de noms, le nom commun et le nom propre. Le nom commun est celui qui
convient
à plusieurs personnes ou à plusieurs choses sembl
les : homme, cheval, maison, sont des noms communs ; car le mot homme
convient
à Pierre, à Paul, etc. Le nom propre est celui qu
homme convient à Pierre, à Paul, etc. Le nom propre est celui qui ne
convient
qu’à une seule personne ou à une seule chose, com
l, ciel, œil, font au pluriel aïeux, cieux, yeux. 1. Le non commun
convient
à toutes les personnes, à toutes les choses sembl
s, à toutes les choses semblables ou de la même espèce. Le nom propre
convient
à une ou à plusieurs personnes, à une ou à plusie
s, Antoine, etc. Il n’est donc pas exact de dire que le nom propre ne
convient
qu’à une seule personne. 1. Les noms en ou prenn
ualités générales celles qui sont invariables et essentielles, et qui
conviennent
par conséquent à toute espèce de composition. Les
ainsi que les expressions basses ou triviales. Cette qualité du style
convient
à tous les sujets, même aux plus simples ; et Boi
ents, c’est-à-dire si l’on donne au style les seuls agréments qui lui
conviennent
relativement au sujet. Il y a des phrases, des mo
ffrance. Pars, mon enfant : c’est pour ton bien. 138. A quels sujets
convient
le style simple ? Le style simple s’emploie géné
tre espèce de naïveté, qu’on nommerait mieux ingénuité, est celle qui
convient
aux récits destinés à l’enfance. C’est de cette q
la narration, sur laquelle il répand du froid et de la sécheresse, il
convient
aux proverbes, aux sentences, aux devises armoria
ins éclatant que le style sublime, tient le milieu entre les deux, et
convient
surtout aux sujets agréables. On l’appelle encore
re, de Delille, de Chateaubriand et de Lamartine. 155. A quels sujets
convient
le style tempéré ? Le style tempéré convient aux
ne. 155. A quels sujets convient le style tempéré ? Le style tempéré
convient
aux poèmes descriptifs et didactiques pour les pa
d’abord les antiques terrains…, par Bignan, etc. 168. A quels sujets
convient
le style sublime ? Le style sublime n’est fait q
sublime n’est fait que pour les grands sujets en prose et en vers. Il
convient
à l’ode sacrée, à l’ode héroïque, souvent à l’ode
es expressions. Il s’en passe en effet assez souvent, quoiqu’on doive
convenir
que l’éclat en est rehaussé par le sublime des pa
-dessus ni au-dessous de ce qu’on veut exprimer. Faire et dire ce qui
convient
, voilà ce qui constitue l’homme parfait et l’exce
ue est l'art de bien dire : bien dire, c'est exprimer les pensées qui
conviennent
au sujet de manière qu'elles impriment dans l'âme
; le plus souvent il n'invente que les pensées, les raisonnements qui
conviennent
au sujet. Les arguments ou raisonnements se divis
nce ou conclusion. Cet argument est captieux lorsque la conclusion ne
convient
pas à toutes les propositions prises séparément.
nécessaire ? (V. Jubien.) Plus rigoureuse, la définition logique doit
convenir
à tout ce qui est défini, et seulement à ce qui e
expression avouées par les règles du langage, et que les expressions
conviennent
aux pensées. La clarté du style veut que l'on év
es lettres familières, des mémoires, de certains dialogues, etc. ; il
convient
aux pensées naturelles et aux pensées naïves. Les
certains dialogues, de la fable, de l'églogue, de l'idylle, etc. ; il
convient
aux pensées agréables, et, ordinairement, aux pen
lui du poëme épique, de la tragédie, de l'ode, des harangues, etc. Il
convient
aux pensées nobles, aux pensées fortes et aux pen
de Galba. Nota. — Les expressions propres ont une teinte du sujet et
conviennent
si bien aux pensées que, lorsqu'on les a trouvées
lui dit : Cinna, tu t'en souviens et veux m'assassiner ! L'élégance
convient
plus particulièrement au style tempéré ; elle con
la signification propre d'un mot à une autre signification qui ne lui
convient
qu'à cause d'une comparaison qui est dans l'espri
à des flammes dévorantes, etc. Lorsque les expressions figurées ne se
conviennent
pas entre elles, ou ne conviennent pas aux expres
que les expressions figurées ne se conviennent pas entre elles, ou ne
conviennent
pas aux expressions propres, elles manquent de ju
t sont excellents, parce que ces expressions fruits et éclosent ne se
conviennent
pas. Malherbe a dit à tort : Prends ta foudre, L
foudre, Louis, et va comme un lion….. parce que foudre et lion ne se
conviennent
pas. Jupiter, héros, etc., sont les expressions q
ne se conviennent pas. Jupiter, héros, etc., sont les expressions qui
conviennent
à foudre. Ces vers de J.-B. Rousseau renferment é
atoire, et quel est l'objet des arguments qu'on en tire ? A quoi doit
convenir
la définition logique ? Qu'est-ce que l'énumérati
traits qui lui sont propres, avec la simplicité ou la majesté qui lui
convient
, il faut encore que le discours, l'ouvrage, ne se
des expressions triviales, des termes impropres, à côté de termes qui
conviennent
à la pensée ; des expressions basses, à côté de m
gations et les métaphores n'y sont point déplacées, quand ces figures
conviennent
au sujet, que l'on ne voit pas comment la pensée
s l'épître a de la dignité, de l'élévation, car elle prend le ton qui
convient
au sujet. À mes pénates. Petits dieux avec qui
m'as laissée. (A. Soumet.) Dans cette élégie, toutes les pensées ne
convenaient
pas au sujet, et nous avons dû corriger des faute
de certaines convenances établies par les usages de la société. Il ne
convient
d’en traiter que dans un ouvrage didactique spéci
ant à l’élocution, qui est la pierre de touche du bon épistolaire, il
convient
d’écrire comme l’on parle, pourvu toutefois que l
propos qui font le mérite du genre. Pour bien faire un compliment, il
convient
donc d’examiner sa position et celle des autres.
refus la bonne opinion qu’on a de lui ? Quand est sûr de son fait, il
convient
même de remercier par avance. Il faut encore avoi
que nous sommes touchés, et moins parler de nous que du donateur. Il
convient
d’exalter ses bienfaits sans emphase, et d’une ma
rdonner de bon cœur et sans arrière pensée si l’excuse est complète ;
convenir
soi-même de ses torts, s’ils sont réels. En se co
pensées qui se présentent, celles qui ont le plus d’importance et qui
conviennent
le mieux au sujet que l’on traite ; de retrancher
lorsqu’on aura choisi les moyens d’amplification et les ornements qui
conviennent
le mieux au sujet et au genre de composition, alo
. C’est ainsi qu’on évitera ces peintures trop générales, qui pouvant
convenir
également à plusieurs choses, ne conviennent en r
trop générales, qui pouvant convenir également à plusieurs choses, ne
conviennent
en réalité à aucune. 350. En quoi consiste la nou
r l’imagination soit toute dans le même sens et complète. De plus, il
convient
de s’attacher aux circonstances les plus propres
es vices qui sont communs à chacune de ces catégories. Si le portrait
convient
à l’historien, et si l’orateur peut employer le c
pour La Bruyère. Les règles que nous avons données pour les portraits
conviennent
aussi aux caractères. Les plus célèbres écrivains
mots, mais à ne rien dire d’inutile, et à commencer et à finir où il
convient
. Un récit de deux pages est court, s’il ne contie
uants et remplis d’intérêt. Pour se faire une idée de la brièveté qui
convient
à la narration, on peut comparer deux fables comp
ste l’agrément ? L’agrément consiste dans l’emploi des ornements qui
conviennent
au sujet, comme les contrastes, les épisodes, les
s rarement elle est relevée ou piquante. Les trois premières qualités
conviennent
à l’exposition ordinaire, qu’on peut appeler débu
sition simple, il aurait donnés dès le commencement. De plus, elle ne
convient
qu’aux sujets sérieux et d’une haute importance ;
c’est la nature de l’action qui détermine le genre d’exposition qu’il
convient
d’adopter. II. 411. Qu’est-ce que le nœud ?
ec intérêt, l’impartialité et la moralité. 424. Quel est le style qui
convient
à la narration historique ? La narration histori
en partager l’aimable crédulité. Une sorte d’abandon, de négligence,
convient
au style comme aux pensées de la légende : elle a
mble les différentes pensées. 447. Quel est, en général, le style qui
convient
à la narration ? La narration demande, en généra
e sont des traités ou des discours qui prennent le ton de dignité qui
convient
aux matières qu’ils contiennent, et qui en suiven
n épistolaire est d’être simple et naturel : le travail et la raideur
conviennent
aussi peu à une lettre qu’à la conversation famil
le bon esprit, le tact, le sentiment, nous suggéreront le langage qui
conviendra
. 457. En quoi consiste la convenance relativement
a été consacré par l’usage. Il n’y a ordinairement qu’un seul mot qui
convienne
à une idée ; il faut le chercher avec patience ;
e harmonie imitative, et quelquefois onomatopée. L’harmonie imitative
convient
surtout à la poésie ; elle forme des images vives
ces déserts d’une tendre et sauvage harmonie. Ce genre d’harmonie ne
convient
pas à tous les sujets, et il faut en user sobreme
ur donner à la pensée du mouvement, de la vivacité, de la passion. Il
convient
à l’énumération, à la gradation, aux descriptions
jets légers, dans le conte, dans le roman, dans les lettres. Ce style
convient
parfaitement à l’esprit français, qui aime à revê
, telle doit être la devise de tout bon écrivain. Le style périodique
convient
surtout aux grands sujets, à l’éloquence grave et
. Le style familier est le moins recherché de tous les styles ; il
convient
à la conversation, aux lettres familières, où l’o
sans éclat, sans ornements : sa plus belle parure est le naturel. Il
convient
au récit, à la fable, à l’églogue, à tous les suj
sans être sublimes ; quand il est convenablement orné de figures. Il
convient
surtout aux sujets où l’on cherche à plaire. Le s
nde que le tout. Mais outre cette justesse absolue, mathématique, qui
convient
surtout aux sciences, il y a encore une justesse
a terre, Fend des flots d’auditeurs pour aller à sa chaire. L’ironie
convient
surtout à la raillerie, à la gaîté ; mais elle se
e fait connu. Sa nature est la finesse, la naïveté ou la grâce ; elle
convient
surtout à la comédie, à la satire et à la fable :
uer à chaque chose le ton, le langage et les moyens de preuve qui lui
conviennent
, c’est ce que Pascal appelait la rhétorique contr
de la conversation. Voilà pourquoi les conseils et les préceptes qui
conviennent
au discours embrassent toutes les règles de l’art
un sujet, en disposer les parties, les traiter dans le style qui leur
convient
; obéir à cette règle c’est simplement suivre l’i
der. III. S’occuper d’adapter à son sujet le ton et le style qui lui
conviennent
te mieux. Première partie de la rhétorique.
œurs. — 11. Des mœurs réelles et des mœurs oratoires. — 12. Place qui
convient
aux mœurs. — 13. Règles relatives aux mœurs. 1.
ve : Le vers se sent toujours des bassesses du cœur. 12. Place qui
convient
aux mœurs. — Bien que les qualités morales doiven
ssimulent la sécheresse. Toutefois, la forme rigoureuse du syllogisme
convient
mieux à la démonstration scientifique qu’à l’expo
i ne connaît l’histoire du dilemme de Protagoras ? Ce sophiste était
convenu
avec son disciple Évathlus que celui-ci paierait
t, si l’esprit humain ne peut s’en affranchir, sa forme rigoureuse ne
convient
qu’au logicien et au géomètre. Dans une œuvre lit
tit de toutes parts. Quand donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il
convient
de faire ? Qu’attendez-vous ? un événement, ou l
aire valoir des moyens vifs et pressants, employez les sentiments qui
conviennent
à cette narration et à cette démonstration, mais
ger l’orateur ou l’écrivain. Il faudra s’enquérir avec soin de ce qui
convient
à la personne, au lieu et aux circonstances, et p
-à-dire des qualités morales manifestées par l’orateur ou l’écrivain,
convient
surtout aux rapports avec une certaine classe de
homme à l’homme, l’expression sincère et scrupuleuse de la vérité. Il
convient
donc de les employer pour instruire et convaincre
sage fréquent et presque traditionnel. C’est un moyen d’action qui ne
convient
plus aussi bien au génie moderne en cela plus sér
it prédominer dans toute composition.. III. Les mœurs et les passions
conviennent
surtout dans les œuvres gui s’adressent aux êtres
, au goût de l’écrivain et de F orateur le devoir de discerner ce qui
convient
en propre à son sujet, et quelles parties du disc
vous sauver. » La passion du bien et de la justice est la seule qu’il
convient
de témoigner pour s’assurer dès le début les meil
le davantage ses soupçons et sa défiance. Il est banal, quand il peut
convenir
à plusieurs causes et surtout quand il pourrait s
étranger ou d’emprunt l’exorde qui ne vient point de la cause ou n’y
convient
pas parfaitement. En un mot l’exorde est défectue
s écouter. 7. Du style de l’exorde. — La qualité propre du style qui
convient
à l’exorde c’est la simplicité. Bien qu’il doive
erêt et l’agrément. 4. De la clarté. — La clarté est une qualité qui
convient
à tou le discours ; mais elle est la qualité esse
meilleur moyen de donner au récit beaucoup de clarté. Là surtout, il
convient
de tenir un milieu entre une prolixité qui engend
tails inutiles et dire ce qui est essentiel avec autant de mots qu’il
convient
. La brièveté ne consiste pas à être le plus court
hangeant, c’est le moment et le point de vue le plus avantageux qu’il
conviendra
de choisir sous peine de manquer son but ou parfo
ent au lieu de servir. VI. Le début de fa narration est la place qui
convient
le mieux pour la description. Leçon XVII. De
urelle. 3. Réfutation des arguments les plus forts. — A la raison il
convient
d’opposer de sérieuses raisons. Or l’erreur n’est
s à ses actions. C’est ce que fait Philinte, quand il force Alceste à
convenir
que son amour pour Célimène est en contradiction
ce de la réfutation. — D’ordinaire, c’est après la confirmation qu’il
convient
de repousser lès arguments opposés à notre cause
aucune partie du discours ni de l’ouvrage à propos de laquelle il ne
convienne
mieux de rappeler cette impérieuse obligation. En
on philosophique et politique par excellence ; tel est le langage qui
convient
à l’honnête homme qui a fait entendre aux Romains
es que l’apostrophe et l’interrogation, l’hyperbole et la prosopopée,
conviennent
à ce dernier effort de l’âme sur l’âme. C’est ici
règles de la disposition, ont besoin d’être exprimées de la façon qui
convient
le mieux au but poursuivi par l’écrivain. L’élocu
a première condition, pour bien écrire, est d’employer les termes qui
conviennent
le mieux au sujet. Avant tout, l’orateur on l’écr
f n’offrirait à lui seul qu’une idée vague et incomplète, parce qu’il
convient
à la fois à plusieurs objets ; il faut donc pour
lleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante17, etc. La place qui
convient
à l’épithète c’est le plus près possible du subst
érieux : ce style exprime parfaitement la vivacité de la passion ; il
convient
aussi à l’histoire, et il est indispensable dans
Au midi de mes années Je touchais à mon couchant. Cette pensée : Tel
convient
au second rang qui est déplacé au premier, prend
épourvu d’imagination et de passion ; par conséquent, le style figuré
convient
à l’éloquence et à la poésie. Toute la difficulté
les nombreux qui précèdent montrent ce qu’il faut faire et comment il
convient
d’employer les figures de pensée. L’étude attenti
, là, Dieu sait où. La gradation dispose les images dans l’ordre qui
convient
le mieux à l’effet qu’on veut produire. Cicéron e
si écrasé qu’il est presque impossible de les plaindre. Cette figure
convient
également à l’expression de l’enjouement, du mépr
illes Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles ? Quelle figure
convient
mieux à l’impétueux Achille répondant aux accusat
. Enfin la forme sentencieuse, comme l’apologue, est une arme qui ne
convient
qu’aux hommes, dont l’âge et l’expérience autoris
i violents sont le langage du désespoir à son paroxysme suprême ; ils
conviennent
à une mère qui veut arracher sa fille à un affreu
ages ; plus on veut rendre les choses touchantes, mieux la simplicité
convient
. L’écrivain et l’orateur doivent se montrer plus
ute dramatique à l’exposition et à la narration. IV. La prosopopée ne
convient
qu’à l’expression d’une passion très-violente don
et passionnées. VIII. L’imprécation est une figure très-forte qui ne
convient
guère qu’à la poésie tragique. Leçon XXXIII. D
détourne un mot de son acception usuelle. Ainsi le mot brillant, qui
convient
à la lumière, s’applique par un trope à l’esprit,
devient alors un sujet littéraire et un genre distinct parmi ceux qui
conviennent
à l’expression vive de la vérité. — Ainsi Horace
écrivains de génie se font pardonner toutes les hardiesses ; mais il
convient
de n’employer que les ellipses autorisées par de
de la pensée. Cette insistance donne plus de force à l’expression, et
convient
à une passion vive : Je l’ai vu de mes propres ye
lle change le rôle du substantif, offre quelque chose d’étudié qui ne
convient
qu’au style élevé. Cependant, La Fontaine en use
cette étude on peut conclure les six règles suivantes : I. L’ellipse
convient
à l’expression vive et sentencieuse de la pensée
ion sur les idées par des moyens tout différents. VI. L’apposition ne
convient
guère qu’au style élevé. 11. Résumé sur les fig
premiere de ces qualités est bonne en toute occasion ; la seconde ne
