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1 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
le fondement et la base de cette espèce de poésie. 329. Qu’est-ce qui distingue le genre épique des autres poèmes ? Le genre épi
genre épique ayant la narration ou le récit pour base essentielle, se distingue par là des autres genres. Ainsi, c’est grâce à ce
, dans ce genre de poésie, plusieurs espèces de poèmes, que l’on peut distinguer selon la nature du sujet. Or, le sujet est grand,
pique proprement dit, et les épopées secondaires, parmi lesquelles on distingue le poème héroïque, le poème narratif, le poème hé
. Le poème épique est un récit poétique et sublime ; et par là il se distingue du récit historique qui n’admet pas de fictions,
l’épopée est consacrée aux sujets grands, nobles et importants, et se distinguent ainsi des petits poèmes et du roman, dont les suj
la divinité et des agents surnaturels. C’est ce dernier caractère qui distingue l’épopée du poème héroïque. 334. Donnez une idée
s, ils deviennent pour son ouvrage une brillante parure. 344. Combien distingue-t -on de sortes d’épisodes ? On distingue les grand
llante parure. 344. Combien distingue-t-on de sortes d’épisodes ? On distingue les grands et les petits épisodes. Les grands épi
ges accessoires sont des hommes plus ou moins célèbres qui doivent se distinguer quelquefois et concourir à certaines actions part
t après, et Virgile est inférieur à l’un et à l’autre. On peut encore distinguer les caractères principaux qui impriment les mouve
ns la définition, ce qui caractérise l’essence de ce poème, ce qui le distingue de l’histoire et surtout du poème héroïque, et ce
xcitée ; on no consentirait p s facilement à ignorer le dénoûment. On distingue le nœud principal et les nœuds secondaires. 388.
ajesté, l’élégance et l’harmonie, la chaleur et le coloris doivent le distinguer . C’est ici principalement que la poésie doit être
ue, et sans s’élever plus haut que les causes naturelles. Ce poème se distingue donc de l’épopée, en ce qu’il n’exige pas une act
2 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
pécial est d’inventer et de créer, si ce don immédiat de la nature se distingue par des pensées sublimes et profondes, par des pl
e disposition habituelle à réussir dans une chose, une qualité qui se distingue par l’ordre, la clarté, l’élégance, le naturel, l
décide qu’il y a ou qu’il n’y a pas de convenance entre deux idées et distingue la vérité de l’erreur. Il n’y a rien de plus esti
des beautés et des défauts que renferme un ouvrage d’esprit. Le goût distingue ce qu’il y a de conforme aux plus exactes bienséa
stesse, qui compare avec équité les beautés des divers genres, et qui distingue pourquoi elles ont la faculté de plaire. Comme on
tre les beautés et en signaler les défauts. Elle a donc pour objet de distinguer , dans chaque composition soit en prose, soit en v
3 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »
t nécessairement rivaux les uns des autres. Athènes ne tarda pas à se distinguer au milieu d’eux, par son goût pour tous les beaux
de grands hommes, Cléon, Alcibiade, Critias et Théramène, qui tous se distinguèrent par leur éloquence. Ce n’étaient point des orateu
ent les préceptes et quelquefois l’exemple de l’éloquence. Ce qui les distinguait surtout, c’était l’art de parler, sur-le-champ, a
rapide, il subjugue, il entraîne l’auditeur à son gré ; et ce qui le distingue de tous les orateurs, c’est que l’espèce de suffr
4 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
ent est une faculté par laquelle l’intelligence compare les objets et distingue le vrai du faux. Ainsi, lorsqu’on examine si la b
bilité domine, si un homme joint un bon cœur à un esprit droit, il se distinguera parla délicatesse de son goût. Il discernera les
si le jugement et la raison dominent les autres facultés, le goût se distinguera par la pureté. Un homme d’un goût pur est celui q
l’homme même. C’est par le style en effet que l’homme se révèle, se distingue , se sépare de ses semblables. 36. Puisque le styl
puissance par les organes du corps. Dans le style, nous pouvons aussi distinguer les pensées qui émanent de l’intelligence, les se
nte nettement et distinctement son objet. Il faut que l’esprit puisse distinguer aisément cet objet de tous les autres et qu’il di
ppe à la naïveté de l’enfant, et l’effet en est terrible. 54. Il faut distinguer la naïveté de ce qu’on appelle une naïveté. La na
a convenance, il est bon de connaître les trois principaux genres que distinguent les anciens rhéteurs. C’est ce que nous allons fa
cité des images, et nous avons déjà parlé de ces qualités. Mais on le distingue aussi par l’énergie, la véhémence, la magnificenc
sentiment à des êtres inanimés, et je leur adresse la parole. 166. On distingue deux classes principales de figures : les figures
consiste à dire une chose pour en faire entendre une autre. Ce qui la distingue de la métaphore, c’est que cette suite de traits
use en l’attaquant, charitable et discrète, Sait de l’homme d’honneur distinguer le poète. Qu’on vante en lui la foi, l’honneur, l
dance des sons. Cicéron va même jusqu’à dire que c’est l’harmonie qui distingue le plus l’orateur habile du parleur ignorant et v
et de l’o que dans les autres voyelles. C’est à une oreille exercée à distinguer toutes ces nuances, et à éviter les mots qui prod
mposée de plusieurs propositions ne constitue pas une période. Ce qui distingue la période de la phrase ordinaire, c’est la dépen
s comme exemple de périodes, ne sont pas du tout périodiques. 240. On distingue des périodes à deux, à trois, à quatre membres, r
sait discerner ce qui est bien de ce qui est mal. Sans doute, on doit distinguer la critique sincère de ces censeurs pointilleux q
es faits réels et véritables ou des événements feints et supposés, on distingue deux espèces de narration : la narration historiq
rire suppose une imagination puissante, et c’est ordinairement ce qui distingue un auteur médiocre d’un excellent écrivain : l’un
nce, et tout ce qui ne laisse pas dans l’esprit une forte impression. Distinguez soigneusement et mettez en lumière les points pri
age de mots cadencés selon certaines règles déterminées. Trois points distinguent le vers français de la prose : 1º il a toujours u
ses syllabes, on les compte. 392. D’après le nombre des syllabes, on distingue dix espèces de vers, savoir : des vers de une, de
ines suspensions qu’il faut observer dans le sens et dans la voix. On distingue deux sortes de repos : la césure et le repos fina
ais l’un à la suite de l’autre. 402. Dans la succession des rimes, on distingue quatre sortes de combinaisons : les rimes plates
eurs autres. Article deuxième. Diverses espèces d’odes. 428. On distingue cinq espèces d’odes, l’ode sacrée, l’ode héroïque
. La cantate est une espèce d’ode faite pour être mise en musique. On distingue dans la cantate le récit et l’air. Le récit précè
. Enfin ces mots d’une action vraisemblable, héroïque et merveilleuse distinguent l’épopée de tous les autres récits poétiques. 448
. Épopées secondaires. 479. Parmi les épopées secondaires, on peut distinguer les poèmes héroïque, héroï-comique, badin, et le
ller. Du genre comique. 518. Dans le genre comique nous pouvons distinguer quatre espèces particulières de comédies : la com
trivial et grossier. 524. D’après les sujets que traite le poète, on distingue la comédie d’intrigue, la comédie de caractère et
ue joue le principal rôle et qui sont connues sous le nom d’opéra. On distingue le grand opéra, l’opéra-comique et le mélodrame.
t légère, l’épître est le plus libre de tous les genres. 549. On peut distinguer trois sortes d’épîtres : l’épître philosophique,
sciences, les arts, ou sur quelque autre sujet sérieux. Elle doit se distinguer par la justesse et la solidité des idées, par la
ent que l’expression d’un sentiment ou d’une passion modérée. 564. On distingue trois espèces d’églogues, l’épique ou narrative,
nous, il n’y a point de forme particulière pour ce genre, et on ne le distingue que par le sentiment qui y est exprimé. 571. Dans
elle renferme ordinairement l’éloge du personnage et doit toujours se distinguer par un trait saillant ou délicat. Quelques écriva
2. Le goût est-il une faculté commune à tous les hommes ? 23. Peut-on distinguer un bon et un mauvais goût ? 24. Tous les hommes d
d’où viennent les nobles expressions ? 41. Combien d’éléments peut-on distinguer dans le style ? 42. Qu’est-ce que la pensée propr
res ? 165. Comment reconnait-on les figures dans une phrase ? 166. Ne distingue-t -on pas deux classes principales de figures ? 167.
e et une métaphore ? 175. En quoi consiste l’allégorie, et comment la distinguez -vous de la métaphore ? 176. Quel nom prend l’allé
ie dans le style ? 235. Qu’est-ce que la période ? 236. Qu’est-ce qui distingue proprement une période ? 237. Que faut-il entendr
t les ornements qui forment l’agrément de la narration ? 314. Combien distingue-t -on d’espèces de narrations ? 315. Qu’est-ce que l
ion française ? 391. Qu’est-ce que la mesure d’un vers ? 392. Combien distingue-t -on d’espèces de vers ? 393. Qu’est-ce que l’élisi
s l’ode ? 427. L’unité doit-elle se trouver dans l’ode ? 428. Combien distingue-t -on d’espèces d’odes ? 429. Qu’est-ce que l’ode sa
deur de l’action ? 462. Qu’exige l’intérêt de l’action ? 463. Combien distingue-t -on de sortes de personnages dans l’épopée ? 464.
comme une œuvre bien difficile ? 479. Quels sont les poèmes que l’on distingue parmi les épopées secondaires ? 480. Qu’est-ce qu
rincipaux poètes tragiques chez les différents peuples ? 518. Combien distingue-t -on d’espèces de comédies ? 519. Qu’est-ce que la
s hommes ? 523. Combien y a-t-il de sortes de comiques ? 524. Combien distingue-t -on de sortes de comédies, et quel est le caractèr
re ? 548. Qu’est-ce que l’épître et qu’embrasse-t-elle ? 549. Combien distingue-t -on de sortes d’épîtres ? 550. Qu’est-ce que l’épî
quoi diffèrent l’églogue et l’idylle chez les modernes ? 504. Combien distingue-t -on d’espèces d’églogues ? 665. Quelles qualités d
5 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
érité en soit bien constante. Le premier devoir de l’historien est de distinguer avec la plus exacte précision le faux du vrai, de
sortes d’histoires. — Histoire sacrée, histoire ecclésiastique. On distingue plusieurs sortes d’histoires : l’histoire des hom
u’il n’a de ressources que dans ses connaissances et ses talents pour distinguer le vrai et le faire connaître aux autres, il faut
particuliers sur lesquels l’auteur a concentré toutes ses forces. On distingue parmi ces écrivains : Sarazin, né en 1603, pour s
hie a été cultivé dès la plus haute antiquité ; mais d’abord on ne la distinguait pas nettement des autres genres d’histoire. C’est
curieux qu’il donne sur tous ses héros, et le ton de bonne foi qui le distingue , sa manière de raconter et d’apprécier leurs acte
de sont particulièrement estimés. Le cardinal de Retz, entre tous, se distingue par la vivacité et l’originalité piquante de son
lus grand et de plus utile. Le principal devoir de l’historien est de distinguer le ton, le talent, le génie particulier de chaque
opos de l’éloquence académique. Entre ces éloges historiques, il faut distinguer ceux de d’Alembert, qui, secrétaire de l’Académie
6 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
lle qu’elle était dans l’esprit de l’auteur. Le distique sur Didon se distingue autant par la clarté que par la vérité de la pens
la clarté est l’obscurité qui empêche de reconnaître l’objet ou de le distinguer suffisamment. C’est le défaut des phrases suivant
aussi à deviner quelque chose de plus qu’elle ne dit ; mais elle s’en distingue en ce que le cœur y a plus de part que l’esprit.
