cune trace sensible de prétention à la grandeur. Nous avons admiré le
dieu
d’Homère, qui, du seul mouvement de ses sourcils,
de l’Iliade (liv. i.), ce même Jupiter dit à son épouse que tous les
Dieux
réunis ne la sauveraient pas de son ressentiment
cela est grand, sans doute ; mais qui ne reconnaît, à ces traits, le
dieu
sorti de l’imagination du poète, qui, rassemblant
ublime et de plus au-dessus des idées ordinaires. Cet être-là sera le
dieu
d’Homère ou de Virgile, mais ne sera pas à coup s
L’ensemble de ce tableau est magnifique dans l’original : on voit le
dieu
s’avancer, on entend sonner ses traits dans son c
vide d’idées, et se bornant à agrandir l’homme, sans jamais créer le
dieu
, la mythologie s’arrête nécessairement où commenc
endre bientôt de la hauteur fictive où il venait de s’élever avec son
dieu
, et de laisser à ses coursiers tout l’honneur du
anque pas de se récrier sur la majesté avec laquelle Homère peint ses
Dieux
. Il nous semble cependant que l’idée de l’immensi
e sera donc l’exagération du poète mythologue, quand il fera agir ses
dieux
, puisqu’il les annonce avec tant d’emphase ? « Vo
, les choses mortelles et immortelles, tout enfin combattait avec les
dieux
, et qu’il n’y avait rien dans la nature qui ne fû
t de Neptune, en comparaison du souffle de Jéovah ? Qu’est-ce que des
Dieux
qu’il faut armer de la sorte, en comparaison de c
me y est en général beaucoup plus grand, beaucoup plus parfait que le
dieu
; qu’il s’y montre plus intéressant, y étale des
, et les Grecs eux-mêmes durent rire quelquefois de la plupart de ses
dieux
; tandis qu’ils admiraient, et que nous admirons
té du trait primitif ! Qu’est-ce en effet que ce premier principe, ce
dieu
créateur des poètes ? Ils n’en savent rien eux-mê
es, nous dira que cet être, quel qu’il fût, fit l’homme à l’image des
dieux
, Finxit in effigiem moderantûm cuncta Deorum, i
’Aulide, près de l’île Eubée (aujourd’hui Nègrepont), il sacrifia aux
Dieux
sa fille Iphigénie, qui, suivant plusieurs auteur
êlée, au passage du Rhin. Amour (l’) ou Cupidon, que les poètes font
dieu
de l’amour, et fils de Mars et de Vénus. Ils le r
sous la figure de petits enfants ailés. Amphitrite, fille de Nérée,
dieu
marin, et de sa sœur Doris. Neptune voulant l’épo
r resplendissant traîné par quatre chevaux ; et sur la terre Apollon,
dieu
des arts et des sciences, et chef des neuf Muses.
), lieux où paissait le cheval Pégase qui leur servait de monture. Ce
dieu
ayant, suivant la fable, tué les Cyclopes qui ava
sortir du sein de la terre un olivier chargé de fruits, après que ce
dieu
eut fait sortir un cheval fougueux. Athènes, situ
uelle on offrit en sacrifice des victimes humaines. Les prêtres de ce
dieu
se faisaient des incisions avec des couteaux et d
gypte, où il fut le premier à planter la vigne, et fut adoré comme le
dieu
du vin. Dans la guerre des Géants, il se transfor
ransforma en lion pour les dévorer, et se montra le plus puissant des
dieux
après Jupiter. On le représente sur un char traîn
re, un verre à la main, et des cothurnes aux pieds. Bellone, sœur du
dieu
Mars, selon la fable, et déesse, comme lui, de la
’abord au bas de la statue de l’ancien Brutus, ces paroles : Plût aux
Dieux
que tu vécusses encore ! et répandit ensuite ce b
ons de mer, que la fable a personnifiés, et qu’elle a mis au rang des
dieux
subalternes. David, roi des Juifs, et l’un des p
sée du ciel par Jupiter, parce qu’elle brouillait continuellement les
Dieux
ensemble. On la représente coiffée de serpents, t
uien. Voyez le mot Condé II. Éole, fils de Jupiter selon la fable et
dieu
des vents qu’il tenait enfermés dans les cavernes
le cours des vents et à prédire les tempêtes. Érigone, nymphe que le
dieu
Pan épousa. Etna et Vésuve, montagnes d’Italie,
vomit. Selon la fable aussi, Vulcain, fils de Jupiter et de Junon, et
dieu
du feu, a ses forges établies dans les cavernes d
e, les géants étaient une nation d’hommes qui niaient l’existence des
Dieux
; ce qui a fait dire qu’ils voulaient les chasser
elui-ci, que les païens honoraient comme le Dieu suprême, le père des
Dieux
, et le roi des hommes. On le représente assis sur
iqueux. Mathan, prêtre de Baal. Il fut tué dans le temple de ce faux
dieu
, par les ordres du grand prêtre Joad vers l’an 88
arce qu’il ne s’occupait qu’à examiner et à critiquer les actions des
Dieux
et des hommes. Voilà pourquoi on le représente le
ans un autre lieu, lorsqu’on aurait un mauvais voisin. (Dialogues des
Dieux
ou des Sectes.) Mornai, seigneur de Duplessis Ma
dans cet ouvrage. Il mourut en 1623, à 74 ans. Morphée, ministre du
dieu
du Sommeil, et que les poètes grecs, ainsi que le
du Rhin, d’un coup de mousquet à la tête. Nymphes, filles de Nérée,
dieu
marin, et de sa sœur Doris. Elles étaient révérée
ivé sur la terre. P. Pan, fils de Mercure suivant la fable, et
dieu
des bergers, des chasseurs et des campagnes, où i
te en gardant ses troupeaux. Les poètes le confondent souvent avec le
dieu
Sylvain et le dieu Faune. Ils le représentent ave
roupeaux. Les poètes le confondent souvent avec le dieu Sylvain et le
dieu
Faune. Ils le représentent avec un visage enflamm
iter et de Neptune. Le royaume des enfers lui échut lorsque ces trois
dieux
se partagèrent l’Empire du monde. On le représent
uves des enfers selon la fable, et qui en fait neuf fois le tour. Les
Dieux
eux-mêmes l’avaient si fort en vénération, qu’ils
tout. On le confond souvent avec Saturne, qui, selon la fable, est le
dieu
du temps. Terpsichore, muse qui présidait à la m
on la fable, de Cérès elle-même l’art de cultiver la terre. Tritons,
Dieux
marins. On les représente avec des coquillages, e
ais du moins, au nom de Jupiter qui préside aux batailles, au nom des
Dieux
témoins des serments, tuez-moi avec le fer qui, s
ansports de colère : « Puisqu’il en est ainsi, s’écria-t-il, que les
Dieux
vengeurs du parjure s’appesantissent sur vos tête
ible, vil et insupportable. Défiez-vous de cet ennemi. « Craignez les
Dieux
, ô Télémaque ; cette crainte est le plus grand tr
ntenant que la fortune nous comble de ses faveurs, maintenant que les
Dieux
nous appellent aux plus brillantes destinées, on
er justice à celui qui tient le glaive, c’est tout lui permettre. Les
Dieux
seront pour nous. Ce n’est pas au butin que j’asp
. Mon père, admis déjà aux demeures célestes, vit dans la société des
Dieux
; mais nous devons nous occuper du gouvernement d
e César est devenu encore plus grand par sa victoire impie. Aussi les
Dieux
seront-ils favorables à notre cause légitime ; ne
ée d’indignation et levant les mains au ciel, en prenant à témoin les
dieux
de son pays : « Jusqu’à ce jour, dit-elle, deux f
e avoir recours à la plus précieuse consolation, celle d’invoquer les
Dieux
! Devons-nous, en effet, les implorer ? Le pouvon
le de Cannes (216 av. J.C.). « Soldats, rendez d’abord grâces aux
Dieux
qui nous réservant la victoire, ont amené nos enn
. Ainsi donc, trêve de paroles : il faut agir. Avec la protection des
Dieux
, je vous garantis que bientôt mes promesses seron
s amis ? D’ailleurs, j’ai commencé par remplir les devoirs envers les
Dieux
: c’est un gage pour nous de leur protection ; no
rer le succès de nos armes, grâce à la bienveillante intervention des
Dieux
. » XXIX. Lettre de Cornélie, mère des Gracque
ets de son frère (122 av. J.-C.). « Oui, mon fils, j’en jure par les
Dieux
: après les meurtriers de Tibérius, il n’est pas
parfait bonheur. En tout d’ailleurs, il faut considérer la fin ; les
Dieux
bien souvent, après avoir comblé un mortel de fav
icolaüs. Deuxième partie. « Le peuple Athénien a payé d’abord aux
Dieux
immortels, puis à nous qu’il avait outragés, l’ex
ous les hommes. Et vous, qui avez été initiés aux mystères sacrés des
Dieux
, conservez la vie à ceux qui vous y ont initiés.
ucun outrage ? Permettez-moi, Syracusains, je vous en prie au nom des
Dieux
immortels, de vous exposer mon avis en toute fran
ets qu’ils avaient formés d’abord. « Je vous conjure donc, au nom des
Dieux
, Syracusains, de ne pas vous laisser aller à la p
les eaux : je renouvellerai pour Rome les destinées de Troie. Ni les
dieux
du ciel, ni les traités qui suspendent les combat
ni la roche Tarpéienne n’ébranleront ma résolution. Je le jure par le
dieu
qui préside à nos armes : ô Reine, je le jure par
reprennent leur place, Pour nous dédommager de l’Hespérie perdue, les
Dieux
nous accordent les forces du monde entier. Levez
és à la venger : précipitez le cours des destinées, faites agréer aux
Dieux
vos espérances. Que la fortune vous donne aujourd
doit périr en même temps que le corps, vous néanmoins, respectant les
Dieux
qui protègent et gouvernent toutes les merveilles
ssons pas nos alliés, mais pleins de confiance dans la protection des
Dieux
, marchons contre un peuple qui commet des injusti
n si grand nombre de guerriers ; (car je redouterais la vengeance des
dieux
et la haine des hommes) et par un mal irréparable
un parti à prendre. Il faut, s’il est possible, apaiser la colère des
dieux
, et mettre nous-mêmes un terme à l’acharnement de
t pas été les auteurs de la guerre faite en Sicile et en Espagne. Les
dieux
immortels ont été les témoins des événements, ils
r. Notre victoire sera la gardienne de la liberté et des lois. Si les
dieux
n’eussent connu à fond mes intentions, ils n’aura
les yeux sur mes propres périls, et bien malgré moi, j’en atteste les
dieux
, j’ai tiré l’épée contre les citoyens, quand on m
mité de la Bactriane aurait tremblé sous les haches de l’Ausonie. Les
dieux
m’ont laissé ces guerres à terminer : oui, Sénate
porté des Mèdes aux Perses, depuis que Cyrus a triomphé d’Astyage. Un
dieu
nous protège, et en marchant sous ses auspices, n
n si haut point d’illustration, et n’aurait pas été élevé au rang des
Dieux
, s’il se fût renfermé lâchement dans les murs d’A
m’attribue ? En effet, je n’ai jamais offert de sacrifices à d’autres
dieux
qu’à Jupiter, à Junon et aux divinités reconnues
à l’homme de bien, ni pendant la vie, ni après le trépas ; jamais les
dieux
immortels ne perdent de vue ses intérêts ; et ce
us, pour vivre. Qui de nous doit s’attendre au sort le meilleur ? Les
dieux
immortels le savent, mais je crois que ce mystère
l’immense bienfait qu’il devait à la fortune, offrit un sacrifice aux
dieux
, et, la nuit, pendant son sommeil, transporté de
légères qui nous invitent à agir ; c’est le peuple romain, à qui les
dieux
ont accordé la souveraineté de toutes choses ; c’
i avait envoyés Orode, roi des Parthes. Celui-ci prenant à témoin les
dieux
vengeurs des traités, confia le commandement d’un
s soldats, les murailles détruites de fond en comble, les temples des
dieux
dépouillés, anéantis par le feu, les campagnes ra
s dans ces lieux qui leur sont inconnus, ils nous sont livrés par les
dieux
, comme enchaînés. À peine aurons-nous besoin de t
Non, grand roi, je n’ai pas voulu plaisanter. Puissent néanmoins les
dieux
répondre à vos désirs ! » LXVIII. Même sujet.
llards et des femmes, en détruisant nos pénates et les temples de nos
dieux
indignés ? Il faut bien le dire hélas ! Plût au c
nce. Enfin, le monarque infortuné s’écrie : « Achille, semblable aux
dieux
, souviens-toi de ton père ; comme moi, il est cha
t’apporte de riches présents. Achille, je t’en conjure, respecte les
dieux
, souviens-toi de ton père et prends pitié de moi.
r tes compagnons. Laisse-toi toucher, mon fils, au nom de Jupiter, le
dieu
des suppliants ; je t’implore à genoux, quoique i
freindre, parce que ce n’était ni Jupiter, ni la justice compagne des
dieux
Mânes, qui avaient publié cette loi. Je n’ai pas
z de force pour que les lois non écrites, mais immuables, émanées des
dieux
, dussent fléchir devant un mortel. Elles n’existe
s, intimidée par les menaces d’un homme, m’exposer à la vengeance des
dieux
. Avant la publication de ton arrêt, je n’ignorais
s rois puissent laisser de leur générosité, et les plus agréables aux
dieux
. Aussi, je croirai plutôt vous devoir de la recon
de leur représenter qu’ils combattaient pour la conservation de leurs
dieux
domestiques et de la sépulture de leurs ancêtres,
ulture de leurs ancêtres, puisque pas un d’eux n’avait ni maisons, ni
dieux
domestiques, et qu’ils étaient dans l’ignorance t
de ma bouche que la vérité. Tout ce qu’il y a de beau, d’honnête, les
dieux
ne l’accordent aux hommes qu’au prix du travail e
champêtres, mes premières occupations sont d’honorer et de servir les
dieux
. Romulus vous a laissé beaucoup d’ennemis ; vous
prince qui sut concilier la justice avec la clémence, en confiant aux
dieux
de la mer la vengeance de la terre et des hommes
sinat les droits de l’hospitalité ! » Ensuite, après avoir dévoué aux
dieux
infernaux et la personne et le trône de Prusias,
Prusias, après avoir appelé sur la tête de ce prince le courroux des
dieux
hospitaliers, témoins de cette infâme trahison, i
aux maladies. Au sein du Latium et de cette terre de Saturne, où les
dieux
avaient enseigné aux hommes l’art d’ensemencer le
bon lui semblera et accomplir sa destinée ! Quant à nous, prions les
dieux
de ne pas faire tomber leur colère sur nos têtes,
discordes civiles1. L’aveugle1. « Dieu dont l’arc est d’argent,
dieu
de Claros, écoute2, O Sminthée Apollon, je périra
eurs qui soient pures. Ta voix noble et touchante est un bienfait des
dieux
; Mais aux clartés du jour ils ont fermé tes yeux
rives de Carie, Si la Grèce pour moi n’aurait point de patrie, Et des
dieux
moins jaloux, et de moins tristes jours : Car jus
s. Je voulais des grands dieux implorer la bonté, Et surtout Jupiter,
dieu
d’hospitalité, Lorsque d’énormes chiens, à la voi
t n’est point comme tes yeux, Amuse notre ennui, tu rendras grâce aux
dieux
… J’ai fait taire mon cœur qui voulait les confond
ondre ; Ils n’ont pas entendu ma voix, et sous ma main J’ai retenu le
dieu
courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes fils d
Sur un arbuste assise2, et se console et chante 3. Commençons par les
dieux
: Souverain Jupiter ; Soleil, qui vois, entends,
i vois, entends, connais tout ; et toi, mer, Fleuves, terre, et noirs
dieux
de vengeances trop lentes, Salut ! Venez à moi, d
à la France1. France ! ô belle contrée, ô terre généreuse, Que les
dieux
complaisants formaient pour être heureuse, Tu ne
redoute rien, car il met toute sa confiance dans sa piété envers les
dieux
et dans son amour pour son pays. [Discours]
ois ici, dans le sénat, certaines personnes qui y étaient avec toi. Ô
dieux
immortels ! en quel pays sommes-nous ? quel gouve
la tolérer. Assurément, nous devons de grandes actions de grâces aux
dieux
immortels, et surtout à Jupiter Stator, le plus a
que tout entière que tu en veux ouvertement ; ce sont les temples des
dieux
immortels, les demeures des hommes, la vie de tou
ndes ? que tu songes à fuir ? que tu penses à t’exiler ? Puissent les
dieux
immortels t’en inspirer la résolution ! Et cepend
e ce monstre et de ses complices les autels et les temples des autres
dieux
, les maisons de la ville, ses remparts, la vie, l
croire, il n’ira pas. Pour moi, Romains, jamais je ne demanderai aux
dieux
immortels, pour confondre la calomnie, qu’on vien
x, très nombreux et soutenus par des forces imposantes ; qu’enfin les
dieux
immortels, pour protéger ce peuple invincible, ce
te sorte, quand bien même le zèle des hommes viendrait à faillir, les
dieux
immortels eux-mêmes ne voudront-ils pas assurer l
ie les manifestations nombreuses et irrécusables de la protection des
dieux
immortels. C’est sous leurs auspices que j’ai fon
à se rendre, avec leurs femmes et leurs enfants, dans les temples des
dieux
pour leur adresser des actions de grâces. De quel
elle, tout cela vient aujourd’hui, grâce à l’éclatante protection des
dieux
immortels, à mes travaux, à ma vigilance, à mon d
ion, si difficile à rencontrer, et que je demandais si instamment aux
dieux
immortels, non seulement de tenir moi-même toute
garement. Ce n’est pas tout : des actions de grâce sont décernées aux
dieux
immortels, en mon nom, pour leur protection signa
dans toutes ces circonstances, c’est la volonté, c’est la sagesse des
dieux
immortels qui ont, sans aucun doute, guidé et ins
iger d’aussi grands événements ; mais le secours et la protection des
dieux
se sont, dans ces derniers temps, manifestés à no
ive maintenant semblait nous être annoncé par la voix prophétique des
dieux
immortels, il est certains faits, Romains, dont j
rs du Capitole furent frappées de la foudre, alors que les images des
dieux
immortels furent déplacées, les statues des antiq
guerre civile et domestique, la chute de Rome et de l’empire, si les
dieux
, apaisés à tout prix, ne faisaient en quelque sor
pendant dix jours, et rien de ce qui pouvait contribuer à calmer les
dieux
ne fut négligé. Ces mêmes devins ordonnèrent d’ér
ore que le reste, c’est la puissance, c’est la volonté souveraine des
dieux
immortels qui les gouverne ? En effet, les aruspi
conduits, à travers le Forum, au temple de la Concorde, la statue du
dieu
était dressée sur sa base ? À peine y était-elle
os demeures, mais encore dans les temples et dans les sanctuaires des
dieux
immortels, la flamme horrible et sacrilège de l’i
i que cette ville, par lui que vous tous avez été sauvés. Ce sont les
dieux
immortels qui m’ont guidé, citoyens, ce sont eux
urs mains, que de fautes commises et qui ne l’eussent pas été, si les
dieux
immortels n’avaient répandu un esprit de vertige
r domination, ne faut-il pas reconnaître, dans tout cela, la main des
dieux
immortels, je vous le demande ? Alors surtout que
s actions de grâces les plus solennelles seraient partout rendues aux
dieux
, célébrez ces jours de fêtes avec vos femmes et v
rez ces jours de fêtes avec vos femmes et vos enfants. Si souvent les
dieux
immortels ont reçu de justes et légitimes honneur
leurs d’être l’objet d’un sentiment si bienveillant. Mais, au nom des
dieux
immortels, bannissez-le de vos cœurs, je vous en
intenant, si les derniers jours de mon consulat sont réservés par les
dieux
immortels à la noble mission de vous arracher, vo
et de vous inquiéter de moi. Car d’abord je dois espérer que tous les
dieux
protecteurs de cette ville récompenseront mes ser
ens dangereux. L’autre est persuadé que la mort a été établie par les
dieux
immortels, non pas comme un châtiment destiné à f
s citoyens, à vous la citadelle et le Capitole, à vous les autels des
dieux
Pénates, à vous le feu de Vesta, ce feu perpétuel
rpétuel et éternel, à vous tous les temples, tous les sanctuaires des
dieux
, à vous les murailles et les maisons de notre vil
e courage pour y établir solidement la liberté, quelle protection des
dieux
pour étendre et agrandir cette fortune qu’une seu
e de ce Cupidon tout le temps qu’il fit orner la place en honneur des
dieux
immortels, et pour la gloire du nom romain. Mais
rtune. Il dédaigna de l’avoir dans sa maison. IV. Ô justice des
dieux
et des hommes ! Quel crime ! quelle cause monstru
orce ? Verrès me réfute d’un seul mot. « J’ai, dit-il, tout acheté. »
Dieux
immortels ! le beau moyen de défense ! C’est donc
ritiques, qu’il fût obligé de dépouiller sa chapelle et de vendre les
dieux
de ses pères. Mais je vois qu’il n’a jamais fait
plus. Il ne vous demande que les objets du culte de ses pères et les
dieux
de sa maison. Où sont, Verrès, la pudeur, la reli
Où sont, Verrès, la pudeur, la religion, le respect et la crainte des
dieux
? Vous avez logé à Messine dans la maison d’Héjus
les jours des actes de piété dans sa chapelle aux pieds de ces mêmes
dieux
: il est peu touché de la perte de ses biens, il
magnificence : gardez les Canéphores, mais rendez-lui les images des
dieux
. Parce qu’il a révélé ces vérités, parce qu’il a
s ; parce qu’il s’est montré plein de religion, soit en réclamant ses
dieux
, soit en respectant son serment ; apprenez que po
argenterie, on ne trouvât un plat orné de gravures et de figures des
dieux
, un encensoir, une coupe dont les femmes se serva
ent arracher ces vases, qui leur ont toujours servi pour le culte des
dieux
, qui de tout temps ont été dans leur famille, et
elli de magnifiques cachets. Dès que Verrès voit ce vase consacré aux
dieux
pénates et aux dieux hospitaliers, il a la hardie
achets. Dès que Verrès voit ce vase consacré aux dieux pénates et aux
dieux
hospitaliers, il a la hardiesse de le prendre sur
tion qui me paraît renfermer tous les crimes à la fois. On y voit les
dieux
offensés, la confiance dans le peuple romain et l
u milieu de cette assemblée, atteste, en gémissant, les hommes et les
dieux
, déclare que Verrès lui a enlevé un candélabre en
donne ce candélabre, je l’offre, je le dédie au grand Jupiter. Que ce
dieu
soit aujourd’hui témoin de ma volonté et de ma re
si l’incendie qui l’a consumé avait été excité par la providence des
dieux
, non pour détruire le temple du grand Jupiter, ma
piter ? ce qui devait éclairer et décorer le temple du plus grand des
dieux
ne servira-t-il qu’à éclairer les repas de Verrès
recourir à son assistance, comme tous les autres accusés ; à qui les
dieux
immortels redemandent leurs dépouilles dans ce tr
’il avait déclaré la guerre non seulement aux hommes, mais encore aux
dieux
immortels. XXXIII. Ségeste est une des plus
de l’armée romaine, et l’un de nos plus illustres, leur renvoyait les
dieux
de leurs pères, qu’il venait d’enlever à leurs an
mais, par un crime détestable, ôtait à une ville confédérée ces mêmes
dieux
! Toute la Sicile n’a-t-elle pas vu les dames et
e la part des hommes, qui ne sauraient vous défendre de la colère des
dieux
, ou de la part des dieux mêmes, qui ne peuvent vo
ne sauraient vous défendre de la colère des dieux, ou de la part des
dieux
mêmes, qui ne peuvent vouloir sauver celui qui a
numents de Scipion, mais qui les a totalement détruits et renversés !
Dieux
immortels ! qui soutiendra donc la mémoire de Sci
ue de Mercure que ce même Scipion avait fait placer dans leur ville ?
Dieux
immortels ! avec quelle audace, avec quelle impud
romettre au préteur cette statue de Mercure. Tous s’écriaient que les
dieux
en tireraient vengeance, et qu’il ne fallait pas
rès fréquenté, et célèbre par la dévotion des habitants. La statue du
dieu
est de bronze ; et je ne crois pas avoir rien vu
elles ont été entendus de toute la ville ; le bruit se répand que les
dieux
de la patrie sont attaqués, non par des ennemis o
ve Chrysas, qui coule sur les terres d’Assore, passe chez eux pour un
dieu
, et il est le principal objet de leur culte. Son
e, près du chemin qui conduit d’Assore à Enna. On y voit la statue du
dieu
, taillée en marbre avec beaucoup d’art. Verrès, à
onze. Il y a dans la ville d’Enguium un temple consacré à la Mère des
dieux
. Non seulement je crois devoir ne dire qu’un mot
postérité les regardât comme les monuments de notre respect pour les
dieux
. XLV. Écoutez encore, juges, un trait singu
andez-vous, Verrès ? qu’espérez-vous ? qu’attendez-vous ? quel est le
dieu
, quel est le mortel de qui vous puissiez vous pro
lente passion, que ni la crainte, ni la religion, ni la puissance des
dieux
, ni les jugements des hommes, n’ont pu la retenir
ce n’est pas sur de simples soupçons qu’il est cité en justice ? Les
dieux
ont été enlevés, les temples profanés, les villes
d’attention pour ce que je vais dire : je vous le demande au nom des
dieux
immortels, de ces dieux dont la religion fait dep
je vais dire : je vous le demande au nom des dieux immortels, de ces
dieux
dont la religion fait depuis longtemps l’objet de
ère et par vos mœurs, moins ennemis des hommes que vous ne l’êtes des
dieux
immortels. Quelle ressource reste-t-il donc à cel
r particulièrement sur ce qui avait rapport à la religion. Au nom des
dieux
immortels, ne méprisez pas leurs plaintes, ne les
beaux objets d’art et en grand nombre, il ne lui enleva aucun de ses
dieux
. Examinez maintenant la conduite de Verrès, non p
ler le temple de Minerve : l’un s’est fait un scrupule d’enrichir ses
dieux
de ce qui avait appartenu à d’autres dieux ; et l
un scrupule d’enrichir ses dieux de ce qui avait appartenu à d’autres
dieux
; et l’autre a fait transporter dans une maison d
ient été aucun des précédents ! Ces derniers ornaient les temples des
dieux
; Verrès renverse leurs monuments, et en fait sa
t la découverte de l’olivier, était honoré dans le même temple que ce
dieu
. LVIII. À l’égard de ce Jupiter Impérator,
on de Marcellus, sachez, juges, que les Syracusains perdirent plus de
dieux
par l’arrivée de Verrès que la victoire de Marcel
comme un devoir essentiel l’obligation d’honorer et de conserver les
dieux
qu’adoraient ses pères : d’ailleurs, cette magnif
tachement pour les athlètes de la part d’un homme qui avait enlevé le
dieu
à qui nous devons la découverte de l’olivier ; qu
t, il ne convenait point du tout de faire participer aux honneurs des
dieux
le ravisseur de leurs statues. On serait assuréme
itua des sacrifices annuels pour celui qui leur avait fait perdre les
dieux
pénates et leurs sacrifices, et fit ôter les jour
l’infortuné Gavius. Enfin il termine par une apostrophe véhémente aux
dieux
dont l’infâme préteur a dépouillé les temples san
shonneur de qui que ce soit ? Je n’en ferai rien, ô juges. XIV.
Dieux
immortels ! quelle différence ne trouve-t-on pas
l’exercice de toutes ces fonctions, ô magistrats, obtenir de tous les
dieux
une protection égale à mon zèle, qui, malgré le c
à fournir un vaisseau, parce que ce sont des peuples alliés. Plût aux
dieux
! nous avons donc en vous un homme nourri parmi l
ienneté, leur affinité même, partagent la gloire du peuple romain ? Ô
dieux
immortels ! quoi ! en faisant commander les solda
capitaine Héracléon pénétra librement avec quatre petits brigantins.
Dieux
immortels ! dans le temps que l’autorité de notre
poursuivent les scélérats, assisteront à ton jugement de la part des
dieux
Mânes. Ce qui adoucit mon malheur, c’est que j’ai
ble ; il dit la même chose : il ne diffère en aucun point. Au nom des
dieux
immortels ! quels sont vos sentiments, juges, au
de vous voir subir l’accusation présente. C’est l’ami de votre père !
dieux
immortels ! si votre père lui-même était juge, qu
yen romain fut, en votre présence, accablé de coups par vos licteurs.
