hommes, au milieu des révolutions des âges, et du bouleversement des empires . La religion se présente à nous, relativement à s

genre humain, la distribution des terres, l’origine des sociétés, des empires et des arts. Il renferme la base de toutes nos co

Histoire civile Tous les événements qui se sont passés dans les empires et les divers états de la terre, sont la matière

’est-à-dire, à la fin du quatrième siècle, époque de la division de l’ empire romain, en empire d’orient et en empire d’occiden

fin du quatrième siècle, époque de la division de l’empire romain, en empire d’orient et en empire d’occident. Il y en a même

e, époque de la division de l’empire romain, en empire d’orient et en empire d’occident. Il y en a même qui terminent l’histoi

n a même qui terminent l’histoire ancienne à la fondation d’un nouvel empire d’occident par Charlemagne, couronné empereur en

le pinceau, dit l’abbé Batteux 115, rassembler les fastes de tous les empires , les monuments de tous les faits, être sûr de les

qu’à l’imitation de ces actions d’éclat, qui ont fixé la destinée des empires et le sort des peuples : au lieu que nous ne juge

te de Persée, dernier roi de Macédoine, jusqu’à la sixième année de l’ empire de Tibère. Cet auteur est exact dans la chronolog

ceux qui nous découvrent les causes des changements arrivés dans les empires . L’objet de l’orateur historien est de faire voir

quand on possédera bien l’histoire romaine, jusqu’à l’extinction de l’ empire . C’est le moyen de saisir toute la justesse, tout

temps ; de troubles, et connaître même les différends survenus dans l’ empire d’Allemagne ? On peut lire l’excellent ouvrage qu

ouvrage que le P. Maimbourg, jésuite, a publié sur la Décadence de l’ Empire  ; livre estimé même par les plus savants d’entre

istoire ». On estime principalement son Histoire de la décadence de l’ Empire après Charlemagne ; son Histoire des Croisades ;

e écrivain dans ses Révolutions d’Espagne, depuis la destruction de l’ empire des Goths, jusqu’à l’entière et parfaite réunion

rs, où le vice a même perdu la honte ? Les dieux protecteurs de votre empire dérobèrent Marc-Aurèle à ce danger : son père le

té, c’est celui où Marc-Aurèle est représenté comme prêt à abdiquer l’ Empire , dont le fardeau l’épouvante. « Épouvanté de mes

qui est à des distances immenses de lui, et que tous les lieux de son empire fussent rassemblés, en un seul point, sous son re

rible ; et je fus un instant résolu : oui, je fus résolu d’abdiquer l’ empire … » Je ne m’arrêtai pas longtemps à ce projet de r

l’empire… » Je ne m’arrêtai pas longtemps à ce projet de renoncer à l’ empire . Je vis que l’ordre des dieux m’appelait à servir

l’harmonie de l’univers t’apprenne quelle doit être l’harmonie de ton empire . Les préjugés et les passions qui dominent tant d

t’égarer. » Viennent ensuite les députés de toutes les nations de l’ empire , qui apportent successivement à la cendre de Marc

était une foule d’étrangers et de citoyens de toutes les parties de l’ empire . Les uns se trouvaient depuis longtemps à Rome ;

et Cassius. D’après le partage que les Triumvirs s’étaient fait de l’ empire , Antoine avait pour lui l’orient. Il s’y livra à

ra, l’an 31 avant J.-C., cette grande bataille navale qui décida de l’ empire du monde. Antoine vaincu, s’enfuit précipitamment

bienfaiteur, se préparaient à lui déférer le titre de roi dans tout l’ empire , excepté dans l’Italie. On convient du moins asse

les qualités de son âme. Il avait même refusé, à la mort d’Auguste, l’ Empire que les soldats lui offraient. Le cruel Tibère, s

l détrôna son père, et partagea avec ses frères, Neptune et Pluton, l’ empire du monde, se réservant pour lui le ciel et la ter

s que Saturne eut été chassé du ciel, ses trois fils se partagèrent l’ Empire du monde ; et Neptune eut celui de toutes les mer

ations et ses richesses, que par sa valeur et ses armes ; parvint à l’ Empire de toute la Grèce, sous le titre de généralissime

ite du Rhin. Elle est, par ses fortifications, un des boulevards de l’ Empire . Pignerol, petite ville d’Italie, où Louis XIV a

royaume des enfers lui échut lorsque ces trois dieux se partagèrent l’ Empire du monde. On le représente assis sur un trône d’é

, et passait pour le plus heureux prince de toute l’Asie, lorsque son Empire fut détruit par les Grecs. Après avoir vu périr t

e par Jules César, qui s’en fit nommer dictateur perpétuel, devint un Empire sou Auguste, son fils adoptif, qui en fut reconnu

rist. Rome était alors maîtresse du monde entier ; mais ce trop vaste Empire romain fut divisé, l’an 396 de l’ère chrétienne,

trop vaste Empire romain fut divisé, l’an 396 de l’ère chrétienne, en Empire d’occident, dont Rome fut la capitale, et qui fut

pitale, et qui fut détruit par les barbares du Nord, l’an 475 ; et en Empire d’orient, qui avait pour capitale Constantinople,

. Ses propres sujets se révoltèrent contre lui ; et des débris de son empire , qui finit l’an 770 avant Jésus-Christ, se formèr

d’analyse grammaticale Phrase à analyser. « Religion, quel est ton empire  ! que de vertus te doivent le humains ! Oh ! qu’i

trophe ou au vocatif. quel. Adj. indéfini, m. sing., se rapportant à empire . est. Verbe être, 3e pers. du sing. du prés. de

l’indicatif ; irrégulier. ton. Adj. possessif, m. sing., déterminant empire . empire. Nom com. m. sing., sujet de est. que.

if ; irrégulier. ton. Adj. possessif, m. sing., déterminant empire. empire . Nom com. m. sing., sujet de est. que. Pour comb

épide, qui s’était joint à ce dernier. Tous les trois se partageant l’ Empire et le pouvoir suprême pendant cinq ans, formèrent

ntôt Octave, vainqueur en Sicile, dépouilla Lépide de sa portion de l’ Empire , et ne tarda pas à se brouiller avec Antoine, qu’

e Prince, d’Auguste et de Père de la Patrie. Depuis son avènement à l’ Empire , Auguste fut l’idole des Romains. Il ne régna que

voir régné seul 44, et avoir adopté Tibère, qu’il s’était associé à l’ Empire . Aurore, fille, selon la fable, de Titan et de l

e très célèbre d’Asie, située sur l’Euphrate, et capitale de l’ancien empire des Assyriens. Elle fut prise l’an 558 avant Jésu

de le remplacer, l’avait nommé dans son testament son successeur à l’ Empire . Mais ce jeune héros mourut d’une chute de cheval

Cybèle. Elle était sœur et en même temps femme de Jupiter, déesse des empires , et reine des Dieux. Elle présidait aux mariages

nt avec Julie, sa fille, l’adopta pour son fils et son successeur à l’ Empire . Ce dernier, mort à la fleur de son âge, est le m

et son archevêque, le premier des électeurs et grand-chancelier de l’ Empire , a le droit de présider dans les assemblées génér

rouva à toutes les batailles que livra Auguste, avant de parvenir à l’ Empire , et en fut toute sa vie le principal favori et le

verain. Il s’y est tenu plusieurs diètes ou assemblées générales de l’ Empire , entre autres, celle de 1521, au sujet des troubl

ontrée dont Cyrus était devenu l’héritier, son royaume de Perse, et l’ empire d’Assyrie qu’il avait conquis, ayant été réunis,

ait conquis, ayant été réunis, vers l’an 338 avant J.-C., formèrent l’ empire des Perses, le plus grand qui eût existé jusqu’al

t naître pour commander au reste des hommes, lui avait donné un air d’ empire et de dignité dans ses manières ; mais cet air de

la création à la naissance de Jésus-Christ (ou jusqu’à la ruine de l’ empire d’Occident, en 476) ; celle du moyen âge, de la n

de prendre le pinceau, il faudrait rassembler les fastes de tous les empires , les monuments de tous les faits ; être sûr de le

res de la domination persienne, pour assurer de tous côtés son nouvel empire , ou plutôt pour contenter son ambition et rendre

t respecté, non pas comme un conquérant, mais comme un dieu. Mais cet empire formidable qu’il avait conquis ne dura pas plus l

ids. Mais ce qu’il y avait de plus funeste pour sa maison et pour son empire , est qu’il laissait des capitaines à qui il avait

n qui devait suivre sa mort. En effet, vous avez vu le partage de son empire et la ruine affreuse de sa maison. La Macédoine,

race. S’il fut demeuré paisible dans la Macédoine, la grandeur de son empire n’aurait pas tenté ses capitaines, et il eût pu l

à sa gloire que si jamais homme a été capable de soutenir un si vaste empire , quoique nouvellement conquis, ç’a été sans doute

squ’à l’imitation de ces actions d’éclat qui ont fixé la destinée des empires et le sort des peuples ; au lieu que nous ne juge

cent avec fureur contre l’ennemi qui se présente pour leur disputer l’ empire . Les peuples, à grands flots, se précipitent sous

gements nécessaires qu’il amène d’âge en âge ? Que me fait, à moi, un empire qui tombe ? Un passereau qui meurt me touche dava

aux au fort de leur martyre, Pour vos prospérités et pour l’heur de l’ empire . Et ailleurs : J’ai vu, Ciel, tu le sais par le

ront plus fortes que les leurs propres ; ils verront sans jalousie un empire s’élever au milieu de leur empire, des lois au-de

pres ; ils verront sans jalousie un empire s’élever au milieu de leur empire , des lois au-dessus de leurs ; un empire s’élever

e s’élever au milieu de leur empire, des lois au-dessus de leurs ; un empire s’élever au-dessus du leur, non pour le détruire,

chasser d’eux l’esprit mauvais, il faut n’être pas soi-même sous son empire . Sachez donc, vous qui vous croyez investis de l’

tendue du savoir une profonde sagesse ; aux charmes de l’éloquence, l’ empire de la vertu ; à l’élévation des dignités, un amou

ont inséparables : le philosophe et l’orateur possédaient en commun l’ empire de la sagesse ; ils entretenaient un heureux comm

vit autrefois le plus grand de ses orateurs jeter les fondements de l’ empire de la parole sur la connaissance de l’homme et su

l’étude de la morale qu’il avait reçu des mains de la raison même cet empire absolu, cette puissance souveraine sur l’âme des

y approfondit les institutions et les maximes qui donnèrent à Rome l’ empire du monde. Dans le Dialogue de Sylla et d’Eucrate,

s que les fourmis ont mises sur votre chemin1 Les Romains sous l’ empire C’est ici qu’il faut se donner le spectacle d

ui suivirent ; je dirai seulement que, sous les derniers empereurs, l’ empire , réduit aux faubourgs de Constantinople, finit co

l pour connaître des entreprises tentées contre le peuple romain, son empire , sa dignité. Auguste le premier rangea parmi ces

genoux voit l’univers trembler, Et, subissant lui-même un tyrannique empire , Éprouve, en l’ordonnant, la frayeur qu’il inspir

Etat qui fût dans la décadence qu’il entreprit de renverser, mais un empire naissant. Les Moscovites se servirent de la guerr

ses ennemis éternels et par l’espérance de la conquête de l’Asie. Un empire cultivé par la nation du monde la plus industrieu

, il le suit de si près, qu’il ne lui laisse aucune retraite dans son empire . Darius n’entre dans ses villes et dans ses provi

tir : les marches d’Alexandre sont si rapides, que vous croyez voir l’ empire de l’univers plutôt le prix de la course, comme d

nité de villes, et il cimenta si bien toutes les parties de ce nouvel empire , qu’après sa mort, dans le trouble et la confusio

où vous puissiez souscrire, J’ai parcouru des yeux la cour, Rome et l’ empire . Plus j’ai cherché, madame, et plus je cherche en

Et ne peut dignement vous confier qu’aux mains A qui Rome a commis l’ empire des humains. Vous-même, consultez vos premières a

ius à son fils les avait destinées ; Mais c’était en un temps où de l’ empire entier Il croyait quelque jour le nommer l’hériti

rononcé. Loin de leur contredire, C’est à vous de passer du côté de l’ empire . C’est à vous de passer du côté de l’empire. En v

us de passer du côté de l’empire. C’est à vous de passer du côté de l’ empire . En vain de ce présent ils m’auraient honoré Si

il fallût m’exercer. J’aime Britannicus. Je lui fus destinée. Quand l’ empire devait suivre son hyménée ; Mais ces mêmes malheu

os désirs : Vos jours toujours sereins coulent dans les plaisirs1 ; L’ empire en est pour vous l’inépuisable source ; Ou, si qu

uvième siècle, et l’écrivain qui, depuis Voltaire, a exercé le plus d’ empire sur les intelligences. Laissons de côté le person

au dehors des raisons pour s’en convaincre, il va sur les ruines des empires , il oublie qu’il est lui-même une ruine encore pl

ce propriétaire du monde qui avait voulu rassembler une image de son empire dans son jardin. Je rappelais les événements qui

ue des imitations d’autres monuments répandus dans les provinces de l’ empire romain : le véritable temple de Sérapis à Alexand

ant le Dieu que sa voix célébra. 1. M. de Lamartine a dit : Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses sacrés t

psalmiste, élançant sa flèche dans les airs, Seul partage avec lui l’ empire des déserts. Le colibri doré sur les fleurs étinc

ne, en détournant le cours de l’Euphrate par des saignées, et fonda l’ empire des Perses, une des plus grandes monarchies qui a

l’an 529 avant J.C., après avoir permis aux Juifs dispersés dans son empire , de retourner en Judée, et de rebâtir le temple d

émouvoir ; c’est sur les passions douces qu’il a en général le plus d’ empire . Personne n’a connu, comme lui, la force et le po

vue est grande. Tous deux ont eu les mêmes succès, ont exercé le même empire sur les âmes. Mais il est facile de concevoir auj

ra avec lui. Rien de moins surprenant : la liberté n’était plus, et l’ empire romain devenait la proie d’une longue suite de ty

. de Lacépède, dans le morceau intitulé : Causes de la décadence de l’ empire romain, nous présente une page où sont réunies ce

esquisse avec la plus grande lucidité les causes de la décadence de l’ empire romain. Il nous en montre le germe dans la jalous

le défaut d’institutions, la domination militaire ; la vénalité de l’ empire  ; le nombre considérable des empereurs ; puis enf

urs ; puis enfin l’arrivée des Barbares. Causes de la Décadence de l’ Empire romain À peine Rome était-elle née, qu’elle porta

ndépendance s’éteignent ou sont immolés. Actium décide du maître de l’ empire . La liberté est sacrifiée à un repos perfide, que

nt un pouvoir qui bientôt devait leur échapper. Les soldats vendent l’ empire  : plus de discipline, plus d’obéissance militaire

ut île sanglantes guerres civiles, partout d’effroyables massacres. L’ empire romain s’épuise, n’inspire ni respect, ni affecti

t le Nord. Le mal s’accroît au lieu de diminuer, par la division de l’ empire , que l’on partage entre les enfants des princes,

Les bons font place aux pires. Ce royaume effrayant, fait d’un amas d’ empires , Penche… Il nous faut ton bras ! Au secours, Char

 ; là, le luxe, l’ambition et le vain désir de paraître exercent leur empire sans résistance. Tout s’y fait par une chaleur in

oup porte si loin : quand il veut lâcher6 le dernier et renverser les empires , tout est faible et irrégulier dans les conseils.