convient
pas à tous les sujets, ni avec toute sorte de per
de gens faillies et oisifs ; elle n’est bonne qu’autant que les sons
conviennent
au sens dus paroles et que les paroles inspirent
et. C'est une qualité qui renferme toutes les autres ; car le mot qui
convient
le mieux au sujet est à la fois le plus précis et
ommente sagement ces sages conseils : Chacun de ces trois caractères
convient
plus ou moins au sujet, au lieu, aux personnes… l
Ces deux formes très-simples de transition ont le premier mérite qui
convient
à cet élément littéraire, la brièveté. En effet,
int avancer l’esprit ; c’est une sorte d’addition et d’ornement qu’il
convient
de ne pas allonger plus qu’il n’est indispensable
ails. Chaque genre de composition réclame un tour et un style qui lui
conviennent
; mais déplus, dans une même composition, les nua
ités distinctives qui méritent d’être analysées. Le genre simple, qui
convient
surtout à la narration, a pour caractères princip
ation et rejette tout ce qui ressemble à un ornement. La concision ne
convient
pas à toute espèce de sujet parce qu’il y a des m
surtout à la narration et l’argumentation que le style simple paraît
convenir
. Il est encore habile de l’employer au début d’un
alme fait sur nos yeux et notre humeur. Joubert. Les qualités qui
conviennent
au genre tempéré sont, la richesse, l’ élégan
beauté. La grâce est un mérite gui séduit, attire et retient : elle
convient
à tous les genres de beauté. Andrieux a raison de
VII. La recherche de l’esprit lasse et irrite. VIII. La délicatesse
convient
surtout à l’expression des sentiments doux et aux
t morales. Toutes les plus hautes qualités de l’artiste et du peintre
conviennent
à ce genre de style : énergie du sentiment, véhém
ujets que le style élevé doit revêtir de ses nobles ornements ; il ne
convient
qu’à ce qui est vraiment grand et vraiment supéri
Des différents genres de prose. — Les genres de composition auxquels
convient
la prose peuvent se partager en deux groupes : 1°
uader. La narration admet volontiers l’attitude et la physionomie qui
conviennent
à l’expression de la dignité. Dans la plaisanteri
e et de son plan ; lui fournir à propos tous les moyens oratoires qui
conviennent
le mieux au but qu’il poursuit, mais sans rompre
Mais ce n’est jamais dans les compositions destinées au public qu’il
convient
de s’exercer à l’art difficile d’exprimer sa pens
ou péroraison. Cette division élémentaire empruntée à l’art oratoire,
convient
d’une manière générale à toutes les compositions
quel les idées doivent être présentées, il faut songer à la forme qui
convient
au sujet. Le style doit avoir un caractère généra
importante dans une description est le choix des détails auxquels il
convient
de s’attacher. L’application du lieu commun appel
illou qu’il tient. Sur de trop vains objets c’est arrêter la vue. Il
convient
de disposer les détails dans un ordre de gradatio
est une qualité indispensable surtout dans l’exposition ; la vivacité
convient
aux péripéties ; la vraisemblance est la qualité
eler à chaque face nouvelle de la question. Ce mode de composition ne
convient
qu’à des questions oui prêtent réellement an dout
pporte ne me semble point de ce caractère. Fénelon. — Attendez, vous
conviendrez
de ce que je dis. Quand le prédicateur a choisi p
eur ? Pourquoi laisser cet endroit et tant d’autres de l’Écriture qui
conviennent
, pour en chercher un qui ne convient pas ? C’est
nt d’autres de l’Écriture qui conviennent, pour en chercher un qui ne
convient
pas ? C’est un goût dépravé, une passion aveugle
sa chambre. Il n’y a dans un carrosse que les places du fond qui lui
conviennent
; dans toute autre, si oh veut l’en croire, il pâ
e. Le style du développement historique embelli de quelques ornements
convient
au développement littéraire. Encore ces ornements
Mais il a su revêtir ce fond de tous les ornements qui pouvaient lui
convenir
; c’est ce qui en fait la beauté, Ses pensées, se
ennent des tons et des manières au hasard, sans considérer que ce qui
convient
à quelques-uns ne convient pas à tout le monde. O
ères au hasard, sans considérer que ce qui convient à quelques-uns ne
convient
pas à tout le monde. On imite souvent, même sans
e ses propres biens pour des biens étrangers, qui d’ordinaire ne nous
conviennent
pas. Je ne prétends pas, par ce que je dis, nous
s que la nature ne nous a pas données. La bonne grâce et la politesse
conviennent
à tout le monde ; mais les qualités acquises doiv
es, trop approfondies et traitées d’une manière trop métaphysique, ne
conviennent
point à un âge incapable encore de suivre nos con
ppropriée aux mœurs et aux institutions du nôtre, m’attacher à ce qui
convient
à nos besoins, à nos usages, à notre langue, etc…
atif, le délibératif, et le judiciaire ne m’a pas semblé pouvoir nous
convenir
. En effet, comment classer dans cette division l’
La première règle de l’éloquence en tout genre est de parler comme il
convient
aux choses, aux personnes, aux temps et aux lieux
e discours. L’homme qui dans le commerce de la société connaît ce qui
convient
dans les manières et dans les propos, qui est att
doivent être invariables ; sans faire sentir quelles sont celles qui
conviennent
à chaque genre, sans montrer celles qu’on doit pr
do, n’y sont pas les mêmes. Division des matières oratoires qui nous
convient
le mieux. La division des anciens n’est pas sans
sez exactement tout ce qui peut être le sujet d’un discours ; mais il
conviendra
mieux au but de cet ouvrage, et l’on trouvera peu
e, et il s’exposerait au ridicule s’il prenait un ton véhément qui ne
convient
qu’à la tribune. L’avocat ne doit pas imiter les
es deux idées qu’il veut comparer, et il juge de la sorte si elles se
conviennent
ou non, et jusqu’à quel point elles se conviennen
sorte si elles se conviennent ou non, et jusqu’à quel point elles se
conviennent
. C’est là raisonner. Manière de raisonner. Si p
lus haut, il est facile de voir que l’idée de Dieu et celle d’adorer,
conviennent
l’une et l’autre à l’idée d’être tout-puissant ;
par syllogismes, serait renvoyé aux écoles. Pourquoi. Le syllogisme
convient
aux sciences exactes, à la philosophie qui n’a po
but qu’ils se proposent, à l’intérêt du moment à leur indiquer ce qui
convient
le mieux à cet égard. En général, pour donner au
mbent sur moi seul. Mais si quelqu’un devait réprimer Philippe, à qui
convenait
-il de le faire, sinon aux Athéniens ? Voilà ce qu
s lumières. Parmi les moyens de se concilier les juges au barreau, il
convient
de distinguer ceux que l’on peut produire à décou
, l’orateur doit avoir grand soin d’observer dans ses discours ce qui
convient
, quod decet, relativement à lui-même, à ses audit
t-on obligé de parler de soi, réduit à faire son apologie, le ton qui
convient
est celui d’un honnête homme qui ne montre ni org
d’éloquence, que la légèreté du peuple en demande une autre ? Ce qui
conviendrait
à un homme grave et sérieux ne conviendrait pas à
emande une autre ? Ce qui conviendrait à un homme grave et sérieux ne
conviendrait
pas à un autre qui serait plus superficiel ou plu
es toucher1. Après avoir exposé les moyens d’exciter les passions, il
convient
de faire connaître ceux qu’on emploie pour les ca
re le vrai en riant, et donnent des grâces à la raison. Mesure qu’il
convient
de garder dans la plaisanterie. Mais nous pouvon
tons Cicéron parlant des convenances à observer et de la mesure qu’il
convient
de garder sur ce point. « Nous avertissons l’ora
rte le pathétique. (De Orat., l. II, n. 105.) Les grands mouvemens ne
conviennent
pas aux petites affaires. « Ce serait, dit Quinti
t toute la puissance de l’action. Un discours précis, un style serré,
convient
pour instruire le juge, mais non pour l’émouvoir.
que les grands mouvemens qu’on admirait à Athènes et à Rome, ne nous
conviennent
point, et qu’il s’agit aujourd’hui de prouver, de
el est celui qu’il a traité le premier, le second, etc. Tout le monde
convient
qu’il est très-difficile de former sur un sujet q
du fond même du sujet, et lui être tellement propre, qu’il ne puisse
convenir
à aucun autre sujet. Le moyen de faire un exorde
ions. Quelques observations sont ici nécessaires. La modestie
convient
à l’exorde. 1°. La modestie est le caractère ord
me de la justice ou de l’importance de sa cause. La véhémence ne lui
convient
pas. 2°. On doit se souvenir que l’exorde ne fai
aux questions de droit. C’est aux questions de fait que ces documens
conviennent
particulièrement, et aux preuves par les indices
antes, que la clarté et la précision sont les seuls ornemens qui leur
conviennent
. La narration doit présenter les faits d’une man
l’orateur du barreau pour réfuter un adversaire redoutable ; et l’on
conviendra
que rien ne suppose plus d’habileté et d’adresse1
et que des biens d’opinion. 5°. A juger d’une chose par ce qui ne lui
convient
que par accident. C’est ce que font ceux qui blâ
u’il serait inutile d’examiner lequel de ces trois genres d’éloquence
convient
le mieux à l’orateur, puisqu’il doit les embrasse
r le rapport naturel qui se trouve entre le sujet et le style qui lui
convient
, entre tel ordre d’idées et tel genre de diction.
oires, des récits, etc… Dans quels le style relevé. Le style relevé
convient
aux matières graves, importantes, aux occasions s
ues, de périodes dont les membres s’enchaînent les uns aux autres. Il
convient
aux objets élevés ou sérieux. Aussi le style péri
at lux de la Genèse. L’expression simple et l’expression figurée lui
conviennent
. L’expression simple et l’expression figurée son
ela, il est nécessaire qu’il s’énonce clairement et d’une manière qui
convienne
à celui qui l’entend, et au but qu’il se propose.
mme le musicien a soin de choisir le mode, le ton et le mouvement qui
convient
au caractère du morceau qu’il veut composer, de m
oquence de la vertu. Il faut que nous soyons bien pénétrés du ton qui
convient
à notre sujet, c’est-à-dire du ton que prennent n
choses. Son importance. Dans toute sorte d’ouvrages, le style doit
convenir
au sujet que l’on traite. « Que sert en effet, di
de la convenance du style, on doit avoir égard au ton général(1) qui
convient
au genre d’éloquence auquel appartient le sujet,
nre d’éloquence auquel appartient le sujet, et au ton particulier qui
convient
aux objets de détail que renferme le sujet. Car l
e de la chaire. Cicéron, en déterminant le caractère d’élocution qui
convient
à l’orateur en général, a très-bien déterminé cel
ant, et un style bas, rampant, négligé. Ce milieu est l’éloquence qui
convient
à un pasteur : Illa-eloquentia apud eloquentem e
passion de ces mêmes vertus ; c’est le but qu’on doit se proposer. Il
convient
alors, selon Cicéron (Orat., n°. 72) et Quintilie
rée ; de l’élégance et des grâces seront à leur place. 2°. Ton qui
convient
aux objets de détail. Ton qui convient aux d
eur place. 2°. Ton qui convient aux objets de détail. Ton qui
convient
aux divers endroits des discours. Nous entendons
chez ensuite vous en pénétrer vivement ; et aucun des traits qui leur
conviennent
ne vous échappera. L’admiration entasse les hyper
e, un simple sentiment à rendre. Il nous reste à parler du style qui
convient
aux sentimens et aux pensées considérées en elles
qui se succèdent et se suivent sans interruption. La netteté du style
convient
particulièrement aux ouvrages didactiques, aux po
ument bon sans être élégant. » (Volt., ibid.) Cette qualité du style
convient
particulièrement aux ouvrages dans lesquels l’aut
s le style fleuri doit être proscrit dans un sujet solide. » Ce style
convient
aux pièces de pur agrément. » (Voltaire, Dict. ph
eut en dire autant de la prose. Le précepte de la variété du style ne
convient
qu’aux ouvrages qui en sont susceptibles, et qui
confiance et qui opère la persuasion. (Ibid., n. 207.) Le style coupé
convient
à l’énumération, à la gradation, aux descriptions
it, que l’harmonie doit être variée comme le style, et comme le style
convenir
au sujet qu’on traite. Appendice sur le tissu
supprime certains mots que l’esprit peut aisément suppléer. L’ellipse
convient
aux passions vives qui ne permettent pas à celui
. Ils appartiennent à la haute éloquence, au style le plus élevé. Ils
conviennent
surtout aux ouvrages où l’écrivain traite de gran
dre à me donner ? Ce tour est du langage de la conversation, et il ne
convient
qu’à une politesse servile. Dans d’autres occasio
porte la signification propre d’un mot à une signification qui ne lui
convient
qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
ornemens lorsqu’ils sont placés d’une manière convenable. Elle doit
convenir
au sujet. Les métaphores doivent convenir à la n
ère convenable. Elle doit convenir au sujet. Les métaphores doivent
convenir
à la nature du sujet. Telle métaphore serait perm
s les accessoires. Qualité des épithètes. Il faut que les épithètes
conviennent
au sujet. L’ambitieux Alexandre entreprit la conq
dit : Faible objet qui est un ouvrage imperceptible. L’apposition ne
convient
qu’au style noble et soutenu. Alliances de mots.
juges sans qu’ils s’en aperçoivent. » Plus bas il ajoute : « Rien ne
convient
mieux aux sentimens et aux passions ; car si les
er ses pensées qu’à dire seulement ce qu’elle sent. Les antithèses ne
conviennent
point au sentiment, parce qu’elles donnent toujou
ur de la plus haute et de la plus magnifique éloquence, et qu’elle ne
convient
guère parmi nous qu’aux discours religieux, sermo
ennemi, et la flatterie en fait encore un usage plus fréquent. Elle
convient
à la passion. Cette sorte de figure s’emploie au
mes, grands esprits, C’est par un noble et généreux mépris Qu’il vous
convient
d’extirper ces chimères, Épouvantails d’enfans, e
rdre ? (Métamorph.) Les sentences, fruit d’une réflexion froide, ne
conviennent
pas au langage de la passion. Placées à propos et
le caractère du vrai ? Il faut qu’elle unisse cet objet à ce qui lui
convient
, ou qu’elle le sépare de ce qui ne lui convient p
et objet à ce qui lui convient, ou qu’elle le sépare de ce qui ne lui
convient
pas. Le faux dans la pensée consiste donc à lier
vait où il doit aller et par où. De marquer dans ce plan la place qui
convient
le mieux à chacune des idées principales. Souvent
er sans les confondre, évitant d’appuyer l’une par des raisons qui ne
conviennent
qu’à une autre. Enfin de se renfermer dans de jus
t dans les mouvemens du corps une certaine expression, ne faut-il pas
convenir
que quand tout cela conspire ensemble, il doit s’
e moyen est celui de la conversation ordinaire. C’est aussi celui qui
convient
le mieux dans les discours prononcés en public :
ein de retenue, un regard modeste. Le ton moyen est alors celui qu’il
convient
de prendre. Lorsque l’exorde est brusque et véhém
urent, dans toutes ces facultés, un accès facile et certain. Ton qui
convient
aux diverses figures. Les figures que l’on répan
et se font entendre. » (Loc. cit.) Enseignerons-nous quels gestes il
convient
de faire dans tel cas, ou en tel temps et selon l
débité oratoire que des mouvemens étudiés, recherchés, affectés, qui
conviennent
à la légèreté d’un comédien plutôt qu’à la gravit
imùm à saltatore debet orator. (Quint.) L’action d’un comédien ne lui
convient
pas. Le théâtre n’est point pour l’orateur une bo
ce 224 1°. Ton propre aux divers genres d’éloquence 231 2°. Ton qui
convient
aux objets de détail 239 Art. II. Des qualités
est fondée leur distinction. Division des matières oratoires qui nous
convient
le mieux. Division de la rhétorique. Invention, d
ède aussi par induction. Q. Capitolinus entraîne ainsi la multitude à
convenir
qu’elle a tort. Non illi vestram ignaviam contem
dans le mot. Le talent de plaisanter vient de la nature. Mesure qu’il
convient
de garder dans la plaisanterie. Les bienséances n
u barreau A la tribune. Dans le sermon et le panégyrique. La modestie
convient
à l’exorde. La véhémence ne lui convient pas. Sou
le panégyrique. La modestie convient à l’exorde. La véhémence ne lui
convient
pas. Sources de l’exorde. Défauts de l’exorde. Dé
e rend plus frappant. L’expression simple et l’expression figurée lui
conviennent
. Exemples. Il comporte l’amplification. Mais rare
ocatis. (L. II, c. 10.) Ton propre à l’éloquence du barreau. Ton qui
convient
aux divers endroits des discours. Soit qu’on ait
ens métaphorique. Cette figure doit être employée à propos. Elle doit
convenir
au sujet. Elle est plus hardie dans la poésie que
sation. Et dans la plaisanterie. Elle embellit les descriptions. Elle
convient
à la passion. Elle ne doit point être exagéree. E
pre à l’exorde, A la narration, A la preuve, A la péroraison. Ton qui
convient
aux diverses figures. Le geste accompagne naturel
t éviter l’affectation et la recherche. L’action d’un comédien ne lui
convient
pas. L’action des anciens était différents de la
us semblent attribuer au τερέτισμα une valeur toute technique, qui ne
convient
pas à ce texte d’Aristote. — Cf. Platon, Lois, II
ent dits, les acteurs payés, aux acteurs libres de l’ancien temps. Je
conviens
toutefois qu’on s’attendrait à lire ἱδιον avant ἦ
M. Bojesen avait déjà remarqué que les mots ϰατὰ μὲν οὐν ταύτην, etc.
conviennent
mieux au mixolydien qu’à l’hypophrygien. Ces conj
us propre aux effets de pathétique, tandis que l’harmonie dorienne ne
convenait
qu’au genre grave et sublime. Sa bienveillance.]