Dieux
immortels ! quel en fut donc le sujet ? Quoique j
le pillage des provinces, l’oppression des alliés, la spoliation des
dieux
immortels, le supplice des citoyens romains expir
LXXII. Je vous invoque, ô Jupiter, le premier et le meilleur des
dieux
; un présent vraiment royal, digne de votre augus
e si belle et si respectée. Je vous invoque aussi, ô Junon, reine des
dieux
, vous que Verrès, par un semblable sacrilège, dép
il voulut déplacer et emporter avec violence. Et vous aussi, mère des
dieux
, dont il a dépouillé chez les Enguiniens le templ
de la terre, les avez portés avec votre culte chez tous les peuples ;
dieux
et déesses à qui Verrès, poussé par l’audace et l
Rome renfermait dans son enceinte. Céphale, fils, selon la fable, du
dieu
Mercure et d’Hersé, fille de Cécrops, premier roi
n ressentit une si vive douleur, qu’elle se laissa mourir de faim. Le
dieu
en eut pitié, et la métamorphosa en une fleur, ap
le implora le secours de son père, qui la métamorphosa en laurier. Le
dieu
, frustré de ses espérances, se fit une couronne d
dans Jérusalem les autels que son père Achaz y avait élevés aux faux
dieux
, et y rétablit le culte du Seigneur. Il reprit en
déesse de la Jeunesse. Elle versait le nectar à Jupiter et aux autres
Dieux
. Hector, fils de Priam, roi de Troie, et d’Hécub
qu’à s’habiller en femme, et à filer auprès d’elle. Placé au rang des
Dieux
par les poètes, il est représenté sous la figure
r et en même temps femme de Jupiter, déesse des empires, et reine des
Dieux
. Elle présidait aux mariages et aux accouchements
llesse (la), divinité poétique qu’on peut bien croire être la sœur du
dieu
du sommeil. Voyez le mot Morphée dans les notes,
ge dans l’eau, il en devint si amoureux, qu’il sécha de langueur. Les
Dieux
le changèrent en une fleur qui porte son nom. Né
vrés à toutes sortes de débauches, avaient refusé l’hospitalité à ces
dieux
voyageurs. Jupiter, pour les en punir, fit tomber
les poètes le lui ont quelquefois donné sur la terre, où il était le
dieu
des sciences et des arts Voyez le mot Apollon dan
général des Athéniens, et Pausanias, général des Spartiates. Plutus,
dieu
des richesses, suivant la fable, et que quelques-
Bien des auteurs le confondent avec Pluton, qu’ils regardent comme le
dieu
des richesses et des mines souterraines. Pollux,
it qu’aussitôt qu’il fut arrivé dans ce lieu, il fit un sacrifice aux
Dieux
, et envoya ses compagnons à une fontaine voisine,
it si belle, qu’elle fut recherchée de plusieurs d’entre les premiers
Dieux
, qui renoncèrent à l’épouser, lorsqu’ils appriren
e fut mariée à Pélée, roi de la Phthiotide en Thessalie ; et tous les
Dieux
et toutes les Déesses du ciel, de la terre et des
l’éclat de la beauté, et fut enlevée par les Heures dans le ciel. Les
Dieux
la trouvèrent si belle, qu’ils la nommèrent la Dé
enfin redevenir vous-mêmes, vous pourrez encore, avec le secours des
Dieux
, retrouver et mettre à profit les occasions impru
publique, et par sa confiance surtout dans la protection déclarée des
dieux
. 58« Tandem aliquandò, Quirites, L. Catilinam,
, en ranimant la confiance des Romains, par l’idée consolante que les
dieux
ne peuvent abandonner une cause devenue la leur.
rd’hui, Et le profond mépris qu’il inspire pour lui. Scipion, qui des
dieux
fut le plus digne ouvrage ; Scipion, ce vainqueur
ret est qu’il ne soit pas sorti en plus nombreuse compagnie. Plût aux
Dieux
qu’il eût emmené avec lui toute sa suite ! Qui l’
spoir le plus légitime. Dans une lutte, dans un combat semblable, les
Dieux
eux-mêmes ne sont-ils pas intéressés (quand le se
ès, mais sur les preuves fréquemment renouvelées de la protection des
Dieux
. Ce sont eux qui m’ont conduit, ce sont eux qui m
ille en proie à la brutalité d’un vainqueur forcené ; les temples des
dieux
, les maisons des particuliers abandonnés au pilla
au-delà ni peines à craindre ni plaisirs à espérer. Mais, au nom des
dieux
, pourquoi n’avez-vous pas ajouté qu’ils seraient
res qui ont déclaré la guerre à leur patrie, à leurs parents, à leurs
dieux
et à leurs propres foyers. Mais il s’agit bien pl
de prendre un parti, rassurés sans doute par votre confiance dans les
dieux
immortels, qui ont si souvent retiré la républiqu
point par des vœux, par de timides supplications que l’on se rend les
dieux
propices ; c’est par la vigilance, par l’activité
esures que l’on arrive au succès. En vain réclamerez-vous l’appui des
dieux
; si vous vous abandonnez à la mollesse, à la lâc
entulus, s’il a respecté lui-même ce qu’il se doit, ce qu’il doit aux
dieux
et à ses semblables : respectez la jeunesse de Cé
are(b) fameux s’assujétit au mors ; Tels les chevaux d’Achille, et du
dieu
de la Thrace(c), Souffloient le feu du ciel, d’où
it jeune, ardent, rapide. Fût-il sorti d’Épire(c) ; eût-il servit les
Dieux
; Fût-il né du Tridentd ; il languit s’il est vie
ns est une affreuse injure ; Leur unique héritage est le courroux des
Dieux
. Trop aveugle Persés, ouvre tes foibles yeux : A
dé de précipices ; Il mène à la vertu, mais non par les délices : Les
Dieux
au-devant d’elle ont placé des travaux, Des péril
en prose par l’abbé Bergier, ainsi que la théogonie ou génération des
dieux
du même poëte, le seul que la Grèce ait produit e
Dieu ce mortel orgueilleux, Qui fit la guerre au ciel, et détrôna les
Dieux
. L’âme ne me parut qu’une foible étincelle, Que l
chrétien, et de recevoir le baptême, au moment où l’on va offrir aux
dieux
du paganisme un. sacrifice, pour les remercier de
erneur du pays, offre la vie à Polieucte, pourvu qu’il adore les faux
dieux
: voilà une action libre. Celui-ci refuse constam
Néarque son ami, et brise pendant le sacrifice, les statues des faux
dieux
. Néarque est mis à mort par l’ordre du gouverneur
: la malheureuse Œnone veut les étouffer en lui représentant que les
Dieux
ont quelquefois brûlé de feux illégitimes. Phèdre
s d’Ae. On poussa même la licence jusqu’à attaquer la religion et les
dieux
. Lamaque, général des Athéniens, rendit, vers l’
vrait à peine l’audace avec laquelle il blesse la pudeur, outrage les
dieux
mêmes. Il n’est pas possible de le lire, sans voi
rable, tu cours à ta perte infaillible. Neptune, par le fleuve(a) aux
Dieux
mêmes terrible, M’a donné sa parole et va l’exécu
vrez-leur donc la mère. Vos sermens m’ont tantôt juré tant d’amitié ;
Dieux
! ne pourrois-je au moins toucher votre pitié ! S
mnon pressé par Ulysse d’obéir à l’oracle, effrayé d’ailleurs par les
Dieux
qu’il voyoit menaçans pendant son sommeil, écrivi
es. Ulysse même le blâme de songer à son amour, dans un temps, où les
Dieux
irrités demandent du sang peut-être, et du plus p
n’a aucune connoissance. Ulysse presse alors Agamemnon d’immoler aux
Dieux
leur victime, puisqu’eux-mêmes ont pris soin de l
n. Sa perte à ses vainqueurs coûtera bien des larmes. Iphigénie. Les
Dieux
daignent sur-tout prendre soin de vos jours ! Ag
s Dieux daignent sur-tout prendre soin de vos jours ! Agamemnon. Les
Dieux
, depuis un temps, me sont cruels et sourds. Iphi
s vous a-t-il conté Quel bonheur dans le camp vous avez apporté ? Les
Dieux
vont s’appaiser. Du moins Calchas publie Qu’avec
Mais ce héros pourra-t-il la soustraire à la mort, contre l’ordre des
Dieux
et la volonté du roi ? AV. Eriphile, toujours ja
ienne à bout de la sauver, est tentée d’aller divulguer la menace des
dieux
, pour allumer le feu de la discorde dans tout le
Quels lauriers me plairont de son sang arrosés ? Je veux fléchir des
Dieux
la puissance suprême. Ah, quels Dieux me seroient
g arrosés ? Je veux fléchir des Dieux la puissance suprême. Ah, quels
Dieux
me seroient plus cruels que moi-même ! Non, je ne
Cette incertitude est terrible. AV. Toute l’armée, qui a su que les
Dieux
ont ordonné le sacrifice d’Iphigénie, s’est oppos
is, et expliquant l’oracle, a déclaré que la victime demandée par les
Dieux
, étoit une autre Iphigénie, née d’un mariage secr
ller se signaler sous les remparts de Troie, quoi qu’il sache que les
Dieux
y ont marqué son tombeau. C’est à Agamemnon qu’il
obstacles ; L’honneur parle, il suffit ; ce sont là nos oracles. Les
Dieux
sont de nos jours les maîtres souverains : Mais,
Troie(c), et j’y cours ; et quoi qu’on me prédise, Je ne demande aux
Dieux
qu’un vent qui m’y conduise ; Et quand moi seul e
e tremblai, Sophronyme, et tremblai pour moi-même…. Pour appaiser les
Dieux
, je priai.… Je promis…. Non, je ne promis rien, D
ur appaiser les Dieux, je priai.… Je promis…. Non, je ne promis rien,
Dieux
cruels ! j’en frémis….. Neptune, l’instrument d’u
m’ôte ; Et si Rome demande une vertu plus haute, Je rends grâces aux
Dieux
de n’être pas Romain Pour conserver encor quelque
i je le suis, vous en souvient-il bien ? Néarque. J’abhorre les faux
Dieux
. Polyeucte. Et moi je les déteste. Néarque. Je
ns la pompe la plus éblouissante. On y voit au nombre des acteurs les
dieux
du ciel, de la terre, des enfers ; des ombres, de
les arrêts sont immuables, se déclare en faveur d’un mortel ; et les
dieux
rivaux, forcés d’obéir, consentent que l’heureux
. La déesse Thétis, sœur de celui-ci, excite une tempête : mais Eole,
dieu
des vents, vient calmer les flots. AI. Lycomède
r, qui les enlève sous la conduite d’une troupe volante de suivans du
dieu
des enfers. Acte V Le triomphe d’Alcide répand l
merveilleux n’est plus si général. On n’est plus si avide de voir ces
dieux
, du premier ou du second ordre, ces fées, ces gén
s. Les temps sont arrivés. Cessez, triste chaos. Paroissez, Elémens.
Dieux
, allez leur prescrire Le mouvement et le repos. T
e des fruits, couvre toi de verdure. Naissez, mortels, pour obéir aux
Dieux
. L’opéra demande des vers libres et coupés, parc
’humanité entière. Dans l’Enéide, le héros troyen, qui transporte ses
dieux
en Italie, fait naître l’intérêt de religion par
entend par ce mot, comme je l’ai dit ailleurs, 1°. l’intervention des
dieux
, 2°. celle des êtres moraux ou métaphysiques pers
es qui sont hors du cercle des idées communes. 1°. L’intervention des
dieux
: première branche du merveilleux de l’épopée. Da
nche du merveilleux de l’épopée. Dans toutes les espèces de culte, le
dieu
qui en étoit l’objet, a toujours été regardé comm
te pour les peuples, étoit aidé ou traversé par quelques-uns de leurs
dieux
, subordonnés néanmoins à un être suprême, qui avo
et de la destinée du héros. Ainsi nous voyons dans l’Iliade tous les
dieux
partagés entre les Troyens et les Grecs, mais obl
e destin l’a ainsi ordonné. On peut aisément juger que ce mélange des
dieux
et des hommes dans une action, sert à rendre le r
euvent rien sans le secours de la Divinité, mais encore qu’il y a des
dieux
vengeurs et rémunérateurs, qui punissent ou favor
ns certaines circonstances de leur vie, selon qu’ils le méritent. Les
dieux
doivent donc être et sont réellement les grands a
acteurs de l’épopée : les hommes en sont les acteurs subalternes. Les
dieux
font les fonctions des causes premières : les hom
elles des causes secondes. L’action a été résolue dans le conseil des
dieux
: ce sont les hommes qui l’exécutent. C’est pour
pour cette raison que ceux ci sont presque toujours sur la scène. Les
dieux
ne doivent y paroître que de loin à loin, pour y
rels est conservée. On a reproché à Homère d’avoir fait descendre les
dieux
dans de trop petits détails ; lorsque Minerve rap
hâte de le ramasser, et le rend à ce guerrier. Ajoutons que quand les
dieux
paroissent dans l’épopée, ils ne doivent pas s’y
grandeur. Les mortels en seroient éblouis et atterrés. D’ailleurs ces
dieux
ne pourroient alors opérer que des miracles ; sin
ux. Le poëte doit donc se contenter de représenter la conduite de ces
dieux
, (il ne s’agit encore ici que des divinités du pa
ce qui surprend, frappe, saisit, attache(i). Cette intervention des
dieux
produit un bien bel effet dans les poëmes d’Homèr
observer à la rigueur ce que j’ai dit ci-dessus de l’intervention des
dieux
. Les anges, les saints et les démons ne doivent p
œur faux, à l’œil louche, Le démon des combats respirant les fureurs,
Dieux
enivrés de sang, Dieux dignes des ligueurs. Aux r
e, Le démon des combats respirant les fureurs, Dieux enivrés de sang,
Dieux
dignes des ligueurs. Aux remparts de Paris ils fo
de son autel, teint du sang des humains, Tomba ce fier Dragon(c), ce
dieu
des Philistinsd, Lorsque du Dieu des Dieux, en so
Tomba ce fier Dragon(c), ce dieu des Philistinsd, Lorsque du Dieu des
Dieux
, en son temple apportée, A ses yeux éblouis l’arc
ant. Le Tasse a eu l’inadvertance de donner à ses démons les noms des
dieux
infernaux et des furies du paganisme. Milton a fa
Iliade a personnifié les prières. « Elles sont filles du maître des
dieux
; elles marchent tristement, le front couvert de
lade(a), et le dernier monstre qu’enfanta la terre irritée contre les
dieux
. Le pied de cet étrange oiseau est aussi léger qu
noires, livides et plus sanglantes que lumineuses. Ce monstre, ou ce
dieu
, est le gardien de ces mers, dont aucun vaisseau
ici que le poëte doit la présenter sous cette parure attrayante. Les
Dieux
interviennent dans l’épopée : des héros y agissen
est le cœur qui est dans l’ivresse du transport : le poëte possédé du
dieu
qui l’inspire, y peint avec des traits de feu le
rit qui est dans l’extase de l’admiration : le poëte, instruit par le
dieu
qu’il a invoqué, y raconte, avec autant de chaleu
aborda le premier aux rivages de Lavinium. Objet de la vengeance des
Dieux
, que le ressentiment de Junon (a) avoit armés con
up à souffrir des fureurs de la guerre, tandis qu’il transportoit ses
Dieux
dans le Latium(b), et qu’il y élevoit les murs d’
s. Qu’on ne me vante plus les voyages du fameux Troyen, qui porta ses
Dieux
en Italie ; ni veux du sage Grace, qui revit Itha
nemi. Dans une cour du palais, il y avoit un grand autel consacré aux
Dieux
Pénates(a), et ombragé par un vieux laurier. C’ét
’il y a quelque justice dans le ciel, qui punisse les crimes, que les
Dieux
vengent l’action inhumaine que tu viens de commet
re gloire. N’est-il donc plus d’espoir, même après ce revers ; Et ces
Dieux
par le sort bannis des cieux déserts, Croirois-je
à Jupiter de l’acharnement de Junon contre son fils Enée. Le père des
Dieux
la console, en lui dévoilant ce que les destins r
à peine y fut-il arrivé, que la peste se mit dans son camp. Alors ses
dieux
pénates lui déclarèrent, durant la nuit, que l’It
tte. Anchise apparoissant en songe à Enée, lui ordonne de la part des
Dieux
, de laisser en Sicile les vieillards et les femme
re, dans un pays où régnoit Latinus, père de Lavinie, que l’oracle du
dieu
Faune destinoit à un prince étranger. Ce monarque
e de ses alliés. VIII. Livre. Le héros troyen, suivant le conseil du
dieu
du Tibre, va demander du secours au roi Evandre,
u rempart dans le Tibre, et va rejoindre l’armée. X. Livre. Tous les
Dieux
de l’Olympe s’assemblent par l’ordre de Jupiter,
e l’univers : il faut qu’il peigne dans son ouvrage les hommes et les
Dieux
; par conséquent, qu’il y fasse entrer ce qu’il y
r les causes surnaturelles, par conséquent, sans faire intervenir les
Dieux
. Mais il faut qu’en racontant, ou en faisant parl
ntre qui ait paru. On lui impute, dit Voltaire, l’extravagance de ses
Dieux
et la grossièreté de ses héros. C’est reprocher à
donné à ses figures les habillemens de son temps. Homère a peint les
Dieux
tels qu’on les croyoit, et les hommes tels qu’ils
e, allons le voir pour la dernière fois. Céphise. Que dites-vous ? ô
dieux
! Andromaque. Que dites-vous ? ô dieux !O ma ch
Céphise. Que dites-vous ? ô dieux ! Andromaque. Que dites-vous ? ô
dieux
!O ma chère Céphise, Ce n’est point avec toi que
t sur moi. Je voue à votre fils une amitié de père ; J’en atteste les
dieux
, je le jure à sa mère : Pour tous mes ennemis je
fait ? à quel titre ? Qui te l’a dit1 ? Oreste. Qui te l’a dit ?Oh
dieux
! quoi ! ne m’avez-vous pas Vous-même ici, tantôt
parce qu’elle meurt faut-il que vous mouriez ? Oreste. Elle meurt !
dieux
! qu’entends-je ! Pylade. Hé quoi ! vous l’ignor
ber, Lever les yeux au ciel, se frapper et tomber. Oreste. Grâce aux
dieux
, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te lou
je frissonne ? Quelle horreur me saisit ? Grâce au ciel, j’entrevoi…
Dieux
! quels ruisseaux de sang coulent autour de moi !
, Hermione l’embrasse ! Elle vient l’arracher au coup qui le menace !
Dieux
! quels affreux regards elle jette sur moi ! Quel
re amère ; et c’est cette ironie, déjà établie par les mots grâce aux
dieux
, qui amène et justifie le mot d’espérance. Cette
en elle la compagne de leurs travaux, la mère de leurs enfants. Leurs
dieux
ne sont pas les fantasques et grossières visions
lant comme Mars, mais emporté et téméraire, jusqu’à lutter contre les
dieux
eux-mêmes. Ajax, avec son bouclier doublé de sept
t aux foules la crainte et le respect. — « Mais, dit-il lui-même, les
dieux
ne prodiguent pas à tous les hommes tous les heur
beauté, le génie, l’éloquence. Tel est d’apparence chétive, mais les
dieux
l’ont couronné d’éloquence, et les hommes prennen
and il marche dans la ville, les peuples le regardent passer comme un
dieu
. Tel autre, au contraire, a la beauté des immorte
uple foulé par la guerre. Aie pitié de lui, et il t’honorera comme un
dieu
et te comblera d’honneurs et de gloire. » — Voil
nt au cœur, imprimés en traits de feu par l’éducation, le respect des
dieux
qui les ont protégés contre les barbares et l’amo
motion réelle que donne la présence d’un grand danger. Il supplie les
dieux
de conduire sa langue et d’éloigner de sa pensée
Où les raisonnements humains échouent, il fait parler les oracles des
dieux
, les explique et quelquefois les achète. Interpré
ui a perdu son printemps, il dit que ceux-ci sont immortels comme les
dieux
: Car nous ne voyons pas les dieux en leur essenc
e ceux-ci sont immortels comme les dieux : Car nous ne voyons pas les
dieux
en leur essence ; mais par les honneurs qu’on leu
âmes au recueillement nécessaire à la délibération. Il invoquait les
dieux
, il les priait d’éclairer les Athéniens et de lui
ins, sur l’avenir, sur le secours du ciel.— Et encore : — Ah ! si les
dieux
pouvaient vous donner la force de vouloir, comme
n n’est perdu encore, qu’un effort vigoureux peut les sauver, que les
dieux
, toujours aussi prompts à réparer leurs fautes qu
Grèce, la sympathie de toutes les cités libres, et la protection des
dieux
. L’ambition même du Macédonien, qui menace de dév
uite Olynthe devenue leur alliée par la merveilleuse intervention des
Dieux
. — Cette ville, leur dit-il, est menacée par Phil
it-il les orateurs qu’il a payés pour vous tromper ? Mais, au nom des
dieux
, vous qui criez si haut que Philippe ne vous fait
ô Athéniens, ferez-vous ce qu’il faut faire ? Qu’attendez-vous, bons
dieux
? L’occasion ? la nécessité ? Mais ce qui se pass
entier. Nous le remercions d’avoir autorisé nos emprunts. « Apollon,
dieu
sauveur, Dieu des savants mystères, Dieu de la vi
Apollon, dieu sauveur, Dieu des savants mystères, Dieu de la vie, et
dieu
des plantes salutaires, Dieu vainqueur de Python,
de la vie, et dieu des plantes salutaires, Dieu vainqueur de Python,
dieu
jeune et triomphant, Prends pitié de mon fils, de
ndonnant aux voiles, T’éloigner de nos bords sur la foi des étoiles ?
Dieux
! je t’ai vue en songe, et, de terreur glacé, J’a
his donner ton nom et plaindre mon amour ! Que j’adressai de vœux aux
dieux
de l’onde amère ! Que de vœux à Neptune, à Castor
ardent, je dérobe les feux Dont j’anime l’argile, et dont je fais des
dieux
. Tantôt chez un auteur j’adopte une pensée, Mais
ment du 20e livre de l’Iliade. C’est le moment où Jupiter a rendu aux
Dieux
la permission de se mêler de la querelle des Grec
la briser, et que les régions des morts, hideuses, infectes, dont les
dieux
même ont horreur, ne se découvrent aux yeux des m
o Dejicit. Dans cette nuit affreuse, environné d’éclairs, Le roi des
dieux
s’assied sur le trône des airs. La terre tremble
ules. C’est ce qu’a fait Claudien. Dans un fragment sur la guerre des
dieux
contre les géants, ce boursouflé déclamateur nous
mer, et l’enfer et les cieux, Et le sceptre des rois et la foudre des
dieux
. Tout cela, il faut en convenir, est d’un déclam
ay His dark dominions open to the day, ne vaut pas Il a peur que ce
dieu
, dans cet affreux séjour, D’un coup de son triden
n, and dreadful e’en to gods. Abhorré des mortels, et craint même des
dieux
. 6. Pope a voulu l’étendre, l’embellir, et il
éduits en poudre dans la guerre qu’ils osèrent déclarer au maître des
Dieux
. Quant aux inscriptions qui ont été faites en not
é vers nous descend des cieux ? Est-ce Vénus, Pallas, ou la reine des
Dieux
Dont nous ressentons la présence ?
Viens remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces enfants des
Dieux
, Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen,
, Répand sur son urne azurée Des pleurs qui grossissent ses eaux, Les
Dieux
enfants de Cythérée170, À la lueur de leurs flamb
Viens remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces enfants des
Dieux
, Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen,
Viens remplir les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces enfants des
Dieux
, Unissent leurs tiges fécondes : Descends, Hymen,
poux, semblable aux immortels, S’empresse et vole sur ses traces. Des
Dieux
par l’Hymen avertis La troupe auguste est assembl
st fait, l’Amour et la Gloire183 Couronnent nos tendres amants : Les
Dieux
ont gravé leurs serments Au Temple immortel de Mé
; Tu remplis les vœux des deux mondes. Les Bourbons, ces enfants des
Dieux
, Ont uni leurs tiges fécondes : Remonte, Hymen, r
pénétra dans les cieux : Il prit le feu sacré qui n’appartient qu’aux
dieux
. Il en fit part à l’homme ; et la race mortelle D
ux. Quels biens doit renfermer cette boîte si belle ! De la bonté des
dieux
c’est un gage fidèle ; C’est là qu’est renfermé l
est là qu’est renfermé le sort du genre humain : Nous serons tous des
dieux
… Elle l’ouvre ; et soudain Tous les fléaux ensemb
; Mais le Refus altier rend ces vierges cruelles. Près du maître des
dieux
leur gémissante voix Accuse l’insensé qui méconnu
rie des Prières par ces deux vers presque ridicules : On offense les
dieux
; mais par des sacrifices De ces dieux irrités on
ue ridicules : On offense les dieux ; mais par des sacrifices De ces
dieux
irrités on fait des dieux propices ; a cependant
les dieux ; mais par des sacrifices De ces dieux irrités on fait des
dieux
propices ; a cependant bien réussi dans ce morce
e faux de cette pensée est facile à découvrir. Quel rapport entre les
Dieux
créant le monde, et les Belges opposant un rempar
beaucoup plus à vaincre, pour rendre leur contrée habitable, que les
Dieux
pour créer l’univers !… C’est se jouer sans pudeu
i-même, qui prête ce même sentiment à la terre, lorsque le maître des
dieux
presse son auguste épouse entre ses bras : Τοίσι
ὑψόσ᾽ ἔεργε, etc. (Ιλ. Ξ, v. 347). La terre ouvre son sein sous le
dieu
qui la presse. Autour du couple heureux sont moll
ribuée à une providence particulière, dit que la religion même et les
dieux
y ont été sensibles : Religiones, mehercule, ips
ur le faîte, il aspire à descendre. (Corneille). La crainte fit les
dieux
: l’audace a fait les rois. (Crébillon). Et cett
ate to the throne above. (Book ix. v. 624). 40. Dans la Guerre des
Dieux
anciens et modernes, poème, où la poésie la plus
nos usages. Pour moi, je viens ici, n’ayant de confiance que dans les
dieux
, dans mes juges et dans nos lois, convaincu d’ava
mosthène. Le voici : « Je commence, Athéniens, par conjurer tous les
dieux
et toutes les déesses de vous inspirer pour moi,
; c’est le langage de la vérité et de l’innocence ; l’invocation aux
Dieux
, qui le commence et le termine, devait produire l
qui ne pensait pas que l’on pût se jouer impunément de la majesté des
Dieux
. Eschine, après avoir prouvé, comme on prouve en
lâchement abandonné son poste ! Au nom de Jupiter, au nom de tous les
dieux
, je vous en conjure, Athéniens, n’érigez point su
justice et aux intérêts de la république ». Une prière adressée aux
Dieux
, prière simple, mais sublime, termine la harangue
mais sublime, termine la harangue de Démosthène. « Qu’aucun de vous,
Dieux
puissants, ne favorise leurs désirs (des mauvais
st faible ? à avoir des mœurs, où le vice a même perdu la honte ? Les
dieux
protecteurs de votre empire dérobèrent Marc-Aurèl
x qui lui avaient fait connaître Brutus et Thraséas ; il remercia les
dieux
d’avoir pu lire les Maximes d’Épictète : son âme
longtemps à ce projet de renoncer à l’empire. Je vis que l’ordre des
dieux
m’appelait à servir la patrie, et que je devais o
: Marc-Aurèle a réparé nos malheurs. Carthage a remercié une fois les
dieux
d’être romaine. — Il approcha, toucha la tombe, e
t’a tenu enfant dans ses bras ; songe au fardeau que t’ont imposé les
dieux
; songe aux devoirs de celui qui commande, aux dr
on baisa sa main parricide, et l’on courut aux temples remercier les
dieux
. Ne te laisse pas non plus éblouir par les respec
t’estimer. Ô fils de Marc-Aurèle ! pardonne ; je te parle au nom des
dieux
, au nom de l’univers qui t’est confié ; je te par
r plus d’expérience. — Que la couronne soit donc à vous, Cambyse, les
dieux
vous la défèrent ; et, autant qu’il est en mon po
droit de se plaindre. » Je vous conjure donc, mes enfants, au nom des
dieux
, de votre patrie, d’avoir des égards l’un pour l’
l’âme reste et périt avec le corps, craignez, du moins, craignez les
dieux
qui ne meurent point, qui voient tout, qui peuven
rien penser même qui puisse blesser la piété et la justice. Après les
dieux
, craignez les hommes en général, et les races fut
els de l’orgueil et du caprice des autres ? Mais, j’en atteste et les
Dieux
et les hommes, la victoire est à nous. Jeunes et
uite de plusieurs palais, et que nous ayons à peine un asile pour nos
Dieux
domestiques ? Ils achètent des tableaux, des stat
aurait vengé du moins celle de Varus et de ses trois légions. Car aux
Dieux
ne plaise que les Belges, malgré l’offre qu’ils e
il de la Germanie. » Âme du divin Auguste, reçue maintenant parmi les
Dieux
! Mânes de Drusus, mon père, dont tout rappelle i
sant même ma mort naturelle, j’aurais encore sujet de me plaindre des
Dieux
, dont la sentence prématurée m’enlèverait, dans l
ollin, pour les œuvres de Racine, de Corneille, de Rollin. Le nom des
dieux
du paganisme se prend pour la chose à laquelle il
e a pu lui survivre et qu’elle vient de se donner la mort. Grâce aux
dieux
mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te loue
ie. Pluton sort de son trône ; il pâlit et s’écrie : Il a peur que ce
dieu
, dans cet affreux séjour, D’un coup de son tride
aux vivants cet empire odieux, Abhorre des mortels et craint même des
dieux
. Fragments de l’Iliade ; traduits par Boileau. P
e-même sous l’image d’une bergère qui recommande ses brebis à Pan, le
dieu
des bergers : par son troupeau, elle désigne ses
le dieu des bergers : par son troupeau, elle désigne ses enfants ; le
dieu
Pan, c’est le roi, à qui elle les recommande. La
peut plus le défendre de la fureur des loups ; elle le recommande au
dieu
des pasteurs. Dans ces prés fleuris Qu’arrose la
force de son bras, et par le nombre de ses soldats, devient comme le
dieu
des autres hommes, et, rempli de gloire en lui-mê
il applaudissait lui-même, et il s’écria dans sa colère : « Plût aux
dieux
que le peuple romain n’eût qu’une tête, je la fer
on baisa sa main parricide, et l’on courut aux temples remercier les
dieux
. Ne te laisse pas éblouir par des respects. Si tu
t’estimer. Ô fils de Marc-Aurèle ! pardonne : je te parle au nom des
dieux
, au nom de l’univers qui t’est confié ; je te par
utels ; Il monte, il y saisit, d’une main assurée, Pour les fêtes des
Dieux
la bâche préparée. Les éclairs sont moins prompts
’ai vu qui frappait ce monstre audacieux. « Meurs, tyran, disait-il :
Dieux
, prenez vos victimes ! » Érox, qui de son maître
sassinés dans les places publiques ; Les autres dans le sein de leurs
dieux
domestiques ; Le méchant par le prix au crime enc
l me pousse, il me presse, il me jette à tes pieds. César, au nom des
dieux
dans ton cœur oubliés, Au nom de tes vertus, de R
mers, que ton trident vengeur Ouvre une tombe à l’adultère ! Et vous,
dieux
de l’Olympe, ordonnez au tonnerre De dévorer le r
a honte Sont dans tous les yeux ; Hector seul affronte Achille et les
dieux
. Sur les restes d’Hector qu’on épanche une eau p
n, l’ivresse et l’arrogance. « Chantez cette Ilion proscrite par les
dieux
, « Chantez, nous diront-ils, misérables captives,
Imité d’Euripide). L’Aveugle « Dieu dont l’arc est d’argent,
dieu
de Claros, écoute ; Ô Sminthée Apollon, je périra
Si plutôt, sous un corps terrestre et passager, Tu n’es point quelque
dieu
protecteur de la Grèce, Tant une grâce auguste en
faveur qui soit pure : Ta voix noble et touchante est un bienfait des
dieux
; Mais aux clartés du jour ils ont fermé tes yeux
rives de Carie, Si la Grèce pour moi n’aurait point de patrie, Et des
dieux
moins jaloux, et de moins tristes jours : Car jus
s. Je voulais des grands dieux implorer la bonté, Et surtout Jupiter,
dieu
d’hospitalité, Lorsque d’énormes chiens, à la voi
n’est point comme tes yeux, « Amuse notre ennui, tu rendras grâce aux
dieux
… » J’ai fait taire mon cœur qui voulait les confo
ondre ; Ils n’ont pas entendu ma voix, et sous ma main J’ai retenu le
dieu
courroucé dans mon sein. Cymé, puisque tes fils d
e, Sur un arbuste assise, et se console et chante. Commençons par les
dieux
: Souverain Jupiter ; Soleil, qui vois, entends,
ui vois, entends, connais tout, et toi, mer, Fleuves, terre, et noirs
dieux
des vengeances trop lentes, Salut ! Venez à moi,
près sa mort ! C. Delavigne 3. Le jeune Malade « Apollon,
dieu
sauveur, dieu des savants mystères, Dieu de la vi
C. Delavigne 3. Le jeune Malade « Apollon, dieu sauveur,
dieu
des savants mystères, Dieu de la vie, et dieu des
Apollon, dieu sauveur, dieu des savants mystères, Dieu de la vie, et
dieu
des plantes salutaires, Dieu vainqueur de Python,
de la vie, et dieu des plantes salutaires, Dieu vainqueur de Python,
dieu
jeune et triomphant, Prends pitié de mon fils, de
fleurs, une onde pure, Aucun lieu n’est si beau dans toute la nature.