mais cependant sans traits extraordinaires et éblouissants. Ce qui la distingue de la pensée sublime, c’est qu’elle est l’express
térêt dans toute espèce de composition. 59. Comment les sentiments se distinguent -ils des pensées ? C’est avec raison que l’on dis
ntiments se distinguent-ils des pensées ? C’est avec raison que l’on distingue les sentiments des pensées. Les pensées occupent
om à un dessein ferme et hardi, mais calme. Le sentiment énergique se distingue du sentiment vif en ce qu’il a plus de solidité e
anon Il tombe ; mais sa chute a fait un vide immense. 74. L’image se distingue-t -elle du tableau et de la description ? D’après L
et à tous les tons. C’est au goût formé par l’étude et par l’usage à distinguer ces nuances. 78. Quelles sont les qualités requis
oigné de la faiblesse de l’enfance et de l’enfance de la caducité, se distingue , chez les meilleurs écrivains, par la justesse et
r une idée accessoire, particulière, attachée à chaque mot, et qui le distingue de tout autre. Il est bien rare qu’on trouve, dan
7 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VI. Contes, romans, nouvelles. »
et surtout celui des Quatre Facardins, d’Hamilton. La nouvelle ne se distingue pas, non plus, au fond, du conte ou du roman : da
plus dont on ait étudié et classé les produits avec plus de soin. On distingue d’abord les romans, quant à leur forme, en romans
res, à la succession et à l’enchaînement des actes. Quant au fond, on distingue les romans en plusieurs espèces, dont les princip
rès cette étude des romans, il n’y a rien à dire des nouvelles, qu’on distingue de la même manière entre elles, sinon qu’elles en
8 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre premier. Du genre lyrique » pp. 114-160
ous les tons, depuis le sublime jusqu’au familier noble. 174. Combien distingue-t -on de genres dans la poésie lyrique ? On disting
e. 174. Combien distingue-t-on de genres dans la poésie lyrique ? On distingue deux genres de poèmes lyriques : l’un est grave,
ez les Grecs, à tout poème lyrique qui pouvait être chanté, et qui se distinguait en cela de l’élégie. Telles sont les odes de Pind
n des rimes. 177. Quelle est la matière de l’ode, et comment l’ode se distingue-t -elle des autres genres de poésie ? Tout ce qui a
y a point de forme particulière pour ce genre de poésie ; et on ne le distingue guère que par la nature même du sentiment qui y e
le fond, une ode portée au plus haut point d’exaltation ; mais il se distingue de l’ode proprement dite, en ce qu’il n’exige pas
se, Fénelon, ont composé des chansons sur des sujets de piété. Ce qui distingue la chanson religieuse du cantique, c’est que celu
par le sentiment élevé de la gloire et de l’amour de la patrie, ne se distingue pas de l’ode ; elle en a les accents, la force, l
x et leur offrir des souhaits de félicité et de bonheur. 242. Combien distingue-t -on de parties essentielles dans l’épithalame ? I
son talent en ce genre. Son épithalame réel de Manlius et de Vinie se distingue par la fraîcheur et la beauté du coloris ; mais i
9 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
lation de l’espèce humaine aux êtres que l’on fait agir ou parler. On distingue dans l’apologue deux parties, l’action même ou le
la forme de l’apologue. Ce n’est pas par la naïveté que ses fables se distinguent  : c’est par une tournure serrée et mordante qui l
usieurs idylles : les Moutons, les Oiseaux, le Ruisseau, etc. Elle se distingue par une grande douceur d’idées et de style, mais
t les vieux poètes latins. Il faut qu’une épître de ce genre se fasse distinguer par la justesse et la profondeur du raisonnement 
el on offrait aux dieux toute sortes de fruits à la fois, et sans les distinguer  ; et par suite une farce, une macédoine, un mélan
nous passons à l’étude de l’élégie en France, nous sommes obligés de distinguer . Entendrons-nous par poètes élégiaques ceux qui o
Vaux, qui est peut-être la plus belle de toutes les nôtres, et où on distingue ces vers : Les destins sont contents : Oronte es
hose. Nous n’en avons qu’un fort petit nombre, entre lesquels il faut distinguer surtout madame Dufresnoy et Millevoye. On cite av
la poésie à un autre intérêt. De là vient la forme des cantates. On y distingue deux parties, les récitatifs et les airs, dont la
exclusif de psalmiste. Plus tard encore, ce sont les prophètes qui se distinguent , particulièrement Isaïe, par la grandeur et la su
ement chez Lebrun et le mouvement, et l’harmonie, et l’expression qui distinguent les vrais poètes lyriques. 80. Batteux, de l’A
10 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XI. Grands poèmes. »
e moyen. § 60. Diverses espèces du poème didactique. On a voulu distinguer les poèmes didactiques d’après la nature de l’obj
d’une action héroïque et merveilleuse 122. Or, le récit est ce qui la distingue de la tragédie et ce qu’elle a de commun avec l’h
qu’elle a de commun avec l’histoire. Le récit poétique est ce qui la distingue de celle-ci. L’action héroïque est ce qui la dist
est ce qui la distingue de celle-ci. L’action héroïque est ce qui la distingue des petits poèmes et du roman ; l’action merveill
es grandes vertus. Ainsi toute action poétique doit avoir un nœud. On distingue le nœud principal et les nœuds subordonnés. Le nœ
e. Quand et comment doit-on employer le merveilleux ? Il faut d’abord distinguer deux sortes de personnages surnaturels : les uns
s et individuels, c’est-à-dire qui ne conviennent qu’à lui seul et le distinguent de tout autre. Les mœurs seront égales, si l’obje
ntré là ce que peut être ce style, quelle vivacité, quel mouvement le distinguent , quelle propriété d’expression, quelle harmonie c
11 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
l’institution du concours général a fait prévaloir à Paris, il ne se distingue en rien des classes précédentes que par la nature
aussi apprendre la science qui porte ce nom, et qui fait connaître et distinguer les diverses sortes de discours, leurs parties, l
a confirmation et la péroraison, ou sachant très bien que les anciens distinguaient trois genres de causes, et il ignorera ce que c’e
12 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Précis des quatre âges de la Littérature. »
ous les esprits ; et les plus illustres citoyens de la république s’y distinguèrent . Bientôt la Grèce perdit sa liberté. Les arts exi
les lettres et les arts fleurirent avec le plus d’éclat. Machiavel se distingua par la profondeur de son génie, et par l’élégance
r éloquence, les lumières du barreau D’Avrigny, Rollin et Bougeant se distinguèrent dans le genre historique. Rousseau tira de la lyr
13 (1852) Précis de rhétorique
e l’art de la composition ? 2. Voilà bien des choses en peu de mots ! Distinguez chacune par son terme classique. — 3. N’y a-t-il
idérée, elle embrasse le travail de l’orateur et de l’écrivain. 4. On distinguait autrefois trois sortes de style : le style simple
c une définition plus conforme au sujet qui nous occupe. — 4. Combien distinguait -on autrefois de genres de style ? — 5. Combien de
ensée, et non avec celui auquel il se rapporte dans la phrase. 11. On distingue trois espèces de syllepse : 1° Syllepse du genre 
asme est-il vicieux ? — 10. Qu’est-ce que la syllepse ? — 11. Combien distingue-t -on d’espèces de syllepse ? — 12. Qu’est-ce que l’
’épée ; 7° d’abstraction : la jeunesse pour les jeunes gens. 11. Pour distinguer la synecdoque de la métonymie, avec laquelle on l
de citer se rapprochent beaucoup de la métonymie. Comment parvenir à distinguer ces deux figures ?— 12. Quelles précautions faut-
pardonnable. 14. Les réponses aux lettres de félicitations doivent se distinguer par la modestie. On ferait bien de rapporter à Di
ir en cette occasion ? — 14. Par quelle qualité principale doivent se distinguer les réponses à ces sortes de lettres ? — 15. Quel
ui convient ; la différence, en montrant ses qualités propres, qui le distinguent des sujets de même genre. 5. La définition doit ê
istolaire est le récit d’un événement exposé dans une lettre. Elle se distingue d’une simple nouvelle en ce qu’elle ne se borne p
elque côté à la nature des quatre genres d’éloquence ; mais ce qui la distingue d’un discours, c’est la brièveté : il ne lui est
rait du domaine de tous les genres d’éloquence ; n’est-il rien qui la distingue  ? — 5. Quelles sont au fond et dans la forme les
pprendre les règles de la versification : car il faut au moins savoir distinguer les bons vers, ceux où les règles sont observées,
il y a défaut de mesure, la mesure n’y est pas. Le rythme est ce qui distingue le vers de la prose. Dans celle-ci la phrase marc
it. Je me suis étendu un peu sur ces observations, afin de bien faire distinguer à l’élève la mesure du rythme. Quand l’e muet, su
sonances our, or, vi, pa, n’offrent aucune espèce d’analogie. 3. Pour distinguer une rime féminine d’une rime masculine, le versif
14 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
ection d’idiotismes, ces procédés de lexilégie et de construction qui distinguent une langue des autres et lui impriment un cachet
urs, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain. Dans ces vers où Boileau distingue , comme on le voit, celui qui invente et dispose,
et dispose, l’auteur, de celui qui exprime et formule, l’écrivain, il distingue aussi, d’après Cicéron, entre les diverses fautes
s les mœurs, comme dans l’Ecole des femmes, par exemple, où il sert à distinguer la simplicité grossière de Georgette de la naïvet
15 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
douleur. Tout ce qui l’entoure, le frappe à la fois : il ne peut rien distinguer  ; les rayons du soleil blessent ses yeux en l’écl
er corrige l’erreur de sa vue et lui révèle les formes des corps ; il distingue leur mollesse, leur dureté ; tous ses jeux sont d
armée qui a eu le dessous dans une action. Voici les nuances qui les distinguent  : Une armée est vaincue, quand elle a perdu le ch
éonidas et des Lycurgue. La langue que parlaient ces grands hommes se distinguait des autres idiomes de la Grèce par une concision
e songeait, Car que faire en un gîte à moins que l’on ne songe ? On distingue quatre sortes d’harmonies : 1° L’harmonie des mot
puissant et glorieux. La suite de cette éloquente oraison funèbre se distingue par des beautés d’un ordre aussi élevé, et nous a
16 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
es ; on leur donna des noms, on limita leurs emplois, et les rhéteurs distinguèrent des figures de mots, qui appartiennent plus spéci
Des figures de mots. Parmi les figures de mots, les grammairiens distinguent  : 1º Les figures de diction : elles regardent les
Il faut aussi avoir égard aux convenances des différents styles, et distinguer les métaphores qui conviennent au style poétique,
t ses yeux appesantis. Mais du jour importun ses regards éblouis Ne distinguèrent point, au fort de la tempête, Les foudres menaçan
alois se réveille, ses regards sont éblouis du jour importun : ils ne distinguent rien ; et bientôt fatigué de ce moment de réveil,
Outre les ligures de mots destinées à orner le style, la rhétorique distingue aussi des figures de pensées ; ce sont certaines
ations, etc. Ces tours et ces manières de parler sont aussi faciles à distinguer des façons de parler ordinaires, que les traits d
sis porrigitur legibus ». (Cicéron.) Homère, le père de la poésie, se distingue surtout par l’emploi de cette figure. La guerre,
17 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
pour dire la manifestation de la pensée par des signes. Mais il faut distinguer entre ces termes. Expression est le mot génériqu
faire, ce qui donne au peintre et au sculpteur son cachet, ce qui le distingue des autres et constitue son originalité. Celui qu
compris. S’il a pu confondre le sublime avec le style sublime, il le distinguera sans peine du ton sublime. Il dira que le qu’il m
un poëme des Styles, poétique assez superficielle de certains genres, distingue quatre styles, le simple, le gracieux, le sublime
18 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »
supériorité momentanée de Fléchier sur Bossuet est précisément ce qui distingue essentiellement ici l’esprit du génie. Un exorde,
us devant les Français en Allemagne qu’en Flandre ». La modestie qui distinguait Turenne et Condé, comme elle distingue, en généra
Flandre ». La modestie qui distinguait Turenne et Condé, comme elle distingue , en général, tous les hommes véritablement supéri
19 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre VII. Vers, stances, classification des poèmes. »
ix, sept, huit, dix et douze syllabes, surtout ces trois derniers. On distingue les vers par le nombre de ces syllabes ou par le
vec mangé ; plaisir rime avec désir, et non avec désire. Les rimes se distinguent quant à leur genre, quant à leur richesse et quan
t, avec les inversions, les épithètes nombreuses et autres figures, à distinguer la poésie de la simple prose. La classification d
20 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre XII. Poésie dramatique. »
ction dramatique étant susceptible d’un long développement, on a dû y distinguer diverses parties, comme les scènes, les actes, l’
e personnages ensemble que le sujet en demande. Le poète ne peut bien distinguer et faire connaître ses personnages que par les mœ
on des ouvrages dramatiques. Tragédie. Les ouvrages dramatiques se distinguent d’après leur dénouement heureux ou malheureux, d’
ant aux qualités qui y dominent est surtout importante chez nous ; on distingue les comédies de caractère, les comédies de mœurs,
velle comédie, dans laquelle Philémon, Diphile et surtout Ménandre se distinguèrent . Malheureusement il ne nous reste de ces trois po
onnage. Dans les opéras ou grands opéras (on les nomme ainsi pour les distinguer des opéras-comiques), la musique a tout à fait ex
de musique, solos, duos, trios, quatuors, chœurs, etc. Les opéras se distinguent ensuite, selon le caractère général de la pièce e
21 (1881) Rhétorique et genres littéraires
