le fondement et la base de cette espèce de poésie. 329. Qu’est-ce qui
distingue
le genre épique des autres poèmes ? Le genre épi
genre épique ayant la narration ou le récit pour base essentielle, se
distingue
par là des autres genres. Ainsi, c’est grâce à ce
, dans ce genre de poésie, plusieurs espèces de poèmes, que l’on peut
distinguer
selon la nature du sujet. Or, le sujet est grand,
pique proprement dit, et les épopées secondaires, parmi lesquelles on
distingue
le poème héroïque, le poème narratif, le poème hé
. Le poème épique est un récit poétique et sublime ; et par là il se
distingue
du récit historique qui n’admet pas de fictions,
l’épopée est consacrée aux sujets grands, nobles et importants, et se
distinguent
ainsi des petits poèmes et du roman, dont les suj
la divinité et des agents surnaturels. C’est ce dernier caractère qui
distingue
l’épopée du poème héroïque. 334. Donnez une idée
s, ils deviennent pour son ouvrage une brillante parure. 344. Combien
distingue-t
-on de sortes d’épisodes ? On distingue les grand
llante parure. 344. Combien distingue-t-on de sortes d’épisodes ? On
distingue
les grands et les petits épisodes. Les grands épi
ges accessoires sont des hommes plus ou moins célèbres qui doivent se
distinguer
quelquefois et concourir à certaines actions part
t après, et Virgile est inférieur à l’un et à l’autre. On peut encore
distinguer
les caractères principaux qui impriment les mouve
ns la définition, ce qui caractérise l’essence de ce poème, ce qui le
distingue
de l’histoire et surtout du poème héroïque, et ce
xcitée ; on no consentirait p s facilement à ignorer le dénoûment. On
distingue
le nœud principal et les nœuds secondaires. 388.
ajesté, l’élégance et l’harmonie, la chaleur et le coloris doivent le
distinguer
. C’est ici principalement que la poésie doit être
ue, et sans s’élever plus haut que les causes naturelles. Ce poème se
distingue
donc de l’épopée, en ce qu’il n’exige pas une act
pécial est d’inventer et de créer, si ce don immédiat de la nature se
distingue
par des pensées sublimes et profondes, par des pl
e disposition habituelle à réussir dans une chose, une qualité qui se
distingue
par l’ordre, la clarté, l’élégance, le naturel, l
décide qu’il y a ou qu’il n’y a pas de convenance entre deux idées et
distingue
la vérité de l’erreur. Il n’y a rien de plus esti
des beautés et des défauts que renferme un ouvrage d’esprit. Le goût
distingue
ce qu’il y a de conforme aux plus exactes bienséa
stesse, qui compare avec équité les beautés des divers genres, et qui
distingue
pourquoi elles ont la faculté de plaire. Comme on
tre les beautés et en signaler les défauts. Elle a donc pour objet de
distinguer
, dans chaque composition soit en prose, soit en v
t nécessairement rivaux les uns des autres. Athènes ne tarda pas à se
distinguer
au milieu d’eux, par son goût pour tous les beaux
de grands hommes, Cléon, Alcibiade, Critias et Théramène, qui tous se
distinguèrent
par leur éloquence. Ce n’étaient point des orateu
ent les préceptes et quelquefois l’exemple de l’éloquence. Ce qui les
distinguait
surtout, c’était l’art de parler, sur-le-champ, a
rapide, il subjugue, il entraîne l’auditeur à son gré ; et ce qui le
distingue
de tous les orateurs, c’est que l’espèce de suffr
ent est une faculté par laquelle l’intelligence compare les objets et
distingue
le vrai du faux. Ainsi, lorsqu’on examine si la b
bilité domine, si un homme joint un bon cœur à un esprit droit, il se
distinguera
parla délicatesse de son goût. Il discernera les
si le jugement et la raison dominent les autres facultés, le goût se
distinguera
par la pureté. Un homme d’un goût pur est celui q
l’homme même. C’est par le style en effet que l’homme se révèle, se
distingue
, se sépare de ses semblables. 36. Puisque le styl
puissance par les organes du corps. Dans le style, nous pouvons aussi
distinguer
les pensées qui émanent de l’intelligence, les se
nte nettement et distinctement son objet. Il faut que l’esprit puisse
distinguer
aisément cet objet de tous les autres et qu’il di
ppe à la naïveté de l’enfant, et l’effet en est terrible. 54. Il faut
distinguer
la naïveté de ce qu’on appelle une naïveté. La na
a convenance, il est bon de connaître les trois principaux genres que
distinguent
les anciens rhéteurs. C’est ce que nous allons fa
cité des images, et nous avons déjà parlé de ces qualités. Mais on le
distingue
aussi par l’énergie, la véhémence, la magnificenc
sentiment à des êtres inanimés, et je leur adresse la parole. 166. On
distingue
deux classes principales de figures : les figures
consiste à dire une chose pour en faire entendre une autre. Ce qui la
distingue
de la métaphore, c’est que cette suite de traits
use en l’attaquant, charitable et discrète, Sait de l’homme d’honneur
distinguer
le poète. Qu’on vante en lui la foi, l’honneur, l
dance des sons. Cicéron va même jusqu’à dire que c’est l’harmonie qui
distingue
le plus l’orateur habile du parleur ignorant et v
et de l’o que dans les autres voyelles. C’est à une oreille exercée à
distinguer
toutes ces nuances, et à éviter les mots qui prod
mposée de plusieurs propositions ne constitue pas une période. Ce qui
distingue
la période de la phrase ordinaire, c’est la dépen
s comme exemple de périodes, ne sont pas du tout périodiques. 240. On
distingue
des périodes à deux, à trois, à quatre membres, r
sait discerner ce qui est bien de ce qui est mal. Sans doute, on doit
distinguer
la critique sincère de ces censeurs pointilleux q
es faits réels et véritables ou des événements feints et supposés, on
distingue
deux espèces de narration : la narration historiq
rire suppose une imagination puissante, et c’est ordinairement ce qui
distingue
un auteur médiocre d’un excellent écrivain : l’un
nce, et tout ce qui ne laisse pas dans l’esprit une forte impression.
Distinguez
soigneusement et mettez en lumière les points pri
age de mots cadencés selon certaines règles déterminées. Trois points
distinguent
le vers français de la prose : 1º il a toujours u
ses syllabes, on les compte. 392. D’après le nombre des syllabes, on
distingue
dix espèces de vers, savoir : des vers de une, de
ines suspensions qu’il faut observer dans le sens et dans la voix. On
distingue
deux sortes de repos : la césure et le repos fina
ais l’un à la suite de l’autre. 402. Dans la succession des rimes, on
distingue
quatre sortes de combinaisons : les rimes plates
eurs autres. Article deuxième. Diverses espèces d’odes. 428. On
distingue
cinq espèces d’odes, l’ode sacrée, l’ode héroïque
. La cantate est une espèce d’ode faite pour être mise en musique. On
distingue
dans la cantate le récit et l’air. Le récit précè
. Enfin ces mots d’une action vraisemblable, héroïque et merveilleuse
distinguent
l’épopée de tous les autres récits poétiques. 448
. Épopées secondaires. 479. Parmi les épopées secondaires, on peut
distinguer
les poèmes héroïque, héroï-comique, badin, et le
ller. Du genre comique. 518. Dans le genre comique nous pouvons
distinguer
quatre espèces particulières de comédies : la com
trivial et grossier. 524. D’après les sujets que traite le poète, on
distingue
la comédie d’intrigue, la comédie de caractère et
ue joue le principal rôle et qui sont connues sous le nom d’opéra. On
distingue
le grand opéra, l’opéra-comique et le mélodrame.
t légère, l’épître est le plus libre de tous les genres. 549. On peut
distinguer
trois sortes d’épîtres : l’épître philosophique,
sciences, les arts, ou sur quelque autre sujet sérieux. Elle doit se
distinguer
par la justesse et la solidité des idées, par la
ent que l’expression d’un sentiment ou d’une passion modérée. 564. On
distingue
trois espèces d’églogues, l’épique ou narrative,
nous, il n’y a point de forme particulière pour ce genre, et on ne le
distingue
que par le sentiment qui y est exprimé. 571. Dans
elle renferme ordinairement l’éloge du personnage et doit toujours se
distinguer
par un trait saillant ou délicat. Quelques écriva
2. Le goût est-il une faculté commune à tous les hommes ? 23. Peut-on
distinguer
un bon et un mauvais goût ? 24. Tous les hommes d
d’où viennent les nobles expressions ? 41. Combien d’éléments peut-on
distinguer
dans le style ? 42. Qu’est-ce que la pensée propr
res ? 165. Comment reconnait-on les figures dans une phrase ? 166. Ne
distingue-t
-on pas deux classes principales de figures ? 167.
e et une métaphore ? 175. En quoi consiste l’allégorie, et comment la
distinguez
-vous de la métaphore ? 176. Quel nom prend l’allé
ie dans le style ? 235. Qu’est-ce que la période ? 236. Qu’est-ce qui
distingue
proprement une période ? 237. Que faut-il entendr
t les ornements qui forment l’agrément de la narration ? 314. Combien
distingue-t
-on d’espèces de narrations ? 315. Qu’est-ce que l
ion française ? 391. Qu’est-ce que la mesure d’un vers ? 392. Combien
distingue-t
-on d’espèces de vers ? 393. Qu’est-ce que l’élisi
s l’ode ? 427. L’unité doit-elle se trouver dans l’ode ? 428. Combien
distingue-t
-on d’espèces d’odes ? 429. Qu’est-ce que l’ode sa
deur de l’action ? 462. Qu’exige l’intérêt de l’action ? 463. Combien
distingue-t
-on de sortes de personnages dans l’épopée ? 464.
comme une œuvre bien difficile ? 479. Quels sont les poèmes que l’on
distingue
parmi les épopées secondaires ? 480. Qu’est-ce qu
rincipaux poètes tragiques chez les différents peuples ? 518. Combien
distingue-t
-on d’espèces de comédies ? 519. Qu’est-ce que la
s hommes ? 523. Combien y a-t-il de sortes de comiques ? 524. Combien
distingue-t
-on de sortes de comédies, et quel est le caractèr
re ? 548. Qu’est-ce que l’épître et qu’embrasse-t-elle ? 549. Combien
distingue-t
-on de sortes d’épîtres ? 550. Qu’est-ce que l’épî
quoi diffèrent l’églogue et l’idylle chez les modernes ? 504. Combien
distingue-t
-on d’espèces d’églogues ? 665. Quelles qualités d
érité en soit bien constante. Le premier devoir de l’historien est de
distinguer
avec la plus exacte précision le faux du vrai, de
sortes d’histoires. — Histoire sacrée, histoire ecclésiastique. On
distingue
plusieurs sortes d’histoires : l’histoire des hom
u’il n’a de ressources que dans ses connaissances et ses talents pour
distinguer
le vrai et le faire connaître aux autres, il faut
particuliers sur lesquels l’auteur a concentré toutes ses forces. On
distingue
parmi ces écrivains : Sarazin, né en 1603, pour s
hie a été cultivé dès la plus haute antiquité ; mais d’abord on ne la
distinguait
pas nettement des autres genres d’histoire. C’est
curieux qu’il donne sur tous ses héros, et le ton de bonne foi qui le
distingue
, sa manière de raconter et d’apprécier leurs acte
de sont particulièrement estimés. Le cardinal de Retz, entre tous, se
distingue
par la vivacité et l’originalité piquante de son
lus grand et de plus utile. Le principal devoir de l’historien est de
distinguer
le ton, le talent, le génie particulier de chaque
opos de l’éloquence académique. Entre ces éloges historiques, il faut
distinguer
ceux de d’Alembert, qui, secrétaire de l’Académie
lle qu’elle était dans l’esprit de l’auteur. Le distique sur Didon se
distingue
autant par la clarté que par la vérité de la pens
la clarté est l’obscurité qui empêche de reconnaître l’objet ou de le
distinguer
suffisamment. C’est le défaut des phrases suivant
aussi à deviner quelque chose de plus qu’elle ne dit ; mais elle s’en
distingue
en ce que le cœur y a plus de part que l’esprit.
