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1 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre IV. Des Ouvrages Didactiques. »
qui en découlent, et conduira insensiblement le lecteur à une entière connaissance de toutes les règles de l’art. On ne doit pas, da
i est à la fin. Les matières doivent être disposées de manière que la connaissance d’un précepte mène naturellement à la connaissanc
de manière que la connaissance d’un précepte mène naturellement à la connaissance d’un autre. Je sais que les différents principes
onnête. Qualités de la critique. 1º. Éclairée. Un grand fonds de connaissances , et principalement celles du genre dont il s’agit
et des nations : il peut varier suivant les lieux et les siècles. Ces connaissances (pour le dire en passant) ne peuvent guère être l
uvrage de peinture ou de poésie, il fallût être peintre ou poète. Une connaissance assez étendue de ces deux arts suffit, avec les a
ugement droit, d’un goût pur et sain, qui suppose toujours de grandes connaissances , mais que ces connaissances ne supposent pas touj
et sain, qui suppose toujours de grandes connaissances, mais que ces connaissances ne supposent pas toujours. Il faut donc que la cr
a bon de n’en entreprendre la lecture, qu’après avoir acquis quelques connaissances générales de ces deux arts. Longin, né à Athènes
2 (1853) Éléments de la grammaire française « Préface. » p. 2
ils les voient appliqués à une langue qu’ils entendent déjà, et cette connaissance leur sert comme d’introduction aux langues ancien
e trop simplifiés. Quand on parle à des enfants, il y a une mesure de connaissances à laquelle on doit se borner, parce qu’ils ne son
r des choses que vous n’avez pas encore dites, et à commencer par les connaissances qui ne dépendent point de celles qui suivent. Enf
de mesurer leurs forces, de sentir ce qui leur convient : c’est cette connaissance , que l’expérience seule peut donner, qui m’a déte
3 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre premier. Objet du genre judiciaire. »
causes ne dépendait point en général de quelques juges versés dans la connaissance des lois, mais d’une assemblée de citoyens romain
ui la réputation et les succès de l’avocat dépendent absolument d’une connaissance profonde et raisonnée des lois et de sa professio
disposés à lui confier leurs intérêts, si l’on ne lui suppose qu’une connaissance superficielle des lois. Il faut donc qu’il joigne
superficielle des lois. Il faut donc qu’il joigne à un grand fonds de connaissance , le talent de donner une attention particulière a
e des réponses victorieuses aux raisons de ses adversaires ; et cette connaissance préliminaire et indispensable des endroits faible
4 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre IV. Genre didactique. »
qui en découlent, et conduira insensiblement le lecteur à une entière connaissance de toutes les règles de l’art. On ne doit pas, da
t dit à la fin. Les matières doivent être disposées de manière que la connaissance d’un précepte mène naturellement à la connaissanc
de manière que la connaissance d’un précepte mène naturellement à la connaissance d’un autre. Toutefois, parce que les différents p
l’auteur prouve que l’analyse est l’unique méthode pour acquérir des connaissances  : Je suppose un château qui domine sur une campa
ui venaient de s’ouvrir se sont tout à coup refermées. Pour avoir une connaissance de cette campagne, il ne suffit donc pas de la vo
, qui est une suite de notre organisation, que nous devons toutes les connaissances que nous acquérons par la vue. Il serait facile
ur toutes les matières, et qui sont presque tous des chefs-d’œuvre de connaissance approfondie, de disposition et de style. On a dit
N’est-il pas ridicule de voir l’abbé Desfontaines, qui n’avait aucune connaissance en physique, prendre parti dans les querelles des
5 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Pascal, 1623-1662 » pp. 56-71
couvertes précoces et restées célèbres prouvèrent qu’en tout ordre de connaissances son regard avait une intuition divinatrice. Il lu
s’ils fussent demeurés dans cette retenue de n’oser rien ajouter aux connaissances qu’ils avaient reçues, ou que ceux de leur temps
ans mépriser les anciens et 3 sans ingratitude, puisque les premières connaissances qu’ils nous ont données ont servi de degrés aux n
de ses prédécesseurs, parce qu’il garde toujours dans sa mémoire les connaissances qu’il s’est une fois acquises, et que celles des
entes dans les livres qu’ils en ont laissés. Et comme il conserve ces connaissances , il peut aussi les augmenter facilement ; de sort
hes, s’ils pouvaient avoir vieilli jusques à présent, en ajoutant aux connaissances qu’ils avaient celles que leurs études auraient p
t l’enfance des hommes proprement ; et comme nous avons joint à leurs connaissances l’expérience des siècles qui les ont suivis, c’es
gé des passions pour la suivre où il la trouvera ; sachant combien sa connaissance s’est obscurcie par les passions, je voudrais bie
bué à la ruine de la scolastique. 3. Voir dans Bossuet (Traité de la connaissance de Dieu et de soi-même.) le chapitre consacré aux
6 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Notions préliminaires » pp. 2-15
La littérature, telle que nous l’entendons ici, est en même temps la connaissance et la collection des préceptes qui président à l’
’apprécier des ouvrages d’esprit. On entend encore par littérature la connaissance des productions littéraires elles-mêmes, ainsi qu
belles-lettres, la poésie, l’éloquence, et aussi la grammaire dont la connaissance approfondie est nécessaire pour le succès des œuv
de réveiller les sensations et les idées, est le trésor de toutes les connaissances , puisque sans elle il serait impossible d’avoir a
aculté de l’âme qui sert à comparer, à juger, et qui donne une exacte connaissance des choses : il ne diffère pas alors de l’intelli
se développe par un exercice fréquent, par l’étude des règles, par la connaissance des modèles, par la comparaison et l’appréciation
7 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature — Style — Seconde partie. Moyens de former le style. — Chapitre Ier. Des exercices préparatoires à la composition » pp. 209-224
préparatoires à la composition, nous comprenons, outre l’étude et la connaissance des principes littéraires, la lecture des modèles
xempla. A l’étude des principes littéraires, il faut donc joindre la connaissance des grands écrivains qui les ont appliqués. 304.
rien ne doit être sacrifié à ces derniers avantages ; et dussent les connaissances d’un jeune homme s’en trouver moins étendues, mie
nsées ou du style. Dans un âge où le goût est encore si peu formé, la connaissance des règles si incomplète, l’expérience si peu ava
l’apparence, alors on pourra entreprendre d’autres lectures, et faire connaissance avec les écrivains dont la réputation est moins é
 ? Tous les moyens de former le style que nous venons d’énumérer, la connaissance des règles, la lecture et l’imitation des chefs-d
8 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Première partie. Principes de composition et de style. — Chapitre II. Moyens de se préparer à la composition. »
. L’étude suppose toujours l’observation : on n’acquiert de solides connaissances qu’en réfléchissant beaucoup, en cherchant à se r
e son instruction, on ne peut rien approfondir, on n’acquiert que des connaissances superficielles : l’étude doit toujours nous condu
donnant à une étude particulière, nous devons chercher à acquérir des connaissances générales, qui ne nous laissent rien ignorer de c
és et les machines qui ont centuplé la puissance humaine : toutes ces connaissances , en satisfaisant notre curiosité, ouvriront à not
t et le plus sûrement à l’art d’écrire. Elle développe le fond de nos connaissances , elle les agrandit ; elle nous forme à la fois le
première éducation de l’enfant se fait par la conversation, mais les connaissances sérieuses ne nous viennent guère par cette voie ;
de sont généralement superficielles : on peut toutefois y acquérir la connaissance des hommes et des caractères, une manière élégant
9 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XIV. Genre historique. »
nre de composition ne demande plus d’étude, plus de jugement, plus de connaissances que l’histoire. Outre les connaissances spéciales
de, plus de jugement, plus de connaissances que l’histoire. Outre les connaissances spéciales, les recherches particulières au sujet
ment, peut se nommer philosophique ; elle suppose chez le lecteur une connaissance préalable des faits ; elle les serre, les abrège
lisation, car elle exige des recherches, de la réflexion et de vastes connaissances . On peut la diviser, quant à la forme et au sujet
10 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Principes généraux des Belles-Lettres. » pp. 1-5
, qui, avant de le devenir, n’aient eu l’esprit suffisamment orné des connaissances littéraires ? S’il y en avait un seul, ce serait
urs siècles ; et l’on pourrait d’ailleurs assurer qu’à l’appui de ces connaissances , il eût marché d’un pas bien plus ferme, et se fû
s, et d’y apporter toute l’application qu’elle mérite ! Le défaut des connaissances que nous avons négligé d’acquérir dans nos premiè
11 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre III. Idée de l’Éloquence des Saints-Pères. »
ment d’Alexandrie faisait entrer dans ses compositions cette masse de connaissances souvent mal digérées. Quoiqu’en général élégant e
gories. La supériorité de ses talents et l’étendue prodigieuse de ses connaissances lui avaient attiré un grand nombre de disciples,
tout tend à la persuasion ; il place chaque chose avec dessein. À une connaissance profonde du cœur de l’homme, il joint l’art de s’
12 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Avertissement. »
d’esprit. La littérature forme donc la base essentielle de toutes nos connaissances  ; elle se mêle à toute notre vie : c’est le flamb
éressante et si utile quand elle est bien faite, suppose toujours une connaissance suffisante des principes de l’art d’écrire, et de
idactique et descriptif ? Préciser ses idées, se rendre compte de ses connaissances  ; c’est le seul moyen de les fixer à jamais dans
13 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-12
ances, le 14 mars 1879. Monsieur le Vicaire général, Après avoir pris connaissance de votre Cours de littérature, je m’empresse de v
’auteur, une longue expérience de l’enseignement. On retrouve la même connaissance intime du métier jusque dans ces petits caractère
hé de Rodez, le 12 avril 1879. Monsieur le Vicaire général, J’ai pris connaissance , sur l’invitation de Mgr l’Évêque de Rodez, de la
oie), 27 octobre 1880. Monsieur le Grand-Vicaire, Je viens de prendre connaissance de votre Traité de rhétorique. Faut-il vous dire
14 (1881) Cours complet de littérature. Style (3e éd.) « Préface de la première édition » pp. -
parmi nous la base des hautes études, quoi de plus avantageux que la connaissance des règles littéraires, depuis les notions élémen
d’un jeune homme, dans la bonne société, s’il n’était pas initié à la connaissance des principes littéraires, s’il ignorait les règl
nsées et sur les mots, un aperçu des qualités générales du style, une connaissance assez exacte des règles épistolaires, en répandan
15 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre II. Des différentes espèces de Discours Oratoires. »
solides de l’esprit, l’orateur sacré doit joindre un grand nombre de connaissances , sans lesquelles il ne remplira jamais dignement
des Pères de l’église, qu’il doit lire avec méthode, lui donneront la connaissance des vérités qu’il entreprendra d’expliquer aux pe
ires extérieurs. Il est bien essentiel d’ajouter qu’il doit avoir une connaissance profonde du cœur humain, pour en développer les r
urce pour se justifier. En peignant le cœur humain, dont il avait une connaissance si profonde, il montre les différents ressorts qu
en nous faisant le récit de ses victoires, et en indiquant les vastes connaissances dont son esprit brillant et sublime était orné. I
