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1 (1853) Éléments de la grammaire française « Éléments de lagrammaire française. — Chapitre premier. Première espèce de mots.  » p. 6
de noms, le nom commun et le nom propre. Le nom commun est celui qui convient à plusieurs personnes ou à plusieurs choses sembl
les : homme, cheval, maison, sont des noms communs ; car le mot homme convient à Pierre, à Paul, etc. Le nom propre est celui qu
homme convient à Pierre, à Paul, etc. Le nom propre est celui qui ne convient qu’à une seule personne ou à une seule chose, com
l, ciel, œil, font au pluriel aïeux, cieux, yeux. 1. Le non commun convient à toutes les personnes, à toutes les choses sembl
s, à toutes les choses semblables ou de la même espèce. Le nom propre convient à une ou à plusieurs personnes, à une ou à plusie
s, Antoine, etc. Il n’est donc pas exact de dire que le nom propre ne convient qu’à une seule personne. 1. Les noms en ou prenn
2 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre II. Des qualités du style » pp. 79-118
ualités générales celles qui sont invariables et essentielles, et qui conviennent par conséquent à toute espèce de composition. Les
ainsi que les expressions basses ou triviales. Cette qualité du style convient à tous les sujets, même aux plus simples ; et Boi
ents, c’est-à-dire si l’on donne au style les seuls agréments qui lui conviennent relativement au sujet. Il y a des phrases, des mo
ffrance. Pars, mon enfant : c’est pour ton bien. 138. A quels sujets convient le style simple ? Le style simple s’emploie géné
tre espèce de naïveté, qu’on nommerait mieux ingénuité, est celle qui convient aux récits destinés à l’enfance. C’est de cette q
la narration, sur laquelle il répand du froid et de la sécheresse, il convient aux proverbes, aux sentences, aux devises armoria
ins éclatant que le style sublime, tient le milieu entre les deux, et convient surtout aux sujets agréables. On l’appelle encore
re, de Delille, de Chateaubriand et de Lamartine. 155. A quels sujets convient le style tempéré ? Le style tempéré convient aux
ne. 155. A quels sujets convient le style tempéré ? Le style tempéré convient aux poèmes descriptifs et didactiques pour les pa
d’abord les antiques terrains…, par Bignan, etc. 168. A quels sujets convient le style sublime ? Le style sublime n’est fait q
sublime n’est fait que pour les grands sujets en prose et en vers. Il convient à l’ode sacrée, à l’ode héroïque, souvent à l’ode
es expressions. Il s’en passe en effet assez souvent, quoiqu’on doive convenir que l’éclat en est rehaussé par le sublime des pa
-dessus ni au-dessous de ce qu’on veut exprimer. Faire et dire ce qui convient , voilà ce qui constitue l’homme parfait et l’exce
3 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
ue est l'art de bien dire : bien dire, c'est exprimer les pensées qui conviennent au sujet de manière qu'elles impriment dans l'âme
; le plus souvent il n'invente que les pensées, les raisonnements qui conviennent au sujet. Les arguments ou raisonnements se divis
nce ou conclusion. Cet argument est captieux lorsque la conclusion ne convient pas à toutes les propositions prises séparément.
nécessaire ? (V. Jubien.) Plus rigoureuse, la définition logique doit convenir à tout ce qui est défini, et seulement à ce qui e
expression avouées par les règles du langage, et que les expressions conviennent aux pensées. La clarté du style veut que l'on év
es lettres familières, des mémoires, de certains dialogues, etc. ; il convient aux pensées naturelles et aux pensées naïves. Les
certains dialogues, de la fable, de l'églogue, de l'idylle, etc. ; il convient aux pensées agréables, et, ordinairement, aux pen
lui du poëme épique, de la tragédie, de l'ode, des harangues, etc. Il convient aux pensées nobles, aux pensées fortes et aux pen
de Galba. Nota. — Les expressions propres ont une teinte du sujet et conviennent si bien aux pensées que, lorsqu'on les a trouvées
lui dit : Cinna, tu t'en souviens et veux m'assassiner ! L'élégance convient plus particulièrement au style tempéré ; elle con
la signification propre d'un mot à une autre signification qui ne lui convient qu'à cause d'une comparaison qui est dans l'espri
à des flammes dévorantes, etc. Lorsque les expressions figurées ne se conviennent pas entre elles, ou ne conviennent pas aux expres
que les expressions figurées ne se conviennent pas entre elles, ou ne conviennent pas aux expressions propres, elles manquent de ju
t sont excellents, parce que ces expressions fruits et éclosent ne se conviennent pas. Malherbe a dit à tort : Prends ta foudre, L
foudre, Louis, et va comme un lion….. parce que foudre et lion ne se conviennent pas. Jupiter, héros, etc., sont les expressions q
ne se conviennent pas. Jupiter, héros, etc., sont les expressions qui conviennent à foudre. Ces vers de J.-B. Rousseau renferment é
atoire, et quel est l'objet des arguments qu'on en tire ? A quoi doit convenir la définition logique ? Qu'est-ce que l'énumérati
traits qui lui sont propres, avec la simplicité ou la majesté qui lui convient , il faut encore que le discours, l'ouvrage, ne se
des expressions triviales, des termes impropres, à côté de termes qui conviennent à la pensée ; des expressions basses, à côté de m
gations et les métaphores n'y sont point déplacées, quand ces figures conviennent au sujet, que l'on ne voit pas comment la pensée
s l'épître a de la dignité, de l'élévation, car elle prend le ton qui convient au sujet. À mes pénates. Petits dieux avec qui
m'as laissée. (A. Soumet.) Dans cette élégie, toutes les pensées ne convenaient pas au sujet, et nous avons dû corriger des faute
4 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre premier. De la lettre. »
de certaines convenances établies par les usages de la société. Il ne convient d’en traiter que dans un ouvrage didactique spéci
ant à l’élocution, qui est la pierre de touche du bon épistolaire, il convient d’écrire comme l’on parle, pourvu toutefois que l
propos qui font le mérite du genre. Pour bien faire un compliment, il convient donc d’examiner sa position et celle des autres.
refus la bonne opinion qu’on a de lui ? Quand est sûr de son fait, il convient même de remercier par avance. Il faut encore avoi
que nous sommes touchés, et moins parler de nous que du donateur. Il convient d’exalter ses bienfaits sans emphase, et d’une ma
rdonner de bon cœur et sans arrière pensée si l’excuse est complète ; convenir soi-même de ses torts, s’ils sont réels. En se co
5 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre II. De l’exercice du style ou de la composition » pp. 225-318
pensées qui se présentent, celles qui ont le plus d’importance et qui conviennent le mieux au sujet que l’on traite ; de retrancher
lorsqu’on aura choisi les moyens d’amplification et les ornements qui conviennent le mieux au sujet et au genre de composition, alo
. C’est ainsi qu’on évitera ces peintures trop générales, qui pouvant convenir également à plusieurs choses, ne conviennent en r
trop générales, qui pouvant convenir également à plusieurs choses, ne conviennent en réalité à aucune. 350. En quoi consiste la nou
r l’imagination soit toute dans le même sens et complète. De plus, il convient de s’attacher aux circonstances les plus propres
es vices qui sont communs à chacune de ces catégories. Si le portrait convient à l’historien, et si l’orateur peut employer le c
pour La Bruyère. Les règles que nous avons données pour les portraits conviennent aussi aux caractères. Les plus célèbres écrivains
mots, mais à ne rien dire d’inutile, et à commencer et à finir où il convient . Un récit de deux pages est court, s’il ne contie
uants et remplis d’intérêt. Pour se faire une idée de la brièveté qui convient à la narration, on peut comparer deux fables comp
ste l’agrément ? L’agrément consiste dans l’emploi des ornements qui conviennent au sujet, comme les contrastes, les épisodes, les
s rarement elle est relevée ou piquante. Les trois premières qualités conviennent à l’exposition ordinaire, qu’on peut appeler débu
sition simple, il aurait donnés dès le commencement. De plus, elle ne convient qu’aux sujets sérieux et d’une haute importance ;
c’est la nature de l’action qui détermine le genre d’exposition qu’il convient d’adopter. II. 411. Qu’est-ce que le nœud ?
ec intérêt, l’impartialité et la moralité. 424. Quel est le style qui convient à la narration historique ? La narration histori
en partager l’aimable crédulité. Une sorte d’abandon, de négligence, convient au style comme aux pensées de la légende : elle a
mble les différentes pensées. 447. Quel est, en général, le style qui convient à la narration ? La narration demande, en généra
e sont des traités ou des discours qui prennent le ton de dignité qui convient aux matières qu’ils contiennent, et qui en suiven
n épistolaire est d’être simple et naturel : le travail et la raideur conviennent aussi peu à une lettre qu’à la conversation famil
le bon esprit, le tact, le sentiment, nous suggéreront le langage qui conviendra . 457. En quoi consiste la convenance relativement
6 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre VI. De l’élocution et du style. »
a été consacré par l’usage. Il n’y a ordinairement qu’un seul mot qui convienne à une idée ; il faut le chercher avec patience ;
e harmonie imitative, et quelquefois onomatopée. L’harmonie imitative convient surtout à la poésie ; elle forme des images vives
ces déserts d’une tendre et sauvage harmonie. Ce genre d’harmonie ne convient pas à tous les sujets, et il faut en user sobreme
ur donner à la pensée du mouvement, de la vivacité, de la passion. Il convient à l’énumération, à la gradation, aux descriptions
jets légers, dans le conte, dans le roman, dans les lettres. Ce style convient parfaitement à l’esprit français, qui aime à revê
, telle doit être la devise de tout bon écrivain. Le style périodique convient surtout aux grands sujets, à l’éloquence grave et
. Le style familier est le moins recherché de tous les styles ; il convient à la conversation, aux lettres familières, où l’o
sans éclat, sans ornements : sa plus belle parure est le naturel. Il convient au récit, à la fable, à l’églogue, à tous les suj
sans être sublimes ; quand il est convenablement orné de figures. Il convient surtout aux sujets où l’on cherche à plaire. Le s
nde que le tout. Mais outre cette justesse absolue, mathématique, qui convient surtout aux sciences, il y a encore une justesse
a terre, Fend des flots d’auditeurs pour aller à sa chaire. L’ironie convient surtout à la raillerie, à la gaîté ; mais elle se
e fait connu. Sa nature est la finesse, la naïveté ou la grâce ; elle convient surtout à la comédie, à la satire et à la fable :
7 (1873) Principes de rhétorique française
uer à chaque chose le ton, le langage et les moyens de preuve qui lui conviennent , c’est ce que Pascal appelait la rhétorique contr
de la conversation. Voilà pourquoi les conseils et les préceptes qui conviennent au discours embrassent toutes les règles de l’art
un sujet, en disposer les parties, les traiter dans le style qui leur convient  ; obéir à cette règle c’est simplement suivre l’i
der. III. S’occuper d’adapter à son sujet le ton et le style qui lui conviennent te mieux. Première partie de la rhétorique.
œurs. — 11. Des mœurs réelles et des mœurs oratoires. — 12. Place qui convient aux mœurs. — 13. Règles relatives aux mœurs. 1.
ve : Le vers se sent toujours des bassesses du cœur. 12. Place qui convient aux mœurs. — Bien que les qualités morales doiven
ssimulent la sécheresse. Toutefois, la forme rigoureuse du syllogisme convient mieux à la démonstration scientifique qu’à l’expo
i ne connaît l’histoire du dilemme de Protagoras ? Ce sophiste était convenu avec son disciple Évathlus que celui-ci paierait
t, si l’esprit humain ne peut s’en affranchir, sa forme rigoureuse ne convient qu’au logicien et au géomètre. Dans une œuvre lit
tit de toutes parts. Quand donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il convient de faire ?  Qu’attendez-vous ? un événement, ou l
aire valoir des moyens vifs et pressants, employez les sentiments qui conviennent à cette narration et à cette démonstration, mais
ger l’orateur ou l’écrivain. Il faudra s’enquérir avec soin de ce qui convient à la personne, au lieu et aux circonstances, et p
-à-dire des qualités morales manifestées par l’orateur ou l’écrivain, convient surtout aux rapports avec une certaine classe de
homme à l’homme, l’expression sincère et scrupuleuse de la vérité. Il convient donc de les employer pour instruire et convaincre
sage fréquent et presque traditionnel. C’est un moyen d’action qui ne convient plus aussi bien au génie moderne en cela plus sér
it prédominer dans toute composition.. III. Les mœurs et les passions conviennent surtout dans les œuvres gui s’adressent aux êtres
, au goût de l’écrivain et de F orateur le devoir de discerner ce qui convient en propre à son sujet, et quelles parties du disc
vous sauver. » La passion du bien et de la justice est la seule qu’il convient de témoigner pour s’assurer dès le début les meil
le davantage ses soupçons et sa défiance. Il est banal, quand il peut convenir à plusieurs causes et surtout quand il pourrait s
étranger ou d’emprunt l’exorde qui ne vient point de la cause ou n’y convient pas parfaitement. En un mot l’exorde est défectue
s écouter. 7. Du style de l’exorde. — La qualité propre du style qui convient à l’exorde c’est la simplicité. Bien qu’il doive
erêt et l’agrément. 4. De la clarté. — La clarté est une qualité qui convient à tou le discours ; mais elle est la qualité esse
meilleur moyen de donner au récit beaucoup de clarté. Là surtout, il convient de tenir un milieu entre une prolixité qui engend
tails inutiles et dire ce qui est essentiel avec autant de mots qu’il convient . La brièveté ne consiste pas à être le plus court
hangeant, c’est le moment et le point de vue le plus avantageux qu’il conviendra de choisir sous peine de manquer son but ou parfo
ent au lieu de servir. VI. Le début de fa narration est la place qui convient le mieux pour la description. Leçon XVII. De
urelle. 3. Réfutation des arguments les plus forts. — A la raison il convient d’opposer de sérieuses raisons. Or l’erreur n’est
s à ses actions. C’est ce que fait Philinte, quand il force Alceste à convenir que son amour pour Célimène est en contradiction
ce de la réfutation. — D’ordinaire, c’est après la confirmation qu’il convient de repousser lès arguments opposés à notre cause 
aucune partie du discours ni de l’ouvrage à propos de laquelle il ne convienne mieux de rappeler cette impérieuse obligation. En
on philosophique et politique par excellence ; tel est le langage qui convient à l’honnête homme qui a fait entendre aux Romains
es que l’apostrophe et l’interrogation, l’hyperbole et la prosopopée, conviennent à ce dernier effort de l’âme sur l’âme. C’est ici
règles de la disposition, ont besoin d’être exprimées de la façon qui convient le mieux au but poursuivi par l’écrivain. L’élocu
a première condition, pour bien écrire, est d’employer les termes qui conviennent le mieux au sujet. Avant tout, l’orateur on l’écr
f n’offrirait à lui seul qu’une idée vague et incomplète, parce qu’il convient à la fois à plusieurs objets ; il faut donc pour
lleuse, la plus miraculeuse, la plus triomphante17, etc. La place qui convient à l’épithète c’est le plus près possible du subst
érieux : ce style exprime parfaitement la vivacité de la passion ; il convient aussi à l’histoire, et il est indispensable dans
Au midi de mes années Je touchais à mon couchant. Cette pensée : Tel convient au second rang qui est déplacé au premier, prend
épourvu d’imagination et de passion ; par conséquent, le style figuré convient à l’éloquence et à la poésie. Toute la difficulté
les nombreux qui précèdent montrent ce qu’il faut faire et comment il convient d’employer les figures de pensée. L’étude attenti
, là, Dieu sait où. La gradation dispose les images dans l’ordre qui convient le mieux à l’effet qu’on veut produire. Cicéron e
si écrasé qu’il est presque impossible de les plaindre. Cette figure convient également à l’expression de l’enjouement, du mépr
illes Sans ébranler ton cœur frapperont tes oreilles ? Quelle figure convient mieux à l’impétueux Achille répondant aux accusat
. Enfin la forme sentencieuse, comme l’apologue, est une arme qui ne convient qu’aux hommes, dont l’âge et l’expérience autoris
i violents sont le langage du désespoir à son paroxysme suprême ; ils conviennent à une mère qui veut arracher sa fille à un affreu
ages ; plus on veut rendre les choses touchantes, mieux la simplicité convient . L’écrivain et l’orateur doivent se montrer plus
ute dramatique à l’exposition et à la narration. IV. La prosopopée ne convient qu’à l’expression d’une passion très-violente don
et passionnées. VIII. L’imprécation est une figure très-forte qui ne convient guère qu’à la poésie tragique. Leçon XXXIII. D
détourne un mot de son acception usuelle. Ainsi le mot brillant, qui convient à la lumière, s’applique par un trope à l’esprit,
devient alors un sujet littéraire et un genre distinct parmi ceux qui conviennent à l’expression vive de la vérité. — Ainsi Horace
écrivains de génie se font pardonner toutes les hardiesses ; mais il convient de n’employer que les ellipses autorisées par de
de la pensée. Cette insistance donne plus de force à l’expression, et convient à une passion vive : Je l’ai vu de mes propres ye
lle change le rôle du substantif, offre quelque chose d’étudié qui ne convient qu’au style élevé. Cependant, La Fontaine en use
cette étude on peut conclure les six règles suivantes : I. L’ellipse convient à l’expression vive et sentencieuse de la pensée 
ion sur les idées par des moyens tout différents. VI. L’apposition ne convient guère qu’au style élevé. 11. Résumé sur les fig
premiere de ces qualités est bonne en toute occasion ; la seconde ne convient pas à tous les sujets, ni avec toute sorte de per
de gens faillies et oisifs ; elle n’est bonne qu’autant que les sons conviennent au sens dus paroles et que les paroles inspirent
et. C'est une qualité qui renferme toutes les autres ; car le mot qui convient le mieux au sujet est à la fois le plus précis et
ommente sagement ces sages conseils : Chacun de ces trois caractères convient plus ou moins au sujet, au lieu, aux personnes… l
Ces deux formes très-simples de transition ont le premier mérite qui convient à cet élément littéraire, la brièveté. En effet,
int avancer l’esprit ; c’est une sorte d’addition et d’ornement qu’il convient de ne pas allonger plus qu’il n’est indispensable
ails. Chaque genre de composition réclame un tour et un style qui lui conviennent  ; mais déplus, dans une même composition, les nua
ités distinctives qui méritent d’être analysées. Le genre simple, qui convient surtout à la narration, a pour caractères princip
ation et rejette tout ce qui ressemble à un ornement. La concision ne convient pas à toute espèce de sujet parce qu’il y a des m
surtout à la narration et l’argumentation que le style simple paraît convenir . Il est encore habile de l’employer au début d’un
alme fait sur nos yeux et notre humeur.    Joubert. Les qualités qui conviennent au genre tempéré sont, la richesse,     l’ élégan
beauté. La grâce est un mérite gui séduit, attire et retient : elle convient à tous les genres de beauté. Andrieux a raison de
VII. La recherche de l’esprit lasse et irrite. VIII. La délicatesse convient surtout à l’expression des sentiments doux et aux
t morales. Toutes les plus hautes qualités de l’artiste et du peintre conviennent à ce genre de style : énergie du sentiment, véhém
ujets que le style élevé doit revêtir de ses nobles ornements ; il ne convient qu’à ce qui est vraiment grand et vraiment supéri
Des différents genres de prose. — Les genres de composition auxquels convient la prose peuvent se partager en deux groupes : 1°
uader. La narration admet volontiers l’attitude et la physionomie qui conviennent à l’expression de la dignité. Dans la plaisanteri
e et de son plan ; lui fournir à propos tous les moyens oratoires qui conviennent le mieux au but qu’il poursuit, mais sans rompre
Mais ce n’est jamais dans les compositions destinées au public qu’il convient de s’exercer à l’art difficile d’exprimer sa pens
ou péroraison. Cette division élémentaire empruntée à l’art oratoire, convient d’une manière générale à toutes les compositions 
quel les idées doivent être présentées, il faut songer à la forme qui convient au sujet. Le style doit avoir un caractère généra
importante dans une description est le choix des détails auxquels il convient de s’attacher. L’application du lieu commun appel
illou qu’il tient. Sur de trop vains objets c’est arrêter la vue. Il convient de disposer les détails dans un ordre de gradatio
est une qualité indispensable surtout dans l’exposition ; la vivacité convient aux péripéties ; la vraisemblance est la qualité
eler à chaque face nouvelle de la question. Ce mode de composition ne convient qu’à des questions oui prêtent réellement an dout
pporte ne me semble point de ce caractère. Fénelon. — Attendez, vous conviendrez de ce que je dis. Quand le prédicateur a choisi p
eur ? Pourquoi laisser cet endroit et tant d’autres de l’Écriture qui conviennent , pour en chercher un qui ne convient pas ? C’est
nt d’autres de l’Écriture qui conviennent, pour en chercher un qui ne convient pas ? C’est un goût dépravé, une passion aveugle
sa chambre. Il n’y a dans un carrosse que les places du fond qui lui conviennent  ; dans toute autre, si oh veut l’en croire, il pâ
e. Le style du développement historique embelli de quelques ornements convient au développement littéraire. Encore ces ornements
Mais il a su revêtir ce fond de tous les ornements qui pouvaient lui convenir  ; c’est ce qui en fait la beauté, Ses pensées, se
8 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Rochefoucauld. (1613-1680.) » pp. 15-19
ennent des tons et des manières au hasard, sans considérer que ce qui convient à quelques-uns ne convient pas à tout le monde. O
ères au hasard, sans considérer que ce qui convient à quelques-uns ne convient pas à tout le monde. On imite souvent, même sans
e ses propres biens pour des biens étrangers, qui d’ordinaire ne nous conviennent pas. Je ne prétends pas, par ce que je dis, nous
s que la nature ne nous a pas données. La bonne grâce et la politesse conviennent à tout le monde ; mais les qualités acquises doiv
9 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
es, trop approfondies et traitées d’une manière trop métaphysique, ne conviennent point à un âge incapable encore de suivre nos con
ppropriée aux mœurs et aux institutions du nôtre, m’attacher à ce qui convient à nos besoins, à nos usages, à notre langue, etc…
atif, le délibératif, et le judiciaire ne m’a pas semblé pouvoir nous convenir . En effet, comment classer dans cette division l’
La première règle de l’éloquence en tout genre est de parler comme il convient aux choses, aux personnes, aux temps et aux lieux
e discours. L’homme qui dans le commerce de la société connaît ce qui convient dans les manières et dans les propos, qui est att
doivent être invariables ; sans faire sentir quelles sont celles qui conviennent à chaque genre, sans montrer celles qu’on doit pr
do, n’y sont pas les mêmes. Division des matières oratoires qui nous convient le mieux. La division des anciens n’est pas sans
sez exactement tout ce qui peut être le sujet d’un discours ; mais il conviendra mieux au but de cet ouvrage, et l’on trouvera peu
e, et il s’exposerait au ridicule s’il prenait un ton véhément qui ne convient qu’à la tribune. L’avocat ne doit pas imiter les
es deux idées qu’il veut comparer, et il juge de la sorte si elles se conviennent ou non, et jusqu’à quel point elles se conviennen
sorte si elles se conviennent ou non, et jusqu’à quel point elles se conviennent . C’est là raisonner. Manière de raisonner. Si p
lus haut, il est facile de voir que l’idée de Dieu et celle d’adorer, conviennent l’une et l’autre à l’idée d’être tout-puissant ;
par syllogismes, serait renvoyé aux écoles. Pourquoi. Le syllogisme convient aux sciences exactes, à la philosophie qui n’a po
but qu’ils se proposent, à l’intérêt du moment à leur indiquer ce qui convient le mieux à cet égard. En général, pour donner au
mbent sur moi seul. Mais si quelqu’un devait réprimer Philippe, à qui convenait -il de le faire, sinon aux Athéniens ? Voilà ce qu
s lumières. Parmi les moyens de se concilier les juges au barreau, il convient de distinguer ceux que l’on peut produire à décou
, l’orateur doit avoir grand soin d’observer dans ses discours ce qui convient , quod decet, relativement à lui-même, à ses audit
t-on obligé de parler de soi, réduit à faire son apologie, le ton qui convient est celui d’un honnête homme qui ne montre ni org
d’éloquence, que la légèreté du peuple en demande une autre ? Ce qui conviendrait à un homme grave et sérieux ne conviendrait pas à
emande une autre ? Ce qui conviendrait à un homme grave et sérieux ne conviendrait pas à un autre qui serait plus superficiel ou plu
es toucher1. Après avoir exposé les moyens d’exciter les passions, il convient de faire connaître ceux qu’on emploie pour les ca
re le vrai en riant, et donnent des grâces à la raison. Mesure qu’il convient de garder dans la plaisanterie. Mais nous pouvon
tons Cicéron parlant des convenances à observer et de la mesure qu’il convient de garder sur ce point. « Nous avertissons l’ora
rte le pathétique. (De Orat., l. II, n. 105.) Les grands mouvemens ne conviennent pas aux petites affaires. « Ce serait, dit Quinti
t toute la puissance de l’action. Un discours précis, un style serré, convient pour instruire le juge, mais non pour l’émouvoir.