Dieux
! ces bras et ces fleurs, ces cheveux, ces pieds
sa tendresse, Sa voix, trop heureux père ! enchantent ta vieillesse.
Dieux
! par-dessus la haie élevée en remparts, Je la vo
ent voir, dit-on, sans peine et sans effroi ? Cette belle Daphné ?… —
Dieux
! ma mère, tais-toi, Tais-toi. Dieux ! qu’as-tu d
effroi ? Cette belle Daphné ?… — Dieux ! ma mère, tais-toi, Tais-toi.
Dieux
! qu’as-tu dit ? Elle est fière, inflexible ; Com
ux pieds du vieillard, gémis, implore, presse ; Adjure cieux et mers,
dieu
, temple, autel, déesse ; Pars ; et si tu reviens
omme possèdera-t-il sans trouble la gloire d’être plus craint que les
dieux
(on parlait ainsi en ce temps-là) ? Goûtera- t-il
ulaire, Comme le grain criblé sur l’aire, Les lois, les dogmes et les
dieux
! Las de cet assaut de parole, Il guide Alexandr
Des ruines c’est le génie Qui prend les rênes d’Attila ! Lois, Forum,
dieux
, faisceaux, tout croule ; Dans l’ornière de sang
es, Les autres rongeant dans leurs bouches Les mors des tyrans ou des
dieux
: Mais l’esprit, par diverses routes, À son tour
randeur : si bien qu’ils se laissèrent charmer par ces douces voix de
dieux
tutélaires de la patrie et de restaurateurs de la
d’abuser de sa gloire, comme d’une jeunesse fugitive. À l’instar des
dieux
d’Homère, il veut arriver en quatre pas au bout d
. D’un fatal orgueil emportée, La race humaine osa braver l’ordre des
Dieux
; Le téméraire Prométhée, Pour l’offrir aux morte
is à saisir sa victime, La mort précipita ses pas. Du ciel malgré les
Dieux
sur une aile rapide Dédale affronta les déserts ;
ut maîtriser votre fureur impie ? Quels pleurs vous émouvoir ? Et des
Dieux
immortels En quels lieux a-t-on vu votre rage ass
le meurtre et sans les rapines Ne saurait-elle subsister ? Images des
dieux
sur la terre, Est-ce par des coups de tonnerre Qu
ans croîtra toujours nouvelle, Tandis que la Vestale et le prêtre des
Dieux
, Dans un recueillement pieux, Graviront la roche
rté Tu n’as rien toi, Tyrol, ni temples ni richesse, Ni poètes ni
dieux
, tu n’as rien, chasseresse ! Mais l’amour de ton
Homère le savait bien, et c’est pourquoi, s’il donnait à l’Océan des
dieux
terribles et des monstres, il le peuplait en même
ion en est riante ; un bois sacré l’ombrage du côté du couchant ; les
dieux
de Syrie, qui habitent quelquefois la terre, n’y
oin que j’ai de vous me chasse de mon lit et de ma chambre : plût aux
dieux
que je ne fusse ni votre client ni votre fâcheux
la gloire et le danger. Il demande mon père… il entre… Ô misérable !
Dieux
cruels ! mal sacré ! Vénus impitoyable ! À son pr
Un torrent de bonheur coule à flots dans mon sein ! Comme si quelque
dieu
m’eût jetée en délire, Je sentais, malgré moi, ma
e, Il fallait dépouiller mon père… je le fis ! Trahir notre cité, nos
dieux
… je les trahis ! Mais que devins-je, hélas ! quan
e jeune fille, Sanglotant et criant… Ah ! pourquoi donc, pourquoi Les
dieux
, héros fatal, t’ont-ils conduit vers moi ? Mais,
s pour moi que vous l’avez mandée ? AGAMEMNON. Plaignez-vous donc aux
dieux
qui me l’ont demandée : Accusez et Calchas et le
Dénouement d’Iphigénie ARCAS. N’en doutez point, madame, un
dieu
combat pour vous. Achille, en ce moment, exauce v
Le plus affreux péril n’a rien dont je pâlisse, J’irai partout… Mais,
dieux
! ne vois-je pas Ulysse ? C’est lui : ma fille es
e ! Arcas, il n’est plus temps ! ULYSSE. Non, votre fille vit, et les
dieux
sont contents. Rassurez-vous : le ciel a voulu vo
! prince ! Ô ciel ! je demeure éperdue. Quel miracle, seigneur, quel
dieu
me l’a rendue ? ULYSSE. Vous m’en voyez moi-même,
eul pour elle, Achille furieux Épouvantait l’armée, et partageait les
dieux
. Déjà de traits en l’air s’élevait un nuage ; Déj
L’œil farouche, l’air sombre et le poil hérissé, Terrible et plein du
dieu
qui l’agitait sans doute : « Vous, Achille, a-t-i
ute : « Vous, Achille, a-t-il dit, et vous, Grecs, qu’on m’écoute. Le
dieu
qui maintenant vous parle par ma voix M’explique
lle est devant vos yeux : Et c’est elle, en un mot, que demandent les
dieux
. » Ainsi parla Calchas. Tout le camp immobile L’é
ge dans son sein. À peine son sang coule et fait rougir la terre, Les
dieux
font sur l’autel entendre le tonnerre ; Les vents
ds, sans avoir sous les yeux Le blâme des humains, ni le courroux des
Dieux
. Ah ! vous ne saviez pas qu’au jour de la justice
’enceinte ; Suppliant comme moi, comme moi criminel, Il demandait aux
dieux
un pardon solennel. Un long voile de deuil me cac
Électre, j’oubliais de prier pour moi-même, Et je lui souhaitais des
dieux
moins ennemis, Sans savoir quel forfait ses mains
e, D’un infâme assassin lâchement idolâtre, S’enivre de sa joie !… Un
dieu
persécuteur M’enlève mon soutien et frappe mon ve
un vain fantôme, une ombre… et c’est mon frère ! Triste dépouille, ô
dieux
!… Urne sainte, ouvre-toi ! Oui, place pour la sœ
i clos l’entretien sans plus ample ouverture. C’est alors, plaise aux
Dieux
qu’il soit de bon augure, C’est alors que le brui
ons tout sur la foi de nos yeux, Et laissons le dedans à pénétrer aux
Dieux
, Nous craignons votre exemple, et doutons si dans
omme vous, sur la foi de mes yeux, Et laisse le dedans à pénétrer aux
Dieux
. Ne vit-on pas ici sous les ordres d’un homme ? N
i devait présenter Un poison que votre ordre avait fait apprêter. Les
dieux
de ce dessein puissent-ils le distraire ! Mais pe
vous osez défendre : Des crimes les plus noirs vous souillez tous vos
dieux
: Vous n’en punissez point qui n’ait son maître a
ances. Ami de Dumouriez, veille à tes alliances ! Je ne sais par quel
dieu
son bras fut désarmé ; Mais Achille a paru bien m
était obscurci ! Et le soir, l’ennemi chassé sortait d’ici, Grâce aux
dieux
! — Nos guerriers, gage de sa défaite, Avaient av
ime de soi qu’aucun bien ne compense. Ou l’honnête homme alors, ou le
dieu
doit tomber : Vaincre dans cette lutte est encor
énie, Et qui, de son idole adorateur charmé, Veut immoler le reste au
dieu
qu’il s’est formé. Entends-tu murmurer ce sau
x. Musée en médecine enseigna les miracles, Et l’art d’interroger les
Dieux
et les oracles ; Hésiode, les champs, les travaux
les et moissons remplissent ses discours. Mais le premier de tous, un
dieu
que chacun vante, Homère, d’où lui vient cette gl
inte folie un peuple furieux Chanter : Amour, tyran des hommes et des
dieux
! Puis, ivres des transports qui nous viennent su
est un modèle. Que l’artiste contemple l’Apollon du Belvédère ou les
dieux
informes de l’Inde, il reçoit une impression qui
e, et vantés en tous lieux, Les corrupteurs du goût en paraissent les
dieux
. Honneurs, richesse, emplois, ils ont tout en par
lus, Et la suite inutile et rare D’écrivains qu’on n’a jamais lus. Le
dieu
daigna de sa main même En leur rang placer ses au
on nous fit passer dans l’intérieur du sanctuaire. Là les mystères du
dieu
furent dévoilés ; là, je vis ce qui doit servir d
omme toujours et partout, y serait le premier, le plus semblable à un
dieu
. Les plus antiques des sages et des poètes, ceux
cette loi, ni la vierge terrible Qui siège aux sombres bords près des
Dieux
souterrains. Leurs ordres éternels régissent les
ternels régissent les humains ; Et je n’ai pas pensé qu’au-dessus des
Dieux
mêmes, De leurs prescriptions immuables, suprêmes
naissance. Devais-je, d’un mortel redoutant la puissance, Braver des
Dieux
vengeurs la souveraine loi ? Je savais qu’à mouri
ntent de son sort, de désirs tourmenté, Chacun maudit la place où les
dieux
l’ont jeté. « Que n’étais-je marchand ? » dit ce
, le grand parleur, y perdrait tout son temps. Oh ! je voudrais qu’un
dieu
vînt un beau jour leur dire : « Me voici ; que ch
uel caprice ! « Eh quoi ! vous hésitez ! » Oh ! comme avec justice Le
dieu
leur lancerait un regard furieux, En jurant désor
de ces dons précieux, Des derniers rangs de l’être il peut tirer des
dieux
; Mais ces dieux de sa main, ces fils de sa puiss
ieux, Des derniers rangs de l’être il peut tirer des dieux ; Mais ces
dieux
de sa main, ces fils de sa puissance, Mesurent d’
s amants de l’antique nature Me chanteraient la joie et le mépris des
dieux
, Je leur dirais à tous : « Quoi que nous puission
applaudis, et poursuis mon chemin. Sous les rois absolus je trouve un
dieu
despote ; On nous parle aujourd’hui d’un dieu rép
is absolus je trouve un dieu despote ; On nous parle aujourd’hui d’un
dieu
républicain Pythagore et Leibnitz transfigurent m
bout ; Spinosa, fatigué de tenter l’impossible, Cherchant en vain son
dieu
, croit le trouver partout. Pour le sophiste angla
votre nom respectable avait plus illustrée que toutes ses conquêtes ?
Dieux
! eussiez-vous dit, que sont devenus ces toits de
l me pousse, il me presse, il me jette à tes pieds. César, au nom des
Dieux
dans ton cœur oubliés, Au nom de tes vertus, de R
Qui vient d’arriver à mes yeux, Je croirai désormais, grands
Dieux
! Qu’il n’est rien d’incroyable.
semblent à une flamme étincelante . Mais la description du combat des
Dieux
est une des plus vives et des plus magnifiques qu
partie a été traduite en vers par Boileau. « Le Souverain Maître des
Dieux
et des Hommes tonne du haut du Ciel ; et Neptuneb
ux vivants cet empire odieux, Abhorré des mortels, et craint même des
Dieux
. Toutes ces images sont vraiment sublimes, ainsi
fait un signe de ses noirs sourcils ; les cheveux sacrés du roi des
Dieux
se dressent et se relèvent sur sa tête immortelle
assembler les Divinités de la Cour céleste. Jupiter parle ; tous les
Dieux
se taisent ; la terre tremble ; un profond silenc
uvement de ses sourcils, toute la nature . Le second, que ce père des
Dieux
, en secouant sa terrible chevelure, ébranle le c
nous. Un prince doit être pour son peuple tel qu’il voudrait que les
dieux
fussent à son égard. Si les dieux, indulgents et
n peuple tel qu’il voudrait que les dieux fussent à son égard. Si les
dieux
, indulgents et équitables, ne lancent pas aussitô
être créé, mis en mouvement, et changé par l’ordre tout-puissant des
dieux
. Les avantages dont nous usons, la lumière dont n
estibule des présents pareils à ceux que l’on offre ordinairement aux
dieux
immortels, ils retournèrent dans leurs foyers, sa
aint et très-révéré dans ce pays ; et dans ce temple, la statue de ce
dieu
en airain : on ne peut guère voir de plus bel ouv
au cri des gardiens, un bruit s’est répandu dans toute la ville : les
dieux
de la patrie sont attaqués, non par des ennemis q
Olympien un manteau d’or d’un poids considérable, ornement offert au
dieu
par le roi Hiéron, et pris sur les dépouilles des
or ; et comme, selon l’usage des Grecs, on y avait inscrit le nom des
dieux
auxquels elles appartenaient, avec la qualité de
. » Les Victoires, les coupes, les couronnes d’or que les statues des
dieux
soutenaient de leurs mains étendues, devenaient é
bsurde, ajoutait-il sententieusement, que de demander des faveurs aux
dieux
, et de refuser les dons qu’ils nous présentent. »
s assiégés. On faisait des vœux ardents pour la victoire, lorsque les
dieux
immortels en frayèrent le chemin par un prodige e
Averti par cette double prédiction, le sénat satisfit à la volonté du
dieu
, et presque en même temps se rendit maître de la
viennent de tous côtés battre le na[illisible chars][texte coupé]re !
Dieux
immortels, quel est votre dessein ? Fils de Léda,
ent notre navire ; la tempête ne fait que redoubler de violence ; les
dieux
ne font que s’acharner davantage contre nous : no
u donc de dormir ? Lève-toi, et, dans ce moment critique, invoque ton
dieu
, s’il en est un qui puisse nous [illisible chars]
[illisible chars][texte coupé] suis Hébreu, adorateur de Jehovah, le
dieu
bon, le dieu [illisible chars][texte coupé]and pa
hars][texte coupé] suis Hébreu, adorateur de Jehovah, le dieu bon, le
dieu
[illisible chars][texte coupé]and par excellence,
n butte à cette horrible tempête. — Les Matelots. Nous préservent les
dieux
de te sacrifier à notre salut ! allons, faisons f
ène, rempli d’un épais duvet et couvert de noirs tissus, où repose le
dieu
, enseveli dans une molle langueur. Autour de lui
chez les anciens, que les songes n’arrivaient pas sans la volonté des
dieux
; et quelquefois ils se réalisent d’une manière s
in d’un suppliant, que le roi Crésus, dans une religieuse crainte des
dieux
hospitaliers, avait déjà purifiée d’un meurtre in
thropie. Et l’on reconnaîtrait bien cette vérité, s’il arrivait qu’un
dieu
nous enlevât du milieu des hommes, et, nous plaça
x bords inconnus des mers les plus lointaines. Maudits soient-ils des
dieux
et des déesses, ces gens dont le luxe franchit le
lut. Je vous apprends qu’il m’est né un fils ; et je rends grâces aux
dieux
, non pas tant de me l’avoir donné, que de l’avoir
pompeux mensonges. Ainsi, Troie bâtie par Apollon et Neptune, par des
dieux
devenus mercenaires ; les pierres s’enlevant aux
coude, elle prit la parole : « Sextus Pompée, dit-elle, puissent les
dieux
que je quitte, et non pas ceux que je vais trouve
était préparé le poison, elle en fit une libation à Mercure, pria ce
dieu
de la conduire paisiblement dans le lieu le plus
e un roi tiré de leur sein, et de choisir, comme le plus agréable aux
dieux
, celui qui le premier aurait aperçu le soleil lev
ils furent épargnés ; et, croyant qu’ils avaient été réservés par les
dieux
, les esclaves nommèrent Straton roi de Tyr. Ve
ues-uns donnant l’exemple, tous à la fois saluent Romulus du titre de
dieu
, fils d’un dieu, roi et père de Rome ; ils le sup
l’exemple, tous à la fois saluent Romulus du titre de dieu, fils d’un
dieu
, roi et père de Rome ; ils le supplient de leur ê
Apollon, et feignit de les avoir apportées de Delphes, par l’ordre du
dieu
. Il voulait y habituer les esprits, en faisant cé
se humaine sur la terre, pensait que nous ne devons rien demander aux
dieux
, si ce n’est de nous accorder le bien, parce qu’e
approchait de ses dents ; il avait mêlé à une eau pure la liqueur du
dieu
qui l’avait doué de ce pouvoir : ce sont des flot
donc la parole est le plus précieux bienfait que nous ayons reçu des
dieux
, quelle chose devons-nous estimer plus digne de n
on) tendent leurs mains vers vous en ce moment ; qu’ils conjurent les
dieux
de la patrie, qu’ils implorent votre appui, votre
is me contenter de ce que je vous ai dit. Je vous en conjure, par les
dieux
de la patrie, par ce feu éternel qu’on porte deva
! s’écrie-t-il, puisse tomber sur vos têtes maudites le courroux des
dieux
vengeurs du parjure ! Qu’ils vous réservent le so
ce même temps, Marius, se trouvant à Utique, offrait des victimes aux
dieux
pour les rendre propices. Le devin lui dit que le
grands poëtes que l’affliction et la douleur sont le partage même des
dieux
. Cependant le dénouement de sa vie ne démentit pa
tent d’être au faîte de la grandeur humaine, il se croyait issu de ce
dieu
, ou voulait faire croire à cette origine. Prenant
eil avait tout embrasé : lorsque tout à coup, soit par une faveur des
dieux
, soit par un effet du hasard, des nuages couvrire
nts et montrer le chemin. Enfin, on arriva dans l’endroit consacré au
dieu
. Chose incroyable ! situé entre d’immenses désert
rs [illisible chars][texte coupé]oncubines, et, en outre, l’oracle du
dieu
; la troisième était le poste des gardes et de la
cantique grossier, la mode du pays ; ils espèrent se rendre ainsi le
dieu
favorable, et en obtenir une réponse qui ne les t
’Orphée et Linus. On a dit qu’ils étaient l’un et l’autre enfants des
dieux
; et, comme le premier apprivoisait une multitude
e vérité, quand ils nous apprennent que les louanges des héros et des
dieux
étaient célébrées sur la lyre, à la table des roi
lus de maux. Version XVII. Le Parasite, ou le Flatteur. 17.
Dieux
immortels ! quelle supériorité un homme a sur un
nération, elles les voyaient investis de soldats, et laissaient leurs
dieux
, pour ainsi dire, prisonniers. Tous les habitants
ant (comme le roi en avait donné l’ordre), on épargna les temples des
dieux
. Version XXVII. Quelques particularités sur
terre et du monde, la nature des choses, la force et la puissance des
dieux
, tels sont encore les fréquents sujets de leurs d
commande, le corps qui obéit ; la première nous est commune avec les
dieux
, l’autre, avec les bêtes. Aussi me semble-t-il co
i des qualités opposées et incompatibles entre elles ; ils taxent les
dieux
d’insouciance à notre égard, ils les querellent d
usqu’à maudire la nature, de ce que nous nous trouvons au-dessous des
dieux
, de ce que nous ne sommes pas leurs égaux. Qu’il
s divins, tu les lui ravis : car il faut du temps pour qu’on le croie
dieu
; et cette marque de reconnaissance est toujours
plaçât dans le ciel. Quoi donc ? toi, Cléon, et moi, nous faisons des
dieux
? C’est de nous que le roi tiendra le titre de sa
ux mettre ta puissance à l’épreuve : fais un roi, si tu peux faire un
dieu
; il est plus facile de donner l’empire que le ci
ieu ; il est plus facile de donner l’empire que le ciel. Puissent les
dieux
propices avoir entendu sans indignation les parol
plus que punique, nulle franchise, nuls principes, nulle crainte des
dieux
, nul respect du serment, nulle religion. Ce fut a
es vertus antiques » ; puis, les yeux levés au ciel, ils priaient les
dieux
« de protéger ses enfants, et de les faire échapp
rits fussent ras rassurés, mais on avait mis en balance la colère des
dieux
et celle de César. Les frênes sont abattus, l’yeu
ent vers lui ; on le contemple comme un être envoyé du ciel, comme le
dieu
même de la Victoire. On vante ce qu’il a fait pou
urs réservés aux mortels, mais encore ceux qui n’appartiennent qu’aux
dieux
. Ils luttent avec eux-mêmes pour effacer, par l’é
son exil. Ils portent au-devant de lui, pour le féliciter, ces mêmes
dieux
dont ils avaient appelé la malédiction sur sa têt
la mer, d’avoir concilié la justice avec sa clémence en confiant aux
dieux
de la mer la vengeance de la terre et des hommes.
oient plus une peine, un ordre émané du chef, mais le commandement du
dieu
qu’ils croient présider aux batailles. Ils ont de
mes prières soient conçues pour mon bonheur. J’invoque donc tous les
dieux
, en quelque lieu de la terre qu’ils manifestent a
t aux mortels les prompts et salutaires effets de leur puissance, les
dieux
qui font sentir leur assistance et leur pouvoir p
cuisant regret que me cause votre absence. Enfin, je supplie tous les
dieux
protecteurs de tous les peuples, et même ce bois
ibère, triste souci de ses derniers moments. Pour tout dire enfin, ce
dieu
, qui obtint l’apothéose peut-être plutôt qu’il ne
it pécuniaire qu’il cherche à se rendre propice le souverain même des
dieux
. Version LXXXVIII. On peut retirer quelque
u cirque, célébrés pour la première fois par Romulus, en l’honneur du
dieu
Consus, lors de l’enlèvement des Sabines. Mais, c
portée à l’enjouement, joignit aux expressions de respect envers les
dieux
des danses rustiques et grossières ; ce qui fourn
*. Ces jeux se célébraient le 16 août ; ils étaient dédiés à Consus (
dieu
du conseil), autrement dit, Neptune Equestre (qui
eries mordantes ou bouffonnes, telles qu’elles pouvaient convenir aux
dieux
appelés Satyres dans la Fable. ***. Livius Andro
e vers : Ce que Malherbe écrit dure éternellement. Prophétie du
dieu
de seine Stances 1630 Va-t’en1 à la malheur
, Le sien, je l’ose dire, est si grand et si haut, Que, si comme nos
dieux
il n’a place en nos temples, Tout ce qu’on lui pe
Le châtiment de Rufin a fini par étouffer ce tumulte, et absoudre les
dieux
. » 2. Ce début a de l’ardeur et de l’entrain.
ardeur Eclate par soi-mesme, et moy par ma grandeur. Si du costé des
dieux
je cherche l’avantage, Ronsard est leur mignon, e
ur les mœurs, appelée moralité. Cette action est attribuée tantôt aux
Dieux
, tantôt aux Hommes, et le plus souvent aux animau
de toi que vint Cette querelle envenimée, Où du sang des
Dieux
même on vit le Xanthe202 teint. (Les deux Coqs.)
t en être tiré que de la mythologie, qui est l’histoire fabuleuse des
Dieux
, des demi-Dieux et des héros de l’antiquité. On p
oulaient de ses yeux. » Ô toi, dit-il, que j’honore le plus après les
Dieux
! ô mon père, comme tu reposes doucement ! Que le
auras aussi prié pour moi, ô mon père. Ah ! que je suis heureux ! Les
Dieux
entendent ta prière ; car autrement, pourquoi not
leur religion. Il ne sera donc pas surprenant qu’ils parlent de leurs
Dieux
, et surtout des Divinités champêtres, de Pan, de
nt rendez-le ambitieux. C’est par là que les rois sont semblables aux
Dieux
. Du magnanime Henri266 qu’il contemple la vie : D
au ciel son vol ambitieux, Entretient dans ses vers commerce avec les
Dieux
: Aux athlètes dans Pise268 elle ouvre la barrièr
me recueille les honneurs. Tous nos guerriers sont indomptables : Les
Dieux
, désormais favorables, Sur leurs autels sont reve
ses courses illustres, » Rendit sur ces bords, en deux lustres, » Ses
Dieux
, ses enfants, ses vieillards. » Telle que ce chên
294, et Romulus295 lui-même, qui méritèrent d’être placés au rang des
Dieux
. Mais celui-ci eut à combattre le ressentiment de
essor, et décrire en vers pompeux la guerre des géants303 contre les
Dieux
de l’Olympe ! On le croit entièrement hors de son
yran sanguinaire, Ni des vents et des flots les combats orageux. Des
Dieux
et des mortels le monarque suprême Armé de ses ca
rude, J’ignore ici la servitude De louer qui je dois haïr. Fils des
Dieux
, qui de flatteries Repaissez votre vanité, Appren
nture Chaque jour se montre à mes yeux, Des trésors, dont la main des
Dieux
Se plaît d’enrichir la nature ! Quel plaisir de
, Pauline : il entend vos paroles4 Et ce n’est pas un Dieu comme vos
dieux
frivoles, Insensibles et sourds, impuissants, mut
t assez : Félix, reprenez ce courroux, Et sur cet insolent2vengez vos
dieux
et vous. Pauline. Ah ! mon père3, son crime à pe
regard paternel : Ma mort suivra la mort de ce cher criminel ; Et les
dieux
trouveront sa peine illégitime, Puisqu’elle confo
vous osez défendre : Des crimes les plus noirs vous souillez tous vos
dieux
, Vous n’en punissez point qui n’ait son maître au
endre. Cela renverse ses idées païennes ; aussi va-t-elle dire : Quel
dieu
? 3. Tout beau n’est plus de la langue noble.
comment Corneille parlait ailleurs des idoles (Psaume cxiii.) : Vos
dieux
n’ont point de bras à lancer le tonnerre, Gentils
onnent l’être et les font adorer ! Devienne tout semblable à tous ces
dieux
frivoles Quiconque en eux veut espérer ! 1.
it bien qu’elle n’a plus d’autre recours. Remarquez le mot crime, les
dieux
; elle est païenne, et emploie des arguments païe
ar Linus, par Orphée, ces premiers prêtres inspirés du paganisme, les
dieux
de l’Olympe ; c’est dire qu’elle débute par des c
ter, Junon, Apollon, Mercure, Diane, Minerve, et sans oublier Pan, le
dieu
des bergers et les Muses. Vers le même temps ou,
, dans sa Théogonie, consacre, fixe irrévocablement la généalogie des
dieux
, dans son Héroogonie celle des demi-dieux. Ainsi,
n ne nous le gravera pas plus profondément. » Nous dépendons tous des
dieux
, et, soit que son temple se taise, nous ne faison
ccombais à la loi du destin, j’aurais encore droit de me plaindre des
dieux
qui m’enlèveraient prématurément, et à la fleur d
siasme religieux qu’il réveille dans tous les cœurs pour le culte des
dieux
, pour la majesté des autels, pour les cérémonies
dépouilles de Samarie après avoir brûlé sur leurs propres autels les
dieux
des nations étrangères ; cet homme que Dieu avait
mais allons de ce pas au Capitole en rendre des actions de grâces aux
dieux
. » S’il s’agit de réfuter des raisons, l’orateur
ce qu’il y a de plus inouï. Il y a peu d’heures que, prenant tous les
dieux
à témoin de nos serments, pressant sa main dans l
prit. Bossuet, en parlant du polythéisme égyptien, dit : « Tout était
dieu
, excepté Dieu lui-même. » La pensée vive peint d
une douce vapeur dans tous les contours de cette figure admirable. Ce
dieu
a poursuivi Python contre lequel il a tendu pour
s qui nous restent de Jupiter, vous ne verrez dans aucune le père des
dieux
approcher de la grandeur avec laquelle il se mani
ts que vous offre ici son fils. Les beautés individuelles de tous les
dieux
sont réunies dans cette figure comme dans celle d
traits du plus grand sublime. C’est le moment où Jupiter a rendu aux
dieux
la permission de se mêler de la querelle des Grec
ie : Pluton sort de son trône, il pâlit, il s’écrie, Il a peur que ce
dieu
, dans cet affreux séjour, D’un coup de son triden
aux regards cet empire odieux, Abhorré des mortels et craint même des
dieux
. Ces vers, sans être comparables au modèle, ont
s à l’imagination cette plage hideuse, infecte, qu’abominent même les
dieux
. La Henriade se rapproche quelquefois de l’Iliad
it ainsi : Dans cette nuit affreuse, environné d’éclairs, Le roi des
dieux
s’assied sur le trône des airs. La terre tremble
ont fui, l’homme éperdu frissonne, L’univers ébranlé s’épouvante. Le
dieu
, D’un bras étincelant, dardant un trait de feu, D
ge. Le tableau est imposant. S’assied a du mouvement. Mais ce bras du
dieu
levé, brandissant la foudre étincelante, n’est pa
er, et l’enfer et les cieux, Et le sceptre des rois, et la foudre des
dieux
. Ce n’est plus là que de la déclamation et empru
, dans son cœur a pu naître. Peut-être, dans sa fuite, averti par les
dieux
, Il frissonne, il s’arrête, il revient vers ces l
son malheur. Plus ignoré, sa mort n’eût pu frapper le peuple, et les
dieux
ne l’eussent pas choisi. Puis, c’est au pied des
après le meurtre de sa mère Clytemnestre (tragédie de Crébillon) : Ô
dieux
! que mes remords, s’il se peut, vous fléchissent
eil dont je suis descendue ! J’ai pour aïeul le père et le maître des
dieux
; Le ciel, tout l’univers est plein de mes aïeux.
nia Dardanidum ! Énéide, liv. II. « Ô patrie, ô cité bâtie par les
dieux
! murailles qu’ont illustrées tant de batailles d
me pousse, il me presse, il me jette à tes pieds ; César, au nom des
dieux
, dans ton cœur oubliés, Au nom de tes vertus, de
récation. L’imprécation est une figure par laquelle on invoque les
dieux
du ciel ou des enfers ou telle autre puissance su
fait dire à Œdipe, dans la tragédie de ce nom : Punissez l’assassin,
dieux
qui le connaissez ! Soleil, cache à ses yeux le j
votre nom respectable avait plus illustrée que toutes ses conquêtes !