t joindre à la sagacité, à la justesse et à l’élévation du génie, une connaissance étendue et profonde des lois, des différentes cou
plus étonnants que la France ait jamais eus, joignait une infinité de connaissances , ou pour mieux dire, tous les genres de savoir, a
deux jours avant sa mort, et lorsqu’il ne lui restait qu’un rayon de connaissance , il lui envoya encore des marques de sa libéralit
x que la naissance vous avait soumis, vous vous en êtes fait, par les connaissances qu’ils tiennent de vous, des sujets tout nouveaux
t du public, demande peut-être des réflexions plus profondes, plus de connaissance des hommes et de leurs passions, plus d’art de co
re des guerres de leur pays, et même de celles des autres peuples. La connaissance des places fortes du royaume, de leur situation,
16 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre IV. des topiques ou lieux. — lieux applicables a l’ensemble du sujet. » pp. 48-63
us les préliminaires indiqués pour l’invention du sujet, observation, connaissances , méditation, préparent également à celle des déve
ité est de mauvais aloi : qu’enfin la seule topique admissible est la connaissance sérieuse et approfondie du sujet spécial qu’on do
en général, nous ne pouvons faillir en recommandant l’acquisition des connaissances préalables pour chaque genre d’écrit, l’érudition
l’une après l’autre. On sent, comme le philosophe, que pour avoir une connaissance de cette campagne, il faut arrêter ses regards su
enfin, ne décomposant ainsi que pour recomposer, afin qu’une fois les connaissances acquises, les choses, au lieu d’être successives,
17 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Villemain 1790-1870 » pp. 251-256
nier l’empire ni le mérite. C’est ce jugement pur et fin, composé de connaissances et de réflexions, que possèdera d’abord la critiq
en même temps cette indépendance de goût supposent une supériorité de connaissances et de lumières qui ne peut exister sans un talent
a tradition, le goût n’est que du dégoût. 4. A la bonne heure ! « La connaissance des esprits est le charme de la critique. Le main
18 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Thiers Né en 1797 » pp. 265-270
nes, de leurs rapports, de leur valeur. Il faut qu’il ait ensuite des connaissances exactes sur la force, les intérêts et le caractèr
rs une partie importante de l’art des grands capitaines. A toutes ces connaissances supérieures, l’homme de guerre ajoutera les conna
toutes ces connaissances supérieures, l’homme de guerre ajoutera les connaissances plus vulgaires, mais non moins nécessaires, de l’
19 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Pascal. (1623-1662.) » pp. 35-39
r cœur et caché à ceux qui le fuient de tout leur cœur, il tempère sa connaissance , en sorte qu’il a donné des marques de soi visibl
ai bien, et la vraie vertu, et la vraie religion, sont choses dont la connaissance est inséparable. Il n’y a que la religion chrétie
« Tout était Dieu, excepté Dieu lui-même. » 1. Eloigne, dérobe la connaissance … 2. Synonyme d’orgueil. Il est à regretter que
20 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Introduction »
se mit à la poursuite du ravisseur, et, dans ses voyages, apporta la connaissance de l’écriture en Grèce. Notre célèbre Boileau au
était suivie de celle des langues, de la lecture des poètes, et de la connaissance des manuscrits, qui, en attendant l’invention de
l’harmonie. Aussi devait-il être musicien, ou, au moins, posséder les connaissances musicales de son temps : car la poésie lyrique ét
21 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre III. Discours académiques de Racine, de Voltaire et de Buffon. »
a à travailler. Quel désordre ! quelle irrégularité ! Nul goût, nulle connaissance des véritables beautés du théâtre : les auteurs a
dont le moindre défaut est de ne rien ajouter à la masse générale des connaissances . Écoutez, jeunes écrivains, et pratiquez, s’il es
ra qu’après avoir été fécondé par l’expérience et la méditation ; ses connaissances sont les germes de ses productions. Mais s’il imi
22 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Mignet. Né en 1796. » pp. 504-512
ue plus libre ; le progrès de certaines sciences, qui lui a donné une connaissance plus complète des faits, des temps, des lieux, de
prudence et d’économie ; comment il a formé tout seul son esprit aux connaissances les plus avancées de son temps, et plié son âme à
ironné des respects des deux mondes comme un sage qui avait étendu la connaissance des lois de l’univers, comme un grand homme qui a
23 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Section I. Des Ouvrages en Prose. — Chapitre III. Du Genre historique. »
un génie heureux, soutenu d’un goût exquis, enrichi d’une infinité de connaissances , et joint à toutes les qualités du cœur, qui dist
sociétés, des empires et des arts. Il renferme la base de toutes nos connaissances historiques, et répand la plus vive clarté sur le
 ; et c’est presque en même temps que cette lumière si éclatante, ces connaissances si sublimes opèrent la plus heureuse révolution d
leur utilité, lorsqu’ils sont bien faits. Les ignorants y puisent des connaissances générales, et les savants y retrouvent certains f
s batailles, en hommes du métier, ne peut que donner les plus grandes connaissances de l’art de la guerre. Le lecteur est conduit, co
ut puiser dans cette relation si bien circonstanciée, une infinité de connaissances en matière de goût, de chronologie, de géographie
24 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Racine. (1639-1699.) » pp. 83-90
a à travailler. Quel désordre ! quelle irrégularité ! Nul goût, nulle connaissance des véritables beautés du théâtre. Les auteurs au
jours avant sa mort, et lorsqu’il ne lui restait plus qu’un rayon de connaissance , il lui envoya encore des marques de sa libéralit
laces. Les Français, il y a quinze ans, passaient pour n’avoir aucune connaissance de la navigation ; ils pouvaient à peine mettre e
25 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre II. Les Oraisons ou discours prononcés. »
nsidérer aussi chez l’auditeur, et alors elles ne se bornent pas à la connaissance que l’orateur doit avoir des inclinations des hom
tes et solides de l’esprit, l’orateur doit joindre un grand nombre de connaissances sans lesquelles il ne remplira jamais dignement s
des Pères de l’Église, qu’il doit lire avec méthode, lui donneront la connaissance des vérités qu’il entreprendra d’expliquer aux pe
ires extérieurs. Il est bien essentiel d’ajouter qu’il doit avoir une connaissance profonde du cœur humain, pour en développer les r
t joindre à la sagacité, à la justesse et à l’élévation du génie, une connaissance étendue et profonde des lois, des différentes cou
s préceptes. Il n’est pas douteux, non plus, qu’il n’ait besoin d’une connaissance assez étendue des belles-lettres, pour orner des
quence politique, qui demandent cependant de la part des orateurs des connaissances très précises et une exposition bien nette de ce
inaisons qu’on ne pouvait soupçonner autrefois. Dans tous les cas, la connaissance approfondie du sujet à traiter est la première co
26 (1827) Résumé de rhétorique et d’art oratoire
e ces précieux ouvrages ; on s’exposerait à s’égarer. Il faut que des connaissances préliminaires, des principes clairs et précis et
L’étude de la rhétorique doit occuper une place distinguée parmi les connaissances qui sont nécessaires à l’orateur ; mais le premie
able ses propres conceptions ; et quelles que soient l’étendue de ses connaissances et la rectitude de son jugement, il sera moins ca
ture humaine ; en effet, ces recherches sont intimement liées avec la connaissance de nous-même, elles nous conduisent naturellement
voyant que leurs idées se multipliaient avec leurs rapports et leurs connaissances , et que les noms des objets croissaient à l’infin
demande, dans son état le plus imparfait, un entendement sain et une connaissance approfondie de la nature humaine ; dans son état
ive et chaleureuse jointe à une grande rectitude de jugement et à une connaissance étendue de la puissance du langage ; à quoi il fa
que pressante, élévation et force, entraînement ; ajoutez-y de vastes connaissances , et une portée plus grande qui lui faisait presqu
sances, et une portée plus grande qui lui faisait presque deviner les connaissances qu’il n’avait pas acquises. Mirabeau avait beauco
le grand orateur. Il fut homme de bien, et réunit a une belle âme une connaissance profonde du cœur humain ; il avait étudié avec so
e préparation ne saurait être trop soignée ; nous devons posséder une connaissance parfaite de la matière ; mais, à l’égard des mots
dit quelque part que trois mois d’étude suffisaient pour acquérir une connaissance complète des lois civiles. Bien plus, on pensait
la réputation et du succès d’un avocat doit reposer sur une profonde connaissance de sa profession. Rien n’est plus important pour
tre son habileté dans l’art de parler, si l’on pense qu’il n’a qu’une connaissance superficielle de la loi, peu de personnes lui con
e. Outre cette étude préliminaire, et en supposant acquis un fonds de connaissances suffisant, une autre chose absolument nécessaire
’il lui communiquât toutes ses idées. Il arrivait, par ce moyen, à la connaissance parfaite de l’affaire, et était ainsi préparé sur
s relatives aux moyens que doit employer l’avocat pour parvenir à une connaissance complète de la cause qu’il doit plaider. Non tam
debantur. En supposant l’avocat ainsi préparé et muni de toutes les connaissances que l’étude de la loi en général, et celle de sa
ivra toujours celui qui donne les preuves les moins équivoques de ses connaissances , de son éloquence et de son habileté. Remarquons
apports, dans mon opinion, plus de génie. Il montre une plus profonde connaissance du monde et du cœur humain ; il est pathétique et
lir avec clarté les qualités des parties, et de donner méthodiquement connaissance aux juges des pièces souvent volumineuses qui fon
nt être tirés ex visceribus causæ, de la méditation profonde et de la connaissance complète du sujet. Ceux qui indiqueraient aux jeu
lecture de ce traité peut être avantageuse ; mais je doute que cette connaissance philosophique des passions puisse donner cette qu
nature seule peut nous douer, et qui est entièrement indépendante des connaissances spéculatives que l’on peut acquérir relativement
d’ailleurs le caractère de la sécurité que donne au jurisconsulte la connaissance intime de la matière, et la conviction de la bont
s, ce qui est le plus nécessaire à l’orateur, c’est un vaste fonds de connaissances . Cicéron et Quintilien insistent beaucoup sur ce
famés. » L’orateur étendra donc autant que possible le domaine de ses connaissances . La logique, la rhétorique, la physique, la métap
ajestueuse souveraine des sciences, viendra régner sur ces précieuses connaissances . Platon, dans son Phédon, n’accorde qu’au philoso
e mal. Dans l’état actuel des sciences, il est impossible d’avoir une connaissance satisfaisante de l’idéologie et des passions huma
toire peut seule aider l’orateur à déployer avec avantage la masse de connaissances qu’il a acquises. Mais cette masse, ces matériaux
que qu’il doit les puiser. Celui qui plaide au barreau doit avoir une connaissance complète de la loi, et de tout ce qui peut être u
haque associé revient de chaque assemblée riche des réflexions et des connaissances de tous les autres qu’il a de même enrichi des si
27 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fénelon. (1651-1715.) » pp. 101-109
t simples, naïves, courtes, pleines de sel : on y trouve une profonde connaissance de l’homme, une philosophie très-sérieuse, avec u
jouant4. Votre Art poétique montre que vous aviez toute l’étendue des connaissances acquises, et toute la force de génie nécessaire p
personnes, dont l’une, celle qui parle en ce moment, a un goût et des connaissances aussi solides que l’esprit de l’autre est dénué d
28 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome II (3e éd.)