mais cependant sans traits extraordinaires et éblouissants. Ce qui la
distingue
de la pensée sublime, c’est qu’elle est l’express
térêt dans toute espèce de composition. 59. Comment les sentiments se
distinguent
-ils des pensées ? C’est avec raison que l’on dis
ntiments se distinguent-ils des pensées ? C’est avec raison que l’on
distingue
les sentiments des pensées. Les pensées occupent
om à un dessein ferme et hardi, mais calme. Le sentiment énergique se
distingue
du sentiment vif en ce qu’il a plus de solidité e
anon Il tombe ; mais sa chute a fait un vide immense. 74. L’image se
distingue-t
-elle du tableau et de la description ? D’après L
et à tous les tons. C’est au goût formé par l’étude et par l’usage à
distinguer
ces nuances. 78. Quelles sont les qualités requis
oigné de la faiblesse de l’enfance et de l’enfance de la caducité, se
distingue
, chez les meilleurs écrivains, par la justesse et
r une idée accessoire, particulière, attachée à chaque mot, et qui le
distingue
de tout autre. Il est bien rare qu’on trouve, dan
et surtout celui des Quatre Facardins, d’Hamilton. La nouvelle ne se
distingue
pas, non plus, au fond, du conte ou du roman : da
plus dont on ait étudié et classé les produits avec plus de soin. On
distingue
d’abord les romans, quant à leur forme, en romans
res, à la succession et à l’enchaînement des actes. Quant au fond, on
distingue
les romans en plusieurs espèces, dont les princip
rès cette étude des romans, il n’y a rien à dire des nouvelles, qu’on
distingue
de la même manière entre elles, sinon qu’elles en
ous les tons, depuis le sublime jusqu’au familier noble. 174. Combien
distingue-t
-on de genres dans la poésie lyrique ? On disting
e. 174. Combien distingue-t-on de genres dans la poésie lyrique ? On
distingue
deux genres de poèmes lyriques : l’un est grave,
ez les Grecs, à tout poème lyrique qui pouvait être chanté, et qui se
distinguait
en cela de l’élégie. Telles sont les odes de Pind
n des rimes. 177. Quelle est la matière de l’ode, et comment l’ode se
distingue-t
-elle des autres genres de poésie ? Tout ce qui a
y a point de forme particulière pour ce genre de poésie ; et on ne le
distingue
guère que par la nature même du sentiment qui y e
le fond, une ode portée au plus haut point d’exaltation ; mais il se
distingue
de l’ode proprement dite, en ce qu’il n’exige pas
se, Fénelon, ont composé des chansons sur des sujets de piété. Ce qui
distingue
la chanson religieuse du cantique, c’est que celu
par le sentiment élevé de la gloire et de l’amour de la patrie, ne se
distingue
pas de l’ode ; elle en a les accents, la force, l
x et leur offrir des souhaits de félicité et de bonheur. 242. Combien
distingue-t
-on de parties essentielles dans l’épithalame ? I
son talent en ce genre. Son épithalame réel de Manlius et de Vinie se
distingue
par la fraîcheur et la beauté du coloris ; mais i
lation de l’espèce humaine aux êtres que l’on fait agir ou parler. On
distingue
dans l’apologue deux parties, l’action même ou le
la forme de l’apologue. Ce n’est pas par la naïveté que ses fables se
distinguent
: c’est par une tournure serrée et mordante qui l
usieurs idylles : les Moutons, les Oiseaux, le Ruisseau, etc. Elle se
distingue
par une grande douceur d’idées et de style, mais
t les vieux poètes latins. Il faut qu’une épître de ce genre se fasse
distinguer
par la justesse et la profondeur du raisonnement
el on offrait aux dieux toute sortes de fruits à la fois, et sans les
distinguer
; et par suite une farce, une macédoine, un mélan
nous passons à l’étude de l’élégie en France, nous sommes obligés de
distinguer
. Entendrons-nous par poètes élégiaques ceux qui o
Vaux, qui est peut-être la plus belle de toutes les nôtres, et où on
distingue
ces vers : Les destins sont contents : Oronte es
hose. Nous n’en avons qu’un fort petit nombre, entre lesquels il faut
distinguer
surtout madame Dufresnoy et Millevoye. On cite av
la poésie à un autre intérêt. De là vient la forme des cantates. On y
distingue
deux parties, les récitatifs et les airs, dont la
exclusif de psalmiste. Plus tard encore, ce sont les prophètes qui se
distinguent
, particulièrement Isaïe, par la grandeur et la su
ement chez Lebrun et le mouvement, et l’harmonie, et l’expression qui
distinguent
les vrais poètes lyriques. 80. Batteux, de l’A
e moyen. § 60. Diverses espèces du poème didactique. On a voulu
distinguer
les poèmes didactiques d’après la nature de l’obj
d’une action héroïque et merveilleuse 122. Or, le récit est ce qui la
distingue
de la tragédie et ce qu’elle a de commun avec l’h
qu’elle a de commun avec l’histoire. Le récit poétique est ce qui la
distingue
de celle-ci. L’action héroïque est ce qui la dist
est ce qui la distingue de celle-ci. L’action héroïque est ce qui la
distingue
des petits poèmes et du roman ; l’action merveill
es grandes vertus. Ainsi toute action poétique doit avoir un nœud. On
distingue
le nœud principal et les nœuds subordonnés. Le nœ
e. Quand et comment doit-on employer le merveilleux ? Il faut d’abord
distinguer
deux sortes de personnages surnaturels : les uns
s et individuels, c’est-à-dire qui ne conviennent qu’à lui seul et le
distinguent
de tout autre. Les mœurs seront égales, si l’obje
ntré là ce que peut être ce style, quelle vivacité, quel mouvement le
distinguent
, quelle propriété d’expression, quelle harmonie c
l’institution du concours général a fait prévaloir à Paris, il ne se
distingue
en rien des classes précédentes que par la nature
aussi apprendre la science qui porte ce nom, et qui fait connaître et
distinguer
les diverses sortes de discours, leurs parties, l
a confirmation et la péroraison, ou sachant très bien que les anciens
distinguaient
trois genres de causes, et il ignorera ce que c’e
ous les esprits ; et les plus illustres citoyens de la république s’y
distinguèrent
. Bientôt la Grèce perdit sa liberté. Les arts exi
les lettres et les arts fleurirent avec le plus d’éclat. Machiavel se
distingua
par la profondeur de son génie, et par l’élégance
r éloquence, les lumières du barreau D’Avrigny, Rollin et Bougeant se
distinguèrent
dans le genre historique. Rousseau tira de la lyr
e l’art de la composition ? 2. Voilà bien des choses en peu de mots !
Distinguez
chacune par son terme classique. — 3. N’y a-t-il
idérée, elle embrasse le travail de l’orateur et de l’écrivain. 4. On
distinguait
autrefois trois sortes de style : le style simple
c une définition plus conforme au sujet qui nous occupe. — 4. Combien
distinguait
-on autrefois de genres de style ? — 5. Combien de
ensée, et non avec celui auquel il se rapporte dans la phrase. 11. On
distingue
trois espèces de syllepse : 1° Syllepse du genre
asme est-il vicieux ? — 10. Qu’est-ce que la syllepse ? — 11. Combien
distingue-t
-on d’espèces de syllepse ? — 12. Qu’est-ce que l’
’épée ; 7° d’abstraction : la jeunesse pour les jeunes gens. 11. Pour
distinguer
la synecdoque de la métonymie, avec laquelle on l
de citer se rapprochent beaucoup de la métonymie. Comment parvenir à
distinguer
ces deux figures ?— 12. Quelles précautions faut-
pardonnable. 14. Les réponses aux lettres de félicitations doivent se
distinguer
par la modestie. On ferait bien de rapporter à Di
ir en cette occasion ? — 14. Par quelle qualité principale doivent se
distinguer
les réponses à ces sortes de lettres ? — 15. Quel
ui convient ; la différence, en montrant ses qualités propres, qui le
distinguent
des sujets de même genre. 5. La définition doit ê
istolaire est le récit d’un événement exposé dans une lettre. Elle se
distingue
d’une simple nouvelle en ce qu’elle ne se borne p
elque côté à la nature des quatre genres d’éloquence ; mais ce qui la
distingue
d’un discours, c’est la brièveté : il ne lui est
rait du domaine de tous les genres d’éloquence ; n’est-il rien qui la
distingue
? — 5. Quelles sont au fond et dans la forme les
pprendre les règles de la versification : car il faut au moins savoir
distinguer
les bons vers, ceux où les règles sont observées,
il y a défaut de mesure, la mesure n’y est pas. Le rythme est ce qui
distingue
le vers de la prose. Dans celle-ci la phrase marc
it. Je me suis étendu un peu sur ces observations, afin de bien faire
distinguer
à l’élève la mesure du rythme. Quand l’e muet, su
sonances our, or, vi, pa, n’offrent aucune espèce d’analogie. 3. Pour
distinguer
une rime féminine d’une rime masculine, le versif
ection d’idiotismes, ces procédés de lexilégie et de construction qui
distinguent
une langue des autres et lui impriment un cachet
urs, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain. Dans ces vers où Boileau
distingue
, comme on le voit, celui qui invente et dispose,
et dispose, l’auteur, de celui qui exprime et formule, l’écrivain, il
distingue
aussi, d’après Cicéron, entre les diverses fautes
s les mœurs, comme dans l’Ecole des femmes, par exemple, où il sert à
distinguer
la simplicité grossière de Georgette de la naïvet
douleur. Tout ce qui l’entoure, le frappe à la fois : il ne peut rien
distinguer
; les rayons du soleil blessent ses yeux en l’écl
er corrige l’erreur de sa vue et lui révèle les formes des corps ; il
distingue
leur mollesse, leur dureté ; tous ses jeux sont d
armée qui a eu le dessous dans une action. Voici les nuances qui les
distinguent
: Une armée est vaincue, quand elle a perdu le ch
éonidas et des Lycurgue. La langue que parlaient ces grands hommes se
distinguait
des autres idiomes de la Grèce par une concision
e songeait, Car que faire en un gîte à moins que l’on ne songe ? On
distingue
quatre sortes d’harmonies : 1° L’harmonie des mot
puissant et glorieux. La suite de cette éloquente oraison funèbre se
distingue
par des beautés d’un ordre aussi élevé, et nous a
es ; on leur donna des noms, on limita leurs emplois, et les rhéteurs
distinguèrent
des figures de mots, qui appartiennent plus spéci
Des figures de mots. Parmi les figures de mots, les grammairiens
distinguent
: 1º Les figures de diction : elles regardent les
Il faut aussi avoir égard aux convenances des différents styles, et
distinguer
les métaphores qui conviennent au style poétique,
t ses yeux appesantis. Mais du jour importun ses regards éblouis Ne
distinguèrent
point, au fort de la tempête, Les foudres menaçan
alois se réveille, ses regards sont éblouis du jour importun : ils ne
distinguent
rien ; et bientôt fatigué de ce moment de réveil,
Outre les ligures de mots destinées à orner le style, la rhétorique
distingue
aussi des figures de pensées ; ce sont certaines
ations, etc. Ces tours et ces manières de parler sont aussi faciles à
distinguer
des façons de parler ordinaires, que les traits d
sis porrigitur legibus ». (Cicéron.) Homère, le père de la poésie, se
distingue
surtout par l’emploi de cette figure. La guerre,
pour dire la manifestation de la pensée par des signes. Mais il faut
distinguer
entre ces termes. Expression est le mot génériqu
faire, ce qui donne au peintre et au sculpteur son cachet, ce qui le
distingue
des autres et constitue son originalité. Celui qu
compris. S’il a pu confondre le sublime avec le style sublime, il le
distinguera
sans peine du ton sublime. Il dira que le qu’il m
un poëme des Styles, poétique assez superficielle de certains genres,
distingue
quatre styles, le simple, le gracieux, le sublime
supériorité momentanée de Fléchier sur Bossuet est précisément ce qui
distingue
essentiellement ici l’esprit du génie. Un exorde,
us devant les Français en Allemagne qu’en Flandre ». La modestie qui
distinguait
Turenne et Condé, comme elle distingue, en généra
Flandre ». La modestie qui distinguait Turenne et Condé, comme elle
distingue
, en général, tous les hommes véritablement supéri
ix, sept, huit, dix et douze syllabes, surtout ces trois derniers. On
distingue
les vers par le nombre de ces syllabes ou par le
