, où il s’était retiré, auprès du second de ses
enfants
, qu’il s’éteignit presque octogénaire le 17 novem
out court pour me considérer ; et, sans paraître fort effrayé : « Mon
enfant
, dit-il, vous êtes bien jeune ; vous faites de bo
me regardai comme un homme qui est en train de s’enrichir. « Oui, mon
enfant
, reprit l’archevêque, dont mon action avait inter
uteur accoutumé à s’entendre louer ! « N’en parlons plus, dit-il, mon
enfant
. Vous êtes encore trop jeune pour démêler le vrai
t, à l’exclusion de tous autres, et sans que cela puisse passer à ses
enfants
, s’il se marie et qu’il en ait116, ni être tiré à
rouvait à son tour des perfidies de la part de ses capitaines, de ses
enfants
et de ses femmes ; enfin, s’il eut affaire à des
e, on ne peut guère louer sur la bravoure le chef d’une nation où les
enfants
entraient en fureur au récit des beaux faits d’ar
pères versaient des larmes parce qu’ils ne pouvaient pas imiter leurs
enfants
. Après sa mort, toutes les nations barbares se re
ille n’y était pas, lui dit Henri, et aujourd’hui qu’il a soin de ses
enfants
, ils prospèrent. » Sa gloire était donc affermie
r que l’homme ait jamais existé sans former des familles, puisque les
enfants
périraient s’ils n’étaient secourus et soignés pe
ier qu’à la faveur de la société ; que l’union des pères et mères aux
enfants
est naturelle, puisqu’elle est nécessaire. Ainsi
auvage vivant dans le désert, mais vivant en famille, connaissant ses
enfants
, connu d’eux, usant de la parole et se faisant en
abandonné à la grossièreté du dernier des valets, ou à la malice des
enfants
, bien loin d’acquérir, ne peut que perdre par son
’erreur de l’Émile est d’arriver à cette singulière conséquence que l’
enfant
le mieux élevé serait celui qui serait le moins é
d’indulgence, tous deux également à éviter. Si vous laissez pâtir les
enfants
, vous exposez leur santé, leur vie, vous les rend
ces mauvais pères auxquels je reprochais de sacrifier le bonheur des
enfants
à la considération d’un temps éloigné qui peut ne
nt celle du froid. De quoi donc vous plaignez-vous ? Rendrai-je votre
enfant
misérable en ne l’exposant qu’aux incommodités qu
ses semblables. Savez-vous quel est le plus sûr moyen de rendre votre
enfant
misérable ? C’est de l’accoutumer à tout obtenir
ce qu’il verra : à moins d’être Dieu, comment le contenterez-vous ? L’
enfant
qui n’a qu’à vouloir pour obtenir se croit le pro
isance, il s’indigne de toute opposition. Comment concevrais-je qu’un
enfant
ainsi dominé par la colère, et dévoré des passion
plus vil des esclaves et la plus misérable des créatures. J’ai vu des
enfants
élevés de cette manière, qui voulaient qu’on renv
se et la domination réunies n’engendrent que folie et misère. De deux
enfants
gâtés, l’un bat la table, et l’autre fait fouette
mande. Son père en est indigné ; il n’épargne pas les mots durs à cet
enfant
dénaturé qui ne connaît plus ni père, ni mère, ni
son visage sont également insolents. Le bon vieillard, qui a aimé ses
enfants
, mais qui n’a jamais souffert qu’aucun d’eux lui
tte esquisse : et la douleur, et même la faiblesse de la mère pour un
enfant
qu’elle a gâté, et la violence du vieillard, et l
iolence du vieillard, et les actions diverses des sœurs et des petits
enfants
, et l’insolence de l’ingrat, et la pudeur du vieu
encore le crucifix qu’elle a fait baiser à son père. Un de ses petits
enfants
, effrayé, s’est caché le visage dans son sein. L’
e frappe le front avec poing. Quelle leçon pour les mères et pour les
enfants
! Ce n’est pas tout : Greuze médite ses accessoir
a dû porter une de ses mains sur ses yeux, et de l’autre montrer à l’
enfant
ingrat le cadavre de son père. On n’en aurait pas
! quelle ordonnance ! quelle prodigieuse variété de scènes ! Ici, un
enfant
échappé du naufrage est porté sur les épaules de
il commence par créer le pays, et qu’il a des hommes, des femmes, des
enfants
en réserve, dont il peuple sa toile comme on peup
atériaux de l’histoire de la nature ; mais il m’en a pris comme à cet
enfant
qui avait creusé un trou dans le sable avec une c
e par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une femme, des
enfants
, des frères, séparés de moi depuis longtemps, et
table où il ne manque qu’une personne, mais je t’avoue, mon très cher
enfant
, que je n’ai nullement été ennuyé de tes ennuis,
partement des affaires internes. C’est là le premier devoir, mon cher
enfant
: car il faut que tu sois son mari pendant que je
ns amis. Ici tout est grand, mais je suis seul ; et, à mesure que mes
enfants
se forment, je sens plus vivement la peine d’en ê
estimer ni des Français ni des ennemis. Qui aurait pu croire que cet
enfant
était Charles le Sage, sauveur de son peuple, et
des cendres de Germanicus ; et déjà l’intègre Providence a livré à un
enfant
obscur la gloire du maître du monde. Bientôt tout
emblables au Deiphobus407 de Virgile. Je pleure encore un joli Hermès
enfant
, que j’avais vu dans son entier, vêtu et encapuch
hommes étaient voisins, et chacun avait une femme et plusieurs petits
enfants
, et son seul travail pour les faire vivre. Et l’u
« Si je meurs ou que je tombe malade, que deviendront ma femme et mes
enfants
? » Et cette pensée ne le quittait point, et elle
veille sur elles, veillera aussi sur moi, et sur ma femme, et sur mes
enfants
. » Et celui-ci vivait tranquille, tandis que le p
auparavant : « car, pensait-il, la mort de la mère, c’est la mort des
enfants
. Les miens n’ont que moi non plus. Que deviendron
re route en paix. « Si je meurs avant vous, vous serez le père de mes
enfants
; si vous mourez avant moi, je serai le père des
es ! Si la Providence nous sépare ici-bas, nous nous désolons comme l’
enfant
à qui un buisson a dérobé la vue de sa mère, et q
Père, et qu’il a préparée dès l’éternité, pour être la demeure de ses
enfants
. Oui, c’est là qu’il se faut retrouver pour y cha
, car ils pourraient un jour vous mettre aussi en pièces, vous et vos
enfants
. Quant à moi, pauvre créature que je suis, n’étai
fini, leur dit-il ; un seul coup va rendre ma femme veuve, mes chers
enfants
orphelins, mes pauvres serviteurs sans maître ; q
généré la science historique. Né à Blois en 1795, il recevait, encore
enfant
, à la lecture des Martyrs de Chateaubriand, comme
u’on essaya. La mortalité, qui était effrayante, frappait surtout les
enfants
et les personnes jeunes. La douleur des pères et
de gracieux : « Nous perdions, dit-il471, nos doux et chers « petits
enfants
, que nous avions réchauffés dans notre sein, « po
ection divine, ses parents se hâtèrent de le présenter au baptême ; l’
enfant
parut se trouver mieux ; mais bientôt son frère,
tour d’elle, et les fixant tantôt sur l’un, tantôt sur l’autre de ses
enfants
, montrait, par son attitude et ses gestes, la viv
endant la maladie mortelle suivait son cours : le plus jeune des deux
enfants
succomba le premier. Ses parents voulurent qu’il
s et traîtres. Ils ont tué sans cause les Danois, hommes, « femmes et
enfants
, dans la nuit de Saint-Brice ; ils ont « décimé l
lables, croiraient devoir les imiter. » Ce que Franklin adresse à ses
enfants
peut être utile à tout le monde. Sa vie est un mo
e bien bas que, pour rajeunir sa veine épuisée, il buvait le sang des
enfants
. Le roi s’obstinait à vouloir vivre. Il avait obt
fie à son aile incomparable ; mais non : elle met aussi son nid, ses
enfants
, à notre portée. Voilà pourquoi elle est devenue
Dans un logis de campagne où mon beau-père faisait l’éducation de ses
enfants
, l’été, il leur tenait la classe dans une serre o
elle, mais d’une affection sincère, qui sache conserver la fermeté. L’
enfant
doit craindre plus que toute autre chose, de fair
et ses maîtres que des dispensateurs de ses plaisirs. La plupart des
enfants
sont nourris dans un affreux égoïsme, par l’affec
our éviter cet écueil ? Comment se faire aimer sans développer dans l’
enfant
l’égoïsme, au lieu du retour cordial ? Au collège
ein de la famille, cette initiation douloureuse manque tout à fait. L’
enfant
n’a point de rivaux ni d’ennemis ; personne ne lu
soie, et qui finit par se croire un petit dieu. Il faut donc punir l’
enfant
quand il fait mal, lui imposer des privations, lu
de l’harmonie, de la mesure, de la perfection539 ; et cette charmante
enfant
de génie, cette muse de la noble maison, si on la
ir trop rationalisé le conte. Mais Perrault, tout en contant pour les
enfants
, sait bien que ces enfants seront demain ou après
e. Mais Perrault, tout en contant pour les enfants, sait bien que ces
enfants
seront demain ou après-demain des rationalistes :
relles et des harmonies qu’il faut savoir respecter. Observons bien l’
enfant
: au sortir des bras de sa nourrice, à deux ou tr
e représente cet âge où l’humanité, encore nouvelle, ressemblait à un
enfant
de trois ans, et où ce n’était, par toutes les pe
ait donc été, lui aussi, l’homme naturel et naïf, l’homme crédule et
enfant
. Qu’il y ait au fond de son imagination un horizo
ez tôt ; assez tôt commencera la critique : qu’elle ne saisisse pas l’
enfant
au sortir du berceau. Je ne demande pas, remarque
de Perrault, encore une fois, me paraît la bonne. C’est celle de cet
enfant
qui dit à sa mère : « N’est-ce pas que ce n’est p
est pas vrai ? mais conte-le moi toujours. » C’est celle de cet autre
enfant
qui attend avec impatience et avec un peu de crai
d’âge mûr qui s’entourent de joujoux, et qui, moins heureux que leurs
enfants
, ne peuvent pas les casser quand ils s’en dégoûte
éclaire la jeunesse, Et fait briller la sagesse Dans les plus faibles
enfants
. Soutiens ma foi chancelante, Dieu puissant ; ins
ADAMISTE. Vous vous êtes toujours rendu si redoutable, Que jamais vos
enfants
, proscrits et malheureux, N’ont pu vous regarder
r le reste. ŒDIPE. Ah ! Madame, achevez… dites… que fîtes-vous De cet
enfant
, l’objet du céleste courroux ? JOCASTE. Je crus l
attribut divin de l’Être tout-puissant, « Il en fait un partage à ses
enfants
qu’il aime. « Nous sommes ses enfants, des ombres
, « Il en fait un partage à ses enfants qu’il aime. « Nous sommes ses
enfants
, des ombres de lui-même. « Il conçut, il voulut,
par degrés leur féroce allégresse. Dans les flancs entr’ouverts d’un
enfant
égorgé, Pour consulter le sort, leur bras s’était
si grand par la victoire, Maintenant puni de sa gloire, Qu’un pauvre
enfant
déjà lassé, Quand le jour est presque effacé, Con
du regard et du fer des tyrans, L’Église encor naissante y cacha ses
enfants
, Jusqu’au jour où, du sein de cette nuit profonde
s. Il se traîne, il n’attend qu’une mort douloureuse ; Il succombe. L’
enfant
, interdite et peureuse, A ce spectre hideux sorti
nne Qui te nomme sa fille et te destine au trône, Souviens-toi, jeune
enfant
, que le Ciel quelquefois Venge les opprimés sur l
ois Venge les opprimés sur la tête des rois. Belle vierge, sans doute
enfant
d’une déesse, Crains de laisser périr l’étranger
x, au devoir rigoureux, Rangent des serviteurs le cortège nombreux. L’
enfant
la voit de loin dans le fond du portique, Court,
tre sombre Entre, cherchant des yeux l’autel hospitalier707. La jeune
enfant
rougit. Il court vers le foyer ; Il embrasse l’au
l’on hait plus que l’enfer Le public ennemi, le riche au cœur de fer,
Enfant
de Némésis, dont le dédain barbare Aux besoins de
bare Aux besoins des mortels ferme son cœur avare. Je rends grâce à l’
enfant
qui t’a conduit ici. Ma fille, c’est bien fait ;
le s’empresse ; On cherche des habits, on réchauffe le bain, La jeune
enfant
s’approche ; il rit, lui tend la main : « Car c’e
le révère. Parlez-nous de lui, grand’mère ; Parlez-nous de lui. — Mes
enfants
, dans ce village, Suivi de rois, il passa. Voilà
les deux points extrêmes de la littérature d’une nation. Les peuples
enfants
, dans l’activité tout extérieure d’une vie social
ds du néant murmurer : Gloire à toi ! « Ni si haut, ni si bas, simple
enfant
de la terre, Mon sort est un problème, et ma fin
mélodieux De plus divins accords n’auraient ravi les cieux ! Courage,
enfant
déchu d’une race divine ! Tu portes sur ton front
. Viens reprendre ton rang dans ta splendeur première, Parmi ces purs
enfants
de gloire et de lumière Que d’un souffle choisi D
ts de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murmure une femme A l’
enfant
qui s’endort. De son pieux espoir son front garda
que, ait rencontré dans Marino Faliero (1829), Louis XI (1832) et les
Enfants
d’Edouard (1833) d’heureuses inspirations et de r
te pur s’est élevé Des semences de leurs paroles774 ; Mais cet arbre,
enfant
des déserts, Qui doit ombrager l’univers, Fleurit
AULE. Les rois et les sujets sont égaux devant lui : Comme à tous ses
enfants
il vous doit son appui ; Mais ces secours divins
s sa mort… son forfait du moins est avéré. Mais sous son échafaud ses
enfants
dont les larmes... Trois fois contre son maître i
s nous sommes conduits comme il fallait, lui dis-je : Adieu donc, mon
enfant
. Elle plongea d’abord sa poupe et puis sa proue,
ine d’or à ce poète de dix-huit ans que Chateaubriand avait appelé un
enfant
sublime. En 1822 parut le premier volume des Odes
soit qu’il exprime les joies et les deuils du foyer, les grâces de l’
enfant
, la mélancolie dans le bonheur ; soit qu’il révei
ces, Reine du monde ! Vois quel beau diadème il attache à ton front !
Enfant
, on me disait que les voix sibyllines Promettaien
ssée A besoin de sommeil, de prière et d’amour ! C’est l’heure où les
enfants
parlent avec les anges, Tandis que nous courons à
es, Tandis que nous courons à nos plaisirs étranges ; Tous les petits
enfants
, les yeux levés au ciel, Mains jointes et pieds n
la nuit solennelle ! Ainsi que l’oiseau met sa tête sous son aile, L’
enfant
dans la prière endort son jeune esprit ! II Ma
dit mon père. Légende des Siècles. Le poète à sa fille. Tout
enfant
, tu dormais près de moi, rose et fraîche Comme un
ns-tu m’étaler ? — « Artiste, une peinture à faire reculer ; Regarde,
enfant
, regarde ! Il est de par le monde Des êtres inon
re seigle, à nous ! C’est le blé destiné Par les saints de la mer aux
enfants
de Kerné ! » Comme le cormoran, perché sur le riv
ombe. Un soir je rencontrai, traversant la prairie, Sulia, svelte
enfant
, compagne de Marie821 ; Une fleur dans sa main br
les filles jetaient sur la fleur un peu d’eau. Cette fleur, Sulia, l’
enfant
grave et fidèle, La tenait sur son cœur quand j’a
vement et plus douloureusement ressenti qu’Alfred de Musset. Vraiment
enfant
du siècle, il en a exprimé les contradictions, bo
ini. Eh bien ! Prions ensemble, — abjurons la misère De vos calculs d’
enfants
, de tant de vains travaux. Maintenant que vos cor
age. Auprès d’elle, attachés à sa voix, à ses yeux, Marchent quelques
enfants
dociles et joyeux, Qu’elle entraîne, à travers le
Tes plus grands citoyens, tes plus grands généraux ! A tes meilleurs
enfants
cité toujours marâtre, Combien sont disparus au f
oint ta doctrine ; Encor faut-il du temps avant qu’on l’enracine. Les
enfants
grandiront, sans doute, et leur raison Portera d’
ouffert le même orage ? Le malheur, — c’est tout simple, — étonne cet
enfant
; Mais l’honneur est vivace et sera triomphant. I
me montrer doux et prudent, que fais-je ? Je le sermonne ainsi qu’un
enfant
au collège ; Le sachant ombrageux, je le blesse d
Roland (acte I, scène ii). La chanteuse (E. Manuel). La pauvre
enfant
, le long des pelouses du bois, Mendiait : elle av
e sentir et de voir ! Enchantement divin, qui sort de toute chose ! L’
enfant
, au renouveau, peut-il gémir longtemps ? Le brin
regardais vivre et l’entendais de loin ; Comme un fardeau que pose un
enfant
qui s’arrête, Elle allégeait son cœur, se croyant
qui ment ! « Tu pleures maintenant ; tu chantais tout à l’heure ! » L’
enfant
leva les yeux et me dit simplement : « C’est pour
867, la Vie intérieure. Le turco (Paul Déroulède). C’était un
enfant
: dix-sept ans à peine, De beaux cheveux blonds e
e mal ni la haine ; Bien aimé de tous, et partout heureux. C’était un
enfant
: dix-sept ans à peine, De beaux cheveux blonds e
pt ans à peine, De beaux cheveux blonds et de grands yeux bleus. Et l’
enfant
avait embrassé sa mère ; Et la mère avait béni so
bleus. Et l’enfant avait embrassé sa mère ; Et la mère avait béni son
enfant
. L’écolier quittait les héros d’Homère : Car on c
nnaissait la défaite amère, Et que l’ennemi marchait triomphant. Et l’
enfant
avait embrassé sa mère ; Et la mère, avait béni s
hant. Et l’enfant avait embrassé sa mère ; Et la mère, avait béni son
enfant
. Elle prit au front son voile de veuve, Et l’acco
rit au front son voile de veuve, Et l’accompagna jusqu’au régiment. L’
enfant
rayonnait sous sa veste neuve ; L’instant de l’ad
t pris mon cœur ! « Tant qu’il est parti, mon âme est absente. » Et l’
enfant
pensait : « Ma mère est vaillante, « Et je suis s
fort. Et le médecin, voyant son œil cave, Lui disait : « Partez, mon
enfant
, c’est grave ! » L’enfant répondait : « Non, non,
nt son œil cave, Lui disait : « Partez, mon enfant, c’est grave ! » L’
enfant
répondait : « Non, non, pas encor ! » Le petit tu
la plaine est immense, Tout ce qui s’approche est bientôt détruit. L’
enfant
est tombé, frappé d’une balle ; Mais un vieux sol
déjà cerné son front pâle ; Ses yeux sans regards sont à demi-clos. L’
enfant
est tombé, frappé d’une balle ; Mais un vieux sol
, cette fois ? « Sommes-nous en France, et sont-ils en fuite ? » Et l’
enfant
, voyant que l’Arabe hésite, Reprit tristement de
s. Veux-tu me conduire ? « O ma chère mère !… » Et dans ce sourire, L’
enfant
s’endormit et ne parla plus. Et le vieux turco ne
défaut des princes du sang, et même chargé de la tutelle de Louis XV
enfant
. Le conseil de régence, dont Saint-Simon raconte
. Voir dans les Essais le chap. xxv du livre I : De l’Institution des
Enfants
. 231. Virgile fait dire à Didon (Enéide, I, 634
aison ; mais comment concilier cette limite imposée à la liberté de l’
enfant
avec le principe de l’Émile ? Il y a là une contr
mit ce livre entre les mains, encore que je ne feusse à peine plus un
enfant
de mamelle. Il m’a esté comme ma conscience et m’
ares : « Pharamond ! Pharamond ! nous avons combattu avec l’épée. » L’
enfant
avait senti combien, sous le pinceau d’un grand p
ières consolations : « Ceux qui par leur âge peuvent encore avoir des
enfants
doivent se soutenir par l’espérance d’une autre p
si s’enfermoit et se faisoit garder, qui estoit ainsi en paour de ses
enfants
et de tous ses prochains parents, qui changeoit e
assent avec un bruit de tonnerre, les torches fumeuses, ces visages d’
enfants
marqués d’une pâleur de sépulcre, le retour enfin
le Parlement, le duc fut décapité aux Halles ; mais l’histoire de ses
enfants
placés sous l’échafaud n’est qu’une légende. Les
t qu’elle semble dire : « Dieu seul peut vouloir que je renonce à cet
enfant
; lui seul peut me le reprendre sans que je murmu
a eu l’heureuse idée de recueillir en un volume in-12, intitulé : Les
Enfants
, toutes les pièces de M. V. Hugo sur l’enfance.