rateur a des préventions à combattre ; 3° l’exorde véhément, quand il
convient
de se mettre de suite au niveau des passions des
Par la propriété des termes, on rend l’idée par le seul terme qui lui
convienne
, et par la simplicité, on écarte toute expression
é. 4. Si le style est lâche et diffus, l’obscurité est inévitable. Il
convient
de ne point délayer ses pensées. 5. Enfin, il fau
à nos hommages et à nos respects. 8. La magnificence est la forme qui
convient
aux sujets relevés. L’on parle avec magnificence
brillantes, les tours élégants ; elle séduit, charme, éblouit ; elle
convient
à tous les sujets, excepté aux sujets simples, qu
s du sublime ? — 7. En quoi consiste la majesté ? — 8. À quels sujets
convient
la magnificence ? — 9. En quoi consiste la pompe
, et particulièrement : le boursouflé, les tournures pompeuses qui ne
conviennent
pas au sujet ; l’ampoulé, les expressions grandio
examiner la nature des mouvements de l’âme et étudier le langage qui
convient
à chacun d’eux. Ainsi : La haine emploie l’ironie
guides, après une bonne maîtresse, sont le tact et la sensibilité. Il
convient
, en règle générale, de toujours marquer par un ac
onversation écrite entre personnes absentes. Le genre d’élocution qui
convient
aux lettres est donc le style familier, le ton d’
? — 3. Que forme la lettre avec sa réponse, et quel genre d’élocution
convient
-il d’appliquer aux lettres ? — 4. Quelles règles
facile. L’on doit pardonner de bon cœur, si l’excuse est complète, ou
convenir
soi-même de ses torts, s’ils sont réels. § VII
a chose définie ; le genre, en classant le sujet dans l’ordre qui lui
convient
; la différence, en montrant ses qualités propres
Tout apologue doit-il contenir une action, et quel genre de style lui
convient
? — 13. Que fait-on en analysant l’apologue ? — 1
omme la fable, une moralité claire, facile à tirer du sujet, et qu’il
convient
toujours d’expliquer en peu de mots. 13. Si le co
t qu’abondant, souvent énergique, quelquefois véhément, est celui qui
convient
à l’éloquence politique : § III. — Éloquence j
ls sont les devoirs de l’orateur politique ? — 9. Quel genre de style
convient
à l’éloquence politique ? — 10. L’éloquence judic
D. [Casimir Delavigne]) Ce vers est nommé alexandrin ou héroïque. Il
convient
à la haute poésie, aux sujets nobles, à cause de
eur. (M. [Millevoye]) Ce vers est gracieux et léger. C’est celui qui
convient
le mieux au récit. Son rythme est doux et agréabl
le Tastu]) Le rythme de ce vers est doux et majestueux à la fois ; il
convient
à l’ode et à la poésie légère. Vers de sept sylla
e riche plaine, Roule ses flots d’azur. (J. [Jules Taulier]) Ce vers
convient
à la poésie pastorale ; son rythme est gracieux e
uvres, sult — an, inst — ant, dé — mon, mont, ess — or, fort, etc. Je
conviens
que ce sont là de pauvres rimes, dont on ne trouv
nt1 que vous êtes Bon, clément, indulgent et doux, ô Dieu vivant ! Je
conviens
que vous seul savez ce que vous faites, Et que l’
e ce qu’ici-bas nous prenons pour le terme Est le commencement3. Je
conviens
à genoux que vous seul, Père auguste, Possédez l’
ue vous seul, Père auguste, Possédez l’infini, le réel, l’absolu ; Je
conviens
qu’il est bon, je conviens qu’il est juste Que mo
Possédez l’infini, le réel, l’absolu ; Je conviens qu’il est bon, je
conviens
qu’il est juste Que mon cœur ait saigné, puisque
. Puisque ces choses sont, c’est qu’il faut qu’elles soient ; J’en
conviens
, j’en conviens ! Dans vos cieux, au delà de la sp
choses sont, c’est qu’il faut qu’elles soient ; J’en conviens, j’en
conviens
! Dans vos cieux, au delà de la sphère des nues,
res oratoires ? Les figures oratoires, ainsi appelées parce qu’elles
conviennent
surtout aux discours, sont la répétition, la conj
de son sens propre et naturel à un sens moral ou métaphysique qui ne
convient
à ce mot qu’en vertu d’une comparaison qui se fai
oésie, qui en prose paraîtraient absurdes ou peu naturelles. D’autres
conviennent
au style oratoire, et seraient déplacées dans une
figures de la première catégorie, étant propres à instruire, peuvent
convenir
plus particulièrement au style simple ; celles de
ré ; celles de la troisième, ayant pour but de toucher et d’émouvoir,
conviennent
surtout au style sublime. — Il est bien entendu q
différentes espèces de style ; et il en est plusieurs qui paraissent
convenir
également aux diverses catégories dont nous venon
force au discours, lorsqu’elles sont placées à propos ; mais elles ne
conviennent
pas au langage de la passion, et elles rendent le
es, grands esprits, C’est par un noble et généreux mépris, Qu’il vous
convient
d’extirper ces chimères, Épouvantails d’enfants e
, la plus vive et la plus magnifique de toutes les figures ; aussi ne
convient
-elle qu’à la poésie et à la haute éloquence, et d
la passion se calme. C’est un de ces hauts ornements, qui ne peuvent
convenir
que dans les passages les plus animés d’une compo
peuvent figurer convenablement à la hauteur où on veut les placer. Il
convient
d’observer cette règle, même pour les degrés infé
e style, qui est le plus noble, le plus harmonieux, le plus oratoire,
convient
aux oraisons funèbres, aux panégyriques, aux desc
Romains. Le style coupé est plus léger, plus vif, plus brillant. Il
convient
aux récits, aux raisonnements pressants, aux mouv
thètes. Les épithètes donnent du relief à la pensée, pourvu qu’elles
conviennent
aux mots auxquels elles s’appliquent, qu’elles so
, si un art industrieux les a placés dans le véritable poste qui leur
convient
. Dans l’éloge du grand Condé, Bossuet, après l’av
s qu’il y eût un ou plusieurs dactyles, il faudrait choisir celui qui
conviendrait
le mieux pour le sens et l’harmonie du vers, et l
sub nocte obscurâ.) Ils appliquent à une chose une épithète qui ne
convient
qu’à une personne. Exemple : Heu fuge crudele
des synonymes. Quand un mot n’est point poétique, ou qu’il ne
convient
pas à la mesure du vers, on le remplace par un sy
re, fendre les flots, il sera facile de voir que le verbe dīvĭdĕrĕ ne
convient
ni au sens, ni à la mesure. En cherchant dans le
dans le gradus, on trouvera disjungere, distrahere, separare, qui ne
conviennent
pas mieux. Mais on n’aura qu’à se rappeler les ve
er Achilles. Chaque chose a aussi quelque propriété spéciale qui lui
convient
dans la plupart des circonstances, même dans cell
ces épithètes, fragrantes, suaviter olentes, spirantes graviter, leur
conviennent
presque toujours. Remarques. — 1° Les épithètes,
si dire, avec profusion. Il suffit, en quelque sorte, qu’une épithète
convienne
à un mot pour qu’ils l’introduisent dans un vers
e bien pour déterminer leur volonté. Mais, outre ces deux devoirs qui
conviennent
aussi au métaphysicien et au moraliste, les belle
ts et distingue le vrai du faux. Ainsi, lorsqu’on examine si la bonté
convient
à Dieu et qu’on affirme cette convenance, c’est l
té ; il les examine et les compare, et lorsqu’il affirme que la bonté
convient
à Dieu, il forme une pensée ou un jugement. 44. I
e n’est que l’ordre et le mouvement que l’on met dans ses pensées, il
conviendrait
peut-être de ne point séparer l’un de l’autre. No
ta mort. Ces quatre vers renferment une pensée juste, parce qu’elle
convient
parfaitement à la destinée de Didon et résume tou
t vraies en un sens, mais elles ne sont pas justes, parce qu’elles ne
conviennent
pas à leur objet sous tous les rapports et dans t
fini. Nous distinguerons spécialement la simplicité et la naïveté qui
conviennent
au genre simple ; la finesse et la grâce qui sont
ègle qu’on puisse prescrire pour l’emploi des pensées, c’est qu’elles
conviennent
au sujet et à la situation des personnes qui parl
67. Les sentiments, comme les pensées, ont des caractères communs qui
conviennent
à tous les sujets, et des caractères particuliers
e réjouira le cœur de sa mère. 69. Le sentiment est naturel quand il
convient
à la situation de la personne qui en est affectée
olonne ? un fleuve ? une plante ? et puis, ne rien représenter qui ne
convienne
à la plante, au fleuve, à la colonne. Telle image
te à rendre une idée par le terme juste qui lui correspond et qui lui
convient
le mieux. Chaque idée a dans chaque langue un mot
re sentir sa valeur. La première et la dernière place sont celles qui
conviennent
le mieux au membre principal ou au mot important
ualités générales celles qui sont essentielles à toute composition et
conviennent
à tous les sujets qu’on peut traiter ; les qualit
gne d’elles. 129. Il faut bien se garder de croire que la noblesse ne
convienne
qu’à un certain genre d’ouvrages ou de compositio
ou d’un mouvement de l’âme naturel et spontané. 141. Le style simple
convient
aux entretiens familiers, aux récits de faits ord
et des images répondent à la grandeur du sujet. Ce genre de style ne
convient
qu’aux sujets élevés et dramatiques. On en trouve
premier, on emploie une figure, parce que les mots brille, s’éclipse
conviennent
proprement aux astres, et non à un homme capable
usage de l’hyperbole et de l’exagération. La litote et l’exténuation
conviennent
à ceux qui ont à faire des reproches ou des remon
u style, consiste dans l’heureux accord des sons que l’on emploie, et
convient
à toute espèce de composition. Quelque sujet que
’argumentation pressante et les mouvements passionnés, le style coupé
conviendra
beaucoup mieux. Au reste, ni l’un ni l’autre ne d
r les nuances qui les séparent et de faire de chacun l’emploi qui lui
convient
. Dans le choix des constructions et des tours, il
iter un écrivain, et les jeunes élèves peuvent choisir celle qui leur
convient
le mieux, ou les essayer tour à tour les unes apr
modèle. — Intelligence : choisissez ce qui est à votre portée, ce qui
convient
à la nature de votre talent. Ne vous attachez pas
rincipe ou la vérité que vous voulez établir ; écartez tout ce qui ne
convient
pas au but que vous voulez atteindre : quand votr
l’on ne dit rien d’inutile dans l’exposition, si l’on s’arrête où il
convient
dans le dénouement. Ce caractère général de rapid
il convient dans le dénouement. Ce caractère général de rapidité qui
convient
à la narration se modifie suivant la diversité de
in. 320. L’ordre consiste à placer chaque fait dans l’endroit qui lui
convient
. Le plus souvent on doit suivre l’ordre chronolog
les lieux, les mœurs et les usages déjà connus. L’intérêt progressif
convient
spécialement à la narration poétique. L’historien
ents particuliers que les littérateurs assignent au genre épistolaire
conviennent
surtout aux lettres d’amitié. C’est là qu’on doit
labes, communément appelé grand vers, vers alexandrin, vers héroïque,
convient
, par son caractère grave et majestueux, à l’épîtr
’âme à la vue d’un objet que la raison lui présente. Cette définition
convient
également à l’enthousiasme qui produit et à l’ent
e : ne prêtez donc pas à des anges des actions ou des discours qui ne
conviennent
qu’à notre humanité dégradée, et souvenez-vous qu
sans enflure. Il rejette cet enthousiasme et ces figures hardies qui
conviennent
à l’ode et à l’épopée. Les descriptions et les ré
e et quelquefois brisé. Un certain air de négligence et d’abandon lui
convient
à merveille. Un peu de désordre sied bien aussi à
iturgiques, tels que le Dies iræ et le Stabat Mater, on sera forcé de
convenir
que le christianisme, en élevant et en épurant le
mot, on caractérise chacun de ces mots par quelque propriété qui lui
convient
: l’on indique, en terminant, la signification du
avec son fils Lausus par le héros troyen. Livre XI. Les deux parties
conviennent
d’une suspension d’armes pour enterrer leurs mort
l’énumération des divers instruments de labourage, la manière dont il
convient
de distribuer le temps, les différentes espèces d
où dépendent la clarté et la vérité des images ? 79. Les mêmes images
conviennent
-elles à toutes les langues ? 80. Que faut-il fair
le ? 128. En quoi consiste la noblesse du style ? 129. La noblesse ne
convient
-elle qu’au genre le plus élevé ? 1 30. Comment re
du style ? 140. Qu’est-ce que le style simple ? 1 41. À quels sujets
convient
le style simple ? 142. Quelles sont les qualités
el doit être le caractère des lettres d’amitié ? 352. Quels ornements
conviennent
aux lettres d’amitié ? 853. Qu’est-ce que la lett
s demande un ouvrage élémentaire ? 360. Quels sont les caractères qui
conviennent
aux œuvres de polémique ? 361. Quel est le but de
ns l’expression des arguments ; mais il ne peut lui inspirer ceux qui
conviennent
à chaque cause ou à chaque sujet. Découvrir les r
yer. Le mode de raisonnement dont on se sert presque toujours, et qui
convient
le mieux à tous les genres de discours, est celui
milieu. Pour assurer le succès des arguments, outre l’attention qu’il
convient
de donner à leur distribution, il faut encore les
spect que nous devons à un orateur si éloquent, nous sommes forcés de
convenir
que tout ceci n’est que de la déclamation et non
parler à l’oreille ; le ton moyen, qui est celui de la conversation,
convient
dans presque tous les discours prononcés en publi
nquilles le renforcement, les pauses, les tons et les gestes qui leur
conviennent
. L’effet d’un débit toujours juste et gracieux es
qu’elles précèdent ou qu’elles suivent a été prononcé sur le ton qui
convient
le mieux au sens ; au lieu que la durée du temps
les plus gracieux, afin de les exécuter en public, sans songer s’ils
conviennent
plus ou moins à notre extérieur et à nos disposit
s l’art de l’éloquence, et sur les études préparatoires auxquelles il
convient
surtout de se livrer pour y faire des progrès. Êt
thèses et les pensées recherchées. Cependant je ne puis m’empêcher de
convenir
que son expression n’ait très souvent beaucoup de
une meilleure saison sa chaleur et ses bienfaits. » Une telle phrase
convenait
dans une harangue, mais elle est tout à fait dépl
ux effet. Elle donne au vers la marche imposante de l’alexandrin, qui
convient
si bien à la fin d’un morceau : aussi on ne la re
eut-être même avec plus de facilité que l’hexamètre des Latins. Aussi
conviennent
-ils beaucoup mieux aux sujets grands et forts qui
tragique. Ce n’est qu’aux compositions d’un genre tempéré que la rime
convient
, à celles où l’on ne s’attend à trouver ni véhéme
tages. Chaque langage a sa grâce, son génie et sa mélodie ; et ce qui
convient
à l’un pourrait être ridicule dans un autre. La r
e, et la langue italienne ajoute encore beaucoup à cette douceur, qui
convient
si bien à la pastorale22. N’oublions pas de parle
l’harmonie et à la beauté des sons, et le genre de versification qui
convient
le mieux à la nature de l’ode est celui qui rend
la vérité de l’expression, et l’on peut y prendre le ton poétique qui
convient
le mieux au sujet. Mais les épîtres didactiques d
urs. L’on aime encore à y trouver ce tour piquant et ingénieux qui ne
convient
pas aux compositions poétiques d’un rang supérieu
en plus que des idées ; le langage dont il se sert est bien celui qui
convient
à une description poétique, mais l’objet qu’il dé
mode donnait au style quelque chose de majestueux et de solennel qui
convenait
parfaitement bien aux sujets sacrés ; voilà pourq
t plus rempli de figures hardies et animées que les livres saints. Il
convient
de nous arrêter un instant sur ce genre de mérite
e le caractère et le génie des poètes épiques les plus célèbres. L’on
convient
généralement que le poème épique est le poème du
’allégorie d’une action importante racontée en vers. Cette définition
conviendrait
à plusieurs fables d’Ésope, si elles avaient plus
re un poème épique, il cherche dans l’histoire les noms des héros qui
conviennent
le mieux aux rôles qu’il veut distribuer, et son
à-dire des récits poétiques d’actions illustres, seule définition qui
convienne
à l’épopée. Bien que je ne veuille en aucune mani
on qui convienne à l’épopée. Bien que je ne veuille en aucune manière
convenir
qu’un poème épique soit essentiellement allégoriq
nge sous les drapeaux des Grecs, et le poème finit. Il faut néanmoins
convenir
qu’ici l’unité n’est pas aussi sensible que dans
l ornement lorsqu’ils sont habilement traités. Voici les règles qu’il
convient
de suivre à cet égard. 1º. Ils doivent être amené
ulte des camps et de l’horreur des batailles. 3º. Enfin, comme il est
convenu
qu’un épisode doit servir d’embellissement dans u
élevés que doit faire naître la poésie épique. La terreur et la pitié
conviennent
à la tragédie ; mais comme une épopée a plus d’ét
sait, pour déterminer son choix, que ce sujet fût grand par lui-même,
convînt
à la nature de son génie, et lui présentât les mo
teindre, mais celui-ci ne descend jamais au-dessous de la dignité qui
convient
à la poésie épique, et c’est un mérite qu’Homère
de nouveaux charmes. Cependant, pour rendre justice au Tasse, il faut
convenir
qu’il n’est effectivement ni plus merveilleux ni
constances en sont singulièrement pittoresques. Le style, très varié,
convient
toujours au sujet ; il est embelli de tous les ch
rs de vertu, des avantages et des douceurs de la paix, parce qu’elles
convenaient
mieux au caractère de Fénelon. Il a mis dans tous
plus de succès que l’épopée. On dirait que la versification française
convient
mal à la poésie épique. Outre qu’elle est toujour
e son genre de merveilleux est du plus mauvais goût ; c’est celui qui
convient
le moins à la poésie épique, puisqu’il se compose
é un peu mieux goûté du commun des lecteurs. Le sujet qu’il a préféré
convenait
mieux à la hauteur sublime de son génie32, mais i
éféré convenait mieux à la hauteur sublime de son génie32, mais il ne
convenait
qu’à Milton ; lui seul pouvait déployer ces tréso
les traits que nous donnons ordinairement aux esprits infernaux ; il
convenait
davantage à son but de lui prêter une physionomie
rs qu’il adresse à Ève et à Raphaël. Ève a mieux le caractère qui lui
convient
; elle a toute la douceur, toute la modestie et t
aignant l’harmonie, ils prennent tour à tour la grâce et la force qui
conviennent
dans une composition épique. Quelquefois, il est
ortance. Pour nous livrer avec plus d’avantage à cette discussion, il
convient
que nous prenions les choses de plus haut. En rem
is en plus petit nombre, ont un dénouement heureux. Cependant il faut
convenir
qu’il semble être de l’essence de la tragédie, et
ous a laissé des observations fort judicieuses sur les caractères qui
conviennent
à la tragédie. Il pense que les caractères sans n
isse aucune disposition favorable à la vertu ou à l’humanité. Il faut
convenir
que les sujets choisis par les poètes tragiques d
en résultait des incidents d’un genre véritablement tragique, il faut
convenir
que ces incidents appartenaient plus à la tragédi
ragédie, doivent être libres, faciles et variés. Notre vers blanc lui
convient
essentiellement ; il a assez de noblesse pour rel
de la force et de la dignité, mais non de cette dignité uniforme qui
convient
à la poésie épique ; il faut, au contraire, qu’il
ient trop recherchés lorsqu’ils devaient n’être que simples. Voltaire
convient
avec franchise de ces défauts du théâtre français
stérieux si extraordinaire et si imposant, ils parlent un langage qui
convient
si bien au rôle qu’ils jouent, que leur apparitio
cule qu’aux arguments solides et aux attaques sérieuses. Mais il faut
convenir
, d’un autre côté, que c’est une arme difficile à
genre tout particulier, et qui ne ressemblent en rien à ce qu’on est
convenu
d’appeler comédie. Elles montrent jusqu’à quel po
es, et qui sont pleines de romanesque et d’extravagance. Néanmoins on
convient
généralement que, dans les ouvrages de Lope de Vé
ependant quelques défauts, dont Voltaire, qui s’avoue son admirateur,
convient
le premier. On sait qu’il n’était pas heureux dan
a farce dans ses pièces en prose les plus comiques. Cependant il faut
convenir
que bien peu d’écrivains, si même il en existe, o
ais. On dira que plus elle est serrée, plus elle est frappante ; j’en
conviens
, et l’on en doit conclure que la précision est du
er en peu de mots, a introduit l’ellipse. Elle a aussi fait qu’on est
convenu
de s’entendre lorsqu’on dirait, en parlant des es
par sa liberté, sa noblesse, l’emporte sur le vers rimé, qui ne peut
convenir
qu’aux compositions d’un genre modéré, comme les
ne sais quelle horreur ténébreuse, un sublime sombre et triste qui ne
convient
pas mal à l’imagination anglaise. Milton conçut l
imagina un poème épique, espèce d’ouvrage dans lequel les hommes sont
convenus
d’approuver souvent le bizarre sous le nom de mer
je crois, le seul qui ait fait paraître une ombre sur notre scène. Il
convient
lui-même que c’était une entreprise assez hardie
e attitude possible. La posture droite est celle qui presque toujours
convient
le mieux. Ce n’est qu’autant qu’elle est ferme et
on, ou à faire sentir quelle succession de syllabes longues et brèves
convenait
le mieux à sa mélodie ; et comme pour remplir ce
vers hexamètre, parce qu’il sembla que ces deux espèces de pieds lui
convenaient
mieux ; mais, à la lecture, l’oreille ne sent pas
es sensibles de l’éloquence, devenue l’art de persuader. Mais il faut
convenir
aussi, qu’elle s’ouvrit dès lors une carrière tot
r, sur-le-champ, avec la plus grande facilité ; et ce genre de mérite
convenait
à l’imagination ardente et légère d’un peuple que
moyen de nier sa chute. Son style est austère, robuste, et tel qu’il
convient
à une âme franche et impétueuse. Rarement il s’oc
les vocables de Rome et d’Athènes, tous les procédés qui ne pouvaient
convenir
qu’à une langue née de la synthèse. Cette entrepr
σάγμα, παραβόλη, βύρσα, βαυκάλιον1. C’est donc à la Renaissance qu’il
convient
d’attribuer l’influence que le grec put exercer s
e tour avait de la grâce, et donnait au style une allure dégagée ; il
convenait
singulièrement à la prestesse de la poésie légère
sjours suyvre le premier… J’estime nostre poésie estre capable… Il te
convient
servir, aymer et craindre Dieu. » 9° A plus forte
que faire un portrait. — Il affiert eut plus d’énergie que n’en a il
convient
; car cette locution indiquait un mouvement d’att
discrétion, si l’on ne veut pas impatienter des lecteurs aux-quels ne
convient
guère la sécheresse de ces études. Qu’ils nous pe
connaissons ce caractère dans celle qui élimine l’inutile ; car, s’il
convient
d’être entendu de tous, des simples, des ignorant
aigne, voilà les classiques du xvie siècle. A ces chefs du chœur, il
convient
pourtant d’associer les plumes secondaires qui fi
e tous les poètes, et, mieux que tous les poètes, il a compris ce qui
convient
et ne convient pas dans une œuvre poétique. » (De
es, et, mieux que tous les poètes, il a compris ce qui convient et ne
convient
pas dans une œuvre poétique. » (De Orator., l. II
rt oratoire avant Aristote. Suivant une observation de Ch. Thurot, il
convient
lui-même que l’on a moins de peine à perfectionne
e l’action oratoire, et le paragraphe où il détermine le rang qui lui
convient
dans, l’art renferme, en quelque sorte, la pensée
er genre est comprise l’étude des passions et des mœurs) ; moyens qui
conviennent
également à tous les genres : l’exemple, l’apolog
prodigué les conseils de son expérience et de son goût. Tout le monde
convient
que la traduction de la Poétique et de la Rhétori
vint le langage parlé17, la nature trouva elle-même le mètre qui lui
convenait
; car le mètre le plus apte au langage, c’est l’ï
s fables. Chapitre XV Des mœurs dans la tragédie. — De ce qu’il
convient
de mettre sur la scène. — De l’art d’embellir les
ersonnage). Ainsi la bravoure62 est un trait de caractère, mais il ne
convient
pas à un rôle de femme d’être brave ou terrible.