que les grands mouvemens qu’on admirait à Athènes et à Rome, ne nous conviennent point, et qu’il s’agit aujourd’hui de prouver, de
el est celui qu’il a traité le premier, le second, etc. Tout le monde convient qu’il est très-difficile de former sur un sujet q
du fond même du sujet, et lui être tellement propre, qu’il ne puisse convenir à aucun autre sujet. Le moyen de faire un exorde
ions. Quelques observations sont ici nécessaires. La modestie convient à l’exorde. 1°. La modestie est le caractère ord
me de la justice ou de l’importance de sa cause. La véhémence ne lui convient pas. 2°. On doit se souvenir que l’exorde ne fai
aux questions de droit. C’est aux questions de fait que ces documens conviennent particulièrement, et aux preuves par les indices
antes, que la clarté et la précision sont les seuls ornemens qui leur conviennent . La narration doit présenter les faits d’une man
l’orateur du barreau pour réfuter un adversaire redoutable ; et l’on conviendra que rien ne suppose plus d’habileté et d’adresse1
et que des biens d’opinion. 5°. A juger d’une chose par ce qui ne lui convient que par accident. C’est ce que font ceux qui blâ
u’il serait inutile d’examiner lequel de ces trois genres d’éloquence convient le mieux à l’orateur, puisqu’il doit les embrasse
r le rapport naturel qui se trouve entre le sujet et le style qui lui convient , entre tel ordre d’idées et tel genre de diction.
oires, des récits, etc… Dans quels le style relevé. Le style relevé convient aux matières graves, importantes, aux occasions s
ues, de périodes dont les membres s’enchaînent les uns aux autres. Il convient aux objets élevés ou sérieux. Aussi le style péri
at lux de la Genèse. L’expression simple et l’expression figurée lui conviennent . L’expression simple et l’expression figurée son
ela, il est nécessaire qu’il s’énonce clairement et d’une manière qui convienne à celui qui l’entend, et au but qu’il se propose.
mme le musicien a soin de choisir le mode, le ton et le mouvement qui convient au caractère du morceau qu’il veut composer, de m
oquence de la vertu. Il faut que nous soyons bien pénétrés du ton qui convient à notre sujet, c’est-à-dire du ton que prennent n
choses. Son importance. Dans toute sorte d’ouvrages, le style doit convenir au sujet que l’on traite. « Que sert en effet, di
de la convenance du style, on doit avoir égard au ton général(1) qui convient au genre d’éloquence auquel appartient le sujet,
nre d’éloquence auquel appartient le sujet, et au ton particulier qui convient aux objets de détail que renferme le sujet. Car l
e de la chaire. Cicéron, en déterminant le caractère d’élocution qui convient à l’orateur en général, a très-bien déterminé cel
ant, et un style bas, rampant, négligé. Ce milieu est l’éloquence qui convient à un pasteur : Illa-eloquentia apud eloquentem e
passion de ces mêmes vertus ; c’est le but qu’on doit se proposer. Il convient alors, selon Cicéron (Orat., n°. 72) et Quintilie
rée ; de l’élégance et des grâces seront à leur place. 2°. Ton qui convient aux objets de détail. Ton qui convient aux d
eur place. 2°. Ton qui convient aux objets de détail. Ton qui convient aux divers endroits des discours. Nous entendons
chez ensuite vous en pénétrer vivement ; et aucun des traits qui leur conviennent ne vous échappera. L’admiration entasse les hyper
e, un simple sentiment à rendre. Il nous reste à parler du style qui convient aux sentimens et aux pensées considérées en elles
qui se succèdent et se suivent sans interruption. La netteté du style convient particulièrement aux ouvrages didactiques, aux po
ument bon sans être élégant. » (Volt., ibid.) Cette qualité du style convient particulièrement aux ouvrages dans lesquels l’aut
s le style fleuri doit être proscrit dans un sujet solide. » Ce style convient aux pièces de pur agrément. » (Voltaire, Dict. ph
eut en dire autant de la prose. Le précepte de la variété du style ne convient qu’aux ouvrages qui en sont susceptibles, et qui
confiance et qui opère la persuasion. (Ibid., n. 207.) Le style coupé convient à l’énumération, à la gradation, aux descriptions
it, que l’harmonie doit être variée comme le style, et comme le style convenir au sujet qu’on traite. Appendice sur le tissu
supprime certains mots que l’esprit peut aisément suppléer. L’ellipse convient aux passions vives qui ne permettent pas à celui
. Ils appartiennent à la haute éloquence, au style le plus élevé. Ils conviennent surtout aux ouvrages où l’écrivain traite de gran
dre à me donner ? Ce tour est du langage de la conversation, et il ne convient qu’à une politesse servile. Dans d’autres occasio
porte la signification propre d’un mot à une signification qui ne lui convient qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
ornemens lorsqu’ils sont placés d’une manière convenable. Elle doit convenir au sujet. Les métaphores doivent convenir à la n
ère convenable. Elle doit convenir au sujet. Les métaphores doivent convenir à la nature du sujet. Telle métaphore serait perm
s les accessoires. Qualité des épithètes. Il faut que les épithètes conviennent au sujet. L’ambitieux Alexandre entreprit la conq
dit : Faible objet qui est un ouvrage imperceptible. L’apposition ne convient qu’au style noble et soutenu. Alliances de mots.
juges sans qu’ils s’en aperçoivent. » Plus bas il ajoute : « Rien ne convient mieux aux sentimens et aux passions ; car si les
er ses pensées qu’à dire seulement ce qu’elle sent. Les antithèses ne conviennent point au sentiment, parce qu’elles donnent toujou
ur de la plus haute et de la plus magnifique éloquence, et qu’elle ne convient guère parmi nous qu’aux discours religieux, sermo
ennemi, et la flatterie en fait encore un usage plus fréquent. Elle convient à la passion. Cette sorte de figure s’emploie au
mes, grands esprits, C’est par un noble et généreux mépris Qu’il vous convient d’extirper ces chimères, Épouvantails d’enfans, e
rdre ? (Métamorph.) Les sentences, fruit d’une réflexion froide, ne conviennent pas au langage de la passion. Placées à propos et
le caractère du vrai ? Il faut qu’elle unisse cet objet à ce qui lui convient , ou qu’elle le sépare de ce qui ne lui convient p
et objet à ce qui lui convient, ou qu’elle le sépare de ce qui ne lui convient pas. Le faux dans la pensée consiste donc à lier
vait où il doit aller et par où. De marquer dans ce plan la place qui convient le mieux à chacune des idées principales. Souvent
er sans les confondre, évitant d’appuyer l’une par des raisons qui ne conviennent qu’à une autre. Enfin de se renfermer dans de jus
t dans les mouvemens du corps une certaine expression, ne faut-il pas convenir que quand tout cela conspire ensemble, il doit s’
e moyen est celui de la conversation ordinaire. C’est aussi celui qui convient le mieux dans les discours prononcés en public :
ein de retenue, un regard modeste. Le ton moyen est alors celui qu’il convient de prendre. Lorsque l’exorde est brusque et véhém
urent, dans toutes ces facultés, un accès facile et certain. Ton qui convient aux diverses figures. Les figures que l’on répan
et se font entendre. » (Loc. cit.) Enseignerons-nous quels gestes il convient de faire dans tel cas, ou en tel temps et selon l
débité oratoire que des mouvemens étudiés, recherchés, affectés, qui conviennent à la légèreté d’un comédien plutôt qu’à la gravit
imùm à saltatore debet orator. (Quint.) L’action d’un comédien ne lui convient pas. Le théâtre n’est point pour l’orateur une bo
ce 224 1°. Ton propre aux divers genres d’éloquence 231 2°. Ton qui convient aux objets de détail 239 Art. II. Des qualités
est fondée leur distinction. Division des matières oratoires qui nous convient le mieux. Division de la rhétorique. Invention, d
ède aussi par induction. Q. Capitolinus entraîne ainsi la multitude à convenir qu’elle a tort. Non illi vestram ignaviam contem
dans le mot. Le talent de plaisanter vient de la nature. Mesure qu’il convient de garder dans la plaisanterie. Les bienséances n
u barreau A la tribune. Dans le sermon et le panégyrique. La modestie convient à l’exorde. La véhémence ne lui convient pas. Sou
le panégyrique. La modestie convient à l’exorde. La véhémence ne lui convient pas. Sources de l’exorde. Défauts de l’exorde. Dé
e rend plus frappant. L’expression simple et l’expression figurée lui conviennent . Exemples. Il comporte l’amplification. Mais rare
ocatis. (L. II, c. 10.) Ton propre à l’éloquence du barreau. Ton qui convient aux divers endroits des discours. Soit qu’on ait 
ens métaphorique. Cette figure doit être employée à propos. Elle doit convenir au sujet. Elle est plus hardie dans la poésie que
sation. Et dans la plaisanterie. Elle embellit les descriptions. Elle convient à la passion. Elle ne doit point être exagéree. E
pre à l’exorde, A la narration, A la preuve, A la péroraison. Ton qui convient aux diverses figures. Le geste accompagne naturel
t éviter l’affectation et la recherche. L’action d’un comédien ne lui convient pas. L’action des anciens était différents de la
10 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur les extraits des problèmes » pp. -144
us semblent attribuer au τερέτισμα une valeur toute technique, qui ne convient pas à ce texte d’Aristote. — Cf. Platon, Lois, II
ent dits, les acteurs payés, aux acteurs libres de l’ancien temps. Je conviens toutefois qu’on s’attendrait à lire ἱδιον avant ἦ
M. Bojesen avait déjà remarqué que les mots ϰατὰ μὲν οὐν ταύτην, etc. conviennent mieux au mixolydien qu’à l’hypophrygien. Ces conj
us propre aux effets de pathétique, tandis que l’harmonie dorienne ne convenait qu’au genre grave et sublime. Sa bienveillance.]
11 (1852) Précis de rhétorique
rateur a des préventions à combattre ; 3° l’exorde véhément, quand il convient de se mettre de suite au niveau des passions des
Par la propriété des termes, on rend l’idée par le seul terme qui lui convienne , et par la simplicité, on écarte toute expression
é. 4. Si le style est lâche et diffus, l’obscurité est inévitable. Il convient de ne point délayer ses pensées. 5. Enfin, il fau
à nos hommages et à nos respects. 8. La magnificence est la forme qui convient aux sujets relevés. L’on parle avec magnificence
brillantes, les tours élégants ; elle séduit, charme, éblouit ; elle convient à tous les sujets, excepté aux sujets simples, qu
s du sublime ? — 7. En quoi consiste la majesté ? — 8. À quels sujets convient la magnificence ? — 9. En quoi consiste la pompe 
, et particulièrement : le boursouflé, les tournures pompeuses qui ne conviennent pas au sujet ; l’ampoulé, les expressions grandio
examiner la nature des mouvements de l’âme et étudier le langage qui convient à chacun d’eux. Ainsi : La haine emploie l’ironie
guides, après une bonne maîtresse, sont le tact et la sensibilité. Il convient , en règle générale, de toujours marquer par un ac
onversation écrite entre personnes absentes. Le genre d’élocution qui convient aux lettres est donc le style familier, le ton d’
? — 3. Que forme la lettre avec sa réponse, et quel genre d’élocution convient -il d’appliquer aux lettres ? — 4. Quelles règles
facile. L’on doit pardonner de bon cœur, si l’excuse est complète, ou convenir soi-même de ses torts, s’ils sont réels. § VII
a chose définie ; le genre, en classant le sujet dans l’ordre qui lui convient  ; la différence, en montrant ses qualités propres
Tout apologue doit-il contenir une action, et quel genre de style lui convient  ? — 13. Que fait-on en analysant l’apologue ? — 1
omme la fable, une moralité claire, facile à tirer du sujet, et qu’il convient toujours d’expliquer en peu de mots. 13. Si le co
t qu’abondant, souvent énergique, quelquefois véhément, est celui qui convient à l’éloquence politique : § III. — Éloquence j
ls sont les devoirs de l’orateur politique ? — 9. Quel genre de style convient à l’éloquence politique ? — 10. L’éloquence judic
D. [Casimir Delavigne]) Ce vers est nommé alexandrin ou héroïque. Il convient à la haute poésie, aux sujets nobles, à cause de
eur. (M. [Millevoye]) Ce vers est gracieux et léger. C’est celui qui convient le mieux au récit. Son rythme est doux et agréabl
le Tastu]) Le rythme de ce vers est doux et majestueux à la fois ; il convient à l’ode et à la poésie légère. Vers de sept sylla
e riche plaine, Roule ses flots d’azur. (J. [Jules Taulier]) Ce vers convient à la poésie pastorale ; son rythme est gracieux e
uvres, sult — an, inst — ant, dé — mon, mont, ess — or, fort, etc. Je conviens que ce sont là de pauvres rimes, dont on ne trouv
12 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Victor Hugo Né à Besançon en 1802 » pp. 540-556
nt1 que vous êtes Bon, clément, indulgent et doux, ô Dieu vivant ! Je conviens que vous seul savez ce que vous faites, Et que l’
e ce qu’ici-bas nous prenons pour le terme   Est le commencement3. Je conviens à genoux que vous seul, Père auguste, Possédez l’
ue vous seul, Père auguste, Possédez l’infini, le réel, l’absolu ; Je conviens qu’il est bon, je conviens qu’il est juste Que mo
Possédez l’infini, le réel, l’absolu ; Je conviens qu’il est bon, je conviens qu’il est juste Que mon cœur ait saigné, puisque
. Puisque ces choses sont, c’est qu’il faut qu’elles soient ;   J’en conviens , j’en conviens ! Dans vos cieux, au delà de la sp
choses sont, c’est qu’il faut qu’elles soient ;   J’en conviens, j’en conviens  ! Dans vos cieux, au delà de la sphère des nues,
13 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre III. Des ornements du style » pp. 119-206
res oratoires ? Les figures oratoires, ainsi appelées parce qu’elles conviennent surtout aux discours, sont la répétition, la conj
de son sens propre et naturel à un sens moral ou métaphysique qui ne convient à ce mot qu’en vertu d’une comparaison qui se fai
oésie, qui en prose paraîtraient absurdes ou peu naturelles. D’autres conviennent au style oratoire, et seraient déplacées dans une
figures de la première catégorie, étant propres à instruire, peuvent convenir plus particulièrement au style simple ; celles de
ré ; celles de la troisième, ayant pour but de toucher et d’émouvoir, conviennent surtout au style sublime. — Il est bien entendu q
différentes espèces de style ; et il en est plusieurs qui paraissent convenir également aux diverses catégories dont nous venon
force au discours, lorsqu’elles sont placées à propos ; mais elles ne conviennent pas au langage de la passion, et elles rendent le
es, grands esprits, C’est par un noble et généreux mépris, Qu’il vous convient d’extirper ces chimères, Épouvantails d’enfants e
, la plus vive et la plus magnifique de toutes les figures ; aussi ne convient -elle qu’à la poésie et à la haute éloquence, et d
la passion se calme. C’est un de ces hauts ornements, qui ne peuvent convenir que dans les passages les plus animés d’une compo
peuvent figurer convenablement à la hauteur où on veut les placer. Il convient d’observer cette règle, même pour les degrés infé
e style, qui est le plus noble, le plus harmonieux, le plus oratoire, convient aux oraisons funèbres, aux panégyriques, aux desc
Romains. Le style coupé est plus léger, plus vif, plus brillant. Il convient aux récits, aux raisonnements pressants, aux mouv
thètes. Les épithètes donnent du relief à la pensée, pourvu qu’elles conviennent aux mots auxquels elles s’appliquent, qu’elles so
, si un art industrieux les a placés dans le véritable poste qui leur convient . Dans l’éloge du grand Condé, Bossuet, après l’av
14 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « SECONDE PARTIE. DE LA VERSIFICATION LATINE. — CHAPITRE IV. De la composition des vers. » pp. 295-331
s qu’il y eût un ou plusieurs dactyles, il faudrait choisir celui qui conviendrait le mieux pour le sens et l’harmonie du vers, et l
sub nocte obscurâ.) Ils appliquent à une chose une épithète qui ne convient qu’à une personne. Exemple : Heu fuge crudele
des synonymes. Quand un mot n’est point poétique, ou qu’il ne convient pas à la mesure du vers, on le remplace par un sy
re, fendre les flots, il sera facile de voir que le verbe dīvĭdĕrĕ ne convient ni au sens, ni à la mesure. En cherchant dans le
dans le gradus, on trouvera disjungere, distrahere, separare, qui ne conviennent pas mieux. Mais on n’aura qu’à se rappeler les ve
er Achilles. Chaque chose a aussi quelque propriété spéciale qui lui convient dans la plupart des circonstances, même dans cell
ces épithètes, fragrantes, suaviter olentes, spirantes graviter, leur conviennent presque toujours. Remarques. — 1° Les épithètes,
si dire, avec profusion. Il suffit, en quelque sorte, qu’une épithète convienne à un mot pour qu’ils l’introduisent dans un vers
15 (1865) Cours élémentaire de littérature : style et poétique, à l’usage des élèves de seconde (4e éd.)