ans ses drames et ses romans, a été, dans notre siècle, le poète de l’
enfant
: aucun sujet ne l’a plus heureusement inspiré. T
ncor ; Jamais vos jeunes pas n’ont touché notre fange ; Tête sacrée !
enfant
aux cheveux blonds ! bel ange A l’auréole d’or !…
nt aux cheveux blonds ! bel ange A l’auréole d’or !… Il est si beau l’
enfant
, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa vo
s et commentés dans la classe sera toujours restreint : il faut que l’
enfant
trouve quelque attrait à poursuivre sa lecture, e
d’admiration. Atteint, jeune encore, par une maladie sans espoir, ses
enfants
, sa femme, qui méritait par mille qualités toucha
t de la forêt ; les mères, fermant leurs cabanes, arrivent avec leurs
enfants
, et les jeunes filles laissent leurs fuseaux, leu
par les larmes de l’assistance. On lui entend souvent répéter : « Mes
enfants
, mes chers enfants ! » et c’est là tout le secret
’assistance. On lui entend souvent répéter : « Mes enfants, mes chers
enfants
! » et c’est là tout le secret de l’éloquence du
nelles demeures : on eût cru voir un de ces sacrifices de paix où les
enfants
d’Aaron offraient au Dieu d’Israël une colombe et
point une victoire qui sera achetée par la vie d’un bon nombre de mes
enfants
. Si j’étais à mon début dans la carrière militair
ns, vos rangs, votre gloire, les biens, les rangs et la gloire de vos
enfants
, n’ont pas de plus grands ennemis que ces princes
tenir, ce qu’un sage demande vainement à quelques amis, un père à ses
enfants
, une épouse à son époux, un frère à son frère, en
tout son royaume, même dans sa famille. Il est vrai, nous aimons nos
enfants
; pourquoi ? Nous obéissons à un instinct de la n
e les bêtes elles-mêmes reconnaissent et remplissent ; mais combien d’
enfants
qui restent insensibles à nos caresses, à tant de
à nos caresses, à tant de soins que nous leurs prodiguons ! combien d’
enfants
ingrats ! Vos enfants, général Bertrand, vous aim
de soins que nous leurs prodiguons ! combien d’enfants ingrats ! Vos
enfants
, général Bertrand, vous aiment-ils ? Vous les aim
que celui des chrétiens pour leur Dieu ! Si vous veniez à mourir, vos
enfants
se souviendraient de vous en dépensant voire fort
, car ils pourraient un jour vous mettre aussi en pièces, vous et vos
enfants
. Quant à moi, pauvre créature que je suis, n’étai
fini, leur dit-il ; un seul coup va rendre ma femme veuve, mes chers
enfants
orphelins, mes pauvres serviteurs sans maître ; q
égénéré la science historique. Né à Blois en 1793, il recevait encore
enfant
, à la lecture des Martyrs de M. de Chateaubriand,
ndaient les braves dans les salles du palais des morts196. Peu de ces
enfants
perdus repassaient le fleuve. Souvent leurs incur
anks ; et ce fut dans une famille sali en ne, celle des Merowings, ou
enfants
de Merowig, que la confédération prit ses rois, l
ement des guerres civiles entre l’empereur Lodewig ou Louis214 et ses
enfants
, guerre où le père et les fils étaient poussés à
res et traîtres. Ils ont tué sans cause les Danois, hommes, femmes et
enfants
, dans la nuit de Saint-Brice ; ils ont décimé les
ntôt il perdit de vue les portes de la ville où sa femme et ses trois
enfants
restaient pour attendre son retour. Le passage de
d’abandonner et de laisser périr, faute de soins et de nourriture, l’
enfant
qu’elle regardait comme une nouvelle cause de dan
u’on essaya. La mortalité, qui était effrayante, frappait surtout les
enfants
et les personnes jeunes. La douleur des pères et
et de gracieux : « Nous perdions, dit-il235, nos doux et chers petits
enfants
que nous avions réchauffés dans notre sein, porté
ection divine, ses parents se hâtèrent de le présenter au baptême ; l’
enfant
parut se trouver mieux, mais bientôt son frère, C
tour d’elle, et les fixant tantôt sur l’un, tantôt sur l’autre de ses
enfants
, montrait, par son attitude et ses gestes, la viv
endant la maladie mortelle suivait son cours ; le plus jeune des deux
enfants
succomba le premier. Ses parents voulurent qu’il
lables, croiraient devoir les imiter. » Ce que Franklin adresse à ses
enfants
peut être utile à tout le monde. Sa vie est un mo
de dévouement, et de consacrer à sa patrie une vie dont un époux, des
enfants
, une famille, ne faisaient ni l’occupation ni le
Macbeth : dans son berceau brûlant Je courus à la flamme arracher mon
enfant
. Parmi les cris, les feux, les poignards homicide
corps tremble, il frissonne. MACBETH. Vaine erreur du sommeil, triste
enfant
de la nuit, Non, je ne te crois point : ma raison
par degrés leur féroce allégresse. Dans les flancs entr’ouverts d’un
enfant
égorgé, Pour consulter le sort, leur bras s’était
si grand par la victoire, Maintenant puni de sa gloire, Qu’un pauvre
enfant
déjà lassé, Quand le jour est presque effacé, Con
s lois austères Dérobent aux humains leurs tourments volontaires, Ces
enfants
de Bruno, ces enfants de Rancé, Qui tous, morts a
nt aux humains leurs tourments volontaires, Ces enfants de Bruno, ces
enfants
de Rancé, Qui tous, morts au présent, expiant le
ns hospitaliers et leur modeste asile, Des hameaux d’alentour femmes,
enfants
, vieillards, Vers ces hôtes sacrés courront de to
ère sortit de cet abîme immense. L’Église encor naissante y cacha ses
enfants
, Jusqu’au jour où, du sein de cette nuit profonde
edevient mère ; elle pense avec terreur aux ennemis qui entourent ses
enfants
: elle n’hésite pas à se présenter encore une foi
re encore. Gardant quelque espérance en mes calamités, J’ose pour mes
enfants
implorer vos bontés. Des hauteurs de Livie ils so
ous-même, à vos destins plus soumise aujourd’hui, Pour vous, pour vos
enfants
, ménagez son appui, Loin de vouloir aigrir par un
ains, en de cruels instants, Sur son lit de douleur rassemblaient ses
enfants
: Il les prenait tous trois dans ses bras héroïqu
igne les caresser. Tendre et fidèle épouse, arme-toi de courage : Nos
enfants
, que tes soins vont sauver du naufrage, Recueilli
blié que Drusus est mon fils ? AGRIPPINE. Non, mais Rome a connu deux
enfants
de Tibère ; Et souvent mon époux vous appelait so
de votre fils voudrait-il la ruine ? Quel mal vous ont-ils fait ? Des
enfants
délaissés. Par le sort infidèle un moment caressé
TIBÈRE. Je connais mon devoir, et respecte ce choix. Des Césars, vos
enfants
, j’affermirai les droits. Donnez-leur vos vertus
e révère. Parlez-nous de lui, grand’mère ; Parlez-nous de lui. — Mes
enfants
, dans ce village. Suivi de rois, il passa. Voilà
les deux points extrêmes de la littérature d’une nation. Les peuples
enfants
, dans l’activité tout extérieure d’une vie social
s du néant murmurer : Gloire à toi ! « Ni si haut, ni si bas, simple
enfant
de la terre, Mon sort est un problème, et ma fin
mélodieux De plus divins accords n’auraient ravi les cieux ! Courage,
enfant
déchu d’une race divine ! Tu portes sur ton front
. Viens reprendre ton rang dans ta splendeur première, Parmi ces purs
enfants
de gloire et de lumière Que d’un souffle choisi D
ts de la mort, Pareils aux chants plaintifs que murmure une femme À l’
enfant
qui s’endort. De son pieux espoir son front gard
sique, a rencontré dans Marino Faliero (1829), Louis XI (1832) et les
Enfants
d’Édouard (1833) d’heureuses inspirations et de r
e pur s’est élevé Des semences de leurs paroles417 ; Mais cet arbre,
enfant
des déserts, Qui doit ombrager l’univers, Fleurit
AULE. Les rois et les sujets sont égaux devant lui ; Comme à tous ses
enfants
il vous doit son appui ; Mais ces secours divins
s sa mort… son forfait du moins est avéré. Mais sous son échafaud ses
enfants
dont les larmes… Trois fois contre son maître il
de dix-huit ans, que M. de Chateaubriand avait publiquement appelé un
enfant
sublime. En 1822 parurent les Odes et ballades, q
sa gloire. Tout Bédouin libre était son hardi compagnon ; Les petits
enfants
, l’œil tourné vers nos rivages, Sur un tambour fr
sée À besoin de sommeil, de prière et d’amour ! C’est l’heure où les
enfants
parlent avec les anges, Tandis que nous courons à
es, Tandis que nous courons à nos plaisirs étranges ; Tous les petits
enfants
, les yeux levés au ciel, Mains jointes et pieds n
la nuit solennelle ! Ainsi que l’oiseau met sa tête sous son aile, L’
enfant
dans la prière endort son jeune esprit442 ! I
De la vieille rouille du corps. Souffrent-elles moins pour se taire ?
Enfant
! regardons sous la terre ! Il faut avoir pitié d
retrouve des pères, Comme l’onde sous l’onde en une mer sans fond !
Enfant
! quand tu t’endors, tu ris ! L’essaim des songes
t de la brise, N’entends-tu pas de souffle et de voix qui te dise : «
Enfant
! quand vous prierez, prierez-vous pas pour moi ?
i, C’est toi, dont la parole chante, C’est toi : ta prière innocente,
Enfant
, peut se charger d’autrui ! Ah ! demande à ce pè
e Il effeuille l’humanité447. Pour ceux que les vices consument, Les
enfants
veillent au saint lieu ; Ce sont des fleurs qui l
oix qui vont à Dieu ! Laissons faire ces voix sublimes, Laissons les
enfants
à genoux. Pécheurs ! nous avons tous nos crimes,
bîmes : L’enfance doit prier pour tous ! VI Comme une aumône,
enfant
, donne donc ta prière À ton père, à ta mère, aux
céan lui-même ! Il est seul ! il est tout ! à jamais ! à la fois ! »
Enfant
, quand tout le jour vous avez en famille, Tes deu
l est bien las ; il faut, pour qu’il sourie, Une âme qui le serve, un
enfant
qui le prie, Un peu d’amour ! Ô toi qui ne sais p
ta jeune âme, Tu verras qu’il est proche, alors, ô mon bonheur, Ô mon
enfant
! sans craindre affront ni raillerie, Verse comme
s de notre âge ont traversé. A. de Musset est le type éclatant de ces
enfants
du siècle ; il exprime toutes leurs contradiction
ini. Eh bien ! prions ensemble, — abjurons la misère De vos calculs d’
enfants
, de tant de vains travaux. Maintenant que vos cor
ouffert le même orage ? Le malheur, — c’est tout simple, — étonne cet
enfant
; Mais l’honneur est vivace et sera triomphant. I
me montrer doux et prudent, que fais-je ? Je le sermonne ainsi qu’un
enfant
au collège ; Le sachant ombrageux, je le blesse d
ernier des Grecs, et le sénat par défiance avait exigé que l’ainé des
enfants
fût, à l’âge de seize ans, envoyé à Rome comme ot
C’était là, on peut le croire, une subite révélation de son avenir. L’
enfant
avait senti combien, sous le pinceau d’un grand p
ières consolations : « Ceux qui par leur âge peuvent encore avoir des
enfants
doivent se soutenir par l’espérance d’une autre p
V. 234. Chilpéric mourut assassiné en 585, laissant pour héritier un
enfant
de quatre mois, que Frédegonde sa mère plaça sous
it hautement l’arrogance de Pison et priait les dieux de protéger les
enfants
de Germanicus et « de les faire survivre à leurs
430. « On mit sous l’échafaud, dans les halles de Paris, les jeunes
enfants
du duc, pour recevoir sur eux le sang de leur pèr
dans ses drames et ses romans, a été dans notre siècle le poète de l’
enfant
: aucun sujet ne l’a plus heureusement inspiré. T
cor ; Jamais vos jeunes pas n’ont touché notre fange ; Tête sacrée !
enfant
aux cheveux blonds ! bel ange À l’auréole d’or !
aux cheveux blonds ! bel ange À l’auréole d’or ! »… Il est si beau l’
enfant
, avec son doux sourire, Sa douce bonne foi, sa vo
l a eu l’heureuse idée de recueillir en un vol. in-12, intitulé : Les
Enfants
, toutes les pièces de M. V. Hugo sur l’enfance :
47. Le ravissant cantique que M. de Lamartine a intitulé l’Hymne de l’
enfant
à son réveil (Harmonies poétiques) présente un ca
rettons de ne pas rencontrer ici. Le poète ne met dans la bouche de l’
enfant
que les sentiments propres à son âge. C’est l’hom
ste. Le mystère de la vie et de la mort n’inquiète pas la raison de l’
enfant
. Pourquoi en demanderait-il à Dieu l’explication
hic crit Scipio qui in exitium Africæ crescit. » Vous croyez voir un
enfant
qui croit et s’élève comme un géant. Enfin il nou
ppelle Voltaire, sont les plus grands ennemis de l’énergie réelle. Un
enfant
touche légèrement un ressort, la machine commence
e, quand Macduff apprend que Macbeth a fait massacrer sa femme et ses
enfants
, et que, se cherchant une vengeance, il s’écrie d
nt une vengeance, il s’écrie dans un morne désespoir : « Il n’a pas d’
enfants
! » Le mot est profond, tragique, terrible, non p
e plus jeune à son camarade, c’est à moi. Toi, tu as une femme et des
enfants
. » Et il se précipite sur le pavé. Réel ou invent
le seul coupable, Mais lui ! de tant d’audace il était incapable, Un
enfant
!.. son seul crime, oh ! j’en jure les dieux ! Fu
on intitulé Émile, J.-J. Rousseau s’indigne qu’on fasse apprendre aux
enfants
les fables de La Fontaine et donne les raisons po
surtout d’enseigner le contraire de la morale. « Suivez, dit-il, les
enfants
apprenant leurs fables et vous verrez que, quand
e Lion est un personnage, comme c’est d’ordinaire le plus brillant, l’
enfant
ne manque point de se faire lion ; et quand il pr
uand le moucheron terrasse le lion, c’est une autre affaire ; alors l’
enfant
n’est plus lion, il est moucheron. Il apprend à t
85.) La Fontaine a-t-il dit juste dans la fable « Le laboureur et ses
enfants
» : « Le père fut sage De leur montrer avant sa
: une grève se déclare. – Rassemblements tumultueux : hommes, femmes,
enfants
. – Discours animés des différents groupes. – Un i
publiques, offrant ainsi aux yeux, avec l’image de leurs plus nobles
enfants
, le témoignage visible de leur respect et de leur
opérée par Malherbe. – Comment Montaigne voulait-il qu’on élevât les
enfants
? – Faire, d’après Montaigne, l’éloge de la poési
chefs d’œuvre il a mis en scène une mère que préoccupe le sort de son
enfant
. Andromaque et Clytemnestre aiment, celle-ci sa f
nsensible à la pitié, « il ne pleure ni ses amis, ni sa femme, ni ses
enfants
». S’enrichir est sa seule étude ; acquérir et ne
ourte durée par un dur labeur qui ne sera pas récompensé, puisque les
enfants
de ceux que vous avez charmés passent indifférent
ait rêvé des destins éclatants ; Tout père volontiers fait cas de ses
enfants
. Plus sage, j’aurais mis tous mes soins à bien vi
nchie et régénérée est digne de reconnaitre tous les peuples pour ses
enfants
? Je ne vais point toutefois jusqu’à vous propose
e et élargit son esprit, Mme de Maintenon emploie toutes ses forces d’
enfant
à lutter contre une persécution religieuse qui fi
à l’âge de son plus grand charme, elle se consacre tout entière à ses
enfants
, renonçant à toute autre joie. A demi ruinée par
Lorsqu’elle a réussi à remettre un peu d’ordre dans l’héritage de ses
enfants
, elle reparaît dans le monde ; mais sa vertu douc
danger. Pendant de longues années, elle ne s’occupe guère que de ses
enfants
, de sa fille, la marie assez tard, et s’en sépare
le de Mme de Maintenon. Tour à tour femme de Scarron, gouvernante des
enfants
de Mme de Montespau, et travaillant sourdement à
l’aima, plus et mieux, je crois, que beaucoup de mères n’aiment leurs
enfants
, moins qu’il n’en était digne, si on le compare à
cation défavorable. Lorsque, par exemple, Mme de Maintenon enlève les
enfants
de son cousin de Villette pour les faire catholiq
martyre ! Elle a brisé mon cœur, et je ne puis maudire La capricieuse
enfant
qui m’a tant fait souffrir ! J’ai fui l’homme, j’
er et apprécier ces paroles de Fénelon : « Il faut rendre raison aux
enfants
de tout ce qu’on leur enseigne. Il faut toujours
er les raisons pour lesquelles il faut lire et apprendre par cœur aux
enfants
les poètes avant toute chose. Quels doivent être
ngénu des beautés littéraires. L’admiration est, dans l’éducation des
enfants
, un élément de premier ordre ; il est bon, il est
scolaire vous est familière. Pas de science livresque. Fréquentez les
enfants
. Étudiez-les. Discernez leurs travers. Trouvez le
t Alentour de l’école. L’École moderne. Gausseron Comment élever nos
enfants
? Que feront nos garçons ? Que faire de nos fille
endues dont on pourra s’inspirer avec profit. H. Durand Le règne de l’
enfant
. Concours de 1880. SESSION D’AOUT Pédagogie
IER Pédagogie. Dans quelle mesure et par quels moyens le travail des
enfants
dans l’école peut-il ou doit-il être rendu attray
-vous de cette maxime de Port-Royal : « Il faut longtemps nourrir les
enfants
d’un même style ? » L’adopteriez-vous et avec qu
gogie et morale – Lettre de J.-J. Rousseau à une mère qui gâte son
enfant
. Exposer, en particulier, quelques-unes des idées
ment tient dans son existence et rôle qu’il joue dans l’éducation des
enfants
. – Si vous aviez à inscrire une maxime sur les mu
quel prix s’achète ce plaisir ? – Comment feriez-vous comprendre à un
enfant
qui, pour s’excuser d’une faute, vous a répondu :
els changements dans le caractère, les manières, les habitudes de son
enfant
elle reconnaît chez elle les effets d’une bonne é
mme ait des clartés de tout » ? – On dit quelquefois, en parlant des
enfants
: « Il faut ployer le bois pendant qu’il est enco
rain a dit : « Il y a pour un instituteur deux sujets à étudier : les
enfants
et lui-même ; deux choses à accomplir : leur éduc
s et précieuses, comme délassement et comme instruction, à de pauvres
enfants
qui ne quittent presque jamais leur étroit quarti
t raconter par écrit les impressions de son petit voyage, etc. – Les
enfants
sont généralement portés à la délation. – Moyens
forme de lettre à une amie, le jugement porté par La Bruyère sur les
enfants
: « Les enfants sont hautains, dédaigneux, colère
à une amie, le jugement porté par La Bruyère sur les enfants : « Les
enfants
sont hautains, dédaigneux, colères, envieux, curi
us. » – Du penchant à l’imitation, considéré particulièrement chez l’
enfant
. Parti qu’on peut en tirer dans l’éducation. Excè
es et naturelles au point de vue du développement des facultés chez l’
enfant
. – Développez cette maxime : « Nos talents sont n
loin de suffire à l’instituteur. Il ne doit pas seulement instruire l’
enfant
, il doit l’élever ; c’est-à-dire dégager sa perso
gent et patient, n’oubliant jamais que le plus sûr moyen d’agir sur l’
enfant
est de se faire aimer de lui ; n’oubliant pas non
ral, chez lui, s’élèvera et s’épurera en quelque sorte. En étudiant l’
enfant
avec attention, il verra en lui tant de faiblesse
-même, afin d’avoir le calme et la dignité naturelle qui imposent à l’
enfant
. Toutes les qualités pédagogiques peuvent donc êt
pourrait encore être formulée ainsi : « Mettre le plus tôt possible l’
enfant
en état de se gouverner lui-même. » Or ce n’est p
n’est point les tremper ! Qu’est-ce à dire, faudrait-il n’imposer à l’
enfant
aucune règle, ne le soumettre à aucune discipline
ien entendue, en effet, fait régner l’ordre et l’harmonie autour de l’
enfant
, et l’amène peu à peu à coopérer à cet ordre et à
er à cet ordre et à le réaliser en lui-même. Grâce à la discipline, l’
enfant
se soumet à une loi ; au lieu de rester livré à t
suivant librement une loi que la raison lui dicte. Or, la raison de l’
enfant
n’est point capable de dicter des lois ; il faut
onc qu’une autre se substitue à la sienne, et lui dicte une loi que l’
enfant
comprenne, accepte, qui ait à ses yeux un caractè
fortifie la volonté, bien loin de l’énerver ou de la briser. Ainsi l’
enfant
est libre tout en obéissant. Il est même aisé de
lui-même, il n’a pas été libre. Mais, pour qu’elle soit comprise de l’
enfant
, pour qu’elle aille jusqu’à sa jeune âme, cette r
violence n’a jamais fait œuvre durable, elle peut imposer l’étude à l’
enfant
, elle ne la lui fait point aimer ni accepter libr
est soumis, non point celui des volontés ; or il ne suffit pas que l’
enfant
agisse, il faut qu’il veuille. – La règle que nou
objectera-t-on, nous ne pouvons pas nous passer de la soumission de l’
enfant
, or c’est la lutte qui trempe la volonté ; c’est
e au caractère de la décision et de la fermeté. Sans doute, mais si l’
enfant
accepte la loi et veut lui obéir, il puise en lui
us la supposons juste et raisonnable), laisse simplement éprouver à l’
enfant
, comme le dit Herbert Spencer, « les réactions pé
xcellent. L’attention particulière dont il est l’objet éveille chez l’
enfant
le sentiment de sa responsabilité, il apprend à s
our exemple l’arithmétique. Lecture : Gausseron. – Comment élever nos
enfants
, ch. iv. Concours de juillet 1881. Pédagog
ans quelle mesure pensez-vous que l’éducation modifie le naturel de l’
enfant
? (Voir Gausseron : Comment élever nos enfants ?