avité et leur intermédiaire. C’est dans les traités de métrique qu’il
convient
de considérer ces divers points en détail. VII. L
rapports de ressemblance. XIII. Parmi les noms, ceux qui sont doubles
conviennent
surtout aux dithyrambes, les mots étrangers à la
vers ïambique et au tétramètre, ils ont la propriété d’agiter ; l’un
convient
à la danse, l’autre à l’action dramatique. VII. U
nous l’avons dit, la nature elle-même enseigne à discerner ce qui lui
convient
. VIII. Homère mérite des louanges à bien d’autres
it une action habituelle, soit une action spontanée. Or tout le monde
conviendra
que cette étude est le propre de l’art. III. Aujo
t ce n’est pas des parties en cause qu’il doit les apprendre. VII. Il
convient
donc, par-dessus tout, que les lois, établies sur
cas individuel ; ainsi, la médecine ne recherche pas quel traitement
convient
à Socrate ou à Callias, mais bien à tel individu
as contestées. L’orateur qui plaide en justice, par exemple, pourrait
convenir
que tel fait n’a pas eu lieu ou qu’il n’y a pas e
e tel fait n’a pas eu lieu ou qu’il n’y a pas eu dommage ; mais il ne
conviendrait
jamais qu’il y ait eu injustice. Autrement, l’act
libération, il se peut qu’on néglige divers autres points, mais on ne
conviendra
jamais de l’inutilité de la proposition que l’on
spéciales, toutes les variétés d’affaires, puis donner, autant qu’il
conviendrait
, des définitions rigoureuses sur chacune d’elles,
t ce n’est pas seulement d’après la pratique de son propre pays qu’il
convient
d’envisager cette question ; il faut aussi connaî
ration des temps passés, mais encore que l’on sache quel gouvernement
convient
à tel ou tel État dans les pays étrangers. De sor
œuvre. En effet, un ou plusieurs de ces biens, presque tout le monde
convient
que c’est là le bonheur. IV. Maintenant, si c’est
es communes à tous les genres de discours, l’amplification est ce qui
convient
le mieux aux discours démonstratifs ; car ceux-ci
nous en développer la grandeur et la beauté ; — les exemples, ce qui
convient
le mieux aux discours délibératifs ; car nous pro
renseignant sur l’avenir d’après le passé ; — les enthymèmes, ce qui
convient
le mieux aux discours judiciaires, car le fait ac
l’application de cette qualification au cas présent (par exemple, on
conviendra
d’avoir pris, mais non d’avoir volé ; d’avoir été
de ce que nous appelons les preuves indépendantes de l’art294. Elles
conviennent
proprement aux affaires judiciaires. II. Elles so
’est donc pas difficile de comprendre ce qui s’y rapporte et ce qu’il
convient
d’en dire. Lorsque les tortures nous sont favorab
vouer leurs torts et opposent des dénégations ; mais, contre ceux qui
conviennent
que l’on a raison de les punir, nous ne gardons p
e. On ne croit plus, dès lors, subir un traitement contraire à ce qui
convient
; or c’est cette opinion qui, nous l’avons vu329,
quand, au contraire, on rend sciemment un mauvais service, car nul ne
convient
qu’il a besoin de choses mauvaises. Voilà qui est
nt toujours de ce qu’ils font plus et avec plus de véhémence qu’il ne
convient
, en dépit du précepte de Chilon372, car ils exagè
apportent la vie à l’utile, mais non à ce qui est beau, plus qu’il ne
convient
, à cause de leur égoïsme. Car l’utile est un bien
celui qui sert à l’amplification est, nous l’avons dit381, celui qui
convient
le mieux aux discours démonstratifs ; le fait acc
cile de voir sur quelles sortes de sujets, dans quels cas et à qui il
convient
de recourir au langage sentencieux dans les disco
ui précède, combien il y a d’espèces de sentences, et à quel objet il
convient
d’en appliquer chaque espèce. Sur des matières co
i en termes très précis390. VIII. Dans les cas de cette sorte, ce qui
convient
, ce sont les apophtegmes lacédémoniens et ceux qu
os cigales ne chantent à même la terre391. IX. L’usage des sentences
convient
au vieillard, en raison de son âge et pourvu qu’i
se courroucer contre ceux qui ont fait du mal involontairement, Il ne
convient
pas, non plus, de savoir gré à quiconque ne fait
d’agir, puis appliquer (l’argument) de celle des deux manières qu’il
convient
. En effet, il y a là quelquefois une discordance,
ce qui est bien en soi, mais de ce qui est nécessaire, attendu qu’il
convient
, à vrai dire, en fait de discours, de ne pas s’ap
tion poétique ne pèche sans doute point par la bassesse, mais elle ne
convient
pas au discours en prose. II. Parmi les noms et l
homme, quelle robe on donnera au vieillard ; car le même vêtement ne
convient
pas aux deux âges. X. Si tu veux glorifier (il fa
de ne pas attribuer, dans la liaison des mots entre eux, la forme qui
convient
. Par exemple, le mot voyant, qui n’a pas une sign
composés pour la plupart, et surtout les mots étrangers sont ceux qui
conviennent
à celui qui parle le langage de la passion. On ex
tel langage, une fois mis dans le même état d’esprit. Aussi ce style
convient
-il pareillement à la poésie ; car la poésie a que
lque chose de majestueux et qui transporte l’auditoire. Le trochaïque
convient
plutôt à la danse appelée cordace, comme le font
Il y a deux formes de péans opposées l’une à l’autre : l’une d’elles
convient
au début ; c’est le péan qui commence par une lon
hez les orateurs athéniens. Pour la raison donnée plus haut, elles ne
conviennent
pas dans la bouche d’un vieillard. Chapitre XI
pas dans la bouche d’un vieillard. Chapitre XII À chaque genre
convient
une diction différente. I. Il ne faut pas ignor
le, ou injuste, ou qu’il n’a pas la gravité qu’on lui prête. Aussi ne
convient
-il pas de disserter en vue d’établir un point rec
Mais tu as donné les mêmes avis que ces derniers ? » — Et comme il en
convenait
: « Eh bien ! donc, tu aurais mérité de subir la
dans la Poétique 717, les diverses sortes de plaisanteries. Les unes
conviennent
à un homme libre ; les autres, non. Il faudra voi
faudra voir dans quelles circonstances pourra être de mise celle qui
convient
à l’orateur. L’ironie a quelque chose de plus rel
de rappeler les arguments avancés dans les parties précédentes. Or il
convient
de le faire de la même manière que certains le co
ints du discours de l’adversaire. VI. À la fin (de la péroraison), il
convient
de parler un langage dépourvu de conjonctions, af
ême1, ici encore nous commencerons par les faits et nous dirons qu’il
convient
de se préparer à l’étude des règles par : 1° La l
de chercher à pallier la faute des habitants d’Antioche, commence par
convenir
que leur conduite a mérité le plus sévère châtime
; ils ont violé les lois, outragé jusqu’à la personne de l’empereur :
convient
-il dans cette circonstance d’entreprendre de just
ui l’excitaient à la vengeance. » Mains séditieuses. L’attribut qui
convient
à la personne est appliqué ici à l’instrument don
emple produira dans la suite des siècles. » L’Éternel. Attribut qui
convient
à Dieu seul, et qui est ici personnifié. Actions
t des effets on remonte à la cause ; 5° le genre et l’espèce : ce qui
convient
au genre se dit de toutes les espèces qu’il renfe
récautions oratoires. Bienséances, Decorum, c’est ce qui sied, ce qui
convient
. Si les bienséances sont nécessaires dans la vie,
miner si le sujet prête aux passions, quelle espèce de passion il lui
convient
d’exciter. Ce n’est pas assez qu’il se pénètre lu
la confirmation : 1° le choix des moyens ; 2 : l’ordre dans lequel il
convient
de les présenter ; 3° enfin, la manière de les fa
e réduisent à une seule générale : les bonnes preuves sont celles qui
conviennent
au sujet et à la disposition des auditeurs. 2° Or
ues-uns même faibles, mais qu’on ne doit pas quelquefois négliger. On
convient
généralement qu’il faut d’abord s’emparer de l’es
rs en a un qui lui est propre, chaque discours, en outre, en a un qui
convient
à son sujet, enfin, chaque partie de la confirmat
quent, dit Cicéron, qui sait donner à chaque sujet la couleur qui lui
convient
. On a vu assez d’orateurs se distinguer dans un d
mes, comme je fais, mais avec cet air calme que vous lui voyez. Il ne
convient
point d’avoir servi des citoyens ingrats ; seulem
de nos lamentations, à la contemplation de tes vertus, auxquelles ne
conviennent
ni les pleurs ni les gémissements. C’est par l’ad
passe de sa signification propre et littérale à une autre qui ne lui
convient
qu’en vertu de quelque ressemblance. Les principa
de la confiance, on place l’auditeur ou le juge dans la nécessité de
convenir
qu’il penserait ou agirait de telle manière. Cicé
ut y trouver un moyen de donner à l’âme l’espèce de mouvement qui lui
convient
, de captiver l’oreille par des chutes qui la flat
perfectionna peu à peu, à mesure qu’on apercevait ce qui pouvait lui
convenir
; et après divers changements, elle se fixa à la
te ; mais dès que le dialogue fut introduit, le genre de vers qui lui
convenait
le plus fut indiqué par la nature même. Car, de t
e rang. Elle consiste à faire dire ce qui est dans le sujet ou ce qui
convient
au sujet. Cette partie se traite ou dans le genre
ir si c’est tel ou tel qui en est l’auteur ; mais celle de toutes qui
convient
le plus à une fable est celle des personnes, car
qu’ils se sont attachés aux familles où sont arrivés les malheurs qui
conviennent
à leur genre. C’en est assez sur la manière de co
ent convenables. La bravoure est un caractère de mœurs ; mais elle ne
convient
point à une femme, qui ne doit être ni brave ni h
et comme s’il était témoin de ce qui se fait, il sentira mieux ce qui
convient
ou ce qui ne convient pas. Ce fut faute de cette
moin de ce qui se fait, il sentira mieux ce qui convient ou ce qui ne
convient
pas. Ce fut faute de cette précaution que Carcinu
ie, le coup d’œil d’un esprit qui voit les rapports. Les mots doubles
conviennent
spécialement au dithyrambe, les mots étrangers à
ins de la philosophie ; et je propose pour eux encore un exercice qui
convient
à leur âge, et dont l’exemple de Crassus et l’aut
nte aux disciples de l’éloquence, on doit se souvenir que tout ce qui
convient
à un art dont le but n’est que de séduire et de p
i convient à un art dont le but n’est que de séduire et de plaire, ne
convient
pas à un art dont la lin est d’instruire et de pe
es causes oratoires, et d’assigner à chaque espèce les moyens qui lui
convenaient
: c’est ce qu’on appelait loca : arsenal oratoire
vertir l’orateur de celle qu’il aurait à suivre ; Cicéron lui-même en
convient
: Habet enim quœdam ad commonendum oratorem. Mais
nt qu’il est possible il ne doit jamais affecter que la forme qui lui
convient
. Savoir de quoi, dans quel dessein, à qui ou deva
qui ou devant qui l’on parle, et, dans tous ces rapports, dire ce qui
convient
, et le dire comme il convient, c’est l’abrégé de
et, dans tous ces rapports, dire ce qui convient, et le dire comme il
convient
, c’est l’abrégé de l’art oratoire. Ainsi l’import
lles de la seconde classe deviennent plus propres à l’éloquence, mais
conviennent
également à l’orateur, au philosophe, à l’histori
ù l’on enseigne expressément les procédés de l’éloquence, semblent ne
convenir
qu’aux jeunes gens qui se destinent ou à la chair
e voudrais les nommer basses, communes, familières : ces noms-là leur
conviennent
mieux ; je hais ces mots d’enflure. Les exemples
osent à la censure, soutiennent qu’ils sont mauvais, et tout le monde
convient
qu’ils sont mauvais : mais l’endroit de l’ouvrage
l’on fait, que la machine n’est qu’un amusement d’enfants, et qui ne
convient
qu’aux marionnettes : elle augmente et embellit l
et sans autre embarras que d’essuyer ses larmes ; outre qu’après être
convenu
de s’y abandonner, on éprouverait encore qu’il y
’agir… dans les verbes, travailler à ouvrer, être accoutumé à souloir
convenir
à duire, faire du bruit à bruire, injurier à vila
’est ce que nous avons vu dans les raisonnements de Socrate. B. J’en
conviens
. A. Mais que diriez-vous d’un homme qui prouvera
t quand on la laisse faire et que l’art ne la contraint pas. B. J’en
conviens
. A. Voyons donc. Naturellement fait-on beaucoup
scours a pourtant beaucoup de grâce. A. Elle en a sans doute ; et je
conviens
que, dans certains endroits vifs, il faut parler
de l’orateur ? N’avons-nous pas vu que c’est de persuader ? B. J’en
conviens
; A. La manière la plus vive et la plus touchant
t une invention très-moderne qui nous vient de la scolastique. B. Je
conviens
que l’école est un méchant modèle pour l’éloquenc
e que vous proposez peut être bon sur certaines manières ; mais il ne
convient
pas à toutes ; on n’a pas toujours des faits à po
sont comme le fondement de toute la suite du discours. Cette méthode
convient
bien davantage à ceux qui prêchent la religion ;
ur un sujet frivole, ne laisse pas d’être bon ; car tout ce clinquant
convient
encore bien moins aux sujets sérieux et solides.