’avaient pas dessein de donner des maîtres à leurs successeurs et à l’ empire . En un mot, il n’y a point de puissance humaine q

uite réglée1. (Discours sur l’histoire universelle, iii e partie, les Empires .) Acte de foi Vous êtes tout-puissant, ô

le Lazare décédé, il vient visiter la nature humaine qui gémit sous l’ empire de la mort. Ah ! cette visite n’est pas sans caus

bâtir dans un meilleur ordre ; il entrera pour un peu de temps dans l’ empire de la mort, mais il ne laissera rien entre ses ma

rre 3 Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

la vertu soit aidée, que les voies du ciel soient élargies, et que l’ empire de la terre serve l’empire du ciel. » (Oraison fu

es voies du ciel soient élargies, et que l’empire de la terre serve l’ empire du ciel. » (Oraison funèbre d’Henriette de France

e est beaucoup plus considérable. Dès le iie  siècle, les digues de l’ Empire avaient fléchi, et de lentes infiltrations ne ces

gne choisit Aix-la-Chapelle pour sa résidence, le démembrement de son empire rendit la prééminence à l’idiome roman, comme le

autre la langue d’Oil, dont le domaine fut le Centre et le Nord. Leur empire est séparé par le cours de la Loire. Elles diffèr

issamment à raviver quelques souvenirs antiques, et la fondation d’un empire latin à Constantinople rétablit des relations féc

ns des Turcs apprirent bientôt le chemin de l’Italie aux savants de l’ empire grec. En 1396, Chrysoloras faisait à Florence ses

s appelé du dehors, comme ceux qui m’ont précédé, ni enorgueilli de l’ empire , comme si je l’avais acheté ; mais seul parmi tan

mes de la guerre, si vous étendez jusqu’à l’Océan les frontières de l’ empire romain, vous acquerrez pour vous une riche moisso

uint, enpereur d’Allemagne, roi d’Espagne et des deux Siciles, céda l’ empire à Ferdinand, son frère, en 1556. L’année précéden

au droit civil, aux lois ; car ce sont là les véritables appuis d’un empire . En finissant, je n’ai plus qu’un vœu à former :

aille mettra un terme à vos travaux, vous assurera la possession de l’ empire romain, de ses trésors, et vous rendra maîtres de

ternatives de la fortune, l’autorité suprême nous suivra partout et l’ empire nous accompagne. Quand le temple du Capitole fut

r mes ancêtres. Jamais nous ne sommes restés inactifs, depuis que cet empire a été transporté des Mèdes aux Perses, depuis que

tès à couler sous nos lois, pourquoi hésiter à ajouter encore à notre empire l’Hyphase et les nations placées au-delà de ce fl

t, et les bornes que Dieu a posées à l’univers seront celles de notre empire . Mais si nous rebroussons chemin maintenant, nous

ssent de leur tendre une main secourable, et de ne pas souffrir qu’un empire si glorieux, qui nous a été laissé par nos ancêtr

qui les dieux ont accordé la souveraineté de toutes choses ; c’est l’ empire , qui chancelle et ne repose sur aucun appui solid

nouvelles du parti contraire, disent que les soldats qui ont vendu l’ empire à un rival, ne seront pas pour lui des gardiens f

hors, sont faibles chez eux. Leur ville doit être emportée avant leur empire , l’Italie, avant les provinces. Les Gaulois ne se

né à la Sorbonne le 2 août 1867. Traduction de la matière. Élevé à l’ empire par les légions d’Illyrie, Sévère, avant d’entrer

e, des révoltes continuelles, le meurtre de Pertinax, la majesté de l’ empire romain avilie, vendue à l’encan. Telles sont les

ui vous appartenait, ou comme l’héritage d’un simple particulier, cet empire entouré de tant de gloire, cet empire que nos anc

ge d’un simple particulier, cet empire entouré de tant de gloire, cet empire que nos ancêtres obtenaient grâce à une vertu sup

éfinitivement à Bagdad, qui fut pendant cinq siècles la capitale de l’ empire arabe. Il y eut aussi des califes eu Égypte, et à

se. 44. Dévouement de saint Paulin. Lors de la dissolution de l’ empire romain, les Vandales, peuple barbare, originaire

en, une persécution terrible contre les chrétiens s’éleva dans tout l’ empire , et ne survit, en général, qu’à faire éclater la

ble. Le gouvernement japonais ferma aux Européens tous les ports du l’ empire , et, depuis ce temps, il n’est permis qu’aux Holl

la finit par l’emporter, et devint maître absolu de Rome et de tout l’ Empire romain, sous le titre de dictateur perpétuel, dig

me Sévère, empereur des Romains (de 193 à 211), laissa, en mourant, l’ empire à ses deux fils Géta, âgé de 22 ans, et Caracalla

e et l’appui de sa vertu : « si Papinien le proclame innocent, tout l’ empire le croira. » Refus de Papinien. Le tyran s’irrite

e, dans la Perse. Enfin ils ont passé l’Euphrate qui séparait alors l’ empire d’Orient du royaume de Perse ; ils tombent à geno

ourage, les remercie du service signalé qu’ils viennent de rendre à l’ empire , et leur dit qu’ils ont fait plus pour la prospér

Clovis, qui, après la mort de leur père, avaient partagé entre eux l’ empire des Francs, Clodomir, fut tué en 524, dans une ba

t 103. Fausta. Maximien, ami de Diodétien, fut associé par lui à l’ empire en 292, et eut à gouverner la moitié du monde rom

en abdiqua, en 305, Maximien imita son exemple, mais à contre-cœur. L’ empire se trouva partagé entre quatre princes, dont l’un

on glaive dans le corps de l’homme qui y est couché, et s’écrie : « L’ empire est à moi ! » Vous pouvez aussi réserver ce récit

onstantin embrassa la religion chrétienne, et devint seul maître de l’ empire romain16. 104 et 105. Roger de Sanguinet. S

sade était commencée depuis quatre ans. Les croisés avaient détruit l’ empire des Turcs Seldjoncides, vaincu une armée persane,

us nous arrêtons ici. D’ailleurs, nous ne pourrions établir ici qu’un empire éphémère. Et Dieu nous abandonnera si nous abando

an II, qui régna de 1520 à 1566, fut le plus célèbre des sultans de l’ empire ottoman, qui arriva sous lui à l’apogée de sa gra

x Français qu’il veut être leur père, s’il détruit la capitale de son empire  ? Les assiégés ne sont-ils pas ces mêmes Parisien

te entreprise, et surtout les talents de Narsès. Narsès, général de l’ empire d’Orient, avait reconquis l’Italie sur les Ostrog

résolut d’en profiter. C’était un des plus puissants personnages de l’ empire , nommé Santabarène, intrigant et fourbe. Il s’éta

à Constantinople, à Smyrne, à Salonique et dans d’autres villes de l’ empire . Convaincus que la fermentation pouvait prendre u

jeune Turc fut épargné. » La Grèce, avant 1821, faisait partie de l’ empire ottoman et était cruellement tyrannisée par les T

. Ce supplice humain n’était que trop fréquent alors, surtout dans l’ empire d’Orient. 25. Vespasien ; c’est son fils Titus

ecta. corrigé. 1. Fabius Cunctator fut appelé le bouclier de l’ empire Romain. — 2. Le consul Cicéron fut appelé le père

mò Romani. corrigé. Des parties de la terre, des nations et des empires . La terre se divise en trois parties : la prem

es Maures, les Numides, les Carthaginois, les Gétules. Il y a eu sept empires célèbres : les Assyriens possédèrent l’empire les

étules. Il y a eu sept empires célèbres : les Assyriens possédèrent l’ empire les premiers ; puis les Mèdes, ensuite les Perses

qui fut ensuite appelée Carthage, et devint la rivale opiniâtre de l’ empire Romain. version 12. De fabulosis numinibus.

n caractère différent. Romulus, premier fondateur de la ville et de l’ empire , fut d’un caractère farouche ; il tua son frère R

 2. Le peuple Romain refusa la préture à Caton. — 3. Auguste laissa l’ empire à Tibère son beau-fils. — 4. Tibère rendit le roy

on. — 14. La trop grande puissance de Carthage était un danger pour l’ empire Romain. — 15. Mille genres de mort différents men

aturne avait d’abord régné seul ; mais Jupiter, devenu grand, ravit l’ empire à son père, et le partagea avec ses frères Neptun

t le partagea avec ses frères Neptune et Pluton. Dans le partage de l’ empire , Jupiter obtint le royaume du ciel, d’où il lança

ocabantur. corrigé. Exil de Saturne. Saturne, dépouillé de l’ empire par son fils Jupiter, fut d’abord chargé de chaîn

urs au sentiment de ceux qui l’écoutent. — 8. La Judée fut réunie à l’ empire Romain sous le règne de Vespasien. — 9. L’éloquen

onsultait les astrologues ; Thrasylle, l’un d’eux, lui avait promis l’ empire . — 11. La Providence de Dieu veille sur la vie de

daction de ses lois cent huit ans avant la première Olympiade. — 8. L’ empire passa des Assyriens aux Mèdes, dit l’historien Ve

t ad Claudii principatum. — 14. In diem vivimus. corrigé. 1. L’ empire de la Grèce appartint d’abord aux Athéniens ; les

vaincus par les Macédoniens : ceux-ci ajoutèrent en peu de temps à l’ empire de la Grèce, l’Asie conquise par la force des arm

de mort volontaire, soit par accident, et la Cappadoce fut réunie à l’ empire Romain. — 10. Hipparque a calculé d’avance le cou

mè bis mille et sexcentis decem. Corrigé. Origine troyenne de l’ empire Romain. Les Troyens s’établirent dans le Latiu

grandeur d’âme extraordinaire du peuple Romain ! ô peuple digne de l’ empire du monde, digne de l’admiration des hommes et de

iviles, dans lesquelles ce prince ne fut jamais vaincu. Il ajouta à l’ empire romain l’Égypte, la Cantabrie et la Dalmatie, qui

èrent Césarée. A sa mort, il fut mis au rang des dieux. Il laissait l’ empire dans un état très-prospère à Tibère son successeu

et tout le monde l’aurait, d’un consentement unanime, jugé digne de l’ empire , s’il n’avait été empereur. — 5. C’est la coutume

que l’astrologue Ptolémée lui avait persuadé qu’il serait appelé à l’ empire . — 7. Tite-Live ne pense pas que les Romains euss

il inventa l’art de la statuaire. — 9. Pyrrhus, roi d’Épire, rêvant l’ empire du monde, et voyant que les Romains étaient puiss

ces objets de notre tendresse. Ce jour consolidera ou renversera cet empire , le plus vaste qu’aucun âge ait vu. Pour ce qui m

e la guerre punique, le genre humain était en suspens, incertain si l’ empire du monde appartiendrait aux Romains ou aux Cartha

les dieux immortels voulant s’assurer si la vertu romaine méritait l’ empire du monde. — 5. C’est une question de savoir si la

corrigé. Parallèle entre les forces d’Alexandre et celles de l’ empire Romain. Je veux examiner quelles auraient été,

mal à la République. — 2. Qui peut douter que celui qui posséderait l’ empire de l’univers ne fût le plus puissant des rois ? M

le courage des soldats Romains, s’écria : « Oh ! que la conquête de l’ empire du monde eût été facile, ou pour moi avec des sol

sentant que le poids de l’âge le rendait moins capable de gouverner l’ empire , quitta les insignes du pouvoir suprême pour repr

ie humaine. — 7. Vitellius [illisible chars][texte coupé]e gouverna l’ empire que par les conseils et au gré des [illisible cha

s, que, s’ils avaient voulu les observer toujours, ils auraient eu un empire éternel. — 6. La douleur est un mal si petit, que

paraît avoir trop de talent pour qu’on le compare avec Lysias. — 6. L’ empire Romain était trop grand pour pouvoir être abattu

auxilii ferendi reliquerit. corrigé. 1. Il n’y eut pas, sous l’ empire Romain, de jour plus mémorable que celui où les d

mettra tes vertus en mémoire. » — 11. Le peuple Romain a lutté pour l’ empire avec les Latins, les Samnites, les Carthaginois,

ès de verbiage ? Après qu’Annibal avait combattu tant d’années pour l’ empire du monde avec le peuple Romain vainqueur de toute

plus sûrement à rendre service à son pays. — 5. C’en était fait de l’ empire Romain, si la conjuration de Catilina n’eût coïnc

ent de voir cette argenterie. — 3. Auguste, après avoir consolidé son empire , n’eut rien de plus à cœur que d’effacer le souve

prince plein de douceur, si on le juge à partir de son avénement à l’ empire  ; car, dans sa jeunesse, il s’abandonna au feu de

qui maximè. (1). Vitellius avait pris les armes pour lui disputer l’ empire . (1). Sous-entendu agit. (1). Le courage est ic

accablais ses sujets, qui sont nés pour être libres sous son glorieux empire . Tes maisons ne sont plus qu’un amas de pierres.

s s’étaient déjà partagées, vous êtes encore dans l’enceinte de notre empire . Provinces, qu’ils avaient déjà ravagées dans le

vous osez, sans mon aveu, troubler le Ciel et la Terre et ravager mon empire  ! Si je… Mais il s’agit de calmer les flots : un

, Ne fasse voir du Styxb la rive désolée, Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des D

tout dans les abîmes de l’éternité. Les siècles, les générations, les empires , tout va se perdre dans ce gouffre. Tout y entre,

n avait placé les dieux des anciens. Comme depuis la destruction de l’ empire des Césars nous n’avons presque jamais eu d’indép

ça si longtemps la fortune de Jules. Il semblait que par cette mort l’ empire des Gaules, en échappant aux Romains, passait aux

pour se présenter une dernière fois au peuple. Il sentait à la fois l’ empire et la vie lui échapper : un messager arrivé des G

t ici-bas, il faut pourtant convenir que les noms qui survivent à des empires , et qui immortalisent des temps et des lieux, son

ssie et l’Angleterre, effrayées des agrandissements territoriaux de l’ empire français, avaient conclu le 11 avril 1803 un trai

t que je suis seul et cloué sur ce roc, qui bataille et conquiert des empires pour moi ? Où sont les courtisans de mon infortun

on sujet, les révolutions de la société en Gaule depuis la chute de l’ empire romain, il a montré plus de profondeur dans l’ana

eu de tant d’agitations, des mesures savamment combinées assuraient l’ empire des communes et le succès de leurs desseins. À l’

d’innovation au dix-huitième. Le dix-neuvième siècle s’écoule sous l’ empire d’esprits divers, simultanément actifs et puissan

l’ait battre le cœur, car il est absurde de borner l’imagination a l’ empire des images175. Le cœur une fois ému ébranle tout

ù ils entrèrent en lutte avec les Romains, les Franks étendaient leur empire sur les côtes de la mer du Nord, depuis l’embouch

ation avait un double but, celui de gagner du terrain aux dépens de l’ empire et celui de s’enrichir par le pillage des provinc

s par les mouvements de troupes qui avaient lieu d’une frontière de l’ empire à l’autre, toute la confédération, chefs, hommes

Clovis est l’homme politique. C’est lui qui, dans la vue de fonder un empire , mit sous ses pieds le culte des dieux du Nord et

XIV209 ; et quant à la féodalité, loin qu’elle soit venue morceler un empire embrassant régulièrement toute la Gaule, c’est le

ment à Vidée d’une subordination universelle de tous les royaumes à l’ empire d’Allemagne, comme décoré d’un titre anciennement

e la Neuvième lettre sur l’histoire de France. Démembrement de l’ empire de Karl le Grand213 C’est une erreur de croi

es, prirent en général parti contre l’empereur, c’est-à-dire contre l’ empire , qui était pour les Gaulois indigènes un gouverne

Peu de temps après, la Germanie elle-même, jusqu’alors si fidèle à l’ empire , sépara sa cause nationale de celle des nouveaux

cond, qui n’était que roi. Bientôt la question de la prééminence de l’ empire sur les royaumes se débattit à main armée entre l

ui-même apprenant que ses deux frères marchaient sur la capitale de l’ empire , il l’abandonna en grande hâte, après avoir enlev

unes aux autres : de longues luttes s’engagent, qui fondent de grands empires aussitôt renversés qu’établis ; une race surnage

e ces terres et y domine seule, tenant les autres sous ses pieds. Cet empire à peine créé entre en contact avec l’Europe. Là a

dent, s’élève, grandit rapidement, et dans les cadres immenses de son empire engloutit la race grecque et ses conquêtes. Cet a

la même ardeur. En 1840, il commençait l’Histoire du Consulat et de l’ Empire 261 qu’il achevait après quinze années d’un trava

s de la Ligurie, qui lui apprenaient que M. de Mélas, toujours sous l’ empire des plus grandes illusions, mettait tout son zèle

érant, jetant au hasard le bien ou le mal, tour à tour renversant des empires ou édifiant une chaumière, de tels caprices sont

avait nommé secrétaire de ses commandements), il ne voulut donner à l’ Empire aucun gage qui pût faire douter de sa fidélité au

on sort vous daignez vous instruire, Apprenez qu’Étéocle, enivré de l’ empire , Me bravant sans respect, moi, son roi, son aîné,

, fiers autans, doux zéphire ! Vous tous à qui des airs il partagea l’ empire , Ô vents, remplissez l’air du nom de votre roi !

