mpossible de rendre tous ceux avec qui on vit justes, modérés et sans
défauts
, il faudrait désespérer de pouvoir conserver la t
déférences excessives. Quelle espérance de vivre en repos si tous ces
défauts
nous ébranlent, nous troublent, nous renversent e
x moyens de l’acquérir est de diminuer cette forte impression que les
défauts
des autres font sur nous. Or pour cela il est uti
t sur nous. Or pour cela il est utile de considérer ce qui suit1. Les
défauts
étant aussi communs qu’ils sont, c’est une sottis
sottises étrangères, comme si nous n’avions pas assez de nos propres
défauts
et de nos propres misères, sans nous charger enco
opres défauts et de nos propres misères, sans nous charger encore des
défauts
et des misères de ceux qui nous entourent. Or, c’
qui nous entourent. Or, c’est ce que l’on fait en s’impatientant des
défauts
d’autrui. Quelque grands que soient les travers q
sont communes ; car nous y sommes sujets comme eux. Il n’y a point de
défauts
dont nous ne soyons capables, et s’il y en a que
ns aveugles ; par là toute notre application se portant à nos propres
défauts
, nous en deviendrions beaucoup plus disposés à su
ue. » Je lis chez le même moraliste : « Un homme qui ne montre aucun
défaut
est un sot ou un hypocrite dont il faut se méfier
défaut est un sot ou un hypocrite dont il faut se méfier. Il est des
défauts
tellement liés à de belles qualités, qu’ils les a
Souvent on n’aime et on ne loue nos belles qualités que parce que nos
défauts
en tempèrent l’éclat. Souvent même il arrive qu’o
mpèrent l’éclat. Souvent même il arrive qu’on nous aime plus pour nos
défauts
que pour nos qualités. — Les défauts qui rendent
ve qu’on nous aime plus pour nos défauts que pour nos qualités. — Les
défauts
qui rendent un homme ridicule ne le rendent guère
aiment. » La Bruyère disait avec autant de sens : « Il y a de petits
défauts
que l’on abandonne volontiers à la censure, et do
ure, et dont nous ne haïssons pas à être raillés ; ce sont de pareils
défauts
que nous devons choisir pour railler les autres.
i l’on n’est pas disposé à se pardonner les uns aux autres les petits
défauts
. — Si vous observez qui sont les gens qui ne sont
orcerons en même temps de prémunir les jeunes littérateurs contre les
défauts
opposés. Article Ier Des qualités générales
: Surtout qu’en vos écrits la langue révérée… 114. Quels sont les
défauts
opposés à la pureté du style ? Les principaux dé
Quels sont les défauts opposés à la pureté du style ? Les principaux
défauts
opposés à la pureté du style sont : les barbarism
scurité, et fatiguent le lecteur sans lui plaire. 120. Quels sont les
défauts
opposés à la clarté ? — Obscurité de l’expression
pensée exprimée par la parole, est le plus grand vice du discours. Ce
défaut
vient de l’expression ou de la pensée. L’obscurit
qui est de persuader. L’abbé d’Olivet a fait remarquer avec raison le
défaut
de clarté du vers suivant de Racine. Andromaque d
s’énonce clairement, Et les mots pour le dire arrivent aisément. Ce
défaut
s’appelle galimatias. Le galimatias est une suite
sonnable, et auxquelles on ne comprend rien. Racine est tombé dans ce
défaut
, quand il a fait dire à Mithridate qu’il n’est po
empereur romain Deux coursiers à longues oreilles. 129. Quel est le
défaut
opposé à la dignité du style ? C’est la bassesse
re, Passer du grave au doux, du plaisant au sévère. 133. Quel est le
défaut
contraire à la convenance et à la variété ? C’es
utions, ses tournures, ses périodes et ses couleurs, afin d’éviter ce
défaut
qui produit infailliblement l’ennui et le dégoût.
que les contes de Perrault tirent leur agrément. 142. Quels sont les
défauts
opposés à la naïveté ? Si la naïveté de Marot, d
es finesses et les délicatesses qui coûtent le plus. 145. Quel est le
défaut
contraire à la finesse ? Si la finesse n’était p
us avons signalés dans l’affectation des pensées comme atteints de ce
défaut
, nous joindrons Fontenelle, Marivaux, Dorat, Vauv
rdres ou envoyer des réponses. Le laconisme, qui est assez souvent un
défaut
, a pour écueil l’obscurité. Perse et Tacite sont
rièveté mystérieuse et d’une concision excessive. 151. Quels sont les
défauts
voisins du style simple ? Outre la grossièreté o
concision dont nous venons de parler, nous signalerons encore, comme
défauts
voisins du style simple, la négligence, la froide
e qu’elle donne de la chaleur ou de la force à ce qui n’en a pas. Les
défauts
entièrement opposés à l’élégance sont la bassesse
ivialité, qui vient souvent de ce qu’on veut paraître naturel, est un
défaut
très commun parmi les romantiques. II. Grâce.
ie encor ma voix Au moment même qu’elle expire. 162. Quels sont les
défauts
voisins du style gracieux ? C’est d’abord l’affe
nre gracieux, c’est une mollesse efféminée qui affaiblit le style. Ce
défaut
, dit Bernardin de Saint-Pierre, se rencontre asse
les peintures de Catulle, de Properce et de Tibulle. Enfin, parmi les
défauts
directement opposés au style gracieux, nous signa
l’un de l’autre. V. Hugo. Nota. — Nous avons vu que les principaux
défauts
du style tempéré sont la monotonie, la mollesse e
mains éternelles de sa colère et de sa justice. 172. Quels sont les
défauts
opposés à l’énergie ? Les défauts opposés à l’én
e sa justice. 172. Quels sont les défauts opposés à l’énergie ? Les
défauts
opposés à l’énergie du style sont la dureté et la
r la pompe et l’éclat à la célérité des pensées et des sentiments. Le
défaut
opposé à la véhémence est la froideur, dont nous
emble dans ce procédé, et de l’orgueil qui nous cause ce dépit, et du
défaut
de charité qui nous porte à nous en venger par un
araître avoir le dessein de nous servir en nous corrigeant de quelque
défaut
, il n’a que le dessein de déplaire et d’insulter.
lever sans discernement contre tout ce qui nous paraît faux, comme un
défaut
très-considérable, et qui est souvent beaucoup pl
de choquer nos frères qui nous les fait trouver. Mais il y a certains
défauts
généraux qu’il faut avoir en vue d’éviter, et qui
sur les esprits et s’en rendre le maître… C’est encore un fort grand
défaut
que de parler d’un air décisif, comme si ce qu’on
jets à nous plaindre du procédé des autres et à faire remarquer leurs
défauts
, ou pour les corriger de ce qui nous déplaît en e
ommes chargés de travailler sur nous-mêmes et de nous corriger de nos
défauts
; et si nous le faisions comme il faut, rien de c
des fautes que nous n’avons point commises ou qui nous attribuent des
défauts
que nous n’avons pas, puisque leur jugement peut
t encore moins nous rendre coupables de ces fautes et nous donner ces
défauts
que la pensée d’un homme qui croit que nous avons
l’attribuent ne nous blesse pas : mais que ceux qui nous imputent des
défauts
y joignent ordinairement le mépris et causent la
êmes, nous reconnaîtrions sans peine que ceux qui nous attribuent des
défauts
que nous n’avons pas ne nous en attribuent pas au
se distingue autant par la clarté que par la vérité de la pensée. Le
défaut
opposé à la clarté est l’obscurité qui empêche de
che de reconnaître l’objet ou de le distinguer suffisamment. C’est le
défaut
des phrases suivantes : Si quelquefois le cœur s
douleur dans un temps, l’adoucit dans un autre. 43. Quels sont les
défauts
opposés à la simplicité et au naturel ? Les pens
ui tient de la simplicité et de la bonhomie. 45. Faites connaître les
défauts
voisins de la naïveté. Remarquons d’abord que si
je mourrais de honte d’avoir été tué de la main d’une femme. Un autre
défaut
voisin de la naïveté consiste dans les pensées ba
é de l’esprit. En voici quelques exemples : Nous n’avouons de petits
défauts
que pour persuader que nous n’en avons pas de gra
, est un modèle de délicatesse et de magnanimité. 48. Quels sont les
défauts
qui touchent à la finesse et à la délicatesse ?
sont les défauts qui touchent à la finesse et à la délicatesse ? Le
défaut
voisin de la finesse, c’est le raffinement ou la
grande subtilité qui dégénère en pitoyables jeux de mots. C’était le
défaut
de Sénèque, de Pline le Jeune, de Voiture, de Bal
sont en réalité. Voici deux exemples où il est facile de découvrir ce
défaut
: …… Cœlo tegitur qui non habet urnam, a dit Lu
n jour pour être juste ; J’ai l’éternité devant moi. 56. Quel est le
défaut
voisin du sublime de pensée ? Il ne faut pas con
, si la pensée est trop faible ou trop légère pour y donner prise. Ce
défaut
est assez difficile à éviter ; car, comme il est
ui manquer pour ses victoires, lui manqua pour sa sépulture. Le même
défaut
est encore plus sensible dans le passage suivant
la profusion et de la mauvaise distribution des images. On évitera ce
défaut
, si on a soin de ne jamais revêtir l’idée que pou
, mais avoir une mauvaise santé, etc. 93. Faites connaître les autres
défauts
contraires à la pureté. Parmi les fautes contrai
i les ont soufferts, Cela s’appelle patience. 96. Quels sont les
défauts
opposés à la propriété des termes ? Ce sont les
ouvelles pour désigner des choses anciennes. Ce serait tomber dans ce
défaut
que de parler de la philanthropie des premiers ch
connaître la propriété des expressions, et par conséquent éviter les
défauts
dont nous venons de parler, il faut rechercher l’
commerce des personnes qui parlent correctement. 101. Quels sont les
défauts
opposés à la correction des phrases ? La correct
ent diffus. 105. Faites connaître la diffusion et la sécheresse. Les
défauts
opposés à la précision sont la diffusion ou proli
s. C’est, dit Voltaire, Un déluge de mots sur un désert d’idées. Ce
défaut
se remarque dans la phrase suivante : J’arrivai
ce qu’il faut. Il n’y a alors ni clarté ni intérêt. Horace signale ce
défaut
, dans son Art poétique : Decipimur specie recti
e. Les phrases embarrassées, obscures et faibles, annoncent les mêmes
défauts
dans les idées qu’elles expriment. Le langage et
ssances de l’âme. Parmi ces facultés, nous citerons le génie ou à son
défaut
le talent, la sensibilité, l’imagination, la mémo
e d’esprit qui aperçoit facilement dans un ouvrage des beautés ou des
défauts
peu apparents, et qui n’est autre chose que le go
eau, un discernement vif et délicat, net et précis des beautés et des
défauts
que renferme un ouvrage d’esprit. Le goût disting
s expressions les plus capables de plaire, il aperçoit aussi tous les
défauts
qui produisent un effet contraire, et il démêle e
t un effet contraire, et il démêle en quoi précisément consistent ces
défauts
et jusqu’où ils s’écartent des règles sévères de
seulement le caractère général de l’ouvrage, mais les beautés et les
défauts
de chaque partie ; il voit des qualités distincte
et saisir les beautés les moins apparentes ainsi que les plus légers
défauts
. La pureté ou la justesse du goût se fait surtout
un ouvrage d’esprit, pour en connaître les beautés et en signaler les
défauts
. Elle a donc pour objet de distinguer, dans chaqu
Chapitre I. —
Défauts
et qualités de la phrase Nous venons de passer
longueurs, les parenthèses et les expressions recherchées : tous ces
défauts
donnent de l’obscurité à la phrase. Prenons pour
elle, que la pensée frappe l’esprit, comme le soleil frappe la vue.
Défauts
contraires à la Clarté Parmi les défauts contr
e soleil frappe la vue. Défauts contraires à la Clarté Parmi les
défauts
contraires à la clarté, nous signalerons celui de
on veut dire ou écrire, elle prend le nom de Galimatias ou Phébus. Ce
défaut
offre la plus grande confusion dans les idées ; c
-à-dire un sage silence ou une mûre réflexion, voici un exemple de ce
défaut
; un de nos écrivains s’efforce d’exprimer ce que
e vulgaire, souvent disposé à admirer ce qu’il n’entend pas. C’est le
défaut
que l’on remarque dans la phrase suivante de Vict
chemin qui côtoie un torrent. » Si l’obscurité est ordinairement un
défaut
, elle est quelquefois permise, en faveur de certa
le purisme qui est une affectation de la pureté, et par conséquent un
défaut
insupportable. « Le puriste, dit La Bruyère, parl
blement l’oreille. Peu d’exemples suffiront pour nous faire sentir le
défaut
d’harmonie et surtout les hiatus réunis à plaisir
. Il s’impatientait trop facilement dans les petites choses ; mais ce
défaut
, qui vient de la sublimité de l’esprit, est toujo
é de mœurs qui fut admirable, devait compenser plus qu’il n’a fait le
défaut
de sa pénétration. Il a toujours eu une irrésolut
chute imprévue des grandes affaires et par l’habitude au bonheur. Ce
défaut
a fait qu’avec l’âme du monde la moins méchante i
é la faction où il le pouvait. Il n’a pu remplir son mérite, c’est un
défaut
; mais il est rare, mais il est beau4. 1. Hugu
it d’être un moraliste si sévère ? 2. C’est-à-dire, qui remédient au
défaut
. 3. Chaque fois que. 4. Il veut dire, et en cel
ents, et qu’il en a la mémoire toute remplie. Ce serait un plus grand
défaut
encore, que ce qui est dit au commencement ou au
en tiennent lieu. Son objet est de faire connaître les beautés et les
défauts
d’un ou de plusieurs ouvrages, et de rendre raiso
rte. Il lui est donc essentiel de savoir discerner ces beautés et ces
défauts
, et de les détailler avec précision. Ainsi la cri
te, dans l’erreur, l’injustice d’y jeter ceux de ses lecteurs, que le
défaut
de lumières oblige de l’en croire sur sa parole.
pas moins répréhensible, si l’on s’appesantissait sur les plus petits
défauts
d’un ouvrage, en passant rapidement sur les grand
et ennuient ; de la confusion de Montagne ; qu’il avait bien senti le
défaut
d’une droite méthode ; qu’il l’évitait en sautant
es sont d’une nécessité absolue, et on ne peut s’en dispenser sans un
défaut
essentiel et souvent sans erreur ; et c’est pourq
pas eu la peine de rechercher avec tant de soin la source de tous les
défauts
des raisonnements qui sont véritablement communs.