ent sur toutes sortes de sujets, même sur ceux dont il n’avait que la connaissance la plus superficielle. Mais de tels discours n’ét
persuasif doit être tiré ex visceribus causæ doit être le fruit d’une connaissance approfondie du sujet, et d’une longue méditation.
ue. Je ne crois pas que ce soit un talent que l’on puisse devoir à la connaissance philosophique des passions. C’est la nature qui n
e, est une preuve d’un goût sûr, d’une sensibilité délicate, et d’une connaissance exacte de tout ce qui peut affecter plus particul
e qui est le plus nécessaire à l’orateur, c’est un fonds suffisant de connaissances . Cicéron et Quintilien nous le répètent souvent :
doit avoir ce que nous appelons une éducation libérale, et réunir les connaissances philosophiques aux connaissances littéraires. N’o
ne éducation libérale, et réunir les connaissances philosophiques aux connaissances littéraires. N’oublions jamais que Scribendi rec
ères qui peuvent y être mises en délibération. Secondement. Outre les connaissances qui appartiennent directement à la profession qu’
sion de déployer des talents oratoires sans qu’un goût cultivé et des connaissances étendues ne soient d’un grand secours ; le goût n
grand secours ; le goût nous dirige dans le choix des ornements, les connaissances nous ouvrent des sources précieuses de raisonneme
son érudition. Je dois, en troisième lieu, recommander de joindre aux connaissances utiles l’habitude du travail et de l’application.
la dissipation, est un des plus grands obstacles au développement des connaissances et au vrai bonheur. Celui que la nature a fait po
ir de très grands avantages. Ils sont favorables au développement des connaissances , en offrant l’occasion de faire des recherches in
les en feront sortir. Une proposition fondée sur une science, sur des connaissances ou sur des faits, peut être réfutée par une scien
ou sur des faits, peut être réfutée par une science plus étendue, des connaissances plus exactes ou des faits mieux prouvés. Voilà po
. Le goût n’est point lié aux progrès des sciences ou à l’étendue des connaissances humaines ; il est tout entier dans le sentiment.
nt de beaucoup sur eux dans tous les arts sur lesquels le progrès des connaissances a dû agir d’une manière sensible. Le monde peut,
s ces sciences qui, comme l’astronomie et la chimie, ont pour base la connaissance et l’observation des faits, les savants modernes
e, par exemple, il n’est aucune nation de l’Europe qui ne possède des connaissances politiques plus étendues que n’en avaient les Gre
ens de communication sont devenus plus faciles et plus rapides, et la connaissance des faits a, par conséquent, acquis une plus gran
ges de goût, sur cette perfection artificielle qui n’est due qu’à des connaissances plus exactes. Revenons à notre comparaison de l’â
, en suivant les traces des autres, s’affaiblit ; nous avons moins de connaissances qui nous appartiennent en propre, parce que nous
douceur, cette élégance, cet esprit qui respire dans ses odes, cette connaissance approfondie du monde, ces pensées admirables, cet
tous les ressorts secrets. Pour y réussir, il faut deux choses : une connaissance parfaite du cœur humain, et la science de la poli
téressant et instructif. Les anciens n’avaient pas, pour acquérir des connaissances en politique, les mêmes avantages que les moderne
gouvernement n’envoyait d’ambassadeurs dans les cours étrangères. Les connaissances des historiens de l’antiquité devaient donc être
ite-Live, dans son histoire, avait une belle occasion de déployer ses connaissances politiques, en examinant les causes de la grandeu
s les systèmes les plus vastes, par la profondeur et la clarté de ses connaissances stratégiques. Tacite connaissait supérieurement l
Bentivoglio et Guichardin, ont mêlé leurs récits de harangues. Leurs connaissances en politique sont peut-être plus profondes et plu
ir et complet. Dans des mémoires, l’auteur cherche moins à donner une connaissance exacte de tous les événements qui ont eu lieu pen
l’historien, à des recherches profondes ; on n’attend pas de lui des connaissances aussi étendues ; il n’est pas soumis à une gravit
t ; qu’il nous apprenne des choses utiles et curieuses, enfin que les connaissances qu’il nous donne soient dignes de notre attention
n, à la littérature, enfin à tout ce qui peut contribuer à donner une connaissance exacte du caractère et du génie d’une nation. L’o
laire viennent surtout de ce qu’il nous faut faire, en quelque sorte, connaissance avec l’écrivain. C’est là, plus que tout autre pa
urtout Marianne, prouvent une grande finesse d’esprit et une profonde connaissance du cœur humain ; les nuances les plus délicates,
uche, furent, pour les premiers peuples, les dépôts précieux de leurs connaissances et de leurs annales historiques. Ce sont des fait
ous l’apprend, se propose directement, et avant tout, de répandre les connaissances et l’instruction. Elle ne diffère donc que par la
tout en donnant l’essor à son génie, il peut montrer l’étendue de ses connaissances et la profondeur de son jugement. Ce genre de poé
de l’Écriture sont perdues pour nous, parce que nous n’avons pas des connaissances assez exactes sur les mœurs et les coutumes relig
et de la pitié. Ces sentiments d’ailleurs sont déjà déterminés par la connaissance historique que nous avons de ces mêmes personnage
oncent son caractère. Aussi, aucun genre de composition ne dénote une connaissance plus approfondie du cœur humain ; aucun genre de
ires publiques, qu’il est impossible de les comprendre sans avoir une connaissance parfaite de l’histoire de cette époque. L’on y pa
ssion des beautés de la nature et de l’art. » La Harpe le définit la connaissance du beau et du vrai, le sentiment des convenances
écrits seront les seuls qui passeront à la postérité. La quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
its sans goût, sans noblesse, sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
29 (1892) La composition française aux examens du baccalauréat de l’enseignement secondaire moderne, d’après les programmes de 1891, aux examens de l’enseignement secondaire des jeunes filles et aux concours d’admission aux écoles spéciales pp. -503
et à voir clair dans leurs idées. Après quelques années d’études, les connaissances manquent bien moins que l’art d’en tirer parti. O
. Il suffira d’en lire un de chaque sorte et de le bien posséder. Des connaissances sûres valent mieux souvent que des notions très v
erça sur son siècle et comment son esprit fut accessible à toutes les connaissances . En même temps qu’il écrivait des tragédies et de
exposerez dans une lettre à un ami tous les avantages que présente la connaissance d’une langue vivante. (Dijon, octobre 1888.) Vos
avail est égale pour tous, et que chaque homme, selon son état et ses connaissances , est tenu de payer sa dette à la société. Montrez
l écrit à un de ses amis pour lui faire part de sa joie et lui donner connaissance des ouvrages qu’il a l’intention de se procurer,
t. Pascal est ici d’accord avec les meilleurs d’entre les anciens. La connaissance du cœur humain importe d’abord ; c’est d’elle qu’
il conquit ses contemporains. Ils ont vanté à l’envi sa hardiesse, sa connaissance du cœur humain, sa logique puissante et l’ordonna
et l’élever ; j’estime que l’intelligence se développe surtout par la connaissance des œuvres d’intelligences plus grandes ; enfin,
s à la fois solides et brillantes. Elles doivent posséder un fonds de connaissances qui les mette à même de faire l’historique d’une
t sain pour se bien diriger dans la vie ordinaire – les bienséances : connaissance et application de ce qu’il faut faire et éviter,
Corneille et celles de Racine. (Section des Lettres.) Morale. De la connaissance de soi-même comme moyen de perfectionnement moral
’est le fonds commun où puise l’humanité pour se diriger. Ce sont les connaissances qui forment le viatique de la vie. Ce sont les gr
f cinq exceptions, des plus faibles. Les aspirantes n’ont ni assez de connaissances , ni assez de précision dans le peu de notions qu’
ry : « La plupart des aspirantes ont prouvé qu’elles possédaient une connaissance générale de ce qui a été écrit sur le sujet ; ell
influence politique et littéraire.   « Sauf de rares exceptions, les connaissances historiques sont suffisantes et exactes, le style
qu’on entend par ordre et méthode. Les autres, bien préparées pour la connaissance des faits et préoccupées de les bien disposer, ar
ite littéraire de sa correspondance, la plupart ont fait preuve d’une connaissance réelle de la matière, et ont très heureusement mi
ligence, un bon commencement d’instruction philologique, une certaine connaissance des récents progrès de la grammaire historique de
chez quelques-unes, un peu d’excès, au détriment de l’exactitude ; la connaissance du latin, qui leur fait défaut, étant nécessaire
rtant à cette partie de l’épreuve, avec une grande bonne volonté, des connaissances variées, soit philologiques, soit littéraires, et
sait, elles ne révèleront, à l’ordinaire du moins, la supériorité de connaissances et d’intelligence qu’elles devront à leur éducati
élicat, beaucoup d’aspirantes ont fait preuve d’une certaine somme de connaissances grammaticales, philologiques et littéraires, sans
lement sur les plus marquants ; faire un choix.) L’état actuel de nos connaissances et l’histoire du temps présent ne permettraient-i
r à de jeunes imaginations l’antiquité profane, et se demandait si la connaissance et la lecture de poètes anciens pouvait occuper u
crits seront les seuls qui passeront à la postérité : la quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
s sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
ieure à la seconde. Pourquoi ? Parce que, pour corriger un devoir, la connaissance des règles peut suffire ; mais l’analyse d’une be
nt été généralement satisfaisantes. Les élues y ont fait preuve d’une connaissance réelle des faits, et d’un certain talent dans l’o
de. Ajoutons qu’il n’était nullement nécessaire de faire montre de la connaissance du latin, que nos aspirantes sont en droit d’igno
tion, pour se rendre compte de l’étendue réelle et de la maturité des connaissances littéraires chez des concurrentes qu’un an sépare
s femmes. Sans vouloir en aucune façon les priver du gain des solides connaissances , ni leur interdire ce champ du raisonnement criti
l suivi avec un peu de monotonie ; néanmoins il y a là un ensemble de connaissances très dignes d’un concours d’agrégation. Dans les
rrentes les vues générales, dans les questions de littérature, et les connaissances particulières ; l’étendue des lectures et l’intel
n a été satisfait. Dans la plupart des autres devoirs il a trouvé une connaissance assez complète de l’histoire de notre langue au x
-être pas assez dans leurs rapports entre eux et avec la société. Les connaissances sont plutôt juxtaposées qu’enchaînées et coordonn
nge, jusqu’ici, par ses racines, dans l’enseignement primaire, où les connaissances grammaticales, on le sait, ont toujours occupé un
néral, bien que le sujet exigeât des études très précises, une solide connaissance de l’histoire de la langue française, même une ce
, ce sujet invitait les aspirantes à montrer, avec la sûreté de leurs connaissances , un certain art de bien disposer les choses, de l
