est un seul d’entre vous qui sache mettre assez de tempérance en ses
désirs
pour ne jamais souhaiter que le temps s’écoule, c
consiste dans une modération de jouissance qui laisse peu de prise au
désir
et au dégoût. L’inquiétude des désirs produit la
sance qui laisse peu de prise au désir et au dégoût. L’inquiétude des
désirs
produit la curiosité, l’inconstance ; le vide des
ns le rapport de l’un et de l’autre ; et comme tous les objets de nos
désirs
ne sont pas propres à produire la félicité, tous
œur qu’à la beauté qui ne périt point ; que votre condition borne vos
désirs
; que vos devoirs aillent avant vos penchants ; é
rassemblais autour de moi tout ce qui pouvait flatter mon cœur ; mes
désirs
étaient la mesure de mes plaisirs. Non, jamais le
orde mal avec les écrits que j’ai composés depuis dix ans, et avec ce
désir
de gloire qui a dû m’exciter à les publier. Voilà
uissance, c’est une mauvaise philosophie d’aller toujours jusqu’où le
désir
nous mène, sans considérer si nous ne serons poin
; on ne l’est que quand on veut les passer. On l’est quand, dans ses
désirs
insensés, on met au rang du possible ce qui ne l’
s sans espoir ne tourmentent point. Un gueux n’est point tourmenté du
désir
d’être roi ; un roi ne veut être dieu que quand i
a fureur d’établir des nouveautés, l’obscurité de la retraite avec le
désir
d’être connu de tout le monde. On l’a vu invectiv
t comme une semence qui produit dans les occasions des pensées et des
désirs
. Si l’on ne prend point indifféremment toute sort
us ces sentiments corrompus du prétexte de l’amour de la vérité et du
désir
charitable de désabuser les autres, au lieu que n
nous paraissent fausses, afin de ne les combattre jamais que dans le
désir
de leur être utiles. Or, si nous n’avions que cet
ans le désir de leur être utiles. Or, si nous n’avions que cet unique
désir
, nous reconnaîtrions sans peine qu’encore que tou
uter de ce qu’ils disent, parce que cette manière de parler excite un
désir
secret de les contredire et de trouver que ce qu’
s des regrets : il faut associer pour lui à l’idée de sa faute un vif
désir
de la réparer, et la certitude qu’il y parviendra
s par le doute, offrant tour à tour le spectacle de l’emportement des
désirs
, et de la mollesse de la volonté. Ce sera votre t
-mêmes, et de répandre autour de vous des convictions fermes avec des
désirs
modérés, de la tempérance et de l’énergie. Il fau
faire. Né à Bourges, fils d’un avocat, tourmenté dès l’enfance par le
désir
de se consacrer à Dieu, il se déroba aux vœux de
t on jouisse ; que ce n’est qu’une perpétuelle succession de vues, de
désirs
, d’entreprises, et, par une suite nécessaire, qu’
s ténèbres de nos intrigues. 2. Massillon a dit : « L’ambition, ce
désir
insatiable de s’élever au-dessus et sur les ruine
ux, il n’envisage jamais son état dans son véritable point de vue. Le
désir
lui présente de loin l’image trompeuse d’une parf
ncé de le posséder véritablement, et le dégoût abattra l’idole que le
désir
avait élevé. L’homme est presque toujours égaleme
les exauce souvent que pour le punir. Transporté loin de lui par ses
désirs
, et vieux dans sa jeunesse, il méprise le présent
s ; car les poètes s’abandonnent, dans leurs créations, au goût et au
désir
de leurs spectateurs. IX. Du reste, ce n’est pas
plus honorable. XIX. Sont préférables les choses qui nous donnent des
désirs
plus honorables et meilleurs ; car les désirs ont
es qui nous donnent des désirs plus honorables et meilleurs ; car les
désirs
ont la supériorité des choses qui en sont l’objet
les désirs ont la supériorité des choses qui en sont l’objet, et les
désirs
qu’excitent en nous des choses plus honorables ou
dire quelque chose, mais je suis retenu par la honte. Sapho : Si ton
désir
portait sur des choses bonnes et honnêtes ; si ta
les unes ont pour cause l’habitude, les autres sont suscitées par un
désir
, lequel est tantôt raisonné, tantôt non raisonné.
uel est tantôt raisonné, tantôt non raisonné. VIII. La volonté est le
désir
d’un bien, accompagné de raison. Car personne ne
ne voudrait autre chose que ce qu’il jugerait être un bien. Quant aux
désirs
non raisonnés, ce sont la colère et la passion. C
ard, la contrainte, la nature, l’habitude, le calcul, la colère et le
désir
passionné. IX. Les distinctions qui se rapportent
, à cause de sa tempérance même, il peut survenir des opinions et des
désirs
honnêtes à l’occasion de certains plaisirs, et ch
intempérant, à l’occasion de ces mêmes plaisirs, des opinions et des
désirs
contraires. XI. C’est pourquoi il faut laisser de
parlerons des passions255. XVIII. On accomplit, sous l’influence d’un
désir
passionné, toutes les actions où l’on trouve quel
e nécessité. V. Toute chose en outre est agréable, dont nous avons un
désir
passionné ; car le désir passionné est une aspira
se en outre est agréable, dont nous avons un désir passionné ; car le
désir
passionné est une aspiration vers l’agréable. Par
car le désir passionné est une aspiration vers l’agréable. Parmi ces
désirs
, les uns sont dépourvus de raison, les autres son
pourvus de raison, les autres sont accompagnés de raison. J’appelle «
désirs
dépourvus de raison » tous ceux que l’on éprouve
corps : par exemple, celui de la nourriture, la soif, la faim et les
désirs
relatifs à telle ou telle espèce de nourriture ;
telle ou telle espèce de nourriture ; ceux que provoque le goût, les
désirs
aphrodisiaques ; tous ceux, en général, qui conce
par rapport à l’odorat ; ceux qui concernent l’oreille, les yeux. Les
désirs
accompagnés de raison, ce sont tous ceux que l’on
, ou bien on le fait d’une manière moins énergique. X. La plupart des
désirs
passionnés ont pour conséquence un plaisir ; car
la que l’on a dit262 : Il parla ainsi et jeta dans tous les cœurs le
désir
de gémir. XIII. La vengeance, elle aussi, a quel
ictoire donne l’idée d’une supériorité, ce qui est, plus ou moins, le
désir
de tout le monde. XV. Comme il est agréable de re
vent, des choses agréables ; car, dans le fait de s’étonner il y a le
désir
d’apprendre, de sorte que ce qui cause l’étonneme
le désir d’apprendre, de sorte que ce qui cause l’étonnement cause un
désir
, et, dans le fait d’apprendre, il y a celui de no
part d’une pensée méchante. En effet, les injustices inspirées par un
désir
passionné ont pour origine une mauvaise intention
e. Pour celui qui hait, c’est le contraire. Pour celui qui conçoit un
désir
ou une espérance, si la chose à venir doit être a
e ; des gens en colère ; des motifs de colère. I. La colère sera un
désir
, accompagné de peine, de se venger ostensiblement
il a du chagrin ; car, lorsqu’on a du chagrin, c’est qu’on éprouve un
désir
. Tel autre, si l’on se met directement à la trave
ux, les gens qui ont soif, et généralement tous ceux qui éprouvent un
désir
passionné sans pouvoir le satisfaire, sont enclin
e aimée. En effet, toujours on se réjouit de l’accomplissement de son
désir
, et l’on s’afflige d’un résultat contraire. Si bi
as de dire : Potier contre potier 335. XXII. Ceux qui ont les mêmes
désirs
que nous, lorsqu’il nous est loisible d’avoir par
eux auxquels se joint le chagrin de la privation. Il en est ainsi des
désirs
passionnés, de l’amour, par exemple, et dans les
ues, dans les dangers. En effet, celui qui court un danger éprouve un
désir
passionné ; de même celui qui est dans l’afflicti
’on hait l’injustice. XIV. De même, si l’on a de l’ambition et un vif
désir
d’accomplir certaines actions et, surtout, si not
et la bonne ou mauvaise fortune. II. J’appelle passions la colère, le
désir
et tout ce qui a fait le sujet de nos explication
III. Sous le rapport des mœurs, les jeunes gens sont susceptibles de
désirs
ardents et capables d’accomplir ce qui fait l’obj
de désirs ardents et capables d’accomplir ce qui fait l’objet de ces
désirs
. En fait de désirs corporels, ils sont surtout po
et capables d’accomplir ce qui fait l’objet de ces désirs. En fait de
désirs
corporels, ils sont surtout portés à écouter celu
changeants et promptement dégoûtés de ce qui les a passionnés. Leurs
désirs
sont violents, mais tombent vite. Leurs volontés
tique de la vie ; car rien de grand, rien de supérieur n’excite leurs
désirs
, tout entiers aux besoins de la vie. VI. Ils ne s
tiennent à la vie surtout dans leurs derniers jours, parce que leurs
désirs
portent sur ce qui n’est plus et que l’on désire
ces souvenirs. XIII. Leurs colères sont vives, mais peu fortes, et le
désir
ou les a quittés, ou se montre faiblement ; par s
se montre faiblement ; par suite, ils sont incapables ou d’avoir des
désirs
, ou de mettre à exécution ceux qu’ils peuvent avo
qui donne aux gens de cet âge l’apparence d’être tempérants, car les
désirs
passionnés se sont calmés et ils sont asservis à
esure convenable. III. Il en est de même à l’égard de la colère et du
désir
; ils sont tempérants avec courage, et courageux
choses pour lesquelles on éprouve naturellement de l’amour ou de vifs
désirs
; car, le plus souvent, on n’aime ni ne désire ce
se et que l’on se met en colère ; lorsqu’on a ce pouvoir et qu’un vif
désir
nous entraîne ; car, le plus souvent, on satisfai
eux par intempérance, et les gens honnêtes parce qu’ils n’ont que des
désirs
honnêtes. XX. Si une chose a été sur le point d’ê
ins existera. XXIII. De même les choses qui nous sont suggérée par un
désir
passionné, par la colère et par le calcul lorsque
il voila son corps », « mais la pudeur de son corps ». Il dira : « le
désir
, contre-imitateur de l’âme ». Ce dernier terme es
314. Cp. Morale à Nicomaque, ii, 5 (énumération des passions) : « Le
désir
, la colère, la crainte, l’audace, la jalousie, la
eurt sans se connaître. » Je l’attends cette mort, sans crainte, sans
désir
: » Je ne puis l’avancer, je ne puis la choisir,
ront couverts. 181Usez, n’abusez point : ne soyez point en proie Aux
désirs
effrénés, au tumulte, à l’erreur. Vous m’avez aff
ours grands, et cédant au besoin de se rendre utiles, bien plus qu’au
désir
de se voir célèbres, ils n’ont pu.voir et n’ont d
ortune : C’est un tyran cruel, dont le joug l’importune. Tourmenté de
désirs
, de besoins déchiré, De rivaux, de jaloux, d’enne
talité chrétienne qui inspirait Young, comme c’est le sentiment et le
désir
de la gloire qui inspire les autres poètes. Pénét
rien, oublieux de sa destinée, ou s’il passe dans son esprit quelque
désir
volage de s’y préparer, il dissipe bientôt ces no
un certain air de liberté et de paix, en promenant deçà et delà leurs
désirs
vagues et incertains4. Voilà, si je ne me trompe,
gt-deux ans ? Quelle ardeur, quelle impatience, quelle impétuosité de
désirs
! Cette force, cette vigueur, ce sang chaud et bo
violence. Là, les folles amours4 ; là, le luxe, l’ambition et le vain
désir
de paraître exercent leur empire sans résistance.