e bien pour déterminer leur volonté. Mais, outre ces deux devoirs qui conviennent aussi au métaphysicien et au moraliste, les belle
ts et distingue le vrai du faux. Ainsi, lorsqu’on examine si la bonté convient à Dieu et qu’on affirme cette convenance, c’est l
té ; il les examine et les compare, et lorsqu’il affirme que la bonté convient à Dieu, il forme une pensée ou un jugement. 44. I
e n’est que l’ordre et le mouvement que l’on met dans ses pensées, il conviendrait peut-être de ne point séparer l’un de l’autre. No
ta mort. Ces quatre vers renferment une pensée juste, parce qu’elle convient parfaitement à la destinée de Didon et résume tou
t vraies en un sens, mais elles ne sont pas justes, parce qu’elles ne conviennent pas à leur objet sous tous les rapports et dans t
fini. Nous distinguerons spécialement la simplicité et la naïveté qui conviennent au genre simple ; la finesse et la grâce qui sont
ègle qu’on puisse prescrire pour l’emploi des pensées, c’est qu’elles conviennent au sujet et à la situation des personnes qui parl
67. Les sentiments, comme les pensées, ont des caractères communs qui conviennent à tous les sujets, et des caractères particuliers
e réjouira le cœur de sa mère. 69. Le sentiment est naturel quand il convient à la situation de la personne qui en est affectée
olonne ? un fleuve ? une plante ? et puis, ne rien représenter qui ne convienne à la plante, au fleuve, à la colonne. Telle image
te à rendre une idée par le terme juste qui lui correspond et qui lui convient le mieux. Chaque idée a dans chaque langue un mot
re sentir sa valeur. La première et la dernière place sont celles qui conviennent le mieux au membre principal ou au mot important
ualités générales celles qui sont essentielles à toute composition et conviennent à tous les sujets qu’on peut traiter ; les qualit
gne d’elles. 129. Il faut bien se garder de croire que la noblesse ne convienne qu’à un certain genre d’ouvrages ou de compositio
ou d’un mouvement de l’âme naturel et spontané. 141. Le style simple convient aux entretiens familiers, aux récits de faits ord
et des images répondent à la grandeur du sujet. Ce genre de style ne convient qu’aux sujets élevés et dramatiques. On en trouve
premier, on emploie une figure, parce que les mots brille, s’éclipse conviennent proprement aux astres, et non à un homme capable
usage de l’hyperbole et de l’exagération. La litote et l’exténuation conviennent à ceux qui ont à faire des reproches ou des remon
u style, consiste dans l’heureux accord des sons que l’on emploie, et convient à toute espèce de composition. Quelque sujet que
’argumentation pressante et les mouvements passionnés, le style coupé conviendra beaucoup mieux. Au reste, ni l’un ni l’autre ne d
r les nuances qui les séparent et de faire de chacun l’emploi qui lui convient . Dans le choix des constructions et des tours, il
iter un écrivain, et les jeunes élèves peuvent choisir celle qui leur convient le mieux, ou les essayer tour à tour les unes apr
modèle. — Intelligence : choisissez ce qui est à votre portée, ce qui convient à la nature de votre talent. Ne vous attachez pas
rincipe ou la vérité que vous voulez établir ; écartez tout ce qui ne convient pas au but que vous voulez atteindre : quand votr
l’on ne dit rien d’inutile dans l’exposition, si l’on s’arrête où il convient dans le dénouement. Ce caractère général de rapid
il convient dans le dénouement. Ce caractère général de rapidité qui convient à la narration se modifie suivant la diversité de
in. 320. L’ordre consiste à placer chaque fait dans l’endroit qui lui convient . Le plus souvent on doit suivre l’ordre chronolog
les lieux, les mœurs et les usages déjà connus. L’intérêt progressif convient spécialement à la narration poétique. L’historien
ents particuliers que les littérateurs assignent au genre épistolaire conviennent surtout aux lettres d’amitié. C’est là qu’on doit
labes, communément appelé grand vers, vers alexandrin, vers héroïque, convient , par son caractère grave et majestueux, à l’épîtr
’âme à la vue d’un objet que la raison lui présente. Cette définition convient également à l’enthousiasme qui produit et à l’ent
e : ne prêtez donc pas à des anges des actions ou des discours qui ne conviennent qu’à notre humanité dégradée, et souvenez-vous qu
sans enflure. Il rejette cet enthousiasme et ces figures hardies qui conviennent à l’ode et à l’épopée. Les descriptions et les ré
e et quelquefois brisé. Un certain air de négligence et d’abandon lui convient à merveille. Un peu de désordre sied bien aussi à
iturgiques, tels que le Dies iræ et le Stabat Mater, on sera forcé de convenir que le christianisme, en élevant et en épurant le
mot, on caractérise chacun de ces mots par quelque propriété qui lui convient  : l’on indique, en terminant, la signification du
avec son fils Lausus par le héros troyen. Livre XI. Les deux parties conviennent d’une suspension d’armes pour enterrer leurs mort
l’énumération des divers instruments de labourage, la manière dont il convient de distribuer le temps, les différentes espèces d
où dépendent la clarté et la vérité des images ? 79. Les mêmes images conviennent -elles à toutes les langues ? 80. Que faut-il fair
le ? 128. En quoi consiste la noblesse du style ? 129. La noblesse ne convient -elle qu’au genre le plus élevé ? 1 30. Comment re
du style ? 140. Qu’est-ce que le style simple ? 1 41. À quels sujets convient le style simple ? 142. Quelles sont les qualités
el doit être le caractère des lettres d’amitié ? 352. Quels ornements conviennent aux lettres d’amitié ? 853. Qu’est-ce que la lett
s demande un ouvrage élémentaire ? 360. Quels sont les caractères qui conviennent aux œuvres de polémique ? 361. Quel est le but de
16 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
ns l’expression des arguments ; mais il ne peut lui inspirer ceux qui conviennent à chaque cause ou à chaque sujet. Découvrir les r
yer. Le mode de raisonnement dont on se sert presque toujours, et qui convient le mieux à tous les genres de discours, est celui
milieu. Pour assurer le succès des arguments, outre l’attention qu’il convient de donner à leur distribution, il faut encore les
spect que nous devons à un orateur si éloquent, nous sommes forcés de convenir que tout ceci n’est que de la déclamation et non
parler à l’oreille ; le ton moyen, qui est celui de la conversation, convient dans presque tous les discours prononcés en publi
nquilles le renforcement, les pauses, les tons et les gestes qui leur conviennent . L’effet d’un débit toujours juste et gracieux es
qu’elles précèdent ou qu’elles suivent a été prononcé sur le ton qui convient le mieux au sens ; au lieu que la durée du temps
les plus gracieux, afin de les exécuter en public, sans songer s’ils conviennent plus ou moins à notre extérieur et à nos disposit
s l’art de l’éloquence, et sur les études préparatoires auxquelles il convient surtout de se livrer pour y faire des progrès. Êt
thèses et les pensées recherchées. Cependant je ne puis m’empêcher de convenir que son expression n’ait très souvent beaucoup de
une meilleure saison sa chaleur et ses bienfaits. » Une telle phrase convenait dans une harangue, mais elle est tout à fait dépl
ux effet. Elle donne au vers la marche imposante de l’alexandrin, qui convient si bien à la fin d’un morceau : aussi on ne la re
eut-être même avec plus de facilité que l’hexamètre des Latins. Aussi conviennent -ils beaucoup mieux aux sujets grands et forts qui
tragique. Ce n’est qu’aux compositions d’un genre tempéré que la rime convient , à celles où l’on ne s’attend à trouver ni véhéme
tages. Chaque langage a sa grâce, son génie et sa mélodie ; et ce qui convient à l’un pourrait être ridicule dans un autre. La r
e, et la langue italienne ajoute encore beaucoup à cette douceur, qui convient si bien à la pastorale22. N’oublions pas de parle
l’harmonie et à la beauté des sons, et le genre de versification qui convient le mieux à la nature de l’ode est celui qui rend
la vérité de l’expression, et l’on peut y prendre le ton poétique qui convient le mieux au sujet. Mais les épîtres didactiques d
urs. L’on aime encore à y trouver ce tour piquant et ingénieux qui ne convient pas aux compositions poétiques d’un rang supérieu
en plus que des idées ; le langage dont il se sert est bien celui qui convient à une description poétique, mais l’objet qu’il dé
mode donnait au style quelque chose de majestueux et de solennel qui convenait parfaitement bien aux sujets sacrés ; voilà pourq
t plus rempli de figures hardies et animées que les livres saints. Il convient de nous arrêter un instant sur ce genre de mérite
e le caractère et le génie des poètes épiques les plus célèbres. L’on convient généralement que le poème épique est le poème du
’allégorie d’une action importante racontée en vers. Cette définition conviendrait à plusieurs fables d’Ésope, si elles avaient plus
re un poème épique, il cherche dans l’histoire les noms des héros qui conviennent le mieux aux rôles qu’il veut distribuer, et son
à-dire des récits poétiques d’actions illustres, seule définition qui convienne à l’épopée. Bien que je ne veuille en aucune mani
on qui convienne à l’épopée. Bien que je ne veuille en aucune manière convenir qu’un poème épique soit essentiellement allégoriq
nge sous les drapeaux des Grecs, et le poème finit. Il faut néanmoins convenir qu’ici l’unité n’est pas aussi sensible que dans
l ornement lorsqu’ils sont habilement traités. Voici les règles qu’il convient de suivre à cet égard. 1º. Ils doivent être amené
ulte des camps et de l’horreur des batailles. 3º. Enfin, comme il est convenu qu’un épisode doit servir d’embellissement dans u
élevés que doit faire naître la poésie épique. La terreur et la pitié conviennent à la tragédie ; mais comme une épopée a plus d’ét
sait, pour déterminer son choix, que ce sujet fût grand par lui-même, convînt à la nature de son génie, et lui présentât les mo
teindre, mais celui-ci ne descend jamais au-dessous de la dignité qui convient à la poésie épique, et c’est un mérite qu’Homère
de nouveaux charmes. Cependant, pour rendre justice au Tasse, il faut convenir qu’il n’est effectivement ni plus merveilleux ni
constances en sont singulièrement pittoresques. Le style, très varié, convient toujours au sujet ; il est embelli de tous les ch
rs de vertu, des avantages et des douceurs de la paix, parce qu’elles convenaient mieux au caractère de Fénelon. Il a mis dans tous
plus de succès que l’épopée. On dirait que la versification française convient mal à la poésie épique. Outre qu’elle est toujour
e son genre de merveilleux est du plus mauvais goût ; c’est celui qui convient le moins à la poésie épique, puisqu’il se compose
é un peu mieux goûté du commun des lecteurs. Le sujet qu’il a préféré convenait mieux à la hauteur sublime de son génie32, mais i
éféré convenait mieux à la hauteur sublime de son génie32, mais il ne convenait qu’à Milton ; lui seul pouvait déployer ces tréso
les traits que nous donnons ordinairement aux esprits infernaux ; il convenait davantage à son but de lui prêter une physionomie
rs qu’il adresse à Ève et à Raphaël. Ève a mieux le caractère qui lui convient  ; elle a toute la douceur, toute la modestie et t
aignant l’harmonie, ils prennent tour à tour la grâce et la force qui conviennent dans une composition épique. Quelquefois, il est
ortance. Pour nous livrer avec plus d’avantage à cette discussion, il convient que nous prenions les choses de plus haut. En rem
is en plus petit nombre, ont un dénouement heureux. Cependant il faut convenir qu’il semble être de l’essence de la tragédie, et
ous a laissé des observations fort judicieuses sur les caractères qui conviennent à la tragédie. Il pense que les caractères sans n
isse aucune disposition favorable à la vertu ou à l’humanité. Il faut convenir que les sujets choisis par les poètes tragiques d
en résultait des incidents d’un genre véritablement tragique, il faut convenir que ces incidents appartenaient plus à la tragédi
ragédie, doivent être libres, faciles et variés. Notre vers blanc lui convient essentiellement ; il a assez de noblesse pour rel
de la force et de la dignité, mais non de cette dignité uniforme qui convient à la poésie épique ; il faut, au contraire, qu’il
ient trop recherchés lorsqu’ils devaient n’être que simples. Voltaire convient avec franchise de ces défauts du théâtre français
stérieux si extraordinaire et si imposant, ils parlent un langage qui convient si bien au rôle qu’ils jouent, que leur apparitio
cule qu’aux arguments solides et aux attaques sérieuses. Mais il faut convenir , d’un autre côté, que c’est une arme difficile à
genre tout particulier, et qui ne ressemblent en rien à ce qu’on est convenu d’appeler comédie. Elles montrent jusqu’à quel po
es, et qui sont pleines de romanesque et d’extravagance. Néanmoins on convient généralement que, dans les ouvrages de Lope de Vé
ependant quelques défauts, dont Voltaire, qui s’avoue son admirateur, convient le premier. On sait qu’il n’était pas heureux dan
a farce dans ses pièces en prose les plus comiques. Cependant il faut convenir que bien peu d’écrivains, si même il en existe, o
ais. On dira que plus elle est serrée, plus elle est frappante ; j’en conviens , et l’on en doit conclure que la précision est du
er en peu de mots, a introduit l’ellipse. Elle a aussi fait qu’on est convenu de s’entendre lorsqu’on dirait, en parlant des es
par sa liberté, sa noblesse, l’emporte sur le vers rimé, qui ne peut convenir qu’aux compositions d’un genre modéré, comme les
ne sais quelle horreur ténébreuse, un sublime sombre et triste qui ne convient pas mal à l’imagination anglaise. Milton conçut l
imagina un poème épique, espèce d’ouvrage dans lequel les hommes sont convenus d’approuver souvent le bizarre sous le nom de mer
je crois, le seul qui ait fait paraître une ombre sur notre scène. Il convient lui-même que c’était une entreprise assez hardie 
e attitude possible. La posture droite est celle qui presque toujours convient le mieux. Ce n’est qu’autant qu’elle est ferme et
on, ou à faire sentir quelle succession de syllabes longues et brèves convenait le mieux à sa mélodie ; et comme pour remplir ce
vers hexamètre, parce qu’il sembla que ces deux espèces de pieds lui convenaient mieux ; mais, à la lecture, l’oreille ne sent pas
17 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre II. De l’Éloquence chez les Grecs. »
es sensibles de l’éloquence, devenue l’art de persuader. Mais il faut convenir aussi, qu’elle s’ouvrit dès lors une carrière tot
r, sur-le-champ, avec la plus grande facilité ; et ce genre de mérite convenait à l’imagination ardente et légère d’un peuple que
moyen de nier sa chute. Son style est austère, robuste, et tel qu’il convient à une âme franche et impétueuse. Rarement il s’oc
18 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Étude littéraire et philologique sur la langue du XVIe siècle » pp. -
les vocables de Rome et d’Athènes, tous les procédés qui ne pouvaient convenir qu’à une langue née de la synthèse. Cette entrepr
σάγμα, παραβόλη, βύρσα, βαυκάλιον1. C’est donc à la Renaissance qu’il convient d’attribuer l’influence que le grec put exercer s
e tour avait de la grâce, et donnait au style une allure dégagée ; il convenait singulièrement à la prestesse de la poésie légère
sjours suyvre le premier… J’estime nostre poésie estre capable… Il te convient servir, aymer et craindre Dieu. » 9° A plus forte
que faire un portrait. — Il affiert eut plus d’énergie que n’en a il convient  ; car cette locution indiquait un mouvement d’att
discrétion, si l’on ne veut pas impatienter des lecteurs aux-quels ne convient guère la sécheresse de ces études. Qu’ils nous pe
connaissons ce caractère dans celle qui élimine l’inutile ; car, s’il convient d’être entendu de tous, des simples, des ignorant
aigne, voilà les classiques du xvie  siècle. A ces chefs du chœur, il convient pourtant d’associer les plumes secondaires qui fi
19 (1883) Poétique et Rhétorique (trad. Ruelle)
e tous les poètes, et, mieux que tous les poètes, il a compris ce qui convient et ne convient pas dans une œuvre poétique. » (De
es, et, mieux que tous les poètes, il a compris ce qui convient et ne convient pas dans une œuvre poétique. » (De Orator., l. II
rt oratoire avant Aristote. Suivant une observation de Ch. Thurot, il convient lui-même que l’on a moins de peine à perfectionne
e l’action oratoire, et le paragraphe où il détermine le rang qui lui convient dans, l’art renferme, en quelque sorte, la pensée
er genre est comprise l’étude des passions et des mœurs) ; moyens qui conviennent également à tous les genres : l’exemple, l’apolog
prodigué les conseils de son expérience et de son goût. Tout le monde convient que la traduction de la Poétique et de la Rhétori
vint le langage parlé17, la nature trouva elle-même le mètre qui lui convenait  ; car le mètre le plus apte au langage, c’est l’ï
s fables. Chapitre XV Des mœurs dans la tragédie. — De ce qu’il convient de mettre sur la scène. — De l’art d’embellir les
ersonnage). Ainsi la bravoure62 est un trait de caractère, mais il ne convient pas à un rôle de femme d’être brave ou terrible.