vec mangé ; plaisir rime avec désir, et non avec désire. Les rimes se
distinguent
quant à leur genre, quant à leur richesse et quan
t, avec les inversions, les épithètes nombreuses et autres figures, à
distinguer
la poésie de la simple prose. La classification d
ction dramatique étant susceptible d’un long développement, on a dû y
distinguer
diverses parties, comme les scènes, les actes, l’
e personnages ensemble que le sujet en demande. Le poète ne peut bien
distinguer
et faire connaître ses personnages que par les mœ
on des ouvrages dramatiques. Tragédie. Les ouvrages dramatiques se
distinguent
d’après leur dénouement heureux ou malheureux, d’
ant aux qualités qui y dominent est surtout importante chez nous ; on
distingue
les comédies de caractère, les comédies de mœurs,
velle comédie, dans laquelle Philémon, Diphile et surtout Ménandre se
distinguèrent
. Malheureusement il ne nous reste de ces trois po
onnage. Dans les opéras ou grands opéras (on les nomme ainsi pour les
distinguer
des opéras-comiques), la musique a tout à fait ex
de musique, solos, duos, trios, quatuors, chœurs, etc. Les opéras se
distinguent
ensuite, selon le caractère général de la pièce e
développer, on peut le ramener à l’un des trois genres de causes que
distingue
Aristote : 1° démonstratif ; 2° délibératif ; 3°
elles-mêmes, dont les arguments ne sont que les formes. Les rhéteurs
distinguent
deux espèces de preuves : 1° les arguments propre
ux nécessites du sujet. Parties du discours Les rhéteurs anciens
distinguaient
sept parties dans un discours : 1° l’exorde ; 2°
c’est la qualité générale du style qui couronne l’œuvre. Les rhéteurs
distinguent
trois espèces d’harmonie : 1° L’harmonie des mots
uivant la nature des sujets qu’on traite. Aussi, les anciens rhéteurs
distinguaient
-ils trois genres de style correspondant au triple
i demandent de la grandeur et de l’élévation (sublimis, élevé). Il se
distingue
des deux autres par la magnificence des images, l
Une division plus simple et mieux fondée, est celle qui consiste à
distinguer
le style de la poésie du style de la prose. L’un
us beaux ornements de tous les genres de style. Des figures On
distingue
dans les langues deux sortes d’expression : l’exp
variété. Deux espèces de figures : 1° de pensées. 2° de mots On
distingue
deux espèces de figures : 1° les figures de pensé
nces qui en dépendent ; c’est aussi la peinture d’une action. Elle se
distingue
de la description et du tableau par le mouvement
is au dessin et à la couleur. La description scientifique, qu’il faut
distinguer
de la description littéraire, se propose seulemen
clair, rigoureux et complet, son style doit être simple et sobre. On
distingue
plusieurs espèces de dissertations, suivant l’obj
les écrivains dans les différents genres et aux diverses époques. On
distingue
toutefois la littérature proprement dite de la sc
dencé s’appelle art des vers, ou versification. La langue poétique se
distingue
par des expressions et des tours hardis, les gran
sont les pieds les plus usités, excepté chez les poètes lyriques. On
distingue
deux principes dans la versification latine : 1°
s vers La mesure est le nombre de syllabes qui forment un vers. On
distingue
douze sortes de mesures ou de vers d’après le nom
Désaugiers, celles de Béranger, de Pierre Dupont, de Nadaud, etc. On
distingue
presque autant d’espèces de chansons qu’il y a de
e virer, c’est-à-dire tourner la rime (d’où le nom de virelai). On en
distingue
deux sortes : le virelai ancien et le virelai nou
Ce caractère éclate dans l’Iliade d’Homère. Il y a quatre éléments à
distinguer
dans l’épopée : 1° l’action ; 2° les personnages
ème dramatique Dans tout poème dramatique, il y a trois éléments à
distinguer
: 1° l’action, 2° les personnages, 3° le style. 1
t à laquelle se môle ordinairement le merveilleux. Dans tout opéra on
distingue
deux parties : le chant et le récitatif ou dialog
des matières peu poétiques par elles-mêmes. Poème descriptif On
distingue
parfois du poème didactique proprement dit le poè
ut-être aussi ne lui avait-elle pas semblé digne d’être remarquée. On
distingue
dans la fable deux parties : 1° l’action, ou le r
çon adressée aux hommes d’une époque ou à l’humanité tout entière. On
distingue
plusieurs espèces de satires ; la satire personne
que dont le but est quelquefois d’instruire, toujours d’amuser. On en
distingue
plusieurs espèces : les contes orientaux (Les Mil
e. (Discours vi, vers 172.) Diverses sortes de description On
distingue
trois sortes principales de description : la pros
qui caractérise la poésie dramatique ? Tandis que c’est le récit qui
distingue
le genre épique, la poésie dramatique est caracté
; ou bien si les acteur sont d’un rang moins illustre, ils doivent se
distinguer
par quelque qualité portée à un degré extraordina
pposition à l’opéra-comique qui admet le dialogue parlé. 490. Combien
distingue-t
-on d’espèces d’opéra lyrique ? D’après notre déf
dant, donnent place au moins à un autre genre ; et, en effet, on peut
distinguer
deux espèces d’opéra lyrique : l’un pris dans l’h
assion a ses moments de calme, ses repos et ses intervalles, le poète
distingue
dans le discours de ses personnages le moment tra
société, dans le dessein de les corriger. 504. Comment la comédie se
distingue-t
-elle de la tragédie ? La comédie est suffisammen
s opposés. 511. Combien compte-t-on d’espèces de comique ? Marmontel
distingue
trois espèces de comique : le haut comique ou com
nent lieu. C’est ce qu’on voit dans le Festin de Pierre. 513. Combien
distingue-t
-on d’espèces de comédie ? On distingue trois esp
tin de Pierre. 513. Combien distingue-t-on d’espèces de comédie ? On
distingue
trois espèces principales de comédie proprement d
ent uniquement par des gestes, la pièce prend le nom de pantomime. On
distingue
encore la comédie historique, dont le sujet est t
point de figures éclatantes et soutenues. Il faut que les pensées se
distinguent
par la finesse, la délicatesse, et surtout par la
comme la comédie, il doit censurer les vices et les ridicules, il se
distingue
de celle-ci en ce qu’il prend ses sujets dans les
eurs écrivains. I De l’origine et de la formation des mots. On
distingue
trois sortes de mots, au point de vue étymologiqu
me idée, mais avec certaines nuances, certaines modifications qui les
distinguent
, certaines idées particulières qui conviennent à
communes, présentent aussi à l’esprit des idées particulières qui les
distinguent
et donnent à chacun d’eux le caractère qui lui es
s ; c’est la parole vivante au service de l’idée vivante. Le style se
distingue
du langage de la conversation en ce qu’il demande
elles sur les choses qui sont à la portée de tout le monde. Ce qui me
distingue
de Pradon, disait Racine, c’est que je sais écrir
usieurs syllabes brèves et longues forme ce qu’on appelle un pied. On
distingue
six pieds principaux : les uns de deux syllabes,
făcĕrĕ. Le dactyle et le spondée sont les pieds les plus usités. On
distingue
, dans les pieds qui composent un vers, la césure
a une physionomie à lui qui ne ressemble à aucune autre, qui le fait
distinguer
entre mille ; chaque écrivain a un style particul
ux, et que l’autre attire par une harmonie toujours soutenue. Il faut
distinguer
: 1) l’harmonie des mots, 2) l’harmonie des phras
randes d’un style élevé. » Cicéron, comme tous les anciens rhéteurs,
distingue
ici trois sortes de style. Cette division nous se
endre sur un long morceau, et même sur tout un ouvrage. Fontenelle se
distingue
surtout par cette qualité, mais il tombe souvent
re ; Et, sous le vert tissu de la ronce et du lierre, On
distingue
… un sceptre brisé. Ici gît… Point de nom !… Dema
ration. Les rhéteurs entendent souvent par style sublime celui qui se
distingue
par quelques-unes des qualités élevées dont nous
a satire, nous croyons utile d’en faire connaître les principales. On
distingue
deux sortes de figures : les figures de mots et l
rmation de la tragédie : il appartient aux temps modernes. On peut en
distinguer
deux variétés : 1° l’un, qu’on nomme tragédie bou
ou opéra. Ce poème est destiné à être mis en musique et chanté. On
distingue
l’opéra sérieux, ou tragédie lyrique, de l’opéra
une foule d’espèces d’opéras que nous n’essayerons pas de classer. On
distingue
dans l’opéra le récitatif, qui est une sorte de d
ées par le souffle du génie. 4° Diverses espèces de comique. On
distingue
généralement trois espèces de comique ; le haut c
e Destouches. Outre les deux classes précédentes de comédies, nous en
distinguons
encore d’autres, d’après leur forme ou leur objet
ité, et à ne point avilir par ses actions le caractère auguste qui le
distingue
de la brute. Parmi les auteurs modernes, le baron
la connoissance des hommes qu’il se met en état de le faire. Il sait
distinguer
alors l’action en elle-même, des circonstances et
tre les preuves de notre religion. Il nous importe beaucoup de savoir
distinguer
avec précision les objets de notre croyance. Le P
six, qu’un seul volume in-12 … Quand je parle de la méditation, je la
distingue
fort de l’oraison. Un prince ne peut guère être u
encore le grand avantage de nous apprendre, en formant notre goût, à
distinguer
les faux ornements de ceux dictés par la raison.
dispensable à ceux qui se destinent à parler en public, d’apprendre à
distinguer
les faux ornements de ceux que la raison consacre
se qu’on puisse appeler modèle du goût, et peut-on, en s’y attachant,
distinguer
toujours le bon goût du mauvais goût ? D’abord, i
traire soumis aux caprices individuels, et n’offrant aucun signe pour
distinguer
le faux et le vrai. Ses fondements sont les mêmes
nsuite de ceux qui résultent de la beauté et de la nouveauté. Il faut
distinguer
soigneusement la grandeur des objets en eux-mêmes
e ; nous disons c’est un beau caractère, c’est un beau théorème. Nous
distinguons
le beau naturel du beau intellectuel et du beau m
e, si l’objet est isolé ou joint à d’autres de la même espèce ; on le
distingue
en singulier et pluriel. On retrouve cette divisi
inventés dès la naissance des langues. La seule particularité qui les
distingue
dans les langues grecque et latine, c’est la capa
u en faire une partie, un accessoire des substantifs qu’ils servent à
distinguer
. D’ailleurs, la liberté de transposition admise p
tria mori. Mais tous les autres modes sont affirmatifs. C’est ce qui
distingue
le verbe des autres parties du discours. Il ne pe
ms, qui servirent à le modifier. Les temps des verbes sont destinés à
distinguer
les diverses époques de l’action ; si le verbe av
caractérisé par le tour de leur esprit ; bien plus, chaque nation se
distingue
par un style spécial. Les Orientaux aiment les fi
tre déduites de la nature même de l’esprit humain ; il ne peut jamais
distinguer
clairement et précisément qu’un seul objet à la f
sont pas seulement établis pour représenter chacun une idée, ou pour
distinguer
un objet, ils sont encore destinés à manifester p
ile que nous ayons recours aux subtilités de la métaphysique pour les
distinguer
. Soit que nous appelions l’hyperbole trope ou fig
t par conséquent elle mérite un examen et un soin particuliers. On en
distingue
trois différentes espèces : la première, lorsque
pression flatteuse : c’est la pierre de touche qui peut nous servir à
distinguer
le vrai génie. Le poète vulgaire, dont l’esprit s
, et qui toujours est d’un effet puissant dans l’amplification. On en
distingue
deux espèces, l’ascendante et la descendante. L’e
cela doit être ainsi ; il en est de même de Tacite, et cependant nous
distinguons
toujours le caractère particulier de ces deux his
significations données à ce mot. Il sera cependant nécessaire de les
distinguer
afin de montrer dans quel sens la simplicité est
r des vêtements et la démarche étudiée cachent les particularités qui
distinguent
un homme d’un autre homme. Mais, en lisant un aut