pour soi les vents et les étoiles. Il est bien malaisé de régler ses
désirs
: Le plus sage s’endort sur la foi des zéphyrs. (
ière nous avons accompli ou possédé une partie de ce qui excitait nos
désirs
, quelle âme humaine n’a en elle-même au bout d’un
on habituelle de nos vœux ? Nos tristesses sont du même ordre que nos
désirs
, puisque nos désirs déçus les composent, et nos d
vœux ? Nos tristesses sont du même ordre que nos désirs, puisque nos
désirs
déçus les composent, et nos désirs, c’est nous-mê
ordre que nos désirs, puisque nos désirs déçus les composent, et nos
désirs
, c’est nous-mêmes. Quelles sont donc les causes d
bles, bonnes à cacher loin de toute lumière ? Nos amis notre pays, le
désir
trop souvent confondu de savoir la vérité, l’inut
semble anéantie, elle nous suscite la pensée que nous servons, et le
désir
invincible de servir en effet. Je ne parle pas de
est la vivante et sainte expression ; et si je ne consultais que mon
désir
de vous en témoigner ma reconnaissance, je vous o
e-Dame ; il sait bien qu’un immense auditoire me couvrira contre tout
désir
isolé et honteux ; il sait que je ne donnerai pas
’a rien à craindre, qu’il n’a besoin, pour sauver Notre-Dame1, que du
désir
qu’on a de m’y voir. Sans doute, le gouvernement
tiennes. La vanité, l’ambition, la vengeance, le luxe, la volupté, le
désir
insatiable d’accumuler, voilà les vertus que le m
ubli des peines qu’elle endure. L’autre anime nos cœurs, enflamme nos
désirs
, Et même en nous trompant, donne de vrais plaisir
ses travaux, ses plaisirs, Mettre un but à sa course, un terme à ses
désirs
. Nul ne peut avoir tout. L’amour de la science A
ait quelque idée attachée à ce mot. J’y fus pris ; j’asservis au vain
désir
de plaire La mâle liberté qui fait mon caractère3
r sang impur arroser leurs racines. La loi naturelle De nos
désirs
fougueux la tempête fatale Laisse au fond de nos
gt-deux ans ? Quelle ardeur, quelle impatience, quelle impétuosité de
désirs
! Cette force, cette vigueur, ce sang chaud et bo
violence. Là, les folles amours4 ; là, le luxe, l’ambition et le vain
désir
de paraître exercent leur empire sans résistance.
un certain air de liberté et de paix, en promenant deçà et delà leurs
désirs
vagues et incertains1 Voilà, si je ne me trompe,
ous touche si fort au cœur1, vous n’avez garde de négliger vos autres
désirs
, où il ne s’agit plus que de suivre vos inclinati
e invincible avec laquelle elle voudra ce soulagement, fera naître un
désir
semblable en ceux qu’elle emploie ; en ne se lass
pour soi les vents et les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses
désirs
: Le plus sage s’endort sur la foi des zéphyrs. (
elligence, voici l’unique remède : un amour généreux de la vérité, un
désir
de nous connaître nous-mêmes tels que nous sommes
aire et assurée de tout ce qui est utile à la vie, j’avais un extrême
désir
de les apprendre. Mais sitôt que j’eus achevé tou
à tâcher de les rendre vraisemblables. Et j’avais toujours un extrême
désir
d’apprendre à distinguer le vrai d’avec le faux,
cer de la mienne les obligations que je vous ai, ni n’ai pas perdu le
désir
de les reconnaître, bien que je n’aie aucune occa
laissait point jeter ou entretenir, par les idées d’autrui, ni par le
désir
de l’approbation, ni par la crainte de la contrad
s par le doute, offrant tour à tour le spectacle de l’emportement des
désirs
et de la mollesse de la volonté. Ce sera votre tâ
s-mêmes et de répandre autour de vous des convictions fermes avec des
désirs
modérés, de la tempérance et de l’énergie. Il fau
fet, d’un zèle que rien n’intimide, d’une âme brûlante et consumée du
désir
vrai d’opérer le bien ; il faut que la raison dir
est-à-dire, la manière touchante d’un prédicateur vivement pénétré du
désir
ardent de communiquer à ses auditeurs la pureté d
int, seigneur, que ses soupirs M’ont daigné quelquefois expliquer ses
désirs
. Il n’a point détourné ses regards d’une fille, S
l’empereur son père, Et j’ose dire encore, à vous, à votre mère : Vos
désirs
sont toujours si conformes aux siens8… Néron. Ma
e liens qui retiennent Junie5. Tout ce que vous voyez conspire à vos
désirs
: Vos jours toujours sereins coulent dans les pla
e gloire, De ses destins perdus il garde la mémoire ; Soit que de ses
désirs
l’immense profondeur Lui présage de loin sa futur
de la nature. Le résultat de vos observations à cet égard sera un vif
désir
de connaître et un profond sentiment d’admiration
ir l’impression des vices ; Est vain dans ses discours, volage en ses
désirs
, Rétif à la censure, et fou dans les plaisirs. L’
lus royalistes que le roi, il y a des écrivains qui, entraînés par ce
désir
outré de courir après des particularités presque
sera fait à mon travail, dont le seul titre de recommandation est le
désir
de rendre service à la jeunesse studieuse. L. DEL
alheureux. Je ne vous demande qu’une chose : si le seul but, l’unique
désir
d’Antigone est de voir tomber ma tête, laissez-mo
si, plein de joie et d’espérance, voyant que ses troupes brûlaient du
désir
de combattre, et que sans doute elles engageraien
is, dominent la volonté des chefs et non des soldats, la perfidie, le
désir
de votre asservissement. Dieu pourrait-il permett
inqueur barbare ? Est-ce l’amour de vos biens particuliers, est-ce le
désir
du repos qui vous possède ? Eh quoi ? les fortune
arder le silence ? Est-il donc beau de s’abandonner à sa colère et au
désir
de la vengeance ? Est-il honteux d’écouter les pr
andement de la guerre contre les pirates. Pompée, bien que brûlant du
désir
d’être mis à la tête de cette expédition, et par
idité : on ne sait pas se contenter de sa position, et l’on étend ses
désirs
ambitieux vers des possessions éloignées, sur les
rius. On disait que cette proposition était inspirée à Memnon, par le
désir
qu’il avait de se perpétuer dans le commandement.
ncore. Je permettrai le retour dans leurs foyers à ceux qui auront ce
désir
, je les y reconduirai moi-même. Quant aux braves
détermination personnelle ou par une espérance irréfléchie, ou par un
désir
quelconque plus fort que cette espérance. Mais le
’ai pas voulu plaisanter. Puissent néanmoins les dieux répondre à vos
désirs
! » LXVIII. Même sujet. Démarate à Xerxès.
n’avait pas la force de renoncer à des espérances qui flattaient ses
désirs
. Traduit de Plutarque. LXXVII. Entretien de Py
présentent un avenir à craindre. Celui qui, par la modération de ses
désirs
, s’est mis au-dessus des besoins, et qui n’a poin
par la défaillance de la nature, en nos âmes par l’instabilité de nos
désirs
; enfin ce dérangement universel et continuel des
à Junie, qui parle à Néron : Tout ce que vous voyez, conspire à vos
désirs
: Vos jours, toujours sereins, coulent dans les p
iversalité morale. « Les jeunes gens, dit-il27, sont vifs dans leurs
désirs
, entreprenants, adonnés à leurs plaisirs, surtout
à se dégoûter de ce qu’ils ont le plus ardemment souhaité : car leurs
désirs
sont violents, mais passagers comme la faim et la
e même de leur passion pour les richesses : ils renferment tous leurs
désirs
dans les nécessités de la vie, sachant combien il
nomie que de noblesse : la modération est d’ordinaire la règle de ses
désirs
et de ses actions. C’est par elle qu’il réprime l
ail attaché à leurs charges, le soin de maintenir leur réputation, le
désir
d’affermir ou d’augmenter leur crédit, les tient
mpli mon ministère selon mes forces, si je n’ai pu le faire selon mes
désirs
. Vous, magistrats, et sur les raisons que vous ve
nécessaire et3le commode ; tout le reste n’est que cupidité. Tous ces
désirs
de grandeur partent du vide4 d’un cœur inquiet. T
s ; vous verrez combien les grandeurs de ce monde sont au-dessous des
désirs
du cœur de l’homme5 ; il n’y a que Dieu qui puiss
Mécontent de son sort, sur les autres fortunes Un homme promenait ses
désirs
et ses yeux, Et de cent plaintes importun
ar des égards et la triste contrainte, Ceux-là par les vastes
désirs
; D’autres par l’envie ou la crainte ; Qu
désirée De Saturne et de Rhée, Où le bonheur rendait tous nos
désirs
contents : Et par elle on verra reluire en ce riv
ses travaux, ses plaisirs, Mettre un but à sa course, un terme à ses
désirs
. ………………………………………………… La raison te conduit : avanc
ir pour soi le vent et les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses
désirs
; Le plus sage s’endort sur la foi des zéphirs.