modifie le naturel de l’enfant ? (Voir Gausseron : Comment élever nos
enfants
? chap. IV.) – Quel parti tirerez-vous, dans la p
e charité. – Une mère de famille, qui se charge de l’éducation de ses
enfants
, hésite à leur faire apprendre les fables de La F
et l’utilité de ces petits poèmes qui se gravent dans la mémoire de l’
enfant
, à la faveur d’un style naïf et pittoresque, où s
es deux enseignements, le second n’est peut-être pas encore utile à l’
enfant
, qui un jour trouvera les hommes tels qu’ils sont
Fontaine. Elle lui reproche d’avoir, dit, dans ses fables, du mal des
enfants
. – Vous découvrez qu’une de vos amies se livre à
s qu’elle rend à ses parents. Elle prend de l’autorité sur les autres
enfants
. Elle les soigne et les dirige. Dans quelle mesur
ulement de l’instruction, mais encore, et surtout, de l’éducation des
enfants
qui lui sont confiées. – Exposer l’influence que
ents à employer pour empêcher votre jeune sœur de les commettre. – Un
enfant
est paresseux : Quels moyens emploierez-vous pour
s peines de l’éducation, aucune n’est comparable à celle d’élever des
enfants
qui manquent de sensibilité. » Quelles sont l
DE FÉVRIER Pédagogie. De la volonté. – Étudier cette faculté chez l’
enfant
. Exposer comment et jusqu’à quel point il convien
unesse ? Pédagogie. C’est préparer des citoyens, que d’apprendre aux
enfants
l’histoire et la géographie de leur pays et, par-
l’esprit d’observation ? Quel intérêt y a-t-il à le cultiver chez les
enfants
? Quels sont les moyens les plus propres à le fai
ctacle des choses humaines ». (Augustin Thierry.) Morale. Pourquoi l’
enfant
doit-il obéir à ses parents, l’écolier à son maît
relations qu’il est désirable de voir s’établir entre le père et ses
enfants
, entre le maître et ses élèves ? Concours de 1
ue la pitié ? Montrer l’importance de ce sentiment dans la vie. – Les
enfants
sont-ils capables de l’éprouver ? Que fera l’inst
e d’une part, la société de l’autre, n’aient pas le droit de forcer l’
enfant
à s’instruire. Ce n’est là qu’une apparence. 1er
là qu’une apparence. 1er Paragraphe. – Le père et la mère doivent à l’
enfant
la nourriture intellectuelle nécessaire à l’espri
s les actions. Moyens à employer, à l’école primaire, pour donner aux
enfants
l’habitude de la politesse. – Dans une lettre qu’
ur explique et développe cette pensée de Fénelon : « La curiosité des
enfants
est un penchant de la nature qui va comme au deva
il embrasse. – Expliquer et commenter cette phrase de Plutarque : « L’
enfant
n’est pas un vase à remplir, c’est une âme à form
mmune à quoi l’enseignement qu’on donne à l’école pourra servir à ses
enfants
, destinés à vivre comme lui du travail de leurs b
– Comment entendez-vous cette pensée d’un pédagogue : « Il faut qu’un
enfant
sache qu’on lui pardonnera plutôt vingt fautes qu
l’image de la société. – Montrez en quoi cela est vrai et comment les
enfants
peuvent faire à l’école l’apprentissage de la vie
cke : « L’instruction est la moindre partie de l’éducation : chez les
enfants
dont les dispositions sont moins bonnes, elle ne
ntre d’examen : Nantes.) la vocation. Vous représenterez un groupe d’
enfants
, réunis dans une petite classe et se livrant avec
de la Nature. – Et toi que lis-tu ? dit enfin l’inspecteur à un jeune
enfant
tellement attentif, qu’il ne s’était pas aperçu d
n te donne-t-il du goût pour la marine ? Vous répondrez pour le jeune
enfant
, en développant ses idées. (Centre d’examen : Par
a, il faut, par la pensée, se mettre le plus possible à la place de l’
enfant
, se demander ce qu’à son âge on rêvait quand on l
Les demandes. La réponse… Pourquoi, comment Robinson donne-t-il à un
enfant
du goût pour les choses de la mer ? Parce que :
ote fort inexpérimenté. Sur une observation de Montesquieu, le pauvre
enfant
avoue qu’en effet il avait un autre métier et ne
ontesquieu nie tout et se dérobe brusquement à la reconnaissance de l’
enfant
. CONSEILS ET PLAN La réticence du début n’est pas
a Forèt-Noire, entendit auprès d’un moulin des cris de femme en mal d’
enfant
. Pendant que ses gens allaient aux informations,
euse lui murmura ces paroles à l’oreille : « Il vient de naître là un
enfant
qui sera ton gendre. » L’empereur donna l’ordre d
u-né et de lui apporter son cœur. On lui remit le cœur d’un lièvre. L’
enfant
, épargné par pitié et placé sur un arbre, fut rec
uerroyé contre ses voisins au mépris des lois, et que c’était le même
enfant
dont il avait déjà ordonné la mort autrefois, se
a résistance devient aussi acharnée que l’attaque, malgré la fatigue.
Enfants
et vieillards luttent avec opiniâtreté. Les habit
– On célèbre à l’hôtel Continental, à Paris, la fête de Noël pour les
enfants
d’Alsace-Lorraine. L’arbre de Noël tout illuminé
deuil s’avance et la prend. Après un moment d’hésitation, les autres
enfants
s’avancent pour échanger leurs jouets les plus be
victimes. D’Assas, survivant encore, dit à ceux qui le portaient : «
Enfants
, ce n’est pas moi qui ai crié, c’est Dubois. » L’
l’inspirant aux membres d’une même famille, en unissant les pères aux
enfants
par des liens secrets et puissants. Il n’est poin
gence. Grands de ma cour, voulez-vous mériter une faveur ? Élevez vos
enfants
dans ces connaissances qui ennoblissent la nature
débauches consacrées par une fuisse religion !…. Partout des frères,
enfants
d’un même Dieu, égaux devant lui et dont le premi
ge, tout serait perdu ; ils massacreraient vos mères, vos femmes, vos
enfants
, vos prètres, et planteraient sur nos églises l’é
se présente devant le roi qui s’étonne, et lui dit qu’il n’est qu’un
enfant
. David répond qu’il s’est accoutumé, en gardant l
r reprendre son rang parmi les nations, elle a besoin que ceux de ses
enfants
qui entrent aujourd’hui dans la vie active s’atta
chimère ; l’homme dépend toujours de quelqu’un ou de quelque chose :
enfant
, de ses parents ; homme fait, des lois ; employé,
oisine. – Détails et péripéties de l’accident. – Sa femme et ses deux
enfants
sont arrivés à la première nouvelle de ce malheur
et noble vie, et la Suède est justement fière de le compter parmi ses
enfants
. De Loménie Institut agronomique Cons
qu’ils répandent dans la nature au retour du printemps ; exhorter les
enfants
à ne pas détruire pour le plaisir de détruire et
culture. » Expliquez cette pensée de Voltaire. – Montrer comment les
enfants
de la ville peuvent profiter d’une promenade cham
r patriotique ». – On demandait à un vieux paysan qui vivait chez ses
enfants
auxquels il avait cédé tout son bien comment ils
tout son bien comment ils le traitaient. « Ils me traitent comme leur
enfant
», répondit-il. Appréciez cette réponse d’un père
ciez cette réponse d’un père, et montrez à cette occasion comment les
enfants
doivent entendre et pratiquer leurs devoirs enver
mpagne des jeunes gens instruits et s’efforcent de trouver pour leurs
enfants
les plus intelligents une situation en dehors de
ture. Examinez cette opinion et indiquez-en les conséquences pour les
enfants
, pour les familles et pour la prospérité des camp
s difficiles. – Que pensez-vous de ce jugement de La Fontaine sur les
enfants
qui traitent durement les bêtes : « Cet âge est s
erait la question suivante : « Désirant que mon fils, qui est encore
enfant
, sache un jour parfaitement l’allemand, je suis d
re davantage. Ce sera la langue dans laquelle sera élevé le quart des
enfants
des hommes ! Heureuse l’Angleterre ! elle peut co
1. Sortie enfin de sa torpeur, la France devra essayer d’arracher ses
enfants
à leur rare apathie ; elle leur inculquera l’espr
aque année les naissances l’emportent sur les décès et que cent mille
enfants
accroissent la liste de nos compatriotes. Si, pou
paysan ? Il lutte, il peine, courbé sur la glèbe pour élever de rares
enfants
et pour agrandir de quelques arpents son mince pa
ne craindra plus pour l’avenir de ses rejetons. Que si plus tard nos
enfants
, après avoir agrandi, enrichi et fortifié nos col
es colonies n’affaiblit pas plus la métropole que l’établissement des
enfants
parvenus à l’âge adulte n’appauvrit la famille. E
re et à la liberté, grâce à la France, mère et éducatrice des peuples
enfants
? « Trêve aux chimères et aux songes, s’écrient
guide, si mon méchant corps suivait le mouvement de ma volonté. L’
enfant
Jésus Une étable, une crèche, un bœuf et un ân
ne soyons pas honteux de l’objet de notre adoration : nous adorons un
enfant
; mais cet enfant est plus ancien que le temps. I
eux de l’objet de notre adoration : nous adorons un enfant ; mais cet
enfant
est plus ancien que le temps. Il se trouva à la n
t d’un si grand dessin9 jusqu’à la dernière pièce de sa fabrique. Cet
enfant
fit taire les oracles, avant qu’il commençât à pa
lui qui soit assurée à celui qui la possède. Il pense faire grâce aux
enfants
quand il se contente de vouloir partager avec eux
utant qu’il nous est possible. Ce qui’ fait que la plupart des petits
enfants
plaisent, c’est qu’ils sont encore renfermés dans
un gendre puisse reprocher à ma fille ses parents, et qu’elle ait des
enfants
qui aient honte de m’appeler leur grand’maman. S’
p auprès de la Porte-Saint-Innocent. « Ils ont amassé du bien à leurs
enfants
, qu’ils payent « maintenant peut-être bien cher e
ésir, sa colère, sa crainte pour l’objet qu’il s’est formé, comme les
enfants
qui s’effrayent du visage qu’ils ont barbouillé32
et de vertus que l’étendue d’une épitaphe ne permet d’en écrire. Ses
enfants
, accablés de douleur, ont fait poser cette épitap
nce comme nous, et l’on voit toujours autant d’espace devant soi. Les
enfants
s’imaginent qu’en allant, ils parviendront au bou
certain état, ils ne désireront plus rien ; ils se trompent comme les
enfants
. Le cercle se reculera, ils verront toujours de n
s bien folle de vous écrire de telles bagatelles. Que dites-vous, mon
enfant
, de l’infinité de cette lettre ? si je voulais, j
m’est impossible de me représenter l’état où vous avez été, ma chère
enfant
, sans une extrême émotion ; et, quoique je sache
On ne lui répondit rien476. — « Ah ! mademoiselle, mon fils, mon cher
enfant
, répondez-moi, est-il mort ? — Madame, je n’ai po
en, La vie et la mort 16 mars 1672. Vous me demandez, ma chère
enfant
, si j’aime toujours bien la vie : je vous avoue q
ns résistance, mourir ou vaincre. Les pères qui n’élevaient pas leurs
enfants
dans ces maximes, et comme il fallait pour les re
par rapport à ses fins cachées. L’innocence de cette chère et aimable
enfant
lui a fait trouver dans la mort la félicité étern
nt de pays où il y ait plus d’indiscrétion que celui-ci677. Aimez vos
enfants
, voyez-les souvent : c’est l’occupation la plus h
mit ce livre entre les mains, encore que je ne fusse à peine plus un
enfant
de mamelle. Il m’a été comme ma conscience, et m’
ans leur chaumière716 et dans leur maison, avec leurs femmes et leurs
enfants
, et moi dans ma rue des Maçons avec ma famille717
rai que ce qu’il dépense d’un côté, il l’épargne de l’autre ; car ses
enfants
sont sans maîtres et sans éducation. Il se renfer
e de gens superficiels, vient de l’oubli de cette pratique789. Les
enfants
L’unique soin des enfants est de trouver l’end
de l’oubli de cette pratique789. Les enfants L’unique soin des
enfants
est de trouver l’endroit faible de leurs maîtres7
nt plus. La paresse, l’indolence et l’oisiveté, vices si naturels aux
enfants
, disparaissent dans leurs jeux, où ils sont vifs,
leurs devoirs, mais qu’ils n’oublieront rien pour leurs plaisirs. Aux
enfants
tout paraît grand, les cours, les jardins, les éd
ce qu’ils sont petits. C’est perdre toute confiance dans l’esprit des
enfants
, et leur devenir inutile, que de les punir des fa
monde en souffrira. Il fait peur, il fait pitié ; il pleure comme un
enfant
, il rugit812 comme un lion. Une vapeur maligne et
evers D’un côté, cette médaille qui est fort grande, représente un
enfant
d’une figure très-belle et très-noble ; on voit P
autre lui présente une couronne. Les paroles sont prises d’Horace : «
Enfant
plein de courage, et non déshérité des dieux833.
3. » Le revers est bien différent. Il est manifeste que c’est le même
enfant
; car on reconnaît d’abord le même air de tête ;
igt la queue d’un poisson monstrueux, par où finit le corps de ce bel
enfant
. Au bas, on lit ces paroles qui, comme vous savez
Le soleil n’en pouvait, avec ses rayons, percer la sombre verdure. L’
enfant
de Sémélé, pour étudier la langue des dieux, s’as
cachait un jeune faune, qui prêtait l’oreille aux vers que chantait l’
enfant
, et qui marquait à Silène, par un ris moqueur, to
chère jusqu’au dernier soupir880. Je n’ai garde d’y oublier le pauvre
enfant
que vous avez perdu. Je suis en celui qui nous a
evant d’autres889 qui ont toute la vogue. Au nom de Dieu890, mon cher
enfant
, ne négligez point les choses sans lesquelles vou
t que notre absence n’ait point diminué en toi la présence de Dieu. L’
enfant
ne peut pas téter toujours896, ni même être sans
ttentif à la pensée d’autrui, défiant de la tienne, et petit comme un
enfant
: tout le reste est sottise, enflure et vanité. M
si nous ne voulons pas être dans son sein et entre ses bras comme des
enfants
tendres, simples et dociles ? Comment êtes-vous a
nt en 1717, il composa en six semaines son Petit Carême pour Louis XV
enfant
. Reçu à l’Académie française, il consacra le rest
cette voie, elle s’acquit une familiarité avec eux984 dont aucun des
enfants
du roi, non pas même ses parents, n’avait pu appr
teurs ont pris soin de donner aux pères une grande autorité sur leurs
enfants
. Rien ne soulage plus les magistrats, rien ne dég
mulets, et Colin devait le jour à un brave laboureur. Ces deux jeunes
enfants
s’aimaient beaucoup, et ils avaient ensemble les
le, et il est neveu de cette madame Calendrin que vous avez vue étant
enfant
. Madame sa mère est bien aussi aimable que madame
t, qui ne distingue rien, et qui lui fait souvent dévorer ses propres
enfants
, et déchirer leur mère lorsqu’elle veut les défen
e soutiens, et je ne crains point d’être démenti par l’expérience, un
enfant
qui n’est pas mal né, et qui a conservé jusqu’à v
ils virent sur les quais, leurs amis, leurs pères, leurs mères, leurs
enfants
, qui leur tendaient les bras en pleurant, et qui
e par quelque bonheur extraordinaire et inattendu ; si une femme, des
enfants
, des frères séparés de moi depuis longtemps, et s
ue tu dis : parce que je ne te connais pas. Tu crois peut-être, chère
enfant
, que je prends mon parti sur cette abominable sép
la compassion1500. Un père a sa fille Sans doute, ma très-chère
enfant
, tu as fort bien deviné le sentiment qui empêche
rai que de tes défauts, pour t’humilier. Tu feras fort bien, ma chère
enfant
, de m’écrire de temps en temps ; mais il faut lai
s de te rejoindre, et mon désir est d’y réussir.1502 Adieu, ma chère
enfant
. Joubert 1754-1824 Né en 1754, Joubert tra
s écoliers que de jeunes âmes, et dans les maîtres que des pasteurs d’
enfants
, à qui on indique les eaux pures, les herbes salu
e de savoir, et qu’il raconte avec une grande naïveté : Cet élan d’un
enfant
, cette botte saisie, cette jambe héroïque secouée
espérances généreuses de rénovation sociale firent battre son cœur d’
enfant
. Puis vinrent les malheurs publics et privés, l’a
rmille d’abeilles et d’oiseaux : les essaims et les nids arrêtent les
enfants
à chaque pas. Le myrte et le laurier croissent en
t de la forêt ; les mères, fermant leurs cabanes, arrivent avec leurs
enfants
, et les jeunes filles laissent leurs fuseaux, leu
par les larmes de l’assistance. On lui entend souvent répéter : « Mes
enfants
, mes chers enfants ! » et c’est là tout le secret
’assistance. On lui entend souvent répéter : « Mes enfants, mes chers
enfants
! » et c’est là tout le secret de l’éloquence du
sicien, prolongeaient les plaisirs ; et la maison entière, nourrices,
enfants
, fermiers, domestiques et maîtres, dansaient ense
che ; quelques-uns sont arrachés des bras de leurs femmes ou de leurs
enfants
; mais la plupart nus, dans les rues, ou fuyant d
respectable pour ceux même qu’aucune relation personnelle ne lie à l’
enfant
qui y entre ou au vieillard qui en sort. Que sera
; son frère a constamment besoin d’un appui. L’amour propre chez l’
enfant
L’amour-propre mécontent est très-difficile à
rce de nous aider à nous relever. Quel sentiment veut-on inspirer à l’
enfant
quia mal fait ? Le besoin de faire mieux à l’aven
genoux, rendent grâces à Dieu qui les a sauvés. Du navire sortent des
enfants
, des blessés, des femmes. Couvertes de longues ro
5 A peine cantonnés sur les hauteurs de Zalomgos, avec beaucoup d’
enfants
, de femmes, de vieillards, de malades, les Soulio
e d’un torrent, soixante femmes se sont rassemblées avec leurs petits
enfants
dans leurs bras ; elles regardent l’affreuse mêlé
lée, et, bientôt, saisies de désespoir, chacune d’elles précipite son
enfant
dans l’abîme ; ensuite, se prenant par la main, e
main va toute seule chercher dans une bibliothèque ces livres que les
enfants
savent déjà par cœur : un Boileau, un Corneille,
Rouen ou de Paris, dans son paisible intérieur, entre sa femme et ses
enfants
. Machiavel1743 raconte que le matin, à la campagn
ans vêtements, et couraient çà et là, cherchant un père, un mari, des
enfants
. Les uns attendaient leur sort avec une résignati
tres se livraient à toute la frénésie du désespoir. Les femmes et les
enfants
des soldats étaient venus chercher un refuge dans
enregistrement. Je me dis : Dieu le veut, et je suis tranquille. Cher
enfant
, écoutez ceci : Quand le Christ expirant au somme
que lorsqu’on a mûri soi-même. Ce La Fontaine qu’on donne à lire aux
enfants
ne se goûte jamais si bien qu’après la quarantain
d’âge mûr qui s’entourent de joujoux, et qui, moins heureux que leurs
enfants
, ne peuvent pas les casser quand ils s’en dégoûte
touchant. Saint Bernard est autrement ému quand il dit : « Le voilà
enfant
et sans voix ; et si ses vagissements doivent ins
t déluge, tout est Alexandre, tout est César : elle peut faire par un
enfant
, par un nain, par un eunuque ce qu’elle a fait pa
urage est moral, non physique. 144. Parmi les hommes comme parmi les
enfants
. 145. La célèbre histoire, de la Pie voleuse da
et il ne fera, en vous tuant, que ce qu’il a fait à sa femme et à ses
enfants
, et ce qu’en un besoin il ferait à lui-même. »
xpressive familiarité. 292. Je lis dans la Bruyère : « Il faut aux
enfants
les verges et la férule ; il faut aux hommes fait
se creusent ; mais j’ai beau tourner, j’ai beau chercher, cette chère
enfant
que j’aime avec tant de passion est à deux cents
agne : « 18 septembre 1689. « Vous voulez savoir notre vie, ma chère
enfant
? Hélas ! la voici : Nous nous levons à huit heur
à sa maison, ses parents sont appelés aux plus belles charges, et ses
enfants
sont les héritiers du royaume. Ainsi, après que l
rand esprit. » 596. Comparez ce fragment du sermon de Jocelyn aux
enfants
du village : Ne dites pas, enfants, comme d’autr
fragment du sermon de Jocelyn aux enfants du village : Ne dites pas,
enfants
, comme d’autres ont dit : « Dieu ne me connait pa
sa mesure, « D’un œil pour tous égal- voit toute sa nature !... Chers
enfants
, bénissez, si votre cœur comprend, Cet œil qui vo
cœur, quoiqu’elle soit laide, vieille et dégoûtante. — Eh bien ! mes
enfants
, qu’avez-vous à répondre à cet exemple ? N’est-il
17. En effet, il s’y trouva plus heureux qu’ailleurs, jouant avec ses
enfants
, les instruisant, les redressant, d’une simplicit
fusa, disant qu’il n’avait point vu depuis huit jours sa femme ni ses
enfants
, qui comptaient sur lui pour manger une belle car
: « Jugez vous-même si je puis me dispenser de dîner avec ces pauvres
enfants
qui ont voulu me régaler aujourd’hui, et n’auraie
la procession dans sa chambre, un cierge à la main, à la tête de ses
enfants
, ne passait point pour un prodige ! On pouvait al
Voyez avec quel respect il parle ici de Boileau. Il y avait alors des
enfants
. Il n’y en a plus guère aujourd’hui, dit-on. 730
couche molle. Mais quoy ! je fuyois l’escole, Comme faict le mauvays
enfant
. En escrivant ceste parole A peu que le cœur ne m
ne me fend. 790. Rousseau dit aussi : « Un des premiers soins des
enfants
est de découvrir ! le faible de ceux qui les gouv
l’y endurcissez pas. » (Ess., I, 25.) 792. Respectons l’homme dans l’
enfant
. 793. Il dit ailleurs : Dans cent ans, le monde
i les divertissements, ou les parties de plaisir. 814. Rompre. Cet
enfant
est déjà un maître ; il commande, ses caprices so
Elle a la grâce d’un oiseau. 987. Elle prend des libertés aimables d’
enfant
gâtée, et les traite gentiment eu grands parents.