avité et leur intermédiaire. C’est dans les traités de métrique qu’il convient de considérer ces divers points en détail. VII. L
rapports de ressemblance. XIII. Parmi les noms, ceux qui sont doubles conviennent surtout aux dithyrambes, les mots étrangers à la
vers ïambique et au tétramètre, ils ont la propriété d’agiter ; l’un convient à la danse, l’autre à l’action dramatique. VII. U
nous l’avons dit, la nature elle-même enseigne à discerner ce qui lui convient . VIII. Homère mérite des louanges à bien d’autres
it une action habituelle, soit une action spontanée. Or tout le monde conviendra que cette étude est le propre de l’art. III. Aujo
t ce n’est pas des parties en cause qu’il doit les apprendre. VII. Il convient donc, par-dessus tout, que les lois, établies sur
cas individuel ; ainsi, la médecine ne recherche pas quel traitement convient à Socrate ou à Callias, mais bien à tel individu
as contestées. L’orateur qui plaide en justice, par exemple, pourrait convenir que tel fait n’a pas eu lieu ou qu’il n’y a pas e
e tel fait n’a pas eu lieu ou qu’il n’y a pas eu dommage ; mais il ne conviendrait jamais qu’il y ait eu injustice. Autrement, l’act
libération, il se peut qu’on néglige divers autres points, mais on ne conviendra jamais de l’inutilité de la proposition que l’on
spéciales, toutes les variétés d’affaires, puis donner, autant qu’il conviendrait , des définitions rigoureuses sur chacune d’elles,
t ce n’est pas seulement d’après la pratique de son propre pays qu’il convient d’envisager cette question ; il faut aussi connaî
ration des temps passés, mais encore que l’on sache quel gouvernement convient à tel ou tel État dans les pays étrangers. De sor
œuvre. En effet, un ou plusieurs de ces biens, presque tout le monde convient que c’est là le bonheur. IV. Maintenant, si c’est
es communes à tous les genres de discours, l’amplification est ce qui convient le mieux aux discours démonstratifs ; car ceux-ci
nous en développer la grandeur et la beauté ; — les exemples, ce qui convient le mieux aux discours délibératifs ; car nous pro
renseignant sur l’avenir d’après le passé ; — les enthymèmes, ce qui convient le mieux aux discours judiciaires, car le fait ac
l’application de cette qualification au cas présent (par exemple, on conviendra d’avoir pris, mais non d’avoir volé ; d’avoir été
de ce que nous appelons les preuves indépendantes de l’art294. Elles conviennent proprement aux affaires judiciaires. II. Elles so
’est donc pas difficile de comprendre ce qui s’y rapporte et ce qu’il convient d’en dire. Lorsque les tortures nous sont favorab
vouer leurs torts et opposent des dénégations ; mais, contre ceux qui conviennent que l’on a raison de les punir, nous ne gardons p
e. On ne croit plus, dès lors, subir un traitement contraire à ce qui convient  ; or c’est cette opinion qui, nous l’avons vu329,
quand, au contraire, on rend sciemment un mauvais service, car nul ne convient qu’il a besoin de choses mauvaises. Voilà qui est
nt toujours de ce qu’ils font plus et avec plus de véhémence qu’il ne convient , en dépit du précepte de Chilon372, car ils exagè
apportent la vie à l’utile, mais non à ce qui est beau, plus qu’il ne convient , à cause de leur égoïsme. Car l’utile est un bien
celui qui sert à l’amplification est, nous l’avons dit381, celui qui convient le mieux aux discours démonstratifs ; le fait acc
cile de voir sur quelles sortes de sujets, dans quels cas et à qui il convient de recourir au langage sentencieux dans les disco
ui précède, combien il y a d’espèces de sentences, et à quel objet il convient d’en appliquer chaque espèce. Sur des matières co
i en termes très précis390. VIII. Dans les cas de cette sorte, ce qui convient , ce sont les apophtegmes lacédémoniens et ceux qu
os cigales ne chantent à même la terre391. IX. L’usage des sentences convient au vieillard, en raison de son âge et pourvu qu’i
se courroucer contre ceux qui ont fait du mal involontairement, Il ne convient pas, non plus, de savoir gré à quiconque ne fait
d’agir, puis appliquer (l’argument) de celle des deux manières qu’il convient . En effet, il y a là quelquefois une discordance,
ce qui est bien en soi, mais de ce qui est nécessaire, attendu qu’il convient , à vrai dire, en fait de discours, de ne pas s’ap
tion poétique ne pèche sans doute point par la bassesse, mais elle ne convient pas au discours en prose. II. Parmi les noms et l
homme, quelle robe on donnera au vieillard ; car le même vêtement ne convient pas aux deux âges. X. Si tu veux glorifier (il fa
de ne pas attribuer, dans la liaison des mots entre eux, la forme qui convient . Par exemple, le mot voyant, qui n’a pas une sign
composés pour la plupart, et surtout les mots étrangers sont ceux qui conviennent à celui qui parle le langage de la passion. On ex
tel langage, une fois mis dans le même état d’esprit. Aussi ce style convient -il pareillement à la poésie ; car la poésie a que
lque chose de majestueux et qui transporte l’auditoire. Le trochaïque convient plutôt à la danse appelée cordace, comme le font
Il y a deux formes de péans opposées l’une à l’autre : l’une d’elles convient au début ; c’est le péan qui commence par une lon
hez les orateurs athéniens. Pour la raison donnée plus haut, elles ne conviennent pas dans la bouche d’un vieillard. Chapitre XI
pas dans la bouche d’un vieillard. Chapitre XII À chaque genre convient une diction différente. I. Il ne faut pas ignor
le, ou injuste, ou qu’il n’a pas la gravité qu’on lui prête. Aussi ne convient -il pas de disserter en vue d’établir un point rec
Mais tu as donné les mêmes avis que ces derniers ? » — Et comme il en convenait  : « Eh bien ! donc, tu aurais mérité de subir la
dans la Poétique 717, les diverses sortes de plaisanteries. Les unes conviennent à un homme libre ; les autres, non. Il faudra voi
faudra voir dans quelles circonstances pourra être de mise celle qui convient à l’orateur. L’ironie a quelque chose de plus rel
de rappeler les arguments avancés dans les parties précédentes. Or il convient de le faire de la même manière que certains le co
ints du discours de l’adversaire. VI. À la fin (de la péroraison), il convient de parler un langage dépourvu de conjonctions, af
20 (1839) Manuel pratique de rhétorique
ême1, ici encore nous commencerons par les faits et nous dirons qu’il convient de se préparer à l’étude des règles par : 1° La l
de chercher à pallier la faute des habitants d’Antioche, commence par convenir que leur conduite a mérité le plus sévère châtime
; ils ont violé les lois, outragé jusqu’à la personne de l’empereur : convient -il dans cette circonstance d’entreprendre de just
ui l’excitaient à la vengeance. » Mains séditieuses. L’attribut qui convient à la personne est appliqué ici à l’instrument don
emple produira dans la suite des siècles. » L’Éternel. Attribut qui convient à Dieu seul, et qui est ici personnifié. Actions
t des effets on remonte à la cause ; 5° le genre et l’espèce : ce qui convient au genre se dit de toutes les espèces qu’il renfe
récautions oratoires. Bienséances, Decorum, c’est ce qui sied, ce qui convient . Si les bienséances sont nécessaires dans la vie,
miner si le sujet prête aux passions, quelle espèce de passion il lui convient d’exciter. Ce n’est pas assez qu’il se pénètre lu
la confirmation : 1° le choix des moyens ; 2 : l’ordre dans lequel il convient de les présenter ; 3° enfin, la manière de les fa
e réduisent à une seule générale : les bonnes preuves sont celles qui conviennent au sujet et à la disposition des auditeurs. 2° Or
ues-uns même faibles, mais qu’on ne doit pas quelquefois négliger. On convient généralement qu’il faut d’abord s’emparer de l’es
rs en a un qui lui est propre, chaque discours, en outre, en a un qui convient à son sujet, enfin, chaque partie de la confirmat
quent, dit Cicéron, qui sait donner à chaque sujet la couleur qui lui convient . On a vu assez d’orateurs se distinguer dans un d
mes, comme je fais, mais avec cet air calme que vous lui voyez. Il ne convient point d’avoir servi des citoyens ingrats ; seulem
de nos lamentations, à la contemplation de tes vertus, auxquelles ne conviennent ni les pleurs ni les gémissements. C’est par l’ad
passe de sa signification propre et littérale à une autre qui ne lui convient qu’en vertu de quelque ressemblance. Les principa
de la confiance, on place l’auditeur ou le juge dans la nécessité de convenir qu’il penserait ou agirait de telle manière. Cicé
ut y trouver un moyen de donner à l’âme l’espèce de mouvement qui lui convient , de captiver l’oreille par des chutes qui la flat
21 (1875) Poétique
perfectionna peu à peu, à mesure qu’on apercevait ce qui pouvait lui convenir  ; et après divers changements, elle se fixa à la
te ; mais dès que le dialogue fut introduit, le genre de vers qui lui convenait le plus fut indiqué par la nature même. Car, de t
e rang. Elle consiste à faire dire ce qui est dans le sujet ou ce qui convient au sujet. Cette partie se traite ou dans le genre
ir si c’est tel ou tel qui en est l’auteur ; mais celle de toutes qui convient le plus à une fable est celle des personnes, car
qu’ils se sont attachés aux familles où sont arrivés les malheurs qui conviennent à leur genre. C’en est assez sur la manière de co
ent convenables. La bravoure est un caractère de mœurs ; mais elle ne convient point à une femme, qui ne doit être ni brave ni h
et comme s’il était témoin de ce qui se fait, il sentira mieux ce qui convient ou ce qui ne convient pas. Ce fut faute de cette
moin de ce qui se fait, il sentira mieux ce qui convient ou ce qui ne convient pas. Ce fut faute de cette précaution que Carcinu
ie, le coup d’œil d’un esprit qui voit les rapports. Les mots doubles conviennent spécialement au dithyrambe, les mots étrangers à
22 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
ins de la philosophie ; et je propose pour eux encore un exercice qui convient à leur âge, et dont l’exemple de Crassus et l’aut
nte aux disciples de l’éloquence, on doit se souvenir que tout ce qui convient à un art dont le but n’est que de séduire et de p
i convient à un art dont le but n’est que de séduire et de plaire, ne convient pas à un art dont la lin est d’instruire et de pe
es causes oratoires, et d’assigner à chaque espèce les moyens qui lui convenaient  : c’est ce qu’on appelait loca : arsenal oratoire
vertir l’orateur de celle qu’il aurait à suivre ; Cicéron lui-même en convient  : Habet enim quœdam ad commonendum oratorem. Mais
nt qu’il est possible il ne doit jamais affecter que la forme qui lui convient . Savoir de quoi, dans quel dessein, à qui ou deva
qui ou devant qui l’on parle, et, dans tous ces rapports, dire ce qui convient , et le dire comme il convient, c’est l’abrégé de
et, dans tous ces rapports, dire ce qui convient, et le dire comme il convient , c’est l’abrégé de l’art oratoire. Ainsi l’import
lles de la seconde classe deviennent plus propres à l’éloquence, mais conviennent également à l’orateur, au philosophe, à l’histori
ù l’on enseigne expressément les procédés de l’éloquence, semblent ne convenir qu’aux jeunes gens qui se destinent ou à la chair
e voudrais les nommer basses, communes, familières : ces noms-là leur conviennent mieux ; je hais ces mots d’enflure. Les exemples
osent à la censure, soutiennent qu’ils sont mauvais, et tout le monde convient qu’ils sont mauvais : mais l’endroit de l’ouvrage
l’on fait, que la machine n’est qu’un amusement d’enfants, et qui ne convient qu’aux marionnettes : elle augmente et embellit l
et sans autre embarras que d’essuyer ses larmes ; outre qu’après être convenu de s’y abandonner, on éprouverait encore qu’il y
’agir… dans les verbes, travailler à ouvrer, être accoutumé à souloir convenir à duire, faire du bruit à bruire, injurier à vila
’est ce que nous avons vu dans les raisonnements de Socrate. B. J’en conviens . A. Mais que diriez-vous d’un homme qui prouvera
t quand on la laisse faire et que l’art ne la contraint pas. B. J’en conviens . A. Voyons donc. Naturellement fait-on beaucoup
scours a pourtant beaucoup de grâce. A. Elle en a sans doute ; et je conviens que, dans certains endroits vifs, il faut parler
de l’orateur ? N’avons-nous pas vu que c’est de persuader ? B. J’en conviens  ; A. La manière la plus vive et la plus touchant
t une invention très-moderne qui nous vient de la scolastique. B. Je conviens que l’école est un méchant modèle pour l’éloquenc
e que vous proposez peut être bon sur certaines manières ; mais il ne convient pas à toutes ; on n’a pas toujours des faits à po
sont comme le fondement de toute la suite du discours. Cette méthode convient bien davantage à ceux qui prêchent la religion ;
ur un sujet frivole, ne laisse pas d’être bon ; car tout ce clinquant convient encore bien moins aux sujets sérieux et solides.
. Je ne me réconcilie point avec vous, disait Despréaux, que vous ne conveniez qu’il y a bien des fadeurs dans ces opéras si agr
s simples à exposer, que la clarté et l’élégance sont tout ce qui lui convient . Il n’est pas besoin d’avoir lu Aristote, Cicéron
it et qui n’y paraissent point ajoutées. L’éloquence de Démosthène ne convient point à Thucydide ; une harangue directe qu’on me
u’il est naturel, vrai et élégant, et que le sentiment qu’il renferme convient à toutes sortes d’états. Mais ce vers : Gastaneæ
ats. Mais ce vers : Gastaneæque nuces mea quas Amarillis amabat, ne conviendrait pas à un personnage héroïque, parce qu’il a pour
ntiochus : Dans l’Orient désert quel devint mon ennui ! ne pourrait convenir à un amant dans une comédie, parce que cette bell
uceur. Entre deux hommes dont l’un sera grossier, l’autre délicat, on convient assez que l’un a plus de goût que l’autre. Avant
pour moi De fine toile de Hollande. Il n’est point de lecteur qui ne convienne que les vers de Voiture sont d’un courtisan qui a
t, après lequel on ne voit plus qu’un long et triste crépuscule. Nous convenons tous depuis longtemps que, malgré les soins de Fr
régnait du temps de Périclès était perdu chez eux. Les Grecs modernes conviennent qu’ils n’en ont aucun. Quintilien reconnaît que l
ntroduits dans les tragédies. Si donc les meilleurs esprits d’un pays conviennent que le goût a manqué en certains temps à leur pat
s scènes du Cid, imitées de l’espagnol. Mais aussi toutes les nations conviennent avec nous qu’il a déployé un très-grand génie, un
presque toutes ses pièces, nous sommes les premiers à le dire : nous convenons tous que ses héros ne sont que des raisonneurs da
el siècle il voudrait préférer au nôtre. Il faut être juste : il faut convenir , par exemple, qu’un géomètre de vingt-quatre ans
n se pique d’employer des expressions qui étonnent, parce qu’elles ne conviennent point aux pensées. C’est un grand malheur, il fau
doute plus que lui sur la grammaire française ; je ne puis toutefois convenir , avec ce respectable académicien, qu’un musicien,
; il n’a rien de sublime, son imagination n’est point brillante, j’en conviens avec vous : aussi il me semble qu’il ne passe poi
. J’aurais bien des choses à vous dire sur Boileau et sur Molière. Je conviendrais sans doute que Molière est inégal dans ses vers ;
iendrais sans doute que Molière est inégal dans ses vers ; mais je ne conviendrais pas qu’il ait choisi des personnages et des sujet
délié, ce lin, ce délicat, qui font le charme de la conversation, ne conviennent guère au théâtre. C’est cette fête qui m’empêche
complète : car aucun de ces caractères, métaphoriquement exprimés, ne convient à la tragédie. Quelques-uns, parmi nous, l’ont pr
de réflexion et de recherche ; la décence, à dire les choses comme il convient à celui qui parle, à l’objet dont il parle, et à
ais. On dira que plus elle est serrée, plus elle est frappante : j’en conviens , et l’on en doit conclure que la précision est du
usives l’une de l’autre, ni exclusivement attachées au genre qui leur convient mieux. Il ne serait pas raisonnable de refuser le
non ut appareat. Ce genre de beauté, ce don d’attacher et de plaire convient également au simple et au sublime ; car l’un et l
t, lorsqu’on fait le parallèle de ces deux poètes, il semble qu’on ne convienne de l’art de Racine que pour donner à Corneille l’
n mes connaissances et la faible étendue de mes lumières ; ce soin me convient d’autant moins, qu’une infinité d’hommes plus ins
ague ; ils ont de l’ampleur et sont flottants. C’est pour cela qu’ils conviennent mieux au style très-noble. Les mots espèce convie
ur cela qu’ils conviennent mieux au style très-noble. Les mots espèce conviennent au style concis, parce qu’ils pressent le sens, l
tre qui en est comme le corps et le portrait en sculpture. Le premier convient à la métaphysique, où tout est vague et étendu, e
et aux sentiments de piété, qui ont quelque chose d’infini. Le second convient mieux aux lois et aux maximes de morale. Le meill
ité sérieuse est le caractère du style académique ; c’est le seul qui convienne à un homme de lettres, parlant à des hommes de le
23 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre second. De la narration. »
le sujet défini ; le genre, en classant ce sujet dans l’ordre qui lui convient  ; la différence, en montrant ses qualités propres
force. Qu’un interlocuteur ne cède à l’ autre que par la nécessité de convenir de ses torts ; c’est ce qui rendra le dialogue an
t d’une main ce qu’ on a édifié de l’autre. Pour charmer l’esprit, il convient donc de ne point déchirer le voile de l’allégorie
r selon le caractère ou l’instruction qui leur est propre, ou qu’on a convenu de leur donner. Les ornements conviennent à l’apo
qui leur est propre, ou qu’on a convenu de leur donner. Les ornements conviennent à l’apologue lorsque, étant conformes à son genre
même temps qu’à l’esprit : voilà en quoi consistent les ornements qui conviennent à l’apologue. Ce fut pour les anciens faiseurs de
ances principales, de donner à chacune la place et l’ étendue qui lui conviennent . Il ne faut pas non plus décrire pour le seul pla
omme la fable, une moralité claire, facile à tirer du sujet, et qu’il convient toujours d’expliquer en peu de mots. Si le conteu
24 (1853) Éléments de la grammaire française « Préface. » p. 2
les observer de près, de mesurer leurs forces, de sentir ce qui leur convient  : c’est cette connaissance, que l’expérience seul
c., parce que l’enfant a vu ce qui se nomme adjectifs, et parce qu’il convient de diminuer le nombre des mots barbares dans une
25 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
les beautés de la nôtre ; et il avait le cœur trop droit pour ne pas convenir avec franchise des uns et des autres. Cette impar
Tressan. Quel qu’ait été le succès de cet ouvrage, cependant il faut convenir , et c’est l’avis d’un grand nombre de littérateur
siens au jugement du public. En conservant la simplicité de style qui convient à des lectures, et surtout à l’instruction, il n’
et ingénieuses amusent les jeunes gens ; plus tard, le genre sérieux convient davantage. Quelques nations aiment la peinture ha
e, comme aux couleurs et aux mouvements, nous verrons qu’elle ne leur convient en aucune manière ; et même sous le rapport de la
n genre de beauté bien simple, et c’est, par cela même, celui dont il convient de parler le premier. Ici l’on ne peut indiquer c
l’esprit qu’il puisse être question des descriptions de l’Iliade. Je conviens néanmoins que l’imitation et la description conco
nt qu’un petit nombre réunis par le hasard, ou par le besoin, fussent convenus de certains signes, quelle autorité eussent-ils p
des écrivains de cette nation qui l’emploient le plus fréquemment. Il convient d’observer ici que, dans le caractère de toutes l
thunders [il tonne], it is light [il fait jour], it is agreeable [il convient ], et autres semblables ; c’est en effet la forme
t complète, lorsqu’il ne lui manque rien et qu’elle a tout ce qui lui convient . Un homme possède une maison entière, et n’a pas
ion d’un fait, mais dans des circonstances différentes. Avouer, c’est convenir d’une chose que l’on avait niée d’abord ; reconna
re d’écrire la plus brillante et la plus harmonieuse, c’est celle qui convient le mieux à l’art oratoire. Nous citerons pour exe
manière d’écrire, que la plupart des écrivains français ont adoptée, convient aux sujets agréables et faciles à traiter. Le sty
i cependant ces particules ne sont pas exactement à la place qui leur convient , il semble qu’il y ait quelque chose d’embarrassé
tere. La fin de la phrase est, dans tous les cas, la place qui leur convient le moins. Lorsque le sens le permet, il faut, si
toute cette doctrine sur la mesure et le nombre de la prose, il faut convenir qu’elle est en grande partie très obscure et très
ces anciens critiques différaient entre eux sur l’espèce de pied qui convenait le mieux à la fin, ou dans telle autre partie de
s Catilinaires. Il faut donc que nous soyons bien pénétrés du ton qui convient à notre sujet, c’est-à-dire du ton que prennent n
cune manière des figures, ou plutôt même les exclut. Ces ornements ne conviennent bien que dans l’expression de pensées peu élevées
es expressions à l’infini ; et, pour ne pas surcharger la mémoire, on convint d’appliquer à une autre idée ou à un autre objet
se qu’implorer l’assistance de la Divinité. Le rapport entre un signe convenu et la chose signifiée est encore une source abond
espèces de tropes. La première, c’est que les métaphores doivent bien convenir à la nature du sujet ; elles ne doivent être ni t
scrète profusion ; il faut qu’elles restent au niveau des pensées qui conviennent au sujet que l’on traite. Rien ne semblerait plus
n auteur qui, dans un ouvrage didactique, se servirait de figures qui conviennent au genre descriptif. Lorsque l’on raisonne, il fa
jours prêts à admirer un style brillant et fleuri, sans examiner s’il convient au sujet. La seconde règle est relative au choix
s vagues qui se brisent et roulent autour, » sont des expressions qui conviennent parfaitement bien au langage figuré ; mais lorsqu
adapter avec exactitude au sens littéral toutes les circonstances qui conviennent au sens figuré, de manière à ce que le premier ne
sopopée ; mais, comme le mot personnification exprime la même idée et convient mieux à notre langue, nous ne la nommerons pas au
les nous le représentons. Lorsqu’elle est de quelque étendue, elle ne convient qu’aux harangues préparées et aux discours où l’o
ure portée au plus haut degré où l’on puisse l’élever en prose, et ne convient , par conséquent, qu’aux compositions dans lesquel
style. Il est vrai que l’ardeur et la vivacité du génie des Français convient mieux à ce genre d’éloquence animée, que le génie
Chacun parle à son tour ; chacun joue sans confusion le rôle qui lui convient . Lecture XVII. De la comparaison, de l’antithè
rer des comparaisons, en supposant qu’on ait trouvé la place qui leur convient . D’abord il faut éviter de tirer ses comparaisons
s, nunquam eris pauper ; si ad opinionem, nunquam dives. Cette forme convient parfaitement à une maxime ou à une sentence moral
que, ainsi que nous l’avons précédemment fait observer, elles peuvent convenir même dans le cours de la conversation ordinaire o
énie. Mais revenons à notre sujet. Une autre figure de langage qui ne convient qu’aux compositions animées et pleines de feu, es
tournent point de son sujet, soit parce qu’il ne pense pas qu’ils lui conviennent , soit parce que son génie ne les lui inspire pas,
peine sourire, il fait rire son lecteur à pleine gorge. Le style uni convenait parfaitement bien au génie de Dean Swift. On peut
e composition un caractère modéré, et y répand assez d’ornements pour convenir à toute sorte de sujets. Une lettre familière, un
e, comme n’appartenant qu’à la jeunesse, les ornements superflus, qui conviennent mal au sujet et ne contribuent point à l’éclairer
empreinte dans les Écritures sacrées, et aucun style ne pouvait mieux convenir à la dignité de l’inspiration. Lord Shaftsbury es
té d’un torrent. Ce style est celui des grands discours oratoires, et convient mieux à l’homme qui parle en public qu’à l’auteur
u génie, et pour arriver au but, on est libre de suivre le chemin qui convient , et de n’écouter que l’inspiration de la nature.