re embrassée, Qu’aussitôt Jupiter, en son trône remis, Vit, selon son
désir
, la tempête cessée, Et n’eut plus d’ennem
de la mollesse, Usurpant sur son âme un absolu pouvoir, De coupables
désirs
le viennent émouvoir, Irritent de ses sens la fur
urs, son goust et ses plaisirs Et comme nostre poil, blanchissent nos
désirs
. Nature ne peut pas l’âge en l’âge confondre : L’
pela le pécheur au joug de l’Évangile. Dieu fut l’unique objet de ses
désirs
constans : L’Église n’eut jamais, même en ses pre
éables ou utiles, elle s’y porte, les poursuit et les aime : de là le
désir
, l’espérance, l’amour. Les objets lui paraissent-
e réunissent, et agissant comme de concert, allument dans son âme des
désirs
légitimes, des passions généreuses auxquelles il
t ne brille pas la plus pure vertu, quand elle en est séparée. 8°
Désir
Le Désir est un mouvement de la volonté vers u
pas la plus pure vertu, quand elle en est séparée. 8° Désir Le
Désir
est un mouvement de la volonté vers un objet que
ent jamais. Racine, Esther. 14° Vengeance La Vengeance est un
désir
d’assouvir sa haine, de tirer satisfaction d’un o
nécessaire et le commode ; tout le reste n’est que cupidité. Tous ces
désirs
de grandeur partent du vide d’un cœur inquiet. To
is, vous verrez combien les grandeurs de ce monde sont au-dessous des
désirs
du cœur de l’homme. Il n’y a que Dieu qui puisse
pour en tirer ce qui lui est propre. Rien n’est si impétueux que ses
désirs
, rien de si caché que ses desseins, rien de si ha
nivers, nous voudrions en faire mouvoir la machine au gré de nos seul
désirs
; que tous les événements s’accommodassent à nos
n ne troublerait la douceur des jours paisibles que je coule ici sans
désirs
terrestres, sans désirs au moins qui se rapporten
eur des jours paisibles que je coule ici sans désirs terrestres, sans
désirs
au moins qui se rapportent à moi. Il y a une imme
éternité, fixe, immobile, vaste comme mon cœur, inépuisable comme ses
désirs
, je voudrais m’élancer dans ses profondeurs. Mais
n sortant d’une pièce intitulée Esope à la cour, je fus si pénétré du
désir
d’être plus honnête homme que je ne sache pas avo
ursault qui sut choisir un sujet assez moral pour inspirer un si beau
désir
à une si belle âme ! Une grave erreur de plusieur
triarcale, éprouvant peu de besoins, trouvant la terre docile à leurs
désirs
et produisant sans culture les fruits les plus dé
rentes. § III. Identité du mot avec l’objet représenté Animé du
désir
de donner un nom à l’objet qu’il voulait désigner
e Dieu Les presse tellement, que leur crainte se change En un brûlant
désir
de passer cette fange. Or, jamais âme humaine, ép
e, abandonnée de Dieu et des hommes ; qui a perdu jusqu’à ses propres
désirs
; qui ne peut ni vivre ni mourir. Il semble qu’il
loyer la force publique au service de sa propre pensée, de son propre
désir
; lui seul sait et veut ce qu’il fait. On s’en in
aient contre les sentiments de la cour. Ces gens-là, étant touchés du
désir
d’arrêter le cours des calamités-présentes, avaie
laissait point jeter ou entretenir par les idées d’autrui, ni par le
désir
de l’approbation, ni par la crainte de la contrad
’après les calculs de son esprit. Il devint accommodant à l’égard des
désirs
dominants, facile envers les circonstances impéri
léger, prodigue, sans mesure. Changeant dans l’âge mûr de soins et de
désirs
, L’homme fuit l’imprudence, et craint les repenti
La Jeunesse Les jeunes gens dans leurs mœurs sont pleins de
désirs
, et ce qu’ils désirent, ils osent le faire ; ils
qu’ils désirent, ils osent le faire ; ils sont inconstants dans leurs
désirs
et prompts à se dégoûter ; car leur volonté, semb
me répondre après tout à loisir : Sur ce point seulement contente mon
désir
. CINNA. Je vous obéirai, seigneur. AUGUSTE.
? Est-ce à vous de prêter l’oreille à leurs discours ? De vos propres
désirs
perdrez-vous la mémoire ? Et serez-vous le seul q
vous flatter, vous mourrez tels que vous êtes aujourd’hui ; tous ces
désirs
de changement qui vous amusent, vous amuseront ju
ceptible, l’amour de la gloire, celui des plaisirs, l’amitié même, le
désir
si naturel à un grand prince de rendre heureux ce
dre avec l’indulgence que notre respect même pour votre décret, et le
désir
de vous obéir doivent vous inspirer. Que la cause
prophètes quelque chose d’ardent, de passionné et comme un travail du
désir
pour atteindre un bien qu’ils ne possèdent pas, e
est le calme de la possession, la paix ravissante qui suit un immense
désir
satisfait, la tranquille sérénité du ciel même :
s qui parlent en vous et qui vont à des buts si hauts ; ces puissants
désirs
qui vous agitent et qui vous appellent ; comment
e le sera en ce monde, vous vous méprenez. Ce monde est borné, et les
désirs
de votre nature sont infinis. Quand chacun de vou
pour en tirer ce qui lui est propre. Rien n’est si impétueux que ses
désirs
, rien de si caché que ses desseins, rien de si ha
. J.-B. Say. Inconstance humaine Mécontent de son sort, de
désirs
tourmenté, Chacun maudit la place où les dieux l’
e)104. De l’Ambition L’ambition n’est pas autre chose que le
désir
du commandement ou de la gloire, et le plus souve
ent de ces deux biens ensemble ; couvrir du nom d’ambition tout autre
désir
que celui-là, c’est détourner ce mot de son sens
i point ambitieux l’homme qui n’est pas sincèrement possédé de l’âpre
désir
du commandement ou de la gloire, celui qui veut s
lieux ! Laissons à chacun son nom véritable, le nom qui convient au
désir
qui le conduit et à la passion qui le domine. Il
s une humble condition, sans appui et sans fortune, sentent en eux le
désir
d’améliorer leur sort, et cherchent les moyens de
e d’une réflexion sage qui précède et dirige toujours la conduite, le
désir
louable de faire du bien aux hommes, et par là de
dans les cœurs qui peuvent la recevoir et l’avarice envahit tout. Les
désirs
changent d’objets : ce qu’on aimait, on ne l’aime
ppelle crainte. C’est la frugalité qui y est l’avarice, et non pas le
désir
d’avoir. Autrefois le bien des particuliers faisa
ue primitivement en lui, comme dans les animaux, par des besoins, des
désirs
, des mouvements instinctifs. Comme eux, il a une
ne sorte d’intelligence, qui sert à reconnaître et l’existence de ces
désirs
et de ces besoins et les objets qui peuvent les s
t être affranchi de tout devoir envers son auteur ; peut-être que ses
désirs
mêmes s’arrêteraient aux portes du tombeau, et qu
r, de forme et de distance ; elle est une, ou elle n’est point. Et le
désir
, l’amour, la volonté, voit-on clairement que ce s
algré les contradictions de quelques esprits abusés par d’effroyables
désirs
, il conserva toujours, comme un dogme de la raiso
douter, Quand je posséderais tout ce qu’en cette vie Dans ses vastes
désirs
l’homme peut convoiter ; Quand je pourrais saisir
Pour aller jusqu’aux cieux il vous fallait des ailes ; Vous aviez le
désir
, la foi vous a manqué. Je vous plains ; votre org
gt-deux ans ? Quelle ardeur, quelle impatience, quelle impétuosité de
désirs
! Cette force, cette vigueur, ce sang chaud et bo
ira-t-il de cette lecture avec de meilleurs sentiments et un plus vif
désir
d’être homme de bien ? Je m’en rapporte là-dessus
ont les funestes symptômes se reproduisent partout, c’est l’impatient
désir
de triompher avant de combattre et de cueillir le
s une humble condition, sans appui et sans fortune, sentent en eux le
désir
d’améliorer leur sort, et cherchent les moyens de
e d’une réflexion sage qui précède et dirige toujours la conduite, le
désir
louable de faire du bien aux hommes, et par là de
cesse besoin de consulter, et qui nous prévient pour nous inspirer le
désir
d’entendre sa voix ? Où est-elle cette vive lumiè
e des yeux à ceux qui n’en ont pas pour la voir, enfin qui inspire le
désir
d’être éclairé par elle, et qui se fait aimer par
’honneur de vous écrire ; mais vous savez que la vie se passe en bons
désirs
sans effets, sur des matières encore plus importa
aut un visage riant, mais le cœur ne rit guère. Si peu qu’il reste de
désirs
et de sensibilité d’amour-propre, on a toujours i
le comprendrez aisément. « Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
s mains la fortune publique ? Les occasions préviennent presque leurs
désirs
: leurs regards, si j’ose parler ainsi, trouvent
soins qu’elle exige sont autant de moments dérobés à la volupté ; le
désir
de parvenir suspend du moins des passions qui de
s’éloigner du centre, aussi le monde politique se soutient-il par le
désir
intérieur et inquiet que chacun a de sortir du li
ans les cœurs qui peuvent la recevoir et l’avarice envahit tout2. Les
désirs
changent d’objets : ce qu’on aimait, on ne l’aime
ppelle crainte. C’est la frugalité qui y est l’avarice, et non pas le
désir
d’avoir. Autrefois le bien des particuliers faisa
ra intéressant et lumineux. Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
tempérée d’une tristesse sévère, il ne manque que le rayon, l’humble
désir
qui appelle la bénédiction d’en haut sur l’humain
Sept ans allait éclater : déjà fermentaient dans la France ces vagues
désirs
de réformes qui aboutirent à des bouleversements.
s n’interrompaient jamais. La nature ne fournissait pas moins à leurs
désirs
qu’à leurs besoins. Dans ce pays heureux, la cupi
Lycées, beaucoup de Professeurs et d’autres personnes ont témoigné le
désir
d’avoir cet Ouvrage en entier, je me suis détermi
les autres conquérants ont reçu une récompense aussi vaine que leurs
désirs
, il n’en sera pas ainsi de notre grand prince, en
vous flatter : vous mourrez tels que vous êtes aujourd’hui. Tous cea
désirs
de changement qui vous amusent, vous amuseront ju
ité et toute leur confiance. Les passions, les volontés injustes, les
désirs
excessifs et ambitieux que les princes mêlent à l
i la volonté de ceux de qui l’on tient la vie ; on n’ose produire des
désirs
qui contrediraient leurs desseins : on étouffe de
brebis, Et qui de leur toison voit filer ses habits, Et, bornant ses
désirs
au bord de son domaine, Ne connaît d’autre mer qu
être simples, pures et exemptes crimes. Les bergers peuvent avoir le
désir
de plaire, l’émulation dans les jeux, l’ambition
nt simples, pures et exemptes de crimes. Les bergers peuvent avoir le
désir
de plaire, l’émulation dans les jeux ; l’ambition
lui attirant l’admiration de ses semblables, firent naître en eux, le
désir
de l’imiter, et de se donner même réciproquement
pour soi les vents et les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses
désirs
: Le plus sage s’endort sur la foi des zéphirs265
éclat n’eût pas fait ses plaisirs, Si le séjour de Vaux eût borné ses
désirs
, Qu’il pouvait doucement laisser couler son âge !
e ; Si tu n’es pas jusqu’au tombeau L’objet de mes
désirs
, et l’espoir de ma vie ; Rebe
des plaisirs, Moins heureux par la jouissance, Que malheureux par ses
désirs
. Je n’ai point ces riches habits Qu’avec orgueil
inte de notre empire. Provinces, qu’ils avaient déjà ravagées dans le
désir
et dans la pensée, vous avez encore recueilli vos
es deux côtés j’ai des pleurs à répandre : De tous les deux côtés mes
désirs
sont trahis. Horace lui répond : Quoi ! vous me
je les atteindrai, je partagerai leurs dépouilles ; j’assouvirai mes
désirs
; je tirerai mon épée ; ma main me les assujettir
! vous pensez telle chose ! Le doute. — Cela n’est pas possible. Le
désir
de savoir. — Et qui peut vous faire croire ?....
sible. Le désir de savoir. — Et qui peut vous faire croire ?.... Le
désir
de détromper. — Mais vous savez qui je suis. La
u côté du corps quand on appelle quoiqu’un à soi, ou qu’on exprime le
désir
de posséder quelque chose, tandis qu’ il se tourn
ù ne figure point l’e muet. Ex. : Ardeur, candeur, - vérité, bonté, -
désir
, plaisir. 2. La rime masculine n’étant que pour
re. N’avez-vous point de nuit fiévreuse et déliran-te, Où la voix du
désir
, tout le jour expiran-te, Parle à votre chevet...