Dieux
! eussiez-vous dit, que sont devenus ces toits de
Et de cent plaintes importunes Tous les jours fatiguait les
dieux
. Par un beau jour, Jupiter le transporte
pèse pas tant. — Elle pèserait moins encore, Lui dit alors le
dieu
qui lui donnait le choix ; Mais tel en jo
posés. L’innocence et la paix régneront sur la terre ; Et les
dieux
apaisés Oublieront pour jamais l’usage du tonnerr
a moitié de moi-même ? Poursuis ta route, ô voyageur ! Et demande aux
dieux
que ton cœur Ne perde jamais ce qu’il aime. »
la comédie. Ses acteurs n’étaient ni des héros, ni des hommes, ni des
dieux
; mais des personnages tels que Polyphème, Sisyph
e nom de Satura, qui signifiait un bassin, dans lequel on offrait aux
dieux
toute sortes de fruits à la fois, et sans les dis
ns les poèmes de Théognis, des maximes morales ou des invocations aux
dieux
chez Solon, tout cela rentra dans le genre élégia
rophétique. Il est tout rempli, il peut être possédé de la muse ou du
dieu
qui s’est emparé de ses sens : Ce n’est pas un m
l. Le dithyrambe était primitivement une ode à la louange de Bacchus,
dieu
du vin. Cette destination parut excuser chez les
’une poésie lyrique tout à fait déréglée, quel que fût le personnage,
dieu
, homme ou être de raison, à qui on s’adressait. C
n m’épargner en des lieux, D’où tu viens de chasser et le jour et les
Dieux
. Correction. La Correction est une figure,
des hommes corrompus, pour devenir bons : ils admirent le secours des
Dieux
qui les ont conduits, comme par la main, à la ver
, et sentent qu’ils le seront toujours. Ils chantent les louanges des
Dieux
, et ils ne font tous ensemble qu’une seule voix,
diadèmes, dont l’éclat cache tant de craintes et de noirs soucis. Les
Dieux
mêmes les ont couronnés de leurs propres mains av
ns précieux, Il charge ses mains épurées Des prémices qu’il offre aux
Dieux
. Sous un vieux chêne, il sait attendre Le décli
i régnait dans ces lieux ? Quel Dieu les embellit ? le plus petit des
Dieux
Fait seul tant de métamorphoses.
. l. Voyez ce mot, ibid. m. Voyez ce mot, ibid. 1. C’est ici le
dieu
du Rhin, qui suivant la fiction d’un poète, a pri
é par Aristée sur la cause de ses malheurs, lui répond : Tremble, un
dieu
te poursuit ! pour venger ses douleurs, Orphée a
entit de joie. Eurydice s’écrie : « Ô destin rigoureux ! Hélas ! quel
dieu
cruel nous a perdus tous deux ? Quelle fureur ! v
? où traîner sa misère ? Par quels soins, par quels pleurs fléchir le
dieu
des morts ; Déjà cette ombre froide arrive aux so
s aveugler, Un prodige effrayant vient encor nous troubler. Prêtre du
dieu
des mers, pour le rendre propice, Laocoon offrait
tait l’heure où du jour adoucissant les peines, Le sommeil, grâce aux
Dieux
, se glisse dans nos veines ; Tout à coup, le fron
du moins, dans ses derniers adieux Pergame à ton amour recommande ses
dieux
! Porte au-delà des mers leur image chérie, Et fi
Non, ce n’est point Pâris, ni l’odieuse Hélène, C’est le courroux des
dieux
qui renverse nos murs. Viens, je vais dissiper le
es feux ondoyants dans les airs ? Là, le trident en main, le puissant
dieu
des mers, De la terre à grands coups entr’ouvrant
x Grecs souffle un feu belliqueux ; Excite les mortels et soulève les
dieux
. Fuis ; calme un vain courroux : fuis ; c’en est
s regards. Alors le voile tombe ; alors, de toutes parts, Je vois des
dieux
vengeurs la figure effrayante ; J’entends tonner
des particuliers l’intérêt des prêtres qui allaient tomber avec leurs
dieux
; joignez à tout cela l’intérêt des villes que la
uleurs dont les objets étincellent à sa vue, assistant au conseil des
dieux
, sondant les replis du cœur humain, et bientôt, r
moyen de devenir riches dans ce monde, et, dans l’autre, convives des
dieux
. Les plus jeunes et les plus violents d’entre eux
illants portiques De ces bâtiments magnifiques, Les
Dieux
naissent de ton ciseau. « Quel est ce t
be, ô fastueux Capitole ! Cède à la majesté de ce lieu solennel. Faux
Dieux
! renversez-vous. Voici le sanctuaire Où
artout exhalent leurs chagrins ; Vivants la haine les déchire, Et ces
dieux
que la terre admire Ont peu compté de jours serei
feu… Comme aux jours fortunés des pénates antiques, Le foyer est le
dieu
des vertus domestiques. Là reviennent s’unir les
umboldt (Traduit par Ch. Galusky.) La Grotte de Thétis Ici, le
dieu
du jour achève sa carrière, Le sculpteur a marqué
e une arcade est remplie De marbres à qui l’art a donné de la vie. Le
dieu
de ces rochers, sur une urne penché, Coûte un mor
héros dont les exploits avaient mérité d’être confondus avec ceux des
dieux
. Cette pompe marchait à pas lents, sous la direct
omère. Hé bien ! ce n’eût pas été un grand malheur. Esope. Quoi ! ces
dieux
qui s’estropient les uns les autres ; ce foudroya
Voilà une plaisante peur. Esope. Hé quoi ! si l’on a bien cru que les
dieux
aient pu tenir les discours que vous leur avez fa
ère. Ah ! ce n’est pas la même chose. Les hommes veulent bien que les
dieux
soient aussi fous qu’eux ; mais ils ne veulent pa
brassant, l’univers d’un regard éternel. Voyez tous de quels maux les
dieux
, dans leur colère, Accablent sans remords un dieu
de quels maux les dieux, dans leur colère, Accablent sans remords un
dieu
qui fut leur frère ! Jours sans espoir
me, et ce bien, je l’expie ! J’ai transmis aux mortels l’héritage des
dieux
; Le feu, trésor divin, je l’ai ravi pour eux ; E
en fureur tu veux courber ma tête, Ô maître souverain des
dieux
!… (La foudre éclate et tombe sur Prométhée.)
vin foyer de vie et de lumière, Voyez mes maux ! Jugez les
dieux
! L. Halévy (Trad. d’Eschyle). Les deux Sos
Fort bien. Je le soutiens par la grande raison Qu’ainsi l’a fait des
dieux
la puissance suprême, Et qu’il n’est pas en moi d
uis près de pleurer. Mais votre amour n’a plus d’excuse légitime. Les
dieux
ont à Calchas amené leur victime : Il le sait, il
ès ce spectacle charmant, Je sens croître ma joie et mon étonnement !
Dieux
! avec quel amour la Grèce vous révère ! Quel bon
s ! Agamemnon. Sa perte à ses vainqueurs coûtera bien des larmes. Les
dieux
daignent surtout prendre soin de vos jours ! Agam
Les dieux daignent surtout prendre soin de vos jours ! Agamemnon. Les
dieux
depuis un temps me sont cruels et sourds. Iphigén
ont rien que j’envie et j’admire, Car elles offensent les
Dieux
. J’aime mieux vivre pauvre, errer dans la broussa
ur captive !… Proserpine et Pluton, Mercure souterrain, Filles des
dieux
, Érinnyes vengeresses, Terrible Némésis, et vous
j’ai les larmes aux yeux : Faites votre devoir, et laissez faire aux
dieux
. Péripétie du combat des Horaces Le Vieil
guste, César fut un tyran, et son trépas fut juste, Et vous devez aux
dieux
compte de tout le sang Dont vous l’avez vengé pou
point de sang, n’ont rien qui soit funeste. Cinna. C’est un ordre des
dieux
qui jamais ne se rompt, De nous vendre un peu che
ui je le suis, vous en souvient-il bien ? Néarque. J’abhorre les faux
Dieux
. Polyeucte.
cuyer économe ! » Mais elle, le tenant dans ses bras : « Cher enfant,
Dieux
! quel bonheur pour moi, lorsque tu seras grand,
coup mortel, il lança de la poussière vers le ciel, en attestant les
dieux
vengeurs ; et de cette poussière naquit Marius, M
vaient abusé de la vertu même, quoiqu’elle soit le plus grand don des
dieux
, étaient punis comme les plus scélérats de tous l
était punie comme la plus noire, c’est celle où l’on tombe contre les
dieux
. « Quoi donc ! disait Minos, on passe pour un mon
n a reçu quelque secours : et on fait gloire d’être ingrat envers les
dieux
, de qui on tient la vie et tous les biens qu’elle
es deux gloires, D’où leur venait, dit-il, cette faveur des
dieux
? C’est qu’ils étaient borgnes tous
aits, cachés à tous les yeux, N’attirer le courroux des hommes ni des
dieux
, Isolé sur la terre, en proie à ses alarmes, Du r
uisseau coule auprès, et forme un doux murmure. Les simples dédiés au
dieu
de ce séjour Sont les seules moissons qu’on culti
e, Troupe qui sait charmer le plus profond ennui, Prête aux ordres du
dieu
, volait autour de lui. Là, cent figures d’air50 e
digné rugit à la tribune ; Homère, en les peignant, sait agrandir les
dieux
; Newton saisit du ciel l’ensemble harmonieux ; T
ui, pénétré, ravi de ses bienfaits, Sur un autel champêtre offre à ce
dieu
de paix Le tribut des vergers, des guirlandes fle
aver en vers la fortune, accuser les destins, et dire des injures aux
dieux
, que d’entrer comme il faut dans le ridicule des
its tracé : Qu’Agamemnon soit lier, superbe, intéressé ; Que pour ses
dieux
Énée ait un respect austère ; Conservez à chacun
ême les plus privées d’intelligence. Chez eux les fleuves ont été des
dieux
, et les fontaines des naïades ; les bois et les m
mes mains ; je m’instruis dans Horace ; Homère et son rival sont mes
dieux
du Parnasse. Je le dis aux rochers ; on veut d’au
is décents et retenus, la grandeur de son âme et son respect pour les
dieux
. Les nœuds que forment les serpents autour de ses
t qu’il n’a pas lu, mais qu’il flétrit d’avance ! Voilà donc les faux
dieux
que je dois encenser ! Ah ! croyez-moi, leurs tra
0 autrefois pour mon maître : Il pensa me gâter ; à la fin, grâce aux
dieux
, Horace, par bonheur, me dessilla les yeux. L’aut
tout exhalent leurs chagrins : Vivants, la haine les déchire ; Et ces
dieux
que la terre admire Ont peu compté de jours serei
D’abord elle se plaint qu’elle est lasse et recrue de fatigue ; et le
dieu
prononce que cela lui arrive par la longueur du c
et je ne suis ni si forte ni si saine que j’ai été : — C’est, dit le
dieu
, que vous vieillissez. — Mais quel moyen de guéri
remèdes que vous m’enseignez ? — Que n’en usiez-vous donc, répond le
dieu
, sans venir me chercher de si loin, et abréger vo
le meurtre et sans les rapines Ne saurait-elle subsister ? Images des
dieux
sur la terre, Est-ce par des coups de tonnerre Qu
Amour fatal ! ta haine en est le prix. Tant de tendresse, ô
dieux
! est-elle un crime, Pour mériter de si c
er l’objet de ses tristes amours, Elle invoque à grands cris tous les
dieux
du Ténare. Les Parques, Némésis, Cerbère, Phlégét
d’horribles sifflements3. Inutiles efforts ! amante infortunée, D’un
dieu
plus fort que toi dépend ta destinée : Tu peux fa
Italie. Plus tard Romulus, fils de Rhéa Silvia, vierge Vestale, et du
dieu
Mars, et petit-fils de Numitor, roi d’Albe, bâtit
que, eloquentiæ, mercaturæ ac furti deus fuit. corrigé. Sur les
dieux
de la fable. Nous, chrétiens, nous adorons un
nous adorons un seul Dieu ; mais les nations anciennes adoraient des
dieux
presque innombrables. Saturne passait pour fils d
pelé le très-bon et le très-grand ; les poëtes le nomment le père des
dieux
et des hommes. Junon, sœur et épouse de Jupiter,
x et des hommes. Junon, sœur et épouse de Jupiter, était la reine des
dieux
. Cérès, qui découvrit les moissons et était la dé
et de Cybèle. Apollon, fils de Jupiter et de Latone, passait pour le
dieu
de la divination, de la musique et des arts. Mine
la fille d’Atlas, était le messager et l’interprète de Jupiter et des
dieux
; il présidait à l’éloquence, au commerce et au v
s que de les venger. Il a été considéré comme un mortel semblable aux
dieux
; en effet personne ne fut jamais ou plus heureux
s, les bêtes. La plupart considérèrent le soleil et la lune comme des
dieux
. Les hommes qui avaient rendu service à l’humanit
tres, et Esculape, l’inventeur de la médecine, furent mis au rang des
dieux
. Castor et Pollux avaient purgé la mer des pirate
es ou ridicules images d’animaux. Certains peuples immolaient à leurs
dieux
des victimes humaines. § 137. Verbes qui go
r Saturne, Jupiter, Neptune et Pluton. Saturne, le plus ancien des
dieux
, prit Ops pour épouse. Il dévorait ses enfants ;
nts, et surtout il se fourvoie honteusement dans ses opinions sur les
dieux
. — 5. Platon a enseigné de fausses idées sur la n
— 13. Les Titans ou Géants, enfants de la Terre, firent la guerre aux
dieux
; mais ils furent foudroyés par Jupiter. — 14. Le
main, enleva des temples les plus sacrés de la Sicile les statues des
dieux
les plus vénérées. — 9. Comme Auguste prenait son
s les sacrifices, les cérémonies et tout ce qui concerne le culte des
dieux
immortels ; il créa le corps des pontifes, et ajo
-indigne. — 3. Achille traîna Hector attaché à son char. — 4. Triton,
dieu
marin, est représenté porté sur des monstres nage
ias a fait une Minerve en ivoire. — 11. Primitivement les statues des
dieux
étaient en bois ou en argile. — 12. Bacchus est l
les vieillards étaient honorés par les jeunes gens presque comme des
dieux
et des pères ; ils étaient même, quand ils revena
en Italie. Après la ruine d’Ilion par les Grecs, Énée, portant ses
dieux
pénates et son père Anchise sur ses épaules, et t
s dont les mille détours vont et reviennent en tous sens. Apis est le
dieu
qu’adore toute la nation ; c’est un bœuf noir, ma
s][texte coupé] énuméré les opinions des philosophes sur la nature de
dieux
, à partir de Thalès de Milet. — 7. Dans l’Inde la
empire du monde, digne de l’admiration des hommes et de la faveur des
dieux
! — 4. Les Numantins, assiégés par les Romains et
inconsidérément aux périls. — 4. Alexandre de Macédoine s’égalait aux
dieux
. — 5. Prusias, roi de [illisible chars][texte cou
s villes qu’ils appelèrent Césarée. A sa mort, il fut mis au rang des
dieux
. Il laissait l’empire dans un état très-prospère
a loi fut rendue par la bouche de Dieu : « Tu n’auras pas, dit-il, de
dieux
étrangers, autres que moi. Tu ne te feras pas d’i
Les Romains adoraient une pierre brute et informe, qui s’appelait le
dieu
Terme. Ils offraient donc à ces divinités des ess
ncens et des parfums ; ils leur immolaient de grasses victimes, à ces
dieux
qui avaient une bouche, mais privée de l’usage de
des dents ; ils leur donnaient des voiles et de riches parures, à ces
dieux
qui n’avaient que faire de vêtements ; ils leur c
omme s’il eût fait la guerre non-seulement aux Grecs, mais encore aux
dieux
immortels. — 3. L’orateur Isée improvisait tous s
avec des torches enflammées, il fut pour cette raison foudroyé par ce
dieu
. — 13. A Athènes, un homme très-instruit, ayant r
avaient fait la récolte, avaient coutume d’en offrir les prémices aux
dieux
avant de s’en nourrir. version 139. De frag
Dieu. — 6. Penthée, fils d’Échion et d’Agavé, nia que Bacchus fût un
dieu
. — 7. Qui croit que l’Hippocentaure ou la Chimère
écrasé par la chute de sa maison pendant qu’il offre un sacrifice aux
dieux
; un autre se tue en tombant de son char. Si vous
es anciens croyaient que des sacrifices et des parfums apaisaient les
dieux
irrités. — 7. Cicéron prétend avoir toujours lutt
de la Grèce après sa victoire, dépouilla les temples, et se moqua des
dieux
; il se faisait en effet un plaisir d’accompagner
z, dit-il à ses compagnons qui craignaient de faire naufrage, que les
dieux
immortels accordent eux-mêmes une heureuse naviga
s humaines ou font vœu d’en immoler, parce qu’ils s’imaginent que les
dieux
ne peuvent être apaisés à moins qu’on ne leur don
s. Ils pensent que le supplice des criminels est le plus agréable aux
dieux
; mais, lorsque cette catégorie de victimes fait
défaut, ils en viennent à livrer au supplice des innocents. Parmi les
dieux
, ils adorent principalement Mercure, qu’ils regar
rum incolunt ! corrigé. 1. Alexandre ordonna d’adorer comme un
dieu
son ami Éphestion. — 2. Alexandre ordonna que son
malheur lui fut infligé par la volonté du ciel comme une épreuve, les
dieux
immortels voulant s’assurer si la vertu romaine m
omme heureux. — 6. Les anciens philosophes ont douté s’il y avait des
dieux
ou non. § 204. Pronoms et adverbes interrogat
a piété renommée. — 12. Il y a en Égypte un bœuf honoré à l’égal d’un
dieu
; on le nomme Apis. — 13. On se dégoûte prompteme
au commencement d’un de ses ouvrages : « Je ne puis dire s’il y a des
dieux
ou non », les Athéniens le bannirent de leur vill
ave est né de la même manière que nous. — 13. Épicure a pensé que les
dieux
avaient la même figure que les hommes. — 14. Cart
chose qui puisse nous assurer l’immortalité, et nous rendre égaux aux
dieux
. — 9. Il y eut Grèce dans le même temps sept homm
d quàm ob illatas Christo impias manus puniti. corrigé. 1. Les
dieux
ont accordé à Marcellus la gloire d’avoir pris la
à Athènes la statue de Vulcain, ouvrage d’Alcamène, dans laquelle ce
dieu
, bien que debout et vêtu, laisse apercevoir un pe
anciens créateurs de la médecine Esculape, qui fut mis au nombre des
dieux
pour avoir perfectionné un peu cette science enco
il est né, de mourir le plus tôt possible ; et ils prétendent que les
dieux
en ont jugé ainsi. Ils citent d’abord Cléobis et
e de Scipion. — 2. Cicéron, dans son troisième livre de la Nature des
Dieux
, déracine et détruit radicalement toutes les supe
Romulus se servait de lait et non de vin pour faire des libations aux
dieux
. — 7. Xerxès mit cinq ans à faire les préparatifs
, le bruit s’est répandu dans toute la ville qu’on donne l’assaut aux
dieux
de la patrie. Il n’y eut cette nuit personne à Sy
our l’attirer à eux avec des cordes attachées à chacun des membres du
dieu
, elle ne cédait d’aucun côté. Tout à coup les Agr
e nos ancêtres, les plus religieux de tous les mortels, ont bâtis aux
dieux
. Mais ils donnaient pour ornement à leurs temples
Chevaux d’Achille et Chevaux du
dieu
Ms. Les chevaux d’Achille avoient été, selon la f
. Ils étoient immortels, et s’appeloient Balius et Xs. Les chevaux du
dieu
Mars, qu’on appelle aussi Dieu de la Thrace, port
Dagon, nom du
dieu
fameux qu’adoroient les Philistins. On croit que
doroient les Philistins. On croit que c’est le même qu’Oannès, un des
dieux
syriens, et qui étoit représenté sous la figure d
âtre ; il est né pour l’action. L’ode inspirée chante sur la lyre les
Dieux
, et les héros fils des Dieux, et l’athlète couron
n. L’ode inspirée chante sur la lyre les Dieux, et les héros fils des
Dieux
, et l’athlète couronné, et le coursier vainqueur
nfident discret et sûr, c’est lui, enfin, qui prie, qui conjure les :
Dieux
de relever l’honnête homme abattu, et d’humilier
oir, le vin put couler impunément, les jours de fête, en l’honneur du
dieu
des plaisirs : alors on vit s’introduire dans les
qu’ils soient comiques, et non pas burlesques. Il ne faut pas que vos
Dieux
et vos héros, quand on vient de les voir, tout br
prix. Mais la médiocrité en poésie ! voilà ce que ne tolèrent ni les
Dieux
, ni les hommes, ni les colonnes du temple d’Apoll
vaient dispersés dans les bois, quand un poëte sa cré, interprète des
Dieux
, Orphée, leur inspira l’horreur du sang et d’une
onterai la mort du poëte Sicilien. Voulant à tout prix passer pour un
dieu
immortel, Empédocle s’élance de sang-froid dans l
tion). 234La Muse a donné aux lyres 235de rappeler (de chanter) les
Dieux
, 236et les enfants des Dieux, 237et l’athlète-e
lyres 235de rappeler (de chanter) les Dieux, 236et les enfants des
Dieux
, 237et l’athlète-en-pugilat vainqueur, 238et le
il cache les choses confiées à lui, 569et qu’il prie et supplie les
Dieux
570 de faire que la fortune 571revienne aux mal
595 eut commencé à entourer la ville (Rome) ; 596et que le Génie (le
dieu
de la joie) 597 eut commencé à être apaisé impun
rieuses à la plaisanterie 648de telle façon, que, 649n’importe-quel
dieu
, 650n’importe-quel héros 651sera mis-en-scène,
t pourtant il est en quelque estime. 1071 Mais ni les hommes, ni les
Dieux
, 1072ni les colonnes des portiques 1073 où s’e
sait (ne peut) plus revenir. 1130 poëte sacré 1131et interprète des
Dieux
, 1132détourna des meurtres 1133et d’une nourrit
u poëte Sicilien. 1340Tandis qu’Empédocle désire 1341passer-pour un
dieu
immortel, 1342il s’élança (il s’élance) 1343fro
de guerre. Qu’Agamemnon soit fier, superbe, intéressé ; Que pour ses
dieux
Énée ait un respect austère. Conservez à chacun s
dans les âges plus avancés. D’un autre côté, dans tous les cultes, le
dieu
qui en était l’objet a toujours été regardé comme
essante, était aidé ou traversé par un être supérieur. Le mélange des
dieux
et des hommes, dans une action, sert à rendre le
veilleux peut-il figurer dans un sujet chrétien ? L’intervention des
dieux
du paganisme, qui produit un bel effet dans les p
ant. Le Tasse a eu l’inadvertance de donner à ses démons les noms des
dieux
infernaux et des furies du paganisme. Milton a fa
que : son cœur est dans l’ivresse du transport ; le poète, possédé du
dieu
qui l’inspire, y peint avec des traits de feu le
rit qui est dans l’extase de l’admiration ; le poète, instruit par le
dieu
qu’il a invoqué, y raconte avec autant de chaleur
à, par le travestissement des mœurs et du langage, fait descendre les
dieux
et les héros au niveau de la populace. C’est ains
son bonnet de la teste, A mercié mille foys la grand beste, Jurant le
dieu
des souris et des ratz Qu’il luy rendroit. Mainte
Vivre content du bien de la plume et du livre. Mais il n’a pleu aux
Dieux
me permettre de suivre Ma jeune liberté, ny faire
tu tiens si souvent en tes mains, Que dans ton cerveau creux comme un
dieu
tu te peins. N’eut jamais un liard ; si bien que
e s’ils avoient (ainsi que dit la Fable, De Minos) banqueté des hauts
Dieux
à la table, Sans que honte et vergongne en leur c
ris De Cypris252, Le flair et la douce haleine ; Avril, le parfum des
dieux
, Qui, des cieux, Sentent l’odeur de la plaine ;
toy du pere, Laisse durer les enfans et la mere En ce malheur où les
Dieux
nous ont mis. Mais fusmes nous jamais tes ennemis
ipeur306 ! suy307 ta terre Italique. J’espere bien enfin (si les bons
Dieux
, au moins, Me peuvent estre ensemble et vengeurs
s grande Qui voit sans fin son fait : telle je la demande ; Et si les
Dieux
du ciel ne m’en faisoyent raison, J’esmouvrois, j
eur ; J’invoque l’Acheron, le Styx et le Cochyte, Et si quelque autre
dieu
dans les enfers habite, Juste vangeur des maux, j
ance. Rois et empereurs323 I. Nabuchodonosor Pareil aux
Dieux
je marche, et, depuis le réveil Du soleil blondis
logez. (Les Juifves, acte II.) II. César Auguste O grands
Dieux
immortels, qui avez toutes choses Au celeste pouv
es discours D’un conte poëtique, et parmi les amours Des héros et des
dieux
, entremeslés de fables, Sont des enseignemens féc
maintenant ceste puissante armée482, Qui sembloit en venant tous les
dieux
menacer ? Et qui se promettoit de rompre et terra
peut garder ordre : il faut à l’adventure Comparer des procès et des
dieux
la nature. — Pour rendre leur venue aux mortels i
dieux la nature. — Pour rendre leur venue aux mortels incertaine, Les
dieux
les viennent voir avec des pieds de laine 498 : L
commencement ; Puis d’un son esclatant leur presence est connüe ; Les
dieux
et les procès sont voilez d’une nüe… — Les dieux
nce est connüe ; Les dieux et les procès sont voilez d’une nüe… — Les
dieux
vendent leurs biens aux hommes chèrement, Achetez
Possible et impossible à procès festoyer503. — On n’ose démentir des
dieux
les saincts oracles, Ni l’arrest des procès. — Le
démentir des dieux les saincts oracles, Ni l’arrest des procès. — Les
dieux
font des miracles : Les procès, que font-ils ? le
ebaine505. — Ce qui est jà passé, et une fois est faict, Par tous les
dieux
ensemble estre ne peut défaict : Les procès, en c
ssé, Fait un mort estre vif, et un vif trespassé. — On recognoist les
dieux
, ainsi que dit Homere, Au mouvement des pieds, qu
nent en arriere : Mon procés prend plaisir à tousjours reculer. — Les
dieux
sont recogneuz souvent à leur parler, Car tout au
stre langage : Les procès, vrais Bretons, ont à part un ramage. — Aux
dieux
, francs de la mort, on dresse des autels : Qu’on
izé508 Que je le tiens déjà pour immortalizé…… — On n’ose offrir aux
Dieux
que victimes de choix : Les escus des procès doiv
goureux procès s’adoucit d’un présent. L’ambroisie et nectar font des
dieux
les delices, Et le procés friand aime fort les es
nte la jeunesse : Un procès rajeunit souvent en sa vieillesse. Si les
dieux
déguisés, changeant leur majesté, En bestes et oi
prez et montagnes, Soyez témoins de mon contentement520 ! Et vous, ô
dieux
! faites, je vous supplie, Que cependant que dure
villes, J’ay repurgé son cœur d’affections serviles, Compagnon de ces
dieux
qui sont parmy les bois. J’ay chassé loin de luy
ns ce monde icy Souvent avecq’ travail on poursuit du soucy : Car les
Dieux
courroussez contre la race humaine Ont mis avecq’
rdeur Esclatte par soy-mesme, et moy par ma grandeur. Si du costé des
Dieux
je cherche l’advantage, Ronsard est leur mignon e
l’Anacréon du Temple », et le marquis de La Fare (1663-1712), dont le
dieu
était la paresse, lisaient leurs vers ingénieux e
Un druide Prenez garde, mon fils, d’accuser l’innocence. Les
Dieux
, justes et bons, veillent pour sa deffence, Qui,
rendre soing De me tendre les bras et m’aider au besoing. SILÈNE. Les
Dieux
que vous servez en ce desert austere N’ostent poi
chose sacrée ; Jamais l’oisiveté n’avoit chez moy d’entrée. Aussi les
Dieux
alors benissoient ma maison ; Toutes sortes de bi
gneur, et j’en suis l’homicide ; Mais j’ai dû l’être799. VENCESLAS. Ô
dieu
! le duc est mort, perfide ! Le duc est mort, bar
u qui reçoit tes hommages, Et qu’au mépris des droits et du culte des
dieux
L’impiété chrétienne ose placer aux cieux ? ADRIE
Je mets le plus haut trône au-dessous des autels, Et revère les
dieux
sans égard des mortels : Ils sont maîtres des roi
j’ai sur ce point Acquis tant soit peu d’habitude, C’est un avis des
Dieux
. Pendant l’humain séjour, Ce visir quelquefois ch
endez-le ambitieux867 ; C’est par là que les rois sont semblables aux
dieux
, Du magnanime Henri qu’il contemple la vie : Dès
mes mains ; je m’instruis dans Horace ; Homère et son rival sont mes
dieux
du Parnasse. Je le dis aux rochers882, on veut d’
utrefois pour mon maître883 : Il pensa me gâter ; à la fin, grâce aux