e l’on recherche, et pour laquelle on ne jetait pas tout le reste. Le
défaut
d’un raisonnement faux est une maladie qui se gué
dialogue, où il fait parler Socrate avec Phédon, montre que le grand
défaut
des rhéteurs est de chercher l’art de persuader a
re jeune, où il ne s’intéresse que pour sa réputation, ont souvent ce
défaut
: il parait bien qu’il est plus occupé du désir d
mais parler avec précipitation et ne pouvoir se retenir est un grand
défaut
. Il y a des choses qu’il faut appuyer. Il en est
ar outre qu’il a d’ailleurs des qualités très-estimables, de plus, ce
défaut
lui est nécessaire. N’avons-nous pas dit qu’il fa
z-vous aussi ? A. Non ; je ne le défendrai point là-dessus. C’est le
défaut
de son temps, auquel son esprit vif et subtil lui
n n’a pas été un orateur parfait ; mais cela n’empêche pas qu’avec ce
défaut
il n’ait eu un grand talent pour la persuasion. C
et insinuante. Un tel homme ne mérite-t-il pas qu’on lui pardonne le
défaut
que nous reconnaissons en lui ? C. Il est vrai q
eurs qui soient en état d’en faire autant ? Saint Jérôme a encore ses
défauts
pour le style ; mais ses expressions sont mâles e
endre dans les Pères· ce qu’il y a de moins bon, et de ramasser leurs
défauts
dans les sermons que l’on compose. C. Mais combi
es murailles De leurs temples, grossiers comme eux : Il n’a point les
défauts
pompeux De la chapelle de Versailles, Ce colifich
d’un censeur pointilleux La pédantesque diligence ; Aimons jusqu’aux
défauts
heureux De leur mâle et libre éloquence : J’aime
es héros ; Et c’est en répandant des larmes Que ce dieu connaît leurs
défauts
. Malheur à qui toujours raisonne, Et qui ne s’att
bouche d’un héros, qui ne la prononça jamais, n’est guère qu’un beau
défaut
, au jugement de plusieurs esprits éclairés. Si po
t grossier ; car le bas et le grossier n’est point un genre, c’est un
défaut
. Ces deux exemples font voir évidemment dans quel
sage la petite vérole artificielle, la mort serait bien attrapée. Ce
défaut
vient d’une affectation ridicule. Il en, est un a
taphore qui exprime, par le mot goût, le sentiment des beautés et des
défauts
dans tous les arts : c’est un discernement prompt
verra d’un coup d’œil prompt le mélange de deux styles ; il verra un
défaut
à côté d’un agrément ; il sera saisi d’enthousias
ers temps de la culture des beaux-arts, à aimer des auteurs pleins de
défaut
, et méprisés avec le temps, c’est que ces auteurs
e à une autre : on n’en dispute point parce qu’on ne peut corriger un
défaut
d’organe. Il n’en est pas de même dans les arts :
iscerne, et un mauvais goût qui les ignore ; et on corrige souvent le
défaut
d’esprit qui donne un goût de travers. Il y a aus
saisie : il y a du mérite dans leurs efforts : ce mérite couvre leurs
défauts
. Le public, amoureux de nouveautés, court après e
fin et sûr consiste dans le sentiment· prompt d’une beauté parmi les
défauts
, et d’un défaut parmi les beautés. Le gourmet est
ste dans le sentiment· prompt d’une beauté parmi les défauts, et d’un
défaut
parmi les beautés. Le gourmet est celui qui disce
op délicat, d’être trop connaisseur ; qu’alors on est trop choqué des
défauts
, et trop insensible aux beautés ; qu’enfin on per
férence au théâtre de Paris sur celui de Londres ; il fait sentir les
défauts
de la scène anglaise ; et quand il écrivit son Ca
loquence la plus noble et la plus sage. Collier a très-bien senti les
défauts
du théâtre anglais ; mais étant ennemi de cet art
oique nous ayons des modèles presqu’en tous les genres. Un des grands
défauts
de ce siècle, qui contribue le plus à cette décad
s livres très-estimables sont infectés de cette tâche. La source d’un
défaut
si commun vient, ce me semble, du reproche de péd
auvais imitateurs qui, n’ayant pas son génie, n’ont pu copier que ses
défauts
! Boileau, il est vrai, a dit après Horace : Heu
le désagréable, et ne peuvent souvent en venir à bout. C’est un petit
défaut
attaché à notre langue, défaut bien compensé par
ouvent en venir à bout. C’est un petit défaut attaché à notre langue,
défaut
bien compensé par le bel effet que font nos e mue
s, et même des choses si touchantes qu’il doit être respecté avec ses
défauts
. Ce sont des tableaux de Léonard de Vinci qu’on a
Je sais, Monsieur, que le public ne connaît pas encore assez tous les
défauts
de Corneille ; il y en a que l’illusion confond e
s si délicats ne peuvent guère fournir des personnages de théâtre. Un
défaut
presque imperceptible n’est guère plaisant. Il fa
sublime instinct qui lui fit créer tant de beautés à côté de tant de
défauts
, nous a donné, à ce qu’il me semble, les plus par
eille ; car ce qu’il peut avoir quelquefois de trop emphatique est un
défaut
qu’il est aisé d’apercevoir et d’éviter. Je conse
. Écoutons Longin parlant de Démosthène. Après lui avoir reproché ses
défauts
, comme d’être mauvais plaisant, de ne pas bien pe
e pas ces louanges aux grâces d’un homme si sage, pour dissimuler ses
défauts
. Je crois qu’on peut trouver dans ses écrits plus
la vérité de leurs images. Si l’on est donc fondé à reprocher quelque
défaut
à Boileau, ce n’est pas, à ce qu’il me semble, le
cher quelque défaut à Boileau, ce n’est pas, à ce qu’il me semble, le
défaut
de génie. C’est au contraire d’avoir eu plus de g
pas arrêté en lisant autrefois Corneille, refroidi ou prévenu par ses
défauts
, et né, selon toute apparence, moins sensible au
lumière me fit craindre de m’être trompé encore sur Racine et sur les
défauts
mêmes de Corneille ; mais avant relu l’un et l’au
tion de grandeur que nous leur prêtons m’a toujours paru le principal
défaut
de notre théâtre et l’écueil ordinaire des poètes
ssent trouvées fort élevées. Corneille est tombé trop souvent dans ce
défaut
de prendre l’ostentation pour la hauteur, et la d
d un exorde de rhéteur. Remarquez que je prends l’exemple de tous ses
défauts
dans les scènes les plus admirées. Prends un siè
génie d’un esprit supérieur et celui de la vraie éloquence ? C’est le
défaut
trop fréquent de cet art qui gâte les plus beaux
esprits justes de sa fiction et de ses idées ? Racine n’est pas sans
défauts
. Il a mis quelquefois dans ses ouvrages un amour
an et Abner sont peu considérables dans Athalie, et cela n’est pas un
défaut
, mais privation d’une beauté plus achevée. Que vo
maître. Les gens du métier sont plus indulgents que les autres à ces
défauts
, parce qu’ils ne regardent qu’aux traits originau
serait à désirer que les gens de lettres voulussent bien séparer les
défauts
des plus grands hommes de leurs perfections ; car
erstitieuse, il pourra bien arriver que les jeunes gens imiteront les
défauts
de leurs maîtres, qui sont aisés à imiter et n’at
issé aux autres de juger.· Si l’on trouve que je relève davantage les
défauts
des uns que ceux des autres, je déclare que c’est
r manqué de délicatesse et d’expression pour le sentiment. Ce dernier
défaut
me paraît peu considérable dans Despréaux, parce
de Rousseau soient fort passionnées. Il est tombé quelquefois dans le
défaut
de ces poëtes qui semblent s’être proposé dans le
rité de grandes beautés de détails, mais qui en rachètent à peine les
défauts
. J’ai choisi cette épître exprès, ainsi que l’Ode
mérite de Rousseau, mais je ne serai pas fâché qu’on me détrompe des
défauts
que j’ai cru pouvoir lui reprocher. On ne saurait
es. On admirerait trop les fleurs dont il se pare, s’il eût évité les
défauts
qui font languir quelquefois ses beaux, ouvrages.
t recevoir la profonde empreinte de son génie. Ce sont sans doute les
défauts
de ce poëte et la faiblesse de ses premiers ouvra
tiles de tant d’auteurs renommés ne nous avaient fait supposer que le
défaut
de ces poèmes était peut-être un vice irréparable
t des partisans très-passionnés, qui pensent qu’on doit respecter ses
défauts
même. Mais cette excessive indulgence de ses admi
vrages. Les beautés que Quinault a imaginées demandent grâce pour ses
défauts
; mais j’avoue que je voudrais bien qu’on se disp
it en avoir. Ainsi je ne parlerai pas de la Henriade, qui, malgré les
défauts
qu’on lui impute, et ceux qui y sont en effet, pa
trop longue à discuter, je me contenterai de lui répondre que ce même
défaut
dont on accuse M. de Voltaire a été reproché très
hommes comme Molière et M. de Voltaire d’être admirables malgré leurs
défauts
, et souvent dans leurs défauts mêmes. La manière
oltaire d’être admirables malgré leurs défauts, et souvent dans leurs
défauts
mêmes. La manière dont quelques personnes, d’aill
le font rarement penser. Le grand Corneille n’a pas été exempt de ce
défaut
, et cela a gâté tous ses caractères. Car enfin ce
re des gens prévenus, qui s’attachent à relever ou les erreurs ou les
défauts
de ses ouvrages, et qui demandent à un homme si u
autes qu’on a cru remarquer dans ses écrits, et tel que, malgré leurs
défauts
et malgré les efforts de la critique, il a occupé
ortir les meilleurs esprits de leur assiette, et pour leur cacher les
défauts
d’un tableau hardi et touchant. Cette parfaite ré
mbinaisons de syllabes, pour ne dire que ce que tout le monde dit. Ce
défaut
est celui des esprits cultivés mais stériles ; il
et avec plus de plaisir. Quant aux inconvénients, ils sont nuls. Des
défauts
vieillis et abolis ont perdu tout leur maléfice :
soient employées avec goût ; il y a une foule d’expressions qui sont
défauts
chez les uns, et beautés chez les autres. LXVII.
sans s’en détacher de lui-même, pour s’appliquer au souvenir, est un
défaut
, quelque limé que cela soit, et quelque achevé qu
il y a du recherché dans un bon style, c’est plutôt un malheur qu’un
défaut
; car cela vient de ce que l’auteur n’a pas eu le
tage les beautés alors moins senties du dernier de ces poëtes, et les
défauts
moins avoués de l’autre. Si l’on trouve, dit-il à
t de nos grands écrivains, si l’on trouve que je relève davantage les
défauts
des uns que ceux des autres, je déclare que c’est
èce faux dévot et de l’individu Tartufe ; voyez le Misanthrope qui, à
défaut
d’intrigue, est une admirable galerie de portrait
oint de portraits de fantaisie chez l’historien ; c’est le plus grand
défaut
dans l’espèce. Presque jamais de portraits en pie
r, et de là les excursions et les lenteurs du dialogue. » Mais où ces
défauts
sont plus impardonnables, c’est dans les péripéti
stes de tous les peuples, les meilleurs même, tombent parfois dans ce
défaut
, Corneille et Racine aussi bien que Casimir Delav
qu’elle avait des réveils lumineux et surprenants. Elle eût eu peu de
défauts
, si la galanterie ne lui eu eût donné beaucoup. C
cle : fontenelle, neveu de Corneille. M. Gonniot en a fait sentir les
défauts
. Il cite un excellent parallèle d’Auguste et de L
ce. 20. Le goût est le sentiment vif et délicat des beautés comme des
défauts
de la nature et de l’art. C’est au goût qu’il app
s enseignent par quels charmes on captive les esprits, quels sont les
défauts
qui les rebutent. Négliger cette étude, c’est se
ittérature, c’est le jugement que nous portons sur les beautés ou les
défauts
d’un ouvrage en prose ou en vers. Il n’est pas n
rrais de honte d’avoir été tué par la main d’une femme. 55. Un autre
défaut
voisin de la naïveté, c’est la bassesse ou la tri
uvent à la Divinité les faiblesses et les passions de l’homme. 57. Le
défaut
voisin de la finesse, c’est la prétention à montr
e puérile subtilité qui dégénère en misérables jeux de mots. C’est le
défaut
de Voiture, c’est celui que Molière a prêté aux p
gent, paresseux, fainéant, ne sont pas synonymes. On est indolent par
défaut
de sensibilité ; nonchalant par défaut d’ardeur ;
synonymes. On est indolent par défaut de sensibilité ; nonchalant par
défaut
d’ardeur ; négligent par défaut de soin ; paresse
éfaut de sensibilité ; nonchalant par défaut d’ardeur ; négligent par
défaut
de soin ; paresseux par défaut d’action ; fainéan
nt par défaut d’ardeur ; négligent par défaut de soin ; paresseux par
défaut
d’action ; fainéant par antipathie de la peine. S
a voile, nous partons. Il suffisait de dire : je m’embarquai. 99. Le
défaut
contraire à la précision s’appelle diffusion ou p
s qualités, et pour mieux les faire connaître, nous dirons un mot des
défauts
qui leur sont opposés. Article premier. Qualité
L’obscurité, qui est le vice contraire à la clarté, est le principal
défaut
qui puisse se rencontrer dans le style d’un ouvra
tes. Telle est cette phrase d’un grand poète qu’on trouve rarement en
défaut
. Dans Racine, Mithridate dit qu’il n’est point de
imposer au vulgaire qui admire aisément ce qu’il ne comprend pas. Ce
défaut
est commun de nos jours. Diderot définit ainsi la
’ose prononcer le mot fatal. Cette espèce d’obscurité, loin d’être un
défaut
, est une beauté réelle. § II. De la pureté du
s avons déjà parlé. 114. On peut pécher contre la pureté du style par
défaut
et par excès. Le néologisme pèche par défaut, le
e la pureté du style par défaut et par excès. Le néologisme pèche par
défaut
, le purisme par excès. Le néologisme aurait pour
désuétude et employer souvent des tournures vieillies, c’est un autre
défaut
qu’on appelle l’archaïsme. Quelques imitations de
ur la peine que cela a dû lui coûter. 126. L’affectation, qui est le
défaut
contraire au naturel, consiste à dire en termes b
es et vulgaires tournées avec une froide recherche ? On tombe dans ce
défaut
lorsqu’on court après les traits brillants et qu’
les mêmes tons et les mêmes couleurs. Rien de plus intolérable que ce
défaut
. « Oh ! les beaux vers ! disait Fontenelle, oh !
oltaire.) C’est l’élégance en face d’une grossière platitude. 146. Le
défaut
contraire à l’élégance est la platitude ou la gro
s ou qu’on abandonne au peuple qui fréquente les carrefours. C’est le
défaut
de quelques écrivains de nos jours. Dans un récit
construction des phrases est parfois louche et embarrassée. C’est le
défaut
de ceux qui n’ont pas assez médité leur sujet. 15
e au dedans. Sénèque, Lucain, Corneille lui-même, sont tombés dans ce
défaut
. Lucain dit, en parlant de Pompée laissé sans sép
x images ou deux idées qui sont matériellement contraires. Tel est le
défaut
de ces vers de Malherbe : Prends ta foudre, Loui
bligé de s’en repentir. Que ce soit donc là, si l’on veut, l’illustre
défaut
de Charles aussi bien que de César ; mais que ceu
ns de l’Afrique et de l’Espagne n’ont pas été toujours exempts de ces
défauts
. Un contemporain de Charles-Quint avait composé p
nne à cette voyelle un son pénible et désagréable. Boileau a blâmé ce
défaut
dans des vers qui le rendent sensible : Maudit s
lants aux beautés solides, et ils cherchent à justifier leurs propres
défauts
par l’exemple des auteurs qu’ils ont choisis pour
auteurs dont le génie, quel qu’il soit, n’a pu se défendre de graves
défauts
. Malheur aux jeunes talents qui s’abandonnent aux
que l’on reproduit. — Discernement : les meilleurs modèles ont leurs
défauts
, et les défauts sont plus faciles à imiter que le
uit. — Discernement : les meilleurs modèles ont leurs défauts, et les
défauts
sont plus faciles à imiter que les beautés. Sénèq
) consiste à représenter les vertus ou les vices, les qualités ou les
défauts
d’une personne. L’historien, l’orateur et le poèt
tiques littéraires ont pour but de faire connaître les beautés ou les
défauts
d’un ouvrage d’esprit. Nous les comprenons dans l
taillé d’un morceau défectueux et mal écrit : l’étude sérieuse de ces
défauts
de style serait très propre à former leur jugemen
que les premiers hémistiches de deux vers qui se suivent. Tel est le
défaut
qu’on remarque dans ces trois vers : Il ne tiend
, mais d’une bonté générale qui souffre quelque faiblesse et quelques
défauts
, si l’on veut plaire et intéresser ; convenables,
l du principal personnage cesse dans le cours de la pièce. Tel est le
défaut
de la tragédie des Horaces. 494. L’unité de lieu
e l’éloquence de Petit-Jean et de l’Intimé est une fine critique d’un
défaut
autrefois commun chez les avocats. De la coméd
igent chacune un talent particulier, on, n’y souffre pas les moindres
défauts
. Si elles ne sont pas irréprochables, on les rega
ons jamais pu prendre au sérieux ce vers de Boileau : Un sonnet sans
défaut
vaut seul un long poème. C’est là une satire ou
re ou une exagération ridicule. Mais il est vrai que les sonnets sans
défaut
sont très rares ou plutôt sont encore à faire. No
? 54. Faut-il confondre la naïveté avec une naïveté ? 55. Quel est le
défaut
voisin de la naïveté ? 56. Qu’est-ce que la pensé
in de la naïveté ? 56. Qu’est-ce que la pensée fine ? 57. Quel est le
défaut
voisin de la finesse ? 58. Qu’est-ce que la pensé
ussée à l’excès ? 61. Qu’est-ce que la pensée forte ? 62. Quel est le
défaut
voisin de la force ? 63. Qu’est-ce que la pensée
loi des pronoms ? 98. En quoi consiste la précision ? 99. Quel est le
défaut
contraire à la précision ? 100. En quoi consiste
t le meilleur moyen d’être clair ? 109. L’obscurité est-elle un grand
défaut
, et d’où provient-elle ? 110. L’obscurité ne vien
rivains l’emploi de tous les mots nouveaux ? 119. En quoi consiste le
défaut
qu’on appelle archaïsme ? 120. Qu’appelle-t-on pu
laire ? 14 5. Eu quoi consiste l’élégance du style ? 140. Quel est le
défaut
contraire à l’élégance, et en quoi consiste- t-il
siècle, n’avaient pas la tête épique. L’imagination religieuse y fait
défaut
; mais des portraits, des caractères, des sentenc
métaphore qui exprime par le mot goût le sentiment des beautés et des
défauts
de tous les arts. C’est un discernement prompt co
r verra d’un coup d’œil prompt le mélange de deux styles, il verra un
défaut
à côté d’un agrément. On se forme le goût des art
saisie. Il y a du mérite dans leurs efforts ; ce mérite couvre leurs
défauts
. Le public, amoureux des nouveautés, court après
foule d’idées ingénieuses qui se présente toujours à vous ; c’est le
défaut
d’un homme supérieur1, vous ne pouvez pas en avoi