’âme altière ; J’ai vu les chevaliers, le sénat, Rome entière, Tout l’ empire , à l’envi, se faisant acheter, Briguer la servitu

genoux voit l’univers trembler, Et, subissant lui-même un tyrannique empire , Éprouve, en l’ordonnant, la frayeur qu’il inspir

a loi ; C’est à lui qu’est l’empire365. TIBÈRE. C’est à lui qu’est l’ empire .Elle règne avec moi. Ce discours vous surprend. J

aires, Elle étendait sur moi ses bontés tutélaires ; Et, par elle, un empire attendu quarante ans De ses lauriers tardifs couv

s le règne d’Auguste on adorait Livie : Celle à qui je dois tout, mon empire et ma vie, Peut bien, ainsi que moi, sans blesser

héros dans la Syrie expire, Et, son urne à la main, vous traversez l’ empire  ; Vous traînez sur vos pas des peuples, des cités

s tarir ! Complice de Pison, la veuve d’un grand homme Aurait dit à l’ empire et répété dans Rome : César est indigné de ce deu

ct qu’un nom fameux inspire, D’aspirer aux grandeurs, mais jamais à l’ empire . AGRIPPINE. Je vois que ma prière aigrit votre co

seulement le débat commencé ? Est-ce moi qui menace ? Ai-je ameuté l’ empire  ? Agrippine dénonce, et peut-être conspire ; Elle

ronte ; Pour l’honneur de mon fils, j’en dois subir la honte. Rome, l’ empire entier, tout se tait devant vous ; On ne murmure

temps d’ignominie, où, rois sans diadème, Des brigands, parvenus à l’ empire suprême, Souillant la liberté d’éloges imposteurs

les cieux ; Dans leurs brillants déserts Newton guida mes yeux : Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses sacrés t

s ; Là, consul jeune et fier, amaigri par les veilles Que des rêves d’ empire emplissaient de merveilles, Pâle sous ses longs c

nd tu seras plus grande et qu’il faudra t’instruire, Que poursuivre l’ empire , et la fortune et l’art444, C’est folie et néant 

chefs-d’œuvre de l’art ou de la nature. 17. « Les cités tombent, les empires disparaissent, et l’homme s’indigne d’être mortel

elle saisit l’âme plus directement par l’élément immatériel du son. L’ empire de la musique est par cela même plus étendu et pl

ir Nithard, Histoire, livre III, chap. vi. 221. Le démembrement de l’ empire devint ainsi définitif par le traité de Verdun (8

e Furne et Jouvet, en 8 vol. in-8°, et l’Histoire du Consulat et de l’ Empire , par la librairie Lheureux, en 20 vol. in-8°. 26

ue nous détachons du premier volume de l’Histoire du Consulat et de l’ Empire , est avec raison regardé comme un modèle de narra

 dans le moment donna la paix à la République et, un peu plus tard, l’ empire au Premier Consul. » 273. Tableau historique d

ne le goût de la périphrase, qui le rattache à l’école classique de l’ Empire . Ces quatre vers ont le défaut de beaucoup de pér

y a quelque injustice à rapprocher ainsi l’art de la fortune et de l’ empire . 445. La pensée du poète est empreinte ici de dé

yens romains ; pourquoi ? parce qu’il a un génie qui fera honneur à l’ empire (Id., pro Archia) : voilà le démonstratif uni au

montent jusqu’au chaos, à la naissance du monde et à la fondation des empires . Ne vous faites pas dire, comme à L’Intimé : Avo

terre : « Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’i

e voir vingt rois vous servir et vous craindre ; Tous les droits de l’ empire en vos mains confiés ; Cruel, c’est à ces dieux q

partir. Je demeure en Épire ; Je renonce à la Grèce, à Sparte, à son empire , À ma famille. Liez ce discours par des conjonct

Domitien, loin de repousser les barbares, qui, dès lors menaçaient l’ empire , insultait aux armes romaines par le honteux simu

, les boucliers de Mars, et le Capitole, auquel un oracle attachait l’ empire du monde. « Non, s’écrie Camille après la prise d

rais pleurer comme moi. Le voilà ce Capitole, siège immobile de votre empire , gage de vos destinées, et d’où Jupiter a renvoyé

a aux portes de Rome, de Constantinople assiégée, des barbares dans l’ empire  ; et l’on trouvera encore dans ces malheureux siè

te s’avancer avec l’Alcoran et le glaive, ses descendants étendre son empire , et le pasteur d’Arabie, sans sortir des États de

ains, dans sa noble liberté, le plus sûr gage de son amour et de leur empire . Nous retrouvons et les guerriers de Martel, qui

oiles du ciel et les sables de la mer ; tu as promis à ses enfants un empire éternel ; et voilà que nous languissons de douleu

re, leur peint avec énergie les crimes de Domitien, la situation de l’ empire , qui a besoin d’une main sage et pacifique, capab

barbares. Il prouve que Nerva est ce prince nécessaire au salut de l’ empire et au bonheur du monde, et dans une péroraison vé

ares, et vous reculerez jusqu’aux bornes du monde les frontières de l’ empire éternel !…” « Romains, cet homme que vous demande

phie cette sagesse qui fera le bonheur des nations, s’il se dévoue, l’ empire  ; lui seul peut encore ramener dans Rome la vertu

je veux fixer ma vie errante, jusqu’à ce que les dieux aient vengé l’ empire . Je serai du moins au milieu de ceux que j’avais

eilleure destinée. Cependant un Romain avait eu pitié de Rome et de l’ empire  ; Domitien n’était plus. Déjà le bruit est parven

qu’il dut à votre courage et à la fortune de Rome, fouler aux pieds l’ empire avili et complice de sa honte, insulter à la maje

ent à fondre sur ses débris. Quelle main sage et pacifique relèvera l’ empire , et guérira de si profondes blessures ? quel est

tir jusqu’à vous le bruit de son courage ! Que lui manque t-il pour l’ empire , sinon d’être né parmi vous ? Mais n’est-il pas d

e ! Romains ! c’est à vous de donner un maître au monde ; il faut à l’ empire un sauveur, et Rome l’attend de vous seuls ! Jupi

rs d’un sénateur romain contre le projet de transporter le siège de l’ empire à Byzance. Argument. L’orateur célèbrera

mmencements du règne de Constantin, la force et la gloire rendues à l’ empire , les barbares repoussés, les lois florissantes, R

ne grandeur. Il s’étonnera qu’on veuille, en ce moment même, placer l’ empire dans une ville grecque. Il reconnaîtra les avanta

r ses forces sans les affaiblir ; il aura créé deux capitales, mais l’ empire n’aura plus de centre. Une grande révolution s’ac

s funeste à Rome, il faut qu’elle établisse dans Rome le siège de son empire , et qu’elle y conserve le siège de l’empire terre

dans Rome le siège de son empire, et qu’elle y conserve le siège de l’ empire terrestre ; ainsi, dès sa naissance, elle hériter

st le prix du mérite. Les barbares avaient osé franchir le seuil de l’ empire  ; voyez-vous ces faisceaux d’armes et ces enseign

sans espérer un sort plus doux si nous allions reculer le siège de l’ empire aux rives du Bosphore. Je sais bien que l’heureus

de faibles barrières. Qu’il n’y ait qu’une Rome, qu’il n’y ait qu’un empire l Ah ! si jamais nous écoutions le funeste projet

ière d’un titre usurpé, étalerait en vain son or et ses richesses ; l’ empire n’aurait plus de centre commun, et bientôt nous v

lution aimable et bienfaisante, qui touche les cœurs pour changer les empires  ; elle abhorre le sang et les pleurs ; sa douce i

e comme notre héritage. Alors elle établirait dans Rome le siège de l’ empire divin, et elle y recevrait le siège de l’empire t

ns Rome le siège de l’empire divin, et elle y recevrait le siège de l’ empire terrestre ; alors la terre ferait respecter le ci

e, Je m’assis, Tacite3 à la main. Je lisais les crimes de Rome, Et l’ empire à l’encan1 vendu, Et, pour élever un seul homme,

n des grands historiens de Rome, a raconté les sinistres annales de l’ empire , avec l’accent mélancolique et sombre d’une âme é

par un huissier pour une vente à l’enchère. Le poëte veut dire que l’ empire était au plus offrant. 2. Gladiateur est le nom

iers princes qui, héritiers de sa puissance, gouvernèrent après lui l’ Empire romain. 5. Collines. Rome ancienne était bâtie

ices que cette ville elle-même ; toi, le conservateur de Rome et de l’ empire , car c’est le nom que nous te donnons à juste tit

les dieux immortels, pour protéger ce peuple invincible, ce glorieux empire et cette reine des cités, contre une tentative au

vos fortunes, vos femmes, vos enfants, ce siège même du plus glorieux empire , cette ville si florissante et si belle, tout cel

signée par les destins pour être marquée par la chute de Rome et de l’ empire , puisque cet événement devait arriver dix ans apr

nt des lois, la guerre civile et domestique, la chute de Rome et de l’ empire , si les dieux, apaisés à tout prix, ne faisaient

mplots, qui se tramaient dans l’ombre contre le salut de Rome et de l’ empire , éclateraient au grand jour et ne sauraient échap

t paraisse vouloir faire la guerre au peuple romain, aient dédaigné l’ empire et les magnifiques espérances que des patriciens

eux hommes se sont rencontrés, l’un pour reculer les limites de votre empire , non pas jusqu’aux bornes de la terre, mais jusqu

a terre, mais jusqu’aux confins du ciel, l’autre pour conserver à cet empire sa capitale et le siège même de sa puissance.

l’extinction du nom romain et pour déplorer la chute d’un si puissant empire . III. Tous ces attentats, des témoins les o

ont voulu nous égorger tous, exterminer le peuple romain, renverser l’ empire , anéantir jusqu’au nom de Rome doivent un seul in

broges sur les ruines de Rome et sur les cendres encore fumantes de l’ empire . Envers de pareils hommes, l’extrême rigueur para

r la ferme volonté du peuple romain, qui est bien décidé à sauver son empire et la fortune de tous les citoyens. Autour de nou

ul et même sentiment. Songez quels travaux il a fallu pour fonder cet empire , que de courage pour y établir solidement la libe

ain, sous qui tombèrent les deux villes les plus acharnées contre cet empire , Carthage et Numance ! Regardons comme un héros c

ples, de la ville entière avec ses monuments et vos maisons ; c’est l’ empire , la liberté, le salut de l’Italie, c’est la répub

cter cet illustre corps, que deviennent le nom et la majesté de notre empire  ? La ville de Messine ne me fit point d’invitatio

t anciens et fort illustres, maître lui-même d’un vaste et florissant empire , est chassé précipitamment d’une province romaine

sous les auspices de notre général ; crime contre la majesté de notre empire  : il n’a pas craint de fouler aux pieds la gloire

ance de ces ornements chez nos alliés, pour qu’ils fussent sous notre empire dans le plus grand lustre et le plus grand éclat 

r et par la prudence de nos pères ; vous avez anéanti les droits de l’ empire , les privilèges des alliés et les monuments de l’

ier. Tel fut le prix dont ils rachetèrent les droits attachés à notre empire , les secours qu’un long usage et les traités nous

aient des secours. Verrès, le premier depuis l’établissement de notre empire , ordonna que tout cet argent lui fût compté par t

ville ; vous, au contraire, vous leur avez donné une portion de notre empire , et vous avez voulu que les mêmes alliés qui nous

r un brigantin corsaire, un pirate qui triomphe de la flotte de notre empire , tandis que les rames des nautoniers ennemis font

parents dans l’espérance qu’ils jouiraient de leur liberté sous notre empire équitable, doivent-ils être les objets de l’affre

saient leurs dépositions. Vous êtes persuadés que les droits de notre empire doivent être inviolables, non seulement dans Rome

citoyens romains ont soufferts toucherait le cœur des barbares. Notre empire est si respecté, la vénération du nom romain si g

dans le camp opposé, qui a volé le trésor public, s’est arrogé dans l’ empire une telle autorité, que ceux à qui le sénat, le p

LXIII. Nom précieux de liberté ! magnifique privilège de notre empire  ! lois de Porcius et de Sempronius ! puissance de

ses tribuns, a supporté autant qu’il a pu, autant qu’il a fallu, cet empire despotique que vous exerciez dans les jugements e

liberté. Les arts exilés de ces belles contrées, vinrent établir leur empire dans Rome, et y brillèrent du plus vif éclat sous

la contagion. Les peuples du nord inondèrent l’Italie. Le siège de l’ empire Romain fut transféré à Constantinople. Les arts s

s hasards. » Je vais vous remettre sous les yeux la grandeur de votre empire , etc. » L’orateur cherche et trouve, dans l’expo

digne de vous. J’ajoute que vos conquêtes en Sicile vous promettent l’ empire de la Grèce entière, et que le mal du moins que v

par leur union invincible et leur inaltérable concorde, ont porté cet empire au point de force et de grandeur où nous l’avons

ui confine, dit-on, à la Macédoine. Placés aux deux extrémités de ton empire , nous veux-tu pour amis ou pour ennemis ? Choisis

l y a approfondit les institutions et les maximes qui lui donnèrent l’ empire du monde. Dans le Dialogue de Sylla et d’Eucrate,

doit aspirer, c’est à la perpétuité de son état. Si la grandeur de l’ empire perdit la république, la grandeur de la ville ne

s lorsqu’elle défendit les Grecs contre les Perses, qu’elle disputa l’ empire à Lacédémone et qu’elle attaqua la Sicile ; elle

ues cependant que les États ont une âme et de la vie. Hors de là, les empires n’ont qu’un mouvement dont le ressort n’est pas e

rocédés d’enseignement. L’une des traces les plus regrettables de cet empire , c’est l’ânonnement ridicule qui, dans la bouche

l, fiers autans, doux zéphirel Vous tous à qui des airs il partagea l’ empire , Ô vents, remplissez l’air du nom de votre roi !

ces éternels adieux : « D’un peuple d’exilés déplorable patrie, Ton empire n’est plus et ta gloire est flétrie ! Sous l’azu

e vieillard blanc, aveugle et sans appui ? Serait-ce un habitant de l’ empire céleste ? Ses traits sont grands et fiers ; de sa

pitole Sur le monde, à son doigt, s’abat : L’univers n’est plus qu’un empire . Mais déjà l’esprit se retire ; Et les peuples po

fait la grande âme Dont il anime l’Occident. Il meurt ; son colosse d’ empire En lambeaux vivants se déchire, Comme un vaste et

a pas voulu l’y suivre plus loin ; l’empereur s’est trouvé seul, et l’ empire a disparu ; et toutes choses sont retournées à le

n conseiller en toutes choses, avec Agrippa, la seconde personne de l’ empire . Cette demeure des Esquilies est le siége du créd

enser. Dans une peste qui ravagea au troisième siècle une partie de l’ empire , les païens, délaissant leurs amis et leurs proch

qu’en France, l’arrière-ban du xviiie  siècle et le vieux public de l’ Empire les tenaient pour des étourdis. Trop théoriciens

fut de courte durée, si l’ordre put renaître et la loi reprendre son empire sans recours à la violence, sans dommage pour la

ur Napoléon. Aussi lorsque M. Royer-Collard, avant même la chute de l’ Empire , et M. Cousin, quelques années après, eurent pron

ouve un monde par le calcul ; un autre jour, on impose des bornes à l’ empire de la douleur. La philosophie, réconciliée avec l

ssibles du ciel, et, après avoir complété le système de Newton dans l’ empire borné de notre soleil, on est sur la voie des mou

se disaient entre eux : « Quelqu’un de grand va naître !26 L’immense empire attend un héritier demain. Qu’est-ce que le Seign

t l’univers d’horreurs : Il n’eût point eu le nom d’Auguste, Sans cet empire heureux et juste Qui fit oublier ses fureurs. Mo

des conquérants brise le frêle essieu, Marche en rêvant au bruit des empires qui tombent, Et dans tous les chemins montre les

re. Les Parvenus Ni les troubles, Zénobie, qui agitent votre empire , ni la guerre que vous soutenez virilement contre

rend pas le temps de conspirer. Aucun d’eux n’est tenté d’abuser de l’ empire , Car chacun à son tour craint de l’éprouver pire,

t, si l’on m’obéit, ce n’est qu’autant qu’on m’aime. POMPÉE. Et votre empire en est d’autant plus dangereux, Qu’il rend de vos

camp tenu les premiers rangs, À ceux qui de leur sang m’ont acheté l’ empire , Et qui m’ont conservé le jour que je respire ; D

lu sois après moi le plus considérable, Et que ce grand fardeau de l’ empire romain Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en

igneur, se l’était bien promis : Elle a repris sur vous son souverain empire . NÉRON. Quoi donc ? Qu’a-t-elle dit ? Et que voul

u’ils osent dire ? « Néron, s’ils en sont crus, n’est point né pour l’ empire  ; Il ne dit, il ne fait que ce qu’on lui prescrit

iter. Mais, astre souverain, centre de tous ces mondes, Par-delà ton empire aux limites profondes, Des milliers de soleils, s

qu’elle vote et ne discute pas. La Gironde a longtemps balancé notre empire , Les destins sont fixés et la Gironde expire. La

du ive  siècle, dont la voix avait retenti au milieu de la chute des empires et dans le tumulte des sociétés mourantes. Massil

alculs aussi sûrs que hardis, étendent de toutes parts l’horizon et l’ empire de l’esprit humain ! Honneur aux sciences ! Mais

ent de renverser la liberté romaine et devaient finir par renverser l’ empire . Il était trop courtisan pour être si sévère. Per

ue nous appelons littérairement le siècle d’Auguste, historiquement l’ empire à sa première époque. C’est par anticipation bien