dieux
, Horace, par bonheur, me dessilla les yeux884. L’
rie, Ah ! j’ai mis bas la bête. A-t-on jamais parlé de pistolets, bon
dieu
! Pour courre un cerf ! Pour moi, venant dessus l
cœur d’un homme. PSYCHÉ. Vous savez mieux que moi qu’aux volontés des
dieux
Seigneur, il faut régler les nôtres ; Et je ne pu
es adieux, Que ce que beaucoup mieux vous pouvez dire aux autres. Ces
dieux
sont maîtres souverains ; Ces présens qu’ils daig
ous devez me rendre. LE ROI. ……………………………………………………… Vois l’état où ces
dieux
me forcent à te rendre. Et l’autre ou te reçut mo
abattus ; Le doux espoir de ma vieillesse. Ils m’ôtent tout cela, ces
dieux
! Et tu veux que je n’aie aucun sujet de plainte
ur crainte écoutant je ne sais quels oracles, Ils n’ont pas cru qu’un
dieu
pût trouver des obstacles. Mais nous, qui d’un au
us, qui d’un autre œil jugeons les conquérans976, Nous savons que les
dieux
ne sont pas des tyrans ; Et, de quelque façon qu’
cœurs à mon passage ! » Tels étoient vos plaisirs. Quel changement, ô
dieux
! Le sang le plus abject vous étoit précieux : Un
Les géants vaincus CÉRÈS. Les superbes géans, armés contre les
dieux
, Ne nous donnent plus d’épouvante ; Ils’sont ense
inet le favory te joue. Que t’a servy de fléchir les genous Devant un
dieu
fragile, et fait d’un peu de bouc, Qui souffre, e
. (Scarron.) Hardy Alphée trahie. Monologue Ô justes
Dieux
, ennemis du parjure, Avez-vous pu commettre telle
Avez-vous pu commettre telle injure ! Avez-vous pu permettre, justes
Dieux
, Qu’un déloyal, en me perdant des yeux, De sa par
(Mairet, Sophonisbe, V. 8.) Cyrano de Bergerac Défi aux
dieux
TERENTIUS. Respecte et crains des dieux l’eff
de Bergerac Défi aux dieux TERENTIUS. Respecte et crains des
dieux
l’effroyable tonnerre. SEJANUS. Il ne tombe jamai
is en hiver sur la terre. J’ai six mois pour le moins à me moquer des
dieux
. Ensuite je ferai ma paix avec les cieux. TERENTI
er des dieux. Ensuite je ferai ma paix avec les cieux. TERENTIUS. Ces
dieux
renverseront tout ce que tu proposes. SEJANUS. Un
ans savoir pourquoi, Ces altérés du sang des bêtes qu’on assomme, Ces
dieux
que l’homme a faits, et qui n’ont point fait Des
tiques airs aucun il ne rejette, Et la chaste Pallas, race du roi des
dieux
, A trouvé quelquefois mon chant mélodieux, Des gr
screts1050 ; Ou tel que d’Apollon le ministre terrible, Impatient du
dieu
dont le souffle invincible Agite tous ses sens, L
3. Mais, sitôt que, cédant à la fureur divine, Il reconnoît enfin du
dieu
qui le domine Les souveraines lois, Alors, tout p
S’élançoit dans les airs comme un aigle intrépide, Et jusque chez les
dieux
alloit d’un vol rapide Interroger le sort. C’est
atteur, l’orgueil et le caprice, Sont nos seuls Apollons. Ah ! si ce
dieu
sublime, échauffant mon génie, Ressuscitoit pour
les infernales voûtes De l’empire des morts ; Je n’irois point, des
dieux
profanant la retraite, Dérober au Destin, témérai
névitable, Suspendu trop longtemps sur ma tête coupable : Et plût aux
dieux
cruels que ce trait suspendu Ne fût pas en effet
J’ai reçu par vos mains le prix de mes forfaits ; Puissent les justes
dieux
en être satisfaits ! Je ne méritois pas de jouir
emblons aux grenouilles d’Homère1089, Implorant à grands cris le fier
dieu
de la guerre, Et les Dieux des enfers, et Bellone
Homère1089, Implorant à grands cris le fier dieu de la guerre, Et les
Dieux
des enfers, et Bellone et Pallas, Et les foudres
nemis, À sortir d’une vie ou triste ou fortunée, En rendant grâce aux
dieux
de nous l’avoir donnée. Aussi, lorsque mon pouls
Que les chrétiens sont nés pour leur donner des lois. (À Zamore.) Des
dieux
que nous servons connais la différence : Les tien
montrant à leurs yeux, Par un chant sacrilège ils rendoient grâce aux
dieux
. Étonné, je m’avance : « Existez-vous, leur dis-j
e, et vantés en tous lieux, Les corrupteurs du goût en paroissent les
dieux
. Si Clément1163 les proscrit, la Harpe les protég
illans tableaux. Flatté de plaire aux goûts volages, L’esprit est le
dieu
des instans ; Le génie est le dieu des âges, Lui
aux goûts volages, L’esprit est le dieu des instans ; Le génie est le
dieu
des âges, Lui seul embrasse tous les temps. Qu’il
e irréparable1182, Nos regrets en firent un Dieu. Quoi ! tour à tour
dieux
et victimes, Le sort fait marcher les talens Entr
e flamme. Mes vers impatients, élancés de mon âme, Veulent parler aux
dieux
, et voient où reluit L’enthousiasme errant, fils
L’aveugle1203. Idylle antique « Dieu, dont l’arc est d’argent,
dieu
de Claros, écoute ! « Ô Sminthée-Apollon1204, je
plutôt, sous un corps terrestre et passager, « Tu n’es point quelque
dieu
protecteur de la Grèce, « Tant une grâce auguste
rs qui soient pures. « Ta voix noble et touchante est un bienfait des
dieux
; « Mais aux clartés du jour ils ont fermé tes ye
ire Euménide, « Je n’ai puni sur moi l’inceste parricide ; « Mais les
dieux
tout-puissants gardaient à mon déclin « Les ténèb
s de Carie, « Si la Grèce pour moi n’aurait point de patrie, « Et des
dieux
moins jaloux, et de moins tristes jours ; « Car j
Je voulais des grands dieux implorer la bonté, « Et surtout Jupiter,
dieu
d’hospitalité1214, « Lorsque d’énormes chiens, à
n’est pas comme tes yeux, « Amuse notre ennui ; tu rendras grâce aux
dieux
… « J’ai lait taire mon cœur qui voulait les confo
re. « Ils n’ont pas entendu ma voix, et sous ma main « J’ai retenu le
dieu
courroucé dans mon sein. « Cymé, puique tes fils
un arbuste assise, et se console et chante1221 « Commençons par les
dieux
: Souverain Jupiter ; « Soleil, qui vois, entends
, entends, connais tout1222 ; et toi, mer, « Fleuves, terre, et noirs
dieux
des vengeances trop lentes, « Salut ! Venez à moi
les cieux, Et le monde, ébranlés d’un signe de ses yeux1227 ; Et les
dieux
partagés en une immense guerre, Et le sang plus q
éloquent, aveugle harmonieux, « Convive du nectar, disciple aimé des
dieux
; « Des jeux, tous les cinq ans, rendront saint e
à la France France ! ô belle contrée, o terre généreuse, Que les
dieux
complaisants formaient pour être heureuse, Tu ne
rvie, Égorgée !.… Ô mon cher trésor, Ô ma plume, fiel, bile, horreur,
dieux
de ma vie ! Par vous seuls je respire encor… (I
ue j’ai lancé…, Du sein des ombres éternelles S’élevant au trône des
dieux
, L’envie offusque de ses ailes Tout éclat qui fra
Tandis que ces monstres barbares Poussoient d’insolentes clameurs, Le
dieu
, poursuivant sa carrière, Versoit des torrens de
amme, Affranchie à jamais du vil poids de son éorps, Va s’envoler aux
dieux
, et, dans de saints transports, Saluant ce jour p
te1341 Me faire répéter deux fois l’ordre céleste. Me préservent les
dieux
d’en prolonger le cours ! En esclave attentif, il
ongeur. Trois balles l’ont frappé ; — sa trace était suivie ; Mais le
dieu
des hasards n’a voulu de sa vie Que ce qu’il en f
i clos l’entretien sans plus ample ouverture. C’est alors, plaise aux
Dieux
qu’il soit de bon augure, C’est alors que le brui
de attendre. Racine a dit de même (Androm. V, sc. dern.) : Grâce aux
Dieux
, mon malheur passe mon espérance, 241. Ancienn
antés. L’affaire fit grand bruit, on les accusa d’avoir sacrifié à un
dieu
païen, à Bacchus. Garnier a traité dans Marc-Anto
e en réduisant avec bonheur le début aux deux vers suivants ; Grands
Dieux
qui, sans mourir, livres tout en trespas, Qui, sa
en son départ ? Enée. L’heur que les miens attendent. Le chœur. Les
Dieux
nous ont faits tiens. Enée. Les Dieux aux miens
iens attendent. Le chœur. Les Dieux nous ont faits tiens. Enée. Les
Dieux
aux miens me rendent. Le chœur. La seule impiété
été te chasse de ces lieux. Enée. La piété destine autre siége à mes
Dieux
. Le chœur. Quiconque rompt la foy encourt des gr
ége à mes Dieux. Le chœur. Quiconque rompt la foy encourt des grands
Dieux
l’ire. Enée. De la foy des amants les Dieux ne f
a foy encourt des grands Dieux l’ire. Enée. De la foy des amants les
Dieux
ne font que rire. Le chœur. La pitié ne peut met
tifie. Ronsard, Élég. IX : Pere alme, nourrissier des hommes et des
Dieux
. 531. Dont le charme magique est le bienvenu.
Palais avait encore des boutiques au milieu de notre siècle. 593. Le
dieu
des marchands. 594. De non et de chaloir, import
ur secret d’un désert solitaire ! Il a pour compagnon les Fées et les
Dieux
; Il hume purement l’air plus serein des cieux ;
tiquité au xvie siècle. De même, on dit encore : Grands dieux ! Bons
dieux
! jurer ses Grands dieux. 715. Le plus serait e
hlégra ou Pallène, que la fable place le combat des Géants contre les
Dieux
. 731. Put est la troisième personne de l’indica
pour le trône et le pouvoir. 813. La vengeance est ce « plaisir des
Dieux
» du proverbe, qui console de tout. 814. « Écou
reinte de ses pas ; Elle sembloit raser les airs à la manière Que les
Dieux
marchent dans Homère. (Le Songe ; pour la princ
ns âpre dans le Temple du Goùt : « Despréaux, par un ordre exprès du
dieu
du Goût, se réconciliait avec Quinault, qui est l
soient placés dans la bouche de Cérès. On croit entendre un chœur des
dieux
de l’Olympe. La période a un mouvement magistral,
: craint ce qui n’existe pas. Terentius entendait que qui craint les
dieux
, ne craint rien en dehors d’eux. Ainsi dit Joad :
z alors dans ces beaux lieux. N’en portâtes-vous rien à l’oreille des
Dieux
? (Égl., III.) (Cf. Virgile, Ecl., III, 72 :
a durée de notre vie est la fatale soie que les Parques redoivent aux
dieux
du Styx : partout la poésie de l’ode ». Ni ode, n
Atrée et Thyeste. — Atrée ; Je voudrois me venger, fût-ce même des
Dieux
. Du plus puissant de tous j’ai reçu la naissance
our qu’on doit fuir, c’est aux champs qu’il faut vivre, Dieu du jour,
dieu
des vers, j’ai ton exemple à suivre : Tu gardas l
d est touchant : Tu es toujours l’appui de mes vieux ans : Aussi les
Dieux
j’atteste tout-puissans Que ma promesse immuable
et je voulais l’avis du poète. Il jeta des cris d’admiration :Ah, mon
dieu
! que cela est beau ! Qui est-ce qui a fait cela
ville, Monsieur Harpin, en vous comptant LE BIBLIOMANE C’est elle !…
Dieux
! que je suis aise ! Oui, c’est la bonne édition
ion en est riante ; un bois sacré l’ombrage du côté du couchant ; les
dieux
de Syrie, qui habitent quelquefois la terre, n’y
’abord elle se plaint qu’elle est lasse et recrue1 de fatigue ; et le
dieu
prononce que cela lui arrive par la longueur du c
, et je ne suis ni si forte ni si saine3 que j’ai été : C’est, dit le
dieu
, que vous vieillissez. Mais quel moyen de guérir
es remèdes que vous m’enseignez ? Que n’en usiez-vous donc, répond le
dieu
, sans venir me chercher de si loin, et abréger vo
bonheur de ces Troglodites ? Un peuple si juste devait être chéri des
dieux
. Dès qu’il ouvrit les yeux pour les connaître, il
aissé de trop rude. On allait au temple pour demander les faveurs des
dieux
: ce n’était1 pas les richesses et une onéreuse a
ec un nouveau peuple et sa félicité ; ils célébraient la grandeur des
dieux
, leurs faveurs toujours présentes aux hommes qui
avagé vos campagnes ? Non ; nous sommes justes, et nous craignons les
dieux
. Que demandez-vous donc de nous ? Voulez-vous de
défendre. Portant sur ses épaules son père, qui s’étoit chargé de ses
dieux
Pénates ; tenant par la main son fils Ascagne, et
es de Romulus, fondateur de leur ville. Ils l’avoient mis au rang des
Dieux
, et l’honoroient sous le nom de Jupiter indigètes
omme possédera-t-il sans trouble la gloire d’être plus craint que les
dieux
(on parlait ainsi en ce temps-là) ? Goûtera-t-il
otre personne. À Rome, vous marcherez sur des pierres qui ont été les
dieux
de César et de Pompée ; vous considérerez les rui
ine n’a pas plus d’adresse quand elle ne sert qu’à faire descendre un
dieu
pour accommoder toutes choses sur le point38 que
ur bienveillance à un tel point qu’ils65 furent respectés comme leurs
dieux
vengeurs et libérateurs. Je ne prétends pas faire
randeur : si bien qu’ils se laissèrent charmer par ces douces voix de
dieux
tutélaires de la patrie et de restaurateurs de la
oin que j’ai de vous me chasse de mon lit et de ma chambre : plût aux
dieux
que je ne fusse ni votre client ni votre fâcheux
éternel est tombé ; Rome est ensevelie dans ses ruines avec les faux
dieux
; il n’en reste plus de mémoire que par une autre
ous que les Romains fussent si jaloux de mettre leurs aigles et leurs
dieux
à la tête de leurs légions, et que les autres peu
e tumulte et l’agitation des guerres ne fit oublier ce qu’on doit aux
dieux
qui y président, et afin qu’à force de les avoir
llissaient, que l’antiquité avait tant vantées, la faiblesse de leurs
dieux
ne put les mettre à couvert, et elles furent ense
blique où les citoyens, tranquilles dans leurs maisons, rendaient aux
dieux
une âme libre, vous m’auriez vu passer ma vie dan
et je le forçais tous les jours d’aller au Capitole rendre grâces aux
dieux
des succès dont je le désespérais. Je lui faisais
non pas celui d’une modération qu’on ne fera qu’admirer. « Quand les
dieux
ont souffert que Sylla se soit334 impunément fait
de commander à des hommes que j’ai faits mes égaux, je jure, par les
dieux
, que je punirai son insolence336. » Voltaire
es hommes, elle les agrandit, les exagère, elle crée les héros et les
dieux
. L’histoire ne peint que l’homme, et le peint tel
ui je te suis, vous en souvient-il bien ? NÉARQUE. J’abhorre les faux
dieux
. POLYEUCTE.
p crédule ; Allons en éclairer l’aveuglement fatal, Allons briser ces
dieux
de pierre et de métal, Abandonnons nos jours à ce
le temple : il a troublé le sacrifice et renversé les images des faux
dieux
. Il a été arrêté : toutefois son beau-père cherch
au, Pauline ; il entend vos paroles Et ce n’est pas un Dieu comme vos
dieux
frivoles, Insensibles et sourds, impuissants, mut
vous osez défendre : Des crimes les plus noirs vous souillez tous vos
dieux
; Vous n’en punissez point qui n’ait son maître a
vois Néarque et lui qui me tendent les bras. Mène, mène-moi voir tes
dieux
que je déteste : Ils n’en ont brisé qu’un, je bri
ur la foi de ses pleurs je n’ai rien craint de vous, Madame ; mais, ô
dieux
! quelle rage est la vôtre ! Quand je vous donne
qu’en plein jour ces vérités paraissent, J’en laisse la vengeance aux
dieux
qui les connaissent, Et vais sans plus tarder… RO
se sueur qui court sur son visage, Cette gorge qui s’enfle. Ah ! bons
dieux
! quelle rage ! Pour vous perdre après elle, elle
vivez pour changer cette haine en amour. CLÉOPÂTRE. Je maudirais les
dieux
s’ils me rendaient le jour. Qu’on m’emporte d’ici
er chaque fois que les hommes Achetaient de son sang l’indulgence des
dieux
. Ainsi parla le bœuf. L’homme dit : « Faisons tai
ains, et vous, sénat, assis pour m’écouter, Je supplie avant tout les
dieux
de m’assister470 : Veuillent les immortels, condu
its tracé : Qu’Agamemnon soit fier, superbe, intéressé ; Que pour ses
dieux
Enée ait un respect austère ; Conservez à chacun
votre reine éperdue : Je me meurs. (Elle tombe évanouie.) ASSUÉRUS.
Dieux
puissants, quelle étrange pâleur De son teint tou
votre front prête à mon diadème. Un éclat qui le rend respectable aux
dieux
même. Osez donc me répondre, et ne me cachez pas
0 : De vos ordres sanglants vous savez la rigueur. AMAN, à part. Ah !
dieux
! ASSUÉRUS. Ah ! de quel coup me percez-vous le c
il veut, n’est qu’un jeu de sa main redoutable. Les Juifs à d’autres
dieux
osèrent s’adresser : Rois, peuples, en un jour to
el ! le pourriez-vous croire ? Moi, qui n’ai d’autre objet ni d’autre
dieu
. ASSUÉRUS.
on Dieu que je sers ; vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants
dieux
. JOAS.
e vois-je ? ah, malheureux ! quels traits ! quel son de voix ! Justes
dieux
! quel objet offrez-vous à ma vue ? ZÉNOBIE. D’où
ût au ciel qu’aujourd’hui Vous eussiez oublié ses crimes avec lui ! Ô
dieux
, qui la rendez à ma douleur mortelle, Que ne lui
t-il encor de revoir tant d’attraits ?… ZÉNOBIE. Ah, cruel ! plût aux
dieux
que ta main ennemie N’eût jamais attenté qu’aux j
les regrets où ton cœur s’abandonne ? Va, ce n’est pas à nous que les
dieux
ont remis Le pouvoir de punir de si chers ennemis
Apercevant Rhadamiste.) Mais, pour le redoubler dans mon âme éperdue,
Dieux
puissants, quel objet offrez-vous à ma vue ?
J’ai reçu par vos mains le prix de mes forfaits : Puissent les justes
dieux
en être satisfaits ! Je ne méritais pas de jouir
de, Depuis que ces brigands, t’arrachant à mes bras, M’enlevèrent mes
dieux
, mon trône et tes appas718. Sais-tu que ce Gusman
cteur sauvage, Par des tourments sans nombre éprouva mon courage ? Un
dieu
, sans doute, un dieu qui préside à l’amour Dans l
s tourments sans nombre éprouva mon courage ? Un dieu, sans doute, un
dieu
qui préside à l’amour Dans le sein du trépas me c
ient presque sous tes yeux de former ces liens. J’ai tout quitté, mes
dieux
, mon amant, ma patrie. Au nom. de tous les trois,
donnée ; Que je t’aimais toujours ; que mon cœur éperdu A détesté tes
dieux
, qui t’ont mal défendu : Mais je ne cherche point
e régner dans ton cœur ? ALZIRE. Quand Montèze, Alvarez, peut-être un
dieu
vengeur, Nos chrétiens, ma faiblesse, au temple m
sang odieux pourrait venger la terre ; Et j’aurais les mortels et les
dieux
pour amis, En révérant le père et punissant le fi
Que les chrétiens sont nés pour leur donner des lois. (À Zamore.) Des
dieux
que nous servons connais la différence : Les tien
fe sur l’autel. Du sein des ombres éternelles S’élevant au trône des
dieux
, L’envie offusque de ses ailes Tout éclat qui fra
Tandis que ces monstres barbares Poussaient d’insolentes clameurs, Le
dieu
, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de
t être heureux ; De ce Caucase768 inhabitable Je me fais l’Olympe des
dieux
. Là, dans la liberté suprême, Semant de fleurs to
anson l’étranger prend le vase, Se lève ; sur eux tous il invoque les
dieux
. On boit, il se rassied. Et jusque sur ses yeux S
nominie. Rebuté des humains durs, envieux, ingrats,. Il a recours aux
dieux
qui ne l’entendent pas. Toutefois ta richesse acc
ble humilié, D’indulgence et d’égards tempérer la pitié, S’il est des
dieux
du pauvre, ô Lycus ! que ta vie Soit un objet pou
je rendrai désormais Ce que dans mon malheur je dus à ses bienfaits.
Dieux
, l’homme bienfaisant est votre cher ouvrage, Vous
invoquant la mort. — Que m’as-tu dit ! La foudre a tombé sur ma tête.
Dieux
! ah grands dieux ! partons. Plus de jeux, plus d
s chemins sûrs ; Partons. Jamais sans lui je ne revois ces murs. Ah !
dieux
! quand dans le vin, les festins, l’abondance, En
aits784. Ses deux fils et sa femme, À Delphes, confiés au ministre du
dieu
, Vivaient de quelques dons offerts dans le saint
que dois-je en ce moment ne pas vous écrire ? Si je le sais, que les
dieux
et les déesses me tuent plus cruellement que je n
qui est mêlé aux grandes affaires. 18. Les Romains disaient que les
dieux
avaient promis l’empire du monde à la ville maîtr
rétendu en effet Descartes, Descartes, ce mortel dont on eût fait un
dieu
Chez les païens et qui tient le milieu Entre l’ho
sprit du génie : Flatté de plaire aux goûts volages, L’esprit est le
dieu
des instants ; Le génie est le dieu des âges : Lu
ux goûts volages, L’esprit est le dieu des instants ; Le génie est le
dieu
des âges : Lui seul embrasse tous les temps. Riv
de la préposition à est fréquent au dix-septième siècle. 410. Ces
dieux
que l’homme a faits et qui n’ont point fait l’hom
grâce à Sévère, l’avait envoyé en Arménie pour faire un sacrifice aux
dieux
. 412. Ce substantif était alors des deux genres,
parer Bossuet à Corneille : « Qui oserait raconter les cérémonies des
dieux
immortels et leurs mystères impurs ? Leurs amours
a sœur ? 782. Hector, avant d’aller combattre Achille, adresse aux
dieux
la même prière, et demande qu’un jour on dise de
avez l’idée de la majesté royale. Oui, Dieu l’a dit : “Vous êtes des
dieux
” : mais, ô dieux de chair et de sang ! ô dieux de
a majesté royale. Oui, Dieu l’a dit : “Vous êtes des dieux” : mais, ô
dieux
de chair et de sang ! ô dieux de boue et de pouss
a dit : “Vous êtes des dieux” : mais, ô dieux de chair et de sang ! ô
dieux
de boue et de poussière, vous mourrez comme des h
une vie molle, sans honneur, au milieu des femmes ; faites malgré les
dieux
ce que votre père crut indigne de lui. » Ce disco
ceux même qui l’entreprennent avec justice, et sous la protection des
dieux
. » Voilà un motif bien fait pour toucher un sage
pas que son bonheur présent soit immuable, éternel, comme celui d’un
dieu
: il en est qui le haïssent, qui le craignent, qu
? Non, mais il est malade. Mort ou malade, que vous importe ? Si les
dieux
vous délivraient de lui, bientôt, pour peu que vo
é, nous l’armerions contre lui ! Tu sors d’une table où président les
dieux
hospitaliers, où il t’a fait asseoir avec deux Ca
ce qui est vrai absolument. Les Épicuriens voulaient prouver que les
dieux
avaient la forme humaine, parce qu’il n’y en a po
père lui défendre de revoir Achille, elle s’écrie (Act. V, sc. 1) :
Dieux
plus doux, vous n’aviez demandé que ma vie ! La
hommes et les agrandit, elle les exagère ; elle crée les héros et les
dieux
: l’histoire ne peint que l’homme, et le peint te
ima trop un ami malheureux ; Voilà tout son forfait, j’en atteste les
dieux
! Delille. Peut-on mieux exprimer l’impatience,
Tous les droits de l’empire en vos mains confiés ; Cruel, c’est à ces
dieux
que vous sacrifiez ! le mot de cruel est telleme
siste 1º à prendre la cause pour l’effet : c’est ainsi que le nom des
dieux
du paganisme se prend pour la chose dont ils étai
e en peinture. Virgile a voulu fixer nos regards sur le front même du
dieu
, parce que le front est le siège de la sérénité :
s supplie ; mais vous, laissez-vous toucher. Ô mon époux ! au nom des
dieux
, embrasse ton maître ; il t’a vaincu ; cherche à
utres d’en faire autant. Au moment où Gracchus commence la prière aux
dieux
, on se précipite impétueusement sur lui ; de tout
e à Pyrrhus, qu’il vient lui-même d’immoler ; il s’écrie : Grâce aux
dieux
, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te lou
peuple : sa religion poétique, la vie fabuleuse et passionnée de ses
dieux
, les aventures de ses héros, l’éclat de ses théât
’on eût autrefois appelé tyran, les Romains de son temps l’appelaient
dieu
. Toutes ces matières d’éloquence, qui n’avaient r
l’exclure des sacrifices parce qu’il a perdu la main droite, que les
dieux
, dont il a imploré le secours avant chaque victoi
entend plus que les louanges de l’avenir. Est-ce un mortel, est-ce un
dieu
qui vient de parler ? c’est Thucydide, ou Périclè
venue d’elle-même ; le peuple honorait aussi la maison de Romulus, le
dieu
Terme, les boucliers de Mars, et le Capitole, auq
ndateur, respecté par le fer et les flammes, défendu peut-être par un
dieu
. Plus loin, sur le roc Tarpéien, reste inébranlab
re par un dieu. Plus loin, sur le roc Tarpéien, reste inébranlable ce
dieu
Terme, qui, protecteur de nos armes, ne reculera
s prêtresses ? Les voilà, ces collines, ces champs, ce Tibre aimé des
dieux
, ce ciel de mon enfance que je regrettais chez le
tes et leurs troupeaux. Gardez votre pauvreté ; sacrifiez toujours au
dieu
Mars et à son glaive ; on admire, même chez ces p
s humaines. Conquérants de l’Asie, renoncez à un culte barbare que le
dieu
Zalmoxis ne vous demande pas222. Discours223.
re ne nous abandonne pas. J’étonnais, je charmais ces hommes amis des
dieux
par le tableau de vos mœurs simples et hospitaliè
nature et de la religion. Écoutez ce qu’elle m’inspire. La colère des
dieux
a mis sur la terre deux fléaux inexorables, la gu
, que la pitié entre dans vos cœurs ! et toi, Zalmoxis, es-tu donc un
dieu
sans pitié ? as-tu soif du sang des hommes ? Ô Sc
Périsse ce culte sanguinaire qui ne peut sans impiété s’adresser aux
dieux
, auteurs et conservateurs de toutes choses ! Trem
eurs et conservateurs de toutes choses ! Tremblez de les irriter, ces
dieux
, en immolant les hommes qui sont leur ouvrage.
levé au milieu du camp ; ses yeux, ses traits, sa taille étaient d’un
dieu
; tout se tait. « Je suis Dion, s’écrie-t-il ; pe
a, expier sa gloire et la vôtre par une mort prématurée. Romains, les
dieux
ont eu pitié de Rome ; vous êtes libres : mais le
ue, l’empire ; lui seul peut encore ramener dans Rome la vertu et les
dieux
. Romains, vous allez décider du sort de la terre
ourut, toujours armé de sa noble patience et de sa confiance dans les
dieux
. Les Scythes entendirent tout à coup, au milieu d
es, frappés de sa vie et de ses discours, le prirent pour un de leurs
dieux
, caché sous une forme humaine, et voulurent lui é
dit-il, c’est là que je veux fixer ma vie errante, jusqu’à ce que les
dieux
aient vengé l’empire. Je serai du moins au milieu
e tyran avait pu souffrir une âme libre ? Grâces vous soient rendues,
dieux
immortels ! enfin Dion peut faire entendre sa voi
fin Dion peut faire entendre sa voix à des Romains : il n’est plus ce
dieu
, ce seigneur qui vous outrageait ; votre justice
e a délivré Rome et l’univers. Oui, Romains, c’est par la volonté des
dieux
que Domitien vient de perdre une vie souillée de
ire, et guérira de si profondes blessures ? quel est l’homme aimé des
dieux
, dont les vertus et le courage rendront au monde
illaient d’une flamme divine, les Romains crurent voir et entendre le
dieu
dont il venait d’attester le nom. Les crimes du t
ous l’antique théâtre de l’éloquence, ni le Capitole le sanctuaire du
dieu
des batailles. Nous n’y montrerons plus à nos enf
où elle irait s’asseoir sur le trône des Césars et sur l’autel de nos
dieux
! Alors nous n’aurions plus à craindre que, lasse
die pas sans fruit, après avoir admiré le premier. 90. « Plût aux
Dieux
que Rome eût assez de braves et intègres citoyens
, fut prise et coulée à fond par des pirates, presque sous vos yeux ?