omme supérieur1, vous ne pouvez pas en avoir d’autres ; mais c’est un
défaut
très-dangereux. Que m’importe si l’enfant est éto
des draps de Van Robais. » « Voltaire sait tout. Il est vrai que les
défauts
de son caractère percent parfois dans ce qu’il pr
us craindre cet écueil de l’excès d’esprit. C’est, dira-t-on, un beau
défaut
, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleu
cueil de l’excès d’esprit. C’est, dira-t-on, un beau défaut, c’est un
défaut
rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens
rit. C’est, dira-t-on, un beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un
défaut
merveilleux. J’en conviens ; mais c’est un vrai d
rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens ; mais c’est un vrai
défaut
, et l’un des plus difficiles à corriger. On gagne
siècle, n’avaient pas la tête épique. L’imagination religieuse y fait
défaut
; mais des portraits, des caractères, des sentenc
foule d’idées ingénieuses qui se présente toujours à vous : c’est le
défaut
d’un homme supérieur1 ; vous ne pouvez pas en avo
mme supérieur1 ; vous ne pouvez pas en avoir d’autres ; mais c’est un
défaut
très dangereux. Que m’importe si l’enfant est éto
us craindre cet écueil de l’excès d’esprit. C’est, dira-t-on, un beau
défaut
, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleu
cueil de l’excès d’esprit. C’est, dira-t-on, un beau défaut, c’est un
défaut
rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens
rit. C’est, dira-t-on, un beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un
défaut
merveilleux. J’en conviens ; mais c’est un vrai d
rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens ; mais c’est un vrai
défaut
, et l’un des plus difficiles à corriger. On gagne
s éléments, et qu’il en a la mémoire remplie. Ce serait un plus grand
défaut
encore que ce qui est dit au commencement, ou au
en tiennent lieu. Son objet est de faire connaître les beautés et les
défauts
d’un ou de plusieurs ouvrages, et de rendre raiso
l en porte. Il lui est donc essentiel de discerner ces beautés et ces
défauts
, et de les détailler avec précision. Ainsi la cri
agréable et plus piquante, une idée plus complète des qualités et des
défauts
des deux ouvrages. Le jugement est d’ailleurs ren
, où il relevait dans ce père de la poésie grecque un grand nombre de
défauts
, madame Dacier, qui avait traduit Homère elle-mêm
là la trentième partie, et que quand elles ne choqueraient pas par le
défaut
de bienséance, elles ennuieraient encore beaucoup
ts indolent, nonchalant, négligent, paresseux, fainéant, expriment un
défaut
contraire à l’amour du travail ; et cependant on
ependant on ne peut dire qu’ils soient synonymes. On est indolent par
défaut
de sensibilité, nonchalant par défaut d’ardeur, n
synonymes. On est indolent par défaut de sensibilité, nonchalant par
défaut
d’ardeur, négligent par défaut de soin, paresseux
défaut de sensibilité, nonchalant par défaut d’ardeur, négligent par
défaut
de soin, paresseux par défaut d’action, fainéant
lant par défaut d’ardeur, négligent par défaut de soin, paresseux par
défaut
d’action, fainéant par antipathie de la peine. La
se distingue surtout par cette qualité, mais il tombe souvent dans le
défaut
qui la suit de près, c’est-à-dire l’affectation e
esclaves des hommes frivoles que vous avez vaincus !… » § X. Des
défauts
du style. Après avoir parlé des qualités du st
de tout ce qui peut contribuer à son ornement, nous dirons un mot des
défauts
qui le départent, et dont on a déjà pu se faire u
ur est renvoyé par les objets qui l’ont reçu. » Le néologisme est un
défaut
qui consiste à innover sans raison dans les langu
aux, des tournures bizarres que le goût ou l’usage réprouve. C’est le
défaut
capital des auteurs modernes. Voici comment Victo
: Si Dieu n’a pas créé le monde parfait, cela ne peut venir que d’un
défaut
de volonté ou d’un défaut de puissance ; — Mineur
monde parfait, cela ne peut venir que d’un défaut de volonté ou d’un
défaut
de puissance ; — Mineure : mais cela ne vient ni
ou d’un défaut de puissance ; — Mineure : mais cela ne vient ni d’un
défaut
de volonté, car alors il serait méchant, c’est-à-
alors il serait méchant, c’est-à-dire il ne serait pas Dieu ; ni d’un
défaut
de puissance, car alors il serait impuissant, c’e
mauvaise foi et d’un parti pris, le premier celui de l’erreur et d’un
défaut
de science ou d’attention. D’autres logiciens n’a
’éloquence : mais son style rachète, par la force et la précision, le
défaut
total d’ornements. Instruit dans les sciences de
dées subtiles, les métaphores recherchées et les allégories. Mais ces
défauts
sont rachetés en partie par la douceur, la nobles
règnent dans ses discours. Ce grand homme ne s’est point garanti des
défauts
de son siècle, auxquels sa vivacité naturelle lui
le, Et dans l’objet aimé tout leur devient aimable ; Ils comptent les
défauts
pour des perfections, Et savent y donner de favor
deur. C’est ainsi qu’un amant dont l’amour est extrême Aime jusqu’aux
défauts
des personnes qu’il aime2. Les médisances
le, Rien ne touche son goût, tant il est difficile ! Il veut voir des
défauts
à tout ce qu’on écrit, Et pense que louer n’est p
n’inspirent aucune jalousie. Le monde est volontiers sévère pour les
défauts
des gens d’esprit, et indulgent pour les défauts
iers sévère pour les défauts des gens d’esprit, et indulgent pour les
défauts
des sots. Tout compte aux hommes d’esprit, et le
faire pour nos amis, ne pas les prendre en dégoût, s’ils ont quelque
défaut
. L’enfant louche, et le père parle de son regard
un mystère en la disant à l’oreille. Je sais encore moins cacher mes
défauts
, et faire le personnage d’un homme de bien si je
le à ceux qui, par état, doivent parler en public. Comment éviter des
défauts
scandaleux, comment se préserver d’habitudes vici
ne serait pas sans fondement, si elle ne consistait qu’à trouver des
défauts
dans les écrits, et dans la froide application de
le plus bizarre assemblage des plus grandes beautés de l’art, et des
défauts
les plus choquants. Les beautés lui sont dictées
naturelles qui se présentent avec énergie à son esprit créateur. Les
défauts
sont dus à l’ignorance des convenances accidentel
ssions, que la saine critique nous a enseigné à le placer, malgré ses
défauts
, au premier rang des écrivains. Le génie est une
utile ; c’est à leur ignorance que l’on doit rapporter la plupart des
défauts
fondamentaux qui souillent les écrits. La langue
alias partes orationis sparguntur. Cela me paraît néanmoins être un
défaut
de la langue latine, car l’article contribue beau
ressions qu’emploie un auteur peuvent être convenables et exemptes de
défauts
sans que pour cela il brille par les qualités du
sme, solécisme ou disconvenance, équivoque ou amphibologie ; mais ces
défauts
sont du ressort de la grammaire. De la structu
es avec détail. La première est la clarté et la précision. Le moindre
défaut
à cet égard, le moindre degré d’ambiguïté qui lai
larité cadencée produisent souvent un bon effet ; la monotonie est le
défaut
de la plupart des écrivains. J.-J. Rousseau me pa
mélange et confond l’imagination. Quintilien signale suffisamment ce
défaut
: Id imprimis, est custodiendum ut quo genere cœ
cure. Lorsqu’on ne veut pas faire une énigme, trop d’obscurité est un
défaut
dans l’allégorie. L’objet doit être facilement ap
ême exagération. La plupart des critiques citent, comme exemple de ce
défaut
, ces deux vers de sa Pharsale : De morts et de m
hysionomie affectée et désagréable. Sénèque tombe fréquemment dans ce
défaut
. Les maximes ou règles de morale reçoivent volont
oi trop fréquent et mal appliqué de cette forme du discours. C’est le
défaut
de l’écrivain jeune et sans expérience, qui croit
écheresse et la rudesse du style, cependant cette rudesse même est un
défaut
capital, parce qu’elle fatigue l’attention et tra
lifier un genre de style qui possède tous les ornements sans excès ni
défauts
. De ce que nous avons dit on tirera facilement ce
plicité dans un auteur donc d’un vrai génie, qu’elle rachète bien des
défauts
et nous fait pardonner bien des expressions négli
ans lequel toutes les autres beautés seraient imparfaites. Mais si le
défaut
d’affectation constituait seul les beautés du sty
l’apparence même de ce penchant doit être évitée avec soin, comme le
défaut
le plus rebutant dans un écrivain. De tout ce qui
aire de les posséder quel que soit le genre que l’on embrasse, et des
défauts
qu’on ne saurait trop éviter. Ainsi, l’ostentatio
on, la faiblesse, la dureté ou l’obscurité du style sont toujours des
défauts
qu’on doit éviter ; la clarté, la simplicité, son
ées et peu distinctes, notre style, en les décrivant, participe à ces
défauts
; au contraire, ce que nous concevons clairement,
ébahis de notre magnificence inconvenante ; ce n’est pas seulement un
défaut
de style, mais, ce qui est pire, un défaut de sen
ce n’est pas seulement un défaut de style, mais, ce qui est pire, un
défaut
de sens commun. Avant de parler ou d’écrire, il f
style, qui trahissent la froideur et l’immobilité de l’âme, sont les
défauts
les plus opposées à l’éloquence persuasive ; que
tumultueuse, en plaçant des cailloux dans sa bouche pour corriger un
défaut
de prononciation, et de suspendre au-dessus de se
a république dans le fond de son cœur. Si l’on peut reprocher quelque
défaut
à son admirable éloquence, c’est d’être quelquefo
transcrivit, dit-on, huit fois l’histoire de sa propre main. Mais ces
défauts
sont bien rachetés par l’admirable et puissante f
point de vue, il est de notre devoir de rappeler ses qualités et ses
défauts
, s’il en eut quelqu’un. Ses qualités furent sans
ais à côté des brillantes qualités que possède Cicéron, il a quelques
défauts
qu’il est nécessaire de signaler. L’éloquence de
la malignité et l’inimitié personnelle ; ses détracteurs voyaient ses
défauts
, mais ils les aggravaient. Ces reproches amers pr
endant le rang qu’elle occupe est encore assez distingué, et c’est au
défaut
de zèle et d’application, et non à la disette du
ent du poids aux paroles de l’orateur, et font naître le soupçon d’un
défaut
de solidité et de vigueur dans ses arguments. C’e
bene morati, ut boni viri esse videantur. (Cic.) La verbosité est un
défaut
que l’on reproche ordinairement aux hommes de cet
encent à pratiquer au barreau de s’étudier de bonne heure à éviter ce
défaut
, tandis qu’ils ont encore le loisir de préparer l
ce des lois ; à cette condition, il fera rire. Les difformités et les
défauts
personnels offrent aussi une matière assez riche
’erreur est excusable ; mais ils doivent être convaincus que c’est un
défaut
. La dignité de l’expression est aussi exigée au p
rendre le discours insipide et fatigant. Mais la précipitation est un
défaut
plus commun, et dont il faut tâcher de se garanti
ttribue, et éviter les prononciations vulgaires ou locales ; c’est un
défaut
grave et trop commun peut-être parmi les jeunes g
prononcés de la même haleine, exige beaucoup de soin. Pour éviter ce
défaut
, l’orateur doit d’abord se pourvoir d’une quantit
à déclamer longtemps devant un miroir avant de corriger aucun de ses
défauts
. Le jugement d’un ami, dans le goût duquel on pui
de son visage doit être en harmonie avec la nature de son discours. À
défaut
d’émotion, un regard sérieux et mâle est le plus
fantastique. Tout ce qui est naturel, quoique accompagné de quelques
défauts
, peut cependant plaire, parce que nous apercevons
n public comme ils parlent dans la vie privée. Si l’orateur a quelque
défaut
capital dans le geste ou dans la prononciation, i
réciproques indiquent à chacun la partie faible de son talent, ou les
défauts
qui l’obscurcissent, et lui épargnent ces leçons
e se familiarise pas avec eux. Les anciens rhéteurs ont sans doute le
défaut
d’être trop systématiques, comme je l’ai démontré
l’intérêt des faits auxquels elles se trouvent mêlées : c’est un des
défauts
de la Henriade, où l’on voit agir l’Envie, l’Hypo
t : J’aime à lui voir verser des pleurs pour un affront. À ces petits
défauts
marqués dans sa peinture, L’esprit avec plaisir r
nt chacun doit avoir sa physionomie, son caractère, ses vertus ou ses
défauts
. Ils parlent, ils agissent ; ils se peignent par
sser, En valeur éclatant, en vertus magnifique ; Qu’en lui, jusqu’aux
défauts
, tout se montre héroïque. Boileau, Art poét.
plus à craindre, monsieur, c’est la mollesse et l’amusement. Ces deux
défauts
sont capables de jeter dans le plus affreux désor
e fait qu’on gâte le bien, dit un proverbe italien1. On tombe dans le
défaut
de répandre un peu trop de sel, et de vouloir don
us craindre cet écueil de l’excès d’esprit. C’est, dira-t-on, un beau
défaut
; c’est un défaut rare ; c’est un défaut merveill
ueil de l’excès d’esprit. C’est, dira-t-on, un beau défaut ; c’est un
défaut
rare ; c’est un défaut merveilleux : J’en convien
t. C’est, dira-t-on, un beau défaut ; c’est un défaut rare ; c’est un
défaut
merveilleux : J’en conviens ; mais c’est un vrai
re ; c’est un défaut merveilleux : J’en conviens ; mais c’est un vrai
défaut
, et l’un des plus difficiles à corriger. On gagne
douter que la religion et les mœurs des héros d’Homère n’eussent des
défauts
. Il est naturel qu’ils nous choquent dans les pei
cette simplicité de mœurs, si éloignée de notre luxe, n’est point un
défaut
, et c’est notre luxe qui en est un très-grand. D’
es nuances qui devaient les différencier, tous ces personnages ont un
défaut
commun, l’exagération du sentiment de l’injure, p
même d’une exécution parfaite ne compensera jamais que faiblement ce
défaut
d’harmonie première qui a dû exister entre l’orig
et que c’est le seul peut-être de tous les auteurs anciens, dont les
défauts
tiennent si essentiellement au caractère de son g
alités ; faire voir en quoi consistent précisément ces beautés et ces
défauts
: et s’il reste démontré que leur imitation intro
pas des mêmes yeux, et n’aperçoivent pas dans les mêmes endroits. Les
défauts
cependant, ainsi que les beautés, appartiennent d
e sable à l’or pur qu’il roule habituellement, et n’imitons point les
défauts
de Bossuet, ou plutôt ne cherchons jamais à suivr
s les ouvrages de l’imagination. On n’imitera que trop facilement les
défauts
de M. de Châteaubriand : mais aura-t-on son génie
. En publiant le Lutrin, qui prouve que l’imagination ne lui fait pas
défaut
, il donne encore une leçon littéraire aux partisa
; Qu’ils soient de vos écrits les confidents sincères, Et de tous vos
défauts
les zélés adversaires. Dépouillez devant eux l’ar
ant plus ; sans règle, sans conduite Sans arrêt, sans raison : que de
défauts
elle a, Cette jeunesse ! On l’aime avec ces défau
s raison : que de défauts elle a, Cette jeunesse ! On l’aime avec ces
défauts
-là. 2. Je lis encore dans Régnier : L’âge au
: Rien n’est beau que le laid, rien n’est vrai que le faux. 4. Ce
défaut
est bien rare chez Boileau. 1. Que de vers, rest
l répond à une réalité, ou si l’auteur n’a pas pris pour un genre son
défaut
de génie pour les trois autres. Il y a une autre
e aimer les beautés des livres qu’à nous rendre trop délicats sur les
défauts
des écrivains. S’il n’avait pas suffi, pour l’inv
moraliste lettré, dont le bon sens cause avec esprit, et sermonne nos
défauts
en souriant. 5. Allusion aux œuvres de M. Saint-
ntraire à l’intention de l’auteur, et qu’au lieu de s’observer sur le
défaut
dont on veut les guérir ou préserver, ils penchen
préserver, ils penchent à aimer le vice avec lequel on tire parti des
défauts
des autres. « Dans toutes les fables où le lion e
s arguments de la manière la plus avantageuse, mais de suppléer à son
défaut
d’invention, en lui apprenant à en trouver sur to
On voit beaucoup plus de personnes qui parlent trop vite, et c’est un
défaut
dont on doit se corriger de bonne heure ; car lor
ible que le travail et l’application corrigent, en grande partie, les
défauts
. Cette étude doit avoir surtout pour objet de réf
i-même, et qu’on déclamera longtemps ainsi sans corriger aucun de ses
défauts
. L’on tirera plus d’avantages, surtout dans les c
le imaginaire. Tout ce qui est naturel plaît, même si quelques légers
défauts
l’accompagnent, parce que c’est l’homme que nous
n cœur. Un orateur a-t-il dans la voix ou dans le geste quelque grave
défaut
, il réussira mal, si, pour s’en corriger, il atte
emblées que lorsqu’il aura contracté une bonne habitude à la place du
défaut
qu’il avait. Engagé au milieu d’une discussion pu
u brillant et du faux ; Souvent un copiste bizarre N’en imite que les
défauts
. (Trad. de Daru.) N’oublions jamais que les modè
flu de répéter ici ce que j’ai déjà dit de leurs qualités et de leurs
défauts
. Je regrette sincèrement que la langue anglaise,
é ou recherché, ce qui le conduirait à la roideur ou à l’affectation,
défaut
cent fois moins excusable que les plus graves nég
ler en public. Les rhéteurs anciens, il est vrai, ont presque tous ce
défaut
dont j’ai déjà parlé, celui d’être trop systémati
ire sentir les beautés, quelquefois aussi pour en faire remarquer les
défauts
. J’en agirai de même lorsque j’aurai occasion de
omme Démosthène et Cicéron. Dans le genre historique, malgré quelques
défauts
que je ferai remarquer plus tard dans les histori
atible avec cette critique juste et loyale, qui, en nous montrant les
défauts
de quelques parties de leurs ouvrages, ne nous em
en voulant rendre son histoire trop universelle, n’a pas su éviter ce
défaut
; il met à la fois sous les yeux du lecteur une f
roché trop de recherche et d’affectation. Tite-Live est exempt de ces
défauts
; aucun historien ne l’emporte sur lui, et nous p
longtemps sur les affaires de la Toscane, qu’il en devient fatigant,
défaut
dont le judicieux Fra Paolo n’a pas su toujours s
, et ce qui le prouve, c’est qu’il s’y montre tout entier et avec ses
défauts