. Je ne me réconcilie point avec vous, disait Despréaux, que vous ne
conveniez
qu’il y a bien des fadeurs dans ces opéras si agr
s simples à exposer, que la clarté et l’élégance sont tout ce qui lui
convient
. Il n’est pas besoin d’avoir lu Aristote, Cicéron
it et qui n’y paraissent point ajoutées. L’éloquence de Démosthène ne
convient
point à Thucydide ; une harangue directe qu’on me
u’il est naturel, vrai et élégant, et que le sentiment qu’il renferme
convient
à toutes sortes d’états. Mais ce vers : Gastaneæ
ats. Mais ce vers : Gastaneæque nuces mea quas Amarillis amabat, ne
conviendrait
pas à un personnage héroïque, parce qu’il a pour
ntiochus : Dans l’Orient désert quel devint mon ennui ! ne pourrait
convenir
à un amant dans une comédie, parce que cette bell
uceur. Entre deux hommes dont l’un sera grossier, l’autre délicat, on
convient
assez que l’un a plus de goût que l’autre. Avant
pour moi De fine toile de Hollande. Il n’est point de lecteur qui ne
convienne
que les vers de Voiture sont d’un courtisan qui a
t, après lequel on ne voit plus qu’un long et triste crépuscule. Nous
convenons
tous depuis longtemps que, malgré les soins de Fr
régnait du temps de Périclès était perdu chez eux. Les Grecs modernes
conviennent
qu’ils n’en ont aucun. Quintilien reconnaît que l
ntroduits dans les tragédies. Si donc les meilleurs esprits d’un pays
conviennent
que le goût a manqué en certains temps à leur pat
s scènes du Cid, imitées de l’espagnol. Mais aussi toutes les nations
conviennent
avec nous qu’il a déployé un très-grand génie, un
presque toutes ses pièces, nous sommes les premiers à le dire : nous
convenons
tous que ses héros ne sont que des raisonneurs da
el siècle il voudrait préférer au nôtre. Il faut être juste : il faut
convenir
, par exemple, qu’un géomètre de vingt-quatre ans
n se pique d’employer des expressions qui étonnent, parce qu’elles ne
conviennent
point aux pensées. C’est un grand malheur, il fau
doute plus que lui sur la grammaire française ; je ne puis toutefois
convenir
, avec ce respectable académicien, qu’un musicien,
; il n’a rien de sublime, son imagination n’est point brillante, j’en
conviens
avec vous : aussi il me semble qu’il ne passe poi
. J’aurais bien des choses à vous dire sur Boileau et sur Molière. Je
conviendrais
sans doute que Molière est inégal dans ses vers ;
iendrais sans doute que Molière est inégal dans ses vers ; mais je ne
conviendrais
pas qu’il ait choisi des personnages et des sujet
délié, ce lin, ce délicat, qui font le charme de la conversation, ne
conviennent
guère au théâtre. C’est cette fête qui m’empêche
complète : car aucun de ces caractères, métaphoriquement exprimés, ne
convient
à la tragédie. Quelques-uns, parmi nous, l’ont pr
de réflexion et de recherche ; la décence, à dire les choses comme il
convient
à celui qui parle, à l’objet dont il parle, et à
ais. On dira que plus elle est serrée, plus elle est frappante : j’en
conviens
, et l’on en doit conclure que la précision est du
usives l’une de l’autre, ni exclusivement attachées au genre qui leur
convient
mieux. Il ne serait pas raisonnable de refuser le
non ut appareat. Ce genre de beauté, ce don d’attacher et de plaire
convient
également au simple et au sublime ; car l’un et l
t, lorsqu’on fait le parallèle de ces deux poètes, il semble qu’on ne
convienne
de l’art de Racine que pour donner à Corneille l’
n mes connaissances et la faible étendue de mes lumières ; ce soin me
convient
d’autant moins, qu’une infinité d’hommes plus ins
ague ; ils ont de l’ampleur et sont flottants. C’est pour cela qu’ils
conviennent
mieux au style très-noble. Les mots espèce convie
ur cela qu’ils conviennent mieux au style très-noble. Les mots espèce
conviennent
au style concis, parce qu’ils pressent le sens, l
tre qui en est comme le corps et le portrait en sculpture. Le premier
convient
à la métaphysique, où tout est vague et étendu, e
et aux sentiments de piété, qui ont quelque chose d’infini. Le second
convient
mieux aux lois et aux maximes de morale. Le meill
ité sérieuse est le caractère du style académique ; c’est le seul qui
convienne
à un homme de lettres, parlant à des hommes de le
le sujet défini ; le genre, en classant ce sujet dans l’ordre qui lui
convient
; la différence, en montrant ses qualités propres
force. Qu’un interlocuteur ne cède à l’ autre que par la nécessité de
convenir
de ses torts ; c’est ce qui rendra le dialogue an
t d’une main ce qu’ on a édifié de l’autre. Pour charmer l’esprit, il
convient
donc de ne point déchirer le voile de l’allégorie
r selon le caractère ou l’instruction qui leur est propre, ou qu’on a
convenu
de leur donner. Les ornements conviennent à l’apo
qui leur est propre, ou qu’on a convenu de leur donner. Les ornements
conviennent
à l’apologue lorsque, étant conformes à son genre
même temps qu’à l’esprit : voilà en quoi consistent les ornements qui
conviennent
à l’apologue. Ce fut pour les anciens faiseurs de
ances principales, de donner à chacune la place et l’ étendue qui lui
conviennent
. Il ne faut pas non plus décrire pour le seul pla
omme la fable, une moralité claire, facile à tirer du sujet, et qu’il
convient
toujours d’expliquer en peu de mots. Si le conteu
les observer de près, de mesurer leurs forces, de sentir ce qui leur
convient
: c’est cette connaissance, que l’expérience seul
c., parce que l’enfant a vu ce qui se nomme adjectifs, et parce qu’il
convient
de diminuer le nombre des mots barbares dans une
les beautés de la nôtre ; et il avait le cœur trop droit pour ne pas
convenir
avec franchise des uns et des autres. Cette impar
Tressan. Quel qu’ait été le succès de cet ouvrage, cependant il faut
convenir
, et c’est l’avis d’un grand nombre de littérateur
siens au jugement du public. En conservant la simplicité de style qui
convient
à des lectures, et surtout à l’instruction, il n’
et ingénieuses amusent les jeunes gens ; plus tard, le genre sérieux
convient
davantage. Quelques nations aiment la peinture ha
e, comme aux couleurs et aux mouvements, nous verrons qu’elle ne leur
convient
en aucune manière ; et même sous le rapport de la
n genre de beauté bien simple, et c’est, par cela même, celui dont il
convient
de parler le premier. Ici l’on ne peut indiquer c
l’esprit qu’il puisse être question des descriptions de l’Iliade. Je
conviens
néanmoins que l’imitation et la description conco
nt qu’un petit nombre réunis par le hasard, ou par le besoin, fussent
convenus
de certains signes, quelle autorité eussent-ils p
des écrivains de cette nation qui l’emploient le plus fréquemment. Il
convient
d’observer ici que, dans le caractère de toutes l
thunders [il tonne], it is light [il fait jour], it is agreeable [il
convient
], et autres semblables ; c’est en effet la forme
t complète, lorsqu’il ne lui manque rien et qu’elle a tout ce qui lui
convient
. Un homme possède une maison entière, et n’a pas
ion d’un fait, mais dans des circonstances différentes. Avouer, c’est
convenir
d’une chose que l’on avait niée d’abord ; reconna
re d’écrire la plus brillante et la plus harmonieuse, c’est celle qui
convient
le mieux à l’art oratoire. Nous citerons pour exe
manière d’écrire, que la plupart des écrivains français ont adoptée,
convient
aux sujets agréables et faciles à traiter. Le sty
i cependant ces particules ne sont pas exactement à la place qui leur
convient
, il semble qu’il y ait quelque chose d’embarrassé
tere. La fin de la phrase est, dans tous les cas, la place qui leur
convient
le moins. Lorsque le sens le permet, il faut, si
toute cette doctrine sur la mesure et le nombre de la prose, il faut
convenir
qu’elle est en grande partie très obscure et très
ces anciens critiques différaient entre eux sur l’espèce de pied qui
convenait
le mieux à la fin, ou dans telle autre partie de
s Catilinaires. Il faut donc que nous soyons bien pénétrés du ton qui
convient
à notre sujet, c’est-à-dire du ton que prennent n
cune manière des figures, ou plutôt même les exclut. Ces ornements ne
conviennent
bien que dans l’expression de pensées peu élevées
es expressions à l’infini ; et, pour ne pas surcharger la mémoire, on
convint
d’appliquer à une autre idée ou à un autre objet
se qu’implorer l’assistance de la Divinité. Le rapport entre un signe
convenu
et la chose signifiée est encore une source abond
espèces de tropes. La première, c’est que les métaphores doivent bien
convenir
à la nature du sujet ; elles ne doivent être ni t
scrète profusion ; il faut qu’elles restent au niveau des pensées qui
conviennent
au sujet que l’on traite. Rien ne semblerait plus
n auteur qui, dans un ouvrage didactique, se servirait de figures qui
conviennent
au genre descriptif. Lorsque l’on raisonne, il fa
jours prêts à admirer un style brillant et fleuri, sans examiner s’il
convient
au sujet. La seconde règle est relative au choix
s vagues qui se brisent et roulent autour, » sont des expressions qui
conviennent
parfaitement bien au langage figuré ; mais lorsqu
adapter avec exactitude au sens littéral toutes les circonstances qui
conviennent
au sens figuré, de manière à ce que le premier ne
sopopée ; mais, comme le mot personnification exprime la même idée et
convient
mieux à notre langue, nous ne la nommerons pas au
les nous le représentons. Lorsqu’elle est de quelque étendue, elle ne
convient
qu’aux harangues préparées et aux discours où l’o
ure portée au plus haut degré où l’on puisse l’élever en prose, et ne
convient
, par conséquent, qu’aux compositions dans lesquel
style. Il est vrai que l’ardeur et la vivacité du génie des Français
convient
mieux à ce genre d’éloquence animée, que le génie
Chacun parle à son tour ; chacun joue sans confusion le rôle qui lui
convient
. Lecture XVII. De la comparaison, de l’antithè
rer des comparaisons, en supposant qu’on ait trouvé la place qui leur
convient
. D’abord il faut éviter de tirer ses comparaisons
s, nunquam eris pauper ; si ad opinionem, nunquam dives. Cette forme
convient
parfaitement à une maxime ou à une sentence moral
que, ainsi que nous l’avons précédemment fait observer, elles peuvent
convenir
même dans le cours de la conversation ordinaire o
énie. Mais revenons à notre sujet. Une autre figure de langage qui ne
convient
qu’aux compositions animées et pleines de feu, es
tournent point de son sujet, soit parce qu’il ne pense pas qu’ils lui
conviennent
, soit parce que son génie ne les lui inspire pas,
peine sourire, il fait rire son lecteur à pleine gorge. Le style uni
convenait
parfaitement bien au génie de Dean Swift. On peut
e composition un caractère modéré, et y répand assez d’ornements pour
convenir
à toute sorte de sujets. Une lettre familière, un
e, comme n’appartenant qu’à la jeunesse, les ornements superflus, qui
conviennent
mal au sujet et ne contribuent point à l’éclairer
empreinte dans les Écritures sacrées, et aucun style ne pouvait mieux
convenir
à la dignité de l’inspiration. Lord Shaftsbury es
té d’un torrent. Ce style est celui des grands discours oratoires, et
convient
mieux à l’homme qui parle en public qu’à l’auteur
u génie, et pour arriver au but, on est libre de suivre le chemin qui
convient
, et de n’écouter que l’inspiration de la nature.
u au génie de l’écrivain, à déterminer le caractère particulier qu’il
convient
de lui donner. J’engage d’abord l’écrivain ou l’o
férents genres et les différents sujets de ces discours, le style qui
convient
à chacun, la distribution et l’arrangement de tou
ion que j’ai donnée de l’éloquence comprend ses différents genres, et
convient
également à l’éloquence qui instruit, à celle qui
i. Ce style est bien différent de celui que l’on croit, de nos jours,
convenir
essentiellement à l’éloquence populaire ; il cont
urs écrits, ils s’apercevront bientôt que cette manière ambitieuse ne
convient
point aux affaires, et n’est pas celle qui fixe l
ntion, je passe à l’examen de l’éloquence des temps modernes. Il faut
convenir
qu’aucune nation de l’Europe n’a mis une aussi gr
reuses pour que l’éloquence y pût exercer tout son pouvoir57. Il faut
convenir
que, malgré ces avantages, nous sommes, dans pres
’un style persuasif et animé, s’élève rarement au-dessus de celui qui
convient
à la correction et à la précision du raisonnement
passions, et ne prend jamais un ton beaucoup plus élevé que celui qui
convient
à la conversation ou au raisonnement. On peut don
tres a peut-être imposé trop de sobriété à leur génie. Il faut encore
convenir
que ce qu’il nous plaît d’attribuer à la rectitud
d assez exactement tout ce qui peut être sujet d’un discours. Mais il
conviendra
mieux au but de cet ouvrage, et l’on trouvera peu
elle pour appliquer à chaque genre celles des règles générales qui ne
conviennent
qu’à lui. L’éloquence d’un avocat est bien différ
chaque chose ou chaque partie doit être exactement à la place qui lui
convient
. Tous ceux qui parlent en public apprécient l’ava
ties d’un discours. Voyons maintenant quel style, quelles expressions
conviennent
à ceux qui parlent dans les assemblées populaires
sa nature, doit être traitée froidement. Un ton tempéré et ordinaire
convient
dans la majeure partie des affaires, et celui qui
ton véhément qui sied à la personne revêtue d’une autorité imposante,
conviendrait
mal à la modestie que doit avoir un jeune orateur
pour parler en public doit s’être fait une idée bien exacte de ce qui
convient
à son âge, à sa position, au sujet qu’il va trait
réprimer Philippe. « Quand donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il
convient
de faire ? qu’attendez-vous ? un événement, la né
ns doute de prévenir l’erreur, et de réformer là-dessus vos idées. Je
conviens
que s’il dépendait de nous de choisir entre la pa
maux se découvrent. « En voyant Philippe prospérer, on a raison, j’en
conviens
, de le juger un ennemi redoutable ; car la fortun
indique les lieux sur lesquels il faudrait les diriger, la saison qui
conviendrait
à leur départ. Ensuite, il propose sa motion, ou
, et il s’exposerait au ridicule, s’il prenait ce ton véhément qui ne
convient
qu’à la tribune. Enfin, la nature et la conduite
u barreau exigent une espèce d’éloquence bien différente de celle qui
convient
aux débats de la tribune. À la tribune, une plus
s les mémoires à consulter, doit être calme, modérée et telle qu’elle
convienne
à l’ordre et à la précision du raisonnement. Quel
péraient qu’après sa mort ils hériteraient de sa fortune. Ils étaient
convenus
de s’en défaire par le poison, et les détails de
n d’être parmi nous à son plus haut point de perfection, mais il faut
convenir
qu’il n’est aucun genre d’éloquence dans lequel i
son influence dans certaines situations de la vie. L’exécution, j’en
conviens
, en est plus difficile ; mais le mérite et l’effe
avoir, en même temps, de la noblesse et de la vivacité ; car le style
convient
très bien à l’éloquence de la chaire. La chaleur
x des conjurations de Jugurtha et de Catilina ; iis eussent également
convenu
à toute autre histoire, ou même à tout traité que
propose d’adopter. Les discours dans lesquels cette sorte de division
convient
le mieux sont les sermons ; mais l’on a agité la
discours de tel genre qu’il soit, voici les principales règles qu’il
convient
de suivre. Premièrement, il faut que les parties
ivisions sans fin produisent toujours un mauvais effet. Elles peuvent
convenir
à un traité de logique ; mais elles donnent à un
enlève pas, n’enflamme pas. La magnificence et la richesse d’Isocrate
conviennent
mieux aux discussions importantes. Il est plus ag
en général, et d’autre part le style de genre, c’est-à-dire celui qui
convient
exclusivement à un genre particulier de compositi
discours. La propriété consiste à rendre une pensée par le terme qui
convient
seul à cette pensée. Cela n’est pas facile, il fa
rement qu’ils sont faits. Chacun y cherche d’un coup d’œil ce qui lui
convient
, et personne ne pense à examiner comme ils sont é
encore : ce monstre exécrable, c’est toi. Malgré cette remarque, il
convient
quelquefois de se servir d’un synonyme, soit pour
la signification propre d’un mot en une autre signification qui ne
convient
à ce mot qu’en vertu d’une comparaison qui se fai
ses écarts ; elle saura bien trouver des vêtements splendides qui lui
conviendront
à merveille. En vain vous chercherez des phrases
ublime. Nous avons en nous un bon sens qui nous indique où le sublime
convient
et où il est déplacé. Si donc on trouve à l’impro
plus forte et laissez au sublime cette simplicité majestueuse qui lui
convient
si bien. Quelles autres expressions pourrait-on m
majestueux parle des choses presque surhumaines ; le style magnifique
convient
à de moins grands sujets. Si l’écrivain sait join
uel genre d’écrire la pompe s’accommode le mieux. Toutefois, la pompe
convient
à peu près à tout, excepté au style simple et le
nsonnes ont également des rapports d’harmonie imitative. Mais il faut
convenir
que ces rapports changent par l’union d’autres co
de sa langue on reconnaît promptement les occasions où les inversions
conviennent
. On peut dire que ces occasions se présenteront t
ur, parce qu’elles supposent communément un esprit tranquille ; aussi
convient
-il que l’orateur, et encore plus le poète, les to
tion de tel ou tel genre. On les trouvera chacune en la place qui lui
convient
. Défauts opposés à l’ornement. Il est fac
, et particulièrement : Le boursouflé, les tournures pompeuses qui ne
conviennent
pas au sujet ; l’ampoulé les expressions grandios
tyle en style simple, style tempéré et style sublime. Le style simple
convient
aux sujets ordinaires ; le style tempéré aux suje
r le rapport naturel qui se trouve entre le sujet et le style qui lui
convient
, entre tel ordre d’idées et tel genre de distinct
uples, voisins, de même origine, et unis par les liens de la parenté,
convinrent
de nommer de part et d’autre trois combattants se
n ouvrage. Cependant, on peut dire en général que le style périodique
convient
mieux aux sujets nobles et sérieux, et le style c
le plus divin, Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain1.
Convenons
cependant avec les grammairiens, même les plus ri
nts, c’est-à-dire, si l’on donne au style les seuls agréments qui lui
conviennent
relativement au sujet. Il y a des phrases, des mo
, n’appartient qu’à celui qui a le crédit de les faire approuver . Je
conviendrai
qu’en effet, lorsqu’un vers ronfle bien dans la b
, qui font une beauté, un ornement dans le discours. Cette définition
convient
aux figures de mots et aux figures de pensées. Le
t τρεπω, qui signifie, je tourne. Les premières ne le sont point. Je
conviens
, dit du Marsais, dans son excellent traité des tr
t de sa signification propre à une signification nouvelle, qui ne lui
convient
qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
u prise en général. Comme l’espèce est contenue dans le genre, ce qui
convient
au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convi
. Comme l’espèce est contenue dans le genre, ce qui convient au genre
convient
aussi à l’espèce ; ce qui convient à l’espèce con
le genre, ce qui convient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui
convient
à l’espèce convient quelquefois, mais ne convient
vient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convient à l’espèce
convient
quelquefois, mais ne convient pas nécessairement
à l’espèce ; ce qui convient à l’espèce convient quelquefois, mais ne
convient
pas nécessairement au genre. On dira donc : Il f
son propre cœur ! 91. Les principales vertus ou qualités morales qui
conviennent
à l’orateur, sont la probité, la prudence, la bie
a couronne, nº 2.) 96. Les quatre qualités dont nous venons de parler
conviennent
à tous les genres de discours, mais elles ne sont
ous me faites ; et s’il peut y avoir de l’excès en reconnaissance, je
conviens
que je passe toutes les bornes en ce genre. (Dis
pas toujours ceux qui agissent sur un vieillard, et d’ailleurs il ne
convient
pas de prendre le même ton envers tous les âges.
