Ier. Des exercices préparatoires à la composition 302. En quoi
consistent
les exercices préparatoires à la composition ? S
itation des maîtres qui excellent ou qui ont excellé en chaque temps,
consiste
dans l’art de transporter dans ses propres écrits
rfections que l’on découvre en eux ; car il est indubitable que l’art
consiste
en grande partie dans l’imitation : Neque enim d
conjux… — Enfin, une autre manière, appelée méthode de reproduction,
consiste
à lire plusieurs fois avec attention un morceau i
ns l’imitation ? Il faut d’abord éviter cette imitation servile, qui
consiste
à se traîner sur les pas d’un écrivain et qui a f
le Jeune et tous les littérateurs modernes, c’est la traduction, qui
consiste
à transporter une pensée, un ouvrage d’une langue
nde la précision, la clarté, la pureté et l’élégance, son vrai mérite
consiste
surtout dans la fidélité, qui fait qu’on n’altère
commençants, puisque, avant d’écrire, ils doivent apprendre à penser,
consiste
à réfléchir profondément sur les qualités qui con
s. Nous dirons quelques mots sur chacune de ces sources. 318. En quoi
consiste
la définition considérée comme source d’amplifica
ification ? Exemples. La définition, telle que nous l’entendons ici,
consiste
non pas à expliquer sèchement la nature de l’obje
à dire sur l’amplification par les circonstances ? Les circonstances
consistent
dans les particularités accidentelles qui détermi
t de la gradation à l’article des figures. Quant à l’expolition, elle
consiste
à insister de plusieurs manières sur la même idée
ordinaires et à réussir dans ce qu’on entreprend. En littérature, il
consiste
à donner aux sujets que l’on traite et aux idées
tour à tour. Le talent est une aptitude habituelle et permanente qui
consiste
dans la justesse du coup d’œil, dans l’élégance e
t finit où finit son domaine. (Segrais.) 52. La naïveté de la pensée
consiste
dans la vue soudaine d’une vérité qu’on ne soupço
ui se rapportent aussi aux qualités générales du style. 87. La pureté
consiste
à éviter dans l’emploi de mots tout mélange incon
ir indique toujours un bien ou un avantage. 90. La propriété des mots
consiste
à rendre une idée par le terme juste qui lui corr
doit réunir la correction, la précision et l’ordre. 94. La correction
consiste
à disposer les mots et les propositions selon les
trouvera jamais un seul jour où il ait été éclipsé. 98. La précision
consiste
à employer le moins de mots possible et à choisir
ntraire à la précision s’appelle diffusion ou prolixité. La prolixité
consiste
à noyer sa pensée dans une surabondance de mots i
on bras Parleront au lieu d’elle et ne se tairont pas. 100. L’ordre
consiste
à disposer les mots selon l’importance des faits
té réelle. § II. De la pureté du style. 113. La pureté du style
consiste
à n’employer que les mots propres à la langue que
rait tout progrès. 113. Le néologisme, ou innovation dans le langage,
consiste
à employer des mots nouveaux et inutiles, ou étra
§ III. Du naturel dans le style. 121. Le naturel dans le style
consiste
à rendre un sentiment ou une idée sans effort et
coûter. 126. L’affectation, qui est le défaut contraire au naturel,
consiste
à dire en termes brillants et recherchés des chos
. 128. La noblesse du style, qu’on pourrait appeler aussi dignité,
consiste
dans une certaine élévation de sentiments et de p
ttre pour venger la patrie et soutenir le bon droit. 133. La bassesse
consiste
à employer des expressions populaires, ignobles e
s simple à un style noble et élevé. 136. Le mérite des bons écrivains
consiste
à changer de style selon le sujet qu’ils traitent
La monotonie, qui est un vice opposé à la convenance et à la variété,
consiste
à employer toujours et dans tous les sujets les m
quelques mots sur l’élégance et la richesse. 145. L’élégance du style
consiste
à donner à la pensée un tour noble et poli, et à
éfaut contraire à l’élégance est la platitude ou la grossièreté. Elle
consiste
à employer des expressions basses, communes, triv
re jusqu’à la platitude et à la trivialité. 147. La richesse du style
consiste
à présenter avec une certaine abondance les pensé
ine les regarder. 149. La sécheresse, qui est opposée à la richesse,
consiste
à dire froidement les choses et à bannir toute es
sarmé. 453. Le style faible, qui est le vice contraire à l’énergie,
consiste
à n’offrir que des conceptions vagues, confuses,
eux qui n’ont pas assez médité leur sujet. 154. La véhémence du style
consiste
dans la vivacité animée par le sentiment, et elle
philosophes et chez les mathématiciens. 156. La magnificence du style
consiste
à unir la grandeur des idées ou des sentiments à
7. L’écueil à éviter dans la magnificence, c’est l’enflure. L’enflure
consiste
à employer des termes pompeux et des phrases magn
ec une puissance invincible, domine tous ceux qui en sont frappés. Il
consiste
quelquefois dans une expression, dans une pensée,
nde différence entre le sublime et le style sublime. Le style sublime
consiste
dans une suite de grandes pensées rendues avec no
les reposent. § I. Des figures de mots. 167. Les figures de mots
consistent
dans la disposition des mots ou dans la significa
ation étrangère portent le nom de tropes (τρέπω, changer). Celles qui
consistent
dans l’arrangement des mots conservent proprement
(ἄλλος, autre, ἀγορεύω, dire), qui n’est qu’une métaphore continuée,
consiste
à dire une chose pour en faire entendre une autre
arundine longâ. (Horace.) 178. L’antonomase (ἀντὶ, pour, ὄνομα, nom)
consiste
à employer un nom propre pour un nom commun, ou u
. 191. La prolepse, qu’on appelle aussi antéoccupation et subjection,
consiste
à prévenir une objection pour la réfuter d’avance
tas te terret ? sed tu paradisum mente deambulas. 193. La suspension
consiste
à tenir le lecteur ou l’auditeur dans l’incertitu
soit nécessaire de s’y arrêter. 196. La prétérition ou prétermission
consiste
à paraître passer sous silence ce qu’on dit néanm
ndante et une gradation ascendante. 204. L’ironie (εἴρων, simulation)
consiste
à présenter précisément le contraire de ce qu’on
mécanique, qu’on pourrait aussi appeler euphonie ou mélodie du style,
consiste
dans l’heureux accord des sons que l’on emploie,
à ce point de vue, dépend du nombre et de la période. 232. Le nombre
consiste
dans un certain accord des mots, des membres et d
tyle. § II. De l’harmonie imitative. 243. L’harmonie imitative
consiste
dans le parfait rapport des sous avec les choses
De la lecture. 258. La lecture, telle que nous l’entendons ici, ne
consiste
pas à parcourir rapidement les pages d’un livre p
lète et détaillée. § II. De l’analyse. 270. L’analyse (ἀνά λύω)
consiste
à décomposer un ouvrage, à le réduire à sa plus s
mise à notre étude. § III. De la traduction. 275. La traduction
consiste
à faire passer d’une langue dans une autre les pe
it13. § IV. De l’imitation. 280. L’imitation, dit Marmontel, ne
consiste
pas à copier servilement un orateur ou un poète,
mposition proprement dite. 281. Dans un sens plus étendu, l’imitation
consiste
à former son esprit, son langage, ses habitudes d
é, la brièveté, l’intérêt et l’agrément. 309. L’unité de la narration
consiste
en ce que tous les détails et tous les faits néce
ssoires, les ornements et les épisodes ; le grand mérite du narrateur
consiste
à unir ensemble l’unité et la variété. Denique s
nique sit quodvis simplex duntaxat et unum. (Horace.) 310. La clarté
consiste
à mettre dans tout son jour le fait principal, de
it de ces détails inutiles qui fatiguent le lecteur. 311. La brièveté
consiste
à mettre dans la narration ce qu’il faut et rien
ours vrai : Soyez vif et pressé dans vos narrations. 312. L’intérêt
consiste
à attacher le lecteur aux événements que l’on rac
des obstacles à surmonter pour achever l’entreprise. 313. L’agrément
consiste
dans le judicieux emploi des ornements que peut c
éunir la vérité, l’impartialité, l’ordre, la moralité. 318. La vérité
consiste
à n’affirmer que les faits certains et à donner p
s mœurs et s’attacher à rendre la couleur locale. 319. L’impartialité
consiste
à raconter les faits tels qu’ils sont, sans égard
tri ou une profonde ignorance des devoirs de l’écrivain. 320. L’ordre
consiste
à placer chaque fait dans l’endroit qui lui convi
rtant et le mettre dans tout son jour. 321. La moralité de l’histoire
consiste
à bien juger les hommes et les événements, à mont
tique sont la vraisemblance et l’intérêt progressif. La vraisemblance
consiste
à présenter des faits imaginés de telle manière q
qui fait une description. Comme dans un tableau le talent du peintre
consiste
à opposer les ombres à la lumière, de même l’écri
n soit le soir. 335. La topographie (τόπος), ou description de lieu,
consiste
à décrire un temple, un palais, une ville, une sc
cherché dans sa parure. 338. L’éthopée (ἔθος, mœurs, ποιέω, décrire)
consiste
à représenter les vertus ou les vices, les qualit
être trop circonspects et trop délicats sur ce point. Ces convenances
consistent
surtout dans le tact et le discernement qui nous
rhéteurs s’accordent peu sur la nature de la poésie : les uns la font
consister
dans la versification, d’autres dans l’enthousias
s ces diverses opinions, nous croyons que l’essence du génie poétique
consiste
dans l’imagination et l’inspiration. 375. L’imagi
du nombre, de l’harmonie, de la rime ou de l’élégance des vers. Elle
consiste
dans l’usage privilégié de certaines hardiesses,
ce et d’harmonie, on fait usage de la transposition ou inversion, qui
consiste
à intervertir l’ordre grammatical des mots. Quelq
récisément dans l’inspiration et dans cette action de la divinité que
consiste
la poésie sacrée. 430. Les cantiques de Moïse et
u, une fin. Le commencement, qu’on appelle aussi exposition du sujet,
consiste
dans les causes qui déterminent l’action ; le mil
onseil ou de leur bras, de leur crédit ou de leur fortune. Son talent
consistera
précisément à réunir et à combiner leurs talents
mpose de chants. Ce récit peut se faire de deux manières. La première
consiste
à raconter les faits selon l’ordre chronologique,
enre. Au-dessous de ce genre badin est encore le poème burlesque, qui
consiste
à prêter à des héros ou à des dieux un langage ba
raisemblance, l’intégrité, l’unité. 490. La vraisemblance de l’action
consiste
à ne mettre sur la scène que ce que l’humée voit
s elle doit toujours être vraisemblable. 491. L’intégrité de l’action
consiste
à lui donner une juste étendue. Il faut donc qu’e
la surprise et détruire tout l’intérêt. 498. Le nœud ou intrigue, qui
consiste
dans les obstacles à l’accomplissement de l’actio
és et demandent beaucoup de richesses et d’ornements. La grande règle
consiste
à proportionner le style au rang, au caractère et
rler cependant un langage décent, pathétique et moral. L’art du poète
consiste
à embellir l’action qu’il met sur la scène, en él
n’est plus guère que la poésie descriptive. 547. Le poème descriptif
consiste
donc à décrire uniquement pour le plaisir de décr
asser L’une à dormir, et l’autre à ne rien faire. 582. L’inscription
consiste
en quelques vers placés sur un édifice, un monume
re et habituelle à réussir dans une chose : à l’égard des lettres, il
consiste
dans l’aptitude à donner aux sujets que l’on trai
des hommes cultivés est en état de le sentir. La production du talent
consiste
à donner la forme, et la création du génie à donn
lières des pensées ? 51. Qu’est-ce que la pensée simple ? 52. En quoi
consiste
la naïveté de la pensée ? 53. La naïveté exclut-e
Que faut-il observer sur les mots considérés isolément ? 87. En quoi
consiste
la pureté de langage ? 88. Qu’y a-t-il de plus co
barisme que d’employer des mots contrairement à l’usage ? 90. En quoi
consiste
la propriété du langage ? 91. Qu’est-ce qui rend
ue la phrase, et combien de conditions doit-elle réunir ? 94. En quoi
consiste
la correction ? 95. La correction est-elle bien i
défend la correction par rapport à l’emploi des pronoms ? 98. En quoi
consiste
la précision ? 99. Quel est le défaut contraire à
sion ? 99. Quel est le défaut contraire à la précision ? 100. En quoi
consiste
l’ordre à donner aux mots dans une phrase ? 101.
? 112. Est-il quelquefois permis d’obscurcir sa pensée ? 113. En quoi
consiste
la pureté du style ? 114. De combien de manières
n de manières peut-on pécher contre la pureté du style ? 115. En quoi
consiste
le néologisme ? 116. Ne fait-on pas, en notre tem
rdire aux écrivains l’emploi de tous les mots nouveaux ? 119. En quoi
consiste
le défaut qu’on appelle archaïsme ? 120. Qu’appel
qu’on appelle archaïsme ? 120. Qu’appelle-t-on purisme ? 121. En quoi
consiste
le naturel dans le style ? 122. •Quelle différenc
acilité ne résulte-t-elle pas du naturel dans le style ? 126. En quoi
consiste
l’affectation ? 127. Quelle impression produit su
pression produit sur le lecteur l’affectation du style ? 128. En quoi
consiste
la noblesse du style ? 129. La noblesse ne convie
? 132. Qu’est-ce qui fait la noblesse des expressions ? 133. En quoi
consiste
la bassesse du style ? 134. Qu’est-ce que la conv
137. La variété ne résulte-t-elle pas de la convenance ? 138. En quoi
consiste
la monotonie ? 139. À combien de genres différent
ar quels moyens le style tempéré parvient-il à plaire ? 14 5. Eu quoi
consiste
l’élégance du style ? 140. Quel est le défaut con
faut contraire à l’élégance, et en quoi consiste- t-il ? 147. En quoi
consiste
la richesse du style ? 148. Quand est-ce que l’ex
u style ? 148. Quand est-ce que l’expression est riche ? 149. En quoi
consiste
la sécheresse ? 150. Qu’est-ce que le style subli
du style ? 153. Quel est le vice contraire à l’énergie ? 154. En quoi
consiste
la véhémence du style ? 155. Qu’est-ce que le sty
véhémence du style ? 155. Qu’est-ce que le style froid ? 156. En quoi
consiste
la magnificence du style ? 157. Quel est l’écueil
e différence y a-t-il entre une image et une métaphore ? 175. En quoi
consiste
l’allégorie, et comment la distinguez-vous de la
ute une composition ? 177. Qu’est-ce que la catachrèse ? 178. En quoi
consiste
l’antonomase ? 17.9. Quand est-ce qu’a lieu la mé
uand est-ce que la prolepse prend le nom de subjection ? 193. En quoi
consiste
la suspension ? 194. Qu’est-ce que la concession
ue la concession ? 195. Qu’est-ce que la communication ? 196. En quoi
consiste
la prétention ou prétermission ? 197. Qu’est-ce q
-t-il ? 224. I/harmonie a-t-elle une grande importance ? 225. En quoi
consiste
l’harmonie du style et d’où résulte-t-elle ? 226.
s et fortes ? 231. D’où résulte l’harmonie des phrases ? 232. En quoi
consiste
le nombre ? 233. Que demande la respiration, l’es
? 242. Quand est-ce que le style est appelé périodique ? 243. En quoi
consiste
l’harmonie imitative ? 244. L’harmonie imitative
257. Combien d’exercices embrasse l’étude des modèles ? 258. En quoi
consiste
une lecture bien entendue des modèles ? 259. La l
9. La lecture doit-elle être accompagnée de réflexions ? 270. En quoi
consiste
l’analyse ? 271. Combien d’opérations comprend l’
s’applique.t-elle pas à tous les genres de composition ? 275. En quoi
consiste
la traduction ? 276. La traduction est-elle un pu
ombien de choses faut-il considérer pour bien traduire ? 280. En quoi
consiste
l’imitation proprement dite ? 281. Comment faut-i
8. Quelles sont les qualités générâtes de la narration ? 309. En quoi
consiste
l’unité de la narration ? 310. En quoi consiste l
ration ? 309. En quoi consiste l’unité de la narration ? 310. En quoi
consiste
la clarté de la narration ? 311. En quoi consiste
tion ? 310. En quoi consiste la clarté de la narration ? 311. En quoi
consiste
la brièveté de la narration ? 312. En quoi consis
on ? 311. En quoi consiste la brièveté de la narration ? 312. En quoi
consiste
l’intérêt de la narration ? 313. Quels sont les o
t les qualités particulières à la narration historique ? 318. En quoi
consiste
la vérité de la narration historique ? 319. En qu
En quoi consiste la vérité de la narration historique ? 319. En quoi
consiste
l’impartialité de l’histoire ? 320. Quel est l’or
mplicité ? 346. Que demande le naturel dans une lettre ? 347. En quoi
consiste
la réalité ? 348. Quel est le genre d’abandon qui
la poésie dans le sens le plus large et le plus étendu ? 374. En quoi
consiste
l’essence du génie poétique ? 375. Qu’est-ce que
y a-t-il de combinaisons pour la disposition des rimes ? 403. En quoi
consiste
l’arrangement des rimes plates ou suivies ? 404.
e poème héroï-comique ? 482. Qu’est-ce que le poème badin, et en quoi
consiste
le poème burlesque ? 483. Qu’est-ce que le roman
nt les qualités essentielles à toute action dramatique ? 490. En quoi
consiste
la vraisemblance de l’action ? 491. En quoi consi
e ? 490. En quoi consiste la vraisemblance de l’action ? 491. En quoi
consiste
l’intégrité de l’action ? 492. Qu’exige l’unité d
l’action et quelle est la fin de l’exposition du sujet ? 498. En quoi
consiste
le nœud ou l’intrigue et d’où découle-t-il ? 499.
descriptif chez les anciens et qu’est-il de nos jours ? 547. En quoi
consiste
le poème descriptif et quels sont les principaux
(2e Leçon) — Chapitre Ier. Invention2. 1. L’art de la composition
consiste
à rassembler plusieurs idées, à les mettre en ord
éclamation et les gestes du narrateur et de l’orateur. 4. L’invention
consiste
à créer un sujet. 5. Le sujet doit d’abord occupe
tion a des préceptes spéciaux pour chacune. Questionnaire. 1. En quoi
consiste
l’art de la composition ? 2. Voilà bien des chose
ème partie à ajouter aux trois que vous venez de citer ? — 4. En quoi
consiste
l’invention ? — 5. Dites un mot de plus de ce que
les événements le fournissent. 2. Le travail de l’invention oratoire
consiste
à trouver les moyens de persuader, c’est-à-dire,
n suivant les conseils qu’on lui donne. 11. Les bienséances oratoires
consistent
dans l’art de ne rien dire qui ne soit convenable
1. S’occupe-t-on souvent de son sujet dans un discours ? — 2. En quoi
consiste
le travail de l’invention oratoire ? — 3. Comment
ue la bienveillance ? — 10. Qu’est-ce que la prudence ? — 11. En quoi
consistent
les bienséances ? — 12. Qu’est-ce que les précaut
position : 1° l’ordre, — 2° la gradation, — 3° l’harmonie. 3. L’ordre
consiste
à séparer les matériaux de l’invention en autant
te, et la seconde gradation descendante. 5. Le mérite de la gradation
consiste
en ce que le discours ou l’action suit une marche
tomber sa proie. Ces deux derniers vers préparent le dénouement, qui
consiste
en ces seuls mots : Le renard s’en saisit… 13.
bien y a-t-il de qualités requises dans la disposition ? — 3. En quoi
consiste
l’ordre ? — 4. Qu’est-ce que la gradation ? — 5.