pperez cette pensée, en montrant que la lecture des bons livres et la connaissance du monde sont nécessaires à la culture et au perf
oduire, une parole aisée et alerte suppléaient mal à l’exactitude des connaissances , à la sûreté du jugement, à l’esprit de suite, à
t qu’une plus grande maturité de l’esprit s’y fasse déjà sentir ; les connaissances doivent être solides et variées : mais nous exige
de n’en pas dire assez, et l’on tient à accumuler, sans utilité, des connaissances qui n’ont avec le sujet qu’un lointain rapport. U
mander aux aspirantes de soigner la composition et de faire preuve de connaissances précises. Elles devront posséder à fond leur cour
er dans le détail du style, dans l’intimité des sentiments. Ne faites connaissance avec les critiques que lorsque vous aurez fréquen
Mme de Sévigné ; quel profit en avez-vous tiré au point de vue de la connaissance de l’histoire, des mœurs et des écrivains de son
ion des femmes : « Nous sommes plus utiles par nos vertus que par nos connaissances . » – On vantait, dans une réunion, le savoir d’u
’étude de l’histoire. Ils ne devront pas se contenter de puiser leurs connaissances dans des traités à l’usage des classes, mais pren
ls devront en meubler leur mémoire, car ils contiennent un minimum de connaissances qui ne sauraient être ignorées. Nous indiquons de
– Que savez-vous sur les monuments de Rome ancienne ? – Utilité de la connaissance de l’histoire pour un peintre, – pour un sculpteu
portants de la vie humaine, et vous direz comment, en particulier, la connaissance plus exacte des phénomènes météorologiques permet
avant, de l’artiste et de l’homme d’État. Il mit un jour à profit les connaissances qu’il avait acquises par l’étude ou dans son comm
lan de campagne pour opérer avec lui sa jonction. CONSEILS ET PLAN La connaissance de l’histoire est indispensable. Il faut tirer tr
orter : 1° sur la façon dont Montesquieu et l’apprenti batelier lient connaissance  ; 2° sur les perplexités du jeune homme après le
dépêche royale. Celui-ci, cédant à un mouvement de curiosité, en prit connaissance  ; puis, séduit par la bonne mine du voyageur, il
urs illustres : Cook, La Pérouse, etc. Utilité de ces voyages pour la connaissance de la géographie, les progrès des sciences, du co
ma cour, voulez-vous mériter une faveur ? Élevez vos enfants dans ces connaissances qui ennoblissent la nature de l’homme. (Paris. – 
la forme et que le fond reste à peu près le même pour la plupart des connaissances humaines. Depuis deux siècles seulement, la scien
celles qui les ont précédées, au point de vue de l’accroissement des connaissances dans toutes les branches de la science : elles te
s qui roulent sur une matière technique, mais elles exigent certaines connaissances et une préparation spéciales. Il faut s’attacher
Faire la part de la raison et de l’expérience dans l’acquisition des connaissances humaines. Concours de 1891. Développer et a
ue le savoir scientifique ? En quoi diffère une notion vulgaire d’une connaissance scientifique ? – Principales découvertes scientif
à éclairer les esprits en les élevant vers les nobles origines de nos connaissances , en leur apprenant le prix des études abstraites,
cesse la pensée vers les vérités abstraites qui sont les bases de nos connaissances , qu’on fait une œuvre véritablement scientifique 
s besoin que toute autre industrie d’une direction intelligente et de connaissances scientifiques. Examen de 1887. Décrire l’as
ils auront soin de faire certaines lectures qui les initieront à des connaissances , à des impressions qu’ils retrouveront avec profi
genre qui exige avant tout de la méthode, de la netteté, une certaine connaissance de matières un peu spéciales. Comme on tient comp
l la lecture et le calcul, et simple ouvrier imprimeur, acquérant les connaissances les plus variées et les plus étendues. Montrer Fr
abord de bien déduire sans trop de lacunes les raisons qui rendent la connaissance de la terre indispensable au commerce. Il y avait
avail est égale pour tous, et que chaque homme, selon son état et ses connaissances , est tenu de payer sa dette à la société. Montrer
chef d’usine. – Suffit-il à un explorateur d’être courageux ? Quelles connaissances lui est-il utile de posséder ? – Vous mourez en r
prit sera plus mûr, et qu’en apprenant la grammaire il aura acquis la connaissance théorique de la langue allemande ? » – Quels son
30 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre II. division de la rhétorique. — de l’invention  » pp. 24-37
e partager ses opinions et ses sentiments, il doit acquérir certaines connaissances et suivre une méthode raisonnée de travaux pratiq
is comme il n’est point de philologie sérieuse et approfondie sans la connaissance des langues anciennes, qu’il s’attache surtout à
it qu’après avoir été fécondé par l’expérience et la méditation ; ses connaissances sont les germes de ses productions. » Une nouvell
31 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section deuxième. La Tribune du Barreau. — Chapitre VI. D’Aguesseau et Séguier. »
de ses orateurs jeter les fondements de l’empire de la parole sur la connaissance de l’homme et sur les principes de la morale. » E
osophie : sous ce titre imposant, elle a prétendu posséder toutes les connaissances . Ses partisans se sont érigés en précepteurs du g
32 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Racine, 1639-1699 » pp. 150-154
a à travailler. Quel désordre ! quelle irrégularité ! Nul goût, nulle connaissance des véritables beautés du théâtre ; les auteurs a
jours avant sa mort, et lorsqu’il ne lui restait plus qu’un rayon de connaissance , il lui envoya encore des marques de sa libéralit
33 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VII. Fontenelle. »
que bien loin d’affecter l’érudition, il répand sans affectation les connaissances les plus variées ; c’est que l’astronome comme le
e déclamateur qui s’efforce de masquer par de grands mots le vide des connaissances qui lui manquent, et dont il veut cependant étale
34 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Villemain. Né en 1790. » pp. 479-491
nier l’empire ni le mérite. C’est ce jugement pur et fin, composé de connaissances et de réflexions, que possèdera d’abord la critiq
en même temps cette indépendance de goût supposent une supériorité de connaissances et de lumières qui ne peut exister sans un talent
a tradition, le goût n’est que du dégoût. 4. À la bonne heure ! « La connaissance des esprits est le charme de la critique. Le main
35 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section première. La Tribune politique. — Chapitre V. De l’Éloquence politique chez les Français. »
ents rares, quelquefois sublimes ; un choix unique d’expressions, une connaissance profonde du cœur humain : mais il était despote p
Il faut, dans les causes ordinaires, de l’éloquence et du talent, une connaissance profonde de la jurisprudence, un zèle et une prob
36 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre IV. Thomas. »
ant l’éloge de Maurice, pour un militaire consommé dans l’étude et la connaissance de son art ? dans celui de d’Aguesseau, pour un d
és que Descartes avait à vaincre pour se former un système nouveau de connaissance  ? Écoutez, et comprenez, s’il est possible, quelq
37 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section I. De l’Art d’écrire correctement. — Chapitre II. De l’arrangement des Mots. » pp. 87-179
ou d’un adverbe qui renferme une idée de quantité : = Quand on a des connaissances étendues, de grands sentiments, et beaucoup de ju
nt, on peut se consoler d’avoir peu de fortune. Les noms substantifs, connaissances , sentiments, jugement, fortune, sont pris ici dan
s partitif et indéterminé, puisqu’on prétend désigner, non toutes les connaissances , tous les sentiments, tous le jugement, toute la
s le jugement, toute la fortune imaginables ; mais seulement quelques connaissances , quelques sentiments, quelque portion de jugement
es spécifier. Je mets donc l’article particulé des pour de les, avant connaissances , parce que ce nom n’est point précédé de son adje
t égaux dans le sanctuaire de la justice : = votre ami a une profonde connaissance de la géographie ancienne et de la moderne. Mais
entir aux jeunes gens la grande attention qu’ils doivent joindre à la connaissance des règles, pour écrire correctement. L’abbé Gira
orrecte : cet homme avait plus de talents naturels, et acquis plus de connaissances . Il faudrait dire : et avait acquis plus de conna
uis plus de connaissances. Il faudrait dire : et avait acquis plus de connaissances . Le verbe faire peut être mis à la place d’un ver
38 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre IX. Parallèle des Oraisons funèbres de Condé, par Bossuet et de Turenne, par Fléchier et Mascaron. »
toute l’adresse de l’orateur le plus habile et le plus versé dans la connaissance des ressources de son art. « Souvenez-vous, mess
r ces tristes années de la suite de ton histoire, et les dérober à la connaissance de nos neveux ! Mais puisqu’il est impossible de
39 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Cours complet de littérature à l’usage des séminaires et des colléges rédigé d’après les meilleurs critiques anciens et modernes par M. l’abbé A. Piron. Chanoine, Vicaire général, Membre de l’Académie des Arcades, ancien Professeur de littérature. » pp. 1-8
ances, le 14 mars 1879. Monsieur le Vicaire général, Après avoir pris connaissance de votre Cours de littérature, je m’empresse de v
’auteur, une longue expérience de l’enseignement. On retrouve la même connaissance intime du métier jusque dans ces petits caractère
40 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Première partie - Préceptes généraux ou De la composition littéraire. — Chapitre premier. De l’invention. »
ais. L’esprit humain qui puise les germes de ses productions dans les connaissances acquises par l’éducation, peut les féconder par l
é qui aperçoit les différences des objets entre eux, — Le goût est la connaissance des meilleurs objets. — Le cœur est la source de
uvera assez de preuves intrinsèques ; qu’on enrichisse son esprit des connaissances nécessaires à la matière que l’on traite, qu’on l
41 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre premier. Apologie de Socrate par Platon. »
a qu’il ne peut y avoir de félicité réelle pour l’homme, que dans la connaissance de ce vrai : que Dieu seul en est le principe et
de ce vrai : que Dieu seul en est le principe et la source, et que la connaissance n’en peut être parfaite qu’en lui. » Espérons don
42 (1825) Rhétorique française, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes pp. -433
hysique, ne conviennent point à un âge incapable encore de suivre nos connaissances dans leurs derniers développemens. La plupart inf
iens, d’Aristote surtout qui le premier a puisé la rhétorique dans la connaissance du cœur de l’homme. J’ai tâché de les imiter auss
verrons ailleurs que ces règles ont été puisées immédiatement dans la connaissance du cœur humain. Trois genres de causes. Les anc
invention et de la persuasion. L’invention oratoire consiste dans la connaissance et dans le choix des moyens de persuasion. On ent
’est que d’instruire. Instruire, c’est communiquer des vérités, des connaissances qui manquaient encore. On instruit par des pensée