développer, on peut le ramener à l’un des trois genres de causes que distingue Aristote : 1° démonstratif ; 2° délibératif ; 3°
elles-mêmes, dont les arguments ne sont que les formes. Les rhéteurs distinguent deux espèces de preuves : 1° les arguments propre
ux nécessites du sujet. Parties du discours Les rhéteurs anciens distinguaient sept parties dans un discours : 1° l’exorde ; 2°
c’est la qualité générale du style qui couronne l’œuvre. Les rhéteurs distinguent trois espèces d’harmonie : 1° L’harmonie des mots
uivant la nature des sujets qu’on traite. Aussi, les anciens rhéteurs distinguaient -ils trois genres de style correspondant au triple
i demandent de la grandeur et de l’élévation (sublimis, élevé). Il se distingue des deux autres par la magnificence des images, l
Une division plus simple et mieux fondée, est celle qui consiste à distinguer le style de la poésie du style de la prose. L’un
us beaux ornements de tous les genres de style. Des figures On distingue dans les langues deux sortes d’expression : l’exp
variété. Deux espèces de figures : 1° de pensées. 2° de mots On distingue deux espèces de figures : 1° les figures de pensé
nces qui en dépendent ; c’est aussi la peinture d’une action. Elle se distingue de la description et du tableau par le mouvement
is au dessin et à la couleur. La description scientifique, qu’il faut distinguer de la description littéraire, se propose seulemen
clair, rigoureux et complet, son style doit être simple et sobre. On distingue plusieurs espèces de dissertations, suivant l’obj
les écrivains dans les différents genres et aux diverses époques. On distingue toutefois la littérature proprement dite de la sc
dencé s’appelle art des vers, ou versification. La langue poétique se distingue par des expressions et des tours hardis, les gran
sont les pieds les plus usités, excepté chez les poètes lyriques. On distingue deux principes dans la versification latine : 1°
s vers La mesure est le nombre de syllabes qui forment un vers. On distingue douze sortes de mesures ou de vers d’après le nom
Désaugiers, celles de Béranger, de Pierre Dupont, de Nadaud, etc. On distingue presque autant d’espèces de chansons qu’il y a de
e virer, c’est-à-dire tourner la rime (d’où le nom de virelai). On en distingue deux sortes : le virelai ancien et le virelai nou
Ce caractère éclate dans l’Iliade d’Homère. Il y a quatre éléments à distinguer dans l’épopée : 1° l’action ; 2° les personnages 
ème dramatique Dans tout poème dramatique, il y a trois éléments à distinguer  : 1° l’action, 2° les personnages, 3° le style. 1
t à laquelle se môle ordinairement le merveilleux. Dans tout opéra on distingue deux parties : le chant et le récitatif ou dialog
des matières peu poétiques par elles-mêmes. Poème descriptif On distingue parfois du poème didactique proprement dit le poè
ut-être aussi ne lui avait-elle pas semblé digne d’être remarquée. On distingue dans la fable deux parties : 1° l’action, ou le r
çon adressée aux hommes d’une époque ou à l’humanité tout entière. On distingue plusieurs espèces de satires ; la satire personne
que dont le but est quelquefois d’instruire, toujours d’amuser. On en distingue plusieurs espèces : les contes orientaux (Les Mil
e. (Discours vi, vers 172.) Diverses sortes de description On distingue trois sortes principales de description : la pros
22 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
qui caractérise la poésie dramatique ? Tandis que c’est le récit qui distingue le genre épique, la poésie dramatique est caracté
; ou bien si les acteur sont d’un rang moins illustre, ils doivent se distinguer par quelque qualité portée à un degré extraordina
pposition à l’opéra-comique qui admet le dialogue parlé. 490. Combien distingue-t -on d’espèces d’opéra lyrique ? D’après notre déf
dant, donnent place au moins à un autre genre ; et, en effet, on peut distinguer deux espèces d’opéra lyrique : l’un pris dans l’h
assion a ses moments de calme, ses repos et ses intervalles, le poète distingue dans le discours de ses personnages le moment tra
société, dans le dessein de les corriger. 504. Comment la comédie se distingue-t -elle de la tragédie ? La comédie est suffisammen
s opposés. 511. Combien compte-t-on d’espèces de comique ? Marmontel distingue trois espèces de comique : le haut comique ou com
nent lieu. C’est ce qu’on voit dans le Festin de Pierre. 513. Combien distingue-t -on d’espèces de comédie ? On distingue trois esp
tin de Pierre. 513. Combien distingue-t-on d’espèces de comédie ? On distingue trois espèces principales de comédie proprement d
ent uniquement par des gestes, la pièce prend le nom de pantomime. On distingue encore la comédie historique, dont le sujet est t
point de figures éclatantes et soutenues. Il faut que les pensées se distinguent par la finesse, la délicatesse, et surtout par la
comme la comédie, il doit censurer les vices et les ridicules, il se distingue de celle-ci en ce qu’il prend ses sujets dans les
23 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE I. De la propriété des mots. » pp. 2-8
eurs écrivains. I De l’origine et de la formation des mots. On distingue trois sortes de mots, au point de vue étymologiqu
me idée, mais avec certaines nuances, certaines modifications qui les distinguent , certaines idées particulières qui conviennent à
communes, présentent aussi à l’esprit des idées particulières qui les distinguent et donnent à chacun d’eux le caractère qui lui es
24 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — [Introduction] » pp. 18-20
s ; c’est la parole vivante au service de l’idée vivante. Le style se distingue du langage de la conversation en ce qu’il demande
elles sur les choses qui sont à la portée de tout le monde. Ce qui me distingue de Pradon, disait Racine, c’est que je sais écrir
25 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — NOTIONS PRÉLIMINAIRES. » pp. 264-266
usieurs syllabes brèves et longues forme ce qu’on appelle un pied. On distingue six pieds principaux : les uns de deux syllabes,
făcĕrĕ. Le dactyle et le spondée sont les pieds les plus usités. On distingue , dans les pieds qui composent un vers, la césure
26 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
a une physionomie à lui qui ne ressemble à aucune autre, qui le fait distinguer entre mille ; chaque écrivain a un style particul
ux, et que l’autre attire par une harmonie toujours soutenue. Il faut distinguer  : 1) l’harmonie des mots, 2) l’harmonie des phras
randes d’un style élevé. » Cicéron, comme tous les anciens rhéteurs, distingue ici trois sortes de style. Cette division nous se
endre sur un long morceau, et même sur tout un ouvrage. Fontenelle se distingue surtout par cette qualité, mais il tombe souvent
re ; Et, sous le vert tissu de la ronce et du lierre,              On distingue … un sceptre brisé. Ici gît… Point de nom !… Dema
ration. Les rhéteurs entendent souvent par style sublime celui qui se distingue par quelques-unes des qualités élevées dont nous
a satire, nous croyons utile d’en faire connaître les principales. On distingue deux sortes de figures : les figures de mots et l
27 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre IV. Genre dramatique. »
rmation de la tragédie : il appartient aux temps modernes. On peut en distinguer deux variétés : 1° l’un, qu’on nomme tragédie bou
ou opéra. Ce poème est destiné à être mis en musique et chanté. On distingue l’opéra sérieux, ou tragédie lyrique, de l’opéra
une foule d’espèces d’opéras que nous n’essayerons pas de classer. On distingue dans l’opéra le récitatif, qui est une sorte de d
ées par le souffle du génie. 4° Diverses espèces de comique. On distingue généralement trois espèces de comique ; le haut c
e Destouches. Outre les deux classes précédentes de comédies, nous en distinguons encore d’autres, d’après leur forme ou leur objet
28 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
ité, et à ne point avilir par ses actions le caractère auguste qui le distingue de la brute. Parmi les auteurs modernes, le baron
la connoissance des hommes qu’il se met en état de le faire. Il sait distinguer alors l’action en elle-même, des circonstances et
tre les preuves de notre religion. Il nous importe beaucoup de savoir distinguer avec précision les objets de notre croyance. Le P
six, qu’un seul volume in-12 … Quand je parle de la méditation, je la distingue fort de l’oraison. Un prince ne peut guère être u
29 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
encore le grand avantage de nous apprendre, en formant notre goût, à distinguer les faux ornements de ceux dictés par la raison.
dispensable à ceux qui se destinent à parler en public, d’apprendre à distinguer les faux ornements de ceux que la raison consacre
se qu’on puisse appeler modèle du goût, et peut-on, en s’y attachant, distinguer toujours le bon goût du mauvais goût ? D’abord, i
traire soumis aux caprices individuels, et n’offrant aucun signe pour distinguer le faux et le vrai. Ses fondements sont les mêmes
nsuite de ceux qui résultent de la beauté et de la nouveauté. Il faut distinguer soigneusement la grandeur des objets en eux-mêmes
e ; nous disons c’est un beau caractère, c’est un beau théorème. Nous distinguons le beau naturel du beau intellectuel et du beau m
e, si l’objet est isolé ou joint à d’autres de la même espèce ; on le distingue en singulier et pluriel. On retrouve cette divisi
inventés dès la naissance des langues. La seule particularité qui les distingue dans les langues grecque et latine, c’est la capa
u en faire une partie, un accessoire des substantifs qu’ils servent à distinguer . D’ailleurs, la liberté de transposition admise p
tria mori. Mais tous les autres modes sont affirmatifs. C’est ce qui distingue le verbe des autres parties du discours. Il ne pe
ms, qui servirent à le modifier. Les temps des verbes sont destinés à distinguer les diverses époques de l’action ; si le verbe av
caractérisé par le tour de leur esprit ; bien plus, chaque nation se distingue par un style spécial. Les Orientaux aiment les fi
tre déduites de la nature même de l’esprit humain ; il ne peut jamais distinguer clairement et précisément qu’un seul objet à la f
sont pas seulement établis pour représenter chacun une idée, ou pour distinguer un objet, ils sont encore destinés à manifester p
ile que nous ayons recours aux subtilités de la métaphysique pour les distinguer . Soit que nous appelions l’hyperbole trope ou fig
t par conséquent elle mérite un examen et un soin particuliers. On en distingue trois différentes espèces : la première, lorsque
pression flatteuse : c’est la pierre de touche qui peut nous servir à distinguer le vrai génie. Le poète vulgaire, dont l’esprit s
, et qui toujours est d’un effet puissant dans l’amplification. On en distingue deux espèces, l’ascendante et la descendante. L’e
cela doit être ainsi ; il en est de même de Tacite, et cependant nous distinguons toujours le caractère particulier de ces deux his
significations données à ce mot. Il sera cependant nécessaire de les distinguer afin de montrer dans quel sens la simplicité est
r des vêtements et la démarche étudiée cachent les particularités qui distinguent un homme d’un autre homme. Mais, en lisant un aut
osition totalement dénuée de génie et d’imagination. Nous devons donc distinguer cette simplicité qui accompagne le vrai génie, et
différent de ceux dont nous nous sommes occupés jusqu’ici. On peut le distinguer en lui donnant le nom de véhément. « La véhémence
j’ai plusieurs fois remarqué qu’il était fréquemment difficile de les distinguer . Toutes les fois que les impressions que les obje
s esprits, mettait leur jugement à une sérieuse épreuve, ils savaient distinguer avec sagacité la véritable éloquence de la subtil
a son plan de gouvernement, fut, suivant Plutarque, le premier qui se distingua parmi les Athéniens par l’étude de l’art oratoire
à la tribune. Quoique son ambition fût blâmable, de grandes vertus le distinguaient  ; il était généreux et magnanime, et aimait sa pa
et la chaire. Chacun de ces genres a un caractère particulier qui le distingue  ; et d’ailleurs cette division coïncide en quelqu
e voie sûre ; mais de vous convaincre que, pour se sauver, il faut se distinguer des autres ; être singulier, vivre à part au mili
ommunes à ces trois genres. Les vues générales que j’ai offertes pour distinguer l’esprit et le caractère des différentes espèces
Cicéron sont plus abondantes et plus élaborées. Les anciens critiques distinguent deux espèces d’exorde qu’ils appellent principium
communs à tous les hommes. Il y a aussi certaines particularités qui distinguent chaque individu. L’orateur doit se servir de la m
ui caractérisait les grands hommes de l’antiquité, c’est lui qui doit distinguer les modernes qui voudront marcher sur leurs trace
n les méditant, qu’on peut leur ravir ces qualités estimables qui les distinguent , se les approprier et s’en parer avec orgueil. Ou
30 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
de lui-même, c’est celui qui a pour sujet la douceur. Voici comme il distingue cette vertu de la timidité, voilà comme ensuite i
ande importance, il n’est pas moins indispensable d’acquérir l’art de distinguer ce qui est vraiment beau de ce qui n’est que bril
auquel se puissent rapporter les différents goûts des hommes, afin de distinguer celui que nous devons suivre et celui que nous de
a emprunté son nom ; c’est en effet celui par lequel nous recevons et distinguons les saveurs, qui, dans presque toutes les langues
ût et le parfum des liqueurs augmente admirablement la faculté de les distinguer et de découvrir leur composition. En assimilant d
licat ; on peut recevoir une impression profonde des beautés que l’on distingue , mais ne distinguer que celles qui sont en quelqu
evoir une impression profonde des beautés que l’on distingue, mais ne distinguer que celles qui sont en quelque sorte matérielles
s ; elle voit des différences où les autres n’aperçoivent rien ; elle distingue les beautés les moins apparentes et les taches le