l trouvait à l’exercer. » Restriction ironique. 995. « Sans femme et
enfants
. » La grammaire voudrait : « Sans femme et sans e
Sans femme et enfants. » La grammaire voudrait : « Sans femme et sans
enfants
, » ou bien « sans femme ni enfants. » Ces détails
re voudrait : « Sans femme et sans enfants, » ou bien « sans femme ni
enfants
. » Ces détails vont ajouter à la vraisemblance du
nt la mère qui nous aime, Faut-il donc un ordre de vous, Quand pour l’
enfant
pieux votre bonté suprême, Rend déjà le devoir si
son nom, et l’illustration de sa maison. Il disait que si l’un de ses
enfants
devenait ministre, ou chancelier, ce serait un em
ez l’exquise et respectueuse politesse de cette lettre adressée à une
enfant
par un sexagénaire illustre. Voltaire a trop d’es
sa glorieuse école ; Il n’est point conquérant, mais il est agricole.
Enfant
, il a sa grâce et ses folâtres jeux ; Jeune, il e
de son père. Joubert a dit : « Il est une classe de la société où les
enfants
pieux ne savent pas que leurs parents sont mortel
e dernier trait n’est pas naturel. 1295. Ardents, comme le sont les
enfants
dont la curiosité est si vive et si facilement am
1296. Une bouture est une branche coupée qui prend racine. 1297. Les
enfants
sont imitateurs et industrieux dans leurs plaisir
nfants sont imitateurs et industrieux dans leurs plaisirs. 1298. Les
enfants
sont aisément la proie d’une idée fixe, tant que
retter ce premier mouvement. 1311. La postérité l’entendra. 1312. L’
enfant
a l’humeur si mobile ! 1313. Dans son enfance, i
usseau devient sentimental et faux. 1355. Comparez le portrait de l’
enfant
dans Horace et Boileau. (Art poétique.) 1356. C
plaire, craignant ce qui peut la blesser. » Il a dit aussi : « Tout
enfant
impie est un enfant méchant ou débauché. » 13
qui peut la blesser. » Il a dit aussi : « Tout enfant impie est un
enfant
méchant ou débauché. » 1359. Victor Hugo dit
es. 1440. Le trait porte. 1441. Il faut avouer que le comte est bon
enfant
. 1442. Des gens payés ou enrôlés pour applaudir
du monument, lui dit : « Eh bien, Henri ! que penses-tu de cela ? » L’
enfant
, toujours préoccupé de la contemplation des hiron
o s’enlève pas, on les met sous verre. 1517. Il compare ce germe à l’
enfant
qui dort dans son berceau. 1518. Voici encore q
son berceau. 1518. Voici encore quelques pensées de Joubert : Tout
enfant
impie est méchant ou débauché. N’estimez que le
ante-douze ans, dans des cachots, où elle vit périr une partie de ses
enfants
, expira dans un lieu obscur, sur un grabat, où se
ski, en 1854. A bord de la Pique, 25 août 1854. « Chère femme, chers
enfants
, « Je m’assois un instant pour vous écrire quel
lon mes désirs. Je souhaite que vous restiez veuve jusqu’à ce que vos
enfants
soient capables de prendre soin d’eux-mêmes. J’es
mieux être Alphonse ou Henri ? 1654. Madame de Lambert a dit : Les
enfants
aiment à être traités en personnes raisonnables ;
6. Toute vérité a ses écueils, aussi ajoutons : « Il faut rendre les
enfants
raisonnables, mais non pas raisonneurs..La premiè
es, morales et philosophiques. Didier, librairie académique. 1724. L’
enfant
lui-même doit s’habituer déjà à regarder attentiv
ses sentiments. 1804. Charron, fils d’un libraire qui eut vingt-cinq
enfants
entra dans les ordres, après avoir été avocat ; u
on entrât dans la société par les lycées, et dans nos maisons par nos
enfants
. » 1841. Cette page est animée par l’accent d’
urtant, comme après un doux rêve. La terre avec amour porte la blonde
enfant
; Des rameaux par la brise agités doucement Le mu
son champ et sa fierté dans l’âme ; Que tout chef d’une race, et tout
enfant
pieux Qui sait sous quel gazon reposent ses aïeux
es naïves…… ……………… C’était près d’elle à qui se ferait écolier ; Tout
enfant
chérissait son toit hospitalier. Plus de grossier
’école, le pasteur évangélique de Valneige. 4. Quand il n’y a plus d’
enfants
, on peut craindre qu’il n’y ait plus d’hommes. 5
e par ces vertueuses mains. Toute leur attention était d’élever leurs
enfants
à la vertu. Ils leur représentaient sans cesse le
eurent bientôt la consolation des pères vertueux, qui est d’avoir des
enfants
qui leur ressemblent. Le jeune peuple qui s’éleva
eurs pères, l’union de leurs frères, l’amour et l’obéissance de leurs
enfants
. Le soir, lorsque les troupeaux quittaient les pr
nt bien disposés à la défense : ils avaient mis leurs femmes et leurs
enfants
au milieu d’eux ; ils furent étonnés de l’injusti
ur : l’un voulait mourir pour son père, un autre pour sa femme et ses
enfants
, celui-ci pour ses frères, celui-là pour ses amis
voix Ait fait un empereur pour m’en imposer trois ? Néron n’est plus
enfant
: n’est-il pas temps qu’il règne ? Jusqu’à quand
s, acte I, sc. 2.) 2° MITHRIDATE, à ses fils. Approchez, mes
enfants
. Enfin l’heure est venue Qu’il faut que mon secre
fendre, Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes, leurs
enfants
, pourront-ils m’arrêter ? Marchons, et dans son s
ieu ! ATHALIE. Dans ce désordre à mes yeux se présente Un jeune
enfant
couvert d’une robe éclatante, Tels qu’on voit des
la même idée ; Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même
enfant
toujours tout prêt à me percer. Lasse enfin des h
: Pendant qu’il me parlait, ô surprise ! ô terreur ! J’ai vu ce même
enfant
dont je suis menacée, Tel qu’un songe effrayant l
e songe et ce rapport, tout me semble effroyable. ATHALIE. Mais cet
enfant
fatal, Abner, vous l’avez vu : Quel est-il ? de q
l’exemple suivant : Dans ce désordre à mes yeux se présente Un jeune
enfant
couvert d’une robe éclatante, Tels qu’on voit des
res. Il est digne, au contraire, des plus nobles d’entre eux. C’est l’
enfant
légitime, ou, du moins, le petit-fils du grand XV
, Ou qu’un souffle ennemi dans sa fleur a séché. 3° Mais si ce même
enfant
, à tes ordres docile, Doit être à tes desseins un
ise Colet, dans un de ses contes, nous en offre un charmant modèle :
Enfants
, ne jouez pas si près de la rivière ; Pour vous m
imable naïveté qui tire son charme de l’ignorance même. La Mère et l’
Enfant
. — Mère, lorsqu’un enfant est mort, Et que, renfe
n charme de l’ignorance même. La Mère et l’Enfant. — Mère, lorsqu’un
enfant
est mort, Et que, renfermé dans la bière, On le t
Oh ! moi, je n’en ai pas envie ; Mère, je ne veux pas mourir ! — Mon
enfant
, tous tant que nous sommes, Nous devons subir cet
re un tableau rempli d’une grâce suave dans son élégie de l’Ange et l’
Enfant
: Un ange au radieux visage, Penché sur le bord
lait contempler son image Comme dans l’onde d’un ruisseau. « Charmant
enfant
qui me ressemble, « Disait-il, oh ! viens avec mo
Qu’il foulait tremblants sous sou char. Il est là… sous trois pas un
enfant
le mesure ! Son ombre ne rend pas même un léger m
tue, verser un torrent de larmes. Rome entière noyée au sang de ses
enfants
. Corneille. On comprend que ces expressions ne
médie de Dante, Ugolin raconte les tourments terribles que lui et ses
enfants
éprouvèrent dans la tour de la Faim : « Tout ce
rmille d’abeilles et d’oiseaux : les essaims et les nids arrêtent les
enfants
à chaque pas. Le myrte et le laurier croissent en
t de la forêt ; les mères, fermant leurs cabanes, arrivent avec leurs
enfants
, et les jeunes filles laissent leurs fuseaux, leu
par les larmes de l’assistance. On lui entend souvent répéter : « Mes
enfants
, mes chers enfants ! » et c’est là tout le secret
’assistance. On lui entend souvent répéter : « Mes enfants, mes chers
enfants
! » et c’est là tout le secret de l’éloquence du
ante-douze ans, dans des cachots, où elle vit périr une partie de ses
enfants
, expira dans un lieu obscur, sur un grabat, où se
nt en 1717, il composa en six semaines son Petit Carème pour Louis XV
enfant
. Reçu à l’Académie française, il consacra le rest
-même le prix de l’éternité : c’est pour nous démêler de la foule des
enfants
d’Adam, au-dessus même des Césars et des rois de
enfaits, pour nos créatures ; nos biens, pour nos proches et pour nos
enfants
; notre crédit et notre faveur, pour nous-mêmes ;
imes. Des parents barbares et inhumains, pour élever un seul de leurs
enfants
plus haut que ses ancêtres, et en faire l’idole d
autres et de les précipiter dans l’abîme : ils arrachent du monde des
enfants
à qui l’autorité seule tient lieu d’attrait et de
. Plût à Dieu qu’en mon sort je ne connusse rien ! Si j’étais quelque
enfant
épargné des tempêtes, Livré dans un désert à la m
ève : les derniers n’ont rien qui dégénère, Rien qui les fasse croire
enfants
d’un autre père. Ce sont des malheureux étouffés
n’était guère, comme Racine lui-même l’a appelée, « qu’un amusement d’
enfants
». Jamais la poésie de Racine n’eut plus d’émotio
e. (Les Plaideurs, acte III, scène I.) Mithridate. Approchez, mes
enfants
. Enfin l’heure est venue Qu’il faut que mon secre
fendre. Tandis que tout s’occupe à me persécuter, Leurs femmes, leurs
enfants
, pourront-ils m’arrêter ? Marchons, et dans son s
udie et fasse tant de choses. Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur les gens
; De toutes amitiés il détache mon âme ; Et je verrais mourir frère,
enfants
, mère et femme, Que je m’en soucierais autant que
aisser espoir de secours ni de vengeance. » Il n’a pas vu le monde en
enfant
ni en optimiste. Cette naïveté dont on a tant par
u de jeunesse entre eux, force vieillards craintifs, Femmes, famille,
enfants
aux cœurs déjà captifs, Ils traversaient la plain
urait épelé des syllabes, Et dans dix ans… — Quel conte à faire à des
enfants
! Interrompit Orcam. C’est bien moi qu’on abuse !
nt de l’intérêt, et créa, le drame sous sa plus agréable forme dans l’
Enfant
prodigue (1786), représenté deux ans après le Pré
Grétry. Le Roi et le Fermier, Rose et Colos, le Déserteur, Félix ou l’
Enfant
trouvé, Aucassin et Nicolette, Richard Cœur-de-li
« Quoi ! votre muse en monstre érige la sagesse ! Vous blâmez ses
enfants
et leur crédit vous blesse ! Je soupçonne, entre
ssent sur leurs têtes. Sans s’arrêter, sans jeter un regard Sur mille
enfants
fuyant de toute part, Le couple affreux d’une ard
umains Dont le nom aux autels remplit nos fastes saints ; Avoir amis,
enfants
, épouse belle et sage, Errer un livre en main de
moutons, toute la bergerie Ne s’informe plus de son sort. Les
enfants
qui suivaient ses ébats dans la plaine, L
ienne littérature morte à jamais, et se croyaient appelés, eux, « les
enfants
de l’époque, les enfants du siècle », à produire
jamais, et se croyaient appelés, eux, « les enfants de l’époque, les
enfants
du siècle », à produire des chefs-d’œuvre en tout
le à grands flots agité, Ces cris confus qu’élève une vaste cité, Des
enfants
de Bruno ne troublent point l’asile ; Le bruit le
nord, Annonçait dans les airs la fête de la mort. Vieillards, femmes,
enfants
accouraient vers le temple : Là préside un mortel
milieu d’eux, Écoute le récit des peines qu’il soulage, Joue avec les
enfants
et goûte le laitage. Un jour, loin de la ville ay
se ; Il voit avec plaisir éclater leur tendresse. « Qu’avez-vous, mes
enfants
? d’où naît votre chagrin ? Ne puis-je le calmer
on, il faudrait bien du temps ! Et comment l’oublier ? Ni nous ni nos
enfants
Nous ne serons ingrats… c’était notre nourrice !
or dans la triste chaumière. Il arrive à la porte : « Ouvrez-moi, mes
enfants
; Ouvrez-moi, c’est Brunon, Brunon que je vous re
ssure, Bon ange !… » En ce moment, de leurs larmes noyés, Père, mère,
enfants
, tous sont tombés à ses pieds. « Levez-vous, mes
l’étude, Et, sous le calme abri de ces ombrages verts, Ma muse encore
enfant
essaya quelques vers. Là, tout est inspirant et t
l’un descriptif, l’autre didactique, la Maison des champs (1809) et l’
Enfant
prodigue (1811). Il continua, non sans distinctio
répide témoin de ce moment suprême, La mère est seule enfin près de l’
enfant
qu’elle aime. Elle s’enferme alors sous les obscu
nt d’où découle une sueur mortelle, Et cet œil qui s’éteint : « Ô mon
enfant
, dit-elle, Si tu vis, je vivrai ; mais si tu meur
n’est qu’en ton secours maintenant que j’espère ; Oui, sur ma pauvre
enfant
j’appelle tes bontés. Ses jours si peu nombreux s
le révère, Parlez-nous de lui, grand’mère, Parlez-nous de lui. — Mes
enfants
, dans ce village, Suivi de rois, il passa. Voilà
rnité Pour délasser d’un tel voyage ? Toujours, etc. Que des
enfants
vifs et joyeux Des miens me retracent l’image ; S
. Vieillards, osez-vous à tout prix M’envier ma longue carrière ? Ces
enfants
à qui je souris, Mon pied balaiera leur poussière
tragédie classique et le drame moderne. Marino Faliero, Louis XI, les
Enfants
d’Édouard, furent écrits pour réaliser ce système
s se plaindre qu’il dégradât la royauté sans élever la nation224. Les
Enfants
d’Édouard, tragédie en trois actes, représentée e
culte pur s’est élevé Des semences de leurs paroles. Mais cet arbre,
enfant
des déserts, Qui doit ombrager l’univers, Fleuri
Paule. Les rois et les sujets sont égaux devant lui. Comme à tous ses
enfants
il vous doit son appui ; Mais ces secours divins
sa mort… Son forfait du moins est avéré ; Mais sous son échafaud ses
enfants
dont les larmes… Trois fois contre son maître il
evait au moindre bruit s’enfuir de cette enceinte. Dans notre toit d’
enfants
presque rien de changé. Le temps, si lent pour no
re paternelle Et nous poussant du geste : « À genoux ! nous dit-elle,
Enfants
! voilà le lit où votre père est mort ! » Puis, t
te porte Se fermait doucement sous la main de ma sœur, J’entendis les
enfants
du nouveau possesseur, Sortant de la maison en jo
la vie. Jamais vocation poétique ne se montra plus précoce. « Encore
enfant
, il balbutiait, dit un peu emphatiquement Lamarti
e, le terrible et le bouffon, le tragique et le comique se coudoient.
Enfant
de ce chaos, Cromwell ne put supporter la scène.
s côtés restreints : les bons chevaliers ouïes tyrans, les pères, les
enfants
, les vieillards ; le poète a été impuissant à rep
le, si l’on n’est pas mis en garde contre une dangereuse séduction. L’
enfant
divin, comme l’appelait alors Chateaubriand, s’an
défend. Viens, je suis la grande nature ! Je suis l’aïeule, et toi l’
enfant
. « Viens, j’ai des fruits d’or, j’ai des roses,
Et peut-être tu souriras ! « Car je voudrais te voir sourire, Pauvre
enfant
si triste et si beau ! Et puis tout bas j’irai le
Et puis tout bas j’irai le dire À ta mère dans son tombeau ! » Et l’
enfant
, à cette voix tendre, De la vie oubliant le poids
! je l’avais si jeune encore Vue apparaître en mon destin ! C’était l’
enfant
de mon aurore, Et mon étoile du matin ! Quand la
chauffant ! — Lorsqu’elle était petite encore, Que sa sœur était tout
enfant
! Connaissez-vous, sur la colline Qui joint Mont
Tout chantait sous ces frais berceaux, Ma famille avec la nature, Mes
enfants
avec les oiseaux ! — Je toussais, on devenait b
it à petits pas, Et me disait d’un air très grave : « J’ai laissé les
enfants
en bas. » Qu’elle fût bien ou mal coiffée, Que m
it la forme d’une larme : C’était un front de vierge avec des mains d’
enfant
; Il ressemblait au lis que sa blancheur défend.