rhétorique. 106. S’il est difficile, dit Cicéron, de connaître ce qui
convient
le mieux dans chaque action de la vie, il l’est a
nous fait voir les objets tels qu’ils sont et nous avertit de ce qui
convient
et de ce qui ne convient pas. Relativement aux pa
s tels qu’ils sont et nous avertit de ce qui convient et de ce qui ne
convient
pas. Relativement aux passions oratoires, le disc
ssorts qui les mettent en jeu, les bienséances et le langage qui leur
conviennent
. 133. Si elles n’étaient pas réglées par le disce
oratoires, et jusqu’à quel point il s’y prête, car les mouvements ne
conviennent
pas aux petites affaires. Ce serait, dit Quintili
de ces grands maîtres. Cependant, comme la plupart de leurs préceptes
conviennent
exclusivement au barreau, nous ne ferons qu’empru
rencontrent pas dans tous les discours. La narration et la réfutation
conviennent
principalement au barreau, et, dans les discours
mbattant le plan et le genre de défense qu’a choisis sa volonté. Vous
conviendrez
tous, ô juges, que ces débats me sont communs ave
rs, tout ce que l’éloquence a de plus magnifique et de plus élevé. Il
convient
surtout aux occasions solennelles où un nombreux
’attacher à les combattre. Nous dirons ailleurs les précautions qu’il
convient
d’observer en ce cas. Article sixième. De la p
t exprimer. 258. Il n’est pas facile d’assigner le genre de style qui
convient
à chaque partie du discours. En général, le style
iaire, dans la discussion des preuves et des faits ; le style tempéré
convient
ordinairement à l’exorde, à certaines parties de
les fixes, et c’est au bon sens de l’orateur à discerner les tons qui
conviennent
à. chaque endroit. 259. Les œuvres de l’homme son
nner à chaque mot, à chaque syllabe, la valeur et la quantité qui lui
conviennent
. Elle ne doit avoir aucun accent vicieux et étran
té qui n’exclut pas l’élégance et la noblesse. 318. Les ornements qui
conviennent
au prédicateur ne sont pas de ceux qui font admir
t ou résout les difficultés proposées. Mais, depuis longtemps, on est
convenu
de donner le nom de conférence à tous les discour
ir, et l’on paraîtrait ridicule en prenant un ton de véhémence qui ne
convient
qu’en face d’une grande multitude. Sous le rappor
e les termes de la chicane et une érudition pédantesque, voilà ce qui
convient
généralement au barreau. La précision et la clart
ciété n’est point un théâtre où chacun puisse prendre le rôle qui lui
convient
. Soyez toujours d’accord avec vous-même, et montr
e, touchante piété, toutes les vertus, tous les nobles sentiments qui
conviennent
à un orateur sacré s’y trouvent réunis. Massillon
que forte et victorieuse. Ce luxe et ces délices de la parole sainte
convenaient
à des temps plus heureux, et pouvaient être une j
qui tues les prophètes et égorges ceux qui sont envoyés vers toi, te
convient
-il de demander, les mains encore teintes de leur
es sacrifices, dans les expiations publiques ou privées. Mais vous en
conviendrez
également, ce n’est que dans le christianisme fon
et de sa douceur. C’est l’éloge que l’Écriture fait de Moïse, et qui
convient
parfaitement à saint François de Sales ; sa douce
issant que jamais. XXX. Éloquence du barreau. L’éloquence qui
convient
au barreau, soit dans les discours qu’on y pronon
trinsèques, et comment se divisent-ils ? 40. À quel genre d’éloquence
conviennent
l’autorité divine et la loi naturelle ? 41. Combi
insinuant ? 173. En quoi consiste l’exorde pompeux, et à quels sujets
convient
-il ? 174. En quoi consiste l’exorde véhément ou e
mployer les ornements du discours ? 318. Quels sont les ornements qui
conviennent
au prédicateur ? 319. Quelles qualités doit avoir
t les nuances qui les caractérisent, et quelles sont les qualités qui
conviennent
plus particulièrement à chacun d’eux. Section I
rdinaires, qui ne sont susceptibles ni d’élévation, ni d’agrément. Il
convient
surtout à la proposition, à la division d’un disc
me Deshoulières, de Fontenelle, de Fénelon, etc. Les qualités qui lui
conviennent
sont : l’ordre, la clarté, la concision, et surto
e sa personne qu’il ne l’est de lui-même, etc. Comme le style simple
convient
aussi aux narrations, nous en donnons, dans le de
IV, « Style périodique »]. § V. Le Style enjoué Le style enjoué
convient
dans les sujets badins, dans une table, dans un c
ns recherche, se distingue surtout par le mouvement et la chaleur. Il
convient
dans les discussions importantes par les intérêts
sque jusqu’au sublime, suivant la dignité des sujets qu’il traite. Il
convient
dans les discours d’apparat principalement destin
mitative, et fait un grand usage de métaphores et de comparaisons. Il
convient
dans les morceaux descriptifs, tels que la descri
les liens de l’amitié. Il est facile, du reste, de comprendre ce qui
convient
selon l’objet de la lettre et les différentes sit
verte. Si, au contraire, vous avez des torts, ne rougissez point d’en
convenir
dans votre lettre ; montrez-vous touché d’avoir p
uite du mot Monsieur ou Madame, qui alors ne sont plus en vedette. Il
convient
, quand on écrit à une personne de la plus haute d
Nous dirons cependant encore que ces volumes, qui semblent ne devoir
convenir
qu’à des classes et être, par conséquent, quelque
tiâ, præstantissimo consilio. Voilà, ce me semble, la devise qui lui
convient
. En ce qui me concerne, je ne manquerai pas de le
unes intelligences. La disposition par interrogations et par réponses
convient
parfaitement à des leçons dont l’élève doit rendr
dées. Rien n’est plus simple que de donner à chacune la place qui lui
convient
, de telle sorte que la première prépare la second
d’explication, parce qu’il est voisin de l’obscurité. Malgré cela, il
convient
parfaitement aux proverbes, aux sentences, aux de
son des mots. Les poètes recherchent beaucoup ce genre de beauté qui
convient
aussi parfaitement à la prose, toutes les fois qu
ent les vingt premières années de ce règne mémorable. Le style coupé
convient
particulièrement aux narrations, aux sujets agréa
qui a plus de noblesse, d’harmonie et de dignité que le style coupé,
convient
plus particulièrement aux sujets élevés ou sérieu
ouverte. Si au contraire vous avez des torts, ne rougissez point d’en
convenir
dans votre lettre. Montrez-vous touché d’avoir pu
peut. Quand on écrit à des personnes de la plus haute distinction, il
convient
de ne pas employer la seconde personne, mais de s
ués, ou avec attachement, ou très parfaitement, etc. La formule qu’il
convient
d’employer doit être déterminée par les circonsta
à des personnes, dont il est à présumer qu’ils ne sont pas connus, il
conviendra
, je crois, qu’ils ajoutent le titre ou de leur te
ès ? En étudiant un peu l’art de plaider, nous saurons mieux ce qu’il
convient
de dire, ce qu’il faut taire, pour intéresser en
aque partie de la disposition sa place naturelle et l’étendue qui lui
convient
. Pour nos essais nous ne descendrons pas jusqu’à
nous indiquerons le genre d’ornements et les qualités de fond qui lui
conviendront
le mieux. Voir Canevas n° 246 à 251. Appendice
lus difficile d’en déterminer la place. On peut dire en général qu’il
convient
dans le cours d’une phrase d’en charger les expre
les cantiques. (C. D.) Ce vers est nommé alexandrin ou héroïque. Il
convient
à la haute poésie, aux sujets nobles, à cause de
riche voyageur. (M.) Ce vers est gracieux et léger. C’est celui qui
convient
le mieux au récit. Son rhythme est doux et agréab
. a. T.) Le rhythme de ce vers est doux et majestueux à la fois ; il
convient
à l’ode et à la poésie légère. Vers de sept syll
’enchaîne Dans une riche plaine Roule ses flots d’azur. (J.) Ce vers
convient
à la poésie pastorale ; son rhythme est gracieux
s, sult — an, inst — ant, — dé — mon, mont, — eff — or, fort, etc. Je
conviens
que ce sont là de pauvres rimes, dont on ne trouv
ons de nos semblables. Ils appartiennent en général à ce que l’on est
convenu
d’appeler magnanimité, héroïsme, et produisent su
aucune idée de grandeur, et n’ont rien de sublime. Il faut néanmoins
convenir
qu’une force ou un pouvoir quelconque, qu’il soit
lxxvii : Τό ὀγϰηρὀν ἐν τρισίν, πλάτει , μήϰει,πλάσματι, etc. Celui-ci
convient
à la danse.] C’est le tétramètre trochaïque. Voye
prima vista sono assai più note, che questa non è. » Mentir comme il
convient
.] Aristote donne de même, dans la Rhétorique, i,
mmaire et aux classes supérieures des lettres, nous avons pensé qu’il
convenait
d’adopter, pour le classement des auteurs, l’ordr
est en lisant beaucoup, plutôt qu’en lisant beaucoup d’auteurs, qu’il
convient
de former son esprit et de donner de la couleur à
fréquentes, a cette mollesse gracieuse et cette mélancolie douce qui
conviennent
au genre de la pastorale, dont Racan est demeuré
s son inclination Vous a donné ses vœux et son affection. 1. On se
convient
souvent, a dit Fontenelle (éloge de Malezieu), pa
e.) Eût-il toutefois adopté ce jugement de Saint-Évremond ? « Il faut
convenir
que la Poétique d’Aristote est un excellent ouvra
joutant quelque chose à leur beauté, à mesure qu’on découvrait ce qui
convenait
à leur caractère. » Batteux donne à peu près le m
Les caractères doivent encore être variés ; mais comme cette qualité
convient
aussi aux mœurs, nous en parlerons plus loin. 361
mœurs ? Les mœurs locales consistent dans le ton et les manières qui
conviennent
au siècle où ont vécu les personnages, et la nati
le nom de personnages allégoriques. 375. Le merveilleux philosophique
convient
-il à l’épopée ? Les personnages allégoriques pri
, réunit au contraire toute la grandeur et toute la vraisemblance qui
convient
à ce genre de poésie. 378. De combien de manières
l’on fait abstraction des écarts, du délire, des élans impétueux qui
conviennent
au genre lyrique, le style de l’épopée sera en gé
française est susceptible, même en vers. 399. Quel est le rythme qui
convient
le mieux à l’épopée ? Les anciens avaient consac
d le terme qui exprime l’objet principal a été mis à la place qui lui
convient
, on range à sa suite les termes accessoires, chac
t Cicéron, combien il importe de donner à chaque mot la place qui lui
convient
? Qu'on prenne au hasard dans quelque orateur une
mot, contribue à la rendre parfaitement élégante. Le style périodique
convient
plus spécialement aux grands orateurs ; il offre
n quelque chose de grave, d’imposant, de solennel. Mais il ne saurait
convenir
à tous les sujets, et il serait déplacé dans les
urs. Ce sera donc avant les mots qui leur servent de complément qu’il
conviendra
de les placer. Ainsi, l’on dira : in senatu, dans
langue, et de donner au style la force, la grâce, la noblesse qui lui
conviennent
. Quelques exemples rendront la chose plus sensibl
tère qu’il a su donner à son héros, pius Æneas. C'est aussi celui qui
convient
au vénérable Anchise ; car il doit y avoir identi
elles sont belles d’harmonie et de sentiment, et combien cette beauté
convient
à la beauté mourante du jeune guerrier. L'épithèt
’on portera de ce recueil nous sera toujours assez favorable, si l’on
convient
qu’un ouvrage entièrement original n’aurait pu at
estable. Aussi n’est-il compté que pour un syllogisme oratoire, et il
convient
particulièrement aux délibérations. L’induction e
r si sa matière comporte le pathétique ; car les grands mouvements ne
conviennent
pas aux petites affaires : ce serait, dit Quintil
fs et pressants, donnez au fait et aux moyens les sentiments qui 4eur
conviennent
, mais ne les épuisez pas, et réservez tes grands
tit de toutes parts. Quand donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il
convient
de faire ? Qu’attendez-vous ? un événement, ou la
Avocat, ah ! passons au déluge ! L’exorde est vicieux lorsqu’il peut
convenir
à plusieurs causes ; c’est ce qu’on appelle exord
t (separatum, translatum), lorsqu’il ne naît point de la cause ou n’y
convient
, pas. Il peut être encore, ou trop brillant, ou t
e plausibles que soient les raisons de cet illustre critique, on doit
convenir
que la méthode des modernes est plus lumineuse et
cution nouvelle, point de digressions ; commençons et finissons où il
convient
, sans rien oublier de ce qui tient au sujet. Ne p
de trop raffiner sur ces motifs ; c’est par les actions surtout qu’il
convient
de caractériser les personnes. 3º. La narration d
ourte. Mais Aristote dit avec raison que ce n’est pas une qualité qui
convienne
plus à la narration qu’à l’exorde ou à la preuve7
portance, la clarté et la précision sont les seuls ornements qui leur
conviennent
. Si donc il s’agit d’un crime, d’un fait grave, d
ue sujet que ce soit, un style pompeux et des ornements recherchés ne
conviennent
point à la narration judiciaire. C’est surtout à
tissu de narrations accompagnées des réflexions et des sentiments qui
conviennent
à la chose. Ainsi se traitent les oraisons funèbr
ion où l’ordre, la clarté, la précision, sont les seuls ornements qui
conviennent
à la preuve : il est aussi des sujets pathétiques
iqu’il témoigne peu d’estime pour le talent de faire rire101, il faut
convenir
qu’il en a quelquefois, abusé. La raison, la véri
quence de la chaire, le pathétique de la péroraison a un objet qui ne
convient
qu’au genre délibératif ; c’est d’émouvoir l’audi
de gens faibles et oisifs ; elle n’est bonne qu’autant que les sons y
conviennent
au sens des paroles, et que les paroles y inspire
revenir sur le même sujet : mais on sent bien qu’un style nombreux ne
convient
pas à tous les genres, quoique tous exigent un st
che que le simple, plus humble que le sublime, tous les ornements lui
conviennent
, et ce qui le distingue enfin, c’est l’art de pla
ui a passé de l’école des sophistes dans les discours publics, paraît
convenir
essentiellement au genre tempéré : c’est qu’il es
ré, pourvu qu’il soit assez fourni de cette sorte d’ornements qui lui
conviennent
, ne peut courir non plus de grands hasards ; et s
loi Manilia, j’avais à louer Pompée : j’adoptai le genre tempéré qui
convenait
au panégyrique. La cause de Rabirius intéressait
première de ces qualités est bonne en toute occasion ; la seconde ne
convient
pas à tous les sujets, ni avec toutes sortes de p
armonie, peuvent encore persuader et ravir. Les qualités qui semblent
convenir
plus spécialement à ce genre sont l’élégance, la
force et déployer toute l’étendue de leur génie141. Les qualités qui
conviennent
à ce genre, c’est-à-dire aux sujets élevés ou pat
? employez-y la véhémence. Et en effet chacun de ces trois caractères
convient
plus ou moins au sujet, au lieu, aux personnes, a
qu’il est naturel, vrai, élégant, et que le sentiment qu’il renferme
convient
à tous les rangs ; mais ce vers, Castaneæque nuc
gs ; mais ce vers, Castaneæque nuces, mea quas Amaryllis amabat, ne
conviendrait
pas à un personnage héroïque, parce qu’il a pour
a signification propre d’un mot à une autre signification, qui ne lui
convient
qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
t dit, faible objet qui est un ouvrage imperceptible. L’apposition ne
convient
qu’au style noble et soutenu. On peut joindre à c
ud. (Th. Corneille.) Les sentences, fruit d’une réflexion froide, ne
conviennent
pas au langage de la passion. Placées à propos et
narration admet volontiers la même attitude, la même physionomie, qui
conviennent
à l’expression de la dignité. Dans la plaisanteri
’elles ont entre elles]. Nous parlerons seulement du Plan général qui
convient
à toute composition sérieuse. Section II. — Du
maque. Exorde pompeux ou solennel offre un magnifique préambule qui
convient
surtout aux oraisons funèbres et aux discours aca
elle et ennemie de Dieu. Tout le monde souffre et est incommode, j’en
conviens
; car jamais le faste, jamais le luxe fut-il plus
Pour rendre plus efficaces les leçons que comporte cette méthode, il
convenait
d’avertir l’attention du lecteur par des commenta
omme le disait Voltaire, « semblables à ces avares qui ne veulent pas
convenir
de leurs richesses, et crient sans cesse que les
Pour rendre plus efficaces les leçons que comporte cette méthode, il
convenait
d’avertir l’attention du lecteur par des commenta
me le disait Voltaire, « semblables à ces avares qui ne veulent point
convenir
de leurs richesses, et crient sans cesse que les
ient et va croissant jusqu’au dénoûment ; si le vers exprime comme il
convient
la pensée du poète, et que cette pensée soit touj
, ni sur les définitions que nous avons données des qualités qui leur
conviennent
. Dans le drame comme dans l’épopée, les caractère
l’épopée, les caractères doivent être, sinon toujours grands, ce qui
convient
peu à la comédie, au moins vrais et soutenus. Les
ns affectation, avec une simplicité sans bassesse. C’est le style qui
convient
à des personnages de haute distinction. Supposez
: il n’y a pas un seul mot à retrancher. C’est la vraie éloquence qui
convient
à la tragédie. Le discours que Racine met dans la
harmonie doit même en être plus soignée. 498. Quels sont les vers qui
conviennent
à l’opéra ? L’opéra demande des vers libres et i
e est encore plus remarquable en ce genre. 522. Quel est le style qui
convient
à la comédie ? Le style de la comédie doit être
. C’est un plaisir qu’il faut lui laisser, mais dans la forme qui lui
convient
, c’est-à-dire avec une grossièreté innocente, des
rs : par là, il se trouve à la bienséance des seuls spectateurs qu’il
convienne
d’y attirer. Lui donner des salles décentes et un
ix des expressions, qui doivent être justes elles-mêmes, c’est-à-dire
convenir
parfaitement à la pensée. 39. Quand la pensée est
naturel ? Tout sentiment doit être naturel, c’est-à-dire qu’il doit
convenir
à la situation de celui qui en est affecté, et pa
des sentiments ? Les sentiments, comme les pensées, doivent toujours
convenir
au sujet que l’on traite et au but que l’on se pr
onne ? un fleuve ? une plante ? L’image ne doit rien présenter qui ne
convienne
à la colonne, à la plante, au fleuve, etc. La règ
s et les phénomènes de la nature diffèrent suivant les climats. Il ne
convient
qu’aux peuples du Levant ou à des esprits versés
té particulière du style, qui exclut l’abondance et les ornements, et
convient
au genre simple. La précision est une qualité gén
rapports de gravitation, des êtres purement mathématiques. Il faut en
convenir
, un tel univers est bien plus aisé à calculer que
mplicité noble du style de l’histoire, et l’imposante gravité qui lui
convient
. Écoutons à présent l’historien de Charles XII.