i, au milieu de tous ces changements, il n’est pas quelques moyens de distinguer le vrai goût du goût dépravé. C’est ici la partie
t-il un principe certain auquel nous puissions nous en rapporter pour distinguer le bon et le mauvais goût ? ou bien n’y a-t-il ef
eu exercé, et fourniront des principes d’après lesquels nous pourrons distinguer et apprécier ce qui est digne d’éloge ; mais la r
on sens aux productions des beaux-arts ; ce qu’elle se propose est de distinguer ce qui, dans une composition, est beau ou défectu
ause de sa grande importance pour les jeunes gens ; elle les engage à distinguer avec soin et à suivre avec ardeur la carrière que
notre existence, lors même que l’ouïe et la vue n’eussent servi qu’à distinguer les objets extérieurs, sans produire en nous ces
qu’il est très difficile, et peut-être même qu’il est impossible, de distinguer entre tant d’objets divers, quelle est la qualité
beautés diverses est, peut-être, un paysage riche et varié ; l’œil y distingue des tapis de verdure, des arbres et des fleurs ré
peuvent discerner, ils observent que les qualités extérieures qui les distinguent plus particulièrement ont, dans la plupart des la
nut plus ce mélange merveilleux de gestes et d’inflexions de voix qui distinguaient les peuples anciens. À l’époque de la restauratio
d’enthousiasme et de cette expression métaphorique et pittoresque qui distinguent la poésie. Le langage, à mesure qu’il fait des pr
é l’usage de ces terminaisons diverses qui, dans le grec et le latin, distinguent les cas des substantifs et les temps des verbes,
ifiés de trois manières, par le genre, le nombre et le cas. Le nombre distingue les substantifs en singuliers et en pluriels, sui
t être employé que pour les noms des créatures vivantes que l’on peut distinguer en mâles et en femelles, et qui, par conséquent,
èce d’analogie entre les choses inanimées et les qualités morales qui distinguent les deux sexes. Selon lui, nous donnons ordinaire
es, et dans toutes ils ont été les premiers inventés ; car on ne peut distinguer les objets entre eux, on ne peut se communiquer s
comme des parties intégrantes de l’objet que ces qualités servaient à distinguer , et faisaient en sorte que l’adjectif dépendît du
a brillé, brillera, brillerait, etc. L’affirmation semble être ce qui distingue principalement le verbe des autres parties du dis
il n’a point de parfait, ou du moins il n’a aucun temps par lequel il distingue une action achevée depuis un moment, de celle qui
va qu’attendu qu’ils portaient avec eux cette force d’affirmation qui distingue les verbes, on pourrait, en les joignant au parti
égard, nous l’emportons sur les Français, chez lesquels la rime seule distingue la langue poétique de la prose ordinaire. C’est s
confusion ; lorsque son style coule comme un ruisseau limpide dont on distingue toujours le fond. Pour acquérir l’habitude d’être
a de soi-même ; le dédain, sur le peu de cas qu’on fait des autres. «  Distinguer , séparer. » On distingue ce qu’on ne veut pas con
sur le peu de cas qu’on fait des autres. « Distinguer, séparer. » On distingue ce qu’on ne veut pas confondre ; on sépare ce qu’
veut pas confondre ; on sépare ce qu’on veut éloigner. Les objets se distinguent les uns des autres par leurs qualités, le temps e
chaque mot, et que l’on apporte plus d’attention aux nuances qui les distinguent . On peut conclure de ce que je viens de dire sur
qu’on lui fait passer successivement en revue. Les critiques français distinguent le style en style périodique et en style coupé, e
son plus étroite entre les objets, tandis qu’en la multipliant on les distingue et on les sépare presque tout à fait les uns des
Paul, le retour de la conjonction donne de poids à chaque idée, et la distingue bien des autres : « Je suis persuadé que ni la mo
leur nom de figures. De même que la figure ou la forme d’un corps le distingue d’un autre corps, de même aussi les figures du la
les figures du langage ont chacune une structure particulière qui les distingue les unes des autres, et les distingue encore de l
structure particulière qui les distingue les unes des autres, et les distingue encore de la simple expression. La simple express
lui ressemble ou lui est opposé ; quelques qualités particulières le distinguent , quelques circonstances l’accompagnent. C’est ain
remplis de métaphores hardies et correctes. Entre un grand nombre, je distingue celle-ci, sur un héros « Pendant la paix, tu es l
mparaison entre les choses diverses, aussitôt qu’ils sont capables de distinguer quelques-unes des propriétés des objets qui les e
néral des comparaisons, dans un ouvrage, est une marque certaine pour distinguer un poète doué d’un vrai génie, de celui qui n’a r
s saillants de chaque phrase. Quelquefois il est fort à propos de les distinguer de cette manière, mais lorsqu’on en abuse au poin
Ce caractère est ce que l’on appelle la manière d’un auteur, et on le distingue par ces épithètes appliquées au style en disant q
admettent également trois genres de style ; mais les qualités qui les distinguent ne sont pas celles qui ont déterminé la division
alement des diverses significations données à ce mot. Nous devons les distinguer ici afin de déterminer quel est son véritable sen
ornements, et à l’apparence du travail dans le style. C’est elle qui distingue l’excellent écrivain. Un auteur qui s’exprime ave
bits et le cérémonial de ses mouvements, cache ces particularités qui distinguent un homme d’un autre homme. En lisant un auteur qu
un génie ou une imagination dont ils sont dépourvus. Nous devons donc distinguer cette simplicité qui accompagne le vrai génie, et
ées sont si étroitement liés, qu’il est souvent fort difficile de les distinguer l’un de l’autre ; c’est une observation que j’ai
re leur style, il faut remarquer attentivement les particularités qui distinguent la manière de chacun. J’ai tâché de rassembler, d
mi les différentes manières d’exprimer une pensée, nous apprendrons à distinguer celle que l’on doit préférer comme la plus exacte
iscerner la véritable éloquence des subtilités des sophistes. On peut distinguer trois genres ou trois degrés d’éloquence. Le prem
de l’homme, excite une honorable émulation, et inspire le désir de se distinguer dans la culture des beaux-arts. Toutes les autres
n, lorsque quelque grand danger les menaçait, alors ils savaient bien distinguer la vraie éloquence de celle qui ne cherchait qu’à
héramène, citoyens qui, dans Athènes, occupèrent un rang élevé, et se distinguèrent par leur éloquence. Ils n’étaient point orateurs
nt pas tout le mérite des compositions de ce grand homme ; ce qui les distingue principalement, c’est cette énergie de pensées qu
ctions un grand caractère de vigueur et d’énergie, et c’est là ce qui distingue ces deux illustres orateurs. C’est un grand désav
storales des Pères de l’Église. À Rome, Lactance et Minutius Félix se distinguèrent par la pureté de leur style ; dans le siècle suiv
les différentes espèces de discours, assigner les caractères qui les distinguent , et indiquer les règles qui s’y rapportent. Les a
nt plus développés, l’art s’y fait plus sentir. Les anciens critiques distinguent deux espèces d’introduction auxquelles ils ont do
rels que la voix émet avec le plus de facilité, et dont elle varie et distingue légèrement l’articulation ; et notre auteur montr
31 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
nature, et en faisant connaître les attributs et les qualités qui le distinguent de tout ce qui n’est pas lui. 341. Qu’entend-on p
et, dit Blair, la pierre de touche de l’imagination, et fait aisément distinguer le grand écrivain de l’écrivain ordinaire. Lorsqu
ce de Gavius, dans la cinquième des Verrines. III. 372. Combien distingue-t -on d’espèces de compositions dans la description
ce de description le portrait littéraire, dans lequel l’écrivain doit distinguer le ton, le talent, le génie particulier de l’aute
e est de faire ressortir les objets, en leur donnant plus d’éclat. On distingue mieux le nain à côté du géant, le chêne près du r
 III. — Des différentes espèces de narration. 420. Combien peut-on distinguer d’espèces de narration ? La définition de la nar
sions vieillies. 438. N’y a-t-il pas encore d’autres narrations ? On distingue encore la narration familière et la narration poé
n de Grimm ont excellé dans ce genre. La narration poétique, que nous distinguons ici de la narration fabuleuse, est l’exposé brill
se faire une idée de ce qu’est la narration poétique et de ce qui la distingue de la narration historique, en comparant le récit
t Fénelon, qui se font remarquer en ce genre par les qualités qui les distinguent ordinairement dans leurs écrits ; Enfin, Lamotte,
32 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
t de vouloir régler l’inspiration du moment. Qu’ils apprennent donc à distinguer ces traits de caractère, ces expressions échappée
t de grand. Nous en avons dit assez pour accoutumer les jeunes gens à distinguer , dans l’art oratoire, ce qui appartient au génie,
33 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
sens exact et bien déterminé que nous prendrons ces mots. Ainsi nous distinguons parmi les auteurs : 1º les prosateurs, comprenant
ons de littérature ; et nous remarquons que, alors, la littérature se distingue nettement de la grammaire, et qu’elle commence où
34 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
s vers. 42. Qu’est-ce que le vers, et comment le vers français se distingue-t -il de la prose ? Le vers, en général, est un ass
bes longues et brèves, comme en grec et en latin. Le vers français se distingue de la prose de trois manières : il a toujours un
; il se termine par la rime ; enfin, il rejette l’hiatus. 43. Combien distingue-t -on d’espèces de vers fiançais ? Il y a, dans la
ais ? Il y a, dans la langue française, dix espèces de vers que l’on distingue d’après le nombre des syllabes qu’ils renferment 
ines suspensions qu’il faut observer dans le sens et dans la voix. On distingue deux espèces de repos : la césure, qui se trouve
igramme. 81. Combien y a-t-il de manières de disposer les rimes ? On distingue quatre manières de disposer les rimes ou quatre s
35 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
fallait qu’avoir des yeux, sans aucune connaissance de la cour, pour distinguer les intérêts peints sur les visages, ou le néant
u’un voile clair, qui n’empêchait pas de bons yeux de remarquer et de distinguer tous leurs traits. Ceux-ci se tenaient aussi tena
r et de se composer ; un vif, une sorte d’étincelant autour d’eux les distinguaient malgré qu’ils en eussent. Les deux princes et les
36 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre premier. Du Goût. »
mais un mélange d’ingrédients, où nous devons, malgré leur confusion, distinguer le goût particulier de chacun d’eux. Il en est de
jouissances toujours pures, toujours innocentes ! Bornés seulement à distinguer les objets extérieurs, les sens de la vue et de l
37 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
rapprochements et de comparaisons qui habituent l’œil à voir juste, à distinguer les styles, à reconnaître la facture d’un maître,
ourantes et comme marginales, qui se glissent dans la lecture et s’en distinguent par un autre ton ; quelques rapprochements indiqu
38 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
rapprochements et de comparaisons qui habituent l’œil à voir juste, à distinguer les styles, à reconnaître la facture d’un maître,
ourantes et comme marginales, qui se glissent dans la lecture et s’en distinguent par un autre ton ; quelques rapprochements indiqu
39 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
ue des esprits sublimes, passant de bien loin les bornes communes, se distinguent , s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux
omme de génie, un grand poëte était un homme comme un autre, et ne se distinguait du commun des mortels que par l’excellence de son
40 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
assez de droiture et de bonne foi pour se vanter d’être son élève. On distingue dans Cicéron les études qu’il avait faites dans l
niste avec les siens, lorsqu’en parcourant les campagnes il leur fait distinguer et connaître les plantes dont ils doivent un jour
le caractère de l’action, ce qui la rend problématique, ou ce qui la distingue et l’excepte de la loi générale et de l’ordre com
prémunie de toutes les idées morales qui caractérisent les hommes et distinguent leurs actions. Oratori quœ sunt in hominum vita (
celle de l’orateur ; et le maître aurait attention de leur faire bien distinguer dans les tours, les ligures et les images du styl
de la cause, parle choix qu’il fera des moyens décisifs ; car rien ne distingue plus sûrement une bonne et une mauvaise tête, qu’
nd prix parmi un grand nombre de faux, mais qu’ils n’en sauraient pas distinguer , se vanteraient, en les tenant tous ensemble, de
tre portée, et même connues de tout le monde. Mais on ne sait pas les distinguer . Ceci est universel. Ce n’est pas dans les choses
pédants ne l’admettent aussi que dans le discours oratoire, et ne la distinguent pas de l’entassement des ligures, de l’usage des
ue l’esprit s’y amuse, et que le cœur n’en est point ému. A. Il faut distinguer , Monsieur : les pièces de Cicéron encore jeune, o
n savoir ce que c’est précisément, car je vous avoue que j’ai peine à distinguer , dans l’occasion, les jeux d’esprit d’avec les au
Je m’en vais vous le dire. On ne divisait pas un discours, mais on y distinguait soigneusement toutes les choses qui avaient besoi
ments frivoles ; mais apprenez-moi, par des exemples sensibles, à les distinguer de ceux qui sont solides et naturels. A. Aimez-vo
plusieurs choses avec beaucoup de force et de dignité. Il faut savoir distinguer ce que le malheur du temps a mis dans ces grands
ici comme je le prouve. Alors il proposa, il divisa, il subdivisa, il distingua , il résuma : personne ne l’écouta, et l’on s’empr
aits De Bajazet, de Xipharès, De Britannicus, d’Hippolyte. A peine il distingue leurs traits : Us ont tous le même mérite, Tendre