qu’il ait de plus une provision toute faite de principes, d’idées, de connaissances de tout genre. « Pour moi, dit Horace, je ne vois
couté, beaucoup lu, beaucoup réfléchi. » (De Orat., l. I, n°. 218.) Connaissances étendues nécessaires à l’orateur. Les anciens ex
tant qu’il est possible l’orateur ne soit étranger à aucune espèce de connaissances  : il aurait besoin, disent-ils, de tout savoir, p
, comme orateur, fixer l’attention du public, doit être d’étendre ses connaissances et de rassembler beaucoup d’idées relatives aux d
ilité qu’il en retire. Il est aisé de sentir combien sont utiles des connaissances pour ainsi dire universelles. Tout se tient dans
nnaître, il faut connaître encore tout ce qui peut s’y rapporter. Des connaissances variées donnent à l’esprit plus de force, plus d’
s de tout genre. L’orateur doit approfondir son sujet. A toutes ces connaissances l’orateur doit ajouter celles du sujet qu’il veut
iter. Les ressources qu’on peut tirer de son esprit, de son cœur, des connaissances acquises, deviendraient inutiles si l’on voulait
u’on ignore ? « L’art de bien dire suppose, dans celui qui parle, une connaissance approfondie du sujet qu’il traite. » (Cic. , de O
traiter ainsi les affaires publiques, l’orateur doit avoir acquis une connaissance profonde du passé, du présent, et par l’un et l’a
éclaircir quelque point contesté, ni pour donner aux hommes quelques connaissances nouvelles. Dans un auditoire chrétien les incrédu
at de nos jours, aussi distingué par son éloquence que par ses vastes connaissances dans la science des lois, en propose une plus sat
Les présomptions relatives aux actions des hommes se forment sur la connaissance générale du cœur humain ; ou sur le caractère, le
e qu’elle prend. L’orateur ne peut donc se passer de l’étude et de la connaissance de la dialectique. Il ne saurait trop s’appliquer
rares. Il dit dans le discours pro lege Maniliâ : « Pompée réunit la connaissance de l’art militaire, le courage, la réputation et
ait lorsqu’en parcourant successivement les parties, on parvient à la connaissance du tout. On l’appelle aussi méthode de résolution
ative, et qu’à raison de la diversité des esprits et de la mesure des connaissances , ce qui est clair pour une personne, ne l’est pas
ence, un génie médiocre peut y suffire, pourvu qu’il soit aidé par la connaissance des règles et par l’exercice. Jamais on n’a manqu
l. XII, c. 9.) Observations sur les passions oratoires. A la connaissance des moyens d’émouvoir, l’orateur doit joindre l’a
. (De Orat., l. II, n. 213.) Les mouvemens de l’âme supposent quelque connaissance dans l’esprit, et ils ne peuvent venir qu’à la su
uer simplement notre faiblesse, au lieu de reconnaître les bornes des connaissances humaines nous prenons pour cause de cet effet, ou
uffon, seront les seuls qui passeront à la postérité. La quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront ; parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
d’écrire purement. Pour écrire et parler correctement, il faut, aux connaissances grammaticales, joindre la lecture et l’usage : la
lui dit : « Vous communiquez sans réserve à notre jeune monarque les connaissances qui le mettront un jour en état de gouverner par
Cela ne se peut faire sans une grande justesse d’esprit, et sans une connaissance approfondie de la langue. Il n’y a, pour la puret
implement. Mais en disant : « Les recherches te conduiront-elles à la connaissance de Dieu ? peux-tu dévoiler le Tout-Puissant ? c’e
sont les ennemis de l’état ; la tempête, c’est la conjuration. « Les connaissances humaines sont une mer de raisonnemens où le philo
près lui de nouvelles routes dans toutes les principales branches des connaissances humaines : « L’ancienne Mythologie, parmi ses di
et la digne récompense du travail qu’elles exigent. Elle suppose une connaissance approfondie des sciences, du cœur humain, des car
itiquer, etc… Ajoutez la science du droit civil, l’étude des lois, la connaissance de l’antiquité, des usages du sénat, de la discip
me, en traitant des matières analogues à ses travaux habituels, à ses connaissances acquises, ou des sujets pour lesquels on se senti
’on doit dire ou écrire sur un sujet donné, il faut d’abord avoir des connaissances générales sur la matière à laquelle le sujet appa
mettrait en danger d’y faire des fautes, si l’on n’en prenait qu’une connaissance légère et superficielle. Page 30, ligne 9 : lisez
rels nécessaires à l’orateur. L’étude et le talent sont inséparables. Connaissances étendues nécessaires à l’orateur. Utilité qu’il e
43 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Pascal, 1622-1662 » pp. 44-51
Euclide. D’autres découvertes précoces prouvèrent qu’en tout ordre de connaissances son regard avait une intuition divinatrice. Il lu
l y est venu faire, ce qu’il deviendra en mourant, incapable de toute connaissance , j’entre en effroi2 comme un homme qu’on aurait p
44 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Le Sage, 1668-1747 » pp. 216-222
ers essais où se révéla sa gaieté spirituelle, son génie inventif, sa connaissance du cœur humain, sa verve pétulante, qui peindra l
favoris. Par là je passai dans son esprit pour un homme qui avait une connaissance délicate des vraies beautés d’un ouvrage. « Voilà
45 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Bossuet. (1627-1704.) » pp. 54-68
fs-d’œuvre à l’attention des jeunes gens, pour qu’ils en prennent une connaissance plus approfondie, tel est le but que nous avons v
ces opérations la chimie la plus fine n’est qu’une ignorance. De la Connaissance de Dieu et de soi-même 1, chap. IV, § 2. Les a
est un chef-d’œuvre de composition et de style. Dans son traité de la Connaissance de Dieu et de soi-même, il parle le plus beau et
46 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre V. Ouvrages historiques. »
elque rapport de cause à effet, celui-là devra passer d’abord dont la connaissance est nécessaire à la parfaite intelligence de l’au
vain y est abandonné à lui-même, qu’il n’a de ressources que dans ses connaissances et ses talents pour distinguer le vrai et le fair
esse de l’esprit, à la délicatesse du goût, une étude sérieuse et une connaissance réelle des matières que ces auteurs ont traitées 
leur utilité lorsqu’ils sont bien faits. Les ignorants y puisent des connaissances générales et indispensables, quoique superficiell
47 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie —  Vauvenargues, 1715-1747 » pp. 336-343
ent les titres de Maximes, Caractères, Méditations, Introduction à la connaissance de l’esprit humain. S’il n’a pas le trait acéré d
les embrasse tout entiers et réunis ; et c’est ainsi qu’il avait des connaissances presque universelles, sans qu’on pût dire qu’il e
48 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Prosper Mérimée. Né en 1803. » pp. 558-565
proportion. Ajoutez à cela les meilleures armes alors en usage et la connaissance approfondie de l’école de bataillon. Au contraire
la critique nécessaires à tout historien, mais encore une variété de connaissances spéciales qui rarement se trouvent réunies dans l
49 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Fénelon, 1651-1715 » pp. 178-204
grands intérêts. Il ne saurait cultiver ses talents, ni acquérir les connaissances nécessaires de sa profession, ni s’assujettir de
un orateur se préparât longtemps en général pour acquérir un fonds de connaissances , et pour se rendre capable de faire de bons ouvra
 ; c’est dans le fond intime de nous-mêmes qu’il nous garde certaines connaissances comme, ensevelies, qui se réveillent au besoin ;
erfection. Je m’imagine même que si nous avions été de leut temps, la connaissance exacte des mœurs et des idées des divers siècles,
50 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre VI. Analyse du discours sur l’esprit philosophique, par le P. Guénard. »
on. Que sont en effet toutes les sciences humaines ? Un assemblage de connaissances réfléchies et combinées. Il n’appartient donc qu’
marche routinière dans la recherche de la vérité et dans l’ordre des connaissances philosophiques, le P. Guénard franchit les temps
51 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre V. des topiques ou lieux. — lieux applicables aux parties du sujet  » pp. 64-74
’empare de tous les moyens qu’ils présentent, et l’on pourra, avec la connaissance la plus superficielle de la matière, discourir à
e : il se fit connaître au public par l’application à ses devoirs, la connaissance des affaires, l’éloignement de tout intérêt. » A
52 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — Fontenelle. (1657-1757). » pp. 110-119
interdits au plus grand nombre, ne contribua pas peu à en propager la connaissance . Admis jeune à l’Académie des sciences, il devint
uissent de la régularité des mouvements célestes sans en avoir aucune connaissance  ; et même, plus l’ordre d’une police ressemble pa
53 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Montesquieu 1666-1755 » pp. 148-157
ur sur le Pont-Neuf avec un de mes amis : il rencontra un homme de sa connaissance qu’il me dit être géomètre ; je le vis plongé dan
ut que l’esprit soit hospitalier pour tous les goûts, pour toutes les connaissances . Ne soyons jamais la proie d’une spécialité. Lett
54 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Balzac, 1596-1655 » pp. 2-10
, l’opinion de ce philosophe, qui mettait la rhétorique au nombre des connaissances voluptueuses1, aurait quelque fondement. On l’eût
onne ne peut trouver étrange que d’une infinité de hautes et de rares connaissances sortent et fleurissent les diverses grâces de ses
55 (1879) L’art d’écrire enseigné par les grands maîtres
te tenait ce langage après que l’étude, la méditation, l’exercice, la connaissance de l’homme et des hommes, et tout ce que la cultu
de toutes les parties de la littérature celle qui suppose le plus de connaissances et de lumières dans celui qui l’enseigne le plus
, des flèches, un flambeau ; avec un peu d’esprit et quelques légères connaissances , ils répondront passablement. Mais qu’il leur don
en était la nature, quæ nunquam latet, disait-il, et à tirer de cette connaissance ses procédés et ses moyens. La pratique de l’orat
cette immense étude des lois ; sans compter, pour l’homme d’État, la connaissance de la chose publique, dans ses détails et dans to
et qu’il parlait trop de soi. XX. Parler de ceux qui ont traité de la connaissance de soi-même ; des divisions de Charron qui attris
e c’est que ce modèle naturel qu’il faut imiter ; et à faute de cette connaissance , on a inventé de certains termes bizarres, siècle
fait un balancement douteux entre la vérité et la volupté, et que la connaissance de l’une et le sentiment de l’autre font un comba
es raisons principales qui éloignent autant ceux qui entrent dans ces connaissances , du véritable chemin qu’ils doivent suivre, est l
ira-t-on que vous en avez. L’on ne peut guère charger l’enfance de la connaissance de trop de langues, et il me semble que l’on devr
ar l’étude de l’homme en général : qu’après, il se soit appliqué à la connaissance des hommes en particulier auxquels il doit parler
le moyen d’instruire et de redresser les esprits. Vous voyez que ces connaissances comprennent toute la philosophie la plus solide.