uoi consiste l’ordre ? — 4. Qu’est-ce que la gradation ? — 5. En quoi
consiste
le mérite de la gradation ? — 6. Qu’est-ce que l’
dans le style. 8. Le pléonasme (plein d’abondance) est une figure qui
consiste
à se servir de mots inutiles pour le sens, mais q
Dieu peut bien des méchants arrêter les complots. 13. La conjonction
consiste
à répéter la même conjonction qui lie tous les me
s servant au dialogue, comme dit-il, reprit-il, etc. 16. L’apposition
consiste
à mettre ensemble sans conjonction deux noms dont
apporta recule épouvanté. [Racine.] 7. La métonymie est un trope qui
consiste
à mettre un mot à la place d’un autre. Métonymie
12e Leçon) — Suite des Tropes12. 1. La catachrèse est un trope qui
consiste
en un assemblage de mots qui semblent disparates,
et un bras de rivière n’est qu’une simple catachrèse. 4. L’allégorie
consiste
à présenter un objet à l’esprit de manière à lui
mière hirondelle pour aux premiers jours du printemps. 8. L’hyperbole
consiste
à exagérer les choses, soit en les augmentant : e
’en est fait, dans huit jours je pars pour l’Amérique. 11. L’ironie
consiste
à dire le contraire de ce qu’on veut faire entend
e pensées, sont celles qui sont plus particulières à l’orateur. Elles
consistent
à donner à la phrase une tournure plus propre à l
n, 24° l’Optation, 25° le Serment, 26° la Prosopopée. 3. L’expolition
consiste
à répéter plusieurs fois la même chose en termes
aveur d’une cause riche en preuves de toutes sortes. 8. La permission
consiste
à tout permettre à l’auditeur ; la subjection, à
ir violent d’obtenir quelque chose. 16. Le serment est une figure qui
consiste
à ajouter à son affirmation des circonstances ext
établis sent la sincérité d’une manière solennelle. 17. La prosopopée
consiste
à faire par1er ou agir une personne absente ou mo
ures ; je me réserve de vous fournir des exemples. Et d’abord en quoi
consistent
l’expolition et l’accumulation ? — 4. Précisez l’
pse ? —7. Que fait l’orateur au moyen de la concession ? — 8. En quoi
consistent
la permission et la subjection ? — 9. Qu’est-ce q
ion et de l’optation ? — 16. Qu’est-ce que le serment ? — 17. En quoi
consiste
la prosopopée ? (15e Leçon) — Section II. Spl
dessus des actions ordinaires de l’homme. 7. La majesté dans le style
consiste
à parler dignement et gravement des choses sainte
n présente à l’esprit une belle pensée en termes choisis. 9. La pompe
consiste
à donner à son sujet tout l’éclat dont il est sus
mplace à propos une expression trop commune. 11. La richesse du style
consiste
dans l’abondance des idées sur le même sujet, et
e sujet, et dans l’expression concise qui les rend ; et la profondeur
consiste
à exprimer en peu de mots un sens très étendu. 12
le sublime ? — 6. Quelles sont les sources du sublime ? — 7. En quoi
consiste
la majesté ? — 8. À quels sujets convient la magn
majesté ? — 8. À quels sujets convient la magnificence ? — 9. En quoi
consiste
la pompe ? — 10. Quand la noblesse est-elle dans
uand la noblesse est-elle dans le fond et dans la forme ? 11. En quoi
consistent
la richesse et la profondeur ? — 12. Résumez ce q
t en rejetant les mots durs et désagréables à entendre. 6. La variété
consiste
à arranger son style, tantôt en le coupant au moy
pres. 7. Les inversions contribuent beaucoup à varier le style. Elles
consistent
à présenter à l’esprit les pensées dans un ordre
upable et malheureux : l’auguste misérable. 9. Le choix des épithètes
consiste
à n’employer comme telles que les adjectifs qui r
x sortes ? — 5. Que cherche-t-on au moyen de l’euphonie ?— 6. En quoi
consiste
la variété ? — 7. À quoi servent les inversions ?
s inversions ? — 8. Quand fait-on une alliance de mots ? — 9. En quoi
consiste
le choix des épithètes ? — 10. Quel effet les ima
nérique de narration toutes ces compositions de médiocre étendue, qui
consistent
en un récit plus ou moins vif et animé, et qui n’
jets austères. 11. L’élocution convenable aux portraits et caractères
consiste
dans la précision des termes, un arrangement parf
ue le caractère ? — 10. Où peut-on placer un portrait ? — 11. En quoi
consiste
l’élocution convenable aux portraits et caractère
t l’audition des vers seraient insupportables. L’art du versificateur
consiste
à ménager les degrés du repos, pour le plus grand
plet, suivant le genre de la composition. 8. Quand une composition ne
consiste
qu’en un assemblage de 3, 4, 6, 8 ou 10 vers, on
ndre aussi parfait qu’il puisse l’être. Ce sont, 1º. La vérité : elle
consiste
dans l’exacte représentation des seuls objets, ou
s objets, ou réels, ou vraisemblables, on possibles. 2º. L’ordre : il
consiste
dans la disposition et l’arrangement des parties
qui doivent former l’ensemble d’un ouvrage. 3º. La proportion : elle
consiste
dans l’assortiment convenable et l’accord mutuel
ent convenable et l’accord mutuel de ces parties. 4º. L’agrément : il
consiste
dans le judicieux emploi des richesses du style,
hesses du style, et des divers autres ornements. 5º. L’utilité : elle
consiste
dans des instructions salutaires, relatives à nos
s, relatives à nos besoins et à notre bonheur. 6º. L’honnêteté : elle
consiste
dans le respect pour la vertu, que l’auteur de la
élocution à l’imagination pour donner la forme aux idées. L’invention
consiste
donc dans l’acquisition des idées ou du moins dan
appelaient topiques, lieux ou lieux communs. La théorie des topiques
consiste
en trois points : Études générales pour préparer
êt, de mœurs, de ton, enfin unité de dessein, la plus importante, qui
consiste
à établir dans un écrit un point fixe auquel tout
cipes renferment toutes les règles du début. Le début du poëme épique
consiste
dans l’exposition et l’invocation. Le drame se co
eut considérer comme une partie de la confirmation, la réfutation qui
consiste
à combattre les arguments, à réfuter les objectio
e sont la pureté, la propriété, la précision et le naturel. La pureté
consiste
à n’employer que les termes et les constructions
qui est l’exagération de la pureté. Chapitre XVII. La propriété
consiste
à employer toujours l’expression la plus juste po
étude des synonymes et des origines des différents mots. La précision
consiste
à dire ce qu’il faut et ni plus ni moins qu’il ne
n est la diffusion et la prolixité. Le naturel ou la vérité du style
consiste
dans un parfait accord entre l’expression et la n
labes nasales, et celle des consonnes rudes et sifflantes. Le rhythme
consiste
dans la disposition, selon les lois de l’euphonie
qualité relative et qui se modifie beaucoup selon les circonstances,
consiste
à n’employer que les termes les plus généraux et
, rapide et piquante. La comparaison abrégée se nomme trope. Le trope
consiste
à transporter un mot ou une phrase de son sens pr
onne. On range parmi les allusions verbales la syllepse oratoire, qui
consiste
à prendre, dans la même phrase, un mot dans les d
té du style ? La pureté, considérée comme qualité générale du style,
consiste
à écrire correctement, c’est-à-dire à n’employer
is premiers ; nous dirons quelques mots des deux autres. 115. En quoi
consiste
le néologisme ? Le néologisme consiste à employe
des deux autres. 115. En quoi consiste le néologisme ? Le néologisme
consiste
à employer sans besoin et sans goût des termes no
fectation du style, dit Bouhours, est un éloignement du naturel. Elle
consiste
à s’exprimer d’une manière singulière, forcée et
est le défaut opposé à la dignité du style ? C’est la bassesse, qui
consiste
à présenter des pensées abjectes ou puériles, des
t contraire à la convenance et à la variété ? C’est la monotonie qui
consiste
à mettre une uniformité constante dans l’élévatio
t, et qui frappent par je ne sais quoi de spontané et d’imprévu. Elle
consiste
dans le choix de certaines expressions simples d’
se. 143. Qu’est-ce que la finesse du style ? La finesse du style
consiste
dans la délicatesse des tours et l’heureux choix
d’affectation et de monotonie. III. Délicatesse. 146. En quoi
consiste
la délicatesse du style ? La délicatesse du styl
: l’élégance, la grâce et la richesse. I. Élégance. 157. En quoi
consiste
l’élégance ? L’élégance consiste, dit l’auteur d
sse. I. Élégance. 157. En quoi consiste l’élégance ? L’élégance
consiste
, dit l’auteur des Synonymes français, dans un tou
r la sensibilité et l’imagination. III. Richesse. 163. En quoi
consiste
la richesse du style ? La richesse du style cons
163. En quoi consiste la richesse du style ? La richesse du style
consiste
dans l’abondance des pensées, la variété et l’har
uelques mots du sublime proprement dit. I. Énergie. 170. En quoi
consiste
l’énergie du style ? L’énergie du style consiste
ie. 170. En quoi consiste l’énergie du style ? L’énergie du style
consiste
dans la vigueur des pensées, dans la force des se
pressions vagues et indéterminées. II. Véhémence. 173. En quoi
consiste
la véhémence du style ? La véhémence consiste da
ence. 173. En quoi consiste la véhémence du style ? La véhémence
consiste
dans l’impétuosité des idées, dans la succession
e. 175. Qu’est-ce que la magnificence ? La magnificence du style
consiste
dans la grandeur des pensées et dans la noblesse
u’appelle-t-on figures de mots ? Les figures de mots sont celles qui
consistent
dans la disposition des mots, ou dans la signific
’éloignent des lois générales du langage ; les figures oratoires, qui
consistent
dans un certain arrangement des expressions desti
mples plus nombreux dans notre Poétique, nos 104 et 105. 197. En quoi
consiste
l’ellipse ? L’ellipse consiste à retrancher dans
oétique, nos 104 et 105. 197. En quoi consiste l’ellipse ? L’ellipse
consiste
à retrancher dans une phrase un ou plusieurs mots
gles de la syntaxe. 202. Qu’est-ce que la répétition ? La répétition
consiste
à employer plusieurs fois et avec grâce la même e
Les principales espèces de répétitions sont : 1° La conversion, qui
consiste
à terminer de la même manière les différents memb
orde et la paix suivies du calme et de la tranquillité. 204. En quoi
consistent
la conjonction et la disjonction ? La conjonctio
la conjonction et la disjonction ? La conjonction est une figure qui
consiste
dans la répétition de la même particule copulativ
égorie n’est qu’une métaphore prolongée, ou une espèce de fiction qui
consiste
à présenter un objet à l’esprit, de manière à lui
La catachrèse est une métaphore hardie et quelquefois exagérée, qui
consiste
dans un assemblage de mots qui semblent disparate
aphore en ce qu’elle ne suppose pas comme elle de comparaison, et qui
consiste
à substituer un mot à un autre, lorsqu’il y a ent
emploie pour absum ; nous le pleurons, pour il est mort. 223. En quoi
consiste
l’allusion. L’allusion est une figure qui fait s
capable D’expier son forfait. On le lui fit bien voir. 235. En quoi
consiste
la litote ? La litote ou diminution est une espè
la litote ? La litote ou diminution est une espèce d’atténuation qui
consiste
à se servir, par modestie ou par égard, d’une exp
e d’autres qui paraissent plus justes ou plus fortes. Cette figure ne
consiste
pas à corriger une faute réelle qui serait échapp
a pitié ! Racine. 244. Qu’est-ce que l’ironie ? Astéisme. L’ironie
consiste
à dire précisément le contraire de ce qu’on pense
t, dans le Lutrin, l’éloge de Louis XIV par la Mollesse. 243. En quoi
consiste
la gradation ? La gradation consiste à présenter
V par la Mollesse. 243. En quoi consiste la gradation ? La gradation
consiste
à présenter une suite de pensées, d’images ou de
lanèque sentiam. 246. Qu’est-ce que la comparaison ? La comparaison
consiste
à rapprocher deux objets qui se ressemblent soit
ne la lettre de Mme de Sévigné sur le mariage de Lauzun. 250. En quoi
consiste
la permission ? La permission est une figure qu’
s me laisser seul dans ces maux que tu vois ! Fénelon. 256. En quoi
consiste
l’imprécation ? L’imprécation est une figure par
spèces d’harmonie ? On distingue deux espèces d’harmonie : l’une qui
consiste
dans l’arrangement des mots et des phrases, c’est
ent des mots et des phrases, c’est l’harmonie mécanique ; l’autre qui
consiste
dans le rapport de ce choix, de cet arrangement a
harmonie imitative. § I. — De l’harmonie mécanique. 266. En quoi
consiste
l’harmonie mécanique ? L’harmonie mécanique cons
266. En quoi consiste l’harmonie mécanique ? L’harmonie mécanique
consiste
dans l’accord des sons entre eux, accord produit
ette harmonie demande une oreille très délicate et très exercée. Elle
consiste
dans la texture, la coupe et l’enchaînement des p
n du sens constitue la propriété essentielle de la période, sa beauté
consiste
dans le nombre. Le nombre, qui appartient à la ph
épithètes, des alliances de mots, etc. Les ornements du style ne
consistent
pas seulement dans les figures et dans l’harmonie
ransitions adroites et délicates. Les transitions simples ou communes
consistent
dans les mots, dans un adverbe ou une conjonction
de l’enseignement familier, qu’avec une grande réserve. 291. En quoi
consistent
les transitions adroites et délicates ? Les tran
itions adroites et délicates ? Les transitions adroites et délicates
consistent
dans une pensée ou une réflexion qui, paraissant
clat, la hardiesse, la force, la majesté et la sublimité. 37. En quoi
consiste
la vérité des pensées ? Une pensée est vraie qua
rce que les cœurs pervers ne sont pas heureux. La vérité de la pensée
consiste
donc à unir son objet à ce qui a de la conformité
point commettre. 40. Qu’est-ce que la clarté des pensées ? La clarté
consiste
dans la vue nette et distincte de l’objet qu’on s
été tué de la main d’une femme. Un autre défaut voisin de la naïveté
consiste
dans les pensées basses et triviales qui sont le
puissance. De Bonald. La hardiesse a pour écueil l’extravagance qui
consiste
à dire des choses invraisemblables ou complètemen
presser ardemment A qui dévorerait ce règne d’un moment. 54. En quoi
consiste
la pensée majestueuse ? Une pensée est majestueu
’un matin. Incipe, parve puer, risu cognoscere matrem. 66. En quoi
consiste
la vivacité du sentiment ? Le sentiment vif est
Chateaubriand, et plusieurs élégies des poètes allemands. 69. En quoi
consiste
le sentiment grand ou noble ? Le sentiment grand
un composé d’images. L’image est le voile matériel d’une idée, et ne
consiste
que dans un petit nombre de mots ; quelquefois mê
étudier ce qu’il faut pour bien rendre, puisque le talent d’un auteur
consiste
à bien définir et à bien peindre, d’après La Bruy
et la convenance. 91. Qu’est-ce que la pureté du langage ? La pureté
consiste
à faire usage de mots qui appartiennent véritable
rop nouveaux ou hasardés sur des autorités insuffisantes. 92. En quoi
consiste
le barbarisme de mots ? Le barbarisme, qui est l
es anciennes. 94. Qu’est-ce que la propriété des mots ? La propriété
consiste
dans le choix des mots que l’usage le meilleur et
’appelle-t-on convenance dans les mots ? La convenance dans les mots
consiste
dans une certaine dignité de ton, dans un certain
a clarté, la précision, l’unité, la force et l’harmonie. 100. En quoi
consiste
la correction ? La correction consiste à dispose
e et l’harmonie. 100. En quoi consiste la correction ? La correction
consiste
à disposer les mots d’une phrase suivant les règl
récision de la phrase ? La précision (præcidere, couper, retrancher)
consiste
à retrancher de la phrase toutes les superfluités
ies. 104. La concision diffère-t-elle de la précision ? La concision
consiste
non pas seulement à supprimer les expressions inu
position ? La composition, en matière littéraire, est un travail qui
consiste
à découvrir les pensées et les sentiments qui se
Le choix du sujet étant fait, il faut s’occuper de la préparation qui
consiste
à disposer son esprit à la composition par le cal
sentiments qu’il renferme, un ouvrage joint le mérite de l’ordre, qui
consiste
dans la bonne disposition et dans l’assortiment c
ple rappelée par Horace, qui veut que le mérite d’une sage ordonnance
consiste
à dire d’abord ce qui doit d’abord être dit, et à
dans les tableaux, comme on peut le voir dans l’Énéide. 349. En quoi
consiste
la convenance dans la description ? La convenanc
a convenance dans la description ? La convenance dans la description
consiste
à peindre l’objet sous les traits qui lui sont pr
à plusieurs choses, ne conviennent en réalité à aucune. 350. En quoi
consiste
la nouveauté ? La nouveauté consiste à rajeunir,
réalité à aucune. 350. En quoi consiste la nouveauté ? La nouveauté
consiste
à rajeunir, par l’expression ou par le tour, des
hoisir les circonstances ? C’est dans le choix des circonstances que
consiste
le grand art de la description pittoresque. Il fa
369. Qu’est-ce que la description poétique ? La description poétique
consiste
à peindre une chose qui n’existe que dans l’imagi
n fasse un récit complet, sans rien omettre d’important. 397. En quoi
consiste
la brièveté de la narration ? La brièveté de la
i consiste la brièveté de la narration ? La brièveté de la narration
consiste
, non pas précisément à raconter le fait en peu de
t que l’intérêt aille toujours croissant jusqu’à la fin. Le grand art
consiste
donc à faire naître et à augmenter sans cesse dan
nts au Pérou, et la mort de Turenne, par Mme de Sévigné. 400. En quoi
consiste
l’agrément ? L’agrément consiste dans l’emploi d
e, par Mme de Sévigné. 400. En quoi consiste l’agrément ? L’agrément
consiste
dans l’emploi des ornements qui conviennent au su
onte en prose n’est autre chose qu’une narration badine. 435. En quoi
consiste
le mérite de la narration badine ? Le mérite de
le mérite de la narration badine ? Le mérite de la narration badine
consiste
dans la forme, dans l’art de dire des riens d’une
préoccuper de donner à son style la convenance ou couleur locale, qui
consiste
dans certaines variétés, dans certaines nuances q
celle d’Homère. Il doit encore observer les bienséances du style, qui
consistent
à modifier les convenances locales suivant le goû
la simplicité, le naturel, la facilité et la convenance. 455. En quoi
consistent
la simplicité et le naturel que demande la lettre
e sentiment, nous suggéreront le langage qui conviendra. 457. En quoi
consiste
la convenance relativement aux supérieurs et infé
un ton affectueux sont de nature à lui gagner les cœurs. 458. En quoi
consiste
la convenance dans les lettres adressées à des ég
Quant à ce qu’on appelle esprit, nous dirons avec M. Pérennès, qu’il
consiste
dans cette sagacité d’intelligence qui saisit pro
fades équivoques, en bons mots sans grâce et sans sel. L’autre défaut
consiste
dans le manque de soin. Il faut dire simplement l
caractère des lettres d’affaires ? Le mérite des lettres d’affaires
consiste
à dire clairement ce qu’il faut et rien de plus.