t de l’art de persuader, et qu’être éloquent c’est savoir prouver. Il distingue les trois genres, le délibératif, le démonstratif
oute la méthode d’Aristote, et s’explique avec le style de Platon, il distingue le genre simple, le tempéré et le sublime. Rollin
se former. Un jeune homme sensible, mais sans aucune connaissance, ne distingue point d’abord les parties d’un grand chœur de mus
e point d’abord les parties d’un grand chœur de musique ; ses yeux ne distinguent point d’abord dans un tableau les gradations, le
tonnèrent la nation, ne la dérouillèrent pas encore. Les connaisseurs distinguent surtout dans le même homme le temps où son goût é
iens à une autre anecdote. Vous dites que « les étrangers ont peine à distinguer quand la consonne finale a besoin ou non d’être a
graphe ? J’avoue qu’étant très-dévoué à saint François. J’ai voulu le distinguer des Français ; j’avoue que j’écris Danois et Angl
arables, la langue française a dû peut-être aussi les facultés qui la distinguent à ta souplesse. à la mobilité, et en même temps a
autant qu’il est possible, aux avantages qu’elle n’a pas. Ce qui me distingue de Pradon, disait Racine, c’est que je sais écrir
sprit, ou la pensée en activité, a divers caractères. Un esprit clair distingue ses idées, les démêle sans peine, ou plutôt les p
lus de vigueur et de rapidité. Or toutes ces manières de concevoir se distinguent dans la manière de s’exprimer ; et des nuances in
ls élevaient le ton et prenaient le style lyrique. Les Italiens, pour distinguer les caractères de la poésie, lui ont attribué tro
s essentielles et communes à tous les genres, viennent celles qui les distinguent , et que je nomme accidentelles, comme la délicate
u d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques passages de Longin, distinguer un sublime instantané, qui frappe, dit-on, comme
u’il mourût n’est qu’un dernier éclat. On voit par cet exemple ce qui distingue les deux genres du sublime, ou plutôt ce qui les
’aube ; et d’un cours uni et soutenu, il coule sans rien avoir qui le distingue que la facilité et que l’égalité, seulement çà et
e que d’être simple, mais il l’est avec majesté ; et voilà ce qui les distingue . En sculpture, l’Apollon, le Laocoon, le Moïse de
il est certain qu’au plus haut degré il caractérise le sublime. Mais distinguons deux pathétiques : l’un, qui sans doute n’apparti
flexion et de sentiment, et doué avec avantage de cette invention qui distingue la main des maîtres et qui caractérise le génie.
, si ses conséquences sont justes. Mais conclut mal, je présume qu’il distingue mal les objets, ou qu’il n’aperçoit pas d’un seul
mieux. C’est cette manière de concevoir, si vive et si parfaite, qui distingue dans tous les genres le génie, et qui fait que le
r véritable point de vue ; par une grande finesse de discernement, on distinguera les pensées stériles des pensées fécondes ; par l
seules, forment les écrivains inférieurs ; parmi les autres, il faut distinguer celles qui viennent de la mémoire seulement, de c
aits De Bajazet, de Xipharès, De Britannicus, d’Hippolyte. A peine il distingue leurs traits ; Ils ont tous le même mérite : Tend
41 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
Cette figure, rare en prose, se rencontre assez souvent en poésie. On distingue la syllepse du nombre, la syllepse du genre et ce
signification propre comme les figures grammaticales ; mais elles se distinguent de celles-ci en ce qu’elles suivent les règles de
propre, offre un sens étranger qu’on n’exprime point. L’allégorie se distingue de la métaphore en ce qu’elle ne porte pas seulem
onymie ? La métonymie ou transposition de nom, est une figure qui se distingue de la métaphore en ce qu’elle ne suppose pas comm
ui se ressemblent soit par plusieurs côtés, soit par un seul. Elle se distingue de la métaphore, en ce que la ressemblance que l’
. Mais ces ornements du style ont le plus souvent une étendue qui les distingue des simples figures, et qui les range parmi les c
Ne peut plaire à l’esprit quand l’oreille est blessée. 265. Combien distingue-t -on d’espèces d’harmonie ? On distingue deux espè
est blessée. 265. Combien distingue-t-on d’espèces d’harmonie ? On distingue deux espèces d’harmonie : l’une qui consiste dans
ergie, ou plus d’éclat, ou plus de grâce et d’agrément. L’épithète se distingue de l’adjectif en ce que celui-ci est nécessaire p
42 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
nciens, des entrailles du sujet (ex visceribus rei). C’est ce qui les distingue des lieux qu’on appelle extérieurs. Les lieux com
, qu’il recommande de ne le faire que quand celui-ci est achevé16. On distingue trois sortes d’exordes : l’exorde tempéré, l’exor
ots propres, s’il évite les termes bas, obscurs ou prétentieux ; s’il distingue nettement les temps, les lieux, les personnes, le
ez les modernes. — Éloquence sacrée. Nous avons vu que les anciens distinguaient trois genres de causes : le démonstratif le délib
e longue et sérieuse étude de la théologie lui est indispensable pour distinguer exactement ce qui est de foi d’avec ce qui n’est
etrouvera la brillante imagination et l’expression vive et animée qui distinguent à un si haut degré ses sermons : Israël, infidèl
les prix de vertu, prononcé en 1829 à l’Académie française, et qui se distingue par l’exposition élégante de quelques vues origin
43 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
é d’une action. » Et c’est en conséquence de cette double vertu qu’il distingue , avec Aristote, deux espèces d’amplification, cel
em ornando. C’est elle qui, chez les Romains comme chez les modernes, distingue l’homme éloquent de l’homme disert ; c’est elle q
uis XIV, en 1685, moins vive et moins piquante que Mme de Sévigné, se distingue par l’esprit d’observation, le naturel et la préc
44 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
peu d’exemples que nous avons cités. La rhétorique apprend surtout à distinguer l’esprit vrai du faux, à conserver dans la finess
à la fin la cour désabusée Dédaigna de ces vers l’extravagance aisée, Distingua le naïf du plat et du bouffon .. selon Montesqui
tions : toute règle en a, et souvent de nombreuses ; Molière, qui sut distinguer si bien le vrai dévot du tartufe, devait croire q
45 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
mposition. Il y a plusieurs moyens de se préparer à la composition. Distinguons d’abord la préparation immédiate et la préparatio
igne plus particulièrement le développement moral et les manières qui distinguent une personne bien élevée. L’instruction peut s’ac
ragédie, dans l’histoire, dans la poésie légère ; Léonard de Vinci se distingua à la fois comme peintre, sculpteur, mécanicien et
46 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
nfinité de connaissances, et joint à toutes les qualités du cœur, qui distinguent le parfait honnête homme, sont absolument nécessa
érité en soit bien constatée. Le premier devoir de l’historien est de distinguer avec la plus exacte précision le faux du vrai, de
œur et l’honnêteté de ses sentiments. C’est à lui qu’il appartient de distinguer le vrai et le faux mérite, la véritable et la fau
lus grand et de plus utile. Le principal devoir de l’historien est de distinguer le ton, le talent, le génie particulier de chaque
c et en anglais. Nous avons de Pline l’ancien, ainsi surnommé pour le distinguer de Pline le jeune, son neveu, le panégyriste de T
47 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Retz, 1614-1679 » pp. 38-42
de la naissance. Sa jeunesse jeta des étincelles de son mérite. Il se distingua en Sorbonne ; on remarqua de fort bonne heure la
être pas du vulgaire pour s’apercevoir du péril où il s’engageait. Il distinguait plus judicieusement qu’homme du monde entre le ma
48 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
saurait être le même dans toutes les compositions : aussi devons-nous distinguer trois espèces de genres : le simple, le tempéré e
fait usage des ornements ; il comporte l’agrément des expressions, se distingue par le choix et l’harmonie des mots, par la varié
plus intéressant. Il est sobre de figures et de mouvements, et ne se distingue presque du style simple que par un caractère plus
ire Le style Oratoire, noble sans emphase, orné sans recherche, se distingue surtout par le mouvement et la chaleur. Il convie
blique qui s’y rattache sous plusieurs rapports. Le Style biblique se distingue par un double caractère de simplicité et de grand
lorsqu’elle donne un signal décisif, alors il dit : « Courage ! » et distingue , comme par l’odorat, que le combat va se donner,
49 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XIX. des qualités accidentelles du style. — noblesse, richesse, énergie, sublime  » pp. 257-273
s les actes, dans les sentiments, dans les habitudes, qui doivent les distinguer du commun des citoyens et se refléter dans leur l
ar les écrivains les plus médiocres, perdent le premier éclat qui les distinguait  ; ils deviennent familiers : alors les hommes de
flure ; l’énergie, de la dureté ; la véhémence, de la déclamation. On distingue la véhémence de l’énergie. La véhémence dépend mo
50 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
ue des pécheurs et des mortels ; et les dépositaires du pouvoir ne se distinguent à ta vue que par de plus grandes obligations, de
uelque côté à la nature des quatre genres d’éloquence. Mais ce qui la distinguera toujours d’un discours, c’est la brièveté. Il ne
pprendre les règles de la versification : car il faut au moins savoir distinguer les bons vers, ceux où les règles sont observées,
il y a défaut de mesure, la mesure n’y est pas. Le rythme est ce qui distingue le vers de la prose. Dans celle-ci la phrase marc
t. Je me suis étendu un peu sur ces observations, afin de bien faire distinguer à l’élève la mesure du rhythme. Quand l’e muet su
onnances our, or, vi, pa, n’offrent aucune espèce d’analogie. 3. Pour distinguer une rime féminine d’une rime masculine, le versif
ités de rhétorique, afin d’embrasser tout l’art, êtes-vous obligés de distinguer trois choses qui devraient rester unies : le styl
51 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
t il était directeur. Parmi les orateurs sacrés de notre temps, il se distingue par l’essor, la nouveauté, l’ardeur, l’éclat, l’i
ernement. 6. Drouot (1774-1847), d’abord lieutenant d’artillerie, se distingua en Égypte, et devint major général de l’artilleri
52 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
duit un autre, fondé uniquement sur le devoir. J’aurais dû séparer et distinguer ces divers genres d’arguments puisés dans des sou
e la voix, l’émission d’un son plus plein et plus fort, par lequel on distingue la syllabe accentuée d’un mot, pour appeler plus
rceau de prose, lu par une personne qui renforce sa voix à propos, et distingue avec goût les mots accentués, et par une personne
ait toutes les pages d’un livre ; ces caractères, à force de beaucoup distinguer , ne distinguent plus rien. Après le renforcement
pages d’un livre ; ces caractères, à force de beaucoup distinguer, ne distinguent plus rien. Après le renforcement de la voix, c’es
e mieux au sens ; au lieu que la durée du temps qui les mesure ou les distingue est toujours variable et incertaine. Tantôt il su
hui. Il n’existait ni écoles ni universités, et ceux qui voulaient se distinguer dans la carrière des lettres ne pouvaient profite
lus élégant ; ses récits sont de la plus grande beauté, mais il ne se distingue ni par sa profondeur ni par sa pénétration. Il es
onc s’attacher à rendre sa narration intéressante, et c’est là ce qui distingue principalement l’écrivain éloquent et doué de gén
dant, ne méritent pas d’être rangés dans cette classe, et nous devons distinguer principalement ceux du cardinal de Retz et du duc
s des pensées et des expressions conformes à ce caractère, et qui les distinguent parfaitement les uns des autres. Un dialogue ains
mer véritablement que les idées d’un seul. Parmi les anciens, on doit distinguer Platon pour la beauté de ses dialogues. Il représ
n dans les régions aériennes de la théologie mystique ; souvent on ne distingue plus le philosophe du poète. Mais que son sujet c
dans lesquels il a presque atteint la perfection. Tous ses écrits se distinguent par un certain caractère de gaîté, par beaucoup d
ers, et dont la mesure est si peu sensible, que l’on peut à peine les distinguer de la prose ; et, d’un autre côté, il y a une esp
angement particulier de mots et de figures hardies dut principalement distinguer ce langage chanté de celui dont ces peuples se se
ns Arabes étaient fiers de leurs compositions poétiques, et qu’ils en distinguaient deux espèces, l’une qu’ils comparaient à des perl
entre les différents états de la vie civile, l’on apprit par degrés à distinguer les uns des autres les divers genres de compositi
sentiellement réunir. Ce ne sont pas les sujets qu’on y traite qui le distinguent des autres espèces de poèmes, car ces sujets sont
l nous ait laissées, mais ce sont des chefs-d’œuvre. Les qualités qui distinguent éminemment M. Pope, c’est le jugement et l’esprit
nt obscurs et sans formes, » dit Ossian en parlant d’un esprit ; « on distinguait à travers son corps la pâle lueur des étoiles ; t
tyle sententieux et piquant, et ces périodes construites avec art qui distinguent toutes les poésies hébraïques. Le livre de l’Eccl
tiennent à la poésie. Parmi les petits prophètes, leur génie poétique distingue Hosée, Joël, Micha, Habacuc, et surtout Nahum. Il
l’épopée, et c’est là ce qui la caractérise essentiellement. Elle se distingue de l’histoire par sa forme poétique et en même te
royens qui suivent Énée en Italie, sont des figures qu’aucun trait ne distingue les unes des autres, et qui ne se font remarquer
e. Il est vrai que le génie de la langue l’exige pour que l’on puisse distinguer les vers de la prose ; mais il n’en est pas moins
e l’on peut avec justice appeler le père de la tragédie en France, se distingue par la noblesse et l’élévation de ses sentiments,