éduit, à cause des besoins pressants et de la brièveté de la vie, aux connaissances les plus nécessaires. Il veut au moins qu’un orat
ue l’éloquence a pour but d’en mouvoir à propos les ressorts. Pour la connaissance des lois, il la demande à l’orateur, comme le fon
rs, des déclamateurs puérils sans jugement. Non-seulement il veut une connaissance exacte de tous les principes de la morale, mais e
le reste, il faut une méditation sérieuse des premiers principes, une connaissance étendue des mœurs, la lecture de l’antiquité, de
e ; mais on devrait tirer de ses ouvrages ses grands sentiments et la connaissance de l’antiquité. B. Mais saint Cyprien, qu’en dit
us de temps pour se former. Un jeune homme sensible, mais sans aucune connaissance , ne distingue point d’abord les parties d’un gran
es qui agissent sur lui. Toutes nos institutions, nos réflexions, nos connaissances , n’ont pour objet que de nous procurer un bonheur
s qu’aux gens d’esprit. Je ne vous croyais que beaucoup de goût et de connaissances  ; mais je vois que vous avez encore Plus de génie
cine Je dois à la lecture des ouvrages de M. de Voltaire le peu de connaissance que je puis avoir de la poésie. Je lui proposai m
e critique raisonnée de tous ses écrits, qui passent de bien loin mes connaissances et la faible étendue de mes lumières ; ce soin me
qui joint à la politesse et à l’esprit philosophique de son siècle la connaissance des siècles passés, de leurs mœurs, de leur polit
e de Pascal, son raisonnement invincible, sa mémoire surnaturelle, sa connaissance universelle et prématurée ? Le premier élève l’es
lorsque l’on en manque, de même. L’admiration marque le degré de nos connaissances , et prouve moins, souvent, la perfection des chos
ra qu’après avoir été fécondé par l’expérience et la méditation ; ses connaissances sont les germes de ses productions : mais s’il im
crits seront les seuls qui passeront à la postérité : la quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
s sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
longtemps après la mort de La Bruyère ; mais peut-être en avait-il eu connaissance Pendant qu’elles circulaient manuscrites. Au rest
Réflexions critiques sur quelques poëtes. 90. L'Introduction à la connaissance de l’esprit humain. 91. Sémiramis. 92. Voyez
56 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XVI. des qualités essentielles du style. — clarté, pureté  » pp. 217-229
doute quelques ouvrages scientifiques demandent au lecteur, avec des connaissances préalables, une plus grande attention que d’autre
t sa finesse, et qui supplée à l’esprit véritable, au bon sens et aux connaissances , dans les personnes qui ont un grand usage du mon
57 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XXI. des figures  » pp. 289-300
e Pradon, la métonymie et la métaphore pour des termes de chimie ? La connaissance des figures ajoute un charme de plus aux beautés
eurs noms, qui connaît leurs familles, les retrouve comme de vieilles connaissances avec un sentiment qui tient de l’amitié. La rhéto
58 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Descartes, 1596-1650 » pp. 11-20
de par laquelle il me semble que j’ai moyen d’augmenter par degrés ma connaissance , et de l’élever peu à peu au plus haut point auqu
our ce qu’on me persuadait que par leur moyen on pouvait acquérir une connaissance claire et assurée de tout ce qui est utile à la v
59 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Guizot. Né en 1787. » pp. 469-478
ine du Sud, est le plus grand orateur ; mais si vous parlez de solide connaissance des choses et de jugement sain, le colonel Washin
ettre l’issue, sans nous fatiguer à pénétrer ce qui est au delà de la connaissance humaine, prenant seulement soin de nous acquitter
60 (1867) Rhétorique nouvelle « Troisième partie. la rhétorique » pp. 194-
montra qu’on y arrive par trois moyens : l’autorité du caractère, la connaissance des dispositions de son auditoire, la manière don
bitraires, mais sur l’étude des lois immuables de la pensée et sur la connaissance approfondie des mouvements de la nature. En sorte
t-il un art de la parole ? Non, si l’on entend par art un ensemble de connaissances dérivant de principes absolus. Que l’éloquence ai
is, usages, que rien ne lui soit étranger. S’il ne peut embrasser ces connaissances dans tous leurs détails (aujourd’hui les rapports
it en France de vrais salons. Je recommanderai surtout à l’orateur la connaissance approfondie de nos vieux écrivains. Il y trouvera
61 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre VI. — Différents genres d’exercices »
cœur et la politesse nous font un devoir de féliciter nos amis et nos connaissances sur ce qui leur arrive d’agréable. Le défaut que
rs de notre vie, aux personnes de notre famille, à nos intimes, à nos connaissances . C’est dans ces lettres que Voltaire permet d’éta
ts qui ne s’y trouvent. J’allai voir le feu de joie qu’un homme de ma connaissance avait entrepris. Les jésuites avaient fourni les
une nouvelle réponse, et l’on entretiendra ainsi avec ses amis ou ses connaissances un agréable échange de pensées et de sentiments.
62 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Chapitre XV. de l’élocution  » pp. 203-216
it-il, seront les seuls qui passeront à la postérité. La quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
s sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
63 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Saint-Simon, 1675-1755 » pp. 223-233
appris que Monseigneur avait reçu l’extrême-onction, qu’il était sans connaissance et hors de toute espérance, et que le roi avait m
es vraiment expressifs ; il ne fallait qu’avoir des yeux, sans aucune connaissance de la cour, pour distinguer les intérêts peints s
64 (1853) Principes de composition et de style (2e éd.) « Seconde partie. Étude des genres de littérature, en vers et en prose. — Chapitre XV. Genre didactique en prose. »
que l’imagination, et qui ont pour but de communiquer directement des connaissances sous forme d’enseignement. Ce genre n’a donc pas
65 (1867) Morceaux choisis des classiques français, à l’usage des classes supérieures : chefs d’œuvre des prosateurs et des poètes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouvelle édition). Classe de rhétorique
sage, dans toutes les classes des lycées et des collèges, pour que la connaissance de notre langue et de notre littérature y fût plu
a vie à cultiver ma raison, et m’avancer autant que je pourrais en la connaissance de la vérité, suivant la méthode que je m’étais p
ociété : 1º Les esprits grossiers, qui ne peuvent s’élever jusqu’à la connaissance de la vérité ; 2º Les esprits superficiels, qui p
ustesse de l’esprit étant infiniment plus considérable que toutes les connaissances spéculatives, auxquelles on peut arriver par le m
l ne méprise pas pour cela cette capacité naturelle… Sans ces divines connaissances , qu’ont pu faire les hommes, sinon ou s’élever da
de ses prédécesseurs ; parce qu’il garde toujours dans sa mémoire les connaissances qu’il s’est une fois acquises, et que celles des
entes dans les livres qu’ils en ont laissés. Et comme il conserve ces connaissances , il peut aussi les augmenter facilement ; de sort
hes, s’ils pouvaient avoir vieilli jusques à présent, en ajoutant aux connaissances qu’ils avaient celles que leurs études auraient p
nt l’enfance des hommes proprement, et comme nous avons joint à leurs connaissances l’expérience des siècles qui les ont suivis, c’es
fs-d’œuvre à l’attention des jeunes gens, pour qu’ils en prennent une connaissance plus approfondie, tel est le but que nous avons v
de pénétrer, elle verra sortir172 ce qui sera utile effectivement. La connaissance qu’elle a des affaires de son État, et son jugeme
douceurs qu’a goûtées une âme innocente, quand elle y a renoncé avec connaissance , de sorte qu’elle ne peut rentrer dans la grâce q
t de Jupiter : j’admire Dieu dans ses ouvrages, et je cherche, par la connaissance de la vérité, à régler mon esprit et devenir meil
un orateur se préparât longtemps en général pour acquérir un fonds de connaissances et pour se rendre capable de faire de bons ouvrag
rit la main de Monseigneur, lui parla de Dieu ; et le voyant plein de connaissance , mais presque hors d’état de parler, il en tira c
et arrivé dans la chambre ; mais il n’était plus temps. L’agonie sans connaissance dura près d’une heure depuis que le roi fut dans
es vraiment expressifs ; il ne fallait qu’avoir des yeux, sans aucune connaissance de la cour, pour distinguer les intérêts peints s
hysiciens au fond de l’Afrique et de l’Amérique chercher de nouvelles connaissances . Songez, milord, que sans le voyage et les expéri
p. xxv. De l’esprit. On consultait un homme, qui avait quelque connaissance du cœur humain, sur une tragédie qu’on devait rep
ra qu’après avoir été fécondé par l’expérience et la méditation ; ses connaissances sont les germes de ses productions : mais s’il im
crits seront les seuls qui passeront à la postérité ; la quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
s sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
es travaux des lettres ? Ses Maximes cependant, son Introduction à la connaissance de l’esprit humain et ses autres fragments ont su
aux hommes lorsque leur orgueil vous rejette387 ? Introduction à la connaissance de l’esprit humain 388. Du vice et de la vertu
ras de Dieu jeté dès ma naissance, Et qui de mes parents n’eus jamais connaissance . ATHALIE. Vous êtes sans parents ? JOAS.         
« La philosophie dont je m’occupe, dit-il, n’est rien de plus que la connaissance des vérités qu’on peut découvrir par les lumières
un génie admirable pour les lettres et sans bornes pour l’étendue des connaissances  ; mais tout le monde ne sait pas, ce qui est pour
ssions, et les plus convenables en général, sont celles qu’une grande connaissance du sujet fait naître sans étude et sans effort. »
. » 381. « Le sublime, dit Vauvenargues dans son Introduction à la connaissance de l’esprit humain, au chap. XIII, que l’on peut
on en traduisant ce passage, vient de ce qu’après s’être, sans aucune connaissance des hommes, beaucoup fié a quelqu’un d’entre eux,
ædibus undam. 620. Nous recommanderons, pour acquérir une parfaite connaissance du sujet, emprunté au IIIe et au IVe livre des Ro
66 (1850) Rhétorique appliquée ou recueil d’exercices littéraires. Préceptes « Deuxième partie. Préceptes des genres. — Chapitre troisième. Du discours. »
les mouvements oratoires ; elle serait plus visible si nous avions eu connaissance de l’exorde du discours et du commencement de la
’est avec raison que l’action a été définie, l’éloquence du corps. La connaissance des règles de l’action est nécessaire à l’orateur
ire que pour réussir parfaitement dans l’action, il faut posséder les connaissances nécessaires pour diriger le goût, qui fait appréc
rdre se disperse. Dans le premier exemple, l’auteur nous initie à la connaissance d’une nouvelle qui n’a rien de dramatique, puisqu
xercices de Rhétorique. La jeunesse a assez à faire de s’initier à la connaissance des premiers éléments de l’art ; l’âge mûr les dé
67 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre III. Éloges de Pompée et de César, par Cicéron. »
’il n’est pas une partie de l’art militaire qui ait pu échapper à ses connaissances  ». 91. « Quant à ses vertus guerrières, quel di
ous en pouvons remettre le commandement à un général qui réunit à une connaissance profonde de l’art militaire, toutes les vertus d’
68 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section cinquième. La Tribune académique. — Chapitre V. Analyse de l’éloge de Marc-Aurèle, par Thomas. »
ation n’eût fait de Marc-Aurèle qu’un soldat : on y joignit celle des connaissances . La langue de Platon lui devint familière comme l
nce, fut passionné pour elle. Il ne chercha point à s’égarer dans des connaissances inutiles à l’homme : il vit bientôt que l’étude d
69 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome I (3e éd.) « Première partie. De l’Art de bien écrire. — Section III. De l’Art d’écrire pathétiquement. — Chapitre II. De l’Éloquence. » pp. 318-338
l’étude et l’exercice. L’objet de cette étude pour l’Orateur, est une connaissance profonde des règles qui concernent le plan, l’ord
sur qui tombera le choix de ce prince vieilli dans l’étude et dans la connaissance des hommes ; de ce prince, dont le choix des Boss
70 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Sainte-Beuve. Né en 1804. » pp. 566-577
uade qu’ils sont excellents, et qu’il ne lui manque que le goût et la connaissance pour les mieux apprécier ; et bientôt chaque visi
ence, avant qu’un esprit neuf puisse acquérir quelque chose comme une connaissance égale à leur mérite. En attendant, la méthode est
71 (1875) Les auteurs grecs expliqués… Aristote, Poétique « Avertissement de la deuxième édition. » pp. -
imparfaite que tous les manuscrits retrouvés jusqu’à ce jour. Mais la connaissance générale des doctrines et de la langue philosophi
72 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Règles pour les ouvrages de littérature »
. L’homme même, qui ne lit que pour distraire son ennui, retire de la connaissance de ces règles, les plus grands avantages. Elles l
73 (1845) Leçons de rhétorique et de belles-lettres. Tome I (3e éd.)