é ont dû surtout dominer dans la prose, et la prose a dû lui donner l’ empire  ; cette marche est dans la nature : rien n’est, e

religion qui la fait parler et lui prête sa force, elle, abaisse cet empire orgueilleux devant lequel tout s’incline ; elle e

ée, Dans le cercle des grands ne s’est point arrêtée : Elle infecte l’ empire , et les mêmes travers Règnent également dans tous

roire qu’elle y fait tout. L’idée de détruire ou de morceler un grand empire est souvent aussi absurde que celle d’ôter une pl

anle nullement mon opinion, qui se réduit uniquement à ceci : « Que l’ empire de la Coalition sur la France et la division de c

nts ne se peuvent raisonnablement plaire. Ils regardent les gens avec empire  ; ils disputent avec hardiesse et confiance ; les

la doctrine révélée, qui, je vous prie, a enseigné aux hommes, sous l’ empire de religions extravagantes et de cultes souvent m

plus fier. Ce n’est pas d’aujourd’hui qu’ils datent, ni d’hier, Leur empire a des temps précédé la naissance. Devais-je, d’un

ernières années, pour reconnaître que la guerre n’a rien perdu de son empire sur les affaires humaines et qu’elle demeure, auj

comme le champ de bataille est, à proprement parler, le domaine et l’ empire de la mort, celle-ci le consacre, pour ainsi dire

s lorsqu’elle défendit les Grecs contre les Perses, qu’elle disputa l’ empire à Lacédémone et qu’elle attaqua la Sicile ; elle

oup porte si loin : quand il veut lâcher le dernier, et renverser les empires , tout est faible et irrégulier dans les conseils.

rononcés dans Athènes, se sont perdus au milieu du bouleversement des Empires . Je ne parle point des éloges d’Hélène et de Busi

r Pline le jeune, qui le composa par ordre du Sénat, au nom de tout l’ Empire , et le prononça en présence de l’Empereur même. L

terre. « Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les Empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

a république, mais même sous les Empereurs, puisque Néron parvenu à l’ empire , prononça l’éloge de Claude son prédécesseur. Dan

cité, dans tous ses grands mouvements ; c’est la raison avec tout son empire et toute sa dignité. Le plan, la suite, l’économi

’éloquent et vertueux Phocion aient été ensevelis sous les ruines des empires . Ce grand orateur était contemporain de Démosthèn

ment l’époque de la plus heureuse révolution, qui puisse arriver à un empire , celle de l’établissement des sciences et des art

out dans les abîmes de l’éternité ; les siècles, les générations, les empires , tout va se perdre dans ce gouffre, tout y entre

e la pureté et la sainteté de la morale et de la religion ; étendre l’ empire des lettres, des sciences et des arts ; raffermir

; que son âme en ressente les nobles impressions ; qu’il entre dans l’ empire des lettres, non pas comme un proscrit qu veut ve

’étude, la lecture et la comparaison, et je ne prétends pas en nier l’ empire ni le mérite. C’est ce jugement pur et fin, compo

omphent, il faut admirer dans les récits consacrés au Consulat et à l’ Empire (1845-1862), l’amour du vrai, la clairvoyance d’u

d ou Renaud. (Fragment de la Préface du XIIe vol. du Consulat et de l’ Empire ). 1. « Abondante, aisée, simple et lumineuse,

bien plus que par vos armes, quoiqu’elles aient ébranlé l’univers. L’ empire de cette langue ne tient point à ses formes actue

oire qu’elle y fait tout2. L’idée de détruire ou de morceler un grand empire est souvent aussi absurde que celle d’ôter une pl

anle nullement mon opinion, qui se réduit uniquement à ceci : « Que l’ empire de la Coalition sur la France et la division de c

; que son âme en ressente les nobles impressions ; qu’il entre dans l’ empire des lettres, non pas comme un proscrit qui veut v

étude, la lecture et la comparaison ; et je ne prétends pas en nier l’ empire ni le mérite. C’est ce jugement pur et fin, compo

uatrième siècle, dont la voix avait retenti au milieu de la chute des empires et dans le tumulte des sociétés mourantes. Massil

humain : mais il était despote par essence, et, s’il eût gouverné un empire , il eût surpassé Richelieu en orgueil, Mazarin en

la confiance du monarque actuel, et dans les premières dignités de l’ empire , la noble récompense de leur zèle et de leur cour

partie, à cause qu’il10 ne gagna pas du premier coup. Il renonça à l’ empire , à l’honneur et à la vie, pour ne pouvoir plus su

le coup, s’arrêta-t-il pour cela ? Et ne mit-il pas encore une fois l’ empire en plus grand hasard qu’il n’avait été par les pe

changer ce conseil et d’arrêter la précipitation de ceux qui, pour un empire (car c’était le prix de cette victoire), ne voulu

oup porte si loin : quand il veut lâcher le dernier, et renverser les empires , tout est faible et irrégulier dans les conseils.

’avaient pas dessein de donner des maîtres à leurs successeurs et à l’ empire . En un mot, il n’y a point de puissance humaine q

e réglée. Discours sur l’histoire universelle 107, Ille partie, les Empires , chap. VIII. Causes de la grandeur romaine.

ilice dans la bataille de Cannes109. Même Discours, IIIe partie, les Empires , chap. VI. Fin de la république à Rome : naiss

ueur de tous côtés, il fut reconnu comme maître à Rome et dans tout l’ empire . Brutus et Cassius crurent affranchir leurs citoy

ent trop violentes pour durer longtemps. Ces trois hommes partagent l’ empire . César garde l’Italie ; et, changeant incontinent

s le nom d’Auguste et sous le titre d’empereur, seul maître de tout l’ empire . Il dompte, vers les Pyrénées, les Cantabres et l

accablais ses sujets, qui sont nés pour être libres sous son glorieux empire . Oraison funèbre de la reine de France, Marie-T

mauvais riche et de ses cruels imitateurs, où142 la raison a perdu l’ empire , où les lois n’ont plus de vigueur, l’ambition, l

re ; disons mieux, combien de nations, combien de royaumes, combien d’ empires n’a-t-il pas attirés à lui par le charme secret,

ttirer tout à elle. Regardez ces peuples barbares qui firent tomber l’ empire romain. Dieu les a multipliés et tenus en réserve

r lâche la bride, et le monde en est inondé ; mais, en renversant cet empire , ils se soumettent à celui du Sauveur : tout ense

ples qui ont paru et disparu dans l’univers, toutes les révolutions d’ empires et de royaumes, tous ces grands événements qui em

ce 322, chap. vi. Lysimaque323. Lorsqu’Alexandre eut détruit l’ empire des Perses, il voulut que l’on crût qu’il était f

ion de chacun fut contenue par l’ambition de tous. Nous partageâmes l’ empire  ; et chacun de nous crut avoir partagé le prix de

é, renouvelé la surface entière, et que de tout temps il en partage l’ empire avec la nature. Cependant il ne règne que par dro

lieu que le cygne règne sur les eaux à tous les titres qui fondent un empire de paix, la grandeur, la majesté, la douceur. Ave

après Voltaire, son aîné de beaucoup, et avec qui il avait partagé l’ empire littéraire de son temps. Depuis quatre ans, un je

d’esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage

camp tenu les premiers rangs, À ceux qui de leur sang m’ont acheté l’ empire , Et qui m’ont conservé le jour que je respire : D

tu sois après moi le plus considérable, Et que ce grand fardeau de l’ empire romain Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en

, je pense, à pouvoir dire Qu’on n’a pas pour594 un cœur soumis à son empire  ; Et Dorante, Damis, Cléonte et Lycidas Peuvent b

s votre fils, c’est le maître du monde. J’en dois compte, madame, à l’ empire romain, Qui croit voir son salut ou sa perte en m

empereur, il est vrai, ne vient plus chaque jour Mettre à vos pieds l’ empire et grossir votre cour ; Mais le doit-il, madame ?

ompte sa liberté. Que dis-je ? la vertu semble même renaître : Tout l’ empire n’est plus la dépouille d’un maître715. Le peuple

Toutefois j’ose encore lui dire Qu’il doit avant ce coup affermir son empire , Et qu’en me réduisant à la nécessité D’éprouver

cours qu’on pourra vous redire Serez-vous toujours prête à partager l’ empire  ? Vous craindrez-vous sans cesse ? et vos embrass

leçons723 ! On exile Pallas, dont le crime peut-être Est d’avoir à l’ empire élevé votre maître. Vous le savez trop bien : jam

’accusait de trop de cruauté ; Et plaignant les malheurs attachés à l’ empire , « Je voudrais, disiez-vous, ne savoir pas écrire

igneur, se l’était bien promis : Elle a repris sur vous son souverain empire . NÉRON. Quoi donc ? Qu’a-t-elle dit ? et que voul

u’ils osent dire ? « Néron, s’ils en sont crus, n’est point né pour l’ empire  ; « Il ne dit, il ne fait que ce qu’on lui prescr

outes Ou percer par mes chants les infernales voûtes             De l’ empire des morts ; Je n’irais point, des dieux profanan

en victoire, Des califes déchus de leur antique gloire Le redoutable empire entre eux fut partagé ; Des bords de l’Hellespont

efs assemblant vos cohortes,             Allez briser les portes D’un empire usurpé sur vos faibles aïeux. Liv. III, ode 4.

terre : « Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires … » 101. C’est-à-dire incomplète, dans le sens d

y met de l’unité, parce qu’à travers les révolutions successives des empires le dessein de la Providence se poursuit sans être

ique et philosophique contient le sublime tableau des révolutions des empires . 113. Louis XIV, lorsqu’il vint assiéger Gand, q

l consultait Cinna et Maxime sur son prétendu dessein de renoncer à l’ empire , leur avait adressé ce vers : Vous qui me tenez

de flatter, mais en ministre vertueux qui veut sauver l’honneur de l’ empire . En outre, quelle façon morale dans cas accusatio

ce trône, où tant de monde aspire, Que pour assujettir l’empereur à l’ empire  ? 734. Remarquez l’antithèse de ces deux expre

e, se résigner à la discipline silencieuse qu’elle avait acceptée ? L’ Empire serait-il l’épilogue de la Révolution ou un temps

résultats restent encore obscurs. Première époque. Le Consulat et l’ Empire (1799-1815). — La première époque de l’histoire l

e l’histoire littéraire de notre siècle est celle du Consulat et de l’ Empire . « Clore le dix-huitième siècle et introduire le

ourant, Millevoye rappelle André Chénier et annonce Lamartine. Sous l’ Empire , Marie-Joseph Chénier écrit la tragédie de Tibère

ibataire, appartient à l’époque précédente, Andrieux soutient, sous l’ Empire , la réputation que lui a faite la gaieté de son d

5-1848). — Les trente-trois années qui s’écoulent entre la chute de l’ Empire et la Révolution de 1848 sont la période la plus

t particulier, et qui ne s’est effacé d’aucune mémoire. Retardé par l’ Empire , le mouvement intellectuel, commencé par Chateaub

aux sociétés démocratiques. La critique littéraire, classique sous l’ Empire , mais plus élégante que forte et variée, ne suffi

its, en exaltant la sensibilité ou en glorifiant les passions. Sous l’ Empire et sous la Restauration, le roman occupe une plac

serait de les détourner d’études plus solides. « La littérature de l’ Empire , remarque Guizot, nous avait rendu un important s

ans chaque siècle parmi les hommes ; elle en a peuplé les villes, les empires , les déserts ; et l’univers entier a été pour ell

s, parcourez toutes les nations, lisez l’histoire des royaumes et des empires , écoutez ceux qui reviennent des îles les plus él

omestiques, ce roi si accoutumé au plus grand et au plus satisfaisant empire domestique, aux plus grands succès au dehors, se

va le pompeux ouvrage de la grandeur de Rome. Il unit au corps de son empire des pays infinis : ce qui servit plus au spectacl

et de leur Décadence, chap. vii. Attila et les derniers jours de l’ empire romain. Comme, dans le temps que l’empire s’af

les derniers jours de l’empire romain. Comme, dans le temps que l’ empire s’affaiblissait, la religion chrétienne s’établis

igion chrétienne. Les chrétiens disaient que Dioclétien avait perdu l’ empire en s’associant trois collègues, parce que chaque

us les ouvrages qu’on avait faits sur ces fleuves, et rendit les deux empires tributaires. « Théodose, disait-il insolemment, e

t qu’on lui livrât quelque ministre de l’empereur. Il avait mis sur l’ empire d’Orient un tribut de deux mille cent livres d’or

i ne pût leur nuire. Ce ne fut pas une certaine invasion qui perdit l’ empire , ce furent toutes les invasions. Depuis celle qui

s lorsqu’elle défendit les Grecs contre les Perses, qu’elle disputa l’ empire à Lacédémone, et qu’elle attaqua la Sicile ; elle

ndre le sceptre de la terre que quand elle s’est trouvée digne de son empire . Des Époques de la Nature. Cinquième Époque.

aissent pas de former des familles et d’être soumis à leurs pères. Un empire , un monarque, une famille, un père, voilà les deu

t bien à fouetter et à battre avant de vivre contents. Si ces idées d’ empire et de tyrannie les rendent misérables dès leur en

é ont dû surtout dominer dans la prose, et la prose a dû lui donner l’ empire . Cette marche est dans la nature : rien n’est, en

bien plus que par vos armes, quoiqu’elles aient ébranlé l’univers. L’ empire de cette langue ne tient point à ses formes actue

ales, les fièvres de l’opinion, les fureurs des partis, les chocs des empires , et les funérailles des nations ! Heureux les hom

e très grand, et c’est assez pour nous. Nous comprendrons que, sous l’ empire de l’être qui réunit ces deux qualités, tous les

ernières années du dix-huitième siècle, s’étend jusqu’à la chute de l’ Empire , en 1815. Pour en déterminer le caractère, moins

s de celle des faits et des idées. La littérature du Consulat et de l’ Empire réfléchira, en effet, l’état de la société elle-m

ustres de tous les pays, devint un centre de vive opposition contre l’ Empire et d’un actif échange d’idées littéraires et phil

tremêlé et opposé, dans des tableaux pleins d’éclat, la peinture de l’ empire romain dans sa décadence, du monde barbare dans s

ènes d’une terre composée de la poussière des morts et des débris des empires . Souvent, dans une grande plaine, j’ai cru voir d

peuples. C’est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l’ empire  ; il croît inconnu auprès des cendres de Germanic

ependant, dit Bossuet, la terre porte peu de ces insensés qui, dans l’ empire de Dieu, parmi ses ouvrages, parmi ses bienfaits,

la nature leur impose ces croyances et mille autres avec un souverain empire  ; il faut qu’ils y croient malgré l’impuissance l

on sujet, les révolutions de la société en Gaule depuis la chute de l’ empire romain, il a montré plus de profondeur dans l’ana

eu de tant d’agitations, des mesures savamment combinées assuraient l’ empire des communes et le succès de leurs desseins. A l’

rare, peut-être impossible. Même dans la civilisation imparfaite de l’ empire romain, le souvenir de la liberté perdue, l’effor

i fait battre le cœur, car il est absurde de borner l’imagination à l’ empire des images451. Le cœur une fois ému ébranle tout

unes aux autres : de longues luttes s’engagent, qui fondent de grands empires aussitôt renversés qu’établis ; une race surnage

e ces terres et y domine seule, tenant les autres sous ses pieds. Cet empire à peine créé entre en contact avec l’Europe. Là a

dent, s’élève, grandit rapidement, et dans les cadres immenses de son empire engloutit la race grecque et ses conquêtes. Cet a

nos historiens. En 1840. il commençait l’Histoire du Consulat et de l’ Empire 500. On demeure confondu de la grandeur du travai