; car il serait à souhaiter pour son honneur que
e de beaucoup de tact, et plaisante d’une manière très fine. Son seul
défaut
est de courir trop ouvertement après le bel espri
t et sans interruption frapper l’oreille ; c’est incontestablement un
défaut
qui fait perdre au vers une grande partie de la n
sède de grands avantages ; il est libre, noble et hardi. Le principal
défaut
de la rime, c’est de couper à l’oreille les vers
ituation, ni à son caractère. Ce genre d’affectation est le principal
défaut
des pastorales italiennes, qui, d’ailleurs, sont
Pindare, le père de la poésie lyrique, ont pris de lui la plupart des
défauts
dont je viens de parler. Son génie était sublime,
i a même reproché de manquer d’aisance et de clarté. Mais, malgré ces
défauts
, Thomson est un poète descriptif plein d’énergie
en scène. Cependant il est impossible de ne pas reconnaître quelques
défauts
dans l’Odyssée. Homère y tombe souvent au-dessous
nimé qu’aucun de ceux que Virgile a peints dans son Énéide. Outre ces
défauts
, on pourrait encore, à quelques égards, critiquer
t livré aux flammes. Mais si cette circonstance doit pallier quelques
défauts
d’exécution, elle ne peut servir d’excuse aux vic
alement odieux à cette princesse et à son pays. Cependant, malgré ces
défauts
qu’il fallait remarquer, Virgile a des beautés qu
it le créateur de son art, et l’on trouve chez lui les beautés et les
défauts
que l’on doit attendre d’un auteur original, comp
que l’on doit à ces deux grands poètes, il est juste d’attribuer les
défauts
d’Homère bien moins à son génie qu’aux mœurs du s
par un singulier mélange des plus grandes beautés et des plus grands
défauts
. La Pharsale décèle trop peu d’invention, le poèt
ain ait été bien heureux dans son choix. Je trouve dans ce sujet deux
défauts
essentiels : d’abord des guerres civiles, et surt
tés les plus atroces se reproduisent sous toutes les formes. Un autre
défaut
, c’est que le sujet célébré par Lucain se rapproc
jamais louer les beautés de son ouvrage sans se rappeler aussitôt les
défauts
qui le déparent. Comme son principal mérite est c
oujours dans l’expression de ses pensées, de même aussi son principal
défaut
est de manquer de modération et dans ses descript
feu, qu’il nous fait en quelque sorte perdre de vue la plupart de ses
défauts
. L’on pourrait citer des passages de la Pharsale
poussé la critique trop loin. L’affectation n’est certainement pas le
défaut
général de la manière du Tasse ; il est, au contr
onçu ; il renferme un grand nombre de beautés poétiques, et n’a qu’un
défaut
, c’est que le navigateur, en parlant des héros de
nt, et sont trop remplis des lieux les plus communs de la morale. Ces
défauts
étaient peut-être nécessaires pour remplir le but
té et toutes les autres règles de l’épopée. Mais on y trouve les deux
défauts
que j’ai fait remarquer dans la Pharsale, c’est-à
niques, et fait trop parade de son érudition ; mais la plupart de ses
défauts
doivent être attribués au siècle où il vivait. Il
n de nous intéresser pour un héros, c’est de montrer qu’à travers ses
défauts
il est encore digne de notre estime ; ils sentent
e comme dans un poème épique. Nous trouvons un exemple frappant de ce
défaut
dans le Caton de M. Addison. Le sujet de cette tr
éplorée 34. Cette pièce peut être citée comme un exemple frappant du
défaut
opposé à la simplicité des anciens. Les incidents
à propos, et donnent au style un ton pédant et déclamatoire. C’est le
défaut
bien sensible de ces tragédies latines attribuées
Lecture et dans la précédente, de faire remarquer quelques-uns de ses
défauts
; et assurément on ne peut l’applaudir ni pour sa
la monotonie de la rime, et l’on sait que la monotonie est surtout le
défaut
que doit éviter un poète tragique ; car le plus s
re de la tragédie grecque, et l’on trouve chez lui les beautés et les
défauts
d’un écrivain à la fois antique et original. Il e
devaient n’être que simples. Voltaire convient avec franchise de ces
défauts
du théâtre français. Il avoue que les meilleures
ce de Dryden au feu de Lucain, et il leur ressemble encore dans leurs
défauts
, c’est-à-dire qu’il a les écarts de l’un et l’imp
e qui fait son principal mérite. À la vérité, il n’est pas exempt des
défauts
que l’on peut reprocher à tous les tragiques de s
it passé en revue, et cependant on doute encore si ses beautés ou ses
défauts
l’emportent. Ses pièces sont pleines de scènes et
où l’on voudrait le moins les rencontrer. Mais Shakspeare rachète ces
défauts
par les plus grandes qualités que puisse posséder
r dans une tragédie. Dans la Lecture précédente, j’ai fait sentir les
défauts
du dénouement. Les tragédies de M. Thomson sont t
conversation, et il n’en est presque aucune qui n’ait au moins un des
défauts
dont je viens de parler. Les trois pièces dans le
ons vue reparaître parmi nous, et dont je parlerai bientôt. S’il a un
défaut
, c’est de manquer de force et de vivacité. Il a p
à la vertu. Molière, à ces grandes qualités, joint cependant quelques
défauts
, dont Voltaire, qui s’avoue son admirateur, convi
édie de notre théâtre. La critique peut lui reprocher, sans doute, le
défaut
d’une double intrigue, car les incidents qui se r
s caractères, imprimant à son action beaucoup de mouvement ; mais son
défaut
est de trop prodiguer l’esprit ; il l’emploie sou
« Écoutons Longin parlant de Démosthène. Après lui avoir reproché ses
défauts
, comme d’être mauvais plaisant, de ne pas bien pe
donne tous les plaisirs. Ce n’est pas qu’il me paraisse non plus sans
défauts
; il abuse quelquefois de la facilité qu’il a d’ê
ins, on voit un palais immense, dont les beautés peuvent racheter les
défauts
. » Du merveilleux dans la tragédie. Tome I
ixé en France sur le mérite de Shakspeare. On sait que son plus grand
défaut
est d’être venu à une époque où la littérature ét
de personnages parlent de vertu, et ils en parlent trop. Au reste, ce
défaut
, qui n’est qu’aperçu dans La Chaussée, n’est choq
deux là. Je vais les faire connaître, et je dirai ensuite un mot des
défauts
qui leur sont opposés. I. De la Clarté du S
s, de ne pas tomber dans l’excès contraire, la prolixité. On évite ce
défaut
, en passant sous silence tout ce qui est superflu
ts. La plupart des fautes de langage, dit Voltaire, sont au fond, des
défauts
de justesse. Qu’on ne dise point que la grammaire
ttoresque, lorsqu’il représente vivement les objets. III. Des
Défauts
du Style. Tous les défauts opposés aux qualité
e vivement les objets. III. Des Défauts du Style. Tous les
défauts
opposés aux qualités ou agréments du style, peuve
ec tant de hauteur, c’est peut-être qu’il s’imaginait trouver, à leur
défaut
, une ressource puissante dans un autre capitaine
e imagination déréglée. Nous ne saurions être trop en garde contre ce
défaut
du style, puisque nos meilleurs poètes mêmes, ceu
ent une véritable enflure dans la pensée et dans l’élocution. Le même
défaut
a été remarqué dans ces vers de la tragédie de Ph
été regardés comme une véritable enflure. Il est aisé de juger que ce
défaut
du style est bien voisin du Phébus. Il rend de pl
é de mœurs qui fut admirable, devait compenser plus qu’il n’a fait le
défaut
de sa pénétration. Il a toujours eu une irrésolut
chute imprévue des grandes affaires et par l’habitude au bonheur. Ce
défaut
a fait qu’avec l’âme du monde la moins méchante,
sé la faction où il le pouvait. Il n’a pu remplir son mérite c’est un
défaut
; mais il est rare, mais il est beau1. 1. Qu’i
le n’en nourrit. L’inégalité même des terroirs, qui paraît d’abord un
défaut
, se tourne en ornement et en utilité. Les montagn
mparaison que Denys d’Halicarnasse fait de ces deux orateurs1, et les
défauts
essentiels qu’il remarque dans Isocrate. On ne vo
it librement ce que je pense sur vos ouvrages : dites-moi de même les
défauts
des miens. Quoi donc ! me croyez-vous incapable d
re du discours. La puissance et la vigueur ne lui ont certes pas fait
défaut
. Longtemps ces qualités de Fénelon avaient été un
serait fâché de voir que vous le soupçonnez de paresse d’esprit ou de
défaut
d’intelligence. Il y a de l’art en ce cas à voile
entir dans les autres que de le découvrir pour son propre compte.
Défauts
opposés à la clarté. [Obscurité des pensées]
chemin qui côtoie un torrent. V.H. Ces définitions sont obscures par
défaut
de pensée lucide dans leurs auteurs. Toutes deux
er à la fin ce qu’on a dit au commencement. Il est facile d’éviter ce
défaut
en coupant une phrase en trois ou quatre parties.
usion du style est un des plus grands obstacles à la clarté. C’est un
défaut
commun aux jeunes gens qui veulent donner trop de
ureté du langage, tandis que la pureté est le génie de la langue.
Défauts
opposés à la correction. [Purisme] 1° Le
ui exige une certaine sévérité, il est plus difficile de remarquer le
défaut
et de l’éviter. Où finit la correction ? où comme
eproche vif et une ironie mordante à propos de ses bravades et de son
défaut
de courage. Tel est l’effet des figures quand ell
e et claire du rapport de comparaison, qu’on découvre la beauté ou le
défaut
de la métaphore dont on veut se servir. II. Mé
r une expression, on peut rendre fausse une pensée, et c’est un grand
défaut
dans le style. L’Arioste, en parlant d’un de ses
rès sa jeunesse a souillé sa vie de crimes. Il y a toutefois un grand
défaut
à éviter dans l’emploi de la réticence, car l’ima
troubler ma paix par la flatterie que j’ai haïe. Ne dissimule pas mes
défauts
, et ne m’attribue pas mes venus : loue seulement
ne doit employer que des expressions qui n’aient rien de rebutant. Le
défaut
d’euphonie a mérité à l’un des plus célèbres poèt
tel genre. On les trouvera chacune en la place qui lui convient.
Défauts
opposés à l’ornement. Il est facile de deviner
e de deviner, d’après tout ce que nous venons de voir, quels sont les
défauts
opposés à l’ornement. On peut dire en général que
e gigantesque. Le boursoufflé, l’ampoulé, l’emphatique. — Trois
défauts
de même espèce indiquant en général tout ce qui e
nomme déclamateurs les orateurs qui ont le malheur de tomber dans les
défauts
précédents et dans l’enflure. Ce sont les écrivai
u’on s’exagère l’importance du sujet que l’on traite. On contracte ce
défaut
également en allongeant inutilement les périodes,
demandent les rhéteurs, clarté, précision, vraisemblance, intérêt, le
défaut
influe souvent sur l’ouvrage entier. Narratio ob
trop ; chaque menu détail se change en argument ; tout ce qui eût été
défaut
en général devient vertu dans l’espèce. Examinez
poëmes descriptifs, et si stérile en bonnes descriptions. Ce dernier
défaut
est le plus dangereux de tous : Souvent la peur
alter Scott et Victor Hugo, je l’ai remarqué déjà, ont penché vers ce
défaut
, où donnent pleinement quelques-uns de nos contem
sserter, de tourner à l’emphase, disons le mot, de déclamer. Mais ces
défauts
, on les pardonne aux éclatantes beautés que nul n
ui s’y rencontrent, pour vous convaincre de l’un et de l’autre de ces
défauts
. Ne vous êtes-vous pas souvenu que le Cid a été r
assez de bonté pour ne vous la refuser pas, et pour me taire sur les
défauts
de votre esprit que vous étalez dans vos livres.
t, plus les auteurs naïfs deviennent rares. La naïveté est le moindre
défaut
des vieillards. Je ne connais guère d’écrivain de
, et par là même plus fréquentes. Le rire naît surtout à l’aspect des
défauts
physiques ou moraux, quand ils ne vont pas jusqu’
fanation. » Geruzez, Cours de littérature. 91. Il est évident que le
défaut
d’intérêt ou la froideur lient fort souvent aux v
té naïf ou malicieux. 95. Oserai-je dire qu’ils ont aussi parfois le
défaut
de leur qualité ? Nausicaa est charmante, mais, q
ticulier, on n’y souffre pas les moindres inégalités, les plus légers
défauts
. Si elles ne sont pas aussi parfaites que possibl
ser dans l’épigramme, par le fond et par le tour. 114. Quels sont les
défauts
qui peuvent se rencontrer dans l’épigramme ? San
réprouvent énergiquement, nous signalerons la diffamation et quelques
défauts
qui ont rapport au goût, comme la fausseté dans l
st l’instant où je cesse d’être. Secret. 134. Quels sont les
défauts
à éviter dans l’énigme ? Il y en a deux principa
un cercle de lumière. Les Rhétoriques, même les plus estimées, ont le
défaut
de porter presque toujours l’attention sur les fo
nière dont on doit les employer n’est pas suffisamment éclaircie. Les
défauts
du style n’y sont pas assez détaillés. Il est vra
eloppemens oratoires. Il est trop aisé de voir quels peuvent être les
défauts
particuliers de ces sortes d’argumens, pour qu’il
ndue que n’est l’expression, c’en est au contraire un des plus grands
défauts
d’être vide de sens et de renfermer peu de pensée
l. II, n. 184.) « Il faut s’attacher à relever dans l’adversaire les
défauts
opposés à ces qualités. » (Ibid., n. 182.) Si le
i. Mais nous pouvons dire avec Quintilien : « Que le rire naît ou des
défauts
corporels de celui dont nous nous moquons, ou des
naît ou des défauts corporels de celui dont nous nous moquons, ou des
défauts
de son esprit, desquels on juge par ses paroles o
rsaires, ni en tout temps, ni de la même manière. En évitant tous ces
défauts
, il aura soin d’assaisonner ses plaisanteries et
nfant, et lui mettre en main la massue d’Hercule. » (L. VI, c. 1.) Ce
défaut
va jusqu’au ridicule ; et il suffit de ne pas man
ître pour savoir par où il doit commencer. » (Quint., l. IV, c. i.)
Défauts
de l’exorde. Les défauts de l’exorde sont d’être
doit commencer. » (Quint., l. IV, c. i.) Défauts de l’exorde. Les
défauts
de l’exorde sont d’être vulgaire, inutile, trop l
iminaire de ce livre ; mais nous devons ajouter ici que le plus grand
défaut
du plan d’un discours, c’est de trop restreindre
esprits ? Cicéron déclare formellement que sur ce point l’art est en
défaut
, et que le talent de l’orateur doit tout faire.
faut employer pour donner au style ces qualités ? 3°. Quels sont les
défauts
les plus ordinaires d’où résulte un mauvais style
e, quand il est beau, est naturel ; Racine, Bossuet le sont partout.
Défaut
opposé au naturel. Le défaut le plus ennemi du n
rel ; Racine, Bossuet le sont partout. Défaut opposé au naturel. Le
défaut
le plus ennemi du naturel, est celui de vouloir m
herche du langage détruisent la force et la vérité de l’éloquence. Ce
défaut
est d’autant plus dangereux, qu’il porte en lui-m
un certain attrait qui le fait aimer. On cherche à éviter les autres
défauts
, dit Quintilien, on court après celui-ci ; cœtera
que, de son temps, on voyait des écrivains qui tombaient dans le même
défaut
. « Le déplacé, le faux, le gigantesque, dit-il, s
tte parure : Nec doctor verbis serviat, sed verba doctori. (Ibid.)
Défauts
à éviter. Deux défauts sont à éviter : l’un est
verbis serviat, sed verba doctori. (Ibid.) Défauts à éviter. Deux
défauts
sont à éviter : l’un est de trop rechercher les o
comme l’abus du sublime est l’ampoulé. Toute perfection est près d’un
défaut
. » (Volt., Dict. phil., au mot grâce.) Finesse.
r deux ou trois expressions pour rendre la même idée. C’est aussi un
défaut
assez fréquent que d’employer à la fois deux ou t
propositions subordonnées ou incidentes les unes aux autres Un autre
défaut
est de construire une suite de propositions succe
le semble se rapporter à la subordonnée qui précède. Pour corriger ce
défaut
, retranchez la conjonction puisque, et faites de
rase est nuisible : Obstat quidquid non adjuvat. (Quint.) Le moindre
défaut
des mots parasites serait d’énerver le style : T
e qui ressemble beaucoup au bouillonnement d’une liqueur sur le feu.
Défauts
des métaphores. Les métaphores sont défectueuses
ur un même objet. Quintilien a soin de nous mettre en garde contre ce
défaut
. « Plusieurs, dit-il, après avoir fait rouler leu
figure expose-t-elle plus particulièrement ceux qui l’emploient à des
défauts
de cette nature. Si elle est démesurée, elle est
En effet, rien n’est plus froid qu’une chaleur factice : et c’est le
défaut
où tombe nécessairement l’écrivain lorsqu’il nous
multiplier sans mesure, et en semer le discours, serait un très-grand
défaut
. Quintilien se plaint à cet égard du mauvais goût
u’il ne faut pas prodiguer les figures à tout propos : il y aurait un
défaut
de goût à surcharger une étoffe de broderies. Il
traite est telle qu’elle nous doit raisonnablement toucher, c’est un
défaut
d’en parler d’une manière sèche, froide, et sans
er d’une manière sèche, froide, et sans mouvement, parce que c’est un
défaut
de n’être pas touché de ce que l’on doit. » (Art
dibilis est. (De doct. Christ., l. II.) Chapitre III. Des
défauts
les plus ordinaires du style. Avoir indiqué l
t se forme un bon style, c’est avoir fait connaître implicitement les
défauts
d’où il en résulte un mauvais. Les uns sont les c
tion, enflure, style ampoulé. Exagération dans les pensées. Ces
défauts
viennent de ce que l’écrivain présente des pensée
u de l’excès d’une imagination déréglée. Exemples. On a reproché ce
défaut
à Lucain. Les deux pensées suivantes prouvent que
ulcres animés. (Trait. du Sub., ch. 2.) Corneille n’est pas exempt du
défaut
dont nous parlons. Son génie, accoutumé à penser
que l’enflure, le faux brillant, la délicatesse affectée, et tous les
défauts
qui semblent approcher de quelque vertu, marquent
Une pensée fine, ingénieuse, une comparaison juste et fleurie, est un
défaut
quand la raison seule ou la passion doivent parle
des significations détournées. Voltaire cite plusieurs exemples de ce
défaut
. Fixer une personne, au lieu de dire regarder fix
de cultiver notre voix, d’assouplir nos organes et d’en atténuer les
défauts
. Augentur sicut omnium ità vocis quoque bona cur
et bas au hasard. Par la seconde, il évite un des plus considérables
défauts
qu’il y ait en matière de prononciation, je veux
rs. Nous en donnerons des exemples quand nous parlerons de l’accent.