demander (à Dieu) que sa volonté se fasse ; c’est former quelque bon
désir
; c’est élever son cœur à Dieu ; c’est soupirer a
est d’agir avec une intention pure, en se renouvelant souvent dans le
désir
de faire tout selon Dieu et pour Dieu ». (Entret
semblable que les soins importants de l’épiscopat, la nécessité et le
désir
de s’y livrer tout entier, déterminèrent Bossuet
tirent de son repos, lui inspirent une nouvelle ardeur et de nouveaux
désirs
, alors toutes ses beautés se multiplient, ses yeu
re du coteau dans la vallée et s’égare de plus en plus. Pressé par le
désir
impatient de retrouver sa demeure, il précipite s
ensuite dans les ténèbres. Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
es deux côtés j’ai des pleurs à répandre ; De tous les deux côtés mes
désirs
sont trahis. Horace répond : Quoi ! vous me ple
de du travail et de l’exercice ; qui les exciterait à l’émulation, au
désir
de la gloire, à l’amour de la vertu ; qui, au lie
assez solide pour remplir son cœur, et pour mériter ses soins et ses
désirs
; il a même besoin d’efforts pour ne les pas trop
énétré de soi-même ; voyez quelle sérénité cet accomplissement de ses
désirs
répand dans son cœur et sur son visage ; comme il
grandeur, l’intérêt, la nouveauté de l’autre, il aura, avant tout, le
désir
et la volonté de lire ou d’écouter. Le mot sacram
x ; Achille aurait encor ses armes ; nous, Achille. Mais puisqu’à nos
désirs
le destin fut hostile, (Et disaut, de la main il
core dit je brûle, quand ils se seront sentis atteints par un violent
désir
. Telle est l’origine du langage figuré ; ainsi on
ar son attention est tout entière dirigée vers le fruit, objet de ses
désirs
; c’est ce fruit qui agit sur sa pensée, qui le d
éables ou utiles, elle s’y porte, les poursuit et les aime : de là le
désir
, l’espérance, l’amour. Ces objets lui paraissent-
réunissent, et, agissant comme de concert, allument dans son âme des
désirs
légitimes, des passions généreuses, auxquelles il
l’homme seul est inquiet etmécontent, l’homme seul est en proie à ses
désirs
, se laisse déchirer par ses craintes, trouve son
ta reine, à peine sortie d’une tourmente si épouvantable, pressée du
désir
de revoir le roi et de le secourir, ose encore se
rès du roi, qui souhaite si ardemment son retour ? Elle brûle du même
désir
, et déjà je la vois paraître dans un nouvel appar
tigué des grandeurs qui lui oui coulé tant de peine, exprime ainsi le
désir
qu’il éprouve de rentrer dans la vie privée : L’
it jusqu’au dernier soupir Toujours vers quelque objet pousse quelque
désir
, Il se ramène en soi n’ayant plus où se prendre,
e et de prosopopée : « Grande reine, je satisfais à vos plus tendres
désirs
quand je célèbre ce monarque ; et ce cœur, qui n’
ous nuirez cet honneur en les comblant de biens ? — C’est là tout mon
désir
. — Il est louable, et j’aime Que l’on serve à la
pour soi les vents et les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses
désirs
: Le plus sage s’endort sur la foi des zéphyrs.
à ces croyances si naturelles et si salutaires, qui, en dirigeant nos
désirs
vers un monde pur et tranquille, nous détachent d
intéressant et lumineux. « Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
e, et je la prononcerais avec assez de gravité ; mais, messieurs, mon
désir
tend à des titres bien plus glorieux, qui sont de
torieux. Mais la violente amour que j’apporte à mes sujets, l’extrême
désir
que j’ai d’ajouter deux beaux titres à celui de r
in de ce que vous lui dites ; ou bien elle cache mal, en écoutant, le
désir
qu’elle a de répondre, médite ce qu’elle se propo
our-propre ne prenne pas la route si simple d’avouer naturellement le
désir
de plaire, et d’employer, autant qu’il est possib
e à son auteur une longue pratique du professorat, et surtout par son
désir
sincère d’être utile à l’enfance. Notre intention
cer de la mienne les obligations que je vous ai, ni n’ai pas perdu le
désir
de les reconnaître, bien que je n’aie aucune occa
de la gloire, la crainte de la honte, le dessein de faire fortune, le
désir
de rendre notre vie commode, agréable, et l’envie
afin qu’il se forme un sujet de passion, et qu’il excite sur cela son
désir
, sa colère, sa crainte pour l’objet qu’il s’est f
rien, oublieux de sa destinée ; ou s’il passe dans son esprit quelque
désir
volage de s’y préparer, il dissipe bientôt ces no
oignent, pour le continuer durant tout le cours de leur vie, tous les
désirs
sensuels ; qui voit, dis-je, toutes ces choses re
e son cœur, qui retire de çà et de là les petites parcelles593 de ses
désirs
épars de tous côtés ! C’est alors que, se ramassa
recevrez, vous en donnera la force, comme il vous en a déjà donné le
désir
. Tournez votre cœur à Dieu ; pensez souvent à l’o
faire. Né à Bourges, fils d’un avocat, tourmenté dès l’enfance par le
désir
de se consacrer à Dieu, il se déroba aux vœux de
essaire et670 le commode ; tout le reste n’est que cupidité. Tous ces
désirs
de grandeur partent du vide671 d’un cœur inquiet.
s ; vous verrez combien les grandeurs de ce monde sont au-dessous des
désirs
du cœur de l’homme672 ; il n’y a que Dieu qui pui
z ni leur vanité, ni leur avarice, et que votre sagesse mette à leurs
désirs
la modération qu’ils devraient y mettre eux-mêmes
, et vous la prononcerois avec assez de gravité. Mais, Messieurs, mon
désir
me pousse à deux plus glorieux titres, qui sont d
que l’esprit et le cœur sont encore vides de passions, de soins et de
désirs
, et que l’on est déterminé à de longs travaux par
; car le goût de lumière pure apaise la faim de leur cœur. Tous leurs
désirs
sont rassasiés, et leur plénitude les élève au-de
u vous flatter, vous mourrez tels que vous êtes aujourd’hui. Tous ces
désirs
de changement qui vous amusent, vous amuseront ju
chit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses
désirs
, et, obéissant toujours aux impressions qu’il en
e par ses mouvements et par ses cris l’impatience de combattre, et le
désir
de vaincre1240 ; marchant ensuite en silence, il
estique, aux sentiments les plus doux, au plaisir de s’attacher et au
désir
de plaire ; il vient en rampant1243 mettre aux pi
, la constance dans ses affections ; nulle ambition, nul intérêt, nul
désir
de vengeance, nulle crainte que celle de déplaire
occasion renaisse jamais pour moi. Cependant je n’en ai pas perdu le
désir
avec l’espérance, et je suis presque sûr que si j
avait fait, son regret de l’importunité qu’elle vous a causée, et le
désir
qu’elle aurait que son beurre vous eût paru bon13
st couverte d’esprits inquiets que la rigueur de leur condition et le
désir
de changer leur fortune tourmentent inexorablemen
n ne peut rendre bons ; » mais, je vous promets, je vous jure que mon
désir
le plus ardent est de réparer les chagrins que je
chapitres à traiter, tes plaisirs, tes ennuis, tes occupations et tes
désirs
; avec cela, on peut remplir quatre pages. Pour m
gné, mon occupation est de trouver les moyens de te rejoindre, et mon
désir
est d’y réussir.1502 Adieu, ma chère enfant.
de la République française avait fait connaître à S. M. l’Empereur le
désir
de mettre fin à la guerre qui désole les deux peu
ardez le ciel, est-ce qu’en vous il ne se remue rien ? Est-ce que nul
désir
ne vous presse ? ou ce désir est-il muet ? Il en
ous il ne se remue rien ? Est-ce que nul désir ne vous presse ? ou ce
désir
est-il muet ? Il en est qui disent : « A quoi bon
s des regrets : il faut associer pour lui à l’idée de sa faute un vif
désir
de la réparer et, la certitude qu’il y parviendra
côté de cette foule votre existence, vos intérêts, vos projets ; vos
désirs
; et mettez, si vous le pouvez, une immense impor
mort était vulgaire parmi les barbares ; l’amour de la liberté et le
désir
de la gloire ne leur étaient pas inconnus ; mais
assez solide pour remplir son cœur, et pour mériter ses soins et ses
désirs
; il a même besoin d’efforts pour ne les pas trop
il me panse, il me ferre, « Il m’étrille, il me lave, il prévient mes
désirs
. » La Bruyère dit encore : « Le faste et le lux
t d’autrui aiment à se targuer d’un droit, pour contrarier tel ou tel
désir
du personnage qu’ils servent. 993. Une sorte d’e
ai fait mon testament en votre faveur, et vous l’exécuterez selon mes
désirs
. Je souhaite que vous restiez veuve jusqu’à ce qu
éternité, fixe, immobile, vaste comme mon cœur, inépuisable comme ses
désirs
, je voudrais, je voudrais m’élancer dans sa profo
rez pas au récit de leurs combats, si vous n’êtes pas mort presque du
désir
d’en voir et de honte de n’en avoir pas vu, quoiq
ieux désire tout ce qu’il ne possède pas ; et, dès qu’il possède, son
désir
change de but : sait-il que tel livre existe chez
tout envieux doit l’être, et son malheur recommence à chaque nouveau
désir
. » Le bibliomane fantasque n’adore ses livres
aite et dans la mort : Je suis ouvrier de Dieu ! Non pas dans un vain
désir
de vengeance, ni dans l’égoïste espoir d’une réco
onspection sévère n’a pas besoin d’être excusée. Puisque de légitimes
désirs
de réformes ont préoccupé de nos jours la conscie
e, abandonnée de Dieu et des hommes ; qui a perdu jusqu’à ses propres
désirs
; qui ne peut ni vivre ni mourir. Il semble qu’il
ncontres que la fortune me proposait ; et j’avais toujours un extrême
désir
d’apprendre à distinguer le vrai d’avec le faux,
tâcher toujours plutôt à me vaincre que la fortune, et à changer mes
désirs
que l’ordre du monde, et généralement de m’accout
aient contre les sentiments de la cour. Ces gens-là, étant touchés du
désir
d’arrêter le cours des calamités présentes, avaie
sément des bornes à sa reconnaissance qu’à ses espérances et qu’à ses
désirs
. Rien n’est impossible : il y a des voies qui con
avions assez de volonté, nous aurions toujours assez de moyens74. Le
désir
de paraître habile empêche souvent de le devenir.
et toutefois le plus contraire à notre inclination : nous brûlons de
désir
de trouver une assiette ferme et une dernière bas
C’est la plus belle place du monde : rien ne peut le détourner de ce
désir
, et c’est la qualité La plus ineffaçable du cœur
e invincible avec laquelle elle voudra ce soulagement, fera naître un
désir
semblable en ceux qu’elle emploie : en ne se lass
sard, il ne marche sans règle et sans conduite au gré de ses aveugles
désirs
. C’est pour cela que l’Ecclésiaste, après avoir c
s, anéantir leurs jalousies, borner leur ambition, inspirer les mêmes
désirs
à ceux qui doivent avoir la même espérance ; et s
i seul ne change point, et seul a de quoi fixer les agitations et les
désirs
insatiables du cœur humain280. Établissement
Sept Ans allait éclater : déjà fermentaient dans la France ces vagues
désirs
de réformes qui aboutirent à des bouleversements.