entre elles et avec les données fournies par l’histoire. 341. En quoi
consiste
l’unité épique ? L’unité épique consiste dans l’
ar l’histoire. 341. En quoi consiste l’unité épique ? L’unité épique
consiste
dans l’unité d’action ou d’entreprise. Or, l’acti
le poète l’expose. Cette grandeur et cette importance de l’entreprise
consistent
dans l’héroïsme et la sublimité du motif détermin
ques ? Les qualités que doivent posséder les personnages de l’épopée
consistent
dans ce qu’on appelle caractères et mœurs poétiqu
r, à parler et à agir d’une manière plutôt que d’une autre. Les mœurs
consistent
dans la manière habituelle de se conduire. Les mœ
erons plus loin. 361. Qu’entendez-vous par mœurs ? Les mœurs locales
consistent
dans le ton et les manières qui conviennent au si
vieillard en jeune homme, un jeune homme en vieillard. 364. En quoi
consiste
la ressemblance dans les mœurs poétiques ? Elle
64. En quoi consiste la ressemblance dans les mœurs poétiques ? Elle
consiste
dans la conformité aux données fournies par l’his
t-ce que le merveilleux dans l’épopée ? Le merveilleux dans l’épopée
consiste
dans l’entremise des êtres qui, n’étant pas soumi
i appelé parce qu’il existe indépendamment des croyances religieuses,
consiste
à personnifier, et à habiller d’un voile transpar
récit des faits. Ce récit peut se faire de deux manières. La première
consiste
à suivre l’ordre naturel des événements, comme Ho
e siège. Alors le récit se nomme simple ou direct. La seconde manière
consiste
à se jeter brusquement au milieu des événements p
poèmes que l’on a coutume de rattacher au genre épique, parce qu’ils
consistent
essentiellement dans le récit, et que l’on compre
ue l’action paraisse ainsi plus comique. Le merveilleux qu’il emploie
consiste
dans le ministère plaisant de quelque divinité pa
rroir, dont un habile connaisseur saisit toutes les nuances. Le style
consiste
donc dans le choix et dans l’arrangement, non seu
s, Et fait des jours sereins de rues jours les plus sombres. En quoi
consiste
le plaisir que nous font éprouver ces beaux vers
La pureté de style n’est pas moins nécessaire que la clarté ; elle
consiste
à n’employer que des mots et des constructions pr
langage jusqu’à l’affectation. 3° De la propriété. La propriété
consiste
à rendre l’idée par le mot propre, tel qu’il a ét
ppelle la correction du style. 4° De la précision. La précision
consiste
à dire ce qu’il faut, avec le moins de termes pos
t qu’il est diffus, lâche ou prolixe. 5° Du naturel. Le naturel
consiste
à rendre l’idée sans effort et sans apprêt, à par
est aimable. Boileau. 6° De la noblesse. La noblesse du style
consiste
à n’employer que les termes convenables, et à évi
) l’harmonie des mots, 2) l’harmonie des phrases. L’harmonie des mots
consiste
dans le choix et l’arrangement des mots considéré
par les mouvements hardis et les figures passionnées. La magnificence
consiste
dans l’élévation des pensées, l’harmonie des péri
Qu’il mourût ! Le sublime
consiste
ici dans l’héroïque sacrifice du sentiment patern
uste, n’aurait pas écrit ainsi ; car il dit qu’on ne sait pas en quoi
consiste
l’agrément qui est l’objet de la poésie. Pourtant
jet à un autre, le lien qui unit les parties d’une composition ; elle
consiste
en un mot, un tour, une pensée, qui sert d’interm
On le fit pour cuire vos choux. 3° Litote. La litote
consiste
à dire moins pour faire entendre plus. C’est ains
oyé par les objets qui l’ont reçu. » Le néologisme est un défaut qui
consiste
à innover sans raison dans les langues, à employe
se de la forme. Sans doute, le principal mérite de ce genre de poésie
consiste
dans la justesse des pensées, la solidité des pri
Une autre manière plus poétique et plus propre à embellir ce genre,
consiste
à peindre les préceptes, c’est-à-dire à les prése
tif 262. Qu’est-ce que le poème descriptif ? Le poème descriptif
consiste
, non dans une action continue, comme l’épopée, le
Toujours peindre et toujours décrire : Dans l’art d’intéresser
consiste
l’art d’écrire. Souvent dans vos tableaux placez
et ce sont les mêmes que celles du style épistolaire. La lettre, qui
consiste
dans un entretien par écrit entre deux personnes
ces difficultés et de ces obstacles, c’est le dénoûment. 298. En quoi
consiste
la naïveté nécessaire à la fable ? Ce qui répand
aïveté, ce caractère dominant du génie de La Fontaine. Or, la naïveté
consiste
à faire croire que l’on parle sans réflexion, lor
on en général et principalement la brièveté et la clarté. La brièveté
consiste
à ne point prendre les choses de trop loin, à ne
ination et une extrême finesse sous une extrême naïveté. 306. En quoi
consiste
la simplicité du style dans la fable ? La simpli
n quoi consiste la simplicité du style dans la fable ? La simplicité
consiste
à rendre en peu de mots, et avec les termes ordin
r : … La Parque et ses ciseaux Avec peine y mordaient. 309. En quoi
consiste
le gracieux et où se place-t-il ? Nous avons déf
poulets autour de… … adieu veau, vache, cochon, couvée. 311. En quoi
consiste
la naïveté du style ? Ici encore nous renvoyons
ire, être revêtu des ornements qui lui conviennent. Or, ces ornements
consistent
dans les images et les descriptions, dans les pen
n déterminer l’objet dont on parle, il faut le définir. La définition
consiste
à donner une explication claire et précise d’une
hose n’est pas, on fait comprendre ce qu’elle est : c’est en cela que
consistent
les contraires. « Voulez-vous la paix, préparez
un ton léger qui semble insulter à sa douleur. L’art des convenances
consiste
à modifier son langage d’après le genre de compos
dépend de l’usage qu’on en fait. Dans leurs limites naturelles, elles
consistent
à aimer le bien et à détester le mal. La règle de
e. L’exemple est un genre de raisonnement fréquemment employé ; il
consiste
à conclure par des rapports de ressemblance ou d’
r ce qui n’a pas besoin de l’être. Ambiguïté des termes. Ce sophisme
consiste
à abuser du sens des mots, en les prenant tantôt
s esprits, les cœurs et les volontés par la parole. 2. L’éloquence ne
consiste
pas seulement dans l’émotion du cœur. Quintilien
ires, les répugnants et les circonstances. 30. La définition oratoire
consiste
à expliquer la nature d’une chose pour en tirer d
qu’il aime est fragile ! (Lamartine.) 32. L’énumération des parties
consiste
à parcourir les différentes parties d’un tout ou
La comparaison, qu’il ne faut pas confondre avec la figure de ce nom,
consiste
à tirer une conclusion au moyen de certains rappr
et l’ambiguïté des mots. 79. L’ignorance du sujet (ignoratio elenchi)
consiste
à prouver ce que personne ne conteste, et à imput
fait donc une double pétition de principe. 81. L’erreur sur la cause
consiste
à donner pour cause à un effet quelconque un fait
pu prévenir qu’en blessant leur conscience. 84. L’ambiguïté des mots
consiste
à prendre des termes en des acceptions différente
nsidérées dans l’orateur. 89. Les mœurs considérées dans l’orateur
consistent
dans les qualités propres à lui concilier l’estim
que la modestie serve de complément aux trois autres. 92. La probité
consiste
dans une certaine droiture de cœur qui fait que n
dit à mes paroles. (Discours pour la couronne.) 94. La bienveillance
consiste
dans le zèle que montre l’orateur pour les intérê
onne des auditeurs9. 98. Considérées dans les auditeurs, les mœurs
consistent
dans le soin que prend l’orateur de connaître le
nom de catholique. 109. Relativement aux auditeurs, les bienséances
consistent
à observer les égards qui sont dus à leurs qualit
ne convient pas. Relativement aux passions oratoires, le discernement
consiste
à connaître la nature et le caractère de chaque p
rde pompeux, et l’exorde véhément ou ex abrupto. 171. L’exorde simple
consiste
à indiquer brièvement et sans art le sujet qu’on
duits à consulter encore. (1re Philippique.) 172. L’exorde insinuant
consiste
à pénétrer adroitement dans l’esprit et le cœur d
grand que cette possession est plus précieuse. 173. L’exorde pompeux
consiste
à déployer, dès le début du discours, tout ce que
tis terram. 174. L’exorde véhément, qu’on appelle aussi ex abrupto,
consiste
à se jeter brusquement en matière et à prendre dè
éron dans sa Milonienne. 186. Le grand art de la narration judiciaire
consiste
à préparer l’esprit des juges aux preuves que l’o
t s’il emploie des termes simples et naturels. » 189. La brièveté ne
consiste
pas précisément à se renfermer dans peu de mots,
ques rhéteurs pensent que la meilleure manière d’arranger les preuves
consiste
à commencer par les moins frappantes pour s’éleve
rme aride et compassée sous un tour rapide et gracieux. La difficulté
consiste
à faire valoir chaque preuve de la manière la plu
eur genre d’amplification est sans contredit celui de Démosthènes. Il
consiste
uniquement à donner à ses raisonnements de la for
ondance. 217. La prolixité, qui est peut-être le vice le plus commun,
consiste
à noyer une pensée dans une multitude de mots sup
qu’on lit, et la stérilité fait place à l’abondance. 219. La futilité
consiste
à se jeter dans des détails inutiles et frivoles.
La surabondance est un défaut moins à craindre que la futilité : elle
consiste
à entasser avec profusion les expressions et les
mation quand l’orateur a de grands préjugés à vaincre. La méthode qui
consiste
à renvoyer toutes les objections à la fin du disc
ut exprimer ses pensées. Or, d’après Cicéron, la manière de s’énoncer
consiste
en deux choses, l’action et la parole : Quo modo
Article deuxième. De la convenance du style. 256. La convenance
consiste
à changer le style selon le sujet que l’on traite
on. 265. L’action, dit Cicéron, est comme l’éloquence du corps et
consiste
dans la voix et le geste . Démosthènes, interrogé
2. La mémoire des choses ou des idées est mille fois préférable. Elle
consiste
, non à retenir servilement le texte d’un discours
qu’on ne fait dans la conversation ordinaire. Tout le secret de l’art
consiste
à étudier ces nuances diverses dans les personnes
its il y a de légères suspensions à faire. La seconde espèce de repos
consiste
à s’arrêter avant ou après une pensée saillante ;
elle s’occupe des choses beaucoup plus que des mots, et ne fait point
consister
l’éloquence à polir une phrase ou à compasser une
combattre ce préjugé, et faire comprendre aux fidèles que la sainteté
consiste
dans les vertus communes et dans cette piété unif
u panégyrique la forme morale ou la forme historique. La forme morale
consiste
à diviser le panégyrique d’après les deux ou troi
le saint et qui forment le fond de son caractère. La forme historique
consiste
à diviser le discours d’après les époques ou les
ans la conscience de ceux qui l’écoutent. Cette rectitude de jugement
consiste
à bien poser la question, à montrer nettement l’o
et qu’ils ignorent les besoins des hommes : c’est que la magnanimité
consiste
à se croire capable d’exécuter de grandes choses,
istère, et c’est surtout dans les devoirs de notre condition que doit
consister
notre piété ; mais, du reste, que cette parfaite
tions préliminaires. 1. Qu’est-ce que l’éloquence ? 2. L’éloquence
consiste-t
-elle seulement dans l’émotion du cœur ? 3. Tous l
-ils ? 29. Quels sont les principaux lieux intrinsèques ? 30. En quoi
consiste
la définition oratoire ? 31. Comment la définitio
oratoire diffère-t-elle de la définition philosophique ? 32. En quoi
consiste
l’énumération des parties ? 33. Que faut-il enten
sorte ? 78. Combien compte-t-on de genres de sophismes ? 79. En quoi
consiste
l’ignorance du sujet ? 80. Qu’est-ce que la pétit
-on tirer une conclusion générale d’un fait particulier ? 84. En quoi
consiste
l’ambiguïté des mots, et de combien de manières t
nditions faut-il à un orateur pour plaire à l’auditoire ? 89. En quoi
consistent
les mœurs considérées dans l’orateur, et quelle e
les sont les principales vertus nécessaires à l’orateur ? 92. En quoi
consiste
la probité, et quelle est son importance ? 93. Qu
? 93. Que faut-il entendre par prudence dans l’orateur ? 94. En quoi
consiste
la bienveillance, et que produit-elle sur les aud
la bienveillance, et que produit-elle sur les auditeurs ? 95. En quoi
consiste
la modestie, et quelle est sa nécessité ? 96. Out
omment l’orateur montrera-t-il qu’il possède ces vertus ? 98. En quoi
consistent
les mœurs considérées dans les auditeurs, et comm
es bienséances relativement à la personne de l’orateur ? 109. En quoi
consistent
les bienséances relatives aux auditeurs ? 110. Qu
s orateurs ? 170. Combien y a-t-il d’espèces d’exordes ? 171. En quoi
consiste
l’exorde simple, et quand faut-il l’employer ? 17
-il l’employer ? 172. Qu’est-ce que l’exorde insinuant ? 173. En quoi
consiste
l’exorde pompeux, et à quels sujets convient-il ?
nsiste l’exorde pompeux, et à quels sujets convient-il ? 174. En quoi
consiste
l’exorde véhément ou ex abrupto ? 175. L’exorde v
un discours ? 185. Où se place la narration judiciaire ? 186. En quoi
consiste
le grand art de la narration judiciaire ? 187. Qu
la clarté de la narration, et quelle est sa nécessité ? 189. En quoi
consiste
la brièveté de la narration ? 190. Que demande la
? 190. Que demande la vraisemblance dans la narration ? 191. En quoi
consiste
l’intérêt de la narration judiciaire ? 192. Qu’es
défauts ordinaires des amplifications des jeunes gens ? 217. En quoi
consiste
la prolixité, et d’où vient-elle ? 218. D’où vien
D’où vient la stérilité, et comment peut-on y remédier ? 219. En quoi
consiste
la futilité ? 220. La surabondance est-elle un dé
2. Quelles sont les principales qualités d’un bon plan ? 243. En quoi
consistent
la justesse, la netteté, la simplicité et la féco
55. Faut-il écrire un discours comme on écrit un livre ? 256. En quoi
consiste
la convenance ? 257. Les trois genres de style ne
avantages et les inconvénients de la mémoire des mots ? 272. En quoi
consiste
la mémoire des choses, et quelle est son utilité
d’éloquence ? 300. Quel est l’objet de l’éloquence sacrée, et en quoi
consiste
la prédication ? 301. L’éloquence sacrée est-elle
Ne peut-il pas y avoir de l’éloquence dans les écrits ? 415. En quoi
consiste
l’éloquence des philosophes et des moralistes ? 4
a manière dont nous rendons nos pensées. Voyons d’abord en quoi elles
consistent
, et quelles en sont les qualités. Définition et
s’offre à l’esprit, sans que celui-ci paraisse l’avoir cherché. Elle
consiste
, dit le P. Bouhours 1, dans je ne sais quel air s
é. Verrès, citoyen romain, exerçant en Sicile la préture, charge qui
consistait
à rendre la justice, voulait s’approprier les col
finesse, de la profondeur, de l’esprit ? Quelle erreur ! L’esprit n’a
consisté
ni ne consistera jamais dans une manière de s’exp
profondeur, de l’esprit ? Quelle erreur ! L’esprit n’a consisté ni ne
consistera
jamais dans une manière de s’exprimer entortillée
e, la propriété des termes. Il suffira de dire simplement en quoi ils
consistent
, pour en donner une idée claire et distincte. Le
mprend le néologisme et l’enflure. Néologisme. Le Néologisme ne
consiste
pas seulement à introduire des mots nouveaux qui
cela, ne serait pas bien entendue. Enflure. L’Enflure du style
consiste
, ou à présenter des pensées simples et communes s
spèce, les mots conservent leur signification propre : ces figures ne
consistent
donc que dans un certain emploi de ces mots. Les
le caractère d’une passion fougueuse, d’un sentiment vif et profond,
consiste
à répéter plusieurs fois avec grâce les mêmes exp
servir Dieu selon l’esprit du monde. » Gradation. La Gradation
consiste
à présenter une suite d’idées, d’images ou de sen
ivre. » Adjonction. L’Adjonction, différente de la répétition,
consiste
à n’exprimer qu’une fois ce à quoi plusieurs part
et les périls dont elle était menacée. Métonymie. La Métonymie
consiste
à se servir d’un nom pour un autre, lorsqu’il y a
on. [Perception intellectuelle] 1° La perception intellectuelle
consiste
à voir sans nuages dans son esprit l’idée qu’on v
it, ou moins nette ou plus pure. (Id.) [Naturel] 3° Le naturel
consiste
à rendre une idée sans efforts comme si elle se p
opriété du mot surtout que dépend la clarté du discours. La propriété
consiste
à rendre une pensée par le terme qui convient seu
N’en défend pas nos rois. [Précision] 8° La précision
consiste
à exprimer une idée d’une manière si exacte qu’on
Abondance. 2. Le Pléonasme (plein d’abondance) est une figure qui
consiste
à se servir de mots qui sont inutiles pour le sen
nction est une figure qui tire son nom du mot même qui la forme. Elle
consiste
dans la répétition de la conjonction qui lie tous
chez point. (Lafontaine.) VIII. Apposition. 8. L’apposition
consiste
à mettre ensemble sans conjonction deux noms dont
L. Rac.) IX. Onomatopée. — Imitation des sons. 9. L’onomatopée
consiste
dans la formation d’un mot, dont le son est imita
nte. VIII. Hyperbole. — Excès. 17. L’hyperbole est un trope qui
consiste
à dire des choses plus fortes et plus étendues qu
la rage. Il y a encore une autre figure qu’on nomme antiphrase et qui
consiste
à employer une locution, une phrase dans un sens
s bel effet. Il est facile d’apercevoir par ce peu d’exemples en quoi
consiste
le mérite de l’allusion, et quelles précautions l
indépendantes des mots, et subsistent, malgré leur changement. Elles
consistent
à donner à la phrase une tournure plus propre à l
parlerai quand il en sera temps. I. Expolition. 26. L’expolition
consiste
à répéter plusieurs fois la même chose en termes
mes chagrins, mes peines. VIII. Dubitation. 33. La dubitation
consiste
à exposer plusieurs idées et à se montrer embarra
pensée, ou qui ne la rend qu’imparfaitement. L’artifice la correction
consiste
à faire remarquer l’expression nouvelle qu’on emp
’endure ! (C.) XXV. Serment. 49. Le serment est une figure qui
consiste
il ajouter à son affirmation des circonstances ex
popée est la plus hardie et la plus belle de toutes les figures. Elle
consiste
à faire agir ou parler une personne absente ou mo
âme son effet surnaturel. II. Majesté. La majesté dans le style
consiste
à parler dignement et gravement des choses sainte
par elle-même, et magnifiquement exprimée. IV. Pompe. La pompe
consiste
à donner à son sujet tout l’éclat dont il est sus
Je n’ai pas besoin de recommander la noblesse d’expression, celle qui
consiste
à rejeter les mots trop bas ou à les employer au
r considération personnelle. VI. Richesse. La richesse du style
consiste
dans l’abondance des idées sur le même sujet, et
rtent toutes à une seule : Dieu VII. Profondeur. La profondeur
consiste
à exprimer un sens très-étendu en peu de mots, de
ui cherche partout des moyens pour vaincre. L’énergie de l’expression
consiste
dans ce mot, un ennemi. Un seul ennemi n’est pas
ts, et dire par exemple : Le thé a-t-il guéri ton rhume ? L’euphonie
consiste
dans l’ harmonie des mots entre eux, et son but e
es pensées fine, naïve, délicate et badine. PENSÉE FINE. La finesse
consiste
dans l’art de s’emparer d’une pensée ordinaire, e
se littéraire. L’analyse, que nous nommerons aussi décomposition,
consiste
à examiner séparément les éléments constitutifs d
ns le style ou la pensée. On distingue deux sortes d’enflures : l’une
consiste
dans des pensées simples et vulgaires qu’un espri
n veut, à ce tour de phrase, « car il n’est pas en mon pouvoir… » qui
consiste
à passer brusquement du style indirect au style d
tion, Action. Première partie. Invention. L’invention oratoire
consiste
à découvrir dans un sujet tout ce qu’il contient
suit et voit échapper. Énumération des parties. L’énumération
consiste
à détailler les diverses parties d’un tout pour j
tion, et c’est là ce qu’on nomme argumenter. L’art de l’argumentation
consiste
donc à poser en principe une proposition d’une ce
ét., II, ch. xx), lequel remarque ailleurs que « le discours oratoire
consiste
tantôt en exemples, tantôt en enthymèmes et que c
personnel. Reste enfin l’argument dit personnel ou ad hominem. Il
consiste
à opposer à la partie adverse ce qu’elle a dit ou
Deuxième partie. Disposition. La disposition, dans l’art oratoire,
consiste
à mettre, chacune dans leur ordre, les parties fo
es attribue. Enfin, une qualité spéciale que doit avoir la narration,
consiste
en ce que les ornements, les agréments du style s
L’ignorance du sujet ou, en termes de l’école, ignoratio elenchi, qui
consiste
à prouver ce qui n’est pas mis en question ou ce
tous les ornements dont le sujet peut être susceptible, c’est en quoi
consiste
l’élocution. Qu’un peintre veuille composer un ta
ion naïve ou délicate, grande, forte ou vive. La naïveté de la pensée
consiste
dans je ne sais quel air ingénu mais spirituel et
écision, la convenance. Joignez-y le naturel et l’harmonie. La pureté
consiste
à n’employer que des mots, locutions ou tours de
opriété, mais encore de leur arrangement. Or, l’habileté de l’orateur
consistera
à les arranger de telle sorte que leur concours e
’arrangement qui est le plus propre à donner de la force au discours,
consiste
à disposer certaines expressions de manière qu’il
scours périodique opposé au style coupé. Tout le secret de la période
consiste
dans l’emploi de certaines particules qui servent
L’harmonie poétique répond exactement à la mélodie du chant. Elle
consiste
dans une succession naturelle et sensible de sons
s de vers qui demandent, du début à la fin, un style simple : le goût
consiste
à ne pas s’y méprendre. Ne serait-il pas ridicule
Au genre simple se rattache le genre naïf qui en est une variété. Il
consiste
à dire les choses de manière que la réflexion ne
n étalage. La finesse, qu’on peut définir la délicatesse de l’esprit,
consiste
à laisser deviner sans peine une partie de sa pen