Défauts
qu’elle doit éviter. Un autre défaut non moins c
d nous parlerons de l’accent. Défauts qu’elle doit éviter. Un autre
défaut
non moins considérable qu’il faut éviter, c’est d
pas les forcer. Outrer l’articulation, ce serait tomber dans un autre
défaut
qui rendrait la prononciation affectée, dure, dés
repentir. (Ton moyen.) Que ce soit donc là, si l’on veut, l’illustre
défaut
de Charles aussi-bien que de César. (Ton simple e
tus animorum declarandos dedit. (Cic., de Orat.,., l. III, n. 222.)
Défauts
à éviter. Quintilien, décrivant toutes les parti
s sur les figures et sur l’usage du style figuré 363 Chap. III. Des
défauts
les plus ordinaires du style 367 1°. Du faux dan
nt à l’exorde. La véhémence ne lui convient pas. Sources de l’exorde.
Défauts
de l’exorde. Définition de la proposition. Sa pla
laboret Ausus idem. (Horace, Art poët.) Il diffère de la simplicité.
Défaut
opposé au naturel. Exemple. 1. Les Précieuses ri
nt le peuple et dans un sénat. Ton propre à l’éloquence de la chaire.
Défauts
à éviter. Ton propre au panegyrique. Ton propre à
tre adjectifs indolent, nonchalant, paresseux, négligent expriment un
défaut
contraire au travail, voilà l’idée commune à tous
ccessoires ou les nuances qui les distinguent : « On est indolent par
défaut
de sensibilité, nonchalant par défaut d’ardeur, p
inguent : « On est indolent par défaut de sensibilité, nonchalant par
défaut
d’ardeur, paresseux par défaut d’action, négligen
défaut de sensibilité, nonchalant par défaut d’ardeur, paresseux par
défaut
d’action, négligent par défaut de soin. » (Girard
ant par défaut d’ardeur, paresseux par défaut d’action, négligent par
défaut
de soin. » (Girard.) Leurs emplois. De la phrase
mase. (1). Saumaise, célèbre commentateur, du 17e siècle. Métaphore.
Défauts
des métaphores. Il ne faut point les entasser sur
onation. Elle a trois tons différens. Elle doit être égale et variée.
Défauts
qu’elle doit éviter. Articulation. Elle doit être
orps dans l’etat de repos. Mouvement de la tête, Du visage, Des yeux.
Défauts
à éviter. Mouvemens des bras et des mains. Du cor
e pourquoi de toutes les règles du début, de ses vertus, comme de ses
défauts
. Horace et Boileau parlent du poëme épique : Que
à ses écarts une contrainte salutaire. Il ne s’agit que d’éviter les
défauts
. Que la division soit complète, c’est-à-dire qu’i
t nous avons déjà traité. Des qualités de l’exorde vous conclurez ses
défauts
. Trop énergique, trop saisissant, ou encore trop
ssibles. » 45. La Bruyère a spirituellement tourné en ridicule les
défauts
des divisions dans la prédication de son temps. «
ose qu’un poëme ingénieux, qui, par des leçons agréables, reprend les
défauts
des hommes, on ne saurait la censurer sans injust
? Comme l’objet de la comédie est de représenter en général tous les
défauts
des hommes, et principalement des hommes de notre
’accuse d’avoir songé à toutes les personnes où l’on peut trouver les
défauts
qu’il peint, il faut, sans doute, qu’il ne fasse
; voilà son procès fait. Mais encore, instruis-nous, et nous dis les
défauts
qui y sont. Le Marquis. Que sais-je, moi ? Je n
autrui ; elle se fait toute à tous 1 Il faut se familiariser avec les
défauts
des bonnes âmes, et les laisser tranquillement ju
on en parle, on dit : Ce n’est pas un homme. — Craignez, monsieur, ce
défaut
qui serait la source de tant d’autres. Priez, vei
plus à craindre, monsieur, c’est la mollesse et l’amusement. Ces deux
défauts
sont capables de jeter dans le plus affreux désor
vil ; pour dire : Il se croit trahi. 4. Il se fait aimer, malgré ses
défauts
, peut-être à cause d’eux. 1. C’était pendant la
rtels héritiers ; Jamais l’affreuse nuit ne les prend tout entiers. A
défaut
d’action, leur grande âme inquiète De la mort et
m de l’enfant. 1. Il y a là comme une cascade de génitifs : c’est un
défaut
; mais l’image est neuve. 2. Ces accents, de pur
n est où l’idée de Dieu ne soit mêlée, il s’y trouve toujours quelque
défaut
ou quelque excès ; il y manque le nombre, le poid
discernement et dans le choix, pour ne pas se laisser égarer par les
défauts
qui sont quelquefois séduisants. Enfin, un autre
utre danger de l’imitation, c’est de se passionner pour un modèle. Ce
défaut
a très-souvent de funestes conséquences : Un mod
u brillant et du faux ; Souvent un copiste bizarre N’en imite que les
défauts
. Daru. C’est une imitation dangereuse, capable
raison, il faut qu’elle soit courte et animée. L’emphase est, ici, le
défaut
le plus à craindre ; on s’en préservera si l’on s
on cœur, c’est, savez-vous, avoir en soi une garantie contre bien des
défauts
, bien des vices et des travers d’esprit. » Dével
à propos de Molière : « Voulant exposer à la risée publique tous les
défauts
opposés aux qualités de l’homme aimable, de l’hom
hent du galimatias. J’aime bien mieux sa prose que ses vers. Un autre
défaut
de Molière est qu’il a donné une austérité ridicu
ntraire à l’intention de l’auteur, et qu’au lieu de s’observer sur le
défaut
dont on veut les guérir ou préserver, ils penchen
préserver, ils penchent à aimer le vice avec lequel on tire parti des
défauts
des autres… Dans toutes les fables où le Lion est
uelles sont les qualités nécessaires à ce genre d’éloquence ? A quels
défauts
les orateurs politiques peuvent-ils être exposés
reprocher aux représentants du genre classique ? et quels étaient les
défauts
et les torts de leurs adversaires ? Pourquoi cett
ugement que Bossuet a porté sur le sénat romain ? – Quels étaient les
défauts
littéraires qu’Alceste signalait dans le sonnet d
ittéraires qu’Alceste signalait dans le sonnet d’Oronte ? Par qui ces
défauts
étaient-ils surtout combattus à la même époque ?
s comiques. Expliquer la raison de cette différence. – Quels sont les
défauts
contre lesquels La Fontaine nous met surtout en g
e profit de la lecture de Buffon ? Quelles sont ses qualités et quels
défauts
lui reproche-t-on ? – Comment Voltaire a-t-il com
ères du style de Rousseau ? – Par quelles qualités et aussi par quels
défauts
Rousseau a-t-il surtout séduit ses contemporains
Corneille et à celui de Racine ? Quelles en sont les qualités et les
défauts
? – Que faut-il penser de la tragédie au xviii e
aractères un portrait de La Bruyère à la cour de Chantilly. – A quels
défauts
Molière s’attaque-t-il surtout dans les Précieuse
t saillants. Le style. – Mérites principaux et caractères du style ;
défauts
. Indication des plus belles scènes. Boileau a
t de mal ; on la reconnaît également et dans les qualités et dans les
défauts
de ses disciples. L’avenir seul saura dans quelle
aleuse ; il s’est livré à d’odieux trafics ; toute probité lui a fait
défaut
. Richelieu, à tout prendre et malgré ses violence
de son père, malgré les observations de M. de Scudéry, loin d’ètre un
défaut
capital, est une beauté de premier ordre. Non seu
d’entrer dans quelques détails, de signaler même au passage certains
défauts
qui, sans nuire à l’ensemble, font tache pourtant
l n’enchaîne pas toujours assez étroitement les situations ; c’est un
défaut
réel. Les Grecs n’en étaient pas exempts. Je ne v
out est difficile en poésie et je crois avec vous « qu’un sonnet sans
défaut
vaut seul un long poème ». Je suis même d’avis qu
lon n’est exempt ni de redites ni de longueurs. Il a quelques-uns des
défauts
du rhéteur et son éloquence nous paraît trop appr
es bonnes maisons, Gnaton qui ne pense qu’à lui vivront toujours. Les
défauts
de l’esprit ou du cœur, et les manies ne sont pas
gueur des phrases, peut-être de quelques répétitions ? J’ai senti ces
défauts
; je n’ai pu les éviter, emporté toujours par la
épétitions, synonymes trop multipliés, phrases trop longues, tous les
défauts
de Saint-Simon sont là ; mais il a des qualités e
poème de Voltaire. Depuis, la critique n’a fait que renchérir sur les
défauts
, et la Henriade n’est plus pour nous qu’une œuvre
nes épiques », mais l’imagination qui les met en mouvement lui a fait
défaut
. L’enthousiasme qui engendre les grandes œuvres e
aux autres. Le plus souvent il cherchait à se faire illusion sur ses
défauts
; il retouchait une scène, polissait quelques ver
littérature, est le sentiment prompt et délicat des beautés comme des
défauts
. Il n’accompagne pas toujours le savoir, mais san
qu’au blâme. Le goût, en effet, n’est pas seulement le sentiment des
défauts
, c’est aussi, c’est surtout le sentiment des beau
s qualités éminentes. Les esprits, même éclairés et délicats, que les
défauts
touchent plus que les beautés, ne possèdent pas l
rs. C’est, si l’on veut, une conversation, mais une conversation sans
défauts
. La simplicité est la première des qualités du st
e son caractère et manquer celui qu’on veut attraper. Il n’y a pas de
défaut
plus choquant. Chacun pris dans son air est agré
s un genre où le naturel est nécessaire, l’imitation sera toujours un
défaut
. Dialogue entre d’Argenson et Montesquieu.
si mes projets vous paraissent bons, je suis sûr qu’il ne me fera pas
défaut
. L’agriculture réclame d’abord notre attention ;
e inutile. J’offre aux yeux des humains, ainsi qu’en un miroir, Leurs
défauts
tels qu’ils sont, tel qu’il est leur visage ; Un
n considère la Tragédie en général, ou plutôt prend à partie quelques
défauts
propres à la Tragédie française, qui ressortent d
ison, du sentiment et de l’imagination. Si d’autres conditions firent
défaut
, la France d’alors parut à peine s’en apercevoir.
x écrivains, non aux personnes ; aux œuvres, non aux caractères ; aux
défauts
de l’esprit, non à ceux du cœur ; c’est que « Ja
u détriment de l’exactitude ; la connaissance du latin, qui leur fait
défaut
, étant nécessaire pour s’engager sûrement, ou san
i moins erré. Là cependant encore nous avons trop souvent constaté un
défaut
de clairvoyance et de précision. En général, on a
excellente culture, suppléaient heureusement, dans cette occasion, au
défaut
de pratique et d’expérience. Dans cette épreuve,
é jugées les meilleures, n’ont elles-mêmes échappé qu’en partie à ces
défauts
. Du moins, on s’est rapproché du sujet en venant
s chargé d’un mot superflu ; s’il y a dans la construction le moindre
défaut
, si une conjonction est oubliée, enfin, si le mot
aire, leur conscience dans l’effort, et le succès de ces efforts. Les
défauts
ont été généraux comme les qualités. Ce qui manqu
ts ; mais là encore, l’appréciation des actes et des individus a fait
défaut
. Une de nos agrégées, chargée de raconter les tra
le rapport de l’an passé signalait, d’une façon générale, un certain
défaut
de sens critique, qui s’était trahi surtout aux é
rouve. Pour ne parler que des auteurs, on s’évertue à découvrir leurs
défauts
avant de songer à mettre en lumière leur mérite.
dans un ordre logique les différentes parties qu’elle comportait. Ces
défauts
de la langue au xvi e siècle, il fallait les prés
on origine, la bien suivre dans ses conséquences, sans tomber dans le
défaut
de la voir partout avec exagération, mais aussi s
l faut bien que nous le répétions : le sens critique fait encore trop
défaut
. La sûreté et l’étendue des jugements littéraires
s les plus mêlés à la lutte, les vues d’ensemble font presque partout
défaut
. Nous aurions voulu constater que nos aspirantes
ci, c’est le préambule qui manque, et là c’est la conclusion qui fait
défaut
. » Ordre des sciences Composition littéra
saisie : il y a du mérite dans leurs efforts ; ce mérite couvre leurs
défauts
. Le public, amoureux des nouveautés, court après
de l’esprit, rarement la chaleur qui vient du cœur… Elle n’a point de
défauts
, mais des qualités essentielles lui manquent. »
ils ont voulu faire de l’esprit, comme le disait La Bruyère. Le grand
défaut
de la prose au xviii e siècle, c’est le manque de
faut de la prose au xviii e siècle, c’est le manque de simplicité. Ce
défaut
, Voltaire seul ne l’a pas eu ; mais les autres éc
tour littéraire, les vers de La Fontaine qui suivent : Chacun a son
défaut
où toujours il revient : Honte ni peur n’y remédi
e femmes dans le Misanthrope en faisant ressortir les qualités et les
défauts
de chacune. – Esquisser, d’après ses lettres, une
éralement portés à la délation. – Moyens à employer pour combattre ce
défaut
. – Exposez les avantages de l’exactitude et les i
les obligations. Le bel esprit et la science ne couvrent point un tel
défaut
, et, loin de relever le sexe, ne servent qu’à le
précepte à suivre et celles où il met en garde le lecteur contre les
défauts
trop réels des hommes. Vous vous demandez enfin s
seux : Quels moyens emploierez-vous pour essayer de le corriger de ce
défaut
? – Dans une lettre à une de vos amies, vous rac
Avant de juger un autre avec sévérité, avant de t’irriter contre ses
défauts
, de te révolter contre ce qu’il vient de dire ou
yrannie si un autre, en la ménageant, s’occupe un peu de lui-même. Ce
défaut
éloigne la bienveillance, afflige et refroidit l’
e (demandes et réponses), être sûr de soi, – pour ne pas être pris en
défaut
. B. Il faut faire un choix judicieux des question
ils doivent être choisis ? Pédagogie. D’où vient, chez l’écolier, le
défaut
d’attention ? Quels sont ses effets ? Comment y r
’un membre utile, et chargée d’une bouche inutile. 2e Paragraphe. – A
défaut
de la famille, la société doit intervenir. Pourqu
rti de l’École normale, lui écrit pour le mettre en garde contre deux
défauts
opposés : la présomption et la timidité. – Un mor
quand elle est légitime et proportionnée aux forces, devient un grand
défaut
quand elle vise un but qui dépasse les moyens de
Arago.) – Quelles doivent être les qualités de l’inventeur ? De quels
défauts
doit-il se défier ? – Décrire telle que vous vous
ermet de procurer à chaque nation les matières premières qui lui font
défaut
. 4° Paragraphe. – C’est à ses progrès que se mes
croissante. Cependant ce n’est pas précisément la place qui nous fait
défaut
. Nous ne disposons pas sans doute de milliards d’
el soin il faut éviter tout ce qui approche du bas ou du trivial. Les
défauts
les plus opposés au sublime sont surtout la froid
ntéresse ; Et s’il ne suffit pas à vaincre ton effroi, Tu peux, à son
défaut
, te reposer sur moi. Ton esprit qui se livre à de
ides, Ferrumque et ignes, et Deos et fulmina. (Med. v. 166). Le même
défaut
se fait sentir dans cette exposition de la mort d
point signifier ce qu’ils signifient ordinairement ; et ce troisième
défaut
est appelé impropriété. Surtout qu’en vos écrits
he sans être diffus, lorsqu’il manque de nerf et de ressort. C’est le
défaut
que César reprochait à l’éloquence de Cicéron : n
tre réglés encore par la sagesse d’un goût sévère et éclairé. Heureux
défaut
(dit Quintilien) ! car l’âge calmera cette fougue
ue à une délicatesse superbe qui constituera tout à la fois un de ses
défauts
et une de ses qualités. Leurs images sont modérée
deur dont il n’y a nulle part d’exempte. Elle serait parfaite sans le
défaut
d’unité et sans l’inutilité du cinquième acte. La
ts arrivés avant l’action même. Cette magnifique tragédie a plusieurs
défauts
: 1º Émilie ne touche point et elle inspire peu d
hoque quand on le voit paraître avec Auguste. Mais, pour racheter ces
défauts
, que de qualités ! Quelle éloquence dans le récit
ne par la morale et par un rire de bon aloi. C’est à elle, malgré ses
défauts
, que nous devons Molière. Encouragé par le succès
ndit toutes leurs qualités jusqu’à l’héroïsme. Il exagère de même les
défauts
des personnages vicieux. Les types qu’il a imagin
e plus occupé de disserter que de toucher, c’est là un des principaux
défauts
de Corneille. Ses personnages les plus importants
tion, des raisonnements subtils, enfin une imitation trop visible des
défauts
de Corneille. Un an à peine après les Frères enne
eurtres peu intéressants. Le dialogue offre en plusieurs endroits des
défauts
graves. Une cinquantaine de vers sont négligés et
la difformité. Ce caractère de Phèdre suffirait pour couvrir tous les
défauts
de plan et de conduite qu’il serait facile d’y si
oujours avec une harmonie continue qui n’appartient qu’à lui. Le seul
défaut
qu’on puisse lui reprocher, c’est de prêter des p
dits quidams, ou du moins peu s’en faut, Ont obtenu déjà sentence par
défaut
; La somme de dix mille une livre, une obole, Pou
té qui n’épargnait ni grands seigneurs, ni princes, ni rois. C’est un
défaut
capital chez La Fontaine, que la faiblesse habitu
mposé de cinq cent quarante-huit vers, nous est parvenu avec tous les
défauts
d’un premier jet : il abonde en incorrections, en
il fut grandement utile aux bons, et les empêcha d’abonder dans leurs
défauts
. S’il n’eut pas l’imagination et le génie de plus
é que ta bonté ne me fît point un crime De mes vices, de mes
défauts
, Je te les confiais sans perdre ton estime, Ni qu
intendant. Mais, avant de nous montrer ce père qui met plaisamment en
défaut
l’orgueil de son fils, Destouches avait su aussi
lesquelles ses admirateurs osaient à peine reprendre quelques légers
défauts
, sont, par la forme comme par le fond, infiniment
les pourraient la plupart s’appliquer à toute autre comédie. Un autre
défaut
de cette pièce, c’est le manque de variété dans l
fine et délicate ne dégénère point en calembours145 ». Mais bien des
défauts
se mêlent à ces qualités, suivant le même critiqu
t soutenus, et le style ne manque ni de pureté ni d’élévation. Mais —
défaut
grave — tous les rôles y sont sacrifiés au rôle p
ication. Malheureusement ces mérites sont contrepesés par beaucoup de
défauts
. Son vers est énergique, mais ambitieux ; ses exp
in le style est bouffi, déclamatoire et de mauvais goût. Avec tant de
défauts
mal rachetés par quelques éclairs de génie, il ne
au cœur ». Malheureusement il est difficile de se garder toujours des
défauts
de son siècle, et quelquefois, chez Ducis, la sen
ts, l’or, l’arc-en-ciel, comme dit Mlle de Lespinasse. Malgré tant de
défauts
, quelques centaines de beaux vers sauveront ce po
son égard comme la louange ; on méconnut ses qualités, on exagéra ses
défauts
. La vérité est que cette traduction a de très bea
s ce livre aux principaux d’entre eux signaleront avec sévérité leurs
défauts
et l’abus qu’ils ont fait de talents hors ligne.