es Grecs, les Romains, les Français et les Anglais. La comédie se distingue assez de la tragédie par son esprit particulier e
difficile de juger si ces couleurs sont naturelles ou fausses, que de distinguer l’erreur de la vérité. Des auteurs comiques ont t
ionales étaient représentées ; on l’appelait comœdia togata ; et l’on distinguait celle qui rappelait les mœurs de la Grèce par le
caractères plutôt diversifiés par les nuances délicates qui les font distinguer dans la société, que marqués par ces oppositions
critiques lui assignent trois différentes périodes chez les Grecs, et distinguent la comédie ancienne, la comédie moyenne et la com
u d’éloquence, on a voulu, en abusant de quelques passages de Longin, distinguer un sublime instantané, qui frappe, dit-on, comme
mourût n’est qu’un dernier éclat. « On voit, par cet exemple, ce qui distingue les deux genres du sublime, ou plutôt ce qui les
autre, et, d’un cours uni et soutenu, il coule sans rien avoir qui le distingue que la facilité et l’égalité ; seulement, çà et l
atem… omnemque orationem, ornamentis modicis verborum sententiarumque distingua . (Cic., Orat., c. 6.) « Le premier de ces trois g
e voie sûre ; mais de vous convaincre que, pour se sauver, il faut se distinguer des autres, être singulier, vivre à part au milie
nation sentira qu’il serait ridicule d’exprimer en vers : “Qu’il faut distinguer les citoyens en sept classes ; habiller la premiè
53 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
ncipales. La qualité essentielle à donner à ce plan c’est l’unité. On distingue plusieurs espèces d’unités : unité d’action, d’in
rase, et dans la construction des périodes, dont les anciens rhéteurs distinguaient trois formes principales : la période carrée, la
le en une foule d’occasions. Seulement il n’en faut pas abuser. On en distingue diverses espèces : La réversion qui fait revenir
54 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Introduction »
nt sœurs, et que dans la plupart des mots dont elles se composent, on distingue les mêmes expressions fondamentales, sauf quelque
ce. La phrase simple conduit directement à la phrase complexe, qui se distingue par plusieurs sujets, ex.: Le riche et l’indigen
55 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
narration en général est l’exposé d’un fait vrai ou supposé vrai. On distingue six sortes de narrations ; 1° narration historiqu
lui convient ; la différence, en montrant ses qualités propres qui le distinguent des sujets de même genre. Ainsi en définissant l’
que les précédentes, couronne à merveille la définition. Fond. — On distingue aisément les trois qualités constitutives d’une b
e. La narration épistolaire raconte un fait dans une lettre. Elle se distingue d’une simple nouvelle en ce qu’elle ne se borne p
ue, puisqu’il s’agît d’espèce plutôt que de genre. 19. Les rhéteurs distinguent six espèces de descriptions. 1° la Chronographie,
56 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
la Rhétorique. On devrait les nommer figures grammaticales, pour les distinguer des Tropes, qui sont une deuxième espèce de figur
xpressions propres, et cette réflexion est essentielle à retenir pour distinguer un trope des autres figures ou purement grammatic
moins employé pour le plus, et c’est un point important à noter pour distinguer la synecdoque de la métonymie, avec laquelle on l
la catachrèse imite. Ces deux nuances bien tranchées feront toujours distinguer facilement une catachrèse d’une métaphore. V.
la chose, et ne faire du mot que le cas qu’il mérite, afin de pouvoir distinguer seulement telle forme de telle autre. Je ne recon
nes gens ont dû comprendre la nature du sublime, et qu’ils sauront le distinguer dans les auteurs en appliquant ma définition : de
rir pour leur pays. Il est fort important que les jeunes gens sachent distinguer toutes ces formes de l’élocution afin de ne point
L’analyse est de deux sortes. La première considère la forme, et fait distinguer les figures et tous les ornements du discours. Si
us inquiéter de son sort futur ; si elle ne l’est point, rien ne vous distingue de la brute. La première conséquence prouve ma th
ffecte d’être grand, noble, pathétique dans le style ou la pensée. On distingue deux sortes d’enflures : l’une consiste dans des
son, la fiction et le mouvement ! 13. Lemercier. 14. Les rhéteurs distinguent plusieurs espèces de sublime : — le sublime de st
57 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86
bres, plusieurs hommes, plusieurs soldats réunis. Il est essentiel de distinguer dans les noms collectifs, ceux qui renferment l’i
ondre ces deux espèces de verbes, voici un moyen facile et sûr de les distinguer . Quand un verbe peut recevoir après lui les mots
uatre principales, qui sont comme la tige des sept autres) qu’on peut distinguer , et qu’on distingue en effet dans notre langue. I
i sont comme la tige des sept autres) qu’on peut distinguer, et qu’on distingue en effet dans notre langue. Il y a des verbes qu’
inies. Je me bornerai donc à faire connaître celles que l’abbé Girard distingue . Ce sont 1°. les prépositions qui marquent la pla
emples, en faisant connaître les diverses espèces de conjonctions que distinguent les grammairiens. Ils en comptent jusqu’à douze.
58 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
nce de la religion, lui est d’une nécessité indispensable, pour qu’il distingue exactement ce qui est de foi, d’avec ce qui n’est
en même temps, une sainte horreur de tout péché, même du véniel. Elle distingue les préceptes, des conseils : mais d’ailleurs, el
t que l’amour de Dieu l’embrasait. Une éloquence simple et insinuante distingue ceux du P. Griffet. Cet Orateur ne s’écarte jamai
ieu de la guerre ; tant il avait d’avantage au-dessus de ceux qui s’y distinguaient . J’appelle le principe de ces grands exploits, ce
que des esprits sublimes passant de bien loin les bornes communes, se distinguent , s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux
t fleuri. La brièveté, l’élégance, la délicatesse surtout doivent les distinguer , parce que l’éloge en fait ordinairement le fond.
59 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
ersuader ce qui est juste et utile, et vous avez eu tort. Car comment distinguerez -vous ce qui est juste et utile d’avec ce qui ne l
même la supprimer, si les faits sont avérés et admis par les juges ? Distinguer la confirmation de la réfutation, n’est-ce pas pr
rrivés à leur but par des routes différentes. Vous voyez donc ce qui distingue la narration oratoire de la narration historique 
firmité et nous mettent, pour ainsi dire, les preuves en main. Ils en distinguent deux sortes : celles que l’on tire des entrailles
-dire représenter ses idées par des images sensibles. C’est là ce qui distingue l’éloquence de la dialectique pure et ce qui la r
ent et curieusement analysé toutes les formes du style oratoire. Elle distingue deux sortes de figures : les figures de mots, qu’
60 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
s, pour nous attirer par quelque moyen à l’Evangile du Sauveur Jésus, distinguons l’assaisonnement de la nourriture solide. Au mili
plus ni princes, ni rois, ni toutes ces autres qualités superbes qui distinguent les hommes ; de même que ces fleuves tant vantés
ant-général du roi d’Espagne et gouverneur du duché de Luxembourg, se distingua à la bataille de Thionville, en 1640. Il mourut d
61 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Nicole. (1625-1695.) » pp. 40-47
une source de bien ou de mal. Mais, dans la nourriture du corps, l’on distingue d’ordinaire par le goût même ce qui nuit à la san
ts de l’âme. Nous n’avons point naturellement de goût spirituel1, qui distingue les bons aliments des mauvais. Nous trouvons même
62 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
rendrez mieux l’incontestable supériorité d’Horace. Quelques rhéteurs distinguent l’allégorisme de l’allégorie. La différence, selo
sage. Évidemment le sens figuré me frappe à l’instant, et je ne puis distinguer ce torrent du peuple romain Mais pourquoi alors a
verbales la figure nommée par les rhéteurs syllepse oratoire, pour la distinguer de la syllepse grammaticale, dont il sera bientôt
63 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVII. les qualités essentielles du style. — propriété, précision, naturel  » pp. 230-239
ions du bon style, mais dans un sens encore plus élevé. « Apprendre à distinguer les mots, dit fort bien M. Vinet, c’est apprendre
ndre à distinguer les mots, dit fort bien M. Vinet, c’est apprendre a distinguer les choses ; c’est exercer la sagacité de notre e
64 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
la campagne, et les pronostics du mauvais temps. Dans la seconde, il distingue les différentes manières dont les arbres sont pro
son nom des régions de l’Inde. Le dernier enfin nous laissant à peine distinguer ses traits, unit à des nuances noirâtres une somb
de croire qu’elle a été faite. Deux sortes de vraisemblable. On distingue deux sortes de vraisemblable ; l’ordinaire et l’e
t ici, est le nécessaire de liaison et de conséquence. Ajoutons qu’on distingue encore le nécessaire de moyens par rapport à l’ac
position du sujet ; deux choses qu’il ne faut pas confondre, et qu’on distingue expressément l’une de l’autre. C’est ce qui a fai
dans tous ses discours, dans tous ses sentimens, un caractère qui le distingue des autres personnages. Dans la tragédie de Serto
e dans plusieurs, jetez-y alors une nuance forte et bien marquée, qui distingue chacun de ces personnages d’une manière sensible
s quelque soit le genre qu’embrasse le poëte, il ne pourra jamais s’y distinguer , sans avoir une connoissance profonde de la natur
onidés, Magnés et Ps. Il ne nous est rien resté de leurs ouvrages. On distingue trois espèces ou trois âges dans la comédie grecq
qu’on appelle la comédie ne. Parmi le grand nombre des poëtes qui se distinguèrent dans la vieille comédie, Aristophane, né à Linde,
peu de temps après cette époque, plusieurs Romains, parmi lesquels on distingue Ennius, s’exercèrent dans la comédie latine, et l
nieux, caractérisent toutes ces pièces, parmi lesquelles néanmoins on distingue les Graces, l’Oracle, les Hommes, et le. Une pla
son discours sur l’origine et le caractère de ce genre de poésie1, en distingue de trois espèces. La première est des originaux p
s l’admiration. Ainsi la parodie est un genre d’ouvrage qui nous fait distinguer dans une pièce de théâtre le bon or du clinquant,
ières qu’il suffira d’indiquer. Opéra comique en vaudevilles. On distingue deux espèces d’opéra comique ; l’opéra comique en
n peu contrastée. La fureur, l’emportement marchent trop vîte ; on ne distingue rien, on n’entend qu’un aboiement confus, et le d
its qui ont mérité à Corneille le nom de Grand, non-seulement pour le distinguer de son frère, mais du reste des hommes. Veut-on u
 : ajoutons qu’elle est quelquefois merveilleuse ; et c’est ce qui la distingue alors essentiellement de la tragédie proprement d
assion a des momens de calme, ses repos et ses intervalles ; le poëte distingue dans le discours de ses personnages le moment tra
oétique d’une action héroïque et merveilleuse. Le récit est ce qui la distingue de la tragédie, et ce qu’elle a de commun avec l’
e : le récit poétique, c’est-à-dire, ornés de fictions, est ce qui la distingue de celle-ci : l’action héroïque est ce qui la dis
est ce qui la distingue de celle-ci : l’action héroïque est ce qui la distingue des petits poëmes et du roman, dont le fond est t
produire, et la place qu’ils méritent d’y occuper, il est à propos de distinguer ici les épisodes qui n’y sont que par occasion, e
oins nécessaires, suivant la manière dont le poëte les emploie. Ainsi distinguons 1°. celui qu’on nomme grand épisode, parce qu’il
e coloris sur tout, mais un coloris propre à chaque objet, doivent le distinguer . C’est ici principalement que la poésie doit être
65 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
désaltérant Dans le courant Plus de vingt pas au-dessous d'elle. On distingue quatre sortes d'exordes : l'exorde simple, l'exor
ouvelle. Des qualités particulières du style. La rhétorique ne distingue , ordinairement, que trois sortes de styles : le s
tains tours qui donnent de la force ou de la grâce aux pensées. On en distingue vingt-quatre principales : 1° L'interrogation, pa
rique ? En quoi l'éloquence diffère-t-elle de la rhétorique ? Combien distingue-t -on de genres d'éloquence ? Quel est l'objet du ge
e ? Doit-on courir après l'harmonie imitative ? Combien la rhétorique distingue-t -elle de sortes de styles ? Quelles connaissances
qui réclament le style sublime ? Qu'est-ce que les figures ? Combien distingue-t -on de sortes de figures ? Qu'est-ce que les figu
e sortes de figures ? Qu'est-ce que les figures de pensées ? Combien distingue-t -on de figures de pensées ? Qu'est-ce que l'interr
66 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Lacordaire, 1802-1861 » pp. 542-557
l avait la direction. Parmi les orateurs sacrés de notre temps, il se distingue par la hardiesse des vues, par l’essor d’une verv
’avoir beaucoup fait et de lui avoir rendu de considérables services. Distinguez bien la gloire de la réputation. Pour la réputati
comme une autre ; elle ne suppose pas même une haute ambition. Ce qui distingue la réputation de la gloire, c’est que l’une est l
67 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
nce moderne, que l’excellent esprit et le style vraiment éloquent qui distinguent le discours du P. Guénard : production d’autant p
tés du sublime talent de penser ; tels sont les grands caractères qui distinguent l’esprit philosophique de toute autre sorte d’esp
68 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre premier. »
et. lib. iii, cap.  4 ; Cic. ad Herenn. lib. i). Ces grands critiques distinguent aussi deux sortes d’introductions : l’exorde et l
i vous ne vous servez pour chaque chose que du mot propre, et si vous distinguez nettement les temps, les lieux et les personnes.