e de la finesse, ne serait plus qu’affecté, maniéré. Or, le grand art
consiste
à faire goûter ce qu’on dit, plus qu’à faire admi
Art. III. Style sublime. Le style sublime, différent du sublime,
consiste
à exprimer en termes nobles et pompeux une suite
places Qu’on voit fumer encor du sang des Curiaces ‘ ? Cette figure
consiste
pareillement à faire des questions ménagées avec
icté. Concession. La concession, autre figure de raisonnement,
consiste
, suivant l’expression du mot, à concéder quelque
rection ou épanorthôse (du grec ἐπαρνόρθωσις) figure de raisonnement,
consiste
à corriger, rétracter ou atténuer ce qu’on vient
on. La prétérition ou prétermission, autre figure de raisonnement,
consiste
à feindre de passer sous silence ce qu’on ne dit
᾽ ἂν ἔχοιμι διεξελθεῖν, παραλείψω. » Suspension. La suspension
consiste
à faire attendre ce qu’on va dire, à l’annoncer d
plus que Mars soit jardinier. On appelle allusion nominale celle qui
consiste
dans une ressemblance accidentelle de noms et dan
ue sera-ce de le mettre en croix ? » Dialogisme. Le dialogisme
consiste
à établir un dialogue entre deux ou plusieurs int
èle des rois, vos successeurs !… » Déprécation. La déprécation
consiste
à substituer au simple raisonnement d’instantes p
répétition, la réversion, l’apposition. Adjonction. L’adjonction
consiste
à n’exprimer qu’une fois le mot ou les mots auxqu
ne connaît plus Dieu ni elle-même. » Complexion. La complexion
consiste
à finir plusieurs phrases de suite par les mêmes
sprit du monde. » Conversion. La conversion est une figure qui
consiste
à terminer les divers membres qui composent une p
e, c’est Antoine qui l’a détruite. » Répétition. La répétition
consiste
à répéter plusieurs fois les mêmes expressions, a
in des brigands à qui tu t’es donnée ? Réversion. La réversion
consiste
à faire revenir en quelque sorte les mots et tour
gréable de voir une personne qui rit. C’est dans ce rapprochement que
consiste
la métaphore. La métaphore, toutefois, diffère de
es allures. Catachrèse. La catachrèse (en grec κατάχρησις, abus)
consiste
à se servir abusivement d’un mot pour un autre, l
fie transposition ou échange de noms, nom mis pour un autre. Ce trope
consiste
donc à faire emploi d’un mot pour un autre, lorsq
. La métalepse (en grec μετάληψις) est une espèce de métonymie qui
consiste
à expliquer ce qui suit pour faire entendre ce qu
— Hypallage. L’hypallage (en grec, ἡ ὑπαλλαγή) est une figure qui
consiste
à intervertir l’ordre grammatical. Virgile, pour
servez les silences. Accents divers. La flexibilité de la voix
consiste
encore à se plier aux accents divers que réclame
ints. Les auteurs de l’Encyclopédie ont, à l’imitation de Bacon, fait
consister
la poésie dans le fond des choses, non dans la fo
les ouvrages, on ne doive compter les suivantes : 1º. La vérité. Elle
consiste
dans l’exacte représentation des objets réels, po
s vraisemblables, dans la donnée principale du livre. 2º. L’ordre. Il
consiste
dans la disposition et l’arrangement des parties
ment convenable et l’accord mutuel de ces parties. 4º. L’agrément. Il
consiste
, pour la composition, dans l’invention de détails
je considère ici dans sa forme seulement, par opposition à la prose,
consiste
dans un certain arrangement des paroles, suivant
es, et de varier la mesure. Celle qui est assez commune et fort belle
consiste
à faire rimer les deux premiers vers, et à termin
faut inventer et peindre. De l’art d’inventer. L’art d’inventer
consiste
à trouver les objets qui existent et où ils sont,
: ce sera alors dans la nature et dans la belle nature. Voilà en quoi
consiste
l’art de l’imiter, cette belle nature : voilà ce
de frapper ? Le poète doit encore s’attacher au choix des tours. Ils
consistent
dans le judicieux emploi des métaphores et des fi
ssement. Cette harmonie, un des plus puissants attraits de la poésie,
consiste
d’abord dans le mélange des rimes : j’ai déjà fai
gréablement flattée par le retour des mêmes sons. L’harmonie poétique
consiste
aussi à rompre la mesure à propos, surtout dans l
ue les préceptes les plus étendus. Il y a une harmonie imitative, qui
consiste
à faire si bien concerter les mots avec les chose
ards et la Savoie. Vol. II, nº 78. 2° Pureté La Pureté du style
consiste
à s’exprimer correctement, c’est à-dire, à se con
e sujet dont on parle, qu’on ne dit rien de superflu. » La Précision
consiste
donc à ne dire que ce qui est nécessaire, et à n’
La Vraie Gloire. Vol. II, nº 81. 4° Naturel Le Naturel du style
consiste
à rendre une idée, une image, un sentiment avec u
ils payèrent leurs peines… La Fontaine. Puisque le naturel du style
consiste
à rendre ses pensées et ses sentiments avec aisan
n à Scillonte. Vol. II, nº 83. 6° Noblesse Le Noblesse du style
consiste
à éviter les images populaires et les expressions
° Le vrai Chrétien. Vol. II, nº 85. 7° Convenance La Convenance
consiste
à adapter le style au sujet. Chaque sujet a un st
tyle doit être uni, facile, naturel et rapide. Disons d’abord en quoi
consistent
ces qualités, pour pouvoir les discerner dans les
dernière qualité que nous nommerons la Couleur locale. Cette qualité
consiste
à emprunter ses expressions, ses comparaisons, se
oposons, intitulé : Mort de Bayard, nous fera bien comprendre en quoi
consiste
ce cachet, indispensable à certaines compositions
ns suffisamment expliqué, au sujet des qualités de la phrase, en quoi
consiste
l’Harmonie, l’une des plus agréables qualités du
2° Enflure, Exagération ou Style ampoulé L’Enflure, l’Exagération
consiste
à employer hors de propos des expressions sonores
ravestis. Vol. II, nos 93 et 94. 4° Néologisme Le Néologisme ne
consiste
pas seulement à introduire les mots nouveaux qui
dre sur ses écrits ne dégénère en trivialité et bassesse, Ces défauts
consistent
à employer des expressions de mauvais goût, que l
ne fait plus aujourd’hui et qui cependant méritent d’être connus. Ils
consistent
presque toujours dans un certain arrangement des
oublé, le lai, la ballade et le sonnet. Le triolet, autrefois rondel,
consiste
à répéter le même vers trois fois dans un huitain
onfondait dans l’origine avec le triolet, qui portait le même nom. Il
consistait
comme lui à ramener le premier ou les deux premie
une sorte d’épitaphe satirique fort bien tournée, et dont l’agrément
consiste
surtout dans la suspension rapide de la fin. Ci-
sentielles du grandiose et du sublime.) I. Invention L’invention
consiste
à trouver les moyens de persuader. Pour atteindre
ce est une variété de la comparaison. Contraires Les contraires
consistent
à prouver le sujet en tirant la conclusion de deu
les plus essentielles et les plus difficiles de l’art oratoire. Elles
consistent
dans l’accord parfait des idées, des sentiments,
n, ou opportunité et mesure. II. Disposition La disposition
consiste
à mettre en ordre les matériaux fournis par l’inv
Britannicus dans Racine, etc.). 5° Confirmation La confirmation
consiste
à développer les preuves avec choix et avec ordre
es dépend des convenances du sujet. Le plus suivi et le plus puissant
consiste
à mettre les preuves les plus concluantes au débu
etc. (Tartuffe, acte I, scène v.) 6° Réfutation La réfutation
consiste
à répondre d’avance aux objections, ou à détruire
ntels ; 7° l’équivoque ou ambiguïté des mots. 1° L’ignorance du sujet
consiste
à prouver contre son adversaire ce qu’il ne nie p
(Lettre à d’Alembert sur les spectacles.) 2° La pétition de principe
consiste
à définir un objet par le terme qui a besoin d’êt
n mouvement luminaire des corps lumineux. » 4° L’erreur sur la cause
consiste
dans une induction vicieuse qui conclut d’un effe
Le naturel ; 8° La noblesse ; 9° L’harmonie. 1° Clarté La clarté
consiste
à ne laisser aucun doute sur la pensée, à la fair
ots complète la justesse des pensées. 3° Précision La précision
consiste
dans l’expression la plus juste et la plus complè
. (Nicomède, acte III, scène ii.) 6° Pureté La pureté du style
consiste
à n’employer que les termes consacrés par l’autor
qui a été le privilège de La Fontaine. 8° Noblesse La noblesse
consiste
à éviter les expressions grossières et triviales,
Indispensable à l’unité, à la force et à la grâce de la pensée, elle
consiste
dans l’habile arrangement des propositions et de
ressante et des mouvements passionnés. La véritable harmonie du style
consiste
dans l’habile mélange de la période et de la phra
le varier Une division plus simple et mieux fondée, est celle qui
consiste
à distinguer le style de la poésie du style de la
nt les expressions, elles restent toujours. Les autres, au contraire,
consistent
dans l’emploi des mots ; changez-les, la figure d
bien qu’un autre. (Acte II, scène xiv.) Réticence La réticence
consiste
à interrompre une phrase commencée qu’elle laisse
iv.) Correction La correction est un procédé de rhétorique qui
consiste
à revenir sur une idée exprimée pour la modifier
v.) Concession La concession est une figure de discussion qui
consiste
à accorder à son adversaire une chose contestable
Hypotypose L’hypotypose (ὑποτύπωσις, de ὑπὸ-τυπόω, je représente)
consiste
à peindre les objets avec des traits si saisissan
Corneille, Horace, acte IV, scène v.) Dubitation La dubitation
consiste
à feindre l’incertitude dans ses paroles ou ses a
Litote La litote ou diminution (λιτότης, de λιτός mince, petit)
consiste
à dire moins pour faire entendre plus ; c’est le
-ἐκ-δέχομαι, je reçois) est une variété de la métonymie. Cette figure
consiste
à étendre ou à restreindre le sens propre des mot
ne composition littéraire pouvait se passer de règles, que sa méthode
consiste
à n’en point avoir. La lettre, par la nature mult
tions Nous avons laissé de côté les anciennes classifications, qui
consistaient
à diviser les œuvres poétiques en grands genres e
e madrigal est une petite pièce de poésie ingénieuse et galante. Elle
consiste
à exprimer en quelques vers délicats, des pensées
gue ; 3° la comédie à tiroir. 1° La comédie de mœurs ou haute comédie
consiste
à peindre, comme dans les comédies de Molière, ta
ucun n’est le principal (L’École des maris). 2° La comédie d’intrigue
consiste
dans un enchaînement d’aventures qui se complique
riger nos défauts, mais d’amuser notre esprit. 3° La comédie à tiroir
consiste
dans une série de portraits ou de tableaux amenés
, Roucher dans Les Mois, déploient une grande facilité, mais leur art
consiste
trop souvent à ne pas appeler les choses par leur
, et plus tard chez les modernes. 6° Inscription L’inscription
consiste
en un ou plusieurs vers gravés sur un monument po
l’éloquence, n’en ont pas connu la forme la plus élevée. Chez eux, il
consistait
seulement dans l’éloge ou le blâme, le panégyriqu
Virginius Rufus, à Agricola par Tacite. Chez les modernes, les éloges
consistent
en oraisons funèbres, dont nous avons déjà parlé,
aut pas faire l’histoire au profit d’une seule idée ». L’impartialité
consiste
donc à n’avoir aucun parti pris politique ou reli
e sont : 1° Annales ou chroniques Les annales ou chroniques, qui
consistent
; le plus souvent dans un simple récit, quelquefo
e qualité des mots : La Pureté. Section II. — Pureté La Pureté
consiste
en général à parler purement sa langue et à ne se
riété des mots ; 3° Les Synonymes. § 1. Correction La Correction
consiste
d’après Boileau, à éviter les barbarismes et les
que dans le caractère ; l’atticisme des Grecs, et l’urbanité romaine
consistaient
dans une sorte d’abandon, dans une négligence aim
s monumentales. Section IV. — Élégance ou Ornements L’Élégance
consiste
dans les ornements qu’on donne au discours. Il y
armonie des périodes. § I. Harmonie des mots L’Harmonie des mots
consiste
à ne choisir que les mots les plus coulants, les
nons de l’envisager, peut s’appeler harmonie mécanique, parce qu’elle
consiste
uniquement dans les mots pris matériellement et c
utre espèce d’harmonie qu’on appelle imitative. L’harmonie imitative
consiste
à représenter les objets par le son des mots. Les
ette précieuse qualité du style, nous remarquerons que tout le talent
consiste
à conserver le plus d’égalité possible entre les
ent et par des personnages qui n’imiteraient pas. En un mot, l’épopée
consiste
dans le récit de l’action, res acta refertur, et
es choses de ce genre doivent être connues par le récit. 419. En quoi
consiste
l’intégrité de l’action ? L’intégrité de l’actio
onsiste l’intégrité de l’action ? L’intégrité de l’action dramatique
consiste
dans la juste étendue qu’on lui donne. L’action s
te voilà le milieu ; Auguste lui pardonne, c’est la fin. 420. En quoi
consiste
l’unité dramatique ? Une question littéraire, qu
, et qui est, de l’aveu de tous, la plus importante des trois unités,
consiste
dans le rapport que tous les incidents ont à un c
apporte toujours à la personne qui joue le premier rôle. 422. En quoi
consiste
l’unité de temps ? L’unité de temps, entendue d’
fondée sur la nature des choses et qui, comme dans toute composition,
consiste
dans un commencement, un milieu et une fin. Ces t
e (ἐπίτασις), doit sortir nécessairement de l’exposition du sujet. Il
consiste
dans les obstacles qui retardent l’accomplissemen
faible, et peut beaucoup pour le succès de la meilleure. 442. En quoi
consiste
l’art du dénoûment ? L’art du dénoûment consiste
leure. 442. En quoi consiste l’art du dénoûment ? L’art du dénoûment
consiste
à le préparer sans l’annoncer. Le préparer, c’est
ent réciproquement, se rencontrent, comme dans l’Avare. 447. En quoi
consiste
le dénoûment par révolution ? Le dénoûment a lie
ui n’avait plus rien à lui faire dire, puisque la perfection du drame
consiste
à faire en sorte qu’à la représentation tout se p
mais d’une tristesse stérile et par conséquent pénible. 486. En quoi
consiste
la beauté du drame ? Pour qu’un drame soit beau,
de tous les arts et de toutes les inventions de l’homme. 493. En quoi
consiste
le merveilleux dans l’opéra ? Le merveilleux de
e merveilleux dans l’opéra ? Le merveilleux de l’action dans l’opéra
consiste
dans l’intervention de quelque divinité ou de que
ens principaux de bien peindre les ridicules et les vices. Le premier
consiste
à opposer un ridicule à un autre ridicule, un vic
la comédie d’intrigue ? La comédie d’intrigue, dit un auteur comique,
consiste
dans un enchaînement d’aventures plaisantes qui t
ce qu’est ou plutôt de ce que doit être la rhétorique : La rhétorique
consiste
dans la faculté de découvrir tous les moyens poss
res d’exemples recueillis de divers orateurs et poetes, dont la grace
consiste
en la diction grecque et y est tellement attachée
ux manières de traduire les ouvrages techniques de l’antiquité. L’une
consiste
à faire passer dans notre langue toute la pensée
26 septembre 1882. La Poétique Chapitre premier La poésie
consiste
dans l’imitation. — Trois différences entre les i
es de poésie, selon la manière d’imiter. I. La troisième différence
consiste
dans la manière d’imiter chacun de ces êtres. En
cessité. II. En effet, la différence entre l’historien et le poète ne
consiste
pas en ce que l’un écrit en vers, et l’autre en p
, indépendamment de la question de vers ou de prose. Cette différence
consiste
en ce que l’un parle de ce qui est arrivé, et l’a
a reconnaissance est celle de certains personnages, il y en a une qui
consiste
en ce que l’un des deux seulement est reconnu, lo
Chapitre XVI Des quatre formes de la reconnaissance. I. En quoi
consiste
la reconnaissance, on l’a dit plus haut. Quant au
squ’à la fin de la pièce. Ainsi, dans le Lyncée de Théodecte, le nœud
consiste
dans les faits accomplis jusques et y compris l’e
claire sans être plate. II. L’élocution la plus claire est celle qui
consiste
en termes propres, mais qui est terre à terre. La
ppressé sans avoir la fièvre. Ainsi donc, nous venons de dire en quoi
consistent
la vraisemblance, le signe et la preuve matériell
quelles elles sont déjà et quelles elles peuvent être ; en quoi elles
consistent
; en quoi elles peuvent s’accroître ; quelles gue
tion de la défense du territoire, il ne faut pas ignorer en quoi elle
consiste
, mais connaître, au contraire, l’effectif des gar
enons donc chacun de ces biens de la même façon, pour voir en quoi il
consiste
. V. La noblesse, pour une race, pour un État, c’e
u point de vue des particuliers, la descendance prospère et nombreuse
consiste
à avoir à soi un grand nombre d’enfants et consti
la cession, par don ou par vente. En somme, l’essence de la richesse
consiste
plutôt dans l’usage que dans la propriété, car l’
ôt dans l’usage que dans la propriété, car l’exercice de la propriété
consiste
dans l’usage et l’usage même est une richesse. VI
humains. XI. La beauté varie suivant l’âge. La beauté du jeune homme
consiste
à avoir un corps apte à supporter les fatigues ré
igueur et de l’agilité. La beauté de l’homme, dans la force de l’âge,
consiste
à bien supporter les fatigues de la guerre et à p
réable qui, en même temps, inspire la crainte. La beauté du vieillard
consiste
à suffire aux travaux nécessaires sans mauvaise h
ison d’un excès de ces avantages. XIV. La valeur agonistique du corps
consiste
dans la réunion de la belle taille, de la force e
ire aux hommes de bien sera l’ami des gens honnêtes. XVII. Le bonheur
consiste
dans la production ou l’existence des biens qui,
mieux) que ceux qui le sont moins. En effet, l’avantage des premiers
consiste
dans l’usage prolongé qu’on en fait et celui des
ela, on voit clairement où prendre les contraires. En effet, le blâme
consiste
dans les arguments inverses. Chapitre X De
ler et que l’on a été amené à les désirer. VI. Mais, comme le plaisir
consiste
dans la sensation d’une impression et que l’imagi
n. VII. Il arrive donc nécessairement que toutes les choses agréables
consistent
soit dans la sensation des choses présentes, soit
’ensuit, nécessairement, que l’on trouve du plaisir dans les jeux qui
consistent
en combats, en concours de flûte, en joutes orato
par eux procure un avantage positif, tandis que la peine infligée ne
consiste
qu’en affronts, et ceux qui trouvent, au contrair
les catégories de personnes à qui l’on cause un préjudice, et en quoi
consiste
le préjudice causé : il y a d’abord les gens qui
njustice et donnerons toutes les autres. V. Le fait d’être préjudicié
consiste
à subir l’injustice de la part de gens qui la fon
involontairement, on voit clairement, d’après ce qui précède, en quoi
consistent
les dommages, car on a distingué précédemment les
tention (à notre égard). Sont de ce nombre et les gens dont le mérite
consiste
dans leur vertu, et les personnes qui jouissent d
loin de leur pensée. XVI. Maintenant que l’on voit clairement en quoi
consiste
la crainte, ce qui la fait naître, quel est l’éta
st d’après les explications qui précèdent. En effet, si l’indignation
consiste
à s’affliger de voir quelqu’un réussir sans le mé
des hommes qui en sont pourvus, II. Le caractère moral de la noblesse
consiste
en ce que celui qui la possède est d’autant plus
cher à l’augmenter ; et la noblesse, c’est l’honneur des ancêtres. Il
consiste
aussi à mépriser même ceux qui sont d’une conditi
uction est un point de départ. Il y a deux espèces d’exemples : l’une
consiste
à relater des faits accomplis antérieurement ; da
ectique, la réfutation et le syllogisme. XV. L’enthymème démonstratif
consiste
à conclure d’après des faits reconnus ; le réfuta
rconstances, il y a, comme conséquence, un mélange de bien et de mal,
consiste
à établir les arguments d’après cette conséquence
se tire de l’éventualité d’après laquelle le fait serait le même, et
consiste
à dire que la cause serait identique. Exemple emp
re opinion, c’est qu’à un moment donné les dieux n’existent pas. » Il
consiste
aussi, d’une manière générale, à considérer le ré
l’occupe ; en d’autres termes, décider s’il faut philosopher437. » Il
consiste
encore à dire que « donner la terre et l’eau, c’e
, ne pas combattre, dussent-ils ne pas y rester441. XX. Un autre lieu
consiste
à dire que telle chose, qui aurait pu être causée
le ait besoin d’huile. » XXIII. Un autre lieu propre à la réfutation
consiste
à examiner les faits qui ne concordent pas, pour
457. II. Les lieux des enthymèmes apparents sont d’abord le lieu, qui
consiste
dans l’expression. Une partie de ce lieu, c’est,
t un nouvel argument se produire. Une autre partie de ce premier lieu
consiste
dans l’homonymie, comme de dire que la souris est
i ce lieu tombe dans celui qui s’obtient par omission. VIII. Un autre
consiste
à présenter comme cause ce qui n’est pas cause. T
, Maintenant, on devra établir que le mérite principal de l’élocution
consiste
dans la clarté ; la preuve, c’est que le discours
ours, s’il ne fait pas une démonstration, ne remplit pas son rôle. Il
consiste
aussi à ne tomber ni dans la bassesse, ni dans l’
. Voilà donc une première cause de froideur ; il en est une autre qui
consiste
dans l’emploi des termes étranges. C’est ainsi qu
c. I. La principale condition à remplir, c’est de parler grec. Cela
consiste
en cinq choses. II. Premièrement, dans les conjon
est venue, et, après avoir causé, elle est partie. » VI. La cinquième
consiste
à nommer correctement ce qui est en grand nombre,
causé ». VII. Pratiquer le procédé avantageux d’Antimaque556, lequel
consiste
à parler de choses qui n’importent pas au sujet,
élocution continue. III. Elle procède par tours et retours quand elle
consiste
en périodes. Or j’appelle période une forme d’élo
t. I. Ces explications données sur ces points, il faut dire en quoi
consiste
ce qu’on appelle les propos piquants et les mots
e de l’adversaire. Ceux qui se rapportent à l’orateur ou au défendeur
consistent
à lancer ou à détruire une imputation (διαϐολήν).