grande : tout, dans votre vie, semblait me montrer un homme dévoré du
désir
de commander, et qui, plein des plus funestes pas
traits saillants, des pensées ingénieuses, mais sans consistance, le
désir
d’exprimer avec noblesse ou nouveauté les choses
ra intéressant et lumineux. Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
du monde sont désespérés si les choses ne réussissent pas selon leurs
désirs
. Si leur vanité est confondue, s’ils font des fau
oyable, Et que, depuis longtemps, cette estime m’a mis Dans un ardent
désir
d’être de vos amis. Oui, mon cœur au mérite aime
les jours que la Parque me file. Ici dans un vallon bornant tous mes
désirs
, J’achète à peu de frais de solides plaisirs. Tan
e vois qu’en m’écoutant vos yeux au ciel s’adressent. Parlez : de vos
désirs
le succès est certain, Si ce succès596 dépend d’u
ureuse entre toutes les reines. ASSUÉRUS. Ah ! que vous enflammez mon
désir
curieux ! ESTHER. Seigneur, si j’ai trouvé grâce
ié de ce puissant empire. ESTHER. Je ne m’égare point dans ces vastes
désirs
. Mais puisqu’il faut enfin expliquer mes soupirs,
d’or, que du fer, des soldats691 ; Son sein tout hérissé n’offre aux
désirs
de l’homme Rien qui puisse tenter l’avarice de Ro
. Pharasmane et l’ambassadeur se séparent, le cœur ulcéré et plein du
désir
de la vengeance. Immédiatement après, Arsame dema
t cette princesse (elle était la filleule de Louis XIII) qui, dans le
désir
de réunir les luthériens aux catholiques, provoqu
maladie à souhait, et facilité extrême d’espérance et de confiance ;
désir
et empressement de tous de plaire à la nouvelle c
rme poétique et d’une heureuse concision, pour tous les objets de vos
désirs
… 600. On s’est étonné qu’Assuérus ignorât qu’ell
st couverte d’esprits inquiets que la rigueur de leur condition et le
désir
de changer leur fortune tourmentent inexorablemen
tôt n’eût été occupée que des pensées de votre éternité ; recevez ces
désirs
qui vous lui aviez vous-même inspirés. Le temps l
s le courage de les accomplir. Si vous demandez des œuvres ; avec ces
désirs
, voilà des charités qu’il a faites, ou destinée p
comprendre Ce qu’ordonnent de moi tes saintes volontés, Et réduis mes
désirs
au seul plaisir d’entendre Tes hautes vérités.
u poëme intitulé Tristesse d’Olympio, nous ne voulons que susciter le
désir
de lire l’ensemble de ce chef-d’œuvre, et de le c
onspection sévère n’a pas besoin d’être excusée. Puisque de légitimes
désirs
de réformes ont préoccupé de nos jours la conscie
onspection sévère n’a pas besoin d’être excusée. Puisque de légitimes
désirs
de réformes ont préoccupé de nos jours la conscie
afin qu’il se forme un sujet de passion et qu’il excite sur cela son
désir
, sa colère, sa crainte, pour l’objet qu’il s’est
gt-deux ans ? Quelle ardeur, quelle impatience, quelle impétuosité de
désirs
! Cette force, cette vigueur, ce sang chaud et bo
t assez solide pour remplir son cœur et pour mériter ses soins et ses
désirs
; il a même besoin d’efforts pour ne les pas trop
vous flatter, vous mourrez tels que vous êtes aujourd’hui ; tous ces
désirs
de changement qui vous amusent vous amuseront jus
Sept ans allait éclater : déjà fermentaient dans la France ces vagues
désirs
de réformes qui aboutirent à des bouleversements.
ie, sans m’y sentir à chaque fois transporter encore par les élans du
désir
. Les Rêveries 410 : cinquième Promenade411.
e tombeau446. C’est en la paix que toutes choses Succèdent selon nos
désirs
; Comme au printemps naissent les roses, En la pa
comprendre Ce qu’ordonnent de moi tes saintes volontés, Et réduis mes
désirs
au seul désir d’entendre Tes hautes vérités. Mai
u’ordonnent de moi tes saintes volontés, Et réduis mes désirs au seul
désir
d’entendre Tes hautes vérités. Mais désarme d’éc
de l’ingrat, À toi-même en mourant immole ce perfide ; Contentant ses
désirs
, punis son parricide ; Fais un tourment pour lui
me répondre après tout à loisir : Sur ce point seulement contente mon
désir
. CINNA. Je vous obéirai, seigneur. AUGUSTE.
che Ladislas et ne le puis connaître : Vous n’avez rien de roi que le
désir
de l’être ; Et ce désir, dit-on, peu discret et t
is connaître : Vous n’avez rien de roi que le désir de l’être ; Et ce
désir
, dit-on, peu discret et trop prompt, En souffre a
iscours ébranla le cœur De notre imprudent voyageur ; Mais le
désir
de voir et l’humeur inquiète L’emportèrent enfin.
pour soi les vents et les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses
désirs
: Le plus sage s’endort sur la foi des zéphyrs576
éclat n’eût pas fait ses plaisirs, Si le séjour de Vaux eût borné ses
désirs
; Qu’il pouvait doucement laisser couler son âge57
quelque chose là-contre ? PHILAMINTE. Je ne veux point d’obstacle aux
désirs
que je montre. CHRYSALE. D’accord. PHILAMINTE.
d nous donne et nous ôte en un jour ! Soumis à tous leurs vœux, à mes
désirs
contraire, Suis-je leur empereur seulement pour l
? Est-ce à vous de prêter l’oreille à leurs discours ? De vos propres
désirs
perdrez-vous la mémoire ? Et serez-vous le seul q
main, de bocage en bocage ; Savourer sans remords, sans crainte, sans
désirs
, Une paix dont nul bien n’égale les plaisirs. Dou
n du Rhin. — La sœur d’Anne de Gonzague, la princesse Louise, dans le
désir
de réunir les luthériens aux catholiques, provoqu
lards aiment la vie, et surtout dans les derniers jours, parce que le
désir
poursuit toujours le bien absent ; or ils s’attac
il, page 20. 192. Ellipse heureuse, pour : qui sentent, annoncent le
désir
qu’on a d’obtenir une pension ou une abbaye… 193
ractère de son héros. 218. Remarquons toutefois, avec Tacite, que le
désir
de la gloire est le dernier dont se dépouille le
qu’il écrivait de son ermitage à un jeune homme qui avait témoigné le
désir
de partager sa retraite : « S’il m’appartenait de
ur l’homme, où il déclare Que l’homme n’est point né pour les vastes
désirs
. 565. C’est le pallida mors d’Horace. Od., I
ront d’airain. 4. Entendrez. Du verbe ouïr (au-dire). 5. Suivant le
désir
d’un client hargneux. Ce mot vient du haut allema
de la République française avait fait connaître à S. M. l’Empereur le
désir
de mettre fin à la guerre qui désole les deux peu
uisai, du moins, l’amour du travail, le goût des bonnes études, et le
désir
sincère de les propager. 2. Cours de Littérature
eils : il est à craindre que l’orateur, séduit trop facilement par le
désir
de faire briller son esprit, ne fatigue bientôt l
bli complet. En prenant pour point de départ Mirabeau et Ducis, notre
désir
était encore de rattacher plus étroitement notre
t obtenir notre recueil serait d’inspirer aux jeunes gens studieux le
désir
de se mettre en contact direct avec les ouvrages
urveillance la plus inquiète présiderait à toutes les opérations ; le
désir
de les seconder, la défiance contre les ministres
dans une certaine régularité méthodique, qui convient à ceux dont le
désir
est d’effacer toutes les supériorités pour mettre
e, donna bientôt sa démission, et le travail commencé des Martyrs, le
désir
de donner à ses récits leur vraie couleur locale,
uté d’un ciel où se joue une lumière dorée,, alors il nous prenait un
désir
si violent de revoir notre terre natale, que nous
politique. Je prie Votre Majesté de ne voir dans cette lettre que le
désir
que j’ai d’épargner le sang des hommes, et d’évit
le même historien, n’était pas de cet avis ; et il obtint, selon ses
désirs
, que le peuple fût convoqué à Nimègue : toute la
et des tentations du pouvoir, n’avaient dans leurs passions et leurs
désirs
ni règle ni mesure. Vainement des hommes plus écl
isfaites. Une parfaite, une invariable harmonie entre la pente de ses
désirs
et le cours des choses laisserait peut-être sa ra
é de manière à rendre impossible un pareil résultat. Et cependant ces
désirs
et ces facultés résultent de notre nature ; ce qu
dans les autres245. Dans le premier moment de la satisfaction de nos
désirs
, nous avons la présomption, ou, pour mieux dire,
oursuite du bonheur, qui naît de la variété et de l’indécision de nos
désirs
, se fixe enfin, et où notre nature, ramassant, po
tient pas ; tout le bonheur que la vie pouvait donner est venu, et le
désir
du bonheur n’est point éteint246. Le bonheur est
t éteint246. Le bonheur est donc une ombre, la vie une déception, nos
désirs
un piège trompeur. Il n’y a rien à répondre à une
s une humble condition, sans appui et sans fortune, sentent en eux le
désir
d’améliorer leur sort et cherchent les moyens de
e d’une réflexion sage qui précède et dirige toujours la conduite, le
désir
louable de faire du bien aux hommes, et par là de
vèle autre chose. L’âme humaine, dans ces moments où elle éprouve des
désirs
ardents, est portée à la bonté : elle fait le bie
e le trône et toi. On pourrait se flatter… Excuse ma faiblesse ; D’un
désir
curieux je ne suis point maîtresse : Iphyctone en
ant, que ta main croit saisir, Au moment de l’atteindre échappe à ton
désir
! Ton Étéocle et toi, privés de funérailles, Puis
cher Cnéius. CNÉIUS. Parle, ô mon cher Cnéius.Agrippine attendue Aux
désirs
des Romains n’est pas encor rendue. PISON. Ciel !