La Conscience. (La Légende des siècles, II.) Lorsqu’avec ses
enfants
vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au mili
avec des poids de plomb, « Vous ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’
enfant
blond, La fille de ses fils, douce comme l’aurore
illait, ses frères, dans la plaine, Chassaient les fils d’Énos et les
enfants
de Seth ; Et l’on crevait les yeux à quiconque pa
du grave travail, la veille interrompu, Détournant le regard comme un
enfant
repu, Caresse avec transport sa belle fantaisie,
ne ; Ne pas quitter sa mère et passer à l’époux Qui vous avait tenue,
enfant
, sur ses genoux ; Aux yeux des grands-parents éle
pur, dans l’ombre s’échauffant, Aime ardemment un père, un époux, un
enfant
, Une tante, une sœur, foule simple et bénie, Qui
te, Se prit aux longs discours que feu ma bonne tante Me tenait, tout
enfant
, durant nos soirs d’hiver De ma ville natale, à B
ut le voisinage ; La rivière coulait à cent pas près du seuil ; Douze
enfants
(tous sont morts !) entouraient le fauteuil ; Et
le supplie, Ne nous fait jamais-faute, et qui jamais n’oublie. L’
Enfant
et la Grappe de raisin. (Pensées d’août.) L’e
’oublie. L’Enfant et la Grappe de raisin. (Pensées d’août.) L’
enfant
, ayant aperçu À l’insu De sa mère à pei
t au premier rameau De l’ormeau, Une grappe mûrissante ; L’
enfant
à trois ans venu Fort et nu, Qui jouait
eille ! La grappe est un peu trop haut, Donc il faut Que l’
enfant
hausse sa lèvre ; Sa lèvre au fruit déjà, prend.
nt qu’on dit Qui mordit, Proche d’Orphée, Eurydice. Pauvre
enfant
! Son pied levé L’a sauvé ; Rien ne l’a
n torrent sans digue, Dans une éternelle fatigue, Sous les pieds de l’
enfant
prodigue Roule la pierre d’Ixion. L’une est borné
Bien des choses auront vécu Quand nos
enfants
liront encore Ce que le bonhomme
de sa perversité Avec tant d’énergie et tant de vérité Que les petits
enfants
qui, le jour, dans Ravenne, Te voyaient traverser
s prix d’honneur !… C’est, je crois, un plus grand bonheur D’être un
enfant
aimant et tendre. Lorsqu’on a fait tout son devoi
clame. Je suis poète, Dieu merci ! Et j’ai pour principal souci, Mes
enfants
, de vous faire une âme. Avant de savoir l’alleman
grêle fumée au-dessus, dans un champ, Une femme de loin appelant son
enfant
; Ou bien un jeune pâtre assis près de sa vache,
onter pareils à des fantômes ; Mais tous ayant sur mer des pères, des
enfants
, Ils voulurent toucher et voir ces arrivants. Les
Que Vannes vit paraître armés sous les halliers, Pour combattre, eux
enfants
, mais aux cœurs déjà graves, Celui qui revenait s
Les Bleus viennent, l’on tire ! À travers la fumée Un jeune homme, un
enfant
, au bout de son fusil Tombe !… Hélas ! de sa main
omme, un enfant, au bout de son fusil Tombe !… Hélas ! de sa main cet
enfant
périt-il ? Le premier jour d’été, quand le monde
uit Dans une étrange hôtellerie. À la plus vieille chambre un
enfant
m’a conduit, De galerie en galerie. Je m
es Stances sur la soumission que l’on doit à Dieu. 90. Leurs tendres
enfants
: c’est le dulcia pignora des poètes latins. 91.
ns, s’il n’y était contraint par la nécessité. En effet, il avait des
enfants
d’une fille d’Ap. Claudius, et il avait marié sa
ait combien une mère de famille a de part à la bonne éducation de ses
enfants
, même des garçons ; combien une femme prudente et
issez-vous, pliez-vous, appetissez-vous pour vous proportionner à ces
enfants
; ne regardez ni avec dégoût ni avec dédain leurs
le plus simple est le meilleur pour vous, il faut vous y soumettre en
enfant
. Comment porterez-vous votre croix, si un accent
e, et la France autant que le monde ! Rien ne m’est plus cher que mes
enfants
de Saint-Cyr. J’en aime tout, jusqu’à la poussièr
n dit vous, au lieu de tu, au singulier. Par exemple, en parlant à un
enfant
: vous êtes bien aimable. Pronom de la troisi
dent en genre, en nombre et en personne : ainsi, dans cet exemple : l’
enfant
qui joue, qui est du singulier et de la troisième
i joue, qui est du singulier et de la troisième personne, parce que l’
enfant
est du singulier et de la troisième personne ; il
ral Foy. Un concours immense de citoyens accompagna son cercueil. Ses
enfants
furent dotés par une souscription nationale. 1.
in, Égarer d’un pas incertain, Nos poétiques rêveries. 3. Loin des
enfants
ravisseurs qui dénichent les petits des oiseaux.
ans cesse près de son cœur, comme pour le réchauffer, sa famille, son
enfant
, ses frères, quelques amis. Il avait le goût char
s Confrères de la Passion, les Clercs de la Basoche et la Société des
Enfants
sans souci. Tel était l’inventaire du Moyen Âge :
nçaise a fait avec lui un mariage de raison, qui, à côté de plus d’un
enfant
prodigue et aventureux, a donné aux règnes de Hen
sois quelques nottes De chant rustique, et dessoubz les ormeaux Quasy
enfant
sonnois des chalumeaux. Si ne sçaurois bien dire,
qu’une fois, sur la fin de sa vie, et le reprit habilement. Le vieil
enfant
gâté de la cour de François Ier décocha quelques-
tan, L’ange. ABRAHAM. Voila mon filz Isac qui se pourmeine. O povre
enfant
, o nous povres humains Cachans souvent la mort de
disputant de Dieu qu’on ne sçauroit comprendre, Tant s’en faut qu’un
enfant
ses secrets puisse entendre. J’ay l’esprit tout g
Jean Vauquelin, nè à la Fresnaie-au-Sauvage, près de Falaise, fut un
enfant
de cette verte et grasse Normandie, qui, aux xvie
par lui-même. À son livre389 ……………………………………………… Va donc, va, mon
enfant
, va-t-en à l’aventure, Puisque de mon conseil obs
a d’Aubigné (voir sa notice dans nos Prosateurs), où nous trouvons un
enfant
condamné à mort à dix ans, un élève de Théodore d
omme audacieux Par son malheur s’honore et se rend glorieux. Le jeune
enfant
Icare en sert de témoignage, Car si volant au cie
ction de son oncle Desportes lui était assurée, tonsuré à neuf ans, l’
enfant
commença par chansonner les habitués du Jeu de pa
uré Voulut que s’accomplist ceste avanture mienne, Que me dist, jeune
enfant
, une Bohemienne : « Ny la peste, la faim, la grav
ine, le familier et le « fablier » de Mme de la Sablière, l’hôte et l’
enfant
, en ses jours de vieillesse, de Mr et de Mme d’He
hysionomie, une voix et un accent. Il est la nature même. Il charme l’
enfant
, il fait réfléchir l’homme. Si Horace est le livr
ils, frère, oncle, cousin, beau-frère de greffiers, était le onzième
enfant
de Gilles Boileau. Son frère Gilles, l’avocat, en
es à Richelieu et à Anne d’Autriche, amusa par ses comédies Louis XIV
enfant
, et le sévère Boileau lui-même par son Énéide tra
ue nous citons a sauvé l’auteur de l’oubli. Jean Segrais (1624-1701),
enfant
de Caen comme Bertaut, Malherbe, Sarrazin, Huet,
ses essais manqués de comédie. Imitateur tardif de La Chaussée dans l’
Enfant
Prodigue et Nanine, il ne réussit pas davantage.
édiens italiens venus sous Henri III, et ceux qui amusaient Louis XIV
enfant
, improvisaient de légers canevas comiques. Leur s
qui, fidèle à son guide, Marque quatre heures et trois quarts. « Mon
enfant
, dit-il à l’horloge, Va-t’en te faire remonter. T
face de Catilina, tragédie, 1752.) À M. Arnaud1110 Mon cher
enfant
, tous les rois sont loués Lorsque l’on parle à le
suis peu fait à ces manières-là. LISIMON Oh bien ! tu t’y feras, mon
enfant
. Sur les tiennes, À mon âge, crois-tu que je form
par degrés leur féroce allégresse. Dans les flancs entr’ouverts d’un
enfant
égorgé, Pour consulter le sort, leur bras s’étoit
, qu’il a failli illustrer au même titre que d’Urfé le Lignon, était,
enfant
, fort goûté de son grand-oncle Voltaire qui l’app
uement Que Corneille parfois pourroit plaire un moment1159. J’ai vu l’
enfant
gâté de nos penseurs sublimes, La Harpe, dans Rou
nd des abîmes. (Ibid., XLVII, t. 1.) V Oh ! que ne suis-je
enfant
de ce lac enchanté Où trois pâtres héros ont à la
bois marchait, faible, et sur une pierre S’asseyait. Trois pasteurs,
enfants
de cette terre, Le suivaient, accourus aux abois
t des dieux ; « Mais aux clartés du jour ils ont fermé tes yeux. « —
Enfants
, car votre voix est enfantine et tendre, « Vos di
e sort, dit le vieillard, n’est pas toujours de fer. « Je vous salue,
enfants
venus de Jupiter. « Heureux sont les parents qui
honorés. « Le plus âgé de vous aura vu treize années : « À peine, mes
enfants
, vos mères étaient nées, « Que j’étais presque vi
point chanté ? « Quelques sons de ta voix auraient tout acheté. « —
Enfants
, du rossignol la voix pure et légère « N’a jamais
veilles. « — Oui, je le veux, marchons. Mais où m’entraînez-vous ? «
Enfants
du vieil aveugle, en quel lieu sortîmes-nous ? «
seuls et souffrants, Jeunes gens emportés aux yeux de leurs parents,
Enfants
dont au berceau la vie est terminée, Vierges dont
u vin, La nuit où son ami reçut à son festin Le peuple monstrueux des
enfants
de la nue, Fut contraint d’arracher l’épouse demi
en images hardies, Déployait le tissu des saintes mélodies. Les trois
enfants
, émus à son auguste aspect, Admiraient, d’un rega
llines. Et, partout accourus, dansant sur son chemin, Hommes, femmes,
enfants
, les rameaux à la main, Et vierges et guerriers,
e était inconnu ; V. Hugo avait déjà été proclamé par Chateaubriand «
enfant
sublime », mais ses essais dispersés n’avaient pa
e d’Hernani, le coloriste du romantisme ; A. de Musset (1810-1857). l’
enfant
terrible du romantisme, à vingt ans, comme le che
me, à vingt ans, comme le chef de l’école en avait été, à quinze, « l’
enfant
sublime », et qui en devint bientôt une des gloir
témoins les tragédies de sa « seconde manière », Louis XI (1832), les
Enfants
d’Édouard (1833) ; et avait presque conquis la pl
avili qu’on appelle sénat. Ô lâches descendans de Dèce et de Camille,
Enfants
de Quintius, postérité d’Émile, Esclaves accablés
et de vulgarité. Mais dans ses chansons nationales (le Cinq mai, les
Enfants
de la France), militaires (le Vieux Sergent, le V
…… Il est encor des martyrs à chanter ! (Le Malade.) Honneur aux
enfants
de la France ! (Les Enfants de la France) que
(Les deux Cousins) Le début de l’Orage est souriant, le début des
Enfants
de la France est vibrant : Reine du monde, ô Fra
avait écrit dans une lettre à Lamennais : « Je crois comme les petits
enfants
, et je suis tente de crier au génie : Croyez et f
révère. Parlez-nous de lui, grand’mère ; Parlez-nous de lui1296. Mes
enfants
, dans ce village, Suivi de rois, il passa. Voilà
e tait rendormi… Tous les bruits du matin commencent, et la mère, Son
enfant
dans les bras, entr’ouvre sa chaumière1308… (Ib
s sujets empruntés à Byron (Marino Faliero, 1829), à Shakespeare (les
Enfants
d’Édouard, 1833), sans compter la Fille du Cid (1
roche, son contemporain et son ami, auteur d’un célèbre tableau des «
Enfants
d’Édouard », auquel il a dédié le drame désigné s
; Pour rendre la glèbe féconde, De sueur il faut l’amollir ! L’homme,
enfant
et fruit de la terre, Ouvre les flancs de cette m
es flancs de cette mère Où germent les fruits et les fleurs ; Comme l’
enfant
mord la mamelle, Pour que le lait monte et ruisse
uspendues, Les sons entrecoupés du nocturne angélus, Que le père et l’
enfant
écoutent les fronts nus, Et le sourd ronflement d
rent que se taire, Car ses deux bras levés présentaient à la terre Un
enfant
nouveau-né ! Au souffle de l’enfant, dôme des In
levés présentaient à la terre Un enfant nouveau-né ! Au souffle de l’
enfant
, dôme des Invalides, Les drapeaux prisonniers sou
, jusqu’alors croisés sur sa poitrine, S’étaient enfin ouverts ! Et l’
enfant
, soutenu dans sa main paternelle, Inondé des écla
s pas demain à l’Éternel ! III Ô revers ! ô leçon ! — Quand l’
enfant
de cet homme Eut reçu pour hochet la couronne de
Quand tout fut préparé par les mains paternelles, Pour doter l’humble
enfant
de splendeurs éternelles ; Lorsqu’on eut de sa vi
que de sa lèvre il eût touché la coupe, Un Cosaque survint qui prit l’
enfant
en croupe Et l’emporta tout effaré1351 ! IV
eux choses lui restaient dans sa cage inféconde1353, Le portrait d’un
enfant
et la carte du monde, Tout son génie et tout son
blés ; Non, ce qui l’occupait, c’est l’ombre blonde et rose D’un bel
enfant
qui dort la bouche demi-close, Gracieux comme l’O
dégonflait à l’aise, Il pleurait, d’amour éperdu… — Sois béni, pauvre
enfant
, tête aujourd’hui glacée, Seul être qui pouvais d
ossuaire, Dix ans vous ont suffi pour filer le suaire Du père et de l’
enfant
! Gloire, jeunesse, orgueil, biens que la tombe
Feuilles d’automne, XXXVIII.) La conscience Lorsque avec ses
enfants
vêtus de peaux de bêtes, Échevelé, livide au mili
avec des poids de plomb : « Vous ne voyez plus rien ? » dit Tsilla, l’
enfant
blond, La fille de ses fils, douce comme l’aurore
t la vaste enceinte, Pressés au large pied de la montagne sainte, Les
enfants
d’Israël s’agitaient au vallon Comme les blés épa
e du monde. (Ibid., II.) Le Highlander1374 Quelquefois un
enfant
de la Clyde écumeuse En bondissant parcourt sa mo
glaciers aux vallées, Tels se sont élancés, au signal du combat, Les
enfants
du Tyrol et du Palatinat. Maintenant l’empereur a
eur du cerf timide ; Remonte, fils du Rhin, compagnon intrépide ; Tes
enfants
sur ton cœur vont venir se presser. Sors de ta lo
uche, et ses grands yeux s’éteignent, Et le pâle désert roule sur son
enfant
Les flots silencieux de son linceul mouvant. (P
ouver à tâtons les murs de la chaumière, L’aïeule au coin du feu, les
enfants
au berceau1405. (Poésies nouvelles. Une bonne f
fice, Fatigué de mourir dans un trop long supplice, Il craint que ses
enfants
ne le laissent vivant ; Alors, il se soulève, ouv
eu qui t’a frappé ? Le coup dont tu te plains t’a préservé peut-être,
Enfant
; car c’est par là que ton cœur s’est ouvert. L’h
prédit, et j’en suis convaincu, Bien des choses auront vécu Quand nos
enfants
liront encore Ce que le bonhomme a conté1418, Fle
’Olympio » de Victor Hugo. Le pot de fleurs. Sonnet Parfois un
enfant
trouve une petite graine, Et tout d’abord, charmé
ed chevelu plonge, Tant qu’il fasse éclater le ventre du vaisseau. L’
enfant
revient ; surpris, il voit la plante grasse Sur l
vant nos attentats, Tu remontes aux cieux et tu livres la terre À des
enfants
ingrats et plus forts que leur mère, Ô nourrice p
nds-moi, Et laisse-moi vers Dieu retourner avec toi. LA NATURE. Ô mon
enfant
chéri ! toi qui m’aimes encore, Et devines en moi
es, Écorche son beau sein du fer de leurs machines ?… Toujours, ô mon
enfant
! toujours les vents sauvages De leurs pieds vaga
e grêle fumée au-dessus, dans un champ Une femme de loin appelant son
enfant
, Ou bien un jeune pâtre assis près de sa vache Qu
t des bosquets de buis, Où le gibier craintif trouve de sûrs réduits.
Enfant
, j’ai traversé plus d’un fleuve à la nage, Ravi s
oule, Mes songes les plus frais m’inondèrent en foule ! Je me croyais
enfant
, heureux comme autrefois, Et, malgré moi, mes ple
uil ; Un seul prêtre en priant conduisit le cercueil ; Puis venait un
enfant
qui, d’espace en espace, Aux saintes oraisons rép
u n’as point ta pareille1457 ! Ainsi tout s’animait : hommes, femmes,
enfants
, Sortaient de leur village et s’en allaient aux c
morts errent avec les vents, Bretagne ! d’où te vient l’amour de tes
enfants
? Des villes d’Italie, où j’osai, jeune et svelte
te verrait passer morte… Hélas ! si j’avais su !… Je t’aurais fait,
enfant
, l’existence bien douce ; Sous chacun de tes pas
noirs de mûres, Et dans son lit de fleurs ses bonds et ses murmures.
Enfant
, j’ai bien souvent, à l’ombre des buissons, Dans
e À toutes mes douleurs jetait ce mot : « Espère ! Espère et chante l’
enfant
, dont le berceau trembla. Plus de frayeur : Camil
d de Byron entendait dire aux esprits des Alpes : « Que nous veux-tu,
enfant
de boue ? » Il leur entend dire : « Viens à nous,
ous veux-tu, enfant de boue ? » Il leur entend dire : « Viens à nous,
enfant
de Dieu. » Les critiques que rencontra cette fra
che ! À ce labeur de mort quel Dieu m’a condamné ? Sur tes plus beaux
enfants
j’ai frappé sans relâche, Et je t’aime pourtant,
dans la mousse et l’écorce ; J’ai, dans un nid pareil, vu dormir mes
enfants
; Et, comme moi jadis, fiers de leur jeune force,
mer les [champs ! Quel noir démon t’invite à ces pensers1479 moroses,
Enfant
? Et tu n’as vu que la saison des roses ! La neig
n plus noble sang, un plus vaillant esprit À l’aïeul qui le sème, aux
enfants
qu’il nourrit1484 ! (Idylles héroïques. — Herma
leurs corps pour les garder à Dieu1488. (Ibid.) Le poète à ses
enfants
On s’instruit dans les champs rien qu’à se la
» de la Mer, en 1835, enrichi depuis et devenu les Poèmes de la Mer.