érant, jetant au hasard le bien ou le mal, tour à tour renversant des empires ou édifiant une chaumière, de tels caprices sont

au centre du demi-cercle des Alpes507. Histoire du Consulat et de l’ Empire , liv. IV. Napoléon à Fontainebleau508. (avril

res eux-mêmes chargés de l’accompagner. Histoire du Consulat et de l’ Empire , liv. LIII. Michelet.(1798-1874.) Michelet

s littéraires et la vérité des peintures de la société romaine sous l’ empire . Mais combien d’autres livres faudrait-il encore

les vastes routes Ou percer par mes chants les infernales voûtes De l’ empire des morts ; Je n’irais point, des dieux profanant

n n’étiez-vous point jaloux ? La mer entend sa voix. Je vois l’humide empire S’élever, s’avancer vers le ciel qui l’attire ; M

ses jours, Fut enlevée à vos tristes amours Et descendit au ténébreux empire . De mon héros les illustres malheurs Peuvent auss

avait nommé secrétaire de ses commandements), il ne voulut donner à l’ Empire aucun gage qui pût faire douter de sa fidélité au

on sort vous daignez vous instruire, Apprenez qu’Étéocle, enivré de l’ empire , Me bravant sans respect, moi, son roi, son aîné,

ulmanes. La grâce et la douceur sur les lèvres toscanes Fixèrent leur empire , et la Seine à la fois De grâce et de fierté sut

seulement le débat commencé ? Est-ce moi qui menace ? Ai-je ameuté l’ empire  ? Agrippine dénonce, et peut-être conspire ; Elle

nte ; ‘ Pour l’honneur de mon fils, j’en dois subir la honte. Rome, l’ empire entier, tout se tait devant vous ; On ne murmure

temps d’ignominie, où, rois sans diadème, Des brigands, parvenus à l’ empire suprême, Souillant la liberté d’éloges imposteurs

les cieux ; Dans leurs brillants déserts Newton guida mes yeux ; Des empires détruits je méditai la cendre ; Dans ses sacrés t

m vague, un bruit lointain, C’est je ne sais quoi d’incertain Que cet empire  ; Lieux qu’à peine vient éclairer Un jour qui san

oleil, d’un bec ouvert l’aspire, Croit reprendre la vie au flamboyant empire  ; Dans un fluide d’or il nage puissamment, Et par

e la liberté, l’orgueilleux souvenir de l’épopée militaire du premier Empire , la haine de la guerre et l’illusion d’une paix u

d tu seras plus grande, et qu’il faudra t’instruire, Que poursuivre l’ empire , et la fortune et l’art804, C’est folie et néant 

ne de son successeur Gallien (253-268) que les Barbares envahissent l’ Empire de toutes parts. Pour les diviser, Gallien accord

at à un chef des Hérules. 156. Théodose Ier partagea avant sa mort l’ empire romain entre ses deux fils. Arcadius fut le premi

ef-lieu du département du Mont-Blanc sous la Révolution et le premier Empire français de 1792 à 1814. 338. Xavier de Maistre,

lui qui arrêta la forme de la coupole. 363. « Les cités tombent, les empires disparaissent, et l’homme s’indigne d’être mortel

temps. — Sainte-Beuve : Chateaubriand et son Groupe littéraire sous l’ Empire . : cours professé à Liège. Les Causeries du Lundi

elle saisit l’âme plus directement par l’élément immatériel du son. L’ empire de la musique est par cela même plus étendu et pl

e Furne et Jouvet, en 8 vol. in-8°, et l’Histoire du Consulat et de l’ Empire , par la librairie L’heureux, en 20 vol. in-8°. 5

dans le moment donna la paix à la République, et, un peu plus tard, l’ empire au premier consul. » 508. Ce fut dans la matinée

nant je suis seul et cloué sur ce roc ; qui bataille et conquiert des empires pour moi ? Où sont les courtisans de mon infortun

79 et suiv.) Le critique a défendu le dénouement de la tragédie. « L’ empire , dit-il, que prend sur nous la religion au moment

ne le goût de la périphrase, qui le rattache à l’école classique de l’ Empire . Ces quatre vers ont le défaut de beaucoup de pér

y a quelque injustice à rapprocher ainsi l’art de la fortune et de l’ empire . 805. La pensée du poète est empreinte ici d’in

ître dans la pourpre, et il n’y a rien ici qui sente la grandeur d’un Empire . Pourtant ne soyons pas honteux de l’objet de not

s chrétiens, d’avoir aboli le nom chrétien en toutes les parties de l’ empire , l’expérience nous a fait voir qu’ils ont triomph

ar des maux cruels quand le corps est troublé, De l’âme quelquefois l’ empire est ébranlé. Dans un vaisseau brisé, sans voile,

rs les aimer, les conduire ; Il est né pour l’amour, il est né pour l’ empire . En amour, en fierté, le coq n’a point d’égal, Un

pour construire ce canal merveilleux, qui joint aujourd’hui le double empire des ondes. Ce fut alors que Rome(b) parut renaîtr

gré la distance prodigieuse des lieux, vous avez ouvert au commerce l’ empire des deux mers. Si les spectacles de la terre vous

l’ouvrage même, le rendent le plus précieux que nous ayons dans notre empire littéraire. C’est ce chef-d’œuvre de notre poëte,

ue de tout un peuple, en présence des magistrats contre les loix de l’ empire , il renverse les autels, il brise les idoles. Cet

. Auguste demande conseil aux deux chefs des conjurés s’il quittera l’ empire  ; voilà une seconde action : c’est le second acte

riminel amour, se flatte encore de séduire Hippolyte par l’offre de l’ empire d’Athènes qu’elle croit appartenir à son fils, et

son entreprise. Octave délibère avec Cinna et Maxime s’il quittera l’ empire , se résout par les conseils de Cinna lui-même à l

iner Auguste qui lui a dit : Cinna, par vos conseils je retiendrai l’ empire  ; Mais je le retiendrai pour vous en faire part.

ène. Il ne me plaît pas, moi. Je vous trouve plaisant d’user d’un tel empire , Et de me dire au nez ce que vous m’osez dire. A

camp tenu les premiers rangs, A ceux qui de leur sang m’ont acheté l’ empire , Et qui m’ont conservé le jour que je respire. De

tu sois après moi le plus considérable, Et que ce grand fardeau de l’ Empire romain Ne puisse après ma mort tomber mieux qu’en

vous instruire. Britannicus. Et qui m’en instruira ? Néron. Tout l’ Empire à-la-fois, Rome….(a) Britannicus. Rome met-elle

escrire Le mouvement et le repos. Tenez-les renfermés chacun dans son empire . Coulez, ondes, coulez. Volez, rapides feux. Voil

royoit accablé, Ont fait encor gémir le ciel, la terre et l’onde. Mon empire s’en est troublé ; Jusqu’au centre du monde, Mon

rincipalement les anciens Romains, puisque c’est la fondation de leur empire  : ou sur l’intérêt de l’humanité entière ; telles

nts ; l’intérêt de nation dans l’entreprise d’Enée, qui veut fonder l’ empire romain ; l’intérêt de l’humanité entière dans les

orde enfin dans cette contrée, et y jette les premiers fondemens d’un empire , parce que le destin l’a ainsi ordonné. On peut a

illement et d’armure ; et, dans ce dernier combat, qui, décidant de l’ empire d’Asie, termine entièrement ce poëme, il échappe

l y élevoit les murs d’une ville (c) qui a été le berceau d’un nouvel empire des Latins, et d’où sont sortis les rois d’Albe d

à souffrir des travaux au-delà des forces humaines, établit un nouvel empire sous un ciel inconnu et sous d’autres étoiles. Qu

euples étoient soumis. En une seule nuit, son trône est renversé, son empire détruit, et sa capitale réduite en cendres. Les G

e d’or, Charlemagne(a) et Clovis(b) Veillent du haut des cieux sur l’ empire des lis. Les plus grands ennemis, les plus fiers

l’avenir va porter ses regards ; Les Muses(b) à jamais y fixent leur empire  ; La toile est animée et le marbre respire. Quels

reux à la cour, invincible à la guerre, Luxembourg(e) fait trembler l’ Empire et l’Angleterre. Regardez dans Denain(f) l’au Jac

euse d’Enée, qui de son côté, épris pour Didon, perd le souvenir de l’ Empire que les destins lui assurent. Mais Mercure vient

rocédés d’enseignement. L’une des traces les plus regrettables de cet empire , c’est l’ânonnement ridicule qui, dans la bouche

on unique bien ! Par toi du moins avec le Roi du ciel je partagerai l’ empire  : peut-être même régnerai-je sur plus d’une moiti

omains, j’entends ceux qui ont vécu avant que l’accroissement de leur empire eût altéré la simplicité de leurs mœurs. Avant le

té détruite pendant la révolution, et la nouvelle s’est assise sous l’ empire . Lorsqu’une réforme est devenue nécessaire, et qu

il sent, il connaît, il respire Le Dieu qu’il a servi, dont il aima l’ empire  ;      Il en est plein, il chante ses bienfaits.

e, Double don, d’asservir un cheval indompté, Et d’obtenir des mers l’ empire redouté !            D’Athène élevant la fortune,

s ; Là, consul jeune et fier, amaigri par les veilles Que des rêves d’ empire emplissaient de merveilles,            Pâle sous

doutable !              Heureux les peuples soumis              À son empire équitable ? Chantons, bergers, et nous réjouisson

uces celles de l’astre du jour, en se levant sur l’horizon, dissipa l’ empire de la lumière et fit régner celui des ombres. Bie

sénat ; la république expire, Sous un nouveau Cromwell naît un nouvel empire . Hélas ! le malheureux, sur ce bord enchanté, Ens

trie. Mais lorsque en fugitif, regagnant ses foyers, Il vint contre l’ empire échanger les lauriers, Je n’ai point caressé sa b

ses mœurs, ses bienfaits et ses maux. Delille. Le Paon Si l’ empire appartenait à la beauté et non à la force, le pao

s ; rien ne lui échappe. Il débrouille même l’horrible chaos des deux empires , le babylonien et l’assyrien : il connaît à fond

elligences et sur les cœurs avec l’autorité d’une mission divine et l’ empire d’une foi toute faite… Le christianisme est une p

onnements dont je ne puis revenir. La voix de la nature a pris un tel empire sur moi que je parviens rarement à me dégager de

èbres par une harmonie sauvage et furieuse qui bouleverse le paisible empire de la nuit, c’est quelque chose d’incomparable en

e. Péripétie de Cinna. Délibération politique Auguste.     Cet empire absolu sur la terre et sur l’onde, Ce pouvoir sou

endre, Et, monté sur le faite, il aspire à descendre. J’ai souhaité l’ empire , et j’y suis parvenu ; Mais en le souhaitant, je

s de Maxime. Maxime. Oui, j’accorde qu’Auguste a droit de conserver L’ empire où sa vertu l’a fait seule arriver, Et qu’au prix

ouve sa mort, c’est ce que je dénie.     Rome est à vous, seigneur, l’ empire est votre bien ; Chacun en liberté peut disposer

igneur, le ciel qui vous inspire : Votre gloire redouble à mépriser l’ empire  ; Et vous serez fameux chez la postérité, Moins p

s votre fils, c’est le maître du monde. J’en dois compte, madame, à l’ empire romain, Qui croit voir son salut ou sa perte en m

empereur, il est vrai, ne vient plus chaque jour Mettre à vos pieds l’ empire , et grossir votre cour. Mais le doit-il, madame ?

compte sa liberté. Que dis-je ? la vertu semble même renaître. Tout l’ empire n’est plus la dépouille d’un maître : Le peuple a

xorde Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

n parc ne sont pas moins dignes des réflexions du sage que celles des empires  : elles montrent, également combien le pouvoir de

é de tous les beaux esprits ; Comme roi des auteurs qu’on l’élève à l’ empire  ; Ma bile alors s’échauffe, et je brûle d’écrire,

dans la source des affections fortes et dévouées. L’homme a un grand empire sur l’homme, et de tous les maux qu’il peut faire

gements nécessaires qu’il amène d’âge en âge ? Que me fait, à moi, un empire qui tombe ? Un passereau qui meurt me touche dava

ense avec vous ce que je veux. Sans moi, vous n’auriez pas dans votre empire un sujet qui osât toujours vous dire la vérité pu

ligieux. Quand l’ordre social se rétablit avec pompe, lorsqu’on fil l’ empire , l’homme qui voulait être la gloire publique de l

té de déterminer les lois morales de la vie humaine et d’assurer leur empire  ; on a comparé Jésus-Christ à Confucius, à Zoroas

rs sur les intelligences qu’ils dominent par la persuasion. Ce second empire me paroît même d’un ordre d’autant plus élevé que

la naissance ou par la fortune. Il faut donc avouer que chacun de ces empires est grand en soi ; mais, Madame, que Votre Majest

’étendue de la terre. Pour moi, n’étant pas né sous le premier de vos empires , je veux que tout le monde sache que je fais gloi

oleil, d’un bec ouvert l’aspire, Croit reprendre la vie au flamboyant empire  ; Dans un fluide d’or il nage puissamment, Et par

premier, Shakspeare (Car des deux bords anglais ses deux pieds ont l’ empire ), Attendent dans un angle, à leur taille ajusté,

rpétuent à Rome de grands hommes en grands hommes. Les stoïciens de l’ Empire conspirent peu ; ils ne cherchent pas à délivrer

Perse et au stoïcisme dans son ouvrage intitulé Les Moralistes sous l’ empire romain. (Hachette.) 1. Voltaire écrivait dans u

ajoutent de nouvelles aux anciennes ! Ils ignorent que le plus grand empire est celui qu’on exerce sur soi-même, comme la plu

par une rare activité et par les qualités du corps, était destiné à l’ empire  : il crut le voir en songe tomber sous un fer hom

ieux et des déesses, ces gens dont le luxe franchit les bornes de cet empire déjà si grand aux yeux de l’univers ! Ils veulent

oint indigne de son père, et pourra prendre la conduite d’un si grand empire . » Philippe ne fut point trompé dans son attente.

les apaisa aussitôt. Il parcourut à pied presque toute l’étendue de l’ empire , fortifiant les places, et s’appliquant aux intér

lais de Persépolis. 51. Tandis que son ennemi, son concurrent à l’ empire , travaillait plus que jamais à recommencer la gue

Romains, qui changeaient si souvent de maîtres, élevèrent ensuite à l’ empire , dressait des embuscades aux brigands de la Thrac

à tous les regards. Bientôt les esclaves délibèrent sur le sort de l’ empire , et décident de faire un roi tiré de leur sein, e

euse : leurs mânes et leurs ossements signalent l’agrandissement de l’ empire carthaginois. Leurs concitoyens élevèrent en ce l

ictoire ? cette ambition qui se pouvait trop resserrée dans l’immense empire de l’Afrique ? La fortune a tout partagé aux deux

s avons-nous vus disparaître en un moment ! Quelle destruction dans l’ empire  ! Toutes les provinces ont été ébranlées. Et vous

ie, pour la liberté. Ce jour va consolider ou renverser le plus vaste empire qui fût jamais. Sur le Granique, nous avons livré

e lève dans mes Etats, par l’immortelle mémoire de Cyrus, qui ravit l’ empire aux Mèdes et aux Lydiens, et le transféra pour la

De l’Éloquence et de la Poésie. 1. L’une et l’autre ont un égal empire sur l’âme des humains ; comme la première, par se

s d’une action et d’une parole mémorable, que la colère n’avait pas d’ empire sur lui. L’historien Timagène avait tenu sur l’em

s la musique dès ses premières années. Aussitôt qu’il fut parvenu à l’ empire , appela à sa cour Terpnus, le plus fameux joueur

rent sans doute que leurs ancêtres, dont les mains ont créé l’immense empire de Rome, ne brillèrent point par leur opulence, m

rieur, il sut aussi le dissimuler habilement au besoin. Tel était son empire sur lui-même, qu’il concentra, qu’il comprima lon

Éloge de la simplicité de Théodose. 32. Dès votre avénement à l’ empire , prince, non content de vous être mis vous-même h

. Que dis-je ? leur sensualité se trouvait encore à l’étroit dans cet empire . Votre table, prince, plus modeste que celle de v

x, Thraces, Syriens, Illyriens, Espagnols, se frayaient un chemin à l’ empire , comme à une proie abandonnée au pillage, chacun

e nouvelles guerres au dehors, de nouveaux troubles au dedans : car l’ empire manquait de force et de majesté. Ce pouvoir, c’ét

héritier du rang suprême, pèse plus pour le salut des plus puissants empires , que des flottes et des légions ! Né dans le pala

ivement frappé, en lui révélant avec habileté sa future élévation à l’ empire . Tibère lui demanda s’il avait tiré aussi son pro

ais un roi, si tu peux faire un dieu ; il est plus facile de donner l’ empire que le ciel. Puissent les dieux propices avoir en

la terre : j’embrasserai dans un cadre étroit le tableau entier de l’ empire  ; et je ne laisserai pas, je l’espère, d’ajouter

r sous ses lois l’univers. C’est alors véritablement la jeunesse de l’ empire , et, en quelque sorte, sa robuste maturité. Depui

la consomption de la vieillesse. Cependant Trajan règne, et ce vieil empire agite ses bras, et il semble, contre l’attente un

nt. Un seul homme avoir été assez puissant pour renverser un si grand empire et le relever ensuite ! pour traîner dans chaque

tes, objet de notre attente et de nos vœux, dans la capitale de votre empire  ! et la simplicité même de votre entrée, quels su