Dieux
immortels ! la valeur rare et divine d’un seul ho
épublique, le bien inestimable qui nous est offert et accordé par les
Dieux
immortels ! » Quand Pompée serait aujourd’hui dan
ace au-dessus des plus grands hommes, ou plutôt qui vous assimile aux
Dieux
mêmes. » Ainsi donc, César, vos exploits seront,
, et nous ne pourrons plus les chasser. Pour moi, je rends grâces aux
dieux
de ce qu’ils n’ont pas inspiré aux Perses le dess
t inutilement prodigué ». (Quint.C. Liv. iii. c. 15). 69. « Si les
Dieux
avaient mesuré ta stature à ton ambition, le mond
te les unes, elle ne laisse pas saisir les autres. Enfin, si tu es un
dieu
, tu dois faire du bien aux hommes, et non leur ra
sons aux Grecs ces précautions de signer des pactes et d’attester les
Dieux
: pour nous, nous mettons notre religion dans not
s notre fidélité. Ceux qui ne respectent pas les hommes, trompent les
Dieux
, et l’on n’a pas besoin de l’ami dont la volonté
haque objet frappe, éveille, et satisfait mes sens : Je reconnais les
Dieux
au plaisir que je sens. Le cardinal de Richelieu
âge, De la commune loi. Il n’est plus, et les
Dieux
en des temps si funestes, N’ont fait que le montr
Nous admirons le fier courage Du lion fumant de carnage, Symbole du
dieu
des combats. D’où vient que l’univers déteste La
a voix, comme un bruyant tonnerre, S’est fait entendre dans les airs.
Dieux
mortels, c’est vous, qu’il appelle : Il tient la
e-t-elle un langage extraordinaire, qu’on peut appeler le langage des
Dieux
. Elle anime, elle personnifie, elle divinise même
’abord elle se plaint qu’elle est lasse et recrue3 de fatigue ; et le
dieu
prononce que cela lui arrive par la longueur du c
et je ne suis plus si forte ni si saine que j’ai été : C’est, dit le
dieu
, que vous vieillissez2. — Mais quel moyen de guér
remèdes que vous m’enseignez ? — Que n’en usiez-vous donc, répond le
dieu
, sans venir me chercher de si loin, et abréger vo
ion en est riante ; un bois sacré l’ombrage du côté du couchant ; les
dieux
de Syrie, qui habitent quelquefois la terre, n’y
oin que j’ai de vous me chasse de mon lit et de ma chambre : plût aux
dieux
que je ne fusse ni votre client ni votre fâcheux
lettes sur la pourpre et les robes de deuil. Présentez l’histoire des
dieux
païens et de leur entourage sous la forme de Lett
Tandis que ces monstres barbares Poussaient d’insolentes clameurs, Le
dieu
, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de
rre, Semant de l’or, des fleurs et des épis. L’air était calme, et du
dieu
de la guerre Elle étouffait les foudres assoupis.
il était incapable, Un enfant !.. son seul crime, oh ! j’en jure les
dieux
! Fut d’avoir trop aimé son ami malheureux. 8
ater, je saurai mourir, et jamais l’oppresseur de mon pays ne sera un
dieu
pour moi. — Non, je ne déshonorerai point Athènes
isir Démosthène : « Arrête, dit-il, et ne profane pas la demeure des
Dieux
: laisse-moi remercier Neptune de l’asile qu’il m
ment. Les anciens reconnaissaient Apollon pour être tout à la fois le
dieu
des arts et le dieu des sciences : les neuf muses
connaissaient Apollon pour être tout à la fois le dieu des arts et le
dieu
des sciences : les neuf muses qui composaient sa
duit ainsi sa pensée : L’amitié d’un grand homme est un bienfait des
dieux
. Henri IV répondit à ceux qui l’exhortaient à tr
t rendez-le ambitieux : C’est par là que les rois sont semblables aux
dieux
. Du magnanime Henri qu’il contemple la vie ; Dès
té, la bravoure : Le minotaure en Crète à mon bras était dû ; Et les
dieux
réservaient ce monstre à ma vertu. Le vers suiva
’âme ; le ciel et la terre en sont épouvantés. L’admirable fiction du
dieu
Qui d’aiguillons pressait leurs flancs poudreux
e. Hé bien ! ce n’eût pas été un grand malheur. Esope. Quoi ! ces
dieux
qui s’estropient les uns les autres ; ce foudroya
là une plaisante peur. Esope. Hé quoi ! si l’on a bien cru que les
dieux
aient pu tenir les discours que vous leur avez fa
ère. Ah ! ce n’est pas la même chose. Les hommes veulent bien que les
dieux
soient aussi fous qu’eux1 ; mais ils ne veulent p
bordements du Tibre et les autres effets de la nature à la colère des
dieux
, de même, dans Rome mourante, on imputait les mal
ire149. « Quelle chose peut mieux nous conduire à la connaissance des
dieux
, disait-il, que l’expérience de nos prospérités p
murailles, et que les Gaulois l’ont été « du Capitole. C’est pour les
dieux
de la patrie que nous « demandons la paix ; nous
e la patrie que nous « demandons la paix ; nous la demandons pour les
dieux
« indigètes. Nous n’entrons pas dans des disputes
e le ciel, fondement de la fable des Titans et des assauts contre les
dieux
: tous ces sentiments fondés sur la terreur se so
ages plus harmonieusement organisés que nos ancêtres, les vers et les
dieux
régnèrent longtemps avant la prose et les rois. A
nt des figures de géométrie tracées sur le rivage, il s’écria que les
dieux
ne l’avaient pas conduit chez des barbares : quan
es de l’idolâtrie, et traînaient à la lumière du soleil, au lieu d’un
dieu
, quelque monstre horrible. Sur le voyage de l’Es
ui, pour ramener la victoire sons les drapeaux de Rome, se dévoue aux
dieux
infernaux ; de Régulus, qui s’arrache à sa famill
ie enfermée dans un vase de soie, et qui finit par se croire un petit
dieu
. Il faut donc punir l’enfant quand il fait mal, l
indiscrets ; Ou tel que d’Apollon le ministre terrible, Impatient du
dieu
dont le souffle invincible Agite tous ses sens, L
eux. Mais sitôt que, cédant à la fureur divine, Il reconnaît enfin du
dieu
qui le domine Les souveraines lois ; Alors, tout
’élançait clans les airs comme un aigle intrépide, Et jusque chez les
dieux
allait d’un vol rapide Interroger le sort. C’est
flatteur, l’orgueil et le caprice Sont nos seuls Apollons. Ah ! si ce
dieu
sublime, échauffant mon génie, Ressuscitait pour
s les infernales voûtes De l’empire des morts ; Je n’irais point, des
dieux
profanant la retraite, Dérober au Destin, témérai
uguste Cybèle La terre ne fit naître un plus parfait modèle Entre les
dieux
mortels ; Et jamais la vertu n’a, dans un siècle
ne, N’a trouvé qu’en lui seul sa gloire, sa fortune, Sa patrie et ses
dieux
. Corrigez donc pour lui vos rigoureux usages, Pre
lus longs âges Tournent entre vos mains. C’est à vous que du Styx les
dieux
inexorables Ont confié les jours, hélas ! trop pe
fié les jours, hélas ! trop peu durables Des fragiles humains. Si ces
dieux
, dont un jour tout doit être la proie, Se montren
Que vois-je ? ah, malheureux ! quels traits ! quel son voix ? Justes
dieux
! quel objet offrez-vous à ma vue ? ZÉNOBIE. D’où
ût au Ciel qu’aujourd’hui Vous eussiez oublié ses crimes avec lui ! O
dieux
, qui la rendez à ma douleur mortelle, Que ne lui
t-il encor de revoir tant d’attraits ?… ZÉNOBIE. Ah, cruel ! plût aux
dieux
que ta main ennemie N’eût jamais attenté qu’aux j
les regrets où ton cœur s’abandonne ? Va, ce n’est pas à nous que les
dieux
ont remis Le pouvoir de punir de si chers ennemis
J’ai reçu par vos mains le prix de mes forfaits : Puissent les justes
dieux
eu être satisfaits ! Je ne méritais pas de jouir
obie ! Mithridate est vengé. PHARASMANE. Mithridate est vengé.Grands
dieux
! qu’ai-je entendu ? Mithridate ! Ah ! quel sang
le grand prêtre comme le coupable qui attire sur Thèbes la colère des
dieux
. Indigné d’abord, puis surpris et troublé, le roi
revois des malheurs que je ne puis comprendre ; Je crains que par les
dieux
le pontife inspiré Sur mes destins affreux ne soi
r mes destins affreux ne soit trop éclairé. Moi, j’aurais massacré !…
Dieux
! serait-il possible ? JOCASTE. Cet organe des di
rais massacré !… Dieux ! serait-il possible ? JOCASTE. Cet organe des
dieux
est-il donc infaillible ? Un ministère saint les
ible ? Un ministère saint les attache aux autels ; Ils approchent des
dieux
, mais ils sont des mortels. Pensez-vous qu’en eff
rnées Des humains dans leurs flancs portent les destinées ? ŒDIPE. Ah
dieux
! s’il était vrai, quel serait mon bonheur ! JOCA
ils ! par quel coup l’avez-vous donc perdu ? Quel oracle sur vous les
dieux
ont-ils rendu ? JOCASTE. Apprenez, apprenez, dans
Laïus. Sur le sort de mon fils ma tendresse inquiète Consulta de nos
dieux
la fameuse interprète610. Quelle fureur, hélas !
ils tuera son père, et ce fils sacrilège, « Inceste et parricide… » O
dieux
achèverai-je ? ŒDIPE. Eh bien, Madame ? JOCASTE.
ous De cet enfant, l’objet du céleste courroux ? JOCASTE. Je crus les
dieux
, seigneur, et saintement cruelle611, J’étouffai p
r maternelle. En vain de cet amour l’impérieuse voix S’opposait à nos
dieux
et condamnait leurs lois ; Il fallut dérober cett
lus des lieux saints souiller la pureté : « Du nombre des vivants les
dieux
t’ont rejeté ; « Ils ne reçoivent point tes offra
; « Conjure leurs serpents prêts à te déchirer ; « Va, ce sont là les
dieux
que tu dois implorer. » Tandis qu’à la frayeur j’
tre fils ; Me dit que je serais l’assassin de mon père... JOCASTE. Ah
dieux
! ŒDIPE. Ah dieux !Que je serais le mari de ma m
ue je serais l’assassin de mon père... JOCASTE. Ah dieux ! ŒDIPE. Ah
dieux
!Que je serais le mari de ma mère. JOCASTE. Où su
à moi-même, à moi-même odieux, Ma vertu n’osa point lutter contre les
dieux
. Je m’arrachai des bras d’une mère éplorée ; Je p
t le seul compagnon. Dans plus d’une aventure, en ce fatal voyage, Le
dieu
qui me guidait seconda mon courage : Heureux si j
el enchantement J’oubliais jusqu’ici ce grand événement ; La main des
dieux
sur moi si longtemps suspendue Semble ôter le ban
dent à coups pressés. La victoire entre nous ne fut point incertaine.
Dieux
puissants, je ne sais si c’est faveur ou haine :
de, Depuis que ces brigands, t’arrachant à mes bras, M’enlevèrent mes
dieux
, mon trône et tes appas616. Sais-tu que ce Gusman
cteur sauvage, Par des tourments sans nombre éprouva mon courage ? Un
dieu
, sans doute, un dieu qui préside à l’amour Dans l
s tourments sans nombre éprouva mon courage ? Un dieu, sans doute, un
dieu
qui préside à l’amour Dans le sein du trépas me c
ent presque sous tes yeux de former ces liens. J’ai tout quitté : mes
dieux
, mon amant, ma patrie. Au nom de tous les trois,
donnée ; Que je t’aimais toujours ; que mon cœur éperdu A détesté tes
dieux
, qui t’ont mal défendu ; Mais je ne cherche point
e régner dans ton cœur ? ALZIRE. Quand Montèze, Alvarez, peut-être un
dieu
vengeur, Nos chrétiens ma faiblesse, au temple m’
Que les chrétiens sont nés pour leur donner des lois. (A Zamore.) Des
dieux
que nous servons connais la différence : Les tien
rs ; On aurait pu des fables surannées Ressusciter les diables et les
dieux
; Des faits d’un mois occuper des années, Et, sur
uel temps encor tes ordres tyranniques M’ont-ils banni du sein de mes
dieux
domestiques ! Quand mon âme, lassée après tant de
Puis-je te croire encore ? ANTIGONE. Je vous réponds de lui. œdipe.
Dieux
puissants que j’implore ! Dieux ! vous que j’invo
GONE. Je vous réponds de lui. œdipe. Dieux puissants que j’implore !
Dieux
! vous que j’invoquais pour sa punition, Enchaîne
montrant à leurs yeux, Par un chant sacrilège ils rendaient grace aux
dieux
. Étonné, je m’avance : « Existez-vous, leur dis-j
rs sont les miens. Poésies diverses. A mes Pénates670. Petits
dieux
avec qui j’habite, Compagnons de ma pauvreté, Vou
couleur de carmélite671 Et mon armoire de noyer, O mes Pénates, mes
dieux
Lares, Chers protecteurs de mon foyer ! Si mes ma
pour eux. Mais qu’un sot vienne à m’apparaître, Exaucez ma prière, ô
dieux
! Fermez vite et porte et fenêtre : Après m’avoir
arbe hérissée. Il remuait à peine une lèvre glacée, Des hommes et des
dieux
implorait le secours, Et dans la forêt sombre err
tend les bras, il tombe à genoux ; il lui crie Qu’au nom de tous les
dieux
il la conjure, il prie, Et qu’il n’est point à cr
ire enfin. — « Si, comme je le crois, belle dès ton enfance, C’est le
dieu
de ces eaux qui t’a donné naissance700, Nymphe, s
périr l’étranger en détresse : L’étranger qui supplie est envoyé des
dieux
. » — Elle reste. A le voir elle enhardit ses yeux
étonné, se taisent pour l’entendre. — « Lycus, fils d’Évenor, que les
dieux
et le temps N’osent jamais troubler tes destins é
e de sa ville. A ton riche banquet un peuple convié T’honore comme un
dieu
de l’Olympe envoyé. Regarde un étranger qui meurt
t Vertu ; Souvent d’un vil manteau le sage revêtu, Seul, vit avec les
dieux
et brave un sort inique. Couvert de chauds tissus
soleil. Je te ferai revoir tes foyers, ta patrie, Tes parents, si les
dieux
ont épargné leur vie : Car tout mortel errant nou
anson l’étranger prend le vase, Se lève ; sur eux tous il invoque les
dieux
. On boit, il se rassied. Et jusque sur ses yeux S
gnominie. Rebuté des humains durs, envieux, ingrats, Il a recours aux
dieux
qui ne l’entendent pas. Toutefois ta richesse acc
ble humilié, D’indulgence et d’égards tempérer la pitié, S’il est des
dieux
du pauvre, ô Lycus ! que ta vie Soit un objet pou
je rendrai désormais Ce que dans mon malheur je dus à ses bienfaits.
Dieux
, l’homme bienfaisant est votre cher ouvrage, Vous
uant la mort.716 » « Que m’as-tu dit ? La foudre a tombé sur ma tête.
Dieux
! ah grands dieux ! partons. Plus de jeux, plus d
ns sûrs ; [fête, Partons. Jamais sans lui je ne revois ces murs. Ab !
dieux
! quand dans le vin, les festins, l’abondance, En
aits717. Ses deux fils et sa femme, A Delphes, confiés au ministre du
dieu
, Vivaient de quelques dons offerts dans le saint
épais bocages S’il pourra de sa tête apaiser les orages Et secouer le
dieu
qui fatigue son sein726. De sa bouche à grands fl
couer le dieu qui fatigue son sein726. De sa bouche à grands flots ce
dieu
dont il est plein Bientôt en vers nombreux s’exha
ous des mains habiles. Est-ce un mal ? Eh ! plutôt rendons grâces aux
dieux
: Un faux éclat longtemps ne peut tromper nos yeu
servie, Égorgée, ô mon cher trésor ! O ma plume, fiel, bile, horreur,
dieux
de ma vie ! Par vous seuls je respire encor : Com
et ta voix, sur un mode infernal, Chante l’hymne de gloire au sombre
dieu
du mal. Mais que sert de lutter contre sa destiné
er, Baise plutôt le joug que tu voudrais briser, Descends du rang des
dieux
qu’usurpait ton audace ; Tout est bien, tout est
la peine. Borné dans sa nature, infini dans ses vœux, L’homme est un
dieu
tombé qui se souvient des cieux754 : Soit que, dé
ant, seul vrai Dieu, feras-tu moins pour elle Que Jupiter et ses faux
dieux
? » Il chantait, il pleurait, quand d’une tour vo
ron, César, consul pour la troisième fois ; Néron, maître du monde et
dieu
de l’harmonie, Qui, sur le mode d’Ionie, Chante,
nnui profond et solitaire ! Il doit lancer parfois la foudre comme un
dieu
! Mais, venez, la nuit tombe et la fête commence
avoir aussi mon temple, Puisque ces vils Romains n’ont point assez de
dieux
. J’ai détruit Rome, afin de la fonder plus belle,
applaudis, et poursuis mon chemin. Sous les rois absolus je trouve un
dieu
despote ; On nous parle aujourd’hui d’un dieu rép
is absolus je trouve un dieu despote ; On nous parle aujourd’hui d’un
dieu
républicain. Pythagore et Leibniz transfigurent m
ebout. Spinosa, fatigué de tenter l’impossible, Cherchant en vain son
dieu
, croit le trouver partout830. Pour le sophiste an
uite de leur roi Alaric, est prise et ruinée. Les adorateurs des faux
dieux
, que nous appelons païens, rejetant cette désolat
a vie ; c’est déjà le cri désespéré de Lucrèce, aimant mieux nier les
dieux
que leur attribuer une œuvre indigne de leur puis
….Vous êtes en ces lieux Son père, son époux, son asile, ses
dieux
. 579. Nesciaque humanis precibus mansuescere
prêtres : Ne descendez-vous pas de ces fameux lévites Qui, lorsqu’au
dieu
du Nil le volage Israël Rendit dans le désert un
orts tentés auprès de l’inflexible vieillard demeurent inutiles : les
dieux
l’ont endurci dans sa haine. Ce retour de tendres
le grand prêtre le repousse par ces mots : Ton père est apaisé, les
dieux
ne le sont pas,… et le frère d’Étéocle sent se r
a sœur ? 715. Hector, avant d’aller combattre Achille, adresse aux
dieux
la même prière, et demande qu’un jour on dise de
’ils n’eussent monté au Capitole, et que tantôt ils promissent à leur
dieu
de lui consacrer les armes des Romains et de lui
tellement ministres de Dieu qu’ils sont hommes néanmoins, et non pas
dieux
. Les mauvaises impressions les pourraient surpren
idolâtrie, a triomphé de la superstition, a détruit le culte des faux
dieux
, a conquis tout l’univers, au lieu que les plus g
l me semble que je me trouve presque à ma place326. En vérité, si les
dieux
ne m’avaient mis sur la terre que pour y mener un
ue plaisir à vous voir faire une action de courage ; mais, au nom des
dieux
, que ce soit pour la dernière fois. Laissez-moi s
ts me feront abandonner un ami. » Un jour, Callisthène me dit : « Les
dieux
immortels m’ont consolé ; et depuis ce temps, je
Lysimaque, vous régnerez : croyez un homme qui doit être agréable aux
dieux
, puisqu’il souffre pour la vertu. » Cependant Ale
qui je m’étais confié, m’apporta cette réponse : « Lysimaque, si les
dieux
ont résolu que vous régniez, Alexandre ne peut pa
s vous ôter la vie ; car les hommes ne résistent pas à la volonté des
dieux
. » Cette lettre m’encouragea ; et faisant réflexi
d’Alexandre. » Je reçus les grâces du roi : j’adorai les décrets des
dieux
, et j’attendais leurs promesses, sans les recherc
rouvé la cour de Pluton remplie de dissensions. Auprès du trône de ce
dieu
s’en élèvent plusieurs autres, sur lesquels sont
regards plus loin, annonçait hautement qu’on ne doit pas accuser les
dieux
de tant de passions honteuses, mais les hommes qu
te des Romains. SABINE. Suivons-le promptement : la colère l’emporte.
Dieux
, verrons-nous toujours des malheurs de la sorte ?
vaises mains L’intérêt d’Émilie et celui des Romains. CINNA. Plût aux
dieux
que vous-même eussiez vu de quel zèle Cette troup
assinés dans les places publiques, « Les autres dans le sein de leurs
dieux
domestiques ; « Le méchant par le prix au crime e
ctime, et faisons en ces lieux Justice à tout le monde, à la face des
dieux
. « Là presque pour sa suite il n’a que notre trou
u voisinage : Assurément il radotait. Car, au nom des
dieux
, je vous prie, Quel fruit de ce labeur pouvez-vou
rendez-le ambitieux581: C’est par là que les rois sont semblables aux
dieux
. Du magnanime Henri qu’il contemple la vie : Dès
la victoire instruit. L’ennemi renversé fuit et gagne la plaine : Le
dieu
lui-même cède au torrent qui l’entraîne Et seul,
cœurs à mon passage. » Tels étaient vos plaisirs. Quel changement, ô
dieux
! Le sang le plus abject vous était précieux : Un
i devait présenter Un poison que votre ordre avait fait apprêter. Les
dieux
de ce dessein puissent-ils le distraire ! Mais pe
et sublimes750. Vanité du bonheur des méchants751. Béni soit le
dieu
des armées, Qui donne la force à mon bras, Et par
ndiscrets : Ou, tel que d’Apollon le ministre terrible, Impatient du
dieu
dont le souffle invincible Agite tous
ux. Mais sitôt que, cédant à la fureur divine, Il reconnaît enfin du
dieu
qui le domine Les souveraines lois ;
S’élançait dans les airs comme un aigle intrépide, Et jusque chez les
dieux
allait d’un vol rapide Interroger le
gueil et le caprice Sont nos seuls Apollons. Ah ! si ce
dieu
sublime, échauffant mon génie, Ressuscitait pour
les voûtes De l’empire des morts ; Je n’irais point, des
dieux
profanant la retraite, Dérober au Destin, témérai
e La terre ne fit naître un plus parfait modèle Entre les
dieux
mortels. ; Et jamais la vertu n’a, dans un siècle
vé qu’en lui seul sa gloire, sa fortune, Sa patrie et ses
dieux
. Corrigez donc pour lui vos rigoureux usages, Pr
es Tournent entre vos mains. C’est à vous que du Styx les
dieux
inexorables Ont confié les jours, hélas ! trop pe
, hélas ! trop peu durables Des fragiles humains. Si ces
dieux
, dont un jour tout doit être la proie, Se montren
flexible Tomberait devant moi770. Mais une dure loi, des
dieux
même suivie, Ordonne que le cours de la plus bell
nnemis, À sortir d’une vie ou triste ou fortunée En rendant grâce aux
dieux
de nous l’avoir donnée808. Aussi, lorsque mon pou
Où l’un de vos aïeux, Hercule, est adoré, J’osais prier pour vous ce
dieu
vengeur des crimes : Je ne pouvais offrir ni prés
ux, Un cœur pur et soumis, présent des malheureux. Il semblait que le
dieu
, touché de mon hommage, Au-dessus de moi-même éle
ruauté ! Que t’ai-je fait ? ÉGISTHE. Les
dieux
qui vengent le parjure Sont témoins si ma bouche
lantés… NARBAS, paraissant avec précipitation. Qu’allez-vous faire, ô
dieux
! MÉROPE.
Je me meurs ! ISMÉNIE.
Dieux
puissants ! NARBAS, à Isménie.
minel ; Et sur son corps sanglant je vous mène à l’autel. MÉROPE. Ah,
dieux
! ÉGISTHE, à Polyphonte. Tu v
i, tu tiens dans tes mains le secret de ma vie ; Tu tiens le fils des
dieux
enchaîné devant toi, L’héritier de Cresphonte, et
; Sauvez le fils : je puis oublier tout le reste ; Sauvez le sang des
dieux
et de vos souverains ; Il est seul, sans défense,
a sa carrière : Il sentit l’infortune en ouvrant la paupière ; Et les
dieux
l’ont conduit à l’immortalité, Pour avoir, comme
he ? ISMÉNIE. Il est le digne fils des
dieux
; Égisthe ! il a frappé le coup le plus terrible.
autels ; Il monte, il y saisit d’une main assurée Pour les fêtes des
dieux
la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts
’ai vu qui frappait ce monstre audacieux. « Meurs, tyran, disait-il ;
dieux
, prenez vos victimes. » Érox, qui de son maître a
e.) MÉROPE. Guerriers, prêtres, amis, citoyens de Messène, Au nom des
dieux
vengeurs, peuples, écoutez-moi : Je vous le jure
i que vous voyez traîné sur la poussière, C’est un monstre ennemi des
dieux
et des humains : Dans le sein de Cresphonte il en
lui dont la prudence Aux mains de Polyphonte arracha son enfance. Les
dieux
ont fait le reste. NARBAS.
RBAS. Oui, j’atteste ces
dieux
Que c’est là votre roi qui combattait pour eux. É
s, le repos, trésor si précieux Qu’on en faisait jadis le partage des
dieux
! Voy. fab. 12 du liv. VII. 578. Là on reconn
n sait que les anciens représentaient les fleuves sous la figure d’un
dieu
à longue barbe : tradition conservée par nos poèt
… Vous êtes en ces lieux Son père, son époux, son asile, ses
dieux
. 765. Nesciaque humanis precibus mansuescer
ion : Ἕν παῥ ἐσλὸν, πήματα σὺν Δύο δαίοινται βροτοῖς Ἀθάνατοι. « Les
dieux
, en accordant aux hommes un seul bien, raccompagn
en plus sûr pour réussir que celui qu’il a pris, et ses dialogues des
dieux
et des morts sont remplis de traits satiriques et
l’on composait des poèmes. Tous les peuples avaient à célébrer leurs
dieux
, leurs héros et leurs illustres ancêtres, à chant
d’une lente vieillesse, Et qui seul, sans ministre, | à l’exemple des
dieux
, Soutiens tout par toi-même | et vois tout par te
du moins, produisirent l’étonnement et l’admiration. Les actions des
dieux
et des héros, les exploits des guerriers, les suc
s bardes donnaient essor à leur enthousiasme poétique, chantaient les
dieux
et les héros, célébraient leurs victoires et dépl
i même n’y occupent pas une place peu importante ; je veux parler des
dieux
et des êtres surnaturels. Ceci nous mène à l’exam
inement pas le nom de poème épique, sans y faire jouer aucun rôle aux
dieux
ni aux êtres surnaturels. L’auteur de Léonidas n’
voir de ce roi. Agamemnon la refuse. Le prêtre invoque Apollon, et le
dieu
, cédant à ses instances, envoie la peste dans le
ecs. Il se retire en effet. Thétis, sa mère, implore le souverain des
dieux
, qui, pour venger Achille de l’affront qu’il a re
n héros. Il est franc et sincère ; il aime ses sujets et respecte les
dieux
. Ami constant, il se montre plein de fierté, d’ho
Homère, de cette partie que l’on appelle le merveilleux du poème. Les
dieux
y jouent un très grand rôle, bien plus grand que
son pays. Le siècle de la guerre de Troie se rapprochait de celui des
dieux
et des demi-dieux de la Grèce. La plupart des hér
istincts et aussi prononcés que ceux de ses héros. L’intervention des
dieux
jette dans les batailles une heureuse variété. Il
de tant de combats et de carnage. Il faut cependant avouer que si les
dieux
d’Homère jouent toujours un rôle vif et animé, qu
erelle de deux grandes armées. Si Homère fait quelquefois jouer à ses
dieux
un rôle trop peu noble, quelquefois aussi ils app
s de tout l’éclat imposant de la majesté divine. Jupiter, le père des
dieux
et des hommes, a presque toujours de la grandeur
de tête il avertit les cieux, Et l’Olympe ébranlé s’incline avec les
dieux
. (Trad. de Delille.) Mais Homère, dans la même d
e, dans la même description, représente le noir sourcil du maître des
dieux
qui s’abaisse, et sa chevelure céleste qui s’agit
ctor pose son casque, prend son fils dans ses bras, le recommande aux
dieux
, et le rend à Andromaque qui le reçoit avec un so
rtout la même fécondité. Le poète ne s’élève plus jusqu’à chanter les
dieux
, les héros et les combats, mais il nous en dédomm
bjet, l’établissement d’Énée en Italie, établissement ordonné par les
dieux
. Comme l’action dure plusieurs années, le poète e
traité qu’il pût être. L’on ne pouvait sensément faire intervenir les
dieux
et les déesses dans les différends et dans les gu
s plus profondément dans nos cœurs. Nous sommes tous dans la main des
dieux
; et que l’oracle parle ou se taise, ce n’en est
, l’onde, le ciel et le cœur de l’homme juste ? Pourquoi chercher les
dieux
si loin ? Jupiter, c’est tout ce que tu vois, tou
me et de la mythologie des païens, mélange disposé de manière que les
dieux
de la fable semblent être les seules divinités pu
la protectrice des Européens, Bacchus est leur divinité ennemie ; ce
dieu
voit avec douleur les efforts de Gama pour éclips
ts de Gama pour éclipser la gloire dont il remplissait les Indes. Les
dieux
s’assemblent, et, dans ce conseil, c’est Jupiter
opinion absurde, qu’il n’existe pas d’épopée sans l’intervention des
dieux
d’Homère. Il est vrai qu’à la fin de l’ouvrage, l
chantait ordinairement aux fêtes de Bacchus. On immolait un bouc à ce
dieu
; après ce sacrifice, les prêtres et les assistan
antaient des odes ou des hymnes dans lesquelles elles adressaient aux
dieux
des prières pour le succès des entreprises honora
ragédie n’était, chez les Grecs, qu’une hymne ou un chant adressé aux
dieux
par des chœurs ; aussi n’est-il pas étonnant que
rendues inévitables. Les prédictions des oracles et la vengeance des
dieux
avaient une trop grande part à l’action ; et s’il
x spectateurs qu’il fallait se soumettre aveuglément à la volonté des
dieux
et aux décrets du destin. La tragédie moderne s’e
se est une passion ou un crime, et plus souvent encore la volonté des
dieux
; cette exposition est simple, presque sans incid
fonnerie. L’on y voit fréquemment confondus ensemble les anges et les
dieux
, les vertus et les vices, la religion chrétienne
me du plus féroce des animaux, d’ôter la vie ; il n’appartient qu’aux
dieux
et qu’aux rois de l’accorder.” Cette maxime d’Ari
garde, en effet, comme autant de rares présents qu’il avait reçus des
dieux
, et qu’il ne m’est pas permis d’appeler des quali
e si grands personnages que Dryas, Cénée, Exadius, Polyphème égal aux
dieux
, etc.” « La postérité a bien vengé Achille du mau
re entendu parler d’Exadius, ni de Cénée ; et pour Polyphème égal aux
dieux
, il n’a pas une trop bonne réputation, à moins qu
une de ses stances : Et pourquoi veut-on que j’encense Ces prétendus
dieux
dont je sors ? En moi la même intelligence Fait m
otte par le petit couplet suivant : Cher Lamotte, imite et révère Ces
dieux
dont tu ne descends pas. Si tu crois qu’Horace es
auxquels on ne peut prendre aucun intérêt. Homère, en parlant de ses
dieux
, les caractérisait par leurs attributs qu’on conn
2) Le talent médiocre est toujours sans excuse ; Libraire, hommes et
dieux
, tout proscrit ce travers. (Trad. de DARU.) 8.
s sans lui nous touchent peu ; C’est un temple désert qui demande son
dieu
; Avec lui, mouvement, plaisir, galté, culture, T
nt principalement sur le rôle peu noble que le poète a faitj otieraux
dieux
, su r la rudesse des mœurs et du caractère des hé
personnages le costume du temps où il vivait. Homère a représenté ses
dieux
d’après la tradition populaire de son temps, et l
bons, donnant des avis sages, Le chœur vienne implorer la justice des
dieux
Contre les oppresseurs et pour les malheureux : Q
sanglante écume. On dit qu'on a vu même, en ce désordre affreux, Un
dieu
qui d'aiguillons pressait leurs flancs poudreux.
