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1 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
Cours complet de littérature à l’usage des séminaires e
e goût, M. l’abbé Piron, ancien professeur de belles-lettres, dans un Cours complet de littérature, qui a obtenu l’approbatio
rofesseurs, tant ecclésiastiques que laïques. Les trois volumes de ce Cours , qui ont paru depuis quelques années, sont devenu
es auteurs que M. l’abbé Piron a mis à contribution pour composer son Cours , et il lui a fallu une grande force de condensati
nages, rendus par des Prélats qui ont adopté pour leurs séminaires le Cours complet de littérature ? Nous ne pouvons que les
continu là où régnaient la confusion, le vague, la sécheresse. Votre Cours complet de littérature est sûrement un des meille
n bien cher ami, Avant de vous témoigner ma reconnaissance pour votre Cours de littérature, j’ai tenu à le parcourir. J’y ai
ur, de la persévérance avec laquelle vous poursuivez l’œuvre de votre Cours complet de littérature, qui doit être couronné pa
ittérature de mon petit séminaire. Le rapport qu’ils me font de votre Cours lui est très favorable : ils le trouvent rempli d
. Monsieur le Vicaire général, Après avoir pris connaissance de votre Cours de littérature, je m’empresse de vous dire à mon
t littéraire, élever les esprits et orner les cœurs. En parcourant ce Cours de littérature, je me disais qu’on pouvait lui ap
tations les plus sincères relativement à la nouvelle édition de votre Cours de littérature. La simplicité du plan, la logique
es de nos saintes Écritures et de nos grands auteurs chrétiens. Votre Cours complet sera suivi avec fruit dans nos petits sém
e Vicaire général, Les qualités que vous avez voulu mettre dans votre Cours complet de littérature, nouvellement réédité, s’y
22 avril 1879. Monsieur le Vicaire général, Je viens d’examiner votre Cours de littérature, et je suis heureux de constater q
’invitation de Mgr l’Évêque de Rodez, de la nouvelle édition de votre Cours complet de littérature. Ces trois volumes sont éc
s. Veuillez agréer, etc. Vosdey, Vicaire général. Monseigneur, Le Cours complet de littérature, par M. l’abbé Piron, me p
de mon ministère ne me permettant pas de lire avec assez de suite le Cours de littérature auquel vous avez consacré vos tale
2 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
Cours complet de littérature à l’usage des séminaires e
ournaux et de revues ont rendu un compte très favorable de ce nouveau Cours de littérature, et de la Poétique en particulier.
ienne. L’intéressant Recueil de modèles qui doit compléter ce nouveau Cours de littérature offrira l’application des vues de
Déjà bon nombre de petits séminaires et d’institutions ont adopté le Cours complet de littérature. Quelques congrégations l’
continu là où régnaient la confusion, le vague, la sécheresse. Votre Cours complet de littérature est sûrement un des meille
. Monsieur le Vicaire général, Après avoir pris connaissance de votre Cours de littérature, je m’empresse de vous dire à mon
t littéraire, élever les esprits et orner les cœurs. En parcourant ce Cours de littérature, je me disais qu’on pouvait lui ap
ittérature de mon petit séminaire. Le rapport qu’ils me font de votre Cours loi est très favorable : ils le trouvent rempli d
22 avril 1879. Monsieur le Vicaire général, Je viens d’examiner votre Cours de littérature, et je suis heureux de constater q
tations les plus sincères relativement à la nouvelle édition de votre Cours de littérature. La simplicité du plan, la logique
es de nos saintes Écritures et de nos grands auteurs chrétiens. Votre Cours complet sera suivi avec fruit dans nos petits sém
3 (1811) Cours complet de rhétorique « Préface. »
suprême de l’Enseignement, qu’en donnant à cette nouvelle édition du Cours complet de Rhétorique, tous les soins dont je pui
ffisance des moyens. Il n’est aucune des parties différentes, dont ce Cours est composé, qui n’ait subi des corrections impor
rs fameux, il pouvait résulter, en matière de goût et d’éloquence, un cours complet de doctrine qui ne serait ni sans intérêt
qu’ils ont retrouvé, sans doute, à chaque page, à chaque ligne de ce Cours , l’intention bien prononcée de ramener les jeunes
, le goût des bonnes études, et le désir sincère de les propager. 2. Cours de Littérature, tome xi, première partie, article
4 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
rincipes et ces règles que nous nous sommes efforcé de réunir dans ce Cours classique de littérature. Réservant pour la Rhéto
rocureraient aux élèves autant d’agrément que de profit. Du reste, ce cours se prête tout aussi facilement à des combinaisons
de l’étude de la poésie. Comme notre Poétique, tout en complétant le cours , peut être facilement séparée des deux autres vol
ges compétents, agréable à lire. Dans le Style comme dans le reste du Cours , nous nous efforçons d’offrir un plan complet, de
ée vers le volume par lequel nous avons commencé la publication de ce cours , la Poétique, qui a paru il y a quelques mois. Ce
5 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Marc Girardin. Né en 1801. » pp. 534-541
é sur les esprits. C’est qu’un moraliste se cache sous le lettré. Son cours de littérature dramatique est une histoire de nos
u théâtre, la stérilité et la monotonie des souffrances matérielles. ( Cours de littérature dramatique. Édition Charpentier.)
ture comme en peinture, la punition de ce qu’on appelle la manière. ( Cours de littérature dramatique.) Le stoïcisme et l
e je n’ai pas eu le temps d’écrire, j’ai pu au moins le dire dans mon cours à la Sorbonne. Oubli pour oubli, autant vaut celu
mord et pénètre le lecteur. C’est par eux que les grandes pensées ont cours et sont présumées de bon aloi, comme l’or et l’ar
6 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Préface. »
nt plus difficiles. C’est là, comme on le voit, la partie pratique du cours  ; ce sont des exercices auxquels on s’attache exc
ra d’eux, avec avantage, qu’un ouvrage philosophique analogue à notre Cours supérieur de grammaire, où l’on devra comparer et
pas à le reconnaître dans le nouveau volume que nous ajoutons à notre Cours de langue française. Disons un mot de l’histoire
7 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VII. De l’Harmonie imitative. »
plein de fleurs lentement se promène, Qu’un torrent débordé qui, d’un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain
sa ! (Eneïd. Lib. iv. v. 522) La nuit avait rempli la moitié de son cours  ; Sur le monde assoupi régnait un calme immense ;
uplier se plaisent à confondre ; ce ruisseau surtout, dont on voit le cours , dont on entend le murmure excité par les obstacl
ice de leurs ombres ; Tandis qu’un clair ruisseau, se hâtant dans son cours , Fuit, roule, et de son lit abrège les détours !
8 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — L. Racine. (1692-1763.) » pp. 267-276
tu reviens tous les jours : Est-ce moi qui t’appelle et qui règle ton cours  ?     Et toi dont le courroux veut engloutir la t
ourbé sous un amas de jours Le sang comme à regret semble achever son cours  ; Lorsqu’en des yeux couverts d’un lugubre nuage
secrète empoisonne toujours L’onde qui nous paraît si claire dans son cours . C’est le sincère aveu que me fait Épicure : L’or
e l’éloge de l’auteur par Lebeau. On peut encore consulter sur lui le Cours de littérature de La Harpe (IIIe partie, liv. I,
9 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre VII. » p. 95
poésie dramatique est cependant très-remarquable. » (A. W. Schlegel, Cours de Littérature dramatique, x e leçon.) Comme on
à, comme nous le verrons, ce qu’ils ont réellement fait. » (Schlegel, Cours de litt. dram., x e leçon.)
10 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
nt le domaine fut le Centre et le Nord. Leur empire est séparé par le cours de la Loire. Elles diffèrent par des aptitudes sp
e avait donné aux esprits une impulsion qui ne s’arrêtera pas dans le cours du xiiie  siècle. La langue vulgaire profita du p
lectures publiques, et parmi les proscrits consolés par l’accueil des cours , on vit Bessarion recevoir la pourpre romaine. Si
sie et de la véritable éloquence. Outre que les événements suivent un cours irrésistible, gardons-nous de dire que l’indépend
inences des termes géographiques en dun (élévation de terre), en dor ( cours d’eau), en van et ven (montagne). S’il faut en cr
11 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « PRÉFACE. » pp. -12
la nature et les besoins intellectuels des jeunes gens qui suivent ce cours . Une remarque m’a frappé, et j’en appelle ici aux
nes gens éprouve une invincible répugnance pour les Manuels, Traités, Cours , et en général pour tous les écrits élémentaires
ans une circulaire officielle : « La rhétorique actuelle doit être un cours de littérature générale. » Je ne confonds point a
12 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voiture 1598-1648 » pp. 15-17
m’a point fait de mal, et vous m’en faites, et c’est pour vous que je cours le plus grand danger que je courrai en ce voyage.
chevaux de poste qui me tourmentiez. Mais il y a six jours que je ne cours plus, et je ne suis pas moins fatigué ; cela me f
13 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
e, du ton sage, mesuré, respectueux même, qu’il adopta depuis dans le Cours de littérature, et l’on sentira tout ce que peut
e de M. de La Harpe ; son véritable titre à la célébrité est dans son Cours de Littérature, monument précieux dans tous les t
que, et ses paroles s’appliquent d’elles-mêmes à M. de La Harpe et au Cours de littérature : Multa enim probanda in eo, mult
nnements secs et abstraits ; et on lui sut gré de nous avoir donné un cours presque complet d’histoire naturelle, de poésie,
mais qui ne passera pas aisément en d’autres mains. 185. Voyez le Cours de Littérature, tome 16, deuxième partie, dans la
14 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre II. — Division de la rhétorique : Invention, Disposition, Élocution »
te de la journée : il se sent de la langueur d’un paisible réveil. Le cours de tous ces objets porte aux sens une impression
lui apporter de la sécheresse et du dégoût. « Qu’elle prenne donc son cours , dit-il, non par des sentiers étroits, mais, s’il
e l’on emprisonne dans des canaux, mais comme un grand fleuve dont le cours est toujours rapide. Les raisons doivent s’orner,
astre qui préside à la nuit avec ses douces clartés, ses phases, son cours inconstant et pourtant régulier, dont le génie de
horreur. Barbare, qu’as-tu fait ? avec quelle furie As-tu tranché le cours d’un si belle vie ? Avez-vous pu, cruels, l’immol
tir aux dépens de ses jours ? Et que m’a fait à moi cette Troie où je cours  ? Au pied de ses remparts quel intérêt m’appelle 
15 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre V. Panégyrique de Louis XV, par Voltaire. »
pagnes, et dans les occupations des villes, et dans les intrigues des cours . Partout elle est étrangère ; elle est, comme la
dence, qu’il faut vous bénir ! Puissent ceux qui croient que dans les cours l’intrigue ou le hasard distribue toujours les ré
16 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Marc Girardin Né en 1801 » pp. 275-278
les esprits. C’est qu’un moraliste se cache sous le lettré. Aussi son cours de littérature dramatique est-il une histoire de
oyen de donner plus de relief à la passion, l’efface et la détruit2. ( Cours de littérature dramatique. — Ed. Charpentier.)