u au génie de l’écrivain, à déterminer le caractère particulier qu’il convient de lui donner. J’engage d’abord l’écrivain ou l’o
férents genres et les différents sujets de ces discours, le style qui convient à chacun, la distribution et l’arrangement de tou
ion que j’ai donnée de l’éloquence comprend ses différents genres, et convient également à l’éloquence qui instruit, à celle qui
i. Ce style est bien différent de celui que l’on croit, de nos jours, convenir essentiellement à l’éloquence populaire ; il cont
urs écrits, ils s’apercevront bientôt que cette manière ambitieuse ne convient point aux affaires, et n’est pas celle qui fixe l
ntion, je passe à l’examen de l’éloquence des temps modernes. Il faut convenir qu’aucune nation de l’Europe n’a mis une aussi gr
reuses pour que l’éloquence y pût exercer tout son pouvoir57. Il faut convenir que, malgré ces avantages, nous sommes, dans pres
’un style persuasif et animé, s’élève rarement au-dessus de celui qui convient à la correction et à la précision du raisonnement
passions, et ne prend jamais un ton beaucoup plus élevé que celui qui convient à la conversation ou au raisonnement. On peut don
tres a peut-être imposé trop de sobriété à leur génie. Il faut encore convenir que ce qu’il nous plaît d’attribuer à la rectitud
d assez exactement tout ce qui peut être sujet d’un discours. Mais il conviendra mieux au but de cet ouvrage, et l’on trouvera peu
elle pour appliquer à chaque genre celles des règles générales qui ne conviennent qu’à lui. L’éloquence d’un avocat est bien différ
chaque chose ou chaque partie doit être exactement à la place qui lui convient . Tous ceux qui parlent en public apprécient l’ava
ties d’un discours. Voyons maintenant quel style, quelles expressions conviennent à ceux qui parlent dans les assemblées populaires
sa nature, doit être traitée froidement. Un ton tempéré et ordinaire convient dans la majeure partie des affaires, et celui qui
ton véhément qui sied à la personne revêtue d’une autorité imposante, conviendrait mal à la modestie que doit avoir un jeune orateur
pour parler en public doit s’être fait une idée bien exacte de ce qui convient à son âge, à sa position, au sujet qu’il va trait
réprimer Philippe. « Quand donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il convient de faire ? qu’attendez-vous ? un événement, la né
ns doute de prévenir l’erreur, et de réformer là-dessus vos idées. Je conviens que s’il dépendait de nous de choisir entre la pa
maux se découvrent. « En voyant Philippe prospérer, on a raison, j’en conviens , de le juger un ennemi redoutable ; car la fortun
indique les lieux sur lesquels il faudrait les diriger, la saison qui conviendrait à leur départ. Ensuite, il propose sa motion, ou
, et il s’exposerait au ridicule, s’il prenait ce ton véhément qui ne convient qu’à la tribune. Enfin, la nature et la conduite
u barreau exigent une espèce d’éloquence bien différente de celle qui convient aux débats de la tribune. À la tribune, une plus
s les mémoires à consulter, doit être calme, modérée et telle qu’elle convienne à l’ordre et à la précision du raisonnement. Quel
péraient qu’après sa mort ils hériteraient de sa fortune. Ils étaient convenus de s’en défaire par le poison, et les détails de
n d’être parmi nous à son plus haut point de perfection, mais il faut convenir qu’il n’est aucun genre d’éloquence dans lequel i
son influence dans certaines situations de la vie. L’exécution, j’en conviens , en est plus difficile ; mais le mérite et l’effe
avoir, en même temps, de la noblesse et de la vivacité ; car le style convient très bien à l’éloquence de la chaire. La chaleur
x des conjurations de Jugurtha et de Catilina ; iis eussent également convenu à toute autre histoire, ou même à tout traité que
propose d’adopter. Les discours dans lesquels cette sorte de division convient le mieux sont les sermons ; mais l’on a agité la
discours de tel genre qu’il soit, voici les principales règles qu’il convient de suivre. Premièrement, il faut que les parties
ivisions sans fin produisent toujours un mauvais effet. Elles peuvent convenir à un traité de logique ; mais elles donnent à un
enlève pas, n’enflamme pas. La magnificence et la richesse d’Isocrate conviennent mieux aux discussions importantes. Il est plus ag
26 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre troisième. De l’élocution. »
en général, et d’autre part le style de genre, c’est-à-dire celui qui convient exclusivement à un genre particulier de compositi
discours. La propriété consiste à rendre une pensée par le terme qui convient seul à cette pensée. Cela n’est pas facile, il fa
rement qu’ils sont faits. Chacun y cherche d’un coup d’œil ce qui lui convient , et personne ne pense à examiner comme ils sont é
encore : ce monstre exécrable, c’est toi. Malgré cette remarque, il convient quelquefois de se servir d’un synonyme, soit pour
la signification propre  d’un mot en une autre signification qui ne   convient à ce mot qu’en vertu d’une comparaison qui se fai
ses écarts ; elle saura bien trouver des vêtements splendides qui lui conviendront à merveille. En vain vous chercherez des phrases
ublime. Nous avons en nous un bon sens qui nous indique où le sublime convient et où il est déplacé. Si donc on trouve à l’impro
plus forte et laissez au sublime cette simplicité majestueuse qui lui convient si bien. Quelles autres expressions pourrait-on m
majestueux parle des choses presque surhumaines ; le style magnifique convient à de moins grands sujets. Si l’écrivain sait join
uel genre d’écrire la pompe s’accommode le mieux. Toutefois, la pompe convient à peu près à tout, excepté au style simple et le
nsonnes ont également des rapports d’harmonie imitative. Mais il faut convenir que ces rapports changent par l’union d’autres co
de sa langue on reconnaît promptement les occasions où les inversions conviennent . On peut dire que ces occasions se présenteront t
ur, parce qu’elles supposent communément un esprit tranquille ; aussi convient -il que l’orateur, et encore plus le poète, les to
tion de tel ou tel genre. On les trouvera chacune en la place qui lui convient .   Défauts opposés à l’ornement. Il est fac
, et particulièrement : Le boursouflé, les tournures pompeuses qui ne conviennent pas au sujet ; l’ampoulé les expressions grandios
tyle en style simple, style tempéré et style sublime. Le style simple convient aux sujets ordinaires ; le style tempéré aux suje
r le rapport naturel qui se trouve entre le sujet et le style qui lui convient , entre tel ordre d’idées et tel genre de distinct
27 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre I. Du style. » pp. 181-236
uples, voisins, de même origine, et unis par les liens de la parenté, convinrent de nommer de part et d’autre trois combattants se
n ouvrage. Cependant, on peut dire en général que le style périodique convient mieux aux sujets nobles et sérieux, et le style c
le plus divin, Est toujours, quoi qu’il fasse, un méchant écrivain1. Convenons cependant avec les grammairiens, même les plus ri
nts, c’est-à-dire, si l’on donne au style les seuls agréments qui lui conviennent relativement au sujet. Il y a des phrases, des mo
, n’appartient qu’à celui qui a le crédit de les faire approuver . Je conviendrai qu’en effet, lorsqu’un vers ronfle bien dans la b
, qui font une beauté, un ornement dans le discours. Cette définition convient aux figures de mots et aux figures de pensées. Le
t τρεπω, qui signifie, je tourne. Les premières ne le sont point. Je conviens , dit du Marsais, dans son excellent traité des tr
t de sa signification propre à une signification nouvelle, qui ne lui convient qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
28 (1866) Cours élémentaire de rhétorique et d’éloquence (5e éd.)
u prise en général. Comme l’espèce est contenue dans le genre, ce qui convient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convi
. Comme l’espèce est contenue dans le genre, ce qui convient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convient à l’espèce con
le genre, ce qui convient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convient à l’espèce convient quelquefois, mais ne convient
vient au genre convient aussi à l’espèce ; ce qui convient à l’espèce convient quelquefois, mais ne convient pas nécessairement
à l’espèce ; ce qui convient à l’espèce convient quelquefois, mais ne convient pas nécessairement au genre. On dira donc : Il f
son propre cœur ! 91. Les principales vertus ou qualités morales qui conviennent à l’orateur, sont la probité, la prudence, la bie
a couronne, nº 2.) 96. Les quatre qualités dont nous venons de parler conviennent à tous les genres de discours, mais elles ne sont
ous me faites ; et s’il peut y avoir de l’excès en reconnaissance, je conviens que je passe toutes les bornes en ce genre. (Dis
pas toujours ceux qui agissent sur un vieillard, et d’ailleurs il ne convient pas de prendre le même ton envers tous les âges.