N'a laissé dans mes bras qu'un corps défiguré : Triste objet où des
dieux
triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l'œil mê
Tandis que ces monstres barbares Poussaient d'insolentes clameurs, Le
dieu
, poursuivant sa carrière, Versait des torrents de
x autels ; Il y monte et saisit, d'une main assurée, Pour la fête des
dieux
la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts
ai vu qui frappait ce monstre audacieux : « Meurs, tyran, disait-il ;
dieux
, prenez vos victimes ! » (Voltaire.) A l'hypotyp
n'a pu survivre à Pyrrhus qu'on vient d'immoler, s'écrie : Grâce aux
dieux
, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te lou
car elle prend le ton qui convient au sujet. À mes pénates. Petits
dieux
avec qui j'habite, Compagnons de ma pauvreté, Vou
lit couleur de carmélite Et mon armoire de noyer ; O mes pénates, mes
dieux
lares, Chers protecteurs de mon foyer, Si mes mai
attribuée à des êtres animés, parce que tout parle dans la fable, les
dieux
, les hommes, les animaux, les plantes, etc, L'ins
i surpasse les lois ordinaires de la nature, comme l'intervention des
dieux
, est un ornement que réclame le poëme épique. Le
n d’être annoncé ou prédit : car c’est la croyance des hommes que les
dieux
voient tout. En un mot, dans les fables tragiques
s qui y arrivaient par mer. Son frère y arrive : et cela, parce qu’un
dieu
le lui avait ordonné, pour exécuter une certaine
st reçue. Dites que c’était l’opinion : comme dans ce qui regarde les
dieux
. Ce qu’on en dit n’est peut-être ni le vrai, ni l
mptement. Un autre endroit sera justifié par la métaphore : Tous les
dieux
dormaient… Lorsqu’il jetait les yeux sur le camp
fer ; on dit aussi des bottes d’étain ; que Ganymède verse du vin aux
dieux
, quoique les dieux ne boivent point de vin : ce q
des bottes d’étain ; que Ganymède verse du vin aux dieux, quoique les
dieux
ne boivent point de vin : ce qui rentre dans la c
Ixion était attaché à sa roue. 11. Pélée, prince vertueux et ami des
dieux
. 12. Voyez le chap. vi. 13. C’est-à-dire voyell
c ses bras, Faisant tel bruit et tel fracas, Que moi qui, grâce aux
dieux
, de courage7 me pique, En ai pris la fuite de p
x souterrains séjours. La belette avait mis le nez à la fenêtre1 « O
dieux
hospitaliers2 ! que vois-je ici paraître ? Dit l’
aux, enfants du voisinage7 : Assurément il radotait. Car, au nom des
dieux
, je vous prie, Quel fruit de ce labeur pouvez-vou
e ne les blâme point ; je souffre cette humeur : Elle est commune aux
dieux
, aux monarques, aux belles. Le nectar que l’on se
r que l’on sert au maître du tonnerre, Et dont nous enivrons tous les
dieux
de la terre, C’est la louange, Iris. Vous ne la g
ger ; de familier, il va devenir grave, oratoire. 4. Je supplie les
dieux
. Démosthène, dans ses plus belles harangues, se m
us belles harangues, se met aussi tout d’abord sous la protection des
dieux
. Il parle en leur nom, comme s’il sentait leur pr
cieux, L’enfant, s’attachant à la terre, Luttait contre l’oiseau des
dieux
; Mais entre ses serres rapides L’aigle, pressant
à l’essor de la pensée L’instinct des sens s’oppose en vain : Sous le
dieu
mon âme oppressée Bondit, s’élance, et bat mon se
ration est considéré comme un être privilégié, comme l’interprète des
dieux
; il maîtrise, il gouverne les peuples. Chez les
es de l’existence de Dieu : nécessité de la religion. Oui, c’est un
dieu
caché2 que le dieu qu’il faut croire. Mais tout c
e Dieu : nécessité de la religion. Oui, c’est un dieu caché2 que le
dieu
qu’il faut croire. Mais tout caché qu’il est, pou
des guerres civiles de Marius et de Sylla, et n’osant attribuer à des
dieux
justes et sages les désordres de sa patrie, il vo
eur des psaumes.’ Par exemple, celui qui commence ainsi : Le Dieu des
dieux
, le Seigneur a parlé, et il a appelé la terre, su
avec franchise : Hélas ! je connais assez peu Les lois de cet aimable
dieu
; Mais je sais qu’il vous favorise. Entre vos mai
montrer Par quels chemins on peut sans s’égarer Chercher ce Goût, ce
dieu
que dans cet âge Maints beaux esprits font gloire
Mais n’entrerez en cet aimable lieu ; Vous y venez pour fronder notre
dieu
: Contentez-vous de ne le pas connaître. M. Bard
ors à crier : Tout le monde est trompé et le sera : il n’y a point de
dieu
du Goût ; et voici comme je le prouve. Alors il p
tant, pour toute musique, Brekeke, kake, koax, koax, koax ! Ah ! bon
dieu
, s’écria la Critique, quel horrible jargon ! Elle
: O vous, messieurs les beaux esprits, Si vous voulez être chéris Du
dieu
de la double montagne, Et que toujours dans vos é
ris Du dieu de la double montagne, Et que toujours dans vos écrits Le
dieu
du Goût vous accompagne, Faites tous vos vers à P
nt ces cyniques jaloux ; mais je suis la Critique : vous êtes chez le
dieu
du Goût, et voici ce que je vous dis de la part d
es chez le dieu du Goût, et voici ce que je vous dis de la part de ce
dieu
, du public et de la mienne ; car nous sommes à la
re ; Je marchai dans la nuit, conduit par Epicure ; J’adorai comme un
dieu
ce mortel orgueilleux Qui fit la guerre au ciel,
dieu ce mortel orgueilleux Qui fit la guerre au ciel, et détrôna les
dieux
. L’âme ne me parut qu’une faible étincelle Que l’
nous arrivâmes jusqu’à l’autel et jusqu’au trône du Goût. Je vis ce
dieu
qu’en vain j’implore, Ce dieu charmant que l’on i
l et jusqu’au trône du Goût. Je vis ce dieu qu’en vain j’implore, Ce
dieu
charmant que l’on ignore Quand on cherche à le dé
, Ce dieu charmant que l’on ignore Quand on cherche à le définir ; Ce
dieu
qu’on ne sait point servir Quand avec scrupule on
Le Sueur entre eux se plaçait : On l’y regardait sans murmure ; Et le
dieu
, qui de l’œil suivait Les traits de leur main lib
a soixante ou quatre-vingts ans, pour être les plus chers favoris du
dieu
du Goût. Les Pavillon, les Benserade, les Pélisso
oup d’esprit, un peu trop vain, n’avait jamais pu réussir à donner au
dieu
du Goût cet excès de bonne opinion que le comte d
é de Chaulieu, Qui chantait en sortant de table. Il osait caresser le
dieu
D’un air familier, mais aimable. Sa vive imaginat
Cythère Et celles du sacré vallon Orner sa tête octogénaire. Le
dieu
aimait fort tous ces messieurs, et surtout ceux q
ncorrect dans son style, libre dans ses idées. Il parlait toujours au
dieu
du Goût sur les mêmes rimes. On dit que ce dieu l
l parlait toujours au dieu du Goût sur les mêmes rimes. On dit que ce
dieu
lui répondit un jour : Réglez mieux votre passio
es. Un janséniste dira que les jésuites se fourrent partout : mais le
dieu
du Goût reçoit aussi leurs ennemis, et il est ass
doive exclure. Je vis les muses présenter tour à tour sur l’autel du
dieu
des livres, des dessins et des plans de toute esp
ar les gens du monde toujours légers, attirent souvent les regards du
dieu
. On nous lit voir ensuite la bibliothèque de ce p
lus, Et la suite inutile et rare D’écrivains qu’on n’a jamais lus. Le
dieu
daigna de sa main même En leur rang placer ces au
n nous fit passer dans l’intérieur du sanctuaire. Là, les mystères du
dieu
furent dévoilés ; là, je vis ce qui doit servir d
onnaître, ou gardez-vous d’écrire. Despréaux, par un ordre exprès du
dieu
du Goût, se réconciliait avec Quinault, qui est l
soumise, et dont nul grand homme n’est exempt. Je connus alors que le
dieu
du Goût est très-difficile à satisfaire, mais qu’
ent lui présenter ses héros ; Et c’est en répandant des larmes Que ce
dieu
connaît leurs défauts. Malheur à qui toujours rai
séjour qu’il abandonne. Quand mes conducteurs s’en retournèrent, le
dieu
leur parla à peu près dans ce sens : car il ne m’
ère, excepté ceux de pure plaisanterie, sont élégants. Le mélange des
dieux
et des hommes dans cette pièce unique en son genr
e conserver que pour vaincre Pompée. Je l’ai vaincu, princesse, et le
dieu
des combats M’y favoriserait moins que vos divins
première scène de Proserpine : Les superbes géants armés contre les
dieux
Ne nous donnent plus d’épouvante ; Il
i, doit être plus près de la nature que celui du poète inspiré par un
dieu
. C’est ce qu’Eschyle n’avait pas encore assez bie
.. Puisse naître de vous un fils qui me ressemble... Je maudirais les
dieux
s’ils me rendaient le jour.. Et de Camille dans
e du plus féroce des animaux » d’ôter la vie ; il n’appartient qu’aux
dieux
et aux rois de l’accorder. » Cette maxime d’Arist
ime d’Aristote, « pour n’avoir pas besoin de société, il faut être un
dieu
ou une brute », est encore sublime dans la pensée
regarde en effet comme autant de rares présents qu’il avait reçus des
dieux
, et qu’il ne m’est pas permis d’appeler des quali
endre les honneurs divins dans un temps où toute la terre adorait des
dieux
moins aimables. Rousseau paraît donc trop injuste
es hommes, elle les agrandit, les exagère, elle crée les héros et les
dieux
. L’histoire ne peint que l’homme, et le peint tel
tervention, dans l’action d’un poème, des êtres surnaturels, tels que
dieux
ou déesses, anges ou démons, fées ou génies, etc.
cœur faux, à l’œil louche, Le Démon des combats respirant la fureur,
Dieux
enivrés de sang, dieux dignes des ligueurs. Aux r
che, Le Démon des combats respirant la fureur, Dieux enivrés de sang,
dieux
dignes des ligueurs. Aux remparts de Paris ils fo
ussi souvent qu’on le veut et de plusieurs façons. Tantôt ce sont des
dieux
, des maîtres souverains, des arbitres qui règlent
, faute de lumière ou de force, pourraient se détourner du but où les
dieux
veulent qu’ils arrivent. Employer le ministère d’
la peine, Borné dans sa nature, infini dans ses vœux, L’homme est un
dieu
tombé qui se souvient des cieux. L’expression es
style véhément. Nous signalerons une partie du discours de Junon aux
Dieux
, dans l’ode Justum et tenacem ; le discours que l
is pour les exciter à prendre les armes contre les Romains : Oui, les
Dieux
à notre esclavage…, par Soumet ; un passage de la
xtraordinaire qui caractérise proprement le sublime. L’impie était le
dieu
de la terre ; le poète ne fait que passer, et ce
’impie était le dieu de la terre ; le poète ne fait que passer, et ce
dieu
est anéanti, il n’est plus. Mais cette idée est r
es et des travaux. C’est par là qu’un prophète fidèle allait chez les
Dieux
interroger le sort, strophe 7. Quel est ce prophè
trophe 7. Quel est ce prophète ? Isaïe ? mais alors pourquoi chez les
Dieux
? et plus bas, profanant la retraite des Dieux ?
lors pourquoi chez les Dieux ? et plus bas, profanant la retraite des
Dieux
? Prométhée, Tirésias, ou tout autre ? alors pour
florissante, strophe 20. Mais, hélas ! il n’en est pas ainsi ; et les
Dieux
qui donnent à chacun une part égale de biens et d
t dans mes voyages les artistes et ces hommes divins qui chantent les
dieux
sur la lyre, et la félicité des peuples qui honor
la terre. Leur vie est à la fois naïve et sublime ; ils célèbrent les
dieux
avec une bouche d’or, et sont les plus simples de
la pourpre de ses consuls et de ses Césars, sous les derniers pas du
dieu
du jour3. Cette riche décoration ne se retire pas
roissants, à sa barbe antique et limoneuse, vous le prendriez pour le
dieu
mugissant du fleuve, qui jette un regard satisfai
avez l’idée de la majesté royale. Oui, Dieu l’a dit : « Vous êtes des
dieux
» ; mais, ô dieux de chair et de sang ! ô dieux d
majesté royale. Oui, Dieu l’a dit : « Vous êtes des dieux » ; mais, ô
dieux
de chair et de sang ! ô dieux de bone et de pouss
dit : « Vous êtes des dieux » ; mais, ô dieux de chair et de sang ! ô
dieux
de bone et de poussière, vous mourrez comme des h
isque je vous tiens, vous souperez ici. » Je m’excuse, il me force. Ô
Dieux
! quelle injustice ! Alors, mais las trop tard !
’heureuse saison Où nos misères bornées Vont avoir leur guérison. Les
dieux
, longs à se résoudre, Ont fait un coup de leur fo
ait revivre l’homme, et le met de la barque À la table des
dieux
. Mais quoi ! tous les pensers dont les âmes bien
elle doctrine qui renversait les temples et brisait les idoles de ses
dieux
. La grâce divine triomphera, mais non sans le sec
bles sentiments, excepté Camille, dans Horace, qui lui sacrifie tout,
dieux
, patrie et fraternité. Les Romaines de Corneille
perfide, incestueuse66 engagée par sa destinée et par la colère des
dieux
dans une passion illégitime dont, toute la premiè
bre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l’état obscur où les
dieux
l’ont caché ! Arcas. Et depuis quand, seigneur,
s ce langage ? Comblé de tant d’honneurs, par quel secret outrage Les
dieux
, à vos désirs toujours si complaisants, Vous font
: Du sang de Jupiter issu de tous côtés, L’hymen vous lie encore aux
dieux
dont vous sortez ; Le jeune Achille enfin, vanté
’usage Que par mille sanglots qui se firent passage. Je condamnai les
dieux
, et sans plus rien ouïr, Fis vœu sur leurs autels
ait de mon cœur l’orgueilleuse faiblesse. Pour comble de malheur, les
dieux
, toutes les nuits, Dès qu’un léger sommeil suspen
rs sont trop ingénieux : Vous lisez de trop loin dans les secrets des
dieux
. Moi, je m’arrêterais à de vaines menaces ! Et je
obstacles : L’honneur parle, il suffit : ce sont là nos oracles. Les
dieux
sont de nos jours les maîtres souverains ; Mais,
à Troie, et j’y cours ; et, quoi qu’on me prédise, Je ne demande aux
dieux
qu’un vent qui m’y conduise ; Et, quand moi seul
is près de pleurer. Mais votre amour n’a plus d’excuse légitime ; Les
dieux
ont à Calchas amené leur victime : Il le sait, il
ès ce spectacle charmant, Je sens croître ma joie et mon étonnement !
Dieux
! avec quel amour la Grèce vous révère ! Quel bon
n. Sa perte à ses vainqueurs coûtera bien des larmes. Iphigénie. Les
dieux
daignent surtout prendre soin de vos jours ! Aga
es dieux daignent surtout prendre soin de vos jours ! Agamemnon. Les
dieux
depuis un temps me sont cruels et sourds. Iphigé
mes mains ; je m’instruis dans Horace ; Homère et son rival sont mes
dieux
du Parnasse. Je le dis aux rochers ; on veut d’au
ur autrefois pour mon maître ; Il pensa me gâter. À la fin, grâce aux
dieux
, Horace, par bonheur, me dessilla les yeux. L’aut
à genoux, Et révère en cette posture Dans l’astre lumineux le
dieu
de la nature ; Il connaît des vertus l’usage préc
s rude, J’ignore ici la servitude De louer qui je dois haïr. Fils des
dieux
, qui de flatteries Repaissez votre vanité, Appren
peinture Chaque jour se pare à mes yeux Des trésors dont la main des
dieux
Se plaît d’enrichir la nature ! Quel plaisir de
J’apporte un joug plus noble aux nations entières. J’abolis les faux
dieux
, et mon culte épuré De ma grandeur naissante est
rie : Je détruis sa faiblesse et son idolâtrie ; Sous un roi, sous un
dieu
, je viens la réunir ; Et, pour la rendre illustre
cabinets des cieux. Faut-il aller, confondu dans la presse, Prier les
dieux
de la seconde espèce, Qui des mortels font le mal
Et dérobons à l’œil de l’envieux Le peu de temps que me laissent les
dieux
. Tendre amitié, don du ciel, beauté pure, Porte u
sait être heureux ; De ce Caucase inhabitable Je me fais l’Olympe des
dieux
. Là, dans la liberté suprême, Semant de fleurs to
taines contrées, De nos astres même ignorées, Tu lanças la foudre des
dieux
. Tu brisas les fers tyranniques Dont l’Espagne e
s d’argent. Toujours neuf sans être bizarre, Créant ses héros et ses
dieux
, Que, loin des gouffres du Tartare, Son vaste Oly
frappant la terre Le trident s’ouvre les enfers ; Tes noirs sourcils,
dieu
du tonnerre, D’un signe ébranlent l’univers ! Le
oirs sourcils, dieu du tonnerre, D’un signe ébranlent l’univers ! Le
dieu
qui foudroyait soupire, Et l’Ida se couvre de fle
ysée, Et son Olympe et ses héros, Et sa muse favorisée Des regards du
dieu
de Claros ! Mes amis, qu’Apollon nous garde Et d
tre en main, gouvernant le Parnasse, Ce tyran des beaux-arts, nouveau
dieu
des mortels, De leurs dieux diffamés usurpe les a
Parnasse, Ce tyran des beaux-arts, nouveau dieu des mortels, De leurs
dieux
diffamés usurpe les autels ; Et lorsque, abandonn
oubler d’un prestige odieux ? Viens-tu pour m’annoncer la volonté des
dieux
? Si tu n’es des enfers qu’une noire imposture, Q
ertrude. Mon fils ! Hamlet. Eh bien, ma mère !… Ah !
dieux
! mon cœur peut être D’un transport renaissant ne
ardent, je dérobe les feux Dont j’anime l’argile et dont je fais des
dieux
. Tantôt chez un auteur j’adopte une pensée, Mais
Égorgée ! ô mon cher trésor, Ô ma plume, fiel, bile, horreur,
dieux
de ma vie, Par vous seuls je resp
ai Dieu, feras-tu moins pour elle Que Jupiter et ses faux
dieux
? » Il chantait, il pleurait, quand d’une tour v
de toutes choses. Comme chez Shakespeare, que Victor Hugo appelle le
dieu
du théâtre et de la poésie modernes, le grotesque
èvres.) … Tu n’as rien, toi, ni temples ni richesse, Ni poètes ni
dieux
; tu n’as rien, chasseresse ! Mais l’amour de ton
nnons une fête aujourd’hui. Dupré. Un grand dîner, je gage. Ah ! mon
dieu
, quel ennui ! Mme Dalainville. Nos convives sont
rd ses sanctuaires ; On chasse des vallons ses hôtes merveilleux, Les
dieux
aimaient des bois les temples séculaires, La hach
bois les temples séculaires, La hache a fait tomber les chênes et les
dieux
. Plus d’autels, plus d’ombrage et de paix abrité
que Le guerrier puisse mettre une blanche tunique, Et rende grâce aux
dieux
de trouver sur le seuil Une femme soigneuse et qu
re, le roi des rois, le chef d’une guerre sacrée, le prince allié aux
dieux
de l’Olympe, peut parler ainsi sans nous étonner.
s aveux, qu’il sacrifie sa fille, non à la patrie ni à la volonté des
dieux
, mais à ce nom de roi des rois et de chef de la G
leur avez survécu, demandez, vous le pouvez sans doute, demandez aux
dieux
une victoire que ne suive point le trépas ; mais
ur perte, une glorieuse indemnité ! Heureux ceux pour qui la main des
dieux
plaça la prospérité aux bornes mêmes de la vie !
au ciel son vol ambitieux, Entretient dans ses vers commerce avec les
dieux
. Aux athlètes, dans Pise, elle ouvre la barrière,
2° Dithyrambe. Le dithyrambe était un hymne consacré à Bacchus,
dieu
du vin ; le ton enthousiaste de ce chant le faisa
uîmes Annibal et Carthage ; montons au Capitole, et allons rendre aux
dieux
des actions de grâces solennelles ! Tout le peupl
nt l’assemblée la plus auguste du monde païen, devant l’assemblée des
dieux
de Cinéas, un homme grossier, vêtu d’un rustique
ains, et vous, Sénat, assis pour m’écouter, Je supplie avant tout les
Dieux
de m’assister. Veuillent les immortels conducteur
cœurs à mon passage ». Tels étaient vos plaisirs. Quel changement, ô
Dieux
? Le sang le plus abject vous était précieux. Un
Il élève son discours par la hardiesse des hyperboles, apostrophe les
Dieux
, prête de l’âme et du sentiment aux êtres inanimé
dédicace du temple ; et Agrippa se vit obligé de le dédier à tous les
dieux
de l’Olympe, pour remplacer le dieu de la terre,
t obligé de le dédier à tous les dieux de l’Olympe, pour remplacer le
dieu
de la terre, la puissance. Il y avait un char de
s les plus célèbres ; ils décorent les niches où l’on avait placé les
dieux
des anciens. Comme depuis la destruction de l’emp
calomnie par la gloire, il alla dans le temple pour rendre grâces aux
dieux
des victoires qu’il avait remportées. Mais ce nou
païen expire en vomissant des imprécations contre César et contre les
dieux
. Là, un soldat chrétien meurt isolé, d’une main r
on entendit, comme autrefois à Jérusalem, une voix qui disait : « Les
dieux
s’en vont. » Ibid., liv. XXIV72. Ruines d
c’était l’objet de l’unique prière que les Spartiates adressaient aux
dieux
: « Ut pulchra bonis adderent 77 ! » Quand l’espè
e affirmation : « Je suis un Dieu », ou de cette autre ; « Il y a des
dieux
. » L’histoire ne mentionne aucun autre individu q
sens absolu. La Fable n’établit nulle part que Jupiter et les autres
dieux
se soient eux-mêmes divinisés. C’eût été de leur
a jamais été qu’une inspiration puisée dans la solitude des bois. Les
dieux
Brahma de l’Inde sont une invention psychologique
ui, pour ramener la victoire sous les drapeaux de Rome, se dévoue aux
dieux
infernaux ; de Régulus, qui s’arrache à sa famill
moyen de devenir riches dans ce monde, et, dans l’autre, convives des
dieux
. Les plus jeunes et les plus violents d’entre eux
qui, dans la vue de fonder un empire, mit sous ses pieds le culte des
dieux
du Nord et s’associa aux évêques orthodoxes pour
sez-vous ? Le grand nom d’Iphyctone est-il nouveau pour nous280 ? Les
dieux
dans leurs secrets lui permettent de lire : Elle
s décrets de la Divinité. Elle est ici. MACBETH. Elle est ici.Grands
dieux
! FRÉDEGONDE. Elle est ici. Grands dieux !Eh bie
x je ne suis point maîtresse : Iphyctone entretient commerce avec les
dieux
: Je voudrais… Qu’elle est lente à paraître à mes
i, pourquoi mes yeux Craindraient-ils de s’ouvrir sur les décrets des
dieux
? Les destins sont pour nous ; leurs promesses cé
montrant à leurs yeux, Par un chant sacrilège ils rendaient grâce aux
dieux
. Étonné, je m’avance : « Existez-vous, leur dis-j
uel temps encor tes ordres tyranniques M’ont-ils banni du sein de mes
dieux
domestiques ! Quand mon âme, lassée après tant de
e lui. ŒDIPE. Je vous réponds de lui.Dieux puissants que j’implore !
Dieux
! vous que j’invoquais pour sa punition, Enchaîne
z point d’ami. Poésies diverses. À mes pénates300 Petits
dieux
avec qui j’habite, Compagnons de ma pauvreté, Vou
couleur de carmélite301 Et mon armoire de noyer, Ô mes Pénates, mes
dieux
Lares, Chers protecteurs de mon foyer ! Si mes ma
pour eux. Mais qu’un sot vienne à m’apparaître, Exaucez ma prière, ô
dieux
! Fermez vite et porte et fenêtre : Après m’avoir
Après vingt ans d’absence, De retour au hameau qu’habita mon enfance,
Dieux
! avec quel transport je reconnus sa tour, Son mo
Insipidement gais ou tristement féconds, Rêve moins tendrement à ses
dieux
domestiques. Mais voyez l’habitant des rocher
t aux débris de Pharsale, À la tribune encore inspirant Cicéron ; Nos
dieux
réfugiés dans l’âme de Caton ; Leurs temples, le
i l’honneur ; Et lorsque le destin, secouru par Livie356, Eut fait un
dieu
de plus en terminant sa vie357, Son successeur Ti
cités ! On voit les tribunaux, les temples, désertés ! Pourquoi ? Ces
dieux
, dont Rome adore les images, Jule, Auguste, en mo
déclarait contre eux, Et si, comme leur père, ils étaient malheureux,
Dieux
! veillez sur mes fils ! Dieux, protégez leur mèr
mme leur père, ils étaient malheureux, Dieux ! veillez sur mes fils !