17 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre premier. Objet de l’Éloquence de la chaire. »
ité. Moins heureux aujourd’hui, l’écrivain qui lie essentiellement un cours de littérature à un cours de morale, trouve à cha
’hui, l’écrivain qui lie essentiellement un cours de littérature à un cours de morale, trouve à chaque pas une erreur à réfut
18 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
ne doive reprendre haleine qu’à la fin d’une période. Il est, dans le cours de la période, des intervalles plus ou moins long
prononcé en public, sont les mêmes que celles dont on se sert dans le cours d’une conversation, et il faut se garder de les c
peler des faits, de produire de grands caractères, et d’interroger le cours des événements. On trouve rarement occasion de dé
l’objet des études, soit à la morale, soit au bon goût, soit enfin au cours ordinaire de la vie. Je les engagerais, en second
ns et des modernes. — Des historiens. J’ai terminé la partie de ce cours qui avait directement pour objet l’art oratoire o
livres, les a mis à la portée de tout le monde. Rien n’interrompt le cours de notre éducation littéraire. Voilà pourquoi les
ariées que celles que nous pourrions tirer de l’expérience pendant le cours de la plus longue vie. Elle a pour objet de nous
e courriers, et aucun gouvernement n’envoyait d’ambassadeurs dans les cours étrangères. Les connaissances des historiens de l
réflexions ou ses opinions politiques, il interrompe à tout moment le cours de son récit. Il doit nous donner les instruction
e chaque chose à sa place, afin de nous faire suivre avec facilité le cours des événements, et nous donner le plaisir de voir
de risquer quelques phrases trop familières en l’intercalant dans le cours de la narration. Un historien qui n’est que profo
e produire un très heureux effet. Elles jettent de la variété dans le cours de l’ouvrage, délassent l’esprit fatigué de suivr
que de montrer le caractère propre de chaque personnage dans tout le cours d’un dialogue sur un sujet de morale, parce que,
tout entier à ses plus intimes amis, et principalement à Atticus. Le cours de sa correspondance nous apprend à connaître plu
eurent appris à connaître la distinction des rangs et le tumulte des cours . C’est alors qu’ils jetèrent un œil de regret sur
me ne s’y faisait plus entendre. Son fleuve avait été détourné de son cours par la chute des murailles. Partout le chardon él
par sa ressemblance avec l’objet qui l’occupe, et reprend aussitôt le cours de ses idées. Telle est cette belle comparaison,
une grande variété de caractères et de tableaux, et, pendant tout le cours d’un long ouvrage, soutenir cette dignité dans le
ommencement, qu’il laisse croire au lecteur qu’on y reviendra dans le cours du poème, tandis qu’effectivement il ne se rattac
ureux les difficultés et les obstacles qui se sont multipliés dans le cours de l’ouvrage. Aussi la plupart des poètes épiques
de donner un air de vraisemblance aux événements les plus opposés au cours ordinaire de la nature, il peut user, avec une dé
n héros principal, un caractère unique, qui se développe dans tout le cours de l’ouvrage ; enfin, il a pu atteindre un but mo
ui de celle que lui offrait naturellement son sujet, il interrompt le cours de sa narration pour introduire le long épisode d
l’ordre chronologique, ce qui l’a souvent contraint à interrompre le cours de sa narration, et transporter brusquement son l
fait au roi de Mélinde des merveilles qu’il a rencontrées pendant le cours de sa navigation. Il lui raconte qu’au moment où
, dans un autre ouvrage, serait une fiction, n’est ici que l’effet du cours naturel des choses. Un sujet si différent de tout
ent eu lieu réellement ; il suffit qu’ils aient pu avoir lieu dans le cours ordinaire de la nature et des choses. La tragédie
e moyen, ces sentiments se soutiendraient constamment pendant tout le cours de la représentation ; et les chœurs, en conserva
ntiment, la passion, la pitié, la terreur doivent régner dans tout le cours d’une tragédie. Il faut que tout y soit en mouvem
’une personne n’est pas celle pour laquelle on l’a prise dans tout le cours de la pièce. Lorsqu’une semblable découverte est
ment d’une tragédie soit toujours malheureux. Il peut y avoir dans le cours de la pièce assez de mouvement, les personnages p
on de l’art, au contraire, consiste à imiter, autant que possible, le cours ordinaire d’événements dont les spectateurs serai
tateur, il est impossible de prendre cette liberté. En effet, dans le cours d’un acte, la scène ne doit jamais changer, et l’
’Hécube d’Euripide, et plusieurs autres semblables. Le poète, dans le cours de la pièce, trouvait bien l’occasion d’exprimer
nt à l’âge et au caractère du personnage représenté. Lorsque, dans le cours d’une même scène, le même personnage avait à épro
ites, et que le lieu de la scène ne change point, au moins pendant le cours du même acte. Les scènes ou les conversations suc
omme il doit ressembler à ce dont nous sommes souvent témoins dans le cours de la vie, nous jugeons plus aisément de sa vrais
ide ; il faut qu’il y ait toujours assez d’intrigue pour que, dans le cours de la représentation, le spectateur désire ou cra
st bien à celui qui n’a pour but que d’imiter la conversation dans le cours habituel de la vie. Une des plus grandes difficul
et prenait la résolution de vivre en honnête homme ; mais pendant le cours de la pièce, on le présentait comme un modèle des
la subtilité du second ; il participe de l’un et de l’autre, et, d’un cours uni et soutenu, il coule sans rien avoir qui le d
et de plus détestable. » La comédie. Tome II, page 390. Si le Cours de Littérature de La Harpe n’était pas aujourd’hu
et le théâtre tomba ; mais il peut se relever. » La Harpe, dans son Cours de Littérature, nous donne son avis sur ce genre
met sous nos yeux tous les objets divers que l’année ramène dans son cours , et sait si bien nous faire partager son enthousi
19 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
lquefois, sous le nom d’éloquence de telle ou telle nation. Ainsi, un cours d’éloquence grecque, un cours d’éloquence françai
nce de telle ou telle nation. Ainsi, un cours d’éloquence grecque, un cours d’éloquence française, font entendre l’étude de t
20 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce premier volume. » pp. 365-408
ù ils lui élevèrent un tombeau. On dit qu’Alexandre le Grand, dans le cours de ses conquêtes, passant en Phrygie, l’an 334 av
ète Samuel, qui en avait reçu l’ordre de Dieu même. Si David, dans le cours de son règne brillant, eut quelques faiblesses, i
ervation du flux et du reflux de la mer, était parvenu à connaître le cours des vents et à prédire les tempêtes. Érigone, ny
chutes de ce fleuve, c’est-à-dire, les endroits où il trouve dans son cours des rochers, à travers lesquels il se précipite a
après lui les bêtes féroces, les arbres et les rochers, suspendait le cours des fleuves et arrêtait le souffle des vents. La
624, et presque en même temps principal ministre, etc. Durant tout le cours de son administration, il eut tout à-la fois à co
21 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre IV. Beautés morales et philosophiques. »
rs, l’esprit, les lois, tout est mis en systèmes ; Tout système a son cours , ses progrès, son déclin : Une secte s’élève où l
ertain, Je me suis demandé quelle invisible main Dirigeait, dans leur cours , les choses de ce monde ; Ou si rien ne réglait l
genre de poésie, des préceptes infaillibles en matière de goût, et un cours de morale d’autant plus utile, d’autant plus susc
sa source la prospérité publique ; mais il fallait prescrire un autre cours à l’opulence, et c’est ce que va faire une philos
22 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Chateaubriand 1768-1848 » pp. 222-233
s sur cette fête que ramènent chaque année le mois le plus doux et le cours de l’astre le plus mystérieux. Le rossignol
t un lugubre murmure, De ses flots mutilés étaler la torture, Et d’un cours insensé s’enfuyant au hasard, En cent torrents br
t un lugubre murmure, De ses flots mutilés étaler la torture, Et d’un cours insensé s’enfuyant au hasard, En cent torrents br
23 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Massillon, 1663-1742 » pp. 205-215
yeux, et il voit avec indignation de faibles mortels, emportés par ce cours rapide, l’insulter en passant, faire de ce seul i
éant, et qu’il donna à tous les êtres cet arrangement admirable et ce cours harmonieux que la durée des temps n’a jamais pu a
ales ; car il y a cette extrême différence, que la violence n’a qu’un cours borné par l’ordre de Dieu, qui en conduit les eff
24 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre VI. D’Aguesseau et Séguier. »
redoutable contre lequel il sera obligé de combattre pendant tout le cours de sa vie : pour le servir, il aura le courage de
s. Leur objet était d’éteindre la croyance, de faire prendre un autre cours aux esprits sur les institutions religieuses et c
25 (1866) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de seconde
t que l’esprit de la jeunesse. Nous avons voulu qu’au sortir de leurs cours , les élèves des lycées et des collèges connussent
ements et d’attendre la maturité des choses ; ils voudraient hâter le cours de la providence et avancer ses effets ; ils voud
cles passés ont mises dans les affaires, ni ils ne peuvent prévoir le cours que prendra l’avenir, loin qu’ils le puissent for
us bel éloge est dans ces mots du cardinal de Bausset : « Il offre le cours le plus complet et le plus parfait des dogmes et
tres, les démentiraient. Cette éclipse universelle, arrivée contre le cours de la nature, eut quelque chose de si prodigieux
ne peuvent se déclarer en sa faveur, jusques à ce qu’ils aient vu le cours qu’il aura dans le monde par l’impression, ou que
rai ; mais souvent, pour arroser de nouvelles terres, il détourne son cours et ne laisse dans l’ancien canal que des sables a
est vous qui, après m’avoir formé par de salutaires leçons pendant le cours de mes études, après m’avoir fait passer par les
vait étranger nulle part ; son langage était le langage de toutes les cours  ; et nos ennemis, ne pouvant vaincre comme nous,
eux ; et il voit avec indignation de faibles mortels, emportés par ce cours rapide, l’insulter en passant310, vouloir faire d
Politique des Romains. Causes de leur agrandissement. Dans le cours de tant de prospérités, où l’on se néglige pour l
t d’autant plus ma honte avec la sienne au jour. J’en romprai bien le cours  ; et ma juste colère, Contre un indigne fils usan
oreille à mes discours ; D’aucun mot, d’aucun cri, n’en interromps le cours  ; Tiens ta langue captive ; et, si ce grand silen
s bords. On ne blâmera pas vos larmes innocentes : Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes ; Chacun attend de vous
demeure : Faites-le-moi venir, mon frère, tout à l’heure. ARISTE. J’y cours tout de ce pas. CHRYSALE. C’est souffrir trop lon
5, terrassés en deux jours, D’un joug déjà prochain menacent tout son cours . « Nous l’avons vu, dit l’une, affronter la tempê
e, Du fameux fort de Skink prend la route connue. Là, contemplant son cours , il voit de toutes parts Ses pâles défenseurs par
plein de fleurs lentement se promène, Qu’un torrent débordé, qui d’un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain
urvu que nos conseils ne tendent qu’à sa gloire ; Pourvu que, dans le cours d’un règne florissant, Rome soit toujours libre e
je sais son innocence Je vous réponds pour lui de son obéissance, J’y cours . Je vais presser un entretien si doux738. NÉRON.
unté, Que je reçus de Claude avec la liberté, J’ai cent fois, dans le cours de ma gloire passée, Tenté leur patience, et ne l
ant moi770. Mais une dure loi, des dieux même suivie, Ordonne que le cours de la plus belle vie             Soit mêlé de tra
s eaux, traîne dans les campagnes Arbres, rochers, troupeaux, par son cours emportés777 : Ainsi de Godefroy les légions guerr
ÉROPE. Eh ! seigneur, excusez sa jeunesse imprudente : Élevé loin des cours , et nourri dans les bois, Il ne sait pas encor ce
ite de cela, ensuite de quoi. 51. De là vient que dans nos anciennes cours de magistrature, où siégeaient des ecclésiastique
dans ce passage : voy. Mélanges littéraires, discours d’ouverture du cours d’éloquence en 1822. — On sait l’estime que madam
’ils paraissent comme une muraille couverte de feuilles. 223. Petits cours d’eau : ce sont des noms propres substitués à un
rrants gravitent en silence, Et nous-même avec eux emportés dans leur cours , Vers un but inconnu nous avançons toujours. Souv
navire, D’une écume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours égal le flot grondant des airs, Sur les vagues d’
e, Cherchez qui vous mène, Mes chères brebis… On pourra lire dans le Cours de littérature dramatique de M. Saint-Marc Girard
’Art poétique, des grands travaux ordonnés par Auguste pour régler le cours du Tibre : Seu cursum mutavit iuiquum frugibus a
jugeant Corneille que lorsqu’il apprécie Racine ; Geoffroy, dans son Cours de littérature dramatique ; Lemercier dans son Co
offroy, dans son Cours de littérature dramatique ; Lemercier dans son Cours analytique de littérature générale ; les Observat
ortune. 512. Il faut ici rappeler ce jugement de Lemercier, dans son Cours de Littérature : « Nul orateur n’imprima mieux qu
e Rotrou, le premier dans son Éloge de Corneille ; le second dans son Cours de littérature dramatique. En outre. M. Guizot a
de Rotrou, 5 vol. in-8º, 1820-22. Sur Venceslas, on peut consulter le Cours de littérature de La Harpe, IV, 4, 1, et les feui
poètes), Marmontel (Éléments de littérature, au mot Fable), La Harpe ( Cours de littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et
de nombreux critiques : on citera parmi eux Lemercier, tome II de son Cours analytique de la littérature générale ; M. Nisard
er lui-même ; Trissotin ne sera pas oublié non plus : par là, dans le cours de la conversation la plus simple, le caractère d
x-mêmes. » La Harpe lui a consacré l’un des meilleurs articles de son Cours de littérature. Daunou, Victorien Fabre, Auger (l
pe : nous renverrons donc le lecteur, pour un examen plus complet, au Cours de Littérature, en rappelant que l’analyse du thé
els que Louis Racine, Rollin et Lefranc de Pompignan. 750. Outre le Cours de littérature de La Harpe, fort étendu au sujet
iciens, faits par d’Alembert. Il faut, en outre, consulter sur lui le Cours de littérature de La Harpe (IIIe part., liv. I, c
ardin lui a consacré une étude pleine d’intérêt dans le ch. 21 de son Cours de littérature dramatique.   782. Excellent con
és sur lui, nous signalerons La Harpe dans différentes parties de son Cours de littérature ; Ducis, discours de réception à l
de la Littérature au dix-huitième siècle ; on peut consulter aussi le Cours de littérature dramatique de Geoffroy, mais en se
taire. Surtout il faut lire le chapitre (c’est le xve ) que, dans son Cours de littérature dramatique, M. Saint-Marc Girardin
26 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
Préface La faveur croissante du public pour notre Cours classique de littérature nous impose de sérieux d
es dissertations écrites sur les principales questions que soulève un cours de rhétorique, nous sommes convaincu que cette mé
meilleurs auteurs à consulter sur chaque question traitée dans notre Cours élémentaire. Pour expliquer et compléter les préc
ce. En 1836, un innocent avait été condamné comme incendiaire par les Cours d’assises d’Évreux et de Rouen. Dans une troisièm
avien, évêque de cette ville, parut en sa présence, il donna un libre cours à ses gémissements : Oui, prince, s’écrie-t-il,
le Athalie Au carnage animait ses barbares soldats, Et poursuivait le cours de ses assassinats. (Racine.) 131. L’imagination
de de l’art oratoire, et ces questions ont été développées dans notre Cours de littérature 25. Seulement, puisque le discours
s sur ces genres spéciaux. Mais une classe de rhétorique n’est pas un cours d’éloquence sacrée, judiciaire ou politique, et i
cat devra être instruit des sentences et des arrêts prononcés par les cours supérieures dans les causes analogues à la sienne
ers présidents ou les procureurs généraux prononcent à la rentrée des cours ou des tribunaux. Ces discours roulent d’ordinair
s, de Sèze et Lally-Tollendal. De nos jours, on a vu briller dans les cours judiciaires MM. de Martignac, Berryer et Odilon B
ffet, ou plutôt la raison commande pour lui, et on obéit. (La Harpe, Cours de litt., t. II.) IV. Arguments extrinsèques.