osition totalement dénuée de génie et d’imagination. Nous devons donc
distinguer
cette simplicité qui accompagne le vrai génie, et
différent de ceux dont nous nous sommes occupés jusqu’ici. On peut le
distinguer
en lui donnant le nom de véhément. « La véhémence
j’ai plusieurs fois remarqué qu’il était fréquemment difficile de les
distinguer
. Toutes les fois que les impressions que les obje
s esprits, mettait leur jugement à une sérieuse épreuve, ils savaient
distinguer
avec sagacité la véritable éloquence de la subtil
a son plan de gouvernement, fut, suivant Plutarque, le premier qui se
distingua
parmi les Athéniens par l’étude de l’art oratoire
à la tribune. Quoique son ambition fût blâmable, de grandes vertus le
distinguaient
; il était généreux et magnanime, et aimait sa pa
et la chaire. Chacun de ces genres a un caractère particulier qui le
distingue
; et d’ailleurs cette division coïncide en quelqu
e voie sûre ; mais de vous convaincre que, pour se sauver, il faut se
distinguer
des autres ; être singulier, vivre à part au mili
ommunes à ces trois genres. Les vues générales que j’ai offertes pour
distinguer
l’esprit et le caractère des différentes espèces
Cicéron sont plus abondantes et plus élaborées. Les anciens critiques
distinguent
deux espèces d’exorde qu’ils appellent principium
communs à tous les hommes. Il y a aussi certaines particularités qui
distinguent
chaque individu. L’orateur doit se servir de la m
ui caractérisait les grands hommes de l’antiquité, c’est lui qui doit
distinguer
les modernes qui voudront marcher sur leurs trace
n les méditant, qu’on peut leur ravir ces qualités estimables qui les
distinguent
, se les approprier et s’en parer avec orgueil. Ou
de lui-même, c’est celui qui a pour sujet la douceur. Voici comme il
distingue
cette vertu de la timidité, voilà comme ensuite i
ande importance, il n’est pas moins indispensable d’acquérir l’art de
distinguer
ce qui est vraiment beau de ce qui n’est que bril
auquel se puissent rapporter les différents goûts des hommes, afin de
distinguer
celui que nous devons suivre et celui que nous de
a emprunté son nom ; c’est en effet celui par lequel nous recevons et
distinguons
les saveurs, qui, dans presque toutes les langues
ût et le parfum des liqueurs augmente admirablement la faculté de les
distinguer
et de découvrir leur composition. En assimilant d
licat ; on peut recevoir une impression profonde des beautés que l’on
distingue
, mais ne distinguer que celles qui sont en quelqu
evoir une impression profonde des beautés que l’on distingue, mais ne
distinguer
que celles qui sont en quelque sorte matérielles
s ; elle voit des différences où les autres n’aperçoivent rien ; elle
distingue
les beautés les moins apparentes et les taches le
i, au milieu de tous ces changements, il n’est pas quelques moyens de
distinguer
le vrai goût du goût dépravé. C’est ici la partie
t-il un principe certain auquel nous puissions nous en rapporter pour
distinguer
le bon et le mauvais goût ? ou bien n’y a-t-il ef
eu exercé, et fourniront des principes d’après lesquels nous pourrons
distinguer
et apprécier ce qui est digne d’éloge ; mais la r
on sens aux productions des beaux-arts ; ce qu’elle se propose est de
distinguer
ce qui, dans une composition, est beau ou défectu
ause de sa grande importance pour les jeunes gens ; elle les engage à
distinguer
avec soin et à suivre avec ardeur la carrière que
notre existence, lors même que l’ouïe et la vue n’eussent servi qu’à
distinguer
les objets extérieurs, sans produire en nous ces
qu’il est très difficile, et peut-être même qu’il est impossible, de
distinguer
entre tant d’objets divers, quelle est la qualité
beautés diverses est, peut-être, un paysage riche et varié ; l’œil y
distingue
des tapis de verdure, des arbres et des fleurs ré
peuvent discerner, ils observent que les qualités extérieures qui les
distinguent
plus particulièrement ont, dans la plupart des la
nut plus ce mélange merveilleux de gestes et d’inflexions de voix qui
distinguaient
les peuples anciens. À l’époque de la restauratio
d’enthousiasme et de cette expression métaphorique et pittoresque qui
distinguent
la poésie. Le langage, à mesure qu’il fait des pr
é l’usage de ces terminaisons diverses qui, dans le grec et le latin,
distinguent
les cas des substantifs et les temps des verbes,
ifiés de trois manières, par le genre, le nombre et le cas. Le nombre
distingue
les substantifs en singuliers et en pluriels, sui
t être employé que pour les noms des créatures vivantes que l’on peut
distinguer
en mâles et en femelles, et qui, par conséquent,
èce d’analogie entre les choses inanimées et les qualités morales qui
distinguent
les deux sexes. Selon lui, nous donnons ordinaire
es, et dans toutes ils ont été les premiers inventés ; car on ne peut
distinguer
les objets entre eux, on ne peut se communiquer s
comme des parties intégrantes de l’objet que ces qualités servaient à
distinguer
, et faisaient en sorte que l’adjectif dépendît du
a brillé, brillera, brillerait, etc. L’affirmation semble être ce qui
distingue
principalement le verbe des autres parties du dis
il n’a point de parfait, ou du moins il n’a aucun temps par lequel il
distingue
une action achevée depuis un moment, de celle qui
va qu’attendu qu’ils portaient avec eux cette force d’affirmation qui
distingue
les verbes, on pourrait, en les joignant au parti
égard, nous l’emportons sur les Français, chez lesquels la rime seule
distingue
la langue poétique de la prose ordinaire. C’est s
confusion ; lorsque son style coule comme un ruisseau limpide dont on
distingue
toujours le fond. Pour acquérir l’habitude d’être
a de soi-même ; le dédain, sur le peu de cas qu’on fait des autres. «
Distinguer
, séparer. » On distingue ce qu’on ne veut pas con
sur le peu de cas qu’on fait des autres. « Distinguer, séparer. » On
distingue
ce qu’on ne veut pas confondre ; on sépare ce qu’
veut pas confondre ; on sépare ce qu’on veut éloigner. Les objets se
distinguent
les uns des autres par leurs qualités, le temps e
chaque mot, et que l’on apporte plus d’attention aux nuances qui les
distinguent
. On peut conclure de ce que je viens de dire sur
qu’on lui fait passer successivement en revue. Les critiques français
distinguent
le style en style périodique et en style coupé, e
son plus étroite entre les objets, tandis qu’en la multipliant on les
distingue
et on les sépare presque tout à fait les uns des
Paul, le retour de la conjonction donne de poids à chaque idée, et la
distingue
bien des autres : « Je suis persuadé que ni la mo
leur nom de figures. De même que la figure ou la forme d’un corps le
distingue
d’un autre corps, de même aussi les figures du la
les figures du langage ont chacune une structure particulière qui les
distingue
les unes des autres, et les distingue encore de l
structure particulière qui les distingue les unes des autres, et les
distingue
encore de la simple expression. La simple express
lui ressemble ou lui est opposé ; quelques qualités particulières le
distinguent
, quelques circonstances l’accompagnent. C’est ain
remplis de métaphores hardies et correctes. Entre un grand nombre, je
distingue
celle-ci, sur un héros « Pendant la paix, tu es l
mparaison entre les choses diverses, aussitôt qu’ils sont capables de
distinguer
quelques-unes des propriétés des objets qui les e
néral des comparaisons, dans un ouvrage, est une marque certaine pour
distinguer
un poète doué d’un vrai génie, de celui qui n’a r
s saillants de chaque phrase. Quelquefois il est fort à propos de les
distinguer
de cette manière, mais lorsqu’on en abuse au poin
Ce caractère est ce que l’on appelle la manière d’un auteur, et on le
distingue
par ces épithètes appliquées au style en disant q
admettent également trois genres de style ; mais les qualités qui les
distinguent
ne sont pas celles qui ont déterminé la division
alement des diverses significations données à ce mot. Nous devons les
distinguer
ici afin de déterminer quel est son véritable sen
ornements, et à l’apparence du travail dans le style. C’est elle qui
distingue
l’excellent écrivain. Un auteur qui s’exprime ave
bits et le cérémonial de ses mouvements, cache ces particularités qui
distinguent
un homme d’un autre homme. En lisant un auteur qu
un génie ou une imagination dont ils sont dépourvus. Nous devons donc
distinguer
cette simplicité qui accompagne le vrai génie, et
ées sont si étroitement liés, qu’il est souvent fort difficile de les
distinguer
l’un de l’autre ; c’est une observation que j’ai
re leur style, il faut remarquer attentivement les particularités qui
distinguent
la manière de chacun. J’ai tâché de rassembler, d
mi les différentes manières d’exprimer une pensée, nous apprendrons à
distinguer
celle que l’on doit préférer comme la plus exacte
iscerner la véritable éloquence des subtilités des sophistes. On peut
distinguer
trois genres ou trois degrés d’éloquence. Le prem
de l’homme, excite une honorable émulation, et inspire le désir de se
distinguer
dans la culture des beaux-arts. Toutes les autres
n, lorsque quelque grand danger les menaçait, alors ils savaient bien
distinguer
la vraie éloquence de celle qui ne cherchait qu’à
héramène, citoyens qui, dans Athènes, occupèrent un rang élevé, et se
distinguèrent
par leur éloquence. Ils n’étaient point orateurs
nt pas tout le mérite des compositions de ce grand homme ; ce qui les
distingue
principalement, c’est cette énergie de pensées qu
ctions un grand caractère de vigueur et d’énergie, et c’est là ce qui
distingue
ces deux illustres orateurs. C’est un grand désav
storales des Pères de l’Église. À Rome, Lactance et Minutius Félix se
distinguèrent
par la pureté de leur style ; dans le siècle suiv
les différentes espèces de discours, assigner les caractères qui les
distinguent
, et indiquer les règles qui s’y rapportent. Les a
nt plus développés, l’art s’y fait plus sentir. Les anciens critiques
distinguent
deux espèces d’introduction auxquelles ils ont do
rels que la voix émet avec le plus de facilité, et dont elle varie et
distingue
légèrement l’articulation ; et notre auteur montr
nature, et en faisant connaître les attributs et les qualités qui le
distinguent
de tout ce qui n’est pas lui. 341. Qu’entend-on p
et, dit Blair, la pierre de touche de l’imagination, et fait aisément
distinguer
le grand écrivain de l’écrivain ordinaire. Lorsqu
ce de Gavius, dans la cinquième des Verrines. III. 372. Combien
distingue-t
-on d’espèces de compositions dans la description
ce de description le portrait littéraire, dans lequel l’écrivain doit
distinguer
le ton, le talent, le génie particulier de l’aute
e est de faire ressortir les objets, en leur donnant plus d’éclat. On
distingue
mieux le nain à côté du géant, le chêne près du r
III. — Des différentes espèces de narration. 420. Combien peut-on
distinguer
d’espèces de narration ? La définition de la nar
sions vieillies. 438. N’y a-t-il pas encore d’autres narrations ? On
distingue
encore la narration familière et la narration poé
n de Grimm ont excellé dans ce genre. La narration poétique, que nous
distinguons
ici de la narration fabuleuse, est l’exposé brill
se faire une idée de ce qu’est la narration poétique et de ce qui la
distingue
de la narration historique, en comparant le récit
t Fénelon, qui se font remarquer en ce genre par les qualités qui les
distinguent
ordinairement dans leurs écrits ; Enfin, Lamotte,
t de vouloir régler l’inspiration du moment. Qu’ils apprennent donc à
distinguer
ces traits de caractère, ces expressions échappée
t de grand. Nous en avons dit assez pour accoutumer les jeunes gens à
distinguer
, dans l’art oratoire, ce qui appartient au génie,
sens exact et bien déterminé que nous prendrons ces mots. Ainsi nous
distinguons
parmi les auteurs : 1º les prosateurs, comprenant