ts. Il se fit un plan de travail qui contribua beaucoup à étendre ses connaissances , et il le suivit toujours, lors même que la réput
ou dans les cours qu’ils suivaient, un fait important arrivait à leur connaissance , ils le rapportaient sur-le-champ à sa date. Cett
e science très abstraite, des idées dont un autre est le créateur. Sa connaissance approfondie de la langue anglaise, l’habitude de
belles-lettres suppose, et exige même dans celui qui les cultive, une connaissance particulière des autres arts libéraux ; elle les
fixer, comme orateur, l’attention du public, doit être d’étendre ses connaissances et de rassembler beaucoup d’idées relatives aux d
durable des gens de goût. Mais de tels succès sont bien frivoles. Les connaissances profondes doivent seules fournir les matériaux do
ectionner leur goût dans l’art d’écrire et de parler, et acquérir des connaissances qui les rendent capables de devenir bons juges da
e que, doué du jugement le plus sûr, vous posséderiez les plus vastes connaissances , vous ne jouiriez pas autant de ces avantages que
la dirigent vers un but sérieux. Par elles notre esprit s’enrichit de connaissances , et notre goût nous porte à la recherche de ce qu
efois les inspirer. Il est plus que probable qu’Homère n’avait aucune connaissance de l’art du poète, lorsque, ne prenant pour guide
rement. Si nous admettons une époque antérieure à l’invention et à la connaissance des mots, il est évident que les hommes ne devaie
lus grand empire. Ils vivaient errants et dispersés, n’avaient aucune connaissance du cours naturel des choses, et chaque jour se tr
it être énigmatique et à la fois très embrouillé, et n’était pour les connaissances en général qu’un véhicule fort imparfait. On a cr
rs pensées, et qu’il faut considérer comme les éléments de toutes les connaissances et de tous les genres de perfection. Finissons pa
t la dédaigner parce qu’elle rentre dans ces éléments généraux de nos connaissances que l’on nous inculque dans notre jeunesse ; mais
succès les Français et les Italiens ont cultivé leur langue. Quelques connaissances que l’on puisse acquérir par l’étude des langues
vérité, et rien de ce qui est possible dans la nature n’échappe à sa connaissance . » Ici, du moins, tout se prononce aisément, tout
divine. » Mais en disant : « Les recherches te conduiront-elles à la connaissance de Dieu ? peux-tu dévoiler le Tout-Puissant ? c’e
s encourager à regarder attentivement les objets pour en acquérir une connaissance exacte. Cette opération de l’esprit est toujours
ant est déçu dans son grossier espoir, le savant désespère malgré ses connaissances . L’ignorance engendre l’erreur, l’erreur engendre
t de persuader, elle exige un jugement parfaitement sûr et une grande connaissance du cœur humain ; considérée sous son plus haut po
c’est que Démosthène ne pouvait pas avoir une idée aussi juste et une connaissance aussi complète que Cicéron des mœurs et des passi
règlements ou des arrêts. Aussi la science de la législation est une connaissance devenue bien plus importante que celle de l’art o
et la manière propres à chacun de ces trois genres d’éloquence. Cette connaissance est essentielle pour appliquer à chaque genre cel
e part qu’il ne fallait pas plus de trois mois d’étude pour avoir une connaissance complète de la législation ; il pensait même qu’o
e la base de la réputation et des succès d’un avocat est une profonde connaissance de tout ce qui est relatif à sa profession. Rien
ier ses intérêts à défendre. Cependant des études approfondies et des connaissances étendues ne suffisent pas encore à l’avocat qui v
préceptes sur les moyens que doit employer l’avocat pour acquérir une connaissance parfaite de la cause qu’on lui donne à plaider. I
entum videbantur. En supposant qu’un avocat réunisse tout ce que la connaissance des lois en général peut ajouter à la connaissanc
sse tout ce que la connaissance des lois en général peut ajouter à la connaissance particulière de la cause qu’il doit plaider, il f
qu’ils ignorent, mais de revêtir une vérité, dont ils avaient déjà la connaissance et même la conviction, de couleurs assez belles e
cir quelque point de métaphysique, ou pour donner aux hommes quelques connaissances nouvelles ; c’est seulement pour leur inculquer d
té et de vertu qu’exige l’éloquence de la chaire, et d’y réunir cette connaissance approfondie du cœur de l’homme et ces autres tale
n’approuve un genre quelconque de prêcher, qu’il ne soit fondé sur la connaissance du cœur humain, qu’il ne soit véritablement utile
e, plus de sentiment, et, selon moi, plus de génie. Il montre plus de connaissance du monde et du cœur humain ; il est pathétique, p
à ceux qui sont fondés sur les premiers, ou qui en supposent déjà la connaissance . On doit suivre dans la distribution la méthode q
sur le langage et la grammaire universelle. — Essai sur l’origine des connaissances humaines, par l’abbé de Condillac. — Principes de
74 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre II. Études du Prédicateur. »
rofanes ; les pères de l’église les avaient étudiés : ainsi, plus ses connaissances seront multipliées, plus son éloquence sera parfa
75 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre IV. Prédicateurs français. »
rt avec lequel il fonde nos devoirs sur nos intérêts ; c’est enfin la connaissance la plus profonde de la religion, et l’usage admir
76 (1875) Poétique
composée. Enfin ce qu’il y a de plus touchant dans la tragédie, les n connaissances , les péripéties, sont des parties de l’action. Au
naissance est, comme le mot l’indique, un passage de l’ignorance à la connaissance , qui produit l’amitié ou la haine entre les perso
n’y en a point d’autres ; car il faut achever ou ne pas achever, avec connaissance ou sans connaître. Être au moment d’achever avec
r, avec connaissance ou sans connaître. Être au moment d’achever avec connaissance et ne pas achever, est la plus mauvaise de toutes
77 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Molière, 1622-1673 » pp. 43-55
présent du ciel ; elle nous a été donnée pour porter nos esprits à la connaissance d’un Dieu par la contemplation des merveilles de
! morbleu ! messieurs, taisez-vous. Quand Dieu ne vous a pas donné la connaissance d’une chose, n’apprêtez point à rire à ceux qui v
78 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Vauvenargues 1715-1747 » pp. 196-198
ent les titres de Maximes, Caractères, Méditations, Introduction à la connaissance de l’esprit humain. S’il n’a pas le trait acéré d
79 (1853) De la rhétorique, ou De la composition oratoire et littéraire (2e éd.) « Résumé. » pp. 388-408
us les préliminaires indiqués pour l’invention du sujet, observation, connaissances , méditation, exercices, préparent également à l’i
eux que celles-ci le mouvement de la pensée et la vue de l’esprit. La connaissance des figures est nécessaire à tous et surtout à l’
80 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Fénelon 1651-1715 » pp. 118-132
sauriez douter que je suis au-dessus de vous par les lumières et les connaissances . Vous ne savez que ce que je vous ai appris, et c
grands intérêts. Il ne saurait cultiver ses talents, ni acquérir les connaissances nécessaires de sa profession ; ni s’assujettir de
81 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Préface » pp. -
sage, dans toutes les classes des lycées et des colléges, pour que la connaissance de notre langue et de notre littérature y fût plu
82 (1881) Cours complet de littérature. Poétique (3e éd.) « Préface » pp. -
l’Université, bien connu dans la presse religieuse. Après avoir pris connaissance de notre plan et de notre méthode, il nous écriva
83 (1863) Précis de rhétorique : suivi des règles auxquelles sont assujettis les différents ouvrages de littérature pp. 1-100
itions se nomment aussi les prémisses. Exemple : Il faut acquérir des connaissances utiles ; or, l'étude de sa langue maternelle et c
ou l'espoir des récompenses ; d'esprits légers, qu'il faut plier aux connaissances sérieuses ; de babillards, qu'il faut accoutumer
Combien la rhétorique distingue-t-elle de sortes de styles ? Quelles connaissances nécessitent ces caractères principaux de l'élocut
s. Parlez du geste. Littérature. On entend par littérature la connaissance des belles-lettres, et l'on entend par belles-let
belles-lettres la grammaire, la poétique et la rhétorique. Mais à ces connaissances , le littérateur doit joindre celles de l'histoire
84 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre second. Définition et devoir de la Rhétorique. — Histoire abrégée de l’Éloquence chez les anciens et chez les modernes. — Chapitre premier. Idée générale de l’Éloquence. »
que l’on a fait quelquefois des choses louables sans le secours ou la connaissance des règles, c’est qu’on a fait alors comme ceux q
85 (1854) Éléments de rhétorique française
a à travailler. Quel désordre ! quelle irrégularité ! Nul goût, nulle connaissance des véritables beautés du théâtre ; les auteurs a
ans le savoir, et il n’y en a qu’un petit nombre qui conservent de la connaissance jusqu’au dernier soupir. Sur ce petit nombre, il
. Voltaire dit que l’on consultait un jour un homme qui avait quelque connaissance du cœur humain sur une tragédie qu’on devait repr
ésentent à leurs yeux, emprunter des souvenirs utiles aux différentes connaissances qu’on leur enseigne, et se ménager longtemps d’av
général moins utile que la lecture, et ne peut guère fournir que des connaissances incomplètes et superficielles. Un homme qui devra
peut acquérir sur ces différents objets des notions élémentaires. Ces connaissances générales, que Cicéron exigeait de l’orateur, ser
moins leur en faire admirer les merveilles, cette nouvelle source de connaissances et de plaisirs adoucira leur humeur et animera le
écria le gouverneur : on étouffe l’esprit des enfants sous un amas de connaissances inutiles ; mais de toutes les sciences la plus ab
ses vides et sonores, leur apprendra à donner une forme éloquente aux connaissances historiques qu’ils ont acquises. Le but de l’orat
ra qu’après avoir été fécondé par l’expérience et la méditation ; ses connaissances sont les germes de ses productions ; mais s’il im
écrits seront les seuls qui passeront à la postérité. La quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
s sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
rase obscure, traînante et désagréable à l’oreille. Mais à quoi cette connaissance les conduira-t-elle ? Quel en doit être le résult
; et, quand elle revit ceux qui lui avaient fait faire cette nouvelle connaissance  : « Vous aviez bien raison, leur dit-elle, c’est
e défaut de trop parler de soi, trouve dans ses souvenirs et dans ses connaissances quelque chose qui intéresse tout le monde. On pas
es deux arts, qu’ils en fassent non un exercice de jeunesse, mais une connaissance utile à tous les âges, et qu’ils n’oublient jamai
86 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Saint-Simon 1625-1695 » pp. 144-147
moment. Elle l’accompagnait de toute la discrétion que lui donnait la connaissance de leur caractère, que l’étude et l’expérience lu
87 (1853) Petit traité de rhétorique et de littérature « Chapitre Ier. Considérations générales. »
ttres. On l’a appliqué aussi à la grammaire proprement dite, puis aux connaissances littéraires en général ; enfin, et par excellence
88 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Louis XIV, 1638-1715 » pp. 146-149
ndeur de l’État. Les princes qui ont de bonnes intentions et quelques connaissances de leurs affaires, soit par expérience, soit par
89 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — La Bruyère 1646-1696 » pp. 100-117
L’étude des langues L’on ne peut guère charger l’enfance de la connaissance de trop de langues, et il me semble que l’on devr
t de Jupiter ; j’admire Dieu dans ses ouvrages, et je cherche, par la connaissance de la vérité, à régler mon esprit et à devenir me
90 (1868) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, à l’usage de tous les établissements d’instruction. Cours supérieurs. Première partie : prose « Extraits des classiques français. première partie — Montesquieu, 1689-1755 » pp. 235-252
uire. Portrait de Montesquieu par lui-même Une personne de ma connaissance disait : « Je vais faire une assez sotte chose, c
n’a point pour lui-même d’ambition ; il lit, il voyage, il amasse des connaissances  ; il écrit enfin, et le tout uniquement pour son
91 (1872) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices. Cours supérieurs et moyens. Prose et poésie « Extraits des classiques français — Première partie. Prose — Le Sage 1668-1747 » pp. 139-143
ers essais où se revéla sa gaieté spirituelle, son génie inventif, sa connaissance du cœur humain, et sa verve ingénieuse, qui peind
92 (1843) Nouvelle rhétorique, extraite des meilleurs auteurs anciens et modernes (7e éd.)