ce. On assemble d’abord cette commission quatre ou cinq fois, dans le cours de deux ans, pour ôter à cet étranger captif jusq
es gagnait. 2º Douceur entreprenante et agissante. Il a paru dans les cours des princes comme un Élie. De tous les avantages
a lumière, et la chaleur tombe-t-elle sur la terre ? Qui a donné leur cours aux pluies impétueuses ? Qui a ouvert la voie du
e la pierre, et qui ferme l’entrée de l’abîme ? Pourras-tu arrêter le cours des brillantes Pléiades, ou bien pourras-tu dissi
t de ses redoutables invectives. A. Nettement. Questionnaire du Cours de rhétorique et d’éloquence. Notions prélim
de et de l’enseignement des lettres, 1re édit., p. 296-304 ; Geruzez, Cours de littérature. 2. Auteurs à consulter : Aristot
onsulter : Logique de Port-Royal, 3e partie, ch. xix et xx ; Geruzez, Cours de littérature, art. Éloquence. v. Leclerc, 2e pa
P. Marin de Boylesve, Rhétorique, art. Confirmation. 20. Voir notre Cours de littérature, p. 83-98. 21. Auteurs à consulte
-l ; Crevier, 3e partie ; Girard, Rhétorique, l. III. 25. Voir notre Cours élémentaire de littérature, à l’article des Figur
r la chaire ; Hamon, Traité de la prédication, l. I ; l’abbé Mullois, Cours d’éloquence sacrée, t. I. 32. Auteurs à consulte
Leçons d’éloquence sacrée, t. II, leç. xi, xii, xiii; l’abbé Mullois, Cours d’éloquence sacrée populaire, t. I, ch. vi. 33.
Hamon, l. II, 1re part., ch. vi. 37. Auteurs à consulter: La Harpe, Cours de littérature, art. Bossuet ; Villemain, Essai s
aurentie, De l’Étude et de l’enseignement des lettres, ch. xi ; Amar, Cours de rhétorique, Genre délibératif ; Lefranc, Rhéto
39. Auteurs à consulter : Blair, 4e part., leç. xxv-xxvii ; La Harpe, Cours de littérature, l. II, ch. iii ; Amar, Cours de r
ç. xxv-xxvii ; La Harpe, Cours de littérature, l. II, ch. iii ; Amar, Cours de rhétorique, 1re partie ; Cormenin, Livre des o
que, 1re partie ; Cormenin, Livre des orateurs, 2e part. ; Villemain, Cours de littérature (dix-huitième siècle) ; l’abbé Hen
Auteurs à consulter : Fénelon, Dialogues sur l’éloquence ; La Harpe, Cours de littérature ; Marcel, Chefs-d’œuvre d’éloquenc
27 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
ales ; car il y a cette extrême différence, que la violence n’a qu’un cours borné par l’ordre de Dieu, qui en conduit les eff
ous anticipons l’avenir comme trop lent à venir, comme pour hâter son cours  ; ou nous rappelons le passé, pour l’arrêter comm
28 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bernardin de Saint-Pierre. (1737-1814.) » pp. 153-158
et vous m’avez appris que la solitude valait mieux que le séjour des cours , et que la liberté était préférable à la grandeur
a vie. On lira aussi avec profit les leçons 7e et 8e (IIIe partie) du Cours de littérature française au dix-huitième siècle,
29 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Remarques particulières sur chaque espèce de mots. » pp. 46-52
ce que la prononciation en serait rude et désagréable. Ne dites pas : Cours -je ? Mens-je ? Dors-je ? Sors-je ? etc. Il faut p
Sors-je ? etc. Il faut prendre un autre tour et dire : Est-ce que je cours  ? Est-ce que je mens ? Est-ce que je dors ?   13
30 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
ai jamais qu’un jour elle eût envie De finir de mes maux le pitoyable cours  ;         Mais je l’aimais plus que ma vie,      
e S’oppose aux plus tendres amours ? Ces ruisseaux trouvent dans leur cours Un roc affreux qui les sépare. L’un d’eux, dans u
es eaux, traîne dans les campagnes Arbres, rochers, troupeaux par son cours emportés : Ainsi de Godefroi, les légions guerriè
ndues Marche un fleuve impétueux De qui les neiges fondues Rendent le cours furieux : Rien n’est sûr en son rivage ; Ce qu’il
e je chante et que j’adore, Dirige, ô Liberté ! mon vaisseau dans son cours  ; Moins de vents orageux tourmentent le Bosphore
nts orageux tourmentent le Bosphore         Que la mer terrible où je cours .         Argo, la nef à voix humaine, Qui mérita
31 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Boileau, (1636-1711.) » pp. 212-225
qu’à courir de victoire en victoire. Je me fatiguerais à te tracer le cours Des outrages cruels qu’il me fait tous les jours.
aît à ce ton la voix de sa maîtresse. Il la suit : et tous deux, d’un cours précipité, De Paris à l’instant abordent la cité.
ux-même. » La Harpe lui a consacré l’un des meilleurs articles de son Cours de littérature. Daunou, Victorin Fabre, Auger (l’
32 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
t que l’esprit de la jeunesse. Nous avons voulu qu’au sortir de leurs cours , les élèves des lycées et des collèges connussent
re du monde, j’employai le reste de ma jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des gens de diverses
divisions, la plupart des conquêtes que nous avions faites pendant le cours heureux de plusieurs années. Mais, avant que d’en
t épuisées, il voulut prendre les gages des chambres des comptes, des cours des aides et grand conseil, qui firent leurs plai
ntiments de la cour. Ces gens-là, étant touchés du désir d’arrêter le cours des calamités présentes, avaient le même objet, q
s comme un coup du ciel, dont il se fallait prévaloir pour arrêter le cours des désordres que le temps et la patience augment
re le prix des choses. La flatterie est une fausse monnaie qui n’a de cours que par notre vanité. Le bon goût vient plus du j
un particulier120. De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un
quelqu’un pour être l’instrument de ses desseins, rien n’en arrête le cours  : ou il enchaîne, ou il aveugle, ou il dompte tou
.) La mort de Madame prouve que tout est vain si nous regardons le cours de notre vie mortelle, que tout est précieux et i
Dieu. Encore une fois, tout est vain en l’homme, si nous regardons le cours de sa vie mortelle ; mais tout est précieux, tout
par toutes sortes de plaisirs, lorsque la mort arrête soudainement le cours de ces folles joies. L’homme sage à ses propres y
à voir durer nos jours Sans nous mettre en souci d’en mieux régler le cours , D’aimer la longue vie, et négliger la bonne, D’e
ma muse, aussi bien que mes jours, Touche de son déclin l’inévitable cours , Et que de ma raison le flambeau va s’éteindre, I
t en passant480. Tu changes tous les jours de manière et de style, Tu cours en un moment de Térence à Virgile. Je m’avoue, il
choses, tous les jours, Qui pourraient mieux aller, prenant un autre cours  : Mais, quoi qu’à chaque pas je puisse voir paraî
er, Voit du sein de ses eaux vingt îles s’élever, Qui, partageant son cours en diverses manières, D’une rivière seule y forme
endant qu’ils n’adoraient que le Dieu de leurs pères, Ont vu bénir le cours de leurs destins prospères. Ce Dieu, maître absol
ur frapperont tes oreilles ? Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours, Des t
ortun vient, depuis quelques jours, De mes prospérités interrompre le cours . Un songe (me devrais-je inquiéter d’un songe ?)
Crébillon. Né à Dijon en 1674, et mort en 1762, il n’a donné, dans le cours de cette longue carrière, que huit tragédies, don
ue Rome, peut-être au mépris de ses droits, N’ait point interrompu le cours de vos exploits, Qu’elle ait abandonné Tigrane et
ancher ici d’inutiles discours, Rome de mes projets veut traverser le cours  : Et pourquoi, s’il est vrai qu’elle en soit info
r les peuples de la terre734 ; Dans une ellipse immense achevez votre cours  : Remontez, descendez près de l’astre des jours ;
e, Fuyez le char glacé des sept astres de l’Ourse : Embrassez dans le cours de vos longs mouvements Deux cent siècles entiers
récits. « Apulée, dit M. Saint-Marc Girardin dans le 51e chapitre du Cours de littérature dramatique, est un véritable litté
penser dans les écrits du grand Newton. » Ce morceau est cité dans le Cours de littérature de La Harpe. — Voltaire a dit égal
tif au féminin, commençant par une voyelle. 136. « Si je faisais un cours de rhétorique, dit M. de Sacy dans ses Variétés l
é continue du style à un plus haut degré de perfection. C’est ce beau cours d’idées que Cicéron paraît suivre dans ses compos
ts d’heure, qui rappelaient l’attention aux nouvelles de Monseigneur, cours de maladie à souhait, et facilité extrême d’espér
poet., v. 311, et Quintilien, Inst. orat., VIII, 4. — Blair, dans son Cours de Rhétorique, généralement estimé, s’exprime de
M. Villemain, après La Harpe, a étudié avec intérêt (16e leçon de son Cours sur le dix-huitième siècle) cette figure, qui, pl
jugeant Corneille que lorsqu’il apprécie Racine ; Geoffroy, dans son Cours de littérature dramatique ; Lemercier, dans son C
ffroy, dans son Cours de littérature dramatique ; Lemercier, dans son Cours analytique de littérature générale ; les Observat
poètes), Marmontel (Éléments de littérature, au mot Fable), La Harpe ( Cours de littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et
de nombreux critiques : on citera parmi eux Lemercier, tome II de son Cours analytique de la littérature générale ; M. Nisard
x-mêmes. » La Harpe lui a consacré l’un des meilleurs articles de son Cours de Littérature. Daunou, Victorien Fabre, Auger (l
autre de la grande manière des Grecs. — Lemercier, au 1er tome de son Cours analytique de littérature générale, s’est appliqu
. D’Alembert a fait son éloge. On consultera encore sur lui, outre le Cours de littérature de La Harpe, les Mémoires de Marmo
és sur lui, nous signalerons La Harpe dans différentes parties de son Cours de littérature ; Ducis, discours de réception à l
des planètes amour du soleil, celui de la lune autour de la terre, le cours des comètes et le flux et le reflux de la mer. — 
auteur, qui a été loué spécialement par Barère, on peut voir, avec le Cours de littérature de La Harpe (IIIe part., liv. I, c
par ces mots l’article assez long qu’il a consacré à Gresset dans son Cours de littérature (IIIe part., 1. Ier, c. 2. sect. 3
33 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Lacordaire 1802-1861 » pp. 279-285
, un amas de monuments gothiques et grecs, d’églises, de colléges, de cours et de portiques, parmi des rues calmes, terminées
parce que c’est l’asile de tous ceux qui le veulent. On traverse des cours silencieuses, en rencontrant çà et là des jeunes
34 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Lebrun Né en 1785 » pp. 498-505
h ! qui m’emportera sous un ombrage épais ? Qui me rendra des eaux le cours limpide et frais ? Qui peindra des grands bois le
contait les jours. Ah ! c’est bien en effet d’un autre ; et, dans son cours , Sur ma tête blanchie imprimant son passage, Le t
35 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Chapitre » pp. 169-193
ccablé des malheurs où le destin me range3, Je vais les déplorer. Va, cours , vole et nous venge. Acte II, Scène II. L
jugeant Corneille que lorsqu’il apprécie Racine ; Geoffroy, dans son Cours de littérature dramatique ; Lemercier, dans son C
ffroy, dans son Cours de littérature dramatique ; Lemercier, dans son Cours analytique de littérature générale ; les Observat
sentiments qui animent don Diègue, on consultera avec fruit, dans le Cours de littérature dramatique de M. Saint-Marc Girard
36 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Molière, (1622-1673.) » pp. 205-211
n voit de fâcheux tous les jours Venir de nos plaisirs interrompre le cours  ! Tu me vois enragé d’une assez belle chasse Qu’u
de nombreux critiques : on citera parmi eux Lemercier, tome II de son Cours analytique de la littérature générale ; M. Nisard
37 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Malherbe 1555-1628 » pp. 302-309
urs dont Parnasse m’honore, Non loin de mon berceau commencèrent leur cours  ; Je les possédai jeune, et les possède encore   
érir dans le calice d’une fleur, sont deux époques semblables dans le cours de la nature. L’homme n’est rien qu’un fantôme, u
38 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Eugénie de Guérin , 1805-1848. » pp. 578-584
st triste de voir des vivants, d’entrer en conversation, de revoir le cours ordinaire des choses, quand tout est changé au cœ
de l’eau. Il vient tant de choses à la laveuse qui sait voir dans le cours de ce ruisseau ! C’est la baignoire des oiseaux,
39 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
l’on appelle style. 23. Quelle est la division la plus naturelle d’un cours complet de littérature ? Cette division, déjà in
ipes de la rhétorique ou de l’art de bien dire. De là, la division du Cours en trois grandes parties qui feront autant de vol
40 (1865) De la Versification française, préceptes et exercices à l’usage des élèves de rhétorique. Première partie. Préceptes. Conseils aux élèves.