e gloire, De ses destins perdus il garde la mémoire ; Soit que de ses
désirs
l’immense profondeur Lui présage de loin sa futur
’élance ; Le réel est étroit, le possible est immense, L’âme avec ses
désirs
s’y bâtit un séjour Où l’on puise à jamais la sci
douter, Quand je posséderais tout ce qu’en cette vie Dans ses vastes
désirs
l’homme peut convoiter ; Quand je pourrais saisir
Pour aller jusqu’aux cieux il vous fallait des ailes ; Vous aviez le
désir
, la foi vous a manqué. Je vous plains ; votre org
e qu’a peine embrasser l’espérance, Et tremble en adressant un timide
désir
Vers un bonheur lointain qui toujours semble fuir
oyens ? X. Tu vas donc enfin partir là où, depuis longtemps, un
désir
effréné et furieux t’entraînait. Ce départ, loin
sordres des autres ; il promettait à ceux-ci la satisfaction de leurs
désirs
; à ceux-là la mort de leurs parents, se faisant
aut ; mais, comme jadis au sein de l’opulence, ils ont conservé leurs
désirs
effrénés. Si du moins dans le vin et dans le jeu
jour. Sans doute, tous ces objets m’émeuvent, mais pour m’inspirer le
désir
de les sauver avec vous, dussé-je y perdre la vie
ière, il n’a rien laissé de ce qui a frappé ses regards et excité ses
désirs
, que ce fût une chose particulière ou publique, p
d’hui de la famille de Pompée, maison très honnête, où, suivant leurs
désirs
, mon frère Lucius alla loger. Vous avez fait de v
riphyle, à la vue d’un collier d’or enrichi de pierreries, poussée du
désir
violent de l’obtenir, trahit et sacrifia son épou
éraisonnable, car Ériphyle était tentée par un objet présent ; et les
désirs
de Verrès étaient excités non seulement par les y
passion et ses yeux, mais encore d’assouvir, à son retour à Rome, les
désirs
des hommes les plus passionnés. Entrait-il dans u
gion nous ordonne d’éloigner non seulement nos mains, mais encore nos
désirs
et nos pensées. Il y a dans Catane une chapelle d
à tous ses brigandages. Je craignais d’ailleurs, si je témoignais le
désir
de voir les registres, d’être arrêté par les intr
ge, il serait injuste de ne pas statuer sur cet objet, conforme à nos
désirs
, avant de délibérer sur ce qu’on exige de nous au
fussent en sûreté ; pour que la chasteté ne pût être à l’abri de vos
désirs
et de votre audace. La conduite que vous y avez t
assistance imploreront-ils ? quelle espérance les soutiendra dans le
désir
de vivre, si vous les abandonnez ? S’adresseront-
eille crainte, je croirai, juges, avoir satisfait à mon devoir et aux
désirs
de ceux qui m’ont chargé auprès de vous de leurs
cusains qu’il conserve soigneusement et qu’il croit écrites selon ses
désirs
. Produisez le registre de la prison, sur lequel e
ma félicité, Et ta clémence même attend que je périsse. Contente ton
désir
, puisqu’il t’est glorieux ; Offense-toi des pleur
la décence, Pour servir de guide aux plaisirs, Toi qui couronnes les
désirs
, Sans faire rougir l’innocence, Descends, Hymen,
ent l’auteur, qu’ils étaient chargés d’arrêter. Comme chacun avait le
désir
et l’espoir d’un nouvel ordre social, que chacun
dans tous les rangs et à tous les degrés de la société française, un
désir
et un effort communs pour faire pénétrer et préva
n traité de morale. L’un apprend comme on est bon, l’autre inspire le
désir
de l’être… J’attaquerai encore au théâtre les pré
ein ni d’autre règle que ses désirs58, et faisant pourtant à tous ses
désirs
un frein de la règle même ; voyant autour de lui
homme seul est inquiet et mécontent ; l’homme seul est en proie à ses
désirs
, se laisse déchirer par des craintes, trouve son
, mais qui ne se rebuta point. Il eut peu à peu sa confidence sur ses
désirs
de finir ce scandale, et sur ses faiblesses. Il a
près ses défaites. Rien n’avait plus perdu la plupart des rois que le
désir
manifeste qu’ils témoignaient de la paix : ils av
ans les cœurs qui peuvent la recevoir, et l’avarice envahit tout. Les
désirs
changent d’objets : ce qu’on aimait, on ne l’aime
lle crainte162. C’est la frugalité qui y est l’avarice, et non pas le
désir
d’avoir. Autrefois le bien des particuliers faisa
estique aux sentiments les plus doux, au plaisir de s’attacher, et au
désir
de plaire ; il vient, en rampant, mettre aux pied
, la constance dans ses affections : nulle ambition, nul intérêt, nul
désir
de vengeance, nulle crainte que celle de déplaire
véritable éloquence224. Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
tre enfant misérable ? C’est de l’accoutumer à tout obtenir : car ses
désirs
croissant incessamment parla facilité de les sati
it à leur obéir. Tout s’empressait vainement à leur complaire ; leurs
désirs
s’irritant par la facilité d’obtenir, ils s’obsti
élevé mon Émile pour désirer ni pour attendre ; et quand il porte ses
désirs
au-delà du présent, ce n’est point avec une ardeu
rassemblais autour de moi tout ce qui pouvait flatter mon cœur ; mes
désirs
étaient la mesure de mes plaisirs. Non, jamais le
e ses divins ouvrages. J’étais encore porté à ce noble dessein par le
désir
de bien mériter des hommes, et principalement de
e sort, afin d’en avoir l’honneur au lieu d’en recevoir l’exemple. Le
désir
de paraître aimable conseille de prendre une expr
vers l’Amérique, il apprit la fuite de Varennes. Il conçut soudain le
désir
de revoir la France, et, en effet, il rentrait à
à cette hauteur ! Que de folie, que d’inanité à leurs yeux, dans nos
désirs
, nos regrets, nos craintes, nos espérances, nos v
urs, quelle qu’elle soit, est toujours prochaine, Je ne me sens aucun
désir
ni de vie, ni de mort, ni de joie, ni de douleur.
isfaites. Une parfaite, une invariable harmonie entre la pente de ses
désirs
et le cours des choses laisserait peut-être sa ra
é de manière à rendre impossible un pareil résultat. Et cependant ces
désirs
et ces facultés résultent de notre nature ; ce qu
dans les autres483. Dans le premier moment de la satisfaction de nos
désirs
, nous avons la présomption, ou, pour mieux dire,
oursuite du bonheur, qui naît de la variété et de l’indécision de nos
désirs
, se fixe enfin, et où notre nature, ramassant, po
tient pas ; tout le bonheur que la vie pouvait donner est venu, et le
désir
du bonheur n’est point éteint484. Le bonheur est
t éteint484. Le bonheur est donc une ombre, la vie une déception, nos
désirs
un piège trompeur. Il n’y a rien à répondre à une
s une humble condition, sans appui et sans fortune, sentent en eux le
désir
d’améliorer leur sort et cherchent les moyens de
e d’une réflexion sage qui précède et dirige toujours la conduite, le
désir
louable de faire du bien aux hommes, et, par là,
vèle autre chose. L’âme humaine, dans ces moments où elle éprouve des
désirs
ardents, est portée à la bonté : elle fait le bie
d’or, que du fer, des soldats592 ; Son sein tout hérissé n’offre aux
désirs
de l’homme Rien qui puisse tenter l’avarice de Ro
r entrevue, Pharasmane et l’ambassadeur se séparent, le cœur plein du
désir
de la vengeance. Aussitôt après, Arsame demande u
aux mers, au souffle des zéphirs, « A ta propre pensée, et même à tes
désirs
. « Ah ! sans la liberté, que seraient donc nos âm
oiseau chéri mangeait au réfectoire : Là tout s’offrait à ses friands
désirs
; Outre qu’encor pour ses menus plaisirs, Pour oc
ant, que ta main croit saisir, Au moment de l’atteindre échappe à ton
désir
! Ton Étéocle et toi, privés de funérailles, Puis
e gloire, De ses destins perdus il garde la mémoire ; Soit que de ses
désirs
l’immense profondeur, Lui présage de loin sa futu
’élance ; Le réel est étroit, le possible est immense, L’âme avec ses
désirs
s’y bâtit un séjour Où l’on puise à jamais la sci
, La tombe envoie. Le calme d’un vague loisir, Sans regret comme sans
désir
, Sans peine comme sans plaisir, C’est là leur joi
douter, Quand je posséderais tout ce qu’en cette vie Dans ses vastes
désirs
l’homme peut convoiter ; Quand je pourrais saisir
Pour aller jusqu’aux cieux il vous fallait des ailes ; Vous aviez le
désir
, la foi vous a manqué. Je vous plains ; votre org
s lieux Témoins de mon forfait, je le pleurerais mieux. Poussé par ce
désir
, qu’en vain l’âme comprime, J’avais soif de revoi
agne, et surtout les paroles suivantes : « Ce monde est borné, et les
désirs
de votre nature sont infinis. Quand chacun de vou
ou le mal incessamment l’entraîne ; Et nous ne recevons ni crainte ni
désir
De cette liberté qui n’a rien à choisir. Attachés
e qu’à peine embrasser l’espérance, Et tremble en adressant un timide
désir
Vers un bonheur lointain qui toujours semble fuir
éternité, fixe, immobile, vaste comme mon cœur, inépuisable comme ses
désirs
, je voudrais m’élancer dans ses profondeurs. Mais
s la forme, mais la matière, qui est exquise. Il faut le lire avec un
désir
de pratique. » Je lis chez le même moraliste : «
faire. Né à Bourges, fils d’un avocat, tourmenté dès l’enfance par le
désir
de se consacrer à Dieu, il se déroba aux vœux de
Ainsi, les mots plaisir, repos, candeur, rimeront, non seulement avec
désir
, dispos, froideur, mais encore avec soupir, berce
s, sages loisirs, Venez sous ces ombres chéries ; Vous suffirez à mes
désirs
. Plaisirs brillants, troublez les villes Plaisirs
que l’esprit et le cœur sont encore vides de passions, de soins et de
désirs
, et que l’on est déterminé à de longs travaux par
il me panse, il me ferre, « Il m’étrille, il me lave, il prévient mes
désirs
. » La Bruyère dit encore : « Le faste et le lux
J’ai l’honneur d’écrire à Votre Majesté pour lui faire connaître le
désir
qu’a le peuple français de mettre un terme à la g
politique. Je prie Votre Majesté de ne voir dans cette lettre que le
désir
que j’ai d’épargner le sang des hommes, et d’évit
, dès notre enfance, aux préjugés de l’éducation et de la coutume, le
désir
d’une fausse gloire nous empêche de parvenir à la
Et lui donne ce plaisir, Qu’elle suive ta vaillance A quelque nouveau
désir
. Où que1 tes bannières aillent, Quoi que tes arme
e à son auteur une longue pratique du professorat, et surtout par son
désir
sincère d’être utile à l’enfance ou à la jeunesse
usse incessamment à sortir de la réalité ; poursuivi par un impérieux
désir
de bonheur, les biens terrestres ne peuvent combl
vivantes, Et quand l’une y rentrait, une autre en jaillissait. « Le
désir
qui t’enflamme à présent de connaître Le sens de
Et lui donne ce plaisir, Qu’elle suive ta vaillance À quelque nouveau
désir
. Où que tes bannières aillent, Quoi que tes armes
Fille du ciel, et mère des plaisirs, Tu reviens combler nos
désirs
; Tu bannis la terreur et les tristes soupirs,
ffaires, Cultive de ses mains ses champs héréditaires ; Qui, libre de
désirs
, de soins ambitieux, Garde les simples mœurs de n
tirent de son repos, lui inspirent une nouvelle ardeur et de nouveaux
désirs
, alors toutes ses beautés se multiplient, ses yeu
, jusqu’au dernier soupir, Toujours vers quelque objet pousse quelque
désir
, Il se ramène en soi, n’ayant plus où se prendre,
cours ébranla le cœur De notre imprudent voyageur ; Mais le
désir
de voir et l’humeur inquiète L’emportèrent enfin.