’importance du sujet : c’est que l’auteur a sur lui-même un souverain empire , et possède toujours son jugement, qui règle, non

adies qui mirent en danger ses jours. Puis, lorsqu’il fut parvenu à l’ empire , les vœux suspects de Marcellus ; le honteux éloi

ortes de Pluton, se fraya pour son retour un chemin dans le ténébreux empire , fut désarmé par les larmes d’un faible enfant. «

t Tertullien4 ont montré que l’Église était déjà plus étendue que cet empire même qui se vantait d’être lui seul tout l’univer

tirer tout à elle. Regardez ces peuples barbares qui firent tomber l’ empire romain. Dieu les a multipliés et tenus en réserve

lâche la bride2, et le monde en est inondé ; mais, en renversant cet empire , ils se soumettent à celui du Sauveur : tout ense

aître intérieur qu’on nomme raison le reproche intérieurement avec un empire absolu. Il ne le souffre pas ; et il sait borner

ce anglaise, qui s’est tellement emparée du commerce du monde et de l’ empire des mers, qu’elle peut seule aujourd’hui résister

législateurs aussi bien qu’entre les guerriers ? Comment croire à cet empire du monde avec un point de départ si lointain, à c

me sa naissance, lorsque, longtemps après, il reste à son nom assez d’ empire pour prêter de la force à qui l’honore ? Les part

Bernard. L’instinct patriotique était très-vif en lui ; quand tomba l’ empire , il ressentit douloureusement les blessures de la

t. Et c’est une des plus admirables choses de ce monde que jamais nul empire et nul succès n’ont pu assujettir l’histoire, et

e sa présence par des hommes qui ont un nom, par des actes qui ont un empire . Mais qui l’a tiré de sa mort antérieure ? Qui a

érance et des plus hautes vertus, a disparu, et nous espérons que nos empires seront éternels ! » Ce sera le lieu espèce. Massi

ière de ces prodiges si réguliers ? Parlerez-vous des révolutions des empires , sans tenter de les faire comprendre par l’exposé

dans la source des affections fortes et dévouées. L’homme a un grand empire sur l’homme, et de tous les maux qu’il peut faire

1. Madame Récamier, célèbre par sa beauté, reine des salons sous l’ Empire . Les deux plus intimes amis de madame de Staël, M

alistes, il faut admirer dans les récits consacrés au Consulat et à l’ Empire (1845-1862) l’amour du vrai, la clairvoyance d’un

fanter des chefs-d’œuvre. (Préface du XIIe volume du Consulat et de l’ Empire 1. Édition Lheureux et Cie.) Une page de nos

onnements dont je ne puis revenir. La voix de la nature a pris un tel empire sur moi que je parviens rarement à me dégager de

èbres par une harmonie sauvage et furieuse qui bouleverse le paisible empire de la nuit, c’est quelque chose d’incomparable en

de mélancolie que semble avoir recueillis Pascal4. » Les chefs d’ empire au double tribunal de la renommée et de la consci

le secret de ces philosophes qui ont pu autrefois se soustraire de l’ empire de la fortune, et, malgré les douleurs et la pauv

trouve pas de résistance au dehors, ou bien que Dieu ait prescrit aux empires de certaines limites de puissance et de durée qui

nts ne se peuvent raisonnablement plaire. Ils regardent les gens avec empire  ; ils disputent avec hardiesse et confiance ; les

n’offre encore un temple à Votre Majesté, elle lui promet du moins l’ empire des cœurs où Dieu même désire de régner, et en fa

leterre. Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

se, le père et les enfants, le chef et les membres, le sacerdoce et l’ empire . La Bruyère (1646-1696.) [Notice.] N

se vantait d’être le peuple-roi, a été livré aux nations barbares : l’ empire éternel est tombé ; Rome est ensevelie dans ses r

celui des statues de l’empereur, et laisser fièrement les aigles de l’ empire pour suivre l’étendard de la croix ; et enfin, qu

s fières281 et idolâtres, ennemies de votre nom et de votre culte : l’ empire , la puissance, les richesses, la force, tout étai

, un Néron, un Dioclétien, qui avaient rougi toutes les contrées de l’ empire du sang de vos martyrs, ont péri et expié par une

ique283, par des guerres et des calamités qui ont enfin renversé leur empire , les maux dont ils avaient affligé votre Église.

e votre sagesse et de votre miséricorde envers les hommes, mais votre empire , maître souverain des cœurs, n’aura point d’autre

e former des desseins, et l’occupa tout entière à suivre les siens. L’ empire se maintint par la grandeur du chef : le prince é

l les fit exécuter. Son génie se répandit sur toutes les parties de l’ empire . On voit dans les lois de ce prince un esprit de

t les difficiles avec promptitude. Il parcourait sans cesse son vaste empire , portant la main partout où il allait tomber. Les

t toutes sortes de défauts dans l’esprit, prit en main les rênes de l’ empire que Charlemagne avait tenues. Dans le temps que l

ocrité qui afflige presque tous les humains ? Vous avez renoncé à cet empire que votre gloire et vos vertus326 vous donnaient

gré la différence de nos religions : tant la saine raison à partout d’ empire  ! Dites-moi si les bons livres de ce temps n’ont

es vers de sa façon, Qu’il faut qu’un galant homme ait toujours grand empire Sur les démangeaisons qui nous prennent d’écrire 

e est condamnée à périr. Il faut qu’Esther, au mépris des usages de l’ empire , paraisse devant le roi, pour obtenir la révocati

uvoir souverain ? ASSUÉRUS. Croyez-moi, chère Esther, ce sceptre, cet empire , Et ces profonds respects que la terreur inspire,

je l’ai dit et veux bien le redire, Demander la moitié de ce puissant empire . ESTHER. Je ne m’égare point dans ces vastes dési

donc ce fils, ton soin et ton ouvrage683 ; Et que, pour signaler son empire nouveau, On lui fasse en mon sein enfoncer le cou

brigué, est bientôt devant lui ; il lui parle comme représentant de l’ empire . Acte II688, scène II. Rhadamiste, Pharasma

itteront la lumière, S’ils vous ont vu régir sous d’équitables lois L’ empire du Potoze712 et la ville des Rois. GUSMAN. J’ai c

, mon fils ; plus que vous je désire Qu’ici la vérité fonde un nouvel empire , Que le ciel et l’Espagne y soient sans ennemis :

i te fait baisser les yeux723. Ravisseur de nos biens, tyran de notre empire , Tu viens de m’arracher le seul bien où j’aspire.

n’étiez-vous point jaloux ? La mer entend sa voix. Je vois l’humide empire S’élever, s’avancer vers le ciel qui l’attire ; M

, dans la liberté suprême, Semant de fleurs tous mes instants, Dans l’ empire de l’hiver même Je trouve les jours du printemps7

genoux voit l’univers trembler, Et, subissant lui-même un tyrannique empire . Éprouve, en l’ordonnant, la frayeur qu’il inspir

es affaires. 18. Les Romains disaient que les dieux avaient promis l’ empire du monde à la ville maîtresse du Capitole : la fi

t partagé, dès leur enfance, tous ses États : à Lothaire, associé à l’ empire , il avait assuré la Neustrie ; à Pépin, l’Aquitai

l’éloge de Cassini, que la France faisait des conquêtes jusque dans l’ empire des lettres. » 348. Le célèbre poète écossais Th

st, au temps des persécutions dirigées contre les chrétiens et sous l’ empire de Dèce, que s’accomplit le fait qui est le sujet

oin : Dans les mains des Persans jeune enfant apporté, Je gouverne l’ empire où je fus acheté… 610. Voy. Exode, xvii ; Rois

ou Iulus, fils d’Enée et de Ce. Il succéda à son père dans le nouvel empire des Latins, que celui-ci avoit fondé en Italie, e

valeureux, d’augmenter ton bonheur. Et par armes un jour agrandis ton empire , Moins pour avoir du bien que pour avoir honneur.

entresuivans Ont leurs cours et leur estre, et qui par destinees, Des empires avez les puissances bornees, Leurs ages et leurs

euse Rome, Sans bien, sans liberté, ploye au vouloir d’un homme : Son empire est à moy, sa vie est en mes mains ; Je commande,

d il veut, regner sur l’Univers, Ét, quand il veut, fait choir nostre empire à l’envers. Tout depend de sa main, tout de sa ma

couronne en la terre je pers, Pour en regaigner deux dans le celeste empire , La couronne de vie et celle du martire. » Ces mo

un autre l’ait fondée et ceinte de murailles, Qu’un autre ait faict l’ empire en ses murs résider : Vous, vous l’avez sauvée au

tte569 à leurs meschancetez ; Comme ils furent enfin reduicts sous un empire , Et beaucoup d’autres plats qui seroient longs à

grand, que le Pont-Neuf s’acheve637, Si plus en paix qu’en guerre un Empire s’esleve. Il vint à définir que c’estoit qu’Amiti

maistre, et te fait introduire Où le plus fier tyran n’a jamais eu d’ empire , Elle amollit les cœurs et soumet la beauté : Je

rois, et qui m’es le plus cher, Si tu veux que je t’aide à sauver ton empire , Il est temps de marcher. » Que sa façon est bra

Seigneur, je vous le dis… J’allois… j’étois… l’amour a sur moi tant d’ empire … Je me confonds, seigneur, et ne puis rien vous d

e pouvoit être pire. ADRIEN. Mais, mourant, de la mort il détruisit l’ empire … FLAVIE. César vous peut ôter vos biens si précie

la dynastie d’Auguste ; Polyeucte, la lutte du christianisme et de l’ empire  ; Attila, l’invasion des Barbares ; Héraclius, le

l’invasion des Barbares ; Héraclius, les révolutions sanglantes de l’ empire de Byzance. Tel est l’ensemble de ses tableaux, t

la voir ravir, On voyoit par votre ordre immoler les plus braves À l’ empire de vos esclaves. J’ai tiré de ce joug les peuples

oyager, craintif au dernier point. Pour moi, j’ai déjà vu le maritime empire  ; J’ai passé les déserts, mais nous n’y bûmes poi

e tous les beaux esprits956 ; Comme roi des auteurs qu’on l’élève à l’ empire  : Ma bile alors s’échauffe, et je brûle d’écrire 

plus d’assauts, et presque plus de temps, Que n’en coûte à son bras l’ empire des Persans. Ennemis du repos qui perdit ces infâ

accusoit de trop de cruauté ; Et, plaignant les malheurs attachés à l’ empire , Je voudrois, disiez-vous, ne savoir pas écrire98

Venez tous sur nos sombres bords ; Le repos qu’on désire Ne tient son empire Que dans le séjour des morts. Chacun vient ici-ba

royoit accablé Ont fait encor gémir le ciel, la terre et l’onde ; Mon empire s’en est troublé, Jusqu’au centre du monde Mon tr

lanterie et de sa mandore, il n’aurait pas « fait une lâcheté pour un empire  ». Aussi fut-il pauvre malgré les pensions interm

stes par son Voyage dans la Lune et une Histoire comique des États et Empires du Soleil. Dans la deuxième partie du siècle il n

 ? Le temps, qui doit tout dévore, Sur le fer et la pierre exerce son empire . Il abattra ces fermes bastimens Qui n’offrent à

lle (1738-1813), contemporain de la Royauté, de la République et de l’ Empire . Un seul poète ne donne pas dans le travers de la

1789, et dont le chef-d’œuvre, Tibère, fut écrit dans le silence de l’ Empire . La comédie n’a pas un Voltaire qui l’illustra pe

es vastes routes, Ou percer par mes chants les infernales voûtes De l’ empire des morts ; Je n’irois point, des dieux profanan

068 un cœur comme le mien Pour croire que sur lui l’amour ait quelque empire . Mon époux est vivant, ainsi ma flamme expire. Ce

ns l’éternel oubli sont en foule enterrés ! La terre a vu passer leur empire et leur trône. On ne sait en quel lieu florissait

ée, Dans le cercle des grands ne s’est point arrêtée : Elle infecte l’ empire , et les mêmes travers Règnent également dans tous

lés, Et leur suffrage vénérable Fondant son trône inaltérable Sur les empires écroulés ! Eût-il, sans ce tableau magique Dont

part, et devant lui chassant les flots amers, S’empare fièrement de l’ empire des mers1188. (L’Imagination 1189, V, fin).

vieillard blanc, aveugle et sans appui ? « Serait-ce un habitant de l’ empire céleste1206 ? « Ses traits sont grands et fiers ;

n sur l’autre, un jour s’écrouleront. Là, de l’éternité commencera l’ empire , Et dans cet océan, où tout va se détruire, Le te

0-1815) a pris et conservé dans l’histoire le nom de Littérature de l’ Empire . Deux noms s’en détachent et la dominent de très

ent valu les Bulletins de la Grande Armée ? Ce n’est pas faute pour l’ Empire d’avoir provoqué à la poésie ; mais les odes, can

faisaient pas naître la poésie, et souvent la censure ombrageuse de l’ Empire , en la contrôlant, la tuait. Laissons-la enterrée

es de travail et d’amitié dans l’exil et la solitude de Londres ; à l’ Empire , par le rôle brillant d’orateur officiel qu’il y

la Gastronomie (1801). Comme la poésie descriptive, la tragédie de l’ Empire nous a transmis des noms plutôt que des œuvres. J

1775-1851), fils de l’auteur des Lettres sur l’Italie, écrivit sous l’ Empire des comédies dont le souvenir lui valut, âgé de s

es genres descriptif et dramatique ont le plus donné à la poésie de l’ Empire , c’est pourtant à d’autres genres moins cultivés

et à d’Ennery, voire le mélodrame comme l’ont ait Pixérécourt sous l’ Empire et tant d’autres depuis : la comédie, pour nous e

Après le despotisme de la monarchie absolue, de la Convention et de l’ Empire , le xixe  siècle a cherché dans l’ordre politique

. Il y reparut en 1804 avec Cyrus, mais l’adhésion du républicain à l’ Empire plut moins que ne déplurent les conseils du libér

ais tout craindre, est-ce donc là régner ? Quel prestige soutient cet empire suprême, Pesant pour les sujets, pour le tyran lu

mparts détruits s’élèvent des remparts ; L’un par l’autre abattus les empires s’écroulent ; Les peuples entraînés, tels que les

ine-Vincent Arnault, « parmi les littérateurs et les poètes dits de l’ empire , est un de ceux qui ont une physionomie et un car

ent des Iles Ioniennes, eut un rôle au 18 brumaire, et remplit sous l’ Empire des fonctions administratives et universitaires.

ce Lebrun (Pierre-Antoine) a été, par ses hymnes à la gloire de l’ Empire avant 1815, par ses odes patriotiques, préludes d

ls se disaient entre eux : — Quelqu’un de grand va naître ! L’immense empire attend un héritier demain. Qu’est-ce que le Seign

r1526. Mais, astre souverain, centre de tous ces mondes, Par-delà ton empire aux limites profondes, Des milliers de soleils, s

eler du surnom… Entendez seulement, du titre militaire d’imperator. L’ Empire , constitué civilement, a commencé avec Auguste, s

nous sommes, Veulent sur tous les rois un si haut ascendant Que leur empire seul demeure indépendant. 974. Ibid., II, 3 

après 1830. 1082. 1° Chez les Romains, la somme d’argent que, sous l’ Empire , le magistrat municipal devait donner pour reconn

oleil, d’un bec ouvert l’aspire, Croit reprendre la vie au flamboyant empire  ; Dans un fluide d’or il nage puissamment. Et par

e crois, ne sont pas des tyrans. Il en est que te ciel guida dans cet empire Moins pour noue conquérir qu’afin de nous instrui

eux sur la terre, Attendre l’ordre d’un valet. J’ai vu, du ténébreux empire , Accourir avec un pétard, Cinquante lutins pour d

30 kil. E. du Havre. — Lebrun y avait habité, lorsqu’il était, sous l’ Empire , receveur des finances en Normandie, le château f

lin le 21 novembre 1806. Napoléon interdisait l’entrée des ports de l’ Empire français et de ses alliés aux vaisseaux et aux ma

et la vallée du Sind (Indus) Tippo-Saëb, qui disputait aux Anglais l’ empire des Indes. La résistance de Saint-Jean-d’Acre, dé

1360. Dieu mythologique des troupeaux et des pâturages. Au temps de l’ empire romain, on en fit la personnification de la natur

bèrent sous la puissance formidable de ces maîtres du monde ; et leur empire fut totalement détruit l’an 228 de J. C., sous Ar

ères, ainsi que celles de son cœur, le firent adopter et associer à l’ empire par Nerva, après la mort duquel il fut proclamé e

é, que dans une république aussi puissante, et dans un aussi illustre empire , il se rencontrât si peu de citoyens assez fermes

iaires, le crédit public, les provinces, les alliés, la gloire de cet empire , la discipline militaire, le trésor. Pour se cons

nheur, leur malheur. Ni les troubles, Zénobie 1, qui agitent votre empire , ni la guerre que vous soutenez virilement contre

affectionnée par les nouvellistes. 2. L’Angleterre, la Hollande et l’ empire . 3. Il est curieux de voir Montesquieu traçant l

t, certain de son prix, Ose nous demander raison de nos mépris2… De l’ empire de l’air cet habitant volage, Qui porte à tant de

nous les rend. Telle est de l’univers la constante harmonie : De son empire heureux la discorde est bannie ; Tout conspire po

t également nettes, pratiques, décisives, également empreintes de cet empire que donnent la vérité et la nécessité à l’homme q

des conquérants brise le frêle essieu, Marche en rêvant au bruit des empires qui tombent, Et dans tous les chemins montre les

talie, où il épousa Lavinie, fille du roi Latinus, et fonda un nouvel empire des Latins, qui fut le berceau de celui de Rome.