ourvu que nos conseils ne tendent qu’à sa gloire ; Pourvu que dans le cours d’un règne florissant Rome soit toujours libre, e
in ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y vient finir son cours  ? Que du Scythe avec moi l’alliance jurée De l’Eu
tir aux dépens de ses jours ? Et que m’a fait à moi cette Troie où je cours  ? Au pied de ses remparts quel intérêt m’appelle 
l’éloge comme le blâme étaient des arrêts dans sa bouche. » (Géruzez, Cours de Littérature.) Malheureusement, parfois, comme
41 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Chateaubriand, 1768-1848 » pp. 409-427
me, Ire partie, 5e livre.) Le Meschacebé 1 Ce fleuve, dans un cours de plus de mille lieues, arrose une délicieuse co
, et forme avec la première un admirable contraste2. Suspendus sur le cours des ondes, groupés sur les rochers et sur les mon
phères qui, roulant dans l’espace des cieux, Semblent y ralentir leur cours silencieux ; Du disque de Phébé la lumière argent
42 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
, parce que je suis disposé à me fâcher contre vous. 15. Voir mon Cours de Style épistolaire, 2 vol. in-12. Tome 1er, cha
ire, 2 vol. in-12. Tome 1er, chapitres 3, 4 et 5. 16. Voyez dans mon Cours de style épistolaire, chap. 2, tome 1er les avis
43 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Notes. Pour l’intelligence des exemples cités dans ce troisième volume. — C — article »
maître de toute l’Asie, où il s’empara de Babylone, en détournant le cours de l’Euphrate par des saignées, et fonda l’empire
44 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
leur route mesurée, Et fixe des vieux temps l’incertaine durée ! Va, cours avec Platon et ses disciples vains, Chercher la v
l’orgueil s’applaudit, Dans un cercle rapide en tournant s’étourdit. Cours porter ton conseil dans le conseil suprême : Du h
45 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
oupait les eaux dans sa source, pendant qu’on les détournait dans son cours . Ce ne fut point Pultava qui perdit Charles : s’i
a consacré fut l’emploi d’une partie importante de sa vie. « Dans le cours de vingt années, a-t-il dit lui-même, je l’ai vu
46 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — La Fontaine (1621-1695.) » pp. 194-204
poëtes), Marmontel (Eléments de littérature, au mot Fable), La Harpe ( Cours de littérature), MM. Sainte-Beuve (Portraits) et
e semblait aussi à La Harpe, qui l’a transcrite et commentée dans son Cours de littérature, l’une des plus heureuses de La Fo
47 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Regnard. (1655-1709.) » pp. 242-253
re père ! Ah ! monsieur, c’est une mer à boire3. Son argent n’a point cours , quoiqu’il soit bien de poids4. Valère. Va, j’ex
saillies et de traits plaisants. » Il faut voir à son sujet, outre le Cours de littérature de La Harpe, les feuilletons recue
48 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
n extrême désir de les apprendre. Mais sitôt que j’eus achevé tout ce cours d’études au bout duquel on a coutume d’être reçu
re du monde, j’employai le reste de ma jeunesse à voyager, à voir des cours et des armées, à fréquenter des gens des diverses
49 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Bernardin de Saint-Pierre, 737-1814 » pp. 357-367
hers. Sur le soir la pluie cessa, le vent alizé du sud-est reprit son cours ordinaire ; les nuages orageux furent jetés vers
tendis la fin de la tempête. Vers le soir, le vent du nord reprit son cours  ; l’air perdit sa chaleur cuisante, les sables to
50 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
le lever et le coucher du soleil, qui atteste par l’exactitude de son cours l’existence d’un être régulateur et souverain ; l
us petits continuent leur course et sont déposés plus bas. Souvent le cours des eaux traverse un lac d’où elles ressortent li
les débris sur des terrains bas. Enfin les parcelles de limon que le cours des fleuves a entraînées jusqu’à son embouchure,
IV. — Style épistolaire § I. But du Style épistolaire Dans le cours de la vie, chacun de nous éprouve à tout moment l
51 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Avertissement de l’auteur sur la seconde édition. » pp. -
n’avoir rien omis, pour offrir, dans cette nouvelle Édition, un petit Cours complet des Belles-Lettres, où l’on pourra puiser
52 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VI. des mœurs  » pp. 75-88
imat. « Quel est celui de vous, disait M. Cousin aux auditeurs de son Cours d’histoire de la philosophie, quel est celui de v
périté. Je sais peu de pages historiques plus belles que celles-là. » Cours de philosophie. 15. Histoire de la littérature
53 (1867) Rhétorique nouvelle « Introduction » pp. 2-33
. L’épopée est morte ; la tragédie antique, hôtesse des palais et des cours , est descendue dans la rue, elle a échangé sa pou
un mortel vertueux Un perfide assassin, un lâche incestueux. Puis je cours à la péroraison. Je la fais vive, entraînante, pa
54 (1881) Rhétorique et genres littéraires
atteux 1713 — 1780 Principes de littérature. Condillac 1715 — 1780 Cours d’études (Art d’écrire, etc.) Marmontel 1753 —
Petit traité de rhétorique et de littérature. Géruzez 1799 — 1865 Cours de littérature. Filon 1860 — 1875 Éléments de
a première scène d’Athalie. Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours ? etc.
port me saisit ? quel chagrin me dévore ? Errante et sans dessein, je cours dans ce palais : Ah ! ne puis-je savoir si j’aime
de force à la pensée. Ex. Et que m’a fait, à moi, cette Troie où je cours  ? (J. Racine, Iphigénie, acte IV, scène vi.)
littéraire au dix-septième siècle (Villemain, Discours d’ouverture du cours d’éloquence française, 1824). 13° Analyse litt
Vida : Art poétique (3 liv. en vers latins, 1527) ; Hugues Blair : Cours de Rhétorique et de Belles lettres, traduit de l’
Pellissier, Principes de Rhétorique française, in-12, 1873 A. Henry, Cours pratique et raisonné de style et de composition,
er tercet reparaissent alternativement comme refrain, pendant tout le cours du poème, et deviennent aussi le dernier vers de
rapports sur les procès, les mercuriales, les discours de rentrée des cours et tribunaux. C’est encore dans l’antiquité qu’il
région des théories abstraites. Fénelon, Voltaire, Diderot, La Harpe ( Cours de littérature) n’échappent pas toujours à ce rep
ittéraires, études et portraits, monographies, etc.). Ex. Villemain, Cours de littérature au moyen âge, — au dix-huitième si
rature au moyen âge, — au dix-huitième siècle. — Saint-Marc Girardin, Cours de littérature dramatique, — Nisard, Histoire de
55 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XVII. » p. 114
it ce grand cœur d’où est sorti le mot du vieil Horace. » (V. Cousin, Cours d’Hist. de la Philos. mod., 1re série, t. II, leç
56 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
fe la vue de l’objet dont elle s’occupe. Jamais il ne faut arrêter le cours des pensées pour chercher autour de soi des figur
u au sentiment. Exemples : Eh ! que m’a fait à moi cette Troie où je cours  ? Racine. Puissé-je de mes yeux y voir tomber
t-à-dire qu’elle n’offre pas d’interruption ; mais que, dans tout son cours , elle suive l’idée qu’elle a présentée à son débu
et de l’harmonie de la conclusion ou de la cadence finale. Durant le cours de la période, la terminaison de chacun de ses me
pos. Ces repos doivent être distribués de manière à ne point gêner le cours ordinaire de la respiration, mais avoir une propo
plein de fleurs lentement se promène, Qu’un torrent débordé qui d’un cours orageux Roule plein de gravier sur un terrain fan
57 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XX. des qualités accidentelles du style. — élégance, finesse, naiveté, enjouement  » pp. 274-288
s vallons, où par mille détours Inachus prend plaisir à prolonger son cours , Ce fut sur son charmant rivage Que sa fille vola
que cette pratique est un empiétement et une profanation. » Geruzez, Cours de littérature. 91. Il est évident que le défaut
58 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Poètes
istence agitée, Marot a toujours écrit ; il en a semé de vers tout le cours et toutes les étapes. À la première partie de sa
A rendre sans argent cent créditeurs contens. Je vays, je viens, je cours , je ne perds point le temps, Je courtise un banqu
déserts, Tantost par les taillis, verte maison des cerfs. J’aimois le cours suivy d’une longue riviere, Et voir onde sur onde
e et les vens, Les propres qualitez des mois s’entresuivans Ont leurs cours et leur estre, et qui par destinees, Des empires
Il oit sourdre à bouillons les sources fontainieres ; Il contemple le cours des bruyantes rivieres : Ce qui lui fait alors un
fession L’ennuy qui rend mes yeux si fertiles en larmes Durant le cours des maux dont je suis oppressé, Ce n’est point, ô
le vent, Avecques un bonjour amis comme devant. Je n’entends point le cours du Ciel, ny des planetes : Je ne sçay deviner les
e son estre et de son origine ; Comme le Ciel mobile, esternel en son cours , Fait les siècles, les ans, et les mois, et les j
un grand bruit ; Mais entre les veneurs personne ne le suit D’un tel cours que le roy volant par la campagne, Et Fontaines,
eurs dont Parnasse m’honore Non loin de mon berceau commenceront leur cours  : Je les possedai jeune, et les possede encore A
es plus beaux de mes jours Dessus les rives d’Oyse ont commencé leurs cours . Soit que je prisse en main le soc ou la faucille
imez à vivre ; Et faites que de vos beaux jours Le long et le fortuné cours De toutes craintes nous delivre. Conservez-vous p
omède de Corneille, il est venu le premier (voir Saint-Marc Girardin, Cours de Litt. dramat., leçon XXI) ; et son Venceslas (
pied toucher ma sépulture, De ces derniers instans dont il presse le cours , Ce que j’ôte à mes nuits je l’ajoute à mes jours
r de César, qu’un peuple entier t’envie, Ne peut durer au plus que le cours de sa vie ; De celle de ton Dieu, non plus que de
on Dieu, non plus que de ses jours, Jamais nul accident ne bornera le cours . J’ai vu, ciel, tu le sais, par le nombre des âme
ffront : Il saura faner vos roses Comme il a ridé mon front. Le même cours des planètes Règle nos jours et nos nuits : On m’
sous vos sombres asiles853 ! Quand pourront les neufs Sœurs, loin des cours et des villes, M’occuper tout entier, et m’appren
s bords. On ne blâmera pas vos larmes innocentes : Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes : Chacun attend de vous
ma muse, aussi bien que mes jours, Touche de son déclin l’inévitable cours , Et que de ma raison le flambeau va s’éteindre, I
.     L’usage des vrais biens répareroit ces maux : Je le sais, et je cours encore à des biens faux… Si872 faut-il qu’à la fi
mot en passant. Tu changes tous les jours de manière et de style ; Tu cours en un moment de Térence à Virgile : Aussi rien de
sseau, Molière a été spirituellement défendu par Saint-Marc Girardin ( Cours de litt. dram. XIIIe leçon), et sa cause est gagn
n voit de fâcheux tous les jours Venir de nos plaisirs interrompre le cours  ! Tu me vois enragé d’une assez belle chasse Qu’u
sais son innocence ; Je vous réponds pour lui de son obéissance. J’y cours . Je vais presser un entretien si doux. NÉRON. Dan
vallons, où, par mille détours, Inachus prend plaisir à prolonger son cours , Ce fut sur ce charmant rivage Que sa fille volag
j’attendrai la vieillesse. Ainsi, lorsque la mort viendra rompre le cours Des bienheureux momens qui composent mes jours, J
’est ailleurs qu’il faut chercher Voltaire. La liberté Dans le cours de nos ans, étroit et court passage, Si le bonheu
il pas présent sous ces augustes voiles, Dirigeant d’un coup d’œil le cours silencieux De ces globes brillans dispersés dans
rer des vers. Quand pourrai-je aux jours de l’automne, En suivant le cours de ton eau, Entendre et le bois qui frissonne Et
t qui dans ton onde Vomit sa fange vagabonde, N’en sauroit altérer le cours … Mais si tu crains la tyrannie D’un monstre jalo
u, si l’on veut, à cette « école », comme dit M. Saint-Marc Girardin ( Cours de litt. dram., IX), qui exprime fidèlement ce qu
e1300. Au réveil, voyant mes pleurs, Il me dit : Bonne espérance ! Je cours , de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la Fran
ps ! suspends ton vol1330 ; et vous, heures propices, Suspendez votre cours  : Laissez-nous savourer les rapides délices Des p
s sont rompus, Le fleuve, renouant ses flots interrompus, Trace à son cours d’argent des méandres sans nombre, Se perd sous l
bruit ! Ce sommeil, qui d’en haut tombe avec la rosée Et ralentit le cours de la vie épuisée, Semble planer aussi sur tous l
deux fois l’ordre céleste. Me préservent les dieux d’en prolonger le cours  ! En esclave attentif, ils m’appellent, j’y cours
x d’en prolonger le cours ! En esclave attentif, ils m’appellent, j’y cours  ! Et vous, si vous m’aimez, comme aux plus belles
aines et des fleurs les gracieux royaumes, Et des fleuves aux mers le cours était réglé Dans un ordre parfait qui n’était pas
ère appelle. J’aime leurs murs verdis, par l’eau du ciel lavés, Leurs cours où l’herbe croît à travers les pavés ; Au sommet
la jeune feuillée Et les nids palpitants s’éveillent à la fois. Les cours d’eau diligents, aux pentes des collines, Ruissel
sis, Aux lueurs de la lune écoutant les récits1550 ? Non, par-delà le cours des heures éphémères, Son âme est en voyage au pa
Semblançay. 85. Pour cela. 86. Malgré les mauvaises chances que je cours . 87. Je connais d’autant mieux l’histoire. 88.