Dieux
, protégez leur mère ! Germanicus expire, et les l
et ta voix, sur un mode infernal, Chante l’hymne de gloire au sombre
dieu
du mal. Mais que sert de lutter contre sa destiné
er, Baise plutôt le joug que tu voudrais briser, Descends du rang des
dieux
qu’usurpait ton audace ; Tout est bien, tout est
la peine. Borné dans sa nature, infini dans ses vœux, L’homme est un
dieu
tombé qui se souvient des cieux397 ; Soit que, dé
ant, seul vrai Dieu, feras-tu moins pour elle Que Jupiter et ses faux
dieux
? » Il chantait, il pleurait, quand d’une tour v
allait s’arrêter là et ne pas donner droit de cité dans la langue des
dieux
au mot brutal, au mot cru. On avait, non sans bon
applaudis, et poursuis mon chemin. Sous les rois absolus je trouve un
dieu
despote ; On nous parle aujourd’hui d’un dieu rép
is absolus je trouve un dieu despote ; On nous parle aujourd’hui d’un
dieu
républicain. Pythagore et Leibnitz transfigurent
ebout. Spinosa, fatigué de tenter l’impossible, Cherchant en vain son
dieu
, croit le trouver partout455. Pour le sophiste an
age et digne manière de prier des Lacédémoniens : « Ils demandent aux
dieux
l’honnête avec l’utile ; nul ne les entendra dema
ntendra demander plus… mais les autres Grecs, soit qu’ils offrent aux
dieux
des taureaux aux cornes dorées, soit qu’ils leur
et déclara qu’il allait dans la Scythie, où il serait mis au rang des
dieux
. Il ajouta qu’il ouvrirait le palais des morts à
de la vie, n’est déjà le cri désespéré de Lucrèce préférant nier les
dieux
que leur attribuer une œuvre indigne de leur puis
e glaive arma ton bras, fille grande et sublime, Pour faire honte aux
dieux
, pour réparer leur crime, Quand d’un homme à ce m
forts tentés auprès de l’inflexible vieillard demeurent inutiles, les
dieux
l’ont endurci dans sa haine. Ce retour de tendres
t que le peuple accusait hautement l’arrogance de Pison et priait les
dieux
de protéger les enfants de Germanicus et « de les
Les vendanges excitaient une sorte de délire poétique en l’honneur du
dieu
du vin. On composait des dithyrambes où l’on célé
ieuse ; il conserva toujours chez les anciens ce caractère sacré. Les
dieux
étaient mêlés à l’action, directement ou indirect
tait dans une cause supérieure, dans la volonté ou dans la colère des
dieux
, dans les arrêts inflexibles du destin. Œdipe, Ag
é profondes ; il lui laissait une vive impression de la puissance des
dieux
. Son but était à la fois moral, religieux et poli
te et qui a besoin d’être prédit et annoncé ; car nous attribuons aux
dieux
la faculté de voir toutes choses et (pensons) qu’
que le frère de la prêtresse vint dans ce pays, et cela parce que le
dieu
lui avait ordonné par un oracle de s’y rendre, po
) que les voit l’opinion commune ; par exemple, ce qui se dit sur les
dieux
. Car il ne serait peut-être pas mieux parler de t
été employé par métaphore, comme dans ces vers : Tous les autres, —
dieux
et hommes — dormaient la nuit entière156… Puis i
it de Ganymède : οἰνοχεύει (il verse du vin) à Jupiter, bien que (les
dieux
) ne boivent pas de vin 164. Toutes ces locutions
louer, avec ou sans intention sérieuse, non seulement un homme ou un
dieu
, mais même des êtres inanimés et le premier anima
, mais non commis un sacrilège, l’objet dérobé n’appartenant pas à un
dieu
; d’avoir travaillé un champ, mais non un champ p
voulais pas297, par crainte de qui que ce soit, la violer devant les
dieux
. VII. On alléguera encore que la justice est cho
erment, c’est faire acte de piété, dira-t-on, que de se commettre aux
dieux
; l’adversaire ne doit pas demander d’autres juge
s faire peur. XXI. Enfin, d’une manière générale, si les desseins des
dieux
tournent à notre avantage, ou ceux de toutes sort
ement à notre mérite est injuste ; voilà pourquoi nous attribuons aux
dieux
même le sentiment de l’indignation351. III. L’env
t de caractère excellent qui accompagne le bonheur, c’est l’amour des
dieux
et la confiance en leur pouvoir que nous inspire
n qu’il s’agisse des Athéniens, des Lacédémoniens, d’un homme ou d’un
dieu
, pour recourir à cette même pratique ; car, voula
te. IV. Un autre (lieu) se tire du plus ou moins. Par exemple, si les
dieux
ne savent pas tout, encore moins les hommes. En e
e la définition. Exemple : « Le démon417 n’est rien autre chose qu’un
dieu
ou une œuvre de dieu ; or, du moment où l’on croi
ple : « Le démon417 n’est rien autre chose qu’un dieu ou une œuvre de
dieu
; or, du moment où l’on croit que c’est une œuvre
ne œuvre de dieu ; or, du moment où l’on croit que c’est une œuvre de
dieu
, on croit nécessairement qu’il existe des dieux41
erait pas convenable d’opposer des décisions contraires, tels que les
dieux
, un père, ceux qui nous ont instruits. Tel est l’
xidémide ? » ou encore celui de Sapho : « La mort est un mal, car les
dieux
en ont jugé ainsi ; autrement, ils seraient morte
ant avancé », voulant parler de Socrate. Hégésippe429 interrogeait le
dieu
à Delphes, après avoir consulté à Olympie, pour v
de Théodecte : « Envers quel sanctuaire fut-il impie ? quels sont les
dieux
qu’il n’a pas honorés, parmi ceux que la ville (d
sont les hommes qui te haïront ; si des choses injustes, ce sont les
dieux
. » Par contre : « Il faut parler en public ; car,
c ; car, si tu avances des choses conformes à la justice, ce sont les
dieux
qui t’aimeront, et si des choses injustes, ce son
énophane qui disait : « Sont également impies ceux qui disent que les
dieux
ont pris naissance et ceux qui prétendent qu’ils
lusion de l’une et de l’autre opinion, c’est qu’à un moment donné les
dieux
n’existent pas. » Il consiste aussi, d’une manièr
Sidéro450, et comme on a l’habitude d’en user dans les louanges des
dieux
. C’est ainsi que Conon appelait Thrasybule « l’ho
hien, on le met en parallèle avec le Chien qui est au ciel ou avec le
dieu
Pan, parce que Pindare a dit : Ô divinité bienhe
e le chien est honorable ; ou de dire qu’Hermès est par excellence le
dieu
communicatif, libéral, attendu que, seul, Hermès
e dieu communicatif, libéral, attendu que, seul, Hermès est appelé le
dieu
commun463 ; ou que le logos 464 est ce qu’il y a
: parlant d’Achille, il fait l’éloge de Pélée, puis d’Éaque, puis du
dieu
(Jupiter), puis, par la même occasion, celui de l
ocrate : Mélitus disant que celui-ci ne croyait pas à l’existence des
dieux
, il lui demanda si lui, Socrate, affirmait l’exis
d’accord. Socrate poursuivit : « Les démons sont-ils des enfants des
dieux
, ou enfin quelque chose de divin ? » Mélitus disa
uelqu’un au monde, dit Socrate, qui admette l’existence d’enfants des
dieux
sans admettre celle des dieux ? » III. De même e
, qui admette l’existence d’enfants des dieux sans admettre celle des
dieux
? » III. De même encore, lorsque l’on va faire v
. Spengel, ce passage des Morales à Nicomaque : « Nous béatifions les
dieux
et nous les félicitons, et nous béatifions aussi
croyance de Socrate à son démon ou génie n’exclut pas la croyance aux
dieux
, car le démon n’est rien autre, etc. Cp. Platon,
de toi, et de tes dons, et de tes bienfaits, et de tes dépouilles, ô
dieu
Dionysos ! » 672. Début de l’Iliade. 673. Débu
s supplices pour l’injuste guerre qu’ils nous ont déclarée ; mais les
dieux
, justes vengeurs du crime, ne les ont-ils pas ass
dans plus grande prospérité ; c’est, enfin, la crainte d’irriter les
dieux
par un orgueil fier et insolent. Vous n’avez poin
es ; elle les agrandit, elle les exagère ; elle crée les héros et les
dieux
. L’histoire ne peint que l’homme, et le peint tel
pinion de Boileau sur l’emploi du merveilleux dans la poésie) que les
dieux
de l’antique Olympe étaient bien caducs que l’Aur
des peuples du Nord, ces nouveau : sectaires brisèrent résolument les
Dieux
d’Homère et de Virgile, et adoptèrent avec enthou
t qu’ils font voir dans la faiblesse de l’humanité, la constance d’un
dieu
. (Sénèque.) L’univers fracassé tomberait sur la
oni ! vivo, et quod me vivere juvet, Asprenatem ireum video !… Grands
Dieux
! je vis, et je me réjouis de vivre, puisque je v
s Sigéc un regard menaçant, Et le bras étendu, de rage frémissant : «
Dieux
puissants, c’est ici que je plaide ma cause ! Dev
s grâce à l’éloquence : « Si vos vœux et les miens avaient fléchi les
Dieux
, Dit-il, un tel debat n’eût point troublé ces lie
s sans lui nous touchent peu ; C’est un temple désert qui demande son
dieu
; Avec lui mouvement, plaisir, gaîté, culture, To
des jeux d’enfantine démence, D’avilir son esprit, noble présent des
dieux
, Au rôle indigne et plat d’un farceur ennuyeux, Q
les yeux et leur noircit la lèvre ; L’argent, l’argent fatal, dernier
dieu
des humains, Les prend par les cheveux, les secou
appelle raisonnables, parce qu’on n’y introduit pour acteurs que des
dieux
ou des hommes, comme la Vieille et les deux Serva
Agneau, le Chêne et le Roseau ; enfin, des fables mixtes, où avec les
dieux
et les hommes, on fait agir ou converser les anim
hemin Qu’on suit, entre les blés, son Horace à la main ? Plaisirs des
dieux
! surtout si, dans la solitude, L’amitié quelquef
en rentrant dans ce lieu Dont Corneille était roi, dont Homère était
dieu
! Et quel étonnement alors en moi fit naître Cel
s’avancent fièrement au combat l’un contre l’autre, les comparent au
dieu
Mars et à l’Épouvante, s’élançant du fond de la T
Marcher la flamme et les nuées ; Et des barbares légions À leurs faux
dieux
prostituées Tu nous livras les régions. Du milie
Les pas incertains des mortels : Celui qui leur envoie un maître, Ce
dieu
qu’ils osent méconnaître, Ou qu’ils feignent de m
ent, l’odeur agréable du sacrifice monte jusqu’au trône du maître des
dieux
— … Attendrissement de Junon. — Avis. Style sim
t sa jambe avinée. Il trébuche parfois et souvent sans danger, Car un
dieu
l’accompagne et le doit protéger, Il s’avance inc
la mort ne termine pas mes douleurs. Ô mon père ! Viens me défendre ;
Dieux
puissants, vengez-moi. Oreste, frère chéri, où es
vain me je pleure ; on se rit de ma honte et de mes larmes, mais les
dieux
puniront un jour tant de cruauté — … Ainsi chanta
autels, Il monte. Il y saisit d’une main assurée, Pour les fêtes des
dieux
la hache préparée. Les éclairs sont moins prompts
ai vu qui frappait ce monstre audacieux ; « Meurs, tyran, disait-il ;
dieux
, prenez vos victimes. » Erox, qui de son maître a
eds ? Pourquoi refusai-je de croire à tous les pressentiments que les
dieux
faisaient naître dans mon âme ! « Lumière du sole
et qui ne peut devenir une parole articulée sur ses lèvres mourantes…
Dieux
! Il a reconnu son fils, visage auguste, pourquoi
ée, je ne sais comment s’accomplira ce dernier acte de la justice des
dieux
; mais a enfin je vais mourir, ma fille, coupe su
one, fille courageuse et magnanime implore de nouveau la clémence des
dieux
immortels ; et puissent mes derniers sentiments e
igone, tu iras trouver Thésée. Le héros d’Athènes est désigné par les
dieux
pour protéger les nobles projets que tu pourras e
ère, s’écriait-elle, avant que de mourir, pardonnez à mes frères, les
dieux
, n’en doutez pas, ferment l’oreille aux vœux de l
ours la paix de la conscience, les louanges des hommes et l’amour des
dieux
! Va, ma fille, je t’ai devinée, tu n’as parlé de
-il englouti dans un abîme ? Fut-il enlevé vivant dans l’Olympe ? Les
dieux
se sont réservé ce secret. La généreuse fille d’Œ
Elle ne foulait qu’avec terreur ce lieu consacré par le jugement des
dieux
. A la fin, excédée de fatigue, elle se réfugie da
mps-Elysées, mais dans la région de l’air habitée par ¡es enfants des
dieux
. S’il est implacable au contraire, que deviendra-
lâcheté, mais elle demande une trêve d’un an. Elle le conjure par les
dieux
et les mânes de ses aïeux, et finit en lui disant
trie prête à se couvrir de honte. Les Athéniens ont été injustes, les
dieux
les ont punis. Ils se sont rendus dans l’espoir q
cessé de déplorer la mort de son père, et d’implorer la vengeance des
dieux
contre Egisthe et Clytemnestre, vit enfin revenir
nations, cet homme enfin, descendu du ciel, a chassé, a exterminé les
dieux
de la terre3. Les ruines de Rome. A Rome,
s de Rome. A Rome, vous4 marcherez sur des pierres qui ont été les
dieux
de César et de Pompée : vous considérerez les rui
les d’idolâtrie, a une expression sublime quand il dit : « Tout était
dieu
, exempté Dieu lui-même. » Citons, comme dernier
r : puisque Thésée a vu les sombres bords, En vain vous espérez qu’un
dieu
vous le renvoie ; Et l’avare Achéron ne lâche poi
ent de se poignarder pour ne pas survivre au roi d’Épire : Grâce aux
dieux
, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te lou
vivement. Borné dans sa nature, infini dans ses vœux, L’homme est un
dieu
tombé qui se souvient des cieux. Lamartine. L’a
votre nom respectable avait plus illustrée que toutes ses conquêtes ?
Dieux
! eussiez-vous dit, que sont devenus ces toits de
ploie-t-elle un langage extraordinaire, qu’on a appelé le langage des
dieux
, et donne-t-elle à tous les objets qu’elle offre
Chaque objet frappe, éveille et satisfait mes sens : Je reconnais les
dieux
au plaisir que je sens. L’un n’est point trop f
pue. Donnez-nous, dit le peuple, un roi qui se remue. Le monarque des
dieux
leur envoie une grue, Qui les croque, qui
Nous admirons le fier courage Du lion fumant de carnage, Symbole du
dieu
des combats. D’où vient que l’univers déteste La
a voix, comme un bruyant tonnerre, S’est fait entendre dans les airs.
Dieux
mortels, c’est vous qu’il appelle Il tient la bal
sentée pour gage de notre fidélité ! Cette table où prête serment les
dieux
vengeurs de l’hospitalité, où vous avez été admis
ège, comme dans le procès de Clodius. Clodius s’est bien approché des
dieux
il en est encore plus près que lorsqu’il pénétra
« Les vers sur son autel consument tous les jours ? « Né ministre du
dieu
qu’en ce temple on adore, « Peut-être que Mathan
favorables, « Et prodigue surtout du sang des misérables. « Enfin, au
dieu
nouveau qu’elle avait introduit, « Par les mains
ne sanglante écume. On dit qu’on a vu même en ce désordre affreux, Un
dieu
qui d’aiguillons pressait leurs flancs poudreux.
é N’a laissé dans mes bras qu’un corps défiguré ; Triste objet où des
dieux
triomphe la colère, Et que méconnaîtrait l’œil mê
nous-même ; « Le parti le plus juste est celui du vainqueur, « Et le
dieu
de la guerre est la seule valeur. » Il dit ; et d
otre nom respectable avait plus illustrée que toutes ses conquêtes ? “
Dieux
! eussiez-vous dit, que sont devenus ces toits de
sent de nocturnes hurlements ! Et vous, Furies vengeresses ! Et vous,
Dieux
d’Élise mourante ! Écoutez ma voix : que vos chât
es, en quelque temps que tu puisses les rencontrer et les combattre !
Dieux
! entendez mes imprécations ; que toujours nos ri
t ? À quel titre ? Qui te l’a dit ? Oreste. Oh
Dieux
! quoi ! ne m’avez-vous pas. Vous-même, ici, tant
t prêt à partir, prend son fils dans ses bras et fait cette prière :
Dieux
immortels, faites que cet enfant soit brave dans
r que l’on sert au maître du tonnerre, Et dont nous enivrons tous les
dieux
de la terre, C’est la louange, Iris.
era, dit-il, mon ciseau ? Sera-t-il Dieu, table, ou cuvette ? Il sera
dieu
; même je veux Qu’il ait en sa main un tonnerre ;
flots d’auditeurs pour se rendre à sa chaire. (Boileau.) Grâce aux
dieux
, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te lou
udie en même temps nos écrivains sacrés et nos auteurs chrétiens, les
dieux
et les héros d’Homère et de Virgile lui paraîtron
ux lieux infâmes et qu’il ne peut la sauver qu’en sacrifiant aux faux
dieux
. « Une tentation horrible s’empare du cœur d’Eud
Il est ainsi nommé parce que l’âme est remplie de son objet comme un
dieu
qui la domine et qui l’inspire : … Sua cuique de
nt peut-être des poèmes sacrés destinés à célébrer les fêtes de leurs
dieux
; mais ces chants nous sont à peu près inconnus.
ème séculaire, Carmen seculare, puisque c’est une prière adressée aux
dieux
pour la conservation de l’empire. On la chantait
choses divines, parce qu’il professait une véritable piété envers les
dieux
. C’est ce qui donne à ses chants quelque chose d’
vention d’un agent surnaturel. 452. Dans tous les anciens cultes, les
dieux
qu’on adorait étaient regardés comme les arbitres
tions grossières et terrestres. En second lieu, ne mêlez pas les faux
dieux
avec les êtres surnaturels de notre religion. Le
encore le poème burlesque, qui consiste à prêter à des héros ou à des
dieux
un langage bas et grossier, comme dans le Virgile
ervalle était rempli par des chœurs qui chantaient une invocation aux
dieux
ou exprimaient les sentiments que la situation av
es, Je prends à témoin Ces bois, ces prairies, Que, si les faveurs Du
dieu
des pasteurs Vous gardent d’outrages Et vous font
à Jupiter de l’acharnement de Junon contre son fils Énée. Le père des
dieux
la console en lui dévoilant ce que les destins ré
à peine y fut-il arrivé que la peste se mit dans son camp. Alors ses
dieux
pénales lui déclarèrent pendant la nuit que l’Ita
e. Anchise, apparaissant en songe à Énée, lui ordonne, de la part des
dieux
, de laisser en Sicile les vieillards et les femme
re, dans un pays où régnait Latinus, père de Lavinie, que l’oracle du
dieu
Faune destinait à un prince étranger. Ce monarque
es de ses alliés. Livre VIII. Le héros troyen, suivant le conseil du
dieu
du Tibre, va demander du secours au roi Évandre,
du rempart dans le Tibre et va rejoindre l’armée. Livre X. Tous les
dieux
de l’Olympe s’assemblent par l’ordre de Jupiter,
ui je le suis, vous en souvient-il bien ? NÉARQUE. J’abhorre les faux
dieux
. POLYEUCTE.
tes cette Ruth, cette aimable étrangère, « Qui laissa son pays et ses
dieux
pour sa mère « Je suis de votre sang ; et, selon
énie, Et qui, de son idole adorateur charmé, Veut immoler le reste au
dieu
qu’il s’est formé. Entends-tu murmurer ce sauvage
nt ; Et si ma vieillesse déplore La perte de cet art charmant Dont le
dieu
des vers vous honore : Tout cela peut m’humilier,
’on me succède ; Et j’aime en vous mon héritier1. L’existence de
dieu
Consultez Zoroastre2, et Minos, et Solon, Et
ue, Le guerrier puisse mettre une blanche tunique, Et rende grâce aux
dieux
de trouver sur le seuil Une femme soigneuse, et q
La joie est de votre âge un innocent besoin4. Pendant qu’on tient des
dieux
la jeunesse, on est sage De fêter cette hôtesse a
lle le rude génie des premiers âges. Voilà bien le gynécés, voilà les
dieux
protecteurs, voilà l’humble quenouille de la matr
bre du joug superbe où je suis attaché, Vit dans l’état obscur où les
Dieux
l’ont caché ! Voyez encore de quelle manière Mal
flotte des Grecs ; ensuite tendant les mains, il s’écrie : « Grands
Dieux
! c’est à la vue de nos vaisseaux, que nous plaid
uilles de Samarie54, après avoir brûlé, sur leurs propres autels, les
Dieux
des nations étrangères : cet homme, que Dieu avai
quelques secours étrangers ; vous réparerez bientôt, avec l’aide des
dieux
, vos fautes et vos pertes, et vous tirerez vengea
eance de votre ennemi. Car ne vous imaginez pas que cet homme soit un
dieu
, qui jouisse d’une félicité fixe et immuable. Il
dis pas comparable aux plus grands hommes, mais presque semblable aux
dieux
. III. Vos conquêtes, César, se liront à la vérité
t publient qu’on doit mettre tout en œuvre pour éterniser ses succès.
Dieux
immortels, qu’aucun de vous n’exauce de semblable
oin que j’ai de vous me chasse de mon lit et de ma chambre : plût aux
dieux
que je ne fusse ni votre client ni votre fâcheux
ion en est riante ; un bois sacré l’ombrage du côté du couchant ; les
dieux
de Syrie, qui habitent quelquefois la terre, n’y
autre esprit, et d’autres dons des cieux, Que les enfants des autres
dieux
. (xi, 2.) 5. Ce morceau est un éloge de Louis
était prudente. 6. Xénophon dit aussi ceci : « Il me semble que les
dieux
eux-mêmes ont attaché un caractère de respect et
ur censurer les vices des hommes, pour jeter du ridicule sur les faux
Dieux
, et sur les philosophes du paganisme. Ils sont éc
es admirables Traités de la vieillesse, de l’amitié, de la nature des
Dieux
, par Cicéron, sont en Dialogues. Le dernier de ce
cieux, L’enfant, s’attachant à la terre, Luttait contre l’oiseau des
dieux
; Mais entre ses serres rapides L’aigle, pressant
à l’essor de la pensée L’instinct des sens s’oppose en vain : Sous le
dieu
mon âme oppressée Bondit, s’élance, et bat mon se
ttiédi. Consul, César, maître du monde, Pontife, Auguste, égal aux
dieux
, L’ombre de ce reptile immonde Éclipsait ta gloir
pétueuses, leurs actions surhumaines ; ils combattent même contre les
dieux
et balancent le destin. 3° Du merveilleux.
its tracé : Qu’Agamemnon soit fier, superbe, intéressé ; Que pour ses
dieux
Énée ait un respect austère. Conservez à chacun s
lui donniez un exemple ou que vous fassiez un vœu pour lui. Quant aux
dieux
, vous ne vous en inquiétez pas non plus : vous êt
n’espérez rien du ciel, et l’âme de Thraséas traite de pair avec les
dieux
. Salut donc, Thraséas, salut à votre dernière heu
onstruisez : Vos oro per deos patrios. Je vous en supplie, au nom des
dieux
de la patrie. Per deorum atque hominum fidem (sou
inum fidem (sous-ent. rogo). Je vous en conjure, par la bonne foi des
dieux
et des hommes. 6° Les verbes ait, inquit, quand
α. Ex. Os humerosque deo similis (sous-ent. secundùm). Semblable à un
dieu
par la figure et par la taille. Expleri mentem ne
sque deo similis. Virg. (Sous-ent. juxtà ou secundùm.) Semblable à un
dieu
par la figure et par la taille. Fractus membra (s
ginaient que Cérès était la déesse des moissons, que Bacchus était le
dieu
du vin, Mars le dieu de la guerre, etc. ; c’est p
ait la déesse des moissons, que Bacchus était le dieu du vin, Mars le
dieu
de la guerre, etc. ; c’est pourquoi ils donnaient
CXIX. — Lar, penates, genius. Les Lares ou Pénates étaient les
dieux
protecteurs des maisons, des villes et des empire
la maison même. Parvo sub lare. Hor. — Genius était regardé comme le
dieu
protecteur de chaque homme ; c’était comme son gé
désigne la mer en général. Selon d’autres, il serait tiré de Pontus,
dieu
de la mer, plus ancien que Neptune. Il se prend p
prend en mauvaise part, parce que les méchants étaient consacrés aux
dieux
infernaux. Sacrabantur, devovebantur diis inferis
fe), espèce de robe à l’usage des dames. On en ornait les statues des
dieux
. Elle était particulièrement consacrée à Minerve.
urité et l’amphibologie : J’eusse été près du Gange esclave des faux
dieux
, Chrétienne dans Paris, musulmane en ces lieux.
nt ces hommes étaient les patriarches. — On prend encore les noms des
dieux
du paganisme pour les choses dont ils sont regard
t donné la mort à l’annonce de celle de Pyrrhus, s’écrie : Grâce aux
dieux
, mon malheur passe mon espérance ! Oui, je te lou
m’épargner dans ces lieux D’où tu viens de chasser et le jour et les
dieux
? Agrippine se sert de cette figure dans les ver
quiescam. Hector, avant d’aller au combat, appelle la protection des
dieux
sur son fils Astyanax : ………… Dieux, prenez sa dé
combat, appelle la protection des dieux sur son fils Astyanax : …………
Dieux
, prenez sa défense ! D’un Hector au berceau, dieu
s Astyanax : ………… Dieux, prenez sa défense ! D’un Hector au berceau,
dieux
! protégez l’enfance ! Si l’ordre du destin nous
rande idée du fondateur de la ville, les sénateurs publièrent que les
dieux
l’avaient enlevé au ciel ; et lui firent dresser
rs vainqueur : aussi les anciens représentaient-ils ingénieusement le
dieu
de l’éloquence, Mercure, parlant à ses auditeurs,
chose qu’une mascarade, comme le dit Scarron lui-même. On y voit les
dieux
et les héros déguisés en bourgeois de Paris, mais
e de Jupiter aux plaintes de Vénus sur le sort d’Énée, son fils ; Ce
dieu
donc des dieux le plus sage. Se radoucissant le v
ux plaintes de Vénus sur le sort d’Énée, son fils ; Ce dieu donc des
dieux
le plus sage. Se radoucissant le visage, ……………………
œur et vainqueur, id. 36 id. ; Les cinq rimes adieux, aïeux, cieux,
dieux
, lieux 106 id. ; Les trois rimes douleurs, mal
ongtemps le plaisir de vos yeux, Vous ai fait de ce nom remercier les
dieux
, Et pour qui, tant de fois prodiguant vos caresse
s pour moi que vous l’avez mandée ? AGAMEMNON. Plaignez-vous donc aux
dieux
qui me l’ont demandée : Accusez et Calchas et le
e. Mon fils n’est plus ? Hé quoi ! quand je lui tends les bras, Les
dieux
impatients ont hâté son trépas ? (Ph., acte V, sc
gine de la tragédie. Aux fêtes de Bacchus, on sacrifiait un bouc à ce
dieu
; et pendant ce sacrifice, le peuple et les prêtr
des charrettes, et fredonnaient, le verre à la main, les louanges du
dieu
des raisins. La tragédie demeura longtemps dans c
et on l’appela la vieille comédie. La licence n’épargna pas même les
dieux
. Le peuple et les magistrats n’en faisaient que r
strats n’en faisaient que rire. Mais sitôt que des philosophes et des
dieux
, on eut osé en venir aux magistrats mêmes, ceux-c
t de part, Et du lâche Rufin la ruine exemplaire Prouve qu’il est des
dieux
, les absout et m’éclaire. Mes yeux sont dessillés
bsout et m’éclaire. Mes yeux sont dessillés ; je saurai désormais Des
dieux
sur le méchant respecter les décrets : Ils n’élèv
e, le voleur ! Si ce sont les plaisirs que l’on doit aux richesses, Ô
dieux
! épargnez-moi vos fatales largesses. (P. Daru).
on Dieu que je sers ; vous servirez le vôtre : Ce sont deux puissants
dieux
. Joas. Il faut craindre le mien. Lui seul est Di
e reparaît. 4. En doit ; il a l’idée fixe du crime résolu. 5. Les
dieux
. Il parle comme tel personnage de Molière. 1. Il
la peine. Borné dans sa nature, infini dans ses vœux. L’homme est un
dieu
tombé qui se souvient des cieux : Soit que, déshé
ue disaient nos pères, Que, lorsqu’on meurt si jeune, on est aimé des
dieux
? Ce qu’il nous faut pleurer sur ta tombe hâtive
x destin D’expirer comme toi pour un amour divin3 ! L’espoir en
dieu
Ah ! pauvres insensés, misérables cervelles
iration ; il m’attendait tranquillement sans faire un pas vers moi. O
dieux
, vous le savez, quelle fut ma joie quand je senti
pas que son bonheur présent soit immuable, éternel, comme celui d’un
dieu
: il en est qui le haïssent, qui le craignent, qu
? Non, mais il est malade. Mort ou malade, que vous importe ? Si les
dieux
vous délivraient de lui, bientôt, pour peu que vo
ne fille et D’un œil curieux, Dans son cœur palpitant consultera les
Dieux
: Quand, opposant à cette peinture la peinture d
et la flotte des Grecs ; ensuite levant les mains il s’écrie : Grands
Dieux
! C’est à la vue de la flotte que nous parlons et
nes filles ne pouvaient trouver un endroit plus propice à leurs jeux.
Dieux
! le charmant lieu de vepos. Comme ce platane est
e dialogue énergique entre Polyeucte et Néarque : J’abhorre les faux
dieux
. — Et moi je les déleste. — Je tiens leur culte i
’autre ! et à propos des rois : Oui ! Dieu l’a dit : vous êtes des
Dieux
; mais, ô dieux de chair et de sang ! ô dieux de
propos des rois : Oui ! Dieu l’a dit : vous êtes des Dieux ; mais, ô
dieux
de chair et de sang ! ô dieux de boue et de pouss
l’a dit : vous êtes des Dieux ; mais, ô dieux de chair et de sang ! ô
dieux
de boue et de poussière, vous mourrez comme des h
jamais avoir besoin d’excuse auprès de vous ! Bridaine. Plut aux
Dieux
que vous-même eussiez vu de quel zèle Cette troup
es : « Dépouilles qui me fûtes si chères tant que les destins et les
dieux
l’ont permis, recevez mon dernier soupir, affranc
! et c’est île toi que vint Cette querelle envenimée, Où du sang des
dieux
même on vit les autels teints, Plus d’une Hélène
térêt des événements, sans pédantisme, il semble que les héros et les
dieux
prennent parti pour les Hélènes au beau plumage.
par accumulation : Des crimes les plus noirs vous souillez tous vos
dieux
, Vous n’en punissez point qui n’ait son maître au
ous attendez, vous hésitez, vous comptez sur vos voisins… Ah ! si les
dieux
pouvaient vous donner la force de vouloir comme i
est un silence éloquent : O Ulysse, auteur de tous mes maux, que les
dieux
puissent te.., mais les dieux ne m’écoutent pas.
lysse, auteur de tous mes maux, que les dieux puissent te.., mais les
dieux
ne m’écoutent pas. Quelle force et quelle perfid
obstacles ; L’honneur parle ; il suffit, ce sont là nos oracles. Les
dieux
sont de nos jours les maîtres souverains. Mais, S
re, il vous supplie ; laissez-vous toucher. O mon époux ! au nom fies
dieux
, embrasse ton maître ; il t’a vaincu ; cherche à
fera, dît-il, mon ciseau ? Sera-t-il Dieu, table ou cuvette ? Il sera
dieu
; même je veux Qu’il ait en sa main un tonnerre :
matique très-heureuse : Au moment où Gracchus commence la prière aux
dieux
, on se précipite impétueusement sur lui ; de tout
evoir Achille, elle s’écrie avec une naïveté pleine de délicatesse ;
Dieux
plus doux ! vous n’aviez demandé que ma vie. Que
levé au milieu du camp ; ses yeux, ses traits, sa taille étaient d’un
dieu
;, tout se tait. « Je suis Dion, s’écrie-t-il ; p
a, expier sa gloire et la vôtre par une mort.prématurée. Romains, les
dieux
ont eu pitié de Rome- : vous êtes libres. Mais le
e à l’empire ; lui seul peut encore ramener dans Rome la vertu et les
dieux
. Romains, vous allez décider du sort de la terre
d’abuser de sa gloire, comme d une jeunesse fugitive. A l’instar des
dieux
d’Homère, il veut arriver en quatre.pas au bout d
grand Jupiter, du haut de son trône, lui fit signe de s’approcher. Le
dieu
n’avait plus ce iront terrible qu’Homère nous rep
e j’épargnerai au lecteur avec beaucoup d’autres détails. Le père des
dieux
lui ordonne alors de lever une petite trappe plac
er du ce qu’il n’avait pas encore écrasé ce tyran. Mais le maître des
dieux
fut si indigné de la bassesse de ces misérables,
outes ces prières, une voix cassée fit entendre ces mots : « Père des
dieux
et des hommes, je ne demande plus de vous qu’une
rière raisonnable de tant de mortels qui m’eu font chaque jour ? » Le
dieu
irrité allait pousser la trappe en murmurant, lor
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