69 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
ue des esprits sublimes, passant de bien loin les bornes communes, se distinguent , s’immortalisent par des chefs-d’œuvre comme ceux
nce, dit Voltaire, lui donna le surnom de Grand non-seulement pour le distinguer de son frère, mais du reste des hommes ». 4. C’e
70 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
ncée, il importe de ne nourrir son intelligence que d’ouvrages qui se distinguent par un goût sûr et délicat, et que le sentiment g
ié les chefs-d’œuvre des plus beaux siècles ; lorsqu’on aura appris à distinguer le beau réel de ce qui n’en a que l’apparence, al
71 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
plaire ; Et conter pour conter me semble peu d’affaire. 292. Combien distingue-t -on de sortes de fables ? On distingue trois sort
peu d’affaire. 292. Combien distingue-t-on de sortes de fables ? On distingue trois sortes de fables : les unes que l’on appell
entière, il faut quelle ait une étendue suffisante pour qu’on puisse distinguer sans peine un commencement, un milieu et une fin.
hose de remarquable, et qui sortent ainsi du rang ordinaire. Elles se distinguent tantôt par la solidité :     Dieu prodigue ses b
72 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — M — article »
cienne maison a produit tant de grands hommes, qu’il est difficile de distinguer le héros qu’a eu en vue l’auteur de le. Cependant
73 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — B — article » p. 404
en Italie sous les rois Charles VIII, Louis XII et François I, et se distingua dans toutes les batailles de la manière la plus é
74 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
èrement de la nature même du sujet, et qu’il faut connaître et savoir distinguer . C’est une vérité d’une évidence incontestable, q
on reconnaît les peintres célèbres à la touche de leurs pinceaux, on distingue aussi les grands écrivains à leur style et à leur
75 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
rompent ; mais plutôt cela témoigne que la puissance de bien juger et distinguer le vrai d’avec le faux, qui est proprement ce qu’
re vraisemblables. Et j’avais toujours un extrême désir d’apprendre à distinguer le vrai d’avec le faux, pour voir clair en mes ac
76 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
cation française, condition nécessaire dans une langue où l’accent ne distingue pas suffisamment les brèves et les longues. Les v
n comprend dès lors ce que c’est que l’art poétique, et comment il se distingue de la poésie. Celle-ci est la création et l’œuvre
ige par la peinture gaie et risible des travers et des vices. Il faut distinguer dans le genre comique la comédie de mœurs, ou hau
st fâcheux pour la nature humaine que, dans l’éloquence, il ait fallu distinguer les mœurs réelles des mœurs oratoires, les qualit
discours, dans un cabinet, d’affaires, dans un salon, il faut savoir distinguer et saisir, au milieu de leurs manœuvres, de leurs
us de juste ni d’injuste 4. » n’est-il pas nécessaire de s’habituer à distinguer l’erreur, de s’exercer à la saisir corps à corps,
oi-même, sans puérilité ni platitude. C’est par là que La Fontaine se distingue entre les plus grands poëtes ; il est le seul peu
riété des formes et des qualités du style avait conduit les anciens à distinguer trois genres dans l’éloquence, le simple, le temp
nser, mais avec cette vive intelligence de la passion et du beau, qui distingue les vues de Pascal sur l’éloquence des critiques
ge et au style un air nouveau, sont ce qu’on appelle les figures. On distingue deux sortes de figures, les figures de pensées et
ssi bien que pour les figures de mots. II. Figures de mots. — Il faut distinguer , dans cette seconde classe, les figures de gramma
77 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre V. Cinquième espèce de mots.  » pp. 16-37
le futur, qui marque que la chose sera ou se fera, comme je lirai. On distingue plusieurs sortes de prétérits ou passés, savoir :
ts, je lus, j’ai lu, j’eus lu, et un plus-que-parfait, j’avais lu. On distingue aussi deux futurs, le futur simple, je lirai ; et
  53. — Il y a en français quatre conjugaisons différentes, que l’on distingue par la terminaison de l’infinitif. La première co
78 (1873) Principes de rhétorique française
2. De l’éloquence. — Dans les écrits comme dans les discours, il faut distinguer la rhétorique de l’éloquence. L’éloquence est le
ou l’orateur manifeste, constituent les mœurs oratoires ; il faut les distinguer des mœurs réelles. L’homme a des mœurs réelles lo
ndant qu’on ne l’a pas assez dit, puisqu’il faut le redire encore. On distingue deux sortes de lieux : 1° Les lieux intrinsèques
ploi de ce moyen. C’est à cette occasion que Marmontel a eu raison de distinguer et de recommander le pathétique indirect : Antoi
on. La vérité de la religion se fonde sur trois grands caractères qui distinguent éminemment la religion chrétienne : 1° elle est r
de l’exorde. — 8. Régles de l’exorde. 1. De l’exorde simple. —  On distingue trois sortes d’exorde, désignés par les noms d’ex
e un consul populaire : ce mot lui sert de transition et de texte. Il distingue , alors une bonne et une mauvaise popularité ; et
ux, les personnes si clairement qu’on en forme un tableau où l’esprit distingue tous les objets sans jamais les confondre. Suivr
ée des formes de style et la détermination précise des caractères qui distinguent la prose de la poésie. Leçon XXIII. Observatio
en faut faire et ensuite quelle place elles doivent occuper. Il faut distinguer deux sortes d’épithètes, celles qui sont indispen
qui donnent à tout une solennité fatigante. Il est donc important de distinguer suivant une gradation croissante d’intérêt trois
de l’imagination : sagacité, profondeur, fécondité. Ainsi La Bruyère distingue par des épithètes de circonstance Corneille et Ra
opos de la conscience morale : S’il fallait devenir philosophe pour distinguer le bien du mal et pour connaître son devoir, la p
e mouvement des idées et, des sentiments ; il serait donc possible de distinguer les figures en deux genres : celles qui servent à
— La classification la plus simple et la plus raisonnable des figures distingue  : 1° les mouvements de style qui tiennent au sent
se proposent et des effets qu’elles produisent. A ce point de vue, on distingue trois groupes de figures de pensée : 1° Les figur
se, en l’attaquant, charitable et discrète, Sait de l’homme d’honneur distinguer le poëte. Qu’on vante en lui la foi, l’honneur, l
appelle inversion. 2. Des figures de grammaire : De l’ellipse. — On distingue parmi les figures de mots : 1° celles qui résulte
. L’imagination humaine les emploie, et l’analyse par laquelle on les distingue et on les reconnaît sera toujours une excellente
nous lisant pas. 2. Des deux sortes de qualités du style. — Il faut distinguer deux sortes de qualités du style : 1° des qualité
point un homme d’esprit qui veut se faire entendre. Il ajoute qu’on distingue l’expression propre à ce qu’elle est celle qui ét
tout le forum applaudir à la chute harmonieuse d’une phrase. Il faut distinguer  : 1° l’harmonie des mots ; 2° l’harmonie des péri
classification. 2. Des trois genres de style. — Les anciens rhéteurs distinguaient trois genres de sujets et par suite trois genres
nd cas et la nommaient-ils la qualité souveraine.    . Il faut encore distinguer la concision du laconisme qui est une recherche d
vec l’infini et lui donner le plus vif sentiment de la perfection. On distingue deux sortes de sublime ; le sublime et le sublime
ns ce cas tout le travail consiste à reconnaître ces éléments, à bien distinguer l’idée principale des idées secondaires, à se ren
De la narration. — La narration est la peinture d’une action. Elle se distingue de la description et du tableau par le mouvement
aractère. — On désigne sous ce nom l’indication des traits moraux qui distinguent un genre d’êtres ou d’individus. C’est une descri
ortrait peut être encore la représentation vive des traits moraux qui distinguent un peuple ou une collection d’individus pris dans
r avec son haleine cette vapeur importune. Il était imposable de rien distinguer parmi celle confusion de cris et de vœux ; seulem
79 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre VIII. Épître. »
sa Chartreuse. L’épître, selon le ton et le sujet qu’elle choisit, se distingue en épitre sérieuse et en épitre familière. L’épît
80 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — De la ponctuation. »
charité est douce, patiente, bienfaisante. La virgule sert encore à distinguer les différentes parties d’une phrase. Exemple :
81 (1839) Manuel pratique de rhétorique
ubstantifs abstraits ; nous arriverons ainsi à saisir les nuances qui distinguent les mots appelés synonymes, et nous acquerrons un
établir la vérité ou la proposition qui est le sujet du discours. On distingue deux sortes de preuves ; les unes intrinsèques, t
ons ; mais alors, entre ces autorités et ces exemples, il faut savoir distinguer ce qui revient bien au sujet. Les preuves intrins
er la bienveillance et l’intérêt qu’on est disposé à lui accorder. On distingue différentes sortes d’exordes, selon l’importance
chaque sujet la couleur qui lui convient. On a vu assez d’orateurs se distinguer dans un de ces genres, aucun ou presque aucun qui
er de son esprit, à son caractère ; c’est ce qui, dans le même genre, distingue un poète, un orateur, un historien d’un autre. De
on la gâterait. Voici les principaux caractères par lesquels Cicéron distingue ce genre des deux autres. Le style simple est cel
à ne font pas ce qu’on appelle le sublime. Quant au pathétique, on en distingue de deux sortes : l’un plus véhément agite l’âme p
osition des parties extérieures d’un corps ; c’est par, elle que nous distinguons un objet d’un autre avec lequel il a d’ailleurs p
82 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
érence la plus marquée dans les mœurs sociales, dit-il, est celle qui distingue les caractères des deux sexes. Elle tient d’un cô
ion physique. Adressons-nous ici à la physiologie. Les physiologistes distinguent quatre espèces de tempéraments, rarement absolues
83 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XII. Abrégé des règles de la versification française. »
es vers masculins ou des vers féminins qui ne riment pas ensemble. On distingue trois combinaisons de rimes : les rimes plates, l
pierre, Et, sous le vert tissu de la ronce et du lierre,          On distingue un sceptre brisé. Lamartine. La stance de dix v
84 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre IX. Neuvième espèce de mots.  » p. 44
nctions : l’usage les fera connaître ; la plus ordinaire est que ; on distingue la conjonction que du que relatif, en ce qu’elle
85 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVI » pp. 112-113
s ii, p. 81 C) et d’autres auteurs attestent que le signe naturel qui distinguait les. Pélopides était une épaule d’ivoire. Voyez P
86 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
lités que le style peut ou doit avoir, sans établir la différence qui distingue les qualités accidentelles de celles qui doivent
x questions. Deux espèces de preuves selon les anciens. Les anciens distinguent deux sortes de moyens de prouver ; ceux qui se ti