ons de littérature ; et nous remarquons que, alors, la littérature se
distingue
nettement de la grammaire, et qu’elle commence où
s vers. 42. Qu’est-ce que le vers, et comment le vers français se
distingue-t
-il de la prose ? Le vers, en général, est un ass
bes longues et brèves, comme en grec et en latin. Le vers français se
distingue
de la prose de trois manières : il a toujours un
; il se termine par la rime ; enfin, il rejette l’hiatus. 43. Combien
distingue-t
-on d’espèces de vers fiançais ? Il y a, dans la
ais ? Il y a, dans la langue française, dix espèces de vers que l’on
distingue
d’après le nombre des syllabes qu’ils renferment
ines suspensions qu’il faut observer dans le sens et dans la voix. On
distingue
deux espèces de repos : la césure, qui se trouve
igramme. 81. Combien y a-t-il de manières de disposer les rimes ? On
distingue
quatre manières de disposer les rimes ou quatre s
fallait qu’avoir des yeux, sans aucune connaissance de la cour, pour
distinguer
les intérêts peints sur les visages, ou le néant
u’un voile clair, qui n’empêchait pas de bons yeux de remarquer et de
distinguer
tous leurs traits. Ceux-ci se tenaient aussi tena
r et de se composer ; un vif, une sorte d’étincelant autour d’eux les
distinguaient
malgré qu’ils en eussent. Les deux princes et les
mais un mélange d’ingrédients, où nous devons, malgré leur confusion,
distinguer
le goût particulier de chacun d’eux. Il en est de
jouissances toujours pures, toujours innocentes ! Bornés seulement à
distinguer
les objets extérieurs, les sens de la vue et de l
rapprochements et de comparaisons qui habituent l’œil à voir juste, à
distinguer
les styles, à reconnaître la facture d’un maître,
ourantes et comme marginales, qui se glissent dans la lecture et s’en
distinguent
par un autre ton ; quelques rapprochements indiqu
rapprochements et de comparaisons qui habituent l’œil à voir juste, à
distinguer
les styles, à reconnaître la facture d’un maître,
ourantes et comme marginales, qui se glissent dans la lecture et s’en
distinguent
par un autre ton ; quelques rapprochements indiqu
ue des esprits sublimes, passant de bien loin les bornes communes, se
distinguent
, s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux
omme de génie, un grand poëte était un homme comme un autre, et ne se
distinguait
du commun des mortels que par l’excellence de son
assez de droiture et de bonne foi pour se vanter d’être son élève. On
distingue
dans Cicéron les études qu’il avait faites dans l
niste avec les siens, lorsqu’en parcourant les campagnes il leur fait
distinguer
et connaître les plantes dont ils doivent un jour
le caractère de l’action, ce qui la rend problématique, ou ce qui la
distingue
et l’excepte de la loi générale et de l’ordre com
prémunie de toutes les idées morales qui caractérisent les hommes et
distinguent
leurs actions. Oratori quœ sunt in hominum vita (
celle de l’orateur ; et le maître aurait attention de leur faire bien
distinguer
dans les tours, les ligures et les images du styl
de la cause, parle choix qu’il fera des moyens décisifs ; car rien ne
distingue
plus sûrement une bonne et une mauvaise tête, qu’
nd prix parmi un grand nombre de faux, mais qu’ils n’en sauraient pas
distinguer
, se vanteraient, en les tenant tous ensemble, de
tre portée, et même connues de tout le monde. Mais on ne sait pas les
distinguer
. Ceci est universel. Ce n’est pas dans les choses
pédants ne l’admettent aussi que dans le discours oratoire, et ne la
distinguent
pas de l’entassement des ligures, de l’usage des
ue l’esprit s’y amuse, et que le cœur n’en est point ému. A. Il faut
distinguer
, Monsieur : les pièces de Cicéron encore jeune, o
n savoir ce que c’est précisément, car je vous avoue que j’ai peine à
distinguer
, dans l’occasion, les jeux d’esprit d’avec les au
Je m’en vais vous le dire. On ne divisait pas un discours, mais on y
distinguait
soigneusement toutes les choses qui avaient besoi
ments frivoles ; mais apprenez-moi, par des exemples sensibles, à les
distinguer
de ceux qui sont solides et naturels. A. Aimez-vo
plusieurs choses avec beaucoup de force et de dignité. Il faut savoir
distinguer
ce que le malheur du temps a mis dans ces grands
ici comme je le prouve. Alors il proposa, il divisa, il subdivisa, il
distingua
, il résuma : personne ne l’écouta, et l’on s’empr
aits De Bajazet, de Xipharès, De Britannicus, d’Hippolyte. A peine il
distingue
leurs traits : Us ont tous le même mérite, Tendre
t de l’art de persuader, et qu’être éloquent c’est savoir prouver. Il
distingue
les trois genres, le délibératif, le démonstratif
oute la méthode d’Aristote, et s’explique avec le style de Platon, il
distingue
le genre simple, le tempéré et le sublime. Rollin
se former. Un jeune homme sensible, mais sans aucune connaissance, ne
distingue
point d’abord les parties d’un grand chœur de mus
e point d’abord les parties d’un grand chœur de musique ; ses yeux ne
distinguent
point d’abord dans un tableau les gradations, le
tonnèrent la nation, ne la dérouillèrent pas encore. Les connaisseurs
distinguent
surtout dans le même homme le temps où son goût é
iens à une autre anecdote. Vous dites que « les étrangers ont peine à
distinguer
quand la consonne finale a besoin ou non d’être a
graphe ? J’avoue qu’étant très-dévoué à saint François. J’ai voulu le
distinguer
des Français ; j’avoue que j’écris Danois et Angl
arables, la langue française a dû peut-être aussi les facultés qui la
distinguent
à ta souplesse. à la mobilité, et en même temps a
autant qu’il est possible, aux avantages qu’elle n’a pas. Ce qui me
distingue
de Pradon, disait Racine, c’est que je sais écrir
sprit, ou la pensée en activité, a divers caractères. Un esprit clair
distingue
ses idées, les démêle sans peine, ou plutôt les p
lus de vigueur et de rapidité. Or toutes ces manières de concevoir se
distinguent
dans la manière de s’exprimer ; et des nuances in
ls élevaient le ton et prenaient le style lyrique. Les Italiens, pour
distinguer
les caractères de la poésie, lui ont attribué tro
s essentielles et communes à tous les genres, viennent celles qui les
distinguent
, et que je nomme accidentelles, comme la délicate
u d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques passages de Longin,
distinguer
un sublime instantané, qui frappe, dit-on, comme
u’il mourût n’est qu’un dernier éclat. On voit par cet exemple ce qui
distingue
les deux genres du sublime, ou plutôt ce qui les
’aube ; et d’un cours uni et soutenu, il coule sans rien avoir qui le
distingue
que la facilité et que l’égalité, seulement çà et
e que d’être simple, mais il l’est avec majesté ; et voilà ce qui les
distingue
. En sculpture, l’Apollon, le Laocoon, le Moïse de
il est certain qu’au plus haut degré il caractérise le sublime. Mais
distinguons
deux pathétiques : l’un, qui sans doute n’apparti
flexion et de sentiment, et doué avec avantage de cette invention qui
distingue
la main des maîtres et qui caractérise le génie.
, si ses conséquences sont justes. Mais conclut mal, je présume qu’il
distingue
mal les objets, ou qu’il n’aperçoit pas d’un seul
mieux. C’est cette manière de concevoir, si vive et si parfaite, qui
distingue
dans tous les genres le génie, et qui fait que le
r véritable point de vue ; par une grande finesse de discernement, on
distinguera
les pensées stériles des pensées fécondes ; par l
seules, forment les écrivains inférieurs ; parmi les autres, il faut
distinguer
celles qui viennent de la mémoire seulement, de c
aits De Bajazet, de Xipharès, De Britannicus, d’Hippolyte. A peine il
distingue
leurs traits ; Ils ont tous le même mérite : Tend
Cette figure, rare en prose, se rencontre assez souvent en poésie. On
distingue
la syllepse du nombre, la syllepse du genre et ce
signification propre comme les figures grammaticales ; mais elles se
distinguent
de celles-ci en ce qu’elles suivent les règles de
propre, offre un sens étranger qu’on n’exprime point. L’allégorie se
distingue
de la métaphore en ce qu’elle ne porte pas seulem
onymie ? La métonymie ou transposition de nom, est une figure qui se
distingue
de la métaphore en ce qu’elle ne suppose pas comm
ui se ressemblent soit par plusieurs côtés, soit par un seul. Elle se
distingue
de la métaphore, en ce que la ressemblance que l’
. Mais ces ornements du style ont le plus souvent une étendue qui les
distingue
des simples figures, et qui les range parmi les c
Ne peut plaire à l’esprit quand l’oreille est blessée. 265. Combien
distingue-t
-on d’espèces d’harmonie ? On distingue deux espè
est blessée. 265. Combien distingue-t-on d’espèces d’harmonie ? On
distingue
deux espèces d’harmonie : l’une qui consiste dans
ergie, ou plus d’éclat, ou plus de grâce et d’agrément. L’épithète se
distingue
de l’adjectif en ce que celui-ci est nécessaire p
nciens, des entrailles du sujet (ex visceribus rei). C’est ce qui les
distingue
des lieux qu’on appelle extérieurs. Les lieux com
, qu’il recommande de ne le faire que quand celui-ci est achevé16. On
distingue
trois sortes d’exordes : l’exorde tempéré, l’exor
ots propres, s’il évite les termes bas, obscurs ou prétentieux ; s’il
distingue
nettement les temps, les lieux, les personnes, le
ez les modernes. — Éloquence sacrée. Nous avons vu que les anciens
distinguaient
trois genres de causes : le démonstratif le délib
e longue et sérieuse étude de la théologie lui est indispensable pour
distinguer
exactement ce qui est de foi d’avec ce qui n’est
etrouvera la brillante imagination et l’expression vive et animée qui
distinguent
à un si haut degré ses sermons : Israël, infidèl
les prix de vertu, prononcé en 1829 à l’Académie française, et qui se
distingue
par l’exposition élégante de quelques vues origin
é d’une action. » Et c’est en conséquence de cette double vertu qu’il
distingue
, avec Aristote, deux espèces d’amplification, cel
em ornando. C’est elle qui, chez les Romains comme chez les modernes,
distingue
l’homme éloquent de l’homme disert ; c’est elle q
uis XIV, en 1685, moins vive et moins piquante que Mme de Sévigné, se
distingue
par l’esprit d’observation, le naturel et la préc
peu d’exemples que nous avons cités. La rhétorique apprend surtout à
distinguer
l’esprit vrai du faux, à conserver dans la finess
à la fin la cour désabusée Dédaigna de ces vers l’extravagance aisée,
Distingua
le naïf du plat et du bouffon .. selon Montesqui
tions : toute règle en a, et souvent de nombreuses ; Molière, qui sut
distinguer
si bien le vrai dévot du tartufe, devait croire q
mposition. Il y a plusieurs moyens de se préparer à la composition.
Distinguons
d’abord la préparation immédiate et la préparatio
igne plus particulièrement le développement moral et les manières qui
distinguent
une personne bien élevée. L’instruction peut s’ac
ragédie, dans l’histoire, dans la poésie légère ; Léonard de Vinci se
distingua
à la fois comme peintre, sculpteur, mécanicien et
nfinité de connaissances, et joint à toutes les qualités du cœur, qui
distinguent
le parfait honnête homme, sont absolument nécessa
érité en soit bien constatée. Le premier devoir de l’historien est de
distinguer
avec la plus exacte précision le faux du vrai, de
œur et l’honnêteté de ses sentiments. C’est à lui qu’il appartient de
distinguer
le vrai et le faux mérite, la véritable et la fau
lus grand et de plus utile. Le principal devoir de l’historien est de
distinguer
le ton, le talent, le génie particulier de chaque
c et en anglais. Nous avons de Pline l’ancien, ainsi surnommé pour le
distinguer
de Pline le jeune, son neveu, le panégyriste de T
de la naissance. Sa jeunesse jeta des étincelles de son mérite. Il se
distingua
en Sorbonne ; on remarqua de fort bonne heure la
être pas du vulgaire pour s’apercevoir du péril où il s’engageait. Il
distinguait
plus judicieusement qu’homme du monde entre le ma
saurait être le même dans toutes les compositions : aussi devons-nous