nheur ? Un sort obscur et doux, la paix de l’innocence. Qui borne ses
désirs
ne craint pas l’indigence. Ah ! loin de la discor
et des maux les légères idées, Prévenant nos destins, trompant notre
désir
, Formaient des magasins de peine ou de plaisir. J
gne de son amour agit sur le cocher et lui fait sentir l’aiguillon du
désir
sa mémoire le reporte vers l’essence de la beauté
nte il écoute l’histoire, Il écoute, et s’enfuit, et sans soins, sans
désirs
, Cache aux hommes qu’il craint ses sauvages plais
t. La Critique au XIXe siècle Si je ne suis pas dupe d’un vain
désir
de distinguer, il y a eu, de notre temps, quatre
’il ne change en plaisirs ? Tel est le but constant qu’embrassent mes
désirs
: Inestimable bien, honneur cligne d’envie, Que j
t la douceur ; Mais tout est passager, le crime et le malheur. De nos
désirs
fougueux la tempête fatale Laisse au fond de nos
t. Contre-poids toujours prompt à rendre l’équilibre Au cœur plein de
désirs
, asservi, mais né libre ; Arme que la nature a mi
ière nous avons accompli ou possédé une partie de ce qui excitait nos
désirs
, quelle âme humaine n’a en elle-même, au bout d’u
on habituelle de nos vœux ? Nos tristesses sont du même ordre que nos
désirs
, puisque nos désirs déçus les composent, et nos d
vœux ? Nos tristesses sont du même ordre que nos désirs, puisque nos
désirs
déçus les composent, et nos désirs, c’est nous-mê
ordre que nos désirs, puisque nos désirs déçus les composent, et nos
désirs
, c’est nous-mêmes. Quelles sont donc les causes d
les, bonnes à cacher loin de toute lumière ? Nos amis, notre pays, le
désir
trop souvent confondu de savoir la vérité, l’inut
it pas à préparer les esprits, en leur inspirant la bienveillance, le
désir
de se laisser instruire, le besoin de nous écoute
n’est-ce pas s’éloigner de ce but que de paraître seulement occupé du
désir
de briller ? Une composition qui réunit clarté,
t jamais trouvé d’obstacles, n’avait eu qu’à se défier de ses propres
désirs
; ce roi dont tant d’éloges et de trophées public
demander le bonheur à la pratique du devoir, à la modération dans les
désirs
, à la sagesse, à la vertu. Le cercle vicieux est
se dévore jusqu’à ce qu’elle éclate au dehors et arrive au but de ses
désirs
, il prend peu à peu confiance en lui-même, se mon
ue la sagesse ? Une égalité d’âme Que rien ne peut troubler, qu’aucun
désir
n’enflamme, Qui marche en ses conseils à. pas plu
s d’un chrétien de pardonner l’offense Et d’éteindre en son cœur tout
désir
de vengeance ? Et devez-vous souffrir, pour votre
pour soi les vents et les étoiles, Il est bien malaisé de régler ses
désirs
, Le plus sage s’endort sur la foi des zéphi
moignage de la corruption de la langue et de la décadence du goût. Le
désir
de donner à leur style une originalité qui puisse
’aucun autre, parce qu’il était un grand homme. Voltaire. Tous ces
désirs
de changement qui vous amusent vous amuseront jus
n expie ses péchés, là on épure ses intentions, là on -transporte ses
désirs
de la terre au ciel, là on perd tout le goût du m
la seule conviction que nous sommes dans le vrai doit nous imposer le
désir
d’employer les expressions les plus claires, les
oit, car il n’y a pas de règle générale. L’obscurité naît souvent du
désir
de paraître fin, délicat, mystérieux, profond. Dè
ectation dans laquelle les Français tombent le plus souvent, c’est le
désir
de montrer de l’esprit mal à propos ; nous cherch
e la simplicité et de la vérité dans les idées et les sentiments y le
désir
de montrer de l’esprit est le défaut le plus nuis
les mots piquants sont autant de beautés désagréables. D’ailleurs le
désir
de tourner toutes choses d’une façon ingénieuse e
, elle se souvint que son cousin le taupe-grillon, épris d’un soudain
désir
de voir du pays, venait d’émigrer pour l’Amérique
iel ; sa tête aura touché dans les nues ; ses succès auront égalé ses
désirs
; et tout cet amas de gloire ne sera plus à la fi
loyer la force publique au service de sa propre pensée, de son propre
désir
; lui seul sait et veut ce qu’il fait. On s’en in
le caractère essentiel de la critique est-il d’être impartial avec un
désir
sincère et constant de découvrir, de proclamer, d
monie avec le sujet. III. La critique littéraire doit être animée du
désir
de trouver le bien pour s’éclairer et s’instruire
rien, oublieux de sa destinée ; ou s’il passe dans son esprit quelque
désir
volage de s’y préparer, il dissipe bientôt ces no
a félicité ; Et ta clémence même attend que je périsse. Contente ton
désir
puisqu’il t’est glorieux ; Offense-toi des pleurs
rez pas au récit de leurs combats, si vous n’êtes pas mort presque du
désir
d’en voir et de honte de n’en avoir pas vu, quoiq
, toutes les entreprises que j’ai formées, m’ont réussi au gré de mes
désirs
. J’ai vu mes amis heureux par mes bienfaits, et m
trie, d’avoir des égards l’un pour l’autre, si vous conservez quelque
désir
de me plaire. Car vous ne croyez pas, sans doute,
progrès. Son geste d’abord, sa voix ensuite, indique ses besoins, ses
désirs
; peu à peu il imite ce qu’il entend, il articule
chit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses
désirs
; et, obéissant toujours aux impressions qu’il en
antif si expressif. 3. Pluriel aujourd’hui peu usité, pour appétits,
désirs
grossiers. 1. Un poëte contemporain a exprimé l
oiseau chéri mangeait au réfectoire : Là tout s’offrait à ses friands
désirs
; Outre qu’encor pour ses menus plaisirs, Pour oc
n’ont pas l’usage de la parole, qui sont faciles à briser. Caprices.
Désirs
subits, passagers, qui s’éteignent comme ils s’al
ui attirant une gloire éclatante, fera naître chez d’autres hommes le
désir
de lui ressembler ; c’est ainsi qu’elle produira
une forte impression sur leurs auditeurs, ont excité par là en eux le
désir
de les imiter. On a donc cherché à quoi ils devai
e hasard, il marche sans règle et sans conduite au gré de son aveugle
désir
, etc. » Fléchier, après avoir loué la naissance
chit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses
désirs
, et obéissant toujours aux impressions qu’il en r
einte de notre empire. Provinces qu’ils avaient déjà ravagées dans le
désir
et dans la pensée, vous avez encore recueilli vos
eux amis jouir d’une douce félicité troublée tout à coup par le fatal
désir
des voyages qui s’empare de l’un des deux pigeons
Ce discours ébranla le cœur De notre imprudent voyageur Mais le
désir
de voir et l’humeur inquiète L’emportèrent enfin.
inc apparence de grandeur. L’enflure naît ordinairement du trop grand
désir
de briller, de l’excès d’une imagination déréglée
la science et le debvoir par une volonté non forcée et de mon propre
désir
; et d’eslever mon ame en toute doulceur et liber
ons de son jugement, que de son sçavoir ; il ayme mieulx nous laisser
désir
de soy, que satiété : il sçavoit qu’ez choses bon
paroistre en ceste occasion si sensible, que vous deferés plus à mon
désir
et conseil qu’à vostre juste douleur, vous me con
et vous la prononcerois avec assés de gravité ; mais, Messieurs, mon
désir
me poulse à deux plus glorieux tiltres, qui sont
et toutefois le plus contraire à notre inclination : nous brûlons de
désir
de trouver une assiette ferme et une dernière bas
uter de ce qu’ils disent, parce que cette manière de parler excite un
désir
secret de les contredire et de prouver que ce qu’
ent ceux qui les écrivent, ceux-ci réciproquement vont remuer, par le
désir
de la gloire, ce qu’il y a de plus vif dans les g
gt-deux ans ? Quelle ardeur, quelle impatience, quelle impétuosité de
désirs
! Cette force, cette vigueur, ce sang chaud et bo
violence. Là, les folles amours ; là, le luxe, l’ambition et le vain
désir
de paroître exercent leur empire sans résistance.
humaines, la plus fière dans ses pensées et la plus emportée dans ses
désirs
, mais la plus souple dans sa conduite et la plus
e invincible avec laquelle elle voudra ce soulagement, fera naître un
désir
semblable en ceux qu’elle emploie ; en ne se lass
cet auditoire d’âmes passionnées, pour les obliger à n’avoir plus ces
désirs
vastes et sans mesure qui les tourmentent toujour
vous entretient dans une mollesse honteuse ; elle produit en vous des
désirs
criminels de plaire, elle vous rend complice de m
s en qualités et en mérite, gardent une modération honnête dans leurs
désirs
? S’il ne s’agissoit, chrétiens, que d’essuyer la
à d’où naissent tant de fourberies et tant de calomnies qu’invente le
désir
de l’emporter sur autrui et de le supplanter. Qui
ires, jamais je n’aurois mis en compte, au moins pour cette année, le
désir
de vous voir, ni ce que vous devez à la tendresse
ue je suis pénétrée de joie, et que la raison se rencontrant avec mes
désirs
, je suis à l’heure que je vous écris parfaitement
nécessaire et le commode ; tout le reste n’est que cupidité. Tous ces
désirs
de grandeur partent du vide d’un cœur inquiet. To
is, vous verrez combien les grandeurs de ce monde sont au-dessous des
désirs
du cœur de l’homme. Il n’y a que Dieu qui puisse
t et dans leurs conversations ordinaires. Comme c’est la vanité et le
désir
de paroître plus que les autres qui les engage da
dans l’étude, dès qu’ils se sentent en conversation, la passion et le
désir
de l’élévation se réveille en eux et les emporte.
s’éloignent le plus qu’ils peuvent des pensées communes, tant par le
désir
de trouver quelque opposant qu’ils maltraitent po
bras, ni les jalousies, ni les défiances, ni la crainte, ni les vains
désirs
, n’approchent jamais de cet heureux séjour de la
car ce goût de lumière pure apaise la faim de leur cœur ; tous leurs
désirs
sont rassasiés, et leur plénitude les élève au-de
vous flatter, vous mourrez tels que vous êtes aujourd’hui ; tous ces
désirs
de changement qui vous amusent, vous amuseront ju
iel, sa tête aura touché dans les nuées ; ses succès auront égalé ses
désirs
; et tout cet amas de gloire ne sera plus à la fi
nageois dans ma vengeance, je jouissois du plein accomplissement des
désirs
les plus véhémens et tes plus continus de toute m
même qu’il agissoit de bonne foi en cette rencontre ; car, comme son
désir
étoit seulement d’avoir part aux grandes affaires
vive que les autres, qui croît avec les années, qui survit à tous les
désirs
du cœur humain, et qui prend de nouvelles forces
s cœurs, verra leurs misères dans leurs succès mêmes ; il verra leurs
désirs
et leurs soucis rongeans s’étendre et s’accroître
rassemblois autour de moi tout ce qui pouvoit flatter mon cœur ; mes
désirs
étoient la mesure de mes plaisirs. Non, jamais le
ie, sans m’y sentir à chaque fois transporter encore par les élans du
désir
. Tout est dans un flux continuel sur la terre. Ri
e sentiment de privation ni de jouissance, de plaisir ni de peine, de
désir
ni de crainte, que celui seul de notre existence,
i avez fait, son regret de l’importunité qu’elle vous a causée, et le
désir
qu’elle auroit que son beurré vous eût paru bon.