La Fontaine, Fabl., XI, 4 : Quand pourront les Neuf Sœurs, loin des cours et des villes, M’occuper tout entier, et m’appren
cte et finit à la scène 6e du IVe acte de la pièce de Rotrou. Dans le cours du rôle d’Adrien qu’il joue, Genest, touché de la
exprimées avec plus de grandeur et d’énergie. » (Saint-Marc Girardin, Cours de littér. dramat., XVIII.) 815. Don Sanche d’A
ontre avec le premier, qui l’a retardé en l’emmenant à la comédie, au cours (Voir le Recueil des classes de grammaire). Nous
ault, les intermèdes ; Lulli, la musique. — Voir Saint-Marc Girardin, Cours de littér. dram., LI. — Un tableau célèbre de Gér
inébranlable. Le ciel est sous ses pieds ; de mille astres divers Le cours toujours réglé l’annonce à l’univers. La puissanc
ppui, Se prêtent les clartés qu’ils reçoivent de lui. Au-delà de leur cours , et loin dans cet espace, Où la matière nage, et
tache ineffaçable du sang de leur victime. Ducis (voir M. Villemain, Cours de litt. du xviiie s., 44e leçon) a imité ce dra
’ironie, redresseurs de torts. 1378. Nom donné dans les Pyrénées aux cours d’eau qui descendent des montagnes. 1379. Le poè
s heureux ressorts de la tragédie de Ponsard. » (Saint-Marc Girardin, Cours de litt. dram., LX.) Lucrèce nous rendait donc,
59 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre II. Études du Prédicateur. »
xe. L’empereur Julien s’était proposé d’établir, dans ses temples, un cours de prédications, formé sur le plan des chaires ch
60 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PRÉAMBULE. » pp. -
s le texte qu’il doit analyser. Dès lors, il lui sera facile, dans le cours de ses leçons, de dire des choses claires, précis
61 (1882) Morceaux choisis des prosateurs et poètes français des XVIIe, XVIIIe et XIXe siècles. Cours supérieur. Poètes (2e éd.)
Préface Les deux volumes de notre cours supérieur ont pour objet principal d’initier séri
large part dans le programme des humanités. Ici, comme dans tous nos Cours , le dix-septième siècle domine ; mais il ne figur
ls se trouvent, chez les contemporains ! Voilà pourquoi dans tous nos Cours , et spécialement dans notre Cours supérieur, nous
ains ! Voilà pourquoi dans tous nos Cours, et spécialement dans notre Cours supérieur, nous avons fait une belle place au dix
urs dont Parnasse m’honore, Non loin de mon berceau commencèrent leur cours  ; Je les possédais jeune, et les possède encor   
rence approuvant mes discours, De ce premier torrent laissa passer le cours . Mais bientôt, rappelant sa cruelle industrie, Il
Nous promet un destin aussi grand que le leur. C’est à Troie, et j’y cours  ; et, quoi qu’on me prédise, Je ne demande aux di
in ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y vient finir son cours  ; Que du Scythe avec moi l’alliance jurée De l’Eu
tacle dans sa poursuite, C’est prétendre arrêter un torrent dans son cours . Valère. Je ne crois pas, monsieur, qu’on fût si
d’un vol affreux vienne fondre sur moi, Soit que le ciel me garde un cours long et tranquille, À Rome ou dans Paris, aux cha
trop de vitesse ; Mon indolence et ma paresse N’en peuvent arrêter le cours . Déjà la vieillesse s’avance, Et je verrai dans p
viendront après moi ! M. Baliveau. Va ! malheur à toi-même, ingrat ! cours à ta perte ! À qui veut s’égarer la carrière est
projets se répandent. Le parodiste oisif et les forains t’attendent. Cours , après t’être vu, sur leur scène, avili, De l’opp
les vastes plaines du ciel. Quelle intelligence secrète Règle en son cours chaque planète Par d’imperceptibles ressorts ? Le
vait été trop entachée de pruderie et de préciosité, et du jargon des cours dont elle avait revêtu la livrée, la langue avait
u fond des vieilles tours, D’illustres pénitents fuir le monde et les cours . La voix des passions se tait sous leurs cilices 
trape comme un ange,     Et loge près de l’Hôtel-Dieu. »     Vite je cours chez mon Apelle,     J’arrive, et ne sais où j’en
ite. Au réveil, voyant mes pleurs, Il me dit : « Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs Sous Paris venger la France.
soleil se lève.         Toujours, toujours Tourne la terre où moi je cours  ; Toujours, toujours, toujours, toujours. Depuis
que Dieu venge.         Toujours, toujours Tourne la terre où moi je cours  : Toujours, toujours, toujours, toujours. De
fférents parlent de nos misères, Amusent de nos pleurs l’oisiveté des cours  ; Et nous sommes chrétiens, et nous avons des frè
trace aimée, Empreinte sur ses flocons blancs. Adieu, flots, dont le cours tranquille, Couvert de berceaux verdoyants, À ma
eil ou commence ou s’achève, D’un œil indifférent je le suis dans son cours  ; En un ciel sombre ou pur qu’il se couche ou se
use, Où des arbres géants, dans l’onde enracinés, Répandaient sur son cours leurs rameaux inclinés. La végétation, sous leur
, Le moine arrive au bout, il voit l’espace ; L’eau suit toujours son cours accoutumé, Et la colline est à la même place. Le
ute. « Ce qu’elle a dit, je l’ai bien entendu ; Mon cœur le sait, je cours l’ouïr encore Près de l’oiseau qui chante un bien
rêts vierges Où l’herbe épaisse fume au soleil du matin ; Le long des cours d’eau vive encaissés dans leurs berges,         S
lembert, du 25 mars 1758. 117. Préface d’Œdipe. 118. Voir Geoffroy, Cours de littérature dramatique, t. III, p. 50. 119. V
ge à la mode. 144. Lycée, 3e p., liv. Ier, ch. v, sect. III. 145. Cours de littérature dramatique, t. II, p. 449. 146. A
nt rendu justice aux poètes classiques, La Fontaine excepté, dans son Cours familier de littérature. 235. Confidences. 236
62 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
es d’un autre, et qu’on eut vu successivement les neuf archontes, les cours de justice, le sénat des cinq cents, les officier
nt choses tous les jours Qui pourraient mieux aller, suivant un autre cours  ; et plus d’un trait que nous retrouvons dans le
is Racine (1692-1763) ; enfin le Lycée, de La Harpe (1739-1803) et le Cours de littérature, de Marmontel. [13] (18 août 
omain dans le jugement qui précède. Par suite de la légende qui avait cours alors sur le caractère romain, le mot romain étai
ination romaine. Il s’est donc servi, en poète, des idées qui avaient cours de son temps sur les Romains ; il les traite en o
ter dans mon entreprise, et je me flatte de l’espérance que, si je ne cours dans cette carrière avec succès, on me donnera au
se dégager d’un événement si douloureux, et qui va le guider dans le cours de son éloge funèbre, à savoir, que la gloire hum
Paris, librairie Croville-Morant et Foucart, 6 fr. 2. V. Précis d’un cours de Littérature, p. Ch. Urbain, chap. I, art. 4, p
rt, 20, rue de la Sorbonne. Prix 2,75. 3. V. Ch. Urbain. Précis d’un cours de littérature, chap. I, art. 1, p. 135. 4. Ch. 
e littérature, chap. I, art. 1, p. 135. 4. Ch. Urbain. — Précis d’un cours de littérature, chap. II, art. 2., p. 234. 5. V.
nt et Foucart, 20, rue de la Sorbonne). 8. V Ch. Urbain, Précis d’un cours de littérature, chap. I, art. 1, p. 168 et 175.
is du baccalauréat, t. I, p. 553 sqq. 15. V. Ch. Urbain, Précis d’un cours de littérature, chap. I, art. 4, p. 156 et 178.
63 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Corneille 1606-1684 » pp. 310-338
t’attend partout, et partout suit tes pas ; Fuis-la de tous côtés, et cours où tu voudras, Tu n’éviteras pas sa rencontre as
Accablé des malheurs où le destin me range, Je vais les déplorer. Va, cours , vole, et nous venge. (Scène.v.) Don Diègue
ront : Il saura faner vos roses, Comme il a ridé mon front. Le même cours des planètes Règle nos jours et nos nuits : On me
64 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
lumière, les vapeurs et le dessin des montagnes ; la rudesse même du cours du Tibre ; les troupeaux de cavales demi-sauvages
le fournira : « Synthèse : Faut-il, Abner, faut-il vous rappeler le cours Des prodiges fameux accomplis en nos jours, Des t
65 (1868) Morceaux choisis des écrivains contemporains à l’usage des classes supérieurs de l’enseignement classique et spécial. Prose et poésie
n, de résistance, lorsque ses vils calomniateurs suçaient le lait des cours et vivaient de tous les préjugés dominants. Que m
qui la menacent, une fièvre sans frisson, comme sans délire, hâte le cours du sang dans les veines ; chaque effort dans une
s sur cette fête que ramènent chaque année le mois le plus doux et le cours de l’astre le plus mystérieux. On croit entendre
r deux espèces de vallées, on aperçoit les ruines du pont Babyx et le cours de l’Eurotas. De l’autre côté du fleuve, la vue e
cette vue à l’est, entre la citadelle et l’Eurotas, parallèlement au cours du fleuve, on placera la tribu des Limnates, le t
ifer, car je n’ai point aperçu de cygnes dans ses eaux. Je suivis son cours , espérant rencontrer ces oiseaux qui, selon Plato
de et rougeâtre, forment contraste avec la fraîcheur et la verdure du cours de l’Eurotas. Sur la rive droite, le Taygète dépl
autre ouvrage, fruit de la disgrâce momentanée de M. Guizot, dont le cours avait été suspendu en 1825, ajoutait encore à sa
obstacles et ménageait à son auditoire tant d’heureuses surprises. Le cours de M. Villemain marqua l’avènement de Cette forme
e naturel ; les forteresses étaient bien moins nombreuses que vers le cours du haut Rhin ; et le pays, coupé de marécages et
x de l’exécuter à l’avenir. Cependant la maladie mortelle suivait son cours  ; le plus jeune des deux enfants succomba le prem
e forme définitive et personnelle qu’aux deux premières parties de ce cours  ; les dernières leçons recueillies par la sténogr
is d’une santé depuis longtemps menacée le forçaient de suspendre son cours . Ce fut en Italie, pendant l’hiver de 1835, qu’il
parfaite, une invariable harmonie entre la pente de ses désirs et le cours des choses laisserait peut-être sa raison éternel
remiers essais de sa plume. Venu à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’histoire à l’Athénée ; de brillantes leçons sur
sa position, quoique mal construit, embrasse de ses feux, à droite le cours de la Dora-Ballea, à gauche la rue allongée qui f
, Vous qui ne soupirez que pour l’or du Pactole, Et vous qui dans les cours volez avec ardeur Après ce rien brillant qu’on a
de sa vive splendeur, Dans ta course éternelle, atteste sa grandeur ; Cours proclamer son nom du couchant à l’aurore ; De l’a
s proclamer son nom du couchant à l’aurore ; De l’aurore au couchant, cours l’annoncer encore ! Et toi, modeste sœur du grand
s quand vos mâles discours Du siècle où nous vivons me retraçaient le cours  : Ici, du dictateur la victoire fatale ; Là, Rome
-vous ces douloureux discours ? C’est de votre infortune éterniser le cours . Le malheur n’est vaincu que par la résistance :
une tante, aubergiste à Péronne ; il suivit même dans cette ville les cours d’une école établie selon les principes de Rousse
invite. Au réveil voyant mes pleurs, Il me dit : Bonne espérance ! Je cours de tous ses malheurs, Sous Paris, venger la Franc
ète expression. Un célèbre philosophe de l’Allemagne, Hegel, dans son cours d’Esthétique392, a remarqué avec raison que l’épo
ns ses précédents arrêtés. 3. M. Villemain, dans la 53e leçon de son Cours de littérature française au dix-huitième siècle.