Enfant
de Marseille, il a d’abord vu et chanté les horiz
le, il a d’abord vu et chanté les horizons et la vie maritimes ; mais
enfant
d’un siècle littéraire qui a. la passion de la na
lle, son séjour et son centre, reçoit vite les échos d’Alger. Autran,
enfant
de la Révolution, aime à voir le soldat dans le p
cord, Un murmure douteux, qui meurt ou se prolonge, Comme un soupir d’
enfant
qui dort et parle en songe. Silence de la mer, so
us sa voile : Il chante, car sa pêche est féconde, ce soir. Quand ses
enfants
, au bord, viendront le recevoir, Répandant à leur
les Girondins, Danton. DANTON1507. … La République est un robuste
enfant
, Messieurs ; elle est venue au monde en triomphan
ais de préserver son « troupeau » des « loucerves », c’est-à-dire ses
enfants
, des créanciers, Et luy du froid, car l’yver qui
’autre planté sur une coquille ne mer, conduisant d’une main un petit
enfant
portant des ailes sur le dos. Entre ces colonnes
irtus, puissance. 369. Sous les sens lourds des hommes. 370. Petits
enfants
. La Fontaine a employé ce mot, inusité aujourd’hu
ix pièces, épîtres bien plutôt que satires, adressées à chacun de ses
enfants
: Jerôme, François, Nicolas (depuis Des Yveteaux)
L’Eglise célèbre le 28 décembre la fêle des Innocents, en mémoire des
enfants
qu’Hérode fit périr l’année de la naissance de Jé
ante, des accents paternels d’une touchante naïveté pour les derniers
enfants
de sa plume : ils sont comme attendris par un ton
or Hugo, Le Génie, à M. de Chateaubriand (Odes, IV, 6) : Malheur à l’
enfant
de la terre Qui, dans ce monde injuste et vain, P
gination, chant IV), il s’amuse à décrire les ricochets qu’il faisait
enfant
, et les palais « dessinés sur l’arène » que « Zép
s des mamelles de la chèvre Amalthée, qui, après avoir nourri Jupiter
enfant
, fut mise au rang des astres. — Le télescope la r
’appartient sur la terre, Je n’eus pas même de berceau, Et je suis un
enfant
trouvé sur une pierre Devant l’église du hameau.
es parents exilée, De leurs embrassements j’ignore la douceur, Et les
enfants
de la vallée Ne m’appellent jamais leur sœur. Je
l’empereur triomphant visite par des rois, le père au baptême de son
enfant
, l’empereur vaincu défendant le sol de la patrie.
ne autre figure sinistre, celle de Glocester, oncle et assassin des «
Enfants
d’Edouard » ; ambitieux sanguinaire, mélange d’as
vec une conviction réfléchie, dans la voie de l’école romantique. Les
Enfants
d’Édouard en marquent un second. Un rapprochement
cisse : J’aimois jusqu’à ses pleurs que je faisois couler. Dans les
Enfants
d’Édouard (I, 5), Glocester dit, en parlant de la
nité, de sa reconnaissance, de ses joies, de ses douleurs (Hymne de l’
enfant
à son réveil ; hymne de l’humanité dans Jehovah ;
cueils poétiques, il inscrive une date, une heure de sa propre vie. —
Enfant
, il l’a vu, dans une fête, au milieu des grenadie
vie, de cette mort et de cette gloire ! Il est là… sous trois pas un
enfant
le mesure, dit Lamartine devant la tombe de Sain
hants du Crépusc., XXVIII.) Je prendrai par la main les deux petits
enfants
: J’aime les bois où sont les chevreuils et les f
sont rencontrés à l’église. L’un est morne : il conduit la bière d’un
enfant
; Une femme le suit, presque folle, étouffant Dan
Quel temple pour son fils elle a rêvé neuf mois ! Comme elle fêtera l’
enfant
dont Dieu dispose ! Il lui faut un berceau tel qu
ages, de ses mœurs rustiques. Le lecteur vit passer sous ses yeux les
enfants
traversant les genêts et les chemins creux pour s
les liens écartés, la campagne, puis, par extension et métaphore, aux
enfants
qui courent les buissons au lieu de se rendre a l
a fiancée, et meurt. Pernette, veuve, consacre sa vie à instruire les
enfants
du village : on a signalé dans cette dernière par
ui, à chaque pas, tire des spectacles de la nature une leçon pour ses
enfants
. Ainsi la mère de Lamartine instruisait son fils
. 1490. Voilà des vers vibrants. On sent que le père veut armer ses
enfants
pour la lutte dont il parle dans le passage suiva
le soleil ardent par le chant de la caille, par les cris joyeux de l’
enfant
qui, sur le sein de sa mère, tire à lui la grappe
ir venu, a la peinture du repos goûte, entre sa femme qui file et son
enfant
qui joue, par le paysan,
cènes touchantes ne manquent pas. Agnès prête à partir recommande ses
enfants
à une de ses femmes (III, 7) dans un langage qui
son jeune beau-frère (II, 5), qui médit des hommes de 89 : Silence,
enfant
, silence ; on parle chapeau bas De ces grands ouv
lton, puis à Florence. Comparez la leçon d’astronomie, de Jocelyn aux
enfants
(Lamartine, Jocelyn, ixe époque : La nuit tomba
x est un cougar bondissant ; un Paunie est un daim tremblant. Que mes
enfants
m’écoutent, ils trouveront mes paroles bonnes. J’
s leur ont enlevé tout ce qu’ils possédaient, qu’ils ont suspendu les
enfants
aux arbres par le nerf de la cuisse, fait périr d
es passions. Or, les passions du barbare sont comme les caprices de l’
enfant
; elles veulent une satisfaction complète et soud
ils respectent en elle la compagne de leurs travaux, la mère de leurs
enfants
. Leurs dieux ne sont pas les fantasques et grossi
sent, et leurs cordages tombent en lambeaux. Nos femmes et nos petits
enfants
languissent dans nos maisons à nous attendre, et
Ithaque : il lui en a coûté beaucoup de laisser sa jeune femme et son
enfant
à la merci des chefs ambitieux de sa principauté,
ont de retourner dans leur patrie, auprès de leurs femmes et de leurs
enfants
. « — Rien que pour un mois d’absence, le marin s’
la mer ; il a pour ses favoris la passion violente et meurtrière d’un
enfant
pour ses jouets ; il les jalouse, les épie, les a
uoit jamais, ny jamais ne demouroit oisif, comme faisoient les autres
enfants
; mais on le trouvoit toujours apprenant par cueu
infliger de rudes leçons, sachant bien que les peuples sont comme les
enfants
, qui n’obéissent pas volontiers, si un peu de cra
, suffiraient pour détruire ce charme passagér, comme le souffle d’un
enfant
dissipe des bulles de savon ? Pourquoi cela ? Par
ir d’autres ; mais c’est un défaut très-dangereux. Que m’importe si l’
enfant
est étouffé à force de caresses, où à force d’êtr
ce de caresses, où à force d’être battu ? Comptez que vous tuez votre
enfant
en le caressant trop. Encore une fois, plus de si
is est assez près de cette rivière de Seine2 ; et je dis : « Ma chère
enfant
, pourquoi suis-je dans ce palais, dans ce cabinet
» Fallait-il vous quitter pour un roi ? Que j’ai de remords, ma chère
enfant
! que mon bonheur est empoisonné ! que la vie est
; César et Catilina n’étaient pas gens à se tuer pour vous. Ma chère
enfant
, je veux que vous vous fassiez homme pour lire ma
lque attention. Je lui ai dit souvent : « Mon cher, vous n’êtes qu’un
enfant
qui aimez les babioles et rejetez l’essentiel. Vo
ient aux nues, et les génies dans la fange ; qu’un père déshérite six
enfants
vertueux, pour combler de biens un premier-né qui
; réglant les intérêts des familles, réconciliant les pères avec les
enfants
, démêlant les passions de l’équité, assurant les
est à la garde de Dieu. Je vous prie de le prendre sous la vôtre. Cet
enfant
est ou va être transporté de Paris à Lyon par le
dans ma mémoire, mais toi tu les as oubliées, et tu veux égorger ton
enfant
… Allons, mon père, tourne la tête vers moi, donne
tes larmes, fléchis-le pour que ta sœur ne meure pas. On dit que les
enfants
eux-mêmes ont le sentiment des maux qu’ils voient
’est Popilius enfermant dans un cercle le roi Antiochus ; ce sont les
enfants
de Persée traînés en triomphe avec leur père et t
mise en scène : trophées conquis sur l’ennemi, vieillards suppliants,
enfants
éplorés, armées de clients en deuil, tout ce qui
cette science qu’ils ont agrandi la République : avec la vôtre, nos
enfants
l’auraient bientôt ruinée. Donc remportez vos dis
omme des raisons. — Voici maintenant l’armée d’élite de Catilina, ses
enfants
de prédilection, ceux qu’il a bercés dans ses bra
Dans le calme odieux de sa sombre paresse, Tous les honteux plaisirs,
enfants
de la mollesse, Usurpant sur son âme un absolu po
blême, et la triste Famine. Les Chagrins dévorants et l’infâme Ruine,
Enfants
infortunés de ses raffinements, Troublent l’air d
nchissent nos désirs. Nature ne peut pas l’âge en l’âge confondre : L’
enfant
qui sait déjà demander et répondre. Qui marque as
te, un front sans souillures, Comme, aux approches du saint lieu, Des
enfants
, des vierges voilées, Jonchent de roses effeuillé
n’eut jamais, même en ses premiers temps, De plus zélé vengeur, ni d’
enfant
plus docile. Haï des uns, chéri des autres,
l’âme des vieillards et des maîtres, entrent aussitôt dans celle des
enfants
et des disciples, qui les transmetteront de même
n, la voix de l’harmonie, la vivacité de la passion : les beaux-arts,
enfants
et pères du plaisir, ne demandent que la fleur, e
et qui ordonne aux philosophes mêmes, à bien des égards, de redevenir
enfants
: il voudrait porter dans un nouvel ordre d’objet
religion ressemble à cette nuée miraculeuse qui servait de guide aux
enfants
d’Israël dans le désert : le jour est d’un côté e
érances généreuses de rénovation sociale qui firent battre son cœur d’
enfant
. Puis vinrent les malheurs publics et privés, l’a
me ? Si quelque malheur cependant ravissait de tels avantages à notre
enfant
, le même sentiment prendrait alors une autre form
oute est ce qui m’arrive. Je me sens un obstacle à tout bien pour mes
enfants
et pour mes amis. Pardon de vous peindre un éclat
èbre groupe de Praxitèle représentant Niobé qui pleure la mort de ses
enfants
. 1. Touchant souvenir de son père, M. Necker, mi
e, Jacques, notre garçon, ferait bien ton affaire : C’est un fort bon
enfant
, sage, que tu connais ; Épouse-le, crois-moi, tu
’une sottise qui échappe à l’étourderie. Telles sont ces paroles d’un
enfant
qui venait d’entendre le récit de la mort de Pyrr
dignité. Comme exemple de bassesse, nous citerons cette réponse d’un
enfant
qui, voyant apporter sur la table un mets excelle
ut du cantique de Moïse : Audite cœli…… super gramina , l’hymne de l’
Enfant
à son réveil, et ces deux pensées de Vauvenargues
ent dire à Macduff que son château a été pris, et que sa femme et ses
enfants
ont été massacrés par Macbeth. Macduff tombe dans
venger de Macbeth, il ne dit que ces mots terribles : Il n’a point d’
enfants
! Le Père de la Rue dit, en parlant de l’état d
entre ses bras son fils bien-aimé : Dieux immortels, faites que cet
enfant
soit courageux dans les combats et puissant sur s
rk : Un roi qu’on aime… ; les verselets de Clotilde de Surville à son
enfant
: O cher enfantelet…, et le compliment si délicat
s sub alas, et noluisti ! Les six dernières strophes de l’Hymne de l’
enfant
à son réveil sont remplies de sentiments gracieux
er devant d’autres6 qui ont toute la vogue. Au nom de Dieu1, mon cher
enfant
, ne négligez point les choses sans lesquelles vou
t que notre absence n’ait point diminué en toi la présence de Dieu. L’
enfant
ne peut pas teter toujours1, ni même être sans ce
ttentif à la pensée d’autrui, défiant de la tienne, et petit comme un
enfant
: tout le reste est sottise, enflure et vanité. M
monde en souffrira. Il fait peur, il fait pitié ; il pleure comme un
enfant
, il rugit1 comme, un lion. Une vapeur maligne et
’hui les divertissements, ou les parties de plaisir. 3. Rompre. Cet
enfant
est déjà un maître ; il commande, ses caprices so
plus beaux jours, enfermés dans le même cercueil, et les cendres de l’
enfant
suivre tristement et augmenter l’appareil lugubre
; et, sous un si bon roi, tout ce qu’ils pouvaient souhaiter à leurs
enfants
, c’était un successeur qui lui fût semblable1. C’
; réglant les intérêts des familles, réconciliant les pères avec les
enfants
, démêlant les passions de l’équité, assurant les
e de clarté une page de M. le comte de Ségur ; elle est intitulée : l’
Enfant
. L’auteur nous fait connaître, dans ce sujet à la
ce sujet à la fois simple et intéressant, tout ce qui se passe chez l’
enfant
à mesure qu’il grandit, tout ce qu’il éprouve dep
s heureux accord entre la pensée et l’expression qui l’interprète. L’
Enfant
L’homme enfant, jeté par le ciel sur la terre, s’
d entre la pensée et l’expression qui l’interprète. L’Enfant L’homme
enfant
, jeté par le ciel sur la terre, s’y montre d’abor
d’un père les plus vives et les plus joyeuses espérances. Ah ! que l’
enfant
alors a d’attraits pour tout ce qui reçoit ainsi
et homme qui défendait les villes de Juda, qui domptait l’orgueil des
enfants
d’Ammon et d’Ésaü, qui revenait chargé des dépoui
rebis à Pan, le dieu des bergers : par son troupeau, elle désigne ses
enfants
; le dieu Pan, c’est le roi, à qui elle les recom
s Qu’arrose la Seine, Etc. Lectures. — 1° Madame Deshoulières à ses
enfants
. Vol. II, nº 23. — 2° L’Ange de la Mort (madame A
iplier les meurtres dans l’exemple suivant : On égorge à la fois les
enfants
, les vieillards, Et la sœur et l
la même idée ; Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même
enfant
toujours tout prêt à me percer. Racine, Athalie,
ère. Mais non : c’est un esquif où, dans un doux repos, J’aperçois un
enfant
qui dort au soin des flots, Comme on dor
ille avec la mère, Les époux expirants sous leurs toits embrasés, Les
enfants
au berceau sur la pierre écrasés : Des fureurs de
in, ministres immortels, Jusqu’au trône élevés de l’ombre des autels,
Enfants
de la fortune et de la politique, Marchèrent à gr
s le meurtre à l’envi triomphants ; Rome entière noyée au sein de ses
enfants
: Les uns assassinés dans les places publiques ;
ffreux abandonné vingt ans, Mes larmes t’imploraient pour mes tristes
enfants
; Et, lorsque ma famille est par toi réunie, Quan
aisée, M as vingt fois en un jour à moi-même opposée ; Tantôt pour un
enfant
excitant mes remords, Tantôt m’éblouissant de tes
veulent le verbe et l’adjectif au pluriel. Exemples : La plupart des
enfants
sont légers. Peu d’enfants sont attentifs. 123.
tif au pluriel. Exemples : La plupart des enfants sont légers. Peu d’
enfants
sont attentifs. 123. — Remarque. Dans le sens p
hange point de nombre devant un adjectif masculin. Ainsi, dites : les
enfants
, tout aimables qu’ils sont, ne laissent pas d’avo
l’adjectif, pour en déterminer la signification ; quand on dit : cet
enfant
parle distinctement, par ce mot distinctement, pa
er, autrefois, bientôt, souvent, toujours, jamais, etc. Exemple : cet
enfant
joue toujours, et ne s’applique jamais. 5° Il y a
ction. Agésilas disait aux Lacédémoniens : « On doit enseigner aux
enfants
et aux jeunes gens ce qu’ils auront besoin de sav
usqu’aux fondements, réduisez-la en cendres, faites périr jusqu’à nos
enfants
par le tranchant de l’épée, nous méritons encore
usqu’aux fondements, réduisez-la en cendres, faites périr un à un nos
enfants
par le tranchant de l’épée ; nous méritons encore
ai, par leur secours, t’y maintenir toi-même ! Que répondrai-je à mes
enfants
, qui te regardent comme un second père ? Ô Quintu
’éteignent pas avec les corps, repose en paix, Agricola… et nous, tes
enfants
, ta famille entière, rappelle-nous de la faibless
s allions perdre. Ô Dieu terrible, mais juste en vos conseils sur les
enfants
des hommes, vous disposez et des vainqueurs et de
particules : Quel carnage de toutes parts ! On égorge à la fois les
enfants
, les vieillards, Et la sœur et le frère ; Et la f
avec la mère ; « Les époux expirant sous leurs toits embrasés, « Les
enfants
au berceau sur la pierre écrasés. Fléchier relèv
’écrie : « Quid respondebo liberis, etc. » « Que répondrai-je à mes
enfants
qui te regardent comme un second père ? Ô Quintus
is siérait-il, Abner, à des cœurs généreux « De livrer au supplice un
enfant
malheureux, « Un enfant que Dieu même à ma garde
des cœurs généreux « De livrer au supplice un enfant malheureux, « Un
enfant
que Dieu même à ma garde confie, « Et de nous rac
temple fut construit. « Jérusalem pleura de se voir profanée ; « Des
enfants
de Lévi la troupe consternée « En poussa vers le
ministres immortels, « Jusqu’au trône élevés de l’ombre des autels, «
Enfants
de la Fortune et de la Politique « Marcheront à g
aient entre eux. ……… Dans ce désordre à mes yeux se présente Un jeune
enfant
couvert d’une robe éclatante, Tels qu’on voit des
la même idée ; Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même
enfant
toujours tout prêt à me percer, Lasse enfin des h
r. Pendant qu’il me parlait, ô surprise ! ô terreur ! J’ai vu ce même
enfant
dont je suis menacée, Tel qu’un songe effrayant l
s vos Écritures de nous faire un bras de chair et de nous confier aux
enfants
des hommes. Peut-être est-ce une punition de notr
ors de mes cendres, qui que tu sois, vengeur de mon trépas ! Suis ces
enfants
de Dardanus, la flamme et le fer à la main, dès c
mes remords, il m’arme de constance : Les malheureux sont ses
enfants
. Mes ennemis, ont dit dans leur colère :
leur vieille jeunesse ; Courbés avant le temps, consumés de langueur,
Enfants
efféminés de pères sans vigueur ; Demi-dieux avor
ble effet ! Ils vengent les Cotins des affronts du sifflet. J’ai vu l’
enfant
gâté de nos penseurs sublimes, La Harpe, dans Rou
nt en 1717, il composa en six semaines son Petit Carême pour Louis XV
enfant
. Reçu à l’Académie française, il consacra le rest
-même le prix de l’éternité : c’est pour nous démêler de la foule des
enfants
d’Adam, au-dessus même des Césars et des rois de
enfaits, pour nos créatures ; nos biens, pour nos proches et pour nos
enfants
; notre crédit et notre faveur, pour nous-mêmes ;
eté. Il croissait avec la triple garde de ces fortes vertus, comme un
enfant
de Sparte et de Rome, ou, pour mieux dire encore,
un enfant de Sparte et de Rome, ou, pour mieux dire encore, comme un
enfant
chrétien, en qui la beauté du naturel et l’effusi
. 3. Il était fils d’un boulanger de Nancy, et le troisième de douze
enfants
. 4. La chambre publique, c’est-à-dire la boutiqu
âme : Qu’il est doux à remplir ce précepte d’amour ! Voyez ce faible
enfant
que le trépas menace, Il ne sent plus ses maux qu
une jeune étrangère, Et la mort les frappa. Noémi, sans époux, sans
enfants
, veut retourner mourir dans sa patrie, et presse
ensible, que celui de se voir renaître dans la jeune postérité de ses
enfants
? Le Dieu qui les bénit,
elle comme Rachel, comme Lia féconde, Son épouse eut un fils ; et cet
enfant
si beau Des bienfaits du Seigneur est un gage nou
la voûte azurée, Le nébuleux décembre allongeait la soirée, Un jeune
enfant
, docile aux soins de son aïeul, De nos fastes sac
des cieux, Viens remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces
enfants
des Dieux, Unissent leurs tiges fécondes : Descen
nd sur son urne azurée Des pleurs qui grossissent ses eaux, Les Dieux
enfants
de Cythérée170, À la lueur de leurs flambeaux, Co
des cieux, Viens remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces
enfants
des Dieux, Unissent leurs tiges fécondes : Descen
s des cieux Viens remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces
enfants
des Dieux, Unissent leurs tiges fécondes : Descen
te aux cieux ; Tu remplis les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces
enfants
des Dieux, Ont uni leurs tiges fécondes : Remonte
au monde que ce soit. — C’est un trait de justice que Socrate et ses
enfants
ont peut-être quelque droit d’attendre de vous. M
t-il ? Ô Socrate ! tu serais souvent forcé de rougir. Est-ce pour tes
enfants
que tu voudrais vivre ? Tes enfants ! Ah ! Socrat
forcé de rougir. Est-ce pour tes enfants que tu voudrais vivre ? Tes
enfants
! Ah ! Socrate, crois en ces lois qui t’ont élevé
cœur comme le mien ? Si vous continuez de vous bien porter, ma chère
enfant
, je ne vous irai voir que l’année qui vient. La B
m’est impossible de me représenter l’état où vous avez été, ma chère
enfant
, sans une extrême émotion2 ; et quoique je sache
? » On ne lui répondit rien. « Ah ! mademoiselle, mon fils, mon cher
enfant
, répondez-moi, est-il mort ? — Madame, je n’ai po
cation, le nom l’indique, est celui qui est destiné à l’éducation des
enfants
. Il y a aujourd’hui un grand nombre d’ouvrages es
t d’arriver : ils remplissent de cris tout le voisinage. « Malheureux
enfant
! dit le père en apostrophant son fils qui ne sau
Minerve assemblant autour d’elle tous les beaux-arts, qui étaient des
enfants
tendrez et ailés : ils se réfugiaient autour d’el
ger le meurtre de ses frères. L’homme n’oublia jamais le serment de l’
enfant
. Élevé à la robuste école de la Renaissance, il f
tout donné6 ? » De là cette troupe de quatre hommes, trois femmes et
enfants
, ayant recouvert7 un coche au Coudret8, maison du
« Il faut que je meure ou que je vous sauve tous, pour l’amour de cet
enfant
; tenez-vous prets pour sortir quand je vous le d
m’est impossible de me représenter l’état où vous avez été, ma chère
enfant
, sans une extrême émotion ; et, quoique je sache
s ? On ne lui répondit rien6. — Ah ! Mademoiselle, mon fils, mon cher
enfant
, répondez-moi, est-il mort ? — Madame, je n’ai po
se creusent : mais j’ai beau tourner, j’ai beau chercher, cette chère
enfant
que j’aime avec tant de passion est à deux cents
se jette à son père, et se met à crier et à pleurer. Taisez-vous, mon
enfant
, lui dit-il, voyez, en lui montrant M. de Turenne
ent recommandée. « Jamais il ne faut permettre, a dit Nicole, que les
enfants
apprennent rien par cœur qui ne soit excellent ;
nces de compositions qu’il a semblé à propos d’y introduire. Pour les
enfants
des classes élémentaires, convaincu qu’il fallait
r sa fille ; regrets sur son absence. Si vous étiez ici, ma chère
enfant
, vous vous moqueriez de moi ; j’écris de provisio
le temps de lire de telles lanterneries145 ! Je vous assure, ma chère
enfant
, que je songe à vous continuellement ; et je sens
entoria tua, Israël 236 ! « Que vous êtes admirables sous vos tentes,
enfants
de Jacob ! » quel ordre dans votre camp ! quelle
effrayés, pour unir parfaitement le corps de l’Église, le père et les
enfants
, le chef et les membres, le sacerdoce et l’empire
se chrétienne n’a pas besoin, pour durer, du secours des hommes. Les
enfants
du siècle, prévenus des maximes d’une politique p
ons les yeux sur l’Église, c’est-à-dire sur cette société visible des
enfants
de Dieu qui a été conservée dans tous les temps :
ments. Dieu laisse ruisseler, pendant trois cents ans, le sang de ses
enfants
bien-aimés. Pourquoi croyez-vous qu’il le fasse ?