nte. I. En ce qui concerne l’imputation à réfuter, le premier moyen
consiste
dans les arguments avec lesquels on pourrait détr
onséquent, ce procédé s’emploie en toute occasion. II. Un autre moyen
consiste
à répondre, sur les faits contestés : ou qu’ils n
oins utile, — ou quelque autre chose de ce genre. III. Un autre moyen
consiste
à dire qu’il y a erreur, malechance, nécessité. A
e haïr si j’avais agi avec l’intention qu’on me prête. » IV. Un autre
consiste
à voir si l’accusateur n’a pas été impliqué (dans
avant, soit lui-même, ou dans la personne de ses proches. V. Un autre
consiste
à voir si l’on implique (dans une imputation) des
urd’hui, lesquels ont été reconnus non coupables. VII. Un autre moyen
consiste
à lancer une imputation contre l’accusateur. Car
e se fie pas au fait690. Un lieu communément utile aux deux (parties)
consiste
à produire des conjectures. Ainsi, dans le Teucer
spions. X. Un autre moyen, pour celui qui veut lancer une imputation,
consiste
à placer un blâme sévère à côté d’un éloge insign
ien la cause des actes, — et un élément tiré de l’art, et cet élément
consiste
à démontrer ce qui existe, si la chose est diffic
la rapidité ou de la brièveté, mais de la juste mesure : or celle-ci
consiste
à dire tout ce qui rendra évident le fait en ques
II. Le point qui vient après celui-là, les faits une fois démontrés,
consiste
naturellement à les grandir et à les rabaisser ;
rale sont bien tracés par Boileau dans son Art poétique. 153. En quoi
consistent
la simplicité et la douceur du style de la pastor
la pastorale ? La simplicité, qui forme ici la qualité fondamentale,
consiste
à n’employer que les termes ordinaires, et à les
tyle de la pastorale doit être naïf et gracieux. La naïveté du style
consiste
dans le choix de certaines expressions simples, p
tre vue : Et fugit ad salices, et se cupit ante videri. Le gracieux
consiste
à montrer les choses riantes et agréables avec to
e est moins animée : ordinairement elle n’admet même pas d’action, et
consiste
en un tableau gracieux présentant des images, des
reçus ; et c’est surtout dans une ample récolte d’idées générales que
consiste
sa richesse. D’ailleurs, puisque les meilleurs es
Définition de l’invention et de la persuasion. L’invention oratoire
consiste
dans la connaissance et dans le choix des moyens
de discours. Tout cela, qu’on le nomme art, observation ou pratique,
consiste
à bien connaître les régions dans lesquelles on v
panégyriques. « Les vertus louables par elles-mêmes sont celles qui
consistent
dans un heureux naturel, dans la douceur et la bi
où procédent tous les argumens possibles. Nous avons déjà dit en quoi
consistent
ces lieux. Nous allons donner une explication de
tu, ôtent la vertu à la jeunesse. » (Caton.) La force de ces pensées
consiste
dans la connexité de la sentence avec sa raison.
l’analogie. Deuxième espèce d’induction. La 2e. espèce d’induction
consiste
à tirer une conséquence générale d’un dénombremen
Synthèse. La synthèse, qu’on appelle aussi méthode de composition,
consiste
à commencer par les généralités pour descendre en
t excellé, et particulièrement de Démosthène, apprend que l’éloquence
consiste
plus à pousser brusquement ce qui intéresse, ce q
les charmes qu’on leur attribue. « De sorte que l’art de persuader
consiste
autant en celui d’agréer qu’en celui de convaincr
ent il garde des affections secrètes qu’on pénètre avec peine ; l’art
consiste
à les déplier. Quel est alors le secret d’y parve
onforme à ce qu’en ont dit Cicéron et Quintilien. Le premier les fait
consister
à placer à propos tout ce qu’on dit et tout ce q
e trouble dans l’âme, et y exciter les plus grands mouvemens, en quoi
consiste
le triomphe de l’éloquence….. Vif, ardent, impétu
chose. La manière de traiter le ridicule par la chose, est celle qui
consiste
dans le récit, la peinture, le détail de l’objet
est dans le mot. La manière de ridiculiser par le mot est celle qui
consiste
dans un trait lancé, dont le tour piquant, le mot
e a rapport aux diverses parties du discours. La première ordonnance
consiste
à mettre à la place qui leur est marquée par la n
ans lesquelles on en aperçoit une infinité d’autres. L’unité du plan
consiste
à former un tout de parties qui soient d’accord e
vorable. On peut se rendre l’auditeur favorable par trois moyens qui
consistent
à l’intéresser par le sentiment, à attirer son at
onem. (De inv. Rh., l. I, n. 15.) L’exorde simple. Le début simple
consiste
à exposer en peu de mots et avec netteté ce dont
e. Ce qui est pur raisonnement et preuve directe du point dans lequel
consiste
la cause, est nécessairement sec et peu agréable.
ervations qui nous sont fournies par Aristote et Quintilien. En quoi
consiste
la preuve dans le panégyrique. 1°. Dans le panég
é. 1°. Il ne faut pas se faire une fausse idée de la brièveté ; elle
consiste
non pas à se renfermer en peu de mots, mais à ne
ns dix. « Quand je recommande la brièveté, dit Quintilien, je la fais
consister
non à dire moins qu’il ne faut, mais à dire tout
effets, qui, enfin, rendent un événement naturel. « La vraisemblance
consiste
à présenter les choses comme on les voit dans la
est-à-dire, qu’elle ait de l’agrément, qu’elle soit piquante. Il fait
consister
l’agrément dans une élégance propre à cette parti
nsidérée dans l’éloquence du barreau et de la tribune. La réfutation
consiste
à détruire les moyens que l’adversaire vous oppos
change sur les choses est le plus dangereux. Cette sorte de tromperie
consiste
, nous dit Aristote : 1°. A prouver autre chose qu
donne pour tel absolument et simplement. Les principaux sophismes qui
consistent
dans les mots sont : 1°. Le passage du sens divis
oles. (Cic., Orat., n. 75 et suiv. — Quint., l. XII, c. 10.) En quoi
consistent
le style simple, le style tempéré et le style sub
e simple, le style tempéré et le style sublima. Selon eux, le simple
consiste
dans l’expression nue, claire et précise de la pe
x à l’orateur, puisqu’il doit les embrasser tous, et que son habileté
consiste
à savoir les employer à propos selon la différenc
it de quelque nature qu’il soit, exige ces qualités ; les différences
consistent
dans les idées propres à chaque sujet, dans les t
De la correction. Ce que c’est que la correction. La correction
consiste
à ne se servir que de mots de la langue, à les em
le. Ce que c’est que la noblesse du style. La noblesse du style
consiste
à éviter les termes bas, les idées populaires, à
la phrase. L’art d’enchâsser les mots familiers dans le style noble,
consiste
à les associer avec des mots qui les relèvent ; à
urel. Ce que c’est que le naturel du style. Le naturel du style
consiste
à rendre ses pensées et ses sentimens avec aisanc
s explique la nature et l’usage du nombre en ces termes : « Le nombre
consiste
dans la succession de temps marqués par des inter
bjets s’identifient, pour ainsi dire, et se confondent. En quoi elle
consiste
. Pour écrire convenablement il faut penser, sent
récision, la netteté, la force, la gravité. Précision. La précision
consiste
à se renfermer tellement dans son sujet, qu’on ne
perflu. Il ne faut pas confondre cette qualité avec la concision, qui
consiste
à rendre les idées avec le moins de mots qu’il es
nt celle dont nous avons déjà parlé sous le nom d’euphonie, et qui ne
consiste
qu’à ne pas offenser les oreilles par des sons di
faut. » (Volt., Dict. phil., au mot grâce.) Finesse. « La finesse
consiste
à ne pas exprimer directement sa pensée, mais à l
ci videatur. (Rhet. ad Heren., l. IV, n. 12.) Pureté. 1°. La pureté
consiste
à ne se servir que des mots de la langue dans laq
une espèce de gradation à laquelle il ne faut jamais manquer, et qui
consiste
à ne point faire succéder une proposition de médi
règle fondamentale pour la construction des périodes et des phrases,
consiste
à communiquer ses idées dans l’ordre le plus clai
ie aux phrases et aux périodes. Moyen d’en donner aux périodes. Ils
consistent
1°. à éviter la rencontre de syllabes dures et qu
rdi, de libre. Hyperbates de pensées. Les hyperbates de pensées qui
consistent
dans le dérangement de l’ordre naturel suivant le
u contraire, subsistent indépendamment des mots qu’on emploie : elles
consistent
uniquement dans le tour donné à la pensée. Il y a
r vers moi les yeux ? (Trad. de Delille.) Antonomase. L’antonomase
consiste
à mettre un nom commun pour un nom propre, et un
d. Allégorie. La métaphore continuée devient allégorie. L’allégorie
consiste
à dire une chose pour en faire entendre une autre
rler ici. Comme ce n’est point dans une stérile abondance de mots que
consiste
la beauté d’une langue, mais dans ces tours de ph
pas, comme les tropes, au changement ou à l’emploi des mots, mais qui
consistent
dans le tour même donné à la phrase et à la pensé
e vous avez changé le tour de la phrase. Comme les figures de pensées
consistent
uniquement dans la manière de concevoir une pensé
l’âme du discours, parce que, disent-ils, toute la force de l’orateur
consiste
à augmenter ou à diminuer : Vis oratoris omnis in
développée avec une certaine abondance, il ne faut pas croire qu’elle
consiste
dans la multitude des paroles ; elle est employée
ité sont les deux qualités qui font le mérite de l’hypotypose ; elles
consistent
à saisir les traits naturels et les vrais caractè
folie, ni abandonner sans déshonneur ? » Concession. La concession
consiste
à accorder à l’adversaire, à celui contre qui on
es êtres vivans. Il y a plusieurs sortes de prosopopées. La première
consiste
à attribuer à des objets inanimés les propriétés
objets ou des personnes absentes. Une troisième espèce de prosopopée
consiste
à faire parler les présens, les absens, les morts
oint, et qu’il ne peut nous faire éprouver. Réticence. La réticence
consiste
à interrompre son discours, et à laisser entendre
’elle le sépare de ce qui ne lui convient pas. Le faux dans la pensée
consiste
donc à lier des idées qui se répugnent, ou à désu
es avec esprit qu’on doit étudier avec soin. Aristote dit que cet art
consiste
à ne se pas servir simplement du mot propre qui n
marquer la limite qui sépare la poésie de la prose. La difficulté ne
consiste
pas à reconnaître les mots que notre langue, en c
sque nous sommes obligés de traiter des questions imprévues. En quoi
consiste
l’improvisation. Il n’admet pas la possibilité d
quam non didicerit agat. (L. X, c. 7.) Le travail de l’improvisation
consiste
donc à suppléer sur-le-champ à ce qui nous avait
choses. La première est celle dont nous avons parlé jusqu’ici, et qui
consiste
à réciter fidèlement est à rendre mot pour mot ce
mot pour mot ce qu’on a appris par cœur. Mémoire des choses. L’autre
consiste
à retenir, non les mots, mais le fond, le sens, l
sidérable qu’il faut éviter, c’est de chanter en prononçant. Ce chant
consiste
à baisser ou à élever sur le même ton plusieurs m
meilleures choses tout leur effet. Articulation. 2°. L’articulation
consiste
dans l’expression nette et distincte, des lettres
amilier est celui que l’on emploie dans la conversation ordinaire. Il
consiste
dans des inflexions de voix douces et simples. L
ître et le plus sûr guide qu’on puisse suivre. La perfection de l’art
consiste
à l’imiter. Seulement, à la manière des peintres,
été, Les études les plus instructives qu’on puisse faire en ce genre
consistent
à observer la société. Le ton de la conversation
s dont il puisse faire usage quand l’occasion s’en présente. Ce fonds
consiste
en une grande abondance de choses et de mots. » (
. Comment on parvient à varier les formes de l’argumentation. En quoi
consiste
la preuve dans le panégyrique. De l’exemple dans
sse. Adoptée par Blair. Division de Cicéron et de Quintilien. En quoi
consistent
le style simple, le style tempéré et le style sub
rait presque dire les plus minutieuses, sur cette partie de l’art qui
consiste
dans le nombre et l’harmonie du style. (De Orat.,
y a une autre sorte d’harmonie, qu’on appelle harmonie imitative, qui
consiste
dans le rapport des sons de la langue avec les ob
Son importance. Ce qu’on entend par convenance du style En quoi elle
consiste
. Elle doit être considérée sous deux rapports. (
toires de M. de Lamalle. De la tribune. Dans l’improvisation. En quoi
consiste
l’improvisation. Moyens d’y réussir. Manière de s
cent grammatical. (1). Nous ne parlerons pas de l’accent tonique qui
consiste
dans une élévation et un abaissement consécutifs
Contraires, qui se rapprochent de la Comparaison et de la Définition,
consistent
à prouver le sujet en tirant la conclusion de deu
qu’elle émeut les hommes en sa faveur : ainsi dans l’éloquence, tout
consiste
à ajouter à la preuve solide les moyens d’intéres
Rollin, une espèce de passions que les rhéteurs appellent êthos, qui
consiste
dans des sentiments plus doux, plus tendres, plus
et d’attendrir, en s’insinuant doucement jusqu’au fond du cœur… Elles
consistent
, pour ceux qui sont supérieurs, et qu’on a offens
bonnes Ne fait qu’anéantir la force des couronnes : Le droit des rois
consiste
a ne rien épargner ; La timide équité détruit l’a
ts Rome soit séparée, etc. Mais un ordre plus puissant et plus suivi
consiste
à mettre les preuves les plus concluantes au débu
tion, qui est souvent nécessaire, toujours puissante et irrésistible,
consiste
à redoubler la pensée, pour la faire comprendre e
e monnaie à l’égal de la bonne ? 5° Réfutation. — La Réfutation, qui
consiste
à détruire les arguments d’un adversaire, n’est e
mes : 1° Ignorance du sujet (qui pro quo). Ce sophisme ou paralogisme
consiste
à fausser la question en démontrant ce qui n’est
l’ usage et les maximes du monde à exacte probité ; en ce qu’il fait
consister
la sagesse dans un certain milieu entre le vice e
est un paralogisme fréquent dans le monde et dans la conversation. Il
consiste
à donner pour solution la question elle-même, à d
eur des faits accidentels. C’est encore un sophisme par induction. Il
consiste
à conclure du particulier au général, d’un fait a
ions. Il y a une sorte d’éloquence propre à ce genre de discours, qui
consiste
, si je ne me trompe, à parler avec clarté et avec
larté, plus facile à définir par ses contraires que directement. Elle
consiste
à ne laisser aucun doute, aucune hésitation sur l
unes gens par l’étude des vrais modèles. 2° Propriété. — La Propriété
consiste
dans le rapport parfait du mot et de la pensée. E
ut se passer de la clarté, et qui n’existe que par elle. La Précision
consiste
à dire ce qu’il faut, et rien que ce qu’il faut,
Il faut se garder de confondre la précision et la concision. Celle-ci
consiste
à employer le moins de mots possible pour rendre
urel. — Le Naturel est difficile à définir par sa simplicité même. Il
consiste
dans le rapport parfait des pensées et des sentim
eur, et qu’il les trouve, pour ainsi dire, tout taillés, son habileté
consiste
à les mettre dans un tel ordre, et à les arranger
e. » (Histoire de Charles XII, livre II). La vraie harmonie du style
consiste
dans le mélange et le tempérament habile de la pé
d’œuvres sublimes. Au reste, l’habileté de l’orateur et de l’écrivain
consiste
à employer a propos toutes les formes de la pensé
nvient à toutes les phrases et à tous les assemblages de mots, et qui
consiste
à signifier quelque chose, en vertu de la constru
istent, quels que soient les mots employés. Les autres, au contraire,
consistent
dans l’emploi des termes : changez les mots, la f
. Id., liv. VII fab. xiv. 4° Hypotypose ou tableau sensible. — Elle
consiste
à peindre les objets avec des traits si vifs que
onymie. — La Métonymie est la substitution d’un nom à un autre. Elle
consiste
à prendre : La cause pour l’effet : ainsi, Cérés
. iv. Antonomase. — Ce trope est encore une substitution de nom. Il
consiste
à prendre : Le nom commun pour le nom propre (et
omposant : l’invention, la disposition et l’élocution. 1° L’invention
consiste
à trouver ce que l’on doit dire. Si le sujet a ét
présentent d’elles-mêmes. 3° L’élocution, qu’on appelle aussi style,
consiste
à exprimer ses idées par la parole ou par l’écrit
l’ennui à la place du plaisir qu’il croyait trouver. 3° La convenance
consiste
à se conformer aux exigences du sujet que l’on tr
ejette tout ce qui est languissant et superflu. Le sel de l’épigramme
consiste
dans un trait plaisant, ingénieux et inattendu ;
Le Madrigal peut avoir le même nombre de vers que l’épigramme : il
consiste
également dans une seule pensée ; et ces deux pet
Le Sonnet qu’on rapporte, aussi bien que le madrigal, à l’épigramme,
consiste
dans quelques pensées, dont la dernière doit avoi
bserver ces trois choses. Mais la beauté de ce petit genre de poésie
consiste
dans l’application heureuse qu’on fait des deux p
De l’Épitaphe, et de l’Inscription. De l’Épitaphe. L’Épitaphe
consiste
dans quelques vers gravés ou supposés devoir l’êt
la Suze, est la meilleure en ce genre qui s’offre à ma mémoire. Elle
consiste
en quatre vers latins que les uns attribuent au p
de la musique, etc. Pour ce qui regarde les belles-lettres, le talent
consiste
à donner un forme agréable et une disposition heu
s qui produisent un effet contraire, et il démêle en quoi précisément
consistent
ces défauts et jusqu’où ils s’écartent des règles
r pour caractères la délicatesse et la pureté. La délicatesse du goût
consiste
principalement dans la perfection de cette espèce
vous par préceptes littéraires ? Les préceptes ou règles littéraires
consistent
dans un ensemble de principes et d’observations c
Chapitre III. — Ornements du Style, qui
consistent
dans les Mots ou Figures Les figures sont des e
nées. Section I. — Figures de grammaire Les figures de grammaire
consistent
dans l’emploi d’une forme grammaticale ; ce sont
t argent sont de nature différente, c’est dans leur rapprochement que
consiste
la figure, à laquelle on a donné le nom de catach
tre chose distincte, mais que l’esprit est disposé à confondre : Elle
consiste
à prendre : 1° La cause pour l’effet, comme : viv
oins que le mot dont on se sert ne signifie dans le sens propre. Elle
consiste
à prendre : 1° La partie pour le tout et réciproq
, l’imprécation et la déprécation. § I. Répétition La Répétition
consiste
à reproduire plusieurs fois les mêmes expressions
de Polyphonte. Vol. II, nº 44. § VII. Correction La Correction
consiste
à corriger ce que l’on vient d’avancer, soit en e
ts Spartiates. Vol. II, nº 47. § VIII. Concession La Concession
consiste
à accorder quelque chose à son adversaire, pour e
sa, fille, fait usage de cette figure dans son discours. Cette figure
consiste
encore à faire des questions avec art, ou à y rép
Du latin præteritus, passé, ou de prætermissus, omis. La Prétérition
consiste
à feindre de passer sous silence ou de ne toucher
es qui plaisent par la suspension § I. Réticence La Réticence
consiste
à s’interrompre au milieu d’une phrase et à laiss
n, mi le même langage que le simple citoyen et le berger. 29. En quoi
consiste
la poésie du style ? Si la poésie des choses con
r. 29. En quoi consiste la poésie du style ? Si la poésie des choses
consiste
dans la création et la disposition des objets, la
jets, la poésie du style, ainsi appelée par opposition à la première,
consiste
dans les pensées, les expressions, les tours, les
langage mesuré ou assujéti aux lois de la versification. 36. En quoi
consiste
la versification ? La versification, de versus f
ucoup d’autres sont pleins de poésie sans faire des vers. 38. En quoi
consiste
la poésie du vers ? Pour donner une définition p
al, qui, comme l’hémistiche, porte encore le nom de repos prosodique,
consiste
dans la suspension des sons et de la voix à la fi
aphe, les mêmes caractères ou des caractères équivalents. La richesse
consiste
dans une parfaite consonnance. Quand la rime n’a
la rime ou de l’élégance du vers. Les principales licences poétiques
consistent
dans l’emploi de certaines expressions plus spéci
ants. 104. Qu’est-ce que l’inversion ? L’inversion ou transposition
consiste
à ne pas exprimer les mots dans l’ordre direct ou
x des Pensées Le second des ornements que peut recevoir le discours
consiste
dans le Choix des Pensées. « Une pensée, dit Dom
sur votre dos. » 13° Pensées brillantes Les pensées brillantes
consistent
dans le choix d’une heureuse comparaison, relevée
liberté et ses États. 18° Pensées sublimes Les pensées sublimes
consistent
en une idée, ou une suite d’idées les plus grande
les idées doivent s’accorder entre elles. Le deuxième point important
consiste
à savoir les lier ensemble, et faire en sorte qu’
ième espèce de liaison ou transition est visible, facile à saisir, et
consiste
dans certains mots, ou certaines parties de phras
vécu ce que vivent les roses, L'espace d'un matin. 5° Les contraires
consistent
à dire qu'une chose n'est pas, pour prouver ce qu
discours oratoire, aussi bien que dans le poëme dramatique, etc., ne
consiste
pas toujours à dire peu ; que cette brièveté cons
tique, etc., ne consiste pas toujours à dire peu ; que cette brièveté
consiste
à ne rien dire de trop où de déplacé. Le style de
ression. Il peut combattre par l'ironie, la pétition de principe, qui
consiste
à répondre la même chose que ce qui est en questi
mais en termes différents. La confusion de la cause avec l'effet, qui