la Vie et la Mort de Jeanne d’Arc, ajoutèrent beaucoup, malgré leurs
défauts
, à la renommée du poète patriotique. Il continua,
s prêtres, dont elle est farcie, ne purent pas même en dissimuler les
défauts
au parti dit libéral. Les deux premières tragédie
même saison, étaient parfaitement semblables d’âme, d’inspiration, de
défauts
ou de qualités237. Les Secondes Méditations offre
donner à elle, et tâcher de l’imiter. Mais on ne vit pas d’abord les
défauts
, essentiels du poème, parce qu’il est intéressant
s, embrouillent le sens, énervent le style. Le délayage est un de ses
défauts
habituels. A-t-il une belle pensée, il faut qu’il
te poésie de Lamartine est comme un vêtement dont l’ampleur cache les
défauts
du corps. Qu’on ne l’examine pas de trop près, ou
t moins bien ce qu’il avait déjà dit plusieurs fois. Là s’accentue un
défaut
qui ira toujours croissant chez lui. Le sentiment
très bien défini : « Vingt années de fermentation des qualités et des
défauts
de M. Victor Hugo. » Ses qualités, nous les retro
monde extérieur, ou éloquent interprète des sentiments de l’âme. Ses
défauts
nous apparaissent agrandis, lorsque, poète sans f
à tour et quelquefois simultanément lieu de s’exercer. Avec tous ses
défauts
ce recueil, destiné à réunir les souvenirs du poè
: tels sont les dernières productions de cet homme de génie dont les
défauts
littéraires auront été aussi étonnants que les qu
omme Torquemada (1882), présentent un mélange inouï de qualités et de
défauts
. Après les Burgraves, qui tombèrent d’une chute h
it le plus s’exercer, car ses merveilleuses qualités furent mêlées de
défauts
énormes, et l’exemple d’un tel écrivain peut être
acquerra des qualités plus fortes et plus exceptionnelles ; mais les
défauts
grandiront et se multiplieront prodigieusement. T
t prodigieusement. Tâchons de préciser quels sont les qualités et les
défauts
du grand romantique. Sentant la nécessité de sort
nt par des paroles de critique, et reconnaissons que, malgré tous ses
défauts
, naturels ou voulus, le créateur de la Légende de
c. » Mais le sentiment et la passion font passer par-dessus bien des
défauts
, et le glorieux critique pouvait ajouter : « Sou
bile, son instinct de la couleur et du pittoresque rachètent bien ces
défauts
systématiques ! Né avec un tempérament et un cœur
Dorothée. Obligé de joindre la critique à l’éloge, nous dirons qu’un
défaut
considérable empêchera toujours la poésie de M. d
vers des maîtres. Sa tirade, qui a un ton de plaidoyer, rappelle les
défauts
plutôt que les qualités de la tirade de Corneille
on sens et le bon français n’est guère qu’une protestation contre des
défauts
; ce n’est pas la grande poésie. Un fils accept
use des écrits de Leconte de Lisle, sont généralement exemptes de ces
défauts
. On doit regarder comme des chefs-d’œuvre des piè
hes. Ainsi donc chacun de ses avantages poétiques a son revers, et un
défaut
est souvent chez lui le produit de l’excès d’une
mons, et réclamons avec courage, contre une proscription qui tient au
défaut
de mœurs plus qu’au défaut de goût ; et rappelons
rage, contre une proscription qui tient au défaut de mœurs plus qu’au
défaut
de goût ; et rappelons à la lecture et à l’admira
ait se reposer dix ans. Il y a toujours un milieu entre l’excès et le
défaut
. Quatrième moyen d’invention : Étude analytique e
en qui le jugement devance l’esprit… Ils ne cherchent qu’à éviter les
défauts
, et tombent par là même dans le pire des défauts,
hent qu’à éviter les défauts, et tombent par là même dans le pire des
défauts
, celui de n’avoir aucune qualité. »Quintit.., Ins
u titre Invention. La rhétorique commence par un traité de logique. A
défaut
d’arguments, ou pour ajouter à leur énergie, l’or
autre de ces écrivains au delà de la vérité historique, l’excès ou le
défaut
dans l’application n’altère point la valeur du pr
; l’âme et l’esprit doivent les occuper plus que le corps. Le second
défaut
est de supposer que tout est dit quand on a fixé
t et principal. La fourmi n’est pas prêteuse, C’est là son moindre
défaut
, Que faisiez-vous au temps chaud ? Dit-elle à cet
un art à part que les rhéteurs nomment amplification oratoire. Comme
défauts
dans la confirmation on peut recommander d’éviter
l pourra lire Pierre Corneille, qui a mêlé à d’admirables beautés des
défauts
tels, qu’ils sont inconcevables dans ce grand hom
d, harmonieux, nouveau ou brillant. Les vices opposés, la rudesse, le
défaut
de justesse et d’harmonie dans les proportions, p
orsque les étrangers ou la postérité parcourent leurs ouvrages, leurs
défauts
paraissent au grand jour, et le goût naturel rent
it pas cependant écarter avec trop d’affectation. La verbosité est un
défaut
souvent reproché aux avocats, et dans lequel les
a carrière du barreau, de se mettre de bonne heure en garde contre un
défaut
que rien ne rachète auprès d’un auditeur fatigué
ce qui est douteux ou obscur, soulignant les beautés sans pallier les
défauts
, traduisant certaines nuances dont la délicatesse
, à séparer le mort du vif, c’est-à-dire à discerner les qualités des
défauts
, et l’excellent du mauvais, ou du médiocre. Les r
ce qui est douteux ou obscur, soulignant les beautés sans pallier les
défauts
, traduisant certaines nuances dont la délicatesse
e à séparer le mort du vit, c’est-à-dire à discerner les qualités des
défauts
, et l’excellent du mauvais ou du médiocre. Les ré
i produit un très bel effet dans une description. 359. Quels sont les
défauts
à éviter dans la description ? Nous ne reviendro
des mœurs, du caractère, des vertus ou des vices, des qualités ou des
défauts
d’une personne. Le mérite essentiel de l’éthopée
portrait ? Le portrait est la peinture du caractère, des mœurs, des
défauts
ou des qualités d’un personnage en particulier. C
asse d’individus ayant les mêmes goûts, les mêmes qualités, les mêmes
défauts
ou les mêmes manies. Le caractère ne peindra donc
s genoux, et lui disaient : Compagnon, sacrifiez ! Voilà nos aigles à
défaut
d’autels. Et ils lui présentaient une coupe plein
intitulé le Siècle de Louis XIV : Eh ! quel roi… 464. Quels sont les
défauts
à éviter en écrivant une lettre ? Dans la lettre
éviter en écrivant une lettre ? Dans la lettre, il faut éviter deux
défauts
que nous avons déjà touchés en passant, la recher
es, en fades équivoques, en bons mots sans grâce et sans sel. L’autre
défaut
consiste dans le manque de soin. Il faut dire sim
esprit, qui se font trop souvent remarquer dans leurs lettres par les
défauts
les plus opposés au genre épistolaire, l’affectat
ngtemps ; l’autre commence à l’être. On leur a trouvé à tous deux des
défauts
, mais on n’a pas vu ou dit encore que ces défauts
uvé à tous deux des défauts, mais on n’a pas vu ou dit encore que ces
défauts
, en apparence si opposés, sont exactement les mêm
e ne tend qu’à faire voir par un raisonnement sérieux et détaillé les
défauts
et les beautés des ouvrages. Mais autant la criti
-nous pas de pareilles dans les anciens, dont nous fassions sentir le
défaut
, et, si l’on veut, tout le ridicule, qui ne les i
çu du ciel, non-seulement la faculté de distinguer les beautés et les
défauts
des productions qu’il juge, mais une âme qui se p
eur bien déraisonnable. L’amour, dans une tragédie, n’est pas plus un
défaut
essentiel que dans l’Énéide ; il n’est à reprendr
utes après les morceaux les plus sublimes. Racine sut éviter tous ces
défauts
, et devint le plus parfait modèle des poètes trag
personnages. La fin morale de la comédie est de nous corriger de nos
défauts
par le ridicule. Le ridicule est donc vraiment l’
r. Il y en a un autre qui nous cause du dépit, parce qu’il tient à un
défaut
qui prend sur notre amour-propre : tel est le sot
ous en avons surtout où le poète, sans s’attacher à peindre un de ces
défauts
inhérents à l’esprit humain, et qui se retrouvent
s à la morale et à la religion. On a pu relever, sans doute, quelques
défauts
dans ce bel ouvrage : pour nous, qui l’avons lu c
er au milieu même des objets décrits, pour apprécier le mérite ou les
défauts
de la description. La Judée, par exemple, dont il
e de la périphrase. Toute circonlocution dans le discours est-elle un
défaut
? Oui, quand elle résulte uniquement d’une délica
ccède à un autre : dit-il, répondit-il, etc. L’ellipse peut avoir ses
défauts
. Elle ne sait pas toujours éviter la dureté, l’ob
eu, Je dis un peu ; beaucoup, je me croirais coupable. Enfin le pire
défaut
de l’ellipse, c’est le solécisme. Corneille dit d
it. C’est à vous, mon esprit, a qui je veux parler2 Vous avez des
défauts
que je ne puis celer : Assez et trop longtemps ma
ns le fond sais bien ce que j’en crois, Qui compte tous les jours vos
défauts
par mes doigts, Je ris quand je vous vois, si fai
sens d’objet qui frappe la vue. Mais ce le marque un peu de netteté :
défaut
très-rare chez Boileau. 7. C’est le prélat, ce p
’anglomanie. Une sage critique nous a éclairés sur les beautés et les
défauts
de la littérature ; nous avons pris dans son syst
nations. Blair avait l’esprit trop juste pour ne pas reconnaître les
défauts
de la littérature de son pays, et apprécier les b
u milieu de leur corruption, ce ne serait que vouloir ajouter à leurs
défauts
déjà trop nombreux. « La compassion est prompte à
l’obscurité de leurs idées qu’il faut presque toujours attribuer ces
défauts
de leur style : tant sont étroits les rapports de
nous expose à confondre dans notre estime leurs perfections et leurs
défauts
. En un mot, elle nous apprend à applaudir et à bl
r, qu’une impression confuse ; il ne peut indiquer les beautés ou les
défauts
de l’ouvrage qu’il lit ; il ne sait sur quelle ba
seulement le caractère de l’ensemble, mais encore les beautés et les
défauts
de chaque partie, et sera bientôt capable d’assig
e profiter des. observations que l’on a faites sur les beautés ou les
défauts
de ceux qui l’ont précédé dans la carrière. Les o
satisfaction qu’on n’a pas senti le dégoût que pouvaient inspirer les
défauts
qui déparent ces ouvrages. On aime Shakspeare, ma
tempête, est surtout une image magnifique. Il y a principalement deux
défauts
qui sont bien opposés au sublime, je veux dire la
nous offrent. On ne déprécie pas un ouvrage pour y remarquer quelques
défauts
. Il me serait, il est vrai, plus aisé de tirer de
onis sparguntur. Cette privation des articles me paraît cependant un
défaut
dans la langue latine, parce qu’ils ajoutent beau
ou parler correctement. Quels que puissent être les avantages ou les
défauts
de la langue anglaise, puisque cette langue est l
comme une espèce de mérite négatif, c’est-à-dire comme l’absence d’un
défaut
; c’est, au contraire, un très grand mérite, c’es
tention d’y joindre. La précision est directement opposée à ces trois
défauts
, mais surtout au dernier. L’écrivain qui sait met
précision. Son style a tout à la fois de grandes beautés et de grands
défauts
; il ne saurait être un excellent modèle à suivre
l est susceptible. On trouve peut-être quelques légers exemples de ce
défaut
dans les ouvrages sérieux de l’auteur que nous ve
arbitrairement des signes de la ponctuation, on voudrait corriger les
défauts
d’une phrase, en faire disparaître l’ambiguïté, e
génie et sa manière d’écrire l’entraînent souvent vers de semblables
défauts
. Voici ce qu’il dit dans son introduction au Port
les négligent, leurs vertus perdent presque tout leur éclat, et leurs
défauts
en deviennent plus choquants. Bien plus, lorsqu’i
’oreille, et de donner au style un air maniéré. Parmi les anciens, ce
défaut
est particulièrement sensible dans Isocrate ; aus
s produisent quelquefois un très bon effet. La monotonie est un grand
défaut
, dans lequel sont toujours prêts à tomber les écr
nières de s’exprimer ne viennent pas de la stérilité du langage ou du
défaut
de mot propre ; nous voulons seulement faire allu
uiller les idées. Quintilien a soin de nous mettre en garde contre ce
défaut
: Id imprimis custodiendum, dit-il, ut quo gener
illeures qualités du style, portées à l’extrême, deviennent autant de
défauts
; et cette règle s’applique au style nerveux comm
e et la dureté du style, cette sécheresse cependant est un bien grand
défaut
; elle fatigue l’attention et présente nos pensée
ns qu’ils y soient prodigués avec excès, et sans qu’on y retrouve les
défauts
qui les accompagnent quelquefois. Tout ce qu’on a
armonie ; bien rarement il est fort et sublime. Cependant, malgré ses
défauts
, ses ouvrages sont si constamment remplis de rais
r, le plus correct, le plus orné et le plus agréable. Malgré quelques
défauts
, c’est encore le plus sûr modèle à suivre ; c’est
vrai génie, le charme de la simplicité est tel, qu’il couvre bien des
défauts
et fait excuser quelques expressions négligées. A
par sa roideur et son affectation ; et c’est là le plus grand de ses
défauts
. Sa Seigneurie ne sait rien dire avec simplicité.
que la lecture d’un écrivain qui, à des beautés éclatantes, joint des
défauts
grands et nombreux. Nous en avons une preuve dans
elle qui répand tant de charmes sur une composition. J’ai signalé les
défauts
de la manière opposée ; mais, afin de prévenir to
gnifiques modèles. De tous nos auteurs anglais, celui qui, malgré ses
défauts
, a fait le plus heureux usage de ce style, c’est
lités qu’il ne faut jamais perdre de vue lorsque l’on compose, et des
défauts
qu’il importe d’éviter avec soin. Un style affect
ue nous voulons traiter, notre style prendra immanquablement tous ces
défauts
. Ce qu’au contraire nous concevrons clairement et
rester éblouis de toute cette magnificence si mal placée. Ce sont des
défauts
qui non seulement gâtent le style, mais, ce qui e
rsuader. Cicéron, dans ses ouvrages de critique, ne dissimule pas les
défauts
d’Isocrate ; mais il laisse apercevoir son pencha
fois de sa propre main les ouvrages de cet historien. Mais ces légers
défauts
sont plus que compensés par la force et l’énergie
ous ce point de vue que nous allons faire connaître son mérite et ses
défauts
, si toutefois nous en trouvons quelques-uns à rel
es qualités de l’orateur romain ne l’avaient pas préservé de quelques
défauts
sur lesquels il importe de fixer notre attention.