rhétorique. 106. S’il est difficile, dit Cicéron, de connaître ce qui convient le mieux dans chaque action de la vie, il l’est a
nous fait voir les objets tels qu’ils sont et nous avertit de ce qui convient et de ce qui ne convient pas. Relativement aux pa
s tels qu’ils sont et nous avertit de ce qui convient et de ce qui ne convient pas. Relativement aux passions oratoires, le disc
ssorts qui les mettent en jeu, les bienséances et le langage qui leur conviennent . 133. Si elles n’étaient pas réglées par le disce
oratoires, et jusqu’à quel point il s’y prête, car les mouvements ne conviennent pas aux petites affaires. Ce serait, dit Quintili
de ces grands maîtres. Cependant, comme la plupart de leurs préceptes conviennent exclusivement au barreau, nous ne ferons qu’empru
rencontrent pas dans tous les discours. La narration et la réfutation conviennent principalement au barreau, et, dans les discours
mbattant le plan et le genre de défense qu’a choisis sa volonté. Vous conviendrez tous, ô juges, que ces débats me sont communs ave
rs, tout ce que l’éloquence a de plus magnifique et de plus élevé. Il convient surtout aux occasions solennelles où un nombreux
’attacher à les combattre. Nous dirons ailleurs les précautions qu’il convient d’observer en ce cas. Article sixième. De la p
t exprimer. 258. Il n’est pas facile d’assigner le genre de style qui convient à chaque partie du discours. En général, le style
iaire, dans la discussion des preuves et des faits ; le style tempéré convient ordinairement à l’exorde, à certaines parties de
les fixes, et c’est au bon sens de l’orateur à discerner les tons qui conviennent à. chaque endroit. 259. Les œuvres de l’homme son
nner à chaque mot, à chaque syllabe, la valeur et la quantité qui lui conviennent . Elle ne doit avoir aucun accent vicieux et étran
té qui n’exclut pas l’élégance et la noblesse. 318. Les ornements qui conviennent au prédicateur ne sont pas de ceux qui font admir
t ou résout les difficultés proposées. Mais, depuis longtemps, on est convenu de donner le nom de conférence à tous les discour
ir, et l’on paraîtrait ridicule en prenant un ton de véhémence qui ne convient qu’en face d’une grande multitude. Sous le rappor
e les termes de la chicane et une érudition pédantesque, voilà ce qui convient généralement au barreau. La précision et la clart
ciété n’est point un théâtre où chacun puisse prendre le rôle qui lui convient . Soyez toujours d’accord avec vous-même, et montr
e, touchante piété, toutes les vertus, tous les nobles sentiments qui conviennent à un orateur sacré s’y trouvent réunis. Massillon
que forte et victorieuse. Ce luxe et ces délices de la parole sainte convenaient à des temps plus heureux, et pouvaient être une j
qui tues les prophètes et égorges ceux qui sont envoyés vers toi, te convient -il de demander, les mains encore teintes de leur
es sacrifices, dans les expiations publiques ou privées. Mais vous en conviendrez également, ce n’est que dans le christianisme fon
et de sa douceur. C’est l’éloge que l’Écriture fait de Moïse, et qui convient parfaitement à saint François de Sales ; sa douce
issant que jamais. XXX. Éloquence du barreau. L’éloquence qui convient au barreau, soit dans les discours qu’on y pronon
trinsèques, et comment se divisent-ils ? 40. À quel genre d’éloquence conviennent l’autorité divine et la loi naturelle ? 41. Combi
insinuant ? 173. En quoi consiste l’exorde pompeux, et à quels sujets convient -il ? 174. En quoi consiste l’exorde véhément ou e
mployer les ornements du discours ? 318. Quels sont les ornements qui conviennent au prédicateur ? 319. Quelles qualités doit avoir
29 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
t les nuances qui les caractérisent, et quelles sont les qualités qui conviennent plus particulièrement à chacun d’eux. Section I
rdinaires, qui ne sont susceptibles ni d’élévation, ni d’agrément. Il convient surtout à la proposition, à la division d’un disc
me Deshoulières, de Fontenelle, de Fénelon, etc. Les qualités qui lui conviennent sont : l’ordre, la clarté, la concision, et surto
e sa personne qu’il ne l’est de lui-même, etc. Comme le style simple convient aussi aux narrations, nous en donnons, dans le de
IV, « Style périodique »]. § V. Le Style enjoué Le style enjoué convient dans les sujets badins, dans une table, dans un c
ns recherche, se distingue surtout par le mouvement et la chaleur. Il convient dans les discussions importantes par les intérêts
sque jusqu’au sublime, suivant la dignité des sujets qu’il traite. Il convient dans les discours d’apparat principalement destin
mitative, et fait un grand usage de métaphores et de comparaisons. Il convient dans les morceaux descriptifs, tels que la descri
30 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre III. Lettres missives. Genre épistolaire. »
les liens de l’amitié. Il est facile, du reste, de comprendre ce qui convient selon l’objet de la lettre et les différentes sit
verte. Si, au contraire, vous avez des torts, ne rougissez point d’en convenir dans votre lettre ; montrez-vous touché d’avoir p
uite du mot Monsieur ou Madame, qui alors ne sont plus en vedette. Il convient , quand on écrit à une personne de la plus haute d
31 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
Nous dirons cependant encore que ces volumes, qui semblent ne devoir convenir qu’à des classes et être, par conséquent, quelque
tiâ, præstantissimo consilio. Voilà, ce me semble, la devise qui lui convient . En ce qui me concerne, je ne manquerai pas de le
unes intelligences. La disposition par interrogations et par réponses convient parfaitement à des leçons dont l’élève doit rendr
32 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
dées. Rien n’est plus simple que de donner à chacune la place qui lui convient , de telle sorte que la première prépare la second
d’explication, parce qu’il est voisin de l’obscurité. Malgré cela, il convient parfaitement aux proverbes, aux sentences, aux de
son des mots. Les poètes recherchent beaucoup ce genre de beauté qui convient aussi parfaitement à la prose, toutes les fois qu
ent les vingt premières années de ce règne mémorable. Le style coupé convient particulièrement aux narrations, aux sujets agréa
qui a plus de noblesse, d’harmonie et de dignité que le style coupé, convient plus particulièrement aux sujets élevés ou sérieu
33 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Observations générales sur l’Art d’écrire les Lettres » pp. 339-364
ouverte. Si au contraire vous avez des torts, ne rougissez point d’en convenir dans votre lettre. Montrez-vous touché d’avoir pu
peut. Quand on écrit à des personnes de la plus haute distinction, il convient de ne pas employer la seconde personne, mais de s
ués, ou avec attachement, ou très parfaitement, etc. La formule qu’il convient d’employer doit être déterminée par les circonsta
à des personnes, dont il est à présumer qu’ils ne sont pas connus, il conviendra , je crois, qu’ils ajoutent le titre ou de leur te
34 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
ès ? En étudiant un peu l’art de plaider, nous saurons mieux ce qu’il convient de dire, ce qu’il faut taire, pour intéresser en
aque partie de la disposition sa place naturelle et l’étendue qui lui convient . Pour nos essais nous ne descendrons pas jusqu’à
nous indiquerons le genre d’ornements et les qualités de fond qui lui conviendront le mieux. Voir Canevas n° 246 à 251. Appendice
lus difficile d’en déterminer la place. On peut dire en général qu’il convient dans le cours d’une phrase d’en charger les expre
les cantiques. (C. D.) Ce vers est nommé alexandrin ou héroïque. Il convient à la haute poésie, aux sujets nobles, à cause de
riche voyageur. (M.) Ce vers est gracieux et léger. C’est celui qui convient le mieux au récit. Son rhythme est doux et agréab
. a. T.) Le rhythme de ce vers est doux et majestueux à la fois ; il convient à l’ode et à la poésie légère. Vers de sept syll
’enchaîne Dans une riche plaine Roule ses flots d’azur. (J.) Ce vers convient à la poésie pastorale ; son rhythme est gracieux
s, sult — an, inst — ant, — dé — mon, mont, — eff — or, fort, etc. Je conviens que ce sont là de pauvres rimes, dont on ne trouv
35 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre II. Du Sublime dans les Choses. »
ons de nos semblables. Ils appartiennent en général à ce que l’on est convenu d’appeler magnanimité, héroïsme, et produisent su
aucune idée de grandeur, et n’ont rien de sublime. Il faut néanmoins convenir qu’une force ou un pouvoir quelconque, qu’il soit
36 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre XXIV. » pp. 128-130
lxxvii : Τό ὀγϰηρὀν ἐν τρισίν, πλάτει , μήϰει,πλάσματι, etc. Celui-ci convient à la danse.] C’est le tétramètre trochaïque. Voye
prima vista sono assai più note, che questa non è. » Mentir comme il convient .] Aristote donne de même, dans la Rhétorique, i,
37 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
mmaire et aux classes supérieures des lettres, nous avons pensé qu’il convenait d’adopter, pour le classement des auteurs, l’ordr
est en lisant beaucoup, plutôt qu’en lisant beaucoup d’auteurs, qu’il convient de former son esprit et de donner de la couleur à
38 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Chefs-d’œuvre de poésie. — Racan. (1589-1670.) » pp. 165-168
fréquentes, a cette mollesse gracieuse et cette mélancolie douce qui conviennent au genre de la pastorale, dont Racan est demeuré
s son inclination Vous a donné ses vœux et son affection. 1. On se convient souvent, a dit Fontenelle (éloge de Malezieu), pa
39 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Commentaire sur la Poétique d’Artistote. — Chapitre IV. » pp. 78-81
e.) Eût-il toutefois adopté ce jugement de Saint-Évremond ? « Il faut convenir que la Poétique d’Aristote est un excellent ouvra
joutant quelque chose à leur beauté, à mesure qu’on découvrait ce qui convenait à leur caractère. » Batteux donne à peu près le m
40 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre III. Du genre épique » pp. 207-250
Les caractères doivent encore être variés ; mais comme cette qualité convient aussi aux mœurs, nous en parlerons plus loin. 361
mœurs ? Les mœurs locales consistent dans le ton et les manières qui conviennent au siècle où ont vécu les personnages, et la nati
le nom de personnages allégoriques. 375. Le merveilleux philosophique convient -il à l’épopée ? Les personnages allégoriques pri
, réunit au contraire toute la grandeur et toute la vraisemblance qui convient à ce genre de poésie. 378. De combien de manières
l’on fait abstraction des écarts, du délire, des élans impétueux qui conviennent au genre lyrique, le style de l’épopée sera en gé
française est susceptible, même en vers. 399. Quel est le rythme qui convient le mieux à l’épopée ? Les anciens avaient consac
41 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE III. De la disposition des mots qui composent le discours. » pp. 78-143
d le terme qui exprime l’objet principal a été mis à la place qui lui convient , on range à sa suite les termes accessoires, chac
t Cicéron, combien il importe de donner à chaque mot la place qui lui convient  ? Qu'on prenne au hasard dans quelque orateur une
mot, contribue à la rendre parfaitement élégante. Le style périodique convient plus spécialement aux grands orateurs ; il offre
n quelque chose de grave, d’imposant, de solennel. Mais il ne saurait convenir à tous les sujets, et il serait déplacé dans les
urs. Ce sera donc avant les mots qui leur servent de complément qu’il conviendra de les placer. Ainsi, l’on dira : in senatu, dans
langue, et de donner au style la force, la grâce, la noblesse qui lui conviennent . Quelques exemples rendront la chose plus sensibl
tère qu’il a su donner à son héros, pius Æneas. C'est aussi celui qui convient au vénérable Anchise ; car il doit y avoir identi
elles sont belles d’harmonie et de sentiment, et combien cette beauté convient à la beauté mourante du jeune guerrier. L'épithèt
42 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
’on portera de ce recueil nous sera toujours assez favorable, si l’on convient qu’un ouvrage entièrement original n’aurait pu at
estable. Aussi n’est-il compté que pour un syllogisme oratoire, et il convient particulièrement aux délibérations. L’induction e
r si sa matière comporte le pathétique ; car les grands mouvements ne conviennent pas aux petites affaires : ce serait, dit Quintil
fs et pressants, donnez au fait et aux moyens les sentiments qui 4eur conviennent , mais ne les épuisez pas, et réservez tes grands
tit de toutes parts. Quand donc, Athéniens, quand ferez-vous ce qu’il convient de faire ? Qu’attendez-vous ? un événement, ou la
Avocat, ah ! passons au déluge ! L’exorde est vicieux lorsqu’il peut convenir à plusieurs causes ; c’est ce qu’on appelle exord
t (separatum, translatum), lorsqu’il ne naît point de la cause ou n’y convient , pas. Il peut être encore, ou trop brillant, ou t
e plausibles que soient les raisons de cet illustre critique, on doit convenir que la méthode des modernes est plus lumineuse et
cution nouvelle, point de digressions ; commençons et finissons où il convient , sans rien oublier de ce qui tient au sujet. Ne p
de trop raffiner sur ces motifs ; c’est par les actions surtout qu’il convient de caractériser les personnes. 3º. La narration d
ourte. Mais Aristote dit avec raison que ce n’est pas une qualité qui convienne plus à la narration qu’à l’exorde ou à la preuve7
portance, la clarté et la précision sont les seuls ornements qui leur conviennent . Si donc il s’agit d’un crime, d’un fait grave, d
ue sujet que ce soit, un style pompeux et des ornements recherchés ne conviennent point à la narration judiciaire. C’est surtout à
tissu de narrations accompagnées des réflexions et des sentiments qui conviennent à la chose. Ainsi se traitent les oraisons funèbr
ion où l’ordre, la clarté, la précision, sont les seuls ornements qui conviennent à la preuve : il est aussi des sujets pathétiques
iqu’il témoigne peu d’estime pour le talent de faire rire101, il faut convenir qu’il en a quelquefois, abusé. La raison, la véri
quence de la chaire, le pathétique de la péroraison a un objet qui ne convient qu’au genre délibératif ; c’est d’émouvoir l’audi
de gens faibles et oisifs ; elle n’est bonne qu’autant que les sons y conviennent au sens des paroles, et que les paroles y inspire
revenir sur le même sujet : mais on sent bien qu’un style nombreux ne convient pas à tous les genres, quoique tous exigent un st
che que le simple, plus humble que le sublime, tous les ornements lui conviennent , et ce qui le distingue enfin, c’est l’art de pla
ui a passé de l’école des sophistes dans les discours publics, paraît convenir essentiellement au genre tempéré : c’est qu’il es
ré, pourvu qu’il soit assez fourni de cette sorte d’ornements qui lui conviennent , ne peut courir non plus de grands hasards ; et s
loi Manilia, j’avais à louer Pompée : j’adoptai le genre tempéré qui convenait au panégyrique. La cause de Rabirius intéressait
première de ces qualités est bonne en toute occasion ; la seconde ne convient pas à tous les sujets, ni avec toutes sortes de p
armonie, peuvent encore persuader et ravir. Les qualités qui semblent convenir plus spécialement à ce genre sont l’élégance, la
force et déployer toute l’étendue de leur génie141. Les qualités qui conviennent à ce genre, c’est-à-dire aux sujets élevés ou pat
? employez-y la véhémence. Et en effet chacun de ces trois caractères convient plus ou moins au sujet, au lieu, aux personnes, a
qu’il est naturel, vrai, élégant, et que le sentiment qu’il renferme convient à tous les rangs ; mais ce vers, Castaneæque nuc
gs ; mais ce vers, Castaneæque nuces, mea quas Amaryllis amabat, ne conviendrait pas à un personnage héroïque, parce qu’il a pour
a signification propre d’un mot à une autre signification, qui ne lui convient qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
t dit, faible objet qui est un ouvrage imperceptible. L’apposition ne convient qu’au style noble et soutenu. On peut joindre à c
ud. (Th. Corneille.) Les sentences, fruit d’une réflexion froide, ne conviennent pas au langage de la passion. Placées à propos et
narration admet volontiers la même attitude, la même physionomie, qui conviennent à l’expression de la dignité. Dans la plaisanteri
43 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Deuxième partie. Rhétorique. — Chapitre III. — Disposition »
’elles ont entre elles]. Nous parlerons seulement du Plan général qui convient à toute composition sérieuse. Section II. — Du
maque. Exorde pompeux ou solennel offre un magnifique préambule qui convient surtout aux oraisons funèbres et aux discours aca
elle et ennemie de Dieu. Tout le monde souffre et est incommode, j’en conviens  ; car jamais le faste, jamais le luxe fut-il plus
44 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Préface » pp. -
Pour rendre plus efficaces les leçons que comporte cette méthode, il convenait d’avertir l’attention du lecteur par des commenta
omme le disait Voltaire, « semblables à ces avares qui ne veulent pas convenir de leurs richesses, et crient sans cesse que les
45 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Préface » pp. -
Pour rendre plus efficaces les leçons que comporte cette méthode, il convenait d’avertir l’attention du lecteur par des commenta
me le disait Voltaire, « semblables à ces avares qui ne veulent point convenir de leurs richesses, et crient sans cesse que les
46 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre IV. Du genre dramatique. » pp. 252-332
ient et va croissant jusqu’au dénoûment ; si le vers exprime comme il convient la pensée du poète, et que cette pensée soit touj
, ni sur les définitions que nous avons données des qualités qui leur conviennent . Dans le drame comme dans l’épopée, les caractère
l’épopée, les caractères doivent être, sinon toujours grands, ce qui convient peu à la comédie, au moins vrais et soutenus. Les
ns affectation, avec une simplicité sans bassesse. C’est le style qui convient à des personnages de haute distinction. Supposez
: il n’y a pas un seul mot à retrancher. C’est la vraie éloquence qui convient à la tragédie. Le discours que Racine met dans la
harmonie doit même en être plus soignée. 498. Quels sont les vers qui conviennent à l’opéra ? L’opéra demande des vers libres et i
e est encore plus remarquable en ce genre. 522. Quel est le style qui convient à la comédie ? Le style de la comédie doit être
. C’est un plaisir qu’il faut lui laisser, mais dans la forme qui lui convient , c’est-à-dire avec une grossièreté innocente, des
rs : par là, il se trouve à la bienséance des seuls spectateurs qu’il convienne d’y attirer. Lui donner des salles décentes et un
47 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Première partie. Règles générales du style. — Chapitre Ier. Des éléments du style. » pp. 22-78
ix des expressions, qui doivent être justes elles-mêmes, c’est-à-dire convenir parfaitement à la pensée. 39. Quand la pensée est
naturel ? Tout sentiment doit être naturel, c’est-à-dire qu’il doit convenir à la situation de celui qui en est affecté, et pa
des sentiments ? Les sentiments, comme les pensées, doivent toujours convenir au sujet que l’on traite et au but que l’on se pr
onne ? un fleuve ? une plante ? L’image ne doit rien présenter qui ne convienne à la colonne, à la plante, au fleuve, etc. La règ
s et les phénomènes de la nature diffèrent suivant les climats. Il ne convient qu’aux peuples du Levant ou à des esprits versés
té particulière du style, qui exclut l’abondance et les ornements, et convient au genre simple. La précision est une qualité gén
48 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
rapports de gravitation, des êtres purement mathématiques. Il faut en convenir , un tel univers est bien plus aisé à calculer que
mplicité noble du style de l’histoire, et l’imposante gravité qui lui convient . Écoutons à présent l’historien de Charles XII.
49 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XII. du corps de l’ouvrage. — portrait, dialogue, amplification  » pp. 161-174
a Chimère, l’hypocrite, un ange, le Temps. A quels genres littéraires convient cette forme ? La poésie, l’éloquence, l’histoire,
te fleur de diction, principalement tout ce qui peut sembler préparé, convenu , uniquement destiné à amener la replique. Les dra
en âge et aujourd’hui même, les méditations solitaires semblent mieux convenir à notre climat et à nos mœurs. Nos dialogues phil
50 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
ter avec soin de paraître vouloir dogmatiser : c’est caractère qui ne convient point à un jeune homme, et qui ne sert qu’à donne
espèce de conspiration générale dans laquelle ils semblent être tous convenus de sortir de leur caractère ; toutes les professi
51 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Madame de Maintenon 1635-1719 » pp. 94-99
modeste que vous ne l’êtes. Vous prenez un ton d’autorité qui ne vous conviendra jamais, quoi qu’il puisse vous arriver. Vous vous
r duc, l’une du 11, l’autre du 17, et toutes deux aussi tristes qu’il convient à notre état présent1. Je ne pourrais le supporte
52 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — La Fontaine 1622-1695 » pp. 339-378
s enjeux3 Savoir quoi, ce n’est pas l’affaires, Ni de quel juge l’on convint . Notre lièvre n’avait que quatre pas à faire ; J’
assées ; Quittez le long espoir et les vastes pensées1 ; Tout cela ne convient qu’à nous. Il ne convient pas à vous-mêmes2, Repa
spoir et les vastes pensées1 ; Tout cela ne convient qu’à nous. Il ne convient pas à vous-mêmes2, Repartit le vieillard. Tout ét
de Lucrèce, 2. Oui, ces objets familiers, tous voisins et charmants, conviennent encore mieux au pinceau du fabuliste que les pers
it la fable une ample comédie aux cent actes divers. Cette définition convient parfaitement à l’élégie dramatique des Deux Pigeo
4. L’auteur de tout cela est une façon de parler irrévérente, et qui convient à ce rustaud. Garo se croit très-supérieur au bon
53 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
divers examens et concours, comme une épreuve des plus difficiles. Il convient donc de s’y préparer par de nombreux exercices. C
ingulièrement les candidats. Ils s’habitueront ainsi à démêler ce qui convient à chaque question, et par là même à réfléchir et
nt des grandes écoles scientifiques et des écoles de commerce. Ce qui convient à l’une convient aussi à l’autre. Il suffit, pour
oles scientifiques et des écoles de commerce. Ce qui convient à l’une convient aussi à l’autre. Il suffit, pour n’en pas douter,
s qu’on a présentés. Un style simple, vif et animé s’il est possible, convient surtout à la dissertation. On ne saurait trop ten
qu’elle a besoin de s’astreindre à un plan bien arrêté. Ici encore il convient de bien savoir qui l’on fait parler et à qui l’on
on est-elle juste, et dans quel sens ? Quels sont les écrivains qu’il convient particulièrement de rattacher à Louis XIV et pour
Programme de la classe de seconde moderne – Quelle différence convient -il de faire entre les précieuses dont Molière s’e
rire des lettres ? – Quelle est l’utilité des mémoires, et quel usage convient -il d’en faire pour écrire l’histoire ? – Dans que
en expliquera les transformations successives. – Quelles différences convient -il de faire entre les chroniques, les mémoires et
el chef-d’œuvre que Racine est inférieur à Corneille. Mme de Sévigné convient que cette pièce est belle, mais il lui semble que