consiste
à prendre pour cause d'un effet ce qui n'est pas
rs, quoi qu'il fasse, un mauvais écrivain. Les alliances de mots qui
consistent
à combiner heureusement des mots pour les ennobli
. L'énergie est une des qualités essentielles du style sublime ; elle
consiste
à rendre sa pensée par des expressions fortes ou
! L'élégance convient plus particulièrement au style tempéré ; elle
consiste
a n'employer que des expressions coulantes et ple
acédémonien. On dit : Il est plus fort qu'un lion, etc. 11° La litote
consiste
à dire moins pour faire entendre plus. Quand Chim
; non, c'est de l'avoir fait reine malheureuse. 19° La prétermission
consiste
à dire une chose qu'on feint de vouloir taire :
s, seigneur, me défend de poursuivre. (Racine.) 21° La La dubitation
consiste
à paraître incertain de ce qu'on doit dire ou de
tituent le genre et l'espèce ? Qu'est ce que la comparaison ? En quoi
consistent
les contraires ? A quoi servent les choses qui ré
réceptes. Selon Victor Hugo, les préceptes de la nouvelle littérature
consistent
à voir plus que des mots dans les mots, et plus q
pendant d’apercevoir entre elles une différence. La pureté du langage
consiste
, par exemple, à n’employer que les termes et les
qui sont trop nouveaux encore et employés sans autorité. La propriété
consiste
à choisir, pour nous exprimer, les termes les plu
yle concis, ne dédaigne pas les beautés du langage ; mais il les fait
consister
seulement dans le choix et dans l’arrangement des
nt ces deux espèces de fautes dans le passage suivant : « La latinité
consiste
à parler purement, sans aucun vice dans l’élocuti
la danse, par les mouvements et les attitudes du corps. Mais en quoi
consiste
cette imitation de la belle nature ? C’est ce que
ême. C’est la description vraie qui nous en est tracée, « Tout ce qui
consiste
en imitation, dit Aristote 5, est agréable, quand
, ni à la contenance des sons. Le discours mesuré y est assujetti, et
consiste
, par conséquent, dans un certain arrangement des
bonnes Ne fait qu’anéantir la force des couronnes. Le droit des rois
consiste
à ne rien épargner ; La timide équité détruit l’a
i donne en tout neuf lieux intrinsèques. 3. De la définition. — Elle
consiste
à tirer un argument de la nature même de la chose
n des parties. — Ce n’est souvent qu’une définition développée ; elle
consiste
à indiquer les différentes parties d’un tout, à m
N’en défend pas les rois. 5. Le genre et l’espèce. — Ce lieu commun
consiste
à étendre au genre ce qui est vrai de l’espéce ;
8. Utilité des lieux communs. 1. La comparaison. — La comparaison
consiste
à tirer une conclusion du rapport entre deux idée
2. Lescontraires. — Ce lieu commun est une espèce de comparaison qui
consiste
à bien faire voir ce qu’est une chose, en disant
eilleures chances de succès. La modestie qui appelle la bienveillance
consiste
bien moins à parler de soi-même en termes humbles
rateur ou l’écrivain adoucit ce qui pourrait paraître choquant. Elles
consistent
à bien se garder de heurter de front les opinions
qui est essentiel avec autant de mots qu’il convient. La brièveté ne
consiste
pas à être le plus court possible, ce serait du l
lus court possible, ce serait du laconisme et de la sécheresse ; elle
consiste
à ne dire que ce qu’il faut et surtout à ne pas r
i quand la confirmation veut faire valoir de faibles raisons, son art
consiste
à les accumuler et à les présenter dans un ensemb
sophismes de pensée. 7. Des sophimes de mots. — Les sophismes de mots
consistent
à employer les mêmes mots en leur donnant des acc
e par excellence est la pétition de principe. La pétition de principe
consiste
à proposer comme preuve à l’appui d’une opinion u
ipe peut avoir sa source dans l’ignorance du sujet, c’est-à-dire peut
consister
à déplacer la question, à traiter un point tout d
rifique qui les fait sonner. L’erreur la plus ordinaire sur la cause
consiste
à croire que deux événements qui se succèdent son
icieux est une espèce toute particulière de pétition de principe ; il
consiste
à prendre pour preuve une proposition, un jugemen
u un objet est antérieur à ses qualités ou attributs. L’ordre logique
consiste
donc à énoncer d’abord le sujet, puis le verbe, e
s dans lesquelles on pourrait les résumer. I. La construction logique
consiste
à énoncer le sujet, puis le verbe, ensuite l’attr
oposition : Dieu fait la loi aux rois. Le développement de cette idée
consiste
à substituer au simple mot Dieu trois périphrases
10. Régles de ces figures. 1. De la comparaison. — La comparaison
consiste
à rapprocher deux choses qui se ressemblent ; ain
une partie de la sienne à Colbert. 5. De l’allusion. — L’ allusion
consiste
à indiquer une chose, un fait, une personne qui o
l’avait précédée. 4. De l’hyperbole. — L’hyperbole est la figure qui
consiste
à dire plus que la réalité, à dépasser le but, af
phrase est une contrevérité ; c’est, comme l’astéisme, une figure qui
consiste
à dire le contraire de ce qu’on pense et de ce qu
à l’attente qu’elle a dû exciter. 8. De la réticence. — La réticence
consiste
à s’arrêter comme dans la suspension, mais pour l
occupation est une figure qui est surtout propre à la réfutation elle
consiste
à prévoir une objection et à se la faire d’avance
a licence. — La licence est une correction habilement déguisée ; elle
consiste
à se donner les apparences d’une liberté portée à
avoir de dur ou de pédantesque. 8. De la correction. — La correction
consiste
à se reprendre comme pour dire plus ou mieux que
on magistral et presque paternel. 3. De l’apostrophe. — l’apostrophe
consiste
à s’adresser à une personne en se détournant vive
tymologie, cette espèce de métaphore est un changement de mots ; elle
consiste
à prendre : 1° Le nom de la cause pour le nom de
lieu d’elle et ne se tairont pas. 4. De l’inversion. — Cette figure
consiste
à renverser l’ordre grammatical des mots : elle e
l hardi avait d’abord effrayé nos provinces. Quant à l’inversion qui
consiste
à débuter dans une proposition par des complément
ts dont je veux vous entretenir. 8. De l’apposition. — Cette figure
consiste
dans l’emploi de substantifs à titre d’adjectifs
l’harmonie. 3. De la correction et de la propriété. — La correction
consiste
à respecter les règles de la grammaire et de l’us
goût et U raison perdent leurs droits. 4. De la clarté. — La clarté
consiste
à faire voir au grand jour la pensée. Les mots n’
La Bruyère. 5. De la précision. — La précision est la qualité qui
consiste
à n’employer que les termes nécessaires à l’expre
iffusion ou la prolixité est le contraire de la précision ; ce défaut
consiste
à dire les choses avec plus de mots qu’il n’est n
cas qui accompagne leur décadence. 2. De la noblesse. — La noblesse
consiste
à éviter toujours les termes bas et les images gr
ses ? Que des chiens dévorants se disputaient entre eux. La noblesse
consiste
surtout à ne pas imiter Corneille quand il introd
harmonie imitative. 4. De l’harmonie des mots. — L’harmonie des mots
consiste
à chercher les sons les plus doux, les plus agréa
De l’harmonie des périodes. — L’harmonie des phrases et des périodes
consiste
dans la succession régulière et symétrique des pr
rompt. Pour qui sont ces serpents qui sifflent sur vos têtes ? Elle
consiste
encore dans l’imitation des mouvements lents ou v
ité et de la variété. — L’unité se rattache à la convenance ; elle le
consiste
à donner au style d’un ouvrage tout entier un mêm
e cela ; je vais maintenant parler de ceci ; l’habileté de l’écrivain
consiste
à voiler la nudité et la sécheresse de cet aveu.
— Le discours direct est un emploi particulier de la prosopopée ; il
consiste
à ne pas se contenter, dans un récit, de rapporte
èveté et la naïveté. 2. De la concision ou brièveté. — La concision
consiste
dans le soin d’énoncer la pensée avec le moins de
eté. — La naïveté est la perfection du naturel ; c’est la qualité qui
consiste
à dire les choses comme elles viennent, sans réfl
aut pas confondre la simplicité avec la platitude. III. La concision
consiste
à supprimer tout ornement superflu ; mais elle es
’ élégance et la finesse. 2. De la richesse. — La richesse du style
consiste
dans l’abondance des idées, des images et des mot
cherche des images nouvelles et surprenantes, il y a une richesse qui
consiste
à réveiller plusieurs idées par un seul mot, à fa
e est une qualité difficile à définir, son nom veut dire choix ; elle
consiste
en effet dans le choix d’expressions distinguées
lumière qui échauffent peu, mais qui ravissent. Le sublime de pensée
consiste
dans la grandeur d’une idée, soit exprimée simple
le Grand : Dieu seul est grand, mes frères ! Ce sublime de sentiment
consiste
dans une émotion vive et noble qui exalte l’âme e
l’ancienne méthode d’éducation oratoire, à cette méthode pratique qui
consistait
à suivre au forum un orateur qui servait de modèl
té, peut procurer à coup sûr cette facilité d’élocution. Cet exercice
consiste
à lire avec soin un morceau d’un grand classique,
t qu’on doit y ajouter comme auxiliaires. Dans ce cas tout le travail
consiste
à reconnaître ces éléments, à bien distinguer l’i
lle tirer au-delà ou en deçà du but, et s’écarter du juste milieu qui
consiste
à se régler sur le besoin. Avez-vous beaucoup de
lettre chacun doit s’imaginer qu’il l’eût écrite ainsi. La bienséance
consiste
dans l’art délicat de mettre le langage en harmon
— Sous ce titre peuvent être réunies toutes les compositions qui ne
consistent
pas simplement dans l’amplification littéraire d’
éveilla en sursaut, Une manière plus sévère de traiter un sujet moral
consiste
à développer les arguments à l’appui de la thèse
llipse (de ελλειψς, omission, manque, suppression) est une figure qui
consiste
à supprimer dans le discours un ou plusieurs mots
TICLE II. du pléonasme. Le pléonasme (de la racine πλεος, plein)
consiste
dans l’emploi de mots superflus, quant au sens et
bate. L'hyperbate (de υπερϐατον, transposition) est une figure qui
consiste
dans le déplacement, le mélange, la confusion nat
de l’hellénisme. L'hellénisme (de ελληνισµος, imitation des Grecs)
consiste
à imiter dans le discours certaines manières de p
ος, tour, changement, tiré du verbe τρἐπω, je tourne,) parce qu’elles
consistent
à changer le sens propre d’un mot en un autre sen
(de µετα, qui marque le changement, et ονοµα, nom) est une figure qui
consiste
à prendre une chose pour une autre, à substituer
he (du grec συνεχδοϰὴ, compréhension) est une espèce de métonymie qui
consiste
à prendre : 1° La partie pour le tout. Ainsi, l’o
r, au lieu de, et ονοµα, nom) est une seconde espèce de métonymie qui
consiste
à employer un nom commun pour un nom propre, ou u
L'hypallage (du grec υπαλλαγη, changement) est une figure mixte21 qui
consiste
à changer le rapport naturel des idées et des mot
te, qui porte à la fois sur la constructions et sur la pensée, et qui
consiste
à opposer les mots aux mots, les pensées aux pens
métrie. III de la périphrase. La périphrase ou circonlocution
consiste
à exprimer en plusieurs mots ce qu’on aurait pu d
ses pour l’ornement du discours, surtout en poésie. Le génie du poëte
consiste
à amuser l’imagination par des images qui, au fon
. La gradation, qui est d’un usage si fréquent parmi les orateurs,
consiste
à disposer les mots par degrés, de telle sorte qu
La litote (de λιτὸτης, simplicité, diminution) est une figure qui
consiste
à dire moins, par modestie ou par égard, pour fai
L'hyperbole (de υπερϐολη, excès, surabondance) est une figure qui
consiste
à exagérer en plus ou en moins la vérité des chos
ωπον, visage, figure, personne, et ποιεω, je fais) est une figure qui
consiste
à animer les choses purement matérielles, à leur
stes solitudes, etc. » Le degré le plus élevé de la personnification
consiste
à représenter les objets inanimés non seulement c
abolie, etc. » VIII de l’ironie. L'ironie est une figure qui
consiste
à dire le contraire de ce qu’on pense et de ce qu
erreries, etc., et se règle par l’éclat et la magnificence. — Ornatus
consiste
dans le soin des cheveux, du visage et de tout le
semblables Nous avons établi que les figures de la première classe
consistent
dans des rapprochements d’idées. Elles dérivent d
illeure définition du trope est encore celle de Quintilien : le trope
consiste
à transporter un mot ou une phrase de son sens pr
ot est une création de M. Fontanier. La personnification, disent-ils,
consiste
à faire d’un être abstrait un être réel par une s
icale, dont il sera bientôt question. La syllepse oratoire, en effet,
consiste
à prendre un mot dans les deux sens, au propre et
élèbre, mais détournés de leur sens primitif. Paronomase. Figure qui
consiste
à employer dans une même phrase, en les faisant c
commencé par les Principes de l’Art d’écrire ; principes que je fais
consister
dans la correction, dans les agréments, dans la c
uels sont les ornements dont on peut embellir le discours, et en quoi
consiste
l’éloquence. À ces trois points, qui font la divi
cours est prononcé, prononcer d’une manière convenable, voilà en quoi
consiste
l’art de la rhétorique qui est renfermé dans la d
llante ou rapide, selon que le sujet l’exige ; 3° la comparaison, qui
consiste
à rapprocher les choses des circonstances, pour c
les. La pureté du style résulte 1° de la correction grammaticale, qui
consiste
à se conformer strictement aux principes, de la l
ont des bornes fixes et qu’il est aisé de reconnaître. Le beau simple
consiste
en un point au-dessous duquel on tombe dans le tr
littérature. Style élevé. C’est dans ce genre que Cicéron fait
consister
l’éloquence tout entière, le pouvoir victorieux e
é qui répondent à la grandeur des idées ; et c’est en cela qu’on fait
consister
le sublime d’expression. Il est inutile de dire q
t d’en faire une source abondante de beautés. L’art dans cette partie
consiste
à partager le discours en un certain nombre de ta
a réticence est moins fréquente chez les orateurs qu’en poésie ; elle
consiste
à s’arrêter au milieu d’un récit, d’un développem
ues-uns regardent comme figure la périphrase où circonlocution : elle
consiste
à substituer des tours et des expressions plus do
urtout la remarquer dans les morceaux pathétiques, et on voit qu’elle
consiste
à disposer les pensées, les images, les mouvement
rendre le dernier et le plus attendrissant hommage. Ici la gradation
consiste
dans la nuance des sentiments et non pas dans le
éré ou fleuri ? — Quand y a-t-il style sublime ou pompeux ? — En quoi
consiste
ce qu’on nomme la convenance du style ? — Quelles
ont ses nombres, ses dangers ? En quel genre de style Cicéron fait-il
consister
l’éloquence ? — À quel caractère reconnaît-on le
— Citez des exemples d’anté-occupation ? — De concession ? — En quoi
consiste
la suspension ? — Donnez des exemples ? — En quoi
— En quoi consiste la suspension ? — Donnez des exemples ? — En quoi
consiste
la réticence ? — Citez des morceaux où elle se re
tition ? — De gradation ? — Citez un modèle de prosopopée ? — En quoi
consiste
cette figure ? — Donnez des exemples de dubitatio
D’obsécration ? — D’imprécation ? — Qu’exprime l’optation ? — En quoi
consiste
l’imprécation ? Qu’est-ce que le nombre en généra
on dont un élève studieux peut tirer un grand profit, c’est celui qui
consiste
à lire avec attention des morceaux choisis, et à
la comparaison des modèles qu’il se forme : l’enseignement du maître
consiste
à faire ressortir les beautés, à les montrer aux
de l’esprit à réussir dans un travail quelconque. En littérature, il
consiste
à produire des œuvres qui satisfassent le goût. L
tout deviner ; il faut l’aider par de bons principes. L’art du maître
consiste
à faire marcher simultanément la pratique et les
ejette tout ce qui est languissant et superflu. Le sel de l’épigramme
consiste
dans le trait plaisant et inattendu, dans la pens
Le madrigal peut avoir le même nombre de vers que l’épigramme ; il
consiste
également dans une seule pensée, et n’en diffère
nt, le nom d’épigrammes à quelques contes très courts, et dont le sel
consiste
principalement dans le trait final. Telle est cet
ai de ma vie Qu’auparavant je ne sache nager. » Le sel de ces récits
consiste
en ce que l’esprit suit paisiblement le récit, cr
eter tout ce qui est languissant et superflu. La pensée ou pointe qui
consiste
dans un trait plaisant, ingénieux ou inattendu, e
on ? L’inscription, qui n’est autre chose que l’épigramme des Grecs,
consiste
en quelques vers gravés sur un édifice, un monume
ppant et de relevé. La forme mécanique ou artificielle du sonnet, qui
consiste
dans l’arrangement et la qualité des rimes, est a
plet ne peut guère avoir de plus jolie forme que celle-ci. Son mérite
consiste
dans l’application heureuse que l’on fait des deu
faire comprendre la vérité que l’on a avancée. Tout l’art de prouver
consiste
donc à poser une proposition vraie et qui ne souf
de biens ses plus injustes et ses plus cruels ennemis. L’énumération
consiste
à séparer un tout en ses diverses parties, que l’
§ 7. Disposition. Exorde. La disposition, dans l’art oratoire,
consiste
à arranger toutes les parties fournies par l’inve
ui-là, et montre les raisons qui doivent déterminer à l’embrasser. Il
consiste
donc à conseiller et à dissuader. Ceux qui parlen
l’avenir. Le genre judiciaire a pour objet le juste et l’injuste. Il
consiste
à accuser ou à défendre, ou, comme on dit parmi n
uelque objet extérieur. La narration doit être courte. La brièveté ne
consiste
pas à exposer d’une manière sèche l’événement, ma
suit ordinairement ; quelquefois, elle précède la confirmation. Elle
consiste
à détruire les objections ou difficultés proposée
e excellents. Durant les premiers siècles du christianisme, le sermon
consistait
dans l’explication soit de l’Évangile qu’on venai
eu cité. 8. Petit traité des figures, § 33, p. 114. 9. La question
consistait
dans les tortures que l’on faisait subir à l’accu
on a coutume de faire, pour apprendre les règles de la versification,
consiste
à retourner les vers, c’est-à-dire à disposer con
pso. IV de la périphrase. La périphrase ou circonlocution
consiste
à exprimer en plusieurs mots ce qu’on aurait pu d
la répétition. 1° De l’énumération des parties. L'énumération
consiste
à mettre sous les yeux les diverses parties d’un
uissances de la campagne. 2° De la description. La description
consiste
à peindre sous les plus vives couleurs les attrib
n ne saurait reproduire.) 3° De la comparaison. La comparaison
consiste
à mettre en regard deux idées qui ont entre elles
vate nepolem. V. Remarque. — Au lieu d’ajouter des mots, l’élégance
consiste
quelquefois à en retrancher. Soit cette matière :
t point un homme d’esprit qui veut se faire entendre. » La propriété
consiste
à rencontrer cette expression qui est la bonne ;
ue l’on doit entendre par précision. « La précision, dit Aristote, ne
consiste
pas à être rapide et concis, mais à dire ce qu’il
sortes de redondances. Une grande partie de l’artifice du vers latin
consiste
dans ces répétitions que les poétiques nomment re
se dont il parle une raison pour persuader ce qu’il en dit. L’art ici
consiste
à ne pas négliger des traits essentiels, favorabl
u. » (Lettre à l’Académie française.) 2º. L’énumération des parties
consiste
à parcourir les différentes parties d’un tout, le
iscours, plus je me révolterais contre sa vanité. Les mœurs oratoires
consistent
donc dans le talent et l’aptitude de l’orateur à
ul mot, il s’écria qu’on l’avait ensorcelé. Que dirai-je de l’art qui
consiste
à émouvoir la compassion ? Je m’y suis d’autant p
de partie. De la disposition. La Disposition, dans l’art oratoire,
consiste
à mettre en ordre toutes les parties fournies par
r insinuation, nommé par les Grecs ἔφοδος56, aditus ad causam, et qui
consiste
surtout à préparer les esprits. La comparaison de
Lysias sur le meurtre d’Ératosthène72 : Le grand art de la narration
consiste
donc à présenter le germe de tous les moyens qui
ration qu’à l’exorde ou à la preuve77. La brièveté qu’on exige ici ne
consiste
donc pas à se renfermer dans peu de paroles, mais
publiques. » IV. De la preuve ou confirmation. La confirmation
consiste
à établir les moyens sur lesquels on s’appuie, à
et d’arriver, par l’émotion des esprits, à la persuasion87. » Elle ne
consiste
pas dans la multitude des paroles, mais dans la g
rémonies et des spectacles. V. De la réfutation. La réfutation
consiste
à détruire les moyens contraires aux nôtres. Elle
sé au sens composé, et réciproquement. Ce sophisme, comme le suivant,
consiste
dans les mots. Nous lisons dans l’Évangile : Les
a pourtant sa noblesse. Boil., Art poét., ch. i. La pureté du style
consiste
à s’exprimer correctement, c’est-à-dire, à n’empl
ligible. » C’est peu d’être clair, il faut être précis. La précision
consiste
à n’employer que les termes nécessaires à l’expre
uence attendrissante. Au style précis est opposé le style diffus, qui
consiste
à dire peu avec beaucoup de paroles. Je me suis h
ont tout ce que les auteurs médiocres en imitent. Le naturel du style
consiste
à rendre une idée, une image, un sentiment, sans
mes et sans effort s’arranger dans ses périodes. La noblesse du style
consiste
à éviter les images populaires et les termes bas.