e d’un type inconnu. » 250. Ce discours était la première leçon du cours de morale professé par M. Jouffroy à la faculté d
puis 1789. Introduction. 274. M. Villemain, dans la 44e leçon de son Cours de littérature au dix-huitième siècle, raconte av
M. Villemain a cité avec éloges un fragment dans la 43e leçon de son Cours de littérature au dix-huitième siècle, est plein
n lira avec profit sur Marie-Joseph Chénier la 58e et la 59e leçon du Cours de la littérature française au dix-huitième siècl
66 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
Préface de la troisième édition. Cette troisième édition de notre Cours de littérature ne diffère pas notablement de la p
améliorations que le public a déjà parfaitement appréciées dans notre Cours élémentaire de rhétorique. Les caractères typogra
fait est violée quand le péril du principal personnage cesse dans le cours de la pièce. Tel est le défaut de la tragédie des
urant ce genre de comédies pour ne point laisser de lacune dans notre cours  ; mais ces pièces, presque toujours licencieuses
et pompeux, L’astre qui mesure Les nuits et les jours, Commençant son cours , Rend à la nature Toute sa parure, Jusqu’en ces c
Pauvre mère !… ton fils est mort ! (J. Reboul.) Questionnaire du cours de littérature Notions préliminaires. 1.
ii ; Pérennès, Principes de littérature, 1re et 2e part. ; Collombet, Cours de littérature profane et sacrée, ch. ier  ; l’ab
à l’Académie ; Blair, Leçons de littérature, IIIe partie ; Collombet, Cours de littérature profane et sacré, ch. iii ; Ernest
II, ch. iii ; Crevier, Rhétorique française, IIIe partie ; Collombet, Cours de littérature, section Ire, chap. iii. 9. Auteu
nstruction oratoire : Marmontel, Éléments de littérature ; Collombet, Cours de littérature, sect. 1re, ch. v. 11. Auteurs à
xercice des classes supérieures, et notre Manuel de la Traduction, ou Cours théorique et pratique de la version grecque et la
rhétorique, leç. 35, 36, 37 ; Marmontel, art. Narration ; Collombet, Cours de littérature, sect. Ire, ch. vi ; De Calonne, T
r : Marmontel, Éléments de littérature, art. Description ; Collombet, Cours de littérature, ch. vi, art. ii. 17. Voir notre
lettres, chap. viii ; Victor Hugo, Préface de Cromwell ; F. Schlegel, Cours de littérature dramatique ; Saint-Marc Girardin,
torique, leç. xl ; Marmontel, art Didactique, Descriptif ; Collombet, Cours de littérature, sect. II, chap. iii. 26. Auteurs
érature, art. Épigramme, Épitaphe, Énigme, Ballade, etc. ; Collombet, Cours de littérature, sect. II, ch. ii.
67 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
emplit que les dates, et à mesure que dans leurs lectures ou dans les cours qu’ils suivaient, un fait important arrivait à le
ollicitation des personnes auxquelles il l’avait soumis, qu’il fit un cours complet de rhétorique et de critique. Il en comme
autant de clarté que de méthode. Pendant que Blair s’occupait de son cours de belles-lettres, un autre genre de travail lui
de goût que de génie, Blair sut faire de ses Leçons de Littérature un cours d’instruction utile à la jeunesse, une introducti
es nuances délicates des sentiments qui doivent nous affecter dans le cours de notre vie. Les dissertations qui ont pour obje
els il soit plus difficile de s’exprimer avec précision ; et, dans le cours de cet ouvrage, aucun ne nous paraîtra plus aride
ce ; mais dans la répartition de celles qui ne doivent qu’embellir le cours de notre vie, elle a accordé ses faveurs avec bie
e employés sans qu’on y attache aucune idée précise. En commençant un cours de Lectures où ces expressions doivent se rencont
s ne puissent quelquefois se rapprocher beaucoup l’une de l’autre. Un cours d’eau paisible, par exemple, est un des beaux obj
. Ils vivaient errants et dispersés, n’avaient aucune connaissance du cours naturel des choses, et chaque jour se trouvaient
urnerait des autres matières qui réclament notre attention pendant le cours de ces Lectures. Mais je me propose d’entrer en q
employer le style figuré. Ainsi, lorsque je parle de la vertu dans le cours de la conversation, ou dans une proposition quelc
que, lorsqu’il est nécessaire d’intercaler quelque accessoire dans le cours d’une phrase, il n’y soit pas jeté au hasard, mai
grâce et de la beauté, et l’esprit du lecteur en suit avec plaisir le cours doux et facile. Je passe maintenant à la seconde
observer pour maintenir cette unité. La première, c’est que, dans le cours d’une phrase, la scène ne change que le moins qu’
expression vulgaire et puis, lorsqu’elle revient trop souvent dans le cours de la conversation. Nous citerons pour exemple un
rai plus qu’une règle sur la force dans les phrases. Lorsque, dans le cours d’une période, on compare deux choses l’une à l’a
faciles et agréables à prononcer flattent toujours l’oreille. Dans le cours d’une période, à la fin de chaque membre est une
es princes sont comme ces grandes rivières dont tout le monde voit le cours , mais dont peu de personnes connaissent la source
avons précédemment fait observer, elles peuvent convenir même dans le cours de la conversation ordinaire ou d’un froid raison
i de l’objet qu’il veut décrire, car jamais il ne faut interrompre le cours de ses pensées pour les rechercher. Elles produis
t les moins recherchés ; ils se présentent d’eux-mêmes, et suivent le cours des pensées qu’on exprime. Un homme de génie conç
lions jamais que lorsqu’un écrivain n’emploie que ce style pendant le cours de toute une composition, il faut, pour soutenir
attention que l’on donne au choix des mots. Il ne faut pas arrêter le cours de nos pensées, ni refroidir notre imagination en
loquence grecque, Démosthène. Après avoir terminé la partie de ce cours qui a pour objet le langage et le style, nous all
sibles à tous, et le plus obscur artisan pouvait prétendre siéger aux cours suprêmes. Il est évident que, dans un tel état de
ours destiné à être prononcé en public. Après Périclès, et pendant le cours de la guerre du Péloponnèse, nous voyons paraître
fantastiques que ne pouvaient jamais offrir ni la vie commune, ni le cours des affaires, et l’on ne manquait pas d’y prodigu
uelquefois les avocats. À la tribune, les arguments doivent suivre le cours de la discussion, et comme il est impossible de p
la guerre, étalés aux yeux des combattants ; il savait que, selon le cours ordinaire des choses, l’absent est dépouillé par
e la conclusion de son plaidoyer. Cicéron est ici, comme dans tout le cours de cette harangue, extrêmement simple et modéré ;
ue les introductions tirées de quelque chose qui a été dit pendant le cours du débat ont toujours une grâce particulière, et
u’il a tirés de la plupart des langues de l’Amérique ; et, d’après le cours naturel des opérations de l’esprit humain’, il ne
position qui se rapporte à un substantif ou à un verbe placés dans le cours de cette phrase. (Note du Trad.) 34. Spectateur
68 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre quatrième. De la disposition oratoire, ou de l’Ordre mécanique du discours. — Chapitre II. Application du chapitre précédent au discours de Cicéron pour Milon. »
est grand et vraiment beau, nous paraît suffisamment établie dans le cours de cet ouvrage, nous devons à la vérité et à Cicé
xil le courage qu’il avait déployé pendant son tribunat, et durant le cours de son procès ; et se montra digne, jusqu’à la fi
69 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre cinquième. De l’Éloquence des Livres saints. — Chapitre II. De l’emploi des figures dans les écrivains sacrés. »
rrêterons spécialement à celles que nous avons fait connaître dans le cours de notre ouvrage, et que nous avons appuyées des
a puissante faveur. De ses triomphantes années Le temps respectera le cours , Et d’un long ordre d’heureux jours Ses vertus se
70 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Lettre. A un ancien Elève de l’Ecole Militaire de Paris. » pp. 375-399
de la même compagnie. L’un et l’autre offrent pour toute l’année, un cours de morale bien propre à nous inspirer les réflexi
e mérite rare ne furent connus qu’après sa mort, et qui, dans tout le cours de sa vie, fut constamment attaché aux pratiques
71 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — J. Racine. (1639-1699.) » pp. 226-241
port me saisit ! quel chagrin me dévore ! Errante et sans dessein, je cours dans ce palais : Ah ! ne puis-je savoir si j’aime
horreur. Barbare, qu’as-tu fait ? avec quelle furie As-tu tranché le cours d’une si belle vie ? Avez-vous pu, cruels, l’immo
72 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
grave, méthodique et nerveux. Voulez-vous dévoiler les intrigues des cours et le manège des courtisans ? Que votre style soi
indres nuances des passions, et de faire connaître tout le manège des cours . Son coloris est mâle et vigoureux : tout ce qu’i
x, pour considérer la terre et tous ses habitants, la naissance et le cours des siècles, la suite et l’enchaînement des affai
73 (1882) Morceaux choisis de prosateurs et de poètes des xviii e et xix e siècles à l’usage de la classe de rhétorique
lent, elle a une action considérable sur le mouvement des idées5. Les cours du Nord se montrent curieuses de tout ce qui se f
oulève, et dont elle saisit la conscience nationale. Mais, pendant le cours même des événements, l’art n’existe pas à part, l
ire, sont de ces actions rares que l’on peut compter aisément dans le cours d’une longue vie ; et quand il ne faut être grand
ce ne prévale pas nécessairement dans tous les hommes et dans tout le cours de leur vie, sur tout autre amour ; mais non seul
erdus. Je ne connaissais point les insectes qui le visitaient dans le cours de la journée, encore moins ceux qui n’y venaient
n, de résistance, lorsque ses vils calomniateurs suçaient le lait des cours et vivaient de tous les préjugés dominants. Que m
qui la menacent, une fièvre sans frisson, comme sans délire, hâte le cours du sang dans les veines ; chaque effort dans une
ifer, car je n’ai point aperçu de cygnes dans ses eaux. Je suivis son cours , espérant rencontrer ces oiseaux, qui, selon Plat
de et rougeâtre, forment contraste avec la fraîcheur et la verdure du cours de l’Eurotas. Sur la rive droite, le Taygète dépl
systèmes. » Un autre ouvrage, fruit de la disgrâce de Guizot, dont le cours avait été suspendu en 1825, ajoutait encore à sa
16-1826), Villemain put déployer librement ses rares facultés, et son cours marque l’avènement définitif de cette forme supér
encore la religion elle-même444. Discours prononcé à l’ouverture du Cours d’Eloquence française (1822). Buffon écrivain.