e à l’harmonie de Racine, à ses heureuses alliances de mots, etc… Ils conviennent enfin que ce sont deux grands poètes et que la po
une forme de langage rapide qui se prètât à ses desseins. La prose y convenait mieux que la poésie. Celle-ci a besoin de tranqui
de nobles sentiments. Ce n’est pas assez pourtant de penser juste, il convient aussi d’exprimer des idées agréables, de charmer
préoccupât toujours. Pour penser juste et pour trouver les idées qui conviennent le mieux, il est nécessaire de méditer son sujet 
vaincu de leur excellence, trouvera, tout de suite, la forme qui leur convient . La parole viendra, comme d’elle-même, les revêti
ible. » Si l’on réfléchit que le style familier est le style même qui convient à la lettre, on ne s’étonnera point que la corres
’admiration qu’au blâme, ne se fâchant qu’à bon escient, la seule qui convienne à l’homme de goût. Il ne condamne pas, en effet,
’est se défendre. L’arme est légère, mais la pointe en est acérée. Il convient seulement de ne pas trop l’enfoncer ; une piqûre
la simplicité est naturelle à tous les esprits droits. Cette qualité convient à toutes les lettres, à quelque personne qu’on le
uelque personne qu’on les adresse. Il en est beaucoup auxquelles elle convient seule. Les lettres d’affaires et de demande ne sa
rit vif, n’appartient qu’à elle seule. Il est, enfin, une qualité qui convient à toute lettre, et sans laquelle tout le reste se
che ou de condoléance comme une lettre d’affaires. Il faut que le ton convienne au sujet, voilà tout. Simplicité, naturel, aisanc
uste que tous s’efforcent de concourir à une bonne administration. Il convient d’initier le peuple à la liberté politique. Mon p
e et de variété, le rythme uniforme dans lequel elles sont écrites ne convenait pas à la fable. Il restait à proportionner le réc
e. Ajoutons encore que La Fontaine a découvert le seul rythme qui pût convenir à la variété des personnages et des caractères de
e à peu près à l’étendue du développement qui précède et qui suit, il convient de mettre à la ligne. L’attention du correcteur s
l en est le prix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui convient à la femme en général ? Lui suffiraient-elles, en
i enseigne quelque chose de trop marqué et de plus magistral qu’il ne convient . Les leçons même qui nous ont le plus satisfait p
bonnes raisons de leur choix ; peu ont pris soin de marquer comme il convenait , ou, tout au moins, d’indiquer dans quelle mesure
de nos jeunes aspirantes, au lieu de protester hautement, ainsi qu’il convenait , sur ce point, se sont bornées à l’expression de
a question. Au lieu de s’appliquer uniquement à bien définir ce qu’il convient d’entendre par synonymes, et à montrer, par des e
l en est le prix ? Vous semblent-elles définir exactement le rôle qui convient à la femme en général ? Lui suffiraient-elles, en
i, une idée qui conduit tout ; chaque personnage a les siennes qui ne conviennent qu’à lui, et toutes semblent logiques, même quand
le fondée ? La rigueur absolue du raisonnement mathématique peut-elle convenir à tous les genres d’études ? Est-elle même applic
pas été suivi d’une attaque contre les lettres. 1er Paragraphe. – Il convient d’accorder que les sciences offrent une nourritur
l est difficile de soumettre à des règles fixes le genre de style qui convient aux lettres, Mme de Maintenon ajoute que le princ
ut, c’est que le maître étudie les caractères, et sache le régime qui convient à chacun. A un élève indécis il confie souvent de
la section des lettres. Le sujet proposé est d’ordre pédagogique. Il convient donc de se reporter en général aux indications fo
t les maisons » ? Tirez-en quelques directions pour l’éducation qu’il convient de donner aux jeunes filles. – Lettre de Mme de L
presque sans le savoir ; qui trouve naturel et juste tout ce qui lui convient , injuste et bizarre tout ce qui la blesse ; qui c
cette faculté chez l’enfant. Exposer comment et jusqu’à quel point il convient de la développer, et montrer de quelle ressource
oppez, commentez cette pensée sous la forme et dans le cadre qui vous conviendront le mieux. – Montrer comment la discipline scolair
e appelle à rendre à leur pays de nouveau services. Répondez comme il convient à des Français, à des citoyens, à des éducateurs
ans ces Manuels, si résumés qu’ils soient, il faut encore choisir. Il convient de laisser de côté tout ce qui n’a pas un caractè
ile. CONSEILS ET PLAN CONSEILS L’on a le choix entre trois scènes. Il convient de mettre en relief les plus dramatiques, les plu
. Il faut éviter une énumération de noms propres écrits au hasard. Il convient de diviser par pays : France, Italie, car c’est l
narration, discours, dialogue, portrait, développement de pensées. Il convient qu’ils connaissent des ouvrages où on leur parle
ns les plus extrèmes périls il ne faut pas perdre courage, comment il convient d’avoir foi en ses forces, en son audace, – et ce
… Mais il faudra le gagner, le mériter, l’échanger, non le ravir…. Il conviendra de respecter les indigènes, de les admettre aux b
s de Guttierez. Il se jette aux pieds de Colomb… Décrire la scène… Il convient de lui faire adresser quelques paroles pour implo
r un rôle dans les annales maritimes de son pays… 3e Paragraphe. – Il convient d’excuser un enthousiasme qu’il peut réprimer d’a
qui a vaincu à la Trébie, à Trasimène, à Cannes. 2e Paragraphe. – Il convient d’occuper, d’amuser les Romains dans le sud, pour
nu pour vrai et être rendu vraisemblable par le choix des détails. Il convient d’éviter les épisodes oiseux : moyens employés po
certains ornements serait déplacé en ces sortes de développements. Il convient d’apprendre à manier une prose dont les principal
écarter. C’est l’idée générale de santé, d’harmonie, d’aisance, qu’il convenait de dégager. Corrigé. – Le corrigé de la première
: « Mieux vaut douceur que violence. » CONSEILS ET PLAN CONSEILS Il convient d’abord de se demander d’où, de quelle fable ce v
bien préfère-t-on définir : la douceur, la violence ? Les deux débuts conviennent également au sujet, – et il est permis d’hésiter,
ur développer le sujet. Comment faire pour ne pas être en retard ? Il conviendra de faire court. Il sera utile après qu’on aura lu
t des omissions – à redouter. On voyait bien dans l’ensemble ce qu’il convenait de répondre, mais pas le détail ; on le définissa
ibune : « Périssent les colonies plutôt qu’un principe ! » Certes, il convient de maintenir les principes dans leur intégrité ;
lles ont arrachés à l’affection de la France. » C’est là, il faut en convenir avec sincérité, un argument qui serait bien fait
54 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
tia, præstantissimo consilio. Voilà, ce me semble, la devise qui lui convient . En ce qui me concerne, je ne manquerai pas de le
unes intelligences. La disposition par interrogations et par réponses convient parfaitement à des leçons dont l’élève doit rendr
55 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
être proposées comme modèle général de prédication, parce qu’elles ne conviendront jamais à tous les auditoires, on peut néanmoins a
t subdivise, délaie ses idées, et fatigue souvent le lecteur. Elle ne convient guère qu’aux professeurs et à ceux qui s’occupent
ique tous diffèrent, ils se fixent cependant sur quelques beautés qui conviennent plus particulièrement à la nature du sujet et à l
trop souvent employée dans un sens trop vague, ne peut véritablement convenir qu’à la description ou peinture des sentiments es
ens parfait. C’est en général la manière d’écrire des Français ; elle convient parfaitement aux sujets vifs et faciles. Cependan
es de cette beauté de construction. Mais cette espèce de gradation ne convient qu’aux discours qui exigent de la pompe ; s’y liv
r ces mots avec convenance, la fin de la phrase est la place qui leur convient le moins ; plus tôt on peut s’en débarrasser, mie
ous occuper du ton général de l’oraison. Si la pompe, si la plénitude conviennent à un discours oratoire où l’on traite des matière
supposant qu’il ne produisit d’autre mauvais effet que la satiété, ne conviendra jamais à tous les genres de composition, ni même
es de beaux effets lorsqu’elles sont judicieusement employées ; elles convenaient parfaitement à la brillante imagination des ancie
e plus claire de son sujet. Mais les comparaisons d’embellissement ne conviennent pas à tous les sujets, et demandent un examen plu
ne doivent pas être empruntées à des objets bas et dégradés ; cela ne convient qu’aux sujets burlesques, où la figure n’est intr
t des figures qui sont le produit d’une imagination froide ; elles ne conviennent pas au style de mouvement. Au contraire, les inte
ation modérée, et distribue avec décence une quantité d’ornements qui convient à presque tous les sujets qu’on traite. La lettre
ractère dominant de l’écriture sacrée, et nul autre genre de style ne convenait davantage à la dignité du sujet. Après avoir reco
dité. Ce genre appartient aux plus hauts degrés de l’art oratoire, et convient véritablement mieux à l’orateur qu’à l’écrivain q
pour les assemblées publiques. La seule circonstance où ils puissent convenir , c’est à l’ouverture des débats, lorsque l’orateu
exigent le temps, le lieu et la situation. La véhémence, qui pourrait convenir à un homme de caractère et d’autorité, serait inc
r parler en public sans s’être d’abord formé une idée juste de ce qui convient à son âge, à son caractère, de ce qu’exigent le s
actitude échappe. À l’égard du degré de concision ou de prolixité qui convient à l’éloquence populaire, il n’est pas facile de l
iter jusqu’à l’apparence ; mais il y a un certain ton décidé qui peut convenir même à l’homme le plus modeste, lorsqu’il est int
ère, et s’exposerait au ridicule s’il essayait ce ton véhément qui ne convient qu’aux assemblées nombreuses. La nature et le man
t plutôt un style vigoureux et expressif qu’une manière brillante qui convient à ce genre d’éloquence. Il faut d’ailleurs nous a
blement ceux qui l’écoutent, l’autre lui donne cet air de fermeté qui convient à l’homme fort de la conscience que ce qu’il dit
viennent, dans les formes même de l’audience, et avec le ton qui lui convient , s’exercer à la partie la plus importante de l’él
er avec soin ; mais la méthode, sans contredit, la plus efficace, et, convenons -en, celle que nous suivons le moins, à cause du t
56 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VI. De l’Harmonie du Style. »
pé, sont autant d’éclairs qui se succèdent rapidement. Le style coupé convient aux mouvements tumultueux de l’âme : c’est le lan
e goût voudrait faire disparaître de ses Oraisons funèbres. Mais nous conviendrons aussi que ses admirateurs ont mis trop d’affectat
57 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
juges : « Souvenez-vous de votre serment, et prononcez selon ce qui conviendra le plus à votre intérêt et au mien ». Les juges
ce pas la séparation de l’âme d’avec le corps ? Et ne sommes-nous pas convenus que la perfection de l’âme consiste surtout à s’a
58 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fléchier. (1632-1710.) » pp. 69-75
ier2. (Fragment.) Caractère du duc de Montausier : franchise qui convient à son éloge. Je viens vous faire admirer un ho
lever son crédit : tout cet esprit de dissimulation et d’imposture ne convint pas à sa vertu. Ne pouvant s’autoriser encore con
59 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Extraits des classiques français. Deuxième partie. Poésie — Béranger 1780-1859 » pp. 488-497
nnes qu’on lui a décernées ne seront-elles pas immortelles. Mais s’il convient de le lire avec choix, il faut admirer son talent
La tragédie est un bien long ouvrage ; L’ode1 au sujet, comme à moi, convient mieux ; Riche d’encens, elle en fait le partage A
60 (1872) Recueil de compositions françaises pour préparer au discours latin les candidats au baccalauréat ès-lettres. Première série
nt solennel : mais je laisse de côté ces souvenirs ; les reproches ne conviennent pas aux malheureux. Je ne vous demande qu’une cho
eux d’écouter les prières d’une mère dans une circonstance si grave ? Convient -il à un grand homme de conserver le ressentiment
’estime que vous me témoignez maintenant ; je pense en effet qu’il ne convient ni à vous d’user à mon égard d’une bienveillance
trepris des guerres injustes, et qui n’ont pas su supporter, comme il convenait à des hommes, le poids considérable de leur puiss
issance. Sachons, Syracusains, sachons jouir de ses faveurs, comme il convient à des hommes, et ne nous livrons pas à des actes
mon avis en toute franchise. Je suis Spartiate, et je parle comme il convient à un Spartiate. « Je me demande d’abord comment i
de son esprit : « Tu tiens mal ta promesse, reprit Auguste ; il était convenu que tu ne m’interromprais pas. Oui, tu as résolu
hâte et de toutes nos forces. Que personne ne vienne nous dire qu’il convient de délibérer, quand on nous offense ; il n’appart
n tel moyen, le gage d’une paix durable. « Si cette proposition ne te convient pas, alors fais-les mourir jusqu’au dernier, ne l
crité de votre fortune ne vous permette pas de vivre avec l’éclat qui convient à votre mérite. Je veux réparer cette injustice,
ble à la possession d’un ami fidèle ; et l’éclat de la majesté royale convient parfaitement à la grandeur de votre âme. » Tradu
ainsi négligé les occasions de m’enrichir par des voies légitimes, me conviendrait -il d’accepter l’or que vous m’offrez ? Quel exemp
61 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « PREMIÈRE PARTIE. DE L'ÉLÉGANCE LATINE. — CHAPITRE IV. Des Figures. » pp. 144-262
, pour ainsi dire, le sens propre d’un mot à un autre sens qui ne lui convient qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
taphore, parce qu’il a appliqué à ce héros l’idée d’un mot qui ne lui convient que sous une comparaison. Ardere, dans le sens p
gard aux convenances des différents styles. Il y a des métaphores qui conviennent au style poétique, et qui seraient déplacées dans
l’oreille à nos discours. Cette figure, la plus hardie de toutes, ne convient qu’aux passions les plus exaltées, et ne peut êtr
ent. XIV. — Adulari, assentari, blandiri. Adulari, caresser, convient proprement aux chiens. Canes fidè et constanter d
r. Lene et asperum. Cic. Au figuré : Non lenis dominus. Hor. — Suavis convient à l’odorat. Odor suavis et jucundus. Cic. Au figu
Quidam cùm permulta locuti sunt, pauca tamen dixisse videntur. Loqui convient aux dialecticiens, et dicere aux orateurs. — Perh
, conversation. Ex tuis litteris et sermonibus illud intellexi. Sermo convient à tout le monde ; oratio ne convient qu’à l’orate
ermonibus illud intellexi. Sermo convient à tout le monde ; oratio ne convient qu’à l’orateur. CLXXV. — Pandere, aperire, res
ître. Ovis pascit in prato. Boves pascere. Cic. — Pasci, se repaître, convient proprement aux bêtes. Sues glandibus pascuntur. A
hommes. Qui scelere et maleficio pascuntur. Cic. — Vesci, se nourrir, convient aux hommes. Vescor pane. CLXXX. — Paternus, p
tout le corps ; au lieu que imago ne représente que le visage, et ne convient qu’à Dieu et à l’homme. Statua equestris. Cic.
62 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre I. De la nature des mots. » pp. 11-86
ommode, agréable, victorieux, éloquent. Lorsqu’un nom substantif peut convenir à tous les objets d’une même espèce, il est commu
es objets d’une même espèce, il est commun. Tel est le mot homme, qui convient à tous les hommes en général. S’il ne peut conven
le mot homme, qui convient à tous les hommes en général. S’il ne peut convenir qu’à un seul objet, comme Annibal (nom d’un homme
r, lorsqu’il signifie éviter : = nous avons échappé un grand danger. Convenir , signifiant être convenable, prend avoir : = ce j
ir, signifiant être convenable, prend avoir : = ce jardin vous aurait convenu . Il prend être, quand il signifie être d’accord :
convenu. Il prend être, quand il signifie être d’accord : = ils sont convenus du prix de cette maison. Demeurer, signifiant fa
63 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
tièrement nouveaux. On peut appliquer au sermon toutes les règles qui conviennent au discours oratoire, en général. Mais le prédica
duisant cette éloquence noble, majestueuse, véhémente et sublime, qui convient à la grandeur de notre religion, à la profondeur
prouve qu’elle est notre souverain bien ; et nous sommes obligés d’en convenir , à l’aspect de cette vertu qu’il sait si bien nou
e l’esprit, que ce qui était éclatant et recherché. Il faut cependant convenir que ce discours est celui de ses Ouvrages où il s
noble, une marche bien suivie, une méthode lumineuse est tout ce qui convient à ces sortes de discours. L’avis qu’un avocat don
tres sont incapables de ce qu’on appelle les affaires sérieuses, j’en conviens  : mais il y en a qui les fuient sans en être inca
64 (1863) Principes de rhétorique et de littérature appliqués à l’étude du français
ajouter rien de vif ni de figuré , c’est la méthode d’exposition qui convient à la science pure. (II° Dial, sur l’éloq.) Fénelo
omains qu’ils y rapportaient toutes les règles de la Rhétorique. Elle convenait également au genre délibératif, où l’orateur parl
-même dans le second d’être bizarre sur cet article . La division ne convient pas aux petits sujets, où elle est inutile ; mais
nne. Écoutons Rousseau attaquer Molière, à propos du Misanthrope : «  Convenons que l’intention de l’auteur étant de plaire à des
à ce nom, croira-t-on que la définition et l’énumération des parties conviennent uniquement aux brillants passages de Fléchier que
d’éducation comme de littérature, marque aux élèves le style dont il convient de se servir en faisant un rapport. « Cette part
mouvements, mais qui a un air aisé, simple, naturel, est la seule qui convienne aux rapports, et elle n’est pas si facile qu’on s
nt périodique deviendrait monotone. Cette forme flexible et brillante convient à l’éloquence et surtout à la poésie, où les pens
loyer toujours la phrase soutenue et la forme périodique ; souvent il convient de procéder par petits membres détachés, mais qui
iv). Nous lui emprunterons quelques observations, où il montre ce qui convient aux mœurs et à l’esprit moderne dans les précepte
ne dans les préceptes de ces grands hommes. « Le genre simple paraît convenir plus particulièrement à la narration et à la preu
adence. » De ces trois genres, le simple et le tempéré sont ceux qui conviennent le mieux à nos mœurs. Le monde et la civilisation
aître ce qu’on pense ; elles ont d’abord cette propriété générale qui convient à toutes les phrases et à tous les assemblages de
65 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre I. Du Discours oratoire. »
lingue26 en verra la chute ». On a dû juger que ces lieux communs ne conviennent pas, exclusivement, au discours oratoire. Ils y s
ies de notre nation, et ceux de l’antiquité en ont fait usage. Racine convient qu’il a emprunté d’Euripide les plus beaux traits
tous les temps et dans tous les lieux, et n’y prendre que ce qui peut convenir au genre qu’on traite, et aux mœurs du siècle pou
tient le milieu entre la jeunesse et la vieillesse, les mœurs qui lui conviennent , gardent aussi une certaine proportion, un milieu
te rapport au but qu’il se propose, de manière que l’exorde ne puisse convenir à aucun autre discours. Il faut qu’il ne soit pas
ves des grâces de la diction, de l’éclat des figures qui peuvent leur convenir . La beauté du style ne sert qu’à les faire valoir
faire un voyageur. Il faudrait s’aveugler volontairement, pour ne pas convenir que de tels exploits ont une grandeur, qui passe
66 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
t directement aux arts et aux beaux ouvrages. Ainsi ce régime ne peut convenir qu’au verbe actif. Le régime est composé, quand i
pas joindre à des substantifs, des adjectifs qui ne peuvent pas leur convenir . Par exemple, les adjectifs pardonnable et déplor
de choses inanimées, quand ces pronoms sont joints à un verbe, qui ne convient proprement qu’aux personnes. On dira d’une maison
bâton qui me soutient. Mais s’il est précédé d’une préposition, il ne convient qu’aux personnes ou aux choses personnifiées. Ain
quel je m’appuie. Qui, sans substantif qui le précède, ne peut point convenir aux choses. Ne dites donc point avec l’Auteur d’u
s phrases : = je vous assure qu’il est digne de votre estime : = vous conviendrez que j’ai pris de justes mesures pour réussir : =
s. = Lirez-vous ces vers ? point. Ajoutons, après l’Académie, que pas convient mieux à quelque chose de passager et d’accidentel
r et d’accidentel. = Il ne lit pas, c’est-à-dire, présentement. Point convient mieux à quelque chose de permanent et d’habituel.
67 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Courier, 1773-1825 » pp. 447-454
de même, nous serions encore à la porte, sans pain ni canons. Il faut convenir que l’Europe en use maintenant avec nous fort civ
rel : « Ce lumineux et mordant génie a rencontré enfin la langue qui convient à ses amères impressions sur les hommes et les ch
68 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Voltaire, 1694-1778 » pp. 158-174
de que j’ai choisie auprès de votre patrie1, où vous devriez être. Je conviens avec vous que les belles-lettres et les sciences
eu ne plaise, que toute notre Angleterre soit athée par principes, je conviens qu’il pourra se trouver plusieurs citoyens qui, n
beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens  ; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus dif
69 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Principes de rhétorique. — Chapitre IV. »
ut nous donner ce tact exquis de parler et d’écrire toujours comme il convient . Considérez dans le monde un homme bien élevé : s
core sous celle du syllogisme ; cette manière sèche et pédantesque ne convient guère qu’aux mathématiques ou à la philosophie. U
70 (1886) Recueil des sujets de composition française donnés à la Sorbonne aux examens du baccalauréat ès lettres (première partie), de 1881 à 1885
e ? (7 novembre 1883). • Du genre épistolaire et des qualités qui lui conviennent . Exemples anciens et modernes à l’appui. (2 août 
uoi on le lui a décerné, ou ce qui revient au même, dans quel sens il convient de l’entendre. Tout d’abord, nul de ceux qui ont
riche profusion, toutes les splendeurs de sa langue de génie. S’il ne convient pas de prendre à la lettre ce titre de « père de
as des satiriques ? On ne saurait le nier ; mais d’autre part il faut convenir aussi que les Latins, Lucilius, Horace, Juvénal,
ient par la fable et vit de fiction. Cette définition fantaisiste ne convient qu’aux épopées artificielles, écrites à loisir pa
e emprunta ses sujets, et, entre tous, à Euripide, dont le pathétique convenait à l’exquise sensibilité de son âme. Andromaque (1
re des passions, et Corneille celui des caractères, il faut néanmoins convenir que cette différence n’a rien d’absolu, car Racin
té et gouvernement personnel de Louis XIV, — voici les morceaux qu’il convient de citer : récit de la bataille de Rocroy, à comp
I). Dans la deuxième partie, qui comprend deux chapitres, auxquels il convient de rattacher les quatre chapitres d’anecdotes qui
e plaisir qu’on éprouve à philosopher ainsi sur ses impressions, nous conviendrons volontiers avec lui que ce plaisir à ses dangers,
en ! Ronsard, êtes-vous toujours en courroux contre moi ? Ronsard. —  Convenez avec moi que j’en aurais quelque sujet ; car enfi
re un adverbe blessant ! Ne saurions-nous causer avec calme, comme il convient à deux ombres qui habitent ce paisible séjour ?