a Chimère, l’hypocrite, un ange, le Temps. A quels genres littéraires
convient
cette forme ? La poésie, l’éloquence, l’histoire,
te fleur de diction, principalement tout ce qui peut sembler préparé,
convenu
, uniquement destiné à amener la replique. Les dra
en âge et aujourd’hui même, les méditations solitaires semblent mieux
convenir
à notre climat et à nos mœurs. Nos dialogues phil
ter avec soin de paraître vouloir dogmatiser : c’est caractère qui ne
convient
point à un jeune homme, et qui ne sert qu’à donne
espèce de conspiration générale dans laquelle ils semblent être tous
convenus
de sortir de leur caractère ; toutes les professi
modeste que vous ne l’êtes. Vous prenez un ton d’autorité qui ne vous
conviendra
jamais, quoi qu’il puisse vous arriver. Vous vous
r duc, l’une du 11, l’autre du 17, et toutes deux aussi tristes qu’il
convient
à notre état présent1. Je ne pourrais le supporte
s enjeux3 Savoir quoi, ce n’est pas l’affaires, Ni de quel juge l’on
convint
. Notre lièvre n’avait que quatre pas à faire ; J’
assées ; Quittez le long espoir et les vastes pensées1 ; Tout cela ne
convient
qu’à nous. Il ne convient pas à vous-mêmes2, Repa
spoir et les vastes pensées1 ; Tout cela ne convient qu’à nous. Il ne
convient
pas à vous-mêmes2, Repartit le vieillard. Tout ét
de Lucrèce, 2. Oui, ces objets familiers, tous voisins et charmants,
conviennent
encore mieux au pinceau du fabuliste que les pers
it la fable une ample comédie aux cent actes divers. Cette définition
convient
parfaitement à l’élégie dramatique des Deux Pigeo
4. L’auteur de tout cela est une façon de parler irrévérente, et qui
convient
à ce rustaud. Garo se croit très-supérieur au bon
divers examens et concours, comme une épreuve des plus difficiles. Il
convient
donc de s’y préparer par de nombreux exercices. C
ingulièrement les candidats. Ils s’habitueront ainsi à démêler ce qui
convient
à chaque question, et par là même à réfléchir et
nt des grandes écoles scientifiques et des écoles de commerce. Ce qui
convient
à l’une convient aussi à l’autre. Il suffit, pour
oles scientifiques et des écoles de commerce. Ce qui convient à l’une
convient
aussi à l’autre. Il suffit, pour n’en pas douter,
s qu’on a présentés. Un style simple, vif et animé s’il est possible,
convient
surtout à la dissertation. On ne saurait trop ten
qu’elle a besoin de s’astreindre à un plan bien arrêté. Ici encore il
convient
de bien savoir qui l’on fait parler et à qui l’on
on est-elle juste, et dans quel sens ? Quels sont les écrivains qu’il
convient
particulièrement de rattacher à Louis XIV et pour
Programme de la classe de seconde moderne – Quelle différence
convient
-il de faire entre les précieuses dont Molière s’e
rire des lettres ? – Quelle est l’utilité des mémoires, et quel usage
convient
-il d’en faire pour écrire l’histoire ? – Dans que
en expliquera les transformations successives. – Quelles différences
convient
-il de faire entre les chroniques, les mémoires et
el chef-d’œuvre que Racine est inférieur à Corneille. Mme de Sévigné
convient
que cette pièce est belle, mais il lui semble que
e à l’harmonie de Racine, à ses heureuses alliances de mots, etc… Ils
conviennent
enfin que ce sont deux grands poètes et que la po
une forme de langage rapide qui se prètât à ses desseins. La prose y
convenait
mieux que la poésie. Celle-ci a besoin de tranqui
de nobles sentiments. Ce n’est pas assez pourtant de penser juste, il
convient
aussi d’exprimer des idées agréables, de charmer
préoccupât toujours. Pour penser juste et pour trouver les idées qui
conviennent
le mieux, il est nécessaire de méditer son sujet
vaincu de leur excellence, trouvera, tout de suite, la forme qui leur
convient
. La parole viendra, comme d’elle-même, les revêti
ible. » Si l’on réfléchit que le style familier est le style même qui
convient
à la lettre, on ne s’étonnera point que la corres
’admiration qu’au blâme, ne se fâchant qu’à bon escient, la seule qui
convienne
à l’homme de goût. Il ne condamne pas, en effet,
’est se défendre. L’arme est légère, mais la pointe en est acérée. Il
convient
seulement de ne pas trop l’enfoncer ; une piqûre
la simplicité est naturelle à tous les esprits droits. Cette qualité
convient
à toutes les lettres, à quelque personne qu’on le
uelque personne qu’on les adresse. Il en est beaucoup auxquelles elle
convient
seule. Les lettres d’affaires et de demande ne sa
rit vif, n’appartient qu’à elle seule. Il est, enfin, une qualité qui
convient
à toute lettre, et sans laquelle tout le reste se
che ou de condoléance comme une lettre d’affaires. Il faut que le ton
convienne
au sujet, voilà tout. Simplicité, naturel, aisanc
uste que tous s’efforcent de concourir à une bonne administration. Il
convient
d’initier le peuple à la liberté politique. Mon p
e et de variété, le rythme uniforme dans lequel elles sont écrites ne
convenait
pas à la fable. Il restait à proportionner le réc
e. Ajoutons encore que La Fontaine a découvert le seul rythme qui pût
convenir
à la variété des personnages et des caractères de
e à peu près à l’étendue du développement qui précède et qui suit, il
convient
de mettre à la ligne. L’attention du correcteur s
l en est le prix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui
convient
à la femme en général ? Lui suffiraient-elles, en
i enseigne quelque chose de trop marqué et de plus magistral qu’il ne
convient
. Les leçons même qui nous ont le plus satisfait p
bonnes raisons de leur choix ; peu ont pris soin de marquer comme il
convenait
, ou, tout au moins, d’indiquer dans quelle mesure
de nos jeunes aspirantes, au lieu de protester hautement, ainsi qu’il
convenait
, sur ce point, se sont bornées à l’expression de
a question. Au lieu de s’appliquer uniquement à bien définir ce qu’il
convient
d’entendre par synonymes, et à montrer, par des e
l en est le prix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui
convient
à la femme en général ? Lui suffiraient-elles, en
i, une idée qui conduit tout ; chaque personnage a les siennes qui ne
conviennent
qu’à lui, et toutes semblent logiques, même quand
le fondée ? La rigueur absolue du raisonnement mathématique peut-elle
convenir
à tous les genres d’études ? Est-elle même applic
pas été suivi d’une attaque contre les lettres. 1er Paragraphe. – Il
convient
d’accorder que les sciences offrent une nourritur
l est difficile de soumettre à des règles fixes le genre de style qui
convient
aux lettres, Mme de Maintenon ajoute que le princ
ut, c’est que le maître étudie les caractères, et sache le régime qui
convient
à chacun. A un élève indécis il confie souvent de
la section des lettres. Le sujet proposé est d’ordre pédagogique. Il
convient
donc de se reporter en général aux indications fo
t les maisons » ? Tirez-en quelques directions pour l’éducation qu’il
convient
de donner aux jeunes filles. – Lettre de Mme de L
presque sans le savoir ; qui trouve naturel et juste tout ce qui lui
convient
, injuste et bizarre tout ce qui la blesse ; qui c
cette faculté chez l’enfant. Exposer comment et jusqu’à quel point il
convient
de la développer, et montrer de quelle ressource
oppez, commentez cette pensée sous la forme et dans le cadre qui vous
conviendront
le mieux. – Montrer comment la discipline scolair
e appelle à rendre à leur pays de nouveau services. Répondez comme il
convient
à des Français, à des citoyens, à des éducateurs
ans ces Manuels, si résumés qu’ils soient, il faut encore choisir. Il
convient
de laisser de côté tout ce qui n’a pas un caractè
ile. CONSEILS ET PLAN CONSEILS L’on a le choix entre trois scènes. Il
convient
de mettre en relief les plus dramatiques, les plu
. Il faut éviter une énumération de noms propres écrits au hasard. Il
convient
de diviser par pays : France, Italie, car c’est l
narration, discours, dialogue, portrait, développement de pensées. Il
convient
qu’ils connaissent des ouvrages où on leur parle
ns les plus extrèmes périls il ne faut pas perdre courage, comment il
convient
d’avoir foi en ses forces, en son audace, – et ce
… Mais il faudra le gagner, le mériter, l’échanger, non le ravir…. Il
conviendra
de respecter les indigènes, de les admettre aux b
s de Guttierez. Il se jette aux pieds de Colomb… Décrire la scène… Il
convient
de lui faire adresser quelques paroles pour implo
r un rôle dans les annales maritimes de son pays… 3e Paragraphe. – Il
convient
d’excuser un enthousiasme qu’il peut réprimer d’a
qui a vaincu à la Trébie, à Trasimène, à Cannes. 2e Paragraphe. – Il
convient
d’occuper, d’amuser les Romains dans le sud, pour
nu pour vrai et être rendu vraisemblable par le choix des détails. Il
convient
d’éviter les épisodes oiseux : moyens employés po
certains ornements serait déplacé en ces sortes de développements. Il
convient
d’apprendre à manier une prose dont les principal
écarter. C’est l’idée générale de santé, d’harmonie, d’aisance, qu’il
convenait
de dégager. Corrigé. – Le corrigé de la première
: « Mieux vaut douceur que violence. » CONSEILS ET PLAN CONSEILS Il
convient
d’abord de se demander d’où, de quelle fable ce v
bien préfère-t-on définir : la douceur, la violence ? Les deux débuts
conviennent
également au sujet, – et il est permis d’hésiter,
ur développer le sujet. Comment faire pour ne pas être en retard ? Il
conviendra
de faire court. Il sera utile après qu’on aura lu
t des omissions – à redouter. On voyait bien dans l’ensemble ce qu’il
convenait
de répondre, mais pas le détail ; on le définissa
ibune : « Périssent les colonies plutôt qu’un principe ! » Certes, il
convient
de maintenir les principes dans leur intégrité ;
lles ont arrachés à l’affection de la France. » C’est là, il faut en
convenir
avec sincérité, un argument qui serait bien fait
tia, præstantissimo consilio. Voilà, ce me semble, la devise qui lui
convient
. En ce qui me concerne, je ne manquerai pas de le
unes intelligences. La disposition par interrogations et par réponses
convient
parfaitement à des leçons dont l’élève doit rendr
être proposées comme modèle général de prédication, parce qu’elles ne
conviendront
jamais à tous les auditoires, on peut néanmoins a
t subdivise, délaie ses idées, et fatigue souvent le lecteur. Elle ne
convient
guère qu’aux professeurs et à ceux qui s’occupent
ique tous diffèrent, ils se fixent cependant sur quelques beautés qui
conviennent
plus particulièrement à la nature du sujet et à l
trop souvent employée dans un sens trop vague, ne peut véritablement
convenir
qu’à la description ou peinture des sentiments es
ens parfait. C’est en général la manière d’écrire des Français ; elle
convient
parfaitement aux sujets vifs et faciles. Cependan
es de cette beauté de construction. Mais cette espèce de gradation ne
convient
qu’aux discours qui exigent de la pompe ; s’y liv
r ces mots avec convenance, la fin de la phrase est la place qui leur
convient
le moins ; plus tôt on peut s’en débarrasser, mie
ous occuper du ton général de l’oraison. Si la pompe, si la plénitude
conviennent
à un discours oratoire où l’on traite des matière
supposant qu’il ne produisit d’autre mauvais effet que la satiété, ne
conviendra
jamais à tous les genres de composition, ni même
es de beaux effets lorsqu’elles sont judicieusement employées ; elles
convenaient
parfaitement à la brillante imagination des ancie
e plus claire de son sujet. Mais les comparaisons d’embellissement ne
conviennent
pas à tous les sujets, et demandent un examen plu
ne doivent pas être empruntées à des objets bas et dégradés ; cela ne
convient
qu’aux sujets burlesques, où la figure n’est intr
t des figures qui sont le produit d’une imagination froide ; elles ne
conviennent
pas au style de mouvement. Au contraire, les inte
ation modérée, et distribue avec décence une quantité d’ornements qui
convient
à presque tous les sujets qu’on traite. La lettre
ractère dominant de l’écriture sacrée, et nul autre genre de style ne
convenait
davantage à la dignité du sujet. Après avoir reco
dité. Ce genre appartient aux plus hauts degrés de l’art oratoire, et
convient
véritablement mieux à l’orateur qu’à l’écrivain q
pour les assemblées publiques. La seule circonstance où ils puissent
convenir
, c’est à l’ouverture des débats, lorsque l’orateu
exigent le temps, le lieu et la situation. La véhémence, qui pourrait
convenir
à un homme de caractère et d’autorité, serait inc
r parler en public sans s’être d’abord formé une idée juste de ce qui
convient
à son âge, à son caractère, de ce qu’exigent le s
actitude échappe. À l’égard du degré de concision ou de prolixité qui
convient
à l’éloquence populaire, il n’est pas facile de l
iter jusqu’à l’apparence ; mais il y a un certain ton décidé qui peut
convenir
même à l’homme le plus modeste, lorsqu’il est int
ère, et s’exposerait au ridicule s’il essayait ce ton véhément qui ne
convient
qu’aux assemblées nombreuses. La nature et le man
t plutôt un style vigoureux et expressif qu’une manière brillante qui
convient
à ce genre d’éloquence. Il faut d’ailleurs nous a
blement ceux qui l’écoutent, l’autre lui donne cet air de fermeté qui
convient
à l’homme fort de la conscience que ce qu’il dit
viennent, dans les formes même de l’audience, et avec le ton qui lui
convient
, s’exercer à la partie la plus importante de l’él
er avec soin ; mais la méthode, sans contredit, la plus efficace, et,
convenons
-en, celle que nous suivons le moins, à cause du t
pé, sont autant d’éclairs qui se succèdent rapidement. Le style coupé
convient
aux mouvements tumultueux de l’âme : c’est le lan
e goût voudrait faire disparaître de ses Oraisons funèbres. Mais nous
conviendrons
aussi que ses admirateurs ont mis trop d’affectat
juges : « Souvenez-vous de votre serment, et prononcez selon ce qui
conviendra
le plus à votre intérêt et au mien ». Les juges
ce pas la séparation de l’âme d’avec le corps ? Et ne sommes-nous pas
convenus
que la perfection de l’âme consiste surtout à s’a
ier2. (Fragment.) Caractère du duc de Montausier : franchise qui
convient
à son éloge. Je viens vous faire admirer un ho
lever son crédit : tout cet esprit de dissimulation et d’imposture ne
convint
pas à sa vertu. Ne pouvant s’autoriser encore con
nnes qu’on lui a décernées ne seront-elles pas immortelles. Mais s’il
convient
de le lire avec choix, il faut admirer son talent
La tragédie est un bien long ouvrage ; L’ode1 au sujet, comme à moi,
convient
mieux ; Riche d’encens, elle en fait le partage A
nt solennel : mais je laisse de côté ces souvenirs ; les reproches ne
conviennent
pas aux malheureux. Je ne vous demande qu’une cho
eux d’écouter les prières d’une mère dans une circonstance si grave ?
Convient
-il à un grand homme de conserver le ressentiment
’estime que vous me témoignez maintenant ; je pense en effet qu’il ne
convient
ni à vous d’user à mon égard d’une bienveillance
trepris des guerres injustes, et qui n’ont pas su supporter, comme il
convenait
à des hommes, le poids considérable de leur puiss
issance. Sachons, Syracusains, sachons jouir de ses faveurs, comme il
convient
à des hommes, et ne nous livrons pas à des actes
mon avis en toute franchise. Je suis Spartiate, et je parle comme il
convient
à un Spartiate. « Je me demande d’abord comment i
de son esprit : « Tu tiens mal ta promesse, reprit Auguste ; il était
convenu
que tu ne m’interromprais pas. Oui, tu as résolu
hâte et de toutes nos forces. Que personne ne vienne nous dire qu’il
convient
de délibérer, quand on nous offense ; il n’appart
n tel moyen, le gage d’une paix durable. « Si cette proposition ne te
convient
pas, alors fais-les mourir jusqu’au dernier, ne l
crité de votre fortune ne vous permette pas de vivre avec l’éclat qui
convient
à votre mérite. Je veux réparer cette injustice,
ble à la possession d’un ami fidèle ; et l’éclat de la majesté royale
convient
parfaitement à la grandeur de votre âme. » Tradu
ainsi négligé les occasions de m’enrichir par des voies légitimes, me
conviendrait
-il d’accepter l’or que vous m’offrez ? Quel exemp
, pour ainsi dire, le sens propre d’un mot à un autre sens qui ne lui
convient
qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
taphore, parce qu’il a appliqué à ce héros l’idée d’un mot qui ne lui
convient
que sous une comparaison. Ardere, dans le sens p
gard aux convenances des différents styles. Il y a des métaphores qui
conviennent
au style poétique, et qui seraient déplacées dans
l’oreille à nos discours. Cette figure, la plus hardie de toutes, ne
convient
qu’aux passions les plus exaltées, et ne peut êtr
ent. XIV. — Adulari, assentari, blandiri. Adulari, caresser,
convient
proprement aux chiens. Canes fidè et constanter d
r. Lene et asperum. Cic. Au figuré : Non lenis dominus. Hor. — Suavis
convient
à l’odorat. Odor suavis et jucundus. Cic. Au figu
Quidam cùm permulta locuti sunt, pauca tamen dixisse videntur. Loqui
convient
aux dialecticiens, et dicere aux orateurs. — Perh
, conversation. Ex tuis litteris et sermonibus illud intellexi. Sermo
convient
à tout le monde ; oratio ne convient qu’à l’orate
ermonibus illud intellexi. Sermo convient à tout le monde ; oratio ne
convient
qu’à l’orateur. CLXXV. — Pandere, aperire, res
ître. Ovis pascit in prato. Boves pascere. Cic. — Pasci, se repaître,
convient
proprement aux bêtes. Sues glandibus pascuntur. A
hommes. Qui scelere et maleficio pascuntur. Cic. — Vesci, se nourrir,
convient
aux hommes. Vescor pane. CLXXX. — Paternus, p
tout le corps ; au lieu que imago ne représente que le visage, et ne
convient
qu’à Dieu et à l’homme. Statua equestris. Cic.
ommode, agréable, victorieux, éloquent. Lorsqu’un nom substantif peut
convenir
à tous les objets d’une même espèce, il est commu
es objets d’une même espèce, il est commun. Tel est le mot homme, qui
convient
à tous les hommes en général. S’il ne peut conven
le mot homme, qui convient à tous les hommes en général. S’il ne peut
convenir
qu’à un seul objet, comme Annibal (nom d’un homme
r, lorsqu’il signifie éviter : = nous avons échappé un grand danger.
Convenir
, signifiant être convenable, prend avoir : = ce j
ir, signifiant être convenable, prend avoir : = ce jardin vous aurait
convenu
. Il prend être, quand il signifie être d’accord :
convenu. Il prend être, quand il signifie être d’accord : = ils sont
convenus
du prix de cette maison. Demeurer, signifiant fa
tièrement nouveaux. On peut appliquer au sermon toutes les règles qui
conviennent
au discours oratoire, en général. Mais le prédica
duisant cette éloquence noble, majestueuse, véhémente et sublime, qui
convient
à la grandeur de notre religion, à la profondeur
prouve qu’elle est notre souverain bien ; et nous sommes obligés d’en
convenir
, à l’aspect de cette vertu qu’il sait si bien nou
e l’esprit, que ce qui était éclatant et recherché. Il faut cependant
convenir
que ce discours est celui de ses Ouvrages où il s
noble, une marche bien suivie, une méthode lumineuse est tout ce qui
convient
à ces sortes de discours. L’avis qu’un avocat don
tres sont incapables de ce qu’on appelle les affaires sérieuses, j’en
conviens
: mais il y en a qui les fuient sans en être inca
ajouter rien de vif ni de figuré , c’est la méthode d’exposition qui
convient
à la science pure. (II° Dial, sur l’éloq.) Fénelo
omains qu’ils y rapportaient toutes les règles de la Rhétorique. Elle
convenait
également au genre délibératif, où l’orateur parl
-même dans le second d’être bizarre sur cet article . La division ne
convient
pas aux petits sujets, où elle est inutile ; mais
nne. Écoutons Rousseau attaquer Molière, à propos du Misanthrope : «
Convenons
que l’intention de l’auteur étant de plaire à des
à ce nom, croira-t-on que la définition et l’énumération des parties
conviennent
uniquement aux brillants passages de Fléchier que
d’éducation comme de littérature, marque aux élèves le style dont il
convient
de se servir en faisant un rapport. « Cette part
mouvements, mais qui a un air aisé, simple, naturel, est la seule qui
convienne
aux rapports, et elle n’est pas si facile qu’on s
nt périodique deviendrait monotone. Cette forme flexible et brillante
convient
à l’éloquence et surtout à la poésie, où les pens
loyer toujours la phrase soutenue et la forme périodique ; souvent il
convient
de procéder par petits membres détachés, mais qui
iv). Nous lui emprunterons quelques observations, où il montre ce qui
convient
aux mœurs et à l’esprit moderne dans les précepte
ne dans les préceptes de ces grands hommes. « Le genre simple paraît
convenir
plus particulièrement à la narration et à la preu
adence. » De ces trois genres, le simple et le tempéré sont ceux qui
conviennent
le mieux à nos mœurs. Le monde et la civilisation
aître ce qu’on pense ; elles ont d’abord cette propriété générale qui
convient
à toutes les phrases et à tous les assemblages de
lingue26 en verra la chute ». On a dû juger que ces lieux communs ne
conviennent
pas, exclusivement, au discours oratoire. Ils y s
ies de notre nation, et ceux de l’antiquité en ont fait usage. Racine
convient
qu’il a emprunté d’Euripide les plus beaux traits
tous les temps et dans tous les lieux, et n’y prendre que ce qui peut
convenir
au genre qu’on traite, et aux mœurs du siècle pou
tient le milieu entre la jeunesse et la vieillesse, les mœurs qui lui
conviennent
, gardent aussi une certaine proportion, un milieu
te rapport au but qu’il se propose, de manière que l’exorde ne puisse
convenir
à aucun autre discours. Il faut qu’il ne soit pas
ves des grâces de la diction, de l’éclat des figures qui peuvent leur
convenir
. La beauté du style ne sert qu’à les faire valoir
faire un voyageur. Il faudrait s’aveugler volontairement, pour ne pas
convenir
que de tels exploits ont une grandeur, qui passe
t directement aux arts et aux beaux ouvrages. Ainsi ce régime ne peut
convenir
qu’au verbe actif. Le régime est composé, quand i
pas joindre à des substantifs, des adjectifs qui ne peuvent pas leur
convenir
. Par exemple, les adjectifs pardonnable et déplor
de choses inanimées, quand ces pronoms sont joints à un verbe, qui ne
convient
proprement qu’aux personnes. On dira d’une maison
bâton qui me soutient. Mais s’il est précédé d’une préposition, il ne
convient
qu’aux personnes ou aux choses personnifiées. Ain
quel je m’appuie. Qui, sans substantif qui le précède, ne peut point
convenir
aux choses. Ne dites donc point avec l’Auteur d’u
s phrases : = je vous assure qu’il est digne de votre estime : = vous
conviendrez
que j’ai pris de justes mesures pour réussir : =
s. = Lirez-vous ces vers ? point. Ajoutons, après l’Académie, que pas
convient
mieux à quelque chose de passager et d’accidentel
r et d’accidentel. = Il ne lit pas, c’est-à-dire, présentement. Point
convient
mieux à quelque chose de permanent et d’habituel.
de même, nous serions encore à la porte, sans pain ni canons. Il faut
convenir
que l’Europe en use maintenant avec nous fort civ
rel : « Ce lumineux et mordant génie a rencontré enfin la langue qui
convient
à ses amères impressions sur les hommes et les ch
de que j’ai choisie auprès de votre patrie1, où vous devriez être. Je
conviens
avec vous que les belles-lettres et les sciences
eu ne plaise, que toute notre Angleterre soit athée par principes, je
conviens
qu’il pourra se trouver plusieurs citoyens qui, n
beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleux. J’en
conviens
; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus dif
ut nous donner ce tact exquis de parler et d’écrire toujours comme il
convient
. Considérez dans le monde un homme bien élevé : s
core sous celle du syllogisme ; cette manière sèche et pédantesque ne
convient
guère qu’aux mathématiques ou à la philosophie. U
e ? (7 novembre 1883). • Du genre épistolaire et des qualités qui lui
conviennent
. Exemples anciens et modernes à l’appui. (2 août
uoi on le lui a décerné, ou ce qui revient au même, dans quel sens il
convient
de l’entendre. Tout d’abord, nul de ceux qui ont
riche profusion, toutes les splendeurs de sa langue de génie. S’il ne
convient
pas de prendre à la lettre ce titre de « père de
as des satiriques ? On ne saurait le nier ; mais d’autre part il faut
convenir
aussi que les Latins, Lucilius, Horace, Juvénal,
ient par la fable et vit de fiction. Cette définition fantaisiste ne
convient
qu’aux épopées artificielles, écrites à loisir pa
e emprunta ses sujets, et, entre tous, à Euripide, dont le pathétique
convenait
à l’exquise sensibilité de son âme. Andromaque (1
re des passions, et Corneille celui des caractères, il faut néanmoins
convenir
que cette différence n’a rien d’absolu, car Racin
té et gouvernement personnel de Louis XIV, — voici les morceaux qu’il
convient
de citer : récit de la bataille de Rocroy, à comp
I). Dans la deuxième partie, qui comprend deux chapitres, auxquels il
convient
de rattacher les quatre chapitres d’anecdotes qui
e plaisir qu’on éprouve à philosopher ainsi sur ses impressions, nous
conviendrons
volontiers avec lui que ce plaisir à ses dangers,
en ! Ronsard, êtes-vous toujours en courroux contre moi ? Ronsard. —
Convenez
avec moi que j’en aurais quelque sujet ; car enfi
re un adverbe blessant ! Ne saurions-nous causer avec calme, comme il
convient
à deux ombres qui habitent ce paisible séjour ?