rupuleux et raisonné, on serait porté à imiter en même temps quelques
défauts
assez graves ; et je suis persuadé qu’elle a déjà
ictés par l’envie ou l’inimitié personnelle. Ces critiques ont vu les
défauts
du grand orateur, mais ils les ont exagérés. La c
la dureté, et se gâte par l’enflure, l’affectation et tous les autres
défauts
qui attestent le mauvais goût de leur temps. Sain
rgie, de cette conviction qui donnent tant de force à l’éloquence. Ce
défaut
vient, peut-être du tour d’esprit de la nation, q
si elle n’a pas pris un vol plus élevé, il faut plutôt l’attribuer au
défaut
de zèle et d’application, qu’au manque de moyens
t ne faire qu’un amusement sera pris pour un manque de principe ou un
défaut
de bon sens. La nature des débats, au milieu d’un
qu’il paraisse que l’on ait évité de s’en servir. La verbosité est un
défaut
dont on accuse généralement les orateurs du barre
’être plutôt des philosophes et des logiciens que des orateurs68. Les
défauts
des sermons français en général viennent de l’usa
crire, qu’à déployer une riche variété de sentiments. Malgré tous ces
défauts
, on ne peut nier que leurs sermons ne soient conf
sa tige : effloruisse se penitus ex re de qua tum agitur . C’est le
défaut
de la plupart des exordes, d’être formés de quelq
e les auditeurs ne puissent pas dire précisément en quoi consiste son
défaut
, ils ne sentiront pas moins que ce défaut existe
sément en quoi consiste son défaut, ils ne sentiront pas moins que ce
défaut
existe quelque part, et resteront peu touchés de
rtueux, comme Godefroy de Bouillon. Il peut avoir des faiblesses, des
défauts
, même une passion vive et funeste, comme Ulysse,
la passion, qu’une âme élevée et peu commune soit le principe de ses
défauts
. Ce héros, doit toujours avoir une vertu dominant
ient parfaits, mais l’héroïsme doit se faire sentir jusque dans leurs
défauts
: Qu’en eux, jusqu’aux défauts, tout se montre h
oit se faire sentir jusque dans leurs défauts : Qu’en eux, jusqu’aux
défauts
, tout se montre héroïque. 360. Qu’appelez-vous c
tère ou par principe ; cependant il n’y en a pas un qui n’ait quelque
défaut
. Virgile a fait d’Énée un homme si parfait, qu’il
formité d’un visage, inventa l’art du profil. Dérobons à notre vue ce
défaut
de lumière et cette nuit funeste (phrase mauvaise
funeste (phrase mauvaise de tout point : comment dérober à la vue un
défaut
de lumière et une nuit ?) cette nuit funeste, qui
rivée d’Antiochus et repris à la quatrième scène, ce qui est un autre
défaut
. — Les anciens donnaient le nom de protatiques au
ne extrême vivacité. Pour peu qu’il soit lent, il est froid. C’est un
défaut
qu’on reproche à Molière. 445. De combien de mani
f, trop aisé, trop naturel. La moindre dureté dans le son, le moindre
défaut
d’harmonie n’y serait pas supportable. Aussi quel
action ordinaire, et qui peint d’une manière plaisante les mœurs, les
défauts
ou les ridicules de la société, dans le dessein d
s, ni leurs grandes actions ; mais leurs folies, leurs travers, leurs
défauts
, leurs vices les moins odieux, les traits de leur
qui est le principal élément de la comédie, est, suivant Aristote, un
défaut
, un vice même qui fait rougir le vicieux et fait
u peuple et de la bourgeoisie moins par le fond que par la forme. Les
défauts
des grands sont moins grossiers ; leurs ridicules
dre avec le comique grossier qui n’est point un genre à part, mais un
défaut
de tous les genres. Qu’une suivante, dans le Dépi
s sur ce point se rapportent : 1º aux qualités de l’exorde ; 2º à ses
défauts
; 3º à ses divers genres. Nous allons résumer leu
a sur les réflexions qui doivent être développées plus tard. § II,
Défauts
de l’exorde. 167. D’après Cicéron, l’exorde pe
cieux de sept ou huit manières différentes ; mais quelques-uns de ces
défauts
se ressemblent beaucoup et sont d’ailleurs partic
ées vulgaires, et ils ne sauraient trop se mettre en garde contre ces
défauts
. Pour ne point se faire illusion, ils se rappelle
efois ces preuves vulgaires et peu concluantes. Voulez-vous éviter ce
défaut
, exercez votre jugement par des lectures réfléchi
Athènes a donc été invincible. (Discours pour la Couronne.) 216. Les
défauts
les plus ordinaires dans les amplifications des j
idées, vient quelquefois de la nature de l’esprit et d’autres fois du
défaut
de culture. Quand la stérilité a pour cause un ma
d’autant mieux traité qu’on a pris soin de tout dire. Pour éviter ces
défauts
, montrez-vous de bonne heure sévère envers vous-m
tous les détails qui ne vont pas au but. 220. La surabondance est un
défaut
moins à craindre que la futilité : elle consiste
ccompagnés d’exordes et de péroraisons trop resserrés. C’est aussi un
défaut
de s’étendre outre mesure sur une partie et de pa
aura mal saisi ; l’auditeur, au contraire, ne peut point suppléer au
défaut
d’un orateur qui n’a pas su se faire comprendre.
e saisir ce que dit l’orateur, ou du moins d’en être touché. C’est un
défaut
ordinaire et presque universel dans les jeunes ge
de la phrase un geste expressif a pu tout dire, et, au lieu d’être un
défaut
, ce mouvement rapide est une perfection. 295. C’e
arce qu’elle n’indique même pas l’éloquence des écrivains. Malgré ces
défauts
, nous la suivrons dans la pratique, parce qu’elle
til que l’oreille de l’auditeur, lui permet de saisir les plus légers
défauts
et les moindres négligences. Chapitre troisièm
ujours désintéressés, ils le sont encore dans le choix d’un ami. Leur
défaut
le plus commun, c’est de passer les bornes ; ils
es vœux plus ardents pour ce qui nous est enlevé. Égoïstes à l’excès,
défaut
qui vient encore d’un petit esprit. Plus amis de
it, et tout ce qui pèche dans ces deux âges, soit par excès, soit par
défaut
, est ramené dans celui-ci à un sage et juste mili
. Un médecin distingué, entendant un jour un prédicateur qui avait le
défaut
de crier trop fort, nous dit, après le sermon, qu
fectation, lorsque le sujet en requiert l’emploi. La verbosité est un
défaut
fort généralement reproché aux orateurs du barrea
ure et la vérité ! Moi, t’exhorter à ne pas m’imiter ! Ah ! j’eus des
défauts
sans doute, et c’est le partage de l’humanité ; m
Il lui consacra ce talent, tel qu’il était, avec ses qualités et ses
défauts
. M. Louis Veuillot est un écrivain de combat, aim
ombien de manières l’exorde peut-il être vicieux ? 168. Expliquez les
défauts
de l’exorde les plus communs ? 169. Les défauts d
? 168. Expliquez les défauts de l’exorde les plus communs ? 169. Les
défauts
de l’exorde ne sont-ils pas fréquents chez les je
uelle est la manière d’amplifier de Démosthènes ? 216. Quels sont les
défauts
ordinaires des amplifications des jeunes gens ? 2
219. En quoi consiste la futilité ? 220. La surabondance est-elle un
défaut
bien à craindre dans la jeunesse ? 221. Qu’est-ce
and poëte coloriste. Le goût français fera aussi ses réserves sur ses
défauts
. Rayons et Ombres, ce titre de l’un de ses recuei
sera sa devise : ses beautés resplendissent comme des rayons, et ses
défauts
pèsent sur l’esprit comme des ombres. » Après ce
e ses aptitudes, nous n’ajouterons qu’un mot. Si M. Victor Hugo a les
défauts
de ses qualités, si ses amis mêmes ont pu lui rep
n de Fléchier à Thomas) n’a pas toujours été assez en garde contre ce
défaut
: c’est une des taches que le goût voudrait faire
ité ; mais qui pourrait lui faire un crime, ou même un reproche, d’un
défaut
qui devient à chaque instant pour nous la source
e naturelle aux hommes est le principe de la comédie. Nous voyons les
défauts
de nos semblables avec une complaisance mélée de
de nos semblables avec une complaisance mélée de mépris, lorsque ces
défauts
ne sont ni assez affligeants pour, exciter la com
sur la même ligne. Les vrais artistes demandent au moins le second, à
défaut
du dernier, le plus énergique de tous. Quant au p
it de l’auteur et le genre du sujet, le résultat pour le style est un
défaut
d’unité, de naturel, de solidité. 3° Les sujets q
s troubler ma paix par la flatterie que je hais. Ne dissimule pas mes
défauts
, et ne m’attribue pas mes vertus ; loue seulement
sie universelle, par laquelle chacun travaille à cacher de véritables
défauts
ou à produire de fausses vertus ; ces airs mystér
le corrigeant, fait toutes les observations nécessaires, indique les
défauts
et les moyens de les éviter, et donne les princip
ots un sujet dont il n’effleure que les généralités banales. Tous ces
défauts
diminuent bientôt par la pratique. C’est ici surt
nt être convenablement placées, afin d’être un ornement et non pas un
défaut
: si elles ralentissent trop la marche de l’actio
rusque et désagréable. Toute digression inutile ou trop longue est un
défaut
. On appelle épisodes certaines actions indirectes
agit de prouver. Évitez à la fois la sécheresse et la diffusion, deux
défauts
également contraires à une bonne argumentation. «
utes les règles de l’art d’écrire, faire ressortir les beautés ou les
défauts
qui s’y trouvent. Pour donner une idée de ce genr
. Delavigne. Lecture. — Mort de Jeanne d’Arc. Vol. II, nº 43. Des
défauts
de la Métaphore 1° Le nombre des métaphores es
ellement aux mains de Louis est l’arme habituelle de Jupiter. Le même
défaut
se fait remarquer dans la métaphore suivante : L
l’audace dans le cœur des siens ; il glace d’épouvante les ennemis.
Défauts
de l’Hyperbole 1° Il faut, selon Quintilien, u
du bon goût. On ressemblerait à Brébeuf, dont Boileau a critiqué les
défauts
en disant : Mais n’allez point aussi sur les pas
ives… Prenez : mieux votre ton…… Art poétique, ch. Ier. 2° C’est le
défaut
que l’on pourrait remarquer dans les lignes qui s
s mœurs et le caractère, les vertus ou les vices, les qualités ou les
défauts
. Les Mœurs de Sybaris On ne met point dans cette
rnière espèce est toujours une imperfection, et bien souvent un grand
défaut
dans une pièce de théâtre. Ainsi le poëte ne doit
vée d’Antiochus, et repris à la quatrième scène ; ce qui est un autre
défaut
. Il est aisé de juger que l’exposition du sujet n
es tragédies de ce grand homme, en parlant de celle de Pompée : « Ces
défauts
dans le détail, n’empêchent pas que le fond de ce
bout tel qu’on l’a vu d’abord1. Observons ici que ce seroit un grand
défaut
dans un ouvrage dramatique, si plusieurs personna
ule, suivant le sens de la définition qu’en a donnée Aristote, est un
défaut
, un vice même, qui, sans occasionner la destructi
illant pour partager l’attention et l’intérêt du spectateur. C’est un
défaut
qu’on a remarqué dans la belle comédie du Gx. Le
momentané, et l’on ne tarderoit pas à reconnoître dans son auteur le
défaut
de génie et d’invention, qu’il auroit voulu cache
pas y puiser de grandes lumières sur la nature d’un caractère, sur un
défaut
, sur un ridicule ; et son âme, loin d’éprouver un
sonnage sous le côté ridicule, dévoile au grand jour le caractère, le
défaut
, le vice qu’il a eu intention de peindre pour nou
up mieux entendre des douceurs à la comédie, que d’y voir jouer leurs
défauts
, et qui sont intéressés à préférer un dialogue in
ile, Rien ne touche son goût, tant il est difficile. Il veut voir des
défauts
à tout ce qu’on écrit, Et pense que louer n’est p
e, qui poussoient cet air avantageux jusqu’au plus grand ridicule. Ce
défaut
dura long-temps : Molière l’attaqua souvent ; et
à Londres, et ld. La Coquette corrigée, par Lanoue, est, malgré ses
défauts
, une des meilleures pièces de caractère qui aient
arodie est de corriger le goût, eu relevant d’une manière comique les
défauts
de l’ouvrage parodié, soit par rapport à la condu
critique, dit encore l’abbé Sallier, le flambeau dont on éclaire les
défauts
d’un auteur qui avoit surpris l’admiration. Ainsi
eur bien déraisonnable….. L’amour dans une tragédie n’est pas plus un
défaut
essentiel que dans l’Enéide : il n’est à reprendr
qui n’ait rien de bas. L’affectation et l’obscurité sont encore deux
défauts
qui seroient insupportables dans la tragédie. Ne
certaine élévation, qui surprend, qui enlève, et qui rend jusqu’à ses
défauts
, si on peut lui en reprocher quelques-uns, plus e
rocher quelques-uns, plus estimables que les vertus des autres. » Ces
défauts
, qu’on a remarqués même dans ses meilleures pièce
théâtre, lorsque Corneille commençoit à vieillir, sut éviter tous ces
défauts
. Moins fécond, moins vigoureux, moins sublime que
andes beautés que Corneille : mais il n’a pas non plus d’aussi grands
défauts
. Ceux que lui reprochent des censeurs éclairés, s
f, trop aisé, trop naturel. La moindre dureté dans le son, le moindre
défaut
d’harmonie n’y seroit pas supportable. Voyez comm
dans celui où l’action s’est passée. Mais je devois indiquer ici ces
défauts
relevés par la critique, pour faire sentir aux je
out-à-fait vertueux comme Godefroi. Il peut avoir des foiblesses, des
défauts
, même une passion vive et funeste, comme Enée, Ul
sa passion ; qu’une âme élevée et peu commune soit le principe de ses
défauts
. Voulez-vous long-temps plaire et jamais ne lass
resser, En valeur éclatant, en vertu magnifique : Qu’en lui jusqu’aux
défauts
, tout se montre héroïque 1. Ce héros doit toujou
ngueurs, des détails inutiles, des écarts multipliés. Mais malgré ces
défauts
, il y a près de trois mille ans que toutes les na
u lecteur ou de l’auditeur, il ne faut ni la fatiguer ni la mettre en
défaut
; car c’est là que, de peur d’être diffus, on ris
contre ceux qui ne possèdent pas ces qualités. Si l’adversaire a les
défauts
opposés, on ne manquera pas d’en tirer avantage.