Ne fasse voir du Styx la rive désolée, Ne découvre aux vivants cet empire odieux, Abhorre des mortels et craint même des di

ue dis-je ? esclave dans l’Épire, Je lui donne son fils, mon âme, mon empire  ; Et je ne puis gagner dans son perfide cœur D’au

, de grands talents pour la guerre ; tous deux furent redevables de l’ empire à leur courage et à leurs travaux : tous deux par

d’esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage

ne donc, ce fils, ton soin et ton ouvrage ! Et que, pour signaler son empire nouveau, On lui fasse en mon sein enfoncer le cou

le pouvoir royal, qui vit tomber sur les bords du Bosphore le dernier empire survivant au monde antique, qui découvrit l’Améri

le coup, s’arrêta-t-il pour cela ? Et ne mit-il pas encore une fois l’ empire en plus grand hasard qu’il n’avoit été par les pe

changer ce conseil et d’arrêter la précipitation de ceux qui, pour un empire (car c’étoit le prix de cette victoire), ne voulu

naire, ils ne seroient pas croyables sans son autorité, qui agit avec empire , et semble commander de croire ce qu’elle veut pe

primer les bizarreries de l’usage, et tempérer les dérèglemens de cet empire trop populaire. C’est le fruit que nous espérons

écrits ; et, quelque peine qu’ait l’Italie d’abandonner tout à fait l’ empire , elle est prête à vous céder celui de la politess

er qu’elle vivra dans l’état où vous l’avez mise, autant que durera l’ empire françois et que la maison de saint Louis présider

 ; là, le luxe, l’ambition et le vain désir de paroître exercent leur empire sans résistance. Tout s’y fait par une chaleur in

rois Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

Quand cette passion s’est une fois emparée d’un esprit, vous savez l’ empire qu’elle y exerce, et jusqu’où on se porte pour la

n’offre encore un temple à Votre Majesté, elle lui promet du moins l’ empire des cœurs, où Dieu même désire de régner, et en f

cre, par la seule force de leur mérite, sont venus à fonder de grands empires , ont passé comme des éclairs d’une partie du mond

remettre. En vain il fut fidèle à Tibère ; sa modération à refuser l’ empire ne le fit pas trouver innocent ; on le jugea coup

x Romains, dans une armée où il eut moins à craindre les ennemis de l’ empire qu’un empereur qu’il avoit si bien servi. Il ne f

d’un mérite considérable témoignoit de la passion par la gloire de l’ empire , Tibère soupçonnoit que c’étoit avec dessein d’y

biens de fortune » Ni les troubles, Zénobie450, qui agitent votre empire , ni la guerre que vous soutenez virilement contre

et Tertullien ont montré que l’Église étoit déjà plus étendue que cet empire même qui se vantoit d’être lui seul tout l’univer

ttirer tout à elle. Regardez ces peuples barbares qui firent tomber l’ empire romain. Dieu les a multipliés et tenus en réserve

ur lâche la bride, et le monde en est inondé ; mais en renversant cet empire , ils se soumettent à celui du Sauveur : tout ense

out dans les abîmes de l’éternité : les siècles, les générations, les empires , tout va se perdre dans ce gouffre ; tout y entre

on a grand sujet d’en regretter les mœurs et que de jour en jour tout empire . SOCRATE. Cela se peut-il ? Il me semble que de m

ier ordre, nés pour dominer sur les autres esprits et pour fonder des empires . Tous deux géomètres excellens ont vu la nécessit

ns en faire attendre de semblables ; les révolutions des États et des empires ont peut-être peu de rapport à notre situation pr

mé le Dictionnaire philosophique, Histoire du Parlement, Annales de l’ Empire , Essais sur les mœurs et l’esprit des nations, qu

ses ennemis éternels et par l’espérance de la conquête de l’Asie. Un empire cultivé par la nation du monde la plus industrieu

, il le suit de si près, qu’il ne lui laisse aucune retraite dans son empire . Darius n’entre dans ses villes et dans ses provi

tir : les marches d’Alexandre sont si rapides, que vous croyez voir l’ empire de l’univers plutôt le prix de la course, comme d

té de villes, et il cimenta si bien toutes ; les parties de ce nouvel empire , qu’après sa mort, dans le trouble et la confusio

ocrité qui afflige presque tous les humains ? Vous avez renoncé à cet empire que votre gloire et vos vertus vous donnoient sur

d’esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses ! quel empire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage

ont plus vécu que son roman poétique des Incas ou la Destruction de l’ empire du Pérou ; avec autant d’autorité que de finesse

Ici, me dis-je, ici fleurit une ville opulente, ici fut le siège d’un empire puissant. Oui, ces lieux maintenant si déserts, j

nsi donc périssent les ouvrages des hommes ! Ainsi s’évanouissent les empires et les nations ! (Volney, Les Ruines ou Considé

n dépit de cette « douane de la pensée » (Lamartine), organisée par l’ Empire , à la préparer dans la poésie par la plume de Mme

, dont le nom grandit tous les jours. Lamartine écrit dès la fin de l’ Empire ses Méditations dont il ne publie qu’un choix en

e clarté vingt-cinq années de notre histoire (Révolution, Consulat et Empire ) ; Lamartine, avec la couleur éblouissante d’un p

is empereurs, Constantin, Julien l’Apostat et Théodose (L’Église et l’ Empire romain au ive  siècle) ; C. Rousset, une Histoire

ces morales et politiques, création de la République, supprimée par l’ Empire , et rétablie en 1833, après une lacune de trente

Deux d’entre elles, école de critique et foyer d’intelligence sous l’ Empire et dans une période de la Restauration, le Journa

agogie sous la République, elle la représenta sous le despotisme de l’ Empire . Persécutée et proscrite dès le Consulat, elle vi

ins et les adulations d’amitiés fidèles, des Études historiques sur l’ empire romain, une traduction en prose du Paradis perdu,

aviva la foi par son Génie du Christianisme ; sous l’étouffement de l’ empire , avec Mme de Staël, il « ressuscitait l’âme », di

nes d’une terre composée de la poussière des morts et des débris des ¦ empires . Souvent, dans une grande plaine, j’ai cru voir d

stoire : ses premiers dictateurs conduisaient la charrue ; elle dut l’ empire du monde à des laboureurs, et le plus grand de se

au dehors des raisons pour s’en convaincre, il va sur les ruines des empires , il oublie qu’il est lui-même une ruine encore pl

peuples. C’est en vain que Néron prospère, Tacite est déjà né dans l’ empire  ; il croît inconnu auprès des cendres de Germanic

(Indre-et-Loire), fut, pendant la République et jusqu’en 1809, sous l’ Empire , officier d’artillerie, pendant la Restauration p

la nature leur impose ces croyances et mille autres avec un souverain empire  : il faut qu’ils y croient malgré l’impuissance l

ué, il se crut au terme de tout ce qui pouvait lui donner encore de l’ empire et du renom. L’âge et les maux du corps semblèren

s ne pouvons pas espérer que cette foi divine reprenne subitement son empire . Les plus grandes catastrophes émeuvent un moment

enfermés, il est difficile de se représenter ce sentiment avec tout l’ empire qu’il exerçait sur les Barbares des ive et ve siè

tion chrétienne, de dévoûment à ses lois, un vif besoin d’étendre son empire  ; ou bien le sentiment religieux amenait une réac

me, ce sont là les trois influences, les trois puissances qui, sous l’ Empire , ont vraiment agi sur notre littérature et marqué

fiers esprits adonnés aux lettres peuvent bien vivre ensemble. Mais l’ Empire n’offrait rien de semblable : l’Empereur Napoléon

. Quoi qu’il en soit, nulle part, à aucun degré, sous aucune forme, l’ Empire n’admettait l’opposition. En France et dans notre

e sous Louis XVI ; membre et président du Sénat sous le Consulat et l’ Empire , grand-chancelier de la Légion d’honneur et comte

torité absolue des lois républicaines, puis la puissance absolue de l’ empire français ; puis cinq années de lois d’exception s

t sur la scène politique pour y grandir (Histoire du Consulat et de l’ Empire , 20 vol., 1845-1862). Il déploie avec éclat dans

collines, dominaient tout. Il semblait que la mort eût établi là son empire  : c’était une terrible redoute, conquête et tombe

longue haleine, comme : Chateaubriand et son groupe littéraire sous l’ Empire (1860), cours professé à Liège en 1848 ; Étude su

a de longues années. Sainte-Beuve fut académicien, et sénateur sous l’ Empire . Ducis832 Il y a pour nous, à la distance

airons sonnant, toutes les musiques chantant : Veillons au salut de l’ Empire , ils étaient venus, colonne épaisse, une de leurs

er se tenait debout dans son brillant costume de vice-connétable de l’ Empire . Constant, le valet de chambre, présentait à l’Em

lui dit : — Serez-vous sage enfin ? Comprenez-vous ce que doit être l’ Empire français ?… — Ah ! je ne comprends en ce moment q

urg), 1635. 306. Octave Piccolomini, de Sienne, un des généraux de l’ Empire pendant la guerre de Trente ans. 307. En 1597.

9 ; VII, 7, 31 ; Voiture, supra, Scarron, supra. 543. Annales de l’ Empire , publiées par Voltaire cette année même. 544. Ma

. Oh ! quels petits conducteurs on trouveroit souvent aux plus grands empires , si du prince on descendoit par degrés jusqu’à la

., VIII.) 742. Le comte Foy (1775-1825), né à Harr, général sous l’ Empire , député de l’Aisne et orateur sous la Restauratio

nts ; membre, puis président du Directoire ; sénateur et comte sous l’ Empire . Ancien régicide, il dut vivre exilé en Hollande

la rédaction des feuilletons de théâtre du Journal des Débats ou de l’ Empire (1800-1814), réunis depuis sous le titre de : Cou

Tuniques blanches, bordées de pourpre portées par les Romains sous l’ empire elles leur venaient de Dalmatie. Elles sont passé

ippe Ier (1830-1848) ; né en 1775, mort en 1850. 911. Il fut, sous l’ Empire , maréchal duc de Valmy. 912. Cette description p

, à mon réveil, ne m’ont pas tout ôté :         Je n’ai perdu que mon empire . Les pensées, les épigrammes et les madrigaux, p

fruit des pleurs de l’Aurore, Objet des baisers du Zéphyr, Reine de l’ empire de Flore, Hâte-toi de t’épanouir. Que dis-je ? h

l et à quel titre ? parce qu’il a un génie qui doit faire honneur à l’ empire romain (Cicer., pro Archiâ) ; voilà le judiciaire

lance a découvert autrefois des complots funestes au souverain et à l’ empire , seul en état par sa probité et par son expérienc

publique. Mais l’empereur a pour le défendre son imposante dignité, l’ empire romain ses autres armées. Ma femme et mes enfants

l’orateur romain qu’ « il fut le seul génie que Rome eût pareil à son empire  », « illud ingenium quod solum par populus romanu

deux parts, trois combattants qui devaient, à eux seuls, décider de l’ empire . » Tite-Live, dans la peinture qu’il fait de ce c

ites d’une façon prétentieuse : « Mon ami est descendu dans le sombre empire des morts, et moi je jouis encore de la lumière d

tout le mérite de ce chef-d’œuvre de l’art, tâchez de pénétrer dans l’ empire des beautés incorporelles et devenez, s’il se peu

er les grands mouvements de la politique, les grandes révolutions des empires  ; le philosophe et le poète ont-ils à traiter les

ée Ne fasse voir du Styx la rive désolée, Ne découvre aux regards cet empire odieux, Abhorré des mortels et craint même des di

s votre fils, c’est le maître du monde. J’en dois compte, madame, à l’ empire romain, Qui croit voir son salut ou sa perte en m

sceptre ou le diadème se prennent pour la royauté, le trident pour l’ empire maritime, la robe pour la magistrature. Quinault

deur du mort ». Cette saillie présente d’un seul trait l’étendue de l’ empire d’Alexandre et l’immensité de sa puissance. C’est

espect toute l’Espagne admire, Mon bras, qui tant de fois a sauvé son empire , Tant de fois affermi le trône de son roi, Trahit

n vos charmes impuissants ; Vous me montrez en vain par tout ce vaste empire Les ennemis de Dieu pompeux et florissants. Il ét

nom, précieux encore à vos Romains, Au bout de six cent ans lui met l’ empire aux mains. Je dois ma vie au peuple, au prince, à

out dans les abîmes de l’éternité ; les siècles, les générations, les empires , tout va se perdre dans ce gouffre ; tout y entre

rrait jamais s’imaginer. L’antithèse entre la gloire et la chute d’un empire , d’un souverain, d’un héros, ne peut manquer d’êt

ifique : « Celui qui règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

neur et la patrie, Tout ce peuple, ces rois à mes ordres soumis, Et l’ empire d’Asie à la Grèce promis ; De quel front immolan

dans les fers ici me mit presqu’en naissant, Me fit bientôt quitter l’ empire du Croissant. A la cour de Louis, guidé par son c

seigneur… je le suis. Lusignan. Dieu, reçois son aveu du sein de ton empire  ! 1. On avait dit longtemps qu’il était né dan

t plusieurs familles gauloises parvinrent aux premières dignités de l’ empire . Lorsque Caracalla eut donné le droit de bourgeoi

peuples du nord de l’Europe s’emparèrent des différentes parties de l’ empire , et les Francs s’établirent dans la Gaule (486).

ve, à l’entrevue de Strasbourg (812). Après le partage définitif de l’ empire carolingien (888), l’idiome germanique n’appartin

s, il le suit de si près qu’il ne lui laisse aucune retraite dans son empire . Darius n’entre dans ses villes et dans ses provi

tir : les marches d’Alexandre sont si rapides, que vous croyez voir l’ empire de l’univers plutôt le prix de la course comme da

terre : « Celui qui règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

la reine de Palmyre : « Ni les troubles, Zénobie, qui agitent votre empire , ni la guerre que vous soutenez virilement contre

ocher qui assujettit ses chevaux au frein : Il soumet l’attelage à l’ empire du mors. L’idée d’empire est trop grande pour un

hevaux au frein : Il soumet l’attelage à l’empire du mors. L’idée d’ empire est trop grande pour un mors de cheval. Il faut a

n modèle de concision : «  Tout fut uni par la force de son génie. L’ empire se maintint par la grandeur du chef. Le prince ét

nt vos yeux, je ne dis pas les rois et les empereurs, mais les grands empires qui ont fait trembler tout l’univers ; quand vous

xion que vous Jerez non-seulement sur l’élévation et sur la chute des empires , mais encore sur les causes de leurs progrès etsu

consiste la destinée humaine, sur quelles bases reposent les lois des empires , comment les États s’élèvent ou s’écroulent, quel

examiner si les lettres sont utiles aux mœurs et à la prospérité des empires , quels sont les temps les plus favorables aux art

timent de son Dieu, dans les objets de la nature, dans les ruines des empires , mais surtout dans une action vertueuse et dans u

déplaisant et amer au sein même des grandeurs. Ce fut lui qui donna l’ empire à Sparte et à Rome, en montrant à leurs habitants

uatrième siécle, dont la voix avait retenti au milieu de la chute des empires et dans le tumulte des sociétés mourantes. Massil

r du sentiment ; et si l’une règne sur les pensées, l’autre étend son empire sur les actions mêmes. » Ce n’est qu’à l’aide des

s règles de la rhétorique. — C’est une erreur commune que de borner l’ empire de la rhétorique à l’art oratoire proprement dit.