chef : le prince était grand, l’homme l’était davantage. Les rois ses
enfants
furent ses premiers sujets, les instruments de so
archie322. Il changea sans cesse les partages qu’il avait faits à ses
enfants
. Cependant ces partages avaient été confirmés tou
ages avaient été confirmés tour à tour par ses serments, ceux. de ses
enfants
et ceux des seigneurs. C’était vouloir tenter la
le perdre323 : et ils l’auraient perdu deux fois sans retour, si ses
enfants
, dans le fond plus honnêtes gens qu’eux, eussent
s plus savants hommes de l’Europe. Il eut l’attention de placer trois
enfants
de Pierre Corneille, deux dans les troupes et l’a
int l’esprit. Priam et Hécube ne font point d’épigrammes, quand leurs
enfants
sont égorgés dans Troie embrasée. Didon ne soupir
non seulement la perte de cette princesse, mais celle de ses propres
enfants
. Antiochus, l’un d’eux, avait conduit au temple R
ève : les derniers n’ont rien qui dégénère, Rien qui les fasse croire
enfants
d’un autre père ; Ce sont des malheureux étouffés
atal tribut : tous sont de son domaine ; Et le premier instant où les
enfants
des rois Ouvrent les yeux à la lumière
assé nulles journées ; Tout n’est que pour lui seul ; mon lait et mes
enfants
Le font à la maison revenir les mains pleines : M
Et de peupler pour Rome un pays qu’elle opprime. Quant à nos
enfants
déjà nés, Nous souhaitons de voir leurs jours bie
plaire. La simplicité plaît sans étude et sans art. Tout charme en un
enfant
dont la langue sans fard, À peine du filet encor
qu’à la faveur de vos frères chéris, Peut-être enfin soufferts comme
enfants
de ma plume, Vous pourrez vous sauver épars dans
ison chassé comme un corsaire. Voilà nos deux époux sans valets, sans
enfants
, Tout seuls dans leur logis, libres et triomphant
our renferme des années. Là souvent le héros d’un spectacle grossier,
Enfant
au premier acte, est barbon au dernier. Mais nous
e tous les droits, Se baigne impunément dans le sang de nos rois, Des
enfants
de son fils détestable homicide, Et même contre D
nes De cet arbre séché jusque dans ses racines634 ? Athalie étouffa l’
enfant
mémo au berceau. Les morts, après huit ans, sorte
able héritier de ces rois triomphants, Ochozias restait seul avec ses
enfants
; Par les traits de Jéhu je vis percer le père :
Dans ce désordre à mes yeux se présente Un jeune
enfant
couvert d’une robe éclatante, Tels qu’on voit643
même idée644 ; Deux fois mes tristes yeux se sont vu retracer Ce même
enfant
toujours tout prêt à me percer. Lasse enfin des h
r : Pendant qu’il me parlait, ô surprise, ô terreur ! J’ai vu ce même
enfant
dont je suis menacée, Tel qu’un songe effrayant l
Ce songe et ce rapport, tout me semble effroyable. ATHALIE. Mais cet
enfant
fatal, Abner, vous l’avez vu : Quel est-il ? de q
avez vu : Quel est-il ? de quel sang et de quelle tribu ? ABNER. Deux
enfants
à l’autel prêtaient leur ministère : L’un est fil
rait-il un moment laisser vivre un coupable ? ABNER. De quel crime un
enfant
peut-il être capable ? MATHAN. Le ciel nous le fa
Mais sur la foi d’un songe. Dans le sang d’un
enfant
voulez-vous qu’on se plonge ? Vous ne savez encor
adame : quel est donc ce grand sujet de crainte ? Un songe, un faible
enfant
que votre œil prévenu Peut-être sans raison croit
-être un songe vain m’a trop préoccupée. Hé bien ! il faut revoir cet
enfant
de plus près ; Il en faut à loisir examiner les t
d outrage. Acte II, scène VII. Par l’ordre d’Athalie, les deux
enfants
dont vient de parler Abner sont amenés en sa prés
. Et vous, quel est donc votre père ? Jeune
enfant
, répondez650. JOSABETH.
s ans quelles mains ont pris soin ? JOAS. Dieu laissa-t-il jamais ses
enfants
au besoin ? Aux petits des oiseaux il donne leur
n’avez point de passe-temps plus doux ? Je plains le triste sort d’un
enfant
tel que vous. Venez dans mon palais, vous y verre
Hé ! madame, excusez. Un
enfant
… ATHALIE, à Josabeth. J’aime
in, Éliacin, vous avez su me plaire : Vous n’êtes point sans doute un
enfant
ordinaire. Vous voyez, je suis reine, et n’ai poi
de ses prédictions ? Qu’il vous donne ce roi promis aux nations, Cet
enfant
de David, votre espoir, votre attente. Mais nous
tre Dieu seul ! Poursuivons notre ouvrage. Mais qui retient encor ces
enfants
parmi nous ? UNE DES FILLES DU CHŒUR. Hé ! pourri
Voilà donc quels vengeurs s’arment pour ta querelle, Des prêtres, des
enfants
, ô Sagesse éternelle660 ! Mais, si tu les soutien
illé ; Ton encens à ses yeux est un encens souillé. Où menez-vous ces
enfants
et ces femmes670 ? Le Seigneur a détruit la reine
harie se jette aux pieds de Joas.) JOAD, pendant qu’ils s’embrassent.
Enfants
, ainsi toujours puissiez-vous être unis680 ! JOSA
aisée, M’as vingt fois en un jour à moi-même opposée : Tantôt pour un
enfant
excitant mes remords, Tantôt m’éblouissant de tes
ADAMISTE. Vous vous êtes toujours rendu si redoutable, Que jamais vos
enfants
, proscrits et malheureux, N’ont pu vous regarder
étranger suppliant, vêtu de haillons, s’est présenté à ses regards. L’
enfant
, émue de pitié, lui a promis de le faire entrer l
le s’empresse ; On cherche des habits, on réchauffe le bain. La jeune
enfant
s’approche ; il rit, lui tend la main : — « Car c
m’as ouvert la porte hospitalière786. » Idylle. Sur la mort d’un
enfant
. L’innocente victime, au terrestre séjour, N’
ain nuage, Un souvenir, un songe, une invisible image. Adieu, fragile
enfant
, échappé de nos bras ; Adieu, dans la maison d’où
ales, commandées par Turenne, qui ramenaient à Paris Louis XIV encore
enfant
. Après la Fronde, elle demeura au coup, traitée p
ureurs des partis triomphants, Mourante sous les coups de ses propres
enfants
, Invoquait à la fois mon bras et mon génie ; Je m
n lui-même a dit un peu plus loin : Dans les mains des Persans jeune
enfant
apporté, Je gouverne l’empire où je fus acheté…
uri sacra fames ? 646. Cette ressemblance si forte entre Joas et l’
enfant
qu’Athalie a vu en songe est, comme le constate L
d’avance tout ce que nous trouverons d’étonnant dans les paroles d’un
enfant
tel que Joas : la sagesse divine pouvait seule en
ue, et par là renouvelle l’intérêt ! En voyant sortir Josabeth avec l’
enfant
, le spectateur respire et croit le danger passé,
es plus riches familles confiaient de préférence l’éducation de leurs
enfants
aux jésuites du collège Louis-le-Grand. 764. « L
sur des colonnades en ruines. 766. Génies ou personnages invisibles,
enfants
, comme ceux qui suivent, de l’imagination populai
A peine il sait bégayer quelques mots, et se tenir sur ses jambes, l’
enfant
brûle de jouer avec les enfants ; un rien le fâch
es mots, et se tenir sur ses jambes, l’enfant brûle de jouer avec les
enfants
; un rien le fâche, un rien l’apaise ; son humeur
t. Tenez-vous à ne faire parler ni un jeune homme en vieillard, ni un
enfant
en homme mûr : attachez-vous scrupuleusement à pe
dira bientôt un récit dramatique. Que Médée ne vienne pas égorger ses
enfants
sous les yeux du peuple ; ni l’horrible Atrée fai
: arrière donc la sorcière qui tire tout vivant de ses entrailles un
enfant
qu’elle a dévoré. Nos graves Sénateurs ne veulent
la rage des vers. Tout homme sage l’évite et le fuit, épouvanté ; les
enfants
crient après lui, et le poursuivent étourdiment d
a donné aux lyres 235de rappeler (de chanter) les Dieux, 236et les
enfants
des Dieux, 237et l’athlète-en-pugilat vainqueur,
ant-toujours, 493louangeur du temps passé 494 quand lui-même était
enfant
, 495censeur et grondeur 496des personnes plus j
fié 504par hasard à un jeune-homme, 505ni un rôle d’homme-fait à un
enfant
, 506nous nous tiendrons toujours 507dans les ca
objets-présents 524racontera bientôt. 525Que Médée n’égorge pas ses
enfants
526en-présence du peuple ; 527ou que le crimine
aux Grecs avides d’aucune chose 927excepté de gloire. 928 Mais les
enfants
Romains 929apprennent par de longs calculs 930à
oudra 972soit cru du spectateur ; 973et qu’elle ne tire pas, 974un
enfant
tout vivant 975du ventre d’une Lamie repue. 976
ue, 1313et (ou) Diane en-courroux 1314poursuit (possède) ; 1315les
enfants
1316harcèlent ce poete insensé, 1317et le pour
i sic, incredulus odi. Ce vers ne s’applique pas à Médée immolant ses
enfants
, mais seulement à la métamorphose de Procné et de
on, dieu jeune et triomphant, Prends pitié de mon fils, de mon unique
enfant
! Prends pitié de sa mère aux larmes condamnée, Q
moi sur le flanc. Ah ! j’expire ! ô douleurs2 ! — Tiens, mon unique
enfant
, mon fils, prends ce breuvage ; Sa chaleur te ren
ens et moutons, toute la bergerie Ne s’informe plus de son sort. Les
enfants
qui suivaient ses ébats dans la plaine, Les vier
ce livre le rendre plus digne de leur bienveillance et plus utile aux
enfants
de nos maisons chrétiennes ! Notions préliminai
n d’être éloquent, du moins dans une certaine mesure. Depuis le petit
enfant
qui demande une grâce à sa mère, jusqu’au savant
és les saints : Qui oserait dire, s’écrie Démosthènes, qu’un barbare
enfant
de Pella, bourgade alors chétive et inconnue, dût
imparfait que de dire à un père de famille qui veut faire étudier ses
enfants
: Ou ils seront des élèves brillants, ou ils ser
rdu leur temps et leurs peines ; Donc il vaut mieux ne pas mettre vos
enfants
au collège. Il y a ici un dénombrement imparfait
ants au collège. Il y a ici un dénombrement imparfait, parce que ces
enfants
peuvent aussi avoir des talents ordinaires et acq
sur moi. Je sais que par moi-même je ne suis rien : je ne suis qu’un
enfant
; et je me sens si jeune, si inexpérimenté, si ob
insi pour vous confondre, ô mon fils ! mais pour vous avertir comme l’
enfant
bien-aimé de mon cœur. Vous avez beaucoup de maît
oltant. Écoutons Bossuet parlant de la mort de Charles Ier devant les
enfants
de ce prince ; il fait dire à la reine ces parole
yez, Seigneur, voyez mon affliction. Mon ennemi s’est fortifié et mes
enfants
sont perdus. Le cruel a porté sa main sacrilège s
etites affaires. Ce serait, dit Quintilien, chausser le cothurne à un
enfant
et lui mettre en main la massue d’Hercule. Les gr
on et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos
enfants
. Vous avez été leurs mères, selon la grâce, depui
comme s’ils parlaient à leurs pères, et non pas à leurs disciples et
enfants
; « Je dis naturelle, contre tout artifice et aff
evant l’autel éternel, aux pieds de l’Agneau, vous demandent pour cet
enfant
auguste la couronne de justice qu’ils ont eux-mêm
nne sacrée, répandent ici leurs cœurs en votre présence, afin que cet
enfant
, qui est comme l’enfant de nos soupirs et de nos
i leurs cœurs en votre présence, afin que cet enfant, qui est comme l’
enfant
de nos soupirs et de nos larmes, non seulement ne
détourner de nous votre face, que l’innocence du moins de cet auguste
enfant
que vous avez établi sur nous vous rappelle et vo
e ; que vos faveurs abondent où vos châtiments ont abondé, et que cet
enfant
si cher soit pour nous un don qui répare toutes n
on, la voix de l’harmonie, la vivacité de la passion. Les beaux-arts,
enfants
et pères du plaisir ne demandent que la fleur et
l’être, et comme quelques-uns de vos poètes ont dit : Nous sommes les
enfants
de Dieu même. Puis donc que nous sommes les enfan
: Nous sommes les enfants de Dieu même. Puis donc que nous sommes les
enfants
de Dieu, nous ne devons pas croire que la Divinit
t homme, qui défendait les villes de Juda, qui domptait l’orgueil des
enfants
d’Ammon et d’Ésaü, qui revenait chargé des dépoui
té, par leurs dédains et leurs superbes dégoûts, que le pain même des
enfants
leur fût retranché, et que le Seigneur les condam
un volcan qui retombe en lave de flammes sur les toits d’une cité, un
enfant
qui meurt, un trône qui s’écroule, rien n’est étr
du remords. Soit qu’il dise aux malheureux : Espérez ! et aux petits
enfants
: Aimez-vous les uns les autres. Cependant l’imme
ue des frères, dans les étrangers comme dans les concitoyens, que des
enfants
également chers à Dieu, et dans le ciel, que la p
eaux et des citadelles, le massacre des femmes, des vieillards et des
enfants
, le pillage organisé des caisses publiques, le re
l’a donné… preuve qu’il n’en a pas peur ! » « Pour faire du bien aux
enfants
, disait quelqu’un qui s’y connaît, il faut les in
eurer, et puis les renvoyer contents. » Le peuple n’est-il pas encore
enfant
? Ne sommes-nous pas encore tous enfants par plus
Le peuple n’est-il pas encore enfant ? Ne sommes-nous pas encore tous
enfants
par plus d’un côté ? Un autre moyen d’intéresser,
ges, que vous devez fixer leurs regards, appeler leur intérêt sur cet
enfant
que le ciel vous a donné. Ah ! je serai peut-être
à répandre des larmes, si cette scène s’exécute. Je le respecte, cet
enfant
, son âge, sa candeur, les vertus dont ses traits
morts, vous faire sortir de votre tombeau, pour dire à ce malheureux
enfant
: Ne m’imitez pas, mon fils, ne me défendez pas…
sse ce baiser que je te donne retentir dans la postérité ! Adieu, mes
enfants
; mes vœux vous accompagneront toujours ; gardez
être où elle élèvera un autel dans le cœur repentant de chacun de ses
enfants
à cette martyre de nos égarements. Ce jour-là nou
religion ressemble à cette nuée miraculeuse qui servait de guide aux
enfants
d’Israël dans le désert : le jour est d’un côté,
tin vinrent pour la première fois me louer de concert et que tous les
enfants
de Dieu publièrent leur joie ? Sais-tu qui a empr
sible. D’ailleurs, cette gradation, indispensable pour le thème, où l’
enfant
reproduit dans un idiome inconnu des pensées expr
assions. Il sera d’un grand avantage pour le reste de la vie, que les
enfants
reçoivent dès ce premier âge de bons principes. E
femme faisait observer qu’il fallait ménager sa fille, et remettre l’
enfant
entre les mains des nourrices, de peur d’ajouter
être stimulée par aucun profit. Ne voit-on pas ce qui arrive chez les
enfants
? Comme les châtiments mêmes ne rebutent pas leur
Éducation de l’héritier de la couronne, chez les Perses. 23. L’
enfant
destiné à posséder un jour le pouvoir suprême, ét
débarrassée des superfluités du luxe. Version XXV. Perfidie des
enfants
envers les auteurs de leurs jours. 25. Il y a
en attendant, à toutes ses passions. Version XXVI. Perfidie des
enfants
envers les auteurs de leurs jours. (Suite.) 26
e et nourrit [illisible chars][texte coupé]émulation dans le cœur des
enfants
. Otez l’émulation, le goût de l’étude se refroidi
bien avant l’âge, éclataient en lui les plus heureuses dispositions.
Enfant
, il ne commettait, il ne disait rien de bas ; dan
ses ailes, et se retourne pour regarder celles de son fils. Bientôt l’
enfant
prit plaisir à son vol audacieux ; il abandonna s
a dans un tombeau le corps de son fils, et la terre reçut le nom de l’
enfant
, avec sa dépouille. Version XLV. Ælius Adri
lois l’y obligeaient. Le chevalier dit qu’il avait une femme et trois
enfants
. Puis il ajouta : « Dorénavant, quand vous prendr
ul ne pouvant [illisible chars][texte coupé]es affranchir, tous leurs
enfants
naissent esclaves. Les Parthes des élèvent avec a
ait à ses efforts. Ainsi nous trouvons en lui deux Démosthène : l’un,
enfant
de la nature, l’autre, enfant du travail. Vers
trouvons en lui deux Démosthène : l’un, enfant de la nature, l’autre,
enfant
du travail. Version LVI. Sur les esclaves.
après moi deux filles et sept petits-fils. » Ensuite elle exhorta ses
enfants
à demeurer toujours unis, leur distribua ses bien
de jeter sur eux des regards favorables, et de protéger toujours ses
enfants
. Peut-être, dans ce temps-là même, quelques-uns a
devient mère dans [illisible chars][texte coupé]n autre, et élève ses
enfants
loin de là, sans pouvoir s’arrêter [illisible cha
haut des murs avec leurs femmes et [illisible chars][texte coupé]eurs
enfants
; d’autres mirent le feu à leurs maisons (ce que
pitié, quand il parut [illisible chars][texte coupé]archant après ses
enfants
, avec la reine son épouse, en habits [illisible c
s d’habitants ; les terres, de cultivateurs ; nos femmes mêmes et nos
enfants
sont à la suite de cette armée, destinés devenir
hez à l’esclavage ces objets de ma tendresse. Pensez que ma mère, mes
enfants
(car j’ai perdu mon épouse dans cette prison) ten
r froide ; la multitude, distraite, donner son attention à des jeux d’
enfants
; on l’oubliait, et cette indifférence si étrange
encore, autant qu’il peut le faire. Quel espoir que le caractère d’un
enfant
prenne un noble essor, quand il est de tous côtés
tes les forces humaines. Sous les yeux d’une chaste mère croissait un
enfant
que la nature avait doué des plus précieuses qual
lisible chars][texte coupé]ois ; la seconde, leurs femmes, avec leurs
enfants
et leurs [illisible chars][texte coupé]oncubines,
le néant est préférable à la vie. Aussi, chez eux, la naissance d’un
enfant
est un sujet de deuil, et l’on pleure sur l’être
e citerai qu’Orphée et Linus. On a dit qu’ils étaient l’un et l’autre
enfants
des dieux ; et, comme le premier apprivoisait une
; pourquoi la veuve de Régulus, réduite à l’indigence, vécut avec ses
enfants
des secours que lui fournirent les amis de son ma
t éloignés), mirent leurs femmes et [illisible chars][texte coupé]urs
enfants
sur le rempart, afin que rien ne parût changé [il
tour à tour la raison et la pitié ; il lui sacrifia son collègue, ses
enfants
, sa vie, en affrontant la mort pour la défendre :
ir, chanceler, s’écrouler enfin : tant la frêle existence d’un faible
enfant
, héritier du rang suprême, pèse plus pour le salu
’il remplace ceux qui [illisible chars][texte coupé]ui confient leurs
enfants
. Qu’il soit lui-même exempt de vices, et qu’il n’
a sous les successeurs d’Alexandre. Il pourvut donc à l’entretien des
enfants
; il fournit aux jeunes gens des armes et des che
r tous les visages. Au moment où, sortie du vaisseau avec deux de ses
enfants
, Agrippine parut, l’urne sépulcrale entre les mai
’avança jusqu’à Terracine, avec Claudius, frère de Germanicus, et les
enfants
que celui-ci avait laissés à Rome. Les consuls M.