distinguer
trois espèces de genres : le simple, le tempéré e
fait usage des ornements ; il comporte l’agrément des expressions, se
distingue
par le choix et l’harmonie des mots, par la varié
plus intéressant. Il est sobre de figures et de mouvements, et ne se
distingue
presque du style simple que par un caractère plus
ire Le style Oratoire, noble sans emphase, orné sans recherche, se
distingue
surtout par le mouvement et la chaleur. Il convie
blique qui s’y rattache sous plusieurs rapports. Le Style biblique se
distingue
par un double caractère de simplicité et de grand
lorsqu’elle donne un signal décisif, alors il dit : « Courage ! » et
distingue
, comme par l’odorat, que le combat va se donner,
s les actes, dans les sentiments, dans les habitudes, qui doivent les
distinguer
du commun des citoyens et se refléter dans leur l
ar les écrivains les plus médiocres, perdent le premier éclat qui les
distinguait
; ils deviennent familiers : alors les hommes de
flure ; l’énergie, de la dureté ; la véhémence, de la déclamation. On
distingue
la véhémence de l’énergie. La véhémence dépend mo
ue des pécheurs et des mortels ; et les dépositaires du pouvoir ne se
distinguent
à ta vue que par de plus grandes obligations, de
uelque côté à la nature des quatre genres d’éloquence. Mais ce qui la
distinguera
toujours d’un discours, c’est la brièveté. Il ne
pprendre les règles de la versification : car il faut au moins savoir
distinguer
les bons vers, ceux où les règles sont observées,
il y a défaut de mesure, la mesure n’y est pas. Le rythme est ce qui
distingue
le vers de la prose. Dans celle-ci la phrase marc
t. Je me suis étendu un peu sur ces observations, afin de bien faire
distinguer
à l’élève la mesure du rhythme. Quand l’e muet su
onnances our, or, vi, pa, n’offrent aucune espèce d’analogie. 3. Pour
distinguer
une rime féminine d’une rime masculine, le versif
ités de rhétorique, afin d’embrasser tout l’art, êtes-vous obligés de
distinguer
trois choses qui devraient rester unies : le styl
t il était directeur. Parmi les orateurs sacrés de notre temps, il se
distingue
par l’essor, la nouveauté, l’ardeur, l’éclat, l’i
ernement. 6. Drouot (1774-1847), d’abord lieutenant d’artillerie, se
distingua
en Égypte, et devint major général de l’artilleri
duit un autre, fondé uniquement sur le devoir. J’aurais dû séparer et
distinguer
ces divers genres d’arguments puisés dans des sou
e la voix, l’émission d’un son plus plein et plus fort, par lequel on
distingue
la syllabe accentuée d’un mot, pour appeler plus
rceau de prose, lu par une personne qui renforce sa voix à propos, et
distingue
avec goût les mots accentués, et par une personne
ait toutes les pages d’un livre ; ces caractères, à force de beaucoup
distinguer
, ne distinguent plus rien. Après le renforcement
pages d’un livre ; ces caractères, à force de beaucoup distinguer, ne
distinguent
plus rien. Après le renforcement de la voix, c’es
e mieux au sens ; au lieu que la durée du temps qui les mesure ou les
distingue
est toujours variable et incertaine. Tantôt il su
hui. Il n’existait ni écoles ni universités, et ceux qui voulaient se
distinguer
dans la carrière des lettres ne pouvaient profite
lus élégant ; ses récits sont de la plus grande beauté, mais il ne se
distingue
ni par sa profondeur ni par sa pénétration. Il es
onc s’attacher à rendre sa narration intéressante, et c’est là ce qui
distingue
principalement l’écrivain éloquent et doué de gén
dant, ne méritent pas d’être rangés dans cette classe, et nous devons
distinguer
principalement ceux du cardinal de Retz et du duc
s des pensées et des expressions conformes à ce caractère, et qui les
distinguent
parfaitement les uns des autres. Un dialogue ains
mer véritablement que les idées d’un seul. Parmi les anciens, on doit
distinguer
Platon pour la beauté de ses dialogues. Il représ
n dans les régions aériennes de la théologie mystique ; souvent on ne
distingue
plus le philosophe du poète. Mais que son sujet c
dans lesquels il a presque atteint la perfection. Tous ses écrits se
distinguent
par un certain caractère de gaîté, par beaucoup d
ers, et dont la mesure est si peu sensible, que l’on peut à peine les
distinguer
de la prose ; et, d’un autre côté, il y a une esp
angement particulier de mots et de figures hardies dut principalement
distinguer
ce langage chanté de celui dont ces peuples se se
ns Arabes étaient fiers de leurs compositions poétiques, et qu’ils en
distinguaient
deux espèces, l’une qu’ils comparaient à des perl
entre les différents états de la vie civile, l’on apprit par degrés à
distinguer
les uns des autres les divers genres de compositi
sentiellement réunir. Ce ne sont pas les sujets qu’on y traite qui le
distinguent
des autres espèces de poèmes, car ces sujets sont
l nous ait laissées, mais ce sont des chefs-d’œuvre. Les qualités qui
distinguent
éminemment M. Pope, c’est le jugement et l’esprit
nt obscurs et sans formes, » dit Ossian en parlant d’un esprit ; « on
distinguait
à travers son corps la pâle lueur des étoiles ; t
tyle sententieux et piquant, et ces périodes construites avec art qui
distinguent
toutes les poésies hébraïques. Le livre de l’Eccl
tiennent à la poésie. Parmi les petits prophètes, leur génie poétique
distingue
Hosée, Joël, Micha, Habacuc, et surtout Nahum. Il
l’épopée, et c’est là ce qui la caractérise essentiellement. Elle se
distingue
de l’histoire par sa forme poétique et en même te
royens qui suivent Énée en Italie, sont des figures qu’aucun trait ne
distingue
les unes des autres, et qui ne se font remarquer
e. Il est vrai que le génie de la langue l’exige pour que l’on puisse
distinguer
les vers de la prose ; mais il n’en est pas moins
e l’on peut avec justice appeler le père de la tragédie en France, se
distingue
par la noblesse et l’élévation de ses sentiments,
es Grecs, les Romains, les Français et les Anglais. La comédie se
distingue
assez de la tragédie par son esprit particulier e
difficile de juger si ces couleurs sont naturelles ou fausses, que de
distinguer
l’erreur de la vérité. Des auteurs comiques ont t
ionales étaient représentées ; on l’appelait comœdia togata ; et l’on
distinguait
celle qui rappelait les mœurs de la Grèce par le
caractères plutôt diversifiés par les nuances délicates qui les font
distinguer
dans la société, que marqués par ces oppositions
critiques lui assignent trois différentes périodes chez les Grecs, et
distinguent
la comédie ancienne, la comédie moyenne et la com
u d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques passages de Longin,
distinguer
un sublime instantané, qui frappe, dit-on, comme
mourût n’est qu’un dernier éclat. « On voit, par cet exemple, ce qui
distingue
les deux genres du sublime, ou plutôt ce qui les
autre, et, d’un cours uni et soutenu, il coule sans rien avoir qui le
distingue
que la facilité et l’égalité ; seulement, çà et l
atem… omnemque orationem, ornamentis modicis verborum sententiarumque
distingua
. (Cic., Orat., c. 6.) « Le premier de ces trois g
e voie sûre ; mais de vous convaincre que, pour se sauver, il faut se
distinguer
des autres, être singulier, vivre à part au milie
nation sentira qu’il serait ridicule d’exprimer en vers : “Qu’il faut
distinguer
les citoyens en sept classes ; habiller la premiè
ncipales. La qualité essentielle à donner à ce plan c’est l’unité. On
distingue
plusieurs espèces d’unités : unité d’action, d’in
rase, et dans la construction des périodes, dont les anciens rhéteurs
distinguaient
trois formes principales : la période carrée, la
le en une foule d’occasions. Seulement il n’en faut pas abuser. On en
distingue
diverses espèces : La réversion qui fait revenir
nt sœurs, et que dans la plupart des mots dont elles se composent, on
distingue
les mêmes expressions fondamentales, sauf quelque
ce. La phrase simple conduit directement à la phrase complexe, qui se
distingue
par plusieurs sujets, ex.: Le riche et l’indigen
narration en général est l’exposé d’un fait vrai ou supposé vrai. On
distingue
six sortes de narrations ; 1° narration historiqu
lui convient ; la différence, en montrant ses qualités propres qui le
distinguent
des sujets de même genre. Ainsi en définissant l’
que les précédentes, couronne à merveille la définition. Fond. — On
distingue
aisément les trois qualités constitutives d’une b
e. La narration épistolaire raconte un fait dans une lettre. Elle se
distingue
d’une simple nouvelle en ce qu’elle ne se borne p
ue, puisqu’il s’agît d’espèce plutôt que de genre. 19. Les rhéteurs
distinguent
six espèces de descriptions. 1° la Chronographie,
la Rhétorique. On devrait les nommer figures grammaticales, pour les
distinguer
des Tropes, qui sont une deuxième espèce de figur
xpressions propres, et cette réflexion est essentielle à retenir pour
distinguer
un trope des autres figures ou purement grammatic
moins employé pour le plus, et c’est un point important à noter pour
distinguer
la synecdoque de la métonymie, avec laquelle on l
la catachrèse imite. Ces deux nuances bien tranchées feront toujours
distinguer
facilement une catachrèse d’une métaphore. V.
la chose, et ne faire du mot que le cas qu’il mérite, afin de pouvoir
distinguer
seulement telle forme de telle autre. Je ne recon
nes gens ont dû comprendre la nature du sublime, et qu’ils sauront le
distinguer
dans les auteurs en appliquant ma définition : de
rir pour leur pays. Il est fort important que les jeunes gens sachent
distinguer
toutes ces formes de l’élocution afin de ne point
L’analyse est de deux sortes. La première considère la forme, et fait
distinguer
les figures et tous les ornements du discours. Si
us inquiéter de son sort futur ; si elle ne l’est point, rien ne vous
distingue
de la brute. La première conséquence prouve ma th
ffecte d’être grand, noble, pathétique dans le style ou la pensée. On
distingue
deux sortes d’enflures : l’une consiste dans des
son, la fiction et le mouvement ! 13. Lemercier. 14. Les rhéteurs
distinguent
plusieurs espèces de sublime : — le sublime de st
bres, plusieurs hommes, plusieurs soldats réunis. Il est essentiel de
distinguer
dans les noms collectifs, ceux qui renferment l’i
ondre ces deux espèces de verbes, voici un moyen facile et sûr de les
distinguer
. Quand un verbe peut recevoir après lui les mots
uatre principales, qui sont comme la tige des sept autres) qu’on peut
distinguer
, et qu’on distingue en effet dans notre langue. I
i sont comme la tige des sept autres) qu’on peut distinguer, et qu’on
distingue
en effet dans notre langue. Il y a des verbes qu’
inies. Je me bornerai donc à faire connaître celles que l’abbé Girard
distingue
. Ce sont 1°. les prépositions qui marquent la pla
emples, en faisant connaître les diverses espèces de conjonctions que
distinguent
les grammairiens. Ils en comptent jusqu’à douze.
nce de la religion, lui est d’une nécessité indispensable, pour qu’il
distingue
exactement ce qui est de foi, d’avec ce qui n’est
en même temps, une sainte horreur de tout péché, même du véniel. Elle
distingue
les préceptes, des conseils : mais d’ailleurs, el
t que l’amour de Dieu l’embrasait. Une éloquence simple et insinuante
distingue
ceux du P. Griffet. Cet Orateur ne s’écarte jamai
ieu de la guerre ; tant il avait d’avantage au-dessus de ceux qui s’y
distinguaient
. J’appelle le principe de ces grands exploits, ce
que des esprits sublimes passant de bien loin les bornes communes, se
distinguent
, s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux
t fleuri. La brièveté, l’élégance, la délicatesse surtout doivent les
distinguer
, parce que l’éloge en fait ordinairement le fond.
ersuader ce qui est juste et utile, et vous avez eu tort. Car comment
distinguerez
-vous ce qui est juste et utile d’avec ce qui ne l
même la supprimer, si les faits sont avérés et admis par les juges ?