mots, et qui demande une oreille plus délicate et plus exercée. Elle
consiste
dans la texture, la coupe et l’enchaînement des p
trais au rang des Fabius et des Scipions. » L’harmonie de la période
consiste
à ne pas laisser trop d’inégalité entre les membr
nons de l’envisager, peut s’appeler harmonie mécanique, parce qu’elle
consiste
uniquement dans les mots matériellement pris et c
ais il est une autre sorte d’harmonie qu’on appelle imitative, et qui
consiste
dans le rapport des sons avec les objets qu’ils e
des sujets qui demandent d’un bout à l’autre un style simple. Le goût
consiste
à ne pas s’y tromper. « Rien de plus inconvenant,
ance, la richesse, la finesse, la délicatesse, la naïveté. L’élégance
consiste
à donner à la pensée un tour noble et poli, et à
l serait un rhéteur, et il est un homme d’État. La véritable richesse
consiste
dans le nombre des idées qu’un seul mot réveille,
, et tout ne doit pas être lumière. » (De Orat., III, 26.) La finesse
consiste
à laisser deviner sans peine une partie de sa pen
or le grand art, en écrivant, n’est pas d’avoir seul de l’esprit ; il
consiste
plus à persuader à ses lecteurs qu’ils en ont, et
x sortes de sublime : l’un qu’on nomme sublime de pensée, parce qu’il
consiste
dans une grande idée, soit exprimée simplement, s
exige les qualités que nous avons nommées générales ; les différences
consistent
dans les formes du style. Ainsi un personnage de
e, il y a plusieurs nuances ; et c’est dans l’art de les assortir que
consiste
la perfection de l’éloquence et de la poésie. C’e
mots. Comme ce n’est point dans une stérile abondance de mots que
consiste
la beauté d’une langue, mais dans ces tours de ph
tion n’est pas exacte ; on le voit par ces exemples. II. La métonymie
consiste
1º à prendre la cause pour l’effet : c’est ainsi
que l’on peut confondre avec l’annomination ou la paronomase, et qui
consiste
à répéter un mot dans une signification différent
mœoptote (similiter cadens), l’homœotéleute (similiter desinens), qui
consistent
dans la symétrie des cas et des désinences, mais
ue, quippe ignari philosophiæ 175. La grande découverte de Scaliger
consiste
à distinguer ainsi les figures : ou elles disent
l’a-t-il dit ? — À personne. » Le dialogisme, selon quelques anciens,
consiste
le plus souvent à donner à chacun de ceux que l’o
grande partie de sa vivacité et de ses couleurs. La principale beauté
consiste
à peindre un préteur du peuple romain dans l’atti
ne des qualités indispensables du sublime. La force d’une description
consiste
en grande partie dans sa concision ; mais elle co
mettre l’objet décrit dans son jour le plus favorable. C’est en quoi
consistent
le grand art de l’écrivain, et la grande difficul
le droit de l’épée, Justifiant César, a condamné Pompée. La froideur
consiste
à défigurer un objet ou un sentiment sublime, en
’instinct des animaux, puisqu’on en ôte la principale différence, qui
consiste
en ce que les effets du raisonnement augmentent s
n’être pas dans l’estime d’une âme ; et toute la félicité des hommes
consiste
dans cette estime. La plus grande bassesse de l’h
ue l’univers a sur lui, l’univers n’en sait rien. Toute notre dignité
consiste
donc en la pensée. C’est de là qu’il faut nous re
ue l’amour-propre les porte plus volontiers à y faire réflexion. Elle
consiste
donc dans une correspondance qu’on tâche d’établi
esprits et sur les cœurs. Examinons dans cette vue, 1°. en quoi elle
consiste
; 2°. quels en sont les différents genres ou cara
n sont les différents genres ou caractères. Article I. En quoi
consiste
l’Éloquence. L’éloquence est le talent de pers
ne l’est pas moins. Éloquence acquise par l’étude. L’éloquence
consiste
, comme je viens de le dire, dans un trait vif et
ges y aillent et viennent naturellement. Unité de temps. Cette unité
consiste
en ce que l’action dramatique ne dure qu’un jour
lui qui se montre sur la scène comique doit toujours être délicat. Il
consiste
à peindre d’une manière très ressemblante et très
e haut comique. En opposition avec ce comique, il y en a un autre qui
consiste
dans des tours de souplesse des valets ou des sou
es comédies d’intrigue, dit Destouches, dans la préface de l’Envieux,
consistent
dans un enchaînement d’aventures qui tiennent le
ur la scène et qui ne fait que leur donner la réplique. Voilà en quoi
consiste
toute l’action de ces pièces : il n’y a, par cons
chacun ce qui lui est dû sans préjudice du bien public ; que la force
consiste
à braver les périls et à supporter les travaux :
des filets d’eau ? C’était la cause elle-même ; et sa méthode, à lui,
consistait
à la méditer profondément, à bien savoir quelle e
ue l’amour-propre les porte plus volontiers à y faire réflexion. Elle
consiste
donc dans une correspondance qu’on tâche d’établi
ffrable. XXVIII. Il y a un certain modèle d’agrément et de beauté qui
consiste
en un certain rapport entre notre nature faible o
ison en est qu’on sait bien quel est l’objet de la géométrie et qu’il
consiste
en preuves, et quel est l’objet de la médecine, e
’il consiste en preuves, et quel est l’objet de la médecine, et qu’il
consiste
en la guérison ; maison ne sait pas en quoi consi
decine, et qu’il consiste en la guérison ; maison ne sait pas en quoi
consiste
l’agrément qui est l’objet de la poésie. Ou ne sa
beauté poétique. Mais qui s’imaginera une femme sur ce modèle-là, qui
consiste
à dire de petites choses avec de grands mots, ver
de miroirs et de chaînes dont il rira, parce qu’on sait mieux en quoi
consiste
l’agrément d’une femme que l’agrément des vers. M
ieux par les charmes qu’on lui donne. De sorte que l’art de persuader
consiste
autant en celui d’agréer qu’en celui de convaincr
i n’est proprement que la conduite des preuves méthodiques parfaites,
consiste
en trois parties essentielles : à définir les ter
ellente et géométrique. Après avoir établi10........... Voilà en quoi
consiste
cet art de persuader, qui se renferme dans ces de
nécessaire pour cela d’étudier les éléments de géométrie, puisqu’elle
consiste
en ces deux mots qu’on sait à la première lecture
qui louent, et la manière de les raconter. Tout l’esprit d’un auteur
consiste
à bien définir et à bien peindre. Moïse. Homère,
e foi, je ne m’en souviens plus. C. Vous parliez de l’éloquence, qui
consiste
toute à émouvoir. B. Oui, j’avais peine à compre
ur en faire un orateur ? B. Oui, sans doute. A. Et c’est en cela que
consiste
la différence de la conviction de la philosophie
qu’elle émeut les hommes en sa faveur. Ainsi, dans l’éloquence, tout
consiste
à ajouter à la preuve solide les moyens d’intéres
ne qui vous contentera peut-être. Nous avons déjà dit que l’éloquence
consiste
non-seulement dans la preuve, mais encore dans l’
persuader. A. Sans doute, ils ont le même but : toute la différence
consiste
en ce que je vous ai dit. Les poètes ont au-dessu
de celui qui parle. B. Mais ces mouvements, en quoi les faites-vous
consister
? A. Dans les paroles et dans les actions du cor
n enthousiasme soudain. C’est une espèce de musique : toute la beauté
consiste
dans la variété des tons qui haussent ou qui bais
nature ? A. Je vous l’ai déjà dit : tout l’art des bons orateurs ne
consiste
qu’à observer ce que la nature fait quand elle n’
oquence sublime n’appartient, dit-on, qu’à la liberté ; c’est qu’elle
consiste
à dire des vérités hardies, à étaler des raisons
si rare de la déclamation), que de prêcher celle qui leur est propre,
consiste
dans l’art de préparer les événements, dans leur
t, de quelque nature qu’il soit, exige ces qualités ; les différences
consistent
dans les idées propres à chaque sujet, dans les t
aisanterie qui l’avait fait réussir dans des madrigaux. La perfection
consisterait
à savoir assortir toujours son style à la matière
eau désespoir alors le secourût. Comme le mauvais goût, au physique,
consiste
à n’être flatté que par des assaisonnements trop
de grâce. Mais la grâce n’est-elle pas arbitraire ? Non, puisqu’elle
consiste
à donner aux objets qu’on représente de la vie et
crire tant de lettres seulement pour montrer un peu de cet esprit qui
consiste
en jeux de mots et en pointes ? N’est-on pas révo
éâtres. Du goût des connaisseurs En général, le goût fin et sûr
consiste
dans le sentiment· prompt d’une beauté parmi les
s le secret de rendre les ombres diaphanes, le voile transparent, que
consiste
l’art d’être fin et délicat, sans être obscur. C’
n, car elle est toujours relative à l’effet que l’on se propose et ne
consiste
qu’à se réduire aux vrais moyens de l’obtenir. Ai
le naturel sont, dans le style, inséparables de la décence. La vérité
consiste
à faire parler à chacun son langage, dans la situ
pensées. De sa nature il est donc énergique : car l’énergie du style
consiste
à serrer l’expression, afin de donner plus de res
! Rien de plus difficile à définir que les grâces : celles du style
consistent
dans l’aisance, la souplesse, la variété de ses m
nt-elles pas superficielles ! Qui ne sait que la science de la guerre
consiste
à profiter des fautes de ses ennemis ? Qui ne sai
sera déterminé par l’espace qu’elle doit parcourir. C’est en cela que
consiste
la sévérité du style ; c’est aussi ce qui en fera
erver, pour peu qu’on écrive avec force. LXXVIII. Le style littéraire
consiste
à donner un corps et une configuration à la pensé
les expliquer, de les développer. Le mérite de ces sortes d’ouvrages
consiste
donc principalement dans la méthode, et dans la c
qu’il ne le possède comme il faut. L’analyse d’un ouvrage, en effet,
consiste
à dire ce qu’il y a dans cet ouvrage, quelles en
ue (c’est un mot grec qui signifie propre au combat, à la discussion)
consiste
, la plupart du temps, en ce que des opinions crit
On devient plus homme de bien. Dubitation. La Dubitation
consiste
dans une délibération sur ce qu’on doit dire ou f
le sublime. Voici en quoi l’un et l’autre diffèrent. Le style sublime
consiste
à exprimer noblement une suite d’idées grandes, d
sées. Ce que je viens de dire, peut faire assez comprendre en quoi
consiste
le sublime d’une pensée. Cependant pour en donner
sublime. III. Du Sublime des Images. Le sublime des images
consiste
à représenter un grand objet avec les couleurs le
sera déterminé par l’espace qu’elle doit parcourir. C’est en cela que
consiste
la sévérité du style ; c’est aussi ce qui en fera
5. Si on les enchaîne. La Bruyère dit : « Tout l’esprit d’un auteur
consiste
à bien définir et à bien peindre. Moïse, Homère,
ivait : « A. Je vous l’ai déjà dit : tout l’art des bons orateurs ne
consiste
qu’à observer ce que la nature fait quand elle n’
. En l’usage et expérience de cette sentence, qui est très-véritable,
consiste
tout le fruict que je tire des livres. » 1. D
aussitôt ; et sans doute ce ne serait pas sans fondement, si elle ne
consistait
qu’à trouver des défauts dans les écrits, et dans
par le juste discernement du vrai mérite d’un ouvrage ; la correction
consiste
à savoir rejeter les prétentions trompeuses d’un
et la majesté de son sujet. Les fautes les plus contraires au sublime
consistent
à être froid et boursouflé. Le style est froid, l
ne absence totale, ou au moins une grande pénurie de génie. Le Phébus
consiste
principalement à s’efforcer de faire sortir un ob
considérés comme le second degré de l’art d’écrire. Ces hiéroglyphes
consistaient
en certaines figures naturelles destinées à peind
s, exige ces trois qualités : pureté, propriété, précision. La pureté
consiste
à employer les expressions de la langue que l’on
mis, et accueilli de la manière la plus amicale. » Le second principe
consiste
à ne jamais entasser dans une seule phrase des ch
on de la phrase, j’arrive à la troisième, que j’ai appelée force, qui
consiste
en une disposition de mots ou de membres de phras
de mots et figures de pensées. Les premières sont appelées tropes, et
consistent
dans l’emploi d’un mot dans une acception différe
ots sont employés dans leur acception propre et littérale ; la figure
consiste
alors dans le tour de la pensée, comme dans les e
eur, et détruit parmi nous cette règle où les anciens Grecs faisaient
consister
toute leur félicité, de ne souffrir point de maît
propose de traiter d’abord est appelée hyperbole ou exagération. Elle
consiste
à porter un objet au-delà de ses limites naturell
re à plus juste titre à la métaphore. Le second degré de cette figure
consiste
à introduire un objet inanimé remplissant les fon
d la jouissance que la nature a jointe à toute action de l’esprit qui
consiste
à comparer deux objets et à découvrir des ressemb
tre espèce de figure propre à animer la composition ; c’est celle qui
consiste
à peindre à nos yeux comme présent un événement p
e d’employer à propos les richesses de l’amplification oratoire. Elle
consiste
dans une exagération artificielle des circonstanc
habitude, elle nous y prépare et nous y dispose seulement. Le naturel
consiste
dans la facilité qu’on a de faire une chose, lors
ent bientôt languissante et fatigante. Le second degré de l’éloquence
consiste
à ne pas chercher seulement à plaire, mais à inst
e l’influence et du pouvoir ; et quelle éloquence ? non pas celle qui
consistait
simplement en phrases pompeuses et brillantes, ma
propriée au sujet. Je ne veux pas parler de cette méthode étudiée qui
consiste
à présenter toutes les divisions et subdivisions
hez les Romains une classe d’hommes appelés pragmatici, dont l’office
consistait
à donner à l’orateur tous les documents et toutes
directement et simplement où il vise ; l’insinuatio est un tour « qui
consiste
à présenter à l’auditoire, au lieu de l’objet qu’
n de trop, je l’approuve sans réserve ; si, au contraire, la brièveté
consiste
à n’employer que les mots strictement nécessaires
l’art leur donne sont l’analyse et la synthèse. La méthode analytique
consiste
à cacher le point que l’on veut prouver jusqu’à c
que l’intensité des sons, à faire clairement entendre l’orateur, elle
consiste
dans l’articulation complète de toutes les lettre
application et le soin. L’étude de l’action, pour le discours public,
consiste
donc principalement à se préserver de mouvements
s Troie, — et passons à l’apostrophe. « L’apostrophe, dit Marmontel,
consiste
à détourner tout à coup la parole et à l’adresser
a reprendre, et pour y substituer une autre idée. Enfin la suspension
consiste
à disposer la phrase sans l’interrompre, de telle
s donc parler ici ni de ce que les anciens appelaient anastrophe, qui
consistait
à transposer deux mots me cum pour cum me ; his a
Chapitre premier. De l’invention. L’invention
consiste
à créer un sujet et ses accessoires. C’est la pre
rateur n’a rien à rechercher. Tout le travail de l’invention oratoire
consiste
à trouver les moyens de persuader, c’est-à-dire d
semblée de magistrats, etc. 5. Bienséances. Les bienséances oratoires
consistent
dans l’art de ne rien dire qui ne soit convenable
nt et qui règle définitivement le sort des personnages. Le dénouement
consiste
, en effet, dans une action finale, qui décide ce
ir ce que deviendront en particulier les personnes. C’est en cela que
consiste
l’achèvement ; par exemple, dans l’Iliade, la réc
ier, rapporte tout à lui-même. Venons aux qualités des acteurs. Elles
consistent
dans le caractère et les mœurs qu’on leur donne.