x de l’exécuter à l’avenir. Cependant la maladie mortelle suivait son cours  : le plus jeune des deux enfants succomba le prem
e forme définitive et personnelle qu’aux deux premières parties de ce cours  : les dernières leçons, recueillies par la sténog
latine du Collège de France, que sa santé le forçait de suspendre son cours . Ce fut en Italie, pendant l’hiver de 1835, qu’il
parfaite, une invariable harmonie entre la pente de ses désirs et le cours des choses laisserait peut-être sa raison éternel
remiers essais de sa plume. Venu à Paris en 1822, M. Mignet ouvrit un cours d’histoire à l’Athénée ; de brillantes leçons sur
r. Peu à peu le palais de Fontainebleau était devenu désert. Dans ses cours silencieuses on avait quelquefois encore l’oreill
ent de quarante années sont sortis les meilleurs de ses ouvrages : le Cours de Littérature dramatique, ou De l’Usage des Pass
hevées sur la Vie et les Ouvrages de Jean-Jacques Rousseau (1875). Le Cours de Littérature dramatique est un livre désormais
sme a augmenté le jeu des passions dans le drame et dans l’épopée. Le Cours de Saint-Marc Girardin a été l’application et le
donné à la médecine. Pendant trois ans, de 1824 à 1827, il suivit les cours de l’école ; il fit même à l’hôpital Saint-Louis
Né à Dijon en 1674, et mort en 1762, Crébillon n’a donné, dans le cours de cette longue carrière, que neuf tragédies : Id
ue Rome, peut-être au mépris de ses droits, N’ait point interrompu le cours de vos exploits, Qu’elle ait abandonné Tigrane et
her ici d’inutiles discours593, Rome de mes projets veut traverser le cours  : Et pourquoi, s’il est vrai qu’elle en soit info
barbares soins ? Mon malheureux époux n’en expira pas moins ; Dans le cours triomphant de ses destins prospères, Il fut assas
r les peuples de la terre629 ; Dans une ellipse immense achevez votre cours  : Remontez, descendez près de l’astre des jours ;
, Fuyez le char glacé des sept astres de l’Ourse ; Embrassez, dans le cours de vos longs mouvements, Deux cents siècles entie
uter la voix de l’Éternel. Épitres, liv. La liberté. Dans le cours de nos ans, étroit et court passage, Si le bonheu
une tante, aubergiste à Péronne ; il suivit même dans cette ville les cours d’une école établie selon les principes de Rousse
invite. Au réveil voyant mes pleurs, Il me dit : Bonne espérance ! Je cours de tons ses malheurs, Sons Paris, venger la Franc
ète expression. Un célèbre philosophe de l’Allemagne, Hégel, dans son cours d’Esthétique 750, a remarqué que l’épopée et la p
tants gravitent en silence, Et nous-même, avec eux emportés dans leur cours , Vers un port inconnu nous avançons toujours. Sou
navire ; D’une écume brillante on voit les monts couverts Fendre d’un cours égal le flot grondant des airs ; Sur ces vagues d
u de la Littérature française au dix-huitième siècle, 8e leçon. 17. Cours historique et critique de Littérature, p. 185. 1
l’opéra comique, on lira un article intéressant de La Harpe dans son Cours de Littérature ; « De l’opéra comique et du vaude
ainte-Beuve : Chateaubriand et son Groupe littéraire sous l’Empire. : cours professé à Liège. Les Causeries du Lundi consacré
eil ou commence ou s’achève, D’un œil indifférent je le suis dans son cours  ; En un ciel sombre ou pur, qu’il se couche ou se
ve d’un type inconnu. » 488. Ce discours était la première leçon du cours de morale professé par Jouffroy à la faculté des
s le théâtre ; la pièce se jouait par moi et en moi. » 512. Dans son cours à la faculté des lettres, en 1835, Michelet répon
i toujours pensé que la morale devait avoir une grande place dans les cours des professeurs, et que, sans l’enseigner ex prof
Collège de DFrance, des leçons qui ont été publiées sous le titre de Cours d’Etudes historiques. M. Miguet a écrit son éloge
 : Vauvenargues, Réflexions critiques sur quelques poètes ; La Harpe, Cours de Littérature, siècle de Louis XIV, chap. ix ; V
606. Sur Voltaire poète, lire les analyses de ses tragédies dans le Cours de Littérature de La Harpe ; Villemain, Tableau d
ous êtes de m’avoir voulu tuer sans raison. » 622. On trouve dans le Cours de Littérature de La Harpe une analyse étendue de
es planètes autour du soleil, celui de la lune autour de la terre, le cours des comètes et le flux et le reflux de la mer. — 
depuis 1789, Introduction. 653. Villemain, dans la 44e leçon de son Cours de Littérature au dix- huitième siècle, raconte u
cœur. 732. Lire, sur Marie-Joseph Chénier, la 58e et la 59e leçon du Cours de la Littérature française au dix-huitième siècl
74 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre II. Qualités et devoirs de l’Orateur du Barreau. »
en pousse plus loin encore la délicatesse et le scrupule. Si, dans le cours de l’affaire, un examen plus approfondi des pièce
75 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
t que l’esprit de la jeunesse. Nous avons voulu qu’au sortir de leurs cours , les élèves des lycées et des colléges connussent
76 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
nt les études universitaires ont été incomplètes, ou qui ont éludé le cours de Rhétorique. Les uns, privés du secours d’une m
illance d’un maître éclairé ; et aujourd’hui, comme autrefois par mes cours de Versions latines, dictées à la Sorbonne, j’ai
ueur m’avez fait vaincu, de général, prisonnier. Quatre fois, dans le cours de cette année, vous vous êtes liés à moi par un
e assemblée qui pleurent eux aussi des enfants ayant succombé dans le cours de cette guerre ! » À ces mots, un frémissement
dards de la patrie, vous qui êtes appelés à la venger : précipitez le cours des destinées, faites agréer aux Dieux vos espéra
ils offrent un arbitrage : pendant que les négociations suivront leur cours , préparons-nous à la lutte. Ce parti est le meill
en faisant peser sur Rome une cruelle tyrannie et en donnant un libre cours à une fureur sacrilège, à une défiance mal dissim
, vous commettriez la même erreur que celui qui voudrait détourner le cours d’un fleuve sans remonter à sa source, et lui fai
77 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
e déjà vue, avec plus de détails même qu’on n’en peut donner dans les cours de rhétorique ordinaires, et nous passons à l’inv
yeux, et il voit avec indignation de faibles mortels, emportés par ce cours rapide, l’insulter en passant, vouloir faire de c
. En laissant de côté ici les mercuriales, ou discours de rentrée des cours et tribunaux, discours du genre démonstratif, don
n, de résistance, lorsque ses vils calomniateurs suçaient le lait des cours et vivaient de tous les préjugés dominants ; que
78 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »
i, après avoir terminé les classes de grammaire, veulent commencer un cours suivi, raisonné, progressif de littérature, où la
79 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Préface. »
s, et de nombreux extraits de bons auteurs, il est facile de faire un cours de Rhétorique c’est-à-dire un volume de 3 à 400 p
80 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
.) La mort de Madame prouve que tout est vain si nous regardons le cours de notre vie mortelle, que tout est précieux et i
même, de fixer notre idiome, « qui devenait jusque-là barbare dans le cours de peu d’années. » Tel fut le fruit des modestes
81 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
bords. On ne blâmera point vos larmes innocentes ; Vous pouvez donner cours à vos douleurs pressantes : Chacun attend de vous
Comme un torrent fougueux qui du haut des montagnes, Précipitant son cours , traîne dans les campagnes Arbres, rochers, troup
n cours, traîne dans les campagnes Arbres, rochers, troupeaux par son cours emportés, Ainsi de Godefroi276 les légions guerri
ce que tu leur dois. Ce jour mémorable l’atteste ; Jour qui borna le cours funeste De nos revers multipliés Et qui ressuscit
trop de vitesse. Mon indolence et ma paresse N’en peuvent arrêter le cours . Déjà la vieillesse s’avance ; Et je verrai dans
82 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
pas scrupule, par exemple, de changer le lieu de la scène pendant le cours du même acte. 425. La règle des unités ne présent
curiosité tenue en suspens. Cette situation où nous sommes durant le cours de l’action, est la cause unique du plaisir qu’el
La fortune des personnages intéressés dans l’intrigue est, durant le cours de l’action, comme un vaisseau battu par la tempê
a deux règles essentielles à observer. La première est que durant le cours d’un acte, le théâtre ne reste jamais vide. Par c
même on serait allé chercher le caractère de ses personnages dans les cours d’assises et jusque dans les bagnes. Cette opinio
83 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre premier. »
rement, du moment qu’il ne sait plus se commander à lui-même. Dans le cours de la harangue populaire la plus animée, il ne fa
84 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VIII. L’éloquence militaire. »
d’Ivri : « Mes compagnons, si vous courez aujourd’hui ma fortune, je cours aussi la vôtre. Je veux vaincre ou mourir avec vo
85 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Mignet Né en 1796 » pp. 261-264
ttention des compagnies savantes, le jeune lauréat fit à l’Athénée un cours sur la réforme et la révolution d’Angleterre. Ces
86 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Guizot Né en 1787 » pp. 247-250
la puissance. La sérénité Je serais surpris, monsieur, si le cours des années, et les enseignements de la vie ne pro
87 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXII. des figures. — figures par rapprochement d’idées semblables  » pp. 301-322
einture, de chimie ou de botanique, que vous aurez ramassées dans les cours de la faculté ou dans le feuilleton de la veille.
propos de Mornay, resté pur et intègre au milieu de la corruption des cours  : Relie Aréthuse, ainsi ton onde fortunée Roule
88 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
d’un particulier. De sorte que toute la suite des hommes, pendant le cours de tant de siècles, doit être considérée comme un
s suivantes, ensuite de cela, ensuite de quoi. 1. Dans nos anciennes cours de justice, où siégeaient des ecclésiastiques et
89 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Casimir Delavigne 1794-1843 » pp. 524-529
trace aimée, Empreinte sur ses flocons blancs. Adieu, flots, dont le cours tranquille, Couvert de berceaux verdoyants, A ma
90 (1881) Morceaux choisis des classiques français des xvie , xviie , xviiie et xixe siècles, à l’usage des classes de troisième, seconde et rhétorique. Prosateurs
sante unité du siècle de Richelieu et de Louis XIV, il n’a repris son cours qu’au siècle de Voltaire et de Rousseau, pour abo
louange de sa civilité et courtoisie, de n’avoir voulu interrompre le cours de sa declamation. Mais je foys doubte qu’on le p
erois bien une erreur accidentale, dequoy ie suis plein, ainsi que ie cours inadvertemment ; mais les imperfections qui sont
ivers, dont le monde est plein, les places publiques, les palais, les cours des grands ; que les tracas et le tumulte des aff
Tuileries, et fit sur son art des conférences (1575-1584), pendant le cours desquelles il publia le plus célèbre de ses ouvra
r soumission, lettres à ses agents et à ses diplomates, harangues aux cours souveraines, tout est de franche venue, de tour a
e crever la sienne. Pourquoy ? tu le sçauras de moy à Nerac ; hastes, cours , viens, vole ; c’est l’ordre de ton maistre et la
s, ny en tous lieux. Le juste est comme l’arbre qui est planté sur le cours des eaux, qui porte son fruict en son temps, parc
rmez les portes, les huys, les fenestres ! Miserable que je suis ! où cours -je ? a qui le dis-je ? Je ne sçay où je suis, que
ous anticipons l’avenir comme trop lent à venir, comme pour hâter son cours  ; ou nous rappelons le passé pour l’arrêter comme
la frayeur et dans son esprit par l’irrésolution, elle salit tout le cours de sa vie. M. de Longueville 344 étoit l’homme d
plaint de son jugement.   La flatterie est une fausse monnoie qui n’a cours que par notre vanité.   Les fous et les sots ne v
passer les beautés, et qui devenoit barbare à la France même dans le cours de peu d’années ? Quoi donc ? la langue françoise
ils faut-il-passer ? par combien de maladies ? À quoi tient-il que le cours ne s’en arrête à chaque moment ? Ne l’ai-je pas r
nos délibérations et à nos actions. Je m’explique. Nous avons dans le cours de la vie des passions à ménager, nous avons des
plus touchans qu’une mort soudaine et surprenante, qui a suspendu le cours de nos victoires, et rompu les plus douces espéra
, de foibles mortels, dans le temps même qu’ils sont entraînés par le cours fatal, l’insulter en passant, profiter de ce seul
voit de trop des bienfaits du Roi. Il en a été comblé pendant tout le cours d’une longue vie, et il a eu la gloire de ne lais
du chevalier de Gramont, la chronique de la jeunesse du comte et des cours de France et d’Angleterre. Ce petit livre a fait
us sensible pour s’abstenir des passions, c’est la mort : le meilleur cours de morale, c’est le tombeau. Allez sur le tombeau
Les faits sont passés sans retour ; les grands évènemens ont eu leur cours sans en faire attendre de semblables ; les révolu
entations ; cependant, en l’observant de près, on s’apercevra que son cours n’est pas absolument uniforme ; on reconnoîtra qu
ançaise ; — avec éloquence par La Harpe (1739-1803) dans son Lycée ou Cours de littérature ancienne et moderne, qu’on lira to
l’ébranler ; il s’abaisse jusqu’à la supplication, et donne un libre cours à ses soupirs et à ses plaintes. C’en est fait, l
par leur circuit et leur arrondissement. Disons plus ; c’est ce beau cours d’idées que Cicéron paroît suivre dans ses compos
C’étoit la dignité de la vertu même sur laquelle et les hommes et les cours et les rois ne peuvent rien. La grandeur qui étoi
ne à la bienveillance elle-même une façon piquante de s’exprimer ? Le cours des idées, depuis un siècle, a été tout à fait di
s, si nous nous massacrons ici. Vous avez bien d’autres affaires : le cours de l’argent, la hausse et la baisse, les faillite
t nous, placés sur notre petite nef intellectuelle, nous remontons le cours du fleuve et nous le descendons ; mais, d’un côté
ent son travail, son étude ; c’est sur les grands chemins et dans les cours , dans les fêtes, qu’il a recueilli les documents
civile et politique de la société gallo-romaine et franque ; dans ses cours publics, il a déroulé l’histoire philosophique de
upèrent les sept dernières années de sa vie… Plus d’une fois, dans le cours de son exil, Clarendon sollicita la permission, t
e bonne heure nous nous sommes proposé, et qui nous a soutenu dans le cours d’une carrière déjà longue, où les difficultés ne
gance et la vivacité spirituelle de sa parole et de sa plume dans les cours de l’Observatoire, qui popularisèrent la science
aux générations actuellement existantes ! Et vous croyez que, dans un cours de géologie, l’auditoire reste impassible lorsqu’
rère, Bailly, croyait devoir voter pour Sedaine. Plaçons-nous dans le cours ordinaire des choses, et il semblera difficile de
r. Peu à peu le palais de Fontainebleau était devenu désert. Dans ses cours silencieuses on avait quelquefois encore l’oreill
comme : Chateaubriand et son groupe littéraire sous l’Empire (1860), cours professé à Liège en 1848 ; Étude sur Virgile, fru
à Liège en 1848 ; Étude sur Virgile, fruit des travaux destinés à un cours , non professé, au Collège de France ; et surtout
sens finement assaisonné, et des aperçus nouveaux et pénétrants. Son Cours de littérature dramatique ou de l’usage des passi
son voyage ; éducateur populaire dans son Conseiller du peuple et son Cours familier de littérature, etc. ; Lamartine a toujo
de sable qui cachent la mer ; de l’autre, la plaine de Bagdhad et le cours du fleuve dans cette plaine, et un coin de golfe
ce ou par le coude d’un grand hôtel de pierre, se carrant à son aise, cours et jardins, ailes et corps de logis, parmi cette
créneaux, qui entaillait aux yeux la verdure des prés d’alentour, ces cours où reluisaient des hommes d’armes mêlés à des cha
érir dans le calice d’une fleur, sont deux époques semblables dans le cours de la nature. L’homme n’est rien qu’un fantôme, u
sifflai l’air des Folies d’Espagne, qui a la propriété de changer le cours de mes idées lorsqu’elles s’acheminent mal. L’eff
extrême facilité des impressions de l’enfance. À cet âge de repos, le cours de la vie ressemble à celui d’un ruisseau que sa
rappellerons, si l’on nous permet un souvenir personnel, que dans le Cours d’éloquence latine professé à la Sorbonne en 1845
u xve siècle. — L’auteur a conservé à la rédaction de ces pages d’un cours public leur caractère d’improvisation. On pourra
rs dont ce portrait est tiré, une apparition inattendue du général au Cours d’éloquence qu’il professait à la Sorbonne. 744.