uis, les yeux levés au ciel, ils priaient les dieux « de protéger ses
enfants
, et de les faire échapper à leurs persécuteurs ».
ne, et chacun voulut repâitre ses yeux d’un spectacle si nouveau. Les
enfants
s’empressaient de vous connaître, les jeunes gens
entendre les hurlements plaintifs de leurs femmes, les cris de leurs
enfants
: ce sont là pour chacun les témoins les plus res
es. 72. Il vous importe hautement, à vous qui êtes pères, que vos
enfants
reçoivent ici plutôt qu’ailleurs l’instruction. E
qui s’achète hors de chez vous ? Et moi-même, qui n’ai point encore d’
enfants
, je suis déjà prêt à faire pour notre cité ce que
our ce but vos volontés et vos efforts. Vous ne sauriez assurer à vos
enfants
un bienfait plus précieux, ni rien faire qui soit
qu’on vienne des villes voisines se former à nos écoles ; et que les
enfants
des autres se rendent bientôt en foule dans ce li
nfants des autres se rendent bientôt en foule dans ce lieu, comme vos
enfants
se rendent aujourd’hui chez les étrangers ! Ve
sidération de l’âge, du sexe, et des objets chéris, je veux dire, les
enfants
, les parents et les proches. Tous ces moyens se t
leurs campagnes ; tandis que les parents des soldats et leurs jeunes
enfants
, s’ils avaient pour voisin un homme puissant, éta
grippa ; tant de conspirations tramées contre sa vie ; la mort de ses
enfants
qui lui fut imputée, et ce reproche joint au deui
te, triste objet que dérobait aux yeux une mère infortunée. Voilà cet
enfant
, Ulysse, cet enfant, la terreur de mille vaisseau
dérobait aux yeux une mère infortunée. Voilà cet enfant, Ulysse, cet
enfant
, la terreur de mille vaisseaux. Joins tes mains,
celles de ta mère. L’ancienne Troie a vu aussi les pleurs d’un royal
enfant
, et le jeune Priam fléchit le courroux du redouta
emin dans le ténébreux empire, fut désarmé par les larmes d’un faible
enfant
. « Reçois le sceptre, lui dit-il, et monte sur le
issant et riche, l’obligation se borne à lui seul, ou peut-être à ses
enfants
; mais, si c’est un homme sans bien, tous les hon
rses. 50 24. Déprédations de Verrès à Haluntium 52 25. Perfidie des
enfants
envers les auteurs de leurs jours. 54 26. Suite
n pour Disparition. Échaffourée pour Échauffourée. Éduqué. Un
enfant
bien éduqué pour Élevé. Un enfant bien élevé.
pour Échauffourée. Éduqué. Un enfant bien éduqué pour Élevé. Un
enfant
bien élevé. Embrouillamini pour Brouillamini.
oups, et bien mollement… C’est aussi folie et injustice de priver les
enfants
, qui sont en aage, de la familiarité des peres1,
: car c’est une farce3 tres inutile, qui rend les peres ennuyeux aux
enfants
, et, qui pis est, ridicules. Ils ont la jeunesse4
e. (Essais, III, 9.) montaigne ami des humbles Si j’avois des
enfants
masles, je leur desirasse1 volontiers ma fortune.
tenance froide et bautaine. 3. Une comédie. 4. Ils se rapporte aux
enfants
. 5. Dans les champs où pousse le chanvre, on pla
ry, mardi saint, 24 mars 1671. Voici une terrible causerie, ma chère
enfant
; il y a trois heures que je suis ici. Je suis pa
se creusent ; mais j’ai beau tourner, j’ai beau chercher, cette chère
enfant
que j’aime avec tant de passion est à deux cents
madame de Sévigné. 1. Madame de Sévigné a dit ailleurs : « Ma chère
enfant
, je ne vis que pour vous. Dieu me fasse la grâce
se jette à son père, et se met à crier et à pleurer. Taisez-vous, mon
enfant
, lui dit-il, voyez, en lui montrant M. de Turenne
udie et sache tant de choses. Former aux bonnes mœurs l’esprit de ses
enfants
, Faire aller son ménage, avoir l’œil sur ses gens
r nos amis, ne pas les prendre en dégoût, s’ils ont quelque défaut. L’
enfant
louche, et le père parle de son regard oblique ;
nent guère qu’à une jeune précieuse. Imaginez-vous l’application d’un
enfant
à élever un château de cartes, ou à se saisir d’u
l a toujours la théorie de ce qu’il voit mettre en pratique. C’est un
enfant
de l’orgueil qui naît tout élevé, qui manque d’ab
ral ; Il est dans tous les rangs. Le marchand le plus mince Élève ses
enfants
comme des fils de prince ; Sa fille, qu’en tous l
nous sommes conduits comme il fallait, lui dis-je, Adieu donc, mon
enfant
! » Elle plonge d’abord sa poupe, et puis sa pr
eu ; Le Père y lit la Bible à tous les gens du lieu4. Sa femme et ses
enfants
sont debout, et l’écoutent ; Et des chasseurs de
asure, D’un sourire angélique et d’un doigt gracieux Fait signe à ses
enfants
de baisser leur beaux yeux. L’esprit pur 2
Chanter les condamnés, et trembler les bourreaux. J’ai vu tendre aux
enfants
une gorge assurée, À la sanglante mort qu’ils voy
dans une société où ils doivent s’aimer et s’entre-secourir comme les
enfants
d’une même famille, qui ont un père commun. Chaqu
manifeste, et inviolablement régnant dans toute cette société de ses
enfants
bien-aimés. Chacun d’eux ne doit jamais manquer d
ns, comme les saints, nous reposer en Dieu ! Ils vont à lui comme les
enfants
à leur mère, et sur son sein ils dorment, ils pri
eurs années s’est emparée de la couronne, demande au grand prêtre cet
enfant
contre lequel elle conçoit d’ailleurs quelques so
clémence d’Auguste qui pardonne de Cléopâtre qui veut faire périr ses
enfants
pour conserver son trône et sa puissance. L’actio
re du poète a ajouté à sa réputation. Le Paria, Marino, Louis XI, les
Enfants
d’Édouard, la Fille du Cid, etc., sont des ouvrag
jà marquée parmi les chefs-d’œuvre de notre théâtre. Empruntons à ses
Enfants
d’Édouard une partie du récit que fait le plus je
Pour chercher dans la nuit leurs feuilles dispersées, Toucha de deux
enfants
les dépouilles glacées. Puis je ne sentis plus ;
t, après Corneille, Racine a fait les Plaideurs ; Voltaire, Nanine, l’
Enfant
prodigue et plusieurs autres ; Delavigne, les Com
ent recommandée. « Jamais il ne faut permettre, a dit Nicole, que les
enfants
apprennent rien par cœur qui ne soit excellent ;
nces de compositions qu’il a semblé à propos d’y introduire. Pour les
enfants
des classes élémentaires, convaincu qu’il fallait
autant qu’il nous est possible. Ce qui fait que la plupart des petits
enfants
plaisent, c’est qu’ils sont encore renfermés dans
autres sont ce qu’ils paraissent 1. Parmi les hommes comme parmi les
enfants
. 2. La célèbre histoire de la Pie voleuse date d
oups mercenaires, Pour cinq sous de tabac envoyés aux galères4. Chers
enfants
de Cérès, ô chers agriculteurs ! Vertueux nourric
vec non moins d’orgueil et non moins de folie, Un élève d’Euterpe, un
enfant
de Thalie, Qui dans ses vers pillés nous répète a
Je lis dans M. Victor Hugo (Espoir en Dieu) ces beaux vers : Espère,
enfant
! demain ! et puis demain encore Et puis toujours
c Frédéric. 2. Il écrivait à madame Denis : « Je commence, ma chère
enfant
, à sentir que j’ai un pied hors du château d’Alci
e, Jacques, notre garçon, ferait bien ton affaire ; C’est un fort bon
enfant
, sage, que tu connais ; Épouse-le, crois-moi, tu
mère ! Ce dernier trait, d’abord contenu, échappe à la naïveté de l’
enfant
, et l’effet en est terrible. 54. Il faut distingu
aïveté de ce qu’on appelle une naïveté. La naïveté est le propre d’un
enfant
ingénu ou d’un villageois sans culture qui a de l
appe par mégarde à l’étourderie ou à l’irréflexion. On racontait à un
enfant
la mort de Pyrrhus : Ah ! s’écria-t-il, je mourr
de l’habitude de vivre et de converser avec des hommes grossiers. Un
enfant
voit arriver sur la table un mets délicieux, et i
dans ses bras et fait cette prière : Dieux immortels, faites que cet
enfant
soit brave dans les combats et puissant sur son p
il, j’y pleure bien souvent. Donnes : peu me audit ; je ne suis qu’un
enfant
, Un petit sou me rend la vie. 130. On r
r. Pourquoi tant se hâter à sa course dernière ? C’est que le pauvre
enfant
veut gravir le coteau, Et ne point s’arrêter qu’i
es. On en trouve un bel exemple dans Athalie : Où menez-vous ces
enfants
et ces femmes ? Le Seigneur a détruit la reine de
charmante et plus belle. D’où lui viennent de tous côtés Ces
enfants
qu’en son sein elle n’a point portés ? Lève, Jéru
de ses prédictions, Qu’il vous donne ce roi promis aux nations ! Cet
enfant
de David, votre espoir, votre attente ! (Racine.
s le meurtre à l’envi triomphants, Rome entière noyée au sang de ses
enfants
. (Corneille, Cinna.) Fléchier s’est servi de l’h
is, dans vos créatures, et plus encore dans vos héritiers et dans vos
enfants
. 220. Quand on ne se contente pas de prêter du s
et d’abandon. Il est propre aux sujets simples ou badins. Dors, mon
enfant
, et que sur ta paupière Un doux sommeil verse ses
Quel astre à nos yeux vient de luire ? Quel sera, quelque jour, cet
enfant
merveilleux ? Il brave le faste orgueilleux. Et n
hœurs, et Lamartine a fait une cantate sans aucune allégorie pour les
enfants
d’une maison de charité. 445. Les poètes lyriques
mblance, et personne ne trouve supportable un spectacle où le héros,
Enfant
au premier acte, est barbon au dernier. Condu
es îles m’attendent, et les vaisseaux de la mer, pour transporter tes
enfants
et leurs trésors, pour honorer le Dieu qui t’a co
ont mon sanctuaire, et j’honorerai le lieu où reposent mes pieds. Les
enfants
de tes persécuteurs se prosterneront devant toi,
Mme Deshoulières implore la protection de Louis XIV en faveur de ses
enfants
. Dans ces prés fleuris Qu’arrose la Seine, Cherc
rraché, Ou qu’un souffle ennemi dans sa lige a séché. Mais si ce même
enfant
, à tes ordres docile, Doit être à tes desseins un
on peuple : la race des méchants ne durera pas toujours. Préparez les
enfants
à leur ruine, à cause de l’iniquité de leurs père
comte de Maistre à mademoiselle Constance sa fille. Mon très cher
enfant
, il faut absolument que j’aie le plaisir de t’écr
me consoler d’être si loin de toi ; mais prends bien garde, mon cher
enfant
, d’aimer ton papa comme s’il était à côté de toi
ne bénira jamais. Si tu en entends parler, tu n’as qu’à dire que les
enfants
gâtés réussissent toujours. Je ne veux point que
ton frère, ta sœur, t’embrassent de tout leur cœur ; et moi, ma chère
enfant
, juge si je t’embrasse, si je te serre sur mon cœ
ois, substitue au jeune Troyen son fils Cupidon. La reine caresse cet
enfant
, et, peu après, l’amour se glisse dans son cœur.
elle comme Rachel, comme Lia féconde, Son épouse eut un fils : et cet
enfant
si beau Des bienfaits du Seigneur est un gage nou
Vous pouvez maintenant m’appeler Néomi. » XX. Élégie. L’Ange et l’
Enfant
. Un ange au radieux visage, Penché sur le bor
ait contempler son image Comme dans l’onde d’un ruisseau. « Charmant
enfant
qui me ressemble, Disait-il, oh ! viens avec moi,
e de savoir, et qu’il raconte avec une grande naïveté : cet élan d’un
enfant
, cette botte saisie, cette jambe héroïque secouée
ne s’enlève pas, on les met sous verre. 2. Il compare ce germe à un
enfant
qui dort dans son berceau.
ts : Ainsi, quand l’aigle du tonnerre Enlevait Ganymède aux cieux, L’
enfant
, s’attachant à la terre, Luttait contre l’oiseau
il n’a pas ressenti les tortures de son âme paternelle en voyant ses
enfants
mourir d’inanition ; il imagine, et quelles coule
Origine de la poésie. À l’origine des sociétés, l’homme est encore
enfant
; il sent plus qu’il ne réfléchit. En présence de
e soutiens, et je ne crains point d’être démenti par l’expérience, un
enfant
qui n’est pas mal né, et qui a conservé jusqu’à v
mental, comme on l’était sous Louis XIV. 1. Comparez le portait de l’
enfant
dans Horace et Boileau. (Art poétique.) 2. Comme
ousseau, devenu homme, eut la rancune terrible et invétérée. 4. Tout
enfant
impie est un méchant ou débauché. 5. C’est un rê
! quelle ordonnance ! quelle prodigieuse variété de scènes ! Ici, un
enfant
échappé du naufrage est porté sur les épaules de
il commence par créer le pays, et qu’il a des hommes, des femmes, des
enfants
en réserve, dont il peuple sa toile comme on peup
ages avec ce riant, ce mignon, cet efféminé, ce vieux coquet-là ? Mes
enfants
, je vous préviens que ce n’est pas moi. J’avais e
. 1. Les adjectifs, ainsi que les noms en ant, ou en ent, tels que
enfant
, prudent, conservent le t au pluriel : des enfant
ou en ent, tels que enfant, prudent, conservent le t au pluriel : des
enfants
prudents. 2. En général les adjectifs en al font
sans vêtement, et couraient çà et là, cherchant un père, un mari, des
enfants
. Les uns attendaient leur sort avec une résignati
tres se livraient à toute la frénésie du désespoir. Les femmes et les
enfants
des soldats étaient venus chercher un refuge dans
prose ou de poésie. Ainsi les jolis vers de madame Deshoulières à ses
enfants
, Dans ces près fleuris Qu’arrose la Seine…, ce
e, au moment où se passe l’action, ce fait est encore dans l’avenir.
Enfants
, ainsi toujours puissiez-vous être unis, dit Joa
na Nec diversa tamen… Une mère désespérée écrit sur la tombe de son
enfant
le mot fatal de la Bible : Et noluit consolari ;
gnée, le mot consolant de l’Evangile : Laissez venir à moi les petits
enfants
. On voit bien, dirait Jean Jacques, que ce n’est
En attendant, c’est une œuvre utile que de présenter à l’étude de nos
enfants
et à la méditation de tous ceux qui veulent pense
rd un sang vil soit versé ? C’est-à-dire, dans l’un et l’autre cas l’
enfant
doit périr. De même saint Charles Borromée, accus
dre Hippias, son fils d’adoption, n’est pas moins touchante : O cher
enfant
que j’ai nourri et qui m’as coûté tant de soins,
es, n’est plus un bien qui me regarde. Antiloque, Pisistrate, ô chers
enfants
! je crois que c’est aujourd’hui que je vous perd
es affaires, ce serait mettre le masque et le cothurne d’Hercule à un
enfant
. Racine a mis en relief le ridicule qui s’attache
ressera la parole à des cires faibles ou dominés par la passion : les
enfants
, les vieillards, les puissants et les riches récl
vec une piété touchante cette charmante observation de son père : Un
enfant
a-t-il quelque chose à demander à ses parents, il
ou distrait, qu’elles devaient être mises à la portée d’un tout jeune
enfant
, enfin que la richesse et la propriété des expres
uction précipitée. C’est commettre cette erreur que de dire comme les
enfants
: puisque le chant, la, danse et les voyages sont
de Paul par le spectacle des misères auxquelles étaient condamnés les
enfants
trouvés. Cette éloquence du cœur est assurée de t
ditoire composé des dames de la cour et au même instant l’hôpital des
Enfants
trouvés fut fondé et doté de quarante mille livre
on et la charité vous ont fait adopter ces petites créatures pour vos
enfants
. Vous avez été leurs mères selon la grâce, depuis
i ne sent la différence entre ces deux formes de la même pensée : Un
enfant
souffrant, dénué de tout, destiné à sauver le mon
hiver, naissait sur la paille, débile, souffrant et dénué de tout, un
enfant
destiné à sauver le monde. Cette inversion a l’a
et de contraste, ces épithètes débile, souffrant et dénué de tout, un
enfant
destiné à sauver le monde. Ces exemples suffisen
’un gendre puisse à ma fille reprocher ses parents et qu’elle ait des
enfants
qui aient honte de m’appeler leur grand’maman. E
de l’ennui, et le plaisir fuit en proportion qu’on le recherche. Les
enfants
des souverains n’ont plus rien de nouveau à voir,
re : Le plaisir fuit en proportion qu’on le recherche, parce que les
enfants
des souverains n’ont plus rien de nouveau à voir,
sont très-familières aux êtres les plus passionnés, c’est-à-dire aux
enfants
et à la foule non moins qu’aux poëtes et aux orat
: Pour comble de prospérité, Il espère revivre en sa postérité, Et d’
enfants
, à sa table, une riante troupe Semble boire avec
n charme poétique et une émotion touchante au tableau de la mort : L’
enfant
tombe dans son sang ; ses yeux se couvrent des om
uoi il préférait la paix à la guerre : C’est que pendant la paix les
enfants
ensevelissent leurs pères et pendant la guerre le
issent leurs pères et pendant la guerre les pères ensevelissent leurs
enfants
. Aristote, a propos des âges : La jeunesse vit
n de Médée est rendue plus saisissante par le contraste de ses jeunes
enfants
caressant leur mère et souriant au poignard qui v
fissent en pareille occasion. Bossuet, obligé de rappeler devant les
enfants
de Charles Ier la mort horrible de leur père et l
: Voyez, Seigneur, mon affliction ! Mon ennemi s’est fortifié et mes
enfants
sont perdus. Le cruel a mis sa main sacrilège sur
les tuyaux de poêle et les ramoneurs ; il les appelle : Ces honnêtes
enfants
, Qui de Savoie arrivent tous les ans, Et dont la
e bonheur !... O douce voix, je t’entends enfin ! Athalie aperçoit l’
enfant
qui doit la frapper ; Pendant qu’il me parlait,
; Pendant qu’il me parlait, ô surprise ! ô teneur ! J’ai vu ce même
enfant
dont je suis menacée. Bossuet épouvanté par la m
aît l’apostrophe d’Henri IV à ses soldats avant la bataille d’Ivry :
Enfants
! si vous perdez vos enseignes et vos guidons, ra
mort. A cette nouvelle : « Gorgias, dit-il, fidèle gouverneur de mes
enfants
, cachez-les, veillez sur eux, et faites qu’ils pu
barbares, l’Église romaine recueillit l’esprit humain comme un pauvre
enfant
que dans le sac d’une ville on trouve expirant su
it davantage ; elle lui prodigua tous ses soins, jusqu’au jour où cet
enfant
devenu homme s’est appelé Descartes, Bacon, Galil
uvent réunies dans cet admirable tableau de Racine : J’ai vu ce même
enfant
dont je suis menacée Tel qu’un songe effrayant l’
la douceur, il ne vaudrait pas mieux me ramener (communication). Nos
enfants
, nos amis, nos voisins, tout le monde nous voit f
ue sou village et son troupeau, une nourrice attendrie pour son petit
enfant
. Je veux qu’il me fasse penser, non à lai et à so
Racine, frappé de cet te alliance de mots, la faisait admirer à ses
enfants
et, plus d’une fois, il a cherché à produire un e
sar dont il montre et compte les blessures. — Agrippine suivie de ses
enfants
en deuil porte jusqu’à Rome l’urne qui contient l
ur de se complaire dans son ouvrage avec les yeux d une mère pour son
enfant
nouveau-né. 3° Reprendre pour le corriger, le tr
es, Met pour le voir passer les poissons aux fenêtres, Peint le petit
enfant
qui va, saute, revient. Et joyeux, à sa mère, off
et Rome inondée de sang ; vous n’avez pas vu Carus Métius accuser les
enfants
d’avoir pleuré leirr père ; vous n’avez pas vu tr
c’est elle-même qui.de cet autel vous crie par ma boucher :, « O mes
enfants
, pourquoi m’élever des autels si vous me déchirez
ue et de l’apothéose. Que de grands hommes nous avons érigés dont nos
enfants
démoliront les statues ! 8. Du parallèle. — La c
es mois, Du bout de l’horizon accourt avec furie Le plus terrible des
enfants
Que le Nord eût portés jusque-là dans ses flancs.
les facultés physiques, intellectuelles, morales et religieuses de l’
enfant
; c’est par là qu’elle devient pour lui la prépar
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