ù se trouvent caractérisés si finement les genres poétiques qu’on est
convenu
d’appeler secondaires ; cependant que son ami lui
rainte sincère de n’atteindre pas, par ses louanges, à la hauteur qui
convient
à un si grand nom. Puis il exprime, sans s’attard
phera de la difficulté. Quant aux qualités littéraires et morales qui
conviennent
à l’historien, Colbert sait de reste qu’elles ne
est la définition qu’on a donnée de la poésie pastorale, et celle qui
convient
à l’Églogue et à l’Idylle. Voici comment se fait
genre de poésie. Ils sont d’ailleurs un vrai modèle du style qui lui
convient
: ils offrent le précepte et l’exemple tout à la
plaisanter, disserter, louer, blâmer, raconter, en prenant le ton qui
convient
à chaque sujet, et en employant la mesure de vers
la tragédie. Par conséquent, le style trop fort et trop pathétique ne
convient
pas à son caractère. Le but de l’élégie est d’att
ars. Une parure éclatante, un ajustement recherché pourraient-ils lui
convenir
? Elle répand des larmes, elle éclate en plaintes
i agite l’âme avec violence, tout ce qui lui cause une émotion douce,
convient
essentiellement à l’ode. Ainsi l’on peut en disti
vient de voir que les sujets les plus nobles et le ton le plus élevé
conviennent
à l’ode proprement dite. L’ode qui est dans le ge
ue et trouvait facilement cette douceur dans les mots et le style qui
conviennent
aux images champêtres. Les vers suivants, extrait
plus limitée du côté des tons de style qu’elle peut prendre. Tous lui
conviennent
, parce que son style s’élève ou s’abaisse, selon
, C’est aux prélats de cour prêcher la résidence. Le vers alexandrin
convient
particulièrement à l’épitre philosophique. Toutef
e genre de drame, que le Cyclope d’Euripide99. Mais, dans ce sens, il
convient
d’écrire satyre par un y, et de faire ce mot du m
a tragédie ; par conséquent, le style trop fort et trop pathétique ne
convient
pas à son caractère. Le but de l’élégie est d’att
ts lyriques. L’autre, avec ses sons étouffés, mais vibrants et mâles,
conviendra
davantage au roman, à la narration et à l’épopée.
raires accomplis par notre langue jusqu’à la fin du XVIe siècle Il
convient
maintenant de résumer l’Histoire littéraire de la
mouvement qui suivit la prise de Constantinople (1453), et qu’on est
convenu
d’appeler la Renaissance. Ce mot exprime bien l’i
s de la saveur, l’aspérité ou le mœlleux des surfaces ; tout le monde
convient
qu’il faut longtemps regarder pour voir, et écout
oir manier pour celui-là même à qui le nom d’orateur semblerait mieux
convenir
que le nom d’écrivain. Aujourd’hui, en effet, il
tirai pas de deux jours, et je vous dirai confidentiellement que cela
convient
encore mieux à mon projet qu’à ma santé. Je ne ve
la lumière du sentiment et de la pensée brille dans les yeux. 4. Il
convient
de lire après cette page celle de Bossuet que voi
oiqu’on donne le nom général de poëme à tous les ouvrages en vers, il
convient
néanmoins plus particulièrement (et peut-être uni
férens instrumens du labourage, et marque les différentes saisons qui
conviennent
aux différens travaux de la campagne, et les pron
différentes espèces, et comment on doit les cultiver ; le terroir qui
convient
à chacune de ces espèces ; la manière de connoîtr
es, donnons une idée des règles communes à l’une et à l’autre : elles
conviennent
aussi en partie au poëme épique. Ces règles génér
oins adroit que lui. On comprend assez que le vraisemblable ordinaire
convient
mieux à l’action dramatique que le vraisemblable
ques trouvent une duplicité d’action dans l’Andromaque de Re. Il faut
convenir
que l’intérêt qu’on prend à Oreste qui aime Hermi
ctateur peut-il ne pas prévoir le dénouement dans un sujet connu ? Je
conviens
que cela est impossible. Mais il n’est pas moins
athétique qui caractérise le comique larmoyant, n’est point celui qui
convient
à la véritable comédie ; qu’il n’est point dans l
timens opposés, la douleur et la joie ; qu’enfin le nom de comédie ne
convient
nullement à des pièces de ce genre, parce que la
ne trouvoit pas dans ce poëte si agréable assez de force comique. On
convient
en effet qu’il manque d’une certaine vivacité de
conduit. Il faut sur-tout que les airs soient bien choisis, et qu’ils
conviennent
aux sentimens, à la situation des personnages. La
point être adaptée à d’autres paroles. Ils disent que, pour qu’un air
convienne
à des paroles nouvelles, il faut qu’elles renferm
e tuer sa femme, une mère ses enfans, un frère sa sœur ; c’est ce qui
convient
merveilleusement à la tragédie. Une action de cet
Style de la Tragédie. Le style de la tragédie est le style qui
convient
aux personnes du premier rang. Supposez des monar
: il n’y a pas un seul mot à retrancher. Voilà la vraie éloquence qui
convient
à la tragédie. Le discours que Racine met dans la
loges qu’ils prodiguent à Shakespeare……. Soyons justes, néanmoins, et
convenons
que Shakespeare a quelquefois des beautés du prem
nt les campagnes riantes et les bosquets fleuris de l’Elysée. Il faut
convenir
que cette multiplicité d’actions ou d’incidens, c
Toutes les règles qui regardent la construction du poëme dramatique,
conviennent
à cette espèce de tragédie-lyrique, avec cette di
ous attacher, de nous intéresser, et même de nous instruire ? Il faut
convenir
que cette nouvelle route est frayée depuis quelqu
voici une qui réunit toute la vraisemblance et toute la grandeur qui
conviennent
à ce genre de poésie. Dans la Lusiade, la flotte
Telles sont à peu près toutes les différentes espèces d’épisodes qui
conviennent
à l’épopée. Cette notion suffit sans doute pour f
, fruits d’une imagination échauffée par un cœur vivement ému, et qui
conviennent
essentiellement au genre lyrique ; le style de l’
vec son fils Lausus, par le héros troyen. XI. Livre. Les deux partis
conviennent
d’une suspension d’armes, pour enterrer leurs mor
erveilleux et aux autres qualités essentielles de l’action épique, on
convient
généralement qu’il les a toutes. Cet ouvrage accu
— 73. Quels sont les vers appropriés à chaque genre. — 89. Du ton qui
convient
à la Tragédie et à la Comédie. — 99. Il faut teni
pas le talent d’assortir à chaque genre le rhythme et le ton qui lui
conviennent
, pourquoi me saluerait-on poëte ? pourquoi mon am
érité. La nature, en effet, commence par nous donner le sentiment qui
convient
à chaque situation : elle nous porte à la joie, o
en doutez pas, on sait donner à ses personnages le caractère qui leur
convient
. Étudiez l’âme humaine sur les types vivants de l
es charmes nouveaux 640et par une nouveauté attrayante. 641Mais il
conviendra
642de confier à la scène 643les Satyres moqueu
t diseurs-de-bons-mots, 645de telle façon, de telle façon… ; 646 il
conviendra
de tourner 647les choses sérieuses à la plaisant
es se puisent ; 876ce qui nourrit 877et forme le poëte ; 878ce qui
convient
, et ce qui ne convient pas ; 879où l’art conduit
qui nourrit 877et forme le poëte ; 878ce qui convient, et ce qui ne
convient
pas ; 879où l’art conduit, et où l’erreur condui
peuvent saisir l’imagination et exciter l’intérêt. En second lieu, il
convient
de s’attacher aux circonstances les plus propres
hilosopher, enseigner, louer, blâmer, raconter, en prenant le ton qui
convient
à chaque sujet et en employant la mesure de vers
n nombre d’hommes qui sont femmes. 312. Quels sont les ornements qui
conviennent
au récit dans l’apologue ? Outre les qualités do
ogue doit encore, s’il veut plaire, être revêtu des ornements qui lui
conviennent
. Or, ces ornements consistent dans les images et
r avec le plus de soin, parce qu’il n’est point de sujet auquel il ne
convienne
, et qu’il en est beaucoup où il est indispensable
it ridiculement employé dans un sermon, dans un plaidoyer, etc. Il ne
convient
qu’aux pièces de pur agrément, aux idylles, aux é
dans nos provinces ; 2° d’une langue factice dont quelques personnes
conviennent
pour se parler en compagnie, sans être entendues
du langage. » Quant à la seconde catégorie de jargons, ceux dont ou
convient
pour se parler sans être entendus, on conçoit que
tué, tout a péri. Voilà, continue-t-il, un grand massacre, et il faut
convenir
que nous jouons d’un grand bonheur. Il s’assied,
nt pas la mort, au contraire1. Je doute seulement que le ris excessif
convienne
aux hommes qui sont mortels. Pensons que, comme n
veau joug, ne consulta que son naturel sauvage. Tous les particuliers
convinrent
qu’ils n’obéiraient plus à personne ; que chacun
es Troglodites crurent qu’il était à propos de se choisir un roi. Ils
convinrent
qu’il fallait déférer la couronne à celui qui éta
implifier et éclaircir, certaines règles trop peu intéressantes qu’il
convenait
d’éliminer, des lacunes assez nombreuses qui deva
ous remarquerons seulement, avec Domairon11, que les lieux communs ne
conviennent
pas exclusivement au discours oratoire. Ils y son
la division, quand il y a lieu. Mais la narration, étant un récit, ne
convient
qu’aux choses passées ; ainsi, ce n’est que dans
e touche les cœurs. On peut appliquer au sermon toutes les règles qui
conviennent
au discours prononcé en général ; mais le prédica
duisant cette éloquence noble, majestueuse, véhémente et sublime, qui
convient
à la grandeur de notre religion, à la profondeur
mblée dont on veut flatter le goût ou l’oreille. C’est donc ici qu’il
convient
d’en parler. Pendant longtemps, tout discours de
produisent la pâleur ; ainsi l’on donne à la cause l’épithète qui ne
convient
qu’à l’effet. 3º Le contenant, pour le contenu. D
la signification propre d’un nom à une autre signification qui ne lui
convient
qu’en vertu d’une comparaison qui existe dans l’e
x convenances des différents styles, et distinguer les métaphores qui
conviennent
au style poétique, et qui seraient déplacées dans
outes les circonstances se rapportent également, si toutes les images
conviennent
à la chose exprimée comme à celle que l’on a voul
nt, ou un ton de familiarité avec un supérieur. » § III. Style qui
convient
aux Lettres 1° Le style qui convient le mieux
érieur. » § III. Style qui convient aux Lettres 1° Le style qui
convient
le mieux à la correspondance c’est le style coupé
uver, monsieur, quelque façon de vous témoigner ma reconnaissance qui
convint
et qui fût assortie à toute celle que j’ai dans l
surtout, dan si les grands accidents, aux sentiments religieux qu’il
convient
de faire appel ; c’est le remède le plus fort con
; il n’a rien de sublime, son imagination n’est point brillante, j’en
conviens
avec vous ; aussi il me semble qu’il ne passe poi
de que j’ai choisie auprès de votre patrie1, où vous devriez être. Je
conviens
avec vous que les belles-lettres et les sciences
ns encore ce passage : « Il est fâcheux pour la nature humaine, j’en
conviens
avec vous, que l’or fasse tout, et le mérite pres
beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleux. J’en
conviens
; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus dif
uerre civile. Ce vers, à cause de son caractère grave et majestueux,
convient
aux grands poèmes, et à toutes les pièces sérieus
e ; Et la terre tremblante S’arrête à ton aspect. 49. A quoi
conviennent
les vers de cinq syllabes et au-dessous ? Les ve
e, que l’on ne trouve pas dans les rimes croisées. 83. A quels poèmes
conviennent
les rimes plates, et quels sont les défauts à évi
t syllabes. Ce vers, qui a pour caractère la légèreté et la rapidité,
convient
aux sujets badins, comme le vers anacréontique qu
ier les qualités essentielles de l’élocution, c’est-à-dire celles qui
conviennent
à tous les tons ; les qualités accidentelles, c’e
ous les tons ; les qualités accidentelles, c’est-à-dire celles qui ne
conviennent
que dans tel ou tel ton ; et enfin les ornements
êle différentes mesures sans aucun retour symétrique. Les vers libres
conviennent
surtout au genre lyrique et aux poésies légères.
On distingue un sceptre brisé. Lamartine. La stance de dix vers
convient
bien à l’ode, à cause de sa majesté et de son har
que le temps soit un ennemi commun contre lequel tous les hommes sont
convenus
à conjurer : toute leur vie n’est qu’une attentio
e que nous ne nous connaissons pas assez pour décider sur ce qui nous
convient
: nous sortons même des mains de la souveraineté
’action de chaque pastorale. Selon que le sujet est triste ou gai, il
convient
de donner à la nature des formes et des couleurs
a divinité. D’ailleurs, outre que la naïveté, la pureté des mœurs qui
conviennent
aux bergers, sont les qualités ordinaires de la r
oisie ; la deuxième, de les classer, de les disposer dans l’ordre qui
convient
à chacun d’eux ; la troisième de les embellir, de
e vient de mon application à l’étude des beaux-arts, pour laquelle je
conviens
qu’à aucune époque de ma vie je n’éprouvai d’aver
afin de prêter à chacune d’elles le caractère et le langage qui leur
conviennent
. Boileau (Art poét.) a dit : Chaque passion parl
plume, l’orateur, avant de prendre la parole, de méditer le plan qui
convient
le mieux au sujet : c’est là une nécessité. Fénel
: « C’est à pareil jour, Romains, que je triomphai d’Annibal : il ne
convient
pas de consacrer cette journée à des disputes, à
uant contre lui les arguments dont il s’est prévalu. Protagoras était
convenu
avec l’un de ses disciples que ce dernier lui pai
aille, n’attendaient que le signal pour en venir aux mains, lorsqu’on
convint
de nommer, des deux parts, trois combattants qui
e peintre, l’écrivain doit donc donner à son style le coloris qui lui
convient
, sans jamais confondre ni transporter d’un objet
sublime. § I. Figures du style simple. Les figures de pensée qui
conviennent
au style simple, sont la communication, la conces
encore la suivante, gracieuse et noble à la fois : elle ne peut mieux
convenir
au genre lyrique. Nous l’empruntons à J.-B. Rouss
ubstantif ajouté À un autre, un véritable adjectif qualificatif. Elle
convient
plus particulièrement au style soutenu. La poésie
ré de sa signification primitive à une autre signification qui ne lui
convient
qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
pas négligé ; Cet utile ressort veut être dirigé. Pour y réussir, il
convient
de s’attacher à connaître l’étendue de sa voix ;
ar l’histoire. XV. § 1. Des mœurs dans la tragédie. § 2. De ce qu’il
convient
de mettre sur la scène de l’art d’embellir les c
de règles, car celles qui s’appliqueraient à une espèce d’ouvrages ne
conviendraient
pas à d’autres. La Bruyère, dans ses Caractères,
pour lui une source nouvelle de chagrins et de persécutions. Il faut
convenir
que tout le tort n’était pas ici du côté de ses e
J.-J. Rousseau ? Quelquefois aussi (et il serait injuste de ne pas en
convenir
d’abord) des circonstances impérieuses ont exercé
des censeurs trop rigoureux et de trop faciles apologistes ; il faut
convenir
que les nombreuses beautés et les taches non moin
sont propres aux passions. Les figures de la première classe peuvent
convenir
plus particulièrement au style simple ; celles de
ux et brillants, en un mot tout ce qui peut embellir le discours, lui
convient
et le caractérise. En voici un exemple pris au ha
Au gazouillement des ruisseaux. Les figures d’ornement, celles qui
conviennent
le plus au style tempéré, sont l’antithèse, la co
nsevelis. Les figures touchantes ou propres aux passions, celles qui
conviennent
plus particulièrement au style sublime, sont la p
me, il ne faut pas croire qu’elle ne puisse, ainsi que bien d’autres,
convenir
au style simple. Elle peut même trouver place dan
e l’expression. Il s’en passe en effet assez souvent, quoiqu’on doive
convenir
que l’éclat en est rehaussé par le sublime des pa
mps. Voilà donc la religion d’accord avec la philosophie ; et il faut
convenir
que cela doit être quelque chose pour des philoso
es peuples. — Ce n’est pas ici une collusion ; car comment ferez-vous
convenir
ensemble les hommes de tous les pays et de tous l
d’honnêtes gens, et les consolations particulières de l’amitié, vous
conviendrez
que l’exemple vivant d’une heureuse compensation
halestris… Le comte, interrompant. Avant d’aller plus loin, avocat,
convient
-on de la validité du titre ? Brid’oison, à Figa
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