Distinguer
la confirmation de la réfutation, n’est-ce pas pr
rrivés à leur but par des routes différentes. Vous voyez donc ce qui
distingue
la narration oratoire de la narration historique
firmité et nous mettent, pour ainsi dire, les preuves en main. Ils en
distinguent
deux sortes : celles que l’on tire des entrailles
-dire représenter ses idées par des images sensibles. C’est là ce qui
distingue
l’éloquence de la dialectique pure et ce qui la r
ent et curieusement analysé toutes les formes du style oratoire. Elle
distingue
deux sortes de figures : les figures de mots, qu’
s, pour nous attirer par quelque moyen à l’Evangile du Sauveur Jésus,
distinguons
l’assaisonnement de la nourriture solide. Au mili
plus ni princes, ni rois, ni toutes ces autres qualités superbes qui
distinguent
les hommes ; de même que ces fleuves tant vantés
ant-général du roi d’Espagne et gouverneur du duché de Luxembourg, se
distingua
à la bataille de Thionville, en 1640. Il mourut d
une source de bien ou de mal. Mais, dans la nourriture du corps, l’on
distingue
d’ordinaire par le goût même ce qui nuit à la san
ts de l’âme. Nous n’avons point naturellement de goût spirituel1, qui
distingue
les bons aliments des mauvais. Nous trouvons même
rendrez mieux l’incontestable supériorité d’Horace. Quelques rhéteurs
distinguent
l’allégorisme de l’allégorie. La différence, selo
sage. Évidemment le sens figuré me frappe à l’instant, et je ne puis
distinguer
ce torrent du peuple romain Mais pourquoi alors a
verbales la figure nommée par les rhéteurs syllepse oratoire, pour la
distinguer
de la syllepse grammaticale, dont il sera bientôt
ions du bon style, mais dans un sens encore plus élevé. « Apprendre à
distinguer
les mots, dit fort bien M. Vinet, c’est apprendre
ndre à distinguer les mots, dit fort bien M. Vinet, c’est apprendre a
distinguer
les choses ; c’est exercer la sagacité de notre e
la campagne, et les pronostics du mauvais temps. Dans la seconde, il
distingue
les différentes manières dont les arbres sont pro
son nom des régions de l’Inde. Le dernier enfin nous laissant à peine
distinguer
ses traits, unit à des nuances noirâtres une somb
de croire qu’elle a été faite. Deux sortes de vraisemblable. On
distingue
deux sortes de vraisemblable ; l’ordinaire et l’e
t ici, est le nécessaire de liaison et de conséquence. Ajoutons qu’on
distingue
encore le nécessaire de moyens par rapport à l’ac
position du sujet ; deux choses qu’il ne faut pas confondre, et qu’on
distingue
expressément l’une de l’autre. C’est ce qui a fai
dans tous ses discours, dans tous ses sentimens, un caractère qui le
distingue
des autres personnages. Dans la tragédie de Serto
e dans plusieurs, jetez-y alors une nuance forte et bien marquée, qui
distingue
chacun de ces personnages d’une manière sensible
s quelque soit le genre qu’embrasse le poëte, il ne pourra jamais s’y
distinguer
, sans avoir une connoissance profonde de la natur
onidés, Magnés et Ps. Il ne nous est rien resté de leurs ouvrages. On
distingue
trois espèces ou trois âges dans la comédie grecq
qu’on appelle la comédie ne. Parmi le grand nombre des poëtes qui se
distinguèrent
dans la vieille comédie, Aristophane, né à Linde,
peu de temps après cette époque, plusieurs Romains, parmi lesquels on
distingue
Ennius, s’exercèrent dans la comédie latine, et l
nieux, caractérisent toutes ces pièces, parmi lesquelles néanmoins on
distingue
les Graces, l’Oracle, les Hommes, et le. Une pla
son discours sur l’origine et le caractère de ce genre de poésie1, en
distingue
de trois espèces. La première est des originaux p
s l’admiration. Ainsi la parodie est un genre d’ouvrage qui nous fait
distinguer
dans une pièce de théâtre le bon or du clinquant,
ières qu’il suffira d’indiquer. Opéra comique en vaudevilles. On
distingue
deux espèces d’opéra comique ; l’opéra comique en
n peu contrastée. La fureur, l’emportement marchent trop vîte ; on ne
distingue
rien, on n’entend qu’un aboiement confus, et le d
its qui ont mérité à Corneille le nom de Grand, non-seulement pour le
distinguer
de son frère, mais du reste des hommes. Veut-on u
: ajoutons qu’elle est quelquefois merveilleuse ; et c’est ce qui la
distingue
alors essentiellement de la tragédie proprement d
assion a des momens de calme, ses repos et ses intervalles ; le poëte
distingue
dans le discours de ses personnages le moment tra
oétique d’une action héroïque et merveilleuse. Le récit est ce qui la
distingue
de la tragédie, et ce qu’elle a de commun avec l’
e : le récit poétique, c’est-à-dire, ornés de fictions, est ce qui la
distingue
de celle-ci : l’action héroïque est ce qui la dis
est ce qui la distingue de celle-ci : l’action héroïque est ce qui la
distingue
des petits poëmes et du roman, dont le fond est t
produire, et la place qu’ils méritent d’y occuper, il est à propos de
distinguer
ici les épisodes qui n’y sont que par occasion, e
oins nécessaires, suivant la manière dont le poëte les emploie. Ainsi
distinguons
1°. celui qu’on nomme grand épisode, parce qu’il
e coloris sur tout, mais un coloris propre à chaque objet, doivent le
distinguer
. C’est ici principalement que la poésie doit être
désaltérant Dans le courant Plus de vingt pas au-dessous d'elle. On
distingue
quatre sortes d'exordes : l'exorde simple, l'exor
ouvelle. Des qualités particulières du style. La rhétorique ne
distingue
, ordinairement, que trois sortes de styles : le s
tains tours qui donnent de la force ou de la grâce aux pensées. On en
distingue
vingt-quatre principales : 1° L'interrogation, pa
rique ? En quoi l'éloquence diffère-t-elle de la rhétorique ? Combien
distingue-t
-on de genres d'éloquence ? Quel est l'objet du ge
e ? Doit-on courir après l'harmonie imitative ? Combien la rhétorique
distingue-t
-elle de sortes de styles ? Quelles connaissances
qui réclament le style sublime ? Qu'est-ce que les figures ? Combien
distingue-t
-on de sortes de figures ? Qu'est-ce que les figu
e sortes de figures ? Qu'est-ce que les figures de pensées ? Combien
distingue-t
-on de figures de pensées ? Qu'est-ce que l'interr
l avait la direction. Parmi les orateurs sacrés de notre temps, il se
distingue
par la hardiesse des vues, par l’essor d’une verv
’avoir beaucoup fait et de lui avoir rendu de considérables services.
Distinguez
bien la gloire de la réputation. Pour la réputati
comme une autre ; elle ne suppose pas même une haute ambition. Ce qui
distingue
la réputation de la gloire, c’est que l’une est l
nce moderne, que l’excellent esprit et le style vraiment éloquent qui
distinguent
le discours du P. Guénard : production d’autant p
tés du sublime talent de penser ; tels sont les grands caractères qui
distinguent
l’esprit philosophique de toute autre sorte d’esp
et. lib. iii, cap. 4 ; Cic. ad Herenn. lib. i). Ces grands critiques
distinguent
aussi deux sortes d’introductions : l’exorde et l
i vous ne vous servez pour chaque chose que du mot propre, et si vous
distinguez
nettement les temps, les lieux et les personnes.
ue des esprits sublimes, passant de bien loin les bornes communes, se
distinguent
, s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux
nce, dit Voltaire, lui donna le surnom de Grand non-seulement pour le
distinguer
de son frère, mais du reste des hommes ». 4. C’e
ncée, il importe de ne nourrir son intelligence que d’ouvrages qui se
distinguent
par un goût sûr et délicat, et que le sentiment g
ié les chefs-d’œuvre des plus beaux siècles ; lorsqu’on aura appris à
distinguer
le beau réel de ce qui n’en a que l’apparence, al
plaire ; Et conter pour conter me semble peu d’affaire. 292. Combien
distingue-t
-on de sortes de fables ? On distingue trois sort
peu d’affaire. 292. Combien distingue-t-on de sortes de fables ? On
distingue
trois sortes de fables : les unes que l’on appell
entière, il faut quelle ait une étendue suffisante pour qu’on puisse
distinguer
sans peine un commencement, un milieu et une fin.
hose de remarquable, et qui sortent ainsi du rang ordinaire. Elles se
distinguent
tantôt par la solidité : Dieu prodigue ses b
cienne maison a produit tant de grands hommes, qu’il est difficile de
distinguer
le héros qu’a eu en vue l’auteur de le. Cependant
en Italie sous les rois Charles VIII, Louis XII et François I, et se
distingua
dans toutes les batailles de la manière la plus é
èrement de la nature même du sujet, et qu’il faut connaître et savoir
distinguer
. C’est une vérité d’une évidence incontestable, q
on reconnaît les peintres célèbres à la touche de leurs pinceaux, on
distingue
aussi les grands écrivains à leur style et à leur
rompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et
distinguer
le vrai d’avec le faux, qui est proprement ce qu’
re vraisemblables. Et j’avais toujours un extrême désir d’apprendre à
distinguer
le vrai d’avec le faux, pour voir clair en mes ac
cation française, condition nécessaire dans une langue où l’accent ne
distingue
pas suffisamment les brèves et les longues. Les v
n comprend dès lors ce que c’est que l’art poétique, et comment il se
distingue
de la poésie. Celle-ci est la création et l’œuvre
ige par la peinture gaie et risible des travers et des vices. Il faut
distinguer
dans le genre comique la comédie de mœurs, ou hau
st fâcheux pour la nature humaine que, dans l’éloquence, il ait fallu
distinguer
les mœurs réelles des mœurs oratoires, les qualit
discours, dans un cabinet, d’affaires, dans un salon, il faut savoir
distinguer
et saisir, au milieu de leurs manœuvres, de leurs
us de juste ni d’injuste 4. » n’est-il pas nécessaire de s’habituer à
distinguer
l’erreur, de s’exercer à la saisir corps à corps,
oi-même, sans puérilité ni platitude. C’est par là que La Fontaine se
distingue
entre les plus grands poëtes ; il est le seul peu
riété des formes et des qualités du style avait conduit les anciens à
distinguer
trois genres dans l’éloquence, le simple, le temp
nser, mais avec cette vive intelligence de la passion et du beau, qui
distingue
les vues de Pascal sur l’éloquence des critiques
ge et au style un air nouveau, sont ce qu’on appelle les figures. On
distingue
deux sortes de figures, les figures de pensées et
ssi bien que pour les figures de mots. II. Figures de mots. — Il faut
distinguer
, dans cette seconde classe, les figures de gramma
le futur, qui marque que la chose sera ou se fera, comme je lirai. On
distingue
plusieurs sortes de prétérits ou passés, savoir :
ts, je lus, j’ai lu, j’eus lu, et un plus-que-parfait, j’avais lu. On
distingue
aussi deux futurs, le futur simple, je lirai ; et
53. — Il y a en français quatre conjugaisons différentes, que l’on
distingue
par la terminaison de l’infinitif. La première co
2. De l’éloquence. — Dans les écrits comme dans les discours, il faut
distinguer
la rhétorique de l’éloquence. L’éloquence est le
ou l’orateur manifeste, constituent les mœurs oratoires ; il faut les
distinguer
des mœurs réelles. L’homme a des mœurs réelles lo
ndant qu’on ne l’a pas assez dit, puisqu’il faut le redire encore. On
distingue
deux sortes de lieux : 1° Les lieux intrinsèques
ploi de ce moyen. C’est à cette occasion que Marmontel a eu raison de
distinguer
et de recommander le pathétique indirect : Antoi
on. La vérité de la religion se fonde sur trois grands caractères qui
distinguent
éminemment la religion chrétienne : 1° elle est r
de l’exorde. — 8. Régles de l’exorde. 1. De l’exorde simple. — On
distingue
trois sortes d’exorde, désignés par les noms d’ex
e un consul populaire : ce mot lui sert de transition et de texte. Il
distingue
, alors une bonne et une mauvaise popularité ; et
ux, les personnes si clairement qu’on en forme un tableau où l’esprit
distingue
tous les objets sans jamais les confondre. Suivr
ée des formes de style et la détermination précise des caractères qui
distinguent
la prose de la poésie. Leçon XXIII. Observatio
en faut faire et ensuite quelle place elles doivent occuper. Il faut
distinguer
deux sortes d’épithètes, celles qui sont indispen
qui donnent à tout une solennité fatigante. Il est donc important de
distinguer
suivant une gradation croissante d’intérêt trois
de l’imagination : sagacité, profondeur, fécondité. Ainsi La Bruyère
distingue
par des épithètes de circonstance Corneille et Ra
opos de la conscience morale : S’il fallait devenir philosophe pour
distinguer
le bien du mal et pour connaître son devoir, la p
e mouvement des idées et, des sentiments ; il serait donc possible de
distinguer
les figures en deux genres : celles qui servent à
— La classification la plus simple et la plus raisonnable des figures
distingue
: 1° les mouvements de style qui tiennent au sent
se proposent et des effets qu’elles produisent. A ce point de vue, on
distingue
trois groupes de figures de pensée : 1° Les figur
se, en l’attaquant, charitable et discrète, Sait de l’homme d’honneur
distinguer
le poëte. Qu’on vante en lui la foi, l’honneur, l
appelle inversion. 2. Des figures de grammaire : De l’ellipse. — On
distingue
parmi les figures de mots : 1° celles qui résulte
. L’imagination humaine les emploie, et l’analyse par laquelle on les
distingue
et on les reconnaît sera toujours une excellente
nous lisant pas. 2. Des deux sortes de qualités du style. — Il faut
distinguer
deux sortes de qualités du style : 1° des qualité
point un homme d’esprit qui veut se faire entendre. Il ajoute qu’on
distingue
l’expression propre à ce qu’elle est celle qui ét
tout le forum applaudir à la chute harmonieuse d’une phrase. Il faut
distinguer
: 1° l’harmonie des mots ; 2° l’harmonie des péri
classification. 2. Des trois genres de style. — Les anciens rhéteurs