voir la brièveté, la clarté, la vraisemblance ; et ses ornements, qui
consistent
dans les pensées, les expressions, les tours, les
les expliquer, de les développer. Le mérite de ces sortes d’ouvrages
consiste
donc principalement dans la méthode et dans le st
quises dans la critique. 2º. Elle doit être judicieuse. Cette qualité
consiste
dans une application juste et convenable des règl
auvre d’invention et d’effet, c’est le merveilleux philosophique ; il
consiste
dans l’emploi des personnages allégoriques, tels
ont l’unité, l’intégrité, la grandeur, l’intérêt. L’unité de l’action
consiste
à faire converger toutes les parties autour d’un
au Seigneur ; adorate Dominum, adorez le Seigneur. Cette méthode, qui
consiste
à varier la terminaison des noms 4, est sans dou
connaître toutes les ressources qu’il peut offrir : c’est en cela que
consiste
l’invention. Cicéron compare l’orateur ou l’écriv
soulève les passions : c’est au cœur qu’elle s’adresse. La troisième
consiste
à prouver ; elle s’adresse à la partie la plus no
à la raison. I. Des faits. La premiere méthode de développement
consiste
à chercher ce qu’il y a de réel au fond du sujet,
t. De la définition. Avant tout, il faut bien déterminer en quoi
consiste
l’objet dont on veut parler : il faut le définir,
e, y découvrir les idées particulières dont elle se compose. Le style
consiste
donc dans le choix et dans l’arrangement non-seul
qui croient atteindre par là l’originalité. La véritable originalité
consiste
à exprimer d’une manière qui vous est propre les
uchait. L’allusion n’est pas toujours une comparaison déguisée : elle
consiste
aussi à rappeler un mot ou un fait connu, comme d
n’est qu’une longue alternative de peines et de plaisirs. La peinture
consiste
en partie dans l’art de disposer les jours et les
intes oratoires. Reste une troisième classe de figures, celles qui
consistent
à jouer, pour ainsi dire, avec la pensée, soit en
t oubliée, ou plutôt il ne s’en était jamais si bien souvenu, si elle
consiste
plus dans des fonctions utiles aux peuples, que d
e deux qualités bien distinctes, la pureté et la propriété. La pureté
consiste
à n’employer que des mots et des constructions pr
il vient d’un mot latin qui signifie couper, retrancher. La précision
consiste
donc à retrancher toute superfluité, à dire tout
ait, ni n’est sur ses jambes comme un homme d’esprit. » La répétition
consiste
aussi à rapprocher deux mots dont la racine est l
ent par avance. De la synecdoque. Il y a un genre de trope qui
consiste
à faire concevoir à l’esprit plus ou moins que l’
style naïf rentre dans le précédent ; mais il en diffère en ce qu’il
consiste
surtout dans la simplicité des pensées, tandis qu
a simplicité des pensées, tandis que le style simple, proprement dit,
consiste
dans la simplicité des mots. Marmontel définit ai
cis renferme les pensées dans le moins de mots possible. La précision
consiste
à retrancher le superflu ; la concision va plus l
les siècles précédents » Du style véhément. Le style véhément
consiste
moins dans les mots que dans un choix de pensées
ts de l’action oratoire ; mais il est bon qu’ils sachent en quoi elle
consiste
, quels en sont les lois et les procédés, afin de
méthodiques leur révèlent quelle est leur place sur la terre, en quoi
consiste
la destinée humaine, sur quelles bases reposent l
sera déterminé par l’espace qu’elle doit parcourir. C’est en cela que
consiste
la sévérité du style ; c’est aussi ce qui en fera
sa frivolité même un germe de mort. Il y a un genre de frivolité qui
consiste
à dire du mal des absents. C’est un sujet qui par
être plaidées à plusieurs reprises, et la grande habileté de l’avocat
consiste
à tirer avantage de cette forme de plaidoyers. No
es troupes de leur valeur. Le mérite de ces deux espèces de harangues
consiste
dans la brièveté et l’à propos. Le style sera éle
faut prononcer fi plutôt que fisse. L’exactitude de la prononciation
consiste
encore à observer les règles de la quantité, c’es
sont susceptibles de différents degrés ; la vérité de la déclamation
consiste
à se placer dans le degré convenable, ni au-desso
t l’audition des vers seraient insupportables. L’art du versificateur
consiste
à ménager les degrés du repos, pour le plus grand
t, suivant le genre de la composition. 8. Quand une composition ne
consiste
qu’en un assemblage de 3, 4, 6, 8 ou dix vers, on
qualités du style82 ; nous rappelons cependant ici que la simplicité
consiste
à dire en peu de mots, et avec les termes ordinai
parfait exemple dans la fable du Savetier et du Financier. L’élégance
consiste
à choisir et à montrer les choses agréables avec
e à tous ceux que trompe le nom de la liberté, et qui croient qu’elle
consiste
à se révolter contre les lois, à secouer le joug
’était alors qu’une sorte de chanson en dialogue, dont tout le mérite
consistait
dans la force et la vivacité des réparties. Tout
n effet, le poète n’est pas le personnage mis en scène ; son art même
consiste
souvent à se faire oublier. Mais, dans l’ode, c’e
charme, qui intéresse, qu’il a du génie ou de l’esprit. Mais en quoi
consistent
réellement l’esprit et le génie ? Si l’on y réflé
contribueront également à perfectionner celui-là. Maintenant, en quoi
consiste
la rhétorique ? et a-t-elle été comprise de même
t ce surnom à Mercure, regardé comme l’inventeur de leur science, qui
consiste
à transmuer tous les métaux en or ; science aussi
successivement chacun de ces titres ; et d’abord la pureté. La pureté
consiste
à n’employer que les termes et les constructions
ssances, dans les personnes qui ont un grand usage du monde. Celui-ci
consiste
dans des tours de phrases particuliers, dans un u
d’ornements. Énumération des parties. L’Énumération des parties
consiste
à diviser un tout en ses parties. L’orateur en fa
tion se rencontrent aussi chez les riches. Persuadés que leur bonheur
consiste
dans l’opulence, ils dédaignent tout ce qui ne le
e d’ivresse que l’habitude a dissipée dans les premiers. » L’opulence
consiste
moins dans la possession que dans l’emploi des ri
. II. De la Narration. Après l’exorde, vient la narration, qui
consiste
à instruire l’auditeur du fond du sujet. S’il s’a
enne autorité ». La réfutation fait partie de la confirmation : elle
consiste
à détruire les difficultés qui pourraient être pr
pèce d’âme par la force et les grâces de l’expression : voilà en quoi
consiste
l’élocution. C’est à elle que l’éloquence doit pr
au moins qu’elle ne dépasse pas vingt-quatre heures. L’unité d’action
consiste
à développer un seul fait, une seule intrigue pri
ment l’effet qu’il cherche. 3° Force comique. Le génie du poète
consiste
à atteindre cette force comique dont parlaient le
opre statue. Comédie d’intrigue et autres. La comédie d’intrigue
consiste
dans un enchaînement d’aventures plaisantes, qui
: tels sont les célèbres Caractères de La Bruyère ; le parallèle, qui
consiste
à peindre les ressemblances et les différences qu
locale, qui est une condition essentielle de la vraisemblance ; elle
consiste
à bien observer les convenances de temps, de lieu
r un commencement ou exposition, un nœud, un dénouement. L’exposition
consiste
à expliquer le sujet ; c’est l’entrée en scène ;
d’une épée, et n’est propre qu’a faire de braves scélérats. « En quoi
consiste
ce préjugé ? Dans l’opinion la plus extravagante
derrière : cela s’appelle être brave en ce pays-là ; et l’honneur ne
consiste
pas à se faire tuer par son ennemi, mais à le tue
fige ne parle pas comme le Français d’aujourd’hui. La couleur locale
consiste
donc à emprunter les descriptions et les formes d
III. — De la Dissertation, ou Pensée à développer La Dissertation
consiste
à développer une pensée, à l’étendre et à la pour
est plus sérieux que la narration. Pour bien faire comprendre en quoi
consiste
cet exercice, nous citerons quelques sujets qui p
us allons citer quelques exemples pour mieux faire comprendre en quoi
consiste
cette qualité. Il appelle esprit : 1° une compara
ome de Cicéron. La clarté dans la disposition du récit on de la thèse
consiste
à présenter les faits ou les principes sans ambag
partîmes. — Chaque phrase est courte, le récit est long. La précision
consistait
à dire tout simplement : Je m’embarquai. » Je va
age. » N’est-ce pas dans l’intervention personnelle de l’orateur que
consiste
en grande partie le triomphe de Bossuet, dans la
ui traitent de la disposition, par le résumé suivant : La disposition
consiste
à coordonner et à lier entre elles les idées que
Lamartine. § XI. Des licences. Les licences poétiques peuvent
consister
: 1° dans l’orthographe ; 2° dans les mots ; 3° d
et de sept syllabes. Sa forme la plus ordinaire et la plus symétrique
consiste
à mettre un repos marqué au quatrième vers, un au
osition : 1. L’ordre. — 2. La gradation. — 3. L’harmonie. 1. L’ordre
consiste
à séparer les accessoires de l’invention en autan
oires qu’il a réservées pour les dernières. Le mérite de la gradation
consiste
en ce que le discours ou l’action suit une marche
manière convenable. La disposition est une opération de l’esprit qui
consiste
à ranger et à enchaîner les idées pour que chacun
ation des parties ; 3° La gradation. Nous avons déjà expliqué en quoi
consistaient
ces trois qualités, pour le développement desquel
rien n’entre dans le vase. Il y a aussi un ordre à garder ; cet ordre
consiste
principalement à ne pas supposer des choses que v
Argument analytique de la Poétique d’Artistote. I. § 1. La poésie
consiste
dans l’imitation trois différences entre les imi
point où toutes ses parties doivent tendre et aboutir. C’est en quoi
consistent
la justesse et l’unité d’action dans la fable. Il
soient propres, justes, sans équivoque et sans ambiguïté. La naïveté
consiste
à dire ingénument tout ce que l’on pense, sans qu
âces de la nature. Horace en a parfaitement exprimé le caractère : il
consiste
, suivant lui, dans une douceur naïve, ingénue, ma
Ode signifie Chant, Chanson, Hymne, Cantique. Ce poème, dont la forme
consiste
dans une suite de stances ou strophes, qui doiven
mes, l’écrivain ne remplit point le personnage de poète : l’art, même
consiste
à le faire oublier. Dans l’apologue, ce sont des
un effet merveilleux dans l’ode, et qui la caractérise. Voilà en quoi
consiste
l’art d’agrandir un sujet, de faire un plan vaste
ur et les Dieux. Correction. La Correction est une figure, qui
consiste
à rétracter ou à expliquer une pensée qu’on vient
attaquer sans folie, ni abandonner sans déshonneur ? » Cette figure
consiste
aussi à faire des questions avec art, pour ramene
des pensées les unes aux autres, pour les développer davantage : elle
consiste
aussi un peu dans le choix des mots opposés, comm
ns de Rhétorique et de Belles-Lettres, il recommande aux jeunes gens,
consistait
à lire avec la plus grande attention les meilleur
c’est un art, on s’imagine qu’il est fastueux et décevant ; qu’il ne
consiste
que dans l’étude minutieuse et frivole des mots,
tyle dans la troisième ; nous examinerons, dans la quatrième, en quoi
consiste
l’éloquence proprement dite, ou quelles sont les
réduits à deux : la délicatesse et la pureté. La délicatesse du goût
consiste
principalement dans la perfection de cette sensib
gement que l’on porte sur le véritable mérite d’un ouvrage. La pureté
consiste
à écarter toutes les fausses prétentions au mérit
les compositions dramatiques de Suckling et d’Etheridge. La question
consiste
à savoir ce que nous devons conclure d’exemples s
cette différence, qu’il faut ensuite ne jamais perdre de vue. Le goût
consiste
dans la faculté de juger, le génie dans la facult
des objets grands et sublimes, mais chacun s’en forme une idée. Elle
consiste
dans une espèce d’admiration, dans une sorte d’ép
ure une espèce de grandeur, qu’on appelle grandeur de manière, et qui
consiste
principalement à présenter l’objet sous un point
me une théorie générale ; il me suffit d’avoir fait connaître en quoi
consiste
le sublime et dans quels objets on peut le rencon
s, seront par elles-mêmes ou sublimes ou triviales. C’est en cela que
consiste
le grand art de l’écrivain, mais c’est là aussi q
es accumulées, une espèce d’enflure dans les expressions, enflure qui
consiste
dans l’emploi de termes plus élevés que ceux du l
tion du mont Etna, il serait inutile d’en ajouter d’autres. L’enflure
consiste
à placer avec effort un objet vulgaire ou trivial
nt à nos yeux les tableaux et les-statues. Au lieu que la description
consiste
à rappeler à l’esprit l’idée d’un objet au moyen
es de l’Amérique. L’arrangement le plus ordinaire des mots, en latin,
consiste
à placer d’abord le mot qui exprime l’objet princ
artie du discours que nous nommons article. La propriété de l’article
consiste
à indiquer et à isoler de la masse l’individu don
tation sur la formation des langues. Quant à la seconde question, qui
consiste
à savoir laquelle des deux méthodes dont il s’agi
de ces qualités les plus simples, car c’est dans leur assemblage que
consistent
presque toujours ses diverses qualités complexes.
différence bien marquée, quoique cependant il y en ait une. La pureté
consiste
dans l’usage des mots et des constructions propre
e : il vient de præcidere [couper, retrancher, abréger]. La précision
consiste
donc à retrancher toute superfluité, et à abréger
qui violent cette première règle s’écartent aussi de la seconde, qui
consiste
à ne pas accumuler dans une même phrase des chose
le l’oreille est sensible ; nous allons chercher actuellement en quoi
consiste
cette mélodie, quelles en sont les causes, et à q
ne s’est occupé que de leur effet musical. L’excellence d’une phrase
consiste
, pour lui, en quatre choses : la douceur des sons
ns actuellement nous occuper s’appelle hyperbole ou exagération. Elle
consiste
à agrandir un objet et à le faire sortir des just
sur l’hyperbole. Venons-en maintenant à ces sortes de figures qui ne
consistent
que dans la pensée, et où les mots sont pris dans
ur adressons. Le premier et le moins élevé des degrés de cette figure
consiste
à attribuer à des objets inanimés quelques-unes d
entir la différence de ces deux vers. Le second degré de cette figure
consiste
à prêter aux objets inanimés des actions que pour
pports avec la prosopopée, que nous n’en dirons que peu de mots. Elle
consiste
à s’adresser à une personne absente ou morte, com
principal une ressemblance trop évidente. Le charme d’une comparaison
consiste
surtout en ce qu’elle nous fait découvrir entre d
quement arrangées. Il y a une autre espèce d’antithèse dont la beauté
consiste
à nous surprendre par un contraste inattendu entr
du genre le plus sublime. L’interrogation, littéralement parlant, ne
consiste
qu’à adresser une question ; mais lorsque les hom
mention d’une pratique fort répandue dans ces derniers temps, et qui
consiste
à faire imprimer en caractères italiques les mots
Quintilien l’appelle amplification, et il y a beaucoup insisté. Elle
consiste
en une exagération faite avec art de toutes les c
e mots et une construction soignée, facile et harmonieuse. L’élégance
consiste
encore dans l’emploi de toutes les grâces et de t
e des moyens secondaires pour intéresser en prêchant. Le grand secret
consiste
à parler au cœur, et à faire en sorte que chacun
il désire animer ceux qui l’écoutent. L’art et l’adresse de l’orateur
consistent
surtout à donner en commençant la clef du ton sur
; et, bien que les auditeurs ne puissent pas dire précisément en quoi
consiste
son défaut, ils ne sentiront pas moins que ce déf
s comme supérieur à tous les orateurs dans l’art de raconter, art qui
consiste
principalement à être clair, vraisemblable et per
re l’objet dont on parle et son attribut. Des phrases. La phrase
consiste
en une ou plusieurs propositions formant un sens
odes auxquelles on a donné le nom d’analyse et de synthèse. L’analyse
consiste
à cacher d’abord son intention ou le but de son d
syllabe. Nous allons actuellement traiter des tons dans le débit. Ils
consistent
dans ces modulations de la voix, dans cette varié
s ou les vers n’avaient entre eux aucun rapport, et toute leur beauté
consistait
dans l’élégance de l’expression, ou dans la fines
ns ses premiers périodes, la musique était extrêmement simple ; et ne
consistait
presque qu’en certaines inflexions pathétiques qu
l’instruction est le but avoué de ces ouvrages, leur principal mérite
consiste
dans la justesse des pensées, la clarté et l’exac
rément. Le grand art de répandre de l’intérêt sur un poème didactique
consiste
à reposer l’attention du lecteur, et à l’amuser e
s ne sont autre chose que des ouvrages de sentiment, tout leur mérite
consiste
dans la justesse et la vérité de l’expression, et
mordant qui frappe l’imagination et soutient l’attention. Leur mérite
consiste
aussi beaucoup dans le choix et la fidélité des c
’imagination des lecteurs. Le grand art d’une description pittoresque
consiste
donc dans le choix des circonstances. Premièremen
uvent être étendues et prolongées, parce que leur principal mérite ne
consiste
pas dans leur force. Mais si l’on veut produire u
est originale et tout à fait particulière dans sa construction. Elle
consiste
à diviser chaque période en membres presque toujo
aire recueillir à la fin quelque maxime vulgaire de morale. Son effet
consiste
dans l’impression que produisent sur l’esprit du
prise isolément, aussi bien que le poème dans tout son ensemble ; il
consiste
dans l’impression que produisent les grands exemp
opée ; et c’est à en ménager adroitement la marche et les progrès que
consiste
surtout l’art du poète ; il faut qu’il excite not
ines de feu et de poésie ; cependant le principal mérite de Lucain ne
consiste
ni dans l’art de raconter ni dans l’art de décrir
recs, les premiers inventeurs des représentations théâtrales, elle ne
consista
longtemps qu’en une espèce d’ode ou d’hymne que l
l’ai déjà définie en traitant de la poésie épique ; j’ai dit qu’elle
consistait
à faire concourir vers un seul et même but les in
s projets différents, et tendre à un but opposé ; mais l’art du poète
consiste
à les faire agir dans un même cercle, de manière
nt quelquefois trop dépourvues d’intérêt. Voici, par exemple, en quoi
consiste
tout le sujet de l’Œdipe à Colone de Sophocle : Œ
rt d’Œdipe. Dans le Philoctète du même auteur, l’intrigue ou la fable
consiste
presque tout entière dans les efforts qu’Ulysse e
voix de celui qui les appelle. La perfection de l’art, au contraire,
consiste
à imiter, autant que possible, le cours ordinaire
rver, et qui ne sont peut-être pas aussi nécessaires. L’unité de lieu
consiste
à ne jamais changer le lieu de la scène, c’est-à-
toujours aux spectateurs. Le principal mérite du Caton de M. Addison
consiste
dans le tour des pensées morales que le poète a p
Il ne faut jamais perdre de vue que le principal mérite d’une comédie
consiste
dans la vraisemblance et le naturel de l’action,
ercevoir. Dans tous les genres de composition, la perfection de l’art
consiste
surtout à cacher l’art lui-même. Un bon auteur co
celle qui a peut-être le plus d’influence sur le succès d’un ouvrage,
consiste
à conserver pendant toute la pièce un dialogue co
avec aisance autour de l’assemblée. L’action, dans le débit oratoire,
consiste
presque tout entière dans les mouvements de la ma
utres espèces. Ch. Batteux. Poétique. Chapitre I. La poésie
consiste
dans l’imitation. Moyens à l’aide desquels on imi
e ces hommes soient bons ou méchants, car c’est en cela que les mœurs
consistent
: c’est par la bonté et par la méchanceté que les
st donc l’imitation d’une action. La pensée a le troisième rang. Elle
consiste
à faire dire ce qui est dans le sujet ou ce qui c
alheur au bonheur. Chapitre VIII. De l’unité de la fable. L’unité
consiste
, non dans l’unité du héros, mais dans l’unité de
teurs anciens, qui reconnaissent que le griphe, espèce d’énigme, peut
consister
en un seul mot composé. Voy. Athénée, X, p. 448,
rganes vocaux dans l’émission des sons. « La dureté, dit Marmontel72,
consiste
dans la difficulté qu’oppose l’articulation à l’o
sons, il arrive à cette conclusion incroyable : la beauté du style ne
consiste
ni dans l’heureux choix des expressions, ni dans
ion ! ton Dieu régnera sur toi ! » Cependant la richesse du style ne
consiste
pas toujours dans cette brillante abondance de dé
nalité pousse à forcer la métaphore. « La beauté de ce vers, dit-il,
consiste
dans cette métaphore rapide du mot dévorer ; tout
t par développement d’idée. Le pléonasme, dans le langage ordinaire,
consiste
à ajouter à la phrase des mots qui lui sont ou qu
tre, pour éviter le vice de pléonasme (voilà notre périssologie), qui
consiste
à ne dire qu’une même chose en paroles différente
ation. La réfutation se lie naturellement à la confirmation : elle
consiste
à détruire les preuves et les objections qu’on no
… est une jolie transition. 6. On nomme prétérition cette figure qui
consiste
à feindre d’omettre la chose même dont on parle.
en l’amusant, on y introduit des descriptions et des épisodes ; l’art
consiste
à les amener naturellement, et à les bien encadre
que la morale du Christianisme a sur toute autre morale. Cet avantage
consiste
dans le précepte de la charité, Je plus doux de t
Le nœud ou intrigue fait tout l’intérêt d’un ouvrage dramatique. Il
consiste
, comme je l’ai déjà dit, dans les obstacles qui r
es, doit donc être une bonté poétique ; bonte qui, suivant Corneille,
consiste
dans le caractèrè brillant et élevé d’une habitud
tere par la fierté des traits dont Corneille l’a peint. D’autres font
consister
cette bonté poétique (et c’est ici le sentiment l
médies de caractère. Les comédies d’intrigue, dit un auteur comique1,
consistent
dans un enchaînement d’aventures qui tiennent le
ces personnages, sur-tout le principal. Qu’on se rappelle ici en quoi
consiste
la belle nature : c’est dans la perfection des ob
l, frappe à la porte de Valère. Après un jeu de théâtre plaisant, qui
consiste
dans l’offre que Valère fait à Sganarelle d’entre
s : par conséquent, le premier objet et le plus grand mérite du poëte
consistent
, non pas précisément à bien nouer et à bien dénou
ond ordre, qui a de l’agrément et de la finesse. Son principal mérite
consiste
à saisir avec art les mouvemens du cœur, et à les
e ou une divinité, par des motifs différens ou opposés. Voilà en quoi
consiste
ordinairement toute l’action de ces pièces : elle
me. Je vois que votre honneur demande tout mon sang, Que tout le mien
consiste
à vous percer le flanc ; Prêt d’épouser la sœur,
tragédie. Voici en peu de mots à quoi ils se réduisent et en quoi ils
consistent
. Ce sont les propres paroles de Voltaire, dont je
lement de la tragédie proprement dite. Le Merveilleux de cette action
consiste
dans l’intervention de quelque divinité, ou de qu
sse sensible au lecteur. J’ai dit encore que l’intégrité d’une action
consiste
dans son commencement, son milieu et sa fin ; ce
tique, bonnes, convenables, ressemblantes et égales : on a vu en quoi
consistent
toutes ces qualités. Il est sur-tout essentiel de
, commence son récit : il peut le faire de deux manières. La première
consiste
à suivre l’ordre naturel des événemens ; comme le
t durant ce siége. Alors la fable se nomme simple. La seconde manière
consiste
à se jeter brusquement au milieu des événemens, p
qui, sans être proprement épiques, tiennent à ce genre, en ce qu’ils
consistent
essentiellement dans le récit. Les uns ont des ac
commune, et presque toujours risible. Le merveilleux qu’il y emploie,
consiste
dans le ministère comique de quelque divinité pay
ra dans l’ordre et l’arrangement les plus convenables : c’est en quoi
consiste
la forme de l’histoire. Un esprit susceptible de
ent enchaînés sans la moindre contrainte. Le grand art de l’historien
consiste
à passer d’un sujet à un autre, non seulement san
e de l’Histoire. On vient de voir que la perfection d’une histoire
consiste
en grande partie, dans l’exposition et la liaison
on appelle esprit peut être de quelque usage au barreau, lorsqu’il ne
consiste
toutefois que dans une réplique vive et animée, d
notre mauvaise éducation ». Tout cela était vrai : et voilà en quoi
consiste
précisément le courage de le dire, et de le dire
a troisième qualité de la Prononciation est la variété. Cette qualité
consiste
dans les diverses inflexions de la voix, c’est-à-
de mieux, sur un art qu’ils connaissaient si bien ; mais l’essentiel
consistait
à donner l’âme et la vie à ce corps de préceptes,
chaleur et d’exaltation, prend le nom d’enthousiasme. L’enthousiasme
consiste
donc dans une représentation très vive et très fr
crisie, ne pensez pas que je la borne à cette espèce particulière qui
consiste
dans l’abus de la piété, et qui fait les faux dév
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