ira jamais, si l’on n’a cultivé son cœur, orné son esprit, et si à la connaissance de l’art on ne joint l’exercice, l’enthousiasme,
es que le commun des hommes ne méprise que parce qu’il les ignore. La connaissance de l’homme lui apprendra quelles sont comme les r
e : il se fit connaître au public par l’application à ses devoirs, la connaissance des affaires, l’éloignement de tout intérêt. » A
et de leur conduite. « Si l’orateur, dit-il dans son discours sur la Connaissance de l’homme, veut être toujours sûr de plaire et d
n admire le plus cet esprit d’observation qu’il porta dans toutes les connaissances humaines. Cicéron a traité le même sujet avec sa
rs artificiels imaginés par les rhéteurs ; mais il faut avouer qu’une connaissance profonde de la question, et surtout le bon droit,
uer simplement notre faiblesse, au lieu de reconnaître les bornes des connaissances humaines, nous prenons pour cause de cet effet, o
uffon, seront les seuls qui passeront à la postérité. La quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
s sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
se faire entendre112. Pour écrire et parler correctement, il faut aux connaissances grammaticales joindre la lecture et l’usage : la
erce avec ceux qui parlent bien. Il est utile, si l’on veut avoir une connaissance exacte de la langue, de remarquer partout avec at
eux jours avant sa mort, lorsqu’il ne lui restait plus qu’un rayon de connaissance , il lui envoya encore des marques de sa libéralit
du Petit Carême : « Une impiété superstitieuse refuse au Très-Haut la connaissance de l’avenir, et a la faiblesse d’aller consulter
oses les obligea de sacrifier la musique, et bientôt la poésie, à des connaissances plus positives et d’un intérêt plus ordinaire. Il
les lois et le gouvernement des États, sur la morale, et même sur la connaissance de la nature n’appartenait pas également à l’orat
plaidoyers, conservèrent longtemps des traces de ces prétentions aux connaissances universelles ; on les retrouve même dans leurs li
93 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section troisième. La Tribune sacrée. — Chapitre V. Des sermons de Bossuet. »
a nous l’apprendre. Après avoir rapidement esquissé le tableau de nos connaissances et des découvertes qui honorent le plus l’esprit
94 (1811) Cours complet de rhétorique « Livre troisième. Des Trois Genres principaux d’Éloquence. — Section quatrième. Genre Démonstratif. Les Panéryriques. — Chapitre VI. Des éloges funèbres. »
r en soit épris ; que l’amour en devienne plus actif, à mesure que la connaissance en devient plus parfaite ; que la mémoire vous re
95 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre I. — Défauts et qualités de la phrase »
Dubois) : « Vous communiquez sans réserve à notre jeune Monarque les connaissances qui le mettront un jour en état de gouverner par
i existe entre deux termes qui paraissent synonymes, et parvenir à la connaissance exacte de la propriété des mots. Citons quelques
96 (1870) Extraits des classiques français, dix-septième, dix-huitième et dix-neuvième siècles, accompagnés de notes et notices par Gustave Merlet,... à l'usage de tous les établissements d'instruction. Cours moyens, grammaire et enseignement spécial. Première partie : prose
ire plus d’avantages de l’ignorance du vice que nous n’en avons de la connaissance de la vertu. De sorte qu’en ce royaume de demi-li
mon esprit, comme je dois aussi à ceux de votre ordre tout le peu de connaissance que j’ai des bonnes lettres. Que si vous prenez l
 ! morbleu ! messieurs, taisez-vous. Quand Dieu ne vous a point donné connaissance d’une chose, n’apprêtez point à rire à ceux qui v
ilosophe, il faut commencer, selon l’ordre des choses, par une exacte  connaissance de la nature des lettres et de la différente mani
Euclide. D’autres découvertes précoces prouvèrent qu’en tout ordre de connaissances son regard avait une intuition divinatrice. Il lu
 ; et ceux-là sont les plus sots de la bande, puisqu’ils le sont avec connaissance , au lieu qu’on peut penser des autres qu’ils ne l
eut penser des autres qu’ils ne le seraient plus, s’ils avaient cette connaissance . Le jeu Tel homme passe sa vie sans ennui e
l y est venu faire, ce qu’il deviendra en mourant, incapable de toute connaissance , j’entre en effroi329 comme un homme qu’on aurait
s qui n’apportent plus que la mort de quelqu’un de nos amis ou de nos connaissances , et qui peuvent apporter pis ; la crainte que l’o
et nourrissent une curiosité dangereuse, à mesure qu’ils étendent les connaissances  ; au lieu que l’Ecriture sainte inspire l’humilit
L’étude des langues L’on ne peut guère charger l’enfance de la connaissance de trop de langues, et il me semble que lion devr
ers essais où se révéla sa gaieté spirituelle, son génie inventif, sa connaissance du cœur humain, et sa verve ingénieuse, qui peind
moment. Elle l’accompagnait de toute la discrétion que lui donnait la connaissance de leur caractère, que l’étude et l’expérience lu
ur sur le Pont-Neuf avec un de mes amis ; il rencontra un homme de sa connaissance qu’il me dit être géomètre. Je le vis plongé dans
t aussi plus social1251, plus doux, plus familier : il est capable de connaissance , et même d’attachement ; ses caresses sont aimabl
ent les titres de Maximes, Caractères, Méditations, Introduction à la connaissance de l’esprit humain. S’il n’a pas le trait acéré d
vres sont l’essence1417 des meilleurs esprits, le précis1418 de leurs connaissances , et le fruit de leurs longues veilles. L’étude d’
Pascal1422, son raisonnement invincible, sa mémoire surnaturelle, sa connaissance universelle et prématurée ? Le premier élève l’es
nes, de leurs rapports, de leur valeur. Il faut qu’il ait ensuite des connaissances exactes sur la force, les intérêts et le caractèr
rs une partie importante de l’art des grands capitaines. A toutes ces connaissances supérieures, l’homme de guerre ajoutera les conna
toutes ces connaissances supérieures, l’homme de guerre ajoutera les connaissances plus vulgaires, mais non moins nécessaires, de l’
à ceux qui s’en font une idée fausse, n’est pas autre chose que cette connaissance de soi-même. Pour être humble, il n’est pas néces
te pas, que tout le monde connaît et avec lesquels je ne ferai jamais connaissance . C’est un malheur, peut-être ; mais, malgré moi e
l, à côté de la page prescrite parle programme, quelque chose dont la connaissance augmenterait sa valeur, il a peur de s’y attarder
l’attention quelque chose qui n’est au-dessous d’aucune couronne, la connaissance de ses forces, et cet art d’en user, par lequel o
antes, on voyait les plus habiles et les plus éclairés étonnés de ses connaissances , persuadés qu’il en savait plus qu’eux, et charmé
la richesse incomparable de son style. Je ne parle pas de sa profonde connaissance du cœur humain et de ce terrible dialogue entre l
ut que l’esprit soit hospitalier pour tous les goûts, pour toutes les connaissances . Ne soyons jamais la proie d’une spécialité. Lett
e fièvre, un délire, un transport, Que l’on nomme autrement, faute de connaissance . Proverbes, quolibets, folles allusions, Pointes,
s de nuit ; voir dans cette lutte continuelle succomber ses amis, ses connaissances , par les blessures et les maladies ; il y a là de
e Mme Sand sur ses lectures d’enfance. « Je suis de ceux pour qui la connaissance d’un livre peut devenir un véritable événement. L
soin pour adoucir l’amertume de leur vie. Il n’y a que l’étude et les connaissances qui élèvent les hommes à l’heureux état de goûter
97 (1807) Principes généraux des belles-lettres. Tome II (3e éd.) « Seconde partie. Des Productions Littéraires. — Origine et principe des beaux-arts »
ulpture, la peinture, la musique et la danse. On ne peut avoir aucune connaissance précise de l’époque où les arts furent inventés.
98 (1865) Morceaux choisis des classiques français à l’usage des classes supérieures : chefs-d’oeuvre des prosateurs et des poëtes du dix-septième et du dix-huitième siècle (nouv. éd.). Classe de troisième « Morceaux choisis des classiques français à l’usage de la classe de troisième. Chefs-d’œuvre de prose. — D’Aguesseau. (1668-1751.) » pp. 124-129
et du style ait été chez lui un peu étouffée sous le poids de tant de connaissances , si bien digérées qu’elles pussent être. — Pour p
99 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre IV. — Du Style. »
ent : Muchos grisonnes, y pocos Bayardos. » Aussi, depuis que j’ai eu connaissance des armes, je nay point ouy parler d’un chevalier
ies, vanité mondaine sur la poussière et la mort. Le roi restait sans connaissance , et la paralysie avait atteint un de ses membres 
igation si vous nous faites cette amitié ; car enfin il faut avoir la connaissance de tous ces messieurs-là, si l’on veut être du be
100 (1859) Principes de composition française et de rhétorique. Vol. I « Première partie — Chapitre V. — Qualités particulières du Style »
ra qu’après avoir été fécondé par l’expérience et la méditation : ses connaissances sont les germes de ses productions. Mais s’il imi
crits seront les seuls qui passeront à la postérité : la quantité des connaissances , la singularité des faits, la nouveauté même des
s sans goût, sans noblesse et sans génie, ils périront, parce que les connaissances , les faits et les découvertes s’enlèvent aisément
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