traces ou vestiges qui indiquent un fait ou l’auteur d’un fait. On en distingue de deux sortes, les indices certains, signa neces
qu’elle soit une substance simple, a deux facultés principales, qu’on distingue surtout par la différence de leur objet. L’une se
nc je puis me moquer de toi1. Syllogisme conjonctif. Les logiciens distinguent d’autres syllogismes qu’ils nomment conjonctifs,
, des pythonisses, etc… 2° De l’induction et de l’exemple. On distingue deux espèces d’inductions1 : Première espèce d’i
livre second de cet ouvrage. Deux sortes de méthode. Les logiciens distinguent deux sortes de méthode ; l’une qu’ils appelent an
s sous ces rapports, les moyens de plaire et les moyens d’émouvoir se distinguent et se subdivisent par leurs caractères et par leu
Parmi les moyens de se concilier les juges au barreau, il convient de distinguer ceux que l’on peut produire à découvert, de ceux
at.., l. I, n°. 129 et seq.) Deux sortes de moyens d’émouvoir. Nous distinguons entre les moyens d’émouvoir ceux qui appartiennen
a établie entre les hommes pour première cause de sociabilité qui les distingue . La sympathie est la première et la principale so
t rapport à lui. » (L. VI, c. 3.) Deux sortes de ridicule. Cicéron distingue deux manières principales de traiter le ridicule
éteinte. » (L. VI, c. 1.) Deux sortes de pathétique. 3°. Marmontel distingue deux sortes de pathétique : le direct qui a lieu
n. 318.) Il y a plusieurs sortes d’exorde. Selon le sujet, Cicéron distingue deux espèces d’exorde : le début simple et l’ins
rès uniforme ; voici ce que prescrit Cicéron : Thèse, hypothèse. Il distingue deux sortes de questions, l’une qu’il appelle thè
, n. 329.) « La narration sera claire, dit Quintilien, si l’orateur distingue nettement les choses, les personnes, les temps, l
et faire de tous deux un mélange heureux et convenable. On peut aussi distinguer le style périodique et le style coupé. Du style
réquenter le monde poli. La bonne société peut seule nous apprendre à distinguer le langage du peuple de celui des gens bien élevé
t par quels moyens il est permis à l’orateur de chercher à plaire : «  Distinguons , ajoute-t-il ; ce qui sert à plaire pour persuade
es et les fausses beautés des ouvrages d’esprit, et sur la manière de distinguer les unes des autres (2), établit fort bien qu’il
ducit. (Quint., l. IX, c. 1.) Deux sortes de figures. Les rhéteurs distinguent les figures de mots, et les figures de pensées.
deux idées dont l’une emprunte le nom de l’autre. Il suit de là qu’on distingue différens tropes. Nous ferons connaître les princ
cette princesse.(Exorde de cette orais. fun.) Comparaison. On peut distinguer deux sortes de comparaisons : les unes de simple
ec peine le respect qui leur est dû ; et parmi tant de titres qui les distinguent , la politesse et l’affabilité est la seule distin
que pourraient seuls exécuter des êtres doués de la vie. La poésie se distingue surtout par l’emploi de cette figure. Nos bons or
suspendre la voix par différens repos qui composent une même phrase, distinguer avec soin les incises et les membres des périodes
lentum. (Loc. cit.) Accent. Il y en a de plusieurs sortés. 3°. On distingue dans la prononciation plusieurs sortes d’accens :
ien distincts dans la voix humaine : le grave, l’aigu et le moyen. On distingue pareillement trois sortes de tons dans la déclama
sorte, rétracter ce qu’il vient de dire. La subjection demande qu’on distingue bien le ton des objections qu’on se propose à soi
etoricâ, nos. 8 et suiv., s’étend beaucoup sur l’état de la cause. Il distingue l’état de conjecture, l’état de définition, l’éta
ommune à tous ; et voici les idées accessoires ou les nuances qui les distinguent  : « On est indolent par défaut de sensibilité, no
87 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
a philosophie seule que Marc-Aurèle est redevable du caractère qui le distingue essentiellement entre tous les empereurs ; transi
regards sur les différentes sectes qui étaient autour de lui ; il en distingua une qui apprenait à l’homme à s’élever au-dessus
88 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXIII. des figures. — tropes d’invention et tropes d’usage  » pp. 323-338
de Radonvilliers105 appelle tropes d’usage ou de la langue, pour les distinguer des tropes d’invention ou de l’écrivain, dont le
catachrèse, moins un trope spécial qu’un accident des autres tropes ; distinguons des catachrèses de métaphore, des catachrèses de
89 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — CHAPITRE PREMIER. Du genre léger on des poésies fugitives » pp. 75-95
’an 86 avant Jésus-Christ, a fait un grand nombre d’épigrammes qui se distinguent souvent par un tour heureux et délicat, ainsi que
e mérite est la justesse, la précision et surtout la clarté ; elle se distingue , au contraire, par l’ambiguïté et l’équivoque.
90 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
re sont aidées par le premier regard qu’il jette sur son livre, et il distingue sur-le-champ ce qu’il doit apprendre et retenir m
ible. Comme elles peuvent précéder, accompagner ou suivre le fait, on distingue les antécédentes, les concomitantes et les conséq
e erreur ou pour découvrir les pièges d’un adversaire, il doit savoir distinguer les raisonnements vicieux qui se rencontrent le p
aison : un seul mot peut faire échouer tout un discours. 114. On peut distinguer quatre précautions principalement nécessaires à l
ement ce qu’il doit dire, peindre fortement aux autres ce qu’il sent, distinguer sûrement l’usage qu’il doit faire de cette double
par pathétique l’emploi ou l’usage des passions oratoires. Quintilien distingue deux sortes de pathétiques, le pathétique violent
onem (Cic.). « La narration sera claire, dit Quintilien, si l’orateur distingue bien les personnes, les choses, les temps et les
t toutes les parties d’un discours, méditez profondément votre sujet, distinguez les idées principales des idées accessoires, voye
plus ni princes, ni rois, ni toutes ces autres qualités superbes qui distinguent les hommes ; de même que ces fleuves tant vantés
n amplifie des bagatelles, on fait valoir des riens. On ne sait point distinguer l’accessoire du principal, et on croit que le suj
ires à la proposition qu’il a avancée. 222. Cicéron ne veut pas qu’on distingue la réfutation de la confirmation, parce qu’on ne
oix sonore mais confuse. Il faut donc, dit Batteux, parler doucement, distinguer les sons, soutenir les finales, séparer les mots
et suivent toujours les sentiments et les passions qu’on exprime. On distingue ordinairement trois sortes de gestes faits avec l
êlés, le discours prend le nom du genre qui domine. 299. Les modernes distinguent aujourd’hui cinq genres d’éloquence : l’éloquence
’il approfondisse les preuves de la vérité catholique, et qu’il sache distinguer ce qui est de foi de ce qui ne l’est pas. Pour tr
bserve plus rigoureusement les préceptes de l’art oratoire. Ce qui le distingue des deux genres qui précèdent, c’est qu’il exige
aires publiques. 374. Il y a trois choses principales qui séparent et distinguent la tribune et le barreau : le but, l’auditoire et
able. Division. Cette vérité se fonde sur trois grands caractères qui distinguent éminemment la religion chrétienne : 1º elle est r
135. Qu’est-ce que le pathétique, et combien de sortes de pathétiques distingue-t -on ? 136. Comment Quintilien caractérise-t-il le
91 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXVI. » pp. 135-136
tote ne semble pas ici bien d’accord avec lui-même  car, plus bas, il distingue l’épopée de la tragédie, en ce que la première n’
92 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
mphis, capitale de l’ancienne Égypte. Nous recommandons au lecteur de distinguer , dans cette séance mémorable, la demande du postu
source, et qu’il n’ait coûté aucune peine à son auteur. Cette qualité distingue particulièrement les écrits de La Fontaine et de
composent. Il faut donc savoir avec soin : 1° Bien choisir ses mots ; distinguer ceux qui offrent de la rudesse ou de la douceur,
e enfin la cour désabusée, Dédaigna de ces vers l’extravagance aisée. Distingua le naïf du plat et du bouffon, Et laissa la provi
93 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bossuet, 1627-1704 » pp. 89-123
s, pour nous attirer par quelque moyen à l’Évangile du Sauveur Jésus, distinguons l’assaisonnement de la nourriture solide. Au mili
n soi-même beaucoup de bassesse. Mais c’est encore trop de vanité, de distinguer en nous la partie faible, comme si nous avions qu
ps ! Je ne suis rien ; un si petit intervalle n’est pas capable de me distinguer du néant ; on ne m’a envoyé que pour faire nombre
tion plus subtile, ce n’est pas toute l’étendue de notre vie qui nous distingue du néant ; et vous savez, chrétiens, qu’il n’y a
94 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
logique ; il suffit que le lecteur puisse saisir nettement l’idée, la distinguer de toute autre, l’embrasser dans son ensemble. Le
s dont se compose l’objet défini. On n’a point eu tort, cependant, de distinguer ces deux lieux ; car on emploie le second dans le
95 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXV. des figures. — figures par développement et par abréviation  » pp. 353-369
des mots qui lui sont ou qui lui semblent inutiles. Mais dès que l’on distingue ces deux espèces, la rhétorique doit employer, po
ailleurs, etc. 114. Elle est fréquente en latin. Cependant il faut distinguer . Par exemple, on cite parmi les anacoluthes ces v
96 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Définition et division. »
qui le rapprochent de la brute, dont la parole doit par sa nature le distinguer plus que toute autre chose. La Rhétorique, il fau
97 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre II. — Choix des Pensées »
les pages des bons écrivains et qui y répandent de l’éclat. Elles se distinguent par leur simplicité, leur grâce ou leur grandeur.
rs que la liaison parfaite des idées dont il se compose. Nous pouvons distinguer deux sortes de liaisons ou transitions : la premi
98 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre III. Idée de l’Éloquence des Saints-Pères. »
talents et leur courage à l’apologie de la religion chrétienne, nous distinguons d’abord saint Justin, qui combattit les philosoph
99 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XV. » pp. 109-111
ῶν, chap. ii, t. IX, p. 294 des Rhetores græci de Walz). Il faut bien distinguer ces jugements sérieux des plaisanteries comiques
100 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
choisi le sujet d’une églogue ou d’une idylle. Mais voici ce qui peut distinguer l’une de l’autre. Ce qui peut distinguer l’Égl
e. Mais voici ce qui peut distinguer l’une de l’autre. Ce qui peut distinguer l’Églogue de l’Idylle. L’églogue parmi nous a
térature ou quelque grande passion en sont le sujet, doivent se faire distinguer par la justesse et la profondeur du raisonnement.
e émotion douce, convient essentiellement à l’ode. Ainsi l’on peut en distinguer deux espèces générales. La première est dans le g
espèce d’ode faite pour être mise en musique ; c’est la cantate. On y distingue deux parties ; les récits qui ordinairement n’exc
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