ù se trouvent caractérisés si finement les genres poétiques qu’on est convenu d’appeler secondaires ; cependant que son ami lui
rainte sincère de n’atteindre pas, par ses louanges, à la hauteur qui convient à un si grand nom. Puis il exprime, sans s’attard
phera de la difficulté. Quant aux qualités littéraires et morales qui conviennent à l’historien, Colbert sait de reste qu’elles ne
71 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section II. Des Ouvrages en Vers. — Chapitre II. Des petits Poèmes. »
est la définition qu’on a donnée de la poésie pastorale, et celle qui convient à l’Églogue et à l’Idylle. Voici comment se fait
genre de poésie. Ils sont d’ailleurs un vrai modèle du style qui lui convient  : ils offrent le précepte et l’exemple tout à la
plaisanter, disserter, louer, blâmer, raconter, en prenant le ton qui convient à chaque sujet, et en employant la mesure de vers
la tragédie. Par conséquent, le style trop fort et trop pathétique ne convient pas à son caractère. Le but de l’élégie est d’att
ars. Une parure éclatante, un ajustement recherché pourraient-ils lui convenir  ? Elle répand des larmes, elle éclate en plaintes
i agite l’âme avec violence, tout ce qui lui cause une émotion douce, convient essentiellement à l’ode. Ainsi l’on peut en disti
vient de voir que les sujets les plus nobles et le ton le plus élevé conviennent à l’ode proprement dite. L’ode qui est dans le ge
72 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre X. Petits poèmes. »
ue et trouvait facilement cette douceur dans les mots et le style qui conviennent aux images champêtres. Les vers suivants, extrait
plus limitée du côté des tons de style qu’elle peut prendre. Tous lui conviennent , parce que son style s’élève ou s’abaisse, selon
, C’est aux prélats de cour prêcher la résidence. Le vers alexandrin convient particulièrement à l’épitre philosophique. Toutef
e genre de drame, que le Cyclope d’Euripide99. Mais, dans ce sens, il convient d’écrire satyre par un y, et de faire ce mot du m
a tragédie ; par conséquent, le style trop fort et trop pathétique ne convient pas à son caractère. Le but de l’élégie est d’att
73 (1897) Extraits des classiques français, seizième, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours moyens. Première partie : prose. [Seizième siècle] « Introduction » pp. -
ts lyriques. L’autre, avec ses sons étouffés, mais vibrants et mâles, conviendra davantage au roman, à la narration et à l’épopée.
raires accomplis par notre langue jusqu’à la fin du XVIe siècle Il convient maintenant de résumer l’Histoire littéraire de la
mouvement qui suivit la prise de Constantinople (1453), et qu’on est convenu d’appeler la Renaissance. Ce mot exprime bien l’i
74 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre premier. de la rhétorique en général  » pp. 13-23
s de la saveur, l’aspérité ou le mœlleux des surfaces ; tout le monde convient qu’il faut longtemps regarder pour voir, et écout
oir manier pour celui-là même à qui le nom d’orateur semblerait mieux convenir que le nom d’écrivain. Aujourd’hui, en effet, il
75 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Buffon, 1707-1788 » pp. 175-184
tirai pas de deux jours, et je vous dirai confidentiellement que cela convient encore mieux à mon projet qu’à ma santé. Je ne ve
la lumière du sentiment et de la pensée brille dans les yeux. 4. Il convient de lire après cette page celle de Bossuet que voi
76 (1813) Principes généraux des belles-lettres. Tome III (3e éd.) « Principes généraux des belles-lettres. » pp. 1-374
oiqu’on donne le nom général de poëme à tous les ouvrages en vers, il convient néanmoins plus particulièrement (et peut-être uni
férens instrumens du labourage, et marque les différentes saisons qui conviennent aux différens travaux de la campagne, et les pron
différentes espèces, et comment on doit les cultiver ; le terroir qui convient à chacune de ces espèces ; la manière de connoîtr
es, donnons une idée des règles communes à l’une et à l’autre : elles conviennent aussi en partie au poëme épique. Ces règles génér
oins adroit que lui. On comprend assez que le vraisemblable ordinaire convient mieux à l’action dramatique que le vraisemblable
ques trouvent une duplicité d’action dans l’Andromaque de Re. Il faut convenir que l’intérêt qu’on prend à Oreste qui aime Hermi
ctateur peut-il ne pas prévoir le dénouement dans un sujet connu ? Je conviens que cela est impossible. Mais il n’est pas moins
athétique qui caractérise le comique larmoyant, n’est point celui qui convient à la véritable comédie ; qu’il n’est point dans l
timens opposés, la douleur et la joie ; qu’enfin le nom de comédie ne convient nullement à des pièces de ce genre, parce que la
ne trouvoit pas dans ce poëte si agréable assez de force comique. On convient en effet qu’il manque d’une certaine vivacité de
conduit. Il faut sur-tout que les airs soient bien choisis, et qu’ils conviennent aux sentimens, à la situation des personnages. La
point être adaptée à d’autres paroles. Ils disent que, pour qu’un air convienne à des paroles nouvelles, il faut qu’elles renferm
e tuer sa femme, une mère ses enfans, un frère sa sœur ; c’est ce qui convient merveilleusement à la tragédie. Une action de cet
Style de la Tragédie. Le style de la tragédie est le style qui convient aux personnes du premier rang. Supposez des monar
: il n’y a pas un seul mot à retrancher. Voilà la vraie éloquence qui convient à la tragédie. Le discours que Racine met dans la
loges qu’ils prodiguent à Shakespeare……. Soyons justes, néanmoins, et convenons que Shakespeare a quelquefois des beautés du prem
nt les campagnes riantes et les bosquets fleuris de l’Elysée. Il faut convenir que cette multiplicité d’actions ou d’incidens, c
Toutes les règles qui regardent la construction du poëme dramatique, conviennent à cette espèce de tragédie-lyrique, avec cette di
ous attacher, de nous intéresser, et même de nous instruire ? Il faut convenir que cette nouvelle route est frayée depuis quelqu
voici une qui réunit toute la vraisemblance et toute la grandeur qui conviennent à ce genre de poésie. Dans la Lusiade, la flotte
Telles sont à peu près toutes les différentes espèces d’épisodes qui conviennent à l’épopée. Cette notion suffit sans doute pour f
, fruits d’une imagination échauffée par un cœur vivement ému, et qui conviennent essentiellement au genre lyrique ; le style de l’
vec son fils Lausus, par le héros troyen. XI. Livre. Les deux partis conviennent d’une suspension d’armes, pour enterrer leurs mor
erveilleux et aux autres qualités essentielles de l’action épique, on convient généralement qu’il les a toutes. Cet ouvrage accu
77 (1845) Les auteurs latins expliqués... Horace. Art poétique pp. -72
— 73. Quels sont les vers appropriés à chaque genre. — 89. Du ton qui convient à la Tragédie et à la Comédie. — 99. Il faut teni
pas le talent d’assortir à chaque genre le rhythme et le ton qui lui conviennent , pourquoi me saluerait-on poëte ? pourquoi mon am
érité. La nature, en effet, commence par nous donner le sentiment qui convient à chaque situation : elle nous porte à la joie, o
en doutez pas, on sait donner à ses personnages le caractère qui leur convient . Étudiez l’âme humaine sur les types vivants de l
es charmes nouveaux 640et par une nouveauté attrayante. 641Mais il conviendra 642de confier à la scène 643les Satyres moqueu
t diseurs-de-bons-mots, 645de telle façon, de telle façon… ; 646 il conviendra de tourner 647les choses sérieuses à la plaisant
es se puisent ; 876ce qui nourrit 877et forme le poëte ; 878ce qui convient , et ce qui ne convient pas ; 879où l’art conduit
qui nourrit 877et forme le poëte ; 878ce qui convient, et ce qui ne convient pas ; 879où l’art conduit, et où l’erreur condui
78 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Seconde section. Des grands genres de poésie — Chapitre II. Du genre didactique. » pp. 161-205
peuvent saisir l’imagination et exciter l’intérêt. En second lieu, il convient de s’attacher aux circonstances les plus propres
hilosopher, enseigner, louer, blâmer, raconter, en prenant le ton qui convient à chaque sujet et en employant la mesure de vers
n nombre d’hommes qui sont femmes. 312. Quels sont les ornements qui conviennent au récit dans l’apologue ? Outre les qualités do
ogue doit encore, s’il veut plaire, être revêtu des ornements qui lui conviennent . Or, ces ornements consistent dans les images et
79 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre V. Du Style en général, et de ses qualités. »
r avec le plus de soin, parce qu’il n’est point de sujet auquel il ne convienne , et qu’il en est beaucoup où il est indispensable
it ridiculement employé dans un sermon, dans un plaidoyer, etc. Il ne convient qu’aux pièces de pur agrément, aux idylles, aux é
80 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
dans nos provinces ; 2° d’une langue factice dont quelques personnes conviennent pour se parler en compagnie, sans être entendues
du langage. » Quant à la seconde catégorie de jargons, ceux dont ou convient pour se parler sans être entendus, on conçoit que
81 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — La Bruyère. (1646-1696.) » pp. 91-100
tué, tout a péri. Voilà, continue-t-il, un grand massacre, et il faut convenir que nous jouons d’un grand bonheur. Il s’assied,
nt pas la mort, au contraire1. Je doute seulement que le ris excessif convienne aux hommes qui sont mortels. Pensons que, comme n
82 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Montesquieu. (1689-1755.) » pp. 130-139
veau joug, ne consulta que son naturel sauvage. Tous les particuliers convinrent qu’ils n’obéiraient plus à personne ; que chacun
es Troglodites crurent qu’il était à propos de se choisir un roi. Ils convinrent qu’il fallait déférer la couronne à celui qui éta
83 (1876) Traité de versification latine, à l'usage des classes supérieures (3e éd.) « OBSERVATIONS DE L'AUTEUR. » p. 
implifier et éclaircir, certaines règles trop peu intéressantes qu’il convenait d’éliminer, des lacunes assez nombreuses qui deva
84 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
ous remarquerons seulement, avec Domairon11, que les lieux communs ne conviennent pas exclusivement au discours oratoire. Ils y son
la division, quand il y a lieu. Mais la narration, étant un récit, ne convient qu’aux choses passées ; ainsi, ce n’est que dans
e touche les cœurs. On peut appliquer au sermon toutes les règles qui conviennent au discours prononcé en général ; mais le prédica
duisant cette éloquence noble, majestueuse, véhémente et sublime, qui convient à la grandeur de notre religion, à la profondeur
mblée dont on veut flatter le goût ou l’oreille. C’est donc ici qu’il convient d’en parler. Pendant longtemps, tout discours de
85 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre premier. Éléments généraux du Goût et du Style. — Chapitre VIII. Des Figures en général. »
produisent la pâleur ; ainsi l’on donne à la cause l’épithète qui ne convient qu’à l’effet. 3º Le contenant, pour le contenu. D
la signification propre d’un nom à une autre signification qui ne lui convient qu’en vertu d’une comparaison qui existe dans l’e
x convenances des différents styles, et distinguer les métaphores qui conviennent au style poétique, et qui seraient déplacées dans
outes les circonstances se rapportent également, si toutes les images conviennent à la chose exprimée comme à celle que l’on a voul
86 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
nt, ou un ton de familiarité avec un supérieur. » § III. Style qui convient aux Lettres 1° Le style qui convient le mieux
érieur. » § III. Style qui convient aux Lettres 1° Le style qui convient le mieux à la correspondance c’est le style coupé
uver, monsieur, quelque façon de vous témoigner ma reconnaissance qui convint et qui fût assortie à toute celle que j’ai dans l
surtout, dan si les grands accidents, aux sentiments religieux qu’il convient de faire appel ; c’est le remède le plus fort con
87 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Voltaire, 1694-1778 » pp. 253-281
; il n’a rien de sublime, son imagination n’est point brillante, j’en conviens avec vous ; aussi il me semble qu’il ne passe poi
de que j’ai choisie auprès de votre patrie1, où vous devriez être. Je conviens avec vous que les belles-lettres et les sciences
ns encore ce passage : « Il est fâcheux pour la nature humaine, j’en conviens avec vous, que l’or fasse tout, et le mérite pres
beau défaut, c’est un défaut rare, c’est un défaut merveilleux. J’en conviens  ; mais c’est un vrai défaut, et l’un des plus dif
88 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Première partie. De la poésie en général — Chapitre III. De la forme extérieure de la poésie » pp. 22-70
uerre civile. Ce vers, à cause de son caractère grave et majestueux, convient aux grands poèmes, et à toutes les pièces sérieus
e ;     Et la terre tremblante     S’arrête à ton aspect. 49. A quoi conviennent les vers de cinq syllabes et au-dessous ? Les ve
e, que l’on ne trouve pas dans les rimes croisées. 83. A quels poèmes conviennent les rimes plates, et quels sont les défauts à évi
t syllabes. Ce vers, qui a pour caractère la légèreté et la rapidité, convient aux sujets badins, comme le vers anacréontique qu
89 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
ier les qualités essentielles de l’élocution, c’est-à-dire celles qui conviennent à tous les tons ; les qualités accidentelles, c’e
ous les tons ; les qualités accidentelles, c’est-à-dire celles qui ne conviennent que dans tel ou tel ton ; et enfin les ornements
90 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XII. Abrégé des règles de la versification française. »
êle différentes mesures sans aucun retour symétrique. Les vers libres conviennent surtout au genre lyrique et aux poésies légères.
    On distingue un sceptre brisé. Lamartine. La stance de dix vers convient bien à l’ode, à cause de sa majesté et de son har
91 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Massillon, 1663-1742 » pp. 205-215
que le temps soit un ennemi commun contre lequel tous les hommes sont convenus à conjurer : toute leur vie n’est qu’une attentio
e que nous ne nous connaissons pas assez pour décider sur ce qui nous convient  : nous sortons même des mains de la souveraineté
92 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Poétique — Deuxième partie. De la poésie en particulier ou des différents genres de poésie — Première section. Des genres secondaires de poésie — Chapitre II. Du genre pastoral » pp. 96-112
’action de chaque pastorale. Selon que le sujet est triste ou gai, il convient de donner à la nature des formes et des couleurs
a divinité. D’ailleurs, outre que la naïveté, la pureté des mœurs qui conviennent aux bergers, sont les qualités ordinaires de la r
93 (1872) Cours élémentaire de rhétorique
oisie ; la deuxième, de les classer, de les disposer dans l’ordre qui convient à chacun d’eux ; la troisième de les embellir, de
e vient de mon application à l’étude des beaux-arts, pour laquelle je conviens qu’à aucune époque de ma vie je n’éprouvai d’aver
afin de prêter à chacune d’elles le caractère et le langage qui leur conviennent . Boileau (Art poét.) a dit : Chaque passion parl
plume, l’orateur, avant de prendre la parole, de méditer le plan qui convient le mieux au sujet : c’est là une nécessité. Fénel
 : « C’est à pareil jour, Romains, que je triomphai d’Annibal : il ne convient pas de consacrer cette journée à des disputes, à
uant contre lui les arguments dont il s’est prévalu. Protagoras était convenu avec l’un de ses disciples que ce dernier lui pai
aille, n’attendaient que le signal pour en venir aux mains, lorsqu’on convint de nommer, des deux parts, trois combattants qui
e peintre, l’écrivain doit donc donner à son style le coloris qui lui convient , sans jamais confondre ni transporter d’un objet
sublime. § I. Figures du style simple. Les figures de pensée qui conviennent au style simple, sont la communication, la conces
encore la suivante, gracieuse et noble à la fois : elle ne peut mieux convenir au genre lyrique. Nous l’empruntons à J.-B. Rouss
ubstantif ajouté À un autre, un véritable adjectif qualificatif. Elle convient plus particulièrement au style soutenu. La poésie
ré de sa signification primitive à une autre signification qui ne lui convient qu’en vertu d’une comparaison qui est dans l’espr
pas négligé ; Cet utile ressort veut être dirigé. Pour y réussir, il convient de s’attacher à connaître l’étendue de sa voix ;
94 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Argument analytique de la Poétique d’Artistote. » pp. -
ar l’histoire. XV. § 1. Des mœurs dans la tragédie. § 2. De ce qu’il convient de mettre sur la scène  de l’art d’embellir les c
95 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XV. Genre didactique en prose. »
de règles, car celles qui s’appliqueraient à une espèce d’ouvrages ne conviendraient pas à d’autres. La Bruyère, dans ses Caractères,
96 (1811) Cours complet de rhétorique « Notes. »
pour lui une source nouvelle de chagrins et de persécutions. Il faut convenir que tout le tort n’était pas ici du côté de ses e
J.-J. Rousseau ? Quelquefois aussi (et il serait injuste de ne pas en convenir d’abord) des circonstances impérieuses ont exercé
des censeurs trop rigoureux et de trop faciles apologistes ; il faut convenir que les nombreuses beautés et les taches non moin
97 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section II. De l’Art d’écrire agréablement. — Chapitre II. Des différentes Espèces de Style, et des Figures de Pensées. » pp. 238-278
sont propres aux passions. Les figures de la première classe peuvent convenir plus particulièrement au style simple ; celles de
ux et brillants, en un mot tout ce qui peut embellir le discours, lui convient et le caractérise. En voici un exemple pris au ha
Au gazouillement des ruisseaux. Les figures d’ornement, celles qui conviennent le plus au style tempéré, sont l’antithèse, la co
98 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre I. Du Pathétique. » pp. 280-317
nsevelis. Les figures touchantes ou propres aux passions, celles qui conviennent plus particulièrement au style sublime, sont la p
me, il ne faut pas croire qu’elle ne puisse, ainsi que bien d’autres, convenir au style simple. Elle peut même trouver place dan
e l’expression. Il s’en passe en effet assez souvent, quoiqu’on doive convenir que l’éclat en est rehaussé par le sublime des pa
99 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre VI. Massillon. »
mps. Voilà donc la religion d’accord avec la philosophie ; et il faut convenir que cela doit être quelque chose pour des philoso
es peuples. — Ce n’est pas ici une collusion ; car comment ferez-vous convenir ensemble les hommes de tous les pays et de tous l
100 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Beaumarchais, 1732-1799 » pp. 344-356
d’honnêtes gens, et les consolations particulières de l’amitié, vous conviendrez que l’exemple vivant d’une heureuse compensation
halestris… Le comte, interrompant. Avant d’aller plus loin, avocat, convient -on de la validité du titre ? Brid’oison, à Figa
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