tout le discours dans sa disgrâce ; s’il est bon, il aveugle sur les
défauts
du reste de l’ouvrage. Cicéron a dit : Vestibula
ature du sujet. C’est pour tourner en ridicule l’un et l’autre de ces
défauts
que Racine, dans sa comédie des Plaideurs, introd
hodiquement à ces trois chefs d’accusation. Il y a néanmoins ici deux
défauts
à éviter. Le premier est de faire trop de divisio
t été regardées par plusieurs esprits éclairés que comme de brillants
défauts
. Quelque éloquentes qu’elles soient, ou plutôt pa
la cause ce qui n’est que vains discours et lieux communs ; tous ces
défauts
seront aisément relevés par un habile dialecticie
t. Sur aucun de ces points, je défie qui que ce soit de me trouver en
défaut
; et si l’on me demande comment Philippe l’a empo
e en effet ce qu’ils veulent dire. Le seul moyen d’éviter un si grand
défaut
est de prendre dans la jeunesse l’habitude de ne
se faisant d’abord entendre115. Les phrases suivantes pèchent par le
défaut
de clarté. Dans la tragédie d’Alexandre, ce héros
« La plupart des fautes de langage, dit Voltaire, sont, au fond, des
défauts
de justesse. Le style précis a le premier de tous
raisons qui ont contribué à cette loquacité ordinaire au barreau. Les
défauts
des grands écrivains sont tout ce que les auteurs
IV corrigèrent la France, qui depuis est retombée quelquefois dans ce
défaut
séduisant. « Le déplacé, le faux, le gigantesque,
aconiques. Laconique suppose une sorte d’affectation et une espèce de
défaut
; concis emporte pour l’ordinaire une idée de per
yle épigrammatique, inconnu aux bons écrivains de l’antiquité, est le
défaut
dominant de Sénèque. Cet auteur plaît quand on le
. Si Quintilien a dit de lui avec raison qu’il est rempli d’agréables
défauts
, dulcibus abundat vitiis (X, 1), on pourrait di
de la délicatesse, manque de naturel et refroidit le style : c’est un
défaut
qu’Ovide n’a presque jamais évité. L’abus des grâ
comme l’abus du sublime est l’ampoulé. Toute perfection est près d’un
défaut
. La naïveté est opposée au réfléchi. En disant de
t grossier ; car le bas et le grossier n’est point un genre, c’est un
défaut
. Ces deux exemples font voir évidemment dans quel
est pour Pyrrhus, et les vœux pour Oreste. (Andromaque, II, 2.) Un
défaut
à éviter ici, quoique des écrivains célèbres semb
lusieurs mots de même signification, et qui est toujours voisine d’un
défaut
, comme la tautologie ou périssologie, autre figur
113.) On peut aussi ranger parmi les hyperbates, l’anacoluthe, ou le
défaut
de suite dans la construction. Les meilleurs écri
troubler ma paix par la flatterie que j’ai haïe. Ne dissimule pas mes
défauts
, et ne m’attribue pas mes vertus : loue seulement
on des mœurs, qui décrit les vertus ou les vices, les qualités ou les
défauts
. Salluste : « L. Catilina, né d’une famille patri
de recherche et par l’uniformité qu’elle met dans le style. C’est ce
défaut
qui déparé un peu le mérite de Fléchier et de plu
vèleront leurs vues politiques, leurs desseins, leurs passions, leurs
défauts
ou leurs vertus. Et tous ces traits précieux sur
s. Mais nous, qui avons appelé les harangues historiques de brillants
défauts
, préfèrerons-nous donc nos obscures qualités, nos
certaine élévation qui surprend, qui enlève, et qui rend jusqu’à ses
défauts
, si on lui en peut reprocher quelques-uns, plus e
ées, les règles du langage et le coloris du style, et dont le moindre
défaut
est de ne rien ajouter à la masse générale des co
ses faiblesses, son héros est voisin de nous par ses qualités et ses
défauts
. Dans ses aventures, qui nous intéressent comme l
uvrages également forts et délicats ; mais je voudrais bien éviter le
défaut
des bons auteurs, qui écrivent trop longtemps, et
enti l’indigence. On remarque encore en eux la crédulité, qui naît du
défaut
d’expérience ; la franchise et la simplicité, par
ts sont excessifs. » Le peu de soin qu’ils prennent de déguiser leurs
défauts
, les rend plus visibles. Un des plus dangereux, c
joie, l’amusement, la gaieté. » On peut compter entre les principaux
défauts
des jeunes gens, l’inclination au mensonge, et l’
e, par une affectation presque continuelle à contredire, à censurer ;
défauts
, pour ne rien dire de plus, qui les rendent peu a
s réunit ; et de plus, tout ce qui pêche dans ces deux âges, soit par
défaut
, soit par excès, se corrige le plus souvent dans
ceux dont la fortune est nouvelle, rapide, surprenante, ont tous les
défauts
dont nous venons de parler, dans un bien plus hau
mun et de la multitude. En observant ce précepte, on doit éviter deux
défauts
considérables. Le premier, c’est de prouver les c
qu’en régime composé. On dit : ne rien faire à autrui, reprendre les
défauts
d’autrui. Mais on ne peut pas dire : offenser aut
part furent condamnés à l’exil : = la plupart sont aveugles sur leurs
défauts
. Règle concernant le verbe qui a plusieurs suj
pas parler exactement, que de dire : on censure, dans les autres, les
défauts
que nous avons nous-mêmes : dites, qu’on a soi-mê
dites, qu’on a soi-même ; ou bien, nous censurons dans les autres les
défauts
que nous avons nous-mêmes. Le verbe qui a pour su
pléerez le reste. Mais suppléer, signifiant réparer le manquement, le
défaut
de quelque chose, est neutre, et a un régime comp
neutre, et a un régime composé qui prend à : = son mérite supplée au
défaut
de sa naissance. Répétition d’un nom en régime
us-mêmes. Il est assez important d’observer cette règle, parce que le
défaut
de répétition du verbe rend souvent le sens d’une
se rapportent à l’idée, et non aux mots. Ellipse. L’Ellipse ou
défaut
, est le retranchement d’un ou de plusieurs mots,
et superstitieuse, Possédant en un mot, pour n’en pas dire plus, Les
défauts
de son sexe et peu de ses vertus. Il est clair q
ueurs, des détails inutiles, des écarts multipliés ; mais, malgré ces
défauts
, il y a près de trois mille ans que toutes les na
mpée, qui lui a fourni son sujet et son titre. Il a voulu suppléer au
défaut
d’invention par la grandeur des sentiments ; mais
e goût et de vraisemblance, et des épisodes trop peu liés. Malgré ces
défauts
la fécondité, la force et la beauté d’imagination
conçoit que si la précision n’est qu’un parfait tempérament entre le
défaut
et l’excès, μετρίως, elle est par là même insépar
lumière douce qui soulage mes faibles yeux70. » Il me semble que le
défaut
de naturel part de deux sources, la faiblesse, ou
ût l’esprit vaste, contrariété assez ordinaire. Mais il rachetait ces
défauts
par les qualités qui donnent le succès ; il était
ar son courage. Mais lorsque, malgré la fortune et malgré ses propres
défauts
, j’apprends que son esprit a toujours été occupé
a précision et de la concision ? (8e Leçon) — Suite de la clarté. —
Défauts
à éviter8. 1. Il ne suffit pas, pour être clai
toujours pour être clair, et ne faut-il pas prendre garde à certains
défauts
? — 2. Mais comment parvenir à bannir du style to
tion est la pureté du langage, la pureté est le génie de la langue.
Défauts
opposés à la correction. 14. La correction a q
tion le syllogisme que vous avez cité tout à l’heure. (18e Leçon) —
Défauts
opposés à l’ornement18. 1. Tout ce qui n’est p
ou la pensée. 12. Le boursouflé, l’ampoulé, l’emphatique, sont trois
défauts
de même espèce, indiquant en général tout ce qui
nomme déclamation le style des écrivains qui tombent dans les quatre
défauts
précédents. 14. On tombe dans l’amplification qua
on quand on délaye trop ses pensées. Questionnaire. 1. Quels sont les
défauts
opposés à l’ornement ? — 2. Passons en revue tous
ont les défauts opposés à l’ornement ? — 2. Passons en revue tous ces
défauts
: expliquez-nous brièvement ce que c’est que le t
indique chaque espèce devers. Si une syllabe manque à un vers, il y a
défaut
de mesure, la mesure n’y est pas. Le rythme est c
œurs. La plupart de nos pièces modernes n’en ont point. C’est même le
défaut
assez ordinaire des poètes comme des peintres. Ze
trop timides, ou d’autres mœurs pareilles, loin de charger encore le
défaut
, il le rapprochera de la vertu, comme Homère et A
a fable. Aussi cette seconde reconnaissance a-t-elle quelque chose du
défaut
des premières ; car le poète l’eût pu tirer de so
llant les obscurcit. Chapitre XXV. De certaines critiques sur les
défauts
de la poésie ; des raisons qu’on peut leur oppose
es ; du nombre et des différences de ces parties : des beautés et des
défauts
de eux genres et de leurs causes, enfin des criti
ts partis qui agitèrent la république ; la domination des Césars ; le
défaut
d’institutions, la domination militaire ; la véna
— Les Forêts agitées par les vents. Vol. II, nº 91. Section II. —
Défauts
du Style 1° Affectation et Recherche ou Styl
rop recherchés, trop étudiés des choses simples et communes. C’est un
défaut
qui se fait remarquer dans les écrits de Voiture,
’une imagination déréglée. On ne saurait être trop en garde contre ce
défaut
, puisque nos meilleurs poètes y tombent souvent.
ut répandre sur ses écrits ne dégénère en trivialité et bassesse, Ces
défauts
consistent à employer des expressions de mauvais
c’est qu’il se modèle sur la deuxième déclinaison latine où l’s fait
défaut
. Quant à l’orthographe, elle n’est pas fixée : on
e, plus précieux pour lui qu’une province. Mais revenons en France. A
défaut
de solides conquêtes, les aventureuses expédition
les héritiers de son école ne tarderont pas à tourner ces qualités en
défauts
. Saint-Gelais (1491-1558) énerve sa grâce, affadi
té des esprits farouches, et n’employait la décision d’autorité qu’au
défaut
de la conciliation. Quelquefois, des contestation
miciens et passe pour le modèle du genre, Fontenelle s’est dégagé des
défauts
dont ne sont pas exempts ses autres ouvrages, l’a
phore, l’hyperbole, il donne l’idée d’un beau corps auquel l’âme fait
défaut
. Les artifices de son noble langage laissent le c
onstres et les prodiges de ses débauches, en un mot les plus visibles
défauts
de sa personne et les crimes les plus connus de s
l est bon d’y joindre des écrivains de second ordre ; leurs brillants
défauts
pourraient séduire les jeunes gens : « Pendant lo
indispensables. Dans les Plaideurs, l’intimé donne l’exemple des deux
défauts
à éviter ; c’est ainsi qu’il mérite ce reproche d
et sans valeur glacerait l’intérêt et fatiguerait l’esprit. C’est le
défaut
qu’on a justement reproché à l’école descriptive
e confesse mon faible, elle a l’art de me plaire ; J’ai beau voir ses
défauts
et j’ai beau l’en blâmer, En dépit qu’on en ait,
chalant faute d’activité, négligent par manque de soin, paresseux par
défaut
d’action, fainéant par crainte de fatigue. À un
en est de même de l’accumulation et de l’abus des épithètes. C’est le
défaut
de Fléchier et de Thomas qui donnent à tout une s
et de prévenir la fatigue résultant de la monotonie. il y aurait un
défaut
de goût, dit Andrieux à- surcharger une étoffe de
nt éthopée la description des mœurs, c’est-à-dire dés qualités ou des
défauts
, des vertus ou des vices. Salluste en a laissé un
rd : Je crois voir Annibal qui, pressé des Romains, Met leur chef en
défaut
ou leur donne le change, Et sait en vieux renard
igé de s’en repentir ; que ce soit donc là, ‘si l’on veut, l’illustre
défaut
de Charles aussi bien que de César ; mais que ceu
is pas ; mais j’avouerai tout haut Que j’ai cru jusqu’ici madame sans
défaut
. On peut citer comme modèle d’une adulation habi
nous tenons les extrémités d’une chaîne et où nous marchons. Le même
défaut
se rencontre dans ce portrait enluminé par J. B.
personne ne répète après eux, si ce n’est pour en rire. Il y a trois
défauts
dont il faut se garder avec un soin égal ; le pur
ment des propositions sont des sources fécondes d’obscurité. C’est le
défaut
de cette définition de l’épopée : L’épopée est u
pense Dis-moi qui peut t’empêcher De te servir du silence ? C’est un
défaut
populaire dans notre pays de mesurer le mérite de
Voltaire a dit : La plupart des fautes de langage sont au fond des
défauts
de justesse. Le style précis a le premier de tous
endre la marche du discours semblable à celle de l’esprit. Le moindre
défaut
des mots parasites est d’énerver le style. À la p
La diffusion ou la prolixité est le contraire de la précision ; ce
défaut
consiste à dire les choses avec plus de mots qu’i
immense bûcher dressé pour leur supplice S’élève en échafaud.... Ce
défaut
s’est singulièrement répandu depuis que la littér
t la recherche de l’esprit ou de l’effet lui porte un coup mortel. Le
défaut
le plus ennemi du naturel est cette affectation d
u de sons identiques fait un effet désagréable et ridicule : c’est un
défaut
dont il faut se préoccuper avec soin, car les plu
e voix qui tombe et dune ardeur qui s’éteint. En vue du nombre, deux
défauts
doivent être surtout évités : 1° La chute sur un
les idées et les sentiments y le désir de montrer de l’esprit est le
défaut
le plus nuisible au naturel. II. La noblesse est
n’y a de vide que dans la bourse d’un homme ruiné, et d’opposer à ce
défaut
ridicule l’anecdote suivante qui donne l’exemple
s soient employées avec goût ; il va une foule d’expressions qui sont
défauts
chez les uns et beautés chez les autres… Avant d’
e du discours serait du pédantisme dans un entretien familier. Le
défaut
qui contribue le plus à la décadence est le mélan
ours les plus sombres. L’abus de la grace est l’affèterie ; c’est un
défaut
difficile à éviter et auquel on n’échappe qu’en s
style épigrammatique mis à la mode par Voltaire et son époque est le
défaut
d’une littérature en déclin ; cette sorte d’espri
: Je n’ai que des attraits, et vous avez des charmes. C’est le même
défaut
où Racine lui-même est tombé quand il fait dire à
a magnificence est une brillante qualité ; mais elle est voisine d’un
défaut
ridicule, c’est l’emphase, l’enflure qui donne à
u, cher Abner, et n’ai point d’autre crainte. 5. De l’emphase. — Le
défaut
auquel confine le sublime c’est le style ampoulé
stérilité toute naturelle vient de l’ignorance des jeunes gens et du
défaut
d’habitude. Un exercice très-simple, très-facile,
a-t-il de sortes de satire ? Comme il y a deux sortes de vices et de
défauts
, les uns plus blâmables et plus graves, les autre
n ton grave et sérieux, lancer des traite vifs et piquants contre les
défauts
et les vices des hommes, et les tracer avec des c
que l’on se propose dans ces sortes d’ouvrages, c’est de corriger les
défauts
des mortels et de donner un nouvel élan aux homme
à la fois plaisant et moral ; il s’avilit s’il est obscène. C’est le
défaut
de presque tous nos contes en vers. Article VI
que la science les lui expliquait98. L’allusion avait toujours eu le
défaut
d’être un peu vague, elle eut celui de devenir co
déterminer et d’en limiter l’usage, d’en saisir et d’en signaler les
défauts
. Remarquons d’abord qu’il est un assez grand nomb
ance des mœurs dans l’éloquence, il est bon de montrer les effets des
défauts
contraires, et comment un orateur peut déplaire e
urrait dire qu’il a loué dans Alceste non la vertu, mais un véritable
défaut
, qui est la haine des hommes. À cela je réponds q
rte était ennemi du genre humain. Une pareille haine ne serait pas un
défaut
, mais une dépravation de la nature et le plus gra
voulu dire que le style reflète, comme un miroir, les qualités et les
défauts
de l’écrivain ; il a lui-même expliqué sa pensée
s : les secrets des écrivains de génie s’évanouissent, ou tournent en
défauts
sous la main des imitateurs. Mais, dans le génie
ment. Boileau, Art poétique, I, v, 153. L’obscurité est cependant un
défaut
que les plus grands maîtres n‘ont pas toujours év
e ; car elle n’est pas nécessaire et quelquefois même elle devient un
défaut
. Boileau, parlant de Perse, exprime le caractère
quelques concessions faites au faux goût d’un siècle, le talent et le
défaut
des esprits médiocres. Ce style figuré, dont on
jours, une admiration puérile s’est attachée aux singularités et aux
défauts
des littératures modernes, plus encore qu’à leurs
recherchée ni trop savante ; elle devient alors obscure. C’est un des
défauts
de Fléchier. « Pendant que la Cour réduisait Bor
t point mon visage. Britannicus, acte IV, sc. ii. L’Anacoluthe (ou
défaut
de suite) interrompt la construction régulière de
le. Cette dernière partie comprend : 1° Les qualités générales et les
défauts
de la phrase ; 2° L’harmonie et ses quatre espèce
tôt effaçant ce qu’il y avait de trop, tantôt ajoutant ce qui faisait
défaut
, tantôt éclaircissant ou modifiant ce qui nous se
ujours conforme aux circonstances ; n’employant jamais la force qu’au
défaut
des autres moyens ; possédant sur-tout à un degré
s. Il veut que, outre la propriété et la justesse, qui sont plutôt un
défaut
évité qu’une beauté acquise, il y ait dans ses œu
ssé la loi du repos final. Quelques modernes sont tombés dans le même
défaut
. Ex. : Les Parques se disaient : Charles qui doi
La jeune chasseresse… La Harpe s’est élevé très fortement contre ce
défaut
, à l’occasion de Ronsard. Notre hexamètre, dit le
s. 83. A quels poèmes conviennent les rimes plates, et quels sont les
défauts
à éviter dans ces sortes de rimes ? On a voulu j
surtout donner un calque fidèle de l’original et rendre sensibles les
défauts
comme les mérites du style d’Aristote. Ce caractè
ide à notre faiblesse, et nous faire mieux saisir les qualités et les
défauts
qui affectent plus spécialement chacune d’elles,
ive d’une classe d’écrits un caractère qui toujours et partout est un
défaut
. On a mieux fait, une fois le style sec inventé,
tion, le vers français est un peu monotone ; il cherche à racheter ce
défaut
par la coupe qu’on appelle césure, et par la rime
rejet du sens au commencement du vers suivant : L’enjambement est un
défaut
, quand il ne sert pas à produire une beauté. C’es
es œuvres d’art et qui font des bonshommes. III La jeunesse a ce
défaut
(ou si l’on veut cette qualité) de pousser les pr
er leurs gestes et leur déclamation, vous ne leur prendriez que leurs
défauts
. De la pratique surtout, une pratique constante,
e unique, et que l’Énéide est la seule épopée savante qui, malgré les
défauts
qu’une critique parfois injuste ou paradoxale s’e
e la sincérité naïve d’une inspiration vraie leur fait nécessairement
défaut
, elles se rachètent en général par un art supérie
uence, la philosophie, qui sont ses plus beaux titres de gloire, font
défaut
au siècle d’Auguste chez les Romains. [6] (2
ionomie extérieure, en quelque sorte, des passions et plus encore des
défauts
et des travers humains. « Mais comme les dehors d
an. — La critique littéraire est l’art d’apprécier les mérites et les
défauts
des ouvrages de l’esprit. Autrefois, la critique
nicus la réunion de toutes les qualités aimables sans mélange d’aucun
défaut
, dans la fille de Soranus, la piété filiale porté
e un passage important où l’on peut remarquer combien est sensible le
défaut
que nous signalons. De même pour l’entrevue de Sa
c ceux qui lui sont indifférents ; il ne garde pas le silence sur les
défauts
d’Alceste, et ce nous semble être une preuve de s
ont là des traits de son caractère qui rachètent en grande partie les
défauts
que nous avons signalés, et qui sont même un titr
ssi Fénelon est-il plus près de la vérité, lorsqu’il signale comme un
défaut
ce dont Buffon fait une qualité indispensable de
emplie de si beaux sentiments que bien des gens n’ont pas remarqué ce
défaut
, et que ceux qui l’ont senti l’ont toléré. Aristo
qui l’ont senti l’ont toléré. Aristote, d’ailleurs, dit qu’il y a des
défauts
qu’il faut laisser dans un poème quand on peut es
ennent à l’historien, Colbert sait de reste qu’elles ne feront jamais
défaut
à Racine. [16] (7 novembre 1885) Lettre de
reux mérites d’Homère. XXV. Divers problèmes de critique au sujet des
défauts
de la poésie. Solution de ces problèmes. XXVI. Re
εσθαι, construit avec σχήμασι ϰαὶ φωναῖς ϰαὶ ἐσθῆτι. Ce qui aurait le
défaut
contraire.] « Jusqu’aux moindres contrariétés, qu
▲