744. La note qui accompagne le titre du premier extrait emprunté aux Cours de M. Villemain est applicable au présent extrait
s Débats ou de l’Empire (1800-1814), réunis depuis sous le titre de : Cours de littérature dramatique. 836. Célèbre acteur t
dant la Révolution française, même contraste. » (Saint-Marc Girardin, Cours de litt. dram., xlii.) En 1793, des bergeries éta
e d’étudiants pauvres de même nation ou de même province, suivant les cours des écoles de l’Université, établie et dotée par
91 (1885) Morceaux choisis des classiques français, prose et vers, … pour la classe de rhétorique
élévation morale qui n’émousse en rien la vivacité du trait, dans le Cours de littérature dramatique et dans Paris en Amériq
de sa vive splendeur, Dans ta course éternelle, atteste sa grandeur ; Cours proclamer son nom du couchant à l’aurore ; De l’a
s proclamer son nom du couchant à l’aurore ; De l’aurore au couchant, cours l’annoncer encore ! Et toi, modeste sœur du grand
ntiments de la cour. Ces gens-là, étant touchés du désir d’arrêter le cours des calamités-présentes, avaient le même objet, q
s comme un coup du ciel, dont il se fallait prévaloir pour arrêter le cours des désordres que le temps et la patience augment
ait à perdre du temps pour mieux saisir les occasions, croyant que le cours naturel des choses en offre de meilleures que l’e
tombait ensuite dans la nonchalance des hommes ordinaires. Pendant le cours de si nombreuses révolutions et de prospérités si
temps ! suspends ton vol ; et vous, heures propices, Suspendez votre cours  ; Laissez nous savourer les rapides délices Des p
r aux dépens de ses jours ? Et que m’a fait, à moi, cette Troie où je cours  ? Au pied de ses remparts quel intérêt m’appelle 
oreille à mes discours ; D’aucun mot, d’aucun cri, n’en interromps le cours  ; Tiens ta langue captive ; et, si ce grand silen
in ne me porte en deux jours Aux lieux où le Danube y vient finir son cours  ; Que du Scythe avec moi l’alliance jurée De l’Eu
unté, Que je reçus de Claude avec la liberté, J’ai cent fois, dans le cours de ma gloire passée, Tenté leur patience, et ne l
sottises imprimées n’ont d’importance qu’aux lieux où l’on en gêne le cours  ; que sans la liberté de blâmer, il n’est point d
cercle titré dont l’éclat vous transporte, À cent devoirs fâcheux je cours ouvrir ma porte. Mon appétit s’en va lorsque je v
es grandes expressions si souvent employées dans les remontrances des cours , et dans les ouvrages que les auteurs oisifs se p
ait. Les circonstances qui l’aiguisèrent ne se produiront pas dans le cours de plusieurs siècles. C’est dans la gloire seule,
de la nature, Buffon lui empruntera quelque chose de sa paix, de son cours régulier et majestueux. Voltaire, entouré de gens
t soumise, et dont nul grand homme n’est exempt. Voltaire. Le Cours de M. Villemain Villemain est un des derniers
eigneur, je ne puis faire davantage ! Pardonnez à mon infirmité et au cours des événements. » Je ne prétends être insensible,
on voit tout à coup Bethléem, de l’autre côté d’un ravin profond. Le cours de mes idées a changé avec autant de rapidité que
ain réclame le secours ! Attends-tu quelque ami, tu vas, tu viens, tu cours  ; « Nettoyez ce parvis, ces colonnes, que voile L
ard. Elles sont distribuées avec autant de soin que les matières d’un cours de morale. Cette énumération, qui semble négligen
92 (1852) Précis de rhétorique
le style. 3. L’on joint à ces trois parties, et comme complément d’un cours de Rhétorique, l’action ou le débit, qui regarde
ualité dans un écrivain. Avant de composer, il faut avoir fait un bon cours de grammaire. 2. Pour être correct, il faut savoi
l y a comparaison énergique entre les ruisseaux proprement dits et le cours d’un sang abondamment répandu, tandis que dans br
nt toute la vie, et que, pour cette raison, on doit apprendre dans un cours spécial22. 3. La lettre forme avec sa réponse une
ptique des divers genres de composition qu’on peut étudier pendant un cours de rhétorique. Petit traité de versific
pages 311 à 336. 21. Développements, pages 199 à 217. 22. Voir mon Cours de style épistolaire à l’usage des demoiselles. 2
93 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Cousin 1792-1867 » pp. 257-260
qui joint les deux parties de la ville, et d’où j’ai sous les yeux le cours sinueux de l’Elbe ; en face les montagnes de Piln
94 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Louis XIV, 1638-1715 » pp. 146-149
royauté À peine remarquons-nous l’ordre admirable du monde, et le cours si réglé et si utile du soleil, jusqu’à ce que qu
95 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Notes pour l’intelligence des exemples cités dans ce second volume. »
dans l’Étrurie (ou Toscane). Fabius, dictateur romain, interrompit le cours de ses victoires, par une sage lenteur et des mar
amais vue, et fut couronné empereur d’Occident en 800. Durant tout le cours de son règne, il fit éclater son respect, son amo
ie) et dont la vraie source est Phiala, auprès du mont Liban. Dans un cours de plus de 50 lieues, du nord au sud, il traverse
96 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
ial Louis-le-Grand A l’usage de tous les établissements d’instruction cours moyens grammaire et enseignement spécial Première
ès ou les transformations de la langue nationale, comme on descend le cours d’un beau fleuve dont les eaux s’abandonnent à le
d’une âme saine. GUSTAVE MERLET.   EXTRAITS DES CLASSIQUES FRANÇAIS ( COURS MOYENS) PREMIÈRE PARTIE PROSE Balzac 1596-1655
m’a point fait de mal, et vous m’en faites, et c’est pour vous que je cours le plus grand danger que je courrai en ce voyage.
chevaux de poste qui me tourmentiez. Mais il y a six jours que je ne cours plus, et je ne suis pas moins fatigué ; cela me f
ales ; car il y a cette extrême différence, que la violence n’a qu’un cours borné par l’ordre de Dieu, qui en conduit les eff
uittent jamais, et qu’ils éloignent, pour le continuer durant tout le cours de leur vie, tous les désirs sensuels ; qui voit,
ivre, soit qu’il n’eût pas bien pris sa route, il fut entraîné par le cours de cette rivière que les pluies avaient notableme
ts ou à une vertu solide. Il est vrai que les manières polies donnent cours au mérite et le rendent agréable, et qu’il faut a
blieront rien pour leurs plaisirs. Aux enfants tout paraît grand, les cours , les jardins, les édifices, les meubles, les homm
irent ; les ruisseaux formés parles trois fontaines suspendirent leur cours  ; les satyres851 et les faunes, pour mieux écoute
ormes pierres brutes, les blanchissant de son écume, formant dans son cours de profondes et larges ondes, parmi des masses ru
e gens qui leur appartiennent par leur dépendance, ou qui hantent les cours  : le reste leur échappe, et ne peut exciter ni le
1537, car je n’ai point aperçu de cygnes dans ses eaux. Je suivis son cours , espérant rencontrer ces oiseaux qui, selon Plato
de et rougeâtre, forment contraste avec la fraîcheur et la verdure du cours de l’Eurotas. Sur la rive droite, le Taygète dépl
s sur cette fête que ramènent chaque année le mois le plus doux et le cours de l’astre le plus mystérieux. La fête des roi
lacé. Les talents de l’esprit que tu dispenses s’affaiblissent par le cours des ans ; la voix perd sa fraîcheur, les doigts s
porte, et quels motifs m’ont détourné de suivre, il y a cinq ans, le cours des projets que j’avais conçus pour leur gloire e
encore la religion elle-même1671. (Discours prononcé à l’ouverture du cours d’éloquence française (1822). Montaigne Dan
qui joint les deux parties de la ville, et d’où j’ai sous les yeux le cours sinueux de l’Elbe ; en face les montagnes de Piln
ttention des compagnies savantes, le jeune lauréat fit à l’Athénée un cours sur la réforme et la révolution d’Angleterre. Ces
es esprits. C’est qu’un moraliste se cache sous le lettré ; aussi son cours de littérature dramatique est-il une histoire de
n de donner plus de relief à la passion, l’efface et la détruit1742. ( Cours de littérature dramatique. — Ed, Charpentier.)
à son front les cicatrices du martyre ; mais ni le sang versé, ni le cours des siècles ne lui avait ôté la jeunesse du corps
, un amas de monuments gothiques et grecs, d’églises, de collèges, de cours , de portiques, distribués à profusion, mais avec
parce que c’est l’asile de tous ceux qui le veulent. On traverse des cours silencieuses, en rencontrant çà et là des jeunes
ue, la plus familière, la plus soudainement tonnante. Il roule en son cours des trésors d’éternelle morale humaine. Il est un
mploi qu’il en a fait, et qui l’a laissé planer librement sur tout le cours de sa vie, a trouvé le secret de finir comme Roll
. Comparez à une page de Louis XIV sur la royauté. (Recueil de prose, cours supérieurs.) 499. Latinisme. Que dire de plus ?
ient ses vagues fugitives ; Il dédaigne de suivre, en se creusant son cours , Dos vallons paternels les gracieux détours ; Mai
s sont fortes et originales. Il est regrettable qu’elles n’aient plus cours . 655. La Bruyère a dit : « Le sage guérit de l’a
s et les rochers quittaient leur place, les fleuves suspendaient leur cours , les bêtes féroces s’attroupaient autour de lui p
nce dans sa chambre. 1112. On entend par étiquette le cérémonial des cours . 1113. Une Cantate est un petit poëme, mis en mu
retiré. 1350. Comparez la grotte de Jocelyn (Lamartine). Voir notre Cours élémentaire 1351. Quelle fine et voluptueuse an
t un lugubre murmure, De ses flots mutilés étaler la torture, Et d’un cours insensé s’enfuyant au hasard, En cent torrents br
97 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre VIII. de la disposition. — unité, enchainement des idées  » pp. 98-117
nnaître ce que nous sommes. Ce penchant infortuné qui souilie tout le cours de la vie des hommes, prend toujours sa source da
rimes qui les attendent : l’indécence du siècle et l’avilissement des cours honorent même d’éloges publics les attraits qui r
98 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Notions préliminaires. »
qu’à courir de victoire en victoire. Je me fatiguerais à te tracer le cours Des outrages cruels qu’il me fait tous les jours.
lein de fleurs lentement se promène, Qu’un torrent débordé, qui, d’un cours orageux, Roule, plein de gravier, sur un terrain
99 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Bossuet 1627-1704 » pp. 65-83
. Comparez à une page de Louis XIV sur la royauté. (Recueil de prose, cours supérieurs. 1. Remarquez avec quelle aisance se
ient ses vagues fugitives ; Il dédaigne de suivre, en se creusant son cours , Des vallons paternels les gracieux détours ; Mai
100 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117
ts ou à une vertu solide. Il est vrai que les manières polies donnent cours au mérite et le rendent agréable, et qu’il faut a
poste, c’est un débordement de louanges2 en sa faveur qui inonde les cours et la chapelle, qui gagne l’escalier, les salles,
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