t être de trop dans l’âme. C’est une disposition très-agréable que le
désir
de plaire : mais elle diffère pourtant beaucoup d
aire : mais elle diffère pourtant beaucoup du besoin d’être aimé ; le
désir
de plaire rend dépendant de l’opinion, le besoin
e sort, afin d’en avoir l’honneur au lieu d’en recevoir l’exemple. Le
désir
de paraître aimable conseille de prendre une expr
our-propre ne prenne pas la route si simple d’avouer naturellement le
désir
de plaire et d’employer, autant qu’il est possibl
république française avait fait connaître à Sa Majesté l’Empereur le
désir
de mettre fin à la guerre qui désole les deux peu
ardez le ciel, est-ce qu’en vous il ne se remue rien ? est-ce que nul
désir
ne vous presse ? ou ce désir est-il muet ? Il en
ous il ne se remue rien ? est-ce que nul désir ne vous presse ? ou ce
désir
est-il muet ? Il en est qui disent : « À quoi bon
and célébrait le retour des Bourbons ; Mme de Staël voyait les grands
désirs
de 1789 assurés par la charte de Louis XVIII. Et
r et de vivre obscurément en Angleterre. Aux approches de la mort, le
désir
de revoir sa patrie devint une douloureuse passio
au cœur des fils de ceux qui ont fait de grandes choses. Ce sont ces
désirs
inquiets et ces émotions confuses que recueille l
mon imagination. Elle m’entraîne souvent malgré moi dans un océan de
désirs
chimériques, qui tous me ramènent vers ce monde d
ire dans mon âme et vous donner du monde l’idée que j’en ai, tous vos
désirs
et vos regrets s’évanouiraient à l’instant. Le L
par sa chaleur vivifiante, et je tressaille malgré moi. J’éprouve un
désir
inexplicable et le sentiment confus d’une félicit
ssent à Guérande, y éprouvent, comme ceux qui séjournent à Venise, un
désir
bientôt oublié d’y finir leurs jours dans la paix
nsi, danger rime avec manger, mais non avec mangé ; plaisir rime avec
désir
, et non avec désire. Les rimes se distinguent qua
ité et toute leur confiance. Les passions, les volontés injustes, les
désirs
excessifs et ambitieux que les princes mêlent à l
ie à la douleur ; ces surprises agréables, ce trouble inquiétant, ces
désirs
, ces alarmes : car l’âme ne pourrait pas être rem
es sentiments vifs et durables, comme le ressentiment des injures, le
désir
de la gloire, l’amour de la patrie, etc. 462. Qu’
que, comme l’amour, la haine, la crainte, l’ambition, l’espérance, le
désir
, etc. La tragédie est le domaine des passions. No
andeur : la vengeance sur la droiture et l’honneur, l’ambition sur le
désir
de la gloire, enfin, l’amour qui, lorsqu’il est c
sard, il ne marche sans règle et sans conduite au gré de ses aveugles
désirs
. » Communication. La Communication est une
us ses plaisirs, Et ses besoins sont la mesure De ses goûts et de ses
désirs
. Tantôt à sa vigne naissante, Il unit de jeunes
ra intéressant et lumineux. Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
tempérée d’une tristesse sévère, il ne manque que le rayon, l’humble
désir
qui appelle la bénédiction d’en haut sur l’humain
d’événements plus varié, plus fantastique, plus en harmonie avec ses
désirs
. Quel esprit ne bat la campagne ? Qui ne fait ch
l est d’un usage si fréquent, il signifie esprit, courage, intention,
désir
, etc. — Acus, aiguille, est un mot simple formé d
econd, de Rhodes. Le philosophe répondit qu’il se conformerait à leur
désir
en temps opportun. Bientôt après, en présence des
, on les voit dispersés sur toute la terre. Version XIX. Sur le
désir
d’apprendre. 19. Nous naissons tous avec une
est posé, et l’invite à s’arrêter un moment. Protagore se rend à son
désir
; et Démocrite remarque que ces bûches, retenues
fer, qu’on redoutait. Mais, tandis que tous les chasseurs, animés du
désir
de tuer le monstre, faisaient à l’envi les plus g
ir à son vol audacieux ; il abandonna son guide ; et, entraîné par le
désir
de toucher au ciel, il poussa plus haut son essor
ir par essai de ma fortune ? » Damoclès ayant répondu que c’était son
désir
, Denys le fit asseoir sur un lit d’or, couvert de
ctacles ; quelques-uns y sont attirés par l’amitié ; d’autres, par le
désir
de déployer leurs talents, qui trouvent un vaste
Egyptiens exagéraient encore ces difficultés. Mais Alexandre avait un
désir
ardent d’aller voir Jupiter : non content d’être
utes ses dispositions, tous ses préparatifs étant faits au gré de ses
désirs
, Métellus part pour la Numidie, laissant pleins l
cat, en se chargeant de ce rôle, ne devra jamais avoir pour mobile le
désir
de la louange et de la renommée, bien moins encor
ne saurait dire ce qui attirait le plus la foule à ses plaidoyers, le
désir
de l’entendre, ou celui de le voir : tant les par
sses poussée jusqu’à la fureur ; ce qu’on possède est immense, et les
désirs
vont encore plus loin ; c’est à qui amassera pour
and nombre de magistratures, prétextant la satiété des honneurs et le
désir
de se reposer de ses fatigues (quoique les motifs
’ils voulaient parmi leurs captives : il espérait affaiblir en eux le
désir
de revoir leur patrie, en leur faisant trouver au
ques, nous nous sentons enflammés de l’amour de la gloire et du noble
désir
d’imiter les grandes choses, comme si nous parcou
s obscurs, loin du bruit de la ville, étranger à l’ambition et à tout
désir
d’une plus haute fortune, et de tromper la vie, d
s n’en pouvaient admettre, et ce fonds étant trop borné au gré de vos
désirs
, ceux que vous n’avez pas élevés encore en dignit
tablissement de Jérusalem. 42 18. Ruine de Jérusalem. 44 19. Sur le
désir
d’apprendre. 46 20. Des prodiges chez les Romain
; il me dit : « Ce prince joint à beaucoup d’esprit et de talents un
désir
insatiable de s’instruire, et du goût pour les ar
jalousie s’emparent de son âme ; et, partagé entre la tendresse et le
désir
de la vengeance, il s’écrie : Cours chez elle à
La Déprécation a recours aux prières et aux larmes pour réaliser ses
désirs
. C’est le moyen qu’emploie Brutus pour persuader
chit sous la main de celui qui le guide, mais il semble consulter ses
désirs
; et, obéissant toujours aux impressions qu’il en
t séminaire. Je désespérais de trouver l’objet de mes rêves et de mes
désirs
, quand j’ai rencontré votre ouvrage. Je l’ai feui
l’attribut de la dernière. Les avares sont pleins de
désirs
; Ceux qui sont pleins de désirs manquent de beau
Les avares sont pleins de désirs ; Ceux qui sont pleins de
désirs
manquent de beaucoup de choses Ceux qui manquent
sous des couleurs agréables ou des aspects utiles, vous éveillerez le
désir
de l’auditeur en lui prouvant que ce bien lui man
es différents chefs de preuves, si l’orateur est fortement pénétré du
désir
de convaincre l’auditoire, ce travail se fera com
, un air ouvert et obligeant, une expression de regard qui indique le
désir
d’accueillir tout le monde avec bonté. Montrez-vo
prévenir tous les jours celle de l’éducation, ne nous fait pas de nos
désirs
de vaines prédictions ; déjà s’ouvrent à nous de
. Mœurs des différents âges. Les jeunes gens sont vifs dans leurs
désirs
, et prompts à les satisfaire. Inconstants, ils se
constants, ils se dégoûtent bientôt de ce qu’ils souhaitaient : leurs
désirs
sont violents, mais de courte durée ; leurs volon
flétri les sentiments. Rien de grand, rien de sublime n’éveille leurs
désirs
; ils ne pensent qu’à ce qui peut les faire vivre
e tomber au-dessous de soi-même et de l’attente des hommes ; c’est le
désir
du succès et de la louange. La parole en public m
omme aussi, par contre, il arrive quelquefois de ne rien faire par un
désir
trop ardent et surtout trop naturel de faire beau
iel ; vous surtout qui avez la vocation de l’Apôtre, et qui brûlez du
désir
d’annoncer aux hommes la parole de Dieu, rappelez
rits de ceux qui n’étaient plus ; en les lisant ils s’enflammaient du
désir
d’égaler leurs maîtres. Auditis oratoribus græcis
nce et la modestie que, sous le frein de la continence, la fougue des
désirs
est réprimée par la raison ; que la clémence adou
créance, que les plus véritables. Ceux de la volonté sont de certains
désirs
naturels et communs à tous les hommes, comme le d
nt de certains désirs naturels et communs à tous les hommes, comme le
désir
d’être heureux, que personne ne peut pas ne pas a
ui ont cette liaison ensemble et avec les vérités avouées et avec les
désirs
du cœur sont si sûres de leur effet, qu’il n’y a
que l’esprit et le cœur sont encore vides de passions, de soins et de
désirs
, et que l’on est déterminé à de longs travaux par
tion, ont souvent ce défaut : il parait bien qu’il est plus occupé du
désir
d’être admiré que de la justice de sa cause. C’es
e. B. Ce mot que vous nous avez dit de l’Ecriture sainte me donne un
désir
extrême que vous m’en fassiez sentir la beauté :
s invoque tous ; Musique, danse, architecture, Que vous m’inspirez de
désirs
! Art de graver, docte peinture, Beaux-arts, vous
ré seulement qu’il n’eût pas trop souvent sacrifié son propre goût au
désir
de plaire à son parti, et de procurer un prompt d
de ce morceau de Britannicus : Tout ce que vous voyez conspire à vos
désirs
; Vos jours, toujours sereins, coulent dans les p
essein de n’être pas entendu ; mais le soin de l’être est sacrifié au
désir
de paraître fin, délicat, mystérieux, profond. Po
iquées les font rarement naître. La naïveté, la curiosité ingénue, le
désir
de plaire, la joie spontanée, le regret, les plai
me répondre après tout à loisir : Sur ce point seulement contente mon
désir
. (Cinna, acte V, scène i) De combien la simplici
qu’on pût trouver dans la même pièce de plus beaux endroits. Un vain
désir
de gloire a saisi mes esprits. On me parlait souv
ra intéressant et lumineux. Rien ne s’oppose plus à la chaleur que le
désir
de mettre partout des traits saillants ; rien n’e
s’égarent. Le vrai bonheur n’est pas dans la satisfaction de tous nos
désirs
; il est dans la vertu, dans la pratique du devoi
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