us l’œil de la Divinité, et qu’elle agit sur la volonté avec autant d’ empire que sur la pensée ; un supplément de la conscienc

plaindre, elle cherche à consoler son père. Cette résignation et cet empire sur soi sont peut-être moins dans la nature d’une

raux et religieux des vingt volumes de l’Histoire du Consulat et de l’ Empire dans ces belles lignes qui en forment la conclusi

camp tenu les premiers rangs, A ceux qui de leur sang m’ont acheté l’ empire Et qui m’ont conservé le jour que je respire ; De

t : le moyen ou l’instrument Et ceux qui de leur sang m’ont acheté l’ empire . la manière : Je te les ai sur l’heure et sans

tagne19 : Celui qui règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

uet a dit : Celui qui règne dans les cieux, de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’i

de la chaîne du temps, où l’on ne marche qu’au bruit de la chute des empires  !    ‘ Jamais l’auteur des Eloges n’a mieux justi

x partir, je demeure en Epire, Je renonce à la Grèce, à Sparte, à son empire , A ma famille !     RACINE. Agrippine menace N

l des femmes, étant cause que la partie brutale veut toujours prendre empire sur la sensitive, on voit que l’inégalité de leur

les : — « Quand Crésus aura passé l’Halys, ce sera la fin d’un grand empire . » — Lequel ? L’événement décidera et justifiera

leterre : Celui qui règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’i

solennel : Celui qui règne dans les cieux et do qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’i

sens et des déclamations vides au milieu de la société corrompue de l’ Empire  ; mais la faute n’en est pas aux rhéteurs, il fau

même sujet. En effet pendant quelque temps l’imagination reste sous l’ empire des mêmes dispositions, et par suite est incapabl

re, leur peint avec énergie les crimes de Domitien, la situation de l’ empire , qui a besoin d’une main i sage et pacifique, cap

barbares. Il prouve que Nerva est ce prince nécessaire au salut de l’ empire et au bonheur du monde, et il exhorte les soldats

ares, et vous reculerez jusqu’aux bornes du monde les frontières de l’ empire éternel !… » « Romains, cet homme que vous demand

hie cette sagesse qui fera le bonheur des nations, s’il se dévoue à l’ empire  ; lui seul peut encore ramener dans Rome la vertu

e à César un mérite, c’est d’avoir voulu à la république substituer l’ empire , non par le sang comme Marius et Sylla, mais par

t la reconnaissance par les.découvertes et les calculs qui étendent l’ empire de l’esprit humain. Mais il faut d’abord que les

alculs aussi sûrs que hardis, étendent de toutes parts l’horizon et l’ empire de l’esprit humain. Honneur aux sciences ! Mais q

Caucase pareil, comparaison hyperbolique ; arrêter marque une sorte d’ empire et de supériorité ; sur qui ? sur le soleil lui-m

e qui la tète au ciel était voisine, Et dent les pieds touchaient à l’ empire des morts. Ces vers sont beaux, nobles ; l’antit

x règles du bon sens, et aux lois de la saine raison. Dans les divers empires , où les lumières ont fait quelques progrès, les B

ennent aux mains, à l’effort de deux vents opposés qui se disputent l’ empire des airs. Rien de tout cela dans les poètes sacré

et ce que ce même Dieu se proposait de faire, pour établir un jour l’ empire du Christ, et pour assurer son église sur des bas

d’esprit, quelle finesse et quelle justesse dans ses réponses ! Quel empire sur ses passions ! Où est l’homme, où est le sage

qui seul tient en ses mains la balance des combats et la destinée des empires  ; de ce grand Condé, qui, dans ses derniers momen

nce d’abord que sa puissance s’exerce dans les cieux, et sur tous les empires du monde, puis il nous amène à conclure que ce Di

les rois : Celui qui règne dans les cieux, de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’i

d tu seras plus grande, et qu’il faudra t’instruire, Que poursuivre l’ empire , et la fortune et l’art, C’est folie et néant ; q

1. Le père du poëte fut le comte Hugo, général de division sous l’ Empire . Son nom figure sur l’arc de triomphe de l’Étoile

s votre fils, c’est le maître du monde. J’en dois compte, madame, à l’ empire romain, Qui croit voir son salut ou sa perte en m

empereur, il est vrai, ne vient plus chaque jour Mettre à vos pieds l’ empire , et grossir votre cour ; Mais le doit-il, madame 

compte sa liberté. Que dis-je ? la vertu semble même renaître. Tout l’ empire n’est plus la dépouille d’un maître : Le peuple a

ait renfermé. Citoyen de toutes les républiques, habitant de tous les empires , le monde entier est sa patrie. La science, comme

ples qui ont paru et disparu dans l’univers, toutes les révolutions d’ empires et de royaumes, tous les grands événements qui em

république, mais même sous les empereurs, puisque Néron, parvenu à l’ empire , prononça l’éloge de Claude, son prédécesseur24.

leterre : Celui qui règne dans les deux, et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

peuple, et que, pour gouverner des hommes qui ne reconnaissent que l’ empire de la persuasion, il faut être rompu de longue ma

Mèdes, rempli les îles et la Chersonèse de leurs colonies, conquis l’ empire de la mer et la prééminence sur toute la Grèce. C

n, à les faire naître ; il est actif, infatigable, et dans ce monde l’ empire est à celui qui agit. Mais bientôt il corrige ce

l’ont inspirée qu’un écho vague et lointain ; et cependant, tel est l’ empire de la vraie éloquence, qu’aujourd’hui même où ces

retrouver parmi les nations modernes. Les ruines, dont la chute de l’ empire romain couvrit l’Europe entière, achevèrent d’éto

titude aveugle et féroce dont on se sert pour changer la destinée des empires , et pour élever les monuments de la gloire. Consi

rtu n’offre pas un temple à votre majesté, elle lui promet du moins l’ empire des cœurs, où Dieu même désire régner et en fait

primer les bizarreries de l’usage et tempérer les déréglements de cet empire trop populaire. Telle est l’institution de l’Acad

écrits ; et, quelque peine qu’ait l’Italie d’abandonner tout à fait l’ empire , elle est prête à vous céder celui de la politess

me on l’a dit, N’auriez-vous pas eu le crédit De m’arracher du sombre empire  ? Car je sais très-bien qu’il suffit De quelques

ée législative, ministre de l’intérieur en 1797, puis sénateur sous l’ Empire  ; mais il serait inconnu s’il n’avait cultivé les

roire qu’elle y fait tout3 L’idée de détruire ou de morceler un grand empire est souvent aussi absurde que celle d’ôter une pl

ssibles du ciel, et, après avoir complété le système de Newton dans l’ empire borné de notre soleil, on est sur la voie des mou

mais. Non, les exploits guerriers, les trésors, la vaste étendue d’un empire ne procurent pas aux princes un honneur aussi pur

une gloire si grande et si pure, ne sera-t-il pas pour le reste de l’ empire un exemple d’impunité bien dangereux ? Le saint é

voltés, laissés impunis, ne pouvait être dangereux pour le reste de l’ empire  ; il fallait donc les montrer en proie au sort le

limes. « Celui qui règne dans les cieux, et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté et l

et a-t-il été rétabli, pour qu’un citoyen romain, dans une ville de l’ empire , dans une ville alliée, par le magistrat même qui

s s’étaient déjà partagées, vous êtes encore dans l’enceinte de notre empire . Provinces qu’ils avaient déjà ravagées dans le d

x partir, je demeure en Épire, Je renonce à la Grèce, à Sparte, à son empire , À toute ma famille, et c’est assez pour moi, Tra

trefois on avait vu à Rome deux princes associés au gouvernement de l’ empire , ainsi dans cette occasion l’oncle et le neveu ré

ague, un bruit lointain, C’est je ne sais quoi d’incertain   Que cet empire  ; Lieux qu’à peine vient éclairer Un jour qui, sa

 ; là, le luxe, l’ambition et le vain désir de paraître exercent leur empire sans résistance. Tout s’y fait par une chaleur in

’est après s’être adorée elle-même, qu’elle veut tout soumettre à son empire . » 1. Relisez la lettre de Madame de Sévigné su

ors chétive et inconnue, dût avoir l’âme assez haute pour aspirer à l’ empire de la Grèce ! Et que vous, Athéniens, vous, à qui

la terre. Celui qui règne dans les cieux et de qui relèvent tous les empires , à qui seul appartient la gloire, la majesté, l’i

, la tribune a plus d’une fois encouragé la révolte et bouleversé les empires , et il est d’excellents esprits qui pensent qu’el

il ne fut qu’un rhéteur impuissant et vaniteux. Sous le Consulat et l’ Empire , la voix de Napoléon imposa silence à toutes les

ociales, administratives ; elle a pour but de procurer le bonheur des empires par la vérité et la vertu ; mais souvent elle dét

après, nous n’avons point égalé. Conquérant, législateur, fondateur d’ empire , il eut un nom et une pensée qui sont encore prés

op pour qu’ils pensent aux richesses ; la cupidité n’a pas le moindre empire sur leur âme : ils n’ont pas encore éprouvé l’ind

, tandis que l’honneur n’est pour eux que l’honneur. La honte a peu d’ empire sur leur âme, qui, moins sensible à la gloire qu’

ssant, la règle devient plus sévère à votre égard et vous bannit de l’ empire du goût ; éloignez-vous : la raison séparée des g

de canon, et j’ai entendu dire qu’un des plus célèbres généraux de l’ empire , qu’on avait surnommé le brave des braves, était

es vieux généraux de la république, sur son armée et sur la nation, l’ empire irrésistible de la victoire et du génie. On trouv

on n’est point une simple nation, c’est la grande nation. Il raye les empires de la carte. Il scelle les nouveaux royaumes qu’i

ence des historiens. — La providence de Dieu dans les révolutions des empires . Souvenez-vous que ce long enchaînement des c

ce long enchaînement des causes particulières, qui font et défont les empires , dépend des ressorts secrets de la divine Provide

ecoup porte si loin. Quand il veut lâcher le dernier et renverser les empires , tout est faible et irrégulier dans les conseils.

is, que tout n’était pas mauvais dans la langue du déclin avancé de l’ empire romain. Quelques-uns même des écrivains dits roma

en d’imparfait la louange n’aspire, Achève ton ouvrage au bien de cet empire , Et nous rends l’embonpoint comme la guérison. N

rois, et qui m’es le plus cher, Si tu veux que je t’aide à sauver ton empire ,            Il est temps de marcher. » Que sa fa

ses passions, il a ce qu’il désire, Son fertile domaine est son petit empire  ; Sa cabane est son Louvre et son Fontainebleau ;

dans la scène pompeuse où Auguste délibère s’il doit se démettre de l’ empire avec deux amis conjurés pour lui arracher l’empir

t se démettre de l’empire avec deux amis conjurés pour lui arracher l’ empire et la vie ! Qu’y a-t-il dans le théâtre antique d

pleurer d’admiration le grand Condé, quand il entendait le chef de l’ empire romain prononcer ces magnifiques paroles : Je su

; et, loin d’y contredire, Je laisse entre ses mains et vous et votre empire . Je sors avant ce choix, non que j’en sois jaloux

eur et la patrie, Tout ce peuple, ces rois, à mes ordres soumis, Et l’ empire d’Asie à la Grèce promis : De quel front, immolan

émices        De ce langage éléphantin,        Et qu’aux annales de l’ empire Avec étonnement l’avenir pourra lire :        « P

ypte abaissée ; Des murs de Constantin la splendeur éclipsée ; Vois l’ empire romain tombant de toutes parts, Ce grand corps dé

, dans la liberté suprême, Semant de fleurs tous mes instants, Dans l’ empire de l’hiver même Je trouve les jours du printemps.

     Tes dons à pleines mains. Tu fis ces gouffres effroyables, Noir empire des vastes mers ; Leurs abîmes impénétrables Sont

uel espace pour tant d’orgueil ! Il est un Dieu qui t’environne, Son empire est l’immensité ; Il ne doit qu’à lui sa couronne

ire Des rois follement insensés : De leurs couronnes qu’il agite, Des empires qu’il précipite Les débris sèment la terreur ; Di

e L’enflamme de fureur. L’animal aux abois Se montre digne encor de l’ empire des bois ; Il combat de la tête, il couvre de ble

Il ne mourut qu’en 1813. Cependant ce n’est pas du tout un poète de l’ Empire . Il appartient pleinement au dix-huitième siècle 

, tribun sous le Consulat, professeur de littérature française sous l’ Empire , sous la Restauration et sous le gouvernement de

res dont le front jusques aux cieux s’élance, Et ces prés verdoyants, empire des troupeaux, Qu’arrose et que nourrit un luxe d

un bruit lointain, C’est je ne sais quoi d’incertain          Que cet empire  ; Lieux qu’à peine vient éclairer Un jour qui, sa

ébraïques, turques, grecques, persanes, arabes, espagnoles247, sous l’ empire d’une préoccupation trop fantaisiste qu’il partag

me nous voie, Poète, sois le bienvenu ! L’orgueil, dont tu connais l’ empire , T’avait dit, peut-être, à quoi sert La fleur que

désappris l’usage, une langue plus vraie que celle des tragédies de l’ Empire mise dans la bouche des Romains, des passages ple

oisie orléaniste et démocratique y voulut voir des allusions contre l’ Empire dans de nobles mais un peu vagues maximes de prob

us l’œil de la Divinité, et qu’elle agit sur la volonté avec autant d’ empire que sur la pensée ; un supplément de la conscienc

, et qu’il resta le maître. Tout fut uni par la force de son génie. L’ empire se maintint par la grandeur du chef ; le prince é

t les difficiles avec promptitude. Il parcourait sans cesse son vaste empire , portant la main partout où il allait tomber. Les

ateurs du gouvernement de la société, sur les rois de la conduite des empires  ; elle a fait les riches pour se reposer sur eux

ie. Je connais parfaitement que les peuvent être les révolutions de l’ empire des lettres ; et avec tout cela, je garantis la d

vais chanter la plus tendre et la plus courageuse des mères : tout l’ empire l’admire, et la postérité inscrira son nom en car

et ton courage te laissent au premier rang. Quelle vallée dans tout l’ empire ne retentit pas du nom de Lienou-Song ? Les campa

haque peuple respire ; Les tombeaux sont déserts : la mort n’a plus d’ empire . Ici, d’un peuple heureux l’hymne reconnaissant P

s même fracas, toujours même délire, Même foule de mains a partager l’ empire , Toujours même troupeau de pâles sénateurs. Mêmes

produire, Un nid chez soi vaut mieux souvent Que ne vaut ailleurs un empire . Il s’agit de trouver un bel emplacement. La foll

la plage près du port qu’il voulait aborder.... Tes rivages sont des empires , ils changent sans cesse, et tu restes toujours l

uces celles de l’astre du jour, en se levant sur l’horizon, dissipa l’ empire de la lumière, et fit régner celui des ombres. Bi

re pensée éveille mes douleurs ? Tel est donc de la mort l’inévitable empire  ! Vertueux ou méchant, il faut que l’homme expire

inte s’élève de bas, plus le trône où elle arrive est grand, plus son empire est assuré. Si un insecte pouvait nous prier, qua

commença à peser le sultan ; quand le plus ancien des officiers de l’ empire annonça à haute voix, au peuple, que le divin Ekb

e caractère du sultan opéra un changement dans le gouvernement de son empire . Le Mogol redevint ce qu’il avait été, heureux et

s la cité des palmiers, et les habitants de Dehli, qui savaient que l’ empire devait à sa sagesse le gouvernement, juste et pat

plein midi ; car, si le jour est livré aux vivants, la nuit est de l’ empire des morts. Ceux qui ne veulent croire qu’à ce qu’

oint, mais par l’héroïsme de la vertu, qui conserve en tous lieux son empire sur les hommes, hésitent et se regardent entre eu

s unir par une affreuse alliance à ces hordes barbares qui ravagent l’ empire  ;  avec elles vous écraserez aisément la puissanc

disgrâce, nous sommes un objet d‘horreur pour tout le reste de voire empire . Nous avons offensé, dans votre personne, tout l’

mais. Non, les exploits guerriers, les trésors, la vaste étendue d’un empire , ils n’attirent point aux princes une gloire auss

chassées par tes armes de la plupart des villes qui reconnaissaient l’ empire de Rome ; tes soldats furieux, répandus dans la c

vouons-le cependant, la nature n’a pas gravé sur leur front cet air d’ empire et d’autorité qui impriment la terreur lors même

ces pages où apparaît comme un revenant habillé à la mode du premier Empire , on est parfois tenté de croire que des morceaux

ur l’étude du grec que pour son métier de soldat. Après la chute de l’ empire qu’il avait servi sans enthousiasme, mécontent, d

ces pages, où apparaît comme un revenant habillé à la mode du premier Empire , on est parfois tenté de croire que des morceaux

de la patrie, dès qu’ils montaient sur le trône. Trajan, parvenu à l’ empire , refusa pendant longtemps ce titre, et ne le prit

une pensée vive. Si vous dites : mon ami est descendu dans le sombre empire des morts ; et je jouis encore de la lumière ! el

ait dit simplement de ce Mithridate, qui disputa pendant trente ans l’ empire de l’Asie aux Romains : il avait une grande taill

nnement et la persuasion, fût un art à peu près inconnu. Les premiers empires dont l’histoire fasse mention, ceux des Assyriens

er ordre, nés pour dominer sur les autres esprits, et pour fonder des empires  ; tous deux, géomètres excellents, ont vu la néce