distinguaient
trois genres de sujets et par suite trois genres
nd cas et la nommaient-ils la qualité souveraine. . Il faut encore
distinguer
la concision du laconisme qui est une recherche d
vec l’infini et lui donner le plus vif sentiment de la perfection. On
distingue
deux sortes de sublime ; le sublime et le sublime
ns ce cas tout le travail consiste à reconnaître ces éléments, à bien
distinguer
l’idée principale des idées secondaires, à se ren
De la narration. — La narration est la peinture d’une action. Elle se
distingue
de la description et du tableau par le mouvement
aractère. — On désigne sous ce nom l’indication des traits moraux qui
distinguent
un genre d’êtres ou d’individus. C’est une descri
ortrait peut être encore la représentation vive des traits moraux qui
distinguent
un peuple ou une collection d’individus pris dans
r avec son haleine cette vapeur importune. Il était imposable de rien
distinguer
parmi celle confusion de cris et de vœux ; seulem
sa Chartreuse. L’épître, selon le ton et le sujet qu’elle choisit, se
distingue
en épitre sérieuse et en épitre familière. L’épît
charité est douce, patiente, bienfaisante. La virgule sert encore à
distinguer
les différentes parties d’une phrase. Exemple :
ubstantifs abstraits ; nous arriverons ainsi à saisir les nuances qui
distinguent
les mots appelés synonymes, et nous acquerrons un
établir la vérité ou la proposition qui est le sujet du discours. On
distingue
deux sortes de preuves ; les unes intrinsèques, t
ons ; mais alors, entre ces autorités et ces exemples, il faut savoir
distinguer
ce qui revient bien au sujet. Les preuves intrins
er la bienveillance et l’intérêt qu’on est disposé à lui accorder. On
distingue
différentes sortes d’exordes, selon l’importance
chaque sujet la couleur qui lui convient. On a vu assez d’orateurs se
distinguer
dans un de ces genres, aucun ou presque aucun qui
er de son esprit, à son caractère ; c’est ce qui, dans le même genre,
distingue
un poète, un orateur, un historien d’un autre. De
on la gâterait. Voici les principaux caractères par lesquels Cicéron
distingue
ce genre des deux autres. Le style simple est cel
à ne font pas ce qu’on appelle le sublime. Quant au pathétique, on en
distingue
de deux sortes : l’un plus véhément agite l’âme p
osition des parties extérieures d’un corps ; c’est par, elle que nous
distinguons
un objet d’un autre avec lequel il a d’ailleurs p
érence la plus marquée dans les mœurs sociales, dit-il, est celle qui
distingue
les caractères des deux sexes. Elle tient d’un cô
ion physique. Adressons-nous ici à la physiologie. Les physiologistes
distinguent
quatre espèces de tempéraments, rarement absolues
es vers masculins ou des vers féminins qui ne riment pas ensemble. On
distingue
trois combinaisons de rimes : les rimes plates, l
pierre, Et, sous le vert tissu de la ronce et du lierre, On
distingue
un sceptre brisé. Lamartine. La stance de dix v
nctions : l’usage les fera connaître ; la plus ordinaire est que ; on
distingue
la conjonction que du que relatif, en ce qu’elle
s ii, p. 81 C) et d’autres auteurs attestent que le signe naturel qui
distinguait
les. Pélopides était une épaule d’ivoire. Voyez P
lités que le style peut ou doit avoir, sans établir la différence qui
distingue
les qualités accidentelles de celles qui doivent
x questions. Deux espèces de preuves selon les anciens. Les anciens
distinguent
deux sortes de moyens de prouver ; ceux qui se ti
traces ou vestiges qui indiquent un fait ou l’auteur d’un fait. On en
distingue
de deux sortes, les indices certains, signa neces
qu’elle soit une substance simple, a deux facultés principales, qu’on
distingue
surtout par la différence de leur objet. L’une se
nc je puis me moquer de toi1. Syllogisme conjonctif. Les logiciens
distinguent
d’autres syllogismes qu’ils nomment conjonctifs,
, des pythonisses, etc… 2° De l’induction et de l’exemple. On
distingue
deux espèces d’inductions1 : Première espèce d’i
livre second de cet ouvrage. Deux sortes de méthode. Les logiciens
distinguent
deux sortes de méthode ; l’une qu’ils appelent an
s sous ces rapports, les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir se
distinguent
et se subdivisent par leurs caractères et par leu
Parmi les moyens de se concilier les juges au barreau, il convient de
distinguer
ceux que l’on peut produire à découvert, de ceux
at.., l. I, n°. 129 et seq.) Deux sortes de moyens d’émouvoir. Nous
distinguons
entre les moyens d’émouvoir ceux qui appartiennen
a établie entre les hommes pour première cause de sociabilité qui les
distingue
. La sympathie est la première et la principale so
t rapport à lui. » (L. VI, c. 3.) Deux sortes de ridicule. Cicéron
distingue
deux manières principales de traiter le ridicule
éteinte. » (L. VI, c. 1.) Deux sortes de pathétique. 3°. Marmontel
distingue
deux sortes de pathétique : le direct qui a lieu
n. 318.) Il y a plusieurs sortes d’exorde. Selon le sujet, Cicéron
distingue
deux espèces d’exorde : le début simple et l’ins
rès uniforme ; voici ce que prescrit Cicéron : Thèse, hypothèse. Il
distingue
deux sortes de questions, l’une qu’il appelle thè
, n. 329.) « La narration sera claire, dit Quintilien, si l’orateur
distingue
nettement les choses, les personnes, les temps, l
et faire de tous deux un mélange heureux et convenable. On peut aussi
distinguer
le style périodique et le style coupé. Du style
réquenter le monde poli. La bonne société peut seule nous apprendre à
distinguer
le langage du peuple de celui des gens bien élevé
t par quels moyens il est permis à l’orateur de chercher à plaire : «
Distinguons
, ajoute-t-il ; ce qui sert à plaire pour persuade
es et les fausses beautés des ouvrages d’esprit, et sur la manière de
distinguer
les unes des autres (2), établit fort bien qu’il
ducit. (Quint., l. IX, c. 1.) Deux sortes de figures. Les rhéteurs
distinguent
les figures de mots, et les figures de pensées.
deux idées dont l’une emprunte le nom de l’autre. Il suit de là qu’on
distingue
différens tropes. Nous ferons connaître les princ
cette princesse.(Exorde de cette orais. fun.) Comparaison. On peut
distinguer
deux sortes de comparaisons : les unes de simple
ec peine le respect qui leur est dû ; et parmi tant de titres qui les
distinguent
, la politesse et l’affabilité est la seule distin
que pourraient seuls exécuter des êtres doués de la vie. La poésie se
distingue
surtout par l’emploi de cette figure. Nos bons or
suspendre la voix par différens repos qui composent une même phrase,
distinguer
avec soin les incises et les membres des périodes
lentum. (Loc. cit.) Accent. Il y en a de plusieurs sortés. 3°. On
distingue
dans la prononciation plusieurs sortes d’accens :
ien distincts dans la voix humaine : le grave, l’aigu et le moyen. On
distingue
pareillement trois sortes de tons dans la déclama
sorte, rétracter ce qu’il vient de dire. La subjection demande qu’on
distingue
bien le ton des objections qu’on se propose à soi
etoricâ, nos. 8 et suiv., s’étend beaucoup sur l’état de la cause. Il
distingue
l’état de conjecture, l’état de définition, l’éta
ommune à tous ; et voici les idées accessoires ou les nuances qui les
distinguent
: « On est indolent par défaut de sensibilité, no
a philosophie seule que Marc-Aurèle est redevable du caractère qui le
distingue
essentiellement entre tous les empereurs ; transi
regards sur les différentes sectes qui étaient autour de lui ; il en
distingua
une qui apprenait à l’homme à s’élever au-dessus
de Radonvilliers105 appelle tropes d’usage ou de la langue, pour les
distinguer
des tropes d’invention ou de l’écrivain, dont le
catachrèse, moins un trope spécial qu’un accident des autres tropes ;
distinguons
des catachrèses de métaphore, des catachrèses de
’an 86 avant Jésus-Christ, a fait un grand nombre d’épigrammes qui se
distinguent
souvent par un tour heureux et délicat, ainsi que
e mérite est la justesse, la précision et surtout la clarté ; elle se
distingue
, au contraire, par l’ambiguïté et l’équivoque.
re sont aidées par le premier regard qu’il jette sur son livre, et il
distingue
sur-le-champ ce qu’il doit apprendre et retenir m
ible. Comme elles peuvent précéder, accompagner ou suivre le fait, on
distingue
les antécédentes, les concomitantes et les conséq
e erreur ou pour découvrir les pièges d’un adversaire, il doit savoir
distinguer
les raisonnements vicieux qui se rencontrent le p
aison : un seul mot peut faire échouer tout un discours. 114. On peut
distinguer
quatre précautions principalement nécessaires à l
ement ce qu’il doit dire, peindre fortement aux autres ce qu’il sent,
distinguer
sûrement l’usage qu’il doit faire de cette double
par pathétique l’emploi ou l’usage des passions oratoires. Quintilien
distingue
deux sortes de pathétiques, le pathétique violent
onem (Cic.). « La narration sera claire, dit Quintilien, si l’orateur
distingue
bien les personnes, les choses, les temps et les
t toutes les parties d’un discours, méditez profondément votre sujet,
distinguez
les idées principales des idées accessoires, voye
plus ni princes, ni rois, ni toutes ces autres qualités superbes qui
distinguent
les hommes ; de même que ces fleuves tant vantés
n amplifie des bagatelles, on fait valoir des riens. On ne sait point
distinguer
l’accessoire du principal, et on croit que le suj
ires à la proposition qu’il a avancée. 222. Cicéron ne veut pas qu’on
distingue
la réfutation de la confirmation, parce qu’on ne
oix sonore mais confuse. Il faut donc, dit Batteux, parler doucement,
distinguer
les sons, soutenir les finales, séparer les mots
et suivent toujours les sentiments et les passions qu’on exprime. On
distingue
ordinairement trois sortes de gestes faits avec l
êlés, le discours prend le nom du genre qui domine. 299. Les modernes
distinguent
aujourd’hui cinq genres d’éloquence : l’éloquence
’il approfondisse les preuves de la vérité catholique, et qu’il sache
distinguer
ce qui est de foi de ce qui ne l’est pas. Pour tr
bserve plus rigoureusement les préceptes de l’art oratoire. Ce qui le
distingue
des deux genres qui précèdent, c’est qu’il exige
aires publiques. 374. Il y a trois choses principales qui séparent et
distinguent
la tribune et le barreau : le but, l’auditoire et
able. Division. Cette vérité se fonde sur trois grands caractères qui
distinguent
éminemment la religion chrétienne : 1º elle est r
135. Qu’est-ce que le pathétique, et combien de sortes de pathétiques
distingue-t
-on ? 136. Comment Quintilien caractérise-t-il le
tote ne semble pas ici bien d’accord avec lui-même car, plus bas, il
distingue
l’épopée de la tragédie, en ce que la première n’
mphis, capitale de l’ancienne Égypte. Nous recommandons au lecteur de
distinguer
, dans cette séance mémorable, la demande du postu
source, et qu’il n’ait coûté aucune peine à son auteur. Cette qualité
distingue
particulièrement les écrits de La Fontaine et de
composent. Il faut donc savoir avec soin : 1° Bien choisir ses mots ;
distinguer
ceux qui offrent de la rudesse ou de la douceur,
e enfin la cour désabusée, Dédaigna de ces vers l’extravagance aisée.
Distingua
le naïf du plat et du bouffon, Et laissa la provi
s, pour nous attirer par quelque moyen à l’Évangile du Sauveur Jésus,
distinguons
l’assaisonnement de la nourriture solide. Au mili
n soi-même beaucoup de bassesse. Mais c’est encore trop de vanité, de
distinguer
en nous la partie faible, comme si nous avions qu
ps ! Je ne suis rien ; un si petit intervalle n’est pas capable de me
distinguer
du néant ; on ne m’a envoyé que pour faire nombre
tion plus subtile, ce n’est pas toute l’étendue de notre vie qui nous
distingue
du néant ; et vous savez, chrétiens, qu’il n’y a
logique ; il suffit que le lecteur puisse saisir nettement l’idée, la
distinguer
de toute autre, l’embrasser dans son ensemble. Le
s dont se compose l’objet défini. On n’a point eu tort, cependant, de
distinguer
ces deux lieux ; car on emploie le second dans le
des mots qui lui sont ou qui lui semblent inutiles. Mais dès que l’on
distingue
ces deux espèces, la rhétorique doit employer, po
ailleurs, etc. 114. Elle est fréquente en latin. Cependant il faut
distinguer
. Par exemple, on cite parmi les anacoluthes ces v
qui le rapprochent de la brute, dont la parole doit par sa nature le
distinguer
plus que toute autre chose. La Rhétorique, il fau
les pages des bons écrivains et qui y répandent de l’éclat. Elles se
distinguent
par leur simplicité, leur grâce ou leur grandeur.
rs que la liaison parfaite des idées dont il se compose. Nous pouvons
distinguer
deux sortes de liaisons ou transitions : la premi
talents et leur courage à l’apologie de la religion chrétienne, nous
distinguons
d’abord saint Justin, qui combattit les philosoph
ῶν, chap. ii, t. IX, p. 294 des Rhetores græci de Walz). Il faut bien
distinguer
ces jugements sérieux des plaisanteries comiques
choisi le sujet d’une églogue ou d’une idylle. Mais voici ce qui peut
distinguer
l’une de l’autre. Ce qui peut distinguer l’Égl
e. Mais voici ce qui peut distinguer l’une de l’autre. Ce qui peut
distinguer
l’Églogue de l’Idylle. L’églogue parmi nous a
térature ou quelque grande passion en sont le sujet, doivent se faire
distinguer
par la justesse et la profondeur du raisonnement.
e émotion douce, convient essentiellement à l’ode. Ainsi l’on peut en
distinguer
deux espèces générales. La première est dans le g
espèce d’ode faite pour être mise en musique ; c’est la cantate. On y
distingue
deux parties ; les récits qui ordinairement n’exc
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